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HARVARD UNIVERSITY
LIBRARY
OF THE
Museum of Comparative Zoology
#.
SOCIÉTÉ
SCIENCES NATURELLES
DE LA CHARENTE-JNFÉRIEURE
MUS. CHHP. Z00L.
LIBRARY
pk 24 1952
HASFARD
VAIVERSITY
A ROCHELLE
| Tyr. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20.
1893
MUS. COMP. Z00L.
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SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLE
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LA CHARENTE-INFÉRIEURE
La Société des Sciences naturelles a êté reconnue établissement
d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852.
AGADÉMIE DE LA ROCHELLE
SOCIÉTÉ
DES
SCIENCES NATURELLES
PE LA CHARENTE-]NFÉRIEURE
ANNALES DE 18933.
No 29.
LA ROCHELLE
Type. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L’ESCALE, 20.
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1893.
COMPTE-RENDU
DES TRAVAUX
DE LA
SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES
DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE
PEIND'ANT PSNNPE 1892:
MESSIEURS,
Avant de vous lire le compte-rendu des travaux de
notre Société, permettez-moi d’adresser à M. de Riche-
mond, en notre nom à tous, nos remerciments les plus
sincères pour le concours dévoué qu’il à toujours
apporté à notre Société et l'expression de tous nos
regrets de le voir contraint d'abandonner, pour cause
de santé, ses fonctions de secrétaire.
Et maintenant, Messieurs, je tiens à vous remercier
de l'honneur que vous venez de me faire en me dési-
gnant pour lui succéder. Ce n’est pas sans une certaine
appréhension que j’entreprends pour la première fois
le compte-rendu annuel de vos travaux, aussi, je viens
DS
en conséquence, réclamer toute votre indulgence his
la sécheresse inévitable de mon récit.
J'appellerai d'abord votre attention sur les travaux
remarquables, terminés ou en préparation, qui font le
plus grand honneur, non seulement à leurs auteurs,
mais aussi à notre Société.
M. Boissellier, consacrant tous ses loisirs et ses veilles
à la révision de la carte géologique du département,
nous a fait hommage, cette année, de la feuille au
de La Rochelle.
80, ne
Il vient de terminer celle de Fontenay, qui complétait
ainsi, avec les cartes de la Tour de Chassiron et des
Sables, que nous possédons déjà, un rectangle de
128 kilomètres de longueur sur 80 de largeur, soit
environ 95,000 kilomètres carrés de terrains étudiés ;
sans compter les périmètres relevés pour raccords avec
les feuilles voisines et les documents inédits.
M. Foucaud ajoute chaque année à nos herbiers de
nouvelles plantes. Il vient d'entreprendre, avec M.Rouy,
la publication d’une nouvelle Flore française, au cou-
rant de toutes les découvertes. Les premiers fascicules
paraitront dans nos prochaines annales, aujourd’hui
sous presse.
M. Charles Basset vient d'obtenir pour ses impor-
tants travaux microphotographiques appliqués aux
sciences naturelles, une médaille d’or à l’exposition du
Palais des Beaux-Arts, à Paris. Ses remarquables séries
d'épreuves ne laissent aucun doute sur la supériorité
des microscopes français, considérés si longtemps
comme inférieurs aux étrangers.
Enfin, M. le docteur Brard vous a entretenu de ses
DE Ar, SET
experiences et des résultats thérapeutiques extraordi-
naires qu'il vient d'obtenir à l’hôpital civil de La
Rochelle par les injections hypodermiques des liquides
extraits d'organes animaux selon la méthode du doc-
teur Brown-Séquard.
Indépendamment dés ouvrages périodiques sur la
géologie, la botanique et la zoologie qui nous parvien-
nent chaque année, des sociétés françaises ou étran-
gères, ou par abonnement, nous avons reçu en don ;
De la société de Stockholm :
1° Teckningar ur Svenska statens historiska Museum.
par Hildebrand. Atlas, séries IV, V, VI, in-folio.
20 Kongl Vitterhets historie och Antiquitets Acadé-
miens, Mänadsblad Stockholm, 1885 à 1889, 5 vol. in -8°.
Le monde des plantes, par H. Léveiilé et M. A. Sada.
Mémoires de la Société de physique et d’histoire
naturelle de Genève. Séance de la célébration du Cen-
tenaire de sa fondation, 1891, in-40.
Revue des travaux scientifiques :
Musée Guimet. Annales, in-4°, tomes 19-20-21, 1891
et 1892.
Musée Guimet. Revue de l’histoire des religions,
tomes XIV, XV, n°5 2 et 3, XVI, no 1, 1891.
Musée Guimet. Introduction au catalogue. Aperçu
sommaire de l’histoire des religions des anciens peuples
civilisés, par M. de Milloué, 1891.
Le Reg-veda, grand in-8°, tome I, {re partie.
La Faune de la Société des Naturalistes Luxembour-
#eois, janvier 1892, no 1.
Documents relatifs à l’unification de l'heure, Ottava,
1891.
SN Me
Discours Janssen et L. Bourgeois au Congrès des
Sociétés savantes, juin 1892.
De M. Beltremieux :
Etudes sur les mollusques des couches coralligènes
inférieures du jura Bernois, avec planches, 3 partie, par
M. de Loriol.
Les plissements des terrains secondaires dans les
environs de Poitiers, par M. J. Welsch.
Profil géologique du chemin de fer d'Angoulême à
Marmande, par M. H. Arnaud, géologue à Angoulême.
Et nous avons acquis :
Muscologia Gallica (mousses de France) de Husnot,
108 livraison, 1892.
Eléments d'anatomie comparée par Rémy Perrier.
Paléontologie des terrains tertiaires éocènes de Paris,
par M. Maurice Cossmann, 5° et dernier vol.
M. Couneau, qui nous représentait au Congrès des
Sociétés savantes, à Pau, a remis, pour la bibliothèque,
l'ouvrage que-cette ville offrait à tous les membres de
l'association.
Notre président, M. Beltremieux, a donné lecture de
la circulaire ministérielle relative aux réunions de la
Sorbonne en juin dernier. ;
M. Foucaud a bien voulu accepter notre délégation.
Nous avons admis avec empressement la demande
de M. F. Lataste, secrétaire général de la Société
scientifique du Chili, à Santiago, d’entrer en corres-
pondance et de faire l’échange des publications. M.
Lataste, Erpétologiste distingué, est venu à La Rochelle,
visiter le Musée Fleuriau. Il est l’un des fondateurs de
la Société zoologique de France.
APE
Répondant à l'invitation qui nous à été faite au nom
de la Société de géographie, nous avons assisté à l’in-
téressante conférence de M. Harry Allis sur la conquête
du lac Tchad.
Sur la proposition de notre Président, nous avons
choisi cette année pour encourager l’étude des sciences
naturelles au lycée, les mammifères, par Carl Vogt, à
décerner comme prix au meilleur élève.
M. Beltremieux énumérant les ouvrages reçus, nous
en a signalé les passages les plus marquants et nous a
donné notamment d’intéressants détails sur les sujets
suivants :
Recherches anthropologiques dans le Caucase, par
M. Chantre.
Dans son traité, M. Chantre aborde d’abord l’époque
paléolithiques ; il recherche l’origine de l’homme. Bien
que l’anthropopithèque appartienne à l’époque tertiaire
on en trouve des traces dans les dépôts lacustres du
Caucase. Il donne des coupes de la région, indique la
présence d’Elephas primigenius d’ursus spelœus, de cerf,
etc. La forme des dolmens y est très variée; dans l’un
d'eux fn a trouvé des fragments de squelette. Le pays
est riche en minerais de fer et de cuivre. Il semble
démontré que c’est dans la période néolithique qu’ap-
paraissent les animaux domestiques et simultanément
comme pliante textile : le lin.
M. Chantre consacre aussi un chapitre à l’âge de
bronze, accompagné d’un atlas des objets trouvés, et
termine par des considérations sur la civilisation du
premier âge, tome IT, période historique, époque
scythobyzantine, tome IV, population actuelle du
Caucase.
Rs FEES
Revue des sciences de l'Ouest. Note sur les chevaux
polydactyles. Correction du calendrier par M. Boutigny.
Perte des fusains par les gelées. Le Courevite Isabelle,
oiseau de passage accidentel, originaire des déserts de
l'Egypte. M. Beltremieux nous a montré cet oiseau qui
fait partie depuis longtemps du Muséum Fleuriau. Il à
rappelé qu’il existe également au musée un squale gris
et semblable, mais plus petit, que celui capturé aux
environs de Rochebonne. ;
Ce dernier, que l’on montrait comme curiosité sur la
place d’Armes, mesurait 365 en longueur. :
M. de Richemond nous a fait une lecture fort inté-
ressante des Trois fêtes rochelaises en 1379; 1615, 1796.
À la demande de notre Président, l'impression de ce
document dans les Annales de La Rochelle a été votée
à l’unanimité.
Le compte-rendu des travaux de la Société pendant
l’année 1891, n'ayant subi aucune objection, son inser-
tion dans les Annales a été également décidée.
M. Foucaud, dont les recherches sont rarement
infructueuses, nous a montré deux plantes nouvelles
qu’il a découvertes dans la Charente-[nférieure ; l’une
que M. Hackel lui a dédiée-est le Glyceria Foucaudi. Ce
glyceria croit aux bords de la Charente, dans les envi-
rons de Rochefort et entre Fouras et Yves; l’autre est
un agrostis nouveau pour la France, l’A. Castellana, V.
mixta Hackel.
Au sujet d’un projet de Réforme de la nomenclature
botanique :dressé à notre Société par M. Alfred Régnier,
de Marseille, M. Foucaud, à la demande de notre Pré-
sident, nous en a fait une analyse complète. M. Régnier
propose comme types les dénominations linnéennes qui
DENT" En
ont été conservées jusqu’à nos jours et remplace par
des désinences grecques les désinences actuelles.
A
Nous avons été unanimes à partager l'opinion de
M. Régnier sur la nécessité d’une simplification de la
nomenclature et de la suppression progressive de la
synonymie, mais nous n'avons pas trouvé suffisantes
les raisons données par M. Régnier, pour rompre quant
a présent, l’état de choses uuiversellement admis
jusqu'alors.
M. Foucaud nous a démontré que l’'Œnanthe, signalé
sous le nom d’'Œn, peucedanifolia (Poll.) dans quelques
départements de l’Ouest, appartient indubitablement à
l’espèce Œ. Silaïfolia (Biel).
Pour faire cesser la confusion qui à dû avoir lieu sur
bien d autres points de la France, il a prié divers cor-
respondants de lui procurer les OEnanthes de leurs
environs dans le but de connaitre l’aire de dispersion
de cet Œnanthe Silaïfolia et de publier une note à ce
sujet. Les dessins et plantes desséchées mises sous nos
yeux, ne nous ont laissé aucun doute sur ces deux
espèces bien différentes que l’on rencontre partout en
France.
M. Lusson, dès le début de l’année, a appelé notre
attention sur les analyses agricoles d’engrais, entre-
prises au compte de divers syndicats et les augmenta-
tions des chiffres du laboratoire de La Rochelle, com-
parés à celui de Saintes. Le nombre, sans cesse crois-
sant des analyses, justifie de plus en plus les services
rendus par notre laboratoire.
Passant en revue les comptes-rendus de l’Académie
des sciences, M. Lusson nous a toujours vivement
49.
intéressés par les nombreuses communications qu’il
serait bien long d’énumérer ici.
Je vais cependant vous en indiquer quelques-unes:
Régimeanormal de la sardine en 1890, par M. Georges
Pouchet. La pèche a été très variée sur nos côtes, par-
ticulièrement en Bretagne, où elle s’est continuée
jusqu’en décembre.
La Flore pélagique des îles Feroë (par Georges Pou-
chet).
Sur un échouement de cétacé dans la 113 Olympiade
(par M. G. Pouchet).
Contribution à la connaissance des climats Sahariens
(G. Rolland).
Sur un passage de Strabon relatif à un traitement de
la vigne (Aubley).
Le système nerveux des néritides Nerita plexa,
Chemnits, perita polita Linn. Nerita Petiti Reclus et
Navicella Janelli Reclus.
Sur les caractères ostéologiques d'un Mesoplodon
Sowerbyensis mâle, échoué récemment sur le littoral
de la France (P. Fischer).
Sur la détermination de la densité des gaz liquifiés
et de leurs vapeurs saturées (E. H. Amagat).
Méthode d’analyse immédiate des extraits chloro-
phylliens. Nature de la chlorophyllane (A. Etard).
Influence de la nature du terrain sur la végétation
(J. Raulin).
Présence de la fumarine dans une Papaveracée (J.-A.
Battandier). |
Sur quelques anomalies musculaires chez l’homme
(Fernand Delisle).
DT D ee
Sur l’immobilité des eaux océaniques profondes (J.
Thouler).
Sur le Bramus, nouveau type de rongeur (Pomel).
Fossiles des phosphorites quaternaires de la Berberie
sur la glacière du Creux-Perré (Côte-d'Or). (E. A.
Martel).
Observations météorologiques sur l’édicule placé au
sommet du Mont-Blanc (par M. Janssen).
Superficies absolues et relatives des divers groupes
de terrains géologiques étudiés dans les diverses parties
du monde (Al. de Tillo).
Perturbations magnétiques des 13 et 14 février 1892
(Moureaux).
Le criquet pèlerin et ses changements de coloration
(Kunkel d'Herculaïs).
Recherches sur l’adhérence aux feuilles des plantes
et notamment aux feuilles de la pomme de terre, des
composés cuivriques destinés à combattre leurs mala-
dies (Aimé Girard).
Sur une nouvelle carte des courants de l'Atlantique
Nord (Prince Albert de Monaco).
Sur une tache solaire observée à l'Observatoire de
Meudon du 5 au 17 février (Janssen).
Sur la vitalité des germes des organismes microsco-
piques des eaux douces et salées (Certes).
Culture artificielle des diatomées (par M. Micquel).
M. le docteur Termonia qui a toujours eu un culte
pour la botanique, nous à montré quelques plantes des
plus intéressantes, recueillies par lui dans le Var, aux
environs de Toulon et Hyères. Ce sont des plantaginées,
Astragalus tragacantha, L; Thrincia tuberosa, D. C:
Arabis muralis (gorges d'Ollioules) ; Saxifraga hypnoi-
mr
des; Bisereulla pelecinus:; Specularia pentagonia, D. C. ;
Echium creticum L.:; Viola palescens ; Biscutella cicho-
riifolia (Var) hispida ; Hesperis laciniata, D. C. ; Allium
triquetrum, L. ; Serapias neglecta ; Papaver setigerum,
D. C.; pied du mont Fenouiller, près la Crau d’Hyères
(Var); Linaria Simplex, D. C.: Anemone hortensis, L. :
v. a. Stellata, etc.
Nos séances ont été souvent remplies par les lectures
d'extraits choisis par M. le docteur Termonia dans la
Revue scientifique.
Voici quelques-uns des sujets analysés :
Régime végétal (Transformisme), Biologie de la sole,
Explications de la droiterie et de la gaucherie, par
M. de Beuzé. Pourquoi l’on est droitier, par M. Mazel.
L'instinct pour défendre le cœur porte à se servir du
bras droit plus que du bras gauche.
Traitement de la morsure des serpents à sonnettes.
La production du carbonate de chaux par les ani-
maux, d’après MM. Hirine et Sims Woodheat.
Conditions de développement des plantes et des
animaux suivant le milieu dans lequel ils vivent.
La nature des feux follets, par M. Durand Gréville,
leur durée, leur inflammabilité, l'impossibilité actuelle
de les reproduire artificiellement.
Les époques géologiques. Discours d'ouverture du
cours de géologie au Muséum d'histoire naturelle, par
M. Stanislas Meunier. — La question des anciens
glaciers. Divergences de vues entre M. Stanislas Meu-
nier et M. de Lapparent.
La stérilisation de l’eau. M. Babin Daremberg préco-
nise les réactions chimiques précipitant les microbes.
EN Ce
Il recommande l'emploi du sulfate de chaux, du sulfate
de fer, de l’oxyde de fer hydraté ou de l’alun. Après
3 jours on décante, et sur 1,200 grammes par €. €., il
n’en reste pas 20.
Les microbes des eaux minérales. — MM. Colin et
Toman ont constaté dans l’eau de Vichy 572,000 germes
par centilitre à la source de la Grande-Grille, 694,000
à celle de l'Hôpital. Les sources les plus chaudes en
contiennent le plus. Les eaux tièdes et froides n’en
renferment que quelques milliers.
Vaccinations anti-rabiques à l’Institut Pasteur. En
1886, sur 2,671 personnes traitées, la mortalité a été de
0,94 pour cent. En 1891, sur 1,559 personnes traitées,
elle n’a été que de 0,25 pour cent, soit une moyenne,
0,57 pour cent.
Nouvelles expériences de vaccination contre le cho-
léra. M. Ferran, médecin à Barcelone, revendique la
priorité des découvertes au sujet de la prophylaxie du
choléra. Il a obtenu des résultats concluants, soit par
inoculation, soit par absorption de quelques gouttes du
bacile virgule. |
M. W. Haffkim, médecin russe, a fait avec succès
des expériences de vaccination sur des-pigeons et des
cobayes. Il a renouvelé les injections du virus exalté
sur des personnes et sur lui-même. Il a conclu à l’im-
munité présumable de l’organisme humain en 6 jours.
M. Klemperer a constaté que les baciles cholériques,
même très virulents, n'étaient dangereux que dans
l'intestin de l’homme et qu'ils étaient inoftensifs en
inoculations sous-cutanées. N
M. G. Daremberg conseille pour se préserver du
choléra de stériliser toute l’eau employée dans le
LE
en
ménage par une petite quantité d'acide lactique, tar-
trique, citrique et chlorhydrique.
La Fertilisation des plantes. M. Riley, entomologiste
américain, décrit le phénomène de la fécondation
croisée des plantes par les insectes, notamment du
Yucca filamentosa par un phalène nommé Pronuba
Yuccasella.
Voyage scientifique aux iles Galapagos, par M. H. de
Varigny-Galapagos, nom emprunté à celui des nom-
breuses tortues terrestres qui l’habitent. Six îles prin-
cipales instituées à 600 milles marins du fort de Quito
et Gayaquil, Amérique du Sud ; Faune et flore intéres-
santes ; Iles volcaniques.
La pêche des tortues en Amérique se fait sur 50 kilo-
mètres le long des côtes de la Floride et à l’embouchure
de l’Indian-River. — Cinq espèces: La verte, la plus
comestible, poids moyen, 185 à 200 kil., parfois 450 à
500 kil. La tortue à bec de faucon qui fournit l’écaille
pour peignes, n'atteint pas 100 kil. La tortue bâtarde,
qui ne pèse que 40 à 50 kil. La tortue Trunck-Bock, ia
plus grosse, pèse souvent 700 kil. Quatre modes de
captures, par des plongeurs, à laide d’un harpon;
pendant la pondaison ou avec un filet.
M. Fournier, de Niort, nous a donné des détails sur
la formation du bassin de la Sèvre, qui a été de sa part
l’objet de plusieurs publications, et il a décrit les trans-
formations successives du marais, du littoral, du lit
du fleuve et des alluvions. Il espère formuler bientôt
des conclusions définitives qu'il serait intémessant de
rapprocher des études sur le lit et les alluvions de la
Charente.
M. Lusson a présenté quelques observations sur
PORT
le cordon littoral de l’ancienne mare à la Besse,
aujourd’hui disparu par la création du bassin de la
Pallice ; M. Beltremieux et M. Basset ont constaté un
phénomène analogue à Port-Neuf.
M. Fournier a conclu en nous montrant tout l'intérêt
qu'il y aurait à faire une étude d'ensemble sur la côte.
Il nous a également signalé le recouvrement des
schistes des Deux-Sèvres par de la granulite; ce qui
peut être constalé sur la carte qu’il a dressée des abords
du chemin de fer.
MM. Dusser et Deforge ont appelé notre attention
sur la présence de harengs dans le bassin de la Pallice
en 1892.
M. Dollot nous a confirmé cette nouvelle en ajoutant
que dès 1890, lors de la mise en eau du bassin, on en
a pêché de grandes quantités. Cela tend à démontrer
que depuis un certain temps les migrations des harengs
s’étendaient jusqu’à nos côtes de l'Ouest.
M. Meyer, qui a bien voulu se charger d’analyser les
publications en langues étrangères, nous a signalé
particulièrement la Revue du National Museum de
Washington.
M. le docteur Brard, après avoir fait connaître les
observations qu'il a faites, à Paris, sur les cas d’ataxie
locomotrice traités au Val-de-Grâce par M. Brown-
Séquard, nous a indiqué les résultats thérapeutiques
extraordinaires qu'il a obtenus depuis quelque temps
par les injections hypodermiques des liquides extraits
d'organes animaux, selon la méthode du docteur
Brown-Séquard et en employant le liquide particulier
(l’orchidine) qu’il a préparé.
Il nous a lu ensuite un mémoire sur la première
2
END
observation clinique faite à La Rochelle avec ce nou-
veau mode de traitement appliqué à l'hôpital Saint-
Louis, à trois sujets d’âges différents, dont le traitement
a commencé le 41 juin.
Le relèvement de la contraction musculaire et de
l’innervation a été rapide. Dès le 8 juillet, les trois
sujets ont présenté des symptômes de guérison tels
qu’ils ont pu circuler et agir.
La vertu dynamogène de la nouvelle méthode est
donc incontestable. Ce vieillard de 74 ans, M. Brown-
Séquard, par l’emploi de sa méthode, lui-même a
retrouvé une facilité de prolonger son travail le soir,
qui pendant quelque temps lui avait fait défaut.
M. Basset, chargé de nous représenter à la séance
de l’Académie, présidée par la section de Médecine,
nous a lu son travail sur la photographie et la micro-
photographie appliquées aux sciences naturelles. Il
nous a montré ensuite une série de projections fort bien
réussies, parmi les cent épreuves préparées, notam-
ment des diatomées qui seront renrésentées au public.
Vous avez écouté avec beaucoup d'intérêt la lecture
des rapports des excursions scientifiques qui ont eu
lieu le 13 avril à Angoulins, le 15 mai, au Thou, Ardil-
_lières, le 29 mai, à Soubize, Moëze, Hiers-Brouage,
Marennes, et le 26 juin à Moëze, Beaugeay, Saint-Jean
d’Angle.
M. Dollot nous a parlé des observations géologiques
faites à Angoulins (pointe du Ché) et au Thou, Ardil-
lières.
A la pointe du Ché, en novembre 1891, il a eu la
bonne fortune de découvrir le second spécimen du
Pantagonaster Basseti, trouvé pour la première fois,
AO
au même point, par notre collègue, M. Basset, en 1886,
et décrit dans nos Annales par le savant M. P. de
Loriol.
M. Boissellier nous a fait connaître les curieux plisse-
ments du Cénomanien et du Turonien, de Soubize à
Moëze; les îlots portlandien, purbeckien à Corbula
inflexa, à Mazeray, Beaugeay, les marnes bariolées, près
de Saint-Jean d’Angle et les argiles rouges, dans
lesquelles il a trouvé, au contact du marais, des débris
d’ossements d’un grand Mégalosaure.
M. Foucaud a énuméré les plantes récoltées à Angou-
lins, Soubize, Moëze, Hiers-Brouage, et M. le docteur
Termonia, celles du marais de Saint-Jean d’Angle.
Ces divers comptes-rendus seront reproduits in
‘extenso dans nos Annales.
Afin de perpétuer le souvenir de ces excursions, tou-
jours si instructives, M. Couneau a eu l’heureuse idée
de réunir dans un album les croquis, dessins, vues,
photographies, qu'il avait faites des falaises et monu-
ments visités, ainsi que les photographies de MM. Basset
et Dollot.
Notre musée départemental, le Muséum Fleuriau
s'enrichit de plus en plus de pièces nouvelles, soit par
dons, soit par acquisitions.
Nous avons reçu :
De M. Lamoureux, médecin vétérinaire à Saintes :
Un Gros-bec, une Sitelle d'Europe, un Proyet d’Eu-
rope Miliaria Europea, un Tarin vulgaire Pratincola
rubicola, un Cochevis huppé Galerita cristata.
Notre Président et conservateur du Musée nous a
montré une série d’oiseaux fort bien préparés, acquis
— 20 —
pour remplacer ceux moins frais des collections, ainsi
qu’un OŒEdichnème criard, oiseau de passage assez rare,
décrit dans son ouvrage La Faune vivante et un Lam-
pris chrysostose, poisson très rare, originaire des mers
du Nord, pêché près de La Flotte (Ile de Ré).
Ce poisson, remarquable par sa forme, ses splendides
couleurs, a le dos d’un bleu d’acier, qui passe sur les
flancs au lilas et devient sous le ventre du plus beau
rose.
Des taches nombreuses ovales, quelquefois d’un blanc
de lait, d’autres fois, du plus bel éclat d’argent, sont
semées partout sur le fond du corps. Il y en a de plus
petites sur la tête. Les opercules sont très brillants, et
le grand œil a l'iris couleur d’or, quelquefois écarlate.
Enfin toutes les nageoires et la queue sont d’un rouge
vermillon.
Le Lampris qui mesure environ 0®60 en longueur
pesait 7 kilogr. Il est classé dans la famille des Scom-
béroïdes. Sa chair est très bonne.
C’est le troisième spécimen pris sur les côtes de La
Rochelle : le premier en 1839, le deuxième en 1844; ce
dernier placé au Musée Fleuriau.
Il y en a deux au Muséum de Paris: l’un pêché en
180% sur les côtes du Hâvre; l’autre en 1810 dans le.
solle de Gascogne. |
Le Lampris atteint parfois 1265 de longueur. C’est sa
belle parure qui a fait employer à un des correspon-
dants de Bufion cette expression que le Lampris semble
un seigneur de Neptune en habit de gala.
M. Dollot a oftert pour les collections plusieurs fossiles
assez rares, entre autres un ammonite de grande
dimension ayant 0,52 de longueur, 0,12 d'épaisseur ;
MEET a
deux Ammonites Cymodoce, un Radiolite crateriforme
et deux gros fragments de lignite de Châtelaillon.
La grande Ammonite, Ammonites Achilles vient de
l’île de la Dive (Vendée), à la limite du département.
Cette île, considérée par d’Orbigny comme oxfor-
dienne, paraît être la base de Corallien faisant suite
aux falaises d'Esnandes. |
Les deux Ammonites Cymodoce ont été trouvées à La
Rochelle, au Fort Louis. Cette espèce très commune
dans le kimmeridien de Châtelaillon, n'avait été signalée
par d’Orbigny, que dans les tranchées coralliennes du
canal de Rompsay.
Le Radiolites crateriformis provient des falaises du
crétacé supérieur de Royan, au nord de Pontaillac
étage Danien (Senomien d’après d’Orbigny).
Il nous a été envoyé par M. Droin, d'Alger, un
reptile algérien, le fouette-queue. Ce reptile étant exo-
tique a été placé au Musée Laffaille.
La collection d’ostéologie s’estaugmentée d’ossements
d’Antilope, d’une tête de loup et d’une tête de bouc.
Notre Société, avant de procéder au renouvellement
de son bureau pour l’année 1893, à tenu à affirmer de
nouveau sa confiance et ses sympathies à M. Cassa-
gneaud, qui demandait en raison de son grand âge, a
ètre relevé de ses fonctions de Trésorier.
Cédant à vos instances, il a bien voulu consentir à
faire partie du bureau.
Les comptes de l’exercice 1892 se résument ainsi :
FROLOUES ER ee nl Po ne MR er NE Ne 2,919 18
DÉDÉRSRS Re A Eau 2,010 36
Pncdisse à fin d'exercices Pa M Na: 368 82
a 2
Sur la proposition de notre Président, le projet de
budget a été ainsi voté pour 1893:
Recettes : Reste à recouvrer sur 1892.... 745 10
Receltes 189927 Peer 2,115 00
Total des recettes........ 2,860 10
Dépenses : Reste à payer sur 1892....... 1,297. 55
Dépenses de 1893............ 1,602 55
Total des dépenses...... 2,860 10
Voilà un budget bien modeste, j'ose dire bien insui-
fisant, en raison de l’importance de nos travaux et de
l’accroissement continuel de notre Musée.
Frappés du peu d’élasticité de ce budget, nous avons
_été unanimes à manifester le désir de voir la Ville
intervenir chaque année pour en augmenter l’impor-
tance, et nous avons prié notre Président de faire près
du Maire une démarche dans ce sens, objectant avec
juste raison, que notre Musée a été offert à la Ville, et
que, seule jusqu'alors, notre Société en a fait les frais.
Ont été élus pour l’année 1893 :
Président : M. Edouard Beltremieux.
Vice-Présidents : MM. Eug. Meyer et F. Lusson.
Secrétaire : M. Aug. Dollot.
Bibliothécaire et Secrétaire-adjoint : M. Ch. Basset.
Trésorier : M. Cassagneaud.
Les délégués de la Commission du Laboratoire sont
comme précédemment MM. Condamy, Michauet Basset,
de même que MM. Foucaud, Jousset, Lusson, Creuzé,
Mesnier, Michau, Termonia, Thibaudeau, sont réélus
délégués de la Commission de botanique.
SES SE
La vitalité de notre Société se manifeste de plus en
plus. Je n’en veux pour preuve que le nombre toujours
croissant des membres adhérents, et je crois être l’in-
terprète de vos sentiments en affirmant que ces heureux
résultats sont dus surtout au dévouement et à la grande
sympathie qu’inspire à tous notre distingué Président.
Nous comptons désormais dans nos rangs treize
membres nouveaux ; ce sont MM.
À. Brossard, pharmacien à La Rochelle.
P. Corbineau, architecte à La Rochelle.
E. Martin, imprimeur à La Rochelle.
Deforge, avocat à La Rochelle.
Dusser, commissaire de la marine à La Rochelle.
Daveluy, administrateur des contributions directes
au Ministère des finances.
Redeuilh, directeur des contributions directes en
retraite, à Paris.
_ Pommeray, sous-préfet à Jonzac.
Viennot, ingénieur des ponts et chaussées.
Gamain, instituteur à Piedblanc (Deux-Sèvres).
D' Boutiron, à Saint-Xandre.
G. Leridon, à La Rochelle.
Ainsi que M. Alph. Milne-Edwards, qui a bien voulu
accepter le diplôme de membre correspondant que nous
lui avions offert.
Mais la mort ne veut pas être oubliée. Bien peu d’an-
nées se sont succédé sans qu’un vide nouveau ne se
soit produit dans nos rangs.
Le grand deuil universel causé par la perte de M. de
Quatrefages, membre de l’Institut, ne pouvait nous
laisser indifférents, puisque nous avions l’honneur de
DEP
compter ce savant parmi nos membres correspondants
les plus distingués.
Répondant à la demande qui lui avait été faite par
notre Président, l’éminent membre de l’Institut, M.
Milne-Edwards a bien voulu nous autoriser à publier
dans nos Annales le discours qu’il venait de prononcer
aux obsèques de son regretté collègue.
En tête de ce discours figure le portrait de M. de
Quatrefages, en tenue de membre de l’Institut, d’après
un cliché prêté obligeamment par l’Illustration.
Madame de Quatrefages, tant en son nom qu’en celui
de son fils, a écrit à notre Président pour exprimer
combien elle avait été profondément touchée de ces
marques d'estime données à La Rochelle et par notre
Société, à la mémoire de son regretté mari.
La Rochelle a eu l’honneur de recevoir deux fois
M. de Quatrefages ; la première fois, en 1852. C’est à la
suite de cette visite qu’il publia: Souvenirs d’un natu-
raliste. La seconde fois, ce fut en 1882, à l’occasion de
la réunion du Congrès de l’Association française pour
l'avancement des sciences. Sur votre invitation, un
volume contenant les divers renseignements qui pou-
vaient éclairer le visiteur sur les particularités locales
à connaître, fut offert à tous les membres de l’Asso-
ciation, et c’est en tête de ce volume que figure un
précis historique dans lequel M. de Quatrefages à
retracé le glorieux passé de notre ville.
Quelques mots seulement, Messieurs, pour terminer
mon compte-rendu.
Notre Société n’a pas eu uniquement pour but de
vous tenir au courant des progrès incessants de la
science, elle a voulu conserver son rang parmi les
HP CE NI
Sociétés similaires, et maintenir le titre en vertu duquel
elle s’est constituée. Plus que jamais, en 1892, notre
Société, par ses travaux, a su maintenir ses traditions
et affirmer le droit de se dire d'utilité publique.
Le Secrétaire,
AuG. DOLLOT.
LABORATOIRE MUNICIPAL
FONDÉ
PAR LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES
— GS —
ERP POES FENTE
Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR.
Re ie
Monsieur le Président,
J'ai honneur de vous adresser le compte-rendu des
opérations faites au laboratoire municipal pendant
l’année 1892.
Le chiffre total des échantillons analysés s'élève à
1779 avec une augmentation de 419 sur l’année précé-
dente. Notre chiffre d'analyses se trouve ainsi presque
doublé depuis deux ans.
En groupant les échantillons de même nature, la
comparaison des chiffres correspondants aux deux
dernières années rend bien compte de cet accroisse-
ment.
1892. 1891.
VINS LEP TA RS QI AS meer 337 940
LAS RS POS AE RE RER RS 142 22
PEMTÉS 22 Tec et RES 9 »
HOUR. AL: ON NET RE : 21 94
Huiles et graisses. ...... Haras 16 28
SANONS ES ue Le RUE TEE A Tetae e 9 21
NINAIDEeSE AIRE ART LE 6 3
PÉDEDIRS TS CRE CS Re 129 28
PYDILES ES URI TRES ME PES ol 9)
Analyses AOrICOIES EE RC 7e 981 960
MOLUUR COUR Dee 17719 SEE
Les analyses de vins ont diminué de plus d’un cin-
quième, c’est une conséquence directe de la modifi-
cation de nos relations avec l'Espagne.
Ainsi que je le prévoyais, il y a un an, les analyses
d'engrais au contraire ont à peu près doublé. Elles
constituent maintenant, et de beaucoup, la plus grosse
partie de nos travaux. Cette progression résulte de la
fabrication des engrais chimiques et du commerce de
ces engrais qui se fait à La Rochelle, aussi bien que
des arrivages par bateaux des phosphates, superphos-
phates, nitrates et autres engrais étrangers.
Les essais de pétrole datent de l’ ÉADIEEMEUS de la
raffinerie française à La Pallice.
Les analyses de lait sont devenues bien plus fré-
quentes parce que les beurreries des environs sont
forcées de surveiller les livraisons de lait qui leur sont
faites. Ces analyses nous ont permis de constater que
la moyenne du beurre contenu dans les laits purs de
nos contrées est remarquablement élevée. Elle atteint
D 0 ei
99 grammes par litre à certaines époques de l'année.
Or l'essai des laits vendus en ville ne nous donne rare-
ment plus de 40 grammes. L’habitude déshonnète d’en-
lever une partie de la crème du lait est donc bien géné-
rale et nos eflorts parviennent seulement à modérer
ces soustractions en les maintenant dans des limites
où le lait reste encore de qualité ordinaire alors qu’il
devrait toujours être excellent.
Enfin de nouvelles analyses s'imposent par suite de
l'introduction et de la vente dans nos contrées des
graisses animales connues sous le nom de beurre de
margarine. Tout en reconnaissant que ces graisses
alimentaires peuvent rendre des services parce qu’elles
ne sont pas nuisibles à la santé, il est nécessaire de
veiller à ce qu’elles ne soient pas vendues comme
beurres ou mélangées au beurre dont la valeur est de
beaucoup supérieure.
En résumé nous nous trouvons en présence d’un
accroissement considérable du nombre des analyses et
d’une diversité plus grande des produits soumis à nos
essais.
Pour répondre à ces besoins nouveaux, le laboratoire
a dù acquérir des appareils spéciaux destinés à faci-
liter le travail. Les analyses qui se présentaient acci-
dentellement autrefois deviennent aujourd’hui cou-
rantes. Dans ces conditions chaque genre d’analyse
exige son installation spéciale avec ses appareils à poste
fixe, sa verrerie, ses produits à portée du chimiste.
Une semblable organisation s’impose de plus en plus,
nous nous efflorceronside l’établir afin que le labora-
toire soit toujours à même de rendre les services qu’on
peut lui demander.
EXCURSION BOTANIQUE
Du 18 avril 1899
NEC OTEEINS:
— TH —
Rapport PAR M. J. FOUCAUD.
Le 24 avril dernier la Société des Sciences Naturelles
faisait à Angoulins la première de ses excursions
publiques de cette année.
Prenaient part à cette excursion MM. Beltremieux,
Dollot, Termonia, Coindon, Gatau, Escoff, Simon et
Foucaud.
Aussitôt après l’arrivée du train, deux groupes se
forment ; les géologues vont explorer les falaises de la
pointe du Ché, où il y a toujours des fossiles à re-
cueillir, et les botanistes se dirigent vers les marais
salants dans le but de faire une ample provision de
l’intéressant Arthemisia piliformis et d’un curieux
Nitella, qui croît dans les aires de ces marais. L’A[-
thenia est peu avancé mais le Nitella est de toute
beauté et il nous est facile de le centurier pour la
Société Rochelaise, M. Simon dont nous admirons le
Re Me
zèle tout en blâmant l’imprudence, se met malgré
nous, pieds nus dans l’eau glacée pour recueillir de
beaux échantillons de cette plante que l’on ne peut
atteindre du bord.
Cet intéressant Nitella, que j'ai signalé dans une note
de la 4 édition de la flore de l'Ouest de la France, croît
çà et là dans ces marais en compagnie du Chara alope-
curoides, autre rareté, et de l’Althenia filiformis : ses
tiges atteignent ordinairement moins d’un décimètre
de hauteur, l’eau de ces marais étant peu profonde, et
chaque tige porte une longue bractée qui dépasse de
beaucoup les glomérules de sporanges et d’anthérodiés.
Il ressemble beaucoup au N. stenbramariana, plante du
Nord, dont il a l’aspect, mais lorsqu'on l’examine
attentivement on constate qu’il ne constitue qu'une
forme du très variable N. glomerata. Quant à sa teinte
vert foncé à l’état vivant et noirâtre après dessication,
elle est due à sa station dans une eau iortement sau-
mâtre. ;
Cette récolte nous ayant pris passablement de temps,
nous ne pouvons aller jusqu’à la pointe du Ché, où
d’ailleurs nous trouverions peu de plantes en fleurs, la
végétation étant encore peu avancée.
Nous arrivons bientôt, après avoir traversé le marais,
sur le platin d’Angoulins où nous récoltons Cochelearia
danica, Hutchinsia procumbens et Myosotis hispida.
Ce myosotis, que je tenais beaucoup à recueillir, m'a
permis de m'’assurer de nouveau que ses calices fruc-
tifères inférieurs sont ordinairement bien plus courts
que leurs pédicelles et non plus longs ou les égalant
comme le disent notamment Boreau dans sa flore du
Centre et Grenier et Godron dans leur flore de France.
RE
J'ai constaté aussi que les grappes sont quelquefois
munies de fruits jusqu’au dessous des îfleurs infé-
rieures.
L’'Hutchinsia procumbens déjà avancé, croît çà et là
du platin d’Angoulins à la pointe du Ché où il a été
confondu par Hubert avec le Draba muralis. Cette con-
fusion n’est pas douteuse puisque le Draba muralis est
indiqué sur ce point et que pourtant on ne trouve que
Hutchinsia procumbens. Un peu plus loin nous décou-
vrons parmi les Nitella glomerata fortement incrustés,
un autre Nitella à rameaux nombreux, allongés et im-
briqués dont l’aspect rappelle celui du Mitella imbricata
mais il en diffère par ses feuilles aiguës et non obtuses
et peut-être aussi par ses sporanges que j'étudierai
lorsqu'ils seront plus avancés.
A l’heure fixée pour le rendez-vous nous sommes à
Angoulins, où nous devançons, comme à l'ordinaire,
MM. les géologues qui nous plaisantent sur notre exac-
titude.
À une heure et demie nous accompagnons à la gare
M. Beltremieux et M. Termonia qui partent par le
premier train.
Quant à nous, nous nous décidons à aller prendre le
train à Aytré afin de pouvoir herboriser toute la soirée
et explorer la dune et les marais qui séparent Angou-
lins de cette localité. MM. Dollot, Gatau et Escoff qui à
l’occasion s'occupent de botanique se joignent, à nous.
Dans un champ argilo-calcaire nous cueillons Valeria-
nella et Viola Foucaudi petite plante que Sauze et
Maillard (flore des Deux-Sèvres), ont confondue avecle
Viola nana DC., et que Loret et Barraudon (flore Montp.,
éd. 2 p.) ont alors réuni au V. nemauserisis quel en
de np es
est très différent comme je m’en suis assuré l’an passé
dans les environs de Collioure (Pyr.-Orient.), où cette
espèce Jordanienne est assez répandue. A l'entrée de la
dune nousrecueillons Viola manoc et au bord du chemin
une belle touffe de Poa annua dont les fleurs sont ior-
tement velues. Nous traversons ensuite des vignes dont
quelques bourgeons ont été détruits par les gelées des
nuits précédentes.
Dans le marais de grands fossés nous ofirent le Ra-
nunculus Drouetii vulgaire qui a été longtemps mé-
connu et confondu avec le Ranunculus trichophyllus.
Pour bien comprendre ces deux plantes il faut surtout
les étudier comparativement à l’état vivant.
À quatre heures nous sommes à la gare d’Aytré,
mais comme il faudrait attendre le train pendant deux
heures nous partons avec nos collègues pour La
Rochelle. Notre guide, M. Gatau, qui, nous dit-il, con-
naît parfaitement la route, nous fait prendre un chemin
d’écoliers qui ne nous offre rien d’intéressant, mais qui
en revanche nous éloigne beaucoup de La Rochelle, et
nous conduit au bord d’un marais tout près de Périgny.
Toujours sous la conduite de M. Gatau nous nous en-
gageons dans ce marais, mais comme nous ne trou-
vons pas d’issue, nous sommes forcés de retourner sur
nos pas. Après quelques hésitations, mais sans être
dirigés cette fois par notre guide, nous prenons un
chemin de traverse qui nous conduit après quelques
détours à l’extrémité de Tasdon. Nous sommes enfin
sauvés et nous ne manquerons pas le train.
A six heures nous sommes à La Rochelle et avant le
départ du train nous assistons au défilé d’une caval-
cade bien réussie, nous dit-on, qui se dirige vers Aytré,
son point de départ.
A six heures quarante nous roulons vers Rochefort,
très satisfaits d’avoir passé avec nos collègues une
belle et bonne journée et recueilli des raretés que nos
correspondants seront très heureux de recevoir.
EXCURSION GÉOLOGIQUE
Du 18 avril 1892
A ANGOULINS.
Rapport PAR M. DOLLOT.
La Société des Sciences Naturelles ayant décidé de
commencer ses excursions par la pointe du Ché, le
18 avril, arrivaient à la gare d’Angoulins MM. Beltre-
mieux, Gatau, Brochet, Dollot, de La Rochelle, le doc-
teur Termonia, de Saintes, et MM. Foucaud, Simon,
Escoff, de Rochefort.
Pendant que MM. Foucaud, Termonia, Simon, Bro-
chet, botanistes, commencçaient leurs recherches dans
le marais, MM. Beltremieux, Gatau, Escoff, Dollot,
géologues, se dirigeaient vers la pointe du Ché.
Après avoir examiné rapidement les bancs calcaires
blancs, régulièrement stratifiés, peu riches en fossiles,
qui forment le nord de la falaise et jeté un coup d’æil
sur les remarquables polypiers qui résistent aux in-
tempéries, nous avons franchi la faille du nord et en-
trepris nos explorations.
ton le
Bien que le Ché soit toujours, de l’étage corallien-
séquanien des environs de La Rochelle, le pointle plus
attrayant pour les paléontologistes, il semblerait que
depuis plusieurs années les beaux fossiles sont moins
abondants ; comme en 1891 nos recherches n’ont pas
été couronnées de succès.
Entre la faille nord et celle ouest, sur 200 mètres
environ de longueur, nous n’avons trouvé que quelques
tests d’échinides. Pseudocidaris mammosa, Cidaris mar-
ginata, un débris de Cidaris de grandes dimensions,
Pyqurus Blumenbachi Ag., divers radioles.
Les bancs inférieurs très durs et remplis de térébra-
tules et rhynchonelles, notamment : Terebratula sub-
sella, Zeilleria, Rhynchonella inconstans dans lesquels on
trouvait de nombreux cidaris tels que: Cidaris mar-
ginata, Polycyphus distinctus, Holectypus corallinus ne
nous ont rien révélé, pas plus que ceux qui les recou-
vrent et forment une masse compacte, véritable luma-
chelle d’huitres, Ptérocères, Pholadomies, Céromies,
Natices, Diceras et qui se superposent jusqu’au som-
met où nous avons aperçu cependant un Nautilus
giganteus.
Entre la faille de l’ouest, milieu de la falaise et le
sud de la pointe, sur une longueur de 300 mètres en-
viron, le facies changeant complètement, nous pou-
vions espérer trouver soit dans les bancs inférieurs
très durs, soit dans les marnes blanches qui les re-
couvrent, des crinoïdes ; il n’en a rien été. Nous avons
vu seulement quelques débris de tiges d’encrines et de
calices d’Apiocrinus Royssianus et dans les massiis
remarquables des calcaires à polypiers reposant sur
DUC S
les marnes jusqu’au sommet de la falaise, de nombreux
radioles de Cidaris mammosa.
Vers l’extrémité sud, les polypiers disparaissent
presque entièrement. Ils sont remplacés par des bancs
calcaires durs, épais, à grains fins, jaunâtres ou rous-
satres, reposant sur les marnes désagrégées à Céro-
mies et renfermant beaucoup de débris de fossiles,
notamment des radioles de plusieurs espèces, des tests
de Cidaris marginata, mammosa, Acrocidaris nobilis et
des fragments d’encrines. Nous avons dù y laisser deux
beaux tests de Cidaris mummosa et Acrocidaris nobilis
étant dans l’impossibilité de les atteindre.
Nous avons examiné avec soin deux éboulements
qui se trouvaient l’un au nord où les massifs à Pinni-
gena Saussurii dominent, l’autre à l’ouest et formé de
débris des calcaires à polypiers renversés sur les
marnes. Trop récents ces amas n’avaient pas encore
été lavés par la mer : nous n’y avons rien découvert.
À midi et demi géologues et botanistes se rejoignaient
à Angoulins pour le déjeüner et pendant que quelques
excursionnistes reprenaient les trains pour La Rochelle
et Rocheïort dans l’après-midi, les autres revenaient à
pied par le marais à La Rochelle.
_ Les paléontologistes feront bien de visiter souvent la
pointe du Ché s'ils veulent enrichir leurs collections,
car les tempêtes enlèvent très rapidement pendant
l’hiver les éboulements fréquents qui se produisent. Il
ne reste guère, pendant l'été, au pied de la falaise, que
quelques blocs plus ou moins résistants des bancs in-
térieurs : encore ces blocs sont-ils exposés au frotte-
ment continu des galets.
Il ne faut pas négliger non plus de visiter attentive-
RL UE
ment les calcaires à polypiers. C’est dans ces roches
que M. Basset a découvert une nouvelle espèce d’as-
térie Pentagonaster Basseti déterminée par M. P. de
Loriol et décrite, avec figures, dans nos annales de
1886. |
En excursion le 21 novembre dernier, après une
tempête, je suis arrivé à temps pour recueillir, à la
base du banc de calcaire à polypiers un fragment de
roche qui allait disparaitre et auquel adhéraiït un Pen-
taganoster Basseti en parîait état. C’est le second spé-
cimen provenant de la pointe du Ché.
EXCURSION GEOLOGIQUE
Du 15 Mar 1892
A ARDILIIÈRES.
Rapport PAR M. DOLLOT.
La Société des Sciences Naturelles à fait le 15 mai
1892 sa seconde excursion aux environs d’Ardillières
dans la zone corallienne-séquanienne faisant suite à
celle visitée le 18 avril à Angoulins.
Ont pris part à l’excursion MM. Beltremieux, Bois-
sellier, Brochet, Gatau, Millot, Escoff, Dollot.
Partis de La Rochelle par le train de 5 heures 34 m.
du matin, MM. Beltremieux, Brochet, Gatau, Millot,
Dollot arrivaient à 6 h. 18 m. à la gare de Ciré où
M. Boissellier les attendait.
La section de botanique ne comptant qu’un seul
membre, les autres étant empêchés, toute la caravane
partit à pied pour Ciré et Ardillières et de là vers le
Thou. |
Jusque-là rien de marquant à signaler, mais au
Thou nous étions en plein massif coralligène.
Des carrières nombreuses, mais peu profondes, ou-
vertes pour l’extraction des matériaux de construction,
des moëllons principalement, ont mis à découvert de
nombreux polypiers formant îlot en cet endroit. Ces
récifs madréporiques se trouvent signalés dans la
légende annexée à la carte géologique au 1/80,000€
révisée par M. Boissellier (feuille 152, La Rochelle
1891). Ils forment un cordon littoral qui commence à
Angoulins, pointe du Ché, passe par les carrières d’An-
goulins, se montre à l’ouest de Salles, au sud du chà-
teau de Cramahé et se dirige vers les communes de
Thou, Forges, Ardillières, Landrais, dans la zone que
nous nous proposons d'explorer.
Entre le Thou et Forges aux abords du chemin de fer
se trouve un bloc volumineux de polypiers. Un autre
moins remarquable git avec des débris intéressants
dans les carrières au lieu dit « La Pierrière », au S.-E.
du Thou. | :
Nous avons pu constater que dans ces carrières, par
les fossiles plus ou moins intacts trouvés par les ou-
vriers, toute la faune d’Angoulins devait s'y rencon-
trer.
Nous n’avons vu aucun oursin, mais il y avait des
radioles de Cidaris mammosa, de nombreux Diceras
arietinum, ainsi que Nautilus giganteus, Natica rupel-
lensis, Plagiositoma lœviusculum, Ceromya excentrica,
C.obovata; Natica hemispherica, Tellina incerta, Cyprina.
Du Thou nous dirigeant vers Landrais nous voyons
dans les talus du chemin et par places, de nombreux
polypiers.
Arrivés à la jonction des chemins du Thou à Lan-
drais et d’Ardillières à Chambon, nous revenons sur
INTER
Ardillières et à mi-chemin nous nous arrêtons aux
carrières: principal but de l’excursion. Là, M. Escofi
nous attendait.
Commençant notre visite par les exploitations au sud
de la route, nous ramassons dans les déblais de la
partie rocailleuse feuilletée qui recouvre à l’ouest les
bancs stratifiés exploités de nombreuses Natiea rupel-
lensis possédant leurs coquilles.
Au-dessous de ce découvert de carrières dont l’épais-
seur est de 2 mètres environ se trouve une masse cal-
caire oolithique en bancs épais demi-dur, dont on
extrait quelques blocs de pierres de taille ou des
moëllons propres à la construction.
Dans ces bancs généralement stratifiés, exploités sur
2 à 3 mètres de hauteur on aperçoit quelques traces de
Nérinées et de Natica rupellensis (moulage intérieur
seulement).
A l’Est de cette carrière nous avons trouvé des débris
d’Acrocidaris nobilis dans une partie marneuse.
Les carrières au nord de la route sont actuellement
plus importantes qu’au sud. Dans la masse on y à
trouvé plusieurs fois des dents de ganoïdes et nous en
voyons des échantillons au Muséum Fleuriau ; elle ren-
ferme des Natica rupellensis (moulage intérieur seu-
lement) des Diceras arietinum.
La rocaille ou plaquettes du découvert contient
notamment des radioles de Cidaris mammosa, des
Pholadomies, Nérinées, Trigonies, Diceras, Céromies,
Cardium, Arches, Tellines, Terebratuks, Rhynchonelles,
Pecten, débris d’encrines ; nous y avons recueilli une
tige et la base d’un calice.
Ces quelques fossiles se trouvent tous à la pointe du
RU pass
Ché à Angoulins ; il n’y a donc aucun doute sur la
classification admise pour ces carrières.
A midi et demi nous arrivions à Ardillières où le
déjeüner était préparé. Ensuite le train qui devait nous
ramener à Aigrefeuille ne passant qu’à 5 heures 22 m.
à Ciré, nous avons utilisé le temps qui nous restait
pour visiter les deux monuments mégalithiques qui se
trouvent aux environs.
Le premier dit « Pierre Levée », d’un bel efiet, se
voit de loin sur un petit mamelon à un kilomètre S. E.
d’Ardillières.
Il se compose d’une large dalle de 0,30 à 0,40 cen-
timètres d'épaisseur ayant 2280 de longueur sur 2n50
de largeur, reposant sur trois dalles verticales, d’égales
hauteurs, à 12 50 du sol. Deux de ces dalles sont paral-
lèles et orientées N.-S. La troisième transversale ferme
imparfaitement l’ouverture nord. Au sud aucune trace
de fermeture.
Descendant vers le hameau le Bois des Mothes, que
nous traversons, nous arrivons, après avoir franchi le
ruisseau, à un autre dolmen connu sous le nom de
« Pierre Fouquerée » et situé à environ 200 mètres à
l’ouest du Bois des Mothes, un kilomètre sud d’Ardil-
lières.
Il se compose d’une dalle ayant 320 de longueur
sur 2225 de largeur, 0,55 d'épaisseur renversée vers le
nord suivant une inclinaison d’environ 40° et reposant
à son sommet à 1"50 du sol, sur la dalle ouest restée
debout et sur celle du nord et de l’est brisées et cou-
chées. La dalle verticale E. n’a plus que moitié de sa
hauteur ; au sud l’ouverture est libre. Comme pour
le précédent dolmen l'orientation est N.-$.
45 —
Ces deux dolmens sont formés de calcaires à po-
lypiers. On en voit des dessins au Muséum Fleuriau où
se trouvent, provenant de la « Pierre Fouquerée » de
nombreux débris d’ossements, quelques silex, des
fragments de dentales et l’agrafe en terre cuite d’un
collier.
L'heure du train nous rappelant nous nous rendons
à la gare de Ciré. À Aiïgrefeuille nous nous séparons
de MM. Boissellier et Escoff qui retournent à Rochefort,
puis nous rentrons à La Rochelle où nous arrivons à
6 heures, après une belle journée bien employée.
EXCURSION BOTANIQUE
._ Du 29 mai 1892
ENTRE SOUBISE ET MARENNES.
©
Rapport PAR M. J. FOUCAUD.
(o)
La troisième excursion de la Société des Sciences
Naturelles a eu lieu le 29 mai dernier, de Soubise à
Brouage.
Prenaient part à cette excursion MM. Beltremieux,
_Couneau, Dollot, Gatau, Venassier, Escoff, Foucaud,
Leïèvre et Millot.
A 6 heures 42 m. nos collègues de La Rochelle
arrivent en gare de Rochefort et aussitôt après une
voiture nous conduit à Soubise où géologues et bota-
nistes commencent leurs recherches. |
Au bord de la Charente nous cueillons sur la vase
desséchée le Glyceria maritima et procumbens.
A Soubise nous admirons l’ancien château des
seigneurs de Rohan-Soubise, dont l’instituteur s’em-
presse de nous faire les honneurs. Pendant ce temps,
M. Couneau photographie la façade de ce monument
ainsi que nous tous et juste au moment où retentit,
partant du fond du cœur, un vive M. Beltremieux des
plus sympathiques.
A la sortie de Soubise nous explorons des prés
mouillés au bord des fossés desquels nous récoltons de
gigantesques échantillons de Carex paludosa et de
Glyceria airoides.
Au bord d’une carrière, où retentissent les coups de
marteau des géologues, nous notons les Orobanche
amethystea et minor. Ce dernier qui est commun dans
le département croit sur un grand nombre de plantes
et ofire une Îorme intéressante qui mérite peut-être
d’être élevée au rang de variété. Cette forme croît çà et
là, toujours sur le Glechoma hederacea et présente cette
particularité de former des touftes de 2 à 5 tiges, tandis
que le type croit presque toujours par pieds isolés. De
plus elle est plus grêle et plus colorée. Si je l'élève
au rang de variété J'en ferai la variété Glechomæ. Plus
loin nous apercevons le Tragopogon porrifolius et pra-
tensis et nous cherchons vainement le bel hybride à
fleur lie de vin avec couronne jaune au centre qui s’est
formé au Jardin botanique de Rochefort, il y a
quelques années et que j'ai ensuite observé dans la
prairie de Rhosne, près Rochefort. Depuis, j'ai constaté
que les Tragopogon s’hybrident facilement dans les
cultures et que les individus qui ont cette origine sont
non seulement plus robustes, mais encore vivaces et
difficiles à détruire. Leurs racines fusiformes s’en-
foncent à une profondeur de 40 à 50 centimètres et
lorsqu'on ne les enlève pas complètement elles ne
tardent pas à donner naissance à des tiges qui forment
bientôt une grosse toufte. Dans les environs de Moëze
SRE 0 pee
nous rencontrons çà et là dans les cultures et dans les
lieux vagues la petite asperge qu’on vend sur le marché
de Rochefort sous le nom d’asperge de Moëze et dont
le goût est fortement amer. Cette forme qu’on trouve
également à Saint-Froult, Marennes, Saint-Just, Beau-
geay et probablement dans tous les environs, constitue
‘la variété 5. campestris Gren. et Godr. de l’asperge
officinalis.
Pendant que nos collègues photographiaient le clo-
cher et le monument du cimetière de Moëze, nous
allons dans le marais et nous recueillons dans de grands
fossés les Potamogeton per foliatus et.crispus et à peu de
distance les Chara baltica, fœtida, fragilis et aspera var.
capillata. Nous traversons Brouage, pays décimé par
les fièvres paludéennes, sans nous y arrêter et au milieu
du bourg dont les maisons paraissent abandonnées,
‘nous apercevons la statue du navigateur Champlain
dominant ces ruines. |
Près de Hiers-Brouage, des marais salants attirent
notre attention, nous y trouvons en abondance l’Al-
ihenia filiformis en bon état, ainsi qu'une forme de
Ruppia à podogynes très courts. Sans nous arrêter
nous allons rejoindre notre voiture et chemin faisant
nous notons près d'une ferme Scolymus hispanicus,
plante dont la culture tend à se répandre et dont la
racine, longue, grosse et tendre remplace avec avan-
tage celle des salsifis.
A Marennes, où nous déjeunons, nous admirons
l’église et son superbe clocher dont M. Dollot prend
une photographie.
A trois heures nous reprenons la route suivie le
matin et nous ne nous arrêtons qu’à l’entrée de Brouage
12 A [o)
PAREDU EE
où MM. les photographes prennent des vues des rem-
parts qui peu à peu tombent en ruines.
A 6 heures 1/2 nous sommes à la gare de Roche-
fort et à la hâte nous serrons la main à nos collègues
qui, quelques minutes après, roulent vers La Rochelle.
EXCURSION BOTANIQUE
Du 3 juillet 1892
Entre Soubise et Saint-Jean-d’ Angle.
or RE.
RaPPORT PAR M. TERMONIA.
Le 3 juillet a eu lieu, entre Soubise et Saint-Jean-
d’Angle, en passant par Beaugeay et Saint-Agnant, la
quatrième excursion de la Société des Sciences natu-
relles, à laquelle ont pris part MM. Beltremieux, pré-
sident ; Boissellier, Couneau, Delavoye, Dollot, Fou-
caud, Gatau, Giraud, Heurtel, Venassier et Termonia.
Les préparatiis en avaient été confiés à M. Boissellier
qui a rempli cette mission avec autant de succès que
d’obligeance.
La haute température de la veille n’avait provoqué
aucune défection parmi ceux qui avaient pris d'avance
l'engagement d’y assister ; elle n’a même pas arrêté
l’élan de trois bonnes recrues de là dernière heure,
dont la présence, agréable surprise pour les premiers,
porte de 8 à {1le nombre des excursionnistes qui se
trouvent réunis, à 8 heures du matin, à la gare de
Rochefort.
Le ciel est couvert et la chaleur modérée, temps
inespéré, après la journée du 2, et aussi favorable que
possible dans cette saison. |
Ro ee
Chacun ayant pris place dans un omnibus loué pour
l’excursion, on part aussitôt dans la direction de Sou-
bise où, bientôt après, s’eflectue sans trop de retard le
passage de la Charente.
De là nous nous dirigeons sur Beaugeay à travers
une plaine légèrement ondulée et bien cultivée, surtout
en céréales dont l'apparence est assez belle. Quelques
vignes tranchent çà et là par leur feuillage vert foncé
sur la teinte dorée des épis mürs et ont aussi assez bon
aspect.
À quelque distance de Soubise, M. Foucaud, ayant
remarqué dans un champ de nombreux pieds d’Allium
sphærocephalum, fait arrêter la voiture pour chercher
au milieu d'eux Allium sphærocephaloïdes qu’il n’y
trouve pas. Il n’y a là d’ailleurs aucune autre plante
intéressante. de
Un peu plus loin, les géologues, fascinés à distance
par les premiers tas de pierres qu’ils aperçoivent sur
les côtés de la route, veulent s’arrêter à leur tour pour
en faire l’examen. Pendant qu’ils procèdent à coups de
marteau à cette investigation, les botanistes cherchent
en vain des plantes dignes d’être récoltées parmi les
vulgarités qu’il est inutile de mentionner. Quelques
pieds du genre Œnanthe s'étant montrés à la lisière
d’un bois, M. Foucaud que préoccupe la recherche
d’une espèce italienne qui n’a pas encore été décou-
verte en France, Œnanthe angulosa les passe rapide-
ment en revue; mais nous ne rencontrons hélas!
qu'Œnanthe pimpinelloïdes L.
L’omnibus dans lequel tout le monde est remonté se
remet en marche, mais pour s'arrêter encore, après
quelques tours de roues, à la demande des géologues
-
Mer
qui semblent, heureusement, plus favorisés que nous.
Bientôt ces arrêts deviennent plus fréquents ; mais, en
raison de leur courte durée réglée sur la longueur du
trajet, le temps et l’espace manquent aux botanistes
pour faire une herborisation sérieuse.
Aussi n’avons-nous à signaler, entre Soubise et
Saint-Agnant, que trois plantes rares. La meilleure des
trois, Plantago serpentina Vill., que la Flore de l’Ouest
ne mentionne pas dans la Charente-Inférieure, a été
trouvée par M. Foucaud, sur le talus d’un fossé de la
route, à l’endroit où le plateau commence à s’abaisser
vers Beaugeay.
Entre ce village et Saint-Agnant, nous rencontrons,
au bord des champs et des fossés, une autre plante
moins rare, mais néanmoins fortintéressante, eu égard
au petit nombre de ses localités dans notre départe-
ment, Peucedanum officinale L., déjà signalé à Beaugeay
par M. Parat.
Enfin, la troisième et dernière, Torilis heterophylla
Guss., croit à Saint-Agnant sur le bord d un fossé qui
longe le canal, en aval du pont, mêlé à de plus nom-
breux pieds de Torilis helvetia Gmel., parmi lesquels
les yeux exercés de M. Foucaud ont su découvrir l’es-
pèce rare. |
Nous avons déjà mentionné en passant Allium sphœ-
rocephalum et Œnanthe pimpinelloïdes. Si nous y ajou-
tons Xeranthemum cylindraceum Smith, qui n’est
commun que par localités et notamment aux environs
de Beaugeay, et Butomus umbellatus aperçu au fond
d’un fossé desséché, notre liste sera encore bien courte.
Telle a été notre récolte dans l’herborisation du matin,
faite forcément à bâtons rompus. Quoiqu’elle ne com-
SR En Es
prenne qu’un très petit nombre de plantes intéres-
santes, l’une d’elles, Plantago serpentina, nous a
presque dédommagés de cette pénurie par l’importance
de sa découverte.
. Les géologues nous ayant rejoints, à midi et demi,
au pont de Saint-Agnant, il ne fallait plus songer qu’à
franchir le plus rapidement possible la distance qui
nous séparait encore de Saint-Jean-d’Angle où nous
arrivons enfin à une heure.
Un quart d'heure après, nous étions à table et dans
les meilleures dispositions pour faire honneur à un
déjeuner d’auberge dont le menu composé exclusive-
ment de plats gras eut scandalisé et mis à une rude
épreuve des végétariens à jeun; mais il n’y avait,
heureusement, parmi nous aucun représentant deleur
secte, et personne n’a été Îorcé, pour satisiaire son
appétit, de transiger avec ses principes.
Le repas terminé, M. Couneau a photographié le
- groupe des excursionnistes avec son merveilleux petit
appareil pour photographies instantanées.
À 3 heures, MM. Beltremieux, Heurtel et Termonia
ne pouvant prendre part à l’excursion du soir, se
séparent à regret de leurs compagnons de voyage et se
font conduire en voiture à la gare de Saint-Agnant.
M. Foucaud a bien voulu me faire connaître, le
8 juillet, le résultat de l’herborisation faite dans la
soirée du 3, une seule plante digne d’être notée a été
trouvée dans le marais de Saint-Jean-d’Angle, Cyperus
badius Desf.
EXCURSIONS GÉOLOGIQUES
Des 29 mai et 3 juillet 1892
A Marennes et à Saint-Jean-d’Angle,
= =
———— > = ——
RaPpoRT PAR M. A. BOISSELLIER.
La Société des Sciences Naturelles de la Charente-
Inférieure était allée l’année dernière du Port-des-
Barques à Piédemont, pour observer le versant nord du
grand pli anticlinal du S.-E. qui traverse la Saintonge
jusqu’à l'Océan. Continuant ses recherches dans la
même région elle a fait cette année deux excursions,
de Soubise à Marennes et de Saint-Aignan à Saint-Jean
d’Angle, pour voir les deux versants du même pli ainsi
que la vallée anticlinale de Moëze dans laquelle le
Purbeckien se montre entouré par le Cénomanien.
La première de ces excursions a été faite le 29 mai
1892 par MM. Beltremieux, Couneau, Dollot, Millot,
Gatau, Coindon et Boissellier, membres de la Société,
auxquels s'étaient joints M. Escoff et le docteur Le-
febvre.
Les excursionnistes sont partis de la gare de Roche-
fort en voiture. Ils ont suivi la rue des Dix-Moulins et
se sont arrêtés près de Sainte-Sophie pour examiner
des bancs calcaires cénomaniens dans lesquels ils ont
recueilli quelques fragments des fossiles caractéris-
— 956 — à
tiques de l’assise e de cet étage : Caprina adversa, Sphœæru
lites foliaceus, etc.
Ces calcaires qui sont inclinés au S.-0., disparaissent,
aussitôt après Sainte-Sophie, sous des alluvions ma-
rines nommées bri, qui s'étendent jusqu’à la Charente ;
mais ils constituent dans cette rivière, un seuil impor-
tant que l’on à dérasé récemment en aval de Soubise.
Sur certains points du seuil dérasé, l’assise des cal-
caires à Sphærulites foliaceus était recouverte par l’assise
(f) des sables à Ostracées ; aussi la drague a-t-elle ar-
raché, avant d'entamer les bancs calcaires, des quan-
tités considérables d’Ostrea biauriculata, Ostrea
flabella, Ostrea columba, qui sont répandues dans les
prairies voisines de la rivière, et dont la Société avait
précédemment recueilli de bons échantillons.
En arrivant aux falaises de Soubise nous reconnais-
sons le Ligérien. La base de cet étage est au-dessous du
bri ainsi que la dernière assise du Cénomanien qui a
été rencontré dans un sondage à 2 m. de profondeur.
Jusque-là, les terrains se sont succédé normalement
plongeant au S.-0. En suivant la route de Marennes,
nous voyons la série continuer avec le même plonge-
ment, savoir : dans le vallon des Lauriers, des bancs
de calcaire celluleux à nodules qui terminent le Ligé-
rien ; au moulin de Bec-de-Lièvre, des calcaires com-
pactes, caverneux à Radiolites lumbricalis, Chama
Archiacia et divers échinides, appartenant à l’Angou-
mien.
Mais à 1,500 mètres plus loin le Ligérien reparaîït,
ainsi que le Cénomanien. Le Purbeckien se montre
ensuite pour la première fois ; car au N.-0. de la Cha-
rente cet étage comme le Portlandien sont recouverts
nu
par le Cénomanien, lequel transgresse Jusque sur la
zone à Ammonites longispinus du Kimméridien. |
Dans une carrière située à gauche, avant le moulin
démoli que les cartes appellent le Moulin-Neuf, le
Ligérien contient des Osfrea columba écrasées et ses
assises sont redressées de 65° au N.-E. MM. Millot et
Gatau ont la bonne fortune d'y ramasser une patte et
un fragment de carapace d’un crustacé très rare.
Après le Moulin-Neuf, le plongement au N.-E. qui
vient de commencer est bien mieux visible, notam-
ment dans la tranchée de la route. Nous y rencontrons
les bancs inférieurs du Cénomanien, avec Ostrea Reau-
muri, Alveolina ovum; puis un peu plus bas les grès
calcarifères du même étage reposant sur des sables
fins, blonds ou blancs, micacés, dits sables de Charras.
Les grès nous donnent comme partout ailleurs :
Exogyra minima, Orbitolina concava et mamillata,
Terebratula biplicata. Janira, pecten, etc. Les couches
plongent encore de 50° au N.-E.
Un peu plus loin, les plaquettes du Purbeckien appa-
raissent ; mais pour bien observer cet étage il faudrait
explorer le terrain à droite et à gauche de Moëze. Le
temps nous manque, parce que les géologues qui
sont aussi des photographes quand l’occasion se
présente de reproduire la vue d’une tranchée ou
d’un monument, ne peuvent pas laisser passer le
clocher de Moëze, ni la croix hosannaire, sans en faire
quelques bons clichés pour l’album de la Société.
Néanmoins nous trouvons sur le coteau des Collants,
les plaquettes lithographiques violettes et les calcaires
oolithiques à Corbula inflexa qui recouvrent les argiles
gypsiières du Purbeck.
RRQ Es
Ces argiles s'étendent au-dessous du bourg de Moëze
jusqu’à celui de Saint-Froult. Le gypse était exploité
dans cette dernière localité il y a 50 ans. Des puits
creusés depuis peu au milieu du bourg ont rencontré
une couche de gypse peu épaisse, à 9 mètres de pro-
fondeur, au-dessous de marnes grises avec plaquettes
que recouvre un calcaire jaune actuellement exploité
à la suriace du sol.
A Brouage, l’enceinte fortifiée retient à juste titre
nos photographes. Nous avions vu jusque-là le crétacé
fortement redressé au N.-E., sur les bords du coteau
de Soubise, et le jurassique étalant, au pied de ce coteau,
les assises supérieures du Purbeckien. Cependant nous
n'avions pas rencontré la dernière assise de cet étage,
celle des argiles rouges à Mégalosaure; bien que nous
en soyons passés très près, car du Moulin-Neuf on
aurait pu l’apercevoir sur le coteau de la Mingolière.
Ces argiles se voient après avoir traversé Brouage,
au pied du coteau de la Guilletrie, en suivant le
chemin de Maison-Salée. Ce sont des argiles plas-
tiques rouges, violettes ou blanches qui se terminent
par une couche de sable fin très ferrugineux. Sur
d’autres points du marais, le sable est remplacé par
des plaquettes de grès verdâtres micacés, formées de
feuillets très minces, ou degrès calcaire scoriacé brun-
verdätre. Ici le sable est recouvert par une couche de
petits graviers blancs, jaunes, noirs, rouges ou gris
fumée, mesurant 3 à 4 mètres d'épaisseur, avec des
bandes de sable jaune intercalées. |
Au-dessus de ces sables nous retrouvons les sables
de Charras, précédemment observés dans la tranchée
du Moulin-Neuf, mais présentant ici une forte incli-
Rte)
naison en sens contraire, c’est-à-dire au S.-0. Puis
viennent les grès calcarifères à Orbitolines et Ichthyo-
sarcolithes qui couronnent le plateau de la Guilletrie.
Avant de rejoindre la route de Marennes les sables
cénomaniens reparaissent sur 5 à 6 mètres d'épaisseur.
Entre l'ilot de Hiers-Brouage et la colline de
Marennes on n’aperçoit que du bri; mais si l’on allait
au bord de la mer, à la pointe des Chardons que les
gens du pays appellent la pointe de Derre, comme le
rocher qui découvre plus loin à marée basse (lequel
rocher est nommé d’Erre sur la carte de l’état-major et
d’Her sur celle du ministère de l’intérieur) on rencon-
trerait des bancs de calcaire oolithiques à Corbula
inflexa, Cyrena rugosa, dents de poisson, etc., activement
exploités qui constituent la 3 assise du purbeckien de
notre région.
Les argiles rouges à Mégalosaure occupent sans
doute le fond du marais et de la baie du Chapus, si
elles n’ont pas été ravinées complètement.
Dès que nous abordons la colline de Marennes nous
rencontrons les sables iniérieurs du Cénomanien
que les grès calcarifères à orbitolines recouvrent ;
puis viennent les sables glauconieux et les calcaires
blancs à Caprina adversa et Sphœrulites foliaccus que
l’on peut observer au sommet du coteau et sur le ver-
sant sud-ouest dans la tranchée du chemin de fer.
Le Cénomanien ne reparaît pas entièrement au
sud de Marennes. Les sables à Ostrea biauriculata
sont au-dessous du bri du marais, on les a rencontrés
dans le puits de la Cayenne. Le Ligérien se trouve
dans les mêmes conditions, mais l’Angoumien que
nous avons vu en sortant de Soubise, affleure à marée
— 60 —
basse à Ronce-les-Bains. À la pointe de Manson, près
Saint-Trojan, les galets plats du rivage contiennent des
Radiolites lumbricalis indiquant que le rocher de La
Palette, d’où ils proviennent sans doute, et qui est à la
cote-!, appartient également à l’étage Angoumien.
Le plongement au sud-ouest du jurassique et du
crétacé est donc bien évident depuis le coteau de
Moëze. Mais il est à remarquer que l’inclinaison est
plus prononcée dans les ilots des Collants, de la Guil-
letrie et de Hiers-Brouage que dans la colline de
Marennes. Il existe entre ces ilots des failles parallèles
au pli principal. On en voit sur le bord du marais, au
nord de la Gripperie par exemple, qui présentent des
plongements tantôt au N.-E. et tantôt au S.-0., comme
des plis secondaires. Ces ondulations ont pour consé-
quence de maintenir les argiles rouges du Purbeck à
un niveau à peu près le même sur tout le pourtour du
marais et dans les îlots de l’intérieur : Malaigre, les
Deux-Ecus, Hiers, Hérablais, etc. Nous avions vu ces
argiles rouges à Broue et à Saint-Symphorien, dans
une excursion précédente, nous les retrouverons à la
Maingolière et à Saint-Jean d’Angle dans l’excursion
du 3 juillet.
Les membres de la Société qui prirent part à cette
excursion furent MM. Beltremieux, Couneau, Dollot,
Gatau et Boissellier auxquels s'était joint M. le com-
mandant Heurtel.
L’itinérairesuiyiiutexactementle même quele29 mai,
de Rochefort à Soubise ct à la route de Saint-Aignan.
Après avoir reconnu la base l’Angoumien, nous quit-
tons cette route à la Marnétrie, pour prendre le chemin
de la Mingolière, afin de recouper le Ligérien et le
ou
Cénomanien comme nous l’avions fait au Moulin-Neuf.
Plusieurs carrières nous donnent des fossiles indéter-
minables. Des limons rouges très épais masquent en-
Suite les assises redressées du Cénomanien. Ce n’est
qu’au bord du marais que nous voyons les sables infé-
rieurs de cet étage reposer sur les argiles rouges du
Purbeckien. Un lit de graviers, avec cristaux de gypse
rose, n'ayant que quelques centimètres d’épaisseur,
sépare les deux'étages. Nous retrouvons dans les ar-
giles rouges les grès feuilletés, verts, micacés, etc., le
calcaire scoriacé qui recouvraient aux Fontaines, près
Saint-Aignan, le grand Mégalosaure de M. Roy.
Les ossements que l’on possède de cet animal sont :
une vertèbre caudale de la partie moyenne ou antérieure
de la queue, mesurant 0215 de diamètre antéro-posté-
rieur ; un fémur dont la partie inférieure a 050 de
circonférence ; deux fibias, un os en V et un os long
indéterminable.
De la Mingolière aux Deux-Moulins nous ne faisons
qu'une station pour examiner des plaquettes feuille-
tées tabulaires, de 1 à 2 centimètres d’épaisseur alter-
nant avec des couches de marne grise. Ces plaquettes
généralement calcaires sont pariois très siliceuses. Le
sommet du coteau des Deux-Moulins donne des bancs
oolithiques à Corbula inflexa de 30 à 40 centimètres
d'épaisseur. Nous suivons cette assise jusqu’au delà de
Beaugey et nous recueillons de nombreuses Corbula
inflexa sur un petit monticule près de Saint-Martin.
Entre ce monticule et le coteau qui borde le marais des
alluvions modernes dissimulent les argiles rouges du
Purbeck ; mais les sables cénomaniens sont bien
visibles, en montant le coteau de Saint-Martin, ainsi
+ 62 —
que les grès calcarifères dont nous constatons le plon-
gement au nord-est.
Dans la tranchée de la gare de Saint-Aignan ce plon-
gement au N.-E. est très remarquable. On y peut
observer toute la série des assises du Cénomanien
jusqu'aux sables à Ostrea biauriculata que l’on ren-
contre en sortant de la gare. Malgré les wagons et les
piles de traverses qui masquaient en partie cette tran-
chée, M. Couneau a pu en faire deux clichés que l’on
peut consulter dans l’album de la Société.
Nous traversons Saint-Aignan et Villeneuve sans
nous arrêter sur le gisement du Mégalosaure. A Saint-
Jean d’Angle, toutes les plaques et les pelicules sont
impressionnées par la vue de l’église et du vieux chà-
teau ; puis nous descendons au port, par Bourgnouveau,
où nous rencontrons à mi-coteau les argiles rouges
plongeant au sud-ouest, de 5° environ. Elles y sont
recouverts par des sables micacés, des sables jaunes et
des grès cénomaniens. Ces argiles sont généralement
rouges avec des parties violettes ou blanches, comme
à Broue et à la Guilletrie. On nous dit qu’elles ont été
exploitées sur 8 mètres d'épaisseur.
Dans les excursions des 29 mai et 3 juillet 1892 nous
avons vu entre Rocheïort et le marais de Brouage une
bande de terrain crétacé, ayant plus de 100 mètres
d'épaisseur, inclinée d’abord au S.-0., puis redressée
au N.-E. sous un angle de 60 degrés. Cette bande de
terrain constitue une longue colline qui borde, au nord,
le marais de Brouage ; tandis qu’au sud le même ter-
rain crétacé se montre, dans la colline de Marennes,
plongeant au S.-0.
Se -0 See
Entre ces deux collines parallèles, aux plongements
convergents comme les jambages d’un A, c'est-à-dire
formant un pli antichinal, s'étend une vallée anticlinale
également où des îlots jurassiques émergent à travers
des alluvions marines récentes.
La partie du jurassique qui apparait dans cette
vallée, devenue le marais de Brouage, appartient aux
dernières couches de la série, c’est-à-dire à l’étage
Purbeckien. Sans le plissement du sol dont nous par-
lons et le ravinement du terrain crétacé qui en fut la
conséquence, on ne soupçonnerait pas l’existence du
Purbeckien dans cet endroit.
En effet, au nord de Rochefort, là où commence le
crétacé, sa première assise, formée de sables argileux,
se trouve en contact avec la zone à Ammonites ortho-
ceras du Kimméridien. La zone à Ammonites longispi-
nus, du même étage, l’étage Portlandien et le Purbec-
kien qui viennent ensuite, sont recouverts par la série
crétacée commençant par le Cénomanien. Ce phénomène
de transgression n’est pas particulier à notre région.
On l’observe dans tout l'Ouest de la France. Sur le
littoral de la Vendée, à Challans, la mer cénomanienne
a laissé ses dépôts sur des micaschistes. A Mazeray au
contraire elle n’a recouvert que la partie inférieure du
Parbeckien. La mer qui s'était retirée de nos parages,
après la période jurassique, est donc revenue, plus ou
moins, au-delà de ses anciennes limites, et, sans le pli
que nous avons vu, et que nous devrions appeler sain-
tongeais parce qu’il traverse toute la Saintonge, nous
ne connaîtrions pas les étages jurassiques que le Céno-
manien recouvre.
Pour ne parler aujourd’hui que du Purbeckien, que
pr
nous venons de visiter en partie, voici ce que nous
savons de sa composition. Après l'avoir observé dans
l’ile d’Oleron et dans le pays bas de Matha, nous l’avons
divisé sur la feuille géologique au 1/80,000 de La
Rochelle en quatre assises, savoir, de haut en bas:
Argiles rouges ou bariolées à Mégalosaure.
Calcaire oolithique à Corbula inflexa.
Plaquettes lithographiques violettes et argiles noires
sypsiières.
Calcaire feuilletée à Corbula inflexa et blocs arrondis
pétris de serpules.
Le Purbeckien des Charentes a beaucoup d’analogie
avec celui de la Haute-Marne. Parmi les fossiles com-
muns aux deux localités nous citerons :
Cerithium crenulatum ? (De Loriol).
Patella vassiacensis (De Loriol).
Corbula inflexa (Dunker).
Cyrena rugosa (Sow).
Mytilus subreniformis (Cornuel).
Anomia suprajurensis (Buvigier).
Serpula coacervata ? (Blum).
Pycnodus Mantelli? (Agassis).
Indépendamment de ces espèces on en rencontre
d’autres qui sont spéciales à notre pays, comme le
Mégalosaure des Fontaines de Saint-Aignan et la petite
Néritine (foraminifère) du Château d’Oleron.
LA PHOTOGRAPHIE
ET
LA MICROPHOTOGRAPHIE
APPLIQUÉES A L'HISTOIRE NATURELLE
/ Foraminifères, Diatomées, Microbes.
Par M. Charles BASSET,.
Parmi les découvertes de ce siècle, la photographie
est certainement l’une des plus importantes, l’une des
plus merveilleuses et le rôle qu’elle joue de nos jours
est considérable. Ses perfectionnements sans cesse
croissants et la simplification de ses procédés favorisent
son développement en la rendant accessible à tous;
pour les uns, elle est un passe temps agréable, une
distraction intelligente ; pour les autres elle est un
auxiliaire indispensable, offrant de grandes ressources
à leurs études et à leurs travaux.
Presque toutes les branches des sciences utilisent la
photographie et les services qu’elle leur rend sont exces-
sivement précieux. Je me propose d'indiquer le profit
que l’histoire naturelle peut en retirer en l’employant
seule ou combinée avec le microscope, de DANS par
D A
quelques planches les résultats que l’on obtient, puis
de faire une courte description des foraminifères, des
diatomées et des microbes pour l’étude desquels la mi-
crophotographie est pour ainsi dire indispensable.
Les naturalistes sont aujourd’hui tenus d’apporter
dans leurs études une précision rigoureuse ; il ne suffit
pas de bien voir, il faut faire voir aux autres ce que
l’on a vu soi-même et une description risque souvent
de passer inaperçue si elle n’est accompagnée de figures.
Ces figures doivent être exécutées avec une grande
periection et représenter avec une exactitude mi-
nutieuse le sujet, tel qu’il est, sans modifier en rien sa
forme générale ni le moindre de ses détails ; malheu-
reusement ces conditions ne sont pas toujours remplies,
outre qu’il est très facile de voir ou de croire voir ce
qu’on désire, souvent, en voyage principalement, le
peu de temps dont on dispose, oblige à se contenter de
dessins faits à la hâte et manquant d’exactitude ; dans
d’autres circonstances, pour les diatomées par exemple,
une précision mathématique devient nécessaire et dès
lors nul dessin ne peut prétendre à l’atteindre.
La méthode qui peut donner toutes ces garanties c'est
la photographie ; par elle on obtient des images d’une
exactitude absolue et des documents d’une autorité
indiscutable. Le seul reproche qu’on puisse lui aire,
c’est qu’elle reproduit, avec la même fidélité, avec la
même perfection, les parties accessoires ou inutiles que
les parties principales et alors de ne pas faire ressortir
ces dernières d’une façon aussi saisissante que par le
dessin. Malgré cela il est incontestable que dans une
infinité de circonstances elle rendra de réels et inap-
préciables services aux zoologistes, aux botanistes et
— 67 —
surtout aux anatomistes, soit qu'ils utilisent, telle
quelle, l’image qu’elle fournira ou qu’elle serve de
canevas pour le dessin.
Les sujets à photographier sont de deux sortes :
4° Ceux qui demandent à être diminués à cause de
leur grandeur ;
29 Ceux qui demandent à être ec à cause de
leur petitesse.
Pour les premiers on se sert des appareils ordinaires
dont disposent tous les photographes pour faire des
portraits, des vues, etc.; la manière d’opérer étant
exactement la même, il est superflu de la décrire.
Les sujets trop petits pour être photographiés de la
façon qui précède, sont placés sur un microscope que
l’on réunit à une chambre noire en le mettant à la place
de l’objectif ordinaire. En amenant l’objectif du micros-
cope à une distance voulue de l’objet on obtient sur la
glace dépolie une image réelle de celui-ci ; plus on éloi-
gnera la glace dépolie, plus l’image sera grande, mais
alors, l'objectif devra être rapproché de la préparation.
On conçoit aisément que si l’on substitue à la glace
dépolie une plaque sensible, l’image de la préparation
s’imprimera sur cette dernière; cette opération n’est
pas autre chose que la microphotographie.
De même que la découverte de la photographie est
dûe à un français, à Daguerre, l’application de la pho-
tographie aux objets microscopiques est également dûe
à un français, à Vincent Chevalier, l’opticien bien
connu, qui, dès 1840, c’est-à-dire un an après que la
découverte du daguerréotype fut rendue publique,
présentait à l’Académie des sciences, une série d’épreu-
ves amplifiées, obtenues sur plaques métalliques, par
A”. Fes
l’emploi combiné du microscope solaire et du daguer-
réotype.
Aucun instrument n’a été aussi utile à la science que
le microscope ; aucun n’a étendu d’une manière aussi
considérable le champ de nos connaissances. Sa puis-
sance d'investigation est telle, que rien ne semble
dévoir lui résister ; on lui doit la révélation d’un monde
inconnu jusqu’à lui : les infiniment petits et bien des
branches des sciences comme l’embryogénie et la bac-
tériologie, n’existent que par les travaux de microgra-
phes. En dehors des applications scientifiques, le
microscope est très peu répandu en France, il n’en est
pas de même chez quelques nations voisines, notam-
ment en Angleterre, où il figure parfois au Salon, au
même titre que chez nous a longtemps paru le stéréos-
cope, aussi les opticiens de ce pays ont-ils des modèles
de luxe pourvus de toutes sortes d’accessoires et de
mouvements. Les microscopes français sont beaucoup
plus simples et plus pratiques ; à leurs formes précises
et géométriques on voit que ce sont des instruments
destinés au travail.
Tout microscope peut servir pour photographier, on
le dispose, à cet effet, verticalement ou horizontalement;
la première disposition est employée surtout lorsque le
microscope n’est pas inclinant ; la seconde beaucoup
plus commode, est, lorsqu'on peut l'utiliser, préférable
pour un travail suivi.
Les sujets à photographier étant très variables dans
leur nature et leurs dimensions, on emploie diverses
sortes d’objectiis suivant les circonstances. On aug-
mentele grossissement par l’emploi d’oculaires spéciaux
et par l’allongement de la chambre noire ; ces grossis-
LU GE =
sements peuvent être poussés très loin, cependant, en
pratique, on ne va guère au-delà de 3,000 fois en
diamètre, soit 9 millions de fois en surface, comme
grossissement direct. Pour chaque objet il y a du reste
une limite qu’il ne faut pas dépasser car un plus fort
grossissement ne fait voir rien de plus et il'nuit à la
netteté de l’image. Tous ces objectifs sont fabriqués,
d’une façon remarquable, par nos opticiens français ;
ceux si réputés des allemands et des anglais ne leur
sont pas supérieurs ; leur succès tient souvent à leur
prix élevé et à l'engouement qu’on a, en France, pour
tout ce qui vient de l'étranger.
Les systèmes optiques, dont le microscope se com-
pose, absorbant beaucoup de lumière, il faut, pour
photographier avec cet instrument, une lumière très
vive et d’une intensité d'autant plus grande que le
grossissement est plus considérable ; pour cela on con-
centre la lumière sur la préparation au moyen de
lentilles, plus ou moins puissantes, placées sous la
platine du microscope. La lumière du soleil est la
meilleure, sous tous les rapports, mais comme elle fait
quelquefois défaut dans nos climats, on peut la rem-
placer par des lumières artificielles surtout pour les
faibles grossissements. Comme pour la photographie
ordinaire, l’éclairage est un point des plus importants;
il faut le graduer suivant la nature de la préparation
et le grossissement employé afin d’obtenir le meilleur
effet possible. Quant aux procédés opératoires ils ne .
diffèrent en rien de ceux pratiqués ordinairement, et la
microphotographie est aussi facilement accessible aux
personnes se livrant à l'étude de l’histoire naturelle
qu’à celles s’occupant déjà de photographie, je puis
de TAN VE
leur assurer que les résultats qu’elles obtiendront les
dédommageront largement de la peine qu’elles auront
prise.
Au bas de l'échelle du règne animal se trouve un
. groupe de coquilles microscopiques très élégantes de
formes et très intéressantes à observer ; ce sont les
foraminifères. Alcide d’Orbigny, le célèbre naturaliste
que La Rochelle est fière de compter au nombre de ses
enfants et qui mourut trop tôt pour la science, à repré-
senté les types principaux par des modèles en plâtre
mesurant 4 à 5 centimètres dans leur plus grande
dimension (PI. IL, fig. 5). C’est sur nos côtes qu’il observa
les petits organismes qu’ils représentent. « Pour mieux
» réussir dans ce genre de recherches, dit M. de Fé-
» russac, et pour mettre tout le monde à portée de véri-
» fier ce qu’il découvrait avec tant de peine, et enfin
» pour rendre sensible à tous les yeux, les caractères de
» ces petits tests qu’il étudiait, d’'Orbigny conçut le
» projet, après avoir examiné cent et cent fois les
» mêmes objets et les avoir dessinés, sous toutes leurs
» faces, de sculpter, en grand, les types principaux de
» toute la série des polythalames microscopiques, et, :
» au moyen des matrices qu'il exécutait, de multiplier,
» par le moulage, la représentation de ces corps singu-
» liers, qu’il livra ensuite au public. »
Les deux premières livraisons de ces types, c’est-à-
dire la moitié, furent publiées à La Rochelle, mais
d’Orbigny les termina à Paris où il fut attiré par les
pressantes sollicitations de M. de Férussac, dont il fut
le collaborateur actif et dévoué. Ils publièrent ensemble
le « Prodrome des Céphalopodes » ; ce travail, présenté
Rage
à l’Académie des sciences le 7 novembre 1825, attira
l'attention du monde savant sur notre concitoyen, alors
âgé d’une vingtaine d’années ; ce fut le point de départ
de sa brillante carrière.
Les foraminifères furent d’abord considérés comme
des mollusques céphalopodes, dont ils affectent les
formes, mais après les travaux du célèbre micrographe
Dujardin, en 1835, ils furent classés près des polypiers.
Ce savant démontra que leur corps logé dans d’aussi
élégantes coquilles ne contient aucun organe autre que
les expressions sarcodiques,très fines, ou pseudopodes,
qu'ils émettent et à l’aide desquelles ils se meuvent en
même temps qu’ils recherchent leur nourriture.
« Qui ne s’effraierait, dit Alcide d’Orbigny, en son-
» geant que le sable de tout le littoral des mers est
» tellement rempli de ces coquilles microscopiques si
» élégantes de orme, qu'on peut dire qu'il en est
» souvent à moitié composé? Plaucus en à compté
» 6,000 dans une once de sable de l’Adriatique, et nous
» en avons compté jusqu'à 480,000 par trois grammes
» (un seul gros) de sable choisi des Antilles ou 3,840,000
» dans une once. Ces proportions multipliées dans un
» mètre cube, par exemple, dépassent toutes les prévi-
» sions humaines et grossissent tellement le nombre
» des décimales qu’on a de la peine à le saisir. »
Ces petites coquilles se composent d’une loge unique,
ou d’une série de loges fermées communiquant les unes
avec les autres par une petite ouverture et affectent les
formes les plus diverses ; les unes ont l'apparence de la
porcelaine, d’autres du verre, enfin quelques espèces
peuvent construire leurs loges avec diverses matières ;
— 72 —
le sable, par exemple, cimenté par une secrétion propre
à l’animal.
»
« Il n’est rien, il me semble, dit Carpenter, de plus
admirable dans la nature que la construction de ces
édifices symétriques et difficiles pour ces « atomes
gélatineux » qui ne présentent nulle part une trace
de cette organisation définie que nous sommes habi-
tués à regarder comme nécessaire aux besoins de la
vie consciente. Supposez que l’on place un maçon
humain devant une pile de pierres de toutes formes
et de toutes tailles et qu’on lui dise de bâtir un dôme
poli sur ces deux surfaces avec ces pierres, et la plus
petite quantité possible d’un mortier très tenace et
très coûteux pour les cimenter. S’il y réussit il sera
renommé pour sa grande intelligence et son adresse.
Cependant c’est exactement ce que font en petit ces
chétiis atomes de gelée. Les tests qu’ils construisent,
quand la lentille les a grossis, supportent la compa-
raison avec la plus belle maçonnerie humaine. Dans
le même fond de sable, une espèce choisit les plus
gros grains, les cimente avec du phosphate de fer,
secrété-de sa propre substance, etconstruitunecoquille
en forme de bouteille percée d’un seulet large orifice.
Une autre ramasse les grains plus fins et, à l’aide du
même ciment, en fait une sphère parfaite, d’un fini
extraordinaire et percée de nombreux petits pores à
des distances régulières. Cette autre choisit les plus
petits grains et les extrémités des spicules d’éponges
et les réunit, à ce qu’il semble, sans aucun ciment,
mais par les pointes des spicules, en une petite sphère
blanche, comme un globule homæopathique, percée
» d’une seule fente. Un autre enfin, qui construit une
Psp» Wen
» coquille droite à plusieurs chambres, l'extrémité co-
» nique de chaque chambre pénétrant dans la cavité de
» la chambre suivante, forme les parois de chacune
» d’elles avec des grains de sable ordinaire assez peu
» serrés, et maçonne le bec des différentes chambres
» successives en cimentant solidement les grains qui le
» bordent. Donner à ces actions le nom « d’instinctives »
» ne nous en rend aucun compte; car ce qui nous
» manque c’est de savoir le mécanisme à l’aide duquel
» elles sont exécutées, et il nous est bien difficile de
» concevoir comment un-choix de matériaux aussi
» appropriés peut être fait par des êtres aussi simples. »
Le rôle que jouent les foraminifères, dans la nature,
est considérable ; dès l’époque carbonifère ils forment
en Russie des bancs calcaires d’une grande épaisseur ;
les terrains crétacés en montrent une immense quantité
dans ses couches répandues un peu partout, notamment
à l’Ile d'Aix où certaines espèces sont typiques, les
terrains tertiaires en contiennent des quantités plus
grandes encore, par exemple, dans les calcaires gros-
siers du bassin parisien, dans le calcaire nummulitique
avec lequel est bâtie la plus grande des pyramides
d'Egypte ; enfin de nos jours, outre les sables des
rivages et des plages, les récents dragages eflectués
dans l’Océan Atlantique ont montré des couches énor-
mes de ioraminifères vivants dans des profondeurs de
3 à 4,000 mètres.
De tous les êtres organisés que le microscope nous a
révélés, il n’en est aucun qui soit plus attrayant à
observer que les diatomées; leurs formes si diverses,
si régulières et la délicate structure de leurs valves
PE.
provoquent la plus profonde admiration. C’est à elles
que le microscope doit en grande partie ses perfection-
nements, c’est pour arriver à résoudre les fines stries de
plusieurs d’entre elles que les objectifs sont arrivés à
un point si voisin de la perfection.
Les diatomées sont des algues microscopiques formées
d’une seule cellule appelée frustule, qui est reniermée
dansuneenveloppesiliceuse, rigideetgénéralementcom-
posée de deux valves semblables entre lesquelles règne
une bande, appelée bandeconnective, quidiviselecorpus-
cule en deux parties opposées, et leur donne l’apparence
d’une boîte dont les deux valves feraient le fond et le cou-
vercle (PI. IV, fig. 3). A l’intérieur est renfermé un endo-
chrôme ayant la plus grandeanalogieavecla chlorophylle
des végétaux supérieurs, cet endochrôme est de nuance
verte ou beaucoup plus souvent, d’un brun jaunûtre,
contenant quelques gouttelettes d'apparence huileuse.
Ces singulières algues revêtent toujours une forme
régulière et géométrique, non seulement dans leur
aspect général, mais encore dans le détail des stries,
lignes, points, sculptures qui décorent leurs frustules.
Les unes sont exactement circulaires, les autres ellip-
tiques, d’autres encore disposés en triangle, en carré,
en trapèze, en parallélogrammes divers. Certaines sont
douées de mouvement ce qui les fit prendre tout d’abord
pour des infusoires. Rien n’est plus curieux que de
voir une série de ces petits bâtonnets empilés les uns
sur les autres, glisser tout-à-coup à droite ou à gauche
pour Îormer un filament plus ou moins long ou figurer
les marches d’un escalier ; d’autres se réunissent par
leurs angles alternes et produisent des zigzags capri-
cieux, d’autres se déploient comme des éventails, ou
ERP, Du
s’arrangent en cercle, ou figurent une étoile, enfin
d’autres ayant la forme de petites nacelles, vont et
viennent isolément, en tous sens, sans que l’on ait pu,
jusqu'ici, leur reconnaïtre d’organes locomoteurs.
Les dimensions des diatomées sont encore inférieures
à celles des ioraminifères, qui auprès d’elles semblent
des géants ; en eftet on a calculé que dans un millimètre
cube, il y aurait plus de deux millions des plusgros de
ces corpuscules ; qu’il pourrait en contenir 27,000,000
de certaines espèces et 40,000,000 de plus petites
encore.
Les diatomées se multiplient par division et se repro-
duisent par conjugaison, généralement de la façon
suivante ; la bande connective s’élargit de manière à
doubler la largeur du frustule, bientôt après on voit se
former, sous cette bande, deux nouvelles valves oppo-
sées dos à dos, de sorte que la cellule primitive se
trouve divisée en deux nouvelles qui se séparent en
éliminant la bande connective (PI. V, fig. 5). Cette opé-
ration recommence successivement sur les nouveaux
frustules et s'arrête à un certain moment. On comprend
que les individus se multipliant à l’intérieur les uns
des autres, les valves nouvelles deviennent de plus en
plus petites et finiraient, par la suite, à disparaître,
c’est pourquoi cette division à une limite. Deux frus-
tules donnent alors naissance à une spore d’un grand
volume, que pour cette raison on appelle auxospore,
laquelle se transforme en un irustule semblable aux
parents, mais plus grand ; celui-ci renouvelle le type
de l’espèce et la multiplication recommence. Ces corps
d’une si grande ténuité croissent le plus souvent dans
les eaux douces, saumâtres ou salées, jamais dans les
EAN. e
eaux corrompues. Elles forment parfois sur le fond de
l’eau une croûte unitorme d’un brun jaunâtre ; c’est ce
qu’on peut apercevoir dans notre port, en été surtout,
lorsque la mer se retire, la vase se recouvre, au bout de
peu de temps, d’un enduit jaune brun, exclusivement
composé de diatomées. D’autres fois on les trouve
adhérentes aux plantes aquatiques, on en trouve sur le
bois qui séjourne dans l’eau, sur les pierres humides,
parmi les mousses et les hépatiques ; on les trouve
encore dans l’estomac de beaucoup de poissons comme
la sole, le mulet, etc.; dans beaucoup de mollusques :
les huîtres, les moules, les pétoncles, etc.; la mousse
de Corse en renferme de grandes quantités et de belles
espèces ; le guano du Pérou formé par les excréments
d'oiseaux aquatiques en contient également de grandes
quantités.
Malgré leur extrême petitesse, les diatomées forment
aussi des couches géologiques importantes en Europe,
en Amérique, au Japon, etc., elles atteignent parfois
jusqu’à 40 mètres d’épaisseur et s'étendent sur de
grands espaces. Dans beaucoup de contrées, ces dépôts
que l’on appelle : farine fossile, sont exploités car ils
ne sont pas autre chose que le tripoli qui sert au polis-
sage des métaux.
Les microbes, ces si infiniment petits qui sont arrivés
à faire un aussi infiniment grand tapage, sont des
cryptogames que l’on rencontre partout en très grande
abondance: dans notre organisme, dans l’air, dans
l’eau, dans nos aliments, etc.
M. Miquel a calculé qu’un homme en absorbe en
vingt-quatre heures 262,302,500 par la respiration; l’eau
Li
de la Vanne, réputée la meilleure de Paris, en con-
tient, d’après M: Proust, 11,000 par centimètre cube ou
2,750,000 par verre d’eau et 11,000,060 par litre; le
pain n’est pas moins richement pourvu, il y en aurait
d’après un autre bactériologiste 500,000 par gramme
ou 250,000,000 par demi kilogramme!... Leur petitesse
est excessive ; les individus de l’espèce la plus commune
de bactéries en baguette présente la forme d’un court
cylindre d’un millième de millimètre de diamètre et
d'environ 1/500 de millimètre de longueur, d’après ces
mesures un cube d’un millimètre de côté en contien-
drait 650,000,000 sans espace vide.
Le rôle des microbes n’est pas encore parfaitement
défini ; les uns, c’est le plus grand nombre, veulent que
le microbe soit spécifique, c’est-à-dire que chaque
maladie ait un microbe particulier ; les autres veulent
au contraire qu’il ne soit actif que parce qu’il est
imprégné de venin, qu’il secrète ou qu’il fait naître par
son contact avec la matière organique sous certaines
conditions. ;
L'étude de ces infiniment petits étant surtout du
domaine de la médecine je me bornerai à ces quelques
citations en vous faisant remarquer la part considérable
- qui revient à nos savants français dans les progrès de
la bactériologie et en vous rappelant la cérémonie
pleine de grandeur dans laquelle on a célébré récem-
ment le 70° anniversaire de Pasteur ; tous nos cœurs.
ont ressenti une patriotique émotion en voyant l’hom-
mage rendu par les savants les plus illustres de tous
les pays à l’homme qui personnifie le travail et le génie
scientifique de la France.
ACIDE DS 2 —
PR
Explication des planches.
PLANCHE I.
Fig. 1. Ixode de Good, parasite du serpent Python Séba :
grossissement 1 fois 1/2.
» 2. Trompe de la mouche domestique : grossissement
16 fois.
» 3. Hanneton vulgaire.
» 4. Attachus grand paon.
» D. Cerambix heros.
» 6. Lamie tisserand.
» 7, Mouche vivipare.
» 8. Cornée de la mouche domestique.
PLANCHE Il.
Fig. 4. Langue de littorine vulgaire (vulgo : bigorneau ou
guignette) : grossissement 50 fois.
» 2. Coupe de radiole d’oursin (Echinotrix Petersii).
» 3. Coupe de radiole d’oursin (Paratalinia gratiosa).
» 4. Plaques et ancres de synaptes : grossissement 35 fois.
» 5. Types de Foraminifères modelés par Alcide d’Orbigny.
» 6. Coupe de Fabularia discolithes, foraminifère du bassin
parisien : grossissement 12 fois.
» 7. Ammonites achilles, d'Orb., réduite au dixième.
» 8. Natica rupellensis, d’Orb., demi grandeur.
» 9/10. Pentagonaster Basseti de Loriol: Séquanien d’Angoulins.
» 11. Astropecten Gataui, de Loriol : » »
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PLANCHE III.
Coupe de tige. de blé : grossissement 8 fois.
Coupe de nénuphar : grossissement 10 fois.
Cèdre du Liban de la rue Réaumur, à La Rochelle.
Bacillus anthracis : grossissement 125 fois.
Bacillus tuberculosis : grossissement 250 fois.
PLANCHE IV.
Navicula lyra, Ehr.
» aspera, Ehr.
Surirella gemma, Ehr.
» fastuosa, Ehr.
Navicula nobilis,
Kutz.
Vanheurckia rhomboiïdes, Bréb. »
Navicula bomboides,
Amphipleura pellucida, Kutz.
ASS
Pleurosigma angulatum, W.S. »
PLANCHE V.
Cocconeis splendida, Grev.
Heliopelta mettu, Ehr.
Auliscus sculptus, Ralfs
Triceratium pentacrinus, Wall.
Biddulphia pulchella, Gray.
gross,
Coscinodiscus oculus-iridis, Ehr.
Triceratium favus,
Ehr,
»
»
»
343 diamètres,
995
800
9380
190
526
909
1000
275
300 diamètres.
200
200
915
230
Triceratium pseudo-nervatum, Gr. et St. 360
Terpsinæ musica,
Ehr.
»
Arachnoiïdiscus Ehrenbergii, Baïl. »
Isthmia nervosa,
Kutz.
»
»
PLANCHE I.
Clichés Ravet et Ch. Basset Phototypie J. Royer.
INSECTES
PLANCHE Il.
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DIATOMEES
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DIATOMÉES
AGARICINÉES
RÉCOLTÉES A FOURAS (Charente-Inférieure)
Principalement dans le bois de Pins et dans le parc
du Casino 1888-1892
Par Paul BRUNAUD.:
Amanita phalloides Fr.
Var. citrata P. Brun., Glan. myc. I, p. 1.
A. verna Fr.
A. Mappa Fr.
A. citrina Schæff.
Var. alba P. Brun., Liste Hym., p. 3.
Form. exannulata P. Brun., Glan. myc. I, p. 4.
A. pantherina D. C.
A. echinocephala Viti.
A. rubescens Fr.
Far. albo-rubens P. Brun., Glan. myc. I, p. 2
A. spissa Fr.
A. aspera Fr.
Amanitopsis vaginata (Bull.) Roz.
Var. fulva ; Ag. fulvus Schæff.
À. baccata (Fr.) Sacc.
Lepiota procera Scop.
LENS RE
L. rhacodes Vitt.
L. excoriata Schæfi.
Var. curta P. Brun., Liste Hym., p. 5.
L. clypeolaria Bull.
L. helveola Bres.
L. cristata Alb. et Schw.
L. erminea Fr.
Var.constrictaQuél.; Armillaria constricta Fr.
L. Carcharias Pers.
L. littoralis Menier.
L. seminuda Lasch.
Form. incarnata P. Brun., Glan. myc. I, p. 2.
L. serena Fr.
L. lenticularis Lasch.
Armillaria mellea Wahl.
Tricholoma sejunctum Sow.
T. albo-brunneum Pers.
T. ustale Fr.
T. scalpturatum Fr.
T. terreum Schæff.
Var. argyracea ; Ag. argyraceus Bull.
T. triste Fr.
T. sudum Fr.
T. sulphureum Bull.
Var. bufonia ; Ag. bufonius Pers.
.inamoæœnum Fr.
. albellum Fr.
. album Schæf.
.nudum (Bull.) Fr.
. Sordidum Fr.
Clitocyhe nebularis Batsch.
CI. virens Scop.
md +] + +] re]
Deus
Form. grisea P. Brun., Liste Hym., p. 10.
CL. odora Bull.
C1. rivulosa Pers.
CL. candicans Pers.
C1. infundibuliformis Schæfi.
CI. squamulosa Pers.
CI. catinus Fr.
CL. ericetorum Bull.
C1. cyathiformis Fr.
Var. expallens; Ag. expallens Pers.
CI. brumalis Fr.
C1. diatreta Fr.
CL. fragans Sow.
C1. sandicina Fr.
GI. laccata Scop.
CI. tortilis Bolt.
Collyhia radicata Relh.
. longipes Bull.
. platyphyila Fr.
. fusipes Bull.
. butyracea (Bull.) Fr.
. velutipes Curt.
. Stipitaria Fr.
hariolorum D. C.
.ingrata Schm.
. dryophila (Bull.) Fr.
ar. œdipus Quél.
C. extuberans Fr.
GC. rancida Fr.
GC. atrata Fr.
Mycena rubro-marginata Fr.
M. Seynesii Quél.
ANnNNnNNNnQNnNnQ
—
VAE
M. pura Pers. |
Var. lilacea P. Brun., Glan. myc. I, p. 3.
M. luteo-alba Bolt.
M. flavo-alba Fr.
M. lactea (Pers.) Fr.
M. gypsea Fr.
M. rugosa Fr.
M. sudora Fr.
M. galericulata Scop.
M. polygramma Bull.
M. inclinata Fr.
M. alcalina Fr.
M. ammoniaca Fr.
M. metata Fr.
M. filipes Bull.
M. supina Fr.
M. vitilis Fr.
Form. alba P. Brun., Glan. myc. I, p. 8.
M. acicula Schæf.
M. hæmatopoda (Pers.) Fr.
M. clavicularis Fr.
M. echinulata Quél.
Omphalia setipes Fr.
©. fibala Bull.
Pleurotus corticatus Fr.
P. Eryagii D. C. |
Hygrophorus eburneus (Bull.) Fr.
. cossus {Sow.) Fr.
. discoideus (Pers.) Fr.
. virgineus (Wulf.) Fr.
. niveus (Scop.) Fr.
. conicus (Scop.) Fr.
LEInELr
Dre. ue
H. chlorophanus Fr.
Lactarius insulsus Fr.
.Zonarius (Bull.) Fr.
. hysginus Fr.
. argematus Fr.
. acer (Bolt.) Fr.
. Violascens (Otto) Fr.
. piperatus (Scop.) Fr.
. deliciosus (L.) Fr.
. thejogalus Bull.) Fr.
Var.chrysorrhea; Lactarius chrysorrheus Fr.
L. vietus Fr.
L. fuliginosus Fr. ; L. azonites Bull.
L. volemus Fr. |
Var. œdematopus Fr. ; Ag. lactifluus Schæfi.
L. serifluus (D. C.) Fr.
L. subdulcis (Bull.) Fr.
L. subumbonatus Lindgr.
L. tabidus Fr.
Russula nigricans (Bull.) Fr.
. adusta (Pers.) Fr.
. albo-nigra (Krombh.) Fr.
. delica Fr.
. furcata (Pers.) Fr.
. Sanguinea (Bull.) Fr.
. rosacea Fr.
. Sardonia Fr. .
. Aepallens Fr,
Var. vinosa Quél.
R. maculata Fr.
R. lactea (Pers.) Fr.
KR. rubra Fr.
ee 5 A
0 0 D NN D À EU
Lane
R. amoϾna Fr.
Form. alba P. Brun., Glan. myc. I, p. 8.
Form. virescens P. Brun., Liste Hym., p. 27.
Form. incarnata Quél.
Form. lilacina Quél.
R. suavis Schulz. ; R. palumbina Quél.
R. xerampelina (Schæff.) Fr. —T., C.
KR. violacea Quél.
R. olivacea (Schæfi.) Fr.
R. vesca Fr.; R. rosea (Schæff.) Fr.
R. lilacea Quél.
R. cyanoxantha (Schæî.) Fr.
R. heterophyila Fr.
Var. galochroa ; À. galachroa Fr.
R. consobrina Fr.
Var. sororia Fr.
. fœtens (Pers.) Fr.
. fellea Fr.
. Queletii Fr.
emetica (Harz.) Fr.
. pectinata (Bull.) Fr.
ochroleuca (Pers.) Fr.
æruginea Fr.; R. graminicolor (Sow.) Quél.
smaragdina Quél.
veternosa Fr.
. Barlæ Quél.
. integra (L.) Fr.
. mollis Quél.
Var. æruginascens Quél.
Var. eburnea Quél.
KR. nitida (Pers.) Fr.
R. lateritia Quél.
0 #0 2 5 0 5 9 5 10 0 0
HOT —
R. alutacea Fr.
R. nauseosa (Pers.) Fr.
R. chamæleontina Fr.
Gantharellus cibarius Fr.
G. aurantiacus (Wulf.) Fr.
GC. glaucus Fr.
Marasmius urens Fr.
M. oreades Fr.
M. globularis Fr.
M. languidus (Lasch) Fr.
M. ramealis (Bull.) Fr.
M. rotula (Scop.) Fr.
Lentinus tigrinus (Bull.) Fr.
Panus stipticus (Bull.) Fr.
Schizophyllum commune Fr.
Voivaria plumulosa (Lasch) Quél.
V. parvula Weinm.
Pluteus semibulbosus Lasch.
Entoloma repandum Bull.
. Sericellum Fr.
. rhodopolium Fr.
. Sericeum Bull.
. nidorosur Fr.
. Sspeculum Fr.
Var. conocephala P. Brun., Misc. myc. I, p. 4.
Leptonia lampropoda Fr.
L. chalybæa Fr.
Nolanea pascua Pers.
Var. umbonata Quél.
N. mammosa L.
N. juncea Fr.
. N. incarnata Quél.
ti ti ti ii
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Form. littoralis Quél.
Eccilia Parkensis Fr.
Claudopus variabilis Pers.
Pholiota Ægerita Port.; Quél.; Brig.
Ph. spectabilis Fr.
Inocybe dulcamara Alb. et Schw.
I. plumosa (Bolt.) Fr.
s corydalina Quél.
. Scabra Müll.
. capucina Fr.
. rimosa Bull.
. maculata Boud.
. descissa Fr.
. fastigiata Schæf.
. astepopora Quél.
. grammata Quél. et Le Bret.
. prætervisa Quél.
. cæsariata Fr.
. tomentella Fr.
. umbratica Quél.
. Scabella Fr.
Hebeloma versipelle Fr.
H. crustuliniforme Bull.
H. elatum Baïtsch.
H. longicaudum Pers.
H. circinans Quél.
Flammula muricella Fr.
F. spumosa Fr.
Naucoria cidaris Fr.
N. cucumis Pers.
N. cerodes Fr.
N. melinoides Fr.
bof ef ef Het ef ef eg of of Her bei be Ie be
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N: vervacti Fr.
N. pediades Fr.
N. semiorbicularis Bull.
N. conspersa Pers.
Galera hapala Fr.
. tenera Schæfi.
. Siliginea Fr.
. Spartea Fr.
. pygmæo-affinis Fr.
. vittiformis Fr.
. hypnorum Baisch.
.mycenopsis Fr.
Tubaria furfuracea Pers.
T. paludosa Fr.
T. pellucida Bull.
Crepidotus moillis Schæff.
Cr. applanatus Pers.
Cortinarius sebaceus Fr.
. anfractus Fr.
. multiformis Fr.
. rapaceus Fr. |
. calochrous (Pers.) Fr.
. purpurascens Fr.
causticus Fr.
. crystallinus Fr.
mucifluus Fr.
. elatior Fr.
. Stillatitius Fr.
. argentatus (Pers.) Fr.
. violaceus (L.) Fr.
. albo-violaceus (Pers.) Fr.
. pholideus Fr.
ARRAQRA
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L 4
. azureus Fr.
. venetus Fr.
.impennis Fr.
. Scutulatus Fr.
. hæmatochelis (Bull.) Fr.
, hinnuleus (Sow.) Fr.
glandicolor Fr.
. biformis Fr.
. incisus (Pers.) Fr.
palaceus (Weinm.) Fr.
tortuosus Fr.
rigens Fr.
. leucopus (Pers.) Fr.
erythrinus Fr.
. decipiens (Pers.) Fr.
germanus Fr.
. Saniosus Fr.
. Obtusus Fr.
. fasciatus Fr.
Paxillus atro-tomentosus (Batsch) Fr.
Agaricus augustus Fr.
A. arvensis Schæfi.
Var. xanthoderma Genev.
A. pratensis Schæîf.
À. campestris L.
Var. villatica; 4. villaticus Brond.
Var. silvicola ; 4. silvicola Vitt.
À. Bernardii Quél.
Form. alba P. Brun., Glan. myc. I, p. 5.
A. comtulus Fr.
À. amethystinus Quél.
A. semotus Fr.
OnNnnnsocannna aan
— 91 —
Stropharia coronilla Bull.
S. luteo-nitens Vahl.
S. semiglobata Fr.
Hypholoma sublateritium Schæfi.
H. fasciculare Huds.
Var. elæodes ; H. elæodes Fr.
H. lacrymabundun Fr.
H. velutinum Pers.
H. Gandolleanum Fr.
H. appendiculatum Bull.
H. hydrophilum Bull.
Psilocybe sarcocephala Fr.
P. uda Pers.
P. callosa Fr.
P. semilanceata Fr.
P. spadicea Fr.
Form. arenicola P. Brun,, Liste Hym., p. 52.
P. cernua Fr.
Deconica coprophila Bull.
Psathyra conopilea Fr.
P. corrugis Pers.
P. torpens Fr.
P. gyroîflexa Fr.
Goprinus atramentarius (Bull.) Fr.
C. fuscescens (Schæfi.) Fr.
C. picaceus (Bull.) Fr.
GC. flocculosus (D. C.) Fr.
C. extinctorius (Bull.) Fr.
C. eburneus Quél.
G. fimetarius Fr.
Var. cinerea ; Ag. cinereus Schæf.
C. niveus (Pers.) Fr.
se Oe
. Micaceus (Bull.) Fr.
-radians (Desm.) Fr.
- Congregatus (Bull.) Fr.
. ephemeroides (Bull.) Fr.
. Brunaudii Quél,
. narcoticus (Batsch) Fr.
. nycthemerus Fr.
. radiatus (Boli.) Fr.
domesticus (Pers.) Fr.
. plicatilis (Curt.) Fr
. roris Quél.
. tuberosus Quél.
. hemerobius Fr.
. rapidus Fr.
. Aiaphanus Quél.
. Mmutabilis Quél.
Panæolus retirugis Fr.
P. sphinctrinus Fr.
P. campanulatus L.
P. fimicola Fr.
Anellaria fimiputris (Bull.) Karst.
Psathyrella gracilis Fr.
Ps. caudata Fr.
Ps. prona Fr.
Ps. atomata Fr.
Ps. disseminata Pers.
Gomphidius viscidus (L.) Fr.
Var. testacea; G. testaceus Fr.
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©
GLANULES MYCOLOGIQUES
2% SÉRIE
HERBORISATIONS DE 1892
DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE
PAR PAUL BRUNAUD.
HYMÉNOMYCÉÈTES Fr.
Amanita echinocephala Vitt. — Dans les bois.
— Fouras.
Lepiota littoralis Ménier. — Dans les friches qui
avoisinent la mer. — Fouras.
Tricholoma pessundatum Fr. — Dans les bois
de chênes. — Thenac, Gemozac.
Collybia stipitaria Fr.; Marasmius scabellus
Quél., F1. myc., p. 315. — Sur des racines de grami-
nées. — Genouillé.
Mycena sudora Fr. — A la base des vieux troncs
d’ormeaux. — Saintes.
M. supina Fr. — Sur les vieux troncs moussus des
robiniers. — Saintes.
1
ES EVA Le
Omphalia Fibula Bull, form. alba. — Parmi
les mousses. — Saintes.
Russula lactea (Pers.) Fr. — Dans les bois. —
Saintes.
R. amæna Quél., form. incarnata. — Dans les
bois. — Fouras.
Form. lilacina. — Dans les bois. — Fouras.
R. vesca Fr.; R. rosea (Schæf.) Fr. — Dans les
bois. — Fouras.
R. mollis Quél., form. eburnea. — Espèce entiè-
rement blanche. — Dans les bois. — Fouras.
R. lateritia Quél. — Dans les bois. — Fouras.
Inocybe dulcamara Alb. et Schw. — Dans les
bois de chênes. — Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux,
Fontcouverte.
I. tricholoma (Alb. et Schw.) Fr. — Dans les prés.
— Saintes.
Tubaria autochthona Berk. et Br. — Surles bords
des fossés, dans les haies. — Saint-Georges-des-Coteaux,
Thenac.
Etait très abondant à Saintes, automne 1892.
T. inquilina Fr. — Sur les éclats de bois, les brin-
dilles, dans les endroits où l’on a équarri des pièces de
bois, notamment des noyers. — Saintes.
Gortinarius fasciatus Fr. — Dans les bois. —
Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux.
HO
Agaricus campestris L., var. villatica. —
Dans les prés. — Thenac, Tesson.
A. silvaticus Schæff. — Dans les prés, les friches.
— Saint-Georges-des-Coteaux, Thenac.
Psilocyhe semilanceata Fr. — Aux bords des
haies, dans les friches, les endroits fumés. — Fouras.
Psathyra pennata Fr., var. fimicola Bernard.
— Sur les crottins. — Ile de Ré, Saintes.
Coprinus radiatus (Bolt.) Fr. — Sur les crottins.
— Fouras.
Var. ocracea P. Brun., Glan. myc. I, p. 5. — Sur
des brindilles. — Saintes.
Cette variété est plus grande que le type et se rapproche
assez du C. stellaris Quél.
C.ephemerus Fr. — Dans les endroits fumés. —
Genouillé.
GC. diaphanus Quél. — Sur les crottins. — Saintes.
C. mutabilis Quél. — Sur les crottins. — Fouras.
Panæolus remotus Schæfi. — Sur les crottins.
— Saintes.
P. acuminatus. — Sur les crottins. — Saintes.
Boletus pachypus Fr., var. candicans Fr. —
Dans les bois, les friches. — Saintes, Pessines, Varzay.
B. Rostkovii Fr.; B. lividus Rostk., t. 18, non
Bull. — Dans les bois, les friches, sous les pins, aux
pieds des chênes. — Fouras.
Parait n'être qu'une variété du Boletus chrysenteron Fr.
Le mp ee
Polyporus spumeus (Sow.) Fr. — Sur un vieux
tronc d’ormeau. — Saintes. |
Poria bombycina Fr. — Sur des vieilles souches
d’ormeau. — Saintes.
Hymenochæte fuliginosa (Pers.) Lév. — Sur du
bois pourri de sapin. — Saintes.
Corticium lacteum Fr. — Sur les branches tom-
bées. — Fontcouverte. |
GC. calceum Fr. — Sur du bois pourri de Berberis
vulgaris. — Saintes.
Clavaria cinerea Bull — Dans les bois. —
Gemozac.
URÉDINÉES Brongn.
Puccinia Porri(Sow.) Wint. — Sur les feuilles de
l’Allium vineale. — Châtelaillon.
P. Malvacearum Mont. — Sur les feuilles du
Malope trifida. — Saintes.
PYRÉNOMYCÉTES Fr., em. ; de Not.
Valsa Lauro-Gerasi Tul. — Sur les branches
mortes du Prunus Lauro-Cerasus. — Saintes.
Botryosphæria Fruni spinosæ Delacroix, Rev.
myc. Tome VIII, p. 191, pl. 17, Ï. 11. — Sur les branches
desséchées du Prunus spinosa. — Environs de la
Rochelle.
Le Qu
Sphærella microscopica Passer. — Sur les
feuilles mortes du Typha angustifolia et du Typha lati-
folia. — Saintes, Fouras.
Diaporthe cryptica Nke. — Sur les sarments
morts du Lonicera Periclymenum. — Fouras.
Sphærulina Scirpi Passer., in litt. ad P. Brun.
— Périthèces petits, rapprochés, bruns, membraneux.
Thèques globuleuses, diam. 10-12 ou obovoïdes-piri-
formes, long. 20, larg. 10, sans paraphyses, octospores.
Sporidies subdistiques, cylindriques, droites, 3-septées,
hyalines, long. 8, larg. 2-2 1/2. — Sur les tiges mortes
du Scirpus lacustris. — Saintes. ;
Pleospora infectoria Fuck., var. Maydis. —
Sporidies long. 14-16, larg. 5-7. — Sur les feuilles
mortes du Zea Mays. — Saintes.
Ostropa cinerea Pers. — Sur les tiges mortes du
Ruscus aculeatus. — Fouras.
DISCOMYCÈTES Fr.
Peziza isochroa Fr. — Sur la terre fumée, dans
les bois. — Fouras.
P. cochleata L. ; Bull. — Dans les interstices des
pierres d’une cour humide. — Saintes.
Humaria fimetaria Schm. ; Quél.. Ench. p. 277.
— Sur les crottins. — Saintes.
Phialea cyathoidea (Bull.) Gill. — Sur les tiges
mortes du Ruscus aculeatus. — Fouras.
LE pere
P. culmicola (Desm.) Gill — Sur les chaumes
des grandes graminées, les tiges mortes des Gulium.
— Saintes, Genouillé.
Dascyscypha patula (Pers.) Sacc. — Sur les tiges
mortes de l’Arundo Phragmites. — Saintes, Fouras.
Ascobolus incolor Quél. —- Sur Les troncs pourris
des choux. — Fouras.
Calloria straminea Quél. — Sur les branches
tombées des pins. — Fouras.
Fabræa litigiosa (Rob. et Desm.) Sacc. — Sous
les feuilles du Ranunculus repens. — Saintes.
MYXOMYCÈETES Walir.
Didymium squamulosum (Alb. et Schw.) Fr.
— Sur les mousses (Brachythecium velutinum). —
Genouillé.
D. farinaceum Schrad. — Sur lestiges mortes du
Phragmites communis. — Fouras.
SPHÆROPSIDÉES Lév. reform. ; Sacc.
Phyllosticta Cynanchi P. Brun. — Taches am-
phigènes, blanchissant par la dessication, arrondies ou
subanguleuses, non bordées de brun. Périthèces épi-
hypophylles, petits, noirs, subglobuleux, érumpents.
Sporules ovales-oblongues, hyalines, long. 7-8, larg. 5,
biguttulées. — Sur les feuilles du Cynanchum acutum.
— Fouras.
Ph. Alismatis Sacc. et Speg., form. sSantonensis
P. Brun. — Taches amphigènes, blanchâtres, oblongues
ou irrégulières, non bordées de brun. Périthèces épi-
hypophylles. Sporules ovales, long. 7-8, larg. 3, bigut-
tulées, hyalines. — Sur les feuilles de l’Alisma Plan-
tago. — Saintes.
Phoma Lindleyana Sacc.; P. Brun., Champ.
obs. VI, p. 2, et Sphærops. Charente-Inférieure, p. 25.
— Sur les branches mortes du Buddleia Lindleyana. —
Fouras.
P. Celtidis Cooke. — Sur les branches mortes du
Celtis australis cultivé. — Saintes.
P. subcomplanata Cooke et Mass. — Sur les
tiges mortes de l’Heracleum Sphondylium. — Fouras.
P. herbarum West. — Sur les tiges mortes du
Campanula Rapunculus, du Cynanchum acutum, du
Rosmarinus officinalis, du Tetragonolobus siliquosus. —
Fouras.
P. acuta Fuck., var. amplior S. et R. — Sur les
tiges mortes du Fœniculum officinale. — Saintes.
P. arenaria Sacc. — Sur les feuilles mortes du
Carex arenaria. — Fouras.
P. siliquastrum Desm. — Sur les siliques des
choux cultivés. — Fouras.
Cytospora Ampelopsidis C. Mass. — Sur les
tiges mortes de l’Ampelopsis hederacea. — Saintes.
Asteroma confervoides Grogn.— Surles jeunes
pousses vivantes du Lycium barbarum. — Saintes.
UM DD LS
Diplodia Emeri Sacc. — Sur les branches mortes
du Coronilla Emerus. — Saintes.
Septoria daucina P. Brun.—Taches amphigènes,
nombreuses, éparses ou rapprochées, parfois con-
fluentes, brunes, subarrondies, oblongues ou irrégu-
lières, plus pâles au centre, à bordure brune légère-
ment élevée. Périthèces très petits, noirs. Sporules
filiformes, droites ou flexueuses, hyalines, guttulées,
long. 25-50, larg. 1-1 1/2. — Sur les feuilles du Daucus
Carota cultivé. — Saint-Laurent-de-la-Prée.
S. caricina P. Brun., Misc. myc. Il, p. 38. —
Taches nulles ou indéterminées et dans ce cas formées
par l’extrémité desséchée de la feuille. Périthèces le
plus souvent hypophylles. Sporules hyalines, droites
ou légèrement courbées, long. 30, larg. 1. — Sur les
feuilles du Carex arenaria. — Châtelaillon.
Leptostromella cladopoda Sacc. — Sur les
feuilles mortes du Typha angustifolia. — Fouras. |
HYPHOMYCÈTES Mart., p. m part.
Cylindrium griseum (Ditm. ?) Bon. — Sous les
feuilles tombées des chênes. — Fouras.
Penicillium candidum Link. — Sur les péri-
thèces du Valsa Lauro-Cerasi. — Saintes.
Cladosporium herbarum (Pers.) Link. — Sur
les tiges mortes du Campanula Rapunculus et du Ros-
marinus officinalis. — Fouras.
G. caricicolum Cord. — Conidies oblongues, d’un
— 101 —
brun-jaune très clair, long. 18, 1-septées. — Sur les
tiges mortes du Cyperus longus. — Fouras.
GC. Typharum Desm. — Sur les feuilles desséchées
du Typha latifolia. — Fouras.
Triposporium Sarcinula Sacc. — Sur les
branches mortes du Prunus armeniaca, du Prunus Padus
et de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes.
GLANULES MYCOLOGIQUES
3e SÉRIE
HERBORISATIONS DE 1892-1893
DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE
PAR PAUL BRUNAUD.
Collybia velutipes Curt., form. nana. —
Chapeau jaune d’œui, diam. 1 cent., au plus. Pied
grêle, long. 1 1/2-2 cent. — Sur les troncs des vieux
tilleuls, au milieu des mousses en société avec Mycena
supina et M. echinipes. — Rochefort.
Panæolus campanulatus L., form. elatior. —
Chapeau campanulé-étalé, légèrement mamelonné,
d’un gris argenté, diam. 6-8 cent. Pied élancé, long.
12-15 cent., annulé. — Aux bords des chemins, dans
les prés, quelqueïois en touffes aux pieds des vieux
arbres. — Rochefort, Saintes, Pessines.
Polystictus undatus Pers. — Sur des vieilles
planches pourries de sapin. — Saintes.
Lycoperdon furfuraceum Schæfi. ; L. cepiforme
Bull. — Dans les prés, les bois, les friches. — Fouras.
— 104 —
Scleroderma verrucosum (Bull.) Pers..— J’en
ai trouvé, à Fouras, une variété remarquable par sa
chair blanche prenant une teinte rosée à l'air.
Uromyces Scillarum (Grev.) Wint. — Sur les
feuilles du Muscari compactum cultivé. — Saintes.
Pilobolus roridus (Bolt.) Pers. — Sur du crottin
de cheval. — Saintes, Genouillé.
Cystopus candidus (Pers.) Lév. — Sous les
feuilles du Thlaspi perfoliatum. — Saintes.
Plasmopara nivea (Unger) Schroet. — Sous les
feuilles du Tordylium maximum. — Saintes.
Peronospora Dianthi de Bary. — Sous les
feuilles de l’Agrostemma Githago. — Saintes.
Dans mes échantillons, les conidies ne sont pas franchement
violacées, cependant elles sont colorées. S’agirait-il d’une
variété ?
Valsa punica S. et S. — Sur les branches mortes
du Punica Granatum. — Saintes.
Cryptovalsa Nitschkei Fuck.— Sur les branches
mortes du Pirus Malus. — Fontcouverte, Saintes.
Chætomium comatum (Tode) Fr. — Sur les
tiges mortes du Calystegia sepium, du Spiræa Ulmaria,
les écailles de l’involucre du Cynara Scolymus, les
aiguilles des pins, les papiers exposés à l'humidité. —
Saintes, Fouras.
Poronia punctata (L.) Fr. — Sur les crottins
d’ane et de cheval. — Fouras.
— 105 —
Sphærella Rubiæ P. Brun. — Périthèces très
petits, épars, couverts, à ostiole à peine érumpent.
Thèques octospores, claviformes, long. 40, larg. 10-12.
Sporidies distiques, oblongues, 1-septées, droites,
hyalines, long. 7-10, larg. 3. — Sur les tiges mortes du
Rubia tinctoria. — Saintes.
Sphærella microscopica Passer. — Sur les
feuilles mortes du Typha latifolia. — Fouras.
Sphærella tædiosa Passer. — Sur les tiges
mortes du Sparganium ramosum. — Le Port d'Envaux.
Diaporthe retecta Nke., form. fructicola P.
Brun. — Sur les fruits desséchés du Buxus semper-
virens. — Saintes.
Nectria cinnabarina (Tode) Fr. — Sur les
branches mortes du Cratægqus monogyna. — Saintes.
Phyllachora Cynodontis (Sacc.) Niessl. — Sur
les feuilles desséchées du Cynodon Dactylon. — Fouras.
Lophiotrema præmorsum (Lasch) Sacc., var.
Rubi Idæi Sacc., Fung. ital. t. 253. — Sur les
sarments morts du Rubus cœsius. — Saintes.
Cyathicula coronata (Bull.) de Not. — Sur les
tiges desséchées des Brachypodium. — Saintes.
Phialea clavata (Pers.) Gill. — Sur les tiges
mortes du Clematis Vitalba. — Saintes.
Phialea fructigena (Bull.) Gill. — Sur les glands
du Quercus Ilex. — Fouras.
Didymium microcarpum (Fr.) Rost. — Sur des
— 106 —
brindilles, des branches tombées, du bois pourri, des
crottins de cheval. — Saintes.
Phyllosticta Hederæ Sacc. et Roum. — Sur les
feuilles des var. chrysocarpa, variegata et canariensis
de l’Hedera Helir. — Saintes.
Phoma spartiicola P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1.
— Sur les petites tiges mortes du Spurtium junceum. —
Fouras.
Phoma sambucina Sacc. — Sur les jeunes
branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes.
Phoma incarcerata (Nke.)Sacc. — Sur les épines
du Rosa Banksiæ. — Saintes.
Phoma diplodioides Sacc. — Sur les branches
mortes de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes.
Phoma æsculana Sacc.; Phoma Hippocastani
Passer., non Arch. ; P. Brun, Misc. myc. I p. 15. —
Sur les jeunes branches mortes de l’Æsculus Hippo-
castanum. — Pessines.
Phoma Limonis Thüm. et Boll. — Sur les petites
branches mortes des citronniers. — Saintes.
Phoma mixta B. et C., form. santonensis P.
Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, globuleux,
noirs, couverts, à ostiole seul érumpent. Sporules
subfusiformes, long. 7-8, larg. 3, biguttulées. — Sur
les branches mortes du Liriodendron tulipiferum. —
Saintes.
— 107 —
Phoma Elæagni Sacc., form. ramulicola P.
Brun. — Sporules oblongues, hyalines, biguttulées,
long. 7-8, larg. 3. — Sur les branches mortes de
. l'Elœagnus reflexa. — Saintes.
Phoma Glaucii P. Brun. — Périthèces épars,
globuleux, d’un brun-clair, à ostiole érumpent. Spo-
rules oblongues, très obtuses aux extrémités, hyalines
ou un peu subhyalines, non guttulées, long. 7, larg. 3.
_— Sur les siliques desséchées du Glaucium luteum. —
Fouras.
Phoma raphanicola P. Brun. — Périthèces épars
ou rapprochés, petits, presque coniques, noirs où
bruns-noirs, érumpents à peine. Sporules ovoides-
oblongues, hyalines, biguttulées, long. 5-7, larg. 3. —
Sur les siliques du Raphanus sativus. — Saintes.
Phoma sepium P. Brun.—Périthèces épars, petits,
globuleux, noirs, érumpents, Sporules oblongues-
allongées, hyalines, continues, biguttulées, long. 19-12,
larg. 4. — Sur les tiges mortes du Calystegia sepium. —
Fouras.
Diplodia photiniæcola P. Brun., Sphærops.
p. 5, form. minor. — Sporules oblongues, fuligineuses,
rétrécies à la cloison, long. 22-24, larg. 12. — Sur les
branches mortes du Photinia serrulata. — Saintes.
Diplodia Cydoniæ Sacc. — Sur les branches
mortes du Cydonia vulgaris. — Corme-Royal.
Diplodia Elæagni Passer., form. ramulicola
P. Brun. — Sporules oblongues, rétrécies à la cloison,
— 108 —
fuligineuses, long. 26-28, larg. 12. — Sur les branches
mortes de l’Elæagnus reflexa. — Saïntes.
Diplodia Liriodendri Peck. — Sporules ,
oblongues, d’abord continues, hyalines, granuleuses,
et alors long. 28-50, larg. 12, puis 1-septées, brunes. —
Sur les tiges mortes du Liriodendron tulipiferum. —
Saintes.
Ascochyta Elæagni Sacc. — Sur les feuilles de
l’Elæagnus reflexa. — Saintes.
Diplodina Photiniæ P. Brun. — Périthèces
épars, globuleux, noirs, à peine érumpents. Sporules
oblongues, arrondies aux extrémités, 1-septées, rétrécies
à la cloison, hyalines ou subhyalines, long. 14, larg. 4.
— Sur les branches mortes du Photinia serrulata. —
Saintes.
Diplodina Ligustri G. Delacr.— Surles branches
mortes du Ligustrum vulgare. — Saintes.
Diplodina Elæagni P. Brun. — Périthèces épars,
globuleux, noirs, érumpents. Sporules oblongues ou
subfusoïdes, hyalines, 1-septées, non rétrécies à la
cloison, long. 12-15, larg. 5. — Sur les branches mortes
de l’Elæagnus reflexa. — Saintes.
Hendersonia culmicola Sacc., var. minor
Sacc. — Sur les feuilles desséchées du Brachypodium
pinnatum. — Saintes.
Leptostroma herbarum (Fr.) Link, var.
spiræinum Sacc. et Br. — Sur les tiges desséchées
du Spiræa Ulmaria. — Saintes.
— 109 —
Var. Rumicis P. Brun. — Sporules oblongues,
arrondies aux extrémités, hyalines, biguttulées, long.
1-10, larg. 3 1/2-4. — Sur les tiges mortes du Rumex
conglomeratus, du R. obtusifolius et du R. palustris. —
Fouras.
Oospora Bonordenii Sacc. et Vogl. — Sur les
branches mortes du Sambucus niyra. — Saintes.
Oidium Cydoniæ Passer. — Sur les feuilles
vivantes du Cydonia vulgaris. — Saintes, Rochefort.
C'est pas erreur que dans ma liste des Hyphomycètes, etc.,
p. », et dans mes Miscellanées mycologiques, p. 44, j'ai
confondu cette espèce avec Oidium leucoconium Desm.
Penicillium glaucum Link. — Sur de la colle
de pain gâtée. — Saintes.
Hormiscium laxum VWallr. — Sur les tiges
pourries des choux. — Saintes, Fontcouverte.
Cladosporium macrocarpum Preuss. — Sur
les feuilles du Spinacia oleracea. — Saintes.
Cladosporium compactum B. etC. — Sur les
cladodes desséchés du Ruscus aculeatus. — KFouras.
Speira toruloides Cord. — Sur les tiges mortes
du Scirpus Holoschænus. — Corme-Royal.
Fusarium pyrochroum (Desm.) Sacc. — Sur les
branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes.
Fusarium Equisetorum (Lib.) Desm. — Sur les
tiges mortes de l’Equisetum limosum. — Saintes.
— 110 —
Fusarium roseum Link. — Sur les tiges mortes
du Rubia tinctoria. — Saintes.
Var. Rusci Sacc. — Sur les cladodes desséchés du
Ruscus aculeatus. — Fouras.
Epicoccum neglectum Desm. — Sur les tiges
mortes du Rubia tinctoria. — Saintes.
EE CETERCERS
SUR
QUELQUES ŒNANTHE
Par M. J. FOUCAUD.
\f
Il
L’'Œnanthe peucedanifulia (1) a été décrit, comme on
le sait, par Pollich dans son Historia plantarum in
(1) ŒNANTHE PEUCEDANIFOLIA foliis omnibus linaaribus, ra-
dicalibus bipinnatis, caulinis pinnatis, involucro universali
nullo, radicum napulis ovatis sessilibus,
Circa Lanteren in pratis humidis passim, retro sembach
versus die lange meil in pratis siccioribus circa Cusel in pratis:
Floret junio.
Umbellæ radiatæ. Flores albissimi in radio valde irregulares
sunt, ultra duas lineas in diametro habent. Petala cordata semi-
bifida in centro majorem regularitatem habent. Calyx evidens
quinquedentatus germen coronat. Antheræ subrotundæ flavæ.
Stigmata alba obtura. Napuli ex cylindrico-ovati, plurimi albi
sessiles, in fasciculum congesti radicem constituunt, singuli
basi in fibram albam terminantur. Caulis erectus, cubitalis, basi
rubellus, cæterum læte veridis, glaber, sulcatus, dichotomus,
geniculatus. Folia alterna, vaginantia triangularia, quatuor
quinque pollices longa, tres pollices lato inferiora bipinnata,
suprema simpliciter primata sunt, segmentis omnibus lineari-
lanceolatis integerrimis, in supremis foliis longioribus et ad
unum latus directis, omnia læte viridis glabra. Vaginæ striatæ
glabræ. Umbella universalis plana ex radiis compositis septem
decem constat ; umbellam partialem convexiusculam ultra tri-
genta radn efformant. Involucrum universale nullum, rarissime
unicum foliolum adest. Partiale polyphyllum, foliolis subulato-
cetaceis umbellata brevioribus (Pollich, Historia plantarum in
Polatinatu 1, p. 289 (1776).
— 112 —
Palatinatu (1776) et l'OE. silaifolia (1), par Marschal
Bieberstein, dans son Flora Taurico-caucasica (1808-
1819).
Pollich, dans la description de sa plante, ne dit rien
des fruits où résident des caractères spécifiques très
importants ; quant à Bieberstein, qui compare la sienne
à celle de Pollich, il passe également sous silence les
caractères principaux, ceux des rayons de l’ombelle
et ceux des fruits, qui la difiérencient de l’OE. peuceda-
nifolia.
L'insuffisance de ces descriptions devait contribuer
à faire confondre ces deux plantes.
Les caractères décrits par Pollich et par Bieberstein
sont peu constants et, dans beaucoup de cas, ils s’appli-
quent aussi bien à l’OE. silaifolia qu’à l'OE. peucedani-
folia ; mais il n’en est pas ainsi de ceux fournis par les
rayons de l’ombelle et par les fruits qui permettent si
facilement de distinguer ces deux plantes.
(1) ŒNANTHE SILAIFOLIA foliis subconformibus : laciniis infe-
riorum lanceolatis, superiorum linearibus ; involucro nullo,
tuberibus radicalibus fusiformibus.
Œ. (peucedanifolia) foliolis omnibus linearibus, involucro
nullo, tuberibus radicalibus ellipticis sessilibus Sm. Brit, 1, p.
318. Engl. bot. 348.
Habitat in Tauria maxima meridionali, circa Nikitam occu-
rens.
Facies et statura (Œ. peucedanifoliæ Pollichn à qua differt
foliorum laciniis in universum brevioribus et præsertim in foliis
fnferioribus valde abbreviatis atque dilatatis; umbellis 3-6
radiatis, nec 7-10 radiatis, corollis æqualibus denique radicis
tuberibus non ovatis sessilibus fibra oblongata terminatis, sed
oblongis utrinque attenuatis. Invollucella polyphylla brevissima:
foliolis lanceolatis, albido-marginatis. Fructus subsessiles obtuse
costati. Solet una alterave umbellula vel in totum, vel filosculis
ambitus longius pedicellatis sterilis esse. (Marschal von Biebers-
tein. Flora Taurico-caucasica Suppl. p. 251).
mn ii —
Les caractères de l'OE. silaifolia ont été parfaitement
compris par Godron (Fl. Fr. 1, p. 714) qui a donné de
cette plante une bonne description, mais il en est
autrement pour ceux de l’OE. peucedanifolia, car les
fruits de cet Œnanthe ne sont pas munis à la maturité
de côtes en nombre double de ceux des espèces voisines
et les rayons de l’ombelle ne sont pas toujours grêles,
comme le dit cet auteur. C’est également à tort qu'il
. indique la base des fruits comme étant dépourvue d’un
anneau calleux.
Smith (Engl. Bot. 5, p. 348 (1796) ), l’un des premiers
confondit avec l’'OE. peucedanifolia V'OE. silaifolia qui
ne fut distingué que longtemps après par Bieberstein
et il donna de cette plante une figure qui représente
exactement l’OE. silaifolia Sprengel (Syst. végétal 1,
p. 889 (1825) ) reconnut cette erreur et rapporta la
plante de Smith à celle de Bieberstein.
Quelques auteurs, tels que de Candolle {Prodr. 4, p.
137 (1830) ), Reichenbach (F1. excurs. p. 463 (1820-1832) ),
Bertoloni (F1. ital.3, p.241 (1837)) citèrent la synonymie
de Sprengel, mais d’autres, et en particulier Koch
(Syn. ed. 2, p. 322 (1843) ), Ledebour (F4, ross. 2, p. 269
(1844) ), Godron (F{. Fr. 1, p. 714 (1848) ) n’en firent
aucune mention.
Ces derniers auteurs ont probablement pensé que la
plante de l’Europe occidentale différait de celle de
Bieberstein. Godron rapporta cependant la plante des
environs de Narbonne, dont il a vu des spécimens, à
celle distribuée, en 1836, par Hohenacker (Unio itiner.)
des environs de Lankoran.
La plante publiée par Hohenacker et dont j'ai étudié
des spécimens authentiques dans plusieurs herbiers,
— 114 —
diffère en eftet de notre plante la plus répandue par
ses feuilles à segments plus élargis, mais cette orme,
ainsi que des intermédiaires, existe aussi en France.
Je l’ai reçue notamment des départements de Maine-et-
Loire, de l’Aisne et de la Nièvre, et, dans la Charente-
Inférieure, j'en ai recueilti des exemplaires qui s’en rap-
prochent beaucoup. Je dois, de plus, ajouter qu'ayant
cultivé de semis l’OE. silaifolia des environs de Mont-
pellier, j’ai obtenu des échantillons dont les feuilles
des repousses n’ont offert aucune différence avec celles
de la plante de Lankoran ; quant aux feuilles du prin-
temps, elles étaient en tout semblables à celles de notre
plante, laquelle est identique à celles de Montpellier et
de Narbonne et à l’OE silaifolia de Pise publié par Savi
(Bill. exs. n° 3393).
L’OE. silaifolia diffère de l’OE. peucedanifolia par sa
glaucescence, par les rayons de l’ombelle très épais à
la maturité, par ses fruits non contractés sous le limbe
du calice, non atténués à la base, mais comme tron-
qués et munis d’un anneau Calleux. Par suite de cette
forme des fruits, les ombellules sont compactes, ce qui
les éloigne beaucoup de celle de l’OE. peucedanifolia qui
sont lâches, les fruits étant atténués aux deux extré-
mités.
Les autres caractères de l’OE. silaifolia sont peu cons-
tants : ainsi les segments des feuilles ofirent différentes
formes qui les relient à ceux des feuilles de l’OE. peuce-
danifolia, les fibres radicales ne présentent le plus sou-
vent aucune différence avec celles de ce dernier et les
rayons de l’ombelle sont plus ou moins nombreux
(5-10), plus ou moins allongés et plus ou moins épais à
la maturité ; lorsqu'ils sont nombreux, ils sont moins
— 115 —
épais, mais ils le sont toujours plus, même à l’état
jeune, que ceux de l’OE. peucedanifolia.
L’OE. silaifolia n'avait encore été signalé par nos
Flores qu’à la Rouquette près Narbonne et à Mireval
près Montpellier (Godron, F1. Fr. 1, p. 714), à Roque-
haute (Loret et Barraud. F{. Montp., éd. 2. p. 207), à
Seurre et à Maison-Dieu (Royer. Fl. Côte-d'Or, p. 200
et 624).
Cette plante m’a été envoyée des départements ci-
après par divers correspondants que j'avais priés de
me communiquer les Œnanthe de leurs environs:
Basses-P yrénées, Gironde, Landes, Charente-Inférieure,
Charente, Deux-Sèvres, Vienne, Haute-Vienne, Sarthe,
Côtes-du-Nord, Manche, Calvados, Indre-et-Loire,
Marne, Meuse, Cher, Aude et Hérault.
Dans divers herbiers, où elle se trouve sous différents
noms, je l’ai vue de plusieurs autres départements et
notamment des suivants: Loire-[Inférieure, Loiret,
Eure-et-Loir, Seine-et-Oise, Seine-et-Marne, Seine-
Inférieure, Somme, Aisne, Marne, Yonne, Côte-d'Or,
Nièvre, Allier, Rhône, Dordogne et Creuse.
Comme on le voit, cette plante est très répandue en
France et c’est à cette espèce qu’il faut rapporter l’OE.
peucedanifolia de la plupart de nos Flores et de nos
Catalogues de l’Ouest, du Centre et du Nord de la
France.
Indépendamment des caractères cités plus haut, l’OE.
peucedanifolia se distingue de l'O. silaifolia par sa
teinte verte, par ses fruits oblongs-cylindriques, ovoi-
des ou ovoïdes-oblongs et par les rayons de l’ombelle
qui sont grèles ou légèrement épais à la maturité, mais
— 116 —
toujours beaucoup moins que ceux de l’OE. silaifolia,
lors même que ceux-ci sont peu développés.
Lorsque les fruits de l’OE. peucedani/folia sont oblongs-
cylindriques, les méricarpes sont le plus souvent un
peu renflés à la base à la maturité, ce qui constitue un
anneau calleux, et lorsqu'ils sont ovoïdes ou ovoïdes-
oblongs. ou qu’ils présentent des formes intermédiaires,
cet anneau n’existe ordinairement pas. Dans ce cas, ils
ressemblent beaucoup aux fruits de l'O. Lachenalii et
quelquefois même ne peuvent en être séparés.
L’OE. peucedanifolia parait moins répandu en France
que l’CE. silaifolia : je ne l’ai en effet reçu ou vu dans
les herbiers, que des départements suivants: Vendée,
Loiret, Eure, Aube, Yonne, Côte-d'Or, Vosges, Haute-
Saône, Cher, Haute-Vienne, Puy-de-Dôme, Hérault et
Gard.
La plante à fruits oblongs-cylindriques est la plus
répandue et, c’est à cette forme qu’appartiennent Îles
exemplaires que j'ai vus de l'O, peucedanifolia de
Bitche publiés par Schultz (exsicc. n° 74). L’Œnanthe
du Palatinat distribué par Koch (Bill. exsic. n° 571) a
des fruits moins allongés que ceux de cette forme, et
des échantillons dépourvus de fibres radicales, à tiges
dures à peine fistuleuses et à fruits ovoïdes ou oblongs
ne peuvent être séparés de l’espèce OE. Lachenalii Gmel.
Lorsque les fruits des OEnanthe du groupe de l'O.
peucedanifolia sont peu avancés, les côtes secondaires
sont aussi développées que les côtes primaires et l’an-
neau calleux qui s’observe le plus souvent à la maturité
dans les fruits oblongs-cylindriques de l’OE. peucedani-
folia n’existe ordinairement pas à l’état jeune.
C’est sans aucun doute ce jeune fruit que Godron
— 117 —
(FL, Fr. 1, p. 714) a décrit, puisqu'il l’indique comme
étant oblong-cylindrique à base dépourvue d’anneau
calleux et muni de côtes en nombre double de ceux
des espèces voisines.
A l’OE. peucedanifolia doit être rapporté l'O. media
Bor. (F1. cent. éd. 5, p. 277 (non Gris.)
Boreau ayant confondu l’OE. silaifolia avec l’'OE. peu-
cedanifolia, prit ce dernier pour une espèce inédite
lorsqu'il le découvrit au bois de Marmagne, près
Bourges. Plus tard, il le rapporta, mais avec doute, à
V'OE. media Gris., plante que je n’ai encore pu sulfi-
samment étudier, mais qui, d’après des échantillons
publiés de Smyrne, en 1853, par Balansa et de Grèce,
en 1880, par M. de Heldreich, n'offre aucune difiérence
avec l’OE. silaifolia. En 1853, l'Œnanthe du bois de
Marmagne a été publié par Déséglise dansles centuries
de Billot (exsic. n° 1205), et dans l’herbier Boreau, il
existe de nombreuses parts de cet Œnanthe provenant
du bois de Marmagne, de la forêt de Galembert près
Cerbois, des prés secs des environs de la forêt d’Allo-
gny, des bois de Contremaret près Bourges, de Charron
près Marmagne, etc.
Dans le cours de mes recherches, j'ai constaté aussi
que l’OE. Lachenalii a été quelquefois confondu avec
V’OE. peucedanifolia. Les fruits de ces plantes, comme
je l’ai dit, n’offrent parfois aucune différence entre eux,
mais les caractères des fibres radicales, des tiges, des
feuilles et des ombelles permettent presque toujours de
les distinguer facilement.
Dans l’OE. Lachenalii, les fibres radicales sont char-
nues, allongées, filiformes ou renflées à leur extrémité
en massue allongée, les tiges sont dures, très peu ou
— 118 —
pas fistuleuses, les feuilles inférieures ont les segments
plus larges que ceux des feuilles supérieures et les
ombelles ont de 10 à 15 rayons, tandis que dans l’OE.
peucedanifolia les fibres radicales sont renflées dès leur
base en tubercules napiformes ou un peu allongés, la
tige est très fistuleuse et faiblement compressible, les
feuilles sont toutes semblables et les ombelles ont de
5 à 10 rayons.
L’OE. Lachenalii n’est pas rare en France et quelques
auteurs ont signalé l’OE. peucedanifolia sur certains
points d’où je n’ai pu recevoir, malgré des recherches
réitérées, que l’OE. Lachenalii.
En terminant, je suis heureux d’exprimer toute ma
gratitude à M. Franchet, dont la complaisance est iné-
puisable et qui a rendu si faciles mes recherches dans
les herbiers du Museum. Je ne saurais également trop
remercier mes honorables correspondants qui m'ont
communiqué les Œnanthe de leurs environs ou qui ont
si généreusement mis à ma disposition leurs précieuses
collections. Qu'ils me permettent de leur exprimer, à
tous, mes sentiments de plus sincère et de plus vive
reconnaissance.
Jardin botanique de Rochetort, le 15 septembre 1892.
OBSERVATIONS THERMOMÉTRIQUES
ET MÉTÉOROLOGIQUES
FAIGES "A LA ROGHELEE
—————————_—_—
ANNÉE 1892
TE,
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(JARDIN DES PLANTES. — PONTS ET CHAUSSÉES.
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OBSERV ATION
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7 6 00! 41.50 6.08| 13.00!— 3.40 1.9 40.50! 21.00! 9.50! 21.80! 11.00! 21.19
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11 1.50! 10.80 1.80! 12.00 0.50 1:25 7.60| 21.70|" 9.00! 2175/1208
+2 5.30 7.00 SD AS 0 2031 41200 8.50| 21.10! 10.00! 25.50! 12.00! 26.80
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14 — 1.50 DO A SONT: 70) == 1530) 042200 5.00| 44.75| 10.50! 23.75! 9.50! 13.10
15, — 3.90 6.40 5.00! 11.00! — 4.00! 14.00 0.90! 13.50! 9.10! 19.40! 9.50! 14.00
16|— 2.80] 14.30 0.50! 15.00 6.00! 15.50 2.401 11.20! 9.00! 19.50! 10.00! 19.90
17 54014 45:10|= "1:00! 210.00 3.10! 19.00 1.501 12.00! 6.70! 19.50! 9.40! 22.10
18 5.00! 13.90! 3.00! 10.80 4.20! 19.00 0.10! 12.50 6.90! 20.00! 10.60! 20.00
19 4:90) "42:10|— 2.00! "10.20 5.00! 18.50 2.20| 411.75! 8.00! 19.90! 12.00! 22.50
20 56 15:501=2:00|/10:50 5:10/% 424.95 0.30! 13.90! 8.40! 18.40! 10.00! 22.50
21 4.50| 13.90 1.00 9,00! 8.90! 15.00 9.20 15.90) 0.50! 21.40! 15.00! 26.50
09 30). 15.00 3.00| 10.80 5:20) 15:50 9.00, 19.50! 9.00! 25.60! 12.80! 25.50
23 4.01! 12.00 1.80| 11.00 3.40! 16.50! 41.50] 20.00! 141.00! 22.50] 11.80| 25.00
24|— 0.50! 13.10 2.00| 10.10 4.00| 16.50! 10.15] 21.70] 9.30) 28.25] 11.50! 23.50
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4. Bon frais. Vent fort. rrondissemen
5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent. ent
6. Tempête ; ouragan. Ouragan.
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2. Petite brise. Vent modéré.
8. Jolie brise ; bonne brise. Vent assez fort.
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5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent.
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——————————
de la Rochelle.
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OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES
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. Jolie brise ; bonne brise. Vent assez fort. |
. Bon frais. Vent fort. Arrondissement
. Grand frais ; coup de vent. Vent violent.
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OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR.
INDICATION à 9 heures du matin. à midi. à 3 heures du soir.
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RESUME
DES
OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES
FAFEES; A SAINTES:
——5# —
ANNÉE 1892.
IMOMENIMNES DES MOTS
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MINIMA ET MAXIMA :
Les minima de température ont été en janvier. Le 5 — 2,4. En mars le 5
— 5,3. En décembre le 26 — 6,5.
Les maxima ont été en mai le 27 + 26,5. En juin le 29 + 32,8. Eu juillet
le 29 + 29,5. En août le 18 + 36.
RÉSUMÉ
DES
OBSERVATIONS PLUVIOMÉTRIQUES
FAITES EN 1802
AUX STATIONS DE SAINTES, JONZAC ET MONTGUYON
STATION STATION STATION
MOIS DE L'ANNÉE. de de de
SAINTES, JONZAC. MONTGUYON.
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LATE 2 ENTIER 0.0511 0.0190 0.0320
MÉR hce 0.0124 0.0070 0.0160
RL PERTE ARS 0.0152 0.0140 0.0300
RÉ ee 0.0433 0 .0690 0.0440
ODA Oh er et 0.0430 0.0610 0.0820
SPDIEIDre nn ee 0.0332 . 0.0530 0.0550
DRbbren ERRL vie A 0.1605 0.2170 0.1210
Novembre 3e 07 0.0262 0.0420 0.0430
DÉCeMDEEs Se TR ra) 0.0499 6.0590 0.0720
Toiaux > 0.6323 0.7520 0.7130
OBSERVATIONS. MÉTÉOROLOGIQUES
Des observations ont été également faites sur la température, la pression
barométrique, la pluviométrie, la direction et la force des vents et l’état du ciel
à la Rochelle par M. Grouillard, à Nuaillé par M. Thayarda, à l’ile d’Aix par
M. Arsonneau, à la Vallée par M. Caillaud, à Trizay par M. Benoist, au Mung
par M. Nivet, à Berneuil par M. Deschamps et à Beauvais-sous-Matha par
M. Rouchet.
OBSERVATIONS DES ORAGES.
Les orages ont été observés au Bois (île de Ré) par M. Phelippot, à la Rochelle
par M. Grouillard, à Rioux par M. Vinat, à Nuaillé par M. Thayarda, au Mung
par M. Nivet, à la Vallée par M, Caillaud, à Trizay par M. Benoist, à Bords par
M. Guyonnet, à Beauvais par M. Rouchet.
DATES D'OBSERVATIONS.
Janvier. ..09206:
Hévriers 416,11; 25;25.
Aile. 208 SR DS RCE SU DE
Ma 2%, 25, 26.
Juin. 20 43, 14, 15, 22, 93,-28, 99.
Juillet. .... 3, 4,141, 43,46, 25,96, 27,28:29;50:
Moût..2.. e, 112418,2098
Septembre. 15, 23.
Octobre... 6, 14, 16, 30, 31.
Novembre . 16.
PISTE: DES
MEMBRES
De la Société des Sciences naturelles
DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE.
(DÉCEMBRE 1893)
dès. <1I NTUA
Bureau.
Président, M. Ep. BELTREMIEUX, (&, I £ÿ).
Vice- Présidents:
M. L.-E. MEYER, (A £ÿ).
{ M. F. Lusson, (I &ÿ).
Secrétaire, M. A. DoLLort.
Bibliothécaire et Secrétaire-adjoint, M. CH. BASSET.
Directeur-Conservateur, M. Eb. BELTREMIEUX, (&e, [ &D).
Conservateur-Adjoint, M. Ch. BASSET.
Trésorier, M. P. CASSAGNEAUD, (A &ÿ).
Le Directeur-Conservateur est chargé du Muséum Fleuriau (Sciences naturelles et
paléoethnologie du département), et du musée d'ostéologie.
Membres Titulaires.
ANDRAULT, cons. à la cour d’appel, Alger.
AUCAPITAINE, (Baronne Suzanne).
BABUT, E., fils, m. de l’ass. fr. av. des sc.
BARBEDETTE, H., sénateur, cons. général,
rue Faubourg Saint-Honoré140 à Paris.
BARON, receveur de l’enreg., en retraite.
BARTHE, (%), docteur en médecine.
BAsSsET,Ch.,nég., m. del’as.fr.av.desse.
BELTREMIEUX, Ed., (%, I €ÿ), m. de la
Soc. géol. de Fr., v.-p.du cons. de Préf.
BERGERAT, pharmacien.
BERTEAUD, E. (&), dir. contr. direct. retr.
BoISSELLIER, À.(#)ag. princ. adm. mar.,
m. de l’ass. fr. avanc. sc., Rochefort.
BouTIRON, M. doct.-méd., à St-Xandre.
BraRD, Er., (%, À &},) doct.-méd., m. de
l’ass. fr. avanc. des sciences.
BrossarD, À. pharmacien.
BRUNAUD, P., m. de la Société bot. de
France, à Saintes.
CASSAGNEAUD, (A £ÿ),
Muséum La Faille.
CHEVALLIER, Cam., négociant.
COINDON, AÀ., employé de l’adm. des
ponts et chaussées.
ConNpAMY, Ad., m. de l’assoc. fr. avance.
des sciences.
CORBINEAU, À., préposé chef, octroi.
CORBINEAU, P. architecte de la ville.
COUNEAU, Em. (%, À &ÿ), gref. au Trib.
civ. m. de l’assoc. fr. avanc. des sc.
COUSTOLLE, Et. ($e), ing. ponts et chaus-
sées.
conservateur du
— 148 —
CREUZÉ, AÀ., (%), dir. des contr. direct.,
en retraite.
CUNAUD, G., pharmacien.
DaveLuY, Ch., adm. des contr. directes,
à Paris, Ministère des finances.
DEFORGE, A., avocat.
DELAGE, (A &ÿ), professeur au Lycée.
DELMAS, J., m. assoc. fr. avanc. des
sciences.
DoLLoT, À. entrepreneur-directeur des
travaux du port de la Pallice.
Duany-SoLER, doct. en médecine.
Dupuy, L., (A &ÿ), prof. d’hist. au Lycée,
membre de l’assoc. fr. avanc. des sc.
DussER, ($) commissaire de la marine.
FAUSTIN, G., ($, %), armat., consul de
Portugal.
FLEURY, P. (A., &ÿ), pharm. à Marans.
FoucauD, J. (A., &ÿ), bot. au jardin de
la marine, Rochefort.
GARNIER, Fr.,(% A &ÿ), maire de Royan,
député, conseiller général, rue de la
Trémoille, no 7, Paris.
GATAU, René, courtier maritime.
GILLET, C., contr. princ. des contr. dir.
à Joinville.
GUILLEMOT, Ch., quai de la Mégisserie,
20, Paris.
Héciras, Em. ( $&,I £ÿ), préfet. :
HILLAIRAUD, F., docteur en médecine.,
JOUSSET, pharmacien à Rochefort, m. de
la soc. bot. de France.
LAURENT, Ch., doct. en médecine.
LECOQ DE BoISBAUDRAN, (%, AÀ &ÿ),
corresp. de l’Acad. des scien., m. de
l’assoc. fran. av. des sc., Paris, rue
de Prosny, 36.
LÉRIDON, G., négociant, armateur.
L’EVÊÈQUE, Ed., négociant.
Louvez, G., (%, I &ÿ), préfet, à Blois.
Lussox, Fr., (I &ÿ), prof. phys. et chim.
Lycée, dir. du laboratoire de chimie,
m. de l’ass. fr. av. sciences.
MarsiLLYy, A. de Commines de, à
Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc.
MARTIN, Eug., imprimeur.
MARTRE, E., Dir. des contr. dir., en retr.,
à Perpignan.
Massrou, E. (I &ÿ), architecte, m. de
l’assoc. fr. avanc. des sc.
MENUT, À., (A&ÿ), contr. des douanes,
en retraite.
MESCHINET DE RICHEMOND, L., (I &ÿ, %),
archiviste du département.
MESNIER, Marcellin, banquier.
MEYER, L.-E., (A &ÿ), courtier maritime.
MicHAU, pharmacien.
MicLoT, (A &ÿ), professeur au Lycée.
MopELski, (%), ing. en chef des ponts
et chaussées.
Moreau, A., (0 &), général, gouverneur
de Grenoble.
MoTELAY, L., bot., avanc. des sc., cours
de Gourgues, 5, Bordeaux.
NADREAU, médecin-vétérinaire.
OpiN, Amédée, pharmacien, aux Sables-
d'Olonne.
D’OrBIGNY, Alcide, (A &ÿ, 5%), arm. m. de
l’assoc. fran. avanc. sc., Maire de la
Rocheile.
PÉRIER, Aug., courtier, m. de l’ass. fr.
av. des sc.
PIETTRE , prof. de sciences au Lycée.
PiLLOT, M. nés, .m: de l'asso Area
des sc., à Montmorillon.
PommEraY, L., sous-Préfet, à Jonzac.
REDEUILH, N., (&) dir. des contr. direct.,
retraité, à Paris.
REIGNIER, docteur, à la Rochelle et
Surgères.
RoOUILLÉ, père, rentier à Tours.
RouiLLé, Louis, prop., chalet Bois-
marjac, Fouras.
RouUvIER, P. (&) cons. gén.,à Surgères.
Rouy, G. (&), membre de la soc. bot.
de France, Asnières.
RUBINO, A., rentier.
TErMoNIA, (O %), docteur méd.-major
re cI. retr., place Champ de foire, 9, à
Saintes.
THURNINGER, Alb., (%), ingén. chef
ponts et ch., m. de l’ass. fr. avanc.
sciences.
VIENNOT, Ing. des ponts et chaussées.
VIVIER, Alfred, ([ &ÿ), juge hon., m. ass.
fr. av. sc., boul. Haussmann, 92, Paris.
— 149 —
Membres
PERNARD, O., inst. Bois (ile de Ré).
BoLLON, v. p. de la com. adm. des hos-
pices, à Rochefort.
BoucHERIE, Michel, à Chez-Merlet, com.
de Bresdon, canton de Matha.
BoüRoN, nat. prép. Rochefort.
Bourru, (O0 &), Dr méd., en chef, prof.,
Rochefort.
BouscassE, (X), ing. civil, à Puilboreau.
Bouyer , docteur-médecin , Cheray
(Oleron).
Buissow, prép. hist. nat. Châtel-Aillon.
BüurorT, P., Dr méd., prof. à l’école dé
médecine, à Rochefort.
CAILLAUD, naturaliste, à Ghâtel-Aillon.
ComBEs, Dr, maire, Pons, cons. gén.,
sénateur.
CouILLiaUx, creffier de la just. de paix,
Tonnay-Charente.
DELABARRE, rec.-bural. des douanes,
Saujon.
Agrégés.
DE SAINT-MATHURIN, St-Jean d’Angély.
ESPAILLAG , conducteur des ponts et
chaussées, St-Denis (Oleron).
LAMOUREUX, méd. vétér. à Saintes.
Mans, Ad., ($), cap. retr. Saujon.
MuRE, Edm., négociant, à Surgères.
NoRMAND-D’AUTHON , P., la Martière
(Oleron).
Picxez, docteur-médecin.
PiNEAU, Emm., Dr-m., Château-d’Oleron.
RicauD, Ch. docteur-médecin, Pons.
RomïIEUx, O, (&), capitaine de frégate,
Rochefort.
SIMON, receveur de l’enr. à Rochefort.
TESSERON, instituteur en retraite, à Cra-
zannes.
THIBAUDEAU, lieutenant des douanes, à
la Pallice.
VIiviER, Alph., avocat, à Rochefort.
XAMBEU, ( [ &ÿ, »H4), directeur du labo-
ratoire de chimie de Saintes.
Membres Correspondants.
ALLENET, lieutenant de vaisseau.
ALLENET, chef de bataillon.
ARNOUX, Sosthène, professeur, Orléans.
BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens,
lauréat de l’Institut), à Paris.
BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de
l’assoc. fr. av. des sc.
BAYLE, ($), ing. en chef des mines, en
retraite, à Paris.
BÉDaRT, doct. méd., Bordeaux.
BÉNÉDEN, Van, docteur, prof. à l’Uni-
versité, Louvain.
BERCHON, (%, %, À &), méd. prince. de
Are cl. de la mar., en retr., Pauillac.
BERGERET, past. à Baussais, Deux-Sèvres.
BERNARD, Aug., à Poitiers.
BERNARD, Georges, ($&), ph.-maj., m.
de l’as. fr. av. des sc., Paris.
BERNARD, Gabriel, contr. princ. des
contr. directes, au Hâvre.
BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon.
Borzor ((I £ÿ), prov. du Lycée, Mâcon.
BoxJEAN, Félix, à Lyon, économiste.
BoRDAGE, Edm.
BorEAU, géologue, Parthenay.
BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées.
BouLLanD, H., doct. en méd., à Limoges,
m. de l’assoc. fr. avanc. des sc.
BOUQUET DE LA GRYE, (O %), ing. hyd.
en chef, m. de l’assoc. fr. av. des sc.,
m. de l’Institut, Paris.
BoURGUIGNON, O., pasteur à la Mothe
Ste-Héraye.
BoveT, Alfred, prés. de la société d’ému-
lation, Montbéliard.
CAMPEAU, J. R. E., président de l’insti-
tut français-canadien à Ottawa.
Camus, pharm., boul. St-Marcel, Paris.
CASTAN, officier d’artillerie.
CHABERT, À., (%), médecin principal de
re classe, à Lille.
CHAMPENOIS, inspecteur des forêts.
CHAPLEAU, Li-souverneur de Québec.
CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.)
— 150 —
GHARTRON, recev. de l’enr. Luçon.
CHASTEIGNER, (Cte Alexis de), Bordeaux,
membre de l'association française
pour l’avancement des scienges.
CHAUVET, not. à Ruffec, m. de l’assoc.
fr. av. des sc.
CONTEJEAN, (3%), doct. ès-sc., prof., à
la Faculté, retr., à Montbelliard.
CoTTEAU, (K&, [ £Ÿ), juge hon., Auxerre,
m. de l’assoc. fr. avanc. des sc., anc.
prés. de la Soc. géol. de France.
CourçonNaIs, Ch., (I &ÿ), imsp. d’acad.
en ret., à Limoges.
CRAHAY DE FRANCHIMONT, (%#),
chef, Bordeaux.
DANGIBAUD, (0 #), sous-direct. au min.
de la marine, à Paris.
Dassy, Ferd., préparateur de physiologie
à la faculté de médecine, Paris.
DAUBRÉE, (C $, I &), insp. gén. des min.
membre de lInstitut, Paris, m. de
l’assoc. fr. av. des sc.
DELaAvauD, (O$ ,L&ÿ,%),Insp.,hon. ser.
santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris.
DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne,
Bordeaux.
DELHOMEL, rue de Verneuil, 40, à Paris.
DocTEUR, AÀ., négociant, Bordeaux.
D'Ouxous, à Saverdun (Ariège).
DrouErT, m. de la Soc. acad. Troyes.
DROUINEAU, G., (A £&ÿ), Dr, insp. génér.
de l’assistance publique, r. de Navarin,
15, à Paris. ,
DUFFORT, AE m., à Angoulême.
DUPRÉ, ( $, I. &}), inspecteur de l’Aca-
démie, Paris.
DüuvAL-LAGUIERCE (%), colonel du génie
Ecx, André, pharm. Nogent-sur-Marne.
ENSCHÉDÉ, A.-L., (O0 ©), arch. bibl. à
Haarlem.
FABRE, Hector, commissaire du Canada,
à Paris.
Fée, F., (&), méd. prince. de {re cl. dir.
du service de santé, 11e corps.
Fines, Dr., dir. de l’obser. météor, Per-
pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc.
FOURNIER, À., préposé aux collections
d'histoire nat. à Niort.
ing. en
GABORIT, pharmacien, Nantes.
GALLES, ancien conseiller de préfecture.
GAMIN, ‘instit., à Piedblanc, près Niort.
GARNAULT, (A £ÿ), prof. d’hydro. en
retraite, Brest. <
Gaupey, Albert, ($&), membre de l’Instit.,
prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc.
fr. avanc. des sc.
GAUTIER, L., doct. en médecine, Melle.
GIARD, pr. zool., m. de l’assoc. fr. avanc.
des sciences.
GIRAUDEAU, Ed., D'-m., ex-int. des hôpit.,
Paris.
Goop, Paul, médecin de la Marine.
Goop, Arthur, publiciste, Paris.
GOURRUT, docteur ès-sciences, Niort.
GUILLAUD, Dr., prof., fac. méd., Bordeaux,
m. de l’assoc. fr. av. des sciences.
GUILLON, (#%), dir. Gont. indir., en re-
traite, Angoulême.
GYoux, ‘doct. en médecine, Bordeaux.
HUGUES, Edm. (0 ©, I £ÿ), sous-Préfet
aux Andelys. |
HY, F., abbé, membre de la Soc. bot. de
France, Angers.
JAY, HON, JOHN, anc. ministre plénip., .
à New-York.
JouAN, (0 %, I &), cap. vaisseau, en
retraite, Cherbourg.
JOURDAIN, doct. ès-sc., Paris.
JOUSSET, docteur-médecin, Lille, rue de
l’Orphéon, 16.
JOUSSET DE BELLESME, dir. des établiss.
piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. se.
LABEYRIE, insp. prim. à Tulle.
LABOULBÈNE, (0 %, À &ÿ), pr. à la fac. de
méd. de Paris, m. de l’Acad. de méd.,
à Paris.
LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc.,
hist. et arch. de la Corrèze, Brives.
LATASTE, Fernand, secr. géné. de la soc.
scientifique du Chili, Santiago.
LEGouIs, prof. de zool,, éc. norm. Paris.
LEMOINE, doct. HUE école méd. Reims,
m. de l’ass. fr. av. des sc.
LETELLIER, prof. er
LIÉNARD, secrétaire perpétuel de la Se.
d’émulation de Verdun.
— 151 —
LorioL (de), géol. chalet des Bois, près
Genève et à Frontenex, Suisse, m.
de l’assoc. fr. av. des sciences.
LuBawski, (Cte Alex. de), (G GC ©), aca-
démicien à Viazma, province de Smo-
lenska, Russie.
LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn).
Ly-CHa0o-PÉE, (À £ÿ, >), mandarin et
lettré chinois, attaché à la mission
scient. en Europe.
MALINVAUD, Er., secr. général de la Soc.
bot. de France, à Paris, rue Linnée, 8.
MaAnTOvaNt, Paul, naturaliste, Rome.
MAanNTOvANI, G., naturaliste, Rome.
Marçais, Ed., secrétaire général de la
société française de botanique , rue
_Ninau, 19, Toulouse.
MARÉCHAL, ‘Gaston, répétiteur au col-
lège Rollin, à Paris.
MaurRAs, Em. Villegouge, par Castelnau
de Médoc, Gironde.
MazurE (%, I &), insp. d’acad., retraite.
Mira DE CABARIEU, H. (0 &, I €ÿ), ancien
préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne).
Mizxe-Epwarps, (%) Alph. m.de l’inst.,
prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc.
fr., avanc. des sc.
MouLLADE, Alb., pharmacien major de
re classe, à Alger.
MOULLADE, pharmacien au Puy.
PAPIER, fi , prés. de l’acad. d’ Hippone.
PERRIER. Edm., prof. au muséum, Paris,
m. de l’assoc. fr. avanc. des sc.
PorrTAL (de), Louis, à Montauban.
RAGoNa, Domenico, (CG. ), dir. obser-
vatoire, royal Modène.
RAMONET, ag. ad. de la Marine, Ruelle.
ROCHEBRUNE, À. (de) doct., aide-nat. au
muséum, à Paris.
ROUSSEAU, Philéas instit., à
de Bruffieric (Vendée).
RoOUXxEL, prof. de physique.
SARRAU, Em. (#), membre de l’institut,
à Paris.
S'ehelin, L. (O %, I éÿ.)
Nancy (Meurthe-et-Moselle.
SURINGAR, W. E. R. (O >%X&,) prof. uni-
versité, Leyden.
SILVA, le commandeur J. da, (0 %, I &D),
arch. du roi de Portugal, m. de l’Ins-
titut de France, Lisbonne.
TASLÉ, ($), ancien notaire, Vannes.
TiLLET, Paul, professeur d'histoire natu-
relle, à Villeneuve-sur-Saône.
TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste.
La Verrière
Préfet à
_VENDRIES, employé au ministère de l’ins-
truction publique, Paris.
Viaup-GRaAND-Marals, docteur-médecin,
Nantes.
ViLANOVA, J., prof. paléont. à l’univer-
sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des
sciences.
VINCENT, pharmac., à Angoulême.
W&æLFFLE,agent-voyer d'arrondissement
Civray.
RQ IER ON
LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE
AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC.
CONSEIL D’ADMINISTRATION :
MM. BELTREMIEUX, Ed., ($, I €ÿ), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président.
Lusson, F. (I £ÿ), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc.
des Sc. nat., Chimiste, Directeur-Conservateur ;
PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste-Adjt.
ConpaMY, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat.
MicHau, pharm. de 1re classe, m. de la Soc. des Sc. nat.
GREEN DE SAINT-MARSAULT (Cte Edm.), Président de la Soc. d’Agricul.
LAURENT, Ch., vice-président de la Soc. de Méd.
COMITÉ DE BOTANIQUE
SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES.
—eNAOS—
MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, [ &ÿ), v.-prés. du conseil de préfec., Président.
Lusson, F. (I &ÿ), prof. de sciences au Lycée, Secrétaire-Trésorier.
CREUZÉ, Am. (%,) dir. des contr. dir. en retraite.
Foucaup, J. (A £ÿ,) chef botaniste du jardin de la marine, à Rochefort.
JOUSSET, pharmacien, à Rochefort.
MicHAU, pharmacien.
TERMONIA, (0 #), doct. méd. major, 1re classe en retr., Saintes.
ACADÉMIES ET SOCIÉTÉS CORRESPONDANTES.
>O<<
FRANCE.
LL TIRER Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes.
(Envoi de 5 volumes d’annales.)
LATE RE Tee Académie des sc., agric., arts et b.-lettres, Bouches-du-Rhône.
LE TERRE SES Société scientifique et littéraire.
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MONgers 0.0... Société d’études scientifiques.
PRE MR Re. Société nationale d'agriculture, sciences et arts.
LE Se RME ARENA Société industrielle et agricole d'Angers et du Maine-et-Loire,
MO Les de de à . société d’horticulture du Maine-et-Loire.
TDR SAR ARRERE Société d'histoire naturelle.
uXxerTe:............ Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne.
Bayonne. :....... Société des sciences et arts.
LÉENITE OISE Société d'histoire, d'archéologie et de littérature.
BcMort........:. ... Société Belfortaine d’émulation.
MÉRIEES eu oc ue Société Scientifique, archéologique et littéraire.
LÉ ÉTTENNRSERERRRRES Académie d'Hippône.
Bordeaux. ..... ..... Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts.
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A nn mu ce Société des sciences physiques et naturelles.
LT DER EMESS .... Société d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest.
M D Spice Société archéologique.
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Châlons-sur-Marne. Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne.
Phambéry ::::...... Académie des sciences, lettres et arts de Savoie.
Cherbourg........ . Société des sciences naturelles.
0 5 Société de Borda.
Draguignan......... Société d’études scientifiques et archéologiques.
Brenobie..: 1. Académie delphinale.
AMP... 1. Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse.
BOHAvre ...::.:.:.. Société nationale hâvraise d’études diverses.
L(5 | SÉFARNE PNR .. Société des sciences et arts, agricoles et horticoles.
Fangres..-...: RCE Société historique et archéologique.
| LE AUS ANRERSERRERRES Société d'agriculture, sciences, arts et commerce.
LOL RER PORERRE Société agricole et scientifique de la Haute-Loire.
LOC TRES Société géologique du Nord.
— 154 —
FIMOMES: Le: : Société Gay-Lussac.
AO ARMES STE Société de botanique du Limousin.
vont ua Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles.
yon UN rs Société littéraire, historique et archéolozique.
Be Mans.:7.:4".11 Société historique et archéologique du Maine.
Marseille. Société scientifique flammarion.
Montauban ::..:.°.. Académie des sc., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne.
Montbéliard........ Société d’émulation.
Montpellier......... Académie des sciences et lettres.
Nantes: 2.7: Société académique.
LPS MISERERE RUN Société des sciences naturelles de l'Ouest et muséum.
NICE ee UN er ere Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes.
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De LR Société d’études des sciences naturelles.
NiOrE.- CRE une Société de statistiques, sciences, lettres et arts.
LE MAO ee ARR RER re Société de botanique des Deux-Sèvres.
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OR En ar ae Société zoologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. |
CES PRE es PRES Société botanique’de France , rue Grenelle-Saint-Germain, 844
I D tre Société académ. indo-chin. de France, rue du 4-septembre, n° 9]
DRE ARS LUS Société de la Revue des sc. nat., de l'Ouest, boul. St-Germain, 144
A Re PRE Société des sciences, lettres et arts.
PECDIgnan | Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales.
RAS Nr ET On CT Société d’agr., industrie, sciences, arts et lettres de l’Ardèche.f
EeimSs."...2. 0 Académie nationale.
RES ER Société d'étude des sciences naturelles.
Rochechouart ...... Société des amis des sciences et arts.
RochelGrl:-i2 "10: Société de géographie.
ROUeR EI un Société des amis des sciences.
SENS CEA CRUE ... Société archéologique.
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Le ARRET I ES ... Société française de botanique, rue Ninau.
HTOYES Nr tre Société acad. d’agric. des sc., arts et belles-lettres de l'Aube:
Memnes: ie ann . Société polymathique du Morbihan.
Mesdüun 7 rs. Société philomatique.
Versailles. .......... Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise.
LIT RESORT ER AN . Société des sc. morales, des lettres et des arts de $. -et-Oise.
Valenciennes..... .. Société d'agriculture, sciences et arts.
— 155 —
BIO RONA Société d'agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône.
itry-le-Français... Société des sciences et arts.
ns ALSACE-LORRAINE.
2 LIT ET ENOMRRNERERRRRES Société d'histoire naturelle.
ETAPE Société d'histoire naturelle de la Moselle.
M FASDOUrTG.......... Société d’horticulture de la Basse-Alsace.
1 Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace.
| ALLEMAGNE.
Meme... 2. . Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine.
Brunswick.......... Société d'histoire naturelle.
BAibourg............ Société des sciences naturelles, Naturforschende Gesellschaft.
MÆSSentt. ro. Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse sup. Oberhessis-
chen Gesellschaft fur natur-und Heïlkunde.
IKœnisberg.......... Société physico-économique , Komiglichen physikalich- -0kono-+
mischen Gesellschaft.
alle-sur-Saale..... Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.)
Pndshut.:. ....... Société botanique. (Bavière).
ANGLETERRE.
RULES D... British museum (natural history), Cromwell road.
anchester....... . Sociétélittéraire et philosoph., litterary and philosophical sociéty.
AUTRICHE.
L SN ENS . Musée d’histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur-
historischen hofmuseums.
BELGIQUE.
Peuxelles ........... Société royale malacologique de Belgique.
LE REPARER Société royale de botanique de Belgique.
CANADA.
Enmbreal:.2..1:..0 Société d'histoire naturelle.
Ro Société historique de Montréal.
ME A... . 2.0 . Institut Canadien-français.
MACDeEC.............. Université Laval.
Meronte :...4.4.:. 0-4... Canadian institute.
ÉRAMTAx 22e, Nova scotian institute of sciences.
CHILI.
ÉÉRtAgO............ Société scientifique du Chili.
| ETATS-UNIS.
Davenport.......... Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences.
New-Haven......... Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts
and sciences.
hiladelphie ........ Société philosophique américaine, américan philosophical sociéty.
— 156 —
OPERA Anna eee Société historique de l’état du Kansas ; State historical of the
Kansas.
AA Mo reines Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the”
Kansas. |
St-Louis, M O...... Missouri bo:anical Garden. *
Washington. ...... Société géolosique des Etats-Unis ; Smithsonian institution.
id. DC. -..Lonpieie des révents de l'institution ‘Smithsonienne : united, states)
géological Survey.
id. DrCG:r-.: Bureau “d’éthnoiogie : bureau of ethnology.
LUXEMBOURG.
Luxembourg........ Société de botanique du grand duché.
Ce RSS ER ES enr Société des naturalistes luxembourgeois.
MEXIQUE.
TACUHAVA 94,2 Observatoire astronomique national ; observatorio astronomicos
NORWÈGE.
Christiania ... ....: Université royale de Norwège.
PÉROU.
5 D É E R ES RE EE Société de géographie ; Sociedad Geographica.
PORTUGAL.
POrLD 2e ... -. Société de géographie commerciale ; sociedade de geographia
commercial.
RUSSIE.
Helsingiors .- ....... Société zool. et bot. Finlande ; pro fauna et pro flora Fennica
RUB te AU. Société des naturalistes à l’université impériale de Saint-Wladimir ÿ!
Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley.
MOSCOU ee. Société impériale des naturalistes. |
SUÉDE.
Stockholm .......... Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités
Kongel. Vitterhets historie och antiquitets akademien.
SUISSE.
Benne Ai ts ie. Société des sciences naturelles.
Eu dns Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft.
ÉHenÊve. ue Société de physique et d'histoire naturelle.
HAUSANNnE, 7.2 .2.0. Société vaudoise des sciences naturelles.
Heuchatel.:":. ut Société des sciences naturelles.
FABLE.
Compte-rendu de la Société des Sciences naturelles, par
MP AUS P DOLLORIR RARE CR EEE Ne :
Laboratoire municipal ; rapport par M. LUSSON....... :
Excursion botanique à Angoulins ; rapport par M. J.
DOC EU CRE PANNE RCA DE Sn NES AE ES A
Exoursion géologique à Angoulins ; rapport par M. DoLLor.
Excursion géologique à Ardillières ; rapport par
DE DO LRO ee Utd ue
Excursion botanique entre Soubise et Marennes ; rapport
DA MERE FODCAUD 2267 D Rte de iane Pelle ee IE DE UE
Excursion botanique entre Soubise et Saint-Jean d’Angle ;
rapport par M. TERMONIA...... RO ne Joie ne
Excursions géologiques à Marennes et à Saint-Jean
Anse; rapportpar Me BDISSRÉLIER 20...
La photographie et la microphotographie; rapport par
NÉACRArleS BASSET. 0.0 ne .
Pages.
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37
41
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Agaricinées récoltées à Fouras, par M. Paul BRuNAUD...
Glanules mycologiques (2e série). — Herborisations dans
la Charente-Inférieure, par M. Paul BRUNAUD........
Glanules mycologiques (3e série). — Herborisations dans
la Charente-Inférieure, par M. Paul BRUNAUD........
Recherchés sur quelques Œnanthe ; rapport par M. J.
HOUCAUT: : 2%. sata sta eee ln nd Se Re
Observations météorologiques. ...................... ”
Liste des membres et des Sociétés correspondantes...
© LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS
19, rue Hautefeuille, (près du boulevard St-Germain), à Paris.
La Terre avant l'apparition de l'Homme, périodes
géologiques, faunes et flores fossiles, géologie régionale
de la France, par F. PRIEM. 1 vol. gr. in-8 de 760 pages à
2 colonnes, illustré de 700 figures............... 42 tr.
La rédaction de ce nouveau volume de la série des Merveilles de
la nature de BREHM a été confiée à M. Fernand PRIEM, professeur au
lycée Henri IV, déjà connu du grand public par le beau livre qu'ila
publié l’année dernière, dans la même collection, sous le titre de La
Terre, les Mers et les Continents. Dans ce premier ouvrage, l’auteur
étudiait notre planète dans son état actuel, il passait en revue les
divers phénomènes dont la Terre est aujourd’hui le théâtre, il s’oc-
cupait des minéraux et des roches, en indiquait les. principales appli-
cations, et étudiait la distribution géographique des organismes
animaux et végétaux. Mais notre globe a subi de nombreux change-
ments dans le cours des périodes géologiques. L'étude de ces trans-
formations si intéressantes est l’objet du nouveau livre qu'il publie
aujourd’hui sous le titre de La Terre avant l'apparition de l'Homme.
Dans ce nouveau volume, M. Priem fait connaître la distribution des.
terres et des mers pendant les diverses périodes géologiques: il s’oc-
cupe particulièrement de l’étude des faunes et des flores d’autrefois,
en faisant ressortir les liens qui les rattachent aux faunes et aux flores
actuelles. Il a cherché à exposer d’une manière attrayante la géologie
de toutes les régions du globe. Dans une série de chapitres qui
complètent l’ouvrage et qui n’en forment pas la partie la moins inté-
ressante, l’auteur s’est attaché à l’étude détaillée de notre sol, traçant
ainsi une esquisse de la géologie régionale de la France, que l’on
trouverait difficilement ailleurs.
L'ouvrage est au courant des travaux les plus récents des géologues
et des paléontologistes. De très nombreuses figures l’accompagnent :
représentations de fossiles, coupes géologiques, vues pittoresques, etc.
En tout, ce volume est digne de prendre place dans la collection des
Merveilles de la Nature, de BREHM, si apprécié du grand public.
Le livre est écrit très clairement ; la lecture en sera facile aux per-
_ sonnes les moins familiarisées avec les études scientifiques. D'ailleurs
le volume, parfaitement illustré, est bien supérieur aux ouvrages de
vulgarisation déjà publiés en France.
On. peut recevoir une livraison spécimen de 32 pages contre.
l'envoi de trois timbres-poste de quinze centimes.
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