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ANNALES
OB
L'IMPRIMERIE DES ESTIENNE.
Oiiir
némes tibroires :
LtTTF.nF. MAMi/.iArtv i>n>n>. Lcttert- tli P.'into Manuzio ropiatr .snf,'li
;)Uto^r:i(î rsistciili oi-IIa Itibtioli'ra Amlirosiaiiii. 1 \i\\. in-S.
A^■^^LF.5^]e l'imprimerie dfs Aldr, on Hisroiie îles Irois Maimrc cl de
leurs l'ditioDS , par Antoine- Augustin Kf>uiJARn. rroisième édiliou.
1 vol. in-S avcr portraits et lettres gradées.
-♦ IMPHIMK CIIKZ PAl I. R^■:^Ol)AR[l,
ANNALES
DE
L'IMPRIMERIE DES ESTIENNE
ou
HISTOIRE DE LA FAMILLE DES ESTIENNK
ET DE SES ÉDITIONS.
FAIL AXT. AUO. HUTOVABl».
OftUXliMK lomoR.
PARIS,
CHEZ JULES RENOUARD ET C'% LIBRAIRES.
M. DCCC. XLIII.
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UNIVERS'TYi
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AVERTISSEMENT
Les Annales de l'Imprimerie des Manuce, précédemment pu-
bliées, demeureroient pour l'histoire littéraire et bibliographique du
XVI* siècle un ouvrage en quelque sorte incomplet, ou tout au moins
insuffisant, si elles n'étoient accompagnées d'un semblable travail
sur cette autre famille de grands typographes, qui, dans les mêmes
temps, servoient et honoroient la France par leurs belles et savantes
impressions , et non moins que les Manuce, acquéroient d'incontes-
tables droits aux reconnoissants souvenirs de quiconque chérit les
lettres et les cultive. Un François pouvoit-il d'ailleurs négliger de
fia recommandables compatriotes après avoir longuement célébré les
gloires typographiques d'Imprimeurs étrangers ? * Voici donc les
* «.Oui, une réparation pieuse, bien que tardive , un monument glorieux , étoient
bien dus par ta France k cette laborieuse Ugnéc d'Imprimeurs et de savauts, qui, pour
prï\ des pjus pénibles veiUes, des plus parfaites productions, des plus coiïtcux sacri-
6ces, ne recueillit que la pauvreté, Texil^ les persécutions du Olei^, Talundon de la
^"1,1
Annales de riiii|iii!nerie deï> Estiennt\ ouvrage de mes deniiftres
.miit'es, mais |in(ir lesquelles des travaux analogues, et qui ontoc-
rupi' la ])lu^;}^iaiJt!r partie de mes loisirs, avaient depuis long-teijips
amené dans nus jji;ii]iîiet 6n.^^& mes souvenirs de très amples tnat»*-
i-iaux auxtiuels il n'avoit manai^É.^u'uTie volont<? qui les mît en
Cette hi>toii» |n3ij!Ti
fait inutde, puisque
(juelque n(tm t^u\ Ical
liant lares, rniii'- iiiu c
E\\ 1083, '.riiêodrjrt
simplement AlnielnveÈ
perçu sembler un livre toui-à-
Jong'tempâ, deux savants de
t dans deux ouvrages mainte-
t pas introuvables.
neloveen, que nous nommons
te de Dîjjieriario Ej/tstolica^
joli- un ])eu tuniiiltiKurtrinriii 75111 ir- jmpier^ et non sans quelque;?
l'cnrts d'une certaine itinlixlti'. di^ euiieuses notions sur la lamille
i'.DUr. iiiic itiiiou jHMii- (l(-lli.-> un (lliiiU'Iit. un li( ii riiri|>il.'il dr Iaoii |uiiir le plii> il-
liislir ilr ><■•. iiiiiiilui^, tiii j;i;il';il ri uni' liinc, ciiIIei. ;i riliJN'I-Dirii Je l'iuls pour son
.liMiiiiT iTuroriilaiiI. -. (M. M;i-liui, .foumnl ,1,'s Siuaii!.'i, w\- I.S'iO, p.fi'.l).)
l II li(Miiiii;i^r piililir ;ulii'\crl coiis.icvc rrllc jii-.|i- cxiiiiilioii. I.ii >.t;itui- il<' Kolirit l'"''
l■^t ;iii iiiKiilnf {l^•^ linii/c i|iir \i\ \'illr i\v l',iil>, |»Mli- (Irrorrr lii luiiicipillr riilmi de ^dii
ni;i;;iiirn|iic paliii- )iiiiiii<'i|);il . r;iil r\rinUT m I Ihhiiiciil- de iloii/c de si'> «■(iiicilov^iis
I ^|>i>l^ |>:ii mi ('('ii\ (|iii ont If plus dii,-iiriiii'nl st-t v i it lioimn' kiir palrii'. Ct-llc <)\:ilion
l'ivitpii'. l'c r:i|ip<'l ^lopiciis daii< sa \illr nalalr . \cii;-i'iit plciiiciinnl Kolit-i I tl s,'i diKlr
latuilli' dr> iiijiiolins dnut iK tunrir laul a :^<'ilui .
I iitir Uoltci I ri llniii miii liU, If < linix aiiroil pu flif .litlinlc m Ifriin. iif a IViris.
o .i\<)il pa> Iniiiniii ^ fil sf- alf jjf I s t\ pn^i ;i|)|iiipii's lioi's df l;i l-'iaiifi' ; mais dViilIfUis
nu u'aiiioil jamais pu doiiiifi df lui ipi iiin- rcpifsfiilalioii loul-a-tail idéale, uiif IfU-
df l.i {ifaliiiii du sfulplfiii . (^tu.iijl a Kiihfil . il \ aile lui mv a s^pt porliaits i;favL>
duiit un sfiil ffpfiidanl |>aM)il iiifi ilfi fiailiaiiif : f'fsl un l.u^if lii-s pftit , X\ iiul-
Iiiuf1[('s i\*- liaulfui , 'ijii\ra:^f di- I lialiilf l.<-<iuai'd (iaiillifi . |)t'fsiptf roiilf uipor'aiu
<\i- Uolicrl ; fl . iomiiif jf If di-. a la pa:;f ±'i , ifs aulr'('> Uifii plus iffcuis sont , ou
d'ilifvartis fopif. a:;raiidifs df iflui-fi, ou df ijiail^aiMs \i\>-. faiilasltiplfs. CfMf pilik-
pif<r laïf fl pfii fouiMif, f\islf aii\ fsl.uupfs i\f la Itdilinllifcpir Ko\alf ; f'fsl le
II" 1;1S d'uiif noiiiInfUM- sinlr df |iorIiail> daus ifiir uii'-iiif propoilioii , fl par If
uifiiii- !.. (iaullifi.
des Estienne ; mais, ainsi que l'auteur en parolt persuadé lui-même,
son petit volume in-8 n'est qu'une ébauche, et le Catalogue des «édi-
tions Stëphanienncâ qui le termine, est aussi mcomplet que vague
et incertain. Une seconde édition eût. IW^ probahlcmenl fait de ce
livre un fort bon ouvrage, si la mort, ce fatal olwtaclo qui vient dé-
ranger tant de projets, n'eût empêché l'auteur de revoir, et peut-être
même de refaire son travail. Michel Maittaire *, venu ap^^8 le sa-
tint Hollajidûis, et plus rompu aux élucubrations bibliographiques,
opéré avec plus de netteté et d'ensemble ; mais, entraîné parle
désir de ne nen omettre, il s'est laissé aller à une ditfusion qui doit
avoir restreint le nombre de ses lecteurs. Son volume corroboré,
rempli dénotes, de citations, renvois, TesCtmonia. enfin, de tout
l'attirail d'une docte érudition, est terminé par l'indispensable Cata-
^Bûgue, qui se compose d'une double numenclature, de même que
^BiM mon ouvrage sur les Aide, et dans celui-ci.
Tout seroit fait si l'ouNTage de Maittaire étoit suffisamment achevé
dans toutes ses parties; maison reçonnoilra facilement que récrire
sur les Estienne a pu encore n'être pas un travail superflu. Bien
qu'en meilleure disposition et beaucoup plus amples que celles d'Al-
meloveen. les listes de >Lùttaire sont cependant rcàti^ fort au-
dessous de ce qu'elles auroient pu être.
Les intitulés que, dans les listes chronologiques, on a l>esoin de
Kouver libellés au long et dons leur entier, y sont prest|ue |>artout
-ncopt-s, resserrés et exprimés en quelques mots, quelquefois en
un seul. A peuic neuf cents éditions y sont-elles inscrites, tandis
I
* Son véritable oom ctoit Michel Mdtaycr, qu*n changci en Micltcl Mailbiire,
loT»qu<', prntr cause d« r«li^»n, il t|iiil(a la Fninceel t,K rpmlil pu .Viiglctn-rY. Il Ploi(
lif de Normandie . et ncul-i'-lrr de la fnmille des MtUaTcr . doal nlusienr» ftiroit
ANNALES
DK
L'IMPRIMEUIE DES ESTIENNE.
xij AVERTISSEMENT.
non encore effectuées, y avoir quelqne intérêt de curiosité, motivé
sur des achats à y faire. Cest un ennuyeux livre sans alinéa, une
longue et étroite voie sans vues ni ouvertures Tatérales, sans lieux
de repos. Qu'au contraire, il se rencontre de place en place des notes
sur les livres, sur leurs éditions ou sur leur auteur, ne seroit-ce même
que sur l'éditeur ou sur l'Imprimeur, etc., enfin quelque chose que
l'on n'attendoit pas, et dont l'indulgente partialité du lecteur veuille
bien ne pas contester l'à-propos ; c'est là comme un point d'arrêt :
on lit sans répugnance et dans leur entier de courts paragraphes que
Ton n'auroit jamais songé à aller dépister dans une formidable série
de longues pages où, d'ailleurs, les recherches ne peuvent manquer
d'être souvent sans résultat.
Après avoir plus ou moins heureusement élaboré et coordonné de
tels matériaux, on n'a point fait un livre ; et on paroîtroit à-peu-près
en avoir fait un, si l'on avoit aggloméré, gonflé d'un certain remplis-
sage et cousu tant bien que mal, les notes ici éparpillées en petits
articles ; mais c'est ce qui ne m'a pas arrêté un seul instant : j'ai
voulu disposer chaque chose de la façon la plus convenable pour l'a-
grément et l'instruction de ceux qui voudront en chercher dans ces
Annales, et je ne tiens aucun lecteur en obligation d'attacher grande
importance à tout mon travail.
Avec cette brillante série d'ouvrages immortels, de ces Bibles,
ces Hérodotes, ces Plutarques , ces Çicérons, Virgiles, Horaces, en
éditions grandes et petites, de textes seuls, ou enrichis de doctes
commentaires, enfin de tant de chefs-d'œuvre desquels toute édition
quelle qu'elle soit, ancienne ou récente, plus ou moins correcte et
soignée, pourra toujours, tant que matériellement elle existera, faire
utile service, l'énumération complète des éditions Stéphaniennes né-
cessite aussi l'exacte mention d'une multitude d'autres livres d'utiHté
moins réelle ou moins durable, de plusieurs même depuis long-temps
AVERTISSEMENT.
m
^Htives.
ddamnéâ à ne plus jamais obtenir un seul lecteur , mais x^es livres
t eu leur succi*6, leur utilité ; et quand même l'inévitable cummé-
moratioii de leur existence ne serviroit qu'à faire coimoîtrc quelles
lectures étoient alors préférées, elle ne seroit pas sans profit pour
l'histoire des variations, progrt'b. déviations et contradictions de
l'humaine intelligence. Il estlwn de a^xoir que tel écrit dont on ne
vouilroit pas aujourd'hui lire dix lignes, a été recherché, dévoré,
loué, critiqué, commenté même, et reproduit en réimpressions itéra-
ves. Parmi les livres que maiiïtenant nous dédaignons, n'y ena-l-il
aussi plus d'un où sont cachées d'utiles instructions que Von ne
eniil dans aucun autre ouvrage?
Je dois faire ici sur cette première partie de mon travail quelques
observations que je crois indispensables, bien qu'elles ne soient pas
d'une très grande importance.
Les innombrables titres que j'avois à enregistrer varient conti-
nuellement et sans régxiiarité dans l'emploi des lettres tt et v, i et y.
I et / l'une pour l'autre, dans la division ou réunion des lettres di-
phlhongues ae ocy œ te; et plus d'une fois cette variation a lieu dans
une même phrase. Pour éviter une bigarrure inutile j'ai employé
ces lettres comme nous les employons aujourd'hui, et ordinairement
ai réuni les lettres diphthongues.
Il y a pareille irrégulurité pour l'accentuation, qui en général étoit
ors très nr-gligée, et la nmrtpie du ç cédille est pi'esque toujours
Sur ces titres les dates des années sont énoncées tantôt en chif-
fres romains, tantôt en chiffi'es arabes; j'ai, en général, adopté les
chiiTrea romains : et enfin, j'espère que môme les personnes les plus
exigeantes en fait de rigoureuse exartltude nuitérielle, ne m'impute-
int pas û faute le mot Parhih mis quelquefois en place de LtUetue^
1 l^itrtiiv (m phice de Parisiis.
Aiv AVERTISSEMENT.
On peut s'attendre à trouver dans les livres bibliographiques une
description minutieuse du composé des volumes. Sont-ils chiffirés ou
non, le sont- ils par feuillets ou sur chaque page; quelles sont.
leurs pièces préliminaires , le nombre exact des pages ou feuil-
lets, etc., etc. De tels détails sont convenables, quelquefois même
obligatoires pour des livres fort rares ou peu connus. J'ai pris ce ■
soin pour ceux qui forment les listes des Annales Aldines, parce que
la plupart de ces éditions ayant, et par leur mérite réel et beaucoup
aussi par la fantaisie des hommes, acquis ime valeur vénale, un prix
d'argent maintes fois excessif et incroyable, il y avoit nécessité de
renseignements qui pussent, pour chacune d'elles, garantir l'acqué-
reur du risque de couvrir d'argent une rareté ou mutilée ou contre-
faite, et préserver aussi le vendeur de tout péché volontaire ou d'i-
gnorance sur l'intégrité du joyau dont il espéroit un grand prix. Les
éditions des Estienne, toutes estimables, quelques-unes importantes
et supérieures aux éditions Manutiennes des mêmes livres, ne re-
quéroient cependant point cette surabondance de précautions et de
préservatifs bibliographiques. En général leur valeur modeste n'ex-
pose ni le vendeur ni l'acheteur à des pertes dommageables, ou à
des tentations de présenter sans mot dire un livre imparfait ; aussi
n*ai-je admis qu'un trës petit nombre de ces descriptions si faciles à
accumuler en témoignage de grande exactitude, et si fastidieuses
quand par le fait elles sont presque toutes inutiles. La plupart des
livres des Estienne fiurent, dès l'origine, revêtus, à Paris, de reliures
simples et solides auxquelles beaucoup de ces volumes ont dû l'a-
vantage de se conserver bien mieux que ceux des livres d'Italie,
qu'une rehure, ou cartonnage économique, mais de peu de résistance
(legatura alla rusttca], qui y étoit en grand usage, a exposés à des
dégradations ou défectuosités beaucoup plus fréquentes.
Le promier Robert Estienne a publié plusieurs Catalogues de ses
AVF.nTISSKMKNT.
XV
livres, avec leurs prix. Tai introduit une partie de ces prix dflns mes
listes; ce sera assez pour donner a connoître quelle étoit alors la
valeur des (Mitions soignées faites à Paris. Le marc d'argent valut de
1515 à 1530, un peu plus de 12fr. ctde 1531 à 1545. environ i4fr.
D'aprf^ cette indication chacun pourra à son ^6 calculer la valeur do
la livre ou franc, du sol, du denier, comparativement à leur taux
actuel. •
J'aurois voulu donner les portraits de ces habiles tjrpoj^raphes,
?t surtout celui du grand Henri, de l'auteur du Thésaurus Grœcte
Linguw; mais de toute cette fajnille on ne connoît d'autre por-
trait que celui du premier Robert; et, des gravures qui en ont éxé
ites, j'aj choisi pour la reproduire celle de Léonard Gaultier qui
il la meilleure et la plus ancienne. D'ap^^B le même je donne aussi
le portrait de Qaude Garamond. ce fameux graveur et fondeur, à
[ui, outre ime multitude de bons caractî'res latins maintenant rem-
>lacés par nos nouvelles formes à angles vifs, bien moins amies dos
nble» ycox, un doit ces adniirablcti types grecs quoiit si bien em-
lloyés les Estienne, les Morel , Tumëbe, etc. , et qui peuvent encore
lire un très beau service dans l'Imprimerie royale. Les vers grecs
des pages 346 et 347 de ce volume sont imprimés avec le plus fin
de cGa trois alphaltets , dont les caracti^res nous ont été prêtés par
l'Imprimerie Royale.
Si je n'ai aucun portrait de Henri, j'ai la satisfaction de pouvoir
rir un spécimen de son écriture latine en une de^ 27 lettres
de sa main , conservées à la Bibliothèque Sainte-Elisabeth , à Bres-
* Tcn IS34, Amoa les pronnccs de France oii Ile blé est le pliu abondanl, miii |iri&.
fiit, |MiuJant plmù'im année» de BO snU le sciier. A c« prii, k pain moyen
i % denicn U pim- dtr huit oiu-cs, et a 2 deniers la Ilvrr ttt> pain Itis. Cec?
hn guider |M>ui' l'iippnrijitKni ii)m|iAr.ili^ir ilr liciiiinitip •raiilirs olijets.
xvj AVERTISSEMENT.
lau, et de laquelle M. Môbius, le gérant de l'ancienne et respectaUe
maison de librairie Guillaume Kom , m'a rendu le service de me
procurer, et faire lui-même un beau et très exact calque. Cette lettre
est placée à la page 368.
Dans ses yuœ Stepkanomm^ Maittaire a mis deux feuillets rem-
plis de copies des marques Stéphaniennes . Je ne leur reproche pas
d'être mal gravées, c'est de fort peu de conséquence ; mais leur re-
production m'a semblé tout-à-fait inutile, d'abord à l'art typogra-
phique pour lequel elles ne sont rien (mdiius momenti] , et aussi à
l'histoire littéraire dont ces marques emblématiques n avoient au-
cune obscurité à expliquer ou à éclaircir. De dix-sept empreintes,
treize sont à-peu-près la répétition l'une de l'autre , ou au moins pré-
sentent le même symbole : j'ai choisi la principale, la même qu'em-
ploient MM. Didot dans leur Thesaurusy et dont ils m'ont obligeam-
ment facilité l'usage.
J'avois réussi à rendre la Table généalogique de la famille des
Estienne plus complète et surtout moins incertaine que celles que
l'on voit dans Almeloveen , Maittaire , Prosper Marchand , Lottin et
autres ; mais un secours bienveillant et inattendu m'a mis, et surtout
dans cette seconde édition , en possibilité de lui donner plus d'exac-
titude encore. Quelques questions que j'avois adressées à Grenëve
sur les Estienne devenus Genevois, m'ayant mis en rapport avec
M. L. Yaucher, l'un des Bibliothécaires honoraires de cette ville ,
je lui ai l'obhgation , non-seulement de réponses aussi promptes
que satisfaisantes , mais de renseignements plus importants que
mes questions, et desquels je n'aurois pas eu l'idée. Le^Registres
publics des baptêmes et des mariages conservés depuis l'an 1550,
par lui soigneusement compulsés , m'ont fait connoître avec exac-
titude des luiissances assez nombreuses et des mariages qui n'a-
voient pas encore été notés, ainsi que leurs dates précises; et ces
uuonnation:â u'onL pas été inutiles pour I historique de ceiUi lamille.
^HJn semblable examen des llegistres du Grouvcmemeiit genevois
^ftéiti^n^ depuis ma prcmibre l'dition , mu doimc sur des incidents
^Belatifsà Henri, et sur InflHire des t)7)e?) grec^, des diHails jusqu'à ce
^■jour ignorés ou dénaturés cl dont l'authentique exactitude ne peut
être mise en qu*^stioii. Cette affaire a été par moi. et dans cette
seconde édition plus encore que dans la premii're, traitée avec quel-
|ue étendue, parce que j'avois à cœur de bien démontrer l'injustice
inculpations mises en avant par des gens qui en coimoissoient la
i, et ensuite livrées à la créilulité des insouciants. Je dois
des remerciements à M. E. F. Kndlicherqui, pai' d'obligeantes
▼éôficationB dans la BiblioLhî^que Impériale de Vietme et datis celle
d'un monastt're de Tune des provinces autrichiennes, a résolu mes
doutes sur une des époques principales de la vie du premier Henri.
I Ce que je puis regarder comme une bonne fortune pour mon Irvre
^MSt la découverte faite en 1840, aux Archivas du Royaume, d'une
^■Ordonnance Royale du mois d'aoiit 1552 donnant mam-levée aux
IKéritiers mineurs de Rol>erl Estienne du séquestre mis sm* les biens
lie leur phe à cause de sa fuite à Genève. Je réimprime en entier
pette pièce importante. (Voyez pag. 319-323.)
I J'espî»re que ces notices, dont celles de Robert, Henri et Paul
bnt Teçri plus de développement que je ne me Vétois proposé d'abord,
n encourront pas le reproche de prolixité ; je n'y ai admis que ce qui
'a paru susceptible de quelipe intérêt, ce qui pouvoit contribuer à
ire apprécier dignement ces hommes si estimables.
n
Après la publication de ce livre . mon âge avancé , mon séjour
lé H la campagne , Join de Paris et de ses secours littéraires , ex-
XVIIJ
AVERTISSEMENT.
cluant tout projet de quelque nouveau travail dont l'heureux achève-
ment eût d'ailleura M presque impossible . je me croyois bien et
dûment afTmnchi de tout serva^je bibliographique ; mais mon éman-
cipation ne fut pas de longue durée. Jamais je n'avois eu la présomp-
tion d'avoir réussi à me préserver des erreurs , omissions , el autres
taches inévitables dans la premifre publication d'un ouvraf^ de celte
nature ; Tidée me vint donc de revisiter ce livre : dans la tranquillité
de ma retraite, cet examen finit par captiver mon attention . et tout
persuadé que jamais je n'aurois à réimprimer ct's pjiges par moi pu-
bliées si tard, j'ai cependant employé quelques années plus tardives
encore, à en décou\Tiret faire disparoître les nombreuses imperfec-
tions. Les principales Biographies dans lesquelles j'avois eu l'appré-
hension de trop m'étendre, j'ai reconnu qu'il y manquoit de nécessai-
res développements. La nomenclature des éditions, il falloit la rendre
encore plus complète et plus exacte. Insensiblement par ma corres-
pondance, mes livres et mes combinaisons personnelles j'ai liiii par
réujiir tant d'augmentations etcorrections de toute espèce, que je suis
arrivé à croire indispensable de reproduire l'ouvrage en une édition
nouvelle assez améliorée pour se substituer tout-à-fait à l'édition
première. Ces années de grâoo qui semblent m'avoir été accordées
pour me mettre à même de rendre mon livre moins défectueux , j'ai
cru pouvoir espérer qu'elles se prolongcroient encore au moins assez
pour faire dans une réimpression l'emploi de ce nouveau travail. Je
me suis donc remis sous presse, et, avec les soins attentifs de Tbn-
primeur (l'un de mes très chers fils), j'ai pu. sons quitter mon
foyer campagnard, dinger à Paris mon impression, dans laquelle
tous soins ont été pris pour échapper le plus possible aux incorrec-
tions typographiques, et qui me semble avoir le mérite un peu rare
d'une netteté élégante, continue, quoique sans prétentions au luxe
tv-pographique. Si l'Imprimeur a convenablémonl rempli sa tâche,
AVERTISSEMENT.
me suis-je bien acquitté de la mienne 1 C'est ce qui sera à juger par
le petit nombre de personnes auxquelles, dans le cours de plus ou
moins d'années, viendra la pensée d'ouvrir mon livre.
Un de mes bonheurs, et qui m'a encouragé dans mon travail . est
la permission que m'a gracieusement accordée Sa Majesté de lui en
présenter la Dédicace.
Mon livre s'achevoît , et cette dernière feuille alloît être mise soiu presse y lorsque
des copies de papiers de Paul Estienne me sont inopinément arrivées de Genève. Ne
pouvant plus les employer, soit textuellement, soit par extraits , ni même par simple
mention dans des feuilles qui toutes sont imprimées, je les place à la fin du volume en
leur entier, et comme je les ai reçues, et j*y ajoute la lettre explicative de la personne
qui a bien voulu me les procurer.
Qtiàm bené, alii judicabunt, magno certè cuin labore.
Pauli Marutii EpiSl. 4, 1. xii.
ANNALES
DR
L'IMPRIMERIE DES ESTIENNE
ËDITiONS DE HENRI.
(anJHRlClJS STEPHAliVS PRllUVS.)
M. D. II.
1. Artificiaus Introductio Jacobi
Fabri Stapulensîs, cum commentariis J.
Clichtovei per modum epitomatoris in
decem libros Ethicorum Aristotelis. —
Absoluta est in aima Parkisiorum Aca-
demia per tolffgangum Hopilium et
Henricum £ftepÂanum in formulariâ li-
teranim arKe socius. Et Invenitur vonalis
in officina cuniculorum juxta scholasde-
cretonim. Die scptima Maii. h. d. ii.
In-fol.
Premier livre portaat le nom de Henri Es-
tienne , qui comment en cette année son
établîuement de librairie et Imprimerie.
Harles, Bibl, gr. III, p. ^, annonce ainsi ce
livre : Ethiea ArutotelU cum commentariis;
il contient les Ethiea, mais en partie seule-
ment, ^r mMium Epitomatis.
M. D. m.
1. Officiarihh ("uratorum, sen Ma-
nuale Educnsis dioces. — PaHtits, per
/fmn'cum Stephanum. m. d. m. In-i.
2. In hoc libro contenta (Jac. Fabri)
Epitome compendiosaque Introductio in
libros Arithmeticoiïdivi Severini Boelhii.
adjectofamiliaricommentariodiiucidata.
(Jod. Clichtovei) Praxis numerandi certis
quibusdam regulis constricta. (Car. Bo-
villi) Introductio in geomotriam brevius-
culisannotationibusexplanata : sextibris
distincta. Primus de magnitudinibus et
earum circumstantiis. Scdus de conse-
quentibus contiguis & continuis. Tcrtius
de punctis. Quartus de lineis. Quintus de
superficiebus. Sextus de corporibus. Li-
ber dequadralura circuli. Liber de cubi-
catione sphère, perspectivae introductio.
insuper Astronoraicon. — Id opus im-
preaserunt Volphgangus Hopiliusei Hm -
ricus Stephanus ea in arto socii in Alroo
Paristorum studio Anno Christi celorum
totiusque nature conditoris. m. d. ni. Die
vicesima septimç lunii. In-fol.
Sur le titre sont les armeH de l'Université,
/V<
IIKNIUCUS STKIMIANrS l'UlMUS. 1504-
.•utouitVs ilr li:,loi»s,îivc<* deux aii[;*s vu
supimris. /s/0. 0**H *^ ^^^ ^'
3. LiBBi Logicorum (Aristotelis) ad
Archolyposr(>co{:aiilic"'nnovisad!iteram
commcntariis. —A la fin : Socundi Klon-
chorum sophisticoruin Aristotelis : et
totius logices {quam et obscunim iiun-
cupavil Organon) finis. — Parisiis ex
officina Volpharujiana (sic) Impensis
Volphangi Hopilii cl Hmnci Stephani
inexcusoriaetchalcolypa arle sociorum.
Annodominisalvaloriâoninium. m. d. m.
xvii octobris. Parisiis. Fortuna opes au-
fprro, non aninium potesl, In-fol. 15 s.
M. D. IV.
4 . Aristotelis Ethica, interprète Léo-
nard© Aretino. — Parisiis, apud Henri-
cum Stephanum. m. d. un. In-foL
2. Jac. Fabri in Aristotelis octo Physi-
ros libros l*araplirâsis. In quatuor ejws-
dem libros de caelo ^i mundo. In duos de
geoerationc & corruptione. In quatuor
libros meleororum. In très de anima. In
libros de sensu 6c sensibili ; de memoria
6t reminiscentia ; de somno & vigilia &
divinationepersomnia ; de longitudine&
brevîlate viiœ. Ejusdem (Fabri) Introduc-
lorii in Physicam dialogi. Ejusdem In-
troductorii in Melaphysicam dialogi. —
Impress. in atma Academia Partsiorum
per //ran'cum Stephanum in vico Clausi
Brunelli è rogione SchoUirum Dccreto-
rum. U Doc. m. d. iiii. In-i.
3. NciPiT lextiis abbreviatus Aristo-
Uïiis super octo libris physicorum et tota
iiaturali philosophia : nnper à magistro
Thoma Bricot Vernantissimarum artîum
atque divine legis darO professore com-
pilatuâ : una oum continuationc textus
magistri Georgii et quoslionibus ejusdem
de recenti ab eodem Thoma Bricot re\i-
sus atque diligentissime omendatus. Et
primo sequiturprohemium abbreviationis
in primo physiconnn. — (Jiicstiones isti;
sex libror. .Metaphysices : nna oum tex-
tus explanationc : pro ritu famatissime
Parisior. Académie : ab Ilenrico Siephtmi
(sic) in prementionata universitate lau-
datissima féliciter impresse sunl- Expen-
sis predicli Henrici Stfphanij lohannis
Petit et DiomjsiiBose. Annoredemptionis
nostre iiij. post mille quingentos. Idtbus
Octobris. In-fot.
M. i). V.
1 . MissALE Educnse (d'Autun) emen-
datum. — Parisiis, apud Henricum Ste-
phanum, in vico Collegii Belvacensis ex
oppositoScholarumDecrclorum. m.d. v.
30 die mcnsiâ Martii. ln-4. gothique, à
i col. fig.en bois.
Une des innombrables notes de Tabbc de
Saint-L^er ni*a appris que ce Missel exisloil
it y a 60 ans à la BibIiollièt|uede la Ville. Ces
livres ayant été employés vers 1797 pour For-
mer le premier fonds de la Bibliotbèque de
rinstitut, j'ai été dans cette dernière pour y
voir le volume. Très exactement enre^stré
dans le Catalogue , il n'a cejM'ndant pu être
trouTé, mal^ une attentive el Ires obligeante
rechçrchc. 11 est possible qu'on le retrouve
plus tard ; mais quand il ne rcparoitroit jamais,
ce seroit malgré sa grande rareté une perle
de peu d'importance.
2. LiBBR eruditionis Religiosorum ,
sex libros complectcns, a magistro Hum-
berto de Homanis quondam genei^li
ordinis pra^dicatorum compilatus, i*c a
patribiis ordinis mtnorum conventus
parisiensis reformatoribus correctus &
impressioni traditus. (]ontemplatio bti
Ansclmi epi super vita Christi. Ordina-
rium vita; religiosic editum a sto Bona-
ventura Canlinali de ordinc fratrum
minorum. — Venalis reperitur in vico
I rx)Hegii Belvacen. E regione Scholœ De-
crotorum, Parisiis arte & impensis/fm-
I rid Stephani noviler n>dactus& impres
150S-6. HENRÏCUS STEPHANUS PRIMUS.
3
sus anno saluti:^ nnstrae h. d. v. die \ii.
mensis Martii. ln-8. 6 8.
3. Contenta in hoc volumine. Piman-
(Icr. Mercurii Trismegiâti liber do sapicn-
tia & polestattidei. Agclepius. Ëjuâdem
Mercurii liber de voluiitate divina. Item
Crater Hermetis a Lazareto septempe-
dano, Poêla Chrisliano, ad Fordinandum
Regem. — Parisiis in oflScina Henrici
Stephani recoguitnribus mendasque ex
officina eluenlibuâ Joanne Solide Oa-
coviensi & VolgacioPratensi Annodomini
Salvatoris. m. d. v. Calendis Aprilis.
ln-4. S 3. 6. d.
Au milieti du titre lont ces douze vers
d' un des correcteurs de rimprimerîe de Henri .
Pftrî Portie Honsteroleniii DodecMtîcon
Ad Ijectorrm.
Accîp« àe Snperi» danteni docnmentx lîbellam :
Sume Hermen, pri*ra rellî^one rintin,
Hermen Thraicitia ^nem noD ie(|DiiTerït Orpheni,
El quem non proie* CalIiopH Lânps.
Zamolxto sDfMrat cnm CecropioKnntolpo,
^09 dÎTÏailoqaoa fama vetosta protut.
l'ti!î«hïc liber eatmnodi fa^icntiliiu orobram,
Vera qnibns Incia lamina vcri placent.
Hicquid sitdiicesrcraiapiralia, tommapoleatia :
Hic poteris summi di*cerc Telle Dci.
loaupcrinTenies pleoutn cratera liqaore
Neclareo; miniiui,qai« tibi, leclor, emvs.
VAtl.
A la Bibliothèque Royale, sur vélin, avec
initiales en or et coloriées.
i. Decem librorum moi^alium Aristo-
teïis, 1res convereiones : Prima Argyro-
pyli Byzantii, secunda Leonarcli Aretini,
tertia vero Antiqua, per Capila & numé-
ros conciliaie : communi famitiarique
cemmentario ad Argyropylum adjecto.
Ex secunda recognilione. — Au verso
du titre : Hec opéra hic continentur : ad
invicem hoc ordine conciliata. Primo de-
cem libri Etbicorum Aristotelis ex tra-
ductione Argyropyli Byzantini. Com-
mentarius in eundem. Secundo Magna
Moralia Aristotelis Interprète Géorgie
Valla Placentino. Tertio. Dialogus Are-
tini ad Galleotum. Quarto artificialis in-
Iroductiopermodum epitomatisin dcceni
lihros pthirnrum Aristotelis. Qiiintn. De-
cem ethicorum Aristotelis c\ traductione
Leonardi Areiini. Sexto, lidcm ethico-
rum Libri Decem e\ antiqua traductione.
Omnia uno volumine comprehensa. —
Et absoluta sunt impensis, sumptibus ,
& diligentia Henrici Stephani , in almu
Parisiorum studio. Anno ». d. v. diov.
mensis Augusti. In-fol.
5. Jodoci Clicbtovei Neoportunensis
Introductio in terminorum cognitionem.
— Parisiis per Henricum Stephanum.
M. D. V. In-i.
M. D. VI.
1 . In hoc libre contenta opéra Hugunis
de sancto Victore. De institutione Novi-
tiorum. De operibus trium dierum. De
arraanims. Delaudecharitatis. De modo
orandi. Duplex expositio Orationis domi-
nicse. De quinque septenis. De seplem
donis SpiritusSancti. Petro Porta ipsius
operis rocognitoresedulo : Edenle Jodoco
Cliclitoveo. — Parisiis per Henricum
Stephanum. Anno h. d. vi. die xii. Oc-
tobr. In-i.
2. Practica electionum & postulationum
a magistro Guiliermo Mandagoto subti-
titer composita xxv. formas instrumen-
torum in ea re nec«ssariorum continens.
— Pariftiis per Henricum Stephanum.
Anno satutis. m. d. vi. In-4.
Jje titre de Texemplaire sur vélin de la Bi-
bliodièque de Sainte-Geneviève, dont voici la
copie rectifiée sur l'original , n'est pas con-
forme à celui qui vient d'être rapporté, el
que j'ai pris à la Bibliothèque Royale sur uii
exemplaire en papier de cette même édition.
Bilandagotus electiiHium praxim : et for-
mas. xxT. instnimenlorum ea in re necessa-
riorum ante oculos ponens. Annotatiunculis
non paucis ad glosas adieCtis.
Hexasttcon Correclorii.
Mandacole bri^reit per famam crederia annos
Kxtcndiitte : Icvî dana bona inaltn lïbro.
I'iEni<*oin putrril innjinnni virtiitc rolitiiirn
i
IIKNHICUS STKPHANUS PRIMUS. i506-7.
Ac h^prrioneQni sincère lucc jutiar. [}(itarc :
Snhyax Dora non polis rat toi PuigmaU prec»-
Quod valet Edipua hic aolvere rfeilaleu*,
Wnuntlalor îa rien dirî Jacobi ad signum Pellî-
rani.
Ces vers ne font pas gi-and honneur aux la-
lents poétiques du correcteur-éditeur dont ils
MHit l'ouvrage.
Au verso du dernier feuillet est cette sou-
scription :
Expticit practica electionum & poslulalio-
num magislri riuîilermi Maiidagoti : Archi-
Jyat^ni Nemausensis , & postniodum Ebre-
dunensia archiepiscopi : ac sacrosancte «ccle-
sie Romane demum Cardinalis : Fer t|uant
fide docetur oculata modus eligendi & pos-
lulandi prelatos. Quinque & viginlî formas
|Kinens instrumentonim : in hujus modi ex-
pedîtionibus necessariorum elimatissime îm-
pressa Paruiis per ifenricum Stephanum e
regione scbole Decretontm : sumptîbus & im-
peiisis lioucsionim virontm fit fratnim Engel-
brrfi & Godffridi de Mamrf : hahitanlium
in vit» divi Jacohi ad signum Pellicani.
Anno salutis. m. o. vi. die xjct decembris.
Tout le volume est hérissé d'abréviations
que je n'ai pas cm fort utile de reproduire et
figurer dans ces citations.
3. ÀRTiFiciALisIntroductio per modum
Epitomatis in dcccm libroâ Ethiconim
Ariâtotclis, Jacotn) Fabro Authore, cnm
Clichtovei Commentariiscxsecunda rc-
cognitione. — !n atma Academia Parisio-
rum per Henricum Stephanum in for-
muiaria literanim arte opificcm h. d. vi.
Viccsima tcrtia Febniarii. In-fol. 5 s.
Avec quatre ver» latins de Bealus Rhe-
nanus.
Accip« moralcm lector aladioao librllum :
Qoi breribai facilcm panJtl ad alla viam.
llDacneusingcima uupcr Clicbloveni irte
Aaxit: anbnecteiu uptima quirqnc. VàLK.
4. Co-TTEvrA. PoUticorum libri oclo.
Commentarii. Economicorum libri duo.
Commenlarii. nccalonoiniaruni tibri scp-
tem. Economiarum pubticarum unus :
Leonardo AroUno inlerprote , cum corn-
mcntariis Jar. Fabri. ExplanatioiiiâLeo-
iiardi Aretini in (pconomica libri duu. —
Apud Parisioiiprîinaria supcriorum opc-
rum oditio typis Httsoliiia prodiit i'\
oRictna Henrici Stéphanie regione scholc
decretorum. Anno Christi cuncUi guber-
nantis h. u. vi. Nonis Auguâti. In-fol.
Cette traduction latine est de Léonard
d'Arezzo (Leonardus Aretinus) ; les Commen-
tair», moins le dernier (Explanatio) sont de
Lefebvred*Etaplcs(JacobusFaber). Les cor-
rvcteurs-éditeurs sont P. Porta, déjà nommé,
et IWatus Rhenanus dont six vers latins ter-
minent le volume.
L'exemplaire sur vélin de la Itiblîothèque
Royale contient en 178 feuillets tout ce qu'é-
nonce ce titre, mais il n'a point le premier
cahier qui se compose du litre, d'une pré-
face ou dédicace de J. Lefebvre au card. Bri-
çonnel, datée au bas M. O. V. et d'une ta-
ble. Le litre seul manque dans l'exemplaire
sur papier. Tous deux Gnissent sans autre in-
dication que la date de m. d. vi. précédée
d'un registre et de ces mots : Recc^itoribus
iu officina q accuratissimc Petro Porta et
fieato Rhenano.
Beatus Rhenaons.
Prflap«ra ait conclïa lax tert]: qDatert^i beat*
(jua mudo Polïticna prodit Ariftatelea.
Proditetocunoniis p^r lempora longs probandua
Cum amcquem ««quitar ic^rTcr ip«« Plat».
Krf!^ ijuibua civea ac jura aficeirinia cnre
ilos Irgitule anima randîdiora libros.
V A I.KTE
M. U. Vi.
M. D. Vil.
4 . EPISTOL.E Apostolorum & Apoca-
lypôis. — Pariaiii , per Henricum Ste-
phanum. m. d. vu. In-8.
2. TiiEOLOGiA (Joanniâ) Damaâceni .
sive Tractatus quatuor, scil. de ortho-
doxa fide seu inef&bili divinitate : do
creaturamm genesi ordincMosis : de m
quac ab incarnatione usque ad reiîurrcc-
tionem : de iiâquœ post resurrcctioncm ,
usque ad universalem resurroclLonem.
Latine , inlerpi^te Jacobo Fabro Stapu-
lensi . — Parisiis , per Henricum Stepha-
num. M. D. vil. dio \v. Aprilis. In-4.
A la Ribliotht'que Royale, sur vélin, avec
iuiliales eu or et couleurs.
im^. UENRICUS STEPHANUS FRIMUS.
5
"J. CoNTsnTA. Guilhdfnus FariaieaâiB
de Claustro anime. Hugonis de S. Vie-
tore de Gaustro anime libri iv. (cum
Prœfatione JodociClichtovei.)— 'Ëxcudit
Henricus Stephanus^ industrius librorum
cfformandorum artifex. in ôfficina sua e
regionc schole decretorum sita. A. D.
M. D. vïi. décima septembris. In-i.
4. Textus de Sphcra lohannis de sa-
crobosco cum addilione (quantum nece»-
sarium est) adjecta : Novo commentaHo
nuperedito ad utilitatemstudentiumPhi-
losophice Parisien. Académie illustratus.
Cum compositiono Annli Astronomici
Boni Latcnsis. Et gcometria Ëuclidis Me-
garensis. (Cum Prœfatione Jac. Fabri
Stapuiensis). — Impressum Parisiis in
OSicina Henrici Stephani e rcgione
Schole decretorum slta. Anno Christi si-
derum cooditoris m. d. vu. Docimo. die
Novembris. ïn-fol.
Je doulois de l'existence de cette édition
(|ui ne m'étoit garantie que par le témoignage
t|uelquefois léger de D. Clément; mais elle
existe à la Bibliollièqued'Abbevilleoù jel'ai
trouvée, u" 9S8S de son Cata)<^ue, que Tau-
lorité municipale a eu le bon esprit de faire
imprimer, non pas comme luxueux monument
bibliographique , mais pour Tiitilité de ceux
qui aurotent à recourir à celte Bibliodièque
beaucoup trop dépourvue encore de bous li-
vres modernes usuels , mais où se trouve un
certain nombre de ces livres anciens, qui
chaque jour vont se détruisant et s'ensevelis-
sant dans l'oubli , au grand regret de ceux
à qui il pourrait quelquefois être utile de les
consulter. Ce Catalogue rédigé avec exactitude
par l'estimable biblioHiécaire M. Louaiidre,
a ses titres assez explicatifs pour bien dési-
gner les ouvrages , mais fort abrégés cepoi-
dant, aGn de ne pas le rendre inutilement vo-
lumineux. Il forme deux minces volumes
in-S, 1886-37.
M. D. VIII.
I. Jacubi Fabri Slapulensis lnIro<luo-
tiunculainpoliticaAristotelis; & oecono-
micum Xenopbontis a Rapbaele Volater-
rano translatum. — Parisiis ex ôfficina
Henrici Stephani e regione Scholarum
decretorum m. d. viii. Quarto Calendas
Octobris. In-fol. 2 s. 6 d.
Sur le litre qui n'est pas rénfmcé précé-
dent, mais une table des matières à S colon-
nes , on lit en latin : Volgatius Pratensis
loanni Soiîdo Craeoviemi tatutem D.
Apud hospilem tuum Heniicum Stephumro
in cujus ôfficina divei^or : comperi manu Uia
exscriplam in politica Aristotelis introduc-
tiimculam. Insuper & Economicou Xeno-
phoQlis. illam i comrouni preeceptori nosiro
Fabro trïbuis. hoc cuidam Raphaeli Volater-
rano. ut qui ex gneco latiiiuni fecerit
visum est ut iila publicarem & primîtias nos-
tre compositionis ad le mîtlereni. ut vel sic
inlelltgas : ueque iabores tuos quos in illis
scril)endis suscepisti periisse , neque me fri-
gide in novo opitîcio (quod deo opilulaute sus-
cepi prosequendum) versari.
M. D. IX.
I. QuiNcupLEx Psalterium. Gatticum.
Romanum. Hebraicum , Vêtus. Concilia-
tum (cum praefalione J. Fabri). — Ab-
ëolutum fuit hoc quincupitcis Psallerii
opiis in oœnobio sancti Oermani prope
muros Parisienses anno a natati Christi
domini 4508. Et in darissimo Parisio-
rum Gymnasio ex chalcotypa Henrici
Stephani ôfficina, è regione scholarum
decretorum emissum anno ejusdem Chris-
ti salvatoris omnium 4 509. Pridie Calen-
das Augu^ti. lUi igitur qui absolvere &
absolutum in publicum emittere dédit :
laus & graliarum aciio in secula seculo-
rum Amen. In-frf.
Sur vélin à la HibliothèqueBoyale. Acheté
chez Mac-Carthy, 400 fr.
Très bel exemplaire; c*est celui qui fut
présenté au cardinal Briçonnet, dont les ar-
mes sont peintes sur le litre, et sur le premier
feuillet du texte. Il doit en exister encore
hois autres exemplaires.
IIENHICUS STKPIIAMIS PRIMUS. m9-\0
Cette réunion de cinq versions latines du
Psautier a quelquefois été crue une édilion
l>olyglotte, erreur que n*a point faite M. Bru-
uel qui y ajoute couvenablemeut le mot
latine.
CaUicam est la version alors adoptée dam
les Eglises de France. C'est la seconde de
St.-Jérùine(artuelleraeDl nommée laVul[;ate),
par lui faite à la prière de Paula et d'Euslo-
cbius : Romauum* celle qui sechantoit i Kome
et dans les autres c;;lises du rit romain : ffe-
hrœum est la version faite par le même St.-Jé-
ràme, [aJ petittonem Sophronii) et suivant de
plus près l'hébreu. Fétus, la plus ancienne ,
nommé*! aussi /<!!& F'etuSf ut celle qui étoit
le plus géoéralement adoptée avaut celle
dé St.-Jérôme; et enfin Conciiiatum est le
Psautier GaUicum corrigé en quelques en-
droits pour le rapprocher du texte hébraïque,
ou pour en améliorer la diction.
Cette explication est donni'e par l'éditeur
J. Lefehvre, dans son épiire ou dédicace au
Ord. G. Briçounet, mise en tète du volume.
Les trois premiers textes sont en trois co-
lonnes, et font le corps de l'ouvrage ; les deux
autres viennent à la suite, en deux colonnes,
el en plus petit caractère : l'impression est
Iwlle, eu rouge et noir.
Le volume commence par six feuillets con-
tenant le titre, la préface, les trois prologues
lie Saint-Jérôme pour les trois versions qui
Mmt plus ou moins complètement son ouvrage,
et deux tables des Psaumes. Daiu la réimpn*s-
sioo de 1513 les pièces préliminaires sont plus
nombreuses et .occupent douxc feuillets , y
compris celui du litre.
La Caille, p. 78, et quelques autres d'après
lui, croient qne l'impression de ce volume
av'tit été commencée dans l'abbaye de S. Ger-
main des Prés; nuis les mots absolution opus,
qui d'ailleurs n'ont point cette signification ,
<Hit rapport à l'arrangement et combinaison
du livre, et point à son impression.
i. RicoLDi. Ord. Praedic4il. contra
MCtam nuitiiimelicam libcllus. Por Bar-
Uiolomactini Picernum o graecu in lati-
num convcrsus. Ëtcujuâdam diù captivi
Turcorum provinciae seplem Castrensis,
de vita et moribus eorundem libetlus. —
Impres. Parisiis in oflBcina Henrici Ste-
phani è regione scholarum decretonim
sita ÀnnoChriâti Dci persan^inein Te»-
tamenti sui & Evangelium œternum ubl-
quo credendum et vcnerandum Salularis
oostri M. D. viiii. quarto Cal. Dec. \n-i.
A la Bibliothèque Royale, trois exemplai-
res imprimés sur vélin : le premier présenté
à Louis XII, eu 1510, par Guill. Panry (Petit),
son confesseur. Il est orné d'initiales en or et
couleurs.
Le ucoad vient de la Bibliothèque du Col-
lège de Navarre, et le troisième de celles de
La Vallière et de Mac-Carlhy où il fut payé
100 fr. Il est plus grand de marge que l<^
deux autres.
Dans le Catalogue très bien fait des livTi»
imprimés sur vélin qui sont i la Bibliothèque
Royale, par feu Van-Praet , de regrettable
mémoire, à la date du second exemplaire on
lit 15R9, et 1503 à celle du troisième , mais en
sont de simples fautes typographiques, lout-à-
fait sans conséquence , et ne (rauvant être
l'occasion d'aucune méprise.
3. Co8MOGRAi>HiA Piï Papœ in Asis
•V EuropsB eleganti dcscriptione. Asia
historias remm ubique gcsiarum ctim
locor. dcscriptione complectitur. Europa
tcmporum autoris varias continet histo-
rias. — Impressa per Henricum Stepket-
nwn impressoretn diligentissimum Paru-
siis è regione scholaï docretorum , suoi-
tibus eiuad. Hmr.et loh. Hongoti vi. Id.
Octobr. M. D. IX. In-i.
Celte compilation est de Geoffroy Tory,
de Bourses , qui peu après fut libraire . et
auteur du singulier et savant livre Le Ckamp-
Pltury, 15», in-4.
'Maigri l'adnptîoB ubligéeda lextr d« la Vol-
gate, le iiaiBt->Sif|rc m codIÎdd^ dans la Chapelle
AislÏBc l'aaage dr cr i*êall*ri*im Romanutn
«loainae «tlilion Faticant. de 1593, îb-S, a été
pajie IS ItT. lu «li. à m» vrBir aMiBf, faite à
liMdrea, m IHJH.
M. D. X.
\ . loAN.ves Major in primum Senlen-
tiarum. — Impressum H cxaratum entt
hor opiis Pariww per ihnricum StepHa-
1510. HENRÎCUS STEPHANUS PRIMUS.
num impen&is honeslorum virorum lo-
doct Badii Àscensii, loannis Parvi et
magistri Constantini Leporis Anno do-
mini millesimo quingenlesimo decimo
die apritis penuttimo. In-fol.
2. Egregii Patris et clari Theologi
Richard» quondam devoti cœnobitœ
sancti Vicions juxta muros Parisieiises
de superdivina Trinitate Theologicum
opus Hexade iibrorum distinctum , et
capitum xv. Decadibus. Adjunctus est
Commentarius. — Hoc opus composi-
turafuitin cœnobio sancti Germaniprope
muros Parisienses anno Christi salvato-
ris M. D. X. & emissum in officina Hen-
rici Stephani eodem anno Christi Domi-
ni, mensis Julii die xi\. !n-4.
L'éditeur «I J. Lefebvre, Jac. FaherSla-
puUnsis; et par une pièce de ver» de Michel
Hamelbei^ placée à la fm du volume, et qu'il
adres^ à healus Khenauus, on voit que la
mise en ordre^ collaùo^ de cette édition est
soD ouvrage.
Sur vélin, à la Bibliothèque Royale, ve-
nant de La Vallière et de Mac-Carthy, payé
140 fr. à la vente de ce dernier.
3. Bernonis Abbatis LibeUus de offi-
cio missae quem ediditRhomse. Sacer-
dotes studiose leganl. — Pàrisiis ex offi-
cina libraria Henrici Stephani anno
Christi Salvatoris , qui est Altaro , Vic-
tima, & Sacrificium nostnim, Super-
benedictus in secula seculorum. u. d. x.
Nono Cal. Decembris. In-4.
4. LiBRi Logiconim Aristotelis , Boetio
Séverine inteiT)rete, & Paraphrases in
eosdem cum adjunctis adnotationibus «
ordinatore I^cobo Fabro Stapulensi ; ex
seconda recognitione. — Pàrisiis in offi-
cina Henrià Suphani u. d. x. Quarta
Aprilis. Fortuna opes auferre , non ani-
mum potest. In-fol. 15s.
La première édition, par le même H. Ës>
ti^ne est de 1503. Les premiers Imprimeurs
laisHoient leur premier feuiliet toot-i-fait blanc
alÎD que chacun pût à son gré y faire écrire,
desûner oo peindre. Peu après on Mmgea i
imprimer sur ce premier feuillet un intitulé
qui d'abord étoil fort concis, et quelquefois
en un seul mot. Comme tout se perfectionne,
il vint ensuite à l'idée de faire sur celte page
d'entrée une manière d'annonce de tout l'ou-
vrage, soit en un long sommaire, soit en u»
emphatique panégyrique, et c'est ce qui a
été fait eu tête de ce volume dont le verbeux
encomium ne mérite vraiment pas d'être
transcrit. Le bnu goûta toujours fait justice
de cet ex|H>dient quelquefois encore employé,
mais qui n'a Jamais manqué de paroître ri-
dicule.
5. In hoc opei% continentur totius
Philosophiae naturalis Paraphrases : ad-
jectis ad literam Scholiis declaratse &
hoc ordinc digeslaî. Introductio inlibros
Physicorum. Paraphràsis octo Physico-
rum Aristotelis. Duo dialogi ad Physi-
cos lib. introductorii. Paraphràsis qua-
tuor de cœio £c mundo completorum.
Paraphràsis duorum de gencralione &
corruptione. Paraphràsis quatuor metco-
ronim completorum. Introductio in libres
de anima. Paraphràsis triunri de anima
completorum. Paraphràsis hl)» de sensu
^ sensato. Paraphràsis libri de mcmo-
ria &: reminiscentia. Paraphràsis libri de
Somno St Vigilia. Paraphràsis libri de
longitudine & brevitate vitse. Introduc-
tio Metaphysica. Dialogi quatuor ad Me-
taphysicam Introductorii ; (Authore la-
cobo Stapulensi cum ludoci Clichtovei y
ipsius discipuli, annotatiunculis.) — Ex
officina Henrici Stephani. — à la fin : In
Aima Parhisionivi Achademia per Hen-
ricum Stephanum e regîone schole de-
cretorum commorantem. Anno Christi
piissimi Salvatoris entis entium summi-
queboni s. d. x. vicesima secunda ()c-
tobris. !n-foL
6. Decem Iibrorum moralium Aristo-
telis très conversiones. ( Haec opéra hic
continentur ad invicem hoc ordinecon-
ciliata). Primo, Decem libri ethicorum
Aristotelis ex traductione Argyropyli
Byzantini cum lacobi Stapulensis com-
mentariis. Secundo, Magna Moralia Ari^
totelis interprète Géorgie Valla Placen-
Qiijnn lioiu^ nlii judM'Abtinl, innfinn rrrlôf-nin lulioro.
P\( i.i M\>iTii K|»ist. î, I. Ml.
I. AATiricLiUR Intrfxliictio Jacobi
Fabri Stapulroîiig. nim rnmnienlariis J.
ClichU.ivci iKT niiMJuTii i')>Uuii)atons iii
dwcm librits Ettiirornin AriïilDlHis. —
AbâoliiU e^t m almu Parhisi<*rum Arti-
dcntiB pcT yvtffijimtjum IlopHium ol
Utnricum ^^p/iunuiii îii runnulnrii) li-
ternrutn atle sucius. Kl Iiivoiiiliir \rtiulis
m ollk'fnai'uniriiloruni juxU ^choltisdo-
crt'loruDi. Die scpUnm Mati. m. u. ii.
In-fol.
Prcourr Um* portant le nom èc Henri Ea-
lirtinr , i)t)i i-nmnicnra en cetlc aiuiêr >o»
f^nliluH-nti-iii df UlirMirii- rt Inipriuierif.
Hurlri. BibI, {;r. III, |i. 3.*^, antioarr ainsi et-
Ii\rr : Etlticn tnstotrltt ctim corami-ntarih;
il coalieitt Im Ftfùca, tnaû m |>.irli4- »rulp-
mmr» /v/- flTdf^jfn Epitomntn.
M. D. m.
1. OmruMM'M rurflUimni, o4>ti Ma-
nualp Rluonsis tlmrM. — ParisiiK, por
Henricum Stephanuvi. m. d. m. In-i.
2. N !i(v libro rnnlrnU» iJ&c. Fabri.'
EpitUTnt* ('oinp(*m])o<>:i((ut* liitroilurtio in
lihros Arittimotic-(js(li\i S<'vcrini U(M'thii.
mljorLoramilJariromiTipntariodiliiridata.
(Jik!. Clidilnvrij Pra\is tiuinrniridi citUm
ijin"l^i]*<iaiïi rp'i^inlisronstricta. (Car. B<v
villi) Inti'KÎiK-lio in jicoini'triani breviiis-
cutisaniiulittiunjhnsexplanaia : -^xlibris
(fistinctiL Priinus de inaKnituiJinibus (*t
eiiruiii tircmnstantiis. Srdtis dp conse-
quiL'nlibn.< lonlitîuis & continuis. TcrLius
de piiiit'tis. (Juarlusidri linns. QuiiUu^de
suporticietms. S^xlus de corporibus. Li-
bor d<»qiuuiratiiranrculi. Liber de cubi-
faliotie irpliere. [wn>i>cftiva' introductio.
Jnsiijier Aslronomiccm. — Id njnis im-
presfciorunl Voiphgangus tloptUituei lim -
rirus Slrpfumus ej» in arle socii tn Aimi>
Parisiorum sliiilio Anno Qiriitli rolonini
tutiuMiuf' iiutui-tM'uiiditons. M. i*. m. Oir
vii'tsnna si'pliniii liinii In-fol
Siii le iilre Minl \p* arniM dv rVniveriilé,
!ii:mucus STlCPriAKllS miMlTS
ciiinirurs lI>' Ironie. im' il' ii\ aug!» «I i Ml priitu:' pfiysJt'uriJfrt, — yiJf^jitiDnf^i tsio
Mii.unir.s. A/C' o^h*^ "^^ ^' ^*^* iil>rnr. Melapliyjiicc* : nmi ruiii le\-
, . , , . ,. , „. liii eiplanatioiie : pro l'ilit fntunliï^mic
t I iiiiii Ln^inintiH ' Ari>l*>le!is] au „ . .' , ■ - i i» ^ t*
.t i.iiiiM I, ^Hi iM, ii.iJ«™ ' '«^"'■'^"■"■■Acatlf rtitL/Zr-fir/mV-
AlvlH'hlHi^nri-Linilifl lr^^i^^MlUIWHm , ._ , .:.,....,^ ...,;. ..^;...
(■omiiu'nïiirii- — I '*'/'" ^ Sivundi Eleïi-
ilinrmn -n|ilii-liriitiiin Vii^liilPlîs : Gt
tntius 1<»jj:ic<'> liuuth cl nh^sCiirum nun-
— iUiriiiis ev
cupiivil tti-;iinm liru>
iiu'xcusiiriiiil !-!»!i|niU|in iiiîc;
.\nmMl(iiLiliiis;ih;»linf^i»Miliil!lïl.
wii lu-Idlirk. l'nt-f^n''- l'fntiina
t'iTic, nun iimmuiii jM»lr-l. Iii-lol
M. U W
1. Aristiiti'li- Kîhifii, înli-rpl
luinli) An-lrno, — l^uifiU'i. ;i[»u
.■:'îN Stritltuimm. Si. h. mt- 1ihi«..
2. .Im-. Failli in Aiistok-lis oclo l'Iiysi-
los liliros l*;ini|iinasis. In i]ii:au(ir Cjiis-
(Ictii liljrusdi' c-i'loi^ iiiniKln. ht litios lic
iitMicrationi- ^ nnniptiuni'. lu qtialiinr
iiliros iiiclodriirnin. In tns de anima. In
lilnus (li'MMisn 'V MMi-il)ili; lit' im-nioria
N: rciiiinisrciilia ; lic sinniid iS: \ii:ilia N
(liviiuilioiU'piMSoMinia ; lic l(iriL:ilmliin'\
|in'%ilalr vila*. KjnTidi'TnfKahri. Inlroiim--
t(nii in IMiysicani iliali»i:i. Kjiisvh'tii Iri-
Iruiluftinii in Mi'lapliysii-arn ilialuiri. —
ltnpie>s. in aima Aradt'nna hmsinruiii
piM- Ururiruin Sli-itluintiiti in \i('(»riansi
hrunolli i' rruinnc Selioiarnin Dinrcto-
riini . 1 1 iH'f. M. 1). iiM. !ii-i.
;t. In(.ii'IT U'\tu-i ahl:n'\i;itii> Aristo-
Iclis snptT oeil) liliiis plix^iionini el t^la
iiatiiiali philosnphia : nitpcr à înai-ir-tiip
Tlmnia Uriml Vcinanli-simaïuin arlium
iilipic iii\ irn' l)*'^is vUivd ptufi-'-iuc coni-
pilatus : una l'urn r<tnliniiiili(iiii' ti'xliis
inaizistri (ifori^iict qiu'>ti(iiiil)us cjuxlctn
(le i('{-cnti alMMi(i<'ni Tlinma Hricnl r('\i-
siis alquc (lili:4('titi>>iint' rnii-nilahis. i;i
lninios(Kjuilurpniln'niiuiii alil)ic\ia(infiis
_. .. _ Sffplmm
(sic] iiL jïhpnu'nlionfila uiii"i.rrsil:ilp lîm-
d»Uîi>iiiia fcliriIfT îiiipnss*'^!»!. E\]ihii-
sis prt'ilii'li Ururtci ^irjthtnu, titïuwHt»
Prtil H Dhuynïï iUisf . AiiuoreJi'Ujjilicioi*'
ncwfrn iiij, p<wt iiiillr<ii|int!tMiU)à, Itirbut
-'^«"'-^ii^, Ifi-ful.
M, lï. V.
ttJsaALE F^nt-n-^o (iI'Aiildn) vuum-
u — i'an'siVT, iipiid Hrmttum Ste-
mt. in vini C.olIcjîM Ik^lviiccnsii»! ex
EloSclt^tnriiEnLïtici'i^Uinimi, v, n. v
^ Miuiiiiïi!? Murlii. ïn-i. ^otliif^ui*, a
T 'ru' (It's iiinoiiil)rnlil4'S notes de l'aMw- «Ir
' S;iiiil-l.ri;iT m'.i ;i|i|tris (|m')v Misst'l <'\i>loil
' il \ :i Citl ans a la l'.ililii)llif(|iic(l<- la Villr. Ca->
I lixii-. a\aiil v\v cinplcus \ri's 171)7 pour lor-
iiur l<- jircniU'i' |i>iiil> lU- la ]til>linllK'i|iir (l<-
riiiNlihil, j'ai rir dans rv\lr ilcriiii'iv |»(nir v
I \(ui- le xoliiiiic. Tti"' fxartrilH-nt (■iii('^i>hi-
dans )r (■a1aln:;nc . il n'a ri-[nniliinl pu i-tn'
ln>ii\<'. ni.d:;if ntn- aUriih^crl n-f"- i)lili[;t'an1t'
' H'clinrlif. Il i-sl |Kissil)|t' qn'nii li- tfti-(Ui\c
' |t|nslai-d; niaistpiand i1ni>n-|)ai'iiitrni1 janinîs,
Cl- ^^■t■(llt ii)ali;i«'' sa i;tandi' rari'lr une prrh*
I d(- prn d'imptirtaiirc
' 2. l.iKKU n iidiliiiiiis HuliLHosorurn ,
! sc\ liluds (-(impliitcns. a ntauisiro liinn-
I JM'itit do IliMnanis ipMuidani irniorali
' ni'dinis pra'diciilnrnnt riim|iila)ns. \ a
palrilxi-s iirdinis minoiitni conxcnliis
par i-i('n>is icfin niaturdius iKrroiMns t\
inipr(>T->inni tiadilus. (liinU-mpIatid liti
Anx'hni fpi ^iipcr \ ita (".liriMi. Oriiiiia-
I ritiMi \i(a' rfliuMi>>ii' cdituni a sto lioiia-
I M'nlirra l'.ardinali do ordiiu' iralrum
niindiiiin. — Vriialis n'|M'iitiir in \icit
I r.oll('i;ri Hi'haicii. 1-! rciiionc Scluila' Di'-
I ncloiuni. l'an's/is aile <S: iinpnisis //'■»-
( iiii Strfihiitu' nt}\\\t*f rt'dactus^ iniprcs
1305-ii. HENHlCrs STKPIlANnS l'HIMUS
ittiiiio sHluti>it'>t>lrii.* M- i>. V. die\ii.
I8i'> Martij. In-H. Os
(>)NTEVTA in hoc voluniine. Piman-
'rier. M<*lVlJ^^T^^!ilnPi!l^li liber d<'*apien-
lia A^ |wl«<!itatu (Ici. Ai^-tt^piuà. KJusdcm
Mercurti liber de voliintiilc divina. I*eni
OrtlfT Hemiolis :i Lazarelo spplenipe-
dnno, P(>c(a r.hnstiuno. ad PcrdiruiiMltiiii
Repît'm, — Pnrisiis in olUrinn Nenrivi
Stephaiii iof()i;iiilnribu> mendai^iuc ox
titriciiia l'Iuenlibuà Jmtnnc Solido (]ra-
coviettsiâ Vol^'UciûPral«tisi Annodoruini
ÎMilvaLori». m. n. v. Culcndis Aprtlis.
la-l. î $. 6. d.
Au niiliru du lilrr «ont n* doiu<> \cn
il'uo ilt^corrccleunde rimpniuei'iede Hearï.
Pvtri Pvrliv Monitrr>*1riiiÎ9 Dvilrcafltcotl
Ail l'Trlumii.
Arcipo di>.S<i[irri»i1«ntffn> iIiM-iimrnli tibollmii :
Sump Hfrmrn, |*ri«ra r«lli(^ooc> vifUin,
tlpriDpn Tfif^iciti» <|nrii> non irt|0*vrfit l)i|ilif«»,
Kl tform nwii (irulri Calliopf* l^riuii.
X^tnaltid niprrsl ctini Crrrofi'') Kotnulpn ,
^hin» dirinilm^nn* f^in* vririita prolial.
l'titi* htr lilnir rat mntiili lui^iriihdiu iimtiTain.
||tr«|niij 4ild)tC»*TrrmMpimria,»Ui>ii(i«|,t>lN{M :
Ilir polcni •usimi ilitcerv iclle IVi.
luAupcrtnTenirK plL*iiiini cralvia lii|iti>r«>
Nci't«rru; miDinii,(|H<i! libi, Icctor, rinr».
^ ttK.
ji lu niblio(hèi|uo Kayak', Mir véUn, a%rc
iniliales m or ri roloriécs.
i. nfctiF.M lilironiih iDuratitim Aristo-
tclis, Lnv ronvprst(mp4 ; Prima Arçyro-
|)>li By/unlij, MViiiida Luominli Arelini,
lertia vtTO AnLiipm, per (!apila A. uutnt'-
rus (i)iiciliati* ; i-omumni faiiiiliuri'iiui*
L'^iuimeniario ad ApKvmpyliini adjwlo.
Ex sccunda rw<>'^nitionp. — Au rtrun
du titre : llt>c opt'ra tiic rnntinontiir : ad
tnvirom hcx-ordinocom-itiata. Primo dtv
t'ptn libri Elhiconiin Aristotolis bx tra-
duttionr Arj^yrapyli Byzuntini. (!oni-
ini'iiiariuâ in inindem. Sivuiulo Magna
>lunilia ArisloU'lia Interprète Geonrio
\ alla IliH'fnlinu. TtTtio. iHalogws Are-
lini ad iiullculiiii). (Jtiarlo aililU-ialis in-
LriHluL'tiu|wrtn(.KliiMi oplluinalisiii di<cein
librcvi t'thirnniiti \ri«iloMiri.Qiiinln. IH'-
<'Ctn cthirnnnu Arislololis r\ Iradiictiniir
Loonardi Aretini. Sr^xlo. lidi-ni cUiini-
rum Liliri [lt.TtMiu'\.anti(|iia (radiiotiono.
Oiiinij uriu NuliiaiiiK' ofnipn'tioii<^i. —
Kt at>soln(a itunt iniiH^n^ls. !iiiinptibuâ .
^i dlb}ii*nlia llenrici Sttphai, in alnio
Pariaiorum studio. Anno m. u. v. diov.
ineui»iâ Au);u$li. In-rul.
n. Jodoci i'iichlovei Nooportunonsis
Intnxbit-tiu in leniiinonnn rupiitiononi-
— I*arisii» jwr llenrivum Stepluinuii*.
M. u. V. 1(1-1.
M.n.vi.
:
t \s hoc tibro L'untcnta upcru llugonid
de saïu'to Victort?. Ik» in^ititutiono Novi-
liuruni. iKr 0[iiT(|jus trium diLTiini. De
iinanniitKL-. iKilaiidodiarilalis. De modo
orundi. Duplex e\|)OKitiu Cïratiflnisdonii-
niot^. De <]uinque î<eptenis. De f«plen)
dunis SpiriUisSancti. Petro Porlii i|>siii.<
o(>etis roi'oi;niloresedulo . Edcnle Jodot-o
nirlilo\eo. — PQrisiis per llenricum
Shfihanum. Anno m. u. m. die \ii. Ov-
lohr. In-i.
t. Praclicaelei'lionuniN poslulallonuni
u niagistru Guiliernio Mandagulo subti-
liter compoitit^i \xv. fumias ins^nimen-
toruni in eu tv neoessiiriorum eijnliiiens.
— Pariftux lier Henn'cum Stéphanum.
Anno«iluUs. m. d. vi. ln-4.
Le. litre do l'cwmpUirr sur \é|iii dr la Bh-
ttUoihcquc de Suinlr-iVt!iit*\'it?\t% duiil \uii.-i la
copit! recUfiéc Mir l'ori^inat , n'csl pu» rwi-
formc il a'Iiii ipii \ient dVlrr rapptirtt';, rt
qui> j'ni prin à la l^iLilioHK'qiic Koyalo sur un
L*\etiiplain> eu [Mipitr dr ruUe iiu'uif inltlion.
IMaïuIagoliia eli'CUouuin praiim : et for*
tua». XAY. iiiAlrumonlorum ea ai rt- uecesu-i
riurum antf ondoK punens. Aiinolatiurmili»]
uon |uiucu aJ gloui» ndir-Ctit.
Ucxa>lioiii rtirrrrlnr»».
ManilaROIr (jn-vr* jwr Taraiini ■•(«•Irri» aiiiii>»
l'.nIrtMli^M' : trvi tUiu (HUta malU litirn.
Pigivum (••■li-rii inn^niifK liihilnali
, i
IIHNRÏCUS STKPHANUS PRCMUS. <50fi-7.
Ac tiyprriuiiraiu vinccre lure (ubat. [^itaïc :
ifplijiiJk ui'Vd ni)t) palia cal lot nuamatu prrt-»-
QuïmJ T*|rl Kdipui hic siiliere dnfakii*.
VvuumUIut in riro Jlvi Jomltt«d Mf^ttm Polli-
rmni.
Cn ver» ne font pa» ^rand lioniiciiraux la-
li-iils |KM'li<pifs (lu c(iri'it-tviir-^tli(L*ui' dont ils
w>iil ruii\r.igr.
\ti Vf no Ju tleruier feuillet est coite &o«i-
M-ii|ilioii :
TAplicit pi-arlica elvcliaiiiini 9f postuUtîo-
liuni ma^isln riuillt^rnû Matidagoti : Arclii—
Jyacunt Nmiau^rnais , f^ )M«tntodum Eltrt-*-
(luneiiiis nrchiepiM'0[iî : ac ».icroMnctc fccle-
Mr RiimaiH' ilfmiim Cnnliiiali\ : IVj- i|uaiti
fille Jucriur m-ulata nuwliiii oli»rti(li ^i pus-
tulaiidt ptvtulos. Qiitntpif N: >ig)iiti foiiita»
poni'Hs Hislniini'ntonirii : in huJiM rnndi v\-
pvditHinibus lierez i^ ri on un l'IiniftliA^inir int-
pn*» Parijiij |»er Ut-nncuni ^(tphamim c
regionr scliol*; DwTi'Ionun ; siimptdjtts \ ini-
peniits luJiicslonini \imniiu i\ frntnim En^el-
herli S. tio'irfr'tili île Mnntrf : li.iliil.)irtiiitti
in virn dl^i Jueolii ad signuiii Pcllii-Jitii.
Anni) imhilts. m. d. vi. die xxs dcccmi>ri«.
IDnt le \o1iimc <sl litriMé d'abnAtJiliotifi
tpiK ye it'.ii [Ms cru fart iitdc de rr|»rodiiircrt
lipircr dani ccj cilaliuiu.
3.AHTlFiriALislntroductio|M:'rmoduin
EpUomatis in docem libros Klhiconmi
Arislololiri. Jiicobn T^bro Aulliun!. rnm
lUk'lildvei Comiiu'nUirii» t*\ socuii(l;i rt*-
rugnilioMP. — lu «driia Acadi'Riiu Varisio-
rm» per Urnricum Stfpfmmtm in for-
ihuluriii lilcnirtim ;irU' upittct'iti a. u. vt.
Vircsiiiin leitia FoliriKini. Iii-ldl. 'ô s.
A^x*c quBiru \erH Uilm» de UealUf lUic^
iiamis,
Aci-tpp moralt^fu Irt:lur ttiiilin*e lîbcllun :
V<)> brevibn» rjKÎIrm panJit *il >tU viun.
Ilunc ntcitft îiif^riiu* nu|>rr Cliclilo*«ti4 ■rie
;ttttit : •uliti««loni tipliinii 4oiin|iii'. Valu.
i. CoNTEYTA. Poiiiicoriim liïiri oclii.
(^^niiiiniUirii. KL'uiuumVuruni lilui rluu.
l'oMiincriUirii. llecatonoiniiinitti libi i s('[)-
(vii). Kconoinianiin [tutiliturtim viiuis :
l.eonanlo Arelino ink'qin^c , oum cum-
iiuMitariis Sac. Fabri. ExplannliiMiisLeo
iiarrii Aretini inavonomiri» libridiio. —
AptuI /'(irf.«to5pfiiTUiriu sui>ei'iurum o\vi'-
lun) i*<lilin lypi> td>^|iiin piYKJiit i'\
ufïïciiia Uenrici Stéphanie regione srltoln
dwrcUirum. Anno Uiristi cnnrla j;uber-
iianlis M. D. VI Nonw Auj'usii. In-fol.
Cette tradurlinii lalinc rsl de Lrnnanl
d'Arezzoïl^nnardiUft Areiiuuii); U-^ r,i>iiii]ifii-
taircs, tnoiiu le derniitr [KxjdaDaiin^ snnl d*
Lerehvrr d'£taplf5 f Jacobus labor). Les cor-
recleuri-éditeurj »onl 1*. Porta, déjà Dommc,
t-t Itf-nlns Rbeiiaiiu» doDt six ven latjns Icr^
miut-ul le voltitiie.
L'rvnitpLHrc i^iir vriin de la ilibliolliôiite
R.oyJ>)(' ciiiiti«iif tri 17H rniilli-ls tout c€ qu'é-
nonrr ce- tiiri*, ma\s it u'a point li! prrnùci*
cjibii-r qui »*- rompust^- du lîlrr , d'une prt^
face ou dwijcaot' dt: J. Left-bM* au rard. Bn-
<;oiinfl. daltïe au ba« M- O. V. rt d*tiiM la~
hle. Lt' lili'e M!ul manque daui TuenipUinï
kiir |>a[ûer. 'l<Mi»ileii\ rmiftu.'ni Muii autre iii-
diraliun ipip la dali.' dr m. i>. \i. prfmJcv
il'iiii rf},'i!il I (• ni dvrrs mut»: Ke<>(igiiitt>ribus
in (ifrKÎuu If art'uialiWniL' Pdru l'oita rt
Ik-atu Klienutiu.
Hc4lui Uh«naaiu.
Prn«p»r» »\t cnndia lax ttr^■. qnalert); bMta
(Jun (tuiilo PnlitioiM |<riH]it Viitt<itr>l<>ft.
E'^raititdt trcununiiï prr Icrnpdrn Irinf^) priitMiulu*
CuiD •(-n«i^ucm *t><|uitt)r jr^ilci' ipir PI<Im
Kr^o quiliu» cive* ac jura ««coiriniK ciir«
lins Irgilulr atiiniM ritnilMlitiru libros.
V A I.K TK
M. U.Vl.
M. n. VII.
1 . Ki'rsToi^E Aiwjstolonim & Apocti-
ly[wiK. — f'arisiix, \hm Henneutn St»-
phanum. M. d. vu. Iti-B.
i, TiiEOLOci.v (Joannis) IXiinascem .
sive TracUilus i|uatuor. mtil. de nrlbo-
<1u\a fide âou iiiffTabiti divinitatt? : du
iTPalîiriinnn gi'tifsi online Musis : de iU
tpi.'i'nb incaniiitione usqiie ad n»;urrue-
liuni'ui ; do iiàtiua* posl ri'^iifTCi'tionom ,
\\M\\\o ail itmvorsalem rt^siirnvlionem.
Latine, iiiU'i-piXîle Jaculw Fabro Slapu-
Ici»>(- — Parisiis , [wr tirnricum Strpha-
nuNJ M. i>. Ml. dio XV. Aprilis. Iti-i.
\ la nibliiitlii'ipir Royale, «ir vélin, Bi>i!C
tiiiii«U'> *'U oi ri (tiult-uri.
1508-î). IIENRICUS STKHIANIÎS pniMUS.
'J. CuvrE>T\. Guilhdntiiâ PitrKÎeniiiiï
ClaiisUo anime. Hu-^onis de S. Vic-
rp d<* Ol.iustro anime libri iv. irum
rn-faliuiiL' JiHlufi nicliU>\ei.j — E.vmiU
rp/inrMx Stpphanus, indu«>lriiJs libroriiin
rcirmiiiMliduni .irlifex. in olliriiia sita p
^•^10110 !i<*liok' dcvrelorum sila, A. D.
\. D. Vil, dccima »opU?mbriâ. In-i.
4. TextisiIp Sphi'ni lnli;inni!« do âu-
ubttefo cutn aiiditiiiiir (ipmiitiit» (ur»"»-
irimn esl) mJjtvUi '. Nunû coiniiientiirio
|utH*i-(*(liluii(l ulitiUitcmstuik'iitiuniPtii-
o|)liitv Piirisieii- Ar;n!ein»MlliKini(iis.
cumpOi^iliuiiL* Amili Aslruimuiki
itatcnsis. Eif^eomc'ria EncliriisMe-
isis. (l'.um Pnrfaliono Jai*. Fabri
i|mlettsisi. — Imprrsii'tim Varisiis in
ïflirina //«ir/ri Steithani (» roî^ione
ScbutedMTotoriiin «Itn, Aiinn (Ihrislisi-
diTum ronililoris m. i». vu. Dociinn. Jie
Noiombrirî. In-fol.
Je Joulois de tVvuUiice ilu ct'llr vdîlian
]w n« mVtoil garantie c|ur poi' le tvnutipiaKt*
i|ucl(|u«lui-<> U-^cr Je D. lUi-mfiit ; mat* vWc
•:ki^tf a la i^il)liullit'()iitril'Abl)«'\i))cott je l'iii
iu\ii', li" iiïsô Jf SOI) CalalogiiL' , que l'aii-
ntv liliintri|i;il{.> 3 cti t*' linii cspiil di- fnjin-
i|irinirr, non pns runiiui' liuiinix niijiiuimtil
ihlitkgi'.i|iliii)U(- , tn;ii!« jM)iir l'iililili' ilt- <-tni\
lui Aiirnifiil à rKCuiiiir â r«*lle HililiulluMjiif
nirniip trop Jt>|H)iii'iil(* iiicore de b()ti« h-
1» niiniiTiit-t usnrU , mai.s où »' troine un
:r1diii nombre ilc cvs Vnm anciens, ()ni
iqup jour vonl M" rtclrni'inHl et >Vnsi;»elii-
tn( ilans Toublî , »ii gntnd rcgivl di: cviix
JBqtii il ptiiirrtût c|iitl<[ncfi>is rtrt' ntil<; de \es
Jiuuilfcr. r,«< Calalijj^iie rêtli);i' a\ec exarliluJe
J'cftliiimbU; bibiîtilbt^jtiix- M. L*iuanilii>,
^litres Asaex r\|>licatiN pour Inen dt'&i-
' les onvraçes , niai» fort abrégt's rL'|ie»-
il, afio tic ne paâ \t rvodrc intiiilenicnl \o~
iomx. Il forroe deux rainée» voluiue'î
W3M7.
liuncuiuinpulid^'u Ariï>tuMiâ; ft: oiruno-
init'iim Xeiiupbontiâu Hafiltuele Vulalcr-
nino (raiiîdaLum. — l'arisiis ex onioiiia
Ihun'ci Slciilumi v regioiie S<'lKilaniin
rliTrrtonini \i. i>. viii. Quarto (IjUendas
Ociubris. In-fol. 2 s. 6 d.
Sm- lp lilri- ()in u'esl pas IViionrê prûfé-
di-itl, ntais iiui> lalilt* dcti nialii'res à H. rulon-
ue* , on lit fil lalin : fitt^atius Pmtrniis
loaimi Soliéio Cra<:ovifnsi saiuteiu />.
A |iuil liovfiilem luuin Henrîruni SlP|)buHin)
in c-ujiis ofticina divei'aur : ciimptri niauu lua
t'^Acrip|J^^^ m polilica Aristolt'lrs inlroiluc-
riiuirul.nm. Insuper ^i ErDUomirnn Xeno-
jdu>nlis. tllom : nitnmimi pra-i-rpluri nostru
E-'atiio ri ihiiK. hue ruidain Ku|ihafli Volaler-
rani). ut ipii ev çra.Tt> latintuii t'ecrnl.
vuuni KsX. ut illa publicarein K primilias na&-
Tre compoMlionU ad te niiKt-n-ni. ni vel sic
inlolli;;ns : lUMpif latMrrs lium qiios m ilbs
srntK'iHlis soscc'pisli pciiiiM', neque iiit fri-
pdein iiovoopilirio {quod deoupitniuule sus-
rejii pniH'qutïiiduiii) ^ersari.
M. 1). Vllï.
I. Jachhi Fribri Siaïudoiiiriff liiiifxliiO'
M. D. IX.
1. QtiNctiPUix Pdalt«riimi- Gulliami.
Rojiianuia. Hfbraiium, Velus, ('onrilia-
lum (ruiii priL'fatiane J. Kabri). — Al»-
î>i»luluiii fiiil boc (piincupticis Psallerii
opiis in rn'Mobio î»anrti Gennani prope
tuuros Pariyieiweîj amio a natab Uiristi
doinini ♦508. Et in daris^inio Parisio-
rum (iyuinaïiiu ex t'Iialcotypa Henrici
Stfitlumi otTkiiia, é regiuno soliolaruui
dwtvloniin enii-aiim annoejusdeinCliri:»-
tisalvaturift omnium r>»9. Pridietxilon-
das Au^dàli. Illi igilur qui abïkilvere &
alh^oliitiiiti in pubbcum eniillerc dedil:
laiis \ ^raliuruin aclio in âeculu seculo-
rufn Amen. In-ful.
Sur vélin à Ut ilibliolhèqucRoyflle. Acheté
cbi'zMac-r.urihy. 40» fr.
Très bel exemplaire; c'est «lui qui fui
présenté uu cardinal Rni^-onnrl . dont les ar-
me» sont peinte* ^ur h- tiin*. rt Mir le premier'
Feuillet du levti-. Il doit eu exister encoro
ii-oi!v nutr*-^ e\einpltitn'K.
4
M
liENRICUS STEPHANUS PHIMUS IM3.
•< 'J'ui Slapiilens»)!! ^tx-ulk>ctiunl■i>l^oln|>a-
^illatiollt• illius PsaltiTii laudes non tacflKi. Est
(•jiiin opiis illud tam doclè pnemeditalum al-
i|iic conipositum, ut Psalniorum iDtdliguDttw
■licliil sit acrommodatiiu. lugcnlcs ei iiostro
noniiuc agito gratias ; plurimainque salulem
iin)iailirc. Yale, ab uppido nostro Alcalâ.
XVI. No^eiubm. 1509. »
2. Liber trium virorum & trium spi-
rilualium Yir<;inum. Herniœ Pastor. lib.
I. Ut^uelini Monachi Visio, lib. i. F. Ro-
berli Sermonum & Vislonum, lib. m.
Hildegardtâ S(*ivias Visionum, lib. ii.
Eïisabethai virjçinis cœnobilaî Sconau-
{;ieDâis Sermonum & Visionum ad fratrcm
siium E>2;bcrtum (Abbalem Sancti Flori-
ni) lib. VI. Mochtildis vir;;inis libri v,
studionim piorum : cditore J. Fabro Sta-
pulensif S^olgatio PraUmsi in olficina
rocognitoro. — ParisiiSj ex oflicinaZ/fn-
rici Stephani chalcoj^phi è rcgionc
schola; Decrotorura. Anno Mil. ccccc.
\in. Sexto nonas Junias. In-fd. 10 s.
Ije volume se termine par ce qui suit, n lis,
ipii hiiic d(!votu piuque operi emitleiido quo-
iiiudonuique iu\igilanmt, prosiiit apiid Deum
pi» preres It^eulium. Qui aulem IiooOpus
imprvssit, ]>artium arc- proprto, parlim \ktô
.socii loaiuiis Rrieiisis upitiilamiae rem Utera-
riam au\il. »
Au commeucemeul du In re sont trms ima-
ff!» eu bois, ou iwrtraits des trois Vierg«>s.
Dans Almelo^eeu, el d'apn*» lui dans
Maitlaire. pag. 5 , on \oit cet intitulé : » Eli-
sabetlue Schonauj^ieusis sororis K^lterti Régis
VisioDCs. — Parisiif, apud Ifenricum Strplta-
ttum M. D. XIII. M Ce qui ctablirat une cdi-
tiiHi de ces érrits dislinrle et eu duplicaliou
de ce qui fait partie du volume lAher
trium^ kc. Maïs il y a lit uiie doiil>le erreur
que Mailtaire lui-même a reconnue et rele-
vét^ dans les Aiui. Typ. II, p. 242 , uû il ex-
pliqua qu'AlnMiloveeti , se fiant a d'iDcuiels
(^tak^ies, a prî-senlé comme un livre séparé
et complet ce qui n'est (ju'un fragment de vo-
lume, et qu'en outre il a mal-à-propos rois
xoror Refais, tandis qu'uiu' note de ce livn*,
|tag. 119, fait roimoitre (pie cet Kgbert êtuit
ublN* : » l-'rater ille fuit l'LglHTtUi Abl>as Sancti
Horiui. »
1.4' texte grtr de l'opiM-uleirilermas, Pas-
tut; duut la \ersion bline imprimée ieî c-ail
plus eulière, ne se compose que «le qiieJques
fragments. On les trouve daus le Codes- Apo-
crypUus S. Test, cl daus CoteUrii Colleeûo
SS. Patnim, 1724, 2 vol. iu-fol.
3. In hoc opère contenta (Jodoci Cïicït-
tovei ) De puritatc conceptionis bcatas
Mario; Virginis libri duo. Dedoloroejus-
dem sacra; Virginia in itassione tilii sui
Liber unus. De cjusdem juxta crucem
fîlii sui stationc : Hoinelia. De Assuni[>-
tione ipsius gloriosaî Virginia : Liber
unuâ. — Completum est hoc opusculum
cmn caîteris pra;cedentibus,& ex olficina
emissiunm aima Parisiorum acadcmia :
Anno Domini onmiimi sanctifîcatoris el
glorificatoris loi 3. die vero Novcmbris
vicesimanona. Per Ihnricum Stepha-
nuin . librorum impriniendorum induâ-
trium opificem : e regionc scholarum
Decretorum habitantem. In-4. 3 s. 6 d.
i. De laude Monaslic^ religionis (J.
Clichtovei) Opusculum: undcipsacepe-
rilexorxiium incrcmentura etstabilimco-
tum dilucide declarans. Quonam etiani
modo tria prîccipua illius votaobcdientia
paupertas& castitas intègre observa nda
sint : latius edissercns. adiectis fiasâini
sacrœ Scriplura; sentenlijs & exemplis :
sanctorumquc patnim non pra?tcrmissis
(ubi locus elllagitabat) authoritatibus.
— Absolutum est hoc opus apud Vallcm
Cluniacam, &c. : anno Domini virtutuni
& vera; pietatis Authoris decimo tertio :
supra millesimum A: quingentesimuui
décima octava die Aprilis. Emissum au-
lem & in lucem impressum Parisii» per
Henricum Stephanum industrium clial-
cographum artisque literarum cxcusoria;
opificem in suaolBcinaèregioncscholaî
Decretorum eodcm anno Domini, die verô
vicesima quinta lunij ( cum crratorum
Indice). In-i.
5. (JoD. Clichtovei) De niyslica nume-
rorum significatione 0[tuscuIum : eorum
pr.vserlim qui in sacris Utteris iisitatî
hal>entur, spiritiudem i|)Sorumdesigna-
lionem succincte elucidaiis. — Expie-
!54fl. IIKNBICIH STKPHAMIS PRIMLS
num im|)«fn*.tB ItomsUiruiii viromm /o-
rfori B04/11' .4iM'mwji. loannm l'arvi vl
nmaislri r<iwMHlt/ii ÎA'pori* Aiino do-
mini raille^iino i|uirii:enlfsitnf> ilorimo
(iio aprili^ |>fiiiilIiit»o. In-r(ii.
S. EcRRiiii IHilris «l Hari Thoûlofii
Rirhiirdi nuoruiiini iN*v(ili ncnobila*
samii Victoria juxta niuri>> Puriïiifiiises
lir siii>ordiviiui Triiiilatf Tlicoio;:lcurn
Dfrtis llt>\adc lihroruni di>timtiirn , H
ri»piluin Nv. Dpcadibus. Adjimclii» t-st
r-uinnienlaniiij. — M(»o opus comiK>!ii-
tuiii (iiil III c(rnobii>«mcliGt'niiiu»i pm^v
nmnj* riiiisieit^t'» aniio Chrisli Wilvalo-
ri» M. u. X. K cniissum in ntlirina Itm-
rtci Strphani eodtMii anno Chrtsii Doiiii-
ni, mi^nsis Julii dit» \ix. lu-i.
L'MilMiPcsl J. Left'hvn*, y«<:. rrihrrSta-
tlruâit; rt par une pit^tr lUî \vr* ili* Michel
lumrlbt-r;; pluiii- â la fui du \o)iim«', cl qii'd
liYMC À l^ratiis KliP»^iiU«, ou voit (|iic la
eu ordre, *iMotio, de ceiii' rdiiioi) «t
rélin. à la l'>il)l)iiiliW|uu Royak, ^e-
i]ff U VallirnM-t d.- Mat-Cirlhy, porc
tr. À U ventD de et- dernier.
3. Bbrnoni» Abbelib LibeUus de offi-
rjfj iiiijtsr (i»CTii »*didit Hhoma.'. Saccr-
doti*-; shutiosT l(*2îint. — /'rtrisiiit px offi-
Inn Irliraria Hmrici Shphani nnno
iriâd ■'^idvatohs. qui tslAllaio. Vit:-
K Sacrdiriiim nu?lrmii . Sujkt-
iptticlus in KTid» seculoruin. m. m. \.
iiui Vjà\. Iterembhs. ln-4.
4.LiiimLoi;iconmi Arislolclis, Boeliu
inUTprolo, & Paniplinis»!* in
h f'uin tidjuiicliri adnolalionitMi.i .
lÎDOtorc lucul>o FabruSliiptiUmt^i; px
ounda rr<'Ojïniti(>np. — Varisiin inofli-
ina Hmtiçi Stfphani %. r». \. <,hi»rtii
Apffilb. Fortimn np«^ auferre , uûn ani-
lom pfiU^t. In-fol. l!is.
pnininvéïliliitu, par le même H. E*-
inrral de 1503, 1,e« pn-inim linprinreiin
îwmrtit leur prentit-rfeitif Ici loiil-À-f^it liUnr
clMCun pùl « KUi gré )' faire éoire,
mi |H>int)rp. IVu Apres 011 mtffim i
imprimer sur ce pivmier feiûllei un iutîiulê
qui d*al>oi'd éloit fort cottri», et qiieliiuefoU
ro un ?cul mol. (lonime tout se |H'rfci:ltoiuM-,
il viiil ensuite a l'idée de faire Hir celte pjige
irnilréc une inonierr d'anitnnee de lotil l'oii-
\i-n^r, M)it rii tin tiiiiç sotiriiinin.-, Miit vu un
«■fiiplialii{Uif paiii*g>riipu:, cl r'i-^t n- (pii a
été fait mi lètede er vuliimi' duiil le trt-linj\
^Ntomium ne nierilc viaïaienl pa& d'éltr
tranficnl. I.e bon goiU a toujours uni juMirr
de ce) expédient quolipiefuii encore employé,
mai» qui n'a jainai.^ inanipiè tl« paroitre n-
dtrule.
r>. r.\ h4xi opère (X)ntineniur toiius
Pbilosupbia' iialuralis l'antphnises : arl-
joitis ad lilcrani Si'lioliis diTlaraUn t^
tiix' ordino dij^Oata'. lntro<liirliu in libroâ
Pliysirortini. Paraplirasis <m'Io Hliysiro-
rnin Arislolelis. Duo diidoi;i atl Physi-
nn tib. intrniliH'Uirii. I*arapbrasis cpia-
ttiur do cœlo ^^ luundo rotiipletonim.
Paraphrasii^ dunnim île ^onrrnlionc ^
curruptiuDC. Puraplirasi:ii|uutiiur niptoo-
rorumcoinplotonini. Iniroductio in lilint»
df> anima. Paraphrasii^ thiiiif dn anima
cuiiipk'loruni. Paraplirasis Hbri deëcnsii
^t stMwitu. Paraplirabis libi i de inoinr)-
ria ft: rcminîâTPntia. Paraphrasis lihri ilc»
Sonino .V Vi;;ilia. INirnpbniï^is liliri de
lun^itiidim* & |ir»f\itale vila\ Intrwhir-
lio Mclaptiysica. Omln^i quatuor ad .Mc-
tapltysirani Inlroduclorii ; (Authorp îa-
cobu Stapulonsi ouni ludw-i Clirhlovei ,
j|).siu>> (listipidi. annoUiliun('ijli.s.j — £\
offifinu Iti'uria Sfrphani. — à ta fin : In
A!ii»a Pûf/iïAiV>ru|/i Aohft<lt*ana p^r Hm-
ticum Slephan<im e rt*i;ioiic tjcliole drn
rrclorum comniorantom. Anno Chriâli
piissinii Salvatoris entit» onlium âumini-
qui<b<jni h. d. x. vicesima secuiida Or-
tobris. In-fol.
6. Oecem libronim moralium Aristo-
lelis liTs con\prriioneft. ( llffîc opora hir
conlinenturad iuviceni hoc ordineron-
iiliata). Primo, lleiom libri etliiconim
Aridtotdis ex tradticliono An^popyli
byzatitini cuin loioiii Slapiilpnsis com-
inenïariis. Sec»inda,Ma>,'nii MordiaAris-
tolellA interprète Genrgio Valla Plareib-
u>
IIKNRICIÎS STRPHANUS PniMUS. 15U-15
ri-IntiHTfur Mnxiiiiilifii , duttv ilr Vcnîâi' ,
M. mu. (Vileiiili.s Aii;;.
1,1* mOnic iiuxltriii , Alcssaiiilrn Uentilt-tli ,
ilKlin, MMis la tlal(> dv m. un», au ])(^p de
Venise, iiii optisailt- , DUiria tic Bello Caro-
fhw, ytilil iu-V% imprimé jMir Aide l'Aiicieii,
l'I dt'M'uit Irrs ran: Kn U*li' de l'iiu et l'autrt*
\oliimrs M>nl i\e» vers latins d« Quintiiis
Aetnilianiis Cimhriactis, ami dt-TaiiUnir. Ceux
du «uliimc ini|mnu> à Paris, soiit n la loiiau{;c
d«r l'ouvrage ; mais des deux i>i(>res qui sont
daiLs le volume \riiilien, la première est nue
diatriU' coiitrt* uo«s. Invectiva ht Gallos.
4. I.\ hoc o|>oro contenta ^ritlinictica
(Iccoin lihris doinonstrata (ii Jonlano
Noinonirio). Musica libris (ioiiioiistrata
ï|uatnor(tiJiic. Fnbro). Epitomein libroiî
Arithmcticos divi Scverini Bootii (ab oo-
dcin Fabro). Rhythiriimactiia' Ludus,
«Itii «£ Pii^na numeronimapiwllatur (ab
l'odom) Ila^c secunduria su|>oriurum 0|>c-
nim ^itio vcnalis habptiir Parmis in
ollicina HenriciSirphania rcgione Scholc
Dpcrctonini. Parisiis Anno salutis Do-
miniH. d. xiiii. die scplhna Septcmbris.
In-fol. 5 s.
L'ne ('dltion de 1503, et ime seconde de
1M0, conlieuneul une partie de ces ouvrages,
et quelques autres qui ne se n'trotivcnl point
dans eelle-d.
A la fin : n lias duos qnadrivii partes &' ar-
tium lil>eralium pneripuns nique dures mm
quihusdam amminîndarijs adjertu : euravit
ex MYUuda rerugiiilione una fonniili.s emeu-
ilatiuime maudari ad studionim ulililateni
Henricus Stephanus siio gra\is.sinMi laiton* ii
kumptu Panuiiis Auuo Halutis Domîui: qui
(miuia iu numéro aiqiH' liannniiia formavit
15U. AlM<4utumqtie n^didit eodem anno : die
Rqilima seplemliris suum lal)oreni ubicunque
valel sem|tt>r studiusis dcvoiens. >■
Après cette souscription, la pagi> est lermi-
uiv |Kir dix-huit v(ts latins d« G. Goniin-, de
Cillions (sur Saône) (G. Gonterii Cahiloncn-
six) à la louaiif^e de Toux rage.
î>. L'art et Sciencedc G(^mdtric pra-
tique, a\ec l(»s fii;ur(^ sur cluicuneivi-
tîle, par lesiiuelU^s on [khiI facilement
comprendre ladite science, (lar C.harh^
de Bovelles, cliaiiuino de Noyon. — A
Paris liiez llennj EsHeune. m. i». xhii.
In-i. 3 s. 6 d.
C'est le seul volume Transis que l'on con-
noisse de Henri Kstienne.
M. n. XV.
I. s. Pauli Epii^tolic xiv. ex Vulgatti
ediiione, adiecta iiitelligontia ex Gncro
cunt comnientariis lacobi Fabrî Stapu-
lensi.s. — Hoc opus ilhistratorcChrisio,
<]ui lucet tibique, etsi nnn capitiir, ab-
solutuin fuit in cœnobio sancti Gemiani
iuxUt Pariftios Anno Christi vitœautho-
ris quin<;cntesiino & duodeciino supra
millcsimum et eodem anno circa nata-
lem dominiez de purissima virginc na-
tivitalis diem. Ex ofticina i/enrtct S/«-
pAam emissum. Deinde anno, m. d. xv.
et pour conclusion du volume : Linus
Episcopus de passione Pétri & Pauli ex
greco in latinum conversa. In-fol.
La date est à la page 258 , avant l'opuarulc
de Linus. Cette réimpression d'une éditioa de
151i attt«te le succès d'un livre maiiitenuit
flul>li<', et comme tant d'autres, devenu tout-
à-fait hors d'usage. A la vente de Mac-Corthy
j'en ai acheté un fort 1*1 exemplaire sur \é-
lin, qui est maintenant en Angleterre. An*
cieuuemeut il avoit été dans la Bibliothèque
du Coll(-ge de Navarre.
i. OppiciL'M diurnum Sanctimonia-
liuni jiixUi uâum Fontis Ebnildi elima-
tum. Parûiïsapud Henricum Stephanum
u. D. XV. In-4.
3. TuEOLOr.iA vi\ificans, cibus solï-
dHs, D. Dionysii Areoi^iigitïT Cœlestis
llicrarcbia , Ecclesiastica Hierarchia ,
Divina nomina , mysticii Tiieologia , un-
decim Epistola;, (interprète Ambroâio
Monacho Camaldulensi , cum scholiig
Fabri, et Clicblovei ad littcram com-
mentjirio;) I^natii imdecim Epistoloî;
Polycarpi Epistola una; latine. — Hapc
secundaria & castii^atissima icmissio ex
(^icina Uenrici Stephani . .S:c. A iafin :
|>er Henricum SIephanum artis formu-
I '■
Loti
KiiiiM'(liM'l**>, IK'iiluciiliiA , l)it)i'l<'» CiJiriiiliM^ ,
a\a^i>ni» , rJir\«|)|Hi« , Plato , l)i(iii)Mii&
i-i^4:|«-i»t>-<i, Xeitocnilr» IMolùnicti*. Caruea-
Ooaiithcjk, XcTUiphanri Coloplioiiiu:^ ,
Miiriiiu |i))itfMO|i)ii in iiitima snii<rtnlf inor-
ti'fn olûrruitl. AriiluU'If» tciu ifiiu*, t|iiiini
Alioqiiiii nalurati Kloniarhi uifirmiUti m'l»ri«-
qiK- niorhidi rur|iui't% i>n'rn>ii.tiiliii% (iliiiritirrfi
t*sM-l, oli uiiiini luiiit^n iiia'^niliiilitinii , r|ii;iiii
r\ niriliritiir si-irnlia roiireperat, roiitra fi|ii-
iimi'iii liiiiiiinuni , ad .sMagcaimum uM|iir
rtmil aiiiiitm. IJ verô uoslru x\o nli Uanc
unie caii^ni coitliii^ere soict nciniiii ,
kI siiminonim Mrdironini iiioiuiiia-nlâ ,
ipporrniif iiMitiatiif ftalnii, KuW^ Orikisii,
lîi , Ali'Miniln , piiltfriliiis uIiaÏLi pc^^ll^
i^li;;miliin|iii' : ar lurliiiriiuiiinj <jiiiif|ii(- «ici
u|MMiiiii iiijurui , M'I tirculaioruiii .ixniilb
ut 11 , itlutum loro hiilH'tiliir m prerju.
1)1111111 mairiia juin auli(]iionj.ni opiiriio-
mi|Uf \oltiiiiinum , lum Oratunim \ Vao-
lin, liiin rtiilosophoniin. rojii^ Alili Mn-
lii %iri iiii(lt'ciiiii|tif.' ilurtiiuiiiii iiii]u»1nii
liii rt^lutii sil, Inboniiidiira essv^ diui, ni
rdiniixe i|iioiiiic Anrlcirci ad Prisliiio- dij;-
ati» lurs-m n*>iirf;aiil. Iplur Gnctanim li-
niin priina ruilinu'iita, qiw jain|)ridfni lu
rmania Miti Mitlntdalc & Coiiradii CtrltL'
iuta\tT.iin , Miti titriiiMjtio IJiifpior darlî.'^-
itt pnnvpiorihuï Jeanne Uiscari nique
snm RoIcriMlamo m Parwiormn Arudiniia
Wolrif trnta%i. Scd oI> conim pm'ri|iili'iii
m iLihani abituni npcram ferù lii^isM-ni. nist
moi llicroiiymiim AU-xinilniin , (ini-ni', N
Lotioiv» ^ Ilctiraifit', adJc ilinin, r.(iûlilutcn\
ti^sitntiin |HT|M*liiiim .iiiiiuni Po«-ta^ ik iUa-
al>»fpie rriïm liiinmi diliç;fiilL kctione
IIi» fanlf Cratas lïlrras dis**Tf povw S]iv^
r»;i ) gni*ef U'(;entt*m atidiHàSfni. Cnjns ]irB'-
«fiiis forniatut , iit itudionim iiK^inini Tni-
I >ili(|uani rrpontTfni, 1 lii-ndiinini «.a/^-iiii
ve Nirolaum Lctniicciium t|iianquâfli Inn-
^ ndmodiini inli-nalli>, imilari , ac ttflcm,
iimiw , iTudili»iinu!t Gra-cos Mtxlico» pro
tirili n-ftlitiiifiT vi<iuji nim. Alqtic în primi.^
Piitiliim .f^^nctam.. .. *
r'«l II- priinirr de» sept livres dniif sl*
pCMcnt li'A (crnls ôe crt ancu-ii iiu'iliiiti.
Il mvniplairt' inipnitii* ^iii- \i'liii m- tn)u-
rhr/ AïLew. à In M-nti- il<- i|ili il dit payé
liv. •!. en 177?;.
I . ChrisUiplion I .oii(îtiulii Pari^iensi»
lilo (le Iniidibuâ divi LiHlovici . utque
rriintiinmi , liuliilii l'iclav li in ai-nobio
riiitriiiii niinorun» Annu Oomini CVIO. —
lijiprcssiiiu \)vr Hniiù'itm Stcpluimtm o
rogione scliolu» ilocivlurimi. ln-4.
I. Kptlmlrdii-ulnirtMK- l.ongoiiusaii /•m«-
fiscum l 'alrslum Ihicrm \rw I3I5 , Fran-
<;ois 1"") t*»l dattV A'r/arir Tionit Sfptemhri»
riiapn-xiioii doul I.i d.-ilc uV.st poinl iiulHpiiv
aimi iiidiiliilalilimnit élt* lailtt dans nilr
im^nir hiiihV !5II'.
Cet rsliiiiiilili' litirmtctir , morl â 112 an^ ,
fst qtit-lipu'lui.i nuninic- m lalïii pur Ich t-'rnn-
iT>is Lonf;iw{iu» { de Loii{;uvil) rt toujoui-i
I.o/tffo/ins p.ir !<■» llhlimia.
M. n. XI.
I . C.oxTRXTA. Hi('olili(Jnliiii> IViftlicii-
lorutii i-tmtru HTlam MiihunicHiainii. tiuii
irnlj>;mis si'ilu LilHIus. Ciiiuîidaru diii
i*a|)li\ j Tiiiiurum, rrnviiin.i» scpliMii Cai^
lreiisisdi'viUn'lmuril>ii!iii'(irunijmu ;ilius
non minus nt'cessarius Libeilus. Adiiinr-
liis esl iiit'Upcr LilxMlu?. de viUi cl mori-
liiis ludii'onmi. — A la fm tifs deux pre-
miers lÀhclU : Liholluruiii (ie Impugna-
liont' legis Turcorum et de nmrilms eo-
ruin : iriiprossoriim Varmix in tlrtirin»
Uenrici Stephaui FJiii:f. AnnoChrislj Dei
per Sansuinem TrsUmii'Titi sui Sidiitaris
norrtri M. II. XI. xvi. Apnliiî. — Sequitiir
flo vita vt inoribns luda-ortini Vidvris do
Carbf'n oliiii luda^'i. iiunc (llirisU misera-
tione riirisliyiii Lll>i'llii> Et â ta fin du
voiumc : Uln'lh de mUi vl inuiibu** Iti-
da'^orum Momiiio> idori'.nuncSact'nlotc
Cliristiann. «ilim Itida-o. l't lotins Ojieris
finis. Ex OUiciiui lf>^nriri Stephatii q re-
!:;ionc scliaîaniin IterreUirum sita. Anr.o
DommiM. n.xi. ulLima A|>rdis. In-i. 3 b.
Mnttlainf, Ann. Typ. 11 , 221 , Tait deui
\oliiiii{><( spparrs de ces opu«culcsqui parois
M!nl devoir n'ttn former qu'un SMil.
î, CûTnutsTA. Politicorum libri Octo.
ConimoiiUiiii. Kconomiforum duo. ijjm-
nipntarji. Ueealonomianm» Si'pleiii. Eco-
■
18
IIENRICUS STRPIIANUS miMUS. iM6.
tiiii)i*i^<ti(iii!i ii%<'(' un stictris .si iVlatuut i'( si
lialiili-innit sDuU'itii.
2. Ji;i»o(:i:s ('lirhlovetiîî do loudibu^
siincti Ludovic! & sanctie Csuciliiu vir-
j;inis & marljTÎs. — Parmi» in oflicinii
Henrici Stephani. m. d. xvi. die x Ja-
nuarii. In-i. Si^.
3. MoRALiA Jacobi Alnuiin Senonensi^
iMnondaUt a Joîinne nuijoriri Theologiip
professore. — Parisiis inuflicina Henrici
Siepkani. m. d. xvi. In-4.
4. Decem lihroniin iitoralitim Ariâlo-
Iclis IrMconversionts, prima Arj^vropy-
li , accunda Lconardi Aretiiii , lerlia vero
untlqua, |>er aipita & niimoros oonri-
linUc, ronimnni familiariqtie rommen-
Uirio Jacohi SUipulcnsisa<l Ar^VTOpylum
adjeclo. — ApncJ flmricum Siephanwn
chalcofi;rai>hiim o reiîiono scholaî Decro-
turum commorantcm. Sur le titre : ILtc
quarta rocognitio typi» absoliiUi est in
officina Henrici Stephani. Jac. Stapidon-
fiis Introductio in cthiron ArislotoUâ :
à la fin : Oninia uno voliiminp oomprc-
lipnsa A. acctiratisRimp rfHX)<!niUt , abso-
iiita imponsis sumptibiifl ^ diligontia in
aimo Parisicnsium studio, nnno ab In-
camationo Domini virtutum 1516. die 20
monsis Aprilis. In-fol.
5. Jacobi Kabri Stapulonsis in Polilica
Aristolclis Inlrodurtio Clichlovoi com-
mcntario derlarata. Oooonomioum Xe-
nophontis Riq»haelc Vohilernmo inter-
prète Latinitatodonatum. — Parisiis ex
officina Henrici S(<'p/ianiero^ionescho-
larum Dpcretornm , vice^ima «»cunda dio
Novombris, anno Domini omnium gu-
bcmatoris «c rectonsdecimo sexto supra
miilesimum Si quingentosimum. In-fol.
:2 8. 6d.
Mailtaire, Ann. Typ. III, 500, moutionuc
une édition de 1528, nuis il y a cprtaiiieinciil
rrmir, rt on oc la voit pinnt fi^irer dans b
liste chronolc^que , au mthnetnine III.
6. PnooosTicA Hippocrdtis, Lauren-
tio Laurcntiano Flonrntino & Guilielmo
Gopo intnrpretihus; Galeni (k)mment. in
radoiii , l^iurenlianu interprète. — Pari-
siis in ulTicina Henrici StephantM . d. x\ i.
In-fol.
7. Pedacii Dioscoridis Anazarbei de
m(HlicinaIi maleria libri quinque; de
virulonti.saninialibud, & venenis, cane
nd)ioso, & eorum notisac remediis libri
quatuor. Jeanne Kuellio Suessionensi in-
terprète. — Habotur vénale in officina
Henrici Stephani c regione Scholse De-
ci-elorum. — A la^n : Impreàsum est in
pnwlariiîsimo Parrhisiorum gjninasio
hoc celebeiTimum Opus in Officina Hen-
rici Stephani ; abiK>)utumque octavo Ca-
lendas Maias Anno Domini m. d. xvr.
In-fol.
Pnr iiiH' Kpîlrc datée de Paris, CaUméis
Mail 1516, le u^ducteiir dédie vn\ livre Ad
Antnn'mm Disomum ConsHiariunt Rerium.
Il y rrud roinple de ses soîiis poiir la Itcltf té
di' sa tradiirtioii, et delVmlKirrasoîi Ta mis Ir
manque absolu d^anriens mauiucrits, n'aytel
pu trouver d'autre exemplaire que rimprimê
(pie vendent le.s Lihrain^ •• qiind Ril>Uo|)oltP
lypÎH exriLsum rircumfei'unl in qiio permulla
uianifi'stissiniè depravala... ad pristiuam siit-
reritalem restituimiK. <>
Il n'y avoit effeclivemeut alors qu^unr seule
cdilion {nrrtpiede Diosroride, celle d'AUe.
\m. iu-rol.
8. (^.ONTENTA Euclidis Megarensia
geometricorum Elementorum Libri xv.
(]nm|>ani Galli Trans-Alpinijn eosdcm
Commentariorum Libri xv. ThcoiiÎA
Alexandrin! Bartholomeo Zamberto
Veneto interprète in tredecim priorcs
(>>mnientarioruni Libri xni. Hypsiclis
Alexandrin! in duos posterrores, eodem
Uartholomeo Zamberto Veneto inlcq>re-
te, Commentarionim Libri ii. — Pariait».
In officina Henrici Stephani e re^^ione
SchoIaD Decretorum. In-fol. 25 ».
La tUte t»t à une l^pjtre de Jac. Faier,
Francisco Briçonneto (neveu du premin* Car-
dinal Outllaume) Parhiis Anno .V. V. XVi.
PostriMe Epiphaniœ Domini. On y voit que
le travail de cette édilioii esl A\\ i Midiel Poii-
taniM. nu Pnntan, qui demeuroil alors aver
lôW. IIKMUCUS STEPMANLS PHIMUS.
tl
i£ \oluDii a tiuix «bit» ni|)|h.irlè(» tlill'ù-
rrrain>'nl \*ar Maillairr (luit» f'itiv .strfhnmi-
iiim^ ri il.iii^lt'« Ami. 'rv|Mi|;r. li f ii!iiiit<* |i:ir
l'Wurr. Oliii-ri nui u la llii iri)Kiii|iiit(liin-.
■ . u. &II. Miiiiii \^ t. il'iiiTinYl ;ni-(: li-s Aii-
iialrs tv|Hif;r. Mjis trltiii rrllr>-i-i. b tLali- i\v
la (lu (l':Vri-»ti-t- r5l xxvf Martii m. n. xi.
taudis ()ur l'tUizrr iiirt m. o. ui. Il i-^t ))rr>-
tuMe qui- Ivs dfiuu|jit!M'.iilt> auront trl('.-iiit^i
|infs<|iii' MinuhaiH'infiit r\(!s-iilc>. *-l '|iif s\ nu
lit xx tlou» MniMoirc , vvsX |i.ir r<nil>li <)'iiii I .
3. I.\ huf 0|KMVi'onU*ntii. ThiSjloi;iii
UlinusiM'ni <|uiilii(»r librts f\plir*it4i l<)
Jod. r.lichUiviii ) , K iitlÏLTlu ihI tiliT.ini
CuiiiiiK'ntjrio l'iiintktUi. 1. De iiirtl'ithili
dîvînîUiU* II. lU'civtUiirinim p'hosim-
dine Musis. 111. Oo ii^ i|tia' .ib iiir;irna-
liono umyw m\ rwiinvcliiini'ni Cbrisli.
IV. IH? m (jua* posl n^sumnionoiii iis-
<|HP ihl iinivi'rs;)1t'ni re^urrcrtioncm, —
Ha* lhiiiui.H(-i'tii mm «'X|K>sitioiii' prinui
a'nti^sio Ivpis uti>f>ltiUi fsl PartsUs m'\
<4Tii'imi llrnrivi Sit'phtini i* n'*;i*nii*S<*hu
1^ Dcrrotoruiii. Aiinu Cliristi oinniiiin
coniitoris rt rcrlfffis m. o. xii. Nonii^
KrlNinriia. tn-fol.
Il y a unr |imi'*(lnilr ciIitiiHi ilr 1S07,
iw-V, *uj'. |i. 4. Mai* <H-ll«M"i taii la piviuim*
(piïma eihi*âio) ii^ir un ruuinii'iiUirt-. 1^
I rt-iiupiTK.tuu lit' tjl9 (-51 i)iMliliOi.- sftiuuia
^^P. Drvoli \ vi'tw*riibilis ]Kitns loanni<
' Wtïiîlwi prishyliTi ainonu-i ()l)-«*rv;»nti;r
tKmti Ati>:ii:!>lini de ornalti ••|iiritiiiiliuiii
nupUurum lihri irw. Priimifî ilo ornalii
vitâ» mnnilis \ urliva'. Scrundii!- (U; i>t-
nalu viUi'spiriliialU&affi'clivii*. Tnliiis
ik» oriuttii viUi* siii¥»n'^.>vnlî;ilis «'^ rori-
tcmplntiviL'. — Vemili' biibt'lur in utlî-
cûiH i/<wpio'Sf*';»/iaHi l'iialffl^raplii. —
A 1(1 fin : PtT Nfiiricuîn St^phatium
cIlBlro^iipImn», c rrpimr SoIiuLt" Df-
creloniin Anno »iiUilis *5li.
Au;j;iiâti. Finn. Dco ï^nitias.
ai.
Uirii.tKliMl i)t< Mjir.1 utniisipHM'vii-
Ti'itiii »ltp
A la-i.
M
K
siiHL' iJoctttris lit" CioiL-iliiiUiiMisis fcclftiitt!
ThosiiiimriiiirOinonici do Iriltiwfunion-
dbi, vi'ntn', pltmii) ^ vriuM**', LiU'Ili
Iri's iiuilli:* probîiloriiin aulhonini simi-
liMitiiri \ OM'inplis it'fiTti — Vï'niilc
liiibciitur Parisiiif in oflicinu lihiiiria
llenrici Skjihaui o n'^iotiP Hcbuluf dc-
rrptonim. (m. d. xii.) ln-4. \ s.
rJir\itlHT, i>. 9i», daiuiv à rt* lîvH^ 1» itali'
lie IM5; Mnitlain* ft Paiiwr dÎM'Ul ne lui *'ii
iwu'ir \u aitcuiH*. Il c&l ilcdir p«r l'autiiir :iii
curilinnl .Vdrini OoiiffiiT.
r». AnTiFici.ii.iit lnlr«!iirliu pcr mi>-
(luiii l;])iUiiiiiUis in dtHTiii libiii^ [''Illico-
nnn AristoU'Iis adîoclis comimMiUiriis
l'IiiridaUi. — l'arisiis \»'r Henricvm Str-
f)hatium in fumiiitaria litt>r.innn arto
upititvni; wnalis iii oUtrina Itbrjria
l'iiiîidnn llenrici v rt'fîiuiit' Scholaj dc-
nt'lipnmi sila: cuin nonnullis aliis o(>p-
rlbiis. riiiliiSDphia* studio non [winini
accdiumiKiis. Anno ab iiicin-nalioru' l)(j-
niini vittutum4ol2. quinUt Maii. In-ful.
Aiiim i|ti'uti Ir «iiil à la itiniiirrr (tliliod
lie 1501 {ri-ilt^siK pai;. ^irrmiri'r], ri'!|MlnuHi
un alirt'iialimi vs\ lïrJiuL Ciiclihf\-i.-t$s, cl Ir»
Cimiiat-iiLiin>s miul de Juc. Fnhrr.
7. iNmonixTio Jafol>i Kahn in Toli-
lirti Ari.slotfliiî; & Xenuplionlis (tcimo-
miru;i. — Var'min ex ufliciiia lUnriei
Stéphanie rojçiono Sriiolarum Deorrlo-
nim H. D. XII. l'ridie Nunus Sifplpntbris».
In-fol.
r^ipiv de r«liUo« de 1508, vi de mtiiii'
.is»T la Ictirc do /'oi^ntitts Pmtritihy diuit
iln clé douui'Uii fraf;im>iit.
H. I)(^ Vcra Nobilitato Opiwculum :
OiinplfUtin ipsiiiîi rationom cxplinins,
\- \irtul(y quie t:oneris nohiliUiU'iu ini-
priniis dcoont ac c\ornanl dcpronioii.-*.
\c-. I Aiithfiro Judnco Clichtovi'o Neo-
porluncnsi) — Qniiplrtiiin in aima Pa-
rmorum Aaidr-iiitii : annri Ihiniitii virtij-
luni & scient iantm aulbori*» înillosiinn
*piinL;cnU'Mnw> diUKliM-inm ticpUfmt iVi-
lendas Suplembris. IVr Ueiirtcum Slr-
phtumtn arliA impressoria? indtiâlriinn
Ht
HKNIUr.US STKPHAMS PRIMIS 1317-w.
spitd llmrirum Stfphanum, i 517. !n-fi»l.
7. \> lifN'Iiliro roiitincttir (Jao. Kuhri'
lnlr(xliK;toriiini AHlronoiniiMiin , thourias
ritr\ittrim\ rfrlcritiiini diiobus libris ooiiv-
Iflff'ti'nft; a(lj('cto(CJirhlovpi] coinmonta-
rio iliTlaniliini. — Purùiis ox oflk'ini
Ihnrici Stfiphani. Et à la fin : Kvcudit
Uttr OpiMf & iin|in?ssil//<e»ricuA Stepha-
niM (fflliTfruinduruin libroruin siilulus ^
inrliMlriim artifox : Pamiis in sua ofli-
riiia libniriji a n*;;i(ino Srhulu^ IkvnHo-
nirii. Anno (Ihristi ('.(x*lonini tutiiiS(|uc
Natiin* (^iinditorw. l'in. <Iir nona l)o-
vKutUnn. In-fol. 0 ri.
M. D. XVIII.
r HoRAR C^tionicm. — Parisiix [ter
flenricamSfephanumSiïm\}liïwài3r\i}n-
KJft. M. u. xviii. In-8. ^olli.
Si^iNi I^ Caille, p. 83, rc Jt^ii de Hrie a
bit int)iriin<T fii IMK pluMiMirs llmrrs rhez
Hniri l'jilHMini', iiuu il iiVii iii(li<|ue sptViah*-
nmit aimiiK*. Il cul [iroliolili' <|ii*il n'a 4''té fait
t|iKcrlk»-ci; jf ne \ oii du traces d'atiriiiie oiitrv.
3. Berxo.nih AblKiliri IJI>ollus. IX' Of-
(icio Missai', ((uom edidit Rhomoî. 8ii-
n»rdot«'ri studioric lofçant, \t. — Parisiis
in officina libraria Henrici Stéphanie
AnnoChristi Sidvatoris, qui est AlUiro,
Victtnia ik «acrificiuin nustruni, super-
bcnodirtiisinsoculaiMVuIoruinii.u.XYiii.
Sociiiula die Deccnibrii». Amen. In-i.
3. Jacobi Kabri Stitpulensiif I)e Maria
Ma^dalona, triduo ('liristi, & ex tribus
unuMiiria, diî^*eptatio; ad (^larissiniuni
Vinim FranoiiK-uinMoliiiaïuin, Christia-
iiissimi Franrorum pogis Fninoisei Prinii
Mafîislrum. S«"undïiEmis.-iio. — Parisiis
ex uHioina Hfnrici Stêphani n. d. xviii.
ln-4. is.
La pn-miiTT rdilioii e»l de 1M7. Voy. ci-
diiMU. pag. 19.
4. Fr. Mîiliu-hiaïllibcrnici libollus8e{»-
tem iMVt^ilorum niurUdiuiii venena <^^-
l'umque n'aiwlia dt»ïîrrilH»ns, <|iii diritur
Venenum Malachiip. — Parisiis apud
Hfnn'cum Stephanum m. d. xviii. die
xwi. Aprilis. In-i. 10 d.
5. Galemts de Seclis Mediconira,
Oeorgio A alla inU?rprp(^. AJexandri
Aphrodis. de Febribuseodem interprète.
Ilippocraies de natura humana , Andna
BrentioPatavinoioterprotc. — Paritiis
apud H^nricum Steptanum in Conspcctu
Soholanim Dccretonim. x. d. xviii. die
XX Aprili^. In-i.
6. Ex Physioiogia Ariâtotclis Ubri
duodetriîdnla. I De ausoullatione natu-
rali wio. 2 De cœlo quatuor. 3 De anima
(n^. Joimne Arg\Topylo interprète, i De
^'neratione & eomiptione duo. 5 Mc-
toorolo^îioonim quatuor. 6 De sensu &
son:tiii unus. 7 De niemoria & reminis-
cenlia unus. 8 De somme & vi^lia uniB.
9 Deinsomnij:^ unu?. 10 De divinationê
in somno unus. 1 1 De longitudine & bre-
vitale vila» unus. I i De juventute & se-
neeUile & vila & morte & respirationc
imuït , Francien Vatabto interprtïte. Qui-^
tms omnibus, antiqua tralatio iricoDOs
iibrosoontinens. ad Grax'um pereundem
VaUtbIum recoîrnita : cdumnatim rc^
iwndet. — Parisiis in aedibus Henrid
Stephani menso Au^to. u. d. xvin.
In-fol.
7. SPECUIE.X Epilhetorum JoennisRa-
visii Textoris Xivernensis omnibun Ar-
tis poeticaî studiosis maxime utilium.
Parisiis, Emissuni ex officina Uenrid
Stephani pro Soliolis Decretorum; vé-
nale in axlibus Rtginaldi Chaudière in
vicoJaeoboo sub insijîni hominjs syl-
veslris m. d. xviii die 41 Septembris.
Ctun Privilogio. In-4.
8. D. Hrasmi Boterod. Apologiao dute
contra Latomum. Item de vera nobili-
tate, de tribus fugiendis, Ventre, Pluma
& Venere. — Parisiis apud Henricum
Stephanum. si. d. xviii. in-4.
9. KusEBii Cil'sariensîs Episcopi Chro-
iiif'on: (|uod Hieronymus presbytw di-
vino ejuri in«!onioLalinum farerè curavii
^ruin lilminiin iiu|iriiufii(lunini nilio 14i0.
fntralA, h<M- li-ni|Mir>- îii imiiims Utv ni-|itn par-
lai Itropa^liir : <|iia miuuu AitliipiiU't |iiirvii
irrf fAtilparulA ^MisliTiaribiH lufiiûlU \uluiiii-
uilittk leptui . » (!^<'5t iiiitr aiiluiili' liit-ii ivs-
fkKtabli' i|iie » tli- (Ir ri- C()i)l<-iii|)oraiii (jtii ,
un« aiinui inlrn'*! ilc \to\ s . il'ninoiir-|ti'u)it'(' ,
linintiH- U' «mtaiile nutriii' |iriniilil ilr rt'Mt
lirlli- ilrnnniTlr |>(»iir laqin'llf il nuroil loiil
Uuui liti-ii |)ni'iiuiM* l^iii'i-til (jMliT, s't rv
ifiilluiHiiiL'i axiiil tt- nidiiiilte titre àfii ri'VrmI)'
i|iicr i|iirU|Ue |ii>ilu)ii, ri *ii It* itruii-» 1)|)it;ïra-
pitiru-littiTiurr, >oiitntuaM'viiin-|HT.sr\ètniil('
o|iiiiiÀln*tv \u»r (|iir)<[iics H(»llmi<lai« . jnuti
il fltilt-r ronili'mi'tii i|ii'him' fiiItU* ini>ipiiri-
aiM'i^ «iHip , ri ilclrtiilf k iilii\iinii-^ leiiriM's
l^rlniil lit' |in-ii\n t-i>(iliatn%.
Hpmx |inii\r» cléjÀ <•> ri)ii\»iiicanlcft jw les-
!^m3lr«c<i nlMiiKli-n^lénu-aviiil i'-1viru\trs**.
j'ai o) la «aliïfnriit»! il'rii ;ijoiit(*r ili- \t\\\i pti-
»ili*r* piirorr. il ipii . irjMi-HiMl Mir iN- In^
nin*% iiu|trt-.«tiiiu-s, j%(m.-iil jii>>f|M*filiti*is ('Ir iiia-
p«*n'iii-». Vil). Attn\ niiitt r.-il:ilii«iH' , 1K119 .
( Mil. iii-X", Ututf II , |i. ITii » \!iX, lUtv liiii-
pir iiolc ([iM* |>«*iit-4*lii' ji* irifiipriincrai ii In fin
(lu pr»riit tHuro*;!'.
L*c<liUiir. l'i eii mAmr temps U* iliriiirr
ninipilati'iir tir w \(iIiiiih\ JmtuNts VuUlvat-
/m (niim i|iir jc iir minus tn>p nitiuiii*iil mi-
(liv ni fraiM^oît) V a joint ilt^ \ri-M>l tut u^i^
/.ftioriùuj yar li-tpnl il lait •â\uii- (|u'il fi
uiut-iK' rctif rJiromqu)' Ur l'aji 1(81 ]u!U[U*au
61 dt! cette inipri^sdiuii.
. RoRERTi Abbîitis ï^. Micliaclis de
^ in |H'rii'iili> iiuiri-i Chroiiicoii tib
iinn IM^adiini). Ii20. in quo pm-scr-
lim tli* n»biw Nnrnuiniiicis tk \ni;Ii('is
UinKTflriiiuMin.s (|U(ini snM*iilarit)Us:i^i-
liir. (Mliluiii (Si w\ calroniSiiiotH'rti Oinu
\}\m:. initniiclii. — /'arisiis, in (>nirin<j
Hmrici Siephani. m. i> \ii. !ii-l.
Maillairr diituif, ym^v k, rvl iiititiik' tl*»-
prt** L»' "rrlUrr {Trlirtiana Vi/ttittl/ieto'j. Il y
mv\nKeuHu Wiaw liou tli- 111:2. Je |h'Iim' i|lH-
niif Miîirrsi, nuit pu» un ii^r<M'(>ni)ili't. ni:ti!i
' OUI" p:iiiu' um-swiirt' ilii ^olmin- (]cl5l3, Sige-
Arrfi L'Uroaicon, Mir I*' litri' iIiujim'I In coiili-
uiutioii (!<' i*:ili)N'' IViiIktI (Si iii<'riiini)ni*i- .
•• fiini nilililiittiiliitx KiiliTTti \lllIall^. .•
<-r(H« iiit* t'Up|irl'-r iin'il cuinnii-iirt' jmi
luilim* <kl.
M. b. Xlll.
I . SfitiusuA Kmissio.QuiiiciipIcx Psnl-
toriiini. (jajlicniii. Ithomiinimi. Ilobnii-
ouin. Volus. CoiiciliHliiiii. Viu'poniinliir
(jua-'subttT aJjÏL'iuntur. KpUtohi. Epik»-
^iis(li>puUiliniiisi)?Nil. \\\. ApptMidix in
[tsiil. xx\. Protnjii lltt'ronytni Im-s. P;ir-
liîio psîilnionnii Iripli'x, Inrltres |fSJilni(i-
riim iliiu. — Abst^liilurri fuit tioci^iiinru-
plu'i? Psilterti Opii:^ in raMiobio Sum'tt
ItiTiniini pio|M' MHiinï; ï*iirisii'ns*'s : iinnu
;t niiliili l'.hristi lK)niir)i KiOS. Et in clii-
nsMnu» l'arixiorum liymnaHOi'xclialfO-
Upii Hfurid .Sfcp/iuiK'dffîcinii freï;ionf
Siliolniunt IViTctonim ad stHiindaui l'I
rw.-li;;iiiliorL'mc'inisîiiononisusa'|>Uniuin-
no riiisili'Mi Oiri^li Sitlviitoiis omnium
1 1)1 .1. Uljhijs liiniis. Illi i;^iltir ipii iibriui-
\rrc\ alisoliiltini in piiblicnni omitliTt'
(Inlil : Ltns A: lir.ttiitrumartîoinsji^cul.')
sji'ciiloruhi. Amen. In-fol.
ICn roiigr H iiuir. t)mn l'tuir ri l'auln*
nlilinii , [a ^treniii'it* Mhr ili> cliiupir \frM*1
tli-jt I'miiihii'-i rsl fil iDii^e.
1j'spn*liiiMii<iiri'.\, tlf «t\ fcuillrlstliiiis J'i'nIî-
liitii pn-ailciilf, PU mil »lnu/.r iliiiis *-t'lli*-f(.
parii- i|ii'api-fs In (lèilirart' .-/»/ C. tiriroune-
liiiii , ilati-tT (lt> iWH conmw Jaiis raiilii' ê<li-
liou, \iiiil «le pliK. <ii MK rt'iiilld.i ItiVn n'iii-
plis, un Itnij; ri.iiiMiniiaiM' (./ f ifu-Nf/i s) 9»\r Ir
PfUHMiK* XXX, dïÉlù vz ca-itn/iiif Sfiiiffi tlrr-
mn/ii M. II. XII. \oitii srstiii/iiis. Il i%l
|in''iTiU'* il'uiir îsorif d'Aptilui;ir ( Effilo^Ui
iniuenti .tf'penfitv'i pr<rlrf;emiiis) <|lii oc^'di»»?
|)i l'sipH' loutf la <|iia(ni'mr piip-di* la ilrdirac»'.
iW wWv n'irnpn-Hsion ilf lîkt mi rminoil
dt'uik cvt'iiiiilairfs *iir \t*liii, riiii nilirlt- IWI f i .
rhrzIVlaM'iirlIiv.fl i|ni<-sl ii-iftliil>.ililiiiilM*i)iM*
Koyale. l'iiiilri*. *eii.niil du dur dr l^i Val
tiêrc, Ml, nu ùloll rlnv. Ii* iiuii)iiis Diiniuti. »
r.t^iiM. t u CataUt^ie du liliniirv f hlMinic .
Uiiid., 1750, II** 1881. Cl) iHilr un aiiKsi Aiir
\Hin , au prix di' riiM) giiincva. Je uu piiio
iuiviHr M c*r»l Tuu de cvs itt>ux.
l>aiui li« f.f>ithii4f de BùviUus (Ut. à»
lUi^rlIi») ipù fuui i>artie dr &ou «olintM* de
t jlO, il >)'rii lixuni' nn<> à lui adirvÀx* pnr \v
cardinal Xiiih'im's. (pu y tait m n-s Irinii?»
IVIty^o du tm^ail df J , lalm
I
^
IIENRICUS STRPIIAMIS PHIMUS. 1519-20.
inènH- iititiuii. rJifvillier, p. 141, mentiuiiiie
ce volume <lf 1519 romiue la première publi-
cation du très rt'iioinmé Imprimeur Simon de
rxiliiies : je le \ois imprimé In officina libra-
ria Henrici Sirplutni, et je ucu connois au-
eim exempbire au nom de Simou de Coliues.
Si cependant rallégalion de Clievillier est
exacte , j'en conclurai avec Maittaire qu'une
|iartic des exemplaires aura été mise au nom
de Coliues, qui, sans doute , a%oit alors des
rapports d*aflaires et de travail avec Henri ,
puisque, fort peu après sa mort, en épousant
sa %euve, il lui succéda dans sa lyp<^aphie.
9- JuDOci Clichtovei de Vila & mori-
bus Sacordotui» Opusculum ad Ludovi-
ciim Guilliardum Episcopum Tornac«n-
sem. — Explelum est hoc opusculum
atque in lucem cditum Parisiis in offici-
na Henrici Stephani c rcgione Scholae
Derretonim sita. Anne ab incarnalionc
Oomini (qui est Sacerdos in œtornum , &
sunimus quidem Sacerdos) dccimo nono
supra millcsimum & quingentesimum ,
die vero Augusti quarta. In-i. 2 s.
10. CiÏNTEiiPLATiONEsldioUedeamo-
re divino, de virginc Maria, de vera ani-
mi (latientia, de oontinuo Confltctu car-
uis & animaî, de innocentia pcrdila, de
morte. KdiUe a J. Fabro. — Parisiis in
tï^lbus Henrici Stephani. AnnoM. ccccc.
XIX. Men:^c Augusto. ln-4. 2 s.
L'auteur de ce livre est Raymond Jourdain
on Jordaiu. On en conuoit plusieiu^ exem-
plaires siu- \élin. dont un à la Hibliotlièque
Ho\ale, aclieté 99 fr. chez Mac-Cartliy.
H. Albrrti Pighii Campensia, Phi-
Iwophi Mathematici ac Theologiaî Bac-
calaurei formati , adversus prognostica-
tonmi vulgus, qui annuas prsedictionos
edunt, & se Astrologos mentiuntur, As-
trologisD Defensio ad Augustinum Ni-
phum Suessunum, philosophorum noelrae
actatis piincipem, & Astrologls synce-
rioris restaura torem. — Parisiis ex ofiî-
cina Hetirici Stephani 1518. — e( a la
fin : Finis xv. Calendas Apritis, 1519.
In-i. 1s. 6 d.
1 2. Erasmi iVjKilogia contra Uilonuim.
— Parisiis «pud Henricum Stephauam
ox{)ensis Conradi Basiliensi^. m. d. \ix.
IV. Non. Maii. in-4.
On pourroit penser que Hrari ayaul im-
primé ce factum m 1518, avec d'antres pièce*.
aura été requis par re libraire de Basic de lui
faire une édition de la seule Apologie , pour
élre répandue en Suisse et eu Allemague.
M. D. XX.
1 . Sermo Synodalis Guilelmi (Briçon-
iieli) Meldonsis Episcopi , Mcidis habîtus
anno1519. — Parisiis, In œdibus /f«i-
rici SUphani, M. D. \x. In-4.
2. PROMPTUARIUM Divïnî Juris et
utriusque humani , Pontificii & Csesarci ,
celebrioros ejusdcm divini Juris & His-
torias& sententias, humanis Juribus tum
annotatas tum elucidatas sub alphabetica
série complectens , authore JoanneMon-
tholonio, Eduensi humanorum Jurium
doctore, ad Dci honorem & studioeorum
utilitatem elaboralum, & duobus tomis
absolutum. — Parisiis, In «cdibus Hen-
rici Stephani e rcgione Scbolaî Dccreto-
rum absoluta est hujus Operis linpressio.
M. D. \x. Die anlo Calcnda^ Novcmbris
seplima. 2 vol.ln-fol.
Le privilège du Roi , du 11 octobre 153U .
est accordé à Simon de Colyites.
Dans le premier volume un Errata de qua-
tre pages, et uii de trois i>ages dans le second.
3. iNhocOpuscuiocontentœlntroduc-
tiones (logicaî) Jodoci Clichtovei, in ter-
minos, artiuni divisionein, suppositioncs,
pra?dicabilia, divisiones , praidicamenla ,
librumdeenunciatione; in I priorum, in
II priorum, in libros posteriorum , libros
dialecticos, fallacias, obligationes, inso-
lubilia. — Absolutum est hoc opus in
Parisiorum Lutetia p*ir Henricum Ste-
phanum c rcgione Schoïa; Docretorum.
AnnoM. D. XX. vigesima quarta dicJulii.
In-i.
i. Laurëxtii Vallensis Eleganliarum
IBls-lî ÏIENÎÎICrS STEPIIAVUS PÎIÏMIS.
4f>
Il i'»t hor tipiiM^iiliiiii \ o\ ollitlna
njssiiii) iit nlnin l'anyûyrum tirmlcntiii :
tno iKniiiiii (i^tii nmrtiii niinuTodi'nni-
rlrnnio Irrlio su[ini iiiilli'sintimi Pt
linui'iiUMiiiutii lU'riiiiJi st-xUi die ÏH'^
iiibrt?. Vvr lirtmvum Stephanum itrlJT»
icusoriœ libroruin M^lulunt \ jihIiks-
iiiin (niifiopm . 0 rt'uione sclioijt* Uwre-
'UJii liiit)ituiiU'in. Iti-i. 3 :i.
6. N lurt' O(>ii?«ciilo (Jon. Cliolilovfi)
cunlini*nlur IntiiNluctioiies. In UTtni-
noi lnartiiuiicli\isioiinii.lii insfjliibitia.
Al>^>luluiii(St lutc upiiÂin Parifiorum
ttetio pi*r llntritutnt Stephanum »> rc-
«10 S!hoIp OriTcloruin. Anno !i;iliili.*
lin*», n- \iii iliviiiiiulifhilij. hi-i.
7- l*Kai Archon (iti ol d** PrincipiU]
îicniianiiii OpiLsciduin Joannis Pflle-
•ii , (|iijr iM IliîdiTlicpA inilio {jpiipni-
tim ini[tiiris4ilrnt, liix'viler & itrlifinusi-
miiU'tirn*;, — l'itrisiis npiid Hfnrinini
'phaitxim H. H. xiii. (Poluso IdiisOt:-
bris. In-i. ( s,
M. Galem de anwlonim loconini iio-
titm tit>ri sc\, lîuiliHnio Orpo Uasttiniisi
inlrrjin'tf. — Wmdrs iwbonliir in olîi-
inn Urtirici SlvfihuHi clifllroj^-uplii c
►piono Sfhola' tKHTrlonini. In-l.
(jl iIaIi- tir Cl* loliimi' fst à l'Epiti'c du Tra-
irlrur n l.fm'ts. XII. ./«h0 miffesimo fitfn-
grnifumo Aeumo ttr/îo,
MAÎItairr. Ami. T>p. Il, i*4, dii o\oir \ii
UD CM'fnpIîiin* ilr "• li^M* Mir irliii; rr ilnil
Hrc rrliM ipi'a |mvMilt- lliiilcy (Uil»l. Mari,
n" Ï0I7Î). Il [fflvu i lir/ \*l.-« . ri» r >\ ilkll.
rt MT truu«(- Aujuunriini rlif/ M. Ir tltic Jr
IMrvDfifiiîre. Il est «iridn (l'initiak-s en or tri
m couleur».
9. SmcnEKTi GrinhlaconsiA cœnubil^'
Clironirnn nb annu .iHl ad 1113; ctiin
imuTtionilHH i>\ hisluri;! <ialfridi K ad*
ditjrmdiii-^ Hobcrti abbati:; Monlis. icii-
twn ik Ire:*!iiHpn'nlft.aimosi'(Jin|»k'Cti'n-
Ubiis prniimvi'uh» ciïr(*;iin paire I). lî.
Pnr\o, doi'lorc llicoIttjiiMonlWsffn' rt'-
po; mine primuin in liio'in (>rnis.sti[n.
Cum privil('j;i(i. — Vonalo haiiptur in (jf
Udiiw Ihnrid Stqthani ^iibi iinpn'rwutiv
i-sl) 0 rffjioiH» M'imla- DtMTclonini siui-
\- iii M<*o Siiiuii Jut>obi in ufTicinn Ja-
hnnnts Parvi , sub Lilioaiirco. — Absii-
lulnm rsl /'rtriAiM lair SiKï'lïi*rti Chrani-
roii, vmn mm pami:; iidditiorùhus : [rm-
Htutricum Sifiphanum arlis blcniriim
c.\rus4>riti-' indtistninn opiliinii, in sua
uflu'ina i* r»';!i(mf svliola' hpcrcliininicx-
[it'nsis {■jundctn el Jotmim Pan-i bihlin-
pol'p itisi>;rn>. Aniin iJnicitiiela (umponi
(lis]i{Hi(n»ti!i. M. ». MM. »^'di»ndas Junii
ln-4.
M. D. XIV.
1. Oeckm libri pihio^um AriHlotclifs
ad NiL'0[iia(.-liiiin, t'x Irtulnt'lit^nu' ArK>rtv-
\i\\\ , t'ahricoiniiiriiUiriocItiridiili^ sin-
•raloniin rapitian nrinniH'ntis praMiotati,
dn'inii ik ulliaii inIt'qirt'U' Ar^yropalu
iSf adiiiiu'lo Kiiiiri ruinnuMiUirio. — Ini-
pre-yi. Parisiis apud llvnricum Stepha-
num. Anno M. II. \iii]. l'ridic (jd. Nu\.
In-8.
i. Galeni Opcra Nicohin Looiiiccnn
intrrpreto : de riitrcnriliis niurbunini Li-
bri duo: de int><pjali iidfinpt'nitin'a MInt
imus; di' arle i'iinilivaad (ilaticoni-ni li-
bri duo : do Oisibus Ubri Ins. — Ini-
pttvs. Pansiis, sfd iiiisipiaiii unU*a. |M*r
Hntrirum Sti'phauuvi , v n'^'iimi-Schola'
DtHTi'tnniin coinnioninU'in AiinoDuuiinî
oiiiniuiti con^crvaloris millosiiuo quin-
;:(>nlt>ïiiiiio quarto docimo iK'uultinia dir
Novcmbris. In-i.
3. Alex%xdbi BonKlicLi physiri Ana-
lomiro, sivt» Hisloria oorjwris liumani :
riuïidera Collectiones modiriiialos son
Alnrismi. — Parisiis por ihnricum Slf~
phamim arti^fonnnhiria' industriumopi-
lirom ex o[>posilo Srliolir ItciTCtorum
ludnlantpm, Anno Hnniini (omnium Au-
Iboris fk r/mst-naloris inillt*sinini|uin-
pptitcsimo quarto dccimo. pridii* Nonas
lannariati. In-i.
Av<T mit- Fpiln' titi fWtlimn' <lr l'âiiiriir <^
I
■h
Robert RrriERiiE^ premin- du nom, est le seul de cette eatimabk^
familk; de typographes dout ou couuoUse aucun portrait; aussi IV
l-OD riuq ou ùx fois répété sotis plusieurs rormals. Le plus aucien et
te seul qui |>aroiue devoir faire aulorité, a été gravé par Thaliile Léo-
nard GaulliiT, peu de temps apri's la mort de Hubert. C'est uu biisie
de flirt petite dimensî«>n ; et cette copie en ïwis , de même grandeur ,
eu est uue re|iroductiou assez heureuse.
Ceux qui furent faits dans îes deux siècles suivants , pour la Dis-
MTtatiua d*AlIDelo^eeu, pour Toti^rage de Maîttaîre, mi comme por-
traits isolés , presque tous d'après la petite tête de Léonard Gaultier,
soûl d'une exécution trop uéglig(-e pour mériter plus que cette simple
mention.
1515-Hi IIENnirUS STEPHAMIS PRÏMLS
la: |KTiluiiiels<xJuliiiii C>|>itiirin t-re-
ionc Schola- llot-relorum liabitantcni ,
\nno M. D. \v. Dii' \ wo monsis Aprilis
'iiiui <|uarUf. In-fol.
Des muiions pltis au moJiu amplcii de c?»
l%rp*M InidiirliiMis Iflliiit*^ nvntnil t\fjk èu-
iiD|triimV« à Str:i<ln>ini;, m 15W, l&HS, 15117
et \M\ ; (-*i*%l |>(itin)iit)t «ni liiii il)' smnn/tJ ,
qui frrtMt «dik-Iiiiv i|iii' (ont ii-ta ii*a\4iil rii-
irc rli* imprinH' <|ij'ua<- st-ule Un*-, li' ^naiil
ipriinnu' eiuploif îci lV\|irr!tsiot) |ilijs
;tc, sccuHtiaria, •> f-diûou ixiti |iR'uiii-rr, d
a ctc prtTtilw- tl'iii»' ou phiMi'iirs mili i-*. <■
l/nlilioii n\ ili^diét* par J. CJirlilnii M\ M--
rotid (>. Itriroiiiirt alors ôtiqui' de l^wli'vc* ,
\nm itr Mi-aii\ m 1510.
A la niMMitliÎHiut* Royalr iitj \vt\ rvm-
lirv impriint* sur \êlin orne dr Irtln-s prin-
<'t 111 or. CVil siuis (IcHile cHtii tpii Ftil
itrati* M iV^iSpir r.tiill. Brironiirt.
4. Al.\ni Vcircaii MonUilLiaTii llcmiiitfi'
XV in (iinUriiii) l'iinlironiii): UffmiJi.r
'\'(S XLViii in aliquul l'^iilniifs l>,i'i, idi-
Scrnionts \ jKmotîynr'i in Sunrt.'iin
>1}in:)iii — Varisiin in ollirinii Ufim<i
Siepham e n'itiom' Solwla' DtTn'Inniin
D. \v. \u. r^ilonilus liinij. \n-i.
ts. 6d.
lire, (l'aprrs Almclo*<Tu, nirl *r li*rc
Itiltl; nioL-t Pauzrr lUl que rùlilioii
1M6 ire%istr |»a5. rt ît k* lYporli* « 1515.
Am Aristotei.is Opiii^ McUipliysicnin
iono intt'rpn^tt» miii lihrisilislim-
cuiii Art^mpyli m xn. iminos in-
rproUimnilo; iU*m Ttit-oplirasli Mrlu-
iy?i«'oriini lilxT tmii>; item SU'liiplu ;iic»
llruliit'tK) ipuilutir (tinln<^onini lihrîs
tuciilaUi, iiulhorL- iiic. Fiibio SUipiik-iiHi.
ViHiiilc optin^ .ipiid litchi uni Sicfiha-
mit- ri'tîiom' SclioliL- IietTctof uin ; ex fu-
olficinn piotliit Aniio Cbristi m. d. x\
'ÎCPîiiïTui (lio iiionsis Oflobns. In-fol
Poi.iTiconi:!! ArislouMiK l,ilin uclo;
ronoinit'oruin duo; hiline. — Vi'riiiliii
ibooliir, ubi ^ oadem rommonlariis
liisIraUt sivnndo in liiconi onussa fuore,
oflU'ina ifcnrici Stephani insij;ni3
rlmlr(»)£r.iiibi i' rogionc st'hola; Dçcrclo-
l51!Upiinlonona»Martii. In-K. 4 s
Col It* IfKlt* M/iil ; I oltliuii u^ir ntiniiifu-
ljiirt><t. tpiî y fut iiifiilii)uiHT. iM riii-lol. dr
lâU. \oici iXHltmrut rel iu-H i-sl aiinotliv
daiis ll^ r^tiloj^iie uù snul muii.s di% li\reft dr
lli'uri Fjttîonuf et deSitnnii i]t>r<i]iu<'^: " Po-
liikonim ArinloU'lii lîbri ocio, p»r\a forraa.
i]|iJroiif)niirunini cjUAdi-o) duo. Mvc ArUlo-
li-li!i llpcra ulli<f ah^qur r(yminfniarii<i emisMi
sunl. (Juilin^ in troiiic liiinili.nris iii Polilici
IriinKJU'TlJo. iiiiii dnu[}u.s IiidicilHu. «
M. D. XVI
I. Jrnoci rJidUovpî Eluridainriiim
ccclcitiasriciiiii , ad OlJiriurn Kcctvsia*
portinotili^i platiin$f>\[H)non.s: Jk (pjaluor
îilirwcuiiiplccU'iu-i. Primuti : liymtius dr
li'iiiporo fi ^'incli:^. — SM"undus : non-
îmWii V^nUciH'ccU'»iH«iin."\ ^ Anliphonas
.V lU-spncisoria. — Tnlius : l'ti qiiic ad
nuss.'n jMTtinent nflîiriiim. — (.hiartiis :
pro;*as *\nm in suncli altaris offî('iuanlr>
Kvangeliuni dinintiir. — /*(ïri".<ii"M in of-
fifina fltmrici SU'pliani iJuilco^raphi o
rejîioncsfholx' nccî-4'torijin, Ae. — A la
fn : Ab<()t»iliini l'Sl hoc opus K arlo for-
iniilariii m ]iin>iii riiiissum : Varisiis in
oftirina librari;i ttenrici St^phnni , excu-
di'miurum libruruin induslrii eL spdiili
opificis, c regioni» scliobt; DL'cn'Uïnitn
habitanti^. Anno Domini iquom decet
liymnuÀ ^Kf Ihus uniniï^j drriniu se\lo su-
|»ni iHini*simiini & quin;iPnlosiinuui Oie
vprn Vpribsdcciim» nona. Vonalehabe-
liir Iioc opus virirt sanr Erclfsiaslicis
quâni lUiliï^iiiium; in oUiciiia Hfnriri
Strptiuni , apud (piiMii ^ varia ab huju»
Op*»ris Aulîiorc olatN>nila nnc niinori di-
^niUitc ipiàiri utJHtati.' voluinina fi^cilè
rppcrias. In-fol.
.\v(y uui' Kpilrt* dr Ctichlou, a/i Joannrm
f.'ozjUon lie Zeieslhe... Eivlrsue Jaurirmît
Ephcojium, *l dalt'-e d*» Paris, 1515.
Ui mcution Lalinî «( in B-[Mii'pr«« mi-
[htIIuc. a^Kiimr d*' c**s i'diUniLt d'annims oii-
wii^ri p-i^Mî m- rt-pHRliiiuiu le )r\ti' original,
et la famiUi' (I1-4 I->lirniir n'.-iy.iiit fnjl pn*MpiL*
aiiniiir l'ditHHi g'"'"'''!'"' i'*""' l'aiimN* !54(.
cpoipH" itii HIp nWniipa MTiotiM-rnrnt di- n-*.
5
26
ROBERTUS STEPHANUS PHIMUS. 15*7.
phani p n*j;ione Scliolai lïccn'tonini.
M. ». \xvi. VIII. Idiw Oclob. ln-8.
n. LuciAM aliquot Dialogi, liitor-
prptc Draid. Erasino Rotorod.— PamiVs,
ox officiiia Robfrli Stephani. m. d. xwi.
PridieCal.Octobr. In-8.
M. D. XXVII.
< - CiiRiârropiiORi Uegendorphini Chris-
liana sludiosœ Jiivpntutis Institiitio. —
Parisiis ex oflicina Roberti Stfphani. m.
D. XXVII. vn. Calond. Febr. ln-8. 6 d.
2- Oriioxis Brunafelsii de Disciplina
fi Institutjone Puoronim Para»ncsis. —
Parisiis ex officina Roberti Stephani.
M.D. xxvn.ldibusDoremb.ln-8. 8d.
3. Phil. Melanchthoni»dccori!;ondis
Atudiis Sermo; Rodolphi Af^icolœde for-
mandis stiidiiâ Epiâtoia. — Parisiis ex
o(^cina Roberti Stephani. h. d. xxvii. vi.
Iduâ Januaril. In-8. 6d.
i, PiiiLiPPi Melanchthoniâ latina
fjraniniatica. — Parisiis ex oflicina Rtt-
berti Stephani. m. d. xxvii. viii. Idus
Scptomb. ln-8.
5. DiFPiciLicM Acccntuum Compen-
dium a Francisco Menese Minorita His-
pano cditum. — Parisiis ex ollîcina Ro-
berti Stephani. M. D. XXVII. X. Calend.
Jumi.ln-8. 8d.
6. Phil. Melanchthonis de Arte di-
ccndi Declamatio. — Parisiis ex officina
Roberti Stephani. m. d. xxvii. In-8.
7. Phil. Melanchthonisdp Rlietorica
Libri 1res. — Parisiis px officina Roberti
Stephani. m. d. xxvii. In-8.
8. CicRRONis Onitoria; Partitionnas &
deoptimo génère Oralorum. — Parisiis
ex officina Roberti Stephani e re^ione
ftchoKneDecretonim.ii. d. xxvii. vii.Ca-
lend. Martii. ln-8.
9. Oratio tiabita a F. Thoma Gui-
chardo Rhodio, Juris utriusque Doclorr»
illustrissimi Hierosolymitanaî Rcligionis
Magistri Oratore coramClem. VII. Pont.
Max. in qiia Rhodiorum Oppugnationis
\- deditionis summa continclur. — Pa-
risiis ex officina Roberti Stephani u. n.
xxvn. V. Idus.\ugusti. ln-8.
10. A. Fehsii Salyncsex. — Parisiix
ex officina Roberti Stephani. u. d. xxvii.
V. Non. Mail. In-8. 4 d.
M. CoMMENTARiA jEliï Antonii Nc-
brissensis (iramniatici in Sox Auli Porsii
Siityras. — Parisiis ex officina Boberii
Stephani n. n. xxvii. v. Caiend. Junii.
ln-8.
D'après les listes dt; l'ouvrage de Maittjîre.
j'ai dit dans mou Catalogue, I. II, p. 295, qiie
ces GomnHnilairesétoient le qiiatrtèmo voluinr
publié par Itolwrt Est.; par les dates des
mou, un voit qu'il en est à-peu-prcs le di\-
ueiivième. sans préjudire de celles de ces édi-
tions que |>eul-i-lrc je n'ai pas connues. Si je
u'admi!ls pas le luxe d'érudition , et la sura-
iMuidanre de citations , qui gn»suseitt le vc»-
lumc de Maittairt^ , au moins aurai-je ravan-
tage de faire mieux et plus complètciDeiit
connoître les nombreuses séries de toutes les
é<lilioDs de ces sa\anls Imprimeurs; et je
petise que c'est en rela tpie celte sorte de tra-
vail peut V entablement intéresser, quels qiie
soient sa fonne et son entoura{;e plus ou moins
compacte d'érudition.
4 ï. Jacobi Sannazarii de partu Virgi-
nia. LaincnUitiode morte Chrisli. Pisca-
toria. — Parisiis ex officina Roberti
Stephani e regione ScholiE Decretonim.
M. D. XXVII. V. IdusMaii. ln-8. \ ».
l/édition aldinc du mois d'aotU 1527 est
proltablement faite sur celle^i , sauf qiielqiieii
augmeutalioiu.
13. HiERONYMi Vida! de arte pootica
Libri 111 edente Nicolao Beraldo. — Pa-
risiis ex officina Roberti Stephani m. d.
xxvii.ln-8. lOd.
U. ;EftOpi Vita \ Fabule, latine
versœ a L. Valla, A Gellio, I). Erasme
IjKvixrt.-, rt t|in lii Tiil vliui-gc |iâr lui.
i'oliun iii>4;utiiini coomiUi ituiiiru MiriMi-li
l*ti»|jniu. ()ni luiK luccuni couhduih:» luiMuit
î». TEXTisdi' SpliaT.» Joittinis du Su-
iTuIxisrt). CtJin adililione [qimnlimi m*-
o»s*airmm) atljocla : No\u iromimiiliuitj
n\t\>cr ixtilo, a(\ u(.iliUli>in HÎiidrnliiint
l»hil<is«>|>liica' Ptuisifii Aai<ii'tiiiii' illiis-
li-alus, nininnii|iosiliijnc Aimuili Aslro-
iiouiici Bont-li Ijilrnjiis \ (icotitolri^i
EiU'Iktis Mejiarensi:*. — liinirossuiii l'a-
risiis iii i<Oî('iiiîi tffnrici Stephani t^ rv-
jîionc Scliolu* iK-crolonmi sila Annu
Cliristi siUf^niiit comlUoriA, 1510. IkHiiiuj
(li«Maii. In-fol. 12 s.
10. AwiiKLi l'oliliani, Antonii SaU'l-
lirj, Philipiii Doroiilili ^ aliormiiOpiiH-
cula. — ParisiÏH, apud Joamiem Parrum
& Nenricum Sfephauum , 1311t. Iri-lul.
M. D. XVII.
I . HuGOMS (le Suiicto Victori* Allcgo-
nanim in ntniiiiqur TcstiiiiiiMitiiiii liliri
ii(H*<»m. — liiiprcs-suin o.sl hor llusonis
de Sancto Viclore iiii*i|{tii.s niwlo^iî Al-
lo^orianini upiisculiiin Pari/^Hs in ofli-
cina Uenrici Stephani rtuikt>^niphi ac
liibliqiolie. AiinoDumiai i'Ml. Oclobrit)
I tJtTJfna ilio. In-I. 3 s.
A«Mr uiMT prcLcu tlv J. CUjrbt(Hi.
I i. JtTOoci r.lici)lov<*i fil* purit;iti' con-
t'^lioni!! Beat»' Miirhi-, litiri duo; dt-
ejUïf lioluiv in paiSîsiono lilii lil)i>r; de i*ju>
stolioni- juMa Cnireiii litunilia; do as-
fumptiono ipsiiis liher. — Prtnjiis apnd
flmncum Ste^ihanum 1&17. ln-4.
Matflain- I/i.\t. Slrpti. a\wX (livlsc cp V»-
liink*. tiiLsAiit nue aiiiiiiiiri* .si'nnriT' de l'nnii^-
cuJe Vr .isiumptiunr. Dans Irs Ami. rv|i. II,
tiG. il réunit li' tout, ri \t-rital»li-iiii>iii la di-
^ inua \te doit |mi-^ at oir liLii : c'i-iit b rOimpivA-
wm du %nltime de 1M3.
3. Xkc. Fabri du Maria Ma^dalona, à
iTKluor.hristi i)is4'^*plali(jail ('iari.>4ijinuni
uruiu I). KniniiMuni Molina?um, Cbris-
tianiSvSiini Krannirinn Hi'i^is Kraiicittci
prinii Ma;!islnin). — Parisiis i-\ oflicina
flenrici Stephani \^n. C»m [irivilegio.
In-i. * s.
C ctoii (li')HiiÀ lûiig-ifiupft une npinicm m-
f;m» m TlM-diIoiçi*' qiw; la U'hiiik' jHThcntiM:!
du Vil'- cliaivitri' de Sl.-l,iir , (tIIl ijm- wlnu
Sl.-.\ljir. \\ I, 5, Ji>iis-f:liiisl .:n(iil di-liMW-
lit" «ifiil ilinlilo, 1*1 .Marir. >n-ui- ili- \a/-iirr .
u rdiîrtiL t|ii ciiir st'idi' i-t nit'tm^ ^tfi-sdiiiH', H,
l'dnititi- 1)11 Ir diiMiit .ili)i>. ntiU MaiiiN'Magdr--
K-iUt> i-ii ii[K' M-ulr ; lA'fcM'L*, daiM cetlt* dt-SMT-
liitioii, (■) daiu uiu'Mrcuiido, Discfptatîo *e-
iiiNiia, ({ui panil m 1519, ovi sVU'vcT ronln*
iflli* tririid'' IViiiiiiiiu-, t*l sitiiliiil i|ui' r'fliiit*iil
l>irii iirlli-nit'iit Iniis |ii'rMiiiiics dint'rfiilf.^,
rri's feti rj- uua. I>'tli' ti^M-ition imu\iJlf t-t
uior» |iar:idu\al(' lit ffrund riuras. fut ^t\enit*lil
ntLii|iKv pi di'ft'uiiue^ v\ ni-lH'xadf diApoMT k-s
g+'ii.» dVfilÏM' à lie iioir (ju'jvec dV'faM'ur k-»
lni%.nu\ l)il)lit[UK<( «le; U*ri'\rt', i|iii Uuil par
nlltrr m; réfugia" eu Cuieiiiu*. à Nrrar, s«iis lu
|)ruliTtioQ de Margumtc, rrini* di* Navarre.
4. ÏUACTATi sDoinini SU')»lutniEdnt'n-
sià Kpisi-npi : do Siicramonlo Allarb». —
Parifià vx olRciiiii ftenrid Stephaui. —
à la (in : Improsàiim (St lur ()pus4Viltini
Pariiii» in tiflirina Hmriri Slrphani in-
dn!i(njr,hak'u;;niplii ^ Ililjliopol;u, i* n--
yionr scliola* l>ocrelonnn. Anuo dni in
am rniri.s pro tolius orbis redeniplitino
vivo.' l)iH>patri obtatiju hueitia'. u. d. x\ ii.
CV'tavo Idiis Manias. In-l.
-'i. AHTiKictAMslntrodiH'Liuitrr miKlnin
Rpilonialts in di;t'oiit Miros Klhirurnni
Arl<li)tolis : :idiiHlis olikidula (lomnion-
laiiit' tpii pusl piiniaMianJitiuncm non-
niiHis;K]di(îs : accossiiini'in rronienlun»-
t\iiv liar in liTtia ror(f;;iiilionci'opcrunl.
— Pivrsfn* Inlrwluclio intindis.... alwo-
luta (¥t in AInu) Parrhiïiionmi. Acudoinia
por Hnmcum Sfcphaftum forninlaria'
liUiTtiruni :irt.is opiiironi indii^triiim.'Aii'
no ah Inrarnaliuncdomiiii virLutum I&17
dL-cinm l*\'Liruurij. Iii-tol.
6. ÂRiSTOTELis Polilîrortim lihri oeto,
lalino, inLorprolo Koonardo (AiTlino) ox
rim'ndalionoJarohi Kabri ninicomim»nl.
;n annutatiunibiis vanorOin. — Pari»**
h'.»lff.?î7T f" -TKPHaM> MOMl":
tjâ»
«•M il-*» Mî.«. -n Ml ■i»"ï ■■'' *:'••.■■•" I «■''3-
Kiti«'>-MH >/)tt4; Min- •'«J'.u'k if'''jrïj'.v.>n3b
./nitiiilill ■lli*:'|r>*-.«l',iv,|i <| ^UVl'rjt l'^'Jj'V.'U^.
K. :,M lii.fi. 1^ 'tiiL . .1..I JL-. ;*-r ^•^:^»MX•-
)(•■•«• llli)!- lUMl' 4lll' ■•' fj»."* *■".*•* »|'.i.,.">*:j-
Mli>M •.Ml-llll »,|- . .'^.' ( i't ;"lii"- Ji'x'^.*i
'•il •'/••if'ii -• t»»*» V".»i ■♦ y»v*i^^'*i ï.".;^*?* u
/^ '.•.,<'-<■ î«t •■•■ .» •iiij.». >■■* /- •"; ii •>■■',
i: ■,•<• ««• ■ j*- ■ *A •^■^ ■•'. !i.,t* '-.*;*♦ Ji-
• <.«•-.((. ^«1 i>i-j <«*-'^ •' V •■•.' 'r.'-'-.^ i-.'»^i';iii
î«- M *> «••^■•*i ■■■* h )'■. * 'l'-tia ;'TU ï(^
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,».M f ,M •* » » » I ,t^- *r '; tr .• vj ■■. >jtv* «f*ii!«l^
(«MM ■-.''.'«' I *tt. .-rf' •.»*■•-' if •; l'M '*'. *j>-j;jiH ^*^-
.f.t: >.-Ai>iuil«iV, ./■**•» •/••-,'*■>••.
' I <•■• |i fM <•« ( ><^vjtt^< >/;ji 'A r i
■ II... , ..fii^^^U <• *^';,* •• ^ 1 5yM^ «ifiânit
.,.t ^ ^ ... *,. ^ '• ^-/^fM ,■-•' '>« »iit:*^-
^rff *• ../^rttiM^.'.t •-■*/ 'AV..- -i* Ù i'*Àyl^AU-
•M». ..» ■■ '^1 *.,«• *. „« ^ >*^i*;v^ * *»■« ïïiii*
y*—i • 1- •• *■ • .-•-/■-■
-••• • ■■•- -. •■.• >»• . . . -tii^-ti' «i.ffyiS- 'pM-
•■ ('■■ '"- Imht f fm il '**/"/f»//lw, (ill
.... ^...t.,.,^ y^.,K -> ^'>^>-« *i tl l'»'l/'«U
' '•■ '■■" * t-' * h' ■./■ •>■'.■ 'î* ii'/tnt \it*f
,-... l» .^■:..-.., '■..,->^.-. //./ ' f rif 'HH- 'Il
-• ■■ " '•; * '• ^-» '-^ i^yi; (-1 jJit
j ■ ■<•. ■ •;.-. . ,■'.■ K y-\t- .;■»■« *(i
'.^. ,f >,. , „■■. -/^^ ^i Hi^i.-.-^llf* ' t/ti
■-* ■,- **i.^ . ./.■,; 'irt.i "* Itiili-t r .•.^MU * 1 l*fir
^V".-M^.- . •■ . .^T^f.ir.* W^i-ffif rV/TfHt -;;il''4
t .-., •i-f...-.éf. •f^;,^f< •'.* l* -it trvjiffi'rfi
'»■■ ' - ' .- '*i H'éfy .tt y}»iât**. •{*• f«*lil»-
«■r. ...... ■, .* ti% (.>/>' n u'fl* iNij.tini'
.<■- » s/ */ f^ ).»; 1^ .^^,( 4 f^,f 1,1^. |^f||#. !,<'
>'•',, «#,/, V/^ M ■■ -V* \*,tA*t\ l|IM «IlOM'HI'Itl
' t itt ' ** * Il t'i *
t yt>.. At l'f'/'f-rl/M "•/.floiri'jiii' (*> -
' (/ -•( ..I* . i .tttti/ :ih fjMltliOlHIll Ijlllflï-
"M-. I*» (l»M- «-.■ Ilf-lir.fii >tnnol;tlioifi -
( •(. t'itti iif *'t i,\\ui\M [toln'rti Stf-
7r.. « ^w.lll. C'.:mPrTTtk*-.^>B«st»
5 ?. t. 'i
r'
Cr- -> V.^unJna qiiiiK|iie.
\: II. ':i;ar>:r5(ciittccvkplnrten&. a.»
\\->ii. iiii. Idu^ Nmcmbri».
\<'/-mi. III. tmkriffl. & tr sses. ■. »
^v.iii. XIII. i^iewSaf Jiilii.
Vu'jHif'n V. quîoquc b^t posUfiores.
Pari'-it*. c\ (ffirina Rohrrti Sttpham
H. r*. wviii. VIII. Ida& A>j^u^L In-tf.
iM -.
( il !îTiMA.^i In^tilationum Ubriqia-
V.:or. — !'an*ii*e\ offirina iUAerti Stt^
ffhani. iiii. V.-n. Julii m. d. xXTin. I11-8.
5 ALPii-%BETraGnct-uiii.yodusara»-
lii . iiràv.^ \ LaliDc. Abbmiationes ali-
'fijot iira-cif*. Al(>hiibetum Hefarainim.
f K-ralo.'Ur . hf^braùv fie IhIiim*. — Paririi»
i-\ oflirina ftoh^rti Stephani e regione
.■^'liol.'i- Urntonmj. ■. d. X!L\iii. In-8.
i fcijiij<'t>.
f». Pdilippi Molani-hlhonis Gramma-
tint Ijitin:i. — i*fln-«iV«cxOiTficina Roberii
St^phani. M. i>- \\\ iii- Titi. Cal. Novem-
ïpri-. In-S.
7. PifiLiPPi Mridnchtiionis Synbixis.
— Varhiis c\ otfH'ina Hofterii StephaHÎ.
M. I». \\\iii. Cmi!. Si'|»temhri<. In-8. 6d.
H. l'iiOM.E IJiiiicrJ de oiiiemlata stnic-
tiini I^ilifii NTiitonis I.ihri si*x. — Ex
olÏK'inH fioljrrti Stfphani c fv?ione Sin»-
l;r iHiTcloruiii. m. i». xxvii. — .-I la fin :
htri*tiiMit\>ui\ltohprfutiiSt''phanum.xut.
Cil'-iid. Fi'hr. M. b. WMii. In-I. iOt\.
*J. Im*k\ in M>\ Tlionia' Lin;irrj clo
friH'iKlîita î^tniitiira Libros. — Parisîts
*'\ ollirin» lUtberti Siephani. ». d. xxi\.
M lilii-Jitntiiirii. In-i.
10. Lïi nuiiiif*n> (lo (oiiriKT m liiii>*iii>
ff-;in<;oi<^' lis VitIh's. — \k* rinipriiiiorH*
tU' Hoftrrt EKtinme, vis--il-^i:^l'l^'ollc<U!
IMK-W. HKNHMXS STKFIIANUS l'KlMUS.
il
nu
URfiie in Vfilentciti Ca'^iviii Koiiuiiiti
il olo()tiio Ail i|iii'rii A: iVi!i|»*'r &
litiMiîi l*nliiuTiii!> \ Miilthias raliiif-
s conipluiii iitldidai'. — Al>soliil(mi
in Aliii^i Parixinrum Arjulnnia Ilot'
•bli^■Jc^^l^il•nsis^l(• U*ui|KinlMi»rhro-
1 \u'r Itfnricum Slrphauum, in for-
nmjiihn lilfTttniin arto, illiiiâ m!i\inia
nini A: (lili;£i-ntia. Annual) incAmationr
iiini t-uiu-Ui '^Mi))prnaiili> Milli'sinui
linj^i'iiUviitiio (ttriiiKi orta\o, ((rlnl)ris
î>(sima die In-i.
M b XiX
> TiiKniwHiTi ('.jri'U>is (>;tis<'ii|ii df
Ii'umtiunc i^neranun aQurtionuin tibh
lMulc4'iui, Zt'nubio Acciaiulu (Klort'iili-
■Di inlPrjinHi'. — Varisits in olliciiia Hm-
WiciStfphani. Anouu ccir.cc. m\. Ml'Iiïic
klio. r.niii |)ri>i)i*i:io. lii-lol. 6 â.
VC. TiiKOLOcii DnmiLsopni quatuor li-
Inscipliralii, Kabro inlorjiri'le, *: iid-
ppcloCiirliUtvci nimriKMitano rluridala.
'— lla-i* Dumaisri'ni fiini ex|)Ositiuiit' stv
ciindi) cniiï^âio (>|jis alK*oliiln t'st v\ ofli-
cirm Hennri Strphtini o rcfîiont' Srbola;
Dotntuniiii. AnnoM. u. Xi\. l'ridii: Idiis
Januahis. Iii-Fol.
3- (Jimtci CliclUmei) dp nPCOi»italP
p(\'cjiti Adiv ëi rœlieitato online cjuï^
drni : B|>olnfE(*tirîi DirirrpUitio. Juinni
fîu7.1hon Ecfîlpsia* Jjmrionsis in Pannrv
niu l'piscoiio. — Vansiis in (iflii-ina lleti-
rici Stfphanie nviom* Scliola* IVrrcto-
rum si(a. Annoab iiuMniitlioiioDomini
(qui illud jM'cmtiini drlcn* vfnil & n(«
iriliinw (» 1 ilci'iinu nurio supra milU^
titrouui & quin^cntesiniuiii. dto xto Fo-
Itruarii docima sc\Ui. Iii-i.
1 J\(.om Fiibri Sta|tiilonsis do Maria
Magdalona, (riduo Chrisli \ uiw v\ iri-
Ints Marin Di^ccptatio ad Kninrisrurn M^k
linniii H(',ri> Krancist'i piimi Mapsiriini.
— Varifiifi i'\ (ifliiiiui iietniri Sh-phaiii
H- D- \l\- Ad Ih'i (iinniuli . K\aii'^<'bs(a-
ruiii Lxjncurdiuin . & Aiinw , Mîiria.' , hI-
qiK'rpliqiianintSaiuMarumMidirnmi ho-
iKircm. Tnv-* fcci rx tina, nna ox liibii!*,
ex tribiN iiiiain. U\-H. i s.
Ix* luIiiiiH' rotiiiiii'iuT |iai' iiiif Irltrr, A'»tj-
tola JuJ. tiStiilofci nJ rttuJcm t'nt/icitcum
Volinum, lUiM lîii|iidle il nipoK auu o|nnioii
!vur .Murii'-Ma<^J<-lcine.
Troisièiiir «'ililion, Ii*5 ilriix prcrtMlmlcii
Hont dv 1517 cl 1518. » . d-(U'i»iu p. 19 cl «I.
5. JiiioBi Pabri de tribus \ unira
.>lii>;dult>na l)i.>icoplaiiu •urimda ad Dio-
nysiuitt Briçunncuiin t'ptS4-<>piini MacU>-
vionspin ;ipii<l Loonerr» X. Krancis^i I.
( (mlort-ni. — l'arisiis v\ {►flicinu Utnrid
iS7('/)/ia«f M. h. MX. la-jf.
6. JuDoci Cbi'blovei Ui:iiTpUHionisdo
Ma^^dab'iia Dcfcntsio ApoIoiii;L' Marri
Grandivalli:* illam itiiprobiin* nili'iitis
r*S|M>ndons — Pnrixih l'x oQirina //«i-
rici Slephaiii m. d xix. Mcnso Aprili H4l
Christi Domiiii '4 }:Iorio>iL' ojiis liospilis
Maria' sorori;* Marlhœ bonorcn». ln-8.
7. Jldoci r.liL'lituvei d» di^niUilc, &
rxrolliMilia Aimiini'ialïonis R. Mante
Vi^l^ini^ A t;raliii cjiis VisilalionJ!*. —
Varisiis aptid f/i-iirrVttiM Slfpfmnum. Xn-
rio M. rx.cr.t:, \ix lii-i. 2 S.
H. JiDori ("liililovt'i di' lln^'i cifllrio
Opusruliiin : quid optimum quemq; rt*-
;;emdo(Tal vx suris liu-ris ^ proUilt»-
rnm aiilhoruni sontontiis hisloriisq; di»-
pronicnïi. tAd Liidovicuni Pannunia* *r
Bohomia' Ri»;;i'rn.) — /'arijt*M v\ «lliniui
libr.irm HeiinciStephiuiii' rt'î;ioneSi'ho-
la? Dccrplonini sila. Aiino ab Incarna-
(iûni* I>(imini (qui ot IU'\ IU'>îum A l)o-
itiinus doniiiiantiunt^ deciino nono 8Ut>ra
milicsimum qnini^i'nb^imuni . die vifti
Au^^ifciti Iriri'siiua. bi-4. i s.
O' tiiliunr cNt io-4 . (|iH>i()iH' iio(('* \nS par
Maillairi'ii Pait/i>r. Kii ISiO.Siaimt ^k*0»liln'^
a fait (le ce li^n- uin- iTiiiipn'MtiMi Iimir si-in-
lilulilf afti- If^ niittu?t r:)i-arii-ic» de Hciih .
ri n'avinl ili* ililVi-ivmx- ijin- iliiii* ./Hc/y/ir*-
tmri lies iniltalirH : il m- |)i*iil que . nK^tnv a»iT
h-'fcKHTlS <TFFH\M'> FRIMl?- 15»
rnfun b \\t\. •m. IJ <lc1ijt:<r. i!j-^.
'Jji^fri. l'iUïi. In-» i ;•.
Tf \.xî%f.%i\\ Vail;f'. Viri i'iAî]s-s\uii .
m y*fismm FV^'-ntmum Antid'.'ti Lii.»ri
ipaU^fT. In <'*jr.'1''m aiii diio liMïi in
*:isi\'tç!0 rr^-*T;(»li. Eju*dfm Lauivntii
V»ILv in Antonium RaufJfn^i^^Di iiDiiota-
t 'inimi LiUHIif-. — Pan*it* e\ otÎH-ina
Hi/ffurli SUphani n. ït. x six. Mil. ijaï.
Ibii fn-r
lï. Piiiupff Mf*!anrh(tionis GnimDia-
iw^ l^lina. ;ib authore iiuifr aiM-U) /v
rM-ff/nita. Srumîa itliti«j. — l*arifiin ex
'^îr-iria fiftfjf^rli Strpbani ■. D. x\ix.
«VI. fiai. fIriMi. Ih-h.
7. l'HiLii'i'i Mfl»nclitlioni»SynUi\iï>&
t>rtf*40iia TtHi'ii' milri Af «lila, — Parixiix
*•» t^uina fifffj^rti Slfphani u. d. x\i\.
«Vf. C^l. fir-l. In-K.
H, Joi^^iH Pi'Hi-^mis RiKiimenta Ui-
iinH'. (jniinifiiilir»'. — i'arinii* ex ofli-
riiM /ttfUrti Sffpham m. d. x\ix. Iii-i.
t ■•.
'i. l'iiiMi'i'i M<*lanrliltifMii< iKibunnlio
i\v itti*' flin-mli. fyljïin Miunda. — /'u-
riiiit'nt*\ officiiiïi HoUrti Siephaiii jt. i>.
\\t\, In-K.
10. l'iiii.ipi'i MekiiH-lilhoiii.t fie Arte
HliHorii'u liliri tn-^. — Varmh ex offi-
4'inti lUtltffH Sifphaiii e n't^ione Sclidaî
Ilecn'Ionirii, — Varinm m. I). xxix.
.MenM* Jiiniuirio. In-K.
11 . M. T. ( jcRnoNiH Ditilif^ns de Aini-
ntiii ciini iinMoliitiotiibiis l>. Knisnil.
VfN'iiiii item \ l.fN'ijti(iiHini in hoc Diii-
lo^'o HniKiliindiii inn, MTie lil(*niriii lixlex.
-VuriniiH\*\vwU'\M{H*titertuKStephanun
iinn. M. it \\i\, xiiM. Oil. NuvemI).
In K
M. Ad ïi'in^m ^:«^mtx» Scn^tomn in
rrî4? It:<iue n.odk* P. Ovsii cvns Bam.
Det^^.calM. — Parittii rxmdclal iloier-
fu< .Si>pAdniL^ anno ■ d. xux. Prid.
i]«tjf^. soïKeml'. 1b-8.
U. Hetboots artt» pœticae VaienD-
>io SlacbecTier .\UnviUaEO aulbore. —
Pari<iï5 ex (iffiriiia hûhtrii Stephtmi
M. D. XXIX. XII. Cal. Mai. In-S. I «.
t> d
I u dr» CabloçiMS de Rot>. EiticaBe. pvte
l'ttirnuuio ^atcknfr'o. Il est probable qor
' c'riX W Dua ftauruû Maj^rîer,
j U. r.i$TiGATio.vES & varietalis Vir-
«nlianaf L«vtioni> per Joanncm Pierium
i Valprianiim. — Ex officina Hoberli SU-
' phani. Parisiis s. d. xxix. ix. Cal. No-
xembr. In-fol.
La pn-mitTf «-«Uliao dr ces savaDtcs mata
' iM de Rinne. I3il. in-fiil.EIlM\oiil parottrr,
I finpknti's dans k* Yin^tlr de Robert Etf.
153i.'iu-rul.
I 15. M. Atrii PUiuli Comcediae x%. —
l'arifiis ex oflk'ina Ruberti Stephani
M. D. XXIX. In-ful. 15 ».
Copir df l'AldiiM* de 1522. La suivante , de
1530. pan>tt a\(Hr été faite sur plmieurs tritet.
» E\tin|>UhlML<i midtls. s«l reccntibas, cott»-
lis. » dit b Bibl. laliua. I. p. 17.
46. P. Terentii Cumœdixsex, tuiu
e\ Uunali rA>nuiienUiriiâ, tiirn cxopli-
nionun prîL'serliin ^ele^lm, exempte-
riiimc(^latiune,diligentiusquàinunquAni
anleltacemendato;. .'Elii Donatiantiqui»-
sinii & eelelxTrimi ^raumiatiei in cflsdom
commenta rilaccurdtecaâlifT'iti.CalpIiur-
nii in tcrtiani oolna^diam docti^ma in-
ttTpretalio. Index ampUssimus. — Ex
oflicina Hoberti Stephani u. o. xxix.
(^um Privi)e<;io euiiiâ diploina âcnatur
ab ijfcîo tyi)o]:rapho. — A la fin : Excu-
duUit HottertuH Strphanusin sua officina,
anno a Clirislo Redemptoro nostro natu
M. D. XXIX. vi..\oiiasJul. In-fol. t5â.
17. Terentils cuni ^El. Donati de Te-
renlii Viti» & do Trapœd. ac Comœd. in
ISSO-il HENRirrS STRPIIAMS PlUMUS.
33
libri; ilpm liMIuRdc reciprwis PrtHu)-
minihuÀ Siii , Suus; item AnnoUiHoni*s
in Anlonitim Raïklonscm ; \ Ikialu^iii^
fe?ilivis?>imtu in Poagiuni. — Lutdur
£\cuitrlMl ex Bt'raldino cxompltiri Iten-
ricwt Sttphanus. m. n. x\. inonsc Mai».
in-r
5. Ahistotelis Lojrica ciim Comineii-
tariis JiU'olii F;tlin Sliipulpnsis. — Vuri-
«>* ex (»(lk'ina ïhnrk» Stephant & ^w-
rv:!W>riâ tyiîi Simonin Colinfci. M. D. \x.
In-fol
M. D-XXI.
I. Jriiix;i fJiihlnvoi KlnririalDr'min
Rrrlpttinstirtiin, »il i Mfiriumcn*le!*ia' per-
linpntiii ptitriiis cxpuiiniH : ^ quiitiior
liltrus coinitlirtcns. \c. Stviimlii criii;*-
sio. — Atiî^oluttim /^ sETundo l'iniitnuiii
est iri Henrk't Stqth<tui K fjiis sucres-
ftoris SiiiiontH rxiliri.'i'i (rflicina t rriiiono
ottt.' DcirHuruiii. Aniio h. o. xxi.
nll. In-fol.
air pour iViiaurê du lili-c. juif^e 17, à Ia
prrJiiiiTt* Vititioii.
Duu Ir CAtalugiif' île De Titou , Inm. II.
Ml \0i\ fhmni Ecclesiusiui cum rr-
inttr Joiiiiei iHtovrt. .ijuut tfrnr. Sir-
ftltattum, IMI . in-fol. ir ti'rM aHtr»* «.'Iium'
f|iH' n* Miliiiiu-. Eiiic'ulalarium Hcrlrsiaxii-
r$im, dr rrllrvriui(li- (tlilimi fai(i>, iitiii pniiil
\mr Hrtiri l'Utimite. âkiisflivt'tlô, mais ilAt(->
•ofi ofliriiic, por Simoii dt» ColiitoA. mmi *uc-
EnmoNS SA\s date
Lavachi « Cûiisciontia* cunctis saur
lolihus, t;i(*hcis A: aWh prwbyte-
b. vicuriiii, i'uriiti»& non cunilis sumint*
utile A anlvalios ncrossarium. Subcor-
10 HoftiTti Sltffihani. — (l*ansm
in» Hrnriri Skphani, seu Simo-
t/in/ri. I ïn-«- GoUiiq. (3 feuilles
iltairr, .\iin. II. p. 506, imir rriic |tin-c
<pii. d'nprrâ m-a i-f-iiM'i^iM'nii-nl>. Jiùl ('Iri-df
Henri Eitinutr, un il** Sîmoit tjr C/tlinKs.
â. Al.vm Vnrenii MonUilUini l)ial<)<îi
d<' ï.itce. Amore, Harinnnia, de Hiirmo-
ni.i' oirmonlis, de rfriim pms^ipuc divi-
niirum IniUite, (It'Oivina nm^nitiidinc.
dr* piilctiritudinc. do soptoni Virlulibus,
de opposilis monslris, de amicitia pntri-
fiut» Divina, vtTiini TrinilJdr; Orniioin
wcl**siii:»licuruni constVMi. Kpislolu.'t;oni-
plurcrf. — Pariftiif opud Henricam Stc-
phanum. In-i.
3. JoA^NlS Martini Pohliicion de iisii
Astrolabii i'.un)|H'ndiuui. — /Virixiï.sapiHl
ih.nricum Slephnnuin . e n'giuML' Svbulie
DetTi'luruin. In-(.
C*- robLifinii. on l\itil.intK . |''A]iai;iitil . tiit
un des douze prcmiim prDrr4Mnir<t iionimn
|U)r Frau^Ul", en ISAO, au Collèf^e Hoyal.
i. (Jalkm do idTii'Uniini locifriim niy-
tjtiii bbri VI. iJddcIrmi r.ojH) intcrpn'lo.
— Parixiis in ullicinu Uctihd Stsplmui.
In-i.
C'rst tans doute Tnliltou de I5l3. dmit le
Otnl TItoM.. 1. VII, 1A3, aura nidilir dr
intvtimiurr U datr.
Uaïu. le Cal. BiM. Tliuamr, I, p. 73. Jr \cm
en aildilimi iiuiiiiutrnlf De Rrguofjlcio. Apud
tttnr. Sfrpfi. ItM. O »<> |>c«i èîrv (]ue l'édi-
tion dt>i5l9 drriii du aura nt^Iipr d'iu-KTirr la
dAlr : phi^riirA :iiilrr\ i'i]iliiiti.\ juirt'ilIrnH'nt
:iiiii(itK'<V> Miudiili- ti'uiil \tas iinr plus graudt
priiliahilili* d'i>\Ult-[ic«>.
;j. AGo>KsMiirlyrtHu monsis Januarii
— .-1 la fin ; A^'oniim Martyrtim mensis
J.intinrii. primo Irbro i*ontonlorum finis
In-fol.
d'ilv itlilion d'un seul de» mois du Mar-
lyrfilmgv. tliiiniiT i»ar U'fflwre U'EiapIc», n'a
iti dair, ni nom i| lm|irinieur, parée que <v
n'est qu'un eiimtni'nrpinriit de voliunr, (80
ri-nilletA) dont le ntin-iiiliévrmnit Tut Miii>
dtnilf uiiiM- [tar lu mort di- Hitiri, des pr«ue&
de qui elle est sortie.
Im Hibliothi'que Kuyalc eu a un exem-
plaire Hiir \i'liii venant de Oaigiiat . I^ Vat-
Itm- et Mae-Orthy. à la «ente duquel il fut
^rotluctiuii aati licnntue.
lAti\ <|iii t'iirt'iit Uù\-i ilan.4 Jr« <1(HL\ ixci
»icr(ali<ni irAlinelo^ifji . jMiiir r«n\r3j;c tic
Irnit» isoir» , pn-^pw Imit (l'u|>n-'< la pclilt'
Mriil »riiii*' c\tVuiHHr lr(n> iifgli};»'!' pniir mci
nirutiuii.
ROBEnTUS STEPHANUS PÏUMUS
M. U. XXVI.
1- Dt' Di!iioi|»liiia et inittiUilionc pi»^
uni, OlIuHiis BniTisfclsii Parjtnt'si:*.
l'arisiis v\ uHit'îiui HoLrrli Stcphuni
|n*i:ioiie Si'hûla; Dcrrf tonui; . « . u. x x v i .
r^leii. Di'O'mh. in-rt. M ffuillcls
2. l!iini8TiAM TluHKÎidiicli Pra'a'|)—
mes |Hiiicuhiî qiio (siolo iiifionui «do-
retilw foniiaiiHi sinl. — Parixiis ex
iriiia tloberti Slfphani v n'poiwi Dc-
•lonim. M. D. xwi. In-S.
II. PnistJiM LibL'lItiii (lo jur^-ntibiiri.
Parisii» ex oflîdiui Ruberii Slephani
o. \xvi. tn-i.
Premit'i-i' nlilînii Av. rcl iipiucnlv.
4. Idem PriM-iitrii IJk'Ilus. — m. n.
Lxvi. Iii-H.
n. iEiJi Donali Ut* octo jiiirtibus tira-
mis (xliliôs<rumhu in ciindcni SiTvii
ïonur.ili ilein ^ Scri^ii Gnunniulici in-
l(Tj)r(i:ilionï»s. — /*amiVsnx (ifliriiia/ï(»-
■ti Stfphani. m. u. wvi. xv Oïl. Df-
iibr. ln-8
l>iia«i c*: mi^nif Mwle, six rdilioiis wil pré
)éi\é rrUv-t'i . rua» auniiip n'csl Je I ni) <)('■'>
klii'iiiif , ni lurmr ini|>riint*»* à Paris.
6. fîHAMMATicA lalimi Philippi Me-
inclKhonis ab aiiclorc nup4'r aucUi &
•OL'nila. — Paritiis ex ollicina HofuTli
'phani. M. D. X\vi. Prirtip Nnnas (►c-
linV. in-8.
7 La miinu're de tourner en langue
fnincoiïie les Wrlips arlif/.. (Hi!*Hfz. Ge-
lifz, SlIpinc^ et Parlid|»eb, llnn It^
IinpcTÂonnelz iû»nzé U^uûnalion
ai:l:ve uu passive, avec le vert)e suhsUiTi-
lif noninu'i.Sum.— J Paris^ imprimé [wir
Hnhirl Kstietme vu l'an mil eint) renl
vingt Mi\ an mois de Novembre, ln-8.
8. R. l). ANDnRT.(fiuani;e]SiderMitani
Patricii Ixenionensis Uellum (ïr.immati-
cale. — Purisii» ex oHioitia Hoherii Str-
phani e regiune Scitulae tïecrelonini.
M. D. XXVI. In-K. IK feuilleU.
AJiL^î f\\w jt> l'ai uvtv t\an.\ iiioii Calalo^ic,
tl , M , l'fl opa«ciil«\ (HH- sur stm lilii* j'aiiiîs
il'niKinl iTii itiif jtliii'iauterii- . e»l nue |H>ibii-
lcM]tit' el KiiituM' iliMpiilf i'iiln' k- nom cl U-
^trlic pour la pm*iiiiiun»c gr.immalic.-iN'.
lu ili-s .irguniruU du luiiii t'jti •< Vetim cer-
tum rst frrissf omnia, luiml st omma, ittiqur
vl rrrhum : tiens atitrm nomrn est, nmi rer-
fmm. (•;'tlur a Hominr fai'la junt um/ua
tin *-f anthoritatt rtrfm nomen Umge e$t
fira-stanlhis. — .irri^v attirs , ivptiiiJ Ir
Vcrlif, Ih princip'iQ entt vci-bum, et rrrhum
rnit apud Dfum, rt tint: ipsojactum est ai-
hit : Hoit igitur nomen fcnt omnia ^ srAfer-
hum. ••
O't auli^ir anra mu» lUmle olc fort ronlml
ili> liii-fjii^inf , cl truiilQUi pliih fiH'liuiili' qar
■ioii rlH'lMt'a-mrr eut nVIlducui un siintV
ma^nili(pii'. puiM]ii4^ \esc\i\ KnlMTt l'iaiprinui
«V fais 15i6-i8.aà-;j6-39-5l). IM: iMl n M^],
l*:itiMT i-ii i-iii-L*^i!ttrc neuf niitri's imIîUuiu.
IkiiLs un (II' iiiM itiiiiiiiiii.'iiii--s huturiqiH'-it il
f!tl <tit, prnlNiItlcnii'ul omt ipirlipu* r\af;(<rD-
liun. qu'eu Italir, il eij a t-tt^fait pluHcJrn-ulèili-
Ijuus. La pn-mitTC rst de (j-cmunr. IMi, m-i.
9. M. T. CicEROMS EpiMolarum faniil.
Lihii XVI. — Pan8mc\ olîicinii Rubfrtt
Slcpham v ret:ione SelioUe Dwrelorum.
». u. XXVI. VII. Qil. Martii In-H.
40. HuLUEfiici HutU'ni Ars versifi-
«iloria /*amiV«ex ofiieinn HoberliStt-
:ti
HOHKKTUS STHiniAMS l'KlMUS.
S53D'3I.
limitiiîrPï» lie !W»w*, àonX ia fjnmière t-st de
l'-rfS. Jt: li'ui I»" trou\fr Irarts d'iim* |>reniwrc
lUnt StIioIh^ d'Ilî-çeiHlorith , suit \tar les Ks-
lîiniiM', MMl par tout autre Imiiriincur.
9. M. T. CicEBONis Epistolarun Ui-
iiiil.librixvi. Secunda editio. — Paristis
c\ ofTicina lioberti Stephani m. d. \\x
10. DiCTioxARiL'M iK)Oticuin, qiiod
vijl^o inMtrihitur Elucidariusciirminuni.
— Pari*iinf\ crffirina HoberH Stephani.
M. 0. x\x. XII. (^1. Martii. In->ï. 3 s.
ml.
Vjtt ott\rtiçi*'; U»nt la première édition est
<lf Ilfnnih'r, 1501 , în-4. et c|ui avant celle-ei
lie ISM, a\<Ml déjà été imprimé plus de
<|iii»»! Ah», mt le premier essai (|ue 1*011
ivmWMMe iruii Diriîonuaire poétique. Sou
auleiir, IlermaiiriHii l'orn-nlimis (Van Beeck}
prfiCnHeiir flamand, né à ZwoH dans 1c quin-
zième MM>le, Ml protiahlemeot de même fa-
mille que riiahilê Imprimeur de Korenn*.
Uirriuui 'J'orrrntino, aiuai Fbmand, et qnt;
l'ou erriîi île mém« né à /woH.
J, 'iJifiraaMUi, daiu mu livre De plaf^lo
iiturarin, fait à Kolii^rt uw mautaise quitelle
AU Mjet tWtf Diilionnaîre |M>ur lt*(|uel il lui
re|it»elM* d'avoir pillé Volaterranut (Half.
Ma^, de Vollerra,, VérilahKrment, l'accn-
Mlifni nV»l |i.'i»du loul foudtV; mais que, soit
Am» V /inthrtfpotnff'm de Volaterranus , Miît
ilam tout antre Vfiraliulaire •inalof^iie , Ko-
liert ail été reeueilltr d<» nutériaux pour
Mipplémeuli-r et amélîtinT le vuluniv qu'il
réimiiriiiioil , w nVloil qu'uner <lu droit el
wliiibire aux oldi^itioiu de tout éditeur dï-
%rul. N'auniil-iHi |iaii voulu qu'à rJiu|Ui'
etprewifHiou hHinM)rc|H)élique,àrliaqueniol
par luiînlroduit flaiui*et A'/uc/t/aW»/, ileâtcu
la niaite exaetiludr d'y formuler une dérla-
raliou étifNieialive du wim de l'auteur, et de
TiHivraffe rtann teipu-l li* mot avoit été tnxivé,
Ml a défaut Hre Mgtuiti! et tionui comme pb-
\fjuârv. PniHlre çà et là des moli ou de* c!v-
(tn-Mioiii |NMir e» etirieliir un Vueal)ulaire
quelnnH|ue n'est pai un plagiat, quand ou ne
M' (ail iMunipiMe, et nurtoul quand ou ne m>
iléelare |nm railleur de aeoHjr» fournil par
d'autni. Il atoit liieii fallu aller prendre Ii-m
mol* iHi il* M' Irouvninil. L'auteur de ce trr>-
taililiVlare qu'il «'eil ai<lé de travaux anté-
rieurs : se ah aliis tratlita omma studio^
coUrgisse.
W. M. Plauti Comœdiœ XX, ex an-
tiquis, reccntioribusque exemplaribiif
invicem collatis, diligentissime recogni-
ta. Quarum carmina, magna ex parte hi
mcnsum suum resliluta sunt. Autboré
vita. Argumenta singularum Comœdia-
inim. Tralatïo Grscanun dictiootim. —
Parmis ex officina Roberti Siepham
M. D. XXX. VI. Calend. Febr. In-fol.
lî) s.
Maittaire , flans la Vie des Estieiioe, mvcà
mis ce livre à l'année 1529; il a*«t rectifie
dans les .\nn. l^p. où il l'a placé à l'aimér
1530, ce c[ui est la véritable date.
12. Skntentiae et Proverbïa ex om-
nibus Blauli & Torcntii Comoediis. —
Paristis ex officina Roberti Stêpktmi
». D. XXX. VIII. Cal. Mail. In-S.
43. Orus Apollo Niliacus de Hiero-
l^lyphicis notis a Bernardino Trebatio
Vicentino Latinitate donatus. — Parùiis
ex oITtcina Roberti Stephani H. d. xxx.
xfx. Cal. Feb. ln-8. 8 d.
1 i. LccuNi aliquot Dîalogt per Eres-
mum vei^i cum Scholiis Nicolai Boaco-
duc^nsis (de Bois-le-duc). — P<Êriaii$
npud Robertum Stephanum M. D. xxx.
II. Citlend. Decemb. ln-8.
M. D. XXXI.
•
4. CnRiSTiANA studiosoî juventutht
lnstitutio|>er Christophorum Hcgendor-
phinum. De diâciptina item & in&litu-
tione piicroinim, Olhonis Bmnsfelsti P&-
rfcnesis. — Paristis ex officina RoberH
Stephani M. d. xxxi. In-8. 6d.
2. Nicolai Perotti Rudimcnta latinœ
tirainmaticed. Secunda editio. — Pari~
siis ex officina Roberti Stephani m. d.
XXXI. XV. (^1. Mart. In-i.
Je ne connoïs pas d'éditioD de Robert ou
Henri antcrietire à celle^'i de 15Si, mais, de
lSi7-i8. ROHKirTLS STKPHAMiS PHIMUS
27
iilit^iii', acoxiuiU Kiibi'llii- In-s rx l*u)i-
(Jiino, 1*. rj'iiiilu\ II. Manliudiu- — l'a-
tisiis v\ itlTifîim !U>UfrU Stephtmi e rc-
gioiif Stliolii' (krri'lorum . u. d. \xvm.
SSII. Calfful. Junii. I11-8. 2 ë. 6 d.
45. SiLtsr Aicibiitflis pcr îk'S. Eriis-
■mm Rut. (-mil Sclioliis Jniinni.^ Kiftito-
nii, prt) (jnL*c<iniiii vucutii \ qiiunmibm
locoriiiu j[H>i*Uori inU'lli;zi^aliHiKJi'iik'eiii
a^joctis. — Pitrisiis L'\ uflicina Huberti
Siephani. m. d. xxvii. xii. Oïl. KcUr.
la-«.
PiNir rm\ ((iii rraumirtil \rj\ ru l'iirriiiiioii
«t ta%utr Vf f|iK* M|;iiiliuil vts liiob Sitrni At'
eitiaJif . jt* iloJA din^ ijmr tIm'z IfA (irtr» uu
nomnioit SiltiK-n tU-A «iK-tv» de builr» «n iIiiih
roniiHcii magoUa^Ki Vfnltv,ordinûiixiii4-iii
» lîgniT de Silcuc , qiirl(|iK*foît> miv-ii J'ninns
ïttmm, mni^ loiijuui'ï p'ok-wnii** *rt wiriratu-
i-r.**. <'f« i-ltiis ntifrrriiiiii-iit di-s sUiluflli'^ ilr
\ uu ilf |H-t-Miiui.t;;rv niiiari|n.-iliU-s. (|iirl-
I Alilrrs (it>jfl> il'iirl. |ireN4|n** Intijoiirs
lilrs«'l tt'iiti li';i^;iit f\i|iii>. I);iii^ )lr.^M'l'
/)<Mmm de Platon. AlnUadv uvrmil [lu |i(m-
^oirnirux fain- ïéUr^v dt- Sorralt* quVii li-
HflfifikU â CVS Sik-iif.f. cuinnit- eii\ d'ai>i»vr|
PmUftlc. (I** phv^iunotiiif tu&sf. joiiitrà un
lan;>Bgir \iilt;air('. nmU |u>iir rnix ijui «a^oii'iil
ouvrir CI* ndi(tiU> Silciir. au iledaiis cipril *u-
Minti*. vrai |)ltil(>^u|i)ir, un ditii |)liitnl (pi'uu
htwnnw ^HUmrn foliitufuiim Initnnum . trawiiL-
% nt rtiijMirr ttt- rrlli'(li)iiii(n> : ddii\siiii Montr
tucomiimt il fail dirt* à [u l'<itir i|iir cl»'/. 1rs
liatmiitr^ Itnil, m»\ ru )iit-ii, mnI m uml. i'*il a
dutililr iMi fattvtr njiftaïf tiH' . firrviter ontnia
rrjtrnfe trr»n ir/trrirs ti Mlrmim ttprrirrij,
Oitr iili^* ipit d'aillriii^ ii'ol rifii nioii»
i|iii' lïMiir, »■*! ;i-\MV !«(iinlut-Ilrnieitt di-M-tnj»-
|Ht> l'ii uiir roiiplf i)t- P<'i(;i'a; nuÎK l'ile Tr^l
l«ruiK'i)ll|t (tlns.fl ;i\tM- pleîuir |dlVM(iMntHie
«TiHlitf (Ijiu rr<-iil Liliii im^lV' de kiiv diiiil ce
l>L*fit kitiumt- dr lâât l'Ai uut' di's plus an-
t'ùtiuvst^iliuii'», ti |R'iii-<irc la iianiirn-. Il
en rnrrii jcm- l'ai |M»iiil vii.maiini) n-inui\e
b fiK^iiH' piccr oi'cu|»Aul liuit^-auilo pages du
HrriH'il m cniiiii JSrajmi Uiti^ia, ii. 1, iir^
. Cmiurtr, in'ChiliiwIc.
IB. Lrci.\.NL'S in ùiliinuiuiiu. & Plii-
tarclii UiniiMlo, laliiu' rinldil. ;i IMiilippo
iiK'litlioMc; Ly&Ki. KpifiloU ad Ui|i-
piinhuin ii (i;is[Kiri' ('.liunrrn r (inrro
SiTriiuiir in Laliniiiii li-udui'Ui Mt'liinch-
lliofic ?i;r(i'plon'; LiK-Jdniiïi rnlvot-HUS
imloi tiiiii [iiultos libroi* cociiu'nkMn ,
0|mM»luiiiiibAnîisUisioqu(Kiimivoniuiii
— Varisiis v\ (ifîirina HoinTti Skphani
e if^iuni' Si'liolif riirrrlnnim. m. ii.
xxMi. V. Calpiid. I-Vbr. !n-». .Sd.
M D- XXVIH.
1. ninLi\. /*ansiVs px olViciita Roffrli
Stepftani, c ro?iom';»rlioIiL' UH'reloruni.
M, n. XXVIH. Cuiii privilciîio llej-is. — .1 h
fin (lel\\iiOf-ahjp!ie:P(trisiixv\cin\Aiiii ïn
Aua olliciniii Itohntus S(ephanus un. Cul.
DtTi-niU. Aiinuu. n. xwii. On Iroure en-
siu'tf : Uohnùcîi, t'Jiiildifii, IJnivaqiie &
Liiliiu iinihina \irurniii, iiiiilin-urii. p(>-
[mluniiii. iirlmitn, idolitnim, nuuunini.
rnonUiiiu, n'tcrnriiiiiqui' Itx'urum tpw in
BihIiisulriiJS()iii'T('?-laim'nlispufSîi>uiil,
rcsliliilii , lux* volimiiric compn'InMidun-
titr (Uni iiiU'E-prrUitioiu' Lilinti. liidia'S
ilein duo, hII<'I' iri Velus Ti^^tiiinontuin,
îdter in Novum. — Parisiis i'\ onkiiiii
tloberti SWphani «' n.*'^iom! si'hola.' Ih>-
(Tctoruiii. M. D. xxvm. riim pri\iIc':io
Rc^is. .1 \a fin : Li* PriviN'j^c du Roy
Frnn(;ois, donno ù Piiris le (-inqksmp
iour di' ft'vritT. btn diMirAp mil cinq
crns viiijil sept et do noîtlru Rr^up le
quiitnr/irme. Piir tr Ri»y h vostiv ifliilioii
di*» Laiulrs. In-ful.
l>r*-iuiêri' i-diluiii de la Bihlf laliuo doiiiui'
par ce s.ivnut Impriinfiir, it nr>n\i'll»' ratiw
ilr t:i Ituilii- vM'tioiiMKpii' (pic dt'jà lui zimhI
nltim> )a psililirnlion du \(Hikr:iii-'li-sliinii'iil
l.lliil, impriniL' ru 15£1, tii-lfi, par S. de ( Ui-
liiirs.rl doitl KiilM-it.lilot« iV};(>df l9uiu,fiNuil
clé ràlil'-ur. Itidè inr infrâlistimu:, tl n-tte
aiiilitmili- de pcriiViitious tanlôt dwlam-s.
Ijitliii situi-ili'rs, ft Ii}ujitiir$ali»urdi-Ji, <(ui ru-
fin le inireitl *-ii itèrf»)ti' d'alltr IraiisptirliT
a ( iriie^e v\ mmi doiiûrde v\ wii it;ililivsi-iihtll
l>|K>^riipI)iipie. ICiii-uie |Hiui-eellr U>\> »iM lie
mt4Ml poÎTii A lut lain' drU'iidic tr «léliil lU-
^6
ROBERTUS STEPHANUS PRIMUS. 15«7.
phani (• n'i;ione Scholrtï Decrolonmi.
M. D. XXVI. viîi. Idus Oclob. ïn-8.
41. LuciAM aliquot Diaiogi, Inter-
prcto Desid. Erasmo Rolprod. — Parisii\
ox officina Roberti Stephani. m. d. xxvi.
PridieCal.Oclobr. ln-8.
M. 0. XXVII.
4 . CiiRiSTOPHORi Hcgpndorphini Chris-
liana studiosoî Juvcntutis Institutio. —
Parisiis ex officina Hoberti Stephani. m.
D. xxvii. VII. Calcnd. Febr. In-8. 6d.
2. Otho?(is Brunsfclsii de Disciplinii
fc Instilutione Puerorum Paranesis. —
Parisiis ex officina Roberti Stephani.
M. D. XXVII. Idibus Occomb. In-8. 8d.
3. PiïiL. Melanchthonisdecoriîïendis
studiis Sermo; Rodolphi Agricolaede for-
mandis studiis Epistola. — Parisiis ex
(^cina Roberti Stephani. m. d. xxvii. vi.
IdusJanuarii. lii-K. 6d.
i. PiiiLiPPi Melanchthonis latina
Orammatica. — Parisiis ex officina Ro-
berti Stephani. u. d. xxvii. viii. Idus
Septcmb. In-8.
5. DiFPiciLiL'ii Accentuum ('omi)en-
dium a Francisco Mencse Minorita His-
pano cditum. — Parisiis ex officina Ro-
berti Stephani. M. D. XXVII. X. Calend.
Junii.ln-8. 8d.
6. Phil. Melanchthonis de Arte di-
cendi Declamatio. — Parisiis ex officina
Hoberti Stephani. u. d. xxvii. In-8.
7. Phil. Mplanchthonisde Rhetorica
Libri très. — Parisiis ex officimi Roberti
Stephani. h. d. xxvii. In-8.
8. CiceitoNis Oratoriac Partitiones&
deoptimo génère Oratonim. — Parisiis
ejt officina Roberti Stephani e regione
acholae Decrctorum.H. d. xxvii. vu. Ca-
lend. Hartii. In-8.
9. Oratio habita a F. Thoina Gui-
chardo Rhodio, Juris utriusque Doctore,
illustrissimi Hierosolymitanaa Roli^ionis
Magistri Oratore coramClem. VII. Pont.
Max. in qua Rhodiorum Oppu«^ationis
f^ deditionis sunima continelur. — Pa-
risiis ex officina Roberti Stephani u. d.
xxvii. V. IdusAugusti. In-8.
10. A. Persii Satyraîsex. — Parisiis
ex officina Roberti Stephani. u. d. xxvii.
V. Non. Maii. In-8. 4 d.
H. CoMMENTARiA jElii Antoniî Nc-
brissensis Grammalici in Sex Auli Porsii
Satyras. — Parisiis ex officina Roberti
Stéphanie}. i>. xxvii. v. Calend. Junii.
In-8.
D*après les lisles de l'ouvrage de Maittaire,
j'ai dit dans mon Catalogue, t. II, p. 295, que
CVS Commentaires étoîent le qiialrièmo vf^uine
publié par RoImtI Est.; par les dates des
mois, on ^Dit qu'il en est à-peu-près le dix-
neuvième, san.s préjudice de celles de ces édî-
tioiu que peut-être je n'ai pas coimues. Si jv
n*adnH*ts pas le luxe d'érudition , et la sura-
bondance île citations , qui grossissent le vo-
lume de Maitlairc, au moins aurai-je Tavaii-
lage de faire mieux et plus compictcmetil
couiKMlre les nombreuses .séries de toutts les
éditions de ces sa\ants Imprimeurs; et je
pense que c'ejil en cela que celle sorte de tra-
\ait peut vérilablenieiit intéresser , quels que
soient sa forme et sou entourage plus mi moins
compacte d'érudilioit.
42. Jacobi Sannazarii de partu Virgi-
nis. Lamenlatiode morte Christi. Pisca-
toria. — Parisiis ex officina Roberti
Stephani e regione Schola; Decretorum.
M. D. XXVII. V. Idus Maii. In-8. 1 s.
L'édilion altliiie du mois d'aoïH 1527 est
proliablemeni faite sur celle-ci , sauf quelques
augmentations.
43. HiERONVHi Vida; de arte poetica
Libri III edcnte Nicolao Beraldo. — Pa-
risiis ex officina Roberti Stephani u. d.
XXVII. ln-8. 10 d.
U. jEsopi Vita A Fabulœ, latine
versœ a l. Valia. A Gellio, I). Erasmo
!5«-49 R(mF.imS STEPIUNUS PHIMIS
a ù Pitrtv ou Moi de May 1ÎS2H.
, R. D. AxoKF.,c (Uuuma') Sulerni-
mi Patiifii (jvntam'risis Bellimi Gnim-
[luUiraliv — PahAiis e\ fillirina Hofter1i
Stfphwii. u. D. WMii. In-^. 6 d.
1i. M. TruL. CiccrfjDis Topicn runi
iiiilii Manlii Scvcrini Itoelii Coiiitiicnlti-
Pariiciis ox ollicinu lloberii Ste-
ium. M. u. XXVIII. Caleiid. St'pU'nilj.
-8.
13. M. Tru.. Ciccronis OnitorÙL' Par-
ionos & de opiinio '-îonorc Oraloruiii.
Parixiis p\ olTlrinn Haherti SIephatti
D. xwiii. Pridii' Idus Octobrii. In-H.
Georgii Vulio.' Cominentariii in
mis Oratorias Piirtitioinv, ^r. —
rnsiA oxotTu'iiui Httf'crh Slephani.». u.
,\iii. In-M, i s.
1 r>. M. Ti'L. rjciTonis TiJsnihina*
ftiii'stiimcspLTDi's. Ërasiiiiiiii KoI.cuhmi-
lla* \ Silioliis illiislralii'. — Pariniis
7f% oHuimi Hohnti Stcphani \\i. f.»l.
Soptfnib. M. 11. xxviti.-ln-8. ïg. 6d
4l>. Ptiii.il'l'i MftHm-lillionîs Ordtio do
it'iis & de i^ntdibits, iir PriL*f;ilio in
■liini"* fi>i Lk'iuustlK'iiL-i Omlioai-s: A
iTprpUilio «iRiUonis Oiiia' coiilni
•niinrïK'nu'X Xi'noplmriU*. — PurÎMis
uflîrinu iioU'rli Sti'phuiti ». d. xxmii.
II. tdiis Aiigriisti. lu-S. 8 d.
17- Piiii.ii'Hi Molanclilhoms DiuUvtit-a
Ai Aiilon? adaiiL'ta, iUi ut in mulUs veU*-
■m non ipioasa;znosrrrp. — ParisUs i^\
lii'iiui UofttTti Stcphani m. u. XXMU.
(jU.No\. hi-K.
18. Ali Hiinwrii Geiicrig SiTvnlonMri
l'rbrâ Honiii' p\ri<lio P. Cur^ïi Civîs
II. lX*plunttiu. — Pahxiis ox ollirina
"(i SU-pfttmi Meuse Maitt m. i>.
LViii. ln-8.
DuLOfïi puériles Oirislopliori llt^
uloq>hini \ii. lepidi ii-qm'aedoi-ti. —
tV« o\ oiruiiw Uoherti Strphaiti
XXV1II. Phd. Non. Jiin. In-R.
20. P,Ei»oLor.i\ Pétri Mosellani ProUv
gensia in piieroruni u:ïuni consrripta et
aueUi. OialOiîixxxvii. — Parisiisi}\ offi-
i inn lîubnti Slcphaui. si.d. xxviii. Prid.
Non. Jun. In-H.
■' Diti s(im rHtK-tatit»,{(Iit r.iitinir<liiiuunt*
préfaff 011 èpilrf laiiiu- à un piorcsM-ur tW
Li"i|tsii\ ri JnltV lU- Celle \'%\\v. frriis ili*i Mfll-
tlin*!. 1M7.) parliiu f|iiiMl... iiatic (>[HTam...
liiitiiili'nt 1*1 |u*iii* Miididimi ilttlipiari-r. .. Vi-
ilrloiii i-iiiiii ntl Ikiiic faliiibiii a;trfid.-im iipiLs
ftiif deuiiu 1 i-j)iKTaM¥i'e (i, iil aîl l'Iiiœiks:
LnJcre fur imp^r, n|tiitiinf in «rniiitinn luaj^a.
8i ({uis rst qui piilet iiidi^iiiiiiii... lio» , fticuli
pniim rriiiiti' ^idnitur, iiiiga.<>... scrilii , U
riiilij %innit pni'li^iur i'\ii;il . cl iti pii4>niin n,»-
(li-ul . t>i>i;il4-ti|ni- jniii |iriiiiit(ii silii laliiii mt-
riHttiis iLsiim iliM'i'iiilimt. »
i\ Poï.vDoni Vcrgilii de inveatoribus
n ruiii liliri ni. — i'(iriwï.«apiMl Holertam
Sifpltauiim u. I). XXVIII. Iii-i.
ikiii^ lu tti&lioflirca /ali/tii. III, 457. ji'li» :
» A. Iâi8. l'ar». apudHol). Sli>|>li3uiuii iidmii
(Klietorrs Liliiiî; edili siitil , iiiii m inl. Itosi-
Itf ii^i I A. lâil) Etaul, atlditu f\ AlJimi Apli-
llxitiio. » Ctri m: m|ifKirle à l't-flitîou ila'i5.W-
31, 4|uc l'oit \a lrou%t-r à la page M , ii. 5. Il
n'y a poiut d'édition di* 15£8.
M. D. XXIX.
<. Otuoxw HriMisfelsii Para'netiiîi de
(lisi*i|iliiia pueroruui. — Ex ofliiina Wu-
herti Stfpliani, e rejîioiu! SilioIiL' lUviT-
UTUin Parisiis h. n. xxix. vu. Cal Sep-
tend). Iii-8
2. i'.nnisTi\Ni Tlieadidaeli Pnwep-
LioïK'S. ipm [Mirlo (idoh'seiMiUs in^eiiui
foniiaiidi-liuiit. — K\ ulïitina Hnhfrli Ste-
pftani, Parhiis m. i». xxix. Pridirllul.
(k-lob. ln-«.
3. \)r. in^titiienda vita. et moribus
r'(irrjj;iMidis juvctthitis. Parii'iies4S, à
('.linslii|)hnrn llriiiMtdoqdiinii priintiui
r|iii(ieii) in ])n<>iiluniiudisetpiiloi'Uiu;:m-
iiainro]ii|i!iriiUi^ : deimlr veW)& ih iBunt
ROBERTUS STEPHANUS PRLMUS. 1M8.
wmlitrr-, mail <iu mit iMeutni trouver TiXTa- |
Muo fw kr |»ré1cite dv ooutdln atlaqu».
AurtNDnMtMXinenldutoIunK'Oolît : «Hoc
nîlJifjnun (*piift aun restitiila Hebraiconim
iMiOiinuin îiiliT|irctalkHi<* éf (IuoIhu ludicihus,
KrpM liltcrû, ue f|uii lIhu iu hoc Rcguo ûn-
INUK iiD|iriiBat , aut iciulal, iulrà quadm-u-
iiiiim rauiiim <^. » Dans la pn'-face RoImtI
fait nniiHntrr <|iie depuis plusieurs auiiécs il
•'oTiiiMiil d<f relie édiliuu des Livrrs Saints,
d fjue. de» 1524. « ea |>er vetiislas url>isPa-
riùniMs liil>Uuliircafee\oKerat,opcrar pretium
Cwliinini w arlxtratus, si priiis qiiàm rem ip-
usttn a;;;p'eder(iur, veUra exeniptaria coiisnle
let, iude fjemiauaiu lectioueiu excerptunis.
(|Wf aiiOionlalc eonim fultiu, 6c qu» depra-
\ala «Meut restïtueret, & srnipulosis qitibus-
dan letUirilitn ulisTierti. qiius vel uuius xer-
\m\i eummulalio solet ofreodcre. »
A 1 Vve|iliuii des Psaumes ^ doi^t ou y a
rfjiisené une audruite traduction, traiafio
■vrtutf k la<|ueUe le Clergé et les (îdèles éloieiil
MMHituméit, retle ulitiou dumie pres(|ue par-
tout le trxle de ta Vulgate, avec des correc-
tions et variantes, résullant de Tatteulive com-
pareiwNi fje te&lcf tant imprimés que mann-
icri1s,et tiotammeulavecceuxdela Polyglotte
d*Al(:aU [com//iutenMit) (pie, dès 1524, ie jeuue
éditeur atoit fait «iniir d*£spague à ses frais
pour util travaux l>il»liqu(>s.
l'ftutex uomiitu$n, eu pluùenrs langues
aneteiHies , travail liïeii autremeut diflicile que
le plus i'xv\ Imfes nrum tt rerfmnim , fui
iiiM* betireiise idée de Holierl , <^ il rexécula
atee liahiliié. <>*tle multitude de noms pro-
pre», eu lii'iireu. < lialdmi, k^v, et luiSne en
latin , dwit ei»t n-itiplie la lUMe, pour la plii-
|Mirt ultéirtt , (U'iiatnrtti dans leurs jNtssages en
e«-s diverM-s laugiwit, ainsi que dan*> la repru-
diKiioii eonliuuelle i\r ropies iiianasentej( on
impriiiMin, sont dans cet fndcx rap|H>lés n leur
primitive eiartitwle , souvent a(rom|»agii(>s
d'une dt^inilion , tiHijount de leur tradiHtiuii
latine, et {lar e<>H moy«nis pn'iuTvé» de toute
«lltTotitHi fuinre. O'I Index si utile, imprimé
i<'i avec cette ItiNedniil il fait nue partie ih^
o*skair<-, le fut plusietim roisdepuis,.taiit avec
les diverses lUhli's Av. Ittilier1,que sé|»oréni<nil
eu iii4. et en in-M.
i. PsALMi. PnnprbiitSaloinoiiis. E4'-
«'li^siiisU's. Oinlicuni(!lanlit'oniin. Uitinr
niiii lirovibiis ex IHmiH) uniioUilioiii-
luis. — Varisii» o\ «flM'iiiii Hatterti Ste-
phatii. M. D. xxviti. CumPrivilcgio Regia
ad VI îinnos. ix Calcnd. Oclob. ïn-l.
5 s. 6 d.
3. DiGESTOBni seti Pandectamm Jnm
Civiliâ Volumina quinque.
Volumcn i. libros undecim priores,
6 II. quatuordocim complectens. u. o-
XXVII. iiii. IdusNOTcmbris.
Volum. III. tredocim, & nr sex. a. d-
xxviii. XIII. Calcndas Julti.
Volumcn v. quinque (sex) posteriorcs.
Parhiis ox officina Roberti StephaiU
H. D. xxviii. vui. Idus Aug;usU. In-d.
iO s.
i. JisTiMAM Institutionum Libri qua-
tuor. — ParisiVs ex officina Roberti St^
phani. un. Non. Jutii n. d. xxviii. In-8.
4 s.
5 ALPn.vBETCHGraxrum.Moduâoraii-
di , Graece & Latine. Abbrevialiones ali-
quot Graecae. AIplutbetum Hdïraicuni.
Decaloiws , hcbraicc & Uiline. — Parisiis
ox oflicina Roberti Stephani e regionc
Scliolœ Decrctorunj. h. d. xxviii. ln-8.
4 feuilU'Ls.
6. PiitLiPPi MclanchtUonis Gramma-
tica Latina. — PansiVscxofiiciiia Roberti
Stephani. m. d. xxmiï. x». G»I. Novcm-
bris. In-8.
7. Philippi Molanchthoni;* S>Titaxis.
— Parisiis px ofluina Roberti Stephani.
M. D. xxviii. Oil. Soplemitris. ln-8. 6 d.
8. TiioM.c Liiiacri do oinondata struc-
tura Latini Scnnonis Libri sox. — Ex
oBicina Roberti Stephatii c tv?iono Scho-
la; I)ccix?torum. m. d. xxv». — A ta fin :
Parisiifiaiiw\RobertumSt''phanum.\iii.
Calond. Febr. m. d. xxviii. In-i. 20 d.
9. Index in sex Thoina; Linacri de
omondatu struclun» Libros. — Pariaiis
ex oflidna Roberti Stephani. m. d. xxix.
VI. IdiisJanimrii. Iii-i.
40. La iiuiniere de lourner en Ian|;ue
franroist» les Veri)es. — !>o l'Iiiipriniorie
do Robert Eittienne^ vis-ii-vis l'Escollo de
injlio A III lÎMi* Ariiiimrntis. I*liil. M»*-
binrhthnn m sfx Tt'n»ntii r,om(iMliiis, \
IHinniiltii (if CoiiiumIms \ Mclriscoiniris
e\ iinlifjiiis (ir.iinin;iti<rii4. — l'arisiis ex
offirina Hobfrti SUphani m. d. wix. iv
Idus. Julii. lii~rul. 7 s. OU.
Void iim.\ Trrpnrr» iii-fiil. |iiililn^ siniiil-
tjiiu-inriil, l'itiiatcr CHiiuiN-ulaim. ri Cniilrr
Ju li-\tr M'ul.
Le i*-\ii- i|ti '1 rtriiti* vnts minnH'iitaiiT i-^l
fiir1<iiirtii itilci-lifjtH'- , piMir iUiihh-i' uii\ i-Iii-
(liaiilï luiitf t)«ililéâ y ÎTiirt' : •' llm•rli^ iiuî-
cutqiic Mrnm «puliolb . til just-ufj« ^iL^^^iin .
qtuiiu t4)C4ii)l. .'ijtrnlMT*- |wiÂsml. ■• Datis la
|irr&rc iJu l'aulrr i'ililiuii, puur liu|iu'l|p IXu-
lirrl fut uiilr J'uii «iincii H Ihiii DtitiiiiM'nl
ilii4~iiniiiu>ii)airf lU' DiiiKil . à Itii ilitiitjt- piit
J. itutliii», Miii U>aii-|H'ii' . il ii'ikI foirijili' di-
Mju travail |tcmr b rfc-tiliralioiti-t de n-vT/tni-
l'iilnitr*. il lll'^ rilaliniis cloitl ÎIa j>nti1 ii-iii-
il m-iiiniiiil y nMiir i'tùaiilc \tai' ricrri.-
iM-tt. Ik>ii ]hh-|i- bliii tli' rtr U'tniM. (|iii \ms'
loit si |>arfaiirfiirn( Mi» \iri,ilt' «inil |)iii .
llKUll-l, ru ill(IU|lKT lims lo MT* 4[lrtr'<
t'Ie ('loaiTDriildiic (U- Diutnl : « ^'iri;iliuii4i')
«pitMml iiiigiHiii ii-iit'lml , iiil iiiaiiiim
i*\Mf. •• \ raiiU* t|c t-4* tiii'iiii* iii.iiiiivrjl
ilm1mu.ut, iinii viiiN U^ui'oup tU- |it*iiir,ji
laldir (Liiit siut i-tlitiiui lc& paMat^t--* ((ivc-a tiJA-
itt lilaiic- ilaii.s le.M>(lilion» aiittrieiirr», el
Il ilaiu €v iiuiiuM'rîl t*l(iîi>iit (rhtilvrcsaii poiiil
Vire pri-iM|iir i[)d<Vhiirrali)i-4.
IMuM U prtfacf dc^ CorttinmlnirL's «tir
I5f7. îu-8. Kolit^t pri)iu«;ltoii d'iiii-
tic rk'dh-, m uu \ (tlttme séfiiirc , n'ux
It-rriM^', rv ipii i»"a pa* tié exmilt*.
Ct* iii-fol. <*■ Ir Piaule de 1S30 m»iiI riiron-
Ipnm» asrc le* oiirititi carartm?. rouiiiiii-*
rfr rhiiprittiiTir di- Id-tin. C'»"»! <*n ÏXW. a****-
!^ ^'iri;ilr iti-fiil., t\ur l'on \rrr.T dw vnrar-
Irrr» rrutHirrJr.'* â m'iif. ri dr fornic* pliti^
IS. JEaavi \*\\r)y,ià Vila ol Fabulai a
iIiHlts in liUiniim linguaiii vt^rsn»:
•rqiitfcil,. VîiUh. A.Gelliii:*. lï. Krits-
ku^,nliii]tH' quorum nomimi i;:nnrniiUif .
ibi'lla* Irf;*i'\ Poliliiino. IVtro t'.rijijlu,
utîsUi Munluano. Fabula: lU'iii Unir.
jtrmii — Parisiix cv oflicina Hohcrti
Il f n>^ione ScholfP Decn'torum.
y. 1». \xi\. VII. (^uIoihJ. Septemb. In-ë.
19- Lmct'A pcr Dos. Erssmum RoU?-
rudiimnni, diligonteriibaiiUion^ rcrojaii-
tJï. — Pitrisiia ex ofTn-iitii Unhtrli Str-
phavÏM. i>. x\i\. III. C^l. Mari.
I.VnJilioii (le rtltr nu^tif aiinrc, ttptiti Pn-
^t-nlitim CalvtirlH, ni- wniil-i'lli* |MM II mt'^itr
«pif crllt^a a\rr d*aiilrr% tilre».'
20. PASACLEftiH . id est, Adhortiilio
ad:yuicliïij;imumm'!whib(.'minuMi Diris-
lian»- {ilnlnsnphid'studiiini, ut videllict
Kvnn^:plil•i^^ tu* Aposlniirislitmslogcn-
(lis, si non soin, MilU^ni \mn\i\ rtira tri-
buatiir. .\iithore lX*s. Knixiio Hnlcnh-
darito. — Farisiis cxrudrlMil fiobrrlu*
.s7f7j/mfiii5unnoii.D.xxix. Prkl.Calend.
Scplombr. In-H.
21 . CiiBl«iTOPiioiii llcfïcndorpliJni 1>i.i-
lojïi pnorilt^i. — ParisHs rx uflicînn flo-
iHTtiSU'pluwi M. 11. wix. XIII. Cal (»r-
lob. In-H. 10 d.
Dans le* rt-imprcssiouft, ti-s litah^i puen-
/d Miiit riiiiiiH ru iiti iiii'ftir- «i^iimiT. awK )r»
^iiivaiil.'» l'rtri Mine/fani.
iî. pETiii Mosfllani PaHloIogia sivc
I)iali)s;i xxwti. — Ex otlù'jna Ruhfrti
Stfphaui. PahffiisM. d. xxix. viii.Od.
Ol-IoIm-. lii-8.
^3. V.. Pi.ïNii Seninrti Novoromrnsis
Epislnlanmi libri x. Kjusdi'iii Pani-fî^Ti-
nisTrajiihu principi dirlus. lij(i!s<loni dt'
viris illust^bu^ m n* iiiiltlari .St in ad-
minL-itramla n'p. Siiotonij Tranquilli do
Claris Gninuiialicis^ Ubcloribus. Qui-
bus adjtKlus i»st Index copiosissiiniis.
JiiliiObêw^qupnlisProdijiiorum IIIht. La-
fiiui inU»rproUitiu didiomiin ^ sorUmi-
lianiiii Gra.'raruni quibus Plinitisiililur
— Parifiiis ex oflicina Hnbarlt Siqthani
M.n. WIX. Phdiei^i. Jiin. lfi-8. 6s.
6d.
I.'<îpii*nilr /V riiis lUuitrihttt \wr\t tw
hin* r.xpri*s ri si* \riiiloil ntisfti scpart'ninil
1 ».
:iO
HOUKHTL'S STEI'IIANUS l'RIMUS. 1549.
alioniii) iMmii-iiiclolis juvenum cons^Tiii-
Ue. — y.\ ofWvinit ttoberti Slephani. Pa-
rim$H. o. \xix, \ifi. Id. Octobr. ln-8.
I. (Iltiiebkbti Tonstalli <Ip Arle sup-
putaiirli Libri quHtiior. — Parisiis ex of-
lirjfiji Roberti Stephani a. n. \\t\. Pri-
(liekl. lunii. Iii-i. i s.
5. L.ti.'KE.'^Tii Valliiî, Viri darissiini,
in Po;:^'hnii Flortrntinum Aiitidoti Libii
<|natuf>r. In «'iinclcni alii Uuo libelli in
iJiaUi{;o ronr^Tijiti. Ejiisdom LuiiriMilii
Valu* in Antoniiim Kiiudciisom annota-
lîontmi LiMIiis. — Pan'siiti ex ofiicina
Roberti Stephani m. d. xxix.viii. OiI.
Mail. ln-(.
6. PurLiPPi Mclanchlhonirt (iramma-
tû-ii latina, ab autliorc nu|>cr aiicUi K
nH-()\[uil-d. S<Tunda cditio. — Paristift c\
'iflw'ina Roiterti Stcpharii m. ii. xxix.
wi. C^l. (Ktob. Ui-H.
7. Piiii.ipi'i Mf'lanchthonis Syntaxiri Si
l'nMjciia nviMi!* nat:i K cdiUi. — Parisiis
l'x fjffK'ina Roberti Siephani h. ». xxix.
x\i. (jil. (H. In-«.
n. J(>A>MH PrllirtMonisHiidinMMiUi l-ii-
tina,' (îf-ariiinatira*. — Parisiis ex ofli-
v'ma Roberti .Strphnni u. u. xxix. hi-4.
il. PiiiLfi'Pi Melanchthrinis 1>(>('laniatio
t\v arti* direiidi. Kdilio s*Huiida. — Pa-
riniiscx oïlicina Rolferti Sfepham ». i>.
xxix. Im-K.
10. PiiiMi'Mi .Melanehtlionis de Artc
Hhi'Uirica libri tn-s. — Parisiis ex ofK-
l'iiia Rotterti Stephani e n'jjione Scbola?
mtTi'tonini. — Parisiis m. o. xxix.
MeiiiH'Jaiiiiario. In-8.
I I . M. T. (:ii:EitOMH Dialo}rurt d« Anii-
cilia <'uin aundUitioniburt I). Erasnii.
VfN'Uin iU'ïu fii l^tK-utioiiiini in lioi'Diii-
iojïo annotandanini, serio Htoraria Index.
— Parisiis fxrudcliiU Rotterius Siephanus
anri. h. n. xxix. xiiii. (*iil. Noveinb.
In-tt.
M. Ad humani generis Scr^-atorem io
IJrbis Romse excidio P. Cursii ci vis itom.
Déplorai io. — Parisiis excudcfaat Jio6er-
tus Stfphanjis anno m. d. xxix. Prid.
C^dend. Septemb. In-B.
13. Methodl's arlis poelics Valeran-
do Machecrier Abbavillaeo autbore. —
Parisiis ex ofGcina Roberti Siepkam
M. D. XXIX. XII. (^1. Mart. In-8. I fi.
6 d.
l'u des Catalogues ûe. Rob. Estieiuw, pair
f-'alerando Mascfirieria. Il est nrofaaifale qor
cVst le uum frauroîs JVascrier.
•U. ('.ASTiGATioNEs & varictalos Vir-
<;iliana.' Loctionis per Joannom Pierium
Valerinnum. — Kx officina Roberti Ste-
phani. Parisiis M. D. xxix. ix. Cal. No-
vpmbr. In-fol.
la {minière- (■dïtioti de ces savante» notet
«•st tif Rnine, 1521, în-tul. Files voul parait»,
rin|)loy(*i>s dans \v. Vii^lc de Robert &t.
15M , in-fol.
V>. M. Accii Plauti Comœdtaï xx. —
Parisiis o\ offieina Roberti StepkoHÎ
M. D. xxix. In-fol. 13 s.
('x>|>iude rAhliiiedc 15a. La suivante, de
1530, paniita\oîr été faite siir pliuîeun Iritfs.
« U\fUi)>Iaril>ti>t niidtis, itt<d irccntibus, oolb-
li.<t. I' dit la Itibl. laliua, I, p. 17.
16. P. Terentii Comœdiaï scx , tuni
ex Donati ComnienUiriis, tum cxoptî-
niortini pra;sertini veleruni, oxcmpla-
rinnicollatione,diIigentiusqiiàmunquàm
antebareniendata;. JEVii Donati antiquù»-
sinii & cele!)errin)i grammatiei in caâdcni
coniniontarii aceiiratecastt^tti. Cal|4iur-
nii in lertiam eoniœdiani doctisâima in-
terprcUitio. Index aniplissiiniis. — l&x
ofiicina Roberti Stvphani u. d. xxix.
(^uni PriviU't^io eiiiiis diploina scnatur
ab ip:»o tyi»o;;rapbo. — A la fin : Excu-
dvlKitAoberfuxSfcpAnrius in sua ofGcina,
anno a Chrislo Ri^deniptore nostro nalu
M. D. XXIX. VI. NonasJut. In-fol. 15â.
47. Tebentii;s rnni JE\. Donali de To-
rentii ViUi & de Tnipœd. ac Coniœd. in
ïsào KOBERTX'S STEPHANTS PRÎMITS
33
il, fit arçiimmli riilio <i>rnitnpilrir?
Pin tiUm atx-iJii îii ntltuquiiii. »
iprimi' à ihiris , m MAO. a%n' ilrs
lUIiniu. «-t |Uir KoImtI Ustii'iiiirfJiniii-
1S3Û ; m ccltr Inù-sirmr InlilMiii , rc lAi r
iit a.»si.-< Ji* siKci^ |n)ur qnVn 1^1 il lui fit-
ftotr IjTMiiu d'itur tiJîlîun itoiiNclU-. I*oui' crtU*
lis, l'aulttir rt l'Intprinirur se rniiciTtnrHi
Riiit Miii tin titrr con-utré par Tliithitiulr
[jrfrs prtTcifentM «liljoii*. y fui niil.-mi nnnu
[|r put, rrf-lUk' : Enumc lîl à mm Inn- ilrs
i*-tmnilintui ipH* rrprocltii^irttil phiMriir-
F4tlitu)u« iKnli-hciircs ; ft. daii> iiih- ûpitii' nu
Ia^Îs ati lf<'tfur, il mini i^ur r.il>ii« do ron-
'fiaof'ei't Ilnlul>ili-tê qui avoinil lixrè <tI oii-
«nisr au pul»!ic : « Fx» imiir rediU-w \idei!-
tiir liainiriiim inurc^, ul quod r(ii(|U(.' lilturril,
[iilcm sibi lio're piilpl ..... >pc hiic <Mitis \ iMini
tpin 1
'c»l : aBJiuunJDl tiluliini l'arapUr
liidilirii raiisa laiinni \idrri pnleti, 'rtileialûlc
fiirral EpUtwirn, apprlliin- adinisnitTiiirl
iKuuiuUa ipi.T iim: iii Ijiirviilin lialM'iilur. m-'
a nu- Muil jdilitn : rur%u^ qiiiixl.ini oniiM-nml.
qunr pra-tL-nuillj iinu puteraiit... l)OC non ci :.t
urdiiiuri'. M-d .scnpu dti^uhdTC. >•
MMttâiiv, k'tUf Strf/h. p. ti. parle ausM
llr n» puttlicaïkiui failei ^11.1 l'a^L-ii d'I!-
rasmr, mai« roiitrc son ordinairr, trop mu-
riiirt, on k* cooiprcud iiinl, vi iLin> si-?, li-sli-. .
«■llr mt*iibnn eetUio Irrtin fuiis aiiln* f\pK
ration, m* |ittit (pi'ajdiiler â Cnli^iirilt' du
■meiil. \jr \m\\ vf>\ mieux rxpltqin'
klf» .\unal. 'Vypof;. toiu. II. p. ~hh.
î. FonMt'LA interroi;an(li do Iribus
[pTiBripuis (îrjinmatica; jKirtibUi^, Ety-
Tl>»olo.i;in, SyiiUai. rM>*<:ttliii ; deqneorto
'partib)i!ior»tiotiis; addilispusi^iin ;;r.iin-
matieis Citiionilius^'itudijïiii.-îsimis; au-
Ithoro Prbii'iano gninuiialiconiiu prin-
[cipc; sive ejuâ ËroleiiuiUi in |iriniinu
[qiwmque vci^um duodfciiii libroruiii
VirpIbin.T Aeni»idos. — Excudcbat Ro-
\htTt\i% Stephamii Parmii îinno U. D.
ixx. II. Noti. Mari. ln-8. \ s.
3. Matcbwi Corderii de «irrupli ser-
.( Trrit^tilrflirnl la .tijciilt-nml «vrc Ir
< plu« ou noiDf it'tiIilUè tjDr rHlr
1 alptikbclitiur anra «ur puur leur»
mom.-; cmciKlatioiH' LIIn'Mii^ — hirmis
upiid ttof^rrtutn Strjihamtm M. d. xx\.
Cal.Oclobr. ln-8.
Piin/rr. VIII. p HB, donne cf liliravrc
dalrdf ISW.H |H*ii apn-À, à Tanm'e 1 S3I , l^*
nn^mi* li\ri' rp)Uii*oil Sitriv primum ner Au-
tiwtvm eililus.
iMaittairr, dansfte» Aun. Typ. qui Aerrcul
d autorili- à Paii/i>r, nifittiotuio cru drux èdi-
tioM, doiu,MiUi doutr. it ne rounoi&MÎI que
celle de 1531 m 1709. quand il iniprinui ion
oturage sur les l'islieimi'.
i. Des. Erasmi Roi. do rccla Utlini
Gr<T:Tri(|iiP Si'rmoniîi promint'ijuinn*' Hia-
to}ïus. — Parùùi» ex oiru'imi Hoberti
Stephani. m. d \\\ v. Cal. Junii. Iti-H.
âOd.
Alaillaire , f'ittr Steph, en iiolf une «di-
limi sjm >dalr qui iruxisle [>as. mais it se rvo
tifit! dam If* Anu. Typ. 011 J la remplact:
asiic fuiotiluili; [wr iiiir l'dilion ilv 15(7.
5. I>K lifiims scrilLMitinrumac vltIh)-
ruiii V. Hiililii Lupi lïïiflnrisanliqiilssi-
ini lihri diin, iUi nuni; n-sliluli, ul & lt';:i
& iaU'Ilijï! maiinosliidiosorum comnitido
|ii>^;sinl. .\<|iiil:p Uomani libtT uuiis. Ju-
lii Hufiniîini fie ils qiuu ab Aqiiila proi'-
Icrmissii crant . lihrllus; K pra-tcrpa
cjiirtfk'm libriduo. — Varisiis o\ onicina
Hoberii Skphaui M. D. x\x.— .•! la^n:
M. II. XXXI. V. Ca!. Ktb. lii-4. 10 s.
6. M.Tl'll. Ciet'ronis Orutoriaa |>ar-
lilionr^, * de (ipilmo ijoncre oralonim.
Serunda cdilio. — ParUiis ex oflicina
Hoberti Stephani f iT?gione Srliolai ÏV-
rrclorum m- n. \xx. viii. Id. St-pt. In-a.
La pritnirrt* èdiUoii est de 1527 ; il v en ■
auiwi iiiic de tSiS. Voyez p. îfl,
7. M. T. CiCEBOMS ad M. BruLuni
Oniior. ~ Pnriftiis ox officina Roberti,
Sli^phaiu u D. XXX. Iii-i.
H. M. T. C.H^ERONis «d C. Tiobotium
Topica. SiH!inid» oditio. Cum llrgondor-
plijni St'holiis. — Paristhex officina flo-
bfirii Sfephani u. D. xx\. Iti-8. 3 3.
Outre cette èdiliou nian|uée tfcufida, il y
en a une autre, de 1tt32, stuonJe ik» V.om-
32
H(»BERTUS STEPIIANUS PRIMUS. !îaMO.
ii. PoLYiK»Bi Vciîiilii do iiivrnlori-
Imis rcTiini prier cdilio, triburi primis
ronloiiUi lihris, ab i|)soaitthorproco'j;niUi
^ locuplcUiUi , ubi visii est rmileria sic
l>os('ore. ('.ni edilioni adglutinavift Insti-
liila onmia iiostn'c Chmtiamr roligionis
aliaruinvo genlium, ac eoruni primordîa
ntidititio tliiigontpr qiiicsiUi : qua; quin-
qup libris posteriori bus continentiir.
Adjcctus (Si & lïidox, onmia quai in hor
o[>pretractanlur, srrie lilerdria indicans.
— Si. D. wviii. A lafin : Parisiisex of-
Hcina Hobttrti Stephani m. d. xxix. yi
IdiittJaiiuarii. In-i. 5 s.
LV'tioncr du lilrt' fail roitnoîtn* t\\iv o'fst
la |irtTt'deiitc édition tïv iSiîi, en tnûs livres,
ù b(|iH'lli> otit vie ajuiilcs {adfr/ulinatit) les
riii(| \i\n-» de Siipi>lcuu>ut cl l'index.
M. I). XXX.
1. Amt!I Manlii Boolii dr Differenliis
topici^ libii quatuor. — Parisiis ox olîi-
oina Hubrrli Stephani m. d. xxx. ln-8.
40 d.
î. n. Erasmi Uolorod. Paraphrasis
liiruUMila juxta ac brcvis in Elcjantia-
rum liliros Uiiircnlii Vallas cui ultra
prioroin cditioniMU plurinuinun cuni dic-
lionuin, tum locutionum cxpositio Gal-
lica acossit in gnitiani studiosonini.
Addita est Farraj;» sordidonim Vcrbo-
lunt, sivf Au};iiu stabulumrt'purpituin,
|H»r Cornt'Iiun» Crocuni. Tmia Editio.
— Parima apud Hohertum Stephauum
M. D. xxx. Id. Sept. ln-8.
(>l ou\ra!;e. iiomint! à rouln-seiut /'«m-
^Arajf , iHilstiiK c'est un abrégé, ou plutôt
un extrait de ci'lut dn (irammairieii Ijtunnit
Vaila. fut publié à Otlfigiie. 1599, iii-8., à
l'insii d*Kra.%nie. H .s'tni i*st |ilaiul %i\enH>ulen
plusieiirH t)cra.4)»U!t , 4-t uolainmeut ilans une
lettre atï Prtntm .t'giiiium, jointe au vulnnie
Xrno/*hvntis f Soeratiei Rketoris y Hirnmy
D. Krasmo tntrrprrtr, Dasiletef 1S80, iu-lj.
« 1*rn«iliit in lucem primum (nt aïKlio). Co-
{ Iduiie, nio\ Uitelia-, Liltelliu ^ i-iii lîtulum
iieili<ft fe(vnuit Parap/tnuis Erasmi îh /.<-
hros elegantiarum fjaurrutH P'allte. Draiirar
(piid mentis ant irnulis liaLeont hcMOiiim is-
tiusnuKli, qui (aulum juris sihi tumiml û
SCI ip(a aliéna, idque vivo Aiitore. Olîm vi\
imlum aiuios vipntî literator qtiiiluDB, qui
Cregern nrrus collt^rat, oravit me nt ottrn-
den-m quis autor imliwmiiin conduoeret pur-
ris utl (lisr<>nduin latine. Commcudavi Lw-
renltauum opiis de liicgautiis. Respondit iDoa
fiisins MTiliere , eaque causa pan'im idoaeuia
qui pueris pnelegeretur , sitii vero dod cht
tanlum ocii ut e& eo decerp<ret pracipua.
IlayeiBl îllins oratio, sed rêvera imu iotcl-
leclnnis erat Laureutiuin , etiam si
fuisset le{;tiiidi &
preribus 6: lilauditiLs victa est mea fiKtlilas.
('.ursiin r(>voIutn Ijiurentio enoUivi quw lali
litiTalori rongniere videlianlur , adôo nihil
n^tans de edendo, ut exemplar uec apud
nie st-rvavi-rim, nec ab illo uaquam rr|irti*
\erim. Hoc nuuc me ai vivo uec monito (y-
pi.<t l'vnl^aut, ac tituluni suo arliitratu affin-
(;uul Noune vcliemniter airox injuria
videalur, si (juis, quod aiins iu adolMoentia
vvl in nnûri gratiam , vel pxerccndi in);niu
rausa liuiissol. emlem sano, vivo, & si " '
invilo. typis evnli^aret. S<^ atrocius est
addideruut. I,ilx>)juni redcgeruiit in vdinns
liternruni, cl bac opéra totara ai^imnrati
lulnram Fnirtnmqne comjpenint , eo quod
vocum pniprielas ex rttllalione mutua diluoes-
rit; veluti qiium.indifatur <|no mixlo dism^
|>cut , V el sipiincatioue , v el iisur|tatioiM>,
tjuamvisf ffiiaHi/uam, etsi, fame/si, livrt , &c.
Ha% igitur iuter «■ rogiiata, si |)cr ordînmi
literanim sejiareutur *, uonnc pars utilitatis
* Bion qur. par la nalurfdîlTireDte de» dcDX
onvraf^r», le» résultats d'iio cbangr>neiit d'onlrr
ne piiiurnl ni tn bien, ni en nul, être te*
inêinr* , cl ilinï-rrot siirUiul par leur ini^ale im-
p<<rtanr<*, un peut mettre à côté de ra repruche
ruItievliiiD que l'ont quelqne» grtcî»anta cuatrr
la di«po)ition ■IpliahélSqur dans laquelle cK roiii'
binée la .%aTanle rèimpreitiinn pariaienneda Tré-
tmr firrc. lit craif^nent que cette apparence de fa-
rilile pins grande dans lr« reclicrcliei, daiu Ir
/ruiV^f/emen/liabiluel du lirrc, nrconipenae paa
d««ea le très grand aranlagvacianlifique qn« pré-
sentent la réunion e( lajnxIa.pvBÎtion des nuit»
dépendant, ressortant )*iin de l'antre. Cette <|nes-
I ion rsl à décider par les maîtres de la science ; o«i
platôt ne »eronl-ce pa» les inexpcrifacBléa. le»
) Î7A a 15U8, iirtir riliiiou* avuHHl êiù faiit«^ n
Milflu . V«-iiiso . (x>lopM< el L>nii, avec jtliis
fMj niouu- d'aognu'iilatious, laiii «Mi^ U: liln*
fhr Hutiimcnta Crammatices, que wit!i itIui
ik* tlnimmnùi-a.
.1. pAiiAPHii.isis, !40u |K)liiK Epilomc
înKTÎpNi Enisiiio inF.tet^nliarumlibrus
Uiur^ntii Vollff' . ab illo j«m rccoj;nita,
i'uin (j)mpliil>iK'iFatTH};;i[iesoniidtJriim
Vfrboniui. — VaiisiU ex uHii'ina Ha-
hrrtiStcphanim. i>. xxxr vit. ('.;il. Julii.
ln-8. 2î*. «fi.
Hrcmuenf rdilioii Culf de l'avril Jf l'âti-
Icur, H nec a paiiiri{Nitiua. Voy. d-ilnuu,
^H. Aldi Manulii noinani tiistiUiliunuui
^TOmmaticarmii laliruiruiu lihri llll—
Varhiin ox ofiiiM'na Hohfrti Slepham m.
u. xixi. VII. IduïiMarl. In-i. 6 s,
5. .£lii Doiiuti dt.' (m-I(i parlibus ora-
lionis Kditto wctimia ; tiiin Scn il A; Snr-
}{ii duotissinia intfTprpIalionc sui:^ loris
insfTta. Ejuâdoiii iKmati de Ikirlmrisnio
et Solatcisnio. — Parisiis ex oQkinu /(o-
Iwrti Stepham h. u. xxxi. vu. Cal. Nov.
In-tt. M. Od.
ta
Impriinc iiar Rolirrt m tsas^l.34-S(M7-
rt en 1585 daiu rimprinH'ne tie RtîbiTt
Sur rellf tlistiiiL-tion di* t'»/itio piima,
£«titio MtxunJn, yvvvt citlnutnis à l'aiimT
IS37.
6 Kott. Stcphaiii l'hfvaiirus lin«;iJrL>
latina-. — Parinis Hoh. Siephanus m. (j.
x&xi- In-fut.
I
' ^'oy- paj;. 37 à l'aiinco 1533.
7. MiTVBi:vi liiordcn do roniiph scr-
n»onw emendationo liU'lliu*. nuiic pri-
mitm [WT Aiithorein rditus. — Parimis
«piid Hiibertum Stephanum m. i>. xxxi.
MM. Cal Jun. \n-H
Suilc primiim f^rr authnrrm nhlus, sj-
(ïnifitt uiu doult' (|ui'- Li |inVi'ili'iiif L-ililimi
Ar 1330 ntoil Ht* fiulr MHit Ir i-iiit(-iiiii-%
l'aulettr. rc qtii iknl tairi' |in>fri-i-i- ii-ltct-i.
Ii« rr i-iil };rantl mutiS, nu il (ni iiit
prime par Robert eu 153U-3l-3:i-;U. Jmx Uns
tn ISae. 41-50-58, el iiilio m 1580 daiin l'hti'
iiriiitirrir ilr Rubrrl II, mjii liU.
ft. Jacohi Sylvii Ambiani in Linguam
ijaHicîiiu Isa^wjîe , una nim ejiisdpni
(jrainm<iticitL;ilino-Galliea,exMebra'is.
(irfpfiri & LaLinisjiiiiluirihiis. — Paii.tiis
r\ ofUi'ina Hulerli Sli'phani m. d. xxxi.
\ii, Id. lan. In-4.
rlii&lanl. rii l!i^, itiiphiiiaiil wi Ornm-
iniiiiT friiiiçoi!»»:, Kulwrt n-jinicha à itIIi'-i'i.
tluiil riuili'iir iioil AmiL'Uois, d'ùlru i-.atre-
nièlÏT dr mois pir^irds. C'i'sl le nuxtcdii J.
.Svl\i^l^(l)nl»^^i^), fiimeiu pjir lVxri*s do sou
;i^ilI■M■^^ tVl.iillitiiv. p. H6. iJimiiciYnl h ernin-
qu'il y a d»>ce livi-e uuu fdiUu» de 1537 , ce
tpie Je ne \tvaie pas.
9. Maiiii Fabii Viclorini Commonlarii
in r.iccn>nirf Klielnrietw . srw de Inven-
tione. — Parisiis jipiid Hoberlum Stepha-
tium M. II. XXXI. In-i.
Lue cdiliun de ee» Cammeulaii-vs »aii.i le
le\le exùie a\n: la daie de 1537; wii Iihe
rannoiice rumnif ptuiiainpleet lieaiicuupaiik'-
liiirtV. Vnvcj ci-di-sMULs, .iiiniviSaT, ii" Jâ,
m. Terentii C.oniUNJîji'. — Pariniis
e\ <>niriiia Rvberli Stéphanie, d. xxxi.
ln-8.
41. Pktri MowUani Pa-dologin, Dia-
logi XXXVII. & Chrislopliiiri Ue^undor-
phini Dialu^'i puérile? xii. lepidi a'ipte
ae tldcli. — Paristix ex iiQicina Hohfrti
Stephani m. n. xxxi. In-K.
Maillaire , jiage 66 df .m>s lisli-s, piM-li- n*
liMH-nu itrfin de Kolteri III, aiiiKN- 1(>3| , «t
liaiiit lu tUle géni'rali', en supprimai]! ct^tlr
Cniutst- aituoiici-, il a ouhlié Jt- le rétablir ici,
n .VI iniie djih' ili* 15.i1.
M. r>. xxxii.
1 . UtBiJA (l,attna). Brèves in easdeai
;iniioUiii«rH's e\ dufliss. inUT["relali'ini-
hiisel HebrjC'Orum Comme nlariis. Inler-
[treîalio prnprioniiii [Kniiiiiiirii Mebnii-
i-iinim, liuie\ enpiost^iitms reniai el
-l'nlotiliiiiiiin Htrius<|iicTf*Ptamenli. —
4
:U
HOBFKTUS STKI'IIANUS FUIMUS- Ï530-3I
utfutJurvs df litMfff, iloiil la fin-mièn- t-^l di-
l%âf. Jf, n'ai {lu IruutiT Irarcnd'iiiic premièrf
df ScfHjJw» d'Ilt^iniilorpli , »oit |>ar les Ës-
iHiwM', xuil |Mr (iHit autre Ini|>rinieur.
9. 11. T- CicKAONis Epistolurum Ta-
Uiil. U\trï XVI. Sowindîi «litio. — Parisiis
ex ofiicina Hoberti Stephani m. d. x\x
lu-tf.
40. l>K,TlONARltii poettcuin, quod
vuit^j inMTihitur Klucidariuscanninum.
— /'/im/ïi i*x f>tllrina HoberU Stephani.
M. II. iLXX. XII. Citl. Murlii. ln-8. 3 s.
«d.
<>t/wtr«|p', dfMil la |)n*rnicrc étlitïou est
4if titiniU'r, I31H , iii-t. et qui avant «-Ile-ci
U*- ISW. kMHl d^jà élit imprimé phu de
ywiijU' l«M, ebt Ir prmiier euai tjue l'un
rjMiUtmkr d'uH IHi'tîonuaire poclif|ue. Son
auUvr, lltnuauNUft l'orn>ntimu (Van BeecM
^rt4i»*tur Hàmautlf né è /woll dans 1c quin-
ûimK wiHr, rat pnduihtcniMit de même fa-
MÎUr f|ur riulHlfl Imprimeur de Florence,
Lomuu 'J'orrentino, auui Flamand, et que
l'iMi «mil dri même né i ZwoU.
J. 'rliomaHU», dant son livre De plagia
titerariOf fait à Roln^rt nm^ mauvaise ((uerelle
AU aujet <le ci! Dictionnaire pour lequel il Itii
rritruclu: d'avoir pillé Volatirranus (Raff.
Mi^prt, de Volterra). Véritablement, l'accn-
«ation n'eut pas du tout fondée; mais que, M>ii
dans V Aiithropologia de Volaterranus, mil
dans tout autn* Vocalmtatre analogue, Rr»-
bert ait été recueillir des matériaux pour
Ntppléoiciiler cl améliorer le volume qu'il
rcimprirooit , ce n'éloit qu'user du droit et
saiisuire aux obligatiuiu de tout éditeur di-
ligcut. IS*auroit-on pas voulu qu'A cliaipie
expression ou tournure poétique, à chaque mol
par lui introduit danicetf/uciWam», ileâleu
la niaise exactitude d'y formuler une décla-
ration énondative du nom de l'auteur, et de
l'ouvrage dans le(|uel le mot avoit été trouvé,
ou à dé&iut être signalé et honni comme pb-
giaire. Prendre çà et là des mois ou des e\-
IHTuioas pour eu enrichir uu Vocabulaire
quckonque n'est pas un plagiat, quand ou ne
se lait pas copiste, et surtout quand <hi ne se
dêdare pas l'auteur de secours fournis par
d'autres. II avoit lûen lalhi aller prendre lot
BMits où ils se trouvoiêut. L'auteur de ce tra-
vail dériarr qu'il s'est aidé de travaux anté-
rieurs : se ith aliis Iratiita omnia stutHosr
coUrgisse.
K\. M. Plauti Comœdiae XX, ex an-
tiquiâ, recenlioribusque exemplaribus
invicem coUatis, diligentissimc recogni-
ta. Quarum carmina, magna ex parte ia
mensum suum restiiuta sunt. Authons
vita. Argumenta singularum ComœdisH
mm. Tralatio Graecarum dictioniun. —
Parisiis ex offîcina Roberti Stephani
H. D. XXX. VI. Calend. Febr. lo-fol.
15 s.
Maittaire, dans la Vie des Estienoe, avoil
mis ce livre à l'année 1529 ; il s*e^ rectifie
dans les Ann. Typ. où il l'a placé à l'année
1530, ce cpii est U vérital>le date.
12. SiiXTEvriAE et Proverbia ex om-
nibus Blauti & Tercntii Comœdiis. —
Parisiis ex olficina Roberti Stephani
M. D. XXX. vui. Cal. Mail. In-8.
13. Onus ApoUo Niliacus de Hiero-
glyphicia notis a Bernardino Trebatio
Vicentino Latinitate donatus. — Parisiis
ex offîcina Roberti Stephani m. d. xxx.
XIX. Cal. Feb. In-8. 8d.
1 4 . LuciAM aliquol Dialogi per Eras-
mum versi cum Scholiis Nicolai Bosco-
(liirenHÎft (de Bois-le-duc). — Parisiis
ftpiid Roberfum Stephanum m. d. xxx.
II. Calend. Decemb. ln-8.
M. D. XXXI.
•
1. Christiaxa studiosœ juvenluti»
In.Hlitutioper Christophorum Hegcndor-
phinum. I)e disciplina item & institu-
lione pticrorum, Othonis Brunsfelsii Pa-
raîneftis. — Pariniis ex offîcina Roberti
Stephani M. d. xxxi. ln-8. 6d.
2. Nicolai Perotli Rudimcnta tatlnas
Grammaticed. Secunda cditio^ — Pari-
siis ex officina Roberti Stephani m. u.
XXXI. XV. Cal. Mart. In-4.
Je ne connots pas d'édition de Robert oir
Henri antérieure à celle^ de 1531 , mais, de
153^ RODKItniS STEPHANUS PRIMl'S
.1'
thorum stHorinn ac rcH-crilKH-uni loch !
{Eœtaî ub(94>n'atiuDCJ]la> <<<litiu>) K. P. '
berto Scnali (Cœoali, (lalUce Crnfiiu
Scnrati) KpÏMwpo Rcgiensi Tbeolo^^u ;
nnliiii'flc ori(;inc*P;uisk'osi. — ParixHx v\
at^ciu.i Huberti Stfphani m. o. xwii.
m. Non. Kebr. Ui-i.
LeCatalneiK- lni|M'hali. jm^. \'\Q, m uiLli-
i|tte vu Firniploirr sur M*hii qui (fiicnilaiil ii'u
piMiif niinrti lUiis l.i \nttf inAe à Riiiiir de
LTlIir ]tililHillin|(ii-, III fîUS.
O* RnlMTt Sciteau uu C>iH*ail i-sl uittcur
rautTEs uu\ni^» qu'il u*iai|irinta |>iuiil v\tvt
\nitt FaIiimiiic ; H à l'urfran'um Avs iilitiiniA
fUi IUl>U*, il M-ni(intra l'un di- m'k t-itnviuU
|ilii& ar)Mnu-«. On n'a [t\\xs miiiiilt-iunt à
VMnniir «jui' de «•«« hiiûic iiijiuli', cl uul-
i( d'aucun de w% o\v> rage».
3. l*iinisTuPiumi ÏU'gpmlur|ihini Ph-
rx'nesiïi iJr liislitiiciKla viUi. — ParisHs
apud Hiihrrtuiu SU'fihanutnH. n. xxxii.
XT. C-il. J;irm;ir. In-S. 8 tl.
4. Piui.iPi'i M('!:tm*htlnmi» Grammu-
laliiui, \ S\iiUi\is; & de pmodis Si
IIKiiiIJUiti' s\nuliiiriim. — Parixm 4^\
irina Itohtrti Staphani u. d. xwii
1111. (^1. Auiiusti. In-S.
5. La nianiiTc île tourner en liin^ue
inroiselesYcrbcs. &e.— Derirnjiriiite-
rit'df itobrrl Efitienuf, vi&^'i-vis l'Eseliole
_dt' Décret, ji /'an-s. m. u. xxxii. In-H.
6. Roberli Stefihani Dirtion;irium «u'ii
itinii' Linî;"i'L'Tlii'^ninis. nim (j:illi(-;i
'inteqiretiilmne. — PumnVex oDinna
•loris M. i>. XXXI. — -i h fin : Exeu-
'Uu HntuTtuK Stephtmwi in snaonuina.
Anii. M. D. xxxn. un. Cul. Oct. In-fol.
$«ir bi Toi du ralal. Tlwti, t. IV, p. m.
fatiir^-, t. VIII. |i. 1*6, nicl fit rniiiHi' ISS!
pii'iiiir'ii- édition *k r»- XiM-atpulaîri'. In-
irllr nurmi v\v i>rt-«i)Ui- ;iu«>itril siiivir ilr
dilinii liitti «Jiinilf ili> 1S3â.l.*iiTiiti' i|tii vsX
iiidiiliilAlilv. Mrn \i-tiuf df la dali- df 1Î5Ï1
Vllr {Mirlf Mir U> lilit'. Piitrlli, ii'' 74^. Ir
li suw) ilr 1531 , n* <pii n'i(B|iliqui: ]Miiul du
'rkiftli!un>d<! ileii\ fdiiHWft dilU*ii-uii-» ti
(U* L»-\if|uc, I4111I an^uriiti- cl uinrbtiredans
U-^ dru\ <'*ililioiis Mii\>'iiilt'n liv itM ri ISiît .
Lliiil drjâ, di\s ivMk ptrailt-n- |iulitirillt(iii, mi
LSlilr f4 |irvr*tni& •ii'ruiu-<t (h>ui IVtildtr de la
lait^ir laliiif.
7. BelUnn Ciir^immatK'^Ie H. I). Andix'ii
Guarna SalorniUino , |iatrilio l^rcnio-
ncnsi , aiilhore. — Parisiis ex oQicinu
Hiiberli Slephani M. 0. Xïxiï. x. Cul.
ianmir. In-H. tid.
^. Libui Diuli'cticaï lc(!;alis quinqiie,
;iiith<»re Christophoro llependorphino. —
f^trisiis ex officimi lUiherti Sti'phani
M. D. XXXII. Mil. Cal. Ndv. ln-8.
9. T.^BULAEiip Srhpmatibuî» & tropis
Petri Mt^sellani in Rlietorica Ptiilippi
Meiani'hlhonis: in Hnisnii litmlliini de
lKi|ilifi i'o|tia. SiTUïida edilit>. — iUirisiis
rxonioinii liitfn>rii SU'pfutTii h, ». \xxii.
i'jil. Au<^u:iiti. In-ft. 8d.
10. M. TuLL. Ciceroiiis Toiiiroruni
cumlloottiCoiuiiienUii'ii»Soeimd;iedilio
— Van'siîs ex oflicimi Hohfrti Slephani
11. 0. XXXII. 1111. Cal. Sept. in-8. 3 s.
• II. Ulhiciii de Hutten \t^ vemPica-
torirt. — Parisiis ex otTteina fltiherti Slf-
phitniM. ï). XXXII. tx. (iil. Jiinuar. hi-S.
12. P. Vir;;ilii MHrtini^ Opéra. Maiiri
ïiervii Monuniti Gniiiuualii-i in eadeiii
Cummentarii e\ antique exemplaribiis
r<ua; inlo^riUiti nstituli. Index l'Oniin
qusiâ Servio expliranlitr. iUicopi(»siisnt
\el Dietionarii instar eiwe pi>s^il. C^sli-
;_^'itioiKsel varietaleji Vir<;iltana> loetio-
ïiiii. per Jolianneni Pieriiim V'aleriununi.
— Parhiifi ex olfu'ina liiiftrrli Stfpbaui ,
M. D. xxxii. XVII. Cjil. Anpisti. In-fol.
Avec pritilèj^c du PiirU'iufiil, pour druv
ut 15.
Si ci* \iiluine in-folio de X'Iriçilc . iniprinn'
«-Il Iwiim riir.-irU'-it>s iimfs rt d'uni* cviViiiiiin
foit bîi-ti ciilriiditi-. Mirtoil d«>K pn-A.v»> iiianu-
fii^ini^, uu |H-ul Ifiiir pour asMitr qiir. um»
t'>lrt' m aufiiii point ni phu Ihmu , ui lillénii-
Minnit incill(-(ir ({iir rrluî-ri. il M.Tt>il inditbi-
ulUvini hl I i^luTcltr |iâr dt- nnndiriMH anis-
lourA, rt jiayr ■«« joie uu yn\ qiiiuxc km.
M
RUUtiRTUS STEPHANUS PRIMUS. iSH.
Parisiis v\ iiflù'iiui Roh. Stephani u. i>.
WMi. Omipri\i!c};ioRrpis. — A ta^n:
Viirtaiia oxnidoluU Hub. Stfphanus, iii
SIM (illù'ina Ann. m. n. wxii. xvii Oïl.
Xo\rmh. On trouve ensuite : Hobniirn
r.li;iUKra (■ran'iuitio ^ Uitina nomina
vinirutn. miilii'nim, )H)piibrum, idoto-
nim. urinuin. nuvii)nim. in(mliuui,cet(-
nmiinquo Uvoriiin i]ua' in Bibliis ulrius-
\\\w Tt'slamonli s^ïiirsii siint, n'stituUi,
mm intor|in'UUiono Iiitina. Index n»rum
JV stiilontianini qiia* in votoris & novi
Tistiimcnti libriîîi'ontim'ntur. — Pari-
siijî oxoihlobal /tuf». Stephanus^ in sua of-
tu'ina Anno m. ». wxii. mu. Mus No-
^pmh. In-M.
Qtialn> ,imHH<!i aiitiiiil Aiifli |M)ur IVtilior
««nmhnntMil ili* ri^îtiim iii-rolio Je 132S à la-
^Hi^lr n^k'-ri vaA dv lH>aucoiip {irrlrraLIc.
1«* vi\.iul rt r<mitt'kiinfu\ Inipriuinir m-
>\^<Ml i^iv (livànHilô IV t|iii puii\oiU>tn.Tfpro-
«■^i»" à SI iMiinit'n' (tlilidu; vt tiaiis la pivfan-
»!»» rt'Ilo ri . il tiï fiiil \':\\vi\ a\tv raiidriir :
iiiiu iiiliil in prinn' Itililiiinim miiv
%».*»•• luiNM' tlormiialiiiu : in liac writ dari
(rabuoiinu pn>pi< iiilr^rani et illilKilain . dc-
im«i^clt'-nNi> maiiiisi'npliA. i\iw. aiiiits siipi--
•■■hMiUi* Mtinarlii S. Dimiysil, itcnupit- S.
(<«^-tiMMi. li ,;;r4% iiiMiniiiii llliul TIk'uIo;;»!-!!!]!
Pr'TVR-iiMHin (%tili'>^iiiiii ci cominuiiirariitit.
,^A.vhlm. .1-1 iiiltTi()n>ni iiiar|;iii(in ili\t'rsis
xAv^n^Aiioiiitti» nini olx'li.'rf'ls vt aslrriscis.
««iSn»4V-ij;i-iHH ri IlitTdinmiis iisi fiifraiil. ■•
". i. Svl>i.mi> |M'rMViila KhImtI , t-l pour
.■v!^ .Niili*Hi« l'I plu» l'iifutv poiii' la <'(iiir;h
^•^ft f»i'^-XiT.iiin* :n(i* Li(|iii'Ur il iiiiilli|)lia
tx -.^t^nNkîiw» MÛt ixiiuplrh's, snit pnrlii'llr.s
A!^ ;.-«'rvi> Sailli». (>nM>litiin|wrt)it,JL- |h'1).<h>.
^ V -«wifkV. p«Mir Miik' cl \érilat)li' raux'
H ">•*». .v\'*.'»»a'4Kpi»' »n»lrre ccrtaiiHpa'v'Mi^i's
^^ « .iskv: nUhk4iiiM'ii( irprudiiil» on inli-i-
^.^^ >.-:miii> lM4t'» M'iitaiil riivlm«l(i\ir.
^^,,.^ ^^•«MltM» nwlimwlli'ninil iV'pi'-lii-s.
» ». >\xYUiMHl mii-ri' (U- prntM rr.
^^ .45 i'. ifite ik'jà. Ml I5it. If /.('II-
^ ' --■— É! rtr i«»WUi'tU" «■ «pniiH- l'ili-
^' "Vp- * «twrtr . iBiwinMf clif / Si-
^ ^^Mktfei4ii|9mKdcHulitTl, atiiii
*"'*|*T^^^p ^N«nv*u'lWlaiiiriit à
^k«* ^"~^, ^1^ ^, «aib iii-iiii iriiH
jii^' hicii aulninent imirnnUile lonque celui
t|ui, dam sa leantsav. , s'iloil pmms eelie pu-
blication, fit dt* la coutiouL>lle ràmpreision
defl Saillies Kcrilurcs son occiipalion princi-
jiak'. (a'a pav-iagt^s MÙ-disant faLàfin, cm
annota tioiiH t(!inLTatrt*s, piêct^ d'uiM |>eniu-
iieiite amuatiuii, t'toicut iiidifTéreiils, ïdcoii-
iiiis miHiifî à la plupart di* ceu\ qui erioimt
le plus fort à I hctérodovie , jianni lesquels
pluùears ciisseut même été hors d*état d'y
ri<-u comprciidn- : nuis ces volumes grands
ri |>etiis f si roireets , d'un si séduiiuint usage,
rt qui avoieut eu qiu^que sorte oiiviTt à tous
le livre inilîiT des textes sacn*s, rViuit là le
vcVitable fjricf, le motif mal disûmuk* des
rlanieurs thî>olo|^qneK ; et iiliis d*un Sorbon-
uiste, eu cela fidèle aux doetriurs ultramou-
taiiies, Irouxoit que, pour une telle ti'*maitê, le
feu n'éluit pas nu cliàtimeut trop si-%cre. Ru-
JM-rt eût (îui par être \îrlime de cette iure»-
saiile ininiilié, si, pendant Ix'aucoup d*auiM-cs,
il u'eiH été soutenu (tar son immense répiila-
tioi) et jiar la puissante liieiivcîllauce de Kraii-
i;i«.i !'■''■. G; prince étant mon. Rt^iert, s'il ne
tïil point |iersécuti> |iar Henri U, ne trouva
|ias eu lui nn appui proli?<'tenr, v\ sentit qne,
pour ne |Miiul siiceomlMT .sous les miitinuëllf^
attaques de ses adMT.saires. îl feroit très pru-
demment de Kir mettre liors de leurs at-
leinli>, d'aUindonner .sa palrii: qu'il lionurrat
|iiu' SCS tra\au\. cl de transporter sou établis-
M'uieiil â(W*né\c où il tnHneroit un ivfugi'
iiysiirt- coiilre U's daiii;crt*u\ effets de ee» luiiies
llicoki^iipic!.. >t 'l'Iieolot^i jKiriMeuses eum
:id ifoic^ ustpie pcrsct|uiiulur. quiid Itiblia
inipriniere aiisus sil , (piuun is (um \}er-
iuImu , lunt rousilio M^niuriim (!4il(e};ii ip-
Miiuui, enjus rei locupUs iistimoitîum Kt^is
|)ri\ilt-^iuni nildeliat. Tnni niliilouiinns ad ea-
(lil.-ite .sii|)plicium poslnlnliaut, tauqiiani si
Itiblia eorrupisset ; et de eu •U'ium esset. iiîm
quorum autliorilate fiK-lum sil , in lem[M>n*
muuMravM'l. 'l'aie aunus eirciler \iî;inli Im'1-
Inni KoIntIo eum SurlxHia fuit ; et 0|Hirtuil
de>poiidisst'! atiimum abstpic Ke};e qui ilkmi
<-oiitru iu\idos et mak-%ulos texit, tter. cestii^il
onniibi» uiodis lM*iii{{nc ju\are. Oitia aiilem
paeiel Irauqnillitnti siin|icr slitdettal, polliei-
IU!> i->t M* hiliil puitteà ui.si euni Uina eonmi
;:ralia faetiirnm. •• Ilef.|>uusio ail Oiisurus
'l'lieolo{;unmiI>arisieiiuutu, 155:2. lu-8.
'2. I>K liqiii(l(»nini Ip;înnunii!ii<|ii(* nieii-
suris, l'x \arils Sirra* STipluiji* & au-
1533^.
ROBERT^;; STÏ-PHANlîS PRIMUS
Mf
liOM* r«-A t'uiiiiiM-iiIiiin'» asi'r de» cliifltc?! ili*
ncinoi â I oiiM-nf;i' à mtbis prins imi>fv.iM/.
~lailUÎrt'. A.nn. 11, 7H9, a&stin' u'iivnir jamai**
rrik* èdilioii JVtufi Omloris; il itr coii-
itl pa» cdir di' 1530, atimi in-4.. mirii-
méi* nu Catal. df Thott ri dont la dite
i liMil d'iK-cord fu Df pn'uanl pas les nml>
tyer\i>riliui t/irftitj dans un si-iis lrii|i rij;oii-
»\. \iaus iiiir IViliraci'' à un i^i'-iuilt'iir \v-
ilirn . '» iilnr Pivtiii fait rniiimitn' f|ni' ii'>
immiiiiain^ oui pIl* |wr lui n-^iifillis drs
(Hu qu'il raunroit dv O. Valb iHiu /Tir-
fur.
<0. ViRfîiLius. — rrtri»iïst*x oflirin.!
»hrr/» Stfphani. h. n. wxiii. v. ChI.
rtob. In-H. 5 s.
\»iT la prrfacr dt- l'fdîlioii oldiiip de IM*,
. le» tamtinn minorât copiiis de faldine dr
M, ril« l!rii\re.
Cfllp rditinii df |u*lil rortnni , el le» \xm\
MJÏM-Jii . de lï*7. kd cl *y. R-pioduisnil
II» {Hrii iV' dilTérriirr pré» . k* Irxlc d*'
' foJ.dclSSS.
W.Q. HonATii Klarci Ars pof^tiraciiin
irinui IkK-lissitiioriiMi viruriimCuininen-
iis. A. Jrttii Piirrhusii. Acronis. Por-
i)rioiiiâ. Adjpfla' sunt iul <-;il('i'iii doi-
fiinuL' (ilarvani iUinolalioiu'ï'. — Vari-
is v\ ufticina Roherii Slephatii m. tj.
xs\iii. l'iib. Dfcemb. ln-(.
12. TËII1-.VT11 s riiin Donnli Ar}^unifn-
fi Vorsiinm K^nj-ribiis, per 0. Erîi>-
im Roi. OuBrUEditio. — Parisiix v\
ticina HoUerli Slt'phani. u. d. xwiii.
n. Cal. Miiii.lii-8. 5â.
Ttt>l*m a tiiil huit èdiliom in-8. d» IV--
cv. loiH« mus rominvnUin^ . cl fopiiV'H
un» Mir Ir< aulrrs, 3*1*0 peu on point di-
•rcocis. Elles sont des auuK's 1S31. 153:t.
I»5. ll>3a. 1S»8. ir>4S. 1550-fil; el ce <pij
wt â remaripicr, c^'^l qu'il im-t Quarto edi-
tio 4ur Ir lirrr de o-llr* de 1X«. 34 ri 85. Li-s
IX sui%aulM de 1536 el SM «iint vtAcvs
iuta rf -trjla. Jv ne rotinuÎK dV-dittutt iui-
Imeuri? a 1M3 que «-Ile df 1531, re iiui I.1 de^
«roil fairr uoniiuer secumia et nou (juarta^
mau romm*' rrile prmiièrc, iD*«. de IMl, ni
prcrrdtc àf- dou\ iu-fûl. dt' 1549, tVil saiu
tiii- p/Mirrritp rnidian qnc crll*» d** 1533 a
ftc u<iiiiiiit-i* •luatla. ^Jlt-^^• par iii'gligriici* .■!
rimpiinicnf iptVu 153W-1 1335, rrcfioiptMaiil
Aiir uni' prùci-dfutL' iMiliùii un aura cupié |r-
riiiil qitaria jimt tout le rntte? Ilîrn dt cv\,\
u'a la tDoiudre im]>ortau(-e , cl jr ii'ni parK-
ici t\\xv po«r dltT toute obsi'tirili' dans crtl.-
M'rifdf r<'-iirip.iTs.<iioii>. Jf ii*a.sMiri'r(n]< r«'|»cit-
(lanl |ias (pi'.nu Imu d<- dcu\ idilimis dt* \T^k
l't I5tl5, iT nVn M'niîl \v\s une krult», dulécil<-
1534 fiur Mni titre, el dr ISHSàla fin.
13. CvTOMS Disliclm. cuin arlioliis
M«l.r.orflprii. — Parims ox nfnclmi Ho
herti Slephaui n. n. wxiii. lti-8.
14. l)iAi.ur.i aliqtiol Luiiunl prr II.
Enisiiiuiii Rût. versi . cuin Nicolui iJosco-
duceimis Siholiis A jdiis l.iiciimi aliquot
diul»iîiïi, l'wit-m Erusiiui ink'r|irt'l(». Ter-
Li;i inlllio. — Paré'$iis l*\ oflii-ina Itobtrti
Slej>hani. m. d. xxxiir, In-S.
15. r.. Plimi S(^-iinili Novu'omcnsis
(le \irrs ilhustrilnis liber. Suftoiiii Tran-
qiiiili <\o cljuis iir.iDiiïUiliois cl Rhi-lori-
btislibfr. Jidii i)bjct|iii'ntrs prodigionim
libor irtnjorfcctus. — Pamiis ex orNcina
fiotitrti Stephani M. d. xxxiii. ikltiso
0»l. So\n. In-».
*
M. D. XXXIV.
t- BiBMA. Dre\ps in «idom annola-
lioncs ex (lorliss. lnter[)rt'talioniI>us &
Ilpbru.'nnini ('(inimenUtriis. — Parisiis.
t»xoni(ina/(o^rii.S/(?//Aflni.M.D.xxxiiii.
XIII. t:al('nd. Si^pl. In-8 à 2 i-olonnw.
Otit' «'■djlîon. In premièrn dr cet Impri-
meur fti un formai (lorlalif, «-st la copie di'
riiirli(|jf> df 153i. non pus saiM utiles conw-
lion*, t'I a\fc celte diflm'iio' ipir ];i moîndrf
dimeiwirm d« itagcs y a fait Mippriincr nur
[lartic des notes margioalra. Des .vwiuiaires
* L'édition Ktiivaalr, in>8. de IMS.bivn pln«
«mplt* ilevoil ^trsd'uo prix lont tlifféreiil; uUmî
rcl-rlterolérM •.iuf|o«Cll«l»sn«*ileRal>«rr.
wHiFjflm- ^tt:fii\m:> i»rimi< iï»-m
.mit '.«uu <iiti**r,mr 4 '>Hm ftii* \'ftn f.ravtmip-
••.Mf 4 bwtfwr tr f*»»^ i*flinn«i ^ir^anf^ rt «w-
;jtr>> n -^ ^tf •«!> MmM rt^ la p(iM gramV;
•**lii» afHM#ivlarnri». ^ i'^^^mmAhii it. mhite.
■W "^x [my.Mi'iwri ^ rii* lmtr< fvp«>ip^phif*
^^^r «Mw r^anr/w^ tir ny^pnrr.4. ^rr mmi»-
%» «n ItuMV» ^ipn AK «nnfinkrirnir pM b
/-»/ t^*»'smimm^i «f ymrittmtfs J. l'ithi
9. ». «<.'(. 4AV«|ninil r»yHv^ trjHt * b fin.
*. », %%,».. t%. iM. VM^mlirM. *C«3it Véd*-
n ÎMRMn.4. — Parûii*. BohertuM
Sf^fumHJt u. p. \\\iî. \tt-H.
$iNI»m mtmofi fa/mut, \. f. ^. TA (tu h fSftil.
h««M «fm mf hm ym Mmlmn dr «rtlr- de
% i \4.4.ik%î îtistUf/i alir|tiot , lalim;
|j*» V^»H$tnm **r*i oim nriiM, — Parl-
ait ^ 'jffirinai /tttffnti Stepkani m. ».
M II XXXIII.
I . I,«f ftMTM Vall»; Elfïsintia; cl de
Siii tw K*jiM. — Vari%ii% «^ fWlirina Ar>-
fierté St^f/hani ■. u. %\%iil. \lii. (lai.
A(iril.ln-i
XIII. i>l. Mjt. (bm fi/AT Strph. xiii.
Ol. April. ibnft lr« AniiitlmT^|*n|;. Miitin
par PMizrr. >*a4»iil lo» %ii Ir «oluinr, qui
uaillnin a |irul-^rf dmt daln^ jr prHirrr
rowwf probsIdniKiil {iliurucU;, I indiratkm
«caueb dernirrr.
î. EpiTove Bauii in l^iin^ntii Vall»^
D««9ntîa:i , cuiii cxiilaruitionitHis, K
VoDcinflli lînia. — Varinin v\ ftfTu'ifiii
âointrti Stephani M. i>. \\\iii. hlitMis
3. Faniphnfcùà âeti Epîtooie Et^mi»*
in:icrip(a in Ele^ntiss Laor. Vails. A
t'/jrn. l>oci Farraso. âecuod» Edîtîo. —
f*ari%ii% fx offirina Koberti
M. D. xx\ui. VII. Cal. SepC. In-é
Serujuia imt dire iri iccoadr
biu; àf. ïa*ett de TasleBr. Tovcx ô
page» 32 c< 35.
i. JOA.^?f» PELLIâM>3RS
l.atin£ (jrammaticx. — Pariaii» t% o$-
firina Rtriurti Slephcmi m. D- xxxm
5. Thom.e Linacri Ubri sex de euM.»
data iitnictura Lalî'ni Semioais Seciuab
KrJitio. M. D. \\\ii. — Pariuû ex ofi-
rrina Bof^erli Stephani m. d. xxxiu- xn.
ïial. Frfir. ln-4. 6s.
î^ prrnùrn «liticio est de Itfî-S. Tov.
ri-dnHM, pa^ S.
A. Matirim Cordmi Ubrr de cor-
njpti SfTnioniif emciktationc. — Parùut
apud HoIffTtum Stephanum m. ■». xxxm.
In-4. 6 s. 6(1.
7. (Ukoli Bovitli Samarobrini Liber
flf? diflrrcntia vutjïarium Linguanmi ft
fîalliri somionis \'arictate; qus \oces
»pud (jallort sint fictilia! & ari>itrari£vel
l]«rt«ra; . qua^ item ab origine latina
rnanarint: do tiallucinationc Galltcano-
nim nominiim. — Pari$iis ex offidn»
liotterti Stephani m. d. xxxiii. Pridie
Non. Febr. ln-4. i&.
H, M. T. CicEBON» Partitionesorato-
ria; cum Gcorgii Yalta; commentants, &
de ofitrmo génère oratorum. — Paritiis
ex oflfifina Rofterti Stephani u.n.w^in,
111.(^1. Aufï. \n-H.
9. VfcToais Piitani Patricii VeneU in
('.ieerrmiit Oratorem Commentarium. —
Paritii* ex oflicina Roberti Stephani. a.
i>. xxxiii. In-i. 10 d.
Ibns MXi a\i« t.ectorihiu candidissimùs ^
tttilicrl (lit : •• Su|ierHmbiis diebiu Oratoren
4 jrmMii» vx iiojtira oSictiui nudum, nt ità di-
ram. rmÎMTainiu, hoeest une nllù ComranK
tari». M II pxpliqiit* nuuitR roRinirul il a di»-
onirinii Huhrrti Sh'phani. M, U. XXXlIll.
ixvti. Oil. Jiilii. In-S. tid.
16. DecE.fEHiBi>:ivesliunitibellu!ii'um
lalina el pillk-a inlorprotaliotte uulhorc
Jimio Rabiriu. — Parim.f . rx ollu-inn
Hoiertt Steplumi. M. t>. xxxifii. vu. (jil.
Km. In-R. 2s.
Il a iltnix aulr» ùlitiaiu iIl- Parts, l^t,
[îii-«. , ['dur e* o//îcina Yicoiai tfriffei, Im-
prinivirr qui ti'i-ïl poiiil tiott* |>ar Ij rjil]i- el
ipii lni%:iiildit niori' en 1551. L'aiilr*"
Miiinn i-^l uns tlatr. niaU panHIIf aii\
tittïx \MliimvA /V f'asculii el i/« rr yntiaria
ini[irîat«'s ca 1535 hxkc 1p nom il'Afnhrouo
Glraiili.
M. D. XXXV.
1. (ï. Brn.ei Pari»ieD9is Cunsiliarii
Rej;ii . ïnipplirunKiue Libellorirm in Bc-
Kia Muîp^-i ml invlrtiss. K potpntiss.
l*rinci|H'm Kranciscum chri>tiiinU$. rt»-
geni Fninf iiO de transita H^^llonismi m\
l^hrlâlianismiim. libn Iros. — Pttriinis,
rxofticiiiii Rohrrti Stephnni. yi. o. %\\\ .
m. Non. Miirl. Pelilin-fol. 9a,
Ccllt^rililiQii fui snigniv par J<*4ii Thwrry
dr BratnaU qui aida aiuii HuImmI lUns les
travaux de m>u Thesaurui latimr tin^Ufr y
tànAi que lo Icmoiguc la prt-race de rèdilion
de 1543. VoT. ptu!i la«, (ta^e 57.
la Bîliliollirqup rovalf un Xvi-j, hvX evein-
imprimc sur vêliu qui (ut présenté n
»U i", don! le portrait fsl peint diuis
la riclH' iKtnIun' qui umv \v mtoihI ri-mllrt.
ri «iir laqurllr ou ^uil .iiimj vn aruie», si-a
dnii lalaiiiatHlm i>t m deviKB Morior tt nr-
î GuiuELMi Budfci Socrotarii Regii ,
l.iheIloriimqne Ma^istri in Prœtorio An-
noUiliunt-s in qiiatuur & vi};inli Pandtv-
lanmi lil>ros. Pra?r<Hlit EpistuLi DiKlaM
ad JcKinnt'm tk^inaiiini (iinri^llariuni
Francia*, Parisiis pridic? Nuiias Novpin-
tm* mdlisimo (piinf^rnlcsirnooctavo. —
Parvâif r\ offirina Hotwrti Strphani.
M. D. XXXV. Calendis Soptombr. In-fol.
3. GuiLiELUi BiHlii!i Consiliarii Regii
idlrnioditin Annotaiionuni iiiPandecUts.
Pran-nbt llpislola IJiiUa'i mi Dinid. Bu-
fcsiuin Coiisiliar. reir. Parisiis ix:Uivo
Caldidiis Julias. — Parisiis v\ oflicina
Hoi/prii Steptuwiii. i>. xxxv. \i. Calon-
da.** Xovcmbr. lu-foi. 20 fi.
Knrurc un ini\ ra|;r imprimé t\rn\ foie dans
la mtnntr anurr.
i. r.iiRisToi'iiuHi Ilo^îi'ndorphini Dia-
l*'('li<'a le-^ralis. — Parisiis opiid tlohfrtum
Sieplmiium m. ii. xxxv. xii. Cid. St'pl.
In-»- ÎO d.
5. Caïioli Stppbani i\f rv Hortcuîit
Litvellus. — Parisiifi v\ nflirina llohfrli
Stpphani M. D. xxxv. m. Nuii. Novemb.
In-». ,
6. CuTiiotmi TniHUdlJ do.Vrto supr^^|
ptitandi libri quatuor. — Parisiis ex offl--^^
cina RoherU Stephani m. d. xxxv. Iu-4.
K ».
7. JoANMH Pellitisonis OntPXtusDps-
|muloriiin;c Gnniunalica'. — Parisiis ex
iiUinnu Ihfterti Stt'phnni. M d. xxxv.
XII. Cal. April. In-i. 2 s.
CV>t l'cdilÏDQ quf* sur »cs Calah RoImt
annauco magm. roinmine : l'iii-S ( ftrrn
/ifirpo) (•*( de 2 ». 6 d. El ct'l i«-8 t'iam sur
Mil C^Ialo^uc de 15^6, il y u ucfciÀaù'4'ini'ut
l'ii unei'ditiou. el petil^^lre pliuieun .ivaul
iflli! de 1517, la première iu-*t qur j*»'nr«;i!i-
liT. l'etil-élri? v«idoil-Du nu*M diex Robert
l'iii-^ lia Simon de Culiiit^, ISÎG.
H. MuDUH(>xaniinund:r ron.«tnirlionis
in Ordtiuni', Jounno Poliissuni' CondriL'ii-
si ,\iilîion^ : quarla wlitio ali Aiithorr
rwu^niUi. — Parisiis v\ oflifina lioberfî
Sipnhani. u. n. xxxv. xCal. April. lii-N.
id.
9. Idem Lihor. -
XI!. {'jx\. Nfjv. In-i.
Ibid. X. n. xxxv.
SwoQdc impreuiou du nu^mo oiivraiff,
rlaiu cHir muuV t5S5.
ii
HOUERTl s STEPHANLS VRIMIIS lïïS^M.
iii. MIm'IIiis (Uin t'oininriilariis Jnnii
Itiiliirii do (k'U) Onilioiiis partUiin <)on-
sli'tirlionp. — Parmisci\cutivi^i\ ïtoimULt
Stephajwsv. D. XXXV ïill- C^il, April.
ln-8. 2 s.
H. MiNiERE (I(* tourner les Verbe;;
Arlifz. riissifz, (ionimlifz, Supins (»t
r«rli(*i|H'8 ^i*onflV.çc\ofrn'iniï lloberii
St^ptuini M. D. xwv. !n-N. i d.
ii. M. Tru.n Cjeeronis Topica <'um
\. M. T. S. Uuothii (>jiiiii)oiiUirio. TtTtia
Editio. — Pamiin es ofUiina Bobertt
Strphani m. t>. xxw. xiil. (m\\. JuI.
In-H. 3 8.
13. (rFoniiii Vnll;e in r.icertinis Parli-
liiones ('omniftiUiria. — Purisiiv lypis
flri/irrfi .S>/)/ia«i M. i>. XXXV. In-8. t»,
H. OicTio^ARim Pwtinim, quod
viil^o inscribitur EliK'idiirius Ciinuimiin.
— Van'sm ex ofiicina Huherli Stcphoiti
M II. XXXV. it. OiI. Novciiibr, In-8.
i s. fi d.
15. TERPATiirs. QiiarUi Edilîo. — Pa-
rùtiis ex ofiicinu RuUrli Slcphani ii. o.
XXXV. V. Id. Janiiar. In-8. 5 s
C*e»t la troUlcmn édition uonunÔL' quarla,
Voy. ci-<krssii5. pages. 39 el 40.
16 [CutOLi Stephuni) De rc vcstitirin
LiMIiisox IkiyHoexcerplus, iiddiUi vul-
fiaris lin^^KC inU'rprt»tationr, inmlules-
r«ntuloruRi ^^timu aKi\w iitiliUitcm.
Secundw fidilio. — Parmix ex officina
Boltfrti Sir.phani. m. o. xxxv. xiii.OiI.
April . In-8.
Iji jin>mit>re rdilimi Ml |>eut-èlro cellf
d'Amliroisr trii-nuli (U- crXiv mi'-mp atimV IS-IS .
Une rnniprt>Miiin de MHù porte eucore sur
•on tiln", Sriumia rJitio.
M. (IUkoli Slepliiini) De va.vuUs li-
lK'llii5,iiduifMH'ntuIi>nini aiii-siex Biiyfir»
Uereipitis. tiddila vul^ari Latiniintinvo-
ciim interpreliUioiie. — Parinh ex tjfli-
ciiw fUfhcrU Shphaïu. m. u. xxxv. Idib.
Novpinb. ln-8. 8d.
Eii rrllr même anure, une autre rdîtian dr
vcl opitM'itti: a L'it: l^iilr ii Piiiis, nfHtit 4mf'n>-
iinm Cirauli , «jui , ayant impriniû tiaix* \f
mi^mc temps II' traité de re t'fstiaria, f'vst mù
ainsi en concurrent avec RolMTt l^tifone
jinirr i-es dens. npiisniirs cl noar Ir Irailc dr
KaliiniLt ilv f'ntium f^etterioiu.
On triii-s itililifins île Girault ujttt a In Hi-
ttUothéi|ue d*Aljlie\itlr.
M D. XXXVI
1 . CimiSToriioni Hcgemiorphini Pa-
ra^neses do instituenda Juvoiilulp rum
prii'eeptionibiis" Clirislianl Tlieodidacli.
— Varisiis ex ortiriiia Hnherti Stephani
M. D. xxxvi. III. N(m. Julii. ln-8. 8 il.
2. Cahoi.i Stopbiini S'inimiriiim, aiw
Pl^nUirimn (^aniin artKiriiin, (Ju.t |>osl
borUis *ons*'ri snlciil, \r. — Parimix
pMnKli'Uil Ituberlus Stephanux. m. o.
XXXVI. XII. Lal.Jiilii ln-8. 2 s.
3. (Uroli Slephani de re HorlciiHi
Mbellus vulgnria herbaninn, floruiii. m*
fnitirum ([Uie in liorliti etuwpri noient no-
inina lalinis vu-ibus elÎL'rrt* docen» ex
probali-; aiilhnnhiM. In piierorum gn»-
liain alipio utililatt'in. — ParisHa ex
uflirinn Ihibnli Slvphaui M. U- XXXVI-
VI. Oil, April. ln-8.
i. C\ROLi SLephani do UitinisA Gra»-
cis Noininihiis Arbonjin . Fnilieum, Hcr-
banim, Piî^niim A Aviiim Libw, ex
AristotHe. Theophnisto. Dioï^oride, Ga-
leno. Aetio. Paiilo ,EgineUi, Aciiiiirio,
Nieandro, Athen.To, Oppiano, .Cliano,
Pliaïo, IlermoIflQ BarlMro, A Joanno
Iliielliu. nmi Galliai eoruin noininuni
ap(M'llatione. — Parisiis ex ofiicina Rù-
(terii Stfphani, h. d. xxxvi. In-H. 1 s.
i(l
Réimprime par le niiïme Rolx-rt, en 1541,
1S(&, el 1547. et par Charin eu 15S4.
f». Oaroli Slepliani Analumia. — Pa-
risiis apLul Holifrlum Sffphanum m. d.
XXXVI. lti-8.
l&as. lUïHKHTlîS STEPHANUS i»RIMUS.
t3
J^Lti Ikinati <lr iH-(u |HirlihuA (h-a-
ioaiâ Kilitiu sccuntlu ctiiii SiT^ii & Sor-
ii iittiTitrcluliont* : £ju.tdi'iit do U;irbii-
isiiio i*{ Sola»ci:*uio ; ex âi-ciiniJii Edi-
Ùmo. — Parisiis v\ ofticinu fiofferti
tiephani m. d. \xxvi. ii. Non. Kt'br.
[ri-8. I d. 6d.
7. Tmomae Linacri RudiincnUi Ijroni-
iticffl 9\ Ahiïliro sfTmoiioin Latinum
inlerpn'U' Gforj;io Buchuiiuito .
Sti|>|tlemonlo ad c^onstniclioneiti, ot
iUdov. Vi\ i-i de rationi* sliidii. — Pari-
i"f rx oflirina Hofterti Stephani m. d.
IXXM. 111. td. Murtii. Iii-i. iO d.
*. DtcTiu.'VAHiiH st'u Uilinn? Lingua;
iPsatiPLS, non sin-^nliis m*jdodirIionis
Hiliiiorii*. SL*d ink'<!;r(i^ (|uui)ii(* latirii'
lui)ui'ndt & srribendi fonuuliLS ex Tji-
»no, Varrone, (',*.-<<in'. liiwTont', Livjo.
Lilunirihi. Pliniu iilrij^iut', Plaulo, T(»-
»nlio. Viiiiilio. Martiale. Cuni Uitimi
iinGrdnmuilirorun), luiii varii };eneris
^Hptoruii) inliTpn'Uiliunc. — Parisiis
onU'ina HoUerti Steiifumi u. n. xvxvi.
11(1. Cul. Decembr. In-rul. 110 s.
SMioudv nlilion . I>niucuup aajçmmléo ,
~liuiù HBnèe p«r la iui%a»tr. île 1S43, ilmil le
prix, iièealHarcàiaii hieu pliu> rli'%v, lui ilu
9. Matiirini Ccmierii df romipli ser-
ttuiDis emendalionn \ latine loqucndi
nilionr. Ijirtnen {tariL'ni'Ucuin , ul aiï
llhiisliini piieri st4itim aci-odiint. IVrtiii
<ttitiui'\ riH-'u^nitionf autoris ru3ii plii-
rimi?! aecoE^iunihus. &<•. — Parisii» e\
nfTicioa liobrrU Slfphani. m. u. xxxvi.
vn. <^l Se|ïtcmb. In-l.
10. Matlhini l'ordmi de romt|tl i sur-
monta emondatione & latint* Icxiucndi
nilioiif*. — PorifUiii ex. nllit'jn.'i liuUrli
Skjthani. u. o. xiwi. iiii. Ciil. (V(oh.
i»^. K ». 6 d.
l,*iti-4. rflaticiil qiirlqucs pims am-twtint
qui uc> MUit \M t|jin> l'iVlitirH) iihS.
1 1 HRLum (iramnuilirâlc ( H D.
Uuiinia ArHliva Suli'rnit^iiui, (iHlritiu
Oi^nuint'n.'^i, aulhore). — PariHù ex of-
licina Huttcrli Sicpluuii m. u. xxxvi. vi.
Cai. Fi'b. ln-8. f>d.
12. Petbi Mospllani Tabulaî do Schc-
ntalibttiïi^- Trupiâ, A: in Philippi Mclim-
rlitlionis Khcturiram \ Er<t^uii libelluni
do diiplici l'opiii vcrboruin. — /'arisiw ex
oflicjna Ruberti Stephani. u. v. xxxvi.
Non. Dcvenib. ln-8. B d.
13. M. T. CicPJLOMs Ondioncs iiti m
Ottilinam. — Parisiis v\ uUicina Ihberti
Stephani m. t>. xxxvi. ln-6.
1 i Se.ntenti\e& Provi'rbia t>x Piaiilo
Tert'ati» Virplio thidio llunilio Juvi*-
Midf PiTiiiiu Lucunu îiscneca LutTeliu
Martiale Sdio llalico Slalio V. Flaccu
C^tulld Pru|H>rti(> Tibiitio Claiidiano. In-
dex senteiiliurum & pruverbiuruni. —
Parisiis, Hol/erius Stephanus. m. b.
XXXVI. ïn-8. 1. s. i d.
H<uiuprc«&iou de Tùditiou de 1S3(, irun
caraclmf uu \)VM plui grus. et oyanl de' plus
un Index.
!3. Tehextii t'omavliip rum Oonidi
& alioruiii ComuKMiUiriis ^ (^Ipliiirnii
inl(»r|>rr*latione. — Purtnix ex oQioina
Rohrrti SUphani. ». u. \xxvi. Noniii
Apriliii. in-ful. 15 s.
Copier sur riu-rol. Je ISctU, iuni« i-.u uou-
>fau\rt mftliftm i-sradérra, rt avis- l'upu»-
cuir d'Cnumt' Oe trrsuum gr/wri/tust i-elli*
mQiprt*&.sioii lui at prèférablt*, Itîrii qur,
ct!|H'iKluul, .vin Inik'x suit niniu<t aniple. .\u
rr&ip. oA «it;u\ iu-rulio. Forl i^ur». mmiI {k'U
rerliei-cItêA.
16. Tehentii r^niœdia; cum argu-
iiienli» Donuli et vei'suuni generibuâ [ht
I). Erasnuim Hot. Quinta ediliu. — Pa-
nwixex officina Hoherti Stepham. m n.
XXXVI. un. (lai. Julii. Ui-8. 5 s».
17 Catoms Dirilielm de Moribua cuni
latina et t^.illirii inlerprelatione. DieUi
Supientuiii. — Pansiis ex ofUcimi Hu-
Urrli Shphutti M i>. \XXVI. Xil Cal
Mail. In-H. 1 s. Ad.
UOOERrUS STFIMIANUS Htl.MlîS i»fi-:rr
Il y a\ oit , ilniu cctli- librairie, quatre Miic^
d'exemplaire» Je et-« Distiques.
Le IfXlOMïllI 3 il.
— Avec b 11 ti<]iiriioii
fraiM^oise. 6 d.
Citui eoinmciitario
ËniMiir. t ».
— A\<T r«^(<iiiim. cl <tc
plu^ Ifs itolcs i-t la li-ail.
franc. Je .Mal. Conlirr. 1 .i. 0 d.
Si, ibns raiiiioiiiT dr'. wi/t- édilious di^w-s
l)i>li(|Uf.4, le.s rciniini'iit;iiri'<i nu In Iriiduirlitiii
sùut à lort iluuiiê& uii lefii-sé-i à l'une ilVlli<_4.
cette eritur, i[iii, j'rsucre. ii'existt: ps. *ei-a.
du rciW, forl pm )0i|K>i1aiitc.
48. ï.rciANi aliipiot Dialogi jior Dps.
Entsiiiuiii Hul. vorvi, cum Nicolai Bo«co-
cluceiisis cxplannlione. Terija cdiiio al>
aiithore recognita. — Parisii»o\ ofliriiui
Rolterli Stephani. m. d. xxxvi. iv. f^l.
Jan. lii-«.
19. L.vzARt It^iylii AiiiinUitioiie:!; iii
lejïPiii II. (k' t'uptlvis & poslliriiiniori'-
vcrsis, in fiiiibiis triicUilur do r*.- Navnli.
Ejusrit'm .\imoUitiones in trai'Uitum i\c
uiitxi & «r^-nlu K'iCtiitu, quibiis veeitinirii-
lonuïi ^ vusniloruni lî^ncni cxplican-
(iir. Uis otunihi]» inm}îitii*syb nnliquîs-
siniis iiiotitiiiicnlis (li^fuiuptits it(! iiriiii-
innili iWcEiiniliom-tn ^ul)jiin\in)iiÂ. Ili^iii
AiiUmii Tlijlt-sii (ip colorilius iilH-lliis, il
l'uloiilHLsvi'ï^liiim non .ilit^ntis. — \i\cn-
doÏHit Hofurtus Stejihanus . Vurisiis ,
iinn. M. i>. wwi. Prid. (jil Se|)teinb.
lû-i. 'Js.
A» romincix'emettl e*l iiiie épitrr ou dédi-
earo de l'nuleiir à Fniur<ns ï'"'^, datée VlII.
CalSliU. MDXXXVI ; elle e»r !*ili*ie d'une
(■ourle iirt'fmr de CJinrle* F^lieune qiu |iaroil
asvit êlé iVsIileiirdeei* \oltunr, et n^ertil que
(e* figUM's qtii y w>iil ri'iKtlidurj (Mit été pur
Uiî prises Mird*.'Uieieii»Diuimnieiils, el iiolom-
nieikt hur Iva luaibrc» existaut Mieon* «
Ronie.
20. r.AnoLi Slepliaiii de n^ vwtiariî*
Lilirllup; ox Bjnlio e\o('r|>ltis : addiUi
vidgari:» lin<;uai inUTpri'laliom', In adu-
Icsnmlidoriim praliuiii atiiiic uldiliilrni.
S4Vtiiiria cditio. — Parisiis ex ofliciiui
Huberii StrphanL u. o. xxxvi. m, Non.
Maii. ln-8. 40 d.
C'i^l uiie IroUiènie èilîtioii : un a »u,
pa{;e 42, qu'il y eu n^uil Avux de 1635.
21. Taholi Slrjiliani de vaiirulis li-
belluï^, aduloscoiitiilorum caibui o\ Ua)-
nodocorptuh, addila \id^uri l^^jlniRruiti
vocum inlorprctaliotiL*, — Pariaii» c\ oi-
licina liohfrli Stephani. m. d. xxxvi. xv.
iM\. Junii. ln-8. 8 d.
22. r.. Plimcs df Viris illiwiribus,
SiK'tanitw do (iramnialicis «'l lUiclori-
bu.i. Jiilius 01>SL'qu{'ns de PttKliglis. —
Parmtjt ex oHirina liuhtrti SU-phani
u. D. xxx\i. III. Va\. Maii. ln-8. I #
M. D. XXXVII.
1 IIkbii.ea, r.lialdaN) , Grappa el l.a-
liaa noiiiiiia viroriiiiii, mulienini, pqiii-
luniiii, idolumtii , iirbiiiui, Quvioruin,
[uniitiuiii l'M'liTdniiiitpic loronim qiJ.'p in
Uiblii? Iet:iiiilia-, restitiita ttiin latina in-
tcrpri'lalioa<'. Loi-oruni descriplio n
tjisinnj:rtiphtt(. Index pnrlnrea rorinn an
M'iili'iiliiirniii ipj;i'in ii^lcni Biblii<* con-
linenlîir. — Puriftiis ex oITÎL-inîï Itoberti
SU'phani. m. n. xxxvii. un. ('.al. Otrl.
In-8. 6 s. 6 d.
Mnillaire, page 17, aunonec dvti\ cdiliom
Atitifi relie même date. iT>noiinoi-i<abIes t^i «*
que la pmuiri-e feuille n'est pu dans le» deu\
impriniée en caraciiTe» d'égale grosieur. el
qiif. dan» la marque de l'une de-S deux, l'in-
••criplirtu «-si suspendue à luie eorde ou lien
queteuuque. laiidi» rpir dnus l'autre elle est
enliflaciT daus l'urlire .'i^t-e uu liomiDC à
i-ii lé
Je erftimis cpie le trMil est d'une seide el
mt'uie èditiou dutti (fti aura rèinipriiné l.i pre.
iiiit'-re feuille i*u letlre\ plu.s Tuie-s |Htur y t'ire
Iriiir i[uelqueÀ addïliiULs u(>u\flli*nienl sIU'^h--
luteh ; 1.1 ULirque non eiitreliHre eM aui exeni-
plain'A duul les premières page» du t4\le rrs-
«enildeiil im\ pa^Vi liuivniilei.
1M7 ROBEKTl S STKIMIANI'S l'ÏUMl S.
i. SEvEBiiti ftjflii du dillm'nliis topi-
is lihri qiktluiir. — t'ari^iis ex ôftïoiiiH
rli Stepftant. u. u. xvwii. \Mii.
tl Dec. I11-8. lOd.
3. CuiiiSTU>A ïiludiodje jiivnntutis
Htilutio, |»pr ('Jtristoitlionim H^r^fiidi'i-
linum. Do disciplina iiom ^ inslihi-
me piieronini Othonis Bnin-ifclrtii ?;i-
•nftiis. — Paristis v\ ofliriim ItobcrU
'S/cpArtr»', ». D. xxwti In-H.
lïiiTipt;) in Elf^iiiliiis Luui . ValUi-, \-
iini. (>()ci Karniso. — l'arixits, ex ol-
finiiu Roherti Stephaiti. m. u. .wxvii.
la-».
5. iEui'S DonaUiâ de ncÀo parlibus
lorationis. Editio prima. — Variaiis i'\
OfTidiui liuOerti StcpIfOui. M. u. xxwii.
(iil.Jiilii. ln-8. (> (1.
I)r rr \i\ ri* Edlt'ut prima l'sl ]*(>piiM-iilf il<*
liât, rnmiuo il isl dniu IVJilinu ilr ISdfj,
onIrA, iii aucun ili» arri*»oin'Â i|iii se
Krtil lUttK Vt'if'tio trcumla. L'iitir rt
rwitrc ont tlt- plus iriiiii; foi.* réira|iriiiTéi? par
R. Kliainc. cl d^alnml par Simon dr CoIiik'^.
d<iiil 1111 d«-9 CiilAlo^iirs niiuoiicv \a petite ou
trima, au pri\ d<- 5 drriirrs.
ft. Joii.\>.MS iK-spEUitmi Niiiivita.'
rminiciiuirii i:r.)niiniitiri. — Ptiimin.'\
iciiui Hoherti Skphani. m, d.xxxvii.
A ta fin M. D. xxwiii. xv. Cal. Nov.
l-foL
• Tcikime roiitirni \vs tViwn lr«ilé« tir
Tiiain.MKMvt aulfitr, bît-ii de» fois inipri-
ftéivartiticiil va i»-8. rt îii-i.
>laitlain-. Auii. III. iHS, Uut tuii- Imi^e
ilr |totli i^tulilir la d.itir ilr ptil^iraliou île
Bcuii dr <<t-^ Irailès; If preiiiirr [Mnit ni
\k. ri tr diTiiîer i*n ITiiO. Il csl .-»sr/ .siiiL;ii-
r fpjc rrlnt de rnrdiot^aphi' (wrli* mv .sa (h--
3Ue rr mol aiiLKièml : Bybtiographu.
7. TiioM.ELinacri BriUinni Rudimonla
raniiii.ilioi'^ o\ an^lico soriiiono in L;i-
uui vpfïiii. inlerprete Georjiio Buelui-
no. cum Supplonienlis, &c. — /'«n-
px oITicina HnfH'rli Sti'phivn. « u.
I&wil. Non. Jul. ln-8. I ^. 3 d
S !'noM,t; linîUTi Brilanni de rnii'n-
<l;ita strurluni lutini scriiionis libriwx.
Index eopioftissiinifci i» eiisdeih. Tertia
eriilio. — Pariniis ex oiriciiiu liuhntê
St^'pham. M. u. xxxmi. iiii. Id. Mari.
In-i.
9. Pmimph Melanrlithoni($ de arlp
lllielririca Libri très. — Pnrisih ex of-
ticiiiii linherli Shphatii. M. t». xxxvii.
In-X.
10. I*iiiLii'i'L> Mi'liiiuhthun de rorri-
jrpiuli;* îiludiiîï, * Bodolplius A};rlcula de
fumiiindit. sludiis: fk de miseriis panhi-
i:i»;:onini ( (ratio. — Parmis ex oflicina
Hotttrli Siephani. m. u, xxxmi. xilii.
Ciil. Julii. bi-H. r>d
H CicEROMS Rbeiorironiin libri de
inventione. Topiea. Partitiones oniloria'.
— Pariitii.s ex otllcina Huherti Stephant
M. h. xxxvii. In-lfi. 3 s.
\i. M. T. Ciceronis Libri Rlielorici»
?eii di' invenlione Lib. ii. nim M- Failli
Viclorini Hheloiis dotiissiiiii Coiumen-
lariis S4*paralini expre^^sis. — Ptirisiis^
Hoht^rtus Stfphamts. h. d. xxxmi. In-i.
i ». 6 d.
<3. M. Fabii Vlctoriiii Hheloris doc-
li>vsrmi (xjiiiaieiiUnii ici Hlieloricos Cl-
eeronis. anleji dimiinili. nnni" priinùm
velerum excinpbtitiin (»pe. siniul & stu-
din:?onim iHiniinuiïi opéra in inïej;rum
«sliluli. l'iriiisque imir^îines notis nii-
ineronim distiiiximiis, iUi respondenli-
bus inler <e, ut perfacile sit, QtnimenUi-
rionini piirlirnlas cum Tullii verbis
eoniponere. — Parixiifi ex officina fio-
hrrti SUphtmi. M. D. XXXVII. VI. Cal.
Maii.ln-l.
1 i. CicKHOMs Dialogi Ires de Oalore.
— Parixiis, ex ofiirina Roberfi Stephani.
M. D. XXXVII. XV. Oïl Midi. ln-lt>- 2n d.
4tï. CiCKHOM.s F.piîïlola? fiiniiliîirey ,
qiiarluin a nobi.«j édita;. — Pari^iix ex of-
licina HoUrli StfphiUii. H. D. XX&vn.
XV. ail. Dec. In-H.
u\
ItoUKllTIS STErtIjNtlS PRIMCS. IH7-M
V\Mt, r( il;*;.
Iti. (jcKiiJtMs U|Mslnl;r iiiJ Attimni
A lUl (.liiriitiiiii !i,i,liriii.~/'(fr*Vi'.'!, pv df-
lintKi Iitfn-f1i Sfi'iiiitnu. s\. \t xTtxvir.
l«i-rt
n, riii!lioNhTii>riil-ni;r t,H uestiftnrs
|MT llesitl, lù-iisiimm l'iinMiitJttïi' ^ w^Uo-
liis ilfnslnit;r. — Vttiisifi, \'\ ûl^kiim
Ituht'tti Slrpimui. >i. it, wwii
r^iLFtiJji-, Iri-K, idil.
IK. ViiK.tLîi's. -- Ptii'i'ms. ex i
tUifn'i'ft St<'f}ltiiiu. M n. wvur.
j s
Cmin" (le riiliEuHi m-'^ di'lWH,
i;,'i(a|. ili' \h . Ili-iusiijs, i|kiii't M. pi
OM I l'\l'llt|l|;il(~IM''7l lllkll- l'Illlllllt' «iv-iUl
tl'Htl il .llih. .'^f\llj^i'J il {KitlilUl iIl' m
ii'iii", rin'EiiisijuM't F|in ^;irniili>tS('Ul
lifuilr ifcriMiiiniirr,
I( l'iK Itii* ilr-. rM'tuiilEMit^^ il'-< HilP
(|ui M' M-niloii'til sr|iiir(''iiii-iil (i <l. rt (|iii.
sans tliiiilt', siMil Iniis <lr|i'iiil>. Kiiu n'in-
tlnixiil il inlroiluin- ri roiiM't\»*i' iliiiis ilfs
ri'i'iii-iU un [irlil rallier ircniliirs lu- coiilr-
iiiint t[ii'iiiii' [irlitr piirtic A'mi li\ri' (|in' rlin
ciiii \fiit cl pi-ul aMijr l'ii ciilitT.
lif. S\i.M()\ti M;irtini .liiliiHliiiifiisis
r.iilMciilaiii Rc^'ii lluniionim lilxi so\ ,
;nl.l(i. UcNiiiinii S. li. I-;, (■.;inliii;il('ni. —
/Vfr/s/Vs ('\ (itlifiii;! Hithi-rli Strithaui. y\.
I». wwn. Mil. lit. l-'cl). lii-s. t s ;î)I.
m. .Ksiu'i \itii;ir rjiis \ îiliniiiiu Fii-
Imla'. I.iihni'. — /V/r/^/Vs , cn ollu'iiia
lUihvrti Sli-jthiun. w. i». wwii. m. Oil.
l'Vi) In-s. Js. (i.l.
-M. KxKMi'i.AïUA IjtiMJinnu (iiiilitis\-
''.lirisli;missitmis (iiilli;iriim \v\ l-'i;i:i-
cisciis. ;ili jiiKcrsarinniiii nialcdifti.-^di'-
foniHtiir: \ (■iintM)\i'i>iiinmi i-au.sr ex
iliiihiis Iti'lla hiHlic ititrr inMim \ Oiro-
liirn V. lin|HM', riiHTSiTiinl, r\|tli('anttir:
uinl(' ah iitrn jKiliiis sli'l jus a'i|imnii|iii'
Lccinr |irml<'iis|ii'r ra<'il<Ml(')irclH'nilii. —
Vuri$iis, i'\ (itliiiiia Kolnili Shplunii.
M. I). wwn. Povlriilii' Nmii, ,\ii;.;ii>I.
Ill-'l ;■> X.
Imprioir «Iriih (u» upua (Tttc? mHnv ilulc.
A k BiLL lin mi:, toicml, ,tr/>frW'. A lu
Oiij un Ouuhir Truilh-I en ^nlxlcnii finilniiMil
lii tmW flf» tR'fiiîtT'* di** *lurlu'» ih IWmr-
gti{;iiii\ i\f Mil:iii Vf il!r ^iviiii'.
1 1. rJriiM'iit, 1. VUl, |tiiF;r 451 . (irf'lttail i[li'il
y 0 uuiii-N. autiAi lie 1637.
32. (! Pi.iMis Jf viriii illu^lrihiH.
Smaotiiiis flr (Jratimiîilirjs & Klu'îiiri-
bus, iuiiijs nlftM'^jm'ns dp |'tT,*li|j;ii,H. —
[, ex uitiLiiiJ!! liohertt Slepfumi.
XXVII. XV. 1^1 Uecoinbr. Iii-3,
PoLViHmi V(T(iîliJ tïv intfrt»firi-
ttm libn m. Ad}eoli*i Krli'^'inniini
en lis. — /'(jri*ii*, es dlienrui Hu^
Ifjuhtwii M. u \x\vii- ift-4. 5 s.
M. D. ?L\X\1U
1. ("i;inKHKhïi TnnsUilli (Episcopi'
cil' Arlr sti|)(mlaiuii liliri (|iialuor. — i*(i-
'A/Zs, ex olliriiia HoluTli Sli-iilmni. m. n,
' \\\\ m. \\i. Cal. Nov. Iii-i t s.
Dans un tli^ ("«ilaloi^urs ilr K«iI«Tl. ntti'
iiK-lliixli- il ;ii'illuiii'lii|iir l'^l dilc /.utluÏMinn-
uripta. Il fur *■!<■ ((os-tihlr li'rxiH'inu'r ix'l
L-I();;r eu niiilUiit' laliii.
i. .Il N- lUitiitii ("iininu-iilarius iii li-
bi'lluiii (il- (nto nialinnis itartiian con-
slnuiioiif. — l'orisiis . ex nnifina Hn-
lunii Stt'iihaiti. m. d. wwiii. In-K.
:]. lin>i.\ii:vTA (iraiiiMiatiri's Tlu'inar
lanai'ii <>x aM;:Iioi m-iiikiiic in lalitnini
vcrsii iiiti'ipri'ti' (irurL^io Itiiflianaiiu ,
riim Siipplf'iiu'nln, \c.—~l\fiisiis,v\ olli-
ciria liitUi-rti Sli'iifuini. m. d. wwiii.
Piiii. Itl. D.'.rinl). Iii-i.
\\fc iiiu' l'iiiliT nu prrfiirf «le l auU'iir a
Maiir, n-iiir »r,\u;;lcli rif.
ï. Diction \ Il KM Lai i no - (iallii-iiin
Tlii'saiirn iHislio ila ex aiUi'rsu nspim-
iliMi-i. iil i>xlra paîtra ipia'ilain ant ohsn-
1 Icta aiit niirMi-- m ii-ii in'rtssuia \i)ca-
tm-so. noBKim:s stepiianus phimus
(miUi . \. <|iia:i. coitsiiltù prortiTiiiisinius
uiitlioniiii a|)|H*Ualion(^, in liw endem
*jnl niiini]!, cxHlcin orHmi', scnnono [la-
Iriy fvpliCiiUi. — riirisiis extudrlxl lio-
hrrtux Stcphauus in sita ofticJnii. m. d.
XXXVIII- Mil. Non. iy'|it. In-ful. 30 s.
Ui uoi&iL-mt* rililioh. ■]<' t34<>, fAt lirait-
roiip |»Jiu>àntplr, .iii«i w ^cmtoil-cllr t>0 sitls.
Voici quctijuo [ustsafirs de la pirfart.* ilc
Knhrrt :
•• Rnti. Slr|i)iaini<k Ij^nrilHii. HqIm-iiI ù
unbi» iiiiiiiUN iioHiri nM'!i. f^li.^ni niaptiiiii,
Otfail ilim. riiiini Ijim: Jtn>, iicntim f<i iiuifti-
Minn. l^od ([ittim jnin r.«M-t priili-m n iiohi^
iiHtthitiiiti, |tiis|i-a inleriiMKiiini diii. tidndr
rvp«-lilMni. .-)lii(iiniulit laiidrni aUsnIiitiiin \
riuil«-«*ttuii i^sl, .\r. Oiiîit aiit ait iiiei>nini ri-
Miuii (AriUtiiila m lilem «liidtA maji», atil
ad <'oiM*i|iii-iidi bcultalcm , r\|dicjudi(]ur
«nt^iitiatn diflk-iliuft. . . i|uàm Latini SeiiniK
n» >d(ii oprs ad doneslicos uau tnNiucfrc ?
Laimti^t adlii)<> liiifïiw iiosuv {pixani c\po-
uvn- :' OntiiineuU eju* profwrc? (Jopiiu e\-
plirnn* :*...»
H, TEnK?iTiis, SextuEdilin. — Pari-
[«û«, ox odk'inu RoberW Stfpltani. m. d.
LXXV1II. m. Non. Sept. ln-8. ;U.
6. TimcicAiitM renim Cornnu<nUtrius
Pauli Jo\ii F.fiiflcopi .Nnrpriiii ud (*iin>-
luin V. In)[H>ni(onMii .\ii;:ii!^tiiin : t*\ Ita-
lit'o Ljilïnus fiii'tus , Francisco Ni*n'o
BiiAM.in;iU' inlcrpd'tp. Oriso Turt-ici im-
perii. Vitii-' otnniuni Turoironini hiipi'-
raloniin- OrdoncritiiiciplinaTurrica' mi-
Jili(VP.\iicUïî>inw*conwripUi,i'<xlpmï*iuilo
)vio «ulliortv — Parii^ix px ollicinii
\itobtrti Strphnni. M. o. xxxviii. ïn-».
7. r.uMMK.'HTAnti-H capUi! l'rbiâ {aiino
45i7)diu'toivCaroloBoilM>nio,udexqui-
situin iiKidun) ronrecluH : iibi non modo
ordinoiiiH^isquâni biiclcnusnbuliis e\-
iweiita omnia , scd inulUi otiiun aliter
iCÇrnere Urr.il. Aulhori:* innominati.lluir
fiunl ïKiematia duo. OiroUis. sivc
^ienna An<4xiiiri). (^rnlns, »ive Ttinolr ,
ÎAnasUisii. — Ibid. m. d xxxviii. In-K.
Le mrii»H.Titinrr fuiit à la pag<r 18, Ir prr-
mii-r piMtnr à b page S. rt T»nefe à la W
•rt dcnitf-r*'.
Il»*" i'pdrc ou pn'fetpc, de Joac. CamtTa-
riii>i, a|i|>i-(-iiit i]U<- ri- iUMrrt->iii l)Uti>ri<|ur
at)uii)uif lui u Ole uiiM»)6 uù .4. Patwo-
tpirtt.
8. Catoms Diïiticlui, Latine & Gal-
licc. — Parhns\ Hohertus Stfjthauiis
M. o. XXXVIII. ln-8.
9. DnrT\ Sipicnluin, Latine & Uul-
liée. — Parisiis^ Rott^ltu Stfphtttiiui.
M. 0. XXXVIII. ln-8.
Pfiitr on ilrun pirrescpii, vmidilrinral,
IIP Umt i(u*iui «ulumR et ni* d(ii«iiil |uu être
M-(Wim». \nir ri-d«MOUft. cililiuliA de Fri
F-iitu-nm-. annéf \^A^.
M. D. XXXIX.
< . Cahou Stt'p'*'"*' '''* "' lï<»rtensi li-
U'Iliii^. cui nup^-raddiUti^eïtt uliiis IiIh'I-
lus de vuHu & satione hoJlDruin. — Pa~
risiis e\ olUcinii Uoberti Stephani h. i>.
xxxix. Non. OtHr^-MiUi. In-». 1 s. 6 d.
2. .\i.t*iiABKTtM hobrajcuni. Di* pro-
nuiiriationp litcranini. IVcem veriKi , id
et-t, dtTcin Oei pnweplii. lirl^niice A lii-
linc. Nunu'ri llcbra^driini. — Parisiiti
cxofiirina Hob^rti Strphitni. ly|>o^iphi
Hi'j:ii. M. D. XXXIX. — Alphiihelmiigni'-
fum PriM'alio Donùnira. S»liit;ilio .\n-
jîeli. S\ nibt»luni samltuuni Palniin, quod
diciliir Symboluni Nit'cnuni & Ccnstâii-
tinoimllLinnin. Donilopu. Integra Onitio
Mana^ScT re<ïis JudîP. (inw* & latine
omnin. — Ibid. , M. i>. xxiix. xi. Cal.
Sept. ln-8.
Il lit- [M-iit rncore y a^uir aimin dfs Vm»
nuuM>a(iv ;ilplial>t<L\ grM-Ji.
■J. (>nAMy\Tir\ lalina Pliilippi Mt»-
lanrhlhonis. Syntaxis, stMi de ronslnif-
tiunc libellu^ pjusdem. De periodis. De
qiuudiL'ilc syllalKinim. — ParisiiB et
nnicina Hobrrii Stfphani. M. D. XXXlX.
III. Oil. SepU'mb. ln-«,
4. ivy. KAmmi Comnw>nlarius in lî-
tH
HOBERTl'S STOMIANrS PHlMlS.
IS»9-^o
bHluin i\v iw'lo orjtionis |utrtiiim ton-
stnictiom'. — Pamiist'X iirTiriiiii Roh^rti
Stepharii.M.ti.wxlx. Idib.iklfib. In-H.
5. JEiAi DoNATï ijrainiiiaLici (^oniiiu'd-
Uirii tr*»s. Ars primu , an* sœumJa. do
barbiiriâino , sioiœt'innio , inoUipIftsmo .
tropiâ. SiM*ï;ii rii iitramqup Donnli arU'Ui
CommPiUarii.. Senii item Hoiioi-tili iii
fieouitduni tirtcni Inlorjirclalio. — Pûti-
siis e\ offiriiui Roberti SUvhtiui. ». u.
XXXIX. In-H. 1 s. 6 d.
6. DicTioNAïRE fninçoiA-lîitin, conU»-
nant les moiz i-t niimi^n»;^ tic pîirlcr
Krançois , tournez on l,!itin — Parisus
exollu'iiui /iolM'rtiSh'plKmi. m. d. xxxix.
— A ta fin h. n. xxxx. XII. ChI. Mart.
In-M. ïo ».
7. Brlli'M pninimiiticiilp (R. D. An-
(Irwi GuîirtiA SîilciiiiUino. iwlriliii Cn*-
mtmpnrii uuthuR'). — Pnnsiis vx oï^nn»
Bût/trti Strphuiu. iH. n. wxix. un. M.
Spplemh. In-8.
H. M. T. CicEBOMs Opcni in qiialtior
lomoA divisa quorum AÏns"'' varias \o*'-
tiuni's |H>SllK>;«iUlS luiU'iil r\ piTitiiillis
voleribus ar maniisfripli-iî ro(lii-ihii:>i do-
sumpta» : oc [tni'tcmi hidiceni rcniinar
verboriim copitfrissimuni , nihiJ i:t jam
in r.icwonf (Ipsyilcrari ])Oi*sit, qnod non
ppriniptissinje repprialur, — Parisiis ox
ofTicina nodcrti Stf^phivii. m. D. xxxviii
— H. II. xxxix. t vol. in-fol.
EililifHi Ciilt- Mir ri'llr lU- Victoriut, Junla
1534*37. 4 \al. iit'tul. Taril d'ittilci lra\miv
ont, (IcpuU ec IrmpA, auirlioré le lialr ih*
Cimvm, qur ritte ûttilioo aiioiciim-, qu(>if|iif'
tinniK' juiur l'uvi^v, u*a rnfi rpii lui doivr
nivriiiT itii jicmril dp prêfcrfDCo.
9. CitEROMS Orationes pro Arcliiii
poc'la : pro M. Koiitoio : Anipqiiain ircl
in r\iliiim. — Parinih iti olTicina Hoherli
Stfphani. m. d. xxxix. ln-8. 8 d.
<0. HoRATirs. — Ibid. m. n. xxxix.
In-4t.
l,VsiMPnc« d»* rrlh- i'hIIIkmi iir mVil imite
tnciit |ir(Mi\é«', |MS |iliiv (|ii<> In mililé iI'iiih-
aun-c de 1545, in*lioii iii-16.
M r.QMMENTARiis capUe l'rbts, diJO-
Um^t'iintlo ItorlioninAuUioris innoinina-
li. l'ocnialia duo. (jimlus. i^ive Vionnb
Aiislriani , Oirobis, sive TiinHe, Anaty-
Uisii. De urij;ini' Tun-arurn, Jo. BapI
E'rînalîi Lib(»!Ini. — Pariniit ex olficioii
HiihrrtiStephani.u. d. xxxix. Idib. F(*-
bruar. ln-8.
13. Paiîli Jovii Episcopi Nucmnî
Tiii'i-iL'anim rtTiini r.oiiinn'nUiriiis , e)i
ttiihco laLiniis farlni^, !"rdnrisi:o Ni};nj
Ekissiiitiatc inlor|>irl('. — Parisiis v\ of-
rii:iiia Hohcrti Stephaiti. u. D. xxxix
In-». 4 s. 3 d.
Va- %oi«iinc vt \v Commentariuy captai Dr
A/f. irultonl ini))i-imt*ïrD 153t),!>Dnt vcritaM*^
iiH'iit ri util' M*('(iiidi' l'diltui].
1 '■\. Pktiu .Mosella.m Pi-pdologia » Din-
Io<;i XXXVII & Chr. Hegendorphini Dia*
lo'*i puorilts XII, tepidi aeque acdorti.
— Ibid. M. D. XXSIX. Ilb8.
ti. C. Pi-iNifs di> Vins ilIu^tribiiH.
Snotunius do Cit-aniinalicis& Rhclitribiiï^.
Jiiliiis Olxcqm'ns (U» Prodiiriis. — Pari-
fiti/i C*X olliritiit HuInrU Slfpham. m. d.
xxxix. \i. Cal. 4an. ln-8. 1 f^.
M. D. XL.
1. Umi.iA. H('br;pj>. Chald;ra, Grapra
& Laliiia mmiina vironiin, mulicnini.
p(ipii!i»rii]n , kliilnnim, nrhiom, (liivio-
runi . niontiuni, rait'roruniquo loronin]
qu:t in Bihliis Iriruntur. rostilula , mm
Laliaa intcrpr^'Uitmnt'. Ltx'orum dcscrij)-
lio i» Coïin)0)niip1)is. Index pra'Iertyi
wnim ft ftcnlontianiïTi quœ in iiï<li*ui
Hihlïiscunlincntiir. IIisarcrssenjntBrhc-
nujlii Tabeinaciili Mo.^jiiri, & Tompli
Sitlomonm, qu.T praïcunU* Francisco Va-
Uibîo Ht?b(^iininini lilcrarum RejEio pro-
ft^^mrio docliîwinio. suninui arlo ^ fidi-
exprt'sna sunl. — Parisiis ox officina
4
UW. HOBKHTUS STEPHANUS PRIMUS.
19
tobtrii S(f p/iflTw Typosraphi Hogii. m. d.
X. (ir.ind In-ftil. 6» s. "
Câ^ rrpiY^mLitinits. ileuiui:*^ ttnr lr_<i siiiiis
Frant^olt Vala)>lf. miiiI iljvliiiii grAllllf^
i-fi fdpt liirn ;;ravt-('.tfnlM>Lt. et inipriiiM-a-i
lift W niwi (tu \oliime a\*x It- Ivxic.
trh tItîlTrfb nx'unulirnruni aux iVopfu-k's
|uî (ilit tlll lîlM- M'pui'r. t'nnifiehc. Ihvl.
, n. \i .
Dr nH'-ni<* au Nouveau Twtamfiil. Novum
VettitmentutH. m. u, xl.
Ri au\ Urhnin, \r,, uornina^ fiv., jivaiil
H l(-ur lilH'. M. u. xi&viii.
l'rt^ tM'Ilr iililiuu, hiiii «upi-i itiii-v au\
|N-t-(-itlmlr« lit' I5:W. 15:U l'I t.'hU, l^nt
b curm-tiûu îles textes ijiir [tour l4"i du-
ilalions, eti C)Mai riiii|iniiH-iir. diinn wi |>i'r-
', ilti'lâri' avoir t'tt* |i(iUumaii*ii( aiili' niir
îuill. Fatirii'ii», chaiiuirtr ùtr Puilivrs, i*t sa-
int dans \cÀ IroU lan^eA hcLhkîqdr, greoqiip
Intiiir.
Malpv lelnvtli* sou rxcnition, n- lioaii
ilumr- n'i-ïl pas uti rauf; *lv% cnriasilos liî-
lî(K^i-a|iIiîi|u<«; \rs «"uU evfiii|>Ijiin-jj eu 1res
itiil papirr Mutl ■-(^■livrilH-s di- ([iit!l()iii-\
kli-uri . W u'allirciil uii^iik- iiti |tfit \i\i'
l«;ur altfuUoti i|uc (|ii.uiil iU m'iiiI if\i>-
d'iiiM' aucifuiM' «'l Ih'U(' rtliurf hieii fou-
■\pt'\ j'i'u ai iiu Jr «-ttr sorte. La lliblio-
Mipu* Royati* fu |K)<»u>d(' un scmliInltU',
■iuM (|n'un irvsbiaM, inipnmî* sur vrliu. t'U
_dni\ MJumr», a lu n-liiin* liv t'nitiro» I"^'.
lu aiilrr, di' niinni' mji' %vliri. cl non moins
rlii'niml n*!!**. t*\uir à Itunit- tlaiiit la Ititil.
la rj>auAli-, et nii IrnuicuiL' à Oxford,
lu> la Bil)!. IliMlIni-iim*.
2. Okcev Pnrot'pUi . & ScripUinp
iinnia. — Huhnlnn Siefihanus. %. d. xt.
Kl \^ Dix Commandements, avec
•Mmil abn'irt^cle rtcriture, imprimife
iicun en placard sur une feuille in-fol.
iverle. G il. lo Uilin et. le friin^;ois.
ftiiillrs «-t l 'ûliliou uouvdic dr In Rililr
it . pour rimprinintr , l'orcaMuii <k-
ibtinoA iM)UTi!ll(>s « S'axw acci^iduii-
mur, f* coDtra vum l'iiralogiri Uti
J« liAÎ |<U -«v»ir (jur) iivmt èl^ li- (mik tlfi
i'eiiMj|-<?> impnit'iiliT liaiTiulutnr. Duntu m
hîlnminn.i !>rav4>pia janiantiM îuipnHu iliiniu
iuiprimii. ri, (piani xocaitl. Sriipinrn* Smii-
iniini, iilrAi|iif Miiffuli» futiU, nuijori ■ liarac
Irrr salis vciiiuto, «put- paiiiiihiis pounii
flUitji. Oiias vcro ntnK'*tiii exIiiLucnini!
\lii's.w domo hiiur uporlinl. <.*! uiilaiu lU-f*!;»
M-tpii. » <]iiu iliplonia :m] roliilN'tHlnni cQruin
nitriii|H-rit7ii iiliiiiMiii i|uo jiilK'Ltanir illn (jal-
lici* el Liliur niipriiiicrr. >i K- Slriili. K<-!»p.
ad TImtuU p. U, 11), U, li.
3. Caroli Slopliani Seuiinariuin &.
planUiniin fpucliferartim pra?sertjni ar-
lutriitii (jiue fM»st hortoïi eutiMTi soient;
tienui) iiiiiMiMii \ UM'uplet4iliim. HuiV
aeiessit Jitter hheUiiji de conserendipar-
Ijnrihitsin simiinarin : doijuc iis in plnn-
lariiim irant^rerotulis ïitqiie Inserendb;.
— Prtn'Mis, ex oflieinii HoherliStfphitni.
M. D. \u. III. Non. Mail. ln-8.
i. TiiOMAE Limicri du emendula Ui-
lini sernionis $triirliira lihri sex, oum
liuiiec itopiosifisinio. — Pariaiix ex offï-
ema HoUerti SU'phtmi. m. d. xl. vi. Cal.
Noveail>. in-i.
r«' iri's roftirnr lndt'\ . imprimé m 15i9
pour lp MTvir»* di' l'édiliuii de 1527-48, a dij
SI' rt'iiuprîmn- dans ctuicuuu dc& éditions suï-
\aiil«f.
I3. De Mini ^ Niuit ttim scribendif:
tinn proferotwlis Assertio JoannisTIiiK»-
lIoii lielloviici. in gnilisni piierortirn. —
Pnrishsex oflieina lU/bt'rti Sî/'iihmti. m.
D. XL. Caleiidis ApriliUi?. I«-H. 5(1.
Le Cnlal. 4v Vk' IU>«ti. iSli. page 240, în.
diqiic un oNcniplaire lU' n' livn- um y nuitre
dv dali'. V.'vii h, ji' rrois, nu uuldi ci uon
(liis l'iiidiratino rertainr d'une édition noa
tiairr.
Faut-il ventf fit pi-rMiotirrr mi/ii, nihil,
ou liicn mic/ii, nicliif' Vnilà Iw-n \r uijet de
et't Opuirule. maïs conune d ne mV^I point
londti- 9Qtt« la main, j'ignore quel fut l'ati*.
dt- sou auteur.
ti. I> Topnv r.ioerunis Aniiii Manlti
Se^'erini B(»etii (^uniment«iriu<i. — LuMiœ
v\ nniriiui Hnhfrli ShpKani. m. ik xl.
%M. (iil. Sept In-R.
7
HOBERTUS STEPHANLÎS PKIMUS. 15Ï0-A1
(Ju sjit iiuf- )f It'xlt* aiiifuiiuii;!!!' U-^ i'.utu
tiittilnin-^ ifiti Ir iti\LM'itt fur rûilil!* [tara-
(p'AllIlfS.
7. M.TiLLli r.kvroni:» Eptslolic fii-
miliiiros. rum Potri Victorii sminuii iii
rasdcni rasIiL'Hlionum oxplicalionibuji.
Failli MHUulii Si'liolin. — Z.h/c/i€P rx of-
ficina Hoberii Stephani. m. n. xl. ln-8.
Ce ^olnnu' <li* CiriToii t'M nieore va ca-
raclères roniaïua ; ve n'c^l i|u*cii 1544-4j
qH'ctnl vti: cuuinifiim'A le^ imprcuioiu en
Ictiifs iUilH|ut'« laitfs à riniiUition di* relies
d'Alclr.
A In un liwFpilrw ^^l l,i djilc dr 1510, jVow.
^/rr., après k's ScJuilie» île P. Manucv, Cal.
Apr., et 1341 sur le Utrr.
8. Sententi.c sin^iilis v(?r>iliiis con-
tentae juxUi ordinem liloninmi cr\ d^i-i-
sis pocii? (pratts) Adjpcta t^l ad liiifiii
Itithia irUfrpn'taliu. — Luletiœ v\ ofli-
ritia Hohfrti Slephani. m. d. \l. in.
Non. Sept. Iii-^. 8 J.
9. Se>tknti*& Proverbia ox poclis
lutinis. — Vùrisiix p\ ofliriiui Hofterii
SU'phani. ii. d. xl. In-S.
<0. p. Vinr.(LnMîiroïiisO|>pm.--/,u-
tedip i'\ otliriiiii Hobertt Stffthimi, h^)o-
lO^iplii Rt'fîii. M. D. XL. XI. Cil!. Junii.
In-S. 5 s.
Avec 1rs Camiina Minitra, rt Iel8« livre,
comme darit les iii'8 prcrédrab.
ii. S.u.HOMi Macrini Jutioduncnsiti
ciibicularii iv;;ij lUuinoruin wk'ctoruni
iibri In'S. — I'arisiin iipud Hohertum Sfr-
phanuvi , Hcbrairarum \ luitinanim li-
Ifranim l\ pograpinmi regiuiu. u. o. xi..
XVI. Cal.Jul.ln-8.
42. Dk Kkbis Turninim ad Fr-ancis-
cum (îallnnmi Rojïcm, Clirit^liuniïisimurt]
Iibri V. Cliriîilophom Richorto Thori^rit'o
Senone. cubiculurio Hclmo, \ rancolla-
rio Fr(mria?iis*'f relis aïKilortv [K'ori^ine
Turcaruin^c OUornaQnliniprrii. Do mo-
ribus A: institults illius tanilbi. [)o Tam-
merlanis Parthi rébus gpsiis. Xh} e\put;-
naia à Uaometbe Constantmopoli. Do
(jjsti'lliiiovi l)abnali;it oppjdi n^phLi di-
rrpliono. — Pansiis «x ulliririii ftohertt
Sffiitmrti, Hcl'raintruiii «S: L;ilinaniin li-
ti'niriiiii lln^^it lypo;;niphi. h. d. xxxx.
III. Non. Miirt. Iii4.
A la hibl. ilii Kui, vn çràu<i pjpicr. n'Uurf"
cil vifuv \eau, a\cc b ^laroztiidre dr Fran-
<;oi*l*'''.
i'A, Deh ('xitîSTtMES ol iiiimii'ros do vi-
M'L' dpsTuiTs, filial |)iviaioroiiK*nl on la-
Lin par i"hristn])ho Hithor, Ai dopiiis par
iroluy Riclior tradiiicl t'ti liiii^iu* Fran*
«.■oise. — Paris, dp l'Iniprimmodo flohert
Ei-tiemie. Iinprtinoiir <hi Hoy on liobriPii
et latin. M. u. xxxx, au moiïi de Jaiivior.
ln-4. 2 s.
(^'oÂt h Mvoiid des cinq livres du prtrÂk>ii(
\rilume latin. '
M. t>. XLr.
4. LiBRi MoYsisquinque: lalino, nim
aiinolalionibu.'i A: obscnalionibiis He-
h-nirif Imiuliiuaquain pœnitoiidis . (piaî
piolixi r.onimonlarii vii'o ea^ f^iossiint.
— Lutettiv f.\ oflicina Holwrti Stephavi.
XII. f'jilond. Mart. m. n. xu. Iii-i-
rc4 m)l<'.<t ntil été nTiicillint au\ li-çoDS drs
|ir(ift-<.sc[iis du l'ull^^i' ^lI^ul. .liiisi (pie te fait
ccitiDfntrc UolHTt dAiis mi pn'faci'.
roiiiiiiun itiiius . ('Jiri^ltaiii L<Tion'!i , in
tcrliii ISdilionim odiliom* nuttotalionr» . ul
jiiitfliar M-itii'l n iiiitii!t (actiiin riirml, iii iii-
tci iii'i î niiii'^ini* nii|innii-ri' : idijin' siritiib
qiiflin cominodr fitri p<iiv<rl, leiil.iliim e»t.
Vi-ruiii frustra . tant niof^num l'uim incrr-
iiMiilum |)o»liTioR-s annolattonrs acci-p-rtuit,
ul ^nU-Jaiu M*orsiiiii ^«lumcn etiau mau-
niiim sibi poiitulnil : tanin m sIm-sI ut mar-
KiiiiliiUH <]uamM5 .'inipli.ssunts rapî possini :
l'!:ani MiJinn iKTfAsiont'in luilnn nilhî bo-i-|>-
l;un fm-i :... Hiir Mint* lanlum piiL-stitîn)Uih
ut uoniiulla p\ ils ipiif profes»uruui Ki'ginrtmi
audilon-â tr\r(*|«runt, ail vos Typopa-
phirn' iinAtrif arli^ liriit-firio fidelÏMiinr p4T-
man.'in'Fii. Adjwui ftiain fuerunl k nobU
lus annotât lonihiu. qur iu vetuslissinÙA &.
raiïti|^ti»im)» t.alinii^ excroplaribiii maini-
»crip<i<i alilri- lirla (k'pn-lit-n<litliili^ ,
|iatMm iniprrsita e\t'ni|tlari:i lialH-onl . . ,
f. NovuN Testamentum tiiiinuin , et
t)rp%'is in Itiorn varianiin tnilaLinnnrn
unniitaliunes, adjcrUi viHpruin liUiiioniin
«'XiMnplanuni niiiiiii<4'ri{itonini Ui\ersa
IcTtiont*. — Lutfti(V apiid RMi^rium Ste-
phanum. m. u. xli. iiii. M. OcL. Â ^ul.
ln-8. 6 A.
Lc^ uotcs àr en ik'ux ^olum» i-xnii-ifjii
•Ufsi lt> Dianvais vouloir» ilc> ciim mû dv
RoU-rt . <|iii l'n prircnl ttv nouveau I'wTii-
»ioii (le le faiif |toiii-«iii\rr par l'aiilurili'.
;iiiui (|Uf liti-nitmip !■■ fait iitiiiinitn* U;iii*( .sa
Kr(K)u.S(' aii\ CeiMire:» i\n 1 tiénlui^iuis, Amt-
iMcmenl. p. S.
•• lintirwt l'au M. II. XLE, j'impriiuay Ir
^iKiiicau IVslaïufiil atM- hrii'fvcttattiioUtioiift,
ipiL- i'ailK>it<>iay à ta marge. Icaipii'Ili's i'aiiovc
!•« (|p çnis liini sravnnV. l'oiir II- L-uiiiuit-iiiis
im-tit 1** h\if fut ioyfu<<i'iu('iil n-itii : ri icnv
riKnlticti iU V fil Miiil aidiv. \\i^ pt*u anrr<>
aiKtiii^ «ri'lillT ciiK iTÎovi'iit i-li rlbiiri- iiii-
pUilruinKlit. MUS iu'(-?tp3r};ufr. uc n-lfi mmi
tMifti. i)Ui' j'aiiovr impriiiir dciS aimuLiliuiis
Ihcu ilaii;;i'iviiM^ ; |KtiTrqiif- l'i-xpctsovt; nu-
Irmicut l« i)a.'»uf;i*.i du |>iir(;aluirt> et de
I.-I (^rirt'utoi) qu'Ut ii'auovait artouttiime :
«pif i'i-«Iuyi' un:; liii liottimc « ( t-iiiiU-tt-iix i\v
ftitnrr tU"» l»rrp>>i*5 «mlii l'iiintiiT Ji- l^tîlil*-
pubtiipH'. It M-«lr-iii> tiii luiirrmiii- d<iiit sail-
lin*iil lotit ^uiitidjui Iciin* iTÎiTii'A ammslii'
D»v*-i>, IrUt-niiuil ()iu' pDur la 1^(ll^i(■l)h■ fou
if fu outruiiirl dv luu raclii-'i . A la Cm
«jaul rfphiu roura^c. aprci «pic ct-str Itvi-
|H-sif.> fui uui; ]>vu apiMiiur, i^iraprimay
rurciri' une ioLs rr> lui'siiii-s aiiiintatiiui-S. v
ilha&i;(MUt ((Uflqur pru, rt iiiljnUilaiit l>raiJ-
roup. lurutitiiiriii i(af'Ut.'v, Picarl l't (iuiau-
•■oiirl. ipii r»loyf«t dis prnnifr» de et ■iaîiicl
tinlrt. frin'iii beau Itniit. <■
Cctir n*iRiprr<iM(tii «•»! réditioii di' 1!)43,
■1-16. Vuyrx ank-sMUs, |>ngv !^.
3. SuHNA IMius sacrm Scnpliira^.
niveiii Dl'Ï l'ravfpUi. — Ptirism l'X offi-
cma Hohrrti Stciihiini. m n. xli. Nonis
Oclob. In-H. 8 fniillots. (m).
Le* mt'um. l'n frartroi'., iii-X. . S iVnil-
Uis.
6 d.
( t JIHtHTtAN«:^lllllKi«;njllVOnlllllshl-
ï<LituLinptTUirbilof»horuin Hp^t'ndoqdii-
mim. l>o disciplina itom \ insliliitioiie
pucroniiu OllionisBriJii>felàii l'arutnesis.
— raristiis , jipud Uobertum Sleplmnutit .
X. D. \u. In-8. 6(1.
ti. Lauhkntii Yall.k lie l^itins lin*
l-iKi' l'Icjïanlia libri vi. Dt* rwiproi'aliont*
Sni H Siins lib. l. EJM:jdom in Antoniiuii
[laii(lt>ns('ni nnnot^tjoniini lihelliiâ. In
hii;iiiiii l'"lon'nliniiniapoIo^elii'U!>&: w:t?-
tiinisactUï;a(Iino<iunnrt'slivu&»c facolus.
JudtiK'i tttiiiii AiKTiiâii in :ï«x d(? latina*
lin^'iia- rli^ir<)i)lùi lihro>^, & lilii-lliitri iJe
ri'cipnx'aliunt.', poslreniu Epiloiiir', ah
ipso (liiidio) ret'o^nila JS: i-xfusa ab biiu"
iinmhi (|uin(l(viTn. — Lutelifp ex oftinnu
Hvbnd Sîophaui. u. d. xli. v. (^tond.
tMohr. !n-A. 40 s.
T.eji trrïl (H .lutotiium Hnutlrtisrm <*(
coiilri* lt> l'ofj^r fnrniinil nui' partit' d<* ttiil di\
pagviA cliilTrèi's, suivies de l'indrx pour (oui
II' ^olumt>. Coite fiartie .se vfiidoil auxai t>t-|ia-
rcnit'tit i>l nu prix de !j ».
Jr ne MHi |i>ai it-i annuiiri' If prinripal
iVni fil* [,. Vidln coiilri' \n cinq DialiilH-^.
tut altuipifH du l'<ig;;f, inliluli' .inlidolum,
l't ipij_ iiidiitiiiiihleiniiil fait |uirtit* du v(^
tuni(>.
(3. Piiu.it'1-i Mt'Ianrhihonirï biliiui
(ininitiiulira & SynUixi:^; lEi'iu de Pnrio-
liis^L tpiantilati.* Syllabaruin. — Lutttiw
ex ofru'ina Hoberti Siephttui- m. u. xli.
VII. t'-il. Nov. ln-8.
7. DicTio^Aniii'H proprioruni noini-
tiiini viniruni, ntiilii-iiau, populontiii .
idnlunai], urtMiun , lluvioriiiii, inunliiim.
(•tTlcroniiiiipielot (jriini ipi.'fiKissim in li-
bfis prolaiiis lopitiUir. — Liitrtùp apud
lUttuTtum SU'fihajitim . M. u. xli. m.
r.a!. Snn. In-H. M <.
H. l^oHMENTAiin s Piioi>>ritiu de ijijuti-
(liano sermone ipii prius liber de corriipti
sermonisoineiultilitme dicebatur, Malii-
rinn Cordmo aulhon*. Ciirinon Panent^
Moimi, ut adi^hristiiin pueiisUitîiuikre-
danL Indices (Inn . (ialliciH et l^iUnu;''.
-- l.utftiip, apiid fiobertinn Stephanum.
M. a MI Vriil r.al l>tf ln-8.
m
KUBERTUS STEFHANLS PRIMUS. 1540-41
Ou sait (|uc It- texte accompagne les Coot-
meotiirrs qui iv ilitùeiit par courts para-
graphes.
7. M. TiXLii Ciccronis EpistolaD fa-
miliaros, cum Pelri Victorii suarum in
oaadom ca'^tipttionum explicationibus.
Pauli Manutii Scholiu. — Lutetiœ ex of-
iïcmdi Roberti Stephani. m. d. xl. In-S.
Ce ^olu^le de CJctTou est euoHV ni ca-
ractères romaius; ce u'est qu'en 1544-45
qu'ont clé conmieucées les impressions eu
Icllres italiques faites à rimitatioa de celles
d'Aide.
A la un des Epilres est la date de 1540, Ifon.
y^/>r,, apr<*s les Sebolies de P. Mauucc, Cal.
Apr., et 1541 sur le titre.
8. Sententi.c 8ino;ulis versibus coq-
UïnUB juxUi ordinom titerarum ex divcr-
m puelitt (Knrcirt) Adjccta est ad tînem
latinu intt*r}>rt>tatio. — LuMiœ ex offi-
fîina Rûberti Stephani. h. d. xl. m.
Non. S(«(>t. ln-8. 8 d.
9. SKNTKNTi.e& Pi^verbia ex poetis
latiniM. — Parisiis ex officina Roberti
Stephani. m. u. xl. In-8..
40. P. ViRr.iLii&taronisOpera. — Lu-
Uliat f\ oflif'ina Roberti Stephani, typo-
tçniplii }U%\'\. M. D. XL. XI. Cal. Junii.
Ui-ê. 5 k.
Avte \t» Carmina Minora, et le I3« livre,
eommti dan» 1rs în^S précédents.
14. Halmomi Macrini Juliodunensis
rutHCularii regii llymnorum selcclorum
libri tn^H. — Parinix apud Robertum SCe-
phanum ^ llebraicamm & J^tinamm li-
U*rarum lypopraphum regium. u. d. xl.
XVI. C^l. Jul. In4}.
42. Dk Rebi» Turcanim ad Franci»-
cumGatlorum Regem, Cliristianitwiimjm
libri V. Chrtslophoro RichcrioThorigneo
Senone, cubicularioRegio, & csncella-
rio Franciae a secreti» auctore. De orif^ine
Turcarum & Ottomanni imperii. De mo-
ribus & instiUitis illiu:» gentis. De Tarn-
merlanis Partbi rébus gestis. De expug-
Data à Maoroetbe Constantinopoll. De
Castellinovi Dalniati;» oppidi ret'ODti di-
replione. — Parisiis ex (^oioa Roberti
Stephani, llebraicarum & Latinarum li-
terarum Regii typographi. h. d. xxxx.
III. Non. Mart. In-i.
A la Bibl. du Roi, en grand papier, rviiiirc
en vieux veau, avec la salamandre de Fran-
çobl"".
13. De.s Cot;sTrsiES et manières de vi-
vre des TuiTs, faict premièrement en la-
tin par Christophe Richcr, & depuis par
ioeluy Richer traduict en langue Fran-
<;oise. — Paris, de Tlmpriraerie de Robert
Estienne, Imprimeur du Roy en hebrieu
et latin, h. d. xxxx, au mois de Janvier.
In-4. 2 s.
C*est le second des cinq Uvtcs du précédcul
volume latin. '
M. n. Xil.
1 . Libri Morsis quinque : latine, cum
annotationibus & observationibus He-
braicis haudquaquam pœnitendis , quae
proiixi Commentarii vice esse possunl.
— Lutetiœ ex offîrina Roberti Stephani.
XII. C^lend. Mart. h. d. xli. In-i.
Ces notes ont Hc recueillies aux levons des
professoirs du collège royal, ainsi que le fait
coniioitre Robert dans sa préface.
Comliturramus, Christiani Lectores^ în
tertia Bihlionim editione aunotationes , ut
antehoe semel à nobis factum fuerat, in in-
teriori mai^ne imprimere : idque svpius
quam commode fieri poss^, teutalum est.
Ventm frustra , tam magnum enim incre-
meiilum posteriores annotatioucs acceperunt,
ut soir.jam seomum volumcn etiam maxi-
mum sihi postulent : tantum abest ut mar-
ginilnis quamvis amplissimis rapî possint :
lUm autem arcessioncm noiim mihi accep-
lara frrri : . , . Hoc sane tantum pnestitimus
ut nonnulla ex iis qiue professorum Regiorum
auditores exreperaut, ad vos Topogra-
phies nostnr artis beneficio fidelîssime per-
mamumt. Adjecta etiam fucrunt à nobis
bis annotatimibus, que in vetustiiùnis &
rastigatissimis Latinis exemplaribus manu-
1M«. IMiUEim S STEPHANUS PRLMUS
&1
(^htuifrià. h' cn«* t|ii'il u'y a point là
i-diliuii», i|iii* loiis les tA<tii|tluiri-s tir
l3onl atih«i lu Jaie J€ 1342, il i|ul< dfMlnn
litpttmhris it Ottohrii, uu »pul rai
3- De Phella , quic sine cibo & polu
'Vil»n) Iransiiïil hrc\ 1?* namitio , Ii-sto &
HUL-lnif r.frdnio Bunildiiino pli\>u'» ic-
•ïio. — Varisiis v\ oriti-inti Hotterti Sh^-
/ihani l)jH»;îni|)tiiKp>;ii. ». u. XLll. \iili-
Cal. Muii. I11-8. 8 ft'uillots. î il.
Maillain* noiuinc |)our uulriir Jliittdlti»
IIUiiH'l); il rit posAÏlilt' qui? In mt.i<iioii M>ii
ilf* iltiiii-l (]'ii{irfs(li'<^ iiuUvt. oti qiK'lr|tit.' :iiilrt-
rt-rit itit rnt'-^loriii ()iii iillf»lr le £aj|.
La |irêrjrt? u rê^i'nm' dt* Lii^si', Aoiio
Ulariii, \T>\t, l■^l ilu mrtiii' im-diTin (|in trfA
Icituirc dérLiiK uuli-ut a Li )ia{;i^ Miitaiitc; cl
lie \uis rini qui fout' mviilioii iJc Itriiflou
ludltu.
4. En\ïiMt Paiiiplinisi^st'u polius Kpi-
tlumcjn Elrï^'anliasUnir Valla*, j'ti'nrii.
fCnjti Farr,i};o. — PurisiiH v\ oWiann
\Biittrrti Strphatti . u. D. XLll. ia-ii.
5. JoiuNNis l)(wpanii>rii Mni\it<t?Syiii-
i\iît : ctiin Indicr '\oi'ulunini qitaruin
lutfunstnictio, aul ïii<;nili(-i]lioinsi<fTii(n
'l. Trrlio pdiUi. — Lutclin- ex nffifinn
of^erU Sfcphani. M. i>. xlh. riik'iiiiiîi
[k-loh. In-I,
6. DlcTioNAUioLt'H piirroniin. in lu^-
iiiiiJa' tânliini , punnpu' stiiit itictiotits,
tiillo UMpionili ^t>iiero ndJi^Lo : ut iiido
Ûh\ à loiHTÎs ('\cinpla suinaiil ud JinII-
imluin pitrri.siinuli|iie pnipriani vimuiii
ilfiaitiitiifni |Mululimrlis(-Aiit. — Pa-
flpiHt HtihiTtuin St^'ithauitm. n. u.
,n- \y. Jdii. lii-i.
7. M. T KicKHUMS Topini cum A.
M. B<H'thii r<»iuiii(>i)Uirm. — Purisiis v\
ifficina Hoiterii SIephani. m. b. xui.
■8. 3 ri.
8. M. T. Ch:khoms Tiisculjinuriim
fu^slioniim :id M. UruUiiii lihri v. —
tetia iipud Hi't/rrtum Stephanum.
D. \Lii. wit. Tal. DiviMiilv \n-H,
». 6tl.
Cmal. Mar^Iartliy. 11, Wil, un ekan|il«irc
Hiir |ui)iiLr \iuU>t a%iT du lUots de docrso
roidciir» :iuttnir des pwges.
9. M. r.t.itii Qiiiiililûnii onUoris elo-
«pKMitiKïimi , Inslitiitiuniim onikiriaruiii
lihri xii. — htrinifi i>\ olticina IhtltcHi
Sti'pluitii \)\nt^Vii\tUï Reini. m. i>. xlii.
nu, Nun. Murl. Et a la fin Eviidcbat
tUilH'rfti» Stephmtm \MtriiU:\ruui \ 1^-
tinaniin Lit4>raruin typu,:i-iiptiiiï> Hc<:iuâ.
ln-4. H s.
Fililion rïlinuililr. imU qtù n'nt pHn>
qtK' la ri'imprf^Mcm dt' relit' de Siiiuiti ijf (^
liitV5, 1S41. li)-4.
1(1. PetiiiMusellam Tabula.' de si'lie-
matihus ot trupis, in IMiilipiii Mi'tanrh-
tlioniri Klirtoricam . \ liniMiii liholluin
tic (Jtqdici cupiii. — Ptinms v\ oflii-ina
/toltfrfi Slepham. %. u. xuii. Idib. Ft-
bniar. In-H.
ï 1 . I*. TKRE>iTii Comœ'lia' spx , liiin
ex Donati r<nnmrnlarij-i. tuni f.\ opli-
moriiin, prJi'siTtini volcrum, cxciiipla-
riuru niilatioin». diligonlios ipiam uii-
qirani anlft liar, iMn(»ndaln'. -Klij i>imnti
aiitiquissiini & ivU-bcmini ;;i-attmudiL'i .
aliorunupie vHpnmi In L'a<>dc*ni, quîciiui-
rpii'{*\Uiiit(*oaiiiienUirii,i'\ voton ctidin?
niHiiii dcsi'riplo, liruN-îsciiaiii rc|>u^iti:^.
ULVUratc r<i&li<^li. Calplimiiii lit terliaiii
roinoHlIani lUx'tw.'^inia inlcipiTlatiu. &c.
— Pani'iifi o\ oflicina flo/ipf// Sh'iihtiiu.
M. U. XLi. A ta lin n. b. xur un. liJ.
Juij. ln-4.
Ki)lH<rt auurr daii» sa prûCftct: au lurlvur
qu'it ii';i lien néf;li^r jKMir corriger rt roctilier
If.* (Aiiiinictilain^ de Doiuil.
Il y .1 dos cM'niplain» «i grand papkr,
doat uu fui vmdu 9 Uv. lilrH. à U >cnlc dp
Folki^. Uiiid. IT.Vt.
A In KiMinlIinpir Ku\a]o i-:;tt un r\fni-
plain* iliiiil i\ tli- 1.1 date estfO'SlIt*. ^ur le
titre iri à lu liit, cir qui, à Li prriuîrre tul-,
furoit rroin- .^ uur ixlitioii de lyA-Ùi.
1i.(it'ti.iRi.Hi Bi^D.ei l*ari(iionâititCon-
^liiiri] Rr^ij. isiipplîcuiiupiL' libellorum in
Ri'j;ia iiuii:i-^tn. di* As^n «v |mrtibiis l'jUA
%i
ROBKRTUS STEPHANUS PRIMUS. l54l-«.
Maittairc, page 70, dit <|U a b fin de 15»
Mat. Cordier autorisa Robert à réimprimer
pour la quatrième fois ce traité, Quarto tden-
dum ptrmitU Str-ft/tanot c'est-à-dire eu y sup-
primant des mots dout il valnit mieux ue pas
donner counoissauee aux enfants , et chan-
geant aûisi le titre : Cowmentarius puerorum j
fie quotidiano sermoiiff iic. Ceei est vrai,
mais pour cette édition de 1541 , dont l'ejùs-
teiice est certaine, et Ineu sous le nouveau
titre Commffilariujt iic. Quant à l'édition
que Maittairc met à la date de 155(^, si
réellemcut elle existe, il seroit assez singulier
qu'elle eût la mt-me date de mois, Pnd. Cal.
hecembr. qui tst à celle de 1541. Je crois
qu'il y a là tmit simplement erreur de date
dans Maittaire, uu 5 au lieu d'un 4. I.'ne
édition qui seroit de IKii ne pourroit d'ail-
leurs ètn- réputée la quatrième^ le livre ayant
déjà été imprimé sept fois par Rol>ert, eu
1530-31-3^^4, fu 36 deiK fou, et en 1541 '.
9. De figuris sontcntiarum ac \qv-
borum, P. Rutilii Lupi rliotoris anliquis-
' imi iibri duo , ita iiuno reslltuti . tit &
legi & inloIli;;i magno studiosomm com-
modopossint. Aquilœ Romani libor unuït.
Julii Rufiniani do iisquie ab Aquila pr;p-
termissa erant, libcllus, & prîeterea ojus-
dem Iibri duo. — Parisiis ex oflicina
Roberti Stéphane ty|M»}n"aplii Regii. m. d.
xi.i. XVI. Cjd. Oclôbr. ln-8. 10 d.
10. DicTiONAAiiii }>ooticiin), quod
vulgô inscribitur Elucidariuscarminum.
multo qiiàm antoa emeodatius. — Pari-
siis ex ofHcina Roherti Stephaui. m. d.
xu. Prid. !d. Januar. In-8.
11. P. Ovïnii lloroidum Epislda.'. —
lAiMict apiid Robertum Siephanum.
M. u. XLi. I11-8. t s. i d.
1 2. AtLi PERrtii Sal\Taî sex. — Pari-
*iis ex oflirina Roberti Stephani. u. n.
XLi. Idib. April. ln-8.
13. TERENTirs. — Parimsex offirina
Roberti Stephani. m. d. Xh.A lafin Idib.
ianuar. si. d. xu. In-2i.
Kn 1841. m ezcmphîrr ie v^tlt èdîlian dr
IfttI ctuit à rrsdrr chn an libraire de Pari>.
U. (Caroli Stephani.) De vasrtilis, de
re vcstiaria ex BayRo cxceq)ta : addita
vtilgariâ lÎDguœ interpretalioDe , in ado-
Icscenlutorum gratiam atqtie uUlitatem.
— Luteliœ apud Robertum Stephanum.
M. U. XLi. Idîbus Aprilibus. la-8. 40 d.
Sur le Catalofïue de Robert de 1546, je
%ois cr livre noté Seciutda edil'to; U dair
du Catal<^e prouve que c'est liien rédittoo
de 1541 qu'il désigne, et cependant les deux
précédentes de 1535 et 1536, qui Mot entre
mes mains portent la mention, Secumda eAi-
iio, qui n'est pas sur le titre de 1541.
45. PuMi'S de Viris illuàtribus &
Suetonius de claris Grammaticiâ ac Rbe-
toribuâ. Julius Obsc<iuens de prodigiis.
— Parisiis ex ofBcina Roberti Stephani.
M. D. XLi. V. Id. Junii I11-8. 4 s.
M. D. XIJI.
4. SuHHA totius sacrae Scriptunc.
Decom Dei \ erba , sive praKepla. — Pa-
risiis ex of^Kiivi Roberti Stephani iv[io~
graphi Be<;ii. m. d. xlii. In-8. 8 feuillets.
3d.
— Eadem, latine et gallice. — Ibid.
M. D. xLii. In-8. 6 d.
Ces deux pièces . imprimé«-s d'abord en
1540, 41 et H, ont dà l'être pins d'une foû
encore, soit m placards tii-rol. pour tire af-
fichérs dans les écoles, soit eu |>cu de feuillets
in-9. tant en latin setdement, qu'en françoîs
et latin . (>n a v u qu'elles déplurent beaucoup
aux prêtres de Sorlninne qui n'en dis!Ûnttlè-
rent |tas leur méconteutemenl.
î. Gl'ilielmi Bi'D.ci Consiliarii Regii
libctloruinque Magislri in Prsetorioanno-
laliones in Pandïvtas, &o. — Parisiis
ex ofKrina Roberti Stephani, u. d. xlii.
Et à la fin Anno v. d. xuii. Calenditt
Octobris. In-fol.
A l'année 1543, dans ses Annales. Mait-
taire. lîl, 346, place une éditûm Catemdit
.Cr/»/e«A/7/, après avoir averti, p. 335. que
l'cditMO de 154S portoit à la fin 154S. cWen-
)|Hf \os ri'iartiv, v\ prul-ètre oiBsik-sdùpcn^e*
t|u'iM-i-uM(Hi()it IL- trn^.'iîi. ruuroiil dvlrniiinr
â iilk-r l'ii avant kur U% tPAles, kuu plus )
roetire d'annoialioiu.
■V'mïahlpinfiit IiHIp, «*iip Rihir r*l rrpon-
liaiil forl |M'ii iwluTi'liH-, |Kin!t' qu'on lui n--
|Morhf ilVire hifii moins roirecte i\w ccWv
qui, prii ap^TA, fut imprimif |wir If iiiéim'
JliiIxTl tui in-ll», (i d'une eiinilinn timi
ffiOÎUA JUliiifim!*'. li faul «lin- nii\<,i i|rii- Ir
grand nombre *li* Iwiincs rililimi* plus i-é-
cwitrs dcA textes lirlinnu l'eutl ]Kii uéci-i-
saim utif éJiliou jucii'iiiie, fort rare, et cl un
Usii^e nidiu*. fnciîo.
Ce fut à rucciuiou ilr rvs i[npm&Hiu.s Iti>-
broiriufs, »]iii, n cr que l'ciii xoit . cnioinmi-
mciil m i5S9, (piVu ri-lti- .iinicr-Ià. le
24 juin, K'iIhtI fnl imiamé par Frainioïs I'*^
RegSus in Uehraicii rt Infinis hteri s Tyfto-
M. t>. XUII.
<. EvAM.ei.ii'M seotmdiini M»ltIi;iMini
— Marniin — LtiLiini — Jnhîinnem. ArUi
Apoi^tulonim. Brt'veâ variarnni Inilulio-
mini AnnoUitiones. udji'ctii volrniiu I;ili-
nortini pxemplarium nMiniisoripIoruni di-
vcrsa leoliont^. — Parisiis ox otKi'Jna
Boberti Stfphani tijpoffraphi ret}ii. h. d.
xuii. XII. Cal. Sept, ln-16.
Ri'iniprc»imi ir>*t6 de l'c-dition În-S Ji*
llMl, a*wt ipifhpicA (■haii;;fmetiK iluns dw
'noies qui a^nii'iil dêplli i\ la Sort ni m ir, et
l'additiun d*' )>raiiciiiip de iiolts iioux'llrs.
2. Lihri dp Hr riL^lica , .M. Ctilouis
llibei- I-. M. Tererilij Viirronis lihri iri.
Ppr Potrum ViLioriiim, ad vcU'riim
Kieinplaiiiim lidnm, sute inluiîriUdi ri's-
liluli. (XV!. Oïl. Au;;, i — !.. Juiiii Mo-
derdliCoIuinelIif de Ho rustira Liljri mi.
Eja^cJem ^\(* Xviwvihu^ \iï*cr sepaiatus ah
aliis. (Il l>l. Scpl.l — Pfi"*"*'' lïidilii
Tauri .li;miliani, viri illuslrîs. dv Wv ruru-
lica libn xiin. Pelri Vidorii Expliailio-
n(<suaniiiî in Ciitnnem, Varnjnent. Cti-
liuTKiliam rasli^lionum- Enarrcitiuneâ
pri-scaruni vocum p('rOflor[»i(ini Alexati-
driiviim. Plrdi|i|ii Itrroiddi in libros xiii
(j)luniplla? AimotaHone». Aldus di'dic-
rtJin pMicnhifci, i^iiniilqiio df> iiiiihris cl
lioriït t\[ikV apnd Palladium. — LitMiœ ,
iqmd HifUrtiim Sti^phauiim. m. i». xtni.
Iii-s. Ha.
Ce Iit-au nf ueil sv ronipiisf ilr pIiLiinirit
parlÎH rhiffrofs !u'*piii-iii)nil . cliufittte ovaiil
un lilrr fxprr*. KIIm ne soni pas ItMijiiiirs
rflioe« dam l'ordre iodiqtii'i &iir îo litre priu-
ripul.
3. Mui Donali Commentarii Gram-
Mialirt Ires; Ars prima; Ah swimda dp
Barhan*;nuj. Solœcisnio, Mt'lji|iUisiiio,
TiDpis: Coimncnlarii Sorp;ii in nltaiiiquf
Dimaf i ariPdi, l'I Si-rvii Huiionili in s*>ciin-
dam. — Parisiiit v\ oflii-ina HuUrli Ste-
phani. m. u. xliii. xi. (,iil. Nov. In-H.
4. JooMs lKv|iaiiirrii Graiiimalinp
pars prima. — Ibid. m. d. xmii. Nonis
Oclob. ïu-i.
r». Pini iiM>i Molanclilhoiiih Gniinriia-
lica jani «icnua rcoi^îniUi pl('ri>qiio in In-
cis ItxNqdrtata K n Miryllo ciiicndala.
— Parixii.<, Itohcrtus .S>/>/i(jims. ji. u.
XMlt. i\. Cid. Dec. In-8.
ti. DeocIo partiuinoraliouis cunstnio
tiuni' Libelliift, cnni cnmntcntarii^i Juiiii
Rîibirii. — Ln/f/MP »ptid Huherlum St^
phatiutn. M. n. xtiii. ln-8. i s.
7. nn;TioN\nii;.ii. scu Uitinaj lint^uas
Tlipsaiinis, non sini^idas modn dJrttonos
conlim'nif, i^il imU-ixrjïi qu(»[ur Lutinn
^ h>qtu'ndi, .S: scribondi r(irn>iilasi»x o|>-
(iniis qiiilm>>qiir uut-Loribii?, ca quidoni
mine uaossiune, iil nihil propeniodnm
ol)sor\aliidi|;num siitapndltratorori, ili:;-
loricos, Pootas , wiinis denitjiio ireneris
wriptorps, quod hic non promptuni para-
tumqiio hahfat. Edilio «îrunda. — Luh-
tiœ, apud H*thertiim Stephanutn. m n.
XLiit. XII. Cal. Jnnii. 3 vol. in-ifol. 10 fr.
Liii'squi* If ipiiiuiénie sii'cic fiui*tMHl , le&
ritnitnis^niirri. lîtliTaiicrk el M-ieuUfiques
élmi'iil t'ueoic d'wW'it diflirile. ri II- parla^R
miBKRTl'S .srrEIMIAM'S IMUMtS. liU.
d'un |H-til iiitiiil^n' iriiiilii'-s ; inius U' Imnimi)
iriiislnirh(tii fini iii ici i^iil a v fjiirf plu» p'*-
lu'-ralt-ini-iil M'iilir : on avitil <unf ili* Initiiu*»
ItH-inrrA. D'almttj cm Ifalii*. un |h-ii (iliifi
tant vu Kraii(^> , l'i uiimï daiLs irnuin*^ [mi--
lie* (le riCiirojif, il»* Imuis «tiMil>, parmi
IcMiucU ou (loil tlidtii^uiT U*s famillr^ ilc,<>>
Miinucp »'l des Hftlif.'utie , siTondôri'iiI nxw
bimlutir Cl* imHi\mHtit iiiIclUfliifl. 1^ lic-
in* ItiÉiiUMliM' i|iii \iiil IniiLiiiriilrr U*!» iT"-
liiriti:ili-iirs r(-li;;intiiiuii-cA li-riiiriiliiit :iii)»si
ilaiM il'âiilrrs ii-ti-.'i, non n)oiiL>»anlriiU-s, mai>
lPO(> MMiinilrihes ou irnji nnintôc^ pmir
if'ntliiqtK'r n\i\ clio-ic^ ik- r)'li:;ioii. Lcis M*îca-
rrs (jnr {'^(îIîm* iidiniiK* jintlaiifs i;apHrrrD(
.1 n-ltt- iiit(iiiKinii ; iduîs si \k iinnilin* <li*s
.'iKfiiniiiU II Iji srifiMV. . Hoil ihéolugiqHr . siiîl
|tliis iiiimdjiiiir , rinil M-iiMMi-itifiii aiif*-
mi'iili'. ou ii'tn i-loit c|IH' l'iii-. lu ilist^tli; tir
boniit^ inriliodi*» flt'iiiealaire», Jr cv* iiio-
ilt-^lcs ^lIi(U'.f. (|ui , hicii laîls, otiM'iiil \a
roiitr «lu -i-iMMi . H l'ili'iit au\ i-<ii(l4'<t Inii-»
pmiiim-s t'I ^^\^^s relitilaiilo Uifiii'illU's. IV
là iHH- iiiiTltiliiili' «Ir UMtiM-âi)\ tmiit-fi tU'
f;raini)iaiif *'t «raiiln-* M-iniif^, fmi iiii|uir-
ffiits ninirr , liiaîi pliH Iii4'llirii|ii|iii>s , i-t
Mirlitiil ilr liifii inoius ili^niratix ii>&^i' i|;iii-
It-A IminiH ri oli&riiiA Imilt's (|ti'iU u>0i|)b-
rnifiil , fi iiiriLs fin'iit |ii'fiiiiplru]fii( nlinii-
tiimmt. Aim-s IfS lîxn-s ilf gmmiuaiir. lU--
voinit naliirt'IK'niriil truir Uf> lt'\i(|iM-x, iiuti
moiii* iiiVi'sMiirr*, nmis iloul la tTc^lioii mi
le iifrftrtifiiiiKiiM-iil i-im\ iiih* innrr plus
1^llI^^l(• t't plus nriluf. T.'eAl à i-c tniMii) si
NiiTilnin- ipit* Riilici'l, (iharlcii, cl upn*s t-ii\
ili'iiri l'Alifiuii-, ilêmtif'i'inii luif graiidr |uir-
lii' ilf leur \ir wivjiih-._ t>A ]M''uil)U'!. ri m
util*'* lravaii\. qui Irur oui nrigiiis d'iniiM''-
risâaMcs (JnùU n ruiln-' rfi'<iTiiimi.vs.-iiir.-r. (roii-
irmil rcptiHlniiI lll■^ (tfs.-i|ii^>nili.'ilnirs rlicx
pliiK il nu rnutil , ilnu] t'i'snril \Jiiitcii\ l'I
n>lMiiir> M- iiitiiTiiui^iiil ilf Cl" ijur ct-s \i:i>iioris
tfaitricli-s Irxtt^ , itri (jiiiiiiii-nlairrs cx-
pHcatids , tvi («ramniBirM umnrll», i*l sur-
loiit v^i aniplt>9 U'xiqurs. axitismiriit l.i
sriPiMc vn Ifl n'iidiiiil Irop tirr<««»ibl*' h la
niiiltiiiid*'.
tUi 16:ti, lit pn-iliir-n- i-ililiiiii ik* rr l>H-|ioii-
nain* \m\ miilrr un nuuxt-ati t(*niiH^iiu;;<- iU>
ri-li-iidiu* ilf» itHMKiLWiiKi^ l't tif \'infali^n-
MiU de KuIhtI. Cl' \\\n\ proniph'nicNi tlf-
vniu tim-aftailT. n-iinpriuu' «ii 1536 ri plu-
sÎMir^ fois ik-piii5. lui. à rliatpir èdiliriii nitii-
\r\U\ .-uiH-linn'' par de judirietiM-» rofTcriioii^
fl iW\ .-MidJiiouN iiiipoi'Iauli-v. Ikuis <t>lli--ri ,
lH-ai;r(Mip pliisr\i»i)' ([Uf K"» dt'ii\ pm^'-den-
Icj, n .luiiiiiil i»lu« rit'lir, uftu-M'idfUH'uI t*ii
mitls, ni:iU auMÎ ru dtalium des aulririlrs la-
liuiv*^ l'aulinir i^i arn%»* à fain* dp m)« «h-
\Tn{ir un (Artllt'iit Ij'.xiipir, v\ li jiLAtilicr m>u
Ittrr un ptii ^imbiliciiv. tu l)«'iirt-u\ dt'liîl
^ lui luiii» duulc riTonipciLsrr df m iililtr» et de
SX i-(ii)M-ir'iirH-u\ lalM'ur>. liir Ir Ififs/tuntt
Lntinrr i/ii';iur ne m* miiI pbK <tur Ir l^lo-
lf)f;iu- ili'-s lnn*Â lie KuIh-iI. tUiIr ili- 155^.0
Mt<-i-ti> w SL* littrim pii< .1 lit Fraucf : 1er livre,
(oui vuiuiiiiiutiv ipiM (iuil. (ul rrinipruiir
pluMi'Urs toi-s ;iiiH]rhcir-v ; H pi'udiuil dt'U\
Mi.*''li-^ il a i'U- II' nu'ilb'ur du'liuniiaiiv ilr la
lau{;uc laliiM*. Si dt* uu> jnurs li'^ Ira^auvilr
J. M. Irirvtiicr, l'I fviix ilr^ liaUili*^ l'I piTMV
\ii'aiiN lr\)i'<K;r.iplit-s ilt> i'aditiii', uni di'i raîre
aliaudiiniifi' l'iiiaf;*- du lÏMt- di KoIktI Va-
Uruiu', ou ov doit pju tiultluT que , saiu ce
* CVtl crilv ridictvilpcilaltc-a* exact n, lilrn
cluiU)i.-«,qai l'ail t\» i)irlinnn>iim«n^'li>ifcilf JoIid-
ftiiii, Kurloiil (Intii «on èdthun ilrnûirr dr 1897,
3 raj. in-l. te- mrillr'ui- et Ir jilii» vfrilalitrinml
titiiff de tous h» I:tfxî(|nr* Uf> ikm Ijuifiura iKudrr^
tir^. On Nuroit été liciirrus ilo voir le* ((r«nfU
errivnîn» fraoçoift ilevriiif auMi Ir» aatorit*!* «lu
nunvm" Dirltanoairtr Oc 1' Xcail^tnir- 1) rn m élf
ttiiil ,iutr«>iii(rnl, ût jVn dirai |K'Ul-i!-ln- iii nno
•1c:]>iiut:i|i4ilr»ciii«<'t 11) « iIc|À liiiii •)'** année*.
I'ir»<)iir r.Vtaiiciiiif r^iolnld»' rr|iri-ntlri*»sricu»r-
iirnt Ir lr««kili)u l>>ctiuunni(«-ito|Mii*loiif;-lei]ip«
|'rrM|Uc^ «l>«n<]<iDDè , i'ai ^nlenda «aBUivr i|iii>
•l'^bonl rl|«* or )irii|in*a dVii r«irat>incf U r^dac-
liuu d« iiHni^rr à (aitr inir>nx. onmrr, Vil élvil
|toi>«ililt', ({uv lo Uicliiinii^irt * .\v John*i>n rt ilv
1^ t'rit»'-!», ttist« <)Mr pitivtrnrt ilr«r^ltfhril^« qui
ti-niiipnl Mlurs k «criiUi? de la JiUcralnre (Vin-
i.iiii>i' itr «li^aitniilf'rriil ))«« Irtir rifKM.tiicr d« vuir
Inir» Kiivr^jt*'* l'invrnt pr^JÀré* pour In» cita ti tin*
à ÎDlti'diiirc, t\ '(lie r.trAd^mîr. ati lien rfp lalr*
jittlire ilr tout rcijiii n'anmit rl^ (|ue pr^lrnlion
Tiinitrti«v< tiixrvD iticn [ilu< cininuxlc d'oquiTcr
]n dillN.ul(^, rt kti«tt d'abréger de hnocoup «un
(MivrA^: rllc pTÎI Ir piirli dVsi-liirr lout« ««ptSPC
iV rilaiinn). Uii »rii( ijur rr n'^lnirnl pnint dr
|rU iuuI)Ia(]ii'' |>uuv(>il dllépucrlt-tpiiiluelvi-sdè-
iTiiTieM niitdir dr U inni*r||r prcCic<>. P<r d« twi»
iiifr^nieiiK r<ikinnrinrnlA th-Kcrcltci pmnr(tr<|ii«
Ir l>ieltiinn«ir<* en thuI liirn mieux de rr t|tiei le*
dirrr»e» .utrtilion» df» mnl» a'y «ont p-iiut ib-
ptiv'ei par 'li'» ciUlioii» Je nos ^raiidxx-nrumi.
Il rtï pfrmi* iIr*j»''n*T «|iic loin le» li-dnir» oe
pdrUftc'D'il poinl (.(■IIf (ipiniiKt, el iioe plniirura
mf'me Mernnt aiicA mnliolrnlionn^A piiiir crtiire
()itt* Ir mi'til délrrituDiinl m \iifn pn itirt* l'dppré-
tienaion dea ]i>a(;urnrs el diffiiiilt^i d'nn ti'l tra-
lai)
IM. nOBHRTl'S STFTHANIS IMUMUS
ni
nw'T IrJi^iiil, Ml In nmipilahoii ilo I ;4-K.tntT.
irmlminitdf I^'XMim* lU* Ktirrcllim, ii'cium'uI
hrul-iHrr jitiii^i*) r\i5ili'.
I >u n'a )ilu> in Ira iiitrr|)rL>tati(ia% frnn^oÙM
qur riiiiti-iir n\1^4lit ii)lr(iittiiti*)i r)ti'À rcf^irt
lïaiu M'> iltMix prtrWhjilc» iiiiprt-AsiouK. rt qui
U: U nuvi.-iil liit'U |>liii ;iiitpl<'^ ilat\% »nu Diclii>-
Harium l.atitw-GttUicnin.
Qiioi(|(iv wXXv t-dilioii t\v \^'A ail ^ti* pn*-
par (k'uv aiiliii>, raiitriir I» riniiiitic
'iiitiit Srcumftt . snus iloiitr pour Tain- t-ii-
Irc (|Ui' b pivDiiêri' u'i'loll m m*» yniv
une rlMtuctit- , ri Ji'xoil ilt'-^^irmaU Olrc
HofxTt fiii iiiiliniriit aidé pnr un Mitant
u coiuiu , fiiai!! Iiili4innj\ ri ItiiKili* , Jpot)
W'iTV, (If ltcnii\:ti4. Ikini In prt'Uiit* il lui
Tail hoiitu-iir ili' <ta nMi|XTJilîoii, .\aiis laipirlle,
dit- il , il uiiroil Miniiiiilii'' sitiis II' \m\. « Vir
in mitiiui-N i|iiilitiMpit' anlhiMilMl» \al(lr fxrr-
rilaliLs, artiipiv jndicii* piTintiliis. ipit iiulr ali
iiiitiu in<tlitt)li laUiriA ila ci itprram dritii. lit
iHunu l|tM' n'Irçni't , caipH* liiiHpiîini luprr-
niiiA ailifcv inclioala <-( ndliur rtidia (KTpo-
lircl. "
n^iraptimaiil v<n li\r<- aii<lrlion , au
IfW f]|lluil-il If tVJUMfllT «'I IH" p«,s 11* yâiiT
r «11* xiiieiiîwr* !tun-)r»^)>t■^. n<il>rr( î't.iiil ;i
VttiÎM'. ii'i-\ l&iK. fl ;ippi(-i)»lil (pM- M.'iriuiï
Aixiiliiis rntrrpiTUoit iiiir iififi^fJli' t-ilition de
I* 1 r\uptc, alb daiLs riinpcitiH'iit' <mi rllr m:
flÛMiil, cl prcliûlll au h;i»arJ uiir il*.';. ffiiiIlcÂ
tlèjù iinprim<>3i, il fiii le ij(*plni<>ir lU- uiir
que l'on *Viml pomii» d'iiitriMlnin- <U> Iimii-
(i(Hi.<i i>ar lui siipprinicrs uti iuiiÏm-s â dc-t^cîti
niniiiir niaiivaiM-s. Ifr-iiri, «irii fils, rariiiilt'
ainu rc fait «iaiis Lfiht. lU .une /'i ftogmpliKr
ttautf p. lû-16. " MclimciiU' iir miim-d isli...
\ ucc». . . ronmi«'iitilia<> . aiil tpioldH'l modo
tufiid<xt.-t> <pta» ego nIcR;iM--- lampi.im (kt
incertain à mr prnlrnni*-*.!*, in nM-iini
TtH^aunim inlnidnut. I^iu»! ipiiiin arridri ,
ideai pninii» iniln iputd piri iiitti, hohviio
Sit-phaïKi, iti evi , iditii iih'is ((wk! i-jiu lalto-
nbti», iiMi\riiii-l. Quiini «iiim illc Vcncliu
agnu quaiwlaui odirinam 1} i)Op-apltirain iri-
grT»ui> vAM'X . in ipiâ excihiflatiir f ju« l'Iir-
■aunuldliiueliui^a-, Mimpl-^nmatiuorharlà.
OCulosâUliin iu qiioddjiin «oriilinliitii nmji*-
ril. i)ii<mI m- ulirn rf>jci-L-«t> , tliini npiis illml
runsinicirt , nronlalwlur. Miraltis ci-i;»» .
UlUfll cxmipliir •tllt'rri ail m* jns^il quinl siin*
luriDorin' itiui <tiiiiiiiin lutiiiilum piiiaiTl. Il'i
n-ile votaSiiliiiii illiiil l'oii iittciiit. M'd mor-
^iii ad^nplura, ni m^Tcretur, Mdcl. Tuuc
ffini cnjnA nmitu •dMTipluin frai, fouteiiirt- :
ri ipio id cuiitiliii frrivicl . iiiliTTO^aiT. Uir
\cni iiiiii ■iliiiil ti'>pi)iiiU'n* tpii'nii m- non \0'
raliidnnt Ikk- .<>(iliiin Mil aliipmt ali;i itidi-iu
adjtt-i<vM>. (JiLi- (piiini paliî nin> (olmdis'U-l .
faipM t-vH- c>tiii|M*nl ipin* itidcnj olini i'i'i4-rt^
ml. (^hw f \ rt- lariln dirlnm-Xiirsii , ni cou-
Uticri- -it' non poinr-rii. tpritt illuiu alioM|ui- ,
lpt1 ad dilntiduiti pm-chiriH lii>rf diviliii» Tlir-
wiiniHi opcrHiii snani ilidcni lix-arnui. a-tim»
ArruUiclu %<trJrt'l. ■■
Il ne paruil puiitl quf rellr rditioii Véni-
lifnttc ail rli< aclir\if> ; au moiiu uc la «oû-jo
tiH'nîi<jiiut*f unlli' part. Ollc di- l.>nu, 1573,
k Mil. in-fol. , vsi U'nuriuipui^ininiliv; mais
lin \ lri)U%f nii ^runil nunibrcdc lri><i pfu na-
ûhriL-anlr» iiiliT|Hilatiiiiis qiif k-s l'dilcUK de
l:i <lfriiiri~f cl nifilli-inT itliltiui df iv \je\\-
qiif. Iia.df, ntO-t3, <t >ol. iii-r<il.. ii'ntil pas
iW' iTJrUT, di! prnr de toir Icin mniprrvjoft
M* diiwmliliT nnnmr itiruinplHr.
8. DicTioNARiiM Liitino ••allicuni. —
Varisiis. Hubtrtus Sitphanu». u.D. XLin.
In-rol.
AiiiM iudiqnc n" 739B du Irr» puKi (Catalo-
gue lie PiufUi.
~9. M. Ti'i.1.11 rjcE»o?(» OiJcni. — Pa-
risiiH e\ oftirinîi Hnttfrti Stephtuu. u. n.
\l.ili — M. l>. \Llv. tf vol. tn-S. 53 8.
(Jiantu dnt \(tluini>A, cl ntriiie rliaquf |tar-
tic df \i4timf, portr sa dalr. dcpiiu uv Cal.
Vl^ir. i^i'S. jtMqu'à !Nou. Jaii. 1544.
Oitf c*linwhlc rdilioii «"îtl la pirrairiT daiM
Uqnclli- IloU-rt l'jtlimuf ail fail iiu^c ilf mui
Ih'I îLiliqui*. rxcculc k rimilatitiu de relui
d'Aide ; Chnravienhui elegantistimii ttati-
cot Miii Manutij characteret prusimè reje-
rrnti/'tu, dit-il d<* cv Ckvron dnii« pliuicuni
df ftfs t^taln^rs. Il V a joint Icx divenes
ïcliolifs lU-s ifliliiiiis tnaiiiiliti)tif9 srir Icvpic-I-
Ifs rcllp-ri t-^l lopic. •<iiu\ ipirlipif-s ni-lilii^-
lions tMi (Ihin^finciilK dauA \r» IvxWs. On iii
ln)iiir dfliM 1rs Catiilo(;uc« dci partii« M-parccs
cl rnniplrir> t*n flK-.y4m^riHrs, qin , si l'on n'y
prfnoit pardi: . jKtnnoii'iit i-lrc routidÏTcr*
comme f-dilioii-i distiiHic^ . ci faire iiud-à-
projH)» croin* » une on plifvic Mr> omission» «ir
Cf^ltsU'.*.
1^ joIh- i-dilion iit-l'> de SiiiHin de (j*lilii->t,
coDipliirt- par lr> Kfiitoiir aU ,itlitiini. I.ihrt
r>8
HUUEHTIJS ST!ïPH.\M:S PUlMi:S JMa 4V
Onttorit il lie ttffnêis Je UuUtI. IMM547.
H qui st* {Mirlagi: à loKiiité m H <hi 10 \<>l.,
se \«i(Joit 45 8.
<0. JiSTisi v\ Trof^i Pompon hisloriis
exlemts libri xwiiii \<M«»riïi i^xwHplîiris
bonvficiu rrptir;;îiti. — Parisiis ex oftifimi
Hoberti Stephaui. m, d. xliii. m. Ctil
Dec. ln-8. 3 s.
fl. C. StEfONU Tr.ir»|uilli xii Cîc-
s«i(s, ox veluslo excmpliiri PincndiiUoros
rnnilis \ocï». — Parisiis f»x ofllîcina Rt*-
herii Shphani iypojrrdphi Hcfïij. u. d.
M.iii. XV. ùil- Doroiiib. ln-8. i s.
O vftUAlum fjeinpiar csl le (xMlr\ Mrm-
tntAiittft.
lî. V.wii TERTii l'onlitùis Miix. ;i(J
Caroliitii V iinpcratoroni Episliihi liorUi-
loriu iul [UKTTii. \\mii^ Caroii, tuiu :kJ
eam, lum iitl Hlias i-jiiwk'in Coni'ilij L'or»-
vocalor'ia:*, Kfi^pon^io. Frinici^'i '-liri-^
Imniss. Kniiimnim lt(*;:ismlv('rsusipsius
i'jiroli l'iiliimniiis Epi^tob aiioln:^clir:i ad
PiUiliKii Ul Pnnr Miix. «ripta. — Lu-
' fff/(P apiiiJ tiaberlum SUpharium. m. m
XLUl. lD-t<. 4 s.
Iji Hiltl. <le lu Krniicr, ti" 3!»,i»65. iim-I l'iiii-
nft 15tî. I-r ^oliinif a inniU'Iri' i-u- imjiriiiu'
cil iSiî cl *;ii IW3. |Hiisniii' du KraiMjttù il y
a aussi driix rdiliotis.
43. TiANSLATioN (!(» l'EpîsIrc du roy
Irèschivslipn François premier de ce
nom. à norilro sainrl Porc Paul Iroi
siesme, jxir laquelle est respnnelti iww
cfllomnios ronlenuw on deux Irllrv::! eii-
voy)î>eî» au dict suinct Père («u ('hurles
rinqioîïnie empereur, l'unedu 2H iioiisl ,
l'autre du 1H uolobre 1512. — Parts,
Rofffrt Eitiennt\ m. i». \uil. In-8. 10 d.
Ce petit volumr rst nurqiirati prit de 38 fr.
dam le Ciil]il{)giic d'un lilimin' de l'am.
U. La même. — Pnria, Hofurt Eg-
ttennc. M. D. XLlii. In-l.
La lettre apolof^kpie rrrilt* au nom âf
Franco» I*''' t-sl du cnrdnial .Teaii du BrIIny.
iJi llild. lU' \a Knuiw, ii" i»,9IV>. drjn ciU',
met I.ri mèmei Lfllrrs. j'jii ]<■ vuliinit^ în-A,
il iw. coiifii'nl (|iii' b Ici in- du roi de FraDCC,
aiiiii riui- riiidi«[iu- miu iuiiiult-.
\V». Caholis Stpphanus de re Vcstia-
lÎH, Viisculari;! cl Navali . ex Biiyfiu.
Ariditji vul^aiis linf^ua- inteiprelalione.
— Parisiis apud liuhcrhim Siciifutnum.
M. t>. \Liii. xiiiLal. (k'Iohr. lii-K. S d.
M. D. XUV.
1. C.\m)Li SU'pliitni lie Inlinis^ ^a_'
ris iioriiiniluj>arl'orum. frtiticiim. lierba-
nim. piscium \ aviimi liber e\ Aristotele,
Thonplinisto. ni<wnridr, «Lliilciio, AElio,
l'juilo , jK:;ini'ta , A{*liiiirio , Nieandm ,
Alliena'o.Oppianti.ïKIiano, Pliiiin, ller-
iiiiflati Biiikno. K- Joiiunr HuctIîiK ciiiii
ijallira eonmi noniinuni iJinicllatinne. —
Li/(j"(ifp t'.\ yfliriim lU'hrrti Stephuni. \
M. iK \T.iv. viii, I<1. Au;j;. 1m-8.
2. ALi'itARETiM Hehrnii'uui in quo >
lilcr.rhcItraie.'iMlesr'riliunlur. pitm-lonmi
\iirali[iin. aci'entuum forma \ dietiomim
Iiebniii'arum, ox Aiiloiiii f.cvallcrii , he-
hraicanun litminnii profeîwori!* . reeo-
j;ntlione. — Ptirisita ex offieina fiohrrti
StfpUani, lypographi Uegii. m. i». xliv.
In-R. 12 feuilleta. Gd.
1. Vom'S eitaminandipeonslnirtioniïî
in oralione reco}înitu^ ^^ luietus: J«mne
Pi'llissoiie Condriensi atitliore. — Ptiri-
xiia v\ ofliiina lioberti Slephatii. m. n.
xi.iv. XV. Od. Mart. In-8.
ï. nu:Ti(»Anmi,i"M prieroriim. In hoc*
nudii' Uuiliiiii. pura?qiir sunt dictrones.
iiullo l(x)uendi t^euere adjecto , fkc. —
Parisim oxciidelwit Hoherlus Sfephnnus.
M. n. XUV. XV. Cid. Mail. !n-i.
MaiU.. Aiin. III. 375, met xuv. Ce doit
é\tv une faute, ou lùeii h* livre a deux datrs.
î'i. Les mots frwnçoiîiiselon l'ordre des
lellres. ninsi quo les faidt eserlre , tour-
nez en latin pour loiï enfantji. — Pari%.
Cwi t»l U' coiiiplrilinit Ju liictionitrlo/tim.
i^uorf AÏ. ou 13Îi. À p prmii('*rv rdilinii .
4t!UK (lariiti frEmroiso-latiiit; fui au<ui iin-
6. HecrBA d'Euripide, tnwliiii'tf de
rot" on Rli\tiuno Françoiso . dodi(^> ;iu
— Paris, de riinprirni'rirdo Rohfii
iiUieHnC: H- n. xtix. Ln*8.
1hi\iT<)îiT pl 1ji Ciyi)\ Ju Maine Jiiiinii-
mil 1% li^ri* Miii» riiniM'c 1S5U. Diixirrlicr
raUhliiii; a riiiill. llonrlu'ti-l ; niai> l^i Ouîv
illl MAÏiir fiiil ri-ninr(|iKT i\\\v l>ii:»n- ilf Ikiif.
liMviir de n-Mr trailutiioii t-t di' n-llr d'Uliv-
■. Il, daiis ti-M*' (liTimTC («mu- mmi «oui
Uitn^ capilntrfc d'un dixaiti, ri dnnit lie-
>ta, «'ni dntifpir |Hir oa dm ih* Hentm rietj.
7. (^. lïoRATU Flaa-i P'X'iiiiiUi. Kalio
'iisiJiiiii iiiiibus (nUo ('jiisdrtn poi^Ut*
cncntur. Ccnlinipiruin MHrijSfrvij. Va-
ia* Ici'liciiK'S ex V('liislii>iiiiis rulicibiuj.
EJuiMlfni Kpistniii'.
EjtwJoin Aïs ftoiHitii, cum Irium dor-
lissimonini coinrnonuirijs Jani Parrhaïiii,
Acronis, l'oriiliyrionis. Adjwtaisuul ad
rjilrcm ductir^sitti.T tilarfani amioliiliij-
nt*. — Farixiis. vx oflicina HoUcrU Slf~
phani t\pir^rriplii Ri'^'ij. m. d. \liiii. mi.
Id. Mail. lii-H. 3 s. 6 d. Les Epitri-s
iiOp«n.Mii('nl H d. L'Are poetirj» ol hv
ComiiieiiUiiros t 'a.
Otit* annoïKV, (|Ui' jr ropir daiu le^ CnU-
l(N;iif» »|p R. lÎAlifnii».', fiiil Dinnoilrt' qm- m
Iniit (luisiiiDs irmi m'iiI ri iiii'inc \nlmni- rir-
rtilutml M-|ia mtifiil . rimnislaiirr i|uî ii rlii
rtmlrilHtiT a li-ur di-slrmimn, i>l niidn- i-rl
llonicf il'^tiliiul |)I(L!> raiv.
ALitllairr. Aiiu. III. 'A'ti , Uil u-i>iaiH)ucr
»HU'. i|;)tis la ^iLtliin' C. W iiuiiitTot:i^f dfs
% retiillrl» vs\ trnit-â-laii cln-;iiiçv.
L;i Kd>l. lat. I. |iagt- 409. tncnlimint* une
iijitiuii iii-A di* l3il*J, 4)iir jr ti'ni )M>iul ww.
Dm y lifMixf 11II.SM iiiitiV iiiif itlilitHi ilr 1S45.
tii-lti, i|nr j*> tic i-niiiHHt |Ki5> datiiiilagc, rt
i|ih'jr rroift non tuiHu>k (IouIihim'.
8. DlSTiCHA dcr MorflHis, noinmn (ji-
lïHÙs iiisiTipUi. — Pnrhiis v\ oHi" iiiii
Huherti Stfiyhani . m. b. m.iv. In-H. .1d-
'J. Eadoiu Catoniâ Disticha cum laliiiu
t't irallica Mat. (Virderii intorprcUiiimio.
Dii'Ui SiipiiMituiiicuni 8ua quoque inler-
pri'laliuncula. Omnia rotognita. non-
nulla iidjfcta, qii.x'diiin imnuitaUi. —
Partsiis v\ wffu'irin Ruhi^rli Stcphoiti.
M. II. M.IV. In-H. 1 s. fid.
Ui. .Mkssimk Ji^an de BtMlay rni-dinaL
Haninjiuc:?, Oraisons. Hpislros, vl autres
liiusL's Uinl f>ii l^^tin qu'en François. —
lliid. M. b. \uiii. ln-4.
1 1 . El sKBii Pamphili EiTlwiaftira»
lliîitorm' lib. x. Ejusdem do vita Con-
i^Uiulini lib. v. SorralislScholaslicirtyle-
siastic.-P llisloria') lil». vu. Theodorili
epi:*oopi Cyrensislib. v, Collorlaneoruni
ex hisloria etvies. (SchoUistici) Theodori
ietioriî* lib. ii. HermiiSozonieni lib. i\.
Eviigrii lib. vi. Gra^ce. — lAiMiœ Pari-
siorum . px oflirina Jiuherti Siephani
tvpii^îPfipliiregii.Ho^iiÀlypiii.M.D. xliui.
Pridie Cal. Jul. ln-t"ol. 3 1. 10 a.
\ i. EisF.811 Pamphili EvangolicBPprœ-
puniliunislib. xv. pu-ci*, os Bibliuthecu
rciïia. — ParisUn ex oflicina Boherti Ste-
fihatti ty|Ki;rraplu re^i. Hogiis typis. H.
n. xLiiii. — Etisebii Pampbili evan);e-
lira' ncnionslralionis lib. x, gra?ce, ex
Bihiiotiioca rejtia. — Luletiae ex offlcina
Hnherti Slffphaui, typo^ïraphi repii, Re-
;.Mis(ypis. M. II. XLV. — Et sur In dernier
reiiillcl H u. xi.vi. <'jd .\pnl. i tome»
qui se relient en un vol. in-fol 2 I-
10 I
O» « ôlunii'-* . |trrniii>n'5 nilliou» ilifs uu-
vrBf^r^ilu'iU roiiiiPiinrnl, mmii iiitM lis prr-
Iliiers ilaii<ï lr«]iirU il ail i'ii* Lnl i»a{;r des a>-
raclcro fïm*» lïv fîaraniniul , ^ravi^ par
l'untr»* di- l'*raiir«i.s I'"". I in* Kpilrt* Rirruilc
ml Mttni/iim ilc KoIhti rniunt-rr ri signal*'
\cs roa'ïlJiiits rtforlf» di* o- priiict* puur le pn^
(îiTs di-s MTÎftifY* rt dr* Irtlrt**. il in^ili- se»
Iwulcur* à pîirtaspr sa \i\p et hi^-ii ju.*ir rf-
C4Milioi>unrf . IkiiL» (Titi- Im'IIc itliliirti , R^
ln-ri .1 (jiil prtit*r lit- MHi Imbik-U* ly|Migrit-
pliiipii-, 1-1 lit- <»f<t priifoiuli*^ riitttioi'is.iiirrft
KOBBBTUS STEPHANUS PHIMUS. i«4.
ilatu In liltéralurc «avuiit**. Jtu(jue-I.i il n'ji-
M»il iraprinu' d'aiiUx- griT i|iif i}vn\ nljiliii-
IkU d<' 15lW vl Lïîi!! ' i-l lit! niiirl.s pu.vNa<;i-<s
gm-.'« il<<us i)iifIi)iii-7( libres bliiis , nia» du
itioittriil où la mitiiitirfiiro rnvair- rut llli« .i
M ili5|tii<iiUoii \ci pliLt Ih-;iii\ Upt*^ ïï>'it.<< fini
•lifiil j.-iiiuiii) i-K- fait», il M- dc^oiia à riiii|)rt-s-
sinii (1rs oinriisfn eu (♦'Mi' bugnc. sati* iif|;li-
^Tr iTpi'iidiiiit attniii lU- ses ouln-s traNanx.
DftiLS U' rours dr ces N'unu-urlatun^ un M'rrîi
(-tiiV^isIn's l'i, :iit(;iiil (|u'i) M-ra ruiitciulilr.
■ii^iial<s à rattrulimi du IitIcui', K'^ iium
Itriiiv \(>lu)n<'4 ([ui fureril le W-sultnt dv ni:
uuUo rni|»n*».wm«'ut.
(>s litiv.4 giTTA dt^» Ksiimnc, txMX i|u'a-
Iri mt^incs ly|M*j(. H ii»tT nuu irnn»*- tli"
et iriinldlftr, |)r(Mluisii-riil li-s l'iiriifÎH-.
les Miiri'l, \r.. *i rigiMii"tniM*li|('ul rorrecls .
M bini iin[ti'itiM>s, i-t %f-iinv-i di* lout Ir muiiidc
*>av.'uil , ui* Miiii iTiH-iidniil |tmiil nrrîit's ii
i'«>lle liauK- >nlinu- iM-ciiuï.'urc . u'olilifuiirnl
|)(>iii( i-M iin\ i-\;i;;(*n-s que l'un |>rmli^ii*'. jn
tir din'ii |H)iiiî M'ulfitM'iit au\ rditinn:* la plu*
I>ar1 si oiuit.iMo <lr!i Maiiucr, m>ii» nïi'mv n
iii)r ntutliliidc de ]ivri*s, i(ui. 'n din- le vrai .
m* Miut qu<' <lr %niu«'% runiuilOA htMiu^iA'
|du(|tii-». l^tt'Uinfs tuliuiti's M>iilfinf'iil i\vs
i>ililifiu\ Sli-pliaiiM'iiiK*^ Miiit liofs de li^'itc:
Ivs Porta' Cnvci . I36G, iu-ful., mdi foiort'
L-liL-rs, cl t>u grand lUpiiT. leur prix vsl u\-
ci'sstr. L'admirable Thamimi finectt linguft
a^uit unpiitt tiiir %aU'ur ipii' les deux mm-
pn-miotis de I^tudrfs cl dr l'arU mil Ik-iin-
euup Cail dérliuir. On §e lai-«»r au»i niti-r n
|tnyer cliiiTineiit le m'-lèlin- N'tnnraïk'li-slji-
inriit f;riT iii-lfi, dr IS-W. ipiand on n»I sé-
duit |Kit' la Ik'UuIi' de sa roit«'t'^alif>ii. Lk-s
lions ririuplairejt de l'IltTodate, i)e Tlme)-
did:\ li «les autre» \olunie:f de rette Im'I1<- en-
léf;i)iie !;;ireipir, nr luariipietil |M)iitl île hien-
>edlants aei|uereui*\, non plii> ipie ivs iiuin-
bi*i*n\ et si Ihiiiix \itliiniis, miîI {;n><*.'i. Hoil
tatiiih, dauii Ifft formul^H au-devitHu; maU rùii
de* loiil celji tir m> Mirpaït: . tir l'ail i^alpiler
ruiualeiii . (Hi d'iù&e. i)UâtHi îl iVaptUTl, iiu
tlcti'^titi quand il le manque. 11 M'ndde cpie
«! MMt un sucn^ dWintc, trop gra^r pour
dminr étru ruccasioo du folies; cl I'imi rr-
" <^tH«nti J'aIplubrI arec «le ISfcS, cil* par Ir
U'. Wdl. P«rTGrrt<v«ll. l. i, \y. â3«. •■ *»inirnt
■I r&i»lr. i-p n'r»t loaieiir* <|n'iin Alf>hal>t<(; hmi*
ir«mi> qu'il y ««Teiir.«"l<liie c'Mtceiiii At IS48
eoniinjl i|ue. dam liim lautalioiu d* dumic
les, l'es \éiier;ibîrs volumes vnid Itieii pli»
MiiiveiiF aider te .sn%aiil ilnii!> s<*s eliiilrx. une
('liez les eurieiu, pai er \\k-\ latili-lli-i dmil ils
sertïii'llt. CiTtes. un des uiiieiiieiiK le^ |ilii!v
iM-onitiii'ittdnltk's. [Veclle iiUliuu il'l'nsi-jie,
Ii*l<iire IxfléAia»lifpie m? paie plus (pie
notre \ohtmr, ipii est ui'-cr^oiifiiteiil moins
iisiiel.
A iMirtirde l KnsrlM*, Holierl, sirr la plii-
piiel de ses edi lions , prit liahiLitelIriiniil te
litre d'Imprimeur du Uni. saiu la n'iitricliua
Hefirttii-artim *•/ futinttnim /îirrantm, et
ainsi ijii'il roM>il déjà fuit pour M*) deux al-
pliid>i>ly. lie1o';ii(|ue et ^ree, l'un et l'uillre
dult'-s de lâ;^^.
l>an^ moi) Calaluf^ic de Dr Tliuu. 167ft',
I. 1. p. llli. au volume ffinlorin Ecchi'mttica
«4 celte note.ntniiUii(Tite : H. Vanuf. fr. p.
ciim nnùt mxn. Thuam. Je ne le wtrouve
pa^ïi dans le (_jilid, SnidiLM*. où l'autiv \o)uine
^t'. PnriHinifiu, relie en nur. irrt, i-l Taisanl "
partie ooli designée du ii" S0.{. Tut \eiidu là
li\. as.
.\.\i» à rbtrarcax proprit-tairc ar(m*l de
V Uixioria F.txUi., (pli |Miil-(''lre eonsidtViiil
l(*s notes itinoiiseriles ertioiiie depreeuiol mui
\olllliie, ne ^e donluiil |v;is ipTelles etnieiit de
b main ile l'illiislrr bistorieti. Qihiiil au fut'- i
mal, je !>iiïs 1res dt<ip«iw' a rroire (|u'il n'a été j
Sïri'. aucun papier plus ^r.-viid (pie relui de
toute r«lilioii. H est beau et à grande* niur);H«.
t3, IvuTROPii Epitonip belli Galliri pv
Stu'lortii Trtifi(|iijlli inoiuiHiniliHqmpde-
sidi*r<iiitiir. 1m l'.. Jiilii ('.a-surisi^DriNium-
tiirub. de Ik-ilo litilliro ViV t.ivilj, lli'îiriri
(iljii'jini pfiK^kr liiiin-îili iiniu^tiitionis
[cuiEi numJiutxis[H)}uiluriiin. urbiuiti, Ilii-
vionuu, nionliiiiii, \iilj;;iri lin^^iui ix^ildi-
\xa], — hinsits i'\ ulHcinii ffoherti Ste-
phani typograpbi Rc^ij. m. d, xliiu.
Ill-H.
14. i'.Risi»! SalustimU" CoiijuiMtioin.'
('*iti!i(i<X' liisïuriîi. Hjiisdem tk- bello Jii-
^iirlliino.l'ditij Luron isfli'cl.iTÈiiiI 10 ron-
trîi L. C.iililiniKii. Frn*^'mei»Iit qiuc*i;iin
i'\ lihris hïstoriîii'iiin C. Cri>pi Siillii^tii.
K\ \ptiisliss. ïodiribii.'i omiiiu cmundii-
liuni : «i iid linciri. vurttu Iwtiomsim-
iioUil.i'. — Parisiia v\ ofTIcinti Bnbnti
St^pham, typa^phi Rogij. m. ii. ^i.iii
1(1-8. J s.
[ libr
I bri
Ï5. C. JiLii CKs.Vhis roruin iil» îji'
Utruni cnnimonUirii. IV MIo GaMifo
libri viii. 1*0 belln civili Ponipri;iiio li-
bri m. ]h' l»ollo AUwandrino liber i.
|)e bello Afriro IHmt I. De bello Ilis-
juinJcnsi IIImt i. E\ v(*tiistii;s. ^riptis
cocJirilMis t'in('tHljUior(*s. Piclum loliiis
Unlli^c, PontUinHIu'uo. Av;iriri. Alrxi.T,
Vxollodtini . Ma>s:?ilii*.' , \*cr Junimiuiïi
VproniMi-iom , ox dos^Tipliimo ('..T'sjiris.
WhTtiiii (Jiilli.T lix'ot-uin, populurtiin.
iirbmiii. iiionliiim :io lliivioniin hreMs
itosiTiptio it'uiii notis Mcnrici Uturi'iinii.
— t*artsittt c\ ulluiriu HoherU Sîephuni.
I M. D. XLIIII. ln-«. U) s.
^B 16. Dioxit^ Cvssii Nii-u^i ((kiroi'itiÂ
^^nonii. Tnijimis Nt'nn, Ailrianus (U>n-
[ fla;:nilio Vtsp\i : Itilini', Otnir^^io Mirnlii
I iiilerpifU') .Elius Sptirlùiniis, Jiiliiis Ca-
pitol iiiii<;, .Ivlitis l.iimpriiliiiri . Vulcatius
I (jullinmirs i\o Ini|t('r.ilrjtil»ii?i RniniiiK!-
I fum) Jutwnnis !îiip(ist;t r.;:nalij Vincti
III cosih'ni iinfui|;ilitjm<ï>. — IbitJ. m. i>
XLlIll. 1(1. Juii. [n-.s. is.
17 Ammixm MAiti.RM.iM rrnmi j^os-
Uiniiii Ijhri wiii. atttvinuNpuirUtud tn-
Ki'sriiiuiii |iritiii]iii, nam \iii priorosde-
I^ideniiiliir. Quantu \rru i'asti>ïntior hir
Scriptor ùuw prtMlra! . i'\ Uicroinmi
FrulKMiij (?pistolji, ipuiiii liac tlo raiisH
iidfltdiiniis L*Oi;iu>siiS. Lilinitn lri^'(si-
lutiiii |iriiri'Mn qui in t>\rinpbri Frul*o-
uiano non liubi'tiii, inljcnuiu^ l'x axlici'
Mnrian|î<*l) Arrur>ij. — l'uhsiis v\ ofli-
cioa Robfrti SifpfuMi ijpo^aaphi lU'gij.
«. u. XLiiti. \vi. Oil. Jui). ln-8. (i ».
4H. IIkrodiam Hisluna' de imperio
post Marctim, vol (Je suis liMii|Kjrit)us. o
giwcu UTinslaltc, Aiijjolo l'olilijino in-
lerjïivtc. — Pamitn, iiuhfrttm Stepha-
nus. it. l>. xuiii. i\. Ciil. Jirn. In-K.
[ 1». TllKBKLLIlS PuLLio; Kla\ lUS W
[ piscus irle ln)|K>nituntiiis Hoiitiini!'), Jo-
lianniA B;i|ilirttip F.^'natîj Wnoti in eos-
(li'iii imnolaltoni-s. Se\. AtinMms ViHor.
PuiïiiMmiiii- l.a'tii-î. OjMipt'ndiiim liisto-
ri.i* Roniiiiiii'. Joh. Hjiplisla K^^iiiiliim do
)M iniipiltiis Huiiuinoriiin. — Puritiix v\
uflitina tiufu'rli Suphoni lypCMjjaphi Rc-
gii. M. u. M.iiii. vj. Id. Jul. In-H. 4 s,
6d.
30. Oit\Tto do soiiU^nlia Clirisliani»-
811111 Ito^is ^TipUi ud Sereninsriinim ,
Ki'MTcndissiniiK, llliialrisâimoâ. Fw'ol-
li'nti.sstiito?. Ma.£uitu-U!». Spcclabik's vi-
rcw. iini\or>i>>qiie SHi'ri ImïKTÎj IJrdine»
Spinii nni\rntiiin a;fcnU»8. — i^anniix,
Q\ oti'irïinï Hnhrrli Stephatii , lypo^ajMli
Rcgij. M. n. \uiii. In-i. î s.
il. (iHAisoNt^'riplcsuyvanl l'inUm-
Itnn du Roy trpsrliresticii iFninçois 1)
atix Sniînrursi et Kstaà du Siiinrl Kinpirt»
ïtsr*('inbk'z cil la ville di- Spire. — i*arh,
Jinitfi't Hstit^niif. M. h. M.llii. Iii-i. I s.
6d.
22. [,a niAine — Pnrix. ftol^rt Es-
tirtine. m. d. xliiii. In-H. 6 d.
23. Resk)nsk a iiiie epislrc cnvoyci*
de Spire par uiig &tH*retain.' alemuud a
unjî SL'rviteiir du Roy Ireschreslieti.
Anllreepi-iln' d<v rhosis fairtis depiiii^
quatre iins i-n Kurof*. — Paria. Hobert
Êslienm. u. u. \tiiii. In-i.
SI. JoHAN>H(.ardinali9 IV'llaii, epiis-
copi Pjirisiensis. Francisri Olivarii, in
t^nalii Pari-^ieiitti l*rasidentjs, & .\rricani
Malk'ii. Biillivi Divionen:»i}», Frî]nrts<>i (
lotratorujii, Orationes dua! de MMiletilia
Cliristianisniini Uegii^ad sen*nissimosàa<
rri Iniperii Ordines Spira' conveiiluiii
a^f'ntos, aniio iriit : ne<:non pro eodem
RcL'e Uefeiisio adversijs Jatobi Oiiiptialii
nialediotii. latine A; jiallii'i'. — l'arhns
exurheina HoberU Stfphani . u. i>. \liiii.
In-4.
J«* pmKl.* l'H iiilitiilr ilaii« U Kil>l. ilr Ia
Kniiio*. M" *fl.9fi»*. K(h' nu'l an ii" .suivniil \:t
IradiM'tiiMi TriiunuM' di* U iN'ftiiM-, itutil vlU'
inilu|iir pour 1f»S4 iiim.' ri'iiitittYMioii qui* iVut
B3
m»BEBTlS STKPMANUS PRIMIS. 154* «,
\uil aiisiM tljitt» iv* fjitalo^tit^ ilt* MaitlJiin'.
Va' MtldiiH' lie la IVft-iiM' a-l-il iiiuui la vt-nioii
des dm\ liaraii(;ii(*A ; l'irst w qtif ]<■ n'ai pu
lèrilirr, mai» \v \ioitsc U- cuuU-aixv . Kiilii» lis
Onii-><jii.'v et la JW'tcnv t'ii Uitii fimt-cllis ilcux
linM'liiirT> «'■]HiW'*'>, lin Iiicii ini m'hI xolunir?
Ji! luis fMtlaiit n In KiMiittlu*i|iu- Ku>tilr
illif |iifrf (If 19 friiilli-l^ cl Mil lilaiH- , imit
ce tiliT : - Ail\(Tsiu lamlfi f>in)ilialii malt*-
lUcla , futi rtf;c Iraumiiiiu (^lirisliaiÙMUUO
IX'fnisio : • saiii anciiur dalr. H m- Irnui-
mut itiir h' div-iicutièiiK' fctiillrl par nii
ti)(ït%. Ou /a »m non. Ksl-4-f^ uiii< purlion du
%ollitilt' (toiil la Itilil. ilr In h'raïui* ilfiiinr ptii.t
ampli' détail, uti nVM-ct* [ta.i pliilôl itiir prc-
mién: i'diliijii ipii uiir» ii(> Mii\le d'unir n-iiii'
pn-Miou ri-uiii-'-iijint pliuiciUA pii-CM?
I,L* frauroit. tiaU'ni, «•■•t-il rrt'IInnPnt uuc
purlitut lit- rc volunir lâliii , (M1 \\ni\ vv\W
liiviitiuu l.at'uié rt Cuilirè \inil-i>lk' di* vv
t\uv la Ilild. i\v la Frniict' aura pm et n'iini
le» iiililnli'» d'iui f^riiipbu'i- lului , à la tin
duqurl aurnil l'ii- tvIiiV l.i \rrM(iti frjurnisc ?
t. c»l et' ipii: je ni- pui& diiiii'lu' c.varU'Uiiiil ,
■'I un t-uimcii de m pfUtr ittiptiiloiirc tifr
pourniil iHrt' fuil i-u luulr n'rtîtudc , i\W' si
\\i\\ nvujt M)i» In main , el l'ii.mt^rap temp* .
Miiiti's (Ts piiV-cs d't)rai«>n*i, Apolopc*, Ik--
ff iiM-5 , miiiiitt-iinnl (mMirc» , prrMiur 5aiis
iuti-n''l. l'i d'iiiit;!»! plu4 l'iiri.'», ipi'oii aura eu
furl |Kii fl i:inpmtoeuii'ut à \va nt'ucilJJr v\
tHilUHTXCJ'.
.ï'di (-i-{H-udjittl \\i\ nu-itif* quHiptc «lin à imj-
tci rt Itii'U di»1uipUT lis diMiM's pioit-s de ri'
gwin'. à raidf, taut dcerllr'» que j'ai pu ^oir.
qiii' d(-^ n-iiHi|;ucRti--]itfl fmirnu |Kir la Uihl. di'
là Kraiirc-, k- (jital. dr Mv Tliuu, Aie.
25. Defr-xce |K»ur le lli)\ Ht* FriTire
Trt-Scliri'sticti. a l'i'iu-untrc îles iiijiirp>
\ rjptractiiiiis ilc l;i(|iii> Ihupliitliu-;,
fuicto iiaiîtKiVH i*n Liititi (mr uiijjîM'rvi-
Icur rlii Ro\ , & inuiiiU'iuinl inHluiftr rn
l'ninrois. \m\v Siiruui Bniin'l. — Parin,
lliif/rrl Entirnnr. m. i». \liiii. In-I.
La Uitd. de la KraïuT. n" 17.(M1 fl ttS.WS,
nttrii>ne In Iriidurtioii de (■••tte pîÎTr aii sa-
*n[it Pierrr Kuiii-I , lunmi Mirlout |iar «n
l■l^■V^lnl^^^ tHIees liiluie« ; ^Ull^ deil\ (jital. île
KoIktI Ii*l., ipH, m eectt*. mi-M'iiiMeul jii-
Itinii'N n-r1aino. Mailiaire et lesf^tal. de Ja
lliltl. Kit)a]r, piirtnit l'u ((Mile» IcMrn fm-'
tlunte ru JniMvws ttar Rnuift.
Puur une mniprc<^uu de 1S54, M3\ct ci
dcTiMitis , à eetic ^uuétv-là.
ÎG. L. KENEsrF.i,i.\do inaîïislraltbuji, J
5iiooniolii*<iUL' Homanonini. l'uuiponiu»
l^tus ilideni de iiiai^iâlmlibuâ et sacer-
dûlii^, \ priHorea do divcrsis lo;;ibUÂ
Ruiiiiitioruin. — Parisiis v\ ofliciiiu Ro- 1
hnlt Stf/thuii M. n. xliiii. ln-8. ( s.
3 (t.
27. Plinils Si*ctindus do vtris illu*-
Irdius : StieUmius do olaris (jiiiiiiinitticiis.
Jtilttis DhsoqiK'iis de Profligiis. — Lntt-
fifr , fUifi^rlits Stfphanus. n. u. xliiii.
vu. M. Jiin. In-8. 1 s.
Il p,-it(Mt qiu' er |>elit foluinc porti: In JtHix
i\a\vs ih 1M4 et 15t5.
2k. laii.iEi.Mi Bri>.Ei PiiTisiensis con-
siliiiriiBi'^'ijstipiiltnjinquc! lil)ollorutn in
Ht'|j:iu M;i;;;istri Fua'nsia. — Vunsils, fto-
lierUix Slrplinntf>. m. i>. XLIUI. Iii-fol.
lis.
Va' volutne est prrMpir loiijour* airimipa-
^lé du suivant d** IM5. ipii eu i^^t le itimplé-
tnenl iiMliN|H'iLwlile.
M. U XLV-
r KoRGNSiCM verbprum \ loquomli
grnprum t\\ix »unl , a Gulielniu Budiru
pi^iprto coiiiiin'nlario descripta. ;:allira
di' KoiT> Parisien!'! miinpUi inteqiretaliu:
itein'pîravaaliquol. verbiiKoreiisiadiren-
(iiqiie* zeneni. inlerdurn la(ii)e, intri'duin
^alliW* e\|H)slta : tiallieus Kun'iiâiuin
verlM^miii Index : ciii exilixer'stm'spoii-
del latitia ex iiutieliiti Biidiri Foretiâlhus
rollecla iiiterpfotatio. — Parixiis. flo-
Iterius Slfphaiius. h. o. ma In-fol.
?. BiBLU SACHA Uilinti : jiisUi veU>reni
\ \nilf5atam wlilioiiem : eut nova ex
Mebrojo rtjluinnaliiii n^pondet : ad etijus
iiiiit"^iM(*'* annolanlur varia' lectiones &
e\[!<»silK>m's ex do*ti:>sinïiti llebraftruin
roiijnieiit«ni»,4(iibu»explicaiilurttlïSt'ii-
r.W. HOKKRTrS STEPHAM'S PRIMUS
63
herti Stephani lypo};ni]ihi Regij. si. d.
\LV. 2 vnl. in-8. 45 s.
A i col., plus 2 de notos marginales.
Toici commcnl c« livre est aiinouei' daii»
lo^f (]c lleari, uni tlatc, uiai^ rt-r-
it (II- ISTiO 011 1370.
mbtia i*\<lii|ilti-i iralatiinic. ^cl<Tt-él1Ulv^
iqiic t'X |)rir!i-('liiiiiiiMj> Fr.'inciM'i A'atnhlï
eutt-mlata. I iitlt- niut;ii.'i i-\ jizirti' .Mti]i|)lit- iiti-
nDtalitine«. n>rutiiU'ni (i.'\lul «'ircunjiftn- mihI.
,1t. S. ln-8. Valdr niiniil» lilcri:*. "
Le «(TJIablc inlilulc du Inrv ne ptjrle t\uv
moU :
Bihiia (^iiiil iu Uar rtlilioiii* iinnliliim >it.
rir iii <-a c|tKim njn-ri jtm'|Misiiimil<> »! krlo-
rm Kpistnln. — l,utflï;i<'. ar.
A pri^ If* J'ahK'S t-l le mot finis l'M mm'
parlii* «II* iS rriiiîlfls tiou cliiirrps nititi'iutiit
pliu aiii|tlt"»i)ott-s. Difjuttores in prions Pial-
tnvt anmitntiones .
La BÎ/'Uo/ticra Latiito-lifhmii-a de Jo*.
Imimnati . t. I . p. SI8-227 ni|i|HirUr (oui an
long les n-pn>dn-s fjiils à cftlf iNliltwi duris
rtmlcx lApurçaloirt* irivtjtjii;iir . liiiif piMir
!»■* luili"*, les lûlilirs, Imliifi, t-l li-s iii-ffiofs
i|iie pfiur Iti nt)ti\t>lli* \i>rsiiit( (|iii cttt i-clU' ilr
Lroii Jiula, /«itiglit'ii i piCA di* ili\ ^landt-?.
pafi;rs in-fiilMi, n>iitinuu'ii( rt-\pu«ilKiii Je et*
<|u*ou pn-sciil i|Vn hwv, d'y <-li:iiift<'r un
IjouliT. I^-s i|uaUfirji lions mjiirirusrs n'y <on\
<lr n*iidri- micl'|tic jii-Mirc au sa\uir d'^ rt'Iui
qti'iMi traile'ttî diiri'nii'nt.
RutM-rtU-t Sti-|ihduiM, Od%iiiùitiUfl , \\a^
etinu piiiiiir clnssis, lU'brw liii^t.T luiud
Mils. •■ Et filas loin: •• MouriDils l.trlo-
iranslatioiH'ni novam. A: M-hnlia lioruiti
[mjionim à Rohcrlo St<idiaii". Aurtnn- dam-
tlo. pnitiitni i-dila. & tit'|irj%atji (u'use. <■
ci- tra\;iil si n-[ji»-lM-iiMhlf . si coupablr .
! fui n|)i-iidaiil |iiitiil ju(;r le) |tiir il ;iii(n-.'k
'tbriil<it;ii-u-t. |i.ir des jr:siiili>5 e.<»]ia^tioLs . i|Mi.
pliu Ui'd. vu l5Mt, il .SaliiiiiuiH|ii(' . rcinipn-
icrnitcvlte \irsioti laliirt' l'I loin ii-t alUrod
le nntM, mec draiiroup moiDii de <-)kiii{;4*-
itfl que uni a^oil prescrits la ci-iimiii'
ipponée par linbonnli.
3. NovDiTKSHMENTrM liit. — Pari-
rw <*\ offirinîi Hnfmti Strphaju. u. ii.
[Lv. In-tfi.
Ih'iix |iurlii-i) i-ii uu luluiinv Iji sit-oudv
t-oininfiice après Its Aclfs de^ Apôlrt», avw
un liln* M'pftn-. el di! uoiivt-auN, cKiirreA. Sur
Tnii H l'aiiln' litre on lit : •• lln'%c» %nriariim
tr;i[aliitii)itn ainiulatintio adji-cla >eteruin la-
tluoniiii t-M-niplarinni maiiuxTipInnuti dî-
\iTia I(flii)ui\ >'
l UAnMOM.tEvan^dirffîlibri iiii. In
qilihii» Kvaiiiolu'it liUloiiii t'\ quiiluor
Evanj;fli:i(is ila in iinurii tstninlexUi,
iil ruilltus vorimm iilliiiu ornissum, nihil
.'iliemiiii iIlImi^luIll. iiiilliiitt ordo lurlkii-
tus, nihil non siio looo pusilum ■ omnii)
viTu lileris & uotis iUi dislinrUï siinL , ul
qnirl cujasque Evan^ielisla: |iropriiini ,
(]uid riiju aliii^, \ rum qui]tii> ronaimiiu*
sil. prini*! sUiliin iispectii fipprchi'ndore
qirciiïi. In(l('\ ip-ii Harninnju- pru-puni-
liii-, i|ui fjrdincm m nim iiinandii ipsii
Ilamioniî» ubsorvaluiii poiiit ub oculos.
— viti, (jil. Mjiii. M. D. xi.v, — Anno-
tatiunuin liber iiiiti? , iiutliun^ Andn'a
(teianilni. — LaMiiv , apiid Hithrrttitu
Stfplitimim. 31. D. \LV. III. Non. M«ii.
ïn-lCi, 3 s. 6 d.
Pc'til vnhiim" fort rare. l/rtiniin* du litre
poiirroil uidnirc à ertlre iprOMâiidiT uVjtl
l'aulnir f|ur des amioialiuiis ; uiiki^ c'tsX hjpii
« lui qn*i<it dn^' relie t^mpllalinii lalHirienM*
ri <[ui ii'i-st ptt<i «ins uiililé. Maiuaire fAÎi
deu\ \(ilnnii>s M'-part>s de» Ifarmonifs et des
Noies; il s'i**! eorrip- dniu 1rs \niiale*,
r>. rilHlSTIVN'A:>tudiOS<TJllVCllltltisin.<-
lilulio. iiorChristopIioruiM IU*sfndorphi-
tiTiin. I>i< disnpiina ilpm A: iiislitutiout*
piiornriini Ollionii^ BniniàreUJi Para>n9!tJ!i.
— LyiU'tiar^\ oDicina Robcrli Stephani.
M. D. xi.v. Id-8. 6 d.
6. Dk Ixsrm knda vita, ^ moribiis
corrisPiidisjtivrriMiliii. PaniMiesiâ, Chris-
Uvplioro Ht^jît'iidûrpiiino authorc. Quo.
piutoitcmin;j;oniiiadolfscentos forma ndi
sint, pr«Twplionos Chrisliani Thcodi-
dacli. — LuMtaeex officina Hnfierii Sie-
phani. H. t>. xi.v. ln-8. s d.
7. r.AROL! S(*»|ikmi do Rr Horlensi
libellus, viil<;Hna licrkinini. Ilonim ne
fruticum, qui in hoitis conseri ^enl.
fii
lUmi-RTUS STKIMIANL'S PRIMES. IMS
iioiiiirui lutini;; vficilMts rirpiTc iliinMi;* ex
pr(*liiilj> îiiithoribu» in inlolfïMTnlnlonmi
}:ni|iiun imiHo quain .nntra lociiplM i'ir
fat'Ui!* : nii nupor addiUist'sl tiliiis HIm'I-
lus do ciiltu & salioii('orb<:irum,»*xaMli-
iiuuniiii r^i^ntcntiii. — LuMiae pxonicirui
hithrrti Siephani. m. o. xi.v. Prid. Id.
Sopl. In-8. 1 s. 6d.
A%er UDT lonfïiH- L'pilrr Av l'autnir h son
iH-*«ni Henri ! Ilniriciili» mi«), nlon Agi' de
dix-w|it iiiti.. ilaiLs bii|Mrll»' il li^ ti'lliilc df rtH^o-
^oir li'n lirons cl !«■> .<uii;i-« pnVi-plet d'iiu
ntiMi di^'iit' iiuiilnv Voiri qiH'k|iir.« ligtit*» d<'
«rlir lt*ltr(' «[ii'dii ptiil lin* ailini' daus Mail-
lairi'. (». âWrt iû.T.
« ptfliri.vumr te ad^cruiiini fiilvic* otidin
JaciUitim l'uMinuni. ^iriilii ri m iliHi-liiln ri
in dii-nido ac M-nl>nidii laiilir jijtiid i-nidili»
niuiM-N uiillioritiilis Ali en non latihitu
iili-iuwjiit' liii[;iia' tniiiïtali-in |U'iili»r<'s: scd
rtiniii mon-s L'dort-hpsm pljuir digum. >•
a. {ll\ROLi Stopluiiiijlk'laUnis* gra?-
c\» noiiiinibtiï* iirlK>nmi, fiTilicuiii, licr-
Uiiiiiii, pj.4i-iiiiii &. iiviuni lib(Tex Aristo-
loU\ TluMiphrasto . DiiuM'ornU' , r.idt'no,
Atrtio, hnilo Ji;;iiiolii. Acliuirio, Nii-îiii-
<lm, AthcncTO. C»ppi»no, *Eliano, Piinio,
ll(>rriK>!iio barhiiro & Joanntr Ruftliu ,
ruti) jrullii-ii eorvim itoiuiniuii :ip{H'lln-
tiono : cditid siTundn rui tniilUi iii'('t»ss4^
nint. — L'tifitiu- ex oflicinn Huberh
Stffihnni. m. d. xlv. T^I. S«^pl. ln-8.
\\atit nMr adilh trttmt/et aupncnXvf, il
i-ii awnl rlr Tuil dni\ ni IS-lfi rt 15-U ; ditix
tiiilrrs nul liiii^i m 15(7, cil uo/it/ Cawlum
Slrohttuum, 1554.
9. Ekssmi Piir.iphnmis , ww poilus
Epitonio In El^i:^^ntul!^ l^iurcntii Viillit;,
Curri. Ci'»."i'i Fiirrn;:u. — l*ittisiinc\ ulftcitin
Jiotterli Slephaui. M. n. xlv. ln-8.
(0. I.EB Pi.( Li.NAisoNS dps noms ol
vcriH's (pin (InilivpntstavoirpnliiTOTiieiil
jHir cupur li's piiriui!*, iiasquelz on voull
iHiillor oniroo :i la hinsii*' lalint». Eii-
ffcmldr In ni;inii're tlo tutirncr loft noms,
pronoms», vprlxv Linl urtifs qut» passifs,
grrondifri. supins \ (lartioipcs : lf»8 vcr-
b«.SMm, lo/o, iVo/o, J/a/o, ffro, Ki/o
rs, /•*(», l'ossitm. Mfniini . aussi les mi-
jioi-soiil'lz. Dcîi liuirt parlit'î* d'or<ii.4oii
l-;i jitanièrcdVxonor li-s enfansa dëtli-
luvr k** notii!i tri Ips vprlx*s. — Lutetia^
t>\ tifficina i\obfrli Shphani. h. d. xlv.
1(1-8. i».
M. AUm'£LIS Murchapnli de rslione ]
exaniinanda' omlioiif* lihollns: «nei'e.
— Ex BtbIiolIuH.a n-i'iii. — Luieiinê nx
iilîitviiui f^ohcrli Slrpliiint. %\. u. xlv. ^
Prid.Qd. Jan. In-l. 8 .s.
I*iTmirrf tvlilin» ilc tf uviiiil <>|m«rtilr.
\à-s ^ndû mai^t-A du Miltimc nul fait rroin'
:i rr<-triiiia <)iit' MHi o.\rm|d<iirf! (i<Mt Mir
;;r;ind [Kipirr.
13. IIORATII'B. — Uml. M. U. XLV.
Iii-Hi ou ii»-llt.
Il y a dûiL* nih? .tiiitir mu- rdilioii pari-
^iiiiiif df Krntirui» Grrplip. Îi»-Ï2 ou ïn-lfi , rt
(•'i-sl ri" qiif, par iiiad^iilaDcr, ou aura pris
]>iiui' um- nliluMi de R. Kstiamu , t|ui, ji' n
iniis, uYxi^lr pas.
<3. Jirx. JrvKNALiH SiilVTa? xvl. A.
Persil Satyrae vi nd vplusliss. srripUi
pxpin|djiria einoiidatir : quonuu varias
{«•lionos ad calrrm n'jfvinïus. — Lute-
tille apud lUylirrtum Stepfianum. m. d.
xi.iv. .1 la /m : m. Non. Jan. m. d. xlv
lii-H. il) il.
M. M. Annhii Li'CAM de Ik'llo civili
Ijbri dttiMii Ejiisdoni vila in liiio ojipi w.
Ad M'iuslis'!!. .-M-ripUi i-'xomplaria emen-
dati : quorum \arias lei'liones ad calorm
rojeiimus. — LuMiae ox othcina Roberii
Stephaïu. m. u. xlv. ln-8. 3 s.
45.TBIIE-VTIL-S. l'X rtrcnsioni» Erasmi.
— Parisiis ex ofTirtna Hoherii Sfephani.
M. II. XLV. In-ft. ;» .^.
16. De ltebu<! in (îallia Belgira geMis
et pnce restituta i jirnien. — Lutettœ, e\
offieina Robprti Stephani.u. n. xlv. tn-ë. I
Cahirr dr Imil fniillfi«. L'auteur r»t nuo-
nymc. Au roinnini*'mi»'iil sonl di-s ttr» dr
.S. Marriu. d'ml à iVit-Hiph' de Mailtiiin' ,
Viui. III. 3M, jr li:ittiM-iis iri ipirltpir.v-un^ ,
lunr qu'iU ct-li-bn-Dl dr p-3ud^ Iliipriint'ur^.
t^htwl InuRlno) TvIivijmc libi dirino faturuni
Jurai 11 <i« in liicrni prodc^t islelib«r,.. .
KicDiiiin niti-lii fnnnii (imiltr {irrcninur.
Qnalc4 vd >itcpltnnns, rel CoIin.-pn* )tahf*t-
Ntm {wr ic piilchnr «luOtl t«ric« p«ll« pui-lls*.
Ilu«', niîlii ctetie. lîbro tuiio l^ru aura rsl
Ihnnihui lit ntimirif i^iliir ji^rlVrlnml MOgorm
Kit-al, ix nillij iplrnilidiurc [Uvot;
Ell£vcIiJilcu(tra))|iti dj;c i]r )it>liaiiLus mit
Mnrc AMi rxactiio) <iui ttl'i ruiget opiis...
\icorcin nitnbtM' â Sialmon MAcriii w (iclil
pocmc de 450 icr» L'iùgimiues . m-iis on pmil
croiri* qu'il su lroni|if . crir dans iV'iiip'atuit»'
nu iiièrt- do t ers plarrv rn Ivtv, c( daits lai|UiHo
MacHu coa:teillt' À rmiteiir de m* r«ir<' impri-
mer par qiirlqiic- hotnm*- lialiik-, nii R<>tii-unc,
ou S. di- ToliiKs, il lui (lotiiH* dvs lotioii^T»
ipir jnniau niiUiir dt* «trtii'rwnHl se dimut-r.
1^1 lUId. Hist. dr h Francf. qui, !,o\» le
17.6Î0', Tom. IV. me fournil une j»artic
ccA reiMiciiîiirmciits . ajoulf ; " Ou nous
pardmiorra in cvMv retnarqur, r)ui pourra
faire plaisir à (piclqurs liltcnilnir!). » A qiicl-
qu<s-iitifi n* uni pus siîr ; car il a pu st* fairr
L qui*, de 177.1 h isa7. jM'i-<vnuu<- u'ail eu Mtun
■^^B iMrsoili d'aperri'toir et*» ligues; tnais après
^HpO MIS rlU^ |Mji (('»( leur fniit eommp m 4>IIm
^^nrokiil été mUfs là Inul exprès pour moi, el
^^^c»t avec pUùtir el rccouiioiuuKe que je
f hv- ujuigc de ct'H iH>i^, uiiksi que de pluaîeiirs
auiresdu m^mc li\re.
I Jrdoi»njinifer (priti \KS1, ino roitTioiil à <U'
prt'OtM's iiidimlimiA, el u'ayaiit pai alors !Ni-
il e4-ron koils la maîu . ji' copioi<i une erreur.
INim-nii, XXXI, pag. !27:t, met 1S45, et uoii
17. aiiuii (|ue jh le duuis.
17. ^<*0Pi riirygis Vita & Kabulffi a
tsdocti?;simisin Litinam lin^amrrtn-
Ap(>luj;t f\ Chiliaiiibus Adupo-
rum Erasini, ex l^miaPoIitiani, Oinito,
Johaiine Antonio, Ciiin|iano, (icllk), Oer-
beUio , Manluanu ^ Ilurdlio. Fiibiila?
m Avioni, Mudrûmo Rirlindo & (iu-
îolmo llcniuinnu intcrprrlihus. Fiibulae
pra*l<Te-.i Uiuivntij AI>^lo^lij. — LutetiiW,
nptid UvbpTium SlepfuiTtum . wii. 0)l.
Murt.ii. I). XL\. In-»- 2 s. 6 d.
18. V*LKBii Maximi (lictonim facto-
ique momnnibilinm ovfmjilji. Adjoclo
lire prnprinriim numinuiii , rc'ruau|UP
emoriii di^nlI^u^l Iwuplelissiino. Va-
Icction*^ ex vpliisliftft. rodicibu.^. —
M. D. XI.VI.
1. BiBLiA iiËUiiAu:\ (i-um punrtJK], —
Parixiifi('\ ôllirinH l\oln*rli Slrphani. u.
u. XLiv— M. D. xtv— M. n. XI.VI. 17i)ar-
lics in-16, no reliant on 7 on on S viit.
7:is.
L'iticrriiiiicle sur U* Torniai de co livre, (me
rot) dii taiilol iit-1(). lanli'ii iii-l^. e^t drtntile
pur Ic^Catalngiir,'. do RmliiTl et de Heiiri. Mir
lc-&i|uels on II' (pialiDi' iii-16. It paroît ni^oie
que ci-s linprimt.-iiirfi ii'mil lîm fail eu in-14,
et que. rhiv. eux, tout et- qui vieul nprcs
riii-« Fst in-16 : aiusi cliaipie cahier a H fnii!-
lets. 10) p.igf^. et non pas 6 ou li feuItleLi
qu'auroil l'iii-1'2.
Cette itetite édition que l'on dit fort euctc,
i*sl \rainient un liijoii typographique, et peiit-
ùlre ce qui a jaioikLS élu imprinié de pUis
lieau eu Uii|;ue Iit'ljrâitpie. Il est seult^uicnt
Urhetixqnc la (frowenr de< riu-at-leres ueMjil
^Nu en fttiffisante Uaimonie avrc iVviguîtê du
formai.
2. NovvM Testamevtim (gnpcumjcx
Biblintlu'ia regia. — LuitUne. ox onîcinu
Rohvrti Steplmni typo;;niphi Ro^ij, typirf
Rotîijs. M. u. XLVi. VII. Id. Novomb. lii-
16. lOs.
Colé S s. aur le premier (^t^logne ( la
feuille de 1S(7}, et 10 s. sur le «uivriiit de 1552.
La puhliralioti de cet éli-gaut \olutac Ic-
noit à tui projet irinq>resAi*in de toute la lU-
\tU' ^reeque eu petit ftn'iiuil. aiuiti qu'on avoit
fait pour le lexle hel>n*u ; maii w projet a*a
poiul été exi*ciité.
Orieshorh, dans mm ProK<^uinène«, Ciii un
lun^' el critique eunieu de ecitt- (-ditioii et ties
manuscrits consultés pour k^ Jeux in-16 de
15M et 1U9, et |)our riu-fol. de 15S0.
3. BiRLtA HACHA latinn. llohr.Ta.rhal-
da'H, {.M-ai'u & lalina uoinina virorum,
mulierum, populoriim, tddonim, itr-
hnim, fliivionim, monlium, cii^l^ronim-
■
in^
miBEKTUS STEPHANUS PRIMUS IMC.
i|it<' kii'OMJiiH[ii;i.*iii i|>si>ltit)iijsli><:iiiitiir,
rfr^titiiUi , niiii Intirm inlt'r|irfLii(ione
Lot'oruin litïHTiplio l- io:iiiUK;ni|)liis. In-
ïlï*x praïtorea rorum ^ scnti'nlianim qujf
in ijâdem Bililij:^ continenttir. Mis m--
cwi^tTunt scheniatiiTaliurnaruli Mosaici,
& Templi Salonionis, qim» prjPK'uiU*
Francii^'o Vutiiblo licbraicarvim liiom-
nim Roi;ioprorps-*yir(? dncli.ssfmo, suinmu
Hrt**& lidvfxpn'ssi ïnjnl. — Lulctiof ex
oPk'iiui Hotwrd Stepfutui lypoiziTiiilii iv-
pi. M. n. xi.vi. Itlib. Muii Iri-fol. 60 s.
Oitc prompU* mmprrs&itm iu-ftilio rsl
une prrtlM* lin -4iirrè<i i]u a^ uil olilcuti h licllt?
l'ilitiuu lit' 1540.
4. LiBEîi l'sHKMom M n;ivHii-i 'Kr. Va-
liil»!i) AMhut<ili(jin*s in tHRHU'iii ex Hc-
lir.'i'ônmi comnii'nliiriis. — Lutetiof ex
itnii'ina Rtihnti Slephmi ty|it)j;rnplii Ri^
gii. M. II. XLvi.— *Ointit'a i|iut! in BiHiis
h|»ii>>iin Ift^mliir. Anm)liitiont'!* in «i-
(lorn ex noltra-oruin conimcnUirii:* —
L«((»(*(i<' c\ oflicinîi Ht>ttrrfi Siepimni l\~
po^niphi Uo;:ii. m. i>. xlvi. Et a h pu :
ExindrUil /tuWrfus Stephanas tyi>(.*grîi-
phijs Il(*;:iiH. LuU'iiof, ann. m. ii. XUM.
un. Cul. Mari. ln-8. 5 s. 6 d.
Lfs Cantico, qui Inrninit tiui< |iartit' dU*
liiirlo df 2i rmiittelA, a\vT «on liln-, miuI
nratimoin» une ginrliim imV OMairc du \nltiinc,
liif*ii qu'on Irs Iroint'^ qufNpu-fiiiA M-|tari-ini'nt.
f'elui tralalNf (la Vnl(:atr) rsl eu <K->(Iiiil<>.
tri *ur la roUinnc tir dvhurs isl l;i tradiirimu
Yova, df lji*<)n JuiLi . r.-ii(c plus lillnalp-
incnt ïur rhi-lu-t-u. tVun rarartirr Milllsam-
Rtiiit ^at, rt> vnluiPf fut iinprinir |iour la
ulisrAduin df ceu\ ([ui liMiful |H'nil)Wnioat
\n Urà )Kiitr-.\ Irltre» [lc« d«'u\ lUI>ks in-8.
tir \Sâh 01 1346. •• Keli(|ua «oliunmn, iingii-
btim rjidcm fnrtiii, nut majurr rtiam , si id
r^peti ïidiTiinus. lU-iuii-ji-s iLiliinitiA. » Pj-
pmjrl tVutu- itililr toluir, aitui i-nmplètiV par
ilrs puliliratioiu Micc«&<îivr« , ni i'i*4lé .toiu
rxHiiliou.
A la suite dvs tvtuum dr b Ril^* Ut* 1545.
ImUitiati iJounc cilN-^ ilt- n- voluint- tir Psau-
ia« , loMiutlIt-s ocriip«*iil |iliit iI'uim' ^Tauilc
pape iihfr)!., ri II' nu'Dic Moittmut l.cet**-
rrm y t-rf rv(M'li'. Vuyi'E ci-tlrum, pag. fi3.
k la BiUit: latine de 15(5.
5. I's\i.iii Irii^inlii (i, iii. m, m, \ii.
Mil, x> . wiii. \\\. xui, <-, i;xiii, r.xiv,
(xx a cxxxiv, r.xxxvii, rxLiv) l^line.
oum puelii'a [taraithrasi lalimi M. Anto-
nii l'iaminii. — Partùifi c\ oOicina lio-
UiTti SU'pham. «. d. xi,vi. Qd. Jiiii
In-8.
Réimpriuu' par rJiarli*s Eilieiun- rn 1.552.
6. EiÀbiDE Donionstnilio evan^clica.
_)r,ir,_i6. jn-fol.
Pour f-ei mnTii^ i-l Ivs anlrr» érrils du
mènir KiiM'Iio, \uyi'Z ci-dc«MU, à rminn*
iïfii, fuvn SU.
7. IxsTiTiTio\rii hpbrairarulu Ab-
breviaiio, M. SanctL* l'agnino l.tirensi
aiiihore. — Lutt^ho*' ex oOîcina Hohert*
Siephani. u. d. xlvi. v. Ldib. Aug. ln-8.
3 s.
8. OBSKftvATioNKsin linmiain liid^nii-
«im. ad simplircm sarranim literaruni
inUdtii;enlia]n ndniaduni ntvr-ssiirtH* ,
Suncto Pat;niiu> Liicetisi aiitliuiv. — Utir-
titie ex oQîcina HoUfrli Stfpba$ii. m. n.
XIAI. VI. Non. Drl. In-8. 1 s.
PKitc partie tle 61 pafïrs. cbifTrén trpair-
meut, vi ilrtanl être jointes au volume dr»
tastitut'wHff.
9. N'ATmvE ViTbonim, in^rlis vid-
(TiiribiH cxcmplonim inlirprelalionibns.
ad pucixiniiii utitiliiU-iii. — Ibid ». d.
XLVI. In-H.
10. JoitANNis Dcspautorij Ninivil£c>
Synlaxiii : mm indio*" voralanim qtianim
aul conslnii'tin, uut si^nificalio insi^inior
esl. — LutHitif ex offirina Ruhfrti SU-
phani. n. n. xlvi. ln-4.
Voyez plus Iw». page 77, à rauiio; I5W.
Je ur rrnu |iaK tri'* fiTim'inetil à l'exis-
leoce lie relie éditiiiu, nnltVilatu t'Uir Sirp)im-
norum , mau d'une mauière peu assurre.
Il faut remarquer <pie l'itlitiou tle ISii est
Eiiitio Ifrtia, rt relie de IMO, tfuaria, ee qui
lie latssf gtirre plan' â une l'ililirm iiilenuè-
diainv Qiiaitl n rtlli-T* que. d'aprivs le (dia-
logue lies EstiriiiM . tut |M<urnH) rriiire exiger
Kin* dole, il OiiuJruii It* jvttir \ufs |i«tu les
iMfi ROBERTUS STEPHANlîS HUMUS
«7
tioiiliiT loiiiiiK' li'l]4*!i a\i>f auiu'ttitrf. uui*
qiK>i l'oH K\\i«isiroil .i cnrr lun' sriit* ilVili-
tkms Muu ilaïf^, kiir rnuioriu* do llntalng^ic»
qaÎMiroienl lU'gligL' ilt> Ic4 cnouccr.
41. RtliiJdËNTA GrdmiiuUircs Thoiiia'
LiiUH'ri, c'\ Anglico stTinom' \i\ lalinuin
versa, inlerj>rctp *l((orj;io Uiiduiuiinu
Scolo. — /,u/«f((if ox oflicinii Hofffrti N/t*-
phani. h. n. \i.vi. ln-4).
Ce U\'T* vst sur deux (^atalq^Qttf de II . Ev
lirniie aiuiium* Mi/tari farmn , i ». Jl il.
Van//v . i(l tl., i;r qiù ilèsi^r tiiii' «lilioij
tu-i. Ht riii-8 ilecvltL* aiinif 154().
12. (RoBEHTi Stcpluinij Dirtiniiarium
intino-^aUicuu» inullo lix'uplfliii:>. TIïp-
^iiro noftlr*» rcfx'ns excu?o itu ex ad-
vereo resiKHideiis. ul extra iwuca quif-
flam aiil olk:>:olt'Ui , iint niiiiiis iisiUiUt
v<rabiiIu,mli(x:t>iiJ(.Mnï<iiiluiiiiiiii,eodi'iii
imlinr. scnmmo [Kilrio i*xpli<';iU ; jnijec-
lt< iiiilhonim R|tfK!ll;UJonHHis. quns in
ijU[)crior(' Uilino-jiiillioo jinetorniisiTii-
mus. — ÎMlciiae ex oflirina Hoherii S(e-
phani. u. d. xlyi. iiii. Non. Juu. In-fol.
60 s.
Edilion Itraiiomii pliu ninple qtiL- U pru-
auKTV dv 1S38. N'ayant pas «ti rrllr df 15t3
t|iie ji* iif rutmuM t\uv pur li' C^Ulo^uc di*
Pilirlli, j'ipiiirc (|iirlle:» iiu( di'l V'Iit- [i-s au^-
omiUiliutui di> rcllu t'diUoi) iiiU'tuu-diam^
QtMut à ci-Ut>-ci . dv 15W, on \uil par IV-
uourr ik' son litri- ipiVlK: e^t c»nil>iiKV de
mantère h o»nT*poi)drf a\fc le Thrsnnms
Laf'uue /itigua-, v\ n n'iidrt' d'aillattl plii.i
uUif l'iiuge «inuillJiiit- dt* n-n dvn\ Ij'vicpit^.
fjtt liU de Giiit). r.udi> doiiiiervut à Kubrrt
cummiiiucaliiiii dt* {Kipirr^ dv It-ur \nirc, ou
U trouva pour Mtn Um'c dr Imiuih^ addiliou».
i|iM!. dam Cl! \otuii)f. il rul »oiri di* di-sigurr
par In lettre R. .\ la lin, il nul un irniir J)r
Fenatione, du tni^iuc wvnnt.
13. De DirPLin copm %L'rlH)njm Des.
Brd^nii RoU'rixJaiui Coniinonlarijtluo (ex
jHKlronm a'itlioris rpco^^nilionf). — Lu-
Utiae rx oUicmu Huberli SlephaiU t) po-
ifraphî Rcsij. m. d. \i.vi. xiit. Cal. Ju).
In-K. i s
11. pETR!MosELL.\MTalmla.'(k»schc-
niî!lib«> \ iTOpis lu Klvlnrii-a IMiilippi
MHimihlhoiiiî'. Ifi Knismi RoUroflani^
liU'Iliim t]r diipliri copia. — Lufeliar
t'x oflîcina Ikifierli Stephani ty|>o^rïi[ilii
Hcgij. M. u. XLVi.Non. Apr. Iii-S.
15. De Svllabaaitsi quanliUilc Rc-
pilîp sixvialps, qiias IKsiNHiUrins in
<'j]rnieri non rt^le^it, aiiloiTi Muturinn
CnnliTÎo , Griuiiinalica? professore. —
IbiJ.M. D. xi.vi. iiii. Non. DwiMnb. !n-»(.
16. M. T. CicKnoMS ad. Q. Fraln-m
dialofîitlL'Oraluro, di- Claris Urutoribus.
Orator, (In optiino gonero ordtorimt ; cum
vuriisad calceni ltH;lionibus — Lukiiac
ex ofijtimi flo/xTfi Slcpham m. d. xlvi.
ln-16- îOd.
17. M. T. CioEftONis Ofiicionim libri
III. VjaU) Major, vel de Sentvlule; L;p-
Jiii"*, vel tki .\niicitia; hiradoxa Sloict)-
niut VI : Somninm St'ipionis ex lihru
ïioxLude Uepublica, lurn Erai<nii aniioUi-
tiuuiluiiî, nutis IMii). Melancldlumis in
Ofïicia, /v Barlli. Lalomi in Paraduxa
Quai (|ui Iciîet, facik' quanluiii in ijs
t-meiiilandis sludium sil adhibitum in-
lolti^'eL. Addil.T sunl (n exlremo open-
variiL- Itvliones *: libris ntanii s<Tiplis, ^
ex in2;enio. — Varisiix ex ullicina Hufmti
Slfphani. n. n. \l\i. In-IO. 1 &. (3d.
IH, Mahi:i TnLi.ii Citeronis Senlen-
tia* illn-ttriurep. A[KipbUu*j;maUi itofn \
Pandwia' si\e similia aliquol. pr«Et^?reîi
ejnsdein pijp senleutiie. Aiitliore IVtrw
Latînerio, CoiniHUidiensi. — Lutftiiwex
officina linftfrii Sîrphaut. M. u. XLVI.
; ln-8.
Après une prètaor Lectori, vient umr dé-
diracc de l'aulair de reltr ainipilaition P*--
truj La^nerius (Pierrv Lagner ou LAgnkr,
de Compiegne), à Irois pruft-sseui-s de dniit. a
Toulouse, et datée de relie \iUe. Septimv
' CaUttii, Stpt. An». 1541, «■ qui [wut faiff
admettre re\i»teuee de quelque auirt: ttlitiuit
premier»', anlèrîeuiT'à l'anni'C IM6.
19. Andria TfciiESTii, oirni interpre-
lationi^ génère . in adolescenlulonnn
RHitiam farilior efftvUi ni ex hrtc eo-
moe<liii omîtes doinde »Iuis iib rodrm
comico consiTi[»Uis . iiullo nt'^oliu îis^*-
quantur juvciipsboniirnni litoninim sLii-
di(>si. — lAttcliae v\ lUlicimi Hoherli Ste-
phani typoizr.iphi Roi;ij. m. o.xlvi. xv.
r^l. Mail. ln-8.
50. JoA.NMs Saljuisii Miirrini Julio-
tluncnsià* Oditruni libri Iivs ad IV Oi:*-
Irlliiiuim pontitirom Matisconum. Jo.
Ikfllaii l'tirdindlis intipli^siiiii l'iK'tiuila
aliqiiol olc.i!;irilissinia ad L'iindcni Matis-
conuni poiililin'in. — Parisits v\ olIi<'ina
Hubi'rli Stfphani typographi Rcgij. m. d.
XLvi. In-8.
M. lu docleur Will. P. Gravrll, I. t,
p. V^ ili-sou ou%raf;c t\(\h cite sur In T\^^
p^pliir piirÎAimrK'. (Mirlc il*uiicrdilioiiil<' Ri>-
IktI ¥j>i.. !5W, in^, coiiltnant <U*s ixKTîirs
l'I disrtHirs frnmfus <lr rt: canliiinl .Iran dii
Ik-lby. M. GivsH'i-ll ujaiil iltVInrr iI:iiia w
pn-farf i(iirMiii Ii\it' rloîl fiiU sur di-s li\i'fî>,
ou pmirruil tliAiriT qu'il ct'il indiqué Ir li%Ti<
qui lui I lait connoiti'ccv volume de 1549.
21. Dk Rebls in Gallia Bcltfica luiper
g«*stis, (^ itiM'ortsIiliilaiCariiM'n). — /.ii-
Miof rx ollkina Hobcrii Stfpham lypo-
graplrî Ro!:;ii. m. d. xlvi. ln-8. 2 d.
22. Li ('oi.T!VATioNE tli Liiîiri AIu-
riuiimi al Cliristianisîiinio Ht* Franci-SMCJ
primo.— $ljtm|tiilo in l'arùjiiki Uuhertn
S<«pAano Ki*gio Sluiiipatoiv. m u. xi.m.
In-i.
llfAiit.111 runinienccrocut dn \oluin<- dt'u\
rciiilUt!» coiil4itaiil uiit' épiln* (Ir l'aiilcur .-//Aj
Sertn'isùma matlama in Ita/p/iina, vl a b lii)
ror diiu autres fcDilli-is, li- pn\ilr^f dr iran-
çtiisl*'* .Ci'!> rmatn' U tlilll-t^ inuiii|iii*nl (iiirli|iH'.
(ni«, ri ri'>nila t)iii ihtiijk' It- m-imi du 1j4''
feuiilcl n'a yus vlé tDi|irim(- dans tous Ir^
eunplaim. il sViiirou>i'au<»idoDt kfnHi-
liipicvrst rrinit avccln dal*- do i->*tt.SaH» t^ln*
Cimuplr df Dmlni» cclli- rdilioli jmri'iiiiUM-
m Ijim iDcilIriirt* t|ur MSiirux mniprvssiuiis
JMiililH'S du 1546 rt 154B, ia4.
il. -EwiPi IMin^os VlUi cl Kabnlr
pIiiiv^Sl cmendaltoros. ex vetiistissimo
itKliceBiblioUicoicreiîi.r. Gra^ce. — Pd-
risiis ex officimi Hoherti Siephani 1^'**"
îrraphi Regij. m. d. xlvi. Xonis \(»venï-
bribu.s. In-i. 3 s.
ISrWv tSJliiou.
ï\. Uio.NYSii Halicarnââ^soi Anliqui-
liiLiiin Itoniaiiurum Lib. x. (ini^'e. Kx
Bibliuthwn rcjjia. — LuU'tiaecx oGiciiiu
Hobnti Stepham ty|)0;:niphi Ro;:ij, typJK
Rei;iis. si. ». \lvi. - ^l h fin : Cal. Feb.
M. D. XLvii. — ' Diony^^ii llalit'arnas-
soi de rompositione, st'u oraUouis par-
liuni apUi inUT st> fultocittitmo, ad Ru-
tuni. |{jij!^l('m arlis Ulioturicu; capiUi
qiiiodaiii, ad Efhn rnl-na. lîfm quo ge-
ncrrdifoiuli silususTliiu'vdiih's.ad .\rr>-
niiiMim. GruL'tv. — Ibid. Calrnd. Apr.
M. T>. \i,vii. In-fol. i3s.
Pirmién! ùdiliuii. Volumr non OHMUsbcau
4|ui! (-luvtl'Kiuûbi'. J'ni ai uu(_<xiMiipbii-c»ur
Utpid »oDl de uund>reuM:s uoti^s dt^ lu DUtiii
ilrJflp.Aug. Di' llioii,
25. l,E Trf-si'AS, obsèques el enlcrre-
uienl de Fnin\;ois premier, lis deux
sermons fllnebrt^s priHioiioés Oijiilicles
alw<>ques, l'un;;» Nosln-Dame dt- Paris.
l'autre à Siunl-DeiiVî?. — Paris, HufMTt
E/itifïme. m. d. xlvi. — Le Siica' S
Couronnemeni d'Henn II. — Paria,
Ifvit. Hsiifiwf. In-K.
|>r Sacix- ni sans dair, l'uiK- cl rnniri?
|ii(i:r rii ltiln>s rundrs. .\UY litreit »aiu date
ou Urs vrlrainfra t-u U-11rr< italiques.
A b (m dr la liste dtt Li\m de KubcH,
|uu;r 9.H , rftt ptacti- rtiuiUH-ratiou détaillée
des divers (latnli^pit'ii ol1iriiiau\ dy^ Lsliruiu'.
pamii IrMineU se li-uuvc cduî do Rolirrt. de
nilf anuix- I54fl,
M. D. XLVU.
I. MiniAFLis Syngeli prwbyleri Hii^
nisolvmil^ni de laitdibti!» divi Oioiivsii
IM:. MOHEnTllS STKPHVM s IMUMIÎS
69
4iU'llriî. ; pit'i'f. Ed. GodL'lridyTiliiiiidno
oOirtusia hirisionsi. — LitMia>? l\\ af-
Ikina HutifrU Siephani. h. d. xlvii. Non.
Marl.lii-i. 1s. 6<t.
2. [Caroli Strpbani; Do Ijiliniïi .\
(JrîDrw Domiiiihtis arbonini. friitiouin,
lu'rUiniin, {iir^i'iiini A nviiim libor, p\
Ari>tulflo, Tlii-ophraslo, Diostf^ndt', Ga-
Icno. Ai'lio, Paul)» .lîjîim'Ui, Artmirio,
Nirdndro, AiUlmul-u. Oppiuiiu, .Elûinu,
Flinio. Hcrinohu) Qiirlmro fii hMnno
HupIHo : cuni Gnilîni (Hiruiti nomiiiiim
apiH'ilaliono. Tor1i;i aslilio. — LuU'tàie
ex ofBciiia Hohvrh SU'phani tvpugntplii
Rcgij. M. u. XLVII. xiii. Cul. Aii^usi.
tio-8.
Il a été dit rî-ilisisiu, |uigc 64, i(uc Tt-diliou
srciiHt/a, <1f 15(5, a\nil Lit* |irùmléu di* dmx
t<iilrr-s, (-JI l5H6 4-t IM4.
3. De Gali.ica Verborum IX^lina-
tionc. — LtiUlUte rx oflicinu HoberiiStr-
pfuini, lypo^niplii ll4';;ii. — Kta ta fin :
Excudt'lMit HolKriun îytfphutiuii typoizni-
\Aui^ RrLïius Pnrisiis. Ann. «. ii. xlvii.
Non. Lk'Leinb. ln-8.
4. CosTFATirs Univcrstu •niimnuilic-cs
l)<»5Iiaiil4Tian.'i:-, i-imi ^iioniii) ijiintnen-
Uirior'iiiii<'pitoint',bn*Yti«siniL'(-uiiniimiUi
pt'rJoluiiiiii'MiiVilissum'mCoiidncrL-vi'in.
— Luteliae, llobertiis Stfphilfuif, m, u.
iLVii. ln-8. 2 s.
Cat. Bil>I.ThiuiuH<,ll.p. Î22.
C'rsl NUIS (loitic la niL'ine ivlilion i\m ne
iTtM\vmdii\\KVtiaDssa dulr, ibni IcCnl. de
1553.
5. niHJimpnlJt priin.i bitinii- ^'niiiuna-
liocs, Jolmniic P('lli*îone r^iidrit'iihi uii-
thore. — LuMiuf, lUihtfha îiirphouaif.
H. I). \L\ii. In-H. H) d.
Mteic Cal. de De Tluiu, même {Op.:
6. Monts p\aminandtT constructionis
m uruLiunL' , Johannc Pollis.soiio Con-
driciirtiaiilhon». — Ibid. m.d. xlvii. 111-44.
7 RcDiMEXTA i;raninuitii'es Tbonue
LiuuiTi, b\ AiiL.'lin>s<TniunG in Laliniim
vornl . intt-qHvtr iîvurizi'* |ti]<'h:iii.in<t
Si.i)l<.i. — LiiIrltM il) odiciiiii HotftrU
Siephani ty(K);;rapl»i Ri'^'ij. «- i>. xi.vii.
Tjïl. \[*T. In-i.
K. hiiTTioNantuLtm iMicronim. &c. —
ÏAiteiiat . Hohrrtus Stfphanuit. m. b.
XLVii. CaiendisCh'tob. lii-i.
9. Les Mots françow stdun rijrdru
d(s liHUvs. — Parix, HoUrt EtUienm.
%. 0. XLvii. ln-4. < s. 4 d.
Snx)U(U> i-dilinii : \a {irtmim' i-sldrlSU,
la pnM'iiainv, tu ISS?, prendra le Utrv tk' Dic-
tioiiiiaii-t'cl |Mrlil Dirliouuairc.
10. La Mamebe de tourner rn lan;>ue
Kranç-oii*' U's Verbes ; reveue et ctjrri-
yoe on fînimlL' diliiîonei*. — Paris , do
l'Imprimerie de Robtrt Kitienne. m. d.
XLVii. In-i.
H. Dk itKCTA Uitini ;:rax!iquescrino-
nis proiitinciulione, Desid. Erasmî Bole-
rodaini DitdoL'Ms, in bar iiovi.^âlniu edi-
liuDeloenpIeUilii^.Ex poï>Irema aiillioriâ
recu^nilione, in qua iniilLa miiUita & ad-
dita. — LtileUtie ex (iflicina Hnbcrti Sie-
phani lypogniplii Kegij. u. o. xlvii.
XVI. CM. Juin. ln-8. I s. G d.
12. METUODts conscribondi Epiï^tolaâ,
|H>r l^rii^loptmrum IlegeDdurftbinnm.
Ejusdeni dra^uiaUi loeorum luui Klietnri-
oonini, tiim Dialivticonnn, rinnoveinpiiti
ex optJmiî> quibti?<iiie aiithortbus. Ejus-
dem cxenipla stalù:> conjeclunilr*, lini-
tivi, (|iialiLitiïi. — l'arisiis ex onirimi
Huturti Stfpbarti w. ii. xlvii i\. Cal.
Mail. ln-«. 6d.
13. t.N CicENONis Piirtitiunes com-
mentaria Gvorgii Valla.^ & de optimo gé-
nère oralonini. — Luiftiae ex officinn
Roit^ti Siephatti. u. D. XLvii. xvi. Cal-
Junii. ln-8. 1 ».
U. M. TiiLLii Cireroniâ Epiiïtolie ad
AUicum, ad M. Bruluui, ad Qninttim
Eraln'm, Kununa drli|»entia «isli^ita?,
ut iniismenda,qijutpluriuuicranl, [nni-
cissima jiim stipereint. — Pauli M;mulii
in ea^eni Kpistolas scholiji. quibuji ab-
dili loeorutn ï^entiiis mïU^iidunlur : cuni
70
nOBEHTUS STFPnXNUS PRIMUS !S'.7
vxptinilione rii<^ti}^(lionum. quie m tii^
Epistulis ppnc iniiiiniei'ahilc'â fjictoc sunt.
— hiicUaf o\ otlicini) Hufu'rti SU'iilinui
iy[K>t;r,)|ilii Hoî;ii. m. d. xlvii. Calfiidis
Aprilihiis. In-IG-
liii|irinK', :iinsi qiirir ^tJiuiM' l*e Offt'ùi,
delSMi, |ioiir roinplttcr li's »i'|t( %<)lunm du
Ckvniii di* S. d«' Oilîiies Lthri Hhftonci,
\ \xA. 1M5; Omtùmrs, 3 uil. 1M»-«* ; E/u-
itota- fnmiliatvSf 1 \H\.\-i\^yet Pli'ilosuphkat
4 vol. 1545, U» liuil ïdJiuu*'-; Jucvlle raretl
jnlic cditiun se \iitiloJeul i'imiiiI)!*; tô s.,
li M*]iait'Timil , (|iti-tquc_s !»uus cIl' |tltia.
ï5. Epitohe Tahii yuinliliani nupor
suiiinio & in;;c'nio, Â:dili):onliii cullocta.
qiia [WKsil. stiifliibii jviventiis tiniiNpiid
L>1 Uhclurk'u^- in:«titutionis ii|ii!(Ji iji^iiiii
iiulliorL'iu ljrc\ ionM-oiiipcnJio, & inulto
furiUiis a(ls<Nitii : aiitliorf^ Joiui philo-
loj^o. — Liitftiue (.'X oflù'itiii lioherii Str~
phani l\i>u;;n»[ilii Rt'^ii. m. d xtvii.
li)-8.
Cojih* d'util' jtKTOdattc cdiliou <li* Siiuuii
Jt: Coliut-s, 1531, ii»4.
IH. JnANMS Miirmollii Rirretniiniloit-
sis Tubulct iiL iirtis coni|!om.'iidnniin Vi-r-
siinmltiidiiiienl;). — Lutctiar ox uQîciua
Hoherti Sti'phnni. m. u. xi.vii. \v. Cal.
Mart. Iii-K.
(7. Ovinii Elotiia diiNiico, l'iiiu Enifi-
nii CoiiuiienUirio. — LakUac ex oHiciua
Robrrli Stfphatii. m. d. xi.vii. ix. Cal.
Jutii. lri-8.
1R. Ai'OPHTiiET.MATrM Opiis <i:mpn-
niis rru^ifenim vi}:iliinler uL) ipso ttrii-
^iiitiim aiilliurcv è j:riPco('odic<'t:r>rnvLis
aliquot lofis, in qiiihiis int(»qjn*s Dio;;p-
nUUii^rlii iMpsusiTat, l)i*^. EnisinoRo-
(erodaino HiiUuitc — LukUt^ ex oflicina
HobfrU Sitphani typf)graphi ReKii. m. u.
XiYii. Cal. Jul. ln-8. 8 s.
49. Paëdolouu Pi'tri Mo^'Uani Pro-
legensiSf Dialogi xxxvn. Dialoj;i puéri-
les Chrislophnri Ilogondorphiiii xii. —
iMtctiae ex oiTiciiui Holi^rU Slrphoiiî
M. D. XLMI ln-8. 10 fl.
20. niuM>ii Alexiiiulriiii de Sihi in-
bis IîIk'IIiis, Hu^latliti Thws;iltmii'iMi,ii*
iircliiopiscopi ooinmcnUiriis illustratus.
GnLTi'. Ex lïililiolhrca lU'gia — Lute-
tia; ex (ifiirina lUtîn-rti Slefihani l> (m-
^aphi Kepi. m. i>. xlvii. In-i. Ks.
i\. Lk TaESKVî*. Olïseqiieâ el enlcr- '
renient de treslwmll , Ire^puiïti^ant, et ^
lR':imaî:ruuiiim'Frani;ois par la j^racede ||
Dieu, Roy de France, Iresctiretien, pre-
mier de ce nuni, priiico clemenl, per-
des îurs et sciences.— Les deux Sernioiw I
funèbres prononcez câdicles ulweqmrs.
l'uiig a Noslre-llariie de Piirls. l'antre a
Siinrl IVnis en France, par PierreCbiis-
ti'lain. — l*aris, Robert E$h'fmu?. <5i7
el l'iis. In-8.
Mailtaire, Auu. in, «00, met : <• P. Tial
laiidti Orolio in Fituorc Franrisr» Kq;i à pro-
frjworilitis Hfpiâi fiirlo. •• Mais rVsl iirM' cr
iTUr. .Mniclovii'i), qu'il rilr. ne nK-nliiiiiiw,
\*o^c 1<|, qu«- lV)rai.4uii lalniv .stii^niilr. L'an-
In* jiictr, jMir C.allanil, impcirinV p«r Vasi-o- j
mi, ni-4, lit? l'a jMtiul i-1i- yi\r IIdImm-I. I
'il. PKThiCikilellani, EpiâCopi Mali^
conensis, Oralioin funere FranciseiRe- 'I
gi.»* Fnïnconim tiabit^i. — Pahsiis , ex
onieina Huhcrti Stephani tyiH>graphi Rc- ,
gii. H.D. XLVII. In-i. I
23. OuAisw:^ fiinobrc" de François 1.
conlenant un briet' di-îc^iurs de ses j;es-
lea, faicls et actions le:* [lUiri reniaïqua-
bles; Iraduilo du latin di^ Pierre Du
Cluislel. [mr Jean Martin, — Paris. Rit-
hert fCsU'cnnf. M. n, xi.vii. ïn-i.
L*aiilenr, «non tic wtte rdalioii, au nmus
des OraiMiiu fiiiu'trres, caI lu «avant H tcr-
liinix prrlal IVlrus CuleHauw). Amî de»
Irltrcs, (i OUI uui- biitiveillaiice toute particu-
lière pour Robi'rt Eslicnnc, qu'en plus d'uic
occasion il protcf^ra contre le» prrsêcuûw»
de la .Sorbuunr.
Lc^ rcnV'nin>; du ({^mps le niioimc-jit Cliav
tflniti, va C<'iNl*'ll.-in , t'i |dii>> Mtu^mt Du Chav
Irl, ivi|ni étuil Mtn v):ii irnm.
(hi vt'i-ra ilatL-i lii>ii- ili- RuIkmI que vv-s
OraÎMiLS fiait-l>r»i fiu eut le iiri'Uxtr d'unt'OC-
1M7-48. nOBKinUS STEPH.VNUS PRIMUS
71
iliiHi d'iull>l^:l<■ qui, iliri(i;M; liicii |)liiUil
(Miln- rini|irmuur t^ur rontre l'aiili'ur, m-
UiiM; anniiic luccriiuije mit Ivi mulif» liui-
ii('U\ (|iii lit sii;;{:<ri><^'i<'-
I^"i ili-ii\ .\rrmatLS JHrtèhtvs ttnX iic WJin-
primi'it B Lt^tiil»* <lr H. Cujiirlituii Vila, a»c-
ton l*. <;allaiHlto. 1674. ùi-R.
Î4. Caroli Stcphani Libcltnsdo Vji^
fculis fx ÏUiyfio. — Liitftiœ, ox ollirirui
hitUrti Stepham. M. n. %h\u. vi. f-il.
Uuii. iii-8.
25. (".Anoi.i s* .Strpli;inus<lc' iv vosliH-
riti rx BiiyfHi : lorl'ui cdilio. — LuIi-Ihp ,
ex olKi'ina Rohffti Stcphani. M . it.
SXLVix. Noniî. iK'CCiiibribils. \n-H.
Lcsdmx pivct'dttilrs rdîtiflitA Miiit tic 153'i
l«tlUl.
M. l». XLVIll.
1. Of'i.if^i.Mt Buda-i Piirisirnsi:? Om-
lilwrii Rr;:ii. sii|>|>liciiirH|iii' lilu-llhrnin
in nt'}:ia M;n;istri l-Vircnsm. — t\mra<lm
HiuiiiUi l.uU'lÙP ivvcuiU'bnt Hvlvitti Stv~
jihano lyim-ji-iiplio Hcirio. m. o. xlviii.
VI. Non. Mail. In-fol. 12 s.
2. FoREXftiUM vorbonini ot loquc^ndj
poiifnim quac siint a (iiiliclino ÙikI.i'o
proprioCommcnUtrio dt*?i'iiptji, (jiiUicii
df foro Parisit'iiéi siiinptfi InlriprcfatH).
(ja)lii.-iià Fon'usium vnlxiriiru \u\\v\ :
C4ii f\ diverso respontlel Uiliitiii'x Gu-
lioliiii HiKlffi Foron^ibu-s cullccta intcr-
[pirUilio. — Liilflifp. v\ oniciiui litiht^rli
*S(f/»/itmi tvpo*j;raphi Ui';^ii. si. d. \i.viir.
In-fol.
AhiM <|ii'i) il vit- >lit à l'annit! IS-U, celle
partie iiiIiT|in'*lalivc ifllccotnpU'ineiit lU'ci-s-
lire dis Foir/nia .
3. (Cjhioli SU'phHni) Semiiiariuni el
PliinLiriuin fructifeniniin pra-i-ortim iir-
buruiiMpia* post horlos consiTi soknt.
lenuo iiiicUiin \ liM-uplelaliim. Iluir jic-
Lcessil nllor liU'llus>de ('on-^l■rcltdi^ «itUa-
ribiiîi iii s^euiinurio : dequu iis in plunUi-
riiiiii lifliisfori'ndis aUjuo insi'rendis. —
LuteUœ, ex oQioiiiH Itoherti Siefihani. u,
n. XLVIII. Ml. Ul. IkH'fiiib. Iti-H. ^ s.
4. Ai.KXAVDBi Tram.iaxi nicdici lib.
XII. Hhaza; dp pi-sUltiulia Ubellus, ex
Syrnruni linsuii in Gra^cani Iraiiï^laLiis .
{;r.TC(v Kx Bibliotbi>ea n*L;ia- Jacolii fjoii-
pyli in (tfsUcni i"i:jtipilion(V. — iMietiov
ox oSicina Roberlé Stepham typo^jniplii
Regii. H. D. XL^-ni. Prid. Non. Jim. ïn-
fol.
PiTmière cdilion, peu coniniuiir, vi rtiiir
rii-s pUis belles iii> riTt lialtiles lm|innii'ur».
Iliiru'jthl (lit iK-re vulitmc qm- r'i-sl lui iU%
lî\ri** RrtTs It'-S iiiM'UA int|triiui'A tin'il ait ja-
ui.iis %its, l'i iVi-il MI WwH \tTil;ibU'nuiit?
!)»»•< Iiaitrs v'i t'tlitiDiu il l'auiimire ii)4,
t]iinii|uc n- li%n', wii f\i{|Lninintl iii-ruU»
(.N«lr «II- iQiMi r^lalii^nir. I. I, |i. 270).
l/i'ilili'iir J, (•<iii|i\l di<, lions son Kpiln*
au Collet;!- (les Mnk-i-iuft ilr ruri*, i|ii'itivitF
|iai- K(>l>4*rl liiiliciiiir à cullaliouDer (Il*u\ nia-
niiMrrils ir.Vlcs. l'rallira v\ Je Rliau, de la
HiMiollinpir Royale, il avuil vW haltilcmcol
.liili- dans i-i* lru\ail par Aiidri' Tiraqurau.
"i. Tiu:svnirs linjxuœ sanciœ; ex R.
tKiNid Kiinhi a*C"liî:n ISS [radirum li-
bm) SiHuie Pai^nino Luronsi niitbore;
coalraclior & emendîilior. — Luietia*
i*x ofliciiia lloherti Strphani xii. Val.
Vvh. H. D. xtviii. ln-4.
Et iKiii pa.< iiHlolio, (viinme lodit Atmelo-
\i-ni, p, 19, ni iu-8, niiisi qu'il fsl im-
pnrnr iLiils ivs dfii\ Ws\fs ili- Miiiiinin*, rr-
renr que nrpi-ndant ïl ainil rurrigi-r à la
pa^f Î42.
G. Ai.mlUKTrM pra^nim Rr^^iis trinm
;;t*nfi!iin riiaraclpribiis ptj^lrcuio (.'scii-
siiin. — Lntfticw e\ unicina Utihrrti Stu-
phoui [)\)o^ra\)\\\Ht'iiu. m. i». xiaiii. /ir
û la fin : Exeiidebiit Hohertus Stephanux
ty(»cigrdphus Regitw. Ann. m. n. xrvin.
lii-». 1 8.
Je D*ai \u que Tnlition dr IKO, h laqiielk
crIIcK-i est indiibitalilemcnl <M*aibIabli-.
7. CoMMEKTAuii bn<:iKP ^nï'CiD, (îu-
lielnio UiidïBCt, t'onîJliurio Re^^iOf suppli-
G8
KOBERTUS STEPHANUS PRÎMUS. IfMO-V
mœdiu ontnes (Unnile ulùis uh vwlvm
comico consfriptaîi , nullo nogotioassc-
quantur juvenesboniirum litoranim stu-
diosi. — Lutetiae ex oQicina HobertiSte-
phani typographî Regij. m. d.xlvi. xv.
Cal. Mail. ln-8.
20. JoANNis Salmomi Marrini Julio-
dunensis* Odiirum libri très ad P. Cas-
lellanum pontificcin Matisconum. Jo.
Bellaii cardinalis amplissimi Pocmata
atiquot elegantissima ad eundem Matis-
conum pontificcm. — Parisiis o.x offîcina
Roberti Skpkani typogniphi Rogij. m. d.
XLVi. In-8.
M. le docteur Will. P. Greswell , I. I,
p. 269 de son ouvn^ di'jà cité sur la T)']>u-
graphie parisienne, pu4c d'une édition de Ho-
liert £st., t549, in-^, «lutenant des |io('^iea
et discours frani^s de ce cardiual Jean du
Bdlay. M. Greswell ayant déclaré daim sa
préface que son li\re étoit fait kut des livrer,
oa pourroit dtsircr t|u*il eùl indiqué le livre
qui lui a Eut connoilrece \uiunicdel549.
21. De Rébus inGallia Bidi^ioa niipor
gcslis, & parc restituta (Carmen). —Lu-
teiiae ex offîcina Roberti Stephani tjpo-
graptfi Regii. m. o. xlvi. In-8. 2 d.
22. La CotTivATioNE di Luigi Ala-
manni al Christ ianissimo Rc Francoaco
primo.— Stampato in Paritjiôa Ruberlo
Stephano Regio StamjuiloFo. m. u. xlvi.
ln-4.
Il faut au eommenccmnit du volume deux
feuillets rontauint une épilrc de Tauteur M/a
Seremissima madama /a Dalphina, et à la fui
sur deu\ autres feuillets, le privilège de Fran-
Çwsl" .Ces quatre ftuitlet» manquent quelque,
fois, e< l'Errala qui occupe le ^-erto du K^k'
feuillet n'a jkls t-lc imprimé dans tous Ich
CMiiipbires. Il s*en trouve aussi d<«l le fron-
tispice est refait avec la date de 1548. Sans éln^
exemple de fautes, ortie édition parvûnne
cal bin meilleure que ses deux rêimprcuiou»
juDtine» de 1546 et 1549, iu^.
* SoliBoiiîi. Smlmon ; Maniai, Maigret ; »ur»
nom qui loi fat donné, lint en Ulin qu'en fran-
tow, rtqai loi re«U;JalkM)anmM«, nia lêOuduH.
23. .EsoM Phr>i;is Vila cl Fabulï
pliires & omendatiores , ex vctustiâsinK>
ccxlicoBibliothecaîrcgiœ. Graece. — Pa-
risiis ex cfficïna Roberti Stephani ty^o-
^raphi Regij. m. d. xlvi. Nonis Novem-
bribus. In-i. 3 s.
Belle Mit ion.
2i. DioNvsii llalicarnassci Anliqiii-
UUum Ronuinarum Lib. x. Grœce. Ex
Bibliolhcca i^gia. — Luietiae ex officina
Roberti Stephani typographi Regij, lypê
Rc'iiiis. M. u. XLVI. — A la /în ; Cal. Ftb.
M. i>. XLvii. — ' Dionysii UaUcamas-
sei de compositionc, seu orationis par-
tium apta inter se collocationo, ad Ru-
fum. Ejusdeni artis Rhctoricse capîta
quanlain, ad Echccratcm. Item que gé-
nère dicendi sit usus Thucydidcâ, ad Am-
ma*um. Grœa!. — Ibid. Calcnd. Apr.
M. I). XLVII. In-fol. 43 3.
Ih'emièrc édition . Volume n<Hi moioa bean
que et-ux d'Eusèbe. J'en ai un cxemplairemr
lequel sont de uombreuses notes de U nnin
de Jar. Aug. De Tliou.
25. Le Treshas, obsèques et enterre-
ment do François premier, les deux
s(^rmons funèbres prononcés esdictos
obsèques, l'un*: à Nostre-Dame de Paris,
l'autre à Saint-Dcnys. — Paris, Robert
Efiiienne. h. d. xlvi. — Le Sacre &
Couronnement d'Henr\' II. — Paris^
Rob. Estienne. In-8.
I^ Sacre est sans date, l'une el l'autre
pii-ee en lettres rondes. Aux livres sans date
ou les retroiiviTa en lettres italiques.
A la fm de la lislc des Livres de Robert,
page 93 , est placée rénnnHTaliou détaillée
des divers Catali^es uflîcinaux des Eslieunc,
liamii lesquels se trouve celui de Robert, de
celle année 1546,
M. D. XLVIL
4. HicHAELis Syageli presbyteri Ui(*-
roitolvmitani de laiidibus divi Dionviîii
iM»-W HOBERTUS MEPIlANtS PKIMUS
48. Lrri\M Uialogi uliqnul por Kru;^
iiium Lititie vorsi»mm Nirolnî I1om*(m)ih
Ti^nsis inplanatioru*. Uîa am^v*i'ninL
iilii]unt iilii fjiiï<l<'iii I.uriarii Ikialugt iiiirt*
feslivi, iHMloin Urasmo inli»r|»n'ï<*. — L«-
/cduri'V ufTicina liut'crtt Skphutti. vu.
XLMii. XII Oïl Mail. I11-8.
f9. Uio.MS Kuiiiaiiaruiit llt^tuiiaruin
libri XXIII (videlicol) u xxxvi iid iaiii
it8(]ur : grîrc4\ Kx Bibliothocii rogin. —
LuMiaji i}\ ofllrina Itoherti Slephani l) -
pis Hpciid. M. D. \Lviii. Prid. Cul. Fnhr.
In-fol.' 40 s.
PnmiipiT ri Im'IIc «■dilinii, .imt Jrs r»r-
riHiioit» de Hciiri vi di* snii |»yiT. 4|iii w
plaint a\cr raiwti ilr n'avoir |Mt tm]intni-r
(V \i\n' i|iii^ i)'a|U'^ un trt-A utati\aî% iiia-
.fiiHrril.
(À^Ji\rv exUle «n {;raud papier h la IVibl.
[llo]r«lQ. Creveniu «11 a^oii au««i iiit i-vcm-
[ptiirc.
M. t». XU\.
I. NovuM TfVTAHE.xTLM ({^ccum) ex
BiblioUiPca rL';;ûi. — Z,u/Wim: rx oflicinu
Hohertt Slephani tyiMj;;raplii Rcgij, lypis
Kegiis- M- D- XLix. nu. kl. Oct. ln-16.
40 6.
M lit' mV»! pas |u-nu)« dcni'pns rrilin-in
CP qui a rti* niillr ii»s TV\ti-ii\ que i-'r>t ilan>
Oc xiluiut' de 16VJ, ol non |nis Jaii» ImU-
bou Jr l5-i6. qui* b fault* /'o/nr* pmir /if/ff-
Ffs^v iroinr sur la prcmiert- jKigr dr U pn--
£tr<\ laipieik bulc «t-rt a ili^rontcr !<■« iUmu
rililiitiiK. itH^r qii.-iiid li*^ titr» tiu atirutuit
v\i' 4li-|>lji<i'\ ou rliatiç;f'*s.
Malgrr M K'piilatitiii dVuii;iiiutli> u jnslï^
tnruX rlriltlir , celti; nliliou di: 1549 il***»!
fwu euii*>r*'m*'ul exempte de fautes t) p<^;ra-
|iliic|urs ; 011 poMlToii, dil-^iii, lui <-u repro-
cher jtuqu'a l'ï, et HHilenn'nl \t & relie de
(5(6. I,«s Mvauli qui nul fnil de rf» dcuv
^otomra un miuulirux ruimni «liu-nl aiiui
qoc l'édilioii <lr 154U i»l m 87 rudmil» ilif-
fiTTBlr di' relli" de !5Wi ; que, di- rr* le(^m.s
dilfitrnlt-Tt, qualir M*mief)l doutniM-». trrotr-
«rnl maiixaÎM'.'k, f\ \\\\çyM\ baune» et \rn-
lnl>lr-<>; dr municrr qa'ni Mnnroe, IVtlitioii
pn*inii>n- aiimil mue iHtiiiii-.s ItTout de plut'
qui- ta .tiTtiiidc ; taUul a 1 aiif;UiiM', (lui n m-
|ii'i'lie pas que ritlition d«- 154!) ne ciiutinui'
à l'trr plui recJMTrlMT <pir rHIr di* liifi,
FJIc v-S\. au4»i lieau(-oup plus rniv . sans
rrpeiidant qii'uu exmipbîrr d^- movaine
eonsenalio». ci* que lf<i Viigloif umiiDiiut
tta inAiJJrrenf coin, \atlle immIcIà dr quel-
t\ws fruiin.
I);uu la mèiiM' nnuii' IM9, u^ih- de M>ni-
!ilalj|es earaeti^rrs, el sans doitle avii- une
fouii? des m^tne» t\{tcft , fui iuiprimêr h
Parit , cliLi IV'niMitl Pre>o$i . une aiHre
<*ilitii)ii ÏD-ltl , parlitL;(t- tu deuv vnlunics,
H u'a)uul puiiil au\ uiur^i's. comme celles
de Ruliert. de** lelUrs grecques indiquant b
di\Ȕi>Q des aucieiu rlia|)il]-n t;rei-s. Sur lUie
parlic des cxcmpUirn un lit iprelle est Ciilu
aux dépens de la vru^e d'.Aninld Uirclmaïui,
cl »ur (faulres c'r»t piHir Pienc Ilaulin ou
Hutin. Il y aura m |>ar1nf;c de TMition.
i, IJKnR.tv-S: C1ialdiL*a numiitn viro-
nitii, mu)ii*ruin, populoruni, idolonim,
nrbiiim, lluviomni, tnontiuiii. C'jfMero-
runiqtio Im nniiii jjiia' in Billiis tc^tintur,
ordinp AlpIuilH'ti lli'liraJci. Index rcruiu
ac .*ipntrnliarijin. — Lutefiae v\ ollirina
yîu(icrïi.S/e;j/w/i*ly|f02faphi Ke;;ii. m. 0.
\trv- XIII. Cal. Mail. In-4. fi s. 6 d.
.1. CiiRisToi'iiohi llpirondorphinilnsti-
tulio, et OUiotiis Briin!»fplsii Pura'nn4i<t.
— Litictiae e\ offîciria Rûherti Stéphanie
îl. D. \LIX. I1I-8.
i. HeBILUCMIUM iNftTITUTIOMTll Ijhrî
iiii. Sanctr Papiiino Lucctisi autliûrc, v\
]{. [Iiivid Kimhi priorp partn h'hzo
{ compfemejHum ) qiiuiii prrpin p^fli
( pars i/rammaticfs } iiisrri|)sit , îen^
traDScripti. — iMkliae i'ariswrum, p\-
iMidobat floi«rlu.«.S6'/)/iafit«. m.d. xtix.
xiii. Cal. Mail. ln-4. 18 .s.
01 ou\raj;i'. à r»Iiliou duquel pr*-sidH
Joannes Leiarlitis (Le Jarl). est, ainsi tpi'H
esi dei^'lare sur le litre , eu faraude partie
e.\tmii de U Oramnuûre lléhraique iju sa-
«ant rablMU D. Kimhi.
ii. l\sriTi'Ti(tNf> linf;uir> Gni}C4GNic.
Cloiiaiilo aiilliorc Pio cujus modiralio-
nihtiïi (inecunii'i» iklaiiiieljs MoNopuli
70
ROBERTUS STEPHANUS PRIMUS. 1547.
explicalionc castigalionum, qux in his
Epistolisponc innumerabilcsfactaïsunt.
— Lutetiae ex officioa Roberti Stephani
typographi Rcgii. m. d. xlvii. Caîcndis
Aprilibus. In-46.
Imprime, ainsi que le volume De Officih,
de 1546, pour compléter 1rs sept volumes du
Gicéron du S. de Coline» JÀbri Rhetorici,
i vol. 1545 ; Orationes^ 3 vol. 1543-44 ; Epi-
stoiœ famif tares, 1 vol. 1545, fff Phitosophica,
t vol. 1545. Les huit volumes de cette rare et
jolie édition se vendoient ensemble 45 s.,
et séparémcot, quelques sous de plus.
15. Epitome Fabii Quintiliani ntipcr
summo & ingenio,&diligcnlia œllecta,
qua poâsit studiosa juvcntus quicqiiid
est Rhetoricœ institutionts apud ipsum
authorcm brcviorc compendio, & multo
facilius adsequi : aulhore Jona philo-
logo. — Lutetiae ex officina Roberti Ste-
phani typographi Regii. m. d xlvii.
fn-8.
Copie d'une précédente édition de Simon
deColines, 1531, iu-8.
46. JoA>'Nis Murmcllîi Ruremundcn-
sis Tabulai in artis componendorura Ver-
suum Rudinionta. — Lutetiae ex ofiicina
Roberti Stephani. x. d. xlvii. xv. Cal.
Mart. In-8.
47. OviDti Elcgia dcNuce, cum Eras-
mi ConiDienUirio. — Lutetiae ex ofiicina
Roberti Stephani. u. d. xlvii. ix. Cal.
Julii. In-8.
48. Apoputiiegmatum Opus cumpri-
mis frugifenim vigilanter ab ipso reco-
gnitum authore, è grsecocodicecorrectis
aliquot locis, in quibus inter{)rcs Dio^e-
nis Laertii la|>sus eral , Des. Erasmo Ro-
terodamo aulhore. — Lutetiae ex officina
Roberti Stephani typographi Regii. m. d.
XLVII. Ca4. Jul. In-8. 8 s.
49. Paedologia Pétri Mosellani Pro-
tegensis, Dialogi xxxvii. Dialogi puéri-
les Christophori Hcgcndorphini Xli. —
Lutetiae ex officina Roberti Stephani.
M. D. XLVII. In-8. 10 d.
20. DioNTSU Alexandrin! de Situ or-
bis libcUus, Eustathii Thessalonîcensis
archiepiscopi commentariis illustratus,
Grœce. Ex Bibliotheca Regia. — Lute-
tiœ, ex officina Roberti Stephani typo-
graphi Regii. H. D. XLVII. In-4. 8 s.
34 . Le Trespas, Obsèques et enter-
rement de treshault , trespuissant , et
tresmagnanime François par la grâce de
Dieu, Roy de France, treschretien, pre-
mier de ce nom, prince clément, père
des ars et sciences.— Les deux Sermons
funèbres prononcez csdictes obsèques,
l'ung a Nostre-Damc de Paris, l'autre a
Sainct Denis en France, {)ar Pierre Chas-
telain. — Paris^ Robert Estienne. 45(7
eH548. In-8.
Maitlaire, Aon. III, 400, met : « P. Gal-
laiidii Oratio ïn funerc Francisco K<ep à pro-
fessoribus Re-giis facto. » Mais c'est une er-
reur. Almeloveeu, qu'il rite, ne mentionne.
|)a^e 10, que i'Uraisou latine suivante. L'au-
tre pièce, par Gallaud, imprimée par Yasco-
san, in-4, ne Ta point été par Robert.
22. Pétri Castellani, EpiscopiMatis-
conensis, Oratio in funere Francisci Ré-
gis Francorum habita. — Pansiw, ex
officina Roberti Stephani typographi Re-
gii. H.D. XLVII. In-4.
23. Oraison funèbre de François 1,
contenant un brief discours de ses ges-
tes, faicts et actions les plus remarqua-
bles; traduite du latin do Pierre Du
Chastel. par Jean Martin. — Parts, Ro-
bert Estienne. m. d. xlvii. In-4.
L'auteur, sinon de cette relation, au moins
des Oraisons funèbres, i»t le savant et ver-
tueux prélat Petrus Castellauus. Ami des
lettres, il eut une bienveillance toute particu-
lière pour Robert Estienne, qu'en plus d'une
occasion il protégea contre les persécutioas
delà SorbouDC.
Les écrivains du temps le nomment Cha>-
tebin, ou Castellan, et plus souvent Du Chas-
tri, ce qui étoit sou vrai nom.
On verra dans la vie de Rf^iert que ce»
Oraisms funèbre» fiuml le prétexte d'une ac-
IMIW». HOBKKTUS STRPHANUS PKÏMUS
rûTuui VI. Soiniiitiin Scipionis, ox libro
îioxtodi' Ropublicïi. yu;p qui \o\xl. ta-
oito qiiHntuni in iis niu'ndnndis stmliiitii
ait udliibituin inlo)li)£i>t. Addita- suiit in
oxlrouio opciT \ariie let-Uonts i> lilnis
manu furiptis , & v\ uv^t^nh. — UUHhw
ex unioiiiu liobfrUStfplutni. u. u. XLlx.
\li.i'-d. Ik»c. In-». 2 8. tjd.
45. P. VjHGiui Muronis 0(vef-a &
Opiwcula. — Jjttetiacvx offîcimi Hoberti
Sicpham l^po'^niphi Hc^^ij. il u xlix.
IB. llouATii PoemaUi, ScholiU, & ar*
;;uinfntis ait Honrioo Slopliaiiu illus-
IniU*. — Lutetiae v\ oBicina Hoberti
Siepham h. d. xlix. Iii-8. 5 s.
Hmri Eilk'UUf n'otoît nlors ipie il am.
!7. JtNii JtvENiLis \ Auli Persil
Flacci Soiynt'. Jain rri'on;* nTo^nll;?.
âimiil Rc adnoUiliuncnlis i\un' brevid
caimiicnturii vicL't*sse piîisini illustniUu.
— Luletitif e\ ofliciiia Hubarfi Stfphani.
M. D. \LI\. ln-8. âOd.
*s Des Kbasmis de ('iviliUilo ni(»-
lum. — Luti'tiat t'\ oHicina Hottfrti S/#-
phan». M. 0. XLIX. xiiii. Oil. Octobr.
ln-8.
19. lîEORGirs MRnuLA d(! f^eâtiB Du-
<-uni McdiolantMiîtiuin, ^i\e doanliqtiiUi-
lilrtis Vict'cointlinn. — LuMine hx olïi-
dna Hulterti Strphain . u, ». xlix. in-4,
iO. Païili Jo\ii Novocomensia (L'pi*^
txj^i Nm'iTiiii) Vilut duodecim Vicwo-
mituni ModioUini Prim-ipuni [cuiii iooni-
bus illoriim ad vivuiii t'.xprL'Stiiisl. Ex
Bibliollicca Rc^ia. — Luletiiu- ox ofEcina
Hoh. Sifphnni T\j>ii'jïr;i]ilii liogii. m. n.
XLIX. In-i. 6 s.
L» prt'farc (Ir Tautnir à lleiin. dauphin,
depuis Ui'iiri II. Mt tiaXiv ilr Aomr. tiii
KmI. Anrili^, 1.S47. 1rs inirtraîU. gruvt*j i^i
Imii^.m^iiI au iH)[u1ir>r iIr t\ix, cl, à Htai;tiii.
l'aulrur fait coimitilrr «rapn*» quclk* jteiii-
tuiv il a iic' rALVUtr.
21. L t'E.NKbTiiLLA dr Maui?liatibus.
siia*itt<)lijsi|iic noinanoniiii. PitmftiHiiiDi
Lrr-liis ilidcni de Maifii^lniliimït et ï^cit-
dotijs. A prrPloiva rie diversis Irgibus
Roinanoruni. — LuMiae («x olHrina Ito-
hnii Stepharti. »t u. xlix. Cal. Fol»,
In-H. I â. :i d.
tî. t.u.\Ri Biufii AnnuUtlioiies in L.
II. dp capiiviîi. \ ]M>illimiiiio n^vorsis:
in quibus IraïUiUir de iv iiavali. Ejus-
dc*in AnnoUilionos in Irjitaluin Dp auro
Si armMilo h-^ato, quil)u> Vi'stimL'nbî-
mai ëi Vas4-uloruni ^eni^ru oxpliraiitur.
(iiis4 omnibus imatîines ah antiqiii^imis
iminitaioiilis desumpr^is ad :ii;:iinii'nli
dtH'Ianilinnrnrï tfulijunximus. ) AntonJi
Thylusii do l'oloritms liliHliis. a rnloH-
bus vt'sliinn non alirniis, — LuMine ex
ofliirina lUibcrti Slfphoni. ly|Ki^,'raphi Rf'-
gii. M. n. XLi\. l'iid Id. St'ptrinb.
In-i. 10 s.
Rchnpifuioii ilr l'éilitiuii df 153(1.
M U !..
4. NovvmJbsu Curi.sti [) N.ToïtUi'
mpntum. prîPcr, ex Bibliotliera re^ia —
Latelinr ex uflicina ttoficrU Shpham,
Regiis l>i)is. «. n. i. wii. l'ai. Jul. In-
fnl. 31)8.
tjciXv i-dilioii , M lefQUimaiid.ihlM |Ktr In
Uiaitli'* dr soti «■vmitiiiti et |iar mhi iin|x)r-
laiirc littémîn-, i'aI ïoraiétr sur l'AUrtiiixi'
colbtioii dr nanil>rt'U\ niauiucriiA qw, {mmii
RCA dfu\ in-lfi de I54fi et 154M . Robi>n
avait dt'jà pliu ou moitn t-aroplclpinml t-oii
«uhé«. H doul il dniiiir i-n ntnip; 1rs prinn
paW varianl^it, n* iiur u atoil pu adini'ItiT
l'cuipiitr df» pngV-S (!*■ petit formai. I.c texte
d» n^lfrpj, sanA Htv abh>luiDeut exempt de
Inule errrur typographique , est rcputt- plu»
cormrl qu'atinitH* de» l'ditioa» aulmnin*» .
ri mhnc p1u.< que la plupart dr ceHr^qui stuit
ventm aprt*»; ri «• vulumr. dû à Li dilimtnv
ri 4a{;acitt* iMTwninelU-s tie Riilierl, ^ifUuHi
Hid iKMir aiutirrr w répulaliourirtniitr >a\an1
tiiitTaieur oi l\p«ifirapbr duiiitptr. Hmri,
KOBKHTUS bTEMlAMJS l'KIMLS. 1559.
Hiii fiKf alnndain le nntn di* mv f\rtinùniift
liiitTniirf> ru (liMTSf» |taiiH^ ilv rtlurn|H>,
H iiolainfticul i-n ItUù*. m; lroti\:u)l ô Paru
IK^idiiiit riinpn-teioii tlv cri iit-rnlio, lil
pour itMtP iililtnn une )iiècc ilc 72 wr»
grca , qui e&l pUictV du cumiueiiccnicnt du
volume.
L*itn[irp«>i(iu arlu-MT, ItnU-rl liitit nu
boni fil' wii travail . imu iiuii |Wia de v«
jti'îue ; ri UrsSurl>oiii<i1i*:t iic titi;li^ri-nt rien
))uui- lui fiiiti' iiilcrdirv di* |>iil>lK'r t'c l>o:iu
i-t n-?iptTlal)lc \nUin)t'. Ijdiii, U|irf'-> niiiiiiU-»
l^lccl^s^'ri^•-'• . aprct dts i|unM-il4''ri\Miu^ ron-
Irwlirtoin'ft, di-s Miyayi-s â la «lilc lU- la
Oiur. «'I ilr Iri-A idit-rifiM* [h-rtc-s de li-iii|i^,
il iitiliul (di'im* |>i'rmisuou du jiubUcr li
%ciidn*, t-t di-reoM- fut faite aux Uuclruri île
t'iu<|ui<-tei' h cf Mu]*i.
E^trM|iti' l'srut la Uittli' lâlintr du IS(ô. It's
nuK-ruif. fcclt*<iin4li({ijes tir RuImtI piiri^l y
Iroiiwr (trrasinn i\v saùsïattr triir liniuf . i-l
rrlrr oniillirnicr«niln- m-» aimolaliiiiis . rii%is
t\v cr ijiir <|Ufii|iit-v-tmi>^ . puiil-étre . ii'iv
linnil |i.-i<t eii Autlùsuitt* luirtnciiûtt a\er. les
diMiriura alnulues du raUiobcismc. Oulr^ul
utic >énl4* nultridU: pour en Diirt- resiulirr
une faïusFlc , iU purent auvii faire croirr
i|ur Fr. Valablf <'t(>il Hraugrr â «h-s nolex, rt
'tue Tmi n\nit frniidulfii»euii-iil fait niiploi
de Miti iinin, tarrf qu efTerliiciiietil on m- |<->
a%oil |us m;urs di- lui, el qu Viles eliiii'ul
le n<fliillal île m>a Ir^us jHitilitpiei sur ia
liiltk . iiUtnta mugistri Ajuiilejt a ivla qiv
lu iiKiiiu', «lus doule efTrayé dt-re» clameurs,
et |>eu dùireiiv de di^euir iiu àiftiheuiYHx
ftmtfttignon martyr, m hhUt , dit-on, de
dcMvriiirr les note», (Mi an iiiuiii&de m? niou-
trer miTonleiit de leur puldication. MaùiLius
le koulnemelit iHii btiiiique roulre eetlc nlt-
tiou iii-fol. du N. i'. t^rvr. nul autre prétexte
que des urru»ali(M)ft d'intiJéliti-s qtn- l'un lie le
nettinl pos fort en t^'ine de pttHitt-r.etdont
pliuieurs de cea diM-((iir>i iaiMiieul êlé eti
toute iiimjKintê d'nllt^u*T U* texte* , pour
euvi'-<Tilureiu(-otiiuice1 iridi-ehilTiable : {(iiti-
iiun M/, iivn Ugitur]. Si en celle (loea-
Mou Kiitiert réuuit â (aire lairt> l;i baine,
il ne t'aniurtit pas : ri-iutniilé dei-lara le
li\tv irréprocbidJe. nuis la Sorliuitne n'en
oublia point iVdileur; it. a^ant (pi'iuic au-
ore Miit c'coulec, Uf>us «llun» le voir obligé
de fuir eu une terre élr3iii(;err . ri d'a-
lunidinnuT *>a patru* , qn il lumnnnl pcr de
nulple^ ri inniiMcs tr:i%ini\
l'ue prt-lace de Hnlierl, Sticmrum Lttrm-
rum studiusis, en i;ree d'abord, et eiiMiile
en lalin, (jitu|H! In feuillet i|ui »uil celui de
l'iniilidé. liu %oid un evtraii :
u SuperitMitHu diebn», Cbriatiaue leclor,
%o\uni I)<tiiiiin nastrr J»t- dminrr Testa-
tneiitum. qu», dirtaiile Spiritn Sancto. ftrrip-
tntn lifit linciiii, runi «elu^ttissiiai^ wdceiiu
sTriplis i-viiqitnrilius quiinta Diaviaiii po-
tuiilULs cura ii dili^'iitia rnllaltmi. mniorr
funna, minutioriliu.Mpic Ke|;ii<t clLuai-li-ritins
lîln evnidimuii. Idem iiunr. itennii et lertïo
enni ii^deni eoiluiitin . majorihus \ei-o eliani
Ki'gii^ lypi:< evnisiini idii <i1liTiuiii<> : ils pmv
fiÙA, (neqiiid ileNvdt'i'«->>) uiMTlisxr . aut
in ralre piMilLS . (piie u^piani in scripti^ aut
excuùï b>i;unlur eodiciliUA : qun* oninia, au-
giLMa alleriu<i forma ciih-tv non putuerat.
Ail hn-c, in ntart^iH- intcriori varia» rodi-
cnni Utrlioneft addidiiiiiu : quaniui uiiieuique
nuineri Cnni ni>ta subjiincln cal, quie no-
me» e\iiiqiLirts. unde sntnpta est. indicei ;
aut l'Aenipliirinni luiniina. «puiin pinre» aunt
numcri. Us nanupie pliteuil. piiniM. tennul»,
ad 5e\lum diTiniiini iLtqlie muiiiiui ilUpnnere:
ni primo. (Jmiplulfu.'^eiu edilioneni iulelli-
^s, qtue olim ad anliquii^ima exeuqilaria
fuit e\en>;) : rin rerle eum nirtlri» minis <'rai
in pbiriinis roit^en^ins. Senmdo, e\rnq>Ur
\elu.sti&.siunini , »n I|jdi.i nli ainiris rnibluni.
Tertio, qiiailii , ipnnio, s«-\lo, >e)tliniu , oe-
la\n , diH'iino t-t quinlodeeinu) , en qnir e\
UibliolhtTa Ke^i» ImlmimuA. Oli't-a vtnti ra
qiuruiuliquc rorru^are licuil...»
2. Caroij Stki'ihm libri in*s df nu-
trinicnlis ml liuylliuiii inqtiisitoipm rv-
puiti. — Lutfliaf ex oflirin.i Hohtrii
Stpphntu. M. i>. t.. lii-8. t s.
(•nillaume lUilly , prèsidml à la^'Jiambre
de« Complet.
3. Alphabetum llrbruicuiii. — Tan-
siès, (>\riidi»l>iU tiotit'rtus Stfphanua.
ty|K»gru|)hu9 Ho^iti?. m. u. t.. In-H.
i. AtHiAorruM (traccucn Hegiis triiiii)
;;i>noriitu diameLiTibas pnsln'mu oxcu-
siim. — Ltiirhap r\ oiWvinu Jttthrrti Ste-
phani lypo;;raphi fvyii. m. p. l. Kx
privik'gio Ri'jiis. A ia fin : Evudfbiil
Holjfrlux Slrphattus h (Kignïphuiî liepitis,
«iiin. n. 11. t.. In-H.
l8.
13S0. RORERTITS STEPIIANUS PRIMUS.
l>»v rtlidoit , iloiil %(iici Jp (îtn* ciurlt^
iiipiil rtmii- siir un t'\pni|tli)in.' , ixvfiX joiii!»
limilr i|ii tiii*' n'iiiiiiniksioii tli* n'Ik* ilr 1MK,
i|iM- (i- u'ui |iniiil viti*. {Ii-tlf iinirliiin- ilr 'M
IctiiljHs a r3«ant;i);t: il'rtfr- nu pwvlli^ut
«p^'iniru Jr< Iroû (k-uiiv ruraclrn-?! qui ouC
liiDi liv»u<MT lo |in->MS fraitroiMs, cl di*
tloiuifr le lalilcsit cxart .U* leurs iionibrriLMw
iititrt'ii el altn'^i.'ilifiiis.
5. Mrditatiuxes Graeuinira; in îirtein
rnuiuuiilimnt . aiillioro Niiolîio r.icnjir-
4J0 : in mrum ^ïniliiiiii, ijui \\\n pnfHv|>-
I toiiii viK'c destitiiunlia*, & litoiu CiiuTas
y siio ipîy»niiti diH'Mi dtwiMV riKruntur.
Kini'iitltilidn's. — LuMinr ex tiftici-
^^nu Huberti Sfrphttni U|>ognipUi Hcgij.
^Hl Of L. in-4
^^V Cr«t iVililion di' i5S9 . dont If litre it
^^Bt trttU |M)i;<*s siii\anl(>s util t-lr n'hiiphinéi
^^^n- i)urli|iii-> U-jîiTs c!wui;cinrii!s Ivpogni-
1 |jbH|Uir«.
ti. iMiiLii'i'i Mol;)miithonis Cïruiuma-
^lica lulimi, UTUfznitu & luctiplcUila. —
^BjL D. L. — Et à la /îii E\('ti(lt'Uil
^^Bb6eWwt Slrphauus, Parimti «iniiu
^^L D. xtvm. IX. Cal. Febr. I11-8.
^^^ Edition de 1S48, uns autrr cliBn^jttnettt
<|U«- lii date d'iiniiô«- sur le tiln-,
7. JoiiANMS D('Si«iuU'ni Grainiimlic;»
prinia itili^enli^siint' recosnitii. —
mfiis c\ ufticiiiH Hoierli Slfphaui.
D. L. (!flk*ndisApnl- lii-4.
8. JoiiA?i?ii» Dwiiaulerii Ninivitœ
'ntâxis quarto nlilii : niin Indice \o-
tlanjin. qimnun ntiL ronsInK-tio, HUt
(OificHlio itisitînror ("Si. — Parisiis vx
ieina liobifrU' Sfvphtuu. m. n. l. —
n h fin : E\i'itdi*LKitur LuirUnr . iirino
n. LU. V. Ccileii. Jmi. iiptid Cantlum
rpAoniim ty|>Ographuni Regium. lii-i.
Il y n iri de la nrafiuioii. A celle «^ti^in
ifuaria, ilr Rnliirrt , J.S50 , Maitt. Allll.
, 58k, ji«i-rtit ((ii'ii ta ftti elle |>orti* l'oii-
iSûi, aM'C! le itoni de CluuHr.1, aniiii t'a-
ium. N'iMiruit-il (mu vw en nuiii nu f\t-ni-
roiii|d(*lt' 6v deux f\lJltou<t dr 1550 rt
Ml hini rcl ononct' di' m.h. lu. uo
!*tTriil-d |i.i« luut siiuplcniful iiiii* raut*- typo-
^nii)lu<|iii* t\i»vs li'N AiiiuIk^ /* Ji' Irutov
[l'iiillfiii-^ nrllt* iiu'ution Ittip pim iimilivi-
|Mjur PII inférer l'i-xistruci' rvrtnlitc d'uni:
tnlitiou tiffutl t'ai\yfum Sltf.>ha$ium, 155i.
9. TiioM.ii Linatri Rudimeiitft liraui-
niiitK'^ox AntîliiH) sernioiiein Lutinuni
vfrsa iuti'rprHcC(H)ri;io Uut'haitiiiiO Sco-
U). — Lutetiae ex oRirtna Hoberti Ste~
phani l^pogniphi Ke^ij. M. u. l. in-^.
I :;. Sd.
1 1l . TiioM.K LiniuTi dp oint'ndiitii >lnjc-
tura latini sonuonis lihri vi. Index co-
piust^ï-imuii in fosdcui. — Lutetdae ci
oriiciiiit Haherli Strphmii lypograplii
I{L>gij. H. D. L. VI. Id. Mari. tn-8. 6 s.
II. I>i»Tio\iBioi.riM |iiu'rortini a pos-
ti't'uui rditionr , anUioruiii pruductioni-
Uis, iH". iMTinuitis loipK'iidi loniiulis
udfiucliiiii, nUi('tn<'0|>s [iikm-i ad ipi^nriim
otiain \(X'al)uloriitii usum iiaiiltiliiii â»-
sue^ant. Ad iilustri-isitiHuii principcm,
ulqu(* umplii^t. l'imlinalcni Lutfmrin-
giuiu. — Lututioe c\ unicimi HvOerti
Stephani. m. u. l. xv. f^l. Novumb.
8 s.
1:2. OtcTioNARii'H pocticumquud vul-
^0 InsiTibitiir Blm'idiiriu> airmiiuini. —
Luteltae ex ofllcina llvf/erli Stepluitii.
M. D. L. I*rid. Cal. Octobr. I11-8.
I.'ï- iWlIiiiu i:rnniriuUicid(? (R. ï). Ati-
droa (ïimrmi SaliTiiitjtno, palrilio l'.re-
iiiuncnsi, «luUiun'). — Partsna cxunicinu
ftvtutrti ^St^phani. M. I». 1.. Nonis Uclul).
ln-8. Gd.
14. Paili Ma.mtii S*iio!iii quibiis
& loci Kaiiiiliariiim k'piâlotanini ot>sou-
riores t'xplananlur , ^ ra^ti^tiumnn
i\\iiv in iisdnn Epiï44jli:^ faoUemint, ruLio
n^Idilur. — hiMiae ox ofTioitui Hoherti
Skphaui. m. ». l. viii. Cal. Dec. —
M.Tullii Ciceronis £pislolff; Faiiiiliarcs
djli^'fnliti!^ i|nàni tjiiiT liactcnus cxierunt
onien,lHUi'. — lliid. Non. Dec. In-H.
6 s. 6d
78
HOBKRTHS STEHIASrS PHIMUS iSôO-ril.
15. IhE^TLi.ARAHtTM quiiMtiluU' ri'^uUu
sfiet'inleH, quîis iVsp^utfnuH in canncti
non rcJcpil : aiiltir*» Msturino Conl^Tio.
(îrommiitioes profcssorc- — iMtetiac
t»x ofïirma fiitherti Stephani. m. i>. l-
iiii. Nun. Dt'o. In-H. 8d.
<G. Lv TiuoKinE «rKiiriiiuIr, ri(»niiinV
HociiIhi, Iraduicle de \ix^f en rh\thnn'
Pran^obN», \mr Uizjin* de Biiyf, clwliéc
Mt lûrt. — Pari», Bnhfft Estif^mr.
M. D. L. In-U. I I«.
Voyez rUIi'iisiij, (lagt' SO , i l'antiM l.}44.
17. UfiTAi-iiiA duonim Lolharinjîiai
IKtcuinct fniLrtJiii l)omini (Cluiidii) Gui-
sinni , et ciirrlimilis (J(tannis) Lotliarinp,
uiilhorc iu. Hichio. — Lutetio', livLertas
Slojiimntis. M. u. I.. liï-1.
Olal. M«c-<'jiilhy. u. 8743.
1K. M. AMTO!<fii Fluminiide n'busdi-
vini^iàiriiiiuii. — LuMùr, ituhcrtas Ste-
jihatmn. M. n. i.. ln-4.
Second CataJugiin dr U Valliérf, u. 19fH{).
M. U. Wl
4 . NovcM Jesij Chrisli D. N. TcsUimiMi-
liini Griponni. mm dii|ilii-i inU'rpreui-
lione D. Eruinni. vl \elerH inlorpn'lis
(Anl. Osiandrii lliirmoniu ilcrii Evan^e-
licii. & c:opio!»o Indirt». — {(ic.wvœ) ex
oflu'inn Hnbt'rti Stephani m. d. li.
t vul. iu-16 ou 'm-% h 3 colunniM.
Lu titn* iw porUi (i'niiln: indication qur
l'<>li\irr i\v R()t>. Esli(iiu«. Lr Catalf)gu«
l'inrlli, II. 6I,uoltr«: U\n- nfMtJ Roherium
Strpfianitm , iii-|(i, r'rAt-n-ilirv du formai
des dfuv (-ditiirtifc |^nr(|ii<-s Jr lSt6 t't IMO ;
nwi.s, diiiH la ciUilinii Miivault* dr Clii-^d-
litT, cm *nil qu'il rs.1 itiitie fimnf tm peu
plus gnin4r, «■ <|iir j'ai M-rjCir aiinsl. ri qui
iv»ieu! a-iii-u-pif» à Vnt^ év n- (i-iii|n-tÀ.
O li*r4' wt riTlaini-(ni;iM imprimi* A Gt*-
■lève. Hohrrt xxv^i ^u \c faiix- à I*arb, et
d'ùllcur» rrafirct' d(> |>apicr . i>\idi'n»iiCDt
.Miïjiitc, 9\w IfiiiH'l d est l'uliriqiiL- , huiliiiiii
M'idr pfHir atlfslrr son i>ni;jiM'. (^)ur>i<|iu' l'iiiu'
xirs t»rt'inirri*s pnM!iii*li«iw àv rrt cIoIAum^
mi'lll, à |>«iir forme, il ti'fit r»1 pa» inufii^
d'une l'vccuii'iii In-sn-iuiirquabU:,
C'«l 1*' |dw^ t-aiv pruU'Inr i\v. Uiti* U*'* ■
^tiiiv. 'I'. (ir. iiiipriini's pur KoIhtI. Aiivi
flil-il trndu 1 I. 5a1i. à la \ititr dt*PiuvIU,rtii
!<•» lÏM-cK, (il gi-iii'-ial, u'otiUiiivul puuil dt>
pru rvagért». CVitt b prcitiièrt' ôdiuuti dutt-»
Li<)iiHIi* le icxte grec du Nouv.-Tfal. mmI
dÎMHM-ii \w«'l5. Iltnri raconte (Pii'f. dL* la
lloucordaure gr. du Noiiv.-'IW. 1594, Mi-
fol.) que cvWv di%isto(i fut failr |iar wmi prâi-
pmdaut uu 'toya^' n clir^al %\v. Parii à Lyon.
Ou pfiit croire quL' l'idif liu «u tint du
l'jailrriuni tfuîncuplfs , iii-fol., imptluK- )'ii
1509 vi l'ti ISia, par ïlturi, |HVe d.- RoUtI,
cl diiiti Iwjucl le5\tTWt* sout di^tHV pjM- de»
cliilTn*!! aialw-s.
O'Ilv pi'lilu iflilioti suit 11- li'xU' df l'iu-
(ol. du lÂM). lA u-rniiHi dv la Vu]^tL* iK'-
vu|i« la coloiuie iiiti'rieun', vt ct'llf d'Ej:ASiui'
UftI du vMr de» marges. Dan» lt>^ éditioDit
.Mii»anlr*, Hfiiri rnuplaw la ^i-niou d E-
raânif par rtlli* d** TliwHlurf lU* IWiu.
he Uonp, Hihl, Sarrw, fuit nniwnptrr qw"-
la ilati* dr n* Mtluiiii' a t'Ii* |>ar lui mh- d*-
■ . u. xia au lifu di* M. II. LI ; vl MaiilAiri-,
Ann. 111, S0â, cuunnne i-ette olntT\atit>n, cii
avrrtusatil que le x a vW ^Tatlô. L'inliliiHi
Uf iHHnnut èlrr dr 1541 . il f»l clair qw- wl
» e»l uui' l'm-ur dr cluflrr. Lc^f cxvtnpUii-ts
qui* j'ai vti-s sont dr i5M , et u'oiil nm de
gratté : rrllr faitlr de iLilc aura l'U' apfn;uf
nt-ndattl lr tirai;i-, i-l ri»rri;;it' sur iiii immlirr
ptits iiii luifios fOiisidiVidpIf d'i'ii'inplaïri'^.
Vuici uiH* n'aiidu di* ('hrvillicr, Ori^tii-
dv rtniprinu'rit* dt* Parii , \*aep 1(3 t-t ^tui-
VoulCÂ. -U' me rootfuU' de Iraiisrrin-, Ifs
dvIiiiLs qn'i-lli* i*Liiitii'iit u'rlatit pas li'awr*
graujr im|iiirtfturr pmir moliMT d'ultn*ieur«s
n«liiTrIn*s .
•< Ra l'auiiff ' lïSI , IVubtrl Estivune nim-
pnma U> Nou\fau-lVMauii-ul d'tmc forme ou
jKni plu» gramli^ , *-u d«*u\ «olumcs, uii il
pliKja If grw eiiln* la Vult;ati- fi la version
d'Erasme, ei di\isii li-s rhapilrt^ |»ar ver-
M-1.S, aitl^i qu'il avnil ui pralitiuè duii» 1^
plus aiitTH'n^ ui-'iiiiurnls ^rrrs et ialiiis ,
ri mil un rliîSI'n k i'lia(|ue vitacI )M>iir une
pliLi graud(* nmimodili» Ce qu'il pratiqua
! eiisuito daiw riuipn>vii<)u di' rAuciai-Tfst*-
HK-ut, raui»*rliS7(ui-folio, «1555. in-S. )<•'«'
Ia Ip pliu inieHiii Ni)ii\f«u-Te*lamt*m, cl c'r*t
1.1 |ilu« auru-iMic Uildi- latim- lui )'ai \i\ k?
IMI. HOBEHTUS STEPHANUS HtlMUS.
i9
fui l>K'iit<U suivi. Ia's itiiiiiivin'* Oiviit îiii-
IMiim-r «le c»'!»' luauifiv li-uis ftihlRi fiao-
ruÎM's el litii-* NdUVf.iuv-Tc.tlaniciiIs ru tlif-
It'rt'iilt-» \illt-s, roRiinc à Gi'iK-%e, à Lvmij,
il r*Hii, a OiK'iiu*. ï'ii lliSG, jKir rttililHTl
llantrliii ; en 1380 i-l IMi , |w(r AittoiiH'
tlfltiil ; ri) 1M13, |uir l;jirllii-l<niy Mitlin , H
la mvnn' niiniT iiiir Jf.'iii (Vn>|)tui'ti»ar Pin n-
l'Iilliitpt.- ; l'ii l.îQS, |)<ir SebtiÂlicn Hoiii>-
i-nti ; m 1%', |kar l^iiû Kiiliii-z el |iai- plu-
^iciii^ aiitit-i. Lr«. aiimi» iiiivaiilcs, >icu]a.«
Itaihit-r rt rlHiiiia.1 OiiirliMU ini|)riiiK'mil
aii'^fti vu rctti' lu*;)»!, ruiiiuV 1it4>4, â Kailti,
b Biliti' lalitii- sfliiii K-.S r|-a<lll^hllll^ i\f l'a-
il t>l Ur \iilitlili! ; Hfiié lU'iioi.sl fil ailiAÎ
à Ihii'iv, M lûhir fraut^tiUe iii-lol.
r.lu-iitu|i1i«> l'Iuiitiii, n Ait^crit, iirlir\a
I>eiila(fil(|(ii- tli; !^ Pedvglotir» iii ]3<îd,
»•« jHilrr* liiiuc» eu 1570, J57I, 15"i,
se %fMl la (li^liiK-liiiii (l(-^ (LMM'Is |Uir
iffrvs. A Konit', la llilili* ilr Si\ti'-(^uiut,
r»»U. H rrllr ilr (Ji-iunir Mil, \!&i, fu-
mil d(iiim'*i*« au |>tili|ir vu cvUv iiti'^mi' iiui* '
r ; !■( il<'|»iU ClfiiiL-tit ^III, la ^ uiftalc n
im)uinHt: oriliiiairrDinil |ar verM'ta rhîf- '
fn'-.s, avtr rfUc. <liiri'rt-iH'c, i|iir, daiii It^
DiUtit H VHi\i-aii\-'lt\stain4-nt» île HuIntI
(jtlirniir, i\fi iiiiiiistrr* ilr iiriic\r et tic
Hoftlt', tous l(-t xtTMis i*ititiiiittH*t-iil la lipio,
c«i qui IK* s»' IriMi^t' [Hiiiil iiIiwt»»'' ilniis rrll»-» !
i\v Si\t<*-(^>uîiil el lit* rlViiifuI > III, s\ iiu fti
cirqilr .lui», le» l 'M'ûumt'-'. el It^ PoralMilfà
(Ir Saluiiiuii. i)itlinair('iii*>i)l les |>n>lrAt:iuld i
!,\»M, tlaii» U'urs i>(li(iiiii>ir la niOtlioiU- '
holHTt I*jli<-inM' ; ifneU|ues-unA, {Uiniii ,
t-nlliulM|tii %, l'oitl aiis&i tcuia-, romnii> |
.iin-iit Ifa-vrrliiii'k ilaii-S <ui Hihlt^ fa/iuruni
raïuJatinnuui , i!'Aii\ers, J616 ; l'ifm'
luu, ilaiu M ItîMr fi'niMioiikr de ]*am, j
llionuu Mahruda, jacolxii r^pa^uol,
M Itihif latÎDr À iti'ux rotuiUH^«, dwit
COiilit'Ut In Vidgalt, l'aulrr la M-niou
l^bèbrru, un|tntiui- À Lvini, ItuO. Mais
Ir plus ^nittd iimulirr a nipii* m Inul U
Hil>l4> ilr r.lrint-ut MU. Vm IfiSS , AutiiiiH*
^ili>-irn|irinia|iarrurdri'ilunrr};û di* Kramt;
le brHe BilUe ïii-lâ, vu huit \oluiiii'-5.
'«M nn lira plus r\cell4'tiU nu^rag«8 d'Iui-
merii' qui aiwa pani im ce lioctn... It y
rd(> ta rat'ilKMlc di' RolM-rt Jjsiiemie
ih;ou» (ÀiuïtfUrr l'imila daiu m Bilkk* îm-
icH^. à I*ari6, trttii ; pt cibuitc les
de Lvnii ilatu Inm rdilioiw (ia
ir>7» 4-1 IftHi, ih-ftd.; ISW iiM, IBSG, iu-K,
el auirvs ;iuu«w. Ou loîl ijim-, drpuiii l«i
l*-in|M de RoluTl l'AlimiM' , rustigt' a l'ir»
(l'iniprinK'r Ij Salult- Itildt* a\iT d<*s rliilTrfi
aralKrs à l«iu li** VitacI». .laripiis Kahrv
d'F.<ilûp(fj> loA a\(iit déjà iatruihiiu dâi» mhi
HuiUfriiim Quiiu-ufiUx, iinpniiic eu IMB
H i:jt3 par {{(-lu-i, pcr^ de HuU'Jl. Rtriuird
(lu Mans , dorlt-iir dr Pan^ . «Ir t'(»rdiT de
S.-l-'raiimi\, dntuia II' Livir t\v\ ISriiuim?i,
avrr- li> Otiuuit-iitnrc i\e P. Ijiiulwrd, iiit*
printi' â I*am, iu-(nl. I.i41, par l^mcrt Lt<
l'rriix. Soi» d(M)t<- KoImtI L^liruiio a*«t vu
n-s imprfMiou», rt il est liirii [vntlKililr q^ril
roriiiA son iilpe uir vr% fvfiiipirs. Mais J ac-
quit F;i))rv fit iniprinirr la pri'tnîerc Irllrt*
it(> 'liaqui- vci'wL eu rmu^r, inuriim- i|ui plul
n (/('•m-t»'ard, dans «luii PsKiulicr iuiprinir
iii-R, Ji Pam. 1581, et' qui' ne lil puiul Ho-
LmtI lisltcuili'.»
i. Sancti Juslini |)liiltism>lu & mar-
tyrisOpt'ni. t^ravo, o\ BiItliotluTan'^iii.
— Lutctitp, p\ (itluina /loU'rti Slffilnmi
tv|»o^rHptii re^ii, regiis lypiâ. m. u. i.i.
lli-loi. 27 s.
Prrntinv et MIc édition. C'cM, J«> rrou,
û liirt qiir Crfvaitin' dit «m rxtvtptAÏre m
faraud )apicT. Livs luar^i'^ dr ri-^ t*dilinn» tir»
Tj^tieuite -Mini gént'rali-nic»! t;raiulc« et d'uni-
tlMpnsiliori élè^aiile.
3. Commenta H lus piiorunitii de (]uu-
tidinnosermotic, (|ui piiiis Lifter de tor~
rupti sfniiotns nnendationi' dicpluitur,
Maturtno Curdocio rtulliuiv. Oïmicn
PiiniMioliciim, uUxi Cliriftluiii puiTi»ta-
tini accfvJant. Indices duo, Gullicus it.
I^atinus. — Parixiis ex oilirimi Hoberti
Skphani tytK>jïniplii r('i;ii. m. u. i.. A h
fin : Exnidehat Itohertu.^ Sh^phanux
typot^pluis rejïiud. Prid. Cal. Dec.
M. I). t.i. 1n-8. 6 s. 6 d.
Si fplte édition e\islf, ce que je iir crois
pat, rlli' est la huilicinc df Koliert, tl ihju
In qualriénii*. Voyei cmIi'4>\is. jwg. 51-54. S*--
iii-Ih4t, Hiïi. lin. di* Gci)f«<-, 1. U4U, iiidinur
uni* itlilitui dv 155A ut iioe de 1364. Jf n m
ai point su trarc-s.
4. Tarui.ar hro-voi* fie oxpediUr (t*»or-
lîii Cnsmiiidri iii prHH'4>plione^ Hielori-
Mi
HOBERTUS STEPHANUS PBhILS. ivsi
C(!^ : i*\ pot^U'Pnu) autlioris recojînilioiK*.
— I.utrluF. ex oflicina Ruberii Shi'fumt,
lj|Hi};ra|ilnrogij.ii. d. u. ln-8. 37 pages.
A\oc une prt-farf ilt- rnutciir » deux prr-
«ODiiPS tW Bniî;t*s, (UuV dp I54s.
Ot <^)UÂ(-tilc. niiui que le suivant, ont rit-
.-inrioDrt'-s siii» dal»', pnrn- quirti IfA piriinîi
Miir If (.i;i|.'iln(;iir di' l>>')j , d:iiL> liipirl U-a
livn*» lie Miiil |uiiiil itjitt's. .\r ti ai ftl r|i)i'
II- |Hïniin- ilrs drii\ ; mai» il est |ii nbdlde (pit'
le 5C9caiHi L*»! du nu-nu* tt>mps, et n'est ftaa
plu» cousitlêrnUt- .
5. Tabilae priiTt'plionininiialwlii^-
nijn, qua- quj'im brovissime f^ pliinis^
simc :irlisnu>tt)(>dutii ruiiipIcclunUir : iii
piii'runjin !k ruiliiiiu grjùini. Aullunr
ÏWigio Cassandrti. — Ibid. In-S.
6. TiiJiE?iTirscum nrj;uïiipnlis in siii-
i;ul;t*î wrniis f(*r^ i»x /Klii Donsili totn-
nioiiUiriis Inmif^mplls : opui^ciihi Era::ini
de melri-ï comiris i-l Vicions Fnttsli clo
roin(P<Iiii. — Lniftifv, l'XoffuMna Hoherti
Stéphane lypu-rr.ipbi Rejiij. m. i». li /^'
« la fin : Kxrudobat //uft. Shfihnmts ty-
pD^niphuâ n'iîius, Parisiis. m. v. l.
Mil. Cal. DfCpmb. ln-8. i s.
7. Sextenti\e vflprum Pucturum (ht
G<*or};iitiii Majorrni in looo^ commuiios
digosla», ar tantiem (ia«l aulhnris suprc-
nujiii niintiiin, mulluni aucla* ar Imni-
plolatd'. Anintiii Miinrinoili flo p(HHir:t
virtiilo LiIkHIiis. Index Sentenliaruiu
A Provrrhinrum. — Luictiae . ex oiti-
cina liaberh Siephani typographi Ht'y:^.
M. D. U. 1n-8.
H. Diimis Nicsei rcniin Roiiuninniiii
à Pnni|)«nn Ma};no ad Ak*\andriini Mh
niiTiP Épilomo, pr;»^**', auUiorc Joliynnr
XipbiliiUL — LuteUa', o\ ofl'u iiia HoUrti
Slfphitni ty pOi^rapbi regij. Hogiis Typl^î.
M. D. U. In-i. 4U $.
9. DioKfô Nic^iîi ttiiini RninaiHiniiii
à PomïH»io Maî^nn ad Alr^xandniii) M^-
mirn' fibiini Epiluiiu; Juinnt Xiphilino
aulhorc, el (julirlnio Bliinco Alliioii.'>i
jnirrprcifi : Ad (it'otiîiiiin Arnirnia-
cuiii, («inisnalrni ainpli:><ï. — iMirtue,
M. 0. LI. lli-i. 8 s.
SAWf. nom d'liii|innieiir, mnù a\(>c l'oli-
s'wT dr» Estii-tine. Il > u dr.t e\einplaireA qui
pnrtwil les dwavs t\v {iror^e d'Armagiiûr,
eordinaj, au4[nfl It- Iradiicleiir liilin a d(*dié
MUi iHnni;;e jiar unr épiirf \i»\i^ do Romr,
VII. Cnl. Marliûs, 15.51».
10. Rndinientii liilfi ChrUtiann!. [Crw-
(V.) LitM'lItis iippnnii' iililis. nutit* pi't-
nmiit in ituTiii n^diliis. — [GfnBVCP]
ainul Huhrrlitm Strphanum. u. d. i.r.
Trils petit in-8., nu pluUU in-16.
Pii-mier livre |iulilii* à (•cimAo )i.-tr KnJjiTl
qui \<-tioit tl'v lranA|H(rter MUI fl^ibllvM-nirnl,
41 prt'niim' iHlitinu du (.Jti-clnsnii* de Cal-
vin, Irâd. du fnini^oi* en grec. p.ir Ifenri, filu
de Kolirrt. Aiiiiii (pu- tUua ha sLxcuiûe rdition
de l"iS^, w \uliinu.- tiiut jîrtT ji'ji pmiii lo
lumi de Li \il]e, unii |>lu!i (|(tr rriiv di- l'auteur
fi du IfiidueliMir. A]ir<*> le litre p*( une nré-
fni-e prec4|iie de riuiprinieur RtdH-rl, sur la
|«l},'i' H T[ueli)iK'S iiltnlH'» t,TtT'%, le Caliviiiium*
sur les [1.1^*^ y à lU, el de lia à Mi plusieiir*
prière* tt fra^imut> de Psaïune.*, suivis de
TtïniiM'ii D^iminieale eu \erft;le toutcnf;n"C.
A tii fiti est une M.-e')uile ri)i<i ]h dulr ei\ ^rec :
Apud HnlMTlurn Sleidiiimuii .'lunu ine»m>-
tumis Sabatciri-s iiuslri, m.u. li. là >leiuù
P(>si-idi'6.niis(U IWt.)
J B^oift d'abord |Miué que w ^o[unif> ih>
pouvriit evisiei- ; je rroyoi» iin|)robable que
Henri, pour ks traduction grecque, eût eu
prrniulnrenient de (Jdviu euiuinuuicaUoii de
1 nnpnai l'ran<;oi& que ['ou suit n'avoir [wru
i|u'eii ISSJ. Je ^oyoi.<i en nuire diins Mail-
luire, Ami. lyp., JU, tWG, un autre volume,
qu'il (Uile aitui de Part» : EjtmUfHtt Rober-
tus Strfifianuj typogruphtis repus. Prid. Cal.
I><v. CW uov.) IMI. Kobeil a^uil-d pu, It»
'.W iioM-mlirr, puldier iiu livre :■ Parti, cl »'jr
ipulilier lnq>riim-ur du Ri>i, tniKlis que dan*
le jiiènn> lenip^ il inqiriuioil i ("•enêve, et dra
le U dû-cuilire \ aviiil déjà aelievè et |iuliliê
un viiUmir (fn-cdc Vi\ page^, qui, mi nuire,
èloil par Aa nature uue forinellf re]Tonei.-iiiuii
à la ij-ance et au\ crovances citliolitpit^.
Ci'lle l'fliliuu ^n«vniM> dft liS! «t |U»uriaut
liirii n-rlle : j'en jxxvM'de un exemplaire. Il
est donc aviré que b version grecque lui
|iublii'e lient iuis:ivaiil ruri|;iaiil friuii^ni'*, ri
(iml-tllrr voidu(-mi ;iiu!si nriMlniir ce li^n' -lU
IfiM-M. ROBERTfS ynePH ANUS PRIMIÎS
lom, avjiut de s'cA|>o«er À IVlTi't *[%>*' ft-ruîl
«a publinilion frant^oÎM!. Si quH«|Ur ùliiioii
«rtérinirpait FrauçoUilo 15S3 ^ieut k appo-
roitn , je n'en pu» ma»; vi, tlnii» twu )(<%
«1», rv. vni tirau^erà RobcTl, ainsi t|ii «nifs
r.itntmr il nîl i-\iilriil i|iir IloliiTt ii'u pu
■mprimn' rt publier tUuis les ilrtn >illrs fu
inùnc Icmp^, jf troLi, aiiui que je Toi dit,
pagv &S. (|(tr le volume de CoixImt, dxè de
Pnia, 1551, uVxutr pan, K tpie MailUùir a
)tarni^*^idr mis lUJ poitr IMt.
M 1). LH.
4. PnovEHUKs, Ecclesiaste, (.iintiqiip,
Siipicnro, Kcclt^îiiiisliqup. — {(jeufvr]
De rïiiipnitw'ricdt' Robfrt EsU^nnr. m. i>.
m. In-S.
Le btÎQ m ilrdaiu ^ m trn |>eltU cunii^
5. PsEAiiMEft <1^ UiVHi. en Lutine
^rançois. — M. T>. i.!i VII d'Avril. Im-
priuM^ par RvUrt Entietme. lii-8.
3. Sommaires pI hrrfs nVuciU en
iiu> d>\|>osition du ronlunu l's p!M<uu*
tisdo Du\j(ï. — IbiU. M. r», i.n. xii do
Juin. In-K.
CtA deti\ ulilioiLi jiaroiucut dnlmû» « ne
fornwr tprun \oltiiiw.
.\lbul i-\rrT<T n ficnoe sa proft^uii
d'Impiinifiir fl lilii-ain*, Kiilirii itr déçoit ri^
peudoiit \}M y iratupnrti-r ^oii mai^asia Je li-
Tn-j tmpriinr.^. Ce dt'pbcFinrut eiU occa-ùoné
éa dé|>niK» très coiuidènfales, et Moa doute
' le iMnt de loutei oci bonne» nopre*-
■ éttvA plus certain i Par» qitrdansrauf-
Mr vdif des Kefoniirâ. Il e:>t diiiir ilidulii-
quv la liliriiirit' a Paris, cl rat^ine l'im-
of/ifina^ iif fuiritt pa> ciiliéreiiienl
lèf!», pULupi'il «'v iiiipritnd un V^-
latfiçue de 15 feiiitlL-iA w-ê.^ iudiquanl U^
libres dft» CMâlo|Oi<^ préeèdfiiU, uiain laiu le
UDin de rtniprtin<-ur, qui n'y rtoit pluA, avt-t-
à» *mh'. in<ir(|UL> cl la date de l'anuet:. Voyci
tcs6o))ih, page 93.
i. tv Nouvcau-TcbUmiCDl, c\-st-à-
dirp la Nmivfllp Ailiiincf de Nuslrc-
S*'i;:neur .IcsiLS-ChrisI, tant en latin
(pi'cn rranrnis. Les deux Transi Ifitionss
i InidtiiUs du cxrc. respondantes luno ;i
t'auln' veiiiiel u vers<'l , iiolez pur nom-
bres. Brievo dwlanition d'aucuns mol*
& uianiercrt ilt* ;«irlrr contenus en ire-
|uy, dirnriles à enlendre. l'Iutrc decla-
nilion du rontenu au Vieil K N'oiiveiiii-
Testiiiiient. Stunninircà A bnef;* rerueil*
en formo d'expOïtition du enntenn ^
rliapitres dp loun les livres du Nouvoau-
Tostaraenl. — De llmprinierip de Ho-
ftfri Esttenne. u. d. lu. In-lb.
5. Al» Censuras Theolo;;oriim Pa-
risien.<tium . (|uibii:4 Biblia a Roberin
SiepUuno TM^ij^rapho Keijio cxeudii ca-
liminiose nolilnint, ejusdem (loberli
Slephani Rosponsio. — Oliva Roberti
St«ph€UÙ,u, t». LU. xxiiiJunii. In-8.
6. Les Censures des Théologiens d©
Parift, {Kir ler^iuelles ils avoyent fuuli!U>->
Dicnt r<flidainne les Bibles iniprimoes
[uirlkibprl Kslienne, Imprimeur du Roy:
auer ta response d'ieeliiy Hotirft Es-
tiermc Traduifteî* de l>aliii en P'ranfois.
— I/Olivierdeflobpr/ EnUetme. n. u. lu.
Le Mil de Juillet, lu-8.
Ce betimi, auquel qd ae peut reprorher
de |in-«ealer le <t taîb avec ittcuctilude ,
est érrit oif irato, vt les expreauQU dura»
n'y son! point épargn»'**-» ; mais il nefani pat
jM'nln-dc* \ne U** pn-st'TtiiiiKi», lant ."WH-rHes
fpi'atmiéps, au\(|ui>ll(*A, Jqmis près de trenle
ans, Rffheit éïoil en liuHe, et cela, de la
part de Ren* qui, ayant nii&siau expraue
d'enM'igner «l faire counoitre li-s i>aiaIc%-Krri-
tur>^, aboient jure hiiiiti- ninrielU* rt pour-
mites KiiM rrlAclie rmiln- un liumnii* qu'ds
niiroienl dû, hii rtintraire, accueilhr et eii<
cfNirn^er dnn^ «ton empreMenh-nt à mnlttplirr
tes Intniv K\emplain>9 de cet nii^m<'» lï^re».
Kl que Ton ne vit-nne p.-w dire que r'êloil le
zèle de L luaiKui de Dieu <pii les dnuroil,
que le rcsiHTt ytonr les Ij^its Sanil» Irtir
JM-Hpirotl une ii'rttntiiM* inilipiiilion pour de*
impressinns dans leMpielIt-s ds a*iiii'nl Li doit-
leur dr Mjir in levtes \m'tvs allpre% ilaiu un
esprit de M;«-te. I.e Nmivean-TetlaneDi la-
I
82
ÏUIBERTUS STEPIL\NUS PHIMUS. t5»-53.
lin df 15** *^oil-il on iwii urtliodoxc? lU
HwlW» rlntociini lu- lit-il pas jcti'i- à r»
lioniiiii-s i|iii %nii)(ti(>it1 ipic n-s li\n-s no fut-
sent lit' f.irîlcarnrs (jim- piuir rn\, [niur{Hicl-
(|iirviias ilVnvi* Ij^ Itihlt-s ipii •.uiiii-ii'iit,
.-limi <|ue Iwint divers» tflilioiis jwTliilIts,
incriltiil-t^lioa (lit» «11» reprcK'Iie^? F.\ vvUv
icnitli' en pht-arJ, dfA Ciimmaudemeols dv
nicH, el cflte antre, Summa Srnftrunff conrl
l'xlroil Ji^ l'ilcnturt'. |Miur la publication dcA-
<|U(*IIi» pliisimirs Sorlmui^U-s nlloii-nt rrinnt
(pie If îvH ii'i'iuit [tas itiw pniiiliun trop m'-
vère ■? lA'è pit-cr» rxLftml; m rinq niiiiiilr-t
nn |m« lire, el faire MH-m^rini; riiMlriirUun
t]ii proct*». Ij]nil>icn dr M^andalenseflclAmt-uis
ft lie prm-i'diirrx vt-d(>siasti(jacs contre Tirn'-
prorluililo f'dilion du Nouteau-TcsInDirnl
RriT, I550,in-fol. l,.-. \Vi\Av liiliui-.ïe 1.W5, Ion-
^ueincnt sHymatisèc «bus un fnt/,:t f\pur|i;;i-
loin.', et Cf|HMi(Uitt n'iiiipiinivr diiiis li- inèinr
Mpcle (15R4}, i-n li*p;((;ni'. [lur tle* .ft-suiii-s,
rontitiit il piine , dan» wn ori-an de iioIia
iiu'nn iir* lit pjift, iiucIqucÀ exprexiimut <|unt
imc '1 hi''oIni;i(- InicassuTt' ponrrott UMyi'r de
ftempan'r ji(iuv,Ir^ inlcqin-laitl n sa nbiiiien*,
en fAÏri; sortir )'nif'ii<âlioii d'uiir trop rciildt*
fin à IVtrH^inlr de la roufe&iiuu ri À iVùh-
tenre ilii l*nr^atoire.
RnhiTt , pers«xTiilè tanà vfusv , ponr-
rliaftM\ lrw|nè. et en }mtiI pour mi* inipit-s-
hiuiis di^ li'Atf» (•alUnlitjufi , »c refngin «i
Suiuc-, où rc fitt un Imn Itnpriinnir ac<pii«
puur la rinmprcMÎon ili'» ii-vle^ pnitiMiinU.
A qui Li fmtte? Ihirteiii^ l^aipiv ((;.■!-
;;dc ) , (iuyancourl , Picart t-l ruiLSiirs , iv-
jtondez.
7. Hubert? SU')ih:ini Dictiunariaiii
Latino-^ijllifiirn l[K'U|iJrhii!i, — ttuberlua
Siephamifi. m. d. lu. Iii-fol.
" Vàtf U vie dr Rtitirrt, i« rriDi)>rirar, nuopai
Sunimtt Scriptunr. uni ilfiniia ISiO te lrouv<> au
<unifiifn<-«iDcat.lc» IMiIrnile Kob«ir.<'l i)i>n«<l>if
trt» rncorr, nijiidc* Dfctm Dr* l'etba.au Frrr-
rrpla. p«<ir (airt; mir Inir QanU^tanU «««c l«
Viilf^ulc. A Ia lîo4]ff|'<>DiT.igr. jr ri-priHlnts ra ion
rtitirr la longue «t| i:iiri«-ti*« pr^riice do Tolnm(>
lies Cduarr!*. Qurlqun pcrtonnr» iticlincjil b
rivire ^ua #i nulwil Itil dar«ni<>nl prrai'xrulr. il t
4oniM lien (Hir U iMturrdr m« puMiralion* bî-
hlicjQrc «ir oioi )(r |>cit««iju«- cnfiircni Irt pmé-
culinn» iniri»tr« qui IVvnip^r^rrnl cl Ir |rlrrenr
«lia» le parti prulrilant.
Pour lV-ii(iiici' du lîtn:. vn^ez ci^riiiUi».
|MiRe 67, à l'annix- IWtt.
Otlc i-dtUon de 15S1 n'est nniKWcw {wr
Mftiitairc' ipuT Mir raiilnrilé d'AlraelonM.'ii,
Si l'IIr fvi.stc, il i-st proliahle ipiVlle a êlê
fiiîle (I Paris, el l'Ioil soiis pri-Ase loriupiVn
1531, Kolieri aliaitdonna reiti- \illv. Mai«
■■'{'«t'i't; |ia<i plutM rclh' de fltiniicK, 15^.
[iniu laipiflk' \oyez ci-tli*>-*ou.'., ya^v 103. U
M' peut fain- an.«i qu'à Genève. Robei'tnit, eu
Xï&'i, niis de nnii\eau\ litres à des eveiii-
plmre* de son (ilitiiui de IWti, el e'eul une
«éiillealion que l'on \*'\\\ se lri>mer lior-*
iréijil dr faire. 0-* aiirirns Dirliunnairts siml
en général des li*res devenus fort rari's, mm-
setileun-iit ]uiree ipi'jU ont lnetiiieiiiip MT%i,
mais Mirtoiil niiwi pam' qu'ayant i-lv n-m-
plaivs, i-l plus il nue fiut , pai' de nonM'lle%
ettilioii'i, ou nii^me de noueeauv l.eviqni->
I>i'aneoiip ineilleiii'ii , on a irti [k'U s<Hi[;è à
enmiT^ev ees .nocjerit e^emplain**, et hii'ii
moins eneori' i» prt'jier^er dt la <le5lriiclion
el iv]iarer eriu que Twage atoil plus un
tiioiu» dt'gradck.
8. I.XDEV IJbronim in tue Oflirin;!
(HohftU Slrpham) iinpnvsomni. — Lu-
teliur. M. ti. 1.11. Iii-H.
Voyez ei-desfU)ii9, |>3gi; !Kf, In liste e\aele
de tiHit le» l^alalugiieA dm E&tienm-.
M. D. LUI.
I . Ix Kicra qimlunr Evaiigelhi lînjir-
nilioncs p('r|M'lii;i', soriiriditin fit luisln»-
tnuiii ri'i'Op'iiila' : (|iii inspcr?) iiiinl syn-
rcrioiirv Tln'oloi;iiL' l(Mi conKiiiiiifs, ad
scriplurarimt fiilL'iiisiiiiplHiter & niillius
iiiâcetatiunc (mcUiti : adjwlbi eliitm ali-
qiioi Iwirt-imi traotalionibus, tk Indirn
t'ojiiosisrfiitiio. tKTMaiiiniiin Butrniui. —
0\[\a Robert i Sic phani. m. d. un. In-foJ.
Avei' uw FpilM^ lie Mariiu Biicer i
KtlfMiard Fox, KMtpie d'Krrurd, «lalée de
Slraslmuri;. x Cal. bepl. m. o. wxvi.
2. Faam.ki.. Malllm-i Mîirci LiiOiP \
jTï eiideni cnnirnriiLiirii a SU'pluiiin Ho-
licrlo ex iicriploriluiî' lùroiwiastiris col-
IrTit, Novae Giusâue ordiDaris speci-
A^'
l55d-vM ROBERTUS STRPHANUS ?RBIUS
mon. iiulhoro Robrrtn Sleph;mo. (Aii-
Jri\T miamiri ) Ihirrnunui Kviin^t'licji.
Olivii lioherti Stfphatu. u. ii. lui.
il). Jiin. in-fol.
3. Ev,i>cEL. Joluinnis niiii Cniimirn-
io (lalvini. — Olivii ttobcrti Stcphani.
m. D. i.ni. Cal. Jun. In-fol.
4. IxsTiTi'Tio Ch'ri^lmiiîi:': Rolifîtonis,
otiuiinc (jiKiiio jiuthurf. [rulii:i*s duo
iipU'IissJtiii : allnr roniin in^ii^nium :
1er verù lururuni ?^irra' ScTiptiinL' qui
în hi^ tni^ililulionibus ubiU-r i-xjiliciintur.
— E\i'i»dt'hiil Hobtrtus Siepbanus in sua
iinirinii. Pridie Non. Febniarii. M. d.
LUI. In-fol.
L*arrt%<'c Pt IV't&l/lûsraïKnt À Ccnèrc d'un
btbile ImprinK-ur Je Paris dut iHre un éxè-
ncmriit pour Ivi* Ri-(uniiV*s ; au»i at* mniiqué-
rrul-iU [tas du .se prr\aluîr uissilôl di' M'»
ns oflifi-s. e(, dt's *oii aniMi' .-i (ii'ium-,
IhtI (HTiiiha M>s iiii'SM'.s ala |iiiUti['Utinii titi
iiprfsaîuu di: livre» à I'um^ de la religiuii
ncmriit pour k
^^rrul-ili |iiis de
^^^KuIhtI mTii|ui
^^B^iiprfsaiuu dt
1 5. La RibI*
{Tniduoliun fninçoisore-
ue iKir Jran Cahin). — L Olivier d*?
fferi Estimne. M. D. ilir Lo R Juin,
fol.
le jiigt-incnt que Rîrluird Simou,
du t'ifttx-Ttstament, pape 385,
decHtv r(>\isioii 4lc (^tviii : •> I^ pliti^
•ditioin|ue jVii »yi,*\ue i-*t ilc 1M.1,
inipriRuV )tar RuImtI K>tlîi'iit»'. U's iiotiis
|in)pn-s lu'lirfii\ \ mmiI t'iif<nv plus wIihii-ïs
que dntisrt'dili^pii d*Oli\Han. On •k't-ài ruiiriii-
iw fil n-la a la Vul^ate, de luquHIc d (OaNinj
■.V'InijîiM- bi'auroup luuiii» ijUf ceux qui iwil
■ rrlimclii* apri-s lui rpllt' iiii^mi- traclnctiuii,
^^^BoBinir il rluil liniiiiur il'iin t;iiiiiil jii^mii'iil,
^^^B qu'il s'i:liiit applii|iii- drpui» Uiiig'lri>ii>s ;i
^^HMudv de rviciiiuii', il y a qui-lqucfoi»
^^Bkinu réu&si qur cctL\ qui oui su Li Liigur
^^Bcbraïqui- . Il a pu a'pnidaiil plus d'éj^anl
»u M-iis qu'aux moU.ti il a roiTmé,qurk|iii'-
lois Miu>iim-^ii'-, Il vcTsiuii d'OltvcUiii."
6. Gatkihismh, pur Jeluin ('.îilvîn. —
LOlivit^rde RoUrt Estiftuw. m. o. i.m.
jn-H <m pliiKM in-l<i.
Prrittim' pulitiiatioii fraiii^oisi' de n- VMv
uni*. lU'jii irniliiii cl publii' m i;m ,
Ajtm JuHi! cft oiivnigi- p^nil d'abord pu
^TPc d<^ l&Sl , en&uilH trii finriruis Pt public
j»ar l'aulpur ai 1553. — Tiaduil in liVbrpu.
(Mir Inuti. TrpnH-lliu5,iI^, 24 Au<:;iul iu-16.
— Piti nprcj csC nûmprimêr la Iradunlifiu
tCiiT<liip, I5W, lîSdw:. i«-lG. Le );nT, mini
n unr tradurlion laluip^ a laisuite été imprintr
quaïn- fiiu pjir Ht'tiri, en 156:1, 1565, 1575 p|
1580, iit-I6. Cf aiénHr CaUVhUaie fui |h:u
aptes Iraduil pu italifii, atluioand, augloiii,
PCûuou, flamand ci ps|tagiiul.
7. La forme des prii-res Erclesiasti-
quftj, avtH*. la manière d 'adniiuislrer les
suereinenU, i rclebrer !t' mariage, &
lu'vi'iilationdesrualades. — L'Olivier de
Jiohcrt Esth'ttnc M. ii. lui. lii-a.
8. De very verbi Dei, Sii^ramenlo-
riim, & Ecclesiai mitiisUTiiii libri ii. De
a<Iulli'rinis Nieraiaeutis lilier iinus. De
uduUeriilu Bti])li:ï[iii SK-rauiento & de
sfinL"fr)iiini uleonim iisu & coiisecnitio-
tiihii» liluT uniiîi. \)c adtd(eral.a Orna
Doniint. & do Ireniemlis shitiu MiaScT
my^U-riis libri vi. De Ihe^itricd Min^'
.siiUati^ineOnloex velerdnirirDelis I,ali-
nis consiimmilus. aulhore PeLru VireU>.
— Olivy fiohcrfi Sifphani. n. n. lui.
\mi. Cal. Jul. In-fol.
M D. LIV.
i, Lm priuium Mue>L)4 libnim, qui (îc-
ne^t^vuli'odiinlur.ruinmpnLuriu'^Joluin-
tiis CaKitii. — (Hivu liotuTlt Stfphant.
M. I). uni. \Mi. i'ja\. .Vug. Iii-fol.
i. P«tAi.«onirii libri iiiiinqne ad be-
braii'ain \erila(eui Iradurti, & sunmiu,
parique diligenlia a Marlino Riir^ru
enarnili. Ejusdein Cummenlarii in li-
bnim Judicum & in TKephaniah (,Sopho-
niani) Proplielam, rum eiusdem enarra-
lionlbus. — Oliva HoinTti Stcphani. u. ».
Lfiii. Prid. Id. Mail. In-fnl.
3. LEsQualreEviuiîîelisleà, avec une
F.\|Hïsilion tonliiTuelle & familière, re-
cueillie des t'\poiiiliun!« des plus açavanis
diKleurs Ecclosuisliqup.» . par laquelle
*
u
ROBKRTUS STKPHANCS PKIMrS. ISN
Ni
on itwit voir combien les Gloses onli-
iiairps & l*UïitiUoH, que le U'm[>s fuis^it*
on u baillé «n peupk» (.•hre>lion ^n lieu
(le l'Kranpile, l'ont osloin^né et d'es-
loumé de Jt^^iià-Clirist, & en iiuolles
lenebres on l'a men(''. — I/Olive do Hu-
bert Bstienii". M. i>. uni. Le xxv. Jan.
In-fo!.
(;'rsl II lrAilufiî(>n A' A'oiw CU*sste Sfir-
tinwn, tir., im|)rinié, en 1553, par le niiWne
Hobert.
i. rtuDiME-'STA Biiei Chri^tiiinx , sivo
Catot'IÙAniu;), j;ra!re. — Kx ofliciua /fo-
berti Stfpham, m. n. tiv. \v. Dec,
In-f6.
Ainsi t]uv l'i-ditton [irrraiiTC do !55t , et*
\oliinif iir {inrlr ni le iinm ilr> la \itlr, m (tu\
doJ. C^îKiii, Miiiu.iiipiir.Hdi? H<*nri UstimitL'.
par ((ui il rai liatliiiî ca groc. An comtncncc-
mnit est df mi^JiiL' uuc lettre ou prcfati:
l^tvinfur di' riiii|]riiiinir. cii5tiJlo des lamlM-s
gri-ci ati ffium iectortm. A In (in miiiI quft-
«|Ue« nrièm cii pyf. v\ le* Psaunit-* H cl 89,
avec 1 Oraison DoniiDiculi-, rnisi'U wn gni-».
5. S'iinz "^ijn T£D f r>oniini eleirti
inilifiliynis lilicri id e?^t(J.(',alvini] lihiîr
Culi<ulie?ieusjuveiiUilis tk'i ubliniuanuolo
TremcllioHi'braice versus. — u. d. tiiii-
txiv. AiJg, ln-16.
0. De origine, eoiilinuatione, iisu.
aiithonlatr, Httjne pni'stantia niim?>lerii
verbi Dei& Sncrdincnlonim : \ decon-
Irovprsiis eA de re in Ohrisliano iwbe,
hoc prifserlim sa.'Culo exciUUi*. ac de
earum oomponendanimmtiono, ntiihure
Pciro Viivlo. — Oliva Roherli Stfphani.
)l. P. uni. VIII. Cal. Kob. In-ful.
(7. DcPBmio orlhodoxa^ fidei Ho sacra
Trinîtale, conlra prodigiosas errore»
Micliaflis Servfli His[Hini : ubi oslrndi-
lur hœrelicoî* jure gladiï (TM'rrendos
ewj«, & nuininulim de lioininc hoc Ijuii
inipiu jiisli' Al nierito siiiiiptinn Geiieva'
fuisse suppliciuin, per J(»<itinom tlilvi-
num. — Oli\tt Hobcrti titephani. m. D.
UUl lr»-8.
^S. ipK Iheretiris a rivili niagîAtnttii
puniendis Libellug, advermis Martini
BelIiMurragiiicm, & nuvoruni acudeiiû-
(wum S4^*ctiim , Théodore Beza Vezeli»'
auclore. — Oliva HubrrtiSti'pham. m. i>.
uni. In-K.
On a Justtinnil flétri la luirbarr intofp*
raiirr ({tii s\-s\ wMiilli-r du tic-<i inutile fTJiiiM?
ik^ rr Mipplici* ; cl m, ^laiiH limtirN \f\ rroyan-
c*!S, b \rai« \hHv Ip roiid.imni' . il iir jirul
pas {la\aiilagc Mre rt-ndii i-\rusil>le par les
fxigcncrs de la plus (HiU|>çoiin«is<' (loUrc.C*;
lut mic alrticitr tpir w-s ontitu s n»* rtnisMmil
(M« m^nie n rolonT ilii nioiiidrf |in*li'\!i* évi
nrrf-uilé pi]titit|Uf. Senti put iMn- un r(^\t;ur,
luaLt il éioii iiiolTmuf, et Cahin , aiui
que !Af, di.'d'tpU^. ne le fureut pcùnl. Cti
que dit iTt-j liiiii II. (irotiui (Aniiiuidver-
»ioui*^ iu Riu'iuni). •' S«Tvohis , quicqaid
tondeni M'-iuertl , de quu niitii nuu <utu.<« pa-
let, hirluti>r crrlé (.lene\enw rripuldica:
non fuit. \am nrqm- nelus nillrçil. ii(h|Ui!
(ieur\u' nitirari \uliiil, w*tl cuitsulfix' Cal-
^inuni, nijus de disci|HiU?t oniiiiA,. nhicum-
que iti^alnere, iin|H-na tiirbantibu** idem dici
non |iott-4l. M
9. Alphabetcm Hcbraicum : accuni-
tiora omnia. — Oliva Soberti Siephttm,
M. u. Lllll. In-H.
11). Ali'IIABETUh (ira'cuiii, cumTlieo-
dori Be^a.' scholiis, in quibusdc ^{oriiuina
Gra^ca; linj^a* proounciatione disseril.
— Oliva fiubfrti Stephmii. m. d. liiii.
lii-H.
M. AMitiiosii tjilepini Dictionariuni,
i|Uiirl(i ^ ptjslrctm.i ex RulKTti Stepliu-
n\ lalin.'e lingiio? TlH^saiiro iUHtum. —
H. u. Lin. A h fin . Kxcudebat Rnhertu9
Stephanua in Mia oflicina. Cal. Jan-
M u. Lini. î vol. in-rol.
1V^ drtcrroiuè k i»r point f^rouir non K-
vro |Mir la focde et oùeuM.* r^mpriiMon d'i-
nutile» prétnn-» i-I dt-dicaccs, je ne croi* pas
toc meltrx' m ruiiIrndirtiiMi o^i'c mof-m^me
eu itilnidniuuit tri Li iirfMjnr luUiliU* de rrlte,
prt'farr dr KoImt!. O mtoiI luie faute de
l'omettre, niali^^'; IV-ttiidue de h citalinii.
■< /to/'. StrpliaHUi LriJori. Pemiinini est,
quod inler hoinMu*s aliqut re|>rrianlnr ea
nudarii^ À impiNlnitïA ni aUenum labo-
I
i-vm iid M* lttMml«T irausftTaitl . c^hiitin tui»
•Jhuc scholuKiin t-sAt'oiu» , i tilerciiiiiM|Ur
quaiitopcri' opiisî fSM'i Dictionariû iulv|p-u
atqu<! cmcuiiatii, iiiAiiiiiimiis imtaunuT at-
(|uc cnUMiilarr DictioiiJirium Oilcpiiû. Quum-
(|iit' ^illfT('Tnus illiul lion siiflicfif cœiii-
niii.s aliiid 1111% uni tiltTt', t|tKMl Tlicsnuriiiii
Ijii^u»' (iidiia* iipjH'lla^iiDiM. Ad iinoil Ali^nl>
\ciiduiu |i(-iniulliM litinu If^mius, in priniLs
rorum qui suu ronitncntariis I^i(iiia.s aiilori^
e\pliciiniiil... (^iitini(|iK* co^ilarcmu<i ali4|uiil
ailhiir rflicrrr iV certiiu éi mrJiu», dt^iiniiA
op«*r>ni, til Cicen» nrli-*ru|tie fjuMkwn piiri-
tati» vi authuritiitU diligt'iitiT le^fit'ulur.
C^iu in gi'Ui-n- iiKi\ini(i% uitii' ïiidirt» i-un(v-
rimus ru-|nmus dcuuo iiuprînicrc iiu-
ktniin TJtOiaunitn, luiu lomefnm , uim
ai^rtitrs, &:r. )I(tr «[uuiii «in^ulari quadam
ditiçt'iitiA Al itiduatnâ i';;iu<iiiii6. quîdfiin io
AquilniiKSi snc Lu^dauriiM Galtia Typo-
graplù . i)iiil)u« iiuiir lilMimi uuii lirebnl
pru|ilrr n*piim priiili-^inn) iniprimtrf-, rdi-
liuiuin 4^'pini Mut>ipititt(, uddMilc» tutu
(ticlioiio, lum furnus ItirjUi-udi C-V 'IIh*-
MUro uiwtro siimplas, iiitci'duai di-c-mi liura^,
inlerdura vif^tnli, aliquamlo diiiudiaoi n>-
lumitam , notniuni|uam rtinm unani iiiUv
^m. nuoticscutu|iH- ipwrtmi itiiprt'&sia
\ni(li(iniH- i-^t diAlni<-l:i. tiiiii- tk illtiu* vwU
luul iiiiniita quinlani fragiiiiiiU, i-at[iHr pno-
ribiu addijiit, l'iim iio\a M-iapn- rpiiilolAj Ai',
\ec \ero UtU ronipibli>rit)UA (quorum m>-
minibiu parco) dÏMiniulavi. nie, quod niîhi
Turati futTaiil, juit nico \ eiidir;iturum ; id
quod (lertc lior tnii|>an! faccre volui, pnnwr-
liin quiiui uiU']ti'\t>rini cos Telle adhuc U-
bruni isEiini ruact-narr, mrum 'l'iirsaiinint
cDiDpUaudo... qucDi nos poslicmo aduiita-
mui. niiTi^nik-i ca, ipio; int'udu» »tint ; cl,
qiur n'tlutidant, rfscraiile» ; euniquc augvn-
Urs firaTa cliam adH<*oli'jt N'rc hi-
ttituain luDgaiD qii4Tt*bm de lii qui in Ger-
mauin liunr Tlicsauniin niiiiractuni iniprrs-
uruiil. iiotani iiiMiipùiMtrni Priimpliuirii ri
daiilt'», niiii lotl{;i^si^ta rpÏMulà. . . ^ieqnc
pliira dirnin tli* <■<> i\Kn l'hi-satiro, qui Viiit^
Iu4 cftt tinprfjuus ; in (pio ne ra quidimi rr-
raia rnirudavenint <|ua? uoa pitclernii^ra-
miu ; lantutUDiudu fp-atra ii Calepino in il-
lum 1 hr^urum tmiululniiut... Eiitudom
{wlcnuii lupc omiiia derlarafe îii {>rxfatioac
iillrnu<i ruju«liitn liliri. Mfl non tant oppor-
Omo IpiitptirL' &' liMi> qiuin ni nliiido Jlf|Ue
iiitfinini'iidi» istu lilii» Inliii'ii itulfin quoi
niilliji t^iTaloruiii (tfpri'tiPiLvi. . I^am pn«-
lor ûfM-rui ratiimt-ni lutarLi mulUi (quo* ta-
niL-u uilq^ra ivliquiuius, ni) quid Oippini
aucii amalore» a nohii detrarlunt qiierercn-
Inr) Quum operis uostri exempbr
fint-udatuni darc arbilrâti t-^.K-mu!i, in (.'vcu-
drndn poranduin ftiil, A: *■% li-mpitn' prv
slandutn, quod lifit puluil : pliim idia.% jif»-
.stiturt, '\ilan) ai Domiuiu lauporem conimo'
davrril, non in hoc castigando, ccd novu
ptûUL* l'unuaudo Nrque vtro inUrim
ctïSsaUial amici it^Mt Allanli Immrruft mp-
ponititc^, ail «rmtiidando nu»lro Lnliiin* Liii-
Çtix 'rtinauro ii aii^mdu, gi-aTiM)Uc dîrlio-
nibiu rormiM[Ui- adjitjendî^ et in no%o
OriM-iP linijua* Tlu'aatiru aliMihcndu, in (|uu
eaindcin 4ptaui in lalino. oliM-nalam ralifv
Dcni couspidca, ux optiiui« drlt-irtiMiiinUqui-
OnBcornm granimatiris, poclis, rlictorilitu,
uraloribus , bi&luri<^niplûs , & «ariannii
rrnim Mi-iplurilHi.<). Q«.i* diiin ttlii, ItTtnr.
nu^nis \i{;ilii.i |iannilur . 1 kum prr-
riLiui adilu , ni \in-s aiiininM|uc milii A
arains au|;eal, quo a nohis rippla. abquandu
perFi>cla act'ipiajs, ftiam in lilcris Mtrrts, Valc.
Va ui'be. M. D. i.ui. Cal, Jul. >■
it. Fn\Nr,isrj Hulonuuii Commonla-
rionim in Oraliunw M. T. Cic*^ronirt pn-
mum vohiniPti. — Exrudcbat H'tberiwt
Stêphunus iii sua uflîciiiu. Anno H.o.
Liiri. IJib. Auj^usli. In-fol.
Très ratimabli» Commcntairr^tdonl la suîtL'
n'a point paru. Ce pn.*nurr >ulumi' ne cod-
tidilqur Irme oratsoiiii, prv P. Quinctip,
Sesl. Hoscio, Q. /ïoic/o, f'erritKt Septem,
pni .V. h'ontrio, A. Crrc'ma, prv Uge Ma-
nilin. Dans sa rn'ÊKt^, Ir conininitalMir iç
plaiiil P!i rt'A ItTnii» de l'alliTatioii dw \o\ic»
dans la ptu|MU-t des i-ditioiis dr Cicérou :
' Adhiliui manusrriptorum (--ocbaini il
corum qui cv iniprrssornm offinni!* priMlir-
ranl , numtTum non par\nin. ('■<igno\i in
iinpn'vis lihr» Innlitni n'^iu^iiantiam ac dîit-
!M.iisi'n>tnn . ni ipM' (npiuur) lullius , si
nMi\i<tivnl, sua Ita-c M^ripta y\\ U(;uiluru^
l'ssr vidi-atur « Lrs rommoiitiùrc» Mir
ii-s VtTrincs mïiiI dôdirsà TliwnlonMJe Itc»»',
par uuc prv&icc ipi-dale du l'auteur, datée
tjt. Id. F«b. M. D. trn.
xn
HOBERTUS STEmiANUS PKIMUS. îM5 w
M. D. LV.
4 UiBLiont^ YtiljfîiUi odilio, in (|tiu
jiuta lli'bruH'oruin versiHtrii nilinnoin
sin^tla aipiUi viTHJhus di:<litii-lu :^unl,
nunit'ris inu'fivis, qui veFsuuiii nunio-
ris, quos in i*^^!^'^^!!!!!!^^ nuslii-* no-
via & inirgris, posi lit^ras niar^inaUs
A D C I> E K 0 «tldtdiinus rtsiutnaeiit:
lit <|ij;L'reiidi muk:^tiu Irvoris, qtiiim tilui
lanquarii di^ito, quod quiuris dciuun^-
Iraliunl. — (>li\ii fUificrfi Stfphani. m.
D. i,v. VIII. Id. Aprii. Excudt'lMil Z^-
i»ertu Stcjihano f^onnidus Ikidiu.-^. In-»
UiM' mule xt'i-^ioii, (litiix (^iluiiiifjt , III.1»
(l'un intHnt' W\lv, m> .suivant.
NtiUe reSM'inhlaace avec li!^ deux vnliim(>A
<le IMS.
i. CoM:onDA.\Ti.E Biblioruiii iilnu:^
qut' Ti'stiimrnti, nov.i- & Integra*, qiiaî
fcveni MiijuiTS iiiHR-Uan* pis^'is (at) iriltî-
sVo ox i[so Icxlu nïccrplîL', iU' similis
|>iirlibimaucliiH-t>.'i<<ii|i(>rionb(i!4. — l>li\:i
itohnti Stephaui . m. ii.lv. \il. Ciil Ki-b.
In-fol.
AlnM-loi«(it, p. tk, ajoute à rc tilrv :
fJem Ueitraice. CW iiin' «'iTiiir, ri rcji 0»ii-
vonlnncf^ iil* suiit rpti* ljitiiH'>. Il a prU mi
iiutf nu Uiliil. h(l(. Tli. 1. 1, |i. H; iiiaiA
riM'Iirt'ii > fnnnr un \ oluiu* À pari qui tt*e»l
|H)iul (K- ItolKTl.
Q'iui-ci, M* li%rai)l n l'inipri-Mioii des Sain-
te»>Kcnlurc», a\nii pmmpU-mruI n-coiinu
l'insuflunuo- dr la r.uin|iilsliuu de» Cunri>r'
tlaïK'nk lalHic!!, i-i la iitii-Mtlt- d'iuiirliuriT,
rt |itTAi[iii' Ji- n'I'atrr l'um'ien lr»\:id du uiui-
iit'lnrii*. Dé* 1537, il a\»\\ inanifi-stc l'iii-
Ifiiliiiii di' &Vii iMTUper ; niiii.H vr fui mii- ,
leuEtil eD 1555 i|ui' Min {mijct fut réallw,
el, ilAttt b prciart; de i-v» i^iumidaiicf» h>
lîiir», il rji pi-umol dr st^nildnlili^â puur Ir
t;rec. Sa nifnt troji prompU' rcm|W>ci}iii d*ac-
quillrr a'tic dfll»' , et Iw seuN-s Cauror-
douccs du NuiMrau-Tc«tunHiil funul pu-
IfUr» m ^c l'i kitiu par Itriin, sun fiU, eu
4W, I «ni. iii-riil
J. JonA?<i.M!< (^Ivini lluriiioiiiii (*\ (ri-
biis K\iiM'pM'ti>>li> rf>iii|Mi!iilii, Mnllbu-0,
Mfirto & Lucy : adjurnlo seoi-suni Jd-
lianno, qninï \vAWi.\ riini itlii-^ l'ommunta
habi'at : t-um t'jihini romriirntiuiis &
ejnsdiMn ad Si'iiafntn Fran**lordi;t' ï*'pis-
lola, (jeiieva?, Ijdi'ndis AumiiiliM. ».
LV. data. — Olivn HvhvrU Stephani. u. 1
F). LV. XVI. liil. Oct. Jn-fol.
i. J, r.ALvnts in Aclû A|>ostolortini.
— Ibid. M. l». LV. [n-fûl.
y*. })K PiRniLi tiraM-aruin tilonmini
lioL'trina UbtT. Loduico Enocvi aulhore.
— niiva Hoherti Siephani. h. d. lv.
Id. Mai). In-H.
La date est sur lelilre ulà ta G» delà pré-
facrde l'HUletir : AdolejcrittHlis Genavtns't-
im$ rriuiuuanr suit tliu-ipuli.i .
CHIi- (•raininain- mî trouve «pielqucRiU
rfliw à loMÛIf dis Paralifumima ^ntcn de
llriiri Est. 1581. el îtlor» la ilaii- tU- sou
litre wl radié*! par «u (uipicr ciilli- au lias i\r
VK fuuilUi.
.M. D. LVI.
1. Ei'isTOL.E omnes, lulitii'. In l*aiili
A|iusloli Epistoliis, aUjuc oliain in E[ns-
tolani ad llrbniH>s, iù'ni m CanniiiiU!^
iVtri, Juliannis. Jacobi & Juii^L', qu*
oliain r^tholini! vucanliir, Juhaanis
Calvini, quoniin han».- i;ssc n-cugcilio-
ncMii (Kïslfonuim ex Iwtione utqtK* rollu-
liuno ciiin prioiibus doprelieiulot leclor,
— Oliva kobrrii Stepliatti. u. u. lvi.
Iii-fol.
2. llusEA, Jocl, Ainos, .\bdiaft& Jo-
uas, hpbniifo, i:uin Tharpiin , id csl,
f.haîdaiia Puraphrasi Jonallian, Ik (^ora-
nirntiti'iis K. S<>lonio larhi, K. Abraluim
Abi'n Ezra & K. D. Kindii; vurÎLt» Ivctio-
aihui» Lvv nudloruni oxemplariiim dili-
gcnli odUuiuni? in margino a<l^Tiplis.
— Apiid lidftertiim Slephanwn. m. u
Lvl. Mfiiiii" .\dar. bi-i.
.le iTui* qui- w viilume, de (jt'Ut'W, l'kiti.
ipi'n la »n-ili'' je n'ai pn» eu iNK-niMou d'exii
M. D LVU.
iMiuiT, n'a |H>iul do ru(»|)orl a\it' le» tnii^k
MiliiiiH'.s lii'ltrcux des XU |'rlil*-l'ni|ilii-ti-*
tliirinr» » r.'iru, clicr. CliaHii^ EslHiiii<*t I5S7-
litj, lur k' pruIntMUr Mf:i'rerii<k (J. Mrrcirr).
j^^ A. niBtiA wirra latina, jiixUi vcUrem
I ât S. Pa^niiii Wlcris Tt^sUijnfiiti, Tlieod.
B<v-;p Ndvi Trnl;iliom*m l'um tiolis l*'r.
ViiUibli, &r. — ((ïc/trid") OliMi RnUrti
Sirphnni. m. d. l\i — M. ii. u\n. 2 vol.
m-rol. pour l'Anrion TcsUum'nt, 4 |»oiir
)o Nouvfîiti l'I pour la Liblc tics Ihltr(tit.
Chaldaa, Gra't-Ai, Liitma Rumina.
I A b lin dti Nuiivuou-T(^stauHiit, Cal. Bdar-
^^^i. M. n. LVII.
^^H 1^' !Snint-au-lt^tuitH!nl !se trouvr cpid'
^^VptrfntA M-pân'infiil, et j) parait <|iievrsrii;ra-
plairi*» M'parù's soûl ilalCA de 1556.
ÉLa Yul^ie [Trctiaiio f'eiiii)vii carnctèrn
«Uii, occupe 1.1 rolminc inliriciin*; sur
Ira (II* drvaiit, ru liitrts plus fnr(rs. est
\iT»int) [nova) di" S. PJtf;iiiiii. (.oinrnl
lifiii", v*il d'upr» des mrrrrtiuii-s df sa
..».iii, lr<iii\ii'>k sur deu\ exnii plains d'iuie
(-tlilitiu .-iiiiiTtnire, soil d'apivA celle d« Fraiw
roi« VataMf . tjut' l'cdileiu' d ImprinitHir
(li( avoir élè ri.TiiL'iIlu-s aux l»?^ii4 {cj: un )
>rv &a%itiii profi-^M'iir par BvrlmiLv, l'iiti di.-
•itiditrur«. (>ut'lc)Uf^iiiis uitt prt>li'iidu
II- ci'^ 4iiilr.s, aiiiM que la plu|inrl di- tviïvs
Je la itildt- iit-4. de ISiS, .sout dt- Kuberl,
|ttisectMi\tit du num de N'uuIjIc pour Taire
:r de» .lAH-rliou.s cptrlituefoin peu orlho-
irs. Ce fail, Iteaitaïup conlrotrrsr, main
iMHi prouve, t-sl initinlenaut de Ires petite im-
|M>riiuic(>. P"*tr If \ciH\eau-TrsIanieiil, â la
\iilf;ale r!>t jointe en sooond la xrnucHi de
rtiÀMlun- de n<v.e, aocompaguée de m-» kIick
c( «pii pdroil ici pour la preaii«re Cois *.
Ca4I« reraiofl laliii«dcT)i4oilorr «Ir IWw vsl
ri CUiis^C'lM Prolf^UDU. l>«noinbrrDX cli<in-
imli et ctim-rlion^ întttMluîU pdr l'.iuteur
la cint) ou «ix t^itn|)rr«iiuiii fdilvs cIo :>on vi-
rt |)«ii »ri> •oin*. y ^labli«M.-nl dr* tlifli^rcfif-f^i
ironi ttu funbsrrattrr tri «lécnncn'tvr |<lu<
■nlrns leclcttr.
Ij-s |j\ii-?t upun Yplm, pris sur le leste uliir\
re<oiuiti pmir le plu» exact, (t'iui de la ]*aly-
«lutlt* lie Xînicht'Â, soitl IraduitA par Claude
Biiducl ^Baiiue!lui)f qui y a ajouté tjurltpie»
iiuleÂ. KoluTt E<>titiiiie, fpii. iton p)u« ipiears
di\iTi':i pan'uls, ue pn'leuilil j>'iuini< s\- fnirp
lioaiHHirdulrâ\ail d iiutnii, reitd eomptedaii^
rt' litre th- b paiiiei|i:ili[iu de e!i:ieuii de eiH
satatiU. Ixs \er<<4>1s koiit disliii(.niê?t elcliifTrM,
ec i|ue déjn HoIhtI avoil pratiqué daiu mhi
^iûiivcan-Tostameiil |;rpc et bliii Ac. !5àl, iji-8.
Ce u'êtoil pastiiui-à-fitit uiK-iunoiaiioii,caroii
a \ tt tpie le fia/trrium Qitinfuples itr Mjti père
n t oit \rs \%-viv\y, eliilln*», aiuM que )di»ieun au-
tres \olumtis liihliiptcït de divers Iaq)rimpurs;
ruau i-e fut M'ulenu'jit aprésc*.^ troi» votiuui*»
de 1557 que l'ujîA^e di* cette uld<; diviartiii fui
pronipleniciil et praque^oéralctncnt adopté.
Vme/ ei-dcîwus, pag»- 78.
O'tle Bil*le est d<'piii» loiiy-teinpsforlrartr,
MUS ccpt'udout iM-aucoup exciter la eoiivui-
liM> di*s euUectcurs de livres sacietis l'I prr-
' PÎI'IIX.
3. Liber Psidninnim I>iivirll!4.TrHlatto
I fluplM vplus 9i mtvti. ILti* p(»stcrior,
I Santift Pagnini, partim ah ipso Pa^nino
î rw(ij;[iila, |Hirliiii ex Kranfisci VaUlMi,
ïlt^braîcartiiïi lilerarum profis.-ioris rpion-
(Jani Re^ii (Tij(itti!isiiiii> pnplcctiotiibtis
, rnuMuiaUi tk o\(K»lila. Adji-cla- sunl an-
I nthUUioiios C1III1 4'\ aliiiniin t)-<ilationo,
luhi voro l'x Coiiiint'nUiiiis Hebraiorum
ab ipso Vatililo ^iilil■pnlc^c^clfc^.sis:lJua^
( jjiiiiiieiiUirii v i( o ktloribiis e.ssi* jwte-
I ninl. M. D. i.vt. A la fi» : ( jd. Jaii. m. ».
L\il, — (irtterip Iriipi-iiiifUil Hoù. St&-
, phanux in sua oflicina. ln-8.
I.e C^liiliipiH- de Heurt met : ■> Cum aiino-
tntirmiliii.s ditTitMiiriliiiK ipiàiu ipi»* iu tJiblio-
ruiu vnliiDLiiie liâhebanlur. >•
3. PsALMi, ialim', ex Hi'bru^o, inlrr-
; proto Joli, r^lvino, cum ojiis Conimonla-
' riis. [Ccnevœ) — 0\\\a lioherli Stephani.
' M. D. LVII. Idib. iul. In-fol.
1 Avec une OHiez curinisr préface de Calvin,
dfllen Crufvir, Cnlendas Au:;iwli, n.D.r.»iT.
I) V nriid eiiiiipte de su iir pSAM-r el de «.■«
I rtiule.s, cl fuit un oHirt e\p<iM- tic MU pa.vsa|;c
;i la rcli(;ioii ri'foniHV.
SR
ROBERTITS STEPH.\NTS PRIMUS. 1M7.
i. J. (lAtvixrs in omnes Ëpisiolatk.
— M. n. Lvn. lofol.
CvUe rrimprcMion d'un xolumt' pulilii-eu
\â!fi pnr Ir tnèntr Robert, u*rsi«l»- prottolili^
Bii'nt na> ; Mmclovoi-ii, sur l'aulnritt' ilt*
i|ni rlli:i.>i4.iUKnlioiuiêL',.iiiru iiiU 15â7 au lifu
drlSfifi.
5. DicTioNABiou M pueronim lalino-
galliruiT) , i'X (Kk^triMna rci'Opiiliorio R.
SU*pbani : in qua ittnnmi ronsilio qui
qiiulidiano et aâ^iduo iiâu in dut-endi:^
jiivtmilHi!t oxerciUilissinii siiril wljprUi
csl sin,*iilonim verljoruin conslruclio d
rioininiim rr^imrn, ni-rnon dic^Tidi Inr-
muh'r sine quibu^» \îina illoniiti >ii;nitî-
catio n'ctc dii^ncisci in>ii poUr.il. Huic
siibjunclum ost Dirtionariuliini Ciallj^^*^-
Latinura ex poslrcina cjtiâdcin rwojîni-
tlone. — u. D. tvti. xvu. Cul. Maii.
In-i.
6. DlCTioN.^iRE dcsinoU franrois selon
l'onlrc ûcii \vHniR , uin;»! que Us fault
csorirp; avw les manières de parler
plus nérissain^; tournez en latin et ant-
pliftez de beiiucoup (mur riititilé dtys
enfans el autre*. — L'Olive de Uuhrrt
Estienne. ■. D. lvii. Jui. xwiu. ln-4.
Ixi ilru\ àliltoniprècèdailcs, cte 1M< ri
1547 Mini inlil»ln-ft Lm motsfrançou teia/i
i'ortirr drs Irttm.
.ra^iiL^d'almrd cru cp! în-4. ri li* purc-
dmt iiiqtiimo a l^n» dnii» riialiUiM-mcnt
ly|Kit;r;ipliiqtir tlflaîW' |>;ir KuImti ; mat^ un
pliu anipU^ l'umni iu*a (ait nrnnuoiliv qur
\m\s dm\ sont d'inpressioQ G«)«%AtM', rv
que prniivf de rtite U prcbcc du premirr.
Ou y tuil auui que le prOlre et p-amnuirien
Maturi» Conlier , le noif rt n-spectoblc
auteur de In l'ivilïtr puérilr ei lînnMtf,TV-
imgkv vu Shimt |to»r eawie tli* n-lip»», tri
qui iitnunit A Oiie\r <ii 1364, prinrtful du
Collpge, étoitf en 1^, à Li lAte de l'école de
tdusaune {moAtmior). Voïri luie |wrtie de*
nrêfaces de ce» deu\ solume».
■■ Hof*. Stephmuu .Vaturino Canif rio f.mt'
santifusià schoUt modcralvri A'. />. lius ar-
cepi tilrra» itecupalisAimiUt Iumh dudi ii|h*-
riiiii iil luA- ro(;atium utîifiiormn- Cum-
nii-tilaritM eniiD tuoet iij dïilicha ilh iiHtt-ttlia.
Caluius inM-iipTa nniaiue, uiipiv ;dtK le htii-
{;mtos impre.(;iii iht uUuori qiiideni , ul
(tpiuor, dtlif^tu quàm Uileli;e jun olini te
prriieate ipw feecrantiis. — Nmtro puen^-
nini l)ii'lion;inoki. i)IUmI eupieba^v lit deiMi'i
ni'iiijuiivi'ti'iii, uil pra'liiiii re\orj)to, ei^u,
in -srIioU- \rsli-.-f I ju^aiinrit^is |iultuitniiin
f^raliam, addidi quir Mdeltas niavilnir; niiii-
pê diversité NerlHjnim À ([UuruudaDi L-tiam
nomiiiuni r<Mi.«lnirtiour>. pro dixersn eujii^
qm-itiguifiealioue ; frcquciilion-» item in quo-
lidiaun Miiii(tii<- liM|Uuhi>iiej), adjeetis pnrri-
puivriim autliiiium, qm illù um Mint nomi-
nibus. HaTumuia characttTil>n<i |iaulo niiuu-
linriljHs tndiea\i V.\ ixMtra ofBciu.'i
liUrnria. m.u.i.vi. viti. Cal. No\einI). ■>
Du dernier lolutne il y a deu\ t-dilions.
awiiit l'iuie cl l'autre VH fiiiilleK, et wm-
libtili-^, iHUif c|ue)ipiei cfimvlimi^ el augmeii-
laitons iiidifpuVt Mir la M-rmide des deuk
impri-^^ioii», dual le lîlre, qui porte le mol
Petit a^aiil yVc/ii>«n/>c, a ii-s mots : t'oP-
rîf^ê rt aiii;mrntc par f'autfirur. La prvfarc
n^-si plus la m^ine, el on y lit rc qui suit,
qu'à di-t'ant du Milurae je copie daU5 Malt-
larre, Ami. 111, 703.
*' A]irè» axnir re\ea A' rrenrripé noire Die-
tîottarioiiim f vi /«djtHLMê i-e qui Iny dêfail-
loil, u> mu pareillement icxea et currigé
cestuy-cy, qui k juinKuoit coustumienmcnl
À l'autre, idjoiutaui les m»bi, et maiikre» de
parler rrani^»e<i qui dé&iil)o> enl De ces
di-ux livrets le pourras aider pcndanl que
trat,iil)i'rf)rt.« à réunir uftMre Latino-Gatli-
eum, el Ir graml Dictionnaire Fraiienis-ljlîn,
ne cntuuu d'ameinliT iiml ce qu'autrefois
avion» commencé |H)ur le pmutfit pul>lir, roti-
«TTinnt uosire langue frani^wse, "
Celui-<*i va Hn\ m 1559, réimprimé à
Paris, ehex le fiU et elle/ le frère de Robert,
Robert II et OuiHes.
7. TiiAicTKde la Grammaire françoiâc.
L'Olivier de Robtrt EsUenne (4557).
Ii»-S.
f)n lit il la fiu : •• (> qui pourroil rester, A
ftÇaTuIreunimfuI riiasqnemotM> doîbt es(!rir«,
et les piiu ei)mmuiM>A manii'res de |>arier
François, »<■ irouveriNil au )>clii Ihciion- l
naire (>an^oift-Laiin, que nmu aconit imprimé *
ee»le pri*»ente année m.p.i-tii, au quel [|
cesie partie de [;raron)aire dvfiiilloil pour 1 ar-
rompliuemenl d'iceluy. Le tu I>iT»'nibn--
(^luiqiM- vins dal*' Mir le tiln*. ce volume
doit virv {tlan-ii ToitiM'C 1M7, <-cItff date i*-
Hiltiiiil du pouagr iri mpporti'.
Cv tiu^ioc traité fiil réimprini! dès l'anurf
suitanir.
M. n. LVlll
<. Traicté (Ip la (ir;immairo fran-
ise . par KolwTt EsMenno. — I/Olivicr
M. I». Lviii. VII. Sept.
<\o Hahert Eitienttc
3. G\LLir.E Grimiiimlice^ libelltis la-
0 v(Tstis îib llonriio Slcpbano. —
Hiva HuUerti SiepUam. m. d. lviii
-S.
I
^^P « H. SIephamu tectori S. O. L'I iù v\W-
ranim (|iii)fpit- luiliotiuin li<mutùljiiii^t|ui per-
(liMYiiitiF liii;,'iuf iimtnr lii-^idcriti IctieDlur,
I inicnirr )Hir<M>inii'i , ipiif dr r.mmmnticii
\ GaUin erant à mAns mllrrt.i. k tio^lro mt-
moDC st'nplu, in laliiniru «rrlviitln ctirjivi*
I miu. . . »
[ Ap
' ses
3. Uatibini Cortlfrii Coinmontarius
leroruin (Jequolidiimosernioite, &c. —
Apud Robcrtum Htephanum. M. n. ia'III.
"i-8.
4. .\i>agiori;m ClitUades quutuor cuiii
sesiiuîiTntiiriii . Di^. Erasmi Hototxxla-
mi. Ilujf t'dUiu iimltis graToriim latino-
ruiiupie aufhoriim lociw enieiidatiorcï^
*\\uim iii Hliit^ suit editioniLtus, indicBm
Upîti longé iocupletioTPm habet. Henrici
Slt'phani Animadvpraionps in Erasmicas
qiKiruiidam Adiiï^iorum exposiUones. —
Oliva liuftrrti Stephani. u. n. lviii.
lii-ful.
1. Lal. ill, po^c lis, tUliiioii d'\ii-
Victor.... " Apud Rob. Slcphammi
Script, llwl. Ang. et lSfi8. 16 aJ
Jiuliiit. -
La prttniorr indtcaijaii csl claire et exact** ;
sfvniHd' winhltToit êuMir iV^Lslcncr <rtiii
Ht' Rot). VMmiw, d<- 15SH, iillfï
À l;i fin dnipifl srmil ■fi/rr/iut
Ktctor. On trouve «t liûtaricn dans \k Kc-
ciieil d*» HUtoritr Au/;. Sc-ripiorts, Rob. Esl .
Î544, in-R, rt aawi dniis le troUicmtr vûlumir
d« HislnniTis Rnmoitu, ISftfl. S *oI. iii-8. di*
H . F.<>ti(>tiiif*, mais daus nid .latrc* voliimi' dr
n*s Eiiiprimcum.
M. H. LIX.
1. JoM. (Ui.vtM l>)mm[?iilarji m v
libmsMusK. — h. d. lix. In-fot.
2. Glo6s F. m Irfs ^.viln^l>IUlas , cum
J. (lalvini Comineiitariis, adjccto noor-
smii Johanne. — Oliva RoOerti Strpham' .
1559. In-fol.
Miitlur« dotv ce \ohaac de 1560.
3. iNSTiTt'Tio chrisliunai Kolifçionis
in librus qualiior nunc priinùni digt^iita,
Cftiisqtie tli^linrLa aipiUbu.^ nd apti.'tâi-
niain incttiodriin ;iueU] Hiaiii tam ma^îna
accesàioiif ui projtctnudiun opiis novum
hahori po-wil; Joli, tialvino anthnro. —
Oliva tiiifn'Hi Sh'pimui. — KxoudL'bal
ihhertUK Steplmituti. M. d. i.ix. wii.
Vi\\. Seplcmb. In-fol.
Atw \iw pn''fa<T ou dcdiratr à FraiH
ijol* l", datée de Ba^Ir, Caf. tufiuti {\"
aniVl], 15.%. et qui, dans rin-folifi d<> 1533,
remplit douze pap-s. Un a liraiimiiii lout
ciilc profare, et file le mcrice. r.'i-sl I enivre
d'un tiornme «iipènour, p\ rounni^uiit bjea
tes aOaircA ccclniafttiqucs ; mais il ur faut
[IU prendre le change sur l'intcnlton de laii-
teur. Cainn avait idip trop luiiiip saf;;)nitt'
pour cnHTcr un seul instant qu d persuada-
n^il le Rui Tn-v-rlirt-lieii, nu au moiiu lui iu-
spm*ri>il \\n idi-cs de bon vouloir pour les rè-
foi-ninlinirs. I> paralU-lf, parfoû ïrouiqtic OU
aniiT di% dt-tix diMlriiit», relie rondaimuitiou
de liogtnes dcii"'* -■*' louR-tcmps reçus i-t \t-
nén'>, rcs r*'pr«chcs an clergé catholique Hir
le r*'licliemriit trop rtri et trop roiiim d«
ses fnfriirs, ne pmnoienl »Hre aenieilli^ par
lut prince dont cvs dnlrânen^ et ci»» rërriroi-
nalimis andrarinienf <i fl»n«nufieiii le* con-
virtioufc de eiHisrieiire, les halniuden de rell-
t;ieiiv devoi» <t ipii d'adlenr» avoit à w>
ta
ROBERTUS STEIMIAMIS PHIMUS. ISTO-RO
dire uiir \vs (IrMinlifTi J iiiii- ivnrlii- li'i»|t iittiri-
liriritM! lin rIiT{;i'', u'^illÎTiiit'ul iHiriiiM'nii'iil l.i
AaiiJlrti' lU's aunoimrstloctriu'ns, ne- iiuuvok'qI
^rt' iiu motif |>Dur Icii n^jimT, et uc Jc-
voiciit diitÙDiUT i-Ji rit'ti lu \«'iu'i-alini) <lut-
aii\ t-rrU-âniliqniN qui rt-stuit'iil liil(-lt-.s:ilrinN
ulili^tiuns. l^iniil aux imy ijinmlrs nclif>-
M'5, aii\ o>rÔ4 tir jMtHvoir, n'i-î-l-il (»as ni:iiit'
fr&li^ i|iie, Miit du Icnips de CuMn, miîI
^vaiil tiii. a[irês lui, l'I imijoiirs. \m\\v n*-
lùfinu <iii (Toyniirc qui aura |iu w i-eridri*
}irt*Ai{iio mii\cr4flle, nurn eu lurnie temps mi
coiiqurrir et iMiiv-uilirr n| nrlii-»M--H. Sjiiis
pJirliT d(- liuu>, Ir cUt{;Î- aitglîrati nVii i>st-it
|ui» lira- iirpuM' vi^nutr. Si, mi Au(;k*UTi-e,
i« frv^bvttTieus, rt, jiar Imilr rEiin)pe, Ir*,
Kt-rDmirâ u'axuit'iil ]Wis, on cIil-z i*ii\, mi
:iiil4>iir irctix, iljiii.'t leA aiiln*^ t'r()yaiir«-A, un
A.ihitatrt' oltiticto, tit- sanrou'itt-ïls pas nussi,
mnlgrf TaustiTilr Jf Inirs doctrim-s, foin- ar-
rivfi- liHir piViiklr de rirlirwi'v mmiiljiiiit's. i-l
de liiiil n; (|iii rii i-st rarroiilf>ai;iiiiiii'iil.
Crllc I)i'-dic.iiv p%l donc une |iri»f<'Asion dr
fm^ une diTluraliun iVrile bien niuiiu pour
le loi qui' pour le puldir ; <'i*»l, »i l'on veut,
un maiiifi'^U- ûduna*' mam lorme n-siicctin-uw
à un puissant priiici.' Irnipori'l ymv uii apiifrc,
un clii'l'de r*'lornu' ••pirniu-llt', iilors («twh-
lirlIiMni'Ul a l'ahri dn^ (lnnf;iT^ d'uiir (flli-
pill)liraliuu,i-t ipii lui atiui atott sa pui»uiuc«>
el u force. A\t*c Ir dnir, l'espoir de |>m(ua-
dpr, Calvin tilt chcrrhc k in faire lire par le
priucc ; il etkt tlûpoM- m IVilirare bicii pim
dans le scn> dr sa conrUi.«i*Hi , h laquelle il h>-
mil arn\é iK-aneoup plut «tir. C'ni la. qu'an
lieu dr eouIruvtTM- et de dt'iiign'nit-iil, il v a
de l'oDeliiiti, de lu rlialeur, un laiif;ni;e .'insAi
floovriiahl*- qiu- perMUnif; ou aime â y Miir
ttt iuMiaiiouA à riudu[(;t'i)œ. dc^^quelleA CjiI-
vii), quelques années [diLi tard fill êlê Fort
InuaUp de m rcssouTeuir ponr Ini-mèuie.
Si hal)iK'ment qu'ail éïè roiislrnile relie
loupie plaidoirie iii bneur des upiimtiit»
noutelU'.\. il tmt iHTnitK dt* doiiler i|ue Fnin-
ijtàs r'' eu ail jamais pm terinre.
Coni|iarali%etneai â ses K-improLsintu «ul»-
iinjueiiles, iV-dilion première <le V Instilutio
CJtriitianif Hrli^io/ût ptiuirriii uVire eoiisi-
(têrét* uu«' niinmr une t-lhinjctie, t-l les jci-l,)-
tvurii du prolrsUuliMne ne lAri^^M'itl point eu
«•lo^>A Aur la perfi-tlion ii bquelle tv rurpi dr
dtKiriiies fui Mirrr!k>ivemeul amené |U)r «on
ouieur, jUMpi a rttlitiou de 1550, par lui di-
visai eu quatre livif^, el la duruièrc â laquelle
il ail donné dis soins.
l'iajli' prisiiim; que réditioii rieBnsle. 1536,
uVaï pas lii |Hemicie, mais malgré *ouol)5cr-
valioii rien ii'i-sl \enn iudiquer l'exislence
d'une «liliun auleijeuii;.
Cahtn IradutMl hii-mi^me en fraix^oi-i miu
ou^^a^e qui ue (ailla ^Kiiiit ii êln- lu en ita
lien, eu e»pa^iul, allrniaud, aiig1oi« et fia-
man<l .
t. PK C.CP.^\ riomini plana K perspi-
nia TrîiftaUo : in qun Joarhimi Wost-
phiili {^ilimiiiifc |ii>strcniùiii rdila- n*|>pl-
lijutiir. TlidfKJ. U('?.;i injlhore. ^ Oliva
lioltrrti Skphani. m. ». li\. In-H.
5. LE<iEs Afwdrmiîf tloncvcnsis. —
deneva', Oliva tluitcrti Stepbani. m. d,
Lix. In-4.
G. Les OiTl(>nnaïU*cs Dcrlesiastiques
do rKLtIiso dftfîonovr, avec l'Ordre do
l'Ecolr (le UidîUi l'ili'. — fien^trf , Hottert
/isUcnnc. M- n Lix. In-i.
7. Oriïiie de IEcoIp de la cite de Go-
ncve. — Cenne, HohfH Estifnne. M. n.
1.IX. lTl-8,
M. U. l\.
^ . Le Nouveau Testament . c'est h
dire la Nouvrllf Allinnro do nostre Sei-
gneur li'sus-Chriiil. Revpu de nouveau
ol oorriîïé sur le greo par l'avis des mi-
nlslrcsdetleiieve. — L'Olivier rie Robert
EsfirmK. M. D. LX. In-16.
Rétnquiiné tu lbr>7, iuK, et \Sfi», i(i-16,
par Kraiiixiis I[, liUdu Rifberl.
2. .loiiANNis Oïlvini Marmonia ex tri-
luis Evangelislis romposita, Malthiro,
Marco fk t.uai , iidjiint'tu seorstim J(>-
hanne, qudd paiicH rumaliis communia
liabi'itl. Cuin cjiisdt'ui Cotnmenlarii:?. S*>^-
niruLi mlilio. — Oliva Rnh^i Stephani .
H. n. t\. In-fol,
1560 ROBEKTUS STEFIIAMIS FKIMCS
ÉDITIONS SANS DATE
Ck \alitnjr cl le précvdriil, conttnuiir»
|Hir RuIkti, d'oiU |Kiru t|iie duus Vauoiv-
i[ui a suivi sa Piort, ju-rivét' rrrtaiui'Uienl
ni 1539. ris aiiroul rtr ariic\ùs Jaiis son
luiprimerits mjîI par Henri bo» fils» soit
par dt'îi (fIIlpluV'|'^ ou pK-poscs (nidroiitpiej>.
l.'Di' n'iinpn^siDii tie ]âi>3, aussi iu-ful.,
en fiuic de mima à Gifiicti', cliei Michel
Ijcs dla)()^u(>s Je Roliert rurcgiilri'iil un
crrtaUi nombre ili; liMt:ts saus date, el sur-
tout fia OnÛBOiu de Cicérou , tiiipiiiu<:'-«
en petits caliien lU'pan-», pour lo ji-ititt»
tiudiojils, ainsi (pril s'vsi lowjmin prali(|Ut!
dfpiii^i. Ijk Cataltipit- lijoiilf |>ar Henri a M>n
DMliiiiir Kpislola de suw Tyftographiœ statH,
ISffll, iii-R. (ri Hir li'ipK'l M>yc/ 4'i-de»M>uft,
page dS ) , les mtrniioiiiie auMi , tuaiâ unis
cellit M>iili> iiidii-aliuii gi'tirralt! : « Oratinni-s
aliquiit tlircroiiU .v-()i-.siim e.\i:u.<ui! iii puci-u-
run ip-aliam -, ce qui peut faire croire (pi'a-
lor», et i G«»ijê\i% il u'i'u a\ciil point à
vendre, H \vs plaisfii daiu re CatAJogue
wtdrmmt pour mcmoire, ri ((imrm- devant.
tii;tiriT dans la ntiincurlntnrr ^\^■■<, impiV-ssiniu
de Miii pm-. C*-* divtTse-s pit'i-i-s n'aviiii'ul
NUIS dmite ru iiililuli- ni date, et: i|il'il ternit
peu utile et pi-ulialtlt-nteut iiiiiMi&sihIi' di- l'ou-
fttaler, les livrei<i d'emliers étant rondnmnej
à périr suctx-uiv émeut iiàu-i Ws jeiuieji mains
qui en funl usa{;t-, li a:s OnitM)iis pI purlirs
srparêrs dr Cieémn n'nvanl dii iiispirei' à
personne l'idée d'en roniier dtî trÔA iliipar-
faiih (x>eucil.«. ,lr dinnie la liile de ce» raliiers
d'eoule d'aprV-v. Im Catalogues de Hulierl ,
«ul rensei(;iienicnt qui les fasse coiiuoître,
et j'y ajoute b trt» dnliiiative mendou de
tpieli]iK-s V allumes dc])uiA cites mus dali.^ |uir
ittain- et autres , »ur l'autorité de n-?.
me* Olido^nii-s, cl qui, pnil-ViliT punr
plujUTl, n'i-\i<ttrnl n'-elInni'JLt que diitt-ï,
dl'jàTi^urniil en leur luxlre dam le COU»
celte nnnieiicbture.
Les Catalogues de Ruitert ctaMtMeni ainsi
liite de cesdixiTîic» pièces.
Oratitmum stHfrfium in ijrntittm pu^
rnrum ^xcuMium twwina.
^. CicKitoNts Oratio in Catilinam.
Iti-ii. 10 d.
2. In EAmtEM ComiiiontariaF. Sylvii
Ambiant. !n-8. 2 s.
Roliert a Tait de en Cooimmlaires au
moini deu\ édition», dont celle-ci |iour 1»
ivremière da Catiliiiaires. eltme autre pour
les quatre; tar, dans dru\ de m» Catalo-
gues, l'aonoDce du caliiei- eomplet esleipri-
niéfr aiiui qu'il suit, et le prit est de 6 a. au
lieu de a s.
3. Iti Caliliiiariari M. Tul. Cia'rvnis
Inv(H^tiviiîi F. Sylvii Aiiibiuni Comineo-
tarii IticulenliîNSimi. ln-8.
C'est aussi le formai de toutes les pièces
suivautrs.
— Onitio in Pisoncm. 8d.
\>T(i Archia i»oela; pro M. Konleio.
Gû.
Réimprime en 1539, avec une Oraison de
pUw. .inteijuam iref in exifium. Voyez ci-
deutu, page 4D.
Celle diflercDce prouve que re cahier a
clé ri'inipriuié au moins une fuU ; et ces
pieo's, que cluiipie rennoveilmtenl de l'aunèi^
scobiri' fiiisiiil inimanquâblenicut loilcver à
:;rinid intudire. nul dd, rliaciuic. avoir plu-
ML'unt réinipi'e!ijûuu&.
— Oralio pro M. Cœlio. 6d.
pro A. r^H-ina. 8 d.
pro A. Clucntio. 1 s. 4d.
pro L. Flacco. 6 d.
— RciniprinK^. 8d.
~ — pro M. Miirci'llo, pro Lij^rio, pro
n*^f iJpjnUiro. 6d.
pro P. Quiiuio, pro Rosciocoraœ-
do. 10 d.
pro lege Maniliu. 6 d.
Mailtaioi. Aiin. Typ. 111, 4"0, dit avoir
rencontré c«4le-ci avec la date de 1553.
Réimprimé. 8 d.
pro T. A. Milone. 6 d.
proL. Mnriena. Hd.
proSt'.\to Roscio Amerino. lOd.
pro P. Svlla. pro L. t'.ornelio Bal-
b«. l's.
n
nOBRKTUS STKHHASUS FRIMUS.
4. I!. Cmsw Sallll^tii in M. T. Ck»*-
ronmn Onitio. id
6. M.TuLLlt Ciccronis Khelorici, seu
dp invention*' lib. ii rvimM. Viihii Vie-
k>riiii Hliotori^ doctisiimi Cûiimienliiriis
Sfljianilim n\(irwsis. In-1, 4 s. tUi
C'nt sanj ilonli: Têilitioti dp IM17.
6. AdC. Trebaliuin M. T. Ciceronis
Topifa. In-S. 6d.
7. K ToPicA Ci«*ronis Anitii Manlii
Sovcrini Buctii Commenlurius. lii-S.
3 s.
1^ six étlilioiu drisasi iMS cmt toatt» W
Cominriilairp de Bo«t, rt rr^vendimt 1« der-
niers f'jital. iiiim>ii<;.iiil ci-lli*-i-i »ii prix de S s. ,
nul une ^titn- (tlilitni di- 6 il., i)iii iii* pinil
t^ln-(|iirilii t«\tcn(i. CVsl \.iiiit iluiilc <|iifli|iif
n-Atc d'uiif i'-dil)(»i |iivinim' faîte ■%'aul que
dans ruiiiMT \^ii», H<rUTt ail eu en Coni-
mcutairek à ta diifUMiiou. VA\e aura vti* dt*-
lai».<ivf \iar \v» ncWietiiit, iiiiî. Ictiijours, an-
ruiit i>réfiTc rédilloii ronminrtUi* (|ii'il fallut
faire six bis, ru ISci», IKtU, 1S32, 1535, 1540
ri I5W,
Je Ml' cnûs )ias i{u'u\irr nii unH Im Cuin-
iiifiiliiirrA, il y ait, d» Toffua, ducune éditiou
»ai» date.
M. A. M. Se\. Itoolii de DifTorcoliis
lopioi^ litiri iiii. In-H. 10 d.
Intprtméeti 1S30, 15S4 ri 1BS7.
9. Ali Maucum BniUini Otiilor. Kxpli-
catiixiUMniiidjim lororum diflinliunuiM-
(hon> l'Iiilippo Melimclithuntv Iti-lï.
10. VicToiiiH Pisaiu [mtm'ii Ventîli
in M. Tiillii Cicffonis oralorein comiiien-
UiriiMn. li)-8. 4fi d.
Il uf faut pas coiifoudre tr Commun la leur
avtc Tan^Jen Klièlfui- e( rummeiitalfur des
ti^rt fie ImvrmtioHe, Marjiis l-'abittA Viclo-
rinus.
11. M. T. CiocnoNis Diiilogi de Anû-
ritin . do Sonoctiito : cuin Enismi nnno-
Ifllionjhus. In-f).
Ce doit i^yrv rtVIilion -Je 150.
M. Ai.iMiABKTii lu'lircii- ln-8.
I.î A.B. C.li>-».
îl a d»ï arrivtT que ces paps de |ir»niiÏTt;
iiulrurlion aurntil v\i: iniprinirci K n-impii- .
mm, sall^ i)ii*il y .'ii( eu liiii de songer à leiU'
dimiuT lilra ni date. ]
U. RniiMENTA prJinu tutina? tmim- 1
malices. JoimniiP Pollissone Condiiensi
îuithoro. lrï-8. j
Les Catalogues di* Iloliert ounoucent deux f
èdilioiis, miiwri forma, dii prix de iU d. Ce .
diiil tMif cri iii-H : et majore^ is.; ec seroit ''
l'in-t. dont il y a deu\ éditioia »\cc date,
Xaa et 153.1.
1 5. KjciipEu lVllis80nis modus exumi-
uand» constrticlioni^ in onUione. !n-«.
4d.
M Y n un ûi-8. de 1544 el<U:n« édiliuosin-4.
de 193S.
1G. PniHA pan Ummmatitvc Joltan-
n'is Dos])Qutcni Ninivitu.', diligeotifssimù
txTOgnita. ln-4.
Rim De nie prouve que ce u*ett pa« l'édî-
tiuii in-4.de 1543.
n, CoNTEXTCs univereaj Grammati-
oi> iX-simiiiorianœ, Johaonc Pcllisaone
Condrieiiâiaiilhoro. ln-8.
Jt y a un hi^4. de 19S5. vt de 1547 un iii-S.
f|UÎ r»t uiiA doulerelui-ri.
18. FxKMPLA do liitinu l)tM:tinulu II
piirtiuin omtioriis, iuithoro MuLurinu (lur^ '
derio , rogîitu Jacobi IHunci , graiiuiia (
liforum liypodidasrati m (iytmiaî^ioNa-
vurraeo. Im-8. 20 d.
Nf iroutant ce volnme e( le suitant qoc
Mit le» i\vu\ Catalogues de Roiterl, de IM6
ri 1S52, jr nVii pim indiipin- d'édition |»ri-
iiiili\i' aMv diitf. On U*. ri'toit inipriniC a^ec
(li-s :iii^iiiriitalioiu, Recognita rt atniat et
avti: un appendice, par Holieri ou Henri, ce
qtû n'r:il p:in certain, mats encore saus date.
lîi. Amo & alla Yoriui t;nllire vorsa,
mm iicconlibus siiikt utiamq un nique
(liolioiii'iii si^^iialis. — Pnrhiis, Robartu»
Stt'pimuu» In-l. i d.
«OBEimS PTFPHANrS I»H!MIIS.
93
20. IlLXUERia tiull«ni An» venirica-
Uifiu. lii-8. 3 S.
EJJtMO de issu, ou u copie.
21. M. A. Pi-MT! Ampliitryo & aliae
iili(|uolO)niœdia!. In-ful. H n,.
Sur lo Olalogiir de Robert, 1546. Il ae
piitt i]iK> (Ttle impruiftioit partielle et Irci
pfii rmitini' tk' Plante w m)i( aulrc cliosc que
quel(|ue<t i-\i*ni|itain> itnn niliiT» ()i7»t*diti(nu
(Sf lAâSou 15;^, (loiil nn mira nsayii iletirrr
pnrti ri) Icv unnonrant pour ce qu'ils î-toicul,
ri à bai prix.
Mailluiic. loujour» il'apn's le Catal. de
Heuri, iiiitiuiice uiis (|jili% ri rumnir ne foi-
uol ipi'un Neul iu-tol.« Ir^ Aiinotalians dv
Guill. Itudv »ir les HniitlerlK. i-l %ou Iruiii'
De ^nr ft farti/uii ejut. Ce soûl deux ^o-
lumr^ di.«Uitcts. 1.0 volume De Asie ust Tia-
fol. d<* W\t. inipriniû \\^v Voscosan pour Ro-
bert Kshnine. &c., cl \và .iwtotaùoru tauX
de 153.), aiiuéf d.im bquellc R. Kstitniie len
a int}triniée& At,m\ Fuiv, aussi iii-fni. Voir à
ces driix AiiiitVs. KVfô el LS^ii. C Buda-i
Epistolit, iu-fol., iwirrillrniftil uiinci(ii<(*. r»)
pwl-4trv quelque fragment M^^iarrr de l'un de
ce» %otunie«.
23. Albbiiti Pitiiiii Apnlr)<|;iii Hdvt*r-
stB novwm Marci BencvenUiiii Aslronc-
liam. In-i.
f> livre, que, d'après le Catalofnie thr
leurt, iMuilIain*. paj;. '!) ri 10:), noir o/nit{
Xohertum Stfphrtnum, inws dair, r-sl de Si-
III dr IViliii*-:^, \nA,, v\ nin^i dalè : —
F.xnMU-bal Suniiii Otliiumt liiuir IIK-lluni
wiiuid>ua J^latlietnjtiennint I>i's<Mplîtianini »tii-
_dK»ta admoduni ulitrni. Parîui» M.n.Liii.
Dertin div luetuift Maii. - Maittaire s'est roc-
liè JauA lei AiuioJes r)|>ugr. II, 637.
%Z- Le Trespaa, Ohsoqupsel entorre-
ment de François premier, Itïs deux
spmions fuiu'hrt»;* proT>oncés (*sdii'tos
fqiioiii, &c. — Varin , Hab. Esliemie.
Le S.XTe ol i^uioniieraoïit du Hoy
Henrv, deuxième de œ nom. Ibid.
In-*
Crfle rêinipresûoii. pmliaMniietiUk- 1M6.
ni li'ItifA iljliniu'N
2i. L)k MEMORABii.iHts oL cliirià DIU-
lieribus alujuot divfirsoruin Mripto-
nim ftppfa. — Parisiis apud Boitertum
Stfphanum.
Cité par Mailliire, d*a|»Tr» DrauMi Bibi.
a. Je n'en ai aper^ oillcnn auauM! trace.
cftT\i.ur.i;ia urvinitAtiX.
DE LA FAMILLE DES E5TIENNE.
Avaiil dr clore réntim^lioa des lirrrs
puldirs i>ar le premier Robert, je vaisdoiuirr
ïesi dêtaib uécôaair» sur In llatalogiu-?) que
jc réunis toiu ici, parre qu'iU aurtiii^il été
(•oinnic* pfrdiiiv daiu le cours de ces lonf^ucs
iimiH-iirljiliirrft.
1^ premier Robert Estieiuei puIJié plu-
sieurs Catalotçue» de ics livres; apre^ lui,
Ilciiri, son Gis, en a mis uu & la suite du
\oluroc H. Slfpiiani f'putoin Je su*r Tifn/
grophitr slatu, ISfiP, in->t. Un autre aiisù
de Henri t-st nmitionm* dmit le t^lalngue
du Dt* Tliou, 11. fclM. Après i-e dernier,
je n'en cunuots poiul d'autn» . ni de ce
même Umri . ui d'aunm des autre» £»-
tienne, pat mi^ie d'Antoine, qui. cepen-
dant, imprima Ix'aunHip. <-t pendant une
longue suite d'année*. Mniltaire. dans ses
Aniuitef TTpo|;Tapbiqurs. a rêunprimé en
euliiT 1res Cataloguer, à l'excefitiiui dv celui
«liir inittiliuiuie la RiU. Tliuaiu, v\ de cpiel-
4ues feuillet* «ippléawuUires dont il uc parle
point non plus, pirce que, vxws doute, ils
ne iiotit point rvnus à sa ronuoiM-iutv. Cca
snpplemi'Uts coii<tislrn( m une Nutiiv des
iioiitrllrs pidilii-alituiii ilt- KolM-rt, «ers 154".
et un ap|^i«*iidiet: de ùx paf;es |>our le Cata-
lof^e de Henri.
Dieu que oes dÎTcn Catalogues soient ex -
tr^mrment rares (rariuimi et tngenli prelio.
ruftune ledita^cf' raiMUi Mniltairr), je ii'ru
in'pnwliitsrepi-ndaiit iriqurh^t intilulés, jiarcr
qu'on \es r<^lrouie réimpriiué» daiLS les Auii.
TfP'^P'-. et que, d'ailleurs, Intrensei^piemeuts
qu'iU peuvent fournir ont été mis en œuvre-
|>ar Maitt.iirL-, d'abord imparfaitement duiA
la Vie dm Ksticuiie, plus diJiftenJOHMil dul^
le» Aniuiln. cl de niiuvrau par iruti, n qui
lUoni iiii-iMi- rief<H-i iilil)-^ .si <Liit% t'HlsUtin-
94
HOHEHTUS STEIMIANTS IMtlMUS.
«Il» MiMiUrt^ j'ai réimprimi' quelqncv-uns fie
leur* Catulogiiri, rVit parc»* ^w, juM|ii'à
iiolrt' litiips, J» nvoiit)! i'tr loiil-fl-fait imt-
ilii!) tlf 1 1II* ; iiiie, i\rs nrcMiif-rs, un w. cnunott
<]u'uii st»l r\ciiipl.-iin% i^ À peine deux ou
trois Je «"lui dr 15G3, iu-4.
i. LiBHi in oQÎL'iim Kob. .Siepbani
pnrtitn nati, piirtini resiiliiti et excusi.
— H feuillets in-8, sanstUiLc, et tout en
lettres roiniw.
C'«! le premier dw CalaloRiies de Rolteii,
Il tr»t raiiff- [lar ordre :ilplial>rliqiie, H 9\tc-
li's prix. Les UXtvs y ioul fort abW'gi's, saris
dali'. cl, pmir u-ulc iriilirjiUun de rurnial. iU
Miiil qiirlt|u<-fui.s siij\i<i ili-s mots mngao valu-
mine, parvo rnluinine. Il iir |k*iiI ^Iit aii-
U-rirtir âU lîii dr 1341, (HiiMin'ou ) \uil
Dcspauierii Syntasijt duol la dale cil d'oo
lobrc 154i.
Hrimpriuif; daii>> liy> Aunal» 'l\p. U,
p. 4634 7ï!.
i. JjHiii v;r!i:ili>s in Hililiopnlio Hu-
l»(Tti Sleptiiini ly|K>|:r.q)lii Ke^ii. luiiiub
Henrico Slcpliano |)titre, lum « Siinono
CoUnaMï ejti-i vUrico excusi. — 16 ïonW-
lelsin-ït, siiiis &Mo, el, cynmio le pnvé-
dent, en lottrcs rondos, mais plus \^(^
(ttes.
Second dulalitfpie do Rolierl, mmprinK-
Omis ]rx Aiituilt^ iyp. Il, ;!)j-ât^. Il ron-
linil» noti {Ut tU*s liirv& de m-i propres pii-
lilicalious. iiuu fe qui lui re^ttoil ilif Hniri,
hon père, niorl depuis un qiiati de siècle,
H rt* ipti lui arriNoil m Itt-ntagi- foramt* (ils
de la \rM\c de Hnin, rrnifiritV à Sininti de
C^liiifji. 1> drtoil rlri' itti |uirltigt-drf>imillr,
Niil entiT \ifi, «til, or qiir je crcii* pliilùt,
aprPA In mori de ir Iieau-ptre . d'aiiluiil
mirux que je \oin ini ;itilre f'^lalngue d'im-
prcMion vt di&p<Miliau Utiitf^ &einMabl«, aiii
noms de Rc^niild rJiaudiéiv vi Chiiule, sun
liU. t!onlciui[i(, a\vi' leur* propH-s li\rts,
criix dont ils v(.'iioieiil iriiéiitcr du iniiue
Simnii de(j»lities, doul R(':;iiniild ctoil ;;tnidrr,
K Ct:iitdr pelit'Iiis H-\ lAiu iieitot). Ca' Cala-
ioffae- de tX ft-uillels, tpii e\Ule » la Bdd.
Mackriiie, ci duquel, u'uni quu d» ditei-<t
CataJij|;iirj an E^tlieunr, jt-pofMi.Mc un cxein-
plaire, l-sI dnté de M.n.ii vr, Vi/jjr Ah^uOo.
Mailtniir, riam *r* Auiintc^. III, li"-<1'.S,
donne vn eulier, iiiiu pus ce Cat^dogiie de
iSili, mais s.! féimpn-iisioii diili'e M.n.X-tviit
.ytrriJf ^-tuffusto, avaiil le iiit^te rotitriin,
sauf quelques li\ii?s de plu.s et Irtv. pi^ii di-
nioiii.4. ZMcr. des uuâ ti des nulro pour duii-
uer ceiiittidt* que ce ivonl deux inipre^^nus
>rliiréri't)le<i , qui>iqiH- loul-à-foil seinldjihleA
d'i'kértilinu. Celle dulr île 1.^6 uV*»! pa»
AUiis ultlitè, eu ce qu'elle ffiid uitMUs iueer-
laiiie i-elli- de lu uvort de .Siiiiuti <l<- Ciillue^,
i|l(i a dii n\iiir Heu, au \\\ua Linl. Jaits le»
qiîDtre à cinq pix'niiiTs luoiit de ISiS, putH|Uc
>uici en aoijl un Otiatogue d'unu eerlaiui'
êletidue, ri'sullfli d'invcuiairc. pruce ei |u)r-
lagf. de ee grand éUibliaseineiit entre de nom-
Itreuv liêriliers (/ï/hZ/oj hfTrrilrs\
Je n'ai pus à tvinipijmer iri re Catalogue,
maU voici l'axis qu'il )tu[ie eu lèle, et qui
fait eiinnoltre ce qiii'^ de* Mirent le» caractère»,
le.s livrer cl au^si ta iitaïque tyiM){;T-aphiqu«
ile Simun de Colines, que Ini-nit^nie a\oil
(■online empruntée «te Re;jiianld (Jtaudièrc,
ii qui flli- ni aliini reluur : Ia> tenip.s omt: M
fauU, et f'irtui sula acieiit reUtiuUt htam.
(Ilfiudiui^ Cùlderiu!) lAH:lori S.
Il Siuiiin Colinn-UMintursi- (■oui*edeas, mul-
lus i-fliqiiit iiii'ieili-A : in i|ui-iW ('.alderim. Mi«
liiereililale nliueiierniit OiUn.ei rlLaracIrrnt
ly[»oi;ra|iliid. uiiu euin ilto tenipitmratcireri
Dtridilnts nuli&sinni iiiHii;ni. quod ille »uis
liliris prii'figiTe soliLnl. 4JuoI<|iii)i ii^itur liUii
i'\ Calderiniia nlfit'inii proJibuiil m piuteruni,
vus cerli> ■H'ia't illi:i ipsis rlinrarlerilHis ex-
enM)>. (piibui uU wilejuie eral Ciiliuieu. Slu-
diase \ere dilii;i*t]trri|Ue enraltilnr . ni ad
rliararlenini ele^anliani iieeiHlal ejuti^aliu
trrsiMima. Hoc noluimu» le iieécire. Vatt:.
Omtiia fum leniporc. »
i. LiBni in oflirinu Rubeiii SU'pluini,
tyf>0!;rHphj Rei^^ij, (tartitn niili , {lartini
R'^liLnlielt'xruiii, (Kirtiin etiam vtL'imles
ah aliis iiupressi. — Sans diite. ln-8.
\\ feuillets, dont 2 paî!;es blanches, la
i.fet la iS-- en italique.
Ce Cataiftfîue, ijui eusie a la BiJpliolheqiii!
Rovfllc, est po^lérieur à \W^, puisqu'on y
trouve le Ttif sauna latimuliitgiut, êditiuude
relleanuiVIà : nuis d iil antérieur à frlni dt*
1541», ciir il tic coulienl pas »ni si'id lle^ li*re^
qui n'tnpIi'iM'iit le iiipplcmiiir de 4 ya^v> an-
nonçant i;li'\ nlihinis [II- i:i4(i il llil" ; il m';i
i. l.iRiti in officiel Uoborli Stcphftni.
lypoi^rcitilu R<"^ij, (uirtiin iiiili , (4irliiri
roslitiiti fie excijsi. — y. d. xivi. itii. W.
Mail. In-â. 42 fciiillels en rumujn et
italique, avec l'olivier.
l.,r>li\mM>iil raiip'** à-j»4'U-()r('» par «nJri*
ile l1lalH■l'l■^ t'I a\vr |^ prix, ur.'iÎK sans date,
H pas pliu iliiHliralHiiM tic TitHiuila i|iii> 4ur
mix i|iii prccx'di'ul.
Kéiiupnmé àauH U-s Aiituile» Typ- II, ^7S-
4M.
5. Wmc ex OKFtciKA Rob. Stephuni
lionmt. ox quo siinin aviidit [ii-
dii'Oiii.
(Jiiatrf p.iyrs. i^iippli-mciit au préri'di'nt
îiif, f| ue rniilfiiaiil (|iii* des li^ns
ll(!ir>Wi il l-'in. J'.li iiiilr plus liQuI.
qutt Mailliiin* iti' l'u [iiûiil rouiui.
I^■I>H\ lihrorum in hitr (iflicid!! ini-
îssoniin. — Lutftue. u. u. ui. In-H,
Seizr fcuilIcUf dont le xvi" ««t Ua&c ; le
** ii'atpie sept ligiin.
Rcimprimê dans I» .^nala Tvp. II. 921-
».
Imprimé cliec Robert, lonqii'il \euc)it do
ipiiilcr ta Francf . ce (Inlnlojîiu- ne porte
plusicin iKim. f( rt-tlf {in-r^niliuii i-luîl pru-
ilrilk*. 1^ pri-M^-tilinu roiiln- liii|iii>lli' il allnu
à finit'M* rîii'ivlii'r un iffiigi- , auniiï [vy
r^itiriudre daiu ne» proprittvs conimcrcialfA^
si II- dilljil en râl élé contiDuv eii suii nom.
pcul aussi croire, sans risquer d'i^tre iu-
Ir, «pir ai, au ItfU d'tMn- un amas de
ris maçasiDs ilrlais&éj» {lar RiilK-rt
4?avwiM rontnni des valeurs plus allrayantt^
pliLs fai'iliuiifnl réalisables, leii inoveuA de
ucaiinus u'auroieiii pu manqué {H>ar tu»
arriver eu la poueasîoa de quelque zélé
si II- t
il est II iTriian)U4*r uilssi i|ii du ut* vuit.dans
M-GiUiluifui*, nucuu dis %ri|iiijii*s jaliiu de la
Bible, dont il d*-voil cepeiidaiil n-iler etieorr
iiii gr;ui4l unitdire à ^eiitlre. On aura Miili
qu'il V a^oil dauf;ii' n lc> lAi!iM.-r lij;urer daii%
le Catalogue tl'iui r<-lii;ionuaii-e (u^ilif, duiil
le» diversu» ctlitioiu ciiltcrci ou |>arbdle5 de
la Rdtlr (nliuc étoient ea horrcnr aux vrai»
rroyauU.
Voiri le dtrc el les notes préUmiiuiires du
<!^laloi;iic mi» par Heurt à la suite de H.
Sieplt. Kpistola de sua: typo^raflutt ilatu,
\Wj. ln-8., et f)ue Mailtoire à réimpriine
lomelll. p. 4ۉ-4M des Aiiu. Typ.
7. Index librf^runi, qui e\ vflicinH
lleiirici Slcphaui liacleniiâ prodiorunl.
QiitlMiit iiiserli sunt uoanulli e\ m auclu-
rdiuft, i|ur>s fjus pnter Kuainm Stiphaki;*
edidil : iM^ulii'iili lilt-rii U. el S.) quuruni
|uiiu*ul.i fvt-mplaria apud iniudirni lleiir. ru-
persiml.
I iiiruiqiie itdjccta ejtt impreviouis Torma
de<:larala *irhU typograpliiris wu bil)lio|H>[i-
m : t", •tigiûlicauli! eoDi '[iite «id[;oiipprllalur
In-fol : i", ['Jiin qua; \ueattii- lii-quarlu : iti-
ilemque in-S", In «niaio : vl l(j^' iu-I6. Eo-
nim niili-m lilirunmi unruîtiiljii-'v qui uiiiinn*
vÙmu TotniJ suut, sulijiiticla vsi uula p" p"
de qua iu ealce liujus Itidid^ dicchir.
El au !»> de kl treiilc-deiixieine et deruière
yta^t un lit : Nota dia p" p" .ugnifiral iu pnno
|wino. iln viK-aiihbus quLbu»d>'m) biUiopoli.s
libres qui iniiKirr >ijul forum quàni qui ap-
pcll.inlnr iti-16.
Av(.H" Injr singulière eupreuion ffon-o
parxo, cm lil>rair(v< au moiu^ parlaî«ul la-
liu ; inaÎÂ, |>eudant pliuieurs auncM, j'ai
vu en habitude sur le.f Catalo^ue.« angloîs
d'anciens livres ws deux inols h élrange-
ineat accouplés : chartn tuajom. liemandaut
niiiiitpiiii on faÏMiit t*e tiorliamnir, il me fut
re[inudii que riiileiilinn l'-tott dfi désigner de»
fxirnii>taire.s qui, n'claiil pas eu grand pa-
pier, aviiieni neaiuuoiu» des marfjes i^randes
et bien conM.'rvéejf. A Parti, j'ai vu quelque
choM- qu'on peul raetlre â côlé de ce charta
majora. Sur un Catalogue d'une certaine
ampleur *\n aiinoni^oil aiiiM le<î VHvs et 0>ur-
b-saite» de la Gréée : Fetesi*!, (lourtuaiK* de
a Oren-. Il eM indubilnhle que le fai-vur de
f dialogue ou tout au inoins l'ouvrier ninipo-
sileur prélemloil aiiuonr«r rhuloire du la
96
KOBERTUS STEPHANUS PRIHCS.
dcmaui'llr' Kêl<'*eiT ninitm* il aaruil min Ma-
rion, otii >'rt*lillnii, rnurlMane ili' Pam.
Jr rriii^ rrriaia qii'atiriiii dt? cva aucims
l»)|irinif>ur« n'ajnniji.s riou fuit dans rc for-
ninl {Miialir et i]('{i(it> ^î ustlr. qtk* qchl^
nonimniin in-l:2; Imr îik-6 iirdiiKiire fo
Iriioit lii"!!, fl r'nura êlc tiniqiiemt!nl par i-«ii-
iinntic tir fahrirotioi) qi»-. phu Uirit. oo atira
M)itgc â eniployt-r itit piipirr un jm-ii pliiA
grniKl, afin de faire leuir Mir cliaqtir ^iiilN'
24 |wigi-s. clianine aitiAÎ graiulr ijiir ctIIoa
dottt ou a\uil riuiUlodt' de ineUroftfue sur \e
papier urdinaircniciit emplovr.
IN'inl'amKV'saprèi. Henri .ijoiiia o ce Oi*
taloguc? U' Siipplémriil (pi*' «niii, cl i|ui n'a
point clé roiiiiii de ftlailliiirr. On le Inont*
dan» cpii'lipH^ rvnipUiirt^ d« {^Epiituin, a. la
suilt' lit) grjiid ralàluffur, cl c'est aîiui qu'il
rsl vrnu fu iu3 iiouession.
H. AiTESDix ad CaUlogum librorum
oSk-inip llenriri Ste{ibuui. 6 i)ageâ et
un feuillet blanc.
Il ot Miu dalr, initis a ili) poroîlrfi en
1574, car, aunui»ratii plusîeun Uvr» impri-
ïïù's \W\nm lâlMt, Henri y pmmrt la prochaini*
puliliratiiHi drs Parodia morales t|U( saiil de
1375, fl un j trwive Fr. tfofomaui Qutrsti»-
nes, dont la pn'UÛciY i-dilioD csl dv 1573. Il
forr^'iMrc dix-lutil arlidei.
U'tkrnicr di' Imi^ rpjtC^Ulogiies ipiï Mtnt
«l'Uiis à nu cuitnouu«auce tst rdui qur mm-
tinnne ainsi le Catol. de De Tluw, 1. Il,
p. 418 :
9. (Utai.ocl's lihroi'iim in ulliritui
Henr. Stephani cxi!iisorura. — HoU.
Steph, In-8.
Kitoi U av peut faire prp&umer que Cf ftoit
Ir luéaiu que celui du volume de 1569. Jt
aura cU: iinpiime à Paris, clir7 le second
Kobcrt , pour faciliter daiu n-ltc ville , le
dflui dc inipreuionsOeucvoiscsdc Ueuri.
(^Hit'i'oiiue trou^rni inulik ni iro|> i'i«>-
du« n-iii- r\riirsK)n Mir «le NmpleA Catûlo-
ffiws iifliniiaux. Wal(;ré loiu mes Hin* poui-
cnlrr La praliulp, d m'a rté impuanUe d'iMre
pluïlirrt', rt puiM|iii.- j'ai pris la (lifJicd'aire-
pialrei- ti«ilt-> \vs édiliotiis cli-s Ksljtunp, il v
a\qir <tMit;atiou, toulr ntïlilp m pnrU de w
puiiil nrjjIipiT Ifurs Cal:iIo[;nps, dont (-li:imu,
■^i ]ii'U rtil-il (li- IniilItU. (-5t un li»rp. une
rditiou ; i-( U' wirl ih- lu ]ilu|«art de ces Uvirl^s
trani]onci:s étant de pruinplcineut périr
diVliirè.-» Kl dt'l^lnt^ , iU rimsseiii par con-
*Ulupr une Sf rie d'impiîmés rarts el prè-
ciiiu, quand Us li\rKi qn'iU âiunièrenl
AonI eux-mêmes recommanda Mes. i;nc Bi-
Ultotliéque (|ui rt'uuirail les Cataloguej coo-
nu-s des Maniiee, dr<i Juiile, des Efttivnue,
dcti Plautin, dw EIzev ir, cl de qiiHcpies autres
de ce* rrlébntes, nn-'llinii (-ertaiiiement au
rau;; de M-ft plua prcrieuses raretés celte col-
Ircliuu peu voluiuineUM: de simpln rahirr&
d'annuDCcs. J'iii doue Mli&fjui a nue obligalicui
certaine en m*expli(piant avec exactitude vt
rJarte *ur ces picct^ imnriniêeji qui cloietil
fort nul curuiui-ft ; et je 1 ^i l;)i( d'iintaut plu&
>oluulien(, que ee n'e.sl pas du luul m'ctre
ocru|>è de dérails inutiles. Le,s rtnscigne-
un-Qt» bildioiwlitpie^ et iiiiémire^ ipte lour-
UMeut ces feuiilat rodi dif;neA du ranlianee.
el prrsrpie ttMijours plus sûrs que ceux que l'ou
\a tiieii pliii) ordmairemeut chercher daiu U»
Oilaluf;i]e<t de ItiblitiiliHpics, si sodtent bii-
tifii, el i[Ui4iiuefoi» sriemmenl infidèles. Je A-
uisendijuuil a>ec Maillnre, Ami. U, 461 ;
" lloniiu Indicuni rnuuneraurnliuneai, dou
v-%1 ut qniAquani, quasi futdem utioMmque
prorfus & >U|>fT^aranejni dainnet. Quid
enim ad 'l'ypo^-apliDnim noiitjam (qiiud rsl
linnmi Annalnini În.<i1t4u1(ini} ma^s perliurt,
louant dala ab ipMs lilinirura snoi um notJlia?»
])e Simon de Culjiie» j'ai uu petit f^taln-
gtiehiris date ; Je ue le voLt mentionné unlli-
|wrt. et e'<-s1 pcut-îire aussi le strul qn*d ail
(ail. H M- ciriupuM; de duuze pogeit in-li. de
forme allun^jtv, ne resM-ndtlanl pas du tout
aui pclil.\ volumes de cvs ti-raps-là, soutcul
uoDunéa iu-U, el <pii Muit des in-16. IJ est
CD petit italique, par ordre de matières, ti*
Ires fort oliré^, et a\er les prix. Il i^onticsil
la plupart des libres de .SiuM>u de CtdiD»,
niJiis on n'y %oit pas encore l'elêgant Cicérou
VM pelit format.
FUANCISCUS STEPIIANLIS l'HIMUS
M. D. XXX VM.
4. CoMMKNTAïuoaiîM Pltîlosopliiu) mo-
llis libri très, & littolliià pro^nmas-
matuDi : aiilhore lliiToiiymo Kup. Mcli-
^aensi ('«lâk'lliinu. — Pahsiia. aputl Fran-
iscttm Stephanum, \\]n^ A clwrîirlpri-
>ut> Simonin ColiniL'i. m. i>- xwvii. tn-S.
î. VtxETKM. In (]uov;ina vilitiin, iiva-
im, vinoniin. flntii|Uii, liitina, viiL'a-
^naq; noiiiimi. \t-. In uUoIrsn^ntuluruiii
gratiamac faviircm (ÀCaroloSU'pliiinu).
— ParistiH, a[uifl Franciscum Stpfiha-
num. M D. xxxvii.lii-8.
Cl* loluioi* i-l II* 'IVtmky lie ISSU, (lorli^nt
ituinjurde Fraiirois. un v^^y dv ^i^rieilaiu
un vue : ils sotil (tctil-t^tiT Ira seiiN.
Par prrtuT tyfHif^pIiiquc . Almdovmi.
p. M. met Caroli Stepham FircOim, ce ()ui
D*Rxisli* pas.
.'J. Natuile pi-otioiniaum, in adulos-
centulonim uratiarn. ex Prisriano col-
h*cl*t. — htnstts , apmi Frattciftcum
SStepitanum. m. d. xxxvii. In-8. 3 d.
p 4. Katvils Pïtrlicipiorani. ex Plis-
rtano, in ^r.iliani ailol(»so<^nhilur(im. —
Parisiix , rxittidcbal Simon Colintrwt ,
fcumplibus Francisci Stepham. m. d.
KXVII. Ill'U.
I 5. La MANIERE de tourner loules t>s-
porcs de noms lalins en nostrc lanpio
françoyso. A l'utilité des jeunes enfans»
(•stiulian» es bonnes lettres- — Partons,
apud Frannseuni SUphanum. u. n.
" ixxvu. ln-8.
A Of Hr navati libetlus, in adole*^-
ceotulorum bouiiniai iiteraruai studic)-
&oruin fjvorem, ex Uii>rij vi^ilijs e\cr'r|>-
tMi^, At in brevein siuntiiiiliim facilitatis,
;ïrutïa ivduelu*-. Addita ubiquc ptiero-
rum CiULs;i vuliîati vuoahnlonmi sij;niH-
e^itione. Parim»^ apud Fraiiciscum Ste-
phanum. M. D. xxxvii. ln-8.
M. D. XXXVIXl.
V (Cahuli Stephani) Sylva. Krute-
tiim. Collis. — Parisiis , apud Fran-
cinattn Stfphanum , ». p. xxxviii.
In-H.
"2. (Caboli Stephani) Arbfisluin. Fon-
linibH. Spini'liini. — TarMiis. apnd Fr.
Stephanum. m. d. x\xviii. ln-8.
3. Natiiile noniimim, ex Prisriano
jiraTipue eoMeeUe. In adolejieenluloriim
jîratiam. — ParMis, imprinieltat Fran-
cisai Sifphnno fralri Robcriiis Sli-plui-
niis. v. n. xxxvtii. XV. Cal. Mari. ln-8.
3d.
4. NAri:n.tvKHB(tin Me\ Priseiano. —
Pariniifi, iinpriiiiebnt Franchru Ste-
phau'} privi^nn Simon r.nlinisuiK. m. d.
xxxviii. Prid. I>1. Au;:u>»li. 1n-4ï. 3 d.
5. Natuïi.« pnrtidpionim ex Pri»-
ciano, in <;raliam adolo^'4'nlulonim. —
Parisîii , c'xcudebal Simon Cotinanu ,
suniptibu!) Franriitfi Stfphatti, inctauso
Brunello. 8ub M^uto Franciœ agenlis. m.
n. xxxviiî. In-S.
fi Natcrar iafinitivorumi genindio-
98
FRANCISCUS STEPHANUS PBIMUS
i.ïis-ay.
ruin & supinoriim. ex Prisciani & iiIicK
rum lionnrum luillionim s(*nlcntia. —
PurtW/s, ii[i[[]rjii)d>al Francisco Sic phano
privi};no Simon Colin.Tiis. m.d.xxxviii.
Pridie. Ijil. Au}.iisli. In-S.
7. Natirae corvjunctionum e\ Pri&-
ciaito. — • Pan>t;jî. im[)riniHMil Francisco
Stfphano fratri Hohertus Stciilianiis.
u. D. xxxviii.ui. Cul. Mari. In-s.
8. Natctiae [)r£D[iositiommi (ot inter-
jerlionuni) ex Priwiano. — t'anstis, ini-
j»riiiH*b;il Franchco Slfpfumo fnitri Ko-
i>crtuiï S(f|»hanus. m. n. xxxvni. Cal.
Mmi. ïii-8.
Ces priilt Irail» dr GiAniniairr, léinipri-
mf'"i m ISUI, fl isatis ildtili: |iliij>ii-iir> fuis ni-
iiirv, mil v\v fnits |»ar< IwHis Ksiiniiitr piitir
llriiri strti iw'MMi, ÎN gnuiiim lirnriciiH sut.
U-Â tiili'rJcclioiM fuiit lin oAiivx do 8 pages,
rliifrri' a part, iprcs te» 32 pages dc$ prépu
sitioiu.
9. De recta Liiliiii wrmnnis [ironiin-
rialiorip & soriptuni libL'lluï*. — Pansus,
apiitl Franctacum Stephanum, h. u.
xxxvm. ln-8
m. M, T. CirEHOMsOrnlor r.ri Brii-
tuiTi, iitm iinrmtrtfionibils Pllilippi Mp-
laiicbtliotiis. — Apud Franctsmin Sle~
phanum. M. D. xwMii. lu-8. 4 g.
1 1 . Catonis Dislifhu de Moribtia, riiin
latina l'i <;»Uin) inleqjn-Uitinnr (Miil.
rorrlorii ] & aoceiilibus , \ lîpitonit'
Kniiiiini in si[ii^il<i Diî^liclm; h.Tc in !:rii-
lium Riverii sui cursiin nlnlsil r.nrnliis
Slophnnus. — Parisini , iiiipiJiiK'bal
Froncisc» Slephario privij;iU) Simon ('(i-
linaMis. SI. d. xxxvm. Qhiinto Mus (Jc-
lobris.
El danft le id^k* vulnni** :
Dicta Sapiciitum (inrciu*, »lii^ spn-
tenlii^ fxplii^iUi , vul<:îiribiis (Giilliris)
vpreibus rwKbta. — Partsiis, iinprimr-
bot Simon Cutinœus pru Frandaco
Stephano privi^no siio. u. ii. xxxviir.
Poslridic' Nonas Orlobr. ln-8.
Impninrpar Simon de CoUnes pour Frm-
rotit EAtitmno. t-t pnr lert hhiis dr (.liarlc».
et- voliitiie a ^aiH (Irmli- <'*lù fuit df compltr
commun .imt KolK-rl. i'»r »ii en \oit aiiAJÙ
drt rxrmplaircs n son tiniii. .Te ne Its ai ps
romparés awc n-tu iW Friiiii;tM*, mais cer-
lamrmnil l'Iiotiiu^rf Rohi-rl ii'aumil ni pu
ni *(nilii faiiY à si*s fM-re,s It- InrI df tttpier
aiiiM a su» profil lun- dr letirs publiralion».
VovM l•i^iPMll-s, paRif hl. A rliai-iiiii' de*
dm\ |>arlics de re volume e^l une courte pré-
face de r.harle.s à M)tijruue ami tiU'erio sua
(IJc la Rivière), t|m l'avoit preMc Jk l'im-
priiiirr.
12. TKBENTri riiIlKTlJiîf , HdjfClis iii
adoU'srt'ntidfpniiïi ^raUnni aiTontibus .
ik. brovis.'iiini:» ar^'unicnlis ex Dnnnlo :
AndriaAt Funiicliii:*. — Parinih , apud
Francise um Stephannm. m. n. xxx\ni.
nvof sa inanpiir ty(K><^'nipln(|U(>.-£»sui>
Ib'aiiIoiUiin<>riniirn(>ri, .Adelpbi, Hen'ra ,
Pliomno. — Puri.sîis, apiid Simonem Cn-
Hntputn & Fruuriscutn Siephatuim . n.
u. x\xix.ln-i, avec la inarqiipdcSinn'tn
d(*C(>litK*s.
Il es! à noter (|ue, de l'eiinée 1538, il y a
une édilioii in-8. (se.cla} do Holterl, et dr'
lri3K-:i9, rclli>H'i iii-î., fnile en rnninitni |wr
Frtini;ui» el par Sininii <]r<.>itîiie!i.
Dans ct-t iu'i. les )i<>iies .•ionl fort e^juicérs,
jiunr dunuer an\ rtiidinnl-s la larililé d'y
«erjre, M>il Iciir propre ^ersifiii, uiii pliilôt
Dû-lata magiitri. « Grandi UM:uli,<f cli-irarrr-
ribiH cxctiNT. ciim iutervlilio iiiter vf-r^im ad
M.'nlM3ida5nKiiTiilif»ne.- prnMT|>ttiiiini, •■ S. de
r.nliiies a iiii|ii'intt- pliitii-uis iiiilit"> vulimies
d'éitiden elavMi|iieA. ain») înierlif;m-<i. Li- r.a1al.
faii connoiliv ipie rlweiine de ces pièce» w
Triidoit séparément, an prîK de 18 d.
M. D. XXXIX
4. ViTA bealifisimi palris, D. Pelri
r.a*lciitini Oiiinli, PontKiiis niaximï, Or-
dinis (lapU'slinoruiii insliliitoris oximii .
ipii Kummo tandem PuiUiliralui renuD-
riavil. Con-icripUi primitm a Ikiniiuo P{^
IroabAliaeo, amlinalr r.iiinprarV*nsi,
Af . lortiplolata ri Umaliori stylu donala
l8l»-40-«-*«. FRANCISCUS ^EPHANUS PlUMilS
9»
il Religif>s*> fralri Dionysiu Fabro Ca:lcs-
liuOniiii roriiiiKit'iii [iriure iiiprilisâimu,
— Parisiis, aputl t'ranciscwn Siephor-
num. H ». xxxix. In-i.
Yc^ume Tort rare cl presi\iie iiicoitnu.
M. D. XL.
1- Nature nominum ox Prisciiino
prïEciptiocollwta;.— Parwiis, imprinif*-
Iwt Francisco Stephanu ]jhvif;no .Simon
Colinœus. m. d. xl. ni. N<mi. Sopi. In-H.
î. N'at!th,€ ]»roiioininiiin , l'x PrU-
ciano. — Ihid. m. h. xl. m. Non. St'pl.
liHi.
3. Natura verbonmi, ex Prisciano.
— Ibid. M. n. XL. XV. Ciil. Octob. In-H.
4. Natih-e inbnitivDruni, ex Pris-
timw. — Ibid. u. ». xl. viu. Cal. Oc-
In-8.
, NATUR-fi parlicipioruin , ex Pris-
lO. — Ibid. H. u. XL. ln-8.
6. N^Trn.ï adverbiorum, iva Prisfi;mi
sehl«n(iti. In <:njtiHiii adoloM'enluluniiii.
— Parisiis . apud Franctscum St^pha*
num. M. D. XL. ln-8.
7. CoNjL'GAisoNS taliiios ol françoyscs
do verbes arlif/. nver pa&.^if/., neiiirea,
(lé|H)nei]S et coiniituns : aussi pareille-
nwnt .Sufli. Voto, Solo, et aucuns im-
ptTsonnidz de la voi.x active et i>a.^ive.
— Parisiis, apiid Frandscum Stepha-
num. M. i». XL. ln-8.
H. Nati'h*: conjuiiclioninn, ex Pris-
ciano. — Ibid. M. D. XL. m Non. Sfipl.
Id-«.
9. NATni\.« pr,TiK^ilioniini (et interjec-
tiununi) ex Prts*'iano. — Parisiis , im-
priiuebiil Franciscn Stephawt privif-no
Simon r.nltnams. Anno h. d. xl. wii.
Cal.Octobr. In-K.
rnmmr d:iti.\ iVdiit'tn ilc |53H, In ininr-
jccUoiLs ftiutâ la tin un caliierdeJi fcuilleU,
H>]iari', i-t ÂOiutiliT.
iO. La manière de lounier toutes eii-
(«res de noina lalinî- en nostrt! lan^^uu
rran^;oise. A l'uiililé di's jennen entanâ,
esludians es bonnes lettris. — Ibid. m.
D. xxxx. Iu-8.
H. JoAciiiMUS Perioniiis de AnLiqiui
Pabulnrum, Liidnrum, Tlieatrunirii con-
âueliidine. — Parisiis , Frawisco Stt^
phano cxcudebtil Simoti Cuhnœus. h. o.
xsx\. In-i.
M. D. XU.
\. P. TEaKvrii Andria; omni inler-
pretationis 'zenero in adolesrentulorum
^Tatiam, fur iliorelTecta. — Parisun, upud
Simowm Cvlinwum & Franctscum Sté-
phanum. u. n. xlï. In-^.
3. Catoms Distielia de Moribus, Ib-
line& galliee: Dicta SapienluniGtiPcia?,
& libeilus de nioribus ac vita* insli-
lulione. — Pariaii» , apud Simunent
Cntifueum A Franciscum Stephatium.
M. D. ILI. !o*^.
M. I). XLII.
1. Clauoii Viexmuntii Metbodiueon-
feâsicnis eompendiaria. — Parisits f^^fl
apud Simonem Colinœum & FranciscuJ^M
Stephautim ejus privignum. M. D. XLll.^i
In-i.
2. Epitome Commentjirioruiu Dialec-
tir^e inventionis Rndolphi .Vgricola?, per
Barlliolom.'cum Latomum Arlunensein.
— Parisiis apud Sinionem CoHnamm &
Frauciscum Skphamtm. m. n. xLll.
In-*. ls. Hd
3. (f.AnoLi Stepluini) Arhu^tum, Yun-
lOti
FKANCISlUlS STEPUANUS PJUMUS. 154i-43M8-*7-48
ticutiiâ, Spineliim. —Parisii», FruiKis-
eus Stcplianxis. m. d. \i,ii. In-M.
4. (tl\HOLi Stopliîini) NHluraMidvnr-
biorum, px PrUnnni scnlt^ntùi. In irra-
lium uduloâcf^nltilorum. — l*armis, apud
t'raticiscum Stfphanutn. m. u. \lii.
I11-8.
5. JoA>'MS Ludoviri Vivisdoronsrri-
l>ei)di$ Epiâtolis liU-liuï*. — Pari«iVs ,
francUcus Stepbajius. m. d. xi.ii. In-H.
M D. XIJII.
1. râ\LTKi\iUM, cunt aliisliymnisBî-
blicis Dinidi?, f;riTc<>. — Parisiix, opud
FrandJicum Stephaiium. u. d. xlïii.
ln-l2ou plulôt in-U>.
Eu roitp' pl noir. Le* lilrett (li*-i puitmi'j,
Il prmiim* leitrc de rlwcuii àvi wncis^ et
les titres couranU du haiil da pages mmii m
L« taille ilrs psiiUDin t-iil en f^rec trt ea Ln-
liii; f\, jMHir In fiinlilî* des rccluTclira j'unire
alpliubi>tiiiuml i-i^^lr sur Ir lattii.
i. Hon.K m Imidem UPiitissimu> Virt;i-
nisMiii'i;t% jïrica-, sitTunduni cuiu^iiptu-
diiicm Koinan:i* Erclcsia'. — Parisiis,
apud Franctsatin Siephauum. ». u.
XUit. In-16.
Vm rouge et noir roninte le P»iillier grec.
J. (CAROLiStopliaiii) Prulum, Lacus,
Anmdinoliiin. — Vnrniin, iiptui Shnth-
tifm CoUufriini fft Frimriarum Stepha-
wimj ojiis privi^iiijin. m. h. \i,iii. In-8.
i. (Caroliik Stppli;intis] de R(* llorba-
riu& HurU-nsi. — Ibidem, m. d. \ijii.
IrHi. 4&.6d.
5 pRoiLE Falcnniii'. vati-i rlarissiiiut
d nivo llicmiuinu <'um]mt|>aUi' (J?nto-
ni's, (ItMldci nosira' rnysU'rit'^ ô Maniiiis
rarniinil)i]> cvrcrpliiiii Opiisi'uluii). —
Pahaiis, n\mt\ Frauci%ç»m Si^phanuw
M. o xiju, In-H.
fi. RiiEvissiMA rna\ini<Him> compon-
ilinria ronlint-ndanim Epistuluiuin ft>r-
iiiida, perKaw. Rolirodaiiium. — Pari~
aiis, ajiud Sinitmem Colinœtiui fit Frat^
ciscum Stephanum rjiu phvignuui. m.
u. xuu. ln-8.
M D. XLVi
I . Les PniNf.»*Ka & premiers éJPinens
delà lan.iïuc ialino. |)ar lrs([iiils lautï
ieuncs ciiliins s<.'ioiit faiilemrnt inlro-
duiz on la congnoissaiiri' d icrllo. — Pa-
ris, en la maison de Frauçuts EnUemte.
M. D. XLVl. ln-8.
£fi lu maison iiii)i<)ut* l'etidroil où H'dê-
hitult \v lixtT, maU tiou de ([uelk Ituprimcrie
il Miiloil ; cv qui achevé df pniiivtT que Fraii*
rois, auteur de cetupu.'cuii;. in'aMjil pwd Ini-
primerie.
Réimpiimé ni lS-$9, par Robert Ksticunc.
M. D. XLVII
I AiiM OnK VTi dr oolo parlihas or^
liouis liU'Ilus. — Parims, apud fV«»i-
nacum Slfiphnnum. m. D.xuil. ln-8.
2. P. Tkrentii Afri nmitri Aiuiria;
oiiiiii iiilorprrLiitii.tiiis {^tMiert* in adoluii-
l'ontulorum tfmliani fucdinrL'frei t^i. Ad-
jtM-'tusest Index LatinartiiuA: Gatlicaruui
dirlinniiiii. — PaW.smapiid Francùtcum
Stephamun. Excudebal Frauct)tcv Sto-
jthnno Frandscux Girault, 11. 0. iLVfl
iQ-a.
M. 1). XLVIII.
f . Methodl'S Cnnffô^sinnis in ïp^ttani
Piieroiuni : apud Liili'lianain Navar-
raaiiiranimjilira'SltJdt'aliiim t'diUi. Ati-
llinro Knilrr Claudio Vioxiiionlin „ Pari-
.'*H»risi : nnlinis t'fmlcIinddrriMS Iri-l
454(MO-r P1L\NCISCUS STBPHANnS PRIMUS.
loi
.Pe titre vSl iniprinié Mir itu {m-iîi riim'r de
et cnrhf un atitir iiitiluk' pUi« c.on-
ai, qtii. au i>as ilt- la page m lei-taiiM>, oiiui t
» l*jin!>ii!î , a[vii(t r['niK'i-<>riirD Slrpliuuiim ,
Iii rimai} Binufllo . Mih wnito FratH*isr.
M. O. Xl.viii. (1
\»(i: uni- prrfati* Je l'juteirr. n// Lerfit-
H.iljitéf t[ l'ariKiii, e iMr>lru Lit-ititliiii Filia-
niiu r>cj, i|u>iriii filiin Mmii;» : buihi Cliristi
uali «VMjiii uiille^mu Iriçt^inio octavo. ••
Crt K\iiitirii ili* couM'iiiiit^ fii jiflitx ta-
iclm», ne nemblr lro|t «fudu (wur fire
UMrllKxteabré]çé« {Comptndiarta)à\\ mâne
iiiiititr, imprioiM* en 154i, que je u'iii p^uiii
M. D. LXI.
K . Dii:Tio?f.viitUM.^Apud SehusUanum
Honomtum. \oAïuin\aiiir Parisiis, a[)tid
A'ïo«/. Chesucau, via iacobea , sub scuto
Kmbpniaiio cl QiiPrcu viridi. — Excu-
i\v\)ul Franciscus Siepltaitus. m. n. i.xi.
lu-W.
Il fiiiitlmit voir res ilru\ \uluuies pourju-
f;rï' ft'iU Uf .seroinil paii d'ïnipmLMnii Onir-
ïoiftc. et, eii coiL-M-fpifiMv , »iu »tx'oiiJ Fruii-
«;m* Eslirnne, U: pioaiitT cUiil mort avant
1550. cl rini n'appri-tuiil cpi'il nït eu uu fiU
u&Rn;«il riDipriiiierir.
Ctr tiH^iut* IlicLioiiiiiiii-e rst eiiinre iu(lH[uc
AfHiJ Carxilum S(e}>!iaitnm , 1551. Qiiet ipur
soii \v pluA on aiiJtijji d'evuriiliuU- île çvh ili-
\crM» uicutiuiu Je iionu et J'aiinèM. il juroit
intlubiuiltle qu'il m s'«f;^i (|iil- d'une M'ule el
même édition, qui iiirûil ^lê parlaj;êe eutrr
pluaeiin libraires. Maituirv. p. t^ et 473,
e( p. 31 et llti des Calalijgues, donne • cette
(■dilKMi le» dalcv de 1571) et 1571 ; mais i
CAHOLUS STEPHAISIIS,
M D. XUV
I. PtUTVRyiK, Traicl<^ di? la lioiilo
vicieuse , Iraduict ijii grec en fiançois,
I»ar François Lenrand, prorurcur du rui
au bailfago de Melun — m. d. xtiiii.
ln-8,
l)it\tnliiT nul ce livre ôv I5W, H La
Lrtn\ ilii Mwiif tic I5M. Je croii awc Rïaïl-
lairi" (jdi* r't-si n celle iJ«niM'ro wiuéc qu'il
but Ir r.ip|iii<iiiT, (Jiarl4-« [l'éunt wicorc, vu
1544, ni lilirairc, ni Inipnmnir.
M. U. U.
1 . l.NSTiTiTioNKS Lingua* graecœ, Ni-
rola» Qeiiardo auUmrc. — Cuni (ic dili-
lîenlm Caroli Stephani. m. d. li. Non.
»>cïûbr. ln-8.
Il i-aI {iruliiitili' qiir rrt in^ est crliii ilu
ilaul. iU' Ki4n^|. IS5Ï, ciim Notiit GiiiUonii.
9. CiCBKoMS Paradoxa, Audomari
Taiff») cojnnieiiUlionilHis fxi)licat«. —
LuMiae , runi ar dilijxenliii Caroli Sje-
phaiii. M D. LI. XIII. r^ilend. Januar.
In-i
'I. PfTrBi HiNKi.Li familiaiis aliquol
KpislnliL', in ado]i.'!k:t>ntuluruii) Cireronis
studioeioniin graliam. — Lutettuf ^ tiini
uo diligrntiu CaroU Stfiphnni. m. d. li.
XIII. Cul. fVlobr. In-S 18 d.
4. Ai'Pi.iM Alexandrini Hnnianarum
hislorianini
Crllica
libyt^, vu) Oirtluipniensih
Iltyri(*a Mithridalicu
Syriaca Civilis , quinque
Partliini librtâ diittim^la.
{M-T»' omniagTîPcc.)
— Lutetiae. lypiâ Rcgiiit, cura ac «lili-
i;entiu Caroli Strphani. m. D: u. In-fol.
Pn-mipn- iililinii. Klli* fui faitr par [v%
Mims rvxum tir Cliarlt^ ri i\v R<iImtI , mhi
friri!. Voici cp quVu dit Henri datu U |»nV
fâcc flf soD édition df 151f3. iti-rni. '• RdIntIi
!ïlf|ihaiii ftains inci t'I p.ilriii Diroli Stc-
phani operA . vliam , si pstnii tautiiiii no-
mm Froiu liliH pnrfcriil , iu liirom prodiit
Parisiiit. ■•
b. Apologia (p. Daniesii P. Danh) C4i>
jiiMtam ncgia> fani.'r'Stiidiogi, quaCiesa-
riaiii Ite):eiu ChrisliBni^.arina & auxiltïi
Turcica evocasse vociferanlo^ iinptiri
mendacii & flagili(Ma' caliimnia' inant-
festi' ar^untur. — Parisitu , apud Caro~
luiii Stephaiium typo<:ra|iliiiiii Rcs;ium, è
repione Scholffi DoiTelonim. m. d. u.
In-i. 15d
6. Apologie faicte par un scrvitein*
du Roy contre les calomnies des Iinpé^
riaux i»ur la deïicente du Turc. — Paris ,
Charles Estiennr . Imprimeur du Roy,
devant les esrholes rie Perret, u » li-
In-i. 1 8.
OV5I U Iradurliiiii île In yïvce pri-mlmte,
.ï*ni If laliii l't li- franeois. loii> tU-ux t\fi
ifltc t'-ililinii ilr l.Ul. La Ilililiulliêf)ue dr la
Fraiici-. ii*'17G59. niel li- latin di- 15V«. ri
Matttnin>. p;^;e lO)*. mtl aiiui 111 I.Vii b Irn
tliiiiinn rraitroîs^'. vv i|iii doit faire miH-liirr
que \e lalin . ainftj (]iir le fran^^oi?!, imprinH-»
«ralMirH m t.WI . raiirmtl r-lt* uiir MViMidi*
fou «1 1SS2.
IBSt. CAROtUS STEPHAMîS.
40â
M. D. Ul.
i. M. Antomi Kliiininii Pamptirasis
in thi^jnUi [i?wilino$ viTsilnis hitinis
ronscripU» : i'ju-*dfin de winir, divims
c&rinma— Lut ftiae, apud Carotum Ste~
phanum. u. d. ui. In-S.
i. De Di>Rnii|.s r(*{(ulis Juris jinliqiii,
Piindri'Uinini lihh lilulus wit \ nlli-
mus. In oiindt^m tiliilitm viUus sihI iii-
ccrloiiurlori' brcvisÀ pleiiansCinnim'ii-
birius. — Lutetiae. ;ipud Carolum Ste-
phamtm^ lyiKj^iiphuin Ko;;iirni. M. u.
IJI. In-8.
U* Cala]»t;ttr PuiclH , onlinairnnt'ut si
Hvan, porte: /^'An ifuini/iiu^'r.iimi pnmi.
Itiuiiii) iiit^iiir on uv -Muruil |m» qu'il ne |mmiI
y (i><»r «t»f SI"^ li*rt.', U-s PaikIwicv ii'im ayant
«|ue lit), \v u'fii scrnis |ius imHn<i sur dYliv
i-viM-l . ayant pris ïc tiln* Mir un cxrinplurf
i)ni< j'aims rrt mil |K>hM*Mi(iii. Ix tiirnial »t
Mi-flêwiuiM de l'ni-X nrdinairr dis HMtmnr,
L «t rtfirudaul, nuilpV* tTla. in-^l,
^^P 3. JoANMs ValvcrHi Humtisrrnsi.4 ' dp
^^biîmi 9c t'ariwris sanitiiU* tuemla litiel-
Itiit ïid Ilicronyiniim Vonilliiin ijtrdinii-
\vm amplisïiiniiiiii !i|md Fninconnn Re-
geiu If^tiiin, euiu Indice copiosi-i^vinio.
— LuMiae, apnd Carolum SteftbanuiH,
u. D. Ul. Notï. Fcb. \n-H. i. s.
14. DESP*crF.Rii Syn(axi^
L. et u. i>. 1.11. In-l.
Hml. M.
I
^^P&. Diction iniirM 1»tino-gnlliciimpos~
I Stutw Iiîir odiliont' valde lf»ctipk'tjitura.
— PanVi'ijr iipiid CuraJHin Stephanum
t\7KK:r.ipliiim Ht^^ium. M. D. lu. Idibiis
'il.ïn-f.d.
Qui dr Charlr» on (|p KolHTt a impriint'
le édition dr iSSi? ('.'i-*l (Juirli-s. Ix Cal.
U-Tlioii, snr lr(|itrl. I II. |i. £». i-llr m
i-t;isln*r ilaii^ lr> adtlitiui» UuitniM-ritrjk, \a
mrl. rj^ l'/iri. .111 nom ô*' (Iharlnt ; e! il n'esl
Icment probable tpH' lou» dcu\ oit'Dt en
tV\f*f(nn.
m^H* (en)|» bhôqnr li! nt^oïc lïvrr, tpii ne
tiHitimt \wt rnoiK^ de 1130 |>age<(. MiiitUtiir
antiuiici- l'tditinn di- RuImtI ^ur l'aulonlr uii
|M'ti \v^Tv [l'AliiH-li)\n-ii ; uittÎA il i-^l nicuiT
|M»:tsilil4' <]M*il y ail L-n (incltjnt* jurLagr
«lV\i-m|ilaii-c!t , vl t|«i» Moinu'iil il *Vii lrnu\i!
ani- rtf iinui , sans i|ni' fr|iPiidjnit rini|HT»-
sidi) tj'(*n diiiic |>â» iimhu-i être atiriltiKti à
Clui'h'JH . qui i^l l'anlfur de^ cùrnTtionft Pl
aiif'DUiiUiii>D«, tant de cvtw nnnvrllr édiiimi
qiir di- la MÛiautc de I3J>0 ou 13*'i|, |>aroiUu-
im-nl JmphnHV luir lui. I>an» u ptvfArr, il
«Vli'ii- ntuln- I aliMinlf: repriN-Iii* fait par
l'cuv qui Jjlàinoifnl la pidititalimi di*» Dir—
tioniiairAH |HHir rintpJIi^iiiC<' dr la lanpu- la-
tine, fl |»ri*leud«t<nt <pn- l'iL-iam- dfs lolil»,
dr» Dirliunnaires, et mëinr di-A liM-i-;^ impri^
iiu''«, ueK'noienl d'appui <pi'ii lu |Hirtuv....
- Aiil t|iK*inadniudiiin 1 ypograpliiam . ùc
i'li.'ini IiMlki*» et Didiuitat-Kw nt'çiigenlia^ po-
lîusquain iTiiililinnis iKinanini lili-ranim mt-
luliinlius aiLs.ini pin-lteiv dîi-aul. n
ti. DicTio^AnioLiiU puprnninï a poft-
treiiKi cditioiic, uuthoiiiin prmluctiuni-
biiK, ac p<>rn)iill)s l(X]urndi formulig
uduudmn, ad illiii^ltiâsiiniini principcni
alque ainpliss. CiinJiitaloiii Lolhainn-
^iuiii. — Luifiliae, apiid Carolum Stf^-
phanum. M. i>. lu. \.Cu1. Mnias. Iti-i.
heA armcA du Caidiual Mini ini»n Mir le
litrr à la place de U nianiiu! de riin|inmrur.
7. La (ît'iTiE des rliemins do France,
rovpiip i\ iiii^inpiiUV' : les floitves do
Kranci\ aii^si auiftiieiiU'z : |wr Charles
Kslienne, dirlpur en mi^locinp. — Pari»,
chez Charles Estietine. m. d. Lir. ln-8.
K. Les VoTAtiEsdi'pliiâiiMir:^ pndroiU
de Franco, en forMio ditinèniirw ^ cl les
fleiivos du rrtyaunif lic Francp, par
Chnilos E'ilicnne, docteur e» médecine.
— Paris, CHariex Estienne. n. d. lu.
In-8.
Sfmt-«e deux aiitragc* diflitmits , nu le
ménwavcc deuii tiln^ «ar <leu\ feuillets, on
diffrretitA »ur «ne partie dr« e\emplain'» ? J*
ne puis trouver trace d'nnr ('-dilîoti premirrc.
rf'aprr:* laquelle aurottt été faite* eellev-ei .
que Tnn iUiooitre re\irtH ri .lUsmenttTt.
\u
CAROLUS STKPIlANnS. 15SM8.
!l. Ai.TK«-i .Vw)i,ûr.n |iro Bcrii' r.hriir-
tiatiiasinio contra C»^urmnuïi, in ()uutlc
causi^ bt'lli inlor Rcgt>ni fk Ca?siireiii ro
cens orli brcvissime et vprissimp H;:ttiir.
— Parisiix , apud CarûUtm Slfjthanufn,
typOi^Taphum npgium, o regiono Sriiolre
Utvrt'Lonjm. M. i». lii. ïn-i.
Aat. 'l'ciuier allritni*^ t'iiiii- Jr rcj dm\
Apologies à Pirrri- ]lain-i. IwMlc |>r«fraM-ur
grw , inori iA)\(nr île l^ii-atir i*ii 1S77. S'il
fil n f^îl uiM% il t-sl pruliubli' qnc l'autre rJt
auui MU ou\ragt'.
10. Siica^TDc Apologie contre les ra-
ktiiinies (les liiipùriaulx sur les t'iiu«»«»s
& ouvertures (io la guerre. — m. d. li(-
I11-4. iOrl.
La mi'utv |ijérc n cic impriroc'e vn aUemuid
n» n*1lc nimrc IWi. iii-«. Kieii ul' portu â
m>iir niH- i;'(iil ("Ir rlii'ï: K>liniiii.'.
11. Lettres du Hov escriptes iiux
Princes ArMsIiitsdii SainrI KuipircTra-
duiltes du Latin en François. — l'aris,
Charifs Esliennf. m. n. ut. lo-i.
|;di! M-tilt- Ifltri' v&l Jutce: m Ewripl n Pu-
rU, Ir xxM FcburiiT m. i>. ui. «
li. (Cn.(itLiwKsTiENNK) Atibn'iii' de
l'histoire dt^Vironlese! Duczkir Milim,
le droitl d(*squeU iippurtient a la cou-
ninne de Franfe, extraiil en partie du
livre de PauhM Jovius . avti' le? }ioui-
Irailsd'aueunsdesdils Vicoiiles el huez,
ri'preM-'utez apri*s le niilurel. Dinlié par
Charles Eslienne à Anne, duc de Monl^
morency, pair, ^Tand-uiai>«tre & rou-
nes^table de» France. — Paris ^ Chartes
EntifiiM. M. D. Ul. In-i. 2 s. 6 d.
Ij) Itihl. Iiiïl. tir la France, n" 38858^ t|jt :
Id-4 et iu-«.
43- CiunLES HsTiK.'VNE Discourti des
histoires de Lorraine el rie Flandres, au
Boy treschretien Henry IL — Paris, chez
Charles ExHfntte , Imprimeur du Roy. i
M. D. Ul. In-i.
A>w une (Iwlicicr ou iin'faw df l'imitri-
ninir k Hcni-i 11, du nioi^ d'iiuili 15Ô2.
I^rrit ra JHsUficatiaii i\vs tlroili. dr la
Irniiii' MU- la Flniiilrt* ri In iMi-taïav , oit
Mniii II \fititil df |M)rttT m-v amies. Im dè-
ihraca à Heiiri II cri datée d'atMll ISSS.
M. D. LIIL
1. Noviiu Teslanienhim (pnreum)ex
BiblioLh. repia. — m. n. un. In-8
l-Itliliun citÎLf par MQiltair>e. d'aprrs Alme-
ln%eni. Jt* nr l'ai [Miiiit mw.
2. Novi.:y TesUimeiituiu latinum cum
indice K^•;^nfîel^orum et l'![tisloliiruin ,
ju.\Ui consuetudineni ecclt^ia? Parisien-
sis K Romana?. — Pamiis^ ypud Cnro-
tum Slephanam,». d. un. ln-16.
.1. Pi.AciTORU» summce apud Gallos
Curiifr libri xn per Joanneni Lucium
ParisienHcut tlalerina- Aiipistoc à rébus
[>rf>pun»ndis primarium — Lutetiae, apud
Caruhm SUphtitmin. u. u. lui. In-fuL
i. Petbi Rahi Ariâtulelicuruiii uni-
uifidversionum liber nonus & decimus
in poslehora Anal\ tica. — Pahsiin, apud
Carolum Stephanum. u.o.un. In-H.
5. Le Princr de Nicolas Machiavollo,
secrétaire et citoyen de Florence, tra-
duict d'italien en françois par GuilL
r^ippel. — A Paris, chez Charles Es-
tienue. m. n. un, In-i.
6. Pétri HKU.osnCenomanideaquiJ-
liiibuâ libri duo, cum icnnîtius ad vivani
ipsorum efri2;ioiïi e\pres.sis. — Pan'xiU,
apud Camium Stephanum. m. u. uij.
in-8. oblon^, lig.
1^ lirèfare cil dr Charles.
7. Principe;* de la 1an>:ue latine. —
Paris, Chorif.% Enfietiue. m. d. uit. In-H.
S. DicTiON.\Hn'U historiciim uc poeCi-
cum. omnia Pentium, hominum, loco-
rum , tlunimum ac luonlium , antiqun
rccenttoraipje jul s;u'nis »c profanas his-
lorias poeliirumque fabulns intelligeiHluîi
neces.<saria vnrabuki bnno ordinp eom-
IilecU'ns. — LuMiae. cuni at* dili!:('nliii
CaroU Stephatti, « n. lui. l'nd. Non.
Dcreinb. In-t.
Vu titrait dv la préfaec de Oiarlis fis-
ûnmc doiiiH^ra iiut' itU'ti de m HK>|>rratioii à
ce birdonnnirc. qui, dans «m tt'mps, fut es-
Unic et de iKaur'ttip d'usage, cl duipirl rimj
pnTi'dfiiIrs «■dltl^ll^ li'a%oieiiI, ili-put» \SMI.
fnntié i]ii lin Nimpli* \n)iiiiii- iti-8.
« llisliirifum hiirii- liiditvni omiiiuni t]iui>
liat'lnius pinditTaiit Dirliouarionim Iniigr
Irtniplrtissimutu pliirimuin jnrmidiUiiis ac
farililiilis iillaïui'Miii HU'i prrsiiadt-aii wliiii....
n fralri' < KoIktIi^ Vid. Kdit. pnni.liii iiiiiti
95:^0 ft siiliMip)eiili'>) jain piidi-iti iittJiaaiitiK
lahtHi-iii , utipip À iiiitti). iiiitir di-umiu . quàni
ilîli|;(-Diivsinii> lifii potuil, dUposJtum, ac
multuni iocuplt-laltim.... Sorra pn^plianu» ,
rcc(4ilia \t!leiibu<i. vmMpic falitdau.... pu-
ftin» obinrua . n'ccpti» ob&oli^ta {urniûcen-
tur.... Id 4^iiiDi r«t Jinliris nihd . ipmad Imt!
[Ktluit , omistvsf. — Uiim m liistnriarmn v\-
|iliraliimi>, pm^li-r i-^i, ipia- pitipiia \ocauliir,
iiumiiia, elj.i(ii ri-s îp^^ •>ii;mlicai'4^ oportuil ,
ficri iioa poluit, ipiiii i-niii puiticis ac Mcrû
IWnuUa cliani pai^rn pudira r-\p|icarniliir :
qiHlia Mint pot-ika {K:i-Tnulln, tiuîbiu utinnin
iK>bu caiTu<him i-«4rt... Ilm: dciiit|iR> hbi
Iwiiu lidf- poliirrinur, nihil bir 4■^sr ipiod
diritltaiiaiii (nim ipiâ nmi eui^ jocaiidiini
5IIIÎA iscimiis') rt4it;iiHifiii, sut pnunpiuii au-
thoriiiiiftii, d(nii(injiiii|it)- t'aniam itUa c\ ]mu-U<
lalM-'facrtarr pcifvsil. \\iit-. •■
9. M. Ti ti.i! Ciwronis deOrauiro ad
<}\iintiim Kralreni îliaiop très, AudiH
mari Talapi oxplicutinnibiLs illuslrati. —
Jansi*5 , apud Carotum Skphanum.
D. un. lii-4.
10. M. TiLUi Ciceroiiis in Catilinam
ralionos cuin prîplci'lirttiihuji Pftn Ha-
"ïni. — LuMitw ajmd Carolum Stepha-
nurn. u. u. mu. In-4.
41. Oratioxe di M. Ouudio Totom-
i, niiibascialûr di Sipna, reritatn di-
izi ad llenrico II, Chrislùiniâsiuio Ri-
* CrUf t»m<lU l'atBtt ■pprii i «un Ktàttà
kn.«t l'on |>ftit m&ni« »'«l<>on*r d« l'ombre de
Wrrié Ae CBllc pircntlt^K-
di rninriîi. — VaTûji , aprcsso a Carlo
SM/ÏJHOjSUiiîijialor di Sua M. Chriiitia-
niss. H. n. un. ln-4.
42 L"l)BArsoN du St'ij^nPtir Claude*
Tolominri , andior^siidrur do Sinne , |iro-
noiU'iVdrvanl U' Iloy à Coiupiegni'. au
mnis de DiN'cmtire l'iin 1ii52, tradiiilU*
d'iUilion on lan^'un françmsLV — Paris,
Charles EsHenne. u. n. lui. In-i.
13. Gtr»K dcîâ Chemins de France,
|»ar Ch- Estipiino. 2' wlilion. — Paria.
M. n. LUI. In-H.
Ainsi qiirgiiiirt* «n (Uilalo^iL* Falriuiel ,
u. 15170, OnpfUt [Toirra-nt' mr*ntiniiL*varlc,
rt, citinini- j*ni nHïi-iiiirim- ^crifH* l'exUlriuT
11*111)1" IroiMMtir rdiliou . il eii rèsullt' ipie rc
liM-i;a i-tétnipriuiL* dnixfaUdaitscrUv annn-.
Il sv pi-ul m avUrdiiK*. drnu>m<^([uVu 1553,
il ail t'tc Dm cucirrulalion soiis m-jî dni\ titm.
i i. La OriDKdcs cheniiius do France,
reveue et augnu'nUV' pour la troifticsaïc
fois : les KIohvls du Koyaun»», au.'iai aug-
inenU^. — Paris , Charles Estienne.
M. D. LUI. ln-8.
1 5. Le Sieck de Mois on Lorraine par
IKiiipereur Charles V eu l'an m. u. ui,
dédié au Roi, |)ar lïermmd deSalignac. —
Paru, Charte* Estienne. h. d. un. In-i.
Le tilrt* »e porte que Le Sitgc dc Mets, eu
Taii M.o.ui. Le nom de raiilriir rat Jïrr-
trand; r'csl loal-à-prujios qm- qiielqur^uns
If iiiioimeut Bartheirmiy le rinifondaiii avec
le >ieux voyageur de ce nnm.
l'u ewraplairc sur ïi'liii fut vnulu i*0 fr.
rlter Mac-Oirlby. el aupuravaiit, c1m:ï La
\ allti-n*. 7:t l'r. Un y doit trouvtT uu graud
plan de la fille Av Mct2.
46. De BcIIo Melitonsi ad Carolum Cœ-
sarem , & pjtiseventu Gallis imixjsilu.
N'icolai VillaaasnonisCoinmenUiriiis. —
Apud Carolutn Strphauum. hi. it. uu.
Calendis April. ln-4.
On lie voil pas an litiv de iVAeniplairc de
la Bibhnihnpu' Riiyalr les niûts rtfjus rvtntit
(,aliis tmpnsito , qui M>itt «tir un aiitn- litrr
jwir moi exutiemcut copie . et (|ur reproduit
U
406
CAKOLUS STEPIIANUS. 1553-5V
aittAÎ la IraduriKMi rraïK^iÎM duiu m^ ih'ux t'di ■
\Uuu ij'isulsement imfHttee oitx François). (À'I
tcrit iitt|>Mr vifaynut pour objftdc n'poiissrr
luiL' oïliciiM' i^t fausit' imputation coatrc la
Fninrc, l'auteur, niiisi que )c fait »iiir stin
inliluli^ Jj Carvliim, nur» Mirtuiil vouUi qu'il
fût rûiinu Jt- ir |ihiMV- el ilf miii poiivtTlu*-
mtul. et il aura jiriidemmeul r>itè, au moin-^
pour Vrt, rirmpkiiroA dtslinè» ii |>asm.t !*ous
leurs yeux, ilc formuler, des la paî;f du lilir,
uiK- dnit-gntton qui auroit pu le» prv\mir
ecntiT fp farlmii. fl lui-iiu' Irur ûUt toute
euvied'm pri'uilru cuiiuni.'vuiif:!'.
17. DiSicoi'its (U* \\\ t;ui'tTt' de Malle, el
de l'iiWiK' (l'ii'elli^ (lu [KTtp de Tripoli ri
uiiln'i* forten'ïiscs) raiilsetiu'nl iinpiiU'C
iww François; a l'Emjjereur Cluirles V,
(ttir le t'hevjilier iNii'oûu Durand) de Vil-
legagnon. — A Paris, chez Chartes
EsUênnr. M. i». i.m. In-i.
One Iraductiuu. dopl l'aulettr csl Nico-
las Edcurt Cbani|>eiints. a tir aussi impri-
■nve à Lyun. lu-S., dniu crUv ini'uir «iiiikV
1558.
48. Ei*iâTOLARe^iâChristlunit36Îmiad
iimplissinios sacri Inifierii Ondlnps. —
Parmis^ Carulus Siephanus. u. u. lui.
ln-4.
49. De Rp. vofttiHriî), v»dciil.iria& na-
vnli (» Caroio SU'pluino) ex BHvfio in
udo]esconlulorum . bon;inmi liUraruni
Htudiosontni , (^.itiuni excerpUis. — Lu-
Mùtr, i\\nu\ Carolum Stepfumum. m. d.
IJU. 1n-8.
M. n. LIV
I PiiiLOMS Judîpi Ûv divlnis docem
(iraculi**, inj^esiimma siiiU lei^iim rapiUi.
liher. Johanne Vii-nneo in(er|)n*lo. —
Luiftith', apiirt Caroium SUphanum , ly-
pof^dphinn Regiimw h. d. tiiii. ln-8.
Dédié au cardinal de Uirraine, poar lf>-
tpwl il «I Fui lirp Mir %élin un exemplairr
que depuis I'od a vu rdîé eo aaroq. jume
ancien, avir unt* iAi« on or nir b ro*nci^
liinr. M a pa&M*; dauA (uir ItiMiollit-qur iu-
coniiuc.
2. Pabadoxks, ce sont propos ointrc
In cominijue upiniun : debatusen furmo
dedecliiiiixilioiisrorcji^'S : |K>ur oxercilcr
Ie5 jeunes advorals , en r:iii!ses diflinlet^.
— Parts, par Charh-s Eslinme^ Inipri-
m(>i]rdu Itoy. m. d. liiii. IVlil in~8.
•T. Lbs HK^nM^: reveuz cl corri.wz
pour la seconde fois. — Ibid. si. n. t.iiit.
rpitt in-8.
Il paroit i|uu n- prtil volume auni eu dti
ftTirr<-s, car vu \oici di-ui èditious dans la
mi'iiie ininiV. «t iUm iSSi uDe atitn^ à L\n(i. Il
cvl rointnuiu-nirul atlribucù<lbarln>I'jilieime,
innis «ur le tilTL' dt.' (|ud()uo eAnnptnirc« de ré-
diliuiil)(uiu(HMMi(i M>illt'iiomdcJrati Diival-
Os Paraik>\(>s. duiil le litre et r.i)i|Mireiili*
deitliuatinu ue aoiit (dm U^ mêmes ipie daru
I tirigirui italien, «ont, umi pu, ruiuiiiK nu
l'a ôcrji. une iniitatioD, niaii uitc Iradui lioit
à la mérite fort libre, de ââ dr» 30 Paratiouî
du Milnniii^ Orirnjîo l.antii. Les Puulous
ottiift Muit le iHifiéme et les quatre derniers.
I7ne édition de Huueii, Cailloiie, IH.18. a lroi>
Paradoua de plus, t'urlluiçraiplir y r&l ra-
jeunir , et pent-V^tre aitui le Myle.
< hi a prétendu que c'est de ces ParadoveA
que Fotttenelle a pri» l'idré de su Dialogue»
ilr^ ninrli. cor ipie je ue nie suiti |>a» M'nli \a
pjilitniff lie vmlier.
i t':\nM>u\F, que le plaider est chose
Ire^iUileel miessairen laviede l'hornnu*
(|wrCliarlcs EBtieune). — Varia, CharUa
EnHmné.u.n.xMii. ln-8.
Maillaire, daiu wu Catalogue, p. 34, cl
dnuA riiide\ d^-s Ann.Typ.. a mis te pin'isir
AH lieu de le jtfaitier,
fi. PnxF.imtM niRlIciim in qtiocujtisviif.
soli vel culLi vol inciilii pliinUiPiin vtxsi-
biilii ;icdescriptiont's. eiirinm|iie ronae-
rendamiiL iidjne eMutenduniin ini»Lru-
mcnla stio oïdino drscribuntur. lu
adoJedfenluloriirn , boniirtnn literarum
slvidiosoruni, j^nitiiiui (atil. Qirolo Sle-
phano). — LuU'tiae, apiid Carolum Stfi-
phanum^ typographum AcKiuni. m. n.
Lr» divers Opusculm d'agriculture el dr
janwiii{^ rrmiis dniu cf tolitnir. après avoir
latil lit' fois l'Ir* iniliriiut's M-|i3n:iiirtil, niiiM
qu'uu l'a pu vmr Jalt^ i:t^ listns^ ne mjiiI
§iirrt- rju'uur roni|iJI:itii:ru i^tiilitc faite aiik
dépeii drs nulctir» :iiiciruft et modorurs qui
iMtt mil Mirct-» MijtftA, maji iurtmit d'après
ks Auciciu givcA fl Intim. ht* olMPmiiians
praCH|UCt y sont pt-u de rltOM-, t-t rc» li^rvl»
MMil iwreuaiiviii>'iit ntijuunrhiiilmrïd'iLs^i',
liÎMi cpie Inir colleclioii, le Pivtiium rustî-
I cunr, aoii ta Mtirh^, ou plutôt l'f^iryou âc
la \ûluiuîuL*tue Malsuii K(uli(|tK', ce* livre u
L nmiiii, M ittiilic, augmi-ritc. et luiijouri m
K^ill&lilUsaul, i-iilîii u cumplrteiornl rluiiigV',
^^Vairii tpit* cntiMT^anl mui nom priiiiilif, H
r dtnit la prcmiiTe puMirâlitiu franraiM- fui U
Iritaliii-tioliilfresibilil t^ni'iiium ru>ticuni,ùt\Xt
r ('IiotIm luKiuènir, cl publiée après u
ri, in4.. |iâr le* soîiu du médecin Joau
twiit. son i;*'Ddre. scus w litre : L'Agri-
ctilturc el Mnisou Hu>liqiie, de M. C.hurlo
lîfiiiti'. ]v. i'n>ts, à Rouen, avpc drsnirrw-
ru et ;)d«lîli4jii<i «l^jii ft}rt ii4jmiIiitum*s, nuii.s
i li'tk'viurtfut Ififii davaulagedaiiftteA rèim-
am ultérieures*
6. [ik i,ATms fk gr.-pcis nominibuâ
Fltorum. rruliciim , horUtrum, pi^'itim
h iiMum litwr : ex Ari-ilotcle. TIipo-
phraslo , l)ior<rorirtt« , (tiilono , Artio ,
Pïiulo jï;iiiu*Ui, ArtiHJrio, Niwmtiro,
AtiimiiDo, Oppiaiio . .'Elijino, Plinio .
HiTtnul^o Ittirtiaiu . & Juunne Kurllio :
cuni gnilii'a cuntiti iioiuititiii) n^tiiolliitîo-
ae : (]Uiirt;i fdiiio. — LuMiar . aptirt
^arolum SU'phamtm. m. i>. liiii. lu-tt.
7. JoAN. Baccranblu R(^«nenftis de
)nâensu MiMlironiin in ruraiidis morbis
libri quutuor — Lulfliat;^ iipiid Caroiam
Stephamim. ». 1». LIIII. ln-l(i.
8. Hji:sdfji île ('un!>eii^ti Medicomui in
^gnobcviuHs siinpliribiiïi lil»or. — Ibid.
o. uiii.ldih ârpU^mb. ln-16.
Cet deux Opuscules «ont ortlioaircmenl
mblc.
9. CoMPENDiiM MiniLOL (absoltitlsâi-
lum ) hobr.TtT piammatireîi [)avidis
imhi imru" primo ediiuiii ; awolon* R*>-
)Iph<) Bîiynn, r-mtabrijnrns*» \ sanrta*
prnfesîiorr Rt'^îiu LuU'tl<p PariBio-
ruiii. — Parisiis. apud Carulum Stepha-
num. H. D. Liiii. In-i.
<0. Institutioses Unguoî S>Tiacœ,
As6y-rJat.aB , aUjiio Talmudjcs», tina cum
i£tliiupioa^ atqut' Arabica; (X>llatione.
Addita est ad calcem Novi Testamenli
mtdtorum Inroriim historica enarratio.
Angolo Caninio, An-^ian-n*); aulhore. —
Parisiis, Carotus^Stephanus. m. o. uni.
ln-4.
Crt Aitgelo Caniuî, d'Anghiui, m To»-
canc. i'uQ da plus dwicâ OrittiUi liste» de
»oii siêclp, r*t encore iiuletir de pluMcurs au-
tres (Hivfagi's, dont un Irailè lie HelUnimm ,
îniprirar à Paris ru ISS), eltex riuill. MtnrI.
W. HriirME-NTA Dwijaulprii , cuju ar--
ccntibub. — Lutetia;. CaTviusSiephanw.
%. i>. Liiii. Idibus Si'ptcmh. Iii-8.
M. (Cabuli Slcpbuni] Latina? lingua*
cum (îrs>ca Oillatio 4'x PriMiiano. & pro-
butiïis. qiiilmsquf aulUoribus \H.'r looos
communes liU-niriim, |)<irtium uniUoniti ,
conslrucliunis acîolius jiniiainalices. —
Lut^tiœ. apud Citrttlttm Stephatium lypo-
^raplmiii Hepuni. m. d. uni. Culcndis
Juaii. I11-8
tji l^le .xHil deu\ Epiln-^ de l'auteur,
(Umrleâ Kstieiiui* : t'uur ^^d Lrctorvm, el
Tjiutrt^ au cûrdiual (Jtarle.s de l^irraiue, au-
quel il a dàiié encore d'autrt^ ouvi-ages, cl
qui HUif doutK lut pour lui uu )i;L'iiér«u\
Mécèuc ; car il recoDooit loa patronage par
cette siiiguliêi'e date : Ej tua Typogrofthia .
Prid. Cal. MJiji. m.d.miu.
13. ((UsoLi Stcphani) Uîclionanuiii
latino-gra'ctuu, in quo^ini^ula^dictioneïj
ac lamiiottes lalioePt gneris voribiis ac
scnUînliis pr<emiâSie, magnum ulriusque
lin^^uac! commercium indicant. Uujusau-
lem plarinia para c\ Btidn^i vigdiarum
r('lii|uiisc\('erpUi »il. Ad illu^lrissiiimin
Principem, alquo Amplissimum ('.ardina-
leni Lolbarinuium. — Parmis , Carulu»
Sîfphanus. M. 0. uill. xvi. Qtl- April.
In-i.
(Utile édilioa de 151M cii-ellc une riHnpre»-
stoa.^ Je croû curtaiit qu'd nMuie «ocunc
108
C\nfH.lîS STRPIIANUS. l.W.
t>ililii)ii niit(-Tii*un-. On viHt . il rsl %nii. tv
livre Mil U- Cataluguc ilu rniiiK ilr KuIhtI,
15!S2, e\aili-ini'i)l amv Icmi'mi' iiilitulê, iiiaU
comme il y vu »uii» imlinatiou tU- )iri\ , un
|>t'»il coitcliiri* iju'il aura t'iô mis par anltci-
|Mil)un, ri romnif un li\rf son» prt«6c>.
Iiiui\ n- Mitlunu- ri:|ntrc adft-JUM' jMir
CluiiUvi à Miii jiniliTtriir k- carduial i!p I^r-
roiiir, vst (IflUV, uuii |ui.s i-omnii* dam Lahtuv
Linpicr Collatio £'.i tua Typu^raphia, tniii^
AV nci^/n] of/ti;i/ia, xvru, Cal. Aprilu. On
voti i|iii* iraM-il a mat il y eut progrès tUn«
roliM'<|iiii)>iili-,
H. DioxTSii Ilalicarmisâci Rospnnsio
ad Cil. PumpHJ episloliim, in qiia ille dr
rojirt'ht'iiso iib po Pliilonis stylo conqiie-
rilur. Kjiisilem Omipiuiittollcrodotinim
ThuoyiUde , & XiMioplRnili^. Pliilisli ,
Thoo|iompi inlcr so. Kjtisiiom ;«J Am-
miuiini EpisluUi («dvi'rsiis eus qui l)o-
inoslhpnciiutb AristoU'U" pr*i*opUi olo-
queiitia'(li(iici--ist'fontond('bant.Kjij?<lpin
de prïDcipui* liii;^ti;c grœcif aulhoribui.
Eloiîi» MiixJnii illliis, qui Jiilijini iitipt^
ratoriti pra't'cplor extitit. Lihriliis de
opposilionibtis insoUibilibns. OniJÛJi li;rc
Braîcè,ciir.i llcnrid Slcphani.) — Pari-
xiM, apiid Carnlum Slephamim. m. d.
uni. In-K.
Cl' ipii (■»! iri l'i) |iatnilhi'Mj se lit, non
pas sur le lilrr. niaib sur le feiiilli't (|ui It*
Hiit.
Avec une luin{{u(; Épitn! on IV-dicacc ^t-
qiir dr Ifuiri À l'ambauiilntr dr tY^nicf à
Yrniti-, ()d(;t de Sc-Ui-, |im- i^uj il .nnii i-ii:'
fimwiiwmt'tit arrtuilti daiut trile ^illt-.
Olle l-pitH' };rtT«jiie \.i^\ miWw d'une FjiJ-
ire IfitiiKilL' llu'tui à F. Vicluriiu.
15. DiïPFBNCE iKHir le Roy li'cschrcîi-
tien i-onlre les calomnies de Jarqui^s
iïmphabus. — Paris, dwi CharUs E»-
lifnru'. M. n. mih Iii-4.
Va-XW mni|)ir!i.<(iuii d'une t-dîiinii do lAU
fsl bien di» tW el iiitii s^r t5W. <|iiimiuc no-
l»Vdi'»f«r onihV dans la itibl.drla l'Murf,
;mi II. 17^11. i|tii, d'adlctira. ic irotive rectifié
(fi. Lëttuus au raitliiial de KiTitirr
8Ur 11' \o\ïigo du roy (Henri M ;iii\
Pa\>-Biis d*' l'Einiiei-eur. en l'un (5.'U ,
pur lU(>rlrand) rloSidignac, j;entiUiomni«
François. — Paris, Charhn Eatimm'.
M. 11. Liiii. ln-(.
I^ dt'mit're lellru ^wrle à fa fin Iji date de
Ahhei^iHe ce XIX jour dt Mptftatrr ,
M. t>. i.Ttii. V4Mti*r ln'!« liumbli' MT^itinir
B. lU* .Saliçuac.
Uns niL-DK-ft Lcllri's i>u( rlè imprimées sotia
le titre suivant, ft Paris, cb» Ëslieniie, H «
Lynii. eu 1354. in-4.. riunilc à Rutieii.
I5SA, iii-«.
n> Le Vovagk du Ray aux Paytv-Baj*
do l'Empereur en lî>54. brpfvemeni
rtW*ité par lettres missives que (BerliTindj
de Salignac e»i.Tipvoit du «impdii Ro\ à
Monseigneur le Cardinal de Kcrrare —
Paris, Charie» Estiennr. m. u. i.iiiï.
In-l.
Almelovreu et Miittlairc, l'itte Stf/'h.,
dÎMMil le carditul dr Guy».', enrnr, que
.Miicllairç currigi' daiM les Anuatcs Typ.
i8. llASTABrM A îtuiiionnnf tirii;o,
iiilio, »<* s«>li'niiia. AuLhdre Juniu Kabirio
jiirei-on:<iiIlo, A apud Pplni^orios in sub-
sellii^ liiT^erael causnrum eapiUiliimi
quceslore ai' pricTei-lo re};i(>. eiiiti indiw
lorupldissinio. Senaliiiim Arestis omnia
fm* eonfirmantur. ae bnnianioruui au-
llinruin iori plurinii illiisitranUir — Lm-
ietia'. iipud Caroium Stephanum. h. d.
LiJii. Id. Mail. In-i.
Itani ie CjiUi. tW De Tliuu. 1.338, ce lixre
est ail nom dr RoU'rt EAbeujte : c'c&i luie
pjTfiir, a moins qu'il n'y ail en iwrtaj'e, tv
i|ui u'fsl |)n<ï prubalilr pour un Opmculc de
|i«ii de fi-nillelA.
Apud Petra^orioh . eliez Im PérigourdJu».
Dam lc« oncùann édiiiuu.!i de J. O'^ir oM
ailiii écrtl ce uom npirige eiuuilt: eu Petru-
fforiit et nmintfnaiit en Petrocorii.
19- TmicTK lie Plularqiie de lu Hont4'
vii-ieuse, Iradiiu-l l'ii Inmcois p;ir Fran-
çois le Gnind. prwurcur du Roy au
bailliage de Mrlun. — Paris, impriinù
imr Chartes Estienne. m. n. uni. In-H,
Vnyi'X ti-dtrMiiK, iMi^r lui, Ji l'iiiuitt- t5t4.
f t m
< Caîvticim Ciintioûnim, Rulh, Ui-
lODtalionc'â Jerfinia.'. Hi'cl(.'!9ia)4U>s , ol
^Esthcr; HobniitT, collatis vctpribiis
oxompUiribtis, A adhibiti) ppritionim jti-
dicio. — l'arinih. ox ofTicinH Ctin^ii
Stephani , Typo^rdplii Rt'-:ii- m. d. lv.
Mcnst' (Vtohri. ln-4.
2. Dkux Livi-ps(lp!a Natun^Pt riiv(»r-
siii' dos poissons, av*c leurs ijuitrlrairts
rcprc^aontoz un plus piv^dii iiiiKiiel ; fMir
Pierre Ik'lon , du >luns. — l'arix, Chartfs
Uennf, u. u. lv. In-», obloiig. Fiji.
3. CAaoLi Slppluitii Hudimcntiim La-
tîno-Ciulliniin. rmiuicci'ntibus. -PariSy
Chorhn Estii-nne. m. u. i.v. In-H.
I. La Municre d'cxprcer les onfans <ï
d^linrr les Noms et los Verbes. — Po-
ns, CharUs I^stieune. m. d. lv. Sf'plem-
►. ln-8
5. M. T. CicEROMsOppRi. — Pahsiix,
trolus StepUanus. m. d. li — i,v. In-fol.
DnliiutreiRriit rdir» en dmx '
un tilirgrnrni) r»l la iLile ili* x.if.i.v.
Cnroliim Slrplirfiriim. Tv poivra plmm
[inm. VirniK'Dt luisiùtc iiiH*pri*riirL-, uiit>
i"l licrmnis /■'ita, ï'ii aiilr»; Ijlre
; l'uuitu ptimus Optn-nni >t. 'JiiJliî
li«.iii(|Uu hji^rrorttiiifiilur. Ktifloriri],
Lrclioiies, In(l*;\ »)|)iuèiMiiitiii. Lii-
trlin-, Ac. N.D.LiKi., t'i Mir II- deniirr ffiiil-
h\nitl('luliir Lutolj» cura ac dUiijfnliji
iriilîSh'pluiiii. Anti.M. d. li. in Non, Sen-
l'amiu Mi-iititlii». (Inim^ cjus Onitionnt,
LtvtiuiHri, Index,. if.n.Liiii sur leliUr,
diite à la fin.
Iiu UTlius. Omuc-s K|iijtlolii' , et sitr le
,D.T tttl.
l'onins (piartxu. Openi philAUiphka. Sur
tilrr : ii.o.um. ii h fin .-M.D.Lr.m.
:j)|. Marlit.
Il ne |Hiil ipiM V ûil ibiih ]p3 c\empbim
■k|u«>5 variulioiis Mil tfs ilîMTHrx dal(K,
j ai Ml <lis il*->(.tipli(i|j» ijtii- jf -.iiLs fiindi*'
a croire runes, et qui, |Miur Im .-lomxs,
n'aviiifiii |M]uitf>anlé ealièn* avci* rellf^iri,
ildiil ji- Miis ctTlaiii, l'ayant priw sur un
(*\rni|ibirt> rompU-t. i\m rsl à la BibliolhcqtHr
du R(M, Il t^Mtilîma un grand nombre de not««
df b niaiu (If Cliinilc Du Piiv.
(jttle «Uliun. Iiirij vt sotgnt-nwmcnt im-
primtf. uVaI guiTe autre rln»»- tp»* la rv-
prudurliuii ili; l'in-S. de Knlicrl K'^lH-niw,
I54H-1544, :i»oc «ludtpK's varialiniu île texlc.
dfint plusieurs n ont p«s été trouvées beu-
rcyw*. Ellt-'t^t [ion recherchée.
ICn IttltS, U-s juuniaiix uni aniHincé qu'à
Orléaiu un libruir venoîl tl'anpiérir un Ci-
i-énm lie Chark* Eslieiuie, 1555. in-rol.,
Iniil n-rnpii ilr nolei^ de la main de Heuri.
(iii .ijdtiiuii (|nr le pn>prirlaire, ipii a\oîl
pavé cet eu'nipluire 15 b^nra, eii ^uldoit
ISOO frimi-A ; H une hnicliure ollrmandc.
pubUèc à /.urîcli. ili»uil ipie le propriétaire
de ce Cictrun avoit refuM- IWH) fr.. et eit
vonJoit HOQ U\
A Oi-lcaiib, on a bicu \ oulu me rendre le
MTiice d'eunniner ce livre av«t' atteutimi.
Il iM de llh. Esiieinie. 1555, leâ «pialre
I<unes reliés rji cicuv \olntur«. Il esl i-flerti-
vuninil rcMnert d'inmiuibrjbles uoles de
Henri, a^er(pii-lf|ite»-iinie» d'une autre main
conleinparaine . «-s deruieres surtout, eu
prec. Sur les litres de detu des l(unes al
écnl ; £x U-ris Uairici Slrphaiti, JtMible h-
^puiturc 4pii aulliciilique l'ecrilure des noies,
tee« rernimoiuablc d'uilleur» par sa !>canté,
nii^me il.nti<t m^s pnrlieji tes |ilu:s lugliRéc».
C"e*l bien b niénic mniti (pii a écrit cm noie*
et la lettre de Henri dont je mets dans ce*
ouvrage une nipie liUiogi-spliit'e, n ayant
point la salisf:iction de pouvoir donner mu
purtntji.
I.e pto|irié|airea (LVMiré que jamais il n'a-
^oit deiiiaiulé IWO franrs. et encore moins
i\W> fr. ; i|u'oii iii-Ini avoit pas olFert 1500 fr.,
e1 ipie tes preleiiliniu élnierit de \Q<H> fr.
Anr>-t-il ol>lenii ee |iri\? e'»'îil ce qiie je
n si |»a.H rbercbê à savon-, n'avant pas eu l'iiH
lentiun d'arlieter
Ces nombreuses annotations prouvait que
Henri \ouloil atis»i donner une cditio» des
tXûnres entiiTcs de Ckërou.
G «M. T. CicEKOKis Epistnbiruin funii-
litiriiim lilx'r siviiiuliis. .Miipiui iU^ni
Episttilti; l'X ra'lcns libris , Uiiii ud AUî-
cuin. Unn ;id alios, et dmc ox Scnowi .
flO
TAROLUS STEPHANUS. X^^xsr,
S4*lecUt! in {^nttiiim jiivenlutiâ, cimi Ui-
liiia fil Gripi*a interiN-eljilioiic, Miiiiirino
('orilenu iiulhoir. — i*arisiis. ex ollicinii
Citroii Stephatii, Tj'pograiihi Rcgii.
il. D. Lv. ln-8.
7. OviDii Elogia de Nuc4?, cum Erasimi
llomnionUirio, ex |>ost,reiiia aiilhoris rr-
toj'nitioïKV — LuMioc , Carohs Sl*^-
phaniis. M. ». !.v. vu. Cal. Orloitr. Iri-8.
8. pROVEitDioHLM liber, Pelfo Godo-
frfldo, CJirai.«onenai («c) jiiriseonsuUo ,
|)rOcuratore refiio in fide, Hulhoro. —
Parixtia , :ipiid Carolum Stfjihamiin
Tyi>ogrd|tlium Ke^ium. u. u. lv. liwH.
W. r.iiTiisToiMioHi Uotîcudarpliini Me-
lhodu!!ii ron^rribcndi rpLstolas , * Dniji-
niata locontui rheloricMjnjiii ne diulecli-
ronim. — Varisiix , apud CVirolum Sie-
phanum, M. D. Lv. vi. Cal. Nov. ln-8.
M. D. LVI.
1. pE.>ïATIiM:iu:s , liobraice. — Pa-
fiiiii$^ ex oflicina CaroU Stephani. m. it.
LVI. ln-4.
rJie«îtlicr, page 296, iloonv à ce li%re la
dutc tic IM6, ce [|tii lie |H'iii<^irc qu'iuicer-
rriir Cluirli> n'a M-rilalili'inriil ruiiimniiv à
iiii|iriiijrr t[um i551, rt sa pi-riium* (>iil>li-
raliuii Itrlmiquc est Je 13â4 .
2. RHKviit TracUitu» de Hccenlibtis
Iriuin libronim, Job, Proverb. & Psidin.
(Quuruin mliu ù nemine unLdinc ]>len6
expoftiui esl) Aulhure JurfafiliottL'lhaiiï,
Hiîi|)iiiio, nuni! primiim edilu», — Pari-
^iis , vx odicina CuroU Stephani Typo-
l^raphi Regii. m. d. lvi. In-4.
3. PLAcrrontM Sunnnai apud Gallos
Curio; libri xii, aiultis, a prinui edilione.
ptaritis iiiài^nibus aiirli, ik tribus coni-
in'Xli^. Indicibiis illuïilruti, \k'v JoUan-
nem Liicinm. — Lnfftiof apud Carulum
St^phanum. h. i>. lvi. \k'i\\. Apr. In-fol.
i JNSTin'TiOM M HcliraiLiiruii) Alv
brcvîatio. M. Sam'U- Pa^nino Luceiwi
aiitliorc. — Pariaiis , apiid Cwotum Sfi^
phanum. m. d. lvi, Id. Feb. ln-4.
5. Tabula in Graiiiinatieam Ht^br^ain.
auUiore Nicolao Clenardo. — Parishs, ex
ofBcina Carofi Stephani. M. d. lvi. Id-4.
G. Plutahcjii Libolliid de Fluvioruiii
& jnoiiUum noniinibus, et quai in ibi
re|»C'riiintur : Laliiie, inter^tretc Ang.
\'er. — Parisii» , apud Caroium Stephfi-
num. M. D LVI. ln-«.
Le traducteur ii'fsl conuu que par i-e»
pn-mirres lettre* de «m nom ; mais ciTite
tra(iiirtii)n m> relriMixanl iiii|tritiir«' dam \t
Hinnieil tle« l)ti\ragT-« ir\i)r. 't'unirbe, tiHu.
Il, u. 10, a\Li- la même Kpitre Jêdiialoirv,
accompagnée de ta mi^me KÎ^maliin' An^.
Vit., on ncw tromiH'rmt peiit-^lre \iiu> eii
la lui altribuanl. Queique^Hitis douiicnl cetir
iradiietiou à î'Iiabilie calligniphc créluis Ange
Vtrjjècc*.
M. l). LVIÏ
1 . JoKL, llobraice, nim CoinineiiUiriit»
R. David Kiiidii a Francisco VaIal)lo!io-
hrair;iniiii liLcramm re};io protcsÂOrc,
summafum & diliinentiareeogDiliB; ad-
jecta inâuper varia leclione, & Indice
loconim qui e\ TalmiiiJ eilaulur, per
Juiin. Mertvniiiiprofi'îôioreni re^ium. —
Parisiis . ex ullirina Curu/i Stephani.
M. D. Lvti. Mense Nisan ^Mart.-April.)
In-i
3. CitAUJAEA Jonalhi(^, Uzi<ï)is flih
InlerpreLiLio in duodecim Piiiptietas di-
li}:entL'r eitieiidutu, M: punctis juxtâ aoa-
lo^iam ;:nininiaticstm . per Joanncm
Merceruiii Hcbiiiiciinim literuruin prt>-
r»ssoivin Ro^iuni. Iloseas & Jool cum
explitatioiio k«"ori[ni nb»<*urioruni Tar-
lîujn, pvr eund^'iii. — Parisiis, ex olficina
Caraïi .S/r/ï/mni Typoiîrapbi Repi. u. d.
Lvii. ln-4.
(>t(e rilitiiiii dvA Ihluxe prlili l'tiipKi^tm,
m lirlirt-ii, astr. \r 'l'arKiiiii, on l'iii-a|i)iraM-
(itiaJilaii|ur, litmii* trvia %iilunii^s, tliint iy
premier, qui (Kirtf lu titif Kiiiérol, toiitiivil
amlcmctit (Hci-ct Jm'I. Vaici \n, iiitilultS du
Mcoiid Mjluinr. cuiilvtiaiit Aino». AImIîuâ ei
Jooas. vt (lu Iruiiiicnu'. oo soui MiclKH-, Na-
lium, Haltacuc, SopliouiA», Aggilr, Zaclurir
cl AUlM-hic.
3. ('.H\LiivR\ lnlori>rpUitio Amoft, Alv
'ditX' \ Jona;, puiirlis jiuUi aiiaIo|:iuni
gnimnutlinnn nolalii, cum vuiiu Ifctiunc
per Jwii. Merporuiii. AcccssiTiiiiU^jus-
«Icni tichnlia in loca difficiliora Targuin.
— Ibiil. M. i>. Lvii. In-4.
i. CuALDAEA InUvprotalio Michxa^,
'^ahinn, Hubiinic, SophonitO. Hu^goïi,
Ziicburi.T et MitlarliiiL' , punclis juxta
an»li>giani ^'ranuimtirdni nuUitii,<lili>;oii-
Icnim- oiiR'ridiiUi, adji'oUi ott;ini exeiii-
plariuiii Ilinr indè rnlljilorimt varia h>v-
lionu ptT Jouii. MciTiTUNi. — Ibicl. ii.i>.
.ivin. In-i.
J'ai nipporlc les troûi intitules, sfin que,
r«tifoiiiranl M.'|t;irciii«tit l'un ou l'auirc de et»
lmi« nin-s Milunu-f«, ini micIi» prmti%etiu!nl
.ce que Ton ik'»n>it ciM-urr a\mr pour cotn-
iilrlrr le rt-nu*il. \ oir Haluruc, premier
nrticlK «le rfiuuév ISbO.
Il ni n wtKT que h troiiiit'nie partir appar-
'linil N l'atiurr 135»*. MaiHairr, après l'y a%oir
IflactY. la inet »iieorr à 1559. ce qui «ippOKe-
lil (k-iu éditions surtTAM*»*». auvpifMps jr
Lpe rruirois. qu'nprt'-siivnîr «u et corapûrt* un
'Cl. (le <'lianiiH> de CL>Â deuxauiUT», Ji* rmis
il)i('ii plutôt que Puuc des ticu\ Jâtcs ca\ ime
>rreur do Iwte.
5. Dk Divcrsis regutis juris antiqtji
Pandoflimim liliri qtiinqiia«<»simi, Ti-
tttliL« wii fi. ullimii?. In easdeui velus.
inw^rto auctore bi^vis A elcioins
^OintmenUritis. — Luietiae, apud Caro-
tum Steptuinum. u. D. Lvii. ln-9.
Ri'>f m pression de l'édîtiou d« ISfiî. avec !■
iBtrtiifépilrp, la mi'mc \iTtAacf^ ad LfctotY/H^
iiif qii<-l<(ues mrttA changés daiM II prcmièrr
ili' re%i|rti\ ptèees.
6. Kleuantiabij^ I.miron!ii Valla» li-
.iiri scx, cannine pergcnpti, mm iircviî*-
biinis ^(-lioliis, JuwnnG Rubournu Havprino
atiUior*'. — LuMiae , ai>ud Cnrolum
StephonuTii. n. D. lvii. tn-H.
Maittaire, Aim. Typ. IIÎ. 708, moiitioiine
une autre wlition de Paris, de même 155*,
iii-ft, uaud Tlwmam Ricfian/um^nttiérvfnvnX
.soniljlalile à i-ellr-iù. Ne <tei-i>il-i-i* poiut une
èJilioa [HirLa^ôe entre cea deux liliraîn'»?
7. Dk Oto OniUonts purtium con-
stnjctlono Libellus, cum comnicntarii*
JuniiHiitiiiri. — Luktiar, apud CaroUtm
Stf-ithantim. u. d. lvii. v. CaI- Fcb.
ln-8.
8. Caroli Stophani Tltesauni^Cit^ro-
nianiis. — Ibid. m. d. lvii. In-fol.
NiceroD, et fes Ann. Typ., tll, 688, mct-
teut 1356. C'est la date de la prébcc, un.
■\OV. M.D.LTI.
M. D. LVIU.
^ . M, T. CicEiioMBO(Tera. ». d. lviii.
In-ful.
mie édilinn, nienlîoDU^ par Mailtaire,
Mtr l'aiitortlc d'Alindovi'ea, n'custc vérita-
Idtmietit pas; à iHnoe le dettùer volone de
«'lie de t5M-M-55 tloil-il acitevû et puliliê.
AuM) ii(.> la lait-il plui liginer daus lei Aun.
Typ.
2. KiiDiME.\TA prinu) LaiinfeGramma-
tices & mixluiï e\amiiiandu> ronslrtictio»
nis in oraLionc , Johanne IVliissono
Condrienai authore. — l'an'siis . ex uffi-
cina Cartili Stephaiti. m. d, lviii. In-«.
Rcimpn^<iioii de» trois èdtljoiu de Robert,
delSÏ». 158SalS47.
M. D. LIX.
1 . Haraclx l'Uiu coinmenluriJ!!! R.
David KiDihi, à Francisco Vaiablo. Wo-
braïcarum lil^ranipt Hcgio profeî*iM)re .
summa cura ^ diligonlia re('ot;iùtiR
CAnOLCS STEPHANUS. l&5»-60-(M.
iuljcflis insiipor «•holiis Masora^. varia
IpclionfT atque induv loconmi quos
KimliiciUUp\TalniiMi,porJû. Mercorum
lin^ua^ Uch. iirofosrtoroni Kotritiin. —
Partms^ ox oflicina CuroU Slrpharti
Typocraphi lU'uii. m. t>. lix. Mrnse Ti&-
ohri. (S4'pl.-Û-t.) In-i.
2. Placitorvm Suiiimjr fijMiil (iallos
CuriîeLibri xn, [►pr Johjitincni l.iit'.iiim.
— Parmù, Curoius Stephanus. u. d.
LIX. Idibus Fcb. In-fol.
lia lS5Sà 1SS9, ^oila Iruis i-dUtoi» dtr Vi'
Reciifil.
3. Dk l^lîniïï ol GriiTis iioiniuiUis
arboruin, fnitjntin, fn'. — LuMiiie , nyud
Carolum Stephanum. x. d. u\. Id-X.
i. Ai.i>n\neTL-M llolmiicirm. — hitc-
liaCy e\ ufScina Caroli Slephani. u. u.
ux. In-K.
îi. RitDiMENTA prima l^linrp Gram-
niati»^ &. inodus oxainiriiindiP constnic-
tiunis in oniLiono , Juliatiue PcIIUsonc
Condrienai aiilhoro. — lliid. m. d. lix.
lr>-8.
6. Co»îTEXTi'S Universa.' Gramnuiiiraï
TVspîiidcrinna; , nim snorum rxiiniiion-
tariuriim Epilome conrinnaUi per Jouu-
rioin rellissojiciii lloiidriciiscui. — Lutv-
titif . apiul Caruîum Sifphanutn. m. d.
u%. IditK Januar. In-H.
7. RrniMENTA Lalino-Gallica, ciim
acoonlibu^. — LuMUi^, apiid ftimUirti
Stejthanum. m. d. li\. w. CïiI. Fi>I).
In-«.
8. Pftit DKlionnairo Fninçoi^Latir.
— P(iri>, CharUf tslienue, u. u. ux.
ln-4.
R^'iniprfftUfHi de Is d«nuèn' Mîtion de
Roh. KitH'niie . 155". où rt> livra est uomn»'
Dicfionnriolum GaU'tco-Laiinum. Voyez ci-
tlcMits, |ui{;f 88.
9. Diction \Riii)« Poolinim, qiKxlvul*
go inwribitur Ëliicidarius (jirminuin ,
inullo quani antehac oraondatiiis. —
Ibid. M. h. LIX. Phd. (^1. Jaii. tn-K.
Imprime* par Robert Esticnm* «i iMO.
15.15,1541 v\ 1550. Le-* com-ctiniis ili- tflli'
ciiiquiL>iDc6ditu>uM)Dt l'oukragu iW ClurIcA.
M. n. i.x.
\. Rui>iMFNT\ prliiiii LaLiiiffï Grnm-
niafiro^, h MehIiis (■\aiiiiiianda' ron-
ssIrUL'tumis m Oralione; J. IVllùisone
aiJlliorp. — Lutetiae, apu<l Carolmn
Stephanum. m. d. lx. xv Cal. Mail.
hi-8.
"î. Catoms Diftlicha dp Muribus. cum
Lalirta et (jalliai intoriïri'laltonc : Oiclû
S;qiinnhiïn , ritm siui (]Uoqm' intrrprp-
Udiiincula. — Lnîeliaf, apiid Carolum
Stt'pfmtntiu . II. D. LX. In-S.
M. IK I.\l-
1. OicTiOMARirM Latinn-liatltrum,
Jatit indc ]»u<i1 inullas iilitioiies idiirininm
adadctuni. — Lutrliae , ;qMid Carulum
Strphanum. m. u. lxi. Non. Keb. In-fot-
On (rouvodci^evnnplaires -tpu^ Jaeohtm
Dupitis et Caroium Stcp/tanum. Voyci cî-
dciiâuSf pBgc 1<H. U-- mtxnc bvrc à Fran^nis
EstieaDe.
2. SïNTAXis Johannis DespauU'rii. —
LuU'tiae, ox ofiicina Caroli Stephani.
M. D. LXI. Idibus AprUiii. Id-4.
Ijps \nluiiic-AMit\anU, ou%Ta|;esdeChBrlM,
ii'oiil |»a<^ t-U' imprimé» chez lui.
4. (6/i /nryfinru]/4')CoMeDiF du SiKTJ-
Ht:e des profpi«t»urs de l'At'adt'inio \tjU
^uire Sciioise, iiomniez /«/rofiaW. cele-
iiréo i^s j('U\ (run Karosnio prpnant, A
Sencs, traduit'le de laiifiup Tuticane (par
Cbarips Esticnnp).— Pom. 15ln. In-16.
Rciinpriinc À Lyon, ¥t. Jii&ti: et P. dt'
CAROLCS STEPHAMJS
413
[l'iiucs, t^S, in-Ki. v\ aiKsi à Paris, RHiifiiuf
Groiille^iii, I55fi. iit-16. siius le litn* tka .^tut'
;. Il ta! awM*/ ùnfjtilicT «jirf ccl ^u^^Ilg^l »Ie
Charln lUiiL-inif »*■ ngmiirînifà E*jiri!iiiillfiint
[-quL-rJioz lui . qui, «Irpii» jiliuimi-^ aiint*»,
étoit Impfiniciir.
2. Pbemikbe Comédie dp Torcnci', in-
titul4k> rAnfJrie. IniduiUM'n frfjso Tnin-
Çoiw . |«ir C.hiirlts Kslicniic. Avdc un
bn'f rectK'il ilc liwiU's K'^^surlft» (\q jeux
qu'avoient los iinciens Givfs cl Ituiitnini},
cl comment ils iisoient d'Iiviix. — Por-
Hs, Gif If s Corrftzt^t, I5i2. In-46.
f
3. De Disseclione partiiim Coqioris
hiiniuni Libri tri's, à i'jirolo Slepbano,
Ooclore Hnxlu'O, wlili unnctim figuris,&
incisioniim rlfrlaralionihus à Slophano
Riverio (lliirurno cuni|HJt^itis. — Parisiis.
apud Siiiu^Mm CoUturum. u. d. xlv. In-
fol. Fig.onhois.
la Bihlio(bèr|iH* Royale |KUMd« un bel
cu'inplaire tir rc livre. impHinr «ur vélin,
a\«' Im lipirc*s pdiilt», mais avec iiu ft>uilk>t
inipritni* »(ir papiiT. Ai'lictr 5U 5*. chcj. Mac-
ranliv, (|iii l'a\t»t |ui\r 50fl fr. m MA'J, h la
vnilt* Suttbîte ; il s'ivul dr l.-i llilil. i\v l)«t
Thou, Jaa& Iv OiUi(if;ut- «W bqiH-lli- y. It*
V(HA oÎDSi iuilii|iré vn une adilitinu maniiscriu*,
À U page 172 rlu louf M-cotid : .llîiui rxtm^
plarin charta fcvgamtna.
lit pn-ru<-e (11- Cliarltâ â uit jciine ami,
Hiveno suo, mvi)lifiii[i('*e ci-dt^stis, p. fl
»'adrcue ituliilùlaUlcinfuI à (vt F.lirnne dt'
Iji RÎTiérc, de^cnu depuis cliiriu'{;icii liabilo.
4. I^A Disaoclion des Parties du ('nr|w
hiiinaiii , divisw eti Irois livres; par
l'hurles Eslienne, DoclouiMtHiecin :avoc
\(^ fiî;ures el déclandjonsdes incisions,
parKsIienneDe la Rivière, chinir^eu. —
Paris, Simon de ro/inw. M. D. \lvi.
In-fol. Fig.
!i. QiMTnE livres de Piiblo Vogece'
Remiy de la médecine des chevaux ma-
lades, traduit par Beruard Du Poy-Mon-
rlar. — Paris, Ch. Perier, m. d. LXin.
In-4.
Dana la Maison Rusii^ut, Charles, ou plu-
tôt iJebaull, &OI1 Kcndrc. réclame vivement
putir Charles t'Iionm^r de celle traduction
de bqurllr Du Poy-Moarlar te »eroit indiV
mmt dc-darc l'aulr-ur.
Ift
HEiMlICUS STEPUANUS SECUiNUUS.
U. D. I.IV.
I. Anacreonti!» Ttiij 0Û1B, gr. et ]«t.
ab Hfurico Sto|ibiiiiu Iulx' Se l^iinilâl^
mine prinmmdonatm. — Lutefiae, apud
HenhcuîH Stephanum ex privilegiu Ré-
gis. M. it. Liv. ln-4.
FremifU-e éttitiua. Il l'ti eiwle mi i*\mi-
pbin* Hur \pliu à nieubeim, dans la hibli»-
tlmitipilc MnrllMroagh : il ni à h reliure de
Gn»lirr.
Jo:i. Soilî^T a avancé, sans pn-uvr^ ■ttiHi-
«inlrs , qui- la vrr&iun latim* «rtoil non |W.<i
de Hetiri E>^ininr. mai» d'un pm-te de cv
t«iip«. .htatuifs Aiirnlns(Jfa[i DitruI on Dau-
ral). Si Henri «r fûI a)i|it-n|iriû ccillr Iraduv-
tioti &ai» Ir t'iiii<H*ntt'iii<f4il île l'aul^ur, il y au-
roit en tôt ou taril i-iirlanuiUon l-I dt^saven.
Or cv Jean Ooral n'a point rvclumc. S'd y
avuîl m accord entre eux. ou *iùl Uoi par le
Mxiir; tt'A «ecrel» lilléraires toni rarement
gardés, et la vaiiitc val là pour însuii«r ies
rè^élatiutu).
M. D. LVI.
4. DAviDtsPsalmialiquat l^itino {!ar-
inîno expressi a quatuor iltiislribusPcf!-
tis. quos qiuiluor rpjiiunt's Gallia, It-ali;i.
GiTiiiania, Scutia i;i'nufnml : in ^iiJlidiii
studiofwrtjra poolicos intor se commisisi
ab Hcnr. St(»phano. cujtw oUam nonnulli
p^tmi Gneci ciiii) aliis Grsecis îtidem
comparatiçi in calce libri hulicDlur- — E%
uQïcina lienTici Stephani. m. d. i.vi.
1ih4.
llL-l)ti.s l-l(it)aiins Hes.'iU'i et G. Uiteliaitun,
au\<{iii-I<i lleiu'i ajoute ini t'tiH|niein<-, Riipi-
ciiiA Jonla, llalien. Il nifl hurhanaii an
preniit-r ran4;; a]irrs lui ttaminiii^; [v Kran-
tfoi* S. Marrin vient eiiiiinttr, /on^'r injtrior,
I)'- rAJIemand F-nlxinui il dit : •> îii rpii» mc-
tniin delrahcre \elil, uiliil commune rum
jKicii lutl>m^ compenetur. »• Quant à Rapi-
eiii& Jo\iia, « fere itiùaiiipic non uninîuo
mulo \ersnî |H>viiniuin snlijiiit^il. ■• C*i-«l hien
SMisi i|nfl(|uefois le ras de llejiri dai» ses
travaux p(K-tit)u<>!i.
l»aiw Vicéroii. ce titre est de 1556, in-4..
IW pa{;es.
Maitlaire, f^ita! Stepfi., p. (1, le met
in-8., sauft date, copiant. |>our l'intitulé, le
Catal. de Henri. It paroit nvciir vo(dti se rec-
lilîer dans les Ann. III, 4f)C et 673, on, »e
couformant à Nitrénm, d k- remet iu4., et dr
I35ti. Je n'ai \\Ar, mi ee vuliimr, mai.v qu'il
soit iii-^. ou in-**., il paroil i\w rien n'y eni-
pMir (le croire qu'il ail été imprimé à Ge-
nève. Mus l'imprimiiTie naissaitlede Henri.
M. I>. LVII.
4 . ATitKNAGOftAR Athi^nlenslApbiloso-
|)Ul CtirislianiApuLu^la pro CliritsLiunis ,
iad iinpLTatores Anlutiimmi ^ Coiiiiiio-
fliini. Kjitsdpn», Oori':iiMTn'(ifiin'tii<>rlni>-
riiiii. E\ anliqiiis exi-nipEîjribu.s libL'Itus
ille nuiK" priiimm prolL-rlur. Iiic autt'iii
castiiralt'tr qiiàm ^intpa wliliir (ciim ver-
sjono tulinit subJuncUi Conradi Gt^neri
et Potri Naniiii ; ac ipsiiis Gi?sueri cl
lïpnr. Stephani notis). — Kx ofGdna
flenrid Stqtbuniy m. d. lvii, In-tt.
V h p. llK)i'>l ntie Kpitie ou Dédicace de
^
Henri, ex Trpogmpheh tiottn*^ \ Cal. Juit.
Tciio !Saniiio (Xiiniuiu;', uvaiii llulbiiUuîs,
a%e{* U<([Uol il aitoit, vu IVil, fait coniioUsanci'
À LtMi\niii, rt aiitnir tli- In Iradiictiou ili* t'o-
iiiiM'jilf^ De ttesurtrctia/ir. L>i Iraducliou dp
i*A|toloj^<i i^t (Je r.. (ifjtinT.
m» ciie Je V.IfMy/of^ia mie édition |^rm|ur
d latiiif, tlf Zuricl) 1S57, que l'uu ilotinv [
comrar laprtrnncj-^;. Soii.-i nier formdliineiit
wHi t'vjstwirr, jVn doute. r| iiruucoiip. J'ai
lûpii rluTrIic, pI je n'ni |m vt\ trouver mit'
HHitr iiiiliraliu» tte viiti. Ikiiu ms Uslvs, le
tliligi'iil rkljiltairc iiu l'âJaid |tuiiit. Je suis
Itriit |H>rlt: h rroirv qut* c'est la Ualr Ji^uri,
.Vanis CriTuartii, 1357. UM! )Wr C. rnsurr
n Mti Kpiliv A H. Biiliiugt-r. oumî de /.nririi.
tm|ii'mitri* eu lt^U> de m \tTsiou laliiit.-, qui,
n-iiai-ilév -saiu allnitiuii dans If «uliinu'dt-
lli'jiri, atu'a fait rrit^r iiiiprdiliun de /itrirli.
Au it»tt\ qui' ri'ditiuii existe mi iiiiii, n>lledi-
lleiiri, dotiiHt- !>ur un maiiust^jtl, v>A luujoitrs
la jtrt'aûcrc, dout l'auti-i' &ei'ait tiiiv îmoit-
diatcco|iii'.
t. Maxihi T>rii l'Uilosuphi IMiituniri
Sennoncs siveOiH|tuuitionos xli Gra-c^
initie prinninuHliUiv — Ex oHiiinH //r*n-
riri Stcphani Parisieusis ty|H)t:nipbi.
H. D. Lvii. — EiiHlnti, lattnn>, ex Cosini
Pan'iiiirchicpwcopi Floronlint inlcrpn"-
lattune, ub llenrico Stepluinu t)intiuplu-
riniiâ in lociâ tmu>ndiiui. — I^uj m h
LVII. Ifl-tt.
lYcmirrecUilioii Rrec*!"*' J*^ *■** ft*re. ap-
porte do Grèce n Laurtnt de Mtdiri.i, par le
uiaiil J, Lascarû. I.a «enûnu hliiie de
Cjuanc P;ircio (Pai^), iri U*auroup rurri^^êe,
a\nil étû impntnti' À Rome. 15t7, iit-fol.
Daii<tM prûfaci', Heuh dit qui! Parcio n'éloir.
daiiA eetlv MTMoti. m, ^tu%eut et ii f;ru»airre-
meut tionipé, qu'il lui a«oit fallu revoiiir i^iir
l'pstinie que priNH^t^mineiil ou làiiKHl de l'ho-
l)itHi' de cv Irndticleur.
Sur le (jital.fle Ik- llioii, I. II. jKiKe *.
au lilrt^ de n* Iimv, ou a ajrnile À 1.1 ntaiu :
R. mar. gr. p. L*o\em plaire, en mai. r, a
élê %endu à b vente Soutme tl 1. Ms., rt le
propriétaire aeluel de IV Uelev. l^■^lI \iTifier
i'il e*l ftur un papier sn)H'rieur à relui de
toute l'êdiliou, ee que je ne miU pa<> ilispo^e
«rroirr. l'ait axn- niarp-s un |»i'u p-jind«**.
ce tolnme peut farilemiiil èlrr n'intlé rn
grand papier, lorsqu'il
nfêuage par le i-elieur.
3. Ahistoielis et T)ieophr;i&li Scriplii
quKîdain, i;r.'t't'o.qiiM* vH numpinm an-
tfii, vel minus fTiii^iidiiUi t]ijain nuiic,
iHlilii fwnint (cum noiis Ilpnrici SU'- *
phnni). — l'A iillirina Henhci Stepfiam
Pari$iptisis ljpo;;raplii. .n. n. Lvit. I11-8.
\\ec une Éptlrc ou Dtulîcaec de Henri h
V. Vetinri.
Ici je pla<;oi9 une édition des Hpistultr ati
famitiarrt de Cicéron qui u'eiiate pa». Voir
à l'oum'ciST?.
\ CicEBOsiANi')! Luxicoi) Grœeo-lali-
num. Itl i^. Lexicon t'x variis GmM*o-
nim (î(Tipli*rtini loris i\ Cicfroiur in(t*r-
pri'Uitis tolUrlutii iib Ik'iinc^i Stvpliano.
L(MÛ ijra'coniin aiillKtruin nini t'jwn)tii:*
inliTprct^ilionibus. — Ex ulliciiiu Hct\-
rici Shiihittii Pariàiiïitsis ty|H>gmphi.
M. n. i.Mt. In-H.
Ix Reciied ijui suit fait pHie du Miliinn-,
et doit nérf-v*«iniiienl ) ÎHix- jcûnl. U** Aji-
gUtU tieiineni pour lui de« pltu ran's ilt:
Henri ee dindiJe \i)liinir. tpii M'-ritatilenieiit eu
i*»l uu de ptiLs rriDan)ualjles, aurtiMiI comme
ouvrage de sa jruueue.
l.N M. T. C.irornniâ qtiatn pluriinoti
loc^;^ Caâli{:atiuiii.'8 llcnrici Slcpbiiiii :
parliru ex fjiis in^enio, |Mirtim ex velii»-
tis^imu quoîbini & cinondati^simo exem-
plari. — Ibid. m. d. lvii. In~8.
5. .flsciivM Tnifiti'iJia' vu , Graecé :
qiia^ rtim oninis nudl^t^uâin antea ra»-
ttpitiores ctliinlur, liim vrrv uitn. qua*
fiuilila l'I dfciniiiUi (>riii> iT.tl, intoio^H
nuticpruffrlur. SL-liulia in (.'usJt'ii», plu-
rmiis in loci::i locuplctata H LMiiendata.
Pelri Virtorii cura rt dili^entia (nim
Ilcnr, Stepliani olisenalionibuà). — Ex
ulTiciiia fitiirid Stqtham Parii$iettôi& ly-
pographi. m. i>. lvii. In-t.
p. Vetturi(Vieioriiu) ne trouvant |iaA Uiâ-
lilé i puldier eu Italie sa aouolatioiu sur
jt>c)ty1e (f.utu^ntionriiH j^tchytam)^ en Ot
envoi a Henri qui, pendant Mm «èjour à Kio-
renre avnit à la n-eoramandalinn dururdiu»!
Maltii, ri^u rhe/ lui luir aini«-iile lioxpiinlilé.
HENHICUS STEPIIANUS SECUND«S
I PU
rt (|tii s'cniprcuB dt' ini-Hrr vu ImnHTf le ira-
it ail ilfMHi tt>aiil»uii.A|ir(-k Il'IcvIc, wHiMnil
curri^ a\tv ti\autai^v, il miiiil loiirr!< Wt, \a-
fîaolcs écrites aii\ inargf» ilii \4iliinif dr Vio-
tu, el d'aulne qim lui fournil un niniiu-
I «I w [tour<uiou . A l'oîilf il'uu irinuii-
dc la Uil>l. du |ia|)€ P;ml m iAU>\.
Kornne), il |>iit compUit-r in tro^tilif d'A-
i;anii-mnnii. dont bliit. (1275 \fr»]ni:iiiqiiaiil
^u\ Irui» iirLYritleiilr» l'ditiuDs {;i'ec(]upa d'^lj'
fin II- [AUU; ISlJs, RoborU'I. Î55i, Adi . Tiir-
lirjjv, tbjsij. dîiiis rt'IltMi n'<irniii(- |)ji« nioii)>i
df !■> |tagra rt df-mic. Il ii'oil yas II- ni>''nit'
boidunir |KMir ï(f* Cuépliarra, dont le lunt-
mtnirctnmt n'n \\n ^trc retitHi^é, sauf uni'
lie du l*roln(;u(*, impriincc pour la yrv-
fois duus la prtitccdil. di* G. f-nnlrnis.
Pluiitiii, tf>8l). uiifl. Aux M-lutlii'!» fl rorrtT-
liiin» dr Virlfiriu». llunri ajoitla wi |in>[irt'^
les.
Dans Ip Mjga&îu Kih-yrlo]it'di((Ue , juin
$09, rJiurdun df I ^ Rocliclle dil ivl .K^rhyli-
]tnl<tié ji,ir li-^soiuailc V. A>lluri.<»n \«it,au
ntrairc, <|Ut' l'édilcui' fut llftiii. (|ui, ini\
tvi r\ rorreniou4 ilu savnni Floriiiiiu ,
la sou trD\ud pci-Mmuel i*i U"» mmibrruv
iuinlth de la triii;itlic d'AfîiimvnuuMi. Si
\ia\i rHU* uliMTtaliuu , c'est nni(|iit'nu'iit
rcr (|ni< rantohli' ilii iit)ni dr Ui HofUt-llt!
irniil fairr rt*g»rdfr cuiunn* \mtr ii'IIl*
cre vrrrur.
6. ExCtesiii, A^tithurL'hide, Mi'ninoiM*
[CorpU'c llislorifp. Appiiini Ihpririi.
►ïu, dt' ^tjsliî* Annitmli^, tiriL'oo. Oiimiti
lue |irinium t'<liU(. Cuiu Honriri Slv-
"pfiitni Owti^alionihns. — Ex ufficina
Ufnrici Stephum l'ariftiemi» lypufiru-
U. l> i.vii. in-8.
A\tc nuir t\Hlrv. de Hc-uri â 0. Sigaiiio
III» liMjUt'Dc il Ac ftlicite duboidirur d'a\oir
hrnr l>auf« pour iniillrf ■
M. D. LVUt.
1. l«pp. Jiiïdininni , Justini, Kconis
novHIiDConâtituliones. Juslinbini Edicta
hibliothrt'ii llhistris viri lluldriri Fiig-
*i, Uuiiiiiii in Kir\lii»*ii^. rt Wt'jsspn-
ra. publirx contniodiUiti dioAiitur.
Jusliniiiui uputt uiiUni ediluin , sod nuiir
primimi ex veliislis cxeniplaribu^i stiidio
& dili-^enlifi llenriti ScrimBeri St^jli
rcstitutuni til^iue eiiietidntum, et vi^nti
tribuîîConshl.ulitmitnwiiuaîdeïiidt'raban-
tnr, mictmii, ('ui et Edicta Ejusdemlm-
|H'r-uloi'itf, non prius p<lita, Umquam co-
mlliirinm arcesscrunt. Jiistiiû uuU'oi et
Li'onls C.onslilutioïK'ïi (quœ el ipsœ in
!inli<|ui^ L'odiriliiis NovpIIip rognomi-
ruinhir) nutujtiani anieu in liieeni pro-
laUx*. Gricro. — E\riKlebat//«nn«m.S(i?-
phanus, Iluldrii-i Fu^^eri Ty|)otîraphu3.
M. i>. i.viti. lii-fol.
OUi: édition i-^t diVlict- à lluldrirh KitggcT.
IJoniinn» in Kirrlipcrj; A Wry$Miili(irii, opii-
Ifid prulccttnir df Hcuri, ft l'un df» priiin-
paux mrinliri'» de wllr rcipliii- funiillf dr ri-
cltrï nî'{;>K'iaiils, dont J'imnitriiM; forluni> fut
»(in\<iil l'nipInytt'Â protc^tT l<'.\ nrl^ W 1i>a
lr(irp.s, il ftiniier dt» mllectiuus scitnildtqiips
cl d^ttill■^ (''taMiul'mf'nts. Par tt« lilnTalitr^
iU- lluldiicli, llfuriful rufom-asi* <'l witit-nu
dans k"t lra\au\ dillicilM vl irop souM'nl
nui'U'u.vdc wn Ini|innifi-it*;rlil pamit ci-rliiin
ilu'iudtiit'iidjunpuTit d'um* wjnmif dr tpwl-
(pif ini|>orlaucc- à lui doiuiêit «n pnMit', il rv-
irioit rliaqur onurr rinipianlc ôciis (thulti-s).
cil rai%on dr quoi il t'iiilitulm! fUustris viri
ilultirichi Faggtrrî Iq^irliptefoi» Fuf^gtrvnim)
Trf'ografihtis ; ce qur l'on voit eur pliuiuur:!»
de ses nlilioiis, dtpuis t-dlc-tj dt: 1558 ju-v
quVn 1568.
Lrs portraitA de cclW. famille, â commoi-
itTÏ» JnfquM FnggtT, ninrl ou UfiB, uni viù
gra^i'^trl puliliis ntiT nolifrcHliiof^raphiquiv,
m un vol. iU'fot. tniprin»' *'n 1595, vu 1818
H IMO, vi vius nwmmait encoit eu 1754.
M D. UX.
r DiODoni Siculi Bibliothoca? histo-
rieaî libri (juindwirn df quiidraj^iiiUi :
^l'Uivè. Divemex hii9(4uindt.viuLnunquum
priûà fiieranl wliti. — Anno 1559, excu-
debat Ilenricm Stephanus llluîttriâ viri
Huldrici Fu^eri l\|>ogr»phuâ. In-fol.
I^TFmiÔn' <'l lirOi' i-didnii ilr dix dii^iptin/i*
118
HENRUnJS STEPIIANUS SECUNDUS.
1U0- 60-61
lj\rrt ttind sit conipasi* ai vuluiin-. Klli- i-st
tléiliêv |iar Hrnri à son Mèwiie Hiiltlridi
FiJggtT. qtK tbuK Mil Kpitre il conjure dr
rouliuiHT À ne ricii é(wn;utT pour dtcou\rir
rt mulrr à la luiium- les boni H uDCNttu li-
\r«. Lrs parnils ilr c€ |»rolecteur nVluk-nt
|tai ilrmômr a*i?,ipie k prolêg^-. Voyra: daiu
In ViV de Hem i .
i. Gentiuu ri Fiiinitianim nom;in;i-
rum SlcriiiiiaUi, Kidiardu Slreinniu Ba-
ronc Schuui-zonavio auctorp, Ad Illii^
trisâimum Prtnoipct» r«roliini Aroliidu-
cem Austrifc. — FArud<*biiL flniriau
Slephaims lliu^trib Viri Huldnclii Fui;-
Keri tv[K)gr,iplnis m d. ux xv. Dil.
Miirt-.'ln-fol.
1^ I hxliciK'c tic ce jtranc luleur, à peine Ai-ê
■ le \iii(;( aiw. ndrc^r ■ rarcliiduc Otarie*
d'Aulriehe, est dalt-e xvi Col. Scpl. 1558.
M- D. LX.
*. Imp. Leonis Auf^isti Constitulio-
nes novi'lltu , aiit wrrt'cloritt! Ii'giim re-
piiri;alionps. Latins^ nuni' piimùm al»
llfnrico Ajrylii'O {nvUv. Iinj». Jusliniani
EdicUi. Iinp. Jiistitii Quistilutioiies ulî-
quol. Imp. Til)t»rii r.onstilulioiiiiy. ïinp.
Zrnunîs l'.oii:itiltilii) mm p«xloiii inter-
prète. Ilnjiiâ (HlitioTiis mar^ini appo:}iUu
nuniororutii nuUi' [tai;ii)as (irn^ci exem-
plaris indiranl al> ihMiriio SU'plianoex-
cufii. — Ext'udt'bat fit^nricus Stephanuji.
M. D. LX. lu-H.
2. PiNDARi Olympia ^ Pytliia, Nemen ,
li^lhroia. Ca'lorortiin (Hio Lyriconiiii
Cnnninu, AIctti, Sapptiuïï, SUwJinri,
Ibyri, \nacrt»onïi-ï BanhUidis. Sinioiii-
dis, Alamtnitï, nonnulta oLium aliftruiu :
Omiiin ^nrufy ol latine. — Anno 1560
pxcudebat Umrirux StrphanHS, Huidrici
Ku^sori Typogniphus. !n-l6.
Deux parliez (piî toujours m* rèuni&ienl,
ii\ri* Fpilie III! iVrilitiire à Pliil. Melanch-
lllrHl.
Appia-M Alexandrin! lli$[Kinic{i Pt
IIhiIu-;), tatinù nune prinmm odilji,
'"ranciâiM Ik'ntldi, liiiii^na.' Griura-
i*jisori.s drM'lissinii irtlorprelatiotii».
is wlilioni.H mar^ini appu*it«e imme-
III nota? jttt^inis Gra;oi iil)ri res(>on-
, Heiirici Steplmni typii» nou itii
.'m t'xcusi (aniKi41»G7). — Excudchat
•icitx Sti^phanwi. lIliLStrii^ viri Uui-
Fuiij^eri tyiK>',iraiilîiJs m. p. ix
M. U. LXI.
1. (*,ATE?iA recenliortiin Tti(folo^onjni
Protetitantintii iu I^^aimos & r,anli(:ii ex
divorsis Biblioi^m lociâ. — Uenr. Ste-
plionus. M. D. LXi. In-ful.
2. Oatrna in N. T. ex Thcolo};;!^ Pro-
tesLttnlibibi excerpUi. — Heur. Steptm-
nu$. M. ■>• LXI. 2 vol. Jn-fol.
Ainsi annoucé dans lu Cat. de De Tliou,
1, p. iOl.
3. DisTiriiA mor.diii, iiomineCalonis
inscriptii : ciim Gaïlii'ii interptT^talione,
& iibi opus fuit, deolaraiioni' Latiiia.
Il.ï'f wiitio, pra?tor prîPC4'dpnl<»s , non
?oluni recenlt'iii aiUliohs Mutiirini Cor-
iJi'cii rw'oi^nilidiioin , sot! & Gra.*cain
MaxiiuL Plaiiuda* inlerpivl^itionem & dis-
tii'horuin India-in hiiljrl. Dicta Sapien-
timi sopipni Gnrrsa' ad tincni udjecta.
cmii sua quiKpK' inli'tpn'Liitiiincula. —
Olivà Hoiierti Stqthani. u. u. lxi. In-8.
f'ji 155i'), Miil. Conlirr f)>oil remu à Ho-
IhtI, son ami iniinir (nm'wo integtrrimty),
iitor* li\ê à (i^u^■^('. w ll^aIluction {interpre-
lationem) de.i DiMi<|Ui's de CAton, « ut est»
mile aiinos «îginli ei iimplnis ab ipM} Roltrrlo
inipreMani nunr à plurihua, quibiu Mepiiu
at> iDi|>eriliit (ypugraphis edtla fcedabatur,
rocndiit repurgatapi pro \ctere (qiue inlei
coi>, e\ quo juvenis Lutriia.' docebai acerrvit)
ainicitii, rurMU rvcudcret. •• Lettre de M«l.
r^inlier. dnice de Umsaiiiic , ri qui doit être
HRNRMXîS STBPHANUS SECIINDUS
ÏÏ
f fra
de 15S6 ou 15.17. Je ne *«i» |m> que Rolwrl
ait tloiinr utic trile i-ditioii; el le Toiiimv tk
13i>l, fait n GrtiL*\r. snil |iar Henri, soil par
tjiiL'liinr mitrt' |iiTM)[iiif, Jam l'IniprinitTir
ilcbwsw' |i.ir RoIttTt, lioil ^Ire le prtmirr viii-
[►Idi (le 1.1 n'*l*inii eiivnyée |varCori!ii*r. IXins
la iiréfactT dt* mu Dkiîamirioium , 15S7, ei-
liirssiL^, p. 1^. HoIh-xI dit et^prndaul a%oir
rvi^u vt iniprimé Huprtf deruii-reineul , cr»
DUti()ua, de b derniers rë\iMOf) de Cui\litT.
Il y aiiroit donc uni- édition de 15S6 ou 1537.
Ni Miiittâire ni moi nVit a\ons trniiTè trares.
SnieliiiT l:i oii-'iilimiue , m^iLs saiis l'aYoîr \iie.
il nVo iiidifpic ^as le fornuit. Lue édilioii
de Parût 1500, in-fl, npitti Cartiltttn Steplta-
Hoat tut'^'lle iàtiv sur retie K'visloii de Car-
Jier.-* e'f»i ce ijue je ii'oi pu >crilier.
Que rtiii ne trouve pn^ dïm-iim-h en t/is-
iiitiom Mirdes litre^ï de si |ieu d'impnr-
laiice et si siinviitt rèini|it'imc.'S. Ma \àv\\r.
(il dilatoire est tîe donner nne liste eiiaele el
elairr ile Imite5 It^ l'-ditiuiis de.*» |'.»tjnu)i-.
\iil endiaiTa<> Lil(lii»;,Taplii(|iii* |iuur le» ilé-
rodufes. les Pliil:irqui*:>el Ii^a Xéno|iliuii^, \c.
el c'oÂl [irt^ÎM-iuetil pour ce^i étliltoiu tant
de ro)»mténVA di^ mèiiicj. peliin livre*, (pi'il
y a une ronfuÂÏon et nne inecrlilude que Je
Atiîs elierriier à t'ziire di^paroilrr. I>aii<^ le> An-
iuile« Aldine.s. ce fnl .'iiism pour dis éditiotu
teft niuin^ ini)Hirtaii|rv: ipiv leur niulli|ilieilê
m oliligea nnnvenl i\ de lotij^iiis eJLpliea!tol)^,
4. Xenopiiontes oinniii qii^p oxUuit
OjïorH, iiHiltoriini veteniin oxoiiiiiktriuin
ope (quorum boniîm iMtrteiii Uibliotliocu
vin lllijàtrîs Ihildrichi Fii^jîiri supfM»-
itiLivil) a inultis incmiorum sordilius ilû
{>ur^;ilii, ut longi' ni^ijorr runi IVurlu
lejîi inuUtSiitic farilittstpiiimanlf^] intrl-
h^i [¥>wint. Rpistolariim Xt>iio| Imnlis
rra^nenli) qiiHïdtun liiee i-dilio pra ler
ias haijcl, In XonophonU'ut AiinoUi-
ne» lU'iin Sf^pliani, i|utt)n!S p^irtim
varias Iccliuncs examinarr, parliiti lucls
aliquol obcicuris luccm afTorre. parliin
mondosos quosrinm (in qiiibus ver*'niin
codicuniiiiixiliu'iisUtulus fuit} sua- in-
tei^riUili restiluPic cnnatur. Indicetii co-
piot^)l^imll^l nim Latina intorpreUitionc
innutncris in lot'i^ cntHMiditUi hubihii^- —
Exciidebttt Uenricus Str\ihanu.K llliisu-îs
vtri lluldrici Fu^geri Ty)M}^nipluffi. h.
D. LU. In-fol.
5. XENOPiiorrris Oppnitn Inlorprela-
tionpm àdivprsit» pdiltini llrnr. Stopha-
nus imrlini ipsc recaj^iiovit, partini pci'
aliosrccot;na'icondam ctinivit, in lis po-
lissimum lods in quihus minus tolpra-
liilis <<sâe viddiatur. Huic pni'tixa Pr<t
ojuï^ieni llptirioi St^ptiani Oratiodecon-
jungendis cinn Marh* Musiî*. cxoinplo
Xf'nophonli;*. Hujus nlitionis maru;iMi
iipposili sunl nuuim qui Gra>Kim pagi-
tiam Lalina^ rcspondcntom indicanl, iil
Index (qui paulu supmohbusiiccuratior
upLTifXlrcmu adjccUis i*îit)ad ulntngijp
t>dilionom ItH'lori iisui rssp possil. —
Ibid. M. D. i.\\. \n~M.
On voit que le prer et le latin rurmenl
deux publier tion» dtstinele» et séparer» «tis-
|»o&iliou qui paroil nvoir été rombiDétr ni fa-
veur de eeiix à *\m le seroiirs »i sautent
ln>ni|H'ur de riiilerprêlalinn Litine poiivoii
.tendder inutile: le li«re re|Hn)(lnnt u'ejl bien
rntn|ilei ipie lor&ipie leA den\ {MirlicA nonl
miuieA. Il paruit certain que i\\% {;rec il existe
du grand papier. Uu etianpLiii-e aiiitoncé
romiue le! fut vendu 4 f^tiînéej À b vente de
Bridgea. A Bn*«lflu , daiu ta Htbliothèqur de
Sainte-Klisabeili , on eon»erte un bel Kwat'
plaire sur véUn du texte ^ec . maïs utu ta
Attnoiationci indiquées sur le litre.
liidèiKiidainmeal de va» travaux per»oii-
ucU pour In colbtioa et roneetion du le\le
î;rei- , d'apr»*s plusieurs an<'irns m.iun5rrit.s.
dont pluMeur» lui furent prêté» par la Ri-
bliiitUefpie KiijSRer, et |hiiu' la révisi«m delà
version liitiue, dont il lit lui-inéine relie du
livie de U tiivnlene, Henri eid le ronrount
lie plnak-urs itavauLs dliliiigué», du Cretois
Fr. Porto», de Omrad Treaner, Joacti. Ca-
mcrariot, Âc, et il a rendu snn édition auvî
s^upcrieurc à ceMe d'Aide (1S25), que relle-ei
l'cmpurtoil sur l'édition de Pb. Junta, 151fî.
Heiin réussit mieux encore doiiA b réimpntft-
sion qu'il fil en 1581. et qui, nioias britbnie
ireitTiitinii que le vi>hime de 1561, lui est
liriéniin>iui-itt tn-s Mi|H-nenn-. Aiiyii donc, à
viii|;I :iiuiée-o île divljiiin- p;ir sca Avax édi-
liiuis, il a puL'vs.'imuii'iil i-t)[ili iliué a eonipTel
ctTbireir le texte tre^ eorrompu de Xénophnn.
*
r Genesis, Uiltne, ciim Ciilholira
rxposiliom' l'xclcsiaîîtic;! , ex proUili^
Thfoloftiî* oxwijdn , Vatiiblo, Lulhoro,
Calvino, Marlor^ito, &c. — Kxciiripbat
Ifenricus Siephantis ItuUlriti FHggi'ri
T\iHïï;ni[^liU5, M. u. lx.ii. In-fol.
2. PsAuii DH^ idis oum Cniholica px-
pusîtionc Ecclesiîislicti , ab Au^nif^iino
Mïirtoralo collecUi. Ciinlini ex divrrsis
Hjhtionini loris, ruiii -liinili ("xiwijilionc',
— lliid. M. h. LXii. In-fal.
;i. CATRNArooi'ntiwumTlioolog. Prf>-
U'stunt. in Psiiliiios & Cîmtica v\ divxT-
sis Biblionini locis. — Hcnr. Sleph.
imi. In-ful.
Le Cat. de De Thou. I, p. 156, intitule
ainsi rv votunip, que je n'ai point vu. Il If
(liilf de 15A1 ; niaU sur rnou t^AL-mpIuirp di^
ev (>ital., Ir S rst rfruplati'' à In mitïn par
tui ï, vu ipiî rnid (i-rLiint' ta ilutr ilr iSTiâ,
ri pnilH^lrr onniille l't'tlitiou que j,e nicii-
linntH* h l'anute MUS.
4. Novi Tesiamcnti Caiholicacxposi-
tio Eccleiiiaglica, id osl^ex variis probuLlfi
Tbeologis pxciTpUi nb Aiii;;u«iti[io Marlu^
rato. Sivpfliblioihwa l'xposilioniimNo-
vi TcHlaiiu'iiti. id est. Exp«ïiitioTi<\^ r\
pitilKitis <iiiinibiis Theologis rollet:UT, iV
in iiniim rnrpiis sinitnlari ;irlilici« rnn-
flala; : qiin:" insUfr Biblinihi'ca,' ntiiltis ex-
position ibu.s rpfrrta* **{«*• posssint. — w.
1». lAii. Iri-ftil.
I.'impmsioii dr rv% (livrr*^ VDliimn aviiil
fir rrtniiiiriH'i>e |Kir Rolwrt, tpii nmnnil Jitant
d'jivoir pu lu Ifnniner. Jr ur puis nir rffii-
MT de citer iri un ]ussage de l'Epîtri- on
n(HJira<-e lie Mt-nri ad Joannem f^hhirum,
4pii. si file Afhi li> rliêinir pârJat e\pi-euiom
et le Mylv . n'en rontiont pat raoiiu vérité
dan» ce qxi'rlje dit dr Holxrt.
■ O niurtrm mnrii-nri qiiidt-ni, li nano»
«prêtes, nialumtn . ni sti|MTHliiilHiv liicr^truni
«Itldimis pni-nialmarii ! l> iiifirtfm \pv\ i.**i-
miii^ iiilrrriptt'iili'ni ! 4) mitrtvm. niulli» pm*-
cUrox ruiu)1u> inlHTiinipmtrinf miitliiqur
bru iipcm iiotiU iiividiiitt- m * () nior-
tcni Iritms liii|;uif> À uibus tnunt liut,ni.iniin
Acriptoribtiis ma^uim j.irturani HlTcrnitein !
O lypotcraplii uiortcm arli tyiwgnipilif»
«!5LitiitTn miiiilaiilrni ! f > inortem dmiquc mul'
lift damni-t) t\ rladditis lu'limi! »
1^ mort «ioiriitedii |ka^li>ur Aii<;iislîn Vnr-
lurat, p-ndn n Rouen, le Ht (K-t(il»rr 1SAÏ,
pur nntrf ilii mniiélable Anne de .Mmilmo-
rciici et dv l-riuii;ois, dur i\v Cuise, iiiterrom-
pil riinpre.v>>iiiii de l'c.i C^ninienlaîrcft , riniit
Marlont étoil en parliu omcnr. en partie
roni|iilatcur, ei awc l'.iidt dnqtu_-l protuible-
nieiil Henri nuroit runipItHi' nrtte rolledion
de (',axntniiil:iiri-s BiliticjUcA.
MnitUirr , Ann. III, 719. mt'l celle rdtth
prima à l'auutf 1^. Kst-ce une erreur ât
clùffre, ou bÎL'u y ii-l>it drn\ dates dnns le %'0-
lumt-, ou di-Â cxemploins de t-liarune de»
deux!*
G. Skxti Pliilosophi P\Trhoniarijni
hypolyiiwsewn libri m . Qiiibiis in trefi
Philnsopbiau' fmrtes severissiniO iiiquirl-
liir. Libri luagno ingenii acuminescripli,
vanaque dcvi'trina referti : Gnec6 nun-
qiJâin, Laliné laiiic prjnimii iniiti, inter-
prète llenhro Stf'pli^iio, (ctjni ejus
riwlie.) — ExcudeiKit idem Henr. Sii^
phamis Huldridii Fuggeri Typographus
M. r>, i.xit. In-8,
Dédié à Henri de MesiuvA, alur» majtrv
d**» requêtes (Stipplicum UhttUirwn in Hegitt
ma^ultii). Dons cette dédicace, Henri fait a
uin Mérène l'IiUtoirr {trnf^ico-^omicam lii$hf-
riam) de l'accès de mélaneoLie , ou, si l'on
venr. de spleen dont il avoit été ilérativfsiMnt
pris en 1501 . et qui étoïl devenu l'ocmion
de ce travail sur SextU4 Peu Bpr^, en !S65,
ilans [a prérare du traité de la Confonnilé du
fr.irM;oi« a\('e le grec, «dresfcétr |>areiltein«'nt
À Henri de IVIonirs, îl reiirut plut au luOf;
*ur rrs iiM'idenls dr ii).i)adie. Voy«, eii M
Vie, années 1.VÎ2 ei |,M»5.
r* ne fut que 59 nm .iprés, eii t(Hl . à Pa-
ris, que ce livre fut imprimé en grec pour U
première foi*.
6. TiiEHisTii Philosophi (Eiiphradaï
ab elmpientia rusmuninaiil ()ralii>nrs
XII1I Grave IbiruiriM-x jtosleritjres. no-
v.T, cartel H' eiîiriulalîori's pnxleiint,
(rum Hcn. Stpplmni noïts.)— Exnidobnl
Lf' titrt* niittoiirt- iiiip ^tr»ion laliiir rjiic
Hnirj n'a |ioiiit doiinit*. Aiiwi [es inols ciim
Inlinn tntrrftrelntinnr iiii|it'iiiii'> -.iir le lilre,
M>iit ruiiirrU par une lifindt' ilr iiuimo-.
M. T) LXIII.
\. Mofli8 libri v. nira Johannis Cal-
l^ini ('oniniL'iiUirifiii : Olmiosï.-) st.H)rHuin :
ri'liqtii ((Uiituur in fiMniam turmoniu.*
fliiïîOïiti Pr.TliT Indices (Iiias aliiluihcliios
riTiini (puirundiun in IiIsit JulinniiisOiU
vitii roiiitiionUiriJ!^ miLibiliiiri, rjilci hii-
jiis vohiiiiintsadjeflos, ununi in Genesin,
[fllu.>niiu in reliquos quatuor tibros in
ronnnni luirniooia: disprwilos : IuiIm-s S:
tertiiim qui, siii^utorumeupituin quili-
U'I %«'riiiis (varie ulioqui, proul ojieris
rHtio jRisUilHvit . disppn^ii quoUi iKi^ina
invmiiri iHïSSint. protiniis indiraWit. —
Htnrîcus Stephanus. m d. iaiii. In-fol.
2. TiiEOiwiu Brzx Responsio ad dc-
^lensionos \ reproliohâionrs ScLu^tiani
CiisU^llioiiiâ, quibu^ suam Novi Ti*rflii-
mfMiti inlprpn'Uilioiifin dotendorc ad-
v<'i-siw tit'zaiii & cj*is vertiiononi \icisiiini
rrpn'lu'ndcn'iiniaUise>t. In Ikk- liMIo
liuUi Novi Ti't^liHiU'nLi lori aiTiiniti^^i-
îo oxculiuntur, quurunï indic<*ni adjo-
cîiDUS. — Excudobal iienricxa Stepha-
U. D. LXIU. ]n-8.
J. Cauvim Rudimpnlii Kidei Cliris-
tiana>, ve! rudis \ clrnientaria qiiîwiam
Institulio : quam Caî«'«hismum M-leres
appellanint lluiruddiUi «ist Ecdosiaslica
jtf-tH-iuii furiiiula ; gracreX liilin*». — Kx-
cudel>al Hmr. SUphutm,^, llluslris virj
luldrichi ly|H)graplius. m. d. i-xiii, ln-16.
De ABVân lingus Grœca' , in qui-
im vocibu? quas Lalina usurpât,
Imonitio Henrici SU»phani. Kjufidpm
îtrastirhon :
Â. EsAi.E Prophetia , ciim CAlhotim
E\posilianL' Ecclt^siaslira, ab Aii|^. Mar-
lorato collocla. Adjpct us i':*t Index Iol'u-
ples & arliûciuiye di;;p»tU}>, huic e\poï^i-r
tioni coininuoiâ cum (*jui»dcni i^cnoris
i'xp(tsiiiimihusin(jenpsim,& in Psalnios
antihar »b pihIvhi MarloraU) L-ditii*. —
K\riiih'!)at llmrieux Stephanus. h. d.
Lxiiii. !u-foI.
i. Novi Testauenti caUiolica Expo-
siLio EcplesiBStii*» , &r. ab Aui;uàiino
MarlorHlo. Secund» pdilio. — Cinwviv,
*'Vfii(K'l«il Henricxi» Stephanus. w. d.
lAiiii. lu-fol.
Pour l'i'Dourù du litnr , xoyvi à l'année
mSii. la |)niuict¥ «Utiou.
Il KM u rniini qur p'esl rc «utiimc qu'AJ-
ntrlinfeii iiiiikiiht miils It* tiln* de Juj'uiliui
Mariorali Qftera ufnnia . Genrvw, 1684, lli4(il.
FolitJou qui ji'uiUtc pas.
3. ( Henr. Stpphani ) DirTio^AoïUN
mtnlicuui, Vf). t'X|KiGÛtiunps vï>cuni [grjc-
lariun] mcdicinalium, ad verbuin px-
CPrpLiE es
Hippocratr, Aclio,
AreUDo, AIox, Tralliano,
Galeno. Paulo iEgincUi,
Oriba!?io. Artuario,
Kiifo Epht-sio. Cuni. Ceiso.
Cuui Iwlina ink-rpiiMalUiMP. Loxira diro
in I{ip[ioiTatoin liiiir dictionario pnpfixa
êiunt, liinum, Eruliam, nunqmuii aiitoa
iHliluni , alUTuni Galeni, inultô f uienda-
Liuh. qtiàm anlfa ext-ustun : (noise U^nr.
Stpph. in utniin(|U('. C Gcsncri in Ero-
tian.) — Excudobal //**f(f Stt'phanus,
lllustris viri Huldrichi Fu^y^pri typogm-
pbuft. H. D. LXiui- 1n-8.
r*- li\ rr t'-lnil sOi» prrsw' île* I'auu^ ISdS ,
\il
UENHirXS STEPHANUS SECLTsDUS. las*.
nrle Lftii|in' iri-roUeii est citi* |tagi* ^\ di*
l*^lu-liyl<' |>iililiê nu (-oiiitiK*iic^mt-ii| de 1557.
On lliïlive daii» Scatif^erana prima, arlirlc
Urotiannt, uiie «iisiirr nmm" de rrllc (tii-
tîoii. L'atiîi'tir V pi-ciMl (tcfasinii <lc jrirr Jii
hlAni<- sur In maiiirn' dv lra%iiill(-i iU- Henri,
cl le Ifirti-iir nr |iriil inan(|iii'i il'v \(»\r l'niii-
miuitiMini dicti* «•% lîpi»» lt^(^l^allli». •< l^-vî-
CDU En)tii)iii cxNil licnr\.T a|iiid Hfnririiin
Sti>|dta)iiiDi ('\aiMiin , R|mii (jutint iii\i-iiiji.s
.uirli)iT4 miTf. di-|)ra\alos, ijtiiptK' qui uûixu-
ria hiUiiMiift ti-rmTi', t|iiii(piid tlispliecl, ini-
miiiai i-'i t'ornimpil. Sivii itû l'iiiiiiim!^ Ati-
liicquriisK , rKk'lisviiHii* l_v]>ugru|dn:i>. ■•
Il fsi iiii[[vussiliîr- ifiif. ilaii!*. liMli^H-iif traiail
lit' lit i't>visûiii et rifri'iTlion «tr m ticiix
n'riK. I.n ]ilii]i.irl V('UU^ à non* dans un dt'|du-
rnhli- c'ial J'.illiT;ilioii i*.t »!<• «onfitsioii , IVdi-
Iriir h pluAuvaiit et le phn ]ndicirii\ jiit
tft6uïld>ilit('- r()Oliii(ii-ll>- diin^ son cliui\ dt-»
[^liÇtMl* di%prsM. rt IxMihenr (.-nniiiN't ilati* s*'*
«mjcclMrc*. H«.'ni*i ne fui nrlJÙneiiH'iil (ms
MiEailIililt*; muh il vs\ liicji iitiituiii (|ih' ,
iliins »a gtciririi^ H |it'iiil)lli' carrirrr , il n ;i
IHtint C-iil tli' rlkiilt'A ; t]Ur iv» fiiiix pâ«. -.'il
lunil lut l'M èlriî irproclu'-. ont èlè raïf* ri di"
[ivit il*im|t)trt.-incr ; oti sait {raiilfnr4 i\w Us
iTÎ's savjiik Scdij^tT prrc ri fds n'èloioul \*m
ru uiui^r (II' crilic|iier ovrc liienTrillancfi l'i
mcKl*''i-aliuii.
Quant à ri>mpli:)lit|ii4' t^xiaWfvraUim fiiie/h'
simili, dnnnr<' a li.nitiii , u>ni' 1 inlnilinn
nnn dUuiiiuIn* de ralui^si-r d'iiulanl le Ir.i-
\m\ littéraire cl perMiiini-l dr Henri. tiiynn<t
(|nrlle e»l iri «i \4TitaMe v.ileiir. l'Unilin fui
lvp(if;raphe linltilr . dih^^i'ul tïau^ li> bWnrs
de Min (lïhrine, irin sniicicux dt- |ji rornT-
tiiiD de si'v Itvii-A. ahisi ijne de leur iMinrie
i'\lxillion ; mai» 1»^ louaiifiea on Je» eritiipies
mèriti'CA p:ir m* pulilifjlion» m» peitvcni ;n-
river juMprii lut i|ni' roniDie Impriuii'Ui',
niinme indn&1rîeii\ IVihrà'aut. U' travail d'i'>-
diliiir uV'inii ^iitini diuH M\<) nllrihution^i, ei
î^iiuaL* il ni- hil expcue à se rcnclrr per;tonnr)-
U-mciti roiipahU' de icnicrite mi d'iufidêliié
dan* Ir choix de %.iri;mir* Kreripip* : il »'«-
voit pai en le iMmlieiir irirne snirLiianU' l'dn-
ralion f'lHMii)nr. Ijes Ahmvmus, cpii le noni-
menl enrun? a\vc nit^idl le granti l'ianrin,
riii)unoiKseii1 cpi'il n'étoii pa» taxant, ef
<i\iMienl f|iH', pour l(-Â lettres latini'^ qn'il lut
IttDiiit m'irr. iiule I ipi^e lui prèlnil un ofli-
ririix et diMTcl M-<"oiir>'. Plnnlin mérite le:*
pltu graïuU éloges (Hiiir Ivs importants et
liliU'» lr.-ivan\ qui ninplireut <hi rnrrière IT-
pOf;ni|>ltiqur; il eut :iu plu^t haut ôvçxv \c
(aient liv s^\*}\v Jt^irr f ai tr , v\ lieui un do»
preinifTs rangs pnrnii rt- que, depuis quel-
tpie^ aniiirs, ou nuiniiie ]rs grands indu.i-
(rïds. De noK jours, il uuroit ru dt^ pn>niiers
le» pn^W-S fuècflniqnes , et des (neillenn-i H
ilr's jdus e\]iéilili\e:s. l'jir sa coiLsIanle arli'
\i|[*, et tin lK'nttii\ rlioiv de \a«an1» aidi-s
lit1iTain*s, il opéra a\ec avM-/. de Miret» |Miin'
a%oir juMprà MU(;t-dt'ii\ prrs.«s roulante», et
qHelquilni^ pln^. noinlfre prodi^ieiix |M)iir cv
lcm|is-lii, liinilis qne Ir* Miiinife. les tsiieiini:'
lieu enreiil licilMliii'ItentenI que de deux»
i)liâlu'; dans li^ ^irl-lK)'>l.1Ilre^ dillirilcs, ri
]iaiir em elle\ ftirenl fmpii'iiite*. . ils eji eii-
lix'liiu'eitt a peine une. et pri*-M|iie jomai» au-
tklà (le cint) .i sj\. Ailnm. malgré k* diitpcii-
lUeuJi éclm: île -in helle bible PolyRlottc*,
Plaiilili KUt ncHpiérir den lirlies^efi . qui ,
lniii*mi*es à sa fiunille, furmi par elle mic-
re:»si»erneiit auprurnlées dans rexerrice de Ifl
iiM^ue profi-ssi^Ht . i\ sout eiicon- aiijourd'lnii
II' ]i.ili'ininjlie de plusieurs de ses luiiiuritldis
deAmidniil^. lunl an rontraire, tes %a\uiits
et Mudieui. ]uiprïrui'ui'T>. iluul la reiMiimuet-
durera tant que s'euTCera l'art de la lypo*
graphie, el dtiiil les pluK ri«1i titres de f;l<Mrt'
Mtni le» in)meu<u'.« tra\au\ ltllét'utrr-'« qui leur
sont [kerwinicU . ont éîé , pfiidunl une partie
de leur vie. dau» la mal-aisaiirr, et jiuiuiis aii-
desHis d'une étroite médiorrilé ; le »lrnuer
ilvs Maniurc f^st mort preM)nr lus^dtahle; et
drn\ des K»ti(iiiie, Henri, le \*Uis justeiiienl
eélelire , Aiit>iiinr. qui de Umte n-Ile longiu'
faïuilli- eiil lits p|ii\ riittsiiléra!ile> atelier».
soûl ïnorl> a riIolel-Uieu , Ihiui n celui dr
l.yofi , et Antoine ù Pari«, sttt^aut ce qii n*-
limv AlnieJotisi) , fpii piiroii a\(nr prih n rv
!<ujel (jc <ioipii'Uii4s uiroruiriljnu'i
Airiem- pnr roJlen»aiile (?eiisun' de Jos.
Seaticer à fNirler de l*l;niliii, j'ai cru liirn
Tain' ili' inelirr iei en par^dlélr ees trois la-
millt-s 1y|HR;rapIiiqtieA . qui Iiouorriil Irur
mitU', pI lioiii diarvtne raérile une grande |>ari
' Oilxltn , Nihlioffraphical Vrromeron, 11*
Mlf, (lit que l'l«tttiii niviirnl paorrr. et |>rvhiiltlt*
uirtit lu^ |iAr Ir ('ti«j(rîn i> l'Uolinilit-il [HM>r, «imI.
I frar, t'roirii-hritrtrd. ■. Non. Cdlr ltil>lr Ir
mit à In virile Jjin* «le f^anJ» ciiili«rTai péritnui-
rr*. iH9i» il «ul Ic^ tiiro tj ester : ri, <«■ qui ••!
triiliiinuii^llcinriit h'irn f<*nnn » Anvers, il
motirot iUn« l'nniilpncr.
(|V'Jut;i^s. bu'ii qu'à tli's titres i|ui, pour lou»t
iir •TMtl pu<i le» inètnrs.
l. KtmiMBNTA (ïramniiitic;c de ^mr-
liuiii Orallunis doclitmtu, iih miUioiv
Mutiiriiio Oirderio reco;;niUi cl aufUi.
,\fip*'ndi\ cjusieni îid siiui» niiJimniUi-
ifiiii liU'Iluni iiuiif (tiimuni cilila. lii-«.
&lailtnirt*. |i. Ty, nn?l n* li*re apiui Hohrc'
tum; vms â \a ju^tt* 1^, iiicirtaiii , il <lil :
■ II. S. nuf R. S. Daiis (■« «leriiîtT fJih, «'mtoÏI
uuc (tliiinii di- i'uris, ri. \iar VvxprriiÙQii
iTto^Hîta ri tiHCta , nu voit que , ilalée uu
iioii, l'ili- vst ciTtaiiifUiuiil pattfrU'urc j rcllo
qui Ggure au l^taL ilu KuLmtI. Vove^ *\-
«kmii, page 93.
5. <'.ULI.OQl'10IlUM:!iL'holUàtJl'UrillII \\W\
qiiatuur iui fnM-n^s iii serinum* Uitiiio
(tBiilalHii cMTicnikH, jiulhorr Maluniuj
Conlrrid. r.olliHiuiuruiii sl'ii ilmlo'rîuniin
gnt'tfinmi Spécimen, aiilhon' ïleriricip
SUïphauo. — Apud UenricumStephatutm .
la-8.
toiM ilat<-, €4- volume eX \r pircv-
di' 1*3(1111*4* 156^. Iknii^LiliiK-i, llfiiri
tlVoîr %iiiilii l*^sjlvl■|' ^Hiijr I t'tudr lit' l:i
;iii- i;n'<[-i|Ti'i'ii'i|4ii-(]<»ri]HTavoil rail]itiiir b
laiiguf Inliiir, uma il ru cs\ rcstûau Spcriiiiai.
6. FRAr.MKîfTA Poolaniiu veLenini ia-
tinonim. quuruui oiktii non c\U»nt :
Euiiii, Pactivii,
Awii, Afranii,
Lnnlii, Na;vii,
IjilMTii, r.iiH'ilii,
\lioruni(|tK' iiiullonitn : uiidique û Rob.
Slopbanu siimina ditip'nlia otini ron-
]^vsta : iiunr uuU*m ah tlenrk'u Slepliuno
oju* Gliu dige«iUt, oi priscarum qu;p in
illis àuni \ocMm i'\|K>sitiono illiislrata :
uddiliit l'tiam alieulu xorsibu^ ^ra'cis
quo» inlorpiTlanliii-. Iluc in (;raliam
^liidiotMji'iiiii tanninis : prc^podioni anU^ni
rt uiiiatoribuîiuralionis solutitj ïn iîiiiiili
laburo iDt'u favento) gralifiaibiinur. —
K\C4h1(*IkU Hi'iinrHx Stepluutus . lllifstris
viri Hiildriclii FiiKi:t^ri tviMip-aphus. An-
no M. U. LVIIll. In-s
Du viiii i|ui- lliiu'i pittuiettait un m-iiiIiI.i
Mr travail |Mrui Us i-rn\»%ni blîiM m piosr ;
7. TiitcmibiH Olori filii de Bello pe-
loponni'siani Ubri u'to (una cuni sclio-
His^ra'ns .suas in sedcs uui};na e\ {Kirlc
reiMwilià, et inlegriUiIi su* ivsLiUilis
pkTis4|ue in tocis). lideni latine, e\ in-
terprelalione I^iurenlii Vallas ab Hen-
rirn Sleplmno rtT.o;?niUi. — l^xeiideUiL
tlrnrivuK Stfjiltattu» , llliiïilris viri Util-
dridii Fuii^ïen tv{K>;n"apbu!s. u. d. lxiiii.
In-fol
Il > a (Ir <t'll<' i-(lilMtii (tiN t-xrinplaln>> >ur
|ilu& graiiil H nieillciii p^pin' ; tU mhiI nir«-â,
mau DU f* paii'iil |i.is uu liaul pri^ .
H. RuitKIlTO STKflIANO , viTudo Ulffa-
fia rep B. M. tjht.NJitosoûinplun.'s hein-.
^r. latinosq. libriJn omnibuâ arlis typin
}{i'ap1iir,-r iiuriK'i'i^ ab?K)luti}iiiiinus, (]iiain
JU iMHiiiT nt iiiiinia cjns ofnnia itniis
obire poUieril : cm curpii» par uneii
Uinio fuil, iiietlix-, vi^iliic. al^uriï> pâ-
li en ti-k'^i ni uni : ijar etiamaniinus in e\i-
guo colore in^jcns. adeo ni u[HTuni
siioi'iUH niu^nifiienlia luni Fnincisci
Gatl. re^is bu* nomme pnnii plane rv-
gab in eain arlem bberalilaU- i*erUi\e-
rit : [lalri ^^uoilutrit^. Henr. Stqih. b.LM-
luinuIJumamentalaenniispii.sâiniiâitiT-
fusa poâuit. Vi\it ann. li\ meu. xi.
Gnodv ftniilk' iu-Fol.. daiu taqurile loul
Cl* luii;; luliliili- <.-( \v\ts U's jiiuri t\w M'jtan-iil
k'A êpttaplii*s Mitil iniprintr> m ruii^t*.
•I Mmuiinir, j*- tous rii^iivi- \r> epitapliit^
tir ffU mou pcir, Uiit lint'A qiH> Laliii-t, t\Uv.
j'ay impriinr/ eu tdie miuïiiirH*^ un- qu'un k-i»
pnili ap|H-l(T un nuuÂokx* ty[H>gt-apliiqiif :
(•sppraiit it"v adjOMsUT m brrl' «k-s atiln^ dr
plusiriir» ntnis. Or, im* M'r4iit-tii- mmi!> \o%ts
prii-r ircvtrc ilt* )n puilH' l'ronuui* l'itii dtrs (a-
\f>riN ri niî(;iiiMiN<l(-> Mus'*-'^), m j»- uc M_'a\nî'-
le pfii di* liii%ir qnt* mhi> Wism'iiI \m tn-m\M'
tinuA,....» (<>>iiritrnti1r du fiAuriiU n\f*' kt
i;i¥C, sera la fui d<' la Jt'tlîcuct; dr lletui
uu f'ri .^jd) lit lliuri t\v Mustun.)
ludrpruiliiiiiaHiiI (II' «^«t-i qui (ut vrril lA
ini[)iiim- eu 1565, lUie auiiv nK*nti«i «Ir n-s
piwi'^ nio^niJict'Mtinimr imiin-ss^r sr Iiihim*
ffiins \vs Dulopir» H-hol.iôit)ilt*h (:rrr> Je
m
UHMtIClIS STHPUANCS SECUNDIIS. U64-6&.
Ilpnrî, ia-8 non daté, nmis qai duit ^ir placé
■ t'antii'L* IS6(. Il uf |iMi%oit tloiic èlre
niKr«iiiifi lit* lu n-mi)in^sioii ilr yrs iiii*nii'M
K|iilji[ilii-« (uirr «luiislc rahit^r iti-4. Jiih Tr-
yo"ruÊ>!t'n-ft (Jiienmonia, qui n'rsl (|ue de
tSè9, et qui (t'ailleiirii, quand \e tnnps QuruiC
roiMvirdè , caI d'iiiu> f\(-tiitioii bonne , sans
néauntoÏDS ovoir ricti dt- rrn)iirt|ual>[r. (>ttu
magni^cence, bien que dt-uv fois iti);naliT et
pi-éfom*w par soii aulcur, tmIoÎI donc pour
iimis inviàihle t mais i*lli- «ît-nt du nous rire
niutiifrslL-i; en tnif grande fetiilli* in-fulio ru
plae;uni , oonMTViV, je ponrrois dire rrliou-
vèe à la Itihiiotliëque Royale, oii elle *a èlre
rrutiic eu mie laeun de toluiinspnrlciuiillt!
a\er une auln* pièn> de mi'an- wite, et fw-
reillnuenl irslce jii!îqirici lunt-B-fiul ipiiorèe :
A"y>/rr(/m in mortrm Henriù ujorn dnul je
retid< rniiipli' à ri-tir in<'iiie niuii'l* 15lU, qui
est cHle de l'inipresiion de* deii\ pin-w»,
petle-ri nu pm ;iiilérieuren l'atilii!, uyani né*
nssaircmeiiL paru ovuut les l'oUoauia qui U
rilenl et qtii soûl auMÎ de 1564.
y. Mt'iîiotfic Mab(.aiudis PilomePu-
iirïina' qiiu' \i\il <)iiiï. \\\, niiT). iiii.
insiiznc virliitmii supra :i'lalnti ri scxiini
fvmpliiiii, lU'HiiriiS Sli'plianitis runjirp
int'ILiliss. B. M. ciini quj imanunili'r rL
.sine ulla bilr vi.xit ann vu. [{[licudiu
liœc \Uou IrisU^ oniriuin) vix tnmk'iii,
voTft mm àinjiullilniw Im'UinU'. vl su-*-
piriis iiOhiie vertitisorlvilUiiitibiis. fudil.
(Cul. Jan.) (UV. IMii. ou V Janv.
1564^}.
Orniiilc frnilt»* iii-fol. en pla^-Ard . ^'e^l-à-
dirc iiitprtnuV d'un senl i-ôtê. lutil l'intiluli'
eu giiKArs mpilale» i-t tn nm^e. I-Jlr miiiirni
nue p^^-e luliiir de 144 ïeraéli'BÎaqur», el lit)ih
pièce» gn-eqnc* de tpiatOMe, miie el m-ul" \ ers .
Oin^eniV, el ii-pru-ptr» iinbliê»' h la Hi-
Uiollietpn- Hoyalc, wlte fenille \ieiil d*y t^lii'
■ (■«■tmnui'ct M^iulei' fine M, Mot;iiin, datu U-
Journal tirs .'iiit'unh , de niant 1841. Ou ft'e»!
4»t)lif;t^»ninH'iil pW'lè n m'en JaÏMei' avoir nue
e\a<ir copie; et , eommc il est très possible
ipie re\eiuplaiiT> »uii unique, je rroii devoir
leimpiimii' ail mniii.» les \ci\ latins qui. saii«^
avou' comme poi-iie une prnnde iniportniice
lltteiairr. noill de^pu-hpn" ni^iT^t pntn- la liin-
(psiphie tJe Henri lùstieinir. On li-> rnMMir.i
Aaus la notice rpii le eonrcnir.
CessortM de picra {Epieedia) étant fnU«
iivaul el potH' les fnnéradles (cadaverr non-
lium Sffmlio\, deux ver?» de celle-ci étiddiik-
senl ïa dnie Av. \i\ inurt à 1*1111 itm deruiers
jonn lie dtTcudin--, à l'êpiMiue tù conniiF drit
él renne» :
llirr «unt <\uk Jant liti^'iilirM Juna raleoilii
(Cnt^ciMB» ra|ii4, Mir^rî, âpan«urenniJJ
M II. Ï.XV.
1 . La Bible, qui Oisl tuiiU* Ui sjiinclc
Escrilurc . i-otileiiant k' vieil et le nou-
voiiii Ti'âUiUfnit, iiuInMiicnt la vieilU* iH
lu ïiyuvrîlr iilîiaiiiT (iivtH* les noie» mur-
i;in;iles). On a nuiivellenienl adjcnist^ t»»
cosle million enl.re aiUres rh(«*'i«. îles
ligures csiiiiellrs soni cnllcr les pEiâJ«iiges
cotTO-spiintions fies qmitrp liernîers ile
Moyse. — L'()l(\ipr de Hetiri KnUcmie.
M. I). LX\. In-fuî.
2. Jksh r.itftisTi l>. N. NovumTeHïa-
meiilum sivtî Novuui Kanius. l'iijus
GriDfO lextui répondent irilerpreUUicK
nes diue : Utui, \etiis; allers, nova,
TiieoUori Ueza*, Uili^eiiler nb »n) re-
cojrniut. Kjustiein Tli. lleza; annouttio-
ne^i, quas ittdom hae seunnda ctlitinne
reco'fTtiovit, el accessiuiie non parva Iik
eiiptoLtvit. InditV'; etiiiiii duo, theolu^is
[priL'StTtnn llebratfie. Ura^ca; el Latine
liniMiie sliidi<wis) inulUmi pioluUiri, ad-
jeeli siint. Itei^iHUisiu ejusdeiii ad SeUis-
lianani l'.iistelIJonein , in (pia nndli N
TesUiiiiejili lor* aceuralissinie evruliun-
liir, !.eursium'.\cu.Si praslat. — iienevtf,
Hfttrirtis St^phutHis M. D. lxv. In-fol.
|jM-épui).-(edeTlK>od. du flèjce e^ldelaSl.
Vovei ei-deMU», pape lil. I/ai- jtnwiiarfii-
f/nttf .* l.'evpivMion i-s\ juKle, la pn^rateee
i*dJtiou de la version Kiliiie de 'l'Iiéu^l. de
Ilé^e aynnl puni d.iiiï la Ttihie eûDiplêle île
RuIhtI, l5.ï(>-57. in-l«l.; re qu'en 18S7 j'jvoiiî
nul Ml» iH |Nir eons<''ipirnt mal explique.
.1r ne eonuois pai le \oliinie niîisi (itirtê
iliiii» le ijilalofine l*inelh. n" M. •■ \i*\ . te.-.!.
.1 I |ii'<Hl(n*n Item. Tii'. Inl, niisqne uUa iinta.»
\m-w^. HHNHICUS STKPHANUS SHCnNDUS.
435
ItHl.— ('/êloit pittt-ètn: celui tir ib^ài, uiou-
qitatil du ft-uilU*t dr date.
Ot in-rol, (11- l&TtS fit uulr riigriiiitl |i«|)ii'i-
^Au <jilnlihpir tU' OMir <lr Miuv, Umdro,
1777. ti-m.
3. Nom M Tf^STAMENTUM , tuliiie ,
riietidorx) Ik^za int^rpivte. — Ibid. u. d.
.XV. In-8.
C*rsl In \ersioii kt'uw déjà imprinK'e daiiik
*iiv*foJ. qui prîvpdi'. L*uuk'iir * a njuiilô «Uf
ll^'^lirarr (F.pLshtb^ nii [iiiutv dr (Ujudî- . da-
flrr lOi'iiK Mart. 1565.
Oiif liiiddfliuii Itii piiiiTpriM! furif^fon- i
[mU» it » la prière di! J. Ohiii i*t de KoIktI
r>ltt*iim*. Ajux-s VI pn-niirif |iiihl ira liait. tll<*
lit rexin" «'t iMiItTliiitiiit**' par railleur, (|iiî
nTprodoLtit ru n-tCi* aiiiirt' 13(W. saik Ifs
^|tiniul.\ iii-rol. H iii-S. lUiiin ftai |iK'(ac(>, il dit
ili' auii ltii|iriiiit'iii '. i|u'il l'aMiif fu graud<*
i^liluf, jiMm-i'i't|iril ii'i-ltiil iHjitil ■• <'\ iC*Jt?-
[taio t>ui)|iogrj|d)uniin ^li■^l-,1|(ii en «uni im*
^jyiflati' (I aval tti:i. lit diini liieruiii t*a)>tniil,
iLÎtiil st\ (.ini iiiipiiini i]iii>il non uUlrtidâiif ,
digiiî pbiii' <[ui coiiiiniiiii Diiiiiitiiu |>hiiri|iiim
«iilharitiiti* ■n.'*erè fwrciïiiiliir. " Lrs prin«'3
tuulr> i'(»id('tii-s ri ili- iints Ji-t;n-s n'ont
i» manijui' iiti-ltr sf'vèiv cocvition.
i. J. Calvîni HiiilinipnUi Kidei t'Iiriti-
tiHnto. gr. ft lut. \i'. — LOiivicrdc
Henri EsUniut. m. d. l\v. In-4G.
Voyez d-di'uuii, à roiittîif 15B3, |i. iil.
T\. Thaictk (le lu coiiforiiiité du lun-
\p} fninçuis jimi- Ip jii-oc, divis*^ on
trois livre*, dont les doux premiers traic-
(pnt dw niunieres de parler conrornKw ;
le tryiïiienie amlieiil plusietjrs iiioU
François, li'* un:* (uis du Gret' eiitière-
RU'nt. \v> autres en i^uirtie; c'est-à-dire
en ajant n^eiiu quelstiues leUreu par
lesquelU*s on peut remarquer leur i^{\-
.moloiïie. Amv une rréfaee remonslranl
[uelque |t»rliedudeisordre&abu8quJse
^cummetaujounllmyenriisa^dola lan-
pue h'nineoise. En t*e Tmiclé, sont dtiï-
ivcrls quelsipies «va'ts tant de la
igiie iireeque que de la Françoise :
lii(|uel l'auleiir el Imprimeur er^l lïenry
K.MJenae. Itl^J du feu Knherl KsIii'ntKv
Ifi-fi
(V tuliitnr. di'pnur\u Ji- date . |KiruI n*r<
UiiHmi'iil vit mai 15^)5^ âin:>i ipit: jr le pruuM.*
doits la \ic di' llcnn , nn\ atiiic«-A ISO-t-lS^.
K;iil5«y, ilhil mfnprimt'À l':iri.%,(-lM*i: RidHtrt.
doiil If nom <«t ?>ur llin' [^raiidr |iui'liv drt
i^xt-iiiplairi'A. ]>*aiili-n ont ndiii Av. iw^\\\vs
Du l'uu. qui n litit iuipi'iiiit-r pluAieiirh li\rt«
cliiîz KuIm'iI. QtiHqiivs paiiagirs niulrp it%
utuiueA cl rfiulre If l*a|H- , mi tiieu sigualaul
util- df rv-s fratidca wclï-Atasiiqur» irop sou>vuI
(ApUHtée*, dt'A iiotiH de sainxs iniii^inairt-t>
for^'i>ji tout l'vpns |»)ur li'tir ;illril)iici' la pui^-
future dt* ^L'rîiHHi* Ulî^ntnll^usr^ , ih- purvul
ctri* roiueii*-^ duti> t'rditimi dfPai'u: uiai»
traimput rrs plai^mutn-iiA miuI \rf-s pfu di>
< liu^c * , el , ruudifs lUi iiou . rites iiu tuut
jioîut rxpniniTs dt* mauierrii et; qu'il y ail à
en l'fgretter l'alM^itro dniiK tr ti^rr <pii d'oil-
Inir» Mt cuhriiY v\ iuntiiiclif. Im rrimpre»-
sioii l'ii pitii p'dSM'K Ictlm est |ii«ii f.xênitéf',
f| . III quelque» endroits , plus correcte que
ri'tliljaii sniis dMli'.
M D. LXVI.
1 . pHM.Hnni H h.inipliruslâ |K)etii:u. —
ln-8 , sans diUe.
Pour VK volume qui apimnicut à Heuri, et
À RuImtI II M)u Ireru, «uir duii» U hfl« de
KulieitU. Ijfii, II. t.
? LAlioM^^lHMATiON de tii diseiplîne
eicliVriiasliipie, i)l>>i'r\ée es Fjilises ré-
f(M'iii(V'sdu Royaume de Frame. A\)v la
responao aux objwlions proposée;* a ren-
contre. — rJiei Hmri Estiefmt. m. u.
LXVI. In-8.
3. Alfiiabetum Hebraicuot, in que
lilera" Hebruicaj deseribuntur ; puncto-
ruin vot^dinui, aeeeiitiaaii l'orrua et vis :
cuin ttp{>el]alioiio ti^tlnburum kI dielio-
* Ud tir cet pftsMf;^* nt « I* \>»g* ' ^^ • B't>cl«
,4ci»riattre, ot'i vingt-tïx )if;Dra Mint rmitln^t^A
A un^ liiDjfUc lUlc <1d Bnin«il<> uint», ijne lliiiiri
nVïl p** )r wid A tenir pwor «ptHr\|itiP4 ni fwr-
fié*. Un .1111117, cuiilrn Ir f'-ic»", r^l «ti >|i)al»r»irMl«>
rMiBld ilm pféliminairr*.
liO
UKMUCUS STKPIIANUS SKCUXDUS.
IMH.
K\Ai
Ituil.
vuIUtii Ui^bniii-anmi litorai'iiin pnifcs-
!*oris rwognitionp. — Oliva Hobfrti Ste-
fihani. u. d. lwi. ln-8.
4. KioiULKc.iuMdivorïtonini f|ii^f-»iii-
matiim vi'lenim, in si'plrin lihrcw dlivi-
>tiiii, iiiiij^iio r|iii;miiiiiiiiLuiii nniuiTo \
(liKtlms InilM'ilJUri niirliim : jîwit'.
lU'iir. SU'|ili. tk' Iijic sua odilione Oi*-
lichun.
Hrialinut k mrmlU faerit lr)K)r tntc Ciitfjitiia .
Nanc prnfitg* mntilvt aune |r|Mir ille r«clit.
M. n. Lxvi. In-I.
Itaiu i-c Irt-js Mt\iiiit ii>liiiMi>, Iti-iiri n'a jwu
,i|ii!n,;n. n l:i pai;»* -liO*, i[ur m-* fnirirlnirb i*t
nuMit-Ts IV|iot,Taiilii'a n-in'iiiiiiL-ïiiM-nl la )iHt-f
lit; \t^i-n ilriiii-iaiulro ilr i'aul le Siti-uliuin* ,
noii {NL4 ainfti t{ii'rlli- m- %()il i|;iiu It-s lroi> nlJ-
lions AlililH'^i (lu l'ioritrtfirtrn, mni« lnitik-M-r-
mVm*» Irniislurnièt* rn »ii iiunlelljpliîi-niw.-rii-
lila^e «Ir iiiul». comme dans l'i-ilition Jiiiitiiu'
iIl-'i.Mm. iU(» tilks lU- l'arif. , IMI , tl .le
lUwlf . 1S49. ^.^>^l prolk'tliliiiii'iil itUi' «It-r-
lliirn' tjtir f It'di'i (dii-n iIihiiiih- jinur conic g v>
eoiiijMisit(-iir.s. ^ oviv. \iiii;ili'.i Aliihira , sf-
COli()t- l'iiit . , litmc [fri'niii'r , |>. lui. v\ truî-
siimu' )'■<[■ U. ]i. TA. Kiil5fJl, lUmai . Viiloiiiiiu.s
wrJMi à licnri au suj<*i Je «-ne tiMii«|i(MitiiMi
itvtuiu Ira \vn tivvelXa yivcv.
5. POKT.K Gritr't l'ritK'i|M's heroici
oiitiiinis, èL'tiVit nonnulli.
1. Homi'nis,
10. Dionysius,
i. IleAioilus,
ll.CoIuthus.
3. Oqjlioiis.
12. Tryphiorf.
4. C^lliiti.
\'A. Miisii'iitî,
5. Aratus,
ri. Thooiitiiâ,
(>. Niciiixlrr.
15. PhwylidM,
7. Tlu-wrilU!;.
16. Pyllutjrora'
K. MosiMni**,
Aui-cii carmiiui
9. Biun,
Kragmcriti^jjlinnnn
llenriri SlophuniTotraslicUoii tU» lia»:.
siiu edilionc.
t^uw ririeinrilit pliirtMmTÎlal occllo»,
l^luHni iriillu ciir|viiit C(iiu|iia ilrc<>nlr nilrl.
Njilivo |iriui lii aa.% îllrxcfr ilcxufc,
lllrccliriim rultoA AmI au*iii tilr iiuvdt.
t Sti'pluîntÀS llliisiris vin lluliJridii Ktii:-
I ••m tyno^rapluis. In-l'ol.
j lïiittiis iiri'A ili* Inil» siiH-lt-s ([iir »v l»raii
li\n* i-!tt iiii)iriiiir , K-s |)iirU-s i|n*il cuiitietit
tint v\v l'cilijH ili' lrj%aa\ ilViuilitioii qui
Kiim^sixi-tni-iit en ont pliu on iuoiii.« rpiirù ,
t-clairci les textes . el |>or leur* nules. inlirr-
I itrilation» cl autre» uceeM^oii'es liltérdire^. à
j la *érité queI<pierois suralxitHlfuils, en iMit
I lyeaiiroup bcihté la Ircliire. Mai» m cet îmjmr-
tiint Keeiii'il , i|i(e iVi-tiditinn rlassique ctiii-
•lultera Ktiijniii'n , ne peut plnti, autant t|U*«U*
li-eloii. être ronsidèré comme livrr d'tiAUf^'
IdlHluel , il u'eii deuienre |uu inuius un de»
pliii b<>au.\ mnnnmentA i\)Mj(;rn|ihiqne« et lit-
léraiix'-s, el rinnmetir Je nus Mûn)t\tvi\iict.
Aussi , bien que Iwirs île l<i riili-piiiie îles li-
bres très rares, ri- Miluine rsl-tl , île lou»
(Tii\ ili'i^ L^ttieutir, ei'lui qui u uequbi la %alrtir
I ii-lali\iriiviil (a plus éle\èe. Lu e\tlliplaire,
I lie |iarfailL> enij^iT'^âtiuu et de belle rclîui-r ,
n'est pavéqui^lijueruU 150 Ir. et .111 -delà. Lcnul-
lieitr vii qut- \c plu.4 noment ou ne Ir rt'ncou-
' tre ipie thna un étiit du Hiligue attiittaul un
long et fréquent usage, (^wtil nu guuiil pa
pier. il est enlrêmemeul ratf, il'une ^iVilalile
êJê';aiKH' , et (Tuu pri\ eMii-liilanl. I. eveni-
plaire lie Ih' 'l'hoii, a .son aneiemuf cl lielle
reliure eu iitae. rnutje, et ipti eil uiaïutenaui
ta notn' Bibliothèque royale, a êlê pa)e 1,U0V
Craucft à la «enie de (l.iilltu'd ; inai^ cW, â
n'en |H>iii( douli^i . le plu» 1h.-I t-xenipbin-
existjmt. Sa dinM.'usioii e.st île 'Mi niillim. <|i-
Itauleur, sur Hi âc largeur.
ti. PiNUARi Olyin[na , PyOûa , Noraw».
Utlitnia. CfEhToniiïi wtu Lyricorum
ivirmina, Ak'a.'i, SapphiK. SUstchuri,
[byri, Anaeivontis. IkialnUdis, Siinuni-
tli^, AU'inaiii^. iiuiinulla eliaiii aliorum.
Editio II. p-avoliitma U. SU'phani reco-
i;niLionc' quoruiidani iiilt;rpreUitioni*» I&-
roriim, ftf a<rossioiU'Iyii('Oruni('arniiniini
lufupk'lat». — .\nno M. d. lxm. Excu-
dt'liat Henr. Stephamis Illustris virî
Huidrichi FuggiTi typogniptiiis» i vol.
in-lfi.
Vu [leii pliix umpir el pliL<t eurrigée qiirU
pirmiere êdiTiiiii tW ITifiO. bium que rannutirr
le liln-.
-AnnoM.DLWi. ExciKlcbal//<'nricu.'ï ' 7. l/lMmunnioN an Trail*^ <U' la
1566. HENHÏCl^S STEPHANUS SKCUNDDS
l'oiiforniiliMli's merveilles iinr.ifnn(*î»av(T
les mudiTiiis, un Tmilt* piriuiratir il I A-
fi(tloi;u' (iinir Uéi<K)fltf'. l/iin^itiient (»sl
fiii» d<' l'A|ii)la;:K' |iour IkToloU' , roin-
postr en hilirx par Henri Rslienne,-& esl
iri ronliniiê |wr lui-ni^me :
T.tDt il'rfclt» mrrvpilIvBx ra rest iravirlirM
(^iK (le nul aulrit «|irr» «*inervrillé tmrtt.
Kt poorrvt mu* »çatAn* ila [il«î»îr ici |tfruilr«,
VoD* non i<-&f>iii iioQirrc en riant y •(iprrmlrr.
l.'iin 11.
D. LWi, au moistle Nouembrt*,
On annoD» irai» édilious sou» rettc in^«
iti-, M\nir l'originale de 57â i>ii{;f.«, t'ii pc-
ils caroi'ttTi-* , n%w ri>li\ier (ri-XUiiiK' sur
Ir tiln*; niH- i-t-iiiiprr>sioii, oii'oir't cHnit'(ii-f>]i ,
mais VIII* r<)li\ii'i- . il tinr irdi.sifmr , m li-|-
\*)u> [{'''*'«*•'»■ 'i*'"*" l'oliïiiT, ri njiiiil
|iiif*r<t ; tfti {\vu\ dtTiiifri* a^ti' diicrs
'rlinii(;rniriil» rt iniin' autn-s , nr roii«^r%îiiil
|ilii.s, ;iii (-lu i\, lin loiti; iKiwi^f Ji* t'iMilidii
oripimlr. .111(111»-] i-hI Mll>tttilut- tin aitlvc li-ril.
J'ai l(iiit;-ti>iiitnniH|ii'aii lini ilo trniA i-iliiiutu
.dt'I'VVt, Il y t-ii itMHt nii moinK (juntre, car
li nii r\rm|tl.'iin- (xiiiaiit l'olÎMt-r ilr l'itli-
II nri^iiKilr. iiii|)ntiii- (vrlniiiiiiii-nt ivcc If
mi'-fiif |M-<rl niraclfrc, 1 1 ;naiil (M'aiiinniiiii U-s
rluiii[;(-nitiilj. ri Htt|i|ire-v>ioti>i|iit! ji> \ifiib tl'ili-
ili(|iirr.
Kii IStD. ayaiil a|iiHiiiô à Pari» mini im-iii-
lire, j'ai pu li- iiuifrnnUT a\ec> un auli-v
iil-ft-fnil prinitlir, ri j'ai rcroimn <|ur Iri
tJtiix Hnii'iii 11*1111»' «Mlle et mt^nic *'<Iiiioh ,
tnaiit i|iu- «liiTi-t II' iiii''n liiiil ]ia^i*s ilt> la f^'iiillr
iTA-27i. nii h 2K2. iH~.-*ifH, Hniriil it-im-
imn*». Hriiri fui M':\rn-iiifiit l.l.-iiiii' riiiir
llr ptlblit-aliiHi . |iar It-s iiiU!îUlral.i ili* (ic-
tii'vr. «■! rc fut sjii'^ iloiili- |ui leur oriîn*
(|u'il lit n- cliaii^viiii'iit au iiio)'fji iluqurl plu-
Mi-tir^ lii<itom-tli-s i;ra\rl«-yiM's . cl iiolaiiimnit
iiiH- rdniiiit'iiraiit par tmf'<'\prt'!(«ioii growiÎTt^,
riirrtil mn|il.iiiV« |>at iiv» rvâ\» im peti pliu
linl)l«*s.
Alt ri-sif. iii.'il^ir la rart-lr de rniK- vl l'aii-
Xtv Mirlr tri-vciiiplaircA. vHU" purtM-uhrîlt-
lt*cUf m i'llc-nn''nn* moiiu iiiM^iiifi'iiitr, im'
irrnti rniiM?r\rr à l'rilitiou prctiiicri' un vr-
tl>lv itiltTi^t (le Mtt^iilarilé, rf'<i [tauagi'A cl
llti It". iiinrrruc«-.<) des tlouxir a f]itiuz(' aii-
iiiii^ i>4ljlion& (!«■ cet ou\raftc a\aiii t-ié ili-
)Di€fi( rii'iifillU dans In rèiinprriisioii de
fc, 1735. 3 \n\., priil in-R, qui r*t lurn
iniprimêe , ywix 1res rare , cl la »\de corn*
[ik'tf .
IHiviil ipir. daiiMiur prt-farf apologi'tiqur
niLsc l'ii lrli*di*Miii llrrndiili' t.iliii, Hi'liri rv
thiir , a_^M>/ iuiiUU-int-lit , dr n'Iialàlirrr In n'-
piitiitioii lit- M'vaciti' (li_> n-t hi.sliini3i , dmil le
nom ist si luiiK-Irnip^ di'tniiiit- pKl^t'l-l»ial
|iour cxprinitT ftsaRcralioii et inrnii- U* niwi-
wni;*- liislontpic. juMpià «• qu'i'idiii, di- tios
jours, ii'*'\lruordiiiiiirrs ri impn-Miii «Acni'-
iiituls, une U-lli(]ii<'U.M- cl saxanit- t'xpi'ditinii
tpu ItHijourii licmurt-ia la Krauci-, Miiiiii Minit
bcililcr ilis f'xatiif ns ri tApliiraliniis, diiiil un
t\t» utiles iM^ulliitâ a iti- d'i-laldir i>i diiiiuii-
tn-r la MvanU' c.utrl(i>idf dr b pjiip^trt tir it»
riTiljt. L'ilrroddlf luttii piihlît', tt lUuri a[i-
prc-uaui que l'on pn>[Min>it luic tradiicliou
fraiirditf ilf l'Apolupif, rrni^iuld*' wvoirdé-
li^urr par fpirlqiir pi-i'-suniptiu-ii\ i{;norai)l ,
fl prit II- paHi di* st' Iraduirr lui-in^mi' ;
mais, iLi^niil dr la lilM-rU* hini |)fnniM' à liml
tradurlmr lie m>u prr»prt> oiiMiigr- , Il lai-oa
courir sa pliiiiu-, m' ilutiita rarrit'rt*. vl iulnn
diii<>it tiiiL- niulltludr (If roiilrs , dt^pbisauli*-
rics. (le rc*!!*, qui ti'Auruient pu ('in- de mis**
ru It-lc du \oliinM' Ki»1ori(|ue , rt niiuki Iraïu-
fnrmu mn Apoloi;ii- laliuc eu nu Ii\i%- fniii-
r;iiis liitii phift l'Irudli. i|u'il s\inpn*ua de pil-
lilicr, di* miiiH- «lu;. It* lilrf d' iptilogif , ir.
Cf livrr. pmripîlaiiiincul i''(ril par un hiiinmr
diHtt IcA iH)ntlirfu\ \iiva);f!t , la luiuli- !uu;»-
(llcct |t'.^ prufoiidrft (?Iudt'jt a^uicut meiililt* tn
tèw d'un iiiilut-nM.' savuir. et vu qui \fA per-
Âtrulioii» eiH:K'sia>tlique.<i exerrée» rutitn? sut
fartiUle. caiLuiuitl iim' irhlaliou i(u'auf;iDeit-
loil une rtTlaiue raiblintc de raraclere ; w
h%n'. dis-jc, i-sl dmir rempli, iHturrrd'ann:-
dolf^. de trails &aliri(pit*!t . di- pdils 0111111*,
|iarfois amu-siuils . qurlqurfuÏ!* ridirule^ nu
tib^urden. cl trop Kouveiil d'aMcz nuuxaù
ton; il lats-se x<iir mtm que l'on n'a son^- à
rien nioin<> qu'à lui donner un routeualile
eiisctrdile. C'exl lotti au plus .si les mnlierei)
V «Mit a-pini-pri-A claW-es |>ar rliapilri-s ; el
|dii!»ieur% n'p(*lilinii<i, f|iM- le muiudn' mmh
f\]\ puévlier, font eruire <pie l'iDipn'Hsiuu
alla auui >ile (lu** la plume de l'auleur. Mai-
gri- CVS fuarine!i défaulK . c'est eeiifiidaiil un
|uiil« de MÎeiit-e anc(-doli(|ue . un Iréatir de
|ietil» faiih «ra» el taux, nièU'-s a\et-d'aian*A
eh(LM>s d'ordn- pliu ivle\é; uuft.\i «■ li\re -li
eniiuemnient remartpiaUe a-l-il en douze à
ireiïe éditions du vivant de son .luti-ur : vi
d<'puis qu'il t's^ moin^ In , luen de^ {■eiu rniil
U8
HENHÏCUS STEPHASUS SECÎTNDUS. 1566-67.
a Ikiii i'»cimi ftHirragc rt \ûlU' ruiit'> avMr t*lé
vu ItiitiH-iir tl'i-it faÎD' If- mniiitln- a«ru.
fie )Miit-il (Hrc prrniis tU' rroirt' tjiH' et»
n*\t'lAliiti» sr.iîMlalritM-ft , et» mst^Mxes , reA
lnit/.i« ik' Henri FaUiiii», »*r (t'HiiIroa <-u(vm-
triir%.i»«iil t< ufiri* lui. iloiiï tk':Hi(-uu|i se-
%'i%m\\ tti0ic3lnH9i( e\cuMl*lc», ont eu cti»eti-
(laiit Ufwr éff!t« d'ulilité. et par là ont altcsiu^
ni ((urltpie »ortP IciiJHsIw rKprorliwqiicJ'on
eut di-^iMW' h If III' faiii'. On ui> |tciit m- di»si-
niulcr qiip Inirs rvniijnfs H ninen-s plMwnfi-
liTiet rtnilrf de nKiuiiii<> pr(''ltT>, «"Sfulir Im
imiinrs eu f;éuL*ral . ne •tomti (|iiv Inip mhI'
vent fuiiJ^i-s. tH iint>, daus rr;t rrciu ililTanM-
loirnt, il n'y ail |in"^ii<ir jaiimk [|ih' tn<-diMinrr
t>ti jiriil tirtnrcn>irc f|iM* la rruititi* (k m- *oir
8ly|;niâliMT el pilorifr dnns tpiHqiir inipi-r-
lincnl li\T('l. qilcIijiH* iiovriia tmii;;r»M-t«'tiMT.
flun phu (rtitif Um v\i iMmr cITel cl(*rmili*iiir,
irarr^ler ilait*. Itiii-s (It'Mwilrfs res|Mi*<' ik' \wv-
«niiies niiilrt' Ifs<|Ufll*s i-rs Mirli-* d'alla(|itp.s
«Mil l'-lr ih'ikIhiiI laiil i]'.iniit-i-A diit^ir».
Ou 11 iinprintf. mais snn*> «*<) a|))»ortiT di-
priMivf*. «|ui', iHHir Cl* li*n', Ht-nn a\iiii «i,-
l>ri'ili' à Piii-is «n effigir. fMi fu ii dil «uiani
de RnbtTl . )»oii p^M-** , ««us wins li* pniintr
(latftuto^'p. Id'iin, *i'i-s it ttlii|ï>-la r» :ipri*s,
vint pluinmrt f»tis« Pans, y ««'journa, fut a-r-
furdli et u la viUt- rt iii^int' à l.n Otur, cr <]ili
ti'«iin>il pas Fil lifU û tin jiujcmcnt de cou-
damii.-ili(iii au Ini nïl t'xïMr ttHitrt- tuî. n vsl
^raicpte «-li^rf lui niiisa <itii'l<pu'> dîî*a;;n''-
ninili, mais rr fui r\\ri le» iiiloUTaiit^ rii;«-
n>\f^ tl<- Gi*i»c\f , (-1 piMiit «lu l'Hil A P.'rm ,
iMiui qu'un peut Ir \n\T m sa Vie.
B. Hkruuoti llalû'jrimssri Ilistori.T
lik i\. & tle >ita Hoincri liMIus, liitinr.
Illi ex inU>rprcUiliQnt> [jiiir. Vallm ml-
î^TipIfl, hic px mtcr|KTUilii)nr Cunradi
Hott'sbiichii . ulnupioab Hcnr. SU'phiiiio
nvopiiiUi. E\ Ctesi;icxct'rj)l.THisUirj;i^
IconCïtipiiiTiimljim iiirm<iniliiliuiii slrur-
KiPHnint. Apo!o;j;ia llcnr. t^lcivluini pro
lIcnNloU).
KJu^itMii Uonrici Stopbaui de hac sua
etliliuno DisUchon :
Ucnnlvli l^tînm pottcilrrat liactenuK uiabrant,
NaiiC Latinm rorpn* poMidct tl«rn4oti.
— Kxriidfhnt Henrirm Stephamm , II-
liiîilris vin lluMrirhi Kiifrjîcri IjfioniTïi-
phiis. M n. lAvi In-N
Au \tTMi du Ilirt', un lit re i|Ui i>iiil :
Uenr- Siepkani F.lrfivion in rot qui I/erodnti
hitturiam (abuttnttati* aeeuêanl,
tdas.
l^îttlHÎi ù r«t, vel qait4joi^tiril quixl |i»Ji(<> nen-
Utvar, vrl Diiipium rrj nihil illc Mpit.
Ni) >«|iil, li<ii' vniffn <jui tttci'trr rreOuIns «Dilel,
A( juelrri («mir piindu» Jnciv pNt«l :
Al liifiiii (relis litx io»U tlicrrr Muii.%,
^tiiitiu ««i<il Ims tillia, |iluftMli» îllf upit.
filutdmm in HrrvJoli inlerprKtationen% A »t
rtcitgnilain. ■
Qoi r^nx propria , mroHiix inirrprrte linsna
Aniv lui, vcrum iionc in i>lrak|iiP luijtinT.
.l'ai dr n- ^ulutne un exemplaire Mir l<-f|uel
soui Iteuuioup de iii>lrs de In inaîu de l'hitlf»-
rieii .1. A. l>e IIhhi. iiiiiw que le foui rmnuii-
Irv les addilioiiftinu. du Catal. Hilil. Hiuaiuf.
I, p. Ï76.
Li*< i;ra\un*«. fcoNrs, roiisislmt eii trou
(;i-jiuik-s pt.iu(-lM-A en tints rrprêM>iiUuit Is Tour
de lUiUvUiiM', lc.-> Jâiiliiis et le Palai» uu forle-
resM\ ,'f''.f, de Stiiiiratiiijt .
U D. LXVII.
1. JFjtn Cluisli D. N. N'ovnin Testa-
iiKMitutn , (jr. CMiii vt'terc inUT|>reUi-
lioiio, cl novn Tlioodori BeTa*. Addito?
siiiit, tiKjcin îiulorc. sii/iiuia' hrtnfc* doc-
Irinru unoquoqtip Eviingi'lisUirum & Acl.
Ap(j^loliroruni !(«■« fompri^Konsaï. Item,
Mflliodi AfHwlolicanim Epislolurum bre-
vis cxi^iratio HjuAdnii ml iljudâriss.
IViiK-ipcin Luduviciun Burboiuuni Prîn-
cipcni Condorif^^m, A (jallinim nobjliUi-
Irrii voruiii Dri Er.ini!i»liutn amptexam.
IVit'fiilio. iii ([WJ lU' Vcrlii siTÎpli aiitori-
UiW Ik vont i'\u^ inU'qirHaliono disscri-
tiir. — lixcudi'Uil îlittriais SIephanus
virilUiisIris Huldrirhi Fu^pcri TypogiiH
pliiis. M. a. Lxvii. \i\~ii.
2. Kebiuic ve lingu.-c Rudiaicnla ; ac-
curaUi itiKhodo ol bnniUle consmpLi.
Eurundciii Hudinieritomm Pnixià. i\uvi
vivae voris loco essp [wesit. Oaïuia n>-
ro^ita & AurUi ah Ipso uutorp Antfmio
Rodolpho Oviilh'iio, rjiis linfçuiv pro-
IIEXKICIJS STKI'HANUS SECUNDUS.
ft'^sort* (*(' Mi'braiiii Sjnlaxi Ciinom.'s
'^riKTjtis nunc |irinnim oditi. — K\ni-
(lotwt Kfnrir.tu Stephamts. m. u. i.xvii
In-i.
Ain»i (|Ur h; mnarqur MiulUiirc. (a date
di' IWO , 4|iti est i TEpitre on Ut-dicwrc hlint"
de rnuiciir, porteroil a cr»jire tin'il aurr>it Plé
fait do te li^rc nui' aiilri' »liii<iti mitmciin*
à cetle-ci.
:i. MKDir^ arti* PriiidiK-s, |tosl Hit>-
|)ornil(Mi) fk (ialcniim.
Gnrci Lalinitali' tlunati Arot.TUS,
Ruflïis Ephoiiius, Orilwiiiw, Paulus .E^ii-
nota. At'liiis. Ale\amJi'rTrîilliamis, Ac-
tuiiriiw» Nio. Slyre|>sus. —Latitti . Corn.
Olâiis, Srrib. l^r^^us, Marcell. Kmpi-
Aliiquc [irirlcrt'îi , quorum uniuA nf>-
mcn iîînonitur. Index tion .-^ulum copio-
8US, «tl pliuiii oitiiup arlificioAO oinnîa
digeslu tiahnis. IlippoiT. iiliquul Itx:)
cumCorn. Ceisi inlorun'tiitiont'.
Hi'nrici Slephani rio har siiii t'tliliono
Tetrantichon.
QiKBroroqRct* «uri per rompiU niiilU »aliili<in(,
Hoaptt« nunc per inv rat wranibiis utia tlnoioa.
Prima ulnliffrir RirdKorum frriil)« drcU' :
âi«I«oli iBrUico* nonnr arcundn mifij T
— Hxctidfbat tlcnriais S/r/)/imiu.v.
N. i>. Lxvii. In-fol. \ vol souvent
rplié en deux.
Ilniri irgardoit avrc nu»u comme fort
avaiiL^t'ux dans It*» «■tii<ltii ft travaux suui-
d*a\air les Uwv* (rni(.in1 dt*» «iijcis
réuni* t-n prii Jt- \nl<ini«s. ou
uti Aeul lonHpi'il r avoil poudii-
Vtê. H dantsa prcfatT. il sVu e\|tliiinrniasi:
•• Qniim Mixh ituiliU nlili.\iiin»iiii ^elnllr^ ju-
dieai'it r-juvicin ur^umunli ^('^i))tl)r('■.^, s\ mm
uiM> toliiiniuf . 9I i-vrlr i|uâin |i:tiirUMmU
firri puMfi, iiirluHi» li.d>erf, (aJm ul eluini
Riidliis, qui M*iir.4iini ri>inpacii craiil, n-coin-
piiu;t-iidi>s. ul nUt« i^oriari poueul, rurÂrtt)
irnii tiino alifjunndn in mrutem , de «un
tM-fbu ]uilir<iuti, ^ntiuimam w oniiiihu» ÏHc-
'raruiD iludium rem tbrlurum. si ejusdnu ,
faicTU ichi'ion'* t-iMimi xflul tirlu rif-iiM--
jvt, lia ut una tMili-uii|ii(' t)|p<-rii tiiiivi^mi ruii
Aiili Ji (|umIiI»'I piiiM-iit. Iluic mujùliu delu-tiu
illud Cuelanini (;rs<coruin ^ottiintm aule pau-
a» mnutvA cdilum. •
A l'ucraiiimi de crite OilUvIiiin mi-dîcalr,
UU itamu tioclv niedirio , NieuUfi NauecI, œ
plaiiii ai);reiueu( de ilrun ilaiis luieleMre de
1579. rii)>}>orti-e |iar Maiiiaire, |»a(>e iK$. Jr
rrwis qu'en cottr eiirou^liiiKN- le im-dii'iu eiii
lurl. el ircut le cumptiincut qu'il miTiluii.
I>i »iiil dan<i cHIe lettre (|u'a\aiii onVit à
Hrtiri uti Initail île nirriTliiius sur de* niéde-
('ius Uliiu anritïuft, a^tT i|U:-li|ur*$ autiit ou-
vrages de sa ûiroi». el ipie erlui-ei a^aut w-
Tuse, di^nnl qu'il n auroil pn.« loiiir «L'eu (aiir
rinpiiii, i]iM-. ilailleurs, il vt-iïoit depuis |ifit
de jours île |tti!tliiT nue rtjljix'lioii ou êtilienl
rmitcim^ la |>tu|iart de m médecins, XanccI
lui n'|diqua que, pmir et- qui rioît de la col-
ItictiOQ. il lui biioil un douhie rejtroclie;
1" d'a%oir, djiu mh énorme %<diime, aoenir
trop |>ru de nkxleduA InliiiH .1 lui tiup ^ratui
nombre de mtxlecins grerj» ; j» <|ue de la mul-
titude de variantes evjsiaul. iipres eu avoir
aJnprê iiur pour i^lre emptiAee dan* l«
lexlen. nii avnil iiét;lim'' l<»ulc^ lis autre*, au
liiii ile les reciifjllir et |da(f r sur les inar^eA;
el aiLMi que. fjiute de sutUnatite ;itlentîon. le
rhoiv avoil auez »rnneut |Kirlê Mir la plus
mauvuÎM', siepU'uU dftrrrimam; que, pour
ce H)nt\, ou auroil dû preudrv l'aiii de quel-
que mede<*iii Iwlule eu son art, et judieiniu
rritiqiii- ; qu'à cria llniri, fron^nt le sour-
ciJ et |krni.iul eelte miar rrfrosnéc qui lui
otott a!kM>< luIiitiM'Ile , rèptiiidit dur(*nH-iit
à-pcii-prê& cttri : m J'ai Fail à ma fai^u . votu
atuii, faites à la \ùirc. »
l'ue critique |H>ut avwr quelque rhosc
dV\aet, et repetidant ménier dVtn- mal ae-
eueiltii*. I>in* a un Imiunie «pii viail de mettre
CH lumière uu \^n}\ et lalHirieiiv vulumi'. qiH*
Ma ouvrage est à-peii-pre^ mauipic, r'eni déjA
pamlklement dur; mais ajouter que la Ih'^
su^c eiU été hieu uiieti\ faite si l'im a«aii
pris l'aide d\ui homme liabtlc. lorsqu'il r»l
manifeste que disant \\\\ homme babilf , on
sous-euleiid mot qui "utn parte, il y a U de
quoi iiicltrt! hors des gunds l'homme le plus
renijdi de raaiuuélude. t)r une e\tri-me dou-
ceur n'ùioit. pas le fonds du ramelèrF de
lltniri; et d'ailleurs il sr seuloïl aussi <le l1ta-
hilclc, et di\ l'ois plus que n'eu eut ]ainai>
le maleocontreux criticpic;.
Sur n-tle attaque de \aticel, dont je m
piirlr qui- parr»' (|iii< m\ lettre, assez nial-n-
priipiM nrinipriiniV par MJiiHnirr. e*i de u4-
lut»- â (ain- (irruilrr du fanifti-K! iW Henri
nni- <ipiiiioii i^ltiA U<!.'fa\nr;il>U't|u'il itr infrilt-,
Mailtnirf «lit qu'il Uissc k> procc» « ju|;rr .luv
lihNiwiu^ : " Rfçti'iii- au mi-us, jiidicM;il nittli-
ri. " Je» fjiis tri*» tnIniiliiTs ili* iiu'iiii', mais
vu ajfiiilatil i|iir, malgré raiiathrnicdi) mifle-
fin tntTuulcitl fie n'y avnir (las été cmploy»':,
cette Cullfclionlalinr, t*stitniT dAnA^^[l tLiiips,
l'ctt encore aujuurd'laii, f( nM>ini' a ac(|iii4
iitH* auct liautf valeur. Lu <1i'Hm|tlkiii dv .ses
diverses punies M* ir(ni%<- (Liiia plii&ieim Bi-
liliof;raplir<«. rt iHilaimiinil ilaiih Ir Manuel
de M. lîniiiel, 1. Il, p. 4^0, H' ttUtioti.
i. PoLEMONitt, llimerii, & uliorum
qiiorumlam [X'clamaliants, nunc pri-
mtim ttliU.'. *jr;i.Ht'. Ilir illp (»«*»' ferttir
Polrnion inliT So|ihi>las ulim r(^lpbtTri-
mus, ik 'liclu illt> viiUle nobihUitus ,
BoinaiTi <'sst> nrliis ppiUimori. KdcnU^
Hfnrito SU'pliuno. — l'Acmit'biit Henri-
rus Stephanus. M. I». lAVII. In-i.
îi. TftACOEtti.E Srlocl.'B AostIivU, So-
l>h()cli!>, Eiiripidi:?. Cmii fiti|iHi'j inlfc-
pretatitino liitimi, iiruitul vprhuti), iiltnni
<^niilne KnnianiT inlerprcUitioncs J(>-
coniin atiqnol EuruHiIis, — K\oiiiii'Ui(
ihnricus Sifphatius, Htib^lris \iri Miil-
ririchi TA-po^îniphuï^. «. n, lxvii. 3 vol.
in-IB.
I>iiix parlirs aver un »i'iil liire, l'une de
379 |»afi«t , ilonl la deniJm' oi par irrrur
rnU-eiÔ9, il la seconde, de 955. C.flle Uii-f^a-
liié (ail <|iie le li^rc se relie tantôt en un seul
volium*» tantr'il i>n deux , li mhim'iiI in^me
en Imis, eu juirlaçeanl la s<Ti>iidf partie en
den\,aprê?i la pa^e 3M3. (>■ reeiieil ronlii'itr
liuil irngiHlies: d'iMiripide, quatre. Hi'-cul»e .
Ipliiçiiiie en Atdide. Mêd*'*. Alet^te;— de
siapluM-le, Ajax . l'Ieelre, Antigone; d'.'Ks-
chyle. PromelluMis \i11rtn5 : avec le» Iradue-
liouh indiquifs sur \f lilrr :
titcun- il \ n liti'tilôt tTin(|iyinb* ain . %i\
eveniplaiii-s en fi^lllr-s de eir li\rr dor-
mtiieiit, peulVtn- depuis leur nais.unt'r, dans
Itt lUf^aiiiu d'une ancienne Maison de li-
bniric Lyonums?. J<' n'en ai tic inMruil
qu'au moroeiil 011 iU \enoieni dVin- pulcvés
par des élrnn^iTt non nutin-i «pie iniii n*eli«T-
rhetm d'anliqnitêA t)p<k{;r»p)tiqnt'.s
6. Pétri MonUiurvi Honda.'i (du Ron-
ifenricus SUpfuntus. H. i>. 1.XVII. In-l.
Pièce fort rare. IClle éloii daiu la llUjIirv-
llièqnu de IV Tlion, rinuiut portie il'nn n--
ciicil l'vaiicnii ni iIitiiI diin» le* additions
maim-vditrs du ('jil.ili»;;itf'. I. U, p. i9i-i9S.
Cl- mi'me vdluinr dr IW* 'I liiiu >t' niroiîvn an
Catatu^ui- de Soubi^e. n" tsTI. Il fini ^<•n(lll
iS li*. 19 s., ri M n-liuje rtnil r i«rm].
viTl, iI^M|;n.ilinn (pit'lquefoit ulile. el Uiii]oiii-s
iimise dnn-s ee (jtlalngne.
L* piw-e y esl aliriïuitv à Adrien Tnniêbe;
cVâï aiuai ce que doune à enteiidrf Mnil-
taire, ritir Typ. Par. p. fil, mi cîlanl Icj»
Elo;;es di- 'l'i-i*sirr fMi il esl dit que Ia' LjiImhi-
niir rappniic des xer* fnils h h louange dr
Pnlli'ol . qm luu le diu' de (Juise . altritiiic» à
Turui'tie linc ■uliirili* que je rnii'. Mire.
celle du M>atil Itililiolhèrain* de la Kïltl. de
DeThuii^ de I.1 niaju diiipiel esl iVritan 1^-
talo;;ue le liire lel qilr je Ir rapporte, ir- laissi-
point d'ineiTliIude sur l'auteur de ces^ers,
I et fail liii-ii l'oinioilre que ci-t éloj^r tl'uti
tulinix .-tssjis^ni.il ut* priil èlre mis n la eliarpr
du Hit%atit l'I rsiiiiijihic Adrien Turnél«' . I011I
piTM'ini i|i»'d |ii'it l'IiT fu Tiivi-nr di- rcnx qw
pcrsêeuiei-eni SI tipreuieni U's l.'.uiM-, llenrî,
qui iiH]>rima rvllt- pieiv, eût mieiiv fail taiK
dnule de ft'eii ali^tenir; mais il i-ltiil â Cîeurxe.
nu niilieii de<i pltu aiflfuls rériiiTnalinirs; et
le -ta^aid minière Mjrlural . un dt^ plus U-
Uirieux panni et-k oiivnerji OtanKêliqim.
ftMiil été ptiulu à Koneu par l'ordre d'un de«
fillijiC.
7, Jaxi Piirrhasîi Lil»errie rebiis \\er
K[H:;lubTii i[ua->itis.
llmirici SLe|vliiini Ipirasiirhoii de hw
Jani PiirrhusH ;iliisi|ii<> i|inl>us P(X*Uis
tlliiâlriivil libris : *
m minTÈtv ■aimai nlieBa in corpum nuftlN»
\ rrîdiro flaniui pralnlït arr ârnrK.
MivrauF ia Jannm (.«linruirv ])«s~ror« vatnmi
Aat ralei» UK(lt[MuliA mnrrluior roar.
FrancisciOïm|Kini (.lii^Bàtio Virf;iliana
iidjiincla esl. —m. d. lxvii. ln-8.
* Ni p4ul M^nocr , ni aon RU, n'ttirmvnt
tiati coutlruil niip phrase latin<>.
HENRICCS STKPIIAMÏS SECUXDUS
^
W. D. LXVlli
1 Tmi-mi ÏVdvMis aliipiol , niHro
Aiiaeivunlico & Sapjihico. Aulhorc
Henrico Sleplumti, oujus t'Iiain (-x ofli-
cina prmlt'uiil. Ejusilcni Ilonriii Sli'-
phaiii (.kJiirion di' l'siilniis hIhjuoI Dii\i-
Anacreonlit oliiii
Mndoi littïi iortitot :
\n«crruiiltcjim nunc,
SrtI nil AniirrronlU
Dnbol>r«iii Koastitroi.
JSic Bniululior faa*t«ni
Quir minus iur<-rcl»a(,
AdiIrUat rt mrtlrbin.
<^ai]«MUctavit dlim
Servt» chi-ly* profaiiû.
fian^bil illa nrrvU
.ApUU cliTitliani*.
D i.xviii. Iii-;ji.
f
inaVilis, Hynmi, Nariolyriruruiii vcfsiiiim
gt-DCri'. (jrcaoni NH/iaii/ciii ihJît' nlj-
quol: Gra'c'O. Ulriu-iipir m liuviii ndiii-
priniûm prndpiintituis Litimnin inii-rpro-
tâtioiuïiii mJjlinxiL Kr. l'urlus (jelt'nsi?,
Pi Epistdbiiiad Pliilotoiitrstiraraiti priL--
iiiisil. — E\iiid('byl Henhcus Sl^phaitus.
». D. LXVIM. Ill-.H2.
3. Soi'HotxisTraf^aHliji-' septcm : Gra?-
^ce. Dnà cuin omnibus Gnecissdioliis,
«t rum bitinis Jo<iol). OmiPrarij. Anno-
lationes Honrici Stcphani in Sophocleiii
t»t Kuripidpm. seorsum excusœ, simul
prodiMijïl.
ntMiiici Siephani distidion de suis
(•dit. Acschyli Pt Sopbocli^ :
Ancliylnn «tlidrruiii .Sophnflr* inritlil :•! itlnn
Cur ail ta pmlluc inviilcalur habot.
Eioudebut Htrnnciw Shphanus. m. n.
txvui. tn-i
Celte édition (pli ràinit les scholirs imprî-
mét» k Rome en 1518 . rt rvUes de Tridlnius
coiTifitH* [lar )l<niri. ci»t «l'une loutr autre
impniluiH:*' liliéraii'e que celle du l'tinièLte.
IS^. iii-V a lm|i<«-ll«' Kntiirk fait dr ^-jivt^
n*prm'lii'.s.
IVu\ dni tni(;t-ilifA. Aja\ t-l Kli-iin-, obI
une viTsioii laliur.
Lrs uotes nieiilioriiie*!i »ir le tiir» {simut
ptvtieunt) foraient le volume iii-8 dont rîiili-
lulé<tuil.
i. Uenbici Slophnni Annotationcs m
SopliucUMii & Eiiripklctn ; ipiilni*i varia;
ltTti(int*s ('\aniininilnr. et pro nicndujïi*
l'uicndiila' âuth-tiUiuntiir. Kiusfioni Tnic-
(;ih|^ de DilluicraptiiH qiiomndam voca-
buluruiii S(i|iIhn_'Il (.-tnii ('a.'U'niï tragiriâ
romniiaiiiiin. Fjiisdorn Dissertatiode So-
phocli'H itiiiUiliont' IJcHiieri.
Ejusdi'iii lU'iirici Stt'pltani diàlirlion
do liis ii^iiis annotationihus.
Sfturia gerinaiii» (inniutu est dif^notcere viïrba,
Gcrmanseul lilii mcDtelici^ndA *l«hiiic.
M. U. l.\V)ll, lu-S.
H. Ai'Oî'itTHEfiMATA GnPca Kogiiin &
DuL'uin , rhiloi^nphortini item, alioruni-
quL' qiiunindjiiii : fxPliitarcho&Diogene
Laerito. njiii Mii[)haidi^ Ho;;!! latiiia in-
Icrpi'i'tiiLiDiiP. — /icïincu.s S^'p/iuims,
lllurilri»\iri Iliildrichi Fiiggcri lypogra-
phiis. M. D. Lxviii. in-16.
IL ]U)i-iiil <|ue r'eAt sur ce volume qo«, pour
la Ui»niim' fuU. Heun s'iaûlule Fu^geri ou
Fug^ti'Qrum Tyfiofjraphus : ou a %u plus
haut qu'il avoil euuiiutïncè en 1!^5M.
J'ui »pcrt;u , je ne me ni|tjM}ili' [lUis ou ,
iiu L'!W!iii|j]aire tle ce livre, sur ]wjiirr A luu-
niauvaiw ruulcur jauni-. l'eiitVlrr un Ikiin de
praiiif il'Axigucin l'avoit-ïl oîmi mclaraorphiK
«* après coup.
6. Vahu HisloriîeUomanaîScriplorcs,
jiartiin Grasci, partiin Laliui, in ununi
Vi'liiL corpus redacLi, de rébus m^tis ab
LIrlH»<'onilita usipic iid impt'rii ('oiiîttati-
tiiiopoliti Inirvsliili Innpora. Nuiniiia
corumipiOïiilKdH'shicauthnrtim, proximû
soipjenles |>anina: U' do<-fbuut. — Excu-
dfhil Uenrictts SUphœtas. m. i>. Liviii.
4 vol. in-8.
Tom. I Carolus Sigoniiis, C. Vel-
leiiB l^ilcn-uluâ.
Tom. 11 nitrnis Nira^i Epilomc, Ho-
nnlianii!*, f^raMi' rt jai-, «'x
4
439
HKNHICUS STËPHANUS SEtaWDUS. 1S<tfM».
versionibuï^ Gtilicl. XUaii-
(Jri, ot AngHi l'oliliani.
l*uiii( d(* IronlUpice, itoD plus i|u'aii.\ Jeiiv
Toin. ni. Suelonius, ^liu» Sjmrlia-
luis , JdHus OiptlrrlimiK ,
.'Kliu-* I.imi[irHliti-* , Vuloii-
lius GiiHicnniiïi . Kluviiis
Vopisi'iis, Tivl>pUiiw Pollirt,
S. AurL'liui- Vk'kit , Puii^m.v-
nitis.I-a'liKi, J. Uiii>t. K;;na-
lius.
La (H^piuitiou cotiTiuiK' <le 4!^ à U07.
Toni. IV. Amnittinu» MiinTlIitiiis. Eu-
trop i lis
IV ImiKiirA amioLalioDa il<* J. H. iL^ualiuï ,
•'unimeurniil à l<i jta^r \9'.W, qupttim-^i-uni-s
d'Kiasim'siirSuiioiuf.ilf îon iiî<>4K. LuMtilf
tiii Indrx . en llMi tcnillelN tion <-tiiirri-A , rt
»w yfUW itartit' M-|inrt:e, cliilTm- *lf 1 à GH,
cutili*i)niit df-a \n*s <r\u»<Hi»" cl aulrc» poi'li*»
«ar les i'iii]>cnïirs Konioitis,
M. U. LXIX
I - Tkstaxknti h nuvuii), ^r- et lutim*,
t'I inl(Mprolatio?\riiK';iNo%iT(^taincnli,
lirbnris tNpisdo-M'ripUi, [»It'risi|up(*tiani
locisi'nR-ndiiUi. Kudrin. huinu siTiiiunc
rwkiiUi tiitthon» Iniriuimii'lr Trpniollio,
Theoloaiit'dwlun" & iïrorc:r^((rp in Si'lnfl;i
IIcidolU»r}»pnsi, nijiisrlwiii (jniiamdtua
chaldjiini & syra culci oporif» iidjw-ta est.
— Cohuiae A (hfirutiuv) . PxnideUil
Umricux St«'phanus. m. u. l.xi\. 2 vol.
in -fol.
II \ u ((«x* f\4-inpUirH'» Hir giiiiid «*l fort
|Ui{iiiT ; rlirz PirH-llî. ii" 72.
Par iVuoiirt' du liltr (iii \oit i]iif le: flrrc
ctt nccoiDpitgm'' d'iitie ^t-rMuii bltuc t-i qu<t;
ic SyrÎHqw a «iiui m vemiou.
Les exemplaires (pio j'ai viu purtrut Co-
ioniar .ilUihro^um ^Biint-ti noio latiu du
GnMfvrl, wlui dr Li ltililiiillH-i|uf di* (hiii'm-
ptifliT Crnrvae. Il pariiil, d'apiirt If-s Ht-t^UlffA
lin f!iiiiM-il d'Klal dr fi«nii'M-, n'iiisi t|iii-lc fnîl
rcnittii|iii-i I\1. V. \ .iiirlifi l'dildiiilli. \\\\i\ .
(il* * iriif* r , (h-I. 1}<ii9) ipii- Ws ImpriNif^m
iiH-ltniriil li'ft rmils Coloniar .4ltuhru"Uin wir
](•£ l'M'inpbirf» ipi'iU dcjitiwitriil :i la Fruiitv
oii h-» (■ditiuiLt dv ( jeDr> r rtoinil nul « w*>, i-t
FAriloioil Ifs rtrlaiiLilioiii des Imphmenra
KoutioU i|iii t'ii dtiiiaïutoimt h prolûliitîoii.
La (rramnuiin- Svha<)Uf. rrimpriitiw a
(Uirl (-11 lin \(ilijriir in-i. (pu \a miim-c. fornir.
a 1.1 lui du M-cuiid ^(>liinii\ une (wrlie séps-
m- de 3(» pagca, «hiin-tSc» |M»- rotunnrs. Up
1 n in$.
Â. (>itAMM.^Ti4:% clialdti**.! & syra, Ini-
inanuelis Tn'tiudlij. Tlii-oloiiiaf docloria
ta profes(Mjris i» St'hoUt Ueidollïot^^cusi
— Exciidphiil WenriciM Stffjhattttx u. i>
LXIX. ln-(
3. (x>Ml(:uHtii i;ni;i'oimii Sciilt'ntia',
id esl Tvûuxt lolinis vcrsilius nb Henr.
Sl(|diHn(>r('ddit;p, \ aunatiitJ'ioihii$ il-
lutiïnila'. Ejnsdeni llcnnn SU'phniiiTe-
Irastichoii i\v liis cotniruniui sciitciitiis :
^liirm priitiitlii lot i\ ttïïvnthtnt icri« mulli*.
Qnfiii niiiu'it iilrifiii romira Mnai ;iiirat,
I'auiU miKlii iDUm Iiirir irna pluriniii caqul :
Njiin(|iie oiHiurnatiL kir pliirim* soccu» lutict.
— ExcudobiU Hefuricua Stephamts. m. d.
LXIX. In-2i
Dcilirati duc de iU\in%. A la lïii du «o-
Uintr AOiit AJuulée» les SculLUce!! drs flomi-
<|ui.'!i lalius, e( a-lle» dv Puliliu» S>ni».
4. TiiEoDoni Bo7îP Vo/olii Pocniniuin
Edirio sceiiiulii, aU co rwogniUi. Ilem
('\ GeoFfiio Uiirtuiniino <ilii.s<iiip «iriis
insi^^ibus pwlis t'xcorpui mriDJnii ,
prff'sortimqiio opi}^rïtinniaU). — Exnwle-
l'Hl //rtir. Skph. ex cujus eham epi-
grantmatis (ira'CÎÂ & Latinis alitpiot
l'ii'UTiîtiidjorUi sunt. M. i». i.xi\. In-8
lAi |k-ii;imiinM m'ûmounici' aprn Ira |m>ô-
«jp» dr TiiiM»»!. df hcr.v.
iji pn-niien- tiliiion |iarui dirz RaIktI
Ijtiniïic en 1518. iii-8; elle fui rriniprimn!
iii-l(i^ sausdnlf. ^li insi^n^ caoiliâ mortui,
doiil il > a deux et peul-tHrc trois editiaiu.
Ollr-ri i-sl di'din" pnr rtiufeiir à André IJu-
dilK , tliciili^irii liou^niis , aiitt'nr d'iinr
niidtitiidr de sn\uii(s iiu\ru^i-^ tièjs eslintr'-^
dai)& M»li teliip» llllii> ipii ne M- tiMiil plus
(Jui-IfluexiiM eioieul ipi iin uiiini!» une tte>
n«»-W. nENHKlJS STKPHANIW SKOONDUtî.
I
dt'iix i»i trots vdilkiD.* ui-16 fut imiirinicv mxi'
la pnrlicijmtio» df l'auteur, et preci'dii l'm-H
dr mu.
Vovt'z n-dcjiisa'» , p. 74.
5. Abtis Typographie* (Juwimoniii,
illileraljs (]inhu««dam Typo^|ihis,
iproptcr qiius in cunlcnipttiiii VL'nit. Au-
lore HtMirion Slcphjiiio. K|)ilaphi;i (itîP-
CH & Luttiia (kK'toruiit quonmiliiin Ty-
[po^riiptiiiruiii. jib codriiiscripUi. — Henr.
[Stejihumts. », u. LXIX- lii-t.
f\rini|irime À la fin dt> cet <ni\rn^L- . nwaa
h*s Kpila)iht':i. dont J4> dniitit* Jaii;* la \ic de
RoIkt(. ccllrs qui le courcriuriil. Ui |iitT«"
siii%aiito t^m au"i>i pnr moi n*j>rcHhiiU*. mais
M'tttt'iiuiit rti dt' Idiipi'xirnil!».
6. IIi-:miii:i SlcpUiirti Kpislnla, tpui iid
smlUk^ iniiîinnini .iniironiin rt'spondpt,
do sua; Upii^MiipliJii' slîilii. nuKiiiuilim-
qiie (lo stm TliosjJiiro Liiiirua' Graîca?.
In p(isU'rior(' îiiilt'm t'jiis pîirlp,, i|iwim
nii&oni sil Uoc loiTipurt' vi'lcnirii .-icrip-
torum njtisJilio, iii iiiiorunihim typoi^ni-
phonjiii [irc'lii inridcnliuTiii, cxpoiiit,
Iiidev libroi'uuii qui i'\ ufficirui i.*jusdfm
llrnhri SU'pluini liyctciius prwiierunt. —
Aniio M. D. LXix. — Bxcudfbal Heitricua
Stvphunus. In-H-
(>-t Opuioulr v\ k- pri-cfdciil. ma» iiuti pu
OinlogiK' (ltHl<-\), ((u'oi) rclrcime dan» Jrs
lu. T}|»o(îr. III , Wi *, v>nl rrimprinic»
lift les ilfiix nii\rn|^-jt d'AliiM*lu%tTit et dc
«itaîrc.
Voyez ciileuu.*, |W|;e 1)5. la minïOD île tous
[V» CalaliK^irs coniiuiï drs Fj^lW-niir.
7. IlEMONSTRANfE (lii Prîm'H dt» Condé
«u Ko> Cliarlcit IX, du 23 auust i:^8.
Avt^: lit prok'sUilion ti le nxitdu mcur-
ln> perpoirt' t-n sa personne le 13 ïrups
1569. — ln-8.
8. LiTEB.£ Liidovlci Borbuiiii , Prin-
ripi» r^ndftti. ad Ounliun )X TcstiJi-
* Bcnnprïnniil cr OtalcgUB. Mailtairn n'y m
Il iiiinl tin kiipplinifRl île *rx |>ag)i«, ïaii«tl«le,
lai* cf'rUinriiiriil <lt* IIV7t, cl iitiJ rpt \Tét rtiii* ,
ilil(<m<-(il it n«' l'a pji«ci>anu.
ailio causartini qua": ernii urnui tiujnoiv
iMM'LUTiml : Brevis Nîirralio ctPflis cjus-
diMii l'rincipi::? & m^riplu in cundciii Epi-
tapliia. — ln-8.
Otir piccr rt sa traduction Inlim* Miot
iillnhiirt-* à Hrnri ïi^tii-iiiie . r\ prircnuMil
smlii^ de ses \\rraan, Urn (|U*rUm nViml
iii MHi iHMii ni Ra niarqur T>iHi;;ra|>hU|Me.
FJIc<t II 'oui |ioiiil iHMi [iluA b dali- dr raoïii-c,
ut pai'iiir ul iiruliuUt'iiu'iit ]m\\ aprt^ la inurt
du Priucf .
M, U. LXX.
4. Novi Teslamonli Catliolicu c\(K)-
■iitit» Eccltsiiislica , *.c. \li Aiipisiim»
Marlornto. — Uliva Hohfrti Sttphani.
M.l>. LX3L. In-fot.
IVoisièmp l'ililion ; In prrcôdniira «oiil lït
15C2 .1 l>m4.
Iji tri'9 haute nlinie cli» It» K^'fiirnu's .
qui. |M-ut-i*Iri- liit'ii, lu- le lÎM'Ut pas braucuup
aujourd'hui . cet oiivraye fut, aprcs ces troU
édition», encore rtimprimé i Onè\e eti
1383, 1S8A, 1098, 150S. Il»t1, et i-ii 1604 à
Htidellicrf;.
■â. Atiianasii Dialnp V, dr Sflncla
Trinitali*. Ikisilii libri iiii , ad\i'rsits
irnpîuiii Ruiioniiurn AnasUisii »S: Cyrilli
a)iup('ndian;i (klbmlux.T lidt'i oxplini-
lio, ^ri'H' ef liiliao. ex inlfipn'tationo
TbcixJon Bi'z;l'. Fœbadi sive Ka'badii
libiT cmitra Ariaaus, îalinp, IJ"'*- Atha-
iiasij. Ana^Uisij /^ r.ynili ^iint. ik qua:
Kœbarlij , nuiic primùiii cdiinlilr. • —
l'Acudt'bal Ilcnn'cux Sli^phnnus. ii. D.
LXX. In-H.
l.'opiiHnitc de fiv'hndiuA (firme h la fin
une partie de *7 J^kp* eliîirnivA Mqiarf-
meiil.
Lf muimwril d'Alhaiul»e a\nil èlè aelM'tê
rCnii i ItTv |ia>s.int à trt-iièM*. Celui d*-» niilres
pitn-i-.s hit tniineà Geuéve daiu la tlitiliothè-
ipir de (krniain €olladuu, par Pierre I'iIIhui ,
fpii le eon»uiuii<pi<i à IJeat-i.
.1. r.os('.ioxRsi*i\(' Or.HJiwH'^i'x Oni'-
43i
UENRICUS STEPHANUS SECUNDUS. 1570-74.
cis, Latinisquc Hiâtoricis cxcerptœ. Quas
ex Graîcis excerptœ sunl, interpretalio-
ncm Latinam adjunctam habcnt, non-
nulla; novam, aliaî jam antea vulgatam,
sed nunc démuni plerisque in tocis re-
o^nitam. Additus est Index arlifîciosis-
simus & utilissimus, quo in rhetorica
causanim gênera, vdut in communes
I0CO8, 8in|^lœ conciones redi^nlur. —
Henricus StephanuK. u. n. lxx. In-fol.
Dédié à Pompouue de BelUèvrc , ambassa-
deur de France en Stiissir.
Un (■xemploire vu grand papier fut, en
1804, vendu 89 fr., chez M. de Cotte.
i. Epicramsiata Grseca selecta ex
Antholugia. InterprcUila ad verbum, el
carminé, ab Henrico Stéphane : quac-
dam et ab atiis. Loci aliquot ab eodem
annotationibus illustrati. Ejttsdem in-
terpréta tiones centum et sex uniusdis-
tichi, aliorum item quorundam epi-
grammatum varia.'. — AnnoM. u. lxx.
— Excudebat Ucnricus Stephanus. ln-8.
5. Herodoti llalicarnassei llistoria,
si\c, llistoriarum libri IX, qui ini»cri-
biintur MusiL' , ex veluslis exeniplaribus
rt^cogniti, et lilM'IIus de Vita llomeri.
Clesia; quonlam : Gra'ce. Ex recensione
llenrici Stephani. — Excudebiit llenn-
cu» Stephanus. m. d. lxx. In-fot.
Dédié à Jacques de Broullart, ou Hndarl ,
romte de Laguy (Jacobtis a Broullart I^iii
Cornes).
Ce volume, auquel il con^îcut de joiudre
la version latine donnée {ur le même Ilenri ,
en 1566, est aussi liieu imprimé que rurrect ;
il est ce|>cn(laul moins estimable que la réim-
pression grcT()ue et latine , plus ample , et
Iteaucoup améliurtv , de 1592. El |>ar l'effet
de ce noble drâir de toujours mieux laire, qui
fut le constant mobile des travaux de ces hom-
mes si recomniandal)les , la troisième édition
Stcphanienne d'Hérodote, donnée par Paul
en 1618, laisse Imn derrière elle les deux pré-
cédentes.
6. DiouEMS Laertii de vilis, dogma-
lis & aitophthegimitis eorum qui in phï-
loso|)hiH rlariierunt, libri x. OraM'. & lat.
Ex multis vetustis codicibus plurimoei
locosintegritati suœ restituentes, & eos
quibus aliqua deerunt expicntes. Cum
an notation ibus Henrici Stephani. Py-
thag. Philosophorum fragmenta, cum
latina inlerpretatioue. (Anonymi cujiifr-
dam Diâsertationes : Lysidis, Theanus,
Melissae, Muiœ Epistols, Graece tao-
tum.) — ExcudelKit Henr. Steph€uuu
u. D. LXX. ln-8.
Le latin forme une seconde partie dùffrée
à ]iart, mais sans titre ; et le tout te reliuil en
un volimie.
M. D. LXXU.
4. JuLii Cœsaris Scaligeri Poemata.
Epigrammata tum Gra?ca, lum Latina. —
Henricus Stephantis. ii. d. lxxii. In-8.
2. Plctabciii Cbaîronensis quae ex-
tant Opéra cum Latina interpréta tiooe.
Ex vetustis codicibus plurima nunc pri-
mum emendala sunt, ut ex Henrici
Stephani annotationibus intelligcs : qui-
bus et suam quorundam libellorum in-
terprotationem adjunxit. iEniilii Probi,
seu Cornelii Nepotis de vita cxcellea-
tium imperdtorum. It^'niDonati Acciaioli
vitaî Scipionis & Annibalis. — Excude-
bat HenricHX Stephanus. m. d. lxxii.
n vol. ln-8.
Cette imiwrtante édition , e.\éciitce avec
correclion et éK-gaiiee , a été louée cl criti-
quée, peut-^lreoutremesure.SelonCasauboD,
optima est: 'Xytandcr, éditeur contemporain,
et par œla même eu qudqtie sorte éditeur
rival , ne lui témoigne pas une grande estime;
el, de notre lemiis, ReisLe, dans son édition,
la juge plus s<-véreroenl encore, (^'est avec
raiscm qu'on lui reproche plus d'une cormy
lion hasardée , et point assez heureuse. Le*
savants voudroient y trouver l'exacte iodio»*
tion des serours imprimés et manuscrits (cik
dices) dont l'éditi-ur s'est aidé ; jnais, malgré
ses défJButs, cette édition est supérieure max
pn*eédentes Aldines , Juulines . et même à
relies de Rasie, 153^-42-1560. qui lui ont servi
1578-73. IIRNHICrS STEPIÏVSUS SECtJNPUS
135
"*'i
fe
ilr toiiticmctil l*l(i!ii<*iir> ttliliiitLii sui^uiik-ï,
taul vuûvTfs tjiu- |iarlii-llfs, ont pn-wittrconi-
|ili'|pni<^ill atlnpU' !ii*« li*\li*A, et rlK' e>>t n>vliV
iain<'itlHtire«'ilili(Hi. jiiM)u'n er (pii-Ir'» Imniiv
(lo Keuki*. tir Wylli'iilMdi vl i]fO>ruy .linil
artpiu à li'U» sa%ariIrA piiblicaliaii» uuc mi-
|i4Tiorili iiiccinU'^iif,
Llle M' r<>ni|>n»c d{> six volumes de grec,
lroî->|)our l»Ls y 11^ {f'amlMa), rt trois pmir
le» i]iiii\n> (li\(T!H>A ; aiilaiil |M>iir If latiit ,
(li\is<- <lr mi^nii* . pliis tiii Irt'ixiniiv nolumi'
il'\|i|M-inJiiirs(Hi ViPsrniiip;inTsi-l Vii-s sit]»-
l»li-mniiarr<-!t, cl U^ BiiiKrfalioiis. Dessit >qIii- !
mes (le «TiH- il il été lift* ru grand papirr de*
rxniipinin'» (|iii MHit fort rart-^. On nVii
«-(MHiiiii p/iiul du Indti . ni dn li-t'tticmc \(i-
liinii;. {'à- dernier iiinnqiK- qiii'|()iicr(tjs. rni'iis
aUn-s lr& diin/i* ntitrfit tu- MMit phjs (priMi li\ri*
imparfiiit i-l dti'liit d'nm* i;r:iiidi' pari h- iIi- %n \
eut.
3. TitESAums Gnnc:ci liiif^iiic, ali
llenrico SU'pliano f'oa*;In)rUii^. In iiuo
prarU'rali» pliiritiiu (juir priiiiiispra'îiti-
tit, ([KiUTîia.' in Thrsiium LaliMo<lilia;en-
liaf ieniuluA) vor.ilnilii in ccrtifi i'lus.<es
distribiiil. niifllipliri ili'rivaluruni série
nd prinui;i'nri]. (aiii|tiiiin ;id ruiicns uiidp
;>ij||iihiiil n'vtx'jilii.
ri Tiii»\rni's tRcTORi.
Kl
tiiiic «lit intrff|>i(ti tailigin tinsira s«<)aanlar :
Mr diu-^ phna vin ctl '(iiif ««lebroMi fuit.
Ejusïlt'm Âf)iH>ndi\ librnruin w\ Tlip-
iKiiinim rir.i'fjf* iini:ii;i' [icrlini'titiiiiti.
Hem Index InTliosaiiruni. — AniioM. h.
Lixii. E\f(id('bt*t Ht^nr. Stepfutnus.
Ijim privilf^çio t^as. Ma]ost;)lisel <!hrjs-
nis6. (jaltiuriiui Hcgis, 5 vol. In-fol.
4. GLOSSiRiA duo, o situ vclustalis
lUi : ad ulriiisqiip lini^JcP cnj^nitio-
îm ellociqiIcliiLiiiDL'iii pcnitilia. Ilem,
Attica' iint;nii- seii dialeeli idinitiuLi^
^minent. Henr. SU'phiini. Ttraque
inc prinuiin in publirum proileunl. —
irudobal Httmcus Strphanus. m. i>.
LUI. In-fol.
Ixt Dirtioniuiirr funni' ({untri' volumes ,
dnul II- diTMKT fsl plus iiiiiiiv ipir U's antres.
tomfrini|)iiriLii-, tif.<t^nltimiiii'nx. niMlit-nl
rAppt-ii<li\ au'v- SCS pii'crs Mrpplrmt^itairr* .
i-i l'iniU'v dr ^^M|^ les mots grfc* disjM)>é jwr
unin' .ilphalH-iîtpic. Ol lndf\ ksI ditÎM* m
driiv p.'iritcs. doiii la pn-intriv (-umuirnraiil
â la pii;;(' cuulcnant Icft roloiini^ i39 1'\ â^U, t'i
tiiii&saiit à lu lolli'e II, m jiuipi'ii la i^ohuiiir
174G. L:i situihU' partie , romroeii^ant à P,
u'occupt! (\\ic ±\i culouni-s. Ia' Iku du dvnuer
fcuilk*! coiiliciil un rt-gislre ramptel ilvs ciiH|
Aulnm».
U^ tuiiie ipialrièmf étant moiii.'» fnri <pii>
€liaf*ini ilf-s autrt>«. >c lron\c ciueliinrfoi.t re-
lié n\cc. \n Glossaria , ce qnî niPl plus d'èffi-
litc mire lc<i di^tTs «dIuuu-.'^ ; ntai» nn lie!
i-\rniplairi*, Mirltml l'ii ^nitnl papirr. rat liicii
pjiiiï nin\i*'iul>li-iiii'nt |MrtAgû et rHiû mi six
\ulll!llttS.
l^'-s Clossaria «inl tic 1573, liit>ii ipif qnel-
ipit'i lUIpliiigraplu*!. IvA ^ial^•u^ de 1572.
Ij! |iapier do op lî^rc, lunt du Tornial or-
dinaire i|un de wlui cpie Ton iioiuim* grand
papier, «'sl dr qualité asâcz i-nnitntine, pas
asscx lilanr, t'I «tans iH-aiicoiip df ronMstanrr,
atiisî quVtiiicnl alors It-s juipii-r^ de falHÎqiit'
Snissr. Il en c^l dt- un'inf pniir In plupart des
aulr<~« livn*-'^ t[v Henri, vl iiiitainmttil p«inr
Ip l'Iaton lii-ful. d*^ 1I)7K, dmit li- pupi«r ut
CfpfDdanl im peu plus Urmr. Le i;raud pa-
pier dr l'un el de l'autre liv rr taI de la mêoie
sorte de fnliricalioii, bien i\w pUm UUiuc ti
un peu plus M»li<iv. Si Toi) pnuvoit douter
qur ers lt\r« ciisscut élé fal>ri4pi('s en Suisse.
\a M-nlr qualité dr li'uis p.'ipitrs sufliroit pour
PU être lit preuve rtimpirle,
Umia un a\is île riinleitr, plaeé anr In pn>-
niiére |>aL;o de l'inilex, un lit oir qui suit:
« (^uni alpliabelicuiit ordinem mini-
me >>rr^n»etn, •led fllium quenidafii . tpii
(|iianliini Irilxiri.s , moles lin'i pie itiilii nlliilil,
(ut pille viaiu prr a\ia piil(-r;irH'utij lanliim
xolnplati^ ulilitalisqiir tibi allaliinis l'sl : In-
difem tpii îllum ipioque ^iliernui ordiuem ul-
phalM-tieiun nMeudervl , liuic o|H*ri addere
necrsse holmi. >>
Va: gmtxl ouv rage est dédié par son aatenr
H t'Kmprreur Mn\iniilien II , au Roi de
KrauiT OiarlesIX, à Elisaltelh KHne d'Au-
gletern* , à Krédéric comle Palatin . â An-
^iihle duc di^ Saxe, k Jean-Oeurgc-s mar-
quis de Rraudeboun; , el â leurs re^pi-elives
Académies. îl e»T .i troire cpje «-t UluHlre et
si nombreux |iairun;i)i;e ne lui lut pa» d'un
^raiid sceours . malgré les privilêp!S qui,
fioiir son argrnt^ lui av oient été ^cieuH'inenl
436
URNHir.US STKPIÏANIIS SKlXlNDLS 1574-711.
iitiniytw |Mr t|uc^uc^-tuln dr ces Cliaucrlli*-
rie».
H y 3 |ilti« fti* r|tuira(il(< ariA. j'ai o«)lc' qu'à
h BiMiolli»H|iic Ro^nlt- CM'.roil un nniftnju-i-
|»Ie cM-niiilnin* tlii Ttirmurm , i|M(> M. Vail-
l'rari inr miii;i «oir ii tut i'\:\^v Mipérii'ur :
il Hoit il'itti ))ii|ttrr |i1its gr.iiHl t-l Mirloiil |itiii
il>;iU (|iir li'fii'iiiirl papit'r fcinriii ; iiiaû iuûlli*-u-
rciL>t*mnil il m> iroiivoit ilaiu uu oial de pniir-
l'iluiv ri (II' dùifTatUtlioii qui vu iviiiluit loiit
iuai>e iiQ|)nMiUe , w il uf pouvait Mrvir t{ti3i
cùiislalorrriiili-nrctl'iiii itoiMPrn*" pnpier *ii-
pi-i'ii-iir ain ilrii\ aiilrt-s. Jp rdi;rclle il'aM)!!',
<|.-iii<« 1rs iliTnif't-Pj » uiilf» que je lis , »u !83(j . à
M. \nii-l*rat'l, oublié de \\ù rf\t»c]iT de ci*l
f\i'iupbirp. II M- ftcroil IK"* liit^ii rnpjH'to «■
i|u'a pu iW\ cnir (t prî'cieiu dcbiis ; rt îl otiroil
Ml mr dire *"i\ giwil ciicon* reirpic dnii^ le»
comble», uu si on l'uNolt i**[pnl.<M'< connni- \i\ i-c
trop ramplplrninil iiiulili'. Nul autre iptt-
liii ne pniitnil a\iiir une telle parlieularitt- m
mt'nifiire.
Ijc grand rvTOcment de la *ip dr HeiM'i,
M pid>li(-atiuri In plu« importante , el n lioti
droit n'conrme p<iur i;i plu-, iilile de tuulf.<
celK'i tpic l'on tjuit .i !>e> Itmj;* travaux litté-
raires ri tV|Hif;raplù(pii-s. est ci- TUrtaunn
Cnrcir Lingiut\ i \u\. iu-ful., Vùl'i. Ce li\re,
ipii le place au rattg dc.^ liumnie.* le.** plii>
suxontii de l'éjxMpK' . pourra d^^etlir de peu
d'tiM^e; d*auln'« I,cu(ptes plus runiplet.i,
dupoM** d'une ntonién- plu» (-umnioiie, uu
tn^e uvamineul alin-^ét, rèiiuiront plii«
nu moins i\ le rriiiplai-i-r. luaittiUne le furunl
jamais cnd)tier.
O-t iuinicn» □uvro{;c fut loitg-leni|» l'ol»-
jrl A\-> iiii-dilaliniu de Mtn auteur; rt ce qui
|Hiur un savant ordinaire eiU pu «'nceomplir
a\e<- une liumuMe et «tatisfatiaule médiocrité
|Mir le mécanisme d'iuie coiuciatcieuM! coni-
|HlatioD. eAt devenu daiu h'.'< main» IialHie»
un uu^rap' Je Inni pln« liaiMt- portée rt
d'une utilité iM-aucoup plu* iVi-lle. L'exiv
eitlton de rr vaAte projet a\ott aiLs^iixrupé
\o\\ père, (pli, lon^-litiips, eiil l'c^puir de
faire »nee«Hlri uu Trr toi- fine n wiu Trvsar
de la Inngue Ijilîne, rt ipii eiifiu roinpta ftur
Miii liU pnur rt-'lliser w (pril u'avuit pu ipie
projeter. Ou i^iure rirapurlauce de* travaux
piV-paraloireA qu'U lutlaU^a, maiA il» m* pou*
voient lumlMT eu nicitleure» main», l't snu
lil.v « dif^nemeul Mtisfait an mandat p;iierM<'.-l
Dm l'annêr lolil. ouzr an» avaul la publi-
cnliiiii dit TfietnttrttÊ , Henri avnil déjà ri'uati
l'Ii'iMirdouiie :is%f/. de Diatéi-iaiiv |Miin' ne pliiA
avilir dWertitudr sur la directiou ri l'adu--
vroirnl de !>nii travail ; dê^-lors il crut deviiir
!ton;;erauv mnyerut de pultliralîon, el voulut
se munir de privilp;;es proKvIrU'îi , qui pui-
sait lueltn' le fruit de se» veiUe» à l'abri tirs
piralenei liltérairr» (»i roiTraiilile^. Iji siûlr
lui lit douttiun-UM'inenl rrconnnllrr le |i>cu
d'etrieaeilé drit-4 liaiilr» (;amnlir>. I>r tS juil-
let lâfil , i) obtint le privile^i' du HniCliarfm
I \ , el . pluK lard . s«-uiî>lal>le» dipInfluA de
rDupnrin- .Maxiniifirii II . eu daleA dr» IS fé-
vrier el 17 wplrrabre 1570. Ainsi ipi'ou i»
vnil ilau<( pliiMeur* de m>.v Letlris et l*i'vbces,
t*e« aniHi'.^ fiircul ddif;i-ninti*nt rtApluvi'x-« li
['aelievi-uieiil rt iiupi'e^fvioii lU- ooii livrr; ri,
quelque liiii^ qiir piii^vr fuiriiiln- n<t iiilrr-
vnlle. 11' liircnl Af^ auiiiVs bii'ii ritiiplirs.
Llli-^ le furent d'aiilaiit mieuv.qiie, inab^ra
la prrsévéraule assiduité qu'rvitîeii ce Uiliitu-.
eharune d'elle vit eoiiduirc li bien quelquev
uius ili-ci'M'dilioit.«snvaiilrs dont on a dam
mes liste* reniiniénilioii wiecessivc
Avin? 1r travail îulelln'tiiel qui rrée le li-
vre, il faut rel autre travail, d'urdit* moii»
relesé, qui lui iliinuc uu rurp« : su fnlirieji-
lioi) nialcrietlr. (Ir nMv f:ilirieatiuu e.i^r:i
uére&sAireineiit cl iM-auroup de lemjui el de
UkU'a dr|H.'UM-s. AttMJ l'Imprimeur et auteur
avoue, itaiiH «es préliiiiinaire», que eettr pu
InpriAe ly|Mi^rapltiqiie le met au bout de si%
n-s»oiirres. Tn .*iippli'ment hée«'4»aire a .*ou
livre, le voUimi- de Chusfirln tiuo r tifit
vcitLilaf'n rnita, diiiit la plaee ualundlr éliiil
SA rittuhniaiMiii a\ee l'uu dejt tuuH>« tlu Ij^vi-
que, ne lut publié qu'ini i57;-t. t-l nu |K>tit a(-
Irdiucr H' retard an Ixi^^oiu de Imuvrr, dltu
la vrille dp'. priinierseviTuplainsdu Trésor,
le >eet)nr!i néreMain* piHir sulivmiraui. hus
d'iuiprr^siuii de re ileniier vuluine.
t lie innuvalinn <loiit se relintnil Hmri,'
e«l qu'au lien d'avoir di^plMtT mui Leviquf
dans nu ordre atplulN'tiqiiP ri^nur<'u\, il
aviMt préféré de ;;n)iiper les iiinonihrablrs
mots dérivée ou con\po»t-s à la suite de Irtirs
racines ou mois primitifs. Cetu- dL«|rfMiti«i
savante, qui u'ot puinl uii.v uiiln résultats
pour 1 rtiidr approlotidie de la langue ^fjrvc-
que, n pt;iit-»'liT eaqmlié le livre d** lloari
dr devenir auMi usuel qu'il uteriloit dp l'ê-
tre, les dink-ulli-^ iju'il pn-srtilr auv m*-
\m-s di'vaul If^ mettre furl Mtiivrtil m
rmlMnas de me démrjer au mibeii de mol»
\sn-n. HEXRÎCUS STEPHANUS SECUNDUS.
<37
doul le» racines oe l«tir «oui pai aucz roU'
uac8.
Il n'rii avuil futb voulu fain* uii Dtciîona-
riotum titl itsuiM Tyntnum ; uinis M. Didul,
Mn& le votilnir plu^ fiiif lut, 3 irt-^ jusirmitil
pfiiM- que, iiial|;rù \vs grniiilf ]>ro[MiHiatis
de c«* Inrr i<l ita (Iraliiulioii tninfrniinn-
tmUt ce ftiTtnt i-n aim;ninitr-r l'iilililt'- que tir
le rcotln- aa'iwiltlc niénH' aiu ii)oiti.s uvaii-
m rlaiu ct-tle t-liule. Aiusi. Jaiu sa la'llc
réiinprcs.Mon ilr ce Trnor. qui, grÂros à un
travaux ri À n'U\ di> plii-ueun sa\.-iiit> roo-
|KTateurs frauriiis et élniu|;iT» , \.i iluiiliJrr
tlc riclm-s»- el ii'itn|iiiitaurp, il rr|irfii(l l'nr-
ilrc complrUiiu-nl aliilialM-tiquc. M. iHd^il
m'a bii'ua&^urrqiti-, <iàiuccUi*tpiivropmqm'
noavvlK-, qui nirritera ilVlrr iiotnnii*c li>
Trttor de Didot . il ne manquera pas de
l'MUKnri' aussi rr H-initifiquc nv^iotage duril
Heiiri s'ap^ilaudissott. ce rapprocbcmcitt mt!'-
tliodîqiie des racîitrs avec leun oompoKS, au
inoyrii d'uiH* sorte de ^itcaliuUire iuvtrse
dceelui (|ui, ajouté |iar Mctiri à .sou l^xi([ne,
vît-nl ajpliabèliqiirmeut au Mvnur^ de reti\
pour qui l'auirc anaiit^eineui serait tui la-
liyriiitlte. Oii xienl de voir que e'est l'iudex
fuTDUuit la pres(|ue totalité du diuiuinnt' vo-
lume.
O Ixvique eùl à lui .wnl nvsiiré une im-
mrnM* rF|Kttaliiiii à Ktm :iiiliiir-, iiuiivnii snil.
et niiiii nu\ra|;e a pour Imil ilr Ir fiiire uiîenv
eoiinoiln* enenre. ou sait ipie Heini l'jilieiiiii'
a h)c& d'autres titres n une juste eélélirilé,
Il m MHii de même île la tri*» rerommati-
dahlc famille par ipii l'utile présent de rettr
reinipn-Miou pcrfeetionuee aura été fait auk
l4'l(re%. et qui, depuis liit^-lenip:^, marelie
À uiH> iUiuiiaii'iu dfiiil \fh routrni|MiraiiM ne
aoiil jNia toujours BuQisamninil lunprt^ssé» â
dooner le brevet, mata qu« nos neveux ne
reflueront cerlRioenteni pas. Nous autres,
que noA rnp|>ort» quotidiens el untrr alU-
clu'menl [K'Diouiiel tniil bourge<^ii«enieut wn-
grr aussi n Imr lueon'^lrt^ prisent, nous es|K'-
n)iM i|ue ee );niiul inivra^e, qui. pour Henri.
fut Une eaate d'emliamis ei dr liélrevsi- ,
atua été, pour m>a eotirngetu coiilinuâlcurs,
uns aitn!|>rue ausû lucrative qu'elle est lio-
oorable.
Avant celte n'impri-Mion {WiriAtenoe, qui.
par m noginetitiitinuii et raimndance de m>«
pièeo acecjiwHrtrs , ponrm èin- coii-si^liTéc
eOBine une Hililiodinpie pliil(>lo<;ique de l.t
lueur gnTtpH- , a\<iii pnni » l^udn*». de
1815 à 1829, (^le de M. A. J. Vnlpy, 9
vol. in-fol., publiés en 59 livrntMins. Kl'le m?
n-enniinaiMle par de 1res nombreuses aii;;nu'ji-
l:itiniia, l'I ne (h^iiI manquiT d'étn*, pour !*£>-
ilitiou itnu«e])e, un utile au.vilinire, et ai
un slîinulani, ponr îi'elTorrer de faire
eiieure, n- que b>s nouibmiM-:^ (;il) livraisons
déjà publiée» dannrui le druil d'e>pérer.
L'edilionaoglnÎM.' e»t aeJie\èe; ci*!!*' ijt* MM .
DiiUtI ue petit plu.i tarder lie;iueot>p Vvirv. Si
rette dernière lient tout n* que .le^ eomimii-
n-nieuls prometlmt. tout ee que iVApérience
aequLse aura snj^j;!-!!'' de liun et utile, elle i4Ta,
et de bi'aucoup , b meilleure ites deiiv . rrunt
posteriora melton prionàuj ; mais, quelque
»U|ieriurilé que tant <lo docle» travaui aient
pu donner a l'une ou à l'autre de re:i réim-
prrsMuii». le Thésaurus , tel que l'a publié
lleiin, n'iii demeurera pas moînit un monu-
ment dosa baute M*ienee; el quand nii^mecetle
édition pnrmière ne .ternît p1u.t ^lén* feuille-
tée que par qui-lipie» étiidiatiU beun-u\ de
l'inètitable Uimiuuliau de son pHi. nn m* Tira
Miu doute nn devoir de la eou-serM-r dans li>s
gi-aude* BdilioiJiMpics, eomme ee^ généreux
coursier» dont <hi soiyue enriin' l'eùilene»', eji
mémoire d(- leurs anri«-ns services, maiuteiiaut
remplaec!! fuir ceux de jeunes et vigoureux •
dfscrudauLs.
D'iuie bonne conservation ^ Inen complet ,
avec l 'indispensable vnliutie dos (iloMaires,
Mllit lequel m valeur tlimintioil de plus de
moitié, ce livre a vdin Irws à quatre eenls
fraue», s'est roi%ie quelquefoî!» payé m\ cent*.
H, en jîraiiil papier, (le six n-iils franco à
mille fninrs. Il y falloit joindre amsi Ira
deux « ubiines in-folio di' Supplément , par
Daniel Scolt , imprimés à IxMidn-s en 1749 ,
préeieuï jecotirs dont Tiin et l'antre nouvel
■'•diteur n'aura pas dil faillir it tirer tout re
■pi'ils poiivoieiit eonlenir dt- bon.
Ilaiis II' eboi\ de Ir-in-s aiii;[n<iilaliou.s noui-
breiiM» et variées, iU auront di) asoir trop
de discernement cl de goût pour permettre
à ralliajïe de s'introduire dans le TréMir de
Henri Estiiiuie ; et, si tpiclques reproches
peuvent tire faits à l'édition de Yalpy Mir la
nianière dont ciTlaiiirs parties de cv Supplé-
ment y s«iiil employiVs, e'est |»our les édi-
teurs de Paris un avertiss4'm(*nl que sans dntttr
iU ne if seront pas dniiné le lorl de iM^lipn-.
En 1813, des libraires de Umdri-^, pour
suppléer à la rareté dcA fibnuairt^, en Hrent
une réimpression de même formai, de tHtonc
I3H
ilENHlCUS STEPIIANUS SECCNDUS, JJï7*-73.
euculiou, rt que l'on itit tusci vonvcXc. Elle
fut lirtv » cent r<it'tni)l.-iir('â, plus ^iiigt-dmi
rn gnuid papirr.
La ilolc ilf 1A12, Jitiii(i> i\v la |uililicalioii
ilii TfirsauntJi , ii'i-%f pas sur lous les cxcui-
|ilairv:i : ou va voit qui sout imiu date , «.'I
î'ûu prt'tcuil Aussi i|u'il eu cvtstc avec l'an-
néc M. D. iJLxx. Les tiln** iidu clnlés out rii-
dtasotts de l'Olivier d«f Fâtii^nut- I1-5 muts
IJcnr. Stephnni (U'na , à lu pln»^' ticciqu-e
dans li's ouln-s p.ir la date m. d. i.xjlii; fl ;iti
liru du disiiqttt- (juc \v. \ii'iu de rappHrlci*, ib
«►rit fi'lui-ri ;
TiniSACBCS i.erTORi.
1>C c» ifiiim fccil quitlam ojhk »|iiUinir ,
Qéàidam iTCiTlfjLïti»V me. capulo tenu» abdiJil
tnirm :
j£gtr tram a scapuli» , tariat al hue ndto.
Ht miigiio «^iiihI \ilvm coni|M<n(]iuDi arfrrl
tlUfirnilin agiliir in rn (|iiir jiroximà «njnitar
cptsloli.
Ci^lte (•ptiri* ( Itfmtmiiia Jf Thnauri sut
t'.fùtumr ) ixTiqu* luulr la pap' eu n'vixs é\\
Ou ne siffle que la date pour dilTi^renrr
caracti'Tistique des exemplaires dont le lïtro
porteroil rauiièe tS^; moiit m cette iripU'
varit'ié n'a p.is fait croire à lV*istwice d**
trois l'-ditiuns stircessivi-s, au uioiiu i-^I-r»*
luu* npijiiiin a.sM'z ;;riirr.i|rfiK'nt rrriu- qu'il
y eu a dru.v. Je 1 ai i-rii atusi, d'iinips l'cvi-
mt*n atleuljf di' ])lu!tinn.s f\i'iii]i|.-iiri':s . diins
ItisqueU J4'trmivoi.^ Waurtiui» ilr fltlillt::^ aNHiil
dr4 di(rrrTnc*>K ntleslaiil une dEiuhli* mqiro'
sion. (À-» tîeu\ ^litioiiK sutTt-»ivex cl prt»-
(pie Miuidluut'es me ÂcmNoiciit crf)riidaut
impIiquLT roiitrudirlidii ater ti- que Ilnin
déi'Iare lui-uu'ni<! au iiinum-mmii'iil df stm
livnr, pAj^t^â Thesttunis nu! kic ex dU'tte
rviidit rgfuum, ei enrorc : . we, cttjtu
opes comumpsit opimaj.' et, dam une 1n>i-
sième pién* de v ers : .... m*- ... . inouem mens
hic es liivite fecit , Thésaurus, gnza*ipte
nmnes ejilmtuit mitos. Plus tan! , il dit eu-
corv (|Ui- In lentnir <lu d»'bil de re l^-ésor
aclie^oit de Ir ruintr. Cinq voIuidch in-foliu
d'un prix uiTfSMirt-nittil i-U-w nv riiiiinil
[m» Jfur prupHf'iairr quand lu wuW ru u rfc
ilSM-2 pi'onqiU' pour que vite il !*•> lui fflille
réiniprifuer Cas n'-Orxioiu m'nul nineuê a
fieiLMT que la cnii^i' <\v n*s «tilliTi-tiirs , sur
H'QtM'oup de fi-uill(*>, i-st qui- Ttui .inroil etc
eii utvi'iwili' dt^ U^ rvimn- pour répaiiT, ou
ilm mrr<»npii*s ibini le linif^e, ml des petit
de feuillt-s p.ir l'iiiu ^ If- fiii , Ij pinirrilniT!
eu ma^^'asiii, p1 ptiil-étn- |Miur do (>aNpillA-
(tes en l'ah^ence du maître, rpii. \ers <t
letnps-la, conimi-tiea de lougih's et frêqueut»
excni-siou». Celle opïuiou fs\ ,ius!ii eellc de
M. F. Didol |>cre, daiit» une inléretoanle
luitici* sur II- pn-mier Rok-rt et le siT<niH
Henri . qu'il a iniAi' à la Itn il'nn vulttme
lie M-s iMH'sies, 1h;U, in-H. Jrrrois dow que,
potie r4>(-i)inpleltT di'!^ eKeiitpbiin^ de la prr-
lllitTr i-t iiuiqite édiliou, ou .uir^ rrfnil uil
LTrlain nondtre de feuilles . deiM'iL'U! d'mi-
liinl plus nnilniri.'Uite et fi^eheuse ([u'elle
élnit rn pun> p<Tie . et se faiMiit |H>ur uti
livre qui a»^ dehitotl avee U^neonp Iriqi dr
lenteur.
M. Anili.-F. Didnl a depuis l'ail ou .1I-
leulif e! loiiR eviinen de n-s dilVén-oees,
qu'd .'1 pourwn%iL-s sur sept rx<-mplaiti4. Il
a neqitis la ciTtilude de l.i reJnipiY&sion d'iuiR
quantité de feuilles (vpij«aianl eiivirou h la
nniiliê de tniiT le einilcnn du livrr; nuis en
feuilUv) MNit di!tlriliitft>*f nvt*e iue^atilè dans
Ions les exrnqibires où elles onl l'-lé inlra-
diiius, plusieurs même patoiAM-nl n'a^fiir itîc
iritiipriniées tpi'à très petit nombre. Otte
nouvelle et ni dilif;enle explorcèliou me fml
d'aiilaui pliu fermement rrmre ipiil n'a |>oinl
élé fait d'édition nouvelle, mais une ntot-
prr*sitjn parlii'lle el puirment oneivtisc d'tun*
nuilliliiile de frnilli-s. n iinnibi'es nii>gau\ , K
de^lintH-A nuirptement a n-i-ionplèler.
Oiuut :iii\ exi*tnplaii'cs sur lrs«|ueU on a
ilil avilir \u In date de t!>^), je [wxhk «vr<r
M. r. liidot que. .ti l'asiiTlian »^l exatie,
)1 s'^^it de litn>-s refatls par <le>^ libratm^
qui .se ^e^oul erus inlêrev*ès ii rajeunir le
livre, on rat^im* à fuire iTuire â une êiiîlioii
uouvcUi!.
DanA ra\is placé au verso du lilre ftai»
djite. un lit lej^ mots : hitic posteriori e*ti-
iioni; daoji mi volume m-6. de 15U5, 0€
Jujti tipsii Latitiitale, on voit encore : //-
Uns ofteris [Thesaurii posterior ediïio. E3UI-
minous la ^Rliev.^l^n^ i-l l'inlention, les mo-
tifs de ruUe sitrtr di- (liilnialioit.
Hi'iiri, .i^ant i-i>iulu SiOii I^-viqur f;ree si
eniiiirmineut supérieur à tous eeiix qui l'a-
<> (rient pri-eedé , ne dissimula cepeiidaut poiot
qu'il > pouiToil iHMuciHqi ajouttT encore; il
^\m\. niènn- l'idée de nirredion» indiipco-
snbles [mullit ph/m, nîai animus rt t-irr»
tfej tiii t enl , restiiHru» .... in omttitim f
im-Ti. IIKNRICUS STBPHANUS SKCUNDUS.
139
ttuie suit suHt, ittvmm ctniumm nctumm) ;
et il auuoDCf )i' ilcs^'iti d'iiiiprimiT ms mun-
tiationes à |Uir1 . oliu. dit-il, de ne [ioa
forn«' ipA pri'inicps ucqurmirs à «chcItT luif
seconde l'oii iViilitT tni\nige; iiiajs rct •l^u^
du tilrv san'« dufr- : ffirc tiutrm umnia non
hun: pojtrriori Tftesauri ediùoni iiucivrr,
sert xrurxum edeiv Jrcmrraf, i|iii sciiible-
r(iit |ir(iii\t-r l.i dtiplîcalioti d nJilioii , p»l
(Mrtir moi iiiK- ]irt*iivf roiitrnu-*' prf^ttpit' miI-
tiiaiilt:'. I':sl-il croynI>le qur. mniprimaiil un
livrr de cHIc i lit port aiirr, vin uiilriir aiiniil
ifiitsMili à fri»lriT l'êililiiin noinrll'C d'un
de M«( plufs reiniii'(]iul)lr4 avaiiU^ixs, i-| m*
fiU abstciiit d') iulroduiix- vl dt*» nii;|piii(;ii-
lalioii» <'t tirs currccltuii.'t uéccA»ain'-s , (|u*il
ctoil »i Tiirile do mm|irinirT pour l'iisajîc des
pu)k>r\Miirs <le la prcmièrt* (-diiion . muI* à
li*!i Itnir dt-liirer nu prix Iv. jdiis niiHUciiie,
gTDtl» mi^iiii'P Hctiri , avant foni'-mi-iit rrfail
m pnrlie wiu lîtn* lur la n*iriiprfv^iiiu d un
*i grand numbrr di* lewlles , aura cm pnu-
tuir, .-ian-i ldr&&t;i' ta \tnU', k* t|ualifî('r de
iftrconde édition , vl t.-M;i)iT par Ik dVii ra-
nintri kdt'liil. Il aura d'aillru» \niil(i pi\»-
lilcr de celte occasion pour plactn- nt l6tv
ménir du livre, ci sur k* titre, m-s jiuti-s
plaintes contre S^iiprda. fÂ't avis, le 1res in-
■offLiiAir dt4lif|tH- du rniiilispiee, el Tavis ijtii
,«*n (Hiiip** te ifr<ii>, iiiicliiiie^ nnil.s â la m'-
.CiMide paye di'.s J'ai-uHi/omenn ^'r,, 158i , et
>Uii Imhji lie dialogue, ituprinu'' seulement en
[15U5, av<>e /V Jus/i Lifisii Latinitale, et qi*
citr à la ûii de cet ouvrante, furt'ut sa setdc
î^coijeaure t-'uilre Ci't ètionté pls^iain-
L'alirégedeSrapida lit grand turi  Henri ;
ft'en plaiiil . et avec raivin ; mai-s cette
»cc> M niiî-tdtle, dont la puldicatiun
de 1570 ou ],VI0, et dnut avant ce temps
[IV'xifftence lui étoit déjà connue , éloil bïeii
■uMi une nii<vnii ptiur le détourner de faire
Une seeunde rtlilioii. et de «te cliari;er d'une
iiuu^elle niasM- decr<i nuneiix voluiue:^, dont
un CumfriiJiitm liim nu mal Tait di'Miil ren-
dra' \f [Hpids eiie«>iv plus pénible a Mippoiler.
[P«>ur une M-ct>nrle el vêrïtalile «'iruiiin. on eût
LTlaineineul refaîl auiui te volutiif des C,\o^
îrea, dunl la rareté, minnnuiéiuont attri-
k re ipi'il n'a été imprimé qu'une TciiA,
înil bien plutôt de ce (pic tus reuoum^s
miniaires élanl alors prc!»que i*|)ui!ièe<» ,
iiui que Henri le diTlarujI lui-raénic. il «'U
aura élr tire un niuuidn' nombre nnr- àts
14*111(1 vnliiinrA . pntil-èlrf ,inv»i sv M-ra-l-tiii
délié de l'euieliltide du jiulilie a sruir i-eti-
l'or et |HiyiT ce voliirne putiltr après eunp.
41 bon )>()i-il être. Corabieit do foi> u'a-i-oii
pa^ n(:'Tjh;;é de venir retiir'r d'utili*^ parties
siipplinienlairi-i, même lurH{u'clles se dt'li-
iniiriii ;;nilniteinent!
I4) roiiipildlioij ériiiirh-e dr Sea|>ula eut la
roiliiue lie lieaiifMup d'atin'^é?. : bien inoiniii
cbÎTe, et en appan-nee d'ii^apr plus faciit,
elle »■ \(*iidil . w ramprima pendant que
le Trésor rcslott dans le mapisîu de »ou nu-
leur. Mfib si Seapula fil ii Henri un mal qui
influa Mir l'aisaiii^ du iTsle de sa vif, beu-
rcuM-nicol pour uoua , el griice-t à l'eAÙslKncc
de l'art lypoi^pbiqup, l'abréviatcur ne put
être nn antre JuMiiti ; wu abré^;*' n'a ]>oinl tue
et fait di»paroilre l'ouvrage original. D'aprê*
Icà vice^de cette cimipilatioii, »\ bien !ii!;Tia-
lés par Henri, on peul vraimiiil s'étonner
d'un Micees ni rtfl rt si ennlinu. On Nait
qu'aprt\i plusieurs) réiniprr«<«ions, celle d'Kl-
zev., 16.Si, in-lbliu, aut;aipnlév, !mrtout dan»
ses {tarticA acceAAuii'Cïi, uvuïl aeqni>% un pri\
CDiisidi-rable, lui payer en Franct>, quelque*
fois jusqu'à A'iO fr., cl, en Ain;leterre. dix
a dmt/e cuinén». Troi<i âlilinm ont encore
été nTcmnirni fiiite*, h Olasj;ov(. 1816, 4 vol.
in4.; Ovfortt, 18i0, in-fol.. ti J..jiidres, !W0,
f;iaiid iu-4. Ce* deux de^li^.'^e^, par lnir%
addilitint inipiiilante:» , i-enipt.ici'iil avaiitit-
geuaemenl toutes le» autrei>, même celle dc^
1816.
llMiri avait privilé^^e pour la France, pour
l'AlIcmague, et ce|R'iidaut un ne le voit ^loittl
4âMiytT de s'en prévaloir pour emp^Vber, on
an moins coniraricr le déhii de ec nialen-
ciHitreiis iunlosvnrH) abre4;é. Il faut iroire
que , ilaiis l'cvercire du droit cunféri- on ga-
riMiti par ces piée»-^ de Clipticellerie, il y aiH
roil en av«T certitude de frais judiciaires, bien
pni de ciTTilude de réussite pnifilable. Com-
bien de ^cns se sont ruinés «11 gagnant un 1res
juste pniet-s !
r.'étoil aux princes , au\ piuwaiil.i de la
tem.' qu'd appnrtennit de venir au siToiir^ de
Henri, et. par de jtidicicim-s lar^esscA . lui
alléfi;er le fardeau de cette louable, mais lanl
onèrvuse entreprise. Le* ImuldcA civils, sî
fuuirsteii \ tout ce qui est noble et utile, le»
déva»tatioiLS , les excès de tout ceore , pur
les()ucl» .se -sipialoient réciproquemeni 1rs
ptu-tis. iM' laiistiient guère «ii^it a venir ai-
der ilaii^ «eM'tnluirrus ltlnul■^lllpu■^ im savaJil
fl lioiiiiéle travaillt-iu, qui, iiu\ yeuv de
«
uo
HliNKlCUS SIEIMIANUS SECUNDUS. 157Ï-7J.
^
Cliwle» IX, iil»oH)c «latiM m-h i-iiii!i|iirali<ifiK
cuiilrt* wnu t(u'il Éi<x:ti«)il tlt* suiis v.vsm- roii-
spinT. ne pou«uit être i|ii'uii fjiitnni , |Hii!>-
qiK c'vtoit un dr cm Uu({Uf»ob ikHestc»,
l'^iiui (lut Cahiii. des Tlicodore de nè<e, vm-
plo^ant' Si'» presitcs r propager Inirs doc-
triu».
A iVvrtnpIc de Mailtaire, ]i> crois à pro-
|M» de iiipporler plusieurs pasM^T» dvs prt*-
laoeit de Mi'iiri , ddiu leM|ti('ltes il parli- dr
cel Minra^e. deptii» m loiif;-leiU{iit I itbjel de
scsu^aiiU-Â wdlea el de ses plii» rtiêiv» al-
l'cction^. liii iaG?. lor» de la |!iibliij4tiun du
Keeiidl lin MéiUi'ius iiiiriem, el (i.iiis b pre-
Caec de «< \i\ re, Jl Itinuigue mui ^ippri-hen^iiDii
de rriliques iiijmlirt on l'eaiinnip Inji sr<
térc», lui n-ptucluiul a^ei- duielé iiiieliiire,-*
IqçèrrJi fante-», cf, cliex d'niitreâ, m laivs,ii[it
paswr, on tiit]-me eu afpproii\aiil |i.ii' reii-
Uines, et deiï pliH Eoiirdeji. Djits a- n]>t^nie
«xi» il laisse %ojr t'ui-dir |>ar lui aduplù
daus lp elitSMiiieiit et la di>|>0!iiiiuij de non
Cc! uroil \e eus de ciler ici u préract* du
premier vuliioie dr.s exemplaires dunt le titre
est uus dlile. el iin'il tioinnie rJitio ptutr-
rior, <»ii il exprime ms pluinle» .%tir l'itHidèlilë
doui ili'Si \ietinie. et signale l'inipéiîtie jver
l3<|iielle iiuii atniajïe venait d'èln'. nxii piLs
alirégè, mais dépecé et mutile |i;ii un i^ii>^
rimt et atidaenntx eumpilnteur; il :iii>>i l'o-
ptuenle rrititpu* de l.SyS, sur la lâlmile de
JiUte-LipM-. d^iiu leqnel 11 parle encore de
son Tiiuaunis.
Maifl ee^ diverses dtitions, plâtres iei, au-
ruicut le trei |;rand inruiivèiûeiil détendre
cocore cet ortiele, déj > d nue loupicur dé-
meâurtV. Klles serunl eu lieu plus rrHivenatde
à la Un de rrl uuvriige, avit- plti^ieui-^ îiuln:»
ciUtinuH uou iniiiiM nèirvaire^,
5. Jt'Ris (kiontiilis Libri m, aLi Eni-
muiido llonclidio J. \\. dii^esli, ;n- nulis
iUuslJiili, & nuiic priiiuiiii rii \\x\:i^m *»Ui-
ti, t;r. cuni liilinj inlerprctalîone. — E.\-
cmifbul Hmitr. Slephanua. m. d. lxxhi.
Cmn privilcgio Cacs. Mjijedt. In-8.
6. DKâbiiiiu Liii;i:iKL< GiU'Cd', in (|ui-
busilHm vucibiiH qimit Latin» usurpai, Ad-
monitio Honrici SU'pluini. — Exniddiat
Htftricus Stefihftttus h. u. iaxiii ln-8.
Di'ja imprime en 1363.
7. M. Tekkntii Varronis Opcra quu!
ïtuiM'rsunl. In lih. do ling. lui. conjetUt-
ncH Jose[ilii St-aliiîcri , rrt*o;:i»(Ui /t np-
ppndiceancUi. In librosdo rc nist. notar
t'jiii^dpm Jos Seal, non anlca éditée.
Adr. Turn. Comment, iu lib. de lingua
tatina : cuin oniendiUionihnâ Ant. Aii-
(^.stini. itoin I*. Virtorii riisligutinncs
in lib. d(» rt' rusli<ii. — m. u. lxuii-
Einulcbiit llcnr. Stephanun, In-H.
La ré impression de LMI i-sl plus liclle.
elle il nierai- (pielipies com'ctiouA ; on lui prè-
fère cepeitd.ijil celle-ci de 1573, (|ui est pliu
rare, et dni)a bipn-lle, p.-)rtie II, pag. Sll-lttl,
on trouu' de» ven» de Muret, par lui euvoyé»
» Soi. S<*iiliger, rmnme étaul de l'aDcieu
p<nle ciimiqin- Tridn-a, et tpie celni-a. dupe
de L plaiKUiilerie, inipriitui eomme lel». Cra
ver» et lenr itule ne rep;iroîs!W>iiI point dat»
l'i^tioll de 1581.
8. ( Henrjci Slcpliiinj j I'uk!*is pUiluso-
phioji, Wl salU'jn. Rdiquitt- iHX-sis pbi-
tosn[)hira> . Empc^Jodiâ , Xenophanis,
Tiinoni:*, Panncnidis. r.l{!anthi<i . Epi-
rhtimii. Adjuncln sunl Orphei illius Ter-
mina qui a suis appHatusfuit à flitXcp;.
llfMi IkTji'lili 8c Dontwrili Iwi quidam.
<»t puniin Epistola; : i^iraeci'. — Uenricus
StrphanHs, m. d. lxxiii. 1ti-8.
9. lluïiBHi e-l HesifxIiOrtanieii.Nunc
primum )in-i- dntinttini. Midronis & alio>
ruin Piiruditi.', l*x lluincn M'isibus parva
iinmtiUitiiinp- lopidi- di-tortis ron^ntœ.
llomiTieiiT-iaii hrruiini E]>ilupliiu. Cuni
diqdit'i inl-orpretatlone l^tlina. — Excti-
dc'buL Henricus Stephanus. m. d. lxkiii
Iii-H,
tiï. ViBriTTL'H Enoomin : âivp Gno-
iiiuc'iU' virtulibiis: ex poi'tis Glphtlooo-
pbis ulriiisqni' lingua? (îoeris versibus
jiïiji'fUi inltTpn'Lalionc lUMlm'i^^tppbuni-
ItiliT \ai\ui\ aiiU'H) uinnina quiixtani
Auni olc^anltSÀiiiui, a lutucisi^ini. udbuc
lerîji, — Excudotwl Hefiricus Stephanui.
M II IAXIII. In-46.
«
\ I . KiiA.Nrisi^i Hotoninni Oni^stiuiiiira
jliuslriuiii libfi . — m n. lAXiil In-H.
*2. Janï Parr+iasii Liber rio rdiiis |»pr
KpisKrIarit «pKPsrtw. rrancisfi Onnpani
yuaîiilioVir;;iliumi. — M.i>. Lxxm In».
Réiiupreftuuu du valuiM de lStt7, ,
M. D. LXXIV.
I, Ai-oLLONii Rbodii .Vrgoninitirtm
Libri im. Scholui vclusUi in l'i^sdcni
iibixts i|uœ {viilimini inler aliii nninia in
bIIos Portas sijripta oblinrn' existlniun-
liir: i;ra!Ct.». Cuiii annoUitionibuslIenrit'r
Sltpluini ex qtiibiis. (piHnUiiTi in hmw
tHliUononi r.ontuloril ■lilitrcnhiiiii, cu}£-
nosti t>ott'rit. — Kxfiidubat Ilcnricas
Stffihanuif. m. i>. lxxiiii. 1n-4,
î. ( llrnrÎL'i Sû'pliani ) FnA.vcnFoa-
niK-NSK UinpQi'ium,sivc Franrofoi^ionso?
Nundina- : Quain varia iiierciiim i?e"«ni
iti liiN- oniporio pr.T*stent, pagina sopti-
iiiu iiHtimbil.
Hi*m icus SU'phaiiu:? do lus sui« nun-
diniâ.
iritpiger ffK(r«Bi« mercrt non niiiiit ab luili*,
Seu piger lixice (totna Irctnr lijibere ilomi.
AniiOM. u. LXXIIII. CxaidcUil //en-
Strphattua. Pridieral. Miirt. ln-8.
Ptuiic'un opibrutf^ suiil (xtitleiiiu <laiiA ce
^utuiiii- àhseï ran-. Muiltuirt: l'iiiiuiêri' cvt
iTsc* pièces ilt- maiiii'iv à fairt* croiii.'
vlWs Miiil mniliiituiéiTt Mir li; litrr; mais
n'esl \mUl>Kini-iit t|iie sur la n'|ihi>nie
'on rn >oil le dclûil din^i qu'il suit :
ofonlieiiMuiii ^iutidliuinini EiHoiuiiini
II. SIfpli.'itifi. En ftrose.
Laiidtilio n|ui cujiudam pmtantmimi.
îui|irraii4> 4-ipii cujuidam detrrritui. Eh
y 3, aiiiM <iuf les troi» pièces suivautcir qui
I aïKM tic Hi*[iri.
l^iidiiMo Ilaceliane *.
Carna Potthiaiia* «Ïm* k.]ilinHti|Mia.
Melliisomisia, ùnc K)iiuirainuialii, &c.
Epigrsimmata v\ Aiitlinluf;!»- lilim cmilra
KlirirlutPtn rt El>rin'MKt ; grttt-iv (liiiii Laliiia
.fuicplii ScaliiïtTi iiite]*|irelatiiitif<!.
Lil^auii diarhptiu Ebrit-lDlit, r\ Raiiilio
drM'riptio alin ; gr. et lat.
Lucuiiirt: Acadcmî*: OniUon« diue, uiiii
pro tl)riftiiii-, uUorn coulra Ebrietitiuu.
Khi'iuM liuniinifi lialfilut, suis «iloribii dr-
piclus à I.ycoiH', Ornlor* grn*co.
Kbrietatis accuMliu ox Sfocca cl Ptiitio.
Li* tohioiL', de 1*0 iui);i's, vs\ livmiitè |iAr
mil* I.i'llri' cm Epilrr df Hrnri at! t'antum
yf-iijAiini, ijui, ni rt'iuniM^. lui liLsiir vvs di-
\*U'5t* |iirri-i cpi('l4(Ui« oliMT^atiniu di* dr-
tail, orthu(;rapliii{Ut'!(, prosodiques, Àc.
AliiM'Io*!'»'!!. png. 37 H 61. fuil ninl-n-pro-
|iti^ Iniis \uliinii'ft de ce Rwiicil, <|mi n êtî*
publir AUiM ditUiuii.
M a LXXV
1. PtiALMontiM Davidis ali(piol Mola-
phrasis Gra-t-a. .lutiannis Sort-ani. Ail-
junrta c regiom* jtttraphrasi Lilina G.
BuL'Iiaiiaiit. Pixt'alioiH's cjusdiMii tîrav-
roialiiipe, tpia" ad sin^ulnniu» Psaliun-
ruiii ar^menlaui suiil atroiiuiKHlala'. —
N. I». LXXV. ExcudeUit IJenr. Siepha-
ntiK. In-ltt.
2. KuuiiiENTA fidei i^'hhsUanu?, sive
(-itechisnni!?, cum CaUt'hisino ulïo ina-
^s cotn|H>ndiario niinradjum'U), & pre-
cum EtrU'siasIiOiinim Formula , gr. et
lat. — Hfnricus Stephanus. m. d. lxxv.
In-16.
3. Okatoritm vMrriini Orationci»,
/Eschinis, Lysia', Amlueidiii, Iso^i, Di-
nardii, Aiiliphontis, Lyrurgi, Utîbo-
f*C«ll«r*i^» «t« ^«r% UliB» «tti U loaioç«, | taiir natij^alion *<rlire anrlvRIiin.cl TâlMiil r«-
TB |W* df lUrcnrat , ii«i(l«- vtllr .Ici l^iminr , rullnle vin* riiimAs , tlnot le <-n|ii«uK UMge et
|BUrll)ff).TiiiitS(J<* lUvhiirAili.tillriinciPDnc.rlilt- l'éloge qm-lijiir |>«u iruniqoi' tuitnciil |.ra*iiue
iin|>utlancv, non loin tiv Culogiif, .iv-ia' | Imil Ip luinl tli r«» <3fl T«!ri
4i2
ÏIENRICUS STEPHANUS SKCLTNDUS. I57S
aactiît, HpmdU (Auici), DcmiHliâ. Antis-
Ihciiis, AK'idiiimiiiUïi, UorL:iii') (*l: iilionim:
gnect*. I3i Iwiruni iNliLione (]iud uh llenr.
Slophaiiu iir.i'shtuin sit, v\ ojiiïf. [ira^fa-
Ijunc h-otor inU'Iligot. Ciim înlprpri'la-
ttuHO Lat. qaiirundam. — ExcikI. Ueitr.
Stfph. Aiiuo M D. Lxxv. In-fol.
i^ei Uiscuurs d'£schute>A /» Timarehum et
4t f«ha Ltgaùonrt Mint traduits eu latîu
|>ar Jer. Wolfiu* ; celui du nnîmc M Cteai-
fifionUm, ft de Dc-roosthime/ïTO Cles'tfthonte .
soiit InuluiLs |uir Ditiv:* Lambin ; l.vxiaii. De
cttde Urattuihcmi^Xv . |wïr HfJiri tAlii'iiiiP;
du maint' In Eratoslhentrm, c\ InALit'iuJfmp
\T. pur Siiuuu Groularl.
Ou trouve t|ti('lquctoiK irparémeul , soit
t\n UiKCVurs, suit l'un dc-s OraUnirs Hriiiiis
rlaiis (V volume. Au Ciiliil. de I>c Tluni , (.
ri. p. ÏWî-ïn, nu mil Lvtab, Audwide .
Viili^ltiélte, Auliplifiu , eEiaruu eu im \u-
liuiit' iiii ohier séptinV
Rii grand papier ji la DililioOièque Royale.
lllUi» M ïiri-fare, llcuri a*Mire que «on êdl-
tivu e^l iiilîtiimenl plus exacte i(iie l'Aldinr
doiit il .1 rurrip* de lourdes ermu> reiidue*
plie* iionilirn'Ufvi'A eiM-ore daits les réimin-es-
*ii>tiA di' rAlleuiJgue, et surliiiil de lla.<de, doitt
le com-elMii est, selou \\\\^ Jlat^ris dif^num.
Henri \VM\ uns doute parlei d'edilioDi
p3riielU-?i de ees divers oraletini. Je n'en
eirtiniiis aiieuiie réuniuti c\\\tv celle d'Aide
15I!1 el «•e(le-ci. Henri a uiuis In A'ie d'.'ll»-
chiueA jwi' un aiiunvnir, et celle d'ApuIlo-
wms II' (;rainiuairit>ii, qui Mint dans l'étiitinii
Aldioe.
L P. ViRGiLii iMnmnis !*ricimil;i iHiic.
Gtxff}:. Aon.] iiovis sflioliis illiisIrjUi,
qua' llcnr. SU»pi«mus [larîini domi nuUi,
pHrlim e virorum doclonim iihris ('\-
fOi-pUi ilcHiit ; Kjusdciii M. SleptiHiii sclu*-
dia^ina do dileclii in divcrsis apiid Vir-
i;iliuai Iwliuiiibus adhibendo. — Henr.
Stejihauus. ]ii-S.
(^(Hte editiou et celle d*Morart> qui va .«u-
\re, dépourvues l'une et rniilre de date, sont
rr]Hilt-(*K de l'auiiée 1577, maiii c'cii une «r-
n'ur, iiiiui qu'on le M-rra à ce§ anuéeji, dans
kl Vie de Henri. (l'eM la première de* nom-
bnitM-s ti]iU»n> Steidiiinietriir-i de Viq;ilp
tpii (lit des H'holic* nii'Upiiali-s Wle \a être
M pir Paul Eilicniie en
repctce en
1569.
K. lIottATii Ftert'i Poemiila, novis
Scliotiis & ar^umviUiâ al» ilonrico Ste-
idu'nio dltisIraUi. Hjusdcin Hoiir. SU*-
jdiaai OiaIrtbfC de liac sua iHltlionc
Horatii, &, \ariît* in oain ubsunuliuni-
hu^ — Oliva H. St^pham. ln->(.
Këiin|uiiné eu 1588, avec quelques u^-
ineulation.s prises d'uu anrîcii manuMTÎt de»
r^omnieu taire» de Porpli\riou, el eucore en
IfiOO, iMir Paid.
6. Pahodij: morHies II. Sttt>liani . in
poptanimveUTum l^linonim St'ntpnlias
celebriort'ii lotidcm versibiw gfa^cis ab
<'o l'iHJdiln.^.
Kjiwdcni Heurici SteplMini ad lectorem
tetrai^Lirlion.
Aurcji piitcvriim (cvo ijnwtlriin (ithcuIh) vilam
l-^cce libi iti vaho« Aîctm ^ropagô niojoi.
Ijiu Irf^onli* erit lîr prapAft^U iuluptat.
I]JH propaj^atns air ()aoqoi) Tructa* «ni.
Cpnkinuni vptonim ^ {ktinKiiarunt
utriiisqiH' linsna* exempla- — Hfnnoun
Stephauus. m. ii lxxv. I»-H.
Cc« imiUliuns grerfjiici de ven laliiu An-
ciens Mtiit pUilôt des tour^ de lorce q^rnn
rccuril de Itonii \ers. Henri ivrit qu'il le^
composa ad falfi'tuium itiufns tirditim. W
étuil el^4Krtt^('l]lenl revenu depuis peu de
Vienne eu Aulriehe . el un sait qu'il avoit
l'habitude de eompoM-T, surtout des vén»
intrr equitandum.
1 ,AKniANi (qui aller Xenoplion va-
catns fuit) de pxpodilione AIpx. Alagni,
llistorianim libri viii, t;r. tHtal.cx Bo-
navoiil. Vidcanii Hphl'. nova int<»rpr*ta-
tiono. Ah iKHJtitu i|uain}dunnd loct ope
votcris L'xeinpiaris reslilaLi. Cuai Indice
copiosissinio. Alexitndvi ViUi, i»\ Plul.
Kjiisdoin lit>ri ii do forltina vej virtuip
Alexandri. ^r. cl lai. — m. d. lxxv. Bx-
ciKiobal Henricut Stfphamis. In-Fol,
8. Discours merveilleux de Ih vi>,
aclionset deportemcns de Catherine de
Mwiiris, Royne utere . Auquel sont PC-
cilez les moyen* (pielle a tenu |Mïur
im-m. HENRICUS STEPHANl'S SECIÎNDUS
usuqK'r If j;oiivprni'nifiil du floviiiiniti
do France, ^ ruiiuT li-slal dict'luy. —
H. D. L\A\.lll-H.
Edîliou ortginulc , iti gros caractènti ,
164 pages.
O livre , iiiir l'on a«iirc nvoir pani en
157(, liiiii i|ii il Miil liait- ilf 1.S7'i, rut ilaiis
rt'Itr mollit' :)iitiiV n-iiii|irtnir i>ii iii-S., uuii^
m jilus iictiU rorartèrf.s, cl n'availt iiiic Wj
pages. Peut-t^lrt-mt^nieii-l'il vtv fui uik' Iroi-
ùèmc «liliD» enctirf dalêr de 1575.
L'De rrimpr&LMoii dv. 157() «tl doniitV
ooBimr seconde édiiiou, et comme iruisinnt*
cetle-ci de 1578.
Dûrount. iliTln'iniiil len wtyjvtA ijiie Cathc-
riuf dit Mùilicis n leiius |Kiur iiMirper Ik yoiH
veriM'nU'iil du KDvautiii* ilt> KratKv, ri niiiH-r
Tuilat d'icr-Iiiy. IroiMi-mr l'diliun, {dus cf)r-
recle, mieux di&post-v <|iir la prrreim^ cl la
Kconde, t-t aii|;nit!iilè4- de queltiur» particu-
larilcz. — «i. i>. i.mvjn. luS.
Ccltr V^itimi n\ ciïtTlnrmoiï auf^eulêv
'mit- jM'lilr piroc de i4 vers rraut;»!» ; .V» m-
tthif tir h vir rie Catherine rt ûr Je'saM,
•ec rnaùpntit'tf ér Irtir mort, et de deux
riln-K cnvoviVv i 1» Royiie-nierc. pur nn
irti M-nilitir (l)<- \'illi-iim(lnu) upres la mort
Hniri II. Ui |iii-(iiirn' italiV tlii ifl a*ril
[457t et l'miliv tir 157(>, el ilnus vtn I,elln\
ithctine ii'i-^l \Mi pliu éfiAr^inV i\av dans
Oiuoun meneitleux . Je rrois (pie ce* ailg-
ieiiliitiriiL<i M> Iroineni d:iii« l'edilîou de 1576,
inutiun-e aiuM comme plu» eorrertc, mieux
kpcMtv et angnirolèc de quelque» particuU-
itrt.
O» altldiuerit ê^iil n llniri Ksttenue, eJ
Ml ne jk'ii'uil idu!i> >rjisi'ti)l>Uilile. I.e (-Jiiuti-
[iquHJKilnir de I Apologie piiiir Hérnddle èloit
Lpiiti lidnimr .i pr-i>iltiii-r r(Hilni{,'CUX pam*
[phtei, dont, au ivsie, U «lavecl Waitc IiU-
mre a i-trtifirme, muou upprouNé, preM|uc
lies le* rude» el .souvent hnilales acaua-
t n de» plu!» 4i1rfi [;uniiit<> de la \(Tneilé
le ce tihelle pmimiii ^Ire (!!nllimiie dte-
il^r, ipii, Mii\iiiil ee ipi'ussurenl plusîinm
rrnln niiilniipiirjiiia , dit, n|in*s «être fait
lire rutiud^i-, ipie, M l'auteur l'axait consul-
ter, il auioit pu ru mconter Liai d'autru.
QiwlipM-s-iiiLs pri'l<'U(li-ul que l'aiitrur est
TlHNHluir de He/e, v\ noti Henri, Il «si ire»
pottible ipie ee» deux tiomm«, qui uiuieut
ili4rap|k>['UcoiitiniM*Ude irainiii etd'.iniitlé.
y ateitl mis In main Tu» el l'aulnf, Buis ce
ne Miiil que des coujeeturcA.
Ou cti]i<;oii qu'un lel éeiii ctmriil partuul.
Aui»i fut-il irnduit ru tatin, en aii|;loi)» et eu
nanund. La Bild. de la l'rance, n"ïSOJt| pré-
tend que la indueliun bliiie fui imprimée
dr* 1573, uiJiis elle Uf mpjMirlr piJ^ li- litre
d'uni* li'ile rdilirin. Ji- nir lii-niis nliili'il n
l'cxAetilude épimixèe tU* M.'liruurl, i|Ui
meniioune deux éditions latines de 1575, et
donne l.'i date de ci-lle qu'il cruil l'originale.
Je l'aduielt ilaus ces liste», parer que relie
^ersioti inliiir rtanl ref;ardêe coninn* ini\ni(;e
lie llfiiii. elle est pnilidlilemnil auMÛ snrlie
de .ses pre-we-S. duid)ie rQiMiu |H>ur rinli'iidilire
ici, bien que uxis nom d'auteur, de lieu, ui
d'Imprimeur.
Oitliarina* Mediceiv re^'inw malrii* , titji'.
aciorura K eoii.siliunim quiltus nniviThiim
re^i (•ollici stAtiini lurluire nuuitii est. Uu-
pend.'! t-jque \era Knarralio. — m. n. i.uiv.
iu-*t. llti p^geà.
Hue autre du m^me fnrmiil, de 103 pagM
«enlemeni, et qui pnroit Inqiriinée en Aile-
ma;;i)e. eitt aiii^i elûn{;ée tlaii^ le ctimminre-
ment defton lilre : Lcgeiida Snnclie i:athiirii»e
ftledionc. . . .
M. D. LXXVI.
I. NoviM TesUimenhim p-. Obscu-
riorum vocuin et qtmnitidaiii loquondi
i;oni<rim) <uviir:iUi» {uirtim Miai^ ixirliiu
iilionini iiitorpivtiUiôncs iiLikp^ini ;id-
scrii>«ïl Ik-nr. Stt'phnnus. — Kxcudolwt
ïhnrk'us SU'phamtx m. D. LXXvi. viii.
Cal. Mari. In-16.
Cette îxlilîuu . fort liitn iinpnniee, se di*-
tiogue |tar une uvanle préface de 36 |ib{;vs:
De itrlo Von Testamrnti. On peut , inee
NictTim, .-.Vlonner de i-e qu'elle ne ioil \\as
rt^mprintêe eu iMe de la plupart de» Imuue»
édiliiiU5 du Nriiivean 'leAl. gm*. Il faut re-
cuuunltre crpeuilaitl que wiu npiuireil .leit'ii'
lifique a pu faire rraititln* qu'elle uv w troti-
>it Ixirsdela iKirtiV île irop de It-ctetirs.
Lm ver» RTWi fait» |iar Henri |>oiir le > .
TmI. pTc iit-fol. de 1550, se trouvent Bu**i
doiu ce petit \»Jume, nui* In \t\vcf y i-si pres-
que entiercroeut rel'aile, el rr-dmle de 73 svn
a Miixaiile:
Ul
HKNRICUS STKPIIANUS SECUSDUS. I576-7Î.
2. THROtHmi Beziï' Vozrlii r(t<Mnat<i,
in bttc krtiu odilioni' (>ur1Jin nru^iiila^
pai'ljm locuplc-tal^. Ex Bucliammoiiliis-
qiip inî^ipubus poelis cxccrpla l'jiniiina
(qtiar ir^iundît' illoruiii {>oriiuilijiii fdi-
tioni subjiinrta rrant) s<îor«iitnexriidun-
ltircuniinai;niiacccâ^Qnc. — m.h.lxxvi.
ln-8.
Otiip ad Bpzac Pocmatia accesscrunl.
ln-8.
Cette aorte d'Appendice, qu'aauonra Tixi-
liliil^ dru ponic» (Je 'l'héodorv de Hcie, y
fait MiiU>. ol lie porte point de date.
M. Br. .Manuel. UI. kli, nie Ij- Sacrifiée
d'Alimlian^ ha^tVlie fniueni'u-, |iJr lb. de
lUïM. — P.ins, H. Ksliinine, IVa. In-H.
r^llr mrntiun jieul rtiY evarlr, niais non
pas pdiir In date. Henri n'a rien imprime en
1S52, il n'avoit alurs auain coiumeucniieiit
dVtabiisscmtut. Voyex daiu m Vie, et d-
deuiis. k raiméc 15JS4.
3. De latinilat^ Talfto siisporU, Rx-
posUilnlio HiMiritM SU>pi)uni.
Ltctofi nun meiueitJa in Liai, melutnti.
Tune pndnrr taccR, (juii barlwnii riM Yrrrriar
Um, oifluni et litiguajit tolvv, Lolinaa ni»,
EjiiMtfm dp Plauli Latinibito Diîy^iprta-
liu, ol ud kTiiont'in illiiu'; Pruj;; inims-
ma. — Aiino M. d. i.xxvi. Excudcbal
nmricun Siepliamis. ln-8.
A»cc nue iWilieaee un t.pitre à Ji^r. de
(Jia»tillun, président Jti l'arlenienl tir I.)on,
ihtéveCrienaHaNOJtra villa. Id. Fchr.Aiiuo
1S76. Savante et instnicti\e, cette pièce, de
netif iNiges , est une Mirle d'introduction à
ro«ivrasc. et non pas, »r (pu n'f-âl cpie iix>p
fr-éipieiit , un hdv et ihacux i>aiH'rgyriipic de
ijiielipte in.Mgniriaiil Mêeèiie.
J'ai un eveniplaite \enant de» irâiilei^
de ]lrnge.s. ipii y ont tuil jiKlire de. l'IiiTt'-li- I
«pie Henri T'4tit3Uie, en biflaut seA iinnu par- 1
mut où iU flc aool trouvé». Ceux, de Flaudrc {
n'étoirnl pes moins z6lèf qne le» Inquiiitrurs j
de Cllahe.
i KftAXdtsri IloUinuini Qua'ftliniinni '
illu!<trium librr- S<.funda i*dili(Ha' ub j
aiu'iorr hKupU'taliis. Di^^puutlio qwîe* .
dam f>jii!i4l<vni ^ bubila Kituri^. J<ic. Cuja- I
cii t'A)mmïiiUiriiis in L. Kratpr n fratn».
Cuisiibjiim-iaisteju&dein Fr. Mol. \>tus
ïL'uovata disputalio in Piindyrn legem.
[tciii ApiK'ndix advcrsiL* no>am ejufidem
lo^i^ inleipn'Uitioncm, quam nu[H'r
Le-icuriiis vir enidilissiiniis proinulï^avit
in suo Al'ricaiiu ; (jui & ipsi? liuio Ai>-
penditi addiliis est. — ExnideUtl Um-
riam Stephauus. m.d. lxxvi. In-*.
M. D. LXXVIl.
^. M. T. CicERoNis Epistolaruin vo-
bimen *Ȕinim qu.T fiiniiliarcHotini dirta*.
nuiic rei:liu.'i ad riirniliari's appollaulur
libronini xvi, Ociaviis Ccplit EpisInLis
IuiLk'I. Fitvntitt Huli'in nunc priniùm \
hcE Cœlii, & ca^Uru? qua' Cicoronisnon
siinl, divLTîio typorum gonorc pxcusap,
ut hac divoi^ilalr in ooulos tncurrcnlc,
ù CiœronJanii; rilaliin inlernc^-i po^
siiit. C.umniioiiLuliom's divi*i>onjm în bas
KpisU>las partim antea, partim biinc
priniùiii ediliË, ^orsuni prodpunt. —
M. D. Lxxvii. E.vcudcbal Uenr. Stepho~
nus. In-K.
LvA 16 Ijvif* de Lettres occupenl Sfii
pogeit. Vii*iuient ensnitr les Cituimeiitairm ,
ayuiit Inir titre cvprêA. et cliUTn^i en dent
parties , \a première de 431 i«i;fs, et la se-
conde (le a05.
Diversoruin Coinmctitationosad Cice-
ronis Epiïilola!^ ad fannliart»?. — Ifmri-
cus Stepiiamis. u. u. lxwii. lo-B.
Ces Notes on Commmfatiomes Divtnontm
s/)nt snrlnnt de PanI Manuee, de netivs lAin-
tiin, de Sigonio, de (;nill. Ganter, ei aus-si de
Henri Retienne.
H n'y n {Kiint dïnlitimi de 1957, d«nt
ecllc-ei wroit nne rèimprruioii. \a plupart
lies lUimmenlnir^-s qu'elle couiieiil nV\i*-
Ininil jias encore en 1457.
t. PsEiTDo-ljcEiio Oialogus licnrîri
$lp|}hani. In hoc non solutii <1p mnUi<>
ad Ciceroni8 scrnionom portineritibus,
I577-7H. HENniriTS STEPIIANIIS SECUNDUS.
U5
6(h\ cliam qupin dnlrtliim oditionuni cjiis
hiilvro, Si qiiani «uilionoiii in eo le*:ondo
(Ji'bi'iil ;»iIiiliori', U'cXor moncMlur. —
7/rnricus SU^phanufi. M. D. LXXVli. In-8.
3. Calluiaciii Cyronaei Hymni (cum
suis Sclioliis tirEi?LM!<i) et Epi^rdinuuiUi.
EjiiH(iC'iii Pwmatiumip coma Bcrcniw's.
a (-itiitlo vorftum. Nicnripiiii Krisclilini
Balin;;L'nâis inUTpreluLiunLS duar lïyin-
nonim ; Una onitionc snlulji : iiltcrn,
Oàrmine. Ejustloui interprvlalio Epi-
graimnalunu aniuiUilitiius in Ityninos.
Ilenrici Stcplinni purliiii i-irK'ndtiLiunes
partim annoUiliuncs in 'qnusilyin llym-
noruin locoe>. Ejï1jmI(mii Juplrs interpre-
latio Hyinni priini carmhio utruque :
quarum iina, adritrirtaî, »lU*nï libnrae&
{Kiraphraslicai interprcUitionis exeni-
plum tsâe fXfcisil. — Exciidcbal //«nri'ctw
Sttphanux. u. D. Lxxvii. In-4.
4. Kpistolia, Oialop Brèves, Ora-
tiuiiciila', Ptx'niaîia, ex varîi:* iiiriusque
lingtijB scriploribuft. Inter Pwmalia au-
louï est Siityrn ek-Kantissiiiui, qiia; in-
srribitur Lis, nuti priiifi priiUi
llenr. SU'ph. Letiori.
Vt viria ■traque *«ripl4 Mmone blc vides,
QBier»rU rirïi* cnarata auloribufe.
lu brevilatis bW et rlegantiB
Speclmre varia libi dilur cerUnûai-
— Exfudelwl Wmr. Htephanu^. h. n.
tXJlvii. ln-8.
- .... Qiiiim hn-vilalmi... plariturara
nblimarem , araliiinmbs , dialofjo» brvvttft,
pnemnlia, haltito in uum|iinqiio »cnptioni.4
^iie-n- fli'IcTlu. . . e[nsloUs adjcci. A m*'
igilur lirr%iialiâ firmpla in variis !H.Tiptiuiii-
lius accipii» , fl qiuiruni varia suiil nrgii-
mruu, Turti .mlorc!»... >• dil Mt-im (laii:« uiio
courte prt'farc brfvUoiftwnilti: iUtdioio Itr-
tori. (irc«ri<'H» nviwil miilienl (flin'ti\etn<'iit
un c)ioix niMv miiiilin-iix de pclilïS pièc«
d'jiiK*ifitt auteurs grec^ et latini , beaucoup
dr lHtn*A, des \cn, dvi discours, SS AMu-
gats de l>uci<rn. &r.. et nidcpcodammcnt dr^
nÏMVs m lutin, U Iradurliofi m n*ltc langui-
dr prwquc Imit ro qui y«l«» girc.
5. Dlowsu Alex, et Pomponii Mêla*
Hitiiji (>rbis Drscriplio iEthici Cosinn-
i^raphiu. C. J. Sulini Polyhistor. lii Dio-
iiysii PoomnliuinCoinnienUini Euslathii.
liH(*rprelalio r'juijyiciii Poemalii ad vcr-
hum , iib Ib'iirn't* Slepluinu MTÎptâ :
neenoîi Annotai ioiu-s rjus in idem, et
qiionindiim îilionim. In M(^lani Anno-
taliones Jainnis Olivarii : in ^thicutn
ScholiaJi>sj;i*Siiiilerj : inSolinuinEmeii-
daliones Martini Anlonii Doirio. — Excii-
deUil Umncua Sif^phnvus m. d lxwii.
In-i.
M D. Kxxvm.
I Plato?«i8 Oftcra quœ exlantoinnia
Ex nova JfHinnis Serrani inltTpielatiftnp,
periietuis ejusdtMn noîis ilhistr.iUi : qni-
bus A melhwlusA iloclrinipstiminii bre-
vilor & pLT:*picue indicalur. Ejusdeiu
annoUitiones in qiioddam suoe illiiis in-
It'rpreiîitioniï^ locus. Henrici Stt'phani
de qijonindain locoruni inleiprelationo
jiidloium . JS( niulloruiiironioMus ^rn^fi
emendalio. — ExeudebaL Hruricun Stt^
pkanus. M n. lxxvim. 3 vol.in-fnl.
C'est i Ttin des savants philologue altr-
nands qui, dvpuïi longues onncf!», coiuarn-n i
leurs vdllei i reximm ri i la rcprodm-tiou
dfs écrits de Platon, qu'il appartimdroit de
douiKr iù df siuriui'li^ t>l t^x.'u-lrN iHilJnus sur
le mmttr ri \fs drfaul.<> de rt-lii^ «'dilitm rè-
lebrt', et sur le raug qu'i'lk- doit occuptT fo-
cori- , maljçn^ les iiomlirruH-s mmprcâAions
entières ou parliellw qui lui ont surnrélé.
II v\t\ nw'uv >alu, pour C(;tle édition, que
Hdiri ^ fût plu» compté! linciit cliar^é des
roucLjin» d'cditrur , duul il ^'nequittoil nvrc
tant d'habiU'lé, t't que. s-e confiant motus à la
traduction de Jesui dr Serre*, qu'on lui re-
prochi' d'a^oir pn-fiTi', il n'it clnTché à eu
iairc disjMiroiliv If-s uUidi^ili's \vs plus cho-
quante». Une telli' n-«i.si(rti éloil p«-ut-*1n-
impmtimlili- pour uu travail au.4si lou|;. H
daiLS liipiel le traducteur , mt prèvnlajtt dr sn
raeilitè à écrire éle|;anifueul eu latin . et
rruyaiit sauf doule que la superioniê île »oii
stvle Ir frroil préfmT a IVvjhI inais itH'li^aut
Fictu . lounioit ^m\ srrupule le» difiicidtt'^t
H6
HENRICUS STEPHANUS SI-CUNDUS. 1578.
qu'il m- p(Hi%oH nruiiHlrr, tsiMVranl (a'uv pu-
MT rifirvat-litutlc iW riiit**iprt'Utiuii à 11 tu-
veur d'une jiltu AaliAfaUaulc |ihni«pologie.
Avec ses défauts , cette (tlilion a loujoars
cu' eu |;randr ojtinu'; et ut Henri n'a imïiil
infltii^ sur le levait du tr:iduclt>ili', on ^uil
cju'il L'toil là |Kiiir Mineiller la rumTÙon di-s
lr\!ei. fl rtiricliir If li\rir dr diKir^H [iri-Ti-
tjiic loujcnirs jiii|iiii-u<ie> ahst-^^ali^llï. Sun
iTdilion a Ht" reconnue comme trrs suprrirtiro
À ct-Ili- d'Aide , 1M3 . et aux deux df lla»le
iSH et 1^; auMii le» uvantâ édilcnr» dr
Deux - Ponis , jifges irnVuiables t-n (elle
malien* , nnl-iU , en rvjirenanl l."t veisitin de
Ficin, tiiiiM-i VI' le lexle dil im\ suins de Ileurï,
et iltMirié leur éililton aJ editionem Uenrici
Strpfuiiii aci-ttrulti r,tprT4sa.
Quand k>j djterKs èditituift de Platon ,
dout i*DCCtipcntdepuuloii^-teni]i»les Mi\niiU
d'Allemagne , wreinl luule» adir%(Ts , el
ipi'ellr^ iiuntiit a-VM'JL tuiig-trin]i» eirruU'- |)(iiii'
^tre siifli^;mHnetit etiunm-s et aji|ir(Tices, le
moiide éi'uilit jiii^eiV] iiU([uel de ce» h<)mn)e>
aussi sTuJieu\ ({u'ïialfili-n . Kiilintieii . \vle ,
Jacolis, lieiodorf, lK-l»ker, Srlimider . le»
lecletu^ ûle Platon iloiveiit le [dus de nsoti-
ooiAkânce; mais , en avant d'eux lotn, rlii'f et
COUddcteur de celle hrilUiite eohnrle , Meiiri
sera |>areu\ luii& eniMTM- au |treinier laiu^.
Oâ trois \fllunies in-folio, dû»1 It*» l>raux
rjmnidairea sont rares et d'un prix (pii ni-
mte gtwire lu-^letucus de 150 fr. , «ont im-
prifflès sur un papier Siii^iic de qualité assez
rommnne ; au&>i a-l-oit |Myt' juHju'à 600 et
800 fr. le très petit tM»in)irr de ix-ilx i|ue l'on
rencontre en |^nd pJipier, ilinit la dimniAÎtiti
excelle de très peu celle du |>apier onlinaire,
maii qui en diilëmil par un peu plm de
blancheur et de rutisiâtance.
Fji It^ii' de clL-imn des voliunes est iiiit:'
(Iitlicaee du liadncleur.
Celle du prrmiiT est adrenéc à la reine
Elisabetli, et suivie d'un avis de Henri.
Celle du second volume , datée de 1S77 .
Ûd. Octob., eut adreuee à Jacques \1, Roi
d*Seonc, alors Agé <lc donu' nus, el celle du
troisième, av^'c m^me date, «'adresse à la
Eépuhliqne de Renie.
3. NiiM)i.ioDiD\scALUs, »ive Monitor
r.ic«roni»noruiii Nizotianoium. Dialogue
Heiirici Slqihani. Hnnilius lerlori ,
Hiilebit monilor non «sauililns. at Ule
Qciî ttuAà fiarcnlffia in rBjtc* |iroini»it «wtluin.
{Piitii« K»tcwti«.)
— EM'udfltal Hetiricas SUphanuM.
M. D. LXWiri. lu-R.
Dédié [mr Henri à ion ami Hubert Lan*
f.'iKi. aulein" du célchrc ouvrage f'^intiicUr
t unira tymanos, irnduit en frani^ais par
Fran^-iii.'t t.\iieiiiH- , et par lui itiiprinié, ISÏM,
Ia-8.
3- Deux Dialogues ûm nouveou lan-
gage François iUilianizé. & autromcni
dcspuizc, |irincip«lomcnl entre les cûur-
lisiins de ce UMn[» : de pluïiiounf nou-
veaulez i|ui ont atroiiipagné cesle nou-
veauté de lîiiisaiîp; de (iuel(|ueâ cour-
liSiinismes modernes, el de quelques
sinaulariu^z court isinesques. (Par Henri
EsU'rnnc) (1578) ln-«.
La Préface ou A*is aux teeteiu'» ntrù
quanti e«l $.<i<i» k'* nn/mh de Jan Kranchet , dit
Pliilau.«one , çeuldliiininie courtisaito^wlituis,
<A*1 OpiiMiile a piviir liut de fronder la
luaiiie, alors n-ynaule vn Krann* et surlmil
Il In cuur de Catherine , de inélrr ilans la
luu^ue fr.intH>iM^ une fuulc de mot» el it'idiiH
li>>me« ilaliell^; Henri reproche à «es con-
temporains Uiir a.uervissemeiit à la mode .
qui faisiiit ipieJquefois parler, et surtout pm-
ntineer de farou asscJt ridicule; travers qui
avrijl fjiil invi).<i)uu en Fntnreavre la multitude
d'italiens aerinirus â Li .suite de Callirrine de
Médirist. Mailtaire, p. 413, pn'nd de là oe-
rnsioTi de Catn' aux Anf;lois nue M'mltlafale
réprimande. Il leur reprodie leur empniisse-
meut à ]irendre de voisins emirmis, a6 mi'
mwa genif. une innnen-Mlé demniA, dr façon»
de parler, ri jiiMjn'ii des nianiérc-v dr i<v v^-
lir. l'rif/um Au//rVu/M. Juvéual reproehoit aux
HomaiuA de son temps k-iir rnf;ouemeut |ioiir
ce qui éloit ;;rec; el que n'a-t-ou pas pu dîne
de l'auitlnmanie fran^oise, excessive et portée
jusqu'au ridicule, précisément alors que cd
vui«ins nouv tai^tiieiil le plu» ilr mal.
t> spirituel voltiriu*. detrnu rare, e^t t'uu
des plu« curieux éi-rils de Heiu'i l-JilirniH'.
l/auuée de M pulilîcabon est déienninee par
une lettre de Henri ttJ J. Cmtonem , du S8
.\ug. 15TB, dans laquelle d lui dit n'avoir
envoyé à la foire de l-janrfort rien anire
•< quam liln-llum Gallirum, ndvcrsiu iniiuva-
lore^ vrnnonis (^olUri a se conscnptum. >'
157»-79.80. UtNHKXS STKPII.WUS SKCUNDUS
Tl y a (leu\ mtu]iri'&sii>iiï iii-lG. à la dalv
iI'Au*vr» I57t>, fin*/. Guilliitirin- MrfE;iK-, ri
1583 »Iic£ le iiK'nu'. On K'S itil Uitttr^ (Iriix lit;
Cwii'Nc, ti |ar Mciiii l'jiliriiue, cv t)uî m-
scroit |ia& élotmaut. m Li itaibie |t»i l'âutorilê
irenevoisc tl'iin*? parlii' dcA evmplatrvA dr
lio-8. Vovrz ta Vie Je lleuri.
1. lIoHKHici Cenloiirs, a veteribus
vûcalioar,p6JtivTfx, Virgiliani Ci'ntunea,
Utriiïiie in i|uûu'ilain hiitoriiL* satra; ca-
[]ita SiTipli. Noiini Puniphrasis Evange-
îti Juhîtnnis, Gra-'ct? & Lutine. — Ext'Uil.
Emr. Sîeph. m. u. lxxviii. ln-16.
5. Henb. Stopliitni Sclifcliasmatum
varionun,irl osl, OÏ>s*Tvnlioiiiim. Emen-
dationuni . lii\|kO:siltu[Lijiu , DUquin^itio-
Inuin, Lihri (ros ; qui suni Perisa succi-
m liorurum Janu^rii , Kcbruiiru ,
i.
Liber lectori.
Trn tanlilin naltia inraM» ncqnrane ptaccrc''
Aanmu iilii naltix rru, poi^r [klarprf|iutii.
— Excudebal IIeHricu$ Slepluaiu».
I. D. LXXVIII. ln-8.
Cliacnn drs Iroi» Wmv» c^t cbilTVr Mparè-
tuetil. Il n'y 0 poiitt ik- Inlilr.
Lue M*cuiiJi* iKirlit-, plii^ mir i|uccclh>d,
a |iaru ou 1S81I.
M. U. LXXIX.
^^ r TiiKOCRiTi alionimqup PwUinim
Idylliii. Ejusi^U'iii K[)i<^i-uii)iiiatu. Stiumiu.*
RhreJi Oviim . Alio, Soctiris , Fiï^lulii ,
DoïiiutliB Ani.Omnia cum inlerprolattnno
itina, in Vir;^itianas& Nas. iiiiiUiltoiies
iporriti Obsenationes Henrici Stepha-
Heuricwf Stephanus. m. d. lxxix.
l'rtil toUiinr eilinn-, ei h jiisic lilic. thi-
If rtniU'iHi iiidiqm' ,iii troiilUpire, un y
ii*c li-s |HMSifs ili- Mowliiii, ïlirtii ri Sini-
a^^t• \fnrs Irailiirlious m wvn b(ili»;
Fia^tiii-iil-s ir(_>r|ilitt', ljnii«, Aip,; l'I-
^llc il AiiAOïif . I>r f'ita hitmana , une Klr-
i;ie de Properci-, \a «c«oii<lf du lîvrr «ecoud ,
ccUe deniiw'e Iradiiile «'ii vi-rs grecs, par
Ht^iri, ft l'aiilir par f-Vil. Taïuoi. Fïiitr Mir
riii-folio iIl' \5G(i , cette ri'-iiiipn'Minii a tV-
vdiita^(> de quelques (.'on'ti^tîuiis <laii^ le k'\lv.
M r>. LXXX.
r Jesu Chrisli, D N. Novuin TesUi-
rnentiiin, t'r. cum veleri interi»reUilione.
et nova Ttieodori Beza*. Ad{iiUu sunl uU
eodeni snmniiL' brevfs dorlrina' urio-
(]uo<|iie Kvangeliorum & Actoruni loru
(■orii|)relit'nsi[.\ lleiii iiiolhodi AfK>sloIi-
(■iirtnii Epistolanim lirevis es[>liralio.
Iluir iiiitflni lerLia^eililionJ, prîîjU'rquo-
ritndiiiu loconiiii rei'Oi;iiitionein. acces-
srniiit brèves diflinlioruni phrdseoti
ex puïii lignes, & alla' iiuuxlaiii aniiota-
liiiiiriif.i', cum e\ niajiiribiis ipî^iusBeza;
aniuitationibus, lum aliunde excerpta^ :
openi euruiii ffui ia Typup-aphi Ëpi:^lula
noniinanlur — [Ihuricux Stfpbnnus)
M. u. LXXX. In-H , à cinq CDloiine».
La première êdilion rst de 15S9, iu-fuL La
seconde de 1567, iit-K. D'ilivci cl la ^uitaulr»
iiv 15K:2, iii-fol., vml iiuiumée» trvijièmrs, r|
itunlwmf (-«"lit* lie 15KU, iii-ful.
\iiisi qiif^ je If di.« (Jiin.s irinii Calai, t. I .
p. 4, jtr ptiiw que DÛS Inipriint-iir modcrnei
aurmt-iit grande raUoii d ùlrt- ^lorii'U\ de
l'exécution d'uii tel volume . imprimé à cinq
<:uluaot-5, awv 1rs licam riirarliT» grirs el
)iihn> de (.•arurnond. O n'est cependant ritui
mtiiii^ qu'un Irtre de grande vidcar, H fait
aver prétention di- luxc; le papier eu e»t
nièiue de qualité 6uift»e om*'/. méilioere.
i. ni;DiuF.NTA lidei ChriAtianœ, ei
ulius CuLeclii:u»Uii niai;iâ compendianud,
îîriEcc cl laliiie. — Cum Oliva Henr.
St&phani. u. D. lAXX. ln-16.
3. JuRis civilis Fonlesol Uivi. .luris-
roniiultonim vetenini quidam Iwi , ex
itiU'^ris eorum vuluminibuà anie JuMi-
iiiani .TlaU'm exccrpli.
nenricusSU'plianiislerlori.niinimeam
U8
HENK!CUS STEPHANUS SECUNDUS. 1S8»-8I
loLius Juriti civilift editiononi oxpoolas
(qus quaiilusoriùît, Umto titilius ope-
ram tibi navtibtt , viiimquo mullosolita
breviorcm HU]ac ri:[X'fiil,iorem ;id Hepc
studm upericl } iiuvyiu hune lil)L*llt]ni ,
vpI ut wjilionis ilHcis ;inkiim iiramiitUp.
— Ex l^upiti. Piiiili, L1|t. C^ii, Molfstitii
inte;:ris li)trisAliori»iu]iK? v^-UTimi ji^ris-
Autliopuin. !l<_'nriri Slq>liîini r.olliilio Itf-
^uni M'>siiiL'iiriini *: lîuiiianuruns iiiiU"
JuAlinûiiii Im|>. unatt-m indè simipUi. —
Oliva lieurki Stephani. M. i» IA\X
Tout ce travail i-sf rriini t-ii un miiI vo-
lume , hicn i|u'Al[iiclij\p(ii l'ail divÎM- en
dt>v\ cuonrt-i distiacti. Ou voit ()iie Moiiri
ilotinr ce KcciR'il comme le précurMur {ar-
rha ) (J'uw* [U'ochninc étlitioo rainplètc du
Cormia Jurit Civith , pnjji'l (iiif ci;|inid<iiit
il n a |Hiiiit n'alÎM'. Une Imigui' |in'iare i|tii
(!(mimuii«f k> \oliiiue tirnuû^ui- àv rtialùlilé
avuc bijiicllc ctUle grande i-oLIectiuu vâl ctô
itis|>fi«i'.
Ki'iutpritnt' dans Ur t. 1 du Novus The-
sauruj de Mtennaii. Ilni;[e l^îmil. nSI-SO,
8 lol. iu-fol.
I. llKKKici SU-[ihiiiit Tli(>niurijs Lin-
guii! ^rocsi (itlilioiiltt'ni itiis^pie anno ,
8W1 M. i>. Lxxx.) OItva Hfnrici Ste-
phani. 5 vol. in-fol.
Sur le plus ou maiiu de réalité de celle
min|)rcisioD, aiiDÛ ()ur sur iVxuteiict* J'uivin-
plaircs aynol la date d^ 1580, \u>ez cKleuui,
|)agc 1S8.
M. D. LXXXl.
1 pARAi.ii'OUENA lir.iiuni:ilir;iriiiti
tir- tin^uie Inst. Hem, Aniuiudvf i*siancs
in quu!«4lum Gramriuiticuruiu Ctv. Iradi-
lionts. Autori; Uf^nr. Sli'pliiuKi. Nimicri
paginanim ItN'torcin ml cfiii) (l.txl. Knoci}
gramniatiroii roitiiltunt qiiiu itiscripUi
«t Oc (mnrii (jr. liti>rîiriiiii doctrina. —
OItva i/eiirici Siephani. M p. Lx\xi.
XIII. Ocl. I11-8.
Celle Graimnaire, à bqurlle llrnri
\oiu. est de 1556, Rob. Stcpli. Toycz ci-
Ueuiu, p. 96.
2. M. Tp.nKvrii Varronis Opéra qiiBj
snpprsunl. In lib. de lin;:, lai. conjecUi-
iK'îi Jos. S<:aU}i;eri , rpcogniui et appcn-
diVt' iiwXn. In îihr. de Re ru^ticii notaî
ejuftdein (Josephi Sc'idiijeri]. Hisadjuncli
fuorunt Àdr, Turnebi (*oiii. in tibros ili?
lini^ira l^t, mm eniendiitionibti:! Antonii
Aus-oislini. Uphi aisligatioiieâP. Viclorij
in iibros de re njsUcii. — Oliva Hcnria
Stcpham. bi d. I-xxxi. ln-8.
Pour l'i-dilioH pn-ci-deiile dclSTS. ïoyw
C3-de!iSU5 (MIÇC I W.
3. Plimi Secundi KpisUilarum libriiE.
et Paneg^Tirus, cuni alionim PunegjTr-
rii». — Olivii Hctirici Shphani m d.
LXXXl, ln-1(i.
Iji ri-iiniin-.vtiirjii de ITiSl, eu mAme IbriHl»
i'im(li-ul. fulrf autres au^nirutatioiu, dea no-
tts tVu. V^sa»\i<m qui ue soDt p«& daiu ccllr-
ci. VoVM p. 154.
.K ii'âi puiiil vu ct'ttet*ditiou deiSM, ou»
hit'ii ccllf i[iii u'a pmiil de datt- , doiit riiiii-
itilc, qu4' ji- *ais rapi»ortrr iwaclenmil îri,
'vL'ndik- iilrv rvliii d'une prrmicrr éilitiuii. Il
Mr prtit .iu!vvi ipii- lt>-s dnu n'en fassitil ntH-
U'nu-lit HM'ime , l'I qiir parlir des i-irni-
platiTA aifiil sur leur litre b dati> de x. u.
vxxxi , taudis qu'il n'y en auroit aucune aur
lesaulm.
i. C. pLiNii Serundi Hpi»L. libri ix.
EjusdemelTrajani linp. Aina»ha»ieK(Mftl.
Ejiis<iein Plinit Piniej^^rirus Trdjanodio
tu^ P«!ie;;îri(.ialii, uiii> ïinpp. dicU, »
Latino Pywito, Mamerlino, Niizanu. —
Oliv;i ilrnrici Stpphani. In-lli, sans
diilf
!j, Pétri Pimli
BVNELU, &MAi\TOl,
GaMi, Itali,
prttTe]ilons , di»(*i[)uli ,
lipislohe i Ji'erunianoslylow^ripla;. Alio-
rum Gallunim [writer et It^iloruiii Epift-
lûla3 eodein sU lo siTipla-. — Oliva Hen-
rici Stt'fibniii. Aritiu », u. LXXXl. I11-8
:\\vv »w itniir;ice de Hmri E»li<*iiiir au
HENRICDS STEPIIANUS SECUNDUS
Ri(i llMiri ITF.'Li'îv ijHIrm Ationim <iollo-
itim ri liaionim nnaroainirriil jwr tm l'aiix
tiur, el uiit un foliotage M'paré. ( j< riirî*-nx H
rare \oUime a le dcfatit d^'irv saiu uilili* dt^
i^IlfTs. J'en ai iinc de l'ûléf^anle ^riturr de
Ui jMuiiiiovf.
^Rio:
6. Xenopiiontis (viri «tmoniiii \ li-
rîirum liiudf cdcberriini) qua* exlant
OfM^ni r grsLfc. AiinoUilioni^ Henrici
SU'phdni . inutttim iœupk'tula,' : q\w
varia atl loctidncm Xcn(>))hontiii Icngp
utilisîiiinu hubiMiL. Editiu st-cund», ad
qiuiin dsisc f:ict:ini nut\iniam diligcnlUc
arn*ssiomMii sUilim co^no-'icos. — Excu-
doUil lleftricus Siephatms. m. u, i.xxxi,
In-fol.
Le grec, en faraud ftapicr, chez De Ttiou ;
t'Mlal. Hibl. Thuanv, 1. I, p. 377, additions
nos. Ll- ni()ni4.' i-Aeni]ilaire , qui lu! imtroU
jMiilil uu (^il^ilogiif ilf Suidiiat', u êl(' vi'lidii
â I^tidri-s, (.'Il 1791. 5 I, 15 sli. dans la VLiilf
ris.
Mcnlioatit' aiusi eu gnr par BniafI ,
Xtcerfii)^ &c. Mais Uibdîu, PineUî, Rû&sî et
d'autres, disenl gtrc-tatîi).
Hbi-Ich flihf. gr. in, a. Vit exact lot^ii'it
dit : •• Utiitui (tT^iu, qii.T u-ciftitm ?\rusa
est, iinii fulliart-l unitiilitis eililintiilniK. » Ef-
frc!i\«-rur(il la »fr>îoii Ltlîm* pliiffm* séiKii-é-
meut, ne se lmii%e yas luojniir^ irimit^ fin
grrc. Vuici ce (|ui compose nu i-xetiiplaii-t>
^inva complet :
^^L Titre et prèJimÎDairfs :
^^g Te%te, \a^VA 1 â S84 ;
P \jtiiiuUti(ni», 1 À 76 :
Util), 1 à 478 :
lude.\.
I Moins Jtelle qiie iV-ditioa de 1561, ceJl6'Ci(
il un lr\|i* plus rjHiW? cl avi-c de plm naro-
lirriLir.t ikiIi-h. lui fsl de lifjiui'ouiJ *imerii'lire,
^^k 7 Hkhoimam Ht.'^toniiniiH lihri mu.
^HlCrjfrt'. Cuni { lulirm j Ani^eli l^olitiaiii
intiTpn'tJtioiv' N htijii-i partiin siqqdc-
nit'iilo , piirtim f.vuiuii»* Jleiirin Stt^
1 ptuini uLr(k(itto nuir^ini odscTiplu. E]u^
m lif'nrid Slephani emond^tion*^
orijnd;^!!! Grscci coittcxtus locoruui,
qiinniiidiitn oxpoi^itioitts. Historiatuiii
llnxMliHniai» subspquenlitim libri duo.
tiiK- |iriinii)n !:r;i-C(' «nlili (qui iruni
Zosinii, fum lutin;i versionc) — Excu-
dchiii Hettricus Stcphanus. u u.txxxi.
M. 1). LXXXIl.
I. Jesit Chbisti u. N. Nuvuin Test«i-
Dienliim, sivp Novutn FqwIijs. Oujus*
UriRco U?stui rftipoiident intorprctatio-
nt's (iuap : una , \ otus . «Itoi-a , nova ,
Tlioodori Boza^ dili^entor ab eo rwog-
iiita. Ejusdem TIi. Bt*WL' annoUtliones,
quas ilidcm liar lertia editionc rccntino-
\it, & UL'cessionr non {Mirva locupletavit.
Ilt-sponsio pjuijdi-ni ad Si4). Ciislellio-
neni, ftc. scor^^uin cMusa prostat. —
Jienr. Slrphanus. m. u. txxxii. xx.
l'pJi. In-fol.
1. édition précédente de 1580, îihS, est aiuù
nonuiiée Wrtm.
2. llïi'OM^ESEsdt' GuUira liugua, pe-
rfgrinis i-aiii tlis*'fT»îibu* noci»îi3ariaî;
«lii.'nlani voro ipi^TS Galliis iiiultmii pro-
fulura:. AufLnre Ilonr. Slcphiino qui el
Gatlicim palris sui Oraiiiinatiron ad-
jujixil . t'.I. Milali-rii E^iislula di' \oca-
Lulis i|iiiP Jiida^i in tialliant int^odtlXE^-
njiit. — T\pis Itftir. Stephani. u. d.
LXXXIl. ln-8.
M. I). I.XXXIII
I . JoD. MiTcori r.ommontarii in iiuin-
i(up prior(*s miiiotvs PntplieUiS. — Ge-
fievae, t'M:udoU)l lleitricus Stf^thanus.
M. i>. I.XXXIII. In-fol.
Mail laite , en notant ce >olunie avec d.iU-
de 15S3, dit en avoir rin evemplaire «iha
aucune date. •• Halieo, qui nulliini anni cita-
racterem g^TÏI. >• t'.l dans la tie de Hrnrl .
p. i70 : " SoUltH e»t aliquundo îii inxltin
lihnt «nriDin .iddert- i-t oniitlerr. ■• T^liii de
la hililiotlieqtie de «iitiève n'a ni »oni lit
drtU-, niar- roti»iii de Henri.
:
àbii
HENKIf.US STEPHANUS SECIWDUS. 1«»4>.
2. P. VineiLiiMuroni^PueimitH mivis
llriirin Stephaiii sclioliis ilIustraUi, &i'.
Editiu iiltom. Ejusdcni Hi-nrici Stvpltuni
Srhodi;iïiina. — m. d. lxxxiii. In-8.
ll<-ini{>rc&sioiidcr(HlitJonua» dile. Voyez
|mge \\i. à l'ajiDtt: 1575.
M. D. LXXXV.
4. TiiEouoHi Uezaï et (icorçii Burhti-
nani Poemala cl K|>ij;miiiniatti. — Hm-
ricuxStephanus. a. i». i.xxxv. In-S.
- 2. AuLi (iELLii NwU'â AuiciC, seu
Viziltif Atlirj{>. (,hiHs ntinc pritnniu n
nuf^iK» iiirndoruin iiuiikto umj^nuri ve-
lenini (.'xciiijjliiriuiii tiumems irpurjiia-
vil. Menrici Strptiiir» Xinips ;iliquol
Parisina» Allicis A. Gellii NiKlihns s(*u
Vi;'i[ii» invi;;ilatce. Ejitsdcm H SU'jiha-
iii iinnoUitionos in altos GollJi loros pro-
dibunt cuiii noli^ Liid. Oirrirmiïï (qui
vï>l. Mcmpîarùi rontiiUt] prplojjim Ira-
dilis. — Parisiis. m. i>. lxxxv, ('uni
privilegio Oe^ms, ot Gullonmi \U^^\^ in
«Ioc*'nnimn. ln-8.
KiJitiuti rarr el citimabLe, mais mniiia
jK'iil-i^ln* <jiic la réimprcMiun de Cfiirvc ,
1609, iij-8. n'omît* jiluscorrerle, et donl Irs
unit», <|iii y vmt tri'.s .impies . uni r1i" rlioi-
sirs naruii ivJIfA île oii/i* à dniiitr aiiiKitiileiirs.
Ni I im*' ni l'autre ne canticiil \t* Cammeu-
lairt-s camplds de Louis Carrioo . que pro-
locttflit rrlte t^tlîon de 1585.
r^rrion Uii a\rât f>(rcrts et pnimis k Hrnri,
aiiui (|u*iin M*niliU))lr travail »tir MhtoIn-,
Olui-i-i, faîwuit et^ ileiix t'ililioiu a Pniis, et
comptant <mt Li pi unirvir de (.urrioii. «'aidii
lie Ses aotiM |Kmi' rinipresMuii dt*ste\te», dans
Irsqiieis il inTleiid ipie Carrînii iiiIrodiiUil
wiis iicc(a.4iti> des Wfim difrerniIcA , qui ne
drviHiml troi)\(<r placr qiK dau& iU-a iiole» ; ri
il lui r^iii »-niblal>le reprodie pour le Ma-
crolie ili' n-lte im^nie uiuieL-, Lr texte d'Aulu-
(irlle claDl îiii[ii'ime, luiil iiinih •ï'it*i>iili'i-eiil,
l'f Carrino u aviiil nieiiii' duiinr qu'iint^ [nlite
partie dn iuitr.s |iar lui ntferint et pninii.se>.
Hriili, (ali;;nr dr relie atlenle , et n'ayant
pu an'wlier ilu commentateur qu'rtniruu la
malit're de w^)t Iruillr», publia brm \(ilume
MUS uoli» . cl eu rem|djHHineuL ajouta ks
«NuclesParisiDai'.i'r.arrioiine Tilpoûil Ucoo-
linualiim de ce travail qui: peut-^tr«, «ao* vuq.
loir eu convenir, daun trouvétmpmiiuyn»,
cl d'une utilité trop ronirttable. Il eu resU
doue «Il viu^-riuuuiéme elwiiitre ilu premier
livn*, iiu moins r e-sl tmit rr qu'il iii rrrail
à Henri <|ui , foute île eii|iie, fut oblige de
ft'ari-^ler à la \i^ |>aKe. iWiruit sans doute
comme fra^meut trop jieti nvanrê, ce volume
e»t très mrv; je n'eu ni jamai* *« d'autre
exemplaire que ii*|ui qui tM à la tliltliutlieiiiie
royale, et dviil voiri le titre :
3. Lci>. Carriuiiis in A. Uellii Noc-
liiini Attit'ariiin Ubrm Cumni^nUiricM
qui ^x:3tunt r^âti;;ationei> el NoUi'. Atl
aniphss. virum Aiigcriuin Biisbequiuj».
— Farisiùt ,*M. D. LXXXV. ln-8.
Huit raliieri de Mgruturei jiu«pies et eoin-
pris H . Sur l'exemplaire, esiécnl dune maui
à-peu-pm enutnii)K>riune. : « Non ultrii pm-
(;ri--<(siiH e^l fiirri'>n in nutïs el ei»ligalionilHu
kui% iu AgeJlium. »
Ce conimeucemeat de uirtes a élv iutrotttul
eu graude jiariiL' daus l'Aulu-Gelle iu'A de
GcuL-ve 1609, el avec plus de elioiv dansedui
de U'yde I7D6, ïnA. (Carrionis nûitH ea-
crrjiia ) Vovcr Vie de Huiri , *ers 1585.
1,^1 rt-impn'SAioii ile Gruove . 1609, n-l-ette
été impnmt-e par Paul .' r'esl ce que je croi*
atMTZ, nvm sau» avuir été a même de le *r-
ritier.
Dam h wcoude et ta truisièmr di' j»
Nuits l'ansieuncs , Henri |>rtaid vnemml 1b
déleUM^ de l'aulejur deA \niis Attique» coulK
I la iTiiMire nutni|;i>iue de Ixmis Vi»w, qui.
I /.. ni, De trudendit Discipiitiu, appHIp
, Aulu-Gellc homintm rhnpsodum ptane, ctut-
geitorem i>otiUs t^uàm di^tstonrm, et oileM-
tatorrm potins tfuàm jHrUam, lotjuaeutuM
fine emaitionc, m rcrhit ac seiite/ttUs puti-
t/u/nm, 6ic. Auv injure-* el groirtièrelè» pré*,
il y a i-e]H*tulriul l»eu quelque rhuibe ck vnî
i'.'cM ii*ui-à-fftit par erreur qiH' dans Is
ancicnnt-s iditiun» île ta Btbiiotliéqik' latnir
de Fahrii'iiLi , ou nieuiiuiiiif d^^iv i-ilitioa^
d'Apulée . d'après une disHTriituni Je G.
MnlleniK , de Apuifio , v\\ elli-^ miiiI ludi-
1585-M.87 HENHICUS STEPHANUS SKCUNDUS.
(|iii-c!t. itf 15:2V . (uir Bulwrl, 4111 u'iro[iriron
pji5Avaut l^i6, Fl de t5Hâ, pu- U^iin.
MaitUirf. Aiin. I1.U9, et lU . 7M, Irs
(Icfliirc à\ei: rainM imaginaires, cv 1(11*0 rv-
cuiiiiu la nmnoUc édition ilf Id BihI. l^iliin-,
III , 38, iiims stnilt-mcul \unir ri'llr i|UP l'nii
mriloil M rHiiinT 1.SW , Kim^li n'uyajit saiis
duiiti- pas it'injin|Ui'- Ir juissai^c dt' Miiilliiirc,
111, 7l«. ili-ja dlc..c|iii Uf> coiidainiif (oiilw
dtni\, 1^ \raifsl que, dfâ IL«lii-liiM' , la Mille
rditiun de ()uclquc partie d'A|nilt'e t-st /v
Ofv iocratif, iÙ5, ia-i6,'par le Iruuieiuc
Robert.
MiilleriH aura, par dislrarlion, lu quelque
purl JpulriuA pour .lulus CelilliSt doul «1
\oit une èiliûmi de 1^85, cl il ittira cru de
RoImmI V.iputeiui dotuià eu 15âf , par Siaiuu
de Colin es.
1. MArKOBii in Somniuni Scipionis
libri «luo. EjuïîdtMn Siituriialiorum con-
vivioruiii libri vu. Ciini Lud. (!arrionis.
— Paristis, u. d. lxxxv. Iii-8.
\%ec nue Lettre ou Dédîeaee â Jact|ue&
[kinp», dati-e x.i Cal. April.
Celte e<lition a Hé revue sur (iliiMeurik
nuuuMTit». avautage qui U rend Mipérieurt:
il la plupart de celles qui rntil prt'-eéilée.
M. D. LXXXVI.
^H^r Ad Scarca; Icctioncm Proodo|ia;ia
^^Pr(ppuratio] , in qiia \ nonnulli ejiw
looi ciiK-ndanUir. Auton? H. Stcpliiiiio.
Ejii'wlcm Kpiîttolii* ad J;ti:ohuni Itale-
(iuinipiuin, {«irtiiii Diortholik»' quurun-
II dai» SrnetNi.' loconiiii, {jartiin e\mn in
(piuâdam ExoUislilcie. — Oliva fienrici
SUphaju. M. D. LXXWi. In-H.
i. PiNhARi cl caieroruni Lyricorum
r^irniitui, çx- (*t l.ii. Ivdilio m. {^?eco-
lalimi H. SUrph. mrogniliunp qtiurundjim
inlPrpivUUionis loconim, pt acressione
-icorutiirjirminuiniocupleUita.— Apud
mricum Stephanum. u. 0. LXXXVi.
vol. in-16.
3. TiieomiTi aliorumquc Idyllia cum
1. NoviTM J. C. ÏPsUimentuni : pr.
cum Henrici Strpluini inU'rpivtiJliunibus
ninrgiiiiadàcriptis, <^ inii>4nu ticessioiie
in Itm' [Hwlmori iililione. — ( Henr.
SUphanus^ M. n. Lxxxvti. In-IG.
\ la Bibl. Royale un vx. sur papier jaune.
2. De r.aiTicis vol. yr. pI latinis.
eoninif|tif^variisapiKi poêlas polissiinum
n'pn'Iii'nsionibus, Dfâ^twlnlio llenrici
St^^phutii. Lfclori :
Kx rrititifl mnnitiicriticRin litii ranliahmillnm,
Vt tiritira* *i|iiantcal)iiU Krîf>la nnUi.
Ri'Stilutiunis Conimonl. Scnii in Virg.
& rnagnic iid (mis nccessionisS(>wimpn.
— l'arisiix cxciidcbahir. Aono m. 0.
Lxxxvii. In-t.
Epitre de Henri Philippe Canero Rtgi*
apud consiUum Fnrtorinnum CoMiUario.
3. DeCiERM^KA (vcra) proniinriatitme
GraïCit' iiii^u;e Coinint'nUini Tbpodori
Bezae. Jjicûbi Q-nilini, v\dol[dii Mc>k(>n-)ii
Bnigpnsis, Midi. lltKpit;dii : eldi» r»*rUi
jironunciationp liiii^ia! latina* Jii^^ili Lip-
sii Dialagus. — Henr. Slephanua. u. o.
i.xxxvn. In-S.
i. Hknhici Stephani DiiiloffusdpbpD^
inslitiiendii» grxvjc lint^u»' studtL<. E]u>-
d(!in alius Dialo^uî^ de jKinitn lidis «;r>pa«
lin^tia? nia;:i>lris. El, decauiiune in illis
Ic'rïPndis adhibeiida. Ad liiijusauU'nipc»-
tpnoris dialo^i ari;uinpnLum perlinot ab
i^odoni llenr. Slcphano cdiliis aiiU\i li-
ber , VnratiiKtmma (irammalicarum
linFCOf Un^uœ insfi/u/ionum. — Excu-
riobulur aniio 1 o87 . In-i
HENHICUS STEPHANUS SECUNDUS. Isrt-W
Aaiu nom do iivii ui d'Imprimeur.
Daii* cei Dialnmir.-*. l'aiiU-iir pa.<i3c en rc-
\ur II'» (çramniainen* prcs, d<*ptiu Moschi>
|uilus jusiiirau^k ptiisnVcnl.'i. Il (iiit à dinruii
M p>irt itVloi;!'^ ri de Idàmc , et doinit' tir
jiidioit'tiv r()ii!M-iU sur l'iiuçt' à fairr dt* liMir^
livn's, plu» ou moins i-li'iiinilairf^ ; tiilrr
:iiitrcA i>ii\ra{;t.'s Hrun {Uiroil C^irv graïKlv
rMiiUL* tlo* Mnlitmione-i CrtrcaiiUit tk' Clr-
aartl, H re|»riK*lie au 11% n* d« Mouhopulus
de conlruir liii'Ji tics chiwt> plu» curi<>tiM*A
que iièreuairc» : •• .Vultit ma^is cunosn
ifuàm icitu necessaria . »> Malgré !'e\Utnicr
df grnmmaiiTs mtidtTuu d'un ai'rï'S plus fn-
rili> ri i]url(|urfbo plus tilr, il n'c«l pa& df
dnuti' (pi'il \w Huit indupi-Aïuiblt; , pour n'iix
<pii !»i' livrent M-rictucniL'Dt k Tt^tude de la
langue grrctpie . dt* bire coDnoi*ianre avec
qui'lqu«-«Min^ ilr,^ anciens Orarlrs de la grnni'
Miairi', fl In (erlurf de cd t^pusculr uu peut
niaiMjtii'r dVu C«rili[ft' et n-clifirr te eJ«»iv,
5. .Uti.mtatks onmiimi I*rinfi|iuni
Christ ii) Il iuitis cuin Sercni:*siiiui Kraii-
cisfo Mfdiws, Mii|;no Diicc IMniria*.
Iiïvcnie ac oolktle u II. P. Slcfano Ikîi-
lori* nnlinis rnilrum l'nwliriilniurn ox
raïuillii husi^niinuruiii Ku^Miin IliiTiisii-
Icjn, r.yjtri et Arrnouia?. — Parmh.
Apud l>avu\ U Chrc, via KrointmU^I.
M. D. LXXXVIl. lii-fo[.
O livre, atlrditiê à Henri Estieunc par
Vlmeloveen et IVlailLaire, ire*t ni de lui, ni
*orli de «es preurs ; pr pi*tte ewete coj>ir
de l'inlilulé, ou \utl qu'd a |Hiur anlfur un
nioiui-, le I'. E<ïbcmic, non le uiiiunie Aii-
touiu Knlienne, plusieurs fni« menltutuié dan»
crt ouvraf^e, maJH un jtutre n-li^ciix, de
Tordre de» frère* Purelietirs, nu Diuniniiains,
el qui n'est point non plH.-> di- la ratiiille des
Ettieniie.
M. D. LXXXVin.
4. HoMKHi llia^piOdysscn, gr. cum
interprelalionc lutimi, rt'purir.ila pluri-
mis ciToribus, i>iuliiii uh Henrico SU*-
(iliano. — [lienr. Stephanus) m. ».
Lxwviii. i vol. iu-16.
Cette édition peu cannuiiie jouit de ijuH-
que estime , bieu qu*ou Itiî reproche de u'^
Ire \ut3. assez eorrecti'. Absnit pcndatti uor
partie du temps qne diu-a o^tti* imprestioB.
Hi-tiri ne fui pus a même de lui douu'T ctt»
ftriiiH-i'i >oiiu d'éilileur, par le^ipid» se rr-
eninnuindenl m.-a t<diliuii& t{i-eei|ue4. Ia «cr-
Mtm JJilini^ , re|tulét! peu exaele , (inotqiip
iM'jmiiup rn'liriêe par lleiui . Mir li> rrfoidr
rniiteur, vsl di- l'r. Portai \ ta fm du lo-
Innie .sonl le» ilomtniri Crnlonri, déjà iflh
prunéi |uiv Henri en 1578, uu vol. iii-16.
2. HoHATM Pwiniita : Mpnr. Slophiini
srholiis, tirguiucntis & dîntrihis illll^^
lral,T : «lilio ry>iuiidiï , qu;L* pra'ler «"Ihv
liuruin IcHrupIrtutiontMii, iiliquol tni^uppr
dialnbji8, & tpmjïdnin m Vori Porphyrio-
nis conimt'nlarios ('mcnd;ilnmc»? , tiw
iiun <)iuiâ(iiitii ad eos ue^'t^ones hiibel.
— M. D. i.txxviii. In-».
Sans nom, et avec la miui|ae dn FjilieatM'
l>âns cette rèimpresàon dr TeditMia «iiu
d;ile, un voit, rutrc autres nu^icnUiti<HM,
cjualn* nisMTtnlioiu {Diatrilne] ajouh.r« MU
eiiu| de la iirm-dente édition.
3. Mackohii di' difTcrcnliis et soci^ii-
tibiis Grafi Lutitiiquo verbi LibelliL^. —
Parisiis. m. d. lxxwiii. In-*.
Ce volume e«t au nom de Ou Val ; je le
metji ici, parce que, dan» U pK'bcc de toa
MacrolH*, 1585, iihH. liciiri lémoi^m- re»|HMr
de publit-r. d'.-iprt's uu ms. de P. Pitbou,
11-t e.vfroit de .Macmbe . dunt rauletir \^-
mil Hrv un EcniiMiis dn uuui de Jeini, el il
i-st très puii&iUle qne Iltniri ait runtnbué à
retle publication. Voir Bibl. tal. 111. p. |M.
4. Tiii:cYi>iitis OUiri lilii di* Mlfi Pt^
lufwnnLSturo librlucto. Unantm :vhotii)>
^'(Lvis sii;i$ in i^tles niagna v\ |«irU'
rrpositis Ac inle^xiliiti miîb rei;tiluli«
plerisi|ii4' iti loois. lidein lutine , ex in*
lerprrUitioni' Ixiuroiilii Va lia? , ab U.
Stcphaiio rtK:o}.MiiUj. Kditio spcunda.—
Excudelml iieiiricus Sicphanus. x. p,
Lxxxviii. In-fol.
Il y a de ec volume des ftxciiiplairvt
f^rand papier.
Daiu cette édition, supérieure A U pr
dente de iStU. U \er«tiii latine de t«ur.
K
Talbi rtt cdrrrpêf d'aurr* d'aiirn-m lr\ti*s
Uni-s, rt )s Vie dr Tliurydi'li' par Aminifii
M^ircfllîi), l'^l accnnipapitv de Ui Intdiidinii
lalilM* ri de rom-rlinilh, p<ir Isitar rauulxiii.
l^-s unie* d*' rt* «naiil sur 1rs .Srholira ne
s'éleudiiil |iaH atf-delà du «roud li»iv, parrp
<]iiv i't'Apfiii' d'nlttt'uii' cnruniiinicAtioii de-
imicsel eorrcclimi!.siirTliijrydid*>4-i hivsou
Scholiu»tr a*oii nin don» If cas tli* s'.irriHrr
|K>urlesaUt'itdre.O'.4»(<cotir»n'aiTnaTil]iuiiii,
on \iassi% outre *•( on It'ntiiiui iVtliiîoii. O-
Yoiutiu' |H'ii roniniuii ii'eiil |ii]îtit liurs (l'il-
iagr , luajgri' b 6U|)rriorilè dcn édition» dr
Hudiiou, (le Duker «t d'autm de n» (Irrniirs
1nn|M.
5. DioNvsii Hîtlirarnassci AnliquiUi-
lutii Huiruiminim libri xi. ab /Eniilio
Porlo lutine rcildih ri nolii* ilhwlruli
11. Stt'phyni opiTU' variiiî, Hi'nrici GUi-
reani CI»rotioIo[;ia, el Isiiaci Otwuil)oni
HnimiuivïT^iunts.indf'xrupio-iisHiinus, —
E\)*»i(Ii'lnit, KusUirhius Mguon mU (M
Bcnrico Stephnun. !n-f(il.
Edition blim* saii<i iv U'\te pvc.
lilrc nr jMjrlf poitii df ilatf d'impri-s-
maU kn diiix l^pitrt-s prélimiiuimi
d*A«n, Porlus. (ni. Jitn.,ei d'i». Cû«idimi,
JVoH. Jug., rtaul ili' 1588, font \ntripte l'r-
diliffli ritl dr rrllr nuTiir aiiutT. Mailtaire^
pagr 447, dit que l'un reiicoutrr des CM-m-
ptain's avant sur le liiiT l'aiiuct* 156A , mou
que dans ceux-là n).*)iiq»nil pliuôcurt des
\Hiscn atxtBBoirrs qiiî Mmt don» lc« «utm.
M 0. LXXXIX
NovrM Ti>i*tainpnliim, lirfpr»', cum
duahu? Uitini>< inUrpivtalionihus , iitu)
velero, altoni Th. BcztP, nunc (nmrloab
00 ror(^niUi , rum ejus unnoUiliunil)us^
liac quarUi rdiliont' lotupleUitis : s(H)rsini
e<lcnUir Onn'ordjintiip Novi TisUmionti,
<.ï|K*nim ulrm Beza & ijuiduiii nlii
ipeoderunl — Oliva//rnr/n.S/c;*Afln#.
». Lxxxrx. In-Fol.
i. SclIEIHASM\Tl•M^arin^Iln lil)ri Ires.
qui Bunt pensa *îU(\'i*iivanini lioninmi
Aprilis, Maji, Jiinii. — Excudfbal //cn-
nciw Slcphtmun. m. i». lxxxi^. Iti-«
Cette MTondf paflir detoil éXre suivie dr
dfu\ Atiln'A, qui .itiroinit runiplêfi' une a»-
iiée euliimv FJIe vaI plu» ran* cpie la pre-
miên*, de 1B7S. Ci-s OpiiAeules pliitulof^iquex
Mint Aurloui re4-f)inni»iidalileA par une mulli-
(udc de vnrmiiti'* et de correctious, poiir U
plupart des anricni êrriiaiiu, lanl lalint qt»;
3. DiCiCAiicHi Messcnii Goographii-u
(|U(F»fiani, sivcde Vita Gr*<in'. Ejuî^dpnri
[)oiii-riptio (jra'ci.-i!, vc^^ibus iaïubictii.
ad Thoopb radium : £T«fî<'f*i cxtm lalinu
inlerpretatione aUjuc annoLationibus
lltmrici Stc'phani , el rjus Dialo^c , qui
inscrihitur Diwwin'hl Sjinpi-aclor. —
Exctidobut Henricun Stephanu». m. d.
txx^ix. In-ë.
Quelques exemplaïrci ont i la fin : Sscit-
liefmr Strplt. Prf^'ottemt, ou «jr le titre:
.-Ipfui Petrum Chouft.
Ri-imprimé diiiw le onnême Totumr de«
AnIiqtiitèA <irerqm« de flnnioviu*. ri dan»
le MTond volume de* Petits GL-n(;niphM
d'Hudun.
Cette premiiTe itUlion, faite itur un ma-
ntucrit rapporté d'H.-ilie [>ar Mnlhicu Rude,
flli du tm savant fWulliume, el XvH uvanl
«uasl daus la lanf^ne hébraïque, éioil impri-
mée depuis pliuxienn années ; mau Henri eu
diDemit la pidiliratinu . t\f\t\ d'y jmndrf> Ir
Périple de Srjlax, qu'il i'sjWt:* long-Trnqi'î
se procuriT. La version Intiur ni dr Henri,
aiaii qu'une partie de* imie*; les autres sont
d'imac CaifatilMm.
M. D. XC.
\ . l'HiNrii'iTU Monitnx Musa, âivp de
rrinL'iiMUti bene inslituendo et adminis-
tniiidu Pooma. AuloroHpnricoSlephano.
Eju-iiioni PoemîUium, niju.-» versu» inlir-
calariïi, Cnvfte voff*'^, /Vi«ri/»es. Ejusdom
libcllus \ DialoiïiiA Pbilocrlt* cl Corf>-
neili,] Pt lilK'lliis in i^rylium Principuui
MTipluH, iJt' Arislolflir.'iî l-ithins dilïi"-
roiitiii iib hlslork'u \ [HK'tk'a. Ulii ritiill
Aristotelis lori v*'I fincndanltir, vcl fide-
liùâreddtintiir — Itasiletp.n.n. l\\\\.
ln-8.
Ce livr»'. t'( ()i)rl4|iie4 outre,-* contenant de
iiiAmi- dps oinrapus de Hfuri Eslienuc, sont
Jnlnwlmls ihiiis trirp listi-, bitn qu'ds ne se
(in-si-iilnir i|ii'fn iiii|)ri'v>ioiiH pxmilces ail-
Iriirs i|iic clijf/ lui. Kii tèltf du Miliinic r^l.
en m ïfrs. \v, rro»'mp. ou |>n*fare d'uni-
tltuvre de Hmn FAtifuiM', inlîtnU'c : I/Kit-
iirmi aiortr)di-5(«doiiint3lcurs, cri xt-rs fran-
ÇOt$. Ci'tU' irturt! a%»il èt<* pri'-M-nli'c |mr
IMtflgBie â ïleiiri III, H il ru «'-.t iViil irii-ri-
l&H&Iulr poêiili; latin. Jk uc wis jKis (jim»!]
Tai jonai» imprimiiv
Qucùque lonj; , et paroisiODt indiquer tout
le coult'DU du tuluriK, re Utrt? u'eit cppwi-
danl pas rorD|>l('i. \\irvn \vs ±£4 \*a^<!A de
IViaa MonirrU, vienn<'aL, i*n 64 }ia;;ei, dfîiv
mitres oinrngt's en \cts, fnisanl suite à vc
ITClipd lie coiiit'iU \rrsifii*». 1,'uii , flrx rt
Tjra/mun , est un iiariidi'It? entre ce* deux
sortes dr nluîl^l'^; I»' seroud Iraile De firinci-
patu hrne inst'itiiendu et atimtnistmndo, vi\
vers liexaiiiétrea, M musa Morùlrive priiici-
pum iliciuti. A|irùs M>ixanlf;-trois dûlïqueft,
lotu Muvis du refrain Cai-rtf tobit, prim.l-
/iffj, \ienl un Dialogue Ptiifocflttr rt Coro-
nriii , en V^ pi)g«>, non amioneèiiurlo litre,
cl M.'r\<iut deConiDienlain-s,in\ Distiques*,
Je doule qne ces A^is ou CnHM'dt vtr^i-
fi^A niai» lrê& |)en |>oi'*tiqueA , menl M)n\itil
été à leur dcitioation , et que L>i'aui>oti|i de
pcrunnei en pouvoir *e soient troutée?» eu-
lralare.9 à venir y faire leur rdtirafion gou-
verDemcntale. Henri éloil un liomnie ct'uu
»avoir iniioetise, iv saxoir n en cU' ^'nnids et
utiles n-sitlliils; m,n-> |U>iir <i ^erMfii'atiiiii . t't
mèuii- ^<1 iirtLM- latiui-, qmll*- diirri-riirr uwii
le *t\\\v v\\-^Au\ vt mnet'I. oit pdurrtitt diri"
aimable, de Paul M^iuiice, el souMiit uirnii'
d'Aide. Mm lïU! Kit le» Li.'«JiDt . on ouhlio
preMjne qu'on lit du Jatin iitodcrtie; ru llunl
* CeroneUu» «st Henri qni lilini«r ain*î \r
namStrphanut tr*ii»[">rl* tlu j;rrc. Il emploie
>ii««î('.(Mleitirinevarintilr04a*t'v[micuIpX'ff>/Mifi'
lÀpâi LatinttaU «I |ivu{-ctre cavurr dillcnri.
Ilviiri, et surtout «■« verw, une li*)lc illufioi)
i*sl Initimirs iiiii)iis.\dile.
\u re>lf, ri' tiitunir, fini mal imprimé*
ne laisse ym, dVlre curieux |iar l'êlran^c
de M>n «njet, it suitont par U palriolique iu-
tvDtiou de l'auteur. Il est fort rare.
M. D. XCl.
1. Ad m Tehentii Viiironi? Assor-
Lioncs ana!oî;i;r sermonis liilini, A|»-
[K-ndiv M'TiririSlrplwni. tifinJuliiCiis.
S*'«lij;t'ri de «Kk'in disjmlnlio doctis-
sùna. Loci Varronis qiinnipltirimi enieii-
duti. — Exrudpbiil Henricus Stephanvx.
M. I». XCl. ln-8.
A là piif^e TH , Maillaire mentionne uiw'
édilimi ronqdele (le Triraitiis farro, 1591.
in-H.jmais. pag. Illi. Jiste générale, il se rce-
lilîe. et d tiv vsi |du3> que^Unn que de l'Ap-
pciidix. dont je donne le tilrv' exact.
2. ('.. Pmmi C;(>c. Seciindi Epiptt»-
lamni liJj. !\ Ejnsdcm H TriiJHni Imp.
Episl«hp AmœlwPiP. Ejusdrm Pliim A;
l'iiuiti, l'.luudii MHiiHTlini, Ausonii, Nii-
zjirii, Kiiruniii. Panejjyriri- llom Clau-
iliani Panc^yriri. PrœUT mullos locos in
luic pusU'riuri cdilione oiii&iuUilos . ad>
jiincUe Sun! Iriaari Oisauîioni nolae in
Epislolas. — Exciidcbiit llmricus Stf-
lihanii». M. l>. xci. Iii-t6.
Hciinpre^ion de l'cdilion de 1581, nuû
;iuu'Jiurêe el ptuH ample.
M. D. xcn.
1. s. JisTiM Martyris Epi^tola ad
Dioiiiiolum & Oralio ad Grîpcos, ^. el
lat. nniir primi'iin Iucp pI lalinitaln do-
natfc »b Hcririio SlrpUaiio, rum tMusdcm
K Jacobi Bpurpri aiïnttUilionibus. Tn-
lijmi. discipuli Jiistini, qu:i>dîim. — Es-
nidobiil //i'nricu* Sf<?;>hrtHiiS. M l», XUI.
ln-1
1Sfl*-93-M. HENRiaJS STEPHfVNUS SECTTNPUS
i. Dm Murtinalitm Venutiom?. sImmIc
Tli(TO|ïhut)iii sci^ctuni ot viliiirn aipxi-
caca, ailla ab illiislrisiiiiun Principe l'ri-
dwico IV. htlaliiKi ek-oUire. Ej>ii;ram-
ntata II. .Sl(>[)luiiii. — Ueidclher^a^ .
H. i>. xt:ii. In-i. 3ipEiges.
Jf iroute tiaiu Niceron, AlndoKvu et
Maillaîrr rri iiilîlulè d'une pièce peu cou-
uuc; «I, bien c]u'dlt> nu Miit «ortie irai)cuii<-*
Imprimerie Slt'pliauipnnc , ]»• l't-'Drv^ijitri' ici
à causr dp 31 rpi<;i-aniuiii't de Hi-iiri F.i'ii!Qllc,
prcci-dèes d'uni. loii:;in.- [iréticc LtliEii-, dinit
il eil au&si ruuli-ur.
^^HTU
3. IlEnoDoTi Ihilicarmis^^ci Ili^Uirid-
m lib. i\ , i\ Miiî^itriim nominitHjs
inscripli. Ejiisdciii nurrutio tl** viu*
Homcri. Cum Vallic inlorpri'l. laîiïm
llistorijinim Horoiloli , ni» Ili'iir. Sî*^-
plunu nT(>;^iiiUi. Ib'ia mm icuiiibii?
stnfrtur.trurti iih lliToilulo dc^ripUirutit.
(;te*ii:n ijii^'riiini tU* rch. IVrs \ Ind.
EdiliostHMindii. — Excudolnil Ucnriciin
SUphamis. m. h. xr.il. In-fol
r)aa< rctte mtiiitrr-wiuii, tnniiit bi-llt* t\uv
rdiliou lie 1570, K" lexlc a t-lL- dr tinim-aii
VII par le savant t'-ditciii-, b \t*rsinu taliiii*
156C est licaitrutip corrigée, et le voliiuie
rc^u «rutiles aii^cittalioii.4. Oti peut dniie
faire iivige avec cniifiniicc; mai*. »i l'on
I l'hiiisir, il latit pn-lérer l'cxiition suj-
vjifile de IdlH. eîie/ i*aid E»tieime, la-fol. ,
|ui ^aiH nieinv mien V.
Uaiu res deu\ réiniprr-isioris un nrv(.»it le-^
avures eii tMii^de t;i mtsiuii Inbni- de ]r>6G.
ma'ti V .tftoUtgitt fin.' Ilcnnioltt n'y a pn» èk-
léitnpfiiiu'-e.
i AffiANi AU-\tindi'itij Kuiuîiiuintiii
istorianim, l'iitiir;i,sivi' OirUmt^iiiii'n-
, Pailhic-ii, llioriui , Syriaai, iMitltri-
'duttra. AriiiilMtliai Ocltica' t'I lllym'ii'
Tnignii'nla (luaNlam. Item do IxHItts ci-
vUibusIibn v. ^rirce el JJil. Ilpiirici Stt^
ani uniioUlionoâ in quaâdam Appiuni
istorias.'L't in foncionrs imt lolnni opits
pursus. — ExcudoUtl f!rririru^SU'fih(i-
NX. «, i>. M.ii. In-fol
riarum libri \xv. p-. el lai. ex Guilicbni
XylunrJri itilcrpirlatione. Cum Honr.
SU'ptiani casliï^ationibim.
Henriciis Steptwnus de Dionis Ui8t.
5cHpM;runt »lt'> lloreatii l^mpoiti nomir,
Kt gr^wf. «ÎC «|ii»niin l«ni[>or>< pisai fiignm :
Ilistuciaa «lia» uli coitft^rlM Umuii i
Kîvi dlm, seJ U'a» i»l< Utoni» «rit. —
— EKcuflptKU Ihitricus^ephanHu. m. o.
xcii. In-ful.
6. Ex DioNE r\(wpta? Kislorise : gr.
îib Joanni' Xiphiliiio, eum mU-rprcla-
linnc Gjiilichfli lïtaïu'i.a laiilit'Iiito Xy-
liindn» rproiîTiita; Hcnrici Slt^phant in
JrKtfinem Xi[>hiliituni pobl duos e<n-e};ios
nippson's Spiciloiniiim. — Exnidcbat
Hfinhcits Siephanu». m. D. xcii. In-HJ.
(V Miliime r»t finliiuun'nietit relié à \a
suite du prÎTrdciil.
.
M. ï). XCIU.
I. Isoi'HATis Orahom**» c»l EpistoliP,
KFîeoe : cuiii latina inliriirelationo Mic-
ron. Wolfïi. ab iii^n ptistromùiti rwo-
{înlLa. Uenrici SLcpliani In ls»'rutoni
UiiitribîC vil, quanitn una observationis
narpiK'nitinni^ m oiindoni ovarninal
(jursria' el Arislidis qinc'lani, rjuMlent
ctini Isoeratk-isariiumenti. )1X- •'! Uiline;
<i(iil. Canton» intorpriH*.'. — «. t» xciii.
In-fol.
IJN-die par Henri .i ÎVIai^ l'iigRer, de eette
piii>utanle romillequi l'a^uit iimxciil aidea«rc
Lif ineillance.
Le juipier du crltc édiltiMi a,i cumiuuii er
«an» ciiiuiKlaiiee. J'eit ai mi â ti) Kibl. Kuvatr
nii exemplaire mu p.ipi«T nu [len pUifi Idaiie
l'I iiieilletir.
456
HEMtICUS STEPHANUS SECUNDUS. JSW.
futionf — Bx lypoiauplioio i/ffln'n S(t^-
phani. m. d. \civ. In-fol
Vavs C»nixinlaiK-(Ts, auiqudlrs travailltimit
Tlinitl.ilR Brâ-, ti If m, in m util (Pnef. IVovil".
fir. nniù ISS'J], mkiî mi Rtaudv |uirtii> l'oii-
ira^r tic Koliert, ()iii m' prnjiusoïl du li-if
c«l»iili'l(T pour lûiil 11- WMv grpt- ili-s S.
EmfHrfs, I>flii> la iirrfîMi', Mem-i rs.sair île
piquiT il'lioiiiieur Ic^ Intpriniiurs m-a nui-
frrrt's, itl k's iiivifi- k lui Iaîamt uu nioius
<)iit'li|tit><> aiiuu's dt- |KiKiblc jimiikian»: avjiil
t|i* !v'.-i|i|mi|:^ri(T <t' Ira* ail ut ûtii
;id uUqiiol ziiiuos |ll'i^ilt'^illm ulln)irragt*ut,
L-i roejuii alk-itae |iai-uiiil ; nmi qiiotf uli iis,
i|iii)ritn) iugt'4>ium Kutk' |ioliis&i<iit. Typogru-
)ilti9, M-d :il) iUU ijiii (MiHiiiio illilcrati ntcal,
>thi liriiiTLv ■■
t. Al) Au^uslisHtiiiuni QiïsanMn Ho-
il«il|diiim soi'iiikIihi) cl ad iiniversirssucri
ltojn<)iii liiipt'iii iiiiiplissiiDds ortlimsRii-
tisUmia' ('oiivi'iiLnm liubonks. H. Stc-
\Av4\n\ (Jr.iliu aJvprsu-s lurubnitioiieiu
lîbrrli l'olirtîr de iimi^nitudiiir ol pcriM^
luii in bcllis frliciUilc lm|itTii Tuiiiii.
(AlU'Hi ('jusfk'in jhI cas/li'iii) K\liorl:iliu
ud expeditionciii in Tinva^ lortili'r i'\
consUnkT iK^r-stHpieiidym. — Fmmfur-
iiii ad Mœnuiii . WLvIiPlianiK lypis
jt. II. xuv. Iii-M.
Aiec utit* dûticaci' i!ii en Irrraes :
Heuriau Sli^pluiiu*
îi. 1).
li. (llloui HcDrioa LdndM'Iuuliu » Slfiiui-li
K.ilUI>. III coineiili] luip. IW\.
L'imprL-ssiori di* cf ^olunn* » du^iuc ap-
p:iri'iirr qin' m pIIi' a\uit l'I»' tatlf p-ii l'un
d<7t Kitiriiiic . rr ipii pnil fairi' croiru t|iii'
ilciin iii)i-uil vriidii.iKil. \N wln-l Ji's l'unit'»
de iiiiftipii-s-iiiA de m*>i riinirlrrrs,
Ta-â driU |ii*>r» fiiri-iif djii» l;i iimjiH' mt-
tkv li^diiiti'» cil allraiand , ri iîii|iriiiii'^«
aiuui à Fraiicforl, in-4.
I>aiih une Lctlrr* (Hpuloia) dr Hcini , t|iii
*iciil aprrs (i- »< nuid DiM-otm, il se mu<|Ue
d<-^ f/iftfitfmimt , cl dit «|u'il lie *ui»( cire uî
t.ip.iiomomiis , ni f.tutiwuln.t , jnn de mnt'v
don) le iQ.-iii\ai\ ijoûl i*i;alr la pcdanli-iii-,
1*1 i|iii fail voir m>ii aiiti|iiitliii' ptiiir Ju»U-
l.ipM'cl .«•^■ldu1i^alttlr^. 1,'iVnl lir ) Lîpiii
t.aliiiittilr, «pi'il iiiipiînM aii-MJ 9 HMicfovl
raiiiH'c «tii^aiiif. l'iiiiiiiiu.t %% ijiH-ir'llc niiiir«'
ce sBvant «hlntr, et hii atlirn bien de» tlèa-
grcmciils.
'i. Lks PiiiL«it:KS , ini k- piT'niier livre
ries PnivcrlM»;* ^plt:r<ii^iinïitizez , ou (1rs
lipij^rdinmes provcrbialiàez, c'wl-à-din».
sii^ncz et scoIIoï par les piwt'rix^ Intn-
^^ois ; iiiicutis aussi ;Mir li*s ilun-^ cl Ui-
tiiis, uu uutrc:^, prib dv <]uolcun div
l;iri^jij;es Miljniirw; rangez en liem
{'oiiimuiis. — Hrnn Estiemte. h. u. xuv.
In-H.
Ia: IniJt pAi- llriiri l-lftlicuur.
i. Hx Mkmnone oseert>Uu liUUirûb dv
lyniniiis Ilfaiclox' Pontk-aj. Ex Cteâia
et AgjilliJinhidc ex<'4^q)ta? hiâturia>, un*
nia cuui nt-t-nU atcessione , arax.!?, et
soursiiii tiitinè, iKiiiim ex Ili'nrici Sle-
pliuni, (wrUm ex Liiur. Rhodonumni in-
IcrprcUilioat'. Appiuni IbcrU*!, et de
î^ostis ViiriilKiJià, gneit*, l'iiia Hdtirict
SLcpliiini (:a«lij»iilionibus. — FAOudobai
llenrivns StephaniLs. m. o. xcjv. ln-8.
I»imlli, Cl" 4MU. met ce viïlume Ur I5M ,
c'est wiic circiir.
Dan» uu (lalaliigiic de la foire de Franc-
fort, d'octuJHT laiW, (v voliiiiiu tv»i porté
uyaut iSiti i b nuri;c de l'ciiuiicv du liiiv; et
ecpcndaut il a bien rti^leniciil b datr dr
IbUi . rpu lui i-sl aillai doiiiii-c dauj la livre»
|iiJilii>f;i-npbiiiiic<i. Du nura lire quelques tî*
trt's pour lrisr\cnipUiiY5 à envoyer ta foire,
cl nit2»au nslv de l'cdilioii la dali- , pliure-
ccuU', de VM, ou Lu!ii rciirc^^i^lreiimit daiu
l<' (lalalo^tie iiiiiM éic fait sur tcn utiles m-
\o)h-s n l'ovauce par llctiri avaul la puUt-
rariiih île mui li\Te qui n'aura êtc orjicvc ri
pubbé (pl'eii 1594.
IjS verijiiii I,jiliui* tiirni>' uue |MiriicM''paréc,
aveCMniilrc; oiaiiielletlott veuu-.i la itùlc dn
p-('C, et y élre jutillf. I.' Vppieit, qui r^l daiM
le volume griT, ne se IniiiM'pa!» diui^ le Intiu.
5. I)iur.p.\m I.Ht*rtii d*? Vitis, du^tuuUs
H apopbtlifj;uialbirlaronini l*bili»soplio-
ritni libri x, t;ra;cô i*l latine : PytliA^^tK
rwruni fniiîm(Mita, j^r. el latine, iiut-
lîolmo C^iiitiTo inLerpri'l*'; Anonymi
ilis.*irrUiliuni's, cl K(iistol;i' Lvâidifi,
Tliriinus Mtiijr «*l MHiss;!', Rrux*<^, ciiiu
ISM^. HEMUCUS STEPIIAXUS .SK*U:N0US
Isuuoi Cviiauboni notis ad Diogpnt*ni , ^
llcnrki Stepliani judicio de inliTprvUi-
tioni- Ambnisii * Bro^rnoli. Ilt^ychii
llliislrii (Mylesii) liber do iiftdem l*fiilo-
su(»liis. tT- cl lat- Had. Junio intcrpri'te,
cuiii Hftnrk-i Stephani annotationibus.
Edilio seijUnila. — Excutlt'lwt Jfenrivm
StfifihaHm. M. D. xciv. In-ti.
à la itrm<d«uU.* de
Ëititiou tfupôrieure
1570, fl pliM corrtcU'.
Ln viT^iou do Diogciii* L. par Amttrmio el
Rr<^auli , est iri rorrigif par Henri , (]ui n'a
\iiis ndiuU 1I.111& rHip rrimpn^ssion ln nolr^
(If sa |tn-ii)i)-n' rdilMin ilt* 1S70, qiw^ cssrnt
imftrr/rt/tf. Il nf ivmtmiîI tir les reviiir |Hiar
uiu; |>iiblicu(iou iilU'iieurt? ipii n'a |ku imi
lii'u. Ojlt's de CftuuboD Mtttt |iliin anipirt
vi pliu «•xartes 4]ih! duiu Icui |ii^riiittri> nll-
11, Ibite enlU9, en uu \o\. m-«.,iMiu|p
n. xcv— xc\nii.
Alnirlutcim, p. 31, met dans la luir dr«
tinpriTuioitjt de II. K>tii:Dnr une cdittoiv de
H<-i HuiUcte Juctomj, ISltS, \n-i. Ci: \v-
II lumvcxUtc, maù il c&Idu Jer. (Joinmt-liu , a
I HcidalberE.
^■bio
S. JusTLM MarUiis Epistolu mi
nrtiini. el Or.ilioad Graxos, -^r. et
[HT ÏWht. Stc'plianuui , cum noLia.
M. p. v;v. Iii-H.
tililiuii (pii uV\i»lr qiir iraprrx le tr-
içiiafjc d'Alnidtivrf>ii, p. tfi. vl ilonl iiii nt-
luil imllir autre Iran-.
2. De J Lii'SII LiiliniUile Pal.pslrjt
irna llenriri SU'pbini Piirisiii'nsis, nov
iuntimi, iiif Lip^ioinotni, nec Lip-
olacis, iiiiilLi>i[iie mini'is Lipsionias-
li^is';ruiii l'jiiryli'iTi pru.>ludm . Libr.rtas
VitU) sit Latiuitoli, ffii itreiitia iiiilo tletur
illi : liic niiilUi non ^ul;^•)^iil vul^litfm-
Uiniin lîn}.aiisde UitiniUitc illii idiLiqiui-
riti ttiiidiiii non (fi^l.idianlihiis ;ipp(iniin~
u'i*»l prfwpH' |Mii'k* qui* de lo gurrrc -À laire
aw\ iSiies, ft dit ipi'dii If lriMi%a si ndicuU* ,
(|u'oit fu .illiiu{;('a uiiM If titre : •< De Laliiii-
tate Lip-fiaua advfraus Turcam. ••
3. Hrmiici Sli'pliani Carmen de Se-
tiatulu fœiiiiiiarum , nui^nuni ik>iiatui
^iroruni levainenlnm ntqup iuijtimenUim
uilaturu. — ArnvutoraU , Antunius Ber-
tninius. H. o. \o'i. ln-4.
Pamplcl )>oélique peu connu et fort rare.
[I fut payé le prix exagéré de 2i fr., \eiite
Hrifuiie, en \Yf!. Je In douiuTuis liieii vu-
luulitTit aujoui<riiui ri» ik fr.
{'Ai viiliuue. iuM'Lit uu Calalt^ue dt! la Iti-
bliotlièquu Mazariiie . ci cherché â piiuiuiira
rqirisej , n'a pu élre trouvé , Kiil «eut , floit
(iiM;\ili euqueiquc recueil de pièces.
4. TiiKoi>oRi Bez;t» Vezelii PwnuiUi
varia uiiuiia, Sylvie, Elot;iit;, Kpi^iiiiii-
itujU), Icônes, EniblemaUi . Cato (x-nsu-
riusChrii^lianus, ahipsoanlliorein nnum
liiiiic corpus eolkvUi et rtH!OîïniUi. —
NetnicHS Slfphumts. h. d. xcvii In-i.
Ce lî^re iu-4., conuxicnoé par Henri, fut,
après .ta murt, acheté par Jacques Stocr,
qui ]Kin>it ra\uir niirts vert ki Emblénirs.
Le titre ne i>orle nucun nom , luais seulo
menl [a mart|iH- tli* Kruri, IVans Ir «ctlitim*
he tr<>u%'eul .4hrahamu> Sntrififom, el .tp-
ftfmiU ad Piirmntu , oun iniliqiH'A sur le
liliv. Quelques evmqtbirt^ se rejicuiilreiil
ayant au\ L'mùltamtit, p. ii3, uu litre e\-
près : Th. Beta tlmblfmatc. Jf}ud Jnca-
hum Stoer, 1598. Dan» iranlrv», au rummuD-
tement, après \vrs «inU Caitt Cemoriu-t , issl
i-ollei' une petite liaiide du papier, sur la-
qiii-IEi- un lit Mbntliamtis Sncrifuans ; d,
pour en fiuir avie ce; détail», j'ajouterai
que , sur le titre de quelque»-uns , on a im-
primé, évidemnieiil après coup, CVtteia-,
.-éfiiul CahrifUm Ciiarttrr; el enfui »pie de»
exemplaire:* , prultalili-ineiit mis eu ciirula-
tiou a%ant I51I8, n'uni |K>inl l' //'/'r«(.'(>, ni
.thrahamus Sacnfiiftiis, ee i{ui \v> reihJ in-
curnpIiiA des K9 dernières \wg,n.
«58
IIENKICUS STEPHANUS SECUNDUS. IM».
Otmmi* k* voImiiw <le 'IIhkhI. de llrxv. le
liiie lii' rAm-ci n'a puitil il« nom. mais seu-
li'riicul Iji marqui' de llcuri. Il est ilèdit'- par
r;uilf ui- à Crforgr Sigumoud PraliM'liMit) , ii
l'attrifi'lt, qui paruil avoir fuil les ïrab «les
duUK «olllITM'Â.
6. NovL'M Ti^AUimcntuni , lii'.-lal. —
M. o. xcvjii- In-fol.
Avrc 11» den\ versions btiit<*-t de la Vul-
gale et de Tlicixl. dr hèzv, ifiiî diMUtn dt-s
Miiiuâ ntlp ôdilîoii. Uleii ipi'igi- de 80 ans.
Si Piiiclli l'sr rxarl, »-i' \iiliin«! il** VU, qu'il
indique hi-uli-iut-nt ati») (Cena-iv), a di^ètre
cumiDciicé avirr Hetiri, el arhcvê ajirèii mu
décé»; ou bien ce fui la premifrc ioipres-
sioi) de Paul, «ucc«dBiil à louldi^icincrit il«:
Henn , »(>n père.
7. 8t:iieuiAS]iAT.« 11 »d Dioaoiia'liurii.
— Auif yindel.. IGOO. In-8.
Index Bitil. lUrlu-rinir.
S. RitEMiATioNEs in Pi'tmnii Kpi-
^•i-ainniaUi. — lldenupali , 1GI i.
De c« mènit; (^^Uiloguc.
La Croix du M:iine cite comme exiytanl eu
niAuiL'rfTil diii\ uu\rat;i'& ou Dissertations
■II- Henri Fj»lu*Dne, intitulés :
IJcs iincicnt (juirncr» des Oaulcs, ei de
Iwiri -tin-ri^^enrA.
E.I, De la prèrmiueiK'rdcA Koj.ide Kraiin-.
Voirauui Bib. de la Ir., n«> M.'AïA v\
M.787.
Dout les ^in^t dpniién'S années de ce xvt"
)îin'lf, il a oié imprime a (•enc^e. »oit lanx
aufriin iiiin) . >inl a\ i-r lir m^iI i» un dr la
%Ule, uu a«â£x grand nombre Je ^olamet.
Ib plupart ayant rapport à la relifion refor-
m<^, rt dont plusieurs sont peut-'^lrc Mirtu
de» prciiÂts de Henri t-l^tieune. H&Hij'er nir
ees livres, maititeuaui pn-vpie ions Ikits d'il-
wigi' , ntte ^mnciiliuii. ipii . apn'?>l»iil. ne
pnni'mil Vrtri* ipie fiiiijei-lurale, .sirroll •ain
nitlilr Ulltrain* un bil)llu£;i;iphK{oe; et uitr
U-tli! aui;niciilatioii li\ jiolltvtiqiic du Dufuljrr
df?) Ltlitions Stêphauirnttt'ï n'auroît ps»
mhvxc puni rê-Milliil d'uiduire ipielque» aou-
ti'ut'â à V t'IierrluT a-tte augmentation dr
jnuis.sani*e& qui' tH';iuri>up imiI ltlJll^èe à fatre
«nlivr rciuinif de rurrr, dauit li'> cullectinu»
AMiiit>>, niiH niultilnde de li\res de et»
m^iucâ ipiiit/e à vingt années, qui presque
tous apparliennent à d'autru<. Impriinvun
VéitilieiLS. IxA anuilmr» .tonl eu eeUi «ervi»
avpc le zèle le plu> evi-niplaire par ta plupart
des rédarleur^ de (lalatogues mà\ uftieiuauK.
soit de vrntfjt publique». A la n-ocuntre du
pbLsinsiguilîanleabitT on volume de la tînihi
M>i/n>ini- siiTte, on des tfniiuiriM'i-mnitï du
div-M-ptii-ine, avant niir uitm-Mir le tîtrr, ou
du moindrt* \i\\f d'impi-e<s^on \ênitiMme m
earacti-rr:» res^mblant plujt on moiu.s à re.iu
qu'cuiploycTL-nl les Manuce, il n*t rarr que
l'on mniKiue à en enridtir laeollection Aldiue
déjà 1ro])tMicorobr«'c der«.s fanuM rirheuc».
Le pW-cieiix niroutiu est Mgualé comme uu
joyan êrliappé auv reebeirbe* de M. Rr-
iHiiiiïrd^ l't sur celti-t unllili- ;iiusi (;li)n(ic<^' sr
lit quelipiefoiK iii loiiti-^ Icllro tt> nom ilu
Liliraiiv on de rimpriinciu-, tel que Fr.
llftlia, on autre df Minlibhlr im|MirtâiMV.
C'est, du ri'jktr , aux amateurs iuMrnît» k ju-
^x ce qnt' de cessoiies d'averti&t«meuti Ucat
I à propos dr rejeter ou d'accueillir.
1. SeiuoNS de Jehan l^lvin surira
comnuindcmpns iIp la Iny ilonniV de
Dit'U p;ir Movîic;. nulrrnirnl apftrllrz !*»
DocnlosiULv Uiviit'iïUs sur-Ie-diomi» , et
mot il niol, de sis prtVIiriitions . lor;^|ij'iI
prrsilioit le Deiileronoinf . i?nns que de-
puis .-litesU^ rieiï .uljousU' ni diminué. —
<iVnci7'. pjir François EsUt>nne . \w\ir
incmii le Melaiii. H. i). lxii. 1i)-8.
t. VwoT-DEux stnnons do Jehan
lalvîr sur lo cxi\ Psraume. — (ipnei^e,
(>ar Françoh ICutit'iwe, puur Eàlienne
AnasUiâC et François Bodiii. m u. lxii.
In-H.
C.'vsl W lûHt; Psaiimf cxriii, Bmti imma-
r/a/i...., le rxtx ai'liiii l'iiébruu.
3. QrATBE semions de Jelmn Citlvin
cantique tpie Tei! !e bon roy Kze-
raprOs qu'il eut ét^^* tiialîHte. et allli^é
nuiindeOieu; piililit^ jutt Jacques
Rou\. — Gftieve , \mi- Frttnrnis Fsttrnne.
ir Estienne Armslase. m. d. l\ii.
i. CoMMcvTAinEs de Jean Ciilvin âur
Pseaum*s. — (ictierf, iuïpr. ]«ir
inçoiiç Eatieuhc. h. d. iaiii. In-fol.
5. r.OMMENTAiHEsdf Jeluin CnKin^ijt
cinq livres de Moyse ; (îenese est mis
à |jurl , les uula^s cpiatre sunt disposez
en forme d'harmonie. — 6'MietY, impr.
par François EsUenne. M. s. t.iiiii.
0 BiBLU lutina. — Ex of^c'mti Frati-
cisci Stfijthtini M. d. lxvii. Iu-8.
7. Lv Sainte Hil>te, traduite en fran-
eois. avec le calendrier )ii:*torial, les
Pseaumes eu rime, la formt' des prières
ocdesiusli(|Ucs, le. Catéchisme el la con-
fession de foy. — l>e l'Imprimerie dp
François Eslimne. u. d. lwii. In-».
I^ premiiT titre porle l'aunre ISflG, el ce-
lui du N. T. Mille 1567.
8. Nûvi;m J. ('.. Teât4inienturn , latine.
— M. D. txvu In-8.
9. Lr NoirvEAU Teslanienl. — m n.
i-xvii. In-H.
Ce ÎV. Test., que l'i>n trou>c qui'I»|nt*foi>
!M.1tarcDiriil , fait partit' de lo Riblo de 1566-
67, i|iii ph'crdff.
10. Le Nouvbaii Testament, roveu &
corrigé sur le jrrec, pîir l'advls des Mi-
nistres de tjeneve. — Par François Es-
fifnnv. M. V. i.xviii. hMfi.
i I . Les PSK.VIXRS de David . mis en
rime françoise par Clément Marol et
Théodore do Beze, avec les notes de mu-
sique, leCatechiiime, la forme des prières
iN^cIcsiariliques, la confession de foy, ta-
ble des Psfaunies selon l'ordre quon les
cluiule en l'Eglise de Genève, tant le
dimanche que le meeredy. — Par Fran-
çois Estietine. m. » lxviii. In-Il»
42. Trah.tk de la Grammaire fran-
çoise, par Rvit^rt Estimni'. m. d lxix.
■
Cilé pat Almclomui, uihi p.iA dsiM m fisle
J'i-«lilioii«. niuî.<> Mïiilcmi'tii «Inn» M>-i Riu^n-
phics. |). 'M. ijovamv il v a de crtic <>T7iin-
inairc FrançDuc du |in'rairr RcJhtI itin;
iliMililp eiJiriun , I'iiik- IninruiM- i-i l'iritin* ln-
liui', Eailr à Pjim. par RoImtI, miii fiU . il
oA peti |ini)hil>Ie qiii> KraD(,-oj^, m'iU ûiitlf
Tils, ]'iiil aiLui impriiDcc ■ <ienè\i* dai» b
mivir iiiint-c ; et, s'il y a des ewinpliurcs nu
nom Jr cliumii (les cl«ii\, cp ipie jr Ui» pas
*ii, on peiil croin' ijuc riinprc«)ioti atin rtc
liili lie raiirfTl, et l'i-dilioii paiiogiV.
1^1 raille, iwig. U7, niciilioitiie miséi ccllr
(•tammatrtt oonintr imprimât' par FniK^is.
M. D. LXXIX— M. D. LXXXU.
1.1. Tb-ucté do l'F|»liso. par l'hilippo
<li' Momiiy. — Geiu've. de riiii|irin».'rit'
()p François E&tietine . pour Antoine
Chuppin. M. D. L\\l\. In-H.
< 4- Traicté dos Danros, par LambiTi
Djin^aii. auquel psl ainplonirnl ri^oliH'
hi qui-ï^tiuii u savoir s'il osl [HTmisiiux
Chreslifnsdo (iunror : nonvi'lloinoiïl mis
en lumière. — François Estirunr. u. d.
Lwn. ln-8.
Rc-iniprim^ m 1U0,Mai tndicaDoD dctitni,
l'I cnctin- uitc foi» , nui» je i»c «aU \ak en
qnclli- niiiHt'. (le traité n'o pn* rlc inM:réd{in.«
Ir R<Tiifil dr* nii*rngf,s 'rln'-o|()p<jui'5 dr L.
Uonraii : «'.rfii*%. 15KH. lu-fol.
<5. Histoire ck* l'ortiigal (de U96h
1878) en vin,;! livres ■ les douze pro-
miers traduits riu laiin de Jerosnu* (>«)-
riiis evps«pie de .S>!vi's en Alpiirve, les
tiuit ^tiivans, prins de Lo(>ez de OisUi-
cnofie i^ d"iiiitrp!s hisloriens, nonvell*^
mont mise en rnincois par S. G. S. (Si-
iiKMi r.oulart, Senlissien). — GcnM% de
rimprimorie de François Eatimne, pour
Antoine Chuppin m. n. i.xxvi. In-ful.
Sur II* lilrr uti Fin, nijin|ur «jrintM)lic|iM* du
librain* fiitippiii.
Vovcz ci-aprû» , Kob. Rslu^ur, aiiucv
1587."
1 6. De la Pui&âance têîfitime du pnnn*
fuv le peuple . & du peuple sur le prince
Traité très utile & dit;He de lecture en re
t«nips, escrit en lotin fKir Eslienno Ju-
nius BniLiis (Hubert Uin^îurl) & nuuvel*
lemeiiL traduit en françois (i»»r François
Ei-lieime. iivec une prcfare de C. Su|>c-
rantius, Hubert Lan guet). —m. o. ixxxs
ln-8.
r)uverdiVr,iM|*.aMi, MygnatÎM* et Inrrdn
luut alors redoutable, eahinhfue . Il y ammX
bifii aiilnr rbo»e à rn dire.
17. Lrs GEl'viiks nioroles & mr^léft»
de Pluturque, tnui.«^la(i^^ de Grec rn
Kraneois (par Anuot) , reveuns et corri-
gées en i)lusiein*s (>a:^:sa;{es}>ur le Trani*-
biU'ur. Comprises en deux t4jnies, ft
enrichies en cette édition de préface* gi^
néndes.de soiiunaires aucomoienceirient
d'un cliascun des traités ; K d'annota-
tions en nuinîp qui manstrenl rarliHce
cl liibuitodesdiiïcoursde l'autheur. Avw
quain' Indices : le premier des aiitheiirs
HÎle^juez et expo^z ; le second des sirai-
liludo* ; le troisième des Apophlliegniee,
& le dernier de» cboses iDf^monibl<«
mentionnez es dites œuvres. — François
KMienue. u. d. L\\\i et h. d. tx\xii
3 vol. in-fol.
Le draxicmr volimw nt daté de 15R1 , i4
II' [iri'MiHJ-, «if ISKi. Il vsl a croïrv ipi'im-
pt'iiiiiiitl l'i*> pK'Uniiiiairrs dn tome pmniiY
n^in's .i%nir ;tdir%i' Tniition , uu y aura mi^
la date di^ l'aïuiée dafu laquelli- mi êinii ar-
HOHEBTIIS STËPHAMS SECIM)IÎS
M. l). LVI.
4. AiïAr.RRONTis ft alionim Lyrironiin
«liquot poëtanim Olœ, grare. In L'iiSilcin
llcnr. SU'ptmni Observiilioncs. Aliquot
Odic ub Honr. Slo|>banfl, laLino, oodcm
carminé rxpressa.'. — Parisiis, tvpis
Rej^iis, apud GuH. Morelium, in (jra?ci.s
Typosrupliuni Hc^iium. & Hoh. Slephu-
num. M. D. LVI — Amicn'onltsTfii an-
liquisitimi pooUr l.yriii (Mh*. ab Hctia
Aiidrwi Liitimtî fada,', Ad Cluri;»* virum
l'ftnim .Monlaureiim Coiisiliariuîn . ^S:
Bibliolhei'arium Hf^ium.
Ncc *i quiil oliiu luilt Anncremi ,
U<'l«ri| irtftA.
Ibid. M. D. LVI. VIII. r.Rl. Jan. Iit-H,
La versiou latiiiL- Ue II. Eslieone fail ma-
li'nell*; nu-lit partie du *idiiiiiL' prc . piiw-
ijirrllr runtilUM- les i-iiîirrt's Av [ki[;cs; mais
wllr il'lli''lia% Aiwlrr. inmi<|Uf rliiïTnV a [uirl,
H ;i Vit 11 II lili'i; f\))ri*» , itf ilnir \tas tlHiias
y v\n iTunie. KIIps iic «ml [mis loujoiiri i
d'accm-J, Iv nouvrau trailucU-tir .lyaiil a(l(»|)lO j
dati5 If \v\Xi'. nlii'iinirs Itt^iis ({ui ue miuI
pM (<pUes de I t-dili{iii de MS'M. la tx-rsion
de tlniri «t %» iu>U-a Mint pn'Ci'di'n d'une
courlv pn-racK lAtJut* ad Leetortm.
2. M06CH1, Biouis, TlK»orriti, olp}*an-
Uuimorum pcH'larum IdylLia aliquot. ab
llenrico Strphano Lalina fact;i. Ejusdom
C'^'iiiina non divtM-si ab illisar^uinonti,
{et annoUilicinos in dia idyllia , ot Pro-
pertii Eiei;ia, ex libro 11, î^nw^ roddila).
— iMUU'af, ex offif ina Roherti Stéphane
H. n. LVI. III. Oil. .lan. In-i,
Rrimpn'AÀion , en mvintr roruiul , d'niir
lircnnicre édition faite à Vcuisc par Paul Ma-
nticr, m IS.'tS . pctidaut qiir HrnH ctoil
daiu celtf- vdJc. Tiiiilif&di>u\ Miiit rare», i*t il
ni prolnblf i|ii'ud eu aura impriDiè peii
d'i-\cin|)laiiv».
CVjt aussi la pirmîtrc proiluclion de l'Ini-
priRHTK' dr RolM:rt II, uiiisi qu'il le t'oit ron-
iickiirr par l'avi» HuitJint , imprimi.'- au reviTfi
du fniiiiiapit^, •< IJIirds ïniprimendi initium
riir ail lii.i (HMïumtiliux ff^tviiu , turr piilisisi-
muin caïua fuit , quod ea fratn- meus v Gne-
ca MTinaue in Utlîiium mo ooDV('rlivst.M , ul
i|unin dul'toniiii quonindam homiuiim judi-
cio, qtiidquid tcuerutn cral iii illU et molk,
eiprciiscrit, non pnJrtiK^o; tj fiovaoïràTa^ô;
aliquis habondus sit , wd idIit eos popia»
uium'raudit» , qui dt-'lectun; poMitil. Addam
otiain |irudcvsi- , quod jiivniU adliur ilir
mullrM jaui stom ail tacii^ida pofoiata exd-
taturus ùt. lliBC igitur iuteriu accipc , diim
alia libi cxciidiiuiu v\ quîbiLs iiuu niinorein
vohiptaleni quàm e\ bu acvi'|itunis li». «
"J. Chkistuna studiosœ juvenlulis
Inslitulio, pt'fCbristophornni llegendor-
pliinuin. i)t' dis('i[}lina cl Institutioœj
pneroruMi Oibonis BrunfeUii (sic) Paras-
nesiri. — Luteti<p, ex ofiicina Hoberti
Stephani. m. n. lvi. ln-8. 16 fcniilleLs.
i. RuuiuENTA J. Lie:i|xialerii,cuinttc-
ccntibiis. — Ibid. m. d. lvi. xii. Cal.
Fob. In-8.
5. La manicrc de tourner en Langue
Françoise le» verbes Artifs, Passifs, Gé-
rondifs, Supins &» Participes ■ aussi les
VerlM^s Iin[w'rsonnels, avec le Verbe
Substiinlif nomm<^ Suin, tk le Verbe
Hahfn). Heveue & i*orri^t^ en p^andc
diligence. — Parifi. de l'Imprinii^rie de
Hol>erl EsUennf. m u. lvi. ln-8.
lî. l>r syllabiinira quaiilitjite reculai'
<62
HOUKKTLIS .STKPUANUS SECUNDUS iSS6^7-»i.
KpeciflIPA, quas Despuulerius in carnii'ii
lion reiic;;it., auion^ Mnliiririo CorJerio ,
grammalicps prnfpssnrr. — Lutetiœ, ex
ofdcina Hoberii Stfphani. m. u. lvi. x.
Cal. Mnia:;. In-S.
7. Jacobi Ciijnrii J. C. observai ion u m
& emenciiili<.tnmii Liber priiims&swim-
dus : ad Bjirlhfiloin,i;iim Ftiyuin sennlo-
rcm Pari^icnsL'in. — LuteUiv, i-x oHîoina
llobcrti Stephuni. M. ». lAi. ln-4.
Le jiremirr \i\Tv. est dali* n Cal. Juaii , el
le wmiihI. i'ririir Cal. Vovenh.
» DiONVsii Halirarnassoi nonnulUn
OpuïH-ula , à Slaiiislao liwia l'olono mine
priiniim Lalirilati? donala, quœ quinUt
pa{;ina reccnsonliir. EjusdL'm llovii &
Rabortelli de Hislorica faciiltaU' coni-
mcntatiuncula>. — Luietiot', ex officiiut
fioberti Sle.phani. m. d. lvi. In-S.
Ces OpU!tciilr!i, (loni la liste vst sur b dii-
t|iiiêrne pat;r, v^mt :
IV pnrcipiii^ lii)};iiffi Irmi-ai aiiclnnliii».
rnin|i:irii)Li> HeitiJori ciini Tliiiryiltile , &
Xinmjiluiiitis, l»hili»li , Tln'(i|ionipi, iiilPi-îtr.
Ktr^|ioit<»i» ad V.n. Piiiii]H-ii K|iiâUjl.ini.
Al oc HOC prV'farc du traJuciciir, Jciaimi
Tiniciiiin rnmili, .Sta[)i>tni piilaliiii Cmrn-
%iriiM4 filio, Uat«* ilu Pari», m. Id, Jan,
m. n. LVI.
Le roaieil ini peu |dui ampK' ilc rc» 0|hi!,-
cilles aïoit ûlè puliHù vu grtc. dicz Cliorlc»
Ksticuav, cum i/earici , ni 15â(, ([i-8. Voyez
ci-fle&Mts. page 108.
9. ViNCKXTii Liipani in Taciti Anna-
lium Libru!^ xvi AnnuUitioiies : iv\ An-
drcain Guiliinluin XtorUiriiim à ^mrtio-
rihus ctmsilii'; llonrici II. — /VnsiVt.
apwl liiibiTtam Stephanwn. u. a. i.vi.
mi. M. Âpril. ln-«.
M r) I.Vll
I. Ptoohotrophe Drtïisiliirniilonsis.
id (St alondonim paup(*niin ratio, ad
Carolum «liiilanJum opiâcopum Cjirnii-
U'iiâ«ni, VinccnLio Lupano aiKhore. —
LuttUte, ex olTicina lioberli Stephani. m.
0. Lvii. In-B.
Dans un \olaiDe îo-folio de la nibliothè-
tpie Royale, Hrcneil {le pirrrt t/e t>rrs lattHf
rt Jmnçois, c*! uiu" fruïllr grand in-folio,
iniprimèn e\\ placard , v\ <*oiiiciintit iroit
pière.1 <le \qv% ru rhouiiiiir de la 'i'vpogrik-
pliii-; l'uue, de Fliiri'ut ChifAliru , csi df
38 \*TS (;rtîcs ; la seconde, de 24 xei's latins ,
est de f^railli^ Morel', liUc de Jean Morrl,
frci-e de Oiidlaiiiiu' , cl qui peu après, eo
155S, lui bn'ilr À l'ari* pmir caus^ de rcliçîOQ.
L.1 IroiMéme pièce, en 90 Ma-(. fniiiçuU, r»t
l'Odi; tic J.1C. Grcviu à Robert F:jlienuc , im-
primée i-uMiile d:»i5 l'{>lymp«, IjTiO. 'm-9.
Ctltc ri^iilie rst impritni-e ou |»ar Rnl>rrl
Kslienne, ou par Giiillanine MorcI , oiipb
de CaniiUr. Je la place a l'annèf 1557, paire
ipiVlle e*! uiVe^saircmtrut antérieure h la dè-
ploraldefui de Jean Monrl.
M. n. Lvni.
I. TiinA^F.s Itcbniira^, sou lo<|Uondi
ij;eiiera îii'bniiiH (jii.t in Vcteri pra^ser-
tint To-iUinicnlo pnssiai legunlur, ex
CuiiiinentariiB ElehraBoriim, aliiïiqoe doc-
li^sinioniin \iroriim scriplis oxplirata.
Thosaitri liii;;iifp hchraira* allvra (»ars
(aiilhore Hoberlo .SlL')»h:ino;. — E\cudt>-
bal Hobcrius in ^wa unicina. u. n. lviii.
Cal. Feb. In-S.
IVius lexiniplairc de DcTbou , qui (st à
l;i ItildiQthc(|uc Royale, les mots Thtiaari
Linj^UfV fhhrakec 'i/wra /'orj âouI c<Mi\ert>
d'une Iwinde de papier, ce qui aura utu
doiile ï'ti" fjiil sur l;i pluport dej e\eiui>lair«,
mais iiiiii diiii-H iiiuv. Liji jiiitre de lit miWnc
Hililiirllieipie n n |iniiil rc pnpiei'.
t> totuine , pbrr jii>ii|ii ici au ncKn de
nolwrt I''*', et comme t.iil n lieiioe, t-Al rcT-
* THn* \v vnlDminritx recueil Ait art no^i
Utint^^, IM6. io-8, l'Alleniantl {'«ulii* ^blrlùi
-- _ -, . MrliwH*
* M<pt pircrt ilr r«rs Utist en l'hann^nr Am nH*
MV«nlr fill*. •
Uinirfliciil de Holiert , soii fiU , «I tl imprirs-
iiun Pn ris if II lie. Ucst fait d«» nti'^infs ùlénicnU
lypoin^|iluq)it'i, i[iii, cUrz Cliai'Ics, uot im-
priinr i|U(-U]iu--> %n|uin«» tu'tni'nx, l'I Us ra-
tâlo|;iit^ lit' l'iMiicriirt ont, A 1 atiitiV lâTO, rv
même U*n', ili- in«'''iiii-. af/uif Itoficrtlim Sir-
phanum, «oit d'uni': nlilion iiuiiveJlr. soil de
cfllr^ri, « la<|iielle di^ \\\vrs Av. 1570 auroieiit
été .«ubftliliM-'i .lux aDrieiis.
2. JoA.NMs Atirfiti (Jeun Dorai) Lc-
nxyvicU (Ma3 triiinipliiilcs, ad Ctirol.
LolharingiMm Curtlinah'in. — LuMiae,
t\ ofTirina Itobertî Stephani. m. i>. tviil.
ln-8.
3. Dk i^ilclo ntipcr ah llcnriro II,
FranooruïM Regu invicli?s. rorcpla ,
Georgii Biiclianani CaiTncii. ~ Ibid. m.
D. LVIll. In-H.
4. De Cal<*li ^ GuÎDttr Oppidorum
proximo hoc bcllo raplorum , e^ipugna-
(iuno. Oirnien diMHissiiiiuni iMirtiaelis
HospiUitii.) — lOid. m. ». tviii. In-4.
Je p4-iBe i\nv t-rlU* |Hfct' fst df r]iii]iri(no-
rw dp KiiU'rl Esliciim-, clif/ qui, y\iii l;inl .
l'.iltsinii a imprimr , m un ïoliimr iu-lol.,
le Heriiril dfs l'uirMi-» l;iliiiiis du Clianceliei",
parmi Ic^qiiftlrs nu vers m iiHruuvriil, au
livir lir [.ai;. 17!.
5. Bhief Di^cniirs de la prise de In
Ville de Tliiuiiville, iiii^ en l'obt^issanro
du Koy pur lo Sci-^noiir de Gujse, &-c.
avec les arlicles d'irellc. — !*arig, Ho-
bert Estiennr. m. n. lviii. ln-8.
Mirlirl de l'llo*|»iul a ausù ci'lèlirc la
piiM; dv 'J'liioii\il)e eu des ven qui %*• (rou-
tent dnn^ sou lu-fulio. pagr 175, a la tuitc
th.* la pK*n> Mil- (^laiii H Ouiups.
M. D. UX
PNil Dictîonnairo Trançois Iulin»
lutrementdicl Les inoUt Fran<;om solon
Tordre des leKres, ninsi qu'il les faut
IBW^hrp, tourne/, en Inlin ; augmenté de
idusieur? dielionît Franroisos et Latines.
— /'uri'.f, de l'Imprimerie de Hobert Hs-
tiennr. ii. n. i,ix, le 14 Aousl. ln-4.
tiU|>rimL> aura celir auiMv-lâ dici Cliailrs.
Voyez ri-dc)ifflui, p. llî.
Va' iiVftt pcul-^tre qu'une acuIc rt même
i-dilioii.
i. Hpitualame uu Nosseë, de Ires
illustre el iiiiii;nanime Prince Emanuel
IMiiliberl Diie de Siivaye, et delrt^ ver-
tueuse Princesse Marîîuerile de Franre,
duehesAe de Bern , sa^ur unique du Koy,
r>ar Marr Claude de Buffi'l, Sjvuisien.
— Paris, de l'Inijinmerîe de Hobert
Exiienne. n. d. ux. in-4.
14 reuillrl!) uir «éJiii, i Ia Bibliothèque
Rojrale, >euaiit de La "Valliert- cl Mac-4 jrlliy .
3. Lrs Wnix Semions funèbres é^
ol)setpies et enterrenienl du feu Koy
Treschreslien Henri deuxième de ce
nom, faicls cl prononeez i«ir Messii'e
Jerosme de la Rovere. i*slen Eves^^ue de
Tliokm : l'un à Nostre-Dume de Piins,
l'aultie à Siiincl Denys en Franco. —
i'itris, de l'Imprimerie de Itohert Es-
tienne, m.d. i.ix. 1«-4.
i. Ke Trespas et l'Ordre des ol>sG-i
ques, ftiaeraitloÊi et enterrement du Ko]
Henry IM'an t559, [Mir le Seigneur de
la Horde, François de Signac, Koy d'ar-
nu's de UaupUiné. — faris, de l'Impri-
merie de livberl Esliennc. u. i». lix.
In-.l.
néimprimé eu 1610, in-S.
5. Oiscoi 118 au Duc de Suvoyo, Chani
pastoral à la Duchesse de Savoye : plus,
\ini;t-trois Inscriptions en faveur de
quelques grands Sei^;neurs, lesquelles
dovojeul ser\ir en la (iomedie qu'on
osperoil représenter en la maison de
Guysc, par P. de Ronsard. — Paris,
Robert E»iienne. M. d. lix. in-i.
M. D. LX.
1. Caroli St4>pluini do nulriinenli»
I6i
HOBERTUS STEPHANUS SKCUNDUS ISM-OI
libri 1res. — i'on'siw» Huhertus Stepha-
nus. M. 0. L\. In-H.
i. DirTioNARUM |ir(i|)rinriim mmii-
num viruniin, imilk-ruiii, populorum.
idoioniin, iniùimi, tltivionirij, nionliuiu.
cael«roriiiiHiu(' locuram ijuic |);i.^im in
lilïris [troplumis lopuntur. — Lutetiae,
HobfrtHs Stffihanus. m. t>. l\. In-i.
Rcirnprt-utuu Je iVililion d« 1541 , et plus
ampiu.
3. Les Soneiï de Charles d'Kspmay,
Breton. Rt'vt'us t-t aiim?ienlos |iar l'au-
teur. — Paris, Hiiherl Eaiienuf.. u. n.
LX. in-i
lui' rJiaii»oii tK \iii;;l ^i\ Si>nnvl.s .inioii-
mjx (l'un ubhé df SutuKiilila», ea^uyù par
U coiir du Kraur**, l'U celte m^hut année
1S60, |H]iir des iif'^'ortatioai au (U>iicile (t«
IVttili', rt, III ISflS, sarre ëvëqiii* Je IJol.
Selon (•titijfl, I. XV, p. B, ers pcic&H^
ajnoiireuM'3(, si peu t-ii mppint a\vr. la gravi
poailJou de l'aultiir , \\v Mint pa» Mippur-
tablcs, t>ifii ijuVlIfs ainil *'\v lriiii'r.s pai-
ftouutl. Uenii lU-Ilcaii, J. Gru^iii, i'Laiilrt'!t
ronfrcTfîi i-n A|puIIoii.
\i\ piTiiiiiTi- (■liiliuii , qui doit éirv rauius
antiilf, vsX de ISSU, iii-8. \p l'jynnl po!* suc,
j'igimnr SI rllc i-»! auui dr RoIktI.
i. Lk <:aktiql'k dPA <*anlii|iits di'
Saloinon & )os L;iMU'iil«ititins do lliere-
niic, lxaduit<>> en \i'rs rrant;ois \vAt
Pieue do Courorllcii. ualif du Cimdes on
Touraine. — Varis, imprimf- jwr Robert
EsUmne. u. i>. tx. ln-(6.
Main., /^i'ifP Step/i., en ni«ilioiine une
édiiJan iii-*. de !5Ô^. Vovi'/ ri-drs50i» ,
page 166. une i-éiinprviiAiuii . niai» aiisH eu
iD-i6.
3. EriTAPitiuu iri mortom llonrici
(talinnitn Re^iâ Christiaiiissinii , ejua
nominjs sonindi , (torCarulum Ulenlio-
viiim Ganduvoniiom, ^ «liw, duodecim
lingin-;. PorCar. l'tonh : Ebraic^, chai-
dairé. ^ru!C^. lalinè, pill. t:orrnank-è,
flandiito. Peralios ; tiallû'o, italien, hin-
panic^. an;;liri', sidIu'o, îMilotiùo. Ai-
L-essoruut & aliquot ad llUislritmi quo-
rundiiin liallid* horoinum nomina Allu-
HJonis, por eiindom.
Kpiiapho sur le trespa* du Roy Tro»-
clirojition Henry' Rov do Franco, Il de
rv uoni, en douze lan;j;iies. A Ires luiull
et ln*ft (rtii^sant prince PUiiippe Roj
d'EsiwIiîno. AuUres epilaplw's ïwr plu-
sieurs auteurs sur le trespai; du nH.*ï>mo
Uoy. Plus lesepilaiilies sur le Irtspat^de
JoiiHiirn du Bellay Anyevin, Poolo latin
et friHi^-ois. — .-i Paria, derinïprmu:ric
deBoUrt Estivnne. h. d. tx. ln-4.
0. Rkmy "Bel|p;ni. CUuit iMwloral sur
le irospas de Joachun du Bellay Ange-
vin.— Paris, Robert Estienw. 31. i>. LX.
In-i.
7. LOtiMPE de Ja<iueïj Grevin de
Cleniiorl en Beau\-aisis, ensemble, lo
premier livre do la Golodaerye, el les
autres ouvres ptH^tiquoâdudiel auliHir. —
Pariti , de l'IniprinuTie de Hohtrt Ei-
timne. m. u lx. In-K.
(;rfuf:m:n *■ , Mi'lanp' de ris el de tarme» ;
l^w-sift l'iijutin-^ et |HM-}iiejk mèlafiu)U(|ui*ii.
La Kiltl. du Tlii-Âtie rmii(;tii5, 1. 145, mcu-
tioiine comnie pulilir |iar KuU*rt. un iii-8.
de ISrie, fai-wiul -mile u rfliii-ci, et cuiiU'iiaiil
le l'Iiéàlre Je (>re\iii , la II" partie de l'iV
lympe, et la II" de laCelodacne. l/tuislifKV
de ce ^ulume e»l réelle, maù il est do Viu-
cciit Stîiieiws, laGS.
M. n LXI.
\ . iKi.ii Donali de octo jKirtdiiis om-
(ionis liln-lhis, in di;du;;i foruium tiitinnm
et ij;Hllir;iMi nihiiUis. in gRiliani puerw-
ruin. — Lutetiae , e\ utliriiui Roherii
Stepfiatfi lypu|:taphi Regii. m. d. l\i.
— /:r à tajin ; si. u iaii. %. Cid. April.
In-«.
i. pRiNcipiA , Kive priiiui lingum la-
tinio olenienla, pncri!» liieile ini*lituemltïi
roninMxlis»i[»a. — LuU'tûu> , o\ nfiieiiui
lS6t-8MS. BOBËRTUS STEl'HANUS SËCUNUUS
Hot&rti .Sfdf Adfti lypogruphi Rcgii. m. u.
txi. In-H.
3. Svi.V4, lui Ululus VoriUiïi fuirions,
ex Heini);ii Bclluquei lliillicis veraibus
latiiuj fiicl» u Flurt'filc tlbristiiino Auri'-
lio. — iMMioê , in uQicina Huhcrti Sté-
phanie u. D. LXi. In-i.
M. I). LXIL
4. Déclaration du Ho> ^Chiirlori IX)
5nr \'(h\'uI iIii 17 j;in\itT liWil , fonrt'r-
nnnl lit Hrli^ion — Varia. Huiffrt Es-
lieMtr. M. 0. Lxu. ln-8.
i. EuicT du Kuy (('luirli*s IX) sur [(»
fiioyi'iis dapiiuiîM'r les Injubli-î» \ ^tli-
lioiL"* survoiiiis iMuir lo faurl lic la Reli-
gion. — Pari», Hnttfrl Eatienne, Inipri-
nieur du Roy. a. u. lxil In-tt.
M. 0. LXiU.
1. LiBELLi's RiiUi, llrbruii-è. runi
•M'Iioliis iMnsoi'ti:' ad iiuir^iiu'in -, item îti
t'undcm TdinincUt ox]K>siti(> nondiini in
lurt'in ('ii)isSii , fujiià in niaimscriiilu
e\fni|iLiri iiulor pra>f('rUirR. II. Kimtii :
outiiui |KT Joh. Slcrrerum nH*4>j:iiiUi. —
Par»*!!», ex ofiitinu Hvherti St^phani.
n. D. LXiii. In-V
' 2. Ki»ii:t ffliti [wr lo Ro\ Cluiilos
Vllll. :r>\iv kl |iHnlk\ition des truubleii, le
<9 mat^ M. D Lxii. — Parié, /ïofr. £«-
tienne, m. d. iaiii. Iii-8.
3. Decijuiatlon et liilerproliitioii liii
Roy ^u^I'Kdicldp|ann^i(i^'aliou.-— IbiiJ-
a. b. LMit. ln-8.
i HiHiJT ri ïlrt liitiiliim faû'U' |wr le
Roy Cliaries Vllll. .sur la iwinficatiou des
lrouhlf.s lie ce Ruyiiunic : (lu 19 nuir:»
ir,4ij. — /'/iriic, |>«r KIoy iiibier, pour
fUihcrI f'ixtit'uup , Imprimeur du Roy.
«I. i( i.Mii In-l.
5. CoHitisâtON ex[Kxliée p(ir le Roy
pour envincr, par les provmces de ce
Royaume , tvrtains commissaires poiu*
faire enlretoiiir l'Iûiirî et traict*^ sur la
piiciâaitiun dt*4 Iruuble^ advenus en irc-
luy. En laquelle sont plus à plein dp-
elaifz ei exiKtsex les articles contenus
uudici Irnicïé de imcitUiaion. — Pans,
Robert Estifiitie. m. n. i.xiii. ln-«.
6. I.RTTiiRg {latrnles du Roy iwrtanté
eoinnumdemenl et inj<inrtion à loua ses"
lieutenants généraux et gouverneurs di-s
pniviuees, ou ù leui-s lirulenaots, defairt»
obsencr l'Edict de pacification, avetr h»s
provisions et dwlarations sur iceluy. —
Ibid. M- V LMii. ln-8.
7. La Uk4;i,aiiatio.> faicte jïor le Roy
de Kl nuijorilé. lenani stm licl do justice
en s» Cour de Parlement de Rouen, el
Ordonnance i>ar luy faicte pour ir bien
etivpos public de son peuple; elceipiil
dict en ladicle lour avant la publication
deladicte Ordonnance. — Paria, Itobcrt
Eftietitif, Imprimeur du Roj. m. ». lmii.
Par rommandeuienl el privilc^e duiJirl
Seiiçiieur. In-H.
8. Lbttrbs patentes pour le reslablis^
sf-imiil des dismes el aiilri* biens mal
détenus, ap|«irtenant aux gens dKglise.
— Ihki. M. u. LMII. In-H.
9. Lettkbs [tiitenlos et Commission
du Roy, j»our \endre et aliéner à perpi^
luité son hoelel di-s Tournelles et d'An-
gouiesme assis à Piuxs, rue Suinlr-Aii-
loine — Ibid m. d. lxiii. ln-8.
-10. OiiDONNA?ic4i du Roy sur le roigle-
menl di^ usaiges de draps, ïoilles , pas-
seinenU et broderies d'or, d'argent el
sove, el autres liitbillements sujierflus
el encores sur la rêformalion des grosses'
chausses. Ensemble sur le Iransporl des
laines hors du royaume. — Pon.H, Robert
Eatiûtme. m. n. mm. In-».
n. Ow.nHATioN faicle par le Roj sur
IRdicl lie l'abbitHialion d»v [inK(y>
Ilîti
HOUlilïTUS STKPHAMJS SECUNOITS. l5aWi-«.
Parût, Hobert £slienne. Imprimeur du
Roy. H. u. L\iu. lii-H.
12. iJiscuLRSiiu vrwy de Ih n^luclion
ilu Iliivrt'-de-Gnïi'o eii rolH'issaiico rjii
Huy ; Auquel sont cutileiius lo» articles
acconicz onirc lodicl Soii^neur ollcsAn-
i^oiâ. — Pam, [yav Itnh. /:>ïn>n«f, Im-
primeur du Roy. M. U. tMii. ln-8.
Alnictuieeii, pag. 65, mvl m \i\n à l'uu-
iiri: 1G^3. Erreur t\\û u'trst autre chose
i|li*i(iir failli- lv'|iik^-n|iliiquc.
M. D. LXIV.
4. Le CAXTiQtEdos CiiiUiqucsdpSa-
lomon, niis en vitk rnmroinsi'lon la vé-
rité^ hc^bniïquc, |tui' ï'itTr\'d(*r,ourct'II(s,
de Candns vn Touniiin'. Kiisfinbli' les
LamenUiions di' lorcmic le i>rui»hele ^
av«: rKpi?tro d'iceluy. — htria, chez
Robert Esttennf , Impriineiu' tïu Iloy.
a. n. L^mi. In-16.
AtM!lH>.aumiip de musique.
t. De Miiiiiiits irt mi-nsii sorvandi*;
liMlul^, Joaniie Stitftilio Vcnilanu ;tii-
thore , cuni fiiiniluinssitiui , \ nuti Ju-
ventuli aptiAsinia i'iui'idaliunL' ijallicu-
lutiiui Guliflini l)iini[tiii. — Vaiisiis v\
oninna l\obfrii Stephani , ly|to<!raphi
Ki'pi. u. D. Lxnii. Idittus Junii. In-t(.
3. ItL-uiueM-A liiliiio^dliea, cum ac-
cenlîbus. — Lutetiae , ex (Hlkina Hofmrfi
Stéphane, typugra])lii Ho^n. m- d. lmih.
Idiba't Aii<;. in-8.
4. <JvKBOLvs , iinti(|iiii Comœdia ,
(Pltiulo per|K'ram tribtitu) nvnquaui an-
Iriiac odila . qua* in votuslo ccdice iiia-
nuârripto l'Iauti Auliilaria îni^i'hljiLiir.
Nunc jirimiim a Pt-tio iKiiiielc Auirlio
luco donaUi , \ notïs iJI(i<strtiia. Ad il-
hi&trlA«(. ampli^simumqiie (UirdJnalom
Odoiiem (^'*liIiona?uin. — Vari^ih, o\
oîïir'ma Hohrrtt Stephtmi. h. ii. i.xiiil.
Non. (Irlob. In-S.
5. Declaratio?! du Roy coim.'riuint
le payement des sommes ordonnée* pur
Hon pdii't dp l'ayde et îtubvention de^
profèi», uvanlqw procéder |iariïes hub»-
siors a l'exécution d'aiiruncï^ lettres de
iflii'f d'apiH'l. — w. u. Lxmi. ln-8.
6. ^oL;vELLE Dcclanilion du Roy éitt
Tediclde pacitication des troubles de son
royaume. — l'ahs, Hahfrt EMiMirw , Im-
primeur du Rov. M- n. Lxiiu In-ë.
7. EoicT et Ordonnance du Roy pour
le bit'» cL rei^îpiuenl de la justice, «t po-
lice de sou Uuyaume. Avec la dcrtamlKm
etamphaliundti dict Soi:.*nem'$urducuni>
arlirles d uelu\ lidicl. — Vutîs^ Hottert
Estiemuu Imprimeur du Roy . m. n. t&iui.
M. D. LXY.
1. PsALTRHiiM Ilebraicum. — Pttrt-
siis , excudekit Hobcrtiis Sttphanu»
M. D. i.xv. Non. Mail. In-lfi.
î. Syriaca Paraplirasis { Hebroicv
characlerel libelli Rutli , repurgala A
punrlis iiolatu ; rtim l^atimi interprvUt-
î lione /t sclioliis ioh. Merreri , »c rjis
; annotationibusdeNoemisocni Rulh&de
, Boo/. iitque uliis , luiu e\ HcbraMâ , (um
e\ noslrip. — î'arisifs^ ex onicina flo-
herti Stûphani, lypo;;niphi Rcgii- x. i».
lAUii. Av tt lu fin : Anno m. d. lxv, xï.
(id. Febi". iri-l.
;i. BiBtiA sacra Uilina. — ParisitA,
HobertHx Sifphtinus. ». i>. lxv. 2 vol.
j in-8.
Je mm i|ii« c'm l'édilion du prcimiT R<»>
I IhtI, IM3, A\t'r de nouveaux rroulUfiice*;
ce «|in* y- u'.ii pu xi-rilitT sur uu (vi-mploirr.
r.'vj»! jïeiil-i*lri^ nièuii' uu l'scmplair*- de I5W,
(Joui le*, «ipit-i n«iniTu|u«'.i X LV Muninl rlr
pnr nit^ijardf L-luiugiN t*ii I.W ilau» qurlifiic
1 ("jlflluyiu*.
\. ()mH»NNAX<:E de M. de Monlmo-
rcncv, \;(iiivemeur de Pans, concermml
IfifiM». . HfïBERTtlS STKPMANUS SECliNDUS
Paria, Haberi EaUemie. m. i>. lw. ln-8.
5. De i.'tJTiuTK i'I r«*|ioe d'esprit pu
ragrifuUiiro et viî? AOlitairc, irairlé ox-
traicltle plusu'ursautht'urs.fntr un prô-
biiicnl du prtemciiL de Bn*U*i;;ne. —
Paris, InipriiiK^ par liobert Esiienne.
!p. 0. Lxv. in-îi.
a. JosËPHi Scaligcrî Jutii CoTsarts filii
Conjocïanoa in M. Tcrentium VarronPin
de Wu^xia lalinii. Ad nobili^iï;. ^ enuli-
tiss. juvoncni l.udovicum Cast^iiicLMiin
Bupipo/^iiri) (La Huchcpozaj ] . — Pari-
$iis, ('\ (tilirina Hob. Slephatii typotrra-
pbi Kei;ii. 3i. i>. i.xv. \. Gd. Sepleiiib.
ln-8.
» lu iiit, priL'Icr miilla alia ei^Te;;ia, Var-
roncai in uripiuihii» viTh»inim lnf|ueuler
Falli i)l)M-n.'it \\v ilorti<>-'tiiiiii<». n
La KiM. Lat.. !. ISl, J'mi je TaU ccUt*
rilnlioii, anniHiri' li* volume dr iiiJinirrr .î
lain* t'uti'iiiliv t|ii nwv ïrs in>lrA ilt" Srali{;i*i'
se. iroii^K \r U'aIi- ili; l'auteur » Cnni J. Se.
liraTlariu. Co)ij(-<'t:iiK>ts luccm vidiTinil (Var-
roiiÎ!! Liliri; pnfiiiitii pHri.tu» i%3. îu-ft. - Ci-
i|ui ircal pasf>^art, non plus que la mcnlinti.
tMiK. 1S3, d'miL- (tlilin» de H. Est. do 1569.
La premierr du leite tsi celle que l'on vuil
à rauiiêc 1573.
7. HAHANfiiK au Uoy P.liarlï'ri VIIII, à
la Royrie , pI aux hoinrups François , sur
l'ontroU^noment et rrcoiicilialion de la
pai& , et enlrôp dudit Seigneur en ses
[ailles; f»ar Galiriel Bounin, a\fxiit à Pa-
ria, el lioiitenant de (lliasleaiirtjux, en
Berry. — Paris, HoUvrt Estieime. m. d.
LXV. In-8.
M. D. LXVl.
i. Decaï-ogis. hehraicê, nim Oim-
menUirio H. Abniliani Aben-Ezni : item
Tar^um ( Piiraphrasis Chaldaica ) Oiikeli
in Decido^iim. — Parisiis, c\ oflicina
Rohfrli Sirphani. m. d. lwl ln-4.
En 1568 a êlr imprimiV la vention laline .
"Voyii ci-aprèi.. iwg. 170.
î. PsAi.MOM'M Itevidi» Paraphrasis
pueticu, nunr priniuni édita , authure
Goor^io Buelianniio, Scoto, poctamni
nostri sffridi Cacilo principe, Ëjii9<l(>ni
Di)vidi:i Psulnit a)iqu(d (vi) à lit. B. V.
t'riieodoro Beza Vezeiio] versi. Psalmi
ulii[uot (xx) in versus item tira>cos nii-
per à divcràiîi Iranslali. — Apud ffenri-
cu7rt Stephanum et ejus fralrpin fiuher-
Utm Stuphanum lypojîraphum Hegium.
Ex privilegio Bogis. In-S.
A la lin e:il tin calm-r <k' 'ir) pa(;es avec
faiu litre, i'( rliilTr^ ftéparcineur , bien que
diL-uml pallie lavrAuin- du voliinu*. Il ctiii-
tient les ^iii^l l'saiiinm en vers pn-cs anoitn-
céji sur le litre , et dour Iit. tradiieteiie» mhi!
Frtdcric Jamut , Horeul CUn^li<>ti , Heiin
Eftieniie, et un .moiiyme.
Ce volume mas date, mais <pii iic peut
l'Ire antérieur a 15fll, puisque Robert y e*!
■[uuliliè T\paf,'niphut Hrgius, doil avoir été
imprimé de l.'itiS à 1563, peiiibiil un des Trc-
t|iieiils vuyai;*'» de Hi-nri Kslimiie à Pari.*. Il
hil protnpli iniMil aumi de j'iu-IG ipii renrn-
diut i-ctie iiiènie pamphrane. avec t|U4Tlt[uo
(lilfi'ri'ncreji dans les piètxs accessoires, el
flnrlmitan l'ii lit a Kdinil>our(; une .-lutn;
it'iinper'AuoH, aussi de 1566. Dan.<t im passage
de sa pri-faiw, Kptxtala ail /hinîe/tm, i! dit y
avuir cïirrii;!'' Iieauenup d'erreur* ; •< Se mul-
la typugiuplionmi errata , i|tj^nJain etiaui
Mta, tiou paiiea inuta\i.vsf. u Kl il reii<;af;e â
inciter K»lieiine a ne pas le réîiiiprtiuer /«-
coHsilitô. Ëiri-eli^enienl , les erreurs rom-
niuiie^ À e(N ftciiv éditions dej Lsliennc «ont
eiirrif-ce» iltiii.s lu n'imprevsimr in-16, qui wî
fil, en 1.i7.), d-aiis rinqiriniene de Kidirrl.
3. l^SAKMuiau Davidis Paraplmisis
poetica , nuwc prirriùiii e^iitu , autlioro
Georgio Itiirhanaiio , Scolu. i>oetaruin
nostri steculî facile principe. Kj'isdem
Btiohannnî tra;:œdia (pi.T" iiiMTihilur
Jpphlhes. t'-a;U'ni ejvis openi seorsiim
édita stinl. — Pnrishs. apiid Henrirum
Stfphamim el ejiis fnilrcni Robertam
, Stephanwn typograpliuin Uegium. M. d.
i.xvi. In-16.
llne édition iu-16. faite à StraAlu>urg d'a-
I prc» edle^*î, el en «"elle m^me année ISfifi»
ptirle nns*i sur -i^u litre : mmc phmum rtiittt.
tCiH
HimHKTUS STEPHANUS SECUNOUS I5«.«7.
4. Lk Piikmikr livn* dis Onsidéra-
lions politiqiiisdo Itolnivl ricirc, titlvo-
cul en 1(1 Cour dt- Piirl(Mnonl à Paris. A
Dfbonnîiire, gcnlil-hoinino Joiiii d'Ans-
çticnvillL', &v. — Vitris, HufhTl Estienne.
Iinprinti'ur dti Roy. ». n. LX\!.In-8.
5. ARnEST<l(' la Cour d*» PiitlcniL-nt,
purUini condoiniuilion c*<ipiUdc tonlro
Simon du Mîiy. — Paris , liobert ft>-
tienne. h. n. txvi. In-8.
r>. ALfiiAUETUM Uc'bniiniiTn iii i|Uo
dili}:rntiuâ & siiicerjus t|u;im iinlotiiir
legoridi ratio, ox llphncis inofuirucnlis
explicaltir, adjeiioiid lyronts e\tT(<>ii-
dos Becsiloso, ad h.-cc ï>revi actvnluuni
ImoUitiono quanUiui illis ncTPAsnrium
«^l : scciinda «lilio. — Parisih , ox of-
licina Hoberfi Stephani. H. D. i.xvi. x.
r^l. Aprd. Iri-«.
7. LiBKiidp acre ntihus Scriptiirae aii-
Ihiirc H. Juda fil. Buliuim ; liebnuV(» .
(ïjioni Joli. MiTCPri mrnr priinnnw'diliis.
— l'ariaiis, p\ officf[i;i iU'hpiti Slefthitni.
M. D. i.\v. Et à la (in : .\iiiio m. n. i.\vi.
Ctil. Juln.In-4.
* ...,OirAvi:-rain^iil(-iilii|)iol nnuos(tlit Pc-
ililrtirj. MerritT ilaii«i «iii pn-rarr ), tilittdum
fr.ipiiriitiiinjl. Jnilnbfii-)lIllian)(|rn(Tnililfll.«
IriiiiulilM'iiriiiiHJiili, l'rn%ft'li cl l'sitliii. V'rsi
l'iii-i. iii' rii. r>tu-iii>L\ r^jfi,)..,. i'«>,i rn.ç-
iiiiMiliiii) illiiil iintiiiiiUa Kiipcn-rAiit ipiir (ihi
iHiiic- oriniJn iJaiiius — dclM^satiirni hn-ctiitiiti^
.Miiil1ii('olli'ni.-il[|tiliti)iMliii^iijf»pitd Ainvlinm
prcTi'Miiri', i|iii ut anie rmi;nH*iiliiin, sir tntnc
ititi'-;niin n[»is uoliLscnm ciiiidiilr roiiintniii-
«ravîl.... p bililiollieca «iiiÀni jm-iies m- Un-
b«t.... D. Valalili....
8. Ai.PiiABETUM ï;rarcum, Ho^ti^ tnum
lienorum chjirîiri^ribus poslrcmô excu-
àum. — Lntrtinr, Hottertus Stfphamift.
M. I». I.WI. In-H
9. itriUMKNTv Jnannis llcspaiitiTii,
cuni ac(t"»îihos. — Parmi*, ex nfiicitia
llnhfrii Sttfphani. m. d. lxvi. lti-8.
10. I^rs le ( jiron : Panp^^nquo. on
Orai^n de totuiiiuo, au Rov ClutrleâVUll
MfjsiTo souverain wigimir. Pr^srnU^ A 1»
Koior. mprediiRoy. — Ibid, m n. lxvi.
ln-8.
H. SKNTENTLCSÎDI^ulisVCrsibUSI
lontip, juxlii (>nlinom lllfinniiii . ox dî-
vcrsis poi'tis j;rtLTis- Quibus ex ndvprso
rospondcl Katina vcrsio — ParifîtK, c\
onicîni) Hoberti Stfphani typojnTïphi Rp-
gii. s. n. LXvt. Mt'Dïftir Oclobri. In-N
Dans laT.iblr msiiu^rrite Jr* Arrliit» dr
1.1 r.luimhrc Syinlirnlr , jf ynn . au .11 mm
Î.Vlfi, iiirritîod dn pri*ili^i- jKX'ordi" à Holwil
l'.stimiM- pour riinpri'ssiott dt* l'arrrl portant
(ïécbinitioii Av, riuiwiri>iirf dr l'aïuirnl de
Ci)li>^iy. Crt arn^l n'^iiiru [ms uiaïupiû dVirr
iniprimi' vu cv\w aimiT 1o4>r>.
i^. La TnAOÉoiK do JlcpbUi^, irad.
du lalin d» G. Hudmnan eu vi*r<; frun-
çoiïi. iwrCI. de VewI. — Paris, Bohert
Estimne. m. d. txvi. Iri-«.
l'-r Oïl. La Vallirre. u" âfi87.
13. I.KTTiiKs piiU'nl^s du Roy. ;i«r
letî'iupllis d d6ffM)d à tous sos siihjcH'U,
ii fH'ini' lit' la vie cl dr ronlîscaUon do
bipiis, do |vortrr ks a ri nos , nyaidrr p!
sofouiir rcux du Pajs-Ilas, ronUt^ le
RoydF.s|ïJt^uo. — Pari9,l\ohert ExUmnê.
M. Il, LXVI. In-8.
M. D. Lxvn.
4 . Jo>AS, mm Commpntariis R. David
Kiinlti â Fr. VaUd)loriH.*osniliiï, adjrrti^
insupor srboliis Masoi-aî . & varia lor-
liuiio, aUnu* Indice lororum qui» Kirnhi
cilal, ox Taliuud, ptT .lob. Meirorum.
— Parisiis , px ollirina Hitherti Stephani.
M. i>. i.xvii. !n-4.
2. Vfiehes Rouiannruni k';;os a Lud.
("hanuidnJ. C. Parisiensi resUlula»,e»m
oju-«k'ru ruaiinenUirii.*, ad V. J. Ac am-
pliss. Midiaolcni lloîtpitab'iim Francin*
Canrollarium. — Parisiis . px oflidna
Hohrrti SU^phani. ai. i>. lxvii. ln-4-
KrniMRNTA Jidianni$ iH^^tiitorii ,
lun, UOBERTUS STEPHiVXUS SECLTNDUS
cum accfiilibus. — VarhiiK, o.vollioina
lioberti Slephani. M. ». lxmi. In-H.
i. La Mameeie de tourner pd taosue
françoiso les Verbes Actifs, Passifs. Gp-
rondife, Supins ^ I*urt)dpos : iiusâi U>s
Verbes iin|tei"wneU, avec le Verbe sub-
stantif noinmë svm et 1p verbe iiabeo.
Beveuc ot eomgcp en imindc (iilisenro.
— Paris, de rimprimeriede Hohert Ks-
tienocj Imprimourdii Rov. m. d. lwu.
în-8.
5. BitEvia pro dignilale philaso{>luuï
Eticlideffî tuembi Disqiiisilio Joaiinis Stf-
nii Sfixonis L. luibiUi Lutetiœ in Lon^'O-
burdorunt anditorio, loco pr.Tfati(jnis,
idibus Augtisti. — Lutrtiae, iipud ftubar-
tum Sifpbiuuim. m. n. i.wii. \n.~i.
fi. pANEfivnioïK H. *>u Oroison dp
l'aïuour du prince. K ubi-issimn* du
peuple l'iivci-s luy Au Roy Chiirles VIIll.
nœtrc souverain Soiij^pur. Var l.uys le
Caron Advocat en la Cour de I^irlonml
[à Paris. — Ihid. m. d. lxvïi. Ih-r.
7. PA.VEGTniorE III. Du dp\oir d^-s
magistrats. Au Hoy r.harles VIIll. noslrp
fsouverain Soigneur. Di-diô m .Messieurs
de la Cour de Parlement de l'aris, par
toys le Curon , advociil en iivllc Hi^-
nierciemenlou recognoissanceù lit Roint'
mon? du Roy. pur lo in^me. — Ibid.
M. D. LXMl. In-S.
On a vu qut> le |ireinicr de ces trais Viné-
■jpriques ol Je iSêti.
8. Georgii Buclianani Sylva\ Elogia?,
Hendecas\lU»bi — Parisiis, exoflicina
Bobrrti Stephani. M. n. Lxvii. In-1(>.
9. Jacques Grcvin : Propsmt* en vers
sur l'hiàtoiro des François Pt hoinnies
vertueux de lu maison de MtxJici. —
Paris^ Hohert Estierme. m. i>. lxvii.
ln-4.
Htàié par rauleur ■ Calherinr de Mn-
Tohioie lie porte pnîul iIp iiom dW |
m*iii >iii fVPmpUirr' r ***>■' U^\»ri rrnil
écrit : •( Enidilito. viro Itomiiifi r>aiiieli Ro-
grro D. U. JaroLiib Grcviniis inintii-ii» P.n-
risicQ&U, » uc lALS^e |ias d'iuciTiiliidt; à ce
5IIJCI ; ce <|iii , d'ailIrtirK, cAt coiifirinr jur
LlniUfbii», DuvcrdJer. L.i Croix du Miiuo, et
O. Collricl.
10. Le TBoi'iiKicd'Auloiur de fji»y,
Prince rit» Portian. en vt'rs; piir Uberl
Phil. deVilliers. — Paris, Hohert £»-
iiennt;. m. D. lxvii. lu-i,
11. Le prfmif.b des MetiH)re9 de Jan
Antoine- de Baïf. en vers. — Ibid. m, i».
LXVII. In-i
XK*di(! |iar l'aiileiir à ('Alherine dr Mi*-
diri».
1î. La Mort de Lurrecp et de Virgi-
nia, femme et fille Irespudiques , |xir le
sieur dp la BjirlP. — Paris, impr. par
Hubert Estienne. m. d. lxmi. In-H.
13. Le Brave, comi>dipdpJanAn(oine
BaVf. joiuV devant le Roy (Charles IX) ,
en Iliiiskd de Guy&e à Paris, le xxviii
de Janvier m. d. i.xvii. — Pam, im-
primé jHir Hobert Eatienne, m. d. txvii.
ln-8.
Imîlé du H/iUt glûiiosus de Plautc.
U. DisTiciiA deMoribus, nomincCa-
tonis insrripta , runi liitina et ^allica
inlrrpri'tationp. Epitonie in sinj^ida terv
dislïcIiD.. Di{'tii Siipifntuii), runisuaqti»-
qup iiitprpretatiuncula.Onininrprofîntlii,
nonnulla adjectji , (piiPdam immntal«i.
— LuiHiae, p\ ollirinn Hohfrti Sltphani
lypo^raphi Rc^ij. m. ii. lxvii. x. Cal.
Auij;ust. In-8.
la. Lcd Edicts et Ordonnances des
Ro\s Fnmçois IL ot Charles VIIIÏ. —
M, il LXVII. In-fi.
16. (»iioonna.m;b du Roy pour la n*-
forinalionetreiglement de la justice, tant
PS Cours 50uverain«s i[up infi^rieures ,
faites en l'assembla" des Princes etSeï-
gneurs de &ou Conseil , des Députez des
('.ours rie Parlement et (înind -Conseil .
tenue à Moulins au nioisde ftHripr 1B6fi :
en«t»^mhle les DfVIaralinn^ , et inli'rpn'>-
170
lUUïEHTLîS STEPII.\^US SECITNUUS. 1M7-*».
tatiousdu Roy sur îoelteÂ.svec une lablo
des niutieres yconlènues.~i(.D. lxvii.
ln-8.
17. Oadonnance du Iloy portanl por-
mi^iond'apfKfrter û l'ariiï loulos i^^ijoce»
de vivres, Âc. — m. d. lxvii. ln-8.
48. — sur l'imposiLion du vin. —
M. D. LWII In-8.
49. — par la4|ut'Ue il révoque l'exenip-
(JDnderinipoititionduvin. — h-o. lxvii.
ln-8.
'iO. — sur le faict des n^ignatious des
offices, &c. — M. D. LXVII. In-8.
ïl. Cjieatiûx dos treize offices de
maiôtrede roqueslesi, &c. — m. i>. lxvii.
In-a.
22. LcTTHES du Roy à toutes person-
nes jiyiml Weds, âtc— h.d. lxvii. In-8.
23. Ordonnance du Roy pour lea
Prolestanls ijui u'onl (>orlê .nriues. —
M. D. i.xvii. în~S.
24. ORUO»ANcede MM. les Ëâchc-
vinsdc Paris. — m. o. lxvii. In-8.
25. Lettres patentes du Roy, des
cauMsdont laconnoisàaneeesl atiribui^
à MM. tenants les i;ramis jours en ta ville
de Poiclier?.. — m. u. lxvii, ln-8.
2fi. Ordonnance» du Roy (Charles IX)
coucemunt la police ^énénde de son
Royaume, arreU^es au r.onseii du Roy
tenu à Pari^ le i février V'tdl. — Pari/s,
ftohert Estienrie. h. n. i.\vii. In-«.
nilil. lie la Fraiin-, n" 18,000. On y dit
que ce* (_>rdainiautr& sont Xrra ciirieiiâvs, et
s'occupent mt^rao des liahiu des ranime», des
veu\cs r( des fiIlL-t.
M. D. LXVIir.
1 . \s DecALOGtiM Commenta ri us, doc-
irina el erudilione non rarens . docti
inlerlIebnpOï'RHbbini. AltrahanicoRno-
mento Ben-Exra, interprète Joanne
Meix'ero Hebraïcaruui litenirum profes-
sore Reïîio. Itent, Dccalogus ut ab Ou-
kelo Cluildaîo pîmiiilira-sle ronversus est,
pereunileni Lalinus fiielus. — Lurtl/tp,
ex oflifina fioberîi Sttiphani typo^n^phi
Begij. M. D. Lwiti. Idib. April. In-i.
Li* tf\ir lit'liii-ii <>| la parjjdii-iisr soiit à
rniuiiV 1566. \o\v/. p. 10R.
â. RoLANn Piètre. Considérations po-
litiques. — M. b. Lxviii. ln-8.
MaillâirCf rilmil rr livn> U*jiprrs Almc-
lovLTii. u'a fnrri;Utré qui> l'cdifioii de 1588.
Du c^rst un oti))li , ou tl aura penic qoe
ecl\c de 1568 ii'chuttoit p3».
3. iNSTiTirTioNES* linputt» UnccfiP .
Nicolao Clenardo nuthore. Pn)rujiisMe*
ditatîonibus Uitinis, Manueli>; Mosoho-
puli veleriiïGnimmulici Griteuin librum
nipî /.iJww enidilissinniin quo Gnecia
tot;i ttistituendis (Mieris uli cunsuevil,
excudimus ad exciuplaria Hp;;irtî Bibli»-
tliecîB. — LuMifp^ ex otBcina RoberU
Strphani lypu^raphi Re^ij. m. d. lxviii.
— Et a la fin : Absol. An. m. d. txvni.
Cal. Julii. in-4.
4. Dk recia et euiendata Ijo^uh*
tîrapca' proiiunciiUione, Thoma? Smîtiu
Aii^îli, luDi* m Afiidemia (^intaltri^nensi
piibUci ptirlertori» nd Vinlonienscm
Bpi.'^t'opiini Episinhi. — Luiftitr^ /îo6er-
1(18 Sti'jihaitus. M. n. lxviii. In-i.
5. Dk recta et einendata Llnguîc La-
linae seriijtiarip Dialopis, Thoma Smitho,
EquestrisunliiiisAn^loaulhore. — Ibid.
M. D. LXVIII. — A ta fm : Idib. Nov-
M. D. LXVII. In-i.
fj. Dcrecla & emendala Lini^use An-
pliraî scriptione Dialn<riis, Thoma Sini-
tho, E<|ueiilris ordinrs Ani;lo aulhorp.
— Ibid. M. n. LXVII. — /n fin^. Id. Nov.
M. D. LXVIII. lu-i.
7. PoRoiR, Tragédie fran^oise,
RoUtI Garnier, avec des Chœurs,
prfeentant les guerres civiles de Romr
propre pour y \oir dépeinte la ralîimtCê
iya-m HOBFHTUS STRIMÏANCS SEi:iTNDUS.
M. a LXIX.
(If IV loiii|)â, dttlico ù EsUcnne PoiclitT:?,
StM2m?ur de la Torrasse. — Parti, Hu-
bert Esiiénne. M. D. LXVIll. ln-8.
8. Ei»m:t sur la iNictficiilion. — Pari»,
littbni Eslifitine , !ni|irimour du il<»y.
I H. D. LWllI. ln-8.
9. Letthes du îtoy . jwr t('S<n»r!i*^<.
lei!) l*roteslaiitsïiO)L'nt rct.ciisâraii'o [cure
pUiintcs. — Ib. M. D. i.\vni. In-â.
40. Ohdonnanck de M** le duc do
Bouition (tuur le rf^gliMucnl do [a jiistico
dp 50S icrrcri el spi;;m'iirir;» -lotiveRiines
de Bouillon. Sediin, JhuktU, Ritiilcourl ,
Flort-ngo , KIomiville , Messancoiirl ,
I Longues cl le Saiilcy. Avec k's rous-
tuiuc^ j;enerak'îi dtrïniilcs lerres et soi-
gTieuri(»s. — Paria, inipr. par lioherl
Estiçtme. m. d. i.xviii. In-fol.
Bd)liotlieaL rogia. — LuUtiœ. ex olllrina
^^Âoberli Stephani Tv |»o^'ruplii Regij, lypbt
^Begiis. M. D- twiii. — J la fin : Idib.
^^Snuar. h. d. lxix. I11-I6.
J'ai vu d<>!i v.\etnitl.iirt^ (le re livre ayant
' «ur If litre La daic; dp 15S8 , ri Mir d'autres
eloil crIU- âe 15fl9.
CSivi lonl Speticrr t^l un exemplaire sur
vrlici, \t-nûul di- la BiblioUinjue drOrlboti.
n le voit HTertivenieiil porte, en ï vfthi-
nu tome* \". page fi. du Cafai. B't-
iothectt Thtmn(F\ mais il ti*y iM |)a« dit
c revf'mpIiiiiT unX smv tèlin. JVii Initivr
()rrcjsf' iiidiratiou niii» ('criU' : Imprimé
r -vrCtu , rrlieiire Grtcque , à la uièinc
f;r fi di- mnii r\eiii|ilAiri* d« cc> CalaloRUA.
iipli J'ailiJilidiis [iiaiiiiscntfa presque au&si
»i«lia-alilcs t|iir l'impriniL', rt qui, pour \a
upari, sont df la main d<^ wa n-daclmr,
ph Quctuel . Bibliollit.'caire.
On nr >oil [winl cfl vxemplaiix' sur \rliii
reporoilrc dan** If l'jJliilnpir Sonliiw . i|ih,
ainsi nuo rhimiii KÙi . rfiiilieiil nnr lr<%
f;r«tidr p4iriie dr?t \\\ coa du ('lalaloi;iir ilc 167fr,
IK>pm> liiii^; ItTMps «1- NntlM'au-lVsliiiiii'irl.
v\ \m certain iiorabn' d'autres livrta . n'é-
loii'iil plii^ (Utiï rrllc Bit)lioUit*f[ue. Sur mou
Culiilo^ii;, vvs articles manquant M>ni lianv»
d'une ligiir nu crayon rouge, qui piiroil i'rtre
l(^ r«»ullal d'un récollcmpul général auquel
il âuroit M'.ry'i,
Iji ri'liun' df ix-t p\tinplaire sur vriiu,
(dite Crecifue sur la note qiu* je \icu» de
rapportiv) rat d'une beauté reniarf|ualt]c, et
telle qui' M. Dilrdin a cru convpnable d'en
donner U reprcsenlntioD en une gravure
tri*» M)i^*nOe , page 483 du tome W de son
Dibtiograpbicai Decameran .
Lord Spencer a de cette édtlion un exeni'
plaire iniprinu- sur papier hleu, qui , au lé-
uioigungc de L)il>din, eM de qualité el ruulnir
fort peu altrayaute*. Il est aujtsi eureginlri*
à telle ini>mi* ^tagefidu Cal.rii une uote inu.
qui i-sl liiffiH* : on *\ii sera défail comme ne
•iiéritaul pas d'être coiiser\e.
2. TiuicTi>. de Granuimirt' Françoise
(Pnr Robert Estienncj. — Park , Ruhtri
Eaîienm'. 11. d. lxix. ln-8.
3. GALiJc.i^Gntmiinatices libelUts (ub
Uemicfl Stcphano latine vereuis). — Pa-
riniis, Unhntu» Stephatius. u. w. lxix.
— A la frn : Excudebal RobertM Sie~
fihanus. m. d. txtx. Ijil. Feb. ln-8.
Rèiinpre^uu dci deux lolumea de )556.
Il parofl (pi'il n'en trouve des eieniplairts au
nom (le hianroji» r-!slirt)ne â Gcuoe.
On envoil de cclui-ei qui, de même que
Ip Titûtc de la Cnnform'ttr , ont sur le titre
le uoni de J . Du Pni&. Il doit y eu aïoir au&û
de la (iramniaire en franijois.
4. Tbauttê de la ronromiilé du lan-
yai^e Frant;ois avec le Grec , du<|uel
laideur est Henri Eslionne. — Paris,
Rohtrt E»tiênM, Imprimeur du Hoy.
u. D. i-xix. ln-8.
Copie de l'rililinn de Himn , 4an» date ,
qot' 1 nu rapporte a I iUtiiéi* Mi/lio. A tx: sujrt,
ri uu.vsi pour te loui; éiioiteé du titre, voyez.
ei-dt^UA, page lia.
t:e tolume , imprime par Robert , a uim
doule été publié en MCJétc aicc J. Du Puis,
doul le nom est au tilre d'une parUe de*
exi-niplaire*.
5. TuMBEAu de Ireshaidle. Ireu puis-
^
I7i
ROBERTUS STKPHANUS SECUNDUS. !58*-7a.7|.
b
sunlc et très catholique Prinrosso Bla-
(liiiiir Kli/tibothcto Franw, Iloynpd'Ks-
|Ki|înL' : en plusiours lnn*^tJi.*s (en hébreu.
Sn'*:, liilin . &c.) reçuoîlli de plusieurs
sçiivHns iiorsoniiaîïes rie lu France. —
I*ttns. Hub. Estiennf, Imprimeur Jii
Roy. M. D. LXix. In-i.
6. Sit.i.vcii Ciistrdoi Bclli Musarum-
(]iie niiinmbijs iii^truclissimi . anitiii
l'oniorisque dolilHW ornatisîiimi, Tiiniu-
lus, vHMis Poelaitim inscriiilionibusiii-
si>];nitiiâ-
Le Tuinbeau du Seigneur de Lji
CiiJistre, dit rie Silla4% ^Tnltlïiomme n;i-
Kueri's orn^ des excellences du corits &
de respril. & garni de la rognoissiuice
des lettres el armes : ^nivé d'inscrii>i
liofis de divers Pwtes. — A l'aris^ ptir
Hof*frt KiUietme, Imprimeur du Roy.
a. n. LXix. In-I.
1rs VIT!) suitaiil», d'tJilieiiiM* pNM|ai(*r, ne
ruiil |Hiiiit parlii* ilc «■ Rctutril, ou Tuma/tu.
1. KsTiENNK pHsipner. Soniu'lis sur le
TumlH-)iii du Heii:iuMir de Lu Cliuslro,
dicldc Silluc^e. (engrw. latin elfniii-
^'ois.) — /'an*, Huh. Estienne. ji. u.
i.xi\. In-l.
M I). LXX.
1. PiiftASES Ueliniir.-p, ^c. t\uic in
VeU'ri prtPiirrlim TesUunenlo lej^untur.
— Parisiis, Hob. Slephanus. u. D. lxx.
lu-8.
ADDonDc , Miu celle date , dAiut h Caln-
logHc (II* lj foire de Fraiicforl, d Vifihre 1570.
C'csI. mt tiiie rdilîou iioii%HIp, nu yUts pro-
ItaMcmciit rrlk- di- I5SA u\ct: un lilrf ra-
jtHjiù. Vuir f'iHl<-auH, |Kig. Ifilt, àct'lte mémo
2. liSTiK?iNE Patiquier ■ EpiUipIie de
Gilles Boui-diri . Seieneui U'Assy, Pro-
riireur ï;i^nénd :iu l'arlenienl »le Paris,
rn plusieurs langues. — Purh. Hoh.
Entirnnt. u. tt IA\. In-t
M. U. LXXl.
1 . Impi-:h.\tori:m Theodosii , Valcn
tiniani, Majoriuui . Aiillietiiii novellao
Ojitstîtuliooes XLII nuuc priinum m
lucemi-dita* a Pelra Pilliœo. — Lutettai.
ex ofTkina Hoberti Strphani , in vico
Beltoviuo, è fpgiune srlicda:! Decreloruin.
H. I). i.xxi. In-i.
2. pAUAi'UitvsE du droirt des disraes
FÀ'cIesiaîitii|ues el infwKiées , par Frjo-
çoi.^ Grimaudet, advocatdu Royau^^ieitt
présidial à Anvers. — .A Partit, de l'îjn-
primerie de Hvbert EfUenne { |mr sii
veuve). M. 1). LXXl. In-8.
Le pri\il«;e dr m Inre, réiiupriaiè un
1574 , ïV'iiojicc aiiiiti : m Par IvlUci jniIciiIim
du Koy dounées à lUuU, l'uiutruH- jiHir dr
St'ptffnliif mil ciiK| cent •tuixaiiie & mue, il
est permis ii Di-iii/e ItArlit'* , \efirvc de (ini
Ruliei'l l'jitit'iiiie, iii mhi \i>aiit Imprimeur
diidicl Seifpimr. &*•.•> Sui le hlrr i-sl l'Olî-
y'iff de» l-lAtinitif , i-i leur dt-ii.ic ou ffiign-
|iIk-, Vo/i allum sa/rrrr, ted timr.
CrUr ]iim- niillitiiliqiic, et U publication
de ce \olumr, rU 1571 el 1574. a\l uuoi de U
\cu\c, qui, en 1575, se remaria à Manietl
PntisMJTi , prouteiil que, dèi le oii/t- S(*|il.
1571, Rolirrt n'etistoil plus, hteu que quel-
qucâ-iius» el Maillain- lui-iiu^ine , page US,
trompés |iar \ts, «ulituies que, juwpren 15W,
11)1 vitil au (loni de RuImt! mi avec <ui niarQUc,
ait-jit teeuLé juM^u'ii ct-iie aiuiée ré|»(Hpie de M
inoit. Je lie diaiigerai ce|>«ndaDt pat l'unlre
èlahli dan» lej >aiiicDclaturcs aniérieurci a
la mienne; cl, iiolaul iei que dehors llftUen
u'eiinloti plus, je laisse suhre sniu ton nom,
ju.V|U*au dej-iiicr de 1588, le« lÎMX-» pfKlaul
afiud hoitertam Stettiianum, ou u'ideniciil M
marque, avec ou -uais lr<t mul.t OlUa Ite-
'VvtA proliahlcmeui Manurrl PaliiMon, <(ui,
Aur plusieurs de se» litres, dèetoti* lea impri-
mer in ojjiàttn Rofterti J>/iy;/wiM/, y aura
Imvnilli' |uiulaiit pluiieuru aiuiéts , laulùl
|H)ur Min euinple personnel , a/ttat Patuttt'
tiiiim , lanliit |»our le rorapte iitdiM» de Ro-
Itcrt UI ri Hniri lll. liU mmriir» de Kobrn
Il , el Itcrilicrh de miu «ymholc Oéivit Jl«-
/>frti StrftliuMi.
im^n-n-n kobehtus stepiianus secundus.
(73
Ihiiis Ira Aaiiales. III. 7&4, Maitlaire rv-
\e\i'. sa )im-(.Hji^iitc ermtr, et t-xplitjiu^ taite
eontrailictiun it|)|i»nii(r iii faisatit t^'v Ruliert
III fiU ilr- Rulicii II <|ui vriKiil dt- iiioiirir, ce
f|ui vsl exact, iiuiu iJiiiil il iic «* cioyoïl p.i^
t'erlaiu : •• adi-o til iii(;rDiir fat4*ur \iav in rtf
(Hiiiitii wlliuc tiJc-ri ulnu'ura 6c iiH-erla. *
M D. LXXIt.
^^ r Pbemier livn? dos Mémoires des
[ Comtes hi^nkJitaires de Quimpagne et
^_^e bric : auquel e;*! Lraité de l'uhipne
^BSes Ducâ , Coinlet), hilutin», i>airs , Se-
^"nest-liaiix, Advoiié:*, Vidjiines, tk aiilrps
choses qiK^ CL' sujcl u de loiniiiun avec
legénénd de la France [par V'tonn Pi-
Ihoii). — Paria y de llntprimerio de
Robert Esticttne m. d. i.xxit. Iii-i.
M. 0. Lxxni.
1. Fhagmrnta qiitcdani Papiniani.
Pauli, VIpiani, (jaji. MwJcstiui, et ulio-
^nim vcU'rumjurlsauolortini, e\ inlegrîs
»«0)*uiii libri^ an(<> Jusliniani Imp. tem-
pora colkvla , & cuin Moisis Je^ibib»
collato ; ejiisdein [mp. Ju^tiniani novella;
on^tiliitjone^ tre^: Juliuiii anteeeàsoris
P. dii'UUiiJii de (-uii>itiarii$; Juliani
colleetio de cimlutoribiis; omnia nunc
>ritiiLiin in liiceiii rdila , iw biblioliieca
'. Pitlio'i i. ('.. nijiiseliamnota'adjivlaî
int. — Lutetio! , ex oflii'tno lioberit
pphani. m. d. lxxiii. In-4.
i. Thaged(e de Jeplilh»^ de Gcorj^c
Buehanun. traduicte par Florent Chres-
lien. — Paris, Inipr. par Hobert Es~
tienne. ». n. lwiii lu-!j.
On \oil aiis.si cf Tolunie aruionci- mhu la
(hic! de 1553, chcx Henri Estiviiiie, ce qui
csi un« doiibk- crrcitr, rt poiir le nom et
In ibtc.
4. SuKTONirs emeudalus ex vetuslu
codire Momrniano. — Ibid. m. d. i.wiii.
ln-8.
C*rst îri(hil)itaUeotrat l'cflitiou de 1543,
tiuiumcûr |»ar ertrur de I57;i.
.Vu rt^li-, »• |)rtTii-u\ cl cxcelleul nunu»-
tril, peul-^lrr le nieilUmi' ruiiitu Je SiiiiuDCj
ji«oiI di-JÂ 1res iililenH'iil »eni |>our l'édiliuii
delStS.
5. KEctEiLdes jHjincl^ principaux de
la pruuiierp et setonde renionslrances
fûictes en la Cour de Parleniunt de l*a-
rih, â lonvcrture dis Plaidoyerie^ , |»îir
Guy Du Four, seigneur de Pibrac, advo-
eatdu Roy. — Parim, de Flmpriinerie de
Robert Estietme. m. d. lxxhi. ln-8.
M. D. LXXIV.
4. Fil. Grimaudet, l*:inipl)raso du
droict deè dixmes Ecelesiasliques et in-
féodées. Reveue ei corrigée pour ta se-
conde impression. — Paris, u. d. lxxiiu.
ln-8.
Par la vrine'dr RoU-ii Eiticnne, romme
pwir l'étliliou pri-ctlnile de 1571. Voyct ci-
dessus, pstge Mi.
3. NuiivKLLE Dt^claruliundu Ko\,âur
l'Edlct de !n (mcKicalion des irouhles. —
Puri's, iloifrt Estimnc. m. d. lxxiiu.
In-«.
Si celle pièce u'e^t que lu répêlilioti de
celle de ISfiî , elle aura été de imiitran pro-
mnl^iiée el reimprimir A TurisiMOa des 1.^-
Ire-i paleJili-» qui ^u1^eut.
.1. Lkttrks patenlo^ pour iVntrote-
neuLcnt di' l'Ediel de lu {laciticalion dts
lrt)ut)U^ pour le fuicl do lu religion. —
Ibid. M. D. LXXIIU- ln-8.
4. JoAitNis Suïpilii Verulani De inori^
bus in men:» senandis I.ibellus, cuui
Uallico-Uttina Gulielnii Dunindi inter-
pri'latione. — Parims., v\ oUicina liu-
MrU Sh'pfmtu, Ty|io|:niiibi Rci;ij. m. n.
I.WIIII lii-H.
■
474
BODKHTUS STKiniANUS SECUNDUS 1574-75-76.
5. Jn.li r^*âHnsScj)li({eri Put'iimlu in
duutr piine» divisa : Soplioclis Aju\ «tlvLn
trajïico Ininshiliis à Jos. Scaligero, cuin
quibuiMliim cjusdcju opi grain mal i bus. —
SI. I). LXMiti. In-ti.
Muitiniif , Anii. lU, 70i, peitsr qtie rollc
wlilîuii M<ii.i iiitin (If hcn tii (J'Impnrni'Mr, c*it
a»avt i-K'gaiitr pour iliMuii «'in- ctllrihiiéo n
l'iin iK>^ HAtieiiiif. Sa iii;ii(pii> loiiMsI^int i^i
lieux liiiiiiiu(iA , liunl l'un |il:iiiti' uit arhi'e
qiif t'dutiv an-AM* , ayant i-ii liuiil le ilutn
brlirrti «le Dit-ii nVl* (Jefiot-nh), n'est crpt'ij-
(taiii puini uni-il» iuan]u«Â sti'pliamviuies.
(». llii'iVLVTK . Tr.if^f'KJip avec ilos
Chœurs , par KobiTt (iarniuT , di'diéi' û
iia*si)iiMtrs(l<' n;iinl»niillcl, avor une fcl(S
gio à Nifolas Honsurd, sieur des Ho4'lie:9.
— Paris, Hubert EsUenne. u. o. txxmi.
la-8.
Oit « (Itjâ VII auv édiltoii à l'auiitT 1S73.
Ji* n'ai pu ^ci'ilier !.i vriiLiliIftimit il j* eu a
vu dcUA.
7. CoRNELiR, Traqédip, avi»r d«-9
('■hœurs. (wr Hobort (iomipr, dédif^o à
M. di* Rainbuuillel. — Paris. Robert
Estimne. m. d. l\xiiii. !n-8.
M. D. LXXV.
1. PsALMonty Davidis piiraphr»<4is
pLH'lii'u , iiiilliure (.intr^ic) Biirliiiiiiiiio
Scolu, (HM.'Uinim no»lri sa^iuli fadic
principe Ejiisdom Jfphlbc*s, li-ago^dia.
—Parisiis, p\ oUu'tna Hoberti Sffphani .
u. u. LXXV. In-IG.
2. Le» ■•kkjiii^kks OEmrfts do Pbi-
lippe Dcs-Portcs — i'uns, de l'Impri-
inerir du Hobert ExUennc. m. i>. lxxv.
Niremo. H Onujct qui le nopic, inrllPDl
t*U 1573 rt'Uf prrinirn- piiltlteatioli ile« l>«i>—
MK» diî i>**-l'uili'î^ «llf vM dp 1575. lia
157S, IV.«-Puil('M>luilala Miili- di* IKuiillI,
iMi Pi>liK;iie. il'itii il it-^iiit avant le priucf,
«M pritilt*iii|i& lU* 1574.
'i. LETTRËii du \\0) au pirvii^l de
Paris, (KiijT faire garder rFdlclde piari-
licatiun cl autres coiitvmanls le l'aictdc
lu roli^ion. — Paris, Hobert Estimne,
u. D. I.XXV. In-R.
4. AitnesT do lu (lour de Purlemrnl
oonlcnaul dcrunci's d'imprimer, ne ven-
dre trt'Haiii?- livres défendu?. : et ouln»,
d'iiiipniiier nuls autri'S livi'es suni» lu
[jorniission diiHoy.onde lu dicte Court.
— Ibid. H. n. L.\xv. ln-8.
5. AnnFjïT [Hirtant defeniva a tous
Inipnnieurs libniin.^ el euIportvuRï ,
dimprinier ne vendix* livri'S sans tslre
reveiiz cl .mins iiermiâsiun iiiserôe. —
Ibid. u. 0. 1.XVV. In-H.
Les (jrumnuiiritii&iwurranl ki rrmarqurr
que, daii!t trois d** rt s pivifA »fltri4_-llr» im-
prinires «u tntHw If nips , par U' lui^oii' Im-
(nimeur. liounotr satniit cl l'vacl , lu mol
tièfenaes rst ordiofH'apbic di- troit fa<^jus dif-
fércntw , dcffetuti , Hrfatm rt ffffenttx ,
que lt> partiripr pré^'At ns^uit et nv rc^oîl
pftf l'S, marqu** du plnri<Tl : tettrr* conte-
nant, /.rtttvs portants. Le hmiI i.<ttn4
l'st iri rèmiiiiii aMei: fKtir»tf$, iitaMiitiu q%ec
fttuturifs ; un limul aiUAirliina luitg-leaipi
ilil t.ettm Royaux.
tt. Lettui» patentes du Roy, portants
défenses de ne vendit; en puldic ne privtî
aucunes espfM'es de eluiirs durant le ca-
ivsnie. — ïbid. m. i>. l\\\. In-8.
7. Ofino.N\A>r.r de nioiisei^ieur de
Monlmarency concernant la police pour
le tompâ du caresme. — ibid. m. i>.
LXXV. In-8.
M. D. LXXYl.
\ ! LoYi» le *;^ron : Paneg^Tique au
Roy Cbarles VIllI. — M. i». lxxvi. Iïi-8,
Je CMii» Ilirii rpic **tte pirct* rt lii mi»-
vautr, di* 1577, nMiitionoêu par .Maitlûrv
d'apn-4 lui Ciilalogue (lUbtiothnca (xmli!-
siatui) iir Mtiil ntilrr» t\\\v wlle« dr» anuivs
1W6 rt !5fl7. aiiut noliT* comme rpimpn**
•ttmi' . par uiii> Muiplr erreur ilt- rhiHm. Il
1576-77-w. ROBERTUS STEPHANUS SECUNDUS.
475
rsi |iru |irulialilc riii'il y ah ru lieu <lc rr-
|ii^liiirf ers pifces adiiûtricrs J«-\u et troU
3uiié«Ti Hprc& U mort tlv celui qui eu iuÀX
l'ûhjrl.
2. Lettiie» [wlfliitcs du Koy rrn-
voyiiat :i lu cliambrc du coiisoil du Par- i
U'incnl de Paris la connoissance di' (uus |
It'ti pnxi's coiictTiuints lï'xèculion de ,
l'HdJet de T'aoification. — Paris, Robert
^AtimM. M, D. lA^vi. In-S.
3. LKTTHEsdu Roy porUmfedeffcncps
a toutes personnes de ne violer les KdicU
(le pacification, majorità, Src. ^xxv peine
de là vie, avec injonrlioii de repurger la
ville de Paris îles vacabons et gem* inu-
tile!*.— Ibid. M. D, Lwvi. ln-8.
4. Lettres patente;» du Roy, conte-
nant intiibilions a ceux de la religion
prétendue refonTitWî, de tenir ou (aire U--
nir cïiaUtes publiques, jiour instruire eu
leur religion les jeuntv; eufans. — Ibid.
M. n. Lxxvi. In-S.
5. Ordomna.^ce du Roy catholique
pour remédier aux pilleries et ruynes
des temples et mona-ilert*», &e., el don-
ner onire a l'émotion populaire, en ces
pai» d'embas.— Ibid. m. d. lxxvi. In-B.
Bl. D. LXXVII.
4 . BiBUA sacra , cum nolis Fr. Valu-
bli et S. Pugnini. — m. d. lxwii. 2 vol.
in-fol.
Maittaire, Ann. III , 770 ^ rite cvIIp èdi-
licMt d'nprâ» Iji Caille, poRc 14t, mai* tn
'•joutXDt (|U*il uV^i 0 \u nitk-Tin uiiciiuc niPii-
ticKl. Ji* ua\ pnuis \\\ non \i\u\ cHVv. IVible,
H jr iloiilf (Ir Miii r\i.>Iriirt*.
2. N'atcbt. verborum. — LuMiac, e\
officina Roberti Sfephani tyiK)gniphi Re-
gii. M. 0. i.xxvn. In-H.
3. Pa-nkcyhio»-'!» au Roy CharUîs
VÎIÎI. De rob('*isyance du jieuple au
Ruy, et du devoir des Magi.mnits , par
Loys leCaron. — Pan:^ , chez Hubert
EnUtnnt. m i». i.\xvii- InS.
AiuM i|iie )(• \it-iis il« \v ilin-, ji* m* croi»
pu â wlic huniprfsuoD.
4. CATOiNi» Disticlia nioralia. Laberii,
P. Syri, & aliorum veleruiu Sententi»,
iamhicisversibusHingtitiseompret)ensa\
cuni aliis ijuibuiidani ; oninia ex veleri-
bus libris emendoliora. — Lutetiae , ex
oflirina Roberd Stephant. ta. d. lxxvii.
In-8.
Un édil du roi Henri III, de celtr oiméo
11177 , nietitionnr dans tn Tdiitt- du Arrtiites
île la OiamUrr SyndiaiU', ilt-fi-nd l'iuagc de
la (loriiir pour li^ li\rr>, .mln-mnil ipie sur
la Iranrlie. Je ii'np<!n;uts pai^ «pi'il oît elê lort
ubèi.
M. D. LXXX.
:
1. PsAi.Moni:M Davidis paraphrasis
poeliea , authuri' lîeorgio Bui-lianunu.
EjUï»dem Jephlbes, tni^cedia. — Pari-
«(ÏA, in oflicinu Roberti Stephani. ii. d.
LXXX. ln-16.
2. Alphabetitm finecum. — Lutetiae,
ex ollicina Roberti Strphttni.a.ti. lxxx.
lu-8.
3. RtmiMENTA JoannisDespauterii. —
Ibid. M. II. txxx. In-S.
4. Db octo orationts partium ron-
slnietione libellus , cum comnientanis
Junii Itabirii. — Lutetia , Rob. StepHa-
nu.t. H. u. LXXX. ln-8.
ii. Natub.k verborum , inâerliB vul-
gïu'ibus exemplorum inlerpretjilionJt)Uâ ,
ail puerotum utditAlem. — Ibid. m. d.
i.xxx. In-S.
6, Prima lingiiae Latine» elemenla. —
Ibid. M. D. LXXX. In-B.
7. Les MÊME», en François. — Ibid.
M. U. LXXX. In-8.
K. CoMMENTARiu» pucroruin de tyu*-
tidiano semione, sru de emendalinne
176
nOBFRTUS STEPIIANUS SKCl'NUlîS lasO-M^Wi^.
corriipli Scrmonis, Muttinn» l'.onli^ru)
uulliure. — Luldùe ex oQicinu HulM'rti
Stephani. u. i>. i.x\k. In-H.
9. DisTiciiA nioralia Oilonis, cum
Gullica intfM'pmtâlionc. & docbnitione
Uitinii ; h;i*r nlilio praiUT prafcileiUos
uoii sulùm JMiilur. Corderii rLVoj;ni(io-
noni, scil .S; Cnro^im Miixinii Plainiilîc
intorpii'UitK»rii*iu haïn'l. DitHi ïii.*i>toin
Sfl[>ici»tiim. cuni sua qiioqnt' inlcrpreUi-
liuucula. — Luktiae, rx onUiiui Hobcrii
Stéphanie lvi>ogruphi Ret^ii. u. d. lwx.
ln-8.
M. D. LXXXII.
h. jEiji Donati de oclopartibus orii-
lionb lilH^lliis. — Parisiis^ <'x oilirina
Hnlirrfi Sfefthtir}iTy^ij^vA\>hi rogii. h, u.
i.xxxii. In-8.
3. Les Déolinuisons des N'oins &
Verbes ; ensemble, la mjiniere de tour-
ner les Noms, Pronoms, Verbes el Par-
tieiiH*:^ : des hiiicl parties d'oniisun : ta
manière d'exercer les enlans à décliner
lesNoniî! & VerU'S. — /'jns. de l'Ini-
prinieriede Rohûrl Kstknnf, Iniprimeiir
du Ro%-. SI. I). LXXXII. In-!).
LXXXIII
\. RrniMENTA Joannis Despiiulorii ,
fiim areentihiLs. — l'ansiis, ex ofiîcina
Hoberti Sifpbani , TyjK)j;raplii regii.
M. u. Lxwiii. ln-8.
Hubert Entifnne. Imprimeur du Roy.
M. D. LXWUll. IlL-8.
De rctti* cdilioti et de crllc qiû parte l'an-
iirâ 1588« Maitlaire, Ann. III. ivi cl 800.
dit : Eatfftti vmnino ffiitin tic priitt artu.
1584. Ijittnd-il que re sont ilt-s rtimprcA-
sinus tonl-à-fail coiifomm, on r|iifcVsi imc
siiile cl inî^tnc inlilioii svcc (k's litre» deux
fois i-ctiouvdés ? C'ni re qui importe fort
piMl .
2. TERENTlirS. — M. D. LXXXIV. Ifl-H.
J« u'ai Jamaiii mi rctli^ édilion, rt rîcn ur
me prouve que ce n'<^t pas crite do \SM , an-
iioiinV de 1584. par trreur <l'uu rliilTrc dans
II' Cnliitogitf qui aura <ii'r% i d'auUiritr à Mail-
tiiii-c dans In Vie tin Ltliriiiie. Kll»' ii»- se re-
tnmvr plus aux Auimlrs. on m plarc srrtMl
loniclil, page 790.
M. D. LXXXV.
i. JEut Donali de ocln pnriibtis ora-
tionis libellu,-*,, in Dialogi formam Lnli-
nain & Gallieani rcdaeluï^. in «rratînm
pneinrimi. — Lutftio', ex ofTif ina Rohirti
Su-fihntti , TypofïTaphi Regij. m. o.
LXXW. Iii-8.
2. Mui DonnLi idem libfilliis, in
Dialojfi formam Liilinatn & Galliram
rcdacins. in «jraljiiin jmororuni. — lUid
M. I». LXXXV. In-^.
3. RiuiiiKNTA Joimnis Despauterii,
mm aecentibus. — Ibid. m. d. lxx3CV.
ln-8.
i. Rldimot.v Latinogallico . t*um
nocenlibus. — Ibid. m. o. lxxw. ln-8.
l*RiNciprs & première élihncns de
ta iani;iie Latine, |>nr lesqueU lot»
Jeunes enfanij seroiil facilement intro-
duitsà lacoKnoissJinced'icelle. — Paris,
de l'Imprimerie de itoUrt Esttenne, Ini-
priiiietir iJii Roy. m. o. lxxxv. In-8.
6. l>isTir:iu moralia, nomine CatonU
inseripUi . Cum Gallica jnlcrprelatione.
n
/fe, ubi opijs fuil, dwlunilionp l^linii.
II.Tf Hitiu pr.i^lcr prtTifdeiUos non so-
liiiii Jiultiori^ MiiluriDi Cordmi rPt'OL^m-
honpm.secl &. tira?raiiiMaximi IMamitliL' |
intprpivtiitiûiiPiii Iial)t«l. DicUi sepUw ,
SaFiicMilutn Gracia* ai) finoni :HljtH:Ui
siinl, ciiin suii qiioquc inlerpictaliiin- '
cula. — Ibid. m. o. lxxw. Id-8.
SfOnii Muilluirr. 111. 795, Eafiem fititio
iinr rclli' «If I5T7. VciK-it iljn* iilfii(ii|iiffn<iil
lU- mi'ati.- iiri|)n^»it>a. on liii-ii iinf ropio
lont-a-faît (Limllf? Pour uiif U-lli* cl ii |k'u
i(ri)Htrla]ili' *t-nficalion, uiiiM qiit' poiif rrlU'
ilniil il r-it iiiicttioti fi-drasiis. n b jmpc qui
|itrrfflo , il laiiilrnil n^uîr sum In main, t-t i-ti
niùnc li'iti|is. titi t-\ritiplaiiv Ji rliiimn ili-
vn divers Miluraea.
M. D. lAXXVI.
1. pHnciPiA lin^iia* liitin:p.. — Lute-
'#ff, fioberhi» Sicphanus. m. ii. lwxvi.
S. Rl*dimknt\ priiiiii Lntin.T (ïniin-
inatin'i;. Modiis l'xamJnumht' cniiftln»-
lionis in oralionr, .ktiiiinr FrIlisiionL'
Condri(»nsi aulhnrn. Ciiiii acivnlihiis. in
aiiolcsienluionim ronintodiini. — Lute*
//Vf, «'x oPicina Huberti S/rp/iai»', Typu-
^phi Regij. m. d. lxxxvi. In-8.
Ce «oluDiF est eflrclivemait iKitirrv d*ar
mil*.
M 0 LXXXVII.
4. jElii Dfinati dr oc'to orationis
partilui!^ T.ihcllus. — LuMitr, ex offirl-
Dfl HtiUrti Skjihani^ Tspotiraphi Hcgii.
M. D. LXXXVII. In-8.
5. La maniiTcdp tourner en Langue
Françoise les Verbes & PiirtiL'i|H.'s; rc-
vooc * corrii*'*' on {ininde diligence. —
3. Robert EsTiPJWK. Vers chresliens
présontoz à Monsieur le rouito Du Bou-
chage. — Ibid. I). M. txxxvii. In-4.
(^lal. de IX> Tikou, t. U, {). 307.
4. UtSTOiRË de PortUi!al comprinso
on vini^t livres, dont les douxe premiers
sont traduiU du latin de Jer. 0»urio ,
Kveî^]ue de Sylves , les huit suÎMinl^
prins de Loi^'Z Ciist4isi»'<ie : initie on
françois par S. O. S. {Simon Goulart,
Senlissien. ) — Partit, m. d. txxxvii.
In-H.
Cr «oliiinc. (|in {Nii-oit (Hir In mmpret-
aion il'* riii-f«M. (K* 15tf1, est »iui>i indiqué
au Calai. ffiA. Thutiutt, luniL* l**". pag. saG.
itlitilii>ii> iiijiuu.i<n-ile!i. .Ir doi& noter qu'il n'y
Vit |ia.s (la qufti- \i>]mui', imprimé î Varis.
n|iitnrti(iiiio à l'im ilcs ILMieunc; nns^ti u'i^i-
îl plart- iri (|uu pnr conjcriurc, et conitiH'^
nimpn-Aiinn de i iit-fol.
.
M. I». LXXXVin.
I . Lks î>êclinoisonïi des Noms et Ver-
bes que doivent. sçavoir entièrement por
cnîtir les enfans, ausquels on venlt bail-
ler enln^e à la langue Latine. Knseniblo
la maniea» de tourner les Noms , Pro-
noms, Verlies tant .W.tifa que Passirs,
Gérondifs , Sti|)ins & Participes : les
Verbes, Surn. Volo, Noio, Malo, Poro,
lyio PS, Via, Possum, Meinini . aussi les
Impersonnels. Desliuict prties d'Orai-
son. La nuiiiiere d'exercer les enfans a
dL^liiuT les Nonis et les Verbes. — Pa-
ris, de l'Imprimerie rie Hobert Estienne,
Imprimeur du Hoy. m. i». txxxviii.
ln-8.
Voyez ci -de«u*, paçt* 17fi
a3
iMAMERTUS PATISSOMUS.
M. n. LXVIII
!. HyinrciiônctliliacuiPtrAnUiiiioCa-
rawiolii, Prince de Mt'li>lie, sur la nai;*-
sance du comte de SoisîKms , fib du
Prince de Condé el de Françoise d'Or-
lénns.
Autre GérielïiltHquo, mit ta iiu>mo nai*^
Siince, [wir l'Iorynt Clirwtiaii. — Varis,
Mamerl /'uÏk«mw. m. d. i.xviii. In-i.
i'jpXXv ilatf ili* iSfil* iwroit cire lro(> reni-
lè«. «t il M* ^Kiuiroil Im-ii qu'il faillit iiifltrc
1578. Il Mt vrai i|(if Cancriolu . aiil^iir Je
la pnmiiTi: plire. DKiiiruI en 1S69, mni^ i-lttr
a pu iMre imprimée après sa raurt. Les vers
lir Florent CJirestim (le Jugrniml «le PAriii,
(linlogur jour à Aiigwie»-l«'-Fram-oîs) , l'o-
\uifiit tlt'jà élr aussi il Pari*, v\i 15ft7, iu-S.
N*t^l-il IM» puMÎlili^ qiif Dutenlieroii Dniii-
diiu, autonléx sur IcMiuvllcs .s'apptiir Mail-
taire, aieiii rai» uu 6 au lieu d'un 7 ? Il htcmi
un peu étonnant (|u*:iprcs tflle prernicre im-
pHwioD, Pati-uoii (àl rvsiv ùx années &an<t
rien produire.
M. D. LX-XIV.
i . Le premier volume ^\i.^ GEuvre? pI
Mealangps poétiques d'E?itienne Jodelle ,
sieur du Lymodin — XParis, chez i\i~
cotas Chesneau, nie S. Jacques, à ren-
seigne du Chesne Verd, ol, Mamfrl Pa^
imon, rue S. J*'an de Reauvaiï>, devant
lesesrholeA de DiVrtH. m. n. lxxiim. Li*
VI jourdeNov. In-I.
Avec nne préfare Uisloriiine de Duirlei
De 1^ Molhe, OfUM-iHer au Orau<l-CoiiM<il.
I> pri-niier \uhime, (pii n'a point <*u de
mhmiuI, conlii-iil trois pièce» : CWnpàtrr^ tra-
gtilie; EugèHi", e»ini*dir en \ers de 8 «ylla
Im'JI, et Ûiifon , Irjgttlie.
M D. LXXV.
\. Lps quatre Ii\Tes de la Vénerie
d'Oppian Poète j^recd Anu/arlie, traduits
t*n vers rnini;ois par Florent Clirestitin.
— Ptfns. Imprinirriede Hobrri Estinme.
pai- Mamcrl Pâtisson, m. d. lxxv. ln-4.
3. I1]pi»(m:ratis Pro^noslicon Latîna
licplirasis px mente Ualeiii, uuctore P.
HloudeHo C^alexiu Juliodunensl medico
renio : Hipporniti* jiiri-îjurandi Kephru-
iis Latiria, pereundein. — Lutetiip, !^a-
mêrfus Pdli^mnian , irt anJil)us Holtrrti
Stephaui, in vicu Bi-iJovaco, é regione
schoiœ DecTDtonim. m. d. i.xxv.ln-4.
3. Les ÛEuvrt^ poéliques d'Amadie
JamVTi. — Parts j de rtmprimerie de
Robert Ealienne, par Mainert PatUson.
M. i>. Lx\v.ln-4.
i. Am\dis Jamyn, OKuvres poiHhpies.
— itf. Pâtisson, u. u. lxxv. ln-12.
Calai, du Baron de Y. 1ft39. »<' 4S«.
Kdiliou iiiuTtle «bu» les liiil(« de Mitit-
Iflirt, |«g. 5fi rt in, it'a|ires la nih. ConU-
sittiia. Maiit il i-eruiiiiul viuuiîle sou errt-ur ;
car ou lie n;\uil pas duu lf« Annales cctiv
ûlitiuii m'ôe par uiiy Caiite de chiffres, 1575
pour 1577, ft i|m nV.\i]4e pas plus ru iii-4.
quVu iii-l2 ou iii-16.
M. D. LXXVl.
1. I.»m;o>9 de pi»rs(>oclivc positive,
|iur J;i('(]m>s Androut't du tlerceau, ar-
ihitocUf. — Paris, Matnert Patissm.
M. D. LXXvi. In-fol. (ig.
3. M. VFJtHii Ftiicci ([ua.^ e\Uin(, ol
Sex. P<jmp<'i Fosti di.^ Vt'rtwrum sïgnifi-
caliom* libri \x. Jost'plii Scjiliç;eri Julii
Casahis F. in tx>sdcm libi-w» cas li^;» lia-
ne;* rciOgnitiiï t»l aurtib. — Lutetiof, it[i\\d
JUamertum Patisiioniuvi jn uflicimi Hob.
Stephani. u. u. txwi. In-H.
Ix» IragnienU «le Verriiw Han-iis h'occik
peiil (pu- Irfiii^ |)'<l;i'^. âii ixiiiiiiieiiiciiii-iil du
vulunie. \xs ii(ilf!> ilr Nralif;rr util iiu lilit^
parliciilif r fl une iniuiératiuii &^|iarétr.
3. AsTOMi Murpti J. C. et dvis R.
Hyntiioruiii sacrtpruni libor, just*u so-
irnûvsinii (iiilii*liiii , Duris Muntiia>. &c.
consiTÎplus. Ejusdcm alia (piii'ilam Pcxv
TiiJilia. — Lutftiœ, apuil Matnntum Pti-
imontum, in otticimi Roberti Stephani .
D. LXXVl. ln-16.
Itfitm «latilr ropié sur rétUtion aldirie du
i. Les amours & nouvenux uschan-
gps des piwres pnitiouscs, vertus & pro-
prJélez d'icclles : Disrours en vers de la
Vanilé, pris de l'Ei'clcsiask*; Ecloiîues àa-
rn^» prises du Cantique des Cantiques;
|ïar liemy Belleau. — Pons, AtamertPa-
tisstm, ai) loiiis de Hoh. EsNnme. u u
lAWi ln-1.
1. CATt'LLi, TibulH, Propertii, nova
editin. Josephu-t Sc<dii;er Jiil- Tiesaris F.
reeenauit. Ejusdeni in eosdcm easti-
i;a(ionLim liber, ad Cl. Puleaiiuin Consi-
liariuni Kei;iuni in supreniH Curia Pa-
risiensi. — Lukliof , îqiud J/ar/itr/um
Patiitxtmiutn. \ n oflieina Holterti Stephani,
M. U. LXXVIl. ln-8.
2. r.ARiii!viM Jani Anton)] Baifii I.i-
Iwr I. — Luktiae. iqiud Mum^rium Pa~
tissimiam, in oïïicina Haberti Stephani.
N. «. lAXMI. ln-16.
3. Hehigii BcUaqiiei PoeUc Tinnuhis
(abamicis eonslructus). — Uitetiœ, iipud
Mttmfrtum Pd/i.vsoMium, fx offîcinit flu-
bcrfi Stephani. «. ii. lxxvii. ln-4.
Ilaus (T nvueil de pw-sies grecques, la-
linrxel l'radrniM-s. sont qitain* \ers grcesdc
Holterl <*ii riiôiiueur du défunt.
4. Les (ïiuvres poéticiues d'Aniadii
Jarnyn. — Paris, Mamert Patissun. m. d.
LXxvit. In-43.
Cat. Tt^liruer. 3 avril 1839, n" 3*U.
't. LRsUirmes funebresde(^hrisloph!e
Du Pré. Parisien, Sieur de Passy, eon-
lenant 75 sonnets cl 3 Odes sur le li-es-
\w^ de sa femme. — Parisc, iniprint^ par
Mamerl Vatissvn. m. d. lxwu. ln-4.
6. Ukol'Eil des plus notables sen-
tences de la Bible, tnidnites par quo-
tniinsennwiniere de provtrbcsà la con-
solalien des dévots espriLs: eï nolain-
ment des Religieux , pour se dresser et
maintenir an iwiuct de leur estât , qui est
en fuyant le monde, se tenir près de
Dieu. Avec trois exemples de la constance
deMalatbias, Elcazar, des Sept frer»
ot leur mère. Ensemble dix sonnet>i sur
le triomphe de la vérité . pris du troi-
sième livre d'Estlras : par Frère Anselme
du Clinstel, Cebslin. — Parifi , Mamvri
Palissnn. au lopis de Hubert Eatîertnr.
M n i.xwii, \ï\-\.
tm>
MAMEHTUS PATISSUNIUS. i577.;8.
7. pRTRONii Arbilri Siilyricnn ox vc-
li>iil)us litiris cim'ndtiliti» ol uifipliiis. —
Luleliae. iipiul JUamartum VatisRtmîum.
M. D. LWYII. ln-16.
CvWv pclile ptlilioti. tlniu bipiclk- la Kii-
iiïon des frii|piiritl:t r>l |ilii.s .ini|ili' i|iil- ilaiiii
lr% |ir»WiltiiIei iin|tm^»inus dr «• li\n-. i-sl
<T|it'it(lnut liii'ii iiiriVinirr .î celti* tlu nu^nic
Palisinii , I5S7, iu-ï2. Tmitcs ilfii\ ^ml
rares.
Oii a uiai-ii-iiriiiMi!. \t\aci' a t_Tllc iuiiiér
1Û77 lllM' i^'dilioii iii-S. de Sc^vota- Snmmar-
thtinl Otrmifitt, qui u'cxUlc pa». Eu 1!J75.
Fft). Mori'l m n im|trimt' mi lurmicr Ri--
cii«îl, aii^mcii1i> <laiis lU^ mui|iri-»5iuiis iiltr-
nriiri's ijiii m- soiii ni il<- Piiltvrfin» ni il'tui
KsliriiiHv Ut iiiliinii'tli' l'.'ilinMii), lâK7, iiiK.,
n'rii iiiiiliftil i|ii'iiiir jKii lit'. a\i<t: le |iuL>uiir
Pœtiatropftia.
M.D. LXXVÏII.
I. DiâcoLHB du U'irips, tJel'iiiielde
ses purtie», pur Ponliiîï d(' Tyurd, S** de
Bisày. — Paris. Minnerl Palixson, Impri-
nieurdu Ro> ,;ni lofîis dt' Hohtrt hslientie.
M. i». i.xwm. ln-4.
1^1 pn-uiicri' rdiliim tir cri ou\rnf;e Cit de
LjoM, J. de Tdiirun*. 1556, in-8.
3. Del\ Discours dr la nului-c du
Monde , & do âcs j^artirs; à sc.ivoir, le
prt'initT ciitii'ux liuiltiiiil dcscliost'riinii-
li*rioll(!S, & lo H-vond curioiix dns iittcl-
loclui'Ufs ; imr Pontus da Tynitl , Soi-
gneur de Bissy; avec tin «viinUlist'oiirs
sur l'un (»t l'autie turioux jwr J. D. Dti
IViToii. prori'ssc'ur du Royaux liin^uesi,
aux nuithi'iiialiqiios, Jl. on li)])liilosoplue.
" Ibtd. M. ». i.\xviii. In-l
ta pn-mtéri- rdiiiuii est dv Lymi, J. De
TiMtrnf*, J557. mA. (Icllivri fsl nugnieiihx'.
3. lliri>ornATts do (^pitis vutnontmi^
Liber, Grieti.*, ex casli{;ationo Jos. Sca-
ligeri;& biline, ex iiiterpreUiLione â
oum commcntirio Franc. Voriuniaiii
docioris Moifioi Pii'tiivionsis. — hilftùn'.
, upud Atavifirtutii PaiiBsonium Typogra-
! ptniin Ropuin, in uflioiiut Itoh. Strphant.
! H. i>. lAXYiii. \n-H.
3e IIP \oU aunui anti-r xolume grrr iiu-
primt* piir I^iliuou.
4. KniNcisci Ulmi PicUivionnjâdoo-
I torimiiHlicidoliono Liln'lliis. — Lnteliae,
' Hpud iUamerÏMm /'fl//.'î.V(imuni.Tvpoj;ru-
phiini Rf^iuMi. in ollk-ina tioberîi St'f'
' phaut. u. D. i.wviil. ln-8.
I 5. M.\R. Tul. Ciceronis Kpislola? fe-
, miliaros, niinr jirimum collatis aliquol
oxcuifïliirihiis, fnu'mlaUe : adjrt'tis sin-
t^uliinun i^pislularuui ai>'uaionlis. —
Ltikhae. apud Mamerlum Palisnonium^
T\ puLTupluiui Hetziuin , in dlieina Hab.
Ste^ihatti. m. n. iaxviii. In-2i.
ti. E.KOKH. — Ibidem. ]nS.
7. I.Es Œuvres poiHi<pies de Rouiy
Bolloau . on di-ux loiue:^. — ïlo l'Impri-
lueiiede Afainfrt PatixMm, Iinpiiint'ur
di( Roy , au Ir^]^ de lîvhnt E^tienne.
H. 0. i.xxviii. i vol. in-t2.
(>* iUii\ voliintrs mil t\v phu que i'in-*.
de 15*&, I..1 llfigrrii* , Appan-iuts d'Aral
{Aroti J'fttrnomfHa)^ Od«-.> d'Atiwmjii. de»
pot'-sicïi, cl la RccciiHiiii' , runn-dir i-d cinq
ncl«, 411 ^crt. Les dwix \utiiniK> dt* IW5
vHil , ji" croÎA , couforiiKS à cwii-ri. |ji ('j>-
ihfdir i|[- 1.1 Keroumit' 5L' lruH\emiMi
iL-mt'ul , lô78. m-Ii.
t-pa-
8. \.v^ priMiïiens OËuvit»!* do Plù-
lippt's l>es-Porte!i au Rtn do Kr.inco et de
Pc)ln;j;iio, rovoues, coiTiiîéoà el iiugiiieft-
téos on reste domioro iniprt'^ioD. —
Uiicî. M. D. Lxwiii. ln-12.
9. Marc Antoine, Tnijïédic de IUiImtï
(lurnior, avec dos chœurs, dMiée n
M. do Pibnio. — Paris. Atauttii Patts-
ftim. M- ft. twviii. In-8.
m. i.x Tniade , Tragôdio du Ultime ,
Hvoc dos cliœurs. dédiée à Ko;;na(jd de
Uoauiio , Evosque du Monde, en>%uiU.'
Arolu'vos(îue do Bourses. — Parias, Ma-
tMTl Pâtisson, n. d. Lxxviit. In-a.
H. Edict sur la omirinn de^ eon-
i. bi Codmopœiam, ex OencÂtn 4. 2.
& 5 «ip. l'uniphnsis, non procu! h
oonte\lu Hobniicu iccttlons, cuin iinno-
tatîonibiiâ , auctore Pelro Picherpllo ,
Finnil-Auciilpha'o. — Lutêtiof, ii|iiitl
Miim^rtuoi PotisMinium Ty|io;;r.i{tbuiii
rr:^»iiiii in oMitiiiii HvhtTti Stephani.
M. O. LXXIX. In-i.
i. Ji-A> IXivy DulVrron. A«iiit-dis-
coui-s sur Iiln v\ V;u\\tv ciint-ux (dis-
('y«rs)de PotilusdoTviircl. — u.n.LXXix.
In-i. .
^^L AlailUiiit*. irn|iifs iirtiuJii fîihliuth.. cilc
^^pct l>|i»M'i)Ii' A j'.iiiiii*t; 1578, et fiicnrc cit
' 1579. J'iguort- s'il y -i 'If'iv t'ililious du m>-
hime <lc PiMiliis ili' lyaiil ijutf l'on %oil à
1 .im«-e IIÎ7R; mnU jit noin rrjtaiti ijue t'A-
v.iiil-ilJM:*Mirs dt' \i\t IN-ri'uii n'a v\v impriiuù
■|ii'iivrr leii i-<:rils aiixqiK^ft jl st'rt d'ûiIrudiK:-
liuii uit |iii'(aw.
Je4ti rluit frcrr df Jac(|i)e», Ur Cardiual.
i-I lui Mtmtiji k l'ardiriiVIii' de Siiw.
.'ï. PiioiEcT du livre inlitui*' ilc lu Pnv
celleiict' du lunjjui;^ Kr.iH^ois. l*itr lleni'
Eslienmv
Lo Livre au Locteur :
Sf %itn iu.f DIS (la |i;iHiroir mtUnl iil»ir« [plairr.
.\iÊ.% litm» Franroti, i|ii'am« nuuTiU mis itr>-
A\«T une V.yhTit a\\ Rm Ilt-itfi III, et liuc
prt^ljicr au U-rM-iir, l'une et rmrtri* df llcarî.
H forl Ibiigui'-'t.
— Pari-i, MamrTt i'nlissvu, Iinpri-
inpur dti Ko) . m. u. i,\mx. ln-8.
(I y n (!•■ fc livre dw ^'\ctn|lIai^•^ eu jia-
piiT loii : lU «Mit inn^
4. M. Mami.ij Aalronomicon libri
<|uiiu|ii(*. Jojiephus Scali^cr Jul. Csea.
F. n'<T>ii^uil av prti^lino hiio ordJiii rps-
Ithiil, RjH^lcrii Jns. Sr'idiipri (!rtiri(iii>n-
larius m eifsdeni HbrtH, cl («mtigatio-
num oxplîmlioiifti. — LuMut", a\nu\
JUamerium Patinsaniaih , in offlrina Hu-
U'hi Sifphiim M. i>. LXXix. Ïn-H.
Daiu iiQc kttrp « Rolli», qtû m: trouve
nii lonic jUTïniiT de- wa Opu^iriilt^ , on lit
i. prttjiiis (le rt-ttr i-ditiiili. liltr liUdlade, qilt,
piiiir l'ire d'un lilltTnlMir d'ordre assez pett
ivlf%ê n)i"^rtin;i->-MatlLirJ couilit itii iiiMaiil
pur do» poùid pid>lièt-& son» te faitv nom
ck' M"* MalrraÎH de la Vip»e), nVii a [ua
mohi» df jutlevM' . et pnumiil , l<»iil ^iitMÎ
bitii iiii'a J<H. Sraliger. *'a|ijdiq>R'r à l*jiii-
mup lie .MS riiiitrôre* ou ri^au\ en aitnota-
lioci-i. A|ii-i->i a\oie rerunimaudé lu |HK-le
Maudiiu ii Itulliii, (pti ue l'a |M>inl aiimis
daiia «» itolice^ tiir le» (M>ete» gix-cs et laliitt,
planv» \rr\ In lin lU* »im lluloire aueicime,
l>c*forge» ajnnir : •■ Mwi e\eiD|ilairi' df Ma-
nde fïti inipriiiié élu*/ Maminrrt PaliâAMi :
le !p\tr e*l suivi de» nules di' J(i»ejdi Scali-
{;er. t.Vvt, H'Itilt iniii. le roinineiilnleiir Ir
pliLt peilanl ei le ptn^ riLlicitle qni fut JaioaiA
Au lieu lie in'evplii|nrr iiatuitrllrmeitt le* eil-
droilâ le's pluv diH'iriles. il vÎL-nt m'étaler
pouijieitM'menI itneannilcérudilioit grt-cqtu*.
N'tTil-il pas nÛM'inl^le de rendre «m* néti'%-
^ilé du latin par »lu grec? Et *i je ne vais pas
le ;;rer , je jcllr an fm le ('(uiunentaire ipie
j'a%(>is arlielé |M)tir mVebirrir If texte blili ,
li niin pour niV^IniriT il;u» le labyrinthe du
Crète "
5. (JROHCii Biicluiniini Sctdi Poclaruiu
ntwtri àa-ctili farik* priiiripis nb';;ij»rmit
liber i. Sylvariaii liber i. Kjtiisdein Bu-
chanani Tmiicrdia , qiiît insrribilur
Baplislps, M\(* rjïlumniii, — LuMiae,
apud MamtTlnm. Vatissoniitm Typo^ra-
phijin nf»|iii:iii in (jUitinii Hobt^'U S/*-
phtwi. M. II. lAXix. In-lli.
G. Jkphtiie» et H(M'm;il;i ,ili:i, iiiiu
Psiïltnis Ijportài Bucliunimi. — Ibid.
M. D. LXXIX. In-16.
7. Les OKiivr**? piwtiqups de S*év«lt'
de SainU' Aliinlif. — l*iirh , Mamerl
Paiisson, Imprimeur du Hoy , au login
de Hobert Hsiiewiit. m. d. lxxix. In-l.
8 LEsOKiivrosd'Amadis Jamyn, M»-
criMairi' f\ lorU'iir ordinain^dr bi Chant-
•
4H3
iUMKinUS PATISSONIUS. 1578.80.
brp du Box*, roveuos, rorriç:^ etaiig-
menu!*w o» coalo riernioro iniprossion,
Pans, Sfamert Patinstm, Imprimeur ilu
Hoy. M. i> i.x\i\. ln-<2.
Ktlitioii plus ample «pu* l'IM. de 1575
9. A?(Ti(io?ïE ou la Piùté, TrastVlie de
Itobcrl (inrnii.T, hnw dw chœurt;, d«'dÛM»
:t HarnidM> Briisson , Pn'sidcnt t'ii la cour
de l'iirlmnent. — Paris , i/amfr( PiUh'
son. M. I». L\xix. ln-8.
10. La Troudp, Tragédie, du niùme.
— Ibid. M. D. LXxix. ln-4.
Maîilaire, Aun. III, 77S.
41. Les Prt'niirns (]Eu\ti» de Phi-
lipiw Oesi-PorU^ , rnrri;;é<»s ol augmen-
liks. — Paris, Mamtrt Palisaon. n. d.
Lxxix. In-t.
-12. l>isroi:RS d'Antoine l.e Pois, ('oii-
ïiHcr & iDodecin du Duo de Lorraim*.
sur les MéiJylleset (iravpuroa antique.s,
priHcipiilenient Homuinc^, avec une ex-
position piirliculiere de quelques plnn-
rhrsou Uibles Iqui sonl vins;!] eslanssur
Ui iïa de »e ii\ rc. — Puris, Mamert Pa-
tiatm, Imprimeur du KoVt au Io^ïa de
Hoberi Estientte. M. d. lxxix. Iih4.
Il jr a oliligaliiMi lit' ri'|Mlfr it-î cv qui se
Iniinr dans lN'jiiir<ni|i ilf liM-rs : i|tit; rime
\U\> {îi-a»iin*.s, rrtlr du \»-fso Jf la page U6.
t|iii irpit-.seiiir )ii> liuniuif ai mi* d un très
gru» IViapi*. t«t qurlipic-fui», uu niutilév, ou
ui^fttf ]iU|iphnicf.
M. D. LXXX.
( . M. Fab. Q\ inliliiini Déclamai iones.
qu£u ex «xcLXxxYui. supen^unt, cxtv.
ex velere exemplari resliluUe. Calpur-
iiii Flact'i fxcerpUe x. Hhelorum iiiino
runi Li. nunc primùm édita?. Dialo:ius
de (Iratoribus, sive der4iuï^>iiÀ rorrupi.'p
EI(X]uenlia'. Ex BiMiolheca P. Pilhu'i ,
(oum i|*si»w Pithœi variii loctionilnis,
emewlalioiiiliuti \ uolis.) — htletiat' .
upud Mamtrtum Patisatmtum Typo;^-
plniin llesium, iit otiiriiin ilobcrli Sté-
phani, ». d. lxxx. lii-H.
i !^c-EVOL.E SiiMiiuarlhani Pa'dolro-
phi.T* libri du» priorns : reliquoci libros
nondum aulbor ubsoKil. — JLu/Wmf,
upud Mufiurtum PaU'ssoiuum. m. p
LXXX. In-^.
3. JoANM» Thuani, Reg» consiliarii,
& libellonim supplicum in Reeia Mugi»-
iri, Tnuiuliiji. — LxitHiae, apud Matner-
ium Poh'5S(mium,T\pajrraplmm Regium,
in officina Roberti Si^phuni. m. u. lxxs.
!n-i.
4. Lkh Trai-Wicà de Rob. Gartiier,
i'o[iseill<*r du Roy el de Monseigneur,
frère unique de s^i Majesté. IJeutentinl
général Criminel au Siège Préi-idial &
Sénesrhausàée du Muine. Nouvellpincnt
reveues vi corrij^éos. — A Pans , par
Mamfrt Pâtisson, Imprimeur du Roy. au
loi^is de lUih. Esiirntm. n. u. lxw. —
Anliiîone, ou la Piété, Tnigédie de Ho-
IxTt (iarnier. &c. — Ibid. m. o. l\x\.
ln-12.
Ce voliune coutiinit lù ini|^ie> : Porttt,
liippolytv, Ccmétif, Jnioin^f, t*t Tivtute
vi Amiffone ; celle (Itimirre avec uu tiln
exprès , et di? uouvt'aii.i ftùlTrx-s. Vm 13^,
dcui aiilres pipe»*», Hnniamutite rt les Juim^
fiiniit aJGUli'-ii à rv uunnr %nlunti-, dout il
M' prut ipir ipiHqucA c\tinplain-* aÎMil rrçu
un titre de l-'iki. M. Ilruuet <!-tal>lit rciislcDcr
d'iiite édition de 15fti . >iTilahl«;tDtrui rrini-
priniée. comni(-iirant par BraHamatte , ri
n'ayaut pa» 1rs .ftii*'es. Kllc a WS Ii*iiille1>
chill'n-s, (.iiidi.^ i|ue cdlf dr l.VHO, uVit a t\ttt
!iiMî, plus 4 df pivliuiiuairei , rt 51 jKMir A»-
iif;o/ie, utu complet eeu& du Bradm*»atHt
cl dc4 Juives .
L'itc cdiltoQ nouvelle . de 1595, cotiliml Ir
n-nuril complet de* Ituil pi«-cs dt* crt w-
U'tir.tliiiii pendant niic ciutpiantaitic d'nniifo
la %fi|;iic fui telle ipu* 7^1. Itriinrt m ctimjttr
ifunrniiir rdilim» ; et peiit-élrc quclqucv^iun
oiilH'll«-s eiicnre ÎH-liappc à leiMn^nrtiia i»
rluTclif».
Maitlaîn-, Auu. III, 78Û. place ici une
rdtlioii in-R. t.V Aniifjonr , ce ipii l'ciiMl m
lbâ0-8l-«. MAMERTliS PATISSOMUS.
48.1
reltr m^mc iitiiitt* ilrtu ôJiiions, I'uik hfII,
qui; J'ai tii uiaiits i:t l'aiilrL- iii-8.
5. Antigone.ou laPii^tti, Tragédiedo
R. Gurnier. *c. — Ibid. H. d. lxxx.
ln-8.
fi. ScuEtiE ou Us Juives. Tnigédio
p«rR. (iurnicr, a\ccdpsch(rurs, dcnliré
û M. le Dur de Juteuse. Antinil de
France. — l'aris, Afanterl PaUsauti. M
P. Lxxx. In-H.
7. BRAUANANTE,Tra^i-(!onié(liedeR.
(jarnier, sans rhours, dwiié*» au cheva-
lier de i^beverny. — Paris^ Manirri Pu'
tissuu. M. D. LX\x. ln-8.
CVaI If pninriT uiivrage f|iiî ait porté Iti
titre de tra^'i-i'imii^îe,
Ilaiu qu('U|Uit<> cat.il<>f;iie5 un \oil l.i mi-
nioade re« troU |>k>cej( in-8., ^niiioiicri'coiniitr
Tragêdits <le R. Gamier^ ce qui pourroïl
faire cruire à iiuu é<litioii cooiplcle de 1580 ,
m i»-8^ (pli n*e\i»1e point.
M. U. LXXXI.
I. Thah^te de la Oissoltilion du ma-
riatîe |ior 1 inijinissiinec et froideur de
riioinnm on de la Teinine (|uir Antoine
llotnuiii). — * Paris, Mamtri Patixxon.
M. B. i.xxxi. In-s.
Prcmicre ttlttioii, ^leti commune.
t. CtACon Bincli Bellovnei ad Detim
(^t. Blax. Oralio metrica pi^stilentini;
Icinpore. — Lvieliœ , iipud Mamerium
Patùsnmnm Typosniphufn Hegium in
officioa hobcrti Siephani. u. D. l\xxi.
lo-i.
3. r.LAUDiï Goiniri Eoclesiï Bellova-
rcnsis Deciini , Cera. — Luleh'ae, aj>iid
.}famfirtutn Palixsonium in officina /îo6.
Sîrphani. ». u. lxwi. In-I
i. Recvkil de l'oiipine de la langue
et poésie Tranijoise, nme et IloniaDS.
Plus les noinseLâomnuiireà des Œuvres
lie nwvii |)oeteî! franrois, vivant nwnit
l'an M. ccc. Ptir Claude Kiiuehel, Prë^ji-
denl en la Cour des Monnnycs. — Paris,
Mamert Pâtisson^ Imprimeur du Roy, un
togisde lioh.Estiennr. m.d. L\xsi.ln-l.
5. Pierre Pi(hnu,M<^moires des Com-
te:; hcH-iHilUiir*»*» de Champagne et de
Rrie. A:r. — Paria, Mamert Palisfum,
M. D. LXXXI. ln-8. (»t In-l.
Pour Tnitirr i'iioiiW- du titre, voyez i*i-
drMiiS, |M|;r 173, à ri-ililtoii ilt: 1573.
In-ft.. Catal. Soulnite, ii. Ifii, et in-4.,
Bil>l. de U Fr. ii. M2)5.
M. D. LXXXII.
1 . Pétri An<;elii BiirL'.x'i historici fii.
poola,* rejiiiSyriados libur priniu** & se-
cuivdiiii A: ejitsdeauir^'imtonla inoninei*
(Heiticetxiii.j — Lutetmr.uptu] Mamerlum
Paiiisonifim TyiHV^ntphuni Hei;iufii, in
ofTîrina lioberti Shpitani. a. p. lwxii.
In-ful.
Les ergninnit» f|tii ^out ici mcntiouiiéit
sonl fp vri-s, rt iHTiipi-iit t^uaire |wig» el
ilrinie rn l^le il«' \a pn-inuTt' partie,
2. Kji^sdku Syriiidus Liber tertius et
f]uarlua. — Ibid. m.d. i.xxxitii. In-fol.
!1. HriioNii* Turnehi (Adriani filii) in
siiprL'ina <'iMia Parisiensi Adv<N*ati Tu-
midus. — Ibid. m. o. lxxxii. In-8.
l/iiii ilf^s lmi<i Ms du Knniil lainrinieur
AdricT) 'rurnèlie, Misant lui-nirmi- , ri morC
I û 28 ans 9 mois. Il t'ai nomme (tilrl |ifir La
! Cnillr, p. MU; Odou, daiu ^dr. Tumrbi
[ rita\ et Ollion , daa* lo Ann. Typ., III,
I 7BS. J'ai lieu Je rroirr Mailtatrv e\;ict,
I [Kircc qu'il Tupporle l'avis plact- eu tète du
livri' par In uierr l'I li'> dmv frères d*(fl/ioa.
Adrifii , l'uit tïvi tJeu:i , ni l'uiiieur de ce
Renieil.
I IMailtairc liiil aussi reiuarquca- celle diver-
sité de noms.
I 4. LEsOEuvres d'Amadys Jamyn, se-
' cretaire el lecteur ordinaire de la Cluim*
I bre du Roy, reveues. eorri^^ et aug-
lëi
MAMEKTUS PAT1SS0MUS lSBt-«9.
inrnUViicn rosit? (lorniProim|ir(*ïic*i*jn. —
Parifi^ Mamrri Pâtisson, hupriinoitr (lu
Roy, au lo^is ûv Hubert Entieimf. m. n.
i.xx?(ii. In- 12.
4'.*e!il l'i-ditiaii Jr t'aiiiii-r ISTtt, (jui r<*]>.>
ririt ici iixtT un uommu litre.
A vv \oliimc iit-lâ il faut i>ii jaimlir un
MToiul, tic IbHk . cbi'/ Fdix le Mauçiiin- *M
un Iroisirmc, de inùme date. cniiliMitiiil des
5. Ballet coiTiii|iie i\v la Rtiyiit* fuit
nii\ nopcos tir Monscipnftir le Otif tJt»
J(>\f*iiso et tic MiuIimioisclU' tlt' Vauilr-
nninl, par Rutla/.'ir ilr lIoaiijoytMiJx. —
Paris. Aiirien le Hmj^ HuUcri liaUaniy &
Miiinn-t Patiffum, Imprimeurs du Roy.
«. n. i,xx\ii. In-i.
nt'|trt'M;n(i';m L()U\ri' awv ymmyn' , ivluil-
Ici, ivii lii-iirt-rcnl. de grands Srigiwiirs l'i Jr
yraudi's d^imrs, et n'-scnt- pour la Cour, y itit
un f;mnd MircTi» Li*» «its stiut il» Siriir dr La
Clu<!Siiavc, onmôiiirr dn Uni. I.ii iniiM4[m-,
dont If\ adlniris mihI IhilLizariui, lialùk- vio-
hniMlc pii'iiiouliiis, hriiuliiti cT Snlinun, inai-
I1T& de nln^i<)nc■ di- llcnti III, i-sl Furt Ijuiuic
pfnn- lp rrrnps. .TiiM|iir-ln, nrn dr iM-ml>tal>lr
n'atfiil rie r<'|«'»''.'«<'ntc m Frnnrc. l'I l'on peitt
dir«' (jiir le BalUt fornojiu^ de in Hoytir
pn'|K(i'j r(-t.ihli!>M*tni-ul de r<.)p<'ra.
(• Lts Ti;iu'nli<'Mlo RoNtI (_i;irnicr;
Ilnntimuinle,l'tircie, UipiHjlyU'.Oin»''!»'.
M. Aiiloino, La Troudi'. Aiiti;:one, toutes
imprima on un voluino. — Paris, Pa-
tifson. M. D. i.xx\ii. In-li.
Â<*pl pièces, voYi-x il ri*dilî«tii in-l)!dr IS80,
7. JosEPiii Stsiligori Epislol;i advor-
Bus iKirluinnn pf)tniiH (Fniniti^i'i) Insu-
liini piiti-f)ni (lieiitiii Lucuni. Parisiis,
npuil .\himerUim Palisaonitim. M. 11.
LXXXIl. Ill-i.
i'it stiii vivant Clievolicr, Cons^oiïlor ftu
Roy nosire Sîro rn son Conseil privi^ A
d'KsUit^\ proniior Prépidi'nlrn s;i (^r
di'Piirlpinonl, i»urM. Jciin Pivvoâl, DfX'-
h'in- t'n la Fuculli^ de Théiiloj;if'. Chu-
noin(» Tltt-ologid , \ ArcliiprrsUv do
Siiiii*-I St'veriu, le M novcmbro <5tt2 —
Paris. H. D. LXXMii. In-i.
3. Vini Ampliâtf.r.hrislopliori Thuant
(prinmrii Pr.i'siili-- Tuitinlus- — Lniclittt,
i\y.\\(\ Mamrrtmn Palissouium, ISpOi^m-
pinim Ri'^iiiin . in Dftkimi Itobrrii Str-
phani. u. n. LXWiit. In-i.
In Jai'. Auu. Ttiuuni
yEnierii piclalrm.
Ttii pi'i*c« e*t pirla*. rnî TÎrlti»iiurr« rordi.
Ihiia laiicl .fi-acan. •?! cMnrl ALmmt'mfn :
Kx «i^viile ntgn lutcril qnid nlrnjnaparrtilPiti :
Nialnirrît illtf litir en*, «lulnlil l<ir nofBfHM.
JnMpi'iui dvcv* di- sini (wre , .1. A. Ur
Tlinii. tnii^irino til-t^ riiîslurii-u . rfoïl iiorn-
uiê M. irAiinny.
J. TtiouM Veniii iK)eUi? Fl<»rpnlini
de illiislmtionL'Flurpiitifi? libri tri"», vrr-
silius horuii'is, nunc primunt in hici^m
t'fidi. c\ biblidllura (icmuuii AiiddicrU
Aiirelti , ciijiis latiorf altpii* indtislriu
multa* manusfripli lariina- i-oplota', ar
niuUiloci jwrtim oorrtipli. ^artini \rlu»i-
latp pxosi rosliluli wmt — Iliid. m. ».
i.xxxiii. In-fol.
4. Les Promiems (TEiivros do Plii-
lippes Des-Poptes. — Paria, Marnfrt pa-
liamu. M. r>. Lxxxiu. \v\-M.
^. I.KS (Kiivros el MosLin;;rs ptM^-
litjm's d'Estit'ntit' Jodolle, sieur du Ly-
nnjilin. Rovi'u«*s e[ Aij>;nioiih''os on cc*tr
dernière t^lilion. — \ Parts. chez.NVrnEfU
Chefmeau... et chez Mnn^erl Palmunn,
ha[intnoitr du Roy, ehez IMirrt Et-
tienne. u.V. lxxmu- ln-12.
Apres i88 fenilU-lt île te^tr chiffK*», ror le
(kmter desquels on lit : ^V« , Jii piymitr ■•»
tumf, xiennent ilix imlrr^. rttii-» ifiH a !I98 (le
dernier iîii, pur iTii-iir de cliiffri- 1 , non mefi-
licinnt-s dan?i lu table, et qui itr M>tit p.ts <ii|u
lrnl^ W evrmplaim. lU cnnlieniieiil : t hle au
iSHS-M-dS. MAMBRTIÎS PATISSONIUS.
185
llr iI'\lniM)i» (^icoliit I)eiU!H»l), rt |ilti-
aiitrr4 poéùcs.
Cl' |M-\'OUtT roluoic n'a pu eu de scM-oatl :
bien con)|ilct il «I fort rare, tl s'est , Uoii»
ws (leniHTs tfDijj». jMiyi' un prix t-oiisidcru-
lilr. t)ii tu \oit(l('9 t'vrniiitain*» flniil \r lilrc
fM an ntiin ilit Uhrairt- Rutiert \rt V'tiA'itr.
6. SonEVHi Scalijït'i'i Opiis de crnen-
diilioMO lomporiifii. — tnhtiae, apud
Mamerittiu l'atiMoniam, Typo;;ntphum
Ro{;imn , in unicind Hnberti Slephani.
u. D. Lxx\ni. ('^1. Aug. In-fol.
M I) LXXXIV,
4. Oraison funèbre faicli* ot proiicm-
céo iwr Anl. Prévost rie Sanziic, Patriar-
che Archpv(»squp de Boiirt;es, au sen'ic^
el graiidc messe i>ar luy e^ïc*bri5e au Qua-
iviiUiiti et obsequps de feu dîtiue Anne
Ik» Thou, femme de Messire Pliili()|>es
Hiirault. Vicomte doChevomy, C.himre-
lier de France, audicL lieu de Cheverny,
le 26 Oet. <58i (et Vers ù eu sujet). —
Pari», Mam. Vatissw. m.d lxxxiv. In4.
2. Oft^visoN funèbre de Madauio ( ta
Chnnceliere)de('heverny, Anne De Thou.
par Renaud de Beaune [depuis .\rcheM^
que de Bourges.) — Ibid. m. i>. lxwiv.
3. Georgii BuehananiScoli Fmnciii^
canus et fralres. Elej^ianirn liber r. Sil-
vanjm liber i. llende<"<i&yllabon liber t.
Epiiïrainutatun lîbri m. De .Sph;ieni
Fragnienlum. — Ihid. M.n.LXXxn. ln-8.
i. Sr-EvoL-ï Sunimarlhani P(T>dolro-
phiîe libri Ires [ven^iUis hi'roieis) ad
H(^n^ieuu) IJI. GaUiae el Polonia^ Repem.
- — htMiae apud àlamertum Patinxo-
»tum.Ty^>Oï:rd[>buni Re*^iuni, inolBcinp
Hubert» SU' phani. u. d uxxmiii. In-i.
Nnlr en t;rauil pApitr . ftinAÎ t\\w lo sui-
vant, (buLs mes âdditiotu manuscrites du t'^lol .
Ai IVTlhiii.
5. (J. A.Thuanii HiKiticusopuio' Hve
dpn'iireipilrdriii lihri IresIcumEpistola
J.Aup.ThuaniladAmphas. V.Phili[ipuni
Huraltutn Cheverniuin Franeiiie Ciuicel-
larium. — Ibid. ii. d. lxxxiiii. lo-i.
t>lni<i de rn^mc en grand )m|iii>r, a la
Bibl. dtt Uni; mais i.-ili rt çh\v a VinnuitUf
de laBihl. de Saiiii-f.rnnaiu-df^Prra.
VoycA a !;■ |i.i^r 1K7, iiinuV 1^7.
6. Les Vers du Sieur de l'ybrae. —
Ibid. y. 0. LXXXIV. li»-l
M D. LXXXV.
1. llouii,u:sde P<(nlus de Tyaitl sur
rOraJson Doininit^Hle. — /*am, hiamert
Pattsuatt, M. I). LXXXV. In-12.
I^ Famille de cet i^vtVjtit- a depiiii ^vrit son
Dom Thvard ; uiie autre du ini^e nain , et
qui pst , je croU, d'mic bvimclie cadette, èrri-
Toil encore drrnirrenirni Thiard ; mais le*
livres de Poiittis portent Tyard. Ilétoit ê^^qiie
deChatiHidS. S. drjHiis 1578.
0> unin de bapli-nie Pontu* dont le Sainv
«■ri'ml proltal de tuent atisii iulrou^able dans
liA piriiACA Ii-geiidei que »'liii d'Aniodis, ^c.
&c., et dont l'urigiiie {urnit iMn? le Un igiHiré
romntt du tiolU rt» Pontns et dr la hetîe
Sidoine , a donné ben à une plaisaiilerip ra-
conta par Nicernn d'après le Mfmigiana ,
rt i|ne je \mA repriKliiin.- ici. ne seroit-t-e que
pouL- iulcrrompre un peu l'iiiêvilaltle muno-
touic de CC5 [ougucA iinineDclaUinTt.
• PDiiltudeTyardt'tiint à la ct-rénionie d'un
Inpt^ie en <|uaUtc de pairain . le cure tai-
»oit dillieulté de nommer l'eiiront PonUts^
sur ce qti'd ne connnii^soil point de uînt de ce
nuui-là. Comment , Itn dit l'é^cSpie, Mutuieiir
le curé, %ou5 ne .songea dooe jnu au saint dont
rRf;lîse hit nieiilian dans Thyinne (^m-m
tenv, pontiu, ttlhein .' A ces motA le riirr
f|tii ue »*éioil j;imai» fort chargé de latin ré
(lond re*j»ectueuM*meut. MonMÙj^irur , je
vous demande pArdou; il e«l vrai que je n'v
•ongeois pas ; et là-dcutu liapti^e l'enfant
I MMU ce nom. »
Va's nil'uuleun ne diacnl pa!i ù, renin' av.
\ preftbytiTP. le cure se- Iminuenta beAuronp
4»e
MAMËRTUS l'ATlSSOMUS- im-96.
pcMir Jûcouvrir ibiis ioii liriniaire \a uiatioii
im|ii'a\isi^t; |iar réiwjtiL'.
2. A. Priimi Siilynirum liber i. D. Ju-
nii JuvunalisSutyniruin !ib. v. Sulpam-
Satym i. C«m veleribus i'oinn«'ntariia
nuor primuin «•dilis. lix Uibliuthw^a I'.
Pilliœi I. C. cujus ctiaiii iiotic iiuaHinui
adjeci* ftunt.— Ibiil. m. i>. lxxxv. ln-8.
3. MicHARUft lloRpitalii Galliarum
CancelUirii Epi^lohiruiii seii Soniionuin
Libri Pt'\. — Ibid. m. d. iaxxv. !n-foI.
Ollo (ijilion , dotuit-« fUir llumiilt du
l'iIcMpilâl , pclil-liU du cliuuci-lirr. t-»( bien
impriiare <rt (<irt c^liinabk-, niais nnoim nm-
pir que cdie de 173*. i»-8. Il y n à*'s exfUi-
plaires en sraiid p.ipi*T. .iVn ai un; les
addiLiurts mauusrrilf^ ilii VaI. ilr Iki* l'Imii
L1I iniU(|iipnl aiuvi im.
i. Les [ireinicros (JËuvros do Phil.
Deti-PorlRii. — Paris, Mamfri Pâtisson.
M. 0. LXXXV. Ui-ii.
5. Les CEcvaes poétjqueâ àv. Rpmy
Bellpau, nédigéos on deux volumes. Uc-
veues cl nirrit^oos en cthsle dorniore
iin|iros$ion.Tninftpivmic;r. — (bid. m. i>.
LXXXV. In-12.
6. LKsOdpsd'AnacrTOnTeicn, Poêle
(irer, traduides en françois |«>r Remy
Belleau, Avec (jueliîues pPliU's hymnes
de son invention, cl aulres divei'ï«'spoiv
sies : EnseniblL' une Comédie (lit Reœn-
Que, en vers de huit syllabes). Tamt?
second. — Ibid. u. o. i.xxxv. ln-42.
Ces drtu voltiniM ne doivent pns ttrc lé-
parés.
7. !,ES (huit) Ti'ai;iyies de Robert Gar-
nier. dédiées au Roy de Fitirice et de Po-
logne. — Ibid. ». i>. I.XXXV. ln-15.
Premirre ttlilton du n^nidl cDnijik'l , !.î
souvent rôùupninc pendant ptu6 âv (piaranlc
au. Voyez ci-deuiu, page 182, i raDii(%158Q.
l'Oraison Dominieale. — Parût. Manterl
/'«/ISMIH. M. D. LXXXVI, In-4.
2. HoMiuES du nn^mc, sur les Evan-
giles. — Ibid. M. n. Lxxxvi. In-8.
3. HujMiUKs du iitémesurUi Pua&ion.
— Ibid. M. n. Lxxxvi. In-f2.
i. (Jo8EPiiiSeatigeri sub fal^nominp)
YvoiiÏ!» ViilioniHîi Arenioriei m lorns
rontroversos Robeili Titii Animadverâo-
ruin iiber. — Parisiis , apiid Mamertum
PatiRsimium^ Typographum Rej^iiiiii, în
oHleiim Bob. Stephani. m. o. lxxxvi.
In-8.
5. Parapiirask dudroict des Dixines
efdimasiii|ues et inféodéfti. rovcue en
ccsle derniero (troisième) impression ,
pur Fr. Grimjiudot. — Paris, Marnai
Paîiason, Imprimeur du Roy, ehez flo-
btri Eslienue. ». n. lxxxvi. ln-«.
6. Discocns du voyage dn Mjir. le duc
de Joyeuse, Pair et Adniind de Kr<tiicc
en Auvergne, Givodan et Houers^ue;
et de la prise des villes de Malziou, Mar-
vepes (ManejoU) et Péire (en août tt
sepicmbif 1586) . escrit en prose cl en
vers par un Gentithomme de l'armt^ du-
dict Seigneur à un :9ien amy. — Paris,
Mainerl PatïHtton. m. d. lxxxvi. Iu~8.
l)c la \y:tgy 31 & 48 CAt uii DiMniini eo
\cr% Je Robfrt Kslieiinc III, à ta Inuaugr du
Dur de Joycu.« , suivi do. SXauccs sur la
vicluirc par lui n'ni|H>rtrr rn .Anjou, riuuitc
un ïtcoiid Discours rn vits sur li- ni(%ir
sujet, f l une lon^u<^ Ode Piiidaritpie , U* laiit
du iiH^DieKobert ITI.
Almeloveen» et d*aprvs lui. Mniltatrr,
dtsi-iit Toynge en AlUmagar. Ih ont sans
dmiU- r(i|»i« le C-nl. de De Tliiiu . I. I. p.
'M\\ m.iii sur nitiri fxeuiplaire avtr addt-
liMu>>, le Rililiolhèraire a cfliiiv le mot jUr-
muf^ue, cl écrit en marge Auvergne, aiiui
que le jMrlece \oluine. Du Gnaudau ra K\-
lenuf^Ë l'année auroît eu une counc un peu
longue.
7. Du projîi'^s de l'arniée du Roy en
Guyenne , commandée fiar M- le Duc de
Mayenne. — Paru, Pâtisson , m. d.
lxxxvi. ln-8.
158M7.88.89 MAMEimS PATISSONIIJS
4)17
Daw I» Btlil. ilr l:i Fniiin- . ti" 18,M7.
crtliî piccf r»t au uoni dr t'inijirintrur Sél».
Nivrllr.
M. D-LXXXVII
r J. AuG. TtiUtiiii HJercicusopîiiun.
lu-8.
St' rrJie ordinal rcmeiil à \a lin du volume
tic S<*é*nli' ili- S. M. i)tii >iii(, i't ("esl pour
cela que pliuMrurk lui ont allrilnit cepuùinr,
qui est ik' J. A. l}e. Timu.
2. Sc^voLAE Samniflrthumi Poomal.!.
Ad Heriririim III. Gallia' vl INilonia* Hr»-
^m. — Lutetiae, npud Mmnfrlnm Va-
./iMOTitum, Typo^Riphum Rp^^iiimi, in of-
licina Hoberti Stephani. h. n. lxxxvii.
ln-«.
M.njllaiiT, d'après Almflovwii. Tait erreur
i-ii uit'll.inl ce \ohiinf â l'aitiiM' 1577. Dau.s
ïvs Auiialcs. Iir, yta^c 7'.I8. il a rclalili Tëdi-
Uoii i\r 1SH7, iiuiï uu!i <>u|>]iri]uercHle qu'il
place «Il 1577.
J'ai «I d*' ce >tiliimc iV^empliûiv de \\fv-
MiiULiiiii à Henri III. Il c^tcu^autl papier
furl, rrlié m niaruqiiiu c<ou\ert de lleurs-dc-
lis , a*M- li'^ aniirs ilr rmiire et dif Pologne
uiriUtHitérs de h dexise Munct ullima ftrfo.
3. Les prt'uiifrcs Œuvres de Philip-
pe* Des-Portea , reveues , corrigées i
augmptiUH*s ouln' tes précédentes im-
prcssionri. — Varis , MiimtTt PaU'ssmi ,
Impriiiieiiriiu Roy, chez Hobert Estiennr.
M. 1». nxxvM. In-12.
TaAuËOits saintes , par Loys Deis
lures,Toijmisipn : r>avidromUillan!,
rid triomphant cL Duvid fti^ilif. Jeph-
thé, oii lo Vœu, Tragédie, tradiiiledn la-
tin deG. Buch^nun, |Kir Kiorenl (^hres-
ticn. — l'aris , Matnerl Patissttn . au
\op»tic Hohfrt Estimue. m. d. lxxxvii.
2 lomoti en un vol> ln-1â.
5. PETiiûNiiArbilriSûlyricon. AdjecU
«iDt velvriini quorundam Pm^iinim rar-
minunoM di::^si[iiilisHi*};ui[ienli : exi^ui-
bus noiinuiUt emendutius, alia iium:
primiun odiinlur. r.um notJ5 dortonim
virorum. — LuMûtf, upud Atamfrtwn
Pati^sonium , Tyiwgraphum Rcgimii.
M. D. LXXXVII. In-42.
Eililion liitin Aupàrieuir ii l'in-IS du même
PaliMon, 1577.
M. D. LXXXVIII.
< . JoBi à, sive de Coiistanliii libri qua-
tuor, poeticn meUiphrasi (aul. J. Aug.
Tliuano) explicali. — Pansiis, «pud Ma-
merlum Patissonium, Typogi-aphuni Ue-
giiiin. H. D. Lxxwiii. ln-8.
2. RuF( F«jliBrevianuinrerunî}îest»-
nmi Pnpuli Romani ; oura P. Pilliœi —
Parisiis, apud Alamertum Patissoniwiiy
«. D. LXXXVIII. In-8
M.D. LXXXIX.
i. L\ UcUh Mono. Libro di Meï»ier<^
Givslu deConh. Romano Senatorc. Pcr
M. Jucopo de Corbinelli , i^enlilhomo
Fiorentino rpstaurato Al Christianiss.
Ileorico 111. Re di Francia & di Polloiiia.
{RawoUodi anlichï" rimedi diversi To*-_
cani.) — In Parùji, Per Matnerto Patii
suniitj Typograto Regto. <5K9. Couprivi-
!egio.In-U
Il Y a de ci^lte rare édilion plusieurs sorte»
dVvu-uiplairt^. \x& premiers ont b daitt de
158»; d'aulrtd ioul de 1590. IKH ou 1595.
Sur Ië litre de 1589, le Urre est, comme on
le voit iri, dédié à >leuri III, dotil k> privi-
lège acTordé à J. (jjrtiiurlli, le i3 «iari15g7,
on.-ii[ie le nxtn du rior|uièjiie feuillet. Eu
iiW. «m mmprinia \vs Inii* feuillets de pré-
liminaires A\ e« queli{uc« dilTêreuces, aiiiM ipie
huit du cjihier O, fol. 75 à 8i. Dans ct-s IG
pages refaili». et au iuo)ca de- la »ii|ipreAMQu
d'un ttuez in»igniâBnt Cnpiiolo lii S'asta^io
tla Monte Alelno, e»t iulroduilt- eu entier
la longue c4 très saliriiiue Canutrif du FIu*
i-enliu Maestro Pagoli*, de Inqucllr \es feuil-
lets supiniinés ne dmuiuicnt que le coiuuieti'
l'cintïiil. HiM tard, des e\etuptairi\» fureur
rrclatés de IMl. Enfin, en I59l^, Sri», ^tiollt
4H11
MAMEHTUS PATISS0MU5. I&H)^»^.
avMtt ttcipiis, MMt II* n-ali^ de IV-tliliuii, suit
nue \MT\'nr svulvtnmi dn v\vm\}\aiivs , hc
bouilli ))fiiii1 Mtis ilimlo Jôbiler nu li%rt> |>or-
laiil uni- Jjilir^m an fcn Roi Ht-uri III : il
rtûinprini.1 U' fronlupiri', et fit aiu&i disparni-
tr« le ft-iiillet de privité^'.
MaiflaiiT, à l'aniuv 1395, ronscrve pour
livre ]« nom du l>uli&«ûu. S'il n'a pûiut
it rirtnir. c'iMl oncorc unn autre \iirû)tioti
d'exemplaires.
j'en ai un fort beau, n la reluire dr J.-A-
L)eTh(Mi, ft fu f:;raud papim. Ilf^l de 1589,
mais avec la Catizo/ie eiilîi-re i|ue rcl ama-
teur Ltlairé .te M-rn rniprriwé de suli&lihKx
aux fruiltdft dttiit l'tArltiiuoii ne k |>ri\uit ([Uf
d'une pit'ce di: ntnuvjit* ^crs. Je fols «'tic
otïsrnalimi. parcf (pif;, ilaïuî mun Oilalopie.
III, 84, ]'ai pur lut-gard^* dit (|ur l'cxi-mplairr
COiiltiiuil, et les \er> «uppnmés, el ceux ipti
li*j> oui reulpUiV-s. Cm* anln^ iii.id\i>r1.iure,
qu'à riUiktJinl j'.-i|u*n;ois eu ii- nu^nu^ article,
p. 83, c'e£t <|u .au lieu de ... . «au Rot
Henri III, dunl U- nri\ilêge m* Iruuve an cin-
({uicnu- tetiillel, » j ai \ais<>ô passer •• .... au
Rui Henri MI, doni lu ciiH|(iiein<> fenillci
porlc le privilège. >i Un a inipiinii- i|i]clipic
pftrl qu'à ce Calalugue uvnieiil rie i i*|>nM lièt*»
truift |^a\i-.« errrur<i. biUliii}^raji'1ui|ni-.s , trois
incorrwlioijs eu (<riT, el trois pluases peu
^raïK^oiM'Â . Il !>e peut ties bieu ipiL- l:i phra»e
question hsse partie de ce triple trio de
picfs IittérairM. Je n"i)i» au reste qu'une ei-
rrur pUis forte que ces uruMa lout4s eoM'tn-
lile, V9\ di'- n'y eu a\oir |ui>t aprrru un bien
plus graml unnibn*.
Pour en liuir a\ec la Sella Mano^ je dois
din* que le Volume !*c (crminc pai' un cahier
K., de qualrt^ feuillets non eliiffrés. dont la
deniicre pajje e.s( ornèf d'un lleurou ou vi-
{^clte [IleurHle-li^ eiitoum-J Turt Imco gravé
eu laill<--doure, nvee nuu épigr^tpbe eu grvc.
Quel(piefiMA ce derulur r^Uier m.iiHpie ,
mi bieu la \if;iK-Me n'y iv.1 p,%s iwpruni'P.
2. Regrets :*ur In Franco compoefe
pur Simon l'oiiaM- Mclunots; avpc un
colloque chix'siicn.—PdnSjehtïiJ/aHierf
Pâtisson. M. h. i.xxxix. In-S.
l.ifi uiallicurs publier auront empiiclié Pa-
lisMHideleiiirruiir1i\itétuni)l'-lierd'lmprim4>
rir; car iivi-c le |H!tit wbuue l*t Villa Manv,
dont It-sdi%cr9rlianf;enienlii dédale atle4)enlle
diflîcile dcbil , ou ru'^nil. daiis l'imnée 138&.
ipU' ci-tN- l-fimf/ttntwri de peu de |>ag«, Mi
1594 le mince \oluiue des Ksaumes, el riifu
ensuite jtLsc|u'À rannée 15!^4 . ou le rt-labtuAe^
meut de Li[iai\ \iul faire e3|)crer â b Frauce
que ses profondes blessure» pourroicbt se
eitatrijwir.
M. D. XCIl— M. l) XCIV.
1 SoiXA>i'iî Pseaiimfs. mis en vore
frunt;oii> |tar IMiil. I>fs-P<.wlcs. — Pari»»
Mamni Palissoii. M u- xcii. ln-12.
l'araplunse «crsifit'e qui rut un grand uits
cés. Va' %olnme esl la réimprrjtduou d'une
êditiuu preniicre, de Kouen, Hûftfurfl du
l'etir'/'al, 1S!H, iu-4. Les édition» Mii^aale»
terout siicccj>:u\emeul uu^menlèe».
Je ne irou»e pas relie que (^oujef dit être
de i5D5, miii pluit tprutic autre, aussi de Pa-
tisMU, qu'il met a l'aïuiée 1599.
i. .\iivis sur la cUiiise de fournir ou
fitiro viilw]- iMio dt'btt» ou rente. — Pari$,
Mamert Vatismn. m. n. xciv, In-S.
J3. ExTitAicT du Trailté dft la Gran-
deur, Droits ol rn'HîininenCTdes Rois cl
du Kiiwiiitiifde l-Vanci*. — Paris. M. P<y
b'fi»t>u. M. w. xcn. In-8.
Ou n'a plus le ïroilé dont rwi est un ex-
Irait, l/auleur ni le«avanl l'Van^i» Pitlioti.
4. Lettre d'un François (fraocois
Piihou ) sur un (-ertain Discours f«il na-
^ueroâ I>our la pré^nco du Roy d'Es-
pasnf. le 16 février *586 — Pari»,
MamtTt Palisxon. m. p. xciv. ln-8.
{'.elle pièce a%oit déjà été imprimée à ^ns
i-ii 1&R6 el 1587. Elle est auMÏ dan» le Umdc
ciuquiémt: des Mémuire» de la Li{;uc.
o. Nbutralitas Ecclesia' Gallicana^
ex Annalibus Francoruni, cirai annum
U08. — Parisiis, Putisum. m. d. xciv.
(^Ite pièce se trou\e ausù dans Ut \olunic
)(ui\<i]il. Elle est de Pierre Ihlliou.
6. E(jcLRsiJ£ GiillicancD ïn Stdiiâinatr
StaUisox unÏKpuhlicis. — Ivitot de l'K-
;;li!te(jalliraDedumnlleM'hi>inc Exlntil»
HH. HAUËRTCS PATISSONIUS.
4se
ôvÀ Wc'^tëlre L'I AcU's publicts. — ibid.
M. i>. xciv. In-8.
C*ttl un rcnifil, auMi Je Pinrc nthoii,
PDtilniAiil trtiilt* piétt-it, dv U09 à 1551. lia
lie ri'ini|irirnf- «laiis |>liiM<.'iir9 (îraiid* ru-UfiLs.
uwc dv% iittgmciiliitJotLi, n).ii«t aiiiaî axet li*
rctriuidirnu'iil «Ji* pliisirui'» pire»
7. Les Libertés rie rHglisoiJatlirane,
-par Pierre Pitltou, dwjitk'sau Roy HeiiiT
rV. — Parifi, PatiKuoii. m. h. xi:iv ln-8.
Le pritUt^ fst du 3 aeplembre, puiir
troû ans-
8. MEiioincpt Advisrl(«Jrnn duTitloi,
ProlonoUitrt' ri ScfnUiire du Huy, et
lirefficr en &a Cour de P^ulciïienl, fait
en 1*51 sur les lilM'ité:» û\' rE2;lise (ial-
licane. — Paris. PatisHou. m. d. xeiv.
Jn-S.
9. E\tii\h;t des Rej!;isU« des EiîUits
ou des Uépulés du Clci^é de Krance ,
pour les BsUiU-Généiiiux tenus ù Bluiâ
(en 1576) ?Lnr l:i réception du Coneilede
Trente au Royiiuiue de Fnini-e; «vee lu
tnttluction italienne à odté. — Paris,
PatiMvu. H. D. xciv. ln-8.
10. Pla^dove de M. Antoine Arnaud,
Avcx*at en Pnrlenienl. pour lUniversitt^
de hiris ntntre les Jésuite?; , en 1594.
Délibt'ruti'in de IX'niversilé du 18 avril
<.S9i. pour demander (pte les Jésuile.%
soient elui-ssës, a\ee lu Requeste au.\-
dicte» lins. — Paris, Pâtisson, u. n. xcvf.
ln-8.
Le HatiilogiM* MTulaïre ttMlîvr«<i dra fai-
lle i-'rancfarl, 1608. iu-4, poR. H?, la
Je 1595. S'il u'y a pas là erreur, c'rst
fubite réimprMsioii. faite indubitable*
dbex PsliflMu.
fVllc piorr- a i'iè nimprimif phisirim
H iiiitjiiintriil fri 1717, a\(i' un iitiln-
plaidoyer putir une ofTairc récente miitnr li>Ji
jMuiles.
H. Orpenspji de ceux du Collège de
Clern)ont contre les Re(pie;i.tes et Pluy-
doWt» cnnlre eux, et |»articulierement
relui de M. Arnaud : KiiM'inble les U»t-
.ln^Piit<'n((*sdu Ho) Ibiiri II) (de Mm],
a\t'C les Requeslcs du Cardinal de Bour-
bon, du Duc de Nevei-s, de lEvcs^ue de
Clcrinotit, &c. — Parit , Pâtisson, m. d.
XCIV. In-8.
Voilà ce qui s'appdlr henir chacun jHmr
Mui argt'tit. ir \m ubligcuut typogr^ipliv ini-
prirnoit et rjil(a(|iir v\ la dc-rciLM-. C'mI au
i-«sltf bilr la M-MJc Jiutoritê df MiiîtlriiiT [f'itn-
Steph.^ que je mv\s re \olumi' au uoni de
l*aliMOU. r)auA Iva Aun. III, Ht)', il t»t saiu
nom irimprimcur, mu&i qui* J.in.< U BibL de
la France, ii" 44,&il.
Olledéfriue taX Je Pieri-i* Bamy, jnuile.
M. P.v?sEGYniouE au Hoy Henry IV,
]iarCuy Joly. — Ibid. m. n. xciv. In-H.
13- Chbonico?! Pros|H'ri Tironis. —
Ibid. u. D. xciv. ln-8
U. PoNTi Tyardœi Bi^iani (Cabilo-
nensis) epîscopi tniclahis de i^enealogiii
îltijîonis Cjipeli & posl renier iin» yucee»-
sorumprosaiâii-'CarotiMaL;!!) in Kninci».
— Parisiis . ex olfir ina Mamerit Patts-
«omï. M. u. xcvt. In-8.
15. ExTRAicT de la pèniSilogie do
Huches surnommé Ciipet, RoydeKranfe,
et des derniers sïicces*etirs de la race de
Charles Mûi^ne on France (|«r Pontus de
Tyard). — Purin, Patissan. m, d. xr.iv.
In-8.
ik-\ou la hilil. fie b Frnnct>, n*' «4906, le
latiti iif puriU ipreu ISlMt, i\vu\ aitt après la
lraJui:tifPH fruiM;'ns4*. Maitlairc, AtH». III,
A07, les met tuiu dnix n la mi^nir auiivv
1594. Oi U y a tireur Jr Tunc un Tmilrr
[Nirt, uu le lalÏD aura (*1l- iuipi-înir d'abord
(Il t5iH. <-t un*' «vondp fou m 1596.
16. De Jiiâta et cauonica Ab»ululiono
llciirici IV. Re'^is;au(tore PeiroPilhajo.
— Ibid. H. D. XCIV. !n-S.
Cx li^re fut ira prime rn frarirnis, cniiimr
trajuii Ji- l'iulien, d'aburd en iSH'i, a^aiit
I t'dilioii Litiiii-, L-i uiiL' M^-oiidf foi» fu ISliTS.
Ijn l Itra mou tains ri-pondîri'til m 151*5, à
R'uue, l'i ^'iMi*rtucrt'»t i tiaitlir vt tUtaon-
trrr qm* nul dw prtUl» di* Fruocr ur pouvoil
relever lU'nri de rrxromnuiuiratiiin laiHHtr
par II' Pa|H-, ipu whI a^tiil If tlrinl d«' la
rrtim.
t
MAiMIîHTUS PATISSOMUS. 15W^5-96.
Je n'ai |uis Ml h% dii
<i^ ['ithmi, nuis ji* li*-i> |)tù->iii
PatLHMMi, coiDin*^ le fui b \erûoD btùie.
... .... ,».9 ..• n,utii> pièctfs rrouroise*
(If ['ithmi, nuis ji* \vs ^hvmhov iiu|triiiiù.-s par
M. D. XCV.
1. Tbaictk <\f* U (lîAjwlulion du ma-
riait; )»ir l'iriipiiisiutiR'L' et froideur (le
riiniiiiuc yu df lii ft'Dunc. (jUir Antuino
lluluuiii, om.H.-iIttT un PiirloimMit de
l'îMJs,]— Pans, Stiimàtt Vatisson . Iiu-
{inineur du Ruy , clu'z Hubert E^itianiu.
M. D. XCV- In-it.
Seconde édilioD ; la pmni'Orff «si de 1581 .
2. Playuovk (le Utuis Dollé pour It'S
riirwde Pariri conlif k-s JùauilCà, avoc
les Arrrsts de la Cour de !*iirlement con-
tre leiîdil^ JésuiU's, et Vers (ranrois sur
le PUiydoyt^, par Nicolas ItopiiielHoberi
Estienne. — Ibid. m. o. xcv. ln-8.
3. TnAicTK (le Guillaume du Vair, en
trois livres, de ta tonslanoc et eousola-
tion ts ealamilez publiques t seconde
(^titiuii, reveue et corri;^w. — Ibid. m. i>.
XCV. \n-\6.
Jr TIC cannois \>Qs Ui prcmtérir ûdilioo. La
(in-fnre de i-flli-ci. au duc de MontpeiiMcr.
est du 1*^' juilU't 1594. et lit pnnicge, en
fa*eui de Potmou et d'Abcl l'Angelicr, «l
tlu Mrizc.
i. PAiiABATAvinclus,sivpTriuiiipbiJS
Christi, tragœdia (Jac. Auf^. Tlumiiij.
— Lutetiae. apud .]famertuin Pti(is.su-
nium , T)'po^nipliun» Uegiuin, in uUicina
Hobfrli Stfphani. M- ». xcv. lu-H.
Parabala {Trarugnssor Ugii) k Démon.
B. (Ejuâdcm) Vaticima Joelis, AniosL ,
Abdiffî, Jona>, Hatmccuci, Hat^ga-i, |KM^
tica metaplirusi illuâtnita. — Ibid. h. d.
XCV. ln-8.
6. Lbs Larmes de S. Pierre, et autres
ver^ chreslien» sur la Pa?«ion, [>ar Ro-
l>erl Estii-nne (III). — Pûr/5, Marnai Pa-
twion. H- ». XCV. In-K.
7. Oiw:oiRS en Ncrs pn^enléau ron-
nesUible de Monluioreney sur sa venue n
Paris, pjir R<jtiert EsliHnne{IlJ). — Pan'f ,
Mamert Pattsson. h. 0. xt:v. ln-4.
Duu Ift ratai, dr De Thon. pag. 307, je
vois, m addition maniiM-ritr, lo pièce suivante
qui prolialilcmciil rst au»i en %tm, ri à-|>eti-
pm du niCiiM* leatp.t.
8. RoB. EsTiEN^e Discours à M. de
Villeroy. lii-8.
9. PAUAPUitASBs et Méditations sur lefi
P.seiiumes de la |>énilen(T. en ver», par
La Vallée, S^ de Monligal. — Paris.
M. Pâtisson, m. d. xcv. Id-S.
Second Caul. de U VallicK, ti" 13716.
10. Trac.edic^ Siiintes, par Loys Des
Masures : Diivid eoinbatUiiil , DuvifJ
trioinphanl, et David fugitif. Jephthé on
le Viïu, tm^'édie. traduite du latin de
Cl. Bnchanan,par FI. C.hreslien. — Pa-
ris, Mamert Pâtisson, h. d. xcv. i tomes
en un vol. in-î2
11. i. Passbratii PfTBraliunrula tn
disputalioncm de Ridiculis, quip est
apud Cieeronem in libro secundo de
Orritnre. — Pantdis^ apud Mamerium
Padssonium. m. d. xcv. ln-8. 15 feuil-
lets.
Il y a des exiinplaires datwi de !W4. ii b
MiilP de l.'i pri'faop sflut qiieli|UHs ver* blîa^
d'Adriw) Tnrnrlie coutre les Jcsuilrs, «ju'ïl
tioinnir « «n am itclam su rrepen trm , yuo-
mt-nihur Jauni.
\t. Uknealogie de la imuson dp
Montmorency comprise en hi présenli*-
tion des lettres de lOfiice de M. le t*on-
ncâlablo faite en Parlement le i9 de
novembre l'an 4595. — Paris^ M. Pâ-
tisson , Itnpnineur du Roy. m. d. xcv.
In-8.
M. D. XCVÎ.
r IV PiciiKKt:LLUS lu Mallha?i captil
xxvï, CtPnantibii^ .' &.<'. — ParùiM,
Mam. t'dlisntm. m h xcvi. ln-«.
i596-97-98. MAMERTUS PATISSONIUS
3, Dk Geneali>i;ia Hugotiis, cognq-
morito Ci)|)eli, Francorum régis, et pos-
tromorum 6ucre?^urum pro^ipite Caroli
Ma^ni iii Krantiu, TracUiUjs. — l'nri-
siis, l'atùson. h. d \c\i. I11-8.
Voyez à la page 189. aiiiiéo 15â4, la Ira-
ductioii frutM^uÎM; di; ct-l au'tragi* dr Puiilus
deTyanl.
3. Edict du Roy sur les articles ac-
cordez an dui- de Mayenne pour la paix
en co Hoyaiime, — Varis, Mamcrt Pa~
tismm. Imprimeur ordinaire du Uoy. m. i>.
xcvi. ln-8.
i. ËDicrduRoy pourl'etïtabliâàeiiicni
et croatiuii ci'tin builliûfîe provincial en
*a Ville de Saissons. — Paris, Mamert
Palissun, &c. H. D. xcvi. ln-8.
5. Edict du Boy pour l'eâtabtisaement
&Mno i;cnératilé et bureau de recelte
générale de àe^^ [inanceâ, à Soissons.
*- Ibid. u. D. xovi. In-8.
M. D. XCVll, ^
i. Réplique de Jacques Davy Dm
Perron, Evèî4|ued'EvrPu\ ,â la remotiii-
tniure de quelques iMinistrcà sur un
roruiin escript louchant leur vitration,
nouvellement adresné â eux par un des
leur? revenant à rE;;lise L"at!ioli(]tic, —
Parifi, Mamert /'a/i.won, Inipriineur du
Kov, cbcz Hobo't Estienne- u. d. xcvii.
In'«.
3. Platdoyb de Simon Marion sur
lefjuel a été donné contre les Jwuites
l'Arrest du 16 octobre 1597.— Ibid.
M. u \cvu. I11-8.
3. Joii\.v. Passemtii de ciEcitate Ora-
lio- — Ibid. M. D. xcvii. ln-8.
4. JouAN. Passeratii Eloquentia? l'ro-
.faasoris cl inlerprotis Hegii Kaienda:
Jaauajiaj. — Lbid. u. d. \cvn. Iii-4.
A la snitr d« ces pursîes loliucs est ordi-
nairt-metil relit' li* vuIuiih' «iiivaiil ijtii nu
* fpM-a4 f(puillpl«.
5. Le premier livre des Poemcâ de
Jeîtn Passerai, avec le premier livre de
ses Elégies. — Ibid. m. a. xcvii. In-i.
J. Passerai eït un dus ({uatre auteurs de U
Saljrt' MV"uî]n»(.'C.
6. Ao£ui Suinjiiartliani Staîvola; fil.
Pivemala.^ — Lutetiar, apud Mamertum
PaUsstmitirn ^ Typograpbum Kegiuni, ex
oQicina Hob. Stcphani, m. d. xcvii. Ïn-H.
J'ai uu ex. &ur |f><]uel e&t ÏTrit dr b main
<lii Pr. J. A. Dv Thuu : Mousifur de .Saiutc
Murllir m'u f;iiti dm> de ce pût liurc. Ce ItT
septcoil). 1W7.
7. Les Mimes, enseignemens et pro-
verltett de Jaii Antoine de BaïT, en quatre
livres revcus et augmentez en ceste der-
nii-re édition. — Pans, ^fa^ne^l Pâtisson ^
Imprimeur du Hoy, chez Robert Estietme.
«. D. xcvu. ln-(2.
Uuo précédente înlition . Pari», Liicjift
Breyer, 1575, hi-li, toiiiic^nl le Manuel J'E-
pktèit; il nVil fwinl daus celle-ci, qui est
oimoucce cuoime ougmrnfi^f,
8. Pétri Pilliœi J. C. Elopum, Papi-
rio Massono autliore. — Luletiaf , apud
iVfiTfierfuw» Palif^svnium, Typo^^-aphuin
Rei^ium, ex officiua Ruberti Utephani.
M. D. xcvn. It>-4.
M. U. XCYIII.
1, Cent Pseaiimes mis en vers Fran-
çois, avec quelques Cantiques de la
Bible, Poésies Cliri:*stiennes, Prières el
Méditations Chrétiennes, par Philippe*
Des-Porles; abl)é de Thirun. — Paris ^
Âlamert Pâtisson, Imprimeur du Roy.
M. u. xcvitï. In-*.
llaQ.s les di\eraM cdilioos de cei Pftaumes
tMi ^er», les Pot-sirt el Ici Prièrei se trouvent
toujours M la Miite de.t Puiimes. in;iix elle»
ont leurs titre» séparés nfiii de |>ou\oir for-
mer des livrets à part ; aussi en reuconlrc-
l*ou r|i[ieli]iiefois.
>l. liriinel note iitR* éditiûu Je 1597 qui
e*l peul*V'tre la mi^mi* (pH* <i'lle-ri.
4D2
MAMERTUS PATISSONIUS. 1Bfl9-l6M-lffltt.
H. D. XCIX.
1. Hipi'osTOLor.iK, ou Diîîconrâdesoa
ducbeval, [mr Jt'huu Hcrroard.conspillor,
mcderin urdinairc «M swrt^laire du Hoy,
— /*arw, Mamni l'atisson. M. D. xcix.
In-i.
2. Discours vtViUible sur Ip fairt de
Marthe Brossier, rir Romoranlin, pré-
tendue démoniaque; par Miclid Marcs-
cot (ou selon Guy Patin, [wr Siinon
Pielrt), son gcndro, lous dL'u\ niiVlecins
il Paris), avec l'Arre^t du Parlement de
Pari?. — Paris , JUamcrt l'atisKo». ». u.
xcix. In-tf.
L* Arrêt du Parlcmnit de Paris fnt rvudu
contre la jonglerie de cette pr^tt'ndue po*-
»C5âiuU.
t>au9 la m^mc ann^t ce livrt fut r^iro-
jirimr. nirc î'Airi^l du Paricmriil : Jouxte.
fexefhiilairr iniffrimè à ParitparMam. Pa-
/iisoii, 15%, iu-8.
TallemBiit des Réaux, nu ceti\ tpii un( ar-
niuf^é SCS iiutes, allnhiieiit c«t auvnu;? à
Le Bouteilkr, pcrLdcl'urdievèquedcTours.
:). Jacudi Au};usli Thuanl Poetnata
sacra, — Lxitfliw , apud UamcTtuvi
PattHSonium , Tytuigrapbum Rcgiuiii.
M. l>. XCIX. Ill-*1
FArt|ilé f|uel(|Uc»-UDa des Carmina sacra^
ce recui-il se comiwsc de pièces tU'jà îinpri-
Dinis: Juliiis, Kcrjesidsies, Tlinnii, Vatici-
iiia JoeIi«. Amosi, Alxlir, Juntr, llal>accuci,
tla|;q]ei, I*anibiila viiicliLs, & sacrariun car-
iiiiiiiint lili^lItLt.
iH'dir au premier préûdeul Achille de
llarbr.
4. Edit dti Roy, et Déclaration sur
lo prûciHientâ édiu de pacification ,
publi*i au Parlemc'tit la îîi de février
ioSy. — A Paris, par lis Imprimeurs et
libraires ordinaires du Kuy. m. i>. te.
lQ-8.
U' privilège du Hoi est accorde à Frédéric
Mord, Joinet MetUycr, Pierre riluillier, i-t
Manterl PaltMoii, se* tnipiiineitr!i.
M. Dr:.
1. LEspreuiieroïiOEuvreâdcPhiUppes
Dcs-Porle* (abbé de Thiron). Dernier©
édition, reveiie & augmentée. — Pari*;
par Mameri Pâtisson , Imprimeur du
Roy. H.-Dc. la-H.
Lexlndl du privIU-ge, imprimé à la der-
DÏère jtage, est du il juin 1507.
Fil IGOO, iiiivaiil Biùl. ConUsUma, un Ko-
tiri1 Pâtisson. Il y n U prubablenirtit uiH>er-
reitr tvpfigrDphiquc, un plutàl «i aura confutH
du cl trouqué le» deux mentions aeeoutunéei
doRiibt-rl t^lieimi* et Maniirt Piitis^on.
M. DQ.
\. Les PscaunRS de David, mn en
vers François , |iar Philippe?* De*-Porteg
abbé de Thiron. Avec quelques Canltques
do la llible, & autres iruvriw Thre*-
liennos, & Priert»s du tm*sine Aulheur
— Paris, Mamert Patissun , Imprimeur
du ïloy. M. uci. petit in-12.
H tiiuni|ue etii-uie ici iH p^utne* que 1'
troiivi' t-nfin dun» ta rèiuipres&ion de 16tl3
par la \ruvc dr PalL-^Mm. Edtlimi complète
qui Fui en peu d'années pluaietfrs fois rebile
tiiit A Pari» qu'à Houen daui le mémr' lor-
mal in-1ï. Lu )>r«-niiere piibliratiun de Konen
150!, in-i, cl de Paris, 15W. in-lS, ue coo-
tient que soixAule ISaumrs, cl dan» l'iii^. de
1598, il n'> eu a que in'nl.
Dans CVS iiuiuhreuses ùlilioiis do voH Itt
nom de l'aiiti'tir iVrit ùrj^iies, D€*~Poriu^
Des Portej vX quelquefois in4!^mc rf« Portes
i . Poésies chresiiennes . Par Phi-
lippes Pt^îi-Porteà, iibl>é de Thiroii. —
Parix, Mamerl Polisson, u- DCl. \n-^%
40feuilli<tâ.
3. QrKLOvtES Prières et Méditalîonfi
ch^e^liorlne5, Par Hiilippe? Des-PorUss*
ablié de Thiron. — Ibid. m. d. ci. In-ll
28 feuillets.
4. Recueil des (JBuvTes poétiques de
J. Beriaut tibt>é d'Aunay, conseiller d
Rny, ^ premier aumosmerde la Royne.
— Ibid. u. m:i. In-a.
2. Recueil dr qiielfiuM ver» amou-
reux et Slances (de J. BerUiut). — Ihid.
M. DC. II. In-H.
Avw |»ri%ilc^«* iln *» fru-icr I60i, awordé
•reufvr Jrfrii Marm-rt Pfttisson y Impri-
ordiiioirt; du Roy. L'i-dili-urdecescri-
Rccuàl fut Purrc Bertniil, au»>î itcIc-
nastiquc, d frère de rauUiir.
3. JoANxis Païiscralii C^ilenda? Janua-
riuïi't varia qiiiiHl;un Poenwliti. — Luti^
liae. upvid viduum âfatntrU' PatiMonii.
H. oc. III. In-H,
4. L^s VL Pspaumes dp !)avid, mis en
vprs fnintjois p<ir l'hilippt^ïi np^-Porles,
abW dcThiion. — Paris, vcufve Jfanwrt
Patissoti, Iiiiprinif^ur du Hov. h. dc. m.
ln-12.
o- PoEftiEs chrcsliennes. Par Philip-
pe» Dc'^PorU's î)bl»è de Thiroti. — Ihi-
dem. M. oc. m. ln-12.
6. Quelques prières et niéditalions
rhfpslionnpfl, par I(* mî^ine. — Ibidem.
M. o<:. lit. 1(1-12.
7. Trois Discours de S. Ambroise, Des
VierjîPs, Asa sœur Marrelline, avec une
Répriimindc h une relit^ieubo , tniduiU
pîU'J. Hertaul — Ibid. ii. i>r. un. ln-12.
H. La NourriUire de \a Noblesse, (ni
sont reprf^enîtV's le:* plus lH>Iles vertus
d'un Jeune «gentilhomme; à Monsieur le
Duc de Vendosme. — Ibid. m. d*;. un.
ln-8.
9. Les cl Pseaume» de David, mis en
vers François, [wr Philip(>es Des-Purles,
abbéde Thiron. Avec ipieltjues Ointi-
ques de la Bible, Hymnes et nulres œu-
vres et Prioresclirostiennes. Le toutre-
voii & an;zmenté parle mesme aulheur.
— Ibid. M. ih:iiii. ln-12.
10. Institi'tiox d'un prince, à Mon-
sieur le Uuc de Vendosme, par le Sieur
des Vvetcau\. Pan\^, chez (\a veuve)
Pâtisson. M. i>c. ilii. In-4.
O sieur des YvctraiiT se nommoil Nirobi»
Vatinui-liii. Il n'y a ^»ciin rnp|>orT mire Aiin
ptH'dii' ft un»* Inililtilio prifuipu une l'on
vrrra n i'iiuiiif 1017. cIk»/ Kob. F-^tiennc. cl
atii)onc«^ comme Irad. du frjnrois de- Jean
Ht'-roard.
H.Jai:ohi AususliThuani, inïiiiprem.i
35
I[)ï
VlnV A MAMEim PATISSOMI im
Kriîfii i'tî\\[\vi (^una l'rHVsiidis infulali
llislijiiiiniiii ïiui Lrmiiyris lîfi- xvi». u&-
— f'rt/-/s(>,'j, \idijn MfiiiuTli i^iUissfmii,
Ty[H>ï;riiii!ii Hf^ij, lu ullii'inii /Ia6i?rli
Sh'piiuiti. M- [»:. 1111. In-fol,
Lv litn' |iiir1<' iiiiihhi li-M nniib Ji^s [ibnirea
S(iniiiii<i i-l l>N»ri.irl. \\nv.^ ^■^' lilrt,. qui eit
tjiirLi^iirrnit ii'li.iiirhc'-. il «n ^imliu
.'lin^i t'ULPiii'i'.
.lu:, \lr^^^^l Tliiuini Hishtrti
tcriipiiiip |ii:ii> |iiini;i- — iTVn'wYs,
ilmiiii .]fiiiui'rii Potfxsuttii, ^c. u.
Kii ^■luiiiii |Ki)>Ui' il 1.1 IlihI. KnyaL
15- luiKii liliri \\u\ — Ibk
iji iiii. 1 Mil. iii-H.
\nrF i|iii :i n(i|i;irlt'iiU ni .'>iiii ilUiK^rt^ \
r, Ir*"* r« niiir(|iMlik',
Os ili-iiv l'itilioiis (|ui m* sniii piiM loiil-a-
fiiit s«.'iiil»l;ililrs, «(iiitieinu'iit <Hirl(|lirs p.issfl-
f;rs cliaiii^r^ on suppriiiH's diiiis lo itimpiTh-
sioiis ijiii siii\in'iit. cxci'pti' iliuih l.'i lii-llr ri
wiMUitc i-tlilioii tic Loiuln-s, 17;W, 7 m)I, iii-
Tol., où \\y> uni i-W imli*|iirs cl iTliil)li>.
I.rs fiintrs (le l'iri-l'ol.. imlrc^ |i;ii' r,'uitfUi
à la fin àif sou Pjiitrf dinlicaliure «uit rorri-
gétiA dans cL^tU^ miu|]n»6ton.
Il paroil i|ue PéditioD cIï; ces Jimu. \oIij-
car nu m trouve des eïfmplaîins avec I»
tiln-i rrinijiriniés à soji tiym.
Us |ielit vnUnn» Je PalisMiu uf^ Minl
■~ """S in '16 ; Ipur formai <it iitt |ieti |iliw
, t1 (-liai|iie cjihicr a 1^ riMiilIrtv H
C*' «Ottt ITÎ COHSlSqlli.'IKV tICft iu-lif
qiri |mrajl aiiiir é(r ji{lo|}lf viTfi ctî
ft par rimprimerip luitiAit'iiiH*. PauI
e, A Ge^ève^ n t'uulinué de Itiiir ck*»
inU|. de quc'lqiie^ vern iimoiif^ux
Bïftant). ÈdUioti tlemiore, rf<v^e
jnenkée. — Paris, |wir fhiJtjipe»
th. tHiprinietir , lii'nii'^iJiniiil riie
Kl,,,. . .îcfln ilf Bf'nnvaiïi , vis-à-viy t]es
Eécholos (if Dt'tTct. m. dc. m. Avec pri-
vil('i;(' (lu Hoy In-8.
Le piMU-ijc ici iiii-rilionni* est celui qui fui
accorde à l:i \i-ii\c de M.ifncit PalisMHi. en
\CiiYi jxinr le même li\rc. ()ii m* coiinoil au-
(iiiM- ;iii1?r impression de rv Philippe.
Ce pn-miiT «oliirne ûcs Ouvrage» et èdi-
lioi» dr HbiiI Eslimnc a *'h> imprime, iimi
par Mn pèrt* Hi-iirj, mais par Kmiit^iii» Lf
Praii, auln* Imjtriineiir fr.in^-nis (pii itVtoit
retiré en Sniwe pour raiiv: dt* rfligiun, «t j
avoil ronliiuif> u proffji&ioii .
Mailtiiire, Anii. Typ., 111, ftS4, dit de ce
tolume : ■< Ad œi-as nuiitis |>«nnHTiiiii, ex-
uusi Lu|;duiii, apini FraitriM-iim Lu Pn-ux-
M. o. xcitt, laS. M II y a dTecUtriDi>ui dtA
ckrtapli'iires daté» dv: Lyon, ef d'autn's de
(»em:\c,
Il eti dédié par In jeune auletir a Henri
HN) |H'rr.
Duis 11- rn1alu{;ue dpjâ ritt des Inirs ap-
porté* aux foim de FratH'turl |H-iidniil tuiil
Ir ruufh du «ciziéme .sitTk>, «oliimt! iii-4, de
t^ncfurt. 1fil>:i. ji'%oib, pagf H81. à la Miite
de ce %nlum4- iK* l'uni, iii{li(|Uf Luj(dtuù^ vK
sous son iiimi » Mt'diKilioiM>» iHX'ulîarc», MVtf
Fidei Ubumi. iltid.. 1593. Iq-H. »
Esl-ce un a]>pp|ulii'«* an volume de poésie»?
Je le d'Obi, nuiis j>i> ne l'ai puini \n-itié.
i. Plmiaki Ol)in|im, Ntniu'îi, PylhÎH.
Ulhinia. [%y. ciitn Siholiiâ.) Arijiinclai
«Il inlerpn'l;ilu) Lalinn ad vprbiini.
Cuin Indii'ibus nw^^swiriis. — Oliva /*.
Strjthant. A la fin : Kxctidpbal Pau-
luit Slffihimus, M. D. \ax. Hm^var.
3. FiBLit Vir;:ilii i\l;ii\Miis l'(H'iiiutii
Henrici SUtpluirii âi'liuliis illiiijlriiUi. ^c-
('4L'tcru qua; hn'c LitIiîi wlitiit (>xhil»el,
jwjîina »t'f|m'nlr nwniipnUir — Evcu-
dekil Pmtlufi Steiihanu». u. U. xciK.
In-(t.
l'misiémi' î-dilion. Les deux précûilentcs
tnni dt' Henri. 1S75 et t^SS.
DàiK la BiM. Uliiia, 1, page 354, vsl aiusi
nit^iitionnw une édîtjun de 1507. Jf m- h
connoi-t pft», et je ne voi» b ttiiunf «-rmir di*
chiffre, 1597 pour Ï5W.
1. C. Plinii Cfw. Swuiidi Epislola* tH
I'tinoîî>Ticu^, (vmn aliis divorsoruni Pa-
ncgyrici.t, et U. Oiftiitiboni notis in Epid-
lalts. Viiriîe lettiont- s uUi-a prax-edciiteft
in bac posteriori edilione ni<.ir;J!ini atros-
scrunl. — M. D. \i'A\ In-IB. Sans nom,
îivoc lit iiiiirqiie des Esliriiiu'.
Copiv de i'itlilioi» de Henri E-slieniie. iSM
in-16, avec quelqu» varimife» de plus.
5.CoNi:oRn*NTi«lirHX'o-Lalina?Tts-
Uiiuenti Novi, nuncprimiim plensedi-
lae : et din niultimnpip dtwiderala? , ul
optini? duoos ad vt'nini vf>curu illiusin-
terprfUtioncm fulurit". Acccsîiil hiiif «11-
lioni Supplément uni tH>tuni oinniuniqus
hiiett^ntis dpsideralwnHir , tam eorum
<\uiv ad aiireni libri rpj(HHa, miani (jiwî
oiiiissa dcsidprapi polenint. In his ijuid
|»ra«lituni «il, praîIixaiHlIottoreniKpis-
lota dn<vl — Oli\a Vaut* Strphm*
n
196
PAULUS STEPIIANUS. 16(hmw.
G. ALPiiABKTtM GKPcuin l't Hobrai-
cuni.(Gr«e('o) AdditasuiitTh. BezaeScho-
lia, inquil)U!»dL< ^orninnu Gra?ea?ling:i)a''
prontinliiiliono disw»rit(ir. In all«ro li-
terae llobr. dcscnbiinlur, ex Ant. Ova!-
Icrii. Hob. Iin;j;ua» Prrtfesftoriâ rerogni-
lione. — Exciiiiebal Paulua Stephanus.
M. ac. ln-8.
7. Pi.ND.ini L'I ciiîlcrorum octoLyrico-
rum Ointïinii. Edilio un grapco-lalina,
Henr. SU'(jliîiiii ri'COjinitionp quorumJam
înl^rproUttronts loconini , & iiccessione
lyrifunim i'arminumlix'iipIplaUj. — Ex-
*'ti(Ji'hïil l^auluf. StephatiHH.M. uc. In-l(î.
8. (Jlinti tloralii Flturi Poomala ,
flcholiis H argunif-ntis ab Upiirico Stt»-
phano illii:4tn)U). &c. Ediliu Icilia, quiL%
pnt'UT Si'liohunim lccuplcUilioiu»m, ali-
quoL insii[ïiM- dialriUis (*t quasdam in
Veri Porfihyriotiia comim'tiUirios oincn-
datioiir;;, ncc non (jimsdam ud eosact'os-
sionfîs habtH. — Ihid. m. ï>c. In-8.
Os atigmciitaiiuiis sutil a\visi i]an!i V Fdï-
tio Stfciuttia ilrt-StiK, duiil t;rl(c £i/'/(u Ttrtia
est U cn]iH-.
9. r.. Pi.iMi Ocilii Sectindi Novo-
l'oinensis Epi&tolurtun libri \. EjuMlout
Pancf^yricus Tra];mo diclus cum Coin-
nirnlariis JuiiniiLs Marix' T^UinaM, viri
ductissinii ; miiltisEpistolis cum illaruiii
inUTprt'talionp adjorlis. Adjimrli siinl
alii. iui alii^is Ovsm's. Pïmegyrici , ad
(idem vetubti fxcniplaris micndali. —
E\cuclobal Paulm Strphanm. bi. ih:.
In-i.
Qiirli|i)ra fxt-iuplairt's wiil dâlt's de 1601 ,
a*»* lia IHOK CoUm'ue ^llohnygitm, iin[iri-
més (!0 ptfliU's leltrM au-flrsâus dt*s listes dv
datp.
J'y ai VII miMi, »(ir (1«u\ rmillfls à la
siiiic ilii liir«>, dcnix ^iWifaci-s Juato Rnlerv
f'atilux Stfpbanus, w. Cal. S«'i»l. 1600. el
TTfHtçrapluis /.rctori, qui irôtui<>nt poiut
dans lV\rtii[iliiin- tlali* ili' 1G00.
40. l.ycoi'iiRtJMS \lp\andra. graîce,
niiii tTiiditissiniis Isani Tzrlzis roin-
liiPtilariis, r\ lidtMnaiiiiï^Tipli cnirnda-
lioribiis faciis. Adjimcta est inlcrprela-
tio versuum Latina . ad vorbiim, (ht
tiulielmum Caritcrum. Addita* sunt &
ejusdom (i. Cantori annotalioncs; nec-
tion Epilome Oissandraî {ïnwo-lalina ,
oirmiiio Anacreoiitio. — ExcudeUtl Pau-
iuxS{fphanufi.u.î}i:\. [n-4.
14. Ei'axpinisTrastrdia' qua; pxlant.
Ciim lafiiia linliHnii (^anleri inlerprcla-
liûne (al) .tmilio Porlo pnii'ndau). Srho-
lia îjraîra (îoctonim viraruin in i^ptem
Euripidis Trppvdias, ex anti(|ui!- excm-
plarilitis iib ArsL'iiio MmieinUisia' ar-
t'hiepi-sCOjMJ rolleela. Accesserunl in
iirideriin pruxiiiia» docta? J. Bnxlîri ,
nwnon (luil. Oniteri. .Km. Porti, et
Gaspans Stiblini annotationes. Cuni iii-
dicibus nivessèriis. — ExcadelKit Paulus
Sl<rph(tnus. M. i>( . 11. 2 tomes qui a* re-
tient en un vol. in-4.
Il y a lies i*\oni|)tjiit't'Miiii n'ont ni Ivs no-
tes ni l'Inilcx, Jiiivsi iif |M)rtenl-iU pas air
k'ur litre <■ A<'i'eu«'itinl el loul it qui
SllJt.
t^. SoPHOtLisTragœdia^septeni. Uuu
niui omnibits gra'ciïi scboliis, et lalinn
Viti W'inscndj ad veri)um inleqirela-
lioite. Qaibus aece^jRTiint luuihimi Ca-
nierarij, iiornon .V Ilenrici Stepbani
anrioldliones. Unu eum Iiidirc srnlen-
ttnnini Sophoclcarum. — Excudebal Pau-
ttis Slephanua. m. dc. t». In-i.
43. Pal'li St(>|>liani Voliim pro fHici
ifinere Manritii , Landi^dvi Ilassiœ. —
M. ne. II. In-i. Pièce envers.
U. NovuM Ttstamenlun» gr. cuin in-
lerprelatiorie Uenriei Sicphani. lùliUo
lerlîîi. — M. DC. IV. hi-16. Avec la
niarqundcs l^slienne
RL'iuiprrssiui) dc réditioii Jl- llvuri, tS87.
15. Ism:n\Tifi Oraliones pl Epi^loUu*
ciim Latina interpn'liiliono Hieronymi
Wullii. ab \\i^ )M.l^l^enllJnl reroi^uita.
Ediliu rit'cimdji. — Kxruiloliat PfiufiM
Sirphftnus- «. m., iv. In-K.
lWi-14 PAULUS STEPILV,NUS.
497
OH*^ itliUini. cHliiw'v surliHit pour Sun |
Index, csl iailv siir «■«•llr de Hrnrï F-Alicniii',
ib&3. iii-fol. ; DifÙA iAW riv ruiitîtnil t|iif I'Iao- |
craie : on ii'j (roiivp |ia.<, non (du* Ut, ili»sfii.i-
liûu* [Dintrihde Srpttm) ik* Mi-nii.
Maittairc. Aitii. Itl. 645, imlo i|He l'vpi-
grapbc d(.' la nwrqiit; de» F^LieuDe varie daii«
1rs exeniptairi's. dont U*» iiiiâ |M)rieui : .V«//
■I d\tuU'i-A : Af/miïi jm/i/
ojjiim tauen-.
20. Ahistidis Oraliones. gra&ce et la
lint\ (îiiil. (^ntoru inU?rprelt'. — m. dc
XI. 3 vul. ÎD-â.
ramtt ut ego lutrirrer.
16. AElii Aristidii? Adrianensis Ora-
toris darisïlimi Onitioiiuni tomi très,
pr. el lut. iiilerpreto lîtilielmo Omtero
ITItrajwtino. Adjurixintiis variai <'j»'S-
dciu Gulirtnii ('jmlfri& altonmi Iwlio- i
nés, leolori>< jtiilii-io exiiniiiiandus. Una
cum indicé duplici : atlfro ^noniologia-
rum : ultcro renini & vi-rboniin , et«juo !
locupïelissimo. — Oliva hittti Stephani.
M, DG. iiii. 1 \ol. in-8.
Mition liT5 oslimt'e , et remarquable par
son e:ieellenl Index.
Le iwipier est fort mauvais, ce qui est te
défaut lie la ptiqtBri de vn éditions suisses.
<7. IloîiFHi PoPinata duo, llias et
CWysyjWi sive Ulypsra. Kjiirtdcm Batra-
Htomyoniaohia, Hyinniol Epiuruiniiiuta.
('.um Latina Jntor|irclntiom>a(l verhum.
Adjecla siint etiani , Colullii du mpUi
Hclena; : et TnphiiKlori do liji excidio ,
PofmaUi. Cuai liidicibus necessjiriis.
— Excudcbol Vanlus SU'jriiunus. st. vc.
1111. t vol. in-16.
Rêîmprt^ion de l'édiLioa de H. 'Esl..
1588, a%»i* crite différeiietî qu'un en a retriin-
cliù In Ccfttonfi. qui y sont renqdacés par
Coiutlnis cl Trjffhiodonis. t)u y a aiusi ajouté'
des lahles.
18. Plimi Epistolie, el Panepyriciis,
"Mm notis fsaaci Casauboi^i, et alii Pane-
-rici veleres, cxtHlit. Henrici Stephani.
Ex tyiKV^raphia Stephaniana. hoc v.
19. PtiNii Epi:^lola; ut Panegyriri. —
H w.. XI. In-IB.
liiilniHtalileinent ee Mtnt *ltà cnjiim df IV-
Rcimpreuion dc I 6ililion dc 1604. Il fan
droit eomporcr le» dcu\ pour siaioiv Jiuqu
quel point telles suitt confonn». t-l mènie si
les evempLilri-s de liîl) ue sont ]uls Minple-
nuut rAJeuiun par di- nunxeaux liln.*]).
2(. PiioTii Bibïiuthera, gr. ri lut.
Andr. Si'lïotlo inlerpiele, cum Davidis
Hœst^lH'lii, & Aiidrt.'a* ScIutUi sclioliis.
— Oliva Pauli Slfpfioiki. m ne. xu.
In-M.
La premicre Mïtion avoil clé doDiiêe À
Aug4lK>uri;, 1601, iii-fol.. parDa«id Ha-»rJie-
tiiu, eu grec M'ulemenl. F.a 1606, Ajidre
Srliutt dunna. dau.<» lu ni<^n)c \itle, iu>e \er-
Mon lalin<>. Celte édition de Paul Esticiiye
eunlîcnt le gîfC, le latin, les notes d'Ha;scl»c-
lius el eelli^ que Ir Irmliiehiir a\oil joint» à
sa tersinn. I^ \oInme connnenre \mr cinq
préfaces de Paul el des précédeuls Milcurs :
celU; d'is. (ji.uuboo, t. Kal. Juu. 1601);
d'iloc^clielius à Vclsenu, xu. Kal. Aphl.
IfiOl; de SrhoH au nii^on, 1G06; de Juite
t.ip?M.*, J6 dér. 1606, et enfiu relie dc Paul n
Stuehiuulder, Kal. niaij 1611. Quant à tu
lia le que j'ai viiedi'lftl^. re\arliliide connue
de jduiieiiri h\ n-* el ( .atatngiie» dont les mis
dij>cnl IGli, et d'aulres 1611, doit faire eon-
clurc qu'il y a des exenipUiire* à rliacnne dc
ce» JeiiA dnie», à rooiiUi que la date IGll dc
l'Upitri' de Paul ne soit la .si-ule cau.se de cette
variai ton.
ii. PixDAnrs el caeti^roriim oclo Ly-
ricoruin Omnina. EdJtio\. tiiafo-latina
Henr. Stephani. — Oliva FauU Stephani.
M DC. XII. ln-16.
î.'i. Ef.NAPii's Sardiantis de vitis Phi-
lotïOphorutn cl Sophistaiiiiii . (:r. et lat.
Iladriano Jiiniii interprète; ijraica cuiii
mss.. Palatmisconijmnitii.aiïelaN: emen-
data Hier r.oiiiiiielini ojM'ra :nunc re-
cens acrediint ejustlem auctoriâ Lega-
tiones e Bibliotheca Andréas Sohotti.
graece, éd. Ilieronynio Coiniiielino. —
Grtirvœ. OU\ii l'auli Strphani . ii.nr.xit.
I
«
198
PAULUS STEPHANUS. ie46-«.
Il V il <1(''< (■%.i'rn|ilii]ri'5' ijpud Samueirm
Crisninurn.
21. DiOGEXEs Lufriiuà vl Heaycbiu&
m. de \iti> plii!u50[*horiiiii , grsce cl
lalinè, cudi IViiij^mrntis Pyllmi^or, & no-
lis Isimoi Cjisîiulioni. & llonr. Stephani,
(w p<iilioiu-|iifrtrtn]ii (imn. \'69i), — Ge-_
nevœ ^ OViMi Pauli Sfepitaiii m ""■ '*'■
In-8.
25. Novi M T(*st;»mpntiim i
ciim nolislsttaci rȈnubiini ad
llenrici Stcjihiini ml riii\r!:i;ini»m
ti^, (tiitio piMmiiLi, — <7nftfVf
Paufi Stejfhani , Suinptibus
Cri6i>ini. m. ri<: Kvir. In-IG.
26. HEHOiutT[ Hiilifiimasâd
runi libri i\. (ju^Jimi Marnit.
Homeri. ExifriilH )'\ Cti'siii, ei,
Hcnr. Stopliiini, riiiii tkjIIs Frdi'nii l.i;i-
bur^'ii, i^r. lat. ; cuin iconibus slruclu-
ranim : edilio arionuita oiiera Gotho-
frcdi .Uiiiiîcrmanni , cum Indice auclo
t't loovipk'Uito. — Oiiva PauU Stephani.
M. uc. xviii. ln-f(jl.
Apr«ft 1^4 tl«ii\ ^llmalïle» edilinaa don*
iiLts |Mir lU'uri E&th^uic, en t5I4 d ISSGft, «t
cdU* de Jim^crmaiin, Ffïnicfurt, IQOfl. qm
leur ç1oi( su(itriieuri% Ir uoinrl t-tiihiur ne
faisant |]irf?âqiii* iiiic ivrirocluifif cetl'r dcnriLlot'
av^ fifA ttùlvs flugtni*nlBli(i[is, a l'cimiilniii)
réuiisi à rt-uiire Ja .sÏitiiim préfrrablt^ tioii-m^i
lemoil >n)ix ikiix ilt' H^^iirt, mat^ m'^.cnf à c-i-Vlv
du Irî'ïiiatuitl Juiigvrniiuui aux imijurtantr»
piliriTii» iik- lui|U('Ut< sunl »joukHï« de
irtMii, 4-t d*jiiilrt;:A tiiLui tr^jinS Ei-4 jn-
n* lie k v>ei-Hiuii tuliin- tleDiti; \'^tiJlA;
I ]liitDllluiii;i %'i,t d4>u[ipr'oi[jti'- |i;)i' lr
pifiUnr Wi-Sisi-Jinit; rfUtut ilfuil tnitiifium
fit acvuitum , |iiUirn< qiis' n-a corcvc^
BLI vté îiiTroiJinitrs xann Aut'iJna>er(itB«^
Pjmdari ei faîUTuruui oclo Lyn-
frphani. -- 6'en«t;a«] Uliva Puub
oir/^/ioni. M. Dr. wvi. ln-16.
Quoique (lorlant sur U: litre Editio v.
ci'lltM'i est i.i sixii-riif des F^tit'niic, 1560.
1,566, 1586, IfiOO. 1614. 16i6. Le* deux édi-
tions i\v 1600 rt di- 1613. sont exactement
HKinniéts un''. V''.
UOBEIÎTUS STEIMIANllS TEUTIUS.
M. DC. Vl-VU.
I. D. Gmegorii Nysti4*ni iid EudUi-
tbiam. Amltrosium, Ita^^ili^iin Kpistola,
p-. [»niic\iA V^ïAiiuhomii nniic priutùiii
ïuWicavil, Latine vertil, et notis iîlus-
ïvil. — Lniftiof . ox h'pojiraphia fUt-
^HTli Stefihani. m. w:. vi. In-8.
Fmtiim: {lutiliriiliuu de Robrrt III, rimi'
iUu;atf< alors Phili]i|m, fiU de Moraurl Pb-
III.
Le ^(iliiine in-fbl. ■■ MrrriTus m Gciimm.
■«1 qutiiqtU' jiri'irvs Proiilicta*. inirion-Ji, Cr-
wvtriS&H. » attntnifùRijfHTl lEI par M.iil-
tairv ihiu «>s CatalD^iics de la \ ie dr» ¥a-
liiiiia-, d'a|irr> A!liii-lo\efn cl La faille, ue
jwiil iHrc df rel IraïuinKiir qui n'a |H)iiit eu
'•tiil»li<.<«<'mi7i)i à Oriii'vr. LWrnira Hè ri'-
-minnil i'«|ti«' pai !*■ D' W. GrcsweU, l)icn
|iH' Mailtain- liii-mt'nip l'ait rr[<>vpc t*l ror-
rH.li', Ami. r>|i. 111. H&»
f. D. Ijhk4;uhm N\S!*t'ni lîpistola de
iif i\m adtf-iiiiî Jcriisolyiiui , Gra^ce &
I.atinp, juxta MliUoncm MorHIiimam. —
LuMia, ex lypojqnpliia Hoberti Slrpha-
ni. m. vc. VI.
fn e(Mifim votumitte Ej»dpni Episïola.
Inhnp vcrsii rt nolis illusLraUi a Pplro
Molinco, cum t^usdcm Moliiu'i do j^rt'-
ifntiationibti> IracUilus. — ïhid m. rx:.
I Ill-H.
|>rcmi(Tc édition ((i. Mon-I. 1M1. m-».).
•• NtHi f|iif)«l mm jiidicurciims Mltrai IuUtu-
Inlrm . sed nt piuli^rmi ioniIfTian niidam
homiiiî letisaÎDin »
RiilMM-t dil flttMJ a\<iii- Iroduit (» même
Opuscule 01) fronroi-s; niaU je craU (put M
Iraduclioii n'a pas t-tt- iniprimiV : ni Mail-
tain*, ni moi. ne l'avoiu jaiuuis %uc. Pupu-
fit Jfsuitas UM/us, ècnl Mo/ineuj (P. Du
Moulin) à J, Scnligcr, para- qnc ces pcliri-
iia^n y »odI déclares inutiles, nuÏMlileA tntWne
ri dongereiu, Hoxias 6i fwriculosat. \j.' trt'h-
iimus linmo^ dont il c-»l i<:i ipiesliuii, h| uu
jésuite uunuiH' HirJieitnie : Is Stephanu mi-
i-um ifuiim infflr i/uu/tal. (>« ioftulh» oiil-
cde* été tnqmmérs, c'est ce que j'ignore
mlirremcnl .
3. Les Larnips dt* S. Pinirc, & autres
v(Tâ sur la Paâsiun: ptu^ quelquii» Pa-
raphrases sur les hymnes de raitiiiV,
(dMié parlmiteur R. E. Robert Eslietïne)
a monsieur Phelypeoux — Parix, do
t'Iinpritnerip de Hohert EnUeimr. h. ne.
VI. lu-»*
Un e\i*mpijin- -sur |ia|iirr bleu, rt iflié
en nuroq. a été «endu à Paris St fr. SO r.
enIMI.
I. FLORiLEr.iux rpigrammatiini Mar-
Lialis iosephui» Scali^er Jtil. Qi^saris F.
vprlit (>ra*ce, ad Isjiarium (jisaubonum.
— Lutftine . ex lypoiinip. Hoberti Sti^
pham M. tu: vu. lit-8.
Et il In /m Exciidphtil Joanncs Jano-
nus m Ty|>o«niphia finb. Strphani.
AnnuM ne. vu
300
ROBEKTUS STEPHANUS TEIlTIUS lOOM-iO-U.
Dmu la DUiUoth. Laliua, ctitt vci-uon
f^recquc de Smlt|:rr nt tftiiJiGrc feltâulma.
(> Jnnoii (J;innuii) fui iiiMiili- ImpnmL-iir
â Sillon, (Kl il îm|>nm.i |iliu>it'iirs \\\tvs puiir
l:i ri>lt;;i(ni li'fonii»'. Il e.sl surtout tiiiinu piir
w» |i«titv« L-dilinii» ilu No«i% . IvsX. (;roc,
1628 ; VirgUiui. 1G25, Moralius. 1Q27.
J ai ilr* vr Florilr^ium un rxtinpliiirr m
granil papier à la rdiuri'ile J. A> Ûf l'hiiii,
pour li-<|ud il fui peut-être tiré &\pn», ci
seul.
S. Claudii Puleani Tuniulus. — Pa-
risiis, m. »<:. vu. In-4.
S^iti't itnm d'imprinicur; niais, à cause
(If l.n Itfiiiiiiï (lp l'iinpr<-4stiiii , alIrilMii* a\ix
ipiHipii' raiMiii |uir iMaitUiru, Anu. 111. Ml,
a MtirH on ;i Ruh. }-'j>ticiiUf . Hana, rv reciiiil
wmt ilr* xorv firtt's ri Uûus île l'un ot fir
Tauirc. Cl. Du Puy étoit mort m Dec. 1504,
Af;é de V9 aiu.
M. w:. V
IX,
1. Iv'ighamiiata ex libri:} «irsca; An-
Ibulngiin a Q. Septimio Florenlp Chris-
liano seleclii, el lutine vers4i, sivc Flo-
rilegiuin lïilintiiii c\ srœro Florilepo.
Aco^*ssil Uiisa'i Foeniatium, viTHibusla-
linîs lib l'Oilr'in nxpressuiii. — Luleltœ,
ex U^igrapliia ItoOfrti Stephani. m. dc.
ir\.' 1ji-8.
i. Sns Oraisons de Ciccron (pro
Cœlio, MiloiiP, Marcello, preuiit>re Oi-
tilin:iirt\ 1 et 11 cies rUilitipiqnesj avec
une sommaire e\i:usiliun du sujert dp
clianine d"if4'lle::i, par Françob JouIeL ,
sieur de llluislillon. — Paris , de l'Im-
primerie de Hohert Eflifnue^ en la rue
S. Jean do Beauvais. m. dc. i\. ln-8.
3. Chamre, Ion, .sive Viola, Lilium .
(Alelheia, aucloro JacoLKj Auijustu Thuii-
no ad amplisâimum Viniin Acliillein
Hurla'um Equitem, Rr^ni euriae pr:f>si-
dem priaiarium). — ParisHs , ex lypo-
graphia Hohrrli Strphani. m. tn: i\.
Pet il in-M.
4. SiDERE, Paslorelle; de l'invention
du bieur (Boycliet d')Ambillou. l'Ias |p^
Amours de Sidero, de Pasilhée, & auU-e^
Pot-^ije:» du inL'ïime Aullietir. — Paris, rie
rimpfiiuei le de Hvhnt EsUimu. m. w;.
Tx. In-8.
PitTP PII ritiq arirs ilonl ou voit iV&fraîl
dans \a Hîbl. du Tlicùtrv l-rourou, I, 4.1i.
M. DC. X-XI.
1. Dix sermons de Tliéodorel , ùves-
que de Cyr , de la providence de Dieu .
lutilre tes athées et i^picuricns ; IraduicU
par Si'h. Uaifiy, receveur des laillftj &
aydes au Mans. — Paria, de l'imprime-
rin de Huhert HsUenne. m. im:. x. In-«.
2. Jacori Cujacii J. 0. Onilio in fuiiere
Nubiliss. Pni'slânlissiruiqiie viri Gasjia-
ris Cliuylrei Naïu-aîi Rearitrt". Stipatoruin
pra>P(Yti , habita in œde suera Nanca^i
in BiluriKib. C.ubis. xv. Cal. Febr. 1576
(a Nicolao Ri^^altio ex GaHico in Latinum
^ersa). — Parisiis, Oliva Tîofcfrti Ste-
phatti. M. Dc.x. Petit in-fol.
fin lil dnus (a Biltl. Ir, I. ]U, u'>3l.9«S.
tpit* vvHv Hutisou funèbre cloit ocriti- en im
M iriamais fraat^'uis, que M Ki^aull , qui •
%ouhi la conhPi\tTii In (KiMmlr, l'n traduite
eu imn laliii. Ri^aull Ir dit oikm. mai» ircs
miirloisrinciit, daiu sa picfnn* latine.
Li* lram;oû axoit tti* iiupriméà Pam, 1376,
In-K.
.'!. Paktik du prpmier livre do VJEr-
néide de Virplo, ir. 4'n vers franç.oLApar
li> Oird. iMi IVrrou. — Paris, Rohtri
Estifunv. M. DC. \. In-4.
i. Exposition d(*s sept Psoaumes pt^
niteneiels; eum lextu Ijilino; perR. E.
(Rolwrt Eslienne.) — Pans. Jean Sara,
Inipriinciir en la me S. JeandeResuvaiâ,
devant les Escliolesde décret, m. w:. xi.
In-<6
t>x inilinlp<i R. E. cl^^itnl-dloA rÂeUl*-
irnnif RiiImtI tlsliicniie.' l-3t-ilprot>ol4c qu'lm-
piiini-iii l'I librairr. il ail élè iroprim^j vl
WiMî, ROBRRTUS STEPHANUS TERTIIIS.
tûrv Teodrc ailleurs que cIwzImÎ un lorcdniii 1
il .-Miroil <ir l'aitlcur? Je crow qu« r'wl un
titrr irirxartfnH'Dt [irU. et qiir U'^oliinir,
wiil-ilJeRuliprtou Jt* (oui atilrc.csl impnmt'
fuir lui [tour le Ilttniirc h'an Sira qui n'nl
piiiiil raiitiii conmif Im|irin)riir.
5. Les Oniisons et DiscouM fuiiohrds
(Je divers mitliours , sur It* irt'sijus tic
Ht'nry te Grand, par G. du IVyrjil, un-
niosniiT (lu Iloy. — Parts, liobert Es-
tieniu, M. oc. xi. ln-8.
6. J. Ai'ttusTi ThuaniCrambe. Viola,
LItimn, Phlogii, Tor|)>inoe. — Parisus.
M. Wl. \l. Itl-i.
Soiic nonurimiiriiniHir, mats iiiduhitnblf-
nic-nl (le Riilwii KsiiRone. qui av^t iiu|>nmè,
m 1A09, le» Iroi» |treniicr,f de ces duq polit»
7. Ukcleil de diverâ(*ft jwéSiics sur lu
Irespfls d(* Henry le Gi-nnd , <■! sur le
flBcn^ vl couronnement de Louis XUl ,
dc<lii^à la noyno-iuere régente , par G.
D« l'eyral . aumnsnier servant du floy-
— Parif, Robert K^iienne. nie S. Jean de
Bcttuvais, et Pierre Cheralif'r, an mont
S. Hilairi'. m. dc. xi. ln-(.
d y H daii« r« nxiicil iitie Oile rran^onc
de Robert , admMt; ait Roi, et dater du tl
mti 1610.
8. lnau<ïuratio Ludovici XIU. Gitlliii-
mm et Navorra; Re^is. Ad illiislriss.
Cardinalem D. D. Jacobiim Davy Du
Perron Senonuni arehicpisrojjiini. Gal-
li.T et (tenn.iQia> Priimitein. nuignum
Francia; ElcH-mosynariuin, Nîcuhio Bor-
bonio authore. — Lutetiiif, e\ Tj(J0;5ra-
piÛA Hoberti Stephani. In-i.
CeHe pièce, de 17 feuillru, «• relie à la lin
da reotcil franrfjis qui précV-ile. tlle est sans
titre et uii!» d>ite; su Uan du letùllet 10 cs\
imprime eeei : ■■ Pré*c«lê .1 S. M., Ir samrdy
SS moi 1610. R. HAiidine. ■•
9. Ql'arenta Eniiinuis Es|taAobiSf
por ElCurioso. — En Paris, Hob. EnU-
vatu on Idcalle dcS- Jnnn de Beauvnis.
M. iir. XI. In-12.
0). Pniiien\ parle de Diana rnamn-
rada"; eintiun lihros , compaeslos [wr
GasjHïr Gil Polo [que prosequen los vu
de Jorgp de Monteinayor). — En Parix,
en aiàade Hob. Eateran, en m. im:. xi.
In-16.
Le romau kaiii de Oasp. Bnrlhiuit, £roto-
didascatus, est on [wrlic hnît^ dr ofluî-eî.
M. DC. XII— XIV.
\. Le Dessoin d'une Académie, et de
rintroduelion d'îcclle en la Cour. —
Pons, par Pirrr*» Le Court, en l'Impri-
merie de Roinrl Estienne. 1612. ln-8.
19 feuilleu.
Le nom de l'aiileur, Fliinuiee Ititratdt. eit
au Imi» dc la (Itvlicarc à h Kciuc-mêrc. BibL
Matanue^ :i37i7.
2. La Lecioii faicli! en la première
ouverture de l'Acadi^inie Itoyale. Au
Louvre, le 6 de niay 1612. Par le sieur
de Fitiranee Rivault, Gentilhomme or-
dinaire de la chambre du Roy , seirond
précepteur deSn Majesté, et son lecteui
aux uu)thémati(iueà — Paris, Pitrrt
U Court. 1612. ln-8. U feuillets. ■
:L PncMCUiu» Malheiiuttinmi Gullt>'
rian Ilegi Clirislianistiimo et Navarra.'
Ludovint XIII. —Avant propos pour les
Matliemaliques. — Ibid. ln-8. 12 feuil-
let*?, en fr. el lat.
i. Prrckptes d'Agapetusà Justinian.
Miâ en François par le Roi Tr^s-Chresiicn
Louiis treizième, Roy de Erane* el dif
Navarre, en ses le^'ons ordinaires. 2J
papes.— (juiiMlam e\ leclionibusl^bristia-
niâsinii Francoruni Rej'is Ludouiri XIIL
Ex Laiinis lia^e versa. (Traductions pa-*
raphrasées, devoirs de jeune tVolier).
Au bas du dentier feuillet. pa;;e 17 : £«•
teiiit, e^eudcbal Petrus Curûui. Juuu el
PrivUepo Reçis. co. r^c. xii.
Kl <uir toute la (ta^e 18 ;
Ftilieibus Au.spirii!b Ludiiuiri XIU, Clirift-
lianiaùmi Golliamm Re^« ei Navan-jc.
202
ROBERTUS STEPIIANUS TERTIIÎS. )6ïî-U-16,
\'ahii. Tiirba nsTcna, Krx norannU *
V val ri c«j>l<ta aniorcdrilicalur.
0 liai» Jovo Hï-gta» [Miitllrr.
Certaiim imerfim rJuraiit Rq^cm :
t'i rrcl»" niPIimr ■^liiraliimift
l,fff;v> kancinl. illicî'|iir graKii
Kxcmplu na|HiltiJi r«f;at vnlrnl^»!
Ri rirtulilttia anlocFllal omnra,
Siiklimi vrint nntrcpllil «rlu.
m. ne. s. NooitQutol.
R. Stiphaiid*, Kfgia Maitit. Pevoti*-
timif.
C^n di\<Tscs |M(TCS e\ûtctil à b Mauriiir ,
Aaws 1111 «ûliinir i\\-i, il. 337^, 4]iii ru mu-
liciit ciiroro plu-ùcun aiitirs.
Hllci Mtit lotîtes qiiairc dr rimprimerir de
fliib4'rt m, cr que prmi*r Mtn nom niU ati
tilre tle l>i [in-mim", ain-ii c|iir U iiicTe de
neuf irrs laliiiK qui ni n la fin df U qua-
Iriètne, rt qiriri j'ai inlnMliiilr setilrnirnl
pour rriiuitaler que le tout P»l d'IniprîmcHc
filêjttiaitietiue.
5. Spaiitk, ad V. illustriss. Ilenricuiii
Turrium Butlionii Piicom , («ulhoro Jar.
Aug. Thuano). — LuMiae. ex typogra-
phia Ruh, Stephani. m. dt. xri. Petit
in-fol.
f/pAt un itelil pocmt dans le gcure de
Cnim/tc, îon, &C.
6. MiiN.4>'0Bi etPhilistionisSontentiîB
coniiHiralœ, graere, px Bibliothora roj'hi;
cum îiotis : cuni Nir. Riu'ullii. — Aufr-
tiae, cxcudebot flobn-tus Stfphanus.
Fn IM'l, Fcd. Mon*) a împriini- , au*.s'i
in-8, une Iradiielina de cw S^^itcDci-s, m
Tcrslaiin^, par >"ic. Morcl, Qb de Claudo.
7. Oi'iNTfs lloratius Flaccas, cuni
notift lani Riiliîi*rsii. — tuhîiae, ox ciffi-
cina /ïo^rrïl Stephani. — m. dc. xiii.
D» tiMo dr crt Horace rai une Ode laline
de Robcrl, In tiiittm mngni Urnrici cirjfm,
au sujet de laquelle \oyri tlaus la Notice wr
RolKTt III.
De ce volatne. du Wxwt v\. du Juvênal, oti
voit quelques exemplaire» en graud pipier.
8. (îEuBtiii Flori , Modiolanensis Ju-
ri»constitti. de ïHlo llalico cX do rébus
Callonirn pr»clare pcsiis lomporibus
Caroli Vltl el Liidovici \JI Kcgum Fran-
cis*, libri $e\ : o\ Bibliolhcca Hui^onB
Picanieti, insupromoBiirgiindiaf»Sonalu
Procuratoris — ParisHs, /ïofr. Stfpha-
nus. M. DC. XIII. In-4.
Selon PicarUrl, qui a dnitni le maniucht
|Wiir l'imprr&sîou. un Irmivr dans ce livre
bii'ii dra *ci-itr* qui peuvriil M'r%ir n réflller
les i)ieiiwiHgi-\ H \es rnillef'iPA dr (îiiirriardim
et du aiilrfA hjslmieus ronirairei aiiv Frsti-
<;ois.
0. Ai'LUft Ppr»ii4S Flaccus. — lutt^
Une, px ofïïcina Hnberti Stephani m. im;
XIV. In-li.
I • —
* ?lov*nu*, «nacmbip qui ««rriiapoM tt n*ar
iinil^«- Tart'tt HO'rna Mu*arMm.
VVpviinnt*. nui a n'oTaiiA. Rrx n9rmniu
M. DC. XVI.
4. D. JrîHi JuvenalisSaiyratTim libri
V. SuIpiciîB Salyn». Cura Nirolni Rigal-
tii cujiis acccdil de Salira Juvenalts
Dis-sorlatio. — Lutetiae, w ofTicina Bo-
berti Siepham. m. ih:. xvi. In-12.
Ce JuT^l et le Peru: de itAi se trouivnl
toujours reliés ciw^nblc , et souvent in^nie
Bver l'ilnnice, qui esl de 1613.
2. Univebsitatis Pariisiensi» Lachn-
miD, pcr Jo. Ruault, Reclorcm suum,
Tiiimilo F). Afhillis Harl.ri Principe
St'imlùs.effusu.'. — ParisHs, Stephanm,
M. i>c. XVI. In-i. 50 pagos.
Bibl. dc b France, u" 33907.
Jfî n'ai pu vérifier si cutie piêw est m
nom d'Antoine ou de RoIhti ; mais celui-ci,
imprimant pins d'ouvrages de littérature, aura
dû i'Ire employé de préférence par l'Cni-
versilé.
3. Francisci PariMitii Conjectanea ex
vetttstis»iini^ monuriR'nlis cxoerpta ûp
annit /Egypliorum; Rr. cl lai. Addits
, pjUâdem aulhoriâ Oralione (k^ annts
1«I«-1M8. IU)RERTUS STBPttANUS TERTIOS
(livcrsis.— i'amiix, HubrrtusSttphanus.
H. DC. \vi. In-H.
Pmdli, u«57î5.
i. Le Tibère rninrois dcC. Cornélius
Tacitus, ou Im six premiers livrw de
Tacitu*, de lu traduction de Hodolphe
Le MaiMre, moiUiiti. Seconde iMil. au^;-
mentée. — l'aris, de l'Impriinerie de
Bohert Estiniur. h- De. xvi. Iu-8.
La picniiriT l'iliiioii . ilc 1(j1j, ÎihIô, vsi
prolmlilnueul ilii DiiWnc KoIktI EsItPDiic.
Daitt rrlK'-ci. un a vA&ayi' de rrtalilir <m hiip-
pIvoiMit {•*■ f|iii Ml |>untu Je la luuTaliuii ilc
Tariti' ftiii Ir.s deruirm actioaa de Scjau et
»a fiu tnu(it]ue.
Alinrlo\mi, co|>ûu)l ioexactemeut le Catal.
de I>* 'i lioii . 1, 390 , a nud-â-propos allrilmè
à M Knuit^ii» iittc traductiou t:apjigDo)i: de
l'acite { Tmifo iCsfia/ioi) .
M. ix:. xvn.
De Inâtiiutionc Prinripis Liber
laria ex Gallico Joliaiinis Heroardi
LtMlnviri XIU. Filii llenrici Magni , et
Galiiaruin Re^is <'.onsiliurii et An*tiiutri.
]n taliniim vertil Joimm'sI>e<;ornsCon-
iBiliarius et medieu^ He^iuâ. ~ Parisiis,
apud Hobcrtum Strphattum. M. De. xvn.
In-4.
Dwu oct écrit le médecin J. Heroard
rend JiHir par jour roiii|>te d»^ l'élnl h)pc-
tiiiiur itu ji'uur Kni LiHit-< XIII .1 la p(*r»ocilie
duqiii-l il ètoil aiUirhr jur l'onln- du Cardi-
lud de Kicitflicu.
2. Le» estranges Advantures d'un
grand Prince. Où l'on pourra voir que
la vertu, quelque piirt qu'elle se trouve,
ne demeure jainaisdépourveue. Traduc-
tion du 1 livre de l'Enéide. Par le Sieur
rie La Mothe Dutertre. — l'arin, de l'Im-
primerif dt* HuiMrt Estienne, pour Tous-
satnct Ou Hraij. m. dc. xvii. in-12.
3. L'AuouR et la mort d'une Koyne.
Traduction du !V livre de l'Enéidt?, |Mr
Ip Sieur de 1^ Mollir l)ut4Ttre. — Ibid.
M w:, xvn. In-12.
i. Ph.ïdri Au». Liberli Kahulnrum
AtT:Mpiarum libri quinque. Nova editio
ad fidem Pithœani cotliris et aUrrius ex
Hemen>i BibliotluTa \etU!iti»>i[ni rwo-
gnitaâ Nie. Higalliu, eum ejiis nolis. —
Oiiva ftoh. Stfphdni. ». ne. xmi. lu-i.
ImpiirnÎ! tin rouge et noir. Il y a deux édi-
(iotii HHu la tnéme date, mais v]\v* »uut lem-
hlable*. et le cbiHX en ca\ iudiDérenl.
M. DC. XVUL
4. MALAcniAS cum coniincntariiâ R.
DavidKiudiia Fnincisco Valable llebrai-
carum litenirura regio professore sumnui
cura & diligontia rccoguilis, Uebniicé.
— Parisiis , ex oQiciau Roberti Stephani
typographi Rcgu. m. dc. xvui. In-i.
Selon Maitlaire, re premi<T vo)Min«> n*nA
auh'e cboitc qitc ce qui V5\ dans la Rllile hé-
liraîqut* iu-4. dc Robcrl l", où Ir* l*ruplic-
lii-s dc Mabrbia» Mint dalrr» dr niûnt1510;
rt ers caliiiT^ iir «n-oiwit qu'un déliri^ dc
vriU' m^mr rditiuu. Du \uluiue ^uix^iut iH pa-
pSi MT»iii"iil eijcon- de rt'llc aoetrunt* impres-
sion, el ftuivi» d'un conimeDlairc lirhn'ti dt
4 pages dc Sal. larlii : finteritri-iatiou latine.
par Sam. de Muj!., tomte le ><>lumr qui \ieiit
aprà. Il nest-rml |Mis du tcut éluuuanl qur de«
fraf^enlft de Bible liêltmKpie. devtioe^ a m-
débiter jiar jielile» poHiniLs M'iMirée«, eusM-«il
doruii (teudaul 80 nu djn.« le^i ma^aftiiift en
nombre sufluanl poiu' induire â de imu-
fellei anooDoes, et à un jumnioci-c d'vdiiiuii
nouvelle.
2. Malaciiias cum conmientariis R.
Da\id Kimhi.CommentariusR. Sûlonii>-
D(s larhi in Matachiam : Uebraic*». Ac-
cedct Latimt interpretatio |m-T S. U. du
Miiis, re^iuni Lingua; Sunctu! Profeeso-
rem. — Ibid. u- oc. xviii. In-i.
La verMtiu laliiH- quir aciedei tsi le \oliune
suivanl.
3. CoMMKSTXRM llebrffiolutinl R. Da-
vidis Kimlii llisiwni . et R. Sidomonis
tj*rhi iJ;illi. m Malîiehiam. Interprètes.
i04
ROBKRTUS STEPHANUS TEBTIUS. l6iMM(VM.
]d.(MaroUto)de Muis, Aurelio, Sacraniin
llohra-aruuiqui' litoraniin in Ai^drinia
Purisiensi l'rofo^tsore Hc>jio. Ad Ut.
Card. Perronium. Accedil R. D. Kinihi
in Psyil. txii. (>)mmpnU»nus. — Vaii-
siis, t'\ i>(Bciita BohiTii Steplmni. m. dc.
xvm. ln-1.
4. lïicTTS CreU*nsis de Bello Trojiino,
et Durcîi l'Iiryçiua de cxddioTrojie. H\
veloribifô iihnri einendali. Addita' siint
ad Dictyin nota". (wlenlL' Josiii Mcrcoro).
— r<irM»iJî, l'X oflicinu lUttwrii Sttphnui.
M. m:, xviii. lh-l(),
La |m'-faar nu r|tilri* de iVilitetir nJ Hier.
Grottotitim i.ultrum , Kat. .V«/( 1617, fait
uvoir que le te^lf a éli* rurrijjr à l'aide tic
drtisL numuscrilA dt? b llibljotbèquv de S.
Viclor.
5. Jacobi Augusli Thiinni p^£E'^iidis
Uiiitoriurum âui tomporis libri LWX.
Bdiliu qimrla, uuclior cl cai^Ugatior.
Toimis primus. — Parisiis, Rvhertus
Stephanux. v. i>r.. xviii. In-fol.
l'jï ffniuJ i>api«r daiu le Oi. de De 'lliou,
t. I, p. 'Abi, additions aiauuM:riU'<t.
CvlU- ipulririm' l'dilintt, rmituiinictH- du
vi%aut di' l'auteur, fui arnHiv |uir u mort,
aiTÎvit; iti 1617, el ce voluaMr ui- ouutîeiit
([lie % Ij^rot, hidi que 80 fuient uuioiic»»
sur le urrc.
Ia premii-rr, en uu rolume iinfol.. roiitc-
ikJtiit 1S li^rt^, »\wl pani m 1604 , .liusi
qu'uQrit-iinpi^uîoii cuâ tul. iu4., sur le;)-
queU voyez ciik^MU.*, [to^. 194.
Dniis ns ni(^if;s tiiu{M, il fui fail à Paris
trois iHlilimu i»-s. i-i in 1i, mai» il nr paroïl
|Ki!i ipiu l'un d<^ l'Mirinir y ail pnrlicîpc . n
tDoiiu (pie Ir&dtMix Iouh-s di.' 1fW4 m* riiu<iil
l>artie dr l'édiliou Miitaulr iu-S. purtanl le
nom de Drouart.
1(104-06-08. contenant 57 livres, de» fftnwVff
i!M ilS74, l>roiiar1. 0 volumes io-9.
160»-U, 80 U\rc3t, JLuqu'ni 4984, otue
vol. in-lS.
I.r nit'iue Dniuorl donna de <r* KO Livres
une i-diliou i>n ltî(i6-07-0^, 4 toi. nt-M., dont
un rxeraplairc eu fp^wl |i.ipi(T fut miii dan»
la Bililiulbn|Ur de l'auliin liâlol. dr L)c
i'iHni. t. I. \tnçy :i5î, iiddilîiiiiH matiiiMTitn.
£n 1M9, trae natra «'diliuu m dix vol.
in-li, idlnul de ménie jauju'a l'auiHv lOfU.
Li'^SS Livres »uitaiil Iç M)^ |i.inirrtit jioitr la
première l'uù danii l'édition complète de <rt*-
né«e, J>r Ln ilo< tVnr, 1020, 5 volumes in-fol.
Il u'cil (Mi dons mou sujet Je donner ici
note des réimpressions lailes dan» le »rti*
si«lç. e( toutes Ikits de ta Ki-ïuice. Elle* lii-
reul d'ailleurs éelipsiV» |uir la très i^liumlile
éilitîoii de LundtYsi, 1733, 7 \iil. iu-fol.
M. DC. XIX— XXI.
1 . L'empire do la Forliinc, ou lu Tni-
diiction du II*- livre de rKncidp. en profc.
par le sieur do Ln Mothe Dulertre. —
Paris, de rinipriiiierie de Hohfrt Ks-
lienne, pour Tousmiurl Du liray. u. dc.
\ix. In-12.
2. Exhortations diresliennes imi-
tées des unrientï Pcres grecs et latins.
— Ports, {\v riinprïinerîc de Hobert £*-
lienne. n. ih:. xx. ln-8-
Addilion niautisrhie dau» Vm\. Hib. Th.,
I, p. 79. j'-ii n'Tnntneut ân|uî% tv même
evempliiire : il est aU-\ arme» il*-* De "Hiua.
de li-ur lioiiue reliure en vfflu fauve. CiHitic
est |>eu inipotlaiit, mata je n'eu ai januû \u
aucune aul re uh'uI ion , el je le crois ircs ran.
Peut-être a-t-il été iropriiut' k furi (letil uom-
bre potir ^Kre doniié, et uod |ki$ mis dans U
rimilatinn rommerriate.
:l SeNTKKUi & P:initK>te d'iKabbiai,
in Lin^ua Ebreii L'spiK^ile L'on la Irudot-
lione Italiuna di Philippe d'Aquiu. —
Parigi, Hoberio Stefano. m. dc. xx.
ln-12.
4. FuANcisci Tîlelmnni DialecticSi
purîuri «seriiiune douais, upera Mioha^
IL-i Marescolii Loxoviensis. — Parisii$ ,
ex offîcina HoberU Stephani.H. dc. xxi.
In-».
Itaus le Tal. Bigol, part. Il, p. 117, oti
voit Ip litre d'inie autre t>diliou de ftobot
Est. lUl. NV$l-pa.v uur (anle, 1G11, {MMOr
1«2t?
5. Hanecyhicus Ludovico Xlll in-
schplus, aultiure AlH*liu Siunmurlhanu
Scapvolœ (ilio ; avec ta version frdnçoise
par Du Four. — Luietiae, ex oitinna
Bijbtrîi SUphant. ii. w:. xxi. ln-4.
6. Idem Pam'K>Ticus . prdecc a Gu-
lielnici l'alta'o miditus. — Ibid. m. ne.
XII. In-l.
7. lluGOMs Grolii Sylva ad Franc.
Aug. Thiuinum, Jiirobi Aui^usli flliunt.
— Parisits^ T>pis Robcrti Slephani.
M. DC. xxj. In-4.
Crat relui qui ^irril. avec CiiMi-Mam, vk--
limc (lir ta L-iiidk |M>liti(|ii(' du rindiiul dt-
nAkrMitni.
M. DC. XXIIt.
<. DiviNTM Psalterium UavidLs, lii-
<iiii«', ol aceuraU' ad llebra'iiin r»leiii per
Bodolphiim Maiiislrum. — Pamiin , o\
Ty|K>î;r.iphia Hoh. Stephani, apiid titur.t-
mum Lutjson, iu |>orticurearuDi palatii.
M, t)€. \xtii ln-i().
2. MoTESs légiliim^ |»our |ian'onir à
n favoiir ol [>our s y niuintenir, ou le
^l'illc-inalin des courlisîinfi, Irad. de
l'osfsïgnul de Ant. de (Juevaire, (ïar
?b. Hardy. — Parts, ik' l'ImpriiiiiTic
k Hoficrt Estknue, pour Henry Sara, à
*ensei}îne do l'Aide, m- ih:. xxiii. In-9.
Cctlo eii»riciiiC l'ioit ri'IU- ihi tiltrain* Hi'ii-
SnrJi. Lr M.i|iitMt- Il il [xiiiit i aiirrv aldûir.
Nlliinr H. Sara {iidili:), en M\ij, un ;iiiln'
luH. i)iir* jf n'ai |Kiiiit \\\ , H qui [lourroït
rin- BiiMÏ i\v riiii|iriiiK'nf ilc KoUtI
lUbriuiv : •- Ia' l'anfifiuc. a Messieurs ks
cl Curry, lOiS. 111-8. >■
IK pUi!> tllf itlMMIL-MT <I(* linlrr (l'i t|lU*,
la Vil- itr RiilMTt . |t. 545, ainsi i|Ui'
lUu» 11* flalatdf^iiL* |>. AS. et dans les .Vint. III,
SfU. MaitlâirL-, co|iiiiiit La Oillc , p. 187. an-
utmux et livra df la nuuiiërc Miixaule :
UmK?tH léc;itiineâ [Hitir (Kinenir à Ira-
hrirrd'l'j<|UiL'iiul en Kniinois. par ïc S*
lardv. H,2;i |n-H.
3. ItEKCTATio^f de rA«trnlngip judi-
ciaire, jjar Kiançovs de Cyuvijiny , Sei-
fînewr de Couloinby. — M. uc. xxui.
ln-8.
Sur vvl aulcnr, voye» ri-tlc**oi(8, |iage SMl.
4. AtiRJ.il Siimtnarlhani l'anciîyririiii
Luduvicu Justu inM.Tiplu!i ; edilîu ^e-
ciiiuhi. — Lulrtiof, v\ oOioiiia Hotserti
Stéphanie h. dc. xxiii. Id-H.
5. FjcsnEU Abolii Aller PancjîyririM
eidem ; editio àccundo. — Ibid. u. vc.
wiii- In-K.
lïc CP t'utir"-} ricus atlrr, il <t V A iifiiul
iVriiitiu tri-UHao. Il vs\ ilf 16J3. rc i|IH' pruu^t*
U dalt* du li jauv. 16S3, dp miii qiilrt* drdi-
nloirr. Sur lo lili« ou a impHnié |>ar irrrur
M. IX:. XXI. Uvii\ I (II; vaxs A Ui iitaiu out
cuirigt' M'Ite fuuK; »i)r |)liift ou niuiii» ilcxcni-
plairt», n- qui a fait rrnirr à Maillairv ((u'il
V avoit deux itlitioui». j'ai >niiint'ut ri'gTt't
d'avoir à ru faire \\rv si long pour si [tcu de
eliuw.
M. DC. XXIV— XXV.
I . La Rhëloriipie d'Aristote, Iraduic te
en Fninçoi.'^ par le Sieur Kub. E-slienne,
InlerpretOdu Koy es lani;ues Grecque «c
Latine. — A Paris, de l'Imprimerio dc
/to6. Emienne, rue S. iean de Beauvois.
M. ne. XXIV. in-8.
Duu uuc coun* prt'l'ftcc. RoIrti eipose
le* raisons ipii Tonl Ji'tenniuê a nr douwT
que Ik deux prenut-r» li^rrs.
i> . . . . Quûh! au Iroisirsmc livn*, l'au-
itinir s'f?.! al»le-uu Je ]« tradutnr, d'auiaul
qu'il tiiulieuï ili*eni préccpli'A J*éloi|UCQec
<i titiK«-v aliuus illiistrt'» «rueinple» recueillis
dr divers oratrur^ et poctrs, dout la graec
cufiiùsir ni b diction (.TVtque, et y cil tclle-
niHit allaclKv, qu Vile iir pusav |wiul m
quelque lai)(;uf que ce soil, muiiueiicure iti
là aostre qu'en lu latine. <•
L*av<K'jl HoUrt, suu ueveu, u*«ii jugea
pas ili> nii^nie . et ronipli^ia rettr Iroductioii,
Ainsi qu'on le *(Tra à ramd*» 16SU.
S06
ROBRHTUS STBHHANUS THRTILS !aH-B-K-ï7.
i. Pktri Bertnindi Mcri^oni LinguïH
rum liobraira» & Gra?«e Profcssoris,
Oratio in Collogio Plessaîo V. Cal. Keb.
LulPtiic bjbtU) ; de tvpis Ludovici XJIJ
erga litoras et lileralos munificonlûi. —
Parims, ex Typo;;riipliia Hvberii Ste~
phant : proâUtnt cxomplarm cum aliis
iiuttioris o])t'ribuâ . apud Petrum Viné
bibliopoiuui & rcliiiatyrem, in vicoCar-
relerio ( rue Chartiorc ) supra, puteum
ccrtum. H. Dc. xxir. In-8.
3. Pétri Bertnindi Morigoni Ires in
Ludovjt'um JusUnii rcg*-ni Puneg^xici,
Gra'co, emn itiiah>i Lutiuu; Prirnu^ dc
cjus in Douni &: inntreiii au;<^iiàli^simam
pict»k>, liabitus iti cullei^iu Brcodiuno *
VII. Cal. Mart. Sociiodus & TcrliuB de
ejuâ in GalHam picUilo, illf^ die âfK-iimla
Martii, Uic wxin Apnli:'' habilus; Irium
illorumsinjïiili si^rsiniexciisi. — Lute-
tite, ox Typ«;j;ni|vhin Boberti Stephani;
prusLnnt e\oiii[>laria ctiin aliiï^ authuris
opt'ribiis, apud Juaun. Lihtvi bibliopo-
lam , i; rejiione t'ollc^ii Oiitieracfiisis
via D. Joann. Laler. Ceci' à la fin des
deux premiers : à h fin du truisieme :
Apud ÎAtannfiHtn Sauneriuni. viu Jaco-
b<?a, ad insii^nc solis aurpi. M. dc. xxv.
ln-8.
X\cr nioias de piroEt^ ou UDiiouceroit
viii^t âvi plu» oélèbro écrivaim aucieu» ou
modiTuc»
i. PAiiApnnASEâ sur le Ciinliqiic dt>s
Canliqufs , cL autres pw^ios, |ïar V*v
Chanvalton. — Pans, de t'Imprinicrif dc
Robert Est ieiinf. m. dc. xxv. In-8.
SecniulCat. Ij Vallicic, u. 13753.
5. Les Hegrctâ d'Ovidp, traduicls en
prose Françoise, par J. Binard. — Paris,
de rimprimpriede/ïo6i?r(£s/i>nne;che7.
Henry Sara, rue S. J(*an de Beauvais, eu
sa boutique au Palais, on la gallerio dos
I*risonnicrs , proche luChanceltcric, m.oc.
xxv, In-H.
6. Apdleu liber do Doo Sorralis, JoAÎa
MerccroélibiismauusHTiplisrccenseute,
ol iiolas ydjit'ienle. — LuMiae, ex offi-
rina ituberti Stephani. a. oc. xxv-
liM2.
Fjjliririuï. ri. a^aut lui, Ir Catal. de De
rlinu, II, |>. SSU, iiielltriil l'elfe pclilc ôdillou
à l'aDiu-f iHi't, nia'ïi^ dans ci* mil-nH' Caula-
gur, la date. iin|inmce 16^, nt à lo
M, DC. XXVI-XXVU.
<- Dix Semions de Tbéodoret, Ëves-
que de Cyr, de la providence de Dieu :
Irdduicls par Seb. Ilarxly. — Paris , de
rimpriniorie de liobert Eaiieunt. m. oc.
XXVI. In-S-
Rcimprca&iou de rédiùau de 1610.
i. AiTHoncM quorundani Mathotna-
licoruni 0[>eni, latine, u Mariiio Mer-
sonno. Ordinià minimorum, rollocU. —
Luteliae. ex ofîicina Hoberti Stephani.
M. DC. XXVI. ln~tG.
Ce toJume, qui M> cumpuse de quaire par-
Hc», n'est pu toujours cotnpitt, fl quoique
rarf. it n'tsl pas d'un ^nj priv. La prb-
mim; parlif coultcut de«oiivragri d',\rèlii-
méde ; la dt'uxiètnif troi% li%r*!* JUerhiinictH
rum ; dau^ la IroiÂJicnie soûl -IftoUanii Pergtvi
Conica, et Servnus de Settione erlindri; U
quabiètnc rotiticut ua recueil, Srnoptii Ma-
thematka.
3. Apollom Porgœi Conica, lalitie
X'ersa. — m. dc. xxvi. In-IG.
* Cull^gp dr HoncAurt, oii B^onrl, ilu nnni
ilii F. Bei-od on R<'c(inil , rJirvalîrr flamanil > qui
Ir r.inftaeii (35.1.
Cette troisième partie du Recueil de
»ciiiic se iroii\e quelqueFoiA scparimenl,
utnsl que lu troii autres.
i. ExpEDrrio Vallelinieu auspiciis Lu-
dovioi Justi Régis invii-ii^imi el Chris-
tinnissimi snsreplit. (ab Abttlio Sauimar-
thana namila). — Parisiis.Hoh. Stepha-
«(/■c. M ne XXVI. Ill-4.
iai7-98-98. ROBEBTUS STEPHAMiS TERTIUS.
107
■ 5. ËADEM c.\peditio. — Ibid. m. dc.
\xvn. ln-8.
Imprime en !6i5. mA. el in-fl,, j'ignorr
par f]iii : ptLsuiic eii 1636 iD-4, rtiieio tecuniia,
cht'z RoIhtI, et enfin cclliMa, par le niènie
cti 1Gif7, III-8.
6. PKTni Valenlis volum Deo Opt.
Max. pro mImIc Liidoviri XIIÏ. — Pari-
*iis. rx oflli'ina Rvberii Stephani. m. dc.
ïWii- ln-«.
7. Ltsus ro^s veniiturius , aiithorc
AbolioS«mmnr!liano, fit i'jns<|pin vprsio
Ualtini. — Ibid. m. ne., txvii. In-i.
8. Les (Euvrea de Balzac. Première»
partir* qtii conliont quatre Hvres de ^ï;
LtfUreâ : sixième édition, reveijo, corri-
^éo et augmenliV' de lu moitif^. — Pahn,
(le riraprimerie de Hvhert Esticnne, riiez
Tou8$aimtDu Bray. m. dc. xwn. In-;^.
M. ne. XXVIII.
0- Sept. Flor. TerluHiani Libri i\
(scilioet DeOrutiune, ud uxurein Libri u.
CuUiifeminarumLibriii.neexhorUi-
ione(I;iâtilatis,r>nr.uronu, OePtierierii)-
libiis Ma-Telicorum, De Scorpiace).
[Locis quamplurimi^ einendati, c\ Bit)li(}-
lecii Repa. — Luir tiae , ly \n» fiobrrU
^Stephani, apitd vidiiam Olivarii Varen-
fwn, via Jiicol>i£?a, i^ub sijjiio Viciori<e.
DC. xxviii. In-8.
/Opiuciilc Dt Scorpiact n'nil pai, cocaïne
it Ir faire croire la si^iifiralion il« re
traitr ni<>dic.il ou pltarmamitiqae,
tttt M-rit apolof^étiiine «iir le martyre.
dam lci|iH-I TiTliillieti roiD)wirr Ir^ écrits rt
Ir» itucuurs dd> hm-lUpif» h la pîtp^re \rni-
aicnic du scorpion, rt Hirrrhe par m^ e\h<>r-
à giruitir les Gddes de leur prriii-
iiiniietioe.
S. NicoLAi Rij^ltîi Observationeâ ad
Tertulliani libros ix — Ibid. u. dc.
wviii ln-8.
(lettx pariJM te relient
A la Kibliotlicqne dn Roi est na cxpAi-
plaire cil |;rand |>apier \enaiil ths frvres Du
3. JojpiNisChap|)olCabilonen»isBur-
gundi , Drd. Minimonun, Dcfensio con-
tra epi-itolant A])olu^etiram Patri^Clau-
dii du Vivier; qiiâ ( Defensioiie ) S.
Franciàcumdo Paiilasam ordinisMini-
ïiiorum Patriarchani, sororem habuiâsa
probauir et nepoles. el ralioneâ in op-
jio?ilum relutantur. In favorem Nepolum
prienciminaLi Sancli. — Parùiis, ex oiE-
cina Hobtrii Stephani. u. dc. xxviii.
In-I.
4. De sacro rilu pneferendi Crucem
majoribus Pra*lati$ Kf^lesite. Libellus
a|M>!(jgelicus proarchiepiscopo Parisiensi
contra novum conatum ardiiuntislilis
LugdnnensÏH : anihore Andréa duSaus-
say Parisino, Protonotario Apostotico,
concionalore rov;io, necnon ecclcsiœ SS.
Lupi & ^};idii Lulelije paRlore. — Pan-
aris, in (^leina Hoberii Slcphani^ via S.
Joannis Bellovaci. M. dc. xxviir In-4.
H. Ty» et Sidon, tragi-comédie divi-
sée en deux journées, par Jean de Srhe
landre. — Paris, Robert Esiienru. h. dc.
XXVIII. In-8.
6. Les CEiivrefi de Balzac ou quatre
livres de ses Epislrea, septiesme édition.
— Paris, de llmprimerie de Robert
EsUennf, cbez Tou99ainct Du Bray.
V. oc. XXVIII. ln-8.
M. DC. XXIX— XXX.
1 . AtcL-sTK Galland, Contre le Kranc-
alleii sans tilre, prétendu par quelques
' provinces du Droit Ecrit, au préjudice du
Roy ; avec le texte des lois données an
païs des Albigeois, et autres, par Simon
Comte de Montfort en 12IÎ. — Paris,
Robert Enlienne. u. ik;. xxix. ln-4.
2. Le même Livre — Ibid. M. dc.
ln-8.
■
«
iW
ROBERTUS STEPH.\>US TliRTIUS. im-»^.
lliir riiition hi-A, aiif^mnitcr d'iiu tien, a
Klfi flitr t^ii 1831, clii*/. Ëiilii-iiiii' RîrJitT.
3. Pétri Kontei Jus PoiiCiliciiim G:il-
licaouiD. — Parims, apud liubertum Sfe-
jihannm. «. dc. xxix. Iii-H.
4. Le» Otuvri^ |HH>tiques de Marc
Anlùtno de Girard , Sieur do Suint-
Amand. — PariK, do rimprinïPric de Ho-
bert Eitfienne, pour François Potit^ratj ^
Touasainct Quinet , au Palais , on tu
grande ol petite Galerie, m. dc. x\ix.
lD-4.
5. Elogia aeteniœ Mcmorifo Ludovici
Xlll. poKluGlIiuin virtori!ii, fkc, Ppiriis
Valen!» eonàoiTUt ob caplum liupeilaiii,
— Paristix, apnd Uob^rtuui Stephanuin.
». DC. \\i\. ln-8.
6. La Rhétorique d\VristoU* : losdeux
premiers livres timluits du Grec en Fran-
çois pur le feu Sieur RoIktI Kslieniie,
poêle et interprète du H<iy es lant^ues
};i*ecquc et latine. El le iroisiesme pair
Robert Estienne son nepveu, Advorat on
PHrlianient. — Parh, de l'Imprimerie tie
Hotiûrt Est tenu f, rueS. JeandcBeauvais.
M. m:. \vx. ïn-8.
\r vcliiinp e«l lU-dic par Robert le iiev**!!
à J. Fr. de Ooiidy, qui fut U- pn-inicr ardic-
vOqiie dp Paris. ■ J'aicn-ii, dit-il, i-sln* nliligé
itr fairr rluiix il'iinv |icriu>iitiii- (|iii |iiisl. vu
rt' («"wniiT l'-sMiv ilf nic-s r.stiidi-.s, m ('innr.s-
cbfr di* fain* iiniifi-a(;r , Ar. Ari*tult' a fli.in^yi*
de miidt*. 6: irw KoU-rt Ksiinmc, son ^ht-
nti<T CnirhciiM-iki. fui <ildii;r lU' rAlHiiiildPiiirr.
n'âvflut li'iiduil qiitr m'& drii.v prnuîri» li-
\m. ..."
Aiii»i i|nr In fait rofiiioiln* Ip litre tiouvrati
t\f 1it;il> mis ÂL'e Miliinir imprinic *m Mii't. U*
111*" liMi' di' la Kht'Iorique y i-st ajouli-, Iro-
(liill fl iiu{ti'iuif' |Uii- ru\i)rul IluhcrI IV, ur-
xcu di- lliijjvii III, .n|MCA tii mori duquii il
pnrofl rfuc |)rL»vi.S(:Mrraieiit il refait r>ctl4* Im-
primcric ju-Mjii'à ce qii<' vei*^ 1633 ellr vùl été
vendue à Jaciptn I)u;;as<.
de m(^ilalions,p<uîaumes et litanies, en
versfrançoiîi. («irHélie Poirier. — Pari*,
Robert Esfifmie. w. w:. \xxi. In-I2.
S«f. Calai. i\v 11 V.^llitTo, ii" 13799.
î. 1.ES Diverlissementâ poétique:* dâ
GuillaumoCoUetet. Parisien. —Pari«, de
riniprinierie do Hnbert Estienne, nie S.
JwmdeBeauvaisà l'Olivier, m. w:. xxxi.
In-K.
Parmi ces \<ts d'un iiuiivais iwrtr, |>crr
(le i-e (AtlIeiH. |iA«>U' plii-<i iiuuvais «Dcorv.
qui fut û iniiiiloyablenieitl iidiculÎM! par Boi-
IcJin, oiiU'ouM', p. y9, HMiuicdcriDipriiBfri*'
jMun r.lli HÎÏ7. au Roy; fl, poge 103, Vcrui
i\v ritnprinicrie durant le si<*-j;r tic La Ro-
cJidk. pour r»u IfKS, au Ro).
EDlTfOXS SANS DATE-
1. LoY» de Pas : llistoirede Virginie.
— Paris, HoberlEstientw. ln-8.
î. Grii.i.AiTMR Bouclietel : La Table de
(iiiinuir cl Biblis, et autres Oputtcules
IMX'liques. — Ptfn's , Bvbfrt È$titme,_
In-8.
M.DC.XXXI.
4. 1.A Journëc du Pénitent, composée
Aprrs le ^olume dc rollelul de iriSt, oo ne
%oit pIiH aunine imprrsAtoa au nom de Ro-
bert ; mie seroudc éditino de tr m^e lî^re,
n\er [a dalc (Je 1633, l'OlîMer dr» K»ti<iiUf
Mir le titre aiiiiti ipi'à \a ftti, et le uooi de
Jim|iieK Dii^aht, pruuii* qu'iti eettc'aantisla
celui-ci étoil devenu [Ki&snacur et du fun<b
de librairie dit décé<lê Hubert, et dc scn
oflirino typoj^rapliiquc. J. IHigut n'est pas
le «eiU qtii ail (berehé à rcconinuDder m
livres par rel lin[ii>rable «ymtiole. Tnies l'i»-
ibratiiiii di' rph-tipii-^i \(dll^le^( .linsi décoré»,
diuit la plupart, d ■■«I ^rai, npparlieiiiuntl à
J. liuRast. .le n'ai pas eru utile dr rnulrr
ptua luimbreiiM* celte numendaiure, et je uc
faÏA pa» non pliu ri(;urrr ce peu de volume»
dans la Usic de:« étliltiin» livs Pjtiennr réutûcf
et rangées par nrdre Je malierei.
t . Les Diverlissemenls potHiques de
Guillaume Colletel, Parisien. — Porii,
Jacques IhujaM. w. uc. xxxiii. In-S.
3. LiB.tMi Antir>eheni pro tei
HOBEHTUS STEPHANUS TERTIUS
30ÏI
Genliliuui uon cxscindentlis, tidTlicodu-
siumM Imp. Oralio:ank'ii. CGC. ferme
«niios conscripta : mine primiim édita »
Jar. Gotliorredo. !;r. lot noli^; illus-
Iratii- M.iw:. xxxrv. — De CenoUiphio.
ai. oc:. XXXIV. — Jar. (iolhofredit)riil.io-
ries politica; 1res : puta Ulpinnii», Julia-
nus, Aehaica. m. d«:. x\xiv. In-l.
Pit-ccs foii ran^, pt qui. surtout m Anglf-
tcrrc, se «ont <)ii«'Fqucrois \cndiio^s à de trù
hattlA pri\. Sur la pr;*iiiii*rr <-3t l'Olivier des
Eslinuie, la ileniiprr porti^ l'atiirri.- Aldilic.
3. JOAN?ils Diirlis in Universilale P;)-
risiensi anleressoris^ profissori.s regii
de sittlu Eotlesin,' temjwn* A|*oslol!jiiiiJi
liber. — Parim$, ex nfficIrtA JacoU Du-
gaxt, via S. Jounnis Bellov;K:ensi.s ad Oli-
vain Huberli Stt^pham ; &. in stiu Libmrid
officind , ud P;iljitii tHoniiim. m. rtc..
xxuiii. In-H.
4. Nel'p livres do François Baron, sur
l'aeeroissenient di*s seiei^rft*, [df atif)-
mentis scifntiarum\ Iniduilà par Oilliert
de Golefer, conseiller et HiMoriographe
du Roy. — PariA. J. Duijasf. «. dc.
XXXII. Id-8.
irne secoodf et scinhlnblr rdiiion ftit fitif
pw Ir mt-mr fn lfl3i.
5. La Théorie des planètes , par J.
Hume, — Ibid. n- dc. xxxvii. In-8.
6. EssAY des Merveilles de nalua'&
des plus nobles artilie^s, parR<^né Fran-
çoiii, prédicateur du Roy; dixiesine édi-
tion, reveue. corripré .Se augmenU'ode
nouveau. — Ibid. m. dc. xxxvui. Id-8.
Le chap. xxxTiii traite de la topographie,
dc ses tislcnsiks et procédés.
7. Abelii Sammarthani pro parlu re-
gio Volum Lalinis ïk'ruicis, a (i. Colle*-
Iplio Gatlice reddituin. — Ibid. m. oo.
XXXVIII. In-I.
8. David» ftancti A: Ltiilavici justi Pa-
rallcla, solula oriitione, aulhore AMio
Samiiiiirth;mo. — Ibid. .m. im;. \xxx.In-4.
9. Greuorii Episeopi Tiironici ope-
rum priorum pars prima et sceunda^
studio Joh. Baletidens. — Ibid. h. dc.
xxxx, In-IJ.
10. L'HiATomB Mahomét.nne, traduite
d'AfîdK' en Fntn^'ots. par Pierre Vattier,
conseiller et inederiu du duc d'Orlt^ns,
— PariK, liemxj Soubrft.jt. dc. lvii. In-4.
41. L'itiSTOuiE du grand Tamerlan,
traduite d'Arabe par Pierre Vattier. —
Ibid. M. DC. Lvin. In-i.
ANTONIUS STEPIIANUS
M. DC. V.— M. DC- XIV.
<. Les divfrsPB CEiivres do M. I<^
Cardinal Du Perron, oonteiinnt pliisîeiin?
livres, conférenc<*s, discours, haran^es,
lettres. Sic. — t'arin, Antoine EsHmw.
M. DC. V. In-fol.
Je crois, arec Mailtairp, <|ti'tl y a crrrur
(laas ladslo de rette Odilion. Il ne la ineii-
liontiu t[Uti sur la foi de Bil'L TrlUriana, cl
ptimeiindos oiivnigi'<> qu'elle raniienl nVxia-
toiriit pa!k nicnri- iii t^O,S. Um» Ions )cs caA
Hle ne [lOiitToil é|if. tl'Aiidjiiu* i|uj n'a^oit
alors (|ue (reizc au*.
2. S.\NCTi Joûnnis Chrysoslomi Ofvpra
omiiia, Gra3coet Liiline, ex rec^însione
et nim notis Frontonia Duojpï, S- J. —
Parmi», m. dc. i\-xxxiii. \t vol. in-
fo), qui ordinairement se relient en onze.
Les deuv premier» %olunieA de ccWf im
porUmlc et très cstimablr iHliiiou pArurciil pu
1609, de l'iraprimcri*' dc Uaiidc Slorcl. Lmr
date fut chancre ru celle de 161 (, auocc de
U piililicatioti des diiix suivants, l'un àt%-
qurU, llomiiiiT in C.rnrsim, ftil imprimé |>iir
AiitiMitc Fjili«ii»'. dc ini'iuc [|iic le ciuqiiicroo,
dc*lG16, De nuyi Teitammli iutîs. Il narnjl
qu'en 1631 St-bastirn OaraoUy tiiii prendre-
part à cette cntreprific. câr on tn)u\r de?i
cxnnpiaircs dc ces cinq prcmicnt \oluinc-s
avec de nouveau» titres, redalés de 1621, et
portant la m.irqu« de Sclmslien Oûmoijy
rninie à celle d'Anloine Estiennr. que l'on
\oit aussi *ur le sixième volume, qui p»| de
Iflti. En 1633 panircnt cn^vemblr le« ux der-
n!ois \otumesau nom de Ctiarles Mord qui,
en I63fi, do poocertavec SêhoslKn Oonotty,
donna une rt'impreuîun tios ùx prrmirr».
Hdit-on alors drj tiim de 1638 |Kiiir les n»
tomes de 1633, et àauh la n'-impresMon îles
»Ul premiers fit-ou emploi de qitviquet par-
lics dc l'cdiliou première , c*«al ce que je
n'iivais point à vmfier.
J'aurois pu me Iwriier â indiquer la part
qii\'iil Aiitniiie Esticune dans l'imprcMioii de
ce ^lùiid uuvra^e ; inai« ce?t titres fnilJi cl n-
fnil», n-s Ditm^ divi n de ci>-par1icipauts à nue
]iuIilicatiou qui n'einplo>a ]»as moins de
viiigl-»e|)t années, ont jnlrodutt onr w>r1e de
cmifujiion que j'ai cherché à faire dts|tamt'
frc. an riitpie dc faire moi-même ipiehpie
erreur.
<>tte*'dilion, ouvrage d'un hnhilr édiletir
itoul les uatfA r\ le» lr»:luctions sont fort ts-
timi'Kï, «eniit enrorr In meilleure de ce bvrc,
ii elUr nVnl rié suivie de ceUe do Mout&u-
ran, )598-n38. 13 vol. in-fol, qui Ta rrodiie
prcs<[U(" hors d'uMifte,
Le Calalopic dc De Thou, t. I, p. 50,
retiregistre anisi : Pari». Morel, 1609, 6 voL
iii'l'oJ. Mais, a la main, le 6 a été changé
il, el iHi a, ajiitjté K. mnroq. Cr. pap.
qui coiLitiile I r\i.siciire d'rvt-mplaires cd
plcr .supérieur. I^ ait^uttexemplairc pKrut
fi I;] vente Soubiie. où il u'ol>tiiit que le prù
modique dc 84 fr., te libraire l^erc ne
l'ayant pas jugé di^c d'être mentiomié dana
le Calal<^ue.
P
Dans la Bibliothèque d'AbbeviUe, n^iSS
du Catalogue, w trouve un volume io-S^ Coi-
lect'ionrs Sacra-, dont l'initleur est un Minime
nommé Antoine l-Atienne. Aatoniut Stfnfta-
IM8-I4-15. ANTOMUS îàTEPHANOS
■
nul. Ià' titre m a t*té atmclii'* " ; maU un se-
couJ iulituK* mû m l<>te il«s iiulrs, Molatio-
Net savrif, porlt* : PariûU, {ipttd Hiomani
lUautiui, Ifitrtt. Os CuUectiourx saint (ilf
i':iirhariM>a I . mamaisif cnnipiliitioii niyftlu|U('
i\\iK rieii ne iiToramanJe, lie «ont rite** ici
i|ito |M)Ui' U Mni;utarilc! de rvtte rvMcinlilarire
«Ir nom» oicc l'Im primeur Aiiloiiie Ksticiinf .
et tlaufc les iiK>m» tvmps; mai» je iw priiM'
|UA (|u'it y ut à clifTclipr là f|ucl4|Mr parcut
ik cfltr famillr. pnM;lit! on t■lui^lll-, rfjiileiix
iHio» ut; ilr^niil Hw ipir le» iuiinrau\ iiuin.s
ilr «aintft (juc If Minime aura pm rti nitniiit
rn rrJigiitn. «iiiiaut I'um^t <pi^ lni-m(^mc mp-
prllr (latu M longue clt-Hlicarc S un »iitn' Mi-
niutc - . . . . tnnporo tpio frnlruni Miitimo-
rum aJbo MlNTipius fiii^li ; & nomrii nuvum
Hieruuymi assutnpsisli . nniniuitpif Huu4>-
mi .... tiuulium rcniisisti. «
. 3. La Convprsion tlii siciir de Mon-
tagnes, cy-devaiit iiiinisjln' di- la roligion
prétendue réforme^ en l)iiii|>)iir^. f)«'^
dié« à Uonscigncur le (Cardinal Du Per-
ron, cy-devanl Evesqoe d'Kvreux — A
Paris, de l'Imprimerie d'.4nfoine £«-
tifnrte, rue des Carmes, au CoUejîe des
Lumbard^. m. dc. \ni. ln-8.
i. TjtADUcTiON de quchiue ptirtie du
premier livre des Annales de Tacite,
avec des obsenationi^ poliliquesi , lojto-
graphiques et hiÀloriqueSr par François
de Cauvigny. S' de (^ouloiiiby . — Paris,
do l'Imprimerie ô'Àntoitie Estienne.
DC. xiii. In- 8.
S' dc Cotiloml)) fui de l'AcadêiiiiD
Yoiri c« (pi'eii écrit Prllîsson dam
OTiv des Aradémicienfi. •> Dnu» la pre-
cnicT« nioilic du di\-%e|i(ièiae «iiérle. ii\oit
un ftinir FraiH;ois de CliaM\i);n> , wi^iimr
de Coinroliy, Irtiuel riuii de llaen. i-n Nivr-
nuutdîe. Il a\nit nue Hiatp* à U etHir qui
n'Moil ]M>inl été avaitt lui et n'a poitil été
defiuù : car il u* (pialifioil orairur du Ho'i
pour Ut cffaitTj de fEUtt, el e'ètoil en
•> crue qualité qti*il irrevoil do«ixr crulb éciM
•• tou» le» \n\s. Il liroil auMÎ d'<iiilre* l>ien-
" l'ait& dc la eoiir, et {aisoil na^me v^initi*
" (pi'ou l«.4 rnU licauronp pluKf;iauds ipi'iU
■■ u eioicnt. Sur la fin de w* jour*, il prit l^i
" ftoutaue, maLi ne .«• fil pas prêtre-, d ninii
•■ rul à r^> du 6oi\auie an». Il éloit de
•' ^aiide taille et fort pnluaiit, d'nnt: )iu-
■■ HiMir amliiiicus*.-, iH couccrté en tmitcs »«
■■ actiom. »
.'i. Trois EpisU'e* de S. Jérôme; â
Uéliudore Julien, el contre Vigilantius :
avec deux ^utresde J. Picde la Mirande,
îi Jean Krançdis son neveu , traduiUes
pitr Jean Davy Dti Perron. — /'am,
\ Antoine EsUenne. h. ih:. xiii. ln-8.
I ti. Hippoi:ratis Aphorisnii, nova me-
thodo exornati, & ejuîul. amma jiidicia ,
1 pr. lat. iiilcrprele Rod. Magislra RegUi
consiliario & rej-iorum Francis libero-
rimi arcliiulru; qui addidil Icges medi--
cinu?, limites liumoni pertttâ, & patro-
cinium. — Luieliis , e\ lypograpliia
Antonii Stephani. H. ik:. xiii. ln-4 2.
7. AeoixMiiK pour les PP. Jésuites, au
sujet du livre de Suarez , par le S. Du
Perron. — Pam, Anioine Esiienne. u.ac.
XIV. In-8.
Ce n'est pai le Cardiual , maû Jean Da* j
Du Perron, «mi frère.
L'année d'après a cic imprimée une ira-
duclioo iaiiuc. Paru, S. Cmmuisy. io-«.
8. Lettre de MonsiMpnour le fjirdi-
nal Du Perron à Monsei^'neur le Prince,
du 3 mars IGU. — Parti, Anioine Et-
U'enne. m. i»:. xiv. In-H,
9. tARTiFdupremiereldu quatriesmc
livre de l'yEnêide de Virgile, tr. en vers
françois par le Caïd. Du Perron. — Pa-
ris^ Antiiiw K$U>nne u. w. xiv. lib-4.
ÎU
ANTONIUS STKFIUNUS. 1W5-I7.
Tiera-Eslat, de l'an 1615, »ur rurlicledu
Serment, par le (Cardinal I>ii Perron. —
/'ans, AuUiine EsUtnnt. m. ut;. \v. Iti-8.
Le Curdiitat, ttaiiscr discours, rammedans
srs autres iVrir^i. m- fait l'nMjciit du pouvoir
•Uirrrdntul l't ili* -ton dniit dr iinTiuiiiciirc mit
le poutriir t('in|inrel ; cl il n'y a |U< à .s'rkm-
ner de le voir ici &i- servir d'arf^unnfulsdinil
pctit-ùtrc mijonrd'liui à Eloirn'' irtèmi* on iii:-
croîruil plus pouvoir utilrmciit fiiirt' fmpJui.
Aussi iMjii discours irouva-i-d lieaticrm|i dr
runtradieleurs, «1, laul mi Fr^ucr ipi'jiii dr-
liurs, dmina ausûtot nai&iUut'v n hup inulli-
ludc d'ûcrit&, qui, sons dÎM'nio^ fniinrt.
attaiiiioit'iit (--o pouvoir juias limilc;», cr Ihhi
plaisir, dtTori> d» iiorn de Droil di^iu, cii
vei-lu duipiel la Cuiir df Rome et «a uom-
lirctise mdirr maitrÎMiirul k moudechrélivu.
Le (ordinal fui méuiv désapprouve )uir le
Clergé de Frmic<', doul un voit quelipie» an-
\yix\ plu% lard li- dcNUM-ii m ii^if de la rcuii-
pre»iutt de re Uisi-iMirs iiiscrèr au\ Mémoires
du Cierge, t. XHf, cnl. SIO. « Plul ,i l)u-ii,
McMelçiiPur^. f|tie crtte picctr, qui ni* i-i»r-
rotnprii januis la puretc tle volri- doclriiip,
mais qui tn roiilredit, ne panU plus dans vos
MéiuoiriT». ... Le <-lfrKt' ne ttii avotl pas
donné charge de s'exprimer de h mnnierr
(pi'd fit ...,•" O'Ite coulniversc, ipii Jrjà
daluil de plusieurs HierlcH, cl ipii mèmi* au-
jtiurd'tini nV»l p,i*i etie^tn* silcnrii-iiHc, ne
potivoil nwiiitpier ili- porter m-s fniiiH, et d'a-
inetier ruriii à êljhliruetIcuHn(l,AiiMMide Eaîl,
au Dioûi^ datts 11-» e^tinit^, la scpai aliou de re<t
deux |iou\airs, duiit Tuii, tout spirituel, iir
devroit jainuiit se coiupromeilre et s'ututisser
n ïa diw:iis!»iuti, au cirluit irintérrls lerreslrt's
(pir l'autrr i-st a|i|H*lr à rV'j;lM-.
5. HniKF Disroiiivî siirquelqurs poitu'Ls
conrcniHiit lii puliœ dr l'E^ltsi' el tic
I'EbUiI , li |>»rticiilicrenienl sur Jii r<>-
C4*plion ilu Connlfi dp Trenlt» ol sur In
vénulito des UlTifOïi. — /*on5, Anioine
E$titnme, Imprimeur d» Roy, nio S
Jacques, devant le coHè;ie du Plcssis.
M. OC. XV. In-»*.
Ce discours est signé U. P., Conseiller
d*£il»t (JeaitDavy Du Perron), qui, ainAJ
que le Cardinal son irvn' . rloil eiitièremeiit
d'avis d'adin*1tre res|KT>uruM>in«-ni lonic» les
Urrisioiui, Unis d'il di-rreU dt- <**• OtiH-dr.
Ir privilège est accorde an steor Du Pci-
riiii el de 1^ Outille. Le permis d'imprimer
est doiiiire à \nluim' pnr lu su'tir Du Perron
et de I^a {•nette. Cjp nom tpie l'on voit, ainsi
qut^ d:in* l'iii-i, de 1G17. acculé n ci'tiii de
Jean Ihivy. inr peut id dêuguer une seeoiule
perHinne. un cotialoraltur , et c'est saiu
liuutr le nom de quelque prophète territoriale
«JonitHiit droit de s'en qualifier iit*ir^ nuis
non jw* teignetir.
3. Le Mercuro des ArU el Sciences
avec un brier di^our^ de ta DigniU^
Royale, el petit Recueil de ses notns plus
exquis : dt-dié nu Roy par l'iom* Videos,
Professeur en rUniversitë dt* Pari*. —
Parts, Aniotne Esfietme , Inqirimeur du
Ro)'. u. lïc. XV. ln-8.
M. im:. xvii.-xvin.
\. Di\KiiH Traînés et Discours des
controverses de ce temps, par messire
Je^in Davy, sieur Du Perroit el de La
Gtii'lU'. tîu traditions apostoliques, Sa-
ttï^factions, Purgatoire, l'Invocation des
Sainrtîî, I R;; lise ot rHuchanslie — Pa-
ri» , Antoine Estienne, Imprinwur du
Roy, rup S. Jacques, à l'image S. Martin,
près le collège de MarmouLier. a. pc.
XVII. In-i.
i. HiepoTRATiR de pharmacis purgpo-
lihus lilH'lliis, Gra.H*e, ex Cujiirino cxxl-
u R. P. S ï. { «ut , ut pas i Codirls^
R. P D. P.) e\sciipl(ts, luictenu» in
plensquc llippocnitis inlitionibus desi-
(ienUiis, & (jaleni (lorollariuiu, quoil
uninii more^ corjKjris lomperutucotu se-
quaiilur, Ura^'cé, o BiblioUii*ca regûi,
hiictoiius incdituin ; cuui Liilinu uthu:»-
que versiont* & notis, novaruiitqtiv ad
Thcophiluiii TTist cûpuy curaruni acoes-
siono, iK*r Fed. Morellum. — lu/efûu,
i\]iui\ A ntonium Stfphanum m. ivc. xvii.
IiMi.
3. ISA\i;i (,;isniboni ad Pnlybii His-
(onanuii litiruni priinuui i'.nmnienUirii
hC* Omirocnlaire iI'Ik. Ca^auboii, dcMim-
Folybr de OrouArl. 1601», iiefol., ne s'y
Irouvt? pus, hk'u qu'il «oit aimonc^ i»iir li'
liln* ( Vommrntnriis Hluslrati ah Is, CUmiu-
éono), cl, s'il n'y csl pas finpfoyO. c'rsl |>tul-
ètrc |imir In anSnr nivir ilr m* liàln* t|ui iu-
Juiât le lilirain* tfl xoii nlilrnr a x'oif'utiiirK^t-
Urr J'mi Index awct dt'-fwlimix. de prrfé-
mic« i uu «ulrc qu'ils atoiiciil l»i t^trr l>ien
3M|H-nciir {afftiiatius elahoratum) ioai.s qui
u'auniii |iii ^irr imprime assez toi pour la
foîrr (sins duuli' rHlv di- Kniiirfoil. Pivatrr
imminetttirj nunitinas tttere mine non tmtut-
mus.)
Maitlaire. Ami. Typ.. 111, pag. 87( ,
|<riiMl di' là ucoiMoii ponrfaiie iiïirimli- *or-
liv ruiitrr l« llhrnirrs, . . i. HHrcriiaria isto-
mm liomiiiuiti InrpilviKTirtipidoruni a«idt-
tu . . . . Minlîdi liililtopnln' . . . •■ mmiI IllU-
partic de* gmi-îeusf K-s qu'il Ifur adr«^«'.
Il cal protrtlili* qur si rr (.itninimiairf «lîl
rlé iiilri>duil dam It* I'hIvIm-. r^s.iulioii ii\-ti
srroii ya% ii-sti' au prfniirr li\n-. J.'riliiidti
pMlhuine de if rummcurfmcrit Jt Iravud fui
dounrà par mu gciMlr»; J. IX* Craxdlf Du
FUI, qui, au nom dr lu «i'um-, rA W-Ue-iii<*rt*,
la dnlid à J;iii|iit-s, Kui d'AiM-Irltrre.
4. L'HFUBRrseconvrrsiun iM Miiilanic
de Krontonm' u lii Keli^ion catiiolittuc,
apostolique ).'l romaine sur i'itislnKiiuti
(lu rt'Vf^rcnd Perc ArnoiL\, ConfesK'ur el
Pnkliralcur ordinairp du Roy. — Paris,
Anlotnf FMitutiC. m. iu . witj. Ui-H.
36 pag.
■i- L.ELn'sd<'Ciirr<Hi, ijvuliiili'ti haw-
V'oi», jwr le r^nlitidl Pu Perron. — Pa-
ri», citez AntoiM EifUenne. m. ut,, xviii.
M. DC. XX.
■I . Rkplioi K îi Ih Kesiwnse du Sér^
iiissiuM' Ho\ de l;i (iniiKlHrelu^iir , [uh
I iik(i»tri<^inH'. &r riinlinnl Do Porrnn.
— Parig. Anioinf Esti^nne , Imprimeur
ordinaire du Hoy, rue S. Jiicqueàf pr^s
Saint Vves, m. dc. xx. In-fol.
liiO pa;;t>5 mus \vs ranuui'tiniimilii vt liii.
U- Roi d'Au^U'Iim*, .laciiut» I**^. avoît
rni dr^nir iluuurr uur DéciaiTitiuH rutilii*
iV-tmiif;!* di*<-iMirs du Cirdiiial iur le Mrrmeul.
(16151 rt c'psl à crt tTrJI royal que wlui-ci
rrplifjUir.
Au doAdu litre ol imprimé uu grand |>or-
trajl du Cardinal . a^vi luoii ff-axi: , par I)e-
uizQl.
i. WAwv.rA Canlinalis llarlxTini, pos-
iez llrbani Vlll. P. M. Pcemulii. — Lu-
tetiœ , Antonius Sttphanu9. m. ttc. xx.
In-i.
J. Strabonis rcruui Gt.'ugrapliiairmii
lihrixYii. liiflacusCasaubonus riTcnsuil.
rummot^uestudioiK- dili.tîentia,o|)e eliani
veUTuai coiJieiim ciriendavil , ac lam-
niontiiriis illustravil, et sernndis ruris
cumtilate exurnavit , quiu imni- priniùm
prodeunl. Adjuncta est etîain Gulielini
Xylandri Arij^iisUini Uitiiia vei-sio ut>
L-odein Ciisauhoiu) reeoi^uiUi. .\cee**ert'
Ko(i. MoPL-lli Professoritm Re;:. iKn^ni
observaliunctihi'. .\ddiUis e-U, reruin \o~
cuples Itidr.v . iinnon alius ad \s. iii-
sauttoni comiuenUirioti. — LxiUtiœVari-
siiirum. Typis Ke-^iis. si. i>c. xx. In-fol.
O li\rc \\v porte pas le nom d*AJi1ainc
Estieunc, nuùs il n'en rst pu inoîu» crrtdiiie-
mctii sorti de ws presses, pour la Société d(s
Edilioiu (;riTque.<i, qui l'employoît alors, H
dont il EaiMiil partie.
M. DC. XXI.
1. THAiTÉïur le^iujelde lu couvensiuii
à la Keligion Catholique, Apostolique et
Hoiiuiiiie, de Maii^tre Jean Eâtienno, se~
crétairc de la Clwiabre du Ro>'. Kt sa
réception on la Siducto Ei^lise, par le R.
Pore Atliana^e, pr^licateur de l'ortJre
des Capucins. *e. — Paris. Antoine
Efitiânne. u. tu.. \\t. In-H.
(|>Hrr drdiratniiT- ilu CiiU^nlf iHi Rui.
m
ANT(»NIUS STEPIIANUS. ïfiWil-».
S. Statcta S\TiodaIia diœccsia Syl-
vanectonâii^. — Fartfiîs, apud Anfonîum
SUphttttum. M. i>c. XXI. ln-8.
3. I'ethi ViiloDliâ (Inpcflriini lilerii-
ruin Prufessuris Rt'gii di* laiulilms Hu-
meri Oratio : luibiU» in Rogiu (Jinitra-
censi Auditorio. — i*arisiis, apud.4nto-
uium Stephanum typograplium Regiujii.
M. DC. XXI. ln-8.
4. I.KS Bucoliques de Viri^ilo, Ir. en
vers françois, par Pierre de Marcadâiiâ.
— Paris, Aniw'îie Estienne. h. dc. xxi.
ln-4.
M. DC. xxn.
{. Les diverses CEuvres du (lanlinal
Du Perron r'impriniez surîmes cvemiilai-
res laissez, reveuA, corrigez etaui:;nien(e7.
dc sa main. — Paris, Antoine Estinme,
liiiprinieur onJinaire du Roy , rue S. hn--
(jues . à l'Olivier de Hobert Efitimne.
M. DC. wii. In-t'ut.
Je no croi'i |ki< à trois ixlitioiifi dc cet
éiionor ri-niril. »ti Ifitt. Ifïil i*l IBÎtI. j'ai \n
veHr deniitT«;idlr *•*! [|ti»lifiti' »rmii(lr. Je
|if!iMn i[ue (les itciiv «le HUi irt £t, il iiVil
i'ûsti' ulTcciivt'intMit (jiriiue; v\. i|narit n i-«lk>
tie 1G05, c'est uiitr faiivu: aiiiicutn' ou une
prciuiere nlilioii foit iuromplête.
t. Tbaité du Sainct Sacrement de
l'Eucharistie, divisé en trnis livre.s. l'.nn-
Icnanl lu Héfuliilioiidii livre du bifurdu
Ples!>is Morniiy contre la Messe, et d'au-
tre:* adversiiires de l'Kjîlise , &(:. hir
rillu?lrit.sinie et ltëv(^rendi»inie< Jirdi-
nal Du Perron, Arclievesque de Sens,
Primat des Gaules et de (iermimie , &
grand Aum<J!>nier de Frana* — Paris ,
Antoine Ei^tiettnc. h.im:. xxii. In-M.
Millvrt%iugl<4|ualrc |uige9, mu» 1» table».
3. REPi.iQt'R (hi ('.iirdinîit Du Perron fi
ta Respon^du Roy rie la Grand'Bre Ligne.
Seconde «yiition enrichie rie tables li-ès
ampies. — Paris, .Antoine Estitnne, Ini-
prinieur ordinaire du Ruy.ruoS.JaLxiuCî».
Il l'OlivitT deRoh. Kslienne. st. bc. XXII.
In-fol.
(. HR.SPONSE a un libelle diffauuitoirc
contre la leHre tle M. l'Fvesquede Nantes
â M. le cardinal Bentivo^li. jmr Louis de
Moniinviltierri. — Paris, Antoine f*-
tiennf. M. w;. xxil. In-8.
&. MAiiivt;K de la vertu mec la reli-
gion, sur celt4' question, sçavoir si lu
Pn.'ud'hûmmie est estimable hor? la Re-
ligion"? Par le P. Rouclier, Prédicateur.
— Paris , par Antoine Estienne , à l'en-
seigne de l'Aniaiidier. x. dc. xxii. ln-3
6. Oaatio soletinis, habita jn Colle};io
Ro;;io Cameracensi. quo die |»edem in
Ue'^im Oithedra? (ïrax'ie posâcsaioneui
posuit Pelrus Valens, Regjus GfîBca-
cum lileranim Professor. Anno h dc.
XIX. niense Aprili. — Parisii» , apud
Ant. Sfflfi/imiitmTypographum Regium,
via Jacoba*!!. si. i)c. xxn. ln-8.
7. Piiii,»»!»! Cos|H*ani. Nannetteiisiuui
Kpist:()pi , pro Pntre Heruïlio Epislola
iipolû>;elica. — Parisiis, Ant.Slephanus.
a. bii. \\u. In-».
8. P. Bertji Ode, ad Christianissi-
uium Franciœ et Navarra? Regem Lu-
dnvifuin XHI. Luletiam redeunlem. —
Ibid. ji. DC. xxii. In-i.
y. Contrat entre le Roi «t le Clergé
de France. — Ibid. m. dc. xxii. ln-8.
M. ne. xxiii.
t. Dr Pok.iite.nti.k Ritu in Vetere
hrclesia, Disputatiunculae Malurini Si-
iiKinii. — /*an5ii.s. upud .4n/oniuni Ste-
phanum.M. dc. xxni. ln-8.
ï. LACRrvAHrii HerTicliii et nsûs Dc-
morriti Sena : Petri VHlentii^pnrfjaiîo^
ctim Euripjdi:) lloriittum in R('>e;ia iM-Ikoln
inreplui us esset. — Lutettœ Parisiorum,
DptMl AnKmium SUphanum Typ<J2rî»-
phiim Hegiiim. via Jaoobaea. ad Iiisigrip
Olivx Koberti Slephani. m. dc. xxiii.
ln-8.
Il r-kl ]ii'oKilylf' t)ii*iiiK> iMinite i^irlir ilex
iiombmix o|uisoiIca tic rc u\anl profpiseiir
|ftiira élu inipninée chez le même Aiitoiui!.
3. r.AnuiNALîs Barberini , nunc llr-
liani VIII Poeniala : Editiosccunda. —
Lutetiae apud Anf. Stephanum. M. Dc.
XMit. ln-4.
i. Faa!«cis€I llarix'i arc*liie|pU<*opi
Rotlioiiiagcnsis ad UrbnniJin VII] ^rulit-
laloriiim Cnniicn. — hitelio', aptiil An-
/onium Stpphatvum. m. ik;. xxiii. In-4.
8. CErvnEs divcràcs du Cardinal Du
rFiTTOn. — Pnris . Antoine Katienne.
K. i>c. XXIII. 3 ])arlies in-fol. se reliant
en un gros %'o]uit)o.
6. Les Anibu^^des du Cardinal Dn
Perron, a^ohe^os^ïuo de Sons. JcfMiJs
l'an 1590 jusqu'en (G18 , a\(H: les pins
belles et éluqurnlcs Lellro» UinL d'Kstat
et de doctrine, que faniilieres. qu'il a
écriles ftur tontes sortes de sujets aux
Prince», Princesses et Seigneurs, elcol les
qui lui ont été adressées de leur pfirt,
— Paris, Ant . Hsfienne. m. dc. xxiii.
lo-fol.
Ij* Cardiual Dii Pcnon a^nil tlu savoir,
mai» iieaufîoup plu^ d^* ^aiiiic. S<-> unndirrun
ou^ nç,t% sont ptrii t^ùmès ; Li diflt-n'nicc de
*tt BtiUi Lettrts J'flmha<uade nvcc celle* du
Cardiofll d'CUvit . Fail qui- les spiriliiellt»
miuives de njui-d oui wicorr des Icctewrs,
lundis q<i{' font ci- rp/n l'rril It; (Virdiiial Du
prrroii, maiiili'iititil utiIiUi-, lI'f^l pitu rt'ini!*-
mniv ipiir dtkiLH (]ueli{iie.^ CaUiliij^itrs.
Cr tolunip rtnit t'ii »rand pa|iiiT rhei De
Thûu. TjiUil. dc 167U, t. I. po^. 3GÏ, addi-
tion mauuscrite.
1. DiscoCRâ de l'heureux succès des
amies du Roy contre la rébellion, par
M. le Dur de Le^iguieres. — lbid.M.r>r.
8. KKi>i.iorR a ta response du sienr
Hu^net. par J. de Uollundre. — Ibid.
M. ne. XXIII. ln-8.
M. DC. XXIV
4. Réputation des objections tirées
des [tassages de Saint AtigiLstin, contre
i'Euobaristie ; (»ar k- Cjiitlinal Du Per-
ron. — Parin, Antoine Estienne. u. w:.
\\i\'. In-fol.
I 2. Plutahchi Chxronensis omnium,
> qiiaï exslanl, Opennn Icinius primus,
rontinens vilas parallelas. cuni Lalina
Interprrtdtione Cruserii et Xylanriri : l-'t
Doclorum Viroruni notis : Et libcllis va-
rianlium LectionumexMss. Cudd. dili-
l^enter cullecLiimni : tl Indicilms itr-
ciiratiss. Ejiisth'Hi Plutiiivlii LiU-r de
Fluviorum Monliuinque nominibnsanlo
hac non editus : cuni versione et nolis
Maussaci. Accedit nunc primum Plutar-
chi vita, r\ ipso. Se aliis utrinsqun Iin-
^uoi Scriptoribus, a Joauiie Kuaidu cul-
lectH digestaque. Ejus<leni Rualdi ani~
Riadvcrsiones ad insii:nia Plutairhi
oçài>ii.5tTa, sivc lapsioncs II. & LXX. —
Luteliœ Pariniorum ^ apud Anionium
Sti'phanuvi , Typographum Regium, Via
Jacotm^H. ad insi^^ne 01ivu.< Rob. St4?ph.
M ÏH-. XXIV. — (t la fin : ex typographia
Anionii Sfephani Tvjvograplii Rejiii.
M. DC. XXIV. In-fol.
Tomus secnndus continens Moralia ,
' Gulielmu Xylandro iuler])rete. — Ibid.
M. DC. \xn*. In-fol.
' tUlilinu bÎMi inipnmtf, et qui mtoïI eu
trpA grande estime, m elk' t-tcit pliu rorrerle.
U i.:n A lié lire da c\eniplairf.s ou p-aiid
papier : ils sont rares et d'as«et haut prix.
{ Une Uruue dam les chiffres, wr* la Ùa
I du Kcoud volume . a pu quelquefois Ëiire
' croire à une imperfertioii qui nVtisir pas,
' Un renieil de Vnrinnli's ei de (TorreHioi»»
e*t colé dv 13 à HO : inaÏK Mir pliiMeui-<«
e^empbiirf» **u grand {tapier el m |M|Ùm
^
ordinûrv, j'« Tcriliê qne 1rs pif^cs \ Hi n'v
sont |wu, et n'y |iariH%i?til |ioiiil iitTi-wanrs ;
ou him c'tvil iirif simpli* rm-nr «Ir rhiirn-s,
nii rV'«l qiirliiiu' Mi|iiin')iHi<iii Mtloiilaircinnit
failp iH>iulaiit 1 ini|irrs!vioii du Lîtrf .
ce l*liitBr(|iic- rliT lti24 ne sfruit atitrt: cltoH:
qu'iiiif ùiitÏMi de Paris. 16i0. avw di* uou-
yva»\ tilri'S, et l'édilum de Paris, 1620. ne
aeroit ell^'-mOtneqne la c»[ik- paç»* |KMir pagr,
de rellf df Fraiïclnrt. 1020. ita itl trrsus ri
pa^iii(r rrspnmltrrut. \'.fC\ t'»! pliw i\\w. Iia-
aar<^è. l.'i-diliou de Paris rcpri-Kute. ù Tou
vrui, relie de Francfort . *\\\\ lui a st'r*i de
luue, mais avi-c divcrscat ii<ldit)oii» el anln^s
irraoifnwî*'' non équivoques des uàxm du
ix)u\el éditeur. Ijiuinl i l'eiiiMencr d'exem-
ptaire-i dulés de l'nns, 1620. je n'eu ai joiniii!*
\\ï un M'id. ni Iran*» d'un m-uI, autre port quu
dniu celle dllë^atiim de llaile».
Au pieuiiiT \ulunie est une Iquj;iip dêdi-
tacc d'.Vuloiue iiu Roi Ixiuis XIÏI, et ou se-
cond nue autre , du même, au Chancdier
Nie. Brulârt de Sillert.
M. DC. XXV.
4 . C.ARDrs AUtTM . Aix:hiopiscoportim,
E|»iri**o|»oruii). ooterorunujuoqui ex tiiii-
vei-sis RpjîTïi Trovincii», Errlfiàiimtiri*
Comitiis inlerfuerunl, dt* Anonymis qui-
bu&(l«iin et rumotsis libellis Senlentiji. —
Paritiin , Antonius Stephanas. u. dc.
XIV. In-i.
Dam le CM. (le De Thou, 1679, l. I, |i.
117. fidilitiiMLS manu&crilefl . Ce livre est inscrit
aver ilalr i\e 16%. et iu-ti.; ce qui seroil mit:
«etoodr édition.
2. Fha.ncisci Harlxi Aifhicpiscopi
RothMiuigeni^iA Normaniœ Priniiiti!sA|>o-
lugia Evan^lii pro Calholicis, »d Jaco-
bwm mnjoris Bnt«innia^ Rf»gen». — Lvte-
Uœ Pariçionim. Apud Antonium Stf-
lyhofium , Typotn^phuin Rc^iiini , via
Jacob.-ea îmI insigne Oliv.i' Rob(?rti Su>-
phani.H. oc.xw. In-fol. 988 [W^cs.
Hii RfaitH |iapier à In Bibl. Rr>)alr, el rn
nmr. r. etMriert de fl«irwl«-li*.
3. HespoNScau LivrpdpP. Du&loulin,
iiifildlé, Opposition:* do la ParoledH l>i4Mi
a la Dix'lnne de l'Elise Rotnaino. l*iir
].. Du Laurons, cy-do%îint Minislrp au
Bas ï.;m{ïiiPiloc. — Pan* , Antoine Ks~
tien)u\ linpiiiiHMir ordinaire du Roy, rue
S. Jacques, a l'ûlivior de Rob. Eâtieunr.
M. DC. XXV. In-H.
Depuis IfHS Auioijie prend la qii.iljlc'
tl'liupnnieur ilu Roi; en ItilMi nn le \crni
A/xfii-t\ffognif>liUi /(e^'/«i, premier Impri-
meur du Roi, et sou litiriiirc ordinaire.
4, pRocEii verbal de rA&tcmbléc gé-
n<^rali> tlii (llL*r<:é icuui* à Paris en 162^,
les sÎL'ura PieiTO dr Peyresàar» el Ri-
tliunl, prieur de Laoî^sar, secrétaires. —
Pam, Ant. Estienne. m. tu:, xxv. ln-4.
Le Clergé fit supprimirr re \oluiar a>ant
I [ achiMcmcitl di* son iuipreMion ; uiuai ur
contient-il que ^^8 \tap's faiMiil en\ii-on la
nioilié du Procès-verliaJ dont rpotier mautu-
cril se trouve en douMe à In nil>liothr4(ue du
RtH d dais celle du Pautltéou.
Cet ui-4., conimeikccmeijt de la colk-ction
iBipriniiv des Provù-\erliaux li des Mi>
uiuirpsilt& Aviemltlér» du Dergé de Frauce,
est. [lar celle siqtprpuiou, détenu trit rare,
niusi que le .iui\ant, lutrtilleroiiit supprime.
•i. Avis de rAssembl(?e générale dw
Clei^ti de Frani:e à Messieurs lesArcht^
\ e:^ques el E\ eàques de ce Royauiop. —
Paris , Antoinf Estienne, .h dc. &xv.
Iii-i.
6. l)fîr.L\iiATio?r de r.\8éiemMéc du
Ck-ri?» sur les entreprise!» des Ri^jïuliers
eimlre 1 atilhorili^ Episrop:de — Pari$,
Antoine EaUmiie. m. xh\ \x\. In-i.
7. Recueil des RiMiiunlranee». Edita.
Reuleniens, ArrwU. Cuiilr.ila, Lhrpnrle-
mens el atitre:^ rh()s*»!* roneernant les af-
faire:» du Clei^ <le France ; illtistré
d'une Confi^rence sur chaque article des
Edils roncernjint les Inimuniti^iet Privi-
légies du Cler;(é; seconde édition, aug-
mentée jusqu'au 15 niai 1525. — Pum,
Ant. Estitnm. ». dc. txv. 3 vol. iii-ft
t> Recueil a pour ouletir Pierre P»»»»
«u ou PeyrÎMac. Tuii des a(;aili dn Clergé. |
La premuTe èditivu r»( de 1615. 8 vol. in-^.. \
chrz Rjrlier. qui. e» lâlfl. publia un wm- i
blablr ixTuei) en un \olunio in'8., aUiinl de '
I5fi7 à 160$, ri pnil-èlrc du nu>fnc ]'i*yn*ssac.
Il c*t protublc ipic pUMiriirs uulrc^ noIu- i
rae» uir k» al&ira du ClcTgt: , impnin<-s en i
MIS, root été par le même Auloine. j
8. Epistola Archit'piscoporum pro !
convocytJonp Concilioniin Provincî»- I
lium : ex coiisilio t^t deliberutfone Totius
Clpri Gîîllicani, LiiteliîrComilia huben- I
Us. — LnMiœ Parisiorum, .-In^onius
Stephanui. m. w:. xxv. In-i.
9. Dbcrbta Synodi Provincialis Bur-
. hdhit»* a Fninciftco Cardinali dp
■rdiâ Archiep. anno <624. — Ibid. m.
'xxv. In-H.
40. Pet»i BfTUiCoaniogniphi Pt pm-
fcssoris Re*;ii, Od(< ad Christianisïiimum
Rcgem Liidovicum xtii, [ïostrcporliiUim
navolipt lerreslri priiîlioèporduellioiii-
bus victoriaai, in sinu Aquilanico, anno
4625, 4o, 46eH7 Sopi. — Lutftia.An-
ionit$sStfphanus. u. uc. xxv. \n~i.
Par uni? faulr tvpn^rnpliupic avuu rtrangr,
le lilTP df celle piiK'f doiiuf la vi<'lf>iiT à ri'ux
qui furent lamcm ; il yarJv, uan pas^, nuis
à pentueUioniôui (Voir \'e\.. de ta Bibl. Ma-
cmne,}
I^ Caille, page DS, fait Antoine auteur
plèrDcnlauNoiivrau Tlicâlre du Monde
tty, iii-fol., par lui iniprtmé.
Maitlairr, pat;. SSfî, dit de ctit ouvrage :
QuoH nondum l'itU.
Je n'ai jamais vu ni IVdiiiou premipre de
ce UvTe, ni aucinie de.4 &ui\aiilM qu'aura pu
inpplcaiealer Atiloine, ni la demirrr donnée
par Bocoles , â Tari», lOTiO , et qui n'a pa&
mois* de C volumes in-fbt. Ces cditioii» dï-
venei d'un ouvrage fort peu cilime auront
nibi la dcAtrurtion qui attend le^ livres re-
eamnus inutiles, surtout quand ils soat vo-
lu noueux.
4 4- Xexophopttis Philosophi et im-
peratorà darissimi quic exstant Operîi
in duos lomosdivi&a.Oraïcomulloqiiain
antfî casUgatiiiF^ nltUi, adjprta eluiin ad
rnarninem sfripturjc diaTcpanliii. La-
tine t^rlia niiiip cnra piiicubrata, ui nova
fjcne loga prodpant. Nova insuper ap-
pendice ^\c illuâtrata, ul quam planis-
sima doincepà enim lertio sit fiitura.
0()ent Joanuii^ Lovindavii Ainolburni.
Afc^ssenintiEmilii Porti, Fr. Porli No-
ttf; ïit Index Gra^rus verborum phra-
siuMiqiie ob^-rvatu dignaruin. AddiluB
item infak'e alius Indox rerum et ver-
horum memorabilium. — Purisiis, Ty-
pis Rpgiis, apud Societatflm Grîpcarum
Kditiunum. — Et à ta fin: Excudebat
Antonias Stephtutus, T)'pograplius Ré-
git». M. Dc. xxv. i tompâ en 4 vol.
ÏD-fot.
Edition fort Irelle et faile avec .win. Il en
e\ùile dtn l'veniplaires en graud jiapier qui
MMil rarr« H. ac sont quelqtictois rraidusfoK.
cher.
M. Responsb a» inanifesle du Sieur
do Soubize, jar Ferrier. — Paris, An-
tùitiê EiUenne. m. dt. xxv. In-8.
13, HELATtow véritable de la prise de
risle de Ht* ; ensemble la deffaicle de
l 'iirmtV navalp du Sienr de S*jnbi2e, rap- ,
parlée au Roy, le 2.1 Seplembiv 462.j,
avpc la capitulation de ceux du fort de
S. Martin. — Ibid. m. dc. x\v. ln-8.
M.DC. XXVl-XXVIII.
4. Enic-r du Roy mir la poix, qu'il a
pieu à sa Majesté donner à spjî .«tubjets d0
la Heli^iun prétendue réformée. Publié
en Parlement le àixiftsme Auril mil six
cens viniït-six. — Paris, Claude Moreî,
P. Mettayer, et Antoine Estienne, Impri-
meura et Libraires ordinaires du Roy,
M. DC. XXVI. ln-8.
2. Edktt porU)nt altribulion de deux
deniers pour livre aux receveurs el
payeurs des renies ; atc. — Ibid. M. dc.
XXV!. ln-8.
s8
248
ANTONIUS STEPHANCS.
I62fi-S7<l8>».
3. Relation tle^ARens-G^fnéraux tlu
Clergé de France aux Arche vcsques/^
Evesqups riu Hoyaiimc, sur tout ce qui
s'est passé en l'Assemblfk' du Clergé te-
nue en 1fiî5 et Ifiîfi, avec pliisirurH au-
tres pièces concernant les tifTain^ du
Clergé pendant ledit tein[>s. — Paris,
Anl. tViVnne. m. d*:. xxvi. ln-8.
4. Cardin4L1UM,&c. de faraosis libellift
Sententitf — Parùm , Antmmts Ste-
phauus M. Dc. \\\i. ln-8.
Pmir le litre voypz ■ l'aniH'C iB26, tt" 1*''.
5. JoAXMS Murini Blesen^i», Congré-
gation is Oratorii Jesu (>hrisli presbytt^ri,
ExerritatJonuiii Ecclesiayticjinini libri
duo : de PulrijUTliarum ^ t'riin^tum ori-
gine, (le prinii? e<-clRsiasticts divisioni-
bus. & prinii^enin Censurarum in Cle-
ricos nalura & praxi. — iMletiœ npud
Ant. Stcphanurn. u. w:. xxvi. ln-4.
Almi'lovpm nH-iiiioiinc scpan'-tarut If dt-r-
nier traitr; niai» U' (oui ikù\ tHrc réuni, et
ne forme qu'un volume.
6. ÀPOi.or.iK du Sieur de Uiiteyre
(d'Auzolcs). — Paris, Antoiti^ Kstienne.
M. ne. XXVI. In-8.
7. Kdict général sur le rpglement de
la justice. — Paris, Anl. Estienne, P.
MdUiijer et Cl. Prévost, Imprimeurs or-
dinaires du Roy. H. DC. XXVII. In-8.
8. Vêtus Tp^^tnmentum sr. sectjndutn
LXX cum scholits Komanie nditirmiisol
Latina trîmsialioue, Slndiu H. Patris
Morinicun^re[;ationi!r;Onil«riiJesuC!iriîi-
ti Preshyleri. Novuni Testîimerituin ^r.
cum verriionc VulgaUi. — m. w;. xxviri.
3 vol. in-fol.
Lf ?f. Test, roniic \e tnû«èiii« volume.
II y a des c&rmiilaircft dont le» trois vo-
luTnf« poritiil sur Imips litrt's : n Apud Nico-
biim Biiiin, ^ ia Jamhiva Mth sigDÎs S. Clandii
tV HocniniASylvcstris; » d'aulne uni: n Apud
Oaudium Sonuium , vu larobwa Mib scuio
RaMlienti et Na\ i aiirfa . •• Il s'en trinive an
uom de Sel». Chap|»clr( ci À celui rl'Ant.
Eatieiuie. On a «u auMti qtieltpin lûre» du
loiiw ftcoond |iortanl " Apbd Cbndîmn Son-
uium cl IVTi-um BaiUet ; - mai* le nom Je
P. lUilU-t tUoit hilTc ■ la plume. A U fin de
cliacun dc> trois volumes on lit : " ParUiis,
npud Nicobum i^ioii, St-bosli-iniira Gha|ipc-
tft, Aiilutititm SIcpliaiiiiii) 'lyiu^'apliuTn
Kci^Miiin. cl Claittliiini Siiiiiiiiim. >•
Ol énoiirû semble prouver (pie l'éditiaita
été imprimt'e cIick Antoiut EAlicaiie.
Ou lrou%eaiKM des froutiâpiccs refaits au
nom (le Siméon Pi};i-l, Parisii&. 1641.
S-iu» avoir aripti» une ^aodc vakur pé-
euiii^in.', relie tnliliou est cslinién, i*! il y a
de^ i>\ciiipl.iiicâ en graïul papier. .Sun te.\ti*
gree a Lié adopté par ^YaUl>^ poiir la Poly-
glotte dc 1^.
CléuH-iit, d après lui M. f>ibdiu, ont quft<
U(iti tricherif de libraire lu rampn»»iou des
tjlreti nu nom dc Pigcl , ai)i|uel très It-^cn^-
in«*iit iU isiijipo^cnt riiiiriiuoii de tromper te
pidilir- vt dv faire rrnirt* à lV\i»lriicc d'iiw
iMiiiielle itbtioti. Ctite aeciuatiou, untveni
formulée, est pres<)uc toujonrs une injustice.
Ca^ très honuète et savant libraire avoit aelielé
beainonp tlVxeHipIaires de ce livre : ne bi-
loil-d piis qu'il mil ccnieatt sar sa marchaa-
Hise, Un simple rhangcmcnl de nom est une
optT.^tion de bbrairie tonvenl ni-ccssairc , cl
i|ui n'a rien de rt'préheiL&il))p quand elle
ii'esl pas .'ireoro|»agn«'e de ipirlque mnuoa-
gén* annonce , comme : riiitio nova , areu'
ntior, &c., &c.
M. DC. XXIX.
1. TnAirrÉ de l'Euchariâtie , par le
(ordinal Du Perron. — Paris, ArUoine
Eîitifnne. m. im:. xxix. In-fol.
^. L'ANcie.vi(E police de l'Eglise sur
l'administration de l'Eucharistie , pur
Messire Gabriel de l'Aubespine, Evesqiip
d'Orléans. — Paris, Antoim Estimne.
M. ih;. xxix. ln-8.
3. AcTA Rothomogensis Ecclesiœ a
Francisco (Harla?o) Archiepiàcopo publi-
ci\Ui. — Ibid. H. Dt. xxix. In-S.
i. Francisai [Horhei) Roihomappnsis
airhiepiscopiad Url»anmn V'Hl. Epistola.
lûffl. .\NTONIUS STEPilANUS.
Î4f
I
h'Sy apud j4n(c>fiium Stephanum.
M. uc. x\ix. ln-4.
A b Un es\ njoiilé uu al^rè^t' (Siunma) «lu
privilège acTonIc n Auloinc FMininu le A
Mplitiibre 16i5. pour l'impres&ioii Ui* loiu
lu vilitâ t;l oriloiiiuinrcSf et Je tout re qui
tioit h Cltu-^i- dp France.
-%. Aristotei.is Opcruni lomi duo,
grîL'rC et latine : votorum iic recenlioruin
Inlerpreliini, iil Adr Turnebi, 1s. C.a«tu-
lioni, Julii (*iicii, studio ememJatiiïàiiiii ;
Cura Gutietini Ou Val. Pont<*iiiiini , Phi-
ItH^uphiic GniHTS ^ Uilina; in i'uri-t.
^Acaûeuia prorts^jrîî^ Itugii , & Doctoris
ici, qui addidit anaULirainda^trins
pf^nriputctica^ syno|iditi,<-'um multisuliiâ.
Lutelûv, Typis Regiis, apiid SocieUi-
U*m Grœcarunieditionum. u. oc. xxix.
Kt à la fin : Ex Typo};rdphia Antonii
Stephani , Typographi Regii. î vol.
in-fol.
Cupie d'uuc prccrdcate édition de 1619 ,
de tn^e 111 diriix vul. in-ful., fiiili* cumme
nllf-d puur la Sociiiô dr* Kdilious (îiit-
t|UKi, ainti (|u*uiip troi&ii'iur de 1G39. !>«
cbacuue il y a âfà «•Jtemplaires eu ^Tand pa-
pier. Je ne vois le nom d'Autoint- qu'à crlle-
d. mais il est prultâMi* tpi'i! n'a pa« été
lout-à-fnit etran{;i-r â rimprouioii des deux
éditiotu de 1619 H\r<X).
G. Les divers)*-» Œuvres dp rillus-
tnssiuie, &c. Canlinul Du Pi'rroii, coii-
ti'riant plusieurs Livms, Confi^rences ,
Dûicours, Harangues, Lettres d'Estat et
autres, Tradut lions , Poésies . et Trail-
U*2, tant d'I'^Ioiiuence, PhiloïWpliie , que
Théologie, non cucor veus ny publiez.
En&emi>le lou^ s^s egcritâ mis au jour
de son \ivaut, et maintenant rtMiiipri-
mez sur ses cxcmplairet» laissez revous,
corrigez et augmentez de i^ niuin. Se-
conde édition augmentée. — Paris, Jn-
ioine EstifiiTiey Irnjiriineur onlinaire du
Roy, ri l'iilivii'r de RoIxtI Estienne.
M. i>r. XXIX. lu-fol.
Daiu vrs D'iversrs Œuvre* ue Miit pobl
rucnpriM>s le» 1044 paRe» du Traité »h- I'Eu-
fbarutir.
I^ ^aode réputation d'hnmmf dV*tal doDt
le (Mirdirial Du IViron a joui tant i|u'il n
vécu , aura fait regarder ce Ki'cueil coamie
nécessaire à toute ^aude ItiLliathéque. i-l
proraptcmcDl amené If bcisniti d'une réim-
prruion. Je pruse tiuaujourd'liiù le* lioutK;
({tiers dV-|i)der ont \\t niuiirir tn plupart de cet
exeniplairea.
7. La Saincte Gt-ogctiphie , c'est à
dire , exacte Deseription de la terre , et
véritable Démonstration du Paradis ter-
n'stre , depuis la création du Monde
justjues àpréîR'nt, par Jaequesd'Auzoles
Lai^yrt». — Varis, |Kir Antoine E»tientie
luiprimeiir oi-dinnire du Roy, à l'Olivier
de Robert Eslieune. m. i>c. xxix. lu-fol
En grand i>ap. à la Biid. du Hoî.
8, Fkrrocukl. Le Jardin de lu No-
blesse françoise . tians ((npiel ste peut
cueillir leur intinicre de vestemont. —
Le Théâtre de France, coutetiaul lu dl-
v(ïr>>ilédeâ habits. selon Li qualilédeâiwr-
sonnes. — Pans, Ibid. u. oc. xxix. ln-4
lli^ueil de Tigurc gravéeti par A. Bouo
lïrio(, \'c.
Ainsi meuliomié au Mauoel, m , 4t.
ï). Lks Ambaftsadps et négociation»
de riltustrissimc, <Ve. Cardinal Du Per-
ron. Troisième édition augmentée. —
Ibid. «. D<:. x\ix. ïn-fol.
La pn-mirrc i*&t de 16£1, iu-fol. Il y eti a
ime d<^ 1633 , 2 vul. '\x\-9,. , et ritlîn une iM.,
Paris, Hénarill, aiuui de 1633.
Je ne connoiii pan d'édiliou pMlérKiire à
relie de 1^3, el i{ui stroit la lecotide. Sur le
Catat. d'Alilietille, n" 5808. sont les Ambassn-
drjt, Àc., 1626, iu-fol. ; main c'e^t une faute
iT|»ogrBpliique, l'exemplaire, que j'ai \éri-
fié, porte 1689.
40. Oboomnawce du Roy Louis XiU
touchant les plaintes et doléances faites
sur plusieurs abus |Kir !m Députez des
Eâtutâ de son Royaume, convofjuez et
assemblez dans la ville de Paris, l'an
*61.i t'I I6i5, et sur les Avis donnez â
sa Majesté (ïar les Assemblées des Nu-
tables tenues a Rouen, en l'an H)«7. et
e
m
I
o. RF.r.i.EMRNT (lue le Hoy veut cslre
ubseni' pour la subïiislanw do ses ar-
mées. — Paris, Antoine Entienne, &c.
H. DC. XLIll. ln-4.
B. S. DiONrsu Areopagilœ Opéra oni-
oîa, cuni si^holiis S. Maxiini . et Parn-
phnui Pachyincne , cuni Ualthassaris
Corderii : gr el lat. — Pan'aiis, Ant.
Slepltanus. m. dc. xliv. 2 vol. in-fol.
Eu sucirté a\vc Dcnû Ikchct.
7. Lks CEuvree do Pierre , Cardinal
de Berulle, inslitutcur & premier supé-
rieur gt^nordl de la Congréii^lion de
l'Oratoire de Jesus-Clirist ; par les
soins de François Bourjîoini; , siiptW
rieur gt^néral de la nM^neCougrégatioii,
— Paris, Ant. Efitimue, pn»n»ier Impri-
meur el lil>n)ire ordinaire du Roy . el
Sebastien Unrè , nian^liand liliraire, rue
S.Jacques, a l'enseigne du Vfpur bon.
M. DC. XLiv. In-fol.
Huns liiioilrt-MeniH-i^ne drCoHwn, dont
il at(Ht «■poiist- la niK'. C'tiuit uu c<eur nu
milieu duqui'l êltiil l'inuigt' dr l'Enfant Jcmis,
avKC les ruott £go tiormio , et eormeum vi-
giiatj Vaut. 5, i.
Eu août 1662, il di*\iiit tnipHineur onli-
■taire du Roi , pur la dùni&iioii de Httiri , Gis
d'Antoine.
H. Edict du Roy sur In [Kicification
doB troubles de ce Royiiume, donné à
Nunto» au mois d'avril i 598. VériCé en
Parlement le 25 Février 1599. Avec le»
articles particuliers. Ensendtle autres
Edicls el Déclarations des Roy» Henn
IV, Louis XIII et Louis XIV, u présent
régnant , donnés en conséquence d'ice-
luy. — Par»fi, par Ant. Estienne , pre-
mier Intprimeur el libraire ordinaire du
Roy. Se vendent chez Olivier des Va-
renttes, rue St. Jacques , au Vase d'Or.
M. D€. XMV. ln-8.
ime rétinprcsfiou clucèlHirr «"t hîmdnKitil Kdit
dc !VaoIi!S (15tt8), .liusî i|iir ili'» 1-jlil.s. Dtrlâra-
tion5,Àc..<iiiiU'roiitirntiTeiii,|ioijrnntftcmlilci
iiu rwiH'il «if |iîffcs piiblirès M'i>an'iiicni, et
rt-utiit-» juinmri^otontriudividurllc, ùim tîtrr,
f ( a sa nuilv, un ffuillH de table, on lisle énon-
ciativc dc tuule« Im pièces , ne foisoil counciltrc
i]Up c'est unt* publiratiou en recueil , him
que chaque pièce ait sou hlrc, el soit rliillir^
Hiuirénieul. La deniiérr, à l'iKTasinii dr la-
«{uelk* ce «olume fut unpriuié , e^l une iW-cla-
ration R<i>u)e du 8 juilleT 10(3, deiiviénK
moU du règne de reaifanl-noi dout l'Af^e niAr
et plu» encofc la %i*'iil€*»e dévoient être li
funcstcâ aux ProlcsIauLi, Elle purle eu Intr
labeur confirmation tiou«elle de l'i-jlil de
1SM et de toutes m:» Miite«. En im|irinMnt
cetïe manifesta don Itientaeianlt* d'une ^cl-
lèilè dr liili-mule protection, on aura jugr de
Uniiie admiiiLsIrntiou de raccomi^ogucr de
ei-s di\erM-j (tiétt-s aulèrieurex dont dk aem-
liliMt èlre la Royale i;araulje. Cliacuiie i ta
date avait indiibitablenieiil eu son imprcMOQ
olficiellc, mais deux M'ulemcut sont mention-
nee<i dantee^ Annules typogrnphiques, rime
cliei Pâtisson , en 1599 , I autre en 1926, che>
Antoine Ë5tt4*uiie.
Kiire el preMjue inconnu, ce \aluine, sMca
]H-n reclierrlie , d est vrai, u'e&l mniliminé
m [lar Alnieluveeu, uî jiar Mailtaire. (>ii ne
le voit point dau.f la RiM. hûluriqnc dc la
France, ni daiu le Catalogue l'aleotH-'i. Je ne
je u-ouve qu'à la BibL Royale, el daiu le»
additiauft maniuicnlej de mon Cataloigue dc
De Thou : luusj pour suppléer a rabsraoe
d'indication des é<litir>iis preniieres dont yïu-
sieurs sont fieui-ètre irAiiluuie, el malgré 1'^
tendue de la iransciiptiou . je rêirapriim* ici
litléralemcnt le feuillet routenaut la table da
toulw le» piécci du Recueil : on y voit qtteUe
n ntn breuM? M-rtc d'actes de rautoritc et voloitlè
royales avoimt en moiiu dc cinquante an-
uccf courirmê ce« prome^K», ce don d*uue
ni pnulenle deini-tolénuiee de laquelle «en
ce même tnnp^ on n-eoDinie.w;a à s'écarter^
el tpi'tine dit-isioti, auMÎ iuju.Me que malbcu-
\ntw pour la Krauce. vint, le il oelubn: 160S,
■neltie loul-â-foil au ikeant.
1^ Hibl. hUt. de la France , Suppl. du
tome II, indique une réimprewiuu in-fl..
de 1659.
HENRY IV.
1S44-4A.
ANTONIUS STKPHANUS.
123
i la in
Tcrific vn Parirmnit k 25 fct-riertSOd. Arec
arlictt^ purliculirrs.
Hrdnraliori ruuletiaiil Reglcmenl pour iu-
fïi iliTiiirr n-ssorl Iw |ir(K'i'!« ile> l'-ni.v *•(
rCAls fails .n vrtix ili- b irliginn itK'-teiiiine
irmt^ , Jti i s(r|ilenibre 1602. Hegiatrpr
6 dcsditA moù & an.
LOUYS xni.
DecbratiuD du Koy Louy» XIII â &nit
liiriu'Qintt À la couronne, cunnnniiljft.-' dn
licU d*r paciûr^iliuii, du 2 May 1810, vciiSfic
3 juin eu «uiuaiit.
DfTlanilion an Mtirt drs aMomblrcs d'uu-
liu lie nti\ lie Ifl n*lij;iijn prclt-mUit* rt'fyr-
mor. ruiirirniatitv dv l'i-Àtirl df N;inlfs, Ac..
du 24 Avril 1612, rt'gislree li* 35 M.iy aiidil an.
Autre Drt-laraiion du II Juillet \CAi rc-
lr«* le 8 Aoit>l ru AUtuanl ctinJirnuti%c de
Ta priTcdi*iilc.
IkH-bralion du 15 livrcmlirr KHÏ vrriGce
le i Janvier lfil3 coiiTuituitivr de l'Edicrt d«
Nantes, &c.
^^L r>ecbration de b maioritf du Kny, ron-
^^■enunt conrirmaliiin de» KdirtA de pa(-iri<.3li(in
^^hi l''''Oclobre 16U. Vei-ifire leSeu snniant.
Anlre Dedaralion du 13 mars 1G15. Kcgis-
trpc' le dernier Auril au dit un, ronfinnati^e
de-sdils Fulicls, &c.
Autre Dpclnrutiou dn 10 Naoetnlire 1615.
Pulilii-i' II- 1 diTi>mltre andil nu , ronlf-'oanl
p;imlle cnnrirroaliiiu.
Fdin dounL* à Ulni&aii mou de May 1f;i6.
Vérifié le 13 juin audit an, afi|)eHr comtnu-
Donenl Traitté de Loudun, auec les Articles
tiadien.
Déclaration du ÏO Juillet 16|fi. Vérifiée le
Aou.<U audit on , faite rti eouMiiueiiee de
•acre.
Anlrc Decbralioii pnrtanl miifinnalian du
tu'; do Ijiuduu, du dernier M'|ilenil>re
16. Vtrifi*w le iS Ocliibre eu suiuoul.
du mots de May I6!7. Vérifiée le 12
roois cl ans. Confirmatiiie destfiu
&r., l'aile apre.i b mort du Marcschal
d'Ancre.
Autre du « May ltil8. Vérifiée le SS en
Miiuant. niulre l'Asseinldee qui M- dntoit te-
nir en Hearu.
Autre du i^ May 1G19 vérifiée le S Juillet
au dit an , iastilValiuc des Assemidecs de
Gutel-ialotix, ÂiOrtliéseu He-ini.
Autre du â6 Feurier IfâO. Publiée le X7 ea
siiiiianl. contre rAuemblee de Loiidim, coii-
fimutine iktdits Edtets.
Antre dti 24 AunI 1621 vérifiée le 27 en
&uiuai)l riinfinnali\e de:^iliL*i Editis.
Anti-e du 27 May 1621 \erifiee le 7 Jain
en Muuant , eoiitrr l'Asâcmblee de Ia Ro-
chelle, contenant eonftruialion tle^liU K^lieh.
Autre du 15 Juillet I62S. Vérifiée le 5 Aoust
en suiiutnt , contenant pan'ille couflrmatiun.
Antre du 19 Octobre 1622 pubUee le 21
Novembre au dit au, contenant pareille con-
rirmnlion. après lu paix de Mont)>ellier.
Autre du Î7 Auril lfi23 verifiei* le 22 May
au dît ai), pour les rfMnmi&saires qui nullle-
roilt es a.Memble<-s de ceiu de ta rebi;imi pré-
tendue Reformée.
Aulrt" du 10 "Novembre lfi2.1. Vérifiée le 37
en suttaut, contenant confirmation des EdJcts
lie parifiraliou.
Autre du 25 Janvier iG25.VcnGc« le 18
Feurier au dit an, eunlre le sieur de Soubizc,
coulcnaut eonfirniatJun des Edîrls de paci-
fication.
Edict de paix du mois de Man 1696. Pu-
blic le 6 Auril au dit au . contenant confir-
mation des Edictitde fuicification.
Deelaratiou du Hoy sur le» Euocalions, &
Irtleriieniious eu b chambre de l'Edict du
22 Juillel 1627. Vérifiée le 2Aous( en suivant.
Autre eriiiln- \v sieur de Suubizt*, et h-s
^Viif;lots. rnidinnaliiie di-sriits lùlicls du 5
Aoiist 1627. Vérifiée le 12 desiUt-i mciit et ait.
Autre du i6 dccendire 1C2M. ViTÎfiw le 15
Janvier \Hi!i confirniati\e desdits Edkts
après b prise de La Kocbelle.
Ëdicl du mois de juillet 1629. Vérifié Ir
27 AoiHt au dit m, confirmant les dits lîdicts
de Pacification, Aie., après b réduction du
Languedoc, &c.
LOUIS XIV.
beclaraliou du Koy l.ouis XIV, a son
adueoemcnt à b couronue, confirmatiue des
dits Edicts de Pacification, du 8 juillet 164S.
Vérifiée te 3 aoust an dit an.
M. DC. XLV.-XLVn.
I
p
2. Edict du Roy, portant création dm
oOîC'ee qualrienntiux. — v. dc. xlv. In-i.
3. PiiiLiPi'i Cittiorii Exercitationw
qualuur. Oesumpla* ex pluribu» aliis,
quas dixit specUmto nobili cœtu, ab
anno 1641- sdHnminH6-il. lnf>i»aiitom
Acndi'mif^(> dispuUtlurî'uper arKiimcnti:*,
qiia; versa i«i{;ellîi indic^ihit ; c\ quibtis
disccro eél qiio jMictn DibJiolhtva Gr«H*a
insiiluonda sit, ol^luditi iilenirumdirî-
Kooda. — Parisiis, apud Antonium Ste-
phanam. m. dc. \u\n. Id-4.
i. Epir.iiARUATA Mu»urum in Corolum
PrinrijMîin. — Parisiis, apud Antonium
5fcpibununi Archi-lypographuni Kpgiiitii.
M. [>c. XLVii. In-ful-
6. Lb vray Trésor de l'Histoire Saincl<>.
sur le Imnsparl miraculeux dc l'imaiïpdr^
Nostre-Onme de Liesse. Nouvellement
composé piir quutre Pèlerins faisant eo
8ainct vojagc en Tannée 1644. En vers
fnin(;ois [wr Monsieur de S. Pères. Ti*e-
sorier do la (îendarmeric Royale. En-
semble une Instrurtion ths satuUiire aux
voyageurs avec une description particu-
lière dc tous les lieux de leur voyage :
enrichy de plusieurs belles fijiures en
laille-douce de Stella. — Paris. Antoine
Esticnne, Imprimeur flc libraire onlinaire
du Roy, au r,oUei;e Royal : et se vendent
riiez la frii/Vv Dfnis Alorean. \ chez In
veufveJean Le Bouc. Achevé d'imprimer
pour la première fois le dernier jour de
Febvrier. h. vc. xlvh. In-4.
M. DC. XLVIll-XLlX.
1 . Recueil (îe divers porlmirts des
prini'iïiales Dames de la Porte du (jmnd
Turc, pbr Georne de la Cbappelle, i>ain-
Iredela ville dc (^en. — ParUy Antoine
Estiennê..%, dc. xlviii. In-fol.
2. Déclaration dn Roj% en faveur de
tous les officiers de fmanc^, pour les Par-
ties-casuelles. — Paris^ Ant. Estiemu,
M. DC. XLVIII. In-4.
3. Manasses. Traf!odie dô P. Gcffrier,
décbée à Monseigneur le Prince dcConty.
— A Paris, par Ant. Ejttiennt, preinier
Imprimeur et libraire ordinaire du Roy,
au Otllege Royal, devant l'Eglise de S.
Bcnoisl. M. uc. xLix. ïn-fol.
Ni In BihI. du Tht^Alrc franco», ni W Dic-
lioiinairp cleA .\itoiivmi*4, ne donnent à coo-
iioîtrc le nom db l'Anleiir de cellr Tragédie.
4. Le:? Triomphes de Louis le Just^,
Xlll du nom, Ruy de Franœ et d« Na-
varre. Contenant U>s plus grandes ac-
lious uti Sa Maj(%té s'est trouvée en
personne, représentées en figures^Enig-
matique^s exposées pr un PoëmeHeroï-
que[latin)deCharlesBey5,&accompa^é
rie vers François sous chaque Figure,
composez piir P. de (Corneille, avec les
fujrtraicts des Rois, princes et Généraux
d'armées qui ont assisté ou ser\i ce bel-
liqueux Loui-i le Juste combattant; et
leurs Devises uu Expositions en forme
d'Eloges, (lar Henry Estienne, Ecuycr,
Sieur des Fossez. Poète et interprète du
Roy es Langues Grecque et Latine. En-
semble le Plan des Villes, Sièges et Ba-
tailles ; avec un Abrégé de la vie do c»
t;rdnd Monarque; par René Barr)-, Con-
seiller du Rny , & llistoriographe de Sa
Majesté. Lt» tout taiduit par le R. P. Ni-
colai, DuclHir on Sorbonne de la Faculté!
de l*aris, el premier Reî;cnt du ^nind
Couvent des .lacobins.Ouvnt^e entrepris
ft tini par Jean Valdor, Liej;eois, Odco-
graphe du Roy. Le tout par commande-
ment de leurs Majesté/.. — A Paris, en
l'Imprimerie Royale, [wr vinïof'n* £«-
tienne, premier Imprimeur et libraire
ordinaire du Roy. m. dc. xux. lo-foL
fis-
Aprrs ce titre eu fmnrois viml, snr le
feuillet Auivnnl, cet autre titre en Utin, non
moins rraphfltiqtie et fliiTiu.
Lunovici Jusli tertii decimi nuncu-
pati, Gallis simul ctNavarrse Cbristia-
ANTONIUS STEPMANUS.
•
nififiimi Re^ÏH, Triumphaliu nionuinenUi.
Quibus egrogia maxime qua? per seipsam
tam AugiisUi M.'lj('^tas facinora [>erogit,
ooDliaenlur. i£ui(£mahcis, Icunibuïi ne
figuris expressa, qua» Heroico CarmiDC
Caroluâ Beys pxplicavit. -^ Ciallins qiro-
que versibuâ ad sin^'ulai^ n^uras Ico-
nasqiifî * afli\is V. (iornelius «"orsim
cxomavit. Cum Icunibus etiain Requin ,
Principum, Slralc^oruni, qui bdlicosu
illi Régi LikJoyJco JiHto pu;;nanti, vel
ubsequium, vel auxilium pra.*stilcrunt ;
Adjectiâ ad bas eorum pfligios ac steni-
niûla, fiin^ulunim Symbolis & Elo^iis
per Hpnrioiim Steplianum Kquitem, Ihis-
sanmi Doininuni, ôr.Tcanim Latiitanini-
que lileruruni Intcipreleiii, ac PoeUiui
Hegium, eiplicalis. A(Tessitel Urhium,
obeidionum ac pro^liorum, tain Au>;usli
monarchie Rcgno gt^lorum, riint roin-
pendiariâ vilffi îIIiuî; narratioue, des-
criptju; quam liiâturico stylo Renalus
Barry, Oonsiliariuâ & HUtoriugnqihu:;
Rcgiuâ, deliueavil ac expres.'^it : Oniiiia
porrô ex Gallico Idioniale in latinuin
convertit F. Jirannes Nicolai SacraiTlieo-
l0|;iaj in facullate Pari^ioïiîii Dwtor, &
flpiHl Frnires praedicaLnrf^s in Conventii
S. JacobiprimanusPri>fessur.O|Mis, cura
Joannis Valdorii Leodieiisrs propalatiun,
Busc^ptiim ac perFectum ; accedente ad
pncfata omnia elaboranda Rej;io jussu.
— Luteliœ, Parisiorum, in Re^iâ ipivl Ty-
po^niplud per Ankmiujn Slephanutn ,
Prolo-Typograpluiin Ke<ïiuini & C.bris-
ttaniâsimi Ht'};is Bibluxôiimai ordina-
rium. H. Dc. xlix. Giaad in-fcil. Fi}?.
Je n*aj jamais mi ailleurs ce mol Bihl'm-
cômus : il H*cst point dons Dticange.
* leontu, pour IcontM, se m traiire i]a'uu«
fois, lUnft Plin«i I. Ssut ; <*t cette lorO'D rvgatdéc
comoK (aativc, rit ilepais Ionfr-t«m|u rrm|ilBc^f
par l'adjectif Iconieai. ir n'Aron \t»i le ilruit
do >ab»tilurr IroneM»a ileini-batbaritoir Iconat
qui BU i«>fe n'cit penl-itr« U ^a'uac inxilTer-
lancr fy|>ogra|thi^ur.
lîrrrcx^iffco;, (fui cufat t^uos (palefrcniia-).
Autotue aura cru pouvoir Irè» iDinniublf-
mwil forcer |>ar utialutjiu k- mot B'tbliur.timut^
ijui curtit lieras, (H>ur (Urtî plu» scienUfiiiup-
innit Libraire, mat» il ne proît pas qiw
l'iHvcnlioii ojl cic Ironvêc hnirmiM, car nul
lie l'« aijupicc ; i-l hii-mOnie, danô sa plus
prochiiiiiectiilirm, .s\*st loul simplcmait qua-
lifiê Libraire n/tfinnirr tiu Hûy.
5. Declaiutio» du Roy («mr faire
cesser les moiivomens, Rt resLiihlir lo re-
pos et la tranqiiillil/^ en son Royaume. —
Varis, Antoine EsUenne, Séhasticn Cra-
fwoi*!/, Pierre Hocokt , Anl . Vifrd, /oi/ih»
Dugtist, Pierre le Petit, m. dc. xlix. In-8.
6. La même. — Ibid. h. dc. XLix.In-4.
7. Procès Verbaux des deux confé-
rences. i.A Ruel, Février le dernier, ii.
AS. Germain, 16 de Mars. (întrelesDé-
puiez du Roy et le» Députez du Parle-
ment et des autres Compagnies. — Paris^
chez W mêmes, m. dc. xux. In-tl. •
M. DC. LI.-LXrV.
4. REUONSTnA.vcË de François Pau-
mier, faitt^au Roy, surlepou\oiretaii-
thariti^ que Sa Majesté a àur le temporel^
de lEatat cccifeiastique, pour lesoula-
l^ement de tous ses autre?* ïiubjoLs, tant
nobles que du Tierà-Eslat.— Pari», Ant.
Esiienne, premier bnprimeur et libraire
ordinaire du Ruy.xi. dc. u. In-i.
Je ]irri«ls m; titre sur un oeniplflire qui
rsl i-ulif mvs maiiu. el qui m- fait point
iiif^iitioii dp la Rtponjur, inipriniéc plus tarU
e! aêparèineul. MaiMair»', Ami. 111, MH, d'a-
près Le Long et le (iital. I,e iHlier, rninîl
1« deux pii-cci soiw u» .wul iiitituk*, cv qui |
ne peut ^irc t* wri que .t'i) a i^è but de roc^
deux eoicinblc, el diuu celte mi^mc année,
une réimpreuion qui n*esl guère probnblt- .
3. Response de François Pauinier à
la Lettre circulaire et Censure de MM.
dc la dernierv* .V^seniblt^.' générale du
Oer^^é de France, pour la jiBte défensp
dos droits du Roy, otdr laReinoiislraiicc
rHicU* (>ar ledicl Paumii-r à Sa MhjoaIi^ .
Ac — Paris, AnI. Estifntie. u. w.. i.i.
In-4.
3. Dbclaiution riii Roy, contonanl
la levée des MixilHailions. porï(ys p»r
l'Arrosl de Vérificaiion de l'Amniaii*» nc-
conliV |iar Sa Majestâ. Donniîti à Mantes
le 26 sopUMiibro 1652. — Paris, Antoine
Estit*tme, proniior Imprimeur fl lilirairc
ordinaire de Sa Majesté, m. or.. i.ii. ïn-4.
4. Drciaration du Roy» porUinl di-
ininuLion dos droicts allribmv. aux Re-
ceveurs des Consi};nations, et Héf^lenient
pour ta [onction de leurs duirj;es. Avec
l'Arrest de vi^riHoalion. — Paris, Ant.
Estientte. u. nn. tti. ln-4.
5. Declahaïion du Roy. fWMir la levéu
et liqMid:ilion des riroicts de Francs-
fiefs, nouveaux Arqui-slt? et Aniorllsse-
mens. Pu \\i\ litWvmhre (fi*i2. Vérifii-i?
en Parlemenr, rliambre des Comptes.
&c. — Paris, Ahtniiie EsUeinw, &<■. au
Collepe Royal, m. D€. lui. In-4.
fi. Hkcdeil des Edicts et DêcIartilioiiF
di^ Roys Henry IV, Ixiuis XIII et Louis
XIV sur la paeiiiration des (rouble* de
ce Royiunne. — Ibid. m. ne. lix. ln-8.
Vojer. ci-dc&su», pa{*p iK, à l'année ifM.
7. Décisions Royales sur les prinri-
[ttiies difficultés de l'Edicl de Nanties. —
Ibid. M. w:. Li\. In-S.
H. THiiTTK de paix enlro les Couron-
nes de France et d*Espïïi;ne , conclu cl
signi^ pin- Mnnseiîîneur le Otrdinal Ma-
zarin, et le Seigneur Iton ï-nuis îllendez
de Hfiro, Plénipotentiaires de leurs Ma-
jesté» Trè&-Clu-eslienne et Catholique.
en risie dite des Fîiisims, en la rivière
de DidassoH, aux confins des Pyrén(Vs ,
lo si'pliesme novembre 1659. —A Pa-
ris, p;ir les Imprimeurs et libraires or-
dinairesdu Roy. a. ne. lx. In-fol , in-(
et in-12
Lr privilège iDdique Wa nom» de ces Im-
primeurs : A. Ffetirtinr. S. Cnimuii>y, P. Hi>-
colct, P. Ix PHit vX J. Langlou, Beul.1 Im-
prifiicurs ordinaire» dr Sa Mnjeslé.
U- mAntP lrait(* a ('lé imprfinè en btin m
Paris, fil rritc nniiif ICttiO, snris doiilr |>ar le»
In^lm'-.4 Ini(>riRicur« du Koi, dii nombre dev
qtit>ls Antoine fui toujoun. drpuu rannêp
ïi. NonvKvr Thedtrodu Monde, con-
Lon. les estais, les empires, ruyaumee et
principaulez. repti''Si^nt<>z par Tordroet
véritiïbledescrip. des pays, mœurs des
piMiples, forces, richesjies, pouverne-
mens. ri'ligions; illustré de l'institution
il(» tfMites les religions el l'origine de tous
les ordres militaires et d(» chevalerie, par
D. V. T. (Ditvityl, avec un nouvemi Sujw
ph-mont conten. Pt-stal pnWnt de Ijt
Franw' depuis la rëj^encede la três-ati-
gfisle Anne d'Antriche . \c. — Paris,
pnr {i\ Comjm^iie des Marchands Li-
liraii'cs et Imprimeure associés, m. dc.
LXi. l vol. in-fol.
La di-Jiract' à h RciDolSlênî esl lignée
Aiiloiuc ICslicnnp Pivmier Iniprironir H ij.
hrairt' ordiiinire du Kov. Le prîvilè^ ciii nu
son nom. t^* premier vol. a 732 pagrs. rtic
ir \HiJe73Aà 1618. a\rc un M!<cond tilr«. A
In |)ii[;i' 1611 cait iim- iiulicir &ur 1» Impri>
mt'iirs du Roi, ilaiis Liipicllr on Imave iiud'-
tpii'Mti'laiUMir lf<> l-lMii-tini*.
Cv vuliimiuL-ux Qtixrage fsl tout aiilrrqiie
La Detcfiplion génènile du Mondr, auniti-
lation <\f Ta^xne nature, bïru plus volunii-
tinisi:' riM'nn'. dont iinciilition Iré» augaen-
liV »riniil dV'lif iniprimiV à Trovra . e|
pulilit-f ii Paris mi IfifiO, fi vol, ïn-folio. L'mi
l'I Taulit; siml dniini'S souii \v nom tlv 1*. Da-
^ ily <|)ii <fpi-iidaiit n'en a\oit niil 4|tir l'ébau-
rlif nii raiicvas vu un volume ia-i, duni li-
coiiit;nti primitif a Uni par diA|>aroJlrf des
(•dirions non%(-lle,% toujour!) rhaiigt-OA, el iur-
ttiiil augmcnti-cs,
Lr- Sii|iplcmeul de r«'lui<i est altribiH^ â
Aulniiir Kslirttikc ipij induhil:d>lfDl(ml fut
ausâi 1 Imphmi'iii- de rv lim- [lar Itii dédie A
la RdmvMrrr^ i>l duipiel tJ a^nil |i«riH)tmH-
lecnent obttuu k priviUr^e.
10. nEc.iARVTioN du marquis de In
Kuenle a S;i Majesté, de la piut du Roy
1662-64.
ANTONIUS STEPHANUS.
227
Catholique, &c. — Paris^ Ant. EsUenne,
premier Imprimeur du Roy. h. dc. lxii.
In-4.
44 . Histoire romaine, depuis le com-
mencement de l*empire d'Auguste, jus-
ques à ccluy de Constantin ie Grand ;
avec TEpitome de Florus, depuis la fon-
dation deRomejusquesàla fin de l'em-
pire d'Auguste; par le R. P. en Dieu
F. N. CoefTeteau, E. de Dardanie, nom-
mé à l'Evesché de Marseille. Dernière
édition, reveuë, corrigée et augmentée
avant la mort de TAuteur. — Paris, ^nf.
Estienne^ premier Imprimeur et libraire
ordinaire de Sa Majesté, m. dc. xxiii.
In-fol.
1 2. Arrest du Conseil d'Estat du Roy,
E^u sujet de la réception de ses sujets de
la religion prétendue réformée aux Arts
et Mesliers , e.\traict des Registres du
Conseil d'Estat. 2^ de Juillet. — Paris ,
chez Ant. Estienne^ premier Imprimeur
du Rov. M. DC. LXiv. In-i.
HENIUCUS IV. HENRICUS V.
" Henn 111, fils de RoU-rt II, fut Tréiorier |
des Bàliinmls Aw R«>i, vX jamais lRt|irinieui 1
ni lihinitv-, \Ws vmfuiiH'-'iinit «linjiit, livsdtUA I
prrtniï-ti 111* prUM"ul fl|i[iiirli'inr qu'n Hi'iiri
IV, iJIs de ce même Ht'iui III, Kl aiilcur d«:
l'Art des D<'vtM's pnr lui publiï' en l&iS, lurs-
i|uc, devenu Ittlpqirrte du Roi. avi-c te lîlre
d'Ectiyer^ il rloit pro^wlilt-nipiil lior.« d*: luul
commiTcc ou fahriciitiuu hililiopoliiiue, ex-
ocpli' pirtil-t^tT* l'iraprimrrii" t'iilicmêrc. t|iii
à PouloiM- eu Î63y. ti à GaiUnu eu KUfl. iiii-
prima pour Krnn(;ois de Harlay, arclic^Mjue
de Kduku, vi\ in-4 cl iit-8 le Catt'cliî&uif deA
r.otitniv('i-M-!> dont ce Prélat cluil l'atiiPiir.
Les Ji'ux édilious de^ E^uiis de Moalaignc
Miit du llk d'Aiiloiite, llfiiri V, qui. dés
1652, prend sur et livre le tilre d'Imprimeitr
du Rni, a>ai)l ohleuii la surM\auec de son
pen* ovaut InpirI <.'t*|iriidniit d mourut des
1661, et jieiil-itHre sauj. avuir jainni^ perMtn-
ttellrineiit |io!isi''«li* «-*[ i*_v|doilt'* urr rlulilivsf-
raent l)'[Kip-a[>hi(fue , ses driiiv éditions dt?
Muulaî^e éiaut tiiiti''* \.-\\ '•uciété ii%tT ptu-
sjeur* liljraires ou Inipriniour.'i Je Paris.
Ou Dc ijKiurruil le eiiusi Ji'Ter eutninr !Xs^\\\
v\\: riniprimeiir tlePoului^eet Je fiinlluii, sait
en réalité, soil tninime pr^le-unni [mur Au-
loîne «ou père. Né eu 15.11. it u'â>oil en 10119
i|ue S aiLs, âge auquel l'une ou l'autre de ce»
Cantliioaisuiu eiU élé iin|iQasiMe.
Quntil il Henri, sieur Dit IVelIc. auK^ur du
volume inipniné ihr/. BaTljiii, en l(ï73, je ne
vois (tas cumineut il puurroil app^'tenir à
l'une des driii lirniirlieiii de b faniille des
Estietuie.
\, Catéchisme doà Controverse*, par
François do llarlay , An'hevesque de
Rouen — Au Cimsit^'HU Arrlu-cpisiopal
dp Ponloisf' , (>ar Ufnr^ Estimne, Impri-
meur «rtliiiaire dt? mondil Seit;ncur. —
Et st* vend ;^ r<iri.'i , par AnI. Kntimne^
Imprimeur *'l libniiro ordinîiin? du Roy ,
rue S. Jiicques, iiu ColU'so Royal, riovanl
S. Bcnoisl. Achevé d'imprimer le ifi
septembre m. dc. xxxix. In-i.
2. Le rat^nie Cai^^chisme. Seconde
('nlilion. — A Gail/on, par Henry Et-
li^me. Imprimeur ordinaire de mondii
Seigneur, m, dc. \i,. In-8.
Réim|ireMion couforme à l'iiM de 1639.
^ L'aht de faire des Devises, ou il
est traiclé des Hiéroglyphes, Symboles .
Emtylesmes, ;Eni{;nies. Sentence*!, Para-
boles, Revers do MAlailles, Armes, Bla-
sons, Cimiers. Cliiffres el Rébus; avec
un traiclé des rencontres ou mots ptoi-
sanLs; dédi»^ au Cardinal Mazarin, pur
Henry Esiieiine, escuyer, sieur des Fos-
sez, interprète du Roy es langues i^roc-
ques et latines. — A Paris, chez Jean
P<islê, au Palais, à l'entrée de la salle
Dauphiiie, à la Pomme d'Or. Aciievé
pour la première fois !e 10 man* u. dc.
xxxw. ln-8.
C'est ce ménH' Krun IV qui a IravuUéè
l'ill-l'olio de IfiW. Triomphes Je LouU te
Jtistr.
i. Lrs tv-wais He Michel Seife'neur de
Monlai;m!. —Variï., m im;. ui. In-fol.
■'V Lks lassais rie Michel Seigneur d«
i9SI-n HENRICUS IV. HENRICUS V
I
Montii^nc. — Chez Jaque% Lanyloift ,
Imprimeur du Ku\ , el Emmanuel Lan -
glûi». Paris, nie S. Jacques. 4" Octo-
bre. M. Dc. Lvn. In-fol.
Heun, nu d'Antoine, ayant en 1651 oh-
tniu privilège pour ce li»re. fil ces deux édi-
tiont, dont la prcmièrv est au CaUil. de De
Thou [I. U, pag. 405) , lii-fu). uns datv in-
diquée ; mau au dfuoi», et dc U main ([ui
dans mon rxemplRire de ce Calai, a TaJI la
plufMrt d«s nombreuses additions duut il est
diu^, est écrit 16^. Au Catal. $ouijisi% que
je coiLMi-ve. pareillement rempli d'addiliuns,
on Ht, aprè& le n° Ï895 : Les mêmes Evwiift
de Montaigne. Paris, 1652, fui. m. r. f<r.
Pap. Il rut vtmdu 13 fr.
Il y i-u a des exemplaîrel au nom dc Au-
gustin Courlw.
Les deux éditions ont sur li'ur titre Toli-
vicr des K^ticniie. La première fut faite en
société avL-c les libraires P- Lr Petit H Hiiré.
Dans )a préface, rr Henri ()ui. ainsi qm; je
\ieus di; le dire, fie t(ualif)e Imprimeur du
hiii, dit avoir purgé snn édition d'iuic infi-
nité de fautes qui dcshouoroicut les éditioiu
précc-driLlt-s, et avwT ajouté la Iradnctioa
fran^tftc de» pauagcf grecs, latins et italieu.
6. JouRrvAL do la gacrre dc UollandOt
(kiptiiâ le d<^parl du Roy jusqu'à son re-
tour. [>ar II. Kâtienne, escuyer, sieur Ou
Dollc — Paris , Ciawle fiarhin. n. D€.
txxiii. In-i.
H
EDITIONS DES ESTTENNK ^B
^H R. s. 1554. Novijm Teslâm^ntum graeruni, cum duplici lai. int^rpr. ln-8. J
^H H. s. 1565. Idem, cumduplici Lat. intorp. el nolis Th. Bezœ. In-fol. 1
^H M. 8. 1567. Idom. In-8. ^J
^H n.s. 4530. Idnm. In-H. (à :> colonnes.) ^H
^m H. s. 158%. Idem. Iit-rol. ^M
^H H. 8. 1589. Iileiiu In-fol. ^H
^1 H. 8. Jeu P. S. 159a. Idem. In-fol. ^
^m it. s. 1527-28. Biblia Sficra liUina. In-fol.
^H K. B. 1532. Biblia (latina) ciim notts el Kimmf^nLirii*^. — Hebraica, cbal-
^H àxa, gra>co cl latina rioinitui ex Uibliis. In-fol.
^H R. s. 153i. Biblia (latina) cum brcvlbuâ nnnolalionthtjs. ln-8.
^H R. s. 1538-39-40. Biblin Sacra Ifilina. Propria noMiind, Index. Grand tu-fol.
^H R. li. 15i5. fiailem, cum notiî; marginal ibus. 2 vol. in-8. ^^Ê
^H R. 9. 1546. Biblia Sncra latitia. lu-fol. ^H
^^1 R. .H. 1555. Hibliorum Vul[,nitrt cditio. In-8. 1
^^B R. â. 1 556-57. Biblia Sacra hitinii, Tralationf dupliri, cum notis. Hebma, etc. ^J
^^M nomina. 3 parlics in-fol. ^H
^H R. s. 1565. Biblia Sacra latjna. 2 vol. ia-8. ^H
^H F. ». 1567. Eadcm. In-8. 1
^H R. s. 1577. Biblia Sacra, c. notis Fr. Vatabli et S. Pagnini. 2 vol. in-fol. 1
^^H Editio Jubia. 1
^H n. 8. 1528. P^lmi, Provcrbia Salomonis, Ecdesiastes, Canticum Caolico- 1
^^1 niiiu latine. In-i. 1
^^t R. 6. 1546. LibiT Psalmorum; Camica. In-8. ^^Ê
^H R. s. 1556-57. Ltbpr Psalmorum. Tralalio duplex, ciimComm. In-8. ^^M
^H n. s. 1623. Divinuin Psaltoriim) Diivtdis, latine. Jn-f6. ^^M
^^H R. s. 4541. Nuvum TosLanu^ntum lalinum, ciim brcvibus nolis. ln-8. ^^M
^m R. s. 1543. Idm. ln-16. ' ^M
^H R. 9. 1545. Idem. In-IG. ^H
^H c. 8. 4553. Novuin TtslamcntumlaLinimi. !n-16. ^^M
^H R. 8. 4556. Idcni, ex Thcodori Bcza: vrrsiono. In-fol. ^^M
^M H. 8. 1565. Idom, e\ Tli. Bezœ versione. In-8. ^H
^M P. 8. 1567. Idem. ln-8. ^H
^H H. s. 1507. Epi.stolHï Aposlolorum elApocalypsis. In-8. ^^|
^H 11. s. i512. S. Pniili Epistulit;, cum Comm. J. Fabri. In-fol. ^^|
^H H. 8. 1515. Etf^cm. In-fol. ^^|
^H R. 8. 1540. Deeem Pneoepla, el Scripiurm Summa. ln-8. ^^|
^H R. s. 15(0. Los munies, on françoiâ. In-S. ^^M
^H R. s. 1541. Eadem. Lttinè et gallic(>. In-8. ^^Ê
^V k. 8. 1542 Eadem. Lidin^ et ï^allicê. ln-8. ^^Ê
^H R. s. 1542. Kadom. Latine et galiicè, on placards in-fol. ^^M
^m R. s. laiia. La Bible. In-foL ^H
^H H.s. 1565. La niAme. In~fol. ^^|
^H r. s. 1567. Lamt^me. ln-8. 1
^m R. 8. 1552. Proverbes, Ecclésiasto, Cantique, .Sapience. Ecclésiastique, In-S, 1
^H R. 8. 1552. Le Nouveau Testament, lant on lalin qu'en françois; an ire dé- 1
^H clarjtion du contenu, &c. In-8. ^^J
^^Ê a. s. 4560. Le Noiivctii] Testament reveu sur le grec. In-42. ^^|
PAR ORDRK DE MATIÈRES.
333
r. ». i'.')fyl. 1^ Nouveau Tostanient. ln-8.
r. s. 1568. Le méuie. ln-16.
k. 8. (566. l>ecaIoi»us. hebraioo. cum paraplir. oluililaica. In-i.
U.S. 1568. Idom, iatinc. ln-4.
R. 8. 1556. Hosca, Joël. Amos. Abdias& Jonas. hebr. cudi paraphr. rhald.
)V Comni. In-*.
c. s. 1357-58-59. Prophettr duodecim minoreâ, hebr. cum rhaldafca i>ïiraph.
9c Coinm. 3 vol. Iii-i.
c. ». 4λ57. JopI, hebrainv riiin Dhv. Kirnhi Comm. ln-4.
c. ». 4559. llahm-ui-, lieb. hi-i.
M. 8. (567. Jomis, heb. Iii-l
R. s. 1618. Miitailvias. funicuiiini. H. Kinitii. ticbniioe. In-I.
ft. s. 1618. Idem, et Comment, Soi. iarlii, lidirnirp. In-4.
M. 8. t6t8. Idora, lalincvers. pcrS. .M. llc^ Muis. In Pâ. cxii (^mm. In-i.
c. ». 15a6. Rab. lutla do nrwnlibus St'ripturai. bcbraico. In-i,
R. S. 1565-66. Idem l.ibor. In-i.
u. P. 4579. p. Pirliercllus rn Genottim. In-4.
II. s. 4509 Quinonpiex Psallerium, cum prœfaliono. J. Fabri. In-rol.
s. 4543. Ôuincuiilex l'siiltpriiim, awunda cmissio. In-fol.
i. 456i. Psalnioruni Libri iiJ hcbmicam vcritaU-m IrmJucli, et a Mart.
Bucero enarrati. Ejiiâdem Commenl. in Judicea cl Sophoniam.
In-fot.
i. 1552. Pscaumesde David, en latin cl onfr. In-8.
t. 4546. M. A. Klaminii Pamphrasis in triginta Psalmos. fn-d.
>. 1552. Ëadem. ln-8.
i. Sam fiate. G. llunhanant Psalmorum poeliraParapbrnsis. In-8
(. 4566 Kadein. !n-î6.
î. 4575. Efldem. ln-4tî.
i. 4580. Eadem. En-^6.
: 4568. Psalmi Ilavjdiâ nlupiot . mnlrrj anacreonlico el sapphiro, gr.
ln-32.
|f. s. 4568. Les Pseaiimes mis en rime par Clément Marol vl Théodore de
Boze. In-46.
in- S- 1556. DavidiâPi^almialiquol, a quatuor iliimtr. poetis carminé expressi.
In-4.
. 1614. Exposition des sept Pseaumes pénilentinls, avec le latin, ln-8.
>. 1512. Vêtus editioEalesiastffi.CUynipiodorus in Eoiesiaisten, &c. In-4.
.. 1583. J. Mercenis in qtiini|ue priort^s minores Prophetas. In-fol.
. 4 564-65. J. Merreri syriani Paraphmsis libri Ruth. ln-4.
». 1596. P. Picherellus in Mallliasi Ciiput xxvi. ln-8.
.. 1553. Sommaires el brefs Recueils en forme d'exposition du contenu des
Pseaumes. In-8.
■. 8. 4553. M. Buceri Enarmliones porpcluœ in Evangclislas In-fol.
. 4553. Evani^. Matthxi. Marci el LuciB. et in eadem Comment., a Steph.
Rolkorlocollecti. In-fol.
,. 4553. J. Olvimis in Joannem. In-fol.
>. 4559 (jloss^ in Ires Evangellista8,cum J. C^ilvini Commentariis, ad-
jecto âeorsim Johanne. In-fol.
114
ÉDITIONS DES ESTIKNNR
n. s.
<55i.
H. 9.
1362.
U. S.
<56î.
H. 8.
4^64.
n. s.
<îi62.
H. 8.
4564.
ILS.
4570.
ILS.
4562.
n. s.
4564.
R. s.
4554.
R. s.
4 559.
II. s.
456.^.
p. ».
1564.
p. s.
4563.
r. 8.
4563.
F. S.
4562.
F. 8.
4562.
R. S.
4557.
n. s.
4555.
n. s.
4556.
B. s.
4557.
n. s.
4545.
R. 8.
4555
n. a.
4560
n. s.
4555
it. s
4594
p. s.
4600
B. S
45v'î7
R. S
4549
R. S
M. S.
4503
II. S.
45o5.
H.B.
4545.
U. S.
4548
P. S.
4543.
H.8.
4516.
n.s.
fig.
c. s.
4554.
B. S.
4551.
n. 8.
4592.
H. s.
1595.
Los Quatre Evan^i^liâtes, avec une Ëxposilkm continuelle el la-
miltcre. In-fol.
Genoj^is. latine, cum catholica Expoeitione Ëcctesiastica Luthcri,
CaKini, &c. In-fol.
?salmi, Dnvidis, elCanlico. nim catholica ExposilioncEcdesias-
Lira. In-fui.
Esaias, mni nUholira E\[vo&iliore Ecrksinslini. In-fnl.
Xovi Testamenli ralliulirii Kxposilio EccleaiaftLîrji. In-fol.
Ëudcm. In-foi.
Eadom. In-fal.
Catona recenlioriim Thpologorum Protostanl . in Psalmos el Gain"
tica. In-fol.
Catena in N. T. ex Tticoloj;is Protoatanlilms. 2 vol. in-fol.
J. Calvini Commentjriiis in ijeiiPs-im. Iii-foi.
J. 1 jilvinus in v. Libros Mn^is. In-fol.
Moiu. lii-loî.
Coiiimi'iiUiiirr de.!, t'alvin sur l<'s cint] Livres doMoyso. In-fol.
l'oiiiin. <!*' L r.;ilv(ii MU les IVt'iitimes. In-fuI.
Sermons de J. OiUin sur le Di'CaU»;:iie. ln-8.
— siirlecxix Tieyiimt;. ln-(i.
— stirleCanlii|ue d'Ezôi^liias. ln-8.
Psalmi, laL cuin J. Calvini r.nmrnentario. In-fol.
J. Calvinus in .\rta Aposlolonnn. Jn-fot.
J, Calvini Comment, in oinnes Kpistolas. In-fol.
Idpm. In-fol.
Eilitio duhia.
Osiamdii lliirmonia; Evansidioff"- In-16.
J. Odvini llarmonia ex Kvan:.;elis<is roni|>i)sita, In-fnl.
, Eadeni; îidjuneloseorsim Juliaiine. In-fol.
, Conrordantiap BJblioruni ufrîu«;(}ue Teslamenti. In-fnl.
. Conrordanli* fjraTolalina^ Novi Teslamonti. Irt-fol.
Eff'doiti. runi Suppiemenio. In-fol.
. Hebneii, chîilil;i'n, grioea fk latina nomina propria quff in Bi-_
bliislp;;nDtur. In-H.
Eadem. lri-4.
Eadtnn. In-fol. t'uni Bibliis latinis.
Ollieiiiritirn «•uratonmi. scti Muanale Edticnsis Diœc. ln-4. GoUi.
Missale Eduense. In-i. Goili.
Otrtcium diurnum âancUinonialium, Juxta usiim Fontis Ebraldî.
In-4.
Horœ canonica». In-8. Golh.
Horae in lamiem H. M. Virginis; graw*. In-16.
J. Cliclïlovci EliH-tdutorium Ecrlesiastlcum. In-fol.
Successors coh. 1524. Idem. In-fol.
Philo de decem Oraculi^, )at. In-A.
S. Justini Opéra, pr. In-fol.
8. Jiislini Epi.^itoln ri Oratio : gr. et lat. ln-4.
Eîpdem. ln-8.
PAR ORDRE DE MATIÈRES
Î35
H. s.
R. S.
H.B. 4570
R. s. 1606
R. 8. 1606
1557. Attiena<;oncA(iolui;iaT et de Reâurrcctione mortuorum. gr. et lai.
I11-8.
1!>i4-i5-i6. Eusebii Hviingelira Prspparatio, et Evangolica Deinonstm-
lio, praîie. 2 vol. iii-foï.
Athanasii Dwl. dr TriniUto. Basil, adversiis Eunomium. Aiiat.
ctCyrill.Explir. fidt'i, «r. lat. Fœliaditisoyiitra Arianos, lal.liHJ.
Gregorii Nysseiii Epislala ad Eu?latbiam. &c. lt. et lot. ln-8.
Ejumiem, rlciis qui adeunt HiiTosolyma, gr. el lat. ln-3.
1609-33. S. Jounni^ Chmoslomi Opéra omnia, t^r. cl lat. 12 \ol. in-fol.
1;il5. Theologia vivificans. Dionysii Areopagilai ()[>era, lat. Ignaliiet
Polycarpi Epistoliu. Iri-fol.
1641. Dionyâii Aroopagita; OjH*ra omnia, gr. c( lat. i vol. in-fol.
1547. Michacl Syngcliis presb.. de laudibiks Divi Dionysii. graîce. ln-4.
1507. Thofilopia Joannis Damascciii, J. Fiihro intcrproto. lii-l.
Voit. Eadem. nimrommentario. In-fol.
Eadem. Iii-lul.
Thfodoritiw Cyrcnsis Episc. de curatione gnecarum aiTectianum ;
latine. In-fol.
Dix Sermons dv TlKSxIoret, Irad. par Séb. Haixly. In-K
T*.'rtu!titiNi l.ibri t\. riim nolisN. Rigaltii. In-8.
1519
1549
1610
162G
I62K.
A. S. 1613. Trois Epislrc^s d*» S. Jeroinr. Irad. [K»r Jean Da^T Du Perron, lfi-8.
V. p. 1604. Truis Di.s'oun* de S. Ambroiso; tr. par J. Ik-rtaut. In-16.
H. s. 1S10. Joannps Major in priiiium S^nlcnliaruni. In-fol.
II. s. 1510. Patri* Kidiunli ni)Hs tlieolo;;ioum de Trinit^te. In-4.
U.S. 1515. Alani Varonii Monlulbiini Homiiite in Canticum Canticortjui ; in
Psalmos Sennoncii In-i.
II.». 1510. Btrnonis AhlKitin Lilwllus de oBicio Miasav ln-4.
II. s. 1518. Idoui Libelliis. In-i.
H. 8. 1517. Stephanus Kditon.'iis Episropns de Sacramento Altaris. ln-4.
A. S. 1642. Paulin, Vi:*ite du S. Sacrement de r.\iilel. In-8.
ft. 9. 153^. De liquidoriiin K'^uminuiiKjue Mensuriâ e\ Sacrœ Scripturo; et
aliurumautlionim lotis. In-i.
a. s. 1535. G. Budûpus de transitu Helleui<<mi ad Christian iâmum. lii-fol.
M. p. 1579. Pirherellurt in (lo«innp;piaTii riivinarri. In-i.
A. S. 1623. Mal. Simoniii!* de Pœinileiilia* ritu m vetereEcclesia. In-8.
H.p. 1585. Homilies do Pontuâ de Tyard &ur rOrai^n Dominicale. In- 12
H. p. 1586, LoH m^meâ. In-i.
M. p 1586 HuiEiilre^T du niiHne sur les Evangiles. hi-S.
M. p. 158fi. nomilieïidu nu^me sur la Fanion, ln-12.
A, 9. 1625. FnÉnciivi Arrhiejiiscopi Rothomagensis Aiwlogia Evangetii, pro
Calholins. In-fol.
A. 8 1625. Du (jiiirens, Rftsponse an livre rie P. Ou Moulin, ln-8.
A. 9. 1622. Trdittt^de l'EiicluiriïiliB, pur le (.ard. Du Perron. In-fol.
A. 8. 1629. Le nM^mo In-fol.
A. s. 1624. Réfutation dos objeclionA contre l'Eurharistie, Urées de» passa-
ges de S. .\ugiitjtin, par le nii>iiie lu-fol.
n H. lfi2R De sarrn rilu prieferendi Criicem in<tjoribii> praelaiis, In-8.
S38
ÉDITIONS DES ESTIKNNE
A. s. 4629.
A. a. 1630.
H. s. 1639.
H. s. IGiO.
H. s. 1517.
U.S. 1518.
n.s. IS19.
U.S. 1549.
H. s. 1549.
H. s. 1549
B. tt. 154 3.
II. a. isn,
ILS. 1549.
H.â 4546.
U.S. 154a.
il. s. 1îi19.
H. s. 4543.
II. H. 1511
II. s. 451!).
n.s. 1506.
H.s. 1517.
H. s. 4507.
ILS. 1512.
H. s. 1505.
II. s. 4513.
U.S. 1549.
U.S. 1548.
U.S. 1530.
H. S. Ssans
F. s. 454i.
F. s. 4548.
F. s. 4579.
n. s. 46^9.
A. s. 1G30.
A. s. Ifîil
A. ». 4622.
A. s. 4643
A. s. 4618.
A. s. 1631.
R. s. 1553
R. S. 1553
R. H. 4559
R.s. 455.1.
Gahr. de r.4iibpspine, Ancienne police de l'Eglise sur l'admi-
nistratiun de ri^urhnrislio. In-8.
Gabr. Albaspinu-'i Besponsio ad Rîgaltii BptaUilam. ln-8.
Caté(■lll^ltlp des (Zonlroversos. ln-4.
Le mi^iuo. l[i-8.
J. K;ibri de MarJH Mdgdalena Disreptalin. lo-i,
Eadein. lii-i.
Eudem ln-8.
Ejusd<^ni Discpptetio Secunda. In-i.
J. Clirlitovcuà de ntKVH:siUite peccali Ada)& relicitaleculpîeeju:
deiii. In-t.
De dignituto & exc-ellentia Annuncialionis B. Maria: V. in-i.
Dd piirilatc Conceptionis B. Manie V. In-i.
Idem. In-4.
Disc epta lien iâ de Kla^ïdalcna Defensio. In-8.
De laiidibus S. Ludovic!, & Sanetiiî Cœciliaï iikarlyrii*. lii-4.
De mjsliea nuinerorun» sigiiificatione. ln-4.
De vita & moribuâ Sarcrdutuni. lii-h.
De lande monastira; religtoniâ. ln-4.
De vera nubilitate. In—i.
De Rejiis ollirio. In-4.
Hugonis de isanrto Vietore Opéra. In-i.
Alle^iorijo in utruin<im' Testanienlnni. In-i.
Giiiltielmiiâ l'iirisiensis tk Hug. de 8. Victorc de rlaiiâtroaDJaifle.
In-i.
J. Kiisbeids de omaiii splritualium nuptiaruin. In-i.
Liber eruditionis Itelii^itwomm a Maj^. Ilumberto de Kotnuois
quoiidaru eiJiltis. [ii-H.
Liber Iriiiin Viruniin &. trium spirituabum Virginum. In-fol.
Conteniplaliones Idiolnede amore divino. &r. In-i.
Fr. Maluchiie LibeUiiï* ï^eptein peecatoniin morUiliuui. In-i.
Sermo Svnodali:* IJuiJelniJ Meldensin Epi^îcopi, Meldis habitua.
In-4.
date. I^varnini fonseientiïe. In-H. (iolh.
Cl. Viexnioiitii MeUuMlusronfessianis cujiiftendiaria. In-4.
EjiiMlem Melluxliis nMil'tssiuuis. In—i.
Traictéde.'idances, |mr Liiiiib. Daneiiu. In-S
E\liorlationâcbrt^lieiLiie>i. In-li.
Prorëâ d'amour, et Ainaurs Tlirestiennes. In-i.
Œuvres du C;ird. de litTulle. Iii-foî.
Mariage de la verlu avrc )ii n.'llj;iori, par le P. Boucher, ln-8.
Conversion du S^. de Mnnta^inis. In-8.
Conversion de Mad. de Frunlenac. I11-8.
— de Mai?tre Jean Estienne. In-H.
La forme des pnêres ecclèÂi astique*^. In-8.
J, Calvini InstiliiliochristianSQ IWligionis. In-fol.
Eadeni. In-fol.
Catik'liii^ine. par Jean ('.alvin bi-1i>.
^
t
PAR ORDRK OE M.ATIKRKS. i.ï7
^H 9
4554.
, ( J. Culvini. I Rudintenta fidci chriâlianiu hcbraiCG ab luim.
Trenipllio vtTSii. In-K».
^H
1551
. Eadeni. {;;r<'eco. In-16. ^^M
^H
(55i
Eudcm. t:r.xrc. In-Ui. ^^M
^M
4563.
Hadnm RtidimenUi, &c. ^r. & lai. In-lti. ^^M
^H
1565.
EudL'Di. In-16. . ^^M
^1 M. s.
1575.
Eodem. ln-16. ^H
^H
1580.
Eadem. In-16. ^^Ê
^H R.S.
1553.
De vero Verbi Doi, &o. uuct. P. Virolo. lu-loi. 1
^H
1554.
P. Viretiis de origine, nsu.uuLhoriliilt^ ministerii Vi-rbi JX'j. In-lol. 1
^1 K.
1552.
.\d Consuntâ Tlioolui^oriuii Parisicnsiuiit Kuberli Ste|>liuiii Re^ 1
ponr^io. ln-8. ^^M
^H a.
155Î.
Lh im^tno, en rnin(;c>m. In-^. ^H
^H ft. tt.
1554.
J. Calvini Dofonïiio Ortl)odoxa> Hdci dû âacra Trinitato conlru ^^m
Sen'eti errorps. ln-8. 1
^H R.
1554.
Tlipod. Beza. de liareticis a rivili nia^istralu puniendLs. I11-8. ^^1
^B >.
1559
Theod. Bcza doCœna Domini. In-8. ^^M
^H II.
1363.
ThfHxl. hoiiv Rf>sponi^iu ad Seb. (jisteHi{tnf>tn. In-H. ^^M
^H A.
1634.
l{i*^iOltëv du J. df Cktuimuit au S. 1> Ailh-, ministre, ln-8. ^^M
^H r.
1579.
Traiclëde lEgli^, par Phil. de Mornay. Iih-8. ^H
JVRZSPnVDSWCZ ^H
^m n.
1573.
Fragmeula vclerum juri:) Autlioruin cuin legibus Mov!4t> cullala. 1
ln-4. I
J. .Monlholontj Proinpluahum Divini Jiiris cl utriiu^fue humuai. ^J
^H 11.9.
1520.
2 vol. iti-fuL ^H
^H c.
15Sâ.
Do di\ersisro!;i])iâJumanliqui. In-A. ^H
^H c.
4557.
Idem liber, ln-8, ^H
^B 11.8.
1580.
Juriti civdis futiles H rivi. Henr. Stepliani Collalio le^um .Mosai- ^^
raniin H Itonianariim. ln-8. 1
^H R.
1567.
Roinanorum I.e^^e:» à L. (Ihaninda reâtitutx. ln-4. ^^1
^H R.
1528.
Ju^dtiiarii Institiitiono.';. In-N. ^^M
^H R.
1534.
EiL'deiti. Iïi-8. ^^Ê
^H R.
1527-
28. L)i;^c>lorum, scu Pundcctarum Juris civilis volumina quinquc. 1
vol. in-8. ^^1
^1 R.
1536.
G. Ruda^'i .VnnoUitiones Jn libros PaodecUiruni. la-M. ^^M
^H R.
153.-,.
AlU^ra edillo rjosriem iiniil. In-fol. ^^H
^B n. 8.
1S42-
43. Eaxlem. \t\~ïvl ^H
^H M.
1358.
Impp. Ju>liriiiini, JiiMini, lA'onis.NovelIxConsLîtuliones, gr. In-fol. 1
^H 11.8.
1560.
Ea^lem, Lalirm vfrsa.\ ln-8. 1
^H B.
4571.
Impp. Tlii'iMkfsii, Vuli^ntiniani, Hcc. Novell(pConslitutiun(*s. ln-4. 1
^H H.
1573.
Jiiri^Ori<'n(;ilisliliri.;ibKdrnundollanelidiodij»esli.gr. ellal. ln-8. ^J
^H R.
1328.
Phil . Metiimhlhuniii (.tratiu de ]e}ïibus et do p"ddibufi. In-M. ^^Ê
^H K.
153i.
KjtJoin. ln-8. ^^M
^H R.
IB32.
CbrUt. Hegendorpliini Dinlorlica) legali^ lilHi V. In*8. ^^Ê
^H R.
1535.
^H
ÊlilTlONS DES ESTïENNE
R. S.
15(4
B. S.
1548.
R. S.
4545
H. S.
4548
C. S.
1553.
C. 8.
4556
i:. S.
4539
R. S.
1566
A. fi.
4634
C. S.
4554.
C. S.
1534
c. ».
4554
M. I>.
4584
M. P.
4595
M. P.
1594
M. p. 4594
n. 9.
4629
R. s.
4629
M. 8.
4559
R. S.
1559.
II. S.
4566
1. R.
4638
11. S.
1506
It S.
1571
a. s.
(574
M. p.
1586
A. B.
4636
A. S. 1645.
M. P
1594
H. P.
459i
A. 8.
1629
M. P.
4694
A. 8.
1621
\. P.
16i5
A, S.
1615
G. Hudaei Foren.sÏH In-fol.
Ëadem (i. Budiei Forensia. In-fot.
Forcnsiuni verboruni InWqirelatioot Index. In-fol.
Idoni LibtY. In-fol.
Plucitoniin Suiimiffî iipud Galloâ Cu^ia^ Lib. XU. |>er J. Lucium
In-fol.
Idom Libor. In-fol. .
Idem. ïn-fol.
Arrcsl du Parlement portant rondemnutîon de Simon du May. Iit-8.
Arrest pour la cassalion de-< jujipmens des Esleu» contre des Nu-
blos. In-S.
Ch. Eslienne. Paradoxe» en forme do réclamations forcnbes. In-».
Le» niémesi Paradoxes. ii« édition . In-*.
Panuloxe que le pluider est cho^ util» et nécpâdaira à rboiuuiv.
In-H.
Ani, Hotman. de la dissolution du mariage, ln-8.
Le iii(>ino livre, ln-8.
Advis sur la clause do fournir ou faire valoir une debU* ou rx'att*
In-8
Lellres {Hiur la présèanix' du Roy de Krancu mir le Hoy d'Eâpa-
gne. ln-8.
Galland, conlro le Franc-alleuaiins titre. Iii-4.
Le niï^inL', In-8.
Onlonnances ecclwiasliqiies de l'Egliso de Genève. — L'Ordre
do IHcole de la dite rilé. ln-4.
Ofxlre do l'Ecole de la ciléde Gem^ve. ln-8.
r/)nfîrmalion de la di^'ipline ecclésiastique des Eglises réfor-
UK'f's, In-K. I
J. Cliap(»ot Uefensio pro nepotibus Franciscï de Paula. ln-4.
Gnilioniii Manda^^oti Prarlii-n Eleclionum et Poslulalionuin. In-1.
Fr. (îrimaiidet. Paraphrase du droict des dismes etvlésiasliques
et inféod<^es. ln-8.
Ui ini>nie. In-8.
La nu^me. In-8.
Morini Exeiritatîones Ecclesiasticie. De Patriarcliaruni origine.
In-4.
Brief Discours sur la police de l'Eglise et de l'E.'ttat. ( par le
r^itl. Du Pon-on). In-8.
Pierre Ptlliou, LiUTlé> de l'EiîliseGalIicaiH?. !n-8.
.Vlùinotre el avis de Jean du Tillet sur les libertés de
Gallicane. In-8.
P. Fonteii Jus PontiKrium Gallicaniim. In-8.
Extmict des re^zistres des Estais sur la réception du Concile
Tn-nie. In-8.
Slatut4i S>iiO(hdia DiaresisSylvinuMUMisi-^, In-8.
Décréta Synodi Uunli^ul. iiniin \hii liabilic. In-8.
Rpcitoil des choses concornant le Clerpé «le Fnini*e, par Pierre
Pcvro^iio. :i vol. in-8,
l'Eglise
PAR i>RDRË DE MATIERES.
nu
A. s. 16ÎS.
A. 8. 1ti2H.
A. s. 4625.
A. S.
Ï6i.ï.
A. 0.
1636.
A. H.
1629
M.P,
1597.
A. 8.
4622.
A. ».
1635.
A. 9.
1626
H. P.
1594
M. P.
159*.
M. f.
1595
M. P.
1X97
A. S.
16U.
A. S.
160î>.
A. 8.
162».
A. H.
1623.
A. a.
1629.
A. ê.
4647.
A. 8.
4622
A. ».
1639
A. s. 4654
A. s. 1651.
Piixi'S-vorbiii de l'Assi'Uiblpo };».*nér,ilp (in Clergi*, pn 16i5. In-l.
Dé<'liiniUon de I as^omblL^e du Cleraé sur ivs entreprise!! des Ré-
{;u)iei'ï>. ln-4.
Avis do rAsspmblèe gt^néraledu Oer^fi aux Arrhevesques et Evcs-
(jut's. ln-4.
Episitola pro convocationc Concitiorum Provincialiuin. In-i.
Relations dm'agenâ du Clergé sur les aflairos d« 1625 et 1626.
In-8.
Acta Rolhomagonsis EcflesiK* \n-A.
J. D. Uu Porron, Réplique à la remonâlnince do quelques Mi-
nistres. ln-8.
L. de Moni)nvillîer8f Rcsponse à un libelle contre l'Evesque de
Nantfc*. In-«.
Cardinalium. &c. Senteniia de anonymis et famoeis qulbu»diini
libellis. In-i.
Eadcrii. ln-8.
ïMaydnyé de M. Anl. Arnaud rontrp les Jésiiit^î. ln-8.
t>i>lt*n«i^ de ceux d(i (allège de Clermont. ln-8.
Playdoyèdi'L. Dolle pour les Curés de Paris, ln-8.
Phiydoy^ de Simfm .Marion contre les JésiiitA*. In-8.
S. I). [)u Perron. Apulogiepour len PI'. Jésuites. In-8,
Oivers4'!i (Euvresduritrd. Du Perron. In-fol.
Us in«Vm(*s. In-fnl.
Les mémos. In-fol.
Les mêmes. In-fol.
Divers Traités et Disooura des ronlroverses de ce temps, par
J. l). Du Perron. In-i.
Omtrat entre le Roy et le Clergé de France. In-8.
Arresl du Parlement sur les informations de vie et mœurs de
ceux qui seront nonunez aux éveschez. &c. !n-8.
Remonsirance de Fr. Paumierau Roy aur le ftouvoir (|ue S. M. a
sur le temporel de lestât occlésiiistique, Ac. In-i.
Responi^ï a ta Cen.sure du Clergé sur cette Remonstrance. In-i .
SCIEWOXfl KT AB.TI.
S. S. <B06. Piniaiuler. Mercurii Trisme^^isti liber. Asclepius. /te. In-4.
■.8. 4578. Platoniâ Opéra, ç^t. et lat. 3 vol. iu-fol.
H. s. 1557. MaAimiTyriiDiâpulaliones. |ir et lat. In-8.
A. s. 1629. Aristotelis Opéra, pr. cl lat. î vol. in-fol.
H. 8. 1557. Anstoteliset Theophrasti SrriptaquaHlam, j;r. ln-8.
B.8. 1515. Aristulelis et Theophrasti Melaphys. latine. In-fol.
a. 8. 1502. Jac. Fabri artiticialis Introductio in libros Ethirontm Aristotelis.
In-fol.
B.s. 1506. Eadem. In-fol.
H. 8. 1512. Eadem. In-fol.
n. g. 1517. Eadem. In-fnl.
B.S. I50i. Aristotelis Etliira, interprète Leonardo Arelinn In-fol.
340
tniTIONS DKS l'STlKNNK
n.s.
45U.
ILS.
«505
II. t».
1510
H. s.
1SU.
ILS.
1516
11.8.
KiOS.
H. S.
4542.
11.8.
4546.
11.8.
4506
it. S.
1511.
H. S.
4515
H. 8.
4547.
ILS.
i:>03.
IL S.
4510
ILS.
15i0.
ILS.
1501.
ILS.
1510.
II. S.
4501.
ILS.
4518.
C. .S.
1553.
ILS.
1562.
II. S.
4514.
R. S.
4530.
R. S.
15.U.
R. 8.
4537.
R. S.
Sans
R. A.
1528.
F. S.
15f2.
a. S.
4621.
IL S.
1505.
H. S.
4513.
H. 8.
<520.
H. S.
4540.
n- s.
Sans
H. S.
4510.
H. ».
4516.
II. S.
1513.
K. R.
1537.
A. S.
1615.
M. P.
1579.
X. P.
4578.
. Eadem Elliica. In-fol.
. Aristoiplis Moniliiiiit [reftconvpraioneA, &C.&C. In-fol.
. Eaxiern. In-fol.
. Eatlt-'iiu Iii-K.
. Kiwlem. In-fol.
. J. Kiihri lnLriHluctiuni*u]a in l'olttioi AiiBtolelit*: XenoplioutU
(ïùoiioniicuin lalinc versum. lat. In-fol.
. Eadem. In-fol.
. Hadem. In-fol.
. Arislolelis Pulitic8, (fcononi. &c. Lconardo Aretiuo inter|H-etc.
In-fol.
. EmJem. In-fol.
. Eadem. In-H.
. Eadem. In-fol.
. Libri Loi^ccnim ( Arislolelis) lai. cnm.coininentariis. In fol
. lidem. In-fol.
. lidom. In-fol.
. J. Fiibri Paraplirast's in Arisliit. Physii-a, &c. — J. Fabri Inlro-
ductorii Dialogi, &c. In-fol.
. Eaniem Paraphrarips. In-fol.
. Texïus ttbbrevialu:* Arislotelia Bii()€r libros Pliysicorum, a Tli.
Bricflt. In-fol.
. ¥.x. Physioloj:ia Arialotplis librixxvm. Lai. In-fol.
. P. Hamus in Aristolclis ^wsleriora AnaUlica. Jn-8.
. Sexli philcx^i'hi I'}Trbonianimllypol:y|>wse(>inlibri; latine. In-*.
. Lu;!i( e.> Adtninicula, ex Ammutito, Uueliu et TlieniisUo, &c. ln-{ol.
, A M. Uficlius dodifferculiis lo|>icis. In-i}.
liiem. ln-8.
. Idem. ln-8.
date. [ilcm. In-8. Editiodubia.
, Phil. MfUinchlhonJ^Dialwtira. ln-8.
Epiloiiie ("oinrnoul. Dialoclii'Uf Invenlionis RtxJ. Agricola^. ln-8.
. Fr. TitHmani nialfcliivt. In-8.
. J. Clichtovci IntrrKiiKlio in lorminoruin co^nitionom. ln-1.
. J. (Mirhtovti Introducttones logics. In-4.
. Eawit'm. In-4.
, Oir. Bovilli Tractatus varii, philosophioi et niatbcm. In-fol.
daif. Alani Varenii Dialogi de Luc*, Amore, lïarmonia, &c., *«c.
In-^.
Jacobi Almaini Moralin. In-i.
, Eadem. In-i.
Péri Arohon Sci('ntiarijiii, Opusonbim J. PtMlelarii. In-t.
Ilieronymi Rup. Meitnensiri Casl^llani Commenl. PliilosophiaB
mui-aiis. lri-8.
Picrro Valpns, U-Mcrcuro de.s Arls<?L Scionws. In-8.
J. D. Du Perron. Avanl-DIsrours surreuxrie P. de Tyard- !n-4.
. Ponlus do Tyard, Dwjx Di<>cours ourieux de la nature du Monde,
\i\ ln-4
^HEsB
^^
^^^^^ PAR ORDRE DE MATIÈRES. Î4(
^B II. s. 4565. De l'nUlité et repos d'esprii en l'agriculture et vin soliuiire.
^1
^H M. p. 4595. (luilliiiiinf (In Voir, do la consUincc & consolntion es cnlamil«z
^K puhlii^iies. In-16.
^H n. s. 1526. Othoni:^ BrunâfeUti do disciplina et lustrtutione pucronim Pa-
^H r^nesis. In-8.
■ n. s. 4527. Eudcm.In-S. ^M
■ n. s. 4539. Eiidorn. ln-«. ^H
^H H. H. 4526. Chri^liani Thnfwiidarli Prpcepliones qiio pacto ingenni iidolcii- 1
^1 etmteâ l'ortmindi sint. ln-8. ^J
^H U.S. 4539. KaMlem. ln-8. ^^Ê
^H U.S. 4527. ChriiU. HetïcndorphiTiiCliriâtiàoalnsUliilio. In-S. ^^|
^H R. ». 4 534. Eadeni, et Olh. Bninsfelsii de inslitutione piieronim Paraenesis 1
^1 ^J
■ 1. s. lîm. EaHicm. ln-«. ^M
H B. 8. 1544. Eaxlem.ln-8. ^M
^m 45i5. Efcdem. In-8. ^H
^H n. s. 1549. EhhIoiti. In-8. ^^m
^M ft. » 1S56.Eiudeiii.In-8. 1
^1 ». «. 1529. riirist. Hegendorpltini Parjeneses de inslitiiendo viUi jiivi'ntii- J
^m Us. ln-8. J
^M R. s. 4532. Ea^dem. In-8. ^M
^M s. 4536. E.-edem. In-8. ^H
^M Ji. 8. 4545. Eaidem. lii-â. ^H
^M C.8. 1553. l.ePrinafdeN. Machiavel, tr.parG.Cappel.In-4. ^H
^H R s. 1566. Roi. Pielro.Considt^alions politiques. In-8. ^^M
^1 K. s. 4568. Usmi^mes. In-8. ^^Ê
F (f-S) 4584. De la puissiincelê.iilimedu prinoe,&c. In-8. ^^|
h ft. s. 4647. J. Ileronrd ilo Institiitione Principif. tn-4. ^^Ê
^B 1. s. 4623. Ant. de Guevarre. le Ki^veille-malin des Courtisans. In-9. ^^M
^B R. s. 4543. Lihri de Re mstiai Cato, Terentius Varro, &c. Jn-3. ^H
^H p. 8. 4537. Caroli Stephani Vinelum. In-8. j^H
^H 1. s. 4536. Car. Stepli. Semiiiurium. In-8. ^^M
^K R. a. 1540. (^r.Slephani Seminariiimet Plantaritim. In-8. ^^|
^1 R.s. 4348. Eadem. ln-8. ^H
^H p. s. 4538. Car. Steph. Sylva, Fnilelum, Collis. ln-8. ^H
^^ p. s. 4538. Car. Sieph. Arbustum, Foiiticulus. Spinetum. In-H. ^H
^B p. s, 4543. Eadem.In-8. ^H
^H p. 8. 4543. Car. Steph. Pratum, Lacu8, Arundinetum. ln-8. ^H
^H R. ». 4535. C. Stepbanusde rchorlensi. ln-8. ^^M
^H R. H. 4536. Idem. in-8. ^^1
^M t. s. 4539. Car. Stephanus de re hortcnsi; de cullu et salione horlorum. 1
^H ^m
^B r. n. 4543. r^r. Steph. de re herbaria et hortensi. ln-8. ^H
^1 R. a. .'4545. Idem. ln-8. ^M
^^ «.8. 4650. Car. Steph. de iiutrimentis. In-8. ^H
^H U.S. 4560. Idem. In-8. ^H
^H C». 4554. Carnli Slophani l*r^liHni niftlimm. ln-8. ^H
^B ^1
^H
EDITIONS OFS ESTIENNE ^B
^B ft. s. 1 536. Carolus Stephanus de tatinis et grfficis nominibus arboruni . fruU- J
^H cum, &c. ln-9. 1
^m R. s. I5U. Idem. In-g. ^J
^H s. 45i5. Idem. In-S. ^^M
^M s. 15i7. Idem. In-8. ^H
^H 45.ii. Idem. lti-8. ^^H
^B c. 8. 1559. Idem. In-H. ^H
^H es. 1553. Fftrii!ïBHIr»nius dpaquatilibiis. In-8. obl.Fig. ^^M
^H C.B. 4555. P. Belon, (lo la natiireeLdivprsilédespoiâsonâ. In-8.obl. Kig, ^^m
^H n.s. 156i. Diolioruiritim modioum, I11-8. 1
^H H. s. \Vi\l. Mippm''raU>»d(« |)r;r.<^ngii^ in morbisanilÎ!^. I:it. In-i. ^^1
^H H. s. VMfu Hip|KicnUisPro<;nostJc<*i, lat. ctimGaloniCommonl. In-fol. ^^Ê
^H M.i>. 4^75. Hjppocrutisprugnoâliron latiiiH liL-pbraâia. In-i. ^^M
^^Ê u.v. 15TD. llippocrateâdccapiti> vulDiTibiis, •:>r. et ial. In-8. ^^M
^H A. R. 1643. HippocrutU Aphnrismi. gr. ctliU. IiMâ. ^^|
^H A. 8. ttit7. Hippocralosdo phiinnacrspurganlibus, Kr. el lat. ln-13. ^^H
^H n. s. 1513. Galeniis de ilifTt'rerrtii^ Tobrium, Int. In-i. ^^|
^B H. s. 1513. Galcnide aETectoniiT] lui-onimNutiUa, lut. In-i. ^^M
^H II. s. Sanstlate. Eadem. In-(. AVi(/o (/u6m. ^^M
^H II. s. 1514. Guleni OpiJïiculii, Nie. t^nnireno interprète. Ii>-i. ^^M
^H II. s. 4518. Galenus de sectis incdicorum, Alex. Aphrodis.dc febribiis. Hip- 1
^H pocrateH <)ei)at<ir.i bunmnii. lat. In-i. 1
^H II: H. 4567. Medicaï urti» Phncipes graici, poâl Hippocratem et Galenum, la- J
^H linitate donati. In-ro]. .^J
^H n. 9. 4516. Dioscorides deinalmii inetlica, lat. In-l'ol. ^H
^H 11. s. 1540. Pauli iEginetai Proicepta sulubria, latiue versa. In-i. ^H
^M II. s. 1512. Eadem. In-4. j^H
^V U.S. 154!t. AlexanderTratl)nmifl:Rha7.ade pestilcnlia. ^. In-rol. ^H
^1 H.B. 4512. Celâi)sdemedicina.ln-i. ^^M
^H 1563. P. Véfîety, de himôtJerino doscbevaux. ïn-4. ^^ï
^H r. s. 1554. J.Bachaiii-lluBde ('onsr3nsiimi?dirori;ni in curaiidi<;morhis. IM3. J
^H c. s. 1554. Idem, de ronsensii mod. iiico^noâcfndis shuplicibus. ln-12. ^^Ê
^H M. e. 157R. Fr. Ulini do lione libolluî^. ln-8. ^^|
^H c. s. 1552. J. Valverdits deanimi et corporissanitate luenda. In-8. ^^M
^H R. s. 4564. J. Sulpilius, de inoribiis in mensa âorvandis. In-8. .^^B
^M 4574. Idi-m.tti-H. ^H
^H R. s. 1oi2. Depiiclla rpix sincrUx} etpotu vitam Lransigit. Fa-B. ^^|
^H II. A. 1514. Alpxundri BinuKJUni AnaLoinia, et Aphoriami. ln-4. ^^M
^^^^ H. s. 4536. Car. StcpbauiAiiiilomia. I11-8. ^B
^^^^H 4545. Car. Steph. De Dissectione corporis bumani. Apud SimonemCo-
^^^^^Ê ItntPum, In-lnl. Fîi^.
^^^H 1546. CI). E^^iienne, LuDiâseclion du corps humain. Stm. de Colines.
^^^^
^^r H. f. 1599. J lleroard, Hippostolu$oe, ou Discours des osdu clieval. In-i.
^H a. 8. 1626. VeLerum Malhematirorum Opora, lat. ln-16. 4 jiarlicïs. dont
^H Apotl(mii Pergœi Conica^ et M. àferspnnit Sffnopsis Âfathema-
^H
^^Ê n. s. 4516.' Eiictidiitgeometrira Elemenla. In-fol.
PAR ORDRE DF. MATIPRES.
ti3
4567. J. Sleriii Ois<|iiijilio prn di<;nitate l'hil(*:ïOpliia,'Kuclideœ. In-1.
(503. Inlroduclio in AriUimct. Boutii. J. Cliditovoi Praxis nuiticrandi.
Bovillr Inlrwiiictio in Opometr. J. Fiibri A^lronotnicoii. In-fol.
lolO. J. Fabrj Kpilnme Arilhmptirœ Boetii. Jn-f«l.
I5U. Kadeni. In-fol,
1507. Textits 6c Sfvheni Johannis de Sarrabosro, et Geomotria Ku-
cUdiiï. lii-ft>L
loM. Idem Lilivr. In-fol.
me. Ideni.ln-ru].
1529. CulheberLl Tonslalli de Arle suppulaiidi Libri. lu-4.
(635. lidem.ln-4
4538. lidem. ln-4.
15H. (IharlnsBovilIc, l'Art et science do (j«^métrie. In-4.
\$n. J. Fabri Introductorium Astronomicum. In-fol.
Sans tiatf. J. Miirt. Foblacionrie usii Ai$trolabii. In-i.
1511^19. Alberh Pi^hii ndver&us pro^noslicatoruin vulguâ Aâlrulogis
Dcl'oiisitj. ln-4.
4623. Fr. deC^uvij^ny. Réfutation de l'Astrologie judiciaire. In-8.
159tf. Diâl'ourï àur lo fait de Marthe Brosâiei'. prétendue démoniaque.
In-8.
1676. Leçons de porâpcctive, parj. Androuet du Cerceau. In-fol. fîg.
16Î9. Lo Jardin de la Noblesse françoise. — Le Théâtre de France (Cos-
tnmes). In-H. Fig.
BXI.Z.S8-&STTaX8.
A. ne
1539. Alphabetuiu hebraicum. lo-8.
4544. Idem. ln-8.
4550. Idem. ln-8.
4654. Idem. ln-8.
Sans date. Idem. In-S.
4559. Idem. In-g.
4566. Idem. In-g.
156ti. Idem. In-4t.
1628 Alphabelum grîBcura,& hebraicum.In-8.
4539. Idem, ln-8.
1600. Idem. ln-8.
4567 Rodolphi CevalieVii Hudimenta hebraic4e linguie. ln-4.
4549. S. Pagnini Ini^tituliones hebr&ica*. In-4. .
1546. Earum Abbroviatio. !n-8.
4556. Fjïdem. In-4.
1546. S. Papnui Observationes in lio^dm hobfEpam. ln-8.
1548. S. Pagnini Thésaurus lingu» sancl;©. ln-4.
15Wt. Phra8*»s hobrair,T . Thesaiiri linpuHi hrbrairœ altéra pore. 10-8,
iii
ÉDITIONS DBS ËSTIËNNË
K.
S.
1570.
a.
1554.
s.
455fi.
8.
15ti9.
S.
155i.
8.
1543.
S.
1^8.
S.
1550.
S.
1554.
9.
1566.
8.
1580.
3.
1555.
a.
1549.
s.
1549.
ft.
1550.
s.
155).
s.
156».
8.
1548.
S.
1554.
B.
1563.
ft.
1573.
S.
1581.
».
1568.
S.
1387.
C.
n.
1554.
U.
. s.
1572.
Il,
, s.
[circa
H
, s.
157.*î.
H
, 8.
1573.
H
. S.
1581.
B.
8.
1565.
H
. S.
1591.
N
. V.
1576.
M
. 8.
1520.
A-
S.
1541.
H.
8.
1533.
R
. S.
1533.
K.
. 8.
1549.
C.
S.
(557.
R.
S.
1530.
R
. B-
1531.
R
. S,
1533.
R.
. S.
1537.
n
, S.
1542.
R.
. 8.
ISt.H.
Eœdem PhniBoshebraica;. ln-8.
Compendium Michlolhebr.(jraiiiin.,aiJth. Hodulphu Bayno. ln-4.
N. r.ienardi Tabula in >n^innmticam bebrieiiiii. In-4.
GniiriiimlicH clialdœa Stsyra ImmanuelisTromellii. Iu-4.
An;;, r^ninii Inslitutionnii linguae.^yriacœ. ln-4.
Ali>imb<?tum grapcum. ln-H.(£d(ïiodu6iu.)
Idein.ln-S.
Idom. ln-8.
Idem. I11-8.
Idem. In-8.
Idem. In-4.
De puerili griiM'.ariim lileranim Doctrinn, tod. Enocouut. In>8.
Nie. Ck'MBrdi Itislituliuties lin;:uijt' grttt'a'. ïn-4.
Ejiiàdeni Medïlatioueâ praecanica?, si'orsim. In-4.
KfTpdont. ln-4.
Eu)deni Instilulioniis, cum nutisGuitlunii. ln-8.
Ea>dcm Instilutiones linguœ grasc», cuni Praxi Antesignam.
ln-4.
G. Buda?i Commeniaria lingiiaî grava*. In-fol.
Car. Sïeph, lalinae lin-^iic cum grava Collatio. In-8.
Henr. Slophani de abusu linguai graeca; Adnionitio. ln-8.
Eadem. ln-8.
Ili'îir. Sl^pphfini PHrdlt[M)m(*na grammaticaruragr. lingustnst.ln 8.
Th. Sinilli de liiiiiiia* j^ra^cau pruuunciutione. ln-4.
Ttiend. Iii'i'-i!i dp vora pronunciationc grœctt' linj;ua>. In-S.
Car.SLephani Dicliunarium luLini>-}:ra\-um. ln-4.
Henrici Slcphani Tliesaurns gravaj Lingual ; ejusdem .iVppcudii
& Index. 5 vol. in-fol.
1580.) Idem \Àhv\\ 5 vol. in-fol. Sintanno.
(ilo^'^aria duu e silu vetustaUserula. In-fol.
M. Terenlii Varronis 0[tera. In-8.
Eadem. ln-8.
J(»s. Scaligerî Conjectanea inTerenlium Varronem. In-B.
Henr. Stoplioiii Appciidix ad Ter. Varronem. In-8.
Venins Flarciis. SextUî* Pompeius Feslus. In-8.
Laurentii Vallenâiâ Eleguntia). lu-4.
Eeedem. ln-4.
Jodot'i Badii Epilome in Laur. Vallani. ln-8.
Laur. Vulla* Blegantiae cl de Sui ac Suu8. ln-4.
I^iir, Vallœ Elei^antio;, à J. Rohoamo carminé reddilaî. [n-8.
Ex'dem. In-8
D. Eraàmi l'araplirasiâ in Eleganliârum Libi'ut» Laur. Vallo:. — C-
Croci Karragu surdifforum verbornm ln-8.
Ideni Liber, ln-8.
lriemJn-8.
Idem ln-8.
Idem. In-H.
Idem, ln-8,
PAR ORDRE DK lUtltaUrS.
345
R. S.
-%. S.
P. 8.
K. S. ISiK. Idem. In-S-
<526. j£[iusl>(}tuitus de oclu parlihus oralionU. Iii-B.
1531. Idem, pdilio secuiida. auctior. In-8.
153i. Idem. ln-8.
1536. Idcin. ln-8.
«5.17. ldftm.In-8.
1547. Idem, lri-8.
15i9. Edem. ln-8.
1561. UU'iM. ln-8.
1582. Idem. ln-8.
1585. Idt^m. ln-8.
1587. Idoni. In-H.
1585. (dom, in Dialogi formitm miactu». ln*8.
153*J. .¥A'ii DoiiHli i^rammatici Cummt'nlHrii. I11-8.
1543. DonuU orspriiiui, sei'unda ;deDorhiirismo, &c. ltH8.
1531 . Nie. PeroUi Riidinipnta UiUn» <; ni m malices. In-4.
4531. Aldi Manutii Cirammatica latjua. In-i.
1538. r^roli Slepluinî NalursEî nominum, ex Frisciano. ln-8.
1540. Eîedcm. Iii-g.
1537. Naltim' pronomifiiim. ln-8
1540. Ëœdem. In-8.
1538. Nalurœ vcriwruni, cxPriscianu. I«-H.
1540. B,Tdpm. ln-8.
1546. Hîedem. ln-8.
1577. Eœdein. ln-8.
1580. Em<iem. In-M.
1537. Nalurit' iKtrticipiorum. !n-H.
1538. Eaedem. In-H.
1540. Ea>d(<ni. ln-8.
1538. Natiiraïinftnilivorum. gerundionim & supinorum. ln-8,
1540. EaHlem.In-8.
1538. NaturaïConjunClioniim. ln-8.
1540. Ea'dem. In-8.
1540. Nalurœ advcrUorum. ln-8.
1542. EîBdem.ln-8.
1538. Naturœ preepoâilionum & înleijecliunuui. iu-8.
1540. Eaedera. ln-8.
1543. J. Despnutmi prima para Grammaticœ. ln-4.
1550. Eadem. In-4.
Sans tinte. Eat\vm. ln-4.
1549. KudimentaJ. De^tpauleni. In-8.
1554. Eadem. In-8.
4556. EaduiD. In-8.
1566. Eadem. In-8.
1567. Eadom. In-H
1580. Eadeiii. In-8.
1583. Eadem. I11-8
1585. Eadem. ln-8.
!■ *^
EDITIONS I)KS ESHENNE ^^
^H n. 8. 15i^. J. Dfï)|i«iiU'rii Syntaxi:^. Iii-i. -^H
^^m 1oi6. Hailc'm. In-i. ^^M
^H s. 4550. Eadfiri. ln-4. ^^|
^H c. s. 453()-o3. KiKlciii. In-i. ^^|
^m c. s. 4564. Efidcm. ]n-i. ^H
^H U.S. 4537-38. J. DcvpauU'rïi Conuiieuiarii gruminatici. In-rol. ^^H
^H H. s. 1.135. J. Peltissonis ConLextuâ Dp^pnutorianieirraniinaUi.u!. ln-4. ^^M
^B 1547. Idem. In-H. ^H
^H s. 4559. Idem. ln-8. ^^M
^H B.s. 8dN5 daf^. Idem. ln-«. ^^^
^H A. g. 4529. J.pL*lltS3UiiiâItiidinienta laUnœGraiumalicœ. Iibi. ^^|
^K s. 4533. Eadem. In-4. ^H
^H R.s. 4547. Eadem.lii-8. ^H
^H K. s. Satisdats. H^doni. [n-8. l^H
^H c. ft. 4558. Ead<'m. In-H. ^H
^B c. s. 4559. Eadpm.lu-8. ^H
^H €.8. 4560. Eadein. In-R. ^H
^H R. s. 1535. J. PollUsonm Uodus examioaDdo; ConsLruclionis in Oraliooe.^|
^H 1
^H R-s. 1535. — Altéra editio.In-4. ^H
^m 1544. Idem Liber. In-8. ^H
^H R.8. 1547. Idem Litx^r. In-H. |^H
^H R. s. Sanx ^âf^.. Idem Liber. Iii-H ^^H
^H ft. s. 4586. Idem ln-8. ^^M
^H H. 8. 1526. Phil. MelanchthoniâGramniatica lalina. tn-H. ^^Ê
H[ B.s. 1327. Ectdem. ln-8. ^H
^ft R. 8. 1538. Eadcm. In-M. ^H
^^B n. s. 1529. Fùidcm, mullum aucUi. In-K. ^^^|
^H H». 1528. Phil.MelundiLboniâSynUixi:). ln-}4. ^^M
^H AS. 4529. — 5ynlaxis& iVfisodia. Iti-H. ^^M
^H ft. s. 153^. — (îrammalica lalina, Syntaxis. lii-8. ^^H
^H tt. ». 4539. — (jnimniatica latiiia. SynUtxis, de pcriodi^s &c. lti-8. ^^M
^V* n. 8. 1541. Eadem.Iii-B. ^H
^B R. s. 4543. Eadem. In-S. ^H
^K R. s. 4548. Eadem. ln-8. ^^M
^B R. s. 4550. Eadem. In'8. ^H
^H R. 8. 4536. Th. Linacri RudimenUi i^ranimaticcs. ln-4. ^^H
^H 8. 4537. Eiulcm. ^H
^H R. B. 4538. Eadem. li)-4. ^H
^H B.s. 4546. Eadem. In-8. ^^M
^H R.a. 4547. Eadnm. ln-4. ' ^^Ê
^M R. s. 4550. Eadem. ln-8. ^H
^H n. !i. 4527-28. Th. Linacridoemendata slriicluru latint sormoniâLibri. ln-4. 1
^m R.8. 4532-33. Idem Liber, ln-4. J
^B 1537 Idem In-4. ^M
^M R.8. 1540. Ideni.ln-4. ^H
^H 1550. Idem. ^H
^^^. R- S. 1529, \u([ex in Th. I.maeri l.ibrosde L<mendataSlnirliiiiildl.bcrm. In^J^H
^W
^^^^^ PAR ORDRE DE MATIÈRES. Î47 ^M
^R. s. 4530. Formula intermgnndi de tribus prsocipuis Grammalicoe ptirtibus. ^^M
^H
R. s. 1534. De ortoornlionis parljumConslructionv, c. Commcnl, Juaii Rb- ^^M
birii.ln-8. ^H
K. s. 1534. EjusiJtMii Libri edilio altéra. In-S. ^H
R. s. 4o3r>. Idf^m I,ibt>r. In-8. ^^M
R.s. 153K. Iik'iit In-H. ^H
n. s. 153U. tdom. In-8. ^M
R. «. 1543. Idm.In-8. ^H
R.s. t5is. Idem. ln-8. ^H
c. 8. 1557. Idem. In-8. ^1
R. ». 1580. Idem. ln-8. ^H
R. s. Sans date. Amoel alia vcrba gatlicc voisa, &c. ln-(. ^^M
^^B. ft. 1526. I>a maniorc de tourner en langue françoise tes verbes aciirz, pa&- ^^M
^B silz, gerundifz, &c. ln-8. ^H
^Ba. 6. 1528. La mi^me. It>-8. ^H
^■b. s. (."132. La mf^me. ln-8. ^H
^Bb. i^. 1535. La mi^me. In-8. ^H
^M. s. 1556. Lt même. Iq-8. ^H
^■b. 8. 1567. \j\ mi^me. ln-8. ^H
^■'B S. 15H7. La Id-8. ^H
^Hv. s. 1537. La manière du tourner on françoistouUHospeccsdr noms latins. ^H
^1 ^M
^By. s. 1540. U nii^me. In-8. ^H
^Hr. ft. 1547. 1^1 ni^me. ln-8. ^^Ê
^Hr. s. 1540. CoiijugaL:^nâ latines et rrançoisos. tn-8. ^^|
^Bb. s. 1517. De gallica verborum declinalione. In-8. ^^Ê
^Hb. s. 1545. Les dériinai.son» des iiom«« et des verbes, ^c. Ln manière de ^^|
^H tourner les verbes, &r. Iri-8. ^^M
^Br. s. 1548. Les'mémes. In-8. ^H
^Bb. 8. 1549. Leif mt^mes. ln-8. - ^H
^Hc. s. 1555. Lcâ niOrncît. In-8. ^H
^Bb. s. 1582. Les niâmes, ln-8. ^H
^Bi^-s. 1584. Leïi niL^mes. In-8. ^|
^* R.s. 1588. I^'s mêmes, ln-8. ^H
[ r.s. 1546. Les Principes et premiers Eli^mens de tn langue latine, tii-8. ^^M
^■B. s. 1549. l>es mêmes. In-8. ^H
^Bb. s. 1580. Les mêmes, ln-8. ^H
^B R. 9. 1585. Les mêmes. In^. ^H
^f B. s. 1549. Principia, sivo prima latina: linguieElomenta. ln-8. ^H
^ R.8. 1561. Eadem. ln-8. ^H
L R. s. 1580. Eadem. In-8. ^H
^B R. 8. 1586. Eadem. I11-8. ^H
^B c. 8. 1553. Principes de la langue latine. In-8. ^^M
^H c. s. 1555. Car. SU'ptianiKudimentum lattno-^allirum. tn-8. ^^M
^H c. s. 4559. RtidimiMila latino-galtica, cuni acceiildiii>i. In-B. ^^|
^B ^•^' 1^<^4. Kndem. ln-8. ^^Ê
^B h. s. 1585. Eadem. ln-8. ^M
V
ni
^H «48 tDlTIONS DES BSTIENNK ^H
^H B. B. [M. Corderii) Bxempla de lalino declinalu partium oralioniâ. ln-8. ^^1
^H H. s. M56-i). Mat. Corderii RutiiiiienlaGrammaticap.Appemliseju*i<lem.In-8. J
^H H. B 1530. Mat. Oirderiuâdfî romipliàermonisemendulione. lit-8. ^^m
^H 4531. Idem. In-H. ^H
^H 1533, Idem. 1ii~i. ^^H
^m R. s. f53i. Idem. ln-8. ^H
^B R. s. II>3G. Idom.ln-». ^H
^H R. s. 4536. Ideni, rrtmadditamenltô. In-i. ^>^V
^H R. 8. 45i4. Idem Libor sub hoc tilulo: Commonl. piieronim de qnotidiano 1
^H sennoniv Carmen Pariciielicum. In-8. 1
^m R. 5. 1550-51. Eiidem. \n-^. Editiodubia. J
^H R. «. 1558. Eitdem. In-H. ^^J
^H ir>H(). Fadom. In-8. ^^Ê
^H R. a. 45i6. PriscianiUbellusdcaccontilxjïi. In-i. ^^M
^H A. 9. 4526. IdpmLibelliis. In-8. ^^M
^H R. s. 4527. DifFu'iliuniaix-ciiUium Com[K<ndiuin. ln-4. ^^M
^H p. s. 4n38. Der(>{-l:ilïitiniscrmoat^ protiunctaliono d Sicriptura. lft-8. ^^B
^H R. 5. 1567-68. Th. Saiittiderprlalnlinn^lIn^usscripUone. In-8. ^^M
^H R. s. 45iO. Jouîmes Tluodurus du Mihi el Nihii. tum ^ribcndis, lum prorft^H
^^H ^^H
^H U.S. 4526. R. D. Andn<uï(Guania}) Deltum (îrammaticale. ln-8. ^^M
^H R. s. 15i8. ^H
^H n. s. 1532. Idem. In-H. ^H
^B H. 45:t6. Idem. ^H
^1 R. s. 1539. Idem. In-H. ^H
^H 455t). Idem. ^H
^H R. 8. 1533. Car. bovilli Liber do diSerenlia vutKariuin Ltaiîuarum. In4. ^^|
^H A. s. 1532. DicLitiiuirium, seulatinaïliaguseTheâauruâ. iD-fol. ^H
^H 1536. Idem. In-ful. ^H
^H R. ït. 4513. Idem. 3 vol. iii-fol. ^^M
^H R. s. 4553-54. Ambrosii i'alcpini Dictionariiim. In-Tol. ^^|
^^M es. 1557. Car. Stopliani Thésaurus r.icfi'onianit.'^. lu-rol. i^^H
^H es. 1553. (C. Stepliani) Dictioiiarium Itistoricum acpoeiictim. In-i. ^^f
^H R.,s. 1544. Diclioiianum proprioruiit noiiiinum qusj in libris prophaois le- |
^H guntur. ln-8. ^^J
^B R. 8. 1560. Idem, uuctuiii. ln-4. ^H
^K R. s. 1538. Rob. Stophani Dictionarium latino-gallicum. In-fol. ^^H
^H s. 4543. Idom. ^H
^H R. s. 1546. Idem Dii-tionarium latino-^allicuin, locuplotius. lii-foi. ^^Ê
^m s. 1552. Idem. In-fol. ^H
^^B Editio dubia. ^^H
^H es. 1552. Dirtioiiarium lalino-îïaUîcum. In-fol. ^^M
^M r. H. 4560 ou 45t^1. Idem. In-fol. ^H
^^Ê C.B. 1564. Eadein <!diliu. In-fol. ^^^|
^^m R. fl. 4539-40. Dictionnaire rraiiçois-tatin. ln-ro1. ^^^
^^B R. .S. 4549. Le mt^me, cum);é et augmenté. In-fol. ^^|
^H R. H. 4544. LeMMOtb françoi^ selon l'ordn^ des lettres. lr>-4- ^H
^^^^^ R. s. 1547. Le m^me livre. In-4. ^^M
PAR ORDRE DE MATIERES.
349
H H. s. 1557.
■ B. S. «557.
■ es. V6h9.
■ n. s. 1559.
■
■ 1544.
■ n. s. 1547.
H R. ». 1550.
■ es. 155?.
V H. 8. 1557.
R. s. 1531.
n. B. 1547.
^m B. S. 1557.
■ B. s. «558.
^1 B. 8. 1569.
■ a. s. 1558.
■ B.8. «569.
■ U.S. {1565
1 a. s. «569.
H 11.8. (1578
H H. p. 1579.
■ ILS. 1582.
^1 R. S. «568.
H s. «624.
H B.8. «630.
■ R. 8. 1545.
■ 1530-
H
H B. s. «527.
■ B. s. 1529.
^B 8. 1527.
■ R.9. 1529.
■ s. «534.
■ R. s. 1537.
■ 1547.
H es. 1555.
■ h. 8. «55«
■ R. 8. «55«.
■ R. s. «532
H 1536.
^1 H. 8. 1542
^^_ B. s. «546
Diclionnairu fram;oi?-lnlîn. In-4.
Le mémf Uvrr «otM te litre de PelilDirlionnairc. In-4.
Petil Dictionnaire franrni«-lalin. In-i.
Le tm>niï». ln-4.
niclionariolum puerorum. lri-4.
Idem. In-4.
Idem. In-t.
Idem, aiiclum. !n-4.
Idem, denuo awctiim. !n-4.
Idem Dirttonarioliim puerortim tatino-^allicum. Dictionariotum
gallioo-latinum. In-4.
J. Sylvii Ambiani in linp;nom galliram Isagoge. în-4.
De gallira verbnnim Dechnaliunc ln-8.
Rob. Eslienne. Tnuett; de la graiiunaire françoisc. In-8
La môme. !n-8.
Le m^me. ln-8.
Idem, latine versus. In-S.
Idem. In-8.
) Henry Estienne. De la Conformité dti langage François avec le
f^rec. ln-8.
I^ïTiéine. ln-8. •
.} Deux dialoguent du nouveau langage françois lUilianisé, (par
Henn Eslienne.) In-8.
Henr)' Eslienno. Précellence du langage françois. ïn-8.
Henr. Stephnni HypomnnsesdH gallica lini^ua. ln-8.
Th. Smith de rerta et rmendata lingiia? anglicaB seriptione. In-4.
, La Rïi<^tori)|iK'd'AriMote, tr. jmr Rob. Estienne. In-8.
La ni^me. ln-8.
Manuel Moschopulus de ralione e.\aniinanda! orationig, gr. ln-4.
3«. Rhclores latini : P. Rutiliii'> Lupus, de figuris SenLcnliarom.
Aquilu Romanus. Julius Ruânianus. ln-4.
lideni Rhelores. ln-8.
Phil. MelanchlhonisdeArtedicencUDeclamaUo. In-8.
Eadem. ln-8,
PliiL Mfîanchthonis de Rheloriru Ltbri III. In-8.
Idem Lih<*r. Iii-s.
Idem. !n-8.
Idem. ln-8.
Cbrisl. Hogendorphini Helhodus conscribendi epistotas. Drag-
inata Rhetorica. In-8.
Eadcm Methodus, &c. ln-8.
. G. Cassandri Tabula; Rbeloricef . In-8.
. (J. Cassandri Tahulce prfecpptinnum dialerlicanim. ïn-8.
, Pelri Moscllani Tabula.' de schenialibus et tropis in Rhetorica
Ph. Melanchlhonis. ln-8.
Ea-dem Tabula*, ln-8.
, Eaedem. ln-8.
. Eœdem, ln-8.
83
«50
ÉDITIONS DES ESTIENNB
a. s.
1548. Jooch. Fortii Rin;^eltiert;ii RheLor»'^. In-8.
1S70. C'^nriones, sivcOriilionetf ex gruxU, latinisque historiciA. In-fol.
<575. Oralorum vHeruin OrdUoiics, (;r. In-foi.
IIHiT. Polcinoni^, llimcrii, et alionini Doc la ma lion es, gr. In-i.
\ 593. lâocrati>j Orationo» el Epistola;, gr. cl )at. In-fol.
1604. Lsocralis Oralionps. gr. et. îal. ln-8.
<56"2. ThemUtii (Irationos, gr. In-8.
1604. Aristidis Orationo?. i;r. et ial. 3 vol. in-8.
I6H. EaerJom. 3 uil. in-8.
1538-39. CiceronU Oppra. i vol. in-fol.
4&i3-44. Eadem. 9 vol. in-K.
1551-54-55. Eadcm. i vol. in-fol.
1531. In Ciceronis Libroide Inventlono Kaliii Viclorini Comin. ln-4.
1.537. Idem. ln-4.
Sam date. Idcin ln-4.
Kditio dubia.
4S53. Cicpro du Oratoro, cum Coinm. Audomuri Tulei. ln-4.
15Î7. Ciceronis OraUiria* pîirliliontv;. et rie nptimo gcnen* oratorum.
In-8.
1528. Effslem. In-8.
1R30. Ea?dem. ln-8.
1533. Esedem. In-8.
1530. M. T. Ciceronis Orator. ln-4.
1534. Mem.ln-^^.
Sans date. Idoiii. In-8.
1538. Idem. In-H,
1533. VictoriâPisani in Ciceroniâ Oraloreni Omin. lii-4.
Sam date Idem. ln-8.
1537. CJccrode Oralorp. In-lfi.
154(5. Ctcero do Oratore, de clari? Oraloribtia. &c. In-lfi.
1537. Ciceronis Libri de inventioneTopicfl. Partiliones oratoriœ. ln-16.
1528. Cl. Valla.' Commentarla in i'.iccronift Oratorias Partjliones. In-8.
1535. Eadem. ln-8.
1547. Eadem. In-«.
Sans date. Ad Trebaliuni Ciceronis Topira. In-^.
1528. Eadem CicxTonisTopica, rtim Boelii CommenUiriis. ln-8.
1530. Eadem. cttm Hejrendorphini Srholiis. EdiLio secundo. In-8.
1532. tUidcni, cum Boetii CtiiiiinenUtriià. Editio.secun(la. Ih-8.
1335. Eadem. Tprtiapdilio. ln-8.
1540. Eadem. In-H.
1o4î. Eatîem. ïn-8.
Sans date.. Eadem. lo-^.
Ciceronis Oratio in Pison«m. ln-8.
pro Arcliia poêla, pro M. Kunteio. In-8.
1539. proArchiapoeta,praM. Fonteio, Anloquamirei inexilitim.
ln-8.
pro M. Caolio.
pro A. Cœcina.
PAK OKOaE Dlî MATIÈRKS.
S54
R. a. 4539
Sulluâtii m
n.s. 1536.
c.H. 45î>3.
a. 8.
H. s. 45;U.
R. s. 4C09
1.8. 45^6.
ft.S. 1530.
«. S. 453i.
a. s. 4537.
a. 8. 4540.
a. s. 45r>o.
H. s. 4077.
M. p. 4S78.
Jt, p. 4578
c. s. 1555.
a. 8. 4537.
a. s. 4547.
a. s. 4528.
a. s. 1534.
B.B. 4537.
a. ». 454^.
a. 8. ir>if>.
a. 8. 1549.
a. 8. 4520.
a. 8. Sans
A. 8. 1618.
c. 9. 1551.
a. 8. 4546.
a. B. 4548.
H. s. 1557.
as. 154i.
a. p. 1580.
a. 8. loi7.
In^.
In -8.
llicerunis Oratk), pro A. Queotio.
pro L. Flflcco.
pro SI. Marcello. proQ. Ligario, pru rei^t* Dejotaro.
pro yuintio, pro Ro6do<X)mœdo.
pro It'Ke Maiiiliti.
proMilone.
pro L. MuriPnn.
pro Sexto Roticio Anierioo.
pro P. Sylla, proCornelio Balbo.
r.Jci.'roni'ni Orutio.
Cïuicuiie de ces pièces o>l de forraul ïii-« .
Ck'eronis Oratioiies inOtilinam. ]ii-8.
CJcerooiâinCatilioiiinOrulionfâOum|»ru:leclioniLiusP.Riinii.ln*4,
CiceronLs Oratio in (iatitinain. In-8.
In Ëandcm t.U>iiiiii. Sylvii. ln-8.
In Oïlilimiriii» CicoronLs invectivai F. Sylvii (^minenl-arii. ln-8.
Kr. IloU)iniini raniment, in CiteroniâOniltones. In-Ful.
Six ()raL*ons de Ucéron, tr. par Fr. JouieL. ln-8.
M. T. Ciccronis Epistolx fainiliarei!.
Eaîdem. ln-8.
Effidem. ln-8.
Eajdeni. ln-8.
Eœdcm. In-H.
Ea^em, cuiii Scholiis l*uuUMuniaii.
Ea*<Jeui. lii-K.
K^edoiii. In-16.
Eaxleui. In-8.
Ciceronis Epiâtolarutn familiahum liber secundus; laltne et gai-
lire. lu-«.
Ciccmnis EpJsloItTad Attieurn. lri-8.
Ciceronis Epislolm ad Atlicuin. Pauli Mauutii Scholia. ln-46.
M. T. ('iceronis Tusculana; QueDStiones. ln-8.
Eîcdem. In-H.
Eœdein. In-8.
EsDdem. In-H.
Cio«ro deOfficiis, Cato Major, Uelius, &c. In-IG.
Idem Liber, ln-8.
Cicero de Amieilia, rum Nolis Erastni. In-8.
date. Idem. In-H.
Lftiiua de Ciciiron, tr. par le Card. Du Perron, ln-8.
Ciceronis Parailoxa cum runrni. .\udomari Talœi. In-4.
Oceronis Sentenliai, et ApoplitiiefîniaUi. In-8.
Eadem. In-8.
Henr. Steph. Ciccronianuni Lexicoii greco-Ialinum — In Cicer
Ciwti?ation(»s. ln-8.
Qtiintiliani Inàlitiiliones Oratoriœ. ln-4.
^nintiliani Derlamalîones. In-A.
Epitome Rlielorices. exQuinliliaiio. ln-8.
tH
ÉDITIONS DES ESTIENNE
n.s. 1540
B. S.
<5Î7
B. S.
1528.
B. 8.
15Î9.
U. S.
(594.
R. S.
1640.
R. S
1621.
R. S.
1623.
n. s.
1621.
B. st.
16^3.
A. S.
1621.
B. 8.
1627.
R. S.
1629.
A. A.
1629.
A. S.
•!622.
n. s.
1621.
B. 8.
1625.
a. 8.
\Ui.
r.. s.
1553.
0. s.
Ib53.
H. S.
1516.
B. S.
1517-
B. 8.
Sans
R. S.
1541.
B. 8.
15i7.
R. S.
Sans
R. S.
1559.
R. S.
1559.
R. S.
1565.
B. S.
1566.
B. S.
1576.
B- S.
1567.
R. S.
1567.
R. 8.
1577.
R. S.
1567.
M. P.
1583.
U. P
1584
M. P.
15S4
H. P
1594
B. S
1611
R. S.
1612
n. 8.
1612
B. 8
1612
Christ. I.ongotii Oratio de laudibus divi Ludovici, atque Franco-
ruin. In-l.
. F. Thoma- Guiduirdi Oralio ad Clomontom VII. P. M. ln-8.
. P. Curjiii in Homa) excidio Deploralio. ln-8,
Eudcni. 1n-8.
, llenr. Stepli. Orationcs duae od Rodolphum hnp. adversus Tur-
cos. Francfordii ad Ma^nitm^ In-H.
J. Oijatii Oralio in funero Gas|uirisChastivi. In-fol.
Abolii .Samniarllmni Liiduviri XIII. Panog\TicU8. In-4.
Ejusdeni PanL'^ryrici edilio spciinda. ln-8.
Idem, [:r;t*ce redditus. ln-4.
, Abolii Samm. Pam.'p>rirus ullrr. ln-8.
Pétri Valenlisdo laiidilius Hoiucri Oratio, I11-8.
, EjustJem Volum prosahile l.udovirt Xlll. ln-8.
P. Valenlis Eloi;ia Lud. XIII ob ciipLïim Rupellani. Iii-H.
Fr. Potiot Panegyrirus Ludovico Xill prolriiJmpha(aRui>elia. ln-8.
Omtio liabita inCulie|^ioCameracvnsi.[n-8.
P. Berlr. Morigonii C>ralio, in CoIles;i»> Plessiï>0. IrHf.
Ejuridfim Pane{ryrit'i très in Ludovinim Justiim. In-8.
Messiro Jean do Bollay. llaittnjjOcs. Oraisons, Epi8lrc, &c. ln-4.
Orniiono di Cl. Tu1omnu<t rcciUU) dinanzi ad Heiirion II. ln-4.
. L'Orai*on du Sfiij^iicur Toloninifi, trad. d'iUilien. ln-4.
. Le Treijpas et obsc(|iics de François, Roy de l'nincc'. — Le^deux
Sennuns |>rononi.>ez 0:<djles obsèques, ln-8.
-48. Los inùnH«. ln-«.
date. LsA miMncs.liî-8.
. Pétri Caâtellaui Oralio in Funerc Francisci Régis. Iu-4.
. La mi^iiHi, trad. en fraiiçois. tn-i.
(/fl/f. SacrretCuuronnenicnl do Honri II. ln-8.
. De la Ho%4're. Deux Seriiionà funèbres es obsèques du Roy
Henry U. ln-4.
. Tres[wsptobàcq(icsdu RoyHonryU. ln-4.
. Galir. Kotinin. Ilarangur sur reiilretonement de la Paix. ln-8.
Loys lo tjiron, Paniigyrique au Roy Charles IX. ln<-8.
. Lo mi^me. In-8.
, Second PanL^i;yriqne. ln-8.
, TroisiL'me Panégyrique, ln-8.
. Les mêmes 2" el 3' Panég. ln-8.
. Remerciement à la Royni' niere. ln-8.
. JeanPa'vost. Oraison tum-brede (Jirislofle De Tliou. ln-4.
. Oraison funèbre de Mad. Aune De Thuu, [[mr Anl. Prévost de
Sanzac). ln-4.
. Oraison funèbre de la nu^nic. par Ik'naud de lîcaunc. lo-4.
. Guy Joly, p0nég)Tique au Uu\ llcucy IV. In-d.
. Oraisons funèbres siu- le tr(»s|»us de llonry-le-Grand. In-8.
. LeDesst'ind une Aciidéniie. ln-8
. La leçon fairte i^ii l'otivertiire de IWcndéniie. In-8.
. Proujmium Matliemuticum. In-8.
PAK OUDIU-; IlK MATIÈRES.
Î5:i
R. 9. 1613. IVéceptes d'A^zapctus. Mis i'ii rmnçoid par Luuj!<i \lil. lu-S.
ft. s. I5i7. Juiimiis Muriiieliii Tubiiliu in arliMii campoutiudorum vorsuum.
ln-8.
H. s. 1526. Ilulticrici Hiitleni Ars verBt&culoria. ln-8.
II. i». 4532. Gadem.ln-^.
n. s. Sansiiate. Einleni. In-8.
H. ». 4529. Vfnerumli Mijchecrier MethoduHtirlispoctic^. tn-S.
11. s. 451B. S|>ei-inien Epitliolonini i. Kavii^ii Tcxtoris. iii-4.
II. s. 15i6. Mat. Conleriiis deSyllabaruin 0^'^nl>^t<' In-H-
B. 8. 1550. Idem. ln-8.
K. s. 1556. IdtMii. lii-H.
K. s. 1530. DiotiumiriuiD poelicuni, uvDËlucidariuâCuniiinuip. lu-«.
n. s. 1535. Idi'in. ln-8.
R. ft. 1541. Idfm. ln-8.
». s. 1550. Idem. Id-8.
c-s. 1559. IdL'in. ln-«.
■.8. 1527. Ilior. Vida de Arte pwtica . In-a.
II,». 1566. PocUt tîrœci principt'S. In-fol.
M. s. 1566. Henr. SU'phuni Flohlegium Epi^ramriuitum vel^rum, gr. lu-4.
11.8. 1570. Epigramniata grjLTii, seleclaex .VDUiolo|j;ia. ln-8.
n. s. 1608. Epi^rainmaUi ex Anlhulo^iu lutine verea. ln-8.
GeMva^ 1593. Hauli Stephani Ver&ioneri epigr. gra^uurmn ADlliologi:e. iu-
vcnilia. ln-8.
H. s. 1 573. Hcnrici Sti^phani Voem philosophica, seu Reliquiae pocsis pliilo-
Sophie;!', gr. in-H.
n.s. 1588. Itomerutà, {^r. H liiL lloniorici Ceotoneâ 2 vol. in-16.
p. 8. 1601. Idcni. cr. el lat. 2 vol. in-16.
H. 9. 1573. Honifri t*l lïpsiodi OrUiinen. In-8.
u. A. 1554. Anucrfon, gr. et Int. Iii-i.
1. 8. 1566. Anacrcun. jrr. el lut. In-K.
U.S. 1560. Pindariist'l nlii orlo po(*Ui3 LyrkigriDci, gr.et lai. 2 part. Id-16.
H. d. 1566. lidern. Ediliu 11. 'i \ul. in-16.
q.s. 4586. lideni. £ililio III. 2 vol. in-15.
P. 9. 1600. Iidein. KdiliulV.ln-16.
p. 8. 1G12. lidpiTi. Kdilio V. In-IG.
p. 8. 1626. lidein. EdilioVI. lu-16.
p. B. 1599. l'indari Ciirmina, };r. et lai. In-i.
p. s. 1601. Lycophron, runi (lom. fl \rrsionL' liil. In-i.
U. s. 1579. TlmtHTÎti el ulioruin pueluruin Idyllia el aliu carnnna. ^t'. el bii.
In-12.
H. 8. 1677. Callinuichi Carmina, ^. cl lat. cuinselioliis. ln-4.
H. 8. 1574. Apollonii Rtiudii Ar;:(>nautica, p- ln-4.
R. 9. 1556. JUoschi. Bioni.'t, Theocriti idyllia aliqnot, ab H. Stepb. lalitia
facia. ln-4.
M. p. 1575. La Vénerie d'Oppian, tr. (wrElonMilOireslicn, In-4.
II. s. 1568. Synesii Hyinni, er.H lat. ln-32.
n s 1567. jÈschyli, Sophoclis. Euripidis Tmgaxlia» selecUi; , j^r. el lat. 3
vol in-IC.
^^
■3^H
^Ê i&l
ÉDITIONS DES ESTIENNK ^^
^H H. s. 15S7. JEschyh Tragœdiœ, gr. c. Scholitâ. In-I. ^^J
^H U.S. 1568. SopboclLsTrag(£<li£, gr. I11-4. ^^M
^H V. ». 1603. Supliuclfit, gr.ct lat.o. Schuliis. In-i. ^H
^H i>. s. f60â. Euripidt'à, gr. et lat. c. St-holiis. lii-i. ^H
^H A. s. 4 5ii, l.,aTra^(''dii^d'Eiirifmle, Keouba, (rad. en rhylbmc rrunçoiào, pjir
^H Laz. (ieBu'iT. ln-8.
^K . II. H. 4550. L» iiK^me. I11-8.
^H H. ». 1568. Ilciir. Slopli. Aiinotationos in Sophoclom ol Euripidom. ln-8.
^K 11 s. 1564. Fragmenta velerum PoeUirum lattiiaruiu quorum 0[)era iionex-
^m Uint.
^M M. p. 1577. Cniiillus, Tihullus ol Proiit^nius. ln-8. ^M
^H n. s. Vù'A^. Virgjliué. cinn M.S<.Tvii Qmmionlariiâ, &c. In-fol. ^^^
^H n. 153:1. Virgiliuii. ln-4. ^^Ê
^H B. s. 1537. Idem Virgilius. ln-(6. ' ^^Ê
^M I5i0. Idem. ^H
^m 15i9. ^H
^H it.s, (1575). Virgilii opéra novisScliotiUilluâtraUi. In-8. ^^M
^H II. s. 1583. Eadem. ln-8. ^
^H p.». 1599. Kadom. In-8.
^H k. s. 15^9. J. Pit'rii Val(?riani CuâtigatiDncBcl variclaU?s Virgiliauce. In-fol.
^H A.B. 16i1. BiK-oliqMOârie Virtïile tr. en vers,parP.doMarr;issus. ln-4.
^H ft. s. 1610. ParliiMln promier livre de l'Enéide, en YcrHfninçoiâ, itarlpr.ard.
^H Du Pi-rrun. In-l.
^B A. s. 1614. Parlie dti premier et du qiiïilriemp livre de l'Enéide, en vpra
^H françois, jwr le Cjini. Uu IVrron. In-i.
^H it. s. 1617. Les F.:îlranm*îi advmilures d'im i;rand Princiv Trad. du 1" livre-
^K de l'Knéide par De la Molhe Piifi^rtre. ln-14.
^H n. ». 1619. L'Empire de la fortune, TrmJ. du H" livrede l'Enéide, ln-14.
^H II. s. 4617. L'AuiuiH ellnniort d'une ]lu\ne, Trad. du IV« livre de l'Euéide.
^1 ^M
^H A. s. 4533. Horalit Arâ|)oelioicuii)Conimcnlaritg. In-i. ^H
^H n. H. i5't4. Honitiiis, eumComm. in Ariempoctîctnu. In-8. ' ^^M
^B s. 1519. lIor<tt)ii<4. ln-8. ^^Ê
^H U.S. 1575. Iluratius, cum novis Scholiis. In-R. ^^M
^H H. s. 1588. Idem. ln-8. ^^M
^B p. s. 1600. Idem. ln-8. ^^Ê
^B n. R. 1613. Idem. ln-1î. ^H
^H A. s. 1541. Ovjdii IleroidumKpifttolH!. In-B. ^^B
^H a. s. 1547. Ovidii Elesia deNuce. ln-8. ^^M
^B c. s. 455r). E<Klem.In-8. ^H
^B A. s. 16i5. L(^ lle;^rel.s d'Ovide, Ir. |>arJ.BinDrd. Iti-16. ^H
^H n. s. 1617. Plircdri Kûbulœ. In-i. ^H
^H M. p. 1579. Manilii Amronomicn. ln-8. ^^Ê
^B s. 1545. Lueanui^. In-8. ^^Ê
^H n. s. 1607. Florite^ium MarLialiii Epip-. gree{« vers. In-8. ^^M
^H n. s. 1527. A. PeràiiSatyra>^>\. ln-8. ^^M
^B H. s. 1541 EaMlom. ln-8, 1
^^^^ A S. 1527 Aelii AntoniiNehnssen9Ût(xiinn»onUuunn A. P<v8iîSalynift.lo-8.^J
^U
^^^^^^^m
1
^^^^^ PAH ORDRE DK MATlkHKS. ÏW ^J
^^11. s.' irurj. Jiivpnalis. Persiu». ln-8. ^H
n. ». 1549. lidem. I11-8. ^H
H. p. 15H5. PorsiusolJuvcnalis, c^mConimcntarii». ln-8. ^H
R. s. inii. Pon^iiJâ. ln-12. ^H
ft. s. 1(J1A. Jtivi-milis.ln-lî. ^H
p. s. iril.1. Prol>a^r»Iconi;cContonPS rie Otlm n08trsmyslerii<t.Tn-4t. ^H
K. s. 1529. Plaiiti 0)maHlkf>. In-fol. ^H
R. 5. 4o30. Ejetlem. In-fol. ^H
R. H. Â'tiruï date. Amphitryn et ali.-p aliquot Comœdù'D. In-fol. ^^M
H. s. 1504. Ouf'roltis, anliqiiu r.oinœilin. Iii-H. ^^M
B. B. Ï529. Toronlius, ciimCommpntariiftDonati pialiorum.ln-fol ^H
R. s. 1539. TiTeiiIi(is,cuin Donati c)r;>tim<*n(is. In-fol. ^^|
R. 8. 15.11. IrJoni. ln-8. ^H
^K^. s. 1533. Idem. Ou»rta (?ditio. In-8. ^H
Hb- s. 1534. Idom.QijarUi editio. In-8. ^H
^n. s. 1535. Idem. Of^rLa f^lilio. In-8. ^H
^Kn. s. I53G. Idorn. rum CoinrnenUirîis. In-fol. ^^|
^^ R. s. liiil-iâ. TerouLiiw, ciim ('ommonlariU. In-i. ^^Ê
. 1».». 153B: Idem, sint'Coiiiin. QJuinlJi t^itio. In-H. ^^M
^^11. s. 1538. ldi>ni. St>\taeditio. In-8. ^H
^Pv.s. 1538-39. Idem. In-i. ^H
^ B. «. 15l0-il. Idem, ln-24. ^M
1 R. s. 15ij. Id(^m. In-8. ^H
Bs. s. 1550-51. Idem. ln-8. ^M
Hr. h. Idem.In-8. ^H
^H EitHin ^^M
^Hy. s. 15il. Andria Toivulii. omni intcrpretalionis ^nere facilior tfTtvUi. ^^M
■ ^M
^Br. s. 1516. Eadem. In-8. ^M
^■r. s. 4547. Hiidoin. In-8. ^H
^H«. s. 1548. Ead<'m. ^H
^H 1542. L'Andrie, deTérence, tr jmr Ch. Ë.4tienue. In-1(>. t^^Ê
^H R. H. 1537. J. Snnnn/nriiis dr p.-irtii Vtriïinis, PiC. In-H. ^^^
^H R. s. 1537. Salmunii Marrini llymnorum libii sex. ln-8. ^^M
^H R. H. 1540. Salmonii.Macrini nyinnoruiti libri 1res, tii-8. ^^M
^m A. s. 1546. S. Macrini Odunim'lihn très. J. BfUaii Card. Po^mata. In-8. ^H
^^ R. ». 1538. Commenlarius capta? Urbis, Poematia duo. Ïn-H. ^^M
R. ». 1539. Idem liber. KdilioalUTa. ln-8. ^H
R. s. 1550. AnI.KIaminii de Hebus divinb Carmen. Iu-8. ^^Ê
. R.8. 1548. TbwKJ.Bw.îiîPoemaUt.In-S. ^H
^B II. S. 1569. Tbeud. Beza* l'wmaUi. Uuohanani Cannïna. ln-8. ^^Ê
^P H. s. 1576. Hadem Th. Dez,T Puemala. In-H. ^H
^^ n.s. 1576. 0»* ad Beza» PocmaUiarccsaerunl. ln-8. ^^|
H. s. 1585. Ëadem Poemata. ln-8. ^H
n.s. 1597. HadeniTh. Geza? Poemala. riim .\ppendJce. In-4. ^^|
^^ R. 8. 1550. EpiUiphiaCI.Guisiitri ni (lard. J. Lutharingi, aiit. J.Richio. ln-4. ^H
^H n. c. 1558. Jo. Aiirali triomphales Odœ. ln-8. ^H
^H R. 9. 15''>8. (Mirh. Ho^italiijCarnK'ndeOdetl A Giiin>Texpiignatione. 1n-4 ^H
^^^^1
^n soe
EDITIONS DES ESHESNE ^^
^H
«585.
Mich.Ilo&pitaliiEpistoIx. In-fol. ^^1
Plusieurs pi^cos do vi'rs lalins ol français, FpuiIIc in-fol. ^^M
^H
1558.
G. Buchanani Carmen de Caleto ob Uenrico II nupcr rcocpta. ^1
In-H. 1
^H
1567.
G. Buchanani Sylva», Eloiîtae, Ilondecasyllabi. In-in. ^H
^H
1570.
G. Duchanatii PocuiuU), &o, In-16. ^^M
^H
1379.
EjiiiïLiein Jeplilhc:i, f<r. In-IG. ^^M
^H
1573.
Jcpbthe, trag. de G. Buduirian, Irad. en françoU. In-S. ^H
^H
i:i06.
La m(>me en vers, par De \e^\. In-8. 1
Ejnsdeui Buchanani Franrisranua, Elegiai et alia carmina. In-8. 1
^H
1584.
^H
156i.
Bob. Stephani EpiUiphia, aut. Henr. Steph. FPuillo in-fol. 1
^V
1564:
llonr. Slepli. Epicedia in funtTo uxoris. Fouillo in-fol. ^^Ê
^V
1567.
(P. M. Bonda^i) ^oltI■otu^ Meni'us. In-4. ^H
^B
1569.
Sillaci Ca.striPi Tumiilus. Le Tuinbpau du S' de Sillac. In-8. ^H
^H
1572.
Julii Ca^. Scatigeri Pociiiata grax-a et laUna. ln-8. ^^Ê
^K
1574.
Eadom. In-8. ^H
^H
1576.
Ant. Murrti I{)iiini sach. In-16. ^^M
^H
1577.
Bemigii Bella(p]pi Tumulus. ln-4. ^^M
^H
1577.
J.Â. Baifii Carmina. ln-12. ^^Ê
^H
1580.
JbhannisThuaniTuiiHiliis, In-i. ^^M
^H
1581.
VA. Uiiiet Oratio motrica pcslilonlis temporo. 1n-4. ^^Ê
^H
458t.
Cl. Guin.Ti Cera. ln-1 . ^^M
^H
15H2.
Otboni:; Ttirnchî Tiimulus. In-8. ^^M
^H
1583.
CliristtipliOri Tluiuni Tumuliis. In-4. ^^M
^H
158î-8i. P. A., Barî;a.nSvTiadosUbri IV.ln-foI. ^H
^H
liîHJ.
Vmniiâ Utîoliau.s dp iltiislrvitiono urltis Klorpntix. Tn-fol. ^^H
^H H
1D80.
SctCvolitSiimimirlhani l\(.iiuliu]ihia.' lîbri duopriores. ln-8. ^^|
^H
1584.
Ejuîidpm PjpdotrophJa. In-i. ^^M
^H
1587.
Sca^voliL'Sainmartliaai Po<^mata. ln-8. ^^M
^H
15B4.
J. A. Thuani Hierac(}>upbJon,sivede re accipilrana. In-i. ^^M
^H
1587.
Ejuftdom Ilipracosophion. ln-8. ^H
^H
1588.
Jubuîf, poLHica Metaphrasisiac. Auc;;. Thuani. ln-8.
1590,
Henr, Sipphani Principuni Monitrix Musa ; Pocnia. Basikœ.lnS.
1592.
Do Marlinalilia Venulione. Henr. Stephani Epigraniniata ln-4.
15%.
. Henr. StPphani Carmen de Senatulo rœniinaruni. Argmloraiij
Sertramus. In-4.
^^^^ II.
1597.
Lpctii iat'obi Jonah. In-i.
^H
1602.
P. Stephani Votiim proff^lieiilinerc Landgravi Maurilii. In-i.
^H
1597.
J. PasseraLii Calenda> JaniiariEe, ln-4. ^^m
^H
1603.
~ Ea>dpm. In-K. ^^B
^H
1597
, Abelii Sammarlliani Poemala, In-8. ^^M
^H
4627.
Ejusdem Lu^ii:^ Ku^is venalonus, lat. & gall. In-4. ^^|
^H
1607.
Claiidii Piitpani Tiimulus. In-4. 1
^H
, 1595
. Valiciniîi Joelis, Amo?i, ANJifc, &c. poclicamolaphrabi illusirala, 1
a J, A. Tltuano. In-8. 1
^H
, 1595
. Ejufwlpm l'arabatji vinptus, IraocBdia. In-«. ^J
^H
1599
, J. Xw'^. Thuani Paernala sacra. In-12. ^^Ê
^^^^ A.
1609.
i. A. Thuani Crambe, Vioia, &c. In-fol. ,^^H
HAIt (IHDKE DE MATIÈRES.
♦S*;
fc. »:
1611
a. 8.
1fi12
n. B.
IGfO
H. s.
1616
K. B.
1621
A. S.
1620
J. A. Thuani Crainbf^, Violu. Litiuin, Pblogis, Terpsinoo. Iii-i.
Siwric.auct. J. A. Thuano. In-fol.
Nie. Borboiiii Intiugoralio Ludovic! XlII. In-i.
i. Riiuiill Tuiniilus Aetiiliis Hiirla'i. In-i.
lliip;onis GrotiJ Sylva a<) Fr. Aug. Thuaniim. In-i.
MufTici Cunl. Barlicrini PoenmUi. In-i.
Eadcm. ln-4.
Fr. (Hariffii) Arch. Rothom. ad Urbanum Vtll gratulatorium Car^
mon. In- 4.
Peiri Valeoliâ Soena lacr^'niarum Hcraditi & riâus Democrili.
In-».
Paiili Bcrlii ad Ludovicum Xlll (Me. ln-4.
Ejusdciii Odeudcuindein. In-4.
Ileniiinli Do l;i Foiirïa<lo llorlnliis relrogradorum carminum-
In-4.
EpicharmaUi Mitsariim in Carolum Pnnctpeoi. In-ful.
Cl. Kaui'het. Onginrd*' la hini^iie ctimésie françtiisi>. In-4.
Cl. dn BulUil. Ei»ilimhimf de Philibcil, Duc de SuvDyL'.ln-4.
Discours au Duc de Savove. Chant Pastoral à la Dndiessef &c.
In.4.
Ch. Ctenhove. Epitapbe do Henry )1, en douze langues, &c.
In-4.
Sonnets, par Cil. d'Espinay. In-i.
Hcmy Bolleau. Chant Pastoral. In-4.
Sylva, »eM Veritits fugienii, latine» ex verâibus Gallicis Remigii
Bollaquei. In-4.
Reniy Belieau. Les amours et vertus des pierres précieuses, &c.
ln-4.
Œuvres poétiques de Remy Belieau, tome premier. — Anacreon.
trad. (»r le n>ôrae. Seconde partie. 3 vol. in-12.
Les mûmes. 2 vol. in-12.
P. de Courcelles. Trad. en verâdu Cantique des (antiques et des
Lamenta tiuois de Içremie. ln-16.
Lejt mômes. In-4.
DeQiunvallon. Paraphrases sur le Cantique des Cantiques, et au-
tres pofeiw. In-8.
Ub. de Villiers. Le Trophée d'Antoine de Croy, prince de PorUan.
In-4.
Jacq. tirevin. Proesme sur Thist. des François et hommes ver-
tueux de lu maisun de Modici. ln-4.
De la Barte. Mort de Lucrèce et de Virginie. In-8.
J. Ant. doBaïf. Le premier des Météores, envers, ln-4.
J. Ant. deBajï. Uiuieâ, eiiseignemens et proverbes, ln-16.
Hymnes Génethliaques sur la naiss. du Comte de Soisaons. In-4.
Tumbeau de Ma<l. Elisabeth de France. In4.
Est. Pasquier. Sonnets sur le Tumbeau du Seign. de la Chastrc.
ln-4.
EpiUiphe de Gilles Botlrdin, par le même. ln-4.
A. s. 1633.
A. s. 1623.
K. S. 1633.
A. s. 16iî.
A. S. 1625.
A. s. 1641.
A.s> 1647.
M. P. 1581.
«.S. 1559.
K. s. 1559.
a. 8. 1560
■.s. 1560.
B. (t. 4560.
ft.B. 4561.
M.l*. 1^76.
«.p. 4578
M. p. 1585.
R. s. 1560.
1. ft. 1564.
«.s. 1625.
M. s. 1567.
R. S. 1567.
1. S. 1567.
1.8. 1567.
M. P. 1597.
a. P. 1568.
1. S. 1569.
R.s. 1569.
R. S. 1570
S58
EDITIONS DES KSTIKNNE
M. I*. <574. Le premier vol. (les (JEu\Tes poétupif^ d'Ksticnne Judelle. In-i.
M. p. <&83. Mesiaii^ies poétiques d'Esliciine J(m1*'1Ic. ln-(i.
u.f- 4575. Les Œuvres poétiques d'Ainadis Jamyii. In-i.
H.p. 4575. Les nii^ine^i. ln-<2.
M. p. 4577. Les moines. In-1 2.
M. p. 4579. Les mêmes. \n-Ai.
M. p. 4582. Les mêmes, augmentées, ln-42.
M. p 4579. Les OKuvreA|>oétiqueâ de ScRvole de Sainte-Marthe. !n-4-
R. S- 4575. Les premières (Euvres de PliiL Des-Porles. Iu-4,
M. p. 4578. Les marnes, ln-4 2.
M. p. 1579. Les mômes. In-4.
M. p. 4583. Les mômes, ln-42.
M. p. 1587. I.,e3 mêmes, au;rmenlée9. ln-42.
M. p. IfiOO. Les mômes, ln-8.
M. p. 4592. Soixante Pscaumesen vers françois, par le même. ln-8.
H. p. 4598. CentPseaumes.Canliqucs, en vers françois; Poésies fhreAtienneR,
Pnéres, Méditations, par le mémo. In-8.
M. p. 4B0I. Poésies chresliennes, par le mtMne. In-li.
M. p. 1601. Pi"ieres et Méditations Chresliennes, par le même. In-12.
V. p. 1603. Les 450 Pseaumesde David, mis en vers par Phil. Des-Porlcs.
— Poésies chrestiennes. — Prières et Méditîilions chnstïennes,
par le même, ln-12.
V. p. 1601. Les mêmes. In-li.
M. p. 1577. Anselme du Chastel, Notables senlerices de la Bihie, on qua-
trains. In-i.
K. p. 4577. Christ. Du Pré. larmes funèbres, ln-4.
H. p. 4584. Les Vers du sieur de Pybrac Iu-4.
R. 8. 1587- Robert ËsLienne. Vers au comte du Houcliage. [n-4.
B. 8. — ■ — à M. de Villeroy. In-8.
M. p. 1595. — — au Conneslable de Montmorency. In-4.
H. p. 1.595. — Les Larmes de S. Pierre, &c., en vers. In-S.
R. S. 1606. Les mêmes. In-8.
M. p. 1595. La Vallée. Paraphrases et Méditations, en vers. In-H.
M. p. 4597. Le premier livre des Poi-mes de J. Passerai. In-4.
▼.p. 1602. Le même. ln-8.
M. p. 1601. OEuvrespoétiquesdeJ.Bcrlaul. In-8.
V. p. 1602. (J. Bertaut) Recueil de quelques vers amoureux, ln-8.
Phil. P.ieOfi. Les mêmes, ln-8.
V. p. 1604. Institution d'un prinre, poème, par Desyveleaux. In-4.
R. s. 16H . Poésies sur le trespas de Henry io Grand , recueillies par G. du
Pi'vrat. ln-4.
R. g. 4629. Œuvres pfjétiques de Sainl-Amand. In-4.
R. s. Sans date. Guill. Bouchetel, Fable de Cannus cl Biblis. In-8.
A. H. 1634, Lîi Journée du [lénitenl, en vers franrois. In-lî.
K. s. 4634. Les Diverlissemens poétiques de G. Colletet. ln-8.
A. 8- 4643. Olivier de la Trau. Pourlraicl du Card. Orimaldi , en vers fran-^
çois. I11-8.
R. s. 4560. L*Olimpede J.Grevin, \e. I«-8.
PAR OnDRE DE MATJEHËS.
i &e7. 1^ Brave, ConrfHlie de J. A. do Baïf. I11-8.
n. s. 16U9. Siden*, Piïslort'lle, par leSr. trAinbillou. lii-H.
h. S. 1568. Pon'ie,Traï!«li«' de Robert Garniet. Iii-H.
R. s. (573. Hippolyie, Tragédie, du mt^nu*. In-H.
fc. s. (574. Lu jut^mc. ln-8.
n. s. 1574. ^ornélip, Tra;*édÎP, du mt^me. I11-8
M.!». Ï57K. ÎUyn'-Aiiloine, Tnigédie, du mi^me. I0-8,
M. P. 1578. UiTroade^Trji^iSlit', du même. hi-8.
H. p. 1579. La même. ln-4.
M. ï». 1579. AntiR(jnc,Trat;i'die, duinùmo. I11-8.
M.v. 1580. La m^me. In-8.
M. p. 1580. Bradamante, Tragi-C.omêdifi, dumêmo. ln-8.
M. p. 1580. Sedecie. Tragûdicdu nu^nic. ln-«.
M. p. 1580. Six Tragédies, du m(^mc.In-8.
«.p. 1582. HuilTruî^édies.duuicWnt!. ln-12.
M. p. 1585. Les mêmes. In-li.
». p. 158â. Ballet comique du la Hoyiie. lu-i.
n. p. 1587. Des Masures. Tragédies saiuUîs. In-I^.
H. p. 1595. Leâmt^mes. 1(1-42.
B. s 1628. De Sdielaudre. TyrelSidon,Tragi-Coiuédie. In-8.
A. s. 1649. Manassès, Tra!^ôdic,ln-ful.
H. p. 1589-90-91. La bolla Mano, librodi GiustodoCûnU. ln-12.
R. s. 1546. 1^ CoUivaliunedi Luip Alamuniii. Iii-l.
c. », 1540. ((ïli ln?;annatil Comédie (Ir. jmrCh. EsUenne). ln-1 6.
ft. 8. 1611. (jil Polo. Diana enanionida. In-IO.
A. s. 1611. Ouareiita Eni^mas Espaiiolas. ln-16.
n. s. 4546. iKwiii Kabulif', groeco. Iii-4.
B. s. 1527. Ëa'dem, latine. In-8.
n. ». 1529. Eœdem. In-S.
n. s. i:;;n. Ea^iem. ln-8.
R. H. 1545. iEsopi et aliorum Fabule, latine, [n-8.
R. s. 1625. Apuleius de Doo Socratis. In-16.
C.&. 155i. Dionysii Ilalic. Responsio ad Cii. Poiuf>eii Hpislolam
gTiew. ïn-8-
4556. Kadem Hespoasio el alia Opuscula, latine, ln-8.
1585. Auli Gellii Noctcs Attica;. Henr. Slepliam Noctes aliquot ParUinae.
Parisiis. In-8.
1585. Lud. Carrioni-i CouimenL in A. GHIium. In-8.
4585. Macrobiu*?. Pariniis. li»-8.
1588. MacrobiusdedifferentiisGraBciLaliniffueVerbi. PttriwM. In-8.
1577. Petronius. In-16.
1587. Idem. Id-1î.
1614. Uenrici StepUani Emendaliones in Petronii Epit;r. HeienopoU.
(1512). Cuil. de Marade tribus fu;;ieiidis, Ventre, Pluma et Vi-uere
ln-4.
4527. Phil. Melanrhthonis de corrigendts 9tudiis Sermo^ Rod. Agricola'
de formandis s(iKlii.<i Epi^lola ln-8.
(537 Idem Liber. In 8
&r.
S60
S.
46Î9.
S.
<5<î.
8.
4518.
8.
4549.
S.
4527.
S.
(529.
S.
4529.
8.
4530.
S.
45i7.
8.
4546.
8.
4549.
S.
4543.
S.
4556.
s
4567.
s.
4573.
8.
4566.
S.
4574.
9.
4575.
H.
S.
4G76.
n.
S.
4577.
n.
s.
4577.
H
a.
4578.
U
s.
1578.
H
s.
4589.
4600.
B
s
1586.
H
s
4587.
H
s.
1587.
4595
II
8
1573.
II
. 8
4576
M
P
4582
. P
1586
.P
1595
.P
4597
9
1620
. »
1647
. S
1568
. S
I5i0
. s
1566
. s
4551
Laurentii Valls io Pogiuni Antidoli libri iv, &c. Io4.
Apolu^ia Krasmi rontra Kîilomum. ïn-4.
D. Erasini .X^wlo^ia conira Latomum. Do vern nobilitate. De Iri-
biis fngiendis, Ventre, Pluma et Venere. ln-4.
Eadem Apolo{;ia. ln-4.
Sileni Alfibiadis, cum Scholiis J. Frobenii. In-8.
Des. Krasmi Lingua. In-8.
Dp8. Erasmi Paracleswad Chrisliunaî Pliiloso|ïliiîe sludiiim. In-8.
Des. Erasmus de recta laliur grspcique sermonis prununcialiooe.
In-8.
Idem liber; cditio auotior. In-8.
Erasmus de duplici copia verbonim. ln-8.
Ernsmiis rie civilitalemonim. In-8.
ErHsmns de riinticiondi^Epti^lulL.^. ln-8.
Jaooïji Cujiini obspn'alionum el einpndalionum libri ii. In-I.
Jani Parrhasii Liber de rpbu>per Episttjlamquœ^ilU. ln-8-
Idem. In-K.
Henri Eslienne. A[>alosic pour Hérodote. In-d.
Henr.Stophant francofoitliense Empnrium,. ln-8.
Henr. Stopimni Purodiaj morales, ln-8.
De Latiniliil* falsoîiuspecla, Evposlnliitio Ilenrici Slephani. ïn-8.
PseudiMjcero, l)Jalof;us Henr. Stei»hani. In-K.
Eptstolia, Dialogi brèves, Orutiuiiculœ, Poematia, &c. tam gr.
quamlal. In-8.
Ni7.ali(K)idus<^'ulu:>, Dialni^us ll.Slephani. !n-8.
, Henr. Sctiediusmuttini libri très. ln-8.
, Eorumdem par4alli>ra. ln-8.
. Ui'iir. Stepb.Sctiediasniata tl. adDicararchura. Awi.VinkUcAa-ii.
. Henr. Stoph. ad ScncKyc IcctioncmProdopoeia. ln-8.
. ïlonr. Sliiphanus dor.rilii'is vetoribusGneciset Lalinia. !ii-4.
. Ileiir, Slrph.di' i>eni* insliliiendis ijraîcai linguEPstiidiis. ln-4.
. (Uonriri Stejjhanîl de Jiisti Lîp-iii lalinilate. FrancofonUi . \n~H.
. Fr. llotoinuni ljll^'^tlt>num illirstrium Liber, ln-8.
. Idem. edilt4» ;uirtior. În-H.
. Jos. Scali^ert Eplï^lola adversus Inâulani poeina pro Lnrano.
ln-8.
. Jai. Scaligeri Aniniadversiones in Hob. Tiiium. In-8.
. J. PiisserjliusinDiâputalioncnide ridindiâquœeâtapudCicoro-
iTiPin. In-K.
. De t'a,'cilaleOratio. In-8.
. ApolOî-ie du S' de Lai>eyre (d'Auzoles). ln-8.
. Pliil. CatUcrii Exert.'iliUione^Ao3deniiniî. In-4.
. Apoplithe<;nuit{i ^ova Hegnut, Ducum , philosopliorum, gr. l*1
bit. ln-16.
. t^t'ntenlije singulis versibus ex poclis grteds. In-*.
. Ea^den». In-8.
. Senienlia^ velenim l*oetarum , |N.<r Georghiin Majurem in Itxxi^
rommiMu*sdii;i¥l«', ln-8.
i^^^^^^^^^^BH^^^^^^^^^^^^^^^B
^
^^^HP par ORDRE DE MATlI^RES. 264 ^J
H. 8. 4530. Sentenliœ et Proverbia px PlauU ctTorenliiCouiOîdiis. In-8. ^H
R. s. 1 534. SontentiaB ot Proverbia ex Ptauto. Terentio, Virgilio, &c.-In-8. ^H
R. 8. 1536. Eadein. In-8. ^M
R. 8. 15i0. Eadcm. In-8. ^H
R. 8. 15i8. Eudem. Iti-8. ^H
II. 8. (5(i9. Coinieonira Grœcorum Sentenliœ, lat. vereibus reddilïo. ln-24. ^H
^B A. s. tfiU. Menandri Ac PhilistionisScntcntiaccomparatic, gr. ln-8. ^H
^B U.S. 1573. Virtulum Km-omia, âJveGiioinsde virtutibus; ]^. et lat. ln-46. ^H
^H H. s. 1578. Honierici el Virgiliani Centoncs.Notinus in Joaii. Evang. gr. et ^^
^1 lat.In-16. J
^M a. s. I&aa. Catonià Diàlicha, cum ârhuliiâ H»(. Corderii. In-8. ^J
^H R. s. 15:U. Kjidcm. lii-S. ^H
^^ R. 8. 4536. Eadem, latine et gïilhce. In-H. ^H
L R. s. 4538. CatonisDislidia; DicUiSapionLumGraiciaî, a<o. In-8. ^H
^K 1^. s. tR38. Eadem. lu-8. ^H
^H F. s. 4544. Eadem. In-S. ^^M
^H a. 8. 4544. EademCatonJs Disticliii. In-K. ^H
^H R. 6. 4544. Eadem, cum Dictiâ Soi)ientuiJi. Iti-8. ^^M
^M R. s. 4548. Eadem. In-X. ^H
^H c. s. 4560. Eadem. Iu-8. ^H
^H H. s. 4564 . Calonis Disticha. Dicta Sapienlum Gncciai. Edîlio uurliur. ln-8. 1
^1 R. 8. 4567. Eadnni.In-8. ^J
^1 R. 8. 4577. Eadem. I11-8. ^H
^m R. s. 4580. Hadem. In-8. ^H
^B R. s. 1585. Eadem. ln-8. ^M
^" B. 8. 4547. ApoplillieumatumOpus, D. Erasmo aulhore. ln-8. - ^^Ê
[ R. s. 4558. Des. Ernsmi Ada<;ia. In-fol. ^H
^B c- 8. <555. PelriGodofrediI»roverbia. ln-«. ^^
^H ii.s. 4594. Les Prt^mices. ouïe premier livre des Proverbes Episrammaiize/, J
^B par 11. Rm. ln-8. ^J
^H R. 8. 4S30. Oriiâ A|K)lluN'iliac'U!s, latine. Ia-8. ^^M
^B R. s. 46iO. Sentenze \ Parabole d'i Habbini. hebr. & ital. In-16. ^H
^f 1645. Henr> Estienne. l'Art de Taire de» devises. Parut, ln-8. ^^M
^^ R. 8. 1526. Luriani iiliquot Dialo<;i, t>. Eraiinio inleqir. ln-6. ^^M
i ' ft. 8. 4330. lidiMn. ln-8. ^H
^K R. 8. 4532. lidem. ln-8. ^H
^H R. 8. 1533. lidem. In-H. ^H
^B R. s. 45.36. lidem. In-8. ^H
^B R. 8. 1348. lidem. In-K. ^H
^H R. s. 4527. Liii-ianiis in r.alumniiim. et IMiitiirchi Hinindo, lat. ln-8. ^^B
^^B R. s. 4556. Dionysij lialio. iiuniiiillaOpust'uIa : lalîiM*. In-K. ^^H
^H H. s. 1516. AiJL'tdi Polilinni. Phil. BenvUdi et aliunini Opuâcula. In-M. ^H
^B U.S. 1652. E^^taisdf'.Mich. de Monlaignv. In-rol ^H
^H 11. s. 1657. Les ménirs. In-rol. ^^t
^^ R. S. 4627. (Cuvreij de BaIziir.Sixiejnfî édition. In-H. ^H
r ». 8- 1628. Les mêmes. SopliemL-éiUtion. ln-8. ^H
^H II. H. (I.ï4>i ) Mat, CU>rderii 0>llnt|uia ^-iHilii^^lii-a hilinj II Steph. r.ollo(|nia ^^
^H «ïrara ln-8. 1
Sfîi
h.
is-
153».
H.
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tr-iiît.
».
S.
1o28.
H.
s.
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s,
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h.
s.
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H.
s.
1547.
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s,
i:ii2.
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H.
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11.
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H,
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1599,
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s.
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IIHI.
C.
B.
n*ll.
II.
. s.
V6M.
V.
s.
lGi2
A.
s.
1629,
Christ He^undorphltiLDialagi putarileâ. Lii-8.
lideiïi. In-8,
IVtri Moselliini Dialogl puériles, In-fi.
. lidciii. ln-8.
Peiri 5tas( llaui & Chr, HegondorphinÉ I>ialogî puorili'à. In-H.
Idem l.ihtT. lii-8.
Idem. In-H.
. J. Lud. Vivus (io coiistiribendlis epislolîs. In-S.
-.■^0. C. Plinii Sec, Epistolœ & Pauegyricus. — De Viris illustribufl
Sueloniu.s (le usûbacqueos., In-S.
Plinii Kj)i>tcjU'e » «liis Pantigyrids. Iii-<6.
. Ea^deiii Pliuii ï 6.
annci. Eci'tk'in- Il
. Kiederp. Iri-IB.
. Eiedoni. ln-4. t
. KxHJmii- ln-A.
ELcdcni. in-16-
. ËiJL'deiu. In-lti.
, P. TkiiuMIi fami;
. Pfln BuiR'lli 8c
ln-8.
. Philippi CiKpeani prou^mllio Epislula Apologetîca, ln-8..
, Fr. Arcbiepiâcopi Rolhoniagensis ad Urbanuin VIII Epislola
ln-4.
)
lolîe- liJ-i*.
HZSTOXHX.
R. s. 15i7. Dionysius Alexandrinus deSitu orbis, grince. In-4.
II. s. iu77. Dionvsii Alex. & Pompoiiii Mdaj OrbisDescriptiu. J. Solinus, &c.
In-4.
A. S. 1620. Sfraboiiis Gcoi^rapliia. gr. & lat. cum iiotis &. commentariis.
In-fol.
Dicœarchi Geoiï['a])hia, &c. i;r. & lat. In-S.
Antûiiini Aui^usti Itinerariuiii, ln-10.
Cosmoj^raphia Pli Papa? in Asia.* et Europa? doscriptionc. In-4.
Noi.iveau ThwUrt' du monde. 2 vol. in-fol.
I.a Saincto Géographie, p;u- d'Auzoles l.apoyre. In-8.
(Charles Estienne. La Guide de?; chemins de France, et fleuves du
Hoyaume. In-S.
Le nu^ine livre, '2*> édit. In-8.
Le même livre. 3*^ édit. In-S.
r,h. Est. Voyai;es de pluàieurs endroits de France en forme d'Iti-
néraires. In-S.
M. 1'. 1578. Pontns de Tvard. Discours dn temps, de l'an el do ses [wrties.
In-i.
M. P. luS.'i. Jos. Scalii^er decmendalione temiHirum. In-fol.
H. s. 1616, Fr. Parenlius de aiinis \o:;yplioruni. In-S.
II.
s.
1589
H.
. s.
1512,
II.
, s.
1 509
A.
s.
1661,
A.
s.
1629.
C.
s.
1552.
C.
s.
1553.
V.
s.
1553,
c.
s.
1552,
VAR ORIJRE DE MATIÈRES.
263
15l'2. Eusebn Chronicon, latino. In-i.
1518. [iJem. ln-4.
1512. Rol>prti AbhatisClironicon. lfi-4.
4513. Sj^el>erti G(Mtii)lacenâis Cœnobilai Chroniron. Id-1.
15fU. Chronicon ÏVusperi Tironis. ln-8.
45i3. Jiistinti^. In-S.
154i. Eusebii lli^^loria Ecclesia!ilica,}:nLVO. In-fol.
.Sflfls Ja/(î. Ai^oncs Vailynim Januarii. In-fol.
1591. EL'clc;>i<i'GiiHiciin£B in aclusmale Status, ln-8.
1591 Neutralilîis Ecdesiti> lîallicana*. lii-â.
1647. Sur 1p transport miraculeux rin l'image de Nostrc-Dame de Liefue.
In-4. fi-.
IfilH. Diclyp Crelemiiis otDaros Phngius. In-16.
1557. Ex Ct4^ia, AîfallinrcJiîde, Mcmnono excerpljc Hisiorin^. Appiani
Ibmr^i, \c. grsece. In-8,
1594. Eudcm.ln-H.
1570. Hprodolus. ClesioE'quîcdam, prîï^cn. In-fol.
1566. Idem llerodotiis. ladno. In-fol.
1593. Idem, -r. vt lat. In-fol.
1GI8. Idom llerodotuâ, gr. et tat. In-fol-
1561. Xenophonlis Opéra, gr. In-fol.
1561. Eodem, latine. In-fol.
1G«1. Eariem. ;;:r. cilat. In-fol.
1625. Eadem, gra^-e et lat. In-fol.
1564. Thiicydidcs de U'Ilo Peloponncsiaro, gr. el lat. In-fol.
1588. Idem, gr. et lat. In-fol.
155!^ Diodori Siciili libri qutndecini deqtiadrafSinta. gr. tn-fol.
1575. Arrianus do Expcdillone Alexandri Magni , grwe et latine.
In-Iol.
1568. Varil Historifr Roniana? Scriplores. 4 vol. in-8.
1546-47. l)iony<;ii ilalicarna.^<^i Antiquitatoâ Rumanœ, a,r. In-fol.
(1588). Effîdem, ^r. et lat. In-fot.
1544. Eutropius. In-8.
1588. Hiifi Eesti Brc'viarium. In-8.
1617. Jos. Ca.sauboni Commentant» in Polybium. ln-8.
1551, Appianus AIo.\andrinus, grspw;. In-fol.
1592. Idem, ttrapceol lai. In-fol.
1560. Appiani lli:ipanica et Annibalioa, latine. l(v-8.
1544. Salluâtiuâ. ln-8.
1544. J. CsEsarisCommentarii. ln-8.
1613. Trad. d'une fiarlie du 1" Livre des Annales de Tacite, j»ar It.
de Cauviiîny. In-8.
1615. Le Tibère françois. ln-16.
1616. Le même, ii*édit. au|;mentée. In-8.
1556. V. LupaniAnnotalionesiaTacili Annales, ln-8.
1543. Suelonii CiEsarPS. In-8.
1573. lidem. In-8. Edilto Jubia.
1548. [HonisRomanic Hi^oriac, sricce. In-fol.
2U
EDITIONS DES ESHENNE
ILS. IS92,
n.s. l.'iU.
II.». 4591
R.9. 4551
n.s. 4551.
n.s. 4581.
n.s. 454 i.
n.s. 45ii
n.s. 45U.
AS. 4663.
n.s 45i9.
n. s. 4549.
c. 8. 4553.
R. S. 1G43.
4587
n. s. tfiio,
\M». 1604.
V. p. ttiOi.
R. s. IfilÂ.
M,v. 1594
M. P. 1594.
M. p. 4596.
a. s. 45:i7.
n. s. 1537.
n. s. 4543.
n. s. 4543.
n. s. 4543.
n.s. 1544.
n.s. 4544.
R.s. 4544.
R. S. 1544,
n.s. 4544.
es. 4554.
R. S. 4544.
n.s. (4547.
es. 1551.
es. 1552.
c. s. 4554.
es. 1532.
es. 4553.
es. 455J.
Efwlpm Dionisllistoria?, «nrceel lalino. In-fol-
Dion Oissius, .^HiusSpilrtiaml«;, iulJiisCnpitnlimm, ^e In-ft.
J. Xiphilini V Dioiic oxwrpla,' Historiu*. s;r. cl lui. In-fol.
DionisNicOïi Rcruni RuntUD^intm Epiloino, aut. J. Xiphilioo. gr.
ln-4.
Eodeni. latine, G. Blamio interprète, ln-4.
Ilt'r<)(liiini Historiœ, {.t. et lat.ln-4.
Ik'rodianus. laline. ln-8.
AmmianusMarcellious. ln-8.
Trebelliu* Pollro H Flavius Yopiscus do lmppraU)ribU'î Romanis.
In-S.
CocfTeteau, llisL Romaine, dWugiiAteà Constantin. In-fol.
Geurpud Moruln de (çestiâ Duniin ModiolHnen^iiiin. ln-4.
Paulii Juvii ViUe dualocim Via'coinilinn Modioluiii principuin.
ln-8.
Ch. Est. Abrogé de riliîitoire des Vicomtes et Diicsdo Milan, ln-4.
Fis.
Gcorgius Ftorus IMerllolanensis, de bello Italico. ln-4.
AQinitate? Principuiii rJtrtsliBnitati.i cum Franrisco Ucdioee.
In-fol.
GiTjîorii Turonerisis OpeniJii [wirs i» et pars ii». 2 vol. in-42.
J. .\ug. Thiiani Hiâtoriaruni Lib. xviii. (parspriinu) In-fol.
Iid*»m Lib. xviii. ÏÏ vol. ln-8.
J. Aiig. Thiitiiiii llt^t. Libri \xvi. Edilio t\. In-f(ri.
Extraictde In i:;cnéaloj;iodo Huglies Capot. In-8,
Idem ljlK>r, latine. In-8.
Idcnt. ln-8.
Exempliiria Literarum quibiis rex Franciscus defendituf. In-4.
Altéra oditi». In-4.
Prtuli lertii P. M. ad Carolum V. Epislola, &c. !n-8.
Epislre de François T^ à N. S. P. Paul III. In-8.
La iiiL^iiu'. In-i.
J, Bellaii, Fr. Olivarii.etMallciiOrdtionesadSS. OrdinesSpirœ:
Defensio pi-o Kei^eadvcrsusJ. Omphaliunï. ln-4.
Oraison aux Estais de l'Empire a Spire. In-4.
La m<^me. ln-8.
F^idom, latine, ln-4.
Défence par le Roy de France à l'encontro des injures de J. Om-
phaltus. In-4.
Lii mi^me. Iiï-4.
Response à une Epistre envoyée de Spire, &c. ln-4.
I Le Siirre do Henri II. In-8.
Apolo<^ia pro Hegc Christianissimo conijra Cocsarianos. Io-4.
Eadeni. ln-4.
La mt^me, en françois. In-4.
Lîtmt^me. ln-4.
Altéra Aï>ologia pro Rege Henrico II. contra Osarianos. ln-4.
Seconde Apologie contre les calomnies dos Impériaux, ln-4.
FAR ORDRE DE MATIÈRES
305
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8.
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8.
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a.
*567,
».
4667.
8.
4567.
S.
4567.
3.
4567.
S.
4567.
Bpi8(olaR6gii{3lnsUani88Uniud Onlincs saeri Impcrii. ln-4.
Leilresdii Roy aux Princes et Estais du Sainl-Empiro, tnid. du
latin, ln-4.
Nie. Villagagnon de BcMo Mcliiensi. In-4.
La m^me histoire en fnitiçx}i8. [n4.
Bertr. de Solit^nac. Histoire du siegu de Mets par Charles V, en
*53î. In-4.
Bertr. deSalignac. Voyage du Ruy Henty U au Puis-Bas, récité
par lettres mi^ives au Card. de Ferrare. ln-4.
Les tm^mcs Lettres, sous le titre de Lettres envoyées du Camp du
Roy.In-4.
V. Liipani PtochotropheUrbisCaraulensis. ln-8.
De la prise de la ville deThioiiville. Iii-S,
Déclaration du Roy^eoncernant la religion. In-8.
Edict du Boy »ur les moyens d'appaiser les troubles el aédiliODA.
ln-8.
De la rf'^iiction du llavre*{|e-Grùce en robéissance du Koy. In-H,
Edict de Cbarloâ IX .sur lu }>aciricatioii deâ troubles. In-H.
Décl. el Interprétation :$ur l'Edirtde pacification. In-ft.
Edict, DécluraliuQ et Interprétation, bi-4.
Coniniission pour envoyer dmns les (irovinres. ln-8.
Lettres patenteâ pour [aire observer l'Edicldo pacification. In-A.
Détrlaralion |>arle Roy de sa inujoriltV ln-8.
Lettres (latentes pour le R>stab!i?;sement des dismea. In-tl.
Lettres patcnles pour aliéner l'iioslel des Touriielles. \n-%.
Ordonnance pour les drîi|>s et teilles. In-H.
Déclaration pour J'abbitHiation des procès. In^.
Edict pour lu reiglenicnt de la justice, ln-8.
Nouvelle Di^claratinn du Roy sur l'Èdict de pacifiouUon. la-8.
Déclaration du Ruy sur le payement de l'ayde et subvention pour
Lettres de relief d'appel. In-8.
Ordonnance de M. de Montmorency roDcemant la police du Ca-^
resme. In-8.
La même. In-6.
Lettres patentes portant défenses de porter les armes pour ceux
du Pays-Bas. ln-8.
Edictfi et Ordunnaiwcs de François 0 et Charles IX. In-8.
Ordonnance pour la réformalion de la justice. In-8.
— |>ortant permission d'apporter \ivros à Paris, \a-ii.
— sur l'imposition du vin. !n-8.
— qui révoque Texemplion de l'imposition du vin. tn-^.
— sur lesr^gnatioDsdcsofRcos. in-8.
— pour les Prolestants qui n'ont point porté année, ln-8.
Ordonnance de Cliarles IX sur la police gèuénile du Royaume, tn-8.
Création d'Offices de Maistrede Requestes. lri-8.
Lettres do Roy à toutes personnes ayant bleds, 6tc. ln-8.
Lettres pulenlossur les grands jour» en la ville de Foit^ticrs. ln-8.
Ordonnance de MM. les Eschevins de Paris. In-B.
H
2f>6
ÉDITIONS DKS ESTIENNK
it.s. 4B6H. LcUres du Roy, par te^urllcs tos Prole^Uinls soyeni rpœus û
Taire leurs pluinLf»;. In-M.
n. s. 1568. Etik-lsur In pacilk-alion. In-8.
n. ». 4568. Ordonnances du Duc de Bouillon p. le règlement de la justice.
in-fol.
(h. S. 4569) Remonslraiic^ du Prlticr tlo (*ondt^ au Roy, et le récit du meur-
tre pcrpétri' en sa iKTi^onne. Iii-R.
(ii.s. 4569.) Literœ PrincipiëCondœiadCaroIum IX. Nitrraliocsedisejusdem.
In-S
n. s. 1î>7;ï. Poiticls principaux des RcmonslrancesdeM. de Pibrac. In-S.
B. s. 1572. Pierre Pitliou. Mémoires des comlesde Champagne cl de Brie.
ln-4.
M. p. 4581. Les mônw>s. In-i.
«-P 1581. Kes mAmp?;. In-8.
n. ». 457i. Nouvelle Di'' cl a rat ion du Roy s^ur TEdict de l« îMicifK-ation. In-8.
R. ». 157-1* Leltreâ patenlis jMUir IVnlreieiwmenldp l'Edii'l. ln-8.
H. «. iri75. Leltix'sduRoyau Prévost de Paris, pour faire frarderl'Edict. ln-8.
K. s. 1575. Arrest de la Cour do Parlement contre certaine livres défendus.
ln-8.
h. ». 1575. Arreât portant défences d'imprimer et vondre livre» sans permis-
sion. In-8.
R. s. 1575. lettres patentes porUanl di^fenge» do vendre chairs durant le Ca-
rusme. In-8.
B. s. < 576. Lettres ])atentes pour les procès relatif» à l'Bdici de pacification.
In-8.
R. s. 1576. Lettres du Roi sur les Ediots de pacification, de majorité, ln-8.
R. ». 1576. Let[res[>at«ntesportantinhtl)itiimsaiii\ Réformé» de lonirescolles
pubtiquos. In-8.
R. S. 1576. Ordnnnant'e du Roy Catholique, sur lespillories des temple» et
ntonas-liTcs. ln-8.
<n.s. 1S75.) Discours meneillcus de la vie et action;} de Catherine do Medicis.
ln-8.
Deux, Pt [>eut-ètre trois éditions sous celle date.
1576. I-o m^mc. In-8.
1678. Le même. ln-8.
^n.s. 1575.) Le^endasiinrtœC^thnrinffiMediceïP. In*8.
M. p. 1578. Edicisur les coniR'rolleui-s et greffiers des Iraictes domaniales,
ln-8.
M. P. 1586. Discours du vo)'aRedu Duc de Joyeuse en Auvergne, &o. In<8,
Ji. p. 1586. Du protêts de l'armée du Roy en Guyenne, ln-8.
il. p. 1589. Simon Poncet. Regrels^ur la Fnmce. In-8.
M. p. 159i. De Justa etCanonica ubsolutione Henrici IV. ln-8.
H. p. 159i. ( Fr. l'illiou ) Grandeur et prééminence des Rois et Royaume de
France. In-8.
M. p. 1595. Généalogie de la maison do Montmorency. In-8.
M. P. 1596. Edict du Roy sur les articles accordez au Duc de Mayenne, ln-8.
M. p. 1596. Ediet p. l'establissemenl d'un Baillage royal .i Soipsons. ln-8.
H. p. 1596. — p. l'estahlissenieiiL d'une Généralité A Soissons. In-8.
^M
r
PAH OltDHfi DE MATIÈRES.
^Ê
^H A.
I64i.
BdiOt dD Boy sur la (jocitication d(« troubles de m Ro)aume, ^H
donné â Nantis en avTÏl 1 598; et vingt-huîl autres piùceà sur le ^H
ntèmt) sujet. In-H. ^^Ê
^H M.
, 1599,
Edict du Ro> sur tes Kdirfô de paciKration. ln-8 . ^^M
^H A.
Itili.
Lettre de M. le Cardinal Du Perruu à M. te Hriuce. In-V. ^^M
^H A.
1615.
Haran^ïue de JiK^ques Davy, Cardinal Du Perron, 6ur rarticlc du ^^M
Serment, ln-4. ^^Ê
^B A.
4Blo.
Lu i[i<}tnc. I11-8. ^^M
^B A.
1020.
Réplique à la Rispon^e du Roy de la Grand'Bretugne, parle ^^M
Curd. Du Perron. In-ful. ^H
^H A.
16ÎÎ.
La iii^ine Rf^plique. augoicutée de Tabler. In-fol. ^^Ê
^H A.
1631.
La même, avec de nouvellos augmenlatiouâ. In-fol. ^^M
^H A.
16Î3.
Les Anibasâîides du Gard. Du Perron. In-Fol. ^^M
^H A.
162*J.
Les mêmes. In-fol. ^H
^H A.
1633.
Les mêmes. 2 vol. in-8. ^^Ê
^H A.
1623.
Discaiir» du siK'^ï^ts désarmer du Roycunlro lu rébellion, tn-8. ^^M
^H A.
1623.
J. de Hollundro. Réplique û lu Response du S** Bugnel. In-8- ^H
^H A. a.
1625.
ReApon.<Neau M.inifeàleduS'' de Souhize. ln-8 ^H
^m A.
1625
KeluUun de la prL^ de l'isle de Ré. ln-8. ^^Ê
^P A.
162b.
Edict du Roy sur la paix. In-8. ^^M
^^ A. S.
162fi.
Edict pour les receveurs et payeurs des Renies. In-8 ^^M
L A. S.
1627.
Edict général sur le reglenu'nt do b jusUce. In-H. ^^M
^Kn.
1626.
Exf^dilio Valtelinoïa a Lurlovico Justu .stiAccpta. ln-4. ^^Ê
^H R.
1627.
Eadem. In-a. ^^M
^Ha.
1629.
Ordonnance du Rov Louis Xlll louchant les plaintes des Députez ^H
des E^tab;, du lo'janvier 4629. !n-M. ^H
^■a
1634.
Déclaration du Roy sur les affaires du tcmt>â. ln-8. ^^M
^Ha.
1634.
— sur la sortie de Monsieur, ln-8. ^^M
^H A.
4634.
Arrei^t du Parlement contre te mariage de Gaston Duc d'Orléans. ^^M
Edict du Ruy (lurlant suppression des droicts aliénée, sur les ^^M
^Ha.
1634.
Tailles et Gabelles. In-12. ^H
^H A.
1634.
Discuui^d'Ësial touchant les intentions qu'a le Buy de soulager ^^M
les {N.'uples. ln-8. ^H
^H A.
1635.
Lettres pour assembler la Noblesse des ban et arnâre-ban près ^^M
de Cliaalons. ln-8. ^^M
^Ba.
1636.
Déclaration pour eslablir la Reyne gouvernante do l*ans. ln-8. ^^M
^M A.
1637.
— fwur le payement des gases anciens, &c. In-K. ^^M
^H A-
1638.
Hcgiement fx»ur la subsistance des armt'es. In-l. ^^Ê
^H A.
463».
Déclaration du Roy pour le payement des Rentes a l'Hoslel de ^H
^H A.
1638.
— sur la Dispensi) relative aux parties casuelles. In-li. ^^M
^Ba-
1639.
— portant réformuLiun des liabits. lu-8. ^^H
^Ha S-
1639.
Ordonnunceà tous maisire» docamp, &c. dese rendre aux quar- ^^M
tiers, ln-8. ^H
^H A. s.
1638.
Règlement pour la siil»sistance des armées, ln-4. ^^M
^B-A.
1643.
Le même Règlement- ln-4. ^^M
^Ha.
1643.
1
Dédaralion du Roy sur la Ri^gence de la Remc. ln-8. ^^M
Ï6H
KDITKINS DHS ESTIKNNE
A. 8.
(645.
A. H.
<615.
A. !».
1648.
A. S.
1646.
A. S.
4649.
A. S.
K>r>2.
A. S.
4649.
A. 8.
1649.
A. 8.
4652.
\. S.
1653.
A. S.
4659.
A. 9.
«659.
A. 8.
4660.
A. S.
1662.
A. S.
4664.
N. 8.
I5i5.
R. S.
1346.
C. S.
4552.
4673.
¥. S.
4!;m1.
H. 8.
4587.
II. S.
15U9.
H. S.
4511.
R. B.
1538.
R. S.
1539.
H, g.
1540.
R. 8.
4540.
A. 8.
4048.
R. 8.
Sansi
». 8.
1544.
R. B.
4549.
H. S.
4559.
R. S.
1536.
R. 8.
1549.
Déclaratifiri du Roy qu(*Teslauien8 âont inâiniiés. Ii>4.
Rtlirt du Hoyportiint création îles offices quadriennaux. !n4.
D<k*luratïondu Roy, en faveur dt':i officiers du finanœ. In-4,
Dérlanilion du Koy ])our faire c^âscr les mouvcmcns en son
RoyiiiiTTiR. In-X.
, pour resUililir le rt'ims en son Royaume. In-4.
sur les droiris des Recevouis des Cnnsii^alions. ln-4.
, Pro't-s verbaux de deux conférenceg.tenuea à Ruel et à St. Ger-
nrnin. Iii-H.
, Le Triomphe de LoutR le Juste, In-fol. flg,
DirclaruLiun du Boy fiur le8 niodificalionâ dû l'Amnittio. Irh4.
O^clanilion du Boy pour la liquidation des droiclë de France-
Fiefs. In-4.
Edicts et Déflarations des Roy^ Henri TV, LowiaXIIÏ et Louis XIV
sur la pacifk-aliun des croublea. In-S.
Décisions Royales sur lee principales diffieulléa de l'Edictde Nau-
les. ln-8.
, TraiUt^ de \ta\x entre la France el l'Esingne, conclu le 7 Nov.
IGM. In-fol.
Lerat'mc. In-4.
LemiVme. In-1'2.
. Déclaration du Marquis de la Fueute au Buy. In-4.
, ArreâtduCxiaseild'e&taL, surradmisfrion des réformôsaux inc&-
tiers.
De rébus in GalUa Bolgica nuper gestis Garmon. In-S-
Idem, lti-8.
(Iharleg Eslienne. Dtacoura des histoires de L-orralne et de Flan-
dres. ln-4.
. Henry Estienne.SieurduBellH.Journaldela Guerre de Hollande.
Itb4.
Histoire de Portugal. In-fol.
, La m^me. In-8.
. Ricoldi contra sectani Mahumeticam Libellu». De vila et moribus
Turcoruin, et Jud.i'orum. ïn-4.
Idem. In-4.
, Pauli Jovii rerum Turcicarum CommenLnriu& ln<S.
Idetn. Iii-ë.
, Chrisl. Richeriusde i-ebusTurcarum. ln-4.
. Ctir. Hicher. 0)iisluint'S et manières des Turi's. ln-4.
Portraits des Dames de la Porte du G rand Turc. Uï-foU
date. Loys do Pas. Histoire <ie Virginie. In— 8.
L. Fenesivita et Pompouius Uutuâ de Magislratibus, Sw«rdotit»-
que Romanorum. In-H.
Idem. lu-H.
Gentium et Familjarum Romanarum Slcmmata, Rie Sireinnio
aut. In-fui.
Laz. Bajfius in tegem decuplivis. ThylcïiiiiadocoloriLHu. ln-4.
Idem lihtT. In-l
I
PAH OHOHE DE UATIÈHËS.
269
<553.
1534.
B. s.
n. 8.
B. B.
B. 8.
1535. Car. Stephanusde Vaaculis. lo-B.
<536. Mem.!n-8.
1547. Idem. In-8.
1535. Car. Steph. de re Vcsliaria, ex Bnyfio. ln-«.
4536. Idom Liber. In-Jï.
1647. Idem. In-8.
4541. De Yasculis ot do ro Vcsliaria. In-8.
4537. De rcnavali tibollu8, ex llaylio. In-S.
15i3. DercVesliaria. Vascularia elNavali. ln-8.
FÙKlt»m. In-8.
Juach. Perionius de antiqoa fabiilarum et Theatronim consuotu-
dine. In-4.
Jiinhis Ttabiriusde Keoeribua vestium. In*8.
JtiTiii nabirii hastarum utaïKiionum Oh;:o, &c. la-i.
4542. Gui. BiidcTusde Assemparlibuscjui;. In*fol.
1579. Le Pois. Di:R*ourgsur Ie« medalle:?. \n~i. fig.
45Î8. Polydonis Verpiliusdeinventoribus rerum. In-4.
4528-29. Badem edilio, ctim additanicnti^, et Indice, ln-4.
4537. Idem Liber. Id-4.
4559. Loges Academim Genevensîs. In-4.
Sans date- Librj in olBcina Hob. Slephani partim naii, partim resUluli
et oxcuâi. 8 Touillets in-8.
Circa1546. Librivinnaloâ in hiblio[Htlio Robert! Stephani, tum abUcnrico
l>atre,tumaSitnunt;Culina2ucjusvitricuexcusi. ltift'uilleLsin-8.
Smis date. Libri, «il'. 14 feuillel&in-*,
15iti. Libri in oflicina Hob. Slophani T>'pographi Regii, parlitn naii,
partim restituti et uxcusi. 1 3 feuilleta in-8.
(1547.) Supplément de quatre |W»k<^. ln-8.
4552. Index librorum in tiHc offioinu ïiupreàiionjm. 16 Timillels in-8.
(4569). Index libninitn, qui ex oflicina Henric) Stcphapi hac^^nuâ pro-
diiTiinl. Iti feuilleta in-8.
(4574). Appcndix ud Catul. librorum Hcnr. Stcphani. 3 feuiUeU in-8.
San» daie. Catalopi^ librorum in ofTirina llonrioi Stepltani excuâorum.
ln-8.
4569. Ilenr. StephanlArtis Typographies Querimonia. Id-4.
1 569. Henrici Stephant Epiâtota de sus (ypognipliix statu. Index libro-
rum Honr. Stephani. ln-8.
Diogeneâ Laerliu» de ViUâ philosophonuu, gr. et lat. la-8.
Idem. gr. et lai. ln-8.
Idem. ^r. et lat. ln-8.
PluUircbi Opt-ra, ^r. et lat. cuin Appendice Vitarum. 43 \ol. in-8.
Plutarchi Opéra oninia. {ïr. et lat. 3 vol. in-fol.
Plularcbi Libelluà de fluvioruin & montium nomiaibus, latine.
ln-8.
LeàCEuvres morales et ineslees do IMutarque, Ir. par J. Amyut.
S vol. in-fol.
1544. ou 1554. Plutarque, Traiciéde ta honte vicieuse, ln-8.
1643. Kunapiup de Vitis Philosophonim, gr. et lat. In-K.
H. s.
B. ».
3. 4570.
s. 4594.
a. 1616.
«. 4S72.
s. 16ii.
8. 1556.
r. H. 458i.
%n
H*
3.
15i9.
S.
|y3J.
^-
tr^uf,.
s.
r;:!".
».
1.i3'J,
s.
■1 54 L
fl.
l'îii-
s.
(Sa/iji
s.
tS39.
p.
Kj07.
s.
I6H
si.
VùU'
Plinius dt? Viris iL1it^ibii$, âic. In-^.
I(]pin Lilwr. In-8.
hJeiii Lik-r. In-8.
Idem. In-S.
Idem, iii-8.
Idem. In-*.
iH. hlem. ln-8.
date.] Du inerimrabnibus et {;laris mulîeribiiâ divËrsonini ^^^ri^H
Inrunii 0|)i'ru,
Vila P. CœlKtii " "
P. Pîihœi Ëlûgii ias&uno. I«-8.
i'hotii BiblbLbei kSobatiiâ. In-fol.
ib. ValuriuâMa:
ÉDITIONS STÉPHANIENNES
DOXT ON CONNOIT UN OU PLUSIEURS EXEMPLAIRES
IMPRIMÉS SUR VÉLIN.
H. s. 1505. Pimander, Mercurius Trismegislus, «te. In-4.
H. s. 1506. Guil. MandagottPractica Electionum. In-i.
H. s. 1506. AristotelisPoIitica,(£conoDiica, &c. lat.lD-foi.
H. s. 1507. J. Damasceni Theologici Tractalus. In-4.
H. s. 1509. QuincuplexPsalteriunijlat. In-fol.
H. s. 1509. Ricoldi contra sectam Mahumeticam Libeltus. In-4.
H. s. 1540. Ricardi de Trioitate Opus theologicum. In-4.
H. s. 1510. Pauli ^ginetse Preecepta salubria, lat. In-4.
H. s. 1512. S. PauliEpistolae, cum Comment. J. Fabri. In-fol.
H. s. 1512. Antonini Augusti Itinerarium. In-16.
H. s. 1512. Eusebii Chronicon, lat. In-4. *
H. fl. 1513. Quiucupiex Psalterium.In-foI.
B. s. 1513. Galenus de affectione locorum, lat. In-4.
H. s. 1515. S. Pauli Epistolae, cum Comment. J. Fabri. In-fol.
B. s. 1515. Theologiavivificans. In-fol.
B. s. 1519. CoDtemplationes Idiots. In-4.
B. s. Agones Martyrum menais Januarii. In-fol.
R. s. 1532. Rob. Seneau. Deliquidorumetleguminum mensuris. In-4.
R. s. 1540. Biblia Sacra latina. In-fol.
B.s. 1554. Anacreon,gr. lat. In-4.
H. s. 1560. Xenophontis omnia Opéra, gr. In-fol.
R. s. 1668-69. Novum J. C Testamentum , gr. 2 vol. in-16.
On voit que de vingt-deux ouvrages sur vélin dix-sept sont imprimés pai*
Henri premier^ et cinq seulement par ses divers descendants.
* Brûlé ea 1794 dans l'incendie de la Bibliothèque de S.-GennaînHies-Pr«s.
page Rfi, 2* I SA, p' 1 , tignc fl' .
Après JohannJB CaEvini , not Commenturii gui' fn^t fmhiié.
Page 137, 2' colonne, ligne S*
Publiés on 59 livraisons. Lisez: Publiésen 39 livraisons.
Les établissements typographiques de la famille qui a rendu célè-
bre le nom d'EiitJennc ont pris commencement à Paris avec le sei-
yiî'tiie siècle , et , tant ilans cette ville qu'à Gen*>ve, se sont mainte-
nus avec honneur jusqu'en 1664 , année de la dernibrc puMication
d'Antoine Estienne. Ce n'est pas que ces 162 années aient été une
continuation non interrompue de travaux tous remarquables ; la re-
nommée, l'illustration de cette famille subsistoient encore lorsque ses
dernières Imprimeries n'étoient plus que des ateliers typographiques
sans pliis grande importance que toute autre bonne Imprimerie
voisine. Tel est le puissant effet, Je prestige d'une réputation juste-
ment acquise , que les belles et savantes impressions des Henri ,
des Robert, recommandoient celles de leurs derniers descendants.
de même que les éditions manutiennes dt^s dernières années du sei-
zième siècle doivent leur principal mSlit k celles que, pendant
*74
HKNRl l'REMIBIt.
plus de soixante ans , publièrent avec tant de distinction Aide l'An-
cien , ses beaux-frcres , et Paul Manuce son fils.
Le premier Imprimeur de l'estimable fainille des Estienne fut
Henri , qui sera distingué par la Jésiprnalion de Henri I", de môme
que nous dirons Robert 1*"', François I"' ', à cause de ceux des
E^tiejine qui , venus après eux , ont eu les mêmes prénoms. Pen-
dant ([ue Henri s'occupoit à établir son Imprimerie ", et que tri-s
probablement il se formoit à l'exercice de cette difficile profession
dans l'officine de Wolfgang Hopyl. il fit quelques volumes en société
avec ce savant*** Imprimeur allemand dont on connoît des éditions
* Os illustres Imprimmr» mil («i, comme \e remartjtiR Seiiehier [Histoire fittêratrr
^e Crnèif) h' privilège d» Roù : ils sont ccniius por leurs noms de haptètiK:, et soiit
tliatiugtiM par des nombre.
*' Il faudroit reculer jusrpt'A l'amire i(96 Ir débiil de Henri dnns b earricrc liiblio-
poliqiie vt lypographi()uc s'il y nvoît euctittide dans la mention que Denis el. d'après
lui, Panztr fonl de Ji-ux èdilioiud'uii m^mt! li^Tt de 150Î (7. Faftri ortifit:ialis întro-
Juctia in ^ristolrfii fifmn moralen), luuU'ii deux de l*.iris et de t'anni-e 1496, l'uur
In Mma Parrhisionmt ytcatifmiaj Ann» nom d'Imprimeur, el l'autre de tnéme , /«
y4tma, ete., maîs^^r ff^otffgattgum Itopilium et llrnncum StepUanum Sociot , cette
dcmicrc existant chez \cs BènMictiiis de Gotlwcig, el l'autre à Yicnite dniu U BIbUo-j
thcquc impériale. $ou|K^DDnuI de la ton rmioii dam cette annonce, je eriu» que les
\oluiiiei( di'voieiil être r\aniiii(% (k tH)itveaii. et nnr ilouhlc ^Tificalioit que l'on a bien
voulu faire i>our moi à Yiencic et cli'i'j'. Ii» r^li^'ieuv de Gollweig m'a fait recoonoilre
l'enTur et sa cmw. L»* \olmne d*' Vimiw est liieu de Paris, UW, ri saus nom d'im-
primeur; mais, quant à celui de Goltweig, le bibtiotbt'cairc a eti ratlootion de vrriGcr
qu'enregistré sur le Catalogue en conformité de la mention de Deuîji h laqiidle mihiH* il
y a renvoi (tnm. I, pag. 406), le volume cotaient relièirs im-semblf Ii"i di'ui l'rditjuiu de
Pnîs, rdle de 14S6 qui est aussi a Vienne, cl celle de I5W, pçirfanl Ici nom& de
W. Hopyl l't de Henii KAlîeiuie. Denii u*ai>erce\aul pas celtr duplication, a pris
sur l'une des éditiotiit la date de 149C, niir l'autre les noms doi Imprimeurs, et ainsi a
eréé une t-diticm de Hopyl et Henri avec date de 149S, qui n'a jamaU eùté.
J'ai vraiment n-grt*t d'èlir obligé de faire une aiusi longue note à roccasion d*im
Uttg dénué d'intérêt ; mais, mus une explication daîrc et pOMti\e, le linnmniaee de
Denis auroit toujours pu donner llcti à faire remonli-r, m\ moins conjccturalenKnl»
à l'anntre liÛG les premiers traçant de Henri que tout prou>c n'avoir commcui»
qu'en 1502.
••' C'est re qnr Ton peut ronelure d'une de ws lettres imprimée pnnni celles de
J. Trithème, flagumoa-y 1S86, iii-4., |»ag. Si. Klle cs\ dali-e ■■ ex ofTicina naslrn Pari*
remontant à l'anTiée 1489 : Qtupstiones morales magistri Martini
inugistris [De Magistris nu Le Mnistre). Pars prima, 1480;
secunda . 1490. In-fol. II travailloit encore en 1522 : Cyriffus in
Lûviticiun ^ et Crrillus de consuhstnntirditnte contra hareticos.
1522. In-lul. Trois vuluuies seulement . dunt un en 1502 et deux
en ) 503. Airenl le fruit de cette association , ou plutôt de ce compte
eniMirticipation: et. dt-s 1503, ou au plus tard en 1501, Henri mit
en activité son Imprimerie dont pendant dix-sept annt-es on verra les
nombreusf^ et iiuelquefois remarquables productions. Sa demeure
AitauClos-Bruneau. In Chnso Bruneito, quartier Saint-Jacques,
au haut de la nie Saint-Jcan-de-Beauvais , vis-à-vis de l'Ecole de
Droit-Canon \Scholœ Decretoruin]' . Est-il nû à Paris? on le pré-
sume, mais rien ne le prouve. Quant à Tannée de sa naissance, on ne
peut aussi que conjecturer; et comme son établissement a commencé
dès 1502, qu'il eut son premier fils en 1503,etmouruten 1520, i) a pu
naître de 1465 à 1475. On ne sait rien non plxtô de ses premières an-
I
i
I
s. Calend. Augiuii anno doiaiUii 1514. » Dftiu aile lettre, «aile en bon tatin ,
ainsi que dons tmc prvcrdcnlc de Trithèmc à laquelle crllr-ri i'('']>uih1, ri ilous iiuc im-
plique de Tritlièoie imfM-ïaicc à la suite de la lettre de 1loi>yl, les deux su\aiits se
douiieut du i-cciproqui-.-* témuigiiagr» d'une liaulr ntinir. " Quaiitus &U tnultonim re-
btione cognon >- écrit Trilheiue. dont b Wltrr. Iiitii plus looguc i|i»e celle de l'impri-
roeur, est uii di/Tus ef redoudaul auttnblage de Uc-u\ commutis cuiitre l'orgueil, et Mir
le mérite de riuiniilitr.
* M. Crapelol, page 3 de »oii écrit eo riiounevr de FtWM^ois T'^ct de l'Imprimeur
Kobcrt, 1839, îd-S, parlant dn domicile de Robert et de Henri, son i)ère, ajoute :
"... A Venise personne ne uuruil \ou& eiiMÙgiier où fut la uiiiîsttu d'Aide. >• Ou la^oit,
Zeno l'a OMtirè, et moi-m<^me, d'aprt» plusieurs lettres soit de la main d'Aide, ioil à
lui adnW«, et dont je conserve les orii;ii)aux, j'ai pIusK-urâ folîi imprimé qu'il de-
meura et imprima Âprrsio Soncto Jugtuôno tut Camfw i/e Sa»cto Auçutt'uw i
et, en mai \^&j ainsi qu'on peut le lire page 393 de ma troùicroc édition des Annalti
Aldines, le Recteur de l'rglise de Saint Thuniah n fait placer sur une virille maison .
u" iMS. et voisiui- du Ccmyotti S /tgostÎNo, une pierre contenant cette inscription:
MaoTcia. çta*. vrvJîtor. ncoi. îjpiMtA
Hoc. \tx\. irlr. t7pu|[raphic«. cxceUTll.
J'ai auui pria lesoiu de noter qu'ensuite Aide demeura dans b roc S. Patemîaiio,
t\ que re fut dans cette même rnr , ou tout aiiprc» , que tlemetirÀrnl wu fds Paul ,
cl auii |>elil-riU.
176
HËNKl PUlîMlEK.
nées , des (Hudes
le
étatd'
le
mirent en eiai a occuper
rang, maîsuue place disting:uée parmi les liahiles et savants t\-pogra-
phes, Lottin, pag. 61 de son Catalogue des Libraires et Imprimeurs
de Paris , le fait d'abord étudier en droit dans cette ville ; je ne vois
point de quelle autoritt:: Lottin peut s'appuyer: si c'est de quelque
vieux registre, il ne le dit pas. Chef d'une famille qui s'illustm dam
cette honorable et utile profession, c'est de sa descendance rpie
Henri tient sa plus ^ande renorami^e ; et , ce que l'autorité fait en
Chine , la voix publique l'a iait en France ; les fils ont illustré le
ptre. On a prétendu qu'il étoit noble, et d'une ancienne famille,
que déterminé par son admiration pour l'art typographique à se
livrer à l'exercice de cette belle profession . il n'en put être dé-
tourné par la crainte de rexhérédation paternelle; mais ceci n'est
rien moins que prouvé, et doit demeurer parmi les incidents ro-mar-
quables dont on cherche à entourer les commencements des hommt
devenus célfthres.
Ses publications, au moins celles qui n'otit pas échappé à mes
recherches, et dont une seule de 1514, est en langve françoise.
sont au nombre de cent vingt^et-un . en y comprenant les trois
qui furent imprimées en 1502 et 1503 par Wolfgang Hopyl,
en société avec Henri. Des cent dix-huit autres, toutes impri-
mées par lui, une. de 1504, fut faite en société avec Jehan Petit
[Johanntfg Pan'us] et Denys Rosse*, une en 1509 avec Jehan
Hongot, trois en lolO, (513 et 1.116. avec J. Petit, et en 1512
une avec Jos.sc Bade. En 1506. il imprima un volume |M)ur les
frtres Engelbert et Godcfroy de Mamef , un en 1 510 pour J. Petit,
Josse Bade et Constantin Lelièvre; en 1518 un pour Regnauld
Chaudière, et un pour Jehan de Brie [Johannes BneusU-); enfin
en 15)9 un court écrit pour Conrad . libraire de Basle [Conraduj
Basiiietisix]. Les cent sept autres se firent pour son compte per-
sonnel. Toutes sont d'une exécution fort soignée, et la plupart de
formai in-fulio, suivant l'usage de ces temps-là. Presque tous ces
livres sont de théologie, de liturgie, de scolastique, de philosophie
aristotélique; il y a plusieurs ouvrages de sciences, et à peine quel-
* SiirlH livrMilen^ liltmin? uti xuit Roix-, Rom*, cl Koasv.
que chose en littérature. En Frarce l'impulsion nctoit pas encore
donnée, les études littéraires n'y domiiioient pas encore la contro-
veree mystique ou scolastique • la reproduction des livres nécessaires
à la culture des bonnes lettres scmbloit être du domaine exclusif des
Italiens . et surtout des Manuce de Venise qui , par les plus coura-
geux efforts , s'étoient mis en ].>osse3âion d en Bppro\^onner le
monde savant. Henri avott le sentiment du beau , plusieurs de ses
impressions rendent tomoi^age de sa caiiacitc littéraire et typogra-
phique ; on voit qu'il n'ctoit pus étranger n l'étude de la philosoplùe.
non plus qu'aux sciences mathématiques; mais, si ses impressions
satisfirent aiuc besoins scientifiques de rôjxïque . elles n'en saggé-
rèrent point de nouveaux. On vouloit des commentaires latins sur
Aristote . des dissertations tbéologiques , etc. L'Imprimerie de Henri
ne leur fit point faute; le tout s'y exécuta avec intelligence et cor-
rection ' , mais les estimables pntduits de ses presses ne faisoient
point naître , n'irritoient point cette soif de bonnes lectures qu'Aide
l'Ancien sut si bien comprendre et stimuler, et à laquelle il dévoua
les travaux de sa vie entifcre. Entre les éditions de flenri, et celles
de ses fils, petits-fils, etc. , existe cette notable ditTérence qu'une
grande partie des livres de ce^ derniers peuvent être encore du plus
habituel usage, malgré la multitude de leurs réimpressions plus ré-
centes et perfectionnées , tandis (jue de tous ces volumes que pen-
dant dix-huit années Henri a imprimés avec tant de diligence et de
savoir . à peine y en a-t-il quelques-ims avec lesquels on pourroit
•» Hniri fauoit partie de celte t^i-acrabon d'Iiabik» el iodustrÏMix typograpbra, i|ui ,
hkii que lettrés, nHitoietii rependaiU leiir |jniirij>nlr i|;lo«re ttaus revèculion malerieUc
et le perIcctîanaMiirnt li.t'IitiKjiie tirs proiftlï'5 dr riinpriniiTie. Aiuui lu' ittau(|ue-l-i)
lUiis prrsqiw auntne de se^ publicatiuiu de ^'intituler in Jormularia oti in cjcuêona
tiiemrum arte ^iligrntisi'tmus on seiiuiiss'imus opifex.
Trnili' an4 plius liinl. au roiitmirt'. <|uaxid la conimûsancc approfondie drs It-llres
hcbraïqut-» t-t greccpics rut tut des typographes lus véritables restaurateur» <K- l'antî-
rpiilé utnt-i' e( pntfiaae-, uous verront Kulirrl au miltt'U de se» coadiat» coulrc ta Farulté
d« lltrologie, n'itocrptar qu'avec une iionie liautoitie la qualiGcatiou à'opifcj: , dcHit
■'boooroîtiit modcstcnonl h-s prédm^<tnirs : Cummenl ! ( frra-lil dire au\ MirlioiiLStn
dnuft lin de s« plus \ ébênieiiUi crrils) Cotnoienl ! (pi'd soit dici qu'uiiç homme mechani-
qnf ait vaiiteu le colU^r tte» llirolnpei» « (M Mapuiii. Joum. 'ieà Smimt^^ \ii\\s 1R41 )■
578
mSIW PREMIHR.
être tenté de iàire coiinoissaiice. C'est aussi ce qui explique pour-
quoi tant d'amateurs prennent plaisir à former, ou tout au moins à
ébaucher des collecliuns aldines qui , des leurs commencements et
pendant une continuation de nombreuses années, sont si séduisantes.
C'est Aristophanc/l'héocn te, Hésiode, Hom^re, Aristote, Virgile.
Horace, Dante, Pétrarque, etc., admirable série de chefs-d'œuvre!
Et de l'autre côté, quel est le début? La liste est faite, on peut la
parcourir.
Henri mettoit avec exactitude sur ses livres . soit au litre , soit
plus généralement à la fin , la date de l'année, du mois , et même
celle du jour de la jmblication. Dans ia formule énonçant ces datea
avec l'indication de son nom , de sa demeure, on peut apercevoir
qu'il prenoil plaisir à la varier sur ses divers volumes; et quelque-
fois elle contient des expressïon.s ayant rapport au sujet du li\Te.
Ordiniùrcmcnt le titre porte une gravure ou symbole, les armes de
l'Université se composant de l'écu do France, ayant au haut une
main fermée sortant d'un nuage et tenant im li\Te fermé , et aux
deux côtés, en supports, deux figures déjeunes hommes ou d'anges,
avec une banderole au-dessus de leur tète , quelquefois avec les mots
pfus ofei qnnm 7'i/ti , et au-dessous Hettrictis Stfphnntts , ou les
initiales H. S. Aux ccu^Tes de S. Denys l'Aréopagite \Thcohgia
■vh'i/icans) , 1515, in-fol., est, non pas une marque, mais une
grande disposilioii eu bois, occupant toute la page, comme en
plusieurs autres des volumes de Henri , et présentant \me espî*ce
de symbole lormé de deux arbres , ayant au■^lessus deux aigles en re-
gard au milieu de la page deux cercles contenant Ténoncé du titre.
au-dessous un écu vide . Sur qut'lques-uiis de ses livres on voit cette
épigraphe : ForUma opes auj'erre^ non animitm potest, - Aucune
devise (dit avec raison M. Magrùn, Journal des Savants^ mars 1841)
n'auroit pu mieux convenir aux malheurs et à la persévérance de
ses descendants. « Ainsi que j'en ai prévenu ailleurs, je ne fais point
graver l(*s marques typographiques des Eslienne, parce que pour
la plupart elles n'étoient poiiit leur propriété exclusive, quelles
purent être, et furent eflectivcniont employiîes par d'autres Impri-
meurs contempoi-ains . qu'en conséquence leur représentation nese-
roit d'aucune utilité l)il)liographi*iue . et n'apprendroil rien au lecteur.
HENRI PREMIEH.
Î7î»
Henri eut trois tils , François , Robert et Charles qui embrassè-
rent la profpssion de leur pî^re, et s'y dis.lingiit;rent tous trois, bien
qu'à lies degrés fort différents. Voyez les Notices relatives à chacun
d'eux.
Le nom de sa femme est inconnu : on sait que l'année d'apWs la
mort de Henri , elle se remaria à Simon de Colincs, ou Colinet,
aux mains de qui passa l'établissement typographique, et qui aux
caractères Romains de Henri en ajouta beaucoup d'autres, et
notamment ces beaux Italiques avec lesquels il fit de nomhreiises
éditions , et qui furent presque enLièrcment gravés par ses mains
habiles. On peut s'étonner de ce qu'avec trois héritiers qui tous
ftirent libraires, et sur lesquels deux au moins furent Imprimeurs,
l'entier attirail de cette officine qui n'étoit pas sans une assez grande
importance, ait aussitôt passé aux mains d'un étranger. Il est pro-
bable qu'à la mort de Henri . Simon de Colines étoit son associé , et
ainsi se trouvoit copropriétaire de l'établissement. Peut-être ausâ
la (liiTiculté d'un partage impraticable entre trois fils encore jeunes,
ou d'un choix sur les trois à l'exclusion des deux autres , fit-elle
trouver moins fâcheuse la combinaison amenée surtout par le
prompt mariage de la veuve? Il ne paroit pas cependant que ce
mariage si subit et cette transmission de l'officine paternelle aient
été l'occasion d'aucun démêlé de famille. Roben travailla dans
rirapnmerie dcveime la propriété de son benu-pt-re , et s'y condui-
sit avec autant d'activité que d'intelligence , ce dont le Nouveau-
Testament latin de 1523 est une preuve. Plus tard on voit par les
Catalogues de Rolwrt qu'il fut mis en possession d'une partie des
livres provenant du fonds de Henri ; et ses impressions font connoître
que son établissement typographique étoit formé de caractères pro-
venant de l'hérédité paternelle, et dans le même domicile.
Vers 1 537 , François, l'aîné des trois frères, fit imprmier plusieurs
livres chez Simon de Colines dont il étoit devenu le gendre ; il forma
ensuite avec lui une association commerciale dont les degrés ne
sont pas connus, et qui cessa en 1546 par la mort de Simon de
Colines.
Quel fut le temps de la mort de Henri, ce ne put être qu'après
le 24 juillet 1520. une édition à son nom portant cette date? Une
980
HENRI PREMIEH.
autre dxi VÏI des CaJendes de novembre (26 octobre) pourroit faire
supposer qu'alors il C-toit encore vivant; mais dans ce même li\w
le privilège accordé à Simon de Colincs est du 1 1 octobre , même
nnn<?e ; Henri n'existoit donc plus, il étoit mort d'août à septembre :
et, si à la fin de cet ou\Ta^ \Promptunrium jurU) on voit encore
Ea: officina Henrici Siepluini^ bien qu'avec la date de novembre,
c'est qu'il aura éi(^ dans les convenances de procédé ou d'intérêt
de laisser sous le nom de Henri un livre assez considérable , deux
volumes in-folio, achevé ou presque achevé au moment de sa mort.
Un autre livre. Jristotelîs Ijogica, avec le nom de Simon de
Colines, prouve encore que si son mariage avec la veuve n'eut pas
lieu avajit 1521 . ce qui étoit bien assez hâtif, dbs 1520 Simon de
Colines étoit successeur, et installé dans l'établissement.
Quelque^uns font mourir Henri à Lyon , mais c'est une pure
méprise; on l'aura confondu a\xc Henri II. son petit-fils, qui
soixante-dix-huit ans après, en (598 . mourut effectivement dans
cette ville.
Plus heureux que Robert, son fils, Henri, venu avant l'explosion
de la réforme religieuse, et dans les premiers temps du progrès '
littiîraire. n'eut point sa vie traversée et fatiguée par des persécu-
tions. Jouissant de rcstimc et de la considi^ration dues à ses hono-
rables travaux, il eut de nombreux amis et d'illustres protecteurs.
Le savant G. Budé , François Briçonnet. le Cardinal Guillaume
Briçonnet. et son nevpii rÉvêque Briçonnet, le premier Président.
Jean Ganay, les trois Du Bellay, et plusieurs autres savants per-
sonnages, eurent pour lui la plus bienveillante amitié.
Un des savants de son temps qui eut avec lui le plus de rappoils
littéraires et typographiques, fut Jacques Le Feb\Te d'Étaplcs*.
dont le nom latin {/acobtis Faber Stapulensis] , figure sur tant de
volumes de ces quinze à vingt années, Josse Clichtou {Jof/ociu
ClichtoveiLs) , ecclésiastique comme I^ Fehvre , et assez bon prédi-
cateur, imprima aussi chez Henri une multitude de dissertations'
* CltovilKfT le* noraron Fafary, mai» c*e«l un nom yar lui refait Mir le Ulîn Faher ^
(t point dn tout crliii ttr ce saviial eedêsimUque.
HENKl PHI^MIKR.
3S1
ecclésiastiques dont la plupart sont de sa comptwition. Parmi les
correctpurs employés par Henri , quelques-uns ont acquis une cer-
taine n^putation , surtout :
Beatus Rhenanus , savant bien connu , le Cretois Pierre Porta ,
Mich. Poiitanus, J. Solidus. et Volgacius Pratensis.
Dans une lettre \epistola\ de J. Le Febvre a Guillaume Budt', enl
tête de Jristotelis moralium Cotwersiones très, 1 5 l(J, in-folio, il est
l'oit mention d'un Jean Estienne designatum Prœsuiem yercella-
nun (nommé à l'archevêché de Verreil). Un portrait in-4", gravé
par Léonard Gaultier , en 1618 , représente oji François Estienne '
qui en 1593 était âgé de quarante-quatre ans, rt Pnl-sidentau par-
lement de Pro\enoe. Ce François étoit probablement de la famille
du Jean Ëstieime de lûlO, mais rien ne fait connoïtre si l'un ou
l'autre appartenoit de près ou de loin à celle des Imprimeurs. C'est
probablement sur ces deux seules indications que dons une notice
snr Robert I" et sur Henri 11 . de M. Firmin Didot . imprimée à la
suite d'un volume de ses poésies firançoises, in-12 et in-8, il est
dit que Henri , chef de cette famille , admirateur de l'art typogra-
phique, ne craignit pas, pour l'exercer lui-même, de déroger à
l'antifjue noblesse de sa rftce, et même d'encourir i'exhérédation
paternelle. On y voit encore que les études de Henri s'étoienl prin-
cipalement dirigées vers les arts et les mathématiques.... que le
jeune Robert fit des progrès incroyables, sans presque avoir d'au-
tres secours que sa propre intelligence et son extrême application.
Je veux bien que Henri soit né d'un père noble, que ce père l'ait
menacé d'exhérédation , ou même déshérité, parce qu'il adoploit
une profession qui valut à lui et aux siens plus d'illustration réelle
que n'auroit pu lui en donner une ample collection d'anciens ou ré-
cents diplômes et titres de famille ; mai» on aimeroit savoir à ijuelles
autorités contemporaines sont dues des informations aussi positives.
Aimeloveej) au contraire ne trouve point mention du père de
En Ifiîl ji> voH, impriint' cliez AatoÏDe Eslienne, •• Tnniù de la conversion de
moùtrc Jrao Estiraoe, Hrcrêtaire de b Ctumlnrdu Roy. •• Cv Jean éloit miu doute
de ccU(* aulif familWï d'Esliniue, ri |in>l-clH> nt<^ni<- fiU du Prt'ùdrnl Fran(^>is.
3B
3»2
HENRI PREMIER.
Henri ; * Quod . an studio, quia adeo celebris non fuit, vel igno-
rantia. nulîus déterminais aud*!0 « , pag. 6. Maittaire qui sans doute
aussi a beaucoup cherché , ne dit autre chose que : « De primi
Henrici natalibus nil ccrtc occurril. - pag. 4; et plus loin. pag. 1 ,
" ..QuoniaiD iiicorta de Honrici Stepbani natalibus oniniu , nihil-
que de ejus educatione quod dicerem occurrerel , malui viros huiC. . .
coœtaneos. . . . memorare.... »
Je n*ai pas trouvé de renseignements plus précis dans raon
examen d'autres écrits anciens ou plus récents , s' occupant plus ou
moins des Estienne. De même aussi, rien ne m'a appris que Robert
n'ait dû son instruction presque qu'à lui seul. Jusqu'à plus am-
ples informations, je croirai que ce sont «les conjectures, bienveil-
lantes sang doute et honorables pour Robert, mais seulement des
conjectures. Le grand nombre de sa\ants qui furent en relation, et
même en intimité avec son père, me fait au contraire penser que
cet intelligent et studieux jeune homme aura plus d'une fois été
guidé par de doctes conseils, et que son ptre, tr^s savant lui-même,
ne faillit point à lui procurer le bonheur d'iui enseignement régulier
et suivi.
A l'occasion des errata que Henri, <r^ soigneux de la correc-
tion de ses livres, eut l'attention de mettre à quelques volumes, on
a dit que c'étoit un usage inconnu alors a ses confrères. Je n'ai
point cherché à vérifier jusqu'à quel point ceci est exact quant à
rimprmierie parisienne; mais de lltaîie et d'autres pays on connoît
beaucoup de volunwîs antérieurs à Henri Estienne dans lesquels des
errata, et quelques-uns même trbs étendus, font une sorte d'amende
honorable pour les fautes échappées tant à l'auteur qu'à l'Imprimeur.
Maittaire termine sa Xotice sur Henri en disant de lui qu'il avoit
trouvi^ rimprimerie dans l'hiver de l'ignorance , d'où il l'avoit ame-
née à un très heureux printemps, laissant après lui l'espoir d'une
riche automne, produisant les meilleurs fruits. -....Spein illam non
fefellerunt tilii . . . . Denique patemam industriam. , . , superarunt. ...»
ROBERT ESTIENNE,
PREMIER DU NOM.
Des trois fils de Henri Estienne , Rolwrt , François et Charles ,
tous trois recommandables par un grand savoir et pur d'utiles tra-
vaux , Robert est celui qui , inrmiment supérieur ù ses deux fi'èrcs, a
le plus de titres à la renomini.%. et dont la vie a été mêlée de plus
d'incidents remarquables ; aussi , quoiqu'il ne soit que le second des
trois, c'est de lui que je vais m'occuper d'ahord. H vint au monde
en Tannée 1503 ; si l'on ignore compMtement où se passi-rent l'en-
fance et la jeunesse de son përe, on doit quant à lui présumer que
ce fut à Paris, dans la maison paternelle, au milieu des travaux
typographiques, que s'écoula tout ce commencement de sa labo-
rieuse vie. Quels furent ses précepteurs? Jusqu'à quel point fut-il
dirigé par les conseils et les enseignements de son p6re? C'est ce qui
est demeuré tout-à-fait mconnu; mais il fut indubitablement très
bon disciple de tri« bons maîtres , à en ju^r par la haute capacité
dont il donna des preuves dès les premiers temps de son initiation
aux travaux par lesquels il s'est si émineimiieiit distingué. Il paroît
que . ni avant la mort de son p&re qui eut lieu vers la fin de l'été
de 1520, ni dans le temps qui la suivit , il ne quitta la maison pa-
ternelle où dès 1521 sa mère amena un nouvel époux. Travaillant
dans l'Imprimerie devenue par ce mariage la propriété de Simon de
Colines , Robert par son intelligente acti\ité y occupa bientôt la
première place après celle du maître ■ dès 1523 fut publiée une
édition in- 16 du Nouveau-Testament latin, imprimée dans le coure
de 1522, et dont la révision , ainsi que l'exacte correction, lui sont
entièrement dues. Quelques rectifications que s'étoit permises le
jeune t:\liteur pour certains passages qui lui sembloient altérés, et plus
3B4
HOBEKT PKHMIËH.
encore le déplaisir de voir de cette partiedes Livres-Saints une ùdition
portative , exécutée avec élégance, très correcte surtout , et tendant
à rendre la lecture de ce divin livre d'autunt plus populaire . firent
jeter les hauts cris ami Sorbonistes . et donnèrent commencement à
ce système de haineuse persécution qui jeta tant d'amertume sur
sa vie entière. Les Docteurs qui dès-lors auroient bien voulu le faire
condamner comme falsificateur des livres sacrés , ne purent cepen-
dant réussir à faire défendre le débit et la circulation de son volume,
ainsi qu'on le voit dans le très curieux écrit qu'en 1552 Robert pu-
blia à Genève en tête de sa réponse aux Censures de la Faculté,
comme une espèce de compte rendu de sa conduite , et que je réim-
prime à la fin de ce volume.
Simon de Colinesi i>ersonnellement occupé de la gravure de ses
élégant-s italicjues qui sont presque entièrement son ouvrage, et
auxquels il dtiit la plus grande partie de sa réputation , étoit d'au-
tant plus porté à se reposer de la direction de l'Imprimerie sur les
soins de son jeune parent qui montroit une habileté si prématurée,
et justifioit si bien sa confiance.
Robert, après avoir travaillé quelque temps dans l'Imprimerie
de son be^u-père , eut le désir bien naturel de devenir Imprimeur
pour son propre compte ; et, en attendant qu'il eût pu réitssir à
compléter un établissement typographique, il s'occupa vers 1524
à recueillir dans plusieurs anciennes Bibliothèques de Paris, et no-
tamment dans celles de Saint-Grtîrmairi-des-Prés et de Saint-Denis,
les matériaux d'une nouvelle et meilleure édition de la Bible latine.
U en revit l'entier texte sur plusieurs exemplaires tant imprimés
que manuscrits , entre autres sur la Polyglotte d'Alcala qu'il fit
venir d'Espagne à ses frais', et rassembla en un corps la multitude
de variantes bibliques qui résultèrent de ces diverses collations.
En 1526 , et probablement m^me dès les derniers mois de 1525,
on le voit possesseur de l'établissement t3q>ographique situé rue
Saint-Jean de Beauvais ** , sans doute dans la maison paternelle,
Voyvz PnrTal. iii Itiblu. lâiS, io-fol.
' Swival, Atilirptit^l <\r l'aiis, dit tpK- daits rdU*
mv oit ïoyoil (Uicorr TOli-
UOBKRT PBEMIEU.
OÙ ne pouvoient manquer d'exister encore . tant en livres de fonds
qu'en ustensiles d'Impnmerio, et indivis entre les trois jeunes
frères, d'importants restes du négoce typographique de Henri, leur
père. Robert prit pour manfue un Olivier qu'il accompagna de la
devise, ou motto : Noli altiua jtapere, serl time , et quelquefois
seulement : A'c// altuni sapere. Paul , Ep. aux Romains , xi , 20.
Vers ce même temps Robert t'épousa la fille du savant professeur
et Imprimeur Josse Bade (Jodocus Badins) nonimi-e Perrelte par
La Caille ', Pétronille selon d'autres, et, selon Prosper Mar-
chand , Pérale. Fille et femme de deux hommes habiles et instruits .
elle av oit elle-même beaucoup d'instruction, et, sans la moindre
prétention à la science , savoit assez de latin . non pas seulement
pour bien comprendre les conversations qui se tenoient chez elle en
cette langue, mais pour y prendre part convenablement et avec
quelque correction. Elle en avoit des occasions fréquentes : la mul-
titude des savants qu'amenoient dans cette maison leurs rapfrorts
littéraires avec Robert qui les recevoit fort bien , grandement
même, et dont plusieurs furent ses commensaux, y avoit mis en
habitude d'employer le latin pnur langage commun entr*^ dc^ per-
sonnes ik la plupart desquelles le grec , le latin , et même l'hébreu ,
étoicnt plus familiers que le fran(;ois. Entendant sans cesse parler
latin , les enfants de Robert , sa femme , ses domestiques même
s'habituoieJil à s'exprimer en cette langue ; ce qui fit dire avec quel-
que vérité que, de la cave au grenier, chacun dans cette maison
parloit latin **. C'est ce qu'exprime très bien une lettre de Henri
■
\'wT que Robert Eftlienne a%'oit prù pour emcigne. SamaJ écrivott en 1650 : il est pro-
ltal>le que rolivîrr donviu^ eii pljH,v plut lniiç-mn|a encore, el rtstA [u inanpic de
Librairri ou Imprimeurs qui po»léneurciiiCDt occuptreiit ccItc niaiMiu. Ou a pu toïr
dAOA les Annales Alduu>s que l'Ancre placce par Antoine Manuce ffur u boutique ■
Ki(l()i;nn, y rhiil cncunr il y n très peu d'années, que rrmimieiil vWv fut di*jiO«éi: el
vendue en Angleterre. A Florence, sur U Iwuliquc quePliil. Junta ya\oil en 1497, on
\uit eurore aujourd'hui le \'\m\ l,u rtHigc An Junta.
* La Caille est exact. Lu acte public de ISâS, iDiftrimé dam U Bibliothèque dc&
Cttartef, et que je reproduis dans ce lolunic, lauonunc Perrelte Bade.
** Vojcf a la fin de cette hiograjUkie daii<t une pièce dr %eit lalinii de J. Uaurat :
HOUEHl ritKMlER.
a son ftls Paul , servant de préface à lAuIu-Gelle de 1585 , in-8.
Voici ce passage : plusieurs autres, tous fort curieux , seront cites
dans le cours de ces Notices.
« De avi quidem certè lui Roborli Stephani familta, non df»siml qui lestarl
poflsint, seiriea qiiudaliu in nulla, »*\ rem iJlerdriaiii, quodalliiiot, vidisaeî^
ipsas uLium fumulas magnam Lalinarum voowm partfim intelligentes, mulUi
eliam [Acd qiiasdani depravalL') lotjuoiitps. Xmw autem tuac, eorum qiia* lali-
ii6di04^bantur (nisi rarius aliqual vocabuliim intprmlsctîretur) liaud multù
diffîcilior enit inlellccluâ i]uàni si dioU sernioiR' Gallifo fuissent. Ouid de
siipcrslite sorore mca, autila aulL'iii Uia, iiomini* Katharina, dicam? llla quo-
que eorum quîc latine riicuntnr iniprprotom non dwîdrrat. Milita vero et ipsa
codem loqui soriiionr poU'sL, i!L quidem iUi (lic-et nonnunquani impingal,) ul
ah omniUuïiinlelligatur. Undi* illi h%c Lalinx lingua? cognilio^ Artemcertâ
gramirtnlicani haud nwj^istnmi tiabiiil ; ncc aliiis illi hac in re quàm usus pra^
ivil. EtKlein enim ukxjo Lalinam !in;;uam ciidicil, qua inler Galloa Gallica,
inter IlJilwlUilica, intcraliosaliadi^ci solol. «
n £t quoniani hune in iicrnioncm incidi, ut scias quam fuciillateni discendi
linguam illam familia quas inihi paterna, tiht avita ml, giippeditaril, audi
rem opptdô quàiiidignain qujr inL(T illiusfatniliu* memorias (ut Gelliano utar
vocabulo) refi'ratiir. Fuit tenipu-i qiiuni avus luus, Rolwrtus Slephanus, de-
comviniliun cjucirmiani liU'nirium dumi habcR"!, iTuniquf! ut TravTuM (omnium
naliomim), ita cliiim KoiyjÀtuooc» (omnium linj^uarum); nam ul ex omnibus
naliontbuâ ronflatus, ita etiam omnium lîii^uarum erat. Deccm hi parlim
litorali, parlim litrnitisaimi viri, quorum quidam rorreclorio munerc funge-
banlur .(iiqiie pra^serlim qui epi;iramniuUï puiulrenia fjus odilioni Thosauri
Luliiii priefi.xtTunl) quum sifut ex diversis «riimtli eraut t;cnlibus', sic cliam
divorstim !iorinoni<m vtrnaculum batuorenl, lingua Latina, Uinquam communi
intcrprck', int*'r se utcbanlur, .V. quum ex hisdect'm lïiodôhos, jnod6 illos,
famuli paritpr et famulie, de rébus quas ipsi ipsa?quc vel novorant, vel sal-
tem conject«ire [lolonint, collo(]uenles, qiiin «'tiant in men^ quotidie cûm de
aliis,lùm vero de iis quonim iMa w)let arîîumt'ntum su^K^rere, sormonem ha-
bentes audiront, ita siiai^ [KHuhiUm aiirp5 verbis illorum assuefacit^tiant, ut
uoa &otum plcraquc eorum quse dicehant iotelligere, sed quœdam etiam eto-
* " Pa» an de ce> dix comctcors nVitt cumpm dc-ui phrases dr François » dit
M. Cra|te1et, page 8* de son crril » la louange dt; François V" el de Roliert. C'est
coocliirr de ce paui)^ bien au-delÀ de ce qii'îl foil cnleiHlre. Que ces (lis, MtinU, de
uatioiis diverfttsa, aient eu difficulté, vl même, ktuiout vùIik eux, impoMibilili' de
faire usage de la langue IriiiiçoÏM*. i.-cla »e cuiiçoil ; mais qtte \Mt% un dViii ne filt en
état d'cnlentlrednu phrases de Trançoi»^ Henri nr ledit pas, ci r'esl de Unile iii\iai
«rmhtauce.
I
qui vîilerenl. Jaiu verôul lioc totuin runiiliiim iBtinitati nâsucfaciebat, quott
ego, fniterque mf>us Rol)erl4is Stcphaniis, non aliaqtiàm l^linii apiid patrcm
vcl quonipiara ex ilHsdcoemvirU uli lingiia audercmus, ox quo jadis primis
fundiinif^ntiâ balbulirc in ca cœpcraniiis. n
« Ouorsum verô ha'c oninia? lîi ostondam, ignorantiam, quîc in aliiâ plo-
risqiio ramiiiiïf turfMà lanlitiii diri potost, in mna habitum iri propemodunn
piacularom. • [Vraf. in Udlium, 4o8.S, pag. 12-13).
Robert perdit cette première femme, mî^re de tous ses enfants ,
et ce fut au plus tard en 1547 , car en cette unnéc-là il y eut entre
les enfants , tous mineurs . partage légal des biens de la succession
de feu ievir mère; et. par le registre des baptêmes et mariages
de Genl've , on voit que le 1 4 d^.embre 1 350 , un second mariage
de Robert avec Marguerite Dps<'hamps , dite Durhemin , a ét(5 con-
finné; formalitt^ inusitée, je dirai même incoimue en France.
L'inspection de la nomenclature chronologique et raisonnéc des
éditions de Robert fait voir que si pendant tout le cours de sa vie
il ne laissa point passer une année sans mettre au jour (|uelques
bonnes éditions des meilleurs ou\Tages en ancienne littérature , les
Livres-Saints, dans les trois langues, hébraïque, grecque et lutine,
objets de ses éludes et soins continus, furent par lui fréquemment
reproduits en éditions tantôt entières, tantôt partielles, mais tou-
jours belles et savantes. Je ne crois pds qu'il puisse être utile, ni
fort agréable au lecteur , que dans celte seconde partie je le prenne
comme par la main pour lui faire faire une re\Tie forcée de ces di-
verses impressions , soit de Robert , soit de ses parents et descen-
dants, et ainsi reprendre d'une manière brisée , non sans d'inévitables
lacunes, ce qu'on voit au long, et, j'espère, avec quelque exacti-
tude, dans la premii're partie de cet ouvrage. Il ne doit donc se
trouver ici rien qui ait physionomie de catalogue; les mentions qui
y seront faites devront avoir bien moins ptmr objet des renseigne-
ments bibliographiques, dont la place est ailleurs, que d'exposer
la marche , la progression , et , s'il y a lieu , les al>errations des
travaux de ces hommes qui ont mérité qu'on écrive leur histoire.
Suivant l'usage de ces temps-là Robert mettoit ordinairement sur
ses frontispices l'année avec son nom , Parisii^^ ou Lutetiœ, Àpiid
Robertum Sfephaniwt, M. d. xxvi, ce qu'il répétoit à la fin du
volume, presque toujours en y ajoutant l'indication du mois, et
288
ROBEKT PHEMIEH
même celle du jour . mai» cette dernitTe mention plus fréquemment
omise par lui qu'elle ne l'avoit été par Henri , son përe.
On a prétendu que Robert étoit en Imbitude d'exposer ses feuilles
d'épreuves dans des endroits publics, dans les places, sur les
ponts, etc., promettajil une récompense à ijuiconque y découvriroit
quelque faute. C'est, je crois, un canic bon à reléguer avec celui des
caractî'res d'argent , argentei trpi , employés par quelques habiles
Imprimeurs. Que des personnes étrangères à son Imprimerie . des
étudiants surtout , qui toujours ont abondé dans ces quartiers , dans
la place Cambray si voisine du domicile de Robert , aient été plus
d'une fois invités . el . pai- l'attrait de quelque récompense, encou-
ragés à chercher des fautes dans ses épreuves , c'est là ce que son
désir bien reconnu de donner des livres corrects rend tout4-fait vrai-
semblable.
Dans ces années oix les études littéraires et la lecture des bons
auteurs grecs et latins commençoient à être plus rt^iiandues en
France, ce (|ui mnn(|uoit surtout, c'étoient les livres plus ou moins
élémentaires de grammaire tant grecque que latine; aussi la pre-
mi6rc moitié de ce siècle les vit se multiplier beaucoup en France .
bien moins par la réimpression d'anciennes méthodes, que par la
publication de nouveaux ouvrages dans lesquels les Mélanchtbon ,
les Drapaut^^e , Mathurin Corrlier , le grand Erasme même . J. Pd-
lisson , l'Aiiglois Th. Linacre , les Estienne et plusieurs autres doc-
tes personnages p?-éparoient lu voie à ces excellents et tant perfec-
tionnés ouvniges de grammaire que les temps suivants et notre
siècle même ont vu paroître. Aussi les onze publications qui occu-
pèrent la première année typographique de Robert sont presque
toutes des Uvres ou cahiers élémentaires servant comme d'inlroduc-
lion à la réimpression d'auteurs classiquescommencée dès cette année
1526 par un volume de Cicéron, Eplstoiee famii tares ^ et qui va être
continuée sans inlerrupLion dans les années suivantes. *
* D'après Panzcr qui ivappuie de U. Clémcot , It Rev. M'ill. Pan- OremcU ' [A P^iew
* Rxtrait rt r^nina d* ca qar lUn» dtrer« aainir* plu* au moto» «xactm on IroDffv >ar li^^
lenps {itimitif» <le la Tj |Ht((raptùc [wrisiciinf , ntU peu ou même potel d« reoMigaameata ao
rèjnlUnt de n^chercbra ptd'rsancni pcnoufirU laxqnla il ae paroU païqae la aaraBl aatcar
■it «Il U volonlè 4c *t lin«r<
I
ROBERT PREMIER.
Sfl9
t'hacune de ses éditions entières ou partielles de la Bibli? fut dans
la carrière typographique de Robert un tHénenifrit d'une réelle
importance . soit pour ce quelle ajoutoil à sa réputation de savoir
et d'habileté, soit, et plus encore, il est malheureux d'avoir à le
dire , à cause de ce qui en résultoit de fâcheux pour sa tranquillité
et son bien-être. A commencer au Nouveau-Testament latin de
1523 , di^jà nientionnt^ , il n'est , je crois, aucun de ces recomman-
daJtles volmnes qui, attaqut) par les Sorboniates, n'ait valu à Robert
des persécutions plus ou moins patenter, mais conliimées sourde-
ment lorsqu'elles sembloient avoir cessé. On a vu que depuis plu-
sieurs années il a'occuiwit d une édition complète de In Bible latine ■
en 1527 il en avoil obtenu le privilège, et elle parut l'année sui-
vante en un volume in-folio (Voyez ci-dessus, pag. 27|. Dans la
même année, avec les Institutes de Juslinien, et plusieurs autn-s
ouvrages, il publia la collection des Pandectes, cinq volumes in-8,
bien remplis. PJaute , Térence , avec et sans commentaires , et beau-
coup d'autres bons livres . sortirent successivement de ses presses;
mais le plus important de ses travaux, celui qui avec les éditions
bibliques occupa une grande i)aj'tie de sa vie, c'est la composition
de plusieurs dictionnaires, dont le plus considérable. Thesmtrus
Latin/r ////^uff, est à lui seul un vrai titre de gloire. Ce fut l'insul-
fisance du Vocabulaire de Calepin qui lui en donna l'idée. On lui de-
mandoit une édition nouvelle et meilleure de ce livre qui, bien que
d'un usage alors presque imiversel, ne laissoit que trop à désirer;
Robert, après s'être mis k l'œuvre à plusieurs reprises, trouva la tâche
si fâcheuse, le besoin de changements et addiûons si considérable,
qu il crut bien plus à propos de faire en entier un nouveau dictionnaire
^que de se coiiïîumcr en rcctiiications qui après tant de peines ne
produiroient pas un bon livre. Ses amiii partagcoient son opinion .
mais ne se montroient pas disposés à venir à son aide. Plusieurs de
!ux à q\ii il s'adressa le réinsèrent; d'autres, après avoir promis.
of the earlj Parùian Crtei prru, incluJing tht tivt* of Stephamu Oxford^ 183S,
■% vol. in-^} Ut débatrr Robert par le traité d'Apulée De Dto Socmt'u , 15tt, in-fl.
kt b arulc rdition StrphanitntK »td(i Iroûicme Robfri, 1636. Ip-t6.
m
«w
HOllKhT PUKMIIvH.
se dédirent, mal^é les offres d'hcmorairt's considérables; de sorte
qu'en définitive pcrâonne ne voulut prendre part îk un si pénible
lainnir. Cette unanimité de refus qui dut le contrarier vivement , lui
inspira une résolution courageuse à laquelle il doit une grande partie
de sa réputation. Il auroit pu n'être jamais qu'un bon Imprimeur,
un éditeur consciencieux; il va prendre rang' parmi les plus habiles
lexicographes. Cette tâche que "chacun trouve trop rude, il en prend-
la chai|^, s'en occupe aussitôt, avpc une telle artivité, et sans doute*
aussi avec une telle facilité de travail, qu'au bout de deux ans d'une
pei*sévérancG opiniâtre, et sans autre coopérateur qu'im modeste
savant , Jean Thierry, de Beauvais . il met au jour " la première édi-
tion de ce lexique si utile, et qui fut si bien accueilli dès son appa-
rition. Quatre ans apr^s, en 153(). une seconde tklition fort aug-
mentée vint satisfaire à l'empressement des acheteurs; enfin en 1543
tle nouviîlles et considérables améliorations élevèrent cet (mvraj^it h
trois volumes in-folio, et le mirent dans l'étal où il fut laissé par son
auteur. Plusieurs fois réimprimé d('])uis, toujours il reçut des addi-
tions nouvelles, mais de cesaug^nicnlations, beaucoup ont été plutôt
\me oiseuse surcharge qu'un accroissement de richesses. L'édition de
Lyon, 1573. due aux soins de l'habile lexicoj^raphe Robert Constan-
tin, n'est pas exempte de ces inopportunes adjonctions. La crainte"
d'être réputé avoir donné une édition inc-ompli''te les fit toutes ad-
mettre par l'éditeur Ant. Rirr dans celle de Basle, 1740-43, 4 vol.
in-folio qui. entre autres utiles et très inq)<)rtuntes augmentations,
contient des notes écrites par Henri Eslienne sur les marges d'im
exemplaire de 1573, encore aujourd'hui conservé à la CibUothèque
de Genève.
L'édition de Leipsic, 1749 , 4 volumf» in-folio, est cependant
encore supérieure à celle de Basic : dons les mains habiles de J. D.
Gessnerelle est devenue presque un nouvel ouvrage. Tous ces tra-
vaux si estimables ont été depuis éclipsés par le Lexique de Forcel-
• fiinos atmos in hoc opcrc dies noclf«|up, m dooicsticK et corporis fere neglïgeiu,
îta dcHubvit ul qiioltdjr duubiis prelis nutenaoi siifltcrrel, et absque ope divins oncri
Mieeombeiidum fiii^rit. >- Préf. de ce Dictionnaire utr lequel voyez ci-<lruus, pog. 37,
48 n 5^.
HOBEHT THEMIEH.
liiiî à qtii ils avaient pr^aix^ la voie, et dont les quatre yoKimes
iti-folio uiipriiiiés deux fois, et supplr-meiités à Padoue, se sont trou-
ves à Jeur tour primée par une nouvelle édition en quatre voliunes
grand in-4'> faite aussi àPadoueon 1827-32. et bien sup^'^rieureaux
deux in-folios. * Ainsi est-il arrivr au ix'Iôbre Vocabulain- Anglois
de John8on, dont l'anoionne rt^daction reste beaucoup au-dessous des
deux éditions de Todd, 1818, 5 vol. in-4. et 1827, 3 vol. grand
in-4 : cette dernière surtout est certainement la meillcuru édition du
meilleur des dictionnaires ai aucune langue moderne.
Avec le Thésaurus intitms, dans cette même année 1532 furent
publiées treiiœ autres éditions, dont le Virgile, avet^ les Commentaires
de Servius. in-folio, et une réimpression pareillement jn-Jblio de la
Bible latine de 1 528, l'un et l'autre livre en im beau caractère neuf,
et d'une grosseur convenable à ce format. Cette édition de la Bible,
peu rec^herchée aujourd'hui, est cependant supérieure à la précé-
dente ; et un passage de la préface rend compte des nouveaux effortâ
de l'éditeur pour en faire disparoîlre le> négli^'ences qu'il avoit re-
connues dans l'autre. Il avoue •• se non nihil in priore Bibliorum
emissione l'uissc dorinitatum ; in hac vero dari tralaliuneai prupe
tntegram et illibatam ; dcnuo cuai veteribus manuscriptis quo; annis
superioribus Monachi S. Dionysii, itemque 8. Gcrmani, et gravissi-
mum diud Theologorum Parisieiisium Coilegium ei communicàrunl,
coltatam, adjectis ad interiorem roarginem divertis interpretationi-
bus, cum nbcliscis et asteriscis (^uibus Origenes et Hieronymus usi
fuerant. - Cette i^ition de tous pointa si reconmiandable, el à la-
quelle justice fut rendue par la continuation d'un prompt débit, fut
cependant encore attaquée par les Sorbonistes. •■ Theologi Pariaien-
' Prrtqiie aiiMilôt après roehèvemeitl de oHlu imporlante et si util« rciniprefloioD ,
rt ccruiaoïncnt avant que va laborieux vdileurs aicut pu obleoir du public ochelrur
une jiMte indemnité de leur lonf; travail, tiiiiï édition faite daua tint? ville Je Saite, eu
18SS-S8, 4 vol. ^udiu-i,est \<•uucapp^<>^i!tioIll(erl('^u^dde rKurujM', v\ tcra peul-^tn*
drtiilée, réimprimée mtaïc, avant que les Padouoiu aivul réussi à placer leur damier
exemplaire.
Il paroit qu« MM. Didotont l'iuleatiou d'a}otiter à Icitr Tkrsaurtts gntcm un Dtc-
liitiuuiiir latin d'uitf mladinn unutt'llr, cl ilani \n\nt'\ rint ne Hf roil iiêglifcé |H)ur le
rriMlri' pluftoinplc rt plu-« i-\art qm: lou« reu\ qui rvultiui.
29i
KOBtiHT IMiKMlKH.
ses eum ad ignés usque persequuntur, quod Biblia imprimere ausus
ait, •■ Resp. ad Cenjiurait, pag. 7. Rien ne ressemble tant à des re-
dites que ces mentions fréquentes des criailleries et mauvais vouloirs
de la Sorbonne contre Robert rt ses Bibles. Si, animas d'un saint
zèle pour la wilulaire diffusion des livres bibliques, ces docteurs eus-
sent donné de fréquenta témoignages de leur satisfaction pour les
travaux du savant et pieux éditeur, ne scroit-il pas historien ingrat
et infidfVle celui qui n'auruit souci de rendre hommage à ces respecta-
bles preuves d'un zMe vraiment chrétien? Je n'ai au contraire à
faire connoître que des tracasseries haineuses, une inimitié opiniâtre,
implacable ; il est dans mes obligations non moins que dans mon do-
maine de stygnmliser la déloyale conduite de ces faux dévots. (Pour
tout ceci, voir à la fin du volume la Hêponse aux Censures^ &c.)
L'amour de la paix, le besoin d'une vie tranquille pour mener à
bonne fin toutes ses entreprises, mirent Robert en disposition de se
résigner aux exigences des théologiens ; il s'engagea même à ne rien
publier de théologique sans leur approbation : mais ces concessions,
ces témoignages d'une respectueuse déférence éloient inutiles; la
Sorbonne le détestoit plus encore qu'elle ne le craignoit ; elle eut re-
gretté peut-être de perdre des occasions de le tourmenter.
Ces contrariétés, ces risques même ne rempèchèrent pas de per-
sévérer dans ses pieux travaux sur la Bible dont \\ donna en 1534
une édition portative , in-8 . en petits caractères , et avec de nou-
velles corrections. jVoyez ci-dessus, pag. 39. 1
Ce fut en cette même année 1534 que, ie 13 janvier, des lettres
patentes de François 1" (du protecteur des lettres !) * défendirent à
* Il m'est rvvtiiii que qiu-lquiii personnes »e wouK fonnaluées do mon poinl admira-
ti(, y ont xn un ingral et ralomutnix oalrnge mvm Frau^ob \^' qw, sdou I«ur rt»
pcclucoH ituceiKibililé. rrlte c\cUmatioii CASAieroit dp Innuformcr en pnucripleor des
LHlra. Oui, ccrtnmvnuMit , F'raii<;m?t I" fut \v. prolcctour des art^ et des Lcllrcs, U le»
Ilooora, et les aida |iiM«s'iiiinii-nt du plus zc'-lé palroiiagt-. \\\n\ ur poii\oit mifiix servir
«t KOHider oellt* aulniti' a|])H-l«ii<-if d(> gloire pfrsoaiidU- qui fut ta pfnsôc dr sa \k
(sticre, !■ mobile de pri^pu* timit^st-s artiotu; mais si 1rs l^ftli-es furent pir lui jirtH
tvg^. dAcaccmnit encoura^tiTs, eu fut-il moluK le proftrrqileur dr quicutiqur, iiii^aie
(Ku-mi h-» pluft IfUii-N, lui ikuoî&mhi taioriMT \fs opii)iouMH>ut«>lloA! S-a l>ellrcsKuyiile4,
loat Imprimeur it imprimer aucune chose sur peine de la iiabt. Cet
ordre iii^ns«* n'obtint point du Parlement la sanction, alors et pres-
que toujours si facile, de l'enregistrement; il n'acquit point force de
loi. mais restoit là comme un épouvantai! fonnidable tenu prêt et en
n'-servepour la première favorable occasion .Des remontrances du Par-
lement amenèrent le 26 f(^vrier suivant de nouvelles lettres patentes
qui, mettant cellesdu \'S\ii\3\\'wT en suspens et jurj-râ/ir*, ordonnèrent
au Parlement de - choisir vingt-quatre persoimages bien qualiffiez
et cautionnez de&quelz nous \ le Roi ) en choisirons et prandrons douze
qui, seulz et non aultrcs, imprimeront dedans nostre ville de Paris,
et non ailleurs . livres aprouvez et nécessaires pour le bien de la
chose publicque, sans imprimer nulvune composition nout'elle , sur
peine d'estre pugniz comme transgreaseurs de nos ordonnances par
peine arbitraire.. ., et jusqu'à ce qu'il ait été satisfait à ce que des-
suz. et que lesdicts noms et advis nous avcnt esté envoyez., nouâ
avons de rechef prohibé et défendu, prohibons et défendons à tous
iprimeurs généralement, de quelque qualité ou condition qu'ilz
«oient, qu'ilz n'ayent à imprimer aulcune c^ysa sur peine de la iiart;
le tout par manière de provision et jusqu'à ce (jue nous ayons plus
amplement esté informé.... - *
Cet ordre, non moins rigoureux que le premier malgré les modifi-
cations qu'il seinbloit promettre , ne (ut pas non plus enregislré. Les
iliTalivm nialp*!! la di^juipprohation à la térilû impuû&auli* du PurlmMiil. irnrtioii-
tii'til-i'ltcii piu d'igii^iii'ii'^'O^ 5iipptir<-*s roulrr mi\ cpti, ù «avaiil$ fii»M'iil-il.'i. owniicut
mrUrc t-u liimicrr qiioh|ue êrrit non royolpfiientauloriiv? Nalla-t-îl pos mt^fiK jiiwprà
rviaycr (l'omp^Sclior toiile piiMiciilioii iH)«*Hlf ?
* Les Lettres patentes que je viau de citer ai pai'tk ne paroiural |usa\Dir ètê alor»
imprilDi'ei. VWfs. «ml niiv t*)îi*!r« du Conseil du Pariement tir i'aru . d'oi'i 4*llw mit
éli' mpicvs par M. l'aillaudH'r qui k*s a iiism-rj diiuï uo MèmotfY sur t tntjtrtmtrit t/e
Paris, lu à U SuciviL* Royalo di« Anliquairf«..ei les a coniiuuniqnèe» a M. Oupelet
pjr ipii A\<fs uttt rU- n>proiiuili<9 liltrr.ili>nirtit rt mi mlier daii.« snt Kliidr.s 'l'y|Hlgni*
pliitpin , lomc 1, pag. M à S7. Apm a\oir niitki m 1837 mis tti luniif'rr ns ordrrt
fauriblci, c«1 «rtv, l'un ticspitu ^ipiificalif» du goiucmrtnrut àc Frannùa 1"'', d ùloit
ipouihlr (Ir \e |kav<wr tiiut-à-fait soiu «ilmrr en 1839 daiis un itHI «ir FmiH^is I*** ,
rt *ur la lV|to^nipliii*. "Viiin It-s Ui-tnr» Jr «■»<■ iiM'^italilr mnilKm -■.... Ca- n»i (pw
t'mi Wa |u& tiaini dr iiunttNtinu'r di* iu>& jouib U' t'i\u*nfiU4ir dm Ix*!!!-!-», >■ pM»tiP> dr
294
ItOBKHT PtlHMIKlt
défenses et poursuites continuèrent comme par le passé au gré d'uTi
[prudent Lysct, et autres agents de l'autorité; en 1547. 1551,
1 557 et 1 5<3 1 des Edits , Ordonnances et Déclarations réitérèrent
les délensfts tantôt au sujet de» Livres-Saints, tantôt à l'occaiàon des
Jilïelles, &c... et enfin, le 10 octobre 1563 di's lettres patentes de
Charles IX vinrent préciser et régulariser les prohibitions, en défen-
dant à tous Imprimeurs d'imprimer sans permission sur peine (festre
fiendus et étranglez. Celles-ci furent lues, enregistrées et publiées
sans aucune opposition ni remontrances.
Aux personnes les plus consciencieusement soumises aux décisions
ultramontaines, les plus méticuleuses en scrupules de croyance . il
je m $ah tjurl acte de politique retigieuit que liii avoiciit arrache les obicuious du
cJerg(>, «1 qu'il nuhl'm hif/tttli, plusTotuulaimnuit uu» dutitr. •• ( Robert Estienne et
U Roi f'raitçvù I*', pag. 33.)
Ces ordres et dpfeuses ne furent |ioml inU ni otdili par le monarque, ce qui sût vu
est U preu>i'.
Trou aiu apn^ l(^ dt>u\ Lettres |MilenlrA de 1534, uiie Ordonnann! datée de Moul-
jM*UiiT. \p X (liTtiubri' 1537, prescrit le dépôt à la Lihrairieltoyale de toute pnMhirliiui
des prn^r» rnini^ois», <' jwur n\oir recours au\dtt5 li«rt-s si de furtiuie ils ctoient ici
après pHrdi» de la iiu'tnoîre des liommcs, ou aurtiurninit immun ou variés de leur
«raie et première publication. A ces cauMiJ avous très expresshneni Jérenda à tous
Imprimeuni el Libraires... de iiostre royaume... t|ue uul d'entre etii uc soil si osé
l)i liardi de inWli'v ni t-spitser en vente en novtredit rovauine^ soit eu publir, ni eu
secret, ni envoyer oilleur» pour ce faire, aucun livre manuellciueul imprimé {wr deçà
(en KrautY).... en qiirJ(|ur laiipin qnr re nuit.... de aurieii ou de inudenu^ aulenr...
que prerniiTcmeut ils n'aient badié un dc^iLi livres, volume» ou caJiitrs.... cs-mati»
de... l'abbé de ReeJns MellindeSiiiut-Gelais ayant la cbarge et garde de noslre librai-
rie... dont Icilit libraire on In]|iriincur sera tenu de prendre eertificaliou... le tmit sur
|>eiiH> de ronfiM'Ution de luus i-t rhaetin des livres et d'amt-udc arbitr;iin> seinblablr-
ment \oulaus, onluiuions et nmi!» pbî^ht (|ur nul deMJit.v ImphnieurA el lil>raires.... oc
piiiftsc rendre nnains Uvres unprimés liurs Udslreilit royaume, de quelque qualité^
quaniité ou discipline qu'il soit, que premièrement il n'en baille la eonununicaticm à
ioeluî garde de uostretUte librairie, mi â sou commU, pour, si Itesoin est, vu fain» soa
rapport à noMre conseil et aux gens de la justice de dessus \vs beu\, potn- Mivnir s'il
sera tol<Table d'cstre vu... et diçne d'ralre mis eu tiostredite libraîrii'. et piiblii; par
uoatredît n>yaiinH-; Icsdit» veixleurs seruut tenus de itrrmlre rerlifiL'aliuu de iiostre
fie peur que ci's dis|iosilioti.v d'uuc saf^ |irc^oyaii«v pour Ir liilur aj^randissement de
M Hdtliothi'qMe rio\ftIr ne donnnv'<i*nl a croire ipie In» (iTldtcal!^ du mailtt- de l;i Itliml-
ROBERT l'REMtER.
pt
faut faire ici remarquer que cette élaboration si prolongée, cette per-
si^véranle correction de la version latine des livres bibliques s'exer-
çoil alors sur des textes vagues, évidemment corrompus, et altérés
par un long passatre à travers de si nombreuses armées d'ignorance.
Aucune autorité littéraire ou théologique n'en fixoil l'exacte teneur.
et ce texte étoil de fait dans le domaine des savants, livré investiga-
tioni et pietntieonmi. Il n'y avoit donc ni mesfait, ni aucune témé^
rite peu chrétienne de revoir, de comparer avec l'hébreu, etdi»ruler
ces textes malades; c'étoit un salutaire et intelligejit prélude à la
fixation des textes ordonnée depuis par le Concile de Trente. Que
les scrupuleux se rassurent donc, et se gardent bien surtout de voir
rabomination de la désolation dans les travaux hibliques des Erasme,
des £âtienne, et de plusieurs autres savants de ces temps-là. Si ces
hommes à jamais vénérables ont porté la main sur l'Arche sainte,
c'élttit [Hiur la purifier de quelques souillures ; et souvent ils v ont
réussi malgré Ity clameurs d'un zHe ignorant ou hypocrite par lequel
ces souillures même étoient déclarées sacrées. Si tant d'hommes
1
rie poniTOH*!!! vtrv (•quî^âlciiu âtuir (>enni&sâa» rl*iin[ininn-et publuT, iniminr mioln*
nuJtt «prêi, le 17 ouin 1537 (1538} une secoadr onloniuncr i|ui explique Im upIteDimt
qut* «dltf du fl ducrmUrc t\ttX relaûv*; qu'au di'pél à faire k la BiblioUièt|nc Royale, «l
qu'un (l(^ mn(iF& (li* n-l urdrc dcdt'pnt t'^t •« ilr fain' mîrtii nilrrlmir Ica Hèfemes et
iHl*ihiùon% d'inipriiniT, vcndrr, iichHer rt tenir U*twi et u-u>rps quclroaipirs saïuque
|irmitrr niinit cir vus et qu'il&aÎLiil |iert]iiuion.... avotisaiiui drfriidii à tous tibrairr»
rroprimcurs et aiiU-fs dV\|Ki»*'r »■» \piili* aiiruus livrw imprimi-A lior» oostre royaume,
ssnt pr<mièTem(3it hoUlrr Dudit de Saiut-^ickÎK un volume dc*dil» li«Tes.... (naii)iMni
à lui cnmmisr l'approbatiou ou rejet d'iccux.... disoDA et drcliirout par r» prùcDtes
que, pnr iinsditrx Li'llnrft du 8 de di-cenilirc dernin* paaié ii'a éic auruiienirtit préjudi-
de À iHift siudile& défeusej; ainA a«oru> toujours entcudu, \milocu et nous plaist que
auniii» livres nouveaux uc »oieiil tniprinié^ %aiKS pmiiiuion île uiim uu de Jujitice... a
Je doù la eonuoisHiice de ces d<-ux pièces de 1537 à l'auletir dti Imite des Jrvits Hes
Auteurs (tsafl, î vu). iu-&), CluirleA Hejiouard, mou liU aîii*!', qui les a dëc<mvertr« dans
le troifiènic volume muMucnt des Batuùènx du CkâieUi de Paru cotturyvn an
dépôt des Arcliï^n judkJaire*, et le» a iaipriniécs dans son ouvrige, IobkI, ps^ , 1145.
IJ ne iMiiojt |Ms qit'auparavaal dlrs rai(*iil jamais élé : U pretnïère amie nt mentjonmv
p.ir Sau^rain, <^e dr la Librurie, page 415. L'Arr^ du Conseil du 16 avril 17H,S, en
urdoniiant le dqrâl de neuf e.YnnpIaireft, àtc uoe longue sërje d'édib. d'ordomuoces,
et d'arrèls rendus à ce sujet, naît il nr raraoole que jusqu*à h d«elaniiNro d'aodl 107.
39^
ROBFRT PREMIKR
ihiles n'eussent avec une pieuse sévtîrité scruttl' chaque verset de la
Bible, si quelquetà-uns ne l'eussent pas soumise à une critique qiiel-
fois même exa^ée, les Pères du Concile n'auroienteu aucun solide
fondement pour établir leur décret d'inlaillibilité : leur consécration
de la version latine nommée la f^nlgnw, ou nauroit pas eu iieu. ou
porteroit sur un texte trop évidemment altéré pour obtenir respect et
confiance
Non content d'imprimer et n^imprimer en latin la Bible entière
et quelques-unes de ses parties les plus usuelles. Robert voulut aussi
fia reproduire dans ses textes originaux. D'aboi*d il soccupa de ceux
qui existent en langue hébraïque qu'il imprima de 1539 à Iii46 pji
deux éditions, la premiî're en quatre volumes in-4 dont les diverses
parties sedivisoienl et pouvoient être ac(|uises séparément; la se-
conde en in- 16. plus correcte que l'autre, et se reliant en huit ou
dix volumes. (Sur ces deux Bibles voyez ci-dessus, pag. 54
et 65.)
A rorcasion et pour récompense de ces impressions hébraïques ,
le 2i juin 1539, Robert fut nommé par François I""" Imprimeur du
Roi pour les lettres (^7'') hébraïques et latines, qualification qu'à
compter de ce mois de juin il prit sur sfw livres, mais dont il retran-
cha bientôt les épilhMes restrictives Hebraicis et LatinU litetis ,
puisque, dès cette même année 1539, sur ses deux éditions, l'une
de rAlphal)et Hébraïque, spécimen de ses nouveaux caractères avec
lesquels s'imprimoicnt les Bibles, l'autre, de l'Alphabet Grec, il se h
qualifie Typogrophus Regius. N'ayant point vu cet Alphabet Grec, ^^k
je ne puis savoir jusqu'à quel jwint Roliert y montre les nouveaux,
et depuis si célèbres caractères * {T^jpi ^^g^^)' mais si quelque
chose en étoit alors achevé , il le fait sans doute connoitre. Quant
* On rat habitué à licsigoer le bd Euièbc de 1&44-45-46 ranime It- premier lîvn>
grec tni|inmé avec les iiotivniiix carictires, vt ce nW pu une faiiâae dcngnAlioo,
même f|uaD<l l'Alphabrl grec de 1539 prbenteroit pliu ou mnii» ilr nei iioiivcnuk iypcs,
ee <|ui nw parait fort doiitMix. Quant à celui do lSi3 iKini iVustniee «l utcertAuir ,
li réellement il n rié fait . il doit iMn; lit montre, rcclMiiiilloii de ee» IroU n'>iiie.iu\
caraetèrc» ; ma» enfin ee ne «ont que de» nlphal>plj . rv qtii peut i peine ^trv nommé
un li*Te.
à oe qu'il se qualitic sans restriction Trpographtu Hegtitg , n'est-il
pas (évident que ce droit rtWItoit de sa iiumiitaiion du 24 juin, de
même qu'alors, et encore en 1540, Néobar dans ses souscriptions
se dit auiïsi Typti^nphius Hegiits^ en vertu des lettres patentes du
1 7 janvier 1 538 qui l'avoient nommé Typograp/ms liegins in lilerù
grœcis. '
Ce savant et très habile Imprimeur, auquel il ne manqua qu'une
plus lon^e carrière pour sVlever au rang des premières illustra-
tions ** typographiques, ne jouit pas long-temps d'une faveur accor-
■
* Dans moD Calai. I. I , \\. 45 , j'ai s^iialc cette ordooiiaiiec jiiique-U oubbtv v\
|)rrdu« lie vue, quoû]uu dam le trinp» elle ail ÙU: iioprimée par Ncobar lui-m^nir.
** I>itui& quelfjues aunîvA, Ulujiratluru, i/lustrè Hgniiienl en langage d'affichM
et pro»p4'cIu* , images^ /ieuron*, cl leur HiralMuitliiiil emploi. CrUe fouue acecptinii
passera-t-ellc dans la bngue ? Il «st permis d'en douter et de crnirr qu'elle sera mite
hors de mode en nii^r temps que cette aerumulatiou drsorduuiiée d'images dont les
meilleures et k^ plus spiritikcllement exécutées sont parfois uue surcEuu^e, un empô-
treiuenl plutôt qu'une décoratiou.
Sur quelques annonces on Urlie auui cet autn' mut a l'angloise illumittè. tandis que
nous avons sous la main te très e\act mot enlumine , et qu'en franchis la AiguiUcalion
poùlive et liie» connue de l'autre mut n'a aunui rap|K>rt avre \es enluminures.
Je ne suis pas le seul qui me sots i\e\Q contre cet abus de langage dont le moindro
déïaul vsX son iuutililc complcle. Dons nu feuitletun du Journal Jtj Dtbati^ l'nn de
no» philologues les plut distingués (M. Plùbrele Clui'ilckj a fait contre ces mcrciuitilcs
iulnuiona de maurais bm^age une spinluello dialrîLe qui doit élrc de fortr à refouler
dan.<i le jargon des prospectus cet emploi a m>u» lurnque de termes durit la signilicaliun
usmdle est si coouuc et si faraitîère ; tmvers bien pire que le ncolugisote qui au moins
oDre parfois U booas duocc de quelque root heurcui à ajouter d ceux de noire belle
bngae.
Cet article déjà mis k l'usage de lecteurs qili se compleut bien plus que par milliers,
je ne puis résister à l'euNie ilVu iitlrodutre ici une jurtie en labeur de deux ou trois
vingtaines de personnes qui, échéant le cas d'un succè» pUu désiri- qu'espen- , pourront
pendani plus ou moins longues années avoir successivcmeut en Toutaisie de laîrc con-
nOMBnnw avec ce livre cxceuinqiie, et (ail à trop grand lubeiu* pour Irop peu de geu
doipoiis è l'apercevoir.
Voici donc la citation se eompbsant de irois colonnes des huit qui se li-îent au
Journal *Us Débats du i février IfUi, à l'occasion de Lettres aiif;|utses servant a illus-
trer {iliustrating)^ c'est-è'dire k édaircir rhisloire du rèf^e de Guillauntc HT. Ses re-
proche» Minl idenliqtu» aveelnmiein. mnU ik fmppciil plu<t ferme, et Inujmirsjiule.
t'ne autre iimo\aliou non moin^ inalbeurcn^i- ri qui n'e^t pas mieiii moUvéc. ttl
pas
f98
noUmCT PHEMIl^K.
dée à si juste titre. Il mourut avant avri) 1540 des suites d'un tra-
Tail opiniâtre.
Voici IVpitaphe de Conrad Nt^obar, composta par Henri Blstienne.
et imprimée à la fin de Ahtih Typographicc Qderimonia :
Doelrina imucis, nullï probilate spcundus,
Conradiis fato h!c aorelcmnle jacct.
Nann|ui' lyi>Oi,T.ipliica' labor, hiino, labor improbuft artis
lnrolumf!iii Mn^is nnliiit psse diii.
Soïl tandem, longo raptlis comiUintc dotore,
lllum, Musarum spcnn paritcrquc rapiL
Tadjonction de, les, tUt, aux^ cet^ m mot quHqtin, /ri tjuetques, aiiz quefqiuij ;\oai-
liaiu qiH- rieu n aiilorisc cl f{ui u ont p.i.<i nit^itie le fuililr a\nii1ngc de ^euîr tirer de
peine un jihrn'inir ttnlMrriiUH*,
Ccu\ (|iii »ont cil si bonne voie, que uV>crivent->ib ausâî Ift ceux^ les eeHes, il y aii-
roit à-peii-inns paritt* de diiHinaane ri iriniilililé, et n- scroil moins nouveau, cartvia
«'entend ^uclqueroi» tlan» te taii(;agi! du Inu i)euple, Mirtnut iiuand U veut ilrc jovïjil ;
mais jamais U ne s'est ati.M'- île ri>\|instMou rorcve et coDloiimée de irj quelques,
N Si Don» irnduision.s le titre de eet ouvrage avef l'inexacte exactitude dont la mode
a r^é |H>iiJant les di\ aun^« précédcote* . comnK' juste c<HnpanuUon à l'inGdùlîtû
ridicidcmenl oniiV tV», aneicnnes traduetious , ntjus m* maiiquniaiu pai de dire :
Lettres tUitstrant fe rèf^ne fie Guillaume ÏII^ et nom M'noiu aioa ooapabics de deux
crim» litii-raire^. D'aliord non» (Innnerioiw au lecteur un sens finil, contraire à cclut
de rnuteur ohginnl : eiiMiite nim» rfjmnirtlnon^ re t'urfail , étitinnc ni |ilii)nlnf;ic , mi
barlfarùme. ]Ln elTel, quoique totiIcA les murailles de l'ariii soient couvert*» à'ilUtstra-
tiona dues à M. Ciimicr qui illustre le ganiiu Je Paris, et le liuUyeur, et le ramoneur,
(t le fos-soyetir, au moyen dr charmanteii vi^eltes, (mquetlcs il appelle de« UlustmtioiUy
ce dernier mol n'en est pas inoins toitt-n-rait Itarluin* rt ridicule. C'est un dr ces cm-
urunlA que l'ignorance fait an [u-daniUme , lorsqu'il plaît à rcs deii\ piT!ioiina},>o& nlk'^-
Coriques deconlracliT inlinii- ailuiiM-r ri di- .s'unir imr un traité dr ivinnni-ree iiulniniv
lûal, beaucoup plui conforme que Ton ne [têtue ii leur mutuelle nature et â leur sym-
pathie r^le, mais cacbée. KÎm) ii*t>st nioiiis pédant que le saxoîr, rieu u'eal plua
prétentieux que l'ignorance. La généalogie de ce barbarisme - illustration •, tous
rapprendra de rc&te. Qu'on nous lurdoune, a ce propos, une très petite excimâon
philologique qui ne manque {ta» de curiosiiê.
a Le mot Hlîutrer, rendre lUustre^ exprime une idée toute miHaphysique, ou plutôt
une doul'Ieidèe roètaphysiquef celle delà gluitv que l'on acquiert, mais que l'on ctun-
muniquc eumitc. Nous François, nous tctioos celle idée, ainsi que le mol i7/nitrvr,
comme nous tenons tous nrn mot» et toute» nos idées, des Romains nos maîtres (l'écote,
nos professeurs, nas éducali-nni et oos tutnm. Illustrer^ pour nous, c'est jeter du
ROBEHT PltËMIËH.
Î99
Sur la foi d'une noie de l'abbé de SaintrLéger dans son exem-
plaire de La Caille, par lui couvert de se:* additions el correelions.
je disoid ici que la veuve de Nt^ohar. Edinée Tousan, ou plutôt Toui*-
luslre. rrntlre rclBUiit l'objet sitr lequel on projcUe les rayoïu de sa propre ^oiiv.
Les Angttûs, qui ne Mml pas In HU Je Knnw, vl (|tù, loul bu contraire, uiit dTact;
avec t« pli» graiiii auiu tutu 1rs mligi!» île b conquèlt* miuaiue; leji Aiqjluu, tli-Hreii-
dânb mi-iuii;» d'une multituih' de innitea et d'rtivaliiMeiir», DaiioU, Saxons, \oruuinilA,
SCADdîua^es, Flamands^ OlUquci, cl prul-iHre mt^ue Ibères, ne pos&ùdcnt dans leur
Langue priniitt\«, daiu cetlv du muias qui marque diez eux le commenci-nicnl d'une
ftocièlé régulière, daiu l'anglo-suou, aucun de ces mots obttraita et coinple^i-s que la
dvilùatiou runuûue dous a W*guèa. Forcés, par le cours des àfçes vl par le pro{;re& de
tfurs propre» iiutilutiuiis, d'euriclûr leur dictiiuiiuiii-c de ce» tcnnc» mclaphTKiqueï,
iU les ont pris au dtctioaiuure romain ; maù il leur est arrÏTC très souvent de »e pus eu
eomprrndiv b portt-e, d'itii détounier le .lei», el i\r duiiner â leurs euipruiil.t une va-
leur lout-à-fait .itiglnÎM. C*esl ce qu'ils ont fitit du mot il/usttrr ( illuslrate ), Au lieu de
si^ilîer chez eux mit/ir ^lorieuj. ou éclatant , ce mot a voulu dire dùiorniats éclair-
eir, cummffitfr , foire comprendre un sujet au moyeu d'aualyses et de gloses. Jamais
les Rocnaiiu, même dans le» èpo(iui« de décadeucc , n'avoieDï altachu i leur iUuttm-
mtntitm f îlluslru un «eus uiLtsi n*&lreinl. IlUtstmm orafioiiem . daus (joéroii, c'est
donner del't'cbt au stvle. fiiuitmmfttta oraiionU^ dans Quiiililien, ce sont !<-$ mai^i-
Gevoces du discours. IVndiiul que les .Vnglois s'cloiguoieut aiiui de b ^6^italtle sïguin-
calion de re mut et euUiidoicnt par In r^wior/'H/rr, ^*/oïpr, ét^lairc.'tr, les Fnmçoîs, de
leur cf^ê, siiivuieul une route non moms diverse et se raifermoienl, à leur ordinaire ,
dans lldéc brilbnte de gloire et d'honneur. Le double et diiTércnt sens de ce mot ideu-
tique s'est donc eurat;iué e( implautû dans \vs deux langages. Les Angluis ont dit :
Cts Uocumrnts iUuitnnt It ifuntarzième sicclt , \kmt <• sont ulilei à b cuiuiotsunce du
quatorzième siècle ; » cl les François ont dit Racî/ie a Ulustré le dlx-teptième l'iècle .
|Hnir M Riicine a jeté de Tùcbl sur le dix-septième Mcrie. » Maiutennal, essayer de briser
l'usage et de changer la signification respective de cette double expression , c'est â-b-Ebis
»ue leulaliie inutile, et barluire. t^iconque dira en fraudais : Lettres iiiustrant (e rrgnr
tU Guillaume Itt , icmblera préleudrt- que ces lettre» cootritMirnt à U gloire du regue
dont BOUS parlons, tondis qu'elles eu tVbùrent et eipliqueut seulement quelques par-
lies. Or. en bit de butanes, rvetx u'i^sl pire «jue de parottre exprimer le nxilniin- de or
que l'on \cut dire. Emprunter aux Anglais le mol iUuttmiion^ au lieu d'ccIaircissejDieot
el d'ornement , et finir |Kir allnbuer à ee mot le sens de vignette vl i\e gravur/t c'est
doue commettre un lêritable cnme de lese-langi^. Don* oci luilières, comme le dît
très Ihtu Horace, b couliune est sou^ «r.iiue-fiiaîlreise : el b coutume , ilepui» plus de
tieux .siei'li^. a loidii cpie b France et l'-Viq^elern! ■ItachoBSciil à la miHtie e\prf*s»ion
un sciu divers. Sftahffttrt illustrâtes the Ethahetkean etVt e.sl nu Itarbariimc auf;loii.
H'ttUrr iffuifrr (|iour/df/ xttHprrfuirr) Ir m0)en àgr , vtA un iKirlMirifsmf fr.iiH^oi». ••
3W
HOBhKI ritbMlliK.
sain*, crnitinua jusqu'en 1551 d'exercer sous le titre d'Imprimeur
du Roi en grec (mois soulignés dans la note (jui éUÀl mon autorité).
J'ai depuis reconnu que toutes les publications de la veuve de N<5o-
bar paroissent devoir se réduire à quatre opuscules grecs, en in-1 2,
ou plutôt iu- 1 6, peut-être déjà sous presse lorsque mourut son mari,
et faisant une sorte de suite à quelques autres traités analogues par
lui publiés dans ce même format en 1539 et 1540.
De ces quatre opuscules, tout en grec, ainsi que leurs souscrip-
tions, je ne connois la Foêtitjue d'Aristote que par un mot de l'abbé
de Saint-Léger, qui ne l'a pas même vue , et renvoie au premier
volume de Tbidcx de Muiltaiie. Pour les trois autres, il résulte de
leurs souscriptions que les deux de I â^iO lurent faits aux frais et a
la diligence, ou, si l'on veut, sous la direction de la veuve de Néo-
bar, et celui de 1541, seulement uses frais. Jaci|ue3 Bogard qui,
dîîs 1541, avoit fait des Qiiœsliones ou Problcnmta d'Alexandre
d'Aphrodisétî une édition latine de même format que le grec de la
veuve de Néobar **, imprima **', en 1542 un autre volume latin, la
PoèihiHfj de la version latine d'Alexandre Paccius, tous deux évi-
demment pour accompagner les deux textes grecs ; ce qui peut faire
conclure qu'alors la Veuve abandonnoit sa Typographie, et que
Jacques Bogard en devenoit le cessiomiaire. On voit d'ailleui's sur
plusieurs de ses livrtw et de ceux de Martin Lejeune . son gendre, la
marque qu' avoit adoptée Néobar, ou une semblable.
Voici les titres avec les souscriptions des trois traités grecs prises
sur les volumes, et traduites; la souscription de la Poétique est
* Klle éloit probalileiiiPiit Mciir du uvonl Jae(|ues ToiuaaJD ' (I'usadu»}, Lliabite
Iniprimciir ra grec aura épofuè b loeur du c^lèl>rc prorcsMor eu celte langue.
** Le CaUlogiic PioeEli, ii" llGf), porte Aleumilri AjihniilUîri PmlitPiiuiH J. Dationi
sludio illuÂtraU. gr. lot. Piirùiis, Siimpl. £m. liLsaiin-, 1!>lO-i1. l.c i;^.^ t^i bien de
IMO, et de la VetMe, maû le Ulin est de lâ41, et de Jaccpies Bogard , «iiui qtw \é la-
tiu di* In Poetiijur, de 1541.
"*' Jac<pies Bogard fut errtaUieincQt, et assex loufj'temps Imprinteurf qiloiqiM Ls
Caille uc le fa&sc que libraire.
> Kt jtTUtHblrc TuMn. -tiiuî (|a« le Profeiseor r«l noniné »ur lei ligooi imprÎHte* jonlK
par 1« g)«vrur l«<jiMrd Gkulltcr J m collection ik (<orlrail«>
I
inise ici de même en latin d'après le grec rapporté par Maittoirc,
Index, I. 81.
Georgiiis Gemisttis de differentiis Aristolelis et Platonis. (Point de fron-
ti^pu'C). P!>risiis DilijîOïitiaol Imjiensis Emontian Tiïsanrr viduu? Con-
nidi Neobarii Rcgii Typographi. h. d. xl. Meuse Aprili (Munycliion).
Alexandri Aplirodiâiei Quseliunes Modiciniiles. — Parisiiti Diligetilin ni
Ifnpi'nsJÀ Kinond:i^ Tu&!inji> vidua? Conradi Neobarii Regii Typographi.
M. u. XL. Meti^ Miiiu (Thar^elion).
3. Cai^ii Mediri do Animalibus Quacâtioni^ Médicinales. — Parisiis Impensi»
Enionda? Tusaiiae vidua; Conradi Neobarii Regii Tj-pogriipbi. m. d. xli.
MiMise Junio (Skirrophorion).
i. AristoU'bâ de Poetica lil)cr Purii>iis liupen^U Emondo; Tusana* vidiue
GmradI Neobarii Regii Typographi. m. u. xli. Mcnse Junio (Skirro-
phorion).
Le volume grec De Mundo de 1540, sans nom d'Imprimeur, m
souscription aucune, mais certainement de Néobar, et d'un carac-
tère plus fort que celui des tVtitions de la veuve, a éti$ tâgnalé comme
le premier dans lequel il ait été fciit usage des types Royaux dont
ai conséquence le commencement d'exécution appartiendroit à
Néobar. Il y a dans ces conjectures erreur complète ; et c'est très
certamcment sans avoir vu ce petit et mince volume qu'on l'a ainsi
annoncé et préconisé. Son caractère est, pour la grosseur , un peu
au-dessous du moyen des trois alphabets Royaux : mais, outre cette
concluante bien que légère inédite, j'ai vérifié avec grande atten-
tion qu'il n'y a point identité de formes dans les lettres de ces deux
alphabets. Ce caractère de Néobar est bon, il aura pu être employé
avec avantage par J. Bogard et par d'autres typographes, mais je
ne le vois dans aucun des livres grecs imprimés Typis re^iU : amsi
au lieude servir à faire conclureque Nt-obar auroit le premier employé
au moins un des trois célèl»res alphal»ets, il vient en preuve posi-
tive du contraire. A qui de Néobar ou de Robert est due l'idée
première, la pensée créatrice de cet admirable ensemble? il est im-
possible de le détcnniner. Qui soit même si cette noble et heureuse
conception ne fut pas de toute autre personne, de l'iu» des savants
alors honorés de la faveur royale, du Monarque lui-même, qui, s'il
ne vouloit pas la Typographie hbre. la vouloit éclatante, glorieuse?
302
UOBEUT PUEMIER.
Quant aux soins d'exécution que la mort malheureusement si pré-
maturée de Néoliar ne jKjrniet pas de lui attribuer, on voit claire-
ment quf c'est sur Robert qu'il faut les reporter en entier.
L'iridispetisable mention d'un personnage aussi recomrnandable
que riinpniueur Néobar, m'a entraîné dans celte excursion que je
prie le lecteur de ne pas trouver hors de propos.
Je passe sous silence et le Dictionnaire françois-latin de Robert,
et plusieurs autres livres plus ou moins importants qui s'impriinî;-
rent et se publii-rent pendant l'impression de la Bible hébraïque
in-'i. Leur énuinéralion exacte est, ainsi qu'il se doit, dans la no-
menclature bibliographique et chronologique. Un des plus remar-
(juabtes fut le Cicéron en quatre volumes in-folio. 1538-39, fait sur
l'in-folio florentin de P. Victorius. Peu apr*^, en (543-44. une
édition portative , en neuf volumes, vint mellre les lecteurs fran-
Vois à même df trouver à Paris, et avec moins de dépense, l'équi-
valent des tn-8 en caractères itaUqucs dont les Monucc de Venise
étoienf depuis un demi-sibcle en possession d'approvisionner le
monde savant. Cette édition iti-8de Cicéron, correcte et bien exécu-
tée, est le premier Uvre imprimé par Robert avec son bel italique qu'il
fit. non pas copier, malt? imiter de celui d'Aide auquel ce caractère
n'est pas du tout inférieur*: et pour son édition il sut missi faire un
judicieux usage des travaux cicéroniens de Paul Mamice dont il em-
ploya les savantes scholies?. Cet in-8 servit aussitôt de copie pour
la jolie édition in- 1 6 deSimon deCoHnes, 1543-44-45, complétée
en I54G-47 par les deux volumes de Robert, Ltbri onitorii, et Epis-
tnÙB ad Atticum ,
Ne soyons pas ingrats envers des hommes laborieux, et pour la
plupart esprits supérieurs, qui par une longue succession de savan-
tes et infatigables veilles, ont préparé la voie à des travaux qui ne
sont que le |>crfectionncnient des leurs. Nos bonnes éditions ac-
tuelles de Cicéron et de beaucoup d'autres de ces gitinds écrivains
* Mîiuife, Anli-Bailtet, pag. 139, ptvtfriid qur ci-l italique fut ^dsi: pour RoIktI
par »<m l>eati-|MVe Simon ileCutitifji. Aucuu autre rfiist>i{;iu-itieiil ne \ifiil eu prcnte
dr crttr assertioit ; mau ce qu'elle avanci! paroil (raisenittlablr.
I
de raiiliquilé s«nl fertainenient meilleures, et surtout de plus facile
usage que presque tous ces volumes tant soij^iés lies Manure, des
Victorrus, des Eatienne, Muret, D. Lambin, etc. Mais v-i nous som-
mes aujourd'hui mieux et plus facilement pounua. n'oublions pas
nos obligations premières envers ces patriarches de la critique cl
de l'érudition classiques.
Toujours occupé de ses Bibles, voici qu'après un travail de près
de deux ans, en 1540, Robert en donne une, de format grand in-
folio, plus belle que ses deux prt^ci^dentcs de 1528 et 1532, encore
enrichie de nouvelles notes, et améliorée par d'heureuses rectifica-
tions (Voyez pag. 48). Vers le même temps il avoit imprimé de
deux éditions, l'une latine, et l'autre françoise, en huit pages in-8
et en placard** in-folio pour être affichés dans les écoles* , les Dix
Commandements de Dieu, et un court extrait de la Bible, Summn
totius Scriptiuœ qu'il venoit de mettre en tête de son in-folio
de 1540, et que l'on retrouve dans ses autres réimpressions de la
Bible. Grand scandaJe et pour cette troisième Bible in-folio, et pour
celte façon insolite autant que téméraire de populariser les Saintes-
Ecritures "Qui est-ce qui ne cognoist les fascheries qu'ils m'ont
faictes pour cela, dit-il dans son introduction à la Réponse aux Cen-
sures, etc. Combien de temps m'a il fallu absenter de ma maison?
Combien de temps ay-je su}*ui la cxiurt du Roi ! duquel à la fm j'ob-
tins lettres jMjur reprimer leur forc^nerie, par lesquelles il m'estoit
enjoinct d'imprimer lesdicts Commandements et Sommaires tant en
latin comme en françois Cela mesme que ces l>nns censeurs
avoyent condamné en moy fut alors imprimé de leur commande-
ment par Jehan André.... mais avec ceulx de l'Eglise, voire après
avoir este difibrmez et corrompuz par ung certain Odoard . qui des
deux premiers Commandements n'en a faict qu'ung; ostant la prohi-
bition qui est là expresse, de former et adorer les images : et puis
a deschire en deux membres, plustost que divise, le dernier Com-
mandement afin de parfaire la dizaine. -
'... Chacun ep uoc fniiUe, de \w\\e H f^oue leure, pour le» iltacher conlra 1»
p«rois ( Air/) aux Vftuurrj).
304
ROBERT PREMIER.
Pour mettre à même de jucrer s'il y a falsificati(»Ti dans le Déra-
logue que la Sorl>onne fit pulilier par le liliraire Amli'é, jo me pro-
posois de l'imprimer ici avec wîlui de Robert; mois n'ayant point
réussi à le découvi'ir, je ne puis donitcr que le texte latin de ce der-
nier, qui n'est autre que celui de la Vulgate, et qui mettra d'autant
mieux en évidence l'injustice des pers*!'cuteurs. L iMition d'André
venant à se trouver, on pourra voir s'il y a changement, et si ce
changement, fait par ordre de la Sorbonne, est ou non répréhensible
et de quelque importance.
De ces cahiers in-8, de ces placards plusieurs fois imprimés, et
sans doute à tri*?; grand nombre, je n'ai pu voirquel'in-S latin, con-
servé à la Bibliothèque. Tout cela aura pt?ri et sur les murs, et dans
les mains des écoliers.
DEC.FJI DKI VBKBA,
Swe Prœcepia per Moysem data, et a Chriâto * atque /ipottoli»
ejuK partim citata, partitn explicata.
Prima Tabulœ Prœcepta.
t. BgO sum Domimis Deuâ luus, qui eduxi te de terra ^gypU, de domoser-
▼ItntiB.
n. Non habebis deos alienos coram me. Non faciès tibi sculplilc, (ut ado-
res illud) **, nequd onincm siniililntJiriem qiiœ csl in cœlo dwuper, et qiiffl
in terra deorsum, nec eorum qua*. sunt in uqiiis sïib terra. Non adorabis e«,
ni^que coles. Ego buin Dumiiiiis Of'us tiiuft, forlis, zrlotes.
m. Non assumer aomcn Oonùni LX-i lui in Y»num. Nec enimhabebit in-
sontem Dominua eum qui iis.sumpsprit iioinen Duinini sui frustra.
rv. Mfiiii'nlo iitdieni SabbaUii àaiictiruc*». Sux iliebus 0|>t.<rubenâ, et focied
omnia opcni ttiîi : sqU-iino auleiii dit? i*;ibbathiim Domini Dri lui psl. Non fa-
des omnpopijsin cù tu pl liliiis luus elfiliu lua, olsorviis tuus cl uncilla tua,
jumentum Luum et advuuu qui est inlni |>urU]s luaâ. Sex cnim diebii» fecit
Domintis tœlum et lorrain, ni marp, et omnin quaî in eis sunl: et requicvit^
die seiHiinu. Idcireo bt-nedixil Doininus diei Siibbuthi, et sanclincaviteum.
V. Honore! patrem Cuum et malrem tuam : ut sis longievus super torram.
* Ces explications sont tirées du Nouveau-Tcstuncnt : je ne les rapporir poiol pftrcc
qu'il itc &'agi( ici ({ue du t«.\lc tlu Décâloguiv
" m aHoreâ illud. Os trois mots sout au Li*vilif|iir, xkvi, 1.
RODRRT PRKMIKR
30ri
*
k
Secundœ Taffulof PrtPCfpta.
VI. Non occidcs.
VII. Non niœrluibcrig.
VTÏI. Non furtum faciès.
rX. Non loquèris contni proxiiDurri luum gilsum Ustimonium.
X. Non concupisces clomum proximi Liii, nec desyderabi^ uxoremejus, cufi
servum* non aocillain, non boveni^ Don asinuni, nec omniu qiis illius sunt.
Exod., w.
r
Voici um? |>arUe <lo la préface du la Bible <]p 4540 :
Itoberfus Stephanus Christiono Ifietori S. « la sempor fuit aniraus nosler,
Christinno Lwlor, ul rjuiintum forn-nl vires noatr^p, piorum honiitiiim rtudia
juvarc'inus : nt-quc ante juvandi tinein facluri suuius, qiiam Dominub Dons
noater animam, <]uam ab eo veliit precuriô accepimus, suc jtin? repoiiosocril.
Prodieranl (<^uoil non i^nonts) antn annos octo, è nostra lypo^ruphica oQiciria
Biblia, magmi EîdiMitJ Hntiquissimosrodic^.'s latinwexcuBa. Tum onim viroriim
ïlorlissimoriun consilium fuit, iil ra Iwtio quic in vetiisliasimis illis t'xenipla-
ribus invonta ftiiââcl, :«i ruiii llebraicis VeUTid Ti¥UiuieTiti codicibiiâ, au(
gncds Novi TesLanienli libris consonlirut, excuderetur : ne variisct diverfiis
Isclionibus margincs occupatoï càsent. Qiiod consiliiini nonc^ruit iuvidia, et
nonnullud priL'tor expectalionem nostram oITendil. Pruinde niii non mioorîs
^ruditioni>t oL jiidirii virï, qiios ista offensio malo hatiobal, adiiiotitj(>rutit nie
quûm fumilitirisâiniti ul siqiiniido rursus excudenda esëont Biblia, ita roni tem-
penireinus ne qua etiam Icvis olfen^^io, tit oliui, cuiquani aflerroUir. Quorum
c^nsilium non poluiniii:» non probare, utjkote qui pari et truaquilliUiU Miiuper
stiHiuehiuub. Sed antoquam ad rem ipsi aggrcdcremur, ce^u^uimu3 in consi-
linm adhibendos noslrates "Hft^logoSt viros et judicio acerrimo et doc-lrlna
exaclissinia pra*ditos : quorum eentenliu fuit, ut anlicjui^imos quosqiie cofli-
ces excuiios in oxeniplariu nobis prDfMtieremu» : ita Uiinen ut quœ aliter in
veliiBtissimis manu srripUs codtribus legercntiir, et aun Hebraicis el Grœcis
tibris amicë eonspirarent, ea margo intehor notâtrorum BibUorum »ibi vrndi-
caret, nominibiis exenoplarium nnde qufeque leetio di*âunipta e^set, lidelitor
*cxpres&is: et addiderunt boc demum pucto nus asi>ei'ulurub ne qua in offensa
apud ullos homiDCâ. siilteni literaU)s, r^senms. Ilorum iUique Kententiam
«equissimani seipiuli, Ciumpaniliâ et conflatis undique mira* viMustatis cudicî-
bu», aliis ante multœ annoH ^criptis, aliis Vfrô jam inde ab ipsa lypographi-
ces infantia exnisiflt aesiduis et improbis laboribus Ijindem («rfecimuâ ut ea
(nilalio qua Doelrs Ecdesiœ paasim utuntur dum t>arro& librob aut récitant,
sut dernniant, ne verbo quidem une mutato, typis exprimeretur. VnrîaâautjiMn
et a multis scculis repeUtas leictiones, quœ tan>en cuin Hebrairo et Graxv
contextu conEH*nliebant, in margine intehori magna dilifteotia et fide excu-
denda*i onravimuh. »
.'ton
KOnEUT PKËUIEH.
ai l'on mit de la pei^vérance à le j>er3écuter, ïl n'en mit pas
moins à multiplier ses impressions des textes sacrés, et commença à
y ajouter, outre ses propres notes, ce que l'enseignement oral et pu-
blic (les proFesseurs j)ri''senloit Je plus instructif.
En même temps qu'il muiiissoit son Imprimerie de ces Italiques
dont il sut faire un si bel usage, la bienveillance royale lui foumissoit
l'occasion de préparer j)our la langue grecque des moyens de tra\ ail
d'une bien pl\is grande importance, et dont l'exéctition lut parfaite.
On voit que je veux {mrler de ces beaux caractères grecs que je n'ai
pu me dispenser de mentionner déjà à l'occasion de la mort de Néo-
bar, et dont il sera encore bien plus d'une fois question, tarit dans
cette Notice que dans celles de Henri et de Paul. Gravés par l'ha-
bile Cl. Garamond sous la direction de Robert, quelques-uns des
plus petits furent, dit-on, dessinés par Henri son fils, alors à i>eine
âgé de quinze ans ', les autres par le fameux calligraphe Cretois
Ange Vergèce, dont Henri reçut des leçons, et dont ici, a la Biblio-
thèque, on consen'e de si beaux manuscrits grecs. Employés dans
une multitude de belles éditions grecques de tous les formats, d'a-
bord par lesEstienne, les Morel, les Tumèbe, etc., enfin, jusqu'à
nos jours, non-seulement à l'Imprimerie Royale, mais même dans
de bonnes Imprimeries (»articulières auxquelles l'autorité ne se re-
fuse pas à en fournir des fontes, ces caractères sont encore à bien
des égards les plus beaux tj^pes grecs existants. De très habiles
graveurs, tant François qu'étrangers, ont cherché ù faire mieux, et
tous sont plus ou moins restés en arrière. Ces caractères sont-ils
aussi avantageusement fondus que pendant leur première centaine
d'années? Ne sont-ils pas actuellement un peu trop éloignés les uns
des autres, et en langage de fondeur, trop farges d'approche " P
* Sur l'âge à Hofiner À Hmri, xojet. dau» u Biographie.
^* Si In parfaite combiiMison de l'écart mpntif des divenes Icllm aitM ét^ nlui
uniformirmciit iD;iiiitRiiiiv dans les diverses fontes qui après Kuticrt , c\ surtotil lic na&
jo«ir», ont été failw d« ce* lieaux lyjw» grecs, M. Cra|M-l**i. dans \n éioso aUMÎ kieu
donups que bien nirrilrjt, p»r lesquels il se comjdalt ( page 36 dti Robert et Frauçoi»
premier) à exalter réléf^ance dts deut NouToaiu-Teslamcntï grces, iii.l6, de t&46<t
1M9. auroil-il particulifremfnt signalé leur approche si bien ménager? El c«l doge
KOBBRT PUEMIËR.
3(r?
I
»
Une page de ce même grec, imprimée aujourd'hui, a-t-elle cet har-
monieux ensemble des axlmiraïjles pages de Robert Estienne, de
Charles, des Tumèbe, des Morelî C'est ce que je laisse décider aux
habiles.
Dans sa Notice sur Robert et Hcnn, iM. Firmin Didot avance que
Garamond fut seulement graveur et n'eut point d'atelier de fonde-
rie. Cette assertion est avec raison contredite par M. Crapelet dans
ses Eludes sur la Typographie, intéressant et très instructif ou-
vrage dont If premier volume, publié en 1 837 . fait regretter de n'en
avoir pas vu paroître la suite *T Ce n'est cependant point de ce que
plusieui-s beaux caracttres. tant grecs que latins, porl^^ent le nom
de Garamond qu'il faudroit nécessairement conclure qu'après les
avoir gravie il en auroit exécuté les fontes : qu'il en ait été ou non
le fondeur, c-e n'est pas non plus ce qui a fait durer l'avantageux
emploi de ses lettres latines, jusqu'à ce que de nos jours elles aient
été chassées par l'invasion du nouveau systirne de caracttrea à for-
mes aiguës, si différentes des anciens; mais La Caille, et tous ceux
qui ont parlé du graveur Garamond, le citent aussi comme un des
meilleurs fondeurs de son temps; et, sur ce point, il y auroit silence
complet qu'il seroit difficile de croire que le graveur d'une si grande
quantité de beaux types auroit négligé les profits bien plus faciles
qui s'offroient à lui dans l'exploitation d'une partie de ces caractères.
Robert employa aussi Guillaume Le Bé, fondeur, et en même temps
fort bon graveur. 11 éloit fils d'un marchand de papier, de Troyes,
(l'un luitrr habile , juge im-eiualile , ne Taîl-U pas e&lendro que cène élc^uilR |tnri-
tioQ e»l là presque uue eiccption , pt ne se rrtrouve pas assez sou*»ail sur 1» itiiiom-
brablcA pag« faitM tlqiuu a\f>c tvi roémeii caractères ? ce qui me&rmhle cooiimier le
jugemctil que, moi profane, j*avots limiJemenl hasardé sur c«tte question de Imn gfràl
ty|io)çrapliique.
* Ui ronlinualioii de cet oiivra(;r ne peut plus être espérée; son estiintUe d savant
auteur a cessé d'exister le onie dûembre 184S.
** Dans une courte notice imprimce , aoronpagouii les portraits de la coUeciion de
Léonard Gautier, on lit à celui de Garamond, n. ItO: « I^ariitieii, Taillmirii Fiindeur
de lettres. •■ Il fut aussi libraire: selon Ix»ttin, Catalo|;iie riironolofpque des libraires
el des libnùres-imprimeunt dt- Pans, fut rreu librairr on 1W5 « f Varamoal (flaïule) le
*phu célèbre graveur et fondetir de raractèrrsd'irapnnunr. >•
308
KOUfcinr HKHMIEH.
qui en fournissoit k Robert, dans la maison de qui le jeune Le Bé
travailla avec succës à la gravure et fonderie. Les lettres bébraïques
des deux Bibles furtml fondues et en partie gravées par lui. Après
ces travaux il alla à Venise où. dans l'Imprimerie qui y a existé en
un palais des Giustiniani [ Offu-ina Justinmneo\ , et peut-être y a étô
soutenue par leurs libt^raliti%. il fut pendant quelques années occupé
à la graATire des caractères ht^braïques avec lesquels y ont été exé-
cutées de bonnes impressions en cette langue. De retour k Paris, il
y exerça sa profession jusqu'en 1598, année de sa mort. U avoH
aussi été employé pour In gravure et la fourniture des caractères de
la grande Bible polyglotte de Plantin.
L est indubitable que ce fut le séjour à Venise d'un habile g^veur
et fondeur françois qui donna à Paul Manuce l'idée , et en même
temps la facilité de faire venir de France ces beaux caractères latins
dont il est fait mention dans les comptes de F Acctuiemia Vene-
ziana , et avec lesquels furent imprimés ses meilleurs volumes.
(Voyez Annales AUines , m* édition, pages 270 et 'i78.)
Avec une si louable et si savante activité rimprimeric de Rot)en
n'avoit cependant encore produit aucun livre grec. En 1528 un Al-
phabet grec et ht^brfu de quatre feuillets iii-8 ; un autre plus ample
en 1539; en J540 dans Sententice siiiguUs versibus grœcis ex-
preiisa\ Je petit nombre de vers grecs contenus en ce mince volume ;
enfin les rares mots grecs du Dialofnie d'Erasme De recta grœci et
/atini serments pronunciatfo/ie, 1530, in-8, et de rinterprétation
latine des mots hébreux , chaldécns. grecs, etc. , qui se list-nt dans
la Bible, grec ressemblant à celui qu'employoit Simon de Colines ,
et venant sans doute de la même fonderie : avec quelques mots en-
core qui se peuvent trouver dans lun ou l'autre de ses volumes la-
tins, tels que les deux seulement qui sont dans Beihtm grammati-
caie ^ c'est là tout le grec qui , pendant près de \nngt ans, étoit
sorti de cette Imprimerie, et rien de cela ne fuisoit un livre grec.
Mais aussitôt que Robert vit son officine enrichie des trois alpha-
bets qui protnptement devinrent, et surtout par lui , si célèbres, i)
exécuta le bel Eusèbe de 1544-45-46, bientôt suivi d'un glorieux
cortège de bons livres dans la même langue qui rendent témoignage
de son infatigable diligence.
HUBËItT PJtEUlEH.
30»
Non moins zélé pour ces publications grecques que pour celles
que sans relâche il continuoit de faire dans la langue latine, Robert,
qui avoit si prestement et si bien travaillt^ à la confection , im-
pression et réimpressions itératives de son Trésor de la langue
latine, avoit aussi la ferme volonté de faire pour la langue grecque
un travail de même nature, à mêmes fins, mais plus difficile encore.
Il le commença . s'en oc^cupa beaucoup, et l'auroit indubitablement
achevé si la mort ne lût venue terminer trop tôt une \ie dont tous
les instans furent marqués par quelque ser\ic« rendu aux Lettres.
On ne sait pas au juste dans quel état d'avancement Robert laissa à
son fils ces scientifiques matériaux , mais Henri reconnoît qu'ils
t'toient considérables.
C'est aussi depuis l'Eus^be que Robert se qualifie Imprimeur du
Roi, Trpographus Retins y sans y ajouter l'expression restrictive
in Hebfaicis et Latinis /iterin : sur les volumes grecs il met Typts
Regtis : lorsque ces livres sont de première édition, et publiés d'a-
près quelque manuscrit grec de la Bibliolh^que du Roi, il met sur le
titre E.t Bibliolheca Regia , ce qu'ont fait aussi Charles son frère,
et plusieurs autres Imprimeurs de Paris qui dans ces mêmes temps
ont comme lui donné des éditions premières d'après des manuscrits
de cette Bibliothèque.
Ces livres grecs des Estienne . desTumèbe. des Morel. etc. , Im-
primeurs du Roi, ont presque tous une même mar-que t^-pographique;
un thyrse entouré d'un rameau d'olivier et d'un serpent , au-dessous
de ces mota grecs imités d'Homère (Iliad. m. I79) :
Régi boiio forliquc bollulori.
Robert étant le premief qui ait fait usage de ce symbole, on peut
croire que c'est lui qui l'a imaginé.
François l""*" avoit institué une chaire hébraïque * ; mais elle n'ob-
tenait qu'un petit nombre d'auditeurs. Robert crut utile a la propa-
* Le pmnirr professeur de crtte chaire Tul Paolo Paracluï , dil Le Conossc, Vcnilîeu,
Juifd'orifÎHe, *l ()ui donna de» lirnn*. même d'hrbrt-ii, h la fHfbre princesse Margiir-
rile dp Valais. Il tnotirut callioliqiir , à Paris, en 15B9.
310
ROBERT PKKMIER.
gation des «études bibliques que le résultat des leçons du professeur
hébraïsûrit pût arriver à la connoissance de ceux auxquels la langue
hébraïque étoit le plus étrangère : il fil donc rassembler ce que l'on
pouvoil recueillir des leçons publiques que le trfes savant François
Vntable donnoit sur rintcrpr*.^laUon des livres hébraïques de l'An-
cien-Testament . et rail aux marges d'une Bible latine. 1545. 2
volumes in-8. avec beaucoup d'autres notes, les interprétations que
Valable, livrtr aux travaux de son professorat, n'avoit pas eu le
temps de traduire et mettre en ordre. Communiquée aux Docteurs
tbéologieïis. cette édition , peut-être à cause du nom de .Valable, fut
à peine examinée, et sans aucun empêchement admise à libre circu-
lation. On prétendit ensuite y avoir trouvé des propositions oial
sonnantes pi point orthodoxes, des doutes sur l'existence du Purgar-i
toire, sur leflicacité de la confession aunculaire, etc. On cria au
iaussaire, on accusa l'Imprimeur d'avoir voulu répandre ses tt'mé-
raires opinions sous l'abri du nom respecté de Valable qui lui-même
laissa voir quoique mécontentement. Voulul-il, au moyen d'une sorte
de désaveu, se soustraire ù tous les désagréments qui pouvoient ré-'
sulter de cette tracasserie théologique, ou bien Robert auroil-il un
peu cherché à couvrir ses propres notes dunnm accrédité de Valable !
c'est ce ip'il est impossible de savoir : mais il ne faut pas oublier
qu'elles sont données comme fruit des leçons orales du professeur
pubhc, et non comme remises [traditœ] par lui-même, ce qui est
dans toutes les règles de ia vraisemblance. Que dans ces notes et in-
terprétations il se trouve quelques propositions que Valable avoit
bien voulu risquerde vive voix, mais qu'il se seroit gardé d'impri-
mer, et que Robert ait été nïoins méticuleux , c'est encore très pos-
sible; et ce qui est le plus évident, c'est que dons lout cela il n'y
avoit aucunement lieu au scandale qu'en voulurent faire les Soi
nistes ; aussi les Jésuites de Salamanque irouvt'rent le tout assez or-
thodoxe pour réimprimer en I5S^J non-seulement les notes avec très
peu de changements, mais même la version latine du Zuinglicn Dk)n
de Juda , sans que pour cela ils aient encouru la désapprobation
d'aucun théologien, non plus que de la Cour de Rome (Voyez ci-des-
sus, pag. 62 et 75). Voici ce qu écrit J. A. De Thou sur ce sujet,
tum. 1 1 , pag. 398 de l'édition de Londres.
HUBEHT PHI:MIKK
« Novae Bibliorom pditioni nnno t513 Ti^uri publicatae, qxiatn Léo Judao
inchoavcral, et uioriens, ut oims^jersequerelnr,collegis in tidem rrligiosèadac-
lia Lniruscrip^enit, ultimam munum impos^uil (Thcudorub] Bibliunder, Connidi
Pellicani el Pplri Cliolini Tiigiensis Graecae Lingiwp pprilKsimi opora adju-
tus : quant tmnslalioucin iii sua cditione bionnio post ad vctoreni adj{?cJt Ro-
berluâ Stephanuâ, i^uppreàsa eoruui, qui in illâ taborarunt, menlione; et
Hispani Thrologi dïu post rccognitam per Guliolmum Rouillium denuo Lug-
duni L'xcudendam cunivcTuut. — Qiiod eo commemûrauduui duxi, ut versioniâ
tanti apud nos et IliâpanoB ipsos fuolae origo cojçnoâoeretur, et insigne docii-
menluin l'xliiret, quid iililitalis o\ adversaiiorum libris et induslria.sisemolis
odiiscliariLatcin et aïquitalcm induamus, ad Dei gloriain capi possit. n
A cet illustre témoignage j'ajouterai celui de Richard Simon. Hù-
loire crititfue du f'teuj: Testament. XuCement porté poui' Henri
auquel il trouve quelques tort^, il reconnoit aussi l'injustice des per-
sécutions ;
« On pourroil nieltrc au nombre i\v9 Inl.er]irt'tes do l'Ecriture Robert Eà-
lienne, s'il n'avoit témoigné lui-im^mo (Jans lout^'S les Préfaces do ses Bibles
qu'il n'étoil point l'authcur des nouvelles traductions qu'il donuoil au public.
C'est ainsi qu'au commeDcemeul de rédilion de 1545 il déclare « qu'il a joint
avec la Vulgaïc ta version qui avoiiété trouvée la plus Latine; n'ayant pas
osé nommer Léon de Juda, Zuinglien, qui eti éloit l'authcur, » et il préféra
celle dernière Iraduction de la Bible à celle de Pagnin, qui étoit trop obscure,
bien qu'il fût jiersuadéque celle de Pa^ninapprochoit davantage de l'original
bcbreu. Il préféra au contraire dans son édition de i'à'ôl la traduction de Pa-
gnin à toutes les autres, et i) dit qu'il a donné cette traduction beaiU!oup plus
exacte, et de la manière que l'autbeur niénie l'avoil corrigée de sa propre
main en plusieurs endroits. Cette même version de Pagnin a aussi été impri-
mée dans une autre édition deCommelin.qui esta quatre colonnes, où on voit
pn un insUmt le texte hébreu avec cette nouvelle traduction, le Grec des lxx
do la uiuniere qu'il se tn>uve dans la Bible d'.\lcala, ou Complute, et la Vul-
gateLatme. Je laisse cependant u juger au Lecteur si les reformations que
Robert Estienne assure eslre de Pagnin, et étoiles même de sa nuiin propre,
sont en effet de Pagnin. Il est (erl^iin que Robert Estienne n'a pas agi avec
assez de sincérité dans la plusparl ries éditions do la Bible qu'il n données au
public, et qu'il a voulu imposer en cela aux Théologiens de Paris ; principa-
lement dans rédition de 1-U5. D'autre part il semble que les mêmes Ttiéolo-
giens de Paris auroieni pu traiter avec plus de douceur et charité Robert
Estienne à l'occasion des nouvelles traductions de la Bible, qu'il Ol imprimer
avec des notes fort utiles, bien qu'il y en eût en effet quelques-unes qui mé-
ritoienl d'eslre condamnées. Pierre Caslellan, Grand-Auraosnier de France,
qui rapporta au C^nseddu Roi l'aCfaire qui eetoit alors entre led Théologiens
34 s
ROBEIIT l'UKMIKR.
de ta Faculté de Paris et Robert EsUennc^ n'a pu s*cmpécber de condamner en
quelque diOM l'excès de a» TtM^)Io^ien«t. lestiueU trouvèrent defe héréeiei
il n'y en avoit point, et cela vcuoil,co[nmeraâfteurelomesinpCa9tellan,dcor
qu'ils ignoroienl dans ce Icmpb-la les langues Grecque et Hébraïque. »
On ne peut mieux se faire une exacte idt^ de tout ce qu'il y a
d'odieux autant qu'absurde dans cette affaire, et dans plusieurs au-
tres non moins fâcheuses pour Robert, qu'en lisant son Compte-rendu
dt: 1552 déjà mentionné, et que j'imprime à la fin dece volume.
Soutenu par ]a bienveillance marquée de François I", et par
plusieurs savants prélats, Robert put encore ne pas succomber sous
les coups de ses perpétuels ennemis; mais si jusqu'alors la Sor-
bonne n'avoii pas réussi à le faire condamner comme hérétique, les
Lettres Royales, deux Ordonnances ou Déclarations n'arrêtoient
point les attaques; et en 1547 la mort du Roi fit espérer à ces im-
placables adversaires qu'enfin ils auroient Robert à leur merci.
Henri II, successeur de François I"", n'avoit aucun mauvais vou-
loir contre son Imprimeur: il Teut même volontiers protégé, ce
qu'on rcconnoît à des Lettres patentes et antres ordres relatifs à la
vente et censure des Bibles, ainsi qu'à des Lettres de grâce et ré-
mission dont il va être parlé plus bas ; mais qu'attendre de ce prince
d'une volonté molle, ^ui al teno potins fjuam suo ^enio uferetttr ,
asser\i à celles de ses entoura , et surtout maîtrisé par l'altibre et
ambitieuse Diane de Poitiers qui gouvemoit en sa place? Aussi ses
velléités df protection furent-elles presque sans effet ; la violence des
ennemis de Robert n'en prit que plus d'audace encore, et s'attaqua
même à ceux qui lui téinoignoient quelque bienveiUance. Pierre du
Chaslcî, évèquedeMâcon, et ^rand-aiimônior, avoit prononcé deux
Oraisons ou Sermons fun^bres en rharniour du feu Roi, lun à Notre-
Dame de Paris, l'autre dans l'église de Saint-Denis ; Robert s'étant,
ainsi qu'il le devoit, erôpressé d'imprimer en latin et en françois
ces deux ouvrages de son bienfaiteur, les Sorbonistes, dit De Thou,
en haine cj)ntre Robert, et pour se venger de l'appui que lui prêtoit
le savant prélat,* s' emparèrent d'un passage du second <le ces dis-
cours, et le signalèrent comme une damnalile hérésie. L'Orateur
avoit eu la coupable hardiesse de dire que François ayant vécu sain-
tement [Begif vifn sanctistime acta], il y avoit lieu d'espérer qu'il
BOBBRT PREMien.
34.1
«^toit pa&M? de la \'ie à la gloire «.Hemelle {animant prothius cœlo re-
cepiam esse, neque expiatoriis nllis ignibiis eguissè) sans avoir eu a
subir la purification des feux du Purgatoire. Dans ces mots où vrai-
ment il n'y avoità voir qu'un lieu commun de chaire, et qui d'ailleurs
n'exprimoienl qu'un doute, une espérance, ils pn^tendoient trouver
la dént^gation de 1 existence dnPur^toirc,dece^*r//vM locus que re-
jettentlftjRrformés.crime flngranld'hèi'esie, mmlantpuniliona*^vère.
et dontriniptJtneur sVUoil scfieinment rendu complice. La Sorbonn«
envoya don*: quelques-ims des siens prt^senter ses remontrances au
Roi qui i^toit alors à Saint-G(Tmain. Ils furent reçus par Jean de
Mendoza, premier Maître d'hôtel du Roi (regiorum dispensatorum
principe). - Je sais, leur dit-il, le sujet qui vous amtne, vous êtes
en désaccord avec Du Chastel siu* le lieu où est actuellement l'âme
de François notre bon maître: je puis vous certifier, moi, qui ai si
bien connu cet excellent prince, qu'il ne savoit demeuivr en aucun
lieu, quelque agrt^able et commode qu'd pût être. Soyez donc sûrs
que B*il a été en Purgatoire, il n'y sera resté qu'un moment, le
temps de boire le coup de ri-trier. - Les Sorbonistes voyant que
Du Chastel l'toit encore trop bien en Cour pour qu'ils pussent lui
susciter une fâcheuse affaire, ou à son sujet compromettre l'Impri-
meur, se retii'trent honteux et confus. DeThou, 1, p. 108.
Du Chastel proU^gea Robert, non-seulemait par amour pour les
lettres, mais parce que ce Prélat vertueux et éclairé voyoit avec
une douleur amt'^re la fanatique cruauté des persécuteurs. H avoit
aussi essayé de défendre Etienne Dolet ; et le Cardinal de Toumon
lui reprochant un jour, en présence du Roi , d'avoir parlé en fa-
veur de cet hérétique, ce qui rendott sa foi suspecte ; Du Chastel
lui répandit: » J'ai parlé en évoque, et vous avez agi en bourreau. -
Dans les derniers temps, les dispositions de Du Chastel pour Ro-
bert De furent plus les mêmes. 11 ne le persécuta point , cet homme
de bien en étoit incapable, mais il lui retira ouvertement sa pro-
tection : la véhémence avec laquelle Robert ropoussoit des attaques
si multipliées lui parut inconvenante et orgueilleuse ; peut-être
aufisi sa piété fut-elie alarmée de voir un laïque explorer et reviser
les textes sacrés avec même liberté d'esprit que s'il se fut ag:i de
Sophocle ou de Cicéron. Robert fut affligé, offensé même, de ce
w
3U
lïOBERT PREMIEB
changement : il s'en explique avec "vivacité dans sa préface
Censures. « Après que l'œuvre |le Nouveau-Testament grec in-foi
de 1550) fut achevé , je le porte à Castelian. Lequel me tensa
aigrement de ce que je ne l'avoye point baillé à examiner auX
Thônlogiens, me disant quej'estoye ung orgueilleux •• Robert
continue assez longuement ce récit dans lequel il se donne un tort
qui s'cxcuscroit difficilement « 11 baille en proyc aux Théolo
giens celui qu'il avait maintenu contre telles furies par une instinc-
tion de Dieu plustôt que d'affection pure et sjTicère. C'estoit en
espérance de gaigner ung cbappenu de Cardinal qu'il s'addonnoit
ainsi servilement à eux et sans raison : car il les hayoit fort. •• L'im-
putation seroit-clle fondée, Robert ne devoit pas se la permettre
envers celui qui si long-temps , et non sans risque de se compro-
mettre, l'avoit courageusement protégé et défendu.
Un des hommes par lesquels Robert est traité avec le plus d'in-
justice est le Sorboniste André Chevillier, dans son Histoire de
{Imprimerie de Paris. Continuant ap^^s un siècle et demi le même
système de dénigrement, Chcvillier semble prendre à lâche de trou-
ver des motifs peu louables aux actions de Robert qui, a l'en croire,
fut un hérétique li>'pocrite, et pendant lon^ies années trompa les rois
François V' et Henri IL Apri^s cette accusation d'h\pocrisie il parle
<ie l'enlèvement des matrices grecques: sans le nommer un \*ol, il le
raconte avec une apparente simplicité, mais de manière à ce qu'il soit
impossible de donner à ce fait un nom moins odieux. A ce sujet
Mailtaire, son contemporain, dit avec raison, page 143: Oflium
<'.ertê , quùd Sorhona in Rnbertum olim exercuerat , nonrlum
exoievit, sed facile htiic calumniœ occurritur. -
C'est à l'année 1546 , que Mallinkrot et le jésuite Ant. Posscvin,
autres détracteurs de Robert, mettent son départ pour Genève, ainsi
que fe.vécutjon en effigie d'un prétendu jugoment le condamnant à
être brû-lé vif pour les nombreux griefs accumulés contre lui, auxquels
il auroit ajouté le vol et enlèvement des caractères grecs qui venoient
d'être gravés par ordre du Roi. Mais, ainsi que le dit très bien Mait-
taire, les livres publiés à Paris, par Robert dans cette aimée 1546 et
les quatre à cinq années suivantes , prouvent que pendant tout ce
temps il n'avoit pas cessé de demeurer dans relie \-ille, ou au moins
HOBEKT PHKMIER.
315
d'y imprimer. Un assez long voyage qu'il fit vers 1548'. à l'occasion
dutj^uel il passa à Gent've. y visita les savants les plus distingués, et
sans dou.te pressenloit déjà la nécessité d'une future émi^p*atinn ,
a pu luire croire que dns-lors il avoit fixé à Genève son domicile.
Maittoire ne disbimule pas qu'il lui est impossible de déleiminer Je
temps préftx auquel Robert a étés'y ri'iugicr ; et, après avoirexpo^é
ses motifs d'hésitation , ïl conclut en ajoutant : •• In rv incerta
nolo quicffuam affirmare , donec aliquid certiiu quo conjectura
nitutur iin'enero - J' espère que dans le cours de ce rùcît je par-
viendrai à faire cesser presque entièrement cette incertitude.
Je ne dois pas manquer de mentionner ici les dexix élégantes édi-
tions grecques du Nouveau-Testament de I51C et 1549. dont la
seconde a, plus que la première, pris place parmi les cmnosités bi-
bliographiques, et, par une singularité, du reste suffisamment con-
nue, se distingue de l'autre par une faute typographique, paires au
lieu dep/iires, au bas de la première page de la préface (jui, dans
les deux éditions commençant par O miriftcam, leur a, bien plus
autrefois qu'aujourd'hui, faildoimer le nom d'éditions O mirijicam.
La seconde est bioii reconnue pour être supérieure à celle de 1546.
imprimée avec le même beau grec de Garamond. Oïi prétend
néanmoins que, pour ce qui est des erreurs typographiques, il y en
a à-peu-près autant dans l'une que dans l'autre. On iwut voir à ce
sujet Maâch, Bihliothcca j/7c/w, Dibdin, Introduction to the knotv-
ietlge of ihe Ciassicjt . 1827, le savant et utile ouvrage aiiglois do
sir Thomas Hartwell Horne sur l'étude des Livres Bibliques, et
même le peu que j'en dis aux dates de 1546 et 1549. pag. 65 et 73.
I En 1 550 cette magnifique autant que correcte édition du Nou-
veau-Testament, de laquelle je viens de parler, un des plus beaux
volumes grecs qui aient été imprimés, vint s'ajouter à la belle et sa-
vante suite d'in-folios en cette langue, commencée par l'Eusèbe de
1544-45 , et qui fut si bien continuée par Robert lui-même et par
* Ce duil Atre duu ce voya^ qu'il vuiti l'Italie, et vit dam iiue Imprimerir véni-
ticniK' Tetrangc mmpreinou qu'où y enlrrpn-noil il* «>n Tfu-satim» tiitmir liitf^uie.
Vayn n deui». pog. 87.
34e
HUBBKT PREMIEK.
sa famille: ce volume ne put paroitre sans devenir l'occasion et le
prétexte de nouvelles attaques de la Sorbonne. On peut voir à l'an-
nt^e 1550, ci-dess\is , paç. 76, à combien de &ollicilations ej dt'mar-
ches Robert dut se résoudre pour obtenir une tardive justice. La
mesure étoit combhle. sa patience <^toit à bout; et, bien qoe ces
per8*5culions eussent manqut'' leur but apparent, n'eussent pu faire
di'-lendre le dt'-bit de ce Nouveau-Testiunent grec, Robert n'en sentit
pas moins la nécessité de se soustraire à ce mauvais vouloir qui ja-
mais ne reposoit et pouvoit enfin l'amener à quelque sinistre catas-
trophe. Dans les derniers mois de 1550, ou, au plus tard, dans le
cours de 1 551 , il se décida enfin à aller chercher à Genève une sé-
curité qu'il ne pouvoit plus trouver en France.
Dans tout le cours de sa vie Robert se montre trop prudent pour
qu'il y ait à croire qu'une telle résolution ait pu être l'effet d'un mou-
vement subit de dépit ou de crainte, ce qu'aujourd'hui on nomme fa-
iniliE'rement un coup de têlc.Dqù, en septembre ou octobre 1548, il
s'en étoit expliqué avec son protecteur l't'vêque Du Chastel dans im
voyage à Lyon fait en ropt'rtuKfi d'y avoir acc^s auprès du Roi qui
revenoit alors du Piémont, et d'en obtenir la révocation d'un ordre
nouveau qui suspeiidoit la vente des Bibles, et mettoit au néant une
double permission protectrice à lui accordée eu mai ou juin de la même
année parles Lettres ou Oixlonnances de Bourg en Bresse. Le Roi ne
révoqua point alors la suspension de ■\cnte, mais il fit dire à Robert
par Du Chastel que pour cela il ne lui falloit point laisser le pays ;
seulement qu'il se doTmât yarde à l'avenir, ajoutant, (dit Robert dans
son Compte-rendu) *- que j'eusse bon courage, et que je poursuy visse
comme de coustume à faire mon devoir, à orner et embellir son Im-
primerie. "
Sur cette fuite difficile , sur sa date . sur ses apprêts qui n'étoîent
pas sans dangers pour Robert, à cause de ses grands entoura en fa-
mille, en affuirps. on n'avoit que de vagues conjectures ; mais une
pièce authentique*, récemment découverte, vient dissiper cette
I^Mn« ilr iViniliMnil li lir inain-lcvri' ni fjivdir ries Italien miucun de Kobrii
ROBERT PREMIER.
317
obscuril*^; et Maittaire, pour avoir un avis, n'auroit plus k attendre
aliquid certius ; r« qui reste douteux peut vraiment être regardé
comnKî sans importance.
Par les Lettres Royales dontil est ici question, ainsi que par la Re-
quête prc^eiit'e par Charles Estienne au nomet comme oncle et tuteur
des mineurs Robert '.on voit que, dîjs 1547, aprts la mort de Fran-
Içois I", la prudence avoit suggéré à Robert des précautions prépara-
toires qu'il sut combiner demanit're k ne pas lui faire ensuite une néces-
_ site de s'avancer plus qu'il ne lui conviendroit. P^^e de neuf enfants,
ptousmineui-s. il commença par procéder au partage de ses biens, et
mit son établissement sous leur nom, comme réalisation de l'héritage
à eux revenant de feue PeretleBade. leur mère. Profitant des rela-
tions qu'il avoit à Strasbourg avec des parents de sa femme, il leur
■envoya François. I^ I^îttre Royale dit en 1549 ■ dans l'exposé fort
bien fait (de M. Jules Quirherat) qui accompagne cette pièce dans le
volume où elle e^t publiée, (m croit qu'il y a là erreur de chiiFre, un 9
pour un 5, et qu'il faut Hre 1545. Erreur ou non, c'est selon moi de
fort peu d'intérêt; maispeut-êlre n'y a-t-il pas lieu à douterde l'exac-
titude de la date. Environ un an et demi plus tard, le jeune Robert
ftit contié à Conrad Bade, son oncle maternel, lequel feignant de le
conduire à Troyes chez un papetier qui foumissoit la maison de Ro-
bert, remmena à Lausanne où il le mit chez un maître d'école. Envi-
^^ ron trois ans après , Charles fut envoyé audit lieu de Lausanne.
^Hii0 8ait le stippfiant par qui, comment, ne par quelle raison; et,
^B peu après, deux autres enfants. Jehan et Jehanne, arrivèrent en ta
^" même ville , amenés par une femme que , disoit-on . le père avoit
I épousée en secondes noces, et qui mit ces deux enfants à l'école : mais
EftUenuc, trouvrc* âatu le r«(pslre 3fH fus, pièce ÏKI. du Trésor tfrs Cfutrtrs, par
M. Euf^èue (IcStadler, aiidm élève de l'F-cole do (Charles, cin|<J(}yè aiu Àrcki^c» du
Royauoic. Cette pîèrraiiê ouwlepublirti dans b BiUiullié(|ue de l*Erok' dnCluities,
m juillet IfUO.
• Otir Requête n'a pohïl été trouvée avec ta I>ctlrcs Roffiles qui m fiireiil ta rè-
poose et le bienfaijatil résultat, naii ellej en rapportent l(% moùCs. d mi y retrouve
i>boMKOUp de »tt e\piiettioiu.
348
HOBËHT PREMltiit.
bientôt un inconnu, muni d'argent, vint les chercher tous de la part
du père, auquel ils furent amen»^ à Genëve, sans qu'on leur eut dit
où on les conduisoit.
Ne voit-on pus dans ce compte-rendu des mouvements de cette
jeune famiile l'embarras d'un homme qui espère réussir mieux à
intéresser qu'à prouver, et qui, après avoir dit avec raison que ces
enfanU ne pouvoient qu'ôtre diriges parla volonté paternelle, cherche
aussi à établir que s'Ds ont été emmenés hors de France, c'éloit pour
être mis dans des iVoles. Il voudroit bien aussi ûûre croire que
leurs sorties peut-être fort récentes, et effectuées à peu de distance
lune de l'autre, sont trop anciennes jKJur pouvoir être rattachées k la
prévision d'une future émigration de leur pbre ; mais il est mal à l'aise
en un trop court espace de temps, et s'efforce de l'étendre par le
vague de ses dates. C'est e/w/ron, et encore environ , puis on ne saU
commenf, par quiy etc.; et tous ces à-peu-prts. qu'un examen un
peu sérieux eût fait rejeter, ont eu l'heureuse chance d'être admis
comme valables. Ne peut-on pas croire que l'autorité a bien voulu
n être pas plus exigeante pour les preuves que l'oncle-tuteur n'étoit
pr<V.is dans ses dires, et que la clémence royale se sera plue à donner
à Robert cet indirect et dernier témoignage de bienveillance.
De ces enfants transportés à Gen&ve, Robert, l'aîné après Henri,
revint proinptement et preâc^ue furtivement à Paris auprès de son
oncle Charles ; c^ que ne put faire le jeune Charles. Moins âgé que
Robert, il ne fut point mis dans la confidence de ce déport, et resta
à Gcnfcve auprès de son père chez lequel il mourut fort jeime. Peut-
être le regret de ne pouvoir revenir à Paris contribua-t-il à ce dé-
cfes prématuré.
Quant à Henri, l'aîné de tous, il étoit de forme rigoureuse que dans
la Requête on le présentât comme à-pcu-près contraint, ou au moins
trop jeune pour ne pas se conformer en tout aux prescriptions pater-
nelles, trop jeune aussi pour bien comprendre toute la signification de
c«s voyages. En 1 552 on le déclare de vingt ans ; en avouer 24 , c'eût
été présenter un homme fait , non susceptilile d'excuse; il le failoit
faire très mineur. On lui auroit donné quinze ans si on Tavoit osé.
De*;ette dé^^ision indulgente il résulta que le séquestre mis sur les
biens de Robert en exécution du rigoureux édit de ChâteaubriaiU,
27 juin 1551, fiit incontinent levé, que tout w que le ftigitif avoit
luitisê fut remis aux mains du tuteur, que ce bel otablisaiîment , si glo-
rieusement fondé \mr Robert , put survivre à sa dislocation , et ensuite
être repris, non sans quelque succès, par le jeune Robert, en 1556.
Ceci explique encore pourquoi le ptre de famille, privant Robcrtson
second tils du droit de venir partager dans les valeurs transportées ou
créées à Geni^ve. ne fit qu'un acte de justice*, puis^iue déjà ce fils
avoiLmain mise sur c^ qui étoit resté en France. Il jiaroït donc
indubitable que le tout se fît de bon accord , comme disposition
non contestée, et sans mécontentement de part ni d'autre. Dès
1554. aussitôt que Henri fut de retour d'une de ses lointaines
excursions, il vint se mettre en rapport de travaux avec l'établisse-
ment de Paris, et en liaison de famille avec Robert son fr(>re qui en
étoit possesseur et le conduisoit ; rien d'ailleurs, soit avant 15.59 ,
soit apr^s que le décî's de leur père eût fait connoîtrc ses dispositions
testamentaires, ne fait voir entre ces frères aucun djiférend, aucune
froideur. Si le moins du monde il y avoit eu injustice, ou seidcment
apparence d'injustice, on le sauroit de reste. Ceux qui se seroient
crus sacrifiés auroient-ils manqué à laisser échapper des marques de
mécontentement, à se poser en victimes; n'eût-ce été que pour se
donner le mérite d'une résignation plus ou moins sincère.
Je donne ici et en note *' l'exact texte de ces Lettres Royales qui
* O fut m^mc une priiautîoD très sagf . Les rigueurs contre 1rs Réfomtc» ne faïunt
qu'acrroitrr (puiK)u*cUe*uiieiU!rent II Sauit-naiihdltrniyV '^ G^c, au momml du di'ccs
de Rol)rrl, à rpcoêve, n'aurait pas manijin- ai France d'il ilcr venir Pl du mHIri- b main
sur Ctrl te succosion encore non partagée , pour s'emparer de ce cpii , sur le^ pro-
priétés puiiienDO, auroit pu rpvenir comme part d'hcritagc aux enFantA dcvctim
Generoîs et hérétiques. I>e là boulpvt>nnncnl et mine de rétablissement, petil-^e
nétnc de toute l'hcrcdiié.
LETTRES
Dr Rémission et ite Main-lefée,
tafavturdes hcritirrs mineurs de Robert Bstîenae.
1553.
rtniir^ par U graer de Dieu, roy d«- France, sçavoir fnisoniv à to«s pwkrnt* el advenir,
iM>ni avoir rcccu l*bumhle lupplication de nostre bien amé maigre r.aAht.u-EATifir}ia,
320
ROBERT PREMIKU.
préservèrent la famille des E^Lieniie d'une désastreuse ruine, et sans
lesquelles il est indubitable que leurs travaux ultérieurs n'eussent
point eu lieu. La saisie des propri^'tôs de Robert en France l'auroH.
ainsi que ses enfants, mis en grande détresse; ce qu'il eniportoit à
Genëve, au lieu de fructifier honorablement et de frayer la voie aux
immenses labeurs qui immortalisent Henri, eût promptement 6té
no&lre Itnpriim'iir ordiiijiiiv, oncle c( Itilcur de Ht.*4iiv, Hobikt, Charlu, FftA3içoiSf
Jaa*»?(c, CiTiirtitïrK, Jkiian cl Mauïe, tous rnfant.i mviuiir* d^ans de Roiriit Ei^
TiKxïrr, ooBlre Imprimeur ordiiiaïn- ^s IptItta Wbrakiiufii, grit^ueê t't Inùi»^. et df
fcuo Pxmarr-rr. IUdk sa finntne, U-sdils enCiDls aagtz, c'est aisa>air; Iwlit Heiiry de
vingl ati4. Robert de dix-lmici, Ourles de qiitu», Francis de douze, Jchume de
unzc, et JeJiaii dr S('|>l mi eu^irori, roulm/iiil r|Ui> ciiviro» Van mil cinq retu qiu-
rniitc-iiciif ledit Frcmrois. lors aagL' dt- six aus st'HlIcmL'nl , fui emmené pnr img mar-
rltnni dr la %ilie de SliTisbouri; pour lui M-r>ir et âpreiidrt', t:uit an FaJct de la mar-
chaiiduic, rïliidf, «pie vu la euiii.iioi'iKiiire de la laiiî;tii' t,Trmntiin[iK'. )et[uel nur^
cfaaul le meist hi peiiMun chvz uiig nommé Thcobaldiis, demoiiraDl cq lacEcte
Tille de StnubfKin;, limume dei u^xuit \tuur iii-stitiitT jcuiirs cufatis; et environ
ung 3UI et dcmy nprfit , AnlHTt, L'un dcsdili cnfans, À màsmc eFFvct.fuI baillé à
Cnnrard Hado, Aim oncle matenn^L, impiimenr, lequel Tonrard lo mcîht avec utig
nommé Ali\ , ti-ipn-l reignmiil Ir Muililoir a Troyet^ chenz le {uipelier fonraisMint b
maison de %an père , le mena en U ville de Lounnc ii;noranl du tout ot'i il le me-
noit ; auquel Itcu de Ixizanne fust ieelluy Hubert mys avec ung uommc Rabieiu le-
quel rinstitua en liebrtcu cl l'euvoyi an colleige ; et environ trojt ans apréi ,
Charles autre desdit^ eiUaiu fut envoyé audit lieu de l^tàuoe, ne sçait iceDuy Htp<
pliant par (pii. cuinmeiit ne quelle raÏMn; et y fut mi» en |H>nsion cIh'iiz unç prc«e|»-
Icur qui l'instituoit ez Iwtre* (;rec(|uc5; et fui en icelle ville de Loïaune peu aprè*
aneuè le de&suA dit Franroii estant unparavanl à SlratibiHirg , ne leait auMÎ |Mir qui,
«t fnt mys en pension avc<c ung nommé dr BetliiHive, lequH riiutituoit en grammaiPe,
en la longue du \mt ; et peu apr» y furent pareillement menez deux, antres deadîti
enfans nommez Jchnii el Jeliiniui-. par une femme qu'on dnwiit avoir esté prînM par
le père desdils cn^& en «econdrii uopces, laquelle tei mri.s( nvn' ledit de BeUfsiovc
et M finnme pour ee qii'ilv lennîent tous deux cacoÏIm. le mari i>our le» fllz, ctb
femme pour les filles ; et au repurd des deux autres filles uoramt-es ratlierine et Marie
elles sont toujours demeurées et .sont encore à présent a Paris, en la nuisou et garde
dudit «uppUaul, de» el dcpuys qu'il a vs\è e<Ju ri ordutmé leur tuteur et curateur) au
lieu dudit Robert leur père et au moicii de sou absence et qu'il s' estait n-tiré en b
ville de Geucfve dès le mois de novrmbre mil cinq cent cinquante ; de laquelle vilk
de Genefve, ledit Rolwrl [H-re envoya deux ou trois moys après que se&dits enlans fo-
rent audit lieu de Lozanne, ung homme inoongneu aiudils enfans, pour leur déclarer
de «A part qu'il eftlott venu exprès par deveni mx avec argent pour les nflBcr k knr
KOBEUT PREMIEK.
391
absorbé, annihilé par les dépenses d'entretien d'une si nombreuse
famille. Ainsi donc malgré la foiblesse de son caractère , le Roi
Henri II» par cet acte d'une sage clémence jusqu'aujourd'hui i^oré,
sut préserver des demiei-s effets de ta haine eoclrsiastique la famille
de l'Imprimeur chéri du Roi son père, et pour leiiuol il n'étoit pas
lui-même sans estime.
Sans nous mettre en [)eiiic de préciser des dates dont la rigou-
dil prrr wn« Irur dire nr faire enlmilrti nu quel lieu il cstotl , dp sorte ijhp' à la prr-
ituûoii dudil iter»oniuiif;e Pt atusy'|>oiir obcyr à leur dit pcrr, ailcrcnt o«cr le deutit
dit, Icqitcl IcA t-niiiliiil cl mena jusques ni b \illc Je Gcut-hu, ra bquclli* ilitrouve--
ntil leur dit pèrr f\ Irdit Henry hiir frert- ;u»iii>. leqnrl â vv qu'il/ rntendirrnt lor»
y avoit auAsy vsti: mciii* par leiir dit pvrc fai{;iMitt le me urr èi foïrts de Lyon i<l aulrrs
liru& de mi nrgoriutii>a ; ri lors Unir fiul à luu>i dirt vu f;pnrra) par leur dit pèrr qu'il
l'eMoit là retiré att moien dfi quelques faK-lierics que Tan liii voulloit f.iire en France.
MHS autre rlicue leur dî-rbin-r; et à ritiAUiil rommau(*a à les oeeu|MT tniu en divers
•etct et ministères . selon leur eapnciir et eoi;uoi«aiie«- qu'ils povoienl avoir, de soa
eslal et dr rc qui en dépetid ; i-l depiiy», perimidcz de revenir m Franee par les fr^
quenleft et nrJiiiain-» f khorliiliou)), rfinoDntraiieeA et pritrres duilit suppliant, letir iinrle
et tuteur, lesquelles il a \mr plusieurs fois rt-ilérit*s, tant par Icctret que par [tarolla
de igeM par luy euToies exprès avec ar|;eiit poar les ramener, auroient îceuU |mu-
vre» jeiiiieA enlaiu tiirt dtnirè reloumrr; el s'ru atinl |uir plusinirs foiK luvs en ^nt
debvotr, mais ne leur a esté si lost posublc pour U vti;UeAee el eurit'iise observocton
de leur dit père, lequd s'en leuoil si préit qu'il ne 1rs {lerdoit janiait de vrue, et 1rs
Itiioit fort eslroictnnent el eti grande Milijcriion ; liiute^fnys hnlit Henry ««ne trouva
moiai de s'abienter de sou dit père el s'eu alla ii Venise où il est encore A presml,
en la maison de Frao^s d'Asula et autres beriliers de feu Aide, première luaiimi de
leur art d'Imprimerie, pnur tuusjonrs s'exerrcr au bit d'yet-lle; à l'exemiite et in\eii-
lion duquel Henry, troys jours après, Roltcrt second filz partit dudit Oenefvc luitu*
venir k Pari» où il est 4 prcufil avee ledit suppliant &on tuteur, kan& jamais vn avoir
nen dédairc à ses autre» frères i-t seur», el roesme-s i Charles troisième filx. lequel w
dotibtaat de son eaireprise l'avoit pnr idusieurs fois el instamiueul prié de ne ».*m
venir sans luy ; oe que n'oia faire toutesfoys ledit Rolïerl, craignant le mal ctmtente-
neM du père, ctqu'd s'aperoeust de l'eiitreprinsc; dont le dit Charles aiiisi tlettooré
«««c le ilit pcrc a defiuyt conreu si grani cnnuy qu'il en est lumb^ en oultdie : et
advcrty nostre prncurviir gênerai de itostre parleineut de Paris (pie le dit père «'estûit
altsenic ik^ tiosire royaume et allé dcmoure en la dicte ville de Genefvc, a faict saisir
tous les bieus trouvez en b ntaitou d'icelluy comme apparlenatis au dit père, lequel
suppliant pfHir ton nltirt- de tuteur te y est opposa pour ce qiie |»artaigc avoit este faict
drsdii.s bimi. ë\er Irtbi ppn- r\ riiliiiu, pimi leur pjrl et portion de leur defuiicle mère,
41
m
ItOUERT PREMIER
reuse exactilude est auâîii inutile qu iinpoâslblc à obtenir, qu'il nous
suffise de savoir que Robert chargé d'enionts , et voulant se mettre
en posaibilili5 de quitter un jour ou Imitro son pays sans fâcheux
eniptîchement, les aura, comme nous l'avons dit, fait sortir les iins
aprts les autres po\ir les réunir ensuite auprès de lui ; quant à son
mariage avec la veuve Duchemin, il se motive sur le besoin où Ro-
bert aura été de ses bons offices tant pour les voyages des enfants les
loag'lrnipc prrcetlJant que le dit pere sorlist de iiostrc royaume pour alln- dcmourer
au dil Gfiti'fM", vi n'i-sloil ilriticnirr en la dirti' iiiaii^ftiiipirla purt dt-:^ dits raran<t. Pneu
ru ciuiM le dil stippliant congnoûsant qu'il ai commis (iilciir tt curateur ordoDoA
par juillet: n lou« l<^ dïls eiifaiu pour la consrrvatiou i-t dt'rt>nr(' lanl de leurs pcnoiuM»
et biens que de It'ur hnniieur et rêpulaciou, suyvani \cs charges dounér» par U loj à
lousuileum et nirateuni. nouii n faîrt très-lnimMemcnt supplier (i rt-qui-rir, pmir or
riinu idmierlre tle Mtu ilclivoir cl oflire susdits, (juu, nrifiidn l.i <pi;ili(r et circiiiulaDer
du faict tel que dessus , le bas nii{;c et mnoceiicc desdiU {ouvres pupille», rignorCDce,
rude&K et faulte dt! jugement d'iceuK; et que le» diti pauvres enfaits u'out jamau eu
cottguoiaMMce de rurdmiiiaurt* p;ir nous fuirte ainlre reuK qui m* relireiit et vont dc-
mouror «u dit Geuefveet auiie)i lieux menlioiiivex ctt icelle ordonnaneef et aussi qu'elle
a GSti (aicte et publiée depuis que leur dit jhtc t'est retiré de nostre rnynunic, leur
voulloir en ce qu*ilz iinu« [(Durmieiil aMiir oITiueé impartir nox grâce et nÛAcncarde :
Poun r.tL tjn-n. que, cuiisideriiitl la fuulle que poundirul avoir eji ec eummift 1» dit»
mineurs estrc plus lo&t Qd\eutie par une pure inniH-i-uci'. iibéisuinee (;t rriùnte rdlialle ,
jcuDC et iudiscrelle, que par maltce, u'ayaiift jamais eu cougQDisMocc de la délilieracinu
de leur dil per«, adlierè oc preste coiuenlemcut à ycclle, n'ayaiu eiicores la plus-part
des dits eufim» aucune il'uiî^ de rai&on ne ron^inis^uoce de leur debvoir; uc vonlloos
que. pour it'eAtre leur dil pere a!>M'»té de uoslre ruyaulme, 1rs dits eu fous deinourer
pauvres cl ruym-s : axons eu euiuyvant iiosire naiurelle iMclinali(iiidi&|H)<H^ plasâ béoi-
jpiilé Pi elMuenoe tjue a «'-vmté et rigueur Ae juitire, de uoMre cerlaiue K'ience, grttcc
S]técii]e, plaine puiuanco et aueloritè royal, dict et dcclaîrc, disons el dèrlairom que
u'avofis entendu et nViilendons la part et poiliou das biens apparteuiuis ans dil C«-
tfaerirte el Marie c||ui uut luuïiJDiiri» duaioiire eu la dicte ville do Parti, comme dict est,
avoir cslè uu e»lre compriu:» eu la saisie faicie à b requesir de no^tre dict pronirear
gfuemi, et, eu taul qui* Iiesi>ii4,' est ou seruit , eu avons faict et faisons «u dit sup-
pliant, ou dit nom, plaine et entiiTC main Icvéi: el délivrance ; cl au regard des autres
bifiis des dits enfons estant soubi; l'aaj^c de quatorie an-<i, eomuie ii'fian» rapahles de
raison, avons sembla MemenI fuici el faisons audit suppliaul leur tuteur plaine et enticru
main levée des partz el portions à euJx apparlaïaules, à U rbarge i]ue dedans six moiv
prochainemciii venant ou plus tost , »Mz peuvent sortir de la puissance de leur dit
l»èrc, it£ retourneront résider en no«tro dit royaunc, et en icelluy vivent en Ikmw
plus jeunes que pour les soins que requérott, et pour bien des années,
une m nombreuse famille.
Pour prouver que Robert resta jusqu'à la fin de 1 55 1 à Paris , ou
au moms qu'il y imiiriina. on cite un de ses livres, Corflfirius de
quotidiano sermone , daté de Paris. Prid. CaL Dec. 1551 î mais
je crois avoir prouvé, page 52 . que c'est l'erreur d'un 5 mis au lieu
d'un 4, 1551 pour 1541. Les Lettres Royales établissent que e^;
départ eut îieu en novenibP(ï 1550, ce qui coïncide avec le second
cbrcsticDs cl cflUiolïque». Kl <|uai)l au» dil Hcnrv, Kobcrt , Ch;ir)i'« ri Francs, dr
nos grice, puissauce et lucioriié qui- dessus, leur «voiit i-t à chasctm d'uuUf eu
lant fjiie l>KMjiiig «rruit, quiclè, rrmys r-l jiarduiMiê, ()uirloii» , remertnas cl imnloii-
tiuii& Ic4 taidx ft cas dtruus dits, leurs drcoDftUnccc et dèp<*iidanci*s , fitsrmhk' loiilcs
peines, amctodcj^ et ofFciues corporelles, criroiaellea, clc, et à leur» bieiu non coiifu'
f|uci ; cl Kiir <.T a^ons imposé silmce, rlc., en mrrtanl an nrànt, etc.
Si Donnoit!* i::i Mk?tuRMi.:iT par ces pK'iirnlcA nu |tiv\<Mt dv Paris on à sou licat(^-
iiniit en la jurûiIicUon el n-ssiirl diiipn-l li- dil Rolx^rl-Esliciinc et ntA euiaiis «ftloieul
demoumiis, el lequel, eu laiil que Ixsoiiig scroit n ce faire, non» romraeclous il à tuiis
nox autres officiers, etc., que de doz |)réseus maïu lc^t*e, déclarations, grâce, etc., iU
laissctil lu dit suppliaul »u dit nom, et lejt dits eutans et cbusctin d'euli jo)r, etc.,
leur liUsuit plaiiiu et «iilierc niaiu Ic^ée de letirs dits biens , en contmignaut à oe faire
et souffrir \ns. eoniiiiis.soiri's êtaliUx au rëj^imc et gouvcnirraoïtt il'ireuU. en rendre bon
compte et relici|UEi pat toute>> «nies cl mauiêrTs drues cl misoniialiles, non obstont op-
|iusieioii.<( iiu appelLicious queUconque-s pour lesquelles iir \nullnEis e^lre différé : c^i
tel est noslre plnuiir, non obstant comme dcMU^ et l'urdoiiuaitci- |uir nous faictc
coatre cenU qui te sont retires el retirtroni pour l'advenir tant au dit lieu de Cenefve
que autres lieu\ bois iioslrc toyaume, et qneljEconqiies autres edîctz, statui, ordon-
nances, 1o)X, rcslriiiiiioiis , maiidenicus on deffruct-A rt Irrlres à iv niiitmires ; aiiv
<|uellcs en tant que benoio}; est ou seroil , nous avons dérogé, rt dérogeoiu par ces
dîrlcs présentes de noz science, puissance rt auclorilé que dessus. Bt pour ec que d*i-
crlles ou pourra avoir affaire en plusieurs cl divers lieuv. noits toullun» que au vidi-
iniu d'icrlles deucment collalionnci par l'im de noi amex cl fèaaix notaires et secré-
taires nu faicl souhz scel royal, foy soit .idjou5tée enmnir à cf pn-«'iil original auquel,
aiin que ce soit choK ferme et stable à toiujours, nous avons faict mcrtre noslro scd,
sauf eu autres choses uastre droict rf l'anltruy eu toutes.
Donné è Villiers Costerez , ou mois d'aonst, Tan de grâce mil cinq mit cinquante-
deux ut de nostre règne le siùcsrae. Ainsi sij;né sur le reply r^a i.t aov . maisire
(reoffroy de Houlte-Ocrr, maïstre des reqnrsirs ordinaire di- l'iioslrl. pn'vrnt. Du
Ibirr. Visa (jfnlmtor, Robillart.
El scellé de rire \ert *ur las de soie.
■
$u
liUliEKl PKEMIKK
mariage de Robert, célébré ou confirmù à Gent've dans le mois
décembre suivant. 11 »e peut qu'il y ait eu un ou plusieurs retoore
passagers à Piiiis pour opi-rer la trajii>lation délinitive, et aussi pour
y terminer quclt|ues travaux.
L'établissement de Paris, s^'-questri^ d'al)ord . des 1552 rendu
aux enfants mineurs, f^l ijui rtnit rempli de marchandises fabriqui^n*.
de livres dont il lalîoit provoquer le di^bit. resta nécessairement ou-
vert, et en txpbilEilion, ce ([ue prouve le Catalogue de 1552» cer-
tainement de rimprimeric Stépbanienne , bien que sans nom de
propriétaire. Pendant quelques années l'administration de cette li-
brairie dut reslpr aux mains de l'oncle ri tuteur Charles, a\*ec la
coopt^ralion dujeum* Robert, que dès 1556 on voit apte à repri-ndre
aflaircs et remettre en aijtivité l'ofEcine typographique.
L'inipriincrie, selon quelques-uns, avoil été vendue à un Impri-
meur de Paris, Le Jeune (Martinus Juvenis), mais il ne fut sans
doute question que de la pai-tie hébraïque qui effectivement lui ser-
vit pour quelques livres hébreux , le surplus de la t^-pographie res-
tant dans la famille.
Si Robert abonduimoit sa patrie pour se soustraire aux persécu-
tions sacerdotales, il a\ uil aussi pour celle émigration un autre mo-
tif très puissant, capable de curnpensor bien des peines, et de mettre
une sorte de charme dans ce changement qui auroit pu n'être qu*un
acte de frayeur et de désespoir. Fuir ce que les Réformés nomment
superstitions pnpistiques , se réunir aux hommes par lesquels s'opé-
roit la plus inunense des révulutions sociales, vivre avec Calvin.
Théodore de Btze et autres personnages, grands hommes, selon les
protestajits, et, de l'aveu de tous, hommes extraordinaires; impri-
mer îeiu"s ouvrages , refaire des éditions des livres bibliques avec
luie liberté de correction qui, depuis si long-temps, étoit dons ses
vues, qu'à Paris il n'avoit essayée qu'en Ireniblanl, et jamais sanft
avoir eu ti payer chèrement lu moindre hardiesse , n'éloit-ce paâ
pour Robert une heureuse émaîicii>ation qui devoil lui faire regarder
Genève comme un lieu de félicité , malgré les contre-temps et les
contrariétés de mal-aisance qui durent être les premiers effets de ce
déplacement? Il paroïl que , dans ces difficiles conjonctures, Robert
se conduisit avec le plus louable courage, et que, travaillant à Ge-
KOUEKT PHEMIEK.
3i5
nfeve avec autant d'ardeur qu'il a voit fait à Paria , il sut préserver
ses aifaires des iâcheux résultcts qu'auroit pu amener sa transmi-
{jTation. Pour le peu de temps qui s'écoula jusqu'en 1 559 , année de
k^iort, ses éditions genevoises furent nombreuses, et l'établisse-
ment qu'il laissa à Henri est une preuve, non pas de situation opu-
lente, mais d"ui!aires cii bon ordre et point obérées.
Fixé à Genève, Robert sachant bien que ce n'étoit pas assez de
ne mériter aucim reproche, mais qu'il se devoit à lui-même et aux
nombreuses personnes qui l'honoroient de leur estime, de faire un
exposé public de sa conduite, imprima, dèslamiéc 1552 , une ré-
ponse aux censures des Théologiens de Paris, sur ses diverses pu-
blications complètes ou partielles des livres bibliques. En tête de ce
Recueil, dans lequel il suit pied à pied les Censures, et répond plus
ou moins heureusement à chacune d'elles, un factum ou préface de
52 pages expose d'utie manière fort piquante ses perpétuelles tribu-
lations et les attaques toujours méchantes, souvent stupides, aux-
quelles il ne cessa d'être en butte. Ainsi qu'on peut le croire, il n'y
épargne pas les Sorlïonîstes : écrivant hors de toute atteinte du pou-
voir ecclésiastique et n'ayant pas à craindre que quelque note d'am-
bassadeur vienne le faire extraditionner. ou au moins expulser par
ses nouveaux compatriotes fiers de le rccueilhr. iJ rend compte, non
sans quelque amertume, et du mal qu'on lui avoit fait, et de celui
qu'on avoit cherché à lui faire ; en même temps il y témoigne sa re-
connoissance fM>ur les grands personnages qui plus d'une fois l'a-
voient soutenu de leur protection bienveillante et éclairée. Cet écrit,
ainsi que tout le voluine, painit en même temps en lutin et en fran-
çois. Comme cette pièce, malgré ses défauts, et en certains endroits
son peu de mesure * , n'en est pas moins un document authentique
El (pti pour i-ela p<'iit-0(re «Vu \aul que mif-tu. Hobcrt êtoil irrita, il IVUiil u
bou droit; m ^rltriiiriicr n'a doiir riini qui duirr choquer. Sans doute oti prcfércrott
i|uo, se ■irlUut auKlcsu des qucrellu dogmatiques , il u'eûl pas injurié I« croyances
qu'il abandonnoit , trt te fitl atiilrnu il'iiuitili^s invectives contre les objets de ta plus
haute véctrralioii de» rollitiltqucs (KopouM: aux Censures, pag. 13, 15. 15S). Mais il uc
but pa* ouhlicr qu'alnr». or dnul nou» Miniiiir.s un p«i porriiîw, <piond ou iliApuloil
ou di.vMtoit , M If romlial drtpnojt vif, frtt CT lioéralurr, ivlipnn , •cienw ou |»oli-
33G
nOBKRT PREMIEK.
et digiie de foi . j'ai cru qu'au lieu de la dépecer en de nombreuses et
inévitables citalions.ilseroit mieux de l'imprimer en entier à la fin de
ce volume, iJont je suis persuad»'* qu'elle ne sera pas la partie la moins
lue. Almeloveen, page 15 , ju^^e ainsi cetécnl ; » Est leclu non modo
dignissimus, sed propter hi^îoriam jucïuidissimus. •• Mes Notices
étant en langue françoise, je réimprime i)ar prêft^rence la traduction
françoisie. Publii'e aussi par Robert, elle est indubitablement son
ouvrage, et dans la naïve originalité de ses tournures elle doit être
bien plus agréable à des lecteurs Trançois que le latin moderne le plus
châtié et le plus Cicéronien.
Ce-s réformateurs qui déclamoient si haut contre la tyrannie sa-
cerdotale, ne oomptÎTcnt point parmi leurs vertus celle de la tolé-
rance. Aux dogmes et aux eocigencea du catholicisme ils en substi-
tuèrent d'autres moins nivstiques, mais qui ne lioient pa^ moins
leurs co-reli^oniiaircs. Us avoient leurs hérétiques qu'à l'exemple de
la Cour de Rome ils poursuivoicnt de leurs aiiatbèmes , et le bûcher
du songe-creux Servet n'a pas été le seul que îcur ztle impito} able
ait allumé. Robert lui-même, qui cependant ne s'étoit pas enrôlé
parmi les convertisseurs, ne regarde-t-il pas comme une action mé-
ritoire et même comme un devoir religieux , d'exterminer les mé-
créants avec leurs ouvrages : il reproche aux Théologiens de France,
ses pcrsccuteui's, de n'avoir seulement jias songé à brùJer Rabelais '
ûque , pn?M|UC toujours les exiireuions mitrageaotes arrivoicol en auxiliaires des Ui-
uianfmtnli.
* NoD , iU ne s'avisèrent pas de brAler Rabelais; peut-éirc ne comprireni-îU puU
liaiitf ]iortî-t' dt: cr IÏmt rli-aiigfi, et ÎU iir »Vn prireiil qii'ti *.un i|iulnL'niP Uire d«
PBDlagi-url qui fut censuré par la Faculté du Ttiéologie, i-t coudauQÙ par un arrêt de
défense du Parlement dr Paris, du l*'^ mars 1551-!^; tlêfensi' qui fut levée l'année dV
près parla volonté de Henri II, cl grâces aux solltcilationj» du cardinal de ChitîUoD.
(À'ttc sortie do KoIktI contre Rabcbis s'explique par l'animosilc île f^Kiii contre
linbebii't, .lutrefoi^ mui £inn Ir pluit intime, liaison tpii m> cbau^ca eu une haine irré-
concjliahle, lorsque Calviu, qui iispérûit de la plufnt- liobilt* île Kabelais des cents
favorisant If.^ n{iiiiiiMis il» Réform»!. n'en vît sortir qut^ re.t uiivrages n réièbn's dan»
lesqurU Ralvrlats, par des railleries trop souvent cyniques, flafïellr et couvre de ridi-
rnlr le* hj[ifMTilpsd<' toules Ua rrnyaiiees.
ROBERT PREMIER.
3«7
et ses livres. « Noverat (Robertu&j hujustiiudi Doctorcs j)ro Cliristi;
ï>urâ doctrinà libenter accepturos docliinam Atliei F. Rablesii ejus-j
que libres impife et insulsè Gargantuae ac Pantagruolis noininc inscnp-
tos ; nullam enim operam dederunt ut liber ille maJedici ac blaspheini
conviciatoris cum autborp rremarptur. •• {Prtrfat. nd Glossœ noxfœ
Spécimen, 1553). C'e-st de quoi il n'y a pas à s'étonner ni faire
reproche : c'étoit l'esprit du siècle. Toutes les hostilités ne se résol-
voient pas en coups de cajion ; les supplices étoient une anne plus
facile, et trop fréquemment employée • aux yeux de presque tous,
les dissidences religieuses étoient d'horribles cnmes ; les tolérer, ne
pas les punir cnit»lïement , eût été pour tous les partis unedamnable
indulgence. On n'a pas à accuser Robert d'avoir pris part à la con-
damnation de Servel ; il n'avoit point qualité pour ôtr«i un des juges,
mais il cst^du nombre de ceux qui t^ouv^^ent son supplice un acte_
louable. En 1554 îT Imprima deux tîcrits apologétiques de ce juge-
ment, l'un de Calvin, Defensîo ovthodoxœ Jid*!i de Trinitate ^
contra proiliginsos errores Mick, Serveti; l'autre de Théodore de
Bfeze , De hœretivis acwili mogistratn pnniendîs (Voyez ci-des-
sus, pag. 84 1, et dans un écrit publié long-temps npr^s contre
celui de Calvin. Oittlogus contra libeUmn J. Cahini, 1612,
on note que dans cette même année 1554 Robert «... ad Franc-
fordiam quendam Thomani famulum suum dicitur misisse ut libros
Serveti illic ad nuiulinas prolalos comburerct, ne distraherentur. «•
MaitlairerquT.^nsrque moi, rapporte ce passage, ajoute ; - Hujus
quidem zctum laudare malo, quam illorumsœvitiam. « D'accord, mais
c'étoit le nombre de ce** approbateurs qui encourageoit la cruauté.
Jusqu'à sa mort Robert ne discontinua point ses travaux typo-
graphiques et littéraires. Plusieurs des livres qui habituellement
approvisionnoient son négoce à Paris, furent par lui réimprimés à
Genève, non sans de judicieuses et utiles augmentations. Des Con-
cordances bibliques, une Bible latine in-8, une autre in-folio avec
des notes, une en françois, des Dictionnaires, des Traités de gram-
maire . une édition des Adagia Erojmi , augmentée . plusieurs ou-
vrages de controverse ; le tout publié en peu d'années , prouve qu'il
n'avoit rien perdu de son activnté. En 1556 les Genevois, heureux
pour leur ville d'ime acquisition si précieuse, le reçurent gratuile-
/ /
^
32H
ment citoyen de Gentve; enfin, le 7 septembre I&5ÏJ , k râçnd«
cinquaiile-six ans, il termina trop tôt sa labori^^une et souvent p^-
iiibli> cfiîTÏère,
Robert, marid deux fois, eut de Perrette Bade, sa première
femme, neuf enfants, tous nés à Paris, et aucuns de Marguerite
Duchpn)in» la secotide* *
Henri, n^ en 1538;
Chnries ;
Jeanne;
Catherine, 541 :
Jéfttt , 543 ;
Marie, er 1544;
Simon y ,546,
11 sera parlé suJlîst rri, de Robert et de François
dans les NotictiS qui les concernent. On a vu plus îinut que Charles
mourut jeune à Genève, avant son père; Simon étoit mort avant le
temps de lémit^ration. Mane mourut aussi en bas-âge.
11 pavoît que Catherine, restée chez son oncle Charles, vint
dans la suite rejoindre sa famille à Genève, car elle y fut mariée le
9 juillet 1 559 , même jour que Jeanne sa soeur qui épousa Jean Anas-
tase; Catherine épousa Estienne Anastase *' , probablement frère
de Jean, et en secondes noces Louis Jacquelin , qui fut notaire à
■ On n Ml jiliis liavit (juc rc m,iriage fui confirme à Gcnt'\o. le 14 décembre 1550.
Ce n'est pas une cérémonie propre à la religion protestante ; il est prolwbic qu'il sV
gissoit (l'un mariage ipii n'avoit pas reçii la sanclionreligicusc, el n'exisloit que jmup le
seul consentement îles époux.
** Estienne Anastase fut liliraire cl mémo Imprimeur à (ienéve. On a de lui com-
menlaiies de M. Jehan Calvin sur toiiles le^ ÉpiMres de l'AposIre Saint-Paul, et aussi
sur ^l^|>ist^e aux Iléhrieux, etc.. volume in-folio, portant sur le titi-e. Imprime par
Estienne Anastase, et sur le dernier feuillel, Achevé d'imprimer par Estienne Aiias-
lase, l'an mdlx le xxvi jonr de mars. Il paroît néanmoins qu'il n'exer(;a |»as long-temps
celle profession, car en 15riî François Estienne, son JK-au-frére, imprima pour luideuK
lohimcs in-8 de Sermons de Jean Calvin.
^^^^^1
^^^^^^^1
^^^^^^^^Ê
1
^^r ROBERT PREMIM.
Paris de 1549 à 1571. Elle vivoit encore en 1585, ainsi que le fait ^H
connoître un passage de la préface de l'Aulu-Gelle de cette année- ^U
là, citée plus haut pap. 286, dans lequel Henri, son frère, fait son 1
éloge. 1
De Jean on sait seulement, par les Registres de Genève , que de ^J
sa fenune nommée sur ces Registres Prudence , ■ il eut un fils comme ^H
lui nommé Jean, et qui flil baptisé li? 20 décembre 1569. ^H
Il n'est nulle part question de Jeanne, dont l'existence n'est con- ^H
nue que par l'acte de son mariage sur tes Registres publics de Ge- ^H
nève, et par la mention de son nom dans les Lettres Royales de 1
Rémission. ^J
On reproche à Robert d'avoir, en se retirant à Genève, emporté ^^
les types grecs qui avoienl été gravés à Paris par Tordre de Fran- 1
çois I" , et qui dans les livres où on les employa étoient nommés 1
Tjpî Regii. Une sxiite complète des matrices de ces trois alphabets 1
fut véritablement emportée à Genève * . puisqu'elle y étoit encore ^J
* ta pançous furciit-iU cnipori^ avec In matrioM, ou le» nutnm allrrrnt-ellcs ^H
awhfl à Genève? PrcM^ue aucun de ceux qui ont. o» racuntc, ou au moins nH-Dtiooué ^^
cHte traaMdigraHon de cat-antert», uc paroîl avoir wiigv à In différvnce qii'd v a entre J
pointons rt mulrices; et c'est peut-être auMi, faille dr i»r [loiia roiinoitre lufliMin- ^H
meut les |truci'drft de la gravure typograp Inique, que ia plii|>ai-t auroitl mu indirTiVcin- ^^|
aenl, soit poiuçons ou matrices, soit tous tua dt-uA. I>ra5|ier Marcliaiid n'a point fait ^H
la nène envtir. et démontre que Robert n'emporta que des matrices. MM. F. Didol ^^
et Grapclet, diez qui cetlecoofusion t'tuit impouible , »onl id d'axis opposés. M. Dt- 1
dot croit que les poinçons cl Ifs mdlrirt>A sortirenl de France ; M. Cra|>plel ptitsc au 1
contraire, et avec raison, que le» poinçons restèrent à Paris» co qui est ccrlaui, ainsi ^J
qu'on \a le voir uu pru y\u& loin : on racheta, mais sculemeat des matrice». ^^H
Dana une autre et bien pliu ficheitse cireonslauct;, à la tinislre r|HMpie de la mtau- ^^H
ration et deadéaastru qui l'accompa^ercnt , lotiqu'il (allut se dêpouillei- des iroplièe» ^H
de tant de rictoires, et que. vint le tour de l'Jniprimcrir Impériale, redevcitue Hoyiile, ^^m
on Itii demanda la restitution des nombmu poinçons de carartèrr» erotiques enlevés 1
àRonedans l'Imprimmc de la Propagande. Il fallut bien rcndrti; mai», alors, sau» 1
aucune ruse m subterfuge, et rendant mémo plus qu'où u'atoit emporté, on sut se ^^fl
préserver de toute aHligcante privation, et n'avoir r»cn à regretter. Ce* raraclerea, ^^|
mai tenus, étoient, a Rome, dans un grand désordre; à beaucoup d'alphabets man- ^^|
quûéwT plus ou moins de poinçons, quelques uns même n'avoienl jamais rti' faits. Le ^^H
;i:jo
ROBEKT IMtEMlRK.
en 1619, et même en 1621, et elle le fut par Robert; nul dcsacos
n'auroit été aprJs lui en faculté de<lisposer à son gré de ces carac-
tères, et de les ih'^placer des ntrliers de Tonderie où ils tutoient con-
senés: le fait est constant, et Maillaire ainsi qu Almeloveen s*
trompent en le croyant faux, et n'y voyant qu'une iniputatiun ra-
lomnieuse ; mais fût-ce une action malhonnête , un larcin , ou Inen
Kobert ne lit-i] (ju'usor résolument de son droit réel, et emporterez
qui lui nppartenoitî La réside la véritable question. Le Roi avûît
ordonné l'exécution de ces types, mais avec l'ordre du traTatl y
avoit-îl celui du paiement! 11 esl.t^^s permis de croire tout le contraire;
ce n'étoit taiôrc de cette façon que l'on procédoit alors en finances;
et, le plus souvent, pour des avances faites , des rémunérations ac-
cordées, rien ne s'obtcnoit qu'apn'^ une longue attente , ou inêroe
l'abandon d'une forte partie dr la somme au profil du caissier ou Xr^-
sorî^, ainsi qu'il arriva plusieurs fois ù Henri IL Ce n'étoit pas avec
de telles conditions et avec ces risques de retards presque indéiinis
tout, nrrlvi* à Paris, Tut savamfflcol nxamlnf et vérifie : oa .«r rendit un romplc nacl
de cv qui manqnuil , de ci- cjiil t-init rii.iiiMiù *{ û fliangir; on Itt ri rrlit tout oc qui
fut juf;i' ni'rejtsuin*. 0>llr inijtuîiuiili^ coDiTtioti fii( .niiiM rfnii»e tlnns le mcillrur rIiSt
ri rmiluf plii.t ramplote <|u'r)li- u'^vnil jainaù t>h'-. QiiatHl le* ciinimiuairps dr %m
aiAiu vinrent m|uérir rt'flitution, on Imr fit voir combien ce» tJt^r» iivoîrnl gagné
à étrr U'aa<)ponc-a en Fraucc ; ou ron»enlil à rrndiv plus «l mieux qu'on o'nvnit rr^,
mais»oil« U condition dr pouvoir ron.S(*n'rr unr coniplcli; «uitr de matri<f4 d<* lOW
rci potm^R. Comme r^Tiproqurm^'iiC \v* dcuv |>arlifft. ri Kom<* stirtnut, lrou%mrnl
kur i-oaiplp à un tel arrangement, il fni aci^'piè; ci, gi-iiccjâ l'indiisiriimte ri ssvaalr
prérUion do rt-ui qui, diiii<t lii drrnici-rs iinui-es de l'Iinipiret nvoieni rrgi cet imncnv
établiuciucnl, il a pu cotiM'ner vu entier ceUr riche cullcctioti de caractères rMklit|tMi,
dont lu poini;onk sf»iil n^ourné!» dormir dniis \ks àê\M\i de la Pnt|i.tsaQde. Lvs nwtrica
rurenl-^lleit frappé» immédiatement a>an{ la remi&e des pointant, ou aroient-cUaUlé
déjii faitM et roroplété«s , sous TEnipirc , au même temps où furent fait!! les pnoçom
iupplénientaireft? C'i-sl e<* que jr n'ai |ia« su prvciw'meiit , tout ecei ne m'élaol wrm
que |uir oiû-dire, et n'ayant pas eu ii chercher la vérification de itarticularitâ dont je
ne rroyoi* |uuta»oir à faire jamais le moindre um^. SM h'agiftwil de dè&apprtifwtitm rt
de bUnie, Je m'a hsttentl rots ; mAi<i U. uvi ii ue peut y avoir que rmKrdmetib et éloge»,
je ne puis fttre arrt^té ]iar quelque' iaci-rtitude île détail.
Je *rtit iTiiire qu'en d'autres lieiii, il a viv fait de lonahles cïTorls pour rendre l«s
lieriez moin» dotitoiireiues ou moint irreparahle», mais on èloil frapi>è de itupeur; rt,
pour ne pnrler que de la Bihliollié<|ne. oËT l'on nl( |p-and'pein« À opérer qnrtqttes
h
nOBERT PREBUER.
331
(jue le i^raveur Garamond pouvoit donner son labeur et cehii de ses ou-
vriers. 11 Iklloit des paiements instantanés , un salaire presque quoti-
dien ; sans ceJa point de Iravail possible. Robert ne pouvoit ignorer
qu'il dût en être ainsi ; mais ayant l'ordre royal de créer cette triple
tîérie de t^^pes dont plusieurs modèles tractas par des mains habiles
lui prophi^tisoient la beauté , il dcvoit être impatient d'en hâter l'exé-
cution , se résigner à satisfaire aux inévitables exigences de l' Artiste-
Graveur, et faire sans hésiter des avances qui alloient mettre en ses
mains de si puissants moyens de sucr.î's. Il est donc assez probable
que ce fut Robert qui fit au moins en partie les frais de la gravure
de ces types royaux , et qu'au départ de Robert pour Genève , en
1 550 ou J 55 1 , on -ne lui avoit pas encore i*emboursé ces dépenses,
dont la mort de François V avoit d'autant plus éloigné le paiement.
Rien ne prouve même qu'il n'avoit pas fait faire le tout à ses ris-
ques et périls pour son propre compte: et peut-être n'y eut-il là-
dedans rieji de royal que le désir manifesté par le monarque de
voir ces lettres grecques exécutées. Ainsi donc, même sans admettre
cette denii<''*re conjecture qu'il est pemns de trouver hasardée , il
paroît évident que Robert n'a emporté que ce qui étoit à lui et pour
lui, ou représentant des déboursés au sujet desquels les réclamations
du fugitif devenu Genevois n'eussent certainement pas été écoutées.
Dans le siècle suivant, Antoine Vitré. Impnmeur du Roi pour
iroc» 0» comi>oiisatioiu, combiou u^cùt^oa pu pu sauvrr d'oltjels prccifiu, n on nia
m», je ne dirai pu de la fuiruc, nuiu nr)oin.« dv laUsiT-fiiire? lUraiu;tT â cvUc admi-
niiUiUon , u'y ayaot el u'y chercluint aucune influmee, j'y piYuou cqM'iKlaut le haut
JDttT^ qui* mcrilc uu si pn'dcuv di'pôl, d ipraugnif iitoiciil trrntr .lumn?» iriialtitude.
Je voyou toute cette décooGlure. Le zélé VaD-Praet lui-mdnc, cet enthousiaste adora-
teur dr« vieux litiVÂ. aliatiu. rtiiutt^mt-, laÎJAoit échapper maint vieux vrlîa, maint Îd-
truiivahlc quinzicme sicrk- que plu.s de rrs4)lHtJ<in c-û\ jM'iit-^trc 5an\ê. j'n»Mxlai uu jour
à lUie de ces visitci luquiHitiics desrcwimis&airea de& alliû : jVtoU lô iuliiis, et témoin
à-pcu-prcs de coDln-lwudt^ muu devoir rtuil Iv ralau* et le ùlenca. Cuiume on Uiuoit
(oui défiler ! comme ces enlcveur* offiaeb dcvoicnl rire sous cape de nut» trou\cr si ri*-
fignés, eux qui ne se senluieul pas sans ipirlque frayeur au milieu de la lioiuie tiUe de
Puis! Je D*ai jonlaii pu me rehuer a croire qu'eu dî-fendanl plu« ntMtimI-nieiil ou
plus adinitcmcnt le terrain, on eill rendu la reculade un peu moindre ; rt , duu cette
liérnuie, ou in'il r«''U»si à sauver eiirore (pu'lque^ liuus jnyaui ly|K>grapliiqucs,
3J2
les langues orientales, se trouva daii^ une position qui pcnivoit M
nir semblable. Chargt? par Louis XIU de faire graver descaradl
arméniens, il les fit *^xéeiîter par Jacques de Sanlecque, grave
fondeur en caractères. Quand ils furent achevés. Vitré* qui en;
payt' une partie » rédama le reinboursemont de ses» avances, n
beulrmenl on ne le satisfît pa^s ^ mais i] se trouva iiiêmc oblige
payuf en entiei' le graveur qu'il avoit mis en tEUvre, Enfin, après!
anni:!e d'attente, il ol
pour son paiement ,
M, F. Didnt. qui mei
portant ces tv'pes doni
larcin. Certainement
abandonnant la Franc
reinboursf.^
Ces types furent, be
Nicolas Le Clerc, Bù
[ 1632, une ordonnance du
eperidant effectué qu'en Itf
ce fait, demai^de si Vuré .
; pas le paiement, eût conunit
encore Robert qui . hérétiij
même tous droits à ètmjaiD
léea après, mis en gage à G<*nè
te, L XIX , assure que œ 01
Nicolas Le Clerc, aon ^and-pî^re , q^'ih furent engagés par Henf
pour quatre cents ecus d'or i4,45()fr. à 1 i fr. i4c. l"écu|, dontapr
une très longue attente luic partie seulement fut .payée. D'autP
ont avance, mais sans preuves, que ce fut Paul qui en 16 12 m
ces matrices en gatje. Je l'ai dit aussi dans ma première éditioi
d'après des renseignements pris à Genè^■c sur les Registres public
Mais de nouvelles et plus pn-cises informations, et d'après les mêni'
Registres , m'ayant été données depuis , j'espère d'autant miei
réussir à exposer nettement et avec vérité tout ce qui a été fait i
sujet de ces matrices, comment il en fut disposé, et comment apr
7 1 ans elles furent recouvrées par la France. Ces détails setrouvero
dans la Notice sur Paul . Qu'il me suffise de dire ici qu'il est tout-à-fs
indifférent que c'ait été Paul ou Pleiu'i son père qui les ait mises <
gage ; ce qui est incontestable, c'est qu'ils ont pu le faire , et qu(
sans manquer en rien aux lois de l'honneur , ils ont pu disposer d'ui
manière plus ou moins onéreuse de cette portion de l'héritage p
temel. La famille des Esticnne a été nombreuse, jamais riche,
plus ordinairement pauvre que dans l'aisance, mais sauf cette injus
et tardive accusation , jamais contre aucun d'eux n*a été articulé
moindre reproche d'indélicatesse ou manque de probité. Si en cet
iion, Robert ^'ëtoit rendu coupable d'une action malhonnête , ce
'Ti'eût pasété la seule; d autres circonstances de sa vie laborieuse et
qui fut sans taches, viendroient tourner contre lui les incertitudes
que pourroit présenter cette affaire.
Des incertitudes , il ne peut y en avoir. Que l'on excuse cette di-
gression un peu prolongée, mois il s'agit ici de plus que de toute
rtîputation de science, iiy^'a de l'honneur. Pendant plus de soixante
ans Robert et sa famille sont restés en possession non contestée de ces
types dont renlïnement . qui ne put rester ignoré , eût certaine-
ment fait éclat et scandale s'il y eut eu larcin. La troupe de ca-
tholicjueâ furibonds par laquelle depuis tant d'années Robert étoit
|)oursuivi sans relâche, n'auroil pas manqué de promptement ex-
ploiter un tel abus de contiance ; ils eussent été ravis de couvrir
d'une infamie méritée celui qu'ils n'avoient pu réussir à faire brû-
ler. Henri, protestant déclaré, auroit-ilpu reparoître en France.
A Paris? Y auroit-il , dès 1554 , obtenu privilège royal pour son
Anacréon in-4., imprimé pour lui dans cette ville, en société avec
Robert , son frère ? Auroit-il pu , à diverses reprises , y revenir . y
imprimereiicore, avoir accès à la Cour, être bien re(;ni, employé même
par le Roi , si son père s'étoit souillé par une honteuse spoliation.
Ce ne lut qu'après bien des années que l'on fabriqua cette accu-
sation dont le premier auteur est le moine bénédictin et docteur de
Sorbonne, Gilbert Génebrard, fougueux ligueur, qui, dans la se-
conde édition de sa Chro$tograpkia sacra, Paris 1 580, in-fol. , s'ex-
prime ainsi : » Vatabli nomine nova Bibliorum versio conditur Ge-
nevensibus. miiîtis in locis impurior et indoctior, quam ncc Vatablus
agnovit, nec qui Icviter linguis tmcti sunt probant. Ejus causa Ro-
berlus Stephanus Genevam, sontium receptatricem, profugit. sur-
reptis secutn regiis characteribus. adultérines alios parlus viris bonis
etdoclissuppo.situru6, vel genuinos ritu loci corrupturus - (p. 445).
Il y a là, je ne dirai pas des erreurs, mais autant de faussetés que
de mots; et pour la Bible, pour sa destination, pour l'auteur de la
version, la cause de la retraite à Genève, l'altération et supposition
prétendue d'ouvrages, enfin le vol des caractères, tout y est men-
songe. Le jésuite Antoine Possevin enchérit sur Génebrard : - Va-
ihlus Robertum Stephanum typographum, Jam apo^tasiam
HOBI-HT PIŒMIER.
suani meditanteni et accelerantem. ad se acnenâtum graviasûne ob-
jurguvit, etfalai crimine, quod nisi fuga dilaere potuerit — postula-
vit, ... quare Luteliïe in stniiniiifto siimilaehro ustus est *, quod capi
non potuerit. - Jnfonii [ei non Joannis^ comme dit* Maitiairej
Posset'ifti jépparatus sacer. Le troisième fut un moine feuillant.
Pierre de Saint-Romuold, F. phêmérules ou Journal cltrounlogitftie^
n" 3 d'a\Til. Au témoignage de celui-ci. oe furent des c^racttres
d'argent que Robert vola et emporta à Genève.
Cette caiomnie monacale traîtreusement fondée sur xm fait réel,
et accueillie par quelques malveillants, fut reçue avec une l^gèret^
inconcevable Nul ne se mil en peine d'appriîcier le fait, et d'exami-
ner si Robert n'avoil pas pu avec toute raison emporter ces ma-
trices. Aussi Taflaire, mal connue, a-t^le toujours tHé prise â
contresiens, et l'imputation est reatëe.
Robert parti, per^nne ne se plaint, parce que personne n'avoit
à se plaindre. Les impressions grecques avec les caractt*res royaux
Typi Regii] ne sont point discontinu des à Paris. On ne manqua donc
ni de ces caractères, ni de leurs matrices, tant pour produire des
fontes nouvelles que pour fournir les suppléments imprévus que tout
Imprimeur peut se trouver inopinément en nvVesaité de requérir!
Et pendant soixante-onze ans. de 155Û à 1621 , tout a marché
sans embarras ni encombre.
* Oo Mit mainli-nant k quoi s^ea tenir vm cra bnlluirs <-n rrdîgiu àv RoIktI e( d«
llriiri, c|iir Liiit il(* t'irrniisUiicTS proiivriil ii\iv()ir jatnai*i eu Immi, [>>i^ |tltis que les
arrêts ou conilnnitialioDÂ qui les aurotent iirdouum, bien que b Sorbunne, le ytiÀ-
dent Lyscl et aJhmmls , M*aieut pa» tûDi â trmnîçner cjimlûeD ils U drsîraktnL
Cm Suiiselii furent ri'(>ê(êp5 rnsutte juar Mio ; et c'est par les li^'unirs . la
Soriwpjtm, et ImijoiirK |Kir i\es r»iialiitiH-.^ {|ur ramualioii a «rlr |iro|kB{;cc et ente-
niméc: mai» ce à quoi ou n'auroïl pas lîù i'attmdrc. c'ctoitdc la Miir n'iirniveliH' rt
ampUtiêc paruD admiot^tlrateur il^l'lmpriaierif Royale, M. L. de A'iUcboui, qui, ver»
1828, rt'pontlaiit à qurlquc ntlaiiiation ttes Imprimeur» de Paris, a jugé â projKu dW
siouer qu'on ne pouvoii avuir coutianee dans loj Imptimeur» particuliers, puisque l'un
d'eux, auquel des types .ivoicnl cté runfii'-s, li*» ri%tHT \ms f*u i,'af;e pour uu prêt d'ar*
gcot. Il y a, comme ott voit, progrès dans raccusation Jusque-là jamais à pcrftounr,
paa ménie aux Irou muine», n'cioU venue l'Jieureujic idèt: d'imputer à Robert d'avoir
rlè rsriier miii Idrriu rlic/ un pn'liiir sur |;a^ji.
ROBERT IMtEMIRR.
33r
La conclusion forcée, inévitable, est donc que deux suites de ces
matrices avoient élr frapp<^ps par le graveur Garaniond, et que Ro-
bert ayant charge, non pas exclusive, mais spt-cialp. de faire emploi
de ces caractères dont il avoit soigné, dirigé, et très prolmblement
payé au mointf en partie , la gravure , étoit devenu régulièrement
poijscsscur d'une des deux collections de matrices dont le besoin
chez lui devoit être fréquent; et cette légitime possession rcsultoit
de la nature des cho!je=t. Si oe prétendu enU'i'enient eût été le moins
du monde illicite, ou seulement môrfie d'un caractère tant soit peu
équivoque, auroit-il manqué de di-nonciateurs, soit j>ar haine, soit
même encore par scrupule de consciencct Et cette pièce officielle,
ces Lettres de Rémission, découvertes aux Archives seulement de-
puis 1840. n'achèvent-elles pas de prouver qu'emportant les ma-
trices, Robert ne fit point la faute toujours répréhensihle de se faire
à lui-même justice , de se payer par ses mains. Ces bienveillantes
Lettres Royales qui, dt'^s 1552, accordèrent et pardonnèrent tant,
eussent immaïKiuablemcnl imposé l'expresse et préniable condition de
restituerd' abord ces matrices si elles avoient été indûment emportées.
Voilà donc le simple historique d'un fait qu'après plus de trente
mis, trois moines, dont un jésuite, ont à l'envirmi de l'autre mé-
chamment dénaturé et envenimé! Leur malignité ne les a que
trop bien senis , car depuis près de trois cents ans elle porte ses
fruits odieux ; et il peut même être douteux que ces explications si
vraies, si évidemment fondées en raison, réussissent à pci*suader la
totalité de mçs lectrtirs.
Je me suis étendu sur ce sujet , parce que. tout injuste et calom-
nieuse soit-elle, cette iiiculi>ation a été beaucoup trop crue sur
parole , et que , parmi les plus bienveillants . la plupart se bornent
à dir« qu'il est lacheux qu'un honune si estimable à tant d'égards ait
taché sa vie par un vol.
Tout ceci étoit écrit lorsqu'cn janvier 1842 je crus eonvenablcde
demander des renseignemaits à l'Imprimerie Royale, M. le direc-
teur me répondit avec une obligeante promptitude dont je suis très
reconnoissant.
336
BOBERT I»REMIEH.
Voici le résumé de sa lettre qui me conârme pleinement dans mon
opinion qu'au premier aperçu elle seinbleroit ne pas favoriser :
- On ignore l'origine de la seule frappe de ces trois alphabets qui
existe à l'imprimerie Royale, au cabinet des poinçons. Elle paroît
fort ancienne, et il est probable que c'est celle qui fut rachetée pv
ordre de Louis XIIl,
•' Malgré le temps écoulo jasqu'à ce rachat (jusqu'en 1 62 1 1 il ne
paroît pas probable qu'il ait existé une seconde frappe de ces carac-
tères, puisque les poinçons en avoienl été déposés par ordre de
François I*"" à la Chambre des Comptes . et qu'ils n'en furent retirés
que sousl^uis XIV . en IG83 , pour être remis à Cramoisy
directeur de Vlmprimerie Royale.
- Si une seconde frappe eût existé , Louis Xlll n'eût sans doute
pas fait racheter au prix de 3000 fr. (;elle qu'avoil emporU^ Ro-
bert. ••
Que la seide frappe aujourd'hui existant soit ou ne soit pas celle
de Robert, je ne crois pas moins certain qu à son départ il en devoit
rester à Paris une seconde . faite d'origine , avant le dépôt des poin-
çons , et sans laquelle la plupart des éditions imprimées pendant
7 1 ans avec ce grec n'auroient pu avoir lieu faute de nouvelles
fontes, ou au moins d'inévitables i-assorîfiments dans l'un ou l'autre
de ces trois ca^act^^es , ainsi que déjà je l'ai expliqué.
Qu'après le départ de Robert . aucun usage n'ait été faitdeâ poin-
çons déposés depuis 1 546 , d'accord ; et c'est cela même qui donne
la certitude de l'existence de matrices antérieurement frappi^, dont
le manque seroit devenu notoire par les privations et les embarras
qui en scroicnt résultés . et auroit forcé d'abandonner l'usage de ce»
caractères . ou de faire d'autres matrices , pour lesquelles il auroit
fallu aller reprendre les poinçons à la Chambre des Comptes d'où il
est officiellement et historiquement prouvé qu'ils ne forent point
déplacés.
Que la rentrée de la frappe de Robert , à-peu- près neuve , et bien
complète , ait fait ensuite négliger , détruire même l'ancienne frappe.
c'est possible ; maison ne sait rien là-dessus, et pas môme positi-
vement si la frappe actuelle, quoique déjà fort ancienne , est bien
encore celle de Robert. Quant à l'acquisition faite par le gouverne-
ment françois , ce fut un acte d'administration aussi sage que bien
calculé; on consen'oit à la France l'emploi exclusif de ces beaux
caractèrea . et on se procuroil sans aucun embarras de fabrication ,
et même avec économie, les 2300 à 2400 matrices, dont avec leurs
ligatures et leurs ahbrdviations dévoient alors se composer les trois
alphabets.
Enfin , les poinçons étant demeurés en un dépôt public , s'il n'é-
toit point resté & Paris de matrices, à quelle fin donc Robert II eût-
il été crée Garde-Royal des Types Royaux [Regiorum Typorttm],
dépôt qui alora ne consistoit presque qu'en ces lettre-s grecques!
Auroit-ce été pour une fonte, peut-être déjà désassortie, de tnMfl
alphabets!
Un professeur allemand, Jean Thomasius iThoniaseD), dans un
livre sur le "plagiat. De Plagia literario, fait tm reproche d'une
autre sorte : il prétend que Robert , dans un de ses dictionnaires ,
Elucidnritts canninum . s'est rendu coupable de plagiat envers l'Ita-
lien yolateiranus , et l'a pillé sans en rien dire. Mailtaire , pages 26
et 239, le défend contre c^tte imputation, de laquelle je démontre
aussi le peu de fondement. Voyez ci-dessus, page 34. On peut
ajouter que tans doute Thomasius , qui termine son acte d'accu-
sation par ces mots: - Ignoscerem, si lectorem suum appellans,
Volnterrani fecisset apertam mentionem , - n'avoit pas même pris
la peine de lire les préfaces de Robert qui, en déclarant s'être servi
des travaux de divers grammairiens , n'étoit pas obligé de faire une
litanie énonciative de tous ces noms , et qui ailleurs , dans la préface
du Thésaurus latittœ Ungute . a la modestie de mettre trop peu
d'importance à ce qui lui est personnel : ••.... Ingénue fateor nibil
hic inesse de meo , pneter laborem et diligentiam. -
Malgré les pers«'rutinns sorboniques dont un des effets inévitables
et certainement calculés, étoit de le ineltreen défaveur dans l'esprit
de bien des gens très sensés et trbs estimables , le mérite personnel
de Robert et la réelle importance de ses travaux . lui acquirent une
conadération dont il recevoil fréquemment les consolateurs et encou-
rageants témoignages. En rapport d'études scientifiques et de liaisons
sociales avec ce qu'il y avoit en France de plus recommandable en
savants et en littérateurs . il leur ouvroît sa maison avec une cordiale
t,i
facilité qui , sans être la Ixncueuse magnificence d'un prot«>cteur opu-
lent , ne manquoitpa« d'une certaine grandeur; et il raiK)it des amiis .
souvent des commensaux , parmi lesquels il trouva plus d'im utile et
empressé coopc^ratcur. De tous ces travailleurs , dont il lui arriva
souvent d'avoir jusiiu'à dix à-la-tbis * , aucun n'eut jamais à se
plaindre de n'avoir pas été convenablement rétribué.
Ce gracieux accueil que Von recevoit dans sa maison a été célébré
par un poète latin de ce temps-là, Joannes Auratua (Jean Dorât,
ouDaural), qui, dans une longue pitce de vers latins , fait l'éloge
de Robert , de ses savantes et industrieuses occupations , de sa ma-
nière obligeante de recevoir et encourager les savants, et des agré-
ments que procuroît sa maison. Je ne reproduirai pas en entier cette
pièce déjà réimprimée par AJmeloveon et Maitlaire, et que sans
doute on trouveroit un peu longue ; je me bornerai à en présefïter ici
quelques citations.
Inlcr toi hac ϔalc belle (jui lypis
Cudutit itimiHuli.s librns,
Primas, Hoberle Stéphane, lu partes tcnea,
Rccbmitaate iioininc.
Sru quis requirat literKi flegjintiam...
Seu lincaruin uobilem symmetriaiii.,.
Scuquis...
... solertiam
Ac (]iligenti»ni sagacem postulet
In elucndis omnium
Kœvis libroruni...
H loue le désintéressement , ou , si Ion veut , le calcul bien
entendu qui induisoit Robert à mettre des prix trfcs modiques à
ses excellentes éditions, et à se montrer généreux envers ses
auteurs -
... Non enim tu arti tus
Statuis avare cl sordide
I
* Dix correcteurs, et certainement pour très jpeu de pressai Aujourd'hui D i9t
leJle Iraprimcrw qui b'b peut-être qii*u« ou deux rnirecteur» par chaque diuine ék
presses. A la vérité, ces avwtt cl très éruditi correcteurs faÎMienl souvoil »"— ; \^
fandioiLt iré(liteui'!t.
ROBERT PREMIER.
33U
l'reliuDi : levés quod sat-culos exhauriut
Srliola^tifonim pauponiin :
Tiuiui fri>i[iH'iiUiiU <]in talxTouni plurimi
l'ienuin huiuiriiin inerciuiii
Eraptos ut illitic quum licel [mrvo libros
Quibus opus ipsis, aufenint...
Qiuni duiii aâïii'i|uai*iâ, suuiplibuâ non inlcriin
l'arfw prcflusioribus ,
Plus publica? rot qiutm domesticaî gercns
Cura? ac solliciludinis.
U fait parler Junius Rabirius racontant comment il fut reçu allant
pr^nter à Robert un opuscule élémentaire de grammaire latine.
(De octo orationiâ partium amritructione Lihellus. cum Commen-
tariis Junii Rabiriî. In-8 ; imprimé deux foison 1534, et sept foia
depuis, jusqu'en 1580.)
... Illuc iveram librllus ul
Commit Urclur publico
Pueritiaï qiiem st'riptilavi in gmluini
Voli'ntis inftirimirier
Sdennibiis lin^tiSL' laliiiie iiuliis,
Et inslitutls primiiliâ...
Minilus urbem . doctiores et viros , •
Mux mu Robertu contuU,
Eiim alloquend) rupidus...
.. Qui simul vidit procul
Ad so ffreiiloni me gmdum,
Satvore ju&>um tnc mura miHu ro^^ul
Quisf uude? quaquo gralia"?
}\\c i]ise nborto obmutuiâdem cuin nielu...
Blaiide me manu prendil, ac in iU)'j;iiluni
Seduxil. ul vacuuin motu
Id , quf^Kl volpbam, non puderet me lo(|ui.
Ad me redivi iuiw' ei;o .
Votumque in ejuaauribus r<cpi meum
Audacius deponere.
Quud cspetobam ille anriuit dempta mora,
Cumulumqiie gralia? addidit
Quod me voïontem posuil , et mox iu suis ;
Non anle sane credilum ;
Spcrare ncconim vonerai m anmium raihi,
340
ROBERT PREM[ER.
Fortaeee non digno, boni
'fanUira, vcrendc» (wiiorer ul inler viro»
Auctoritate iaiideqiir.
Insi|;nis hoc, et plura , lilM>rnlitas
Tatiion iiiihi dedil viri.
Nani censuit mp , dp sun qui viveretii
Dignuna, suisquc în aedihits
Qui cômmordnT. Qualc divcrsorium
0 .liipJU'r! qijwrn s|il*»ndi(]iim
QuaiituniqiK' aintriimn'? sod j>otissimiim quibus
Cordi lionaj suiit liîorîo...
IntaminnUi qitàm Laùni puritas
!?<?raioiiis , el castus dwor!
Nempe uxor, antillac, dienlcs. libeii
(Non segni^ oxamen doniùs )
Que Plautus ore, que Toroutius, sdcot
Oiiotidianp rollo<]ui...
HaMi cloculus Juniiis Babiriim
Sesc rocepit ad suos,
Mirotionia me retinquens ebriuiii
Et invidentem jam sibi.
IkDtum LemoTicibus quarto Nonas fitiii. Anuo m. d.
Parmi, les personnes du plus haut roii^ Robert trouva de bien-
veilliinU prolecteurs. Marguerite de Navarre 1" honora d'une consi-
dï^ralion toute particulitre : plusieurs fois elle alla voir les travaux
de son Imprimerie, rt Robert, 4]ui défendoit express<fment qu'on le
vînt interrompre pendant qu'il étoit occupé à la lecture des épreuves,
étoit sans doute toujours visible lorsqu'il avoit le ÏHmheur de telles
visites. On pourroit croire que Margfuerile, qui aimoit à s'entretenir
avec lui de littérature, lui auroit donné (]uclqucs-ujies de ses Non-
velles ou de ses Poésies à imprimer, même en feuiiU*s volantes; mais
comme il ne reste aucunes traces, ni débris, ni mention de ces im-
pressions partielles, on doit conclure qu'il n'en a point été fait.
François I" qui reconnoissoit le mérite éminent de celui qu'il
nomma son Imprimeur [Typographus Regins] le soutint de sa royale
et souvent nécessaire protection. Kn ténuiignage de la bienveillante
estime du monarque, on raconte que dons une des visites que plus
d'une fuis iJ prit plaisir à faire à l'Imprimerie de Robert, étant arrivé
ROBERT PRFMIKR.
341
loraqœ ceSm-d étoit occtipt^ à la loctnre d'une épreuve, François ne
permit pas qu'elle fiit interrompue, et voulut attendre l'achèvement
de ce travail. Oïi peut mettre ce petit conte au rang des exagéra-
tions traditionnel tes, et croire que si, arrivajit lorsque le chef de l'éta-
blissement corrigcoil une épreuve, le Roi défrîndit qu'on l'interrom-
pît, ce ne fut que pour ne pas perdre l'occasion de voir exécuter de
inuin de maître cette partie si importante des fonctions typographi-
ques. Dans une de ses Lettres [a/l Primerium] Daniel Heinsius rap-
porte cet incident, vrai ou faux, de manière à lui ôter toute vraisem-
blance. ... - Et cum ei ( lioherto] non vacaret, quod eoruni qiue tum
edebantur emendationibus intentus esset ( Regem ] pauluni expectnre
jussum. •■ iVinsi Robert, cum ei non "^ttcaret^ auroit trouvé tout
simple que l'Irnprimeur fit attendre le Roi [expectore jiusum). W
n'étoit pas plus capable d'une telle inconvenance que François d hu-
meur à la tolérer.
Almeioveen , et beaucoup plus encore Maittaire , enregistrent et
transcrivent tout ce qu'ils peuvent rassembler ayant un rapport
même fort éloigné avec l'un ou l'autre des Estieime. Ils citent, aprfcs
les avoir plus d'une fois mis à contribution , La Croix du Maine,
Duverdier» les deux Scaliger. De Thou. les Sainte-Marthe, Théodore
de B*>ze, J. Beckherr, Teissier, Mallinkrot, CheviUier, La Caille, le
F. Coloroiez, etc., etc. Je n'en agirai pas tout -à-fait de même , il
m'a semblé que pour les transcriptions de Testimonio et de pièces à
[appui, ordinairement si peu lues, il falloit être d'une sobriété pres-
que méticideuse. s'en tenir à l'indispensable. Voici cependant la ci-
talion de J. A. De Thou, trop respectable autorité pour pouvoir être
omise. Je la donne plus étendue qu'elle n'est dans Maittaire, et j y
ajoute celle de Scévole de Sainte-Marthe.
■ Eodem aano ( \ 559) vîvis cxeniplus csl Robertus Stei»han«â Parisiensis ly-
{}Ofïraphus regius, i^cM^uiirliini Aldimi * Manutiuin Rumunum, qui Venotiis, et
Jnluinncm Frobeniunïj qui Bosilea? cundom arlem siimma laude exorcuenint,
clariâsimus ; quos iUe longosputio su[H)rj;resâus est, acri judicio, diligcntia
* C'est étiilrmtneul dr Pattl Manure <)(ic l)t; Thoii vnit parler îri : l'illiitlre tiuto-
ricn étoil trop iD&tniit ponriure Aide rAiMÎdi et RulN*rl E»lieiior«-pcu-prva aiiitrm-
poruîn».
3a
UOBERT PREMIEU
accuraUi, ctartis iiKsîus clegautia : cui ob wl non sulum GalliH ged univer^^jÂ
Christianus orbis plus (iehet «[iiarn ruiquam forlissimonim belli ducum ob pro-
pagalos fiiipis [wlria unquam (Jebuil ; majiisque ex t^us unius industria, quam
ex loi priLxIare bello el pace geslia, ad Fraiicist:um dccu:;* ol nunquam inleri-
tura gloria rodundavit. Sod, rai^iranU! wd Dcuni optimo non sotiira principe,
scd litorarura faulore uc parcato cximio, iadigrta bcne mmto de patria civî
lot ediliâ Hebraicis, Grœ^'is et Latiais \ihrïi< gnttia repensa est a theologoruai
nostroriiin )'dlo;;iû, qui hoiiiinom roipiiblicw invigilanlem el quasvis ^quââ
randiliuuL'â acctpero se panilutn driiiunâlrank'in, non dwierunl lacoasere do-
ncc illo, vrxaljonutn injustannn itertœaus, ex necerfsiUUn consilium lepit, cl,
rolicta patria, Gencvam ad extr^mum se contulit; iibi Linla prndentùi pub!î-
cam sitnu\ el privalam rem curavit, ut, quannis lot adversilalibus L'onflictatus
el incoiniitoditatibus ({ux iàotuni verlenlibuâ neceâsario peiferenda* sunt^ La-
mon in opère assiduus ad ultimum viUP spihtnm Inudabilp rei lili'raria* adju-
vando; prupotiiturn L'onsUinler lenuerit, ao Uiud<*m, «uni LVl annum vîUë
agerel, VII Eid. Septemb falis ronrRîisit, foris gloria riivES» et donii liborift,
qui Geneva; manercnt, rdicta opiiknUi supellectile. Wanc enini legeni ingrats?
patria; i)erta>âiis, non tam eju^ odio, quam ji]>>ta;, ut putahal, tiUionis ralioop,
in lostamonto dixit., Itaque Hoberlui filius, (pii «indem arli-ni fjUetiie f^mnina
cuni laude jiro facullalthus (.'xercuiL, iib lii'reditâle pulcriia uniiiinu c\oluâii<>
esl : quani Henrinis t^vnto palro dignîssimns filius crevit, qui lypttgraphioiini
non soJmn Ioni;o Icnxpore îtidein postca exerruit; scd aiulta ad juvandani rem
lilerariuin prupna iudusLria contubt, inter alia edito, lemulaLionc [mtriSf qui
linj;ua! lalitiai peniim olim condidenil, linguaj graicaî cDpiosissimo ot miilto-
nmi principuni ^azis prœferendo TUestiuro. » Toni. I, pug. 79*, éd. Loadi-
uensis.
« Inlereos qui de re litoraria bene morili sunt, RobtTti Stqihani Parisiensiâ
Typogmplii solertiàsimi Hplendidis.*tiniique nia^na cum primia nec ullu sevo pe>
rituru luus fuit, vel ex il lo am]»l iiiv^^i ino I .alini Latiâ The^uro, queni omnibus ejus
lingUfG studioidis plurimo sumplii, phiriiiiù sudoro, plurima dili;;cnlia deprump-
sit. II Galloruiii doclrina illustriuin Elogiu. 4598. bi-8.
A leurs nombreuses et quelquefois très longes citations , tous
deux . mais surtout Maittaire, ajoutent des pièces de vers dont plu-
sieurs ne concernent que fort indirectement les Estienne, ou quel-
qu'un de leurs ouvrages. Maittaire cite même, page 497. une épi-
jjraumie du Grec Agathias. De tous ces vers je prends ceux dont
l'insertioti dans ces Notices me semble presque obligatoire, et il
n'entre point du tout dans mes combiimisons de former ici une réu-
nion complète ou quasi-complète des poiïsies slt^phaniennes. Voici
des épitaphes grecques et latines de Henri en l'honneur de Robert.
Les louanges d'un père chantées par son fils, l'un et l'autre justement
ROBERT PREMIER.
3i3
célèbres, ne pouvoieiït être omises. Dans la Notice sur Henii j'impri-
merai aussi les vers qu'il fit pour les Auiérailles de sa prcmibre
femme. J'ajoute ici seize vers grecs de Théodore de Bèzc, prib de ses
Icônes virorum ii/ustrium, siiivis d'un sonnet Irançois de cet illustre
ami de Robert et de son fils.
Roherto Stephana , vira de iiteraria rep»
B. N. où editos complures hebr. gr. fati-
nosq. tihrxkv omnibus ttriîs hpographico'
numeris absohttissimos , tptom ittt caUuit
ut munia ejus omnia umts obtre potuerit :
cui corpits par oneri tanto J'uit ^ inediœ ,
■vigiliie , nigoris patientitsimum : par etiam
nnintttSf in ejcigno corpore ingens ^ adeo ut
opertim sunrniu mngniftcentia cum Fran-
chci Gall. régis hoc nomine primi plane
regali in eam artein liberalitate certaverit :
patri stio chariis. Henr. Steph, fiœc tumu/i
ornamcntn iacrjrtnts piissiniis perjusa po~
suit, f'i.rit onn. LIX. men* xi.
C'est i'intituié d'ime grande feuille en placard nu snijet de laquelle
voyez ci-dessus, page 1 23. Il est à longues lignes sur toute la largeur
de !a feuille, et imprimé en rouge. LesEpitaphes suivent, imprimées
sur quatre colonnes. Le mot alud qui les sépare est en rouge.
L'intitule des pi6ces grecques qui viennent à la suite des latines,
est aussi en rouge ainsi que le mot de séparation AAAO.
ROBERTl STEPHANl
RPlTAPHIim.
Si possvt calamis, si chartee sensus ioease,
Siqup Typoin"aphids sensus inesse typi»,
ALraiiHMUtnii ulliâ essel si sensibiis auctum,
Juinpridom in latr^niiis liari' liqucfacla forent.
In lacrjmas liquet'arUi forent suporata dolore
Conceplo ex cliari funeribusSlephani.
Se<l bene quftd salvi nobis ralamiqiie typique
344
ROBERT PREMIER.
OfTicio fungi nunc iiu-liure queunt '
Ul Stephano, [M*riiuoin lanliimsiinlnomen adepti,
BcddanL , lolleutcs nomen ad astra , viecm
ALIUO.
Ars inventa (|iiitJeni , verùm imperfecta manebal ,
El nidîs , tii iiiulla? ars arlis ejîtTel adhiic :
Roberti ï^t^d in iwU* nidi solcrlia Tocit,
Uimlic-ndo tœttiâ, quod facil iirsa suos.
Sicdnrns hiiic lulit ai-^^sod flhicdcciiâiiltuiitarti,
Jamquc uter utri plus debcal ambiguum ml.
ALiru.
Quà labor assiduus ponolrct conir&additus uiii ,
Robert] ante omi»^ arsqui* labcirquedocenl.
Nor ininjni artifices qiiôd lot suj^raviTit nniis,
Quut tulil hitc ivlas, clqiiolaviln tulil.
Namque liilHtri uViOri dare brarhia virUi vidomu» :
Al lubor huic conlrà brachia victii dédit.
AtlUD.
llujus in œtomum monimeiita operosa loquonUir ,
Sparria [ler aunamii solis utnimque latus,
Egregiai qimrttiim iiatitrrP arsaddJLa [>0S8it ,
Et cum uattira junclus et arlc labor.
ALIUU.
Qui fiierat Tylios canescere dignug in anno6 ,
IHiiis viridis falii <^'necLa subit :
Deserit irnpLTrecta illum viLa, ille viciâsim
linpiTrixia Drlisdeâorit ai'la t>ua?.
NcquiaIifisprimiAvila)Sup«*ravil in annis,
Fiai in exUrniis victor cl ipge sui.
ALIUU.
Krgo Typo^raphicae prinrep« celeberrimus arlis
Occidil, t'I periiL iiobilis arlis honos.
Occidil,heul lustribbissex nondum ilk' penictia,
Cuina^OB dignus qui geminare dl^^s.
Ocàûiil im6 equidem vivil , vivetquo piT orbein ,
Dum (uerilMiisia ulliis in ta-be lociie.
Qtiinque rogo pripiiit libres, incdioquo sepulchro
Pcr libros buslid illf:supertjlt»enl.
ROBERT PREMIER.
3i5
AtlUD.
Doaecm Hebraicis perarala oracula chartis
Sunl mandura. (viris ma.xima cura piis)
Donec erunt Graîci scriptores atque Latini ,
Crœoo tuac laudis maximus orbis eril.
\lAVti.
Regius emonii (nie noscc) Typograpimscsse,
Francisco et dignos Rej^e tenerc lypos :
Munificam Kegisdeitrain . cor Régis amicum ,
Tulricem empruî Régis hab-ro inanum.
Regia quinetiam > plusquain quoqut^ rcgia nobis
(Teste vel invidia) mens animusquo fuit.
* Sic ego spo magna Régis majora reliqui ,
Plurima, verum aDimo cuncta minora raeo.
ALnm.
Viverc conlentus potuissoni rure palerno,
Caq)ere et in palriis olia grata bonis :
Sed cnihi Musiarum juveni placuere laborea,
Vani aulom juveiium displîcucre joci ,
Dulciïi .sprevisscl quumque ulia nostra juvenlus
HSBC eadcm sprevii nostra senccta niagis.
Al lu y posteritas , nostro gratare labori ,
Per quem pinguia 6unt otia parta tibi.
HENRICUS STEPHAXUS
LBCTOkl.
Cui suspecUi mci inca sunt pra'conia patris,
Prxconesqiip alios illius esse cupit,
Sallem oculoâ adhibcns tesles ad facU parentis
Non mibi, non alii, credal at illo sibi.
Les imprasioas suivantes donnent ainsi cci deoK ven
Sic Régit tp* m«gu rtiam oiAJnr» r«l>qnit
An n»ra, varoa «nimn cancla minnra mto.
L^H^S
iù
nOBERT PBEMIER. * ^H
EIS PaBEPTON TON XT£<I»ANON
'EniTA'<tIA/ V
rnd TOT TÂN ATTor tiHn nPE_£BrTATor
£r?IKOr TOT ST14ANOr inrrETPAMMEKA.
'Vù^ëuTov /r
j sa^iTiB ; 1
Eve^-ft
'1 W(^K, ^H
Af?,nL^ùii tVu
ù, ùr :iic^/'r« ^H
Offja;^!
ûï>tn <Ai'^«UT. ^^Ê
ToV t^â^^mç t
KmV ïÎ »i
uo-finr î^. ^^1
'Aw' àJ^f^utr
^ 000-' i^ynaa, ^^^Ê
Xop^UTE
)ta T&ÏV v^oti^ac. ^MIH|
AAAO.
ilatCT ijû» tf Tî ^kO/f i-JnpCùt iiiOV i¥ 71 JUJtpt^OUÇ^
Tïpoç Mouaztç efjnvov irpo^ivio^v itrpawiï. '
Eu£pr 07* aJ^ayioç kcli yut\aL'navfjjx. /iîov.
AM«t -Titrov TiKYoïç Kgutù» TafMUa. \î\QiTay
OÇpet ItVtaa t7ï VVÏ CLVT îfMU 0/ ûtT i^t/.
AAAO.
TutOÔç fc'}ù) 7r)4 cm/uay fÀ^yet-^-^ç Si vv îanoy
Kai ju*-y}c\ovpyç àvnp, où /myci^nypQÇ mV.
Sû^ttaTUf n^ lipov Kai -^^ç /MtpTvptç itm^Vy
Toi» Ji faV, 0/ aV t,«jù tmc /i, )taî 0/ /«t' îfxî.
AAAO.
n 27itpct>'of S7i(pav6i/ ff-nijiavû) ^itipanv ffTïtpatvwfftc,
LI M jw/ "E-n^oivovç vvv ^Ti<pavoy aTtipavovY.
' Il roiivcnoit riue ces vers pirs ni l'hoiinpiir de Rohert Hslieime fussent imnri-
rm'-s .^^e^ les Keiiiix rarartéres precs dont il fit iiii si heureux emploi, et riniprimeric
Kn\jtlfa l^ieu^oulll nous eu donner les moyens. C'est le ]>lns pclit des trois Alplinhels
ROBERT PREMIRR.
3i7
E'I£ PÛBEPTON TON STEOAMON
(Theodori Bezae.)
TcU "m* iQuJhuni 71 xat '£Mct/<0(, AtînvîtiK n
EiWiu fjuatxeixav i^kMfnç TthiR^lnv àtJfm.
Taïaç T* aMoiAc-»-«f j«(ar a^i%{Ar «Vf.
Etç putKâfia>r tiacW cxCtoç nu Jo/uevç.
n^t/ranci t' iJitiÇ Jkx^vnr Aori/tç,
Ëm'a t' d^f/ rf'tu/r ^fVor r.uo.'nt iu#iu;wirar,
Tjî JnLa.70 •^hoïpà Sec^t *ri 'nJio»,
i2( eL^MfpCLr%r eUt xa.i -rcina fcc «jUAia f^ùv^ct
Du rn^m£ Tltéodore de Béz$.
Celui qui d'un sainct œil son Eglise environne,
Estienne, t'enrichit do tant d'heurs et d'honneurs,
Que la gloire tu fus de tous les Imprimeurs,
Et de ton noble estait tu tr^ t)eMe couronne.
Oulrvi plus, œ prand Dieu de tant de gruces l'orne,
Qu'à Paris tu logeas les Muses sainctes sœurs;
De l'hébreu, du latin et du ^ec les douceurs
Au Frunçois ignorant ta saincto adresse donne.
Ce nonobstant la France in<,;rale te chassa;
Ton anie sur les cieiix à la tin se haussa ;
Les Muscs ont pleurtî ton importune absence.
Les biens qu'aux Imprimeurs en ta vie lu fis,
Les scandales esquels no« François sont confitâ,
Nous font souventes fois désirer ta pcif^enoe.
de Camnood, eriuî qut a (aH l«s demi èlêgaala nioareaux-TolaincnU grecs, iu-16» de
FRANÇOIS ESTlEiNNE,
PREMJKK DU NOM.
Il y a très peu à dire sur François Eslicniio h' du nom , iils de
Henri, et frère de Robert l" , dont; à ce que Ton croît, il tHoil Taîné.
On ne sait point la date de sa naissanoe, ni lûen positivement s'il iul
mapi4*, car un fils du nom de François que lui donne Moiltaire. et qui
eut une Imprimerie à Genève de 1562 à 1582, est fils de Robert I*'.
et seulement le neveu de celui-ci .
On doit croire que IVdiication de François ne fut pas ruoini»
soigni^'u que celle de ses deux frtres ; et , bien qui! n'ait pas acquis
la c<51i}brilé de Henri, ni même la rt-puliitioii plus secondaire de
Charles , les éditions par lui publiées font voir qu'd suivit dignement
la même carrière , et qu'une mort trop prompte fut probablement la
cause du petit nombre de ^es publications. Fut-il en même tempset
Libraire et Imprimeur? Je pense que ses rapports de parenté avec
Simon dp Coîines son beau-père, et la facilit»^ qu'il trouva défaire
imprimer ses livres in ejns o/yieittn, Vauront détourné de fonner
pour son compte un établissement typographique; ainsi donc , bien
qu*i] soit biographiquement et bibliographiquement qualifié Impri-
meur et Lihrmre-inré \j a ra fus) , on peut tenir pour certain que véri-
tablement il ne fut que Libraire. Si telles qu'elles sont les listes de
Maittaire étoient oomplètes, sur ce seul témoignage cette conclusion
seroit forcée, car elles ne donnent à François que onze éditions, la
plupart ayant le nom d'un Imprimeur autre que lui. A quoi donc
celui-ci auroit-il occupé ses presses? 0[» n a pas à Pai'is une Impri-
merie à soi , et en exercice , pour n'y imprimer en douze ans que cinq
à six minces volumes , et quoif|ue mes listes m portent quarante-
sept au lieu des onze de Maillaire, et que plusieurs autres aient
FRAN(;01S VKKMIEB.
349
p^ut-étxe encore échappé à mes investigations , dans tous ce» livres
je ne vois rien qui fasse de Fran<;ois un Imprimeur. En 1 537 . uiuiée
de ses premii^res publications, quelques-unes portent Typis et
ckaçacteribus Simonis CoUnœi; en 1538 Prwigna imprimebat
S. Caliuœujt , ou Frairi Francisco imprimchnt Hoberfus Stepha-
nus . ce qui continue en 1539 et 1540 : en 1541 et 1543 la fonnule
j4pudSimonem Colinœum et Franc iscttm *S'/«///frt/iwm semble indi-
quer une association commerciale : un livre de 1546 pdrte en la
/«rtiVa« , mais non ffrt f Imprimerie i'frpis) de François Estienne :
eteniin, pour l'une des deux éditions de 1547 . Simon de Colines
étant mort , François se servit , non d'une Imprimerie dont 11 aurait
été propriétaire, mais de celle de François Girault. 11 n'a donc
jamais étt; Imprimeur.
Sur quelques-uns de ses livres , et notamment sur le dernier , de
1548, :ja demeure est indiquée jin Clos-Brtuteau, auprès de CE-
cale de Droit , in Clouso-iirunello , sub scutv Frctncite , peut-être
dans la maison qu'avoit occupée son père. Quelques volumes ne
portent aucune marque typographique . plusieurs ont celle de Simon
de Colines par qui ils sont imprimés : le Temps avec sa faux , et les
mots P'irtus sola ariem retiindit istam . François a aussi fait usage
de la marque habituellement employée par son père , Scututn Frtm-
t7> , ou plutôt les Armes de l'I'niversité , adoptées aussi par plu-
sieurs autres Librair^. 11 eut sa marque personnelle, mais elle ne se
voit que sur quelques volumes, et peut-être sur deux seulement :
yinetum, 1537, in-8, et Tereniins, lJ>3â^ in-4 : c'est un cep de
vigne dans im vase à trois pieds . porté pur un piédestal surmonté
d'un livre avec les initiales F. S. , et cette devise latine et grecque :
Plus ulei quam vini. TOàvf ALaïw i> «l'^cu.
Il paroït que François ne fut pas plus que Robert son frère en
humem' de se soumettre sans mot dire aux velléités de vexation qui
alors et depuis ont été trop fréquentes envers la Librairie et l'Im-
primerie. En 154*2 le Parlement fit un règlement relatif aux \isites
auxquelles les Libraires dévoient être assujettis , surtout ù l'occasion
des livres favorisant les nouvelles opinions. Peu de mois après, le
premier juillet, deux Libraires-jurés. Jacques Nyverd et Jean
FRANÇOIS PREMIER.
André se présentèrent chez François pour y faire visite : il refosa
de là plainte des Librairei-jurés au Parlement qui pararrpl du 30
cïctobre ordonna à Fran(;oisde repnisenter , exhil)er , et mettre en-
tre les mains desditâ demandeur» tous et chacun dea livres qui seront
par eux demanda . pour être visités suivant ladite ordonnance , et
cela . sous peine de prison .
Cet arrêt est ainsi noté' dans une liste ou inventaire de Ireute-
sept pièces historiques sur riniprimerie et la Librairie de Paris.
rassemblées par Guillaume Qaude Saugrain, Libraire, et acquises
après sa mort ( 17G2) par la Chambre syndicale de Paris qui en fil
foire un inventaire exact dont j ai la copie. La première est de Phi-
lippe de Valois, 31 Dec. 1340. J'ignore si ces pièces ont été recaeâ-
Ijes ot consenées apW's 1789.
Jean André, lun des plus fougueux ennemis des frères Kstienne,
étoit ainsi que son confrère Jacques Nyverd au nombre des limiert
du président Lysel ** qui les euiployoit à dépister les gens soupçon-
nés d'hérésie, et à lui dénoncer leurs assemblées et conférences. La
Caille. sigTïalant le zè/e de Jean André pour la religion catholique.
raconte qu'en Ï546 il fit arrêter un Libraire de Genève nommé
Pierre Capot qui de temps en tenijis venoit à Paris pour y débiter des
livres calvinistes, et qui très probablement eut même fin que Pierre
Judet. Libraire de Paris. Celui-ci, fort zéié aussi, mais pour les pm-
testants, cpioit pour leur en rendre compte le^ assemblées secrMe»
que tenoicnt contre eux les catholiques, et fut poiu* ce mesfajt brûlé
vif en 1559. Jean André répétoit ?ans cesse aux Sorbonistes qu'ik
eussent à ne pas laisser enfuir cx' Robert dont il auroitcbrétiennempjtt
voulu voir k personne purific^e par les flammes d'xm bûcher, non pas
sans espoir que dans ce cas il niarieroit ses filles avec quelque portion
des biens du condamné : - Defunctus Joannes Andréas qui sperabat
maritare filias suas de bonis ipsius (Roberti), ut erat zelotisâmus
' An^l (lu Pariemmtau sujet df la rcl>etUou et dèsobéisMiice dr Fraiiçoû EklicfWf.
Libraire de rLni\crMU', a La vlùu- i^u'oul voulu faire chc£ tui Jac()ues Nyverd et Jeu
Aiidrc, LihraircÂ-jurê» de rriijvcnilé.
*' Ce pr^sideul l.ysel fuiil jtar Hie lni[» tirurtnu île M Bûvr nwiiie , rt fui par
f;iice nommé nbUè de Saiiii-Victnr.
CUAttLES ESTIEME,
l£ SEUL DE CE NOM.
Charles Estienne , le plus jeune des trois fils de Henri, fiit méde-
cin, Imprimeur habile et savant distingué. Si comme typographe il
n'a pas conquis à l'égal de son frère et de son neveu, Robert et
Henri, ce renom im|K^rissal>lG qui iinniorlalise c*tte nombreuse fa-
mille, i! doit venir aprts eux partager leur célébrité, et avecd'aulani
plus de justice qu'(5trangfere à ses premières études, cette profeâsion
dans laquelle il sut obtenir des succès ne devint la sienne que par
l'effet des persécutions ecclésiastiques qui mirent Robert en néces-
sité de chercher un refuge dans une terre étrangère. Ces établisse-
ments d'Imprimerie et de Lihrain*^ nù tant et de si bons li\'Tes te
fabriqudient et se débitoient depuis longues années, et dont le fugitit
ne pou voit emporter que la moindre partie, risquoient de tomber en
non-valeur dans le domicile de la famille, si Charles, devenu le tuteur
et par cons*^quent le protecteur des enfants de Robert restés ou re-
venus à Paris, n'avoit aussitôt pris la direction de tous les travaux,
ce dont heureusement il s'acquitta avec liabileté. sans cesser néan-
moins d'exercer l'art de guérir. On lit dans La Caille, page 124.
qu'au dé|>art de Robert son Impnmeric passa aux mains de L**
Jeune (Martinua Juvenis); si le fait est \Tai, ce ne peut être, comme
déjà je l'ai dit page 324. que pour une («irtie de l'établissement dé-
laissé, pour ce qui concernoit la langue ht^braïque ; car les impressions
de Charles, même dès les premières en langue grecque, de 1531,
sortent évidemment d'une nlTïrine toute montée, et on ne peut y
méconnoîlre celle qui jusqu'à cette même année 1551 fonctionnoit au
nom et par les soins de Robert. L'Appien grec de 1551 , par loi
CHAilLIîS.
3S3
commencé, et tcnniné par Charles, sufïiroit d'ailleurs à établir celte
immédiate continuité de travaux dans les mêmes ateliers.
L'éducalion de Charles fut indubitablement la même que celle de
ses deux frêreà, et comme eux il sut en profiter, tout en donnant à !a
suite du sses études une direction moins subordonnée à la profession
pali'nielle. On ne connaît pas au juste l'iuinée de sa naissance; ce
doit être entre 1504 et Iâ05, et quoique le Jésuite RiccioH {Cato'
Ingtts persouanttn post Cfirlsttan insîgniortwi) remonte trop haut
lorsqu'il dit que dtîs 1510 Cliarles étoil déji\ digne de remarque, on
doit croire qu'il avoit très peu d'aimées de moins que ses fr^rps. Il
étoit encore jeune quand il se fit recevoir Docteur en médecine de la
Faculté de Paris : verà le même temps il fut choisi par le savant
Lazare de Baïf pour être le précepteur de Jean Antoine, son fils,
plus connu aujourd'hui par ses poésies (pie son père par ses ouvrages
d'érudition. Plus lard, vers 1640. Charles fut emmené par Lazare
dans ses umhussadps d'AUemagjne et d'Italie, afin qu'il n'y eût point
d'interruption dans l'éducation de Jean Antoine, et c'est à ce séjour
hors de la France que l'on doit rapporter les liaisons contractées par
Charles avec plusieurs savants étrangers, et notamment avec Paul
Manuce qui, long-tcnq>s après, écrivant à un de ses amis, Antonio
Rolando, de Padoue, alors à Paris, après avoir beaucoup parlé
d'Adrien Turnèhe qu'd préconise avec une sorte d'enthousiasme,
termine ainsi ; ■• Illc est (Tuniehu.>) cui jua» omnia trilmuntur, qui
jam pen'enerit eo quo nobis adspirare non licet. Saluta eum meis
verbisj cuni vcterrimo amico mco spectatte virtutis et industriîc viro,
CaroloStephano. - Ep. 17. Lib. V.
Le poète Baif, dans des vers adress*^ à Charles IX . parlant des
soins que Bon père avoit pris de son jeune âge, mentionne ce voyage
de Charles Estienne à la suite de Lazare.
J(t ne fuâ pus sitont hors de rcnfanoe tendre
La parole foruwnl, qu'il ILaznn') fnsl soigniMix de prpnrln*
Des iimtstres le meilleur ]K)iir ileslûrd m'L'iiïici^'nrr
Lp i;nx* el le lutin sans y rien *^par;;ntT.
Clwrlt' Eslieniif proiiiii'r, di^'iplo lit* Lisifirr ,
l.c florte Bnnaini . do Mit»rir non hiirb.irc ,
M'apprinsf a [trnnoriccr tr ljiii',:a;:(* roniinn....
kii
354
CIIAHLES-
Bn 1^ que l'emperaur (^harle H»l son entrée
Rocpiiflofiaps Paris*. rannw.*de5aslrée
Que Budê la'spaâsa, mon pero qui «ilors
Alloit ambassadeur pour vostreayoïil dt^hora
Du Royaume en Alinagno , et menoitau voyage
('liarleHslienne, et HonsiinJ qui sortint hors de pa^e;
Eslieime, utedecin, qui tien {>arhint estoit ,
Ronsard , de qui la Heur un beau fruil promottoit... ■
Charles se destinant a la profession de médecin, et, pour cette
raison , se vouant aux l'tudes mi^dicaJes, n'avoit pas ni^gligé les COD-
noissances Uttihaires et pratiques qui s'y rattachent. L'agriculture
sous ses divci*s rapports , et surtout sous ceux d'cTudition classique .
fut pour Jui l'objet de travaux alors tr^s remarquables, en l'état où
(^toient les sciences naturelles. Plusieurs traités succincts sur ]es jar-
dina, les prés, îes vignobles , les arbres, etc., furent publiés par
lui , d'abord en livrets s<'*parés , dès 1535 et années suivantes. Ces
divers opuscules furent ensuite plusieurs fois n'ùmprimés , et presque
toujours auf^mentés ou au moins rectifiés dans chacune de ces
éditions nouvelles. Toutes relies qu'en firent les Estienne se trouvent
exactement cnregislri-esdans les nomenclatures qui forment la pre-
micTC partie de cet ou\Tage. En 1554 Charles en lit une nouvelle et
plus complète révision , et les réunit en un volume in-8 , sous le litre
collectif de Prœdium Btiatiium. Ces traités divers que l'on jx-ul
nommer élémentaires, et qu'effectivement l'auteur déclare com-
posés in pueronmi , ou in arlolescentulonim ^ratiam et utîiifatem ,
eurent pendant bien des années un succès de vogue et en France et
au liehors. On y trouve des préceptes pratiques, mais trî-s souvent
de l'érudition classique; et c'est en cela qu'ils peuvent être encore
lisibles , au moins pour connoître la doctrine et les opinions rurales
des anciens ('■crivaina delà Grèce et de Rame, C'est de ragricullore
enseignée dans îes villes , à l'usage des habitants des \'illes . bien
plus que les leçons d'un obsei-vateur de la Nature ; et , comme on
l'a dit avec justesse des études médicales de ce ienips-là, Tobser-
* U i" janvirr iSM-tO.
CIIAKLES.
355
'
vation y est sacnfif^e à l'histoire; ce n'est presque que l'écho du
pa:3S<^. Malgré leur imperfection ces écrits ont rendu le tn^'s grand
semcede faire naître l'habitude de ces sortes de catéchi&ines ruraux .
et l'envie d'expérimenter à son tour, en suivant ou abandonnant
Cofumelle et Varron. Leur recueil de 1554 est, comme je l'ai dit
plus haut, page 107. l'embryon qui au moyen de ses augmen-
tations et transmutations est devenu le volumineux ouvrage di-
dactique nommé Maison Bttstiffue, nom qui subsiste encore, bien
que dans les volumes qui s'impriment aujourd'hui sous ce titre , il ne
reste à-peu-près rien de ce que trois siècles auparavant y écrivit
leur premier auteur. Ainsi qu'on l'a vu. la première publication en
fran(;ois, intitulée l'Agriculture et Maison Rustique de Charles
Eslienn**, traduction de l'ouvrage latin faite par son auteur, fut im-
primée d'abord en 1564 '. et plusieure fois encore, avant l'édition
de 1570, \nxr les soins de Liébault , son gendre , avec beaucoup
d'augmentations nouvelles, et encore en 1572. Ces éditions qui
ainsi augmentées seroient préférables aux précédentes, de même
qu'une autre , de Lunéville, 1577 , in-8 , encore augmentée par le
iiiênip Liébault , ne furent cependant que le prélude des changements
successifs que subit ce livre promptement devenu populaire. E^
1581 et 1591 , il en fut imprimé à Venise, en un volume in-4 ,
Pressa Jdio, une traduction italienne de HercoleCalo. 11 y en eut
aussi une traduction allenmnde du médecin Melchior Sebitz , Stras-
bourg, 1578, 1589, 1592 et 1607. in-folio, une angloise, The
Conntry-Farm , hy Gen'tise Markham . imprimée et réimprimée
in-4 et' in-folio, avec des augmentations, et eniin une en tlaniand.
Le recueil latin De latiuLi et grœcis nominihus arèorum , /rw//-
iitw, m'iiurty etc.. publié en 1536, et six fois réimprimé parle»
Estienne jusqu'en 1559. est ime compilation diligemment faite.
* Daiu uoe édition de Rouen, 16<H^ ni-4, copie d'iiue |irccédenle, OD lit tine loDfiui;
cpitrc de Ii<-I>âiilt au duc d'L'zm, i-omte de Cniuol , AwXix de Pori». ISSÎ , fl un avis
ilu mtoie Uébault au Irctrur, dans le»|uel il dit rt lipctc qor «l ou^Tafic a été publié
par lui dix-huit ans aiiparavaut. Cf qui Plalilit la date dr 4364 |iour une pirmièrc
cdiliou.
complétant la partie urudite du Prœdiuin Rusticunt , et dont se;
ein})arés to\is les bons Lexiques. Maittaire, page 166, fait Charles
ftuteur d'un livTC sur les oiseaux de proie ( Consrripsii fie arripi-
trarih ayii/tis librum], mais ensuite il ne l'a point enreg^it^lré dans
ses listes. Je ne le trouve ni imprimé si^pan^.ment . ni introduit dans
le Prœdium Httsilcum , et je ne crois pas à son existence.
Charles fut en 1553 l'iVlileur du traité deBelon, De yiffuntiiibnt.
uuipiel il mit une pivf'act; latine. L édition françoise , 1555 . est auây
de lui.
11 paroît que les premiers de tousses écrits furent les deux traités
abrégtis d'Antiquités, De re l^eitiiarin , et De Vascnlis , fait^ d'a-
près le volume iii-4'* de Lazare de Bail"» dans lequel sont traiti5s ces
mêmes sujets. Ces extraits furent imprimés en 1535, chez Robert.
qui Tannée suivante publia rin-4° de Baïf dont Charles fut l'éditeur.
Il s' étoit d'abord mis en relation avec un autre Imprimeur, car sur
l'opuscule De re ye^^tiaria . apud Robert um Steph. 1535. on lit
Secitnda Editio , et la première édition de c«s deux traita avoit été
tiiite , aussi en 1 535 , Àpud Ambrosinm Girnult. Charles ne tarda
point à donner une fraternelle préférence à Robert qiû . dès cette
année , ainsi que pendant toute la suivante imprima et débita {Âpné
Robcvtum) les cahiers élémentaires de son frfere. L'art vétérinaire
entra dans l'ensemble des études de Charles , et le médecin habile
n'avoit point non pluâ négligé TAnatomie dans laquelle on loi doit
d'utiles ol)servations . et même qrielques découvertes. Un court
traité d Anatomie , Caroli Stephani /iuatomia^ 1536, in-8,ftit
le premier fruit de ses études en cette science, et l'avant -coureur du
grand ouvrage De Disxevtione partium corporis huma ni , in-folio,
qui parut chez Simon de Colines , d'abord en latin , en 1 545 , pois
en françois, l'année suivante. Voyez ci-dessus , page 42.
11 ne m appartient nullement d'apprécier des travaux de ce genre
lûialenieTit étrangers à toutes mes études , et je ne puis que les in-
diquer d'après les savants qui les ont mentionnés avec éloges. Char-
les a, le premier, affirmé qu'il existe un canal au centre de la
moelle épinitre. La première bonne description de la cloison du scro-
tum , qu'avoit découverte le médecin vénitien Massa, lui appartiem.
Il a entrevu le tissu cellulaire <iui entoure les vaisseaux dans Tinté-
CHARLES.
Wl
rieur du foie . et que les aiiatomistes nomment capsule de GUason ,
tîu nom de ce mtMecin , k qui cependant la preiniiTe découverte n'en
est point due. On écrit aussi qu'il a reconnu que l'œsophage et la
trachée -artère ont des orifices différents : des médecms instruits
me disent que cette demitre mention est absurde , et que , bien avant
lui , c'étoit chose positivement sue et reconnue.
Les petits volumes qui viennent d'être indiqui's furent , en 1537 .
suivis de l'opuscule De re Naifali , in-8 , de même extrait de BaïT.
Des lraitt*s élémentaires de diverses parties de la grammaire latine
parurent successivement dans cette année 1537 et dans les deux ou
trois qui suivirent : tous eurent plus d'une édition. De ce qu'à dater
de 1537 les publications de Charles n'eurent plus lieu chez Robert
et se firent chez François . je ne conclurai pas i.\\ie ce dut être le ré-
sultat de quelque brouillerie ou froideur entre les deux frères : on voit
même que ces traités élémentaires qui se débitèrent chez François,
fiirent rédigés surtout pour l'instruction du (ils de Robert; pro lien-
rivnUi sua, écrit Charles dans une épître ou préface de 1545,
mentionnée ci-dessus , page 64. Peut-être même fut-ce une com-
binaison de famille pour procurer une sorte d'établissement com-
mercial à François, qui ne s'engagea pas fort avant dans les
affaires . et dont le Catulogue . que Vun peut voir ci-dessus, pages
97- 101 , contient tri-s peu de livres autres que les productions
de Charles. En 1549, Fran(;»is ayant cessé de vivre ou au
moins d'exercer la librairie , le débit des livres de Charles revint chejc
Robert, de même que leur impression , jusqu'à ce qu'en 1561,
Charles, devenu pla-; ou moins volontairement Imprimeur à Paris,
pour ne pas laisser périr les valeurs typographitjues et de librairie
que Robert y laissoit , fut nécessairement l'Imprimeur de ses propres
ouvrages.
J'ai exposé ici les causes , en elles-mêmes fort peu importantes,
de ces mouvements et mutations typographiques , pour bien établir
qu'il ne se voit aucunes traces de désaccord et de désunion entre
ces trois estimables frères . malgré l'identité de profession , et sur-
tout aussi malgré les reproches de dureté de C4iractère qu'un latiniste
de ce temps-là, fort peu coimu . et dont je vais bientôt parler, a voulu
faire A Charles.
aeo
CHÂltLBS.
cette fuite eut pour toute la famille . et très embarrassé aussi sur ce
qu'il y avoit de mieux à faire pour les intérêts du fu^tif et lie ^ca
enfants. Il sut m'annioins prendre bientôt une résolution convenable,
et rordùniionce KoyaJe de 1552 ', qui, sur sa demande par une re-
quête en bonne forme, rétablit ses neveux dans la possession des biens
confisqués sur leur père, suffiroit seulepour fairejusticedaces vagues
autant que mi^chantes imputations , et prouve que cette jeune fa-
mille eut en lui un bon parent et un diligent tuteur.
Sur tout cela je dirai avec Maittaire : - Tolain rem . leclor. per-
pende. et uli visuin fueril, judica. -
En 1553 Charles imprima un Dictionarlum kistoricum ne poeii-
ciwi , volume in-4, et en 1559 , un Dictlotiariuni poetieum , in-8.
Ce dernier, ainsi que le déclare son litre . n'est que \' Ehtcidaritu
varm'mtuft réimprimé mult}) quam antehac emendatior , par les
soins de Charles , et dont Robert Estienne , son frère , avoit fait
quatre éditions. L'in-4 de 1553 dérive aussi de X Elucidarinji , mais
la dispor^ition en est bien plus étendue; Charles en fait véritable-
ment un Dictionnaire historique, fort incomplet sans doute, et avec
beaucoup d'inexactitudes, mais ayant le mérite incontestable d'être
le premier ouvrage de ce geni-e. Cette premif^re tentative . ce pré-
curseur de la multitude de Dictionnaires historiques que nous avons
maintenant, se réimprima à Genève en 1566, deux ans aprî» la
mort de Charles, avec de convenables augmentations des(|uelles pro-
bablement UTie partie étoit son ouvrage. L'utilité d'un tel livriE en fit
i'aire de nombreuses réimpressions successivement augmeidées plus
que rectifiées ; et malgré son insuffisance et ses erreurs, ce Diction-
naire . toujours reconnu comme ayant Charles ÏCstienne pour auteur
primitif, fut pendant plus d'un siècle d'un usage général, jus<.|u'à ce
que les travaux remarquables de Bayle, ceux de Prospcr Marchand,
de Moréri, etc., et enfin nos Biographies plus récentes, l'aient loul-
à-fait mis hors de service.
Voir ci-dessus, pag, 102-113, l'exacte nomenclature des éditions
de Charles, et de ses propres ouvrages.
• CcUe pièce înqHtt'laulv e«T iin|mni«« eii cp vohiinr
ilnns ta Vit' de RoIi«rn. Vovm
CHARLES.
964
Charles mounit en 1564. Quelles furent tes circonstances de sa
mort? Les uns disent que. poursuivi pour ses opinions religieuses, il
fut emprisonné et termina ses jours dans un cachot. Selon d'autres .
le dif'sordre s"i''tant mis dans ses all'aires commerciales, il fut empri-
sonné au Châtelet pour dettes et y mourut après une détention de
près de trois ans. Que dès 1561 il soil resté dans une inaction vo-
lontaire ou forc(*e, c'est ce qui est hors de doute , puisque , après
1560, toutes ses publications se nkluisent à deux volumes datés de
1561 , dont l'in-folio est peut-être de 1560, et point de son Impri-
merie, Si donc son emprisonnement a eu lieu, il se peut bien que
lune et l'autre cause, prêtres persécuteurs et créanciers mécontents,
aient amené son désastre, qui aura été accéléré par le non-suc-cès
du Thésaurus Ciceronianus sur lequel il avoit beaucoup compté.
Mais k ces inductions il faudroit dcji preuves, et sur les particularités
qui le touchent de si près, je vois disette de renseignements chez
Almeioveen, La Caille, Mailtairc et tous autres. Henri lui-même ,
dons ses nombreux écrits, garde sur ces malheurs de famille un dis-
cret et respectueux silence.
Charles n'eut d'enfant qu'une fille, Nicole, née à Paris vers 1545.
Elle fut recherchée en mariage pur Jacques Orevin , de qui on a
plusieurs ouvrages estimés, qui, dès 1560 , imprima à Paris, chez
Robert, diverses poésies, et entre autres une réunion de vers amou-
reux, sous le titre de l'Olimpe. Il paroît que ce fut dès ce temps-là
que le mariage fut rompu , car un volume in-8 de 1562, contenant
]uatre pièces de théâtre du même Grevin. la seconde partie de l'O-
limpe, uvec d'autres poésies, n'est plus imprimé chez Rol>ert, mai»
.'îhez Sertenas et Barbé. Il s'y trouve cependant une longue ode à la
louange de Robert Estienneet un sonnei sur l'Olive (typographique).
Gre\in fut-il refusé ou fit-il retraite? je l'ignore, mais il ne tarda
point à faire un nouveau choix ; et il étoit marié lorsque Marguerite
de France, duchesse de Savoie, reconnoissant son mérite. Temmena
à Turin où U la servit non-seulement comme médecin, mais comme
Un conseiller qui lui fut plus d'une fois utile. Il y mourut en 1 570 ,
âgé de moms de trente ans, et fut regretté parla duchesse qui, tant
qu'elle vécut , protégea et conser\*a auprès d'elle ta femme de Grevin
et leur fille, qu'elle avoit tenue sur les fonts baptismaux.
46
3GS
CUARLES.
On ne sait pas préds^ment quand Nicole fiit mariée au médecin
Jean Liébaull, mais il est probable que ce fut avant qu'en 15Gi le
mauvais état des affaires de Charles fût devenu notoire ; et ce fut
sans doute à la suite du décî^s de son malheureux beau-père que
Liébault, payant ce tribut à sa mémoire, pubba dès 1564 avec des
augmentations, la traduction françoisc que Charles avoit faite de
son Prœdium rusticum.
Grevin étoit venu à Paris en 1567, car, en cette année, il v
imprima chez Robert un ouvrage à la louange des Médicis ( Prxtesme
en -vers \ dont il est auteur, bien que son nom ne soit pas sur le titre.
Voyez ci-dessus, page 169.
Ainsi que sa tante, femme de Robert, Nicole fut très instruite.
Elle cultiva la littérature , écrivit en prose, fit des vers, dont une
Réponse aux Stances de Phil. Desportes sur le Maringc et aussi
Le Mépris d'Amour. De ses divers ouvrages, le seul qui ait été im-
primé est un iiî-8 , intitulé - Les Misères de la femme mariée, ou se
peuvent voir les peines et les tuurmens quelle reçoit durant âa vie;
mis en forme de stances par Madame Liébaut. - Paris . Pierre
Mesnier, sans date. C'est une pit^'ce de peu de pages.
Le titre de cet ouvrage suffiroit pour faire présumer que le mariage
ne fut pas pour elle une cause de bonheur. Son mari ne paroît pas
non plus avoir ou une fort heureuse existence. Le désastre de leur
père les laissa probablement sans fortune; et exi^» en 1596, Lié-
bault. dans un état voisin de l'indigence , mourut presque subite-
ment comme il venoit de s'asseoir dans une des rues de Paris, sur
un banc de pierre. Nicole vivoit encore en 1584 ; j'ignore l'amiée de
sa mort.
Sans avoir beaucoup recherché la faveur des grands. Charles eut
quelques bienveillants Mécènes. U fut protégé par le cardinal Charles
de Lorraine, dont il est a croire que les bonnes dispositions ne se
bornèrent pas à quelques stériles lémaignages d'estime , car sur un
des bvres de Charles. Laiinœ Lmguœ CoUatio cum Grœca, 1554.
in-8, la dédicace au cardinal est datée Ex tua Typograpkia; sur
un autre on lit Ex nostra.. . . , ce qui est une sorte d'aveu ou remer-
cîment des largesses du cardinal. Le Seminarium est dédié au pr^
sident Jacques de Mesmes ; le Prœdium Rnsticum et le traité Dt
HENRI ESTIENNE
SECOIMD DU NOM
Si la famille des Eï^ti ntêaprës les i^uatre estimabJeà
per&otines dont les Noi 3iJl dojuient une histoire suc-
cincte, elle lûisseroit i les souvenirs et seroil ù bon
droit coniptée parmi 1 de la T^^o^aphie françwrse;
mais celui qui dans I'l vient le cinquifcme , Htnri,
second du nom, fut un L-.. ordinaire , ses travaux furent
si nombreux, et ils ont rendu de si éminents services à l'étude de
l'ancienne littérature, (}u'à lui seul il efface tous les; membres de cette
recommandable famille. Une des principales gloires de Robert est
certainement davoir ôU' le père de Henri , d'avoir si habilement di-
rigé son éducation, et de l'avoir, par le plus noble exemple, préparé
à une habitude de vie si constamment laborieuse.
Henri eut ses défauts ; son caractère a pu mériter quelques re-
proches. Je ne dis pas ceci dans le sens anglois *, ce qui supposeroit
que ces reproches porteroicnt sur l'honneur, sur le plus ou moins de
considération qu'il pourroit mériter, mais dans la vraie signification
du mot indoles : oui, il fut parfois brusque et rude, son inquiète ac-
tivité ne fut pas toujours réglée d'une nianière convenable à ses in-
térêts personnels et de famille ; mais ce n'est pas sous ces rapports
que nous avons à l'envisager : examinons comment sa vie a été utile
à son pays, aux amis des bonnes et sérieuses études , à cette portion
de l'espbce humaine qui trouve plaisir et profit intellectuel dans la
* Noire mot caractvrt: est 3iis>i un Je c<ju\ (|ue hi l.'iii;^iic aii;;luise a adoptés, mais
pour l'employer dnri!) un sens tout dinV-irnt de ci'Itii que le.s François lui ont conscT\é.
d'après son oriiîini' latinr et grertpio. Vovez ei-drssus la noh- de la page ii*7.
UKNRI SliCOND.
365
lecture des bons livres, c'est le devoir qui m'est unposé dans cette
Notice ; mais je n'oublierai pas ce ffui m'est prescrit i*ar toutes sortes
de convenances, le soin d'être brel'*el de ne pas me laisser entraîner
par une enthousiaste partialité, qui de ceci ne feroit qu'mi éloge au
lieu d une Notice historique.
Je me garderai aussi de mV*garer dans certains détails qui, pour
être très exarts, hors de toute critique, quant k leur rt^alité positive,
pourroieiit bien n'en être pas plus goûtiSi par la plupart de ceux ù
qui il arrivera de parcourir cet écrit.
Dans la première partie, j'ai dit quels livres cette vie ai occupée
produisit, et en cela j'ai fait connoître ce qui doit le plus intéresser
la pr«*i|ue totalité des lecteurs. On veut savoir diuis le plus ^rand
détail tout ce qui est relatif à un homme dont les actions ont été
grandes, inmienses, non-seulement par leurs effets, mais par elles-
mêmes. Les guerriers surtout intéressent dans les moindres particu-
larités de leur bruyante et si souvent désastreuse existence. 11 n'y a
pas de déni^ement démocratique qui puisse se soustraire à la fasci-
nation produite par la vie aventureuse, la périlleuse carrii-re du fon-
dateur d'mi empire, d'un destructeur des libertés publiques. On
peut le haïr, mais on veut connoître tousses faits et gestes, on veut
lire son histoire ; aussi ces biographies ont-elles presque toujours été
populaires. La vie d'un philosophe, d'un grand artiste, trouve en-
core des lecteurs nombreux parmi ceux pour qui les méditations phi-
losophiques ont quelques charmes, ou que la vue des cheis-d'œuvre
de l'art anime d'un saint enthousiasme. Mais la profession modeste
d'un Imprimeur peut-elle domier Ueu à mie biographie d'un puissant
intérêt, lorsque sa vie n'offre de points saillants que les productions de
ses presses, et quelquefois de sa plume. Connoître ces résultats . avoir
une liste exacte et convenablement annotée de toutes les obligations
contractées par la société envers cet homme estimable, est bien suiH-
sunt pour la presque totalité de ses plussincères admirateurs. Il en est
cependant quelques-mis à qui cet inventaire des travaux d'un sa-
vant Imprimeur peut ne paroîtrc qu'un incomplet hommage rendus
sa mémoire : c'est pour ce petit nombre qucj'ai rédigé ces Notices,
et surtout celle de Henri II , que plus d'un savant se plaît encore à
nommer le grand Henri.
Nous avons vu, pendant le cours d'un demi-siècle, 1* Imprimerie
des Estienne acquérir à Paris, par l'habileté et ie savoir de ses chefs,
une importance et une réputation qui lélevoit presque à l'égal des
plus renommées Typographies de l'Italie. Cette honorable famille
va maintenant être séparée, non par aucune cause d'uji affligeant
désaccord, mais poussée à bout par l'inquiétude tracassière de gens
tenant à crime lu plus înotTensive manifestation de cette velléité
d'exaincn qui coninicnçoit à se propager dans les meilleures tétes-
Après ce démembrement, nous la verrons à Paris vivre sur sa répu-
tation acquise, cl même, pendant d'assez nombreuses unnéea. la
dignement soutenir. Reformée à Genève, aux mains du plus habile
et aussi du plus célt'bre de tous ses membres, elle va jeter im éclat
que n'auront pu foire pâlir ni les travaux ultérieurs d'innombrables
savants, ni les plus remarquables perfectionnements des opératioDâ
t3^)ographiques; et c-e renom, si solidemeîït établi, ne sera point dô
au prestige d'un plus grand luxe d'exécution, caries édilians stéphu-
nieimes de Genève, les minux combinées et restées eu plui- hauic
estime, ont. typographiiiuement parlant, quelque chose d'inférieur k
celles que donnèrent, ù Paris, les Robert et Charles Estiome. et
môme à quelques-unes des Vascosan, des Tumêbe et des Morel.
Dans ces éditions parisiemies, il y a quelquefois supériorité dans In-
genceraent, et presque toujours dans la qualité du i>apier; mais rien.
en tout ce siècle, ne peut être mis en comparaison avec rémineiit«
doctrine, la perspicacité et l'activité incessante de celui qui a su at-
tirer sur son lm[>rimerie genevoise un éclat dont le rellet n'a pu s'é-
tendre sur les Imprimeries contemporaines du même pays. Le Pa-
risien Henri étoit là : après lui Paul, son fils, qui resta cependant
bien loin en arrière : niais ce ne sont m les Crespin, ni les Chouet '.
Tïi les Stoer ou les Vignon, etc. , qui pourroient mettre aucun de leur*
plus estimables volumes en parallèle avec ceux de l'officine de Tmi cw
l'autre des Estienne.
' L'upiiltiire, ou utfme «t'iiInoRnï l'aissiu'c môcJiocrc que ln»t de docte» et |»âufakk
litMniniH.* procurèrent que foiblonenl, cl par inlervallcft trop rares, aux Monuceeti
\à nombreuse Camille tics K&ticnne, il jurait qur dm i-riiiiliinaUniu pli» meirtMDtflttf 4t
biet) plus aiwinnit ri'a[li5iihlp<i mircitl If5 .nuirez Impiimciin grnrvoU , rt
HENRI SECOND.
367
Henri Estienne, second du nom, fils de Robert premier, et pelit-
fils (lo Henri . naquit à Paris en 1528 . !a même annde où, par la
publication de sa belle Bible latine in-folio. Robert pnMudoit à ses
succès futurs. Dapr^ les Lettresde rémission nouvellement retrou-
vées, quelques personnes ont cru devoir ramener la naissance de
Henri à l'année 1 532 au lieu de 1 528, ce qui le rajeuniroit de quatre
ans. Je crois avoir dans la Notice sur Robert, et à l'occasion de ces
Lettres Royales (page 31 8|, évidemment démontré combien peu il
falloit s'en rapporter à cette indication d'à^e donnée sur la foi d'une
supplique pour le succès de laquelle il importoit beaucoup que Henri
pût n être considéré que comme un adolescent. Pour ne laisser au-
cune espèce de doute sur la question d'âge , faisons actuellement
voir l'absolue impossibilité d'ôter ces quatre années au jeune Henri.
En 1545 Charles adresse à Henri, son neveu (Henricu/o st/o),
une longue lettre que l'on voit comme préface en tête du petit volume
De re Hortensia et qui n'est certainement pas ce que l'on écriroit à
im enfant de douze à treize ans, même avancé dans ses premières
études. Charles avoit trop de tact pour mettre à l'adresse d'un si
jeune écolier l'espèce de compte qu'il rend à ses lecteurs du but de
son li\TC, et de la manière dont il a cru devoir en continuer le tra-
vail, la rédaction : mais passons, et donnons des preuves plus posi-
tives. Ces petites lettres greaiues que Henri dessina vers 1540, et
au plus tard en 1541. pour le travail du graveur Garamond« et
ceuxduDGm de Cliouet, en posilion de rsoqutrir el àe la con<ipr\t-r. fe ne fiit certes
pu à Vélff^DCO de ietin cditioiu qii'iU diirenl la pro^pcrilc ilr Irtiri rtatili.viriiii'sib \j-
l»nr;ra|i)iiqiiM. Toulrs, ou pre^tinr lotîtes tool htXf* avec diir jNircinionic èvidnniBeDt
c.alcul(V, mr un papier qui M-mMf avoir rlrchni» i plaUir parmi cr qui »f peut Iroii-
ivr de plu& commun. I^urs impre^niu aUcstcnt une volonté &ystéinatiqac de buM
fahricalinu, re tlntil nu rr^lr rrs Imprimeurs paroiueol s'être fort kieu trouvés. Y a-
t-il rien de plus déplaisant que Irur Gccron m-i m un volume , el l>ien d'aulivs livnr*
ruroie, donl b miilliplicilc pn>uvr cependant que les acheteurs ne leur mAnquérrot
pas. Manubctoriprs o luis prit. Uk écoulêmil Iruri» produits plus vite et plus Incrali-
venent qu'aueun de ce» Typographe» doete» et vraiment artistes dont la vie entière fat
di-voun- a la rechrrehe de n>ltr pfrfertioh que dans un (^aod Domhre de leurs admira-
Ues volumes ils oui su npprocbei- de m près.
HENRI SECOND.
qu'on ne dédaigna pas d'employer avec celles d'Ange Verg^ce. ne
]>ouvoient être l'ouvrat^e d'un enfant de huit à neiif ans; et à ceux
qui rt^voqueroienl en doute les rapports de maître à disciple que l'on
croit atoir existé entre l'habile Cretois et le jeune Henri, je dirai
que recevant, il y a peu de-temps, le calque dune lettre latine de i
Henri qui me fut envoyée trop tard pour ma première édition, et ,
dont je présente ici le tr^s exact fac-similé, je fus frapp*^ du rapport
de fonnes existant entre cette écriture, quoique courue et d'une
forte pro|)ortîon, avec le caraclëre bien plus |)elit d'un tr^î^ beau ma-
nuscrit en lettres italiques, Divi Pau/i Kpistolcp, indubitablement
de la main de Vergèce. élégant volume in-12 quej*ai poss<Vlé pen-
dant trente ans, et que je regrette de n'avoir plus sous la main pour
rendre ma confrontation d'autant plus décisive. Celte ressemblance
qui me reste tout-à-fait dans la mémoire, et dont pourra s'assurer
l'heureux possesseur actuel du petit volume manuscrit, achève de
me persuader que Henri reçut les leçons du c^^lfebre calliçraphe |
Ange Vergèce, ou au moins s applic|ua de lui-même à prendre cette i
admirable écriture pour modMe. Quelques rfïots grec5 calqués à ^
Orléans sur le Ciréron in-folio de 1551-55, rempli de notes de
la main de Henri, ressemblent aussi beaucoup aux lettres que l'o^^
présume avoir été gravées d'après ses dessins. ^H
Dès 1546 son père l'associa à son travail sur Denys d'Halicar- ,
nasse, disons même I5'i5. car il fallut le temps d'imprimer ce double
volume in-folio qui parut au milieu de 1 546.
En 1547 Henri commence un long voyage, presque toujours à
cheval, et seul ; il y emploie près de trois années, visite Naples et
autres villes lointaines, y est partout accueilli comme un jemie sa-
vant qui déjà mérite d'être distingué ; il visite les grandes bibliothè-
ques, y fait des coUations de manuscrits anciens, de précieusesré-
coltes de variantes. Tout cela de dix-neuf à vingt-et-mi ans, et ne se
seroit pas fait de quinze à dix-huit, même par Plenri Estienne : c'est
plus qu'invraisemblable, c'est impossible.
Si l'on veut lire avec quelque attention l'exposé succinct qui dans
le cours de cette narration va être fait de ses premiers travaux litté-
raires, de ses voyages de jeune érudit. desquels le premier ne fut pas
long-temps le seul, on verra qu'il faut ne pas admettre ce systènte
f^c4,Çc€rffy:
■^ /}0^^^
; ' •
HENRI SECOND.
369
de rajeunissement fondé sur une seule preuve dont l'insuffisance saute
aux yeux.
I*a tendresse paternelle de Robert Fut promptement éclairée sur
les espérances que, ûhs son plus jeune âge, Henri faisoil naître ; et il
ne nt^^ligea rien pour l'éducation de celui en qui il voyoit l'héritier de
sa réputation, le continuateur de ses nobles travaux.
Un de SCS soins fut de l'habituer à ne point gaspiller son temps.
Avant de l'occuper sérieusement du latin , il l'initia à !n connoissance
de la langue greajue; et je dois mettre ici à contribution un passage
d'une préface grecque de Henri {Poef.gr. I5GG, in-fol.l dans le«]uel
il fait sur ses preinitres éludes un récit que l'on reuiplaceroit difficilf^
ment. Dls sa plus tendre enfance il prit plaisir à la lecture des poètes
grecs'. Voici la premitTC occasion où se manifesta cette prédilection
si prononcée : Son p^re Tavoit mis sous un maître qui cxpliquoït à
ses autres élèves la Médee d'Euripide, et se jilaisoit beaucoup à leur
en faire réciter les différents rôles. Toutes les fois que le jeune enfant
étoit témoin de ces sortes de représentations, ses oreilles étoient telle-
ment charmt'*es de la mélodie de celte poéae grecque dont il n'en-
tendoit rien que le son. qu'elle lui étoit le jour et la nuit présente, et.
que sans cesse il revoit aux moyens de participer lui-même à ces ré-
pétitions dont il étoit souvent spectateur. Ce qui le désoloit étoit de
ne pouvoir," sans la connaissance de la langue grecque, arriver à ce
qu'il désiroit si ardemment. Un autre obstacle le venoit encore arrê-
ter. Pour expliquer le grec, on employoit le latin, et il ne le savoit
pas. Ce n'est pas qu'il en ^ nulùt convenir : au txmtraire. il soutenoit
memcnl qu'il n'ignoroit pas le latin, que, par les conversations ha-
bituelles des domestiques en cette langue, il s étoit insensiblement
fait k entendre presque tout ce qui se disoit, ainsi que s'y étoit aussi
habituée sa mère; qu'il en savoit bien assez, et s'émerveilloit de ce
* T>tvaWPrihoB ySfiâtoia md Uctorem ^ du Tficjaurus Cntctt //ff^vis, pag. 1, il
revient Mir >oa omour pmnatiiré pour rrttr lançiie : n lashiu mihi a leiirris prope-
iiK^litm iinpiiriitù ejtu aoior.... <• l'j qiiciqtm ligni» pitu loin : •< Unpup Gnecw cu-
piili) jam tiira uir iur««ftit quum vi\ Je mimine raihi uol^ essel, nn]iK îpsA& Hrtncnluniin
'ejiuuolu a btjiûs poKsvmdîici'more.... Fcciil liic DOii solitm inuMtatus mnI prw|M)tte-
ni» Kliaiii vi priLiox amur m t^rnvâ liii^iA «lisccuda mihi aiiir latiiiam maui. »
47
370
HENRI SECOND.
qu'on vouluit l'asservir à l'eiuiayeux apprentissage des dt^Unaisons
t'I des conjugaisons. Il protcsloit de sun assiduité à suivre les leçons
grecques, mais en laissant de côU^ celles du latin. Le pfere se rendit
d'autant plus facilement aux instances de son fils, que lui-même
croyoit avec Quiiililien ' que l'étude de la langue grecque devoit prê-
cher celle de la langue latine. L'enfant dt'vore avec; avidité l'ennui
des dt*clinai»ins et conjugaisons grecques, et aussitôt apn^s, prenant
la Mé(K'*e en son texte original, il écoute attentivement l'interprï^ta-
lion que lui en fait le maître, non pas en latin, selon la coutume rou-
tinière, maisen langue françoise. Henri ajoute qu'en l'annt^ 1666.
oii il raconte crci. il a encore ce mémo volume grec de ses prem»t?res
études, par lui consen'é comme un pnk'ieux trésor. Enfin il \'icnt»
tjout de remplir un rôle dans cette pite. et d'y représenter tant de
l'ois tantôt C^réon ou Jnson, liuitôt Méd*^ elle-même, qu'il avoit fini
par savoir la pièiT cniiôro tout aussi bien que l'Oraison Diuninicale.
Cette préféreiKu^ si marquée pour le grec ne lui lit cependant pas
négliger la langue Inline, alors si usuelle entre les savants, et com-
plément indispensable de toute éducation littéraire. '*
Vers l'âge dt; quinze ans, I lenri eut le bonheur de recevoir les le-
çons de Pierre Danès, ijui, de tous les savants de son temps, si l'on
en excepte Ciuillaume Bmlé. fut celui qui sut plus parfaitement le
grec. Précepteur de Henri 11 (ils du roi François 1" , Dani-Ti ne vou-
lut pas qne le jeune Henri, le iils de son ami intime, fut instruit par
un autre que par lui ; et, malgré de très pressantes instances, refusa
de se charger de toute autre éducation. • Trop souvent, disoit-il.
mon jeune élève vient inutilement; mes fonctions auprès du Dau-
phin, les devoirs de lépiscopat, m'cm[>êchent de lui donner le<;on ■
il se retire et revient sans murmurer. Si vos fils venoietit, je ne pour-
' Qiiiiilil. liislidiL Onil. L. I, c. 2. CV-loil num l'avi". rfe Rubclnis, jupt* trè* con-
pétcnt eu Ulfe matière. •• J'cntentlz et veiik que In apprtmnrs le» langues parfairtv^
meul. Premim'intïal, \a Gren|ue, tummr le veull Quiiilibau ; secoudnafnl Li LAtioe,
el piii» rMrl>ruir>|iii*, Sic. » l'uniagnii'I. L. Il, c. 16.
" l'^i fiiriurf anjourd'lnit, i]i)oi qtj'cn iiiitMcnt dire de (lombrtnLX novateurs danl Im-w.
■■ail]>, |M-til-t''ln>, tlfiMiTicrdifiil lm>ii vnoiiii ri-Ur roildatiifiiNilc cliidf ttr^ langiten « r||p'
a\(MT i'ù) nue pnrlir plux s^pieiiw, ou plus «'iriracr de leur édiiratiuii.
HRNRI SECOND.
371
rois avec eux en faire de même. " Si on répliquait que l'on s'en
rapportoil cntièrenrïenl à lui. que l'on trouvcroil bien tout ce qu'il
feroit, à ces derniers il ne rt^pondoit autre chose que « J'aime et j'ai
toujours ai rat^ lepère de Henri d'une tendresse vraiment fraternelle; et
comme l'affection que j*ai pour le pire est toute particulière, je veux
ausa que les avantages de l'instruction que maintenant * je paiis
donner demeurent particuliers à sa famille.
Environ deux ans ap^^s, en 1545, ainsi que le fait connoître la
lettre de Charïcs, son oncle, dont il vient d'être fait mention. Henri
suivit un autre professeur, aussi très habile, Jacobus Tusanus (Jao
ques Toussain), lecteur ro^Til pour le grec dans le Collope royal alors
nommé Des Trois Langues [Trilingue]', imfin, il reçut pendant (juel-
ques mois les leçons du célèbre Adrien Tumèlie, devenu professeur
de grec (ou, si l'on veut, lecteur) au Collc^ge royal , après le décès de
J. Toussain, en 1547.
Pendant ces années, l'éducation de Henri se complétoit dans la
maison paternelle. L'habile Ange Vergèce le forma à écrire la lettre
grecque, et sans doute aussi la lettre tatine qu'il parvint à tracer dans
l'une et l'autre langue avec ime élégance digne de ce célèbre maître,
soit qu'il ait reçu ses leçons personnelles . ce qui n'est pas bien
prouvé, soit que, comme je l'ai déjà dit, il se soit de lui-mcme appli-
qué à prendre cette belle écriture pour modMe. Sa mémoire, soi-
gneusement cultivée, avoit acquis assez de sûreté pour que, encore
presque enfant, il ait pu retenir et reciter par cœur tout le premier
livredesEpîtres d'Horace qu'il aima par-dt^ssus tous les autres portes
latins, et que pendant toute sa vie^ il cita le plus volontiers. Les
' On a (roiivc que j*avo» trop géDéralisê cvttr exce|)tioa ai Civvur ilc Ueuri, et
i|iie, outre soD jfuiir ami et lnro)a] rhWtr, Piurrc Duiès cw a\o\K eti pUtMi*tir.« autres qiiï
Jttinreni fies |HTsoiiuag(.>» illustres tliiiifc lu Lrtlrr», Jactiitt^ Amyol , Ir |>oête Jean
Dont, le présiilcnt J. Bris»on et pliuicurs antres : l'obicr^atioD est juste, et j'ai dounc
â cntKiiilre pitu ipie je ne voulm.^ Jirr ; cr qui ii*âiiroil pas en Itru u je D*avois pîu on-
hlii- dVxprimiT Us (kiu mois tune trmpons (mawtrnanf ) qui m* Jî.'m'iiI dans ta prefat-e
du Macrobc de 1385, où Ilciiri (ail roDuoîtrrà J3n|ucs l>anè«. |>arciit de Picn-c. cctlu
iiian|uu(lif U «entaille cl Itmlr |arlK-utit>n' ninilii* Jii n'idirr iu»titiilcur.
:in
HENRI SECOND.
leçons succcssivcâ de ses trois savants professeurs de grec lui rendi-
rent cette langue aussi l'amilière que sa langue maternelle.
Avide de savoir, et, comme il le dit lui-même, véritable ^X^fteAnç,
il iitudia les mathématiques ; et après s'être occupt* d'arithmétique ei
de géométrie, il voulut aborder la Généthliaque iTastrologie judi-
ciaire), cette science si séduisante si ellen'étoit pa:3 une chimère, et
dontl'étuden'étnitpassansdanger, Conlreson attente, et à l'insude
son ]>ère, il trouva un compagnon d'études, désii'eux comme lui de
pénétrer dans les secrets de l'astrologie. Us vont ensemble troaver
un maître en cette science (si de telles absurdités peuvent constittur
une sciencel. Cet homme requiert pour chaque mois de leçons un prix
très élevé; nos jeunes gens y acquiescent. Henri demande ensuite à
son pîsre la faculU' de prendre un maître d'arithmétique et de géo-
métrie bien plus habile , muis chez letjuel il faudroit aller prendre Jes
leçons; et comme l'élévulion du prix pourruit lui paroître suspecte,
on ne lui en avoue qu'mie partie, l'indulgente mère paie en secret le
surplus; mais, suivant le proverbe grec, au lieu d'un trésor ils trou-
vtrcnt des cbarbons. Après leur avoir long-temps fatigxié. torturé la
tête par les extractions des racines et les ri'gies algébriques qu'il leur
répétoit sans cesse être les indispensables préliminaires de la gié"
néthiialogie, il leur fit aborder les éléments de cette m^-slérieuse
science, dont les jeunes élèves ne tardèrent pas à reconnoître la
coniplt-te inanité. Aussi, aprèsâ beaucoup de temps et de travail per-
dus, ils dirent adieu à la généthlialogie et au généthhalogisle. Ce
récit est pris des I\/octes Parisinœ, pag. 1 50. imprimées à la suite de
TAulu-Gellede 1585.
11 navoit fpie ses dix-sept ans loi'squ en 1545 son père le jugea en
ébitde faire ses premières armes d'éditeur erilîque, et s'en fit aider
puur la collatjun sur njanuscrit du texte grec de Denys d'Halicar-
nassc, dont Robert dumia. en 1540, la première édition. Ce difficile
labeur, capable de rebuter plus d'un jeune étudiant, fut pour Hejiri
une heureuse initiation aux travaux immenses auxquels si prompte-
ment, et pour sa vie entière, il alloit se livrer avec tant d'ardeur.
Arrivé à dix-neuf ans, à l'âge au son père, travaillant cWz Simon
de Colines, avait donné des marques de celle haute ca|>iLcit6 qui
devoîtamtner de si brillajits résultats, Henri, qui n'avoil rien tant
UENBl SECOND.
313
ù cœur que de suivre dignement lt« glorieuses traces de son p^^e, 14/
pateniam in patertut gforia diti^entiam œmularetttr, quoique d'une
constitution peu robuste, et point encore 9&se'i afiennie par les an-
nées. n'ht5sita point à se livrer aux fatigues, aux hasards d'un hm^
voyage, et à s'en aller parcourant diverses contrées ctrang^res, poui*
ajouter leurs richesses littéraires à celles qu'il trouvoit dans sa pa-
trie ; enfin, pour aller lureter en chasseur {ut eterreret nrtem venti-
toriam) dans les Bibliothi'ques. chercher de tous cotés de Iwns ma-
nuscrits des auteurs uncieits, et siutout aussi trouver des occasions
de s'instruire en conversant avec les hommes les plus distingués par
leur savoir.
Ainsi donc, en 1547, dans la même année où la mort de Fran-
çois r' privoit Robert Kstienne d'un puissant et si nécessaire pro-
tecteur, et le laisaoit sans appui à la merci de gens dont la fij'vre
haineuse éloit sans intermittence, Henri , afHigé de cette sombn*
perspective, fatigué sans doute de la continuité des tracasseries sor-
boniques, chercha à se consoler, ou au moins à se distraire par la va-
riété de ses études, et commença sa vie voyageuse*. Trois ans furent
employés à visiter les princijMiles villes de l'Italie et leurs savants les
plus renommés. Rome, Naples et soirtout Florence, le retinrent long-
ten:ps et à plusieurs reprises. En plus d'un lieu il fit quelque heu-
reuse découverte ; ù Florence il copia dans un manuscrit delà Biblio-
thèque des Médicis, des vers grecs inédits, grœca Homericorum
Heroidam EpitaphUt, qu'Ausone a traduits en partie, mais sans in-
diquer ses sources. Henri les traduisit peu aprïïs en vers latins, et
Figtirez-votu tloiic Dulre jniiie \o]r«geiir , non p«9 rapidpmrat emporté daiu quel-
que bonne voiture (J« postr . ou re|>OMiit »ur le» »Kges gënénIeiBcut oucz rummodes
de ticM ^oitureji |iulilU|ui>?> artiirltrs, tiiais faiiiaiit ntule seul , pcfchémr lui ;iuiiii»l qui
sam doute irViuii pas des meilleur», cbemiiuiiit dam des pays â lui ioroiniuii , tnmqiaui
son ennui et n raiif;Ht' pu U cam|H»ili4tn de vers laiilôl grecs, lantùl lalius. aoult-au
par l'es|tuir dr quflipie trootnUle seicntiiique. et itc rangeant qu'au bonhenr de rercinr
naali de quelque eAtioiAble déhrtt dr l'autique tilltrature ; nou , ce n'est pu» A quiuie
«uquc l'on [K'ut èïre plivMqueuiml vX intelliflu^'llenitiil nuir |Hiur nu U-l dfpIoii-n»ent
de hautes foeulli-s. Ne voIchh donc \a9, k Huiiri i|fUlni airocn qtu lui appanieiutcnt
si bieu.
3T4
HKXni SECOND.
imprima le tout dans son Fhrihgium Epigr.gr. 1566, et dans th-
tneriet Heiiodi Certamen, 1573. in-8. A Venise et à Naples, il ewfc-
mina et comi>ul&a presque en entier une quinzaine de maniiscriU an-
ciens d'Euripide, dont malheureusement la plupart ne contenoient
que les six premières tragédies.
A Rome il fut très gi'acieuseraent accueilli, et surtout par le Car-
dinal Sirlet qui ]m communiqua un manuscrit d'Athena^ras. De
Resurrectione mortuorurn, et lui donna des corrections sur Xéno-
phon, dont il iit un heureux emploi dans son (^ition de 1 561 . Dans
ce voyage, ou, ce que je crois, dans une visite plus tardive, celle de
1554, il recueillit sur un Athénée toutes les variantes d'un manuscrit
de la Bibliotht-'que Faraese : depuis il les remit ù Is. Casaubun, son
gendre, qui en fit usage dans son édition de 1597.
A Padouc il fit connoissance avecl'irascible François Robertel*.
avec Denys Lambin qui lui communiqua des travaux sur Horace,
que ce savant imprima en I56G, et sur lesquels Je jeune voya-
geur lui fit (lutrhjuBs judîciruses observations. Il fut reçu par J. de
Bellicvrc, qui fut depuis Ambassadeur de France chez les Suisses.
On sait qu'il fît à Venise un assez long séjour, et les Lettres Royales
de 1 552 font connoître qu'il demeura et travailla dans la famille des
Manuce. Dans cette ville et dans plusieurs autres, Paul Manuce. le
spirituel Muret. Castelvetro. Annibal Caro, C. Sigonio, P. Vettori,
le caiibiiul R. MalTro. et Ixniut'oup d'autres savants, visités par lui,
fureiil churuiés de sa conversation, adniiri^rent l'étendue des con-
noissanccs d'un savant si Jeune encore [10 à 21 ans), et facilitèrent
ses érudites recherches- Bibliothîiques publiques, collections pnrti<M-
li^res, il \daitoit, examinoit toutes celles où il pouvoit avoir nc^îès. el
ne revint en France que chargé de précieuses et savantes déptjuillai
* Il paroit que ses mlreticiu Bvec Roberl'ct nv lui concUiêrent p» 1rs sufb'Vf^ de
cet érudit doui on coimoîl la vouitû cKoaiive et ic fddieux caractère ; cir tlatu un 4t
tes traites ilc cnli<iiM', De gentrihiu cfun-tantm, ci'Itii-ci fait ruiilrr Henn ccnc sortie
oulrapnui^ : K... IJiiiiri: pi'rridicutus rat t» qui niipcrrimc editis quiUisdam iiiMiUi lu»-
miuis Gnra lu.'îdius, Aiuurt'utilis (>das esse scrjhit. hiM' uumis aigummlû, ipuid m oor-
tire i>A.M*iit iteMiipli, ut hjic raliuiu'M'îlirt-t nobtsiaiponcrtH. {fimteri Uimfms^ H, p. 17.
ttlii. in-8.)
HENRI SECOND.
375
tiatit il tu* nimiqua pus de doter la litU^rature par de promptes publi-
tatiaiis.
A Gênes, ii paroit que non-seulement il fut très ^cieuâcmetit
reçu, mais qu'on lui tit grande et dt^llcate cbëre, ainsi qu'il ledit
lui-mcme dans un opuscule peu connu et que l'on rencontre bien ra-
rement. Oratio npiid Fol iet fini, 1594. Jiage 53 : - Genuœ conviviis
ila circa dclicias Gailicizanlibus excerptus est, ut non Genuœ, sed
in medio Lutctix natalis soli et in mensarum ibi lautis:ÀDiarum lau-
tissinia cpulnri sibi videretur. -
Apivs son retour d'Italie, en 15''é9. et lorsiiue son père finissoit
le Nouveau-Testantjent grec, in-fol., U fit pour cette belle et estima-
ble talion uîie piî'ce sur les avantages de la R<''cleinption. en soixante-
douze vers grecs, que Robert imprima au cDimndiicenient du livre,
et que je n'ai revue que dans une seule des suivantes réimpressions
Stéphaniennes, celle de Henri, 1 576, in- 16, où elle est presfjue re-
Ikite, et réduite à soixante vers. U fit en même temps des notes et
des arguments pour l'Horace in-8. que dorma son p(>re en 1549.
Peu apn'^s, en 1 550. il partit pour l'Angleterre, et l'accueil qu'd y re-
çut du roi Edouard (VI) lui valut sans doute celui d'autres personna-
j^es distingut^. Revenant de l'Angleterre, dans les derniers mois de
1 550, ou au commencement de I55I . il pa.ssa par la Flandre et le
Bnibant, visita lessavanta de l'Acadt^inie de Louvain, et, entre au-
tres, P. Nannius {Nanningjd'Alcniacr, i'un des professeurs les plus
distingués de celte Académie*. Ce doit être dans ce même voyage
qu'il eut aussi à Louvain communication d'une Anthologie, ou Re-
cueil de poésies grecques, possédé |>ar un Anglois, John Cléments,
ami de ïhunias Morus, et que l'on dit avoir été précepteur ou gou-
verneur [tHtor\ de ses enfants. Il copia de cet ancien manuscrit une
épigrammc grecque, qu'en 1566 il inséra dans son Fhriiegium. Du
même J. Cléments d eut l'un des deux manuscrits d'Anacrcou, dont
on va voir l'usage dans l'édition première de ce poète, Henri j
M Ânnusagilnr Mptimiu, Nauiii. qiium q;n ex Brilamiia mliau le rdt-brm-
fait eHectivement mËntion de deux mânuscrïtâ, di>nt l'un éuki ac
l'carcP-
Cette tournée en Flandre et en Brabant eut encore pour Hcnn
Tavanlage de lui faire connoître la largue espa|û:nolc qu'il s'y rendit
familière par ses fréquents entretiens avec des Esipagnols, cï mrh
lecture de bons livres en cette langue.
Au retour de Henri, son ptre se disposoit à quitter la France. Q
est probable que Henr et* en cette critique circwi-
stajiw ne manqua pas ûnt ses fn^uentes et honam-
bles mentions de son ne jamais il ne songea ù s'é-
carter,
Si , ce qui paroit ci tson pfere à Grenèvc, il ne
tarda point à revenir jpi'en 1554 il publia à Pam
son Ânacrèon^ pretnie fâitifiques pronicnadea.
Henri eut-il Une El |b1 Je crois le conliaîi^ trîs
certain. Ceux qui sans lonnent une d'après cette i»-
HufTisîUile, et d'ailleurs unique indieatTon Jpnd Hcnruuni StepJm-
tutm (et non pas Typis Henrici, etc.) . que porte l'Anacréon de 1 554,
in-4, auroient dû considérer qu'on ne monte pas une Impnmerie
pour n'y imprimer qu'une centaine de petites pages, qu'un tel éla-
hlissement, si exigucùt-il pu être, au roi t laissé d'autres traces, et
que Henri, Imprimeur à Paria, n'auroit pas, dans ces mêmes années,
imprimé aussi à Paris, chez son oncle Charles en 1554, chez Ro-
bert en 1556, et dès 1557, installé personnellement une Imprimerie
à Ge^^ve. Paris ne manquoit pas de bonnes Imprimeries où surtout
avec les soins de Henri toute impression, même grecque, ait pu être
bien exécutée ; et il n'y a pas à douter que ce premier Anacréon n'ait
" Il est prolwWe que ci" Codi-x cort'iceus ctoit , iiou pas en papier égyptien , Henri
iViU tiommé papyraccus , mais de cette mince écorce inlcrienre du tilleul que Ton
emploYoil aussi pour Técriturr. C'est ce (pie l'on doit inférer des expressions dont se
sert Henri : •( lu idtero exemplariiim, niniirnm in eo (|uod in libro , id est cortice
scripliim roperi.. . » Le mot lihro prérisant ici l'espèce d'écorce déliw, tiher, d*où les
livres ont reçu leur dénomination latine, ne permet pas de croire (|ue ces vei> grws
éloient i-crils sur des feuillets épais d'écorce polie, comme on en cmployoit aussi quel-
(piefuis.
HENRI SECOND.
377
M imprimé chez Charles. Il est en petit in-4 , ciim prwUe^io lie^s ,
et du plus gros jn'w de Garamond : il est pr<^c4^d».' d'une Epîlre grec-
que de Heiiri, Pkihmnsis, de deux Epi^ammes latines, et d'une
en dix-huit vers grecs, le tout de lui. Après le texte sont ^-ingl pa-
ges de notes ou commentaires dans lesquels le jeune éditeur donne
sea conjectures sur plusieurs endroits t^vidcmment corrompus, et in-
dique des vers d'Horace imiti^s d'Anacr<5on ou d'Aîcée. dont ce vo-
lume contient quelques fragments, ainsi que de Sapho. L est termine
par la traduction latine de celles de* Odes dont le texte est le plus
pur : elle est en vers, et de même mètre {eodem carminé]. J'ai dit
ci-dessus, page 115, comhien me paroît mal fondée l'opinion de
ceux qui. sur la seule autorité du trop partial Jos. Scaliger veulent
que cette version latine soit du poète Jean Dorât [Jnannes Âu-
ratun). *
En même temps que l'Aiiacréon, et Typis Cam/i Stephatii ,
Henri publia un recueil d'extraits de Denya d'Halicamasse, et au-
tres écrivains grecs, 1554, in-8, sur lequel voyez ci-dessus, page
108. On y trouve une lettre de dédicace à l'ambassadeur Odet
de Selve, et ce fut pour Henri une habitude de dédier des livres
aux personnes qui lui avoient rendu des services littéraires ou té-
moigné de la bienveillance. Vers la fin de cette année, il retourna à
Rome où il eut le bonheur de trouver une partie de ce qui n'étoit pas
encore connu de Diodore. et qui lui servit pour son édition de 1 559,
dans laquelle, sur les quarante livrets de cette histoire, il en ajoute
dix aux cinq qui avoient été publiés à Basle. en 1539. in-4.
Lorsque Charles-Quint , en guerre avec la France faisoit le siège
deSienne qui, après un siège de dix mois, fut prise le 21 avril 1555,
Henri alla de Rome à Naples. oxi des lettres de recommandation du
cardijialde Santa- Croce (celui qui, nommé pape en avril de cettt;
même année , sous le nom de Mar(^el II , mourut au bout de vingt-
et-un jours) facilitèrent ses tentatives pour découvrir certaines
I * J'ai de cet Amcrcon nn exempUirc im)ininé Mir un papier iHen plu beau et plus
fort. H ml cntatr. brocht- cl \\vu\ ilc Mnn^iiiaii , à b veote cir qui je !« arhrtc> à
U lUyr, ni 1834.
4M
:^T>4
r
ÏIENHr SECOND.
choses sur ]a nature desquelteâ il ne s'explique point ^ que l'anibb-
sadeurA Venise, Odptde Selve, désiroit beaucoup savoir, tt q«r
le roi df? France avoit aussi fort à cteur. * 11 arriva à Henri tïêtre
reconnu par un Italien qui Tavoit wi à Venise chez l'ambasâiideur
Sur h point de &e trouver dangereusement compromis , tl se tin
d'affaire en padant italien, et peut-être même patois napolitain , avfr
une telle perfection , que l'autre crut s'être mi^pris. Par un st'jfiurtni
peu prolon^^é ôrni^ p] cipales villes de l'Italie , il jr
avoil pris une telle hal ononciation, et s'yétoit niâBi'
telU^ment familiarisé mis des diaîecles ou pn-lu»
ilalicns. (p'on ne Ty pi un êtrang-er. Dans son Tmiif
fie la Coitjhrmifif (lit toe avoir beaucoup pertiu (te
celle facilité ù s'etionc aia pouvoir nt-aTinioins. Jans
l'ocoasiion , retrouver sn ci (ilusieun;; des dial*rt«
Retournant ensuite à Itdit compte de sa mission n
rambrtï>,sadeur qui en joint de l'admettre si sa pins
intime lamiliaril*'. faveur dont il nétoit rien moins que prodigue.
Dans cette ville , à la Bibliothî'que de Saint-Marc , il conféra avec
le Diogenes JMortinsàe Basic, 1533, un ancien manuscrit venant
du cardinal Bessarion , et cette collation lui servit pour son édition
de 1 570 : il y examina aussi un manuscrit de Xénophon , et un autre
dans la Bibliothèque de Saint-Antoine ; mais ce dernier , qu'il eût
désiré consulter de nouveau, ne put être retrouvé quand en 1561 il
fit sa première édition de Xénophon. De retour à Paris, à la fin de
1555, chargé d'un nouveau butin littéraire, précieux résidtat de
ses intelligentes recherches, il imprima en 1556, chez Robert II,
son frère, deux volumes peu considérables, l'un , Moschi , Bionis et
Theocriti Idyllia quœdam^ nb Henrîco Stephanolatinafacta. in-4,
qui fut la première production de l'Imprimerie de Robert, et que
déjà Henri avoit imprimé à Venise, en 1555 , apttd Paulum Manu-
tium, pendant son séjour en cette ville, et de même en petit in-4;
* Ln Dictionnaire l>iogra))hi(|iie anglois de Dtalmn-s tlil qu'il ùtoit question de rer-
tains passe -ports que l'ainbassadoiir â Venise dé^iroit se procurer. J*i^orc sur quoi est
fondée celte ronjerlure.
HENRI SECOND.
379
iiiipreiision qui peut-être fut un munuscnfum amicitite du savant
Imprimeur Vt^nilien ; peut-être aussi le jeune auteur et Imprimeur
prit-il plaisirà en faire de ses mains dans l'Imprimerie manutienne la
composition typographique. L'autre volume est un recueil d'Opus-
fulf's [le Denys d'Halicamasse, traduits en latin par un Poîonois,
Stanislus-Ilovius , et contenant à-peu-pr^s les mêmes qu'en 1 554 ''
uvait iniprinit^ en grec chez Charles , de même en-8.
Quant aux Psaumes en vers latins, ^ quatuor illustribus poetÎM,
mentionn*^^ en mes listes, je n'ai pas encore été à même de vérifier
s'ils sont in-4 plutôt qu'in-8 , et s'ils portent ex afftcina H. S* ou
Apud H. S,f enfin s'ils sont de Genève ou de Paris. On a vu ci-
dessus, page 115. l'opinion peu favorable de Henri sur l'un de
ces quatre traducteurs : selon liù , l'Allemand Eobanus Hessus
n'est nullement poète : « Si quis metrum detrahere velit, nihil com-
mune cum poesi habere comperietur. •• Ce n'est pas du tout l'am
d'un autre savant du mêmetemps. non moins recommandable. Joach.
Camerarius , qui , dans une lettre par lui écrite à Henri vers 1 556 *,
s'exprime ainsi : - Quoniam autem concedis mihi jus quoddam sen-
tentiam dïcendi de luis scriptis , de aliis fortasse alias tecum amanter
a^emus , qutei*entes magis qaam definienlcs. Nunc faccre non potui
quin significarem tibi miratum me esse quod in mentcm venerit tibi
ut Eobani Hessi versus , quibus Psalmos Davidicos est interpre-
talus , pêne futiles perhiberes , atque laudem facultatis poeticœ operi
illi peiûtus detraheres. De quo certe plunmorum doctonim virorum
alia opinio est. Nam meum testimonium non modo ut rudioris xoî
àfiouaoTtpTj (et profani| sed ut amici et bcnevolcntis minus ponderis
fortasse habere debeat. - Cette lettre, qui répondoit à une précédente
missive de Henri , accompagnant l'envoi en présent de (juelques-
luisde ses livres, fut le commencement d'une liaison afifpctueuse qui
dura jusqu'à la mort de J. Camerarius, arrivée en 1574.
L'impression des volumes de 1556, faite par Robert, achève de
prouver que ni en 1554 pour l'Anacrcon, ni deux années jilus tard,
Henri n'eut à Paris une Imprimerie à lui appartenant. On ne voit
* Elle n'a |H>iiil (I aiitrir, naii comme il jr est i|iirslion d'un lÏTrr imprimé eu 15S6,
I iie Mt'Ianchibon, mort en 1560, sa iU(t w irou«ei-pcu-pr»détcrniiiHc.
380
UEMU SECOND.
d'mllcurs dans aucun de ses o^Ta^jes. dans sa correspondance, non
plus «niiiuK litres ou préfaces d'aucune de ses nombreuses éditiouâ.
ricTi qui donne la moindre indication d'un tel établissement Iransi-
loire. Quelques |>ersoinies, au contniirc, ont cru que Henri ne fiil
réellement Imprimeur que quand, en septembre 1559, la mort de
son p^^e le mit en possession de l'Imprimerie paternelle. D6s 1557.
sur plusieurs livres, il se qualifie Trpogrnphns , et en 1658 Hui/iri-
cki Fuggeri Typographus . W eut donc à Genève, du \*ivant de soii
père, une officine typographique où se fil l'in-folio de 1558. où s'^
loient faits les volumes de 1557.
Les publications de cette année 1557. que l'on peut nommer
l'année d'initiation de Henri comme chef d'un établissement typogra-
phique, purent dës-lors faire présager l'importance de ses travaux
futurs En ce pou de mois il eut parachevé et mis au jour cinq édi-
tions grecijues d'ouvrag(« presque tous inédits, et deux voltmies la-
liris. Déjà la haute cajmcité du jeune savant avoit été devinée.
P. Viclorius, l'un des doyens de l'crudition classique, n'avoit pas cru
pouvoir mieux disposer de ses Commentaires inédits sur ^-Eschyle
qu'en tes confiant à loiîicieusc activité de Henri, qui en fit l'objet
d'une de ses premiî»res publications: deux opuscules d'Atbenagoras.
queliiuea-uns d'Aristote et de Théophraste. Mnximus Tyrius. tm re-
cueil d'extraits historiques ^recs ; enfin les deux parties du LejricoM
Ciceronianuni et Castigationex inr Ciceronem , très remarquable
ouvrage, sijpiolent honorablement cette premiîîre année, et, par leur
prompte et succesaive apparition, annoncent ce nouvel astre litté-
raire qui alloit jeter un si grand éclat siu* la Tj'pographie et sur les
sciences philologiqiies. Dépourvus d'indication de lieu, ces volâmes
sont tous évidemment imprimés à GenKe. Henri s'y nomme Typo-
graphus PnrUietisis : zesX précisément dire aux acheteurs que ces
livres, imprimés ailleurs qu'à Paris, aont cependant l'ouvrage d*im
Typographe de cette ville où Ton sait si bien imprimer. Pour qui-
conque a un peu l'usage des livres et papiers de ces lenips-là. il est
d'ailleurs aisé de reconnoîlre dans ces volumes, ainsi que dans ceux
des années suivantes, la qualité de leur papier suisse ou allemand,
inférieur à celui (jui s'enipluyoit alors à Paris pour les ouvragai de
mêine nature.
UENKl SECOND.
384
Henri adopta la même marque nTio^raphiqtie que son p6re,
l'Olivier avec cette deviser A*o// altum sapere^ et quelquctuis, Noli
altum sapere, sed time. Sur le Platon, 1578. et sur plusieurs au-
tres livres, l'inscription i^t, Ut ego insererer, fleftxicti stint rami.
Quelques volumes pn'-sentent des variations trop peu importantes
pour être notée^i. En 1588, surlHomëre. il a mis son nom combiné
en un chiffre grec, que d'abord il avoit placé à la fin du quatrit^me
volume du Thesatmis gnecfp lingutp.
n paroît que cet élan de travail ne fut pas assez en rapport avec
les moyens pécimiaires d'exécution, et que, dès 1558, Henri se
trouvoil obéré par les dépenses de ses voyages, ses frais d'établisse-
ment et ceux de la fabrication des sept volumes ; mais une bienveil-
lance prwdentielle vint le mettre en état de continuer ce qu'il avoit
si bien commencé : les libt^ralités de l'opulent négociant d'Augs-
bourtj, Huldrich Fugger. consen'i*reiit à la typfjg^phie et aux lettres
un travailleur précieux que le défaut d'aide pouvoit arrêter des ses
premiers pas. CoHimeiit les Fugger vinrent-ils au secours de Hciïri
dans ses opérations commerciales et littéraires? Suivant le Pithccntia
ciU!" par Teissier, et ensuite par Maittaire, il recevoit de Huldrich,
l'un des chefs de cette puissante famille, une rente ou présent annuel
de cent cinquante écus \thalers\^ en raison de quoi il s'est, comme on
sait, pendant dix ans intitulé leur Imprimeur. Des secours plus ef-
fectifs, des dons ou au moins des avances de fonds {tour les besoins de
rinipiimerie, vinrent sans doute s'ajouter à ce modique cadeau an-
nueK Plusieurs pn'faces de Henri font aussi connoître qu'en diverses
occasions. Huldrich, fort curieux de médailles, manuscrits anciens
et livres rares, mit très libéralement à la disposition de Henri ceux de
ces précieux objets qui pouvoient lui être littérairement utiles. Pour-
quoi faut-il (juc trop souvent les plus louables actions humaines aient
quelque côté qui les gâte î Malgré leur excessive opulence, les Fug-
ger finirent par être ennuyés d'un iHitronage qui ne leur offroit aucune
chance de profit '. Il n'eut efTeclivement de démonstration pubhque
* tl i^sf prohahlc f|m' ce fui wn\ pas MiiMnili, maU 9.1 famille <[ui s'euuuya tir ci'itr
pratn-iiiui; (iiiTiiiirciilr ilc m-» roiunlnnltlr!» ttc4]iii5ili(M» ru Diami»cril» , litn^ , mé-
JS;
HENRI SECOND
que de î 558 à I ôGë . les Jpophthegnmta gntva de cette aimée 154*8
L'tant le d^rnifir volujïie sur lequel se lit Fnggsri ou Ftiggrmntft
Typtigraphus. De \ÎTigt-sept If^Ures de Henri, publiées en I83(V
pîir M. Passow, de Bresîau, d'apros les originaux conservés dans h
Bibliutbî^quÉ de cette mme ville, et dont une, la dixième, est lilbo-
gni]}hn.-e en ce volume, cinq font mention d'un débat entre k' prolt^i*
t>t ses Mécènes qui ne vouloientplus lêlre. L'argent, le malheua^ux
arjreiit est la cause du
de Henri, tjue d'un s
faisoient bien faute : «
ram. ^ (Lettre de ma
mauvaise grâce ; il eti
■> cmtj ipsum chirogra
ofïre d(î transiger à cii
ûloit pas plus avancé,
np s'est-elle jamais ou
igissoit cependant, «le la part
cpntaiïies de tlorûiâ, qui lui
B partem jom spe devoraT^
in offrait trois cents, d'&âsel
Lge, âe fondant sur un titrv.
ireluc. " Un peu pins tard» il
enfin, en mars 1576, il n*aa
riehe caisse de ces niessieurs
Lisser sortir ni les cinq eaiCs
florin:^, ni les trois cents.
L'année 1 558 n'a qu'un seul volume, Impsmtorum Novellœ Con-
stitutiones, grœcè, mais ce fut une publication importante. Cette
collection de lois des empereurs avoit été imprimée en 1531, à
Nuremberg, par les soins de Greg. Haloandre. Henri la fait repa-
roître bien plus complète, et d'un texte revu sur de bons manuscrits,
dont une partie vient de la Biltliothèque de Huldrich Fugger, à qui
ce bel in-folio esit ajuste titre dédié. Dans cette même année, Henri
concourut avec son père à la publication d'une édition très soignée
des Adages d'Erasme, immense répertoire d'érudition dont l'exces-
sive vogue pendant le seizième siècle forme le plus parfait contraste
(laillcs, &c. &r., ft de ses lilHTiiIitrs envers les .savants, elle lui fit iiu procès en inter-
dietiuii, et réussit à lui l'aire ôler r.'idniinistralion de ses biens. Cet acte , sinon injuste,
au moins troji rigoureux, fut très sensible à eel bonmie j,'énéreux ; mais après quel-
(|ue temps, il fut ou eassé, ou niniabU-ment annulé; lluldricli rentra dans ses droits,
et sa fortune s'aiinnienla de rbéiit;i};e de son frère. I,e coup avoit été li-op rude, sa
vie eu fut sans doute abrégée, et eu lo8'i il mourut âgé de ein(|uanle-liuit ans, laissant
S.-I iîibliolbecpie. non ]ias a een\ tjiii en avuient outrageusement blâmé la formation, mai»
:mi i'al.'ilinal. a\4'e tles foti<ls poui' reiilieliru <le six étudiants.
HBNRI SECOND.
383
ivw: !(• complot abandon où lï esl toinby aujouni'hui. 11 y a cepen-
rit beaucoup et de très bonnes choses à apprendre dans ce vaste
;ueil, mais ses douze cents grandes pages efl'raient, on n'ose s'y
ibarquer . et peut-être que si chacune de ses nombreuses réimpres-
ions eût été moins soigneusement amplifit^e, on le cumsTilteroit da-
ranta^e. Henri (?toit loin d'approuver ce5 trop abondantes additions,
int beaucouj) ne faisoient pas honneur au discernement de ces am-
plificateurs d'Erasme. - Ad aiipendum Centurïanun Adagiorum
Erasmi numerum qaidam ncscio qutie dit-la hmc inde collecta pro
adagiis haberi voluerunt : in quibus, qui pauloacutiuscemunt, nihil
taln]>ercipiunt, - dit-il vers la fin des notes de son Horace in-8.
L'un de ses projets non exécutt^ étoit de donner de ce livre une
^■dition daiis laquelle il auroit fait justice de ces interpolations niala-
droites.
En 1539, avec deux autres volumes moins importants panit le
Diodore *. presque entièrement de premibre édition . sur lequel voyez
ci-dessus, pages 117 et 377.
Par la mort de Rol»ert , Henri devint, en celte anm^e 1359, pos-
sesseur de rimprimerie paternelle qu'U rt^unit à la sienne; et de
ce moment on va te voir occupé tant h ses éditions des anciens clas-
siques qu'aux publications calvinistes pour lesquelles il remplace son
père qui avoil fini par s'y restreindre presque exclusivement.
La liste chronologique des éditions de Robert fait voir que , dans
les quatre dernières années de sa vie, il ne s'est plus occupé de l'im-
pression des livres grecs, précisément alors que Henri commençoit
à s'y dévouer. On \)e\il en conclure que ce fut ou aindesc^ndaiice
de Robert , ou l'effet de quelque accord entre le pi'pe et le fils.
Robert, second fils, fut dt^hérité parle testament paternel ; mais
possesseur de tout ce qui étoit resté à Paris, et cela sans qu il pa-
roisse s'en être ensuivi aucun différend m murmure, il ne fut bans
[•doute pas le phis mal }>artagé. Robert le pfcre n'avoit pu se mépren-
sur la position respective de ses divers enfants, et dans la No-
* La Bililiotlirqtie }>iihtiqafl de Ocnère pouede le ouaiua-it dont Henri ne srrtil
l|KMjr celle rditiuti de iModorc.
38i
t
JIENRI SE4.0ND.
tice qui le concerne, jemv ne m'être pas fait tinc faille idée tics
motifs d'une détermination qui est à mes yeux un acte de sage»
patemolle, et non paîj, comme on le croit Ifop géin^ralenieot, unlfr
tament. injuste et de colfere,
Voifî donc Henri engage plus que jamais dans cette longue sw»
d'impressions grecques ai bien commencée par î«npère. etqu'd vasl^
vrc d'une manière si éininemmgnt uU^iiig^ée. Toutes ses pablicahots
ultérieures ont même p selles de t5&7 à 1 559 : d fli»
restent pour le coup-d «çusdes éilitions parideiina,
cette légère différence • mérite réel, et je n'en far
menti<in que pour ne ^certitude àur le lieu où elb
furent imprimées. Un i^mble évidemment d'impre»-
sion piiriâienne^ et qu ^n, j'ai placé parmi les édî*
tiens de Roljcrt 11, c c nomâ qu'il porte, reltii de
Henri vienne le prem l Paràifjt ne se voie pas sur
le titre *, e^t pA-nfmon ^pkraëh poefica^ in-8, sutf
date , mais que l'on peut rapporter a l'année lOOG. Sur la deniii-rc
page, Henri, à roccasion des paraphrases grecques de quelques
Psaumes par lesquelles se tennine le volume, dit que celle d'Apolli-
naire n'est ni poétique ni exacte, et qu'il ne faut pas la laisser aux
mains des jeunes étudiants. Quant à la paraphrase ou version latine
de Buchanan, elle est très estimée et regardée comme son meil-
leur ouvrage.
Henri se maria trois fois. On n'avoit eu jusqu'à ce jour que de
très vagues notions sur ces divers établissements; on ne lui donnoit
que deux femmes et un petit nombre d'enfants. Ses vingt-sept let-
tres, publiées en 1830, font connoître qu'il devint veuf peu avant
août 1581; déjà il l'avoit été à la fin de 1564, ainsi que je le dé-
montrerai plus loin ; et cependant à son décès il étoit marié, et cette
dernière femme lui surv écut ; il y eut donc certainement trois ma-
riages. Les registres des naissances et des mariages, que M. Van-
cher, de Genève, a eu l'obligeante attention de compulser avec soin,
" Lus niots JC.y Pr'n-iiepo Rcgis iiunrinirs sur If litif suiriroiciit seuls pour prouver
i|ii(! rcltt' ('■(lilioii. lailp sur l)oii jwpiiT dr Fraiire. est d(! Rol>crl t-t iiou Genevoise.
HENRI SECOND.
385
donne les dates des trois mariages, et les noms des quatorze enfants,
au lieu de quatre qu'on lui connoissoit. ainsi que de huit enfants de
Paul.
Le premier mariage de Henri est du 1" décembre 1555, avec
Marguerite, fille de feu Pierre Pillot. La feuille funéraire \Epicedia)
nouvellement trouvi'e, et sur laquelle voyez page J24, année 1564,
porte Memorice MargaridLs Piloiiiœ , ce qui sembleroit prouver
que le vrai nom étoit Pilon, mais les Registres genevois écrivent
Pillot. et il est connu à Genève que cette personne étoit fille de
Marguerite Deschamps, dite Duchemin. seconde femme de Robert,
et qui avant lui avoit eu deux maris, le premier nommé Mugnier.
et le second Pillot. Hairi en latinisant c^ nom aura trouvé Pillotiœ
trop rude, et l'aura changé en PUonite.
IDc cette première femme il eut quatre enfants :
Henri, baptisé !e8 décembre I5ô7. parrain, Robert Estienne.
Judith^ le I" janvier 1559-1560, parrain, Théodore de Bèze.
Estherj le 3t octobre 1563.
Isaac^ le 1 1 octobre 1564.
II faut noter que toutes ces dates sont celles du baptême et non
de la naissance ; mais il est à présumer qu'il y aura eu peut-être un
seul jour, et toujours fort peu de temps entre la naissance et le bap-
tême.
De ces quatre enfanta deux n'existoient plus lors du décès de leur
mère, ainsi qu'on le voit dans les EpU-edia, un troisième mourut
bientôt après, et il ne resta que Judith, qui, suivant les Registres
genevois, fut mariée, le 24 avril 1580, à François Lépreux, frère
de Jean Lépreux, Libraire et Imprimeur à Pans. *
* Frait^oû se rrtiro, pour cauM' <lc rrligiou , k l^iuanM ; il y iniprinia ro S57-(, y
iloit cDcoreen 1S79, et fui Imprimeur du caoton de Berne, D. Bemetuis Trpogm-
pMuj. Il parott qu'tusiiile il alla drinrurex a, Morg». yc\l{c NÏlIe de Silice, à deux
lietiei de Liiusamic Plusieurs tivrn l.iUus e( fram^ inipniii<>» à Marges , MorgUt ,
de I58t à 15fU, portml &oa uoœ. Il rui eiuuile penJaut plusieurs année», el uolmwient
en iSMol 1504, double établûscineDl, àGeiièveri à Lyon. De plinieiir* de *at èdtticHUf
al entre autres de Ptudi Stephami JuvenUia , 1S03, in-9, Apud Frmtchcum Li Pkhêm^
na voit de» eMnpIaîres dain de Lyon, et d'autres dt' rH*itè\e. Il est prohahie qiw j'in^
49
3H(Î
^ HENRI SECOND.
Henri devint veuf à la fin de d^V^mlire I &64. Celte dat<?. jusquï
prt'^SPtit incertaine, est d(?t<?rînîn<''e par los Epicctim qui sont K
r*" jiunier 11564-05. /frw/ f'fi/ert^Af) :1a preuve de l'aj^n^^ rt'ïMillei
la prcfticc du l^raitè de la Confnrniiîê ' t^crit cinq dkhs aprî^ le dr
ces, et du second mariage» qui uyant eu lieu 1r t9 mars I5fij C6
laisse un veuvage df quinze mois avant les secondes noce^. Oqiï
rend ces dat^ indubi labiés j ceat que si on les change, on fait rw»
rior Henri après qualn peuvage, et, ese qui vajm^i
l'ahsurde, on lui dont] wre des doléances imprima*
et publiques pour une :otisi>lftroit depuis dt'ox luon
Rve<; une nouvellp épt trouver dons ces fixatiaDS àt
daios, il nr faut pas o m\T\éç ûonuiipiiçoit à l*àqns,
blf^n que l'ancien usag' urnes au T* janvier n<^ fTitpts
fi[iti( rt-mcnt hors dest I» ainsi qu'on le voit dan» et»
vers de Henri .
Cet examen de d^te er d'une manière oeitaiMi u
mois de tnai 1565 la publication tiu traité de la i\tnfhrmt(r^ quf
faute d'exacts n-nsoio^nements Maittaire met, ainsi que le veuvagede
Henri, à l'année 15CG. Vingt pa^es plus haut il venoit déplacer
on 1508 le décès de cette première femme qu'il fait mère de Paul.
.. Eam Pauli pueritiam educasse, anno denique 1568obiiâse
satis constat ; - plusieurs, ne voyant que cette première date, s'y sont
conformés, et ont de même écrit 1568.
Barbe, seconde femme de Henri, fille de feu Claude de Wille. sei-
primerie étoîl à Geiièvp, où elle pouvoit fonctionner sans risques de persccutiom et
poursuites, et que de se* produits, qui dans ces aunt'-es furent assez nombreux, on inei-
loit à la date de Lyon ee tpie Ttin vouloit on qu'on espéroil débiter en France.
De 1585 à 1G06, et peut-ôtre plus tard encore, il j eut à Genève nn Jean 1^ Prttix,
aussi Imprimeur, et dont les li\res portent, les uns Typis Jofiannis Le Preux ^ d'autm
sumpt'ibtts... Ce ne pouvoit i^lre un fils de François^ mais sans doute ud neveu fils de
Jean, qui paroil n'avoir pas ((uitté la France, et qui d'ailleurs étoit fort âgé alors, rt
peut-être n'existoit plus.
* <( Depuis environ cinq mois qu'il pleust à Dieu me priver de la doulre et heureuse
compagnie de relie avec laquelle il m'avoït conjoinrt par le lien qui est entre 1« chrri-
licns le plu-i estroirl. » (Préface dèdicalolre à Henri de Mesmes.)
HENRI SECOND.
nnn
giieur do Wille le Prudhom et de Félin, étoil. dit-on, de famille
écosâois>e. et parente de l'Ëcossois Henri Scrimger, Tun des juris-
oonsoltes les plus distin{TU»% de ces tempâ, ami intime de Henri, et
l'agent du riche négociant augshourgeois Huidrich Fugger pour le»
recherches d'ancienH manuscrits et autres rarett'*s scientifiques ou
curieuses. C'est de celte «^conde femme que Henri fil, en 1585, un
si graitd doge dans la prt^face de rAulu-Gelle; et elle [>aroit avoir
été douée de toutes lesqualités qui pouv oient lafaire honorer et chérir.
De ce second mariage naquirent huit enlants.
Paul, l>aptisé le 24 janvier I56G-67.
Lottin, dans son Catalogue, le fait naître à Pans; j'ignore sur
t]uelle autorité, et c'est d'autant moins probable que son baptême
^^mt lieu à Geni^ve.
^B Florence, baptisée le 12 août 1568.
^B 9 décembre 1571, une fille non nommée au registre,
^H DeuLxe^ baptis<^ te 21 avril 1574,
^H DeiiLt, le 22 janvier 1576,
H EunUe, le 15 juillet 1577,
^^ Marie, le 27 novembre 1578,
j4nne, le 7 juin 1581,
Pour cette demibre, le registre porte, tle Je» tiorhe 1^ mëre
éloit probablement morte en couches.
Paul . de tous les enfants de Henri , fut le seul nourri par sa mère,
dont la foible constitution ne permit jmint qu'elle fit jouir ses autres
enfants du même avantage. Dans la préface de l'Aulu-Oelle, 1585.
déjà citée, Henri fait mention de cette circonstance, en même temps
qu'il exprime vivement ses regrets pour la |>ort€! de cette se<*onde
femme, morte au mibcude 1581. ainsi qu'il résxilte d'une lettre de
Henri à Jean Craton de Vienne, du l'^ août de cette nnnée-!à
(la xï' du recueil de Passowt : - Plurilms aulito districtus emm curis
et negotiis, propter mortem chnrisa. conjugis, quam roecum tota pro-
pemodum urbs lugel quod in ea rariasimum exiiterit exemplmn
magna? nobililalisnobililari tomen magis morunï prwslantia cl vir-
lutibus cupientis... "
' Voici les passages de cette préface d'Aulu-Gelle adrt'î»s«'o ])ar
Henri k son fib :
388 UENRi SECOND.
a fiecordare, matrem tuam, darissimam fœmiiiam, in te odo hoc
tionis officio functam esse : functuram certè et in aliis Uberis , nisi ego Ul»
majorem, quàm ipsam et sui, rationem habuissem. Rccordare, illam sept
mihi dixisse, quum te solum ex suis liberis tam vegeto et robuste coqioR
esse videret, cur tu, mi vir, non me passus es in aliis quoque liberis mtris
officium praestare? Quum ego vires illius laboribus ejusmodi impans em
responderem : imperes certè illis et iu nutriendo Paulo erant (aidiat] ses
quod ultra vires meas in illius nutricatione praestiti viribus illius miro Do
bénéficie, accrevit. Yerùm, quid ego illius nutricationem commemoro, quam
ab eadem accepisti educationem tacco?Si non parvse felicitatis loco ponitor,,
matre natum esse quae quum titulis avorum generosa esset (ut verbia Naso-
nianiâ utar] animi nobilitate genus exuperabat : quanta tîbi felicitatis illi»
accessio hœc est, quod totius puerïtis tuœ eandem iUam habere educatricem
conligit. »
Quid eorum, qus ad roctè formandos vel regii alicujus pucri mons
pertinent, ignorasse credcndum est? Aut quid tandem eorum quae ad alionm
înstitutionem requiruntur, suo ipsa exemplo facile docere non poterat [quod
quidcm boni exempti esset) cujus in gravitale modestia , et miré pboens
omnibus a^bilitas : in cujus frugalitate liberalitas, et in libcralitate fhiga-
litas (nisi quum afilictis dextra porrigenda , sublevandaque inopia erat) in
cujus facilitate prudens cautio, in cujus denique hilaritate et jocis aliquid
serii cerncbalur?... Ipse vultus, tam screnus semper, nec minus quàm sermo,
benignus , aliquas pcrsuadcndi partes agebat. Hinc factum est ut à te et so-
roribus ea saepe verbis impétrant quae alise plersequc matree à suis ne ver-
beribus quidem obtinere queunt. Atque utinam, Paule, recordari sermonum
ejus posses... »
« Novis loquendi gcneribus de nova quadam fœminae praestantia uti cogor,
quum alioqui mihi desint verba laudare illam volenti.Quod etiam in causa
fuit cur ego, qui alias plcrasque cpitaphiis ornavi, nullum in eam trium spatio
annorum,ct amplius, scripserim. Sed ecoe, dum eam tibi qualibuscunque
possum vcrborum coloribus depingerc conor (nam ita posse nos loqui, ex
hos nostro Gellio disces), mihi quatuor epitaphîi versus in mentem vencrunt.
Huic pudor et caudor famam vicere fidemque.
Huicquse très Charités gratia vicit, erat.
Huic sexum vicit prudcnlia, vicit et aniios :
Huic victum est morum nobilitate genus. »
La troisième femme de Henri fut Abigaïl Pouppart, et ce mariage
est du 9 mai 1586 : it en résulta deux enfants :
David, baptisé le 6 mars 1587,
Jacques, le 23 septembre 1588.
De ces quatorze enfants dix moururent fort jeunes ; on vient de
HENKt SECX)ND.
349
tir que Judith fut mariée le 24 nvnl 1 580. Quoiit aux trois autres,
*aul, Florence et Denise, connus des biographes, il en sera question
lus bas dans la notice sur Paul.
Ainsi donc, les trois mariages . leurs dates certaines et les nom-
iises naissances d'enfants, sont prouvés paries Registres publics,
plusieurs lettres de Casaulxin . écrites avant et ap^^s la mort de
>n beau-père, font connoître que la demi^re femme étoit vivante
du décès de Henri, Je cite une de ces lettres . de 1594. qui me
ïmble curieuse sous plus d'un rapport : elle est adressée au savant
Holluiidoiïi Conrad Riltershusius : - Quem amiscras, vereque |>er-
ideras, ingenii tui fœtum , ecce eum tibi meu opéra et fide redi\i-
im. Postcu enim quam de tua re et injuria qim^ tibi facla erat littens
sum certior factus. coubtitiu illico umnem mihi niachinam esse
Ihibendam , omnein lapidcm movendum, ut tibi per me satisfieret.
in hoc vere possum aflfirroare, antequam ulla inter nos intercède-
nt notitia, sa?pius me tuam ■\icem cum N. (Stephano) expostulasse;
juod non eodico ut mihi gratis? apponatur. Ncf|ue enim captore illo
;to tuamgratiom potui, cum tu mihi adhuc notus non esses; sed
quiajuset fasabamico violari intelli^ebam, {{uod in nie fuit
jbstiti. Falleris vero toto cœlo, tolaquc terra, si me putas apud se-
!m illum optimum quidquara posso, aut ad ipsius Bibhothe-
cam ulhim habere aditum. teque ac tu, mi Rittershusi. qui tnnlo in-
tenallo abes. Nam etsi amicissime et conjunciissime vixnmus ,
tamen ea hominis morosita» est . ne dicam aliud , ut plane sit nura-
bilis in multisejus vita. Quod igitur eo absente ausi sumus claustra
revellere, et omnia Stfm (exquirere) ul tuuin Ubrum tibi miltere-
musrepertum, mihi crede, llium expiigna\Tmus. An tu nescis qua
difficultale, quo annonun spatio Xenophontem suum Leunclavius
ab illo receperit? Deteriortua erat futura condilio, nisi irofi le^jio^wttn
(ultra expectalionem) meam audaciani Deus adjuvisset. Tu nimc
mimimi tuum agas vide : hoc est caveos ne tua opéra de hac re
quidquajn unquam resdscat N. noster cujus ingenium sic est, ut ai
non refrices memoriam. de ea re verbum nullum sit faclunis ; sin ulla
via quod canscîa ejus uxore et filio (Paulof gcstum a me est rescis-
cat, dici ne<]uit qtmntuni turlmrum sit excitaturus. - La seule con-
clusion f]u'Almeloveeii tire de c^tte lettre est l'existence d'une feiuuie
390 HENRI SSGOND.
de Henri en 1 594 ; il ne pouvoit aller au-ddà , ne oaunoéasaiit pont
les notifications des deux précédents décès , contenues en la préface
de la Conformité, et d^ns la lettre de 158 1 récemment pabliée . et
encore moins les Registres de Genève. Faute d'avoir eu Foccasiai
de jeter les yeux sur la préface de la Conformité , Tanteor d'une
bonne notice sur Henri Estienne , publiée en langue allemande à
Zurich, 1837, in'4 (M. Orelli), fait vivre la première fonme jus-
qu'en 1 58 i , et ne fait faire à Henri que deux mariages.
En 1 560, Henri donna la version latine des Constiitaiones Impe-
ratorum, et sa collection in- 16 des Poètes lyriques grecs , dont le
succès iiit tel que lui et son fils la réimprimèrent en 1566, 1586,
1600, 1612 et 1626, presque toujours avec quelque amélioratioii.
En 1561 , avec le Xénophon, furent imprimés trois vohimes de
Théologie calviniste; pendant plusieurs années ces sortes d'onvra-
ges et les livres grecs occupèrent simultanément ses presses. Efihcée
depuis par sa réimpression de 1581 , son édition de Xénophon est
bien supérieure à celles des Aide et des Junte.
Nous verrons Henri faire beaucoup et très bien , parce qu'avec
bon aptitude au travail, il avoit cette force d'esprit que les difficultés
n'efîraient point ; mais un labeur opiniâtre, une tension presque con-
tinue des facultés intellectuelles, dévoient puissamment agir sur une
telle organisation, et cette forte tête ne put toujours se soustraire aux
effets d'une fatigue trop prolongée. Dès 1561 , Henri eut une mala-
die que les médecins ne caractërisoient point, et dont il fut pris jus-
qu'à trois fois ; une sorte de spleen, dirions-nous , mais bien différent
de ce spleen , résultat si fréquent de l'excès du rien faire. E éprou-
voit un dégoût insurmontable pour toute étude ; et cette intelligence
fatiguée, harassée, ne pouvoit cependant abandonner le grec . objet
de ses déplaisances. Henri n'en vouloit plus lire , mais sa main ,
presque sans la participation de sa volonté , se mit à en tracer des
caractères ; et ces lettres grecques . il les savoit figurer avec une si
correcte élégance, que, se complaisant dans cet emploi manuel de
son habileté hellénistique , et ne pouvant délaisser ce grec dont il
étoit toujours amoureux , quoique alors il crût le détester , il écrivit
ou plutôt dessina de ces caractères, et en grand nombre. Heureuse
et sdutaire distraction qui no fut pas non plus un travail inutile.
IfENDI SBCXtND.
391
Dans In suite, il fil exécuter en buis la plupart de ces modMes. Quel-
les sortes d'alphabets? je l'ignore. Ce furent probaMement des capi-
tales de fortes dimensions . de ces lettres qui s'emploient pour les
titres, et auxquelles tout bon Imprimeur met une coquetterie fort
louable lors* ju'elle est de bon goût et ne s'égare pas dans la bizarre-
rie, ainsi que depuis quelques années on ne le faitquc tropen France,
en imitant et même en outi'ant les modMes caricaturés de nos voi-
insd'oulrc-mer. *
Cet ennui de l'étude, cette maladie intellectuelle ne dura que dix
douze jours, apri-s lesquels Henri , reposé, et; en quelque sorte
louvelé , reprit ses travaux avec un nouveau courage. L'nnnée
ivante, continuation des rnêmcâ causes de fatigue, et rechute plus
ivc accompagnée de fi6vre tierce et quarte. L'incapacité de travail
le dégoiît pour cette cause de ses souffrance, furent [>ou.ssés bien
lus loin celte fois que l'année précédente. Ses amis et les médecins
faisoient presque un crime de ses excès dans l'étude ; aussi en
»it-il venu jusqu'à l'avoir presque en horreur. - Ce fut à un tel
>int. dit-il lui-même dans la pr»''face de son Sextus, que je ne pou-
rois plus souffrir n'importe quel auteur. Tous les livres, sans excep-
tion, avoient pour moi un aspect sombre et repoussant ; et s'il m'ar-
rivoit seulement de songer à quelqu'une de mes précédentes lectures,
c'étoit me rouvrir une blessure mal cicatrisée. - En cet état de mal-
heur, il entre un jour dans sa Bibliothèque, mais se tenant les mains
devant les yeux, de ppur d'y voir un livre, d'apercevoir les auteurs
de ses maux. Remuant machinalement quelques débris de papiers
n)al rangés, il met la main sur des feuillets d'une version iatiïie de
plusieurs morceaux du Pyrrhonien Sextiu, ancien commencement
de travail par lui presque oublié ; leur vue le fait sourire . premier
* 1,'rmploi de a>a leltm onim daii» lo gf>i)t antifjueMt devciiii unr modr; on a
eoinineiicr |uir Im faiir cwtloiinii*n ri tiiurTv», i|u«li|iH'fu» grulvAqiirs. Ensuite on a
copie de» Irttrc» fûiiorieej des xit^, xv* et même xvi* »icclci, et on a Bdî par ni
cxêciiler dtr fonnCA DDurellca et bieu jilusâgrédblra. FjnpInyéeA à pruiios, rlles peuvent
riehcmail décorer lui livre; mais cet â-propos, trop souvent, on ne le rencontre pu.
On (;aruit. on enrotnbre une mullitiidf de K\Tes de cm leltrM dont le pliu grand dé-
but v%t quclqnerni\ leur faliftaiite profusion.
393
avant-coureur d'une heureuse cri*e. Il lit ci relii ces écrit»
que, si bien en hamiome avec sa situation présente , avec a
sanci'de toutes choîieâ. - Or advint-il que d Vntrve jp m'at
plusluzarrecervpaudela troupper qv\ trouvoit chaud ce
froid auîc autres, et noir ce qui leur estoit blanc : et ne M
quelle sympathie d'humeur, au lieu qu'autrcsfois jl m'avott
avoir frrandtort, il me sembla lara avmr la plus grande
monde* : voire jus*pi^
contient de cela, afin q'
tifipants du plaiîsir qu
(Conformité du françoi
feuillets <^rs, cherche
quel il a fait cette t^bai
dtécouvrir enfin, abana
moisi^ure. Les forces
pi-it^ la volonté du Irav
conipU'le sa traductioti latine
cette rnèine année 1 5C2 , ainsi que les Oraisons du rhéteur et p
snplir Th^tnistina ^ et plusieurs autres volumes. Le texte eri
6Vj-^/.¥ii'a l'U* publu' qu'eu KVil , k Tarib, en un volume iji-j
Il y a probablement quelque exagération , ou, si l'on veut, l
nage de Henri dans la manière dont il arrange cet incident ; ini
cet heureux retour de sa santé intellectuelle, est dû Taché vemer
plus imjjortant de ses ouvrages, le Thésaurus grœcœ hnguœ
après lui avoir coiité encore dix aimées de travail , parut en I:
dans la désastreuse année de la Saint-Barthélemi,
Henri est maintenant dans toute l'activité de ses travaux. M
gager ici dans la mention de chacun des Uvres sortis successiven
de ses presses, seroit, ainsi que déjà je l'ai dit, recommencer !
dizerfort et ferme pour luy.
n*eiitentloycijl le grec raâ?<;n
is, j'en h^ une traduction Id
Henri de Mesmes). Il rasserol
étude le vieux nian u &cri t d ad
luction ; il se trouve heureujÉ
& Uîi coin, à la poussière cfl
, et, avec elles, ]a vigueur d|
émet àTœuvre; en peu de td
, l'imprime, et k fait paroià
" Pel. l'al«r (Le Fel)\re ou Faiir), dans son Commentaire sur les Académique
CiwTon, IGll, in-4, fait remarquer que plusieurs passages de Sextus sont traduits
librement [andacins] par Henri ; et, page 32, il dit que dans sa traduction Henr
roit dû se rappeler diverses expressions de Cicéron qui rendent mieux le tc.\i
Sextus, et aussi <{ue dans son Lexicon C'iceronianum, il n'a pas indiqué les pas
qu'en a traduits Cicéron.
HBNRI SBCONO.
Sft3
le autre forme le Catalogue dont se compotte la première et la plus
ipurtaiitc partie de cet ouvrage, et dans lequel tous stint mis
)mmR en exposition sous les yeux du lecteur. Je dois donc me
»mer k parcourir rapidement cette bavante galerie, et ne m'arréler
'à ce quelle présentera de plus remarquable, ou qui me paroîlra
L*occaiiion de quel(|ues particularités louchant la pursotme de Henri :
nialgru tout mon dtS>ir d être succinct, je serai peut-être encore
>p prolixe.
L'année 1504 vit paroilre l'utile collection des FrngmeiUn Poe-
\rum veterum /atinnrtu/t , (jui n'a pas lH<! depuis remplacée par
plus ample recueil, ce qui maintenant pourroit se faire avec de
itables am*îliorations. Le Dîctionarium meelicum , accompagnt^
deux anciens lexiques, est aussi im de^ livres de cette année.
[enri , craignant de se fourvoyer dans une multitude de .locutions
lédicales grecques, soumit ses interprétations et définitions à son
ivant ami Conrad Gessner, qui vécut assez pour l'aider de ses
conseils, et pour lui témoigner sa satisfaction de ce travail, mais qui
mourut à la fîn de l'année suivante. Henri fut au contraire aigre-
ment censuré par Jos. Scaliger, ainsi qu'on peut le voir ci-dessus,
page 122. . *
Dans cette même amiée, Henri, en un volume de Dialogues latins
de Maturin Cordier. donna un spécimen de Dialogues grecs, dans
l'intention de faire pour celte langue ce qu'£rasme, et après lui
Cordier, avoieiit fait pour le latin ; mais il paraît que l'on ne fut pas
tr^ empressé à converser en grec, car Henri en resta à son essai.
E avoit compté sur plus de disposition des François à accueillir cette
tentative : dans une lettre ou dédicace latine à Henri de Mesmes,
qui précède ces Dialogues, d insiste sur l'aptitude et la disposition
naturelle que leur donne pour l'étude du grec la conformité par lui
démontrée du fran<,ois avec celte langue ; et la préface de la Confort
mité rappelant ces Dialogues comme une publication de l'année d'a-
vant, - en une Epislre latine que je mei l'an passé au-devant de
quelsques miens Dialogues grecs.... - il en résulte que ce volume
françois, ayant paru certaniement en mai 1565, les Dialogues, pa-
reillement sans date, sont de 1564, année de la mort de Cordier, et
non de 1566. où on les place ordinaircmcnt.
394 HENBI SECOND.
Dans ce même livre de Dialogues grecs Henri parle des Epita-
phes grecques et latines de Robert, son père , par lui composées et
magnifiquement imprimées [magnificentissime impressa). Ileif&it
aussi mention dans la préface du Traité de la Conforntiiê. (Test
ime grande feuille in-folio récemment retrouvée à la Bibbothèqne
Royale, et sur laquelle voyez ci-dessus, pag. 123, année 1564.
Ces Epitaphes, que l'on retrouve à la fin de Ârtis Typograplùw
Querimoniay ont été réimprimées par Maittaîre; je les ai doraiées
ci-dessus, page 346.
Le Traité de la Conformité, qui, ainsi que je le prouve, appar-
tient au commencement de 1565, fait voir que les travaux conti-
nuels de Henri sur le grec ne l'empêchtrent point de s'occuper très
savamment du françois. Cet ouvrage, quelquefois paradoxal, montre
une parfaite connoissance de l'une et l'autre langue, et sa lecture sen
toujours profitable.
Le Thucydide grec et latin vient clore la bste des impressions de
1564. Cette édition, à laquelle Henri ajouta un Index et seulement
quelques notes faites dans le cours de son impression, lui donna
cependant beaucoup à faire, soit pour le grec, qui fut scrupuleuse-
■ ment comparé avec d'autres textes tant imprimés que manuscrits,
soit pour la version latine de Laur. Valla, qu'il lui fallut corriger en
mille endroits, et dont les erreurs, jointes a celles du traducteur
françois, l'évêque Claude de Seyssel, avoient plutôt obscurci qu'in-
terprété le difficile texte de Thucydide. » , , . . Tibi Thucydidem meum
latinum, una cum gneco.... mitto. Quidni enim meum appellem,
cujus debetur maximis meis sudoribus editio ! &ed si féliciter sudatos
esse censebis, nequaquam me pœnitebit. Quantus quidem lue-
rit.... labor.... possis conjecturam facere, quod.... mediis médis
hyemis noctibus in medio Aquilonis regno sudati à me fuerunt....
totum diem partim domi cum variis typographicarum operarum in-
geniis altercatio, rixatus, tumultuatus, digladiatus. . . . partim foris
multiplicia negotia, eaque non admodum mihi jucunda exequutus,
tum demum quum tenebree oppressissent, ad recognitionem înterpre-
tationis Yallœ. . . me conferebam. - Lettre de dédicace à J. Came-
rarius : ensuite, dans son avis, LectoH Thucydidis studioso^ il rend
compte de son travail :
HBNRI SECOND. 395
V ... Hoc tibi persuade, me in conquirendis more meoveterum codicum
Icctionibus curam et diligentiam quantam potuerim mâximam adhibuisse :
nec minofi tamcn cum religione quam in aliis quosantehac edidi authoribus,
divcrsas editionum superiorum lectiones (praetereaB quse manifesté dcpra-
vat^e erant) vel in ipso textu, vet saltem in margine retînuisse. Imo alicubi
nimis etiam (ut ingénue fatear) religiosus fui : quippe qui îpsemet postea in
locis aliquol, quum eOB per otium attentius cxpenderem, lectiones margini
à me appositas esse animadvertcrim quas in ipsum potius tcxtum récépissé
debueram. Ac verçor ne mea in hoc quoque reprehendatur religio, quôd
nonnullas plané absurdas expungere ausus non fuerim. Sed ita me jamprldem
comparavi ut malim timiditatis in rébus hujusmodi quàm audacise culpam
snstinere. Hoc erat quod tibi primo loco exponendum censebam. Sequitur
alterum, in re porvi momenti positum (ut quidem pnma fronte videri possit),
sed cujus maximum esse pondus, quotidic in legendis authoribus experimur.
Qua igitur in rc alterum illud versatur? In interpungendi ratione. Quantum
enim obscuritatis buic autbori, nimium jam obscure alioqui^ex praeposteris
interpunctionibus accessisse existimas? Tantimi accessit, meo quidem
judicio, ut ipsummet Thucydidem antehac multos suae historiœ locos in
superioribus editionibus legentem, diu dubitaturum et haesitatunim fuisse
existimem... Si quis... roget an omnes prœposteras interpunctiones loco suc
moverimus, an quaecumque omisss erant addiderimus... tam exactam sanè
diligentiam nobis non arrogabimus. .'. n
U revient ensuite à la version latine de Laur. Valla, et à celle de
Cl. deSeyssel en françois, reproche à la premifcre inscUiam et ne-
gligentiam^ et ajoute : •• Miror qui fieri potuit ut qui de latinœ
linguœ elegantiis scripserit, tam ineleganti plenunque (nequid gra-
vius dicam) sennone usus sit : ac prsesertim temporum usum tam
pueriliter multis in locis confuderit. - Quant à la traduction fran-
çoise, voici en quels termes il la condamne : - Quid autem gallicus
ille nobis attulitt Risumsœpenumero maximum.... Necvero minus
iiifelix (imo seepe infelicîor) illius (Seysellii) circa latina (Valise)
quam hujus ( Vallœ) circa gneca erat divinatio.. . . -
■ Le Flofilegium Grœcorum Epîgrammatum, la magnifique édi-
tion des Poetœ Grœci Principes ^ l'Hérodote latin ; et surtout le très
singulier volume intitulé Jpologie pour Hérodote, rendent l'année
1 566 une des plus remarquables dans la carrière laborieuse de Henri.
Four le setil in-folio des Poetœ Grœci le travail de Henri suffisoit
chaque jour au tirage de trois formes / c'est-à-dire trois côtés de
feuille, une feuille et demie [Excmlebatur tribus formU). Il fit bien
3^(1 llENm SKCONIl.
plus encore pourl.e Theêmtm» Grœcat Hngu/e, dont Jes pa^^t-sej^r
jjées de lettres et d'une correction inévitabl*?iîi«nt compliqui^c , g^
trctenoieiit cependant deux presses [fhitAms prelis) .
L'HtTodote lalin fut pour Heiiri l'occasion d'iaiproviâ^ teiim
t'trange, celte Apologie, dont le iljle aniin^, souvent bizam*, na»
pittoresque et entraînant, mdgré de perpétuelles redites, planer.
auteur AU rang des bons écrivains françois de ce siède, à In «titi-
d'Atoyot et Montaigi l de l'ouvrage, -âan^ chen^
à établir un parallèle e fte production et les Noivlikn
Hnlmiti, avec leaquel fit plus don rapport , je tlt-
mnndtTai à tout Itali t bonne foi laquelle des dein
lectures il supporteroi' ie ce volume de Henri , ira
iFun équivalent nomb if ai renommé , et^ àmoniivb,
A t'iinuyeux Matteo B
Quelques différenct \ dans les exemplaires de 1'^
dition originale de 15 étires et de 572 pages, m'a-
voient fait penser qu'il pouvoit y avoir deux éditions i^us la même
date et avec U"'^ iiiêmL-s c.-aractî:u'os; mais je me suis assuré du con-
traire, ainsi qu'on peut le voir ci-dessus, page ï 27 .
Devenue subitement populaire parmi lers gens instruits, l'Apologie
eut roup sur coup une multitude d'ôditions, et piloria bien plus effi-
cacement ceux qu'elle harcelait, que n'avait pu faire le Compte reodo
de Robert, Censure dr^s Théoloj^âens, etc., qui n'eut que ses deuï
éditions, latine et françoise, et dont, pour cette raison, je réimprime
dans ce volume la très curieuse préface.
Le Recueil des Médecins grecs, traduits en latin, avec quelques-
uns des latins, est la principale production de l'année 1567. On a vu
ci-dessus, page 127, (jue ce livre fut l'occasion d'une querelle avec
le médecin Nie. Nancel, qui garda rancune à Henri, et prit plaisir,
douze à dix-huit ans après, aie dénigrer dans ses lettres. Cette ran-
cune se conçoit, c'étoit le médecin qui avoit tort.
Dans la préface ou épître de ce volume des Médecins anciens.
Henri, qui alors étoit dans le fort de son travail pour le Thcsaurvs
Grœcus, commence à en entretenir ses lecteurs :
« motus, no illud quoqiio opus repente inridoret in eos îeslimatores,
t|ui ad orniniin iil> aliiscommissominccnturias solobanl eonnivorc, ad ip^io?
lŒNRl SECOND.
397
docadns oculos plusquam Lynceoa aflîerrp. Viilgata, quiu tune onmiuai munî-
bus U'n'ltfiiitur, Lexici» nil oliud orant quàm omniforia, fiwi omni cureos
juiJicio. toiiiiurL-inutJu : Al V(>r6 in ^uu ThesHurOtpraHpniuuui qw^J nninui.
i|<i)>itd Ik'ri |H>hiit, e\ ipftiâ liaiir^rit fontibu.4 |t]iiod fk Pah^r pjtiB itubt'rtuâ iu
Uitiiio âtudioàt; fL-coral), oinnû«|ue suis atioloribus accepta luleril , sut» nu-,
mine queoquc (sivo antiquum, &ivo reoenlem sivi» etiani 9ui temitoris) de-
AÎgnançi, iU tamen ut suiim passim judiciiim intorpon^ret ; piwterquum
etium quàd uplissimiim ia (lis|>onen(liâ diviTtiis H)<:iiifiL:alionibuâdisting:uen-
disqiii' eanim excniplis onlinem tonueril ; dpnû|utî praUiriiuain ipiwJ in
iJnguAGnttcik rcc^rit [iinnsine inugno& propèincnnlibili li)lHiro}(puHl innulld
unquaiii nisi in Mubrdicîl faclutn fuisse audiviinus; clciiui in uliistlillk-dlinium
faciu esse, Inm vero in Gnecd ne fiuri quidem posse nmlti credidiTiril, ul
nimirum infinilain illam verbarum inultitudineni ad certa» rodices reduxerit,
tulamquesinLMilonim verlKtrum pn)!Utpiani Aub uno ni^pectu pusucrit,trittivum.
abiivuni proiivum avuni ordine cullocans : pro-'ter htec oninia, jam so pluriinu
rt'stituL^sv a>ïwruit in ils, qu<£suoTb8âaurocumuUiâ Lexiciâ communia âunl;
multo vcro plura, nlsi aninius & vires deesseot, reâtiluturus. »
Un choix de huit pièces des trois tragiques grecs est le précurseur
du î*>ophocle que Henri donna l'année suivante et d'un Euripide
dont la publication rçsta cependant en projet, et ne fut réalisée qu'en
1 602 par Paul . qui s'acqiutta de cette tâche difficile en digne fils de
Henri Eslienne.
£n 15G6, Henri avoit débutô dans les impressions en langue hé-
braïque [)ar un Alphabet , dont la publication faisoil au moins con-
noïtre que son Imprimerie étoit pour\Tie de Iwns caractères en c<;tte
langue, à laquelle lui-même n'étoit pas tout-à-faït étranger. L'année
suivante, une Grammaire élémentaire du même hébraïsant. An-
toine-Rodolphe Le Chevalier, qui avoit soigné l'impression de l'Al-
phabet, vint commencer l'emploi utile de ces caractères. Henri
avoit de grands projets sur les livres hébreux: mais l'entraînement
des éditions grecques, les interruptions . les l'carts de sa \-ie qui
bientôt va devenir plus voyageust? encore, l'ont empêché de don-
ner suite à ces projets et à bien d'autres d'une utilité moins res-
treinte. Ses caractères hébraïques ne lui ont plus servi que pour la
version syriaque du Nouveau-Testament qu'il imprima ei» 1569.
avec la Grammaire d'iunn. Tremtllius en celte même langue.
Le Sophocle et ses notes, lés Apophlhcgmcs grecs, le tr^s curieux
recueil in-8 des historiens romains, et deux petits volumes, miniatu-
H9H
f
ll£NBJ SECOND,
res grecques, dont un est f ouvrage de lltûpriineur. ronplisaesit
avantageu;àeinent3'aimée I5C8.
Le Xouveau-Testiimeïit grec , syriaque et ]atiji , avec la Grwii-
mairp syriaque^ Je petit recueil des Setitenoes des comiquc?â grecs et
celui des poi^ies de Théodore de Btze , auroient sufïi |>our touif
i'uniiée d'un homme moins actif. Mais alors Henri étoit dan« ]a chft-
leur de la composilior "*■ «'«-•™*»"'^"» du The^mirtts , vt ces djven
volumes ne furent ic ûu grand travail de Lextûo-
graphie,
Henri, pour (5chapj ients des correspondances îni-
portunes, publia un o é de beaucoup de grec , inti-
tulé Epistnia de suœ tutu , dans lequel il répand «n
une fois à de nombreu s pi^ce est iiislnictive et rare.
J'en réimprime de loi ilira, je crois, avec intérêt.
imiiri j'ai dû ne pas rej ïudede pages employées à de» j
exaniprd de variantes % imération d'erreurs reeemnues '
dans diviTs loxiques grec? et autres livras , soît grecs , soit latins,
enfin à Texposôet spécimen de la manière dont les mots dérivéi et
les composés sont, dans le Thésaurus, groupés à la suite des mots
simples ou radicaux. Tout cela étoit de la science fort habilement et
fort à propos employée, mais elle a porté ses fruits , et ces savants
détails auroient nécessairement aujourd'hui très peu de lecteurs.
Ceux qui ont le besoin d'y chercher encore une instruction utile
savent où les trouver, et à défaut de l'édition originale, peuvent les
lire dans Ahneloveen et Maittaire , qui ont réimprimé la pièce
en son entier.
Un autre écrit de cette même année 1569, Jrtis Trpographicœ
Querîntnnia, est surtout dirigé contre les Imprimeurs qui , par leur
honteuse ignorance, attirent le mt'pris sur l'art typographique. Ce
n'est gut're (]u'une déclamation versifiée, précédée de quelques pages
rn prose plus curieuses à lire que les vers. Comme le tout est de peu
d'étondue. je réimprime celte pièce avec l'extrait de la précédente.
On y aura une idée de la manière d'écrire d(! Henri , tant en prose
latine qu'en vers. Elle a été aussi im|)riméc par Almelovcen et Mait-
taire, et encore par J. R. Lottin . libraire de Paris, qui, en 1785,
l'a donnée on in-'i avec une tra<luction françoist*.
HENRI SRCOM).
399
.Théodore de Bèze , rie>*eim vieux et grave personnage ccck^iasti-
que, iHoit peinc^ de n'avoir d'autre édition de ses po(^bies que celle de
Conrad Badius et Roherl Es^tienne, 1548. in-8, daiià laquelle
avoient été recueillis des vers amoureux, ouvrages de sa jeunesse,
reproduits ensuite par d'autres Imprimeurs dans deux ou trois édi-
tions in- 16, sans date, Jtl insigne Capit'ts mortui ^ malgré l'auteur,
et pour le compromettre , disent quelques-uns , selon d'autres , dp
son consentement non avoué. Ils fiirenl exclus de la réimpression
de Henri, 1560, in-8 . qui est en outre au^mcntt^e et beaucoup
corrigée.
Malgré le surcroît de travail exigé par la prochaine apparition du
Thenonrnsy Tannée 1570 est encore riche df plusieurs importants
\olumes : le texte grec d'Hérodote, dont la version latine est de
I5GG, Conciones ex hisioricis grcecis et itt/inh, Diogène Laercc,
un recueil d'épigrammeâ latines traduites de l'Anthologie grec-
que, elc.
En 1571 , de même qu'au théâtre la veille de certaines grandes
représentations, ïlelâche. Le Thésaurus imprimoît ses dernières
feuilles ; la préparation et l'arrangement matériel de ses nombreux
volumes et de ceux du Plutarthus in-8, oceupoiênl le temps. 1'»-
pace, et sans doute aussi absorboîent les moyens pécuniaires, et
cette année ne compte aucune éditictn.
Le Thésaurus n étoit pas le seul grai»d ouvrage que Henri devait
mettre en lumière dans cette année 1572, qui lui assure des siècles
de renommée. Outre neuf autres volumes ayant chacun leur impor-
tance, de cette même année est le Plutanjue in-8 en entier, «Mition
modèle qui fut long-temps supérieure a toute autre i^ition. soit des
Vies, soit des Œuvres mêlées. On lui a trouvé de nombreux défauts,
mais ses titres à l'estime sont plus nombreux encore; et les savants
qui, par une succession de travaux plus ou moins heureux, sont par-
venus à la reléguer dans la catégorie des textes que Ton vénère,
HMiis (juc l'on peut ne plus autant consulter, ont payé leur tribut de
respect à l'infatigable et habile Imprimeur-éditeur à qui elle est due.
Ce que surtout on reproche à Henri pour celle édition, c'est de ne
|jas avoir désigné les manuscrits et autres sources qui lui ont produit
une multitude d^ variantes; et quelques-uns voudroient mfércrde
iOO HENRI SECOND.
cette réticence que son intention a été de donner plus libre carrière
à sa sagacité ou témérité conjecturale. Quoi qu'il en puisse être,
pour ce livre comme pour tant d'autres, il a su faire beaucoup mieux
que ses prédécesseurs et que plusieurs de ceux qui Tont suivi : c'est
de quoi on doit lui tenir compte.
Nous voici arrivés à la grande époque de la carrière typographiqae
et éruditc de Henri, à la publication de son grand œuvre, de ce livre
prodigieux qu'il a su faire sortir des mille et mille retraites dans les-
quelles la plupart de ses mots étoient ténébreusement cachés. Ce
phénom^ne intellectuel, pour être sainement jugé, ne doit pas être
mis en parallèle avec telles autres productions dont l'esprit humain
s'honore à si juste titre, et qu'il place au plus haut rang dans son es-
time. Ce n'est point l'enfant d'une brillante et riche imagination,
œuvre d'un poétique enthousiasme, non plus que la vaste conception
d'un philosophe ou d'un historien des nations; mais, pour n*être
qu'une compilation , un assemblage de mots et de leurs défini-
tions, etc., travail qui, à première vue, sembleroit n'être qu'un la-
beur presque mécanique, tâche d'honnêtes ouvriers Uttéraires, la
haute intelligence de son auteur en a formé la combinaison avec une
sagacité qui met ce livre dans le rang des œuvres de génie.
Il étoit cependant impossible que, dans la première publication
d'un tel ouvrage, et malgré la richesse de ses nomenclatures, l'exac-
titude de ses définitions, de ses étymologies, tout immenses et inap-
préciables qu'elles pussent être, il ne restât point un grand nombre
de lacunes à remphr, des erreurs, de faux jugements à redresser ou à
faire disparoître. Il y a un siècle, on l'a tenté dans un volumineux
Supplément. D'autres, venus plus tard, ont voulu reprendre en son
entier tout l'ensemble He l'édifice ; mais dans leurs efforts pour le com-
pléter et le parfaire, ils l'ont, en plus d'un endroit, embarrassé par
d'inutiles accessoires. . . Henri l'avoit prévu. » . . . . Metuo certe ne. . .
voces... quamplurimas... commentitias aut quoUbet modo roendo-
sas , quas ego relegavi ... in meum etiam illum Thesaurum intrudant. *•
Epistola de tuœ Typographiœ statu. Quelques pages plus loin, il
manifeste encore la même crainte : mais espérons que ce trésor de
patience, de savoir et d'un sens exquis de critique, existera un jour
purgé de ses fautes, enrichi de ce qui lui manque, et féliciton^noos
HENRI SECOND.
m
de co (|ne celte seconde cn^aLio» aura été accomplie dana la patrie
de Henri Estienne, où d»ijà elle est si heureuseintïnt avancée tjue son
entier achîïvement ne peut se faire long-temps attendre. Quelles que
puissent être les nouvelles richesses dont on parvienne à doter ce
Lexique, n'oublions cependant pas quelle prodigieuse différence existe
entre les difficultés de première exécution et celles des soins ultérieurs
d, riches d'observations séculaires, procèdent séparément, par in-
dividualités, réparent à l'aise chacune des plus foibles parties , et
s'avancent pied à pied dans une voie si habilement tracée.
U est très vrai que le plus llatteur succès d'estime vint accueillir
(^and ou\Tage; mais cet autre succès, récompense bien due à de
louables efforts, le succès d'argent, ne vint pas même rendre À
'Imprimeur-auteur les avances de son papier et de ses fonctions ty-
pographiques*. Ce livre, dont le prix de publication ne nous est pas
indiqué, étoit nécessairement cher et hors de la portée de beaucoup
de ceux qui l'auroient le plus désiré. Aujourd'hui même que les li-
vres sont prodigieusement répandus ci les biblioth&que8 bien plus
nombreuses, il y a tels ouvrages de publication utile, nécessaire,
desquels le public acheteur ne viendroit jamais rembourser les dé-
penses. Ils n'existeroient point ou niineroient leur éditeur, si un Gou-
vernement paternel et tklairé ne venoit plus ou moins aider les utiles*
fabrications qui ont lu chance presque certaine d'un produit inférieur
* Le négoce de Hmri avoil tvpriKljnt grand besoin d'iinr hciirrusr r( prompte
rcntrve de cm dépenies ; U lui nvMt Ullu du courage pour n« pas t'arréier en
ehemin. Voiri rp ipiVji )U5 i) éerivnil daiu wu èpilre k Hrurî ilr Mi*MHrf , m
t(te de b Conrormité du fran<;où avec le grec : « ... Totu ayaut de lonj; Icmps donné
Mpéranne d*uu gmnd The&aur de la lao^ie Grecque, H non seuleiDeinl k vous eC i
ploBCvre antres de n* nation, mais aussi i Iteaitroup d'islrani^ers, ... je vous veux
dédaiw l«aemt de oeit aftûrc: c'est, qu'il est bini vra^, que d'une part b pcsan-
Iflnrde cest ouvrage me fait rraimliv «i ctrclier des dèlait, si^arhaiit qu'i-Df mr fera
|)lo]rerlet reins : mtis d'autru part ta pesanteur de la perte qn'il me fauMra porttT à
faulio tl« poursuivre IViilreprise de cest ouvrais (à cause d'une grosse somme d'argent
a^agée aux préparatib d'icduy). me donne une seconde crainte, laquelle estant pluA
ffnod« , chaase la première vi m*af;iiîllnanc & hazarder et avanturer U foibleur de
aw» rdns. V* que l'expineiKv mocutrera (aver l'aidr dr Dieu) plustosi qu'on n«
«I
i03
ÏIENBI SECOND.
à ce qu'elles doivent coûter. Tout cela, sons être alorH d<^montr4«l^
formulé en axiomes d'écoTîomie cottmjfjc.iale, ii't^toU pas mai
du temps de Henri que de nos jours, ItHoit plus encore
monde instruit et littéraire, il ne se trouvojt peut-être réeUniil;
pas jissez de personnea ayant etx même tâmps pouvoir et voulo^ à.
fairi' l'acquisition df^ce dispendieux ouvrage ; aussi Tabrégé qoifofit
âiitjuitrmért^ent l'ait par un scnbe infidèle de^inl-iî pour H(
ruineuse concurrence,
si^T^aK^ le procédé ini
pntron. à son maître,
^tant pas accueilli, «M
origfiiial. comme sa cr
sa préface l'idée fondai
pusL^ïî îi ia suilo de leu
ces. . . in unum veluti fa
assiçiiavi : huic reliqi
d sans remède. On a
gtîapula qxii. présentant
'ftbrégi'^ du. T/tesaunu^
iil. l'imprime ocHname oui
mgit point de s'attribnw
groupé les dénvé^ et \m
,.. Omne.s ejusdem ori|
0^ ; primarisD... prîmuml<
,.. certo ordine digcstan
junxi,.. singula ad suuîn pnmitivum rPVDcavi... Etjma ex aptimii
quibusque scriptoribus desurnpta adscripsi. » II contîniie aîtiià à pn)-
clamer comme siennes et l'idée et l'application du système adopté
par Henri pour la combinaison du Thésaurus*. W ajoute ensuite
' Voici roinnicnt Ht'iiri . ilniis son Ep'istola ad Lectorem , du premier volume,
expose en i)iiui consiste celte comltînaisoii, de quelle tilililé il la croit , et comment il
Ta exécutée : " Ut .niiten» et ipse tie liai- sjh^ mea deque opinione quam coorepi jtidi-
cîum ferre possis, aiidi obsccro qua; iii Iioc opère prasliterini, et in quibus potis&imtUD
pra^^tnndis sudaverim. Priniùm qiiidem ineii 4>st iicc priiis aiidita vocum Gnecanm
dispositio, qiia e^rtim rnaviiiia pars ad suas ori^'iiies, tanquam rivi ad suos font», vd
slirpeA ad suas radiées, revoeautur : qua 4!eri\ala Qonnunqiiam ducenta, interdum Ht-
ceuta ad uniim primitivum ita rcdiicnntnr ut iiitcrim ne ipsa quidem permixtim col-
loceulur, scd in ccrios ordines dislribuantur. Hax autem séries (propter quam indiof
opus huic Tliesauro fuit, ut etiani in pra;fatioue illi prxfixa docuî) vix dici potest quàin
multa tuijiis lin^un; .studiosis affere cominoda et adjunicnta possit. Tria quidem crrtr
afferl loDgè maxima : <pi6d lectur magno laborc qua^rendi pcr diverses sparsa loci»,
et eadem in diversiis legendi, levetur : quôd à primilivis derivativa dignoscat, et quo-
modo farta: sint derivationes, primo aspectu inlueatur : quod uno eodemque looo et in
promplu i)âl>eal qufp muluam quodammodo lucem sibi aflerant, et sese mutuô expti-
cenl. Adde quod hffc séries Hiliores (ut ita dicam) redd«rc videtur Graecje linnue di^i-
HENRI SECOND.
i03
[u'aprbs avoir employé lieaucoup de lemps à achever son ouvrage,
absolventh} opère, il avuit |)ar ha>iard eu coniioi&sance de ce
ique ; qu'à la vue du tilre il avoit d'abord jug<^ son travail inutile,
is qu'un plus mûr examen et les conseils de ses amis l'avoieiil
îterminé à le mettre ei» lumit're. - In hoc opère abdolvcndo quuro
lurimum temporis contrivissem. ... incidi fort^ in Thesaunun ab
[enrico Stephano conatructum ; cujussola inscriptionelecta. existi-
ivi me actiim egisse. Verùm quum Thesaurum illum penitiliiis
itrospectum, pneter olia mulla à meo consilio discrcpitanlia, diversu
iam ab eo quem secutus fueram ordine scriptum ftiisse, re ipsu
'cognovissem, idque amicorum oculis subjecissem, ennim judicio fre-
tus, multisque rationibus adductus, ha?c tandem in iucem prodire
permisi. At vero. ne Thesauri illiuâ Herculeo sanê labore compositî,
autorem bene de literis mcritum débita laude fraudare, aut me alie-
nis piuiiiis vendilare vidcar, quid illi occeptujn feram . fateri non
gravabor. Quum enim in eo ïhesauro tanquam in penu locuplelis-
simo dictionum vim et proprietatem meliùs exprimi, significatione»
distinctiùs colîocari , pluribus apliori busqué exemplis confirmari ,
diversas construrtiones diligentiii3obser>ari, deniciuequœ tum vete-
res, tum recentiores Lexicographi, Scholiastaï. Grammatîci. et alii
in grœcs linguœ cognitione excellentes viri, ad hoc argumentum per-
tinentia scripserunt. pleniùs contineri et accuratiÏLs quàm in supe-
rioribus Lexicîâ collata exhiberi comperissem, ea inde poUssimum
deprompta meo mstituto accommodavi.... Sicut in eo Theaauro
multa. vocabula adjecta sunt qua; in aliis Lexicis desiderantur... -
Ce livre, que si tardivement il aperçoit par hasard après le sien
fait, ei dans lequel cependant il est bien îovcé. d'avouer qu'il a ph&
à-peu-près tout ce qui compose son Compendium, c'est précisément
ce grand Lexique dont, pendant plusieurs amiées, il a copié au net
tia.s : vx (juaB autea locupletisùiiu vcrborumquc ornais geoeris Foecuadi&suna rsK vimi
tvl, ut iumUo rlum ](M-uj)Mior fdt-iindioniuv quàm crediU sil coinpchalur. « El quel-
ques Ugnrs plus lois : •• ...Utuum Uisposiboucin illom nuhia»errrc duo puMinn : uli-
uim uihil milii ilebcret : twc me tue durem esse, wd dauoiutraUiD ab alio quopiam se-
qui oportuiasTi... Quum iimiti fA parli* viam. \el (kiUiu %uniin îiiexplirjbikMii firo-
n*m n Ul^vriitilieo umilcm cvniacin, quuoiodo uon hcsissev?»
404 iîESm SËCOMn.
la rédaction, et plus d'une fois corrigé les épreuves. Que, reWpr
Henri, Scapula se soit Dt^aritnoins impriiïK^, annonçant son afcrr
du Thésaurus conime plus usuel, et surtout plus achetable, an lumt
il ne se seroit pas souiDé d'un mensonge auquel « du reste, pcraotoK
ne s'est laissé prendre.
Lps privilèges que j 'ai indiqués pages 1 35 et ! 39 , accordes par l"
rai Charles IX, en 1561, et parreflapereur Maximilic^ II, en lj"ti.
ïrcfTrnyërent pas le s IMluel» en cas de poor^^f.
ils auroient peul-être |ter sans effet ; ces sortes df
dipluriies paroissant ictes de courtoisie prottctwin
que dea garanties séi Boncemoient non-setiiemmlle
T/icsfi(trus, maisaus itarque. Les G lossarta tutoie
sont point metitionné Si . ce (jui peut &ife ooftdoR
que ce fut seulemenl n de Timpreision du TJwjtt»
r/is que Tidée viïit à r les Glo^aii^es. I
Dans le pamphlet t tique la labnité de Juste 1j|M I
alors si renommé, DeJ. L.ipsii i^uimitale Pnlœjttra prima, laSâ* ]
on trouve, pages 51 et 220, un bout de dialo^e et quelques tks
grecs et latins dirigés par Henri contre Scapula ; vengeance bien in-
nocente d'une déloyauté qui lui étoit si nuisible. Les voici :
K-ENopHii.iîs. Sed ciir hase et ali;t quàni plurima ad Graec« linguaea^i-
tioneiTi pcrlincntia quai alibi postoa dixisti, inThesauro tuo tacuiati ?
■ coRONELLus*. Pracvidcram futurum ut in multomajoremmolem opusillod
cxcrosccret. Quaîdain etiam (ne quid tibi dissimulem) , in mentem mibi
tum non veniebant : et quideni nonnulla quoque eorum, quae tamen jam alibi
scripseram. Tantum enim negotii indogatio radicum mihi facessebat, quuma
nemine unquam via ad rem Utm difficilem fuisset patefacta, ut hoc memOTÎam
qiioque saîpe interturbaret.
K^NOPiiiLus. Qiiamvis plurima non ex iis quae cœleri dixerant, sedexis
qua? otxcÔEv (ex te) aflferre valde fructuosè poteras, a te fuerint prsetermisga,
fuit tamen quidam Scapula , qui ex illis etiam ipsis de quibus lectores ipee
monuisti, et de quibus moneri erat perneressarium , prorsus omisit.
coRONELLUS. Invertit ac [lervertit mult^i eorum quœ a nne dicta fuenint,
dum nieani mentem, atque id , quo utor, artificium non assequîtur. Addidit
absurdissimas et ineptissimas aliquot etymologias , quas , quod taies esse vi-
deram , de industria proelermiseram.
Coit>itvllu.s f.<(t II* iiuni S(cpltanti5 i\\n^ dans n-lle variante, esl toitt-à-fait taliniiîc
HBNBI %COND. i05
Opus redegit qui iUud in compendium ,
Impeadium in eo temporis qtiam maximum
Fecisse dicît; vellet id pensare nos
Suœ crumens maximo compendio.
Lectonun at ille maximo dispendio
Contraxit opus id , impoeuit et omnibus.
Pœna irrogetur haie , at non gravis tamen ,
Tantum esse dignum dixerim suspendio.
Opxia iriorroc nxftin yXâwriç leâwvntv ipaurraTf
AXXci irovouç xiç liihvç èirtTcpvot^ irÂuriv tpcarrcùç
É^Xa^ofôç yXômiiç ^fià Scirioroi to^uâv.
Non potuisse me a Musa mea impetrare ut de tanta epitomograpbi injuria tam
longo tempère sileret, testata est publiée posterior illius operis quod Thésau-
rus Lânguœ grœca inscriptum est , editio.
Quidam iinn{&vwv (discerpens) me, capulo tenus abdidit enaem :
^er cram a Scapulis y sanus at hue redeo.
AUudo ad vocem Scapuia, qu;fi oomen est iHius epitomographi , duobus mo-
dis, in voeabulo scapulis et in voce capulo.
Quant à une réimpresson , posterior editio , qu auroit faite Henri
très peu d'années après sa première publicaticm, bien qu'évidemment
il y fasse allusion dans les lignes qui précèdent» et que, sur ce témoi-
gnage, qui pouToit sembler incontestable, Maittaire, page 355 , dise :
- Posteriorem illius Thesauri editionem prodiisse tam certum est ,
quàm que prodierit anno, incertum ... •< il est maintenant démontré
qu'il y a eu réimpression de feuilles, de beaucoup de feuilles, mais
point une seconde édition. Voyez ci-dessus, page 138.
Voici des vers qu'on lit dans le premier volume, à la sixième et
dernière page de l'Ëpître dédicatoire de Henri à l'empereur Maximi-
lien U , au roi Charles IX. à la reine Elisabeth , et aux princes .
comtes, etc. , de l'Empire, plus dix autres dont quatre grecs et six
latins qui, dans les exemplaires datés de 1572, sont sur le titre du
premier volume.
HENR. STEPHANUS DE HOC THESAURO.
Hie Thésaurus , hic est , tua quem Gennania , Caesar ,
Hicquem, Carie, optât multis tua Gallia votis,
iOti
HENRi SECOND.
Hk' illis Thcâauro Arabuiu prttksior orntii .
Fiictoli îturirorts fiiLTÎt mage charus iiivnii^ .
{^ralior Eoo veuîentlbua icqiioi'ei gemmifi.
Gernianos ergo hic Gallownii* beabil , cl Atiglus :
At me, cujiis Opes tandem eoiisiimpait o|>jntaâ,
VeâLrum GSi {ait vobis ainl reloua Insato) boare.
tn8p«rata aliosTh
l'erre reperli>ri : (
Paupcriem , vilec
At me tonlrà ino.
Thésaurus, gazas<
Si tomcn bic anio
Cnnciliare inihi (q
Tuin verù haud at
Feceril id vulnus,
Bl^ fugari
arior a/ce,
t divile fBcIt
fmii avitas.
tclusque bcDi|tDtinj
\) valebit ,
ÛMt\ Pelîa^ liofila,
ibilur idem.
ije eoMfii,
©iiq-cry^cv yit'ou^i; ÀmtpaToç lEinv ŒpffTTPVj
AaA 5ui uTiatzupoij^ VTîCTOtuûQ; àlt-ijûptii, oûiçtoç'
Thr'^iuri mom{into iilii iJilant bt^antqiip,
El liK-iiJtit, OcËâum qui [iriùs Irijs eri^L.
Al Ttif'SJiJiLii îiio ïiu' L'X divile rïiiliJit tgiTniim .
El fiiL-il ut juvcru'iii riiL;ii seiiili^ arut.
;^C'[] riiihi frpiini tcvii l'-^Ij levi:? pïïL j;sçLun:i juveaLae,
Judifio haiJil lc\ i;? fst si hilxir iïjtf luo.
Après la publication du Thésaurus une nouvelle ère sembîe com-
iiiL'ncer dsin^ la \ïq. de I-bi-nri, Ix' dt'pliiisir peut-être de se trous'ti
pcrpétufllenit'iit eu prt'sence d'une itjasse de volumes qui se Vfio-
doieiit mal, \\i U^suin d'efforts exLraardmairi.râ pour les faire drctilef
au dehors}, dan.srAlIeinagîiu, et surtout j^ïar le mouvement de la foiîc
de Francfort rjui alors otoît le rendez-vous des libraires, comtûp
l'est devenue celk* de Leipsirk. i-l iiiêine avec plua de libraires évt^y
HENRI SEœND. 407
gers à l'Allemagne que Ton n'y en voit maintenant; c'étoient là des
motifs bien déterminants pour se livrer à la vie nomade qui avoit
pour lui tant de charmes. Il y trouvoit aussi l'occasion de continuer
ses habituelles investigations de manuscrits et antiquités littéraires ,
ses démarches auprès des savants , toujours dans la vue d'obtenir
des secours et des renseignements utiles pour ses éditions sous presse
ou projetées. Ses excur^ons, qui recommencèrent alors* non-seule-
ment en Allemagne, mais en France, et qui furent tant de fois réité-
rées, étoient quelquefois très longues, et de plusieurs années. Il en
fut ainsi jusqu'au moment de sa mort, qui eut lieu hors de son do-
micile. Dans les années 1573 et 1574, Henri, outre le Terentius
Farro et X Apollonius Bhodius , donna plusieurs volumes , soit par
lui compilés ou traduits et mis en ordre , Virtutum Encomla , /fo-
méri et Hesiodi Certanien^Poesis philosophîca, etc., soit<presque
entièrement de sa composition, teisqaeFrancofordienseEmporium.
Ce recueil, dans lequel se trouvent plusieurs pièces assez singulières,
est devenu rare : il est curieux , mais sans être cependant de ces
livres dont on ait à désirer la réimpression. Les scholies anciennes
de l'Apollonius sont celles de l'édition première de Florence , 1 496 ,
in-4 . Sur le titre de son volume, Henri fait savoir que par ses notes
on pourra connoître « quantam in hanc editionem contulerit diligen-
tiam. » S'il est un peu libéral de ses propres louanges, au moins
sont-elles justifiées par le mérite réel et la correction scrupuleuse de
l'édition. Elle se distingue aussi par l'intelligente exactitude de la
ponctuation, si incertaine dans beaucoup d'éditions de ces temps-là.
Quant au Terentius Farro de 1573 , on sait que ce qui lui a fait
accorder quelque préférence sur l'édition suivante de 1 58 1 est l'inser-
tion de plusieurs vers latins de Muret, parlui envoyés comme anciens
à Joseph Scaliger, qui les crut d'un vieux poète comique, et les im-
prima comme tels, page 211 de ses notes. L'irascible érudit , irrité
contre Muret, qui, par cette plaisanterie, l'avoit blessé en l'endroit
le plus sensible, ses prétentions à un savoir miiversel , fit contre lui
les deux vers suivants :
Qui rigidœ flammas evfiâerat ante Tholoese ,
Rumetos, futtko^ ^endidil iHe mihi.
40S HENRI SBGOND.
Voici ces vers que Scaliger crut de Trabea, et dont il Idœ bctt-
coup l'élégance : ils ne reparaissent point dans la réimpreasiao de
1581.
Hcre, ai querelis, qulatn, fietifaas
Medicina fieret miaeriis mortalium ,
Auto perandae lacrymae contra forent.
Nnac haec ad minuenda niala non magis valent
Quàm naenia prseficaB ad excitandos mortuos.
Res turbidffi consilium , non fletum expetunt.
11 les compare à d'autres vers de 1* Œnomaus du poète Acoas,
avec lesquels ils ont à la vérité beaucoup de ressemblance, et que
probablement Muret connoissoit fort bien, ainsi que trois vers gna
de Philémon, auxquels Scaliger croit ceux de Trabea emprontés.
Yen <fi4cctus.
Nam si lamentis allevaretur dolor,
Longoquc fletu minueretur miseria ,
Tarn turpe lacrumis indutgere non foret,
Fractaque voce Divûm obtestari fidem ,
Tabifica donec pectore excesset lues.
Nuoc heec neque hilum de dolore detrahunt,
Potiusqne cumutum miseriis adjiciunt mali ,
Et indecoram mentis mollitiem arguunt.
Voici les trois vers de Philémon :
Ae( Jô xXouffac Toû irovcTv iirerûcTO,
HXXarîopiO' &* Jdopuaf Jovtcç xpujtov.
Sans qu'il y ait à recourir à Accius, ni à Philémon, ne seroit-«e
pas tout simplement des vers suivants de Mellin de Saint-Gelais que
Muret aurait pris Tidée de ses six vers latins qui leur ressemblent
beaucoup.
Si pour se plaindre et pour larme jetter
On pouvoit rompre un malheur survenu ,
Les pleurs devroient poids de l'or s'acheter
Comme sur tout remède cher tenu.
Mais puisqu'un mal ne peut n'estre advenu ,
HENRI SECONn.
m
Soil qu'en pleurionit, ou riond Jour cl nuit ,
De quoy nous sert se plaindre et mener bruit
Et nous donner nouveaux maux et nkirme^,
Si n'est ainsy qu'un arbre porte fruict,
Ainsy douleur doit apporter dos larmeâ.
Une même pensée, et surtout ai elle est naturelle et juste, peut
1res bien être venue ù plusieura personnes. Voici quelques lignes du
cardiiiiil Bona dans le Chemin du Ciel : le savant et pieux Cardinal
n'avoit peut-être jamais lu les vers d'Accius, ceux de Muret, non
plus que les vers françois de Saint-Gelais, ni le vieux fragment grec
de Philemun, et cependant il a pensé à-peu-prfes comme eux tous.
C'est que tous ont eu une iilée juste.
• Que si votre douleur peut vaincre le malheur qui vous accable,
passez tous les jours dans les pleurs, passez la nuit dans la tristesse,
que votre douleur exerce sur vous-même toutes sortes de cruautés
[ Mais si les larmes sont inutiles, si les pleurs ne diminuent point les
^Knaux, apprenez à vouâ gouverner vous-même... - p. 125.
^V L'année (575 vit plusieurs publications dont la plus remarquable
^KSt la moins volumineuse : c'est le - Discours merveilleux de la vie ,
^Kctions et déportements de Catherine de Médicis, - in-8, de 164
^pages, avec date d'anni'e. sans nom d'Imprimeur. Ce pamphlet
ou liMIe. comme on voudra le nommer, et qui est généralement
mais sans preuves positives ", attribué à Henri . en compagnie peut-
être de Théodore de Bèze, fit tout le scandale qu'en pouvoit désirer
sonauleur, dont l'espoir, en traitant si rudement Catherine, n'étoit
sans doute pas d'obtenir la moindre influence sur les déportementâ
ultérieurs de cette reine, autant au-dessus de la crainte que du re-
pentir. Celte piëce se répandit très promptement , et de plusieurs
réimpressions presque simultanées : clic a été ausbi insérée dans
plusieurs Recueils de pièces sur l'histoire de France. Voyez ci-des-
Bus, page 143.
Le Recuàl des Orateurs grecs. Arrinnus tU ExpedUione Alexan-
dri Magni. et les Parodiœ morales , sont aussi de cette année \ 575 .
* Qudqtm-uiM Ir donnent k Jean de Scrref {/oamn»i StrranwS , l'atUcur de U vvnioii
Utiu; Àf- PUtoDr imprinée dans Tédilion de Henri.
m
(40 HRNBI SECOND.
Si Henri n'avoit pour titre et recommandation littéraire qnelei
vers grecs et latins contenus, soit dans le Recueil assez rare des
Parodiœ, soit en d'autres volumes tous mentionnés en ces Annales,
le renom d'homme savant, très savant, ne lui seroit point contesté:
mais ses titres de gloire littéraire toucheroient fort peu de lecteurs,
et sa docte poésie, à laquelle on ne songe guère, donniroît d'un sod*
meil encore moins interrompu; mais ce qui est toût-à-fait digne de
remarque, c'est l'étonnante facilité de travail qui, de cette multitude
devers presque tous composés en cheminant seul, et à cheval, ai
faliendum itineris tœdium, n*étoit pour lui qu'une manière de ré-
création, un délassement, et point du tout un obstacle aux occupa-
tions bien plus ardues qui remplirent sa vie si souvent errante et
agitée.
Le Nouveau-Testament grec; 1576, in-16 , est un volume peu
commun, bien imprimé : outre ime savante et longue pré&ce, et
d'utiles notes que Henri regrette de n'avoir pas eu le loisir de
rendre plus nombreuses , cette édition a l'avantage de contenir ce
qui n'a été ajouté à presque aucune autre, les vers grecs, ouvrage
de la jeunesse de Henri , et faits pour le Nouveau -Testament grec
de son pÎ!re, 1550, in-fol., auquel ils sont joints, mais revus et pres-
que refaits dans cette petite édition oii ils sont réduits de soixante-
douze à soixante. La préface a surtout pour objet l'examen des
textes et des interprétations. Henri y signale aussi l'impudence ou
l'ignorance de quelques hommes qui , dans l'Epitre de saint Paul à
Tite, m, 10, au lieu de kominem hœreticum dewUa, voudroient
faire lire : kominem hœreticum deinta (toile è vitaj, (tuez-en tant
que vous en rencontrerez).
Outre ce Nouveau-Testament grec, les années 1576 et 1577
s'enrichissent de plusieurs bons volumes, Denys le géographe , édi-
tion plus ample que celle de Robert, 1547 , Virgile, Horace,
Pseudo-Cicero, De Latinitatefalso suspecta ^'Epistolia^ et plusieurs
autres, dont l'énumération est en son lieu, ci-dessus , page 144 et
suivante. Dans le Recueil EpistoUa, à la page 1 17 , de la seconde
partie, se trouve l'élégante satire latine intitulée Lis , du chancelier
de L'Hospital, parmi les poésies duquel elle fut peu ^rès imprimée,
chez Pâtisson, 1585. in-fol. et que Henri, et avec lui d'autres
HENRI SECOND.
441
suvanls, avoient rrue l'ouvrage de quelque ancien poète dont le nom
«eroil demeure inconnu [incerti autoris). Quant à l'édition de Cic,
Eputolee famiiiares j de 1577, elleexisle bien r«^llempnt, et non
pas celle que l'on place à l'année 1557, dont celle-ci seroil la réim-
pression. Les Commentaires de Paul Manuce, qui forment une
grande partie du second volume étoient à peine ébauchés; en 1557;
dix aiis plus tard, ces Scholiesn'occupoient encore qu'environ 80pa-
gea : l'édition Manutiennede 1571 est la première dans laquelle
elles aient prit* plus de développement; et c'est sur celle de 1575 ,
que Henri, en 1577 , a dû faire la sienne.
On place à l'année 1577 le Virgile inS, sans date : en 1837,
sur mes listes j'en avois fait de même; mais il est dédié à Thomas
Redhiger; et dans les vingt-sept Lettres de Henri, publiées par
M. Passow, la neuvitme, datée IM. Marf. 1 576, parle de la mort
de ce Thomas Redhiger comme ayant eu lieu depuis deux mois :
Henri n'auroit pas ensuite dédié son livre à une personne morte au
moins depuis une année. Il faut donc faire remonter la publication
de ce Virgile jusqu'en 1575 ' : le Denys de 1577 est dédié à un
Redhiger, mais à Nicolas, fils de Nicolas, et sans doute neveu de
Thomas, qui venoit de mourir. Dans la pivface ou épître dédicatoire
du Virgile, Henri donne carrière à la causticité de sa critique; pas-
sant en revuequelques-unes des éditions de Virgilealoreles plus accré-
ditées, il déclare avoirtrouvé dans l'édition Manutienne 1 1558| errata
hmulievia ; quant à celle de Nie. Erithrœus (imprimée à Venise en
1538-39. et plusieurs fois depuis), il y voit de soties investigations
{stultam curiosUatem], bien plus que riiileq)rétation des endroits
difficiles. Heyne confirme ce jugement de Henri : - Inani jactationo
quam Henr. Stcphanus quoque subsannat in prîefatione suœ editio-
nis. in lucem edit Sabius incptam Er^'thrîei op«»llam. - Et à l'occa-
âion d'une édition nouvelle de ce même Virgile, faite à Francfort.
l» IfUn^ \X1I1 du méfa« Hwunl, lUtèe id. iiuin (11175], clan) Uqurlle Hiiiri an-
kDcv quf presque totu les livra par lui expédiés à Francfort (pottr la foire iJ<: Piquet)
m'iil iKTt daiLï uu naufr^e prooi Soloduram, ninitioime auuï Irn^oi il'eitviplairfu
df Virpif c! d'Horare. J'anroife pu, pt ilil peat-Arc, me bomo' è crttc «euU* pmn«
ir rUlilir ta dair de cc& driu cdiliotia.
lit HENBI SECOND.
1583, in-8, à laquelle FV. Sylburge dëdare avoir -apporté les phi
grands soins, Heyne ajoute : *• Mirari liœt virum doetum openm
Erythraei nugatoriam curis suis dignam habuiase. •• Henri Uàme
aussi l'inepte labeur (matœotechniam) de Jacqœs Pontanns et ks
énumérations de variantes ou fausses leçons (eUUierationum. entau-
rationes), C est un énorme commentaire qui a pa fournir quelques
corrections utiles : •< Symbolarum libri XVII , quibus P. VirgîË
Opéra ex probatissimis auctoribus declarantur, comparantur, iUu-
trantur, per Jac. Pontanum, •• avec paraphrase de six des douze li-
vres de l'Enéide. Ainsi que Heyne , je ne connois que l'édition de
1599 dont l'épaisseur l'efïiaya : » Ingens libri moles me determit,
quo minus eo uterer. » Il faut cependant qu'il y en ait aa moins une
édition antérieure, puisque de 1575 à 1577 Henri mentionne et cri-
tique cet ouvrage. Dans l'opinion de Henri, qui, avec sa dureté d'ex-
pression, n*en est pas moins juge très compétent, l'édition du Por-
tugais Ant. Goveanus(Govea)Lugduni.Sebast. Gryphius, 154M2,
in-8 , est Jœdissimomm mendorum sentina. Dans sa préface ad
Lectorem, il témoigne aussi son mépris pour le Vénitien commenta-
teur, ou plutôt compilateur de commentaires : ce doit être TéditioD
de Venise, 1544, in-fol. , pluâeurs fois réimprimée : pour le Bolo-
nois , c'est probablement Fr. Campant Quœstio Firgiliana , per
quam diligentissirnus poeta negligentiee absolifitur; il ne méprise
pas moins le Belge Jean Meyen , Bergizomius^ dont le Virgile est
de Venise, apudAldum, 1576, I5S0 et 1587. Le public a jugé
comme Henri , car le livre se vendit fort mal, et sous cette trifde
date il n'y a qu'une seule édition deux fois rajeunie par de nouveaux
titres. Quant à l'Horace , Henri dans le Pseudo-Cicero , dit que
depuis deux ans il étoit publié. Le Pseudo-Cicero étant daté de
1577, l'Horace est donc de 1575. lia été réimprimé en (588 avec
quelques augmentations prises d'un ancien manuscrit des Commen-
taires de Porpbyrion, et encore en 1600, par Paul.
Imiter la phraséologie de Cicéron, employer de préférence les ex-
pressions qu'il affectionne , est un procédé bon en soi , s*il est prati-
qué avec discernement , s'il est le résultat d'une étude sérieuse des
écrits de cet admirable modèle, et surtout s'il n'est point exclusif.
Mais le style pur cicéronien étant devenu, dans le cours du «eizième
HENIU SEœND.
413
ttède, utie mude , ime sorte de superstition littéraire , ce fui à qui
bien ou mal écriroit du Cic<?roïi. et les plus piètres imitateurs tinrent
à mépris toute latinité qui n'étoit pas à leur gré sufiisamment cicé-
ronienne. Pour bien imiter , au moins faudroit-il bien ronnoître;
mois te^ compilateurs ne faillirent pas à venir en aide à la multitude
cicéroniste. Un gros livre , Marti PsizoUi Thesnunis Ciceronianus,
mit à sa disposition des recherches toutes faites , un Cicéron dépecé
et arrangé en fa^on de vocabulaire. On pouvoit y apprendre à mieux
étudier Cicéron; on l'accueillit comme pouvant à lui seul initier dans
les set^rets du style cicéronien. On n'usa point de ce livre qui , à tout
prendre, est une combinaison utile, on en abusa. Il faut dire aussi
que le compilateur, dont la beso^e est assez judicieusement faite,
s'y donne cependant le tort de montrer de singuliers scrupules sur
l'emploi de ce qui n'a pas l'autorité cicéronienne. C'est contre ces
travers que Henri s'élève dans le traité De Latinitatefaiso suspecta,
et plus encore dans le NizoliodUiascaius , où il s'attache à faire
voir le ridicule de ces intolérants singes deCicéron, qui, non contents
de ne l'étudier que dans un dictionnaire , se privent volontairement
des enseignements précieux qu'oQrent les autres grands écrivains de
l'antique Rome.
L*anné« 1578 est signalée par la brillante pubUcation du Platon
grec et latin, édition d'une haute importance, et qui vaudroit bien
mieux encore si Henri , à qui des esprits fôcheux reprochent de ne
trouver bien que ce qu'il faisoit, avoit pour le Platon conservé cette
salutaire défiance , et surtout pour la version latine s'en étoit moins
rapporté au savant qu'il eut pour principal coopérateur de ce grand
travail. Voyez ci-dessus, page 145.
On voit dans sa préface qu'il avoit à cœur de faire de ce Platon
un livre remarquable pour la scrupuleu.se correction du texte, ainsi
que pour sa belle exécution typographique ; et, de l'aveu de tous, D
y a complètement réussi.
• Slalim aulem mihi in nieniem venit , tum dOmum Platone dignam judica-
luiii tri meam edilionein , si in rcgis philusupliorum libris excudeodiâ regiaiu
quîindam (tit itadicam] magnificcnliain udhiberein, ^ ulemendatissimi pn>~
dirent Ofioram darcin. Ao omne quidem mii^nitironliao^enus sUilim mihi|)r(»>
mÏBil tjuae apud me vsX non soliim anipla & varia, seii eltara prelias:i siit>cl-
i4i HENRI SECOND.
lex typogrophica : DBmque promûsis stetine, omnes, ut sperOy btebaDtar. >
H. Steph. Lectori.
Le Nizoliodidascalus est dédié par Henri à Hubert Langnet.
publiciste habile , connu par ses opinûma politiques hardies poor
ces temps-là , et notamment par ses FintUciœ contra jynumotj
I&79, trad. en françois par François Estienne, 1581 , iii-8. Danss
Vie, publiée en 1700 , se trouve le passage suivant snr Henri:
> Ânno 1578, Henricus Stephanos, cui dubium est an ars typogn-
pbica, an vero res literaria magis debeat, Langueto inscripat Xi-
zoliodidascalum , adversus quosdam velut minonun gentium Cke-
ronianos, qui latine loquendi normam non ex ipsius Ciceronis, sed
ex Nizolii duntaxat , et aliorum quorumdam observationibus han-
riebant, plerisque nugarum plenis et Ciceronis verba perperam in-
terpretantibus. » Huberti Langueti Vita, perPetmin LudoricoBi.
page 93.
Outre le Nizoliodidascalus ^ Henri donna encore dans cette
même annde 1578, Homerici et Firgiliani Centones, la pre-
mière partie de ses Schediasmata , livre de pure érudition clas-
sique, inséré par Gruter dans le Supplément du tome cinquième
de son Thésaurus criticus , et qui a dû être utile pour la correc-
tion de plus d'un ancien auteur, et ses Dialogues du nouveau Lan-
gage françois italianizé. Cet ouvrage ingénieux et savant , mais
dans lequel Henri ne sut ou ne voulut point garder mesure , fut
pour lui la cause de beaucoup de désagréments qui paroissent avdr
été ignorés de tous ses biographes, et dont le récent examen des
Registres du Conseil d'état de Genève me met à même de donner
une sommaire, mais exacte connoissance. Ce volume sans nom et
sans date , est bien de 1 578 , ce qui est prouvé par les incidents
dont l'exposé va suivre, et à leur défaut l'auroit encore été par une
des vingt-sept lettres de Henri déjà plusieurs fois mentionnées.
Le 1 1 septembre 1578 Henri fut mandé au Conseil et sévère-
ntent réprimandé pour n'avoir pas imprimé cet ouvrage tel qu'il l'a-
voit présenté en demandant autorisation de l'imprimer , et pour y
avoir fait de nombreuses additions. Henri crut à propos de s'absen-
ter de Genève et vint à Paris, où il resta pendant les derniers mois
de 1578 et presque toute l'année 1579 : c'est pour cela sans doute
IIENHI SECOND.
il5
qu'en cette année son Imprimerie ne produisit qu'un seul . mais trt>8
estimable voîuiiie , Theovriti , nlionitriqut' Poetnnim Idylliaj etc.
Favorablement accueilli par Henri III, il chercha à s'aider de cette
haute protection auprès du Gouvernement de G*n*'»ve. Le Roi s'in-
téressa en sa faveur et fit (écrire au Conseil en décembre 1579 , de-
mandant qu'il fut accordé à Henri un sauf-conduit pour venir se
disculper des calonuiies répandues sur son compte en son alisence.
Le 1 3 février suivant, M. de Sancy , ambassadeur aux Ligues suis-
ses, dit. dans luie entrevue qu'il eut avec Tliéodore de B^-ze et le
syndic Michel Roset, que le Roi lui avoit commandé de donner une
lettre pour Henri, - qui se fusclic de n'avoir la liberté de pouvoir
s'employer à l'impression comme il le desirpit , •• et que de la part,
du Roi il le recommandoit fortement au Conseil de Genève. Le sin-
dic Roset répondit que Henri s'étoit rendu s-uspeet en demandant
un sauf-conduit, que du reste il ctoït bien libre d'abandonner Ge-
nève et de rentrer en France quand il le voudroit. Henri revenant à
Genî've. l'affaire pour laquelle il s'en étoit éloigné fut , après dix-
huit mois, reprise, et le 12 avril 1580 il reçut Tordre d'apporter
l'original des Dialogues, alin qu'on pût le comparer avec le volume
imprimé, et vérifier s'il avoit exactement retranché les passages con-
damnés. Le Conseil lui rappela que déjà il avoit mérité de sembla-
bles reproches pour son Apologie pour Hérodote * et ses Epi-
grammes. Henri n^pondit que ce qui dans le volume des Dialogues
pouvoit être trouvé répréhensible, étoit mis dans la l>ouchr d'un per-
sonnage qu'il combattoit et réfutoit, qu'il avoit retranché les trois
passages qu'on lui avoit commandé de supprimer, et que Théodore
de Bèze, qui avoit lu le livre entier, n'y avoit rien voulu changer.
Sur celte réponse, le Conseil arrêta de lui iaire bonnes remontrances
et de lui défendre de plus imprimer aucun li\Te sans qu'il eût été
re\'u. Trois jours après, sur la proposition de Théodore de Bèze, (qui
cependant avoit tout lu saiïs faire aucune observation), il fut décidé
que le lieutenant (de police) feroit saisir les exemplaires de ce livre ,
* Ced explique la ràroprruîoo de hait pagn dans rédilion urigituledr TApologiV.
Voyez ci-deum, pag. 137 et 390.
416 HENRI SECOND.
et chez Heiiri, et chez les libraires qui en auraent. Un mens plv
tard le Consistoire fit compardtre Henri devant lui , Ini adresn de
sévères remontrances sur sou livre, lui dit qu'il abosoit des gnoei
que Dieu lui avoit faites, qu'il ne se soavenoit point des fautes qn'O
avoit commises en l'impression de l'Apologie, et qu'il ne pouvoit k
faire illusion sur l'opinion dans laquelle il se complaisoit, étant à bon
droit nommé le Pantagruel de Genèt^e et le Prince des jithêiUet,
Henri répondit fièrement que s'il étoit hors du Consistoire il n'endu-
reroit pas de semblables reproches , qu'on lui en voulmt, et qu'il &1-
loit être hypocrite pour plaire au Consistoire. Là-dessus on lui dé-
clara qu'on le tenoit pour profane et excommunié de l'Eglise : à quoi
il répartit qu'il ne se sentoit coupable de rien de mauvais , et qu'co
le jugeoit sans Touïr. Il fut arrêté qu'on le mettroit en prison. I^
Conseil confirma cet arrêt , mais fit élai|;ir Henri au bout de huit
jours» moyennant bonnes remontrances et après qu'il eut reconnu sa
&ute dans le Consistoire. M. de Sancy écrivit deux ibis au ConseO
à l'occasion de la punition infligée à Henri. Dans ces lettres il le
représente comme jouissant de l'estime du Roi et oonune ayant
rendu des services importants à la ville de Genève. Le Conseil ré-
pondit à ces lettres que l'on donneroit à Henri assurance de tnm-
quillité jusqu'au mois d'octobre.
C'est ainsi (|ue se termina cette désagréable affaire. Les torts
étoient du côté de Henri, mais on ^>erçoit que, sans le dur rigo-
risme du Consistoire, qui amena l'inconvenante réponse de Henri, le
Conseil n'auroit pas ordonné l'emprisonnement, n'eût-ce été que par
déférence pour les pressantes et itératives recommandations du roi
de France.
Le séjour que Henri fut un peu forcé de &ire à Paris en 1579
donna lieu à la composition d'un de ses bons ouvrages françois, de
la Précellence du langage françois, in-8, 1579, chez PatisBou- Le
roi, qui prenoit grand plaisir à converser avec lui, fixt un joor si
frappé de son plaidoyer pour la supériorité de notre langue , qu'il
l'engagea vivement à rassembler et développer toute cette ingénieuse
et savante argumentation , pour la publier en un ouvrage exprès.
Cette invitation, qui venant de si haut étoit un ordre, eut d'abord
pour effet de retenir Henri à Paris ; mais comme d'autres occupa-
tionâ littéraires y prennipnt son temps, roQvrage commandé restoit
là. Le roi, impatient de voir sous forme de livre ces conversations
qui l'avoienl si fort înKSresstf' , pressoil Henri qui , après plusieurs
promesses dilatoires, répondit au roi que, manquant de livres et pa-
piers restés à Genève, il n'étoit pas en possibilité de faire convena-
blement ce travail . •• Faites suivant ce que vous fournira votre excel-
lente mémoire, « lui répliqua le roi. D n'y eut pas moyen de s'en dé-
fendre; le livre fut fait , et bien fait.
Tout ceci est raconté dans les vers suivants que j'extrais du rare
volume Musa monitrLr fjn'nc/pum,^. 211.
Promisaum is (Henricuâ III) à mequum libnim quendam aiidiit,
.inguam sludebam que proharo Uallicam
îllere uliis omiilbuâ (scd t'xcipi
Grffîr^im volnbam, prisca qualem seruta ,
Illam audiere, non eam qualem soaant
Qui nuDc eorum postcri dici volunt)
Urgereccppit, hune ul in lucem darem.
Respondoo, A me scriptus uunduiii fuit :
Promisâus à me est. lla^c requirilscriptio
Queadam memoriœ subsidia. Scd hsec domi
Ame relicUi. Tune, Quid? an caput quoqur
Domi relictiim 1 (dixit) atâi non domi
Fuit relictum, memorÎŒ pars maiîraa
Remannt in illo. Si secuâ. dicenda «il
Vaido infidolisi tripla quum tamen tua
Tf^leottiriihud. Sit animus prasenïi Libi.
Boni lElud îpseconAulam quod srripscris.
UnuTO^■ideto, longa nesii hic mon).
Quod pollicetur (aie) MajcsUtï' tua
Consulen^ ses^ velle qua; scribam Iwni,
Alacriorctn jussa roddct ad tua.
Discedo honore la^tu^ : al \alde anxius,
Oneresub isto ne labans, sim fabula.
Tandem sod animum colligo : vires simul
Colli;!;erc conor. Ebm» mo LuU^UfD
Repulo. Librorumio liacltnlicorummihl
Scio fuluram copiam quid roboris
ELûtludaddit. Luna vix orbrm suum
Ter (credo) junclis cornibus rompleveral.
Offertur ille qaum liber, non qui foret
Olamo evaratiis, sed typnnim litms.
«I
(1S
HBNHI SECOND.
On peut remarquer i\\w Henri , ne le re^rdant néaiimoîn<^ que
conmic iine sorte d'ébuuclie d'un ouvrage à achever plus tard, l'in-
titula Project da livre de la Précellencc, et non pas Traité de la
Précellence,
Cette êminente protection lui eût été très profitable si les bien-
veillantes inte-ntions du roi eussent été sui\*ies. " Si mandatis em
obsequi niiTÛstri voluiasent , pneclare cum Stepbano actum fuisset;
sed res erat in Oallla incerla pendere ab iis qui Thosaurarii vocan-
tur, " dit-il lui-même dnns Musa prinvipnm nfonitrijr que je \\mA
de citer, et dont il sera encore fait mention un peu plus loin. Une
jH'atification de trois mille francs lui est accordée pour son ouvTage.
Muni de l'ordre royal, il se pr*^sente chez le payeur, qui veut qu'on
lui abandonne à-peu-près la moitié de la somme, et qui, sur le refbs
d'un aussi énorme sacrifice, répond que l'on pourra bien finir par n't-
voir rien du tout - le financier tint parole; car peu après Henri
revenant offrir son consentement à l'extorsion exigée, reçut |>our ré-
ponse qu'il n'étoit plus temps, et il perdit tout. Ce n'est peut-^tre
pas se rendre coupable de jugement téméraire que do penw?r que It?
Tkfisaurar'ms aura trouvé quelque innocent biais pour faire figurer
cet article, et en son entier, dans ses comptes de dépenses.
Suivant La Caille . cette gratification auroit été payée le 1 5 or-
tobrc 1 579, par le trésorier Pierre Mollan. De Henri ou de La CaiUe.
on croira qui l'on voudra, mais lorsque Henri déclare etimprinie com-
ment et pourquoi il a été entièrement frustré de la gratification du
Prince, il est bien un peu plus croyable que son confrère La Caille v^
nant plus d'un siHo aprhs avancer le contraire, sur l'autorité peut-
être des registres du payeur, mais certainement point d'après la vraie
pièce comptable, un récépissé de Henri. On voudra bien noter aussi
que La Caille donne pour cause de celte royale libéralité, non-seul»'
ment îeTraité de la Précellence. mais Y Histoire de Catherine de Mé*
dicis, selon lui composée, sur l'ordre du prince, par Henri, sous le
nom de sieur de Grière * ; c'est-à-dire que Henri 111 auroit d'abord
' r/eât &atudoi)l(r cl'a|tr^AUi Caille qucSnicbi4*r{1fiol, littci'airrdpnenrvv) faîttmrMl
â-pfii-pré» sfciWaWf, et poirr double ermir, ajoute que Henri prit, »mt le front»-
HENRI SIXOND.
M
ordoun*^, ensuite liliéralenient payé une satire des plus violentes con-
tre la reine bti mère. Assurément Lu Cuille u'avoit jamais ïu, ni vu cet
écrit dont il parle d'une façon aussi singulière. A la même page 1 35,
il dit aussi que Henri fut en ce temps-là envoyé par le roi en Suisse
pour la recherche de manuscrits et livres rares, et d donne copie du
brevet d'une pension de trois cents francs qui auroit été accordée à
cet effet. Envoyé, c'est impossible; ce n'est pas au moyen d'une in-
demnité de trois cents francs par an . qui d'ailleurs furent Irts mal
payt^s, qu'un roi euvuit; un savant à de difficiles investigations scien-
tifiques. Henri, se disposant à retourner en Suisse, aura reçu du roi
cette marque de générosité , avec la recommandation de ne pas né-
gliger la recherche de livres et manuscnta. Les choses ainsi com-
binées , toutes les convenances y sont , et le récit devient , sinon
prouvé, au moins vraisemblable. Voici, d*aprî?s La Caille, la copie du
brevet, que je trouve aussi mentionné dans la Table chronolt^que
des iVrchives de la Gianibre syndicale, manuscrit que j'ai déjà dté :
<i Monsieur de Sancy, j'ay accordé ù Henry Estienne trois cents livres de
pcmioD a jtrf'ndre |»ar rliacun an [lar Us mains Hes Trésoriers dos Ligues*,
pour lui donner tant plusdt.* niuyi'>n du s'eulrcU'nir, l'ii considéra lion des
services que luy et soa pri-décesseiirs m'ont cy-dovant Taits , comme jespero
qu'il 04>ntinuen) à l'avonir, tant du costé de Suisse que ailleurs, selon qiio les
oocosioni' s'en (wurronl offrir. Pour celle cuuse, je vous prie qu'au prochain
eslal que voiw dresserez dos |K'nsionnHires dpsdites Li^e», vous y employiez
ladite pension, et en faites payer iceluy Estionno comme les autres pension
miiresdL's<lit3 puyâ, et vuud ferez chose qui meseralrèsagréablecn ce faisant,
priant Dieu , Monsieur de S;mcy , qu'il vous ait en su garde. Ecrii à Paris,
le douzième jour d'aouât 1579. Ainsi signé liENRV , et plus bas Bhulart.
Cette faveur aupn>s du roi faillit être bien plus nuisible à Henri
(jue le manque de paiement d'une gratification. Revenu à Paris un
peu aprl's 1581, et admis en une sorte d'intimité dont l'abandon
avoit laissé échapper quelque confidence, il fut ensuite taxé de s'être
pennis des révélations plus qu'indiscrètes : et comme eft'ectivenient
des révélations avoienteu lieu, il en pouvoit résulter pour Henri de
pic* , k' lUFP de Siciir Je Grierr». Vitn pliu que La radli*. S«u-lii«T it'avoit vu «■ lÎTrr.
* La < JuUv. et ceui quî H'a|im lui ont ri|r i-rUn iiièrp. iiupruunil |mA^ rrreur l.igHvi.
iSi»
HENRI SECOND.
ïrfeâ fâcheuses conséquences. Ses dénégation» formelles ne persoa-
doient point le roi, qui se croyoit certain de n'avoir ainsi parlé qu'à
Henri seul. Mais enfin, après d'itératives supplications, le rm fai-
sant effort sur sa mémoire, voulut bien se rappeler qu'un autre aussi
avoit pu savoir de lui quelque chose à-peu-près semblable, et cet autre
ae trouva être le révélateur. Henri ne s'explique point sur le degré
de gravité que pouvoient avoir ces indiscrétions; on voit seulemetit
qu'il se trouve fort heureux d'avoir échappé ù un danger réel.
Robert vit aussi une trop grande partie de son temps se gaspiller
à la suite de la Cour ; mais c'est qu'il s'agissoit de neutraliser le
mauvais vouloir d'une autre puissance qui avoit juré sa perte : il
folloit se conserver une haute protection contre les incessantes
sécutions sorboniqucs.
Voici des vers du Musa moniirix , dans lesquels Henri raconte
assez agréablement, quoiqu'on vers un peu gênés, cette aiTairc qui,
à ce qu'il paroît, lui lit une rude peur. On les trouve dans Almdo-
veen , mais ce n'est pas une raison pour que je néglige de les nnettre
ici sous les yeux du lecteur.
Arcana princepa auribiisquxdïim mois
Mandanit : ilb posleii lieLect;! sunt.
Accersor, aU|ut* tratTiilus statim vocor;
Aliudque nomon p*^jiis hoc Luic additur.
Ego, milii quunivis o^ilime sîmconsciuSf
Trcmere gcnua snntio labanlia ;
[OuamUinc Jovtsesseprocul velim atque fulmine.)
Sijpp!o\ oloro lÎTitîua ne meo tnnocens
StiLioaliioc-ctilJiîi, rébus in muf^niâ, lucuui.
Hpgorebîtl illo : (^onsolus &ed tu Uimen
Es àolus a nie fuctus. Hic ego ; Tua
Pacemihi lire^lol(H|ui, qiioH suâpicur.
Pcrmisil illo. Tune ego : Tu foreiUin
An'anu l'I uliis trudidi^ti htei' uuribus.
XWc hi>o ni'i^abal. l'arsan huiid sates rneiuor,
Dicfbîmi. At illo âcitic4?l : Quaiido Libi
DbliviuBus adeu com^iertuâ fui?
Tandem voralo leste sff'pius Deo
Diiniltor. horrens [irlncipis i^nivcs niinas.
Insomnis illa noi^U* volvn pUiriina :
Occumltininjopriiliiiiiti quidaui meo,
HENRI SECOND.
i2l
Cui siigpicabar aperuisse principem
Eadein : Voloquo supplices hanc j^niliâin
SalU'tu obtinerc |mt preces a princii>f,
Istml revware >Uu1oat in menlcni sibi .
Annon et cjiià auribu^ cadi'in Tarent
Deposita: mulosed cilo spalenliain.
Suspicio nain si vana sic (dieo) tua «
Ipsamquoprincepâ dplegul, lune ullLTuni
Ar<piiris IiosUmu. Sed quid lilf tandem [teiis?
Qiieni snspic^kir, po^t duos lantumdit>â
Uttro menioriubu^K^ril euni principi;
Vocatur ille. Gamilœ convinHtur
Tundeutquti linj;uifi. Parla sio niihi salus.
Musa principum inomtrix, p. 87.
Les mélanges dVrudition classique intitulés Schediasmnia sont
censés repréaentpr le travail d'un trimestre : il y en eut un second
en 1589; l'année devoit être complétée par deux autres volumes
qui n'ont point paru. C'est le rossoniUagc des observations faites
par Henri dans le cours de son travail quotidien. Lui arrivoit-d de
recueillir ou imaginer une correction , une interprétation nouvelle,
une définition dont il n'avoit pas l'eniploi immi'diat, il en prenoit
soigneusement note ; et comme les occasions étoient fré<juentes . il
en résuUoit surtout une m^dtitude de corrections et variantes, et de
courtes dissertations pouvant avoir leur utilité . soit dans les mains
de Henri, soit poiu* tout autre éditeur, ou même seulement lecteur
de quelqu'un des anciens livret^ grcc^ et latins, dont plus de qua-
rante sont corrigés, annotés ou compan% dans ces volumes. On y
trouve aussi, et plus ejicore dans le second, d'autres articles, qui
font de ce recueil un utile Mémorandum de petits faits littéraires.
Henri y note, entre autres bévues, celle des Lyonnois, qui. en
1573» réimprimèrent le Thésaurus Intinus de son p&re, avec une
multitude d'additions faites à tort et à travers. Au mot Dimitiium
est cité ce vers d'Horace si connu : » Dimifùumjhcti, qui cœpU ,
knbet, H L. I, Ep. u. Ces éditeurs jugèrent k propos d'en faire un
vers pentamètre, quoique Horux^e n'en ait pas laissé un seul, et de
corriger ainsi : - Dimidium Jocti ^ t/m' bene itrpii, kabet. - Et
cependant Robert Constantin, habile lexicographe, qui prit soin de
rette édition, étoit un homme fort savant
iii
HENRI SECOND.
Eli 158t. parut l'estimable i^Iition grecque et latine de X^nophoii,
4ui fut dédiée à Jacques, âgé dedouze ans, et alors seulement encott
Jacques VI, roi d'Ecosse. Les notes de Henri y sont nombreuse*;
il y donne beaucoup d'élogesà Joach. Camerarius, pour ses verâtins
partielles, ainsi qu'à J. LeunclaviusfLoevenklan'l , pour sa version
entière de cet historien imprimée dans quatre éditions de Basle, de
1546 à 1572, in-fol. ; et, signalant les erreurs de ce dernier, Henn
est cei>endant assez juste pour reconnoître que le plus souvent c'est
cette traduction qui doit être préférée. Leunclavius se montra fort
offensé des critiques : dans cette querelle d'érudits, les torts ne furent
point du côté du caustique vieillard , qui s'étoit exprimé avec me-
sure , et envers lequel Leunclavius se laissa aller à des penâonnalités
oflcnsantes que l'on retrouve dans le Xénophon de Francfort publié
peu après sa mort , en 1594-96. Il reproche à Henri de donner
comme ses propres découvertes sur des manuscrits anciens de boones
levons déjà reconnues et employées par d'autres éditeurs; d'être, œ
sa propre opinion, le plus habile de tous les critiques, et de parler
avec mépris et ingratitude des iVllemands, qui l'ont si bien accueilli
dans ses divers voyages. Ce qui beaucoup l'irrite, c'est le sobriquet
de versiones hypocaitsticœ , donné par Henri à quelques mauvaises
versions latines ; et il ne lui pardonne pas non plus ses sorties contre
certains ignorants Imprimeurs allemands. Si prévenu que l'on puisa-
être pour les choses et les personnes de son pays, y a-t-U du bon
sens de se courroucer pour la défense de compatriotes auteurs de
pitoyables ouvrages, ou qui , parunesolle ignorance, sont la honlf
de ce bel art dont l'Allemagne fut le berceau? Mallinkrot ( de Ortu
et Progressa Typographiip) s'est mis en second dans les accuA-
tions de Leunclavius, mais non dans les injures. Il ne nomme paâ
Henri Germa/wmastU, mais il trouve aussi que Germaniœ partim
ififuits/uif. Que Henri ait plaisanté de quelques usages des Alle-
mands; quel est le pays qui ne trouve pas un peu étranges, ridi-
cules, certaines façons d'être des pays qui ne sont pas le sien f Henn
s'est moqué, on l'a injurié : c'est bien encore un peu ce qui se feroil
aujourd'hui. Les Fran<;ois se sont beaucoup corrigés de leur ten-
daiK-ttà une inoffensive moquerie; mais l'étranger veut^il critiquer
quelque chose de Framv, soit dans nos usages, soii même dans nn»
HENRI SECOND
caractëres et nos personnes, ce n'est point avec des plaisantcncs
^ bonnes ou mauvaises, mais presijuc toujours avet^ des expressions
^ déniji^rantes. Goethe liii-mcmc n*a-t-il pas rcrit quelque part qu'il ne
r pouvoit se figurer un François spéculatif. Ce mot, pour n'être pas une
discourtoise injure, n'en est pasmoins inconvenant, et d'ailleurs sage-
. nérahté lui ôte toute justesse. Hors certains moments passagers d'en-
i traînement jiolitique. on a rarement \ti les Allemands se laisser aller
à quelque éloge général de notre nation. Henri n*a été ni injuste ni
ingrat envers l'Allemagne , témoin ce qu'il en dit page 27 de son
Francnfonliense Kmftorhtf» : « Quum outem Germania tanlam li-
. bronun copiam studiosis literarum et ingenuarum artium in illa civi-
tate congregat, novum beneficium veteri addit. Cui Iteneficio? Ut
nulla natio in literas posl partam nobis a Christo salutem tantum
contulerit. De eo enim loquor quo typographicam artem excogita-
vit.... - Vient ensuite le grief d'avoir gardé i>endant dix-huit an-
nées entières la version latine de Xénophon sans en faire usage. Le
fait est vrai : voici comment il est expliqué par Melchior Adam, dans
, sa Biographie de Leunclavius (f7/<F Germnnomm P/ti/X On y voit
que s'il y a eu négligence, on ne peut reprocher à Henri ni indéli-
catesse, ni intention mauvaise. X Lite m ci super ista interpretatione
Xenophontea criticam et grammaticam raovit Henricus Stephanus ,
vir et tyïxjgraphus darissimus. édita in ejus errores insignes inquisi-
tione autoschediftstica (quam nonduni vidij. Contra et Leunclavius
de Slephano conqueritur quod contra fidem datam , et prêter offi-
cium vin boni, Xenophontis a se latine reddili exemplar, sicut^t Zo-
simi, detinuerit. Et fassus est Stephanus accepisse se illan» Xeno-
phontis versionem ab anniscirciter 18 : post 13. aut I4,amplius
annissibi nonvisam. Sed cum e sua supellectile libraria, militum
inruria, belli tempore aliquot libri incendie periissent , nescivisse an
in illorun» numéro Xénophon. a LeuncJavio versus. ïuisset. Tandem
inlerjecto anni amplius spatio hbrum inventum fuisse, situ obsitum,
et merabrana crassa qua involutus erat, conservatum. Sed de hoc
Kuod quisque volet. [Ex Pr<pfntionihtu et xcriptut Leunclavii]
On a encore de cette année 1581 le Terentius f'^arro, réimpres-
sion meilleure et cependant moins accueillie que l'édition de 1573
(Voyez ci-deasus, pages 140 et 407|; Hérodien, augmenté des deux
m
HENRI SBCONO.
livres de continuation par Zosimc. donnés pour la premiJïre fois,
et d'upi^ un manuscrit très corrompu. L'Mition de PtiMii Ept»-
îolof, sans date, mais bien de 1581 , est la premiiNre dos sept qu*«
donnèrent Henri et ensuite son fil». Toutes sont bonnes, etoepei-
dant il faut dirr le vrai, aucune n'a pris rang parmi les éditions ift-
cienneâ dont la possession est convoitée et quelquefois chèreniait
payt-^e. 11 faut encore ajouter les Pnrniipomena. grœca^ otimp
grammatical de Henri, et la rare collection des Lettres latinei <b
Pierre Bunel et de Paul Manuce, singulier |>arallële dans lequel lut-
tent d'(?l*^gance celles du Françoia Bunel, pures ciréroniennes, et
celles de l'Italien Paul Manuce écrites du style qu'il s'étott fait d'a-
près ses études sérieuses de Cicéron. Ce lut encore un entretien avec
le Roi de France qui donna lieu à cette curieuse publication . Henn
questionné sur la prétention des Italiens d'être les seuls écrivant le
latin d'une manière vraiment Cicéronienne. cita entre autres écn-
vains Françoi»-Pierre Bunel comme pouvant être avantageusement
compare aux meilleurs latinistes italiens, à Paul Manuce même,
dont Bunel avoit été le maître, et auquel dans ses Lettres latines
écrites sans être destinées à une future publication, il étoit en plib
d'un endroit supérieur.
Cette conférence resta dans la tcte de Henri; et. peu apr^. il
imprima ce volume de parallèle. Une préface ou dédjcace au Roi
rappelle cette circonstance racontée ensuite plus au long dans le
Musa mnnitrij: en une cinquantaine de vers latins que je crois i
propos de rapporter ici :
Rex me hîc rogavil, vcra glorialio
An essct iLalùm, proprium ciun dicerent
Hoc esse sibi. Cîceroniano scribcre.
Hespondi, al) illishue solere dicter,
Sod arrogant lus Umuod qiiâm venus.
Tune ilte: Gente nullus in noslni fuit
Mcndacii illoa, qui queaironvincere?
SaliL'in BuaeDuni mciiioria inihisu^t^cril»
Dixi 0»id? Ullum non Imbes quem nomincs,
Hune prœter'? Addo scrlpliUisse plurimos
Scrmone codcm pluriniascpislolas :
Et inter illos nomino Danesium.
Scd tBloor (iiiquuni} iiiriosam ci minus
HENRI SECOND.
as
Hanc scriptionem. siotit A nostralibus
Aliis quibu&diim, tune fuiâac : quod (lare
In puhljcum ilhirn non eU rordi foret.
Excq>il ille : Sod Italie quoi pra'dicant
Ciceroniunos esse sibi? Quiim quatuor
Dixisspm liaberf; Totne? ait. Quid^ iaus en
nti» tribuitur umniuju âufTrugiiâ ?
Uni tribuitur omnium sutTragiis
Manutio eut nomcD est : vix coïteri
Tantuni lulenint jam docus & ab cxtcris.
Si paiiciores forte sin! in Galliâ,
Uttisani sciât istml es^w Majestas tua
Ouoil pauciwes iwrlibus rnullis sienl
Qui scriptionis a^àtimenllaoLi hoc genuit,
Quanti œstimatur ab Italis : labore qui
Digoum estip cre<lant, quem riHiuirit, maximo.
Feoere verhu hxc ul videretur minus
Dolerc, nostraj (muciores Galliai
Ciceronianos cssc : Sod jussit tanion
Ki^rt't ul à me dtligens scrulalio.
Sljc svrmu iiipinori pcctore à me condilusi,
Et ciipiditali consona mea regiir
Cupido nitîntPïu non sïnit quiescerc.
Est sparsiw oraa donec à mp in pxtera»
llubf^ns volmnen & Diiticlii opistolad
Gallij & Italus Manutius quas srripseral.
Vel ipse titulus Galliaï magnum decus
TuHt, verumque non minus- Num Gallus hir
Bunellus, esse dictus osi Manutii
llagist(>r, ipM teste v«l Manutio.
Preefixe libro fuit & buic cptstola
Mea regem ad ipsum : Lon^ra & iUic menlio
Sermonift, hâhitUï; qui fuisset antca
lllumint4Tuc me, <;loriantibus super
Italie «ibi es^e prophum srientiam.
Oblaluftilli guudium summum attulit:
Quod ar);ueb<it umnibuâ quantum prius
ilCgreid tuliâael ; pauciores Uallio:
Ciceronianos esse. Quin ei plurima
Loquuli» est id amplius te^itantia^
Sibi ni) honore rJariiis gcntis suae.
Musa principum monilrijo, p. if 0.
426
HENRI SECOND.
Dans les Parnh'pnmeun sont quelques dol fiances sur riniîdélitÂsi
nuisible du plagiairt' Jeaii Scapula. On y voit axuisi que Frédéric
Sy!b»rge fut formé aux lettres grecques par Henri , qui déclare ne
pouvoir st? glorifier d'un meilleur diwiple*; et ce savaiil, mt>de#l«
autant que distin^oié, n'hrrîite pas à reconnoîlre dans plusieurs df
ses éditions combien il sVHoit Irouvé heureux des leçons d'un toi
maître.
Une lettre de J. Sambucus, vraiment ami de Henri, qu'en quel-
ques occasions il avoit aidé de sa lM)urse et de documents litttTaire£.
le presse vivetncnt de ne plus différer son édition projetée de Dio^
coride. pour laquelle même il lui envoie quelques matériaux. Déjiî,
dès 1577, d&ns\e Pjfeu/Jo-Cicero, Henri écrivoit à Sambucus ; • At
ego (dices) meum Dioscoridem a te expectabam, cum quo nihil com-
mune habet tuus Pseudo-Cicero. Ne igilur in immerentem Pseudo-
Ciceroiiem, lon^ore expeetatione tui Dioscortdis oflensus, stoma-
chum erumpas, hujus editioncm cum nm^io studiosorum medicins
commodo differi soilo, ut unn eodcmque temporc et tuis illis utilw-
simisca:5tigalionibTis velut renovatus, cl nova intcrprctatione latiiia
donatus prodeat. •• Pressé par c«t illustre savant (|ui, pour réditiun
de Diosooride étoit son Mécène, Henri chargea le médecin J. Ant
Sarrasin jSarracenus) de revoir la version latine de J. Rucl (Ruelliust.
qu'en 15 16 avoit imprimée le premier Henri, sans le texte grec, et
qui laissoil beaucoup à désirer. Sarrasin, rebuté de l'ingratitude
d*uneteîle tâche, prit le parti de faire une traduction nouvelle, et il
l'avoit presque achevée, lorsqu'on 1584 la mort mopinée de Sam-
bucus découragea Henri, qui d'abord ajourna l'édition, et finit pw
ne point l'exécuter. Plusieurs annûcs après, en 1598, précisémcDi
dans l'année de la mort de Henri, Sarrasin imprima à Francfort
cette version avec le texte de Dioscoride et des notes. Dans sa pri*-
faccil se plaint de ce qu'après plusieurs années de promesses plus
d'une fois réitérées. Henri n'avoit point fait usage de ce travail, qui
cependant avoit été enti-epris d'après son invitation.
■ " Fr. Sylhiiriîio (lam beoe Graecjp [un^ux ongiiilionp iiuQuclo ni nnUo
nt»gis dfM'îpnln poMÎni glorinii, iiiT,iliii« nlin tillo po*<i!l Eortflhftc.-} ^ifmonino u 6
IlENni SECOND.
Le 1" août 1580, Henri avoit deinaudu pennîasion d'imprimer
les Prhtcipio JiiriSy ce qui lui fut accordé à condition qu'il montre-
roil à un des ministres les feuilles à mesure qu'il les imprimeroit.
C'est le volume Juri.f cii»Uis Fontejt et liiviy 1580, in-8.
Le 1" septembre 1581, il fut cité pour avoir imprimé sans per-
mission C.S'igonîi Fnsti vnnjtulares. Aprt»s l'avoir vertement répri-
mandé, on le condamna à une amende de vingt-cinq ccus que le
1 6 mars 1 582 on réduisit tt dix, payables en trois semaines.
D'apriV ce jugement on ne peut douter que le volume n'ait été
réellement imprimé. A-t-il été supprime et mis ù la rame avant
ou aussitôt apriïii son achL'vement, c'est ce qu'il est impossible de
savoir. Mais dans aucun des livres, Catalogues ou autres qui au-
Toient pu en faire mention, je n'en trouve la moindre trace, tandis
que les autres éditions de cet ouvrage, sans être des livres communs,
ne sont nullemejit introuvables.
Ilny a t^u que deux volumes en 1582, le Nouveau-Testament grec
et latin de Th. de Bèze, et un ouvrage latin sur la langue françoise,
Hypomneses de Galllca Lingua, etc. ; deux en 1583, Kirgilius
vuni scholih H. Steph., et des Commentaires latins sur cinq des
petits Prophètes : rien en 1584 ; Henri étoit alors entraîné à ses ex-
cursions les plus prolongées.
Christophe De Thou. premier président au Parlement de Paris,
magistrat honorable, mais dont une des plus glorieuses illustrations
est d'avoir éti' le p^re de l'historien, étant mort en 1582. Henri lui
fit une épitaphe grecque et (juatre en latin • on les trouve dans le
Tumutui C/tiijtfophorf Thuani^ Pâtisson, 1583; je les donne à la
lin de cette notice.
On a phisieurs fois imprimé une lettre de qucU^ues lignes, fort
affectueuse, adressée à Henri, et qui se trouve au volumineux Re-
cueil des Lettres et Ambassades du cardinal Du Perron. Celte mar-
que d'estime est flatteuse, sans doute» et les nombreuses impressions
faites beaucoup d'armées après pour Du Perron chez Antoine, le pe-
lit-rtls de Henri, montrent qu'il avoit conservé delà bienveillance
|M)ur cette famille; mais il ne faut cependant donner à cette lettre
que rim|M>rtance qu'elle mérite. Ecrito en 1582, elle n'est point du
cardinal, ni même de rcvèt|ue d'Kvreux, comme le qualifie préma-
128
HENRI SËœNL)
lurénieiit Muiltuire, mais de l'abbé Du Perron, donnant peut-être
cncortï des leçons de langue latiuc, vi ne pouvant ^ère présumer
qu'un jour il seroit émincntisstinie et révt^rendissime cardinal . Du Po^
ron fut fait évoque îorsquaprès la mort du cardinal de Bourbon
(Charles X| il se fui attaché à Henri iV.
Voici la lettre :
A Monsieur Henry Estienne, à Griéru.
Monsimir, ayant ïrmi\-é Monsieur rie Vigenpre •, sur lu Hoslnro d'une
qu'il voiLs envoyé, je l'ai voulu acconipagfvpr do ce mot pour ni*entr(*lcnî
vos bonnes grades, el vous prier de oroire aus&i qu'il u'y a homme en Fiaw
qui de plus prto accompaigne. l'amilié et atrecliun ({u'il vous a vouéct». dt
laquelle Je vous donneray preuve en toutes les occasions ou il vous plain
inVniployer, et d'aussi bon cœur que, saluant vos bonnes grâces, je prie Dieu,
Monsieur, vous donner en santé longue el heureuse vie.
Votre phia anw^ionné amy à vous faire service, De PeuioN.
L'sinnre 1585 se passa à Paris, où Henri fit deux bonnes éditions
in-8 d'Aulu-Gelle et de Macrobt, Depuis long-temps ces deux pabH-
calions iHoient dans ses projets littéraires, et il en vouloit fatre un
seul grand volume in~4 ou in-lblio. Ses amis le dissuadèrent d*ttne
réunion qui pouvoit écarter plus d'un acheteur, et il se décida à faire
deux volumes séparés et de format portatif. Plus tard, ainsi qu'il le
dit dans la préface du Macrobe. il eut regret de n'avoir pas, suivant
sa premiiTe intention, fait un l>eau et jp'and volume. Je ne sais quel
Imprimeur fut employé pour ces éditions, sur le titre desquelles un
litsculement : Parlsiis, m. d. lxxxv, cum privilégia, etc., ce que
Henri ne peut se refuser de faire remarquer dans l'Epître dédic&loire
du Macrobe k Jacques Danès, où il s'excuse de ce tjue cette édition
cuJHS erat procurator^ dont il s'étoit fait l'éditeur, non tnlis esttt^
qualis ex sua offîcina prodiisset . Robert, son neveu, ou Manuït
Pâtisson l'eussent ser\i comme le typographe Henri niéritoit de
l'être. L'Aulu-GelIc est curieux, surtout par une longue préTarede
Henri à Paul, son fils, datée 10 Cal. april. 1535» très bonne à lire
encore aujourd'hui, parce qu'avec divers détails littéraires, elle con-
* Binisf df Vi^piieiv, auteur de plu»cur& nuvragfs, et surtout de trftdiictiom
i;oise^ tbr( vante**» daiii» tcur icni^ts, mau 4|ui mjiiI niaiiituiidiil liur» d'usrig^.
HENRI SECOND.
M
lient sur cette famille des purticularitéa <]ue l'on ne retrouve dans
aucun 4^crit contemporain. Ainsi qu'on l'a vu plus haut, page 388.
Henri y exprime ses regrets sur le décbs de sa seconde femme, mère
de Paul. Il exhorte son (Us à marcher sur les glorieuses traces de
Robert; et, sans doute un peu contrarié de la mesquine exécution
de ses deiix in-8, il le charge de dire en son nom k ceux de ses amis
qui espéroient de lui quelque édition grecque, qn' aucune, même avec
ses soins personnels d'éditeur, ne pourrait être digne de lui que faite
dans sa propre Imprimerie, et non dans uneoflicinc étrangm'. 11 lui
recomtxiande tout |jarticu]iî?romcnt la lecture d'Aulu-Gelle ctdeMa-
crobe, dont il lui promet l>eaucoup d'instruction,
- At Germani tamen (dicet aliquis) sicul et GalH alque Itali.
Graîcoruin scriplonmieditiones uvidiiis à te expeclant. Veriim ille
ex te hue uudiat. nullius Gneci scripturis editionem, me quidem ccrtt'ï
dignam, posse itidem ex aliéna offîcina, me procurante tantummodo,
profîcisci, sed meam sicut operam. ita et ofBcinam reqmrere. »
Prœf., p. 2*2.
Cet Aulu-Gelle est sans notes, bien que Ion devroit croire le con-
traire si Ton s'en rapportoit à Teisaier , à Maittuire , p. 4.V2 , à la
Bibl. lai. m, p. 9. Teissier, qui sans doute n'avoit jamais vu ce
hvre, accuse Henri d'avoir donné comme sieimes les notes de
L. Carrion ; et non-seulement ce livre n'a point de notes . mais
la préface exphquc comment et |>ourquoi il n'en a aucune. Le titre
les amionce comme étant non pas dans le volume , mais alors sous
presse, - .... cumnotis Uiri CarrionU pretnjnmtratiitùi^ " cequi
ôtoil vrai ; et il n'en est pas moins vrai que par le fait de Carrion lui-
même Henri se trouva hors d'état d'en achever l'impression. Mait-
taire fait autrement ; il cite, m'ec guillemets, un long pas^^oge de la
préface, mais inexact et change de discours direct en discours indirect,
et le termine ainsi : - Quain cunctalionera non amplius ferens Ste-
phanus Gelliura cum bis quas Augerio Busbequio dicatas à Carrione
obtinuit, notissine reliquis manumisit. - Voici le passage exact:
- . . Tolis oclo post Gellii impressionem mensibus, septera duntjixat
illanitn notarum folia... ab eo (Lud. Carrione) vix extorqueri potue-
runt. Quum igitur tantam cuuctationem ferre amplius non possem.
l't notis illis, (|uaruni prtci'ipuum munut^est , noniinii )ibtx>runi veto-
«in HENni SECOND
ruin uiidcîsingula' cjuas ista L»ditio afleri emendationes pietha* sont,
lec^iiîîLTC , Gfîlliuiii ravere postie animadverlereni ; eum nhM|Uû illi
manuiicrîptorum recensione maiiurnittendiim e^se jtulic&vi , &U}ur
iiâeo nmnumisi. ■■ Pra:f. , p. 21 *.
Pour compenser l'abseîice de notes. Henri ajouta ses Nwtes Pa-
rhinœ^ e •vigiriii septem^ les u', in", iv*, vi' vu" et viit*. toulesreb-
livt*s iî Aulu-Gelle. Dj — " ^ — ''înlraductian tenant Hpu Hp Ib
r^ Nuit, Henri parle d côime étant li?rnimées ; majé
011 ne les u point vut?s \ >
lî paroît que dans fcri fit beaucoup d'heorfuso
rorrertiotisù l'aide de] tîls anciens, et surtout d'an,
trrs bon, que lui avoil hou. U eiit été ai>3ez curieux
df le retrouver pai-mi i«cinq manuscrits aîiricns de»
iVèrt'^Pithcm, quifure] ptilâ37'*, avec les lÎTresds
ht duchesse de Berry ; p^limt.
Dans la préface à J» pmmet la prochaine jrablîca-
tfûn d'un Opust'ulo deMacrobe, ou extrait de s(?s ouvrages, De Dtf-
ferentiis et Societatilm.t grœci latiui(iue f^erùi , imprimé depuis à
Paris, 1588, in-8, et peut-être avec la participation de Henri. Dans
l'Aulu-Gelle, ainsi que dans le Macrobe , Henri se plaint de ce que
L. Currion s't'toit permis de changer dans les textes des leçons très
tolérables, sans en avertir le lecteur , quoique cette précaution lui
eût été particulièrement recommandée.
Les Noctcs Parîstna', mises à la suite des Noctes Atticœ, ajoutent
il l'intérêt que mérite cette édition, et cependant on ne songe plus
* Dans la iiunu'iiclalmr, paf^e 150, à l'arliclc Auhi-Gelle, i585, on voit Texplica-
liuii uelte cl précise lic celte l'spècc d'iralnofîlîo. Je n'y avois pas iutroduit ces du-
lioii.s pour ne pasélenclrc uulre mesiiiT la note déjà luii};ue.
*■ On s'élonneroil peiU-èlre de trouver des manuscrits grecs el latins dans uue rol-
Icclion principalement formée de livrer de luxe (et pour l'usaije d'une dame), si l'on ne
savoit que M. le marquis de Rosamho avoil ohlerm la permission de joindre à cette
\eule plusieurs manuscrits de sa Kililiutliétpic. C(^ manuscrits se trouvoient daus la Ea-
mille des Lepcllelier de Rosambo par suite du mariage Je Marie TEschassier. petitr-
lîlle de Pierre Pilliou, petite-nière de Fraii<;ois Pilhou , avec Louis I^'|H'Iletier, secn*-
taire du Roi. père de (lamle Lepelletier. cpii fut roulrnleiir général des fînaiices après
iiollMTt {Jimmul ihs Sauini^. av ni ls;tD, pa^. 2:1:1).
HENRI SECOND.
431
gtii-roni à cet Auliï-Gelle, ni ùce MarrolK!. D'une plus satitïfaisaiite
exVMnilinîi 1 y|M)jtj'mi)hique , il est prtibaî)?)' fjue Ips mitres avantages
qui rcconiinandciil ces deux alitions eussent t'U» inoiïxB oublit's.
Dans la seconde et la troisi^me des Noctes Pariainœ, Henri prend
vivement' la d*^fense d'Aiilu-Gclle contre la censure oulrageuse du
grammairit^ Louis Vives. Le critique latin a traité fort mal Si*nô(jue
dont s'enorgueillit l'Espagne, et c'est par d'orudites injures que
l'E^liagnol Vives prétend venger l'honneur national. Henri ,. impri-
mant Aulu-Gelle, s'éltve contre cette malencontreuse attinpie ; mais
ne pouvant se dissimuler que de son côté Aulu-Gelle uvoit passé les
liornes d'une convenable critique , il croit devoir ù son tour écrire
une Apologie de Sï^ni-que. Cet opuscule, par lui commuiuquc ù quel-
ques amis à Paris, et lors de sort retour à GenHe , à J. Dolechanip
le Lyon, n'eut point leur approbation, et fut trouvé froid et peu
r*ubstanlie]. Henri, qui voulort donner une ('•dilion de Sénèque . que
cependant il n'a point exrcutc'e, remplaça son Apologie par un i^crit
prt.^paraioirc à ta lecture du philosophe de Cordoue. C'est le volume
de 1586, intituli^ : jld Senecœ iectionem Prunt/opo^ia \prœpora(io)^
Il y joignit queliiues lettres par lui écrites à J. Dalcchnmp sur le
même sujet, les unes ayant pour objet des corrections de texte \Dior-
thotikœ)^ et un plus grand nombre s'occupant de l'examen des ou-
\mges [Eselastikfp].
Pour dispenser de recourir à l'ouvrage d* Aulu-Gelle, que plus
d'un lecteur peut très bien n'avoir pas sous la main, je donne ici le
pastsage ([ui a irrité le grammairien espagnol. Sous quelques rap-
ports, cette critique ne manque pas d'une certaine justesse, mais sa
partialité est vi:sible, et ses expressions injurieuses ne sont pas ex-
cusables.
r»o AnnapoSoneca purtim exîslimanl ut de scriplore niinirae utili. ciijiis
attinKcre niilUim prelium upera^sil : qUfKl oratiocju» vultiiaris vidcatnr
|ta; ffis nique sfntenUs aul ut incpto inaniqoc impetu aînt. aiil ul
Dvi ol qiiDsi dii^aci ar^utin ; eruditioautem vcmacula et picbein, nilnlque px
volenim scfiptis Italtons, tie<]UiT j^ratia*, neque dignitalis. Ahi vrro f^lpgnntijE'
(pikicin in vi^rbin |innim wse non inlicias punt , s<hJ H rerun», quas dical,
scionliam ductrinainqueci non déesse dicunt, et in vilii:» morum objurgandis
IffCveriUitem gravi ta tenitpH* non invenust^ini. Mihi de oinni ojits in^onio, doque
omni scripto judicium ronsiin»mquc faocrc non nccrssnm i^x ^lod quod dt»
432 HENRI SECOND.
M. Cicérone et Q. Ennio et P. Virgilio judicavit, ea res ci^ufliDodi sil, ad
considcrandum ponemus » AuL Gell.t L. xii, cap. 2.
En cette même amiée 1585, les lettres de Paul apprennent à son
père que leur maison de campagne [vilh], probablement le manotr
de Griëre , venoit d'être bouleversée par un tremblement de terre.
Henri, que la perte de quelque ancien manuscrit inédit eût suis
doute beaucoup plus affecté, répond à son fils qu'à la vérité c'est
un malheur , mais qu il faut bien se garder de s'en chagriner ontre
mesure.
Voici comme il s'en exprime, page 4 de sa pré&ce d* Aula-Gdk,
1585.
« Quum vix e manibus Gellium deposuissem, une quidem in loco scriben-
tom de teiTffimotus causa ne inter physicos quidem philosophes coostitisM.
et Romanos tacuiase, cui Deoservari oportoret quas ob eum indicebant feri^:
in altère autem , ex vcteribus memoriis afferentem , fuisse nuntîatuin ali-
quandu Scnatui , hastas Martias movisse , non aliter quam movisse terran
nuntiari soIet:quum, inquam,GcIliohî£cdocentivix vaie dixissem, eoce naihi
in mitnus illa tua epistola traditur, cujuâ prima parte villam mcam terTsmotu
quassîitam esse scribis : et verô ita scribis, ut eodem terraemotu coocossa
tum temporis mens tua fuisse vidcri possit. Quod in causa potissimum est
cur tuas illas litcras minime stoicas esse dixerim. Tus tameo hoc œtati nunc
conduno : ca lejxe, ut postquam firmata vinim te fecerit aetas, tibi tanquam
Stoicorum omnium oTtoixoiTacTu taie nihil contingat : quin potius. si fractiB
itlabatur orbis, impavidum ferlant ruinae.
Sed nimium fortâssis à te, et plus quam ipse possim praestare, postulo.
Hoc sattom mihi credito , nihilomagis illo tuo de terrsemotu nuntio labetao-
tatum mentis meaestatum fuisse quàm quum eandem villam à militOws di-
reptam fuisse mihi apud Helvetios peregrinanti allatum est. Quinetiam qqo-
niam hic torra;motus ipsam saltcm turrim non quassavit, id exemploTerca-
tiani senis in lucre poncndum censui... Denique motus quidem repente fui,
at non pcrmotus. n
En 1587, encore une édition du Nouveau-Testament grec. Celle-
ci est de format portatif, in-16, et ne contient que le grec, avec les
notes de Henri, augmentées dans cette réimpression. En cette même
année, il fit paroître en deux volumes plusieurs opuscules, témoigna-
ges nouveaux de sa haute science.
« De Criticisvetcribus. grscciset latinis. Restitutionis Comment.
Servi» in Virgilium Spécimen, in -4.
HENRI SECOND.
«33
" Dialogus de bene instiluendis gruecœ lingiiae sludiis. Alius Dia-
ogus de parum fidis grœcaE linguœ ma^stris. In-8. •• (Sur cet utile
Tolume, voyez ci-dessus, page. 152.)
En 1588. paruirHomtre grec et latin, 2 vol, in-16, édition esti-
mable, et qui le sernit bien plus encore si dans tout le cours de son
in>pre3sion, Henri eût été là pour revoir et soijçncr également la cor-
rection de chacune de ses parties. Dans la préface, il reconnoît que
depuis plusieurs années il avoit été presque continuellement éloigné
de chrz lui *. C'est pendant ces absences qu'il fut le mieux en Cour
auprôs du roi Henri III, et qu'il fit imprimer à Pai*is. Je dis fit im-
primer; car de ce que plusieurs de ses livres sont datés de Paris,
Strasbourg ou Francfort , etu. , quelques biographes ont conclu
qu'outre son établissement genevois, il avoit eu une Imprimerie dans
diverses villes, ce qui n'est ni vrai, ni vraisemblable. L'ultirail d'une
Imprimerie ne s'improvise pas ainsi : et plusieurs de ces officines
^^éphérnrrcs qu'on lai suppose auroient existé pour produire un ou
^■deux volumes! Quelques-uns des livres par lui publiés portent l'in-
^Bdication d'autres villes que de Genëve, parce que, se trouvant en
F ré^dence momentanée dans tel ou tel lieu, il lui aura convenu d'y
^_(aire imprimer quelque ouvrage.
^H Trop facile à se laisser éblouir par les décevantes espérances et
^Ble vain éclat de la vie courtisanesque, Henri n*y trouva souvent que
^^ fatigue et dégoût; aussi eut-il à plusieurs reprises ferme envie d'a-
bandonner la Cour, de quitter Paris, et de revenir à Genève se re-
mettre tout entier à ses études habituelles, enfin rendre leur ancienne
activité a ses opérations tj'pographiques. trop négligées pendant ses
Itératives abucnces. En 1587. Paulus Melissus, jxtète latin estimé
et son ami , lui avoit écrit de Heidelberg pour le féliciter de l'heu-
reuse résolution par lui prise de réorganiser son Imprimerie. Voici
cette lettre vraiment amicale :
* Daua uur iHtrc âe riioi>nni«ur Jeau Détournes & Jo«. Scaliger, du k mai iSBT,
011 til: «M. btiiitiir ai oit riiutiiM*iin* depuis un muu A iinpniiirr riiez miÎ. nuu stm
train fui iiilerroinpii la M-maîW! pautt. •• O fut proftaMi-nietit jurer qiir l'ai^ntl
atoil manqui'i
SU
<t Te- in vu L'âso , II L Typu^'raphiHin tuam. instaurus , non ipsc modo , vpnini
alii inwuni , utriiisquo nostrûm amici , ox anitno gatidenius. Utinoin aulem te
inani AultttGnllica; pollscilaticmo deccplum priùs mcn^^et Fors bona in Allo-
brogas retraxissot , quàm et sp*»i m»r<i nminiillii rpfulgpntis, el m priva pc~
turam fccissct. Frustra niebcrrulo obiiititiiui falishomunciili miscri, si DeO
aliter visum est. Quîerimibt mmiiicidilate? , inveniinuâ calamilates. Sorte
quomquo Biia oonlentuin rsse (Ipci'I. 0 mi Stéphane, te mmc dilîgentiT rt
seriô haec considemre volim. Resarcies i^ilur quwl noglwtum fiiit. Habes '
quee rem faniiltiironi curet; ul ita iv in litTOsLoliimabdiTi* po^ià, liligionim
fugitans, atquc iBtiii!mi(xli \^piaaruni Tnrarumve, undenihil emoliimenti,
nihif lucri. Loquor leciiin apertè et sine fuco; atqiie hinc amici honiiais ani-
mum co^nosca^lioct. Littcne liiEcquidem mihi rcddilî^, nondtim autom libn
Francofiinïiam non veni. CatflIoi;um qu(iriinriam Graîronim mnnuscriptoruni
a me [)eti\ iî Th. \ivm ; cum misorti , et tu pcTle;;ere poteri:». Ad Thucydltlcm
et Herodutuni quidaUinet, quin mamiscriptis jam olim Fu^j;er.inis iisiis fu**-
rLs, non diibiU). Quid igitur est, in qu« tilii prodfsse pos-iimus? Da * nûbif
Poslhius to resalulal amunter. Beno valc Daliim HoidHbtTsic, 45Cnt. April.
Anno co> is. vu. »
C'est celle date que doDiie Goldast, Ceutur. Epùtt. philolog.;
mais, ainsi que le fait remarquer Maittaire, les l'hiflres des dizaines
y sont cerlainement oubliés, la lettre ne pouvant être de 1507. Ce
doit être 1587, le Thucydide dont il y est question ayant paru peu
après, en 1588, et cette missive se trouvant terminée par une
' MdimiLi, eu 158â, avoit adivué à Hrnri ihh* avu-z lottgiir pièce dr vcn btw
que Ton trouve dins sud Accueil de pocsin , 1586, in-R. Ce voNimc en coulimt qualrr
aiitii>4 encnrr, pli« UDC, ct-lchrant 11- père Pl Ir fiU, Rnbvrt et llMiri.
" Sa frmmr. la Iroisième ff non pas In wninde fomnit- le (li( Maittaire, «. JTp,
felte (tmind** riant moilc en ÏVïl, .liinAJ i[iie li- proiivif uni» Irtln* de Henri, du I"
aoOt 13S1, el b mort dr la première L'iaiit mentionnée duos sa préfocc de U CotiHir
mitè, etc. Voyctd-desnu. pages 888 et 3B7.
" Noms do dtnix anôennes bicoques de la Pmiillr, pauccs en prciTirbc pour ék'
figner tjuelqui- rliow de cliètif el de nuw(''mblc : n Stmi Mpinccy Tricte^tw^ rt «î mmil
t'itius hth. » Martial, lîb. 13.
' Maitlaire priiM> que e'»! une faille de Onldatl, el qu'il y avoil «ans doiite Jsr
Je croi» qu'il pouvoit y avoir auMÎ bien l'un qiie l'Autre : » Utt itwu* mut sit, lU^
Tityrt, Hohii. t. VirR.
HENRI SECOND.
435
lun^e série de remarques uu de critiques sur l'accentualion du Vir-
gile de Henri. ï583,in-8 Elles cominenceTit ainsi : « Cum litteras
ad te scriberem, ad maiium erat Virgjlius ex tua editione •■ Je
n'ai pas cru utile de les réinipnmer ici.
On »e Irompemil ai l'on croyoit Henri désormais fixi? chez lui ;
ses n'*soIulions d'un sérioux retour ù son domicile et à ses aiTaires ne
tinrent pas long-temps, etdurêrenl à peine pcndajU 1588 et 1589;
mais ces deux années furent productives. Outre rHomJ're in- 16,
Henri donna son Horace augmenté de quatre dïsiH'riixiions\t/iatrihw),
une seconde édition beaucoup améliorée de Thucydide avec une
version latine, et laversion lutine de Denysd'Halicamossc. Kn 1589.
encore une édition in-folio du Nouveau -Testament gi'ec et latin de
Théodore de Bèw, le second trimestre des Svhediasmntn , et It-di-
lion première du géographe grec Dicwarchus. La version latine et
les notes sont l'ouvrage de Henri . dont ta présence dans sa maison'
se faisoit si avantageusement sentir. En 1590, ce n'est plus de
même : aucune production de riinjirimerie genevoise . mais un seul
volume aussi bi/arrc que savant , Miua Principitm Mont'lrix , assez
mal imprimé à Basic, où Henri passa une i>arlic de cette année. On
simrit de la naïveté de ces savants qui se constitutmt les auertisseurs
des grands. La force des choses, les faits accomplis, la voix du canon
et les revers, voilà les moniteurs que quelquefois les princes consen-
tent à écouter. Je n'imprime ci-dessus, pages 117, 420 et 424 quel-
(jues passages de ce très curieux quoi(|ue avisez indigeste recueil , sur
lequel voyez ci-dessus page 1 53. Ce livre étoil de nature ù déplaire à
beaucoup de gens, et il est probable que Casaubon l'avoit en vue,
ainsi que l'opuscule De Justi I.ipsii Latmitate , lorsquil fkirivoil,
Ep. 182: • Postremn etiam qmedani iltius scripta non vellcm
srripla. ■• On y trouve plusieurs épitaplies du roi Henri ITl , par
Henri. Cette mort, poitr luqueile il ressentit toute l'indignation d'un
honnête homme . d'un bon François, et les troubles civils dont elle
fut précédée et suivie, eurent pour lui de fâcheux effets. Ses atTaire»
lT,'])i»graphiques . déjà en triste état , ne firent qu'empirer; elles se
rrduisirent presque à rien quant i\ la fabrication active , et ses ma-
gasina resti'rent encombré.s d'une grande quantité de livres dont les
malheurs des temps arrètoient d'autant plus le débit. On notera ce-
436
HENRI SECOND.
pendant que, dans ces difficiles conjonctures , rioin'est jamais -vena
entacher la mémoire de Henri comme négociant, il fut pauvre , irfes
souvent dans lagcne , attendit trop de l'appui si souvent iUosoire
des puissants de la terre ; mais riL'n, dans toutes ces tribulations, ne
peut laisser le moins du monde entrevoir que jamais il ae soit mis
dans le cas d'être rangé dans la classe de ceux qui doivent et ne
paient pas. Sa mal-aisance ne fut fâcheuse que pour lui seul. A sa
mort, il laissa des dettes, mais la vente, même à bas prix, de» livre»
de ses magasins, suffit pour y faire honneur, laisser encore quelque
héritage à sa femme ainsi qu'à ses enfants ,. et l'entier établi^tsement
typographique à Paul.
Dujà en habitude d'être hors de chez lui, les désastres publics k
fendirent encore plus errant, et l'on peut dire de Henri que , pen-
dant trop d'années de sa vie, il résida partout, ou plutôt ne résida
nulle part, ce que font connoître les Avis, Epîtres ou Préfaces de
plusieurs de ses livres. Je ne parle pas des volumes qui indiquent sa
présence à Gen^ve, on les peut examiner dans mes listes. On a vu
qu'il s'absenta avant I572, qu'apri's la publication du Thésaurus^
presque à toutes les foires annuelles de Pâques il alla à Francfort . i
Ratisbonnc, à Cologne et dans plusieurs autres \nlles de l'Allemagne.
enHongrie.enSilésie.oùrûppeloitsun ELncienneliaisonavec le savant
Thomas Redhiger , et au moins deux fois à Vienne , attiré par les
maniues de bienveillance et les libéralités de l'empereur Maximi-
lien II : il se trouvait depuis peu de jours dans cette ville , lorsque ,
le 12 octobre 1576, advint la mort de ce prince. 11 vint aussi de
nouveau à Paris, et encore en lô79. 1581. 1585; il y étoit peut*
être même encore au commencement de 1587. Dans ses diverses
courses on Fnuicc. \\ s'êtoit plus ou moins arrêté à Lyon , à Or-
léans, et sans doute aussi dans d'autres villes. En 1575, il éloit à
Augsbourg; en 1573 et en 1596, à Strasbourg; à Francfort encore
en 1594 et 1595. Quoique je m'y sois repris à plusieurs fois, m
peut apercevoir (jue c'est à peine si je puis établir quelque ap|
d'ordre dans l'énumération de ces courses continuelles.
Plusieurs des livres de Henri sowX datés de sa terre ou maison oe
campagne de Gri^re. et le nomment sieur de Grière. ai l'on en croit
le témoignage de La Croix du Maine qui. aj>i*^s une longue listr
HI'NRI SE<X>ND.
437
d'ouvrages fmnçois de Henn , dont cette liste seule fait mention ,
ajoute : •• Aucuns des libres susdits courent souba le nom du sieur de
Grières, qui est une sienne terre. - Je ne me rajjpelle \yas en avoir vu
aucun ni en poi'sie . ni en prose . et Maittiurc ainai qu'AJmeloveen ,
chez lesquels je trouve rapporté ce témoignage de La Croix du
Maine, n'ajoutent rien qui le puisse confirmer.
Je réimprime celte liste . bien que la plus grande partie de son
contenu soit la mention d'ouvrages qui n'ont jamais existé.
En 1591 et 1592 Hejiri avoil retrouvé tonte son acti\nté. L'Hé-
rodote. l'Appien, le Dion Cassius, éditions dans lesquelles il se mon-
tra digne de ses travaux antérieurs, signalent surtout l'année 1592.
En là93, nouvelles absences ; aussi n'a-Von que l'isocrate, qui se lit
sans doute a-peu-près en même temps que ïesConcordancesde 1594.
Il est dédié à Marc Fugger. d'où l'on doit conclure que les démêlés
ée Henri avec cette famille iivoient fini par quelque transaction
amiable. Vers la fin de cette année 1 594 . dont une partie se passa à
Francfort, il y eut retour à Genève , où noua voyons les Pro\'erbes
irançois épigranunatizez, et la très recommandable édition de Dio-
géne Laerce : mais ensuite Henri resta à peine chez lui. 11 étoit
animé d'un zèle ardent contre les sectateurs de Mahomet ; car après
deux espèces de harangues [Oratio et Exhorfatlo), qui sont un xio-
lent cri de guerre contre eux, et qu'il imprima h Francfort en 1 594
après les avoir présentées à l'empereur et aux princes du Saint-
Empire, assemblés à Riilisbonne, il revient encore en 1595 sur ce
même sujet en une autre brochiue pareillement imprimée à Franc-
fort, et en grande partie employée à prêcher une guerre d'extermi-
nation contre les Turcs, bien que, par son litre, elle fasse attendre
toute autre chose. De Jiuti Lipsii FMiinitfUe. PaUrstm prima a
donc, ainsi que l'annonce son titre, pour principal objet de critiquer
le latin de Juste Lipse. Ce n'éloieiit point des pastiches cicéroniens
qu'il s'ngissoit là de ridiculiser, mais son imitation ser^ile et mal-
heureuse de Tacite , et son fanatisme pour Sénèque. Henri avoit
Ix^au jeu s'il se (ut servi d'armes convenables ; et on i>eut s'étonner
qu'un homme d'un esprit aussi déhé n'ait pas deviné que ce n' étoit
point par des discussions pédantes qu'il comlwttroit avec sucx*^ un
|Hmant. Aussi échoua-l-il dans sa critii|ue: on lui sutmauvaisgrédc
iSft
HENRI SECOND.
s'être ntUiqu»? à un homme universellpmpnl admîn^, dont le savoir
«>toit à la vérité prodigieux, et dont long-temps enci»re beaucoup de
gens ne pa^ï^^ent qu'avec enthousiasme. Jos. Scaliger, qui nevo\'oi(
pas sans quelque dépit la supériorité de Henri , ne laissa j>a3 échap-
per cette occasion de jeter sur lui du ridicule, et prétendit que 1p
titre de ce livre fut ainsi rectifié : De latinitate iJpsiana advernu
Ttircas. Ce mot lit à la brochure de Henri plus de tort qu'elle n'wi
avoil pu fairt^ à Juste Lipse.
Je n'ai jms ou loccasion de parcourir la plaisanterie poétique Car-
men de Senatuio ftrmumntm, que Henri imprima à Strasbourg en
IÔ96. Si elle est spirituelle, û la faudroit réimprimer; cor elle est
fort rare. Henri n'en auroit-il pas pris l'idée dans le CoUoquium
Erasmi, intitulé Senatultts?
Une édition in-4 des poésies de Théodore de Beze , de I â07-^,
et son Nouveau-Testament grec et latin, 1598, in-folio, ne furent
achevés qu'après la mort île Henri.
Le Catal. Bibi, Barberince met à l'aimée 1600 Sckciliasmata II
(ut Dicœarchttm , impr. à Augsbourg, et des Ementlationes in Pt-
tronîi Epigrantmatn , Helenopoli, 1614. Je ne vois ailleurs auini-
nés traces de c<*s deux pièces ; et si, par imjK>ssible, les KmcfidatM'
/tes existent , elles ne portent vraisemblablement pas sur la seult
centaine de vers latins dont se composent les épigrammes nltn-
Iméesà Pétrone, mais sur l'ensemble des fragments qui nous restent
de lui.
En tannée 1507. si voisine de sa mort, Henri quitta encore Ge-
nève poiu* revenir visiter îii France, sa pairie, qu il ne pouvoit ou-
blier. Il s'arrêta quelque temps à Montpellier où résîdoient alors sa
(ille et ïsaac Casaubon, son gendre, occupe de son volumineux
Commentaire d'Alhéiiée. qu'il publia en lOOO, et dont le texte pa-
roissoit depuis plusieurs mois {Geriei'œ, Commelinj 1007-1600.
deux vol. in-fol.) Henri, qui avoitmis à la disposition de son gentlre
les variantes que dans sa jeimesse il avoit recueillies à Rorno , ainâi
qu'il est dit ci-dessus, page 374, lui oft'rit alors sa coopération iwur
ce volume dénotes. Il paroît que l'offre ne fut iwint accc|^(t/«, et
Henri continuant son voyage , toujours seul, suivant sa coulunK-
après avoir \isilé plusieurs villes, arriva à Lyon où, malade et isolo.
HENRI SECOND.
439
il se fît conduire à l'Hôtel-Dieu ; et dans les premiers jours de mars
1598, il y termina tristement sa pt'nible ca^ri^^e, âg*^' de prî-s de
soixante-dix ans.
Alnielovecn, p. 115, cherche où il a dû être enterré . et rapporte
qu'un ami très digne de fois lui avoit dit avoir vu ù Paris , dans le
ciinetirVe de l'église de Saint-Benoît, une pierre indiquant que là
(^tnipnt îtîs rtîstes mortels d'un Estienne ; il ajoute avec raison (juc
son ami avoit tort de croire qu'il pût être question de Henri II . et
que cYrloil certainement quelque auti'e personne de la même famille,
mais ce qui aiiroil dû leur venir à l'idée, c'cjil qu'il n'y avoil point à
chercher à Paris, pas plus qu'à Genève ou même à Lyon, les restes
mortels do Henri, qui, décMô à l'Hôiel-Dieu , aura immanquable-
ment éti' transporté et confondu parmi la multitude des autres morts
journellement enlevés du même établissement.
On a écrit et répété jusqu'à satiété qu'il est mort à l'hôpital. Le -
fait n'est que trop vrai ; mais implique-t-il nécessairement cette
idée de détresse et de complet dénuement que présentent les
mots mourir à C hôpital. Arrivé à Lyon , il se sent malade ; il est
seul, sans doute assez léger d'argent . n'ayant dans cette ville au-
cune famille amie dans le sein de laquelle il puisse espérer d'affec-
tueux secours. Il va à l'Hôtel-Dieu ou Hôpital , y requérir . non pas
l'aumône d'un lit, mais tessoms immédiats qu'il lui seroit tn>p dif-
6cilt de chercher ailleurs. On veut aussi qu'il soit mort privé de sa
raison. S'il s'agit de ses derniers jours et des pénibles circonstances
d'une agonie qui a pu être longue et doidoureuse, à combien de nous,
débiles mortels, riches ou pauvres, soit d'esprit, soit d'argent, une
semblable fin n'eat-elle pas réservée ! Son séjour ù Montpellier , ses
offres de service littéraires montrent assez qu'à ce temps si rappro-
ché de son décès . ses facultés intellectuelles n'avoient point reçu
d'atteinte.
Ce seroit à tort que l'on tireroit quelque fâcheuse induction de
lettres écrites plusieurs années avant sa mort par Casaubon , son
gendre^, qui s'y montre envers lui d'une sévérité que l'on se sent dis-
posé à soup(,onner de prévention. - Noster quidem, etsi vivens va-
lensque, numéro pridem hominum certe doctorum eximi meruit. Eu
est illius inhumanitas, et, quod invitas dico, dclirium, qui bbros
u»
HENRI SECOND
qoos habct vpteres, ni indici grvphi aunim . &}iis invidcït. abi pet
«init. - Kp. 40 ad P. Pithœum. El dans une autre, de I5i)5.
65, ad Laur. Rhodomanum : •• Si quis est qvii vêtus dictum toll
iiç Kaîifç of yipovTfç (bis pucri soncs| is die fuïl et ^entipe maloqi
quicquani gra\ius. " Il est aisé de voir que parlant de celui quip(
dam trois ans encore apr^s ces. lettres n'a cessé de donner des prmK
de capacité et de savoir, le mot pueri n'est pa-s mis pour exprifl
cette dégradation intellectuelle ù laquelle arrive plus d'uiirie&lkn
L'imbécillité que l'on auroit prétendu trouver chez Henri . eût
celle de Sophocle devant ses juges.
Cette lettre et plusieurs autres du même Casaubon laisâ
que Henri ne trouva point chez les siens ce sentimeiK de
tialité, heureux lien dés familles, si respectal>le znème dans
venlions. el que lui méritoient tant de qualités précieuses. Onlï?
refusoit pas une grande science ; mais, de ce qui pouvoit parmtrt
son désavantage, on ne se scntoit pas en disposition d'y chercfa
l'interprétation la moins déiavorable. D le voyoit bien ; son hunN
s'en aigrissoit peut-être, et il avoit trop de fierté pour en té/noign
wm mécontentement. Se déplaisant au milieu d'appréciateur*
sévères, il dut souvent avoir hâte d'être hors de chez hii, de se tm
ver seul, ou avec des gens qui, ne chercliant en lui que sa scun
n'auroiejit souci de certaines bizarreries qui certainement eussent i
moindres a dans son intérieur il eût trouvé une plus indulgen
condescendance. Casaubon , dans plusieurs des lettres de son R
cueii . que je crois inutile de rapporter ici , fait beaucoup de doléana
sur la vie erratique et décousue de son beau-père, qui ne sait ni i
venir chez lui, ni se fixer ailleurs, et qui, par ses absenc-es fréquenl
et prolongées, laisse languir son Imprimerie, rend imposai
cution de plusieurs de ses projets littéraires, et nuit à ai
Mais n'est-ce pas aussi à ses voyages multip1i<^ . à ses
assidues dans les Bibliothî'ques publifiues et privées, ses eni
avec les plus savanUi hommes ûv l'I^^urope. c[u'il a dû une
son instruction si variée, et la plupart des anciens écrits par lui
bliés, ou pour la premi^re fois, ou avec de si notables améliorati
Les érudilsde ces temps-là. et Casaubon lui-même, qui voit a
tant de chagrin les déplacements de son beau-père, ne se livraient
HËNHI SECOND.
4i1
aussi a de tréquenteâ excursions, dans ce même but scientifique
de découvertes' Et ces exploitions littéraires d'où quelques-uns
it revenus chargf^ de dépouilles opimes, présages assurés de futurs
bien justes triomphes, n'ont-elles pas été souvent les principales
causes de leurs succès? 8i moins actif, et redoutant les fatigues
et dan^'crs d'une vie voyageuse, Henri fût resté toute sa vie à ron-
sciencieusement travailler dans le cabinet et Vntclier pateniels, nie
Saint'Jean-cie-Beauvais , sous l'omhre paejtique de l'Olivier des
Estienne. eût-il fait de si heureuses acquisitions litténiiresf Lui se-
riantj-nous redevables des écrits du pvrrhorûen Sexlus, ile Maxime
deTyr. Diodore, et de tant d'autres précieux débris de l'antiquité
dont ses premières éditions dotèrent la littératuie et les sciences. Ce
n'est certes pas un tableau qui dépare une vie si tourmentée et si
p(*niblcment laborieuse, que celui de l'illustre Imprimeur revenant à
cheval de Naples à Paris, avec quelques manuscrits inédits pour
tout liaj^'age, et le long de sa route, i$iter etpâtanditm , composant
soit quelqu'une d(* ses poésies grecqui^ ou latines, soit , fort jetme
encore, sa traduction en vers latins de son premier trophée littéraire,
des anciennes Odes grecques qui, à tort ou avec raison, sont attri-
buées au poète de Téos.
Les projets httéraires de Henri furent innombral)les ; lu liste qui
est à la suite de cette Notice n'en donne qu'une indication bien im-
parfaite; et la vie entière de deux Henri, de deux hommes d'une
capacité égale à la sienne n'y eût point suiîi ; aussi en devoit-il né-
cessairement rester un grand nombre sans exécution : et cette longue
série de projets non réalisés , gardons-nous de la considérer comme
l'inutile forfai\lerie d'un esprit vaniteux dont Tout re-cuïdance s'ima-
gine pouvoir tout atteindre, tout exécuter. Dans ses indic-ations les
plus vagues, il nous a ouvert, jalonné plus d'une route, et suggéré
ou accéléré d'utiles travaux auxquels, sans lui, on eût beaucoup
moins pensé. Dans sa vie entière, tout a été constamment dirigé vers
le même but. toujours la mise en lumière ou l'interprétation et la
correction des précieux restes des antiques écrivains. On lui reproche
des écarts, des distractions nuisibles aux travaux auxquels il s'étoil
voué ; des distractions, il en falloil à cet esprit toujours tendu et ap-
pliqué; elles n'étoicnt point une interruption, mais un changement
Hl
HENRI SECOND.
de travail, et elles eurent presque toutes d'utiles résullAlâ. Telle es-
cursion, tel séjour prolongé dans quelque ville lointaine a été. t»on
pas un empêchement à de st^rieuscs études, mais Toccasion de qiu^
queî^unbde ces importanis travaux dont nous recueillon:? ]^ fruit*.
Nul rtonnement donc si une imagination toujours en activité a forint
bien plus de projets littéraires que la vie d'aucun homme n'en poor-
roit réaliser.
Henri avoit une véhémence de caractère qui iic Un permettoit
pas de rien vouloir à demi, et qui, une fois qu'un dessein étoit conço
et bien arrêté, le livroit corps et âme à son exécution. Son nnwur.
on diroit même sa passion \à ieneris) pour la laiieiï*^ et les écrivain»
de l'ancienne Grtce, lui avoit fait iircndre la ré^jolution d'en facilitir
l'étude par tous les moyens qu'il pouvoit tirer de sa professior), et
dunesa^cité d'éditeur dont la linute portée lui fut bientôt révélée.
On lui a reproché de s'être cru le plus savant érudit de son sëde;
mais c'est qu'en effet il l'étoit; ou au moins, c'est qu'à bien pea de
ses contemporains il seroit permis de se ranger sur sa ligne. U avioit,
dit-on, le travers de croire toujours son opinion la meilleure, et ses
choix de levons, de conjectures, à tous autres préférables. H le savoit
si bien faire, ce choix ! Il a si souvent deviné avec une habileté mer-
veilleuse le mot oublié ou défibré et méconnoissabîe, qu'il feutlw
pardonner d'avoir un peu trop senti que presque toujours il avoil
raison, et ne pas lui faire im crime de quelques méprises, lorsque é
souvent il a renuontiv juste. A Dieu ne ])laise que je prétende élever
Henri en un rang hors de proportion avec la nature de ses travaux ,
mais quel que soit celui qu'on lui assigne, il a pour lui ce g^enre de
supériorité, que ce ser^îient ses aberrations qui pourroient êtrecon^
tées; ses divinations sont innombrables.
Henri Hvoit peut-être luie idée exagérée de ses talents comme
éditeur, mois il savoit très bien à quoi ces difficiles fonctions Vohli-
geoient; aussi attachoit-il une grande importance à la correction ty-
pographique, sans laquelle Texamen le plus sévt?re et lu plus b«si-
reuse rectification des textes pourroient n'être qu'un vain labeur et
un inutile pn'liminaire. Outre ses soinspersonnels.il s'aida souvent
de la coopération de savants qui se sont fait un nom parnru les célé-
brités crudités, et qui, ainsi que lui, ^egard^rent les fonctions de aw-
HENRI SKœND.
m
^Becteur comme le complément obligé de celles de l'éditeur. Cette
■nécessité inïpérieuse d'une p'andc correction si rarement obtenue ,
est tn»s bien exposiîe en quelques vers de Jrtîjf Typrtgntphica
Qiierhi/onin : je ne crois pas hors de propos de les rapjwrler ici ,
quoique Iapi^ce soit imprimée à la fin de ce volume.
^L ...Quod humano mpns e^t in coriKtre, qiiod mens
^^p Pro^tarc liunuino cur)iorL' rluu:^ polft^l ,
^H Hoc oiiere in iiostri} pnestat correctio : (vuci
^H Fus usiini v^lcri Ml Iribuiasc novum).
^^Ê Wmc ru};ut a âcriptis lencbrds , luccmque redm^il ,
^^K Unu luei; cum mendiit nspf'ra bolla gorit.
^B At Uiunm sumptis carpel prius uera pennis...
^H lllo tam insit'nî quam munere Tungicr uaquam,
^^Ê El sucro Huai», tiirba profana queat.
^V L'héritage que laissa Henri fut modique, et il n'y a pas à s'en élon-
^^er. Son avoir consïstoit surtout en restes plus ou moins nombreux
des divers livres par lui imprimés. J'ai lu quelque part qu'ils furent
vendus à vil prix pour payer les crt'anciers : j'igimre daprts quelle
autorité on l'a avancé; maisc'e.st assez vraisemblable. Asondécî-a,
il devoit encore la dot de sa fille, mariée depuis douze ans : » Si
Genevœ essem . écrit Casaul>on à Dav. Hoeschel . Ep, 164 . eum
mittendum tibi curarem, et faciam Portasse, nam illuc milii ncccs-
aariôeundum erit propter uxoris dotem. » Et dans une autre lettre
(174) : - Haereditas soceri \'iri de literis quàm optimb olim meriti.
non erat Portasse tanti cujus gjratia uxorem rclinquerem. dum uxoria
bona prosequor. •• A la mort de Flenri, sa troisième femme, et non
la seconde, comme le croit Maittaire , étoit encore vivante. Henri
n'avoit point fait de testament, et on doit rendre à Casaubon la jus-
tice de noter que, par respect pour le défunt et sa famille , et aussi
par amour pour les lettres, il détermina ses cohéritiers à laisser tous
les manuscrits à Paul Esliennc, et même en cette manit^^re avanta-
geuse pour lui que njus nommons prèciput, - Ego veneratione do-
mûs Stephanicae motui renitentibus omni ope atque opéra cohaere-
dibus effeci ut omnes manuexaratos codices Paulus Stephanus prœ-
lk4U %oliifnrtt in-fotîo tlont U \a étir qufAlKHi A U pa^f MÎvanlr,
m
llËNRl SECOND.
ciperet. Gaudebam in ea domo , qiue Ijterîs oKqoando taiitaB
profuissel, rémunère inslrumenla Iwne merendî de iis qui publuan
reipubijcs literariip utilitfitein procurarent. •• Ep. 1 90. Ht ces échu,
tant antiques que modernes, dont plusieurs de Heiiri lui-mêtiie . a»
débris dune Bibliothèque trop long-leuips nég!ig«>e . nVtoipnt \m
du toutùdédai^icr. ils n'ont pas iHé inutilescntre les mains de Paul.
II paroîtroit. d'aprts les lettres de Casaubon , que . pendant as
absences si fréijuenteâ. Henri ne perniettoit pas , môme à sa fannlJe.
l'entrée de sa Bibliothî-que, et que cette duirabre, ou ces chambra,
n'étoient qu'un réceptacle de livres , et non pas pièces de cummune
habitation. Casauban rcrit même que jamais, ni pendant la vie dr
Henri, ni depuis sa mort \ni* ejus obitu\, il n'avoit vu sa Bibliothè-
que» qui n'avoit pas M plus accessible aux autres. - Volo tan»
scias, " écrit-il à Jos. Scaliger, Ep. I7G, •• nonduni mihi nsiur
Toû ^ax9{,trvj [flefuncti) Stephani bibliothecam , non dico ab ejus
obitu : sed omiiinu invisam esse eani uobis. . . » Et Ep. 1 8 1 : Gtat-
vam necessariû excucurri ; multa me illuc vocabant , sed nihil ffqot
ac spes videndi Bibliotheca? reliquias»: etsi raagna pars illius periït
non uno modo, repcri tamcn in iis quEC supersunt multa eximia....-
£t enfin, Ep. I8ti. àDav. Hoeschel : -Genevam tandem veni, et
quem petis, librun» , amicîssime Hoescheli. vix equidem, sed Uu>-
dem tnveni Duo sunt g^randia «aviç (iwA/^) volmnina' magnani
partem manu toû ^loxapirou Henrici Stephani scripta. E^ cum
Paulo Stepbaiio fratre ut ea (uraret ad te perferenda . neque da*
bitofac'turum... Quantusille virfuerit in lileris, si nesicietMim anie,
potui affatim iliscere ex iis quie reperla sunt mihi in Bibliolheca m
yïlojit«6ci»ç xa't iroXvfiaSita; [et phiinfogiœ et eniditionis) prope inot-
• Cm Anw v»l(imr» ilmit rjMiilmii Tail tin le] éloge, c! ilo»t ou oe Miit aiHrf rliflw,
Miioii quo r'éloii-'nt <li!y\ iu-tuliu UIlu rrriijilis, vX vti |;mii(lr piiiin* Je |j main A(
Houii. cutiU'iioit'ut ft.iiis doiil<*dc&opii-tciiles cit-sa comiio»iIiun, des iiolejt, iji^ variurtn
i-t r-\lr^il!t d'iuicietis iiKiiHistTJU. Il f^I |ii)Mi]i]i> tjii'iiit MluUirr ouliti ait ptYiméikb
lii'slntiliou ers jiri-cinix nrui'ils; ]c mr truu\(!rai iKurfiix lù cwlle iDtuilîou peut k»
fairi' Mii-tir de Ipttr i-eirailf, et amener la [tubtication ou tout au moiiu iin« ol>Iig«aa^
)iiili{'iiltn[i cIk l'v i|(i'iU <:i>uli(<jiiK*iil tlo |Juk tiilms.saiil. Il ne faut pa.s 1rs cuu6jodiT
avec iiii iiKiiiiiMTil Je Miuliii» dr la niAia de H'i'iiri, sur Ircjuft Hu'schd fit sou rxlitiou
ftr K'iVii . h iip|>urtt*uoil â (luiuiiibiiii i-l u^nii niMÙIe à L'atil jtour m>d i-di(ioit <lr t61i,
HENHI SECOND.
145
dibilianionumenta. - Que Henri ne permit pas qu'en son almatcc
nn fréquentât s» Bibliothèque, oui! devoit avoir un merveilleux mé-
lange et confiision de livres et de papiers, laiit imprimés que ma-
nuscrits et vieux et réceTU»; cette précaution éloit toute naturelle et
n'avoit rien de bizarre ; mais que cette Bibliothèque ait été, même
depuis la niori de Henri, tout-a-fait inconnue à Casaubon {otnninb
hwisam), ce seroit vrai, qu'on ne le croiroit pas : lui-même, en
imprimant <'eri dans son recueil, oublioit donc que plus haut il fai-
soit lire une autre lettre dont j'ai transcrit la plus j.Tundc partie ci-
dessus, page 389, dans laquelle il raconte ù Conrad Riltershuslus
comment, de concert avec la femme et le fils de 1-Ienri, ils ont forcé
l'entrée de la Bibliothèque , « eo absente ausi sumus claustra revel-
lere. - et ont enfin trouvé le livre réclamé. Il recommande à soi» ami
une discrtHion complète : - car si Henri savoit quelque chose df
cela, il feroit beau voir quel vacarme ce seroit {quantum turbarum
sit excitaturus). « ]l ne pouvoit certes y avoir une plus excusable
violation de domicile: mais peut -on imprimer ensuite que l'on n'a
lis vu cette Bibliothî^que, dans laquelle d est d'ailleurs impossi-
^ble que plus de douze années de liaison quotidienne . et même d'ha-
bitation commune , n'aient pas mis Casaubon dans le cas d'aller
plus ou moms souvent trouver son beau-père au milieu de ses livres
et papiers?
Quoifpie [wndanl la vie de Henri on n'ait pas refusé de rendre
justice ù son mérite, c'est surtout après sa mort fjue se sont multi-
pliés les témoignages d'ime vive et sinctre admiration. Il n'a pas
manqué non plus de gens empressés à signaler ses défauts , et les
griefs portent principalement sur l'àpreté de son caractère. Je n'inii
pas entreprendre ensa faveur un plaidoyer bien superflu : Henri éloit
|Un peu rude, et c'est cette force d'action qui lui a fait faire de gran-
des choses, et supporter sans se laisser abattre, les embarras et cort-
trariélésdonl sa carrière Uttéraire et comnierciule a été semée. Ne
ïous arrêtons pas à ses défauts. On sait combien il Tut laborieux et
savant, mais, ce qui est bien mieux encore, et qui cependant ne lui
Huroit pas valu les honneurs biographi(|ues , il fut parfaitement hon-
nête homme!
Des nombreuses marques d'estime qu'après sa mort il r^i;\x\ de ses
ilKNBl SECOND.
conteiiiporaiiis, je citerai d'abord une lettre de Jos. Scali^r, témoi-
gnage d'autant pluâ im>cusuble que Jos. Scaliger n'étoit point éco-
nome de disgracieux comphraents, qu'en pludears occasiuivi il sem-
bla prendre à tâche de diîpri^cier Henri, et que d'ailleurs, dans cette
lettre, îe blâme est mêlé avec la louange.
Ep. i& ad h. Casauhonum : » ...Magna jactura graîcarum liteninun iUr
(llenricuâ Slephaniis) dccessît, si prxtcrita ejus in literas benelicûi sf^x:i».
Quxniajord fiiisscol, nisi ip:»; titeriiîimo |)Oliuâ sibi defutssH-t. E^piidemnim
|W(S3uui ni(.:frLM)uin ejuset vi%'i actuâelniorlui viciMiia^Sit' ft-Tuni. Doirotjwrf
nun prîpslilit qnni |io1iiissi>i; dotoo ipjoil iiiiiiruin pcrUidi ; sed oro te ut Ty|»-
gruphio uuico loliiis hfllenibmi cuâlodi , culpa illius ruenti . vcstra openi uli-
qua Tullurii accedut; quo; a principio laui oxigua esse non potost ut non maxi-
mœ niirifo olttjislpre possii. Quam neressi* e?i expectari , nisi mature illi
occurratur. Vidi iipud illuinej^rcgiae&oniploria anccdola, Sextum Enipirtcuoi
duliu. QuiE luam iUi diligent iam oxppcUnt. iillioc nominp asocero neçlocU
vuU'antur, utlibi piislmUiâliycdebfrct,quo(l ab ip6o aaquuui eral prastan •
Maittaire, qui cite aussi cette lettre, ajoute avec raison : -....Si
quis varias ejus lucubrationes tum éditas , tum edendas. . . si pneter-
oa varias ejus occupationes et itinera perpendat, tôt potius et tanta
ub eo pripstari potuisse mirabitur. - Page 485.
A la fin de sa longue Biographie de Henri, Maittaire donne duq
pages et demie de citations ex Svaligenuiit , de La Caille , Chevîl-
lier. Eloges par Teissier, etc., et ces citations, pour la plupart fhio-
çoises , sont toutes de peu de lignes , plusieurs de quelques mois
seulement , sans ordre ni suite , allant par soubresauts , et gitw-
pant les t<^moijrnages los plus contradictoires. Comme tout ce qiî
dans ces ligni^s di'cnusues peut ofFrii* (^uelijue intérêt se trouve re-
produit, et bien plus au long, dans la notice même de Maittaire,
ainsi que dans la mienne^ je ne réinipriincrai pas ce confus jnam»-
roiulum.
Je crois que cette Biograpliic de l'Imprimeur qu'aujourd'hui
encore beaucoup nomment le grand Henri, ne peut être plus con-
venablement tei rainée que par l'examen d'une question plus d'unr
fois agitée, toujours tranchée et jamais nettement résolue, celle de
la prééminence qui ]>eut être due ù l'un ou à l'autre des prind*
paux membres de ces deux estinmbles familles que bien long-
temps eniorr In Frame et l'Italie citomiU avec un justp orpieil
HENRI SEœND.
i47
Pour Faciliter la atilution de ce p^obl^Inc• autant littéraire que
typo^'rapliique , je vais, à rewicte nomenclature de toutes leurs
publications et à leurs biographies respectives . ajouter une sortfi
de parallèle entre les premiers Manuce et les plus renommés parmi
.les Eslienne.
En 1803. faisant l'histoire des Manuce. j'ai avanc*^, ce qu'aujour-
d'hui je crois encore, que, parmi les Imprimeurs, Aide l'ancien dtoit
ioul-à-fail hors de ligne etraëritoit le premier rang. 'Cet hommage
que je mo plaisois à lui rendre et qui, d^s ce temps-là, t'ioil le résul-
tat d'un consciencieux examen, ne diminuoit rien de ma haute es-
lime et de mon entraînement d'afleclion pour tous ceux qui ont
bien mérité de la T>*pographie : toujours j'ai admiré la fei-me et heu-
reuse résolution du premier Henri , devenu Imprimeur par amour
pour ce bel art, lors<^u"il j)ouvoit se placer en une situation plus lu-
crative peut-être, et en ap|>arence plus relevée ; le profond savoir et
la vertueuse persévérance de son ftls, l'activité incessante du second
Henri, jointe à une parfaite connoissance de la langue grecque, à
[une instruction immense et variée pour laquelle dans tout son siècle,
quoi qu'en aient dit et écrit les Scaliger, il n'a point son égal. Je
rends de tout mon cœur hommage à l'industrieuse habileté de Plan-
tin, à l'élégante netteté [esquUite nicenesâ) qui fait le charme des
(pressions Elze\irienncs ; à la bonne et diligente fabrication de
■nos Deintour, Pierres et de beaucoup d'autres compatriotes , à la
prodigieuse fécondité de Bodoni, qui , outre et maigri' peut-être ses
trop nombi-euses productions d'un luxe vainement ambitieux * , et
d'une exécution trop peu savante, seseroit fait un nom impérissable
par l'abondance et la variétr'^ de ses caractères en tant de langages
[divers, si, dans la configuration de cette innombrable quantité de
' En 1809, je le preuoU de mr foiiT une élêganle êdiliou iii-lS ou prttt iii4t de ts
GrnutiUmme^ à trois ociaves |wir \^c, liri« h mille ou douze crut* r\i!ni|ibirrK H
t*oniljint-e de fai;oii n l'irc arliptable pnr iJ'auin-^ i|tir |uir les evrliiMts diiinititr-'^ du» 6di-
lioti!) Iii\iiriu(%ct lirresn petit iinintirc. Il s'oint iiia à ne lonloir uifllrp sur cluii|uc |Uf;iT
que Av\\\ ocluves, i-e i[ui dnuuuil au litre une inutile dierti* et me fil âhaiidniiiirr rr
jin>jii ipû Atiroit pu a\oir des mitc^ ulilt!». • Je ne %nu que du iiuiçiuB{|ue, me di!>U,
nr Irai adir point pour le rnlgairi* des lectnim. -
448 * HENRI SECOND.
types, ouvrages de ses mains habUes , il n'eût, par un amour exagi^
du beau idéal , sacrifié plus d'une fois la réalité à une (élégance con-
ventionnelle. Nul que moi n*a jamais eu une si vive s^Tnpathie i àam
mes jeunes années c'étoit presque un culte) pour les longs et utiles
travaux typographiques de François-Âmbroise Didot Taîné, quiaa
glorieusement relevé l'art de la typographie en France, et qui, bien
pénétré de toutes ses obligations comme Imprimeur, a mis antiiA
de soin et de sévérité à la correction de ses livres , que d'habileté ar-
tistique dans leur fabricatiou ; qui , enfin, a su faire mieux enave.
en se formant deux si dignes et si habiles successeurs. Tout cela est
vrai, parfaitement vrai . mais ne peut déplacer de son rang si élevé
celui qui, enthousiaste delà science, a doué les lettres d'une fode
de livres de la plus difficile et de la plus pénible publication, et s'y
est montré non moins savant éditeur qu'Imprimeur habile.
Cette manifestation d'une si haute estime pour un Impnmeur
étranger a promptement alarmé la patriotique susceptibilité d'an
Impnmeur françois, bien compétent, il est vrai , pour avoir un avis
dans une telle cause. Dès 1 806 il revendiqua pour les Estîenne cette
pnV'minence qu'ils m'ont toujours semblé ne point mériter complè-
tement. En 1812, j'ai répliqué par une note de quelque étendue.
consenée depuis dans mes réimpressions des Annales Aldines : nou-
velle réclamation deM.F.D. en 1834, répétée en 1836; et comme,
après ces réphqucs et contre-répliques, chacun, ainsi que presque
toujours il arrive , est resté dans son opinion , en ce second ou-
vrage, où les mérites des Imprimeurs françois sont aussi sincèrement
célébrés que le furent dans l'autre ceux des Imprimeurs vénitiens, je
reviens sur cette question qui a aussi occupé M. Crapelet dans ses
intéressantes Etudes sur la Typographie ; et la considérant , ainsi
qu'elle doit l'être, sous un double point de vue , littéraire et typo-
graphique, indiquant les titres respectifs de ces glorieux athlètes de
la science, j'essaierai de mettre tout lecteur en possibilité de ne for-
mer son opinion qu'après l'examen des pièces , sans avoir à
tenir aucun compte de l'opinion que je laisse voir être la mienne.
Ainsi que je \iens de le dire, la question est double . Dans laqueUe
des deux familles ont été les hommes les plus savants t Laquelle des
deux a, par ses impressions, le plus efficacement servi les lettres, a
HENRI SECOND.
ii9
\dé le mouvement intellectuel qui s opéroit alors dans les écrits,
qui ne pouvoit être plus puissamment aco^lt^ré que par une rapide
habile falirication de Itons livres?
Onze ' volumes seulement avoicnl été imprimés en langue grec-
que, et le bel Homère de 1 488, u'étoit peutrêtre pas même encore
sous presse, lorsqu'en 1486, Aide Manuce , de concert avec deux
protecteurs, amis des lettre:*, et très savants eux-mêmes, conçut le
projet d'élever une Imprimerie vouée à la langue grecqxie. et sptîcia-
lemenl destinée à la conservation de ses chefs-d'œuvre, dont le
temps dévorateur ne faisoil que trop rapidement disj)aroître les rares
manuscrit». Dès ce moment, l'exécution du projet fut suivie ; mais
il falloit des années pour en rassembler et coordonner les divers élé-
ments , qui, presque tous, étoient à créer. Enfin , au plus tard en
1 493 , commenc^rent à Venise ces impressions Manutiennes qui, dts
I -194 et dans chacune des années suivantes, accomplirent cette heu-
reuse exhumatinii littéraire , sans laquelle une grande partie des li-
vres qu'elle a mis en lumière eût été peut-être à jamais perdue pour
nous. Je n'ai pas à reproduire ici l'exposé de ce que devoit faire et
fit si habilement AWe, pour achever en pou d'années un tel nombre
de ces éditions premi^^es, dix fois, cent fois plus dilKcUes k donner
passablement exactes, que ne peut jamais l'être la rectification d'un
texte déjà examiné, critiqué, épuré dans une ou même plusieurs édi-
tions prt^Mentes. et souvent à l'aide de manuscrits que n'avoit point
^
(*) OmiMnliBi Lascarû Grammatin prwea. Meittoiani. Dionysitu Pararuinns ,
{'.. La&caris Goi&iwndiiim odo oritionis (>artiuni, gr. cl ht. MedioUn't^ 1480. m-4.
I^ullcrium, gi-. Ut. Mediolani^ Itôl, i»-rol.
JVMTg'X Fabube, gr. lat. [Mrdiolani) Bonus Accunitu (circa liSO), vx-k.
Joaiinii CruloDÎ Lc-umii g^vro-litiauni [MedioUm, drca 14W)\ iii-fol.
Idmi I^\i(<oii, gr. tal. Fincfnti/r^ Dtonysius BntocliiM. t(tQ, tn-ful.
Idtfm Lrxicon ip«co-Ui.. m ppitomrii rcdactum [Mfdiotani, dm UAO), in-t.
Lmiiunuelù ChryAulanc Erolcauila.gr. Ut. yenriiU, Pcrrgruias de Patcalibiu,
t4S4,in-4.
llirocrili Idyllu xviii, Hesiodi Opéra et Uie», gr. (JVri/(o/tMi\ drca 1481), in-lbl.
Pulteriuin gnecuin. >Viw/f/j. AieuiKler Crdensù. 1486, ia-4.
Honeri Ratraehomyûmachù, gr. f^tnttiit, Leoninu Cffttoiui». 1486, »-4.
5Î
4$0 HENRI SEœND.
connus le premier édiletir. Trente-trois éditions premières fiire
publiées de 1494 à 1515 ; et si le Mitsœus, la Ga/eomjt»nackîa
ne se composent que de peu de feuillets, que l'on veuille bien son^
au labyrinthe duquel il fallut se tirer pour mettre au jour en mi ce
tain ordre, et les cinq voliunes in-folio d'Âristote , et tant d'aati
grands ouvrages qui se succédoient si rapidement. Aide lut aidi
sans doute, et habilement secondé ; mais ses savants coopc^rateun
il sut les discerner, les choisir, les attacher à ses travaux, et sorto
éviter ces collisions trop fréquentes entre un Imprimeur lettré et I
gens instruits qui viennent à son aide.
Sophocle, Euripide, Aristophane, Démosthëne imprime deux kà
les Rhéteurs, les Orateurs grecs, les Opuscules de Plutarque , Pîj
dare. Platon, Hesychius, font partie de cette éblouissante série c
publications, qui pourtant lut bien loin d'être l'entier produit de
persévérante activité d'Aide. Mort en 1515(1516), trop tôt pot
les lettres, il laissa d'amples travaux préparatoires pour plusieurs éd
tions, et ses diligents successeurs , moins savants , mais meilleui
commerçants peut-être , et dont l'activité a pour preuve le nomb
de leurs éditions , en publièrent dix-neuf premières, qui, presqu
toutes, sont justement estimées, et pour lesquelles ils surent fair
bon emploi des secours littéraires à eux laissés par Aide. L'inspec
tion de la liste que je joins à ces notes fera connoître l'importance d
ces publications, parmi lesquelles, pour les difficultés de la reprodoc
tion, le Galien va très bien à la suite de l'Aristote.
La moisson étoit alors en grande partie faite : Paul Manuce i
put encore glaner tiLt premières publications grecques, et une latine
Voici donc soixante-trois premières éditions, presque toutes impor-
tantes, produites au nombre de cinquante-deux en trente-six an-
nées, 1494 à 1529, et onze en vingt-deux ans, de 1534 à 1555.
Laissant tout-à-fait de côté les volumes qui ne sont point d*an
ciens textes grecs ou latins, je ne dois pas négliger de mentionne
* M. Audin, Ulavire florentin fort instruit , ■ réimprimé en 18S0 b Galeomrtmm
chia, m m^nie formit que rédition aldine, pt au |iclit nombre de cinquante
plairts.
HEKEI SEGOND.
461
iâs comme je le ferai pour les Estienne, les nombrcubcs réiinpresi-
sionsdeâ anciens auteurs . failes, quelques-uncii d'après de précé-
dentes éditions Aldines. la plus grande partie d'après des éditions
étrangères aux Manuce , et toujours avec beaucoup d'améliorations.
pouvoit être convamble de donner ici la liste des édiliniis premiè-
mois quant aux réimpressions , j'en indiquenii seulement les
ïtobres : les nomenclatures complètes sont là, pour i|uiconque y
voudra Caire des vérifications.
Les réimpressions d'Aide raiicien sont au nombre de . . 40
— Par André et ses fils 50
— Par Paul Manuce. ... ..... 74
— Parie même, des seuls ouvrages deCicéron. . 59
133
*J23
Si habile que pût être Paid Manuce dans la coiinoissance de la
le grecque . on sait qu'il s'occupa surtout de publications en
!tte langue latine qu'il savoit et écrivoit si bien. Sa vie littéraire
Lt pour ainsi dire vouée à Cicéron, comme celle du premier Robert
fut à ses Lexiques et aux BiUes.
On a vu que le premier Henri se fit Imprimeur par amniir pour
'art de la typographie ; mais cette impulsion (ju'Aldc sut donner
Lx iKUiites études, par ses éditions des auteurs anciens , et surtout
des Grecs. Henri ne pouvoit en avoir l'idée à Paris . oii il eût fallu
créer les moyens de fabrication pour des livres dont le hesoii» ne s'y
faisoit pas encore suDisamment sentir. Ai>einesi . plusieurs années
plus tard, en 1507 . Gourmont eut quelques caractère» grecs assez
mauvais, dont les preinières et exiguës productions furetit alors
présentées comme des tours de force : Operosum vpusculuin , ope-
rosa mantis. Henri fabriqua les li\Tes dont le débit étoit habituel ; il
satisfit diligemment aux besoins de l'époque; mais il ne la devança
en rien. La première édition d'un opuscule latin, Jntonini /tî/iera^
rinin, in-lG. et ui» CeUux, in-4. sont les seids anciens ouvrages qu'il
uit imprimés. Il fallut que le mouvement vint de T Italie « dont les
iMitions des Cla&siqueâ. se répandant de toutes parts, augraentoient
452 HENRI SECOND.
le nombre des lecteurs , provoquoient le goût de l'étude et le b^
soin de bons livres. Robert 1^ le sentit; et, dès son débat, en 1536.
s'appliqua à la réimpression des meilleurs anteors latins. H n'eut
point le bonheur de pouvoir donner la moindre édition pronière a
cette langue; cette tâche, moins difficile que celle des premières pu-
blications grecques , et entreprise beaucoup plus tôt , étoit à-pes-
près remplie ; mais aussitôt qu'il se vit possesseor de caractères
grecs, et il eut les plus beaux qui aient jamais existé , il en &t id
brillant et très actif emploi ; de sorte que de 1 545 à 1 55 f , huii pre-
mières éditions grecques furent par lui publiées, y compris XAppU-
nus , qui lui appartient autant qu'à Charles , son lirère, dont cet in-
folio porte le nom.
Ses réimpressions de Gassiques latins sont au nombre de 4^
non compris les volumes des ouvrages de Cicéron, dont il a. .32
Je n'ai point à y admettre les petits cahiers d'Oraisons sépara ,
imprimés pour les écoliers , et qui équivaudroient à peine à deax
volumes in-8.
Toutes ces éditions sont estimables, et véritablement de bons li-
vres; les publications grecques attestent une connoissance approfon-
die de cette langue. A ces titres recommandables il faut, mais en
dehors de la catégorie des Classiques, ajouter les deux Bibles hébraï-
ques, son perpétuel travail sur les Bibles latines, dont il publia huit
éditions complètes, ses ouvrages texicologiques, dont l'important
résultat est si justement estimé et se peut voir dans les listes chrono-
logiques, enfin, pour l'exécution de son projet d'un Lexique grec.
des travaux préparatoires que Henri mit si habilement à profit.
Les éditions premières de Henri sont au nombre de dijc^nemj\
une latine, et dix-huit, grecques. Plusieurs ont de l'intérêt, mais au-
cune n'a l'importance de cellesd'Aristote, Platon, Aristophane, Hé-
rodote, etc., dues au vieux Aide.
Si Henri vint trop tard pour pouvoir publier beaucoup d'ouvrages
grecs encore inédits, il donna de ces livres un grand nombre d'édi-
tions nouvelles , supérieures à toutes les précédentes , Aldines on
nutros. Sur ce point, justic^î entière lui est rendue parle témcM-
HBNU SECOND.
i&3
gnose presque unanime des savants ; mais ne penloiM pas de vue le
but du présent ejipos)'' . il s'agit ici. non pas de comparer ensemble
le mérite respectif de telles et tellea éditions . mais de juger lequel
d'un vieux livre grec imprime pour la première foi», ou de ce même
livre reproduit en une seconde, lioitiii»me, quatrième édition beau-
coup meilleure, maût le résultat de successifs examens , aura exigé
plus de travail, une plus gronde habitude des anciens manuscrite, et
surtout une plus courageuse persévérance; enfin, s'il a fallu plus
d'application, d'intelligence et rie savoir pour éclaircir, et plus ou
moins rectifier Hérodote, Thucydide, Platon. Plutarqne, ou tel au-
tre, après les éditions Aidines et réimpressions ultérieures , que pour
en avoir fait la publication première.
Diligent investigateur et travailleur infatigable , Aide l'Ancien a
su découvrir et fouiller ces mines scientifiques dont, gr&ces à son in-
telligente activité, les richesses sont devenues notre propriété com-
mune. Avec une sag^.ité rare, Henri est venu , par les combinai-
sons les plus savantes . nous en rendre la jouissance plus fncile et
plus sûre ; lequel des deux sera le premier dans nos reconnoissants
souvenirs!
Les réimpressions de Henri sont au
nombre de . 48
On peut y ajouter celles de Paul, son
Is, qui n'eut aucune première édition . . 22
Ainsi donc. Aide l'Ancien , après sa
mort , ses parents . et ensuite Paul
Mttimce son fils , ont fait 63 éditions premières
et d'anciens Classiques, presque tous
grecs . . 223 réimpressions.
Henri, Robert, son ftls, Henri II et
■
Paul ont en premières éditions 28
En réimpressions UD
Cet exposé fait voir qu'Aide et les siens ont publié sur manus<rriU
plus d'^'Vnciens Classiques grecs que n'en ont donné, non pas s*»ule-
ineiit les Eslienne. mais avant, pendant, et après les Munuce. toute
la Tv|K»graphie réunie. Quelle célébrité typographique pourroit lut-
m
f
ïlEVni SEDWD.
tf r cûtitre œt imposant asseniblage de savatils volumes, dotif ;
imparfaite mise en lumière eût encore été un 9t?rviceina['iin^^'
et un perpétuel titre lie gloire liUifmire. t^elqueâ-unes ï!e tts*
tioiiïipren:iiÈres, le Galien» iAl}u*n(^e, l'Hippocrate. d'attlre»»fl«»
peuvent laisser beaucoup h désirer: mais» malgré Jes dédun^t
qufl<iues injustes ddlracterirs» il est av^t*}, par le:» f émoifnAfTtt m
iuterrompus des vrais érudlla«_ail£_iL plupart de ces étions pi»-
ini^res ont un mérite )rit^' ordinairement trisiin.
enfin qu'elles ont été, icore la base et Tappoi (R-
t'ipal di.^ éditions auh
Alis (^n préscn&e d' Bnel combat &cientifiqiie. à R
que nuus nommenonr concour» . j] estàcHTin^
Henri seroit rest*^ supé (^ssni ic4ï do la lan^e ijreoîar.
&on L^^xiquegrec peut - Celi\TciMlmiraMt;«illet*-
molgiitige de son savti 6saji3«^ de toutes ses gloin*
Son piTc et lui ont coi Ae, gmnjlo: il Ta mentïto»-
sèment mise en complète execuuu Wde FAncitm avuit forme an
projet plus ^Tandiose encore, \a popuhrUatioti de la litt<^rahin-
^Tpcque ; il y îi sacrUir son existence entière ; dans une vie tP^»
cniirte, il Ta en grande partie réalisk^ et ses successeurs l'ont halulr
ini-nl raîUiiiU!'. HfMiri, et peut-être même aussi Robert, surent j^Qs
de grec . de nombreux ouvrages en latin, en grec même, et tTirtfflU
en iVani;;ois, dnnneiit encore à Henrî un avantage sur le \ieux Mà(
mîliî^eel^|^^i s'avance entouré de cette nombreuse et savante cobort<;
d'écrivains grec^, dont beaucoup, la plupart peut-être, lui doiviiill*
rtinservation dp leur existence liltcraire. Doit-on s'tHonner qu"i<i^
si ^Tunds et si utiles travaux ritalie, et avec elle ime grande pafùe
du niondi:- sïivant, assignent la première place! Si noire partialité
piitriiUiiiue se refuse k mettre en un rang moins élevt^es deux illustn*
Imprimeurs françois, jugeons et terminons cet honorable procès en
partageant entre le Vénitien et les deux François notre vénération et
notre reconnoissance.
ALDE L'ANCIEN. Premières éditions^ grecques et latines. 1 49i — \ 545.
Siuis diito. Miisa^tisl, i:;r. lii-i.
IjidcomyomiU'hiii, ^r. In-L
HENHI SECOND.
155
4495
1 49r>-97-ft8
i 49(i .
U9K
U99
lo01-2
m-i
date.
150H-9
1509
4Sn
4&4i
Theodori Gazoc hilrodudivu Unimiiuil. Herodiani 0|m8cula,elc.
gr. In-fol. I
Arisiotelis et Tlioophrasti Oper» , gr. 5 volumes in-fol.
Thésaurus Coi-nucupiae , «çr. In-fol.
Aristophanes , ^. Iii-fol.
Epislolunim praîcarum Colleclio. i vol. in-4.
Les Epitr» Je Pbalam avaient été impr. l'ii KMI, a Vmiw.
Aâtronomi veteres, gr. et tal. In-fol.
Diosoorides, gr. In-fol.
Poetœ Cbnsliani veleres. 2 vol. in-i.
Dbiw cette collection, quelqun pièces «cuinncnl mwI d'iKliliom
premières.
Philoslratus, gr. In-fol.
Jiilii Polliicis Vocahiilariiim , gr. In-fol.
Slephuiius Byztmlinuïi, ^r. In-fol.
Thurydides, gr. In-fol.
ïlerodotus, gr. In-fol.
Sophocle», gr. In-8.
Ammonium llemieus in Aristotolem. Hagentinus. gr. fn-fol.
Eiiripideâ, gr. 2 vol. in-8.
QuAtre de ces lYagôdïes aroieul vit* impriniiTs â Flonmrr , vrrs
1(96.
Xonophontlâ Historîa graBca; GemUluâ et Pletbo, gr, In-fol.
UlpinnuEiin Dcntoslhcnem, gr. In-fol*
Deinostliones, gr. In-fol.
Joannes Ptiiloponus in Arii^tot. postoriora résolut., gi. InWbl.
GregoriiNazan/oniCarmimi. In-i.
Nouons in Joannls Ev.tn^eliiun, gr. In-4.
Quintiis Calaber, gr. In-8,
Rlietores graeci veleres. 2 vol. in-fol.
Plutarrhi Opuscata, gr. In-f(ri.
Oratorcs graîcl veteres. 2 vol. in-fol.
Platonift Opéra , gr. In-fol.
Alcxander Aphrodi&icus in AriMotelis Topica, gr. In-fol.
Pindaru8, gr. ln-8.
Hesychiiis, gr. In-fol.
Atlienaeus, gr. In-fol.
On Dc Irouvcri tlAiu ces tablmiu uunine édition de vernom
latiitrs non arcompagnées de Inir» tr^te». Irllr* que l'Origtncs
d'Aide. 1609, les norabmu opuscules (le« Orn;i)ircft , rArchimèdc ^
elt. i\e PauI Manucc , Irs «mions latines d'Arislole inpiiroèes par
le premier Hriirt, etc.
ANDflK D'ASOLA l'I suis tilut. Vtnmrrfix étUlûm.t fftt%c^ites. 1SI€ — ISS
— Paiisamas, gr. In-fûl.
— Blrabo^ gr. In-fol.
ITil? Oppianiw, gr« In-H.
Le poème Dt f^etmrÎQnr ol di- |itnjûcr« MÎUihi.
rH8
Artei
—
Bfbli
tT
IS
— ,
;Eac[
isao
Aleï
t:î2i
Didyi
iriî2-î3
Nicai
i:i'25
Galeni uptTrt, f^i.
1526
Hippocralis Opéra
k
U8 , nr parut rt im |nit étn owuitt!
n-fl.
. in-fol.
— Sinipliciusin Arist. libros physicae auscultationis s^. In-fo
— — in libroâdeCœlo, gr. In-fol.
I'i27 — in libr. do Anima, etc., gr, In-fol.
— Joannes Philop. in Aristotelis libros de generationectinter
^T In-fol.
1528 Didynuiïi in Odysseam, gr. in-8.
— Pauli vKginclœ Opéra, gr. In-fol.
PAUL MANUCE. Premières éditions grecques et une en latin, 1534 O
153i Themistius, gr. In-fol.
— Aetius Amidenus, gr. In-fol.
— Poctaj vcnatici très. In-8.
l.'iSf» Gregorii Nazanzeni Orationes ix, gr. ïn-8.
— Eustratius In Arist. de Moribus , gr. In-fol.
1!)46 Ammonius Hermias in voccsPorphyrii, gr. In-8.
— — in Aristotelis Prœdicamenta , ct. In-8.
— — in Arist. libr. de Interproutione , gr. le
1551 Olympiodorus in Arist. Metcora, gr. et lat. In-fol.
— Dionis Chrysostomi Orationes, gr. In-8.
Ce volume sans date, et le précédent, sont publiés par les fn
Turrisaii. rniisins-yrimains rie Paul, mais il en est rimpHmeiir
HBKRI SECOND.
4&7
SMondc (^ition, mais faite mi» n\oir coanu l'raiùlriire di> t«
|H¥TiiinY. fl mr un aulre nuuuscrit.
HENRI ESTIENNE, prcmirr du nom tJw preinipre édUion latitut.
H2 Aiitonini An;;(isli Imporaloris Uinonirium. ln-16. *
Rt^DERT ESTIENNE I"^. Premières êditiom j/rm/ww. 45U — (B5i.
W4-45-46 Eu8<»bius. gr. 2 vol. in-fol.
Moflchopulus, gr. in-i
Dionyaii Geographia, gr. In-4.
Alexander Trallianiis , medicus, ^r- In-fnl.
Dtoniâ Nicœi Romaniu Hïst. ^. In-fol.
DionisNicîpi Ëpitomc, gr. cl lut. i vol. im-4.
S. Juslini Opéra, gr. In-fol.
Appianus Alex., gr. In-rol.
CA'itf dmiièfT . paMirâ par Chirlei , avtiil rf^ (SHnmpnrn- par
RolxTt.
lENRl ESTIENNE II. Pr<!nHere»éditionx grwqiéeêetwetalme. 1554—4592.
Aoacreon, gr. et tal. In-4.
Diony^ii llalic. Opuâcula quaedatn elalia, gr. ln-8.
.Athenagoraî Apologia, et de Resurrwllone . gr. et lai. In-8.
Maximus Tyrius , gr. ul tal. In-8.
Arislotoliâ et Thcopliraâli ScripU qtiaMljim , gr. In-8.
Exccrpla ex Clesia . etc. gr. ln-8.
Imperut. Novellx Conâlitulioues, gr. In-rd.
Kn fiartie dr première t-ditian, auui que Ic5 àeux vqIuima wîvants.
1559 Dtodoruâ Siculufi, gr. lo-rol.
456Î Themislii Oratioups, gr. ln-8.
1564 EroUani Lexicon , cum Dictionarioincdioo. Iu-8.
1567 Medict latini, et greci laline versi. In-fol.
Vm |iarti« de première édition.
* Il u'e»t pa> bien eerlam que ce snl vnumrnt une premiëre Mition. Eii IMO, duiK
uti voluinc mA d'auriciu morccaiu buloriquei donné chez De AUruef |iar Ur méow
G> 'r»ry, éditeur de l'io-lâ du 1512, uu vutl Fmçmentum ItiHcrarii Miiumm Jugutti ;
M le icKle de Tin-lft cusle es entier dam riu4 de IMO , ce que je n'ai pas été * méuc
de vârilH*r, il ai résulte que le petit volume ne peut prendre raiif; parmi les prantièrcs
nfilÎDU.
m
HENRI SECOND.
IM9
4593
Polemonis llimerii Ow^arnationeft, sx. ln-8
Sypesii II5 nini , gr. ot lat. Iii-;ii.
Atluiiiasiuii dr Trinitale, (.•ic. gr. i*t lat. Ia-8.
Juriâ OricnUilis libri m, gr. H lai. 1n-H.
I\)eiïiâ philosophica, ^r. In-H.
Ilompri et Hetiiodj Cerlanwn , gr. tfl lat. In-H.
Dic^earchi Mpssenii Geogn»phica, gr. ri Ini. In>8.
Juslini Martyris Epistota, gr. et lat. ln-8.
Scévolt'de Sainte-Marthe, dans ses Eloges, parle do Henri d*^
manière iionorable, et s'exprime sur son compte avec mesure et
justice.. Le P. Vavasseiu* en porte un jugement tout contraii%, et
dont» lequel, à travers quelques remarques d'assez bon goût, p«w
la mauvaise volontt^ du jésuite. Dès les premières lignes, on voit qw
c'est un parti pris de déprt^cier ; et il est bien pei*mis de ne pas pren-
dre pour vérité son historiette, suivant laquelJie J, A. De Thouau
roit dit à Henri ; " Imprimez des auteurs grecs tant que cela voib
accommodera, mais ne nous fuites plus de livres. « J'ai cru k propM
de mettre en opposition ces deux tt^moignages si contradictoires, cC
j'ajoute quelques îif^mrs doVAnversois Andn'' Schott. homme sop^
rieur au P. Vavasseur, et qui, bien que jésuite, ne montre aucoQc
répugnance à dire du bien de IhtW'tique Henri.
EX SCEVOLjE sam.\l\rtu.\m elogiis gallorum.
15D8. ln-8.
« Nor nuiiori postea iBudis argumetilo Hennciis filiu^!. Gripcarum litenintm
nmf'mus «xtcm ollini centre sibi dovinxit. Sed ot vptorum innumera , Him
snrrorum, liun nxlfirorum volimiina ex releberriinis eoruni offîcinis ebpff
niulli!) quàin prîùs cinendaliora , mtiltô venusliiH'ibus formis exrijso : cum nbr
que ad inRÎgnRni induï^triani et indoftissuin artis egregis studjum non vu^p-
rem in omni lileraruin gênera doctrinam féliciter adhiberel. HenriciK Oftt
niiri&cam Je se jani tunt e\cnta\il fuinan), cùm adoleacens ex Italià revenus'
* Vfcleliir lamen cantre Paliiimliani, quan eau Anacrcontis editi po^ntucril ; «^
Psalmis Oavîdù Anocroooiifx- n se verùs hoc ïii fironte pmniaeril cMlsriuin.
Aoacri'ontis olîcn
Mofloi ditli jocoscu :
AnarreonticAin niiiic ,
SftI iiil Anacrconliâ
HENRI SECOND.
459
AiuiiTp(>nlom qui tolîinnos latuerat, vi'tusUs notis in lihn) exaratuni sontim
atiiitlt , itioxquc Lulctiic , lypib regiib el^tanU^r impresâuiii , iKiribusque iiu-
im'hs buin^àsc reddiUiin et (juidem l'nidito a^eculonec âpoeliiis tiiUiriUiU-
bus ;ilieno , eduxil prirnus o lalcbrisot cvulgavit. Erat in «) viro sunitiui in-
^t'iiii fujcunditas, et aive lirajcj* atveLatim> s<Tiberel, ulriusquo liiit^iiceuKus
ot faciiluis oniniiim pardlisàima : niin(|uL' |>ati non po>sel lu oo Gallw vrrore
ijiutius vrrâari , ul patrio sermon i Etruscum aiilcponi>ndum credcrenl, «on-
nuDa intonluni Gallic^ st-ripliUibat multo sale re^persa upuscula, quibus ot
ooslraï lin^^a* prxtlicarc't pruîïttanLiuni.et suâipso in ^TibiMido puritdtu ac
de^çuntid coniprolMirt't. Stxl ^ravioru fuerunt ca quuï in niultis utriu:<4|ue (in-
fluai srnplorihu.s reconsendia, et inqiionindam inutcUionorcN-U^commudi»quc
in^tiluc'udâ subinde niolitus est. HaU'bal fortunaruin ^nlcm apud Allobrugas
vulunUirinm patrifioiilium serutuâ, non obururo Uimen I.uivlio: d««ideriu,
4piani et ca'loras item Galli:c urbes, ut se quamiibct Ipvis offerebat occasio ,
non illibentcr invisebat. Ac [KJcàtremô Lugduni , quo se quoqiie strptuajïenariiis
coMtiilerat , faUili morlH) correpUift, anno supra aestpiimillesimnm dmxlecen-
tcâinio de vità doceâsit; cum et Hoberlum patreui et patri cognoniineui fru-
trem natii minorem , nec industrid dbtparem. qui Lututiffî palcrnam offirinam
TTdintejiïniverat, fat;t jampndemcripniasonl. Reliquit morienâ aliquot liberos,
atque in ii& Paulum domcttlica.' laudid a^muluoi et filiuni Uaacu i^saubonoviro
longé doctissimu Lutetiatnque a Rege ad meliores lileraa instauniDdaïi nuper
aâcito collocalam. 9
FR. VAVASSOR DE ElMGHiVMxMATE.
^^P « Quantum uotanim , observationum, ^ixTptSûv, omxÏwy, oiutm uxiJtao^xTwi
^■enricus Steplianus efTtulerit in viU) , oonnr videmus? Ut bac Libollorum co-
^HfA . Ltbronim , quod odidiL typiâ, copram , qus propo intinita est, prope
^^■guAvit. Altiui ex Polro Futeauo aocepi quondam, Jac. Au:;. Thuanum el
^Hvpe Slephano et vebementer auctorem ftiiàse , ul libros edere velenim per-
r gcirt «Minè quoad vcllet , et qiiandiii suscopto! operœ non pœniterel ; ticribere
ip^ libroe deâioorct prorsus : istâ rationc niultàrei Ulterariic magi<; prorutu-
runi. magiâtiibi. Quoà illi coni^iliual . ul audio, dederal anto Petrus Pilhceus,
vir eriKlilus in primls vaidcque prudons , âcd qu» causa ulriquc bomioem aie
D«bo lynuo HmBnttni.
Sic amolibor buum,
Qtic \iilnus iiifn^ial ,
AddvlMil et mt*dcljim.
Quo» Miiciatit aliiii
Nfi*i»chelv^ iniifnitu
Saiiabil iIIa ncrti*
Aplalti <.lirishani^.
MF
460
HENRI SEi:(^D.
lulnionondi^Non uria, opinor. Qu6d ïwWh quidem ei sokuto» m scnborif
âcd paruni l'astigatus easel : qtiôd ad minutu ei Crivolu luberdur ^XfVfi
adhaîresccTPt ; niniium prœcipiens ; nimium emendans ; omnîn loquenlw*
omnihus , as-sidut* do se; cura scriplwem prirlmix» mulUi , cl rcbcoreeltli»'
mularo oporUîJïi; rie robusvero suis verbiim f»c4»re millum, niai nwxxtm.
sil pars aliqua non taiilunt niodcsliae , sod etium prudentia?. Quod si ist a
orationp soluté Itenricus Stephanus ejusmodi, qaalem descripsi; qaaniti*
BâUicU) viliosior, qui ei inconcinnos plurumquo versus et duriâsimos (racni.
et inaniler, ut sic dicsim , cupiusos : non diâccdain à rv et argumento epigna^
matum. In nolis ad Anllinlogia^ lihriim scxtum , iilulo sexto epi>n^ninuili &
Ttiffiç À7X'<">; (t""s niarilus Anchisos) haud oquidem acio , quid homini vmrt
iD menU'in variaro. ut pocta loquitur, rem prodigialiter unam. Unum wa
diâtichiini . quo epigramma rliiuditur, divetsi^ 50 dislichis extulit eAàcmi»'
teiitid, alqueinlerpreUtlus esl; ia ooque soma^^num fecisse exidliaiavit.sm
adprodeodam vimct copiara poetica.' facuUaLis,i»ivead îaflammBiidainjuvEfr
Uitomaciiendamque. t^xf^inplo proposito. Alista re, qua^so. lotd quid poen-
liuÀ. in qiul di^àlicliuruni vl-I upliuium tixvo quodain suo uon careat ; œica
In plenâ(]u(! aligna et incondita , si rtrctfî altcndimus, reperïanlurf Quw
uierilô ipsam illani fulilem rodundanliam, neglortam videmus fuiâscctre-
pndjatam ab t!U. qui Stepbani tamen notas, dum Anthoiogiam nirsusedirH
relinmdari piiUivil. »
« Henr. Stephano Typugruphorum ^px^^» [principi) salva sua esse toId-
mus, qui saipe uumma accurationo *oti rjort^'* ('' nmjfriWjt/» recHtaditit)»
GroHrià pra^serlim auloribu^fCuni nutii^additis, tuin in Scbediasmatum Ulvù
nud(»t quo:i()U(* scripConini perdiFtîciles expodire eral aolitu». • Attàng Sdwtb
K/JÙ/ufu, àtiu PrcBfatw ad Lysiœ êdit. atmi 1615.
La haute estime que J. A. De Thou témoigne pour Henri . fiwt
un devoir do placer ici- leaépitaphes qui ont éiô faites pour son pif'-
par le savant Imprimeur. Henri a fait de semblables épitaphes pour
Aide l'Ancien. Josse et Conrad Badius, Conrad Ncobar, Adr. Tor-
nëbe, Louis Tiletan, Guill. Morel, JeanOporin; les introdmre ici
bembleroit mettre en nécessité de les accompagner d'autres poésies
de Henri, tant greciiues que latines, qui dans les deux langues «^
trouvent dans ses divers ouvrages : au lieu de ces pièces réimprim<îes
pour la plupart dans le volume de Mailtuire, et en partie dans «lui
d'Alnielovpen, j'en donne une qui, si elle ne leur est pas supérieure
en mi^rile littéraire, aura au moins l'intérêt de la nouveauté, car le
souvenir en étoit entii'reinent perdu. Ce sont des regrelii de Henri
[Epivetih] en vere élégiaques sur la mort et pour les funérailles de
HKNHi SECONH.
461
première femme, qui viennent d'être retrouvés à In Bibliothèque
jyaJe d'où j'en ai obtenu une copie. Je crois devoir les réimpnmer,
'^parce qu'il est plus que prolMibïe que la grande feuille in-folio qui les
contient est maintenant un exemplaire unique. A la suite de la pièce
latine qui a 144 vers, sont 3 pit-ccsde 14, 1 1 et9 vers ^recâsurle
même sujet. Je ne les reproduis pas ici, parce que si les vers latins
sont en risque de ne trouver que peu de lecteurs, on peut être cer-
tain que les trois pièces grecques en auroient moins encore. Je con-
serve les Epitaphes dv. Chr. De Thou , et, ainsi qu'il (?toit dans
toutes les convenances, les vers latiiis de Paul sur la mort de son
père.
CimiSTOPHOlU TllUAM EIMTAHIIA
Cl». TH. TUMri.L'S. 1583. In-i.
Etni TictfV, Touâ-K, tppnûv ftiya Oaûpi ^avùtciy
Aç f«<T7j h (îoûi'Jî (5ouitj it^ar/c Tir,.
Hv xotfuxvtirt fit/a Otxûfia, -naov -j^wv ov; 'mâyriaaçj
HÛTE œtot^TOf yripa? xa'i icorfiârot;,
Nùv Sk %a\ ouparvôOev dw à^tà^vy^ vitou;.
ÉppTxo; Itî^ovo;.
Loiignm inler niii^nos vitoiii hic trudiixit lionures,
Dum niput est sumiui (quie ^lona Àumma) SonatAs.
\c. U-indiïm ombj^uum , viljl Tugiente , reliquit ,
An mage honoralus ï^unimuni ait propter honoron) ,
An Iliade hofiorâril summum, dum wdit lionorcm
ALIIID.
Dt vixi , rugitas? Fœliciuâ inter hoDorcs
Vivere non potui, non putmvu mori.
AUUD.
Ouffi lot huic laudum fH^rrara e\<»mpUi fuenini ,
Sinj^ula vix muiti , qui ceU'bninlur, habeni.
Liel)uit et rahl decoran mole sepulcUri ,
Quis nirum ex illo rent* [ et ipâo decus.
Gloria sed lumutu cuivi^i amal c^m; sii[tcnsles :
lUim illi raro gloria pro tumiilo.
46S
HGNni SErX}ND.
.\I.IUD.
ToL Rii'd in noâlros miraUi âonecla Thuano ,
Quodqiic vigor mentis ccu juvcnilis tral :
Ipsa client more hunr (dixit) rarcK^uc novoquc
TracUibo, et possil qui supcrart^ t'uli'in.
Canitiem orgo vocans , hujus capul (ecoe) vcrcmium
Tu qmxjuc CantUes f»c vorearis : ail.
Canilies, dominae (ut par est) numdata Cjipussons,
Haud magis hoc l«Uçit , quàm juvénile ca|mt.
IIb-vk. STKPMAm;».
McmoriffîMargnndisPilOQia)Pari3inœ,qus vixitann. xxi, mcn. un. ift-
signe virluluni supni .Ttalem et Bcxum exemplum , Henrirus Stpphaniis con-
jugimollllis-i. B. M. rum qun iiiianimilerel sineullabilo vixitBnn. vu, Epic^-
Uoia titfc (lien Irisle ollicium) vt\ Lindem, voce cutn singulUbuâ tucbinle d
s^uspiriis adhur verba sorbillanlibiià. fudil.
C'est l'intitulé d'une grande feuille en placard de même natare
que celle de la page 343, et d'exécution semblable- Voyez ausa
page 124.
Si pennulari ljcui«^el fimerc fimiis,
Har^ri, funcrea eslquum tibi dicta die»,
Prosoquor oflicio quo le , dulciâsima coojux .
Tti cnh cineres pro;M»(pi('rerp viri.
Nanqiin n-di-mpla ul siiiil Akesiidi fala inariti ,
Sic tuu mors essel morte redeinptu inen.
Aiii ai , ut Tyndaridis, non esset lempora viUT
Pariiri nobis quantulacun<j»ip noltis ,
Tewrtejam nunc. lejara nunc. Jlargari. jam nuno
Reddf^rem in «mplrxii^matris et ora tuœ .
Rcdilen*!» in amplcxus iiali nata'qtie, subirem
Duin tPtit'hriJSii tiiaiii per loai s[K)nte viceni.
Vcl si vita i-àsct geniiLu re|KirubiIis ullo,
Noslro essel gcmilu jam reparalJi tibi :
[•Iquibiw Eurydicen revocavil planclibiia Orpheiis,
Margnris Henricojani rcvwiiU forci.
Aul si stib saxo non et tibi saxons esact
Sensibus et nieiiibris , Margari charu , rigor ,
Tune niihi centunv jVtj;! suctTescerf lumina velleni ,
E lacrymift posâei flumcn iit ire meis.
lïfeâf in sed vita isl luctu planrUique reponi .
N\r fuit Kiirvdicp Dilis iib iirn- nilnx.
tIBKRI SECOND.
M3
Noc pogsuiU intrarc tiius suspiriu sensus
QiiiB me ftimJonti'm noxijue dii'«iiie videl.
l'!r^o auKHs ^emitus jncUint ludîljria venlî
Usus fin- lacrynus ille vel itle siibest.
FU'rc Uiiiion, llero juviit; ffplusqno tlolori»
Sunt tucqnia;, el Uicnina;» (itiiu niaLi veria fovrnl.
Ilic n corde miHi rf*u manut ab arbore* rrurtiiit,
Hci niihi scd frucUif rnigifer hU." niliil.
(,>uid dico? iiH-liisuâ me suflbcare parabat
Aille dulur larrymiti qiiam via fucUi inoiti.
\)eh(*(} mine illis ([iiM [>ost tua faUi siiptrHtes
[Qin>û (Hj&iuni) mnni'jj hi«'o jiari'nlo bonis.
Im6 mp mîserum lammiB quôd debeo vilam ,
Nw comitem e^ae via? me voUiere ma» ,
Num milii qu6 vitam cluira iiiihi lurecareiilem?
Te vi\-a, mtia lux, vivere dulco fuit :
Te morienu* mori (nox conscia) diilee fuissol,
Dulco dalum exiivmu reddcre voce yale.
Sic DUS ul liTtus sociavpral antè jugidis,
Junciurus &ocio funere leclus erat.
UN aliUT viâuni qui vivere donat et aufcrt.
jVrbilrioquo suo tempera noslni régit.
Sed vitam faxii vilatcni vivore po6âiDii
In poeoas vivant nec mi^T usquc novas.
Qiiid factam*? succœne bibam quap obh'via diicanl ,
Evetlunlque uioiïi to quo(|ue pccloribuifi?
Non m\(^ tenons cordi radicibtig ha'reit,
Pocula ul Oâse qiicant machina finnn salis.
Non si mandnigoifE telris moa viscera succis
Prolucro, assidus me tene^tque so|)or.
Non tû moly ipsum silibunda Iruxero fauce
Lectave Thossalicis pbannaca cuncta jugii*.
Non si Lctlixas ad me Iransniiserit undas
tetbffîo nigrain qui rcgil unme ratcm.
Quoi^iuot eunt hoTîn noctis, quolcunque diei,
Luminibuâ uoslris se tua forma referl.
Tfl sspe in somnis miser, heu miser, alloquor, uxor.
Et quôd nun reddas mutua verba queror.
Quis so{ior iste i^vis (qua^ro). comprcsfiit ocollos?
AnU* leviit somnus vis libi nulus eml.
Quis sopor isle <;r.ivis, dum qusero, ï^mnia c-edunl,
Me vanis ubi sunl ludificaUi niodis.
Somniaqni* ut nostris Hl)eunL é mentibus illu ,
4G* HENRI SECOND.
Sic etiam è nostro corpore sanguia abît.
Scmianimis resto ^ et nostri pàra-altora tecum est ,
Altéra languescens hïc trahit usque nraram.
Audin! heu, qualîs, qualis nunc, Uargari, soiânus
Excipiat vidui membre tenella viri?
Est audire nefàs. Sed si mihi furtâ resurgas ,
Narrcturque mali pare quotacunque mei ,
Qui tuus erga me non pridem amor esse solebet,
Rureum animam ad primos sis positura sonos.
Sed tamen , ô utinam foret hsc mee somma malorum ,
Et vitanda mihi sorania sola forenti
Experior graviora vigil : titubansque ministro,
Hue aocerac meam , lingua fréquenter ait.
Sed trahit illa meam trahit in conaortia mentem ,
Linguaque dum titubât, mens animusque latiant :
In quaacunque domùs converto lumina partmn ,
Ingenii occumint heu moniroenta tui.
Ingredior museoa? tua mihi plurima passim
Occumint scita, Margari, scripta manu :
Occumint tcntata etiam felicibus ausis
Plurima Grœca novo Margaridis graphio.
Conclave ingredior? manuum sunt texta luarum
jEmula Meeonia quae videantur acùs.
Ingrcdiorne hortum? quœcunque est area culta,
Testiâ et illa tus sedulitatis ibi est.
Sed frustra expect^ns dominam, velut ante, rigantcm,
Roratur tepidis nunc domini lacrymis.
Quo me igitur vertam?patrios mittamne pénales
Sub tilulum, atque alios aère parabo lares?
Extra etiam limen luctus comitantur euntem ,
Obvius in triviis si quis amicus adest.
Quid tandem? loca sola petam? loca sola querelas
(Expertus dico) tristitiamque fovent.
Si sileo, comes est luctus, cornes ille loquenti est :
Materia est luctus denique quicquid ago.
Quin etiam fuerant quœ solatura dolentem,
Illa etiam nostris dant alimenta malis.
Nam lua quas moriens conccpit lingua, repostas
Alta mente preces, commeminisse nocet.
Commeminissc nocet, quia solvitur atque liquescil
Cor mihi ad ista précis verba suprema tuac :
a 0 Deus, 6 qui illis apondes, interprète vate,
Quos sua convictos improba facta tenent ,
HENRI SECOND
<66
Primofi le ad RamilUA nun tictu ex conio profoctos,
Prtrsiinim U'epidês esac ro|>onlô reis ;
Parr*', ô, pjirce, pnK-or, p;irre, ô Pater optimo, paire,
Vnrco reffi horrpndis innnmprisquo modiâ.
Vaxve por insonlis fusum pro sonl4; cruorem,
Vulncra per, sortit» aincta l»vacrïi m^m.
Vulneni fixa Lui sacrato in corpare Christi ,
Uride salutifcro siinguine tinxit humuin. »
Qiiàd vcrbi hcTc int«r (cygnea ut canlira) lim|uis
Lucem , luce qwas ut meliore frui ,
Gratiilor. et dico te terque qiial«rquc beoiam ,
AU[ULi Deo grates, Margari, dcmperago.
Sed ma^iB alque magis tamen ulcomt hxc qiioque {lerUig
Vox tua, solanion spcs eral undo dari.
Quid dicam*^ ad ^emina; (miDt nostra h^x* pignorn) prutis
Intuitmn , mea men» saucia Eacta iremit.
Ilta lua, in pemina quœ proie refulget imago,
Hic movel , in senfiu» sic penetralque moft> ,
Cogar ul iiitortlum (quis credat'?) luminu rétro
FîcclpfG, vix animi compos et osse puter.
Judiœiiiie ut linEoia qirnm morbiis rrgiusafllat,
Ipsi etiam melli feilis amaror inest ■■
Sic orulis nunc atni nieis quse randida nuper,
Nec mUa nitidasjau) reor esse via»,
Sic aures qucecunque priùîi nmlcere wlebanl,
Nil niai triste meis auribus illa sonant.
Dcaino* Namquo oculi, lacrymis ut suppeial humor,
lluRinrcm lin;;uie surripuere Huum.
Sed saltem bas imo fiLsas è corde querelas
Accipe, dum voci penia verba meas.
Uxt' sunt qux Jani lugiibrin dona Calenditt
(Pro gemma ciiJiiA, Margan, sponsor erani)
Offèro. quic meiuoreni sint teslatun» per orbeni
Nostrum animum, exequiat» sinlque datura pias :
Dura nostra in terris qui gaudia junxoral, idem
tiaudia me tecum ad proâficnora vocet.
PARENTI DULCISSIMjE AC PIj£ MEMORISE
IIEfVRlCO STEPHANO PAITUTS ttTEPHAXUS M.BÏTUS POSUIT.
Ttistes excquiee, tridles mihi funerts bors,
Accipite bas laerymas, et voâ narrate parcnti
Posl illum defunciae aninue, mca peclora quantus
M(»ror a^t . qiianto lurbentur |K<ctora fluelu :
M
i66
HENBI SECOND.
Quantus ad slbcrios grinitu» pervcnnrit axos.
Ex oculis erj;o, ergo juirpns tlisiCtNitro no!>.tris
Te polub-so pulCDi? Diilci:? Pater, optime Patruro,
Extinclum t« crc<ii<!enm iuo'mquo iM»rosiini?
Et Liigdunœo rcquiescunl ossa sopulchro?
At vivil meus ille meud, me remit et audit.
Jam mihi res[KinHe, gonitor rinlci^^ime, nnm te
Per L'incres oro , pcr aiiuttar pi^nuni matrîs,
Fallor, an exspocU'm vocis rcsjnnsii serenœ?
Elieu , chiire Paler, verus niilii nunliuft erso
Iveril , cl tenues nunc taiiLum amplecliinur timbrai
AccipiLe hxr ; vos, à tpiffî vertilis omnia , Parca* .
PaivFp higubrM, quffi me privuïtlis alumno,
Nulli pîircenles l'arciC , genitoris ndeuipli
En (pierimur casum : sed qucm lu>;emus adoniplum
Hedditc, quœ vobis lanla es^t jactuni relicio'?
Qims si non moveu, surdas si Uni^^iuius aures,
^therifl meus ilîe meus nec vewitiir aiird ,
Sed dnii-es natos et conjngialiu vinchi
Deseniit, vi>cesque pias non amplius audit :
Quâ pôles exaudi, genitor dtilrissime, et hauri
Hus oculis Iai'r}'mji8, Scdlerii nunc (jlkH]U(tr uinbnifï
Si mihi nil aliud superest, tua dulas inia^o
Vivit , étante oculoâ sempermanelaureîi nostro».
Qua liceL anipUn^lt', nianes ampleelur umtili,
Osfiilor et rhîiri jiertuaquB orulosjpie parentia.
Planpile, aniicorum liirba olficiusa, meoque
Condoluisse mato ventant solatia mœsto.
Vos, sat'ri vales, inspergile vestra sopulohro
Mimera, qua- possunt cinercs placare sepulti.
Illum non <x;uUs inorienlvni Griecia i*iccis
Cernere suslinuit, sensitqiie e\ fimere vulnuA :
Vos quuque Preride:^ Latio inppniuistis araatœ.
In laudes rhari sed non licel ire pHrentis.
Exhausla; iiocies, seriesqMR immensa lahonim ,
Dignus honos tumuli, domino pro absente ioquuntur.
Et sunt magnu satis gelido monumenta sepulchro.
Almeloveen. page 85. et. d'après Tui Mailtaire, page 466, don-
nant l'énuinératioii d'ouvrages et opuscules de Henri, paroissent ne
les cnnnoîlre que par les mentions assez peu précises qu'ils en trou-
HENRI SECOND.
167
vent dans Index (Catalogus) Bibliothecœ Barberinœ, 1681, dttii!»
/hftudfi Bibliotheca r/flAjf/crt, IG25, et La Croix du Maine. Je rap-
porte ici leurs citations; maison pourroit désirer qu'à chaque ou-
vrage ils eussent mis son intitulé vt^ritAble, ou celui du volume dans
lequel il se trouve. 11b n'ont pas pu ou n'ont pas voulu éclaircir ainsi
ces listes beaucoup trop incertaines ; je donne quelciues-unes de ces
indications, mois je suis pcrbuudé qu aucune esp^ce de recherches ne
pourroit suppléer entifcrement à leur silence.
Du Catalogue de ta Bifdioth. BaH/erine.
Notationes ad Clenardi Institutiones lin^uœ gnecœ.
i^Sarmina super oliitu Pi'lri Victorii.
fotif in CaluUiiiM, Tibidlum, Propertiuin et Petronium
Vita ruslica. In Aniphitheatro Sapientia: Socratica:.
De Bibliotheca dassica DratuÙi.
L'Alcoran des Cordeliers. Genève, 1578. In-8.
i h\ sait i]tiu colio trddiirtion françoise est de (".onnid Badius , el rien ne fait
}a pluâ jjrùsuincr que Henri eu ail clé riiiiprimcur.
De la BJùHot/tèffue de la CroCt du Maine,
Les plus notables et anciennes Histoires entre les grecques et la«-
les, recueillicà et traduites par luy .
11 est sans duute question de ses versions latines d'écrivains grecs, el de
ses éditions d'iiuteurs lunL grecs ({uo latins.
Comment chacxm peut acquérir de la prudence par la lecture des
Histoires.
Haranges prinses des plus anciens Historiens, traduites par luy
au plus près du grec, et sans changer, adjouster ou diminuer,
comme il a esté fait es précédentes traductions.
C'est le volume Conàones cjc histuricift grœciii et ialinis , 1570 , in-fol.
I Deux Oraisons d'Isocrale, traduites par luy (en latin).
Quatre Oraisons de Dion (surnommé Chrysostome à cause de son
éloquence, Bouche d'or); de sa traduction ilatine).
Trois Traicteii de Plutai*que, traduits par luy.
Deux Oraisons de Synesius, dont l'une est : De la Royauté , ou
rouvernement d'mi Royaume ; de âa traduction.
U£NIU SECOND.
Advertissemcnt aux Princes touchant les flatteurs.
ija (toit (Mro qtitftquc nuinraii rlti recueil lUusa Prirtcifmtn Mimilris
Discoure sur rupiiiion de Platon et Xénophon (disciples deSo-
crate) touchuiit la capaciU' de J'e^prit féminin.
Des anciens Guerriers de la Gaule, et de leurs successeurs.
Celle dissertation et la suivante sont indiquées par La Croix du Maior
rumine ex isUmL en nuintiscrit.
De la Prééminence de la Couronne de France.
Epistres laconiques (c'est-ù-dire; ayans une gentille brefvetël de
plusieurs Grecs. Ensemble les Epistres de Brutus, avec les res.pon-
ses, refueillies et traduites par luy.
De la Brefveté (ju'admet le Langage firançois, non moins que le
grec ou le latin, avec un advertissen)ent de plusieurs superfluitez de
langage |appeit5cîïpIt5onaiimes), qui nous sont ordinaires.
Dans les truitésde laConforniil<^, etc., elde la Précellcnœ, etc., ainsi qne
poufCT qui suit.
Traité touchant les Dialectes françois, monstranl que notre lari-
^ige en est enrichi, comme le grec par les siens, et qu'aussi la di-
versité est semblable en quelques choses.
Oraison nionstrîuit qui! ne faut croire aisément aux accusateurs,
traduite de Lucian, ou pluslat <ïe reluy auquel on a donné ce noni.
En l'Epistre mise devant sa traduction, il rend raison pour laquelle
il n'a lîstimé point ce U\Te estro de Lucian : et pourquoy il R inter-
prété ainsi le tiltre, et non pas, De ne croire aisément ù la calomnie
11 advcrtit aussi de plusieurs fautes notables commises par les pré-
cédents traducteurs.
Plusieurs Dialogues de LucJan, traduits par luy (en latin).
Observations de quelques secrets du Ltmgage françois. Ensemble
sur les expositions d'aucuns mots empruntez du grec ou du latin,
dont la naive et vraye signification est ignorée de plusieurs.
De la différence de notre Langage françois d'avec l'ancien.
Dialogue intitulé : le Correcteur du mauvais Langage françois,
c'est-à-dire des fautes que plusieurs y commettent.
Cet opuscule, indiqué pa>;. Hi du [..ungii;;^ rnuiçots iulianisé, n*a janiiii»
été imprimé el n'a |ieul-(Hri' l'xisté qu'en élwurhe nu raènie ïH*ulemoiil en
projei.
De rOrlhographio et Kako^^raphie françoise.
UHNRl SECOND.
469
Traité des Proverbes François.
Plusieui-s advertissernens touchant les traductions du ^cc ou latin
et: François.
En Poésie fruncoise.
Epistre au Roy touchant l' enrichissement du langage fninçois par
moyen du grec, pour luy eslre présentée avec le Thrésor de lu lan-
gue grecque, composé par ledit Estienne.
Il est probable que de pltisii^tjrs des pièces de poûsie qui suivent il îiurn été
fuit du:? impression:» i^^oltt^s, de ces feuilles volantes dont t)iii.'lqiiefuis, uu Unit
de peu de jours , on ne ^auroit retrouver ud seul exempbiirc.
Epigrammcs sur divers subjects.
Plusieurs épigrammes grecques, traduites par luy.
Poésies grecques et latines, de divers, traduites par luy.
Plusieurs Sentences des PoîUea grecj* et latins, de sa trmlui'lion.
Conseils et Ensetgnemens concenians la Philosoplûe murale.
Autres Enseignemens, par similitudes et comparaisons.
Déploration de la mort de très-vertueuse Damoiselle Barbe de
iVillay.
Je croirois volontiers avec M. Magnin [Journal dtA Satani* y mars 4844).
que ces vers furent faits en l'honneur de Barbe de Wille , seconde femme de
Henri.
Les Adieux et Contradieux à une Damoiselle.
Poème contre la Calomnie et les Calomniateurs, dédié au Roy.
Il en est M\ inenlion â l.i tin do la préface de Miisa MunUriXy lî>90.
Poème contre le Babil et les BabUlards.
Poème contre la Flatterie et les Flatteur*.
Poème contre l'Ingratitude et les Ingrate.
Poème contre l'Avarice et les Avaricieux.
Poème contre l'Orgueil et les Orgueilleux.
Poème contre l'Iurongnerie et les Inrongnes.
Poème de la Louange de la Pourelé conlcnle.
Poème de la Louange des lettres et des Huiiuiies Ictlrcz,
Poème à la Louange de ceux qui ont joint t'aiiiour cl l'étude ilet»
[lettres a l'amour et l'exercice des armes.
Poème contiv les Ignoraiisoi Ennoiius des lettres.
470
HENRI SECOND.
Aucuns des livres susdiu ix>urenl soubs le nom du sieur de Gri^rp.
qui est une âenno terre.
C'éLoit cfTocUvement une |ietite terre non loin de Genève, de Uquoll? il
«toit propriéUiire. Presque rien de tout cela, je croU, n'a été imprimé.
Sur une conjecture du médecin RenéMoreau, éditeur des (ruvra
médicales latines de J. Sylvius (Jacques Dubois, d'Amieiisl . Genevw.
1630 et 1635, in-foK, on attribue à Henri Estienne une pièce sa-
tirique contre ce très savant et encore plus avare médecin. jmbhtV
en 1555, peu après la mort de Sylvius. •• Ludovici Arriva'beni Ahn-
luani Sylvius otTealus (SylNius botté). Forisiis, ex typogr. Matthn
Davidis, 1555, iii-4, 28 pages, y compris le titre et le privii^ge •
Cet éditeur, qui la réiniprimc en tête de son in-folio, croit y recoi-
noître la manière d'écrire de Henri . et s'appuie surtout sur la beauté
de l'impression, qui cejiendant n'a rien de remarquable.. . Tum es
typoriun eleganiin auctorem Henricum fuiise Stephanum arÙitror
La latinité de cette pièce peut n'être pas trouvée fort wauvaisc,
mais elle n'a rien de cette façon libre et aisée qui alloit si bien â
Henri, et que comporloil le sujet; si d'ailleui-s Henri eût alors voulu
se moquer de Sylvius, comme iî le fit en 1566, il auroit su rendre
son écrit, sinon toujours de très bon goût, au moins plus riche de
plaisariteries que cette pauvre pièce où rien ne vise au comique que
l'arrivée du Mort sur les bords du Styx qu'il espère passer ù gué. rt
gratis, à l'aide de ses bottes fourrées que pendant sa vie il cbauaâoit
pour éviter la dépense du feu. et qu'il n'a point quittées à sa mort;
combinaison mmoniique déran^'<*e par Charon qui trouve bien
moyen de le faire entrer dans la barque. Jamais Henri n'a écnt ni
pu écrire rien de si pitoyable; et il falloit d'ailleurs être roédedo
j)our jeter sur le pajiier l'érudit fatras tie biogi'apliie médicale, qui
avec les bottes et quelques facéties manquées, remplit les six gran-
des pagt^ in-folio du Sih'ÎM ovrealus que cepeudanl j*ai eu la 000-
sciencieuse patience de lire d'tin bout à l'autre.
S'il faut que l'auteur de ce lourd panq>blet soit im Estienne. c'est
plutôt le médecin Charles; mais, non, ce n'est pas plus Im que son
neveu Henri : si Charles l'eût cent, il lauroit imprimé.
A lu suite, dans le même in-folio, est réimpriraée une défemie ou
A|>oloj;if par un élève de Sylvius, Jean Mflûl, Cloutlii tiurg^tub
HENRI SECOND.
471
Âpohgin in L. Arrivabenum pro D. J. SyWm optimOy jure
fM'renfo, Ht t\m avoil aussi paru en 1555. En voici un (f'chantillon :
selon lui le Syhûits ocrentns est :
« Lernœa llydra malum rapitolitis. 0 lopidiim capulîôbplluam! 6moii^
triini t Audet Scarab.TUS aquilam InrA-àSTrc . îiudct ruiex , vilissimuin animal .
pU'plKinlom int|K'tore. etc., elc. o
Le jour des fmiéraillra de Sylvius on afficha daiis l'église et aux
portes ces deux vers faits lorsqu'il vivoit encore, et qui furent aitri-
hui^sà Buchunon.
Sylviiis titc ftiliis (st, ç,rut\» qui nil dcditunquam :
Mortuua et, gratis qiiod logis ista dolet.
I Henri, pag. 191 de l'Apologie pour Hérodote, où il sV^gaie un
peu lonf^cment sur le compte de l'avare médecin, rend ce distique
par le quatrain suivant :
Ici ^ist Sylvius, auquel onq on sa vie
De donner rien p-dlis ne prit aucun envie :
El or(M qu'il est mort H tout «mgi^ de vors.
Encores ba dc^pit qu'on lit gratis ces vers.
Si Henri, conune éditeur, exécuta d'importants travaux, cet am*
bitieux conquérant de la science en projetoit de plus ronsidérables
encore. Voici une liste d'anciens auteurs dont plu>ieurs passages de
ses livres et préfaces font connoïtre qu'il vouloit donner, et déjà
même préparoit des éditions. Je ne rapjMule point ces passages,
parce que ce seroit aceumuler ici sans besoin une multitude de cita-
tions en elles-mêmes pou instructives, que l'on n'auroit gubrc souci
d'aller retrouver à leurs sources, et dont la seule utilit/» seroit de
prouver que je ne donne pas une liste exagérée ou inexacte. On peut
les voir dans Maittnire, où elles remplissent plus de trois pages en
petits caractères. En voici une qui peut être curieuse en ce que
Henri y parie tlesuœ ofjicinœ instaurât lone comme si jusqu'alors
il n'avoit point eu d'établissement typographique. Ses longues ab-
sences et les malheurs des temps avoiejit amené le dépérissement
presque total de son Imprimerie. Pnrfatio ad Proodnpceiam Se-
necœ : - Hiec in Senecam danda esse existimavi, dum varia ad ejus
editionem subsidia comparo. Quamvis enim me muiti scriptores
472
HENRI SECOND.
Gnrci imrtim ad se voccnt, jiarlim revocent, nihiloininus et Inlnirs
loouin aliquoin rclinqucre, in lucœ offîciuDe inslauraûonc :statui. Sed
de alio potiùs quàm hoc latino scriptore edendo oogitas^sem. a ro-
moim editio meee multorumque aliomm expeclationi respondisset.
Ailleurs i) dit : •• Ciceronem... meis typis excusum divul^bo. —
ColuLlii et TryphJodori poematiu ruiii Quiiili Smymsei poeroate
cdenda ccnsui. — Polybium |>Qro. — ...quœ in mea Slob<ri editianr
aliquando |Deû favenle) dislinguara. etc. « Il e^pl•^oit donner d»
t^diliims dt% livres suivants: Aristoto. Aristophane, Alhtoée. k
Bible hébraïque, avec la version des Septante; Cicéron, Colatiios.
Diodorus Siculus, Dionysiuâ Halicarnasseus, Dioscorides. Eunpi-
des. Fragmenta vetenim authonim latinorum. Macrobii Libellusdp
diflerentiis g^ci et latini Verbi, Pausanias. Pliiiius, Seneca Phila»-
phus, StnbtEua, Strabo, Thucydides, Xenophon.
Il vouloit aussi n^mprimer . avec de nombreuses additions et
rorrt'ctions : Budœi Commentarii . Erasmi Adagia , le Trésor deia
Lanj^oie latine, de Robert, son père, et le Dictionnaire latin-prec-
rrmi(;ois, dont la deniièrc (édition est de 15G0-(il. « Spcro fore ul
palcrnis vigibis meas aliquando addens , illud Thesauri latimc Lm-
guâî opus cùm aliis rébus tùm verô vocum dispositione ei sùmli
qua in Gneci^ usus sum , luculentiusreddam. - Tkes, Gr. Lingnœ
Efjhtoln ofi Lect.
Liste d'autres ouvrages dont il se proposait pareiliemettt de fion'
fter des éditions, ce (jui est proiti'é par fies passages de ses
/tores, lettres^ ou préfaces. (Ceci est pris dans Maittaire, pa-
ges 473 et »uiv.) J'y ajoute quelques observations.
jïlsopi FabulcB Gnomœque singulîE aingulis versîbus compre-
hensa; ; quibus fabulas nonnullas haud ante etblaa addere décroît
sed id noluit nisi pristina interpretatione recagnita aggrexli. UiaS
fleJnstit. Gr. Stud., 1587. pag. lî).
CoroUurium Thesauri Gnecse Lingmc, quod Supplcmentum voce-
tur. Glos$ar»y \t>7^,Prtef. ad Lectorem. Et de Lipsii Latinitate^
1595, pag. 51.
De cœteris Dialectis TractatuR. Thés. Gr., 1572. t. I. nd Ijpc-
torem, pag. 1 1.
HENRI SFXOND.
473
Libellus de varia versuum Homcn accotnmodatiotie. Centones
Hotucrici, 1578, Prœf.
DeSecretis GnecœLingufE Commcutarii. Henr. Step/t. in Dion.
Haiic.^ 1588, pag. 55, el Âtmotnt, in except. pag. 41.
Proodopociain Plutarchum. Pmodnp. Senecœ^ 1586, Prof,
Uberiores in Tragicos Grœcos Obaervaliones. j^^c/ty/., 1557,
pag. 38G.
Appendix ad Commcntarios Graecae Lingiia;. ConJ\ fie /a Langtte
Cr.y prèf. ]>ag. 4 ; •• Car combien qu'il semble que l'o-uvre de fpu
M. Budt^ ne doive donner moins de crainte à ceux qui le vouldront
achever, 4]ae donnoit à tous les peintres le tableau qu'ApcUes mou-
rantavoit laissé imporfaict {Plin., 1. xxxv, c. x : Apelles închoave-
rat aliam Venerem Cois, soperaturus etiam suam illam priorcm. In-
vidit mor^ [)eracta parte : nec qui succederct operi ad pnescripta
lineamenta invenlus est ; | et se puisse à mon jugement dire d'iceluy
Budé au regard de ses Commentaires ce qu'a dit Cicéron des Com-
mentaires de César, c'est que : - Omnes sanos a scribendo deter-
ruit : " j'ay espérance néantmoins de faire cognoistre que telle entre-
prise ne me part aucimement d'oultrccuidance ou pr(iâumption, mais
plustost que l'ardent dcsir d'avancer l'honneur des lettres grecques,
m'a faicl exposer le mien à tous dangers. •■
Liber Annotationum uberionim in Thucydidem. Tlmcyd,^ 1588.
Prtpf. adLect., pag. 1 , 4;ct Thncyd,, Lot. in fine Animad^f., posS
Indicem .
Libellus Dion. Halic. deThucydidis idiomatis, expoaitus pariter
et locupletatus. Thncyd., 1588, Prœf. ad Lecf,^\m^, 4.
Annotationes in Herodotum, et quorundam locorum emendatio-
nea : quando(|uidem vetere exemplari \ndeo me anie belloi'um nos-
tronim finem potiri haud posse. fferod.y \b9'l, Prœf. mi f^ct.,^.3.
Dioscorides, gr. lat., ex J. Ant. Sarraceni versione.
^ Henri ne fil point celte édilioo qu'il eut long-temps en projet. Voyez ci-
ricssus, page 136.
Libellus lectionum ex Platone excerptanim, cum aiuiolationibus.
emendationibus, el (si exemplaris cujusdarn fieret copiai miiigniuni
locorum illustratione. P/nto, 1578, t, ÏII, H. StfpA. Annotât,,
pag. 79.
474
IIENBI SECOND.
Scholia jrrïcca in Theocritum, malto cmendatiora et auctiora. Pro-
ieg. Thcocr.y 1579.
Omnes Leges. non solum quse apud Oratorea veteres et Denwî-
thenom surit. Rfd eliam quîn in aliis omnihus gnecis authoribus ex-
taiit, in unuin corpui; coUectic, et cirni aliia receulioribus companilff.
Orat. -vet., 1575, EpUt,
Ta ouvragpde co genre, I^ffps AUicœ , a ^té publi(^ pur SaintiH P«fUI.
en 1635, à Paris, ia-folio, et réimprimé avec avanlagp! à Loydr t'f^
austû in-folio.
Intorpretalio reliquarmn Oralionum latina, cuin amiotaUuiul>ii>
Orot. Gr.vet., 1576, Ep.
Dau»co volume dp4b7r>, Henri n'adonné la version iHtincquedrscpt h»-
ranguRSf avec ccito de MmusUiÈne pour Clésiphon.
Scholia in Tsocratem.
<r EriidiLit^simiis (Irnrirus Slcphunuâ Isocraliâ verba ex Hnrpoci*u(ioimet
Siiid.T^ Ibnlibuâ hausUi , qii;e in iirif wlilionis Aldinro leguniur, noU» et ani-
madvorsiunil)!]» illuslraUi reli<{utl : (ptaï rcs j)ene nobis pcrsuai^it rrM*diUUiin
cum fuisse alîquando in aiithoriçt luijiiH integnim upuâHchulia oUere. » if«v-
sar, tn llurpacrtitionh Lt.r. Prolnj.
ATinotatidiu's in Diog. Lacrtiuni perfectœ et recognitœ. Dk€.
Laerl,, 1594, pa^^ 8-9.
Versus alii qui Luac ot Joaiinis, necnon Act. Apost. nyiôlceta cdid-
plcclunlur, uiia cum reliquis seorsum editi. IVei>. Tegt., gr. ndcsi-
cem nyoXaîwv post Prœfat,
Annotalionps in varioa Novi Test, locos, quie in supcriore edi-
tione ( 1576] eruiit, atquealiaî cum nova Gr. N. T. ConcordAntin-
ruin cditione.
Ces ConcortlQneos ont été imprimées eu 4594, in-fol., mais sans annote*
lioitô; dunâ la préfuce do ce volume cât promis un .-Ipperujtx qui n'a |)Oènl
paru.
Proverbia qutcdain Erasmiiuiis addenda.
Dans la préface de* Adages d Erasme, édil. de lîjH8 , Henri prora^l surw
livre uu |j;rand Iruvail qu'il n'a point TaiL, ou au moioà dont on n'a aucuae
connoiâsance.
Voluraen unum, varium et multiplex, complectcns qufPcuiunie
apud alios onmes lalinœ linguae scriptores antiquos, portas, ora-
torea, historiros. nernon etiam grarnmaticos, de gnecis latina factn
HENRI SECOND.
476
reperianlur ; eadeiii niethodu qua in Lexico Cicerotdaiio UAis est.
Lccicofi Citer. 1&57, ad Lect., pag. 0.
Veteres latinœ linguic inlcrprelcs : qui liber Ciceronis. Livii, Pli-
nii. alioruinque doctissimorura pariler et clegantiscùmas inlerpreta-
tioncscomplectetur. G/ossor. 1573, adLect.
Il i-st fârhonx qu'un ouvrage qui auroil dû Otrc d'une grunde utilité n'iiil
i^xi-sLé qu'en projet.
Liber de Latinitate prisca. De Latinitatc falso suspecta , 1576,
|ja^. 367 .
Liber vurium Lingmclaliiiœabusum describens. M., EpUi. p. ;j.
De Sermonis brevitate. bîonyjt. Ji&c. 1577. Proleg. ad Melam
et Solimun, pag, 5, ubi lectorem adeum lihruniy quasi pfodiisset,
refert .
Liber qui complectalur castigationes în Ciceronis reliquos libroe,
quos tuiic, dum variis typogi-aphiciâ occiipationibus opprimcbatur;
non poluit colligere : quas enim in proniptu habebat. prœcipitarH
coactuâ est. Cajstigat, in Citeronem^ 1507, pag. 98.
Schediasma de delectu in divcrsis apud Virgilium Icctionibus ad-
hibendo. quod iiichoatum i-eliquit, simulque VirgiliusËiXYn-uwv, aip^^aN
Cuv, iO(à!!^uv, SiVe vtMrfpi'Cw. <3(0upauxÇiï^uv, JavciCôf*n»ç, et (îowtiCwv, lûpo*-
()Uos 6 Gncciti vel à-Kc^^ùXôx-zxa^^ imitatus est, vet alii^uid irojiaXXârrcdv,
locis . adhibitoque, qui noudum adhibitusest. delectu, novaquadam
poetu? nostri in turando solertia (qua velut oculos pncstringit| patc-
facta; cujusunum et alterum spécimen ibidem addit. Virgil. 1583.
Epist. ad Th. lif'd/tig.
De tolo inteqiretandi génère. Lexic. Cweroniam^n , 1557, ad
Lect, pag. ult.
Annotationcs in Tibulluni, Proportiuni, Ovidium. Castigat. in
Citer. 1557. pag. 14, 57, 109.
Notœ in Catullum, Tibullum, Propertium. f^oir le livre Index
Bibliot. Barberinae.
Huratiana qua?dam, exercitationis çratia. in pTïecum sermonem
conversa, e quibus hune aflert versum. Epod. V : Posl insepulta
merabra diilerent lupi ÂdoncTa ^'curai -roîf Xû»i; ti^ f&An. .-Eschy/.
1557 pag 379.
i76
llENHl SECOND.
lombi de Virtutibus. et îis potissimoiD, quee in princîpibns
polis^imee exislimantur. Prœf. aatelih, de JrLttot, Ethic, et Hist.
Appendix ad Proodop. Senecœ. ubi ipsa acriptura veteri qnam
fidelùiiiiiue poterit repraesentata ad venandam ex illiiis vestigiis ve-
rain omueshorlabitur. Henr, Schediasm. 1589. paç. 316.
Liber de poeticis adniiniculis et omamentis : ubi de veteri sch-
bendi caraiinis methodo agelur. Epigr. gr. sélect. 1570. Epist. ad
Othon, pag. 1 1.
Poetffî, iii <]uoruni polissimum epigrammatis observ'anda artificii
viderenlur, quales Antipaler uterque, Leonides, Luciliuâ, Lnctanas,
Nicarchus. Philippuâ Macedonius. Antholog, 1566 . ad Leciorem.
Dans l'ouvrage Casligationesin Ciceronem, 1557, pag. 98. 110,
1 13;dans AnnotationesinSophoclem et Euripidero , 1568, pag. 25.
etPseudo-Cicero, 1577, pag. 20-21 , il est question d'un ouvrage qae
promettoit Henri, et qui, avec raison, lui semblait devoir être dnne
grande utilité pour les t^tudes : Libri de origine ntenflomni, in att-
thortbits gnvcis ne (alinis : rien n'en a paru, mais d'après ce qu'en
dit Hcnn, on pourroit croire qu'au moins le manuscrit du livre a
existé. • Nec dubitabit. quisquis Canteri de ratione cmendaudi gny
cos autbores syntttgma cum illoHenriciStephani tractatucontuleril.
quin islud ad illius exeinpium scnptuin sil. Quin etiam Fnmc. Ro-
borteliuui in distribuenda in classes sua disputatione de arte sir?
ratione corngcudi luitiquoruui libres fuisse illo Henrici Stephani trao-
laluadjulunioonslarcL ■■
De Philippo, Macedonum rege, in Graeciam variis arlibus ohm
grassato, et de TurcogrsBCÎBe rege in Germaniœ vicina loca grassante,
ar in ipsam grassari t:onante. Henr. Stepli. Orat. d^iœ^ 1594.
pag. 203.
De Republica Germaiiitc ; oui Tjqjagraphieum prelum, duobuî
foliis cxcusis. finem rdiquis non potuil imponere ; quod Typogra-
phus qui ad nundinas Francfordienses properabat. iilis se retarda-
luHï iri vident. Ihid. pag. 204.
Ëncomium artis equestris. Àimeloi'een, pag. 93,
Il parollroil i\\M- rc* q>iisc»ilc. (iiii n a [»as v\i^ imprima, auroit mppnrfant
él*^ (krjt.
ROBERT II, ROBERT lïl,
HENRI lli, ROBERT IV. HENRI IV, ROBERT V, btc
Robert Estieime, second du nom, frère de Henri II et de Fran-
çois II, étoit le second des neuf enfants de Robert P'. EmmerK-
dans sa jeunesse à Genève auprès de son père, il revint presque
aussitôt à Paris, s' étant échappé furtivement , s'il faut en croire U
déclaration de Charles Elstienne dans sa Requête pour les en&ntà
mineurs de Robert F*", de laquelle j'ai fait mention ci-dessus p. 31".
Ce retour, furtif ou non, le fixa à Paris auprès de son oncle, chez
lequel il travailla, et resta jusqu'à ce qu'organisant pour lui-même
une Imprimerie, il la mit en activité en 1556, dans la maison et l'é-
tablissement délaissés par son père. Il est hors de doute que dansœs
années d'intervalle il aura été employé à tirer parti des valeurs de
librairie et de typographie que son père n'avoit point emportées à
Genève, et qui se trouvoient dans la part des enfants. On sait qu'il
fut déshérité par son père ; mais j'ai expliqué plus haut, page 319,
comment cette détermination paternelle , rigoureuse en apparence,
n'eut point pour cause un ressentiment religieux, et ne fut ni injuste
ni en violation des droits des enfanU restés à Paris. Ceux-ci, en
possession légalement assurée des biens de Paris, avoient une paît
peut-être plus considérable que ne pouvoit être ceUe des enfants
plus nombreux devenus Genevois et réformés. Et ce qui prouve qu'il
n'y eut là-dedans aucune animosité ni colère , c'est que tous ces
enfants conservèrent entre eux leurs rapports, et restèrent en bonne
intelligence, sans aucun différend, soit pour intérêt, soit pour toute
autre cause.
La première publication de RolxTt fut une édition iii-8 de l' Ana-
ROBERT II, ROBERT III, btc.
479
de Henri, son frère; maisce volume est probablement imprimé
ir Guillaume Morel, en socii^tt^ duquel fut faite IV-dition. Delà
l-mc année cependant il existe plusieurs autres Untcs £.r officina
tbctii StephnniKyn <l^^-lo^s coritinua à imprimer sans interruption
^qu'au temps de sa mort. Quant au titre ou office d'Imprimrmrdu
toi qu'avoit eu son père. Charles en avoit été pourvu d(*î> 1551 .
iitôl îiprî's le départ de Robert, ainsi que le font connoître deux
ïtunid historiques. Apohgia^ etc., et sa traduction françoise. l'un
Vautre datés de 1551. Eit I5GI , année dans laquelle fut consom-
lée la ruine de Charles, cet oilice revint à Robert, dont plusieurs
)lun»es de I5GI ijorlenl déjà Trpogrtiphtut He^itis. 11 y en a aussi
le 1562 ; c'est un peu plus tût ((ue ne le croit Maittaire qui indique
Édit (le I5G.'J pour première pièce revêtue de ce titre.
Les impressions de Robert ont même physionomie que celles de
ptre, pour le papier, les caractères, ainsi que pour ragencement
^-po^raphique : il fut véritablement à Paris son continuateur, et ce
|ui prouve qu'au dé[M»rl de Roïjert la pailie Hébraïque avoit été
de aliénée, c'est que son fils, devenu Imprimeur, refit des (éditions
nivelles des livres du fonds paternel . à mesure qu'elles s'épuisoient ;
!t on n'aperçoit point que Charles son oncle lui ait en cela fait con-
Tence. bien (ju'a\ ec une Imprimerie formée d'éléments à-peu-près
semblables. Robert ne resta point complètement étranger aux im-
pressions hébi-aïijues ; phisieuj-é volumes par lui publiés en celte
langue ne laissi-nl rien à désirer pour l'exécution, et doivent faire
conclure que s'il n'en a pas produit on plus grand nombre, c'est qu'il
ne s'y sera pas trouvé suflisainnienl encouragé par le débit.
Son office d'Imprimeur du Roi ne fut point un titre sans emploi;
il lui amena, entre autres inipresâions. c^lle d'une multitude d'édits
et ordonnances (}ui figun>nt dans ma liste, au moins pour autant que
j'en ai pu découvrir. Ces sortes de pièces dont plusieurs sont d'un
véritable intérêt historique, se trouvent enregistrées, dans celte
nouvelle é'dition on plus grand nombre que dans la première.
Les éditions de Robert II. et celles des Imprimeurs dont les Xo-
tices vont suivre, sont généralement Ixinnes, et font honneur à ceux
qui les ont exécutées; mais si elles prouvent leur diligente habileté
comme Imprimeurs, et dans plus d'une occasion , leur savoir, elles
m
ROBEKT 11. ROBRttT 111. crc.
n'ont cependant point cette importance qui commande TadinirstMii,
et que l'on doive reconnoître digne des souvenirs de rhistotrr
Robert I", les deux Henri, voilà Tilluslre entourage de parente <p
ïi^fléchit sur ces hommes estimubles. IsolO, chacun d'eux cul proto-
blement conserve^ )e renom de bon Imprimeur; mais de cette laov
ni(|ue mention se seroit composée toute leur biographie.
A commencer à ce second Robert, il y a dans les d^•c^s. et damii
durée d'existence des personnes de ce nom, une complication équi-
voque dont on ne peut gMhre se tirer que par induction. Robert fl,
marié à Denyse Barbi*, est mort en 1571 . La pi-euve rnconte«tAbfe
de ce décès est un privilège obtenu par sa veuve, le onze septenbrr
157 1 , pour un livre qu'elle publia en cette même anm^e [Grimaudé,
sur ies Uixmet eccUti astiques], et réimprima en 1674, chaiiue/bû
mentionnant le privilège, et mettant sur le titre, <le F Imprimerie^
Robert Estienne. Une autre preuve est le brevet d'imprinieur ordi-
naire du Roi donné, le 4 mars 1 57 1 , pour remplacer Robert, à Fi<é^
déric Morel son cousin germain, c'est-à-dire, gendre de Vascosan.
beau-frtre de Robert T*. Comme il y a jusqu'en 1588 des liviw
au noui de Robert, on a voulu le faire vivre jusque-là. Moittaif*.
pour trouver à Denyse Barbi' un mari autre que Robert If , t
essayé de faire surgir un autre Robert . parent et contemporain éf
celui-ci, et fils de François Y que cependant on croit n'avoir eu ni
femme ni enfants. Cette créatiou à laquelle Maittaire ne parent ptf
tenir bien fermement, ne met pas fin à ses incertitudes; et. am
résoudre la difficulté, il l'abandonni^ en disant, page 5 16 : » Quis9t
is Roïiertus Slcphanus, quo parente orlus, quo gradn Roberto se-
cundo affinis, utri duoruni libri Roberti nomen gerciites usque i^
annum 1571 adjudicandi sint, sagacionbus remitto decemcndum. •
S'il y eût eu ijuelque autre Robert , mari de Denyse, et n>ortai
157 1 , l'existence de ce Sosie, Imprimeur comme Robert, comme hù
Imprimeur du Roi, seroit une singidarité trop remarcjuable pow
avoir dans le temps échappé à l'observation. C'est donc bien la vrtnc
de Robert 11 qui, vers 1575. épouse Mamert Pâtisson, mis parce
mariage en possession d*; la demeure et des ateliers du défiini. &
1578 Pâtisson devint Imprimeur du Roi, et avec celte qualité qu'il
prit sur SCS livres , il mit sur presque tous nu logis *ie Rnheti
ROBERT U. ROBERT III, ne.
iM
F.sthnne^ ou In irdibug, etc., et souvent . ex ofpvhta Roherti St&-
phani, et même ex typographia Boberti Stephini, ce qu'il fit jusqu'à
son dùct's, ainsi que sa veuve qui imprima encore pendant les deux
années suivantes.
Qui donc après Robert II a, jusqu'en 1588, imprinii^ les livres sur
lesquels on voit son nom î Nécessairement c'est sa famille, et peut-
être Pâtisson lui-même. Jusqu'à quel point Robert 111, alors trop
jeune pour travailler seul, et en son nom, a-t-il pris port à ces im-
pressions î On le peut d'autant moins savoir (|u'un mot de La Croix
du Maine fait connoitre qu'au moins jusqu'en 1584 ce jeune homine
(^toit resté auprès de Chartres chez le PoMe et Abbé Desportes qui
donna des soins à son instruction, et lui inspira le goût de la poésie.
Voici la citation :
K Robert Ëstienne , Parisitoi , frère de Françoit E$tienne , ( lU* ) eafans de
Hobert Estierme , deuxième du nom , tous deux neveux de Henrj*, etc., jeuœe
hommes fort doctes en grec el en latin.
Il ucom[)Osé plusieurs poëmcs es langues stijtditejii. et encofes s'en voitr-il
plusieurs imprimés flans les œuvres de Plulippes Des Porle* , el sur la mort de
messire Chri3toflw do Tliou , premier président de l*arw , et sur autres per-
sonnes de qualité.
Il a tra<luit plusieurs autheurâ grecs en latin , et latins en françois, mais
ils ne sont encore^ en lumière.
Il est de fort grande espérance , pour estre ai docte et sçflvant es langues
en lin si bas Âge (ce qui est une chose commune à tou5 ceux de sa maison) :
car il y en a eu sept ou huicl tous de ce nom , qui ont mis leurs escjiU en lu-
mière , tjint hommes que femmes , tant ils sont doz au\ loUres el désireux
d'apprendre de père en fils.
1) (lorisL a Pans cette année 1584, et fait sa demeure ordinaire chez mon-
sieur Des Portes , i»bbé de Tyron et do Josaphal , près rJiartres, lequel l'a fort
re<?ommandé pour rexeellenco de son esprit.
Robert lU n'ayant pas été, dans cette première suite d'annéeSi
investi de Téiabbâsement de son père, j'ignore par quelle combinai-
son on a trouvé moyen de continuer, de 1 57 1 à 1 588 , à imprimer au
nom d'un Rol)ert. sans un propri(^taire {>ersonnel, et comment, sans
xm titulaire réellement existant, on a pu mettre sur les Livres Imprl*
meur flu Rni? Quelcjue circonstance ignorée cxpliqueroit [>eut-étn-
^cette irrégularité ^parente, mais toujours est-il que, sous notre
9i
(8«
ROBERT 11. ROBERT U. ne.
demi-hberté de !a presse, raulorité xxe serait pas d'humeur de tol^
rer, mènie pour peu de mois, un tel arrangement.
Après dix-huit années d'interruption, en 1606, et non pas a
J598, comme le disent Almfîoveen et La Caille, voici un Robot
imprimant jusqy'en 1630; il y a même un volnme de 1631 : ce v
peut être que Robert III. dont Tinaction pendant tout ou partie d
ces dix-huit années n'avoit sans doute pas été aussi réelle tpi'ellfp«l
le paroîlre. 11 y aum eu tiui'I(|Ue accord de société avec Pâtisson, *d
nom de qui tout raarchoit; mais, comme je Toi fait rcmanjuer pltf
haut, en ne faisant pas disparoître le nom de Robert. Après la mort
de Pâtisson, de safemmp, mî»re de Robert III. et sans doute a
celle de Philippe leur fils, dont on ne connoît qu*urx seul et nuo«
volume de 1006, Robert aura remis sous son nom cette Impnmtrk
qu'il consena jusqu'à sa mort, arrivée en 1630. Cette conjectun'.
qui a toutes les apparences de la réahté, fait trouver en lui le poï-tr
Robert, auteur des vers grecs, latins et françois, de 1577, 158t.
1584 et 1585, celui des vers sur Ronsanl, ainsi que le traducteur
François des li\Tes 1 et 11 de la Rhétorique d'Aristote, imprijucî
par lui-même en 1624, et, après sa mort, publiés de nouveau dans
la même Imprimprie, en 1630, avec le troisiïîme livre traduit f«f
Robert IV, son nevpii, (ils de Henri III îe Trésorier. Ce Robert lY,
quoique avocat, aura alors temporairement régi l'Iniprimerie jus-
qu'au temps assez rapproché où l'on voit des volumes avec l'Ohvitf
des Kstienneet le nom do Jacques Dui,nLst qui, Imprinieiu* depirp
1620, s'est indubitablement rendu vers 1633 acquéreur de laTjp-
graphie des Robert Estiejine. Voir ci-dessus, pa^e 208,
Un arrêt du Parlement, du 18 avril 1573. entre les enfants iV
dt^funt Robert Estienne, mentionné dans la Table manuscrite de
Archives de la Chambre Syndicale, déjà citée, juge que les prr^Bts
d'Imprimerie dudit Estienne sont tenues et réputées pour meubi»
A défaut de tout autre renseignement, cette pi^ce prouveroit juiqm
l'uvidence que Robert, mari de Den^-se Barbé, mort exi 1571. cS
bien le lila de Robert V\ et qu'il n'y a pas à chercher un autre in-
dividu de ce même nom. Dans cette Table, au feuillet précéd»3il.
est relaté un autre arrêt du Parlement, tout semblable, mais ditt
du 30 juillet 1598 ; ce qui fait voir que les aflaires de cette siMCf>-
HOBERT II. ROBERT UI. etc.
M3
«on étoieiit restées indiviseïî. que, selon que je \'iens de le dire, les
impretjsions faites de 1571 à 1588 étoient pour le compte collectif
des héritiers: qu'enfin, en 1598. on voulut s'occuper de liquidation
et partage; et qu'en I6<J6 Robert IH, devenu Imprimeur, n'aura
fait que rentrer dans l'avoir paternel dont la mort de tous les Pâtis-
son le rendoit seul héritier.
Pourquoi, après Pâtisson, Robert i»'a-i-il pas été comme lui Im-
primeur du Roi? C'est un fait sans importance auquel il semble peu
utile de chercher une cause. A celte f^c(^aslon, je noterai que les mots
Trpographi liegii sowi sans doute de trop sur le litre du volume
hébreu de Malochùis^ enregistré ci-dessus, page 203; on les aura
écrits par erreur sur le relevé de titre dont j'ai fait usage, n'ayant pas
vu ce volume de 1618.
A ia page 201 de la I'* Witionj'avois fait li'ois p^îraoïuiages du
pof'te et interprète du Roi, traducteur de deux livres de ta Rhétori-
que d Aristote, de son neveu, avocat, et traducteur du troisième h-
vre, et enfin de Robert, Imprimeur en 1024 et 1630 de celle Rhé-
torique, ce qui feroit un Robert introuvable ; mais je n'ai pas tardé à
reconnoître que le poète, interprèle du Roi , tiaducteur de la Rhétori-
que, etceluiquiTaimpriméeen 1624, nesontqu'une même personne.
Je me trouve obligé de réunir en un seul récit ce peu de parti-
cularités que j'avois à présenter sur Robert II, Robert III srm fils,
et Robert IV, neveu de ce dernier. Parler des trois ensemble étoit
le seul moyen d'empêcher de les confondre.
On assure que Jeanne dAlbret, Reine de Navarre, mère du Roi
Henri IV, eut pour Robert second la bienveillante considération
que Marguerite de Valois, Reine de Navarre, sœur de François I",
et auteur de l'Heptameron, avoit témoignée à son père. Le Labou-
reur, Àfiditions ntLc Mémoires de Ceuteinan^ rapporte ces quatre
vers faitis. à ce qu'il assure, par Jeanne, le 21 mai 150C, dans nue
visite à l'Imprimerie de Robert, et le sonnet que. dii-il, Robert fit
sur-le-champ en réponse. Les voici :
Art singulier, d'icy aux derniers ans
HeprésenUn aux enfans de nia race
Que j'ay suivi<i des craignan.'^ Dieu la Iraoe .
Afin qu'iU dotent Us nu^mes )ias suivans.
484 ROBEIIT U, UOBtïRT 111, rre.
AU NOM m LlMPRIMËttfH.
Princesae que le ciel de grâce favorise ,
A qui les cruignuitâ Dieu souhaitent tout bonheur ,
A qui les grands esprits ûnt donné tout boaaeur ,
Pour avoir doctement la science conquise^
S'il est vray que du temps la plus brave entreprise
Au devant des vertus abaisse sa grandeur»
S'il est vray que les ans n'offUsquent la splendeur
Qui fait luire partout les cnfans de l'Eglise ,
Le ciel , les craignans Dieu , et les hommes sçavans ,
Me feront raconter aux peuples survivaus
Vos grâces, vostre keur, et loiiange notoire.
Et puisque vos vertus ne peuvent prendre fin,
Par vous je demeurray vivante à ceste fin
Qu'aux peuples à venir j'en porte la mémoire.
On vient de voir, par une citation de La Croix du Maine, que la
jeunesse de Robert III se passa en partie sous le patronage de Tabbé
Desportes, qui lui inspira le goût de la poésie. Robert s'y exei\a
non-seulement en françois, mais même dans les langues grecque et
latine, qui, ainsi qu'à toute sa famille, lui étoient familières. Mait*
taire indique ces vers, en imprime la plus grande partie ; et comme
il fait vivre Robert II jusqu'en 1588, il lui attribue tous ceux qui
précèdent cette aimée, bien que les uns et les autres ne puissent être
que de sontils. Sans doute Robert III étoit fort jeune lorsqu'il fit
ceux de 1 577 et 1 582 ; mais quelques vers d'épitaphes ne sont pari
chose difficile à un jeune étudiant, pour peu qu'il profite de ses
éUides. Ceux de 1577, sur la mort de Rémi Belleau, sont une épi-
tapbe de quatre vers grecs imprimés dans Tumulus R^ Belltùi.
Pâtisson, 1577. Dans Tumulns Christ. Thuani. Pâtisson, 1583,
on trouve de Robert soixante-dix-huit vers françois, seize grecs et
douze latins, faits en 1582, sur la mort de ce président Christophe
De Thou.
Quatre vers latins sur la mort du Chancelier, Cardinal de Birague,
dans Tumulus Biragi. Fed. Morel, 1584.
Vingt stances françoises sur la mort de Ronsard , et une autre
petite pi^ce sur le même sujet, se trouvent à la fin des œuvi*es de ce
poète, avec diverses épitaphes par plusieurs auteurs
HOBEUT II, ROBERT lU, ktc<
485
Quelques autres vers grecs pour la mort de Cl, Du Puy . sont de-
1594. Ceux-ci, que rien ne pouvoit faire attribuer à Robert II, sont
iprimés par Mailtaire dans sa Notice sur Robert III ; il y a joint
le strophe ou huitain grec de Julien, son anlistrophe, par Florent
irétien, avec sa traduction latine de la strophe et celle de l'anti-
strophe par Robert. A la suite d'un Plaidoyer contre les Jésuites, Pâ-
tisson, 1595. in-8. sont des vers François, de Robert et de Nicolas
Rapin sur le plaidoyer. Dans l'Horace de 1613, iii-12. est imprimée
une Ode latine de Robert III. sur l'assassinat de Henri IV : In di-
rnm Magni Henrici cœtiem. Cette |)ièce, sur le niMre de la v' Ode
des E()odes d'Horace, dont elle imite le mouvement et l'indignation,
est de 42 vers, suivis d'un quatrain ou strophe en mètnc aiestire.
Elle est dirigée contre la Société Jésuitique qu'elle accuse de cet
attentat, et dont elle pronotitique et appelle la destruction.
J'en ai une réimpression faite dans le xviiu siècle, probablement
vers 1760. On y ajoint la traduction françoise, en prose, le tout
formant 8 })age3 in-8. C'est une petite pièce très rare. De cette
réunion de vers, alors plus qu'aujourd'hui susceptibles d'être lus
avec quelque intérêt , je ne réimprime que le hiûlain de Robert,
précédé de la strophe dont il ne peut être séparé.
Ci-dessus, page 202. année 1612, sont netif vers latinsdumême
Robert III.
VKRSIO FLORENTIS niRISTIANI.
JULIAlfl STaOPRE.
Dulcis ad omaigennni vitain est via laiidem et amicos
DaDt urties : dooiibus ctausa inedela niali est :
Blaadilias dal ngcr , liicrum inare , bartxira tellus
Notilias; aainios unaDimcs Ibatamus :
Tuni cœlebs vita est siaè curi^ ; robora patruni
Sunl nati ; curis vir dint* proie caret ;
Robusti juvcnes , sapiens céi cann seDOctus :
Ergo audax tneriiù , vïvls genusque (ovo.
VERSIO ROBI-RTI STEPH.VNI.
KLOK. ("liniSTIAM A^tTIdinUPUB.
Vanah Mia \ias paseim sectaïur ; in tirbc
Jurgis, rontvmptuf; anxiu cura doniî;
Aerunuias dant runi, metum mare, terra quentlus
Longinqiui
Rcs incomposila? BÎnë conjuge; proie pareutcs
SoUicili ; e\perleîj proliâ. anioro carenl;
Incongulta juventa, tremit defocla senectus :
Hinc metuens, finern noscc, fu^^ainque para.
Robert 111, sur ses livres, mettoit ordinairement Hobertus Ste-
p/tfiftits B, F. H. A\, pour ne pas être confondu avec Robert son
père et Robert son aïeul , il continua de preJidre pour marque l'Oli-
vier des Eslienne. Mailtaire, incertain sur l'année de sa mort, el
voyant jusqu'en 1640, et même plus tard encore, des livres avec
l'Olivier, dit que le nom de Robert et peut-être la dur<5e de sa «e.
atteignirent les années 1640 gu 1G45. On vient de voir que dfe*
1 630 il avoit cessé de vivre. Mailtaire ajoute : « Ejus opéra ua
sunt Bibliopolte Toussainct du Bray , Golielmus Loysun . Vldua
Olivarii Vareniiici , et forsari Jacobus Dugast. •■ Oui , jiour les trois
premiers; mais quand J. Dugast pla^a l'Olivier sur ses livres,
cette marque et l'Officine de Robert (5toient devenues sa propriété .
il n'en est. au reste, rien résulté qui soit digne de remarque.
Hpnri lll. fils de Robert 11, et frère de Robert 111. fut tr^Âoner
des bâtiments du Roi, etpfcre de Robert IV, avocat, de Hejïri IV.
sieur Des Fossés, et d'une fille nommée Renée. Celle-ci épousa I*
sieur de Fougerollcs, notaire, mais non |>as au Châlelet de Paris,
comme le dit Maittaire. n'y ayant jamais eu à Paris aucun notaire
de ce nom. Robert^ l'avorat, et, amsi quil a été dit, le traducteur
d'uiie partie de la Rhétorique d'Aristote, fut, à ce qu'il pareil, le
régisseur de l'Imprimerie depuis !a mort de son oncle, vers 1630.
jusqu'à l'acquisition qu'en fit Jacques Dugast, dont la propriété est
établie par un livre de IG33, qui n'étoit pas encore venu à ina con-
noissance, lorsqu'on 1837 j'imprimai ma première partie : « Los
Divertissements poétiques de Guill. Colletel, Parisien. Seconde édi-
tion. Paris, J. Dugast, 1633, in-8, avec l'Olivier et la marque de
Robert sur le titre el à la fin. ■• Cette seconde édition d'un li\re que
Robert IV avoit imprimé en 1631, achève de prouver que Dugu^i
fut acquéreur et des ateliers et du fonds de librairie,
Robert IV lut ensuite bailli de Saint-Marcel, commissaire de»
ROBERT U, nOBERT III, site.
i87
guerres, et plus tard, grand-bailli de Saint-Denis. En 1622, il avoit
épousé Madeleine Limosin ; il en eut plusieurs enfants, dont Marie,
née le 14 novembre 1629. morte religieuse, et Jean François, né le
12 août 1631, sur lequel on ne sait rien. En secondes noces. Ro-
bert épousa, en 1632, Antoinette de Saluées, issue des anciens
marquis et souverains de Saluées. E prend en son contrat le titre
d'écuyer comme Hrnri III , son pî?re, et Robert III, son oncle;
Robert II, son grand-plTC, ayant été anobli par le roi Charles IX.
De ce second mariage il eut trois enfants, Anne. Robert V et Louis-
François.
Anne, née en 1638. fut mariée ù Armand Charpentier, marquis
de Saint-Marc, et mourut, en 17 10, sans enfantas, trois mois apr*'s
&on mari.
Louis-François, sieur de la Malmaison, fut tué en 1664 au siège
deGigcri.
Robert V, sieur Des Fossés, capitaine au régiment de la Reine-
Infanterie, mourut en 1709. De sa femme nommée Geneviève Hé-
rault, il eut trois enfants : Robert VI, Geneviève, morte fille en
1761 , et Esmond, sieur de la MaJmaison. Ce dernier, capitaine dp
dragons, ensuite écu ver de la duchesse d'Orléans, mourut eu 1750,
Il avoit épousé , en 1718, Charlotte-Philippe de Lestocq , encore vi-
vante àParisen 1763, et n'eut qu'un fils, Charles-Philippe, tué au
siège de Fribourg en 1 744.
I Robert VI, sieur Des Fossés, capitaine au régiment de la Reme-
Dragons, mort en 1735. avoit Opousé Marie- Anne-Laurence Du-
pont, dont il eut quatorze enfants, presque tous morts jeimes. Les
suivants ont vécu : Jean-Antoine, prêtre, prieur de Pons, arcbidia-
cred' Arles, mort à Paris en 1 738, et Anne-Catherine, née en 1715.
qui en 1758 épousa Claude-Louis de Liancourt. marquis d'Esca-
gnel, demeurant à Bar-sur-Seine; elle n'eut point d'enfants, et en
elle s'éteignit cette branche des Estienne. Elle étoit encore \'ivante
en 1763, année dans laquelle elle communiqua tous ces détails de
ille, d'après des mémoires qu'avoit dressés l'abbé Jean-Antoine,
par elle envoyés de Bar à Paris, avec plusieurs contrats de mariage
et autres pièces authentiques.
Il paroît que Robert IV mourut en 1672. A la mort de Henri IV,
(ȉ
ROBERT II, ROBERT III
son frère» il acheta de ses nièces la terre des Foas^. fvrbs de Dam-
lîiartin, et en prit le nom (sieur Des Fossés)^ D aimoît à verstier,
et mit en vers tout Montaigne, labeur poétique qui n'a pas été im-
prim<? ; on ne connott de lui aucune autre production littéraire
que la traduction déjà mentionnée du IIF livre de la Rhélomjoe
d'Aristote.
FRANÇOIS ESTIENNE,
SKa>ND DM NOM.
François Estiennc. second du nom, fils de Robrrt premier, frère
îné de Henri H , et comme ses parents fort instruit dans les lettres
;ques et latines, fut. jeune encore, emmené par son ptrc à Gc-
iî*ve où il fut élevé et vécut dans la reli^on prolestante. La Caille
[croit ce François II fils de François I", cl |>ar consé<juent neveu
rseulement de Robert ; mais c'est, ainsi qu'il a été dit plus haut, une
erreur qui n'est fondée sur rien de plausible.
Le décès de Robert ayant eu lieu en 1559. les soins do Henri
achevèrent l'éducation de François qtii, fort peu de temps après, dès
1562, eut à Genève une Imprimerie que l'on voit en exercice (je
Tï*ose pas dire en acti\ité ( depuis cette année-là jusqu'en 1582, mais
avec plusieurs inleiTUptions, dont une de plus de dix ans. On peut
croire que François, fort peu enrichi par sa portion de l'héritage
paternel, ne voulut ou ne put faire beaucoup d'impressions à ses
propres frais ; aussi, dès son début, ses pres-ses sont employées pour
[divers libraires. Les Commentaires de Calvin sur les Psaumes, 1563,
in- fol., et sur les livres de Moyse. 1504, paroissent être les pre-
miers volumes qu'il auroit imprimés pour son compte personnel.
Ceux-ci même pourroienl bien avoir été faits en sociéti'* avec le li-
braire François Perrin , suivant Topinion de Maittaire qui, page5l8.
se fonde sur ce que ces deux volumes lui paroissent semblables d'exé-
cution à celm des Commentaires de Calvin sur Josué, 1565. ctiez
Perrin; il en coDclut que celui-ci l'auroit fait imprimer par François
lilstienne. avec lequel il se scroit associé pour ces ouvrages do
Calvin.
im
FRANÇillS SEi:ONU
L'iiiipfimerie de François n'a vraiment été Un peti
jusqu'en 1568, encoro n'a-t-on rien de 1566, et, en I56â
ce volume de Cominentaires sur Josiitf , qui n'a peut-être pas été fait
par lui. La Grammaire françoise df^ Rrïbtïrt I" a été iraprïm^'r rti
frani;ois et en latin à Paris par Robert II , cii I ô6î> ; est-il bien >ùi
qup, de cette même année 1569, il y ait, je ne dis pas une i^dition.
pçoisî Mailtitire ne s'appuie
)aveen ; et quand il y en an-
Itre que l'édition parisumne.
ifenfeve quelques litres,
fcité sur 1^ dansos, de Lain-
I en 1580, et THistcMn* de
[é pour Aiîtoine Chuppin le
E|!0cjproqu«?:^ des princes rt
,etHunâ doute impKmépâr
I5S2, les deux in-folio Jes
Œuvres morflleâ et mêlées de Plutarque, traduites par Amyot. Ces
deux voliuncs, par li^quels paroît se terminer la carrière tvpogra-
phiqup de François, sont trop bien faits pour L'tre attribués à une
Imprimerie expirante. N'aura-t-il pas pu arriver qu'après le Plu-
tarque. et aussi dans l'inten^alle de 1 5iJ9 à 1579^ il se sera fait cbci
FraTii,'ûii> d'autres volumes autuellement ignorés, ou qui, fabriqués
pour compte d'autrui, ne portent pas le nom de leur Imprimeur.
mais des e:)iOmplairefl
que de la mention trè
roit Tt^ellement, ce ne
pourlîicfueSle Frfinçoiî
Onze années^ d'ina^
bert Daneau, 1579,
Portugal, 1581. I v
Traiti^! d'Hubert Lan
des sujets, traduLt du
lui , enfin , avec date-.
On attribue à François les deux ouvrages suivants : Traictê des
dances, auquel il est démoiistré qu'elles sont accessoires et dépeii-
dances de paillardises, etc. — Paris, 1564. In~8.
Ren^on&tranee charitable aux dames et damoyscUes de France
sïu* leurs omcmens dissolus , pour les induire à laisser l'habit du
Paganisme, et prendre celui de la femme pudique et chrestienne,
par F. A. E. M. (frère Antoine Estienne, minime). Paris, 1577,
In-16; et 1581. 1582, In-8.
Ces deux ouvrages sont du minime Antoine Estienne, sur le-
quel voyez au commencement de la vie d'Antoine Estienne : s'ils
ont été attribués à François Estienne. l'erreur sera venue du nom
ainsi exprimé fr. (pour frï're) Estienne. Il est possible que, pour
FHANÇOIS SECOND.
4<)l
le premier, il y ait eu confusion avec le Traité des Danses de
L. Daneau. imprime par François Estiennc.
Lambert Daneau, auteur du Traictè sur les Da/tce^, était un
jurisconsoiUe de Paris qui, frapp*'^ de la constante fermeté que mon-
tra dans son supplice le Conseiller Anne du Bour^, qui avoit été
quatre ans son maître, et qui fut pendu et l?rûlé à Paris en 1559
pour cause de religion, abandonna le Catholicisme, et vint à Ge-
nève où de Jurisconsulte il se fit Théologien. Il rentra cependant
en France au bout de plusieurs années, et mourut ministre à Cas-
tres, en 1596.
Le 21 juillet 1579, François demanda et obtint la permission
d'imprimer le Traité de l'Église de Phili])pe de Momay, qui (ut
publié par Antoine Chuppin. 1579, in-8; et le 22 juin 1580, il eut
semblable permission pour la traduction de TExaineron de saint
Basile, traduit par L. Daneau. 11 est pos^Ie que ce volimie ait été
imprimé; je ne l'ai point vu,
A peu d'exceptions pr^, François a mis une marque typographi-
que sur ses éditions ; c'est l'Olivier desEstienne, mais avec diverses
variations qu'il est sans milité desj)écifier ici. La Caille, page 147,
dit que sa marque étoit un arbre de Pin, avec ces mots, Sine te ni-
hil. Si l'on vouloit parler de cette marque, il fulloit, pour être exact,
dire qu'imprimant en 1581 l'Histoire de Portugal pour Antoine
Chuppin. François y mit la marque de ce libraire, qui étoit un Pin,
^feisant allusion à la demiî*re syllabe de son nom.
^H François se maria deux fois : d'abord à Genève, le 1 3 juillet 1 56i5 .
\^ Blanche de Corguilleray, dont il eut deux -enfants, l'un, Samuel,
baptisé le 4 avril 1563-64 '. et Daniel, baptisé le 13 mars 1567.
Après 1582, on ne sait pas au juste en quelle année, François
vint se fixer en Normandie: selon La Caille, chez qui je prends ces
* L'annce coaunvnçsnl alon> au jotir de Pâqun, qiii, pour l'iinii^ 1364, ftit lo
Mtzc avril, ce baptine du i avril 1563 lat du deniH^r dimant-lie d« ci-tlr atiorc 196S,
à-p«u-près neuf mois dcpuLi 11* mantge qui avotfr eu lieu vu juillet iSfi). Datu ma pre-
raicrr édltîuii , uik- faute typographique, U avril , c'nt-à-dirf. If k* jour de t'auDée lOn,
au lieu de K avril qui ca e*t le dernier dtnuiiche , a«au^oit d'une année enticre It
wmmmaot de cri rabnl . et U biaoil arriver Irut» mois a%aul Ir nuria^r du |i(tc.
492
FRANÇOIS ^ÎOONU
derniers renseignemenU, il y t^fKiasa I en aecutides noces] MEa|;«enie
Cavo, dont il eut plusieura eni'anU, cûtrc tiulr*:;» Gi'rvaui Eâtieiuuï,
qui naquit à DonNnlïe-la-Bien-Trouvée, prt* de Sahite-Biirlr , rn
Au^e ; Adrien et Adricnne.
Ce Ger\'ais fut libraire à Pons vers l'un Kilft, et. le 24 Lïclohr»'
1018, y (épousa Denise Paiîleaux, dont il eut Marie Estierme, nh
le 2 novembre 1619, i
Adrit-n fui aussi li
i?pgu5ia Marie Cha^îîe
le 21 aoûl I61S: Ai
rosme, né le lOsi^pt
vembre 1657.
Adrienne Estienn
fé\Tici" 1 635 à Jticqu
De toute cHte fan
livres imprimés à leurs
ï IGIG, le M> juillet IC17,J
I erifoJil^à. Pierre Ealicime.irf
k IG décembre 1626. et Jc-
^u libraire à Paris le 29 no
l,
% de François, fut marit^ le i
braire à Paris en 1 636.
îwlle, je n'ai pnint trouviî île
Is aient été libruircâ â î*niw
Je dois dire aussi que ni Maittaire, venu après La Caille, ni moi,
n'en avons découvert aucun.
MAMKUT PATISSON.
Mamert Pâtisson, natif d'Orléans, le plus recominandable parmi
cette dcmiùre partie de la nombreuse famille dea Estienne, fiit \ui
Imprimeur savant et à bon droit renommé. Un premier livre à son
nom. - Hymne sur la naissance du comte de Soissona. in-4, " est
plact^ à l'année 1 5G8. 11 ne |)aroit pas que ceux qui lui donnent cette
dateraient nullement vu; je lai cherchi^ sans pouvoir le rencon-
trer, mais je crois certain qu'il faut le ramener, soit ù l'aimt^! 1578,
soit à toute autre année bien postérieure ù 1568. Est-il probable
qu'après une première publication, cet Imprimeur, dont luctiviié
personnelle s'est depms niamlestée par des impressions nombreuses,
soit resté six année» enti^res sans rien produire? Quoi qu'il en puisse
être. apK's celte pii?ce de 1568 ou d'année plus tardive, le premier
livre de Pâtisson est du vi novembre 1574, Œuvres jwétiques de
Nicolas Janiyn, m- 4. en société avec Nicolas Cbesneau ; et ce volume
.peut être regardé comme le début bibliopolique de cet homme qui.
avant peu. devoit être un des premiers Imprimeurs et libraires de la
fin du seizième siècle. En 1575, il épousa Dcnyse Barbé, depuis
Ià7l veuve de Robert II, et par ce mariage se trouva en ixiss&iaion
du domicile ainsi que de rétablissejn<mt typo^:raphique qu'il ne laissa
(>us déchoir, et flans lequel il est hors de doute que déjà il étuit em-
ployé dqmis plusieurs aimées. On remarquera dan^ la hstc de ses
éditions que Pâtisson s'y déclare travaillant dans l'Imprimerie de
Uol)ert Esiienne. dont il consen^a toujours la marque lypo^^raphi-
t\ue: et ce ne peut être qu'en ce même endroit, dans cette même
officine , que furent exécutés aussi les livres qui . jusqu'en 1 588 , por-
tant It' nom seul de Utdtert Snr uti livre de 1 577 je vois fmftnntr
*'ann'rt Polisson : vu I57S il (►st Imprimeur du lii», <'t diqmis
w
MAMERT PATISSON.
ce temps prend ce litre sur toutes ou presque toutes ses Mitions. O
ne put être ailleurs que cliez Pâtisson, devenu son beau-pore, que
Robert III fit son éducation typographique, à l'exemple de Robert,
son aïeul, chez Simon de Coliiies. U peut même s'être associé avec
lui sans qu'il en soit r^lté une plus positive <5nonciation publique
de soci(5léque l'emploi non discontinué de cette formule : f/e f Impri-
merie de, ou en la Maison de Robert Estienne. Elle fut trop exac-
tement maintenue pour n'avoir eu d'autre motif que de s'étayer
d'une réputation acquise.
La Caille, page 161, place à l'année 1 580 le mariage de Pâtisson,
mais sans s'appuyer d'aucune preuve; et, par ime inadvertance d'un
effet assez bizarre , copiant La Croix du Maine . ou on lit : - ... ayant
espousé la veuve du fils de Robert Estienne. pfere de Henry. . . , • il
oublie les mots du/t/s, et ainsi fml épouser par Pâtisson la veuve de
Robert H, pî-re de Henri IL Les incertitudes de Mailtaire sur la
personne de Robert II cî sur le temps de son déci's. auroient dû être
tout-à-fait dissipées par ces mots de La Croix du Maine, qui même
sont précédés de ceux-ci : » Il | Pâtisson) ne dégénère pas de Mes-
sieurs les Estienne, en la maison desquels il a pris alliance. . . -
En I5i)9, le 4 avril, Pâtisson et trois de ses confrfcres, Fr^énc
Morel, Jamet Mettayer et Pierre L'Huillier, eurent du Roi Henn IV
privilt?ge pour l'impression de l'édit de pacification de 1508. que
nous nommons VEdit tle Nantes; mais, pour Pâtisson, ce fut plu-
tôt un partage qu'une faveur, puisque déjà, comme Imprimeur du
Roi, il étoit en possession d'imprimer les actes émanés de la volonté
royale.
Pâtisson étoit fort instruit ; il connoissoit bien tes langues grecque
et latine. L'impression du petit et trfes rare volume, La Bel/a Mano^
1589, sur lequel voyez ci-dessus, page 187, peut faire présumer
que l'italien ne lui étoit pas étranger. Toujours il mit beaucoup de
soins et d'exactitude à ses impressions, qui toutes sont correctes,
faites sur bon papier et en bons caractcTes. Les savants, ses contem-
porains, uvoientpour lui beaucoup de considération ; Henri Estienne
n'hésita point à lui confier l'impt-ession d'un de ses ouvrages, Prè*
cellence du Francoit, 1579. Dans une de ses Satires, Régnier 1**
mentionne comme Imprimeur fameux ; Scévole de Sainte-Marthe.
MAMGRT PATISSON.
49S
^k pn une pièce de vers latins, recommande l'impret^îon de ses ouvra-
^^ ges aux doctes soins de Pâtisson. Une lettre ktine de Scaliger. la
Iroisii'me, lui eat adressée comme à un savant dont on fait grand
cas; et l'auteur des notes de son Pétrone en I587« en les lui en-
voyant, Ie> soumet à son jugement : - tuaï in primis voluntuti
satisfacere duni cupio. nonnulla obitcr odnotavi, quo:, si tibi digna
hprelo tiio videbuiUur, excudes. «
Ces honorables U^moîgnages sont conlîrmés et comme réunis dans
le passage suivant de La Croix, du Maine :
« Mnmcrl Pattâson, Imprimeur el libraire à Parts, homme fort doctoen
grec et en lutin , et en françois aussy. Je ii'ay encore:» i>oint veu de ses escrils
mi^ en lumière , si peux je Itien assurer que quand il voudni il en pourra fiiire
imprimer de son inventiun d'aussi t>cau\ et doctes comme ceux qu'il imprime
d'ordinaire :enquoyil est à louer grandement pour le profit qu'il fait au pu-
blic, touciiant les beaux livres qu'il imprime touit les jours; car il ne choiiul
que (le bonnes copie»} ot composées par hommes doctes « lesquelles il im[)rime
fort c^mwtes, de beaux caractères , sur bon papier ot de belle marge, qui
sont toutes les |)erfwlions de l'Imprimerio : en quoy il ne dégénère de Mes-
sieurs Us I^stiennes, fn la maison desquels il a pris alliance , ayant espousé la
vpuve du fils de Robert Esticano , père de Henry... n
Pâtisson étant mort en 1601, sa veuve continua d'imprimer jus-
qu'en 1604, temps auquel elle cessa de publier des livres, et pro-
bablement aussi d'exister. Philippe , leur fils, ne paroissant qu'en
une édition unique de l'année 1606. la continuation de ces travaux
typographiques par Robert, à dater de cette même année 1606, et
en son seul nom, va de soi, et prouve sa rentrée en jouissance de
l'Imprimerie paternelle, sans qu'aucune autre combinaison puisse
venir à l'idée.
PAUL ESTIENNE,
-"njOM.
u
Paul Eôtienne, le
dû Barbe, sa ^lecondi
îisr le 24 de ce mois
Paul fut nourri pai
aussi relte tendre mî^re vouiu-v
mu de Jrlenri 11, et le pn'nutir
[janvier 1666-67. et fut bap-
^a urie bonntï çnns^tïtuiioa:
^ .cquitter envers ses autres en-
fants de ce incïne devoir maternel , ce à quoi Henri ne consentit
pas, voyant combien étoit foible et précaire la santé de sa femme : il
la conserva néanmoins jusqu'à l'année 1585. Ci-dessus , page 88,
dans la Vie de Henri, j'ai cité plusieurs passages de la préface ou
lettre adressée à son fils, et qui se lit en tête de l'Aulu-Gelle de
1585 , dans lesquels il s'étend avec un douloureux regret sur cette
mort et sur diverses particularités de famille qui, pourle père et le
fils, dévoient avoir un intérêt bien cher, mais qui peuvent se trouver
étonnées de se produire ainsi dans la préface d'un vieux écrivain la-
tin, tandis qu'on seroit très satisfait de les lire dans ime correspon-
dance paternelle, dans des lettres écrites uniquement pour la famille
et fortuitement divulguées, comme celles de Paul Manuce , écrites à
son fils avec un si attachant abandon , et qu'en 1834 j'ai eu le bon-
heur de pouvoir mettre en lumière. Maittaire donne de cette pré-
face quelques extraits qui ne la font connoître qu'imparfaitement.
et elle demeure oubliée dans le très rare mais fort peu recherché
Aulu-Gellede 1585. J'aime à croire que les passages que j'en donne
dans le cours de ces Notices, n'auront pas été trouvés inutiles pour
l'histoire de Henri et de sa famille.
Apri's avoir commencé dans la maison paternelle son éducation
littéraire, Paul, à l'exemple de son ptre, visita plusieurs des princi-
pales villes de l'Europe, s'y présenta chez les personnes les plus
distinj^u^ea par leur savoir, et y fut rei^n avec l'accueil qui étoil dû
au fds de Henri. Une lettre de Juste-Lâpse , de juillet 1587, parle
avec intérêt de Paul et de sa famille. «• Fuit apud nos nuper Paulus
Stcphanus. Henrici filius, mitis animî adolescent, quod velim patri
nuncies, et à me salutesimprimis Casaubonunt ejusdem, ut audio.
generum, cujuaingenio elcrescenli faujtevalde faveo. Placent nimis
scripta ejus quiB vidi. - Mitis adaiesren* : le peu qu'on sait des dé-
tails de sa vie ne lui fait, il est vrai , rien supposer de cette véhé-
mence fougueuse que Henri consen'a jusqu'à la fin de ses joure.
Par les travaux typographiques de Paul, on voit qn il fut un
homme studieux , diligent. peut-*'tre d'im commerce plus agréable
que son impétueux p*'re, mais qu'il n'eut point cette force de carac-
tère, cette vis animi fi\&c laquelle soit en bien, soit en mal , on ne
reste point médiocre.
II |>aroîtque. sous les auspices de Juste-Lipee, Paul étudia pen-
dant quelques mois à Leyde. On n'a point de renseignements précis
sur la durée de ce premier voyage . mais Paul ne tarda point à reve-
nir à Genève travailler dans l'Imprimerie de son pc-re, sauf quelques
nouvelles excursions permis*» ou commandées par les aiTaires. Il se
maria au plus tard dans le commencement de 1589, car le premier
de ses huit enfants t^t de décembre 1589. En 1595 il étoit à Heî-
dell>erg. chez Jér. Commelin ; dans la même année à Lyon, chez
Jean De Tournes ; et en 1 596 à Francfort avec le savant Denys Go"
defroy. Un peu avant 1594, il avoit séjourné à Londres, s'y étoitlîé
avec plusieurs savants, et entre autres avec J. CastoHus. qui ayant
reçu de lui en 1504 le volume des Concordances grecques et latines
du Nouveau-Testament ', et lui écrivant pour l'en remercier, ajouta
qu'on les désireroit entières de tous les Li\Te»^aiuts. Ce î\xx tuu-
»
* A,u volume ètoii joiaie une lettre ou èpUre doM fciei It
>• Joanm Catlulin ^uii ; apinl BriUnuok, P. Stepban». Teteriuie ohlilui
aniii-i Umdiu lUcirtinm ttuutsli, l «stoli ilulciuiin« ; dh- at>s le iilbs aaiplnu upcdcm
Uteru ? S|H'r3vt dr Ir mrliiu : «Iqur en libi i|uam lui MmptT mnoorcnt fo\nj mm-
, • H à It fin : • Vale, H IjhhUbî tfiied «i|»ert!»t amirorum ulula. •>•
*M
PAur*
joure un des projeUde Henri , mais mille circonstances , et oifin la
mort, en emjiêchtrcnt l'exécution.
Dès sa première jeunesse, Paul bVtoit occupé de poésie latine. l\
paroît que ses compositions participèrent du calme de son carad^re :
aussi, dans les conseils que contient la pn^»face d'Aulu-Gellc , stm
père cherche-t-il à lui donner plus de feu poétique, et à le prôcaution-
ner contre cette sécheresse avec laquelle on ne peut être po&tc . mùa
qui malheureusement ne se corrige guère, Un volume de 1593 con-
tient des traductions en vers latins de pièces de l'Anthologie grec-
que, et d'autres vers , omTages de sa jeimesse , Juveniiia ; il n'a
point été réimprimé, etn'a depuis été suivi d'aucun autre. En I60Î.
yotum prnfeUci itifiere Mauritii, Hassîœ Lundgrcwi ^ in-4 , pré-
cédemment omis dans mes listes. Lîi meilleure pii^ce latine de Paul
est peut-être celle qu'il fit sur la mort de son père: elle est réimpri-
mée ci-dessus, page 465, à la fin de !a Notice sur Henri. Dans te
Dioscoride de Francfort. 1598. in-fol., on voit quatorze vers latins
de Paul, au bas du portrait de J. Anl. Sarrasin, auteur de la ver-
sion latine, et éditeur du volume. Comme ils n'ont été, que je sache,
réimprimés nulle part, je les donne ici.
IN EFFIGIEM CEI.EBKTITIIMJ r:LARI.S.SIMIOUE HEmCI,
lANI A.NTONII SAHIIACENI.
Sarracene, tuos vultiuqiii vidit, amavit!
Hoc i?st, fui plaroat picta tabula mihi.
Vcruni muta sili't , quia non fev-éie loquetilem
iEra , nec artifin^ hor potut>re rrinnua.
Ergo iil te viva speclcm halnnumqne tabella ,
Cujus es InUTprcs, traclo Dit)&coridpin.
(lia mihi viva eàt et docta Inqiientia imago ,
Nempe sni dominî picta tabclla manil est.
Nihil hîc CoiJs. IjalxH qucnJ jam desidtTcl ullrâ ,
Htc itiint qiix Muais invideantur oi>ra.
Ito , Machaoniae Jam nil latet amplius arlis ,
Prodilur liîc prisca quii'quid in arle fuit.
Jani non inTeslo descendant aère morbi,
Antirion» omnes nam tua pcnna ilodit.
pAiTLns Stephanus.
Au bas du portrait de Diosconde qui est en face de celui du
PAUL.
i'JD
ducteur, sout quatorze vers latins ayant pour signature Joan. Pa-'
lut/tus Phifojtkihat.
Paul acquL'roit insensiblement la capacité nécessaire pour conti-
nuer avec quelque succès les travaux de Henri, Casauhon, abandon-
nant Genève pour Montpellier, eut assez de confiance en la jeune
érudition de son beau-fri're pour lui laisser le soin de son Athi'infe.
collaîionné sur des manuscrits, corrigé en une multitude d'endroits.
et amené à-peu-près jusqu'à moitié d'exécution, /ïffwc miumbilicitm
fjenluctum.
Mis en possession de tout ce qui . dans l'héritage paternel . avoit
trait à la typographie, et même de tous les manuscrits scientifiques
et littéraires, grâce à la généreuse persistance de Casaubon , qui
détermina ses cohéritiers a n'y pas prétendre une part (Voyez ci-
dessus, page 443|. Paul continua sans interruption les travaux de
l'Imprimerie, refit plusieurs éditions de soupire, alors épuisées. Vir-
gile, Horace, les Lettres de Pline avec les anciens Panégyristes la-
tins. Pindare en in-4 ; en I6C>0. le recueil in- 16 des poètes lyriques
grecs qu'il imprima encore en 1612 et 1626; aussi en 1600 les
Concordances grecques et latines du Nouveau-Testament, réimprea-
aion du volume de 1594, avec beaucoup d'augmentations; Homère
en in- 1 6. avec Coluthus et Trvphiodorus ; Aristides, Eunapius, Dio-
gt-nes Lacrtius. etc. Les deux éditions qui font le plus d'honneur à
Paul, et qui dës-lors lui donnèrent rang parmi les éditeurs savants
de ce temps-là. sont d'abord et surtout, l'Euripide de IBOÎ. avec la
version latine de G. Ganter, revue par yEm. Portua , et le Sopho-
cJe de 1003 , avec la traduction littérale de V. Winseim, l'un et
l'autre avec les scholies grecques et des notes. U est fâcheux que le
papier de ces deux estimables volumes ne soit pas meilleur : s'il fût
arrivé que l'on eût songé à en tirer que!que*-uns sur un papier de
qualité moins commune, ces exemplaires seroient à coup sur , et de-
puis long-temps, au nombre des joyaux les plus précieux des grandes
bibliothèques, à côté des rares et si dispendieux volumes en grand
papier des Poeiœ Grœci Principes et du Platon de Henri Estitmne.
On pourroit juger de l'estime de J. A. De Thou pour l'édition
d'Eunpide. par le soin avec lequel il fit relier son exemplaire. Je
sédé pendant plus de rjuurante ans; il est maintenant en
fiOO
PAUL.
ATigleterre. Un antre volume, aussi très reconimandable. est l'Hé-
i*(Mlote de 1618 , in-folio*. Cette édition est laite sur les deux de
Henri« ]â70et 1592, mais avec d'heureuses correctiarns et beau-
coup d'additions utiles. L'éditeur Godefroy Jungermatiri regrette
beaucoup Icâ notes promises par Henri qui , plus que tout autre,
avoit capacité pour judicieusement éclaircir et corriger le texte d Hé-
rodote. On soit que ces notes n'ont point étéfiaites.
En 1599. Paul, ù la prière de Casaubon. avoit commaniqué i
David Hoeschel un nianuscTit do Photius, en grande partie de k
main de Henri, et collutionné sur un manuscrit ancien oplùn/r notœ,
appartenant à Casaubon. Hoeschel b'cn aida pour son édition grec-
que de cet ancien et utile compilateur, faite à Augsbourg en IGOI.
in-foL Celle de 161t. faite chez Paul . et à lai luelle absent ou présent
il a certainement participé, que peut-être il a entii*remeni conduite,
puisque la préface d'éditeur est de lui; cette dernière, di.s-je, r^m-
prime le texte d'Hoeschel, avec la version latine donnée par André
Schott en 1606. les notes d'Hoeschcl, et celles du traducteur.
Enfin, en 1617, aux frais de Samuel Crespin \CrUpintut), ilselil
chez Paul une édition du Nouveau-Testament grec, avec des not&
de Henri sur les marges, el de Casaubon à la fin. On ne voit ph»
de lui que l'Hérodute de 1618, déjà cité. et. en IC26, sa demitre
i-éinipression des Poettr Lyricif sur papier brouillard. Il semble in-
concevable que dons mainte Imprimerie justement renommée, «r
ce ne fut pas seulement dans celle de Paul, on voie des pauses qod-
ijuftfois fort longues, et de plusieurs années de suite, pendant le*-
cpielles elles ne produisirent rien, ou bien, nprfcs cinq ou six ane
d'inaction, laissbreïil à peine échapper quelque chétif volume ne W-
quéraTit pas deux mois de main-d'œuvre, et que plusieurs, après àt
tels repos, aient repris une activit*^ é^ale ou suiK-rieure à celle de
leurs premiers travaux. L'emploi de feuilles imprimées poiir lesdif-
' r«itiitii- Paiit ùloil .ilnr» à ParU, nii tic (>«t(t Mvoir iitM|irii qutri point il i»ir« Vint-
rairt>mi>itl |)ârlici|K*ii ciflir ttliliim i|iii, m son absence JcGai<'>«, &V\vruUti| «JatuMB
Ifnprimrrtf, OUva Pau/i Stephatti, el }Hmr lai)Uflk* riireut euiplojièes IcslroUgniifo
gntvuii»*'ii liQH t|tii w ^oiriil U.iii.^ tes deuii HmMfoTOj iii-fol. lIp lliniH Boa iiCfT. <(
PAUL.
801
fi5renl8 usages des affaires, ntHoil pas alors assez en habitude jwur
faire présumer que |H»ndanl ces inactions apparenliw. quelque suiTi-
sante indemnité de travail pouvoit être trouv*^e dans l'impression de
ces pièces volantes que nous nommons ouvrages de ville. '
Il est maintenant reconnu que cette longue interruption dans la
résidence de Paul à Genève, ne fui pas volontaire. D'aprîs les Re-
gistres gene\'ois. on voit qu'il fut compromis dans la conspiration et
Tattaquedu duc de Savoie contre GenHe. manquée comme lavoit
été une précédente en 1534, qui, à Genève, est nommée [Escalade.
et y a donné lieu à la célébration d'une iete annuelle "- Le syndic
Blondel. accusé d'avoir eu des intelligences avec les Savoyards, fiil
mis trois fois en jugement, et enfin, en 1 605, fut condamné à mort
On prétendit que Paul av oit empêché un certain paysan du Cbablai»"*
' Pour rirojirimtrw tle Paul crilp iuactiou lanl prolungiV sVx|mi|ue par aoD abienM
doiil on va rotr U caïuc. Jiuqii'en 1C04 an» travaux aoat rmurquablcs , naia,
comptn* de 1605, à peine voit-on tle Iniu t-ii loin tjurliiiii-s Milumn. Sans l'airèler ft ce
i|ni a pu M paMtrdifc Paul, il ii'cuvsi pa» nioiiis vrai qu'au tri-roi-f une Irllc iulcmip-
tion , ikêcruairtaunil improdiiclivt:, pou\oil ne pas être niinruAc II n'ni mtoîi {W» ilr
mùme aujuurd'lmi. l/ruurniilt- rrUlite ilr» ilr|irti?«n du malt-ht-I Ivpiifp^pbiquc RK't
ritB|inmFiir m néci-uiiL- de (aire fooctionuir saos inlerniilleuce, cl in£*me lans lentmr,
eu moyens de si facile et si rapide e\èailiau ipje le gmitt des marliities a rioeaUDOBl
créés. L*lmpninenr Plauliniennr, la plus rousidêruble de louira les Ini|trÎRimM du
•âxième siècle, et pc-ut-V-tn' mt^rae du dix-septième, le cwleroil certainemcut «t inpur-
ttooft à plus d'une Iniprimene secondaire de Paris uu de Luadres; auaaï b tnl»c-hors
■imnire pour iVsislencv de tek ateliers élaut IfimaMÙt qw dans les Inipriraenet
«KÏnuiGi en rapport av<% ce que 1rs calculateurs noauient pnniuit nrt, itml ralott*
tisKiuctil leur est uuc maladie richcuse , et uu samaieil uu peu proloagc poarroil
u'avoir jHHiil de réveil.
** Cetannhmaire n'est plus aujourd'hui solenniao par une (èle publique ci oOiciellc,
mais II cotitiuue de l'tHre par de* rruniutta H repos de ftiuiiU*'.
* * * » Ihiiu tn lettres qiie je recru hier otuyct eiM^use» cdlcs que je f n envoyé de b
part de mù picrc qui me fai<rt meitltou d'tui traislrv sii;tuile . t-vVule dcfHiis cinq le-
maiiics à l»enève, noaiine PliililtiTt BluiuM, kvpiH a tir eu ofBce de >yndir, tlirrsuhrr.
rt M-i-(;eiil-niajor. Ce fust Uiy qui {Hjurvi-ul mal à la garde de b ville b nuirt de rcscaliide
ayâl ué^ligê de poaer seuliiielte ii rt-iidruicl OÙ fut dûore l'eacabde , à cause dr quoy
ayoïtl eiirniini riitdi(;nalJou du peuple, doos'esl cusuirye sa dégnublMO, il n'a fiiict
qu^ ntarliMtrr dqmîs cuutrr sa patrie. IVu après ayant eslc convouicu de quelqMt
criiue». ni'UmntfiH .rj\.Mi imHif ili's iMune*, il fiisl roiHbituir ii iriur pin»>u itiv aos-
502
PAUt,
i\ venir ti^moîgner dans cette aflaire ; et comme on altachoit beaucoup
d'importance à ce témoignage, on mit pour c^ fait Pnul en pri<wi
il y resta depuis le 1 3 septembre jusqu'au 23 octobre 1 605. Le Con-
seil des Deux-Cents, dont il <Hnil membre, permit, sur sa requête,
qu'il sortît de prison. - moyennant submission et promesse qu'il
fera de se n.'pn''senter toutefois et quantcs, et de n'absciUer laiille
sans congé de nos Sei^ieurs du petit Conseil, à peine d'estrc lena
convaincu de tlcsloyauttf, le suspendants eji outre de sa char^ de
Conseiller jus(ju'!xu bon plaisir dtî nos dits Seigneurs. » Il paroil que
Paul quitta Genève sans congé, et, pour cette sorte d'évasion, stn
resté sous II? coup de ce jugeiiïcnt. de telle sorte qu■ap^^s quinze an-
nées, en IG'iO, il lui fallut un saui" conduit pour venir à Gcm'^ve ter-
miner Tafiaire des matrices grecques.
On a vu dans la Vie de Robert , pag. 332 . que ces maincc*
emportwîs par lui à Genève, en 1551 . nvoient dans la suite tHi*
engagi^es par Henri, son fils, à Nicolas Le Clerc pour sûreié d'an
prêt de quatre cents écus d'or (4,456 livres ou francs), ainsi que le
raconte Nicolas Le Clerc, petit-fils du prêteur. Br&L vhoitif,
t. XIX. Henri ne se lil>éra point de cette dette, et ù sa mortk
paiement ayant été demandé, le Conseil renvoya à se pourvoir con-
tre l'hoirie de Henri : décision juste, tnais qui contraria fort Isaïc
Casaubon, gendre de Henri, ainsi qu'on le voit dans plusieurs de àOï
lettres, disant qu'elle mettoit en péril, réduisoit à rien le foible avoir
desa femme. •■ Recuheuxoris sunt funditus eversae ■
Le Cîerc dit aussi qu'alors la moitié seulement fut payée, et il ajoute
vt mis i l'amradc de 2000 esnu. Durant lequel temp» u estr drscouvert qu'il •v<dM^|
iiitelti£;t!iirt avcH! D'Altiîguy, et lui avoit tscrit quclqutrs lettre» parle oinycn de qa^^^|
(Hiysan, k'«|tiel l.i Seigucune tJe Gene^e ayant trou^'- inaycu iraUraprr pour le «•■
froater a\cc le ilïl HlmiJpt, l'avoii faicl rcsscner eu un (;i-oton eu PK^tnclK. re ijw
iMniidrl aV'Til tiiUniilu, crniipiaiit iV-^iiinnriit a |irallii(UL le seT%iteiir du };enlirT, & PB
luy foict estraugler de tiuicl vc |Miu%re paysau eu son cacliut. La «èrilï* du faict est At-
veuue en cvidcnee, L par mesme moyeu la tj-âliison dcMourerte, ÛE peu de jours spnsk
lerviteur du genliw. et le Irniitin.' rùpiu sur un fSfliJifiiinl eu pirtu molord. Ou dit qu*2
est mort cauuni: uue besle. laus seiitinieiil de ses pr-clirz uy iniploruliou de la raîsêfv
t-ordr lie Dieu. •• I^'ltre frautiiiiv de Sïmnu fallait fds , à Jiuoph Scaligcr, 1? ortiihie
iri06.
PAUL.
603
i|ue sa Tamille perdit les deux cciits antres écus d'ur, ce qui n'est
pas exact, ainsi tju'on va le voir. Resté cr(>aiicier d'une partie de la
dette, le prêteur ne se dessaisit point du gage, et plusieurs années
après, le l6novembre 1612. sans doute à la suite de quelques pro-
cédures, le Conseil défendit que re gage sortit des mains du déposi-
lairr, tant pour sa sûreté, que pour celle d'autres créanciers. En 1613
la créance fut vi-ndue aux frires Chouet. libiuîres, moyennant une
somme équivalente à-peu-pW's aux trois quarts de ce qui rcsloil dû *.
\ Le Gouvernement françois vouloit recouvrer ces matrices : déjà
Henri IV les avoit fait redemander aux Genevois; réclamation que,
sous ÏJ^uis Xlll. en 1616, renouvelle le Garde-des-Sceaux Duvair,
par l'entremisiî du Consedler Anjorranl, envoyé de la République à
Paris, et d'après l'ordre exprès du Roi. qui souhailoit de ravoir ces
matrices pour l' honneur tle la France : on faisoit oflVe de payer les
créanciers des Estienne qui les retenoient; mais comme elles ser-
foientde gage à plus d'un créancier, on ne pouvoit en disposer saiis
le préalable d'une vente judiciaire dont le produit leur ap[iarliendroit
jusqu'à concurrence de leur dû; ce (jui d'abord fut convenu, et s exi»-
cuta le samedi «juillet 1616. Elles furent adjugées pour le prix de
5.005 florins (2.3lOfr.l. La créance dea frères Chouet fut liquidée
à 3,888 florins, intérêt et principal, et celle de l'hôpital de Genève
(ut réduite à 500 florins, de sorte que la somme ù prondi-e sur le
prix d'adjudication n'étoit que de 4,388 florins, le reste revenant
à Paul.
Il sembleroit qu'il n'y avoit plus qu'à payer, et prendre livraison ;
lais l'ambassade d'Angleterre, qui avoit re^ de sa cour l'ordre de
faire acheter ces types à Genève, promettoit mille écus à Paul qui
ouroit voulu vendre à l'Angleterre , et régler lui-même avec ses
créanciers. L'envoyé de Genève, instruit de ces tentatives par les
démarches faites auprès de lui à ce sujet, en informa le Garde-des-
ficeoux qui, pour sauver aux Genevois l'embarras d'un refus à l'An-
' IvTS Le (Jrrc prrdirnii it'Mir rmn pji U moiiic tle leur
uti builîènke.
', nuift «ctilciDfnl
soi PAGL.
^eterre, -y?/ ententire' à l'Ambassade que ces matrices apparte-
noient au Roi, et avoieul ét^ dérobées au Roi François ï*', ce
lesdiU ambassadeurs ont <^rit àleur mailre, n'espérant pas da
pouvoir plus obtenir. -
Ce ne fut pas là toutes les difficultés. La Soigneurie de Oen^?f^
offroil d'envoyer ces matrices à Lyon, ù Dijon ou à Pans, [wurj
être livrées en échange des trois mille livres promises par le Gou-
vernement fraxiçois ; mais il y avoit à craindre que Paul irrité de
l'adjudication qui ICxproprioil. ne fil saisir juridiquement les rna-
triccs une fois qu'iilles ne seroient plus aux nmins des dépositaire».
Cette afrairtfenlraînoit ainsi des lon^eurs interminables; le teiii|»
se passoit, et on ne concluoit rien, lorsqu'on 1619 le Clergié de
France prenant occasion d'un grand projet, habilement réalisé de-
puis» de la réimpression des Pères de l'Église, M principaux écri-
vains ecclésiastiqaes , demanda au l^i que les matrices grecqna
fussent rachetées et rapportées en France. Sur la requête du Clergé
intemnt, le 27 mars 1619, un arrêt du Conseil ordozmant que
3.000 liv. seroient payées pour ces matrices, que Paul seroit en-
voyé à Genève pour les reconnoître, et rendre fidèle rapport de leur
étal et condition , i>our lequel voyage il lui seroit présentement
compté quatre cents livres sur la dite somme de 3,000 liv.
Ainsi donc . plus d'obstacles, ni d'opposition de la part de P«al
devenu l'agent de cette négociation. 11 va aller à Genève, et on l'i»*
demnise pour ce voyage. Mais long-temps avant il avoit élécnnh
promis dans une fâcheuse aiTaire , celle dont on vient de rendre
compte, page 501 , et où lut condamné le s^udic Blondel. Sorti dp
prison sur sa parole de ne point quitter Genève. Paul s'étoitsaDvé
en France , à Paria , et il ne pouvoit rentrer dans Genève sans m
* fUtaUttAn... Cette exprcHÎoa qu« 1*011 ■ bien voulu me co|hit du Rr^istr* iM
qur k reste Jii paiuagp, tiûl ^ot^ fpip li> CoilsuîI ne rroyoîl [uu an Urcia , pas plu» ^
iloiitr (|iir le raiiiUin- fraiM;»!» liii-m^nic , pnr Irqiiel r<:ttP ragiie imnutattoo auroil éV
inÎM: riiavaiit commi' une insiniialion purenii-nt itiplomâtique Jout ramliasudearaBcfavi
n'u%oit |Wtt à iwbcrchcr Im preu^pi. , v\ ipii Avyini Mitfirc pour mrlirc fia à «m Untt-
tivn. (Ou aura dit ni manièn* de cooununicatioD conBdeotielle : Cela bous a êlc
ri tioiK MHiIons le ravoir.)
PAUL.
506
aaui-conduît que te Gâmâ «Sfosoit. Enfin, sur une lettre expresse
du Roi * du 29 nmembre I(ïI9, le sauf-conduil fui promis. Paul
vint à Genève sur la fin de fi'vrier 1620 , pr(^spnUi rpquêle pour ob-
tenir et- sauf-conduit qti lui fut arcord*^ pour deux mois, el indubita-
blenieiit prolongé ensuite. D reçut les matrices qu'il reconnut en bon
Hai, et consentit à payer les dettes liquidités lors do l'adjudii-ation
de IfilG. Le Conseil (écrivit a M. Anjorrant . le 5 mars IG2I , que
l'on avoit fait avec Paul ce qu'il avoit df^iri^; di's-lora il n'est plus
question de cette affaire diuin les Re^stres.
Avant de livrer les matrices on en fit à Genfcve deux fontes : Paul
demimda qu'elles lui fussent vendues, j'i^ore s'il Icsobtint. Rentr<^
en France, ces matrices lurent, par ordonnance du 6 mai 1632, dé-
posées à la Chambre des Comptes. En ï774 elles furent rendues à
l'Imprimerie Royale.
Voici le texte de l'arrêt du Conseil , qui se ti'ouve aux Actes et
Mrmoires du Clergé* de France de IH45 el I6i6. tome II", page
250. U est aussi rapporté par Prosper Marchand , dans son D/r(.
hUtorique, article Robert Estienne. Je le croisasse/ important jwur
donner ici en soi» entier.
ARREST bu Conskil o'Estat Dt Rot,
Du 27 nmis 4619. rendu sur les remontrances dos Agcns généraux du
Qcrgô, par lequel Ir roi ordonne une aomme de trois mille livres, pour retirer
les matrices grecques que le Roy Françoù I. avoit fait faire en faveur des let*
• Voià cette ktlrr :
j4 twt Irh cfwn et &û/u amu ht S^itdi^ues et CcmtU d* Ctnè*Ê,
'< Tr^ cbm r( bon unù. kjWDli mintk de Crife retirer qndqoei Butricvs dimpri*
OMuie qui furnnl portén à Genève par lin Robert Citienoe , eomne ihh» appanuiianf .
DOU avons rommandé â Paul E»lienue, son petil-fiU , de «e Iraaiporier |kar-(lrtn pour Is
reoofiimitre et doiu ka bire rapporter, dn qoojr mo» ecpcroos q«e de roslrr pari tous
noua ferea paroùlre toute tavoralile disposition. M ayderet eo cela i f cflècl dr noslrn
intontion. conniu* è cliote que nous a%otu à oinir, doniunt k rrair lia Uml feur et librr
acocs au dit Paul Esticuot* doiu la dite > ilk de Genève , el tout lion et fovonhlc traulr-
menl. Et n'cslanl la prciente pour antre rilecl. nova prioiu Dieu , Irèt efaen el htm»
anus, qu'il >otu ait rn n laiûcte el dif;ne girdc. Kicril à Sainri-Gfrnuin fn \Ayr Ir
"& jour dr nint-mlirr 16)9. u Sifmê Ix>ut>
£i ftiui futt nm tJint
rm
PAUt.
trafletdM Univcisitt^(l4!Friinf«, H qucfïnil Hsiieone avoitdopuUvMâHP
engagea la Sfii^nvuricdc Gonèvr muu'iinaal pareille ï^tminr : trtcF,pOV
s^en sen'irà l'impression liw Pm\*< ^recs eulrt-prise iJiir lo CJnrçô.
Sur ce qui a cslé repn^enk^ an Hoy vn son Cons<»il , fwr les Agens géo^nu»
du Clorfï<^dp France, qu'une dos plus ;;rBn(ie* };loireî4,de ce rt)ynurac esloit dV
voir de loul temps clim li« artset les scicaees. que Ifts estrangcrs âctwil
venus clierclier diULS .'k's Cniversitez comme en leurspjour naturel: ettiupoop-
seulement c^'dit royiinme uuruit siiqui^sC* ks autres ]>ar la splendeur dr< \M-
tn>s, mai* ini>5.i par la quantil*! et (nirio?titi^ des lions livro^ el t>olles iraprt*'
sions tant i^ecqius qui* InLine^. Que maintt.M)ant lesdiris ei-îtrangers. jal<«i
de celte lîloire, ne iKmvani i-ompre l'umilii^ et rUabitude que Itîs Icttmiai
livei! les ospribqiii naisHont en ce rG>iiujTio, s'elTorrenl dVn oster les impra^
ftions. qui rionl le^ voix el les paroUos desscienceft, par li'squellMellMtnB-
t«n tel confèrent avec le» hommes ; auquel etïet, queUpina estrangerântaHr^
piiiti ï»e» aclieliide /"linZ fcXi>nnc, pour le prix et somnir de IroU mille lirFK,
U*s mainc^s yrpctfues ipie le feu Roy François I. avoil fuit tuHlor pour orw»-
ment de ses Univeraitezelcommoililé des lettres , avct; tant do frais qu'il ne
w^roit juste ni raisonnable, ini^mn qu'il importa à la grandeur et a l'hooinr
d« ce royaume , d'en laisser emporter c)ioses si rares et si riches , învfDtén
((arlelHïnheuretdilij^encedesfousRoys. coqui seroit runesle<i lousltsbo«
el inviteroil les Muscs à suivre coux qui possikleroient ces orneiuenU, (rtib-
tmndonner ce royaume. Au moyen de ijuo) , lesdicLs Agcnl* supplienl Sa Mj-
jcsU^ vouloir ordonner, (pie ladictc somme de trois mille livresi sera prise 4e
son esiwrane, |M)ure»tre payée comptant audicl Paul Estieiine. afinqu^lc^
dites iiuiliii**»s soient apportées en celte Université do Paris, pour servir é
l'iitipiession des Pères ot autours grec*. /^ Hotj en wm CotutMi , ayant osgurj*
la(licteHemi)n.*lnin<*e,aordonnéelordonne^qucdolasommetic'si\vinL:tmilk
livres, iragut)a»s fournie es mains do maistre François de (bastille, receveur
^ni^rnl du Clergé , pur le tltrésorier de son espargno , pour subveuir au pt]v-
mentdes rentes do rilôtel-dc-Ville, assisnéca sur le Clerfré, suivant l'ams^
du dernier marsttiia. il en sera pris el employé la summe de trois mille livtts,
pour relirer lesdicles malnivs dos mains de la SeigiaMirie de Genève ou d«
Paul Eslienne. Eld'auUint qu'il est nécessaire qu'elles soient rendues fidète-
ment, veut Sadicte Majesté losdictes matrices estre retirées par le sieur df
Vie, conseiller audicl Consi'il d'Estiit; et a cet effet, lewlictes troii» aùW»
livres lui estre baillées ronipl-ant par ledicldeCastUlc; et qu'il soit payé }«^
sentemenLsur ladirle sonimo iiualre cents livres audicl Rstienne, lequel*^
tniiis(tortera en la ville do Genève, jvour les reconnoistre el rendre au {ilitttoil
fidile r.qtpurl de tout l'estiil et rondition d'ice)les. Et rapi>ortanl ledicl ài>
Casldle quiUaiicu dudict sieur de Vie do ludictc somme de trois mdie livres,
elle lui sera pissée et avouée en ses comples , qu'il rendra par devant hK
sieurs du r.)er<:é. Fait an Conseil d'Eslat du Roy, tenu à Pans Ih'27 mars U\9
.Signé, MALUER
PAUL
507
Rien de plus sec et de plus anti-littéraire que en détails de prêt,
de gages, enfin que toute celle affaire des matrices dont j'aurois
vouhi pouvoir abréger de beaucoup le récit; mais s'il y a eu pour
moi obligation d'en i5crire toutes les {«rticularités , il ne s'ensuit pas
de là qu'il en résulte égale obligation de tout lire.
Les livres sortis de l'Imprimerie de Paul en IGI 1-1612-1017 et
1618 , dont quelques-uns ont de riinportijnuo , et seniblciit avoir
nécessité la coopération personnelle du chef de l'établissement, paj
qui éloient-ils soignés, au moins typographitiuement ? Etoit-ce par
quelqu'un commis à cet effet, et représentant le maître (jui, lui aussi,
par correspondance, prenoit part à ces travaux, et les dirigeoil plus
ou moins effectivement! Ou bien l'officine, vu l'absence de Paul, étoit-
elle mise temporairement à la disposition de personnes venant y
faire exécuter pour leur compte queltiues volumes! C'est fort pos-
sible, mais on ne sait absolument rien de tout cela.
On peut aussi s'étonner que pendant ces quinze ans d'absentée
Paul, qui n'éloit point sans habileté, et comme Impiimeur, et mèiue
comme cditeui*, n'ait laissé ni a Paris , ni en d'autres lieux , aucune
trace d'un travail quelconque y révélant au moins sa pR%ence. Cer-
tainement il y a eu besogne faite; Paul n'étoit pas riche, et il falloil
vivTe ; il falloit entretenir femme et enfants. Lottin le fait libraire à
Pans, ei même Imprimeur, mais sans en donner aucune preuve; et
d'ailleurs c'est, selon lui, dès 1509. temps auquel Paul éloit trop
activement occupé à Genève |>our avoir l'idée d'un établissement à
Paris, où rien ne dit que jamais il ait imprimé ou fait imprimer.
L Toutes ces incertitudes , moins olfcsrures que dans ma première
"édition, et même en partie dissipées par une plus exacte comiois-
sîince de plusieurs documents publics , ne se peuvent cependant en-
core nettement expliquer ; mais la conclusion certaine que l'on peut
en lirer, c'est que, par sa faute ou auti*ement, Paul n'eut rien moins
qu'une heureuse existence. Avec assez de savoir pour se faire uji
beau nom dans la typographie et les lettreSi il manqua de cette acti-
vité qui, chez son père, fut (luelquefois portée à l'exci^s. Ayant fort
bien commencé, il produisit [Hiu, lais&a languir son Imprimerie, et
par fX)nsiH|ueiit aussi ses aU'aia^s conujiercialcs, enfin resta en arrière
de ce que l'on pnuvuit attendre du fils de Henri Ësliemie.
508
PAUt.
Le nom de Genî^ e ne se trouve pas sur une partie des livres sor-
tis de l'Imprimerie de Paul, maison y voit toujours l'une des marque»
de famille, l'Olivier et la devise, avec diverses variations qu'il serai
inutile de noter ici. Selon Almeloveen , page 121 , et Maittaire qm
le copie, pa^e 536 , Paul auroil dans son voyage de Londres, m
1593, gratifie* de la marque des Estienne rimprimetir angloiti Jeao
Norton, par qui on la voit, en 1 605 , placée sur un in- 4 latin, Effi'
giatio i>eri Sabbathismi , et peut-être sur d'autres encore. Norton
auroit donc attendu douze annt^es avant de se provaloir de la conr-
toisie de son visiteur. Il est bien plus simple de penser qu*en I6Û6
Norton jugea expi5dienl de placer sur un ou plusieurs de ses volanMl
une copie du Symbole typographique employé sur le Continent ptf
des Imprimeurs jouissant d'une si haute réputation.
Paul , de 1 626 à 1 627 , vendit ses caractères et probablement toute
sa Xylographie et sa librairie aux frtres Chouet. Rien ne fait tavoir
le temps de sa mort. On lui donne pour femme Catherine de Sannc;
mais les Registres de Genève portent, aux baptêmes de ses enfants
fils ou fille de Paul Estienne et de Marie Rouy, o\\ Roup, Roupb.
ou peut-être Houx, It-criture n'en étant pus fort lisible. De ce ma-
riage il eut huit enfanta :
Àfèigaïi , baptisée le IB décembre 1589: le parrain lut Henrr,
Antoine . le 28 juin 1 592 ,
haac , le 22 mai 1 594 ; parrain Isaac Casauboii .
Lucrèce . le 20 septembre 1 598 .
Aimé , le P' septembre 1600,
Marie, le 20 dt^cembrc 1601 .
Joseph . le 23 septembre 1 603 .
Ruth, 1(?8 mars 1605
Paul est-il devenu veuf , et eut-il pour seconde femme Catherior
de Sarme? Apr^ avoir vendu son établissement, est-il venu ae fixer
en France? c'est ce que rien ne fait connoître. De ces huit enfuils.
deux seulement survécurent : l'aîné, Antoine, dont on voit ici que U
naissance est de 1592 et non de 1594, comme le dit La Caille et reia
qui. faute de meilleure information, n'ont pu que le copier. Il vt
être parlé de c.et Antoine qui revint à Paris et y imprima beaucoup
L'autre fui Joseph . ijui par leltres-palenles du 15 jiuii 1620. tut
PAUL.
M
nommé seul Imprimeur el libraire du Roi à La Rochelle . faveur
inutile . car au mois d'octobre suivant il mourut en cette ville de la
peste.
La Caille, un peu léger dans ses informations, manque ici tout-à-
fait d'exactitude. Selon lui. ■• Paul quitta la ville de Paris pour cause
de religion, et se retira à Gentve....' où il imprima les Portes grecs
ih-4.. . . et les mêmes in-8, sans scholiastes, qui sont rares et recher-
chés des savants... -
Pau! est né à Genève, y fut élevé et établi ; c'est au contraire la
ville de Genève qu'il a quittée pour plusieurs absences un peu lon-
gues, et peut-être définitivement après 1627. On ne lui connoîtde
pot'tes grecs in-4 que Pindare , Lycophron , Sophocle el Euripide ;
et aucun poMe grec in-8 n'est sorti de ses presses. On n'a de lui
qu'Homère en in- 16, et les lyriques grecs, de même en petit format.
fifs
PLOnfiNCfi, DENISE.
la mit danâ un grave danger. Aprè6 sa guoriâon , en mara I6t <l, d&t
rcHt le même voyage, j'i^ore avec quel succès; mais elle De tarda
point à revenir à Londres, et , le premier juillet suivajit , la mort
enleva son mari.
En 1617, ^n gtndfc, Jean De Gravelle Du Pin , au nom âtu
bellc-mtro, dt^dia à Jï«Sïatfi*.BfiUllAjigletcrrë, les notes poslhiunea
de Casaulwn sur le| lybe, imprimées en un volmnt-
iji-8 à Paris, par Ai poiir lesquelles privilège avoit
été accorda, le 22 dé le Roi de France à Florern»,
fille de Henri Eïilieii; |ic Casaubon, Florence vivtâi
encore en 1620. '
De Denise, scem ne sait rien , sinon qti'eBpsf
trouve mentionnée eCîisaubon. On croit ciu'eOr
fut d'une tr^ mauv fot fille, vers 1614.
r
ANTOI^E ESTIENNE,
SEUL DE CK NON,
Antoine Estienne, fils de Paul Estiennc , né à Genôve en juin
1502, et non pas en 1594 comme lo dit La Caille, fit ses premières
études à Lyon, et vint ensuite achever son éducation à Paris, y fit
abjuration entre lea mains du Cardinal Du Perron, obtint en 1612
des Lettres de natui-alisation, et lu cliarge d'huissier de l'Assemblée
du Gergé, avec une pension de cini| cents li>Tes. En 1635. Antoine
Vitré , Imprimeur-Libraire , lui fut subîititué dons cet office , et eut
sans doute aussi les 500 Uvres ; mais Antoine cependant ne perdit
point sa pensim qui lui lut conser\'ée sur la demande qu'en cette
année 1635 il t\i au Roi et au Clergé, ainsi que je le vois rapporté
dans la Table des Archives de la Chambre Syndicale.
11 fut Iinpruncur à Paris, et ce seroit diïs l'omiée 1005, si l'on en
croyoit le Catalogue Le Tellier [Bibliotheca Telleriana), qui met
au nom d'Antoine, et avec la date de 1605 un volume d'œuvros di-
verses du Cardinal Du Perron ; mais Antoine n'étoit alors âgé que
de treize ans, et il y a là nécessairement erreur de date.
Les premières impressions d'Antoine sont de 1613; et dès 1615,
sur deux de ses éditions, on voit qu'en cette année il devint Impri-
meur du Roi. La Caille veut qu'il n'ait été reçu Imprimeur et Li-
braire que le 20 octobrt' 1 6 1 8 . et Imprimeur du Roi seulement eu dé-
cembre 1623. avec &àx cents livres d'appointements, assignés sur
l'Épargne. Plus de douze volumes antérieurs à la première de ces
deux dates prouvent qu'elle est inexacte : La Caille aura imprimé
par mégarde lOlH au lieu de 1613. ce qui est d'auUmt plus \Tai-
âi^niblable que six lignes plus bas il fait Antoine impninaiit dèi» 1614,
AS
5U
ANTOINE.
Quaiil H la date de 1 623 . des volumes de 1 G 1 5 et 1617 Ja condam-
nent aussi : on pourroit néanmoins expliquer celte conlradicbon ap-
parente en se disant que IG23 est la date du brevet qui accordoit la
pension de GOO livres à l'Iniprimeur du Roi nommé depuis 8 à 10
ans. En 1630. ilfutpounu de loffice d'Imprimeur et Libraire du Roi
à La Rochelle, vacant par la mort de Joseph, son frère, en ocïohff
1629. Maittaire qui voit là une confusion de laquelle il ne sait co£d-
ment i5e tirer, est tenl(^ de hasarder un second Antoine, comme îli
essayé plus haut de multiplier les Robert. - Cui nodo expediendo
me prorsus imparem fateor. Intérim aulera qnidquid de Antonw
Slephano (sive unus tantum, seu phires iucrint) assequi licuit. or-
dine, ut potero, disponam. - On a attribut^ à un seul être les hauts
faits de plusieurs Hercules, et ici tout au rebours, ce seroient le
modestes labeurs d'un seul typographe que l'on parta^eroit envtt
deux homonymes. Maittaire a pourtant à moitit* raison, maistout-
à-fait par hasard, et sa conjecture n'en \7iut pas mieux. Il y a r^
leznent eu deux Antoine £stienne, à-peu-pr^ contemporains, l'on
et Vautre s' occupant plus ou moins de livres, mais sans aucun rap-
port entreeux de parent<^ ni de profession ; et. à ce sujet. Almdi>-
veen se trouve en même perplexité que Maittaire. Il cite les deux
livres suivants : ■• Antoine Estienne, dt^vot Discours sur la Passion
de Notre Seigneur Jésus-Christ , Paris . Thomas Brument ', 1582,
in-16; - et, du même Antoine Estienne, « Le Dialogue de Conso-
lation entre l'âme ot raison, Paris, Michel de Roigny , 1582.
în-16; .t lesquels ainsi qu'il le voit irbs bien sont trop anciens pour
pouvoir être attribués à l'Imprimeur Antoine qui ne vint au monde
que dix ans plus tard. Ils sont cependant bien d'un Antoine Estienne.
et si l'on prend ia peine de voir ri-dessus, pape 210. on y trouven
la facile explication de cette énigme. Ces ouvrages ascétiques ont
pourauteur le moine Antoine Estienne qui a compilé les CoilectioM$
sarrtp, volume m-8 imprimé à Paris en 1609. et dont je n'ai fait
mention à cette page 2 1 0 que pour faire remarquer que le Religieux
• Tliomasîînimni, fl non nnimwil , ilnmcnriMi commf plusieurs drs Fjittmw m
cIm Iiniiifaii . n r*»miTiP i-iix avoii l'olivirr |M)iii in;irqiic ou fîu&cipic.
ANTOINE
518
iiunime , dont les noms véntableti étoienl tout autre?, et qui ne prit ceux
d'Antoine Kâtienne qu'en entrant en religion, n'a, non plus que se^
ouvrages, aucune espëce de rapport avec la famille des Estienne, et
doit rester entièrement étranger à leurs biographies.
Le Cardinal Du Perron, entre les mains de qui Antoine, jeune
encore, avoit fait abjuration, lui conser\'a beaucoup de bienveillance,
lel fit imprimer chez lui ses v(»lumineux ouvrages.
H seroit superflu de m' étendre ici sur la longue série des éditions
publiées par Antoine depuis 1613 jusi^u'à sa dernière impression
qui date de ItiG'ï, et dont plusieurs ne sont pas sans importance.
Qu'il me suffise de dire que pendant un si grand nombre d'années,
[pendant ces labeurs de plus d'un demi-siècle, son activité ne se dé-
mentit pas, et que toutes ses éditions sont exécutées de manière à
faire reconnoître le fils et le petit-fils de Paul et de Henri Estienne.
îi la voie i[u'il suivit fut honorable, ce ne fut pas celle de la fortune.
Il ne paroîl pas avoir jamais été en gmnde aisance ; dans ma Table
de la Chambre SjTidicaJe, je vois la mention non explicative d'un
arrêt du Parlement, du 17 septembre 1633, en faveur d'Antoine
Estienne, et plus tard, le 5 juillet 1636. un Arrêt du Conseil d'État
ai faveur du même Antoine, pour ses deHes. Sinon le premier Ar-
rêt, au moins le second paroît bien être quelque chose de semblable
à ce que l'on a nommé Arrêt de surséancc.
Antoine iut Adjoint de sa Communauté, du 2 juillet 1626 au 8
juin 1628; il paroît qu'en 1649 il fiit nommé Syndic, quoique La
Caille n'en dise rien. La preuve semble en résulter d'un Mémoire
sur procès, de 14 pages in-fol. |Bibl. Royale, L. 8yO|, publié en
1650 au nom d'Antoine et de trois cents libraires. Imprimeurs et
Relieurs de Paris, formant opposition au règlement de Décembre
1649, qui, entre autres dispositions, statuoit sur le système des pri-
vilèges pour les anciens livres, et sur le renouvellement après Tex-
piration de ceux qui s'accordoient aux ouvrages nouveaux. Dans
I cette pièce on voit à la page 4 que les Libraires qui tenoient pour
les privilèges avoient essayé, mais inutilement, d'écarter le Syndic
qui leur étoil opposé, en faisant révoquer par le Parlement la procé-
dure de son élection au Syndical, ce ù quoi le Premier Président ne
voulut point consentir : ce Syndic nonuné, dont l'élection est contes-
546
ANTOINE.
tée. et qui finalement n'entra point en exercice» ne peut être antic
qu* Antoine qui depuis plusieurs années dirigeait et soutenoit cette
opposition aux continuations ou renouvellements des privilî^es, con-
tre lesquels il avoil obtenu plusieurs arrêts du Parlement. Apr^
avoir pendant beaucoup d'années persisté dans son opposition, An-
toine tinit par se rétracter, et dans les pièces d'un procès de ce genre,
entre Josse. libraire à Paris, et Malassis, libraire à Rouen, jugé le
27 février 1665, est produit un certificat d'Antoine Ëstienne. dn
23 octobre 1 004, déclarant « que les privilèges des \ieux livres et la
continuation des nouveaux sont nécessaires pour le public. ••
Après ce demi-siècle de travail, Antoine ayant en 1664 cessé
d'imprimer, se trouva non pas même dans l'équivoque position d'une
médiocrité trop étroite , mais dans les chagrins de la pauvreté, D
étoit depuis plusieurs années soutenu par son fila Henri V; le 6 oc-
tobre 100 1 il perdit ce fils qui depuis 1046 étoit Imprimeur-Ii-
br&ire *, et avoit été pourvu de la survivance de son père dans l'office
d'Imprimeur du Roi, par brevet du '28 avril 1652, enregisii^ m
Parlement le 24 mars 1653. d'apri-s le consentement de la commu-
nauté des Imprimeurs-Libraires , donné le 20 du mênic mois. Cette
mort priva Antoine d'un appui qui lui étoit nécessaire : il devbt
infinue, ensuite aveugle , traîna plusieurs années , et, âg^ de 82 ans,
en 1674 , mourut à l'Hùtel-Dieu de Paris où il 8*étoit depuis j«fl
retiré, si toutefois il faut en croire Almeloveen qui assure avoir ét^
exactement informé. Mort chez lui ou dons ce triste s^^jour. ce fnt
toujours en un fâcheux état d'indigence.
Il avoit épousé Jeanne Le Clerc, fille de David Le Qerc , Lnipn-
meur-Libraire ; il en eut six enfants :
Jean- Jacques , né le 0 juillet 1 622.
Jeanne^ né le 15 octobre IG23,
Jeanne, née le I " avril 1 6 25 , sans doute après la mort de la wO-
cédente.
• C'ittnt comme fiU de suilln* tjuc lïenri fui reçu, le 33 fèvrkr. ayant è pcioi* unuu'
ans. Deux Jcws frère». Jt'aii-Jnojucat-l Frani;aU, fnmil lumllcmntl reçus brf iciaic».
moûiU moiirurrul â^aiil iravtitr i'\i'. tbiis k* cas dVxvtTfr.
ANTOINE.
647
^orto, née le 2 juin 1626.
François, né le I I juillet 1627,
/fert/v, né le 9 f»HTier 1631.
De ces six enfanU. cinq moururent tr^s jeunes ; Henri, le seul qui
survécut, et mourut en 1661 , eut trois cnfaiits :
Henri, né en 1558, mort en 16G0,
jingéliqne, née en 1659, vivoit encore en 1683, selon Almelo-
veen, et en 1689, selon La Caille. En elle finit ta postérité de Henri
Estienne.
Anne, née en 1660, morte en 1661.
Cette Angélique , non mariée . vivoit du travail de ses mains
(eouseuse allant en joumées|. Almelovcen, qui avoit eu sur son
compte cette brtve information par un libraire de Paris . nommé
Boui*dot ', récrivit à plusieui-s reprises pour avoir de plus complets
renseignements sur les diverses (>ersonne& de cette iamille; mais
imalgré des lettres instantes, il ne reçut aucune réponse.
Sur ses livres, Antoine mettoit, Typogmphum Regium, Archîty-
pographum Regium, Imprimeur du Roy, Imprimeur et Libraire or-
dinaire du Roy, Premier Imprimeur et Libraire ordinaire du Roy.
Sur un volume, Triomphes de Louis le Juste, est cette singulière
mention : Per Antonium Slephanum, Proto-T^-pographum Regium,
et Christianissimi Régis Bibliocômum ordinariimi. (Sur ce mot
voyez ci-dessus, page 225.)
En 1613. son domicile étoit rue des Cannes, auColl&ge des Lom-
bards, mais depuis il a toujours demeuré rue Saint-Jacques . et, à ce
qu'il paroît, dans quatre ou cinq domiciles différents ;
En 1015. devant le collège du Plessis,
1617. àl'imace Saint-Martin, près du collëcre de Mamiou-
I image
tiers.
1620-21 , pr^s Saint-Yves.
1 622. Un de ses livres indique sa demeure, non pas a l'Olivier,
mais à l'Amandier.
* Il n'y * pju ni iVr li)>i-<airr ùuh uocninr ; ce M fMUl Hxe ff»K Jraii Itotiilot , niorl
Il I7RA . d Mihnir iIm l>iriHiitiuiin' Uliii qui |iurlr m>h imm
nu
ANTOINE
1631, 164 (. 42, 47,49.53. au Collège Royal. dwantSainl
Benoît .
C'estpréci^'inent dans les vieilles canstructians que l'on a at«t-
tues en 1836 et 1837, pour faire au Collège Royal, dans la ne
Soùit-Jacques, la belle entrée maintenant existante , Jrpuis long-
temps désirée, et projetas? dès 1610, ann*ie où furent acheta lespr^
miers terrains sur lesquels, après plus de soixante ans, on constnnal
cet établissement scientifique.
Ma Table de la Chambre S}^dica]e note au 28 mai 1 63 1 une scfr
tence du lieutenant civil , qui ordonne que l'Imprimerie d'Antoine
Estienne sera rendue au Collî'-ge Royal , en présence des syndics et
adjoints des libraires. 11 ne peut pas être question du inuleriel df
rimprimerie [Typographica supelles), qui éloit la propriété de
rimprimear, mais bien du local dont le Coll^ge Royal aura
le bi'nélice de jouissance, nu moins par les loyers. Antoine
roitdonc en cet endroit dès 1631 , et même avant. Ses livres pwa
vent qu'il continua d'y demeurer long-temps, et il y resta probable-
ment tant qu'il continua d'imprimer.
Sa marque fut toujours l'Olivier des Estienne; on le voit
preswjutî tous ses livres.
En 1638 fut fait un Mémoire contre Antoine Elstienne , qui ?-
hit être syndic par force, ce qui veut dire, sans doute, malgré l'op*
position d'une partie de ses confrères. Dans ma Table manuscrite,
qui me fournit ce renseignement, je vois aussi une commission du
Roi, envoyée te 16 septembre 1652 à Antoine Estieime, son Im-
primeur ordinaire, pour imprimer et afficher sa Déclaration |Edil|
d'amnistie en faveur des habitants de la ville de Paris. Dans la
Mazarinades , j'ai cet Edit imprimé in-4 en 1652, après le Lit de
Justice et l'enregistrement du 22 octobre, sans doute par Antoine.
mais sous le nom collectif des Imprimeurs et Libraires orfUnaim
du Roi. Quant k Timpressinn ordonnée dt*s le 10 septembre, si elle
n*aété faite qu'en afRcbe, il n'est [las étonnant qu'il ne s'en rencon-
tre plus d'exemplaire.
Ce doit être le (ils d'Antoine. HenriV, qui imprima les deux édi*
tions des Essais de Montaigne, !652et 1657. Le pri>-ilcge de ce li-
vre lui est accordé - . . . . quo pulchras Roberti , Caroli, Henricique
ANTOINE.
«9
majorum suorum impressiones imilnretur. - Il comprend aussi l'His-
toire romainn de Coefieteau, qui n'ayant paru qu'en 1663, apr^s la
mort lit' Henri, fut publiée au nom d'Antoine, son père. Ce que pen-
dant une carrière typographique de quinze années on connoit de
Henri V, se borne donc aux deux t?ditions de Montaigne , pour les-
quelles même il s'associa avec d'autres libraires. Il est indubitable
que si véritablement il a possédé une Imprimerie, plus d'un vo-
loine sera sorti de ses presses sans porter d'antre nom que celui du
libraire.
Quant au Henri qui a imprimé le Catéchisme des Controverses ,
in-4, en 1639, etin-S.en 1 640 , Prosper Marchand pense qu'il s'a-
git ici de Henri V , sous le nom duquel Antoine , son ptre , aura mis
cette typographie éphémère ; mais Henri, né eji 1 63 1 . n'avoit alors
que huit ans, et cette conjecture n'a aucune probabilité. Ce ne peut
Otre que le fils de Henri III, Henri IV, sieur Des Fossés, mari de la
fille d'Isaac Casaubon. et auteur de l'Art des Devises . imprimé en
1645 pour Jean Paslé. ainsi que des Devises et Éloges faisant partie
du grand volume des Triomphes de Louis-le- Juste, qui ne parut
qu'en 1649, deux années après la mort de ce Henri, mais qui étoit
depuis plusieurs années sous presse.
De ces explications il suit que les quatre éditions que, dans ma
première édition, j'avois attribuées à Henri I[I , doivent se partager
entre Henri IV et Henri V.
H uUl« deux fanùllcs qui so ditenl . et mds doute se croiciit dcMciMlanlf» de» £•-
tininr : l'une dVUrs, celle ôv*. hem Estimne, librairrft à Pirù dm» le dix-huiliène
stédc, poitr tHHltlir sa drftrrniUtirr, duiitir à l^iil un troùirmtr fili. Joui, qui mruil
quitté Gniève. iCToil vrau à Verduu, rxuuilc à Lagny, prés de» parmli ilc Jeioae
l<r Of rr, fproroi" d'Auloiue , sod Trèrc . ri y serait norl très kgê , rai 1679 , lûsast Ufl
tih nominr Nirolu. Cette première lilialion fiaUie et prouvée , tout li* miir iruii de
Ma. Jacques. Tib de ce Nicolas, >ical ô Pam, s'y bil libraire m 1GB9, mi-urt eu 1731 ,
biuaut une librairie finrl couiidêrèe, conliouêe d'abord par M Taive, eruuiile par let
Aeu\ nu, Jacques el Robert, et qui fuiit avec l'un dr^ deiii. murt en 171H. De l'wi
d'eux existe tm fiU, M. FratM^is-Marie Fjilieane. très liunomlili- |MTsonni', boUÎK k
Paris jusqu'en 18)5, et réiidant k Paru en cette anoéc 1M3.
CrUf rdialkm |iar un fils de Paul se trouve cotièrmMnt coilrrdile por les Regj^lrfs
520 ANTOINE.
de Genève, qui ne laissent aucune incertîUHle sur le naiiil»« et 1» doom do eobMk
(le Paul. Il en a eu huit, dont aucun ne s*est nommé Jean, et dont nx icot norti a
bas âge. Cen'est qu'en 1M8, et ensuite en 1569, que Ton vmt naître dexa Jeam, fib
et petit-fils de Robert I"*, par conséquent grand-oncle et oncle de Paul, et n*ajaa
laissé d'eux aucune trace.
L'incertitude de renseignements tradîtioDDeb, et les divers déplacements de pluikn»
des anciens Estienne ont pu induire MM. Estienne du dix-4iuitième nède àcroôci
une descendance qui ne pouvoit qu'être flatteuse pour eux, mais dont les Rqistrtt^
nevois aflbiblissent considérablement la probabilité.
De l'autre famille, plus nombreuse, j'ai connu l'eustencc eo 1K7, de trois penooao.
AIM. Etienne Estienne, Paul Estieimc et une sœur, allants de Antoine Estienne, aurt
capitaine aux Invalides, et qui signoit quelquefois en latin Antonuu qumtms. H. tal
Estienne travailla pendant {Jnaieurs années dans l'Imprimerie de MM. Fïrmîn Didol;
maintenant il est en province, sans doute dans quelque autre Imprimerie. Le phi oa
moins de certitude de ces filiations n'ayant aucune imporUmce réelle pour rintérà dr
mes Notices, j'ai moins k regretter de ne pouvoir que les indiquer sans aucuDeaenl 1b
garantir.
En 1789, Lottio, page 6S de son Catalogue des Libraires, donne pour dernier do-
cokdanl des Robert Estienne, M. l'abbé Antoine, rétidani en cette capitale. S'il ■'«
a pas fait une vérification personnelle, il se peut lûen qu'il ait meationDé i
existant l'abbé Jean-Antoine, qui mourut à Paris en 1788.
530
ANTOINE.
ât Genève, qui no lauftent aucam: înc^Tlilude nir Ir uanibn: et la boom
de PbuK II en a «ii )mil, ilonl àincim nr %'t*t namiiu: Ja'm, et dont m% m
b^ àgL'. CenW qiivii IMS, et euiuiUï tu 19^. *\mi' Ton voit naître tleiu /rOM, fil
fît pprit fJs de HiîWl l****, pur cuitsèquept griiiiil-Hnidr et oncle ûti PauI, h ntjrMI
laisse dViix aucune trace,
I.'innTtiliLik de naïuHpiPinciitj IradJtioniiHs. ri \f% ilivvr» dcpUcïineïits tir pluMwn
lies amdi^na EâÛËUbr oiil |iu iodiiin! MM. Eatitiinu du dix-huit kème ùrIp * onr? ■
(uip dt'scpiidaiiccqui ne p " -^' ■■■■—■■■-i ■ —^ j^^^ asâi* tiont l« Il«stftn»jp-
iievoig âiroiJïlmeai catm b
De fjiitrf; ramilie^ plu? HbK&ËC ^ 1H37, de troû nenouna,
r, (Ufenti de Antoine Estinnsf . flturt
'en tsliu .4ntonius *juintu*. M, F^
li'lmpnnierie dç M_M. Ftrtnin tlîdol:
uU)iJv ftulrr Imprimme, Ir plw«
« im])nrtau*,-e K*dle jwmr Tinlmt 4r
ttuç lo Uïdii]Ui?r bULs auctiTKniml In
capilâine aux Invalides^ e
EslifUDe iravqïlia pendait
inairLtmDnl il eal ta proi
moini. J*' crriiliJdc de cw
me^i Notice», j'ai mcôoi ^
garai] U r .
En Mm, Loltiii, pARc î libraÎK», doaiie pour dénia' dn-
OftndaiU d» Kal>eri ËJitici *vtitiani en ietfe eapitaJe. S'd n'ai
a pas fiiiî mn? ^trillralinn |H!rsotinc]]c. M srpfiil hii-ii f|ii'il jiit m«nlîontip romme eMWr
existant l'abbé Jean- AiUoioe, qui mourut à Paris en 1738.
ARTIS typographicjî:
OrERIMONIA,
De illiteratis quibusdam Typograpkis , propter qitos in rnntemp-
tnm venir. Autore Henrico Stephano.
RCNB. errEPHAWiS LECrORI BONIS LITERIS 8ENE CUPrENTI S. D
Scribimiis indocti doctique Poematn pnssim, exclamât Hora-
tius, posttjuam dixit amendée navis ignarum non audrre earn agei'c.
medicos, quod medicorum est promitU*re. fabros fabrilia irartaro. In
eandem veto scntentiam et alibi canit,
Ludere ({iii nescit. campistribus abstinet »nnJs,
Indoctusque pila*, ilist'ivc infoliivr*. qiiicscil ,
Nû spissaî risum tollant iinpunp coronîf :
Qui nescit . vertus Uuiien audct fin^en'...
Hoc autem quàm verum nostra etiam xtate comperiatur. quoti-
die testantur mistTa pocmala, quœ deferri vidcmus in vivos ven-
dantes thu3 et odores (ut hîc quoque vcrba Horatiana usuqjcm) et
piper, et qtticquid chntiix nmicitur ineptii. Sed qu(Ki illr de iis dixit
qui ypDÎ^vffi multô etiam justius de iis dicemusqui -niïro^îia^wffi poe-
mata, quamvis aliéna, nec poemata duntaxat, sed aJia aliomni quo-
rumlibel scripta. Quid! doctnnain typograptii et ejus qui poeniata
schbit, parine in lance expendendom censés t Non equidem : sed
utrosque. si indocti sint. flequî* suoin génère (ut ita loquar) indoctoR
esse et censeo et affinno. Quantum enim multi hujus seculi versifi-
ealores ab ea doctrinœ absunl mensura quam vel mediocris poesis
(si liceret mediocxihus essp poeti^l des^ide^at , tantum plern<jqui!
îilioijui prclis, in (|uilnis coiiscr
Stivpsiatlas. ad tain s<'rain ^cUoU
Hain re<'(H|ii('ro vt-lis? Atijui, si itlt
est opas, quoi! multi wim iiulotti
(ïebeo : itidcm ce^t^ poeticaî non e,
etiam multa proficisci poomata vid
questum esse Horatium pronuntial
necessariam omninô essepoeticam,
dicet aliqiiis. Sed quo id ore dici à
brorum editio pro dipiitate ab lis e
Musis commune eA ? Itane verô a
litenehoc seculo commissœ sunt, fidc
poteritî E^quid obsecro dicturum p
cens videat sucoessisse sibi typogra
vix pêne aliud in libris, quàm quomc
à nigra, intelligil? (Nam qui tantum
elementa possint à Latinis, Hebraicf
sibi fîeri injuriam existiment si in n
Quid ver6 dicturos M. illum Musuru
in quibus primis Graîcia reviviscere i
dendo nobis ad linguee Grtecfe adyta
dicturos remur, si, quum ipsi tantum
tulerint, ut non indignam existimari
fungentes mimere correctorum (licoa
ARTIâ TyPOCR-XPUlCE QUERtMONIA.
«t3
wftf Bomm ego è numéro qnendam oUm oognuvi, iUo correctoris
mujiere tam crudeliler fun^entein, ul onxnihuâ locis in quibus vocem
f)fiico3 invcniebat. ph^ras inilifferet , jjorcos lûininim in locura il-
liiw substituens : ilidemque, ubicumque verbxim Ejtanimnre oc-
currebat, ipeum in Examinare mittarct : (adeo quidem ut et apod
Horatium legeret, cur me querelis examinas ttth? quod niminim
hffic vox puriU'rque illa (siciit aliœ prope infinita!. in quas eandeni
tyrannideni cxorcebuti latiiiitatiâ cjus lei-minos excedchnt. père-
grinilatisque damnandœ ei viderentiir. Porcos enim (aiebatj scio
ede>e aniinalia quîeviain sic vocata : at procoji nec aniraalia nec aliod
m latino significarc puto. intcrira inaJo vocem de qua certus sum,
pro ea reponere. Âlii mmt qui neijue quid iiomen Proei^ neque quid
verbum Ejonimare voleat, ignorent, ac lalina esse minime negenl.
in aiiiâ item perinde tritis non hœsitcnt ' âcd quum paulo iâtis ra-
riora vocabula in eomm oculos incuminl. ad ipsa. tanquam monstra
quïedam, obtitupefianl : atque adeo procul unumquodque hujusmodi
vocabulum abigant, aliud âibi lamiliarc in ejus locum advocantes.
vel poliits obtorto |uLitadicara| collo pertrahenteii. Exemplum au-
tem ex multis unmn, »ed valde insigne, proferam. Quum dixisset
Horaliu:i. epislola 2 libri priori», nttnc adbibe purx* Pectore verha
puer^ ad verbum hoc ailbihe altonila frequens hujusmodi correclo-
rum turba, in adhibe mutavit ; non unum una in voce, aed molti-
ptex, erratum admittens, ut cuilil>ct (qui modo illorum .similis non
sil| monifestum e:fiie potest. El lumen in plunbus quûm triginta di-
versis editionibu;:» preeclaraiu illam emendationem me videre meinini.
Ac certè vix tandem Lugdunensi cuipiam correctori persuasâ ut post-
hae. inemendatum Horatium eo in versu esâe smeret, id est, suum
adbibe, quod mendosum ille putabal. ei relinqueret. Viden'. lector,
vid^i' cum <|uibuâ nunc bominibus negotium sit antiquis illis Latinse
luignsscriptoribust Nam de Grœcisquid altinet dicere? Grœcïc lin-
guœ penetralia ingressi sunl scilicet qui Latinam vix à limine salu-
taront ; aat ab ilbs multum sperandum est qui ipsis hl>roram fron-
tibus ignoranliœ suœ imaginem ad vivum expressam pnpfijjunt. Sic
nupor ex quadam Gemiaiiica officina \urbis enim nommi parcoj
prodiitGrcDCUS liber, in cujus fronte quum diligciitiam in eo adlûbi-
tam commendare vellet is rui hnnr provinciam demandarat typogra-
524 ARTIS TYPOGRAPHlCiE QUERIMONIA.
phus, in eo ipso verbo quo emendatnm significare vohiit, tribus fs-
dissimis erravit modis, non tjpograpbids qiiidem illis, id est ncm ex
operarom incuria, sed ex mera linguœ Gnecse ignorantia apertè pro-
ficiscentibus. Atque ita miser typogn^bos dum honorifico titalo
commemlatam esse editionem soam existimavit/ contra sao ipseœet
prœconio (tanquam suo se gladio jugolans) illam in&mavît. Qnod
vero omnium maxime ridiculum est, videmns passiin typographo-
rum epistolas Latinas, interdum et Grœcas, qaonmi plurimi ne pii-
mum quidem earum verbum intelligére, nonnulli ne légère qnidan
illas possunt. Quàm multa ver6 insaper mala bcec typographonim
ignorantia invehat, alius erit fortasse dicendî locas. Sed intérim
(quum hune tam miserum tamque calanùtosom artis tjpographicc
statum sœpenumero'mecum deplorassem) oontxnere me non potoi
quin omnibus qui Musas eo prosequuntur, et amoie et honore quo
merentur, luctum meum testatum relinquerem, Vel potiùs illos îd
ejus partem (tanquam de meo tantundem detractorus) Tocarem.
Qui tamen multo certè libentiùs vindices tantœ miseriae et injuris
quàm deploratores advocatunis eram, si <|uos nsquam gentiom re-
pertum iri existimassem. Hinc tandem enipit illa qoam nunc edo
Querimonia, inter innumeras occupationes à me scripta, nec tamen
ex ullo odio, vel ex invidia (est enim, Dei beneficio, cur invidear ab
ôftoTt;^o(ç potius quàm cur invideam), sed ex animo gravi indigna-
tione percito profecta. Verùm dicet quispiam : - Heus tu, non me-
ministi versus Horatiani quem initio hujus epistolœ protulisti t Scri-
bimus indocti doctique poemata passim. Annon et in tuum poema
eundem jactatum iri existimasî Imô vero et memini, et me primum
omnium in iliorum, non in horum numéro colloco : sed ut aggredi
illud auderem fecit hic alius satyrici versus, Si naiura negat^ fàcit
indignatio -versum, Vale.
ARTIS TYPOGRAPUIC^ QUERIMONIA.
be iditcratis ifutffwniatn TypotjrafiHiSy jtropter quos in cvnletnptum vaut
. Aotore Hknmco Stepiuno.
885
lUa ego qus quondam . cœlo ut dclapsa . colebar ,
Illa 0^0 t]iiai multid nuininiâ instar eram :
Quant comilcin addiderant mundi miracula i^ptero ,
Qu£e dcciiua Aoniduin suni iiumerala aoror :
Deliciic humani geueriïi vocitata p(*r orbom ,
Qus vooitabar amur dolicitoque deùtn :
Hei milii, nunc inberam, conlempUi, ingloria, vitam,
(Si Uiiiien hsc vit» est nomine di^na) Iraho.
Nunc Iraho quod super est, per mille opprobriu. viUc
Sicque meai taudi vivo supentes ego.
At V06 , quorum animofi vulgi non Taâcinat error .
Nec sua crodulitaâ crcdcrc falsa Jub^l ,
Me (quuTSo) indicla damnari e&p«ndilv causa ,
Nec peragi justi judicii» ore ream.
Criiniaa luulta quidom ex oinui me parte lac«âsunl :
{Fœta submde novis pectoni livor habc*)
Sed duo prxcipuù nostram oppugnanlia famam,
Impterunl acri qua; milii bile jecur.
He veterum autonim clamant peâtemque luemque,
Sacrilega hoâ clamant me violare manu.
Sentinamquo opcruin dicunt proferre novurum ,
Quam piper et triviis salgatna nota mauenl.
Nimirum hsec oa sunt qusp me duo rrimiua vexant ,
Inque odium reliquis quae rapuere mat;i*.
At non jure in Jus me dico fuisse vocataui :
Nara quîc non pccco , sunLne luenda mihi?
Non peccare aulem « suflragia veslm probabtmi ,
Si patious auhft , camiida men^ue sinat.
Namque u^e, MiiNortis àiqui:» ^ibi sumpscrit arma ,
Sed qui non itidcm Martui corda t;crat :
Si rapili ^team lutenque aicommodet enâem,
Si [sirmii et lelis inatruat ille uinnum
Viique Uimen visis vrrlal lerga hosltbuâ idafn »
526 ARTIS TYPOGRAPHICiE QUERIMONIA.
Pannam cum telis excutiente metu :
Istane Mavortis eulpa est? num portio laudis ,
Idcîrco Marti dépérit ulla mue?
Sive lyram pulset lyricae qui nescîus artis,
Et miseras aurés enecet usqae sonis ,
An Phœbus débet culpam aut prsstare Camœne?
Aut lyrics hoc artts dedecus esse potest?
Si chartas nunc ergo meas, si prêta typosque ,
Instrumenta operis quoique ministra mei ,
Turba indocta malos indoctè vertit in usus ,
Num meritô in partem crimifiis ipsa vocer?
Siccine sim adjutrix illis foulrixque patanda,
Quos cane , quœ odi pejus et angue pelam?
Alque adeo qood velle licet , si posse daretur ,
Jam factis odium testificata forem.
Sed quid agam? quœ dii tolérant, toterare recusemf
At fastu dicar nunc tumefacta noyo.
Optavi quoties, tenebris adoperta laterent,
Qu£ mea nunc lucem munera cunque vident.
Nec solùm hoc , alîis oneravimuâ sethera votis :
Omnia quae celeres diripuere Noli.
lidem debuerant etiam rapuisse dolorem ,
Qui menti requiem surripit usque meœ.
Hei mihi quod propriis patior nonc vulnera telis,
Armaque jne contra sunt fabricata mihi.
Nam quels barbaries à me prosternitur armis ,
Quotquot et errorum turpia monstra latent :
Denique queis fcedas expello mente tenebras.
Me dmninam illa suam nunc maie sana petunt.
Vulnera forsitan hsec dices non esse cruenta.
Esse cruenta quidem vulnera, et ipsa nego :
Nobtlitale animus sed quantô corpore praestat,
Vulnera tante animi quis graviora negel?
(Jtquc bono patri dolor ingens improba proies,
Objicit hanc illi qui tamen, ille gravai :
Vulnera sic per se sunt nostra gravissima , lingus
Sed mullô reddunt asperiora mala;.
Me miscraml incipiunt quoties effundere virus,
Et probris nomen dilacerare meum ,
Terra mihi loties opto mihi terra debiscat :
Uorror ad has voces pectora tantus habet.
Nam veterum autorum quum sim columcnque salusque,
Illorum labes pcrnicicsque vocor.
ARTIS TYPOGRAIMIlC.f: (^UERÎMONIA.
5Î7
Turbfl miuidem (falfor) me imilUt proTossa magistram ,
In scripUi illonnn pcrpotnit oœne nefas :
Alqur nuinu illota quai^^unt sacrau profanât,
Quain vel sacrilc^am diccre jure queas.
Sed tcregis isliiis si dicor jiiro mugistra.
Si tanti sceleris ronscia crwlor ego,
N>m(>e futzox ilidcm c^l miles, MavorUsalumiius.
J*>t itidem trrpidie c<msciui( itle fuge.
Et quirunquo malits toto ritharsdus in orbe,
Scilicet illius, Pliœbe, magisler eris.
Sic mala dicetur tcxtrix A I*allade docta ,
Viilcaniisque malum sic docuisse fabnint.
Dircndusnc meus quicunque typogi nphusaudil,
Kt chartas gniphicin imptet ubiquc lypis?
Alqui turb» isto liUilo nunc mulla superbit.
Quœ porcoâ fUerit [msciTe di|pia magis.
Vix nonint ipsas multi de nomino Mur^as,
Vi\ norunt \Uvii-i aut llelicona sacrum.
Quid dico? pmlel lus longé graviora profari,
Atque magis poesin( quœ supenire ftdemn.
Proh pudori liaud rarus numéro reperilur in illo,
Nunitnis i^noraib* i(>tsa eirmenta t»ui.
I nune^ et veterum fœdiita volumina multi»
Miraro ae mullîs conlemcrata raodis :
Agmina scriplonmi t^nipbicos H multa novurum
(Hoc est, niie^nim plnuslra) dédisse typoa,
Quid mirum^ ut cxcun discernil nemo colores^
llorum discernil sic quoque turba nihil.
(Fallor ego , atra sciunt qus pagioa , qua^qnr sit alhti .
Hac, fateor, c«<*<)s re superare queunt).
Audio sa;f»e illas et veslro ei oro qurn-las ,
O quels bngua in me (elle madère ^olet.
Qualta sod de illis vo» audio ssb\^ querenlcs,
TaUa de vobis diiîcito quisque queri.
Nanque (quod indignuin est) numéro cenaetit* eodem
ArtififcwiuL' inalos . arlifiop&que bofioe.
\tqiii noi^trum equidem di-cus bi i-enseiilur : al illi
5uril mihi suot seclo dedrn^UÂ atqu^ ptidor.
Ili nempe esse roei merilb dicentur alumni ,
Hi mea rura viri, delîciàfique me».
Grexque adeo meus hi : ([ht loium si tami'n orboni
Quinqoe decet vel »e\ nomen haben; Kre4:L<t)
ntofi contre oculi mihi sunt animiisque peroAi ,
528 ARTIS TYPOGRAPHICE QUERIMONIA.
Exœa iUorum nuda vel umbra mihi.
Instrumenta quidem mea nunc fomulantur et illis :
Esse sed bœc prsdam , non mea dona , puta.
Artifices appello malos (ne neachis erres)
Non quo vulgus eos more vocare solet :
Sed jejuna quibus doctrins pectora , quorum
Ad Latios auris stat stupefacta sonos. ■
Anifîces hos nempe malos ego conqueror esse ,
Hos fidei artifices conqueror esse mais :
Omamenta licet conquirant undique libris
Quse dare cunque potest ullà perita manus.
Namque quod bumano mens est in corpore, quod mens
Prsestare bumano corpore clausa potest,
Hoc opère in nostro prsestat correctio : (voci
Fas usum veteri sit tribuisse novum)
Hœc fugat à scriptis tenebras , lucemqiië reducit ,
Una baec cum mendis aspera bella gerit.
At taurus sumptîs carpet priùs aéra pennis ,
Aut liquidas pinnis ille natabît aquas ;
Et (niùs in syivas prorumpet ab œquore delphin ,
Notaque setosis gramina tundet apris ,
Illo tam insigni quàm munere fungier unquam ,
Et sacro Husis, turba profaua queat.
Luraina sunt nobis aliéna vicaria , dicunt y
Seque sat armâtes hac ratione putant.
Atqui oculo alterius nolle in re fiderc parva ,
In tanta est quantus fidero velle furor?
Resne typographica est (mihi cor exaestuat ira)
Viiis ita ut cuivis posthabeatur equo?
Nanque oculum domlni (cunctis res prodita seclis)
Pinguis ut évadât , poscere fortur equus.
Sed quid ego haec frustra ? canîtur nam fabula surdis ,
Et siquid surdis surdius esse potest.
Ergo libet nostras tandem finire qucrelas ,
Et tandem dicto claudere multa brevi.
Ut quidam à sophiae fertur dixisse magistris ,
Mille auditorum est unicus iste loco :
Sic prudens judex . recti studiosus et œquî ,
Multorum nobis unicus instar erit.
HENRICI STEPHAM
EPISTOLA,
Qua ad multas muUorum mnicorum respondet, desuœ Typogra-
phiœ xtatn , tiominatimfpte de suo Tliesauro lingxue Gitpcîp. Jn
posteriorc nutem ej us parte ^ quant mitera sit hoc (empare vête-
nun scriptorum conditio , in quorutulam typographorum prela
incidentium , esponit. '
Inveni tandem aliquando rationera (]ua vobia simul omnibus , id
est amantisaimiâ vehlnmi omnium literis. una eademcjue opéra sa-
tiâfaciom , et vcl rusticitatis vel arrugantiee apud vos suspicionem
cffujhriam. Ad ea cnim de quibus singali scripsiâtis. quum singuliâ res-
pondereper occupationes plurimas atque maximas mibi non licucrit
anteû , et multo etiam minus liceat in pra?sentia , communcm
saltem schbendo epistolam , eamque uniruique vestrûm mitteodo ,
rependendi muncrc apud unumqucnque defuncturum me puto. Sed
quoniam de re quidem omnes eadem , non idem tamcn scribitis , li-
terarum vestranim argumenta in quasdam vcluti classes distnbuam,
adeadeinde sigillatim responsurus.
Quidam igitur ex vobis, quis meœ sit tjqwgrapbiœ status, aut
cerlè quo in statu sint res mese typographicae, sciscitanlur, sumraoque
id cognoscendi desiderio se teneri aiunt : alii, quinam ad hune usque
' Pour les motifa expoiéi à-doio», pi^ 8M, oetto pièce n'est reprodoite id qu'en
dctoQg» ettraits ootrinanl ce qut m'a temblc suK«ptiblf de sf Urc mcorc tttc quet-
qiw blérét. Ces eitrttt» loat id pliu ampla qoe dan» mon édition prasmère. el tUtoal
ansM pins ronrcts, ayant pI« frhn nar k vnlumf de IBM.
530 HENRICI STEPHANl EPISTOLA.
diem libri ex ea prodierint , percontantur : alii (et ii quidem ccteri»
curiosiores ) non de prœteritis tantùm et pnesentibus , sed de futoiis
quoque laboribus me intenrogant. Comimine autem hoc vestre K-
terœ babent, qu6d multas de uno pecnliariter libro, nimimm de
Graecffî linguse Thesauro, interrogationes continent.
Quod ad eos attinet qui sciscitantur qnos officina mea dederit bac-
tenus libros , iis pro me, meomm libronim Index, quem corn hac
Epistola mitto , responsum dabit. Percontantibus autem de statn
meœ typograpbis, non video quid potiùs respondere debeam , qaàm
eum , ut in rébus malis (id est adversis) , esse bonuin i contra vero.
ut in bonis rébus (id est prosperis), esse malum. Sicat enim non
friget mea typographia hoc tempore , ita etiam multum abest qoin
ferveat : prœsertim si ejus fervor ex fervore desiderii, quo verè h«-
reditario flagro promovendi rempublicam literariam , sestimandas
sit. Quum enim studio curaque et diligentia circa res bonis literis
penitiles cseteris satisfaciam omnibus , ipse mibi nequaquam satis-
facio : sed quotidie cum sene illo Terentiano queribundus dico . Me ,
quantum operis faciam pœnitet. Lente tamen festinando , scripta
Plutarchi, simutque Thesaumm Grœcae linguse (qui libri prsedpai
sont inter eos quos nunc sub praelo babeo) , tandem eo perduxi, ot
brevi manum extremam editioni ambonim impositurum me sperem.
Venio ad curiosiores illos qui de fîituris quoque laboribus me in-
terrogant.... Strabonis opéra cacteris historicorum monimentis par-
tim à paire meo, partim à me editis, adjungere me statuisse profi-
teor... Quoniam nmlti jam poetae ex officina mea prodierunt, de
Athenaeo etiam et Stobseo excudendis cogito, qui tam multa , tara
degantia , tam multorum poetarum fragmenta babent. Statui certè
et quœcunque apud ullos alios autores extant , colligenda curare.
Ad Aristophanem verô excudendum vel ipse Commentarius grœ-
cnsmeimpellet fortasse, in quo multa posse reconcinnari , atque
ita longé utiliorera reddi existimo. Antequam editionem ullius philo-
sophi aggrediar. Diogenis Laertii de vitis ac sectis philosophorum
libros edere decrevi, in quem tam multas castigationes habeo ut non
multô plures desiderari debeant, fortasse autem nec inveniri queant.
Lucianum etiam à me editum in spero , scriptorem non tam depra-
vatum quidem quàm plerique alii, depravatum tamen : sed ex cujus
HENRICI STEPHAM EPISTOU-
634
tectione major quàm vulgus credat percipi possil utilitos. Ex graiD-
maticis porro scriplia noslri teinporis. Budsei Commentarioa linguœ
Grœcœ (quorum varii loci à me examinati fuerunti , et Erasmi Adagio-
rum Cbiliadas, cum meis animadversionibuâ multo auclioribus , tra-
dercprelo in animo jam pridem habeo. Quaznvis autem Graecos
scriptores priûs recensuerim , fortasàc lamen eorum editio posterior
enl horum trium Lalinorum edilione, M. TuUii Ciceronis , Titi Liv)i,
Plinii. Quibuâ Auluin Gellium, nec non Macrobiuin addere statui.
Jam vero quod ad mea ipsius scripla atlinel , qucni et olim
poiticitus i«um, De originibus niendonitn librum , uliquando tandem
et Ipsum in lucem prodire sinam. Poslremo, elaborata à pâtre et
édita opéra, quorum cditiones cupio renovare. ( sed cum ea et locu-
pletatione et recognitione quœ ab oo ipso expectanda ftiisset , ai vi-
tara illi Deus prorogasaet) stmt hîEc duo potissimum , Thésaurus lin-
guee Laliiiffi , et Dictionarium Lalinograxogallicum : in quo non vo-
cabula lantiim Gra^^ Latinis , sed midta etiani loqueiidi gênera
Gitcca Latmiâ re^^pondenlia, adjmigentur.
Jam vero et Bibliorum editionem cum iisdem quas ille excudit an-
notationibus, sed recognitis . renovare conor : adjunclo quoque in-
terpretalioni Latinae (quœ et ipsa recognoscetur) Hebraico textu :
fortasse autem etea versione qufe vulgo LXX Inlerpretum vocatur.
Heec fere sunt , viri charissimi , quibus proximos typographia: meœ la-
bores destinavi...
Nunc veto ut de mec Tbesauro Grsecce linguae aliquid dicaxn ,
poscit is ordo quem in recensendis tenui vestrarum literarum argu-
mentis... Ut autem à rumoribus quos de opère illo circunferri scio ,
imtium sumam : sunt qui Thesaurum lingwe Grsca^ a me expec-
tent . in quo Grcccœ voces Grœciâ , non autem Latinis exponanlur.
Sunt contra qui et expeclcnt cum in quo Latinis, sicut in superioris
temporis Lexicis gnccolatmis , exponantur . et non aliud sibi quàm
ejusdem generis Lexicon, sed multo locupletius polliceantur. Sunt
denique qui, quôd vocabula in meo Tbesauro, longé aîio quàm al-
phabetico ordine digesta esse audierint. quisnam is esse possit, valde
mirentur. ac ne iisduntaxat, qui in linguœ Graîcœ cognitioncvele-
rani sunt (ut ita loquar), non item tyronibus labor meus utilis hiturus
feît . vereantur. En qualem à me Thesaurum plehque expectenl :
532 HENRia STEPHANl EPISTOLA.
nunc qualis expectandus sit, (si modo dederit Deas ut uno eodem-
que laboris quasi tenore in ^ pergam) superest ut vobis pate&ciain.
Frimùm igitur in opère illo Grœca vocabula ubique Latinis reddi,
alicubi et Gneds exponi dico : sed quod in vulgatis Lexicis Gneco-
latinis fieri videmus, ut ad unius Graed vocabuli expoaitionem, quin-
decim, viginti, atque adeo triginta etiam alicubi vocabula série con-
tinua subjungantur, id verô à me aut fiictum esse, aut ûeri deboiase
nego. Nam etîamsi tôt Latinis reddi Gnecum unum posset, (qouio
ibi contra qusedam in magno illo numéro sint qusB longé divexsam
significationem à vocis Grœcœ sigmficatione, quœdam etiaoa que
contrariam habent) , tamen quid hoc aliud esset quam lectorem
obruere indistincta et conlusa significatiooum yarietate t . .
Quantopere autem fallantur qui non aliud à me quàm unum ex
vulgatis illis Lexicid, sed multà locupletius expectant,... fieri con-
jectura potest... lis quœ circunfenmtur Lexicis Grrseco -latinis pri-
mam imposuit manum monachus quidam, frater JoannesCrastanus,
Placentinus Carmelitanus : sed quum is jejunis expositiombus (in
quibus vernaculo etiam sermone interdum, id est Italioo utitur| ooo-
tentus fuisset, perfunctoriè item oonstructiones verbonun indicasset,
* nulles autonan locosproferens ex quibus illœpariter et significa-
tiones cognosci possenty multipostea certatim multa hinc inde sine
ullo delectu ac judicio excerpta insenierunt. Donec tandem indoctis
typographis de augenda Lexicorum mole inter se certantibus . et
prœmia iis qui id prsestarent proponentibus , quœ jejunœ, et (si ita
loqui licet), macilentee antea erant expositiones , adeo pingues et
crassœ redditœ sunt . ut in illis passim nihil aliud quàm Boeiicam
suem agnoscamus. Nam pauca ex Budaeo, aliisque idoneis autori-
bus, et ea quidem parum fideliter descripta, (utpote parum intellecta)
multa contra ex Lapo Florentino , Leonardo Aretino , aliisque ejus-
* C'e&t eo vain que compilateurs isf^és ou corps UTaots prétendront faire un boa
dîctioEuiaire, même d'une langue vivante et usuelle, si ses définitions et TeipoM des
diverses combinaisoiu grammaticalet ne sont appuyés de passages extraits des môUeurs
auteurs ; et Time des difficultés de ce choix est d'échapper à l'exigence personndie ou
faienvciUaiile de ceux qui voudroient bîre citer avec préférence , soit leun propres ov-
vn^e», soil ceux de leurs amis.
HENKICI STEPHANl BHSTOLA.
S33
dem farins tDterpretibus... in opiis illud txanstulerunt. . . Vixenim
ullum errati g«riub posse à nobis cogitah aut fingi existimo , cujiis ibi
aliquod exempium non extet... Hinc facium est ut Homero multa
vocabula adscnbantur { et quidem nonnulla in bellis etiam istis et
tam pulchros tituloâ mentientibnsLexicis) quse, si reviviscat, non în-
lelleclurus, nedum pro suis agnilurus sit. Tulia sunt... Sed audite
obsecro quis aiiimo nieo sœpe obverselur inetus. Meiuo cerlë ne nii-
serii&ti BafÇotpo/iCtxogvppocirTâJau et Toces iltaa et alias quatnplurimas,
itidem commentitias , aut quolibet modo mendosas , quas ego rele-
gavi...tanquam per iiicuriam à me prœtennissas, in meum etiam il-
liun Thesaui-um intruduiit. Quod cum accidct , idem prorsus mihi
quodpatri meo, Roberto Stéphane... nsuveniet... Stut une assez
curietLse anecdote relative à une étiition vénitienne t/u Tliesauma
latinuâ de Robert, f^o^ez ci-desstu , pa^e 57 , où ce passage est
déjà imprimé,
.... Quô magis vereor neheec, sicut et illa monslrosae cujusdam
formse composita, quorum antea memini , aliquando in meum etiam
Thesaurum intnidantur. Sed magnam illi hac in re factum iri inju-
riam. hsec saltem Epistola testabitur. Hoc ccrt^* affirmare possum ,
siomniaomnis generis errata quœ ibi sunt , coUigere velim, sicut
pnecedontia collcgi, libro tanue molis quantse meus Thésaurus futu-
ms est , haud comprehcnsum iri .. Nec verù contenti fuenuit , quos
profenint autorum loc'<« modis omnibus depravare. decurtarc et
mutilare, duos in unum confundere. qua* ab iis dicuntur in alimri
onminô usum convertere , aut in alium prorsos sensum interprelari
quàm eum quo scripta sunt : sed eo audacis proruperunl . ut qiuc-
dam etiam illis auderent afïîngere.
Après une assez longiie exposition dej principales et très groS"
stères Jautes des f^ritfues grecs , non pas seulement feutt et typo-
graphiques, mais inces d€ rédaction, et preuves y les unes d' igno-
rance, les autres <tune négligence tnexvusuile, Henri e^pliffue
pourquoi son père ^ ajrant d'abord -voulu corriger de leurs Joutes
les moins mauvais de ces lexiques si vicieusement amplifiés, re^
connut que rc seroit une œuvre plus pénible qius de nettojer les
étables d'Augias..,adeoxil quotieftaliquanovaLexicieditio protLbat.
aucli et lorupletati Semi»emc \ diceret ) veterem hanc oantitenam
534 HENRia STEPHANl EPISTOLA.
audiamt Nunqoamne aliqna Lexici editio emendati etiam et como
sÎTe repurgati prodibiti Ac profectà ab bac reporgatione imtini
somere olim ei in animo fbit. et tanqtiam veteres eedes ÎDstaonre le
resarcîre, dum novas œdificandi &caltas esset : sed postqaam ifai âb-
gise stabulum esse , postquam omnia ruinam minari comperit. m
illum incepti pnduit pariter et pœnituit. Parata autem jam baot
materiœ quœ ad novum sedificium requirebatnr parte, mors iihidDO-
biti invidit, in qua tamen hoc ipsum opos luibi commendavit.. .
Superest ut eos meta liberem qui (utî dixi) quoniam vocabola in
meo Thesauro longé alio quàm alphabetico ordine dîgesta ease au*
dierunt, quisnam is esse possit, valde mirantur : ac, ne iisduntaxat
qui in linguse Grsecse cognitione velut veterani sunt (ut ita loquar;,
non item tyronibus labor meus utilis futurus sit , verentur. Sdaiit
igitur illi qui hoc timent. eam contra quœ in meo Thesauro habebir
vocabulorum seriem , tantum commodi vel iis qui Graecam linguaa
discere incipiunt, afferre posse, quantum alphabeticus ille ordo affert
incommodi. Hoc tamen ingénue fateor , si initio, quum illa série uti
CŒpi, rem tôt difficultatibus esse implicitam, quot postea sum expei^
tus, existimassero, et fore ut nullus mihi quicquam ad eas aiudlii af-
ferret, neque ex priscis neque ex iis qui eos sequuti sunt ad nostra
usque tempora grammaticis. sed futurum ut eas Marte meo pemun*
père cogérer : quodvisonus potiùs quàm illud suscepissem. Sed bac
in re profecto, si alia in ulla, locum habet vêtus proverbium , quod
dilTicilia esse prsedicat qu£ pulchra. Reddit enim séries illa multô
ditiores (ut ita dicam) 6rscœ linguae divitias, et quse bactenus locu-
pletissima fœcundissimaque esse visa est, facit ut multô etiam locu-
pletior fœcundiorque quàm crédita sit. comperiatur. Quemadmodum
enim opulenta domus longé opulentior videbitur si in unum tota su*
pellex comportetur locum , quàm si dispersa sit : eademque homi-
num multitude, major multô quum conferti sunt , quàm quum.dis-
persi , videtur : sic etiam vocabuli unius, tanquam stirpis numerosa
propage et soboles minime dispersa divulsaque et in varios locos dis-
tracta, sed in unum ita collecta , ut uno propemodum aspectu con-
templari imiversampossimus. multô certè numerosior nobis videbi-
tur. Quod autem studiosorum linguae Grsecse magis interest , seriem
illam tyronum etiam studiis esse perutilem , res equidem ipsa cla-
HENRICI STEPHANI EPISTOLA.
6tt
mat: quum pleninque mutuas opéras in sese vicissim velut e9q>onen-
dis tradant. qmt ab cadem stirpe ortum habent vocabula . et inter-
dum per varia quœ derivata vocanlur, tanquam per gradus quosdam
ad cognilionem significalionis vocabuli illius unde manaruiil . ascon-
damus. Sed tam multa sine exemplis, fruâtra fortasse. Vt igitur te
non diu morans , ad illa veniam : en tibi in iHis vultratis I^xicis ,
Àûita quidem | quod est Cano) in litcra prima tntius alphabeti ; at
verô w-î^) Cantus . et ùôbç, Cantor in litera ultima. Quinetiam inter
ilhid verbum a«^w et verbale ejus Çfffui interjectasunt aliquot vocabu-
lorum millia. Prœlerea conrïpositorum unumquodque seorsim posi-
tuin est , diâperî^ et ipsum sua derivata babcns. Duo vero magis
etiam reprchen^ione digna sont bac in parte : unum est . quod paa-
sivavox ab activa semper sejungitur, et quidem non pano inter-
valle nonnunquam . multis aliis vocabulis (ut poscit alphabeticus
ordo) . interjectis : alterum, quod de uno eodemque verbo in diversis
agatur locis : niminim non solûm in ejus preesenti, sed etiam in in-
fmitivo, interdum verô et m diversis lemporibus. nîmirum futuro,
pneterito.autalio : et quidem interjectis itidem aliquibus vocabulis.
Exemplum autem habemus cum in aliis plurimis verbis, tum vero in
A'rprujM, cum eo enim posita non sunt. sed seoraum. ista omnia ,
EUov} É ^Qv, E Xotfii, É Xtùt ÈXitiVt É)<rvj Ë^(ùii, necnon Hpi^m : seorsum
verèet passiva vox Ai^copii. sejuncta babens et participia Aîpcdcl;
atque Hfn^fiivo;. Tantum abest ut verbalia suo verbo adjunrta sint —
// donne ensuite (/iie/tfues exemples df la manière dont les com-
. posés et les dériifés sont groupés tlans son Thésaurus» puis il ter^
mine ainsi cette première et principale partie de sa lettre si
quid vel à vobis, viri doctissimi, vel ab aliis reprehensione dignum
in bac série inveniatur . veniam me tribus nominibus consequutu-
nimspero : primum. quod banc \'iam primua omnium ingrediar. ei
in ea (quum alioqui csca sit. et latebrosa, ve^^que flexunsa, et an-
factibus plena, ac nonpauds erroribusimplicital mihiipsitamen dnx
esâecogar. Sed unde tibi tantum audaciœ. ut vd de tentanda bujus-
modi via cogitarisî Imà verô non audaciœ id, sed credulitati poliùs
tribuendum est . Magnam enim spem ostentabant de bac via mecum
indaganda veteres grammatici : veriim eam spem prorsus esse va-
nam.magno malo meo comperi. Deinde veniam ideo mihi polliccor,
■m HENRICI STEPHANl EPISTOLA.
quôd siinul etin vocabulis hac série ooUocandis, et in âignî6caboGi-
bus certo etiam quodam ordine disponendb laborandam Ibefit. Xer
enim ignoratis quanta eanim in vulgatis Lexicis | ut &laBs et eon-
mentitias omittam) perturbatio sit atque coniîisio : utpotem qoibe
aat omnium rarissimœ, aut etiam metaphoricse significationi prime
detur pleruroque locus. Postremo quàd ad typographicam depsr-
dram (ut alibi quoque loquutos sum) heec scribere (id est scriptianea
meam typographîcarum operarum penso obnoxiazn baberei cogv;
et quod ab infinitis curis et occupationibus quas secom ars ista trahit,
temporia superest, ne id qmdem universom huic operi poagm
impendere , sed ejus partem in lectionero typc^raphicazn eonm
quos intérim excudo autorum ( ex quibos nunc est Platarcbis}
necesse habeam conferre. Hsec. inqnam, suntpropter qiue fbtonui
spero ut mibi et à vobis et ab aliis venia detur, et quidem non eo-
rum duntaxat quse in iUa série, sed et eorum quse in ulhi ejus ope»
parte peccaverim. Absit enim ut sibi quisquam persuadeat. ita mt
aliorum errata proferre, quasi ipse sim avofid^roc, et honunem me
esse non meminerim, id est, eum cujus sit labi errare, nesdre, et-
cipi. Im6 verô me et colloco in hoc numéro, et jam nunc, in meo
opère esse in quibus lapsum me existimem, ingénue fateor. Sec in-
ter eos qui aliquando, et eos qui identidem ac subinde errant, discri-
men statuendum esse dico. Quinetiam minime dubium est quin varii
sint erratorum in hoc etiam génère velut gradus : et ut qugedam ve-
niam merentur, ita quœdam ûagris potiùs quàm venia digna censeri
debeant. Illa porro tôt tamque fœda Lexicorum errata lectorem ce-
lare, prseterquam quod rehgio mihi iiiisset, utpote qui silentio meo
falsam multorum de iltis opinionem aucturus eram fortasse : tum
vero, ne et ipse Lexicorum consarcinator existîmarer, ea pate&cere
necesse habuisse videor. Quomodo enim quidinter meumet illonun
opus discriminis sit, et cur velut à fundamentis construendum mihi
iuerit Thesauri mei eedificium, ostendere potuissem, nisi quaiis esset
eorum structura ostendissem 7 Ut porro eos in cseteris imitatus non
sum. ita nec in praetereundis silentio eorum unde aliquid mutuatus
sumnominibus. Non enim nomina veterum duntaxat scriptonim et
Greecee lingus autorum adscribo. ex quibus exempla loquutionum
(utvulgus vocat) à mèpetuntur : sed et interpretum, aut exposito-
HEiNHlCI STEPHANI EPISTULA.
587
mm, aliorumvequieunqae aliquidadexpobitionc^m alicujns vocabuli
pertinens scripserini, siquid ex iis in opua meum transferam.
Altéra aulem Epistolœ mex [larte l aut certè altéra mca Epistola,
8i(|uisvestrum lanta unius longitudine oH'ehdatur) quetii à iiiunsihufi
aliquot concepi mœrorcm de misera veterum Bcriptoruin Borte at^
conditione in quorundam T\T>ographonim prcla incidentiuni. vobis
exponero, veJ potiiis vdut in sinum vestnira eflundere siaïui. Qua
quidem ex re non niiniis ad vos quùm ad me commodi redilurum
esse spero. Siniul enini et me aliqua doloriâ mci porte exoneravero
(qui alioqui inclusus slrangulat. ut aiebal Naso| et vos cauliores. m
fallor. reddidero. K^o igitur olira quidem velerum sonploruin sorlem
eo nomine deplorabam quôd in illotas(at proverbiali utar verbo)
mamia multorum vel inter-pretum vel exposltorum inriderenl. qui sua
somnia illiïii deliriaque allingerent : ut nmic eorum qui m quorundam
T^T^o^ruphonim prcla iucidunt. non uiinùs, sed potiùs magis deplo-
randani esse dico. Quorum verôï nimirum qm quum sinl onminô
literarum rudes, aut cerlô illis vix tincti, ((ugecunquc li quos pro
doclis vel ipsi habent, vel ab aliishal>eri vident, in castigando quo-
piara scriptore ausi fuerint Iquid auteni non audent nonnullit ) ea,
tanquam oracula, in ipsa ejus scripta infenmt. Hincenim factum est
ut quum anlea veterum libri iis tanlùni mcndis inquinati e&se sole-
rent qus ex antiquis exemplaribus manarant, aui certè typogmphi-
cis, id est iisquse typographies conunittunt opérée, (cujus genefis
mendis et prope infinitis et monstrosis plerisque refertœ erant Hero-
doti pariter et Thncydidis interpretationum editiones : i|uorum
exemplaetiam qua^am in calcc Latini mci Hcrodoti habes) nunc ad
illa duo mala pejus illis bonum accédât. Quid istud verbi est ( hoc ego
nomine toco castigationes quonmdam , quœ ejusmodi sunt ut multô
mendis illis et penculosiores et pemiciosioresjudicari debeant. Cas-
tigationes. inquam. qiup quum ex aola conjectura proficiscantur
[qua nihil Tallacias esse scimus) extrusis tamen iia qus veterum codi- .
cum aatoritate nitimlur (qualescunque ii sinl) , in earum locum quo
jure quaque injuria inlruduntur. Ac fuii quidem lempus quum in
minus cele))res dunlaxat schptores bœc audacia grassarelur : aed
tandem ne a primœ quidem notte scriptoribus manus temperavit.
Erce enim Titum Livium ante aliquot annos multa hujusmodi casti-
68
538 HENRICl STEPHANl EPISTOLA.
gationum vulnera (proh facinuâ !) passum : ecce M. TuUîmn Qcero-
nem ante aliquot menses non paacîoribus fœdatum. (De Plinio ti-
ceo, quem sat norunt omnes omnibus omnium conjecttuis , tanqou
communem scopum , miserë fuisse expositum). Tandem verô et in
Grscos ita seeviii cœptum est, et quidem in nonnullos etiam qaib»
olim vel ipsi hostes pepercerant, et qùos prœ ceeteris ipsa venenti
erat Antiquitas. Horum in numéro est Euripides . in quem ego
nuper nescio quid annotationum scribens , quum multis castigatio-
nibus vulneratum , multis conjecturls sauciatum eum fuisse apertè
ostenderim . totum illum locum hue proferendum censeo , et qui-
dem altiùs repetitum. Ista sunt igitur quœ hue pertinentia A»
scripsi.
Addam nunc quidnam » prœter illa quœ dixi , ad edendas haaee
araiotationes me impulerit. Inddi aliquando in quosdam locos Eaii-
pideœ editionis quae prodiit ex Hervagii ofiîcina anno h. d. xxxm.
in quibus mirabar tam fideliter retineri potuisse ononia menda , et
quidem etiam levissima, quse in Aldina erant, Quod ego nimia qua-
dam religione potiùs quàm ignorantia &ctum esse interpretabar:
donec quosdam locos offendi qui secus me id interpretari debmsse
apertè ostenderunt. Ex iis autem fuit iste. . . .
Heec sunt, viri charissimi , quee ibi totidem verbis à me scripta
extant. Atenim quinam huic malo viam patefecerunt , nisi illiterati
quidam T3^ographi, qui quum vix aliud in bbris quàm paginam al-
bam à nigranorint discernere, omnibus omnium nugis (ne quid acer-
bius dicam), dummodo novœ sint, prela sua suamque industriaoi
ofTerunt.
Accedit autem recens hoc mali genus ad aliud quoddam jam inve-
teratum : quod tamen quum in dies ingravescere videamus , quid
aliud à duobus hisce malis (quae meritô duas lues ac pestes vocarp
possumus) expectandimi nobis quàm veterum scriptorum miseranda
deformitast Inveteratura autem appello malum , quod statim post
primas scriptorum Latinonim prsesertim typographicas editiones, id
est quœ à primis prodierant Typographis, grassari in eos cœpit.
Quum enim quotidie vetera eorum exemplaria è tenebris émergè-
rent, quidam cum his excusa conferebant . qui quascunque div^^sas
lectiones invenerant , totidem castigationes esse credentes . mox cui-
HENRICI STEHHANI EPISTOU-
539
piam Typographu tmdebant, à quo paucis post diebus aut mensibus
nova prodibat editio. veteruin exeniplarium ope longé catieris casli-
gatior. ut quidem tiluluspollicebaliu', vel poûiisinentiebatur. Quota
quttMjueenim ex iis, si verc loquendum luisscl , non poUùs cœteris
depravatior dici debuissett Atqui lectiones illae diverses ex veleribus
libris sumpta? erant . Fateor : sed heus tu , unde ni^i ex vetiistis itidem
libhs sumptiE erant illse quas nunc indicla causa expellisî Insigne
autem hujos tcmeritatis exeinplum in Ovidii pocmatis habemuâ. quœ
pDst Aldinara cditioncin prgdicrtmt. Quum enim pa&im in Biblio-
thecis vetcra poematiun illius exemplaria exlarent, nominatim verà
inquibusdamPahsiensibus, pnesertimque in ea quam abbatia S . Vic-
ions babet, mulli certatim exemplaria illa interseconferebant, cer-
tatim divensais lectioucâ annutabant , certatim in locum ^Vldinarum
subâtiluebant. ccrtatïni, ut nova editio his iiisigiiita prodirct, ope-
ram dabant. Hoc vero quid aliud erat quàm certatim ad fœdanda
tani palchra poemala conlendere? quum paucissima exiare horum
pueiualum exemplaria cum ils quibus Aldus usus est comparanda .
ejus editio cum iis quseab illa descivemnt coData aperlè indicet!
Quod certô vel illa qua Tibuili mortem deHet Elegia, luculent^ tea-
tari potest . . .
Scd pntter iiJa umnia qutc ignorantia Typographorum ac Typo-
grapbarum (hoc eniui ad cumulandam hujuâ artiâ ignominiam re&ta-
l>at ut ettam mulierculte eam proliterentur ) jam invexit mala. quib
non in dies nova expectanda putelï
Venimenimvero ad eorum ignorantiaiu plcnmique accedit avah-
tia [malum in arte t>i)ogrophica magisquam in aliaulla formidaii-
dum) , et quidem cui illam ipsam cujus eo3 pudere deberet ignoran-
tiam praetexunt. Dum enim ignorare se dicunt quid utilitatiâ editioni
suœ aiferre possil impensa in hoc vel illud opéra , quis ex recogni-
tione aut ex variorum exemplarium collatione ad literanmi atudiosos
rediturus sit fruotuâ. lubenter sumptibus parcunt, et suam intérim
editionem iis quœ requirit adminiculis fraudant : illud in oresemper
halienies, Non minoris propterea vreniet. Sed quid de vetcrum exem-
plarium inler se collatione loquor? Ïm6 in debgendo etiani l^'pogra-
phicx) exemplari quod in sua editione setjuantur, nummis belli quidam
Ty[x^raphi parcunl . ideoque quod pnmum in illorum inanus incidit,
âio
UENRia STEPUAN] BPISTOLA.
si est Aidîno aut alio quopiaiu vUius, co contenti sunt. Fateortamt
esse alitjuus qui ne hue quidum noriitt , quid ab AJdo , qaid obt^
peterc debeant. Quod ne valde mirer, facil quidam, qui dum in qnu-
dam opère meo ingeniosus esse voluil, nimirum in mea XcHO|ihonl«
editione, osiendit se cum olia multa inultis etiain pueris nola. igD»-
rare, tuin verô Xenophontem ex Veneta Aldi oflllcina, et ex FIow»-'
tina ha*redura Philippi Juntœ prodiisse. Sed quid tum? (dioet qnis-
piam I quid hujus rei i^oralio afferre danini potuitt Imo verô illiœ
igiiorationis dal illi pcerias Xeiiophonin.illa. *qusc ad meam eŒcH
est (licel id dissimuletur} editione. Nam quuni ego in mea nonsolàm
multos lettres codices , sed etiam omnes undique conquisitos odi-
tiones typngraphiras , Aldinam . Florentinain, Germanicas aliqool:
in quihusdam verù lihellis et Parisinam, necnon CompluteosËin.
({uanilam item qutv ex ofBcina Anshelmiana prodiit in consilitun
udhibuii^scin, bonus ille vir, qui quuin Gcrmanicas taiitiun viderit.
weteramm nomen ne fando quidcin audierit, omnes tonien sse vïdisse
putat I quod perinde est ac siquis vi&is tribus aut quatuor Germaais
oppidulis, omnes se Germania^ urbes peragrasse jactarel) tyramii-
tani quandani in meum X^nophoTilem cposuram agit , dum iUiïu
textum multis lectionihiis alioqui commodissimis spoliât, quoniam
in hullis rodicibus extanl , ut ille inquit. Siccine (queesot hujus re
ignoratio m Xenophuiitis iimnerenlis caput rcdundai'e debuit ! Ut
omittam alia ruinera quo? ignorantia et inscitia lUi ibidem inÛixit-
Atqui facile peiliterasœnsuli de singulis potuissem , ne indicia cana
damnarentur lecliones illa? : pnesertini verô interrogari annon sote
Gcrnianicac editiones ante uieuni prodiissent, et qui eas \ndisset, vi-
sas sibi esse omnes, jaclarc possct. Ego cert6 tune Xeuophontis ma
causam agi, aut etiam (ut itu dicain) de Xeiiophontis mei capite i^
inleiliçens, non tantiim lul)entissimè rescripsissem quœ editioo»
coriiprebendereritur voce Omnes, sed noncredcnti iospiciendi eUam
copiarn fecissein , misais rjui eas ail illuiii perferrent , antequam m
nobiJem iJUiin SLTiplorcm tdiquid sccus slaLueretur : possus eat autem
* LV'ditîon dont fte plaint ter lleuri Cstifriuo lïi' (Hml iirt qw trltr do Vtiuip , 4fmi
Thoitmm f'tiariHum, TSH'J, iii-lul., Huniin- liai J. |j'iinrUtiii5.
lIENniCI STEPHANI EPISTOU.
544
in eadeni illa editione ad lueom eilicta quœdani etiam lurva vulnera ,
uti dixi : tantum abest ut m quic niiis sanmida reliqucram (hoc
eniin ingénue fatcor), medicina lueril adhibita.
Hanc etiam querimoniam . vin chanssimi , lubenter tanquam iu
sinuni vestrum elfudi : qa6d Xenophontem . oiim amorem deïicias-
que Musaram supra quos\is alios existimatum, à vobis ilîdem unicè
amari, et vestrasesse deiiciasiiUflligam, Fnteor intérim, rne ad ha'c
âpectacula quiddam humanilus pati, quum nimiiiim editiones quee
ad meas seu ex meia eflictœ sunt. lam misère depravalas conspicor.
(Idem enim et meœ Piiidari editioni contigit : et in idejn discriminis
Herodoleaiïi qucHjue et Thucydideam veiiire scio. ) Nec laueu prop-
terea quicquam de solila diligentia remitto, aed quo pede ca-pi pcrgo,
m vestram alioruinquc vestri siuiiliuin, in omnium denique literalo-
nun , atque adeo in ipsarum literarum gratiam. Vires autcm aiiimo
pares vos ut mihi à Deo Opt. Max. prccemini, etiam atque etiam
precor. Valete. Mitto cum hac Epistola poema nuper à mcscripimn,
in quo habelur Artis Tyî)ographica? Querimonia.... Valete iterum.
Ex Typographeio meo, seu Typograpkica mea ofBcina. Ânuo h. d.
Lxix, cal. Martiiâ.
HENRICUS STEPHANUS
JOACUIMO CAMERAAtO 8. P. D.
Quanvis Epistolœ quam ad quosdam amicos scripsi, partem tibi
vendices, amicissime Joachiine, vel mastiniaiii, te tamen et pecu-
liari dignari si non Epistola, Epistolio certè, ofiîcii esse nici exisli-
mavi. Pnvsertîm quum tuo mihi putrocinio opus esse intelUgereu
(boc enim preecepi, atque onimo mccum ante percgi) , adversus cos
quibus niulta quaî in ea scripsi , odiosa fore scio : eo quidem certi*^
pacio quo verilalem odium parère, dixit olim Terentius Quid enint
attinebat (inquient) quonindam Typographorum ignorantiam dete-
gereac traduceret Quid attinebat tani iiionstrosos vulgarium I^xi-
coruui errores tanquam in theatrum producere? Verùm quid boc
fuerit aliud quùm dicere : Quid attirtebat literarum sludiosiw, unde
sibi cavere debeant admonere. et immincns illit» periculum ostendere!
I ut alias omittam ratioties h nie in altéra Epistola c-oiiuiipinorataâ .
&«i
HENRia STEPHANl EPISTOLA.
quee ad eos Lexicorum errores patefaciendoa impulerunt : ut eti&in
oraittam , miseram Typoj,'ruphia' î»taluni , ab eo qui Typograpbub
non easet . vix potuisse cognoâci, nedum descnbi ) î &ed quid e^
hsEC tibi, quem mihi nmltô qxxkm mo ipsum meliùs posse palrocî
scio 1 Quod ul facias, eliam atque vimm te rogo. Attexui autem
Epistoice Catalogum queiidam, quem alteri attexere oblitus eram
At librorum meorum Indicein cuin illa accipies : ad quezn pertinent
isti quos tibi privation initta lambi.
Est nundinatrix turbu passim plurima ,
Quffi niriosa curiosè me rogal ,
Ki'quJd novi dus nundinis his proxiiiiis
Si (lico : Nil do, poUîcnri me volnnl
Ad auiidimis qusi (^roAimiâ ïïuuI pruximiu.
Si polliceri nolo, tuuc ex|K>stulanl
Kruncrordienses nuiidinas quàd nogUgum ,
Obstrictus tilts sciliaH UinquHDi foreni.
latos rclinquo . litms mox ohnior
Italts ab oris , Giillicis, cl Anglicis,
Ijermanicirique. qua; nuvi quid moiiar.
Atîgressus nul ipiid situ , quid aggredi punstn
Fulurus ordo quîs iu])oruiu :iil rogant.
El pluru rehuj^ scire de meis avenl,
O'iàin scir<? , valps ipsemcl ni sim , queaiu.
HalK'nt sLil islud iiroprlum (itîrnianicœ ,
Suas gubindp nunditui^ qtiiVJ aiieganl .
Et esse cred\ml tii?bilort'tii nundinis.
Harum quiâ usus litoraruin ctf>t omnium"
NL'inpe, admovere diim mihi ralcar voiunl ,
Frjpno niarentur ut rolracto dk- v(.'lul.
Nain R'riplitandis quod vicissim litcris
Irapcndo qiianvis illibenter Icmporiâ,
Hoc illa possoûl opéra niaUirurier,
l'roperare quar suadenl, adhortanliir, pelunt.
Iluic ut medcrer non Icvj UiudcMn uvdlo,
Quioquid vel ant« mimlmiâ illiâ dedi.
Brevi aut daturus sum, favcnte numine ,
Id omne charlis coinprehendi paurulis,
Qua; 8int amiro missa niilli epistulu ,
Et missa amicis sint epjslola oninibuîi.
HENRICI STEPHAN! EPISTOLA.
5i3
Fidelîâque parietes multos simul
Unâ ut dealbem , non duos tantummodo.
Sed numerus honim quse do , qus brovi dabo ,
Exiguus esse cui videbitur, sciai ■
Prostare merces plurimas in nundinis,
Numerare quas non , ponderare sed soient.
Après ces vers, viennent trois dernières pages contenant une no-
menclature d'écrivains grecs annoncés par l'intitulé suivant : « Cata-
logus Autorum Grtecorum. ex quorum scriptisvocabula et loquendi
gênera, eorum item ex quibus expositio vocabulorum aut loquendi
generumpetitaestinThesauroGreecselinguse. - Ensuite le Catalogue
de ses livres [Index] , mentionné dans la lettre à J. Camerarius.
Regarde bien , L
giens de Paris ne te
sus-Christ de Uiy qi
sinon pour le seul ^
qui disent. Apport
ce qu'on vouldroit
nouuelle espérance dvng
de quelle doctrine estons
Chrestiensaafeu.
PV
frn&tïïîestc
rnmïïfestomerit les Theoîo-
b destourner les brebis de !^
! et ne contmrier a TEnâJi^lp
iBnsUPs dont parle Salomon,
p autrement croyroyent tout
coustuiné se perdoit, et que
autre leur veint d'ailleurs . Txi voira-s ansd
armez, ils liurent iournellement les fidèles
Cette pièce est exactement copiée sur l'imprimé de 1552, seule édition
qui en ait été faite. On a vu qu'elle sert d'introduction au voluwie intitulé :
« Les Censures des Théologiens de Paris, par lesquelles ils auoyent faulse-
ment condamne les Bibles imprimées par Robert Estienne. Traduictes du La-
tin en François. " — L'Olivier de Robert Estienne. m. n. lu. Et à la fin :
Le XIII de Ivillet m. d. lu. In-8de156 feuillets, dont cette Introduction oc-
cupe les vingt-six premiers.
\
ROBERT ESTIENNE
K I \ I HrrEURS Qlfl CERCIIENT EN VERITE I.E SAUUKIR IE.Srs^:HRIS'l
Jvsquos a ri \i* n'ay |ioinl ignore comhien odieux a esïe a l»eau-
coup de bons |>er:*oniiages mon depurleincnl du pais de France ;
mesunes auanl que partir, il meaX bien ^uuciit veuu en pensée que
mon faict seroit par tout do plusieurs condamne : non seulement pour
auoir délaisse mon pais, el m'oslre retire autreparl. mais aassi pour
m'estre retire ailleurs au dommage du bien public, rt poui' u aunir
recogncu la grande libéralité dont le Roy auoit vse cnuers moy . Car
ce m'estoit chose fort hanoral)le, que le Roy niayant bien daigne
constituer 6on Imprimeur, m'a tuuâiours tenu en sa proti*ction alen-
contre de tous mes enuieux et maluueillans, el n'a cetiàe de me se-
courir l)enignenient et en toutes sortes. Or d'autant que par plusieurs
anneea ie ra'csloye bien et \tilement employé aux bonnes lettres.
ce n'a point este chose décente de rompre temcraire-inent ce cours,
et sans bien grande nécessite. A la tin est adueau ce que ie crain-
doye : on a semc diuers prupos de moy : a grand peine s'en trouuoit-
il de dix I vng (|ui ne feist vng lugemciit de moy bien odieux. Ce-
|)endanl toutes fois ie n'ay sonne mot : pource que i'aimoye mieulx
estre chargé de faulse infamie pour vng tomp», que d'esmouuoir
troubles en défendant par trop soigneuse aiTection mon innocence.
Et encores a présent ie n'eusse pomt este imluict a escrire, si tant
seulement l'eusse eu a faire uuee les mcschans, lesquels m'ayans
furieusement persécute en présence, me deschirent maintenant en
mon alisence [>ur culotnmes insup|>ortablcs ; mais il nie fuult auoir
esgard aux bons et fulelês |)crsoiiiia^es, ausqueld ie {tardotme aisee-
ment d'auoir si sinistrement iugt> de moy. pourui'u «lue mnintenant
$\s, recoyueul ma msie sau-ifaction paisiblHiiient. v\ »iuis 'atid'.
m
n'eusse iamaïs impetre . si ie n'eusse fnict appnroir qu'il plaiâoit
îiinsi a messieurs no» mai&tres. Eulx lautesfois ayans roccasioii .
me deniandoyent pour me faire exécuter a Miort : criaiis sans fin et
sans mesure a leur façon accoustumec. que i'auoye corrompu la Bi-
ble. C'esloit faict de moy, si le Seigneur ne ro'euslaide , pour raons-
trer de bonne heure que i' auoye ce faict par leur authonte. le me
lay de ce qu'ils auoyent ia tente l'an m.d.xxh : quand le Nouueau
Testament fut imprime en petite forme par mon beau père Simon de
Colines, qui le rendit bien net et correct . et en belle lettre : (c'estoil
alors vne chose bien nouuelle veu la malignité de c-e temps la . que
dctrouuer desliuresde la Saircte Ëscripture corrects) et d'autant
que i'auoye la charge dp l'Imprimerie, quelles tragédies esmeureiit
ils contre moy? ilacrioyent deslors ijn'il me falloil enuoyer au feu,
pourceque i" imprimoyedes liures si corrompus; car ils appeloyen!
corruption , tout ce qui estoit purifie de ceste bourbe commune . à
laquelle ils cstoyent accoustumez. Et lors ie rendi tel compte de mon
faict comme il appartenoit.Or combien qu'en leurs le<;ons publiques
ils reprinssent magistralement et aigrement le ieune homme duquel
toile correction estoit procedee, toutesfois e^ians eulx mesmes bons
tesrnciings de leur propre ignorance, ne l'osèrent iamais assaillir ou-
uertement, encorcs qu'il fust moinsscauont, et moins craintif: mai»
auoyent plus de paour de luy , qu'ils ne lui en eussent sceu (iairc
pai'ce que Dieu les auoit effrayez. En ce temps la lie puis dire ceci a
la vérité) comme ie leur ilemandoye en quel endroit du Nouueau
j Testament estoit escripl quelque chose : estans effrontez cumme pu-
tains, me rcspondoyent qu'ils l'aiioyent leu en S. Hierosme. ou es
Décrets: mais qu'ils ne scauoyent que cestoit du Nouueau Tcsta^^
meut; ne scachans point qu'on auoit accoustome de l'imprimer apl^H
le vieil. Ce sera chose quasi prodigieuse de ce que ie vay dire, w
toutesfois il n'y a rien plus vray , ei est tout prouve , qu'il n'y a pa»
long temps qu'vng de hmr Collège disoit iouniellement... le soi»
esbahi de ce que ces ieunes gens noits alleguejit le Nouueau Testa-
ment : per diem i'avoyc plus de cinquante ans que ie ne scauoye que
c'estoit du Nouueau Testajuenl. Quel aueuglement t Mais quelle im-
pudence désespérée ! Apres aupîr reprime leurs fureurs, ou pour k
moins appaise si grande rage, d'autant que i'auoye promin que ie m
BOBEBT HSTIKNNF AUX LECTEimS, etc.
«10
feroye plus rien qu'auec leur bonne grâce ' Sept ans pAâsez , l'an
M.D.XL, i'imprimny de rechef la Bible, en laquclieie reslituay 1>eau-
coup de paâ:>af(es sur l'original d'vne copie anciennp. notant en
la marge la vraye lecture c^nuetiant auec les liurtis des Hebrieux ,
adioustant au8si le nom du liure escript a la main. Et lors derechef
furnit allumées nauuelles flammes : car ces prudliommes de censeur»
se desgor^erent a oultrance contre tout le liure , aur|uel ils ne trou-
uoyent la moindre chtKje qui ftist a reprendre, ne qu'ils peussenleulx
mesmesrcdar^er, sinon aux Sommaires, qu'ils appellent, disnna
en leurs censures qu'ils sentoyent leur hérésie. le poursuy neanl-
moins, et metz en auanl autant ijuil m'estoil permis par eulx , ce
que le Seigneur auoit mis en mon cueur, estant toutcsfois intimide .
ie le confesse, par leurs oullrageuses menaces. I' imprimay donc
pour la seconde fois les Commandentens et la Somme de l'Escrip-
ture ' , chacun en vne feuille, de belle et grosse lettre . pour les at-
tacher contre les parois. Qni est-ce qui ne cognoist les fascheries
qu'ils m'ont faictes [>our cela? Combien de temps m*a il fallu absen-
ter de ma maison l Combien de temps ny ie su^nii la court du Roit
duqud a la fin i* obtins lettres pour reprimer leur forcenerie , par
lestjuelles il m'cstoit enioinct d'imprimer Icsdicts Conmiandemens
et Sommaires tant en Latin comme en François. Combien de fois
m'ont ils appelé en leur Synagogue pour iceidx , crians contre moy
qu'ils contenoyent vne d(»ctrine pire que celle de Lutherf Toutes-
fois le Seigneur mena par nioy ce^t affaire iusque la , qu'il y en eut
plus de quinze des plus apparens niaistres de leur Collège qui ap-
prouuerent manifestement par leurs signets ce que toute la Troupe
auoit reproune. Finalement quand ils veirenl les signets de ces
vieillards, et le priuilege du Roy , ou eslans almttus de honte, ou
voyans (|u'ils resistoycnt en vain, sooffrirent qu'ils fussent approu-
uez par leurs députez en la maison de leur bedeau. Car ils ont ac-
couslume pour soulager la Facull(î, comme ils ilisent (laquelle ne se
(>eut aiseeroent assembler en si grand nombre, parceque le nombre
* Il a diiiui iiu|>niui* au muin* «Inik lu» n*« *lru« tttÎTrttii iih iM-lit \iiliuni*in-)til4'
huit ffiHlIi'h
ftw
ROBEBT ESTIENNF. AUX LECTEURS, btc.
de ces bourdons croist de iour on iour) do créer certains députez : et
aussi afin d*esîpnrg:iier l'argent qu'il fauldroil distribuer a xrtg chas-
cun d't'ulx (^uund ils seroyent a£sem])lez : mais la princrpale raison
est, aHn que ceux qui apiirouueroyenl ce qu'ils veulent condamner,
n'y soyent presens. Or les députez lurent de celer les secrets, de
paour qu'on ne iace quelque opj^K>sition , qui les arresle. El par ce
moyen, il aduientque leurs resolutions et décrets, quelques iniust^
et barbares qu'ils soyent, sont approuuez sans difficulté par toute lu
troupe qui ne scait que c'est : iouicl aussj que plusieurs nefontnaile
tloubte de soubscrire contre leur propre conscience, de paour qu'ils
ne soyent mis hoi*s de la Synagogue. Ce sont ceulx là. di ic, cesont
ces députez qui donnent senteiïce a leur appétit sans en estrc repriib
ne punis, contre les innocens : ils les envoyent au feu , ils baillent
leur sentence aux iuges . c'est toutelbis au nom de la Faculté : et le*
iugtîs se contenlentde l'authorité d'icelle, sans s'enquérir plus oultre.
Ainsi les poures innocens et iideles estons opprimez par ce premier
iupiement de peu de gens , sont traînez au feu. C'est bien vne vint
image de la licence et domination pharisaique , laijuelle nous est
recilt^ en l'Euangile. Qui est-ce qui ne scait que Pilate a con*
damne nostre Sauueur a la croix contre sa cons^nence , estant
abattu par la ra^re et cruaulte des Scribes el Sacrificateurs, et en
se laissant mener par leur inipetuositet J'ay laisse vne chose qui
est surtout digne de uiemuîre , que cela mesme que ces bons Cen-
seurs auoyent condamne en moy , fut alors imprime , de leur com-
mandement , par Jehan Andrt'. * lequel n'est pas moins ignorant
que meschant el infidèle, c'est leur suppost en toutes leurs trahi-
sons, et fort bon soufllet pour inciter a dresser calomnies , et le
plus aspre l>ourrenu en crniaultc <jui fut onïjues ; aussi ils u'oni
pas eu honte de l'admettre en leur secret conseil. Cestuy , di le.
imprima les Commandemens de la loy, mais auec ceulx de l'Eglise.
voire apr^s auoir este difformez et corrompu?, par vng certain
Odoard *' , qui des deux première Commandemens n'en a feirt
Sur (Vt rA[>ion ilivs ralhuliqiics. \oyttt cî-desMU. pagr ^S».
quS-ng : ostant la prohibition qui est la expresse, de foiiner et ado-
rer les images : et puis a deschirc en deux membres, plustost que
divise, le dernier Commandement , afin de parfaire la dizaine. Ce-
pendant, pour ce que ie leur esto^^e suspect dhereae. comme ils
disent; combien de fois ma maison a elle este fouillée par les îuges a
leur iiisli^Tition , pour veoir si on y trouueroil quelques liures sus-
pects! Aprbs cela, enuiron l'an m. d. xu. iimpnmay le Nouueau
Testament avec briefves annotations que i'a/liouslay a la mnr^c, les-
quelles i'avoye eu de ^ns bien scauans. Pour le commencement le
liure fiit ioyeusement receu : et scay combien ils sen sont aidez. Vng
(M'ii après aucuns d'entre eulx crioyent en chaire impudemment, sans
m'eî^pargTïer, ne celer mon nom . que i'avoye imprime des annota-
tions bien dan^ercusi^ : paroequei'exposoyeoutrementles [Missages
du purgatoire et de la confession qu'ils n'auoyent accoustunie * :
que i'esloye ynp fin homme et cauteleux de semer des hérésies sous
l'ombre de l'vtilite publique, il seslcue vnpf murmure dont saillirent
tout soubdain leurs cneries accoustumees, tellement que yiour la
troisième fois ie fu contrainct de me cacher. A la fin ayant reprins
courage, après queceste tempeslefut \iigpeuappaisec, i'imprimay
encore vne fois ces mesmes annotations, y changeant quoique peu ,
etadioustant iH-aucoup. Imontinent Gagney, Picart et Guianroarl,
qui estoyent des premiers de ce sainct ordre, feirent beau bruit.
Or pour venir au dernier acte de ce ieu, auquel ie monstrerai com-
ment ils ont tousiours este rebelles au Roy , et a ses mandemens et
edicts : afin que le fruict des leçons hébraïques que le roy François
de Valois auoit publiquement instituées , paniint a plusieurs non
seulement de nostre nation, mais aussi des estrangiers : ie recueilli
avec grand labeur, en veilles extrêmes, en diligence soigneuse et
attentiue ce que les scauans auditeurs de Vatable , iadis professeur
du Roy, homme très scauanl es lettres hébraïques, auoyent retire
ÛG ses leçons ; et l'assemblay en vng volume , adioustant la nouuelle
translation de la Bible vis a vis de ranciennc. Ccst œuvre fut para-
cheue lan m. d. xlv, lequel communiquay mcontinent aux plus
scauans de la Synagogue : et leur pnay que s'ils apperceuoyent
Voyci
MO.
«M
ROBBRT KSTIENNR AUX LKtH'EURS. vrc.
rhnHpqui ne fast rr*ouci1Hc a propos, qu'ils m'en aducrtissent . pnx
mettaiil lie la racoustrcr. lU me le renuoyent, et me mandent q
tout est bien, en tant qu'ils ne croyoyent pas que facilement peo^
sortir quelqup chose de mauuais des Ipcoiis publiques de Vatabip,
Dont if fus fort aise de n'estre point enipcbche par eulx que n
labeur ne pt)rtust aucun proulïît n eeulx qui sont addoncz a l'estl
des sainctes lettres. Quand Suton voit que par la lecture decesdicM
aiinotations, h^ faulses et vaines expositions s'en vont bas : il psaml
plusieurs de leur bande rontre moy.iiisuns qu'il ne falloit plusqueoes
Bibles fussent vendues auec les annotations : qu'il y auoit danguf
que la niai*^te de la sacrée Faculté | laquelle ne consiste que par rw
possession erronée | fust dcstniicte. Lors fu nducrti en secret parao-
cuns qui ne sont pas des pires, d'aduiser a moy, et me donner garde.
11 se faict \iig grand bruit entre wux de ce vénérable ordre, quei'iv
imprime ycelle sans auoir permission de la Fiumlte ,,n iac|ueUpior
falloit snnbnietlre, encore que ie fusse laiprinieur du Roy. Deuaat
que coiTibaltre de plus près au dangier de ma vie, ie m'en aliav a ^
court du ruy François , pour résister a ces commencemeDS. Âpcv
auoir pres^-ntc au Roy vng volume grec d'Ëusebe (ce fut eminii
l'an M. n. xxvi, auquel temps fut aussi par moy imprimé lePâQultiff
auec les annotations) i'aduerti Monsieur Castellan, lors Ëacsque <ie
Mascon , que les Théologiens tacitement semoyent quelque bmil
contre moy : et que de brief 2)prsuaderoyent ou a la court de PaH*-
ment, ou au lieutenant , de me faire défenses de vendre pli» Us
Bibles auec les aiuiotations : qu'il y auoit quelque chose qui t»G leor
plaisoit iwinl. Quand ie vey le personnage par trop tinude en \ueu
bonne cause : ie luy di que i'imprimeroye volontier» à la fin dis
Bibles toutes les faidles qur les Tlietiîogicns auoyent troimees . ou«
leur censure : que ie n'en auroyc point de honte, ne ne. me ^reuemii
point : afin que par ce moyen les lecteurs fussent aduertis de ri«^
tomber par mesgardc en quelque annotation qui ne senti$t lestt
Clirist. Ce conseil luy pleut, et mesmes au Roy : lequel tout inoûft-
tineut commanda a Castellan d'oscrire en son nom aux Theologicvi
qu'ils lussent de bout en bout les Bibles imprimées avec les annoU'
lions par son Imprimeur : et s'il y avoit quelque choào qui ueUfW
[ilpust, de If riiiUi' a part . et que a chascunc faulte iU escnuissent
HOBRRT ESTIEWK AUX LECTEURS, kt*.
B&3
la cause de leur lugement : qu'après cela Us me baill»£:âcnt lo tout a
iiiipriracr pour le vendre avec lesdictes Bibles ou a part. Castcllan
escriuit a ces Iwns Pères, premièrement en irancois. Ils luy respon-
dirent qu'ils feroyent tout ce que le Roy auoit commande, comme il
appert de la response que ledict Castellan leur feit apred en latin,
dont voici le sen^ :
- Il n'est point aise a dire, très vertueux personnages, com-
bien i'ay prins de plaisir aux propos que m'a rapportez monsieur le
Chancelier de Gogiiey, homme très excellent, qui m'est bien ami,
et fort afTectioime enuers vous. C'est que vous vous estes niis à la
correction des Bibles de Robert Estienne. Ce que le Roy U'cs chres-
tien vous a si fort demande, et lui avoye ainsi des long temps pro-
mis en vostre nom. Quand d sera ainsi faict et paraciieue par vous,
chaque homme de bien, etc. » Ils scouent le reste.
Or combien qu'ils eussent promis de ce faire, toutesfois ils n'en
fcirciit rien. Qui plus est ce pendant ils sollicitèrent finement les
Théologiens de Louuain. pour leur faire cntrelasser mes Bibles en
leur catalogue des liurcs suspects et hérétiques : car ils ne t'eussent
06e faire de leur part : et pourtant faisoyent advancer ce jugement
par aultruy, pour nionstrer qu'il n'estoit ia besoing de prendre ceste
peine qui leur estoit enjoincte par le Roy : Pour ceste cause Castel-
lan leur e.scrivit en lutin pour la truiaieme fuis selon la teneur,
- Comme ainsi soit que vous eussiez tellement res[)ondu a
mes denueres lettres, lesquelles ie vous avoye escrites par le com-
mandement du Roy, qu'il sembloit bien que vous ne voulsissiez nen
faire en la cause de Robert Estienne, que en ensuyuanl la volonté du
Roy, qui ne requeroit de vous que chose fort équitable : i'ay estime
qu'il ne vous en fauidroit point parler dauantage. Mesme le Roy es-
toit persuade par moy que quand les faultes de la table et des argu-
mens seroyent corrigées, et qu'on auroit marque es annotations ce
qui peut o^'enscr, aussi touché le reste ou il y peut auoir quelque
cachette de malice ou incommode suspicion, que le reste se pourroit
tellement expédier, que k's hures pourroyent estre publiquement
rt^ccuz. tantsoubs l'osscurance du Roy. que soubs vostre censure.
Mais maintenant ie ne diray point l'interimssion du temps, c'est plus
tost une longueur, dont vous vseic a donner vostre iugemeiit, «l
SSi
ROBERT ESTIENNB AUX LBCTEORS, uvc.
comme vtip dilation de t)ml!er vos opinions, et pais ce quî est «k
treuenu par la censure des Théologiens de Louuairi , a faicl soiisp-
conner aucuns et craindre que ne vouliez reietter le vieil Consei],
c'est a dire du Koy. [wur vser de quelque nouueau moyen en Mie
chose ia cnuicllie, etc. « L'Epistre est fort longue.
Or pource qu'ils vouloyenl que le catalogue deç Théologiens de
Louuain fust imprime, le Roy en estant aduerti, leur escriuit incon-
tinent le xxvn d'octohre. en ceste manière.
• A ceste cause nous vous défendons très expresseemenl une
vous n'ayez a faire imprimer le dict catalogue, mais procédiez ft fat
correction des faultes de )a <licte BiMe le plus promptement. etc. -
Quand Casiellan voit qu'on ne prouffite rien enuers eulx. et qu'ils
ne veulent point satisfaire a leur promesse, il les exhorte encore
pour la seconde et Iroinieme fois. A la fin estant constraincts, ils en-
uoyerent quinze passages qu'ils auoyent notez. Apres qu'il les eut
conférez avec Gagney, il lesrenuoya avec VTie epistre assez longue.
en laquelle il leur bailloit le moyen de procédera telles corrections :
afin qu'ils amendassent le reste selon l'exemple qu'il leur enuovoil.
D y auoit en la dicte epistre beaucoup de choses de l'vtilité des an-
notations, comme ie scay, qui les faschoyent et pressoyent fort-
Aprfcs que le Roy eut senti que c'estoyent gens de si dur col qu'on
ne les pouoit faire fleichir, ne dompter leur obstination, et qu'ils voo-
loyent souslenir leur rage diabolique iusques au bout, se contentant
de dire, cela est hœrctique : et qu'on s'en rapporte a eulx, le xx\i
iour d'octobre il leur enuoya lettres patentes secllees de son seau,
par lesquelles il leur coranianda cstroictement, y adioustaiit mena-
ces, qu'ils eussent a paracheuer leur^ Cetisures. et a me les bailler
pour imprimer. Toutesfois ils n'en lindronl compte, ains tout exprès
mespriseront ce commandement. Kt cncorcs <?stans ainsi de^^beiî^sans
et rebelles, disent ils que Testât du royaume ne peut estre paisible.
sinon qu'ils ayent a leur coustume une licence ch^sbordeea oser faire
ce qui leur plaist. Toutesfois c'est au Roy de voir comment son peu-
ple luy sera obéissant tant qu'il aura de tels maistres. Cependant le
Roy François va de ^ie a trépas, auquel Henri son fils a succède,
qui en l'an m. d. xlvii, le xvi iour d'aoust au premier an de son rr-
gne, leur enuoya lettres patentes contenant ce qui s'ensuit.
ROBERT KSTIENNE AUX LElH'EURS, etc.
ftS5
» Comme ainsi soit que les maistres Doyen et Docteurs de la Fa-
culté de Théologie en nostre Vniversile de Paris, n'auroyent pas tenu
grand compte de ce que noslre feu seigneur et père leur auroit mande
touchant les Bibles de nostre Imprinieur Robert Esliennc . et en-
cores moins en auroyenl tenu compte depui» le tn*spas de nostredict
feu seigneur K père : pour ce est il que nous te mandons Huissier,
et commettons par ces présentes, que tu faces tres-expres comman-
dciiieiitde par nous ausdiets maistres Doyen et Docteurs , sur cer-
taines et grandes peines a nous a appliquer, qu'incontinent et sans
aucune tli:îeonliimation ils paruohcuent de vcoir et noter ce qu'ils
voiront estre a noter et reprendre esdictes Bibles , soyent grandes
ou petites, si faict ne l'ont : et si faict est, ou incontinent qu'il sera
faict, baillent a nostredict Imprimeur, leurs note^ et censures ou
corrections, pour les imprimer en leur nom , mettre au deuant ou
dcri'icrc desdictes Bibles, ainà qu'ils auront advise pour le mîeulx.
Et en cas de refixs ou delay , les adioumer en personne a certain et
coinpetaiil iour pardeuant nous, en nostre priue Conseil , pour en
dire les causes, respondre a nostre Procureur a telles demandes, re-
questes, et conclusions qu'il vouldra sur ce. et tes dependences, con-
tre eulx prendre et eslire, et procéder comme de raison. -
Quatre iours après, qui fut le xxn iour d'Aoust ensu^^nianl, uyaiis
reiipondu qu'ils me bailleroycnt dedans la fcste de Toussaincts les
censures des erreurs et hérésies qu'ils auoyent recueillies en nos Bi-
bles, ils se moquent du Roy, comme ils auoyent de coustume , et se
rient auprès de leurs brocs et flacons « sans se soulcier de rien»
comme s'ils n'eussent este ntdiemcnt adstraincts par leur promeaee.
Au iour assigne comme ie m'en estoye aile a la court . quelques vng»
de leur Collège y \nennent secrettemenl me voulans opprimer à la
despourueue. Au lieu des articles ils présentèrent vne requeste, par
laquelle ils reipieroyent que défenses me fussent faictes de vendre
les Bibles, pourcequc i'estoyesacramenlaire, et avoye en icelleses-
eript que les amesestoyent mortelles. Et certes, il ne s'en fallut
gueres qu'il ne le persuadassent a aucuns qui estoyent d'eulx mesmes
trop crédules : sinon quvng ou deux d'entre eulx plus équitables et
de nieilleiu- iugement que les autres requirent que ien fusse aduerti.
et que iVn respondisse en leur présence. Quand l'enlpn ces choses ,
&86
nOBERT KSTIENNB AUX LECTBURS,
et que ic me tien prest de comparoistre devant le Roy en son Cor>-
seil estroit , pour me purger des calomnies de ces gens ci. tlâ floi
Gstoyent desia refiiia a Paris. Toutesfois ie poursuy , et monstre a
Caslellan. ensemble au Roy comment tout ce qu'ils me mettoyenta
susestoit faulx . et impudemment controuuc. Cependant que ie fay
ces choses, on met en avumt en leur nom quelques articles auec leurs
censures, lesquels ie collationnay auec les Bibles par moy impn-
mees. Quels ils estoyent les lecteurs le cognoistront de ce liure '
Quand on demande le reste a eulx qui estoyent a la court pour sollici-
ter leurs aflaires, ils respondent, que le tout n'est pas encore mis eii
ordre : et qu'ils l'enuoyerontde bricf : Et des bourdes. le m'en re-
tourne à Paris : mes amis me saluent comme un sacramentaire , et
comme vng Atheiste, ayant escript que lésâmes sont mortelles. 3t
le nie bien fort. le reprins aigrement ceulx de ceste malheureuse sf-
nagugue qui auoyent semc tels crimes, et leur demande s'ils n'ont
point de huntc. llsallennent que leur dire est vray- au contnùn*
ie leur nie et les prie de me produyre le passage d'où 'ik
auoyent lire \'ng tel article. Quand ils me l'eurent produict, ie mons^
tre euidemment a tous, qu'ils n'auoyent point entendu Latin . d'a-
voir forgé vng tel article et si méchant des paroles qui en rien ne son-
noyent telle chose : niaistiint sen fallut qu'ils eussent lionte de leur
igncirîmcc, que plus tost ils s'y glorifioyent. De moy ie leur concède
volontiers cesle louange, que quand ils ne pourront vaincre par rai-
son , ils accablent les innocens par leurs mensonges iinpudeiis et
monstrueux. O beaux Théologiens , ou piustost loups rtestruisans
le troupeau du Seigneur, le retourne a la court, le demandt* qu'eubt
presens disent ce qu'ils ont alencontre de moy, et qu'ils produysent
ie reste de leurs articles. Estans contrains, ils viennent dix , sil m'en
souuient bien ■ entre lesquels estoit Odoard leur orateur . Picanl . et
deGouea l'ancien : il ne me souuient pas du nom des aultres. Ils en-
trent au Conseil estroict, qui estoit assemble en In-aucoup plus grand
nombre que de couatunie Car tous les Cardinaulx et Euesqucs sot-
* L'oii^riif^r nui[iH>l rflni-ci MTtd'inlrtxlitrHivii »r rtniiiiusc ilc» AiiuululioiumutiTV»
rluictHK.' Miivir tit- sa rriisiiri' a|»n*s latjiifllr vitiit t.i ii-|ilii|m* on rHutatiou tl«- Rul>rri.
ROBERT ESTIENNK AUX LECTEURS, etc.
5B7
^1 uans la coart, y estojent : le Connestable , second après le Roy, et
^H le Chancelier. Ces dix au nom de tous me donnent le combat a moy
^^ seul. Apres que commandement leur et?t faict , ils produysent leurs
article;* ou erreurs, si vous aimez mieulx les appeler ainsi : mais a
grand regret : dont vne partie estoit auec leurs Censures , le reste
sans Censures, n'eslans encores formez ne qualifiez comme il dieiit.
^ Ayans débattu de beaucoup de choses, auec gronde risée de toute
^P l'assistenc«, a cause de leurs noises tumultueuses, pourcequ'ils dis-
Conloyent ensemble, et estoyentia enflammez Tvng contre l'aultro
et auoyent delmt entre eulx mesmes. il me lut commande de respon-
dre sur le champ, et parier pour moy , n'attendant rien moins. le
crois qu'en ma défense, l'obiurgation dont vsoyc sembla bien dure a
ces dix ambassadeurs : titutesfois !a vérité de la chose contraindit
aucuns d'entre eulx de lesraoigner que nos annotations estoyent fort
vtilcs. Apres que nous eusmeseste ouis d'vne part et d'autre , on
nous faict retirer en vne garde roblie qui estoit prochaine. La vous
^_ eussiez veu vne poure brebis abandonnée au miUeu de dix loups :
^P le9(]uels toutesfois estons enclos en ce lieu, ne luv eussent ose donner
vrig coup de dent encores qu'ils en eussent grand appétit. Nous
sommt*s rappelez pour ouir la sentence des iuges.
[1 leur est pn)hil)e et défendu expressément de n'vsuq>er plus en
la matière de la foy le droict de censurer appartenant aux Evesques :
que cesloil bieîi assez si les Euestjues les appeloyent queli|uefois en
conseil, pour auoir leur opinion. Les articles sont baillez aux Eues*
quesetCardinaulx. commandement leur est faict de les examiner
diligemment : et ce que iugeroyent estre corrompu, qu'ils me le boil-
leroyeiit pour imprimer à- |>art, ou derrière les Bibles a &i que par
I ce moyen les Lecteurs se donnassent garde, en ensuyuant ce que les
^h Rois François et Henri auoyent commande. Quand les Orateurs
^■^ ou \Tent ces chose* , ils murrouroyent et fremissoyent entre eulx,
que toute Tauthorite qu'Us auoyent leur est ostee : toutes fois en
murmurant ilsauallent tout bellement leurs complainctes. Tous ceulx
qui estoyent la pi-esens. testifioyent queslans sortis ils plouroyeîit:
mais ils n'eurent [wint faulte de messioge de consolation , pour leur
fier encore leur cueur : car leur patron les tira a part et leur
dici .. Poursuvurz comme vous avez faict iusc|ucs a présent
vos-
5S8
ROBERT ESTIENNË AUX LBCTeURS,
In* autliarite ne vous est pt»mt du tout ostec : paracheuez le reslr
lies arlitîles. mcttez-y vosire censure , el l'apportez. - Eulx rocxMS
par cette vaine consolation , combien quelle ne fust poinct du loui
vaine , cessèrent de plourer. Estana de retour à Paris, ils ieimil
laire prières solennelles a tout ce sainrt ordre, coaiuie si leur afioirt
se fust bien porte : ils sen vont a Nostre Dame, ils* heullent, i*
preschent : i'cstoye derrière le prescheur, sans qu'ils eu sceussent
rien ; et esperoyont bien qu'on ne diroit plus mot da reste des arti-
cles, Cejiendant ilsleirent tant que pour vng temps la vendition des
Bibles cessa. Les Euesques el CardïnauU confèrent entre eulx 1»
articles qu'ils auoyont receuz, lesquels articles esloyeiil en nom-
bre XLVi. Oiï diuulgue jmr tout la court qu'il n'y a nul mal . sinon qoe
porauenturc il y en auoit cinq ou six qui estoycnt soubiects n calom-
nie : et toutes fois n'auoyent laulte de bonne et suflisanie caibe .
que le reste estoit tolerable et catholique. Eulendiint ces choses,
ie sollicite et presse autant que le Seigneur me doimoit de nioven.
que le reste fust enuoye. Le Roy comrnaiïde de rechef qu'ils lesap-
irortent, reiU'rant commandement , et les menaccant souhs peines^
V^oyez leur ob:»tination désespérée : Us reculent autant qu'ils pcu-
uent pensans en eulx mesmes, h si les Euesques et Cardinaulx ont
faict vr\g tel iugement des premiers articles, que poui-rons iKXb
attendre des seconds^ •■ Toutes fois ils disoyent en leur cscholeetw
leurs banquets que les Euesques et Cardinaulx n'enttndoveni ri«ti
en Théologie. Parquoy ils essayait tous moyens a eulx possibles, ils
supplient, ils pleurent : de rechef ils promettent qu'ils leronl tout ce
qu'on vouldra, pourueu qu'ils ne soyent contmincts (voyez les poo-
resgejis délicats) de suyure la court, pource qu'il y faull faire trop
grand despejise, et y a beaucoup de choses trop molestes a j^ens t|m
ne sont point courtisans. Le second poinct de leur deuiande estoit
que le Roy baillast le reste des articles qu'il auoyent paracheuez, a
examiner aux iuges de la Chambre ardente . qui pour lors co^oii-
soyent des causes des hérétiques. Voila les la*j3 desquels ils me
pensoyent cnuelop(ier, ou plustost la fosse ou il me vouloyeiit faire
tomber. Car on scail assez quelle cruaulte et bourrellerie Lyseiet
ses complices ont exerce. Quand quelcun (du nom duquel ie me tay.
et pour cause) leur eust accorde ce qu'ils dcinandoyent , ie^uîs desàiK^
HOBERT ESTIENNE AUX LECTEURS, etc.
559
au sacrifice, sans que le Roy en sceust rien. On baiUe lettres cache-
tées, par lesquelles ma cause est renuoyee a ces iuges, lesquels en-
cores qu'ils n'eussent point este meschans , toulesiois en cela ils
m'eussent este tresiniques, pource qu'ils condamnoyent liardiment
tout ce que les Théologiens prononcoyent devoir estre condamne.
Or chascun scauoit de quelle rage et cruaulte tout ce Collège auoit
conspire ma rujTie. Que pouoit on donc attendre de ces iuges. Et
moy au contraire i'essaye les moyens de faire retenir ma c^use au
Conseil estroict : et demouray huict mois entiers à la court a cf'ste
poursuite. A la fin le Seigneur eut pitié de moy, et llechit le cueur
du Roy envers moy, et me reconceillaa son Conseil priue, tellement
qu'aucuns de ceulx qui auoyent este fort enuenimez contre moy par
ces bons P^^es, se rendirent plus cJcmens. Car le Roy estant a
Bourg en Bresse, sur son parlement pour aller a Turin, (Mai Î548)
me fiirent de luy octroyées lettres par l'ordonnance de son Conseil
estroit. auquelles princes et grans seigneurs se trouuerenl . et entre
autres aucuns de la faueur desquels la Sorbone se fioit fort, la teneur
des lettres estoil telle,
» Nous vous mandons et ordonnons que sans auoir esgard aux
lettres dernièrement obtenues de nous, pour communiquer vos Cen-
sures aux gens de la chambre establie sur le faicl des hérésies , en
nostre court de Parlement a Paris, vous ayez a bailler et dcliurer
pronïptement les Censures que voirez et cognoistrez estre requises
sur les Bibles et autres liures de Théologie par luy imprimez. Et la
dessus décréter et ordonner la forme qui sera tenue en l'exécution el
accomplissement desdictes Censures. Vuydant cest affaire le plus
equitabiement que faire ce pourra : en manière que nous cognois-
sions qu'y aurez procède selon Dieu et raison. Et sur tout ne faille/
de nous adaertir de ce qu'aurez faict en cela, ■
Il aduertit aussi de ces choses mesme les iuges députez sur la ma-
tière de la Foy , di^nt sur la fin des lettres en ceste manière,
- Vous mandant et ordonnant que vous n*ayez a entreprendre au-
cune cognoissance du dirt affaire, en vertu de nosdictes lettres missi-
ucs : mais en laissiez l'entière décision au dict Doyen et Docteurs ,
pour en décerner et ordonner ainsi que voiront estre a faire selon
Dieu, vente et raison. Car tel est nostre plaisir. *
âfiO
ROBEHT ESTIENNE AUX LECTEUfiS, BTC.
Depais que par la miséricorde de Dieu ie fù deliure de ces hup
et IreliuchrU, riuesl-ce que ie ne fey pour retirer d'eulx ces arti-
cles? Toute:»fois rieti moins ; car ils sestoyent opiniatrez de ne biil-
1er le reste des articles, sil y auoit moyen pour eulx d'csrhapper on
euader en quelque manière que ce fust • et que ie fusse condamw
comme roeschantet hérétique. Mais quand ils furent amenez a cesin
nécessite extrême, sinon qu'ils voulsissent estre condamnez comwf
reljelles à la maiesle royalle : ils enuoyerent ce qui resloit , a Lvod.
par les mains de Tauemier et Uuffi. Et pource qu'ils ne me Iroune-
rent point la, ils dirent qu'ils ne l'auoyent point, et U- reponerenl»
leurs Rens. Cependant que cela se faict . la sacrée Faculté sollicilr
ce Ikin preudhomnic Guiancourt. qui pour lors estoit confesseur dd
Roy« afm qu'il semployast vajllainTncnt et aspremenla me combat-
Ire. Car comme CCS bons frères requeroyent qu'on decemasl qud-
ques poincts alcnccntre des Luthériens (il y en auoiten nombre dnq-
comme il me semble) , ils mandoyent entre autres choses . - Aduisn
que nous ne soyons contraincts de bailler le reste des articles oonlff
llol)erl Estienne, mais pluslost qu'd soitcondamne comme tteretiiioe.
Comment! qu'il soit dict qu'vng homme mechanique ait vaincu le
Collège des Theologicnsî » Et a la fin des lettres (ie les ay veucsel
leues, et l'ay raconte a Guiancourt mesme qui le dissimuloit), il)
auoit derechef escript : •• Sur tout voyez que llobert Estienne n*
vainque. «
Et certes aussi feit 0 en bien g-rande diligence pour faire du bon
vallet enuers ceulx, ausquels il se scauuit bien esUrc sus]>ect, cooiiv
il est traistre a Christ aussi bien qu'a son ordre. Car quand le Rot
lut retourne de Turin, et seioumoit en la coste S. Andrv^ quia
seul, auant que le grand maistn,* ajlast k Bordeaux , ledict Guian-
court trouua moyeu par le support et la faueur de quelcun de tirer
lettres du Roy par lesquelles il m' estoit totalement défendu df
vendre les Bibles : a condition toutesfois qu'ils l>ailleroyent les ar-
ticles qui auoyent pst<î tant et par su longtemps attenduz. lenesoeo
rien de tout cela iusques a ce que le Roy fut venu a Lyon : ou m'fi-
tant retire par devers trt^sillustre prince monsieur le Cardinal df
GuyH\ pour le remercier de l'humanité qu'il m'auoit monstreci
Bourg en Bresse : ro'aduertit en grande comj^agnie de gentils homoies
nOBKRT ESTIKNNE AUX LECTEURS, rrc
et autres qui cstoyent alentour, du changement qui estoit advenu.
Et t]uand ie luy deroanday sil n'y auoit nul remède, il me rcspondit.
nul. le fu liion triste . et lui dis a Dieu, et nu pais. Te m'en allay
vers Cn-slelian luy raconter c*s choses , el lui dis le dernier a Dieu ,
voyant qu'il me falloit quitter le pois, e^r ieeauoye bien ou tenduit
ce préjudice. Toutesfois en sorlaiit de sa maison ie le priay bien ibrt
qu'il lui pleust scauoir du Roy que cela vouloit dire. Ce qu'il m'ac-
corda a bien grande difficulté , et le feit a regret : et de faict il y
auoit cause de le refuser. Touleiifois le iour d'après l'entrée du Roy
a Lyon, en laquelle il fut receu en si grand appurcùl , il demanda au
Roy, si c' auoit este son intention d'accorder aux Theoloj^iens ijue le:»
Bibles imprimées par son imprimeur fussent supprimées». Le Roy
dict qu'il leur auoit ottroye . d'autant qu'ils lui Quoyent persuade
que i'estoye vng hommoplus pernicieux que nul hérétique. Toutes-
fois qu'il ne leur auoit point ottroye a autre condition qu'en produy-
sant les articles (ju'on leur auoit par tant de fois demande/.. Castellan
poui'suit et declairc au Roy par assez long propos, comment i'estoye
contrainct d'abandonner le pais : que la nature des Théologiens es-
toit telle de poursuyure iusques a la mort ceutx ausquels ils se sont
attache/, et contre lestjuols ils ont attire la faveur du Roy et des iu-
ges par leurs blandissemenî^ et mensonges | contra quos régis aut
ludicum favorem suis mendatiis cblonditi essentl. Lors le Roy res-
pondit que pour cela il ne nie falloit point laisser le pais, seulement
que ie me donnasse garde a l'aduenir : adioustant que l'eusse bon
courage, et que ie poursuyuisse comme de cou^tume a faire mon
debuoir. a orner et embellir son Imprimerie. Quand ces choses me
furent aunonc(?es, ie m'arresle. Cependant les Théologiens ne disent
mot, et ne diuulguent point leurs lettres : dont ie m'esmerueilloye :
mais ie scay bien qu'ils les eussent diuulguees n'eust este qu'elles
foisoyent mention de produyre les articles. Ouiancourt (comme
il est tin regnard) dissimulant cauteleuse ment ces choses, ayant con-
fère totiâ les poincts Ivng uuec l'autre , suborna Senalis Euesque
d'Auranches pour m'admonnester par doulcespurolles de rentrer en
grâce avec les Théologiens : que cela m' estoit beaucoup plus vtde
que d'estre si longtemps absent de noa maison, et qu'il ne me falloit
point espérer d'auoir victou% contre vng Collège si samct. A cela io
71
56S
HDBERT £STl£NNE AUX LECTEURS, irrc.
respondi que ie ne pensoye ne de -victoire ne do triomphe nunin
que tant seulement iU obéissent au Roy. et produis&eni les artuJn,
La dessus il me dict, qu^il ne me falloit point attendre a cela, «<
qu'il ne se feroit iamais : parceque les Théologiens n'or»t pasaccoitt'
luine de monatrer par eecripl ce qu'ils iugenl estre hérétique, mais
seulement de parollc : a lai{UcLle il J'ault croire : car autrement il nV
auroit iamais fin d'cscrire. Nous dcpartismes ainâi. Le lendemain
vindrentses seruiteursqui m'exhortèrent fort d'obéir a l'admonitiflo
de leur niaistre. le m'y acrorday. Car i'auoye Ixmne souuenaxicc de
re qu'aucuns d'eulx auoyeiit entreprins (par vne faction de laqaeHf
ilsestoyenl tous roulpables. comme il est bien croyable! alenconlff
du Roy François, pourcc qu'il ne s'accordoit pas du tout a leurs im-
pietez. Ils scauenlbience que ie veuîx dire. 11 est vmy que loreils
furent douîcement chastiez par vn^ Ivinnissement : mois puisqof
soubs couleur de pieté ils ne cessent de machiner tant de choses non-
tre Dieu, a la fin il les deslniyra malheureusement. le m'en 'vïm
donc a Senalis : et luy dî que ie veulx eacrire aux Théologien», qoe
nous laissions rouler le passe ; que ci après ie ne feray rien sans Icor
conseil, il escoute volontiers ce propos, me ctwigralulant de ce que
i' auoye telle volonté. 11 me prie de parler auec Guiancourt. lel*
fay. Le bon preudhomme Guiancoun approuue bien mon conseil, d
me promet que par ce moyen tout sera appaise. Il prend la char*
luy mesme (tant il est humain et prest a faire plaisir) de porter ma
lettres. Car il ne demandoit autre chose que d'auoir lettres demoT
pour me tenir lie, a ce qu'il ne fust plus besoing de produyre les «f-
ticles. Et moy voulant eschappcr ses fillets. feigney d'auoir ia «•
cript. Es viennent tous deux a la court. Le bruit est que le Roy «
commande qu'on delivrast a Robert Estienne mille et cinq cens escas
pour recompense des dommages qu'il auoit soufferts. Lors quels
troubles esmeurent ils? qu'on donnoit loyer aux mesebans a mal
faire : que les semblables seroyent conuiez par tels loyers a faire de
mesme. A la fln par leurs remonstrances, clameurs et persuasioat
obtindrent ce que ie desiroye (car ie puis dire a la vérité que nMR
esprit a tousionrs este libre, ie n'ai iamais serai a l'argent» le Se-
meur m'a accoustume aux labeurs comme l'oyseau au vol) c'eetoit
qu'on ne me baillasl point d'argent. Le Roy leur accorda r toustes-
noBian estienne aux lecteurs, etc.
M3
lis il me promit qu'il serait vne autrefois plus libéral enuers moy.
me feroit plus de bien que cela. le luy rendi grâces, le priant tant
îulenient de m'estre proterteur alencontrt* de mes adversaires, et
|uei'nime mîeulx sa faneur ei protection i|ue nul argent. Cela me fut
ottroye, Dieu merci. Mais [kjut auoir mes lettres par lestjuelles ie
peusse lestilier aux aduersaires le bon vouloir du Roy enuers inoy.
il me fallut endurer peines et fascherics incroyables par l'espace de
trois mois, tant.auoit de puissance l'authorite ou l'importunite de la
Sorbone. mesmes eimers les plus priiicîpaulx , qu'ils faisoyeut
double de sceller ce que le Roy auoil commande par quatre fois.
Toulesfois le Seigneur vainquit : car après que les lettres eurent este
par cinq fois corrigées, a la iin elles furent scellées pur le comman-
dement du Roy iresclement prince. Pendant que ie suis après et
sollicite, ces hommes de sang enquierent sur raoy et interroguent
plus d'octante tesmoings pour auoirsor moy quelque cas nouueau.
si d'auenlure toutes les choses passées estoyent abolies par ces let-
tres. Car ils en uuoyent entendu quelque chose : et toutesfois ils
n'eussent iamais creu que i'estoye aussi bien muni et garde contre
leurs nouuelles inquisitions, s'ils ne l'eussent leu. le garde les lettres
|)ar deuers moy , et ne les diuulgue point. Incontinent i'enten que
dedans trois iours ie doy estre mis en prison, si ie ne me garde.
Alors ie produy les lettres du Roy, esquelles estoit contenu ce qui
sensuit.
• Par ces présentes disons et declairona que nostre vouloir et in-
tention est, que le dict Robert Estienne nostre Imprimeur, pour rai-
son de ladicte impression par luy faicte des annotations de la Bible.
Indices. Psaultier, et Xouueaux Testamens. et autres liures par lui
imprimez, ne soit ou puisse estre a présent ne pour l'advenir tra-
uaillé.vexé. ne molesta en quelque manière, ne conuenu par quel-
ques iuges que ce soit. Et quand aux susdicles informations faictes
ou a faire aJencontre de luy. a Toccasion que dessus, de tout le
temps pa^e iusques a huy : suyuant ce qu'en cest cndroict a este
commence par feu nostredict seigneur et pcre. auons reserue et re-
tenu la cognoissance d'iceluy a nous, et a nostre personne. Et pour
cest effect en auons défendu et défendons toute court et jurisdiction
et cognoissance a vous gens de nostre dicte court. •
&6i
HOBERT ESTIENNB AUX LECTEURS, xm.
Ces choses onycs ils deuindrent plus muets que poissons, snon
qu'ilâ nmrmuroyent entre eulx sans dire mot. Fendant que ces Uvft-
blessappaisent, ie poursuy a imprimer le Nouueau Testament prpc.
en tîr«"de marge. Apres que l'œuure fut adieve, ie le porte a Cfts-
teliaii. Lequel me tcnsa aigrement, de ce que ie ne l'auoye point
baille a examiner aux Théologiens, me disant que i'estoye vng or-
gueilleux, le lui rcspondi, que les plus anciens iug^s d'entre euli
n'enlendoycnt rien ou bien peu en ceste langue : djanantage qu'vB
liure si seinct ne pouoit estre suspect d'heresie : adioustant ausa
qu'aucuns d'entre eulx m'auoyent estontie de me vouloir faire chan-
ger vng passage de la première aux Corint. . chap. ï 5, v. 5 1 , où 0
est escripi ; - Vray est que nous ne dormirons point tous, mm
nous serons lous transmuez. « De rechef il me tense de n'auoir point
obtempère, disant qu'il y auoit diuerse lecture. le luy di que jamais
on ne m'eust stm amentTa ce poinct. de changer rien an texte, con-
tre ce qui se tmuuoit ])ur tous les exemplaires, pour estre par ce
moyen trouue faulsaire. Incontinent conune estant agite de îe nescav
quelle fureur, il baille en proye aux Théologiens celui qu'il auoit
maintenu contre telles furies par vnc instinction de Dieu plustot qae
daOeftion pure et syncere. C'estoil en espérance de gaigner onj
chappeau de Cardinal qu'il s'addonnoit ainsi seruilemeni a euïx et
sans raison : car il li's hayoit fort. Il manda a son Gallandius qail
annonccust aux Théologiens , que iusques a présent il avoit este'
deceu par Robert Esliemie, et qu'il ne le vouloil plussouslenir : par-
tant qu'ils aduisassent ce qu'ils debuoyent faire sur ceste édition dn
Nouueau Testament grec. Gallandius qui ne m'estoit pas ennemi,
m'aduertit de ce qui luy estoit enioinct, voire nj'exhorte de me reti-
rer par deuers les Théologiens, de paour qu'ils ne fuscsent par son
ambassade plus eaiaigris que ne vouldroye. vcu que desia eeXojeal
assez irritez. l'essaye de faire ce qu'il m'auoit conseille, toutesToi»
ie ne pouoyc parler a culx pour les trouuer légitimement assembler
selon leur coyistume, dcuajit vng mois. Finalement venant en leur
présence en autant plus grand désir, qu'il me semblait que ce serait
pour la dernière fois, ie leur présente en leur conclaue aux Mathurif»
le Nouveau Testament par moi imprime : et lors pres^idoyent de
Gouea et Le Roux, qui m*' portoyerït grande immilie. gens fort
HOBKRT KSTIEKNK AUX LECTEtmS, btc.
m
ignorans. sinon qu'ils sont assez cauteleux ouuriors de mettre em-
busches aux innocens. pounieu qu'ils soyent admis auec leurs quali-
fications. Ils voyent que c'est Gre<;, qui est imprime. Ils d**mandpnt
qu'on leur apporte le vieil exemplaire. Pensez que c'estoil pour y
lirel le respond qu'il ne se peut faire, pource qu'il n'y en auoit point
vng tant seulement, mais quinze, qu'on auoii reportez en la librairie
du Roy. lesquels i'auoye eu par grand prière : les ayant bien dili-
gemment conférez, que i'auoye imprime cestuy ci selon le debuoir
que i'auoye tant enucrs le Prince que la Republique : que ce leur
bcroit grande fascherie s'il les falloil tous conférer, et que ie les
auoye soulagez de ce labeur. On rae faict retirer. On me rappelle.
Quelles badineriea vey iela entre eulx! i*ai honte de les raconter,
voire de m'en souuenir. Je me relire derechef, et derechef suis
rappelé .
A la fin ils accordent que la charge de rejire cest Œuure sera
baillée a deux d'entre eulx qui estoyent scauans en Grec. La il
fallut deuorcr vne nouuclle fascherie. Car par l'espace d'^■ng mois
entier ie sollicite ceulx auaquels ceste charge auoit este baillée, de
faire leur rapport. Elstans vaincus par impnrtunite continaelle , le
font en la Congrégation qui estoit ns.semblee en la chapelle du Col-
lège de Sorbone. C'estoîl certe*» chose bien nouuelle de veoir encore»
entre tels maistrea Robert Estienne , de la vie duquel oii desperoit .
veu qu'il auoit este absent par si longtemps. On disoit qu'il falloit
que ie fusse retourne en leur grâce, voir comme les brebis rentrent
en grâce auec les loups. l'entre et les salue : ils me rcsaluent. Apres
qu'ils sont entrez au conclaue, le Doyen de lu Faculté nomme Le
Clerc, fait Mie longue haronguo , par laquelle il réduit en mémoire
les fascheries que Robert lùsticnno a données a toute la Ct>ropagnie ;
et pour ceste cause que la Faculté ne dcuoit rien approuucr de ce qui
estoit sorti de îuy : que par telle approbation l'aulhorite de la Faculté
seroit diminuée, et que celuy qu'ils auoyent condamne , seroit prisé
et recommande par eulx : et que ce seroit comme vne recognoisaonce
de leur faulte. Par ainsi que le Nouueau Testament qu'il auoit iui-
prime sans leurcongi^ ne dcuoit nullement estre approuue par eulx.
Voila te sommaire de sa harengue. Ouioncourt après Iuy. redict le
semblable, taisant rage de gïissouiller, comme il en est maistre. Mais
566 ROBERT ESTIENNE AUX LECTEURS, btc.
encore lors il iangloît plus que de coustome , sescriant vaillameot
contre moy, pour se purger de la suspicion qui auoit este sur luy. II
n'estoit point la besoing qu'il se purgeart de ses paillardises : car la
Sorbone piteuse mère, hume et aualle bien aiseement la puanteur de
telles choses. Il ne se vouloit lauer que d'vng crime : c'est qu'il eatoil
bien esloigne de la secte des chrestiens , de laquelle il auoit foict an-
tresfois quelque profession : et au nom de laquelle il auoit aoqnb
quelque bruit d*estre scauant, et mesme estoit parvenu en ce hault
estât. Tout le Collège se fascha de sa iaserie : on luy dict qu'il le feist
court , et qu'il dist en brief ce qu'il pretendoit. Il s'en trouua bicfi
peu qui défendissent l'innocent , et en crainte. Lesquels toatesfab
après qu'on leur eust amené plusieurs raisons , furent contraincts de
céder , autrement ils eussent ete iectez hors de la Synagogue. La
poure brebis attend que ces loups sortent de la Chapelle. Us me sa-
luent comme si Judas bailloit vng baiser a Qirist. Ne me disans
rien de leur oixlonnance, ie prie le Doyen, - Et bien, monsieur, que
seracet quel rapport feray ie au Roy t « Il me repond doulcement
- Messieurs ne sont pas d aduis que ce Nouveau Testament ae
vende. - le luy demande la raison. - A cause, dict il, des annota-
tions qui sont a la marge. - Ces hommes scauans en la langue grec-
que iugeoyent que les diverses lectures qui sont en marge , fussent
quelques aimotations adioustees hors du texte. le leur fay instance
de me bailler par escript la sentence de la Faculté, pour la mons-
trer au Roy. Ils me la refusent tout plat. le leur declaire que ie fe-
ray mon rapport au Roy de ce qu'ils m'auoyent dict. Le lendemain
ie m'en vay a la court. le présente au Roy suyuant lacoustume, le
Nouueau Testament, en la présence des Cardinaulx et des Princes.
Lors Castellan ayant appaise la chaleur de son ire , fut addoulci .
d'aultant qu'il luy estoit grief que ie fusse ainsi opprime par la ve-
nimeuse cruaulte de ces gens ci, et que ie pensoye d'abandonner le
pais. Quand ie luy eu récite cinq articles, en la reprehension des-
quels ils setoyent monstrez plus que sots, il raconta au Roy ce que
la sacrée Faculté auoit ^ordonne d'vng si sainct Œuure. On semist a
rire d'vne façon estrange : et tous d'vne voix dirent. " Quelle impu-
dence , quelle bestise, quelle témérité ! - brief que leiu^ inepties ne
se pouoyent plus souffrir. Quand ils veirent qu'estant retourne de la
ROBERT ESTIENNB AUX LECTEURS, etc.
W
cuur'i, te mi ce Nouucau Tcâtament en vente, sans nulle crainte:
ils s'csrilcrueillorcnt de Tauduoe d'vng homme priue et Imprimeur
contre le décret des Théologiens. Et me voyant que i'esloye retire
de leurs mains, a fin de ne les enaigrir par mespris, ie m'accorday de
leur communiquer tout ce que i'imprimeroye ci après. Dont me te-
nant enfilf'' par ce^te paction ou plus tost nécessite, ils commencèrent
a n'avoir plus nulle crainte de moy. Et de moy ie n'esloye en rien
plus asseure de eulx : car ie scauoye bien qu'ils estoyent enflamme?,
contre inoy d'vne haine irréconciliable , et qu'ils bayoyent de grand
appetu aprtsmon sang. Parquoy i ay este coiitrainct de me retirer
en lieu plas seur ; dou ie pcusse accomplir la promesse que i'avoye
faicte. Car (jui est ceîuy qui peut consister deuant ces cruelles bes-
les, s'il veult faire profession de chrestientt?? Voila , lecteur chres-
tien, le denûer acte de ce ieu. D'vng nombre infini des tours qu'ils
m'ont jouez , i'en ay touche bien peu. Car ce seroit chose par trop
difficile de raconter comment le Seigneur m'a miraculeujiemcnt re-
tire de leurs laqs. Et quand ie le pouroye raconter, ce seroit chose
quusy incroyable. Parquoy afin que ie ne soye ingrat a Dieu , que
me reïite il sinon d'cmpoijjmer le hanap du salut, et d'imioquer le
nom du Seigneur l Vray est qu'il n'y auoit nulle cause de me desfier
de la protection du Roy ; mais pource que i'auoyc a combattre auec
des besles si venimeuses, i'ai estime qu'il n'y auoit rien meilleur que
de céder a leur malice obstinée. Car ils pouoyent se jouer du Roy a
leur appétit, et mespriser ses commandeniens sans en eslre (njnis,
ils pouoyent abbreuuer les oreilles des princes des faulx rapports, ils
pouoyent machiner tout ce qu'ils eussent voulu a tort ou a droict
sans dangier, et lamais n y eus! eu fin. Car d'autant qu'ils sont plus
abattus par raison, ils se rendent plus opiniastres et obstinez a mal
faire ; tellement que c'est comme le sei-penl appelé hydra, lequel re-
produict sept testes pour vne ({u'on lui aura coupée. Combien que
m'a este force de quitter la place pour une autre raison. Car oultre
la grande despense qu'il me falloit faire a suyure la court , et que
i'estoye contramct d'at>andonner les lettres : toutesfois ie ne pouoye
fuir que tout ce qu'impriraeroyene fut soubiect a leur censure. Mais
que m'eussent ils permis d'imprimer , sinon les Sommes de Man-
dreston , la Logique d'Enzinas, les Morales d'Angest , la Physique
ROBERT ESTIENNB AUX LECTEURS, erc.
deMftioris. leur Breuiaire et Messel. Par ce moyen il m'eust fidb
perdre toute la peine (jue iusqiies a présent ie me suis efforce d'em-
ployer en In sainte Ebcripture et bonnes lettres, et qu'ay de (artat
propos délibère y dcdier iusques a la fin de ma vie. Quelcun pourmît
obiecter qu'ilà soustenoyent vnc bonne cauàe, mais qu'ils ont seule-
ment failli en la façon de procéder. La dessus ie ne veulx dire, point
vng mot pour moy : ïiinon qu'on iuge de la chose en &oy . Cir d'iiir
tant iju'ilâ ont fuy la lumière, de paour qu'on ne veist pourqaov h
auoyent faict condamner les Bibles par moy imprimées (ce que tou-
tes foiâ auoyent promiâ tant au Koy François qu'a Hciiri ) que main-
tenant soit mis en auantet publie ce qui ma este baille par les plu&
anciens de levr collège, comme chose précieuse et tirée du threaor
de leurs Chartres : en quoy est contenu tout ce qu'Us ont censurr
comme hérétique, tantes Bibles, Indices, Psaultiers. qn'es Nou-
veaux Testamens et annotations : aân que toub ceuix qui sont cod-
duicts pur l'Esprit de Dieu, voyentet iugcnt combien est uiesch&ûte
leur doctrine, combien elle est contraire a l'Euangile, et comment
elle retire les cueurs de la foy qui doibt estre en Dieu seul . et en son
fils lesus.Christ, et au Sainct Esprit. le ne decnuuriray {xtint leurs
villaines et meschantes meurs : car eulx roesme les descouurent asr
sez. Seulement ie respondray briefuement et clairement a choâfun
article : pourdedairer que ie me tien du coste de la vraye Kglisedfl
Seigneur et Apostolique en la(|uelle règne le ministère de sa paroUc.
et le vray vsft^c des sucremens , laquelle confesse la foy qui nous a
este baillée par les Feres, comme de main en main, compnuse en pw
de parolles au Symbole qui est appelé des Âpostroa, et fondée en U
pure j)arol]e de Dieu , et non sur les songfes des hommes. Mainte-
nant, umiij lecteurs, qui estes bien affectionnez n la vérité, ie vouè
prie de parcourir les choses suyuantes. Le Seigneur voua illumine
par l'esprit d'équité , prudence et modération , pour droictement
iuger.
PARS EPISTOL^ MAGISTRl PASSAVANTII
Âil Petntm Lysetuitij tmtf.n Cttrifp Parisierisix Prfpsitientemy tttitc
Abbatem S. yictorU prope mtiros.
...Et vos nescitis, ego vidi illura malediclum haereiicum Bober-
itmi, qui nobis est lain bene elai)sus. Fer diem (sicul dicit David]
vos bene diccbatis. - Cavelc bene, ipsc cvadet vobis : " Et defuiiclus
Joannes Jnelreas , qui sperabat maritare filias suas de bonis ipsius,
ut erat zelotissimus fidei catholicœ , bene etiam clamabat semper
quod fuji^ret. Sed oculi nostri leriebanlur, et alii vastaveruiit lotum,
quifaciebant deniinium sapientibus. Et quia ego non sum eum al-
loquutus. quia faciebam conscicntiam. ego rogavi de uno, quomodo
faccret hic. Et ipse mihi dixit, quod nunquam fucrit inagis lœlus,
et quod faceret inirabilia de imprimcndo : ila quod nunquarn fuit
unuîi qui dederit lot pœnas matri nostne UiHversilali quam iste da-
bit. Et quomodo! dixi, ipse fuit combustuâ in figura. Ita, ita. dixit ,
sed ridct âc de ma^stris nostris in propria pcrsona , et dicit mille
jocularia de magislro nostro de Govca , quem ipse vocal Sinapivo-
nim : et de magisiro nostro Picardo , quem vocat Picam gamdain,
qxiia nescit quid dicit. et frangil sibi etiam caput de garrire : et de
illuminatistiimo magislro nostro Maillai*do , et narrât quomodo
quando semel raaler nostra Facultas fuit corain Francisco Rege.
Cardinales ridcbonl se de eis et dicebant, Videte , videle , quomodo
magistri nostri sunt mucosi et lutosi : profecto hœc est una mirabiHs
approbatio. quod Sorbona non potest errare. Et quod tune unus cu-
rialis volens facere ridere alios « qiuesivit dicena : •• Cur nunquam
oporlet dicerè Tu magislris noslris, sed semper f^os , etiamsi non
sit nisi unus! Propter honorcm , dixit alius , juxia illud, Amant ab
hominibus vocari Rabbi , per humililatem SorbonicAm. Non, non.
dixit alius. ego bene scio unam aliam rationem Tropologicam : quia
sicut unus homo est factus ex corpore et anima , sic unus magister
noster, quin etiam unus minimus socius de Sorbona , e^t factus ex
homine et asino ; et ita ad minimum . etiamsi non sit nisi unus, sup-
ponit pro duobus. id est, pro homine et asino. et ita oi)ortet illi di-
cerè yos. Ergo, dixi ego, Robertits Stephamts non est combustus ,
nec mortuus. Non, dixit ille, nisi dicendum sit quodspiritus rêve-
niant in hune mundum. . Ex EpUt, obscurorum vironun.
71
LETTRES m PAUL ESTlExNNE, nt
J'avois (?crit à Genève afiii d'obtenir le calque de quelque écrilait
(le Robert I", soit lettre, ou autre pièce, n'eût-ce ^lé même qu'une
signature; et, tout avanct^e que fut mon impression, il me restai
encore temps suffisant pour faire graver ce calque et le placer
venablement dans mon livre.
Il en est arrivtî tout autromcnt. Aucune écriture ne puT
trouvée, mais dojà depuis quelque tcm|îs on avoit eu l'oblii
attention de n»e faire copier plusieurs pièces que. dans le cas d'
réimpression, on rroyoit pouvoir (*tre utiles à mon ouvrage, et la
réponse a ma lettre deniamiant des calques fut l'envoi de ces copie
qu'ileûtét<5 heureux pournioi d'avoir en main quelques moîâpluslil.
Je crois donc n'avoir d'autre parti à prendre que de les doimer à
fin de mon volume, comme pièces à l'appui, et de les reproduire lit
i-alemenl malgrélemdiffusioiijiiisâantau lecteur àen tirer tellesi
îjéquences qu'il lui conviendra pour les incidents assez tourment
delà vie de Paul Estienne envers qui il paroît que les autorités
périeurcs de Genève, tant civiles qu'ecdésiastiques, tinrent raiw
pour l'affaire mal éclaircie de l'année 1605 (sur laquelle voyez ci-d<
sus, page 502) , et ne se montrèrent disposées à aucune bienveillance
ou, si l'on veut, indulgence envers le fils et petit-fils de deux hommes
quiavoient fait tant d'honneur à leur ville, etdesqueJs Paul , un peu
favorisé, auroit, avec plus de succès, continué les utiles travaux.
Le motif et l'utilité du présent emploi de ces pièces sera miewr
expliqué par l'impression de la lettre qui m* en fait l'envoi.
Uonsieur,
J'ai iippriSj avet' une hm\ gmnde salisfiiction, que voire aanlê el vos
voMSaviÙPTit pfnnis lift reprendre vl dt' iKHirsuivre vos préricuses rerhi
sur lc,sEâfi<nine; mnis j'ai rogrflléde n*avofr[>aâétéinâlruil plus UU do l'i
tentiiun que vous aviez de meUre sous presse une seconde édition do voire
ouvntge ; j'jturais pu vouii envoyer à (emps quelques pièces intéressiintw; qi
je vous avais destinées, mai& dont je riifférji.s rex|»é(lilion dans l'espoir quoj
les rendrais pcul-élre plu» eunipléles. Depuis que j'ai ou l'honoeurde i
voira lettre du 43 juin 1841, réponse qui s'e^t cruiséc avec voti-u btliei ilu
plO aoplfmttn', j'ai dïVouvert à lu liittMalhèqiip publique, parmi des {tiipieni
'non catalo'^ués, tine lettre inédite dr Henri Estienne, adresK'e à Thétniore rte
Bèze, (krile de lleidelber-^ le dernier avril Ifigâ, et trois letlres de Paul
EMicDiiP, 'tont deu\ aulo|;r»pheft, avec une requête du nii^im^ au Conseil d'Etnt,
et une pièce de ven» latins ofTcrte â la Compagnie ûcê Pa^lfMjrs. iU^ diverses
lettres de Paul, dat<!iesde IG08 etIGtG, monlrent qu'il ne pouvait entrer lianti
tjeneve siins craindre d'y iHre sJiisi et mis en jugement; elles sont écrites de
Viriou Virj', en na maison de Grieres, wqui fait connaître la situation de cette
propriété qni ne parait pasavoirété seigneuriale, car aucune carie n'indique
«»llc terre: le village do Viry cet situé près de Sainl-Julien, A deux lieues de
Genève, et fait ruijourd'hui partie du duché de Savoie, province de tiarouge.
Je n'ai juis encore pu m'y rendre pour chercticr celle maison de Grières, an-
cien patrimoine des Esliennc.
Au.^sitAl que j'ai reçu voire lettre du 18 mai, j'ai commencé des recherrhes à
la Bibliothèque pour trouver quelque tracj» derérrilure de Robert, mais elles
ont été vaines , j'ui fait faire au^si de^ recherche;? iui.\ Archives de la ville, on
a trouvé le testament de Hubert Kslienne transcrit sur le registre du notaire
Ragueau, mais la ^ignatuiti du testateur n'accompagne ni le lesljiiuent ni le
codicille; on m'a promis de chercher encore et de m'avertir si l'on découvrait
quel(|ue chose.
J'ai attendu quelques jours espérant [Kjuvoir remplir votre désir, mai» nou.4
n'avons encore rien, et je ne veux pas différer plus long-tempe de répondre^
votre lettre, et de vous pt^uver l'intérêt que je mets à voire importante publi-
«ilion. Je vous adresse ù toute bonne fin la copie de cette lettre de llcnn
Kstienne et de celles de Paul, dans le cas où vous pourriez encore les insérer
IMirmi vos pièces justificatives ou en faire tel autre usage. Je vous ferai copier,
si vous le désirez, le testament de Roliert E^lienne; mais c'est une pièce aisez
longue, dont M. GalifTe a donné la substance, tome lit de ses Notices généoh-
ffiqueg sur It^ famitUs gftievotMs. Si vous voulez le fac-similé de Paul Es-
tienne, je pourrai le pri'panT eu peu de jours.
Veuillez, Monsieur, mo faire connaître vos intentions, me cooservor une
HBlacedans votre souvenir, et recevoir l'assurance do ma hnute considérnlion.
Gcoére, k 3 juin 1843.
t. Vauciibr,
professeur et bibliothécaire honoraire.
Je n'ai pas manqué de faire venir le testament de Robert Es-
tienne . dont cette lettre me foisoit connoîlre l'existence, et m'offroit
obli^t^mment de me procurer la copie. Il est long et diflus, et ce-
pendant je l'imprime. c€ dont je me dîspenserois s'il venoit en con-
firmation de mes conjectures sur le» vôritableâ intentions du teâtateur
.n«
LKTTRRS m-: PAUL ËST1KNN£, kn:.
( voir ci-dessus, page 318, etc. ), auquel cas 11 m** siiffiroit de le mnv
tioniier. ou, peut-être, d'en extraire hrièvemem les principaJ^-s ilia-
positions. Uohert s'y montre fort mécontenl du retour tk Pam, non
pits du seul Hol)er1, ainsi i|u*nn In toujours cru. maint de deux de^»
fils. Robert et Charles. Je ne puis cependant in'om|iêcher de crmn
que. s'il les prive de sou héritage de Genève, il aura pris en cof&i-
di^ration l'importance des valeurs par lui forccniciit laissées à Pk-
ris. au moyen desquelles* la part des deux Parisiens cHoii peut-être
meilleure «[ue œlle d'aucun autre de ses enfants devenus Genevos
Quant M l'amertume que laisse voir cet ^rit, faut-il l'attribuer au
père de fainiHe , expirant, et (|ui le surlendemain n'existoit plus, ou
bien à ceux qui, au lit du mourant, recueillant ses demi^res volon-
tés. Gl même les notant avec exactitude, auront. \m.r l'effet d'nDxi:'lf
quelconque. r*îlipeux ou de parenté, enchéri sur les expressions, e!
agjfrav*^ les munilei^tations du nu'contentement paternel Je crois,
il'ailleurd, (|u'écrite ou dicti-e par Robert . cette pièce eût été tout
autre et parfois nippellerojt la naïve originalité de l'écrit sur les Cen-
sures des Bibles Le nHmi-anl [)aroît même avoir été hoi-s dêtal d'v
opposer sa signature, it rnuiiis t'm»re aux deux codicilles du lende-
main 6. veille de la mort, cnr la minute notariée, revêtue des signa-
tures des témoins , ne porte ni ne mentionne la sienne.
Je n'ai pris cru nécessaire de donner copie des deux codicilles. D^
contiejinent quelques dispositions en faveur de la veuve , dont l'en-
tretien y est mis à la charge de Henri , et un legs peu considérablr
aux enfants île Louis Munîer (ou MuçnierK lequel probablement
étoit It,' Hian décédé dont Robert avoit épousé la veuve.
Par le testament on voit que Charles, le troisième Als de Robert.
que l'on a écrit être mort presque on bas âge chez son père, et peut-
être du chagrin de n'avoir pu quittei Genève , e^l bien réellement
revenu à Pnc'is, s'y est marié, et au moins en 1559 y exiâtoit encore.
Copie île Heifwslr à tiut maffni/iffMfS et très hoHOffz Srt/;n<?urs.
Exposo eu toute liuiuililé Piiitl Kstionne vcistri; liuiriblc ciluyen, fils el ar-
riére fils (le deux [H'rst)nriot;es vo? fidèles boiiij;eois. dont la niéntuire f>l
hpuri'M.-^e et loiiattio \»n\i \'hui\uv\n iirs Iclln*-. «H [hmij Irur iitTcilion cl svnré-
rittM'nveibvwtJT H('pijlili<|ii*\ (,)iio di-puis ti^ liMups qu'i! s'o>i trouvé nWluii-i
Iiorà vu!i(re ville à son ;;rund uiallK>ur cl d6«jistrt!. l'I sans tiétmtmoins avoir
inKutieyuïre|«irl t'srliwospasfl^, que le rp^rfl «'t miswx* qui <ml toujoMrs
ac(.'ojii|>iiigné son esprit au milieu de son innocence et inU'^ilé il u l'utitfnuel-
lement lun,;ui etsouspiré pouriw voir d'un eosKi affligf^ en son honnetir el de
toute »a fiiinillo \wr certains .sinistres soupeonB qu'on a ptiUlié rotilre lui, el
d'nutrei'ùié truvors(^d'uneju>te crainte et ap[yrehension de mettre ^on itiuu-
lomeà l'espreuved'un cours ordinaire de justice, et soubs le faix de jçnimles
ruirteti qui s'en ensuivent (et copendant u[>rfe avoir bien pensé à soi et à ses
affaire», et à ce qui est du principal, scavoir à la persévérance et rermeté
threstienne en I» retlii^ion, il u mesprisé plusieurs destourbies du monde et
faict entin un voyii;^e en France ver» m^ parente et amis et nommément à
Par» vfliB son l)eau-frén! *Hi il a pris résolution de m retirer [tour y vivre en
liberté de conscten<*e et en l'exercice de la relligion que Dieu hii a faict lii
►.Tare de Bu<yravet: les mamelles en vostre Kglise, et là cherché les moyen*
d'entretenir soi cl ses enfanl8 vos citoyens sans scandale, despliiUirou om-
brage de ses c/mcitoyeos. C'*si pourquoi il supplie vos Seigneuries que puis-
que (wr la \enlêqui aif^téde M.'s biens ne lui reste autre cliot»; que ce qu'on
ne lui u |»eu usL^t, ascavoir siui dmil naturf-t de citoyen et son afTectimi envers
v)w Sei^çneuries, Il vous plaise ]io«r un deroiiT bt'iiolicn (quoi'pie i«ir diverses
requeijtes il en ail esté refusé, lesquelles pour le trtjuble de son esprit et amer-
tume de son oœur, ne se sont trouvées par avanture eouchéet» en termes con-
venables et ajîLïreables à vus Seigneuries] lui permettn* sout>s vostre bénin*;
sauf-<Y)nduict de pouvoir venir prendre congé de vos Sei{;neuries ot de mei*-
sieursIesMinisti-esotdo U)U!ises jNircntg amis, et donner tout contentement
H lui iKMsible a aucuns qui ont encore à demeslur (|uel(pit^ petits affain's avec
lui, que tirer conli* de quelques autres qui lui seront tenus, pour se retirer
avec vostre bon votiloir. El ce faisant vousoblijïerez et le suppliuol et jm:» en-
fants vw humbles citoyens de prier Dieu journellement [tour vostre prospérité,
attendans que panenus en aaize de discrétion et adressiez pnr la Divine
txïnté en quiJipie heureuse condition, ils puissent joindre à leurs vœux leur
inïs humble service envers la |>atnc en {général cl chacun de vos Seigneuries
en particulier.
Prêu»(i« le tt* ^uvitT 1608. Reipoodu, Teu eo CouàL
A Meitsinàrs le» Mmisirts de VEglite de Gmèvê mes très hùnorez Pasteurx.
Messieurs mes très honorez Pasteurs,
Comme je me suis trouvé dan» ^iiris À l'ouverture de vos lettres escriptea i
MiMisieur ObuiulMiu dés environ trflis mois, sur la lecture de:k|uelles je nq>poi^
tiii tant qu'en moi fur^l Luutcoqui |KHivoit iMcifier son esprit très mal content,
oncor que tout le n>al der ivast sur moi ^eul, je fus prié et pris charge du dict
sieur CasHuhon lui envoyer resjionw sur relies qu'il me livreroii iiddrpssante*^
LETTBES OE PAUL liSTlKNNE, ■«;.
à V06trc vén^blp compn^ip, lesquelles furent jiar moi rendues A monsipv
Samiâiu le ooriscilItT ditn» Lyon |>our les vous fair*^ Icnir, ol j'ai lllln1l•JI^-
ques à ))i-LSfal d'en tli'umiiiJer reiâponse, aUeiKliuit de jour â aiilrp qiipli|tif
surets de Hitsrcquesles j noâ très lionorwt Seigneurs, ol pouvoir pnrkrilf
bouclu?; miiis cumine Innain* prend |H<uU<âlretouj; traicl. sur les IrUncm-
t^^livetidu ditsieiir Casaubon, jeprie vostre \>nérable Cumpagnîo. as8<*m-
blée avec Monsieur le Recteur, McîMsiours les Diacres, pour se reeouldrv ud^
fois que c'est qu'iiii prétendent sur mes biens lewjuels ne porI<*nl (KXfiI b
subjection qu'ils ont estimé, et n'affecLionner rien plus outre ni prf%aloirdr
nion iilisence, qui n'ai olTeusé personne, ce (pie je nionslrerois itsser. sï urilf
esloillii contrainte qu'il falustcsciire. lU ont peu prétendre quelque draictcoti
tre feu mon père vivant, util fu*«lvenu àde.sraillir uu\ustriclionsdu lo^lament,
ninis iU ne trouveront que l'aslrittion s'entende après sa mort on laquelV
[mr lu ^nke de Dieu il estoit paisible poâiK.'sseui tjuit de ses autres biens qur
doson Imprimerie, à hiquelle le Testament ne substitue aucun, moins !'«>-
treinct» après sa mort, miii» bien à lui vivant, s'il ne iïiu-de les c^ndilino
du t4<stament, cl pour lesquelles îl n'a |H)int eu de dei^luurbies. Dobondam
Messieurs (ce que |>eut estre vosLre vénérable Compajinie n*a sccu ou (Kiof
la ptn|tnrtr j'ai acbepïé mon Imprimerie après le iU^c^ de mon feu |ien-.
()Our n'avoir icelui testé, que si ce dont maintenant on voudroil prevalw
contre moi, estoit valable, la dite Itnprimerie me debvoit (r:»ire adjuf^en
|»raîcipwt. mais en no>Uc plaids fnst respondu cpie le tesUiment et adstrîctioitt
d'icelui, ne passoient plus luiit^ qu ù feu mon père, et fust ou sur le point dp
la vendre et nommenii a qui elle fust présentée, ai besoin est; enfin nMS
sœurs bériticres li'lcelle avec moi la mont vendu et pour la somme de huit
cent escus, à lu somme de combien elle ne m'est à pièsenl revenue à beau-
coup près, selon ce qui s'en est veu. Je prie donc |jar vo«tre intervenlioo rt
entremise, rtexborte le dit sieur iïecteur et Messieurs les Hiacres lai*e#rrl
Monsieur Cnsaubon et moi aller en paix sur ce fuicl, cl m'en donner re^nv
J'envoye à vostre Venerîihle rouqwgnie (laciuello je respecte et honore àf
tout mon cœur et Dieu m'en soit lesmoin) ni;i dernière requeste à nat^ \n»
honorez Sei;;neurs et le refus d'icelle, par laqurlle apj«'rrr) quo loco r« m»
sini. J'envoye à Monsieur Laurenty recteur pinir le d^-siibuser et n'esïimerdf
mo! comme il en a parlé le meanie que ci devant j'ai envoyé à Monsieur De
la Fiiye regret de la vie et condition que jotneine. csttmt eocor loul tel par
la i^rncp de Dieu et lui faisiinl prier de persister toujours tel vous Sïip-
pliunt d'y adjoindre la vostre, demeurant à jamais de voôlre Vénéjnble Com-
pnignie.
Messieurs mes très-lionorez Pasteurs,
Très humble, syncère et alfectionné serviteur,
ESTIENB.
De Viri, eu noslrc fntison de Grio«« cr Î7* fcbvrier 1608.
LHTTRKS DR PAUL ESTÏENNB, rtc
575
Fidis Ecelesiœ Gmeverain pasloribui po9( festum Pwchatis onnï 1 607.
P. S. S.
Feliccs animaj, âacra; vos organo Itugus,
Or^na non audiU mihi juin tcmfmro longo.
En ubi vox illa e^t, ubt uunc quac iiiterprcte lingua
hinditis arcanœ veneranda oniculu diurUu?
DeGre^e sem|>erego . Vos o numquamne vidpbo?
Nulla dies, nulla esi quse non vot) hor» roduciit
Exlremumno valo pleno singuUibuâ orc
ErjîO feram'.' nui'^no jam mens meii Qiirluat amlu.
Tolus eo in lacrymal, H me nihil aci lus urit
Quam romilem vcstrisjam non adjun^erc mcûn
Ut lictitt quondam. Scd rnrn.s nt^a portîrit atisens
Qitod ncqueo. Longum procoross^ilveto. \ak'U%
Hsle mei meroon» : veterum nK^mini^!».' doluruui
Cogiinur in somnis, et [mt iiiainonUi, |>or horas,
Anlc.oculoârtHleunl nosLriquo injuria sodi
(^)ii?cqiie indigna tuli ludibria. i>ed nibil ttia
lnq>ediuiil piitria* queni nos debomus ainurem
Qiian(]iii)in rliam valc, tellu.squf innoxia suive,
Anle octiloà lu tola meos, tua sacra fovebo
Tequo aniinu : prtcsenâ noqueo, qutxl conqueror, hoc est.
£tornos raliceâ et nectar amabiio nuper
Oro quod hau^istis nimium riiiniuniqiie bento,
Twior egu, ulta tiii vcnient oblivia numquuin>
FiiH Paslorcs, jiiro dextrdmque Gdemque
Qiia; miniquam tnneruUi mihi, qmo nescia fraudi:*,
Invitas juin nmic veslroUe litlorecvdo.
Rxtremum ni*cdicov;ilc. Oi'O't*'»»"*!"'' iwrabo
JamjU5liim e>t : Animum vo^ô lonitc dolvntem,
El de nio misf**!*» prcres vo» hortor et oro.
Sic itii faciles âuperi, sic omnia ia*ta
Qui poUîril vidcre, mali*pic illudore noslris-
Al non nfscioquis qualetn mihi lînxil, crit mens,
Quisquists est, nivet» oculus qui farinai agoos,
Numqitam crit ilta mihi, necme co^noveril uHitt
Eventus qui non ineruisse ncjjaveril i*lOft.
Fidi Paâlureâ ileruinâiilvetc, valcle,
El de]me iniscele prww, vos hortor et oro.
Ce )Mpicr |K)rle »iir le dos Ira mots «uiianb : L'Jdicu tiu S- l'aut Eâùtniu^ rn
t'en, envoyé à ia Compagnie, îr 86' de (chvrifT 16U8.
&76
LETTRES DE PAUL ESTIENNE, etc.
A Meisiturs et fdvles Pasteurs de l'Eglise de Géviéve.
MesBieurs,
Ce n*Mt par aucun plaisir quo pour une dernière obte^itat ion je pn^srairi
vtwlrc Véuérablo Compagnie quelques re(|ueslos ci-jointes ad(lress<!^s i b
Seigneurie mais sans aucun fruict nun |HJur autre fin que pour un dcTnwr
lësrooignage d'.ivoJr tout ejksayt^ avant que venir à la nécoâàiu^ d'câcnnv
Qnelques particuliers qui ont Uinl de force el qui prévalent conire moi, s'fl»
esloyent mieux louchez, n'auroyent occasion de roidir à la conlinuattoo <k
tant de refus. Je laiî^e sur leur (sic) teste» les couleurs qu'Us donnent anMS
afllirlions. Quv si mon inslruclion et l'aine en laquelle je suis né, ne me de*
fenUuyeut d'user d'inipnk'alions, la me^mc feroiis-je contre eux, que celle m
jeprensà moi, laquelle est ri'estre anaiheme devant noslro Seigneur, si j'j»
eu oncques la moindre idét: de tout ce qui est survenu moschamment aprts
la reddition d'un homme qui misérublemonl a e^ié perdu, de quoi iU font
trophik?. Leur procédures envers moi nionl une fois appris à ne me (twumrt-
trc à eux pour une seconde kià. \h auront Dieu aidant les causo:^ («irticulie-
res delà contraimte ou m'iimeinii la force dts dits particulier^ pour lesqu^
mon but et inlenlion u'e*t de m'aildresser par escripl à un corps el moinjau
public auquel tout bien soil. Si ces parliculierâ esloyent bien informez en l'af-
fairo de mes Fontes et matrices, a quoi reviendra luut leur travail et pour
qui^ ils auruyent peut eslre un désir tout antre et contre la liberté de Ictus
citoyens ne (iifipensproyent du bien d'un liera lequel il n'u lais»?? *r lon^
temps en leur ville, asciivoyr les matrices en queslion, (jue pour s'en senir
un jour en lieu ou sa relligion fust entièrement libre, sii'aspretédes teinp6f(
des cœurs prolonjîeoit son ostracisme. Que s'il n'eust faicl plus d'cslat dp a
relligiun que ceux qui prcleadeut ainsi libérer son bien, et qui savent m
quelles mains il tomberuit cela avenant, il ne seroit à présent et seloo li}
niondt^ u l'estroict auquel il se voidt rwjiijrl pour n'avoir accepté les présen-
Uitioiis non pclites el de i>rè9 et de loini; à lui faicîes. Si bien qu'il fieuldirc
avoir eu toute recûpense, prc^i'um pVf/u/is ûitV/uum. J'ap[>elle donc à Dieu con-
tre ces genls ta du sang de Tame de mon enfant quem pontificii in swu pat-
tes traxerunt^* auctuel pour l'eâlroict de mes attairos n'ay peu donner reu^
les moyens m'ont esié levex de l'enLrelenJr en voB escholes; et raonsecorid
rej-rct encor est de me voir en si'uiblable dilTictilti^ pour les estudes de roun
autre fils ** , lequel j'ay lousjourssouliaicbé d'instruire eu la ville à laquelle
j'ay tout voué : de quoj je semble aujourd'hui eslro forclos par la force qiu me
veut faire perdre mon bien, qui est aussi celuy de mes créanciers avec les-
quels selon lu forme des susdictes procédures je suis du tout empeschê<l(
Aiiioini? qui fnl f mnipnv k Lyoa, et pcii d'aDiK» aprèa, fit ■hjiiraiion â Paru.
Jo*ppIi.
KBTTRES DE PAUL KSTIENNIi, etc.
vn
Iraîeter. Que si le Conseil en ce temps se Ircuve mieux forma, qu'autrefois
pn semblable fair l par la rosponse liiirlo â Henri 3' pour lu ppwonne d*? mon
feu |HTL' vl de ses bit'iis, la où la Seignourip ilalors pn^sentc Umt ce qui est
d'elle et deMm aflecliun u àaditc BJujL>!?tù iiiuis suufle druict du tiers, re»puase
parmoienrQrgard^cLdpuemeiilÂLgn^ et dont puis faire foyrommedignomcnt
rendue et selon la lilwrlé des ciioyensà lat|ueHo on ne peut et doit attenter ;
si diji'à présent !(• Conseil S(> seul mieux formé qu'en ce temps la et que la
roponsfî de moj tiers n'a partant esté faicU\ je scay que je me travaillerai
beaucoup contre un plus fort. Neât-nioins quand jauray faict tout essay de-
vant Dieu et les hommes pour l'equilé de mon droicl, jauray jtour dernier
appuy, contre la force contraire, el la patience et d'en luis^r à Dieu la
vengeance sur le cri qu'en feront mes petits enfanb». Et si ces particuliers roi-
disscnt toujours, je les exhorte [K?sor encores une fois mes plaintes el deman-
des; et le refus qu'ils funt au roi de la Grand' Brctiii^ne ; et ruvaucenienl de
la relligion qui doit aller avant toute autre chose. El i>our les couleurs dije
qu'ils donnent à mes afflictions, je me contente pour icelles, toutes fois et
quantes qu'il plaira à Dieu m'api»eler en sa ^race et miséricorde de mes fautes
vous laisser ce deposl de souvenance que je |>ourray tousjours dire Iw yeux
dressez aux pieux, \>o\ir ces fausses couleurs dije donnécâ à mes aflliclious,
drt^ssant dije les yeux aux cioux
[ Sancta ad vos anima atque islius inscia culpic
Ascondu, clarorum haud unqiiam indignus avoruin.
£t rescn'ant le surplus à luon escripl adressant aux susuoinniez jiarticuliers
qui â cela me forcent pour l'honneur de moi et de ma maison, je fay requeste
àvostre Vénérable Compagnie d'accepter ravond>lemrnt ce que j'ay désiré
pour un contentement luy faire encore enU'ndn.' uvunt que pjisser outre, la-
quelle je prie le Tout Puissant combler de ses bénédictions de jour en jour
plus grandes demeurant d'icelle.
Uessieurs,
l.e irts humble el trèsaOecttonné serviteur à jamais
ESTIENNE.
De Tiri en nostrc nuium dv Grières ce W tk ao^èbre 1616.
Siucnptiom :
.4 Mctiifurt
Mfssieura rt fAèUâ PAtUuri de CSgUttdt Ctttin
A flertèv*.
Messieurs,
Ne voyant aucune favocable disposition en mesal^ire^ avant que venir â la
nécessité dernière de re que je n*ay encor désire faire, el à quoj la conlraiote
73
578 I.KTTHKS OK VMU. ESTIENNK, kti:.
|)Our les procédures envers moi est comme preste à me porter, et sur le potttrt
de rendre response au Roi de la Grande Bretaigno, bien attendue et que »
dite Majesté n'a rcccu. ie laisse pour attestation seconde à vostre \éoéa^
Compagnie, la plainte pour les refus ordinaires qu'on faict à mes requesici,
et pour le desbiffement des deux dernières qui tous sont ici représentées de mol
a mot sans entrer en Conteste, si au désavantage et contre le respect du pfaa
grand Conseil , on a deu passer jusques là que descbirer la requeste addree-
sante à ioeluy, et par ce moyen en denier A l'exposant la convocatioD. Que»
ta condition de mes affoires neconsi^oit au maniement et Visitation particu-
lière,de plusieurs pièces, qui ne se peuvent transporter qu'avec porte et trop
grande incommodité, il me scroît indifférent de traicter avec mes créanciers
en part que fust, et la lecture de mes requestes n'empescheroit ceux qui en
tiennent trop peu de compte, me privants de laisser un dernier tesmoignagr
de bonne volonté à mes concitoyens, envers lesquels au moins seray-je net à
l'advenir comme du reste, si au lieu de faire travailler en ma patrie par
homme à ce choisi, laquelle me fordost à présent et sans peser pour qnoi et
à laquelle toutesfois rien je n'impute, si déjà, et ce après légitime payement
de mes fontes, se treuvant deuement faictes, au lieu de les faire servir au lira
de ma naissance, je suis contrainct d'en venir à nne autre coivlition qui ne
luy sera point nggréable et moins avantageuse. A quoi Messieurs si la bvear
de vostre Vénérable Assemblée me juge capable de me faire voir quelque meil-
leur expédient, c'est le fonds de ce que je requiers humblement d'icelle, et,
sans répétition dotoutcequi estporléparlesrequestesicixopiées, etcidevaat
représenté en vostre spcctablo Compagnie, vouloir rapporter toute bénigne
amitié de si favorable part. Priant incessamment le Soigneur pour le comUe
de ses grâces et bénédictions tousjours plus grandes sur iccllc et demeurants
jamais.
Messieurs,
Vostre très-humble et trësuiïi'Ctionné et obéissant serviteur
ESTIENE [sic).
1)t; Viri en iioslre maison tle Grières ce Si** de Ut^l>re 1616.
Même suscrîption .
TESTAMENT DE ROBERT ESTIENNE.
Au nom de Dieu sachent tous qui ces présentes letres verront liront et ouï-
ront Que lan mil cinq cens cinquante-ncul et le rinquiesmc jour de septembre
pardavant moy Jehan Ragueau notaire public et bourgeoys jure de gencve
soubz signe et les tosmoin^z soubz nommes a este présent en sa personne ho-
norable Robert Eslienne maistre Imprimeur et bourgeoys de geneve estant en
bonne disposition dosprit par la grâce de Dieu combien quil soit mallade de
cor|« Lequel a dict et déclare quil vouloit faire son testament et ordonnance
TESTAMENT Dli UtmKHl EhTlENNK.
S79
le dernière volonlo et ma roquiz iceluy laecUa el rédiger par cscript el on ce
isanl a dirtot déclare qui I rend [inicx's a Dieu de Uint de biens elbéoéikes
[uti luy a foiolx et singulieremcnide ce qui! la apiiellealacognuissiinoe de flon
saincl K^nn^ileet purireluy donnearoguoislrele vray moyen de ;«)» salut [(ui
est par Jesu!ï-<')iri8t son seul filz Lequel il a envoyé el a souffert mort el vaincu
la n>ort en mourant pour nous acquei ir lu vie — lil le<iuel il supplie au;;menler
ses grâces rn luy ju>^]iies a ce quil lui plai.*e prendre son ame pour la mectre
en son rcpoz éternel en attendant le jour de la resurrociion générale — Ilem a
dicl quil voutoit el onlonnoil apreii son deces son corps ostre ensepvely et in-
huine selon lordre et police de cercle o.^Uêe Item el quant aux biens teriers que
• Dieu luy a donnes a dispose et ordonne dicculx comme s'ensuyl Kt prenuere-
ment a Ic^ïoe et tloiinc et pur ccbtuy présent son testanieni le^ue et donne
pour las,sislenf fi ries paouvreacslrangers retires en ceste \iltepoury vivre se-
m la reforma lion di celle — La somme do deux cens cinquante livres loumoys
qui sera baillée n ceuK qui ont la charge de la bourse des autmosnes direutx
paouvreâ— Item a lègue et donne i>our la dotation augmentalinn el enlrelei-
neuionl du collège que nos ma^rnifiques sei};neurs et su|)erieuni do ceste cite
ont commence a dresser et fonder en ceste cite. Assavoir la somme de cent
cinquante livres lounioys qui sera employée en ac(iui>ilion el renie auproficl
dudict collège El a la cluirgeel condition que si lesdiclz deniers rente et revenu
ejtloient tmiployes a aulln? chose quelle qi.ello soyt lesdiclz deniers •% rente
reloumeronl a ses lieriliers el pourront par eulv estre répètes et relires —
Item considérant ta grande ^raco <|ue Dieu lui a faict de lavoir relire du pro-
fond de lidulatrie et tyrannie papisUque et Inmener en reste église reformée
selon la saincte parole de Dieu ou il désire de continuer lestai el Iraiu d'tntpri-
nterie auquel il a pieu a Dieu le commettre pour serv ir au public cl pnnci|ia-
lemenl a *on efilise et a quoy faire il esperoil estre ayrie de tous les enfans
quil a pieu a Dieu luy donner lcs<jueU a c<':^le lin il uvuit faîcl esludier es lan-
gues latine ^Tecque l't liebriiique vl après luy mesmesiesavoil insiruictz en son-
dicl art et vjircalion dimprmiorif Totilesfoys les uulcun^sdiceulx UÀSavoir Ro-
bert el Charles a son grand rejîrol el contre son \ouloir lonl fraude de cesie
cs»pcraiK'e se retirans daviv. lut et da cesle église et s'en retournaiis au lieu
du(|uel par la grâce du Seigneur il les avoil rrtires et qui pys est se sunl
maries sans son uulhorite vouloir el consenlenienl m se |>olluant a la uk^ssi^
et aiiUrrs su(>erstitions de In pjipaultp Et nnnl voulu k^sdiclz HotM'rt el
(Uiarles reeoîînnisire leurs fautes ny se retirer |i;irde\rr^ hi\ rn rc*;liS4* de
Dieu combien que decciU-aycnls^iuvcnl par luy el instamment pur plusieurs
années este admonestes priesà ol requis par grande doulceiir et dOî^Miys par le
debvoiret obéissance quiU dcbvoientelavoccomntimitions que siU ne se relt-
roiifnl dedans cerUiin tenq>s pn^fii il les dejecleroyl de tous sen bieus comme
rebt>llt>s in^ra(zeldesobei^»ansa leur père contre le coutmandemenl do |)ieu
Deqtioy loutesfoys iU oont louu cum|Ue ny «ulcunement sali^fuict dedans l(<dtct
temps et tenue a eulx preflx qui oil des long leiti|i^ expire l*uur ces causes qur
I
580
TESTAMENT UE HUBERT BSTIKNNB.
ledict (eslalcur a dicl eaUe vmycs el parce que U^lle est sa volonté (a^tnotgv
ccbienadviso & ayant pryzsurr<» (comme il disoyi) bonne el longue delibni-
lion iceluy lestatour de sa propre bouche a exherede et dcjecle le*dicu Robert
et Charles de toute sa succession voulant tant seulement que a chascuiig é»-
dicts Robert & Charles soyt donne la somme de dix norins petit puiz mcwDoyt
de Savoye et ce |M)ur tous djoictz quil pourroicnt diMnander ot cjuereler m st
succession — Itpm etparco que sur sa viellesseaccompaisnec dt* in;illAdif«K
luy est Jemoure i)Our tout ay(ïe et sola^ement que Henry Esiîene son 61? atsw
lequel se^t marie en su nmisun et par son couseil t-t autternent fuient l(Ml
debvoîr dungbon iilz le support«int en ses peines et labeurs ay^nt la princi-
■palle charge de limprimerye qui est la correction et de pour\oir aux copies loy
donnant bonne asscurance par la t^race du Seigneur quil continuera en tel
debvoir el oflire et succe*iera en sis labeurs pour entreteinir ledicl Uain rt
honneur de ladiclc impriinrrye Ic'ijuel i^races a Dieu a des lon^ temps r«tf
continue en sa maison au pr{tlU-l tlii public et bon nom de sa famille A rcs
causes et mesmesalin que Icdict ïleniy ayc quelque récompense de son obee-
sance et secours a luy testateur feict vl que a ladvenir il aye enr.on*s metUeurr
occasion de conLimier el s;ilisr^irr a son désir et mesmes a Ihonneur de Diim et
utilité de son ei;lise — loiiirott'iruMiionldf ladiclc iinprimerio et quelle ne««t
debauchoe — discontinueo ny divisée elpartye — Ht ausety parce que telle e*(
la ^olo^lcdudict leslatetir icHuy teslaU,mrde sa propre bouche a nomme rt
institue ci par cestuy présent son teslimient tionuuc cl institue son bmlKT
unKcrstl Icdict ïlenry son fdz aux cliargos toutosfoys cy a|ireâ dedarrcs—
PreniierniH'ril de payer tousel chacungsles deliks dudîct testateur sunpen
ensemble les lof^iitz par icehiy faictz ot t'nlre millrcs ii la charge de bailler rt
paypr a François Esliene son Iilz el frère iHrtîîny Henry la somme de deux mille
livres tournoys el en Inquelle somnie ledi<l tesUilcup a institue el iiiàlitue son
herilier ledicl François son Iilz le dejectarit de tous ses aultres biens et vcidl
et oi"donno icolui teslatt*ur que ledict François se contente dicelle somme tMîd
égard aux gnnidz despeiis iiue liHiicl testateur a faict pour Jentreienir aux c*-
tudeset es lieu\ nu lia ilemoure hors sa maison Et neantmoinj^z afin que li*
puisse cngnoisirc quel ilolivoir fera Eedict François de senlretenir et deMioiirrr
en cesle église el cite Uml quil pUura a Dieu maintenir la samcte refornuittou
dicelle telle (piil a pieu a Dieu y ftstahlir selon son saincl Evangile ledict leblD*
leur veull et ordonne que ladicte somme donioure entre les mains diidict Henr>
en baillant les [irolk-lz dicelle cliasciiti nn îiudict François pour lentrctenir jon-
ques a ce quil mnl venu en aage de vingt cin(| ans et que Ion coj^noisse par »i
vie et conversation et quil ayl apparence en legHse par le Lcsmoignaî^e de5sj>ec-
tables ministres dicoU<? quil lia vouloir de continuer el suyvre et se muiale-
niren la<licle reformalion Elsil Taicl le contraire et se débauche ou retirr de la-
dicte rcformalioii ledict testateur vcuK et a onionne quil soit prive enticiTUienl
de ladicte stnnrne et quelle demoureaudirt Henry — Iteui ledicl lesUileur veidl
ni a ordonne que si ledict Fran<*oissevcult marier qinl jmMute conseil de son dicl
ïrcHenryetquilsaccommodepn ses affaireâavQctcoluy Henry et Buyvesondicl
iwil— ItomoomhienquelcdicllwliUniruyodt^jabiiilleaJphaniioeirKithorino
fillestH achascune délies Insomnie de seplcen» livres tournoya en mariage
ïanttDoinf;? veult eta ordonne lodict tcstalour i|ui1 leur soyt enrorra baille par
m dici héritier cy dotisii:» nomme el a chascuno dii'elles la «unine de neuf cens
li|ivre> tournoys et en irello sommes montanR ])onr rhascune seize cens livres
toumoy? ledicl testateur les a instituées et institue ses héritières voulant quelles
«en conl<>n(enl pour toutes paris el portions quelles pourroienl prétendre en
tous ses biens et successions Item ledict testateur a ordonne et ordonne que ses
diètes filtes cl aus?y ledicl François estant quant a hiy advenu le temps du
]>ayementdoladict(^somuica lui donnée si ledict Henrj son héritier cy draaus
nomme ne veult ou ne peult bailler arjienl comptant dotbvent prendre lesdictes
sommes a eulx laissées pour leur légitime inslilution en livres et marclian-
dises au priz des marchans el a raison de diminuer le quart denier du priz
commun^ des marcban.s et prendre de rluiscune jwrte desdictz livres Item au
cas que ledict Henry veint a rompre lestol train et vatTalion de ladictc iroph-
mene pour prendre aultre estât et varculiiHi ou bien aussy quil son allast
domourorhors ce^o enlise tant quil plaira a Oieu de la consiarve.- en su refor-
matiun — En ce cas (duquel ledicl testateur a prie le Sei'^neur vouloir préser-
ver ledicl Henrv) veull et a ordonne iceluy testateur que ledicl Hcnrv' suit
prive et doscheu do tous sesdiclz biens el quilz accruiasenl audict François aon
frère proveu toulesfoysquit ayl bon lesmoi};na}çe en leglisc de Dieu et des mi-
nistres dic^lle dy vivre el continuer selon ladicte sainctc relormation et aussy
de maintenir ledicl estai dimprimeiye commeiMi estoil charge ledicl Henr^le
tout sans fraude Itéra elendefault de satisfaire austliclcs cluirges el couditiuns
par lesdicts Henry et François ledicl testateur veull cl ordonne que lesdicU
biens soient acquis a sesdictcs deux filles ou a leurs hoin» demouransen coslo
église ou aullres reformées selon levangiloen bayltant loutesfoys a la bourse
des paouvres pslrai»sf « relires en ceste cite pour y vivre selon la refonnation
«licelle et atidicl collège decestc cite a chascunji la somme de qualre c#ns livre»
tuurnoysoultrece quil a cy dessus lei:ue en laveur desdicLzpuuuvresA: cullege
et en augmentation diceulx le{;alz el soubz les nicsnu>s conditions et réserves
déclarées cy dessus a lesgard dudicl collège Ilem et en cas que tous lesdictx
enfans tV hoirs défaillent dn demourer et vivre soubz ladicte sutncte refonnu-
tion ledict testateur veull el ordonne que tous wsdictz biens soient et advien-
nent audict collej^e el ausdictz pauuvres i>ar moiclye comme dessus — Iti'iu
ledict testateur veult et a ordonne que ledict Ilenr)* son benlier baille el soil
tenu bailler a honeslc Marguerite Desrhainps sa 1res cherc femme et loyale
espouze duranl la vie delle la somme de quatre cens livres tournuys pour une
Toys payée et aussy quelle jouysse et que somlicl tierilier la laisse jouyr sa vie
durant seulemi-nl des membres du corps de devant de sa niaisun ainsv quil
ite\lcnd sur la boulic]ue et sur la rave et les(|uelz un appelle la salle chambre
sineeiisetnble des meuble* desdictz membres — Et au^ quelle sayde
582 TESTAMKNT DE ROBERT ESTIENNE.
pour ses nécessites seulement de la cave et grenier qui sont ausdict coq«de
ladicte maison et aussy de lestable ensemble du jardin auquel elle poun
prendre ce qui luy sera nécessaire moyennant toutesfoysque sadicte femmes
contente de ce que dessus pour la communaulte quelle pourroyt prétendre pv
son cootract de mariage et quelle nen demande aulcung partage a sondktk-
ritier dautant que tel partage teodroyt a grande dissipation et pour a laquelle
obvier ledict testateur la prie de se contenter de ce que dessus — Et a dict d
déclare ledict testateur que le contenu cy dessusestson testament et ordonaaMt
de dernière volonté — Priant nos magnifiques et souverains seigneurs de gBoeie
et tous aultres seigneurs et magistratz de justice quil leur plaise Taire mectre et
souffirir le présent sien testament estre mys a exequution selon le contenu cj
dessusLequel testament et ordonnance de demierevolonte iceluytestateurveiilt
etentend avoir vigueur et valloir par tous les meilleurs moyens et manières qoe
faire se peult et trouver tant par droict que coustume ou usauce soyt fisr
forme de testament nuncupetif — codicille — donation a cause da mort —
fideicommis — partaige et aultre meilleure disposition que faire se peult Isoe
non dérogeant a taiiltre mais ser/ant de plus grande confinnalion Et a revoque
et revoque tous aultres testamens et dispositions de dernière volonté quil poiu>-
royt avoir faict parcydavant si aulcune sen trouvoyt avoir este faicte par luy
voulant aussy ledict testateur que du présent sien testament en soyt faict ua$
instrument public ou plusieurssi besoingest et autant de clauses quil sen n-
quiz et nécessaire lequel on puisse corriger et amender au dire et par ladns
de gens doctes et expers en ce sans toutesfoys changer la substance de sa vo-
lonté faict et receur par moy dict notaire les jours et an susditz en la chambre
estant sur la rue publique et boulique de Ihostel dudict testateur situe en la
rue de Ryvc Presens spectabics Théodore de Beze et Jehan Maccard ministres
du sainct Evangile en ceste cite — Spectable Germain Colladoo docteur es
droictz Nobles Pierre Gorin Seigneur de Boysboussat René de Billy Seigneur
de la Mauvinyere Honorables Guillaume Tryo Claude Maistre et Nicolas Fon-
taine marchans tous bourgeoys de Genève tesnioingz a ce requiz et appeliez—
Signé : Ragi!£AU. —
Certifié coDfonnc à l'original contenu dans les minutes du not^' J" Ragueni,
déposées aux Archives de Genève, vol. de 1559-1560, ^ 185.
Genève, fî juillet 1843. Tn. Hbgeh,
Commis des Archiver.
l'our tn page 450. — Je vois. t. Il , pngt 35i, du ManofI Oe M. Bnincl, nouvelle édilitm,
que la rcimpreuion en gm ilr II Gateemyomachia , fcile à Flureace, est de 1841. iii-8 . ri
non pas de 1130, prlil iii-4.
SIPPLÉMENT
Pour la patfe 10, après te tf* i.
(;ftomolrie en rranrays. Cy cômence le Hure de lart el Bcionco de Georoo-
iric : auOf<i'; Ips ficurcs sur chnsciino rigle (mc) au long decliiroos , par lea-
qlles on pt'iilt f nt4'ndrr el racHlemct côprcmlrc le dit art et scienco de Géo-
métrie. Noucllomél Imprime a pnris par Henri esliene Imprimeur et libraire
demourant en la rue Siiint Jelwii do Ije^iuvoys : devil les grades escolcs» d'
décret. {Au nrso du <iemier feuiUet.) Cy finit ce présent traicte de Géométrie
nouellemenl jmprime a pari;» : par Henri eslieûe... le dernier iour de Sep-
U'bre M. *xccc. xi . jx'tit in-4 goUi. iO feuillets, avec fig. de G*^ométrie.
Tilre ejudcmenl copié du Manuel de M. Krunel, it^ ëd. lonw 1'^'', p, 440. Le iioni
de l'auleur {Carotus BouUUs) es(, non pas sur le lilre, mais ■ la tète d'une Kpjlpe
imprituèt* au «erso de ce m^me rcmllrt.
Ce li^rc. le plus ancien traité de r<ometrie écnl en frana^ois i|ui ait êlc nnpnme,
H dont je n'avoia indiqué que lu réiuipreuion de 1514 , doit Otre la Iradiirlion mhI
litlératc, M>i( pins ou moins augmeiilre , de Vditroductio in Ctometriam im|>nméc
en 1503 fhrx le méjne Henri , dau» le Recueil in-lolio de Traité» de Malhcmaliquei
donuè |Kir J. te Febvre [J. Fuber Slafiultnsis).
Page !06 Varadoxe-à^eU:. — Pan», Chartes Estirtttu!. m u.uu.|>etitin-t).
J'indique deux, cditioiu de 1554, el je les ai eues toutes ànn en nuins. M. Hr. en
aiuioucf dcu\ de 15S3. Ce sertjit donc quatre éditions, el non pas seulement deux que
Clurles aurott faites de ces Paradoxes. U'aprês M. Rarbirr, j'ai dit que le nura de Jean
Diival comme auteur, se irouvoil au lilre de quelques exemplaires de la réimpreuioii
laile .1 Lyon, aii&vi en 1554. M. Hr. reclifie rrtte iudiciiliuii eu asAurant ipir c'est sur
une l'-iliiion île Paris 1603 réunissant ce^ Paradoxes el relui du Ptaûtcr, que Jeta,
I)u\al e^t oumiiH' auteur non pas du livre, mats des annolatîoiu ajoutées daiu oeil
n'-impression.
Pa^e 188. Les preroiereâ <£uvreft de S. G. de la Roque de Clennuat
en Beauvotsis. — Pa/rit, Mamcrt Paiitison. m. o. xc. ln-8.
Bibl. duRoy, Y, 47M.
Page IfH). Advià sur la rlauâe vulgairement Hp|KMée aux contrats,
de fournir ol faire valoir une dobtc ou renie. — Parts, Mamert Patisaun*
M. D. xr.v. In-H.
Bibl. du Roi, Oital. impriiDC, F« 5476.
Métne page 190. Présentation des Lettres d'Office de M. le Connestabb*
faidu au Parlement le x\i Nu\ . 1 595.— f orw. Manieri Pati$9un. M. o. xcv. In-S.
nibl. du Koi, Calai, imprimé, iurispr. if parL jMif. ItiV.
* CtM. iirlielos Mi|qtl^mctitairei me sont îiufiqiièi par M. Bninel qui, ayant véffîfièçi
qu'Us niaiiqiioieni dan» muii \olume, m'a rendu le service de n'en donm*rla noie.
58i SUPPLÉMENT.
Même page 490. De la représentatiou aux lignes supérieures. — Pam,
Mamert Pâtisson, u. d. xcv. ln-8.
BUiL du aoi. i\ U6S anc.
Page 49%. Remontrances au Roy. contre les blasphémateurs, avec une
description du Blasphème ; par Lanagerie, et deux Arrestsdu Parlement contre
les blasphémateurs.— Pans, Léger fklaSy Mamert Pâtisson, m. d. xcix. In-8.
nibl. du Roi, F, 5587 anc.
Page 49^. Le premier livre des Heslanget de Jean Vatel. — Paris, Ma-
mert Pâtisson, m. d. ci. ln-4.
Bibl. du Roi, Y. 4796.
Page 494. Commission duRoietdeM. l'Amiral au sieur de Monts, pour
riiabitation es terres de Lacadie (sic], Canada, et autres endroits de la Nou-
veile-France, ensemble les défenses première etseconde à tous autres, de tra-
fiquer avec les Sauvages des dites terres. — Paris, Phiiippe Pcaistom.
M. ne. V. In-8. 20 feuillets.
Pièce très rare et inconnue, tlout il est probable que tous ou presque tmis les oxm-
plaires auront été emportés eu Amérique. Il y en a un chez H. Ternaux, el auoni
autre peut-être ne se pourrait rencontrer. Ces SO feuillels sont une seconde impreasion
à ajouter à Tunique volume que Ton connut de Phili[^ Pâtisson. Le nom de ce AU
de Pâtisson me fait présumer que Tabbé Philippe Desportes aura été le parrain du
fiU de son Imprimeur.
Page 200. Méditations sur la Passion de Noslre Seigneur. . . par le sieur
Boychet d'Ambillou. — Paris, Robert Eslienne. m. w:. ix. ln-8.
Second Catal. La Yallière, n° 14507.
Page i05. Abelii Sammarthani Scœvolœ filii Panegyrici très Luduvico
Juslo inscripti: editio qiiarta, Panegyrico tertio recens aucta. — Lutetiœ, ex
officina Roberti Stéphani. v. ne. xxvii. In-4.
Bibl. Royale, Y, 9675.
Avant cette t-dition de 1627. il y a nécessairement eu une rditio lertia, deinits la
seconde, datée de 1623, et du même Robert. Quant à ma note sur Terreur qu'auroil
faite Maitlaire, il est possible qu'elle ami sans objet.
PAl'TES A CORRIGER.
I^ge 4 40. première ligne , supprimez la virgule.
P. 373, lignes 4'* et 44*^, ut patemam in paterna gloria diliijefttiam
œinularetur,
lisez ut patemam in fxUema diligentia ghriam rpmtf/are/ur.
p. 3%, ligne 30, douze à dix-huit ans api-ës,
Usez douze et dix-huit ans après,
TABLE.
Avertiêsement. v
Henricus Stephanus primus. 4
Hobertus Stephanus primus. 25
Franciscu» Stephanus primus. 97
Carolus Stephanus. 102
Henricus Stephanus secundus. 445
Franciscus Stephanus secundus. 459
Robertus Stephanus secundus. 464
Mamertus Patissonius. ^ 478
Vidua Mamerli PaUssonii. 493
Paulus Stephanus. 495
Robertus Stephanus tertius. 499
.4nfoniwi Stephanus. 240
Henricus Stephanus quartus^ Henricus quintus. 22S
Cafa2o(/u« des éditions des Estienne^ rangé par ordre de matières. 234
NOTICBS BIOGRAPHIQUES.
Henri Estienne^ premier. , 273
Robert Estienne, premier. 283
François Estienne^ premier. 348
Charles Estienne. 352
Henri Estienne, second. 364
Robert Estienne, second. — Robert Estienne ^ troisième. — Henri Estienne^
troisième. — Robert Estienne^ quatrième, — Henri Estienne, quatrième.
— Robert Estienne, cinquième, etc. 478
François Estienne, second. 489
Mamert Pâtisson. 493
Paul Estienne, 496
Florence, Denise Estienne» 540
Antoine Estienne, 543
Artis Typographicœ Querimonia. 524
Henrici Stephani Epistola de suœ Typographia statu. 529
Robert Estienne, sur les Censures de ses Bibles. 545
Epistola Magistri Passavantii ad Petrum Lysetum. 569
Lettres, etc., de Paul Estienne. 670
Testament de Robert Estienne. 578
rW DE I.A TABLK.
NOTE
SUR LAURENT GOSTER,
A rOGGASION D'UN ANClElf LITEE QIPIUMÉ DANS LES PATS-BAS.
AVERTISSEMENT
Je crois devoir reproduire ici avec quelques addiKons,
mais en lui conservant sa forme primitive, une longue
note que, dans le second volume de mon Catalogne, im-
primé cd 1B19, j'ai faite à l'occasion d'un livre presque
inconnu , depuis très peu d'années découvert , et d'où
résuite une preuve inattendue et certaine qui, à défaut
de toute autre , auffiroit pour faire reléguer parmi les
fables le récit dans lequel Hadriantis Junius en sa Ba-
tavia^ i588y in-4 t attribue à Laurent de Harlem, dit
Koster, la première invention de Fart typographique,
et la publication des premiers livres imprimés; préten-
tion qui, depuis long -temps jugée, est rejetée pres-
que partout ailleurs qu'en Hollande, où les rares par-
tisans du système Cosiérien la soutiennent avec une
ténacité qui semble augmenter en raison du petit nombre
des défenseurs.
Ou n'a pas essayé contre ma note une réfutation infai-
sable^ mais ne pouvant manquer à mentionner lexis-
lence du volume qui en est Tobjet, on a trouvé plus expé-
dient d'arranger les choses de manière à faire croire,
sans le dire précisément, que la production de cet an-
cien volume étoit de ma part une confession involon-
— 4 —
taire, une sorte d*aveu forcé de la vérité d'allégations
qu'au contraire je combats y et crois avoir renversées.
C'est ce qui me détermine à tirer cette note de l'oubli oii
elle est inévitablement dans le Catalogue, et à la repro-
duire à la suite d'un ouvrage écrit en Thonneur d'hommes
justement célèbres , et dont l'illustration typ<^raphique
reposant sur des faits positifs n'a jamais eu besoin de
l'équivoque secours de récits ou très contestables ou
manifestement fabuleux.
Le très rare lîTrê à l'oceaslon daqael cette note a été écrite y ftitjmeii-
tionné pour la première fois dans le Manuel de M. Bmnet , tooie ii , page
138. On l'a TnensDîte en isu dans le Catalogne d'OnrebeSy n. xai , a
en 1817 dans celui de Mac-Carthy, n. 1400. Ce dernier exemplaire, n'ayaat
qne les dix derniers fenillets , ftit vendo 131 francs.
Ce volume consiste en vingt-trois fenillets, sans chiffres, réclames,
ni signatnres, imprimés arecnn gothique très grossier, l'un des pins in-
formes qui aient existé dans Pancienne typographie. Les treize premiers
feuillets contiennent trois traités en prose, commençant par cet intitule
qui indique seulementles deux premiers: u In presenti codice continentur
a duo singulares et perutiles tractatus quorum primus est de salute cor-
« poris. Hnne edidit excellenlissimns ac probatissimns medicinae doctor
« dominus guillelmus de salîceto. Alterum vero qui est de salute anime
« miro quodam et diuino magis quam humano artificio composuii .... Car-
« dinalis de turrecremata.... »
Le troisième, de quatre pages, a pour titre: « Pii secundi pontificis
« maximi contra luxurtosos et lasciuos ad karolum cypriacum Traciatns
« de amore Incipil féliciter. »
VieuDent ensuite dix feuillets dont le contenu, étranger à ce qui pré-
cède, semblerotl devoir former un volume distinct; mais sur rexemplalre
non relié j'ai vérifié que le tout tient ensemble, snr les mêmes feuilles ,
et par conséquent a été imprimé avec Tintention de n'en (aire qu'un seul
volume. Voici le titre de ces dix fenillets :
« Pii secundi pontificis maximi pro lande homeri prefatio in homemm
ff poetarum maximum. »
Il est suivi d'une espèce de préface, en treize lignes, sur rexcellence
des ouvrages d'Homère.
NOTE
SUR LAURENT COSTER,
A l'OCCàSIO» d'u.1 ARCIEN litre IMPAIHÉ DAnS LES PAYS-BAS.
On sait qu'un récit fabuleux imaginé vers la fin du xyi* siècle
par tin savant Hollandui&, et Qppuyd à diverses reprises de tout
ce que Térudition et le raisonnement peuvent prêter de secours
à une chimère, atlrîbue à la llolbudc Thonneur de l'invention de
llmprimerio. Celte fable, accueiltie avec tout l'cnlbousiasmedc
l'umour-propre national , a rendu célèbre le nom d'un homme qui
n'uvoit point lieu de s'attendre à une telle illustration. On a érigé
à Harlem une statue' à Laurent Coster; on a frappé des médailles
et célébré des fêtes séculaires en son honneur. La maison où l'on
a pu croire qu'il avoit fait sa demeure a même été l'objet d'une
csproe de culte, jusqu'(>n l'année 1818 qu'elle a subileineni écroulé.
Depuis que les Pays-Bas ont repris une pluce parmi les puis-
sances de l'Europe, ils ont avec raison recherché tout ce qui pou-
voil concourir îi leur gloire; la fable de Coster a été reproduiie,
et bieu que la plupart des savants bollandois " eux-mêmes
rapprécicnt à 5a juste valeur, elle n'en a pas moins é'j dans ces
années dernières l'objet d'un ouvrage écrit dans la langue nationale,
et pour cette raison même très peu coimu tin reste de l'Europe.
La Société Tellcriennc de Harlem , le Prince même , ont accueilli
* En 1639.
** Les brodiurts bollaDdoiscs coolrediieat cette u»erlion» mais ello oe pruveul
faire que ce qui e«( uc soil |us ; daiu raes vu^ragrit fit Hnllatiiie, j'ai tniuvë pmqiic
tous les jïeiM iminiila .«ouriaDl à la meDiiou de relie fable, qitc, diwienl-iU, qnvi*
qiivft-uus de leurs uvaols rroyoieol comme vérité éiangéliquc.
NOTE SUR LAURENT COSTER.
cette nouvelle tentative, cette reveadicatioa d'un honneur que tois,
hors les HoUandois, s'obstinent à refuser. Les savants et ingéniesi
sophîsmes de Meerman , son roman si laborieusement arrangé,
les dissertations de M. Konînk, et plusi^rs autres écrits pobliéi
après les siens, ne ponrroient cependant être pour moi on motif
de rappeler ici cette discussion prétendue historique , et d'entre-
tenir mes lecteurs delà fable de Harlem, si je n'avoîs en même
temps à l'attaquer par ime de ces preuves positives qui forcent
la conviction des personnes les plus prévenues, de celtes que n'an-
roient pu amener à persuasion celle masse de preuves négatives
que l'on a si souvent alléguées.
Suivant le récit consigné en l'ouvrage d'Hadrianus Junins , et
appuyé dans les Origine* typographieœ de toute la dialectique
philologique de Meerman , Laurent Gosier de Harlem , à Tàge de
plus de soixante ans , dans ses promenades au bois qui avoisine
celte ville , conçut l'idée de tailler quelques lettres en relief avec de
l'écorce de hêtre * (faginos eorUeei) ; il en tira des empreintes;
et, encouragé par un premier succès, il fit une grande quantité
de ces lettres d'éoorce « avec lesquelles il imprima d'abord quelques
lignes pour Tinstruction de sa famille , ensuite un livre hoUandois,
puis le livre à gravures si rare , mais si connu : Spéculum huma-
nœsalvationùy plusieurs Donats, et divers autres ouvrages dont
on ne connott plus les titres. Déjà avancé eu Âge , cet homme ex-
traordinaire auroit en très peu de temps conçu et exécuté le mé-
canisme de la presse, les nombreux ustensiles nécessaires à la ty-
pographie, et d'abord les caractères qu'il auroit successivement
faits en bois , en plomb , puis en étain. Il auroit subitement ima-
giné et fabriqué l'encre épaisse des imprimeurs , en remplacement
de l'encre de détrempe employée alors par les imagers , et encore
* si celai qui a îmigiDé cet invraîsenibUble conte, ou ceux qui le d^radent,
«voient pris la peine d'aller , non pas mâme dans la forêt de Harlem , mais seo-
lement dans leur bûcher, et d'j examiner un morceau de hêtre, ils aurotent va
qa'U Mloit construire autrement leur fable , et qu^aTec duI morceau d'écwce de
hêtre, même de l'ariire le plus gros et lé plus vieux , il ne se pourroit fiûre rien de
semMabte à des caraclères destinés a subir ta forte pression , le foulage sans lesquels
aucune empreinte d'imprimerie, même la plus imparfaite , ne sauroil être obtenue.
actuellemenl par les faiseurs de uarlpa à jouer. On veut ni^me que
pi'éulableiiiPiil il ait aussi tHé riiivcnteur de ces volumes d'images
ru Uoh t anirrieurs aux livrer d'impression en lettres, et que ceux
de ces recueils qui appariiennent rertaiiieraeiuà rAJteuiagne D'aicui
été faits quVii iniiiation des siens. Toutes les parties de l'art admi-
rablej^de la lypograpbic , dont on sait que la recherche a, pendant
beaucoup d'années , occupé plusieurs hommes de talents divers,
et uccasioné des dépenses considérables , auroieut été comme eu
un clin d'oeil imaginées, et en un tour de main exécutées par l'in-
venteur à jamais célèbre Laurentius Coâter IIarletnetin$. Ce qui
s'est fait à Mayence n'auroit été que la euntrelaction de procédé»
depuis plusieurs années connus ce eu pleine exécution à Harlem ^
et cependant cette Imprimerie primitive, qui étoit si florissante, à
lo(juplle les acheteurs venoient en foule, seroit tout-à-coup lom-
béejdans une inaction voisine du ucant, tandis que plusieurs villes
de l'Europe fabriquoient et en grand nombre des livres qu*encore
aujourd'hui l'on regarde comme des chefs-d'œuvre en leur genre.
A^iia'vérité roflicine de ces inventeurs auroii été dévalisée pendani
une nuit de Noël, sans doute lorsque toute la famille étoit à ta messe
de minuit, par un ouvrier du nom de Jean Fusl ou Faust, selon
les uns, et Gensfleiscb , Trèrc ataé de Guticuberg, selou les au-
tres; lequel Jean, enlevant tout , caractères, presse , ustensiles ,
s'enfuit en Allemagne , à Mayence , où d'abord , vers 1AÙ2 , il auroit
imprimé, avec les appareils volés , uu Dochrnah, et une autre
pièce de peu de pages. Cet homme , coo[)érateur assez essentiel
pour que sa fuite ait ruiné la manufacture de L. Coster, se seroit,
aprèii avoir imprimé ces deux volumes , consumé plusieurs années
durant, en essais long-temps infructueux , jusqu'après 1Û50, qu'en-
fin on fit à Mayence ce qui y avoit déjà été fait en lâ63 , et anté-
rieurement, à Harlem. Et cette famille Coster qui avoit si lestement
coui;u , exécuté et mis en œuvre, lettres, presse, ustensiles divers,
encre, et l'on dit mémo inventé son papier , de qui la manufacture
de livres étoit aussi importante qne lucrative, auroit été tellement
attérée, niint^ parce vol fait pur un seul homme , dans une seule
nuit , que courage et moyens auroient tout-à-rait manqué pour rem-
placer et refaire les éléments de fabrication qui venoient d*étrv
enlèves. Si uoc telle suite de suppositions n'étoil pas contre loair
vi*aiseaiblauce, si elle <^loi( admissible et vériuble , gloire seruit
due ù CoHter puur tant d'admirables improTisations, mais il mô-
riteroit aussi le irès grave reproche d'une mollesse et d'une apathie
qui ne pourroicnl lui éu>e pardonnccs. L'homme dont le géoir
avoitsu produire presque subitement un des plus utiles et des plus
étonnants résultats des efforts de l'industrie humaine , à qui l'oa
prêteud que ses impressions avoient procuré beaucoup d'acheteurs,
et par consétiueui de gros bénéHces, pouvoit-il être ainsi abaiiu
par un accident; et n'éloil-cc pas au contraire une occasion poor
mieux refaii*e ce qu'il avoit déjà si babilemeni créé. Cette der-
nière cûnsidéi-aiion fait cûmplètomenl ressortir rinvraisemblame
de tout ce romanesque échafaudage y et suOiroit presque seule pour
le ruiner de Tond en comble.
Ce récit de Junius, seule base de tout le système, et dont l'ab-
surdité est si évidente, est donné comme article de foi ; il y a pres-
que anathème contre les incrédules : ei cependant fùt-il moins itt-
vraisemblable, sur quelle autorité repose-t-il? Junius le rapport?
comme lui ayant été fait par une très vieitlc personne qui » dans sa
jeunesse, Tavoit entendu du relieur Coruelis plus qu'octogénaire-
On l'épondra en toute humilité , 1" que le médecin Jimius a pu
lui-même ou fabriquer ce récit, ou au moins en altérer la vérité;
2" Qu'aussi il a très bien pu se laisser induire en erreur par les
contes du vieux homme qui , dans sa jeunesse , avoit connu le vieai
relieur Cornelis; et, si Ton veut juger quelle confiance mérite l'e»-
prii de critique et de discernement de Junius, on peut lire Doe
historiette qu'il n'a pas imprimée, mais qu'en \S2k j'ai lue écrite
en entier de sa main dans le manuscrit qui , après sa mort, a seni
à l'impression de la Batavia j et qui est conservé dans la Biblîo-
tlièque royale de La Haye. Cet étrange et ridicule récit, qui y
occupe environ une page , et qui n*y est pas introduit comme
un conte fait à plaisir, est bific par un trait de plume perpendicu-
laire; mais qu*il art été rejeté par un éditeur moins crédule que
Junius, ou que Tauteur lui-même en ait fait justice, on n'en doit
pas moins reconnoîlrc que l'écrivain qui a p» un seul instant le
croire susceptible d'ôlre introduit dans un livre grave et sérieta^
HOTE SUR LAURENT Ct»STER
peat, à loiit le moins, riTfvoir le rt^prorhi» d'une orrdulilé cx-
Ctrssive, et ne duil i>lre trnucLinc aulurili'^ pour établir un antre
fait invraisemblable par tul-nième , que l'on n'appuie d'aucune
preuve, et que Ton ne rapporte que sur le prétendu lénioignape
ancien de quelqu'un qui anlrefols Tauroil appris d'une autre très
vieille personne. Je n'ui pas copie colle page, parce qu'il ne met
Tint pas à Tidée que jamais j'anrois encore A songer à LaurenlCosler
et à ses inventions. On la peut lire dans le manuscrit.
Les Registres de la grande église de Ilarlein ont fait conDoUrc
que de 1521 à 1532 un Laurent [anssoeo (Ois de Jean) a été mar-
guiUier; des papiers conservés aux Archives, et que j'y ai vus en
1826, contiennent plusieurs pièces avec sa signature. On a aussi
une quittance du relieur Cornelis, de six florins à lui payés en l/i76,
pour ouvrages de reliure. Ces anciennes pièces, alléguées conimu
victorieuses et preuves incontestables de la véi-ilé du syslèuie, prou-
vent qu'un Laurent a été niarguillicr {Koxler)^ mais pas du tout
qu'il ail ou qu'il n'ait pas improvisé l'Iuiprinierie et lous ses acces-
soires. La quiliancc de Cornelis prouve qu'en iklh il y avoit à
Harlem au moins un relieur, mais pas du luut qu'il ait fait un récit
fidèle, ou même qu'il ait rien dit de semblable â ce qu'on lui prèle;
elfe sert encore moins à constater que trente et trente- six aus avant
sa date on imprimoit à Harlem. Il y auroii plutôt à conclure que
ces dépenses de reliure faîtes en ihlk semblent indiquer un temp»
où la récente Tubrication de livres en ces conti*ées exigea le travail
des relieurs. Celte induction, sur laquelle je n'iusiste pas, n'est
ici mise en avant (juc pour faire ressortir l'inanité de l'alléga-
lîon contraire. Plusieurs vieux livres sont, en ce pays, reliés
avec des débris de Douats, etc., on en conclut que pour avoir
été, vers lùSO, et même un peu plus tût, dépecés par le re-
lieur, il falloit que ces livres usés fussent bien anciens, et par con-
séquent imprimés avant le vol, la dévalisaiiou de l'Imprimerie.
Ces Donals, tous imprimés en caractères semblables ou analo-
gues à ceux des Specuium , de mon volume de Saliceto , certaine-
ment puslérieur à 1666 *, n'avoient pas besoin de quarante ans
I
to
NOTE SUR LAÎHFNT COSTElt.
d*îuiciCDDCtG pour que des exemplaires salis et dégrades vîas-
seni servir à la reliure d*auires volumes. Toi^oars les jeun»
lecteurs de ces sortes de livres ont su, et sauront très bien en
mettre promptcment un bon nombre hors d'usage , fussent-ils
faits du meilleur papier, ou, comme autrefois, du plus solide par-
chemin,
ExaminoDS mainienaot quelles pièces justificatives , je veux dire
quels livres inipriméa sont produits comme preuves de Texisleocf
«le celte Inipriineric an(e-mog Uniterme , de cet atelier primitif. Le
Specidum humavœ sahationit ^ de plusieurs éditions, des frag-
ments d'un Donat , d'un Horarium, puis ce Doctrina/e qui se
seroit fait non pas à Harlem , mais à Mayeoce , par le fugitif Jean,
Idt après son larcin , et avec les caractères volés: enfîu on donne
comme imprimes par les successeurs et héritiers de Laureui, deux
à trois volumes dont Fedati {Fegetii) Epitoma de re mi/itari,
in-folio gothique, sans date, chiffres, rëclames , ni signatures.
Toutes ces impressions ont vériiablement clé faites ; il est mi^mr
indubitable qu'elles ont été exécutées dans les Pays-Bas, soit en
Flandre , soit dans la Hollande , qui les réclame avec tant de cha-
leur. C'est dans tes Pays-Bas qu'ont été trouvés les vestiges qui en
restent encore : les quatre feuillets du Doctrinale, qui sont indi-
qués page 23 du deuxième volume de mon Ottalogue , éioient col-
tés dans deux vieux livres que j'ai reçus de Bruxelles. C'est dansM
patrie que Meermau a découvert tout ce qu'il cite de ces mona-
ments typographiques^ et c*est aussi dans les Pays-Bas que j'ai ac-
quis un autre volume bien important pour cette discussion , qu'au-
cun des contendants ne paroU avoir connu , celui qui est l'iKcnsion
de cette note. Tous ces livres , à Texceplion du Fegettue , dont
l'imprimeur n*est plus douteux , ont entre eux im air de famille qui
doit faire tenir pour certain qu'ils sont sortis d'une même Impri-
merie; et Leur imperfection prouve non moins évidemment que ce
sont des productions primitives. Mais quelle est la véritable époque
de leur f;ibricutiou ? Sont-ce les ouitées 1/136-1440 , temps auxquels
au ticu lie 146O, ce qui me feroit dtr« tiiir absurdité, nuis sans être utile à la dé-
ftiue du iy»têï»e Costêrien.
NOTE &UR LAURENT GOSTBH.
tl
on faît remonier tps prétendus iravaux de Laurent Costor; ou bien
ces volumes ne sont-ils autre chose que les essais informer, mais
bieumouis anciens, les lAtonnenienls d^îii habites imitateurs d'un art
déjà connu et pratiqué hors de la Hollande? Enfin ces livres sont-
ils antérieurs à toutes les plus anciennes éditions d'Allemagne ; ou
faut-i] les faire descendre jusqu'aux années l&6(>-72? c'est lu le
noeud à délieff le puini à cclaircir. £t si l'on parvient à prouver,
par pièces produites nouvellement, il est vrai , mais ancienues et
incontestables, que toute cette fabrication de livres prétendus pri-
mordiaux ne peut être aiucrieure à cctir dernière époque de 146G-
73 ; que devient la fable de Coster? de quels autres monuments ty-
pographiques appuiera-t-ellc son existence?
J'ai soigneusement examiné toutes les pièces citées comme étant
d'impression Coslérienne; celles que présente Mcerman , le plus
savant et le plus ingénieux défenseur de cette mauvaise cause,
ne sont point les seuls existante*. Notre Bibliothèque royale a
quelques feuillets sur vélin de plusieurs Douais , imprimés avec
des caractères mobiles , et lout-à-fait dans le goût de ceux du
Spéculum latin, mêlé de typographie et de lettres Ûxes en bois ;
j'ajoute encore à ces anciens livres de fabrication bollandoise
ou flamande le DoctrifMUy dont je possède les quatre feuil-
lets indiqués ci^dessus. Ce livre dont Meermau fait mention ,
mais dont il n'a pu rencontrer ni exemplaire, ni même aucun
fragment, est d'un caractère autre que celui du Spéculum ^ et
un peu plus gros , mais tellement semblable que certainement une
m^^me main les a exécutés l'un et l'autre, et dans le mèn»e temps.
La découvei*te de ces quatre feuillets n'établit à lu vérité aucune
date; et les Costériens de dire : C'est là tout justement le vo-
lume fait à Muyence, en ihk'î, par le voleur et fugitif Jean '.
Oui, si avec le Voclrinale ie neproduîsois |>oint cet autre volume,
non remarqué encore, et qui me semble être la pièce décisive de
tout le procès , ce livre dout je vieus de faire mention , et dont la
description précède cette note. Il est de caractère tout-à-ûiit le
* t>e ce ffu'on ■ trouvé à Mayeuce une pîèoe inc date de i^S^ qui prouve que
Gtitteobrrg aroil uo frîrt, M. Konio^ Vrmpere de ce frère et cd fait le (oleiir.
?(OTE SUR LAUREIHT COSTER.
niênic que celui du DociHnale s ici riilcnliui est posiiive, et cr
vuUime paroissaiii lui|)riaiê ea leiiros plus neuves que les quatre
reuitlets du Doctrinale^ la Tabrication ne peut en être plus récente;
elle e^t tout au moins contemporaine, et il ne m'est pas même né-
ceHsaire qu'elle soit anlérieure. Ce volume si conforma à tous les
monuments prétendus Costéricns, à tons ces produits dont l'ori-
gine est évidt'iumcni une^ contient des Opuscules du pape Pie II,
yletteas SylvàiSj qui occupa le sîége pontifical de ÏUhS à l/i64, et
un ouvrage du cardinul Turrecremata {Torquetnada) dont les
premières productions imprimées sont de Rome, \h^l et 1670.
Ou ne peut guère supposer que des écrits du pape Pie II, aurool
liâlivemcot passé les monts, dès les premiers temps de son exalta-
tion poniilic'jlc , |>our éire subitement imprimés en Flandre, ou
en Hollande j d'autant mieux que ces pièces et tout le reste de ce
volume ne sont , et ne pouvaient âtre même en ce tem(>&-là qui*
d'un intérêt assez mince. Le plus probable est que ces impressions
ont été faites un peu après la mort de ce pape, vers les mi-niu»
lrn]psoù fut imprimée, par Ul rie Zell, à Cologne, sa fameuse BuUa
Jtefrticiatwnnm i ce qui coïncide pareillement avec la mort du
eardinal j/Vr^i/cwarfa, arrivée en lii67, et dont on n'imprima
rien, absolument rien, avant b' temps de son décès. C'est donc
beaucoup faire pour raneientieié de ce volume que de le placera
la même époque où U[ric Zell publia ses pi-emières impressions à
Cologne, entre l/i6G et l^iTS. I.e caractère très informe, mais
certainement mobile et fomtu, avec lequel est exécuté ce livre, a,
comme je Tai dit plus liant, une analogie complète avec ceux de
fouies les autres impressions qui tîgurent dans le procès typogra-
tïlirque de Laurent Coster. Tout cela prouve un système de fabri-
ralion , fort mauvais, iirstvrai, et très peu avaucc, mais suivi.
It est lel qu'il semble être le produit des tentatives d'un imager
qui , cil possession de Fabriquer des cahiers de figures eu bois, ou
même senlrmenl des cartes à jouer, aura voulu essayer de cet art
fine Toi] venoit de trouver en Allemai^ne, et qui, nouveau pour
lui, avoit cependant bean<oup de i-apport avec ses travaux ba-
bîliiels. Les pages du Sf/ecu/itm, eu partie de gravun» tixe et sur
bois, imprimées avec l'encre des cartiers, en partie de Iclires
mobiles, pour lesquelles a éiô employée l'encre grasse d'imprime-
rie , prouveiil encore qire ce volume aura été, pour cet alelier des
Pays-Bas , l'essai d'un pi*o*;i'^d('? nouveau , le passage de la f:ibrica-
tioD bornée des images et Jetires (ixes, àcellesdesleUresmobîLcs
(jue venoit de faire coniiottrerAllemagne i ce qui s'accorde très bien
avec ropinion de tous les habiles de ces dentiers temps ^ qui don-
ueni au Spéculum une date bien moins reculée qu'à Vjérs mo~
rie/idij ù VApocaiypse, à VArn memoratira , ei autres volumes
connus pour avoir éié entièrement exécutes parles ouvriers faiseurs
de cartes.
Que peu d*aniices après , ou nitlme sans interruption sensible ,
ces premiers essais d'imitation aient dié suivis des travaux de ces
ly[ii)gruphes que Tou sait avoir imprimé avec succès dans les Pays-
Bas, entre autres de Ketelaer, par lequel furent publiés, vers 1673,
le Sidoniiu, le f^edatiui {f^egetiut), atliibué par Mcerman aux
bériiier&Coster, qui, pou après, selon lui, auroieni vendu tout leur
appareil typographique ; celle suite d'une fabrication plus impoi--
laute et ûniélîuréc, est la progression ordinaire des efforts de l'in-
duiitrie humaine ; ainsi toute la série de ces éditions anciennes se
date et se classe delà manière la plus naturelle. Mais qu*aprcs la
couuoissance de cette pièce victorieuse que les hommes les plus
piévenus ne pourroieiit faire remonter au-delà de 1466, temps
auquel tout, éloil trouvé en imprimerie, ailleurs qu'en Hollande,
et par d'autres que des Hollaridiiis , que nïalgré l'eiisience de CC
Volume , qui bien que sans date , en indique une certaine , et pres--
que positive, on veuille , pour soutenir encore la fable de Costcr,
poseren failqu en U36-1Ù42 , il aura été fabriqué des livres par lui
à Harlem, et à Mayence, par l'ouvrier Jean, qu'ensuite ou par
IVffet du vol de ce fugilir, ou par iniiitTért'uce, ruine, maladie,
mort, ou est resté à Harlem el à Muyenee dans uuc inactivité totale,
pour ne produire au bout d'un quart de siècle, avec les mêmes
types, que ce nouveau volume, qui n'a point d'autre compagnon,
au moins que l'on counoisse : ce seroit là une persévérance dans
It-rreurque je crois désormais loui-à-fait impossible. 11 me semble
que Ton soulîcndroit plus que l'on ne croiroit soi-même.
A toutes ces considérations j'en ajouterai une qui sera la der-
M [VOTE SUR LAURENT COSTER.
ilimî. Si la muisonde Cosl«r a tUé, vers 14û0, voléo, dépouiltoo,au
poiul de ue pouvoir plus fabriquer, elle n'aura point vingt-cinq ou
trente ans après imprimé ce volume de Pie i[. Si au contraire et
malgré ce vut, il lui est resté assez d'ustensiles pour continuer, si
roiblemenl soil-il ^ sa manufacture de livres, U existera indubiut-
blement des vestiges de ce qu'aura produir pendant trente auneet
cet atelier typographique qui iravailluit en 1436, et dont voici ua
volume de 1466, ou ù-peu-prùs ; et pendant ce long cours d'anuêes
elle aura mis quelque variation dans l'emploi de cet art si nouveau.
Ces vestiges, où s(ïril-ils? que sunl-ils ? nulle trace d'aucun vo-
lume, ceux que l'on cmmoîi nom irunc fabrication évidemmeoC
plus tardive, à-peu-prt^s uniforme, et pustérieure à 1466. Ceux
qui tiennent pour certain e( avéré le larcin de Jean* soit Fust,
soit Gcnstleiscb , &u fuite, et sa fabrication d'un Doctrinale i
Mayence, en 14i!i2, à qui aitribueroniMls le Pic H, exécuté avec
les mêmes caractères et plus récent de vingt-cinq grandes anni'es?
certainement à tout autre qu'à ces vuleui-s Allemands , puisque
alors riniprimerie mayen^oise cuntcnoit des raractcres bien supé-
rieurs, et de plus d'une sorte. '
Les partisans du système Costérien l'ont mal défendu, et il n'en
pouvoit être autrement. Ils ont beaucoup écrit; leur polémique,
délayée dans de longues bi*ocliures liotlandoises, franvoises ei
allemandes, ne sort point de son cercle vicieux; toujours elle eu
revient à l'absurde conte de Junius et de son vieux relieur; et, s'y
appuyant comme sur une vérîié rondameniale , elle eu tire des dé-
ductions que tem-s écrivains croient sans doute incontestables , car
* L'AppariliuD de ce valume du 1470 uu annétf enviroDosnlea n'a nullmirnl
dÎTuiicfrté M. Kuiitiif; et les aulres parlÎMiis du a)-»l«ini% Oubliant qn'ea i^io îb
OUI fuil dévaliser et délruîre riinfintnerie (Josririeiine, tri qu'il leur aeroil ifnpu«&ibk
de prudiiire aucune înipretiioti intermédiaire, il» la réiiriprovifeiil enU^ Ir» nutiiu dn
de»rviLdaitla du Coster, uitrubléc de ces mèmvt çamcrères emporté*, acIoD eiu, irmlc
nnixiupi>ra«ant en Allemagne, avec pointus et maiiice*, et qui sereiruuveul là oina*
[lar mtrarlc, Iv tout pour produire ers viti^t-lrots feuillet5, cl eiuuite rien, jojqu'w
yegtttur de Kctrla<!r. De fa^n que mui] fuliime, qui i lui leu) niinerotl leur s}fr-
tème, et qn'iU nu pfwTcnl êviier de meniioiuit^r, iU ouait-nl de le fuire |ia<«Aer poiir
uuc preuve incontesULk de la cwutiimatiuii de riuiprimirie de tÀ>slcr par *e« de*-
rnidaiiU.
NOTE SUR LAURENT COSTER
ils écrivent en gens persuadc^s, mais elles ne le sont que pour eux
€1 ne persuadent point Je lecteur, ^e lont est entremêlé d'excnr^
sîons sur Thistolre primitive de Tlmprimerie, de descriptions ou
menitonA de vieu\ monuments typographiques déjà bien des fois
Uécrits, et dont plusieurs sont étrangers à leur cause, à laquelle ils
semblent vouloir rattacher fancienne typographie tout entière. A
défaut de bons et nets raisotmomeiits, ils se donnent quelquefois
le très inulile lori de se fâcher contre ceux qui les contredisent.
Selon eux les assertions de La Scrna-Santander, de Van-Hulthem,
Lambinet, Renouard , Lichtenberfier et d'autres encore, ne sont
rien que des expressions tranchantes, d'inconvenants et indiscrets
témoignages.
Un des expédients qu'ils semblent trouver des meilleurs, est de
nombrer les voix pour ou contre ce qui a rc^u le nom de fable Cos-
térîcnne, et qu'ils donnent oanime une de leurs plus vénérables tra-
ditions. De ce que peu de personnes ont voulu prendre la peine
de les réfuter, ils concluent de cet indifférent silence, qu'il y a
une immense majorité en leur faveur. Gtmbien de Actions plus ab-
surdes encore, et surtout plus dangereuses que ce bénigne combat,
ont eu des millions de millions d ardents sectateurs, sans en être
pour cela plus véritahles. Heureusement Coster et sa légende
n'excitenmt aucun pernicieux fanatisme. Quelques llollandois peu-
vent, en toute sûreté de leurs personnes et de leurs consciences,
les soutenir avec un indomptable zèle^ il a*cn sera pas moins per-
mis à tout le reste du monde savant, ou de n'y point du tout son-
ger, ou de les tenir pour absurdes, sans qu'il y ail d'autre résultat
que remploi d'un peu de papier, et quelques doctorales réprimandes
infligées par les défenseurs.
Combien de fois aussi n'est-il pas arrivé que, battu dans la dé-
fense d'une cause non souienable, on se soit dit : Nous avons tort,
mais persistons, et auprès de la multitude des indifférents, noire
persévérance nous tiendra lieu de bonnes raisons.
Toutes les gnuides et imptirtantesoiitîines ont eu leur mytholo-
gie; pourquoi l'origine delà TypogrLiphicii'auruit-elle pas la sienne?
Je crois avoir complètement prouvé que mon volume, signalé
pour la première fois comme monument typographique, établit
j
10
NOTE SUR LAtmP-NT C05TER.
d'une manière cerUiine, àlroia on quatre années près, la Tabrica-
lioi] ei ëwissioD ûe tous les Tolumes sur ksquels â éié a|>puyëela
Table de L: 'ent Cosif^r. Il n*esi pas moins certain que rîeiï n'a
éic iniprlm dans les Pays-Bas aulérieureineni à ce volume de
Pie [I, et très de même soric, el qu*à moins de documents
nouveaux, u^
litres ineouLcsiables . rhoiiiieur de rîiiventioD de
rimprîmerie re
avoir Tobligaiti
presque lûuieâ
que rien ne s'opE
pJëde&Lal de la i
ensable, les Hi
auxquels on s'accorde à eu
ecbercfaes progre^ives sont
inenis et actes publics; eiafio,
:rive leurs irois noms sur 1**
Lhousiasme naiional bien ei-
pos élevée à Laurent Cûst*?r.
KS-A17GUSTnf &snoujuu).
IHPKIMB CHEZ PALI. RE'XOUàRD , RUE GARlUCIl.e, H^
5. MAI 11
EMJ^
L
L i:
The borrower musl relurn ihis item on or before
the last date stamped below. If another user
places a recall for this item, the borrower will
be nolified of the need for an earlier rctum.
Non-receipî ofoverdue notices does not exempt
the borrower from overdue fines.
Cambridge, MA 02138
Harvard Collège Widener Lîbrary
^17-495-2413
Please handie wîth care.
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