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Full text of "Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique"

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ANNALES 


© SOGÉTÉ AOYAE ZOOLOGQUE ET MALACOLOGMUE 


BELGIQUE 


ORGANISATION ADMINISTRATIVE POUR L'ANNÉE 1914 


Conseil d’administration. 


MM. A. BRacHET, président. 


MM. 


An. KEMNA, vice-président. 
DE SELYS-LONGCHAMPS, secrétaire général et trésorier. 
Huco DE CorT, membre. 


E. FoLoGxe, » 
F. VANDE VLOET, » 
V. WILLEM, » 


Commission de vérification des comptes. 


F. Dorpu. 
M. Puizippso. 
F. STEINMETZ. 


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UM PR ve LL LIRR 


BÜÉADEMY OF SCIENCES. 
ANNALES 
DE LA 


SOCIETÉE ROYALE 


© ANOLOGIOUE ET MALACOLOGIOUE 


DE BELGIQUE 


TOME CINQUANTIÈME (L) 


ANNÉES 1914-1919 


BRUXELLES 
Société anonyme M. WEISSENBRUCH, imprimeur du Roi 
(Société typographique : Liége, Bouillon, Paris, 1755-1793) 
S 49, rue du Poinçon., 


1919 


Les opinions émises dans les Annales de la Société sont propres à leurs 


auteurs. La Société n’en assume aucunement la responsabilité. 


21. yg0$. afante 


SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE 


————"“ oo, 


I 


. Assemblée mensuelle du 12 janvier 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. À. BRACHET, PRÉSIDENT, 


La séance est ouverte à 16 h. 40 m. 


Correspondance. 


— Le Secrétaire donne lecture de deux lettres de notre collègue 

M. Cossmann, qui n'est pas d'accord avec le Conseil au sujet de 

- l'interprétation à donner à la convention par laquelle était réglée la 

publication du 5*° Appendice au Catalogue des Coquilles fossiles... 

(paru dans le tome XLIX des Annales). Après discussion, l'assemblée 

approuve unanimement l'attitude prise par le Conseil dans cette 
affaire. 


Protection de la Nature en Belgique. 


— M. Lameëre, appuyé par M. Massarr, demande que la société 
intervienne contre un projet de barrage qui mettrait sous l’eau le 
fond du Hockai, à la frontière allemande, faisant ainsi disparaître un 
territoire dont la flore et la faune sont absolument exceptionnelles et 
du plus haut intérêt. Il est unanimement décidé que des lettres de 
protestation seront adressées aux Ministres compétents. 


Communication. 


— M. Massarr parle de la protection internationale de la Nature, 
sujet sur lequel il dépose une note destinée au volume jubilaire. 


6 SOCIÉTÉ ROYALE Z00LOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 
Volume jubilaire (Tome 48 de la collection). 


— Une dizaine de contributions pour ce volume étant déjà 
réunies, il est décidé de les mettre à l’impression, sans attendre 
davantage, les contributions qui nous parviendraient à temps pouvant 
encore être accueillies, pour autant que le budget affecté au volume 
le permette. 


— La séance est levée à 18 h. 35 m. 


IT 


Assemblée mensuelle du 9 février 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. An. KEMNA, VicE-PRÉSIDENT. 


—— La séance est ouverte à 16 h. 20 m. 


— M. Bracuer, Président, empêché d'assister à la réunion, se fait 
excuser. 


Décisions du Conseil. 
— Le Conseil décide de conserver la même organisation que 


pendant l'exercice écoulé. 


MM. ne SeLys et Van STRAELEN se partageront les fonctions de 
“bibliothécaires. 


_— Le Conseil enregistre à regret la démission de M. le D°: 
J. Desneux, que ses occupations professionnelles tiennent depuis 
nombre d'années éloigné de nos séances, et de M. le professeur 
V. Gizson, d’Ostende, qui ne s'occupe plus spécialement de recher- 
ches zoologiques. | 


Correspondance. 


— M. ps Corr écrit pour motiver son absence. 


— M. le D° L. Srarrers fait connaître sa nouvelle adresse : 
31, Rue Vautier, Bruxelles. 


ANNALES, L (1914). 7 


Echange nouveau. 


— L’échange de nos publications avec les Proceedings and Trans- 
actions of the Liverpool Biological Society est décidé. À la demande 
de cette société, l'échange se fera rétroactivement à partir de 
Pannée 1898. 


Communication. 


— M. An. Kemna fait une communication, accompagnée de la 
présentation de nombreuses figures, sur les caractères orthostyle et 
flexostyle chez les Foraminifères. Cette communication est publiée 
dans le volume jubilaire (tome XLVIII des Annales). 


Discussion : M. LAMEERE. 


FR La séance est levée à 18 h. 


ITI 


Assemblée mensuelle du 9 mars 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. A. BRACHET, PRÉSIDENT. 
— La séance est ouverte à 16 h. 20 m. 


Correspondance. 


— M. M. Lericne s'excuse d’être empêché de faire la communica 
tion annoncée sur des OEufs de Chimères fossiles. 

— M. V. Gizson, d’Ostende, dont nous avons eu récemment à 
enregistrer la démission, écrit pour nous informer de ce qu'il reste à 
l’entière disposition de la Société pour tous renseignements qu'il 
pourrait lui fournir. (Remerciments.) 

— Le « Naturwissenschaftlicher Verein in Karlsuhe » nous 
invite aux fêtes de son Cinquantenaire. (Remerciments et félicitations.) 

— La « Ligue pour la défense de la Fagne » nous adresse une 
circulaire en faveur de la création d’un Parc National sur les Hautes- 


e 
8 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Fagnes. La circulaire donne le plan du territoire à préserver, qui 
s'étend sur 675 hectares. 


Communication. 


— M. A. Lameere parle des Rapports qui existent entre la phylo- 
génie des espèces et leur répartition géographique, permettant de 
déterminer le point de départ d’un groupe et la voie qu'il a suivie 
dans son émigration. ; 


— La séance est levée à 17 h. 40 m. 


IV 


Assemblée mensuelle du 20 avril 1914. 


Présinence DE M. A. BRACHET, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 15 m. 


Correspondance 


— Notre collègue, le comte ne LimBurc-SrTiRuM, nous écrit pour 
demander la souscription de la société au monument Il. FABRE. 
(Tenu en délibéré.) 

— La rédaction de la revue «Broteria », avec laquelle nous avons 
anciennement échangé nos Annales, nous demande de reprendre cet: 
échange L’examen des derniers numéros parus de cette revue mon- 
trant qu’elle ne publie guère que des articles d’entomologie spéciale, 
il est décidé de ne pas reprendre l’échange, d'autant plus que la 
Société entomologique reçoit « Broteria». 


Volume jubilaire. 


Il est décidé de recevoir dans le volume jubilaire un mémoire de 
notre collègue M. R. E. Bervozrs sur le vo! des Insectes, mémoire 
comprenant de nombreuses figures dans le texte et hors texte. 


ANNALES, L (1914). 9 
Communication 


. — M. An. Keuwa parle de l’Embryologie des Spongiaires. 


Discussion : MM. BRACHET et LAMEERE. 


— La séance est levée à 17 h. 45 m. 


; V 
Assemblée mensuelle du 11 mai 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. À. BRACHET, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 15 m. 


Correspondance. 


_— Notre collègue, M. P. Scaerpuin nous adresse un fascicule des 

Mit. der Philom. Gesellsch. in Elsass-Lôthringen, attirant l’atten- 
tion sur plusieurs faits intéressants pour la faune de l’Alsace. 
(Remerciments.) 


— Notre ancien collègue, le D° F. Masay, dont nous étions depuis 
longtemps sans nouvelles, nous écrit de Constantinople pour s'excuser 
d’avoir ainsi négligé la société, dont il ne se considérait plus comme 
membre. | 


_ — Notre collègue, M. Pa. DAUTZENBERG, nous envoie une série de 
tirés à part, dans l’un desquels est encarté un fort beau portrait de 
l’auteur, Président d'honneur, pour l’année en cours, de la Société 
zoologique de France. (Remerciments et félicitations.) 


Décision du Conseil. 


— Sur la proposition de MM. Kemwxa et Sreinmerz, il a été décidé de 
demander au Pouvoir législatif la personnification civile de notre 
société. M. Srenmerz est chargé de prendre les informations néces- 
saires et fera, au nom de la société, les démarches préliminaires, 


10 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Communication. 


— M. A. Bracuer fait une communication sur la Céphalogenèse 
et la Cormogenèse chex les Reptiles, et présente les planches d’un 
travail in extenso qu'il publiera prochainement sur cette question 
dans les Archives de Biologie. 


Discussion. 


— M. Lameere présente quelques observations, notamment au 
sujet du terme de cormogenèse, que M. BracseT emploie pour 
désigner la formation du tronc de l'embryon. 


— La séance est levée à 18 h. 


VI 


Assemblée mensuelle du 8 juin 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. A. BRACHET, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 20 m. - 


Correspondance. 


— Notre collègue, le ProFEsseur D'J. GonzaLÈs Hipazco, écrit pour 
donner sa nouvelle adresse : Calle del Carmen, 6, 4° irq., Madrid. 


Communications. 


— M. Francis J. Bauz rend compte de ses observations sur le 
dimorphisme saisonnier chez les Papillons rhopalocères, se manifes- 
tant par la forme des écailles chez les individus mâles. Il fait espérer 
le prochain dépôt d’une note sur ce sujet. 

— M. An. Kemna donne lecture d’un article de critique qu'il a 
rédigé sur les règles de la nomenclature x0ologique, faisant le PTE 
de l'application trop stricte du principe de priorité. 


— La séance est levée à 17 h. 50 m. 


ANNALES, L (1914). 11 


VII 


Assemblée mensuelle du 10 juillet 1914. 


PRÉSIDENCE DE M. BRACHET, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 15 m. 


Correspondance. 


— M. ne SELys, secrétaire-général, se trouvant à l'étranger, fait 
excuser son absence. 


Communication. 


— M. An. Kemna fait un compte-rendu du mémoire de notre 
collègue M. G. Gison sur le Musée d'Histoire Naturelle moderne, 
sa mission, son organisation et ses droits. L’impression de la note de 
M. Kemna dans le Tome L des Annales est décidée (voir plus loin). 


— La séance est levée à 147 h. 20 m. 


12 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Compte rendu bibliographique sur Gison : Le Musée d'Histoire naturelle 
moderne, sa mission, son organisation et ses droits. (Mémoires du Musée 
royal d'histoire naturelle de Belgique, 1914; grand in-4°, 256 pages.) 


Par Ar. KEMMA 


Le Musée de Bruxelles a été autrefois critiqué dans les journaux 
et dans le Parlement; M. Gilson, le directeur de l'établissement, 
estime que ces critiques n'étaient pas fondées, leurs auteurs n'étant 
pas bien au courant et n'ayant pas une conception adéquate de ce 
que doit être un musée; et à propos d’une étude générale sur les 
Musées, il prend la peine de le leur expliquer dans un volume 
grand in-4° de 256 pages. 

M. Gilson a quelque peu ressenti ces attaques, ce qui est assez 
naturel. Ce n’est pas qu’il supporte mal la critique; au contraire, il la 
sollicite, à plusieurs reprises il émet l'espoir qu'on voudra bien dis- 
cuter ses vues et que ies opinions divergentes se manifesteront en 
toute sincérité. Il pose comme condition préalable qu’on prenne 
la peine de se mettre au courant, de se documenter, de manière à 
savoir de quoi on parle. C’est beaucoup demander au Journaliste et 
au politicien. 

Notre auteur n’est pas tendre pour ceux « qui critiquent de loin»; 
il fait leur psychologie, procédé cruel qui transforme le redresseur 
de torts en lapin physiologique, fouillé par le scalpel; et il le fait 
avec une verve, un brio, que le plus allant des journalistes pourrait 
lui envier. Il emprunte à Herbert Spencer les silhouettes du politi- 
cien de cabaret au village, du bourgeois père-noble vaticinant sur 
tous sujets avec une suffisance inversément proportionnelle à sa com- 
pétence. « Le critique dangereux et malfaisant n’est pas celui qui 
sait, c’est celui qui ne sait pas; car si ce dernier manque de bon 
sens, il peut avoir de la verve, et il n’y a pas de sot plus incommode 
que celui qui a de l'esprit, » Est-ce que cela n’est pas envoyé de main 
de maître? Et les passages de ce genre sont nombreux. 

Je me rappelle un dessin du Magasin pittoresque de mon jeune 
temps : l'idéal de la beauté féminine d’après les poètes, un col de 


ANNALES, L (1914). : 13 


cygne, des cheveux d’ébène, des yeux de velours, les dents des 
perles ; le résultat graphique était une horreur. M. Gilson déclare 
que si on dressait un plan d’après tout ce qui a été dit et écrit au 
sujet du Musée depuis cinquante ans, «on aurait, non pas une hydre, 
. un monstre polycéphale, mais un chaos fantastique et incohérent 
comme un tableau de Breughel » et il appuye par la reproduction 
d’un tableau. Je veux bien l’en croire, même sans cette reproduction. 
La critique inconsidérée est aussi « comme un de ces miroirs bos- 
selés offrant à qui s’y contemple, des traits faussés et distordus. » L’au- 
teur semble ignorer qu’il y a un terme technique; apprenons lui donc 
qu’en langage d’exhibition foraine cela se nomme une « rigolade ». 
Sa verve caustique ne ménage pas davantage d’autres catégories 
_ de gêneurs. L'administration fonctionnariste et paperassière est 
- dûment entreprise; sa lenteur surtout a le don d’agacer. Les archi- 
tectes à cariatides faisant des plans artistiques sans se soucier de la 
destination du bâtiment reçoivent un diplôme qu’ils ne feront pas 
encadrer. L'administration du Congo obtient le remboursement d’une 
vieille dette, avec les intérêts ; d’abord, elle est charitablement préve- 
nue « que le casque colonial ne fait pas l'explorateur », que des 
entreprises mal préparées peuvent perdre leur capital, et puis il lui 
est rappelé une histoire. M. Gilson, animé d’un beau zèle, avait 
offert ses conseils pour organiser l'exploration scientifique et il reçut 
comme réponse cette demande : Pensez-vous que l’État a besoin de 
savoir les noms de tous les coléoptères d'Afrique? Eh bien, je trouve, 
moi, que cest très beau; voilà un fonctionnaire, peut-être même un 
militaire, qui connaît et employe le terme coléoptère. M. Gilson 
- poursuit : « Quelques années après, un Anglais, un naturaliste, 
découvrait l'Okapi en plein territoire de l’État indépendant ; c'était 
un coléoptère de belle dimension. » Parfois il fait d’une pierre deux 
coups; parlant des théories, il fulmine contre « ces hypothèses en 
cascade et ces énervantes discussions qui rappellent le souvenir des 
plus mauvaises époques de la philosophie, dont les élucubrations 
demeurent l’opprobre de l'esprit humain. » 
M. Gilson est comme les grands capitaines, sa défense est une 
offensive énergique. Il a aussi leur calme. Certes les attaques ne le 
laissent pas indifférent, mais il garde toute sa présence d'esprit, il ne 


14 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


commet pas la maladresse de se fâcher et ce calme relatif constitue 
une partie de sa force. Cette possession de soi-même lui permet de 
manier l'arme acérée de l’ironie et de trouver des habiletés d’un 
machiavélisme achevé. Connaissez-vous le moyen d'obtenir des agran- 
dissements de local, toujours refusés? « On encombrera les salles 
publiques et on les fermera; puis on construira des baraquements. 
hideux mais pratiques, à la grande colère de l'Art et de l’Esthétique. 
Tant mieux! L'Art et l’Esthétique ont du souffle, ils savent crier et le 
Public les écoute. Le Public, l'Art et l'Esthétique s’en mélant, on 
finira par donner à la Science, encombrante, les locaux et les moyens 
qu’à elle seule elle réclamerait peut-être en vain. » Que dites-vous 
de ce programme? Et ce n’est pas une vaine forfanterie; l'homme est 
sérieux et capable de faire comme il le dit. Il oublie cependant un 
point : ces baraquements seront provisoires, comme tels, ils pour- 
raient durer longtemps. 

Le ton change quand il est question de la science, de sa mission, 
de son influence civilisatrice, de la revendication de ses droits. 
On sent une conviction profonde, à la foissraisonnée et enthousiaste. 
Une conception très élevée du rôle du savant le rend sévère pour les 
petites imperfections des institutions et pour les petites faiblesses des 
hommes; les académies, les sociétés, les congrès surtout, s'entendent 


dire quelques vérités ; chez l'individu, la recherche de la notoriété 


frisant quelque peu le cabotinage, est énergiquement stigmatisée. 
Pour ces travers, l’auteur n’use pas de cette philosophie un peu nar- 
quoise et souriante, mise à la mode par quelques littérateurs; il ne 
va pas jusqu’à s’indigner, mais il juge sans compromissions. 

Une bonne partie du mémoire est consacrée à l’histoire du musée 
de Bruxelles. On sait dans quel état l'Espagne a laissé notre pays; il 
y a dans l’histoire peu d'exemples d’une pareille décadence ; le con- 
traste était d'autant plus marqué avec les Provinces-Unies bataves, 
soustraites à un joug déprimant; dans cette nécropole, seuls les arts 
trouvaient à fleurir. L'auteur n'avait pas à connaître de cette période 
d’abaissement ; son histoire commence en 1769, quand Marie-Thérèse 
fonda la Société littéraire de Bruxelles, transformée trois ans plus 
tard en académie, « pour faire revivre les sciences et les lettres dans 


les provinces des Pays-Bas ». L’Académie reçut des instruments de. 


D 


ANNALES, L (1914). 15 


mathématique et de physique et des objets d'histoire naturelle, Et 
aussitôt commence pour ce cabinet nne série de pérégrinations à 
travers des locaux variés, et pour l'institution elle-même, l'orage de 
la révolution. En 1815, la ville de Bruxelles reçut les collections, 
cadeau plutôt encombrant, qu’elle repassa à l’État en 1842. Le premier 
directeur fut l’ornithologiste Du Bus, auquel succéda, en 1868, le 
géologue Dupont, remplacé depuis quelques années ii le zoologiste 
Gilson, le directeur actuel. £ 

_ La première période est caractérisée par une extension de la collec- 
tion des oiseaux « que les idées modernes en fait de programme taxe. 
raient d'exagérée ». Nous sommes disposés à souscrire à celte appré- 
ciation : le spéciaiiste a un peu trop influencé le directeur. Mais n’en 
a-t-il pas été de même dans la période suivante? La géologie a 
absorbé toutes les forces vives de l'institution; la zoologie se bornait 
à la paléontologie ; pour ce qui n’était pas fossile, la représentation 
était franchement misérable. I] est vrai que le mal n’a pas été sans 
compensation ; nous avons, comme fossiles, la quantité et la qualité. 
Déjà, én 1860, Du Bus avait pris les mesures pour l'exploitation 
scientifique des travaux militaires autour d'Anvers et ce gaspillage 
effréné d'argent pour les fortifications a du moins fourni une abon- 
dance de cétacés fossiles. C’est presque un lieu commun de mentionner 
ce troupeau d’Iguanodons, levant leurs têtes altières au dessus du 
_menu frétin des Hainosaures et des Mammouths; on devient lyrique 
quand on parle des iguanodons du Musée de Bruxelles. Nous devons 
incontestablement à la deuxième direction un accroissement considé- 
rable des collections et le nouveau local, résultats d'autant plus méri- 
toires qu'il a fallu une ténacité exceptionnelle pour avoir raison de 
toutes les difficultés administratives et financières. 

Dans le sein d’une société de zoologie, on peut émettre le vœu que 

la direction actuelle applique quelque peu le même principe ; comme 
Je dit la vieille chanson, « il faut que chacun ait son tour »; ce ne 
_ serait que justice si le troisième directeur écoutait le zoologiste qui 
existe en lui, bien vivant et actif, il y'aurait une certaine compen- 
sation pour l’ostracisme antérieur et les proportions seraient rétablies. 
Il est du reste impossible de persévérer dans la voie de la négligence 
complète de nombreux groupes animaux. 


16 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


L'historique de la deuxième période présentait des difficultés spé- 
ciales et des points délicats. On a qualifié les artistes et les littéra- 
teurs de gent irritable ; on parle aussi des rivalités de médecins et 
actuellement à Paris les deux vaccinateurs contre la fièvre typhoïde, 
les docteurs Chantemesse et Vincent sont,en train de polémiquer. Les 
savants qui pratiquent les autres sciences ne sont pas non plus 
exempts du travers d’hyperesthésie ; et les géologues semblent tout 
spécialement féceptifs au microbe de la querellite aiguë. Le Musée 


3 


conçut l’idée d’une nouvelle carte géologique de la Belgique; ce fut 


le signal d’une levée de boucliers et le commencement d'une guerre 


de Trente ans. M. Dupont a toujours été au plus fort de ces luttes 


passionnées, où l'élément personnel a souvent été dominant. Il est 
certain que dans la première organisation, le Musée avait un mono- 
pole ; les géologues officiels avaient la part du lion et les géologues 
libres une situation subalterne. Mais quand le parlement eut sup- 
primé cetle première organisation pour la remplacer par un Comité 
de la carte et un service géologique distrait du Musée, on a objecté le 
manque d'unité, qui fait la valeur d’un travail de ce genre. Tout cela 
s’est fait avec des discussions acrimonieuses, des groupements en coali- 
tions et constellations de composition variable et changeante. Nul 
n’éprouve le besoin d’exhumer le souvenir de ces temps troublés, où 
les raisons et les torts étaient probablement partagés. M. Gilson ne 
pouvait les passer sous silence; il ne veut pas s’ériger en juge, mais il 
insiste sur la nécessité d’une centralisation de pareils travaux; il a son 
idée bien arrêtée et elle mérite considération; elle est favorable à 
Dupont, mais il s'exprime avec tact et mesure. « La science n'aurait 
rien à gagner à une réouverture de débats irritants. Un pli déposé en 
lieu sûr contient tous les documents concernant cette affaire. Ils 
permettront à ceux qui, dans cinquante ans d'ici, ouvriront ce pli, de 
juger avec ce recul, sûne ira nec favore, les mobiles et les procédés 
de l'attaque et de la défense. » Hélas, où serons-nous dans cinquante 
ans, et quel intérêt rétrospectif pourra prendre à cette querelle, la 
troisième génération, qui n’a pas connu les acteurs? 

Les établissements scientifiques ne sont pas toujours le temple du 
travail calme et serein. On a dit de l'Observatoire de Paris, sous la 
direction de Leverrier, que c'était l'enfer des astronomes; l'Obser- 


ANNALES, L (1914). 17 


vatoire de Bruxelles a eu aussi ses difficultés, et la liste pourrait être 
allongée. Cela est surtout regrettable comme amenant l'ingérence du 
fonctionnaire ; quand les savants se prennent aux cheveux (littérale- 
_ment!), il faut bien que les bureaux du ministère assument tout au 
moins le rôle de gardien de la paix. Le Musée de Bruxelles a eu plus 
que sa part; la carte géologique y a aussi introduit la discorde; en 
outre, des membres du personnel prétendaient travailler à leur guise 
et chaque département aurait été le fief du conservateur; il y a eu 
des démissions avec fracas et brochures explicatives. 

L'essentiel, c'est que la paix est revenue La carte géologique est 
terminée: les deux sociétés de géologie, non seulement rivales mais 
ennemies, se sont réconciliées et excursionnent ensemble; au Musée 
M. Gilson se félicite de l'accord, de l’unité de vues, du bon vouloir 
de ses collaborateurs. Ce n’est pas qu’il ait abdiqué son autorité ; au 
contraire, il insiste sur la nécessité d’une volonté unique, armée par 
le règlement pour briser les résistances et comprimer les velléités 
d'opposition; mais il n’en a pas eu besoin. C’est une question de 
doigté, de savoir prendre les gens. La nouvelle direction semble pos- 
séder ce don précieux. 

Un musée est une réunion d'objets, une collection; la manie du 
collectionneur peut s'attaquer aux objets les plus singuliers; le feu 
roi d'Angleterre avait une collection de cannes; le roi actuel détient, 
paraît-il, une collection de timbres-poste; il y a des gens qui cherchent 
les têtes de pipe et les bandelettes de cigares. Les premières collec- 
tions d'histoire naturelle n'étaient pas d'une intellectualité beaucoup 
plus relevée; mais les « chambres de curiosités » de la Hollande ont 
contribué à faire naître la zoologie systématique ; elles ont été un 
élément important du progrès scientifique. Nos musées actuels en 
sont la continuation, avec plus de méthode, élimination des choses 
hétéroclites, arrangement plus naturel et sur de plus grandes dimen- 
sions. L'avantage sur les collections particulières consiste en la per- 
manence d’une institution officielle et son utilisation par tout le 
monde, par l'accès public des galeries. [ls sont devenus un instrument 
de recherches et il suffit de rappeler les grands noms du Jardin du 
Roi, à Paris, le British Museum, à Londres, pour apprécier ce qu'ils 
ont fait pour les progrès de la science ; ils ont enseigné aux savants. 


Ann, Soc, Zool, et Malac, Belg., t. L,. 2 


+ 


18 SOCIÉTÉ ROYALE ZO0LOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Ils ont aussi enseigné au grand public; le titre de Daubenton était 
« garde et démonstrateur » ; l'influence éducative générale est l'argu- 
ment le plus souvent produit et le plus efficace pour obtenir des pou- 
voirs publics les moyens nécessaires, 

La conception du musée moderne, d’après M. Gilson, est notable- 
ment différente. Ce serait avant tout un établissement de science supé- 
rieure, contribuant au progrès des connaissances, non pas d’une 
manière indirecte en fournissant les matériaux d'étude, en aidant les 
savants, mais directement par une activité propre ; dans chaque pays, 
leur rôle serait celui de pionnier scientifique, donnant l’exemple, 
marchant à la tête, régularisant et coordonnant les efforts particu- 
liers, centralisant la vie scientifique du pays. Le musée doit à la 
science mondiale l'exploration du pays, exploration méthodique et 
complète, préméditée et comme œuvre d'initiative ; ce n’est pas sim- 
plement un local où sont déposés les objets amenés par le hasard des 
trouvailles; le musée doit chercher lui-même. Le titre de « conserva- 
teur » doit être changé en celui de « chef d'exploration ». Car seule 
la connaissance des êtres dans leur milieu, dans leur activité réelle, 
est la connaissance scientifique : l’éthologie doit être prépondérante. 
Mais ce programme dépasse les forces d’une institution, quelque vaste 
et puissante qu’on la suppose; le musée mondial est une impossibi- 
lité, une « utopie » ; le musée doit être régional. Le mérite de 
M. Dupont serait d'avoir un des premiers compris cette évolution 
nécessaire, fixé rigoureusement ces principes, et orienté dans cette 
voie l'institution qu'il dirigeait. 

Il est rationnel que le musée s'occupe tout spécialement des objets 
qu’il peut recueillir dans son entourage immédiat; par la force même 
des choses, par le seul fait qu’il est localisé quelque part, tout musée 
est régional, Mais il est évident que la limitation à une région déter- 
minée ne peut se faire qu’au détriment de la science; et l'application 
un peu sévère de ce principe à un petit pays comme le nôtre, serait 
une réduction à l'absurde. La zoologie de la Belgique est une simpli- 
fication un peu forte de la zoologie générale. Je connais un cas où ce 
principe a servi de prétexte, non seulement à ne rien faire, mais 
encore à détruire un musée existant, à disperser aux enchères des 
collections intéressantes: c'est une œuvre de vandales. J’admets la 


ANNALES, L (1914). 19 


sincérité de M. Dupont; mais il n’en reste pas moins que le principe 
régional était un moyen de justifier son exclusivisme géologique et la 
négligence dont la zoologie a été victime. Quant à M. Gilson, sa sin- 
cérité fait encore moins de doute, car il a le courage de sacrifier ses 
goûts personnels à ce qu'il croit son devoir. Ce qui n’empécherait 
pas la zoologie de rester encore en panne. Heureusement, l’explora- 
tion de la mer qu'il a su organiser et qu'il poursuit avec dévouement, 
amène de nombreux objets dé zoologie. 

Il y a toutefois une atténuation au principe. L'étude réellement 
scientifique ne peut pas se borner à l'examen d'une seule catégorie 
d'objets; il faut comparer avec les êtres d’autres localités ; il y aura 
donc des collections de comparaison, composées d’après les néces- 
sités scientifiques et non plus d’après le hasard des délimitations 
régionales. M. Gilson prend bien soin d'insister sur le rôle accessoire 
et secondaire de ces collections ; il stipule itérativement qu'elles ne 
peuvent pas être la préoccupation principale. Je le veux bien, pourvu 
que les objets y soient. Je n’aurai pas à aller à Londres pour voir 
Paraïasaurus, en Nouvelle-Guinée pour admirer un paradisier, 
en Nouvelle-Zélande pour—étudier Hatleria; je les trouve à 
Bruxelles ; et il m'est assez indifférent dans quelle estime on les tient, 
quel rôle on leur assigne, dans quel registre ils sont inscrits. La 
notion de collection de comparaison est élastique et l'extension 
dépend de la traction exercée; pour les fossiles et l’ostéologie, il n’y 
a pas lieu de se plaindre, le Musée est convenablement fourni. 

Nous avons vu que les musées enseignaient aux savants et au grand 
public; M. Gilson fait entre ces deux activités une distinction fonda- 
mentale, presque antithétique : l’activité de pionnier est essentielle, 
le tout premier devoir; l’activité pédagogique est secondaire et acces- 
soire. Les cours publics du Muséum à Paris sont cités comme un 
vestige du passé, notoirement inutiles et faisant perdre un temps 
précieux que le savant pourrait mieux employer. Ce nest pas par 
excès de pédagogie que pêchent beaucoup de musées. Zola a décrit 
en des pages suggestives l’ahurissement d’une noce de petites gens 
dans les galeries du Louvre. Dans un musée de peinture, quelques 
notices historiques, quelques indications sur l’esthétique des tableaux 
seraient à leur place et décupleraient pour le visiteur ordinaire la 


20 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


valeur des objets; il paraît que ce sont des idées subversives pouvant 
nuire à la vente du catalogue. Mais précisément les musées d’histoire 
naturelle font généralement exception et guident le visiteur ordinaire 
par des étiquettes explicatives; et précisément aussi, par une heu- 
reuse inconséquence, le Musée de Bruxelles a donné à ce système 
l'application la plus large; le socle des iguanodons est garni en bor- 
dure d’une véritable brochure signalant tout ce qu'il y a d’essentiel 
et de la façon la plus claire et la plus intéressante. C’est le mérite de 
Dupont d’avoir donné a ce système une grande extension et on ne 
peut que souscrire aux éloges qui lui sont décernés. 

M. Gilson estime que ces étiquettes développées suffisent et dis- 
pensent d’autres moyens, notamment des explications orales. Au 
Natural History Museum de Londres, les étiquettes sont aussi assez 
détaillées; mais le minéralogiste qui a succédé comme directeur à Ray 
Lankester a organisé des visites avec un guide. J’en ai suivi quelques- 
unes; les explications sont bien données, scientifiques et claires. J'ai 
porté mon attention surtout sur le public; j'ai interrogé le conféren- 
cier : des gens sont des auditeurs réguliers et viennent exprès; on lui 
demande souvent d'indiquer des livres. J'ai emporté la conviction que 
c’est une chose des plus utiles. Le conférencier est spécialement 
appointé pour cette fonction et les conservateurs ne sont pas distraits 
de leur travail scientifique. Une difficulté à Bruxelles serait la fré- 
quentation réduite, par suite de RE du local et du manque 
de communications directes. | 

Le principe de l’importance de l'éthologie exprime une vérité : 
toute organisation étant adaptive, l'environnement est chose essen- 
tielle pour la compréhension; mais cela n’est pas toujours facile à 
exposer dans un musée et on a encore fait moins qu'on D’aurait pu 
faire. L’habitat d’un animal n’est pas une vitrine et son milieu naturel 
n’est pas l'alcool ; le naturaliste qui ne connaît les animaux que de 
cette façon est très étonné quand il fait une promenade sur la pre- 
mière plage venue. On fait donc bien de mettre l’éthologie en évi- 
dence. Mais, de même que le travail de pionuier était considéré 
incompatible avec la fonction pédagogique, l’éthologie se ferait 
quelque peu aux dépens de l’anatomie. Dans un musée, l'anatomie 


ne pourrait être « qu’efleurée » et encore seulement « pour certains 


ANNALES, L (1914). ho 


points qui présentent de l'intérêt, surtout en vue de l’éthologie. 
Ainsi pour faire comprendre comment Nafica nitida parvient à 
percer d’un trou régulièrement circulaire les coquilles les plus 
dures, il faudra montrer en microphotographie la radula. Sepia 
officinalis lance une bouffée noire; il faudra montrer la volumineuse 
glande, le siphon, etc., pour la compréhension des mouvements 
respiratoires et de la locomotion. » Ainsi l'anatomie, la base de tout 
en zoologie, même pour la compréhension la plus sommaire, n’entre- 
rait que d’une façon accessoire et détournée ; elle entre par la petite 
porte, mais elle y est et de nouveau, c’est l'essentiel. Elle est bien 
pauvrement représentée! Cest ici que l’élasticité du principe serait 
à taxer au maximum. M. Gilson peut appuyer la plupart de ses idées 
sur des autorités en fait d'organisation de musées et il cite notam- 
ment sir William Flower. Or, c’est le même qui a créé à Londres 
une collection d'initiation, laquelle est non seulement de l’anatomie, 
mais même de l'anatomie comparée. J'ai souvent surveillé le public ; 
un visiteur occasionnel, un flâneur, entre; il jette un regard circu- 
laire dans le vaste hall; sil approche d’une des vitrines dans les 
réduits latéraux, il est pris; à chaque fois, j'ai regretté que la 
pénurie de véritables zoologistes parmi le personnel, et un esprit trop 
exclusif, privaient notre musée à nous de cet élément d'attraction. 

Ainsi, tous les principes directeurs sont sujets à caution. C'est que 
tous sont une limitation et comportent le sacrifice de quelque chose. 
Le principe régional écarte le reste du monde; la mission de 
recherche et de pionnier serait incompatible avec la fonction péda- 
gogique; l’éthologie réléguerait l'anatomie au second plan et à l’état 
fragmentaire. Où mènerait cetle inexorable logique? L’application 
intégrale de ces principes serait, sans exagération, un désastre, 
Mais nous avons vu que dans la pratique, il n’en est pas ainsi. 
Dupont était pour ces questions générales d'organisation, un esprit 
déductif et théoricien ; mais il portait un intérêt sincère et profond à 
l'institution qu’il dirigeait et sa perspicacité lui a fait éviter les 
écueils de sa théorie; comme le remarque M. Gilson, il y a peu de 
musées plus enseignants et tirant un meilleur parti pédagogique des 
matériaux exposés. Dupont était, en outre, pénétré de l'efficacité de 
la réclame, dans le bon sens du mot, en intéressant le public; c’est la 


22 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


vraie méthode. Le coup des baraquements hideux comme vésicatoire 
sur l’épiderme de l'Art et de l’Esthétique a certainement du bon 
comme moyen occasionnel et héroïque, mais ne peut constituer un 
système permanent. Le zoologiste travailleur, l'excellent professeur 
qu'est M. Gilson, persuaderont le directeur du musée de la nécessité 
de développer le côté enseignement et anatomie. 

Le métier de donneur de conseils est facile. Il faudrait donc 
‘étendre encore, faire plus qu’on ne fait; or, déjà on se plaint des 
locaux insuffisants et de la besogne écrasante, Ce serait la transfor- 
mation du musée régional, que déjà M. Gilson pourrait encombrer, 
en musée mondial, cette parfaite utopie, car il y aurait impossibilité 
absolue à être complet, D'accord! Mais qui demande un musée mon- 
dial complet ? Ce serait une exagération de même nature, mais en 
sens inverse, que le principe strictement régional; entre les deux 
exagérations, il y a le « goldene Mittelweg », la voie de la raison. 
Cela aussi est un principe, et même un principe supérieur; je lai 
récemment invoqué dans la question de la nomenclature, comme cor- 
rectif à l'application simpliste de la règle de priorité; il trouve 
également son application ici. Les raisonnements les plus serrés, les 
considérations les plus transcendantes ne tiennent pas contre le pré- 
cepte de simple bon sens : il faut faire le plus utile. Rien n'étant 
absolument inutile et faire tout étant impossible, il y a nécessité de 
choisir. Alors intervient de nouveau le facteur appréciation, l’élé- 
ment perturbateur de l'équation personnelle, Une chose est claire : 
l’homme responsable devra faire abstraction de ses goûts particuliers 
et se gardera de tendances unilatérales et exclusives ; il pratiquera 
l’éclectisme comme une nécessité primordiale. 

Cet éclectisme comporte l'établissement de proportions entre les 
divers départements de l'établissement, fort défectueux à cet égard ; 
les uns seraient à réduire, les autres à étendre. Le programme de 
M. Gilson comporte des modifications, mais en sens inverse, car il 
s’agit d'augmenter encore des services déjà hypertrophiés, d’exalter 
les disproportions. Nous comprenons, chez le directeur du plus grand 
établissement scientifique du pays, le désir de procéder par lui-même 
à l'exploration et nous voyons sur le travail particulier de l'initiative 


\ 


privée, le grand avantage d’une permanence à travers plusieurs 


re 


NT PVR ON PO TIOROT 


ANNALES, L (1914). 23 


générations au besoin, un travail systématique, avec une organisa- 
tion réfléchie et des méthodes identiques. Gela ne suffit pas pour aller 
immédiatement de l'avant, il faut aussi considérer les inconvénients 
possibles. Si l'exécution de ce programme comporte comme consé- 
quences nécessaires une trop forte centralisation de toute l'activité 
scientifique aux mains du personnel officiel, le principe régional qui 
fait abstraction de tout ce qui est hors de nos étroites frontières, le 
sacrifice de la fonction pédagogique, la rélégation de l'anatomie, 
alors je mets en balance ces avantages supposés certains, avec lés 
inconvénients non moins certains; et je trouve en âme et conscience 
qu'il n’y a pas égalité, même approchée, que les inconvénients sur- 
passent les avantages, et que la mesure serait néfaste. | 

Le Musée ne peut prétendre au monopole du progrès scientifique 
dans le passé; il y a collaboré dans une large mesure; mais spéciale- 
ment pour la zoologie, à part les fossiles, le progrès est résulté du 
travail des professeurs, des sociétés libres et même des amateurs. 
L’exploration par le personnel officiel fournirait-elle des résultats 
tellement supérieurs, pour justifier une organisation de cette enver- 
gure? Nous trouvons à l'initiative privée, des avantages et des incon- 
vénients; nous en trouvons également à trop d'officiel. M. Gilson est 
d’ailleurs quelque peu de cet avis ; il est loin de vouloir tout absor- 
ber, il voudrait coordonner et centraliser. Mais cela encore est beau- 
coup ; pour l'avoir tenté, et rien que pour la géologie, le Musée y a 
perdu son département de géologie, détaché comme service auto- 
nome. D'ailleurs, les matériaux des DER QNE privés finissent régu- 
lièrement par arriver au Musée comme à leur lieu de dépôt naturel; 
et la besogne immédiate du personnel est bien la conservation de ce 
dépôt et sa mise en valeur scientifique. 

Cela ne veut pas dire que l'exploration sera exclue. Peut-on garder 
à terre, sur le plancher des vaches et en permanence dans son 
cabinet directorial, M. Gilson, qui a organisé l'exploration de la mer, 
et l'empêcher d'y prendre une part active, de continuer à fonctionner 
comme « chef d'exploration »? On signale des ossements humains : 
il faut des connaissances anthropologiques, archéologiques, surtout 
géologiques pour utiliser la trouvaille; qu'on se rappelle les discus- 
sions sur le gîte du Pithecanthropus de Trinil; il est évident que le 


24 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


spécialiste qu’on a sous la main prendra le premier train ou une 
automobile. Si Dupont s’était contenté de ce qu'on lui apporte, il 
aurait eu 4 dent d’iguanodon; en mobilisant tout le personnel pour 
envahir la mine de Bernissart, on a rapporté un peu plus. 

En matière de science, le gouvernement ne peut prescrire au 
savant; et le savant ne doit pas davantage se prescrire à lui-même, 
se lier par des principes intangibles, d’ailleurs d’origine théorique. 
Avec mes idées de proportionalité, il y aurait au Musée beaucoup 
trop d’iguanodons; mais quand un gouvernement a voulu vendre des 
iguanodons, il a dû reculer devant l'opposition unanime des savants 
et j'ai contribué à imposer cette reculade. La surabondance de 
l'anthropologie, ce sont les cavernes de la Lesse, qui ont fait défini- 
tivement entrer dans la science l’homme préhistorique et qui sont 
encore aujourd'hui, ce qu'il y a de plus complet; ce sont aussi les 
éolithes, fort discutés, mais du plus haut intérêt. La surabondance 
des matériaux de Bernissart, c'est la connaissance approfondie du 
groupe le plus remarquable de reptiles terrestres, non plus par pièces 
et morceaux, avec le pouce comme corne nasale et se traînant à quatre 
pattes, mais dans leur attitude bipède, dressés, presque vivants, car 
on s'attend à chaque instant à les voir s’animer et se mettre en marche. 
C'est le moment d'appliquer le principe de pionnier scientifique. La 
Lesse et Bernissart sont en Belgique : c'est également le moment de 
donner au principe régional toute sa rigueur, par une application 
positive, car elle se traduit par un enrichissement du Musée. Et cela 
est tout autre chose que son application négative, comme raison 
permanente d’exelusion de choses essentielles. 

Un musée d'histoire naturelle doit collectionner les objets, les con- 
server, par leur étude contribuer au progrès de la science, pa r leur 
exhibition expliquée infuser au public avec des connaissances som- 
maires un respect raisonné du travail du savant; la zoologie régionale 
n’est qu'une partie de la zoologie générale et l’une ne va pas sans 
l’autre; l'anatomie est la base de nos connaissances. Hypertrophier 
une de ces branches et anémier une autre, c’est disproportionner. 
Nous attendons avec confiance de M. Gilson, un développement 
harmonique de la belle institution qu'il dirige. 


— 


# 
%X + 


L'activité de la société ayant été suspendue pendant toute la durée 
de la guerre, les séances mensuelles, interrompues à partir de juillet 
1914, n'ont été reprises que le 3 mars 1919. Vu les grandes 
difficultés que rencontre l'impression, il est décidé de ne publier qu'un 


seul volume, Tome L, pour la période 1914-1919. 


_ ORGANISATION ADMINISTRATIVE POUR L'ANNÉE 1919 


MM. 


MM. 


Conseil d'Administration. 


P. PELSENEER, président. 

M. LEricHE, vice-président. 

DE SELYS-LoNGcHAMPs, secrétaire général et trésorier. 
Huco pe Cort, membre. 


An. KEMMA, » 
F. VANDE VLOET, » 
V. WILLEM, » 


Commission de vérification des comptes. 


F. Dorpu. 
M. Puizippson. 
F. STEINMETZ. 


ANNALES, L (1919). 27 


VIII 


Assemblée générale extraordinaire du 3 mars 1919. 


PRÉSIDENCE DE M. A. BRACHET, PRÉSIDENT. 


—— La séance est ouverte à 16 h. 10 m. 


— Présents: MM. BEervoers, BRacHEr, Cosyns, Damas, Dorou, 
LAMEERE, LERICHE, MASSART, PHILIPPSON, SCHOUTEDEN, STEINMETZ, 
DE SELYS, VAN STRAELEN. 


— Excuiés: MM. pe Cort, Cossmann, DELIZE, PELSENEER, 
WILLEM. 


Rapport du Président. 


— M. Bracuer rend un dernier hommage aux membres dont la 
société a eu à déplorer la perte. Ce sont nos collègues JEAN THIEREN, 
tué à Dixmude en 4914 et Louis Srappers, mort pour la Patrie à 
Calais en 1916. L’un et l’autre étaient médecins aux armées et sont 
tombés pour la défense de la plus noble des causes. Quatre de nos 
membres d'honneur sont morts depuis notre dernière séance : ce sont 
MM. Cu. Bus, Juces GosseLer, CH. Van BamBeke et HE. Yseux. 
Sont en outre décédés, M. Mourcon, membre effectif et M. DE 
Pauw, membre correspondant, Des condoléances seront envoyées aux 
familles de MM. Srappers, THIEREN et VAN BAMBEKE. 


Rapport du Trésorier. 


— M. ne SELys expose la situation financière de la société, après 
vérification des comptes par la Commission compétente. 

Il présente ensuite le projet de budget pour 1919, projet qui est 
approuvé. (ie 


28 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Jours et heures des réunions mensuelles. 


— Il est décidé que les réunions mensuelles auront lieu désormais 
le premier samedi de chaque mois à 16 heures, sauf en août et 
septembre, où il n’y aura pas de réunions. ‘ 


Excursion annuelle. 


— Notre collègue, M. Massarr, nous faisant part de ce que la 
Société de Botanique organise, pour la Pentecôte (8 juin) une visite 
aux bords de l’Yser, il est décidé de nous mettre en rapport avec elle 
en vue de nous associer en cette occasion. M. Massarr fera les 
démarches nécessaires pour nous permettre de participer à l’excur- | 
sion de la Société de Botanique. 


Radiation des membres de nationalité ennemie. 


— La radiation de la liste de nos membres des savants apparte- 
nant aux pays ennemis est décidée de commun accord. 


Cessation de l'échange de nos publications avec les sociétés savantes 
des pays ennemis. 


__ — Cette résolution, d’ailleurs inséparable de la précédente, est 
également prise sans opposition. 


Elections. 


Présidence. — MM. Lamerre et pe SELYys présentent la candidature 
de M. P. Peusenger. M. le Professeur P. PELSEN&ER est élu à l’unani- 
mité Président de la Société Zoologique et Malacologique pour les 
années 1919 et 1920. 


Conseil. — Tous les membres du Conseil étant sortants, MM. D 
CorT, Lericue et Vanne VLoer sont élus pour 1919, tandis que 
MM. Kewna, De Sezys et WiLcem sont élus pour 14919 et 14920. 


Présidence d'honneur. — Sur la proposition de M. LaMEERE, 
l’assemblée élève par acclamations notre vénérable collègue M. Fo- 
LOGNE à la dignité de Président d'honneur de la Société. 


ANNALES, L (1919). 29 


Commission des Comptes. — MM. Dornu, PHiLiPpsON et STEINMETZ 
sont réélus membres de cette commission. 


Création d’une catégorie nouvel!'e de membres. 


— Il est décidé d'admettre en qualité de « membres affiliés », et 
moyennant un droit de 4 franc par an, les Jeunes gens âgés de quinze 
ans au moins. Ces membres auront le droit d'assister aux séances, 
d’y faire des communications et de participer aux excursions de la 
société. Ils ne recevront pas les Annales. 


— La séance est levée à 15 h. 45 m. 


IX 


Assemblée mensuelle du 3 mars 1919. 
PRÉSIDENCE DE M. LERICHE, MEMBRE Du CONSEIL. 
— La séance est ouverte à 15 h. 45 m. 


Correspondance. 


— La Société de Physique et d'Histoire Naturelle de Genève nous 
écrit que, au moment de reprendre les échanges interrompus par 


50 mois de guerre, elle tient à nous apporter l'expression de sa très 


vive sympathie. Elle s’associe à la joie de la Belgique restaurée et fait 
les vœux les plus sincères pour le développement de notre activité 
scientifique. 

Le Secrétaire adressera à la société genèvoise nos remerciments les 
plus chaleureux pour la précieuse sympathie qu’elle nous témoigne. 


— Le service géologique du Portugal, désirant nous envoyer des 
publications en retard, nous adresse ses meilleures félicitations au 
sujet de la libération de la Belgique. (Remerciments. 


— Notre collègue, M. P. ScHerpui, nous envoie sa photographie, 
et nous félicite en termes émus à l’occasion de notre délivrance. Il 


30 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


nous dit combien souvent, durant ces années de souffrance, il a pensé 
à ses collègues et amis de Belgique. M. Scaerpuin est actuellement 
conservateur du Musée d'histoire Naturelle de l’Institut de zoologie 

de Strasbourg. (Remerciments et félicitations.) | 


Publications. 


— Le secrétaire opère ie dépôt du volume jubilaire (Tome XLVIII) 
ainsi que des fascicules 3 et 4 du Tome XLIX (1913), qui se trouve 
ainsi complété. Le fascicule 4 du Tome XLIX constitue à lui seul, 
sous pagination séparée, et en supplément à ce Tome, un fort 
volume de xvi + 204 pages et LXXVI planches hors texte. Il est 
tout entier consacré à une Morphologie des Protozoaires, dont notre 
collègue, M. A. Kemna, est l’auteur. | 

Ces trois volumes, le Tome XLVIII, le Tome XLIX et son supplé- 
ment, sont sortis de presse fin juillet 1914, mais la guerre en a rendu 
la distribution impossible jusqu’à présent. 

Sur la proposition du secrétaire, et vu les difficultés que rencontre 
actuellement l'impression, il est décidé que le prochain volume à 
publier, le Tome L de la collection, sera affecté, non à la seule 
année 4914, mais à la période 4914-1919. 


4, Su à . 
Décisions du Conseil. 


— Membres nouveaux : M. Gaston Dé Witre, actuellement au 
British Museum, présenté par MM. MassarT et VAN STRAELEN et 
M. Louis VerLane, Docteur en sciences, Assistant de Zoologie à 
l’Université libre, présenté par MM. Lameere et pe Secys, sont admis 
en qualité de membres effectifs, - 


— La séance est levée à 18 h. 10 m. 


ANNALES, L (1910). 31 


X 


Assemblée mensuelle du 5 avril 1919. 


— Présidence de M. Lericne, Vice-Président, puis de M. Peuse- 
NEER, Président. 


__ La séance est ouverte à 46 h. 43 m. 
= Décisions du Conseil. 
— Le Conseil s’est constitué comme suit : . 


Président : M. P. PELSENEER ; 
Vice-Président : M. M. LERICHE ; 
Secrétaire général et trésorier : M. be SELys LonccHamPs: 
Membres : MM. De Cort; , 
KEMNA ; 
VANDE VLOET; 
WILLEM. 


— Membres nouveaux : Le Conseil a admis, en qualité de mem- 
bres effectifs, M. J.-B. le B. Tomzin, ancien Président de Ja 
Société malacologique de Londres, 120, Hamilton Road, Reading 
(Angleterre), présenté par MM. PeLsencer et De SELys, et M. G. 
Vergas, Conservateur à l'Hôtel des Monnaies, 1, rue de Moscou, à 
Bruxelles, présenté par MM. Rousseau et DE SELYS. 


Distinctions honorifiques. 


= M. M. Lerice, en ouvrant la séance, se fait l'interprète de 
l’assemblée pour exprimer à nos collègues, MM. BracHEeT et LAMEERE, 
nos plus chaleureuses félicitations à l’occasion de leur nomination, 
dans le courant de l’année 1918, à la dignité de Membres correspon- 
dants de 1 Institut de France. 


32 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Membres d'honneur. 


— Sur la proposition du Conseil, sont nommés membres d'honneur 
de la Société Royale Zoologique et Malacologique de Belgique : 


MM. M. Bouee, Professeur au Musée d'Histoire naturelle, à Paris ; 
L. Cuénor, Professeur à la Faculté des Sciences, Nancy; 
M. Cauccery, Professeur à la Sorbonne, Paris; 
P. Marcuaz, Professeur à l’Institut Agronomique, Paris; 
E. A. Suipcey, Christ’s College, Cambridge; 
B. Grassi, Sénateur du Royaume d'Italie ; 
E. Racovirza, sous-directeur du Laboratoire Arago, à 

Banyuls-sur-Mer (Pyrénées. Orientales) ; 

E. G. Conkuin, Princeton University; 
Tu. H. MorGan, Columbia University. 


Correspondance. 


— M. E. Srabpers nous exprime sa gratitude pour les condo- 


léances que nous lui avons envoyées à l’occasion de la mort de son fils, 
notre regretté collègue L. STaPPers. 


— M. P. Luorsr, Directeur de la Société Royale de Zoologie 


d'Anvers, nous écrit que cette société, inscrite en qualité de membre 
protecteur sur nos listes, nous continuera son concours. (Remerci- 
ments.) 


— M. ScHouTEDEN, s’excusant de ne pouvoir assister à laséance, men- 
tionne qu’il a rencontré le Crustacé Palémonide Caridina Desmaresti 
en quantité dans le canal de Charleroi, ainsi qu’un exemplaire de 
grande taille dans un fossé latéral. Cet animal avait été signalé 
autrefois par M. PELSENEER, mais il ne semblait pas avoir été retrouvé 
depuis. - 


Communications. 


— M. Kewna donne lecture d'un compte rendu bibliographique, 
sous le titre de « Un essai de philosophie de l’anatomie comparée », 
à propos de l'introduction à la deuxième édition du Handbuch der 
Morphologie der wirbellosen Tiere de Lane, par J. Tscauok. 


PASENON PE TENTE Ti 


ANNALES, L (1919). 33 


—_ M. Peusenger fait connaître succinctement les résultats de recher- 
ches qui ont porté sur plusieurs centaines de mille pontes de Physes 
et de Limnées, dans lesquelles il s’est produit quelques monstres 
multiples par soudure-de deux ou plusieurs œufs en voie de dévelop- 
pement. La soudure, qui peut se faire à des degrés très divers, ne 
s'opère qu'à un moment très précis, peu après le stade gastrula, et 
seulement quand les embryons se mettent en contact par des points 
homologues. Un résumé de cette communication est inséré ci-après. 


Discussion. 


— MM. Bracuer, Dorou et LERICHE. 
_— La séance est levée à 18 h. 05. 


XI 


Assemblée mensuelle du 83 mai 1919. 


PRÉSIDENCE DE M. LERICHE, VICE-PRÉSIDENT. 
-— La séance est ouverte à 19 h. 30 m. 
Décisions du Conseil. 


— Membres nouveaux : M. Pauz Bucaer, Docteur en sciences, 
Professeur à l’Athenée royal d’Ostende, présenté par MM. G. GiLsoN 
et ne SeLys, est admis en qualité de membre effectif, 


Démission. 


— M. Drercxx, Pharmacien, à Malines, nous adresse sa démission, 
qui est acceptée. : 


Correspondance. 


— MM. Bouc, Cauzcery, Cuénor, Grassi, MarcHaz, Racovirza et 
SHiPLEy nous écrivent pour nous remercier de leur nomination en 


Ann. Soc, Zool, et Malac. Belg., t, L. 3 


34 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


qualité de membres honoraires. Ils nous font espérer des tirés à part 
de leurs travaux, ainsi que leur photographie pour lalbum de la 
société. M. Smipzey nous à déjà fait parvenir son portrait, qui est 
présenté en séance. | Fe 


— La députation permanente du Brabant nous avise de ce que la 
subvention annuelle du gouvernement provincial, que notre société 
a reçue pour la dernière fois en 4943, ne pourra pas nous être allouée 
pour 4914, le budget de cette année étant clos, Quant à la subven- 
tion pour 1919, elle est encore soumise aux délibérations du conseil 
provincial. 

— Notre collègue, M. H. Woonwarp, nous envoie ses félicitations 
on the termination of the terrible war which has caused such sufferings 
to your beloved country. 


Communications. 


— M. A. LAMEERE, appuyant son exposé sur de nombreuses figures, 
fait des suggestions sur l’origine des appendices chez les Coelomates. 
(Voir p. 44.) 


Discussion. 


— M. VERLAINE. 


— M. VERLAINE, préoccupé du problème de l’hérédité des caractères 
acquis, cite le cas d’une chienne née sans queue d’une mêre chez 
laquelle la même particularité serait, pour autant que l’on puisse 
savoir, le résultat d’une mutilation. [l se propose d'étudier la descen- 
dance de cet animal. M. Lameere dit qu'il existe, au laboratoire 
d’Évolution des Êtres organisés, à Paris, une chienne également née 
sans queue, et que l’on se propose aussi d'étudier dans sa descendance. 


— [La séance est levée à 17 h. 50 m. 


ANNALES, L (1919). 35 


XII 


Assemblée mensuelle du 14 juin 1919. 


- PRÉSIDENCE DE M  PELSENEER, PRÉSIDENT. 
— La séance est ouverte à 146 h. 15 m. 
Décision du Conseil. 


_ — Membre nouveau. Le Wetenschappelijke Kring van Antwerpen, 
présenté par MM. ne SELys et Van STRAëLEN, est admis en qualité de 
membre effectif. : 


ne 
Correspondance. 


— L'Académie de Metz, supprimée par les Allemands le 31 juil- 
let 1914, est reconstituée et invite notre Société à se faire représen- 
ter à sa séance solennelle, la première depuis 49 ans. L’invitation à 
cette séance, qui a eu lieu le 12 juin, nous est malheureusement par- 
venue trop tard pour qu’il pût lui être donné suite, mais le secrétaire 
a adressé, au nom de notre Société, les plus chaleureuses félicitations 
à l’Académie de Metz. (Approbation.) 


— Le Ministre des Sciences et des Arts nous adresse un projet de 
statut présenté par la Classe des Sciences de l’Académie royale de 
Belgique, pour la Constitution éventuelle d’un Conseil national belge 
de Recherches, ainsi qu’une notice de M. Leconte justifiant l'utilité 
de la nouvelle création. En même temps, le Ministre nous demandait 
d'urgence une liste nominative des personnalités que nous désirerions 
voir représenter notre Société au sein du susdit Conseil. Le temps 
ayant absolument fait défaut pour en référer au Conseil, le Secré- 
taire n'a pas cru pouvoir faire autrement que de soumettre au 
Ministre les noms de quelques-uns de nos membres, choisis parmi 


36 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


ceux qui n’appartiennent ni à l’Académie, ni à l’Université. L’assem- 
blée décide que, le cas échéant, la liste fournie par le secrétaire serait 
complétée. 

— M. le Professeur Cowkuin, Princeton University, nous écrit qu'il 
accepte avec d'autant plus de plaisir sa nomination de membre d’hon- 
neur que notre Société lui a donné le caractère d'une manifestation 
de gratitude envers les États-Unis. Notre nouveau collègue nous 
envoie sa photographie et un choix de ses publications. (Remerciments.) 


— Notre collègue, M. Ca. Loppens, dont nous étions sans nou- 
veiles depuis la guerre, nous écrit pour nous dire qu'il a été terrible- 
ment éprouvé, tout ce qu’il possédait à Nieuport — meubles, livres, 
manuscrits et matériaux scientifiques — ayant été anéanti avec la 
ville entièré. Il manifeste le plus grand courage, et la ferme inten- 
tion de reprendre ses études dès que les circonstances le lui permet- 
_ tront. Il est décidé, sur la proposition faite indépendamment par plu- 
sieurs membres, d'offrir à M. Loppens une collection des Annales de 
la Société, et que ceux d’entre nous qui Le peuvent enverront à notre 
collègue, pour l'aider à reconstituer une bibliothèque, tous les 
ouvrages dont ils pourront disposer. La nouvelle adresse de M. Lop- 
pens est à Ostende, 5, rue d'Amsterdam. L 


— M. Kemna, que son état de santé empêche d'assister à la séance, 
nous fait savoir qu'il va aussi bien que possible. L'assemblée fait des 
vœux pour son prompt et complet rétablissement. 


Subsides. 


__ Le Ministre des Sciences et des Arts nous alloue une subvention 
de 2,500 francs pour nous aider à couvrir les frais des publications 
éditées par nous en 1913-1914 (volume jubilaire, t. 48, t. 49 et sup- 
plément à ce tome). (Remerciments.) 


Hommages d'ouvrages. 


— Notre collègue le Professeur J. GonzaLès HipaLco nous envoie 
un exemplaire de sa Fauna malacologica de España et nous exprime 
ses félicitations pour la libération de la Belgique. (Remerciments.) 


ANNALES, L (1919). 37 


— Notre collègue M. J. G. De Man nous remet une série de ses 
dernières publications, dont l’énumération sera donnée plus loin. 
(Remerciments.) 


Communications. 


— M. P. PeLseNEER nous parle de {a métamérie et l'hypomérie 
chez les Ghitons, et dépose une note sur ce sujet, note insérée ci-après. 


— M. VERLAINE expose qu'il a opéré l’ablation de la rate et de la 
glande thyroïde chez des jeunes souris, de plusieurs générations suc- 
cessives, sans obtenir aucune modification héréditaire. M. BRACHET 
fait remarquer que la non-hérédité des mutilations est un fait bien 
_ démontré. | 


— M. PELSsENEER propose que des questions précises soient mises à 
l’ordre du jour des séances, en vue de leur discussion. Cette proposi- 
tion est adoptée. 


— La séance est levée à 17 h. 5 m. 


38 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


XIII 


Assemblée mensuelle du 5 juillet 1919. 


PRÉSIDENCE DE M. P. PELSENEER, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 5 m. 


Correspondance. 


— M. le Professeur Ta. H. Morçan, Columbia University, nous 
écrit qu’il accepte avec le plus grand plaisir sa nomination en qua- 
lité de membre honoraire. 


— Notre collègue, M. Eu. G. Racovirza, nous envoie sa photo- 
graphie, qui est présentée en séance, et nous annonce l'envoi d’un 
choix de ses travaux par l’intermédiaire du Service des échanges 
. internationaux. (Remerciments.) 


Communication. 


— M. V. Wizuem nous fait un exposé de <es recherches sur La cir- 
culation et la respiration pulmonaü'e chez les Araignées, exposé 
appuyé de nombreux dessins. 


— Discussion sur la variation chez l'Homme et les Animaux, 
question mise à l’ordre du jour. Cette discussion est amorcée par 
M. Pn. DautzenBerRG, qui parle de la sinistrorsité de certaines 
coquilles. Il est décidé de maintenir la question de la variation à 
l’ordre du jour de la prochaine séance. 


— La séance est levée à 17 h, 25 m. 


ANNALES, L (1919). 39 


TÉRATOGÉNÈSE ET FORMATION 
DE MONSTRES DOUBLES 


Par Pauz PELSENEER 


[. — On a de tout temps fait des monstres artificiels de fantaisie ; 
mais il existe aussi une science de reproduire expérimentalement les 
monstres naturels : c’est la tératogénèse, acquisition assez récente de 
la Biologie, dont le principal initiateur fut Dareste de la Chavanne. 

On reproduit artificiellement des monstruosités constituées après la 
naissance — comme les hétéromorphoses — et aussi des monstruosités 


congénitales. 
Comme exemple de monstruosité congénitale que l'on provoque par 
une cause thermique, on peut citer l’inversion viscérale, — par une 


cause chimique, les larves sans spicules ni sans bras, des Oursins, — 
par une cause mécanique, l’omphalocéphalie, les larves incomplètes 
déterminées par ovotomie, et les monstres doubles, par division d'un 
œuf unique ou par soudure de deux œufs distincts. 
- è ° 
II. — L'étude de la formation des monstres doubles (ou multiples) 
chez les Gastropodes montre que : 


4. Ces monstres prennent toujours naissance par la soudure de 
deux (on plusieurs) œufs qui se trouvent anormalement dans une 
même coque, soudure amenée par leur compression mutuelle(Limnæa, 
Physa, etc.); 

2. Cette soudure ne peut se produire que pendant un temps très 
court, peu après la constitution de la gastrula ; 

3. Cette soudure peut être plus ou moins profonde, depuis l'union 
simplement superficielle de deux embryons, jusqu'à la fusion complète 
où seules les deux masses céphalo-pédieuses restent distinctes. 


40 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


[IT. — La production artificielle de diverses sortes de monstruosité 
a rouvert le débat entre préformationnistes et épigénistes. L’expé- 
rience a fait voir que les œufs de quelques animaux présentent une 
sorte de préformation dans une séparation plus précoce des substances 
constituantes; mais, dans la plupart des cas, les œufs sont plus 
homogènes et l'épigénèse est chez eux très puissante. 

La tératogénèse montre ainsi que les facteurs extérieurs anormaux 
peuvent modifier l'allure du développement et la forme de l'embryon ; 
elle confirme donc la doctrine lamarckienne que les facteurs exté- 
rieurs exercent une action directrice sur le développement et sur la 
forme des organismes. 

Enfin, les monstruosités ct nitale se qui ne sont que les plus 
excessives des variations brusques, montrent le peu d'importance de 
celles-ci dans l'évolution : car on ne peut citer qu’un rare cas de 
fixation artificielle de monstruosité (Poule de Houdan). Dans la 
nature, les varialions brusques sont souvent inhéritables et presque 
toujours elles n’affectent que des individus isolés, de sorte que le croi- 
sement de ceux-ci avec la forme normale fait rapidement disparaître 
la variation « brusque ». 


ANNALES, L (1919). . 41 


LA MÉTAMÉRIE ET L'HYPOMÉRIE 
CHEZ LES CHITONS 


Par Pauz PELSENEER 


I. Dans tous les Polyplacophores ou Chitonides, le nombre 
constant des valves de la coquille est huit. 

Il n’a jamais été observé aucun individu avec un nombre supérieur 
(hypermérie) de pièces testacées; mais, un petit nombre de fois, il à 
été’signalé des spécimens qui en présentaient un plus petit nombre 
(hypomérie). 

Ce n’était alors, dans chaque cas, qu’un individu exceptionnel tout 
à fait isolé dans une espèce. En voici, au surplus, lénumération : 


Exemplaires à sept valves : un Chiton laevis (Montagu, sous le nom 
de « Chiton septemvalvis »); un Chiton figuré dans le voyage de 
Krüsenstern; un Nuttalëna sp. (Baily) ; un Mopalia ciliata (Pilsbry); 
un Onitochiton undulatus que j'ai rencontré moi-même dans un envoi 
provenant de Nouvelle-Zélande; 

Exemplaires à six valves : un Ischnochiton conspicuus (Stearns); 
un Ischnochiton sp. (Dall); un Trachydermon ruber (Blaney); 

Exemplaires à trois valves : un Ischnochiton contractus (British 
Museum) ; un Cryptoplax striatus (Henn). 


D’aucun de ces hypomères il n’a été publié de figure, si ce n’est du 
Chiton du voyage de Krüsenstern et du Mopalia de Pilsbry ci-dessus 
(tous deux à sept valves). 

Or, dans une même espèce, Chiton (Boreochiton) marginatus, dont 
j'ai pu recueillir récemment près de 300 spécimens vivants (à Wime- 
reux), j'ai observé deux adultes hypomères : l’un à sept valves, 
l’autre à six (figure 1). 


42 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Tous deux étaient naturellement plus courts que les autres exem- 
plaires. L'indice (rapport de la longueur à la largeur) étant de 16/10 


ATLAS 


Fig. 1. — Chiton (Boreochiton) marginatus Fig. 2. — Un Individu normal à huit valves. I à VIII, 
à six valves, vu du côté droit. les diverses valves successives ; b, bord du manteau. 


dans les individus à huit valves, il n’était plus que 14/10 à peine, 
pour celui à sept valves, et 43/10 seulement pour celui à six. 

L'existence de sept valves au lieu de huit, dans quelques adultes 
isolés, pourrait peut-être s’expliquer par le fait que, dans le déve- 
loppement, les sept valves antérieures apparaissent ensemble, bien 
avant que la huitième se constitue : celle-ci avorterait plus facilement 
que d’autres dans certains cas. Mais cette sorte d'explication n'est plus 
valable pour des hypomères à six ou à trois valves. 


IT. Bien qu'ils soient les plus archaïques des Mollusques, et que 
ces derniers soient parents d'animaux segmentés tels que les Anné- 
lides, les Chitonides ne possèdent cependant point de métamérie ou 
segmentation organique interne, en rapport avec la polymérie de leur 
coquille. 

Il n’y a chez eux que quelques appareils qui soient répétés longi- 
tudinalement : valves coquillières, branchies, et — dans certaines 
espèces — les communications auriculo-ventriculaires. Mais cette 
multiplication n’est plus alors dans la même proportion : tandis qu'il 
y a toujours huit valves, il peut y avoir, suivant les espèces, de quatre 
à quatre-vingt paires de branchies, et de une à quatre paires de com- 
munications entre les oreillettes et le ventricule. On ne peut donc voir 
* dans cette répétition qu'une métamérie secondaire ou fausse méta- 
mérie. 


ILI. Les Chitons hypomères rencontrés jusqu'ici n’ont pas été 
étudiés dans leur organisation (c'étaient des spécimens uniques, 
trouvés par des collectionneurs, qui les laissaient se dessécher). 


ANNALES, L (1919). 43 


Un point de leur constitution pourrait cependant être examiné 
extérieurement et renseigner sur les rapports éventuels entre la méta- 
- mérisation de la coquille et celle d’autres organes : c’est le nombre 
des branchies. 

Or, dans Chiton (Boreochiton) marginatus, É nombre moyen des 

_ branchies est de dix-sept paires; c’est le même nombre dix-sept qui 
existe de chaque côté, sur le spécimen à sept valves mentionné plus 
haut ; dans l’exemplaire à six valves, il ÿ a treize branchies à gauche, 
mais quinze à droite. La réduction numérique des branchies n’est donc 
_ pas proportionnelle à celle des valves. 
De même pour le Onitochiton undulatus à sept valves, auquel 1l a 
_été fait allusion plus haut : il y a trente-et-une paires de branchies ; ce 
qui n'est pas une réduction appréciable, car le nombre de ces organes 
varie de trente-et-un à trente-quatre dans les individus normaux de 
_ cette espèce.’ 

D'autre part, pour ce qui concerne les communications auriculo- 
ventriculaires, il ne peut pas diminuer chez les Chiton marginatus 
hypomères, puisqu'il n'y en a jamais normalement qu'une seule et 
_ unique paire. Mais dans le Onitochiton fundulatus à sept valves, au 
lieu des deux paires normales de l'espèce, j'ai constaté qu'il n’en 
restait qu’une seule paire (située sous la dernière valve : dans les 
individus normaux, la seconde paire est placéeïsous la huitième 
valve, tandis que la première se trouve sous la septième). 

Ces diverses observations montrent, au moins jusqu'ici, l'absence 
de concordance entre la réduction du nombre des pièces testacées et 
celle du nombre des autres organes répétés longitudinalement chez 
les Chitonides. Elles contribueräient à ruiner l'hypothèse de la méta- 
 mérisation des Amphineures, si celle-ci n’était pas généralement 
abandonnée. ù 


44 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


NOTES DE ZOOGÉNIE 


Par Au. LAMEERE 


Il 


LES APPENDICES DES COELOMATES 


Dans un mémoire paru pendant la guerre {!) j'ai cherché à expli- 
quer l’évolution des Métazoaires en prenant comme base l'hypothèse 
d'Edouard van Beneden qui fait dériver les Coelomates des Cérian- 
thaires. - 

J'ai montré qu'il suffit d'admettre, pour avoir un Métazoaire 
segmenté présentant une paire de cavités cœlomiques dans chaque 
métamère, que chez un Cérianthaire un plancher ait isolé la région 
actinopharyngienne de la région gastrique, avant que cette dernière 
n'ait été entamée par les cloisons : le mésoderme serait formé par le 
revêtement endodermique de l’étage actinopharyngien et des ten- 
tacules. 

L'Hyponeurien ou Inchordé, dont la forme la moins évoluée est le 
Polychète, serait retourné et progresserait sur les tentacules, l'Epi- 
neurien où Chordé aurait conservé l'orientation primitive de l’Antho- 
zoaire et, par adaptation à la vie pélagique, aurait les cellules endo- 
dermiques formant le raccord de l’actinopharynx avec la cavité 
gastrique transformées en corde dorsale. 

L'étude que j'ai pu faire à Roscoff des allures de quelques exem- 
plaires de Cérianthe et de nombreux autres Anthozoaires vivants 
me permet d'apporter quelques suggestions nouvelles. | 


(*) AuG. LAMEERE, Une théorie zoologique (BULL. SCIENT. FRANCE BELGIQUE, 
t. XLIX, 1916, p. 578). 


PÉLAEIR T'OTE 


ANNALES, L (1919). 45 


La bouche d’un Anthozoaire peut se fermer ou s'ouvrir largement. 

Dans le premier cas, les lèvres de l’actinostome viennent s'accoler, 
et l’actinopharynx constitue alors une cavité virtuellement close : c’est 
précisément ce que montrent les Chordés, dont le système nerveux 
représente un actinophaï ynx fermé. 

Quand l’Anthozoaire ouvre largement la bouche, les parois internes 
de l’actinopharynx sont en quelque sorte extravasées, les lèvres de 


_ l’actinostome s’écartant fortement et l’hydrostome devenant super- 


ficiel : c’est ce qui est réalisé chez les Inchordés, où la face ventrale, 


d’où procède le système nerveux, représente l’actinopharynx étalé. 


Dans l’un et l’autre cas, que deviennent les tentacules? 
Chez les Cérianthaires, chaque loge offre deux tentacules, un ten- 


_ tacule buccal et un tentacule marginal. Entre les deux couronnes de 


tentacules s'étend le disque oral. 

Si le Cérianthe ferme la bouche, les tentacules buccaux s’éloignent 
des tentacules marginaux et le disque oral s’élargit. 

Quand le Cérianthe extravase son actinopharynx, les tentacules 


_ buccaux se rapprochent des tentacules marginaux et le disque oral 


se rétrécit. 
En supposant que l’Inchordé soit un Cérianthaire progressant sur 


. l’actinopharynx étalé, chaque cavité cœælomique portera deux tenta- 


cules rapprochés, un tentacule buccal interne et un tentacule margi- 


| nal externe : or, chez les Polychètes, nous trouvons de part et d'autre 
_ de chacun des segments un neuropode interne et un notopode 


externe. Ces appendices sont donc vraisemblablement les tentacules 


è du Cérianthaire ancestral, et la bifidité des parapodes s'explique. 


En supposant, d'autre part, que le Ghordé soit un Cérianthaire 


_ dont l’actinopharynx est fermé, nous devons trouver les tentacules 


buccaux situés dorsalement, à distance des tentacules marginaux, 
lesquels seront placés sur les flancs de l'animal. 
Or, dans les Chordés, nous avons dorsalement les nageoires 


_ impaires et latéralement les nageoires paires, les unes et les autres 


% 
À 
É- 
) 
s 


formant des replis contigus chez l'Amphioxus. 

Il est permis de penser que les replis latéraux représentent les ten- 
tacules marginaux d’un Cérianthe soudés entre eux sur toute la lon- 
._ gueur du corps. 


46 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Quant au repli dorsal impair, il serait; formé par les tentacules 
buccaux,; nous devrions en trouver deux rangées soudées en deux 
replis, mais rappelons-nous que chez les Chordés inférieurs, les 
cavités cæœlomiques droites et gauches ne se font pas vis-à-vis; elles 
alternent, comme les loges mésentériques droites et gauches des 
Cérianthaires : dès lors, la fermeture de lactinopharynx aura pour 
résultat d’intercaler les tentacules buccaux situés d'un côté du corps 
entre ceux qui sont placés de l’autre côté; ces tentacules se dispose- 
ront donc en une seule rangée et, s'ils se soudent, nous n'aurons 
qu'un repli dorsal. 

Telle serait, dans cette hypothèse,‘ l'explication de l'existence des 
nageoires chez les Chordés. 

Les nageoires paires seraient homologues aux notopodes, les 
nageoires impaires aux neuropodes des Polychètes. 


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ANNALES, L (1919). 47 


L'OKAPI DU JARDIN ZOOLOGIQUE D’ANVERS 


Par Auc. LAMEERE 


Une femelle d’Okapi, âgée de près de deux ans, est arrivée vivante au 
Jardin zoologique d'Anvers, et je me suis empressé d'aller la voir. 
C’est la première fois qu’un animal de l'espèce arrive en Europe. Il a 
été amené du Congo avec des soins infinis par M. Georges Lebrun 
en même temps qu'une belle collection d'autres Mammifères africains. 
Une dame, Madame Landeghem, l’avait élevé là-bas dès l’âge le plus 
tendre, au biberon d’abord ; on l'avait habitué à se nourrir de feuilles 
fraîches et de fruits que l’on suspendait à une corde placée horizonta- 
lement à hauteur de la tête. Au Jardin zoologique d'Anvers, on lui 
donna l'ordinaire des Ruminants de l'établissement, et il ne fit aucune 
difficulté pour ramasser sa nourriture à terre, mais... il est mort au 
bout d’un mois et demi de séjour. 

L'on sait que l’Okapi a été découvert par Sir Harry Johnston, 
gouverneur général de l’Uganda, dans la forêt de Semliki. Il paraît 
qu'il n’est pas rare dans la grande forêt équatoriale, sur la rive 
droite du Congo. 

Décrit d’abord par Sclater, qui n’avait eu à sa disposition que des 
lambeaux de la peau de la croupe, comme espèce nouvelle de Zèbre, 
ce Ruminant a la robe d'un brun pourpré avec des bandes blanches, 
du style de celle de Girafa reticulata; la présence de deux doigts 
seulement à l'extrémité des membres, la canine inférieure bilobée, la 
conformation générale de la tête montrent immédiatement qu'il s’agit 
bien d’un Girafidae ; mais le cou est court, les membres antérieurs 
étant cependant un peu allongés ; il n’y a de cornes que chez le 
mâle, ces cornes étant placées sur le frontal : elles sont couvertes de 
peau comme chez la Girafe, mais leur extrémité, dénudée, offre un 
petit bois, convergence avec ce que montrent d’une manière excessive 


48 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


les Cervidae en général. C’est du genre miocène Samotherium que 
l'Okapi se rapproche le plus, n’en différant même que très légè- 
rement. Il ne-peut être considéré comme ancêtre de la Girafe, car il 
est allé plus loin que celle-ci dans l’évolution, notamment par 
l'énorme développement des oreilles et de la bulle tympanique. 

Le jeune spécimen du Jardin zoologique d'Anvers était très fami- 
lier; il voulait toujours lécher tous ceux qui l’approchaient, et il 
nouait sa longue langue à celle d’une jeune Girafe qui occupait la 
cage voisine de la sienne. Cette langue de l’Okapi est extraordinaire ; 
elle est relativement énorme, plus longue et plus large que celle de 
la Girafe, noire seulement sur les bords. L'animal pouvait s’en servir 
pour se lécher les yeux, il pouvait même atteindre le derrière de 
l'oreille; ce développement de la langue est en rapport avec le carac- 
tère très effilé du museau, particularité qui avait frappé les nègres 
qui firent connaître l’Okapi à Sir Harry Johnston. 

Le dos de ce jeune individu était moins déclive que dans les 
adultes que nous connaissons pour les avoir vus empaillés au Musée 
de Tervueren, de sorte que l'allure générale était celle d’une Antilope 
ordinaire, ce qui explique probablement la méprise des officiers 
belges qui avaient vu l’Okapi avant Sir Harry Johnston et qui ne lui 
avaient rien trouvé de spécial. Cependant la démarche de l’animal 
trahit immédiatement sa parenté avec la Girafe : il marche l’amble, 
et nous l’avons vu ramasser à terre sa nourriture en écartant forte- 
ment les pattes antérieures, absolument comme la Girafe. 

La dépouille de ce précieux spécimen a été soigneusement conser- 
vée, ainsi que les viscères, et envoyée au Musée de Tervueren. 


he Li Véviisr 


ANNALES, L (1919). 49 


NOTES DE ZOOGÉNIE 


Par Au. LAMEERE 


IT 


LES FEUILLETS DES SPONGIAIRES 


Vouloir établir une homologie entre les feuillets des Spongiaires 
et ceux des Cœælentérés, c’est admettre implicitement que ces orga- 
nismes descendent d’un seul ét même ancêtre Protozoaire; nous con- 
sidérons qu’il doit bien en être ainsi : les Spongiaires et les Cœlen- 
térés offrent trop de caractères communs, parmi lesquels il en est 
une somme respectable de tout à fait originaux parmi les êtres 
vivants, pour que nous puissions concevoir que les deux groupes 
aient eu une origine indépendante. 

Yves DELace a été le premier à démontrer que les choanocytes des 
Spongiaires ne représentent nullement l’endoderme de ces Méta- 
zoaires : externes dans la larve, ils passent à travers le futur feuillet 
dermique pour aller tapisser secondairement le spongocæle, s'il 
s’agit d’une parenchymula, ou bien, différenciés de bonne heure à 
l'un des pôles, ils sont refoulés par embolie, s’il s’agit d'une amphi- 
blastula. L'évolution du processus est tout à fait analogue à ce qui se 
passe pour la formation de l’endoderme aux dépens du blastoderme 


chez les autres Métazoaires : émigration dans les Cœlentérés, rem: 


placée plus tard par une gastrulation se faisant par embolie dans les 
Cœlomates. 

L'on aurait pu cependant objecter, vu la position définitive et la 
physiologie des choanocytes, vu. également leur répartition en une 
couche de cellules unique, qu'ils représentent quand même l’endo- 
derme : dans ce cas, il aurait suffi de supposer chez les Cœlentérés 


Ann. Soc. Zool. et Malac. Belg., t. L. 4 


510 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


et leurs descendants une accélération du processus primitif de for- 
mation de l’endoderme des Spongiaires. 

Mais cette objection tombe devant les constatations faites par Mivcin 
dans l’embryogénie de Clathrina blanca, Éponge que nous pouvons 
considérer comme absolument primitive : dans la parenchymula de 
cet Asconide, le spongocæle se creuse dans la masse des porocytes, et 
cet archentéron se met en communication avec l'extérieur par un ori- 
fice situé du côté opposé au pôle de fixation, cet orifice étant le futur 
oscule. 

Par analogie avec les Cœlentérés, l’oscule est donc l’homologue 
du blastopore et les porocytes sont endodermiques; les choanocytes 
appartiennent à un autre feuillet; quans au soi-disant blastopore de 
l’'amphiblastula, situé au pôle opposé à l'oscule, c’est un faux blasto- 
pore résultant de l’embolie secondaire des choanocytes. 

La question est maintenant de savoir, si, comme on l’admet géné- 
ralement aujourd’hui, les choanocytes représentent l’ectoderme chez 
les Spongiaires et si le feuillet dermique est entièrement endoder- 
mique, D'après l'opinion courante, l’ectoderme des Éponges ne serait 
donc formé que de la couche unique des choanocytes, couche d'ail- 
leurs interrompue, tandis que l’endoderme comprendrait plusieurs 
couches de cellules, alors que c’est exactement le contraire chez les 
Cœlentérés. Dans les Spongiaires, l’endoderme renfermerait les gono- 
cytes et les cellules squelettogènes : c'est aussi exactement le contraire 
chez les premiers Goœlentérés, les Hydroïdes. 

Examinons le feuillet dermique de Clathrina : il est formé de 
cellules distribuées en trois zones, une couche externe de cellules 
épidermiques contractiles, un massif mésenchymateux renfermant les 
scléroblastes, les amibocytes et les gonocytes; enfin une couche 
interne de cellules contractiles et digérantes, les porocytes, qui 
tapissent les interstices laissés par les groupes de choanocytes à la 
surface du spongocæle et qui sont remplacés par des pinacocytes là 
où les choanocytes font défaut. 

D’après les recherches de Mixcix sur l’embryogénie de Clathrina 
blanca, le blastoderme de la parenchymula se distribue, par trois émi- 
grations successives, en trois ordres de cellules : 1° les archéocytes, 
qui se différencieront plus tard en amibocytes et gonocyles ; 2° les 


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ANNALES, L (1919). 51 


_ cellules mères des autres cellules du feuillet dermique ; 3° les choa- 
nocytes. 

Les cellules du deuxième lot se divisent de manière à donner les 
porocytes internes et des cellules externes; de ces dernières procèdent 
les scléroblastes et les cellules épidermiques. 

Dans l'embryogénie d’autres Éponges, Mincuin a constaté que les 
cellules épidermiques pouvaient elles-mêmes donner des spicules ; 
nous pouvons donc considérer les cellules épidermiques et les scléro- 
blastes comme ne faisant qu’un. 

En dernière analyse, le feuillet dermique des Spongiaires est donc 
constitué d'archéocytes situés entre une couche interne de cellules 
contractiles et digérantes, les porocytes, et une couche externe de 
cellules contractiles et squelettogènes, les cellules épidermiques, ces 
. dernières étant des cellules sœurs des porocytes. 
| Chez les Hydroïdes, la paroi du corps comprend un ectoderme et 

un endoderme ; l’endoderme est formé d’une couche de cellules mus- 
culaires et digérantes auxquelles les porocytes et les pinacocytes 
internes des Spongiaires sont homologues, puisque c’est de part et 
d'autre dans ces cellules que se creuse l’archentéron ; l’ectoderme des 
 Hydroïdes comprend deux zones, une couche externe de cellules 
épithélio-musculaires et un massif de cellules non juxtaposées, com- 
prenant d’une part les gonocytes, d'autre part les cellules ner- 
veuses, en comprenant sous cette appellation collective les cellules 
nerveuses proprement dites, les cnidoblastes et leurs cellules de 
remplacement. 

A. Brauer a montré que chez l’'Hydre d’eau douce et chez Tubu- 
laria, la paroi de la blastula débite successivement : 1° l'endoderme, 
par division de grandes cellules du blastoderme ; 2° un massif de cel- 
lules intermédiaires qui, d'après les figures de l’auteur, résultent 
d'une migration de petites cellules blastodermiques : ces éléments 
sont les futurs gonocytes et les futures cellules nerveuses. Les cel- 
lules restées à la surface, sœurs des cellules endodermiques, consti- 
tuent les cellules épidermiques épithélio-musculaires. 

_En dernière analyse, la paroi du corps des Hydroïdes est donc 

constituée de cellules intermédiaires (gonocytes et cellules nerveuses) 
situées entre deux couches de cellules musculaires sœurs, l’une endo- 


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52 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


dermique, l’autre épidermique, celle-ci étant en même temps squelet- 
togène. 

Cest exactement ce que nous montre le feuillet dermique des 
Spongiaires où nous avons des archéocytes (gonocytes-et amibocytes) 
placés entre deux couches de cellules sœurs contractiles, les poro- 
cytes endodermiques digérants et les cellules épidermiques squelet- 
togènes. 

Dès lors ne devons-nous pas considérer le feuillet dermique des 
Spongiaires comme équivalant à la paroi du corps des Hydroïdes, 
c'est-à-dire que ce feuillet comprendrait à la fois l’endoderme et 
l’ectoderme, l'ectoderme étant représenté par les cellules épider- 
miques et par les archéocytes ? 

Dans cette hypothèse, les amibocytes des Éponges se retrouveraient 
chez les Cœlentérés et leurs descendants dans les cellules nerveuses. 

Où seraient les choanocytes? Nous pourrions admettre que ce 
feuillet supplémentaire des Spongiaires a disparu chez les autres 
Métazoaires, son rôle ayant été définitivement usurpé par les cellules 
endodermiques. 

Si telle était l'interprétation que nous aurions à donner des feuillets 
des Éponges, celles-ci nous paraîtraient plus voisines des Cœlentérés 
qu'on ne l’a pensé en ces derniers temps ; nous ne verrions même alors 
aucune difficulté à supposer que des Spongiaires primitifs aient con- 
stitué un type de transition entre les Choanoflagellates sociaux et les 
Hydroïdes : les choanocytes, d’abord externes, comme chez Protero- 
spongia, seraient devenus internes chez les Éponges et auraient cessé 
d'exister chez les Cœlentérés. 

Il y aurait lieu cependant de se demander si les ne ne 
sont pas représentés chez les Hydroïdes par les cellules, dites 
« pseudo-cellules », incorporées et digérées par les oocytes; Yves 
DELAGE a en effet constaté chez Spongilla que les choanocytes sont 
avalés temporairement par les cellules mères des gonocytes avant 
d’aller tapisser les corbeilles vibratiles. 


; ANNALES, L (1919). 2 53 


54 


LES PREMIERS TEMPS DE L'IDÉE ÉVOLUTIONNISTE : 
LAMARCK, GEOFFROY SAINT-HILAIRE er CUVIER 


Par Pauz PELSENEER 


I. — Introduction. 


A NE 2e MOT LUE OR M CE RENE NEA 
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Les doctrines générales intéressent également tous les zoologistes 
_  adonnés aux diverses spécialités; et la façon dont ces doctrines ont 
- apparu et se sont développées peut les intéresser pareillement. 

_ C'est à ce titre que que j'ai choisi comme objet de cet entretien 
présidentiel, à notre assemblée plénière annuelle, « Les premiers 
temps de l’idée évolutionniste ». 

J'insiste sur ces termes « premiers ns ». Car si l’on peut 
trouver dans des écrivains de l'antiquité — certains philosophes 
grecs notamment — l'expression d'idées analogues au principe 
- moderne de l’évolution, il n’y a jamais eu là que de simples spécula- 
_ tions sans base, de pures hypothèses qui n'étaient aucunement 
étayées. Tandis que la première fois que l'évolution fut constituée en 
corps de doctrine scientifique, appuyée sur de longues observations 
positives, ce fut par Lamarck. | 

Pour le clair exposé de cette thèse, il est nécessaire de recourir à 
des témoignages variés, et, conséquemment, de reproduire en cita- 
- tions de multiples passages d'auteurs très divers; et avant d'aborder 

le cœur de notre sujet, il importe aussi de préciser le théâtre où se 

passèrent les événements qui vont être rapportés, et où les trois 
naturalistes dont il sera question, poursuivirent toute leur carrière : 
c’est le Muséum d'histoire naturelle de Paris. 
Cet établissement s’appelait originairement « Jardin et Cabinet 
. du Roi » (!). IL était dirigé alors par un « Intendant », grand 


(1) Constitué par édit de Louis XIII, du 15 mai 1635. 


D4 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


seigneur richement appointé, assisté d’un petit nombre de « gardes » 
et de préparateurs. 

Au milieu du xvur siècle, l’intendant du Jardin du Roi n’était 
pas seulement un grand seigneur. C'était en même temps un homme 
remarquable comme écrivain et comme naturaliste, au moins comme 
naturaliste amateur et philosophe; car il avait une culture très 
étendue qui. lui permettait de vulgariser toutes les connaissances 
scientifiques de son temps : c'était le comte de Buffon. 

Celui-ci était par conséquent en mesure d'apprécier les natura- 
listes et leurs travaux. Et c’est ainsi que, depuis longtemps, il 
connaissait et appréciait Lamarck. Ce dernier, qui devait être l’un 
des plus grands zoologistes de son siècle, fut d'abord un botaniste 
réputé; et ce fut comme tel qu'il fut nommé en 1788 (aux émolu- 
ments de 1,000 livres), garde des herbiers du Jardin du Roi, à la 
suite des événements que voici : 

J.-B. de Monet, chevalier de Lamarck, né à Bazentin (Artois) 
était destiné originairement à la prêtrise; mais il fut d’abord officier ; 
engagé volontaire à 17 ane, à la suite d’une action d'éclat lors de sa 
première affaire (à Willinghausen, en Westphalie), il fut nommé 
sous-lieutenant; puis il passa, dans le Midi, plusieurs années de 
garnison, occupant ses heures d’inaction par l'étude de l'histoire 
naturelle, À la suite d’un accident qui détermina une adénite 
cervicale, il dut démissionner, et se rendit à Paris. Là il devint 
employé de banque; et il consacra ses loisirs à de régulières 
herborisations, notamment en compagnie de Jean-Jacques Rousseau, 
paraît-il (!). Devenu très compétent en botanique systématique, il 
entreprit, à la suite d’une sorte de défi, la rédaction d’une « Flore 
française », où se trouva appliquée pour la première fois, la 
méthode dichotomique, utilisée depuis dans toutes les Flores du 
monde. 

Sur la proposition de Buffon, la « Flore» fut publiée par 
l'Imprimerie nationale (alors « royale »). Anisson-Duperron, direc- 


(1) « Lamarck, qui avait même été admis aux herborisations mystérieuses du 
citoyen de Genève... » (DE BLaiNvirLe et MaupieD, Histoire des sciences de l’orga- 
nisation, t. III, p. 345, 1847. 


ANNALES, L (1919). 55 


teur de cette imprimerie, engagea Lamarck à dédier son œuvre au 
Ministre ou au roi Louis. Mais Lamarck persista « dans le goût 
particulier qu'il avait déjà de ne se courber devant personne » (!). 

La Flore parut en 1778, en trois volumes, au prix de 40 francs. 
Le tirage à 5,000 exemplaires en fut epuisé en peu d'années. Ce 
succès valut à Lamarck l’Académie : il fut nommé, en effet, par le 
roi, en 1779, sur une liste double présentée par les membres, où 
Descemet avait le numéro À et Lamarck le numéro 2; « faveur de 


“cour, a-t-on dit, qui cette fois tomba très bien et ne choqua per- 


sonne. » 

A la mort de Buffon, le nouvel intendant fut le comte Flahaut de 
la Billarderie, chevalier de Malte et maréchal de camp, plus célèbre 
par sa femme, son fils et son petit-fils que par lui-même (?). 

Pour réaliser des économies, l’intendant Flahaut proposa de sacri- 
fier une partie de ses subalternes et même Lamarck, bien que celui-ci 
fût son parent éloigné. Pour se défendre, les « officiers du jardin et 
cabinet du roi » envoyèrent directement à l’Assemblée constituante 
une adresse avec un projet de réorganisation de leur établissement, 
rédigé en grande partie par Lamarck (°). 

Flabaut démisionna d’ailleurs en 1791 et fut remplacé par Ber- 
nardin de Saint-Pierre, l’auteur des Études de la nature et de Paul 
et Virginie (*). 


(:) Aïnsi qu’il le dit lui-même dans l’Introduction à ses Recherches sur les causes 
des principaux faits physiques, t. I, p. VI, 1914. 

(2) Après sa mort (1793), sa femme épousa un diplomate portugais, le marquis 
de Souza et, sous le nom de Mr Souza, eut quelque renommée comme femme de 
lettres au commencement du xix® siècle ; son fils, le général comte de Flahaut, aide 
de camp de Napoléon Ier et le plus élégant cavalier de l’armée impériale, eut de la 
reine Hortense un fils qui fut élevé par M° Souza : frère de Napoléon II, il fut 
son ministre de l'Intérieur lors du coup d’État du 2 décembre et se nomma le duc 
de Morny. 

(5) On peut trouver cet intéressant document dans le Centenaire de la fondation 
du Muséum d'histoire naturelle. Volume commémoratif, 1893 : Hamy, Les derniers 
jours du jardin du roi et la fondation du Muséum d'histoire naturelle, p. 97 
(l’« adresse » est du 20 août 1790). 

(4) Voici comment le roi lui annonça sa nomination : « J'ai lu vos ouvrages; ils 
sont d’un honnête homme et j'ai cru nommer en vous un digne successeur de 
M. de Buffon. » 


56 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


C'est pendant la direction de ce dernier que Geoffroy Saint-Hilaire 
fut nommé sous-garde des collections minéralogiques. Mais l’idyllique 
auteur de Paul et Virginie, d’après le témoignage même de ses 
proches, était un caractère épouvantable : tracassier et insuppor- 
table, « dur et méchant ». 11 fut bientôt en désaccord avec tout son 
personnel et, lui aussi, il desservit Lamarck. 

Cependant, Bernardin de Saint-Pierre occupa son poste moins 
iongtemps encore que Flahaut. Le 10 juin 1793, en effet, la Con- 
vention, sur la proposition de Lakanal, décréta la nouvelle organisa- 
Il n’y eut plus d’intendant, mais un certain nombre de professeurs- 
administrateurs pour les diverses sciences naturelles. Il fut institué 
notamment deux chaires de Zoologie, une pour les Vertébrés, une 
pour le reste des animaux, puis une chaire d’Anatomie des animaux. 

Cette dernière fut donnée à un ancien aide de Daubenton, Mer- 
trud, alors âgé de 70 ans. Mais on manquait surtout de zoologistes ; 
aussi offrit-on les Vertébrés au jeune minéralogiste Étienne Geoffroy 
Saint-Hilaire, sous-garde du cabinet du roi depuis quelques mois, et 
les Animaux sans vertèbres à Lamarck. 

Jusque-là, Lamarck s'était presque exclusivement occupé de Bota- 
nique (!). Un document du temps, relatif à la fondation du Muséum, 
insiste sur l’obligeance avec laquelle il accepta de se charger de la 
chaire « Insectes, vers et animaux microscopiques »; c'était, en effet, 
plus des neuf dixièmes du règne animal; et Michelet, qui rapporte la 
chose, dit à ce propos : « c'était l'inconnu : Lamarck accepta l’in- 
connu. » 

À 49 ans donc, il s’attela à la Zoologie des animaux inférieurs, 
qu'il baptisa « Invertébrés ». Il la renouvela de fond en comble; il 
sépara les Mollusques, Vers, Échinodermes et Polypes; il créa les 
groupes Crustacés, Arachnides, Annélides et leur donna ces noms 
que tout le monde emploie aujourd’hui sans trop en connaître le par- 
rain. Après plus de vingt ans d'études, il fit paraître celte Histoire 


(1) Outre sa Flore, qui eut trois éditions en trente-sept ans, il avait fait paraitre, 
en 1793, le Dictionnaire de botanique de l'encyclopédie, puis l’Illustration des 
genres du Règne végétal (2,000 genres avec 900 planches). 


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ANNALES, L (1919). , 51 


naturelle des animaux sans vertèbres, dont la publication dura sept 
années (de 1845 à 1822) et qui, jusqu'au milieu du x1x' siècle, resta 
l'ouvrage fondamental sur celte branche; depuis, personne n’a osé 
entreprendre de le refaire (?). 

Les deux chaires de Zoologie du Muséum étaient donc bien oceu- 
pées par des hommes actifs et vigilants. Mais Mertrud, à cause de 
son grand âge, négligeait de plus en plus sa chaire d'anatomie des 
Animaux. Le jeune Geoffroy reçut, vers cette époque, d’un membre de 
l’ancienne Académie, l’agronome Tessier, des cahiers d'anatomie 
d'animaux marins dessinés et rédigés par le précepteur attaché depuis 
sept ans à la famille protestante d'Héricy, au château de Ficquain- 
ville (près Fécamp). Geoffroy remarqua le soin avec lequel étaient 
faits les dessins de ces anatomies; il imagina d’appeler à Paris ce 
précepteur (de trois ans plus âgé que lui) pour en faire le suppléant, 
puis le successeur de Mertrud. Lamarck et lui l’accueillirent avec la 
plus grande bienveillance, l’introduisirent dans le monde scientifique 
et, en 1795, obtinrent qu'il suppléât Mertrud pour être, dans la 


-_ suite, nommé professeur titulaire : c'était George Cuvier! 


Ici se termine le « prologue » de notre récit. Voilà donc les trois 
personnages réunis au Muséum. Tous trois avaient été destinés primi- 
tivement à la prétrise (Cuvier dans le culte protestant) (?), mais 
embrassèrent une autre carrière également temporaire : Lamarck, 
officier; Geoffroy, étudiant en médecine; Cuvier, précepteur; tous 
trois également étaient fils de pères âgés (*\; ils furent aussi les trois 
plus grands zoologistes du premier quart du xix° siècle. Mais à côté 


(1) En 1842, dans la Biographie Michaud, sous la signature de Jourdan, on lit, 
à propos de cet ouvrage : « On peut prévoir un temps où il perdra le caractère 
classique qui le distingue si éminemment aujourd’hui. Mais du moins demeurera- 
t-il toujours comme un des plus beaux monuments de l’esprit humain » (t. 70, 
p. 24). 

_ (2) Cuvier concourut pour une des bourses instituées en faveur des étudiants qui 
se destinaient à la carrière évangélique. 

(3) A la naissance de son fils, le père de Lamarck avait 42 ans; celui de Cuvier, 
50 ans; les renseignements précis me font défaut pour le père de Geoffroy. On sait 
que la supériorité mentale des fils de parents âgés a été souvent défendue (Roubi- 
novitch, notamment, expose que les hommes remarquables, les individus puissants, 
sont souvent les derniers-nés des parents âgés : Journ. of mental Pathol., vol. VIII, 
n° 5; Lamarck était le dernier-né d’une nombreuse famille). 


58 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


de ces analogies, il y avait entre eux des dissemblances fondamen- 
tales. Elles apparaîtront dans la suite, où l’on verra la doctrine évolu- 
tionniste édifiée par l’un d'eux, appuyée par le second, et opiniâtre- 
ment combattue par le troisième. : 


II. — Lamarck. 


Un usage assez spécial au monde universitaire français consiste à 
publier la première leçon ou « discours d'ouverture » du cours 
annuel. Ainsi fit Lamarck : ses leçons d'ouverture ont été publiées 
chaque année en brochure jusqu’en 1812 (). 

On peut suivre ainsi le développement de la pensée de Lamarck, 
originairement partisan — comme tous les naturalistes de son temps 
— de la stabilité ou de la fixité des espèces. 

C'est dans le discours de 1800 (an VIII) qu'apparaîl pour la pre- 
mière fois l’idée de l’évolution dans le monde organisé. « J'ai long- 
temps pensé, dit-il, qu'il y avait des espèces constantes dans la 
pature », et il ajoute qu’il a changé parce qu'il a constaté leur varia- 
bilité, ce qu’il confirme peu après dans l'introduction du Système des 
animaux sans vertèbres (4801). & 

En 1802, dans ses Recherches sur l'organisation des corps vivants, 
il insiste sur « la relativité de nos connaissances quant à la durée du 
monde, à son étendue, à son apparente stabilité »; la même année, 
il publie son Hydrogéologie, où il défend l'idée de modifications lentes 
de la surface de la Terre. Il décrit aussi, à partir de cette époque, 
les premiers fossiles invertébrés des environs de Paris. Il reconnaît, le 
premier, des espèces éteintes aujourd’hui, différentes des actuelles, 
mais voisines de ces dernières; et il exprime la « présomption très 
probable que les invertébrés fossiles appartiennent à des espèces 
existantes mais qui ont changé depuis autrefois. » 

Dans le discours de 1803 (an XI), il définit l'espèce « la collection 


(‘) Mais la plupart sont devenues d’une rareté extrême : pour celles de 1803 et 
de 1806, on n’en connaît qu’un seul exemplaire. Elles ont été rééditées par Giard 
jusqu’à celle de 1806, en vue de la manifestation du centenaire de la Philosophie 
zoologique (Buzz. Sci. FRANCE ET BELGIQUE, t. XL, 1906). 


ANNALES, L (1919). 59 


d'individus semblables que la génération perpétue dans le même état, 
tant que les circonstances de leur situation ne changent pas assez 
pour faire varier leurs habitudes, leurs caractères et leur forme ». 
Puis il ajoute que « la Nature, par la succession des générations et à © 
laide de beaucoup de temps et d’une diversité lente mais constante, 
dans les circonstances, a pu produire dans les corps vivants de tous 
les ordres, les changements les plus extrêmes et amener peu à 
peu, à partir des premières ébauches de l’animalité et de la végé- 
talité, l'état de choses que nous observons maintenant », c’est-à-dire 
qu'après avoir constaté la variabilité et l’évolution, il cherche à les 
expliquer. | 

Dans le discours de 4806, il expose que la longue observation 
des différents organismes montre que les espèces sont des « races 
mutables »:; et il poursuit : « Si cette vérité n’est pas généralement 
admise, c’est parce que la chétive durée de l'homme lui permet 
difficilement d’apercevoir les mutations considérables qui ont lieu à 
la suite de beaucoup de temps ». 

Il affirme encore que les espèces de chaque période géologique 
descendent directement de celles des périodes précédentes et en sont 
seulement la descendance modifiée. 11 pose cette question : « quel 
arrangement doit être donné à la distribution générale des ani- 
maux pour qu’elle soit conforme à l’ordre de la nature en produi- 
sant ces êtres? » ; il envisage donc la classification généalogique 
ou phylogénétique du règne animal, et arrivera par la suite à 
cette conclusion qu’elle représente une « série rameuse » et non rec- 
tiligne. 

Pendant plusieurs années il médite sans cesse ces questions, en 
continuant l'étude des animaux sans vertèbres vivants et fossiles. 
En 1809, ses idées sont éclaircies et fixées, et il publie sa Philoso- 
phie zoologique. 11 y expose, à force d'arguments patiemment et 
habilement rassemblés, le fait de la variabilité des espèces. Il deve- 
loppe sa doctrine de la descendance ou du transformisme, formulée 
dans les deux lois célèbres où il établit que la conformation des 
des organismes dépend de leur milieu, et que les variations dues à 
l'usage et au non-usage des organes, se fixent par l'hérédité, Il 
décrit même la «lutte pour l'existence », germe de la sélection 


60 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


naturelle de Darwin, et démontre que ce sont les individus les plus 
robustes qui survivent (). 

Sa doctrine est dès lors assez complètement élaborée pour lui 
permettre de donner de la constitution des organismes, maintes 
explications mécaniques, presque prophétiques, que l'avenir a con- 
firmées : par exemple au sujet des poissons nageant sur un côté 
(Pleuronectes), dont il dit que : « recevant toute la lumière d'en 
dessus, le besoin a forcé chez eux un des deux yeux à subir un dépla- 
cement et prendre une situation singulière qu'on connaît aux yeux 
des soles, turbots, etc. » (c'est ce que les observations embryolo- 
giques : Agassiz, etc, ont démontré expérimentalement). 

C'était un livre sans précédent dans l’histoire des sciences natu- 
relles (?). Mais malgré qu’elle sortit tellement des chemins battus, 
la Philosophie zoologique, eut peu de retentissement immédiat : 
Lamarck travaillait silencieusement et dans le recueillement, sans 
provoquer de bruit autour de ses recherches et de ses découvertes. 

La doctrine transformiste et les lois de Lamarck passèrent presque 
inaperçues : l’esprit général de ce temps n’était pas à même de les 


apprécier ni d'en accepter les conclusions. — Bien plus, le monde 


scientifique les accueillit même par des moqueries et d'odieuses 
plaisanteries, ayant pour but de faire rire aux dépens d'un homme 
qui n’était que supérieur à ses contemporains. 

L'exemple venait d’ailleurs d'en haut. Le monde officiel était 


hostile à Lamarck, à commencer par l’empereur. C'est ce dont 


témoigne un incident rapporté par François Arago dans l’histoire de 
sa Jeunesse. Attentif à tous les phénomènes naturels, Lamarck avait 
publié de 4800 à 1809 des « Annuaires » populaires par lesquels il 
cherchait à déraciner les préjugés publics relatifs au temps; il y 


(:) Philosophie zoologique, t. I, p.113: 

(?) Lamarck avait alors 65 ans. On peut trouver ici des nee avec d’autres 
œuvres biologiques marquantes : Geoffroy Saint-Hilaire publia sa Philosophie-anato- 
mique, à 46 ans, son Unité de composition zoologique, à 56 ans, et Darwin, 
l'Origine des espèces. à 50 ans. Mais on se rappellera que pour pouvoir généraliser 
et faire œuvre synthétique en sciences naturelles, il faut un long acquis expéri- 
mental, il faut avoir réuni un nombre énorme d’observations personnelles. Là 
réside la différence avec les sciences mathématiques, où l'on rencontre de multiples 
exemples de précocité. 


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ANNALES, L (1919). 6I 


donnait des probabilités basées sur l'expérience de nombreuses 
années d'observation. C’est à leur propos que surgit l'incident que 
voici : 

Élu à l’Académie des Sciences en 1809, Arago doit être présenté 
à l’empereur- au jour de la réception annuelle de l’Institut. Il se 
trouve au milieu des académiciens qui ont des publications à offrir 
au chef de l’État; après quelques brèves interrogations à plusieurs 
d’entre eux, l'empereur passa à un autre membre de l’Académie. 


- « Celui-ci n'était pas un nouveau venu, dit Arago (!) : c'était un 


naturaliste connu par de belles et importantes découvertes, c'était 
M. Lamarck. Le vieillard présente un livre à Napoléon. Qu'est-ce 
que cela? s’écrie celui-ci. Cest votre absurde météorologie, c’est cet 
ouvrage avec lequel vous faites concurrence à Mathieu Laensberg, 
cet annuaire qui déshonore vos vieux jours. Ce volume, je ne le 
prends que par considération pour vos cheveux blancs. — Tenez! 
et i! passa le livre à un aide de camp. Le pauvre Lamarck qui, à 
chacune des paroles offensantes du brutal despote essayait inutile- 
ment de dire : cest un.livre d'histoire naturelle que je vous pré- 
sente, eut la faiblesse de fondre en larmes ». — D’après la date, 
1809, on peut induire que l’ouvrage était la Philosophie zoologique, 
c'est-à-dire le livre qui devait donner à la France la gloire d’avoir 
été le berceau de la doctrine de l’Evolution. 

Cette réception impériale fut le mot d'ordre d’après lequel on 
apprécia les travaux de Lamarck. 

Or, après la publication du premier annuaire météorologique, le 
ministre de l'Intérieur, Chaptal, avait établi une Correspondance 
météorologique, dont il confia la direction à Lamarck, qui n’eut pour 
cela ni traitement ni indemnité. Par l’organisation de cette cor- 
respondance météorologique, ce dernier a préludé à la constitution 
du Bureau central actuel; tous les collaborateurs-correspondants 
recevaient en effet une instruction détaillée, rédigée par Lamarck (*) 
et des instruments d'observation identiques. 

Mais en 4809, Chaptal n’était plus ministre et ne pouvait défendre 


(!) ARAGO, Histoire de ma jeunesse, t. 1 des Œuvres de F. Arago, Paris, 1854. 
(2) Journal de Physique, 1800. 


62 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Lamarck. Et ce dernier rapporta lui-même, quelques années après, 
d’une façon sobre et discrète, les conséquences de l'accueil impérial : 
à l’article « météorologie » du Dictionnaire d'histoire naturelle de 
Déterville (!), il écrit : « On persuada au chef du gouvernement que 
l'auteur, membre d'un corps généralement considéré, faisait des 
« almanachs », des «x prédictions », etc., ce qui était évidemment 
inconvenable, — L'auteur de l'annuaire en fut averti par une per- 
sonne qui s'intéressait à lui particulièrement. Effectivement, il ne 
fut pas longtemps sans apprendre de la bouche même de celui qui 
gouvernait alors, son mécontentement positif sur une entreprise qui 
n’avait cependant d'autre objet que l'étude des météores. Chose 
étrange, l’auteur, en tout soumis aux lois, n’écrivant point sur la 
politique et ne s’occupant que des études de la nature, se vit forcé 
de cesser sur le champ toute publication de ses observations sur 
l'atmosphère. Accoutumé depuis longtemps à céder à la nécessité, 
il se soumit en silence et continua d'observer, mais d'observer pour 
lui seul. Il faut avoir la puissance pour faire le bien, et trop souvent 
ceux qui la possèdent l’emploient à l'empêcher ». 

Ces faits étaient donc bien connus, et, comme on le lit dans la 
Biographie Michaud (t. 70, p. 20), « Cuvier dissimula une partie 
de la vérité en disant que Lamarck a renoncé à son travail stérile, 
dégoûté de voir: les événements ne jamais répondre à ses prédictions». 
Quoi qu’il en soit, Lamarck cessa la publication d'observations météo- 
rologiques; il se cantonna dans l'étude des collections du Muséum, 
dans la préparation de son Histoire naturelle des animaux sans 
vertèbres et dans ses leçons du Muséum, 

Il eut comme auditeurs à ses cours, non seulement des étudiants 
français, mais des étrangers. Parmi les premiers, tous ceux qui 
occupèrent dans la première moitié du xix° siècle, des situations 
importantes dans l’enseignement supérieur, au Muséum, à l'Institut : 
de Blainville (rival et successeur de Cuvier), Flourens (physiologiste, 
qui fut comme Cuvier, de l’Académie des Sciences et de l’Académie 
française), Audouin, Deshayes, Bibron, Lamouroux, Desnoyers, 
Constant Prévost, etc.; mais il avait aussi d’autres auditeurs que des 


(1) T. XX, p. 476, 1818. 


ANNALES, L (1919). : 63 


naturalistes professionnels; et le plus célèbre de ceux-là est certaine- 
ment Sainte-Beuve, alors étudiant en médecine et interne à l'hôpital 
St-Louis. Son appréciation sur ce cours est évidemment intéressante 
et impartiale, puisqu'il n'était pas engagé dans la controverse évolu- 
tionniste. Or on la trouve formulée dans son roman Volupté (\); il y 
dit : «Je fréquentais plusieurs fois par décade, au Jardin des Plantes, 
le cours d'histoire naturelle de M. de Lamarck; cet enseignement 
avait pour moi un attrait puissant par les graves questions primor- 
diales qu'il soulevait toujours, par le ton passionné et presque dou- 
loureux qui sy mélait à la science. M. de Lamarck était dès lors 
comme le dernier représentant de cette grande école de physiciens 
et observateurs généraux qui avait régné depuis Thalès et Démocrite 
jusqu’à Buffon. Sa conception des choses avait beaucoup de sim- 
plicité.… [1 construisait le monde avec le moins d'éléments, le moins 
de crises et le plus de durée possible. Selon lui, les choses se pré- 
sentent d'elles mêmes, toutes seules, par continuité ». Ailleurs, dans. 
ses Portraits littéraires (*), parlant de sa propre formation intellec- 
tuelle, il dit : « J'ai commencé par le xvin° siècle le plus avancé, par 
Tracy, Daunou, Lamarck et la Physiologie : là est mon fonds véri- 
table ». 

Enfin, parmi les auditeurs étrangers, il y avait comme italien, 
Bonelli (futur professeur à l’Université de Turin et directeur du 
Musée de cette ville), et comme belge, le célèbre géologue d'Omalius 
d'Halloy, sur lequel l’enseignement de Lamarck exerça une influence 
profonde (voir plus loin). À 

Mais par l'usage continu de la loupe et du microscope, la vue de 
Lamarck allait en s’affaiblissant ; et dès 1819, il fut atteint de cécité 
complète. 

Sa vie fut ainsi traversée par de multiples déconvenues succes- 
sives : sa carrière militaire brillamment commencée, fut brisée par 
un accident; sa carrière botanique qui lui avait donné une enviable 
notoriété, fut brusquement interrompue à un âge où l’on n’aborde 
généralement pas une nouvelle orientation; la dernière période de 


(:) Bruxelles, Hauman & Cie, 1835, t. I, p. 227. 
(2) T. II, p. 545. 


64 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


PP DEP ET LR ERT PRE A 


son existence, plus féconde encore que là précédente, fut marquée 
par l’insolent affront que lui fit à lui, vieillard de 65 ans, un empe- 
reur de 40 ans, et qui eut le caractère et les conséquences d'une 
disgrâce,; enfin un malheur naturel, la cécité, vint augmenter les 
difficultés de sa carrière scientifique et assombrir les dernières 
années de sa vie. 


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Lamarck aveugle. 


C'est alors que, pour achever son Histoire naturelle des animaux 
sans vertèbres (terminée en 1822 seulement), il trouva l'aide de sa 
fille ainée Cornélie, ainsi que pour les recherches nécessaires à tous 
ses derniers travaux; ce fut elle, en outre, qui contribua à lui 
conserver son courage et sa sérénité d'esprit, en le persuadant que 
l'avenir lui rendrait justice. 


ANNALES, L (1919). 65 


Lamarck assista aux séances de l’Institut jusqu'en 1825 ; au 
Muséum, il n’interrompit jamais ses fonctions : il continua ses leçons 
et assista aux réunions administratives des professeurs jusqu’en 
juillet 1828. Sa mort survint lan d’après. 

Il acheva son existence, aveugle, méconnu et délaissé ; et en 
outre, ses dernières années se passèrent dans la gêne : il avait une 
nombreuses famille dont il lui restait deux filles, et n'eut jamais 
d’autres ressources que son traitement du Muséum (5,000 francs). 
Son désintéressement absolu apparut une fois de plus lorsque en 
1809 lui fut offerte la nouvelle chaire de zoologie de la Faculté des 
Sciences : il avait alors 65 ans, et déclina l'offre à cause de son 
grand âge, permettant ainsi à son jeune ami Geoffroy d'entrer à la 
Sorbonne. 

Il mourut pauvre; et après lui, sa fille aînée ne trouva, pour 
subvenir à ses besoins, que le maigre salaire qu'on lui donna au 
Muséum, pour attacher sur des feuilles d’herbier, les plantes séchées 
dont les étiquettes étaient souvent écrites de la main de son père ! 

C'est à propos de ce délaissement de Lamarck, et de cette 
détresse de ses filles, que la Revue des Deux-Mondes, recueil 
cependant toujours très modéré dans l'esprit comme dans la forme, 
a publié en 1873 (!), les sévères lignes suivantes : « Les amis de la 
science que sa réputation comme zoologiste et comme botaniste 
altirait auprès de lui, voyaient ce délaissement avec surprise; il leur 
. semblait qu'un Gouvernement éclairé aurait dû s'informer avec un 
peu plus de soin de la position d’un vieillard qui avait illustré son 
pays. Mais les gouvernements, on le sait, réservent leurs faveurs 
pour d’autres services et la misère d’un vieux savant aveugle à 
rarement droit à leur sollicitude »; parlant des filles de Lamarck, 
l'auteur ajoute : «Filles d’un ministre ou d’un général, les deux 
sœurs eussent été pensionnées par l'État; mais leur père n’était 
qu'un naturaliste honorant son pays dans le présent et dans l'avenir: 
elles devaient être oubliées et le furent en effet ». | 

Les funérailles de Lamarck furent simples et modestes : on n'y 
entendit que deux discours, de ses amis Latreille et Geoffroy, 


(:) Sous la signature de Ch. Martins, Professeur de Botanique, à Montpellier. 


Ann. Soc. Zool. et Malac. Belg., t, L. 


66 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


respectivement au nom de l'Institut et du Muséum. Et alors que les 
restes de Darwin sont à Westminster, les ossements de Lamarck 
sont perdus et n’ont pu, comme on l’eut souhaité, être transportés 
en 1909 au Panthéon. Le décès de Lamarck n'occasionna guère 
d'émotion publique; la presse n’en fut pas occupée. Un seul journal 
spécial, Le Lycée (), donna un article malheureusement non signé, 


mais certainement de quelqu'un de compétent, à propos de la dispa- 


rition presque simultanée de Vauquelin et de Lamarck : 

« Vauquelin était professeur de chimie au Muséum et membre de 
la section de Chimie à l’Institut ; et Lamarck, membre de la section 
de.Botanique à l’Institut et professeur de Zoologie au Muséum. Le 
premier, élevé à ombre toute puissante de Fourcroy, fut investi de 
toutes les dignités dans lesquelles Fourcroy dédaigna de descendre ; 
le second ne brilla que de son propre éclat et ne tint sa place que de 
son talent. Celui-là cultiva la science et la fortune à la fois; celui-ci, 
debout chaque jour pour la science, dès 3 heures du matin, oublia 
la fortune et vécut oublié du pouvoir. Peu façonné à l'intrigue et 
au ménagements de l'ambition, il a exprimé ses grandes vues avec 
hardiesse et sans les accomoder aux goûts des pouvoirs divers qui 
ont passé devant lui; il lutta contre des adversaires qui, devenus 
plus puissants que lui, ont semblé l’éclipser de l'éclat que leur 
prétaient le journalisme et les faveurs ministérielles; mais ses 
opinions, d’abord ridiculisées, reprennent faveur, aujourd'hui qu'on 
les juge loin des ministères ». 


III. — Geoffroy Saint-Hilaire. 


Geoffroy, nommé professeur en même temps que Lamarck, était 
plus jeune de %8 ans; il n'arriva naturellement qu'après lui à 
former ses vues et à édifier ses idées générales. En outre, des 
missions en Égypte et en Portugal, qui lui échurent comme au plus 
jeune »oologiste du Muséum, l'absorbèrent pendant un certain 


temps. 
Avant lui, on n'avait fait que de l « anatomie des animaux »; et 


(1) Le Lycée, Journal général de l’Instruction publique, t. IV, 1829. 


3 ANNALES, L (1919). 67 


c'était même là, au Muséum, le titre primitif de la chaire de 
Mertrud et puis de Cuvier. Geoffroy, le premier, établit le prin- 
cipe « mêmes organes, mêmes connexions » ; il fut ainsi le créateur 
de l'anatomie comparative. : 

Dans sa Philosophie anatomique (1818), la première partie est 
consacrée à l'étude des parties squelettiques de l'appareil respi- 
ratoire des vertébrés et des régions voisines; par cet ouvrage, 
comme on le reconnaissait déjà de son temps en Angleterre (Leach), 
il ouvrit les voies nouvelles conduisant à la véritable anatomie com- 
parée. | 

Puis il étudia systématiquement les variations extrêmes dénom- 
mées monstruosités (1822); il fut le premier législateur de la 
Tératologie; il y chercha et trouva, dans les modifications que les 
organes subissent chez les monstruosités, des éclaircissements sur 
leur valeur et leurs correspondances, c’est-à-dire sur leur morpho- 
logie. 

Enfin il énonça (1828) le principe de l” « unité de composition 
zoologique » (unité de plan ou de constitution du règne animal), 
impliquant l'unité d’origine; et si le mot ne fit pas fortune, le fait et 
l’idée sont restés. 

Geoffroy arrivait donc à la conception évolutionniste par des 
voies personnelles un peu différentes, mais il bénéficia des vues et 
des idées de Lamarck. Comme ce dernier, il reconnut la variabilité 
et la transformation des espèces, en se basant surtout sur l’action 
modificatrice du milieu ('), plus encore que sur l'usage et le non 
usage des organes, du moins en apparence. Car si d'une part, il dit : 
« les organes sont tels parce que, à cause des circonstances dans 
lesquelles vit l'animal, il ne peuvent être autrement », d'autre part, 
développant l’idée de Lamarck, il exprime cet aphorisme (souvent 
attribué à Claude Bernard) « c’est la fonction qui crée l'organe », 
c'est-à-dire que c’est le fonctionnement [usage ou non) qui, en 
modifiant peu à peu les organes, transforme les organismes eux- 
mêmes. | 


(1) Mémoire sur le degré d'influence du monde ambiant (Mém. AcaD. Sc., 
Paris, t. XII, 1831). 


68 à SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 
:IV. — Cuvier. 


Cuvier, de son côté, dans la première phase de sa carrière, 
s'occupa de l'anatomie des animaux invertébrés actuels. Avant lui, 
on avait surtout examiné l'anatomie des vertébrés; lui, un des pre- 
miers, étudia celle des animaux inférieurs et contribua activement 
à l’enrichir. Mais il ne fit en cela, rien que de l’anatomie descriptive 
et nullement comparative. 

Dans le même esprit, il aborda la paléontologie — deux ans 


toutefois après que Lamarck eut commencé à décrire les invertébrés 


fossiles. Cuvier fit connaître, à partir de 1804, les « ossements fos- 


siles des environs de Paris », procédant aussi par monographies 


purement descriptives. 
Enfin, tout comme Lamarck, mais encore dix ans après lui, il 


s'attaqua à la géologie et eut sa « théorie de la Terre », dans son 


célèbre « Discours sur les révolutions de la surface du globe (1812), 
son chef-d'œuvre littéraire, dont le titre indique suffisamment la ten- 
dance : pas d'évolutions, mais des « révolutions » de la surface du 
globe ! 

Contrairement aux esprits synthétiques de Lamarck et de Geoffroy, 
Cuvier fut un esprit purement analytique. Il prétendit avoir pour 
système : « des faits, pas de théories ». Cette absence de théories ou 
cette doctrine négative ne le mit d’ailleurs pas à l’abri d'erreurs 
graves, même au sujet d'animaux qu'il avait le plus étudiés : les 
Céphalopodes, notamment, dont il prit l'hectocotyle (bras modifié à 
l'époque de l’accouplement) pour un vers parasite ! (). 

Contrairement à Lamarck et à Geoffroy, déterministes avant que 
le mot fût créé, Cuvier était complètement finaliste (bien que le fina- 
lisme fût aussi une « théorie ») : pour lui, chaque être est constitué 
en vue des circonstances au milieu desquelles il est destiné à vivre; 
chaque organe a une structure appropriée d'avance à la fonction 
qu'il est « appelé à remplir ». 

Cuvier est de même traditionaliste : pour lui, « Aristote a placé 


(1) C’ est Dujardin le premier qui vit clair à leur sujet : T Histoire naturelle des 
Helminthes, p. 452, 1845. 


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ANNALES, L (1919). 69 


la science sur une base qu’il n’est aujourd’hui donné aux zoologistes 
dignes de ce nom, que d'élargir ». 

Contrairement à Lamarck et à Geoffroy, qui, chez les animaux 
différents, recherchent les homologies ou les parties correspondantes 
dans les divers organes, Cuvier n’aperçoit, dans les formes plus ou 
moins voisines, que les différences. Il voit partout des hiatus, des 
- solutions de continuité; il adopte une « théorie de types », c’est- 
à-dire une distribution du règne animal en un certain nombre de 
types, entre lesquels toute comparaison serait impossible. 

Pour Cuvier, un animal n’est pas le résultat du « développement » 
(transformation évolutive) d'un autre ; il soutient la doctrine négative 
de l’invariabilité des espèces : il est, pour ces dernières, « réaliste », 
contre Lamarck et Geoffroy, « nominalistes ». Et, aussi bien 
qu'entre les espèces contemporaines, il prétend qu'il y a discontinuité 
entre celles des époques géologiques consécutives; pour lui, il ya 
eu « disparition des faunes successives, attribuable à des catastrophes 
subites se reproduisant périodiquement (Cuvier et son école en ont 
compté jusque 28) et détrüisant les populations entières » ; d'où sa 
doctrine négative : pas d'évolution, des « révolutions du globe ». 

_ De sorte que, dans les diverses directions : anatomie, paléonto- 
logie, géologie, ce fut toujours chez Cuvier une même idée précon- 
çue, l’idée de discontinuité, par opposition à l’idée de continuité, 
caractérisant les conceptions de Lamarck, et que l’on a vue si exacte- 
- ment relevée par Sainte-Beuve. 

On peut s'étonner de ce que trois hommes ayant passé loute leur 
existence dans le même milieu scientifique, se livrant aux mêmes 
études spéciales, dans le même établissement, pour ainsi dire sur les 
mêmes matériaux, aient pu arriver à des concéptions tellement 
opposées. Et comme Geoffroy et Cuvier sont entrés Lrès jeunes au 
Muséum, il doit y avoir là une cause tenant à leur éducation pre- 
miêre. | 

Pour Cuvier, peut-être la rigueur de son protestantisme un peu 
étroit, y est-elle pour quelque chose, puisqu'elle lui fit toujours 
défendre la lettre de la tradition biblique. Mais il semble que c’est 
essentiellement la mentalité germanique, due à son éducation géné- 
rale première, 


70 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


En effet, il est né à Montbéliard (près de la frontière suisse et de 
Belfort), localité qui ne fut incorporée au territoire français qu'après 
les guerres de la Révolution. Lors de la jeunesse de Cuvier, cette 
ville se trouvait dans une petite principauté appartenant au Duc de 
Wurtemberg (!). 


C'est donc une éducation allemande qui fut donnée à Cuvier, à 


Montbéliard j et à l’âge où l'intelligence reçoit les impressions les 
plus profondes, il fit (de 14 à 18 ans), ses études à l’Académie 
Caroline de Stuttgart, dans la section où l’on enseignait les sciences 
naturelles; il y acquit cette tournure d'esprit germanique qu'il con- 
serva toute sa vie. 


Or les savants allemands excellent le plus souvent dans les travaux 


de compilation, où ils rassemblent mécaniquement tout ce que l’on 
connaît sur un sujet plus ou moins étendu. Ils produisent ainsi de 
gros Lehrbüchern où tout est énuméré, sans toujours bien distinguer 


entre l'essentiel et l'accessoire : livres inutiles aux spécialistes et. 


surtout terribles pour les débutants, qu’ils rebutent et déroutent. 

De même dans leurs travaux zoologiques personnels : la tradition 
allemande est, de plus en plus, de prendre une espèce animale ou 
un organe, au hasard des circonstances, et de l’étudier « complète- 
ment » sans idée directrice, sans faire le départ entre ce qui est 
important ou non au point de vue des conceptions générales, entre 
ce qui a une signification ou n’en a pas, pour arriver comme résul- 
tat final, à trouver, par exemple, une fibre, une cellule, un détail 
histologique, que personne n'avait vu auparavant, mais sans savoir 
si cette fibre ou cette cellule prouve quelque chose. C'est ce genre 
de mentalité qui A pRRESIE dans presque toutes les œuvres de 
Cuvier. 

D'où vient donc, alors, que ce dernier, avec une largeur de vues 
manifestement moins grande et une moindre ouverture d'esprit que 
ses rivaux, eût de son temps, sur les idées régnantes et sur l'opinion 
publique, l'influence prépondérante? C’est là une question de tempé- 
rament : il possédait les « qualités » d'homme d’affaires, celles qui 


(!) Certains atlas allemands récents orthographient encore le nom a de: cette localité 
dans sa forme germanisée : Münpelgard. 


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ANNALES, L: (1919). 71 


mènent à la conquête des situations et des influences, et qui man- 
quaient à des hommes exclusivement occupés de travaux RAqUES, 
comme ses deux émules. 

Contrairement à ceux-ci, Cuvier rechercha dès l'origine le contact 
des puissants et l’exercice de nombreux cumuls dans divers domaines, 
avec une persévérance et une âpreté qui le firent arriver à un pouvoir 
tel, qu'il lui donna en quelque sorte le monopole de la direction du 
monde scientifique de son temps. : 

Il est presque difficile d'énumérer toutes les situations qu'il occupa, 
à peu près simultanément : suppléant au Muséum en 1795 et titu- 
laire en 1802, il était entretemps professeur à l'Ecole centrale 
du Panthéon (1795 à 1800); au Collège de France, il faisait dès 
1799 le cours d'histoire des Sciences, et était encore professeur à 
|’ « Athénée ». Dans l'Administration de l’Instruction publique, il 
fut nommé : Inspecteur général en 1801, Conseiller de l’Université 
en 1808, Président du Comité de l’Instruction publique au Minis- 
tère, et Grand Chancelier de l’Université, en 1820, avec un pouvoir 
sans contrôle sur l’enseignement public; en 1824, il est Directeur 
au Ministère de l'Intérieur. Au Conseil d'État, il gravit tous les 
échelons, Maître des Requêtes en 1813, Conseiller en 1814, Prési- 
dent de la Commission de l’Intérieur en 1819; il est envoyé en 
mission en Italie et en Allemagne (1809 à 1813) pour constituer des 
universités et des lycées ; il est Commissaire du Gouvernement auprès 
de la Chambre, en 1816 et en 1820, pour y défendre des lois élec- 
torales et des lois sur l'instruction publique. En 1818, le roi lui 
offre le Ministère de l'Intérieur ; en 1827, il est nommé censeur. 
Membre de l’Institut (Académie des Sciences) en 1796, il en est 
Secrétaire temporaire (1800) et siège au bureau à côté de Bonaparte 
avec lequel il se lie étroitement {et qui en 1814, projette de lui confier 
l'éducation du petit roi de Rome); Secrétaire perpétuel en 1809, il 
est élu membre de l’Académie française en 1818 : c’est lui qui reçoit 
Lamartine et réplique à son discours (1830). En lui répondant, 
il lui adresse des remontrances qui, dans sa bouche d'homme de 
science, chaque jour plus occupé de politique et d'administration, 
sont d'une ironie intense : il lui reproche de ne pas s'occuper exclu- 
sivement de poésie, « de négliger, pour des occupations d’un intérêt 


T2 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


plus immédiat, ce devoir d’un ordre tout autrement relevé et dont 
les poètes doivent compte à l'humanité entière » (1. ; 

Parcourant tout le cycle de l’Institut, Cuvier fut même élu 
membre de l’Académie des Inscriptions (1830), où il occupa le 
fauteuil qui fut plus tard celui de Didot et de Nisard. Créé baron 
par la seconde Restauration, il fut fait Grand Officier de la Légion 
d'Honneur et Pair de France, par Louis-Philippe (1831). 

Ce cumul de fonctions n'allait pas sans cumul de traitements : le 
total de ceux-ci arrivait à la somme énorme (pour le commencement 
du siècle passé) de 40,000 francs. 

Cuvier alliait à un savoir incontestable, du savoir-faire et ce qu’on 
a appelé du « faire savoir », usant de la presse qui commençait à 
constituer le « quatrième pouvoir ». En outre, il atteignait et relenait 
l’attention du grand public, parce qu'il étudiait les ossements fossiles 


de gros animaux, plus proches de l’homme et plus familiers, tandis 


que Lamarck n'avait fait connaître que des invertébrés fossiles, 
ayant moins d’attrait pour la foule, parce que plus distants de 
l’hommé (°). ; À 
Ainsi Cuvier bénéficiait dans le monde extra-scientifique, poli- 
tique et administratif, où il était gros personnage, du prestige de 


(:) Lamartine était entré dans la « carrière », et après avoir été secrétaire 
d’Ambassade à Naples, puis chargé d’affaires à Florence, il venait d’être désigné 
comme ambassadeur auprès du nouveau roi de Grèce : Léopold de Saxe-Cobourg. 
Il est piquant de constater que douze ans plus tôt, on avait dit exactement la même 
chose à Cuvier lui-même, dans la même circonstance : le jour de sa propre réception 
à l’Académie française, de Sèze, qui lui répondit, lui adressa les paroles suivantes : 
« Vous le dirai-je, Monsieur, et votre gloire me le pardonnera-t-elle? Je regrette 
presque ces derniers succès si nouveaux pour vous; je redoute leur séduction : je 
crains qu’ils n’aient la puissance de vous enlever à cette belle carrière des sciences 
naturelles où vous avez si peu de rivaux ». Mais le conseil venait trop tard. 

(2) Le jugement suivant d’un de ses contemporains, contribue à expliquer 
l'influence prépondérante de Cuvier sur l'esprit du monde non scientifique : 
« Esprit pénétrant, il parut capable de tout; mais n’aborda jamais aucune difficulté 
sérieuse pour la résoudre. Il savait choisir tout ce qui se prêtait à une exposition 
rapide et facile; éloignant avec soin toutes les difficultés, et ne les laissant même 
pas soupçonner à ses lecteurs. Il écrivait le plus souvent pour ceux qui lisent, mais 
non pour ceux qui étudient. (DE BLaiNviLce et MaAuPpiep, Histoire des sciences de 
l'organisation, t. III, p. 409, 1847.) à 


4 


dE ds - al dite ER 


ANNALES, L (1919). 73 


sa notoriété scientifique, et d'autre part, dans le domaine scientifique, 
il bénéficiait et abusait de sa situation et de son influence politique 
et administrative. De part et d'autre, il donna cours à son caractère 
autoritaire ; et l’autorité de Cuvier fit bientôt, de toutes ses opinions, 
une loi. Il finit par se croire, de très bonne foi, supérieur à tous 
ses collègues, et exerça pendant un quart de siècle, une véritable 
dictature (dans les nominations aux Facultés des Sciences, au 
Muséum, etc., et dans les élections de l’Institut). 

On peut se demander comment, avec des fonctions si nombreuses, 
il avait encore du temps pour le travail scientifique. 

En effet, les mardi, jeudi et samedi matin, il avait Conseil d’État ; 
les mercredi et vendredi matin, Conseil des Universités: le lundi, 
Secrétariat de l’Académie des Sciences. Et un biographe qui lui était 
cependant sympathique a pu dire de lui : «Il consacra aux plus 
stériles discussions du Conseil d'État les plus belles années de son 
génie » (!). 

Il avait certainement beaucoup d'ordre et de la méthode dans la 
distribution de son temps: en outre, le bâtiment du Muséum qu'il 
habitait, lui permettait de consacrer une salle spéciale à chacune de 
ses fonctions, de façon à pouvoir tout laisser au point où il inter- 
rompait son travail et reprendre celui-ci aisément. 

Mais tout cela eût été insuffisant sans la multitude de collabora- 
teurs scientifiques dont il utilisait les services (*). Grâce à tous ces 


(1) Article reproduit dans le Magasin Pittoresque de 1845, p. 19. 

(2) Parmi ceux que l’on connait, on peut citer Laurillard, son « pays » (de Mont- 
béliard) qui lui fit ses préparations anatomiques et celles des squelettes fossiles, 
ainsi que les dessins de toutes les figures des Ossements fossiles et de 360 planches 
d'anatomie comparée, et qui collabora encore à la 2 édition des Leçons d'anatomie 
comparée ; de Blainville qui lui fit quantité de dissections, surtout de gros animaux, 
pour ses ouvrages d'anatomie ; Rousseau, garde des galeries d'anatomie comparée, 
qui en dehors de son service au Muséum, préparait et montait des squelettes pour 
les recherches de Cuvier; Duvernoy (son parent et son « pays » également) et 
Duméril, qui rédigèrent entièrement les Leçons d'anatomie comparée (1r* édition : 
5 volumes, 1800 à 1805; les trois premiers volumes par Duvernoy); Latreille e7 
Audouin, qui collaborèrent à la rédaction du Règne animal (4 volumes, 1817); 
Brongniart, qui fut son collaborateur pour l’Essai d'une géographie minérale des 
environs de Paris (1810), et pour la Description géologique des environs de Paris 
(1822), dont il peut revendiquer li plus grande et presque l’unique part; Valen- 


74 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


collaborateurs, malgré ses fonctions multiples, Cuvier fit paraître 
sous son seul nom, en moins de 35 ans, 237 travaux, rien que dans 
les recueils périodiques, sans compter les mémoires en collaboration 
et les gros ouvrages parus à part (par contre, toute la liste biblio- 
graphique de Lamarck, pour 50 années, ne renferme que 64 numéros). 

La façon dont Cuvier se comporta vis-à-vis de certains de ses 
collaborateurs et de ceux qui lui rendirent service, ne donne pas de 
son caractère, une très haute idée. 

Pendant des années, il eut comme collaborateur gracieux pour 
l’anatomie des gros animaux dont il était dégoüté, de Blainville, qui 
écrivait à leur sujet : «je m’y vautrais pour lui»; or, dans ses 
rapports annuels ultérieurs, Guvier évitait systématiquement de citer 
les écrits de de Blainville. | 

Rousseau, préparateur au temps où Cuvier arrivait à Paris, lui 
prêtait pour les étudier, les squelettes qu'il préparait et montait; 
dans la suite, Cuvier, devenu son chef, le traitait durement, exigeant 
des besognes irréalisables : «c'est un tyran, disait Rousseau, qui 
exige trop de choses à la fois. Il n’était point ainsi, lorsque, petit 
garçon, il venait me demander de lui prêter les os que je grattais 
pour les étudier, et que j'avais 2,000 francs d’appointements et lui 
rien du tout. » 

Il agit de même vis-à-vis de Geoffroy et de Lamarcek, qui le firent 
venir à Paris, l’y accueillirent, l’y aidèrent et favorisèrent de toute 
façon ses débuts : Geoffroy en le logeant chez lui, Lamarck en lui faci- 
litant ses premières publications dans le Journal d'histoire naturelle 
et en appuyant les démarches de Geoffroy pour le faire entrer au 
Muséum. En effet, Cuvier était de l’Institut dès 1797 et n’y favorisa 
pas l'entrée de Geoffroy : les présentations dépendaient des sections 
spéciales, et Cuvier était de la section de Zoologie, tandis que 
Lamarck était de la section de Botanique; or, dans la section de 
Zoologie, Richard passa avant Geoffroy, qui ne fut élu qu'en 1807. 
Au contraire Guvier fit tous ses efforts dans la suite, pour faire 


ciennes, collaborateur de l'Histoire naturelle des Poissons (22 volumes : 1828 et 
années suivantes), dont le nom figure sur le titre à côté de celui de Cuvier; enfin 
Lamarck lui-même l’aida pour des rapports où Cuvier était incompétent, 


ANNALES, L (1919). 79 


passer ses parents Frédéric Cuvier et Duvernoy. Geoffroy avait aussi 
créé la ménagerie du Muséum et la dirigeait depuis 40 ans, lorsqu'on 
la lui enleva pour en donner la direction au frère de Guvier. 

Dans son enseignement au Collège de France (!) et dans ses rap- 
ports annuels, Cuvier accabla de ses moqueries le style de Geoffroy, 
et de critiques malveillantes, les travaux de Lamarck : il qualifiait 
ces derniers de rêveries, leur refusant l'originalité et les prétendant 
des plagiats de prédécesseurs, disant à leur propos : « Un pareil 
système, appuyé sur de pareilles bases, peut amuser l'imagination 
d’un poète, un métaphysicien peut en dériver toute une génération 
de systèmes, mais il ne peut soutenir l'examen de quiconque a dis- 
séqué une main, un viscère ou seulement une plume ». 


Chargé par l’Institut, à la mort de Lamarck, de l’éloge funèbre du | 


défunt, qu'il faisait passer pour fou de son vivant, il inaugura ce 
qu'on a appelé, depuis, les « éreintements académiques »; il fut à 
cette occasion en conflit avec l’Institut où le Comité n’en autorisa pas 
la lecture et y exigea des changements que Cuvier refusa; on a 
retrouvé le premier brouillon de Cuvier et plusieurs copies succes- 
sives avec ratures, suppressions, etc. Et ce n’est qu'après la mort de 
Cuvier lui-même, qu’une version édulcorée fut autorisée, lue le 
26 novembre 1832 (par le baron Sylvestre, agronome) et publiée 
enfin en 4835 (*). à 

Au sujet de son caractère, des accusations plus graves ont même 
été portées contre lui : il aurait détruit des ossements fossiles favo- 
rables « aux idées de variabilité des espèces » ; cependant cela paraît 
exagéré. Mais en tout cas, d’après Constant Prévost, Cuvier n'aurait 
pas eru à cette fixité dont il se faisait l’apôtre : dans la correspon- 
dance de Lyell (*), celui-ci rapporte en effet, que Prévost lui avait 


(1) Histoire des sciences naturelles, publiée en 1841, par Saint-Agny. 

(2) Cuvier, Éloge de M. de Lamarck (Mém. Acan. Sc. Paris, t. XIII, 1835). 
« Ce travail ne paraît pas avoir été dans une direction convenable pour la science, 
puisque le comité de lecture proposa des changements auxquels M. Cuvier se refusa ; 
ce qui fut cause que ce discours ne fut lu qu'après la mort de son auteur, par 
M. Sylvestre, et à ce qu’il paraît, assez fortement tronqué : il ne peut donc fournir 
d'éléments sûrs ». (De BLainvirre et Maurren, Histoire des sciences de l'organisa- 
tion, t. III, p. 342, 1847.) | 

(5) Lettres à Darwin, p. 434. 


76 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


dit que « Guvier ne croyait pas à la réalité des espèces, mais que la 
science ne pouvait avancer sans supposer qu'elles le sont » (!). 


V. — La dernière escarmouche. 


Lamarck dédaigna toujours de répondre à l'hostilité et aux 
attaques de Cuvier; il évita de perdre en polémiques stériles, un 
temps précieux, dû à des recherches nouvelles, 

Pendant longtemps, Geoffroy fit de même (*). Mais un jour, il 
releva le gant; voici dans quelles circonstances. 

L’attrait des leçons de Lamarck a été célébré par Sainte-Beuve; 
de même les leçons de Geoffroy portèrent sa renommée jusqu’au 
dehors du monde scientifique proprement dit. H. de Balzac, qu'il eut 


(:} Le caractère de Lamarck et de Geoffroy était par contre bienveillant et géné- 
reux; dans son éloge de Lamarck (Moniteur universel, 1829, p. 1941), Latreille 
dit: « Ce savant qui m'offrit un asile dans l'établissement où il était professeur, qui 
ne cessa de m’encourager dans la même carrière, qui me fraya la route qui devait me 
conduire à l’Académie des Sciences, qui m’assimila par sa bonté et sa confiance à 
ses propres enfants, enfin qui a été pour moi, depuis trente ans, le plus tendre et le 
meilleur des pères. » Quant à Geoffroy, il était aussi chevaleresque que désintéressé ; 
il sauva en août 1792, l'abbé Haüy, le célèbre minéralogiste, arrêté et incarcéré, 
et obtint en sa faveur, l’intervention de Daubenton et de l'Académie des Sciences ; 
la nuit du 2 septembre, à l’aide d’une échelle, et au prix d'une balle dans ses 
habits, il sauva douze ecclésiastiques ; il donna asile au poète Roucher, et pendant 
les troubles de juillet 1830, il cacha chez lui jusqu’au 14 août, l’archevèque de 
Paris de Quelen. Il servait en s’oubliant, tous les membres de la grande famille 
scientifique, au point qu'un ministre lui écrivait: « Vous voulez partout pour 
autrui, non pour vous. C’est repousser ce qui va le plus naturellement à vous ». 

(2) Il n'est pas sans intérêt de rappeler ici qu’un grand physicien, A.-M. Ampère, 
ripostait à sa place. Ampère, partisan de l'unité de composition, telle que l'avait 
formulée Geoffroy de Saint-Hilaire, publia à ce sujet un article sans nom d'auteur : 
tome II des ANNALES DES SCIENCES NATURELLES (Considérations philosophiques sur la 
détermination du système solide et du système nerveux des animaux articulés, 
p. 295 à 310, 1824). — Lorsque dans son cours au Collège de France, Cuvier 
attaquait les idées de Geoffroy de Saint-Hilaire, Ampère était parmi ses auditeurs. 
La même semaine, il répondait à Cuvier dans son propre cours de Mathésiologie, et 
comme il avait parmi ceux qui l'écoutaient, Frédéric Cuvier, celui-ci communiquait 
à son frère les critiques d'Ampère. George Cuviér répliquait la semaine suivante et 
ainsi de suite (on peut retrouver trace de cette polémique dans la biographie écrite 
par Sainte-Beuve, en tête de la seconde édition de Ampère, Essai sur la philosophie 
des sciences, t. 1[, p. LI, Paris, Bachelier, 1843). 


ANNALES, L (1919). 77 


parmi ses auditeurs, garda aussi une impression profonde de l’ensei- 
gnement de ce maître, puisque, en tête de son célèbre roman « Le 
Père Goriot », figure la dédicace : « Au grand et illustre Geoffroy 
Saint-Hilaire, comme témoignage d’admiration de son génie et de 
ses travaux » (1834). 

On en trouve encore une autre preuve dans « Louis Lambert » 
(partie de son « Livre mystique » et sorte d'autobiographie) : Balzac 
y rapporte que Louis Lambert avait pour ami un jeune médecin 
nommé Meyranx (}; « Nous nous sommes rencontrés au cours 
d'anatomie et dans les galeries du Muséum, amenés tous deux par 
une même étude : l'Unité de composition zoologique » (C'était le nom 
que portait la doctrine particulière de Geoffroy Saint-Hilaire). Or, 
Meyranx n'était pas un personnage imaginaire; on peut en retrouver 
les traces dans la littérature scientifique : il mourut en 1832, âgé 
de 42 ans; deux ans plus tôt, il présenta à l’Académie, en collabo- 
ration avec Laurencet, Quelques considérations sur l'organisation 
des mollusques, qui nas une première tentative de com- 
parer les mollusques à flexion et à torsion, aux autres organismes 
rectilignes. 

Ce fut le point de départ du débat entre Cuvier et Geoffroy à 
l’Académie ; et ce débat fut la dernière manifestation, après ia mort de 
Lamarck, de la lutte pour les idées évolutionnistes : manifestation 
retentissante, toutefois, et qui dépassa de loin les limites du monde 
scientifique. 

Geoffroy Saint-Hilaire appuya le mémoire de Meyranx (*), défendit 
l’évolution, la variabilité et l'unité de composition ou de plan (unité 
d'organisation). Cuvier combattit ces idées en soutenant l'existence de 
« types » non comparables et annonçant un mémoire sur la « variété 
de composition », qui ne parut Jamais. 


(!) Œuvres complètes, Bruxelles, t. IV, p. 516, 1852. 

(2), Ce mémoire de Meyranx et Laurencet n’a jamais reçu les développements que 
ses auteurs avaient en vue, d'autant plus que Meyranx fut enlevé bientôt après à ses 
travaux par une mort prématurée ; mais ce dernier assista toutefois au grand débat 
et écrivit à ce propos à Geoffroy (le 17 février 1832) : « Je regrette vivement que des 
noms obscurs comme les nôtres soient mêlés au vôtre et à celui de M. Cuvier.… 
Notre travail n’est qu’un grain de poussière, etc. ». 


78 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


La discussion prit un caractère aigu ; la presse érudite, puis celle 
de tous les jours s’en mêla : il y eut un journal pour Cuvier, des jour- 
naux pour Geoffroy. Le débat est rapporté, d'une façon élégante 
d’ailleurs, par un partisan de Cuvier, le physiologiste Flourens : 
« Jamais controverse plus vive ne divisa deux adversaires plus réso- 
lus, plus fermes, munis de plus de ressources pour un combat depuis 
longtemps prévu et plus savamment préparés à ne pas s'entendre. De 
l’Académie, de la France, l'émotion s’étendit dans tous les pays où 
l’on pense sur de tels sujets. On aurait pu se croire revenu à ces 
temps antiques où les sectes philosophiques, en s’agitant, remuaient 
le monde. Le monde se partagea. Les penseurs austères, ceux qui sont 
plus touchés de la marche sévère et précise des sciences que de leurs 
élans rapides, prirent parti pour Cuvier. Les esprits hardis se ran- 
gèrent du côté de Geoffroy. Du fond de l'Allemagne, le vieux Gœthe 
applaudissait à cette lutte. » 

Mais ce que Flourens oubliait de dire, c'est à qui allaient les 
applaudissements de Gœthe. Et cela a son importance; car Gœæthe 
n’était pas seulement un poète, c'était aussi un naturaliste et même un 
anatomiste (simultanément avec Vicq d’Azir, il avait découvert l’os 
intermaxillaire de l’homme; il avait édifié une théorie vertébrale du 
crâne, etc.) Or, les Entretiens de Gœthe et d'Eckermann nous 
éclairent sur ce point. 

En effet, Eckermann rapporte qu’il rencontra Gœthe dans les pre- 
miers jours d'août 4830 : 

« Eh bien, s'est-il écrié en me voyant, que pensez-vous de ce grand 
événement? Le volcan a éclaté enfin ; tout est en flammes et il ne sera 
plus une affaire qu'on puisse traiter à huis clos. 

— Terrible affaire, ai-je repris. Mais à quoi pouvait-on s’attendre 
avec une pareille situation et un pareil ministère, sinon à voir expul- 
ser la branche royale qui a occupé le trône jusqu’à présent ? 

— Mon cher ami, a réparti Gœthe, il paraît que nous ne nous 
entendons pas ; je ne parle pas de ces gens-là. Il s’agit pour moi de 
bien autre chose. Je veux parler de cette manifestation publique au 
sein de l’Académie, de cette discussion si importante pour la science, 
entre Cuvier et Geofiroy Saint-Hilaire. 

— La chose est de la plus haute importance, a poursuivi Gœthe, 


ANNALES, L (1919). 79 


et vous ne pouvez vous faire aucune idée de ce que j'éprouve par 
suite de la séance du 19 juillet. Maintenant nous avons dans Geoffroy 
Saint-Hilaire un allié pour longues années. Ce système qui consiste 
à traiter la nature comme synthèse et que Geoffroy Saint-Hilaire a 
introduit en France, ne pourrait plus à présent être relégué dans 
l'ombre » (. 

Auguste Comte parle aussi de ce débat, mais il le fait partir de 
. plus haut. Il l’appelle : « la mémorable discussion soulevée avec tant 
de force par l'illustre Lamarck et soutenue surtout, quoique d'une 
façon imparfaite, par Cuvier, relativement à la permanence des 
espèces organiques » (?). 

Enfin, s'il a été indiqué plus haut qu’un grand physicien, Ampère, 
avait pris parti pour Geoffroy Saint-Hilaire contre Cuvier, il n’est 
pas hors de propos de rappeler qu'un grand chimiste, également, 
s’est prononcé en sa faveur : J.-B. Dumas (qui, au début de sa car- 
rière, s'était aussi occupé de biologie). Voici, en effet, comment 
Dumas s'exprime dans un discours lu en 1844 : « Dans la forme, 
tout était donc contre Geoffroy Saint-Hilaire, et pourtant le public, 
avec son admirable instinct du vrai, ne s’y trompa pas. Dès le pre- 
mier jour du débat, chacun se prit à souhaiter que les vues de 
Geoffroy Saint-Hilaire fussent confirmées. Chacun comprit que 
l'esprit humain allait faire un grand pas. » 

Cependant, chacun des deux adversaires était resté sur ses posi- 
tions, lorsque survint la mort de Cuvier. Celui-ci fut, en effet, une 
des premières victimes de la première épidémie de choléra en. 
Europe (30 mai 1832). Ce fut l'arrêt des ardentes discussions ; 
« l’âge héroïque de l’évolution » était terminé. 

Geoffroy eût voulu reprendre, au point de vue morphologique, 
l'étude des .ossements fossiles décrits par Cuvier. Mais les disciples 
de ce dernier protestèrent, criant au sacrilège. Ils crurent même 
permis à leur zèle de contester les titres de Geoffroy. Celui-ci 


(4) Entretiens de Gœthe et d'Echkermann, traduction de J.-N. CHARLES. Paris, 
Hetzel, 1874, p. 271-272. 

(2) Cours de Philosophie positive, t. III, p. 415-491, 1838. Dans son calen- 
drier positiviste, Comte range d’ailleurs Lamarck parmi les bienfaiteurs de l’huma- 
uité. 


80 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


répondit : « C’est à la postérité, si elle daigne s'occuper des luttes de 
cet âge, de faire leur part à mes adversaires et à moi. » d 

Geoffroy perdait d’ailleurs progressivement la vue; comme 
Lamarck, il devint, peu d'années après, tout à fait aveugle et inca- 


pable de poursuivre de nouvelles recherches. Et ce fut désormais à 


l'étranger seulement qu’on entendit encore quelques échos de la doc- 
trine lamarckienne : | 

Lyell, introducteur de la théorie des « causes actuelles », éliminant 
de la géologie la doctrine des catastrophes, en mettant à néant les 
« révolutions du globe » de Cuvier, exprime dans une lettre à 
G. Mantell (en 1827) son enchantement des théories lamarckiennes ; 
et en 1832, dans la première édition de ses Principes de géologie, il 
reproduit des extraits de Lamarck sur la variabilité des espèces. 
D'Omalius, ancien élève de Lamarck, comme il a été rappelé plus 
haut, écrit en 1831, dans ses Éléments de géologie : Les êtres vivant 
aujourd’hui descendent par voie de génération de ceux des premiers 
temps, quoique leurs formes présentent diverses modifications succes- 
sives, et, de nouveau en 1846, il affirme (*) que : « Le phénomène 
de la modification ‘des êtres vivants s'exerce encore dans de certaines 
limites, » 

Geoffroy mourut en 1844. Les funérailles de Cuvier avaient été 
grandioses par la pompe officielle; celles de Geoffroy le furent par 
l’affluence populaire : les employés du Muséum dételèrent les chevaux 
du char funèbre et portèrent à bras les restes de leur vénéré Maître. 
Outre les discours au nom des corps constitués, on y entendit deux 


allocutions sensationnelles : l’une d’un vétéran de la Révolution 


de 1789, Lakanal ; l’autre d’un précurseur de la Révolution de 1848, 
Edgar Quinet. Le vieux proscrit (il avait 82 ans), rentré en France 
depuis peu d'années, rappela que, cinquante ans auparavant, sur son 
rapport, l’Assemblée nationale avait nommé Geoffroy professeur au 
Muséum, et que Daubenton, le pressant d'accepter la chaire des Ver- 
tébrés, lui avait dit : « Osez entreprendre d'enseigner la zoologie et 
faites qu’un jour on puisse dire que vous en avez fait une science fran- 


(:) Note sur la succession des êtres vivants (Bulletin de l'Académie royale de 
Belgique, t. XII, p. 581). 


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ANNALES, L (1919). 81 


çaise » ; puis Quinet, alors professeur au Collège de France et dans 
tout l'éclat de son talent, apporta le salut de la jeunesse studieuse 
française et rendit hommage à la noblesse de caractère de Geoffroy 
Saint-Hilaire. 


VI. — La réhabilitation de Lamarck. 


_ Geoffroy élait le seul défenseur de Lamarck et des idées lamar- 

ckiennes. Après sa mort, il se fit un silence absolu autour d'elles en 
même temps que l'oubli complet de la doctrine évolutionniste. L'in- 
fluence posthume de Cuvier s’exerça par ses nombreux disciples et 
successeurs qui tenaient toutes les places. Par suite de cette domina- 
tion exclusive de l’école cuviérienne, il en résulta en France, dans le 
domaine des sciences naturelles de 1830 jusqu’à un peu après 1860, 
une période empreinte d'esprit terre à terre et presque exempte de 
préoccupations philosophiques. 

En 1861 encore, le physiologiste Flourens, qui entendait la Physio- 
logie des animaux comme Guvier comprenait leur anatomie (!) disait : 
« La vérité est qu'aucune espèce n’a jamais changé. Depuis Aristote, 
le règne animal est resté le même. La fixilé des espèces est, de toute 
l’histoire naturelle, le fait le plus important et le plus complétement 
démontré » (*). 

Or, trois ans plus tôt (1858), l'évolution venait de ressusciter en 
Angleterre, avec la « sélection naturelle », introduite simultanément 
par Darwin et par Wallace. Ceux-ci considéraient cette sélection 
comme le seul agent déterminant essentiel de l'évolution zoologique; 


(:) Et qui fut comme lui secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences et 
membre de-l’Académie française. 

(2) Ontologie naturelle, p. 23. — C’est alors plutôt dans le monde littéraire des 
philologues et des philosophes que se trouvaient en France quelques partisans de la 
doctrine zoologique de l’évolution. Dans ses Dialogues et fragments philosophiques, 
1863, p. 161 (« Les sciences de la nature et les sciences historiques »), Renan disait 
ces paroles que tout zoologiste actuel adopterait volontiers : « Pour moi, j'ai toujours 
pensé que le secret de la formation des espèces est dans la morphologie, que les 
formes animales sont un langage hiéroglyphique dont on n’a pas la clef et que i'expli- 
cation du passé est tout entière dans les faits que nous avons sous les yeux sans 
savoir les lire. » 


Ann. Soc. Zool, et Malac. Belg., t. L, 6 


82 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


et, pour le public d'alors, elle fut donc placée au premier rang des 
facteurs qui régissent la descendance des espèces ; de sorte que l’évo- 
lution est devenue ainsi, pour un temps, le « Darwinisme » : l’œuvre 
de Darwin a, au début, complètement éclipsé les travaux de La- 
marck, plus anciens de cinquante ans! 

Mais Darwin avait surtout étudié les animaux et les plantes domes- 
tiques, sur lesquels l'influence du milieu naturel se fait beaucoup 
moins sentir que sur les organismes sauvages. Il reconnut son tort 
par la suite dans une lettre à Moritz Wagner : « La plus grande 
erreur que j'ai commise, c’est de n'avoir pas tenu suffisamment 
compte de l’action directe du milieu, c'est-à-dire de l'alimentation, du 
climat, etc., indépendamment de la sélection naturelle. Lorsque, il y a 
quelques années, j'ai écrit l’Origine des espèces, je n'avais pu ras- 
sémbler que très peu de preuves de l’action directe du milieu: 
aujourd'hui, il y en a beaucoup » (!). La sélection, en effet, ne crée 
rien : elle ne fait qu'opérer un choix automatique et contribuer à 
fixer ce que les facteurs extérieurs ont produit. 

C'est UE cette renaissance de l’évolufion en Angleterre que se 

fit, peu à peu, la réhabilitation de Lamarck, et que vint « la justice 
rendue par la postérité », promise par sa fille Cornélie. 
Sa doctrine n'avait pas trouvé d’écho du temps de son initiateur. 
C'est à la fin du xix° siècle seulement que la pensée scientifique de 
l'Europe fût prête à la recevoir et que la doctrine évolutionniste 
triompha : mais c’est à Lamarck que revient la gloire de l'avoir le 
premier établie et formulée. 

C'est ce que des voix anglaises et germaniques s'accordent à 
reconnaître (*. Et, d'autre part, en France, dès 1870, on commen- 


(1) Wacner, De la formation des espèces par la ségrégation, traduction fran- 
çaise, p. 22, 1882. On peut encore trouver cette lettre dans la Correspondance de 
Darwin : Fr. DARwIN, Life and Letters of Charles Darwin, vol. II, p. 159, 1887. 

(2) Huxzey, L'évolution et l'origine des espèces, p. 3231 % L'hypothèse de la 
transmutation n’eût de défenseur sérieux que quand Lamarck l’eut adoptée et 
préconisée ». Correspondance de Huxley, t. Il, p. 42, 1900 : « Je ne suis pas 
homme à diminuer la place de Darwin dans l’histoire de la science ; mais je suis 
porté à penser que Buffon et Lamarck l'égalent en génie et en fécondité. Par leur 
largeur de vue et l'étendue de leurs connaissances, ces deux hommes étaient des 
géants, quoique nous soyons enclins à oublier leurs services ». Quant aux deux 


ANNALES, L (1919). hd 83 


Çait à se rappeler Lamarck. Et à propos de l'accord, d’une part, 
entre la doctrine de Lamarck et les faits biogéographiques, et, d'autre 
part, entre sa doctrine et l’explication des rapports mutuels des 
groupes zoologiques différents, de Quatrefages écrivait : « Tout ce 
qu'il dit sur ces diverses questions est généralement juste, surtout 
si l’on se reporte au temps où il écrivait () : « Sa doctrine lui appar- 
tient en propre et na aucun rapport avec celles de ses prédéces- 
seurs : on s'explique difficilement comment Guvier a pu se méprendre 
sur ce point » (?). Et à propos de ses idées, il dit encore : « C’est le 
plus souvent sur paroles qu’elles ont été condamnées ; et le Linnée | 
français eût été à bon droit fort surpris de certains blâmes adressés 
à ses écrits ». 

Or, les écrits de Lamarck, et particulièrement la Phzlosophie 
+oologique, étaient passés à l’état de rareté bibliographique, attei- 
gnant un très grand prix; la Philosophie zoologique semble même 
avoir été « raréfiée » artificiellement avant 1830. Et après 1870, 
une grande demande se produisit, indiquant un « retour à Lamarck ».. 
Une nouvelle édition en est préparée, sous la direction de Ch. Martins, 
paraît en 1873, et est bientôt épuisée à son tour! 

C’est vers cette époque que l’école moderne française s’est consti- 
tuée : d’abord par Giard à Lille, Marion à Marseille, etc., pour ne 
parler que des morts. Depuis lors, l’enseignement biologique en 
France est devenu nettement évolutionniste. 

En même temps que dans le mode scientifique, la doctrine de 
l’évolution rentrait en honneur, une justice plus juste était rendue 
à Cuvier, remis à sa véritable place, d’ailleurs fort grande et hono- 
rable. La légende que Cuvier aurait jeté les bases de l’Anatomie 
comparée et aurait été le fondateur de la Paléontologie, fait place à 
la constatation que Geoffroy Saint-Hilaire a fondé l’Anatomie com- 


ouvrages suivants, leurs titres seuls sont des témoignages : CLaus, Lamarch 
als Begründer der Descendenslehre, 1888; Packarp, Lamarck, the « founder » 
of Evolution, his life and work, with translations of his writings on organic 
evolution, New York, 1901. 

(*) Charles Darwin.et ses précurseurs français, p. 56, 1870, 

(?) Tbidem, p. 58. 


84 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


parée proprement dite et que Lamarck a fait de la Paléontologie 
scientifique avant Cuvier (|). 

La justice était donc venue, lente mais sûre, dans le monde scien- 
tifique. Toutefois, en dehors de lui, et même dans le domaine de 
la littérature d’érudition, il n’en était pas encore de même. 

En 1906, Brunetière, dans son livre, H. de Balzac, parlant des 
quelques hommes qui ont eu le plus d'influence sur la pensée du 
xix° siècle, désigne trois littérateurs : Balzac, Sainte-Beuve et Victor 
Hugo; puis deux ou trois savants, pour lesquels il hésite entre 
Geoffroy Saint-Hilaire et Cuvier d’une part, entre Claude Bernard et 
Pasteur d'autre part. Mais il ne cite pas Lamarck, dont il reconnaît 
cependant l'influence sur Balzac (et dont on a vu aussi plus 
haut l'influence sur Sainte-Beuve). Il fallut le centenaire de la Philo- 
sophie xoologique;-pour que Lamarck fut mis avant Geoffroy et avant 
Cuvier, à la place de premier rang qui.lui revient dans l’histoire des 


sciences. 
Cuvier, mort en 1832, avait sa statue à Montbéliard dès 1835 et 


(1) « La grande autorité de Cuvier était employée à soutenir les respectables 
hypothèses traditionnelles de la création spéciale et des catastrophes : et les 
vagabondages de pensée impétueuse du « Discours sur les révolutions de la surface 
du globe » étaient tenus pour des modèles de saine réflexion scientifique, tandis 
qu’on repoussait avec dédain les hypothèses beaucoup plus sobres et plus 
philosophiques de l’« Hydrogéologie (de LaMarck) » (HuxLey, L'évolution et 
biologie). 

« Discours sur les révolutions du globe, livre où semblent réunies autant d'erreurs 
que peut en dire un homme de-génie parlant de ce qui échappe à sa tournure d'esprit» 
(DE Launay, La science géologique, p. 73, 1905). 5 

« Si l’on songe aux connaissances conchyliologiques de Lamarck, et à la 
conception toute philosophique qu’il avait des relations de la paléontologie et de la 
zoologie, si l’on considère la façon dont il identifia les couches tertiaires de 
France et d'Angleterre, et la manière dont il décrivit les coquilles fossiles par 
comparaison avec les vivantes, il ne semble pas déraisonnable de le regarder comme 
le fondateur de la paléontologie des Invertébrés » (PackARD, Eamarck, the founder 
of Evolution, 1901). 

Ainsi que Lyell le dit : « À Lamarck revient l’honneur d’avoir été le premier 
paléontologiste des invétébrés, à Cuvier celui d’avoir été le fondateur de la 
paléontologie des Vertébrés, encore qu'ils aient eu l’un et l'autre des précurseurs ». 
Et Geiïkie, parlant de Lamarck, écrit : « il a droit au nom de fondateur de la 
paléontologie des invertébrés. (Revue Scientifique, t. V, 1906, p. 739.) 


ANNALES, L (1919). 85 


au Muséum en 1837 (il y est représenté, par David d'Angers, debout, 
les doigts de la main gauche enfoncés dans un globe fissuré!) ; de 
même, Geoffroy, mort en 1844, eut la sienne à Étampes en 1857 
(par Robert). Mais nulle part ne se trouvait un souvenir matériel de 
Lamarck (°). 

En vue du centenaire de 1909, un comité se constitua donc, sous 
la présidence d'Edmond Perrier, pour élever un monument à la 
mémoire de Lamarck : une souscription internationale fut ouverte, à 
laquelle prirent part trente-sept États; la Belgique, grâce aux efforts 
d'un comité composé de Van Beneden et de l’auteur de ces lignes, 
apporta la collaboration d’un grand nombre de ses zoologistes et 
botanistes. 

La statue, œuvre de Fagel, fut érigée à l’entrée du Jardin des 
Plantes, en face du pont d’Austerlitz. Lamarck y est représenté 
assis, nu-tête, un grand manteau sur les épaules ; un bas-relief rap- 
pelle le souvenir touchant de sa fille Cornélie, promettant à son père 
que la postérité lui rendrait justice. 

Le monument fut inauguré par le Président de la République, 
entouré de représentants de plusieurs souverains étrangers, des pré- 
sidents des Chambres, des ministres, des académies et institutions 
scientifiques, ainsi que de représentants de corps savants étrangers. 
E. Perrier, Delage et Guignard rappelèrent avec émotion l’œuvre de 
Lamarck et firent voir comme il-avait bien mérité de la science et de 
son pays ; ce jour-là (?), une grande injustice a été réparée. 

Après la grande patrie, la petite rendit aussi hommage à son glo- 
rieux enfant : de même que Montbéliard et Étamipes possèdent la statue 


_ de Cuvier et de Geoffroy, Bazentin voulut aussi honorer son grand 


citoyen et avoir son monument Lamarck. Cette petite commune isolée 
et sans grandes ressources fit restaurer la maison natale de Lamarck 
et commanda son buste au sculpteur Roze, d'Amiens. L’inauguration 
s’en fit le dimanche 4 mai 1913; la veille, l’auteur de ces lignes 


(1) Et pourtant au Muséum, Bernardin de Saint-Pierre, qui n’y avait passé que 
peu de temps, possédait déjà sa statue en 1907, grâce, il est vrai, à l'initiative 
privée. 

(2) Lundi 13 juin 1909. 


86. SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


reçût un télégramme lui demandant de prendre la parole à la céré- 
monie; il était trop tard pour qu'il pût y arriver en temps et parti- 
ciper à l'hommage rendu à la mémoire de Lamarck. 

L'an d’après, Bazentin était dans la « ligne de feu » du théâtre de 
la guerre; il n'en reste que des ruines! Le monument Lamarck est 
détruit et le buste en marbre a été emporté par les Allemands, ainsi 
que l'ont constaté les quelques habitants qui sont restés à Bazentin 
pendant l'occupation ('). 

* Depuis des années, l’Académie des Sciences de Paris disposait d’un 
prix Cuvier, fondé avec le reliquat de la souscription à sa statue ; 
grâce à l’Académie de Belgique, il y a désormais aussi un Prix 
Lamarck, de la même importance, pour les meilleurs travaux en 
langue française, relatifs à l’évolution du règne animal (). 


VII. — Conclusion. 


Nous venons de parcourir une page, parmi les plus mouvemen- 
tées, de l’histoire des sciences naturelles. 

N'y a-t-il pas de conclusions ou d'enseignements qui s’en dégagent ? 

Parmi celles que l'on peut légitimement en tirer, il en est de deux 
sortes : d’abord une conclusion relative à l'influence des personnalités 
dans l’histoire des sciences ; puis une autre, concernant l’origine même 
de la doctrine évolutionniste. 


1. — Au sujet du « rôle des personnalités », la conception déter- 
ministe est certainement vérifiée dans la généralité des cas ; ainsi, à 
, propos de la sélection naturelle, cette idée a surgi en 1858-1859, 
simultanément chez Wallace et chez Darwin; mais c'était au moment 
où le transformisme ressuscitait : Spencer, dans ses essais (1858), 
établissait la nécessité de la doctrine généalogique, et Huxley 
démontrait que la théorie de la descendance était seule conciliable 
avec la science (1859). 


(1) Communication épistolaire de l’auteur du buste, M. A. Roze, statuaire à 
Amiens. 
(2) Voir Buie. Acan. Bec. (Sciences), 1913, p. 181-182 et 1010. 


ANNALES, L (1919). 87 


Ê 


Quand les connaissances sont suffisamment avancées et qu'une idée 
est mûre, elle surgit fatalement, automatiquement, dans le cerveau 
d’un homme possédant une science suffisante à son éclosion, et, à 
défaut de l’un, chez un autre. Mais à côté de ce fait général, il y a 
l'exception des précurseurs : un homme peut arriver avant l'heure, 
étant seul à avoir certaines des connaissances indispensables et seul 
aussi à posséder la pénétration nécessaire pour en faire jaillir 
l’idée. 

Pour le commun des naturalistes, chacun d’eux sait bien que dans 
un demi-siècle, on aura d’autres conceptions que les siennes ; nous 
sommes comme dans l’antichambre de la nature : quelquefois la porte 
s’'entre-bâille un peu et nous entrevoyons alors une échappée magni- 
fique et grandinse; mais nos yeux, en dehors du point spécial sur 
lequel ils étaient braqués, n’en rapportent qu'une image informe et 
confuse, — comme si la porte s'était aussitôt refermée et qu'on eût 
voulu nous faire comprendre que c'était assez pour nous et que le 
reste est pour d’autres. Exceptionnellement, il se trouve un cerveau 
assez puissant, un esprit assez ouvert, assez pénétrant et assez com- 
préhensif, pour embrasser et fixer, au cours de cette vision fugitive, 
une vue générale des choses : Lamarck fut un de ces hommes. 

Mais si un homme peut édifier, cinquante ans d'avance, ce que ses 
successeurs rebâtiront après lui, l'influence des personnalités peut 
aussi s’exercer dans un autre sens et un homme peut, par le pouvoir 
extraordinaire qu’on lui a laissé prendre dans la société, faire obstacle 
au développement régulier de la science et en contrarier pour long- 
temps le progrès; ce fut le cas de Cuvier. Et ceci montre le 
danger qu'il y a, non tant pour les personnes que pour les idées, 
dans ce qu’on a appelé le « proconsulat » ou la dictature scientifique. 


2. — Au sujet de l’origine même de la doctrine évolutionniste : 


4° Celle-ci est sortie des sciences biologiques, sciences d'observa- 
tion pure; aucune science de raisonnement, ni la métaphysique, ni 
les sciences « exactes » n'auraient pu lui donner naissance ni en 
assurer le succès. Et si la doctrine de l'évolution a envahi aujourd'hui 
presque tout le domaine scientifique, si elle a apporté des change- 
ments si profonds dans nos moyens de connaissance el dans notre 


88 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


façon de considérer les choses, c’est aux sciences naturelles que la 
pensée humaine en est redevable; 

2% L'évolution est sortie d’une institution scientifique française : 
du Muséum de Paris (où travaillaient Lamarck et Geoffroy). Elle res- 
suscita cinquante ans après en Angleterre, avec la sélection naturelle 
de Darwin et de Wallace. Et il est permis de constater qu’il n’y a 
pas un nom allemand équivalent à opposer à Lamarck et à Darwin! 


Or, il n’y a pas là une simple coïncidence : cela est dû à la tour- 
nure d'esprit germanique, au moins à celle de la majorité des natu- 
ralistes allemands, telle qu’elle a déjà été rappelée plus haut : analy- 
tique ou essentiellement descriptive. Les observateurs allemands, 
appliqués, ajoutent patiemment aux connaissances précédentes, que 
l'on peut considérer comme unités, des décimales plus ou moins loin- 
taines ; dans les multiples pages des multiples productions des mul- 
tiples laboratoires allemands, il n’y a pas souvent une idée nouvelle, 
plus rarement encore une idée générale. « Quiconque a de bons yeux 
et un microscope, de l'assiduité et de la patience, peut acquérir 
aujourd'hui une certaine notoriété par des découvertes microsco- 
piques, sans pour cela mériter le nom de naturaliste. Il faut réserver 
ce titre à l’homme qui s'efforce non seulement de voir les faits parti- 
culiers, mais encore d’en saisir le lien général » ; ces paroles ne sont 
pas d'un ennemi de l'Allemagne, elles sont d'un des signataires du 
fameux manifeste des 93, de Ernest Haeckel, qui ne croyait pas 
qu'elles pourraient si bien SARA à « l’organisation allemande 
du travail de laboratoire » ! 

Depuis une quarantaine d'années, sur la foi de la « mécanisation » 
du travail dans les laboratoires, séminaires et instituts universitaires 
allemands et de la quantité colossale de produits qui en sortent, 
régnait en Belgique eette légende — imaginée et entretenue d’ailleurs 
par nos voisins de l'Est —, que l’Allemagne détenait le monopole de 
la science et de l’érudition ; et le Belge était tellement confiant dans 
la parole allemande, qu'il était devenu chez nous de mode et d'usage 
courant d'envoyer outre-Rhin les jeunes docteurs de toutes les Facul- 
tés, pour y prendre la « manière allemande » et perdre ainsi ce qu'il 
y avait, chez beaucoup d’entre eux, de personnel et de spontané. 


ANNALES, L (1919). 89 


Æ 


J'ai eu la bonne fortune d'échapper à la formation allemande et, 
après mes études ‘universitaires, de faire mon véritable apprentissage 
d’investigateur en France, chez Giard, et, en Angleterre, chez Ray- 
Lankester. Dans les laboratoires français et anglais se pratique une 
méthode tout autre, la différence résidant dans la façon de considé- 
rer les choses : au lieu de chercher simplement à ajouter aux 
actuelles connaissances, des « décimales » ne prouvant rien, on 
cherche l’observation ou l’expérience cruciale pouvant résoudre une 
question ou un problème qui s’est posé, problème modeste ou profond, 
suivant l’envergure d'esprit de l'observateur, mais problème ainsi 
attaqué et souvent résolu. Et s’il faut juger l'arbre d’après ses fruits, 
l'arbre gaulois et l'arbre britannique se montrent supérieurs à l'arbre 
germanique. 

Aussi, depuis ces temps déjà lointains, à chaque vacance, ai-je 
repris le chemin des laboratoires français, et bien que j'aie été tou- 
jours maintenu en dehors de l’enseignement supérieur de mon 
pays (!), y ai-je entraîné de nombreux éludiants de Bruxelles et de 
Gand, détournés ainsi des laboratoires allemands. : 

J'ai contracté de la sorte, pour mes amis et pour moi, envers l’école 
évolutionniste française et son fondateur Lamarck, une véritable 

dette, et c’est cette dette que, devant la Société Zoologique de Bel- 
gique, j'ai essayé de payer aujourd'hui. 


(1) Voir Comptes rendus de l'Académie des Sciences, Paris, t. CLXV, p. 878, 
1917. 


90 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


L 


XIV 


Assemblée mensuelle du 4 octobre 1919. 


PRÉSIDENCE DE M. P. PELSENEER, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 10 m. 


— M. Lamegre fait part de la mort de notre vénérable Président 
d'honneur, M. Eine FoLocne, survenue le 23 septembre. M. Lameere 
a offert une couronne au nom de la Société et représenté celle-ci 
aux funérailles du dernier de nos membres fondateurs. Durant sa 
longue carrière, notre regretté collègue n’a jamais cessé d'apporter 
à la Société le dévouement le plus inlassable, notamment en exerçant 
pendant trente-sept années consécutives (1869-1906), les fonctions 
de Trésorier. Malgré son grand âge (M. Foroexe était dans 
sa quatre-vingt-dixième année), le collègue dont nous déplorons 
aujourd’hui la perte avait encore suivi nos séances en 1914, mais il 
ne devait pas étre donné à la plupart d’entre nous de le revoir après 
la guerre, car son état de santé le tint malheureusement éloigné de 
nos dernières réunions. Nous garderons tous la fidèle mémoire du 
plus affable et du plus dévoué de nos collègues. 


__ M. Lameere se fait ‘d'autre part un plaisir d’annoncor à 
l'assemblée la distinction dont notre Président vient d’être l’objet, 
l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de 
Belgique l'ayant élu au poste de Secrétaire perpétuel. M. LAMEERE 
est l'interprète de la Société pour offrir à notre Président nos plus 
chaleureuses félicitations. 


Correspondance. 


_— La Société d'Émulation de Cambrai qui ne possède plus rien, 
pas même un exemplaire de ses propres mémoires, le local de ses 
réunions ayant élé incendié du fait de la guerre, nous demande de 


ANNALES, L (1919). 91 


l'aider à reconstituer sa bibliothèque. Il est décidé de lui envoyer 
une collection, complète si possible, de nos Annales. 


— L'Académie de Mâcon a célébré, le 14 septembre dernier, la 
Victoire et le retour à la Paix, et nous a invités à prendre part à 
cette cérémonie. Il n’a pas été possible de donner suite à cette invita- 
tion, parvenue durant les vacances, mais il est décidé d'exprimer à 
l’Académie de Mâcon toute la part que nous prenons à cette célébra- 
tion du triomphe de la plus noble des causes. 


Communication. 


— M. Lamsere nous parle du jeune Okapi tout récemment arrivé 
au Jardin zoologique d'Anvers, et qui est le premier individu de cette 
espèce ayant jamais été amené vivant de sa forêt natale. Notre 
collègue, qui a eu la faveur de pénétrer dans la cage du jeune 
animal, nous parle de ses allures, dont il fait ressortir tout l'intérêt. 
Il insiste particulièrement sur la langue de l’Okapi, vraie langue de 
Girafe, extraordinairement longue. M. LamEere dépose une courte 
note sur l’Okapi d'Anvers, note insérée ci-dessus. 


— M. SCHOUTEDEN annonce que le jeune Okapi dont il vient d’être 
question est malheureusement mort il y a quelques jours, et estime 
que c’est Le résultat d’une alimentation défectueuse (manque de fruits 
frais). 


Fédération des Sociétés scientifiques belges. 


— La Société belge de Biologie nous a envoyé le procès-verbal 
de la réunion préliminaire tenue le 8 août 1919 afin d’examiner 
l'utilité d’une fédération éventuelle des Sociétés scientifiques belges, 
réunion à laquelle 26 sociétés étaient représentées. En ce qui 
concerne notre Société, les vacances ne lui ont pas permis d'être 
représentée autrement que par son Secrétaire, et à titre officieux. 
Il est décidé que notre Président M, P, Peuseneer et M. A. BRACHET, 
seront les délégués de notre Société anx prochaines réunions inter- 

sociétaires tendant à la constitution de la Fédération. Un échange 


92 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


de vues sur cette question a lieu, auquel prennent part, MM. Bra- 
CHET, LAMFERE, PELSENEER, SCHOUTEDEN et STEINMETZ. 


Discussion sur les variations. 


— Cette question étant, jusqu'à nouvelle disposition, laissée à 
l'ordre du jour, M. VerLaine revient sur le cas de son Chien sans 
queue, et précise les données qu’il a recueillies sur l’ascendance de 
cet animal, ainsi que les constatations qu’il espère faire au sujet de 
la descendance qu’il en attend. 


— La séance est levée à 17 h. 25 m. 


XV 


Assemblée mensuelle du 8 novembre 1919. 


— Présidence de M. M. LERICHE, Vice-Président, puis de M. PEL- 
SENEER, Président. 


— La séance est ouverte à 146 h. 40 m. 


Correspondance. 


— Le Musée d'Histoire Naturelle et d'Ethnographie de Concepcion 
(Chili) demande à opérer l'échange de ses publications avec les nôtres. 
Il est décidé que, avant de prendre une résolution définitive, nous 
prierons l'institution intéressée de nous soumettre un exemplaire de 
ses Bulletins. 


Communication. 


— M. le Major P. Van M&enen, chef du Service colombophile de 
l'Armée belge, nous expose le résultat des observations qu'il a faites 
durant la guerre sur les pigeons militaires, et les enseignements que 
l’on peut tirer de l’emploi de ces oiseaux, aux points de vue de leurs 
facultés d'adaptation (pigeonniers mobiles), mémoire, etc. Les pigeons 


ANNALES, L (1919). a 93 


voyageurs de l’armée belge,” qui n'étaient que 300 au début des 
hostilités, se sont rapidement multipliés, pour arriver au nombre 
de 5,000 à la fin de la campagne. Certains individus, provenant 
d'Anvers, ont clairement manifesté leur mémoire des lieux après une 
absence de plus de quatre ans. On a réalisé des vols «aller et retour », 
ainsi que, chose vraiment étonnante, des vols de nuit parfaitement 
réussis. 


— M. Peusenger remercie le conférencier pour son intéressante 
_ communication, et fait ressortir la sagacité avec laquelle M. Vax 
M£enen a analysé les problèmes complexes posés par l'emploi raisonné 
des pigeons voyageurs. Il espère que l’auteur voudra bien nous laisser 
une note pour nos Annales sur le sujet qu’il a étudié avec tant de 
pénétration. | 


— M. Van Mgenen dit qu'il serait très heureux de poursuivre ses 
expériences, et qu'il accueillerait bien volontiers toutes suggestions 
relatives à celle-ci. ; | 

— M. Dameries rappelle que les chiens de contrebandiers sont 
également dressés à effectuer des voyages «aller et retour » et pense 
qu'il y a analogie dans les procédés de dressage utilisés de part et 
d'autre. 


D Pate catlevée à 47 b: 88 m, 


XVI 
Assemblée mensuelle du 6 décembre 1919. 
PRÉSIDENCE DE M. M. LERICHE, VicE-PRÉSIDENT. 
— La séance est ouverte à 46 h. 15 m. 


Décision du Conseil. 


— Membres nouveaux : M. le Commandant Dupuy, présenté par 
M. Laweere et Baie, et M. C. M. SrcenserG, assistant à l'Université 


94 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


de Copenhague, présenté par MM. DaurzenBerG et GÉRET, Sont 
admis en qualité de membres effectifs. 


Correspondance. 


— M. P. PeLsener s'excuse de ne pouvoir assister à la séance 
et propose que des félicitations soient adressées à notre collègue 
M. E. Vincent, qui vient d'être nommé Conservateur au Musée 
Royal d'Histoire Naturelle. (Adopté.) 


— Notre collègue M. R. E. BERVOETS nous envoie sa nouvelle 
adresse : R. Bervorrs Dp’Oosrkerke, La Louveterie, Oostkerke 
(Furnes). 


— Notre collègue, M. le D' D. RasyMaEkERs nous envoie sa 
nouvelle adresse : Médecin principal de 1 classe, Directeur de 
l'Hôpital militaire de Gand, boulevard des Martyrs, 80, Gand. 


—— La Société Entomologique nous invite à nous joindre à elle, 
ainsi quà la Société de Botanique, en vue de faire de commun 
accord les démarches nécessaires pour l’obtention de la personnifi- 
cation civile. La proposition de demander la personnification civile 
pour notre Société, faite par nos collègues MM. Kemxa et STEINMETZ 
dès 1914 (voir plus haut le procès-verbal de la séance du 11 mai 1914), 
ayant été favorablement accueillie à cette époque, il est décidé de 
mettre cette question à l'ordre du jour de la prochaine assemblée 
générale. 


_— La Société belge de Biologie nous soumet le procès-verbal de 
la réunion du 6 novembre 1919, au cours de laquelle les délégués 
des Sociétés scientifiques (M. le Professeur A. BRACHET Y repré- 
sentait notre Société) ont poursuivi l'examen de la création éventuelle 
d'une Fédération belge des Sociétés de Sciences. Lecture est donnée 
du proget de statuts annexé à ce procès-verbal. Il est décidé que 
cette question sera également soumise à la prochaine assemblée 
générale. 


- 


— Lecture est ensuite donnée de la notice sur l’Imprimerie 


Lg à ut Der de ci 


ANNALES, L (1919). 95 


médicale et scientifique, Société anonyme en formation, à laquelle 
notre Société pourrait éventuellement être amenée à s'intéresser. 


— La séance est levée à 17 h. 10 m. 


FCVEl 
Assemblée générale du 3 janvier 1920. 


PRÉSIDENCE DE M. PAUL PELSENEER, PRÉSIDENT. 


— La séance est ouverte à 16 h. 140 m. 


— Présents : MM. Baie, Bracuer, Bucxer, DE SÉLYs, DE WITTE, 
LAMEERE, LAUWERS, PELSENEER, STEINMETZ, VERLAINE. 


Excusé : M. VAN STRAELEN. 
Leoture présidentielle. 


— M. Pauz PeLsenser fait une lecture sur Les premiers temps 
de l’idée évolutionniste : Lamarck, GEOFFROY SAINT-HILAIRE et CUVIER, 
dont le texte est inséré ci-dessus. 


Rapport du Trésorier. 


— M. pE Sécys expose la situation financière de la Société et 
présente les comptes de l’année 1919, qui sont approuvés. 11 soumet 
ensuite le projet de budget pour 14920, qui est adopté. 


Jours et heures des réunions mensuelles. 


— On décide de fixer les réunions mensuelles au dernier jeudi 
de chaque mois, à 4 heures, août et septembre exclus. 


Elections. . 


Conseil. — MM. pe Cort, LericHe et VAN DE VLOET, membres 
du Conseil sortants, sont réélus par acclamations pour les années 


1920 et 1921. 


96 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 
Commission des Comptes. — MM. Dorpu, PxicippsON et STEINMETZ 


sont maintenus membres de la Commission des Comptes. 


Excursion annuelle. 


— Sur la proposition de M. Lamweere, il est décidé que cette 
excursion se fera à Overmeire, à la Pentecôte. 


Adhésion à la Fédération des Sociétés scientifiques. 


— Cette adhésion est définitivement décidée, et M. P. PELSENEERE 
désigné comme délégué effectif au Conseil de la Fédération, M. », 
SÉLYS étant suppléant. 


Personnification civile. 


— On décide aussi que des démarches seront entreprises en vue 
de l’obtention de la personnification civile pour la Société. MM: Pez- 
SENEER, DE SÉLYys et STEINMETZ représenteront la Société à cet effet. 


— La séance est levée à 18 h. 20 m. 


De. A 2. 2 


Æ 


# 


LISTE GÉNÉRALE DÉS MEMBRES AU 1* JUILLET 1920 


"1979: 


Ann. 


a — 
Abréviations 
. —= Correspondant. HER AN eLAt Ne. == Honoraire: 
HAL AN AE RE — Effectif, PE aa rat iottes.— Protecteur: 
VS MS PONT TZ 3e. era . —= À vie, 


. Ball, Francis J. — 160, rue Belliard, Bruxelles. 
. Bayet, Chévalier ERNEST, Blevio, province de Côme (Italie). 
. Bervoets d'Oostkerke, R. E., Docteur en sciences, Membre de la 


Société Entomologique de France. — La Louveterie, Oostkerke (Furnes). 


. Boulenger, G.-0., Conservateur au British Museum (Natural History). 


— Cromwell Road, Londres S. W. (Angleterre). 


. Boule, M., Professeur au Muséum, Paris. 
. Bouvier, L., Professeur au Muséum, Paris. 
. Brachet, A., Professeur à l'Université de Bruxelles, 32, rue Léonard 


de Vinci, Bruxelles. 


. Brien, P., Etudiant en Sciences. — 102, rue Linné, Bruxelles. 
. Buchet, P., Docteur en Sciences, Professeur à l’Athénée royal, Arlon. 


5 Caullery, M., Professeur à la Sorbonne, Laboratoire d'Évolution des 


Etres organisés. — 3, rue d'Ulm, Paris (V). 


. Chevrand, Antonio, Docteur en Médecine. — Cantagullo (Brésil). 
. Cornet, Juues, Professeur de géologie à l'École des mines du Hainaut. 


— 86, boulevard Dolez, Mons. 


. Conklin, E. G., Princeton University, Princeton, Mercer. Co., N. J. 


(U. S. A.). 

. Cossmann, Maurice, Ingénieur, Chef des services techniques de la 
Compagnie du chemin de fer du Nord. — 110, Faubourg Poisson- 
nière, Paris, X. 

. Cosyns, GEeorGes, Docteur en Sciences. — 7, avenue Emmanuel, 
Haren-Nord. 

Cuénot, L., Professeur à la Faculté des Sciences, Nancy. 


F s 
Soc, Zool. et Malac. Belg., t. L. 7 


98 


SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


E. 1884. Daimeries, ANTHYME, Ingénieur, Professeur honoraire à l’Université 


C. 


E. 


1864. 


1909. 


. 1866. 


. 1880. 


. 1880. 


. 1909. 


. 1880. 


. 1907: 


1906. 


. 1899. 


1920. 


. 1907. 


1919. 
1907. 


. 1919: 


1378. 


. 1901. 


libre de Bruxelles. — 4, rue Royale, Bruxelles. 


d'Ancona, Cesare, Docteur en Sciences, Aide-Naturaliste au Musée 
d'histoire naturelle — Florence (Italie). 


Damas, D., Professeur à l’Université, Institut zoologique, Hiége. 


Dautzenberg, PuiciPPz, ancien Président de la Société zoologique de 
France. — 209, rue de l’Université, Paris, VII. 


de Cort, Huco, Membre de la Commission permanente d’études du 
Musée du Congo, etc. — 7, rue de La Bassée, Lille (France). 


de Dorlodot, le Chanoïine Henry, Professeur de Paléontologie strati- 
graphique à l’Université catholique. — 18, rue Léopold, Louvain. 


Delage, Yves, Professeur à la Sorbonne, Paris. 


de Limburg Stirum, Comte ApoLpHe, Membre de la Chambre des 
représentants. — 72, rue du Trône, Bruxelles, et Saint-Jean, par 
Manhay. 


Delize, JEAN. — 37, rue Hemricourt, Liége. 

de Man, D’ J.-G. — Ierseke (Pays-Bas). 

S. A. S. le Prince Albert I: de Monaco. — 7, cité du Retiro, 
Paris, VIII. 

Derscheid, J., Étudiant en Sciences. — 59, rue de Stassart, Bruxelles. | 

de Selys-Longchamps, Marc, Docteur en-Sciences, Professeur à 
l'Université. — 61, avenue Jean Linden, Bruxelles. — SECRÉTAIRE- 
GÉNÉRAL ET TRÉSORIER. 

de Witte, G.-F. — Musée du Congo, à Tervueren. 

Dordu-de Borre, F., Docteur en Médecine. — 40, rue d’Arlon, 
Bruxelles. 


Dupuis, Pauz (Commandant), 33, rue de l'Abbaye, Bruxelles. 


Foresti, D' Lopovico, Aide-Naturaliste de géologie au Musée de l'Uni- 
versité de Bologne. — Hors la Porta Saragozza, n° 140-141, Bologne 
(Italie). 

Fournier, Dom GRÉGoIRE, Professeur de géologie à l'Abbaye de 
Maredsous. 


Geret, Paur, Naturaliste conchyliologiste. — 76, Faubourg Saint- 
Denis, Paris, X. 

Gilson, GusrTave, Directeur du Musée Royal d'Histoire naturelle de 
Bruxelles. — 95, rue de Namur, Louvain. 


Giordano, Professore Domenico, Insegnante di Storia naturale nelle 
R. R. Scuole classiche e tecniche. — Ragusa (Italie). 


Grassi, B., Senatore del Regno. — Roma (Italie). 


1868. 


. 1874. 


s 1819. 


- 1899. 


Fr. 


1864. 
1890. 
1907: 


. 1909. 
. 1920. 
. 1911. 


- 1902. 


1890. 
1907. 


ADS. 


. 1909. 


1872. 


- 1919. 


. 1887. 


. 1869. 
. 1880. 


LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ. 99 


Hidalgo, D" J. GonzaLës, Professeur de malacologie au Musée des 
Sciences, Membre de l’Académie royale des Sciences exactes. — Calle 
del Carmen, 6, l°irq., Madrid (Espagne). 


Issel, D' ArTuRo, Professeur de géologie à l'Université. — 3, Via 
Giapollo, Gênes (Italie). 


Jones, Tuos.-RuperT, F. R. S., ancien Professeur au Collège de 
l'Etat-major. — Penbryn, Chesham Bois Lane, Chesham Bucks, Raïl- 
way station Amersham (Angleterre). 


Kemna, Apozrxe, Docteur en sciences, Directeur de l’Antwerp Water 
Works Cy. — 6, rue Montebello, Anvers. 


Lallemant, CHarLes, Pharmacien. — L’Arba, près Alger (Algérie). 


Lameere, Auquste, Docteur en Sciences, Professeur à l'Université 
libre de Bruxelles, Membre de l’Académie royale des Sciences de 
Belgique. — 74, rue Defacqz, Bruxelles, 


Lankester, Ray., Directeur du British Museum (Natural History), 
Cromwell Road, London S. W. (Angleterre). 


Lauwers, W., 77, rue de La Morinière, Anvers. | 
Ledoux, P., Etudiant en Sciences. — 9, rue dela Révolution, Bruxelles, 


Leriche, M., Professeur à l’Université Libre. — 47, rue du Prince 
Royal, Bruxelles. —-VIcE-PRÉSIDENT. 


Loppens, CHARLES. — 5, rue d'Amsterdam, Ostende. 


Malvaux, Jean, Industriel. — 69, rue de Launoy, Bruxelles. 

Mark, E.-L., Directeur du Laboratoire de Zoologie, Harvard University, 
Cambridge, Mass. (U. S. A.). 

Marchal, P., Institut agronomique. — 16, rue Claude Bernard 
Paris (V.). 

Massart, JEAN, Professeur à l'Université libre. — 150, avenue de la 
Chasse, Bruxelles. 


Matthew, G.-F., Inspecteur des douanes. — Saint-John [Nouveau- 
Brunswick] (Canada). 


Morgan, Ta.-H. — Columbia University, New York (U. S. A.). 
Navez, Louis, Littérateur. — 164, chaussée de Haecht, Bruxelles. 


Paulucci, Mr: la marquise MaRrANNA. — Novoli près Florence (Italie). 

Pelseneer, Pauz, Docteur agrégé à la Faculté des Sciences de 
Bruxelles, Secrétaire perpétuel de l’Académie Royale de Belgique. — 
56, rue de la Longue-Haie, Bruxelles. — PRÉSIDENT. 


100 


E. 1896. 


H,:1907: 


E. 1913. 


E. 1908. 


E. 1897. 
NV 190E 


E. 1882. 
C. 1868. 
E. 1898. 


0 Cr 2 


V. 1908. 
H:71919: 
V. 1885. 
E. 1903. 
P:41907. 
E. 1919. 


E. 1904. 
E. 1895. 


y: "1919. 
E. 1907. 


E. 1905. 


SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Philippson, Maurice, Docteur en sciences naturelles, Professeur à 
l’Université: — 57, rue d’Arlon, Bruxelles. 


Pilsbry, Curator of the Conchological Collection, Academy of Phila- 


delphia. 
Porter, Prof. CarLos, E., C. M. Z. S. — Santiago (Chili). 


Preston, H.-B, Conchologist. — 53, W. Cromwell Road, Ion- 
don, S. W. 


Putzeys, Syzvère, Docteur en médecine. — 24, rue Anoul, Bruxelles. 


Racovitza, E.-G., Sous-Directeur du Laboratoire Arago, à 
Banyuls-s/M. (France). 

Raeymaekers, D' DÉsiRé, Médecin principal de [re classe. Directeur 
de l'Hôpital militaire. — 80, boulevard des Martyrs, Gand. 

Rodriguez, Juan, Directeur du Musée d'histoire naturelle. — Gua- 

 temala. 

Rousseau, ERNEST, Docteur en Un Conservateur au Musée 
Royal d'Histoire Naturelle. — 87, rue de Theux, Bruxelles. 

Rutot, AIMÉ, Ingénieur honoraire des mines, Conservateur au Musée 

. royal d'Histoire naturelle, Membre du Comité de direction de la Carte 

géologique. — 189, rue de la Loi, Bruxelles 


Scherdlin, Pau, Conservateur-adjoint au Musée zvologique de 
l’Université et de la Ville. — Strasbourg (France). 

Shipley, E.-A., Christ’s College. — Cambridge (Angleterre). 

Schmitz, Gaspar, S.-J., Directeur du Musée géologique des bassins 
houillers belges, Professeur au Collège Notre-Dame de la Paix. — 
11, rue des Récollets, Louvain. 


Schouteden, H., Docteur en sciences naturelles, Conservateur au Musée 
du Congo, Secrétaire de la Société Entomologique de Belgique. — 
5, rue Saint-Michel, Woluwe-Saint-Pierre (Bruxelles). 

Société Royale de Zoologie d'Anvers. Directeur : M. Lhoëst. 


Steenberg, C.-M., Mag. sc. — Petersborgvej 61, Copenhague 0. 
(Danemark). 


Steinmetz, Frirz, Avocat. — 10, rue de la Mélane, Malines. 


Sykes, Ernest Rutuaven, B. A.; F. Z.S. — 8, Belvedere, Weymouth 
(Angleterre). 


Tomlin, J.-B. Le B., Hamilton Road, 120, Reading (Angleterre). 
van den Dries, RENÉ, Professeur à l’Athénée d'Anvers. — 147, rue 


de la Station Est, Contich. 


Van de Vloed, FLorenT, Chef du filtrage, préposé aux analyses bac- 
tériologiques et microscopiques de l’Antwerp Water Works CY. — 
Waelhem. 


Ts 


. 1903. 
.. 1909. 


. 1914. 


1907; 
an Lies 


FAT 


. 1886. 


. 1908. 


1872. 
1919: 


1903. 


21909: 
. 1881. 


LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ. _ 401 


Van de Wiele, D: Camisce. — 27, boulevard Militaire, Bruxelles. 

Van Mollé, l'Abbé. — Professeur au Petit Séminaire, rue de la 
Blanchisserie, Malines. 

Van Straelen, V., D' en sciences, Assistant à l’Université. — 14, rue 
des Sols, Bruxelles. — BIBLIOTHÉCAIRE. 

van Wijhe, Professeur, D'. — Groningen (Pays-Bas). 

Verlaine, L., D' en Sciences, Assistant à l'Université. — 31, rue 
Joseph Coosemans, Schaerbeek-Bruxelles. 

Verhas, G., Conservateur à l'Hôtel des Monnaies — 57, Vogelzang, 
Woluwe-Saint-Pierre (Bruxelles). è 

Vincent, ÉMILE, Docteur en sciences naturelles, Conservateur au Musée 
roya) d'Histoire naturelle. — 35, rue De Pascale, Bruxelles. 

Viès, Frépéric, Docteur ès Sciences, Professeur à la Faculté des 
Sciences de Strasbourg (France). 


Westerlund, D' Carc-AGarpn. — Ronneby (Suède). 

Wetenschappelijke Kring van Antwerpen, Secrétaire 
M. Henri CRé. — 106, rue de l’'Harmonie, Anvers. 

Willem, Vicror, Docteur en Sciences naturelles, Professeur à l'Uni- 
versité, — 535, rue du Jardin, Gand. 

Wilson, E.-B., Columbia University, New-York. 

Woodward, D' Henry, LL. D., F. R. S. — Tudor Cottage, Clay 
Hill, Bushey, Herts (Angleterre). 


TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES 


CONTENUES DANS LE TOME L (1914-1919;. 


DES ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE 


DE BELGIQUE 


——00 02 — 


Organisation administrative pour l’année 1914. 2 
Compte-rendu de l'assemblée mensuelle du 12 janvier 1914... 24% 6) 
== _ — du 19 fémier JOIE. 640 6 
sie ire — du 9 mars 1914 7 
cu — — du 20 avril 1914.. 8 
ie fe _ du 11 mai 1914 ne 9 
2 _ = du Doi ILE ER ANS, 10 


— — — du 10'jurilet 1914-7245 44e SU 
Organisation administrative pour l’année 1919 . . . . . . . . . 26 
Compte-rendu de l’assemblée générale extraordinaire du 3 mars 1919 . . 27 

— — mensuelle du 3 mars 419192; 5 A SET 29 

— — — du p'avri 1010727 CU 31 

— — — du "3 mar 19192), 33 

— — — du ldjuin 1919 7; see 35 

— — — du .Sauiles 1919 5 STE eau 38 

— — — du “Foctobre HOT VE LE 2 auz 90 

— — "au 8-novembre 1919 % 51° 0: 92 

— — — du 6 décembre 1919. . . . . 93 

— _— générale du 3 janvier 1920. . . . . . 95 
Liste générale des membres au 1er juillet 1920 . . . . . . . . . 97 
Table des Matiores US NE TUE MR EPA VAS Ant En LE NES SU 


Kemwa (An.). — Compte-rendu bibliographique sur Gilson: Le Musée 
d'Histoire naturelle moderne, sa mission, son organisation et 
SES TONER ETS ne ie Lie ei ie te te DNS En RATER 12 


TABLE DES MATIÈRES. 103 


Pages. 
Peseneer (P.). — Tératogénèse et formation de monstres doubles. . . 39 
:— La métamérie et l’hypomérie chez les Chitons . . . . . . . 41 
LAMEERE (A.). — Notes de zoogénie: 
I. Les appendioes des Cœlomates. . . . . . . . 44 
II. Les feuillets des Spongiaires . . . . . . . . 49 
—  L'Okapi du Jardin zoologique d'Anvers . . . . . . . . . 47 
PELSENEER (P.). — Les premiers temps de l'idée évolutionniste: Lamarck, 
Geofroy. Saint-Hilaire et Guvier 2 44,00, us, Un. 53 
Van Meexen (P.) (Major). — Observations faites durant la guerre sur les 
mecons autres DÉlBES SL LE SE ee AR LT Tr, 92 
mm 
7 SSP: 


Tu A 0 


Le présent volume comprend, sous pagination séparée, 
les tables alphabétique et systématique des matières conte- 
nues dans les Tomes I à L des Annales de la Société. (Annales 
et Bulletins jusqu'au Tome XL inclusivement; Annales seule- 


ment à partir du Tome XLI.) 


iietes 


| SOCIÉTÉ ROYALE . 


JOOLOGIOLE ET MALACOLOGIOUE 


DE BELGIQUE 
TOME CINQUANTIÈME (L) 
DEUXIÈME PARTIE : 


TABLE DES CINQUANTE PREMIERS VOLUMES 


(1863-1920) 


1863-65 
1866-67 
1868 
1869 
1870 
1871 
1872 
1873 
1874 
1875 
1876 
1877 
1878 
1879 
1880 
1881 
1882 
1883 
1884 
1885 
1886 
1887 
1888 
1889 
1890 


ANNÉES DE PUBLICATION DES VOLUMES 


Tome XXVI . 


XXVI. 
XXVIIL. 
RIRE 
xxx 
XXXI 
XXXI. 
XXXIIL. 
XXXIV 
XLR : 
XXXVI 
XXXVII 
XXXVII . 
RRAIX 
LOUE 
XI1* 
XLII 
XLUI 
XLIV 
XLV 
XLVI 
XLVII . 
XLVIIL. 
XLIX 

L 


1891 
1892 
1893 
1894 
1895 
1896 
1897 
1898 
1899 
1900 
1901 
1902 
1903 
1904 
1905 
1906 


1907 


1908 
1909 
1910 
1911 
1912 
1914 
101 
1914-19 


La plupart des volumes n’ont été achevés que dans le courant de l’année suivant 


celle dont ils portent la date. 


TABLES 
ALPHABÉTIQUE ET SYSTÉMATIQUE 


DES CINQUANTE PREMIERS VOLUMES 


DES 


ANNALES ET BULLETINS 


DE LA 


SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE 


DE BELGIQUE 


1865-1920 —— 


La SOCIÉTÉ MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE à été fondée, le 1° jan- 
vier 1863, par Jules Colbeau et MM. F. de Malzine, E. Fologne, 
H. Lambotte, F. Roïffiaen, A. Seghers ef J. Weyers. 


La Societé a ète autorisée par le Roi, le 28 décembre 1880, à 
prendre le titre de SOCIÉTÉ ROYALE MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. 


Sa dénomination actuelle SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALA- 
COLOGIQUE DE BELGIQUE a été adoptée par l'Assemblée générale du 
8 février 1903 et autorisée par le Roi le 10 février 1904. 


NOTE 


Dans les deux tables le premier chiffre renvoie au volume, 
tandis que le deuxième indique la page, en arabe quand il s’agit 
des Annales, et en romain quand il s’agit des Bulletins. Les 
volumes des Annales comprennent les Bulletins, dont la publica- 
tion s’est poursuivie jusqu’au Tome XL inclusivement. À partir 
du Tome XLI, les volumes ne comportent plus qu’une seule pagi- 
nation, à l’exception de quelques articles insérés en tête des volumes, 
et qui sont alors mentionnés en petits caractères romains. Dans 
les quarante premiers volumes, on rencontre jusqu’à trois pagi- 
nations : en petits chiffres romains, en tête des Annales, en arabe, 
pour les Annales; et en grands chiffres romains, pour les Bulletins. 


da 
# * 
La table alphabétique est une table des auteurs dans laquelle les 


différentes publications d’un même auteur sont rangées chrono- 
logiquement. 


La table systématique est une table des sujets, à l’intérieur de 
laquelle l’ordre alphabétiqüe des auteurs et ensuite l’ordre chro- 
nologique de leurs travaux, ont également été observés. Une même 
publication peut s’y retrouver sous des rubriques différentes. 


1868-1920 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


des 50 premiers volumes des 


e 


Annales et Bulletins de la Société Royale Zoclogique et Malacologique de Belgique 


Anthony, R. — Etude monographique des Aetheriidæ (Ana- 
tomie, Morphologie, Systématique) (pl. XI 
et XII) PEN RE a en TRE à 


Bagnall, R. S. — On some terrestrial Isopod Crustacea new to 
the fauna of Belgium . 


— On the occurrence in Belgium of a recently 
described terrestrial Isopod, Trichonis- 
cus Stebbingi PATIENCE . 


‘Ball, Francis J. — Le dimorphisme saisonnier des Androco- 
nia chez certains Lépidoptères . 


Bauwens, L. M. — Observation d’une ponte de Cyclas 


_ Note sur un dépôt coquillifère trouvé 
sous la tourbe à Koekelberg 


Bayet, E. — Note sur quelques excursions géologiques faites 
aux environs de Lugano (Tessin) . 


ER R. — La faune des Mollusques fossiles néogènes du 
périmètre du golfe de Naples 


— Les Ptéropodes des terrains tertiaires et quater- 
naires d'Italie (fig. 9-47). 


— Etude de malacologie napolitaine : 
I. Les Mollusques terrestres et fluviatiles de la 


région RATES (Vésuve et a phlé- 
gréens) ir ee 


II. Les Mytilidæ du Pots de Nanles 
Bequaert voir à Schmitz. 


41 


42 


48 


«©- 


263 


127 


141 
XIX 


CXCVII 


XCII 


22 


23 


20 


9 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Bervoets, R.-E.— Contribution à l’étude du vol des Insectes 
(première et deuxième parties) (pl. VI 
et VII). 


Billard, Armand. — Notes sur les Hydroïdes de la collection 
WegsTenporp du Musée royal d'His- 
toire naturelle de Belgique (pl. II) 


Boettger, C.-R. — Zur Molluskenfauna des Kongogebiets 
(pl. ID) ; 


Brachet, A. — Les idées actuelles sur la potentialité des blas- 
tomères 


— Sur l'origine ontogénétique de la différencia- 
tion de la tête et du tronc chez les Vertébrés 
crâniotes . 


— Fonction reproductrice de l’endoderme. 


—— Sur l’origine des ganglions du trijumeau chez 
Chrysemys marginata (Syn. Chr. picta 
Scan.) (pl. IT) An Dai ec 


— Développement in vitro de blastodermes et de 
jeunes embryons de Mammifères . 


Brady, H -B. — Description d’une nouvelle espèce de Fora- 
minifère des couches miocènes de la 
Jamaïque 
Briart, A. — Sur le genre Trigonia et description de deux 
Trigonies nouvelles des terrains supra-crétacés 
de Maestricht et de Ciply 


— Rapport sur l'étude géologique du Bassin du 
Douro, par M. À. Nobre. : 


Briart, A. et Cornet, F.-L. — Description de quelques co- 
quilles fossiles des argilites de Morlanwelz 


(pl. X) . 


Briart, À. et Delvaux, E. — Compte rendu de l’excursion 
sur le littoral de Blankenberghe, à fée. 
à Aeltre et à Gand : 


Brot, A. — Diverses anomalies observées chez certains Mol- 
lusques de la Suisse . 


Brusina, Sp. — Monographie des Campylaea de la Dalmatie 
et de la Croatie 2 


Calvet, L. — Liste des Bryozoaires marins des collections du 
Musée royal d'Histoire naturelle de Belgique . 


Canefri, C. Tapparone. — Glanures dans la faune malaco- 
logique de l'Ile Maurice. Catalogue de la 
famille des Muricidés (Woodward) (pl. 2 et 3) 


48 


48 
47 


42 


42 
43 


48 
49 


11 


27 


13 


15 


91 


21 
89 


98 


223 
106 


. 31 


12 


103 


325 


LXVII 


87 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Chevroton, Lucienne et Vlés, Fréd. — Sur les applications 


biologiques de la méthode de Tôpler (pl. IV 
CEA Net ne UE 


Cogels, P. — Note sur un gisement de Térébratules aux envi- 


rons d'Anvers 


Seconde note sur le gisement de la Terebratula 
grandis 


Nouvelle note sur le gisement de la Terebratula 
grandis 


Note sur un gisement d’'Ostrea cochlear aux 
environs d'Anvers 


Observations géologiques et paléontologiques sur 
les différents dépôts rencontrés à Anvers lors 
du creusement des nouveaux bassins. 


Rapport sur le travail de MM. Vanden Broeck 


et Miller : Les Foraminifères vivants et fos- 
siles de la Belgique, première partie 


Considérations nouvelles sur les systèmes Boldé- 
rien et Diestien . 


La Société malacologique à l'Exposition natio- 
nale de 1880. — Notice historique sur la 
Société, 1863-1880 . 


Analyse des collections exposées (Exposition de 
Bruxelles) (pl. 7 à9) . 


Contribution à l'étude paléontologique et géolo- 
gique de la Campine 


Sur la synonymie des couches à Terebratula 
grandis. Notes bibliographiques . 


Excursion de la Société géologique du Nord à 
Dunkerque 


Catalogue des collections conchyliologiques de 
M. F. Paetel. 


(Mort de) 


-Cogels et Vanden Broeck. — Observations géologiques 


faites à Anvers à l’occasion 
- des travaux du creusement 
des nouvelles cales sèches et 
de prolongement du bassin de 
Kattendijk (pl. 3 à 6). 


Cogels et Van Ertborn. — Nouvelles observations sur les 


. Couches quaternaires et plio- 
cènes de Merxem (pl. 1) . 


48 


14 


15 


85 
XX 
XXX VIII 


LXVII 


XCVI 


XX 


CL 
LXXXIX 


CVII 
de 


29 


VIX 


4 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Cogels et van Ertborn. — De l’âge des couches d'argile 
quaternaire de la Campine 


— Réponses au travail de M. Van- 
den Broeck publié dans le 
procès-verbal de la séance du 
3 septembre 1881 


_— Contribution à l’étude des ter- 
rains ‘tertiaires de Belgique 
: (pl. 1). 
— (Suite) 
— Réponse aux observations de 
M. E. Vanden Broeck. 


En . De la limite méridionale de l’ar- 
gile de Boom sur la planche 
d‘Heyst-op-den-Berg 


— Contribution à l'étude des ter- 
rains quaternaires . 


— De l’infraheersien et du niveau 

occupé par le crétacé sur le 

9 territoire de la feuille de 
Bilsen. 


= Note sur un gisement de bois de 
Rennes incisés par l'homme 


dans les argiles quaternaires, 


de là Campine 
Voir aussi à Vanden Broeck et à Van Ertborn. 


Colbeau, Em. — Mollusques terrestres et fluviatiles vivants 
du canton de Walcourt . 


Colbeau, Jules. — Description d’une espèce fossile de la famille 
des Vermets, Siphonium ingens (pl.I) 


En Excursions et découvertes malacologiques 
faites en quelques localités de la Bel- 
gique pendant les années 1860-1865 


(pl II) 


Rs Limnæa stagnalis, var. arenaria, J. 
Colb; Planorbis Roffiaeni J. Colb 


— Helix sénestres et scalariformes observés 
j en Bblgique : 116 VEN ES ESS 


—_ Helix SauveuriJ. Colb. 
— Longévité de quelques Helix 


ET Limnaea stagnalis,var.aquarii, J. Colb. 


16 


+ 


CCxX 


CLXXIX 


XXIV 
XLIII 


LIV 


XVI 


XXIII 


LV 


LXXXIV 


LXII 


TABLE ALPHABÉTIQUE - 


Colbeau, Jules: — Observations sur les époques d’hiberna- 
tion et d’accouplement de quelques 
Mollusques terrestres en Belgique. 


— | ____ Rapport sur les coquilles du dépôt tu- 
facé de Marche-les-Dames . 


— Excursion à Rouge-Cloître, le 18 mars 
:+ 1666 


— Acclimatation d'espèces algériennes . 


— Description d’un Arion : Arion glaucus, 
J. Colb. 


— Intestinaux des Mollusques 


— Diverses pièces des Mollusques à réunir 


2& en collection . 


— Rapport sur l’excursion de la Société à 
Vielsalm 


— Coquilles subfossiles : Succinea antiqua 


— Liste générale des Mollusques vivants de 
la Belgique dressée d’après les docu- 
ments publiés par lesauteurs 


= Excursion de la Société à Arlon . 
—— Valvesdel’Astarte Basterotiiinverses 


— Coquilles du Fusus fasciolaroides trans- 
percées par un animal 


— Helix nemoralis subfossile(?),avec perfo- 
ration 


— Coquilles univalves prolongées par un 
Crustacé 


— Divers Mollusques que l’on peutrecueillir 
en nombre à Namur et à Rouge-Cloi- 
tre 


— Excursion de la Société à Lessines 


— Rapport sur l’excursion faite à Lanaeken 
S les 16 et 17 mai 1869 . 


— Compte-rendu de l’excursion faite par 
la Société à Mariembourg et Chimay 
les 12 et 13 septembre 1869 


— Coquilles subfossiles de Dieghem 


— Reproduction de l’AHelix incarnata albi- 
nos . 


— Mollusques vivants observés aux environs 
de Virton . 


_Aan, Soc, Zool, et Malac, Belg., t. LA 


LL] 


29 


LXI 

LXI 

LXV 
LXIX 
XLIII 
LIX 

LVI 
LXXXIX 


XCV 


é TABLE ALPHABÉTIQUE 


Colbeau, Jules. — Liste des Mollusques terrestres et fluvia- - 
tiles vivants observés pendant l’excur- 
sion de la Société malacologiqué de 
Belgique à Couvin. les 7, 8 et 9 sep- 
tembre 1873 £ 


— Observations au sujet de la Cranie men- 
tionnée par M. Davidson dans ses Bra- 
chiopodestertiaires de Belgique 


— - Rapport sur l’excursion faite par la So- 
ciété Malacologique de Belgique à 
Tournai, les 26 et 27 septembre 1874 


— Helix fasciolata var. Bouyeti, J. Colbeau 


— - Rapport sur les manuscrits laissés par 
M. Gustave Collin à la Société Malaco- 
logique de Belgique . 


Colbeau, J. et Lanszweert, Ed. — Mollusques nouveaux 
pour la faune belge, recueillis par 
MM. J. C. et Ed. L.. 


. Voir aussià Vanden Broeck. 


Collin, G. — Sur la Limnœæa stagnalis L. et sur ses variétés 
observées en Belgique (PI. IV) 


— Notes sur des coquilles fluviatiles trouvées dans 
des sables provenant du Ruppel 


— Anomalies de la Limnœæa stagnalis 
— Anomalies des Limncæa stagnalis et limosa 


— Limnæa stagnalis, var. sinistrorsa, recueillie 
par M. de Bullemont aux environs d’Aerschot. 


— Reproduction de la Limnæa stagnalis sénestre. 


— Note sur quelques variétés rencontrées chez le 
Pisidium amnicum Müll . 


— Notice sur les coquilles recueillies dans les allu- 
vions de la Senne 


— Excursion à Tervueren 
— Note sur les Mollusques des Vosges 


—  * Description d’une variété de Limnæa limosa 
(var. Bræcki) . 


— Liste des Mollusques trouvés] dans diverses 
localités du Hainaut 


— Description d’une nouvelle espèce de Limnée du 
Brésil (Limnæa Lambottei) . 


— Observations malacologiques faites dans une 
partie des Vosges . 


Voir aussi à Vanden Broeck. 


8 84 
9 CI 
9 CLXXXIX 
9. CXCIV 
13 XVII 
3 XIX 
7 81 
XXX 

7  XLVIII 
LVI 

7 LXI 
FF: LEXXIS 
7 XCII 
8 XIII 
XLVIII 
9 XX NIT. 
D ÉSRSLE 
9 CLI 
9 CC 
10 LXVII 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


core F. L. — Sur une coupe observée à Mesvin dans le 
terrain quaternaire (P1. I) 


— Note sur deux gisements de sables et argiles 
d'Hautrages 


Cornet, F. L. et Briart, A. — Compte rendu de l’excursion 
faite aux environs de Ciply par la Société 
malacologique de Belgique, le 20 avril 
1873 


— Sur l'âge du tufeau de Ciply. Réponse à 


MM. Rutot et Vanden Broeck. 
Voir aussi à Briart. 


Cossmann, M. — Catalogue illustré des coquilles fossiles 
de l’éocène des environs de Paris, 1* 
fascicule. (PI. 1 à 8) 


— 2e fascicule. (PI. 1-8) . 
— 3° fascicule (PI. 1-12) . 
— 4e fascicule. (PI. 1-12) 
— 5e fascicule et supplément. (PI. 1-3) 


_ Réponse aux observations de M. E. Vincent 
sur le « Gilbertia inopinata » Morlet. 


— Appendice n° 1 au Catalogue illustré, etc. 
— Rectifications de nomenclature . 
— Appendice n° 2 au Catalogue. (P1. 1 à 3). 


ne Table analytique des coquilles de l'éocène 
des environs de Paris 


— Appendice n° 3 (PI. 2 à 7). 
— Appendice n° 4 (PL. 5 à 10) . 
ee ” Appendice n°5 (PI. I à VIII) 


Cosyns, G. — Détermination, par l’analyse chimique, de l'âge 
relatif des ornements trouvés dans la « Grotte 
de Rosée » à Engihoul (près d’Engis) (PI. Il) 


Cotteau, G. — Notice sur l'Hemipneustes oculatus (Drapiez), 
Cotteau, de la craie de Ciply et les autres 
espèces 4 genre Hemipneustes (PI. 1) . 


SARAES Richard. — Mollusques de la Province de Liége, 
LS 28m 


Couturieaux, J. — Note sur le quaternaire ancien du nord- 
ouest de la Belgique . 


_— Contribution à la faune de l’éocène infé- 
‘ rieur . 


20 


20 


20 


21 
22 
23 
24 
26 


26 
28 
28 
31 


31 
36 
41 
49 


42 


25 


LXXIIT 


21 


163 


8 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Couturieaux, J. — Note sur deux coupes observées dans la 
banlieue de Bruxelles. 


— Fossiles nouveaux pour la faune de l’éocène 
supérieur 


— Note sur un gîte fossilifère de l'étage 
wemmelien . 


— Sur un gîte fossilifère paniselien 
Voir aussi à Vincent, G. 


Craven Alf. E. — Observations sur l'Aelix ligulata Fér. de 
— - Madras . 


— Mollusques terrestres et fluviatiles re- 
cueillis en Suisse en 1870 


— Quelques observations sur le Hyalæwa 


tridentata Lam. (PI. II) . 


Monographie du genre Sinusigera, d'Orb. 
(PL. II à IV) ë $ 


— Mollusques recueillis en Suisse en 1879. 


— Une journée malacologique à Colombo 
(Ceylan) : 


— Liste d’une collection malacologique pro- 
venant de Landana, près de l'embou- 
chure du Congo (PI. I) . 


— Note sur le genre Sinusigera . 


— Sur les variétés du Purpura (Cuma) 


coronata, Lmk., et sur la position 
systématique du Melongena fusifor- 
mis, Blainv. 


Crépin, Fr. — Note sur le vernis vitrificateur de Ruidant, 
propre à la conservation des fossiles . 


Daimeries, A. — Liste des fossiles de la craie blanche de 
Grez-Doiceau . 


— Notes NE I. (Système lande- 
nien) : nn 


—- Notes ue II. SAR lande- 
nien et heersien). : ; 


— Notes ichthyologiques, III. 


sa id., IV. 
‘3 id., Y. 
Es id.., YL. 


ES id. VII. 


XII 


XXI 


XXV 
CXVI 


93 


LIRE 


70 


105. 


LXXXV 


XCIII 


15 
XXV 


XXIHII 


LVI 


LXX VII 


XLII 


XLV 

CI 

V 
XXXIX 
LXXII 
XI 


ART RTE PO 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


. Daimeries, A. — Rapport sur l’excursion de la Société à 


Tirlemont, Hougaerde, Gobertange, 
Zetrud-Lumay et Gossoncourt. 


— .. - Analyse chimique d’un nodule des marnes 
de Gelinden (Heersien) 


Daimeries, A. et Vincent, G. — Rapport sur l’excursion 

à Folx-les-Caves, Jandrain, Wansin, Orp- 
le-Petit et Orp-le-Grand, les 24, 25, 26 
et 27 septembre 1887. (PI. 2) 


Davidson, Th. — Qu'est-ce qu'un Brachiopode? (PI. III 
à VI). L RNA SR NT ei ce 
— Communication au sujet des Brachiopodes 


de l’assise landenienne de Chercq . 


— Liste des principaux ouvrages, mémoires 
ou notices, qui traitent directement ou 
indirectement des Brachiopodes, vi- 
vants ou fossiles 


Dautzenberg, Ph. — Helix de croissance irrégulière 


— Dreissena cochleata Kickyx, récoltée à 


Bruxelles 
— Paul Fischer, notice biographique 


— H. Crosse, notice biographique, avec 
| portrait . 


— Contribution à la faune malacologique 
de Sumatra (Récoltes de M. J. L. 
Weyers) (fig. 1 et pl. 1 et 2) 


— Description d'une nouvelle espèce 
d'Achatina provenant du Haut- 
Congo (fig. 2). 


_— __ Description de trois mollusques nou- 
veaux provenant de l'Etat indépen- 


dant du Congo (pl. 1). 


— Récolte malacologique de M. Weyers 
dans le Sultanat de Sambas (Bornéo) 
(RES ER Pr ET e. 


Dautzenberg. Ph. et Dollfus,G. — Du nom spécifique qu’il 
convient d'attribuer au Corbula qui ca- 
ractérise les sables de Merxem . 


Ê - Du nom à adopter pour la grande Téré- 
4 bratule du Pliocène inférieur d’An- 
Vers. + 


28 


30 


25 


10 


10 


12 


34 


34 


36 


38 


a: 


31 


LXXII 


Wir 


36 


LXII 


59 
LXXX VII 


LVII 


XI 


IIT 


27 


XIV 


XVII 


10 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Deby, J. — Note sur l'alimentation des Moules (Mytilus edu- 
lis) CU ARS EDEN 2 re 
— Note sur l'argile des Polders, suivie d’une liste 
de fossiles qui y ont été observés dans la Flan- 
dre Occidentale .. . . . 


— Relation succinte d’un voyage fait aux bords de 
l’'Oostanaula, en Géorgie, Etats-Unis 


— Nécrologie : David Forbes 


de Folin et Bérillon. — Deux espèces nouvelles de faluns de 
Cabane, près Dax: Caecum fibra- 
tum et Meioceras Cabanensis . 


de Gregorio (Marquis A.) — Frédéric Lancia de Brolo, no- 
tice biographique 
de Guerne, J. — Note sur un cas de monstruosité scalaire 
de Planorbis rotundatus, Poiret . 


— | Note sur l’histoire naturelle des régions 
arctiques de l’Europe. — Le Varanger- 
fjord 


— Notes sur l'histoire naturelle des régions 
arctiques de l’Europe. — Le Varanger- 
fjord (suite et fin) et catalogue des Mol- 
lusques testacés recueillis dans ce fjord 
par la mission de Laponie (juin-juillet 


1881) . 
— Description d'un Pisidium nouveau des 
Açores. 
de Contreras. — Introduction du Grouse en Belgique 
de Cort, H. — Compte rendu de l’excursion faite à Ostende 


le 1er septembre 1895. 


— , Quelques observations intéressant la faune 
malacologique du Congo . 


— Dela valeur marchande et du degré de rareté 
actuel de Pleurotomaria Beyrichi . 


— Le Cinquantenaire de la Société Royale Zoo- 
logiqueet Malacologique de Belgique 1863- 
AO NES MORE e DEMEE 2 PET CNE, 


de Cossigny, J. — Tableau des terrains tertiaires de la France 
septentrionale, suivi de rapports par 
MM. A. Rutot, Gust. Dollfus et J. Ortlieb 


de Dorlodot, H. — Sur les grès fossilifères de Boufoulx. 


— Sur l’âge des grès fossilifères de Bouf- 
TEE SPA ERA Ur 7 PA ni g 


12 
12 


20 


18 


21 


23 
39 


31 


34 


36 


48 


12 
28 


28 


VIII 


LXXI. 


6 fer US CIS 


TABLE ALPHABÉTIQUE 11 


_ Delheïd, E. — Découverte d’un plastron de Tortue dans le 


nee ORAN SE ES an: 
— Découverte d’une gigantesque défense de 
Cœlorhynchus rectus, Ag.. . . . . . 28 LXXXV 
— Quelques mots sur les faunes rupélienne et 
pliocène supérieure de Belgique . . . . 30 LXXXVII 
—— Le Homarus Percyi, Van Ben., du rupélien . 30 XCI 
— Découverte d’ossements quaternaires à Saint- 
Giles -Brixeties 2 PES 22: 30 CXXV 
— Nouvelles additions à la faune et à la flore du 
TUDéen SUPÉTIEUR.. . den Re en ee 31 XX 
— Quelques mots sur les Cœlentérés des argiles 
$ TÜDOenneS TUNER LE US MO RE CUS 31 XXX 
_— L’ossuaive de Saint-Gilles-Bruxelles . . . c 7 | XLIV 
A Quelques matériaux pour la préhistoire . . 31 XLVII 
— Nouvelles découvertes dans l’argile de Boom . 33 LIT 
— Un nouveau gîte bruxellien à Ixelles . . . 33 LIX 
— La faune du rupelien supérieur . . . . . 33 LXXII 
_- Un dernier mot sur le Polypier géant de ce 
RBET OUEN ( DLS, DRE PE A IE RER, 33 LXXI 
— Un Trionyx de l’argile de Boom . . . . 33 LXXVII 
— Découverte d’un Squale bruxellien . . . . 34 LXXIII 
_ ‘ Quelques découvertes dans l'argile de Boom . 34 LXXV 
— Quelques mots sur un Sirénien de l'argile de 
Boom. Un Scombéridé du même terrain. . 37 XXV 
—— Un Cétacé ziphioïde boldérien . . . . . 37 XXIX 
— Vestiges de sépultures franques (?) à l’avenue 
Detrédllcele fees Rat te ST ne 38 LIIT 
— Un gite de Rostellaria ampla . . . . . 38 CXLV 
— Une Marmotte préquaternaire (?) . . . . 35 LVIII 
— Un percuteur paléolithique . . . . ... 39 LX 


== Quelques Poissons éocènes et oligocènes de la 
Belgique. — Une Chélonée rupélienne cou- 
verte d'exostoses Meme Enr Le 41 104 


— Le sous-sol de la commune d’Uccle (Bruxelles) 41 112 


— Quelques fossiles bruxelliens de la région de 
Materloon RENE TEA Lo a Lee 43 184 


12 TABLE ALPHABÉTIQUE 


de Limburg-Stirum, A. — Compte rendu d'une excursion 
. géologique faite à Gand . 


de la Fontaine, J. — Deux anomalies de coquilles marines 
(Strombus luhuanus, L. et Turbi- 
nella napus, Lk. (pl. IT) 


Delage, Y. — Remarques sur le travail de M. Kemna relatif 
aux Spongiaires 


de Loë (B°" A.). — Compte rendu de l’excursion aux environs 
de Hasselt et de Tongres, les 25, 26 et 
27 août 1888 (pl. 3) 


de Loë (B‘’ A.) et Raeymaekers. — Description d’une 
coupe levée à Estienne-au-Mont . 


— . Recherches malacologiques à l'embou- 
chure de la Somme, à Saint-Valéry, au 
Crotoy, à Cayeux, au Bourg-&Ault, à 
Mers et au Tréport. ÉRRSES 


Voir aussi à Raeymaekers. 


Delvaux E. — Compte rendu de l’excursion de la Société à 
Boom, le 20 novembre 1881 (pl. 6).. 


— Note succinte sur l’excursion de la Société 
géologique de Belgique, à Moresnet, en 
septembre 1881 . 


— Compte rendu de l’excursion à Maestricht, 
13 et 14 août 1882 (pl: IV). 


— Note sur quelques niveaux fossilifères appar- 
tenant aux systèmes yprésien et panisélien . 


— Contribution à l’étude de la paléontologie des 
terrains tertiaires 


— Note sur la découverte d’ossements apparte- 
nant à des espèces éteintes, dans le quater- 
naire de Mons et de Renaix 


—- Description d'une nouvelle Huître wemme- 
lienne, suivie d’un coup d’œil sur la consti- 
tution géologique de la colline Saint-Pierre 
et sur les alluvions qui forment le substratum 
de la ville de Gand (pl. I et Il), 


— Compte rendu des excursions à Audenarde, 
Renaix, Flobecq et Tournai (pl. IT à V). 


— Epoque quaternaire. — Quelques mots sur le 
grand bloc erratique d’Oudenbosch, près de 
Bréda, et sur le dépôt de roches granitiques 
scandinaves découvert dans la région. 


18 


10 


25 


19 


20 


16 


16 


17 


17 


LT 


18 


19 


20 


XCII 


21 


129 


XXXVII 


62 


44 


CXXI 


. CXLVIT 


CLXXXV 


*# ? Ld v Ed 
SLR EU haben es DRE ol SL AE: CE A ESS pee) à AR 


% LI 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Delvaux E, — Note succinte sur l’excursion de la Société 
géologique de Belgique, à Spa, Stavelot et 
Lammersdorf, en août-septembre 1885 . 


LE] 


— Notice bibliographique sur un mémoire de 
M. le Dr J. Lorié, intitulé : Contributions à 
la géologie des Pays-Bas 
Voir aussi à Briart. É 
de Malzine. — Volvula Lambotteana, De Malz. 
— Trochus Weyersi, De Malz . 


— - Description de trois coquilles fossiles nou- 
velles. (PI. Il) 


= 4 Coquilles recueillies à Blankenberghe. 


de Malzine et Craven. — Coquilles recueillis à Ostende les 
9 et 10 novembre 1869 


de Man, J. G. — Observations sur quelques Nématodes ter- 
restres libres de l’île de Walcheren 


— Sur quelques Palaemonidae de l'Afrique 
occidentale, avec des observations sur le 
Palaemon  (Eupalaemon)  acanthurus 
Wiegm. de l'Amérique (PI. I à IV) 

— Anguillula Silusiae Dx Man, eine neue in 
den sogenannten Bierfilzen lebende Art 
der Gattung Anguillula Ehrb. (PI I) 


Denis, H. — Henri Lambotte (Un portrait) 
De Pauw, L. — Méthode de conservation des fossiles pyriteux. 
— Quelques considérations sur l’'Okapi (fig. 1-2). 


Deprat, J. — Sur l'identité absolue de Nummulina pristina, 
Brady, et de Nummulites variolosus, Lk. et sur 
son existence dans les dépôts tertiaires néo-calé- 
doniens . 


de Selys-Longchamps, M. — Gastrulation et formation des 
feuillets chez Petromyzon 


— Analyse des travaux d'En. Van BENEDEN sur le 
groupe des Tuniciers . 


— Evolution des stigmates branchiaux chez les 
Ascidies du genre Corella 


Dewalque, G. — Usage particulier de l’acide phénique 


—— Rapport sur l’excursion de la Société malacolo- 
gique de Belgique à Couvin. Partie paléon- 
tologique 


— François-Léopold Cornet, notice biographique. 


20 


22 


41 


46 


45 


48 


23 


13 


15 


CIV 


XLI 
XLII 


45 
LVI 


XCVIII 


156 


197 


Il 
LXXXVI 
CLXIIT 


17 


49 


127 
LXXXIV 


77 


14 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Dewalque.— Sur les nivellements barométriques 
—— Sur l’âge des fossiles de Bouffoulx 
— Carlier et sa Neritina leodica . 
_— Deux mots de réponse à M. Vanden Broeck. 


Dewalque, Vanden Broeck et Cogels. — Considérations 
sur la question de savoir si le diestien doit 
être considéré ou non comme Pliocène. 


Dewalque, Rutot et Cogels. — Rapports sur le travail de 
M. Van den Broeck : Esquisse géologique 
et paléontologique des dépôts pliocènes des 
environs d'Anvers . 


Dôflein, Fr. — Vôügel als Schmetterlingsfresser. 


Dollfus, G. F. — Nomenclature critique du Trophon antiquus 
[Neptunea antiqua L. sp. (Murey)] 


— Valvata disjuncta, espèce nouvelle des 
meulières supérieures des environs de 
Paris 


— Le terrain quaternaire d’Ostende et le Corbi- 
cula fluminalis (PI. I-IT) 


— Lettre à M. Velge sur le gisement de quel- 
ques Mammifères de l’éocène parisien 


— Quelques mots sur le tertiaire supérieur de 
l’est de l’Angleterre . 


VA Rectification de nomenclature : genre Del- 
heidia 
Dollfus, G., et Ramond, G. — Liste des Ptéropodes du 
terrain tertiaire parisien ; 
Voir aussi à Ortlieb. 


Dollo, L. — Note sur les crochets remarquables de certaines 
coquilles de Lamellibranches. (PI. III) . 


Dordu, F. — Contribution à l'étude des Oligochètes de la 
faune profonde du lac Léman . ; 


Dormal, V. — Sur les Poissons dévoniens dans le bassin de 
: Namur (rivage septentrional). 


Douvillé, R. — Sur des Ammonites du crétacé sud-américain 
(pl. I-IV) . 
— Lépidocyclines et Cycloclypeus malgaches 
(pl. V et VI). 
Dubrueil, E. — Note relative à une collection de coquilles 


exposées au palais du Champ-de-Mars, 


par la Commission des Colonies françaises ‘ 


31 
34 


41 


44 


CXXI 
V 


LXXAIF 
ÉXX SU 


CVII 


XVII 
58 


XI 


27 

28 

xx 
XCIV 
LXXXVI 


38 


14 


256 


CXI 


142 


125 


39 


it males Arr mat 


7 
TABLE ALPHABÉTIQUE 


* Dubrueil E. — Description d’une nouvelle espèce d'Helix 
D BU) EM ON OPA 


— Description et figure d’une Hydrobie nou- 
velle, 4. Paladilhi . 
d'Udekem, J. — MNotice biographique sur . 


Dupuis, P. et Putzeys, S. — Diagnoses de quelques coquilles 
nouvelles provenant de l'Etat Indépendant 
e du Congo (fig. 18-34) 


— Diagnoses de quelques espèces de coquilles 
nouvelles et d’un genre nouveau prove- 


nant de l'État Indépendant du Congo, sui- . 


vies de quelques observations relatives à 
des espèces déjà connues (fig. 1-18) . 
— Suite (fig. 21-29). 
— Note concernant la découverte du Petricola 
pholadiformis L. en Belgique . 


- 


Dustin, A. P. — L'évolution des ébauches génitales chez les 
Amphibiens . 


— La signification morphologique desébauches 
génitales embryonnaires chez les Am- 
phibiens 

_ Quelques mots sur les chromatophores 

et les iridocytes des Céphalopodes 
4 LE NRA TRS 
Eck, A. — Note sur le calcaire de Ludes . 
Fontaine, C., voir Lecomte. 


Foresti, L. — Note sur deux nouvelles variétés de l’Ostrea 
cochlear Poli (pl. IIT) 


— Note sur le sous-genre Smendovia, Tournouër 
(1882) . 


Forir, H_ et Lohest, M. — Compte-rendu de la session 
extraordinaire de la Société Royale Malaco- 
logique de Belgique et de la Société Géolo- 
gique de Belgique. — Premières journées 
(5 au 7 septembre 1896) (pl. I) 

Frauenfeld, G. V. — Hiruno LECOMTEI. 


— Une Hirudo nouvelle (Xerobdella 
Lecomtei) SRE 


Funck, N. — Noticesur l’Euplectella aspergillum R. Owen . 
— Aquarium du Jardin Zoologique . 


Gaucher, Élie. — Mollusques recueillis en Suisse, 


39 


36 
36 


37 


42 


42 


45 
13 


17 


20 


(ee) 
19 


Lo) 


(2e) 


O9 


15 
49 
XLIT 


LXXIII 


XIII 


XXXIV 
RS 


IV 


175 
190 


27 
VII 


27 


XX VIII 
XII 
LXX VIT 
LXXVI 


16 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Giard, A. — Communication sur les Œolis 
— La gastrula et les feuillets blastodermiques des 
Spongiaires . 
Gilson, G. — L’Anguille, sa reproduction, ses migrations et 
son intérêt économique en Belgique (pl. I). 


—— Capture d'un ZLeptocephalus Morrisii au cap 
Gris-Nez . 


— Note sur un Epicaride nouveau, parasite du 
Gastrosaccus spinifer GôEs . 


_ Mort d’'Ed. Van Beneden . 


— Le Musée propédeutique, essai sur la création 
d’un organisme éducatif extra-scolaire 


Gilson, V. — Note sur quelques espèces de Mollusques marins 
habitant la côte belge ou son voisinage 


Grégoire. E. — Notice sur les coquilles de la Tourbe de 
Uccle-lez-Bruxelles . . . 


Grégoire, V. — Les fondements cytologiques des théories 
courantes sur l’hérédité mendélienne. — 
Les chromosomes : individualité, réduc- 
tion, structure. 


Hasse, G. — Les Chiens et les Loups primitifs de la région 
d'Anvers (pl. I et II). 


— Un Marsupial de l’Argile de Boom. 


— Les Vers dans l’Argile de Boom; les Tarets dans 
le pliocène, à Anvers ° 


Dons. R. — Note sur une zone à Globigérines dans les 
Ë terrains jurassiques de la Suisse. 


Hennequin, E. — Notes d'excursions relatives à la fixation 
de la position stratigraghique de nou- 
veaux gîtes fossilifères du système wem- 
melien (pl. IV) 


—— Première communication sur le baromètre 
holostérique orométrique système Gou- 
lier. | 


== Deuxième communicatiôn. 


-— Troisième communication sur les baro- 
mêtres orométriques et altimétriques de 
M. le Colonel Goulier et sur les 
nivellements barométriques approxi- 
matifs . 


— La participation de l’Institut Cartogra- 
phique à l'Exposition internationale de 
Bruxelles (pl. 3). 47,140 ‘ 


44 


16 CLXXXVII 


15 


24 


24 


82 


257 


267 


63 
77 


121 


LVI 


LXIV 


LXXI 


CXXVI 


XVIII 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Hermann, O. — Ornithologie moderne et ornithophénologie. 
— Réponse à la critique de M. le D' Quinet. 


Houzeau de Lehaie, A. — Liste des Bryozoaires du Pou- 
‘dingue de Ciply 


— Note sur les alluvions de la Trouille dans 
les environs de Mons. 


Kawall, J. H. — Notice sur la faune malacozoologique de la 
Courlande . 


— La pêche des perles en Livonie 


— Note sur les parasites et les ennemis des 
Mollusques . 


_Kemna, Ad. — Sur le caractère naturel de la division des 
Foraminifères en Imperforés et Perforés 
(épa LOERN MECPRTE CRE 


— La vie et l’œuvre de Carl Gegenbaur . 


— Sur les rapports entre Cnidaires et Poly- 
clades. 


— Les danse têtes généraux des Vertébrés 


— Les caractères structuraux des Foraminifères 
flottants . PE ; 

— Compte rendu bibliographique sur R. Gold- 
schmidt : Notiz über die Entwicklung der 
Appendicularien (fig. 1-7) 

— La disposition des poils chez le Paresseux 
didactyle (fig. 8). 

— La biologie des eaux potables 

— Morphologie des Foraminifères arénacés . 

— La taille des animaux. 

| 
— L'origine de la corde dorsale 


— Compte rendu bibliographique sur R. Gold- 
schmidt: Amphioæides, Vertreter einer 
neuen Acranier-Familie 


— : Pénétration et migration de l’Ankylostome. 


= Une nouvelle phylogénie des Echinodermes ; 
la Pentasomea de Hérouard . 


— Comptes rendus bibliographiques sur : 
1. O. Carlgren : Noch einmal Re 
Rat ere : . ‘ 
. J.-J. Lister : Sur le Abe de À jee 
er de Nummulites et la taille de la 


43 


10 


40 


17 
203 
139 


36 
33 


LX VIII 
XX X VIII 


XX 
LX 
Il 


LXXIX 
XCVII 


CIX 


CXXIX 


CXLVI 
69 


LVI 


18 


Kemna, Ad. 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


mégalosphère en relation avec celle de la 
microsphère du test mégalosphérique de ce 
genre CRE LATE FPE ER RRS 

3. J.-J. Lister : Article « Foraminifera » dans 
le Traité de Zoologie de Ray Lankester. 

4. Ant. Neaviani (note sans titre). 

5. H. Douvillé : Sur la structure des Orbito- 
lines HER EE NO Te ie A 

6. G.-A. Boulenger : La distribution des Pois- 
sons d’eau douce africains . 


Les théories dans les sciences naturelles et 
spécialement en zoologie 


Octacnemus, une Ascidie mégophage 
L’Holothurie pélagique Pelagothuria . 
Revue des travaux sur les Appendiculaires 
L’Amphioxus comestible . 


La disposition des poils chez le Paresseux 
didactyle 


Les larves tisseuses d’Insectes dans les distri- 
butions d’eau . : 


Der Ursprung des Wirbeltierauges, par 
G. Jelgersma . 3 UNS PH 
Les caractères et l'emplacement des Spon- 

giaires . 
Critiques relatives au travail précédent 
Réponse à ces critiques. 


Remarque à propos de la première communi- 
cation de M. Dustin. 


Réponse à la note de M. Giard sur la position 
systématique des Spongiaires . 


À propos de la communication de M. LAMEERE : 
- « Eponge et Polype » 


Position systématique des Trématodes . 
Morphologie des Cœlentérés . 
Morphologie des Cœlentérés (suite) : 


P.-J. Van Beneden; La Vie et l'Œuvre d'un 
zoologiste (portrait) . Dre 


Sur la position systématique des Spongiaires : 
Examen de la note de M. Aug. LAMBERE. 


A propos d’un travail récent de M. Orro Maas 


me 


40 


40 


LX 


LXV 


127 
128 
128 
137 

64 
129 
137 
119 


228 


131 
183 
229 
143 


205 


13 
19 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


_ Kemna, Ad. — Analyse du mémoire de O. JAE=KEL : « Ueber 


die Beurteilung der paarigen Extremitäten » 


L’embryologie des Spongiaires dans « Kor- 
_SCHELT et HEIDER » . 


Morphologie des Cœlentérés (suite) . 
Un Cténophore sessile, Tjalfiella Mortensen . 


Les caractères orthostyle et flexostyle chez les 
Foraminifères. 


Mort de WALLACE . 
Morphologie des Protozoaires (76 planches) 


Compte rendu bibliographique sur GiLson : Le 
Musée d'Histoire naturelle moderne, sa 
mission, son organisation et ses droits 


Lallemant, Ch. — Malacologie des environs d'Alger 


Lameere, A. — Présence de l’'Ommatostrephes todarus, Delle 


Chiaje, sur la côte belge . 
Rapport sur l’excursion au Zwijn . 
De l’origine des Eponges. 
Sur l’origine des Siphonophores 
Sur l’évolution des Mollusques . 
Oligochète et Rotifère nouveaux pour la Bel- 
gique . 
L'origine des Cténophores 
L'origine de la corde dorsale 
Cténophores et Polyclades 
Éponge et Polype . 
Position systématique des Trématodes 


Origine et composition de l’'embranchement 
des Arthropodes  . 


Sommaire du cours d'éléments de zoologie 
pour la candidature en sciences naturelles 


(Suite) 

(Suite et fin) 

Mort de M. Ed. Delheid . 
Présentation d’un Gorille femelle . 
Un Siphonophore en Belgique . 
Le Pic noir en Belgique . 


Le Dr W, SCHLEICHER 


19 


45 36 
45 157 
46 8 
47 21 
48 49 
49 264 
49 Suppt 
50 12 

3 15 
28 XXXVI 
29 16 
36 VII 
37 Y 
38 > DS 
JE KNIE 
38 LXXXVIII 
40 XII 
40 CXXVII 
43 107 
43 183 
43 188 
45 57 
45. 173 
46 35 
47 6 
47 6 
47 119 
47 121 
47 123 


20 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Lameere, À. — Vie terrestre secondaire chez les Insectes. 
— La faune du Môle de Zeebrugge 


— Notes de zoogénie : 
I. Les appendices des Coelomates 
II. Les feuillets des Spongiaires. 


— L'Okapi du Jardin zoologique d'Anvers . 


Lambotte. — Diminution du poids de l’Helix pomatia durant 
l’'hibernation. 


== Tuf de Marche-les-Dames 


_— Organisation du centre nerveux des Mollus- 
ques, etc. 


Lanszweert, Ed. — Liste de Zoophytes et de Mollusques 
inférieurs (Tuniciers et Bryozoaires) 
du littoral belge 


= Les bancs d'Huîtres devant Ostende 


— Buccinum undatum, var acuminatum, 
recueilli à Ostende . 


Voir aussi à Oolbeau. | 
Lecomte, Th. — Excursion aux environs de Gratz (Styrie) 
— Hirudo nova species’ 


— Liste des Mollusques terrestres et fluviatiles 
recueillis aux environs de Lessines 


— Coquilles sub-fossiles de Papignies et de Rebaix. 


— Description et figures des dragues triangulaires 
de MM. le Dr O. Soxmipr et BRUSINA 


— Coquilles recueillies à Lessines . 


PU Mollusques terrestres et fluviatiles rencontrés 
dans l’île de Wight pendant l'été de 1863 . 


— Liste supplémentaire des Mollusques terrestres 
et fluviatiles recucillis aux environs de Lessines 
(figures dans le texte) . 


— Notice sur un dépôt moderne de coquilles terres- 
tres et fluviatiles, dans la vallée de la Dendre. 


— Petite notice sur Lessines et ses environs . 


— Deuxième liste supplémentaire des Mollusques 
terrestres et fluviatiles recueillis aux environs 
de Lessines . 


— Excursion à Longchamps sur Geer (fig. dans le 
texte) . 


11 


wÜÙ 


259 


XCVI 


LXV 


LX VIII 


TABLE ALPHABÉTIQUE 2+ 


Lecomte. — Excursion à Folx-les-Caves # TE e. J LV 


# —  : Observations sur la spongiculture dans l’Adria- 
CE ER SAR ER EERRECRE 8 XXXVI 
Lecomte et Fontaine, C. — Mollusques recueillis dans les 
envirensidé Femplenyes.. 21. : .. . 6) LVIIT 
Lefèvre, Th. — Deux Lamellibranches et un Gastéropode 
nouveaux pour la faune du système 
LS TON EE RE MOTTE ee LR OR 8 XL 


— Un Gastéropode et un Lamellibranche nou- 
veaux pour la faune laekenienne . . . 9 CCI 


— _ Observations sur des Brachiopodes de 
l’assise landenienne de Chercq, près de 
TOUPHARS NUE 2 pv at an elpe tr 10 x 


— Observations sur les résultats de l'excursion 
faite au Mont Cassel par la section de 
géologie du Congrès de Lille . . . . 10 XI 


— Espèce nouvelle pour la faune laekenienne. 10 XIV 


— Note sur la présence de l'ergeron fossilifère 
dans les environs de Bruxelles . . . 10 XXX 


— Rapport sur le travail de M. Rutot : Des- 
cription de la faune de l'oligocène infé- 
rieur de Belgique. . . . . . . . 11 XXXIV 


= Sur la disposition des listes paléontolo- 
MAUR Re es Merde da notes ll LXV 


— : Rapport sur le travail de M. Rutot : Des: 
: | cription de la Rostellaria robusta. . . Il LXXIX 


— - Excursions malacologiques à Valenciennes, | 
Soissons et Paris (septembre 1876) . . 11 LXXXV 


È FE Rapport sur le travail de M. Vincent inti- 
e tulé : Description de la faune de l'Etage 
Ë landenien inférieur de la Belgique . . 12 XX VII 


: — Note sur les Rostellaria ampla de l’éocène 
4 et de l’oligocène : . . . . . . . 12 LXXXIII 


# — Recherches paléontologiques. Les grandes 
È espèces d'ovules des terrains éocènes. 
D. Description de l’ovule des environs de 


É Bruxelles. Ovula (Strombus) gigantea, 

2 Ma PÉ SR Se 0. . . 13 22 

: S — Note sur le Bulimus ellipticus (pl. 7) . . 14 82 
— Notice biographique sur Ad. Watelet . . 15 XL 


— La Rostellaria ampla, Sol. et ses variétés . 16 XXXX 


Aun, Soc, Zool, et Malac. Belge, t. L, F0 


29 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Lefèvre, Th. — Robert Lawley,sa vie etses travaux, notice 
biographique. 


— . Théophile le Comte, notice biographique . 
— Valére Liénard, notice biographique 


Lefèvre ct Colbeau. — Rapports sur le travail de M. Dollfus, 
intitulé : Valvata disjuncta, espèce nou- 


velle des meulières supérieures des en- 


virons de Paris . 


Lefèvre, Th. et Watelet, A. — Additionsàla faune tertiaire 
du basssin de Paris. — Description de 
deux Solens nouveaux (pl. 1) . 
Voir aussi à Vincent, G., à Watelet, et à Piré. 


Leriche, M.— Les « Campanile» du « Tuffeau de Ciply» et 
du « Calcaire de Cuesme» (pl. 1) 


— Sur les coques d'œufs des Chiméridés fossiles, 


et, en particulier, Sur une coque provenant 
du Jurassique supérieur de Verdun (Meuse) 
(pl. VIIL et IX) 


Lewis, D' James. — Instructions pour la recherche des co- 
quilles terrestres et d’eau douce 


— Instructions pour recueillir etcollection- 
ner les Mollusques terrestres etfluvia- 
tiles, avec figures (2° article) . 


Lohest voir à Forir. 
Loppens, Ch. — Petricola pholadiformis, L. . 


en Sur une variété de Membranipora membra- 
nacea, L.et sur quelques animaux marins 
vivant dans l'eau saumàtre. 


— ‘ Bryozoaireset Cnidozoairesnouveaux pour la 
faune belge, trouvés pour la plupart pen- 
dant l’année 1903 


— Un Crustacé perforant(Limnoriaterebrans) 
non encore signalé en Belgique 


— Hydroïde nouveau pour la faune belge. 


Animaux marins vivant dans l’eau sau- 
mâtre . 


— Bryozoaire nouveau pour la faune belge 


— Rapide multiplication de quelques Bryozo- 
aires et Hydroïdes 


— .  Bryozoaire nouveau pour la faune belge 


7 V 
21 V 
21 VIII 
12 LXVI 
12 29 
47 82 
48. ‘ 145 

S ALXXXWVI 

7 SR Le SEE 
37 XI 
38 CXLII 
39 XLV 
592 RLNIT 
40 VII 
40 ° VII 
40 XXI 
40 KIT 
40 XLIX 


1 
id 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


4 - 


Loppens, Ch. — Plumatella repens, L., vivant dans l’eau 
saumâtre . 

— Bryozoaires nouveaux pour la faune belge 

— Liste complète des Bryozoaires de Belgique 

— Bryozoaires marinset fluviatiles de Belgique 


— . Sur Les caractères distinctifs entre A/Zcyoni- 
dium gelatinosum et Alc. hirsutum 


(pl.Il). 


— Note sur un Rotifère nouveau du genre 
Anuraea … |. , 


— Note sur la transpiration chez le chien. 


7 Catalogue des Bryozoaires d’eau douce avec 
une note sur Victorella pavida 


Lorié, J. — Note sur le forage d’Arnhem. 


Maas, O. — Bemerkungen zu Kemna : Les caractères et l’em- 
placement des Spongiaires . 


Malaise, C. — Excursion annuelle de la Société Malacolo- 
gique de Belgique. — Rapport sur l’excur- 
sion dans les environs de Virton (Province 
de Luxembourg) du 15 au 17 septembre 1872 


— Note sur la description du terrain silurien du 
centre de la Belgique 


== - Note sur quelques fossiles du diluvium 


_ Excursionannuelle de la Soëiété aux environs 
de Rochefort, Naninne et Dave, des 11 et 
12 septembre 1881 (pl 4) 


— A propos des schistes siluriens de Huy . 


Matschie, P. — Neue Affen aus Africa nebst einigen Bemer- 
kungen über bekannte Formen . 


Mathew, G. F. — Note sur les Mollusques de la formation 
post-pliocène de l’Acadie (pl. 1) 


_ Sur le développement des premiers Trilo- 
DER NS UE : . 


Massart, J. — Sur la géographie botanique de la Belgique 


Meuleman, E. — Le rôle des Ixodes dans la propagation des 
maladies contagieuses . 


Meunier, À. et Pergens Ed. — Nouveaux Bryozoaires du 
C'OTAPÉ  SHHÉTIENR A ee en «0 


Voir aussi à Pergens. 


Miller, H. J. — Considérations sur l'établissement des aqua- 


riums (pl. 1). 


41 
41 


1 


97 
XLVII 


131 


95 


15 


24 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Miller H. J. — Notice sur les Acinetina et en particulier 


sur l’Acineta mysticina Eur. 


Podophrya mobilis, espèce nouvelle apparte- 
nant à l’ordre des Suceurs (pl. 1). 


Observations sur le Nummulites planulata 
var. À. minor d'Arch. et Haim. 


Instrument pour faciliter le maniement sous 


le microscope, des Foraminifères et autres 


objets de petite taille . 


Rapport sur la traduction faite par M. Van- 
den Broeck du travail de M. Brady : 
« On a true carboniferous Nummulite ». 


Rapport sur une excursion faite à Sluys-Kill 


Miller, H. et Vanden Broeck, E. — Les Foraminifères 


vivants et fossiles de la Belgique 


Voir aussi à Vanden Broeck. 


# 


Mérch, O A. L. — Catalogue des Mollusques du Spitzberg . 


Michot, Abbé. — Notice biographique sur M. ALBERT 


ToïLLiEz 


recueillis par le D' H. KRoYER pendant 
le voyage de la corvette La Recherche 
en juin 1838 


Mourlon, M. — Relation de l’excursion faite par la Société à 


Heyst le 2 octobre 1870 


Communication sur la nature des dépôts 
crétacés d’Anderlues 


Communication sur l’assise diestienne du 
Kiel près d'Anvers. 


Observations sur le classement des couches 
tertiaires moyennes dans le Limbourg 
belge . | 


Rapport sur le travail de M. Cogels intitulé : 
« Observations géologiques et paléontolo- 
giques sur les différents dépôts rencontrés 
à Anvers . 


Observations sur la position du panisélien 
dans la série éocène. 


Nouvelles observations au sujet de nos 
couches tertiaires à Terebratula grandis. 


Découverte d’un tronc d’arbre fossile dans le 
Maestrichtien, à Canne (Belgique) . 


33 


11 


XX 


LXXVI 


XCTIL 
CXXXIV 


15. 


XCIV 


65 
XCVI 


CXX VIII 


91 


XIV 


XXXIV 


LV 


LX 


r CRETE, 
OS PR PA! 


w. 
Use” 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Mourlon M. — Sur le lédien de Lede, près d’Alost, 


Sur une coupe quaternaire à Lede, près 
d’Alost 


Sur le lédien à l'ouest de Bruxelles 
Sur le lédien des environs de Renaix . 


Sur la découverte d’ossements dans les dépôts 
quaternaires diluviens de Saint-Gilles . 


Sur la découverte, à Ixelles, d’un ossuaire de 
Mammifères, antérieur au diluvium, et sur 
l'existence de l’homme tertiaire dans le 
Hainaut 


Sur l'existence dans le bassin franco-belge 
d’un nouvel horizon pleistocène antérieur 
au diluvium à « Elephas primigenius » . 


Sur le puits artésien du dépôt de la Com- 
pagnie du Tramway à vapeur d’Ixelles. 


Sur la découverte de nouveaux débris de 
: Mosasauriens à Ciply . 


Sur les dépôts rapportés par M. Velge à 
l'étage yprésien entre la Dyle et la 
. Sennette . 


La dernière butte de sable de l’avenue Louise 
(Bruxelles) 


Appel aux géologues . 


Sur une réforme à apporter dans les biblio- 
thèques scientifiques 

Les dernières buttes de sable du Wijngaerd 
Berg à l’est de Bruxelles . 

Sur le classement stratigraphique des dépôts 
de l’étage asschien dans la série tertiaire, à 
propos d’un mémoire de MM. J. Vincent et 
J. Couturieaux . 

Réplique à M. de Dorlodot . 

Sur l’âge crétacé des grès mamelonnés de 
Bouffioulx rapportés au landénien supé- 
rieur . - 

Compte-rendu de l’excursion du 24 sep- 
tembre 1894 aux massifs tertiaires entre 
Waterloo et Ottignies. 

Compte-rendu de l’excursion du 25 sep- 
tembre 1894 aux collines tertiaires du sud- 
est de Louvain , . , . . , 


23 


23 
23 
24 


24 


24 


24 


24 


25 


25 


26 
26 


26 


26 


26 
28 


28 


30 


30 


LII 


CXXIII 


CLXXIII 


XI 


LIV 


21 


29 


26 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Mourlon M. — Sur une nouvelle interprétation des dépôts 
rapportés par Dumont à son système 
laekenien dans la région comprise entre 
Waterloo et Ottignies. . . , 


— Sur la nécessité de maintenir les étages 
asschien et wemmelien de l’éocène supé- 
rieur . 


— Discours prononcé aux funérailles du doc- 
teur J. Crocq 


—— Sur l’âge relatif des sables noirs à lignites 
du sous-sol de la Campine limbourgeoise. 


— Sur la publication de nouveaux tomes des 
deux séries de la Bibliographia geologica 
et de la deuxième édition de la classification 
décimale appliquée aux sciences géolo- 
giques. 

_ Quelques mots au sujet des observations de 
M. le Baron ©. van Ertborn, sur l'allure 
probable de l'argile rupelienne ‘dans le 
sous-sol de la Campine Limbourgeoise. 


— Allocution prononcée à l’occasion de la mort 
de M. Gérard Vincent. 


— Liste des publications de paléontologie strati- 
graphique de G. Vincent . 


— Compte-rendu de l’excursion géologique 
dans la Campine limbourgeoïise des 21 
et 22 mai 1899 (avec coupe) . 


— Compte-rendu de l'excursion géologique en 
Campine les 23, 24 et 25 septembre 1900. 


= Sur l'état d'avancement du Répertoire uni- 
versel concernant les sciences géologiques 
(Bibliographia geologica) . 


Voir aussi à Nyst. 
Nobre, A. — Catalogue des Mollusques des environs de 
Coïmbre (Portugal). 
— Etude géologique sur le bassin du Douro. 


Nyst, H. — Rapport sur la notice de M. le Major Le How, 
intitulée : Description de deux espèces de 
coquilles fossiles du système laekenien (PI. I). 


— Faune Maestrichtienne. Description d’une Ser- 
pule fossile nouvelle (Serpula Thielensi), 
provenant de Folx-les-Caves (PI. IV) . . . 


30 


30 


33 


33 


34 


34 


34 


Te 


34 


35 


36 


20 
21 


XXX 


XXXIV 


:: LXMII 


LXXIX 


LXIV 


LXXXIII 


XLIIT 


XVI 


10 


73 


<R TABLE ALPHABÉTIQUE 


Nyst H. — Faune Maestrichtienne. Description d'une Huttre 
fossile nouvelle (Ostrea podopsidea), de la Craie 
de Ciply, de Folx-les-Caves et de Wansin, 
(PI. IV) 


— Helix nemoralis scalariforme 


— Faune laekenienne. Description d’une coquille 
fossile du terrain éocène de Belgique (Cyprina 
Roffiaeni) (PI. I). 


— Faune Paniselienne. Description de deux coquilles 
fossiles du terrain éocène de Belgique (Leda 
Corneti et Arca Briarti). (PI. I) 


— Espèces fossiles et vivantes recueillies par 
M. Desguin en Volhynie 


_ Rapport sur le travail de M. P. Cogels, intitulé : 
« Observations géologiques et paléontologiques 
sur les différents dépôts rencontrés à Anvers ». 


Nyst, H. et Mourlon, M. — Note sur le gîte fossilifère 
s d'Aeltre (Flandre Orientale) . 


Ortlieb, J. et Dollfus, G. — Compte-rendu de géologie 
| stratigraphique de l’excursion de la Société 
malacologique de Belgique dans le Limbourg 

belge, les 18 et 19 mai 1873 (PI. II). 


Pelseneer, P. — Tableau dichotomique des mollusques marins 
de la Belgique . 


— Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Quelques mots sur la taille des Céphalopodes. 
— Études sur la faune littorale de la Belgique. 
PE Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Études sur la faune littorale de la Belgique. 


— Note sur des coquilles terrestres et fluviatiles 
recueillies à Aeltre. 


— Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Mollusques et autres animaux infé- 
rieurs recueillis sur la côte belge en 
1883 . 


—— Sur la distinction spécifique des Sepiola 
atlantica et Rondeleti. 


= Sur l'aire de dispersion de Lasæa rubra, 
Mont. 


— Sur la présence du Dreissensia cochleata 
Kickx à Amsterdam 


16 
17 


18. 


18 


20 


20 


21 


13 
XXVI 


19 


16 


XVII 


XIII 


29 


39 


27 

LXXX VIII 
CLXXXVI 
CLII 

CLX VIII 
31 


XX VII 


CXVI 


XVI 


XCVI 


XCV 


28 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Pelseneer P.— Sur le pied et la position systématique des 


PLÉLOBOAEEt AMEN Ne 
Sur le genre Peracle 


La Rudimentation de l’œil chez les Gastro- 
podes 


Sur la classification des Gastropodes d’après 
le système nerveux . 


Sur la nature pédieuse des bras des Cépha- 
lopodes . : 


Sur le manteau de Scutum (— Parmo-. 


phorus) 


Sur la perception des mouvements chez les 
Céphalopodes. 


Acœinus et Cryptodon 
L'œil de Scutum. 


L'Hermaphroditisme des Nudibranches sacco- 
glosses (Elysiens, etc.) : 


Sur quelques points d'organisation des Nudi- 
branches et sur leur phylogénie 


Sur la dextrorsité de certains Gastropodes dits 
« sénestres » (Lanistes, Peraclis, Limacina 
et larves des Cymbuliidae). 


Introduction à l’étude des Mollusques . 


Un nouveau nudibranche méditerranéen 
(Cyerce Theringi) 


L'opercule des Hétéropodes 


Le système nerveux streptoneure des Hétéro- 
podes . ; 


Sur le cœur d’Ostrea et de Pandora 


La phagocytose défensive chez les Huiîtres 
vertes 


Sur le genre Actæon 


:Castration parasitaire chez les Mollusques. 


Formation de variétés chez la Moule comes- 
tible 


Sur la fonction de l’osphradium des Mol- 
lusques. 


Les organes génitaux des Auricula. 


Numismatique conchyliologique. . . . 


344 
CXII 


LXXIV 
XL 
382 
385 


CXX 
XXXV 
XXVIII 


LV 

LX VIII 
XCIV 
31 


XIX 
XXXV 


LII 
LV 


LXII 
VII 
XXXV 


XLVIIT 
LIT 


LVII 
LXII 


RES a 
‘ 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Pelseneer. - Pulmonés à branchies., Genre Pulmobranchia 

— P.-J. van Beneden, malacologiste, notice bio- 
graphique : 

_ La classification des Lamellibranches d’après 


les branchies . 


— Alfred Giard (1846-1908). In memoriam 
(portrait) 


— L'influence des courants dans la dispersion des 
organismes 


— Lettre de remerciments pour les félicitations 
qui lui ont été adressées à l’occasion de 
l'attribution du Prix décennal des Sciences 
zoologiques 


— Tératogenèse et formation de monstres doubles 
— La métamérie et l’hypomérie chez les Chitons 


— Les premiers temps de l’idée évolutionniste : 
Lamarck, Geoffroy-Saint Hilaire et Cuvier 
(avec portrait). 


Pergens, E. — Les Bryozoaires du Tasmajdan à Belgrade 


= » Note préliminaire sur les Bryozoaires fossiles 
des environs de Kolosvar 

— Note supplémentaire sur les Bryozoaires du 
Tasmajdan 

— Contributions à l’histoire des Bryozoaires et 
des Hydrozoaires’ récents 

= Deux nouveaux QUES de Bryozoaires cténos- 
tomes . 


— Notes succintes sur les Bryozoaires : 
I. Sur les Bryozoaires du miocène de la 
Russie méridionale 
IT. Bryozoaires dragués par M. G. Dollfus 
dans le nord-ouest de la Méditerranée 
2 « The American geologist », notice bibliogra- 
phique. 
Pergens, Ed. et Meunier, A. — La faune des Bryozoaires 
garumniens de Faxe (pl. 9 à 13). 
Voir aussi à Meunier. 
Parker, W. K., voir Rupert Jones. 
Philippson, M. — L’éclosion des œufs de Poissons est-elle dûe 
à un PRÉROReES osmotique ? . 


Piéret, voir à à Racymackers. 


29 


38 


43 


48 


19 
tŸ 


23 


r.) Ve 


46 


LXV 


39 


53 
XII 


XXXIII 
LIX 
LXXXV 


340 


XX 


LVII 
CIV 


187 


186 


30 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Piré, L.— Recherches Malacologiques. — Noticesur le Planorbis 
complanatus forme scalaire (pl.-IX et III) . 
—  Planorbis complanatus scalariforme . 


— Liste des Mollusques terrestres et fluviatiles recueil- 
lis aux environs de Magnée et dans diverses loca- 
lités de la Province de Liég'e . 


—  Planorbis complanatus vermétiforme (Fig.) . 
—  Planorbis complanatus scalaire 


— Tableau dichotomique des genres de mollusques 
terrestres et fluviatiles de Belgique (pl. 2). 


— Nouvelles déformations de Planorbis complanatus 


— À propos du onzième Congrès de l'Association fran- 
çaise pour l'avancement des sciences 


Piré, L. ct Lefèvre, Th. — La Malacologie à l'Exposition uni- 
verselle de Paris (1878) 


Plateau, F. — Excursion de la Société Malacologique à Namur 
— Mort de . 


Preston, H. B. — Description of new marine Pelecypoda from 
the Philippine Islands 


Purves, J. C. — Observations sur la faune Malacologique de 
. Roumont, Ardennes belges . 


= Quelques détails sur un voyage fait à Antigoa 
et dans quelques autres îles des Antilles. 


= Esquisse stratigraphique et espèces fossiles 
de l’île Antigoa. 


— Note sur une anomalie de la, Limnæa limosa 


Putzeys, S. — Diagnoses de quelques coquilles d’un genre 
nouveau provenant de l’Etat indépendant 
du Congo (fig. 1 à6) 


— Suite (fig. 7 à 16). 
— Suite (fig. 17 à 21) 
— Suite (fig. 23) . 


= Diagnoses de quelques coquilles et d’un sous- 
_ genre nouveau provenant de l'Etat Indépen- 
dant du Congo (fig. 1-16 . 


Voir aussi à Dupuis. 


Quinet, D. - A propos du travail de M. Orro HERMAN : 
Ornithologieet Ornithophénologie (pl. ILet IT) 


— ETAT 


[ep] 


19 


33 


_33 


33 
33 


34 


43 
43 


‘23 
LVI1 


VII 
XCVIII 
XLV 


18 
80 


20 


LXXIX 
97 
189 


72 
XLVI: 
Le 
XXV 


XLI 


IV 
XXII 
LXXXITÉ 
XC 


LV 


63 
105 


. Raeymaekers, D. 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


_— Note sur un gisement boldérien fossili- . 


fère à Pellenberg. 


Sur la présence du Cytherea splendida, 
Mérian, à l'Ouest de Louvain . 


Description d’une coupe relevée dans le 
rupélien inférieur à Altenrode-Wever 


Sur la présence du Limnaea ylabra, 
Müller, à Lübbeck . 


Sur l’ablation des premiers tours despire 
chez le Paludina contexta, Müller 


Sur la présence de fossiles tongriens 
fluvio-marins sur la planchette de 
Louvain 


Note sur la présence de blocs landéniens 


dans le quaternaire des environs de 


Louvain 


Sur la présence de blocs non roulés de 
grès tongriens fluvio-marins à la base 
du quaternaire 


Note sur un nouveau gîte diestien fossi- 
lifère près de Tervueren 


Note sur la variété « Unicarinata » Nobis 
observée chez le « Littorina littorea » 
fade) 2 ie res 


Note sur la faune Malacologique des 
dépôts modernes observés à Bruxelles 


Le sous-sol de la Ville de Roulers 


Note sur trois forages exécutés à la 
Brasserie Mertens, à Cruybeke, près 
d'Anvers 


Liste de quelques Mollusques du Midi, 
recueillis dansl’estomac de l’Anas bos- 
chas, L. 


Présence en Belgique de Planorbis 
corneus L. var. albinos et de Limnaea 
glabra Müll . 


Epoque à laquelle Mya arenaria, L., a 
disparu de la région du Bas-Escant 
belge. . 


Un peu de bibliographie géologique 
rétrospective concernant l'argile de 
Boom . 


18 


18 


18 


18 


18 


21 


23 


23 


24 


26 
27 


21 


28 


30 


30 


31 


CII 


CIX 


CXINI 


CXV 


CXXVI 


CI 


XIII 


XX XIIT 


XCV 


XXXVI 


XX VII 


LXI 


LXIX 


CXIV 


32 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Raeymaekers. — Etudes sur la faune malacologique du Bas- 
Escaut. Disparition de A /deria scaldiana, 
Nyst 
—— Au sujet des phosphates de chaux belges. 


Raeymaekers et B° À. de Loë. — Quelques observations 
faites aux environs de Grez 


— Note sur la présence de Dreissena Cochleata, 
Nyst, dans un étang au nord d'Anvers . 


— Note sur les dépôts quaternaires du sud de 
Lirletont:. HR Pre NT SRE E 


Raeymaekers et Piéret, V.— Note sur les puits artésiens 
de Léau et des environs de cette ville 


Raeymaekers et Van Ertborn. — Compte rendu de l’excur- 
sion annuelle faite aux environs de Louvain 
les 5 et 6 août 1883. . 6 


Raeymaekers et Vincent, E. — Note sur deux puits arté- 
siens creusés dans la banlieue de Bruxelles 

Voir aussi à de Loë. = 
Ramond, voir à Dollfuss. ) 

Rieper, H. — Studien an Succinea (pl. IT et IV). 


Roffiaen, F. — Instruments pour l'extraction des Mollusques 
de leur coquille 


L2 
— Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis 
‘en Suisse 


— Essais pour obtenir des Æelix scalariformes, 


—  Coquilles recueillies à Hastière, Bouillon et 
Chimay . 


— Mollusques observés dans la vallée de l'Ourthe. 
— idem. . 


— Mollusques recueillis dans le Grand-Duché de 
Luxembourg 


— Mollusques recueillis à Gand . 
— Idem (suite) 


— Coquilles recueillies à Waulsort (Helix hispida 
L., sénestre) . 


— Mollusques recueillis aux environs de Gand . 


— Note sur les Mollusques terrestres et fluviatiles 
recueillis à Waulsort. 


— Mollusques recueillis en Suisse en 1879. 


18 


25 


47 


XXXII 


XX VII 


XLVI 


CXXXVI 


22 : 


XXX VII 


24 


CLVIIT 
XXXII 
LVI 


LXVI 
XLIX 


LXXVI 
LXXXIV 


. 
. 
À 

4 

. 


COPA RS PAAUNE 7 SPAS 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Roffiaen, F. — Jules Colbeau et la Société Royale Malaco- - 


logique de Belgique (portrait) . 
— Compte rendu de l’excursion annuelle aux envi- 


rons de Rochefort, Naninne et Dave, 11 et 
12 septembre 1881 


— Rapport sur l’excursion de la Société aux envi- 
rons de Boom . 


Roffiaen et Timmermans. — Rapport sur le travail de M. J. 
SAUVEUR concernant le classement des va- 
riétés des .Helix nemoralis et hortensis. 


Rosart. — Rapport sur les Mollusques alimentaires . 
— . Notice biographique sur M. SEGHERS 
Rosart et Lambotte. — Notice biographique sur M. Le Bœur 


Rousseau, E. — Note monographique sur les Spongiaires de 
Belgique (fig. 1-17) 
LE Vers nouveaux pour la faune belge. 


— Une station de biologie lacustre en Belgique : 
Le laboratoire d'Overmeire et son pro- 
gramme . 


ee Note monographique sur les Spongiaires de 
- Belgique : II. Spongilles . 


Rupert Jones, T., et Parker, W. K. — Notice sur les 
Foraminifères vivants et fossiles de la 
Jamaïque. 


Ru ot, A. — Rapport au point de vue paléontologique de 
l'excursion entreprise les 18 et 19 août 
1873, aux environs de Tongres, par les 
membres de la Société malacologique de 
Belgique 


— Note sur la découverte de deux Spongiaires 

ayant provoqué la formation des grès 
fistuleux et des tubulations sableuses de 
l'étage bruxellien des environs de Bruxelles. 
(P1. I) 


= Note sur quelques fossiles recueillis dans le 
diluvium des environs de Tongres (PI. I). 


— Relation au point de vue paléontologique de 
l’excursion entreprise les 1‘ et 2 août 1873, 
aux environs de Namur . 


— Description de la Faune de l’oligocène inférieur 
de Belgique, Terrain Tongrien inférieur de 
Dumont (PI, 1 à 4) 


16 


16 


16 


t° 


4 


11 


10 


10 


11 


33 


LXXXIX 
XVII 
XL 

XIX 


74 


119 


91 


08 


Do 


103 


34 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Rutot, A. — Description de la Rostellaria robusta (PI. 5) . 


Rapport sur l’excursion annuelle de la Société 
malacologique, aux environs d’Angre, le 
17 septembre 1876 

Quelques observations relatives aux conclusions 
de M. Lefèvre dans'son rapport sur mon 
travail intitulé : Description de la Rostel- 
laria robusta . 

Rapport sur le travail de M. Vincent, intitulé : 
Description’de la faune de l'étage landénien 
inférieur. 1'e partie : Massif du Brabant. 


Animal phosphorescent rencontré dans une 
huître 

Compte-rendu, au point de vue paléontologique, 
de l’excursion aux environs de Renaix, en 
1879. Etude sur la constitution géologique 
du mont de la Musique (PI. 1) 

Rapport sur le travail de MM. Briart et 
Cornet, intitulé : Description de quelques 
coquilles fossiles des argilites de Morlan- 
welz. 

Note sur des fossiles du tongrien inférieur. 

Communication sur une coupe remarquable 
de terrains actuellement visible à St-Gilles, 
près de Bruxelles 

Communication sur de nouvelles découvertes 
faites dans le Tongrien inférieur du Lim- 
bourg par M. le Cie Georges de Looz- 
Corswarem. : NAS 2e 

Compte-rendu de l’excursion entreprise par la 
Société géologique de France dans le Boulon- 

- nais (9-18 sept. 1880) 

Compte-rendu des excursions faites en commun 
par les Sociétés géologique et malacologique 
de Belgique aux environs de Bruxelles 
(5-7 septembre 1880). (PI. IL) . 

Compte-rendu d’une course dans le quaternaire 
de la vallée de la Somme, aux environs 
d’Abbeville 

Note sur les découvertes paléontologiques 
faites, dans ces derniers temps, aux environs 
d’Erquelinnes . 

Note sur des observations nouvelles faites aux 
environs de Bruxelles, Castres et Renaix. 


11 


11 


12 


12 


13 


14 


14 


ms D! 


14 


14 


15 


15 


16 


16 


17 


105 


LXX 


XI 


XXXVI 


. LXXVII 


VIT 


XLIV 


LXXVII 


LXXII 


XCVIII 


IX 


XIX 


CLVIIT 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Rutot, A. — Résultats de nouvelles recherches dans l’éocène 
supérieur de la Belgique 


— Note sur le Mont de Castre 

AR As Quelques mots sur les nouvelles découvertes 
d’'Erquelinnes 

— Sur le terrain quaternaire des environs de 
Mons 

— Quelques mots sur l’étage asschien . 


— Sur les résultats de l’étude des étages lande- 
nien et heersien sur les feuilles de Landen, 
Heers et St-Trond 


Rutot, AÀ., et Van den Broeck, E. — Note sur la nouvelle 
classification du terrain quaternaire dans la 
basse et la moyenne Belgique . 


— Note préliminaire sur l’âge des diverses 
couches confondues sous le nom de tufeau de 
Ciply 


_. Sur l’âge tertiaire du tufeau de Ciply 


— Nouveaux documents relatifs à la détermi- 
nation de l’âge de la masse principale du 
tufeau de Ciply 


Voir aussi à Vanden Broeck. 


Sacco, F. —— Luigi BELLARDI, notice biographique et biblio- 
graphique 
Sauveur, J. — Du classement des variétés de l’Helix nemo- 


ralis L., et de l’Helix hortensis, Müll., 
d’après l'observation des bandes de la 
coquille (PI. IV à VI) 


Scherdlin, P. — Capture d'un ÆEwpomolis aureus près de 
Strasbourg 


— Disparition des pigeons de la cathédrale de 
Strasbourg 


— < Disparition des Cigognes à Strasbourg . 
_— Chevreuil femelle avec bois 


— La Tortue Clemmys caspica près de Stras- 
bourg . . 
: Schlesch, H. — Fauna der Insel Bornholm SAVE 
— Ausländische Mollusken-Arten im Bota- 
nischen Garten in Kopenhagen lebend . 


— Molluskenfauna vom Dorf Rôdding in Nord- 
Schleswig HA ' 


29 


20 


24 


42 


39 


CXLVIIT 
CCXXII 


XV 


24 
XIII 


LXXV 
LXX VIII 


XCITI 
CVIIL 


CxIII 


36 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Schlesch, H. — Molluskenfauna von Himmelbjerg und Um- 
gebung : 


— Beitrag zur Molluskenfauna der Insel Born- 
- holm . 


= Neuheiten zur Fauna Dänemarks . 


Schmitz, S -J. (H) et Bequaert, Michel. — Contribution 
à l'étude de la faune cavernicole de la 
Belgique . 
Schouteden, H. — Note sur les organismes inférieurs 
(2e note) (fig. 1-8) . 
— La classification des Scyphocnidaires, 
d’après M. Roule | 
— Contributions à l'étude des Infusoires 
de Belgique : 1. Les Aspirotriches , 


_ Les affinités des Cténophores et des 
Polyclades 


— Cnidaires et Cténophores. . . . . 


= Liste des animaux nouveaux décrits de 
Belgique en 1906 


— La formation des spores chez les Tha- 
lassicola (Radiolaires) (pl. I). 

— Distribution géographique actuelle de 
Petricola pholadiformis en Europe . 


— La collerette des Spongiaires et des 
Choanoflagellates 


— A propos de la théorie de l’optimum . 
— A propos de Petricola pholadiformis . 


— Liste des animaux nouveaux décrits de 
Belgique en 1907 


— Jeunes Anguilles prises à Overmeire . 
— A propos de Choanoflagellates 

— Présentation d’'Hydrachna geographica 
— Notes sur les Choanoflagellates . 


re Liste des animaux nouveaux décrits 
de Belgique en 1908 . 


e— Visite du Musée du Congo, à Tervueren 


— Démonstration des Anthropomorphes 
du Musée du Congo, à Tervueren 


Seghers, F.— Fossiles bruxelliens . 


— Rapport sur les aquarium : 


— Débris fossiles recueillis à Genck, Campine 


limbourgeoise . 


10 


52 


148 
161 


Ë 
LXXX VII 


CXVII 
27 


30 
35 


64 


XXXIV 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Senoner, A — Notes conchyliologiques 


— Notice sur les Mollusques comestibles et les 
coquilles utiles de la Mer Adriatique... . 


_ ‘Notes conchyliologiques 


— De la spongiculture et de la pêche aux éponges 
dans la Mer Adriatique . 


— Notes malacologiques . 


D = Notes sur les Mollusques comestibles, parti- 
culièrement de l'Italie et de la Sicile. 


_ L'exposition de pêche à Berlin 


Séverin, G. 


A propos d’une note récente sur les Musées 
américains. 


Smith. Edg.-A. — Description de quelques espèces de 
coquilles terrestres de Sumatra, Java 
et Bornéo (pl. 9). 


Solas, W.-J. — Remarques sur le travail de M. Kemna rela- 
tif aux Spongiaires . 


Staes — Excursion de la Société à Forest, les 9et 14 avril 1868. 
— Mode de fixer les coquilles en collection. 


— Rapport sur l’excursion faite par la Société à Nieu- 
port le 28 mars 1869 et jours suivants 


. Stainier, X. — Compte-rendu de l’excursion annuelle faite 


par la Société dans le Brabant septen- 
trional, du 7 au 10 septembre 1889 . 


a Compte rendu de l’excursion dans le Comté 
de Kent (Angleterre) les 15, 16 et 
17 août 1890 . fus Rae 


—— Découverte de la faune givetienne à Emines. 


Stappers. L. — Notes sur la nourriture de quelques Vertébrés 
arctiques . 

Steinmetz, Fr. — Les variations saisonnières de Daphnia 
pulez . 


— -, Nutrition de Leptodora hyalina 


Steinmetz, F.et Van de Vloed, F. — Excursion dirigée 
par eux à Blaesveld et Waelhem. . 


Stevens, J. D. -- Liste de fossiles des environs de Bruxelles . 
— Liste de fossiles des environs de Bruxelles . 


Thielens, À. — Relation de l’excursion faite par la Société 
malacologique de Belgique à Orp-le-Grand, 
Folx-les-Caves, Wansin, etc, k 


Auu. Soc, Zool, et Malac. Belge, t, !., 


16 


42 


25 


XXV 


43 


63 


XXXIIT 


31 


34 
168 


193 


XXI 


CLVI 


39 


ll 


38 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Thielens, A. — Fossiles dévoniens et Mollusques vivants 
recueillis dans l’Eifel . 
— Voyage dans l’Eifel. Liste des fossiles dévo- 
niens et des Mollusques vivants recueillis 
à Gerolstein, Casselbourg, etc. 
- Dix espèces à ajouter à la faune connue de 
Folx-les-Caves . 


— Liste des fossiles de l’Eifel (suite) . 


— Voyage en Italie et en France, mai juin 1874. 
L. Italie . 


— Voyage en Italie et en France, mai juin 1874 
IL. France 


Thieren, J. — Note éthologique relative à trois Polychètes 
nouveaux pour la faune belge . 


_— Une observation bionomique intéressant Heliac- 
tis bellis ELris de nos côtes. 


Thum, Em. — Bericht über eine Sammlung trockener Chali- 
f neen Skelette aus dem Brüsseler Museum 
(fig. 3-38) 


Tiberi, N. — De quelques Mollusques terrestres napolitains, 
ou nouveaux, où peu connus. (pl. 1-2). 


— Mollusques marins d'Italie. Céphalopodes, Pté- 


ropodes, Hétéropodes vivants de la Médi- 

terranée et fossiles du terrain tertiaire d'Italie. 
Tournoüer — Communication sur divers Brachiopodes 
Ubaghs, C. - Mollusques terrestres et fluviatiles des environs 


de Maestricht . 


RASE Av ES E. — Salle de travail mise à la disposition de la 
Société à la Minque d’Ostende. 


— Envoi d’un embryon de Lamna cornubica 


Van Bambeke. Ch. — L'Œuvre de J.-F. MeckeL., au point de 
vue de la théorie transformiste . 


Van Beneden, Ed. — Remarque sur le travail de M. Kemna 
relatif aux Spongiaires . 


Vanden Broeck, Ern. — Observations Malacologiques 
— Mollusques découverts en quelques 


localités de la Belgique durant 
l’année 1869. 


— Excursions, découvertes et observa- 
tion Malacologiques faites en 
Belgique pendant l’année 1870 


(DL Re). Re 


7 cIX 
He JO 
se XV 
8 LXXVII 
9 CCV 
10 LXXXIV. 
44 113 
44 120 
38 9 
13 7 
Fe 52 
10 1x 
18 LXXXIII 
43 105 
43 106 
44 83 
42 135 . 
AVE ARRET 
4 XCIV 


Li LS dus pie où A 


Le shell AM ville 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck, Ern — Observations sur le phénomène de 


la natation chez les Mollusques 
pulmonés fluviatiles 


Excursion à l’Abbaye d'Aulne 


Excursions à Jette, à Ganshoren et 
à Saint-Gilles. 


Rapport sur l’excursion faite par 
quelques membres de la Société 
à Sluys-Kill, Selzaete et Exaerde 


Mollusques recueillis aux environs 
de Chaudfontaine . 


Quelques mots sur les Planorbis 
complanatus scalaires de Magnée 


Considérations sur les déviations 
scalariformes présentées par les 
Planorbis complanatus de la mare 
de Magnée 


Coquilles de quelques localités du 
Hainaut 


Note supplémentaire aux considéra- 
tions sur les déviations scalari- 
formes. 


Communication sur la Physa acuta 
recueillie en Angleterre et en 
Belgique . 


Excursion à Angre et Quiévrain. 
Observationssur l’Arion leucophœus 


Excursion à Hastière. — Helix depi- 
lata, var. rosea, Helix obvoluta 
albinos, etc . 


Observations au sujet d’un Ento- 
zoaire des Limaces . 


Découvertes faites par M. Craven 
dans son dernier voyage aux Indes 


Liste des Mollusques recueillis pen- 
dant une excursion du 19 au 24 
juillet 1873 aux environs d’Arlon 
et Virton. 


Liste des Mollusques recueillis aux 
environs de Tongres et de Hasselt 
les 18 et 19 mai 1873 . 


39 


XII 
XV 


XX 


XXXIV 


XXXI 


XLIX 


LXX VII 


CX 


40 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck, Ern. —Rapport sur la traduction faite par 


M. Mourlon de l'ouvrage de 
M. Prestwich : « On the structure 
of the Crag-beds of Suffolk and 
Northiolker 20 Me ER TN 


Tableaux destinés à recevoir des 
annotations détaillées sur la fau- 
nule malacologique des diverses 
localités du pays 


Note au sujet dutravail de M.David- 
son sur les Brachiopodes ter- 
tiaires de Belgique . 


Rapport sur un travail manuscrit de 
M. Matthew : « Noteson the Mol- 
lusca of the post-Pleistocene For- 
mation in Acadia» . 


Rapport sur une excursion faite au 
Bolderberg près de Hasselt . 


Excursion aux environs d'Anvers 


Note sur la présence de l’argile oli- 
gocène sous les sables pliocènes 
du Kiel près d'Anvers . 


Notes sur une excursion scientifique 
en Suisse, août-septembre 1875. 


Notice biographique sur Gust. 
Collin. 


Fossiles de l'étage fluvio-marin et 
du quaternaire du Limbourg. 


Compte-rendu de l'excursion faite à 
Anvers les 27 et 28 juillet 1879. 
(PES). Dre ré 


Communication sur les couches qua- 
ternaires des environs d'Anvers . 


Observations nouvelles sur les sables 
diestiens et sur les dépôts du 
Bolderberg . 


Notice biographique sur P. HALLEZ 


Exposé sommaire des observations 
et découvertes stratigraphiqueset 
paléontologiques faites dans les 
dépôts marins et fluvio-marins du 
Limbourg pendant les années 
1O0D BEL +77. EEX 


9 VII 
9 LVIIL 
9 LXXXIV 
D OX 
9 CLIX 
ID XX XY 
10 EXXY 
10“ CXXIX 
11 XT 
13 LV 
14 LVIIL 
De 
FAR LEUR. 
IS EXRXN 
16 CXVII 
16 CXXV 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck, E. — Une visite à la Station zoologique et 


à l'aquarium de Naples . 


Réponse aux observations de MM. 
Cogels et van Ertborn faites à 
l'occasion de l’exposé sommaire de 
mes recherches dans le Limbourg, 
présenté à la séance du 3 sept. 
1881 


Réponse aux nouvelles observations 
de MM. Cogels et van Ertborn 
faites à l’occasion de l'exposé 
sommaire de mes recherches dans 
le Limbourg 


Note sur les levés géologiques de 
MM. van Ertborn et Cogels - . 


Diestien, casterlien et scaldisien. 
Note sur les dépôts lagunaires plio- 
cènes d’Heyst-op-den-Berg et de 
Beersel, et sur leur synchronisme 
dans la région d'Anvers. 


Note sur la position stratigraphique 
des sables grossiers et des sables 
chocolatés tongriens de la région 
de Butsel, Mont-Saint-Martin, etc., 
entre Tirlemont et Louvain. 


Additions à la faune malacologique 
des sables à /Zsocardia cor du fort 
de Zwyndrecht, près Anvers ÿ 


Quelques mots en réponse à la note 
de M. Velge intitulée : Tongrien 
et Wemmelien 


Exposé sommaire des recherches géo- 
logiques et paléontologiques entre- 
prises dans l’oligocène des environs 
de Louvain et dans les couches 
pliocènes et quaternaires de la 
Campine anversoise . 


Réponse aux observations faites par 
MM. van Ertborn et Cogels à ma 
note sur leurs levés géologiques 


Contribution à l'étude des sables 
pliocènes diestiens 


Note sur la découverte de fossiles 
miocènes dans les dépôts de l'étage 
boldérien, à Waenrode . 


17 


17 


17 


17 


17 


17 


17 


LT 


17 


18 


19 


19 


41 


VIII 


LXV 


LXXIV 


CIII 


CVIII 


CLIII 


CLV 


CXCVIIT 


LVI 


42 : TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck. E. — Note sur la découverte de gisements 
fossilifères pliocènes dans les sables 
ferrugineux des environs de Diest . 


— : Sur un facies nouveau ou peu connu 
de l'argile rupélienne et sur les 
erreurs d'interprétation auxquelles il 
peut donner lieu 


— Réponse à la note de MM. Van Ertborn 
et Cogels sur les conséquences de cer- 
_ taines erreurs d'interprétation au point 

de vue géologique . 


— Réponse à la réplique de MM. Van Ert- 
born et Cogels au sujet des conséquences 
de certaines erreurs d'interprétation au 
point de vue géologique . 


— De la constitution géologique du territoire 
de la feuille d’Aerschot, :d’après la 


carte au 1/20,000€ de MM. Van Ertborn 


et Cogels et d’après les levés du Ser- 
vice officiel . 


— Note sur une observation faite à Schriek 
(feuille d’Heyst-op-den-Berg) montrant, 
contrairement aux levés géologiques de 
MM. Van Ertborn et Cogels, l’absence 
d’éocène wemmelien dans le territoire 
de la feuille d'Heyst-op-den-Berg 


— Quelques mots en réponse aux lectures 
faites par MM. Cogels et Van Ertborn. 


— Etude préliminaire sur le dimorphisme 
des Foraminifères et des Nummulites 
en particulier 


— Echelle stratigraphique générale de l’Oli- 
gocène belge RAR À 


— Petites notes rhizopodiques : 


1. Rectifications à faire au sujet du 
Pliocène belge dans la « Monogra- 
phie des Foraminifères du Crag », 

… publiée par le Prof. T. Rupert Jones. 


2. Observations à propos de la mention 
de Nummulitinae comprises dans les 
listes de la faune rhizopodique du 
Crag anglais . | 

3. La Nummulite trouvée dans le Crag 


anglais et la N. Boucheri de l'Oligo- 
_cêne belge . 


19 


19 


20 


20 


20 


28 


28 


33 


33 


33 


LX VIII 


LXXI 


XXII 


LIX 


X 


XXX VII 


XV 


LXXX 


XXVII 


XXXIII 


XXXIV 


Bi 


% ÿ TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck — 4. La Nummulites pristina du Calcaire 
carbonifère belge 


Tr — Annexe aux petites notes rhizopodiques : 


Tableau rectifié de la distribution des 

2 Foraminifères et des relations strati- 

graphiques des dépôts qui les con- 

tiennent dans les couches du Pliocène 

d'Anvers avec leur répartition dans 

les dépôts du Crag anglais et du 

Miocène belge, d'après MM. H. W. 
Burrows et R. Holland 


— Le discours de M. Ed. Dupont à la séance 
du 16 décembre 1898 de l’Académie 
des Sciences de Belgique, consacré à 
l'évolution et au phénomène de la 
migration. Etude critique 


_ Observations au sujet des observations de 
M. le Bo Van Ertborn sur l'allure 
probable de l'argile rupelienne dans le 
sous-sol de la Campine limbourgeoïise . 


— Proposition de création, au sein de la 
Société, d’un groupe qui s’occuperait 
d'études et de recherches appliquées 
aux phénomènes de la variation et de 
l’évolution spécifique d’un choix de 
mollusques littoraux . 


— Comment faut-il nommer les Nummulites, 
en tenant compte de leur dimorphisme ? 
Appel aux biologistes, géologues et 
paléontologistes. 5 Et 


— Une déclaration de principe à propos des 

synthèses stratigraphiques de M. G. 
De. Velge, faite à l’occasion de son compte 
rendu de l’excursion annuelle aux envi- 


e - rons de Namur . . 
Ë — Quelques mots encore au sujet de l'inci- 
L dent Dupont-Vanden Broeck. Rapport 


de M. le Prof. Ed. Van Beneden 


— * Exhibition d’un collier préhistorique fait 
de coquilles étrangères, d'âge éocène, 
recueilli dans la grotte de Remou- 
champs (fouilles de mars 1902, par 
MM. Rabir et Vanden Broeck) (fig. 3-4) 


a dt Gr sudtinrer + dE he rez 


33 


33 


34 


34 


34 


34 


37 


43 


XXXV 


XLIV 


XI 


XXV 


XX VII 


XLII 


LX VIII 


XCVII 


XLIV 


44 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vanden Broeck et Cogels. — Observations sur les couches 
quaternaires et pliocènes de Merxem, 
près d'Anvers. 


— Diluvium et Campinien, réponse à M. le 
Dr Winkler . 


Vanden Broeck et Colbeau. — Rapports sur le travail de 
M. Craven, intitulé : Sur le genre 
Sinusigera. 


Vanden Broeck et Collin. — Excursion à Jette 


Vanden Broeck et Miller. — Observations sur le Nummu- 
lîtes planulata 


— Les Foraminifères des couches pliocènes de 
la Belgique. l'° partie. Esquisse géolo- 

- gique et paléontologique des dépôts 

pliocènes des environs d'Anvers (PI. IV). 


Vanden Broeck et Rutot — Explorations stratigraphiques 
et paléontologiques faites dans le Lim- 
bourg . 


Voir aussi à Cogels, à Miller et à Rutot. 


Vandendaele, H. — Sur ladécouverte de fossiles wemmeliens 
dans les grès ferrugineux de Saint- 
Sauveur (planchette de Frasnes) 


Van de Vloed, F1. — Jeunes Anguilles à Waelhem 
— Civelles et Ammocètes à Waelhem 
— = Nutrition de Leptodora hyalina 
— Larves de Chironomus . 
— Présentation d’Argas refleœus | 
— Présentation d’une dent de Mammouth. 


Van de Wiele, C. — L'adaptation des Reptiles et des 
Mammifères à la vie marine, par 
le Professeur Fraas. 


Van de Woestijne, M. — La découverte en Belgique de 
à Placocephalus Kewensis 

Van Ertborn, O. — Les coupes et la valeur scientifique des 

échantillons de quelques puits arté- 

siens. — Les diagrammes des feuilles 

de Bruxelles et de Bilsen. — Erreur 


de M. E. Van den Broeck au sujet du 
niveau occupé par le Crétacé sur le 
territoire de la feuille de Bilsen 


—- Découverte d’un blocerratique à Anvers. 


12 


14 


12 


40 


42 


21 
21 


LX VIII 


XVII 


VII 
XLIX 


XXXL. 


83 


LX 


CXV 
126 
130 
168 
168 
192 
196 


XCVII 


110 


XLV 
LIIT 


LE 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Van Ertborn, O.— Note sur trois forages à Louvain et Hou- 


gaerde . 


Tableau des coupes des principaux 
forages effectués de 1869 à 1894 . 


De quelques faits remarquables constatés 
dans les forages de la vallée de la 
Sènne 


Une question d’actualité 
AD. BriarT, Notice biographique 


Quelques mots au sujet de la dernière 


brochure de M. l'ingénieur Lambert . 


Les sables sous-jacents à l'argile rupe- 
lienne à Septaria au sujet du projet 
de distribution d’eau de la ville de 
St-Nicolas . 


Allure générale du rupélien dans la 
partie orientale de la Belgique (Suite). 


Coupe probable du sondage de Diepen- 
beek-lez-Hasselt . 


Nappe aquifère des sables sous-jacents à 
l'argile R2 sur la rive droite de 
l'Escaut 


Une poche de sédiments fluviaux dans le 
sable bruxellien . 


Une excursion aux Quatre-Bras . 


Des dépôts quaternaires dans la province 
d'Anvers et le Pays de Waes et de 
deux gisements fossiles remarquables 

_ qu'ils renferment . 


Quelques mots sur les sables à Pectun- 
culus pilosus et sur les sables à Pano- 
pœa menardi d'Anvers et de sa ban- 
lieue. 


Puits artésiens de St-Nicolas (Waes). 
Un gisement de fossiles d'Edeghem . 


Contribution à l’étude des terrains qua- 
ternaires et de l'étage diestien dans la 
Province d'Anvers 


N. Cx. L. DE WAEI. 


Les levés géologiques théoriques. 


- Orographie de la Campine limbourgeoise. 


29 


39 


39 
36 
36 


36 
36 
36 
36 


VIII 
XXXI 


XXXII 


XXXII] 


CXXXIV 
CXXX\ 


XX 


XXXII 
XI 
XV 


XXI 
XLIV 
LXI 
LX VII 


46 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Van Ertborn, O. — Le Poederlien en Campine limbourgeoise. 
— © Le général HENNEQUIN . 


— Le système éocène. L’étage sparnacien 
et sa faune en Belgique . 


— . Les dépôts quaternaires et leur faune. 
Causerie géologico - paléontologique. 
(PL. I) 


Van Ertborn et Cogels. — Observatiens sur le travail de 
MM. Vanden Broeck et Rutot, relatif 
à leurs levés géologiques . . 


— Encore un mot de réponse aux observa- 
tions de M. Vanden Broeck 


— Note sur les conséquences de certaines 
erreurs d'interprétation au point de 
vue géologique 


ee Réplique à la réponse de M. Vanden 
Broeck à leur note sur les consé- 
quences de certaines erreurs d’inter- 
prétation au point de vue géologique. 


Van Horen. — Polypiers nouveaux du terrain dévonien de 
Belgique . 
Velge, G. — Reconnaissance d’une faune éocène supérieure à 
Assche, 


2 Tongrien et Wemmelien . 
— Tongrien et Wemmelien (2° communication). 
— Coupe de la Bruyère de Castre . 


—- Observations relatives à la stratigraphie de l’éo- 
cène en Belgique. S 


— Réponse à la lettre de M. Dollfus 


— Réponse aux deux notes de MM. G. Vincent et 
J. Couturieaux, relatives aux sables desenvirons 
de Nivelles 


— Rapport sur l’excursion faite le 22 septembre 1894 

à Feluy et à Rebecq-Rognon. — Le calcaire 

‘carbonifère à Feluy. Le Poudingue de Rebecq- 
Rognon, (p. 9) . 


—— Le Tongrien supérieur. .-. . . . ... + 


— Observations sur la géologie des environs de 
Bruxelles . 


— Suite aux observations sur la géologie des envi- 
ronside Bruxelles. 471 "Name 


- 36 
37 


38 


38 


18 


18 


20 


15 
17 


LX 


XXXIIT 


LXX VII 


. VI 


XIX 
CXXXIV 


XLVII 
CXV 


17 CLXXXVII 
17 CCXXXV 


24 CLXX VIII 


25 


25 


30 
30 


30 


30 


XXIV 


LXX VIII 


XLV 


d'A 


4. 
v 


PUR ROUTES Po PL PTE, 
! 3 


mes 


14 


J 4 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Velge, G. — La coupe de Cautertaverent (Assche) 


Compte rendu de la session extraordinaire de la 


Société Royale Malacologique de Belgique et 
de la Société Géologique de Belgique, 3° jour- 
née (8 septembre 1896) (pl. 2) 


Compte rendu de l’excursion annuelle aux envi- 


rons de Namur, les 29 et 30 août 1897 . 


Vincent, E. — Note sur le Vo/utopsis norvegica, fossile du 


Crag d'Anvers. 


Remarques sur l’Acanthina tetragona, Sow. 
du pliocène d'Anvers (pl. 10 et 11) 


Observations critiques sur des fossiles re- 
_ cueillis à Anvers . 


Fossiles du pliocène d'Austruweel (Anvers) 


Sur une plaque appendiculaire observée chez le 
Corbula Hencheliusi. 


Observations sur des fossiles recueillis à 
Anvers (suite) . 


Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge, Pholadidae (pl. 4) 


Observations sur « Gilbertia inopinata», Mor . 
A propos de l’origine du limon supérieur . 


Description d'une nouvelle espèce de « Phola- 
didae » des environs d'Anvers . 


Observations sur les Brachiopodes des sables 
blancs d’Assche 


Rectification de nomenclature. 


Sur la présence de Pennatuliens dans l’éocêne . 


belge. 


Contribution àla paléontologie del’éocène belge 
(Nerita, p. 27; Astarte p. 31) . 


Contribution à la paléontologie des terrainster- 
tiaires de la Belgique. — Hs 
.3 et 4). OP ETE RES : : 


Sur l'âge des grès fossilifères de Bouffioulx 


Description d’un bivalve nouveau trouvé dans 
le landénien inférieur : Arcomya fallax 
(avec figure) . 


Observations sur les Glycémeris landeniens et 
sur le nomenclature de Glycemeris interme- 
dia SOWL UE TRES: 


30 


28 


28 


47 


LIX 


LIT 
LXXXIV 


LXXXVI 


XVIII 
XXXIX 


LVII 


27 


XLV 


XXII 


XXVI 


48 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vincent, E. — Sur un spécimen de Æastonia rugosa recueilli 
A RTIOCKE MERS ETS ES 7e A et 28 - LIX 
_ Note préliminaire sur les Avicula . LATE D 28 LXIIT 


—— . Description d’un bivalve nouveau de l'étage pani- 
sélien : Periploma rugosa (avec figure). . 28 LX VII 
= Note préliminaire sur les Pinna de l’éocène. 
de Belgique. Description de ,P. consobrina 
dé PDT ODIMQUE NES SOLE TOMATE Te 28 LXXIIT 


— Mollusques marins d'Huelva et d'Aguilas . . 30 XXVI 


— Note préliminaire sur Niso de l’éocène belge . 30 XLII 
- Note préliminaire sur Poromya. . . À 30 LXVII 
—— Le Fusus serratus de l'éocène belge. . . . 30 LXXXI 
— Les « cimetières de Burtin » et les grès calca- 

reux du Pruxellens RS LES AE 30 CXI 
— Note préliminaire sur Crassatella . . . . 30 CXXX 
— Quelques rectifications de nomenclature . . 30 CXXXIX 
— Notes additionnelles sur les Brachiopodes . . 31 IX 
— Notes préliminaires sur Limopsis . . . . 31 XXVI 
— Additions à la faune échinologique de l’éocène 

belge SE RCE EUR den PR Ve JE 31 XLII 
— | Note préliminaire sur Pleurotomaria . . . 31 LV 
— Observations sur les affinités de quelques 

Help nes COcnEs 4 LÉ VCA SUN SRE 32 X 
— Contribution à la paléontologie de l'éocène 

belge : Note préliminaire sur Nuculina. . 32 XIV 
— Idem. : Note préliminaire sur Pecchiola . . 32 XXIX 


= Observations sur Actœæon (Tornatellæa) simu- 
JO EUS SOLE RTE EN OR ES ENS, 32 XXXV 


— Description de deux espèces nouvelles de Mol- 
lusques provenant du tongrien supérieur 


PE Er KE MR Eu ET er SEE re 34 CXXVI 
— Rectifications de nomenclature . . . . . 34 CXXIX 
— Contribution à la paléontologie de l’éocène 

belge : Céphalopodes dibranchiaux . . . 35 3 
— Quelques mots sur les Rhyncholites de l’éocène 

SEE 000 D PT RSR ECS RE CARE PES 35 IN: 
— Observations sur Ostrea inaspectata Desh. 

He 06) Les CU PI SEUE NT En TS ER 


— Observations sur l’âge du cailloutis tertiaire 
de Stockel et des sables blancs sous-jacents 35 XXXV 


TABLÉ ALPHABÉTIQUE 


Vincent, E. — Description d’une nouvelle espèce de Goossen- 


sia (G. seminuda) de l’éocène belge fig. 
37-38) . 

Panopæa Honi, Nyst (fig. 19°et 20) 

Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge : Amplosipho (fig. let 2) . 

Lucina Volderi, Nyst (fig. 5-9) . 

Description d’une espèce de Céphalopode tétra- 


branchial nouvelle, du landenien de Bel- 
gique (Aturia linicitensis, E. Vinc.). 


Présence d’une plaque siphonale chez Corbula 
regulbiensis Morr 


Description d’une espèce nouvelle du genre 
Sigaret provenant des sables de Bracheux . 


Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge : Note préliminaire sur Clavagella 


Voir aussi à Raeymaekers. 


Vincent, G. — 


Les faunes bruxellienne et laekenienne de 
Dieghem (pl. I) 


Préliminaire d’une notice sur les fossiles de 
l’assise supérieure du système yprésien . 
Fusus nouveau pour la faune bruxellienne 


Belosepia et Cerithium nouveaux pour la 
faune bruxellienne 


Matériaux pour servir à la faune laekenienne 
des environs de Bruxelles . 


Deux Gastéropodes nouveaux pour la faune 
bruxellienne . 


Deux coquilles fossiles du système rupelien 


Fossiles recueillis dans les sables heersiens, 
près de Orp-le-Grand 


Fossiles découverts dans l’yprésien des envi- 
rons de Bruxelles 


Faune Laekenienne. Description de trois 
espèces nouvelles provenant de Wemmel 
Calyptraea sulcata, Voluta rugosa, Litto- 
rina lamellosa) (pl. Il) . 


Note sur les dépôts paniséliens d’Anderlecht, 
près de Bruxelles . 


Note sur les dépôts postpliocènes du Kiel, 
près d'ANVEIR EM te . 


35 
36 


37 


31 


42 


di 


46 


47 


-1 


49 


XXVII 
XLVI 


XXII 
LIT 
321 
140 


254 


LXXXIV 
7 XCI 


CXVIL 


X 
XXXI 


XLIV 


XLV 


51 
69 


XVI 


50 


Vincent, G. 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


— Note sur la faune bruxellienne des environs 


de Bruxelles 


Note sur quelques Scalaires éocènes des 
environs de Bruxelles (pl. VIT) . 


Note sur trois coquilles fossiles du terrain 
laekenien des environs de Bruxelles 
® (Pecten nitidulus, G. Vincent, Fleuro- 
toma Heberti, Nyst et Lehon, Triton 
fusiforme, G. Vincent) (pl. IX). 


Description de la faune de l’étage landénien 
inférieur de Belgique (pl. 6 à 10). 


Rapport sur le travail de M. Rutot: Des- 


cription de la faune de l’oligocène 


inférieur de Belgique. 

Description de trois Cardiums nouveaux 
(pl. 1-2). 

Description de deux Peignes nouveaux du 
système laekenien (pl. 3). 


Découverte du genre Avellana dans le 
terrain landenien inférieur . 


Liste des coquilles du tongrien inférieur du 
Limbourg belge 


Note sur un gîte fossilifère quaternaire 
observé à Veeweyde, près de Duysbourg. 


Sur quelques coupes visibles sur le territoire 


de la planchette de Saventhem . 


Note sur deux Crustacés Brachyures nou- 
veaux pour la faune du pays. 


Découverte de Cyrena fluminalis Mull. dans 
les alluvions de l’Escaut . 


Nouvelle liste de la faune conchyliologique 
de l’argile rupelienne. 


Documents relatifs aux sables pliocènes 
à « Chrysodomus contraria » d'Anvers 


Liste de fosiles lédiens rencontrés à Forest 
et à Saint-Gilles dans le gravier de la 
marne sous le ledien . 


Compte-rendu de l’excursion faite à Esschene 
et à Teralphene par la Société royale 
malacologique de Belgique . 

Observations relatives à l'âge diestien 
accordé aux sables ferrugineux des 
collines des Flandres. 


10 


10 


10 


11 


11 


16 


-16 


19 
12 
21 
22 


23 


23 


23 


24 


24 


24 


26 


87 


XCIX 


XX 
XXX VIII 


XXV 


XLIX 


CLVI 


XIX 


Re LE D x dr dé 


TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vincent, G. — Rectification relative à une prétendue com- 
paraison de la faune du système lédien 
avec celle du calcaire grossier moyen du 
bassin de Paris. 


EAre Acquisitions à la faune des sables de Wem- 
mel, des environs de Bruxelles . 


— Rectification de nomenclature . 


— Description d'espèces tertiaires nouvelles 
(pl. 1 et ?). 
— Corbula Bosqueti ? 


— Note relative à la paléontologie des sables 
landéniens del’Entre-Sambre-et-Meuse. — 
Description de deux Chlamys nouveaux 
(C. Briarti et C. Bayeti) : 


— Documents relatifs à la faune landénienne 


— Une nouvelle espèce du genre Chlamys : 
C. Flandrica.— Complément à la descrip- 
tion de C. Nysti'. 


= Compte rendu de l’excursion faite aux envi- 
rons d’Assche le 23 septembre 1894 


_ Sur l’âge des sables intercalés entre l'argile 
de Boom à Leda Deshayesi et l'argile sous- 
Jatente ces Sables Tu etre, 


Vincent, G. et Couturieaux, J. — Quelques mots relatifs à 
l’âge ypresien accordé par M. Velge aux 
sables calcarifères entre la Dyle et la 
Sennette. 


— Deuxième note relative aux sables avec 
grès entre Genappe et la Sennette . 


— Réponse à la note de M. Velge du 6 septem- 
bre 1890. 


— Note relative à la géologie des environs 
d’Assche. 


Vincent, G. et Th. Lefèvre. — Note sur la faune Laeke- 


nienne de Laeken, de Jette et de Wemmel 
(pl. IT et IIT) 


Vincent, G.et Rutot, A. — Quelques nouvelles observations 
relatives au système wemmelien 


— Notes sur quelques observations géologiques 
et paléontologiques faites aux environs de 
Louvain , 


26 


28 
28 


30 


30 


28 


13 


13 


5 à 


XLII 


XXXIIT 
LXXV 


29 
LVII 


LI 
LVII 


LIX 


13 
LVI 
LIL 
LXIX 


LXXXIV 


XXXIII 


49 


LXXII 


52 TABLE ALPHABÉTIQUE 


Vincent, G. et Rutot, À. — Observations nouvelles relatives 
à la faune du système bruxellien et à celle 
de l’ancien Laekenien supérieur, système 
actuellement wemmelien . 


Voir aussi à Daimeries. 
Vlès, voir à Chevroton. 
Vosmaer. — Over Sponsen . . , 


Watelet, A. — Notice sur les sables inférieurs du Soissonnais 
et sur leurs équivalents (pl. VII) 


— Nouveau genre de Mollusques : Hydrateredo 


Watelet et Lefèvre. — Note sur les Ptéropodes du genre 
Spirialis découverts dans le Bassin de Paris 


(pl. V). 
Voir aussi à Lecomte. 


Weyers, J. L.— Céphalopodes (?) rencontrés dans une rivière 
de la Géorgie. TARe 


— Excursion à la Baraque Michel 
— Mollusques recueillis à Calmpthout (Campine) 


Wiechmann, D. — Causes de destruction de la coquille de 
Limnoæa stagnalis . 


= Expériences sur les causes de la destruc- 
tion de la coquille des LimnϾa stagnalis 


Willem, V. — Les ocelles de Lithobius et de Polyxenus . 


== L'organe de Tômésvary de ZLithobius forfi- 
COCUSSSI EN RR QE NE ER ER TE TRE 


= Sur l'existence en Belgique de Dendrocælum. 


punctatum, Weltner . 
Winiwarter, H. de. — Enouarp VAN BENEDEN (un portrait) 
Woodward. D.-H.— Tomas Davipson, notice biographique 
— J. Gwyx JEFFREYS, notice biographique 


Wright. Bryce — Murex Huttoniae (pl. 9) . 


14 


42 


10. 


11 


15 


XII 


134 


111 


_XLVIII 


100 


XX 
LI 
XC 


CIV 


CIV 
LXIX 


LXXI 


XX VIII 
283 

VI 

Le 

85 


tes 1920 


——— 


TABLE SYSTÉMATIQUE 


- des 50 premiers volumes des 


Annales et Bulletins de a Suciélé Royale Zoologique et Malaco-ogique de Belgique 


DIVISIONS DE LA TABLE : 
À. Zoologie. 


1. Généralités. 3 
2. Protozoaires . 4 
3. Spongiaires 6 
4. Coelentérés. 7 
5. Echinodermes . 8 
6. Vers. CARS AR AE EE ET MEN ET PE 8 
HE TATÉDPOnOMen ORAN ETS NM TEEN C PE ARRETE Ste re 9 
FE QUE RCE LEE RP RARE a PE ETS FO CEE PS AR RE nee SN A 10 : 
FETE OT ES TT RE PEN SA ART QE RES 10 

DE DENON PRE Paie ei eee Pate Mel ee UD 9 10 

SU ANS TE A D Se Var eV te ed) dt aet de du atlas ue Ne SE à 11 
FLE EAN SES PP EE CCR 11 
BENOIT EU TE RE ER lie ve die ete AU 12 

CR CERHAIODOUERRE RS ESS RARE Tee oi, et 12 

dj Fame Ernest ER R ER TNT e ns n 12 

E} CASTRO ES EE PA CRE AR ec ulead all 13 
AUX COR dE D ne Lon + ca te 2 +9 0 
D Araphienus ch TUE RP Al, te re Le) 17 


Aux, $oe, Zool, et Malac, Belge, t. L. 12 


54 TABLE SYSTÉMATIQUE 


IL Vertébrés . 

a) Généralités . 
b) Poissons. 
c) Ampbhibiens. 
d) Reptiles . 
e) Oiseaux . 
f) Mammifères, 

11. Excursions zoologiques . 

12: Fauneset collections . 1.5. #70 RE re 


I. Belgique . 
a) Mollusques , 
b) Non Mollusques 


Il. Etranger . 
a) Mollusques . 
b) Non Mollusques 
13. Méthodes, etc. 
B. Paléontologie et Géologie 
Primaire: 2e 
Secondaire . 
Tertiaire 
Quaternaire et moderne. 


O1 SE CO 0 = 


Excursions géologiques . 
C. Vuria 
D. Biographies 


18 
18 
18 
19 
19 


19 


20 


20 
22 
22 
22 
24 
26 
26 
28 
29 
30 
30 
31 
33 
54 


58 


61 
63 


FR Gi 


ZOOLOGIE 


À. — ZOOLOGIE. 


1. GÉNÉRALITÉS. 


Brachet, A. — Les idées actuelles sur la potentialité des blas- 
COMORES PORN RARE RD re 


— Fonction reproductrice de l’endoderme. 


De Cort, H. — Le Cinquantenaire de la Société Royale Zoo- 
logique et Malacologique de Belgique 1363- 
ROLE TR a Ne SRE RL 
Grégoire, V. — Les fondements cytologiques des théories 
courantes sur l’hérédité mendélienne. — 
Les chromosomes : individualité, réduc- 
tion, structure. 


Kemna, A. — La biologie des eaux potables. 
— La taille des animaux . 


— Les théories dans les sciences naturelles et 
spéciale ment en zoologie 


Lameere, À. — Sommaire du cours d'éléments de zoologie 


pour la candidature en sciences naturelles 
(Suite) . 
— (Suite et fin) . 
— Notes de zoogénie : 


N I. Les appendices des Coelomates. 
II. Les feuillets des Spongiaires . 


Loppens, Ch. — Animaux marins vivant dans l’eau sau- 
mâtre . 


Pelseneer, P.— L'influence des courants dans la dispersion des 
, | S P 
organismes 


— Lettre de remerctments pour les félicitations 
qui lui ont été adressées 4 l’occasion de 
l'attribution du Prix décennal des Sciences 
zoologiques . . ; 


— Tératogenèse et formation de monstres doubles | 


—= Les premiers temps de l’idée évolutionniste : 
. Lamarck, Geoffroy-Saint Hilaire et Cuvier 
(avec portrait). . . 


Schouteden, H. — A propos de la théorie de l’optimum 


Van Bambeke, Ch. — L Œuvre de J,-F. MeckeL, au point de 
vue de la théorie transformiste . . 


43 


48 


40 


48 


49 


42 


44 


55 


98 
106 


56 TABLE SYSTÉMATIQUE 


2. PROTOZOAIRES. 


Brady, H -B. — Description d’une nouvelle espèce de Fora- 
£ minifère des couches miocènes de la 
MERDE CN ENS RE RP en re 
Cogels, P.— Rapport sur le travail de MM. Vanden Broeck 
et Miller: Les Forauminifères vivants et fos- 

sules de la Belgique, première partie 
Deprat, J. — Sur l'identité absolue de Nummulina pristina, 
: Brady, et de Nummulites variolarius, Lk. et 
sur son existence daus les dépôts tertiaires 

néo-calédoniens 


Haeusler, R. — Note sur une zone à Globigérines dans les 


terrains jurassiques de la Suisse. 
Kemna, Ad. — Sur le caractère naturel de la division des 
Foraminifères en Imperforés et Perforés 
(fig. 10-11) 
— Les caractères structuraux des Foramin'fères 
flottants . 

— Morphologie des Foraminifères arénacés . 

— J.-J. Lister : Sur le dimorphisme des espèces 
anglaises de Numinulites et la taille de la 
mégalosphère en relation avec celle de la 
microsphère du test mégalosphérique de ce 
genre 

— J.-J. Lister : Article « Foraminifera » dans 
le Traité de Zoologie de Ray Lankester. 

— H. Douvillé : Sur la structure des Orbito- 
lines 

— Les caractères orthostyle et flexostyle chez les 

4 Foraminifères. OST AN AT Te NES 

— Morphologie des Protozoaires (76 planches) . 

Miller H. J. — Notice sur iles Acinetina et en particulier 
sur l’Acineta mysticina Enr. 

-— Podophrya mobilis, espèce nouvelle apparte- 
nant à l’ordre des Suceurs (pl. 1). 

— Observations sur le Nummulites planulata 

var. A. minor d'Arch. et Haim. 

—. Instrument pour faciliter le maniement sons 

; le microscope, des Foraminifères et autres 
objets de petite taille . 


11 


11 


40 


103 


XX 


17 


16 CLXXX VIII 


31 


38 
39 


LX 


CIX 
XI 


LXXVI 


PROTOZOAIRES 


Miller, H. J. — Rapport sur la traduction faite par M. Van- 


den Broeck du travail de M. Brady : 
« On a true carboniferous Nummulite ». 


Miller, H. et Vanden Broeck, E. — Les Foraminifères 


vivants et fossiles de la Belgique . 


Schouteden, H — Note sur les organismes inférieurs 


ee 


(2e note) (fig. 1-8) . 


Contributions à l’étude des Infusoires 


de Belgique : 1. Les Aspirotriches . 


La formation des spores chez les Tha- 


lassicola (Radiolaires) (pl. 1). 


La collerette des Spongiaires et des 


Choanoflagellates 


À propos de Choanoflagellates 


Vanden Broeck. — Etude préliminaire sur le dimorphisme 


des Foram nifères et des Nummulites 
en particulier 

Petites notes rhizopodiques : 
1. Rectifications à faire au sujet du 


Pliocène belge dans la « Monogra- 
phie des Foraminifères du Crag », 
publiée par le Prof. T. Rupert Jones. 


. Observations à propos de la mention 


de Nummulitinae comprises dans les 
listes de la faune rhizopodique du 
Crag anglais . 


. La Nummulite trouvée dans le Crag 


anglais ec la N. Boucheri de l’Oligo- 
cène belge 


4. La Vummulites pristina du Calcaire 


carbonifère belge 


Annexe aux petites notes rhizopodiques : 


Tableau rectifié de la distribution des 


Foraminifères et des relations strati- 
graphiques des dépôts qui les con- 
tiennent dans les couches du Pliocène 
d'Anvers avec leur répartition dans 
les désôts du Crag anglais et du 
Miocène belge, d’après MM. H. W. 


_ Burrows et R. Holland . . .,+. 


AOL 


M: RCI 
7 15 
40 1 
40 LXXXVII 
42 35 
42 136 
43 131 
28 XV 


33 XXVII 


33  XXXIII 


33:  XXXIV 
33 XXXV 


183 # XLIV 


58 TABLE SYSTÉMATIQUE 


YVanden Broeck. — Comment faut-il nommer les Nummulites, 
en tenant compte de leur dimorphi-me? 
Appel aux biologistes, géologues et 
paléontologistes. 


Vanden Broeck et Miller. — Observations sur le Nummu- 
lits planulata 


— Les Foraminifères des couches pliocènes de 
la Belgique. 1'e partie. Esquisse géolo- 
gique et paléontologique des dépôts 
pliocènes des environs d'Anvers (P]. IV). 


3. SPONGIAIRES. 


Delage, Y. — Remarques snr le travail de M. Kemna relatif 
aux Spongiaires | 


Funck, IN. — Noticesur l’Euplectella aspergillum R. Owen . 


Giard, À. — La gastrula et les feuillets blastodermiques des 
. Spongiaires . 


Kemna, Ad. — Les caractères et l’emplacement des Spon- 
giaires . 


_ Critiques relatives au travail précédent 
— Réponse à ces critiques. 


_ Réponse à la note de M. Giard sur la position 
systématique des Spongiaires . 


— A propos de la communication de M. LAMEERE : 
« Eponge et Polype » 


— Sur la position sy-tématique des Spongiaires : 


Examen de la note de M. AuG. LAMEERE. 
— À propos d'un travail récent de M. Orto Mas 


— L’embryologie des Spongiaires dans « Kor- 
SCHELT et HEIDER » . 


Lameere, A. — De l’origine des Eponges . 
— Eponge et Polype . 


_ Notes de zoogénie : - 
II. Les feuillets des Spongiaires . . 
Lecomte. — Observations sur la spongiculture dans l’Adria- 
tique 


Maas, O. — Bemerkungen zu Kemna : Les caractères et l’em- 
placement des Spongiaires . 


34 


Ve) 


42 


42 


“XLII 


XXXI 


83 


XXXVI 


13] 


APTE Ed? 


A NE à ann à di 44 


AL CR cr'é 
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L 


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ste 


COELENTÉRÉS 


Rousseau, E. — Note monographique sur les Spongiaires de 
Belgique (fig. 1-17) c 
— Note monographique sur les Spongiaires de 
Todss - Belgique : IL. Spongilles . 


Schouteden, H. — La collerette des Spongiaires et des 
Choanoflagellates. 


Senoner, A. — De la spongiculture et de la pêche aux éponges 
dans la Mer Adriatique . 


É ; v 
Sollas, W.-J. — Remarques sur le travail de M. Kemna rela- 
| tif aux Spongiaires . 


Thum, Em. — Bericht über eine Sammlung trockener Chali- 
neen Skelette aus dem Brüsseler Museum 
(fig. 3-38). 


Van Beneden, Ed. — Remarque sur le travail de M. Kemna 
relatif aux Spongiaires . 


Vosmaer.— Over Sponsen 


4. COELENTÉRÉS. 


Billard, Armand. — Notes sur les Hydroïdes de la collection 
WesTENDorP du Musée royal d'His- 
toire naturelle de Belgique (pl. Il) 


Kemna, A. — Sur les rapports entre Cnidaires et Polyclades 


— O. Carlgren : Noch einmal Polyparium 
ambulans . 


— Morphologie des Cœlentérés 

— Morphologie des Cœlentérés (suite) . 

— Morphologie des Cælentérés (suite). 

—— Un Cténophore sessile, Tjalfiella Mortensen . 
Lameere, À. — Sur l’origine des Siphonophores 

— L'origine des Cténophores 

= Cténophores et Polyclades 

1 Éponge et Polype . 
Loppens, Ch. — Hydroïde nouveau pour la faune belge. 


—. Rapide multiplication de quelques Bryozo- 
aires et Hydroïdes 


Schouteden, H. — La classification des Scyphocnidaires, 
d'apies MP ROULE, ee ne, 


42 
42 


48 


38 


40 
43 
44 
46 
47 
37 
38 
40 
43 
40 


40 


40 


PA 
LXXIX 


LVI 
229 
143 

8 


LXXX VII 
CXXVII 
107 

VII 


60 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Schouteden, H. — Les affinifés des Cténophores et des 
Polyclades : et. 


— Cnidaires et Cténophores. . . . . 


Thieren, J. — Une observation bionomique intéressant Heliac- 
tis bellis ELLis de nos côtes. 


5. ECHINODERMES. 


Kemna, A. — Une nouvelle phylogénie des Echinodermes : 
la Pentasomea de Hérouard . 


L’Holothurie pélagique Pelagothuria . 


6. VERS. 


Colbeau, Jules. — Vers intestinaux des Mollusques 


de Man, J. G. — Observations sur quelques Nématodes ter- 
restres libres de l’île de Walcheren 


s Anguillula Silusiae De MAN, eine neue in 
den sogenannten Bierfi zen lebende Art 
der Gaitung Anguillula Ehrb. (PI. I) 


Dordu, F. — Contribution à l'étude des Oligochètes de la 
faune profonde du lac Léman . 


Frauenfeld, G. V. — Hiruno LecoMTeI. 
— Une Hirudo nouvelle (Xerobdella 


Lecomtei) 
Kemna, A. — Pénétration et migration de l’Ankylostome. 
Lameere, A. — Oligochète et Rotifère nouveaux pour la 
. Belgique . 


— Cténophores et Polyclades . 


— Position systématique des Trématodes. 


Lecomte, Th. — Hirudo nova species . 

Loppens, Ch. — Note sur un Rotifère nouveau du genre 
Anuraea . 

Rousseau, H. — Vers nouveaux pour la faune belge . 

Schouteden, H. — Les affinités des Cténophores et des Poly- 
clades . si te SORA MONET 

Thieren, J. — Note éthologique relative à trois Poly- 


7 chètes nouveaux pour la faune belge. 


40 
42 


44 


40 
41 


41 


40 


44 


CXVII 
27 


120 


XXXIX 
87 


XLIX 


256 


XXVIII 
XXXIV 


LXX VII 
CXXVII 
183 
XCVII 


185 
LXXV 


CXVII 


113 


ARTHROPODES 


Van de Woestijne, M. — La découverte en Belgique de 
Placocephalus Kewensis . , . . . 


Willem, V. — Sur l'existence en Belgique de Dendro- 


cœlum punctatum, Weltner 


7. ARTHROPODES. 


Lameere, A: — Origine et composition de l'embranchement 
des Arthropodes . 


k *X % 


Bagnall, R.S. — On some terrestrial Isopod Crustacea new 
to the fauna of Belgium. 


— On the occurrence in Belgium of a recently 
described terrestrial Isopod, Trichonis- 
cus Stebbingi PATIENCE. 


De Man, J.G. — Sur quelques Palaemonidae de l'Afrique 
occidentale, avec des observations sur le 


Palaemon (Eupalaemon) acanthurus . 


Wiegm. de l'Amérique (PI. I à IV). 
Gilson, G  — Note sur un Epicaride nouveau, parasite du 
Gastrosaccus spinifer Gües 


Loppens, Ch. — Un Crustacé perforant(Lwmnoriaterebrans) 
non encore signalé en Belgique 
Stappers, L. — Notes sur la nourriture de quelques Ver- 
tébrés arctiques . 
Steinmetz, Fr. — Les variations saisonnières de Daphnia 
pulexæ 


— Nutrition de Leptodora hyalina 
Vande Vloet,F.— Nutrition de Leptcdora hyalina. 
Ho 
Ball, FrancisJ.— Le dimorphisme saisonnier des Androco- 
nia chez certains Lépidoptères 


Bervoets, R.-E. — Contribution à l’étude du vol des Insectes 
(première et deuxième parties) (pl. VI 
EU 89) EPS IN CRAN ERREURS 


Kemna, A. — Les larves tisseuses d’Insectes dans les 
distributions d’eau . 


Lameere, A. — Vie terrestre secondaire chez les Insectes . 


+ % 


#2 


43 


43 


42 


43 


41 
48 


61 


110 


XXVIIT 


188 


263 


168 
168 


141 


62 - TABLE SYSTÉMATIQUE 


Willem, V. — Les ocelles de Lithobius et de Polyxenus . 


— L'organe de Tômôsvary de Lithobius for f- 
catus 


a. 
Meuleman, E. — Le rôle des Ixodes dans la propagation des 


maladies contagieuses . 


Schouteden, H.— Présentation d'Hydrachna geographica 


8. MoLLUSCOIDES. 


a) Brachiopodes. 
Davidson, Th. — Qu'est-ce qu'un Brachiopode ? (PI. III 
à VD. Po te 


— Liste des principaux ouvrages, mémoires 
ou notices, qui traitent directement ou 
indirectement des Brachiopodes, vi- 
vants ou fossiles 


Tournotier. — Communication sur divers Brachiopodes 


b) Bryozoaires. 


Calvet, L. —— Liste des Bryozoaires marins des collections du 
Musée royal d'Histoire naturelle de Belgique . 


Loppens. Ch. — Sur une variété de Membranipora membra- 
nacea, L.et sur quelques animaux marins 
vivant dans l'eau saumâtre. 


= Bryozoaireset Cnidozoairesnouveaux pour la 
faune belge, trouvés pour la plupart pen- 
dant l’année 1903 


— Bryozoaire nouveau pour la faune belge 


— Rapide multiplication de quelques Bryozo- 
aires et Hydroïdes REA 
—- Bryozoai:e nouveau pour la faune belge 


— Plumatella repens, L., vivant dans l’eau 
saumâtre . 


— Bryozoaires nouveaux pour la faune belge 


— Liste complète des Bryozoaires de Belgique 


Ps | 


27 


43 


10 


12 
10 


39 


38 


39 


40 


40 


5 CUS 


40 
41 
41 


36 


CXLII 


\ d! Ed 
n" nt nd LE du ‘0 ét 


MOLLUSQUES 


Loppens, Ch. — Bryozoaires marins et fluviatiles de Belgique 


— Sur les caractères distinctifs entre AÀ/Zcyoni- 
dium gelatinosum et Alc. hirsutum 


(pl. Il) . 
— Catalogue des Bryozoaires d’eau douce avec 


une note sur Victorella pavida 


Pergens, E. — Contributions à l’histoire des Bryozoaires et 
des Hydrozoaires récents 


— Deux nouveaux types de Bryozoaires cténos- 
tomes . 


— Notes succintes sur les Bryozoaires : 
I. Sur les Bryozoaires du miocène de la 
Russie méridionale An TUEUR ue» 
IT. Bryozoaires dragués par M. G. Dollfus 
dans le nord-ouest de la Méditerranée 


9, MoLLusQues. 


a) Généralités. 


Brot, À. — Diverses anomalies observées chez certains Mol- 
lusques de la Suisse . 


Colbeau, J. — Diverses pièces des Mollusques à réunir en 
collection . 
Kawall. — Note sur les parasites et les ennemis des 
Mollusques . 
Lambotte. — Organisation du centre nerveux des Mollus- 
ques, etc. 
Lameere, A.-- Sur l’évolution des Mollusques. 


Pelseneer, P. — Introduction à l'étude des Mollusques 
— Castration parasitaire chez les Mollusques. . 


— . Sur la fonction de l’osphradium des Mol- 
lusqnes. , 


| Numismatique conchyliologique . 
Rosart. — Rapport sur les Mollusques alimentaires . 
Senoner, A. — Notes conchyliologiques 

=: | Notes conchyliologiques 


— Notes malacologiques . 


41 


24 


24 


63 


286 


169 


97 


LXXXV 


340 


XX 


LVII 


XLII 


XIV 


64 TABLE SYSTÉMATIQUE 

Vanden Broeck, E. — Note supplémentaire aux considéra- 
tions sur les déviations scalari- 
formes. 


b) Amphineures. 


Pelseneer, P.— La métamérie et l'hypomérie chez les Chitons 


c) Céphalopodes. 


Dustin, A. P. — Quelques mots sur les chromatophores 


et les iridocytes des Céphalopodes 


COTE 
Lameere, À. — Présence de l’'Ornmatostrephes todarus, Delle 
Chiaje, sur la côte belge . 


Pelseneer, P.-- Sur la distinction spécifique des Sepiola 
‘atlantica et Rondeleti. 


— Sur la nature pédieuse des bras des Cépha- 
lopodes 


— Sur la perception des mouvements chez les 
Céphalopodes 


Weyers, J. L.— Céphalopodes (?) rencontrés dans une rivière 
de la /Géorpie MS eh 


d) Lamellibranches. 


Anthony, R. — Etude monographique des Aetheriidæ (Ana: 
tomie, Morphologie, Systématique) (pl. XI 
et XII) AE RE EE AU NC 

Bauwens, L. M. — Observation d’une ponte de Cyclas 


Bellini, R. — Etude de malacologie napolitaine : 
Les Mytilidæ du golfe de Naples . 


Collin, G. — Note sur quelques variétés rencontrées chez le 
Pisidium amnicum Müll. 


Dautzenberg, Ph. — Dreissena cochleata Kickx, récoltée à 
Bruxelles . : 

Deby, J. — Note sur l'alimentation des Moules (Mytilus 

edulis) . MER TER EN NUE 


Dollo, L. — Note sur les crochets remarquables de certaines 
coquilles de Lamellibranches. (PI. II1) . 


50 


XX XI 


41 


322 
XIX 


20 


XCIL 


LVII 


CXCV 


14 


 d 


MOLLUSQUES 
De Guerne, J. — Description d'un Pisidium nouveau des 
Agçorese |} *.1 1. 


Dupuis, P. et Putzeys. S. — Note concernant la découverte 
fu Petricola pholadiformis L. en Belgique. 


Kawall, J. H. — La pêche des perles en Livonie . 
Lanszweert, Ed. — Les bancs d’Huîtres devant Ostende . 
Loppens, Ch. — Petricola pholadiformis, L. . 


Pelseneer, P. — Sur la présence du Dreissensia cochleata 
Kickx à Amsterdam . 


— Sur l'aire de dispersion de Lasæa rubra, 
Mont 


—— Acinus et Cryptodon . 
_ Sur le cœur d’Ostrea et de Pandora 


— La phagocytose défensive chez les Huîtres 
vertes 


ss Formation de variétés chez la Moule comes- 
tible. 


— La classification des Lamellibranches d’après 
les branchies . 


Preston, H. B. — Description of new marine Pelecypoda from 
the Philippine Islands 


Raeymaekers, D. — Epoque à laquelle Mya arenaria, L., a 
disparu de la région du Bas-Escaut 
belge. . 


Raeymaekers et B°% A. de Loë. — Note sur la présence 
de Dreissena Cochleata, Nyst, dans un 
étang au nord d'Anvers. 


Schouteden, H. — Distribution géographique actuelle de 
Petricola pholadiformis en Europe 


— A propos de Petricola pholadiformis . 


Vincent, E. — Sur un spécimen de ÆEastonia rugosa recueilli 
à Knocke 


— Note préliminaire sur Poromya . 
e) Gastropodes, 


Brusina, Sp. — Monographie des Campylaea de la Dalmatie 
et de la Croatie, .) . , .°. 


38 


41 


IV 

XXX VII 
XVII 
XLI 


XCV 


XCVI 
XXXV 
LV 


LXII 


XLVIII 


LVIII 


72 


XX VIII 


64 
198 


LIX 
LXVII 


39 


66 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Canefri, C. Tapparone. — Glanures dans la faune malacolo- 

gique de l'Ile Maurice. Catalogue de la fa- 

mille des Muricidés (Woodward) (pl. 2 et 3) 

Colbeau, Jules. — Limnæa stagnalis, var. arenaria, J. Colb; 
Planorbis Roffiaeni J. Colb 


2 _ Helix sénestres et scalariformes observés 
en Belgique 


LE -  Helix Sauveurid. Colb p 


— Longévité de quelques Helix . 
— Limnaea stagnalis, var. aquarü,J.Colb. 


— _ Observations sur les époques d’hiberna- 
tion et d’accouplement de quelques 
Mollisques terrestres en Belgique. 


— Acclimatation d'espèces algériennes. 


_ Description d’un Arion : Arion glaucus, 
J. Colb. 


— Coquilles du Fusus fasciolaroides trans- 
percées par un animal 


— Coquilles univalves prolongées par un 
Crustacés M ere Re es 


— Reproduction de l’Helix incarnata albi- 
nos . 


_ Helix fasciolata var. Bouyeti, J. Colbeau 


Collin, G. — Sur la Limnœæa stagnalis L.. et sur ses variétés 


observées en Belgique (PI. IV) 
— Anomalies de la Limnœæa stagnalis 
—- Anomalies des Limnæa stagnalis et limosa 


— Limnæa stagnalis, var. sinistrorsa, recueillie 
par M. de Bullemont aux environs d’Aerschot. 


— Reproduction de la Limnæa stagnalis sénestre. 


— Description d’une variété de Limnæa limosa 
(var. Bræcki) . 


— - Description d’une nouvelle espèce de Limnée du 
Brésil (Limnæa Lambottei) . 


Craven, Alf. E. — Observations sur l'Helix ligulata Fér. de 
— Madras . 


— Quelques observations sur le Hyalæa 
tridentata Lam. (PI. III). . . . 


1 


LAS] 


LXI 


LXXXIX 
CXCIV 


“81 


XLVIIT 
LVI 


LXI 
LXXXIX 


XXXII 
cc 


93 


70 


PUR MOT CA PU EN ENT POUTT RE TEEN 


È 
…i ‘Had 


* MOLLUSQUES 


Craven, Alf. E. — Monographie du genre Sinusigera, d'Orb. 
| (PL. IL à IV) 1 ; 


— Note sur le genre Sinusigera . 


— Sur les variétés du Purpura (Cuma) 
_ coronata, Lmk., <et sur la position 
systématique du Melongena fusifor- 

mis, Blainv. 


Dautzenberg, Ph. — Helix de croissance irrégulière 
— F Description d'une nouvelle espèce 
d'Achatina provenant du MHaut- 
Congo (fig. 2). 
De Guerne, J. — Note sur un cas de monstruosité scalaire 
| de Planorbis rotundatus, Poiret . 
De Cort, H. — De la valeur marchande et du degré de rareté 
actuel de Pleurotomaria Beyrichi . 
‘Dewalque, G. — Carlier et sa Neritina leodica. 
de la Fontaine, J. — Deux anomalies de coquilles marines 


Strombus luhuanus, L. et Turbi- 
nella napus, Lk. (pl. II) . 


Dubrueil E. — Description d’une nouvelle espèce d’Helix 
(pl. HD). 


— Description et figure d’une Hydrobie nou- 
: velle, 4. Paladilhi . 


Giard, A. — Communication sur les Œulis 
Lambotte. — Diminution du poids de l’Helix pomatia durant 
l’hibernation. 
_ Lanszweert, Ed. — Buccinum undatum, var acuminatum, 


recueilli à Ostende . 
Lefèvre, Th. — Note sur le Bulimus ellipticus (pl. 7) 
Nyst, H. — Helix nemoralis scalariforme 


Pelseneer P.— Sur le pied et la position systématique des 
Ptéropodes 


D Sur le genre Peracle 


— La rudimentation de l’œil chez les Gastro- 


Ode 4 die 


=. Sur la classification des Gastropodes d’après 
le système nerveux . 


— Sur le manteau de Scutum (— Parmo- 
PRONUS EEE EEE Ts ST, 


XXIII 


LXXXVII 


27 


VIII 


VII 


LXXXII 


21 


49 


XLII 
VIII 


XIV 


68 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Pelseneer, P. — L'œil de Scutum . 
— L’Hermaphroditisme des Nudibranches sacco- 
glosses (E ysiens, etc.) . 
— Sur quelques points d'organisation des Nudi- 
brauches et sur léur phylogéuie . 


— Sur la dextrorsité de certains Gastropodes dits 
« sénestres - (Lanistes, Peroclis, Limacina 
et larves des Cyrbulüdae). . . . . . 


— Un nouveau nudibranche méditerranéen 
(Cyerce Jheringi) 


_ L'opercule des Hétéropodes . 


— Le système nerveux streptoneure des Hétéro- 
podes . 


— Sur le genre Actæon 
— Les organes génitaux des Auricula. 


— Pulmonés à branchies, Genre Pulmobranchia 


Piré, L. — Recherches Malacolog ques. — Notice sur le 
Planorbis complanutus forme scalaire (pl. IT 
et Ill) 


— Planorbis complanatus scalariforme 
— Planorbis complanatus vermétiforme (Fig.) 
— Planorbis complanatus scalaire . . . . 


— Nouvelles déformations de Planorbis complanatus. 


Purves, J.-C. = Note sur une anomalie de la Limnæa 
limosa . 
Putzeys, S. — Diagnose d’une coquille nouvelle prove- 


nant de l'Etat indépendant du Congo 
(fig. 23) . che 

Raeymaekers. — Sur la présence du Limnaca glabra, 
Müller, à Lübbeck . 


— Sur l’ablation des premiers tours de spire 
chez le Paludina contexta, Müller . 


—— Présence en Belgique de Planorbis cor- 
neus L. var. albinos et de Limnaea 
glabra Müll 


— Etudes sur la faune malacologique du Bas- 
Escaut. Disparition de Alderia scal- 
Hiana, ANyst : 5. vai te 


26 


26 


26 


18 


18 


XXVII 


LV 


LXVIII 


XCIV 


SXIX 
XXXV 
LI 
VII 


LVIIL 
LXV 


23 

LV] 
XCVIII 
XLV 
80 


XLI 


CXV 


CXXVI 
LXIX 


CXX 


CHORDÉS 


- Rieper, H. — Studien an Succinea (pl. II et IV) 
Roffiaen, F. — Essais pour obtenir des Helix scalariformes. 
Roffiaen et Timmermans. — Rapport sur le travail de M. J. 


SAUvEUR concernant le classement des va- 
riétés des Helix nemoralis et hortensis. 


. Sauveur, J. — Du classement des variétés de l'Helix nemo- 
ralis L., et de l'Helix hortensis, Müll., 
d'après l'observation des bandes de la 
coquille (PI. IV à VI) 

Vanden Broeck, Ern.— Observations sur le phénomène de 
‘ la natation chez les Mollusques 
pulmonés fluviatiles 


— Quelques mots sur les Planorbis 
complanatus scalaires de Magnée 


— Considérations sur les déviations 
scalariformes présentées par les 
Planorbiscomplanatus de lamare 
de Magnée 
— Communication sur la Physa acuta 
recueillie en Angleterre et en 
Belgique : 7 + 
— Observationssur l’Arion leucophæus 
— : -_ Excursion à Hastière. — Helix depi- 
lata, var. rosea, Helix obvoluta 
albinos, etc . 
— Observations au sujet d'un Ento- 
: zoaire des Limaces , , 
Vanden Broeck et Colbeau. — Rapports sur le travail de 
M. Craven, intitulé : Sur le genre 
Sinusigera. TT 
Wiechmann, D. — Causes de destruction de la cuil de 
LimnϾa stugnalis . 
— Expériences sur les causes de la destruc- 
tion de la coquille des Limnæa stagnaiis 


Wright, Bryce. — Murex Huttoniae (pl. I) . 
10. CHORDÉS. 
I. Amphioxus et Tuniciers. 


de Selys Longchamps, M. — Analyse des travaux d'En. VAN 
Ben&pen sur le groupe des Tuniciers . 


— Evolution des stigmates branchiaux chez les 
Ascidies du genre Corella 


Aux, Soc, Zool, ot Malac. Belg., t, L. 


47 


æ 


1 


12 


13 


45 


48 


69 


125 
LXXXII 


LXXXIX. 


59 


XI 


49 


127 


13 


70 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Kemna, Ad. — Compte rendu bibliographique sur R. Gold- 
schmidt : Notiz über die Entwicklung der 
Appendicularien (fig. 1-7). . . . . . 


— Compte rendu bibliographique sur R. Gold- 
schmidt : Amphioxides, Vertreter einer 
reuen Acranier-Familie, 


— Octacnemus, une Ascidie mégophage 
— Revue des travaux sur les Appendiculaires 


— L’Amphioxus comestible . 


II. VERTÉBRÉS. 


a. Généralites. 


Brachet, A. — Sur l'origine ontogénétique de la différencia- 
tion de la tête et du tronc chez les Vertébrés 
crâniotes . | 


Kemna, Ad.— Les caractères généraux des Vertébrés 
— L'origine de la corde dorsale . . . . 


_— Der Ursprung des Wirbeltierauges, par 
G. Jelgersma. 


— Analyse du mémoire de O. JAEKEL : “ Ueber 
die Beurteilung der paarigen Extremitäten» 


Lameere, A. — L'origine de la corde dorsale 


b. Poissons 


de Selys-Longchamps, M. — Gastrulation et formation des 
feuillets chez Petromyzon | 


Gilson, G. — L’Anguille, sa reproduction, ses migrations êt 
son intérêt économique en Belgique (pl. 1). 


-— Capture d’un ZLeptocephalus Morrisii au cap 
Gris-Nez . 


Philippson, M. — L’éclosion des œufs de Poissons est-elle dûe 
à un phénomène osmotique ? . 


Scherdlin, P. — Capture d'un ÆEupomotis aureus près de 
Strasbourg 


Schouteden, H.—Jeunes Anguilles prises à Overmeire 


Valschaerts. — Envoi d’un embryon de Lamna cornubica 


38 


40 


A1 


4] 
41 


43 


46 


45 
43 
43 


CXXIX 25 


XXII 
94 

92 
127 


XII 


— 


CHORDÉS 


Van de Vloed, F1. — Jeunes Anguilles à Waelhem 


== Civelles et Ammocètes à Waelhem 


c. Amphibiens. 


Dustin, A. P. — L'évolution des ébauches génitales chez les 
Amphibiens . 
— La signification morphologique desébauches 
génitales embryonuaires chez les Am- 
phibiens . 
® Kemna, A. — Remarque à-propos de la première communi- 
cation de M. Dustin. 


d. Reptiles. 


Brachet, A. — Sur l'origine des ganglions du trijumeau chez 
Chrysemys murginata (Sÿn Chr. picta 
Scan.) (pl. II) CAS 


Scherdlin, P. — La Tortue Clemmys caspica près de Stras- 


bourg . 
Van de Wiele, C. — L'adaptation des Reptiles et des 
Mammifères à la vie marine, par 
le Professeur Fraas. ‘ . 
. _e, Oiseaux. 
de Contreras. — Introduction du Grouse en Belgique 


Dôflein, Fr. — Vôgel als Schmeiterlingsfresser . 
Hermann, Q. — Ornithologie moderne et ornithophénologie. 

— Réponse à la critique de M. le Dr Quinet. 
Lameere, A. — Le Pic noir en Belgique . 


Quinet, D. — A propos du travail de M. OTTo HERMANN : 
OrnithologieetOrnithophénologie pl ILetIll) 


= BICLAtAS NP RTE 


Scherdlin, P. — Disparition des pigeons de la cathédrale de 
Strasbourg 


— Disparition des Cigognes à Strasbourg. 


43 
43 


42 


42 


48 


49 


40 


45 
47 


175 


190 


119 


31 


263 


XCVI 


72 TABLE SYSTÉMATIQUE 


f. Mammifères. 

Brachet, A. — Développement in vitro de blastodermes et de 
| jeunes embryons de Mammifères . 
Depauw, L. — Quelques considérations sur l'Okapi (fig. 1-2). 
Kemna, A. — La disposition des poils chez le Paresseux 

didactyle (fig. 8). 
— La disposition des poils chez le Paresseux 
didactyle:, ! 2 
Lameere, A. — Présentation d’un Gorille femelle . 
_ L'Okapi du Jardin zoologique d'Anvers . 
Loppens, Ch. — Note sur la transpiration chez le chien. 
Scherdlin, P. — Chevreuil femelle avec bois . . . . . 


Van de Wiele, C. — L'adaptation des Reptiles et des 
Mammifères à la vie marine, par 
le Professeur Fiaas, . + 


11. EXCURSIONS ZOOLOGIQUES. 


Colbeau, J. — Excursions et découvertes malacologiques faites 
en quelques localités de la Belgique pendant 
les années 1860-1865 (plII). . 


_ Excursion à Rouge-Cloître, le 18 mars 1866 

— Rapport sur l’excursion de la Société à Vielsalm 
— Excursion de la Société à Arlon . . . 

— Excursion de la Société à Lessines. - . 


— Rapport sur l’excursion faite à Lanaeken les 16 
et 17 mai 1869 

— Compte-rendu de l’excursion faite par la Société 
à Mariembourg et Chimay les 12 et 13 sep- 
tembre 1869 : . 

? 

— Rapportsur l’excursion faite par la Société Mala- 
cologique de Belgique à Tournai, les 26 
et 27 septembre 1874 , . re 


Collin, G. — Excursion à Tervueren . 


Deby, J. — Relation succinte d’un voyage fait aux bords de 
l’Oostanaula, en Géorgie, Etats-Umis . 


de Cort, H.— Compte rendu de l’excursion faite à Ostende 
le 1eT septembre 1595 


49 


39 


38 


41 


47 
50 
44 


49 : 


40 


O © 


31 


12 


La 


CLXIII 
CXLVI 


128 


XCVII 


23 
XIX_ 
LXIX- 
KE 
LXIX 


XLIIT 
LIX 


CLXXXIX 
XLVINH 


XXI 


95 


EXCURSIONS ZOOLOGIQUES - 


Lameere, À. — Rapport sur l'excursion au Zwijn . 
Lecomte, Th. — Excursion aux environs de Gratz (Styrie). 


— Excursion à Longchamps sur Geer (fig. dans 
le texte) . 


— Excursion à Folx-les-Caves . 
Miller, H-J.— Rapport sur une excursion faite à Sluys-Kill 
Plateau, F. — Excursion de la Société Malacologique à Namur 


Purves, J.-C. — Quelques détails sur un voyage fait à Antigoa 
et dans quelques autres îles des Antilles , 


Roffiaen, R, — Compte rendu de l’excursion annuelle aux envi- 
rons de Rochefort, Naninne et Dave, 11 et 
12 septembre 1881 


— Rapport sur l’excursion de la Société aux envi- 
rons de Boom. 


Staes. — Excursion de la Société à Forest, les 9et 14 avril 1868. 


— Rapport sur l’excursion faite par la Société à Nieu- 
port le 28 mars 1869 et jours suivants 


Steinmetz, F.et Van de Vloed. F. — Excursion dirigée 
par eux à Blaesveld et Waelhem. . 


Thielens, A. — Voyage en Italie et en France, mai-juin 1874. 
I. Italie . 

— Voyage en Italie et en France, mai juin 1874. 
II France 


Vanden Broeck, E. — Excursions, découvertes et observa- 
tion Malacologiques faites en 
Belgique pendant l’année 1870 
(i LE Pie CANON ne RO 


— Excursion à l'Abbaye d'Aulne. 


— Excursions à Jette, à Ganshoren et à 
Saint-Gilles 


— Rapport sur l’excursion faite par 


quelques membres de la Société à : 


— Sluys-Kill, Selzaete et Exaerde 
— Excursion à Angre et Quiévrain . 


— Notes sur une excursion scientifique 
en Suisse, août-septembre 1875 . 


| Vanden Broeck et Collin. — Excursion à Jette 
Weyers, M, — Excursion à la Baraque Michel . 


29 


tt 


[e:] 


© 


10 


16 


16 


46 


ms 


10 


10 


73 


16 
XLIV 


LXVII 
LV 
CXXXIV 
97 


XCIV 


22 


CCV 


LXXXIV 


13 
XV 


XX 


74 | FAUNES ET LISTES D'ESPÈCES 


12. FAUNES ET LISTES D'ESPÈCES; COLLECTIONS. 


Belgique. 


a) Mollusques. 


Cogels, P. — La Société malacologique à l'Exposition natio- 
nale de 1880. — Notice historique sur la 
Société, 1863-1880 
— Analyse des collections exposées (Exposition de 
Bruxelles) (pl. 7 à 9). 


= Catalogue des collections conchyliologiques de 
M. F. Paetel 


Colbeau, Em. — Mollusques terrestres et fluviatiles vivants 
du canton de Walcourt. 


Colbeau, Jules. — Liste générale des Mollusques vivants de la 
Belgique dressée d'après les documents 
publiés par les auteurs . 


— Divers Mollusques que l’on peut recueillir 
en nombre à Namur et à Rouge-Cloitre 


— Mollusques vivants observés aux environs 
de Virton. 


— Liste des Mollusques terrestres et fluvia- 
tiles vivants observés pendant l’excursion 
de la Société malacologique de Belgiqne 
à Couvin, les 7, 8 et 9 septembre 1873 


Colbeau, J. et Lanszweert, Ed. — Mollusques nouveaux 
pour la faune belge, recueillis par MM.J.C. 
et Ed. L. : HE 

-Collin, G. — Notes sur des coquilles fluviatiles trouvées dans 


des sables provenant du Rupel . 


— Notice sur les coquilles recueillies dans les allu- 
vions de la Senne 


_— Liste des Mollisques trouvés dans diverses 
localités du Hainaut 


Courtois, Richard. — Mollusques de la Province de Liége, 
1628 UT, 


de Malzine. — Coquilles recueillies à Blankenberghe 


de Malzine et Craven. — Coquilles recueillies à Ostende les 
9 et 10 novembre 1869 . 


(se) 


105 
481 
CVII 


LXIII 


84 


XIX 
XXX 
XII 
CLI 


XLII 
LVI 


XCVII 


FAUNES ET LISTES D'ESPÈCES 


4 Gilson, V. — Note sur quelques espèces de Mollusques marins 
habitant la côte belge ou son voisinage 


Lecomte.— Liste des Mollusques terrestres et fluviatiles 
recueillis aux environs de Lessines . 


— Coquilles recueillies à Lessines . 


— Liste supplémentaire des Mollusques terrestres 
et fluviatiles recueillis aux environs de Lessines 
(figures dans le texte) . 

-— Petite notice sur Lessines et ses environs . 

— Deuxième liste supplémentaire des Mollusques 
terrestres et fluviatiles recueillis aux environs 
de Lessines 

Lecomte et Fontaine, C. — Mollusques recueillis dans les 
environs de Templeuve. 
-Pelseneer, P. — Tableau dichotomique des mollusques marins 
‘ de la Belgique . 


\ 


EN Note sur des coquilles terrestres et fluviatiles 
recueillies à Aeltre.#e 5 A OT. 


_Piré, L. — Liste des Mollusques terrestres et fluviatiles recueil- 
lis aux environs de Magnée et dans diverses loca- 
lités de la Province de Liége . 


— Tableau dichotomique des genres de mollusques 
terrestres et fluviatiles de Belgique (pl. 2). 


Purves, J. C. — Observations sur la faune Malacologique de 
Roumont, Ardennes belges . 


— Mollusques observés dans la vallée de l'Ourthe. 
— idem, . 
Roffiaen, F.— Coquilles recueillies à Hastière, Bouillon et 

Chimay . 

— Mollusques recueillis à Gand . 

— Idem (suite) 

— Coquilles recueillies à Waulsort (Helix hispida 
L., sénestre) . 

— Mollusques recueillis aux environs de Gand 


— Note sur les Mollusques terrestres et fluviatiles 
recueillis à Waulsort. GE 
Vanden Broeck, Ern. — Observations Malacologiques 
— Mollusques dé‘ouverts en quelques 
* localités de la Belgique durant 
Pannée 1869604 «102 1.1, 


49 


D 


16 


18 


14 


75 


257 
LXXI 


XXXIX 


LIV 
LXIII 


LXV 
LVIJIT 


27 


: XXVI 


VII 
18 


XL VI 
XCV 
CXX 

LVI 
XXXIIL 
LVI 


LXVI 
XLIX 


LXXVI 
el 


XCIV 


76 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Vanden Broeck,'Ern. — Mollusques recueillis aux environs 
de Chaudfontaine . 


—- Coquilles de quelques localités du 
Hainaut . 


— 2 Liste des Mollusques recueillis pen- 
dant une excursion du 19 au 24 
juillet 1873 aux environs d’Arlon 
et Virton. 


— Liste des Mollusques recueillis aux 
environs de Tongreset de Hasselt 
les 18 et 19 mai 1873 . 


— Tableaux destinés à recevoir des 
annotalions détaillées sur la fau- 
nule malacologique des diverses 
localités du pays . 6 


Weyers, M.— Mollusques recueillis à Calmpthout (Campine) 


b) Non mollusques. 


Billard, Armand. — Notes sur les Hydroïdes de la collection 
We#sTenporP du Musée royal d'His- 
toire naturelle de Belg que (LI. II) . 


Calvet, L. — Liste des Bryozaires marins des collections du 
Musée royal d'Histoire naturelle de Bel- 
gique . 

de Contreras.— Introduction du Grouse en Belgique . 


Gilson, G. — L’Anguille, sa reproduction, ses migrations 
et son intérêt économique en Belgique 


(pl. I). 
Lameere, A. — Oligochète et Rotifère nouveaux pour la Bel- 
gique . 
— Un Siphonophore en Belgique . 
— Le Pic noir en Belgique . 
— La faune du Môle de Zeebrugge 


Lanszweert, Ed. — Liste de Zoophytes et dé Mollusques infé- 
rieurs { l'uniciers et Bryozoaires) du littoral 
belge . 


Loppens, Ch.— Bryozaires et Cnidozoaires nouveaux pour la 
faune belge, trouvés pour la plupart pen- 
dant l'année 1903 . à 


1 


48 


39 


LI 


XXV 


LXXVIIT 


CXx 


LVII 
xE 


27 


CEIX 


LXX VII 
119 
121 


259, 


113 


FAUNES ET LISTES D'ESPÈCES 
Loppens, Ch.— Un ne perforant (Limnoria terebrans) 
non encore signalé en Belgique . 
_ Hydroïde nouveau pour la faune belge 
— Bryozoaire nouveau pour la faune belge . 
_ Bryozoaire nouveau pour la faune belge . 
— Bryozoaires nouveaux pour la faune belge 
_ Liste complète des Bryozoaires de Belgique . 
—— Bryozoaires marins et fluviatiles de Belgique. 
Pelseneer, P. — Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Quelques mots sur lataille des Céphalopodes. 
— Études sur la faune littorale de la Belgique. 
ee Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Études sur la faune littorale de la Belgique. 


— Études sur la faune littorale de la Belgique. 
— Mollusques et autres animaux infé- 
rieurs recueillis sur la côte belge en 


1883 . 
Rousseau, E. — Vers nouveaux pour la faune belge 


Schmitz, S -J. (H) et Bequaert, Michel. — Contribution 
à l'étude de la faune cavernicole de la 
Belgique . 


Schouteden, H.— Contributions à l'étude des infusoires de 


< Belgique : 1. Les Aspirotriches . 


= Liste des animaux nouveaux décrits de 
Belgique en 1906 


— Liste des animaux nouveaux décrits de 
Belgique en 1907. 


== Liste des animaux nouveaux décrits de 
Belgique en 1908 
Thieren, J. — Note éthologique relative à trois Poly- 


chètes nouveaux pour la faune belge. 


Van de Woestijne, M. — La découverte en Belgique de 
Placocephalus Kewensis . 


Willem, V. — Sur l'existence en Belzique de Dendro- 
cœlum punciatum, Weltner . 


39 
40 
40 
40 
41 
4l 
41 
16 
16 
16 
16 
17 


38 


48 


40 


43 


44 


44 


77 


XLVII 

VIT 

XXII 
XLIX 

130 

132 

286 : 

LXXX VII 
CLXXXVI 
CL 

CLX VIII 
31 


CXVI 
LXXV 


67 
LXXX VII 


30 


99 


113 
110 


- XX VIII 


78 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Etranger. 


a) Mollusques. 


Bellini, R. — ‘Etude de malacologie napolitaine: 
I. Les Mollusques terrestres et fluviatiles de la 
région volcanique (Vésuve et Champs phlé- 
gréens) . 
II. Les Mytilidæ 4 HoUs 46 Nuoies 
 Boettger, C.-R. — Zur Molluskenfauna des Res 
(pl. ID Re 2e Le 


Collin, G. — Note sur les Mollusques des Vosges . 
_ Observations malacologiques faites dans une 
partie des Vosges . 


Craven, Alph.E. — Moilusques terrestres et fimtiles re- 
cueillis en Suisse en 1870. 


_— Mollusques recueillis en Suisse en 1879. 


— Une journée malacologique à Colombo 
(Ceylan) 


— Liste d’une collection malacologique pro- 


venant de Landana, près de lembou- 
chure du Congo (PI. I) . 


Dautzenberg, Ph. — Contribution à la faune malacologique 
de Sumatra (Récoltes de M. J. L. 
Weyers) (fig. l et pl. 1 et 2) 


— Description de trois mollusques nou- 


veaux provenant de l'Etat indépen- 


dant du Congo (pl. 1). 


—— Récolte malacologique de M. Weyers 
dans le Sultanat de Sambas (Bornéo) 


(fig. 1-2) 
De Cort, H. —— Quelques observations intéressant la faune 
malacologique du Congo . 
De Guerne, J. — Note sur l’histoire naturelle des régions 
arctiques de l’Europe. — Le Varanger- 
fjord 


— Notes sur l'histoire naturelle des régions 
arctiques de l'Europe. — Le Varanger- 
fjord (suite et fin) et catalogue des Mol- 

lusques testacés recueillis dans ce fjord 

par la mission de Laponie (juin juillet 


BR 2. he 


15 


17 


34 


36 


38 


34 


18 


21 


LIT 
LXXXV 


 XCII 


15 


(95) 


XXII 


CVI 


> 


= 


Ve F 
tétanie te -).+4 


FOR SL TR 


of SU 


FAUNES ET LISTES D'ESPÈCES 


de Loë (B°’ A.) et Raeymaekers. — Recherches malacolo- 
giques à l'embouchure de la Somme, à 
Saint-Valéry, au Crotoy, à Cayeux, au 
Bourg-d’Ault, à Mers et au Tréport,. 


Dupuis, P. et Putzeys, S. — Diagnoses de quelques coquilles : 


nouvelles provenant de l État Indépendant 
du Congo (fig. 18-34) 


—. Diagnoses de quelques espèces de coquilles 
nouvelles et d'un genre nouveau prove- 
nant de l'État Indépendant du Congo, sui- 
vies de quelques observations relatives à 
des espèces déjà connues (fig. 1-18) . 


— Suite (fig. 21-29). 
Dubrueil, E. — Note relative à une collection de coquilles 


exposées au palais du Champ-de-Mars, 
par la Commission des Colonies françaises 


Gaucher, Élie. — Mollusques recueillis en Suisse, 


Kawall, J H. — Notice sur la faune malacozoologique de la 
Courlande . 


Lallemant, Ch. — Malacologie des environs d’Alger 
Robe Th.— Mollusques terrestres et fluviatiles rencontrés 
dans l'île de Wight pendant l'été de 1863. 


Mérch, O. À. L. — Catalogue des Mollusques du Spitzberg 
recueillis par le D' H, KROYER pendant 
le voyage de la corvette La Recherche 
en juin 1838 


Nobre, A. — Catalogue des Mollusques des environs de 
Coïmbre (Portugal). 


Piré, L. et Lefèvre, Th. — La Malacologie à l'Exposition uni- 


verselle dé Paris (1878) 7.1 1. 


Putzeys, S. — Diagnoses de quelques coquilles d’un genre 
nouveau provenant de l'Etat indépendant 
du Congo (fig. 1 à 6) 


— Suite (fig. 7 à 16). 
=. Suite (fig 17 à 21) 
Fe Suite (fig. 23) . 
AE Diagnoses de quelques coquilles et d’un sous- 


genre nouveau provenant de l'Etat Indépen- 
dant du Congo (fig. 1-16). 


20 


35 


36 
36 


20 


34 


19 


XXX VII 


XIII 


XXXIV 
LI 


39 
LXXVI 


LX VIII 
15 


LXII 


LXXIX 


IV 

XXII 
LXXXII 
XC 


LV 


80 TABLE SYSTÉMATIQUE 


{ 


Raeymaekers, E. — Liste de quelques Mollusques du Midi, 
recueillis dansl’estomac de l’Anas bos- 
chas, L 


Roffiaen, F. — Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis 
en Suisse 


—— Mollusques recueillis dans le Grand-Duché de 
Luxembourg 


— Mollusques recueillis en Suisse en 1879. 
Schlesch, H. — Fauna der Insel Bornholm . . . . 


_ Ausländische Mollusken-Arten ïim Bota- 
nischen Garten in Kopenhagen lebend . 


— Molluskenfauna vom Dorf Rôdding in Nord- 
Schleswig . 


er Molluskenfauna von Himmelbjerg und Um- 
gebung 


— Beitrag zur Molluskenfauna der JInsel Born- 
holm . 


= Neuheiten zur Fauna Dänemarks . 


Senoner, À. — Notice sur les Mollusques comestibles et les. 


coquilles utiles de la Mer Adriatique. . 


—— Notes sur les Mollusques comestibles, parti- : 


culièrement de l'Italie et de la Sicile. 


— Description de quelques espèces de 
coquilles terrestres de Sumatra, Java 
et Bornéo (pl. 9). . . . 


Smith, Edg.-A. 


Tiberi, N. — De quelques Mollusques terrestres napolitains, 
ou nouveaux, ou peu connus. (pl. 1-2). 


— Mollusques marins d'Italie. Céphalopodes, Pté- 
ropodes, Hétéropodes vivants de la Médi- 
terranée et fossiles du terrain tertiaire d'Italie. 


Ubaghs, C. — Mollusques terrestres et fluviatiles des environs 
de Maestricht . 


b) Non mollusques. 


Dordu, F. — Contribution à l'étude des Oligochètes de la 
faune profonde du lac Léman RÉ ER 


Gilson, G. — Capture d’un Leptocephalus Morrisii au cap 
Gris-Nez . 

Kemna, A.— G.-A. Boulenger : La distribution des Pois- 

sons d’eau douce africains . . . ,. . , 


“43 


18 


46 


43 


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175 - 


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À 


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AT PT NS RE NT PP OR EPL OU SR TN TT PS A AP PEUR À à, ONE 


MÉTHODES TECHNIQUES, LABORATOIRES 


Matschie, P. — Neue Affen aus Africa nebst einigen Bemer- 
kungen über bekannte Formen . 


Scherdlin, P. — Capture d'un Eupomotis aureus près de 
Strasbourg à 


— Disparition des pigeons de la cathédrale 
de Strasbourg 


— Disparition des Cigognes à Strasbourg. 
— Chevreuil femelle avec bois . 


— La Tortue Clemmys caspica près de Stras- 
DOURBE A IT UT, 


13. MÉTHODES, TECHNIQUES, LABORATOIRES. 


Chevroton, Lucienne et Vlés, Fréd. — Sur les applications 

biologiques de la méthode de Tôpler (pl. IV 

(A DRE Ur PSE TOUR ARS ALT NOEL ER RES 

Crépin, Fr. — Note sur le vernis vitrificateur de Ruidant, 
propre à la conservation des fossiles 


De Pauw, L. — Méthode de conservation des fossiles pyriteux. 
- Dewalque, G. — Usage particulier de l’acide phénique 
—- Sur les nivellements barométriques 


Gilson, G. — Le Musée propédeutique, essai ‘sur la création 
d’un organisme éducatif extra-scolaire 


Hennequin, E. — Première communication sur le baromètre 
holostérique orométrique système Gou- 
lier. 


— Deuxième communication. 


— Troisième communication sur les baro- 
mètres orométriques et altimétriques de 
M. le Colonel Goulier et sur les 
nivellements barométriques approxi- 
NA Re MR GA TARN À RENTE TEE 


Kemna, À. — Compte rendu bibliographique sur Gizson : Le 
Musée d'Histoire naturelle moderne, sa 
mission, son organisation et ses droits 


Roffiaen, F. — Instruments pour l'extraction des Mollusques 
de leur coquille 


Lecomte. — Description et figures des dragues triangulaires 
de MM. le D° O. Scxmipr et BRUSINA 


on 


45 


44 


24 
24 


8l 


85 


LVI 
LXXXVI 
LXXXIV 

CXXI 


46 


LXIV 
LXXI 


VIL 


82 ; TABLE SYSTÉMATIQUE 


Lewis, D' James. — Instructions pour la recherche des co- 
quilles terrestres et d'eau douce 


— Instructions pour recueillir et collection- 
ner les Mollusques terrestres etfluvia- 
tiles, avec figures (2° article) . 


Miller, H. J. — Considérations sur l'établissement des aqua- 


riums (pl. 1). 


— Instrument pour faciliter le maniement sous 
le microscope, des Foraminifères et autres 
objets de petite taille . 


Rousseau, E. — Une station de biologie lacustre en Belgique : 
Le laboratoire d'OUvermeire et son pro- 
gramme . : 

Senoner, A. — L'exposition de pêche à Berlin 

Séverin, G. — A propos d’une note récente sur les Musées 
américains. 


Staes. — Mode de fixer les coquilles en collection 


Valschaerts, E. — Salle de travail mise à la disposition de la 
Société à la Minque d'Ostende. 


Vanden Broeck, E. — Une visite à la Station zoologique et 
à l'aquarium de Naples . 


B.— PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE. 


1. PRIMAIRE. 


Dormal, V. — Sur les Poissons dévoniens dans le bassin de 
Namur (rivage septentrional). 


Malaise, C. — Note sur la description du terrain silurien du 
centre de la Belgique . 
— A propos ds schistes siluriens de Huy 
Mathew, G. F. — Sur le développement des premiers Trilo- 
bites ENTER VV Te UE ie Are 
Miller, H. J. — Rapport sur la traduction faite par M. Van 
den Broeck du travail de M. Brady : « On 
a true carboniferous Nummulite » 
Mourlon, M. — Sur le puits artésien du dépôt de la Com 
pagnie du Tramway à vapeur d’Ixelles 


Raeymaekers et B° A. de Loë. — Quelques observations 


faites aux environs de Grez . 
- 


43 


17 


LXXXVI 


LXXIV 


15 


LXXVI 


CXI 


39] 


XCIIL 
CLXXIII 


XXXII 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE | 83 


Stainier, X. — Découverte de la faune givetienne à Emines. 26  XXXIII 
Thielens, A. — Fossiles dévoniens et Mollusques vivants 

récuetlhs/dans lEïfel .… -.: . 1.) 1.) 7 CIX 

— Liste des fossiles de l’Eifel (suite) . . . . 8 LXXVIIT 
Vanden Broeck. — La Nummulites pristina du Calcaire car- 

Louttere/belne ATX EN CN, EL 33 XXXV 
Van Ertborn, O. — Note sur trois forages à Louvain et Hou- 

OS PE ALES ASE VPN a ES 29 3 


— Tableau des coupes des principaux 
forages effectués de 1869 à 1894. . 29 25 


— De quelques faits remarquables constatés 
dans les forages de la vallée de la 


SET RE RE SE A Ro EE XII 
Van Horen. — Polypiers nouveaux du terrain dévonien de 
HOIgIQUE MES ENT nr M MR AP A TE 8 CXXXIV 


2, SECONDAIRE. 


Briart, A. — Sur le genre Trigonia et description de deux 
Trigonies nouvelles des terrainssupra-crétacés - 
de Maestricht et de Ciply . . . . . . 23 325 


Cogels et Van Ertborn. — De l’infraheersien et du niveau 
occupé par le crétacé sur le terri- 


toire de la feuille de Bilsen. 21 LVII 

Cornet, F.-L.— Note sur deux gisements de sables et Gr 
d'HAUITABES M CNT NUL 2 ; 20  LXXII 

Cornet, F.-L. et Briart, A. — Sur l'âge du tufeau de Ciply. 
Réponse à MM. Rutotet Vanden Broeck 20 C 


Cotteau, G. — Notice sur l’Hemipneustes oculatus (Drapiez), 
Cotteau, de la craie de Ciply et les autres 


espèces du genre Hemipneustes (PI. 1). . 25 3 
Daimeries, A. — Liste des fossiles de la craie blanche dé 

Grez-Doiceau. . . PÉNADUR e x A 19 LXXVII 

IS Notes ichthyologiques, II. .: . .. . . 23 CI 

— id., APR NAS 24 V 

— id., L'EMPNTe LRE SN Et 24  XXXIX 

Se | id. MR ete Lt06e  EXXI 

— ADI, \ 11 NME RENE 27 XII 

- de Dorlodot, H. — Sur les grès fossilifères de Bouftioulx. . 28 IV 


— Sur l’âge des grès fossilifères de Bouf- 
RON A ART on ce Cr 28 LXXI 


84 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Dewalque. — Sur l’âge des fossiles de Bouffoulx . 


Douvillé, R. — Sur des Ammonites du crétacé sud-américain 
(pl. I-IV) . 

Haeusler, R. — Note sur une zone à Globigérines dans les 
terrains jurassiques de la Suisse . 


Houzeau de Lehaie, A. — Liste des Bryozoaires du Pou- 
dingue de Ciply HE AN TS 
Leriche, M. — Sur les coques d’œufs des Chiméridés fossiles, 
et, en particulier, sur une coque provenant 
du Jurassique supérieur de Verdun (Meuse) 

(pl. VIIL et IX) 


Meunier, A. et Pergens Ed. — Nouveaux Bryozoaires du 
crétacé supérieur . . . 


Mourlon, N.— Communication sur la nature des dépôts 
crétacés d’Anderlues 


— Découverte d’un tronc d'arbre fossile dans le 
Maestrichtien, à Canne (Belgique) . 


— Sur le puits artésien du dépôt de la Com- 
pagnie du Tramway à vapeur d’Ixelles. 


— Sur l’âge crétacé des grès mamelonnés de 
Bouffioulx rapportés au landénien supérieur 


Nyst H. — Faune Maestrichtienne. Dex:cription d’une Ser- 
pule fossile nouvelle (Serpula Thielensi), 
provenant de Folx-les-Caves (PI. IV) ,. 


— Faune Maestrichtienne. Description dune Huître 
fossile nouvelle (Ostrea podopsidea), de la Craie 
de Ciply, de Folx-les-Caves et de Wansin. 
(PI. IV) 


Pergens, Ed. et Meunier, À. — La faune des Bryozoaires 
garumuiens de Faxe (pl. 9 à 13) 

Raeymaekers. — Au sujet des phosphates de chaux belges . 

Raeymaekers et B° A. de Loë. — Quelques observations 
faites aux environs de Grez . 


Raeymaekers et Vincent, E. — Note sur deux puits arté- 
siens creusés dans la banlieue de Bruxelles 


Rutot, A., et Vanden Broeck. — Note préliminaire sur 
l’âge des diverses couches confondues sous le 
nom de tufeau de Ciply . dE 

— Sur l’âge tertiaire du tufeau de Ciply . . . 

— Nouveaux documents relatifs à la détermi- 
nation de l’âge de la masse principale du 
tufeau de Ciply 


31 IN 
41 142 
16 CLXXX VII 
8:5F 00 
48 145 
20 32 
8  XOVI 
9 LX 
24 CLXXII 
28 LIV 
6 73 
6 13 
21 187 
32 IV 
192 XXE 
25 XXXVII 
2 pme € LE 
20. : CVill 
20  CXII 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Thielens, A. — Dix espèces à ajouter à la faune connue de 
FR CRNeE ; 


Van Ertborn, O. — Les coupes et la valeur scientifique des 
échantillons de quelques puits arté- 
siens. — Les'diagrammes des feuilles 

de Bruxelles et de Bilsen. — Erreur 

- de M. E. Van den Broeck au sujet du 
niveau occupé par le Crétacé sur le 
territoire de la feuille de Bilsen . 


-—- Note sur trois forages à Louvain et Hou- 
gaerde . 


t 


— Tableau des coupes des principaux fo- 
rages effectués de 1869 à 1894 


— De quelques faits remarquables constatés 
dans les forages de la vallée de la 
Senne 


= Coupe probable du sondage de Diepen- 
beek-lez-Hasselt 


Vincent, E. — Sur l'âge des grès fossilifères de Bouffioulx 


— Note préliminaire sur Pleurotomaria . 


3. TERTIAIRE. 


Bellini, R. — La faune des Mollusques fossiles néogènes du 
périmètre du golfe de Naples 


a Les Ptéropodes des terrains tertiaires et quater- 
naires d'Italie (fig. 9-47). 


Brady, H.-B. — Description d’une nouvelle espèce de Fora- 
minifère des couches miocènes de la 
Jamaique. Le Een 


Briart, A. et Cornet, F.-L. — Description de quelques co- 
quilles fossiles des argilites de Morlanwelz 
(pl. X) . 
Briart, À. et Delvaux, E. — Compte rendu de l’excursion 
_ sur le littoral de Blankenberghe, à Coxyde, 
à Aeltre et à Gand 


_Cogels, P. — Note sur un gisement de Térébratules aux envi- 
rons d'Anvers 


ne Seconde note sur le gisement de la Terebratula 
grandis . 


Aan, Soc. Zool. et Malac, Belg., t, L, 


38 


40 


11 


1 


9 


85 


XV 


XLV 


108 


243 
XX 


XXX VII 


14 


86 


TABLE SYSTÉMATIQUE 


Cogels, P. — Nouvelle note sur le gisement de la Terebratula 


grandis 


Note sur un gisement d’Ostrea cochlear aux . 


environs d'Anvers ; 
Observations géologiques et paléontologiques sur 
les différents dépôts rencontrés à Anvers lors 
du creusement des nouveaux bassins. : 
Rapport sur le travail de MM. Vanden Broeck 
et Miller : Les Foraminifères vivants et fos- 
siles de la Belgique, première partie 
Considérations nouvelles sur les systèmes Boldé- 
rien et Diestien . 
Contribution à l’étude paléontologique et géolo- 
gique de la Campine 
Sur la synonymie des couches à Terebratula 
grandis. Notes bibliographiques . 


Cogels et Vanden Broeck. — Observations géologiques 


faites à Anvers à l'occasion 
des travaux du creusement 


des nouvelles cales sèches et 


de prolongement du bassin de 
Kattendijk (pl. 3 à 6). 


Cogels et Van Ertborn. — Nouvelles observations sur les 


couches quaternaires et plio- 
cènes de Merxem (pl. 1) . 


__ De l’infraheersien et du niveau 


occupé par le Crétacé sur leter- 
ritoire de la feuille de Bilsen. 


— De l’âge des couches d'argile 


quaternaire de la Campine 


> Réponses au travail de M. Van- 


den Broeck publié dans le 
procès-verbal de la séance du 
3 septembre 1881 


— Contribution à l’étude des ter- 


rains tertiaires de Belgique 
(pl. 1). 


— (Suite) 


— Réponse aux observations de 


M. E. Vanden Broeck. 


— De la limite méridionale de l’ar- 


gile de Boom sur la planche 
d'Heyst-op-den-Berg l 


16 


16 


14. 


15 


17 


16 


17 
17 


17 


21 


29 


VII 


LVII 


CCX 


CLXXIX 


XXIV 
XLIIT 


LIV 


XVI 


FRS SE PP DE ET 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Colbeau, Jules. — Description d’une espèce fossile dela famille 
= des Vermets, Siyhonium ingens (pl. I) 


— Valves de l’Astarte Basteroti inverses 


= Observations au sujet de la Cranie men- 
| tionnée par M. Davidson dans ses Bra- 
chiopodes tertiaires de Belgique . 


Cornet, F. GA et Briart, À. — Sur l’âge du tufean de Ciply. 
Réponse à MM. Rutot et Vanden Brocck. 


Cossmann, M. — Catalogue illustré des coquilles fossiles 
de l’éocène des environs de Paris, 1® 
fascicule, (PI, 1 à 8) 


— 2e fascicule. (PI. 1-8). 
— 3° fascicule (PI. 1-12) . 
_ 4° fascicule. (PL. 1-12) 
— 5e fascicule et supplément. (P1. 1-3) 


— Réponse aux observations de M. E. Vincent 
sur le « Gilbertia inopinata » Morlet. 


— Appendice n° 1 au Catalogue illustré, etc. 
— Rectifications de nomenclature . : 
— Appendice n° 2 au Catalogue. (Pl 143). 
— Table analytique des coquilles de l'éocène 
des environs de Paris 
— Appendice n° 3... (PL 2-7) 
— Appendice n°4... (PI. 5-10) 
— Appendice n° 5 (PI. I à VIII) 
Couturieaux, J. — Contribution à la faune de l'éocène infé- 
: rieur . 
a Note sur deux coupes observées dans la 
baulieue de Bruxelles. 
Penn, J. — Fossiles nouveaux pour la faune de l’éocène 
supérieur 
FE Note sur un gîte fossilifère de l'étage 
wemmelien . 
— Sur un gîte fossilifère panisélien 
Daimeries, A. — Notes ichthyologiques, I. ire landé- 
nien) Dre e 


— Notes ichthyologiques, II. Games landé- 
nien et heersien). RÉTTER Ter 


88 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Daimeries, A. — Notes ichthyologiques, II 
— id., IV. 
— id., V. 
— es VI. 
— id. VII. 


— Analyse chimique d’un nodule des marnes 
de Gelinden (Heersien) 


Davidson, Th. — Communication au sujet des Brachiopodes 
de l’assise landénienne de Chercq 


Dautzenberg. Ph. et Dollfus,G. — Du nom spécifique qu'il 


convient d'attribuer au Corbula qui ca-. 


ractérise les sables de Merxem . 


— Du nom à adopter pour la grande Téré- 
bratule du Pliocène inférieur d'Anvers. 


de Cossigny, J. — Tableau des terrains tertiaires de la France 
septentrionale, suivi de rapports par 
MM. A. Rutot, Gust. Dolifus et J. Ortlieb 


de Dorlodot, H. — Sur les grès fossilifères de Bouffioulx. 


— Sur l’âge des grès fossilifères de Bouf- 
fioulx | 
de Folin et Bérillon. — Deux espèces nouvelles des'faluns 
de Cabane, près Dax: Caecum fibratum 
et Meioceras Cabanensis 


Delheiïd, E —- Découverte d’un plastron de Tortue dans le 
: bruxellien . 


— : Découverte d’une gigantesque défense de 
Cæœlorhynchus rectus, Ag. . 


— Quelques mots sur les faunes rupélienne et 
pliocène supérieure de Belgique . 


— Le Homarus Percyi, Van Ben., du rupélien . 


— Nouvelles additions à la faune et à la flore du . 


rupélien supérieur 
— Quelques mots sur les Cœlentérés des argiles 
rupéliennes F 
— Nouvelles découvertes dans l’argile de Boom . 
— Un nouveau gîte bruxellien à Ixelles 
— La faune du rupélien supérieur . 


— Un dernier mot sur le Polypier géant de ce 
terrain (pl. I). 


\ 
XXXIX 

. LXXII : 
XII 


LXXII 


LXII 


XIV 
XVII 
37 
IV 


LXXI 


XCIX 
‘'XXXVII 
LXXXV 


LXXXVII 
CO 
XX 


XXX 
LIT 
LIX 
LXXII 


LXXII 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Delheid, E.— Un Trionyx de l'argile de Boom 
— Découverte d’un Squale bruxellien . 
— Quelques découvertes dans l'argile de Boom 


— Quelques mots sur un Sirénien de l'argile de 
Boom. Un Scombéridé du même terrain. 


— Un Cétacé ziphioïde boldérien 

— Un gîte de Rostellaria ampla 

— Quelques Poissons éocènes et oligocènes de la 
Belgique. — Une Chélonée rupélienne cou- 
verte d'exostoses , 

— Le sous-sol de la commune d’Uccle (Bruxelles) 


A Quelques fossiles bruxelliens de la région de 
Waterloo . 


de Loë (B°‘’ ei et Raeymaekers. — Description d’une 
coupe levée à Estienne-au-Mont . 


Delvaux, E. — Note sur quelques niveaux fossilifères appar- 
tenant aux systèmes yprésien et panisélien . 


— Contribution à l'étude de la paléontologie des ( 


terrains tertiaires 


—- Description d'une nouvelle Huître wemme- 
lienne, suivie d’un coup d’œil sur la consti- 
tution géologique de la colline Saint-Pierre 
et sur les alluvions qui forment le substratum 
de la ville de Gand (pl. I et Il). 


Deprat, J. — Sur l'identité absolue de Nummulina pristina, 
Brady, et de Nummulites variolosus, Lk. et sur 
son existence dans les dépôts tertiaires néo-calé- 
doniens . 

de Maiïzine. — Volvula Lambotteana, De Malz . 

— Trochus Weyersi, De Malz . 
ml Description de trois coquilles fossiles nou- 
velles. (PI. Il) 
Dewalque. — Sur l’âge des fossiles de Bouffioulx 
Dewalque, Vanden Broeck et Cogels. — Considérations 


sur la question de savoir si le diestien doit 
être considéré ou non comme Pliocène. 


Dewalque, Rutot et Cogels. — Rapports sur le travail de 
M. Van den Broeck : Esquisse géologique 
et paléontologique des dépôts pliocènes des 
environs d'Anvers . 


11 


89 


LXX VII 
LXXIIT 
LXXV 


XXV 


XXI 
CXLV 


104 
112 


184 


LXX VI 


CXXI 


CXLVIT 


CVII 


XVII 


90 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Dollfus, G. F. — Nomenclature critique du Trophon antiquus 
[Neptunea antiqua L. sp. (Murey)] 


— Valvata disjuncta, espèce nouvelle des 
meulières supérieures des environs de 
Paris | | 


— Lettre à M. Velge sur le gisement de quel- 
ques M:mmifêres de l’éocène parisien 


— Quelques mots sur le tertiaire supérieur de 
l'est de l’Angleterre . 

— Rectification de nomenclature : genre Del- 

heidia. TA PONTS DR se 

Dollfus, G., et Ramond, G. — Liste des Ptéropodes du 
terrain tertiaire parisien 


Douvillé, R. — Lépidocyclines et (Cycloclypeus malgaches 


(pl V et VI). 
Eck, A. — Note sur le calcaire de Ludes . 
Foresti, L. — Note sur deux nouvelles variétés de l’Ostrea 


cochlear Poli (pl. HI) . . 
— Note sur le sous genre Smendovia. Tournouër 
21188)» rie 
Hasse, G. — Un Marsupial de l’Argile de Boom. 
— _Les Vers dans l’Argile de Boom; les Tarets dans 
le pliocène, à Anvers e 
Hennequin, E. — Notes d'excursions relatives à la fixation 
de la position stratigraphique de nou- 
veaux gîtes fossilifères du système wem- 
melien (pl. IV) . 


Houzeau de Lehaie, A. — Liste des Bryozoaires du Pou- 
dingue de Ciply . . 
Lefèvre, Th. — Deux Lamellibranches et un Gastéropode 
nouveaux pour la faune du système 
Tongren terne een 


— Un Gastéropode et un Lamellibranche nou- 
veaux pour la faune laékenienne . 


— = Observations sur des Brachiopodes de 


J’assise landénienne de Chercq, près de 
Tournai 


= Observations sur les résultats de l’excursion 
faite au Mount Cassel par la section de 
géologie du Congrès de Lille 


— _ Espèce nouvelle pour la faune laékénienne, 


18 
12 
25 
30 
33 
20 
44 
13 
17 


20 
44 


41 


15 


9 


10 


10 
10 


XI 
27 
XX 


XCIV 


LXXXVI 


LVI 


36 


XL: 


CCI 


XIV 


WF: 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Lefèvre, Th. — Rapport sur le travail de M. Rutot : Des- 
cription de la faune de l'oligocène infé- 
rieur de Belgique. 


LEE Rapport sur le travail de M. Rutot : Des- 
cription de la Rvstellaria robusta. 


_ Rapport sur le travail de M. Vincent inti- 


landénien inférieur de la Belgique 


— Note sur les Rostellaria ampla de l’éocène 
et de l’oligocène . 


— . Recherches paléontologiques. Les grandes 
< espèces d'ovules des terrains éocènes. 
Description de l’ovule des environs de 
Bruxelles. Orula (Styombus) gigantea, 
Münst. sp. (PI. 3 à 8) 


== La Rostellaria ampla, Sol. et ses variétés. 


Lefèvre et Colbeau. — Rapports sur le travail de M. Dollfus, 
intitulé : Valvata disjuncta, espèce nou- 
velle des meulières supérieures des en- 
virons de Paris . ; 


Lefèvre, Th.et Watelet, A. — Additionsàla faune tertiaire 
du bassin de Paris, — Description de 
deux Solens nouveaux (pl. 1) . 


Leriche, M.— Les « Campanile» du « Tuffeau de Ciply» et 
du « Calcaire de Cuesme» (pl. 1) . 


Lorié, J. — Note sur le forage d'Arnhem. 


Miller, H.-J. — Observations sut le MNummulites planulata 
var. À. minor d’Arch. et Haime . 


Miller, H. et Vanden Broeck, E. — Les Foraminifères 
vivants et fossiles de la Belgique 


Mourlon, M. — Communication sur l’assise diestienne du 
| | Kiel près d'Anvers. 


= Observations sur le classement des couches 
tertiaires moyennes dans le Limbourg 
belge . 


— Rapport sur le travail de M. Cogels intitulé : 
« Observations géologiques et paléontolo- 
giques sur les différents dépôts rencontrés 
à Anvers . 


- tulé: Description de la faune de lEtage 


AR 


11 


19 


12 


13 
16 


9L 


XXXIV 


LXXIX 


XX VII 


LXXXIIT 


LXVI 


29 


82 
XLVII 


XX 
15 


CXX VIII 


91 


XIV 


92 


TABLE SYSTÉMATIQUE 


Mourlon, M. — Observations sur la position du Panisélien 


dans la série éocène. 


Nouvelles observations au sujet de nos 
couches tertiaires à Terebratula grandis. 


Sur le lédien de Lede, près d’Alost. 
Sur le lédien à l’ouest de Bruxelles 
Sur le lédien des environs de Renaix . 


Sur la découverte, à Ixelles, d’un ossuaire de 
Mammifères, antérieur au diluvium, et sur 
l'existence de l’homme tertiaire dans le 
Hainaut 


Sur le puits artésien du dépôt de la Com- 
pagnie du Tramway à vapeur d’Ixelles. 
Sur les dépôts rapportés par M. Velge à 
l'étage yprésien entre la Dyle et la 

Sennette . 


La dernière butte de sable de l'avenue Louise 
(Bruxelles) . 


Les dernières buttes de sable du Wijngaerd 
Berg à l’est de Bruxelles . 


Sur le classement stratigraphique des dépôts 
de l’étage asschien dans la série tertiaire, à 
propos d’un mémoire de MM. J. Vincent et 
J. Couturieaux . 


Réplique à M. de Dorlodot . 


Sur l’âge crétacé des grès mamelonnés de 
Bouffioulx rapportés au landénien supé- 
rieur . 


Compte-rendu de l'excursion du 24 sep- 
tembre 1894 aux massifs tertiaires entre 
Waterloo et Ottignies. 


Compte-rendu de l’excursion du 25 sep- 
tembre 1894 aux collines tertiaires du sud- 
est de Louvain . 


Sur une nouvelle interprétation des dépôts 
rapportés par Dumont à son système 
laekénien dans la région comprise entre 
Waterloo et Ottignies. 


Sur la nécessité de maintenir les étages 
‘asschien et wemmelien de l’éocène supé- 
rieur . 


26 
28 


30 


30 


30 


30 


XXXIV 


LIL 


CLXXII 


XX VII 
XXII 


LXXX 


XCI 
V 


CIM 


21 


XXX 


XXXIV 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Mourlon M. — Sur l’âge relatif des sables noirs à lignites 
du sous-sol de la Campine limbourgeoise. 


— Quelques mots au sujet des observations de 
M. le Baron O. van Ertborn, sur l'allure 
probable de l'argile rupélienne dans le 
sous-sol de la Campine Limbourgeoise. 


Nyst, H. — Rapport sur la notice de M. le Major Le How, 
| intitulée : Description de deux espèces de 
coquilles fossiles du système laekénien (P1. I). 

— Faune laekénienne. Description d’une coquille 


fossile du terrain éocène de Belgique (Cyprina 
Roffiaeni) (PI. I) . 


— . Faune Panisélienne, Description de deux co-, 


quilles fossiles du terrain éocène de Belgique 
(Leda Corneti et Arca Briarti). (PI. D) . 


_— Espèces fossiles et vivantes recueillies par 
M. Desguin en Volhynie 


— Rapport sur le travail de M. P. Cogels, inti- 
tulé : « Observations géologiques et paléon- 
tologiques sur les différents dépôts rencontrés 
à. Anvers » . A ee dessu et de 

Nyst, H. et Mourlon, M. — Note sur le gîte fossilifère 
d'Aeltre (Flandre Orientale). 


Pergens, E.— Les Bryozoaires du Tasmajdan à Belgrade . 


— Note préliminaire sur les Bryozoaires fossiles 
des environs de Kolosvar. 
— Note supplémentaire sur les Bryozoaires du 
Tasmajdan . 


Pergens, E. —- Notes succintes sur les Bryozoaires : 
I. Sur les Bryozoaires du miocène de la 
Russie méridionale. 


Purves, J.-C. — Esquisse stratigraphique et espèces fossiles 
de l’île Antigoa. 


. Raeymaekers, D. — Note sur un gisement boldérien fossili- 
fère à Pellenberg . 


ne Sur la présence du Cytherea splendida, 
Mérian, à l'Ouest de Louvain . 

— Description d’une coupe relevée dans le 
rupélien inférieur à Attenrode-Wever 

— Sur la présence de fossiles tongriens 
fiuvio-marins sur la planchette de 
ÉOUVAIN PERL Un. de 


34 


(o » 


21 


95 


LXXIX 


XXIV 
10 


19 


XII 
XXXIII 


LIX 


CIX 


CXI 


94 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Raeymaekers, D. — Note sur la présence de blocs landéniens 
dans le quaternaire des environs de 
Louvain. 

— Sur la présence de blocs non roulés de 
grès tongriens fluvio-marins à la base 
du quaternaire 

— Note sur un nouveau pîte diestien fossi- 
lifère près de Tervueren . . , 

— Le sous-sol de la Ville de Roulers 


—- Note sur trois forages exécutés à la 


Brasserie Mertens, à Cruybeke, près. 


d’Anvers 


— : Un peu de bibliographie géologique 
rétrospective concernant l'argile de 
Boom 


Raeymaekers et B” À de Lië — Q:1elques observations 
faites aux environs de Grez. 

Raeymaekers et Vincent, E. — Note sur deux puits arté- 
siens *creusés dans la banlieue de 
Bruxelles . MERS TSEN : 

Rupert Jones, T., et Parker, W. K. — Notice sur les 


Foraminifères vivants et fossiles de la 
Jamaique ste er et 


0 


Rutot, A. — Note sur la découverte de deux Spongiaires 
ayant provoqué la formation des grès 
fistuleux er des tubulations sableuses de 


l'étage bruxellien des environs de Bruxelles. 
(PL. III) 


— Note sur quelques fossiles recueillis dans le 
diluvium des environs de Tongres (PI. I). 


— Description de la Faune de l’oligocène inférieur 
de Belgique, Terrain Tongrien inférieur de 
Dumont (PI. 1 à 4) . . 


— Description de la Rostellaria robusta (PI. 5) . 


— Quelques observations relatives aux conclusions 
de M. Lefèvre dans son rapport sur mon 
travail intitulé : Description de la Rostel- 
laria robusta . . 


+ Rapport sur le travail de M. Vincent, intitulé : 
Description de la faune de l'érage landénien 
inférieur. "6 partie : Massif du Brabant. 


23 


23 


23 
27 


27 


30 


19 


25 


11 


RS 


11 


12 


XIII 


XX VII 


XXXVII 


91. 


55 


105 


XI 


XXX VI 


FETES 


ae 


- PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Rutot, A. — Compte-rendu, au point de vue paléontologique, 
de l’excursion aux environs de Renaix, en 
1879. Etude sur la constitution géologique 
du mont de la Musique (P1. 1) 


— Rapport sur le travail dé MM. Briart et 

Cornet, intitulé : Description de quelques 
coquilles fossiles des argilites de Morlan- 
welz. 


Le. Note sur des fossiles du tongrien inférieur. 


_ Communication sur une coupe remarquable 
de terrains actuellement visible à St-Gilles, 
près de Bruxelles 

Ar Communication sur de nouvelles découvertes 
faires dans le Tongrien inférieur du Lim- 
bourg par M: le Cte Georges de Looz- 
Corswarem. J 3 

— Note sur les découvertes paléontologiques 
faites, dans ces derniers temps, aux environs 
d'Erquelinnes . 

— Note sur des observations nouvelles faites aux 
environs de Bruxelles, Castres et Renaix. 

— Résultats de nouvelles recherches dans l’éocène 
supérieur de la Be'gique 


> Note sur le Mont de Castre 

— Quelques mots sur les nouvelles découvertes 
d'Érquelinnes 

— Quelques mots sur l’étage asschien . 


— Sur les résultats de l'étude des étages landé- 
n'en et heersien sur les feuilles de Landen, 
E -_ Heers et St-Trond 


Rutot, AÀ., et Van den Broeck, E. — Note sur la nouvelle 
chissification du terrain quaternaire dans la 
basse et la moyenne Belgique.. 


— _ Note préliminaire sur l’âge des diverses 
couches confondues sous le nom de tufeau 
de Ciply. 

— Sur l’âge tertiaire du tufeau de Ciply 

— Nouveaux documents relatifs à la détermina- 
tion de l’âge de la masse principale du 
tufeau de Ciply 


Seghers, F.— Fossiles bruxelliens. , , , . , . . s 


14 


14 
14 


14 


14 


29 


20 


95 


4 


VI 
VII 


XLIV 


LXX VII 


XIX 


CLVII 


CXLVII 
CCXXII 


XV 
XIII 


LXXV 
LXX VII 


XCIIT 
CVIIT 


CXIIT 
XCI 


96 


TÂBLE SYSTÉMATIQUE 


Stevens, J. D. — Liste de fossiles des Crnitons de Bruxelles . 


Liste de fossiles des environs de Bruxelles . 


Tiberi, N. — Mollusques marins d'Italie. Céphalopodes, Pté- 


ropodes, Hétéropodes vivants de la Médi- 
terranée et fossiles du terrain tertiaire d'Italie 


Vanden Broeck, Ern. — Rapport sur la traduction faite par 


M. Mourlon de l'ouvrage de 
M. Prestwich : « On the structure 
of the Crag-beds of Suffolk and 
Northfolk» . 


Note au sujet dutravail de M.David- 
son sur les Brachiopodes ter- 
tiaires de Belgique . 

Rapport sur une excursion faite au 
Bolderberg près de Hasselt . 


Excursion aux environs d'Anvers 


Note sur la présence de l’argile oli- 
gocène sous les sables pliocènes 
du Kiel près d'Anvers , 


Fossiles de l'étage fluvio-marin et 
du quaternaire du Limbourg. 


Compte-rendu de l'excursion faite à 
Anvers les 27 et 28 juillet 1879. 
(P1. 3). 


Observations nouvelles sur les sables 
diestiens et sur les dépôts du 
Bolderberg . 


Exposé sommaire des observations 
et découvertes stratigraphiques et 
paléontologiques faites dans les 
dépôts marins et fluvio-marins du 
Limbourg pendant les années 

- 1880-1881 


Réponse aux observations de MM. 
Cogels et van Ertborn faites à 
l’occasion de l'exposé sommaire de 
mes recherches dans le Limbourg, 
présenté à la séance du 3 sept. 
(c'ets PA TR ES Te 


Réponse aux nouvelles observations de 
MM Cogels et van Ertborn faites à 
l’occasion de l'exposé sommaire de 
mes recherches dans le Limbourg . 


16 


16 


13 


14 


15 


16 


17 


17 


52 


VII 


LXXXIV 


CLIX 
XXXV 


LXXV 


LV 


LVIIT 


EXXXV 


CXXV 


VII] 


LXV 


POUR PSS POP OT 4 


v 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Vanden Broeck, E. — Note sur les levés géologiques (de 


x 


MM. van Ertborn et Cogels. 


Diestien,  casterlien et scaldisien. 
Ncte sur les dépôts lagunaires plio- 
cènes d’Heyst-op-den-Berg et de 
Beersel, et sur leur synchronisme 
dans la région d'Anvers . 


Note sur la position stratigraphique 
des sables grossiers et des sables 
chocolatés tongriens de la région 
de Butsel, Mont-Saint-Martin, etc., 
entre Tirlemont et Louvain . 


Additions à la faune malacologique 
des sables à /socardia cor du fort 
de Zwyndrecht, près Anvers. 


Quelques mots en réponse à la note 
de M. Velge intitulée : Tongrien 
et Wemmelien . 


Exposé sommaire des recherches géo- 
logiques et paléontologiques entre- 
prises dans l’oligocène des environs 
de Louvain et dans les couches 
pliocènes et quaternaires de la 
Campine anversoise 


Réponse aux observations faites par 
MM. van Ertborn et Cogels à ma 
note sur leurs levés géologiques. 


Contribution à l'étude des sables 
pliocènes diestiens. 


Note sur- la découverte de fossiles 
miocènes dans les dépôts de l'étage 
boldérien, à Waenrode . 


Note sur la découverte de gisements 
fossilifères pliocènes dans les sables 
ferrugineux des environs de Diest . 


Sur un facies nouveau ou peu connu 
de l'argile rupélienne et sur les 
erreurs d'interprétation auxquelles 
il peut donner lieu . . . . 

Réponse à la note de MM. Van Ertborn 
et Cogels sur les conséquences de 
certaines erreurs d'interprétation au 
point de vue géologique : 


17 


19 


19 


19 


21 


LXXIV 


CIIT 


CVIII 


CELIII 


CLV 


CXCVIIT 


LX VII 


LVI 


LX VII 


LXXI 


98 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Vanden Broeck, E. — Réponse à la réplique de MM. Van 
Ertborn et Cogels au sujet des consé- 
quences de certaines erreurs d'inter- 
prétation au point de vue géologique. 


— De la constitution géologique du terri- 
toire de la feuille d’Aerschot, d’après 
la carte au 1/20,000° de MM. Van 
Ertborn et Cogels et d’après les 
levés du Service officiel . 


— Note sur une observation faite à 
Schriek (feuille d'Heyst-op-den-Berg) 
montrant, contrairement aux levés 
géologiques de MM. Van Ertborn 
et Cogels, l’absence d’éocène wem- 
melien dans le territoire de la 
feuille d'Heyst-op-den-Berg . 


— Quelques mots en réponse aux lec- 
tures faites par MM. Cogels et Van 
Ertborn . . 


— Etude préliminaire sur le dimorphisme 
des Foraminifères et des Nummu- 
lites en particulier. 


Echelle stratigraphique générale de 
l’Oligocène belge . 


— Petites notes rhizopodiques : 


1. Rectifications à faire au sujet du 
Piiocène belge dans la « Monogra- 
phie des Foraminifères du Crag », 
publiée par le Prof. T. Rupert 
Jones . s AA VOB 

2. Observations à propos de la men- 
tion de Nummulitinae comprises 
dans les listes de la faune rhizopo- 
dique du Crag anglais . 

3. La Nummulite trouvée dans le 
Crag anglais et la N. Boucheri 
de l’Oligocène belge 

— Annexe aux petites notes rhizopo- 
_diques : f 

Tableau rectifié de la distribution 
des Foraminifères et des relations 
stratigraphiques des dépôts qui 


20 


20 


21 


28 


33 


33 


33 


XXII 


LIKE 


XXX VII 


LXXX 


XX VII 


XXXIII 


XXXIV 


3 %, 
té PE - HU 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


les contiennent dans les couches 
du Pliocène d'Anvers avec leur 
répartition dans les dépôts du Crag 
anglais et du Miocène belge, 
d’après MM. H. W. Burrows et 
R Holland . 


Vanden Broeck, E. — Observations au sujet des observations 
: de M. le B°2 Van Ertborn sur l'allure 
probable de l’argile rupélienne dans 
le sous-sol de la Campine limbour- 
geoise 
‘— Une déclaration de principe à propos 
des synthèses stratigraphiques de 
M. G. Velge, faite à l’occasion de 
son-compte rendu de l’excursion an- 
; nuelle aux environs de Namur . 


Van den Broeck et Cogels. — Observations sur les couches 
quaternaires et pliocènes de Merxem, 
près d'Anvers. 


Van den Broeck et Miller. — Observations sur la Nummu- 
lites planulata 


— Les Foraminifères des couches pliocènes 
de la Belgique. 1r° partie. Esquisse 
géologique et paléontologique des 
dépôts pliocènes des environs d'Anvers 
(HS RS en MAR ENS RS PE ec 


Van den Broeck et Rutot. — Explorations stratigraphiques 
et paléontologiques faites dans le Lim- 
bourg . 


Vandendaele, H. — Sur la découverte de fossiles wemmeliens 
dans les grès ferrugineux de Saint- 
Sauveur (planchette de Frasnes) 


Van Ertborn, O. — Les coupes et la valeur scientifique des 
échantillons de quelques puits arté- 
siens. — Les diagrammes des feuilles 
de Brux-lles et de Bilsen. — Erreur 
de M. E. Van den Broeck au sujet du 
niveau occupé par le Crétacé sur le 
territoire de la feuille de Bilsen 


— Note sur trois forages à Louvain et Hou- 
Baerde mi PARA + e) AT 


— Tableau des coupes des principaux 
forages effectués de 1869 à 1894. , 


33 


34 


12 


17: 


21 


29 


29 


XLIV 


XXV 


LX VII 


LX VIII 


XXXI 


38 


CXV 


100 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Van Ertborn, O. — De quelques faits remarquables constatés 
dans les forages de la vallée de la 
Senne 


— Les sables sous-jacents à l’argile rupé- 
lienne à Septaria au sujet du projet 
de distribution d’eau de la ville de 
St-Nicolas . 


_ Allure générale du rupélien dans la 
partie orientale de la Belgique (Suite). 


— Nappe aquifère des sables sous-jacents à 
l'argile R? sur la rive droite de 
l’'Escaut 


— Une poche de sédiments fluviaux dans le 
sable bruxellien . 


— Quelques mots sur les sables à Pectun- 
culus pilosus et sur les sables à Pano- 
pœa menardi d'Anvers et de sa ban- 
lieue. : 


— Puits artésiens de St-Nicolas (Waes). 
— Un gisement de fossiles d'Edeghem . 


—. * Contribution à l'étude des terrains qua- 
ternaires et de l'étage diestien dans la 
Province d'Anvers 


—— Les levés géologiques théoriques. 
— Orographie de la Campine limbourgeoise. 
— Le Poederlien en Campine limbourgeoise. 


Le: système éocène. L'’étage HREOSRIeE 
et sa faune en Belgique. 


Velge, G. — Reconnaissance d’une faune éocène supérieure à 
Assche. 
— Tongrien et Wemmelien . 
— Tongrien et Wemmelien (2° communication). 


— Coupe de la Bruyère de Castre . 

— Observations relatives à la stratigraphie de l’éo- 
cène en Belgique. 

_ Réponse à la lettre de M. Dollfus 


— Réponse aux deux notes de MM. G. Vincent et 
- J. Couturieaux, relatives aux sables desenvirons 
de Nivelles | 


29 XII 
4 VIII 
34 XXXI 
34  XXXII 
34 CXXXIV 
35  XXXII 
36 KI 
26 XV 
6 
36 LXI 
36  LXVII 
36° FDL 
38 IV 
15  XLVIN 
17 CXY 
17 CLXXX VIII 
IT CCXXXV 


24 CLXX VIII 
25 XXIV 


LXXVIII 


19 
Qt 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Velge, G.— Le Tongrien supérieur. 


Observations sur la géologie des environs de 
Bruxelles : 


Suite aux observations sur la géologie des envi- 
rons de Bruxelles. : 
La coupe de Cautertaverent ( He} 


Vincent, E. — Note sur le Volutopsis norvegica, fossile du 


Crag d'Anvers. 


Remarques sur l'Acanthina tetragona, Sow. 
du pliocène d'Anvers (pl. 10 et 11) 


Observations critiques sur des fossiles re- 
cueillis à Anvers . 


Fossiles du pliocène d'Austruweel (Anvers) 


Sur une plaque appendiculaire observée chez le 
Corbula Hencheliusi. 


Observations sur des fossiles recueillis à 


Anvers (suite) . 


Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge, Pholadidae (pl. 4) 


Observations sur « Gilbertia inopinata», Mor . 


Description d'une nouvelle espèce de « Phola- 
didae » des environs d’Anvers . 


Observations sur les Brachiopodes des sables 
blancs d’Assche 


Rectification de nomenclature. 


Sur la présence de Pennatuliens dans l’éocène 
belge. |; 


Contribution à la paléontologie de l’éocène belge 
(MNerita, p 21; Astarte p. 31) . 


Contribution à la paléontologie des terrainster- 
tiaires de la Belgique. — a i 
SORA RS PE Te » 


Description d’un bivalve nouveau trouvé dans 
= le landénien inférieur : Arcomya fallax 
(avec figure) . 


Observations sur les Glycimeris landeniens et 
sur le nomenclature de Glycimeris interme- 
dia Sow. 


Sur l’âge des grès fossilifères de Bouffioulx . 


Ann. Soc, Zool. et Malac, Belge, t. L, 


28 


28 


101 


XI 


LXXXVI 


XVII 


® XXXIX 


LVII 


27 


XXII 


109 


TABLE SYSTÉMATIQUE 


Vincent, E. — Note préliminaire sur les Avicula 


Description d’un bivalve nouveau de l'étage 
panisélien : Periploma rugosa (avec figure) 


Note préliminaire sur les Pinna de l’éocène 
de Belgique. Description de P. consobrina 
et de P. propinqua . 


Mollusques marins d'Huelva et d'Aguilas . 
Note préliminaire sur Niso de l’éocène belge . 
Le Fusus serratus de l’éocène belge. 


Les « cimetières de Burtin + et les grès calca- 
reux du bruxellien 


Note préliminaire sur Crassatella 
Quelques rectifications de nomenclature 
Notes additionnelles sur les Rrachiopodes . 
Notes préliminaires sur Limopsis 


Additions à la faune échinologique de l’éocène 
DElEG ERA 


Observations sur les affinités de quelques 
peignes éocènes 


Contribution à la paléontologie de l'éocène 
belge : Note préliminaire sur Nuculina. 


Idem. : Note préliminaire sur Pecchiola 


Observations sur Actæon (Tornatellæa) simu- 
latus Sol. . 


Description de deux espèces nouvelles de Mol- 


lusques provenant du tongrien supérieur 


(fig. 17-19) 
Rectifications de nomenclature 


Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge : Céphalopodes dibranchiaux . 


Quelques mots sur les Rhyncholites de l’éocène 
belge (fig. 1-17) 

Observations sur Ostrea inaspectata Desb. 
(fig. 35-36) 


Observations sur l’âge du cailloutis tertiaire 
de Stockel et des sables blancs sous-jacents 


28 


28 


28 
30 
30 
30 


30 
30 
30 
31 
31 


31 


32 


32 


32 


32 


34 


34 


39 


39 


39 


39 


LXIT- 


LXVIL 2 


LXXII 


OxI - F 
CXXX 
CXXXIX 
IX 
XXVI 


XLIT 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Vincent, E. — Description d’une nouvelle espèce de Goossen- 
sia (G. seminuda) de l’éocène belge (fig. 
37-38) . aa 
— Panopæa Honi, Nyst (fig. 19 et 20) 
— Contribution à la paléontologie de l’éocène 
belge : Amplosipho (fig. 1 et 2) . 
— Lucina Volderi, Nyst (fig. 5-9) . 

_— Description d'une espèce de Céphalopode tétra- 
branchial nouvelle, du landénien de Bel- 
gique (Aturia linicitensis, E. Vinc.). 

— Présence d’une plaque siphonale chez Corbula 
regulbiensis MoRR 

—— Description d’une espèce nouvelle du genre 
Sigaret provenant des sables de Bracheux . 

— Contribution à la paléontologie de léocène 
belge : Note préliminaire sur Clavagella 


Vincent, G. — Les faunes bruxellienne et laekénienne de 
_ Dieghem (pl. I) 


— Préliminaire d’une notice sur les fossiles de 
l’assise supérieure du système yprésien . 


= Fusus nouveau pour la faune bruxellienne 


= Belosepia et Cerithium nouveaux pour la 
faune bruxellienne 


— Matériaux pour servir à la faune laekénienne 
‘des environs de Bruxelles . 


— Deux Gastéropodes nouveaux pour la faune 
bruxellienne . 


= Deux coquilles fossiles du système rupélien . 

— Fossiles recueillis dans les sables heersiens, 
près de Orp-le-Grand 

— Fossiles découverts dans l’yprésien des envi- 


rons de Bruxelles 


= Faune Laekénienne. Description de trois 
espèces nouvelles provenant de Wemmel 
Culyptraea suleata, Voluta rugosa, Litio- 
rina lamellosa) (pl. Il) . 


— Note sur les dépôts paniséliens d’Anderlecht, 


près de Bruxelles 


39 
36 


37 


37 


42 


44 


46 


47 


—1l 


1 


o) 


c 


321 


140 


LXXXIV 
XCI 


CXVIL 


= 


69 


104 TABLE SYSTÉMATIQUE 


| | 
Vincent, G. — Note sur la faune bruxellienne des environs 


de Bruxelles MURS ex LP EE 10 23 
— Note sur quelques Scalaires éocènes des envi- 
roïs de Bruxéllés (pl: VID) 124 SM EUX 10 87 


_ Note sur trois coquilles fossiles du terrain 
laekenien des environs de Bruxelles (Pecten 
nitidulus, G. Vincent, Fleurotoma Heberti, 
Nyst et Lehon, Triton fusiforme, G.Vincent) 


(BL TR) LUCE NT SCENE NE nee 10 123 
— Description de la faune de l'étage landénien 
inférieur de Belgique (pl. 6 à 10) . . . 11 111 


— Rapport sur le travail de M. Rutot : Des- 
cription de la faune de l’oligocène inférieur 


de Beleiques st RENE SERUrEeS 11 XXX 
— Description de trois Cardiums nouveaux 

A 0) PE PRE RO TA PAU QNE OL 2 dr 16 3 
— Description de deux Peignes nouveaux du 

système laekénien (pl. 3) . . . . . . 16 Et | 
_ Découverte du genre Avellana dans le terrain 

landémentintérieur 24:40 ue", 19 XXI 
— Liste des coquilles du tongrien inférieur du 

Limbourg'biipe 47% NRC enr, 12 3 
— Sur quelques coupes visibles sur le territoire 

de la planchette de Saventhem . . . . 22 XL 


—- Note sur deux Crustacés Brachyures nou- 
veaux pour la faune du pays . . . . . 23 V 


— Nouvelle liste de la faune conchyliologique 
de l'argile rupélienne, +. +. ©", 23 XXXVII 


— Documents relatifs aux sables pliocènes 
à « Chrysodomus contraria » d'Anvers . . 24 XXV 


_— Liste de fossiles lédiens rencontrés à Forest 
et à Saint-Gilles dans le gravier de la 


marne Sous le lédien:"-°7 : "7. .". 24 XLIX 
— Observations relatives à l’âge diestien 

accordé aux sables ferrugineux des 

collines des Flandres - :. : °°, . 00e" 26 XIX 


— Rectification relative à une prétendue com- 
paraison de la faune du système lédien 
avec celle du calcaire grossier moyen du 
bassin de Paris... ee EE 26 XLII 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Vincent, G. — Acquisitions à la faune des sables de Wem- 
mel, des environs de Bruxelles . 


— Rectification de nomenclature . 


Es Description d'espèces tertiaires nouvelles 
(pl. Let 2). 


— Corbula Bosqueti ? 


— “Note relative à la paléontologie des sables 
landéniensde l’Entre-Sambre-et-Meuse. — 
Description de deux Chlamys nouveaux 
(C. Briarti et C. Bayeti): 


- Documents relatifs à la faune landénienne 


— Une nouvelle espèce du genre Chlamys : 
C. Flandrica.— Complément à la descrip- 
tion de C. Nysti . 


— Sur l’âge des sables intercalés entre l'argile 
de Boom à Leda Deshayesi etl’argilesous- 
jacente à ces sables 


Vincent, G. et Couturieaux, J. — Quelques mots relatifs à 

; lâge yprésien accordé par M. Velge aux 
sables calcarifères entre la Dyle et la 
Sennette. 


rt Deuxième note relative aux sables avec 
grès entre Genappe et la Sennette . 


— Réponse à la note de M. Velge du 6 septem- 
bre 1890. 


— : Note relative à la géologie des environs 
d’Assche. 


Vincent, G. et Th. Lefèvre. — Note sur la faune Laeké- 
nienne de laeken, de Jette et de Wemmel 
(pl. I et Ill) 


Vincent. G.et Rutot. À. — Quelques nouvelles observations 
relatives au système wemmelien 


— Notes sur quelques observations géologiques 
et paléontologiques faites aux environs de 
Louvain 


— Observations nouvelles relatives à la faune 
du système bruxellien et à celle de l’an- 
cien Laekénien supérieur, système actuel- 
lement wemmelien , . . . +. » 


28 
28 


28 


30 


25 


25 


25 


13 


13 


14 


105 


XXXIII 
LXXV 


29 
LVII 


LES 
LVII 


LIX 


LVI 


LIT 


LXIX 


LXXXIV 


XXXIIT 


49 


LXXII 


XII 


106 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Watelet, À. — Notice sur les sables inférieurs du Soissonnais 
et sur leurs équivalents (pl. VIII) 


— Nouveau genre de Mollusques : Hydrateredo 
Watelet et Lefèvre. — Note sur les Ptéropodes du genre 


- Spirialis découverts dans le Bassin de Paris 


(pl. V). 


4. QUATERNAIRE. 


Bauwens, L.-M. — Note sur un dépôt coquillifère trouvé 
sous la tourbe à Koekelberg. 


Bellini, R. — Les Ptéropodes des terrains tertiaires et quater- 
naires d'Italie (fig. 9-47). 

Briart, A. — Rapport sur l'étude géologique du Bassin du 
Douro, par M..A. Nobre. 


Briart, À. et Delvaux. E. — Compte rendu de l'excursion 
sur le littoral de Blankenberghe, à Coxyde, 
à Aeltre et à Gand 


open E. — Observations gévlogiques et paléontologiques 
sur les différents dépôts rencontrés à Anvers 
lors du creusement des nouveaux bassins. 


— Contribution à l'étude one et géolo- 


gique de la Campine . 


Cogels et Vanden Broeck. — De matbn EEE 
faites à Anvers à l’occasion des travaux du 
creusement des nouvelles cales sèches et 
de prolongement du bassin de Kattendijk 


(pl. 3 à 6) . 

Cogels et Van Ertborn. — Nouvelles observations sur les 
couches quaternaires et pliocènes de Merxem 
(pl. 1) 


— Réponses au travail de M. Vanden Broeck 
publié dans le procès-verbal de la séance du 
3 septembre 1881. 


De l'âge des couches d'argile quaternaire de la 
Campine. 


N 


_ Réponse aux observations de M. E. Vanden 
Broeck 
—— Contribution à l'étude des terrains quaternaires. 


= Note sur un gisement de bois de Rennes incisés 
par l'homme dans les argiles quaternaires de 
la Campine . 


10 
11 


40 


21 


16 


14 


15 


16 


17 


17 
21 


A 1 


LH 


XLVIIL 


100 


CXCVII 
23 


LXVII 


243 . 


LIV 


29 


VII 


CLXXIX 


CCX 


LIV 
XXITI 


LXXXIV 


PR Tru 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


_ Colbeau, J. — Rapport sur Eee ile du dépôt tufacé de 


Marche-les-Dames. 
— Coquilles subfossiles : Succinea antiqua. 
—— - Helix nemoralis subfossile (?), avec perforation. 
— * Coquilles subfossiles de Dieghem . 


Cornet, F. L.— Sur une coupe observée à Mesvin dans le 
terrain quaternaire (PI. I) 


Cosyns, G. — Détermination, par l’analyse chimique, de l’âge 
relatif des ornements trouvés dans la « Grotte 
de Rosée » à Engihoul (près d'Exgis) (PI. Il) 


. Couturieaux, J. — Note sur le quaternaire ancien du nord- 


ouest de la Belgique 


Deby, J. — Note sur l'argile des Polders, suivie d’une liste 


de fossiles qui y ont été observés dans la Flan- 
-dre Occidentale . 


Delheid, E. — Découverte d’ossements quaternaires à Saint- 
Gilles-Bruxelles . 


—  L'ossuaire de Saint-Gilles-Bruxelles 
7 Quelques matériaux pour la préhistoire 
— Une Marmotte préquaternaire (?) 

— Un percuteur paléolithique 


— Vestiges de sépultures franques (?) à l’avenue 
Defré, à Uccle. 


— Le sous-sol de la commune d’'Uccle (Bruxelles) 


Delvaux, E. — Note sur la découverte d’ossements apparte- 
nant à des espèces éteintes, dans le quater- 
naire de Mons et de Renaix 


—- Epoque quaternaire. — Quelques mots sur le 
grand bloc erratique d’Oudenbosch, près de 
Bréda, et sur le dépôt de roches granitiques 
scandinaves découvert dans la région. 


Dollfus, G. — Le terrain quaternaire d Ostende et jle Corbi- 
cula fluminalis (PI. I- TI) 

Grégoire, E. — Notice sur les coquilles de la Tourbe de 
Uccle-lez-Bruxelles . 

Hasse, G. — Les Chiens et les Loups primitifs de la région 
d'Anvers (pl. Let Il). 


RON BUS de Lehaïe. — Note sur les alluvions de la Trouille 
dans les environs de Mons. 


STE CPAS FAN 


20 


42 


6 


10. 


69 


CXXV 
XLIV 
XLVII 
LVIIT 
LX 


LIIT 
112 


CLXXXV 


108 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Lambotte. — Tuf de Marche-les-Dames 


Lecomte, Th. — Coquilles sub-fossiles de Papignies et de 
Rebaix. 


— Notice sur un dépôt moderne de coquilles ter- 
restres et fluviatiles, dans la vallée de la 
Dendre. 


Lorié, J. — Note sur le forage d’Arnhem. 


Lefèvre, Th. — Note sur la présence de l’ergeron fossilifère 
dans les environs de Bruxelles 


Malaise, C. — Note sur quelques fossiles du diluvium. 


Mathew, G. F. — Note sur les Mollusques de la formation 
post-pliocène de l’Acadie (pl. 1) 


Mourlon, M. — Sur une coupe quaternaire à Lede, près 
d’Alost 


— Sur la découverte d’ossements dans les dépôts 
quaternaires diluviens de Saint-Gilles . 


— Sur la découverte, à Ixelles, d’un ossuaire de 
Mammifères, antérieur au diluvium,et sur 
l'existence de l'homme tertiaire dans .le 
Hainaut 


— Sur l’existence dans le bassin franco-belge 
d’un nouvel horizon pleistocène antérieur 
au diluvium à « Elephas primigenius » . 


— Sur le puits artésien du dépôt de la Com- 
pagnie du Tramway à vapeur d’Ixelles 


—. Sur la découverte de nouveaux débris de 
Mosasauriens à Ciply . 


— Les dernières bnttes de sables du Wijngaerd 
Berg à l’est de Bruxelles . 


Nobre, A. — Etude géologique sur le bassin du Douro. 


Nyst, H. — Rapport sur le travail de M. P. Cogels, intitulé : 
« Observations géologiques et paléontologiques 
sur les différents dépôts rencontrés à Anvers ». 


Raeymaekers, D. — Note sur la variété « Unicarinata » Nobis 
observée chez le «Littorina littorea » 
Gode) 54 712 


e Note sur la faune Malacologique des 
dépôts modernes observés à Bruxelles 


10 
10 


23 


24 


24 


24 


24 


9 


24 


26 


XLVIII 


XXX 
LV: 


33 
LIT 


XXXII 


LIL 


CXXIIT 
CLXXII 
XI 


LXXX 


XI 


XXXVI 


VII 


PALÉONTOLOGIE ET GÉOLOGIE 


Raeymaekers et B°* À. de Loë. — Note sur les dépôts 


quaternaires du sud de Tirlemont. 


Raeymaekers et Vincent, E. — Note sur deux puits arté- 
siens creusés dans la banlieue de Bruxelles. 


Rupert Jones, T. et Parker, W. K.— Notice sur les 
Foraminifères vivants et fossiles de la 
Jamaïque. . , 


Rutot, A. — Compte-rendu d’une course dans le quaternaire 
de la vallée de la Somme, aux environs 
d’Abbeville 


— Sur le terrain quaternaire des environs de 
Mons 


Rutot, À. et Vanden Broeck, E. — Note sur la nouvelle 
classification du terrain quaternaire dans la 
basse et la moyenne Belgique 


PE F. — Débris fossiles recueillis à Genck, Campine 
limbourgeoise , 


Vanden Broeck, E. — Rapport sur un travail manuscrit de 


M. Matthew : « Noteson the Mol- 
lusca of the post-Pleistocene For- 
mation in Acadia» . 


_ Communication sur les couches qua- 
ternaires des environs d'Anvers. 


— De la constitution géologique du 
territoire de la feuille d’Ae:schot, 
d’anrès la carte au 1/20,000 de 
MM Van Ertborn et Cogels et 
d’après les levés du Service officiel. 


— Exhibition d’un collier préhistorique 
fait de coquilles étrangères, d'âge 
éocène, recueilli dans la grotte 
de Remouchamps (fouilles de mars 
1902. par MM. Rahir et Vanden 
Broeck) (fig. 3-4) 


Vanden Broeck et Cogels. — Observations sur les couches 
quaternaires et pliocènes de Merxem, 
près d'Anvers 


dr Dilnvium et Campinien, réponse à M. le 
Dr Winkler . 


Van Ertborn, O. — Découverte d’un bloc erratique à Anvers. 


20 


20 


109 


XLVI 


XXXVII 


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IX 


24 


LXX VIII 


XXXIV 


CXLIIT 


LXXIX 


LIX 


XLIV 


LX VII 


XVII 
LITT 


110 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Van Ertborn, O. — De quelques faits remarquables constatés 
dans les forages de la vallée de la 
Senne 


— Des dépôts quaternaires dans la province 
d'Anvers et le Pays de Waes et de 
deux gisements fossiles remarquables 
qu'ils renferment . 


— Les dépôts quaternaires et leur faune. 


Causerie géologico - paléontologique. 
(PL I) 


—— Contribution à l'étude des terrains qua- 
ternaires et de l'étage diestien dans 
la Province d'Anvers. : 


Vincent E. — A propos de l'origine du limon supérieur . 


— Sur un spécimen de Eastonia rugosa recueilli 
à Knocke . 


Vincent, G. — Note sur les dépôts postpliocènes du Kiel, 
près d'Anvers. 


— Note sur un gîte fossilifère quaternaire observé 
à Veeweyde, près de Duysbourg . 


— Découverte de Cyrena fluminalis Mull. dans 
les alluvions de l’Escaut . 


5. ExCURSIONS GÉOLOGIQUES. 


Bayet, E. — Note sur quelques excursions géologiques faites 
aux environs de Lugano (Tessin) RE D pe 


Cogels, P. — Excursion de la Société Fe du Nord à 
Dunkerque ee RD VE 


Cornet, F. L. et Briart, A. — Compte rendu de l'excursion 
faite aux environs de Ciply par la Société 
malacologique de Belgique, le 20 avril 
1873- 


Daimeries, À. — Rapport sur l’excursion de la Société à 
Tirlemont, Hougaerde, Gobertange, 
Zetrud-Lumay et Gossoncourt. 


Daimeries, À. et Vincent, G. — Rapport sur l’excursion 
à Folx-les-Caves, Jandrain, Wansin, Orp- 
le-Petit et Orp-le-Grand, les 24, 25, 26 
et 27 septembre 1887. (P1. 2) 


28 


38 


28 


25 


XI 


XX 


LX 


XXI 


LXXXIV 


LIX 


XVI 


XCIX 


XXXI 


XCIIT 


LXXXIX 


19 


EXCURSIONS GÉOLOGIQUES 


de Limburg-Stirum, A. — Compte rendu d’une excursion 
géologique faite à Gand . 


de Loë (B°" A.). — Compte rendu de l’excursion aux environs 


ce de Hasselt et de Tongres, les 25, 26 et 
27 août 1888 (pl. 3) 
Delvaux E. — Compte rendu de l'excursion de la Société à 


Boom, le 20 novembre 1881 (pl. 6) . 


— Note succinte sur l’excursion de la Société 
géologique de Belgique, à Moresnet, en 
septembre 1881 . 


— Compte rendu de l’excursion à Maestricht, 
13 et 14 août 1882 (pl. IV). 


—. Compte rendu des excursions à Audenarde, 
Renaix, Flobecq et Tournai (pl. HF à V). 


— Note succinte sur l’excursion de la Société 
géologique de Belgique, à Spa, Stavelot et 
Lammersdorf, en août-septembre 1885 . 


Dewalque, G. — Rapport sur l’excursion de la Société mala- 
cologique de Belgique à Couvin. Partie 
paléontologique 


Forir, H. et Lohest, M. — Compte-rendu de la session 
extraordinaire de Ja Société Royale Malaco- 
logique de Belgique et de la Société Géolo- 
gique de Belgique. — Premières journées 
(5 au 7 septembre 1896) (pl I) 


. Lefèvre, Th. — Excursions malacologiques à Valenciennes, 
Soissons et Paris (septembre 1876) 


Malaise, C. — Excursion annuelle de la Société Malacolo- 
gique de Belgique. — Rapport sur l'excur- 

“sion dans les environs de Virton (Province 

de Luxembourg) du 15 au 17 septembre 1872 


— Excursion annuelle de la Société aux environs 
de Rochefort, Naninne et Dave, des 11 et 
12 septembre 1881 (pl 4). 
Mourlon, M. — Relation de l’excursion faite par la Société à 
Heyst le 2 octobre 1870 
— Compte-rendu de l’excursion géologique dans 
la Campine limbourgeoise des 21 et 22 mai 
1899 (avec coupe) : 
— Compte-rendu de l'excursion géologique en 
Campine les 23, 24 et 25 septembre 1900 . 


25 


16 


16 


35 


111 


XCII 


35 


62 


CLX 
4{ 


99 
15 


77 


LXXXV 


95 


10 


65 


LXXXIIT 


XLIII 


112 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Ortlieb, J. et Dollfus, G. — Compte-rendu de géologie 
stratigraphique de l’excursion de la Société 
malacologique de Belgique dans le Limbourg 
belge, les 18 et 19 mai 1873 (PI. IT). 


Raeymaekers et Van Ertborn. — Compte rendu de l’excur- 
sion annuelle faite aux environs de Louvain 
les 5 et 6 août 1883. 


Rutot, À. — Rapport au point de vue paléontologique de 
l’excursion entreprise les 18 et 19 août 1873, 
aux environs de Tongres, par les membres 
de la Société malacologique de Belgique. 


— Relation au point de vue paléontologique de 
l’excursion entreprise les 1® et 2 août 1873, 
aux environs de Namur. 


— Rapport sur l’excursion annuelle de la Société 
malacologique, aux environs d’Angre, le 
17 septembre 1876 . 


— Compte-rendu de l’excursion entreprise par la 


Société géologique de France dans le Boulon- 


nais (9-18 sept. 1880) 


— Compte-rendu des excursions faites en commun 
par les Sociétés géologique et malacologique 
de Belgique aux environs de Bruxelles 
(5-7 septembre 1880). (PI. Il). 


Stainier, X. — Compte-rendu de l’excursion annuelle faite 
par la Sosiété dans le Brabant septen- 
trional, du 7 au 10 septembre 1889. 


— Compte rendu de l’excursion dans le Comtéde 
Kent (Angleterre) les 15, 16 et17 août 1890 


Thielens, A. — Relation de l’excursion faite par la Société 
malacologique de Belgique à Orp-le-Grand, 
Folx-les-Caves, Wansin, etc. 


— Voyage dans l’Eifel. Liste des fossiles dévo- 
niens et des Mollusques vivants recueillis 
à Gerolstein, Casselbourg, etc. 


Van Ertborn, O. — Une excursion aux Quatre-Bras . 


Velge, G. — Rapport sur l’excursion faitele 22 septembre 1894 
à Feluy et à Rebecq-Rognon. — Le calcaire 
carbonifère à Feluy. Le Poudingue de Rebecq- 
Rogüon.(h0) 065." 40: 


18 


11 


25 


25 


34 


30 


22 


58 


103 


LXX 


LXXIIT 


XCVIT 


43 


63 


39 


VARIA 


Velge, G. — Compte rendu de la session extraordinaire de la 
Société Royale Malacologique de Belgique et 
de la Société Géologique de Belgique, 3° jour- 
née (8 septembre 1896) (pl. 2) 
— Compte rendu de l’excursion annuelle aux envi- 
rons de Namur, les 29 et 30 août 1897 . 


Vincent, G. — Compte-rendu de l’excursion faite à Esschene 
et à Teralphene par la Société royale 
malacologique de Belgique 


—. Compte rendu de l’excursion faite aux envi- 
rons d’Assche le 23 septembre 1894 


C.— VARIA 


Colbeau, Jules. — Rapport sur les manuscrits laissés par 
M. Gustave Collin à la Société Malaco- 
logique de Belgique. 

Delvaux, E. — Notice bibliographique sur un mémoire de 
M. le D'J. Lor'é, intitulé : Contribu- 
tions à la géologie des Pays-Bas . 

Hennequin, E. — La participation de l'Institut Cartogra- 
phique à l’Exposition internationale de 
Bruxelles (pl. 3). 


Lefèvre, Th. — Sur la disposition des listes paléontolo- 


PUBS AS US ee je 4 : 
Massart, J. — Sur la géographie botanique de la Bel 

ET Er OR RAT REA ARR 
Mourlon, M. — Appel aux géologues . 


— Sur une réforme à apporter dans les biblio- 
thèques scientifiques. 


— Sur la publicaticn de nouveaux tomes des 
deux séries de la Bibliographia geolo- 
gica et de la deuxième édition de la clas- 
sification décimale appliquée aux sciences 
géologiques . 


== Sur l'état d'avancement du Répertoire uni- 
versel concernant les sciences géolo- 
giques (Bibliographia geologica) . 
Pergens, E. — « The American geologist », notice biblio- 
graphique . 


32 


30 


13 


34 


36 


23 


113 


38 


CLVI 


XVII 


CIV 


IV 


114 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Piré, L. — A propos du onzième Congrès de l'Association 
française pour l'avancement des sciences. 


Raeymaekers et Piéret, V.— Note sur les puits artésiens 
de Léau et des environs de cette ville. 


Vanden Broeck, E. — Découvertes faites par M. Craven dans 
son dernier voyage aux Indes. 


— Le discours de M. Ed. Dupont à la 
séance du 16 décembre 1898 de 
l’Académie des Sciences de Bel- 
gique, consacré à l'évolution et au 
phénomène de la migration. Etude 
critique . 

_ Proposition de création, au sein de la 
Société, d'un groupe qui s’occupe- 
rait d’études et de recherches appli- 


quées aux phénomènes de la varia- - 


tion et de l’évolution spécifique d’un 
choix de mollusques littoraux . 


— Comment faut-il nommer les Nummu- 
lites, en tenant compte de leur 
dimorphisme? Appel aux biolo- 
gistes, géologues et paléontolo- 
gistes. 


— Quelques mots encore au sujet de 


l'incident Dupont - Vanden Broeck. : 


Rapport de M. le Prof. Ed. Van 
Beneden. 


_ Exhibition d'un collier préhistorique 
fait de coquilles étrangères, d’âge 
éocène, recueilli dans la grotte de 
Remouchampe (fouiiles de mars 
1902, par MM. Rahir et Vanden 
Broeck) (fig. 3-4) . 


Van Ertborn, O. — Une question d'actualité 


— Quelques mots au sujet de la dernière 
brochure de M. l'ingénieur Lambert 


Van Ertborn et Cogels. — Observations sur le travail de 
MM. Vanden Broeck et Rutot, rela- 
tif à leurs levés géologiques. 

_— © Encore un mot de réponse aux obser- 
vations de M. Vanden Broeck . 


17 


24 


34 


* 34 


34 


20 


CXXXVI 


XTIX SE 


XI 


XX VII 


XLIT 


XCVII 


à EN PL \ TE 64 
int tn ét : frhnd Pond QAR Lo dr 7 


&f us née DER 


PAC AP ER A EE 


dE) nd ÿ. 
PO CT TETE TN ITR 


BIOGRAPHIES 


Van Erthorn et Cogels. — Note sur les conséquences de cer- 
taines erreurs d'interprétation au 
point de vue géologique . 


— Réplique à la réponse de M. Vanden 
Broeck à leur note sur les consé- 
quences de certaines erreurs d’in- 
terprétation au point de vue géolo- 
gique. 


D. — BIOGRAPHIES 


Cogels, P. (Mort de) Ps PR LE RE 
Dautzenberg, Ph. — Pau Fiscuer, notice biographique 


— H. Crosse, notice biographique, avec 
portrait 


Deby, J. — Nécrologie : Davin FoRBES 

de Gregorio (Marquis A.) — FRéDÉRIC LANCIA DE BROLO, no- 
tice biographique 

Denis, H. — Henri LAMBOTTE (Un portrait) . 


Dewalque, G. — François-LéoPo» CoRNET, notice biogra- : 
phique 

d'Udekem, J. — Notice biographique sur . 

Gilson, G. — Mort d’'Ed. Van Beneden 


Kemna, A. — La vie et l’œuvre de CARL GEGENBAUR 


— P.-J. Van BENEDEN ; La Vie et l'Œuvre d'un 
zoologiste (portrait). 


— MORE WP ACEAON Er re Te or 

Lameere, A. — Mort de M. Ep. DELKEID. 

— Le Dr W. SCHLEICHER 
Lefèvre, Th. — Roserr LAwLEY, sa vie et ses travaux, notice 

biographique . . . . . 

es THéopuice LE CoMTe, notice biographique 

— VaLËRE LIÉNARD, notice biographique 

— Notice biographique sur An. WATELET 


Mourlon, M.— Discours prononcé aux funérailles du doc- 
teur J, Croca 


= Allocution prononcée à l’occasion de la mort 
= de M. GÉRARD VINCENT 


— Liste des publications de paléontologie strati- 
graphique de G. VINCENT. 4 


20 


20 


115 


VII 


XIX 


LXVII 


LXI 


LXIV 


116 TABLE SYSTÉMATIQUE 


Michot, Abbé. — Notice biographique sur M. ALBERT TOILLIEZ 


Pelseneer, P. — P.-J. van BENEDEN, malacologiste, notice 


biographique . 
- ALFRED GiaRD (1846-1908). In memoriam 
(portrait) 
Plateau, F. (Mort de). 
Roffiaen, F. — Jues CoLBeau et la Société Royale Malaco- 


logique de Belgique (portrait) 
Rosart. — Notice biographique sur M. SEGHERS . 
Rosart et Lambotte. — Notice biographique sur M. Le Bœur 


Sacco, F. —— Lui@i BELLARDI, notice biographique et biblio- 
graphique 


Vanden Broeck, E. — Notice biographique sur Gusr. CoLLis. 
— Notice biographique sur P. HALLEZ 
Van Ertborn, O. — An. BriarT, Notice biographique 
— N. Cu. L. DE Wa. 
— Le général HENNEQUIN . 
Winiwarter, H. de. — EnouarD VAN BENEDEN (un portrait) 
Woodward. D.-H.— THomas Davinsow, notice biographique 


— J. Gwvyn JerFreys, notice biographique 


Ces tables ont été publiées à la faveur d'une subvention 
allouée par l’Académie Royale de Belgique sur la Fondation 


Agathon de Potter. 


4072, — Soc, au. M. Weissenbruch, imprimeur du Roi, 49, rue du Poinçon, Bruxelles. 


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ANNÉES 1914-1919 


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Annales de la Société Royale Zoologique et Malacologique de Belgique. 


TOomes : 10 20.555 LT ER RER 5) 
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— 48 à 49 . PER 22.50 
Supplément au:tome 49-(?)::.:: +; 215, #.""92/50 
Tome 50 (3) . 25.00 


Les Bulletins, jusqu'au tome 40 inclusivement, sont com- 
pris dans les Annales. Ils se vendent aussi séparément au 
prix de 6 francs par volume (1863-1905). 


(1) Les tomes 45 et 46 ne se vendent pas séparément. 
(?) Morphologie des Protosoaires, par Ad. Kemna (76 planches hors texte). 


(8) Ce volume comprend les tables alphabétique et systématique des tomes 1 
à 50, des Annales et Bulletins, lesquelles se vendent aussi séparément au prix 
de 46 francs. 


Sadresser au Secrétariat de la Société Royale Zoologique 
et Malacologique de Belgique, 14, rue des Sols, à Bruxelles. 


4072. — Soc. an. M. Weissenbruch, imprimeur du Roi Bruxelles. | 


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