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^
ANNUAIRE
DE ^ASSOCIATION
i' U L R L' E N C 0 L H A G E M E N T
DES ÉTUDES GRECQUES
EN FRANCE.
2^ Année, 1868.
PARIS
\ M iva:nu hL riviJUivE LAURIEL, LlBliAlRES-ÉDlTEURS
RUE CUJAS, 9 (ancienne BUE DES GRÈS).
AD. LAiNÉ, LIBRAIRE
RCIEDCSCAINTS-pàHKS. r».
1868
M. le Ministre de l'Instruction publique a autorisé V Asso-
ciation pour r encouragement des études grecques en France
à décerner des prix aux élèves qui auront remporté le pre-
mier prix de version grecque en rhétorique, seconde et
troisième au Concours général des lycées et collèges de
Paris et de Versailles.
M. le Ministre a également autorisé V Association à ins-
tituer^ pour la version grecque , un concours général entre
les lycées et collèges des départements. Cette décision re-
cevra son effet dès la présente année, avec la coopération
bienveillante de l'Administration.
\J Association décernera, en 1869, une médaille de
mille francs au meilleur livre pour les études grecques
publié en 1868.
ANNUAIRE DE L'ASSOCIATION
POUR L'ENCOURAGEMENT
DES
ÉTUDES GRECQUES EN FRANGE
Les réunions du Comité ont lieu, rue Haute-
feuille, 1 bis^ à huit heures du soir, le premier ven-
dredi de chaque mois, excepté au mois de janvier
1869, oîi la séance aura lieu le deuxième vendredi.
Tous les membres de la Société ont le droit d'y assister,
et ont voix consultative. Elles sont interrompues pen-
dant les mois d'août, de septembre et d'octobre.
Les demandes de renseignements, et les commu-
nications relatives aux travaux de TAssociation , doivent
être adressées franc de port, rue Hautefeuille , 1 bis,
au secrétaire, M. Ghassang.
Les membres de la Société qui désirent continuer
à en faire partie, sont priés de vouloir bien envoyer le
montant de leur cotisation , en un mandat de poste, au
trésorier, M. Gustave d'Eichthal, 100, rue Neuve-des-
Mathurins.
A MARSEILLE les cotisations peuvent être déposées chez
MM. Antoine Messe et C*«, banquiers, rue Lafon, n® 9.
MÊLAS FRÈRES , négociauls , avenue Bonaparte , n° 9.
GouNAROPOULOS, uégociaut, boulevard Saint-Michel , 3.
ANNUAIRE
DE L'ASSOCIATION
POUR l'ENCOURAGE-MENT
DES ÉTUDES GRECQUES
EN FRANCE.
2« Année, 1868.
PARIS
A, DURAND ET PEDONE LAURIEL, LIBRAIRES-ÉDITEURS
RDI CDJAS, 9 (AlfCIEMNK HUE DBS GRÈS).
AD. LAINE, LIBRAIRE
aus DU SAurrs-pi&xs, i».
1868
'^x'à^Airp
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FE8 5 1371
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ASSOCIATION
POUR
L'ENCOURAGEMENT DES ÉTUDES GRECQUES
EN FRANCE.
STATUTS.
§ I. But de l'Association.
Art. i®^ L'Association encourage la propagation des
meilleures méthodes et la publication des livres les plus
utiles pour Tétude de la langue et de la littérature grecques.
Elle décerne, à cet effet, des médailles et des récompenses.
2. Elle encourage par tous les moyens en son pouvoir le
zèle des maîtres et des élèves.
3. Elle propose, s'il y a lieu, des sujets de prix.
4. Elle entretient des rapports avec les hellénistes étran-
gers.
5. Elle publie un annuaire ou un bulletin, contenant un
exposé de ses actes et de ses travaux , ainsi que l'indication
des faits et des documents les plus importants qui con-
cernent les études grecques.
§ II. Nomination des membres et cotisations.
6. Le nombre des membres de l'Association est illimité.
Les Français et les étrangers peuvent également en faire
partie.
7. L'admission est prononcée par le Comité, sur la pré-
sentation d'un membre de TAssociation.
8. Les cinquante membres qui forment actuellement le
Comité, et qui par leur zèle et leur influence ont parti-
culièrement contribué à l'établissement de l'Association,
auront le titre de membres fondateurs,
9. Le taux de la cotisation annuelle est fixé au minimum
de dix francs.
10. La cotisation annuelle peut être remplacée par le
payement, une fois fait, d'une somme décuple. La personne
qui a fait ce versement reçoit le titre de membre donateur.
§ m. Direction de l'Association.
il. L'Association est dirigée par un Bureau et un Co-
mité, dont le Bureau fait partie de droit.
12. Le Bureau est composé :
D'un Président,
De deux Vice-Présidents,
D'un Secrétaire- Archiviste ,
D'un Trésorier.
Il est renouvelé annuellement de la manière suivante :
!• Le Président sortant ne peut faire partie du Bureau
qu'au bout d'un an ;
2" Le premier Vice-Président devient Président de droit;
3* Les autres membres sont rééligibles;
4* Les élections sont faites par l'Assemblée générale , à
la pluralité des suffrages.
13. Le Comité, non compris le Bureau, est composé de
vingt et un membres. Il est renouvelé annuellement par
tiers. Les élections sont faites par l'Assemblée générale.
Les sept membres sortants ne sont rééligibles qu'après un an.
14. Tout membre, soit du Bureau, soit du Comité, qui
- — 7 —
n'aura pas assisté de l'année aux séances , sera réputé dé-
missionnaire.
15. Pour la première année, les fonctions du Comité sont
remplies par la réunion des membres fondateurs, qui a déjà
nommé le Bureau. A la fm de la première année, le Comité
sera réduit au nombre réglementaire de vingt et un mem-
bres, dont quatorze élus par le sort parmi les membres
fondateurs qui ne se seront pas récusés, et sept membres
nommés par TAssemblée générale parmi les membres de
l'Association.
16. Le Comité se réunit régulièrement au moins une fois
par mois. Il peut être convoqué extraordinairement par le
Président.
Le Secrétaire rédige les procès-verbaux des séances, et
ils sont régulièrement transcrits sur un registre.
Tous les membres de l'Association sont admis aux séances
ordinaires du Comité, et ils y ont voix consultative.
Les séances seront suspendues pendant trois mois, du
i^ août au 4" novembre.
17. Une commission de comptabilité sera établie, et des
commissions de correspondance et de publication pourront
être établies par le Comité. Tout membre de TAssociation
pourra en faire partie.
18. Le Comité fera dresser annuellement le budget des
recettes et des dépenses de l'Association. Aucune dépense
non inscrite au budget ne pourra être autorisée par le
Comité que sur la proposition ou bien après l'avis de la
commission de comptabilité.
19. Le compte détaillé des recettes et dépenses de Tan-
née écoulée sera également dressé, présenté par le Comité
à l'approbation de l'Assemblée générale, et publié.
§IV. De L'AssEaïBLÉE générale.
20. Une Assemblée générale de TAssociation aura lieu
une fois au moins chaque année, le premier vendredi
^ 8 —
après Pâques (1). Les convocations auront lieu à domicile.
L'Assemblée entendra le rapport qui lui sera présenté par
le Secrétaire sur les travaux de l'Association, et le rapport
de la commission de comptabilité sur les recettes et les dé-
penses de l'année.
Elle procédera au remplacement des membres sortants
du Comité et du Bureau.
Tous les membres de TAssociation sont admis à voter
soit en personne, soit par correspondance.
Elle recevra les communications qui seront les plus pro-
pres à l'intéresser.
§V.
Les présents statuts pourront être modifiés par un vote
du Comité, rendu à la majorité des deux tiers des membres
présents, dans une séance convoquée expressément pour
cet objet, buit jours à l'avance. Les modifications votées
seront soumises à l'approbation de l'Assemblée générale.
Délibéré en réunion des Membres fondateurs, le 22 juin 1867.
(1) La date primitivement fixée était le mois de mars. Sur la demande
de plusieurs membres , et sauf approbation de la prochaine assemblée gé-
nérale, l'époque de cette réunion a été reportée de mars en avril , par
décision du Comité en date du 3 avril 1868.
^ 9 —
MEMBRES FONDATEURS.
(1867.)
Adert, ancien professeur de littérature grecque à l'Académie de
Genève, rédacteur en chef du Journal de Genève.
Alexandre, membre de l'Institut.
Bertrand (Alexandre), directeur du Musée de Saint-Germain,
Beulé, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
Bré AL (Michel), professeur au Collège de France.
Brunet de Presle, membre de l'Institut.
BuRNOUF (Emile), directeur de l'École française d'Athènes.
Campaux, professeur à la Faculté des lettres de Strasbourg.
Chassang, maître de conférences à l'École normale supérieure.
Daremherg, de la bibliothèque Mazarine.
David (Baron Jérôme), vice-président du Corps législatif.
Dehèque, membre de l'Institut.
Delyannis (Théodore-P.)', ministre plénipotentiaire de S. M. HeU
lénique.
Deville, ancien élève de l'École d'Athènes.
DiDOT (Ambroise-Firmin), libraire-éditeur.
DÛBNER, helléniste.
DuRUY (S. Exe. M. Victor), ministre de l'instruction publique.
Egger, membre de l'Institut.
Eichthal (Gustave d'), membre de la Société asiatique.
GiDEL, professeur de rhétorique au lycée Bonaparte.
Girard (Jules), maître de conférences, à l'École normale.
GouMY, rédacteur en chef de la Revue de l'Instruct ion publique,
GuiGNiAUT, secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions.
Havet, professeur au Collège de France.
Heuzey, ancien membre de l'École d'Athènes, professeur à l'École
des Beaux-Arts.
— 10 —
HiGNARD, professeur à la Faculté des lettres de Lyon.
HiLLEBBAND, professeur à la Faculté des lettres de Douai.
Jourdain, membre de l'Institut.
Legouvé , de l'Académie française. "
LEVÉ QUE, membre de l'Institut.
LoNGPÉRiER (de), membre de l'Institut.
Maury (Alfred), membre de l'Institut.
MÊLAS (Constantin), de la maison Mêlas frères (Marseille).
Miller, membre de l'Institut.
Naudet, membre de l'Institut.
Patin, de l'Académie française^ doyen de la Faculté des lettres de
Paris.
Perbot (Georges), ancien élève de l'École d'Athènes, professeur
de rhétorique au lycée Louis-le-Grand.
Ravaisson, membre dé l'Institut.
Renan, membre de l'Institut.
Renier (Léon), membre de l'Institut.
Saint-Marc- GiBABDiN, de l'Académie francnise.
Thenor (l'abbé), directeur de l'École des Carmes.
Thurot, maître de conférences à l'École normale.
Valettas (J.-N.), professeur (Londres).
ViLLEMAiN, secrétaire perpétuel de l'Académie française.
Vincent, membre de l'Institut.
Waddington, membre de l'Institut.
Weil, professeur à la Faculté des lettres de Resançon.
Wescher, ancien élève de l'École d'Athènes.
WiTTE (Baron de), membre de l'Institut.
— il —
iEMBRES DONATEURS.
Beulé, membre de l'Institut.
Brunet de Pbesle, membre de Tlnstitut.
Chrtstopoulos (S. Exe. M.), ministre de rinstruction publique
et des cultes en Grèce.
Desjabdins, 1 1 , rue Maurepas (Versailles).
DiDOT (Ambroise-Firmin), libraire-éditeur.
Drème, premier avocat général, à Agen (Lot-et-Garonne).
DuRUY (S. Exe. M. Victor), ministre de l'instruction publique.
EiCHTHAL (Gustave d'), membre de la Société asiatique.
L. Hachette et C% libraires-éditeurs, à Paris.
MouBiER, vice-recteur de l'Académie de Paris. !
Patin, membre de l'Académie française.
Riant (Paul), docteur es lettres, de la Société des antiquaires.
IEMBRES DU BUREAU POUR 1868.
Président Honoraire : M. Patin.
Président : M. Eggkb.
Fice- Présidents : MM. Bsuii et Brunet db Prbslb.
Secrétaire^Archiviste : M. Chassano.
Secrétaire' Adjoint : M. Rouvray.
Trésorier : M. Gustate d*£iCHTHAL.
— \2
MEMBRES OU COMITÉ POUR 1868.
MM. Alexàndbe.
Beulé.
Bbéal.
Brun ET db Presle.
Dabemberq.
Dehèque.
DiDOT (AmbroiseFirmin)l
d'Eichthal (Gustave).
GiDEL.
GiBABD (Jules).
GOUMY.
Ha VET.
Heuzey.
de longpébieb.
MiLLEB.
Patin.
Perrot (Georges).
Renan.
Saint-Marc Gibabdin.
Thubot.
Wescher.
— 13 —
COMMISSION DE COMPTABILITÉ.
M. JouBDAiN» membre de Tlnstitut.
M. Pépin Lbhalleub (Emile).
LISTE GÉNÉRALE DES MEMBRES AU 6 MARS 1868.
Abeille, 4, avenue Gabriel (Paris).
Adebt, ancien professeur de littérature grecque à l'Académie de
Genève, rédacteur en chef du Journal de Genève,
Agathidès, professeur, 28, KildareTerrace,Bayswater (Londres).
Agelasto (D.), négociant (Marseille).
Agelasto (E.), négociant (Marseille).
Alëxandbe, membre de l'Institut, 9, rue Mogador (Paris).
Alglave, avocat, 7, rue du Cardinal Le Moine (Paris).
Allaibe (E.), ïwickenham (Middlesex).
Ambanapoulos, négociant (Marseille).
Anazeibopoulos, professeur à l'Ecole hellénique d'Argos (Grèce).
Andbéadès (M™"), directrice de l'École primaire grecque, au
Caire.
Anonymes (quatre) (Paris).
Abgenti (liéonidas), négociant (Marseille).
— 14 —
AssELiN, professeur au collège Rollin, 40, rae de TOnest (Paris).
AsTBODOSTAUROS (Paris).
AviEBiNO (Alexandre), négociant, Gresham house (Londres).
Badois, 127, rue de la Tour(Passy).
Bagault, 43, rue Saint-Lazare (Paris).
Baguenault de Puchesse (Gustave), licencié es lettres, 49, rue
Bonaparte (Paris).
Bahaux ( J. ) , licencié es lettres , 71 , boulevard Mont-Parnasse
(Paris).
Baillière (Germer), 17, rue de l'École de Médecine (Paris).
Bailly, professeur au lycée impérial d'Orléans (Orléans).
Ballu, architecte, 80, rue Blanche (Paris).
Baltabd, membre de l'Institut, 4, rue de l'Abbaye (Paris). -
Babbet-Massin , 16, rue de la Ferme-des-Mathurins (Paris).
Babon (L.), ancien député, Fontenay (Vendée).
Babbias, 71, rue d'Amsterdam (Paris).
Barthélémy Saint-Hilaire , membre de l'Institut, 29 bis, rue
d'Astorg (Paris).
Baby, professeur au collège Rollin, 47, rue Pigalle (Paris).
Basili (G.-A.), sous-gouverneur de la banque nationale d'Athènes.
Basili (D.-M.), négociant (Marseille).
Bassiliadès (S.), négociant (Marseille).
Baudoin, inspecteur général de l'enseignement primaire (Paris).
Baudbeuil (de), 29, rue Bonaparte (Paris).
Beau JEAN , professeur au lycée Louis-le-Grand, rue de l'Univer-
sité, 39 (Paris).
Beaussibe, professeur au collège Bollin, rue des Postes (Paris).
Belin, libraire-éditeur, 52, rue de Vaugirard (Paris).
BÉLISAIBE (Jean), professeur de grec, 5, rue Canonge (Marseille).
Belot, professeur au lycée de Versailles.
Bebcoet, chef d'institution, 3, cité Malesherbes (Paris).
Bebgaigne, 55, rue de Verneuil (Paris).
Bebge (de la), attaché au cabinet des médailles, 12, rue de Lou-
vois (Paris).
Bebgeb, professeur à la Faculté des lettres de Paris, 1, rue
Leregrattier-en-l'Ile.
Bernardàkis, 20, rue Racine (Paris).
Bebryeb, de l'Académie française, 64, rue des Petits-Champs (Paris).
Bebtband (Joseph), membre de l'Institut, 82, rue de Rivoli
(Paris).
— i5 —
Bebtrand (Alexaudre), directeur du musée de Saint-Germain.
BÉTOLAUD, ancien professeur de l'Université, 53, rue du Bac.
Beugnot (Comte), 101 Ms^ rue Saint-Lazare (Paris).
Beulé, membre de l'Institut, 25, quai Conti (Paris).
BiENAYMÉ (Jules), membre de l'Institut, 1, rue de Fleurus (Paris).
BiKELAS (D.), négociant, 19, Old Broad street (Londres).
Blache, de l'Académie de médecine, 5, rue de Suresne (Paris).
Blanc (Charles), à Saint-Gratien (Seine-et-Oise).
Blancabt, professeur de grec moderne (Marseille).
Blignières (de), ancien chef d'institution, 80, rue de Grenelle-
Saint-Germain (Paris).
Blondel (Charles), élève de l'École française d'Athènes.
Blotnicki, 2, rue Saint-Louis-eu-l'Ile (Paris).
BoDiNiER, correspondant de l'Institut, place du Château (Angers).
BoissoNADE, professeur agrégé à la Faculté de droit (Paris).
Bouchard, notaire, 1, place Boïeldieu (Paris).
BoucHARDAT, professcur à la Faculté de médecine, 8, rue du
Cloître-Notre-Dame (Paris).
Boucherie, professeur au lycée impérial de Montpellier.
BouiLLiER, directeur de l'École normale supérieure, 45, rue
d'UIm (Paris).
BouRBAKi (Démétrius), officier de l'armée hellénique, 24, rue
Chevert (Paris).
Bréal (Michel), professeur au Collège de France, 63, boulevard
Saint-Michel (Paris).
Brelay (Ernest), négociant, 34, rue Hauteville (Paris).
Briau, bibliothécaire de l'École de médecine, 41, rue de la Vic-
toire (Paris).
Brunet de Presle, membre de l'Institut, 61, rue des Sts-Pères.
BuRNOUF (Emile), directeur de l'École française d'Athènes.
Cabanel, membre de l'Institut, 17, rue de la Rochefoucauld (Paris).
Caffarelli (comte), député, 58, rue de Varennes (Paris).
Cahen d'Anyers (Comte), 47, rue Lafûtte (Paris).
Cahen d'Anvers, 47, rue Laffitte (Paris).
Cahen d'Anvers (Joseph), 47, rue Laffitte (Paris).
Cahen d'Anvebs (Louis), 47, rue Laflitte (Paris).
Cahen d'Anvebs (M"«) ,118, rue de Grenelle St-Germain (Paris).
Caillemeb (£xupère), professeur à la Faculté de droit de Grenoble
(Isère).
Galtocob£ssi(M.G.)> négociant (Marseille).
-. 16 —
Campaux, professeur à la Faculté des lettres de Strasbourg.
Canellopoulo, rédacteur en chef de V Indépendance hellénique,
rue du Pirée, 27 (Athènes).
Cabacoussi (S.-B.), négociant (Marseille).
Caramatîos (Ph.-G.), négociant (Marseille).
Caro, professeur à la Faculté des lettres, 20, rue Saint-Maur-
Saint-Germain (Paris).
Cassimati , avocat à Syra (Grèce).
Catzigras Cosmas, négociant (Marseille).
C AU MONT (de), correspondant de l'Institut (Caen).
Ceffala (Georges), négociant, 3, Winchester Buildings (Londres).
Cerfbeer (Théogène), agriculteur (Oberviller, près Saarbourg,
Meurthe).
Chabouillet, conservateur au cabinet des naédailles, 22, rue
Boursault (Paris).
Chanrond (Gustave de), à Briançon (Hautes-Alpes).
Chantepie (de), professeur de rhétorique au lycée impérial de
Vesoul.
Chasles, membre de l'Institut, 3, passage Saint-Marc, rue du Bac
(Paris).
Chassang, maître de conférences à l'École normale supérieure
(Paris).
Chasseriau (M^e), 40, rue de Bruxelles (Paris).
Chastellux (Comte Henri de), 90, rue de Varennes (Paris).
Chatel (Eugène), archiviste du département du Calvados, à
Caen.
Chénier (de), 35, rue Bellecliasse (Paris).
Cherbuliez (André), professeur de littérature ancienne à l'Aca-
démie (Genève).
Cherbuliez (Victor), (Genève).
Chéronnet-Champollion (Léonce), 10, rue de l'Oratoire (Paris).
Chéronnet-Champollion (René), 10, rue de l'Oratoire (Paris).
Cherrier (de), membre de l'Institut, 22, rue de Londres (Paris).
Chevreul, membre de l'Institut, au Jardin des plantes (Paris).
Chevriaux, censeur des études au lycée Bonaparte, rue du
Havre (Paris).
Choisy, ingénieur des ponts et chaussées , à Rethel (Ardennes) .
Christopoulos (S. Exe. M.), ministre de l'Instruction publique
et des cultes du royaume de Grèce.
CiRCOURT (Comte de), aux Bruyères, prèsBougival (Seine-et-Oise).
- il —
Clavel, professeur au lycée impérial de Bourges.
Cleraiont-Tonnerre (duc de), 78, rue de l'Universilé (Paris).
CoHN (Albert), docteur en philosophie, 42, rue Richcr (Paris).
Colin,. 18, boulevard Montmartre (Paris).
Colon N A (la Duchesse), 1, rue François 1" (Paris).
Combes (de), au château d'Amayé (par Evrecy, Calvados).
CoNDÉs (Élie), chez jMM. Tamvaco et Microlachi (Marseille).
CoRGiALÉGNO (André}, négociant (Marseille).
CoRGFALÉGNO, négociant (Marseille).
CosTE (Olivier de la), licencié es lettres, 108, rue du Bac (Paris).
CouRKT (Alph.), docteur en droit, 2, rue Servan (Grenoble).
Courtaud Divernéresse, 7, rue Madame (Paris).
Crauk, 46, rue de Vaugirard (Paris).
Cros, 4, rue du Mont-Thabor (Paris).
CuRNiEU (le baron de), 68, rue de la Chaussée-d'Antin.
CuviLLiER, professeur au lycée du Prince-Impérial (Vauves).
Damalas, négociant (INIarseille).
Daremberg, de la bibliothèque Mazarine, 1, rue de Seine (Paris).
Dareste de la Chavanne, avocat, 1, quai Malaquais (Paris).
David (Baron Jérôme), vice-président du Corps législatif, 6, place
Saint-Michel (Paris).
Debin, 6, rue Germain-Pilon (Paris),
DiHÈQUE, membre de l'Institut, 116, rue de Greneile-St-Germain.
Delagrave, libraire-éditeur, 78, rue des Écoles (Paris).
Delalain (Jules), libraire-éditeur, 76, rue des Écoles (Paris).
Delalain (Henri), libraire-éditeur, 76, rue des Écoles (Paris).
Delaroche (Horace), 26, rue des Bourdonnais (Versailles).
Delaroche (Philippe), 103, rue du Bac (Paris).
Delaunay, professeur, à Ernée (Mayenne).
Delessert (M^'c Gabriel), 9, rue Basse, à Pass} -Paris.
Delorme, 20, rue de la Fcrme-des-Mnthurins (Paris).
Delta (Thomas), négociant, 3, Winchester Buildings (Londres).
Deltour , professeur de rhétorique au lycée Saint-Louis, 98,
rue de la Pépinière (Paris).
Delzons, professeur au lycée Saint-Louis^ 35, rue des Fossés-
Saint-Victor (Paris).
Delvannis (Ïhéodore-P.), ministre plénipotentiaire de S. M. Hel-
lénique, 5, rue Boissy-d'Anglas (Paris).
Demarquay. docteur-médecin, 43, rue de la Vicloire (Paris) .-
DÉMÉTRios (Eustache), négociant (Marseille).
2
— 18 —
Denis, répétiteur à Sainte-Barbe, 2, rue de Reims (Paris).
Deschamps (Arsène), docteur en philosophie et lettres, à Liège ,
rue Basse-Chaussée.
Deschanel (Emile), ancien maître de conférences à l'École nor-
male supérieure, 34, rue de Penthièvre (Paris).
Des Francs, professeur au lycée de Tarbes (Pyrénées-Orientales).
Desjardins, 11, rue Maurepas (Versailles).
Devin, avocat, 12, rue de l'Échiquier (Paris).
DiDOT (Ambroise-Firmin), libraire-éditeur, 56, rue Jacob (Paris).
DiLBEROGLOu (S.), négociant, Threadneedle street (g. j. Cavafy
6 et e** (Londres).
DoGNÉE (E.), 20, place des Carmes (Liège, Belgique).
DoLLFUS, rédacteur en chef de la Revue woc/erne, 10, Faubourg-
Montmartre (Paris).
Doyen (Xavier), maître d'études au collège (Schelestadt, Bas-Rhin).'
Dhapeyron, professeur d'histoire au lycée de Besançon,
Drème, premier avocat général, à Agen (Lot-et-Garonne).
Duc, membre de l'Institut, 4, rue du Marché-Saint-Honoré (Paris).
DucAMP (Maxime), 43, rue du Rocher (Paris).
Dumas (E.-R.), professeur au lycée impérial de Montpellier.
DuMONT, docteur-médecin (Angers, Maine-et-Loire).
DUQUESNE, 51, rue Laffitte (Paris).
Durand, libraire-éditeur, 9, rue Cujas (Paris).
DuRET (M'ne), 17, quai Voltaire (Paris).
DuRUY (S. Exe. M. Victor), ministre de l'instruction publique.
Egger, membre de l'Institut, 48, rue Madame (Paris).
EiCHTHAL (Adolphe d'), membre du Conseil supérieur du com-
merce, 98, rue Neuve-des-Mathurins (Paris).
EiCHTHAL (Adolphe d'), fils, banquier, 98, rue Nee-des-Mathurins.
EicHTHAL (Eugène d'), 100, rue Neuve-des-Mathurins (Paris).
EicHTHAL (Gustave d'), membre de la Société asiatique, 100, rue
Neuve-des-Mathurins (Paris).
Élèves (les) de rhétorique du collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
ÉLiADE (Léonidas), professeur de grec moderne, 2, rue Royer-
CoUard (Paris).
Épinay (de 1'), 6, impasse Sandrié (Paris).
EssARTS (Emmanuel des), professeur au lycée d'Orléans.
Estrangin (A.), négociant (Marseille).
EuMORPHOPOULOs (A.-G.), négociant, Ethelburghouse,Bishops-
gate Street (Londres).
— 19 —
EvELABD, professeur au lycée Saint-Louis, 13, rue de la Cerisaie.
Fabmacopoulos, attaché à la légation hellénique, 5, rue Boissy-
d'Anglas (Paris).
Faure (André), 80, rue Taitbout (Paris).
Fayard (Eugène), 18, rue d'Aguesseau (Paris).
Florent Lefèvre, conseiller général du département du Pas-de-
Calais, 47, rue de Lille (Paris).
Flourens (Gustave), au Jardin des plantes (Paris).
FoTiADÈs (G.), négociant (Marseille).
FoucART, professeur au lycée Charlemagne, 13, rue de Tournon
(Paris).
FoucHER de Careil (Comte), 11, rue François !•* (Paris)
FouBNiER, docteur es sciences, 72, rue de Seine (Paris).
FuNCK, aide-de-camp de S. M. Hellénique.
Gaffarel, professeur d'histoire au lycée de Montpellier,
Gaïdoz (Henri), licencié es lettres, 32, rue de Madame (Paris).
Galichon (Emile), directeur de la Gazette des Beaux-Arts^ 182,
rue de Rivoli (Paris).
Galusky, 126, rue de Poissy (Saint-Germain en Laye).
Gando, 52, rue d'Amsterdam (Paris).
Garelli (Alexandre), négociant (Marseille).
Garnier, architecte de l'Opéra, 84, boulevard St-Germain (Paris).
Gàrnier (Auguste), libraire, 6, rue des Saints-Pèr^s (Paris).
Garnier (Hippolyte), libraire, 6, rue des Saints-Pères (Paris).
Gatteaux, membre de l'Institut, 41, rue de Lille (Paris).
Gaudry (Albert), 12, rue Taranne (Paris).
Georgiadès (C.-B.), rue du Loisir (Marseille).
GÉRÔME, membre de l'Institut, 6, rue de Bruxelles (Paris).
Geschwind (Paul), élève du collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
GiDEL, professeur de rhétorique au lycée Bonaparte, 130, rue
Saint-Lazare (Paris).
GiGUET, traducteur d'Homère (Sens, Yonne).
Gilbert, 23, rue de Marignan (Paris).
Girard (Jules), maître de conférences à l'École normale supérieure,
26, rue Monsieur-le-Prince (Paris).
GouiN (Ernest), constructeur, 4, rue Cambacérès (Paris).'
GouMY, rédacteur en chef de la Revue de rinstructiov publique,
82, boulevard Saint-Germain (Paris).
GouNAROPOULOS, négociant, 3, boulevard St-Michel (Marseille).
GouNOD, membre de l'Institut, 19, rue de la Rochefoucauld (Paris).
— 20 —
Gbéard, inspecteur de l'Académie de Paris, 77, boulevard Saint-
Michel (Paris).
Gréhan, professeur au collège de Compiègne (Oise).
Gruyer (Anatole), 10, rue du Mont-ïhabor (Paris).
Gruyer (Gustave), 28, place Saint-Georges (Paris).
GuÉRARD, directeur de Saiute-Barbe-des-Champs (Fontenay).
GuiGNiAUT, secrétaire perpétuel de l'Académie des Inscriptions
et Belles-Lettres, 25, quai Conti.
Guillaume, membre de l'Institut, à l'École des Beaux-Arts.
Guillaume, avenue de l'Impératrice (Paris).
GuiLLHEMASSY, profcsscur, 5, rue Corneille (Paris).
GuizoT (François), membre de l'Institut, 10, rue de l'Oratoire-
des-Champs-Élysées.
GuizoT (Guillaume), 53, boulevard IMalesherbes (Paris).
Hachette (Lo»is et G"), libraires-éditeurs, 77, boulevard St-Ger-
main (Paris).
Hamel, professeur à la Faculté des lettres de Toulouse.
Harcourt (Comte Jean d'), 82, rue de l'Université (Paris).
Hatzi Petros, général, aide de camp de S. M. Hellénique.
Havet, professeur au collège de France, 60, rue des Écoles.
Hazzifilo, négociant, 6, rue du Conservatoire (Paris).
Heath (John), banquier, 31, Old Jewery, cité de Londres.
Heath (Robert), banquier, 31, Old Jewery, cité de Londres.
Heath (Henry), banquier, 31, Old Jewery, cité de Londres.
Heinhich, professeur à la Faculté des lettres de Lyon, 28, cours
Morand.
Hesse (Antoine), banquier (Marseille).
Hetsch (l'Abbé), supérieur du petit séminaire de la Chapelle-
Saint-IMesmin (Loiret).
Heuzey, conseiller, 4, rue de Crosne (Rouen).
Heuzey (Gustave), 25, rue de l'Impératrice (Rouen).
Heuzey (Edouard), 16, rue d'Aboukir (Paris).
Heuzey, ancien membre de l'École d'Athènes, professeur à l'École
des Beaux- Arts, 8, quai de la Mégisserie (Paris).
Hignard, professeur à la Faculté des lettres de Lyon, 7, cours
Morand (Lyon).
Hillebrand, professeur à la Faculté des lettres de Douai.
His de la Salle, 55, rue de Clichy (Paris).
Hittorf (Charles), 63, rue Saint-Lazare (Paris).
Hortus, ancien chef d'institution, 24, rue du Bac (Paris).
— 21 —
HuBAULT (G.), professeur au lycée Louis-Ie-Graud, 11, rue Bo-
naparte (Paris).
Hubert (Alfred), 103, rue Lafayette (Paris).
Hugo, 24, rue Royale (Paris).
HuiLLiEB, ancien notaire, 49, rue de Provence (Paris).
HussoN (Hyacinthe), 14, rue Marignan (Paris).
HussoN (Georges), 191, rue Saiut-Honoré (Paris).
Ingres (Mme), 1 1, quai Voltaire (Paris).
lONiDÉs, négociant, 19, Old Broad street (Londres).
Jacquet (Ernest), 5, rue des Pyramides (Paris).
Jacquet (père), 14, rue Castiglione (Paris).
Javal (Emile), 6, rue d'Anjou-Saint-Honoré (Paris).
Javal (Léopold), député, (î, rue d'Anjou-Saint-Honoré (Paris).
Jeannel, professeur au lycée de Marseille.
Jenck (Jules), 40, rue de Bruxelles (Paris).
JoLY (A.), professeur à la Faculté des lettres (Caen).
Jourdain, membre de l'Institut, 41, rue de Luxembourg (Paris).
Kastneb (Georges), membre de l'Institut, 16, rue Boursault (Paris).
Kergorlay (Comte Henri de), 48, rue de Varennes (Paris).
Labarthe, propriétaire, 19, rue Jacob (Paris).
Lacroix (Jules), 22, rue d'Aujou-Saint-Honoré (Paris).
Lacroix, à la Briche-Saint-Denis.
Lagache, directeur du service sténographique du Corps législatif
(Paris).
Lagbange (Marquis de), membre de l'Institut, sénateur, 29, rue
Barbet-de-Jouy (Paris).
Lagbené (M«»e de), 14, rue du Marché-d'Aguesseau (Paris).
L aguiche (Marquis de), 16, rue Matignon (Paris).
Lanjuinais (Vicomte), député, 20, rue Joubert (Paris).
Laprade (Victor de), de l'Académie française, 10, rue de Castries
(Lyon).
Lara Minot, 1, rue Godot-de-Mauroi (Paris).
Lasteyrie (Ferdinand de), membre de l'Institut, 11, quai Vol-
taire (Paris).
LaurentPichat, 39, rue de l'Université (Paris).
Leblant (E.), membre de l'Institut, 3, rue Leroux (avenue de
l'Impératrice).
Le Bret (Paul), représentant de la Compagnie des mines d'AnziOi
22, rue Caumartin (Paris).
Lebrun, de l'Académie française, 1, rue de Beaune (Paris).
— 22 —
Lecomte (Eugène), agent de change, 2, rue de la Chaussée-d'An-
tin (Paris).
Leconte (A.), professeur au lycée de Toulon.
Lee Childe, 9, rue de Penthièvre (Paris).
Legouez, professeur au lycée Bonaparte, 28, rue de'la Rochefou-
cauld (Paris).
Legouvé, de l'Ac. française, 14, rue St-Marc-Feydèau (Paris).
Lehmann, membre de l'Institut, 23, rue Balzac (Paris).
Lenient, maître de conférences à l'École normale, 48, boulevard
Saint-Germain (Paris,\
Le Proux (Ferdinand) , élève de l'École impériale des chartes
(Saint-Quentin).
LÉvÉQUE, membre de l'Institut (Bellevue, près Paris).
Lévi-Alvarez, 19, rue de Lille (Paris).
Levillaïn, 40, Faubourg-Poissonnière (Paris).
Levis MiREPOix (Comte de), 121, rue de Lille (Paris).
LiLLEBs (de), 46, rue de Bourgogne (Paris).
Loiret, professeur au lycée de Cahors.
LoNGPÉRrER (de), membre de l'Institut,. 50, rue de Londres (Paris).
Lorrain, docteur-médecin, 11, rue de TOdéon (Paris).
LuBERSAC (Comte de), 9, boulevard INIalesherbes (Paris).
LussoN, 21 ftw, rue de Laval (Paris).
Magnabal, agrégé de l'Université, chef de bureau au ministère
de l'Instruction publique.
Maigret (Edouard), 3, boulevard des Capucines (Paris).
Maigret (Théodore), 3, boulevard des Capucines (Paris).
Marcellus (Comtesse de), 16, rue Martignac (Paris).
Marchand, rue de Clichy, institution Prétet.
Mariette, correspondant de l'Institut de France, 44, rue Lafon-
taine (Auteuil-Paris).
Marsand, 2, rue des Bons-Enfants (Paris).
Marsy (de), archiviste paléographe, 09, boulevard Saint-Germain
(Paris).
Martin (Henri), historien, 54, Ranelagh (Passy-Paris).
Martin (Th. -Henri), doyen de la Faculté des lettres de Rennes.
Matthieu, député, 57, rue Sainte-Anne (Paris).
Maury (Alfred), membre de l'Institut, 1, rue de Seine (Paris).
Mavrocordato, 5, rue Boissy-d'Anglas (Paris).
Mavrocordato (D.-A.), négociant, 37, Theadneedie street (Lon-
dres) .
— 23 —
Mavromichali (M""') (Paris}.
M. C, 80, rue Notre-Dame des Champs, passage Stanislas (Paris).
MÊLAS (Constantin), de la maison Mêlas frères (Marseille).
MÊLAS (B.), négociant. Old Broad streel (Londres).
Menu de Saint-Mesmin , préfet des études au collège Chaptal,
rue Blanche (Paris).
Merle (M"'«^), 6, place Saint-Michel (Paris).
Merruau, conseiller d'État, 45, rue de Chabrol (Paris).
Messager (E.), 5, rue Trouchet (Paris).
MÉTAXAs (G.), aide de camp de S. M. Hellénique.
Métaxas (Georges), chez M. Corgialégno (Marseille).
MÉTAXAS (J.), docteur en médecine (Marseille).
Meyer, inspecteur de l'Académie de Paris, 31, avenue Trudaine
(Paris).
Mézières, professeur à la Faculté des lettres de Paris, 77, boule-
vard Saint-Michel.
Michalinoudès (J.-A.), négociant (Marseille).
Michel, professeur à l'école Turgot, 46, rue de l'Ouest (Paris),
MicHOTTE, 3, rue de Rouvres (parc de Neuilly).
Micrulachi (S.-E.), négociant (Marseille).
INIiLL (John Stuart), membre du parlement, recteur de l'Université
de Saint- Andrew (Londres).
Miller, membre de l'Institut, bibliothécaire du Corps législatif.
Mollïard, sous-directeur à l'institution Sainte-Barbe (Paris).
MoNGiNOT, professeur au lycée Bonaparte, 66, rue du Rocher
(Paris).
Monnier (Fr.), docteur ès-lettres, 99, rue de Sèvres (Paris).
MoNZiE (E. de), Sarlat (Dordogne).
Mortemart (Marquis de), 16, rue Matignon (Paris).
MouRiER, vice -recteur de l'Académie de Paris, 15, rue de la Sor-
bonne.
MoussAHi (S.), négociant (Marseille).
Naudet, membre de l'Institut, 184, rue de Rivoli (Paris).
Naville (Edouard), licencié es lettres, 2, rue Racine (Paris).
NicoLAiDÈs (Théodore), négociant (Marseille).
NicoLAiDÈs (Xénophon), négociant, 12, rue du Loisir (Marseille).
Nicolas (Michel), professeur à la Faculté de théologie protestante
de Montauban.
NiSAHD (Auguste), inspecteur de l'Académie de Paris, 45, bou-
levard Haussmann (Paris).
- 24 —
NiSABD (Charles), i03, rue de Grenelle-Saint-Germain (Paris).
NisABD (Désiré), de l'Académie française, sénateur, 2, rue Ca-
simir-Delavigne (Paris).
NoTARA (Emile), 23, rue de Bréa (Paris).
Oppermann, 30, rue Saint-Georges (Paris).
OuELLARD (Henry), professeur de rhétorique au collège de Char-
tres, 41, rue Saint-Michel (Chartres).
OuRSEL, 52, rue de ïurenne (Paris).
Palascas, capitaine de vaisseau de la marine royale hellénique.
Pandia Ralli, négociant (Marseille).
Panorios (N.), 22, boulevard du Nord (Marseille).
Parmentier, professeur au lycée de Strasbourg.
Pasquet, professeur au lycée Bonaparte, rue du Havre (Paris).
Passy (Louis), 49, rue de Clichy (Paris).
Patin, de l'Académie française, doyen de la Faculté des lettres de
Paris, 15, rue Cassette (Paris).
PÉLiciER, professeur au collège de Compiègne.
Pelletier, président de la Cour des comptes, 46, avenue Gabriel.
Pelletrem, 27, rue de l'Oratoire du Roule (Paris).
PÉPIN Lehalleur (Emile), docteur en droit, 5, rue de Greffiilhe.
Pebdikidès (Nestor), négociant (Marseille).
Peroglous, secrétaire privé de S. M. Hellénique.
Perrens, professeur au lycée Bonaparte, 9, rue de Greffiilhe.
Perrot (Georges), professeur au lycée Louis-le-Grand, 21, rue
Jacob (Paris).
Pessonneau , professeur au lycée Napoléon, 30, rue Monsieur-le-
Prince (Paris).
Petit (Louis), docteur es lettres, porte Bellou, à Senlis (Oise).
Petit de Julleville. ancien membre de l'École française
d'Athènes, professeur au collège Stanislas, 46, rue de Babylone.
Petit-Jean, principal du collège de Schelestadt (Bas-R]iin).
Philaretos (G. D.), négociant (Marseille).
PiAT (Albert), 98, rue Saint-Maur Popincourt (Paris).
Pillon (Alphonse), propriétaire, Roye-sur-Malty (Oise).
Piscis, 19, rue du Cirque (Paris).
PiTTi (A.), négociant (Marseille).
PoMAREL aîné, professeur à Sarlat (Dordogne).
PoMPERY (de), au château de Salsoigne (Aisne),
POTRON, 10, rue d'Antin (Paris).
Prache, 290, rue Saint-Honoré (Paris).
— 25 —
PuASSACAKi (Emmanuel), uégociant (Marseille).
Pbassàcaki (Leoni), négociant (Marseille).
PsABAKis, directeur à l'École hellénique de Paros (Grèce).
PsicHA, négociant, 19, Greshamhouse (Avieriuo et C') (Londres).
QuESNEL (Adolphe), négociant (Havre).
Gueux de Saint-Hilaire (Marquis de), 1, rue Soufflot (Paris).
Ralli (V.), négociant, 11, Finsbury Circus (Londres).
Ralli Schilizzi ARGENTr, négociant (Marseille).
Ravaisson, membre de l'Instilut, 9, quai Voltaire (Paris).
Renan, membre de l'Institut, 29, rue Vanneau (Paris).
Renier (Léon), membre de l'Institut, à la Sorbonne (Paris).
Renieri, sous- gouverneur de la Ranque nationale de Grèce
(Athènes).
Renouard (Léopold), 3, rue de Grammont (Paris).
Reviers de Manny (Vicomte), Fontainebleau (Seine-et-Marne).
Reynald, professeur à la Faculté des lettres d'Aix.
Riant (Paul), docteur es lettres, de la Société des antiquaires,
2, rue de Vienne (Paris).
RiFF, principal du collège d'Obernai (Ras-Rhin).
Rilliet (Albert), ancien professeur de littérature étrangère à l'A-
cadémie de Genève.
RiNN, professeur au collège Rollin, 212, rue Saint-Jacques (Paris).
RioussET, 28, boulevard Poissonnière (Paris).
Robert (Charles), correspondant de l'Institut, 9, rue des Saints-
Pères (Paris).
RoDOCANAKi (Emmanuel PO,négt, 29, Finsbury Circus (Londres).
RoDOCANAKi (Emmanuel Z,), négociant, 22, New city Chambers
(Londres).
RODOCANAKI (M ichel)V négociant (^larseille).
RODOCANAKI (P.), 42, avenue Gabriel (Paris).
RODOCANAKI (Stamali), uégociant (Marseille).
RODOCANAKI (T.-E.), négociant (Marseille).
RoEDTS, 39, rue Godot-de-Mauroy (Paris).
RoNCHAUD (Louis de), 22, rue de la Plaine. Ternes.
Roque (Phocion), secrétaire de la légation hellénique, 13, rue de
Turin (Paris).
RossEEW Saint-Hilaire, professeur à la Faculté des lettres de Pa-
ris, 74, rue'd' Anjou (Versailles).
Rothschild (Baron Alphonse de), 21, rue Laffitte (Paris).
RouGÉ (Vicomte de), membre de l'Institut, 53, rue de Babylone.
- 20 —
Roussos, directeur à l'École hellénique d'Argos (Grèce).
RouvRAY, 62, rue d'Enfer (Paris).
RuDLER, professeur au collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
Sabatièr, ministre plénipotentiaire, 17, rue Lord-Byron (Paris).
Sainte-Beuve, membre de l'Académie française, Sénateur, 11,
rue du Mont- Parnasse (Paris).
Sainte-Claire Deville (Henri), membre de l'Institut, 47, rue
Madame (Paris).
Saint-Marc Girardin, de l'Ac. française, 5, r. Bonaparte (Paris).
Salomon, 6, rue de rKcole-tle-Médecine (Paris).
Salvago Pantaleon, négociant (Marseille).
Sayous, professeur au lycée Charlemagne, 232, rue de Rivoli.
ScARAMANGA, négociant (Marseille).
ScLAVos, négociant, OldBroad street,Vagliano Brothers (Londres).
ScLivANiOTTis, négociant, 31, boulevard Bonne-Nouvelle (Paris).
Sechiari frères, négociants (Marseille).
Selliès, capitaine au 13'' de ligne.
Sénart, licencié es lettres, 12, rue Saint-Dominique (Paris).
Serbos Mïltiades, négociant (Marseille).
Sidericudi Negrepontis, négociant (Marseille).
SiMÉON (Comte), sénateur, 23, quai d'Orsay (Paris).
"SoMAKis (d'Athènes), avocat, 18, boulevard Saint-Michel (Paris).
Souloutziaroglou, 22, rue de la Paix (Paris).
Soutzo (Constantin), officier de l'armée hellénique.
SouTZO (Démétrius), 49, rue Marbeuf (Paris). •
Soutzo (M"»« S.-M.).
Spanoudis (Alexandre), négociant (Marseille).
Sugdury, négociant, Gresham house, Mauro Basich, 50 (Londres).
ÏALBERT, directeur du collège Rollin, rue des Postes (Paris).
Talbot, professeur au collège Rollin, 8, rue Garancière (Paris).
Tarral, 14, cours la Reine (Paris).
Tattegrain, conseiller à la Cour impériale d'Amiens, 32, rue du
Loup (Amiens).
Tavernier, 20, rue Neuve-des-Capucines (Paris).
ïertu (Comte de), Tertu parTrun (Orne).
Thédenat (H.), professeur au collège de Juilly (Seine-et-Marne).
Thenon (l'abbé), directeur de l'école des Carmes, 76, rue de Vau-
girard (Paris).
Thiers, membre de l'Institut, 27, place Saint-Georges (Paris).
Thibion, professeur au lycée Bonaparte, 19, rue de Lille (Paris).
— 27 —
Thomas (Ferdinand), 21, passage des Favorites (Vaugirard).
Thobin, libraire, 58, boulevard Saint-Michel (Paris).
Thubot, maître de conférences à l'École normale, 77, rue du Bac.
TiMBAL, 13, rue de l'Abbaye (Paris).
ToBRAs (Léon), ancien agent de change, 32, rue de l'Arcade (Paris).
TouGARD (l'abbé Alb.), professeur au petit séminaire (Rouen).
TouBMEB, professeur au collège de Juilly, 6, rue Servandoni
(Paris).
Travers (Emile), archiviste paléographe, 22, rue Pigalle (Paris).
Tresse, 182, rue Rivoli (Paris).
Tricot (Lucien), 52, rue Taitbout (Paris).
TsopouLOS (Achille), chez MM. Zafiropoulos et Zarifi (Marseille).
TsoL'ROS (D.), chez MM. Michel Rodocanaki et C* (Marseille).
TupiGNY DE BouPFÉ, 23, ruc Caumartin (Paris).
TuBBETTiNi (Auguste), ancicu conseiller d'État de la république
(Genève).
Ubbain (Ismayl), conseiller rapporteur à Alger.
Vacalopoulos (Théodore), négociant (Marseille).
Valettas (J.-N.), professeur, 9^ Chepstow place, Royswater
(Londres).
Vallieb (Jérôme), négociant (Marseille).
Vabnieb, professeur au lycée de Caen.
Vast Vimeux, députe, 10, boulevard Malesherbes (Paris).
ViLLEMAiN, secrétaire perpétuel de l'Académie française, au pa-
lais de l'Institut.
ViLLEMAN, professeur, 5, rue Corneille (Paris).
Vincent, membre de l'Institut, 60, rue Notre-Dame des Champs,
2, passage Stanislas (Paris).
ViNET (E.), bibliothécaire de l'École des Beaux-Arts, 1 , rue de Ma-
dame (Paris).
ViTET, de l'Académie française, 9, rue Barbet de Jouy (Paris).
Vlangali-Handjeri (le Prince), 21, rue Balzac (Paris).
VouTZiNA frères, négociants (Marseille).
Vréto (M.-P.), 8, rue de Miroménil (Paris).
Vrisachi (B.), négociant (Marseille).
Waddington, membre de l'Institut, 14, rue Fortin (Paris).
Weil, professeur à la Faculté des lettres de Besançon.
Wescheb, ancien membre de l'École d'Athènes, 33, avenue de
Saxe (Paris).
WiDAL, professeur à la Faculté des lettres de Besançon.
— 28 —
WiTTE (Baron de), membre de PInstitut, 7, rue Fortin (Paris),
WoLOWSKi, membre de l'Institut, 49, rue de Clichy (Paris).
Yeméniz, fils, consul de Grèce (Lyon).
Ypsilanti (Princesse), 48, avenue Gabriel (Paris).
Ypsilanti (Princesse Elisabeth), avenue Gabriel (Paris).
YuNG, directeur de la Revue des cours littéraires et scientifiques,
52, rue de Verneuil (Paris).
Zapiropoulo (E.), négociant (Marseille).
Zafiropoulo (Constant), négociant (Marseille).
Zambaco, médecin, 21, rue Marignan (Paris).
Zarifi (Léonidas), négociant (Marseille).
Zarifi (Périclès), négociant (Marseille).
ZiziNiA (George), négociant (Marseille).
ZoiopouLOS, professeur à l'École hellénique d'Argos (Grèce).
Zygomalas (N.), négociant, Lime street (Londres).
— 20
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 6 MARS 1868.
DISCOURS DE M. PATIN
PRESIDENT.
Messieurs et cuers Confrères,
Nous inaugurons aujourd'hui ces réunions générales
dans lesquelles, chaque année, à pareille date, notre
Association devra procéder au renouvellement partiel du
Comité et du Bureau chargés de la représenter, se rendre
compte de sa situation, de ses ressources actuelles, des
résultats nouveaux de ses efforts dans l'accomplissement
de la mission qu'elle s'est donnée, V encourage ment des
études grecques en France.
Il fut un temps où ces études avaient dans notre patrie
leur siège principal, où y présidait à leur universel déve-
loppement cet Henri Estiennc sous l'invocation de qui vous
placera, en quelque ^orte, avec opportunité, une des lec-
tures que vous allez entendre (1). Elles n'étaient pas seule-
(1) Cette lecture a été faite , à la fin de la séance, par M. Egger.
— 30 —
ment, au seizième siècle, l'occupation préférée, l'honneur
de l'érudition française. Renouvelant ce qu'il leur avait été
donné de faire dans l'ancienne Rome, elles exercèrent
dès lors sur le mouvement de notre littérature une action
puissante et féconde; et de là provinrent, dans le siècle
suivant, après quelques illusions et quelques mécomptes,
ces belles œuvres à la fois imitées et originales, par les-
quelles s'est opérée la conciliation heureuse de l'art an-
tique et de la pensée moderne. C'est, on le voit, à des
traditions nationales, bien anciennes et bien glorieuses,
que se rattache notre Association, Elle pourrait prendre
pour devise ces paroles du poëte latin :
Res antiquae laudis et artis
Ingredior. .
Il ne s'agit pas, au reste, d'une passion depuis long-
temps éteinte qu'il soit besoin de ranimer. Si, au dix-
huitième siècle, l'enivrement de notre gloire littéraire,
les séductions d'une civilisation élégante, la poursuite
philosophique des réformes sociales; si, dans les pre-
mières années de l'âge présent, les graves préoccupations
de la révolution et de la guerre en ont distrait lés esprits,
ces défaillances n'ont été ni complètes ni durables : le
culte de l'antiquité s'est perpétué, à l'écart, dans de sa-
vants et poétiques sanctuaires, où se sont préparées^ d'où
sont sorties, en des jours d'épuisement, pour rajeunir les
idées, les tableaux, les procédés de l'art, pour renouveler
les plaisirs de l'imagination, des productions qui ont ra-
mené, avec charme, aux choses de la Grèce. On s'est plu
à y voyager à la suite de ce Scythe , resté quelque peu
Français, par lequel la faisait décrire et expliquer le docte
et ingénieux Barthélémy. On a cru ressaisir quelque chose
de sa naïve expression, de son accent, de son aiXtaTov
cpwvvi|jt.a, oublié et regretté, dans ces vers d'une archaïque
— 31 —
nouveauté, qu'André Chénier proclamait lui-même an-
tiques.
Lorsque, après de trop longues années, stérilement rem-
plies par nos troubles civils, notre société, rendue à l'ordre
et au calme, a vu les compagnies savantes se reconstituer,
les écoles se rouvrir, les travaux sérieux de la critique,
les grandes entreprises de la typographie reprendre leur
cours, les lettres grecques n'ont certainement pas été
négligées dans cette sorte de renaissance. Il s'est retrouvé,
il s'est formé à l'envi des maîtres pour les enseigner;
d'habiles philologues, auxquels il appartenait de diriger
cette éducation, n'ont manqué ni de disciples zélés, ni
d'utiles côopérateurs ; les méthodes grammaticales se sont
graduellement perfectionnées; les textes classiques ont
gagné sans cesse en correction, ont été de jour en jour
mieux compris, mieux sentis; par la fidélité de la tra-
duction et la sagacité du commentaire , on a pénétré de
plus en plus dans leur véritable esprit, avec une impar-
tialité, une indépendance de goût qui avaient trop man-
qué, en d'autres temps, aux vues de la critique.
Par suite de ce mouvement^ qui s'est propagé hors
de l'enceinte des écoles et du cercle des lettrés, qui a
gagné jusqu'aux gens du monde, il y a eu, de nos jours,
dans la société française, pour les lettres grecques, un
retour de publique faveur, duquel ont témoigné avec éclat
deux faits considérables : ce sentiment n'a certainement
pas été sans influence sur l'élan généreux avec lequel la
France est venue en aide aux défenseurs de l'indépen-
dance hellénique; il l'a inspirée plus tard, quand, sur ce
sol classique, redevenu libre, elle s'est créé un savant
domicile, donnant à son École de Rome un digne pendant,
son École d'Athènes.
C'est à ce sentiment aussi qu'a répondu notre Associa-
tioTiy qui, à peine annoncée, a réuni un si grand nombre
d'adhésions diverses , non-seulement dans les corps aca-
démiques et universitaires, dans le monde de l'érudition
— 32 —
et des lettres, mais dans toutes les classes de la société
française; non-seulement en France, mais à l'étranger,
et particulièrement chez cette jeune nation, héritière ,de
l'ancienne Grèce, à qui les lettres grecques semblent avec
raison une part si précieuse de son héritage, et que notre
zèle à en servir la cause achevait de nous rattacher par un
nouveau lien de sympathie.
Quelque tristesse se mêle à la légitime satisfaction, aux
espérances que doivent nous donner les favorables débuts
de notre œuvre. Déjà nous manquent quelques-uns de ses
plus ardents, de ses plus autorisés, de ses plus utiles pro-
moteurs ; et d'abord, enlevé dès le mois d'octobre de
l'année dernière, par une atteinte soudaine, au seuil seu-
lement de la vieillesse, dans sa force, dans son activité,
dans le plein exercice de facultés puissantes, qui avaient
suffi à tant de travaux, et dont on en pouvait attendre
tant d'autres encore, le très-regrettable Frédéric Diibner.
Regrettable pour la France, sa seconde patrie, au ser-
vice de laquelle il a mis une science, une sagacité, une
habileté philologiques acquises et éprouvées, sous les
plus illustres maîtres et en leur compagnie, dans les gym-
nases, les universités de l'Allemagne. Que de témoignages
ne lui a-t-il pas donnés, pendant trente-cinq années, de
son entier, de son infatigable dévouement I Énergique
collaborateur des Estienncs de notre âge, dans l'érection
de ces grands monuments qu'ils ont élevés h l'antiquité
classique, l'édition nouvelle du Thésaurus, la Bibliothèque
des auteurs ^rr^cs-y prêtant, en même temps, sa coopération
à des entreprises bien considérables elles-mêmes, qui ne
se proposaient rien moins que la reproduction, la restau-
ration savante d'une autre antiquité, celle des Pères de
l'Église chrétienne; mêlé, incidemment, par le besoin
universellement senti de son concours et une obligeance
qui ne connaissait point les refus, à d'autres travaux sans
nombre, de sorte que, comme on l'a dit (1), c Sa main
(l) M. Egger, discours prononcé aux funérailles de Fr. Dubner. Voyez
— 33 —
était partout où il y avait quelque manuscrit à colla-
tionner, quelque texte à corriger d'après les sévères pro-
cédés de la science » ; se souvenant et faisant souvenir, en
mainte occasion, dans ses préfaces, dans ses annotations,
qu'avant d'être devenu, par un exercice assidu, un hellé-
niste consommé, il avait été un très-habile latiniste;
l'attestant surtout par des éditions de nature diverse, les
unes destinées à l'usage commun des écoles, dont la cor-
rection savante était le principal ornement, les autres dans
lesquelles s'ajoutait à ce mérite une exquise élégance typo-
graphique ou une grandeur monumentale, l'Horace de
1855, le Virgile de 1858, ces petits chefs-d'œuvre elzé-
viriens, le César de 1867; que dirai-je encore? trouvant,
dans une vie si remplie, où, comme à ses débuts en Alle-
magne, les labeurs de l'enseignement ont eu aussi leur
place, le temps de débattre, avec une incontestable com-
pétence et une ardeur passionnée, celle d'un esprit con-
vaincu et zélé pour le progrès, des questions de méthode
grammaticale, le temps d'écrire, pour nos journaux, nos
revues d'instruction publique, sur certains passages diffi-
ciles et diversement interprétés des auteurs anciens, des
articles où le profond érudit se montrait, par surcroît,
dans un français digne de sa latinité, un fin et spirituel
critique. Je résume, à grand'peine, sous des expressions
générales, des détails dont l'exact relevé composerait,
l'auteur d'une notice spéciale (1) l'a déjà fait voir, une
longue autant qu'intéressante biographie. Regrettable à
la France, disais-je tout à l'heure; j'ajoute : bien digne
de regrets de la part de notre Association^ qui l'avait vu
accourir à elle, des premiers, avec des espérances que le
secours de ses lumières et de son expérience nous eût
puissamment aidés à justifier.
Elle n'a pas tardé à être affligée d'une autre perte bien
ce discours, ainsi que ceux de MM. Firmin Didot et Bétolaud , dans la
Revue de l'instruction publique du 17 octobre 1867.
(1) M. Fr. Godefroy, Notice sur J.-Fr. Diibner.
- 34 —
sensible, qui faisait disparaître de ses rangs, si récemment
formés, un helléniste d'un ordre beaucoup plus modeste,
sans doute, mais non d'un moindre zèle pour le progrès
des études grecques. Il en a fait preuve de double manière,
soit par ses leçons, au lycée de Montpellier, où, pendant
quarante ans, de 4816 à 1856, objet d'une estime et d'une
reconnaissance auxquelles sa retraite n'a pas mis un
terme, et qui lui survivront dans le cœur de ses conci-
toyens, il a professé, avec un zèle soutenu et efficace, la
grammaire et les humanités ; soit par des ouvrages dont
la plupart attestent honorablement son penchant, sa pré-
dilection pour l'enseignement de la langue grecque : ce
sont des traités élémentaires, des éditions d'auteurs faciles
à l'usage des commençants, que leur utilité éprouvée par
la pratique a désignés tous à l'approbation, à l'adoption
de l'administration qui préside aux études. Voilà des titres
bien respectables, bien dignes de recommander à nos
hommages la mémoire de M. Dumas-Saisset. Beau-frère,
le second de ces noms le rappelle, du professeur, de l'écri-
vain éminent qu'a trop tôt perdu la philosophie, il a bien
mérité lui-même, dans un ordre de travaux qui a particu-
lièrement droit à notre intérêt, de l'instruction publique.
Je n'ai pas achevé, il s'en faut, cette revue funèbre; il me
faut y comprendre, nécessité vraiment douloureuse ! deux
jeunes hommes, que des trépas inattendus ont enlevés,
presque ensemble, tout récemment, Tun le 6 décembre
dernier, l'autre, il y a quelques jours à peine, le 22 février,
au cours heureux de leurs travaux et de leurs succès, aux
belles promesses, déjà accomplies pour une si grande part,
de leur avenir. Bien des traits leur sont communs, outre
la fatalité de leur mort. De fortes études les avaient dirigés
tous deux vers l'École normale, de qui les avait reçus
l'École française d'Athènes, pour nous les renvoyer, pour
les restituer au service de l'érudition,, des lettres, de l'en-
seignement, avec cette espèce d'achèvement qu'un heu-
reux naturel, une riche culture, ne peuvent manquer de
— 35 —
recevoir d'un séjour sur la terre de Grèce, dans l'antique
patrie de la liberté, de l'éloquence, de la poésie et des
arts. Ai-je besoin de dire avec quel empressement ils
étaient -venus retrouver quelque chose de leur chère
Athènes dans notre Association, et quel accueil sympa-
thique ils y avaient reçu?
Gustave Deville, mort dans sa trente-deuxième année,
est celui des deux à qui le temps a le plus manqué pour
mettre à profit les connaissances variées, dont ses nom-
breux voyages, ses missions dans diverses contrées de la
Grèce et de TOrient avaient enrichi un esprit si curieux et
si pénétrant, sa connaissance approfondie du grec ancien,
son intime familiarité avec le grec moderne, que nul étran-
ger, assure-t-on, n'a parlé plus facilement. Il n'en restera
d'autres traces, à défaut d'œuvres plus considérables,
dont la mort a subitement interrompu le projet ou l'ébau-
che, que des thèses soutenues devant la faculté des lettres
de Paris, en 1866, dans l'intervalle de deux voyages en
Grèce. C'est à la Grèce que Fauteur en a emprunté la ma-
tière, comme pour se maintenir dans un commerce per-
manent avec la patrie adoptive de son intelligence. L'une,
De popularibus cantilenis apud recentiores Grœcos, ajoute
un chapitre intéressant à l'histoire des chansons grecques,
et quelques pièces aux recueils qu'on en a faits depuis le
beau et charmant livre de Fauriel. L'autre est une curieuse
Étude d'un des idiomes modernes du Péloponnèse, du dia-
lecte tzaconien. Les Archives officielles des missions scienti-
fiques et littéraires garderont aussi quelques souvenirs
des travaux de Gustave Deville. On ne lit pas sans une
émotion pénible, dans une livraison (1) nouvelle qui en
a été publiée le mois dernier, son rapport, en date du
9 avril 1867, sur l'exploration de l'île de Samothrace, l'un
des objets de cette mission dernière, acceptée et pour-
suivie par lui, malgré le délabrement de- sa santé, avec
(1) 2« série, t. IV, p. 253.
— se-
uil dévouement qui devait, au retour, lui devenir si fatal.
Grâce à une vie un peu plus longue, quoique terminée elle-
même bien prématurément à l'âge de quarante-deux ans,
Eugène Gandar a pu, ce qui a été refusé à Gustave Deville,
fournir, avec un progrès continu et de croissants succès,
une belle carrière de professeur et d'écrivain. Plusieurs
récits déjà l'ont retracée, sous l'impression, universelle-
ment ressentie, de ce qu'il y avait d'amer et de cruel dans
la conclusion inattendue qui l'arrêtait tout à coup, au mo-
ment où elle se poursuivait le plus heureusement, où elle
atteignait aux prix mérités de persévérants efforts^ Je dois
redire succinctement qu'après avoir obtenu, en 1847, le
premier rang au concours de l'agrégation des lettres, et,
par suite, une place, honorablement conquise, à l'École
française d'Athènes, Eugène Gandar, de retour en France,
a professé avec distinction la rhétorique dans le lycée de
Metz, la littérature ancienne, la littérature étrangère dans
les facultés de Grenoble et de Caen; que, rappelé à Paris
en 4860, il y a consacré pendant sept années, à l'ensei-
gnement de la littérature française, la variété, la solidité
de son savoir, la sagacité, la justesse de son esprit, l'élé-
gante gravité de sa parole, d'abord comme maître de
conférences à l'École normale, puis, dans la chaire illus-
trée par M. Yillemain_, comme suppléant de son digne suc-
cesseur, M. Nisard; que cette chaire étant devenue va-
cante, dans les derniers jours de 1867, par la démission
de l'honorable titulaire, elle lui a été donnée, sur la pré-
sentation unanime de la Faculté et du conseil académique,
sur la désignation, on a pu le dire, du public des écoles,
dont, par les mérites les plus sévères , il avait gagné la
faveur. Mais, hélas! cette récompense, malgré le délicat
empressement de Tadministration, s'est trouvée tardive ;
celui à qui elle était décernée était déjà trop cruellement
distrait par la souffrance, trop voisin de sa fin, pour
qu'un dernier éclair de joie pût pénétrer dans son âme.
Du moins a-t-il pu jouir sans trouble, quelque temps
— 37 —
auparavant, de ce qui devait compter pour beaucoup dans
l'évaluation de ses titres, la distinction flatteuse accordée
par l'Académie française à son Bossuet orateur^ la haute
approbation donnée par les meilleurs juges à son édition
critique des Sermons de la jeunesse de Bossuet, Dans le
premier de ces ouvrages, écrit d'un style simple et ferme,
judicieusement approprié à la gravité du sujet et à la sévé-
rité de la méthode, sont racontées, avec une exactitude
toute nouvelle et une remarquable vérité d'appréciation,
la jeunesse du grand orateur et l'éducation de son génie.
Dans l'autre, ces principes de critique presque unique-
ment appliqués jusqu'ici à la restauration des monuments
littéraires de l'antiquité, et qu'on s'est avisé bien tard d'ap-
pliquer aux nôtres, il en est fait le plus consciencieux, le
plus habile usage, pour retrouver la classification, fixer la
date, rétablir le texte des premiers essais d'une sublime
éloquence, si longtemps oubliés, et qui, malgré un zèle
et des soins sincèrement reconnus et même célébrés, cela
n'est pas commun, par le nouvel éditeur, n'avaient reparu
à la lumière que dans un fâcheux état de dégradation et
de confusion; Ce sont là les œuvres suprêmes d'Eugène
Gandar; elles marquaient la maturité de son esprit, le
dernier progrès de son talent, au moment où, par le choix
le plus honorable, allait se compléter sa situation dans
l'enseignement supérieur.
11 en est d'autres par lesquelles il nous convient de finir,
bien qu'elles nous ramènent à son point de départ, vers
le temps où, à l'Écgle française d'Athènes, il était l'hôte
delà Grèce, où, plus tard, une mission dans les îles Io-
niennes le rendait à cette terre aimée, que les premières
fatigues de sa santé lui avaient fait quitter trop tôt à son
gré. Ce sont, en 1854, ses remarquables thèses de docto-
rat : De Ulyssis Ilhaca. Qux sitUomero locos descrihenti fides
adhihenda; — Ronsard considéré comme imitateur d'Ho-
mère et de Pindare. C'est, en 1858, sous ce titre : Homère
et la Grèce contemporaine, une dissertation écrite pour
— 38 —
l'académie de Gaen, à laquelle, l'année suivante, en 1859,
il devait encore payer son tribut par une nouvelle disser-
tation de titre analogue, mais répondant à une autre des
préoccupations de son esprit épris du beau en tous genres,
Les Andelys et Nicolas Poussin. De ces diverses produc-
tions, les trois premières procèdent d'une inspiration toute
grecque; la Grèce ancienne, la Grèce moderne y sont sa-
vamment et quelquefois éloquemment expliquées l'une
par l'autre ; Homère, particulièrement, avec l'éternelle
vérité de ses descriptions, y apparaît comme le guide le
plus, sûr du voyageur, et, à leur tour, ces contrées qu'on
visite à sa suite, leur ciel, leurs sites, leurs mœurs, y de-
viennent le commentaire vivant de sa poésie ; enfin on y
voit rattaché à cette poésie, et à celle de Pindare, le grand
effort tenté chez nous, dans le seizième siècle, pour haus-
ser le ton de la muse française, avec une confiance quel-
que peu indiscrète, assurément, mais, après tout, géné-
reuse, que le génie n'a pas toujours trahie, et qui, par
quelques succès partiels, devait profiter, sinon tout à fait
au présent, du moins à l'avenir.
Me voilà revenu à la dignité, à l'influence des lettres
grecques, à l'intérêt de ces études, dont nous voudrions,
par notre concours, aider le progrès dans notre patrie. C'est
par là que j'ai commencé ; c'est par là aussi que je dois
conclure. Qu'il me soit permis toutefois d'ajouter encore
un mot, qui intéresse mes sentiments personnels. Arrivé
au terme légal de ma présidence, je ne voudrais pas la
quitter sans une dernière expression de gratitude pour de
trop indulgents confrères, qui pouvant choisir parmi tant
d'autres plus dignes d'être élus, m'en ont obligeamment
déféré le très-précieux honneur.
— 39
RAPPORT DE M. CHASSANG
SECRÉTAIRE
SUR
LES TRAVAUX DE L'ANNÉE 1867.
Messieurs,
11 appartient à votre Président et à votre Trésorier de
vous parler du présent de l'Association, et de vous faire
concevoir les meilleures assurances pour son avenir. Le
devoir de votre Secrétaire est de vous entretenir du passé
de l'Association (car elle a déjà un passé, si modeste qu'il
soit), et de vous faire connaître ses travaux pendant la
première année de son existence.
Après un mois ou deux d'essais persévérants pour s'or-
ganiser, l'Association s'est vraiment constituée, le 7 mai
4867, en arrêtant la liste de son Comité fondateur et de
son premier Bureau. Depuis cette époque ont eu lieu
neuf séances ordinaires, auxquelles le Comité a convié
tous les membres de l'Association, qui de droit y ont voix
consultative, et dont plusieurs ont pris une part active aux
délibérations.
Les premières séances ont été naturellement consacrées
à fixer les bases de l'ARsociation, à déterminer les moyens
— 40 —
d'action qu'il lui semblait convenable et utile d'employer,
enfin à élaborer des Statuts qui lui permissent de fonc-
tionner avec ordre et régularité. Ces Statuts, publiés avec
la liste des membres de l'Association en juillet, ont formé
notre premier Bulletin.
Le Comité n'a d'ailleurs pas attendu la rédaction et la
publication des Statuts pour chercher à remplir l'objet de
l'Association, qui est, comme son nom l'indique, d'encou-
rager les études grecques en France. Il a pris immédiate-
ment les mesures qui lui ont semblé devoir être les plus
efficaces en vue de stimuler le zèle pour les études grec-
ques, soit chez les élèves, soit chez les maîtres, soit même
chez les personnes studieuses étrangères à l'enseignement.
L'Association a fait annoncer par la voie des journaux
qu'elle décernerait des prix aux lauréats de version grec-
que de nos lycées, et des médailles aux auteurs des
meilleurs livres relatifs aux études grecques qui seraient
publiés à partir de l'année 1867.
Pour avoir tout son effet, il était nécessaire que la dis-
tribution des prix décernés en notre nom reçût la plus
grande publicité, et fût entourée d'autant de solennité
qu'il serait possible. Aussi, indépendamment de l'annonce
dans les journaux, une démarche fut-elle faite par le Pré-
sident auprès de M. le Ministre de l'instruction publique,
afin d'obtenir que les prix de l'Association fussent pro-
clamés à la distribution du Concours général. Cette fa-
veur n'ayant été accordée que pour le prix de rhétorique,
le Président, après les vacances, s'entendit avec les provi-
seurs des lycées de Paris et fut autorisé par eux à remettre
aux lauréats de version grecque du Concours général en
seconde et en troisième les autres prix de l'Association.
Vous entendrez sans doute avec plaisir. Messieurs, les
noms des élèves qui sont ainsi devenus vos premiers lau-
réats; ce sont les jeunes Bérard-Varagnac, du lycée Bona-
parte (rhétorique); Cauquelin, du lycée Charlemagne (se-
conde), et Créhange, du lycée Louis-le-Grand (troisième).
— 4i —
Puissions-nous avoir couronné en l'un d'eux quelque futur
helléniste !
C'est à des hellénistes déjà formés que s'adressent vos
médailles. Il avait été annoncé, par la voie de la presse,
que l'Association décernerait, en 1868, une médaille de
cinq cents francs au meilleur livre relatif aux études grec-
ques qui aurait été publié en 1867, et qu'elle décernerait,
en 1869, une médaille de mille francs au meilleur livre de
ce genre qui serait publié en 1868. Au concours ouvert en
1868 pour le prix de cinq cents francs, plusieurs ouvrages
ont été présentés : la commission chargée de faire entre
eux un choix au nom de l'Association en a distingué deux,
l'édition de Sophocle par M. Tournier et la traduction de
Dion Cassius par M. Boissée. Je ne saurais mieux faire,
Messieurs, que de vous donner connaissance des conclu-
sions motivées de la Commission, qui avait pour rappor-
teur un savant dont nul ne contestera la haute compé-
tence ni l'impartiale équité, M. Egger.
« L'édition de Sophocle par M. Tournier, dit M. Egger
dans son rapport, offre le résumé substantiel et judicieux
des meilleurs travaux de la critique sur le texte des sept
tragédies de cet auteur. Le nouvel éditeur corrige et inter-
prète rarement ce texte d'après ses idées personnelles; il
choisit le plus souvent entre les leçons et les interpréta-
tions de ses prédécesseurs ; mais il le fait avec un goût
sévère en même temps qu'avec un sage esprit de justice
envers les critiques qui, depuis trois siècles et plus, ont
successivement amélioré ou éclairci le texte du tragique
athénien. La Notice sur Sophocle est .écrite avec une pré-
cision élégante et ferme ; elle est aussi instructive qu'elle
pouvait l'être en si peu de pages. L'introduction expose
avec une parfaite netteté la tradition des manuscrits et
les règles que la science, aujourd'hui, s'est faites pour la
récension des textes anciens : c'est la première fois que
ces règles auront été suivies, chez nous, avec rigueur pour
une édition de Sophocle. L'ensemble de ce volume est
— 42 —
exécuté sans luxe inutile, mais d'une manière qui fait
également honneur à l'imprimerie et à la librairie fran-
çaises.
« La Commission n'hésite pas à décerner à M. Ed. Tour-
nier la médaille de cinq cents francs. Ce jeune savant n'est
pas à ses débuts. Déjà deux thèses soutenues par lui en
1863 , devant la Faculté des lettres, l'avaient heureusement
signalé à l'estime du monde savant. La présente édition de
Sophocle marque un notable progrès dans ses études ;
votre médaille ne pourra que l'encourager à poursuivre de
si utiles travaux.
« La continuation du Dion Cassius grec-français, dont
M. E. Gros n'avait publié que les quatre premiers volumes,
était une œuvre fort difficile. M. Val. Boissée, qui l'a entre-
prise avec beaucoup de désintéressement et de courage,
en soumet à notre examen le neuvième et avant-dernier
volume. Publié en décembre 1867, ce volume rappelait
naturellement les quatre précédents, qui ont paru de
1862 à 1866. La Commission reconnaît tout ce qu'a coûté
d'efforts une publication si laborieuse. Elle reconnaît les
services que rend aux études grecques une édition de
Dion Cassius où le texte, accompagné de notes, est im-
primé en regard d'une traduction française que l'on peut
considérer comme la première traduction intégrale de
cet historien en notre langue. Dion était, jusqu'ici, d'une
lecture très-pénible dans la savante mais fort laide édition
grecque-latine de Sturz, devenue d'ailleurs incomplète
par la découverte de fragments inédits. Les éditions seu-
lement grecques deBekker et de Dindorf, dont M. Boissée
ajustement profité pour améliorer le texte de Dion dans
ces derniers volumes, sont à l'usage spécial des philolo-
gues plutôt que de toutes les personnes qui s'occupent
d'histoire ancienne. La publication de M. Boissée met
donc aux mains d'un plus grand nombre de lecteurs sé-
rieux ce qui nous reste des abondants récits de l'annaliste
grec. Les imperfections de détail que le critique peut re-
— 43 —
lever, soit dans l'établissement du texte, soit dans la tra-
duction, ne devaient pas nous détourner d'encourager par
un témoignage public de notre estime le zèle de l'hellé-
niste français qui poursuit depuis sept ans et qui va bien-
tôt achever une tâche si considérable. La Commission
pense donc que l'on fera justice en décernant une mention
honorable à M. Boissée. »
Les conclusions de ce rapport ayant été adoptées à l'una-
nimité par le comité de l'Association, M. le Président a
déclaré que le prix de cinq cents francs était décerné à
M. Tournier pour son édition de Sophocle, et qu'une
mention honorable était acquise à M. Boissée pour le neu-
vième volume de sa traduction de Dion Cassius. Cette dé-
cision a été annoncée dans plusieurs journaux.
L'activité de l'Association naissante ne s'est pas bornée
à se constituer, à s'organiser et à distribuer des récom-
penses en vue de provoquer de nouveaux progrès dans
la voie des études grecques. L'emploi des séances tenues
chaque mois a été des plus variés. Je ne puis songer à
vous donner ici une lecture ni même une analyse de nos
procès-verbaux. Qu'il me suffise de vous signaler quelques-
uns des objets qui ont occupé ces séances, et qui, ce
semble, leur ont donné à la fois de l'intérêt et de l'utilité.
De ce nombre est à coup sûr la proposition faite par
M. Gaidoz et formulée dans une lettre signée de quatorze
autres membres de l'Association. Elle avait pour but de
répandre en France, par des traductions, quelques ou-
'vrages d'érudition grecque publiés en Allemagne, notam-
ment la Grammaire grecque de G. Cuitius. Cette proposi-
tion a été acceptée en principe; mais, au sujet des moyens
<^i employer pour remplir cet «objet, il s'est engagé plu-
sieurs discussions, soit dans le sein de la commission
nommée à cet effet, soit dans les séances mensuelles du
Comité. Tout d'abord il a été reconnu que l'Association
ne peut se charger ni de publier à ses frais ni de débiter à
son compte aucun ouvrage, pas phis celui-là que tout
_ 44 —
autre. On a ensuite cherché, mais vainement jusqu'ici, un
éditeur qui fût disposé à publier la traduction française de
la Grammaire grecque de Gurtius, même avec l'espérance
des encouragements pécuniaires de l'Association , qui
sont nécessairement assez restreints. Enfin le Comité s'est
contenté d'émettre le vœu que, à défaut de cette publica-
tion, il fût fait, soit dans la Revue de Vinstruction publique^
soit dans notre Annuaire de 1869, une analyse des parties
les plus essentielles de cette grammaire : il y a tout lieu
d'espérer que cette tâche sera bientôt remplie par un de
nos confrères les plus compétents, M. Thurot.
Les séances du Comité n'ont pas été toujours tout en-
tières consacrées aux affaires : le temps qui est resté libre
à la fin de ces séances a été rempli par des communica-
tions ou des lectures propres à intéresser très-vivement
tous les membres de l'Association : c'est dire assez qu'elles
étaient relatives aux études grecques. Ainsi M. Wescher
a parlé de l'historien Aristodème, récemment remis en
lumière par lui, et dont on trouvera un fragment dans
notre Annuaire de 1868; M. Miller a exposé la composi-
tion du volume d"AvéxooTa dont il préparait en ce moment
la publication ; M. Egger a commencé la lecture de son
Mémoire « sur une nouvelle renaissance des études grec-
ques et latines en France au dix-neuvième siècle. »
Enfin, Messieurs, il me reste à vous parler d'un travail
qui regarde particulièrement le Secrétaire, la publication
de V Annuaire de l'Association, lequel doit comprendre,
en 1868, outre les Statuts et la liste rectifiée des membres
de l'Association, une Bibliographie et une Nécrologie
spéciales, et quelques pages de cet Aristodème qu'a pu-
blié M. Wescher. U Annuaire ne pouvait paraître avant
l'Assemblée générale, car c'est de cette assemblée que
vont sortir le nouveau Comité et le nouveau Bureau, dont
il devra donner la composition. Mais, l'impression étant
déjcà fort avancée, nous avons l'espoir que d'ici à quinze
jours environ V Annuaire sera parvenu à tous nos associés.
— 45 —
même aux plus éloignés, et, pour le dire en finissant, nous
en comptons non-seulement en France, mais en Belgique,
en Angleterre, en Grèce et jusqu'en Egypte ; car des mar-
ques de sympathie nous sont venues de toutes parts, et
notre Bibliothèque naissante contient des publications ou
des volumes qui nous ont été adressés de Marseille (1), de
Londres (2), de Zacynthe (3) et d'Athènes (4).
RAPPORT DE M. GUST. D'EICHTHAL
TRÉSORIER
SUR
LES RECETTES ET DÉPENSES DE L'ASSOCIATION
jusqu'au 29 FÉVRIER 1868.
Je viens au nom de votre Commission de comptabilité
vous présenter le compte de vos recettes et dépenses pour
l'exercice qui se termine au 29 février dernier et un projet
de budget pour le prochain exercice.
Vos recettes se sont élevées à * 6,569 '' 35
*
(1) 'EpLTtoptxov èy/etpiSiov, ûttô K. MéXa, èv 'AÔiQvai;, 1864.
(2) «twTiou ÈTTiaToÀat, Okô N. BaXsTxa, èv Aovoîvo), 1864. — '0(xtqûou p(o;
xal 7;otr,(xaTa, UTtô N. BaXéxTa, èv Aovôivto, 1867.
(3) llept orjtiOTixïi; èv 'EX).àot -^lôiaaritif vizà H. Xkotou, èv ZaxOvOtj). —
AYaviTiTiT], o\iyyç.a\}.[i.'x Tiepioôtxciv, Otiô Xiwto'j, èv Zay.uvOw, 1867.
(4) C Indépendance hellénique, journal hi'bdomadairc, rédacteur en
chef M. Canellopoulo, Athènes, 18G7. — «PiXinuo; looâwYi;, <^^/oXoYlxà ni-
pepya, 1805. TajjLTQXio; wSfj, 1867.
— 46 —
Dont 5,260^" »,proc!uit des cotisations annuelles (1).
1,200 », produit de 12 cotisations de dona-
teurs.
109 35, semestre d'intérêts sur 15 obliga-
tions des chemins de fer de l'Ouest.
Total. 6,569 35
Cette somme a été employée comme il suit :
Prix distribués aux lauréats du concours général
des lycées de Paris et de Versailles. ....... 342 ^'- »
Valeur du prix décerné à M. ïournier pour son édi-
tion de Sophocle 500 «
A MM. Laine -et Havard, imprimeurs, pour éditions
•successives du programme, du Bulletin, etc.. . . 267 75
Au Secrétaire pour affranchissements, expéditions,
menus frais divers 120 »
Fournitures et menus frais payés par le Trésorier.. . 61 16
' Ensemble 1,290 91
Achat de 15 obligations du chemin de •
fer de l'Ouest 4,6564 '"^4
En caisse 622 5,278 44
Somme égale à la recette 6,569 35
Les obligations appartenant à la Société restent dé-
posées chez M. Ferdinand Moreau, agent de change.
J'ai maintenant à vous entretenir de notre projet de
budget.
Nous entrons dans le nouvel exercice avec une réserve de :
En obligations . 4,656 44
En caisse 622
Total à reporter, .... 5,278 44
(1) Il est intéressant de constater que plus du cinquième de cette somme
a été apporté par des souscripteurs hellènes. La colonie grecque de
— 47 —
Report 5,278'' 44
Les intérêts de nos 15 obligations pendant un an
nous donneront 218 70
Ensemble 5.497 14
Cette somme peut être considérée comme
parfaitement assurée; mais, après l'expérience
d'une seule année, il ne nous paraît pas pos-
sible d'évaluer avec certitude le montant pro-
bable de la prochaine cotisation. Nous croyons
cependant ne rien exagérer en admettant un
produit minimum moitié de la cotisation an-
nuelle pour l'année dernière.
Soit 2,630
Ce qui porterait le total de nos ressources à. . ... 8,127 I4
Par contre, nos dépenses peuvent être évaluées comme
il suit :
Loyer de la salle de nos séances, du mois de novembre
1867 au mois d'août 1868, y compris chauffage,
éclairage, indemnité à l'agent 300" »
Frais divers et dépenses imprévues 250
Annuaire, environ 600 »
Prix pour le concours général * 350 »
Prix pour l'ouvrage le plus utile aux études grecques. 1 ,000 »
Total 2,500 »
Vous voyez que cette somme est à peu près égale à celle
que nous avons adoptée pour le montant probable de
notre prochaine cotisation. Il serait imprudent de la dé-
Marseille a donné à elle seule plus de soixante) cotisations ; celle de Lon-
dres plus de vingt.
— 48 ~
passer. Quelle que puisse être l'utilité de certains travaux
qui viendraient réclamer nos encouragements, avant de
cédera de généreuses tentations, nous devrons avoir cons-
titué une réserve suffisante pour assurer notre avenir.
Grâce au zèle de votre Secrétaire, nous pensons, Mes-
sieurs, que V Annuaire pour 1868 pourra vous être distribué
à la fin du mois.
NECROLOGIE.
M. Frédéric Dubner.
M. Ddmas-Saisset. ( ,, Membres de l'Associalion
,. ^ ^ / Voir le discours du Président.
M. Gustave Deville. l p^ 32-38.
M. Eugène Gandar.
M. Reinaud.
Bien que M. Reinaud ne fût pas spécialement un hellé-
niste, nous devons un souvenir respectueux à cet éminent
érudit, qui avait témoigné l'un des premiers le désir de
faire partie de VAssociaiion pour V encouragement des études
grecques.
Joseph-Toussaint Reinaud , né à Lambesc (Bouches-du-
Bhône), en 1795, est mort à Paris en 1867. Élève de
Silvestre de Sacy, qu'il remplaça dans la chaire d'arabe de
l'École des langues orientales vivantes (1838), il entra,
en 1824, comme employé au département des manus-
crits de la Bibliothèque royale, où il devint plus tard
conservateur administrateur (1855) ; et il fut, dès 1832, élu
membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. Il
a collaboré activement aux Mémoires de cette Académie,
au Journal asiatique, à la Bibliothèque des Croisades, etc.,
et il a publié de nombreux et savants ouvrages, dont
les principaux sont : Extraits des historiens arabes relatifs
aux Croisades (1829); Relations des voyages faits par les
Arabes et les Persans dans l'Inde et à la Chine au quinzième
— 50 -
siècle (texte arabe, avec trad. et notes, 1845); Mémoire
historique , géographique et scientifique sur l'Inde antérieu-
rement au onzième siècle {iMl); Géographie d'Aboulféda ,
trad. de l'arabe en français (1848); Mémoire sur la Mésène
et la Kharacène (1862); Relations politiques et commer-
ciales de V Empire romain avec l'Asie orientale (1863) ;
etc., etc.
A. Chassang.
;MM. F. Bopp et A. Boeckh.
L'Université de Berlin a, dans le cours de l'année 1867,
perdu deux de ses plus illustres professeurs, MM. Bopp et
Bœckh. Notre Académie des inscriptions et belles-lettres
les comptait parmi ses associés étrangers.
Par des travaux de nature diverse, tous deux ont bien
mérité des lettres grecques. M. Bopp s'était attaché à l'é-
tude des langues indo-européennes. Comparant entre elles
les différentes souches de la grande famille aryenne, il
était entré dans le secret de leur vie, il avait dénombré
leurs organes, il avait fixé les lois de leur développement.
Dès lors l'étymologie n'a plus été un inutile jeu d'esprit,
les archaïsmes et les formes populaires un lasus naturœ,
les dialectes un caprice sans raison, la grammaire un re-
cueil de formules dictées par l'empirisme. De même que
Platon rapportait tous les Phénomènes du monde visible
à des Idées éternelles et immuables, de même les règles de
nos langues classiques se sont classées dans les règle?
générales de la grammaire indo-européenne. Celle-ci a
donné aux grammaires particulières des cadres logiques,
en même temps que, par la comparaison des différents
idiomes , elle identifiait racines, flexions, désinences et
suffixes. On avait jusque-là voulu fixer les langues à une
époque précise de leur développement, condamnant
comme barbarisme tout ce qui ne cadrait pas avec la
— 51 —
convention de cet âge unique. Mais alors les langues appa-
rurent soumises aux lois d'évolutions successives, et l'on re-
trouva leur histoire perdue. Nous connaissons aujourd'hui
l'histoire de la langue grecque mieux que ne la connais-
saient les grammairiens les plus fameux d'Alexandrie ou de
Byzance. On pourrait dire que, de la part de M. Georges
Curtius, ce n'a été que justice de dédier à M. Bopp son
grand livre des Principes de Vélymologie grecque. La phi-
lologie grecque, en effet, repose sur la philologie des lan-
gues indo-européennes telle que l'a comprise et fondée
M. Bopp. Nous ne citerons ici que ceux de ses ouvrages
où il a frayé la voie à un ordre nouveau de recherches
dans l'antiquité grecque : son Système de conjugaison de la
langue sanscrite^ comparé avec celui des langues grecque, la-
tine^ persane et germanique^ publié en 1816 à Francfort-sur-
le-Mein, et sa Grammaire comparée des langues indo-euro-
péennes, l'cEuvre principale de sa vie, commencée en 1833,
terminée en 1849, refondue et réimprimée en 1857, et dont
M. Michel Bréal nous donne en ce moment une version fran-*
çaise. M. Bopp était né en 1791 à Mayence; depuis 18:21
il professait à l'université de Berlin. Dans ces dernières
années, l'état de sa santé ne lui permit plus d'enseigner.
Plus vigoureusement constitué, M. Bœckh enseigna jus-
qu'au dernier jour, bien qu'il fût l'aîné de M. Bopp. Lui
aussi a joué un rôle important dans l'histoire des sciences
de l'antiquité. Il a été un des premiers chefs de cette école
historique qui a fait de la philologie classique une chose
vivante, et devant laquelle est tombée l'école dont Gott-
fried Hermann reste à nos yeux le représentantle plus
illustre. Si l'on excepte les travaux de F. -A. Wolf, qui
dans ses Prolégomènes sur Homère ouvrait une voie nou-
velle, les textes classiques étaient à la fois la matière et le
but des études de cette génération de savants. Mais, pour
M. Bœckh, la philologie était la reproduction de l'anti-
quité dans son développement successif et dans son en-
semble varié. Pour lui, les |arts de la Grèce étaient objet
— 52 —
d*étude comme son éloquence, sa religion comme sa
grammaire, ses institutions comme sa métrique; en un
mot, la civilisation et la vie de la Grèce étaient pour lui
l'objet propre des études grecques. L'influence et l'ensei-
gnement de M. Bœckh contribuèrent puissamment à faire
prédominer en Allemagne ces principes auxquels on doit
de si belles recherches et de si grands livres. Ottfried
Millier était un de ses élèves.
M. Bœckh était né à Carlsruhe en' 1785. Il étudiait la
théologie à Halle, quand l'influence de F. -A. Wolf l'attira
vers la philologie. Professeur en 1807 à l'Université
d'Heidelberg, il fut appelé en 1811 à la nouvelle Université
de Berlin, où il passa sa longue carrière. Ses principaux
ouvrages sont : une édition de Pindare (2 vol. en 4 parties,
1811-1822); Économie politique des Athéniens {V éd. Ber-
lin, 1817, 2 vol. in-8; — traduit en français par Laligan.
Paris, 1828; 2* éd. en 3 vol. in-8, Berlin, 1851-1852); Re-
cherches métrologiques sur les poids, étalons et mesures de l'an-
Hquiié {Berlin, 1838) ; Documents sur la marine des Athéniens
(Berlin, 1840) ; Manélhon et le crjcle caniculaire (Berlin, 1845);
Recherches sur le système cosmique de Platon (Berlin, 1852);
Cijcle lunaire des Hellènes (1855), etc. M. Bœckh a donné
en outre un grand nombre de dissertations aux Mémoires
de l'académie de Berlin, aux Programmes de l'Université
de cette ville et à différentes Revues. Au premier rang,
parmi les travaux qui rappelleront son nom à la postérité,
il faut inscrire le Corpus inscriptionum Grœcarum que
publie l'académie de Berlin. Depuis 1850, ce travail est
continué par plusieurs mains, mais ses deux premiers vo-
lumes (1824-1850) sont l'œuvre personnelle de M. Bœckh.
Henri Gaîdoz.
FRAGMENTS INÉDITS
DE l'historien GREC
ARISTODÈME,
RECOEILLIS ET PUBLIÉS
PAR C. WESCHER
Aux textes inédits renfermés dans le volume récemment
publié de la Poliorcêtique des Grecs (1), est joint un morceau
historique d'une étendue considérable, attribué par le
manuscrit qui nous l'a conservé à un écrivain du nom
à' Aristodèi7ie . Ce manuscrit, qui remonte au X° siècle, a
fait partie de la bibliothèque du couvent de Vatopède au
mont Athos , et appartient aujourd'hui à là Bibliothèque
impériale de France. L'auteur des fragments paraît être
Aristodème de Nysa, rhéteur d'Asie, contemporain de
Strabon, cité dans Parlhénius (£'ro/. 8) comme ayant écrit
un ouvrage en plusieurs livres intitulé 'laxopiai.
Le morceau d'Aristodème se compose, dans le manus-
crit original, de deux longs fragments, ayant formé primi-
tivement la fin du JV* livre et la presque totalité du V«
dans l'œuvre complète de l'historien. Ces fragments com-
prennent l'histoire de la période de cinquante ans ou
pentéconiaétérîde, qui s'écoula entre la fin des guerres
médiques et le commencement de la guerre du Pélopon-
nèse. C'est un trait d'union entre Hérodote et Thucydide.
Les sources auxquelles Aristodème paraît avoir puisé
sont les suivantes :
1° \J Abrégé d'Hérodote, attribué par les anciens à Théo-
pompe. — En effet, dans le récit de la bataille de Salamine
(1) IIoÀiopxYjTtxà xal TioXtopxiai ôiaçopcov TioXeuv. Poliorcêtique
DES Grecs. — Traités théoriques» — Récits historiques. — Textes restitués
d'après les manuscrits, augmentés de fragments inédits et accompagnés
d'un Commentaire palcograpliiquc et critique, par C. Wkscukb. Paris,
Imprimerie impériale, 1867, grand iu-8» (ILIV et 388 pages).
— 56 —
par Aristodème , on trouve une expression rare citée par
Photius et Suidas comme appartenant à l'Abrégé de Théo-
pompe. (Cf. Suidas, s. v. 1,-koM^m).
2° Les Histoires de Clitarque et de Stra(oclès, — Le récit
dramatique de la mort de Thémistocle, tel qu'il se trouve
dans le texte d' Aristodème, est attribué par Gicéron à
Clitarque et à Stratoclès {Brutus, c. XI).
3° L'Histoire universelle (VEphore. — L'énumération des
causes de la guerre du Péloponnèse que nous lisons dans
Aristodème paraît empruntée à Éphore, d'après un témoi-
gnage de Diodore de Sicile (XH, 38-41).
Aristodème serait donc un abréviateur ayant composé
des 'EXXyjvixa, comme Florus a composé VEpitome 7'erum
romanarum. Mais l'écrivain grec est supérieur à l'écri-
vain latin. « Bien éloigné de l'emphase de Florus, qui ne
cherche qu'une phrase à antithèse dans les événements les
plus remarquables, Aristodème sait noter avec précision
les traits saillants d'un récit et les présente avec une noble
simplicité. Rapide et correct, il se rapproche des maîtres
de l'art parl'intérêt dramatique de quelques tableaux (1). »
On peut citer en ce genre le récit de la bataille de Salamine ,
l'histoire de la jeune vierge de Byzance tuée par Pausanias,
et surtout la description de la mort tragique de Thémis-
tocle. Le texte d' Aristodème offre en outre des points de
comparaison instructifs avec les textes classiques déjà
connus, notamment avec ceux d'Hérodote, de Thucydide
et de Diodore de Sicile.
(1) Jugement de M. Mérimée dans son article sur la Poliorcétique des
Grecs [Moniteur du 9 novembre 1867).
SOMMAIRE
DES FRAGMENTS D*ARISTODÈME.
LIVRE IV (/«).
Rapports entre Thémistocle et Xerxès. — Rataïlle de Salamine. — Dé-
barquement d'Aristide à Psytalie. — Aminias d'Athènes, frère du poète
Eschyle, et Artémise d'Halicarnasse se distinguent par leur héroïsme. —
Bravoure des Éginètes. — Fuite de Xerxès.
Mardonius prend le commandement des Perses. — Mission d'Alexandre,
roi de Macédoine. — Second incendie d'Athènes. — Bataille de Platée:
Aristide commande les Athéniens, et Pausanias les Spartiates. — Mort de
Mardonius, tué par le Lacédémonien Aeimnestos ( 'Ae'.\ivt\<jto<; dans notre
texte, 'AptfxvYiffToc dans Hérodote). — Exploits d'Aristodème le Trembleur,
Bataille de Mycale. — Les stratèges Léotychidas et Xanthippe. — Fon-
dation des Éleuthéries ou fêtes de la Liberté. — Décimation des Thébains.
LIVRE V.
Siège de Sestos par les Athéniens. — Commencements de la trahison de
Pausanias. — Inscription du trépied de Delphes.
Reconstruction des murs d'Athènes. — Jalousie des Spartiates : habileté
de Thémistocle. — Description de la nouvelle enceinte d'Athènes. — Les
longs murs. — Le Pirée; Munychie; Dia; le temple de Diane. — Phalère.
Thémistocle, banni d'Athènes, fuit à Argos. — Pausanias, rappelé à
Sparte et mis en accusation, se justifie.
Puissance et richesse d'Athènes. — Le trésor de Délos est transporté à
l'Acropole.
Séjour de Pausanias à Byrance. — Sa tyrannie. — Histoire tragique
d'une jeune fille de Byzance tuée par Pausanias. — Folie du meurtrier. —
La trahison de Pausanias dénoncée par son favori Argilios (esclave ori-
— S8 -
ginalre d'Argilos). — Scène du temple de Neptune au cap Ténare. —
Pausanias se réfugie dans le sanctuaire de Minerve Chalciœcos à Sparte.
— Sa mort. — Les Spartiates lui élèvent une statue.
Thémistocle chez Admète, roi des Molosses. — Scène du foyer d'Ad-
mète. — Thémistocle en vue de Naxos. — Son arrivée en Perse. — Mis à
la tête d'une armée d'invasion par Artaxerxès , il meurt à Magnésie en of-
frant un sacrifice dans le temple de Diane Leucophryne.
Les Athéniens proclament la liberté des villes grecques d'Asie. — Ex-
ploits maritimes de Cimon, fils de Miltiade. — Les Athéniens en Egypte.
Guerre entre Athènes et Sparte. — Combats de Tanagre et d'OEnophyta
en Béotie : les Athéniens sont deux fois vainqueurs. — Cimon meurt à
Citium dans l'Ile de Chypre. — Le stratège Gallias , surnommé Aaxxô-
TtXouToç, conclut une convention avec les Perses. — Termes de cette con-
vention.
Nouvelle guerre en Grèce, au sujet du temple de Delphes. — Bataille
de Coronée. — Les Athéniens perdent la Béotie. — Les Athéniens dans le
Péloponnèse. — Prise de Gythium. — Révolte et soumission de l'Eubée.
— Siège et prise de Samos.
Guerre du Péloponnèse. — Ses causes.
Première cause : Périclès. — Rapports de Périclès et de Phidias. — Ci-
tation de deux passages d'Aristophane. — Mot d'Alcibiade.
Deuxième cause : Épidamne et Gorcyre. — Rupture entre Athènes et
Corinlhe.
Troisième cause : Potidée. — Siège de cette ville par les Athéniens.
Quatrième cause : Jalousie de Sparte contre Athènes.
EK TQN
,^ (0
APISTOAHMOY
xpucpa 2tîCivov (2) Tov éauTO'j TratSaytoyov irpôç Ssp^iiv ,
£yxe>>euca(J!.8voç auTw ETumÔecÔat toi; EX>.ri(7tv xal vauptajç^stv,
oyi>>tov TOV [JLsXXovTa ^pa<7fj.ov âiro 2a^a[Jt.îvoç. O oè Sep^viç,
vo(/.iGaç TOV 0£[Ai(jTO)t>.ea [Ari^t(^ovTa TauTa aTTSdTaV/cévat?
Si£xeuL^£ Ta; vaO; iizl 2a>.a^îva xai £îCux.XcoGaTO Toùç
(1) Ce titre n'existe pas dans le manuscrit, mais on trouve en tête du
premier fragment un astérisque avec cette note écrite en lettres onciales :
Kai To 07i[xeTov touto âariv xà 2[rjTOU{jLevov toO ^pi<TTOôy){jLou. Il faut voir
sans doute dans le mot îiriToujxevov la réponse à un renvoi précédent.
C'est ainsi qu'on lit ailleurs dans le même manuscrit : Zr\xei (ms, l^r{) xà
XoiTcov (ms. XiTïov) toutou oTTidOev £v to o"ir)(i,£Î6v èdTtv toioOtov (suit un
signe destiné à marquer l'intercalation) ii ôè OLÇ-/i\ tou Xoyovi réypaçev.
Plus loin, eu effet, le même signe de renvoi se trouve répété devant le
mot YÉypaÇEv. Ces renvois ne sont pas rares dans les manuscrits du siècle
de Constantin Porphyrogennète, renfermant les Collectanea ou séries d'ex-
traits faits par ordre de ce prince. 11 faut sans doute attribuer les ren-
vois aux lettrés chargés par l'empereur de choisir les extraits dans les ma-
nuscrits originaux, et de les désigner aux copistes. Il convient de ne pas
oublier que la partie la plus ancienne du manuscrit de la Poliorcétique est
la transcription directe d'un texte oncial, ainsi que je crois l'avoir établi.
(Voir la Notice sur les manuscrits en tète du volume de la Poliorcétique
des Grecs; p. XX-XXI.)
(2) Le même est appelé Zixivvo; dans Hérodote (VIII, 76 et 110).
— 60 —
É>.XYivaç ctç t6 (jLevstv aÙTOuç. È^TTOuSaÇev (i) &ê ô SepÇviç,
ÇeCîypLa xaTacxeuàffaç, tts^-^ ÈTTiê^vat em tyjv 2aXa(j(.tva ôv
TpoTTOv ^t^>.Gev êxl Tov E^>.7](77rovTOv. Kat (/.epoç ti e)(^wv
fev îtaTct To flpa>t>.£iûv. ÈTuet^Yj Se a^uvaTOv viv to Tuàv
yeçupwôvivat, y.aÔ£Ço|7.evoç stiti tol» IlapVTiôoç opouç — eyy^ç
Se 71V TOUTO — éo)pa tvIv vau{jLa)(^iav. Hp^aio Se tou vau(/,a-
yreh Àp^eiviaçÀÔTivatoç (2), utoç (3) (J(.8V Eù<popt(ovoç,aS6>.(poç
Se Kuveyetpou xat Alcjykox) toO TpaytoSoTTOioO. Èvixwv (xèv
oùv TravTeç oî FA>.yiveç, sxTrpeTusorTepov Se oî ÀÔYivatoi. 2uv-
ear/ixuiaç Se tHç y-oiy'/iq, 6 Sep^viç îxavàç (jLuptaSaç £7:eêi-
êacev et; tviv xXviciov vvîGiSa 7rapaxety.év7iv T'îp 2aXa[;.tvi
6vojxa^o(A£V7iv "^UTaXetav (4), èx.TrXviTTOf^.evo; t£ touç ÉX-
Xvivaç xal Poi»Ao[;.evo; xà 7rpo<79£po(X£va vauayta twv ^ap-
êapcov ava(7(6Ç£cGat. ÀpiGTetSviç Se ÀÔYivaioç, utoç Auct-
(juxyou, xaXoupLevoç Stxaioç, è^(o(JTpaxiT(A£voç sx twv Àôrjvcov
xal uTuap^ç^wv év AiytvTi TOTe, G'jjAiAaytov xal aÙTOç toIç
ÉXXtigiv, TrapeyeveTo Tipo; ©ejAiGTOxXéa, xal cxpaTov aoTov
Ti'r/i'Tev (5) ei; to à(jLuvac6ai Toùç £v tyi "^uTaXeia. 0 Se,
xaiTuep é)(^Opôç aiiTw yeyovw:, opLwç eScoxev. Aaêwv Se
ÀptGTeiSy); éTreêvi eîç tviv "^'uTOcXeiav, xal TravTaç touç
papêapou; è(poveuaev. Rai p.éyi(7T0v touto epyov eireSetÇaTo
ÙTuèp T<ov EXXvîvwv. Aiacvip-OTepov Se vîytoViaavTo t-^ vau-
(1) On lit dans le Lexique de Suidas : STrouSdiÇw... iid tou xareTrei-
YOjJLai,' ©eoTtojjLuo; *E7ttTop.îi twv *Hpo66Tov» • èTiî tou pouXojxai, ô
aOTèç èv T^ aÙTT] 'Ettitoix^. Or, ici, emouSdtîîcD a le sens de pouXojxat.
(2) Le même est appelé, dans Hérodote, 'A(xeiviy]çna>XYiveùç àvrip 'A6r,-
vocoç (VIII, 84 et 93).
(3) L'orthographe vulgaire est "^uTTocXeia ou VuTaXia.
(4) Ms. : uff ici et ailleurs.
(5) Ms. : rJTYjaav.
— 61 —
[t-OLyja, xal 7ipi<7TÊU«îgv Â|jt.eivtaç • Ttov 8k Papêapwv yuvyj,
A>.txaûvaat;To yevo;,»ovo(JLa Se ApTe(JLi<jia (ij, viTtç, Jtwxo-
(jLevyiçTÎiç veà)ç aÙTÎjç jcal xtvS'uveuouaa âiroXécÔai, tvjv cjatt-
pocÔevvauv îoiav oùaav èê'jÔiGev. O oè Àpisivia;, oo$a; cij[jl-
p-ayov elvat tûv ÈXV/i'vwv, aTTSTpaT^Y) tou Stwjcetv. Ô Se
Sép^rç, Gea<Ta{xgvoç to ysvoaevov, êIttev • Ot (y-èv avSpgç {aoi
yuvaîxeç yeyovaGiv, ai Ss yuvaîksç avSpe;. HpiGTeucav Se
Twv EXV/ivcov £/.7rp67ré(7Tepov |jL£Tà ÀGrivaioi»; Atyiv/îrat (2) •
otTtveç xarà to CTgvov To2f iropôiAou xaraTa^avTg; éauToùç
7ro>.Xàç TWV Pap^apwv vvia; cpsuyouaaç etç to gtsvov Tuapa-
Sgyop-gvoi èêuGi'Cov. nTTTiGévTCùv Ss twv ^apêapwv xal
(pguyovTwv, 01 ÉX'Xyivg; £êou>.ovTO >.u£tv to ettI tou EXXv)(J-
TîovTou (3) Ç£Gy{/.a, xal xaTaXa{J!.êav£(jGac SfipÇ'/iv £v t"^
ÉXXaSt. 0£(jt.t(TTOxX^ç Se, oùx oio(A£vo; ctGcpaXèç elvat ouSè
toGto, à£èotxw; [j-viTTOTE eàv âxoyvwGiv t'/jv (îWTViptav _ot
Papêapoi (piXoxivSuvwTepov àywvidOVTat, £$ 07roGTpo(p*/îç
âvT£77paG(7£. R£xupw|y.£vwv Sfi oOSèv t'7)(^uwv, €'7r£(/.<]^£ xpu<pa
Sep^Yi SyiXwv oTi ^AXkouai'j ot ÉXXviveç Xueiv to (^£Gy(j!.a. O
Se (poê7iG£iç £(p£uy£v. Êv Se tt) 'ia.\j[LOLyiioL tyi TCgpl 2aXa(J!.tva,
xal oî Ggol (îuve(J!.ayYi(7av toi; EXXviaiv. lv£o; (4) yàp ô 0eo-
xuSouç, àvYip ÀGvivaîoç, £(pyi GeàcaaGat ev tw ©ptaGtc») lue-
Siw xovtopTov fa)ç St(rp.uptwv avSpwv âva<p£pojAgvov oltz*
ÈXeuGÎvoç PowvTwv Tov p.uGTixov ioLT^yoy^ TOV Se xoviopTov
V£(pwG£VTa £fAû£GctV £tÇ Ta; VaU; TWV EXX*/)VWV.
(1) Hérodote (VUl, 93) donne la forme ionienne du nom : *Aptt\ua\.ri.
(2) Ms. . al^ivÎTat.
(3) Ms. : éXXKTuôviou.
(4) Ms. : ïveo;. Le même personnage c.U appelé AixaTo; ô 6»oxuÔ£OÇ
dans Hérodote (YIII, Gâ).
4>euY0VT0.; ^à ToG Sep^ou, Map^ovtoç utoç Fwêpijou toûî
:'.alaiiTfjG sTrtÔgp.svou toÎç jy^ayoïç, — Guu7u[£t(jaç] ( i) >cal yàp
auTOçSsp^'/iv çTpaTS'jGai IttI t-/;v EXXaoa, — vÎTiàTO to Tzokh
x'XtjOoç tcov ^apêapcov wç aiTiov ysyovoç ttïç y]Ttvi;, Oirsa-
•j(ez6 Te v'.%r|G£tv toÙ; ÉXk'riVa.ç d Xàêot CTpaToO [Aupiat^aç
TpiaxovTa (2). Aaêwv r^è 6 Map^ovioç 'éize^^^e xpwTOV Trpoç
AGvivaiouç ÀXslav^pov tov Ma/.£^ova tov $t>.i7r7UOU irpo-
yovov, 67wic)(^voup,£voç Sc6<7£iv auToi? (xupia icxXolvtol xal yviv
ocviv aÙTol PouXovTai tyjç EXXaSoç, Tvip-^aeiv (3) t£ utto-
Gyop.£Voç xal TViv £XeuG£piav auTotç xal tyiv auTOvo^Aïav, d
eXotvTO {;<£veiv £(p' éauTwv y.al u'h (7up!.(jLa^£Îv toTç ÉXV/igiv.
È77£i^yi ^£ 6 A)v£$av^poç irapeyévETo elç tolç ÀÔv)vaç xal
TaOr' £^'/]X(OGev, cl ÂÔvivaiot oute touç Xoyouç xpùC£^£-
^avTO, uêpi(7avT£ç t£ tov ÀXe^avâpov à7r£7:£(i,^j^avTO. O ^è
Map^OVlOÇ, aTwOTUy^lbV £V TOUTOIÇ, £TC7iXG£V £i; Tocç AÔ'/ivaç
xal Ta £Ti Tr£ptX£i7ro[JLeva (Jt.£pyi 77pO(7£V£7rp7i(7£v • Trapayevo'
[A£vo; T£ £iç Totç ÀÔvfvaç au.a TÛ GTpaTÛ (4) evTauGa i^Tca-
T07r£^£UGaTo (5).
01 ^£ ÉXXviveç £CTpaT07r£SeiJGavTo £V IlXaTaiatç. Ta ^è
p.£Ta$u 0Y]êa''wv xainXaTOttôv (JTaâia £Gtiv oySoyfxovTa (6)-
2u(A7rap£TàcGOvTo ^è Map^ovi'cp BotwTÔv p.upta^eç t£G-
Gap£ç (7). Ely^ov ^£ TO [Jt.£v ^£$tov X£paç IlepGai xal Map-
(1) Ms, : CT'jjxTT Les autres lettres sont effacées.
(2) Ms. : (jLupiàSa; A. C'est une lettre numérale.
(3) Ms. : TYiprjcnv.'^
(4) Ms. : (TTpaTwt.
(5) Ms. : £(TTpaT07:aio£U(jaTO. Et plus loin : èaTpaTOTiaiôeuaavxo.
(6) Ms. : o-ràSià èaxtv 5* '
(7) Ms. : (jLuptàôs; A.
— 63 —
^ovioç • To ^£ 8Ùwvu|Aov, oi p.7)St<JavT£ç (i) É>.V/;veç. Tôv
Se ÉXV/i'vwv 01 [J!.£v ÀGr.vaîot slyov to Jc^iôv, to Se s'jwvu-
[;.ov Aa/.soaiaovioi • [y-eTSGTYiTav oè aÙTO'j; oi Aax.£Sai(7-oviot,
^-/fGavTSç ÀÔTivato'j; [£[jt.7:£i]poT6pouç (2) elvat rpoç to f^.a-
jç^eaOai Dsp^ai;. Èv Se toutw MapSovto;, SeSoi/.co; {xa-
j^ecGat AGvivatotç , pLeTecr/)C£v t£ tyiv (paXayya */.al ojtco;
cuveêv] toi; Aa)t£Sat[JLOvioi; xal àxoucioj; [Aay^eaOat toî;
Ilfipcatç. EaTpaTviyÊt Se AajtfiSatuLOVLcov [j.èv Hauiraviaç 6
K).£0[;-êpoTou, ÀÔrjvacwv Se ÀoitteiStiç 6 Stxatoç. FfivojAfi-
VYiç Se Tviç <3U{j(.êo>.^ç Twv Ilfipcwv, AÔvivatot £7r£^0'/iÔrif7av
Toîç Aax£Saip.ovioi; îtal evi/z/iGav. ÈvTaûÔa 6 MapSovtoç
£7:£a£v Y^P^ "^7 xe<paV?î ^a/o(jt.£voç, àvatp£6£l; utto Àsi-
p.V7iGT0u (3) avSpoç AaxeSat|x.ovtoi>. lïptdTfi'jcEv Se svTaOÔa
xal Àpi<7ToSy){AO(; 6 OxoGTpfiij/a; àiro 0£p{AO7ru>.c5v xal x'Xvj-
Ôfil; Sià TOUTO 6 TpfiGGaç (4). Ato AaxsSaipLoviot oux
eèwxav ocuTÛ to yépa; t-^; àpLGT£ia;, Yjy/iGap.evot to p,£v'
TCpwTOv y£Vop.£vov TCSpl T'/jv ^fitTTOTa^tav yvw(j!.viç filvat , to
Te^euTatov Se xspl tyiv àptGTSiav Tiiyv);. ÈttsiS-/) Se zT,&aey
6 MapSovtoç, ot Ilépcai £'(pi>yov £t; toc; 0y;êa; * ot Se
(1) Ms. ; (xr.STQaavTeç.
(2) Ms. : poxepoy;. Les premières lettres sont effacées.
(3) Le Lacédémonien nommé ici ' 'Aci(Avr)<TTOç est appelé 'ApijxvyidTo;
dans les éditions d'Hérodote (IX, G4). Mais le manuscrit d'Hérodote
n° 1G33, appartenant à la Bibliothèque impériale de Paris, donne 'A£Î|xvr)-
(jTo;, tout comme le fragment d'Aristodème. Le nom 'Apt(JLvr,GTo:, dans
ce manuscrit, appartient à un Platéen dont il est (piestioii ailleurs dans
Hérodote (IX, 72). Les deux personnages et les deux noms ont été con-
fondus dans les éditions et dans les index d'Hérodote, et cette confusion
se retrouve jusque dans la belle édition de la collection Didot (Paris, 1844),
(4) On écrit aussi Tpéda; ou Tpcaâ; , ainsi dans Hérodote : oveiSô; xs
«r^e à rpeffâ; 'ApiaTÔÔri(io; xaXeufiEvo; (VU, 231).
— 64 —
é^axtç Se p.upi(ov è7:iGTp£(pdvTtov ettI T'?iv oiXEiav, ÀXe*
^avSpoç 6 MazE^cbv, i^ta (i) 'Kçefj^îUGcH^evQç irpôç
Toùç ÀGvivaiou; 7r£pl wv à7r£<7Ta>>Yi ûtuo MapSoviou, TçàvTaç
aÙTOuç Y^vofAfiVouç xarà Max£5oviav scpov£uc£V, aTToT^oyou-
(;.£VOÇ OTt aXWV £(JL7fStG£V.
Kal 01 £V Tai; vaual Se EXV/iv£ç sSiwx.ov to vauTixov
TO SÉp^ou • x>.£U(7avT£ç cxaSiou; TEGCapa; (2) touç âiro
2aXa[Aivo; £iç MiXyitov (3) y.aT£>.aêov tocç vauç twv Papêa-
ptov, y.cà (4) STOipLot TiTav vauu,ay£tv. Oi Se papêapot, ou (5)
maT£oovT£ç Taiç vauGtv Stà to 7r£7r£ipàaôai Tviç Àôvivaiœv
EjATTEipia;, â^e^Yidav xal £(7TpaT07r£S£u(7avTO (6) 77£pl Muîta-
V/iv — 0TC£p £(7tIv opoç T*^ç MiV/iciaç — (7) • y.cà ot E'XXvive;
Sa ûcTToêavTfi; cuvs^aXov aÙTOiç, xal toc; Tsaaapa; (8)
(jLuptaSaç £(pdv£UGav, Ta; T£ vauç £pvf[Jt.oi»; TraoEXaoov • yiyvo-
(jLEVvi; T£ T'^ç p-ayviç t-^ç £V IlXaTatai;, xal vixwvtwv tcov
(1) Ms. : iSiai.
(2) Il y a dans ce chiffre une erreur évidente. La distance entre Sala-
mine et Milet est de plus de quatre stades. Le scribe avait sans doute sous
les yeux un texte oncial dans lequel la lettre numérale A était accom-
pagnée du signe millénaire appelé 7T).àYtov aupfjia, qui consiste en une li-
gne oblique placée à gauche du chiffre et transformant les unités en mille.
Cette ligne est tracée avec une telle finesse dans les très-anciens manus-
crits, qu'elle est souvent à peine visible, même pour des yeux exercés. Elle
a pu échapper au scribe. Je suppose donc qu'il faut entendre, non pas
quatre stades, mais quatre mille stades.
*(3) Ms. : (JiiXiTov.
(4) L'accent attique Ï'ïoi\iqi est donné par le ms. L'accent commun est
£T0T(JL0t.
(5) Ms. : o\.
(6) Ms. : 2(7TpaT07tai8euffavTo.
(7) Ms. : (jLtXt<Ttaî.
(8) Ms. : Ta; A (lupiaSa;.
TTfipl Mu)totXy,v [ÉX>.'/iva)v ècTpaTTiyei Si tyi; MuxaXyi;
Aa)t£r^at(7-ovtfa)V (i.=v AewTu/tàa; 6 paciT^sùç, À67ivai(!jv «^à
SavôtiUTCOç 6 Àpt(ppovoç 6 nspixAsouç -aTvip. Ot àe £v TaT;
n>aTataiç ÉXXyive; uerà to vi'/cr.cat âW/icav TpoTuaia, xal
éopTTiv Yi'ya-.'ov ÈXsuGeptav (i) TTpoGayopeuaavTeç , 07jêatou;
T£ xaÔw; co(7.o<7av e^exaTeufjav (2).
TéXo; ToûJ A [pi6Xiou].
*ApxT^ [toû E piêXiou].
Àtto âè TÎ;; IlepctxYiç cTpaxeia; sttI tov ne>.o7:ovvYi(i[ia-
y.ov TToXei/^ov] (3; eTCpa^ç^ôv)
T«^£. Èxei^y) é^7f>.aaav toÙç Ilepaa; ot EX>.yiv£; (4)
[ £x. T"^; Àêu^ou (^ta7:>.£U(7avT£; [xe'zk Tpivijpwv elç 27]CTÔv
ot ÀÔYivaioi iTpo(7£(/.£vov 7:poc7UoX£[xouvTeç • îtal IlauGa-
viaç 6 K).£0[;.êpoTOu ô tûv Aaxer)ai[;.ovtct)V (JTpaTYiYoç, xaxa
(piXoTifAïav TViv uTrep twv EXV/fvwv , auLa Sicx. irpooo-
ctav, — cuvT£G£t[;-£vo; yàp t,v Sfip^r, 7upo^oc£(jOat aÙTw touç
EXV/)vaç £7ri TO >.aê£tv GoyaxEpa Tcap' auToG TUpoç ya|jt.ov, —
(1) C'est la fête appelée ordinairement les Éleutlieries, ta 'EXeu6£pia.
(2) Comparez Hérodote : Tô ce opxiov wSe etxe • îiffoi tw nép(Ti[] looaàv
aseaç aOxoùç "EXXyjveç èovTeç [xy) àvaYxaffOévTe;, xaxaaTàvTwv açi eu TÔiv
TipyiyjAàTtov, toutou; Sexateuffat tw èv AeXçoïffi Oecj^ (Herodot., VII, 132).
On lit aussi dans Diodore de Sicile : 01 S' èv 'Io6[xtû cruveôpeuovTe; twv
*EXXYiva)v èiJ/YiçiffavTo toù; {lèv èÔeXovTÎ Ttôv *EXX7iva>v éXo(xévoui; Ta IIsp-
(Tcôv oexaTEÛTat toT; OeoT; (Diod. Sic, XI, 3).
(3) Lacune de trente lettres environ dans le manuscrit.
(4) Lacune analogue à la précédente. Restitution. ^
5
— 66 —
cbç 8Tnpp(JLevo; ts tti èlizi^i TauTYi >tai tw £UTu^'fl'{A«Ti tw (i)
ev llXaTatatç, oùx £(J!.gTpt07ua6ei. AXkk TCpôiTOV {Jt.8v TpLiroàa
âvaôetç tw ev AeXcpotç ÀtcoXXwvi, è7riypa{X[jLa (2) eypa^j^ev
irpo; aÙTOv toioutov •
*EXX7^voiv apj^Yjyoç Ittêi (TTpaTov wXsas Mv^SoiV
N llauffaviaç <I>oiê(o (xv^u.' àv£8y,xe tocs.
Tûv ^è u7roTSTaY(jt.£V(ov aÙTÔ m/tpwç Vjpye xal Tupav-
vty.(o;, TYiv [jLsv Aaxovtîcyiv StaiTav aTTOTsÔeity.evoç, eTriTeTV)-
Jeuxtoç Se Tûtç Twv ITepçct)^ èiôriTaç (popetv xal Ilepfjty-àç
TpaTUsÇaç TrapaTÊÔetp-éva; (3) TUoXuTsXeTç,. w; â'Ôo; èîcetvoiç. ■
Karà Se toOtov tov )^povov ÀÔvivaîoi, sjy-ireTrpYiajAevvi;
aÙTwv TY)ç TToXewç ÙTTO SspÇou îcal MapSovtou, éêouXeuovTO
7ei)^i^stv aOTyfv • AaxsSaifJLovioi (4) Se oii)t STrsTpsTrov aO-
Toî*;, 7rpo<pa(itv (yiv Troioupt-evot dppiviT-^'ptov slvat Ta; ÀÔvIvaç
Twv ÊTTiTuXeovTwv Papêàpwv, To Se àXviÔèç xal p//l Po'Ao-
(Jievot iraXiv aù$7i6/5vat • ou; Se^iGroyCkriç cuvedet Stacpspwv
xaTedTpaTT^'yvi^^^ ai»Tc5v tov (pÔovov. Ey)ceXeuGà(i.£voç yàp
Tolç ÀSvivaiotç Tgt^t^etv ttiv tîoXiv, wysTO £iç Aa/C£Sai(i,ova
* (b; TCp£crê£uwv * Xoywv t£ yiyvo{/,£Vcov Trapà toîç AaxfiSat -
p-OVLOt; OTl AÔVlVaiQt T£t)^l(^0U'7t TVIV TwOXlV, avTéX£y£v 0£-
(JLldTOxX*^;. 12; Se Ol»)C £77tCT£UOV Ot AaîCsSaiJJ!.OVtOl, £'7r£tG£V
aÙTOÙ; TTpficêetç TTEfA^j^at Ttvà; éÇ aÙTcov £i; Ta; AÔ'^'va;
Touç yv(«)CO(ji.évou; d xti^oito vî ttoXi;. Tûv Se Aax£Sai|i,o-
(1) Ms : TO. Et plus loin : efjLexpoTiaôei.
(2) Ce distique est cité aussi par Thucydide (I, 132).
(3) Ms. : iiapaTe9Yi(xévaç.
(4) Ms. : Aaxeôai(x.ovioi • ol ôè.
— 67 —
vtwv éXo(JL£VO)v av&paç xal TCSfjuj'avTwv, 0£[Jt.t<;TOxX^; xpuça
67U£7r£p.?|;e To^ç ÀÔTiVaioiç xaT£)^£tv Tiap' éauTOÎç touç cctte-
<JTa>.[J!.evouç twv Aax£^ai|/.ovtwv av^paç, £(oç àv auTÔ; ûtto-
(JTp£i);Yl £i; TOt; ÀSr^vaç. Ilpa^avTtov &£ toîîto tcov ÀGt)»
vaicuv, 01 AaxfiSatjxovtot, aicÔd{/.£vot ttiv (XTraTYiv 0£[JitGTO-
xXgo'jç, oii^èv ^ié6£(7av aÙTov ^£tvov, 5£^oixot£; 7r£pl twv
tèuov, àXX' aTuo^ovTEç auTov fixot/.tcavTo Toùç i^iouç.
Ev oè TÛ {7-£Ta$i> ypovw sTatyiaÔriCav aï ÀG'^vat tov
TpoTTOV toOtov. O fx£v Toù a(7T£wç TveptêoXoç é^vfjtovTa Gia-
^IWV 2T£tyjG0yi • TOC ^£ [JLaîCpà T£t;(_7] (pfipOVTa £7ri TOV n£l-
paià £$ £xaT£pou {A£pou; CTaSiwv (i) T£<7(yapaxovTa • 6 ^è
TO'j Ilfitpatû; 7r£piêoXoç GTa^^icov (2) OY^ovfîcovTa. Éctiv ^è
6 n£lpai£Ùç (3) XlfAVlV £IÇ SuO ^lYip7){JL£V0Ç • XfixX'/iTat ^à
a'jToO To (jt£v Tt pipoç Mouvouyia (4) * toc ^e^ik âè axpa
ToO n£ipai(oç 'f\ £«jtIv â'Tt vuv A l'a xaXfiÎTai • oyÔoç âé sgtiv
£V IlfilpaiEÎ (5) gÇ' ÔV TO T*^Ç ÀpT£{JLtSoç t£pOV tôpUTai. To
«^S <ï>aX7]piX0V T£t)^OÇ fiXTlGÔV) CTa^tcov (6) TptOCXOVTa, TuXaTÙ
àè a)GT£ ^uvacÔai âi*o ap{j!.aTa âXXyfXotç GuvavTav. Kal tq
(JL£V TWV ÀÔYlVaiWV TToXlÇ OUTCOÇ 5T£tyJaGYl.
Ô ^Ê 0£(AicToxXYiç, ^là TTiv uTUfipêocXXoucav cuv£(jiv xal
otp£Tyjv (pÔov7iO£rç, £$£^1(0^07) uTTo TÎ5v ÀOyivaicov xal 7cap£-
(1) Ms. : ffTaôttov M.
(2) Ms. : (XTaStwv ÏÏT
(3) Ms. : Tcstpeuç.
(4) Ou écrit ordinairement Mouvv»xta. L'orthographe du ms. Mouvou^îa
est conforme à la prononciation éolienne de IT, qui s'est conservée dans
le romaïque jusqu'à nos jours (Voir, à la suite de ma publication du Da^
crit (torien de. Carpatlios, l'appendice intitulé : C liants populaires inédits,
dans la Revue archéologique de décembre 1863),
(5) Ms. : TreipaeT.
(6) Ms. : aTaSiiov A,
yévsTO 6t; Apyo;. AajtsSatuLovtoi 5'è, ajtoudavxgç Ta Trepl
T*^; £yxe-/£tpt(7[JL£V7i; TrpoJoGtaç IlaixTavia, xsjAtJ^avTeç auTÔ
T/iv (7xi»TaV/iv, (jLsrejcaXoOvTO aùrov wç a7ro>.oyyi(JO(x£vov. 0
8ï Ilaucaviaç, £>^Gfe)v £Î; ttjv 27ïàpT7]v, à7r£>>oy^'(7aTO • xal
a7raTvi«7aç toÙ; Aax£^ai(Aoviouç , à7roXuÔ£iç tyiç aiTiaç ,
07r£?7i^6£V, îcai 7ra>.iv £vvfpy£t ttiv irpot^ociav.
Ev o£ TOUTw oî EXV/jveç, à(pt(7Ta[X£vot (xtîo twv Aax£^at-
(jLOViwv ^là To 7rix.pwç Tupavv£Î'jÔai ûiro tou Ilàuaaviou ,
TTpocTcTtÔsvTO TO^ç A07)vaioiç. Kal ouTw; vîp^avTO TraXiv oi
ÀGvivaîot (popouç Xa(y.êavovT£; ai>$£cGai • vaijç t£ yàp îcaT£-
(TXgua'Cov (i) , . • « /pyifAûCTWv
G-/i(7aupo(pDXà}tiov £7Uûtyf<7cxvTO £v A'/;>.(|) (2). .......
[tàXjavTa (3) èx. tviç A-^Xou Ta cuvay^GfiVTa
[A£T£)co|y.taav £iç Taç ÀGvfvaç, xal îcaTfiGfiVTO £Vtoç £v À>cpo-
7CdX£l.
O àfi Ilauaavtaç, ÛTrap^ç^wv £v Bu'^avTiw, àvacpavr^ov (4)
ia'/l^iGÊV, x«l zaxà ^ietiGsi toÙç ÉXXvivaç. AtêTîpaÇaTO <^'
£Tt xal TOioijiTov. Hv £7utycopiou Ttvoç ôuyaTTip Kopwvt^ou
ovo{Jt.«, 5(p' 71V £7r£(/.<J^£v 0 ITauGavtaç E^atTÔv tov TtaTepa (5).
O ^è Koptovi^TiÇ, ^g^oijccb; Tviv à){jt.dT*/iTa (6) Tou IlauGa-
viou, £7r£p.i|;£v aÙTw T71V TTat^a (7). H; xal 7rapay£vo{7.£vy]ç
vuxTo; giç TO otx.7i(jt.a xoi(aco{A£vou tou IlauGavtou xal Trapa-
(1) Lacune de dix-huit lettres dans le ms.
(2) Lacune analogue à lu précédente.
, (3) Ms. ; ...avTa.
(4) Ms. : avaçavSwv.
(5) Ms. : irpa.
(6) Ms. : ofxoxriTa.
(7) Cette jeune fille, d'après Plutarque, s'appelait KXeovtxY], mais Plu-
tarque ne donne pas le nom du père (cf. Plutarch., De sera Numinis vin-
dicta, c. 10. — Id., Cimon, c. G).
— 69 —
TTaGYiç, rsptuTTvo; (i) yevopt-gvoç (a) ô Ilaudaviaç So^a; t£
•/.ar' s7Tt€ou7v-/{v xiva £i(7£X7i>.'jG£vai, £77aûaty.£vo; $i(pi(^iov,
£77£pOV/;C£ (3) T/.V y.OiTjV Xal (X7:3JCT£IV£V. Kal c^tà TO'JTO
£iç 'xaviav 7:£pi£(jTyi, '/-a'- Y£voa£vo; <pp£voê>.aêriç £y.£xpay£i
7T0>.)^axtç w; ^7j [xaGTtyouty-fivoç Otto Tr^; xopviç. no>.>.oG oà
ypovou <^iay£vof;.£vou, £$i>.acaTO Toùç àaiy.ova; ttî; Traioo;,
xal cO'TCt); àTCSX-aTc'TTvi. T*^; ^è irpo^oTiaç oùx £7rau£T0,
ù^Xkk j^oi'])v.ç i-niGTokoLç SfipEv)) Àpyi>.i(o (4) âya 7r(o[JL£v<u
éauToO Si^to«7t Taura; Èy/tfiXfiuiaV.fivoç xou!,(^£tv Trpoç Sfip^nv.
O oè Apyi>.io;, â£^oix(oç irfipi aÛTOu, — l-Kei^'h yàp oùoè 01
TTpOTfipot 77£y.(p6£VT£ç à77£voanri(7av, — irpoç SfipJ'/iv 01» xapE-
yevETo. EXGcov à à £Îç SûapTr^v, toT; £(popoiç £L///)vua£ Tr,v
TTpooO'Tiav, xjTzéayjTo Je xaxaçopov Jei^eiv tÔv Ilaucaviav.
Kal cuv6£^u.£voç 7:£pl TOUTWV yiXGe £t; Taivapov, £V t£ tw
ToO no<7£iâcovo; T£(/.£V£t(5) iXÊTfiU£v. Oî Je ficpopoi, iTapa-
y£vo{/,£vot xal aÙTol [ûxo to aÙTo T£[i.£Voç xal SiJtcX'^v (6)
<7ît7)vyiv xaTacx£ua(TavT£;, £v ai»T?i âxpu^av éauTOu;. Où/.
£7Tt7Ta{y.£vo; Je ITaudavta; TaGTa, âxou<Jaç èè tov Apyt-
Xiov tx£7£'JovTa, xap£y£veTo T^poç aÙTOv y.al à7;£[Jt.£W.(p£T0
(1) Le mot TiepiuTTvo; est nouveau. On ue connaissait jusqu'à présent
que la forme verbale Tiepiuirvi^Jo), doiujce par les Glossaires.
(2) Ms. : Ycvo(j,evo[X£vor.
(3) Ms. • èusptôvYjore.
(4) Cf. Thucydid., I, 132. Le mol 'Ap^iXio; est à la fois l'ethnique et le
nom propre de l'esclave, comme *IouSàto; dans les inscriptions de Delphes
(n* 364), et les noms Syrus^ Gela, dans les comédies romaines.
(5) Après Tejxévet, on trouve dans le manuscrit le signe o 'o, et le
texte d'Aristodème s'arrête pour faire place à trois pages extraites de
la Vie d'Apollonius par Philostrate A la suite de ces trois pages, le même
signe o o reparaît avec les mots ToOtô èdTi t6 îjr, . . . , déhris de l'ins-
cription ToÛtô èoTi TÔ Çr([Tou{JLevov <nr)[jLeïov toO *Ap\.(Jzo^r\\LO'j].
((')) Hestitutiou. (iCtte moitié de ligne est presque effactt' dans le ms.
— 70 —
èm TO (AT) îco(/.t(7ai Ta; ItzigtoKolç Trpoç Ssp$'/]v, a>.>.a Tg Tiva
TgXfXTÎpia ^L£$Yl£t (l) TY)Ç TTPO^OGiaç ' oî ^6 â'<pOpOl, à"/.OU-
cavTgç TÔiv pYiOsvTwv, 7rapayp-^|/.a [/.àv où cuvs);aêovTO aÙTov
Stà TO elvai ayiov to Teasvoç, à'XV.eiaGav àireT.Ôsîv. TorTe-
pov ^è aÙTov éXÔovTa £iç SuapTYiv sêouXovTo C'jX>.apL^a-
vsaGat. Ô ^è ÛTCovoyfcra; et<7£^paL;.£v £iç to t^ç XaXxioi-
XOU (2) ÀÔYlvàç T£[J!.£VOÇ 7.al ty-£T£U£V (3). Twv ^è Aa)C£-
oaij7-ovt(ov £V (XTropoi ovtcov otà tyiv giç tov Ô£ov (4)
Gpyidzfiiav , 71 (AviTTip Tou IlauGaviou paaTaaaGa tûXivÔov
£ÔY)X£V £Trl TViç £t(70^0l> TOÛ T£p.£V0U; , 7rp0)taT«py^0{J.£VVl T'^Ç
xaTa Tou Traiâoç y.o'koiaeiùç • ot ^è Aax£^ai[Advioi, xaTa-
X0"X0u6vf(7aVT£Ç aÙTYl, £V(0>t0^o'|7//l(7aV TO T£a£VOÇ. Kal XlW.â)
^ta(pOap£VTOç Tou Haucaviou, àv£X6ovT£ç tyiv azéyrtv éÇfiiX-
xuGav ToO vaoO £Tt £|Jt,7rv£0VTa tov flaucaviav, xal £$£ppn];av.
A là Se ToijTO XotjAo; aÙTOuç y.0LTéaje^, Seou Se ^(^pviŒav-
Toç (5), £7ràv è^tXao-wvTat toÙç Sai(JLOvaç toO HauGaviou,
TuauGaGGai (6) tov Xoi[i.ov, avSpiàvTa aÙTco àv£(7Tvi(7av, xal
£7cauGaTo 6 Xoi{;.oç.
Z'/iT'/iG£wç Se oudTiç TTapà Toîç ÊXX'/)Civ, Ttvaç Sei irpo-
ypaç'^vai aÙTÛv tûv GU(J!,jj!.£[j!,a)(^7ixoTO)v Iv t(î> M'/]Sty.to tto-
XfifJLw, £$£Opov 01 AaxeSaitAOviot tov Sicxov âcp' ou xuxXoTfipwç
sirÉypail^av Taç yiy(dVi(7(jL£Vaç TCo'>vgtç, cbç t;/^T£ TrptoTou; Ttvàç
yfiypàcpGat, [;//]Ô' 0(7T£pouç. Aax£Sai{Jt.ovioi Sa, £7r£i Ta toG
lïaucaviou £7rovetSt(7T(oç £xe)^(opyfx£i^ to-jç ÀÔ'/jvaLOu; £7t£t6ov
(1) Ms. : ôie^eiY).
(2) Ms. : yjxkv.ioiv.oM avec le signe appelé hyphen.
(3) Cf. Thucydid., I, 134.
(4) Ms. : 0v. Et plus loin : (i,y]p.
(5) Ms. : xpt'ya'vTo;.
(6) Peut-être faut-il lire Travo-eaOai.
— 71 —
^éyovTsç £V Taîç ïlaucaviou ÈTriCToXat'; KOtvwvov fiûpvixévat
• Tvîç TTpo^ociaç 0ÊtJLi(jTox>.éa • 6 &è ©sfxtffTOxV^ç, ^eooixw;
Toùç AaxeSat(jtoviouç, oOx e(jL£tvgv ev tû Apyei, a>.>.à xapeye-
vsTO £t; Képîcupav, xccjceiôev ei; MoXoacoù; xpo; A&{A7)tov
PaaiXeuovra xal eyôpov aÙTw irpoTepov. Twv Se Aaxeoat-
(xoviwv Tuapayevoixévwv rpoç tov ÂSp^viTOv xal sÇaiTouvTwv
aÙTov, 71 yuvvi toO ÀJjxyjTOu uTieÔsTo 0£u,i(7TOX>.éa àpiraffat
TOV ToG pa<7tXéwç Traîna xal xaôeaÔ-^vat eirl ttiç édTta;
îx£T5uovTa. IIpà^avToç Se toO 0£p.i(7TOX>.éou;, 6 ASu-tito;
xaT£X£7f(ja; aÙTov oux s^fiSwxsv, akV (XTV£xpt6Yi to^ç IIeXo-
TTOVVTKîtoiç [/.'h oaiov filvat £xSoOvat tov ixérviv. O oè 0£{jLt(T-
TOXX-^Ç, oux £)(_WV OTTOU ÛTUOGTpe^j^fit, £7:1 TYjV IlfipGtSa £7uX£t.
ExtvSijv£U(j£ Ss xal irXfiwv àXcovat xal 7rapa"Xïi<pÔ^vat. NaÇov
yàp '7:oX£[j!,cuvTwv À6yivata>v, -fi vaOç 'h toO 0fi(JLt(yTOX>.£ou;,
5(^£t(jicovo; £7rtyevo(i.£vou, 7cpocvfy£To t7\ Na^w. O Se 0£(jLt<iTO-
XT.^;, SsSotXWÇ (l) (ATITTOTE (7uXV/](pG7Î UTTO TWV ÀÔYjVaiWV,
717r£lX73G£ TW XuêEpVvfr/) aVaipV)(5£tV aÙTOV, £1 pLYJ âvTE^^Ol TOtÇ
7UV£l>|Jia<7tV. o Sfi Xuê£pv^'T71Ç, S£t'ja; TYIV àirSlV/iV, (Op(JLVia£V
sttI GaXo'j vuxTa (2) xal -/îj^-Épav, xal âvT£<Ty^£ toTç àv£f;.ot;.
Kal oO'tw 0£{jLtaTOxX*^ç StaccoÔ£lç '7rap£y£V5T0 £iç tyiv Ilfip-
«JtSa, xal Sfip^Tiv u.èv où xaT£'Xaê£v ^wvTa, ÀpTa$£pÇriV oè
tov uÎov (3) aÙTOu, w oùx £V£<pavt<j6Yi • àXKoi StaTpttj/aç
iviauTÔv xal {;.a6(bv TViv n£pGix7iv yXwaaav, tot£ 7rap£y£V£T0
77pOÇ TOV ÀûTa^Ep^YlV, Xal £7w£p!.VVl<7£V aOTÛ TWV SÙ£py£(7tt5v
a; £Sox£t xaTaTeôeiaôai eîç tov -TuaTfipa (4) «ùtoO SfipÇyiv,
(1) Ms. : 5e5ox(b;.
(2) Ms. . vuxTav.
(3) Ms. îl^
(4) Ms. : Tipa.
__. ^- ^,
^éycav xal t^; cwTvipiaç (i) aÙTw yevvfGsaÔai atTio;, [d
xal ^7i>.coGaç (2) >.u£iv [/-AXovTaç Toùç E>.Xj'/)vaç to (^suy^Aa.
Tireff/^eTO ^è, si Aaêot (iTpaTov xap' auToO, j^sipco^aGÔai
Toùç E>.X7)vaç. Ô ^è ÀpTa^sp^viç, 7rpoc>ycov toi; eipyiw.2-
votç, JéJwy.ev aùiw crpaTOv xai Tpeiç tto^si; si; yop-/)-
ytav, MayvTGiav jxèv £^ gItov (3), Aajy^^^^xov ^è stç olvov,
MuoOvxa Jg etç o^J'ov (4)« Aaêwv ^5 ©sty.tdToy.V^ç xaV Tra-'
pay£vo(J!.£Voç £i; MayvvjGiav, syyùç -/iôvi y£vo{A£Vo; t"^; ÉX-
Xa^OÇ, [;.£T£V07]G£V, 0\J1 (.")) 7ÎyyiGap!.£V0Ç ^£17 7U0X£(A£ÎV TOÎÇ
6{AO<puXoiç • Ô'Jcov c)'£ TYj Asuxocppuvt (6j ÀpT£jy.t^t, GCpaT-'
TO[A£vou Taupou, Oxoaycbv (piaV/iv xal .TrXyiptoGaç aijAaTOç,
£TCt£V xal £T£X£UT71C£V (y). Ot cH EX>.'/1V£Ç, yvovT£; TaÛTa,
éEfi&iojxov Tov GTpaTOv Tov à^-a tw 0£(;.igtoxX£Ù Kai Trapa-
(1) Ms. : apiaç.
(2) Restitution. Lacune d'une trentaine de lettres dans le ms.
(3) Cf. Thucydid., 1, 138.
(4) Diodore (XI, 57) donne pour raison que la mer, près de Myonte, est
très-poissonneuse .
(5) Ms. : oux.
(6) C'est l'orthographe du ms. On trouve AeuxoçpuvY) dans Pausanias
(1, 26, 4). On, écrit aussi AeuxoçpuYjvyj.
(7) Thucydide dit simplement que Thémistocle mourut de maladie .
NooYicTaç TeXeuxa xèv ^lov (I, 138). Le récit dramatique de la mort de
Thémistocle, tel qu'il se trouve dans Aristodème, est attribué par Cicéron
à Clitarque et à Stratoclès, dans un passage de son dialogue intitulé
Brutus sïve de claris oratoribus. On y lit en effet la phrase suivante :
« Ut enim tu nunc de Coriolano, sic Clitarchus, sic Stratoclès
de Tliemislocle finxit. Nam quem Thucydides, qui et Atheniensis erat et
summo loco natus summusque viv et pauUo a'talc poslerior, tantum mor-
tuum scripsit et in Attica clam humatum addidit fuisse suspicionem ve-
neno sibi conscivisse mortem), hune isli aiuiit, quum taurum immolavisset,
excepisse sanguinem patera et, eo poto, mortuum concidisse. Hanc enim
mortem rhetorire et tragice ornare potuerunt; illa mors vulgaris nullam
prœbebat materiem ad ornatum. » (Cic, Brut.^ XL)
ygvofxevot Se eyvwcav xat ccvTeTredTpaTeuov tô ÀpraÇép^Yi.
EOGsœç Te toc; Iwvixà; xal Tàç >>otTCàç tuoXsiç EX>.7)vt5aç
TiXsuÔspouv À6yivaïou K(|J!.(ovo; Se to'j MiXTtaSo'j CTpaTn-
yoijvToç, âvsTrXeuorav èm T7|v nau.<pu>.f!av xarà tov 'keyou.e-
vov Eùc'ju,£SovTa7roTa|jt.Qv (i), xal ivauaayvidav <^oivt^t xal
rispcaïc, xal Xaj;.7rpà epya srsSet^avTO , éxarov ts vaO;
éXovTSçaOravSpou;, s7re^o(7.ay7i(Tav,xal Suo TpoTuatagCTYiaav,
To piv xaxà yrjV, to Se xarà ôaXaTTav.
ETrXgudav Se xat xarà RuTupov /.al sir' AtyuTUTOV. È^aat-
Xsixjev Se T^ç AiyuTCTOu Ivapo; (2) uîoç (3) "Tap-pTei/^ou •
0;, axoCTa; ApTaÇspÇou , PoviGoù; STTViyayeTo aOrw tou;
AO-/]vaiouç, oiTtve; eyovTs; StaxoGia; vauç (4) £7i:oX£p.Yiaav
sm £T7i e^ toi; P^pêapotç. MsTot Se TauTa, Meyàêu^oç (5)
6 ZwTTupou xaTa7:e[JL<pôei; ûtto ApTaÇep^ou, (Î)ù{jl7][;.£V(ov twv
À6*/ivaiwv £V TYi xaXoup.évy, HpocwiriTtSt (6) vvîaw £7ut Ttvo;
7:oTaj7.o'j, èxTpeTrei to peîOpov tou iroTapLOu, £7T0triG£v ts Ta;
vaO; êirl t*^; yrç airoXeKpÔYÎvai. ExTpaicetccov Se 7C£VTYÎxovTa
v/iôv (^) Attixwv TupoGirXeoiKTwv TYi AiyuTTTw, 01 Trept tov
Meya^u^ov (8) xal Tau Ta; TrapfiXa^ov, xal a; [J.h StECpOet-
pav (9), a; Se xaTec^ov. Tcov Se âvSpwv 01 [x.àv ttXsiouç
Si£cp6apr,<7av , oXtyot Se TuavTairaciv ÛTTEffTpeij^av el; r/iv
oixEiav.
(1) Cf. Thucydid., I, 100.
(2) C'est l'ortliogi'aphe du ms. Dans Thucydide on lit 'Ivâpto; (F, lOi).
(3) Ms. : ^ _
(4) Ms. : eyovxe; C vau;.
(5) Ms. » p.£Yaê'j$o;.
(0) Cf. Thucydid., I, 109.
(7) Ms. : N vriwv.
(8) Ms. : (jLEYaêuÇov.
^9) Ms. : o'.EcpOeifov.
— 74 —
MsTa oè TauTa FAXvivixoç TcoXey.oç iyévexo À8Y]va(ojv xai
Aaxsàaiaovtwv sv Tavaypa • xal oi [asv Aa)t£^at{Aovtot '/icrav
Tov àptG[^.ov {/.upiot TpiayiXiot, ot «^è ÀGrivaîoi [j/jptot é^a-
xt<j)rt^tot • xal vixîo'Tiv ÀÔTivalot. IlapaTa^aji.evûi Tc 7ua>.iv
£V Oivo(puToi; (i), CTTpaTViyoGvTOç aOrwv ToT^pi^cu */.al
Mupwvi^ou, èviV-V]Gav BotwToù; xal y.aTé<7yov BoiwTiav.
EuÔÙ; £(7TpàT£U<7aV STtI KuTTpOV, (TTpaTTiyOUVTOÇ aÙTWV Kt-
[Awvoç Tou jyii>.Ti«(^ou. ÈvTaûÔa Xi(A(o cuvscyeÔ'/iaav, xal
Kt(A(ov voa7;(7a; sv KiTctto (2) 7:o>.£t T'^ç Kuirpou tbXîijtS..
Oî 0£ llfipdai, opwvxeç xs/waîctofy-evo'j; toÙç À.GrjVaiou;, TTspt-
(ppov^VavTSç aÙTÔv, £T:Yi>.6ov ratç vauaiv • xal àywv ytveTai
x.aTa Ôa>.aTTav ev 6) vtxcoaiv AGyivaîot. Kal GTpaTryov
alpoOvTat Ka'X'Xiav tov êttixV/igiv (3) >.ayvy,07w"XouTOv (4),
£7rel Ô7)(7aupov eôpcov sv MapaÔwvt àveXoasvoç au tov eirVjU-
T7)<j£v. OuTo; 6 Ka>.>.taç £(77rsiGaTO (5) irpo; ÀpTa$£p$Yiv
îcal Toùç XotTToùç rifipca;. ÈysvovTO r^è at GTTovoal stci
TolcOfi • £(p' w £VTo; Kuav£wv xal Neggou (6) TUOTaaoû y,ai
<ï>a'7V));i^o;, 7)Ttç SGTiv TToli; Ilajj.î^uXiaç, /.al X£)vi^ov£wv (7)
[7.71 (i.azpoî'; 7r)^oioi; zaTa-jvXfiwGi flfiOGat, /.al évToç Tpiwv
7Î[/.£pÔV O^OO, YjV av ITTTTO; OtVOlV/i SlCO/.0(7.£VOÇ, p//i /aTtWGtV.
Kal GTTOV^al oùv âysvovTO TotaOTai.
(1) Cf. Thucydid., I, 108.
(2) Cf. Thucydid., I, 112.
(3) Ms. : To £7:txXiv.
(4) Cf. Hesych. s. v. XaxxÔTrXoyto; et Pliilarcli., JiîsticL, 5.
(5) Ms. : ecruiqaaTO.
(6) Le nom vulgaire est NeaTo;. Cf. Thucydid., II, 90.
(7) Ms. : xeXtqSovéwv. Ce sont les îles ou roches Chélidoniennes, Xzki-
Sovéai ou XeXtôovtai. Scylax, p. 39 : XeXiSoviai àxpwTriptov xat VYJc-ot
Suo (cf. MûUer, Geogr. gr. min , vol. I, p. 74, et G. B. Hase ad. Thés,
ling. gr, vol. Vlll., p. 1435.
— 75 —
TOiauTvi;. AaxeSaifJLovtoi â<p£Xou.£voi ^wxe'wv to èv As^^tpciç
Cepov TcapeJoTav Aoxpofç (i) xal [ÀÔYivatot J â<p£^oV£voi
aÙTOλ; axfi^ocav 7ra>.iv toîç <^(ox£u<îtv. riToaTp£(povTWv oï
Tôjv ÀGvivaiwv àiro t-^; ^Loiy'fiç^ GTpaTyiyoOvTOç aÙTwv To);-
jxir^ou, xal Y£vow,£V(ov xarà K.op(ov£iav, £7ti6£7.£voi aÙTOtç
a<pvù) BouoTOt oùatv à7wapaG)C£uot; £Tp£<|'avTO aÙToùç,xat Ttvaç
£$ aÙTwv é^(6ypv)Gav, oGcTtvaç ociraiTouvTWv ÀÔvivaiwv co
TTpOTEpOV fiCTUfi^OdaV Y] T'/IV BoiWTiaV tXTZOkOL^elv • xal {X£Tà
Taura £ÙGyç ÀÔvivaîot 7U£pi7î>.£UGavT£; t'/jv n£XoxovvviGOV
FuÔtov (2) £lXov, xal ToluÂ^-fiç yikioui âycov ÀÔTivatou; £7ri-
>v£XTOu; 5t7i>.Ô£ Tviv n£>.0TC0vv/iG0v. Kal 7ra>.tv Euêoiav àxo-
CTÔccav filXov ÀÔ/iva/ot. Èv 5è toutw toî; EXXyigi (77i:ov(^al
TpiaXOVTOUT£tÇ (3) SyeVOVTO. Tw T£(7(7ap£(7XaiS£î^aTW Je £TÊl
ÀÔriVaroi 2ay,ûv TToXtopxvfcavTfi; (4) £lXov, CTpaTViyoOvTo;
atJTWV IlEplxXfiOUÇ xal 0£[J-1<7TOxX£OUÇ.
Èv àè T'^ atjTÔ £T£i ouTOJ XuovTat ai twv TptaxovTa
£Twv (5) (jTTOvSal, xal-éviiTarat 6 IlfiVjTrovvTiGtaxoç TwoXe,-
(Aoç. AtTtat &£ xal 7rX£iov£; (p£povTat tteoI toO 7roX£(i.oj.
ripfOTT) àè 71 xaTot rieptxXsa. <ï>aGl yàp OTi, tôv Àôvivatwv
(1) On lit dans Thucydide (I, 112) : AaxeSaitxovioi ... xpan^aavTe;
Toû èv AeXçoïi; ispoû 7rapé5oaav AeX<poIç, xal au8t; udtepov 'AOrivatoi àuo-
j^tj)pr,(jâvT(ov aÙTwv oTpaTeûaavTs; xai xpariQaavTe; Trapeôodav *w-
XcOff'.v. D'après ce texte, il faudrait remplacer oxpol; par AeXçol;.
* Le mot *A6irivaîoi n'existe pas dans le manuscrit. Je l'ai suppléé
d'après Thucydide.
(2) Ms. . Ôuyiov.
(3) Cf. Thucydid., I, 115.
(4) Ms. : TïoXtopxrjdav.
(5) Ms. : Tûv A értôv.
— 76 —
^avTcov gpyeTriaTaV/iv tov Ilepiy.Tvsa, TsyviTv^v (i) oà <ï>si-
ô IlepixXïiç (^-'/l y-a't otÙToç eùÔuva; àTraiTviOvî , (âou^oas-
vcç ixyJàvai làç zpiasiç, sTTfAtTeuGaTO tov tto^s^lov toD-
Tov Ypa^j^aç To narà Meyapewv ij^TiCpicj^a. AtariTTOurat
oè Ta'JTa xal 6 T'aç âp-^ataç xwpLco^iaç tcoitittiç, Xéywv
OUTWÇ •
'iî Ai7r£pv^T5ç (3) yswpYOt, xàuLa &y) <tov(£Tc(4)
^'ïlfji.aT', av (5) ^ouXoiaO' axouaai rr^vo' oirw; aTToAsTO*
upwTOv (6) {jLSv yàp vjpçaT' (7) aur^ç U>eio(aç 7rpar,aç xaxwç*
slxa riepixXs'y]?, çoêrjôëiç ur, [jL£-ràff/_oi tv); xu/'/jç ,
xàç cpu(X£iç u|j.o)v ÔeSoixw^ xai xov aùôaSvi (8) xpoTTO*.' {9),
£u.êaXo)V CTrivÔTJpa {/.ixpov Msyapixou vlr|'i)tau.aTO<; ,
E^ca/ucry;c£v(io) xoffouxov ttoXe^ov, wctt' Ix xoîi xaTrvou (i i)
TTotVTaç EXXy]vaç 8axpu(70(t, touç x' £X£t xoûç x' IvOaSs.
(1) Ms. : TexvrjTr,v.
(2) Ms. : àXôivTo;.
(3) Ms. : to7rec6riTeç. (Cf. Aristophan.,Pac,, v. 603 sqq., e^. Didot). Dans
les éditions d'Aristophane, on lit . ^Q (Toçwraxot ystopYot, mais le scho-
liaste atteste qu'Archiloque, et Cratinus après lui, avaient écrit ; ^Q Xitcso-
VY^xeç TioXÎTat ràfjià ôy) luviexs ^^yjfjLaxa (cf. Schol. Grœc. in Arïstopli., éd.
Didot, p. 189, 1. 23 sqq.). La leçon de notre manuscrit fait penser à 6f,T£ç,
prolétaires .
(4) ^uviete edd.
(5) Ms. : pYjjjLaxta. J'ai corrigé en ^T^ijax'àv. Le texte édité porte ^TQfJiaT
si (pouXeaô').
(6) TïpwTa edd.
(7) ^p^ev âxrjç edd. La vraie leçon paraît être -/îplaT' arriç.
(8) aÙTOôà^edd.
(9) Après Tpouov, on lit dans le texte édité : uplv TiaOsiv ti Seivov aÙTÔ
èÇéçXe^e xyiv tïoXiv. Ce vers n'existe pas dans le ms.
(10) xà^eçuoYjaev edd.
(11) w(7T£ Ttjj xaTTVw cdd.
— 77 —
nôpvYjv (i) £i; ixsOyjv îoîiaav MiyoLOiB-x [i)
vcavtai xXÉTT-ro'jcïiv (JLEÔudoxoTxaSoi*
xaTCciô' (3) 01 MsY^p^îç oouvai; Tîâ'^ucriYYwtxs'voi
àvT£xXc<j'av (4) 'AdTcaaiaç irdpvaç ouo (5)*
IvOsvS' (6) 6 TToXEfxoç stxcpavio; xaxeppay'yi
"EXXrjffi Traffiv Ix xpuov Xaixa<7Tpiwv (7)*
ivôsvos (jLSVTOi (8) nepixXÉyjç 'OXuaTrioç (9)
T^<7'z^a■Kx\ eêpovra, auvsxuxa (10) Tyjv 'EXXàôa*
£Tt6£i vofxouç wffTcep cxoXia YEypaiXj^.svouç,
wç )(^p^(li) MfiYapiaç [xvÎt' £v àyopa [xvit* Iv -^TTfiipw [X£V£iv.
^aal Se oTt, Tou neptic>.£Ou; GX£7rTO|i.évou 7U£pl tyÏç octto-
oodswç Twv Xoywv ÛTrèp T'^ç epysTrtdTaata;, AX/ttêtaây]ç 6
KXeiviou eTuiTpOTueuofJLevo; utu' aÙTou sitcsv M'/j cîteTUTOD
TTÔç aTCoSwç Toùç Xoyouç ÀÔTivaiotç, àXXà tcôç (xv) aTToSô);.
AeuTepa Si cdzioL (12) (pépsTat Kepnupaiwv xal Èm-
(1) Ces vers sont également tirés d'Aristophane (Jc/iarn., v. 524 sciq.,
éd. Didot).
(2) Dans le texte édité on lit : iiopvyiv ôè XifxatOav lovte; MeYapâSs.
(3) xà6' edd.
(4) àvTE^exXe^^av edd.
(5) Ms. : Tïopva; h. Le texte édité porte : Tiôpva oûo.
(6) xàvTeùôev Lp^-^ toO Tzo\i\t.o\j xaTEppàyr) edd.
(7) Ms. : Ô£xa<TTpia>v. Cette leçon pent s'expliquer par le changement
de A en A dans l'écriture oncialc et par la prononciation de la diphthon-
gue at = z.
(8) èvTsOOev ôpYtj edd.
(9) ouX0|X7rto; edd.
(10) Çuvexuxa edd.
(11) Le texte édité donne ces deux vers : *Q; ypy) Meyapéa; (i^t4 Y"?
jxiqt' êv aYopa | [i-rj èv Oa).âTTr, (xôt' èv rjTc&îpw itEveiv.
(12) Celte énumération des causes de lu guerre du, Péloponnèse parait
empruntée à Épbore, d'après un passage de Diodore de Sicile (XII, 38*41).
— 78 —
^ap-viwv Toiaur/). Èm^apo; (i) viv 7:o>.t; KepjtupaLWv *
aTCOtxoç (îè'fl Kepîcupa KooivÔlwv • 7uXriU,{jL£XoujA£vot ouv y.ar'
emvov Tov xaipov zat 67r£pvi<paveuo(/.svot utto tûv Kepxu-
paiwv, ot Èm^afAVtot , TrpocTTUOtYiaafxevot aupLjjLaj^ouç toÙç
RopivOtouç cb; [JLV)Tp67ro);iTaç, è^JTpaTsuaav sm Kspîtupav
xal £7ro>.e{/.ouv. ni£(^opt.evoi ^è K£pxupaîbt tw 7roX£pt.<t)
£'jr£(j!.i};av TTEpi GU(JLp.ayJaç irpôç AÔyivaiou; â/^ovTaç (2) ttoXi)
vauTiîtov • 6|J!.oiw; ^è xal oî KoptvÔioi £'7T£p.tJ;av irpoç ÀÔv]-
vaiou; à^touvTfiç éauTor; xal p//i TOtç Kfipx-upatoi; Po7iÔ£rv
auTou;. Ot Se ÀGvivaToi £iXovto (aoXXov PovjGsrv toîç K£p-
îtupatoiç, îcal ivoLU^cHynGOLw toî; KopivÔtotç oOgiv £vc7rov-
Soiç • xat âià toGto ai CTTOv&ai £Xu6y)cav. .
TptTV) aiTta (p£p£Tat TotauTV]. IloTt^ata (3) iroXi; aTTOt-
xoç KopivGtwv viv Êirl 0paxviç. Èm TauTTiç £7r£fj.(|iav ÀGti-
vaiot, pouXo{A£voi TwapaXaêfiiv aOTvlv. Oi Se IIoTtSatàTat
'3TpOa£G£VTO TOtÇ KoptvGtOtÇ, y.«l Stà TOOtO fxàyV) £y£V£TO
ÀGvivaiwv xai KoptvGiwv, xai £$£TCoXiop)C7i(7av (4) ot ÀGr/-
vatot.
ÏETapTV) aiTta (p£p£Tat ti xat (xkrfieaTcli'zn. Oî Aax£Sat-
(;.ovtot 6ptovT£ç ai($avo(;<£Vouç T0Ù4 ÀGvivatou; xat vauct xat
)^pyf(j!.act xat 5up-p.«X°tç (5)
(1) Cf. Thucydid., I, 24. '
(2) Ms. : exovTeç.
(3) Ms, : TToXtTiSata.
(4) Ms. : £?e7coXitopxTr]aav.
(5) Ici s'arrête le manuscrit. Une traduction française de ces fragments
a été publiée par l'éditeur dans la Revue arc/iéolog-i (jue (m^rs 18G8).
BIBLIOGRAPHIE
DES PUBLICATIONS LES PLUS RECENTES
(1866-1867)
RELATIVES AUX ÉTUDES GRECQUES.
I. Recueils périodiques et journaux.
ABHANDLUNGEN (philologische und historische) (1er kôuiglichen
Akademie der Wisseoschaften zu Berlin, aus dem Jahre 1865, gr. 4.
Berlin^ Dûmmler.
'ArANinnH, (TUYYpaH-|JLa«epio6ixov, une Xiwtou, èv Zaxûvôtp.
ANNALI deir Institut© di corrispondenza archeologica. In-8. Roma.
'APXAIOAOriKH E<I>HMEPli:, £xôtûO[JL£VYi Otiô tyî; èv l\0rivai; àpxaio-
XoYixtj; éxaipîa;, TiepioSo; ûeuTÉpa, èv 'AOrivai;, in-4".
ARCHIVES des missions scientifiques. In -8. Paris ^ Imprimerie im-
périale.
liIBLiOTHECAPHlLOLOClCA.odcrgeordneteUebersichtalleraufdem
(iel)icte der classischen Altcrthumswissenschaft wic der;vlteren und
neueren Sprachwissenscliaft in Deulschland und tlcm Auslarid neu
eiscliienenen lUïclier. liera usgegebcn von Dr. Gust. Schmidt, gr. in-8.
Gottingen, Vanderhœck vnd Ruprec/U.
— 80 —
EDUCAïlONAL TIMES (the and Journal of the Collège of Preceptors.
London and Edinhurgh.
E0NIKON HMEPOAOnON £xôtS6(JLevov hr.o Maptvou Bpexou.
*EPMHS AOriOS, IIuYYpa[;.aa çtXoXoytxov Tuspioôixov xeTpàxiç toù ërouç
£xôtS6[j-£vov {iTto K. I. KôvTou. Gr. in-8. Leiden. Brill.
GŒTÏIXGER GEI.EIIRTE ANZEIGEN. In-12, Gœttinge.
HERMES. Zeitschiift fur classische Philologie unter Mitwirkung von
R. Hercher, A, Kirchhoff, Th. Mommsen, herausgegeben von
Emil Hùbner, gr.-8. Berlin, Weldmann.
INDÉPENDANCE HELLENIQUE, journal hebdomadaire; rédacteur en
chef, M. Ganellopoulo. Athènes.
JAHRBUCHER des Vereins von Alterthumsfreunden ira Rheinlande.
Lex. in-8. Bonn, Marciis.
— neue fur Philologie und Paedagogik, herausgegeben von Prof. Dr.
Alfr. Fleckeisen. Gr. in-8. Leipzig, Teubner.
JOURNAL DES SAVANTS, recueil mensuel, Paris, Didier, in-4.
LITTERARISCHES CENTRALBLATT , herausgegeben von Prof,
Zarnke; in-4. Leipzig.
MÉMOIRES de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et Comptes
rendus des séances de l'Académie des inscriptions, Recueil men-
suel, iiî-8. Paris, Durand.
MÉMOIRES DE LÀ SOCIÉTÉ DE LINGUISTIQUE DE PARIS. In-8,
Paris, Franck.
PHILOLOGUS. Zeitschiift fiir das klassische Alterthum, herausge-
geben von Ernest u. Leutsch. Gôttingen^ Dieterich.
<Ï>IAISTQP, G-OyYpatjLaa çtXoXoyixov xai Tia'.ôaytoytxov xaxà {jLYiva èx-
8tS6|X£vov èv l\èyjvaiç, in-8".
^^lAOAOriKOS èv Kœv<7Tavxtvo\j'n:6Xet 'EXXyivtxoç luXXoyo;, ouyypafxfia tte -
ptoôixov, èx6tÔ6[jL£vov £v KwvaxavTivouTîoXEi uTio xoO ô[ji.wvu[j.ou SyXXoyoy.
REVUE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE. Recueil hebdomadaire, gr.
in-8°. Paris, Hachette.
RHEINISCHES MUSEUM, herausgegeben von F. Ritschl. In-8. Franc-
fort-sur-le-Mein , Sauerlander.
TRANSACTIONS of the philological Society. London.
REVUE ARCHÉOLOGIQUE, Recueil mensuel iu-8. Paris, Didier.
REVUE CRITIQUE d' histoire et de littérature, in-8, recueil hebdo-
madaire. Paris, Franck.
REVUE DE LINGUISTIQUE, in-8, recueil trimestriel. Paris, Maison-
neuve.
ZEITSCHRIFT FUR VERGLEfCHENDE SPRACKFORSCHUNG. Iu-S.
Berlin, Durnmler.
- SI -
II. Mythologie et Philosophiç.
SCHANZ, Dr. Mart., Beitrâge zur vorsokratischen Philosophie aus
Plato. 1. Heft. Die Sophisten. Gr. 8. Gœttingue, Rente.
E. ZELLER, Die Philosophie der Griechen in ihrer geschichtlichcn
Entwicklung dargestellt. Tome 111. Die Dacharistotelische Philoso-
phie. 2* éd. "Gr. in-8. Leipzig, Eues.
BOHREN, Dr. Franc. Aemil., de Septem sapientibus. Gr. 8. Bonn^
Weber.
HUMBERT, .1 , correspondant de l'Institut de France, Mythologie
grecque et romaine, ou introduction à la lecture des poCtes. In- 8.
Paris f Thorin.
COX, G., Les dieux et les héros, contes mythologiques, traduits de
l'anglais, par F. Baudry et E. Délerot. In-8. Paris, Hachette.
SMITH. Smaller classical mylhology, wilh translations from the an-
cient poets. In- 18.
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ker. In-4. Leipzig, Teubner.
III. HiSTOlHE ET géographie.
GROTE, Histoire de la Grèce, trad. par L. de Sadous, t. I-XIX et der-
nier, ln-8. Librairie Internationale^ Paris.
EGGER, E., Etudes historiques sur les Traités publics chez les Grecs
et chez les Romains depuis les temps les plus anciens jusqu'aux
premiers siècles de l'ère chrétienne, nouvelle édition, ln-8. PariSf
Durand.
— Un ménage d'autrefois (à Athènes); — Étude d'histoire ancienne.
Les projets de réforme sociale dans l'antiquité. In-32 ((onférenccs
faites à l'Asile impérial de Vincennes). Paris^ Hachette.
SCilNEiDERHAHN, Die Entwicklung der attischen Demokrntic von
Perikles bis in die Zeit des Demosthenes. Nach dcn Quelleu bear-
beitet. Gr. 4. TUbingen, Fues.
SCiiiEFER, A m., Abriss derQuellenkunde dergriechischenGeschichle
bis auf Polybios. Gr. 8. Leipzig, Teubner.
— 82 —
TRIEBER, Conr., Quaestiones Laconicae. Pars I. De Nicolai Damas-
ceni Laconicis. Gr. 8. Berlin^ Weidmann,
BECKERS, Jos., de bostiis humanis apud Graecos. Ia-8. Munster,
Fahle.
SCHLIEBEN, Die Pferdedes Alterthums. Gr. 8. Neuwied,Heuser.
CAMPE, de pugna Marathonia. Greiffenberg, Gruss.
TULLMANN, Beîtrag zur Wûrdigung Kleoii's des Atheniensers.
Gr. 4. Kielf Schwers.
GROSSER, Dr Rich., Geschichte und Alterthûmer der Stadt Kroton.
gr. 8*. Minden^ Volkening.
NTLONAS, Cyriacus Dion., de Smyrnaeorum rébus geslis. gr. 8. Gœt-
tinguBj Mente,
LEPSIUS, R., das bilingue Dekret von Kanopus in der Original grosse
mit Uebersetzung und Erklaerung beider Texte herausgegeben.
Griechischer Texte mit Uebersetzung, Hieroglyphischer Text mit
Umscbrift und Interlinearûbersetzuug. fol. Berlin, Hertz.
UUCKE, J. F. Alpb., Flavius Claudius Julianus, nach den Quellen.
Gr. 8. Gotha^ F. A, Perthes,
— de Xanthippo Lacedaemonio Gartbaginiensium duce. Gr. 8. Berlin,
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ROBiou, F., Histoire des Gaulois d'Orient, in-8. Paris, Imprimerie
impériale,
PERROT, G., De Galatia provincia romana. In-8, Paris, Thorin.
UNGER, Geo. Frdr., Chronologie des Manetho. Gr. 8. Berlin, Weid-
mann,
FOUCA"RT, P., Mémoire sur l'affranchissement des esclaves par forme
de vente à une divinité, d'après lea inscriptions de Delphes. Iu-8.
Paris, Thorin.
PERROT, G., Essais sur le droit public et privé de la république athé-
nienne. Paris, Thorin.
DUGiT, Etude sur l'aréopage athénien. In-8. Paris, Thorin:
FUSTEL DE COULANGES, La cité antique. 2* édition, ln-8. Paris,
Hachette,
CHARICLES, or illustrations of the private life of the ancient Greeks ;
with notes and excursuses. By. W. A. Becker. Translated by the
Rev. F. Metealfe. In-8. London,
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phicarum scriptoribus, in-8. Berolini, Calvary.
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traduit par N.Theil, in-8. Pam, F. Didot,
GAUDRY, A., Animaux fossiles et géologie de l'Attique. Des lumières
- 83 —
3ue la géologie peut jeter sur quelques points de l'histoire aDcieaae
es Athéniens, ln-8. Paris, Savy.
BRANDES, Dr. H.,ùber das Zeitalter des Geographen Eudoxos und des
Astronoinen Geminos. Ueber die antiken Namen und die geogra-
phischen Verbreitung der BaumwoUe im Alterthum. Zwei geogra-
phisch-antiquarische Untersuchungen. Gr. 8». Leipzig, Heinrich.
SAAL^ Dr. N., de demorum Atticae per tribus distributione. gr. 4*.
Cœlrif Boisserée.
*IaTopia ToO •EXXïjvixoO "Eôvou; oîto twv àpxaiotàTwv xpôvtov lAe'xP»
Twv vewTCXTwv x*pi"*' 'f""' TcoX).tiv è^ôpYaffOiïaa Ono K. Hanap^riYO-
TîouXou. TÔjA. Y» À6r,vri(7i.
*lTaXoeXXyivixa, -^toi xpittxr) 7ipaY(<.aTeia itepl twv iv toïç àp^sCoi;
NcanôXeuc àvexôoTuv iXXvjvixûv 7cepYa(&v)vûv, Onà A. Za(ineXCo'j,
'AÔVîv{j(yi.
IV. Philologie et Geaxhairb.
MÛLLER, Max. La Science da langage, traduit de Tanglaîs par
MM. G. Harris et G. Perrot. In-8'. Paris, Durand.
— Nouvelles Leçons sur la science du langage, traduites par les mê-
Ines. Tome l*"'* (Phonétique et Etymologie) avec une notice sur
M. Max Mùller. In-S». Paris, Durand,
BOPP, F., Grammaire comparée des langues indo-européennes, tra-
duite par Michel Bréal, prof, au Collège de France. 1" et 2« vol.
In-S". Paris, Hachette.
— Glossarium comparativum linguae Sanscritœ, in quo omnes San-
scritae radiées et vocabula usitatissima explicantur et cum vocabu-
lis grœcis, latinis, germanicis etc. comparantur. Editio III, in qua
vocabula Sanscrita accentu notata sunt latinisque litteris transcripta.
Adjecti sunt indices, gr. 4**. Berlin, Dûmmler.
BAUDRY, F., Grammaire comparée des langues classiques. 1" Partie.
Phonétique. In-8. Paris, Hachette.
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In-4*. Leipzig, Hirzel.
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Lateinischen, Griechischen und Deutschen. Ein Beitrag zur ver-
gleichenden Syntax der indogermanischen Sprachen. gr. 8**. Berlin,
Dummler.
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Verbum. gr. 4**. Gœttingen^ Dieterich»
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die indogermanische Ursprache. Gr. 8*». Munster, Theissing.
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Gr. 8°. Berlirif Lûmmler.
POTT, Prof. Dr. Aug. Frdr., Etymologische Forschungen auf dem Ge-
biete der indogermanischen Spracheu, unter Berùcksichtigung ihrer
Hauptformen : Sanscrit, Zend-Persisch, Griechisch-Lateinisch, etc.
2. Auflage in vôllig neuer Umarbeitung. Gr. 8° Detmoldj Meyer.
CURTIUS, G., Grunzùge der griechischen Etyraologie. 2. Auflage
2 vol. in 8"*. Leipzig, Teubner.
KRAMPE, Aloys., de Dialecto laconica dissertatio philologica. Gr. 8*.
Munster t Niemann.
BUTTMANN, Ph., Lexilogus, a critical examination of the meaning
and elymology of passages in greek writers. Translated, with notes,
by Fishlake. In-8°. London.
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with many notes and emendations from the grammar of Tiersch,
Matthias, etc. A new édition, carefully revised by the Rev. John
Massic, M. A. London, William Tegg.
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— The students greek grammar for the upper forms in schools.
Edited by Smith. London.
— A Smaller greek grammar, for the middle and lower forms, abrid-
ged from Ihe above work of Gurtius. 12™°.
MATTHISSON. Greek grammar for the use of schools, abridged by
Blomfield, revised by Edwards. In*12. London.
FARRAR, W., Abrief greek syntax, and hints ou greek accidence.
In-8°. London, Lagmann.
WINER, G. B., Grammatik des neutestamentlichen Sprachidioms als
sichere Grundlage der neutestamentlichen Exégèse bearbeitet. 7'^.
verbesserte und vermehrte Auflage besorgt von Prof. Dr. Glieb. Lù-
nemann. Gr. 8''. Leipzig, Vogel.
WIENER, Dr. M.,Wôrterbuch zum Pentateuch als Hùlfsmittel fur dar
Verstœndniss des Textes und der giammatischen Formen der
heiligen Schrift beim Schul- und- Privatunterricht bearb. gr. 8".
Hannover^ Helwing.
HERBST, Ludw., Ueberàv beim Futur imThukydides. Gr. A.Hamburg,
Nolte.
HOLZmAN, Michael, de comparationis quaî dicuntur in grœca et la-
tina lingua particulis. Gr. 8** 1866. Berlin, Calvary.
SEYFFERT, Dr. Mor. Hauptregeln der griechischen Syntax als
- 85 —
Anhangder griechischen Formenlehre, von Dr. Cari Franke. Gr. 8°.
Berlin, Springer.
RCSEX, L. E., de Future indicativi ambigui linguae graecae cumlin-
gua latina comparatae commentatio. Gr. 8**. Berlin, Calvary,
LlNDXER, Dr. F. G., Griechische Synlax in den Hauptregeln ûber-
sichtlich zusammengestellt. Gr. 8". BreslaUf Gosoharsky.
SCHENKL, Dr. Karl, griechisch-deutsches Schulwôrterbuch. Lex.-8*.
Wien, Gerold.
PAPE, Dr. W., Handwôrterbuch der griechischen Sprache. Wôrler-
buch der griechischen Eigennamen. 2 Band. Gr. 8**. Bratinschweig,
Vieiveg.
LrBKER, F., Reallexikon des classischén Alterthums fur Gymuasien.
Lex.-8« Leipzig, Tenbner.
BENwSELER, Dr., Ed., griechisch-deutsches Schul-Wôrterbuch zu
Homer, Herodot, Aeschylos, etc., soweit sie in Schulen gelesen
werden. Lex.-8'. Leipzig, Teubner.
WITTING, P., de Usu conjunctivi et optativi in enuntiationibus se-
cundariis apud epicos graecos. gr. 8». Berlin, Calvary.
TRAUT. Lexikon ùber die Formen der griechischen Verba. Gr. 8».
Giessen, Roth.
TREGDER, Dr. P. H., griechische Formenlehre fur Schulen. Gr. 8*.
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RŒDER, Wilib., Formenlehre der griechischen Sprache fur Gymna-
sien vom sprachhistorischen Staudpuncte aus dargestellt. gr. 8'.
Berlin, Weidmann.
SCHNATTER, J., Eléments de la langue grecque. Le verbe et les par-
ticules du dialecte attique. In-8*. Berlin, Uerhig.
ROST, Dr. Frd., deutsch-griechisches Wôrterbuch neu bearbeitet von
Dr. Frdr. Berger. Gœttingue, Vandenhoeck.
GOLDMANN, Frid., de Dochmiorum usu Sophocleo. Part. 1. Decanti-
corum dochmiacorum compositione. Gr. m-8. Halle, Graeger,
ROSSBACii. A., u. R. Westphal, Melrik der Griechén im Vereine mit
den ûbrigenmusischenKùnsten. 2'=édit. en 2 vol. Gr. in-8. Leipzig,
Teubner.
DiDLE. Dr. Eug.. Matcrialien zu griechischen Exercitien Behufs-Ein-
ùbung der Formenlehre, nel)st deutsch-gricchischem Wôrterverzei-
chnisse fur die mittleren Gymnasial-Classeu. Gr. in-8. Leipzig,
F. Fleicher,
VEITCH, W., Greek verbs, irregular and defeciive, their forms,
meanings and auantity; embracing ail the tenscs uscd by
greek wrilers, with références to the passages in which tliey are
iound. New édition. London, Cloth.
MUELLER, II. D., Tabelle der griechischen unregelmâssigen Verba zum
Auswendigleruem fùrSchùler. Lex..8. GotUngen, Vandenhoeck.
BUTTMANN, Ph., A catalogue of irregular greek verbs, with ail the
teuses extant, their formation, meaning and usage. Translated and
edited with notes and a copions index, by Rev. J.-R. Fishlake, M. A.
Fifth édition. London.
HUTTON. Principia grœca, first greek course. A grammar delectus
and exercise book, with vocabularies. In-12, 1867.
ADAM. Greek delectus adopted to the arrangement of the R. G.
Wordsworth's grammar: with a lexicon and appendix. Twelfth
édition. 12 mo. Clothj, — Greek exercises, similarly adapted. Third
édition. I2mo. London.
FRECND'S Schùler-Bibliothek. Praparationen zu den grJechischen
und rômischen Schulklassikern. — Horaer's Ilias. — Homer's Odys-
sée. — Xenophon's Anabasis. — Xenophon's Gyropàdie. Gr. in- 16.
Leipzig^ Violet.
WRIGHT, J., Hellenica. A first greek reading book; second édition,
with vocabulary. In-8. London,
ROUZÉ. Le Jeune Helléniste, contenant les fables d*Esope, des exer-
cices élémentaires, des thèmes d'imitation, etc., par M. Rouzé,
agrégé de l'Université. In-12. Paris^ Belin.
rangabÉ. Grammaire abrégée du grec actuel. In-12. Paris, Durand.
GAVIL HAMïLTON, the Subjunctive of the Greeks and Latins, with
an Appendix on Mt^. In-8. Edinburghy Oliver and Loyd.
— The true Theory.of the greek négative M^. In-8. Edinburgh, Oliver
and Boyd.
V. ÉPiGRAPHiE. — Archéologie.
LES PAPYRUS GRECS du musée du Louvre et de la Bibliothèque
Impériale, publication préparée par Letronne, exécutée par
MM. Bru net de Presle et Egger. In-4. Paris, Imprimerie impériale.
EGGER, E., Note sur une inscription grecque de Marseille. (Extrait des
comptes-rendus du congrès scientifique d'Aix en Provence).
In-8. Aiœ.
WESCHER, Carie, Notice sur deux inscriptions grecques monumen-
tales récemment découvertes en Egypte. Broch. in-8. (Annali del-
rinstituto di corrispondenza archeologica).
— Inscription archaïque, gravée sur un rocher près de Delphes. Ibid.
— Éclaircissements sur le déchiffrement du monument bilingue de
Delphes. (Bidletino delV institiito di corrispondenza archeologica.)
— Éclaircissements sur les inscriptions du mur oriental de Delphes.
Ibid.
— 87 —
— Éclaircissement sur une inscription grecque d'Alexandrie, appar-
tenant au règne de Cléopàlre. Ibid.
— Texte et explication d'un décret en dialecte dorieu provenant de
l'ile de Carpathos. {Revue archéologique).
— Inscription inédite d'Halicarnasse en dialecte dorien et en vers. Ibid.
— Inscriptions de Tile de Rhodes relatives à des sociétés religieuses.
Ibid.
— Notices sur deux inscriptions de l'île de Théra relatives à une so-
ciété religieuse. Ibid.
— Note relative à un prêtre d'Alexandre et des Ptolémées. Ibid.
— Note relative à un passage de la Paléographie grecque de Mont-
faucon.
— Notice sur un fragment de stèle trouvé à Athènes. Ibid.
— Le monument de Dexileos, un des cinq morts devant Corinthe (avec
une planche). Ibid.
— Notice sur deux inscriptions du Pirée. Ibid,
— Notice sur une stèle hypothécaire des environs d'Athènes, fbid.
— Rapport sur des recherches épigraphiques en Grèce, dans l'Ar-
chipel et en Asie-Mineure. (Archives des missions scientifiques.)
— Rapport sur des recherches épigraphiques en Egypte. Ibid.
DECHARME (P.), membre de l'Ecole française d'Athènes. Notice sur
les ruines de l'Hiéron des muses dans l'Hélicon, broch. iu-8. (Ar-
chives des missions scientifiques.)
WATTEXBACH, Prof. W. Anleitung zur griechischen Palaeographie.
Gr. in-8. Leipzig^ Hirzeî.
SCHVCHARDT, Dr. Otto, Nikomachos, eine arcbâologische Studie.
In-8. Weimarj Bohlau.
GRASER, Bernh.,dieGemmen deskôniglichen Muséums zu Berlin mit
Darstellungen antiker Schiffe. Gr. iu-4. Berlin^ Calvary.
KEKULÉ, Reinh., Hebe, eine arcbâologische Abhandlung. Gr. in-8.
Leipzig, Engelmann.
— Menelao ed Elena, spccchio graffito del museo Britannico, in-8.
Roma.
KRUGER, Gust., Charon und Thanatos. Gr. în-4. Berlin^ Calvary,
IIELBIG, W., Dipinti di Pesto. — Vasi di Busiri. — Oresti ePilade in
Tauride. In-8. Roma.
DE WITTE, J., Etudes sur les vases peints. In-8. Paris.
FOUCART, E., Mémoire sur les ruines et l'histoire de Delphes. In-8.
PariSf Imprimerie impériale.
PINDER, E., Ueberden Frmfkampf derHellenen. ln-8. Berlin tïïertz.
— 88 - .
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anciens In-12. Paris, Didier.
PAUL, Dr. Ose, Die ahsolute Harmonik der Griechen. Gr. in-4. Leipzig,
Dorffel.
TIRON, A., Etudes sur la musique grecque. In 4. Paris, Imprimerie
impériale.
SMITH, Smaller dictionary of greek and roman antiquities. In 8.
London.
GOLL, D^' Herm., Kulturbilder aus Hellas und Rom. Gr. in-8. Leipzig,
Wiedemann.
OVERBECK, J., Die antiken Schriftquellen zur Geschichle der bilden-
den Kùnste bei den Griechen. Gr. in-8. Leipzig, Engelmami.
BRUNN, H., liber das Alter der aegineiischen Bildwerke. Gr. in-8,
Mûnchen, Franz.
— ùber die sogenannte Leukothea in der Glyptothek Sr. Maj. Kônig
Ludwigs I. Gr. in-4. Mûnchen.
CHEFS-D'ŒUVRE DE L'ART ANTIQUE, dessinés et gravés par les
meilleurs artistes italiens, mis en ordre avec un texte par Fr. Le-
normant et F. Robiou. 7 vol. in-4. Paris., Lévy.
CHOIX DE PEINTURES DE POMPEl, lithographiécs en couleur et
accompagnées d'une explication par Raoul Rochette. Un fort vo-
lume in-folio, texte et 28 planches en couleur. Paris, Lahitte.
BAZIN, H., De la condition des artistes dans l'antiquité grecque.
In-8. Paris f Durand.
IX)NGP£RI£R (A. de), Musée Napoléon III. Choix de monuments an-
tiques pour servir à l'histoire de l'art. In-4. Paris, Morgand.
JACQUE»IART, A., Les Merveilles de la céramique, ou l'Art de fa-
çonner et de décorer les vases en terre cuite, faïence, grès et por-
celaine, depuis les temps antiques jusqu'à nos jours. In-18. Paris^
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CHAMPFLEURY, Histoire de la caricature antique, 2^ édit. ln-12.
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HENRY HOUSSAYB, Histoire d'Apelle, in-8. PariSy Didier.
DETHIER, Dir., Nouvelles découvertes archéologiques faites à Con-
stantinople. In-4. Berlin, Oehmighe.
VI. Littérature générale.
OTTFRIED MUELLER. Histoire de la littérature grecque jusqu'à
Alexandre le Grand, traduite, annotée et précédée d'une Étude sur
0. MùUer, par Karl Hillebrand. 2 vol. in-8. Paris, Durand.
— 89 —
-- Id. 3 vol. iii-12. Paris, Durand,
BERNiiÂRDT, G., Grundriss der griechischen Litteratur. Gr. in-8.
Halle, Anton.
FEILLET, A., Histoire abrégée de la littérature grecque. I11-I2. Paris,
Hachette.
MEXXECHET, Histoire abrégée de la littérature grecque, revue par
J.-P. Charpentier, in-12. Paris, Garnier,
CHASSANG, A., Du spiritualisme et de l'idéal dans l'art et la poésie
' des Grecs. In-8. Paris, Didier.
CHAIGNET, Des formes diverses du chœur daus la tragédie grecque,
broch. in-8. Paris, Durand,
EGGER, Les derniers jours de l'éloquence athénienne. Démosthène,
Eschine et Hypéride (Extrait du Correspondant). ïn-8. Paris,
Douniol.
NiCOLAi, Dr. Rud., Geschichte der gesammten griechischen Litteratur.
Gr. in-8. Magdeburg, Heinrichshosen.
NICOLAI , Ad., Ueber Eutstehung und Wesen des griechischen
Romans. In-8. Berlin, Calvary.
WALTHER, Carol. Herm., commentationis de Graecae poesis melicae
generibusparlicula. Gr. in-8. Berlin., Calvary.
WELDËR, F.-G., Kleine Schriften zur griechischen Mythologie, Kunst-
und- Litteraturgeschichte. Gr. in-8. Elberfeld, Friderichs.
RADEMACHER, Eug., Quaistiones de irilogia tragica Grascorum. Gr.
in-8. Kônigsberg, Schubert.
FK. RITSCHELII opuscula philologica, 2 vol. in-8, (vol. I : ad litteras
grœcas spectantia). Leipzig^ Teubner.
TRENUELENBURG, Ad., (irammaticorum graecorum de arte tragica
judiciorum reliquiae. Gr. in-8. Bonn, Marcus.
NIEBERDING, Rob., de anapaestorum apud iEschylum et Sophoclem
ratione antisystematica. ln-8. Berlin, Calvary.
GiDEL, C, Etudes sur la littérature grecque moderne et les imita-
tions en grec de nos romans de chevalerie. In-8. Paris, Durand.
FlRMENICH-RlCilARTZ, Prof. Joh. Matth., TpayoûSia fw[jLaïxà. Neu-
griechische Volksgesange. Lex.-8. Berlin, Hertz.
MATHAlOr K. HAPANIKA aytoioi<j\ia7zzfi tyi; èv tw *EXXyivixw *'EOvei
xaTaffTâffew; twv Ypa(i.(iâTtâ>v àîcà àXcîxTecoç KwvffTavTtvouitôXsw; {léxpi
TÔJv àp/wv Tt); èvEaTtôffT); éxaTovTaeTTjpîSo;. KtioXi;, tûtcoi; A. KopôjXYiXa.
MArPO<I>PrAHI, Ilepl Ttic ÈXeystac r, Tcspt tÎ); èXeYSiax-îi; 7roiri<jea>; Ttôv
àpyaîuv 'EXXrivwv. Bêcti; èxJiôojiévr) inicxcutlct, xod ôanivig IleptxXéou;
'laaefiîûou, 'AôiQv^ffi.
90 —
VII. Auteurs grecs.
JESCHINES. — Voyez Collfxtions.
JESCHYLI ïragoediae. Ad praestanlium librorum fidem recensuit, et
animadversiones criticas adjccit Car. Herra. Weise. Nova editio ster.
Collect. Tauchnitiana. Nova impressio. i 6. Leipzig ^ Holtze.
— Persœ. Recensuit, adnotationem criticam et exegeticam adjecit H.
Weil. In-8, Giessen, Richer.
— Agamemnon. Uebers.von Dr.W. Marbach. In-B, Leipzig, Marbach.
— Uebers. von J.-G. Droysen. lu-S, Berlin, Hertz.
— Voyez PoET^ et Collections.
Beckmann, Dr. Fr., Bemei kungen zum Prolog und zur Parodos des sschy-
leischen Agamemnon. Gr. 8. Bvaunsberg, Peter,
Mnellcr, Phil., Obscrvaiioncs ci iticae in Aeschyli Choephoros. 8o. Erlan-
gen, Deichert,
Sanneff (J.). De vocabulorura composilione graca praecipue ^schjiea,
In-8o. Halle, Anton,
B. Fœrster. De aitractionis usu iEschyleo. In-8o. Breslau.
ANTHOLOGIA PALATlNA Epigrammatum grœcorum, cum Planu-
deis et appendice nova, annolatione inedita Boissonadii, Chardonis
Rochetlii, Bothii, partira inedita Jacobsii, metrica versione Hu-
gonis Grotii, apparatu critico et brevi commentario instruxit Fr.
Dùbner, Tom. I. Gr. in-8, Paris, Fr. Didot.
ARATUS. Germauici Caîsaris Aratea, cum sclioliis, éd. Alfr. Breysig.
In-8, Berolini.
ARISTOPHANES, Ausgewiihlte Komoedien. Erklârt von Thdr. Kock.
Die Ritter. Gr. in-8. Berlin, Weidmann.
— Die Ritter. Griechisch und deulscb mit krit. und erkliir. Anmerkgn,
von W. Ribbeck. gr. in-8. Berlin, Guttentag.
— Extraits, avec notes par Fallex. In-18. Paris, Durand.
— Extraits, traduits par Fallex. In-18. Paris, Durand.
— Extraits, avec notes, par Poyard. ln-18. Paris, Hachette.
— Exjtraits, avec notes parHellen. In-i2. Paris, Delalain.
— Extraits, avec notes, par Jacquet. In-12. Paris, Belin.
— The Peace. The greek text revised; with a translation inlo corres-
pond ing mètres, and original notes, by B. Bickley Rogers. London.
— Voyez PoET^.
E. Deicbanel, Études sur Aristophane. Id-18. Paris, Hachette.
— 91 —
ABiSTOTELis opera omnia ad optimorum librorum fidem accurate
édita. Editionisstereot. CoUectionis TauchDitiaD», nova impressio.
Tom. I, 6 et 10. Leipzig, Holtze.
Inhalt : l. Physicorum libri VIII. — 6. De animalium partibus, generatione,
incessu, raotione et spiritu. — 10. Elhicorum ad Nicomachum libri X.
— Ars rhetorica cum adnotalione Léon. Spengel. Accedit vetusta
translatio latina. 2 Voll. Gr. in-8. Leipzig, Teubner.
— De Arte poelica liber, édit. J. Wahleu. In-8. Leipzig^ Teubner.
— The Ethics, illustrated, with essays and notes, by sir Alexandre
Grand, Bart. Second édition revisedand completed. 2 Vol. S^.London.
— Sélections from the Organon of Aristotle edited by J. R. Mazrath,.
in-12. Londorij Rivingsion.
— Traité de la production et de la destruction des choses, d'Aristole,
suivi du traité sur Mélissus, Xénophane et Gorgias, traduits par
Barlh. St-Hilaire. In-8. Paris, Durand.^
Tefcbmûller, Dr. GusL, Aristotelische Forschungen. Beitraege lur Er-
klaerang der Poëtik des-Aristoteles. Gr. 8. HaUe» Barthel.
Talilen, J., Beitraege ïurAristotelesPoetik. II— IV. Lex'-8o. Wien, Gerotd.
Saseinlhl, Franc, de AristoteHspoliticornmlibris primo et secando quaes-
tiones criiicae. Gr. fto. Berlin, Calvary.
Sclinelder, Leonh., Unsiciblichkeitslehre des Aristoteles. Gr, 8o. Piissau^
Elsœsser.
E. HIrtz, Die verlorcncQ Schriften des Aristoteles. In-8°. Leipzig^ Teubner.
R. Eacken. De Arisiotelis dicendi raiione. In-So. Gottxngœ.
D. lacoliy. De Leibuitii studiis Arislotelicis. In-8o. Berlin^ Calvary.
Sllbersteln, Dr. Adph., die Kalharsis des Aristoteles. Aesthetisch-krit.
Uutersuchung. Gr. in-16. Lepzsig, Rhode.
Graf York von Wartenbarg, Paul, Die Kattiarsis des Aristoteles uod
der Œdipus Goloneus des Sophocles, In-4o, Berlin^ Hertz .
Kern, Franc, Symbolae criticse ad libellum Aristotelicum uepl Sevoçàvov;,
nepi ZiQvwvo;, Tiepl ropytou. Gr. ft. Oldenburg, Stalling.
Heyne, G., de Arisiotelis casu et coutingenti. Gr. 8. Berlin, Calvary,
Mann, Aug., Qux apud Aristotelem invcDiantur officii praeceptorum quasi
semina atque initia. 8**. Berlin, Calvary.
Alarbacli. Die Dramaturgie des Aristoteles. 8o. letpzft/.
Boecker, Ewald, de quibusdam Politicorum Aristotelicorum locis. 8o.
Greifswald, Héhraff.
Bonltz, H., Aristotelische Stadien. Lex.-8o. fFien, Gerold.
Brentano, Dr. Frz., die Psychologie des Aristoteles, insbesond. seine Lebre
vora voùc uoiYiTiv.o;. Gr. 8°. Mainz, Kirchhcim.
Spensel, Leonb., Aristotelische Studien. Poetik. Gr. A°. Mûnchent Frantt,
ARRIANI Anabasis Alexandri, éd. G. Sintenis, cum tabula geogr.
aeri incisa. Gr. in-8. Berlin, Weidmann.
ATHENAEl Deipnosophistîe, ex recognitione Aug. Meincke. Vol. IV.
Analecta crilica continens. In-8. Leipzig, Teubner.
ATTICI scriptores. Selected from Xenophon, Thucydides, Plate,
Aristotle, and Lucian, by H. M. Wilkins. In-8. London.
— 92 —
BiBRIOS.
Eberbard. Dr. Alfr. Verbesserungsvorschlâge zum Text des Babrios,
Gr. in-8. Berlin, Calvary.
BlBLlORUM sacrorum vetustissima fragmenta grœca et latina ex
palimpsestis codicibus bibliothecae Cryptoferratensis eruta atque
édita ab A. Jos. Cozza. Lex.-8. Romw, Spithover.
CALLIMAQUE. Voyez Orphica.
CHRYSOSTOME (saint Jean). Œuvres complètes, d'après toutes les
éditions faites jusqu'à ce jour. Nouvelle traduction française par
l'abbé Bareille, texte grec en regard. TomVIIIet IX. Gr. in-8,
Paris^ Vives.
— On the Priesthood, translated with introduction and notes, by B.
H. Cowper. londoUf Williams.
COLLECTIONS. — VoyCZ POET^E GR.aECI, POETJE LYRICI, P0ET.fi SCE-
Nici, etc.
— Sammlung, neueste, ausgewâhlter griechischer und rômischer Clas-
siker, verdeutscht von den beruhmtesten Uebersetzern. Gr. in-16.
Stuttga rd, Hoffm an n .
Inhalt : 258. Quintus von Smyrna. Die Fortsetzung der Ilias. Deutsch in
der Versart der Urschrift v. J. J. S. Donner. Lucian's Werke. Dentsch von
Thdr. Fischer. — 263. Plutarch's ausgewalilte Diopraphien. Deutsch v. Prof. Ed.
Syth. Fabius Maximus. Paulus Aemilius. 264. 267. Diodore's v. Sicilien Ges-
chichte ùbers, v. Dr. Ads. Wahrmund. 268. 269. Hcliodor's aethiopische Ges-
chichien ausd. Griech. ubers. v. Dr. Thdr. Fischer. 273. Plato's Werke ueber-
selzt V. K. Pranli. Ed. Eylh u. C. Conr. Plato's Gorgias. Deutsch v. Cari Conz.
— Prosaiker, griechische, in neuen Uebersetzungen. Hrsg. v. C. N. v.
Osiander und G. Schwab. In-16. Stuttgardy Metzler.
Inhalt: SftS. ZU9. Platon's Werke. S. Gruppe. Dialectische GesprSche. Ueber-
setz v. Prof. Dr. F. Susemilh. — S50. 351. Die erhaltenen Reden des Lyslas,
ûbers., erlaut. u. m. Einleitung. verechea von Prof. Dr. Ferd. Baur.
— Volksbibliothek, deutsche, der griechischen und rômischenClassiker.
In-8. Stuttgardy Hoffmann.
Inhalt : 79— 82. 101. 102. Demosthenes ausgewahlte Reden verdeutscht von
Prof. Dr. A. Westermann. 1. Bàndchen. Philippische Reden. 2. Bdchn. Aeschines
u. Demosthenes Reden gegen u. s. Ktesiphon vom Kranze. 3. Bdchn. Reden
gegen Leptines u. Meidias.— 83—89. Die Musen d. Herodotus v. Halicarnassus
ûbers. v. J. Chr. F. Baehr. 6. Bdchn. Erato. 7. Bdchn. Polymnia. 8. Bdchn.
Urania. 9. Bdchn. Kalliope. — 90—94. — 96—100. Thukydides Geschichte d.
peloponnesischen Krieges, iibers. v. Ads. Wahrmund. — 103. u. lOù. 107-111.
Die Dramen d. Euripides, verdeutscht v. Johs. Wincswitz. — 105. u. 106.
Quintus von Smyrna. Die Fortsetzg, der Ilias, Deutsch in der Versart der
Urschrift v. J. J. S. Donner. 2. u. 3 Bdch.
— Poliorcétique des Grecs. Traités théoriques. Récits historiques.
Ouvrages publiés par l'Imprimerie impériale. Textes restitués
d'après les manuscrits de Paris, du Vatican, de Vienne, de Bo-
logne, de Turin, de Naples, d'Oxford, de Leyde, de Munich, de
Strasbourg, augmentés de fragments inédits, et accompagnés d'un
commentaire paléographique et critique, par G. Wescher, attaché
au département des manuscrits de la Bibliothèque impériale. In-4,
Paris f Pion.
^ 93 —
DESIOSTHÈNE. Discours sur la couronne, édil. classique, parMarion,
agrégé de l'Université. In-12. Paris, Delalain.
— Les Philippiquçs, édition classique par Chéron. In-i2. Paris,
Delalain.
— On the crown, with euçlish notes, by B. Drake. Second édition lo
which is prefixed .Eschines againsl Ctesiphon , with english notes.
London.
— Voyez Collections.
A. Bonllée. Histoire de Démosthène. In-8o. Paris, Didier.
Doelile, Valdem,, de Demosthenis Philippicarum orationum prima. Gr. 80.
Berolini, Caivary.
DIODORI SICULI Bibliolheca historica, ex recensione et cura annota-
tionibus Lud. Dindorfii. Vol. I. In-4, Leipzig, Teubner.
— Bibliothecœ historicœ libri XI, cap. 1-12, ecodice Patmio edidit
Rich. Bergmann. In-4, Berolini, Caivary.
— - Voyez Collections.
DION CASSIUS, Histoire roraaine, traduite en français avec des notes
critiques et historiques et le texte en regard, c'oUationné sur les
meilleures éditions et sur les manuscrits de Rome, Florence, Venise,
Turin, Munich, Heidelberg, Paris, Tours, Besançon, par E. Gros,
continuée par V. Boissée. T. IX. Iu-8. Paris, Firmin Didot.
DIONYSII HALlCARNASSEJiSlS Anliquitatum romanarum quaî super-
sunt. Recensuit Adolph. Kiessling. Vol. III. In-^ y Leipzig, Teubner.
ÉLIEN. Extraits de ses Histoires choisies et de son Histoire uaturel.le,
texte grec, avec notes en français, par M. A. Mottet. Paris, De-
lalain.
EPIMETRI continualio ad editionem Hippocratis. Accedunt non-
nulla ad Aretaeum, éd.- Ermerius. In-4. Vtrecht, Sohn.
ÉSOPE. — Fables, texte grec, nouvelle édition par M. Aniel, suivie
de Thèmes d'imitation, par M. Rouzé, agrégé de l'Université. In-12,
Paris y Belin.
EROTIANI vocum hippocralicarum conlectio, recensait J. Klein. In-8,
PariSy Franck.
ESCHINE. — Voyez yEscuiKEs.
ESCHYLE. Voyez ^scHYLUs.
ËURIPIDIS FABULiE. Recognovit Adolphus Kirchhoff. Vol. I et II.
Gr. in-8. Berlin, Wtidmann.
— tragœdia;. Recensuerunt et commentariis iuslruxcrunt Aug. Jul.
Edoi. Pflugk et Reinh. KIotz. Vol. I. Seçt. I. Gontinens Medcam.
Editiotertia, quauicuravit Reinh. Klolz. Gr. in-8, Leipzig, Teubner.
- Voyez Collections et Poet^e scbnici.
KTlcala, Joh., Euripideische Sludien. S». IVien, Gerold.
— 94 —
Menzer» Otto, de Rheso tragœdia. In-8o. Berlin, Calvary.
Foetterer, Petr., de Euripidis lone, gr. 8°. Munster, Brun.
Gzawallna (J.). De Euripidis studio sequabilitatis. In-S». Berlin, Calvary.
Haapt (B.)> De perfecti, plusquamperfecti, futuri exaicti asu Euripideo.
In-8°. Giessen, Ricker.
EUSEBll CAESARIENSIS opéra. Recognovit Guil. Dindorlius. Vol.
1-3. Demonstrationis evaogelicaî libri 1-XV. In-8. Leipzig fTeubner.
— Hisloriae ecclesiasticœ libri X. Recensuit, cum prole^omenis, appa-
ratu et adnotatione critica, indicibus, deauoedidit Lie. Prorect. em.
Prof. Dr. Frider. Adph. Heinichen. Gr. in-8. Leipzig, Mendelsohn.
— Chronicorum libri duo. Edidit Alfr. Schoene. Vol. 2. Eusebii chro-
nicorum canonum quae supersunt. Iq-4. £erUn,Weidmann.
GXOMIQUES. — Voyez Poetje.
HÉLIODORE. Voyez Collections.
HERMÈS TRISMÉGISTE, traduction complète précédée d'une étude
sur l'origine des Livres hermétiques, par L. Ménard. ln-8. Paris.
Didier.
UERODIANi technici reliquiae. Collegit, disposuit, emendavit, ex-
plicavit, prœfatusest Aug. Lentz. Tom. I, praefalionem et Herodiani
prosodiam catholicam continens. Lex.-8. Leipzig^ Teubner.
HÉRODOTE. Voyez Collections.
UESIODI Carmina. Textu recognito et emendato curavit C. H. Weise.
Nova edit. stereot. Coll. Tauchnitiana. Nova impressio. la~iG.'Leipzig,
HoUze,
Leliscbab, Dr. Frdr., die Entstehung der Mythologie und die Entwicklung
der griechischen Religion nach Hesiods Théogonie dargestellt. Ein religions-
philosoph. Versuch. Lex.-8o, fyurzburg^ Stahel.
UESYCHll Alexandrini Lexicon post Joanuem Albertum recensuit
Maur. Schmidt. Vol. V, in quo praeter auctarium emendationum et
indicem auctorum copiosissimum conlinetur M. Musuri Cretensis
vita a Radulfo Menge Vimariensi enarrata. Fasc. I. Jena, Mauke,
— Editionem minorem curavit Maur. Schmidt. Editio altéra indice
glossarum ethnicarum aucta. In-4.
HlPPOCRATES, cura C. Th. Reinhold, t. II. Gr. in-8. Athen, Wil-
berg.
UOMERS Ilias. Erklârende Schulausgabe v. Heinr. Dûntzer. Gr. in-8/
Paderborn, Schordngh.
— Odyssée, fiir den Schulgebrauch erklàrt v. Karl Frdr. Ameis.
In-8. Leipzig, Teubner.
— Iliade, édition classique, avec notes, par Brach, agrégé deTUniver-
sité. In-12. PariSfBelin.
— Odyssée, édition classique, avec notes, par Brach, agrégé de l'Unie
versité. In-12. Paris, Belin.
— 95 —
— Iliade, chants I-XII, éditiou classique, avec notes, par F. Lécluse.
In-12. Paris, Delalain.
— The Odyssey, books I-VI, with notes by Heymann. London.
~ The liiad, book I-XII, with notes by F. Paley. London.
^~ Ilomer's Werke, prosaisch ûbers. von Zauper. Prag, Tempstn»
— Ilias. Nova edit. ster. Coll. Tauchnitiana. Nova impressio. In-16,
Leipzig, Holtze.
— Odyssea ad fidem libroniin optiraorum edidit J. La Roche. Pars
prior. Accedunt tabul» Xlspecimiua libroruin exhibentes. Gr. in-8.
Leipzig, Teuhner.
— Odyssée erkliirt v. J. U. Fiesi. Gr. in-8. Berliny Weidmann. \
— the Odyssey, edited with marginal références, varions readings,
notes and appendices, by H. Gr. in-8. Leipzig^ Teubner.
— Iliade, Odyssée et Hymnes, etc., trad. en franc, par Lecontede
Lisle. 2 vol. in-8. Paris, Lemerre, 1867.
— Iliade, rendered into english blank verse by Edward earl of
Derby. 2 vol. in-8. London, Murra>j» 1867.
— L'Iliade, 1*"" chant, traduction littérale en vers français, par A.
Ménar. In-8. Paris, Durand, 1867.
— Prâparationen zu Homer's Uias. Von einem Schulmann. Gr. in-8.
Coin, Schwann.
Henkel, Dr. Willi., Uias und Odyssée und ilire Uebersetzcr ia England troa
Chapinan bis auf Lord Derby. Gr. 8°. Hersfed, lUaier.
Ebellnff, Ob.-Lcbr. Dr. Ileiur., Schulwôrierbucii zu Homer's Odyssée uud
Ilias. Gr. 8o. Leipzig, Uahn.
Benicken (J. C). De Iliadis carminé deciuio. Iii-S". QuecUinburg, Vieweg.
HeynCy Arn., de Nominibus propriis apud Ilomerum. Gr. 8». Kônigsberg,
Schubert.
Grève, Gerh., de Hymiio in Mcrcurium hooierico. Gr. 8». MUnster.
Brun.
Daremberj;, La Médecine dans Homère. In-8°. Paris, Didier.
Hasper, Dr. L. W,, Beitraege rur Topographie der homerischen Ilias.
Gr. 4». (a4 S.) Brandcnburg, Millier.
G. Nicolaldes. Topographie et plan stratégique de l'Iliade, avec une carte.
Iu-80. Paris, Ilaclictte.
J. Classen, Beobachtungen Uber den homerischen Sprachgebrauch. Ia-8<».
Francfort arn Mein, IVinter.
Bindsell^ Dr. Ileiir. Ern., concordaniiarum hoincricarum spccimen, euro
prolegomenis, in quibus prsescrtiin cuncorduiiiix biblicx recensentur caruuique
origo et progressas declaraniur, Gr. in-8". Halle, Ilendel.
BaXÉTTa, 'Icoa. N., '0[i.ifipûu fita; xai 7îotYi[Jiaxa. IIpaY(xaTe(a î«rropixr}
xalxpiTixiî. In-fto. 'Ev Aovôîvo).
Hoermann, Dr. Ludw. v., L'aiersuchuugen iiber dl« bomerische Frage,
Gr. iu-8". Innsbruck, Wagner.
À. BXàxTi^. Ta d(iT)ptxûv Z^TY)(xa, 'AOiQvigcri. Ia-8*.
k
- 96 —
Wlndlgeb, Ernest, de Ilymnis honiericis majoribus. Gr. in-So. Leipzig,
Teubncr.
WeckeDSiedt, Dr. Edm., Regia potestas quse fuerit secondum Homerum.
Gr. in-8t>. HaUe, Barthel.
MtffTpttoTYiç, Feco., loTopîa tûv ôpLiqpiy.wv èTiwv. Gr. in«8». Leipzig, List.
'PaYy.àêyi; *0 xaô' "O[j.y,çov oîxtay.ô; pîo;, ç'.XoXoYixri p.e>£xri uTtô KXétovo;
'PaYxaêrj SiSàxTopo; Ta vo[j(,ixà, 'AOiQvaiç, tûtioi; A. KopojArjXa.
ISOCRATE.
Sanneg, Dr. Paul, de schola Isocratea. In-8. Uallc, Anton.
LONGI IIot[jL£vixà , texte grec revu et publié avec des notes par fuu
N. S. Piccolos, précédé d'une Notice par M. Egger. Iq-32. Paris,
Laine.
LONGIN. Aiovuat'ou r^ Aofyaox) Tiepi u^'ouç, de sublimitate libellus, in
usum scholarum edidit Otto Jahn. Gr. in-8. Bonn, Marcus.
LUCIEN. Voyez Collections.
Blnmnei', Hugo, Archaeologische Studien zu Lucian. Gr, in-8. Breslau,
Malzer.
Scbwarlz, A., ûb. Lukians Gallus. Gr in-8o. Berlin, Calvary.
Frllzsclie, F. Y., Adnotaiiu ad Luciani Convivium. Gr. ia-Uo. Leipzig, II.
Fritzsclic.
Fritzsclie, F. V., Adnotatio ad Luciani Fugitives. Gr. in-fto. Leipzig^ II.
Fritzsche.
LYRIQUES. Voyez GOLLECTIOHS, POETiE.
LYSIÂS.
Frifzclie, F. V., Eraendationes Lysiacœ. Gr. in-8. Leipzig, Fritisclie.
MOSCIIUS.
Fritzsche, D. Theod., de carminé Moscheo oui inscriptum est Epitaphius
Bionis quœsiiones criiicœ. Gr. in-ft". Leipzig, Pernitzsch.
aiUSÉE. Voyez Orpuica.
ORIGÈNE.
FreppeL Origène, Cours d'éloquence sacrée fait à la Sorbonne, parTablé
Freppel, pendant les années 1866 et 1867. 2 vol. in-8. Paris, Bray.
ORPHICA. Procli hymni, Musaei carmen de Hero et Leandro, Galli-
machi hymni et "epigrammata, ad optimorum librorum fidem ac-
curate édita. Novaedit. stercot. Coll. Tauchuitiana. Nova imprcssio.
In-IG. Leipzig, Holtze.
PÈRES DE L'ÉGLISE GRECQUE, discours, lettres et poésies, avec
notes, par Fialon, docteur es lettres, ln-12. Paris, Belin.
— Choix de Discours, avec analyses et notes, par J. Genouille. Iii-12.
Paris, Delalain.
PHILON D'ALEXANDRIE. Les écrits historiques, traduits et précédés
d'une étude sur ses Œuvres, par F. Deîaunay. In-8. Paris, Didier.
— 97 -
PHILOSOPHORUM graECoruoi fragmenta collegit, recensuil, verlil,
annotationibus et prolegoraenis illustravit, indicibus instruxit Fr.
Guil. Aug. Mullachiiis. Vol. II, Pylhagoreos, Sophistas, Cynicos et
Ghalcidii in priorem Timaei plalonici partem commentanos conti-
neus. Gr. in-8. Paris, Firmin Didot.
PHILOSTRATE.
Matz, Frdr., de Philostratoram in describendis imaginibas flde. Gr. in-8.
Bonn, Marcus.
PHOTll patriarchae Lexicon, edit. A. Naber, 2 vol. in-8, Leide, Brill.
— 4>(i)Tiou ToO CToçoùtàTôu xal ày^coTaTOu lïaTptâpj^ov» KwvffTavrivou-
TïôXeo); èmffToXaL Al; 6ûo toO aÙToû irapiQpTyiTai TcovTjjjLaxia. Meta
TrpoXeYOjiévwv Ttepl toù piov» xal twv ct\)yyP*K'H-*'^'^v 4>(OTtou, vTcà'Icoa.
N. KaXéxta. Gr. in-8. London, Nutt.
— Lexicon Vindobonense recensuit et adootatione critica instruxit
Aug. Nauck. Accedit appendix duas Photii bomilias et aliaopuscula
complectens. Lex-8. Leipzig^ Voss.
PINDARE. Odes, traduction nouvelle, par Boissonade, complétée et
publiée par E. Egger, membre de l'Institut. Iu-32. Paris, Hachette.
Sclinltxer, Dr. C. F., de Piadaro nuperriuie emendato, gr. in-8°. £//wan-
gen, Hess.
Balle, Constant, de Pindari sapieniia. Gr. in-8°. Bonn, Cohen.
Peter, Guill. Aug., de dialecto Pindari, Gr. in -80. Berlin, Calvary.
PLATONis opéra omnia ad fidem oplimorum librorum denuo reco-
gnovit et una cum scholiis grœcis emendatius edidit Godofr. Stall-
baumius. Nova edit. stereot. Coll. Tauchnitiana. Nova impressio.
Tom.II. In-16. Leipzig. .
— Opéra omnia uno volumine comprehensa ad fidem optimorum 11-'
brorum denuo recognovit et una cum sclioliis graecis emendatius
edidit prof. Godofr, Stallbaumius. Editio ster. Coll. Tauchnitiana.
Nova impressio. Gr. in-4. Leipzig, Holtze.
— Ausgewâhlte Schriften fur den Schulgebrauch erklàrt von Chru-
Cron. und Jul. Deuschle. Gr. In-8. Leipzig, Teubner.
Inhalt : Gorgias, fiir den Schulgebrauch, erkiaert v. Dr. Jul. Deuscbl
2. Aufl. neu bearb. v, Dr. Chrn. Wilh. Jos. Cron.
— Euthydemus et Lâches, edid. C. Badham. ln-8. Londini et Edinx
Williams et Norgate.
— Convivium, cum epistola ad Thompsonum, edid. C. Badham
In-8. Londini et Edinœ, Williams et Norgate.
— The Sophistes of Plato a dialogue on true and false teaching,
translated wilh an introduction on ancient and modem sophistry .
In-8. London, Williams.
— Voyez Collections , Attici scbiptores.
Scbaarscbmldl, C, die Saminlinig d«r Platonischen Schriften zur Sclici-
duiig der echten v. den uncchten uniersiK ht. tir. iii-8». Bonn, Marcus.
C. Badbam, De Platonis Legibus epistola. iu-go. Ix>ndini.
Sclianz (M.). Spécimen criticum ad Platonem et Censorinum pertinens.
Gr. in-8. Gœttingue, Rente.
Denschle, Gymn.-Prof. Dr. Jul., Dispositionen der Apologie u. d. Gorgias
V. Platon u. logische Analyse d. Gorgias. Anhang zur Ausg d. Gorgias t.
Deusclile. Neu bearb. v. Chrn. Cron. Gr. in-8°. Leipzig, Teubner.
H. T. Karsten, Commentatio critica de Platonis quae feruntur epistolis ,
praecipue tertia , septima et octava. In-8. Utrecht, Kemink.
PLOTIN.
Rlchter, Dr. Arth., die Ethik des Plotin. Gr. in-8. Halle, Schmidt
— Die Théologie und Physik des Plotin, Gr. in-8. Halle, Schmidt.
PLUTARQUE. Vie de Marius, traduite et annotée par Legentil, pro-
fesseur agrégé. In-12. PariSyDezobry.
— Extraits', des Vies des hommes illustres, éditioa classique, par
Feuilleret, agrégé de l'Université, ln-1?. Paris, Bel'm.
— Vie d'Alexandre, édition classique, par T. Lemeignan, professeur
au Lycée Louis-le-Graad. In-12. Paris, Delalain.
— Extraits des Vies parallèles, édition classique, par F. Lécluse,
ancien professeur à la Faculté de Toulouse. In-l?,. Parîs^ Delalain.
— Extraits des Vies de Plutarque, d'après la traduction de M. Talbot,
par Feillet. In-12. Paris, Hachette.
Rnell, Frz., die Quellen des Plutarchs im Leben des Kimon. Inaugural-Dis-
sertation. Gr. in-8. Leipzig, Teubner.
Baziu, H. De Plutarcho Stoicorum adversario. In-8°. Paris^ Durand.
Gréard. De la morale de Plutarque. In-8. Paris, Hachette.
POETM GRiECi. The Golden treasury of ancient Greek poetry, by R.
S. Wright. In-8. London^ Macmillan.
— Poetae lyricigraeci. Tertiiscuris recensuit Theodor. Bergk. Pars III,
Poetas melicos continens. Gr. in-8. Leipzig, Teubner.
— Poetarum scenicorum graecorum Aeschyli, Sophoclis, Euripidis et
. 'Aristophanis fabulaesuperstites et perditarum fragmenta ex recen-
sione et cum prolegomenis Guil. Dindorfii. Editio V, correctior.
Leipzig, Teubner.
- Poetae graeci gnomici ad optimorum librorum fidem accurate
editi. Nova edit. ster. Ç. Tauchnitiana. Nova impressio. In-16.
Leipzig, Holtze.
— Dichter, griechische, in neuen metrischen Uebersetzungen, von
Schwab, ln-16. Stuttgart.
POLYBll historia. Edidit Ludov. Dindorfius. Vol. 3. In-8. Leipzig,
Teubner.
PROCLUS. Voyez Orphica.
PSEUDOCALLISTHENES.
Pseadocallistbenes, Forschungen zurKritik und Geschichte der altesten
Aufzeichung. der Alexandersage, von J. Zaeher. Gr. in-8. Halle, Waisenhaus.
QUINTUS DE SMYRNE. — Voyez Collections.
— 99 —
SOPHOCLis tragoidiaî, éd. Ad. Nauck. In-8. Berlin, Weidfnann.
— Tragédies, éd. Tournier, avec notes en français. In-8. Paris ^ Ha-
chette.
— Tragédies, éd. Tournier. In-12. (Edition classique.). Paris, Hachette.
— Tragœdiœ, Ed. C. Jebb. In-8 London, Rivingston.
— Tragédies, édition classique, par M. Pessonneaux, professeur au
lycée Napoléon. In-12. Paris, Delalain.
— Sophokles fur den Schulgebrauch erklàrt von. Gust. Wolff. Ajass.
Gr. in-8. Leipzig^ Teubner.
— Antigone, deutsch in den Versmassen der Urschrift v. J. J. C.
Donner. Gr. in-8. Leipzig, C. J. Minter.
— Œdipus rex, edidit et annotavit Henr. van Herwerden. Editio
major. Accedunt analecta tragica et anecdota Ambrosiana. Gr. in-8.
Leipzig f A. Dûrr.
— Philoctetes ad novissimam optimi codicis conlationem recensuit et
brevi adnotatione instruxit Maur. Seyffertus. Gr. in-8. Berlin,
Weidmann.
- Antigone. Trauerspielùbeis. u. m. erlàut. Anmerkgn. versehen v.
Dr. Jos. Tachau. Gr. in- 16. Wien, Beck.
— Tragœdiae superstites et perditarum fragmenta. Ex recensione
Guil. Dindorfii. Editio ex poetarum scenicorum editioneV ex pressa.
Leipzig, Teubner.
— Extraits (texte grec), édition classique, par M. Feuillâtre, provi-
seur du lycée de Metz. In-12. Paris, E. Belin.
— V. Collections et Poetjî GRiEci.
Wllle, Àem., de nonnullis Sophoclis locis. Iii-8°. Berlin, Calvary.
Campe, Dr. C, Quaestionum Sophoclearumpars III. Gr.in-/i°. Greiffenberg,
Gruss.
SOPHRONEORUM mimorum reliquias conquisivit, disposuit, expla-
navit Botzon, Dr. Ludov. Marienburg, Hemmpel.
STRARON, Géographie, trad. par Tardieu, tom. I. In- 12. Paris, Ha-
chette.
TESTAMENTUM novum graece ex recensione Aug. Hahnii denuo
editum. Editio ster. C. Tauchnitiana, nova impressio. In-16. Leipzig,
Brockhaus.
— Novum, vulgataî editionis Sixti V. et démentis VIII, pontt. maxx.
jussu recognilum.In-8. AfM«5/fr, rAew5inflf.
— Novum, grœce recensuit inque usum academicum omni modo
instruxit Const. Tischendorf. Editio academica ex triglottis ster. V
prolegomenis emendatis auclisque. Cum lab. duplici (lith.) terrœ
sanctœ. In-18. Leipzig, Mendelsohn.
— Novum, Vaticanum. Posl Angeli Maji aliorumque imperfectos la-
iOO —
bores ex ipso codice edidit Const. Tischendorf. Gr. in-4. Leipzig,
Giesech.
The apocryphal Gospels, translated willi notes by W. Cooper. London,
fVilliams.
Wllkil. Chrn. Gottl., clavis Novi Testamenti philologica usibus scholarutn
et jiivenum theologiae studiosorum accommodata. Quem librum ita casti-
gavit et emendavit, ut novum opus haberi possit., Dr. Caro). Ludov. Grimm.
Lex.-S". Leipzig, Arnold.
THEOCRITI carmiua ex codicibus italis deuuo a se coUatis iterum
edidit Christoph. Ziegler. Gr. in-8. Tûbingen, Laupp.
— Idyllia iterum edidit et commentariis criticis atque exegeticis
iDsttuxit Arm. Fritzsche. Lex..-8. Leipzig^ Pernitzsch.
— Carmen iEolicum tertium, a L. Schwabio recognitum, in-4. Dorp.
Codicis Âmbrosiani 222 scholia in Theocritum primum edidit Christoph.
Ziegler. Gr. in-8«». TUbingen, Laupp.
THEOPHRASTI opera quaî supersunt, edidit Wimmer. (Collection
grecque latine de F. Didot.) Gr. in-8. Paris, 1866.
THUCYDÏDIS de bello peloponnesiaco libri VIII cum indice rerum.
Nova edit. stereot. Coll. Taucbuitiana. Nova impressio. 2 tom.
in- 16. Leipzig, Holtze.
— Erklaertv. J. Glassen. Gr. in-8. Berlin^ Weidmann.
— l^Mivre, annoté et traduit par Legouez, in-l2. Paris, Hachette.
— l*"" livre, avec sommaires et notes en français, par David, professeur
au Lycée d'Orléans, ln-12. Paris, Delalaîn.
Voyez Collections. *
XENOPHONTIS opéra edidit Gust. Sauppe. Editio stereot. Vol. 5.
Scripta minora. In-8. Leipzig, B. Tauchnitz.
— Opera. Nova edit. ster. Coll. Tauchnitiana. Nova impressio. Tom. II
et IV. In-16. Leipzig, Holtze.
Inhalt : 2. Memorabilia. — 4 Historia graeca.
— Anabasis, fur den Schulgebrauch erklàrt v. Ferd. VoUbrecht.
Gr. in-8. Leipzig, Teubner.
— Anabasis. Books Mil elucidated by notes critical and explana-
tory, a Lexicon of ail the words in the texte and a séries of easy
reading lessons for beginners, by Isbister. London.
— Anabase. Extrait^, Edition classique. Paris^ E. Belin.
— Anabasis. Recognovit et cum apparatu critico edidit Ludov.
Breitenbach. Gr. in-8. Halle, Waisenhaus.
— Anabasis. Erklàrt v. G. Rehdantz. Mit 1 Kartevon H.Kiepert. Gr.
in-8. Berlin, Weidmann.
— 101 -
— Xénophon, œuvres complètes, traduction nouvelle, par Talbot,
2* édition. In-12. Paris^ Hachette.
— TtDv Ttapà SsvoçwvTi Siopôœaewv (xépo; P', (luà Havraffî^ou, 'AQT^vijiffi.
TbrUz, Dr. Frdr. Cari, ToUstaendig s Wœrterbuch zur Xenophons Anabasis,
mit besonderer Rucksicht auf Namen- u. Sach-Erkisrg. bearb. 6verb. Aufl.Gr.
in-8". Leipzig, Hatin.
Nlcolal, Prof. Adph., Xenophons Cyropaedie und seine Ansichten . vom
Staate. (ir. ïn-k". Berlin, Calvary.
' TABLE DES MATIERES.
statuts 5
Liste des membres de l'Association 9
Assemblée générale du 6 mars 1868. Discours du Président, Rap-
ports du Secrétaire et du Trésorier 29
Nécrologie 49
Fragments d'Aristodéme , publiés par M. Wescher 53
Bibliographie des ouvrages relatifs «aux études grecques 79
l'arU. — linp. 'I*' \tl. Laim? et J. Havard, rue des Saiuls-Pères, lô.
ASSOCIATION
POUR L'ENCOURACEÏiENT
DES ETUDES GRECQUES
EN FRANCE.
2'' SUPPLEiEKT
à TAnnuaire de 1868.
PARIS
A, DURAND ET PEDONE LAURIEL, LIBRAIRES-ÉDITËUUS
RU« CUJAS, 9 (ancienne bck dks crï.s).
AD. I. Al NÉ,
1869
'k
ASSOCIATION
POUR L'ENCOURAGEMENT
DES ÉTUDES GRECQUES
EN FRANCE.
2" SUPPLÉMENT
à l'Annuaire de 1868.
PARIS
A, DURAND ET PEDONE LAURIEL, LIBRAIRES-ÉDITEURS
RUE CUJAS, 9 (ancienne BUE DES GRJ(S).
AD. LAINE, LlBRAinB
RUE D£S SAINTS-PÈRKS , lU.
869
Les réunions du Comité ont lieu, rue Haute-
feuille, 1 bis^ à huit heures du soir, le premier ven-
dredi de chaque mois. Tous les membres de la Société
ont le droit d'y assister, et ont voix consultative. Elles
sont interrompues pendant les mois d'août, de sep-
tembre et d'octobre.
Les demandes de renseignements et les commu-
nications relatives aux travaux de l'Association doivent
être adressées franc de port, rue Hautefeuille , 1 bis,
au secrétaire, M. Ghassang.
Les membres de la Société, qui désirent continuer
à en faire partie , sont priés de vouloir bien envoyer le
montant de leur cotisation, en un mandat de poste, au
trésorier, M. Gustave d'Eichthal, 100, rue Neuve-des-
Mathurins.
A MARSEILLE, les cotisations peuvent être déposées cliez
MM. Antoine Hesse Et C'^, banquiers, rue Lafon, i\° 9;
MÊLAS FRÈRES, négociauts , avenue Bonaparte, n° 9;
GouNAROPOULOs , négociant , boulevard Saint-Michel , 3.
T SUPPLEMENT
A L'ANNUAIRE DE 1868.
Fondée au mois de mai 1867, notre Association a ren-
contré tant de sympathies dans l'opinion publique que,
dès le mois de mars dernier, elle comptait douze dona-
teurs et près de cinq cents membres sociétaires. A cette
liste s'ajoutaient, du 7 mars au 10 juillet suivant, quatre
donateurs et soixante-treize sociétaires. Au mois d'août,
l'Association publiait, avec une liste supplémentaire de ses
membres, des Observations régulièrement délibérées sur
quelques réformes proposées pour l'enseignement du grec dans
les établissements secondaires, et cette publication était à
peine achevée que de nouveaux et importants témoignages
nous parvenaient du zèle entretenu ou excité par nos
efforts chez les amis des lettres grecques. Il nous a semblé
que l'Annuaire de 1869 ne pouvant paraître avant le mois
d'avril prochain , nous ne devions pas attendre jusqu'à
cette date pour porter à la connaissance de nos souscrip-
teurs et du public ces favorables nouvelles du succès que
nous avons obtenu.
Six nouveaux donateurs en France, neuf à Constanti-
nople, deux cents nouveaux sociétaires, tant en France
qu'à l'étranger et surtout en Grèce ; une souscription an-
nuelle de 400 francs votée et envoyée pour 1868 par
l'Université d'Athènes; un don de 20,000 francs, envoyé
par M. Ghristakis Zographos, de Constantinople, à l'eflet de
fonder, avec les intérêts de cette somme, un prix annuel
d'encouragement; le don, considérable aussi, de tous les
exemplaires qui restaient des divers ouvrages du feu
comte Auguste de Marcellus, don généreusement adressé à
l'Association par son frère le comte Edouard de Marcellus;
tous ces accroissements de ressources assurent si bien
l'œuvre de notre Association que le Comité n'a pas craint
— 4 —
de décider, par une délibération en date du 4 décembre,
que serait adressée au Gouvernement la demande formelle
de reconnaître l'Association comme société d'utilité pu-
blique. Le Président a été chargé d'exécuter cette décision
par les voies régulières.
Nous décernerons en 1869 le prix de mille francs dont
l'annonce a été publiée, et nous préparons le programme
du concours qui sera ouvert pour le prix destiné à prendre
le nom de Prix Zographos.
Les résultats obtenus par le concours de tant de volontés
dévouées, la reconnaissance et l'émulation excitées par nos
encouragements, nous autorisent à espérer que notre Asso-
ciation continuera de s'affermir et de s'étendre. Ce fidèle
résumé de la situation présente sera comme un appel à
toutes les personnes auxquelles il semble ne manquer, pour
se joindre à nous, que de bien connaître l'objet de notre
institution, les moyens dont elle dispose et Tusage qu'elle
a su en faire. A cette intention nous avons cru devoir re-
produire ci-dessous les principaux articles de nos statuts.
i5 décembre i868.
EXTRAIT DES STATUTS.
Art. 1". L'Association encourage la propagation des
meilleures méthodes et la publication des livres les plus
utiles aux progrès des études grecques. Elle décerne, à cet
effet, des récompenses.
2. Elle encourage par tous les moyens en son pouvoir le
zèle des maîtres et des élèves.
3. Elle propose, s'il y a lieu, des sujets de prix.
4. Elle entretient des rapports avec les hellénistes étran-
gers.
5. Elle publie un annuaire ou un bulletin, contenant
l'exposé de ses actes et de ses travaux , ainsi que l'indi-
cation des faits et des documents les plus importants qui
concernent les études grecques.
— 5 —
6. Le nombre des membres de l'Association est illimité.
Les Français et les étrangers peuvent également en faire
partie.
7. L'admission est prononcée par le Comité, sur la pré-
sentation d'un membre de l'Association.
0. Le taux de la cotisation annuelle est fixé au minimum
de dix francs.
10. La cotisation annuelle peut être remplacée par le
payement, une foisfait, d'une somme décuple. La personne
qui a fait ce versement reçoit le titre de memhi^e donateur,
U. L'Association est dirigée par un Bureau et un Co-
mité, dont le Bureau fait partie de droit.
13. Le Comité, non compris le Bureau, est composé de
vingt et un membres. Il est renouvelé annuellement par tiers.
Les élections sont faites par l'Assemblée générale. Les sept
membres sortants ne sont rééligibles qu'après un an.
15. Le Comité se réunit régulièrement au moins une
fois par mois. 11 peut ôtre convoqué extraordinairement
par le Président.
Tous les membres de l'Association sont admis aux
séances ordinaires du Comité, et ils y ont voix consultative.
Les séances sont suspendues pendant trois mois, du
1" août au 1" novembre.
19. L'Association tient, au moins une fois chaque année,
une Assemblée générale (1). Les convocations ont lieu à
domicile. L'Assemblée entend le rapport qui lui est pré-
senté par le Secrétaire sur les travaux de l'Association,
et le rapport de la commission administrative sur les
recettes et les dépenses de l'année.
Elle procède au remplacement des membres sortants
du Comité et du Bureau.
Tous les membres de l'Association résidant en France sont
admis à voter soit en personne, soit par correspondance.
(1) L'assemblée générale a lieu le premier vendredi après Pâques.
— 6 —
MEMBRES DONATEURS.
Ballianos (Andréas), négociant, à Constantinople.
Banque nationale de Grèce, à Athènes.
Beulé , membre de l'Institut.
Brunet de Pbesle , membre de l'Institut.
Christopoulos , ancien ministre de l'instruction publique et des
cultes en Grèce.
CoNSTANTiNiDES (Zanos), à Constantinople.
CousTÉ (E.), directeur de la manufacture des tabacs, à Paris.
Desjardins, 11, rue Maurepas (Versailles).
Devillè ( feu Gustave ) , docteur es lettres, ancien membre de
l'Ecole d'Athènes.
DiDOT (Ambroise-Firmin) , libraire-éditeur.
Drème, premier avocat-général , à Agen (Lot-et-Garonne).
DuRUY (S. Exe. M. Victor), ministre de l'instruction publique.
EiCHTHAL (Gustave d'), membre de la Société asiatique.
GiANNAROs (Thrasybule), néeociant, à Constantinople.
HoussAYE (Henry), homme de lettres.
Karapanos (Constantin), docteur en droit, négociant, à Constan-
tinople.
KoENiG (Richard), négociant, à Alexandrie.
L. Hachette et CS libraires-éditeurs, à Paris.
Labitte, libraire, à Paris.
Landelle, peintre, membre de l'académie d'Amsterdam.
Maggiar (Octave).
Marcellus (comte Edouard de).
MouRiER , vice-recteur de l'Académie de Paris.
Patin, membre de l'Académie française.
Riant (Paul), docteur es lettres, delà Société des antiquaires.
Saraphis (Aristide), négociant, à Constantinople.
Stephanovie (Zanos), négociant, à Constantinople.
SvoRONOS (Michel), négociant à Constantinople.
Université d'Athènes, ('eôvdcov IlavsTrtcTTTipMov),
Zariphis (Georges), négociant, à Constantinople.
ZoGRAPHOs(ChristakisBitos), négociant, à Constantinople.
— 7
LISTE GÉNÉRALE DES MEMBRES AU 6 DECEMBRE 1868.
Abeille, 41, avenue Gabriel.
AcATios (Nicolas), négociant, à Constantinople. ^
Adert, ancien professeur de littérature grecque à l'Académie de
Genève, rédacteur en chef du Journal de Genève.
Afendouli (Théodore), professeur à l'Ecole de Médecine (Athènes).
Agathangelos, archevêque de Dramas (Constantinople).
Agathidès, professeur, 28, Kildare Terrace, Bayswater (Londres).
Agelasto (E.), négociant (Marseille).
Albert frères , négociants à Marseille.
Alexandre, membre de l'Institut , 9, rue Mogador.
Alexandrides (Zacharias), négociant, à Constantinople.
Alglave, avocat, 7, rue du Cardinal Le Moine.
Allaire (E.), Twickenham (Middlesex).
Ambanapoulos, négociant (Marseille).
Amiel, chef d'institution, rue Saint-Jacques, 151 bis.
Anastase (Grégoire), négociant, à Constantinople.
Andréadis (IM™'^), directrice de l'Ecole primaire grecque, au Caire.
Andréadis (P.), docteur-médecin (Constantinople).
Anonymes (quatre) (Paris).
Anthime, archevêque de Séleucie, directeur de l'école commer-
ciale grecque de Chalki (Constantinople).
Anthopoulos (Constantin), membre du tribunal de commerce
(Constantinople).
Antoniadis (Alexandre), négociant (Constantinople).
Abgenti (Léonidas), négociant (Marseille).
Aristarchis Stavrachis, grand logothète, membre du conseil
(Constantinople).
Aristoclès (Jean) , professeur de la grande école patriarcale, à
Constantinople.
Armingaud , professeur au collège Rollin , 17, rue Cassette.
Arvtaïos (Théodore), professeur à l'Ecole de Médecine (Athènes).
AssELiN , professeur au collège Rollin , 40 , rue de l'Ouest (Paris).
Athanasachis (G.), négociant, à Volo (Turquie d'Europe).
Athénogénès (Georges), négociant (Constantinople).
AuBÉ, professeur au Lycée Bonaparte, 48, rue de Vienne.
AviERiNO (Alexandre), négociant, Gresham house (Londres).
Badois, 127, rue de la Tour (Passy- Paris).
Bagault, 43, rue Saint-Lazare.
~ 8 ^
Baguenault de Puchesse (Gustave), licencié es lettres, 49, rue
Bonaparte.
Bahaux (J.)i licencié es lettres, 71, boulevard Mont -Parnasse.
Baillière (Germer), 17, rue de l'École de Médecine.
Bailly, professeur au lycée (Orléans).
Balanos (Spyridon), professeur à l'École de Droit (Athènes).
Ballakis (Chr.), négociant (Gonstantinopie).
Balltanos (André), à Gonstantinopie.
Baltard, membre de l'Institut, 4, rue de l'Abbaye.
Banque nationale de Grèce (Athènes).
Barbet-Massin, 16, rue de la Ferme-des-Mathurins.
Baron (L.), ancien député, Fontenay (Vendée).
Barrias, 71, rue d'Amsterdam.
Barthélémy Saint-Hilaire, de l'Institut, 29 bis^ rue d'Astorg.
Bary, professeur au collège RoUin, 47, rue Pigale.
Basiadès (Héroclès-Gonstantin), docteur es lettres et en méde-
cine, rue Hamel-Bachi, 14 (Gonstantinopie.)
Basili (G.-A.), sous-gouverneur de la banque nationale d'Athènes.
Basilt (D.-M.), négociant (Marseille).
Bassiltadès (S.), négociant (Marseille),
Baudouin, inspecteur général de l'enseignement primaire (Paris).
Baudreuil (de), 29, rue Bonaparte (Paris).
Beaujean, professeur au lycée Louis-le-Grand, 39, rue de l'Uni-
versité.
Beaussire, professeur au lycée Charlemagne, 90, rue des Feuil-
lantines.
Belin, libraire-éditeur, 52, ruede Vaugirard.
Béltsatre (Jean), professeur de grec , 5 , rue Canonge (Marseille).
Belot, professeur au lycée de Versailles^
Benoist (Eugène), professeur à la Faculté des lettres de Nancy.
Benoît (Ch.), doyen de la Faculté des lettres de Nancy.
Berakd-Varagnac, 31, Avenue de Neuilly (Porte-Maillot).
Bentzelos (Miltiades), professeur li l'École de Médecine (Athènes).
Bercoet, chef d'institution , 8, cité Malesherbes, rue de Laval.
Bergaigne, 55, rue de Verneuil.
Berge (de la) attaché au cabinet des médailles, 12 , rue de Lou-
vois.
Berger , professeur à la Faculté des lettres deParis, 1, rue
Leregrattier-en-l'lle.
Bernardakis, 5, place de la Sorbonne.
Bertrand (Alexandre), directeur du musée St-Germain (en Lave).
Beslay (François), avocat à la Cour impériale, 372, rue Saint-
Honoré.
Bétant, consul de Grèce, à Genève.
Bétolaud, ancien professeur de l'Université, 53, rue du Bac.
BÉTOURNÉ, professeur au lycée de Bordeaux.
Beugnot (comte), 10 1 bis, rue Saint-Lazare.
Beulé, membre de l'Institut, 25, quai Conti.
Bien AYMÉ (Jules), membre de l'Institut, 1, rue de Fleurus.
— 9 —
BiKELAS (0.), Dégoçiant, 19, Old Broad street (Londres).
BiMPOs (Théoclète), archimandrite, professeur à l'École de théo-
lofiie (Athènes).
Blache, de l'Académie de médecine, 5, rue de Suresne.
Blanc (Charles), de l'Institut, à Saint-Gratien (Seine-et-Oise).
Blancabt, professeur de grec moderne (Marseille).
Blavet, 181, avenue Raphaël (Passy-Paris).
Blignières (de), ancien chef d'institution, 80, rue de Grenelle-
Saint-Germain.
Blondel (Charles), élève de l'École française d'Athènes.
Blotnicki, 2, rue Saint-Louis-en l'Ile.
BoDiNiER, correspondant de l'Institut, place du Château (Angers).
BoissoNADE (N.), professeur agrégé à la Faculté de droit.
BoLL (Gustave), avocat, 24, quai de l'École.
BoNAFOUs, doyen de la Faculté des lettres d'Aix.
BoTTENTUiT (le doctcur), 36, rue du Champ-des- Oiseaux (Rouen).
BocicHARD, notaire, 1, place Boïeldieu.
BoucHARDAT, profcsscur à la Faculté de médecine, 8, rue du
Cloître-Notre-Dame.
Bouchot, professeur au lycée Louis-le-Grand, 58, rue de Vaugi-
rard.
Boucherie, professeur au lycée (Montpellier).
BouiLLiER, directeur de l'École normale supérieure, 45, rue d'Ulm.
Bourbaki (Demétrius), ofUcier de l'armée hellénique, 24, rue
Chevert.
Brandt, directeur de l'Ecole internationale (Saint-Germain en
Laye).
Braud (J.-B.), professeur, 9, rue Sainte-Croix (Nantes).
Bréal (iMichel), professeur au collège de France, 63, boulevard
Saint-Michel.
Brelay (Ernest), négociant, 34, rue d'Hauteville.
Briau, bibliothécaire de l'Êcole-de-Médecine, 41, rue de la Vic-
toire.
Broglie (le prince Albert de), 94, rue de rUniversilé.
Brunet«de Presle, de l'Institut, 61, rue des Saints-Pères.
BuRET, docteur en droit, avocat ^Caeu).
BuRNOUF (Emile), directeur de l'Ecole française d'Athènes.
Cabanel, membre de l'Institut. 17, rue de la Kochefoucauld.
Caffarelli (comte), député, 58, rue de Varennes.
Caffiaux, ancien professeur au collège, bibliothécaire de la ville
(Valenciennes).
Cahen d'Anvers (comte), 47, rue Laffitte.
Cahen d'Anvehs, 47, rue Laffitte.
Cahen d'Anvers (Loui^), 47, rue Laffitte.
Cahen d'Anvers (M'"«), 1 18, rue de Grenelle- Saint-Germain.
Caillemer (Exupère), professeur à la Faculté de droit de Gre-
noble (Isère).
Calligas (P.'ul), professeur à l'École de droit (Athènes).
Calvocoressi, négociant (Marseille).
— 10 —
Calvocoressi (m. -G.), négociant (Marseille).
Campaux, professeur à la Faculté des lettres (Strasbourg).
Canellopoulo, rédacteur en chef de Y Indépendance hellénique,
rue du Pirée, 27 (Athènes).
Caramànos (Ph.-G.), négociant (Marseille).
Caro, professeur à la Faculté des lettres^ 20, rue des Missions.
Caron, 1 1, rue de l'Arbalète.
Cassimati, avocate Syra (Grèce).
Castorki (Eiithymos), professeur de philosophie à l'Université
(Athènes).
Catzigras Cosmas, négociant (Marseille).
Caumont (de), correspondant de l'Institut (Gaen).
Caussade (de), bibliothécaire au Louvre, 25, rue de Laval.
Ceffala (Georges), négociant, 3, Winchester Buildings (Lon-
dres).
Cerfbeer (Th.), agriculteur (Oberviller, près Saarbourg (Meurthe).
Chabouillet, conservateur du cabinet des médailles, 22, rue
Boursault.
Chanrond (Gustave de), à Briançon (Hautes-Alpes).
Chantepie (de), maître surveillant et bibliothécaire à l'École nor-
male supérieure, 45, rue d'Ulm.
Chappuis, professeur à la Faculté des lettres (Besançon).
Charamis (Adamantios), professeur à Tagonrog (Russie méri-
dionale).
Chasles, membre de l'Inslitut, 3, passage Saint-Marc, rue du Bac.
Chasles (Emile), 2 ter^ impasse Sainte-Marie (rue du Bac).
Chassang, maître de conférences à l'Ecole normale supérieure, 1 3,
rue du Jardinet.
Chasseriau (M"^), 40, rue de Bruxelles.
Chastellux (comte Henri de), 90, rue de Varennes.
Chatel (Eug.j, archiviste du département du Calvados, à Caen.
Chénier (G. de), 35, rue Bellechasse.
Cherbuliez (André), professeur de littérature ancienne à l'Aca-
démie (Genève).
Cherbuliez (Victor), (Genève).
Chéronnet-Champollton (Léonce), 10, rue de l'Oratoire.
Chéronnet-Champollion (René), 10, rue de l'Oratoire.
Cherrier (de), membre de Tlnstitut, 22, rue de Londres.
Chevreul, membre de Tlustitut, au Jardin des plantes.
Chevriaux, censeur des études au lycée Bonaparte, rue du
Havre.
Choisy, ingénieur des ponts et chaussées, à Rethel (Ardennes).
Chrtstidis (Chr.-P.), négociant (Constantinople).
Christopoulos, ancien ministre de l'Instruction publique et des
cultes du royaume de Grèce.
Chrysospathès (G.), docteur en médecine, 54, rue des Écoles.
Chryssovelonis (Leonidas), négociant (Constantinople).
CiRCOURT (comte A. de), aux Bruyères, près Bougival (Seine-et-Oise).
Clavel (Victor), professeur au lycée (Bourges).
— Il —
Cléanthe (Zenon), architecte (Constantinople).
Clermont-Tonnerbe (duc d*'), 78, ruf de l'Université.
Clérot (Henry), négociant, rue de l'Hôtel-de-Ville (Rouen).
CoHiN (Albert), docteur en pliilosopliie, 42, rue Richer.
Colin, 18, boulevard Montmartre.
CoMBKs (dp), auchâienu d'Amnyé (par Evrecy, Calvados).
CoNDKS (Elit ), chez MM. Tamvaco et Microlachi (Marseille).
CoNDURiom, ministre de Grèce^ à Florence.
CoNSTANTiNiDÉs (Ch.-GeorRes), rentier (Constantinople).
CoNSTANTiNiDÈs (Gcorges-Charles), à Constiinlinople.
CoNSTANTiNiDÈs (Zanos), rentier, à Constantinople.
CoNTOSTANLOS (Jean), négociant (Constantinople).
CoRGiALÉGNO (André), négociant (Marseille).
CoRGiALÉGNO, négociant (Marseille).
CossoucLTS (Thémisiocle), négociant (Constantinople).
CosTE (Olivier de la), licencié es lettres, 108, rue du Bac.
CouBET (Alph.), docteur en droit, 2, rue Servan (Grenoble).
CouiiTAUD DiVEBNÉBESSE, 7, ruc Madame.
CousTÉ, directeur de la manufacture des tabacs, 63, quai d'Orsay.
Cbauk, 146, rue de Vaugirard.
Crémieux (Emile), ancien agent de change, 2, place Wagram.
CuBNiEU (le baron de), 68, rue de la Cliaussée-d'Antin.
CuviLLiER, professeur au lycée du Prince-Impérial (Vanves).
Da Costa, substitut du procureur impérial, à Compiègne(Oise).
Damalas, négociant (Marseille).
Daremberg, de la bibliothèque Mazarine, 1, rue de Seine.
Dareste de la Chavanne, avocat, 7, quai Malaquais.
Dareste de la Chavanne (Cléophas), doyen de la Faculté des
lettres (Lyon).
David (baron Jérôme), vice-président du Corps législatif, 6, place
Saint-Michel.
Dazapoulos (Georges), professeur.
Decharme (Paul), professeur au lycée (Marseille).
Dehèque, membre de l'Institut, 50, rue de Bourgogne.
Delacroix, professeur au lycée Louis-le-Grand, 15, rue de la
Vieille-Estrapade.
Delagbave, libraire-éditeur, 78, rue des Ecoles.
Delalain (Jules), libraire-éditeur, 76, rue des Ecoles.
Delalain (Henri), libraire-éditeur, 76, rue des Ecoles.
Delaboche (Horace), 26, rue des Bourdonnais (Versailles).
Delaboche (Philippe), 103, rue du Bac.
Delaunay, professeur, à Ernée (Mayenne).
Delaunay (Ferd.), 8, rue des Saussayes.
Delkssebt (M"'« Gabriel), 9, rue Basse (Passy-Paris).
DtLOBME (S.), 26, rue de la Ferme des- Mal burins.
Delpech, professeur, Christ's-Hospital (London).
Delta (Thomas), négociant, 3, Winchester Buildings (Londres).
Deltoub, professeur de rhétorique au lycée Saint-Louis, 98, rue
de la Pépmière.
— 12 —
Delzons, professeur au lycée Saint-Louis, 86, rue des Fossés-
Saint-Victor.
Delyannis (Théodore-P.), ancien ministre plénipotentiaire de
S. M. Hellénique à Paris (Athènes).
Demarquay, docteur-médecin, 47, rue de la Victoire.
Demetbios (Tiberis), à Constantinople.
Denis, 2, rue de Reims.
Depasta (A.-N.), libraire (Constantinople).
Depasta (Antoine), négociant, à Constantinople.
Deschamps (Arsène), docteur en philosophie et lettres, rue Basse-
Chaussée (Liège).
Deschanel (Emile), ancien maître de conférences à l'École nor-
male supérieure, 34, rue de Penthièvre.
Des Francs, professeur de rhétorique au lycée de Bourg (Ain).
Desjardins, 11, rue Maurepas (Versailles).
Dethier (Ph.-A.), docteur en philosophie, directeur de l'école
autrichienne de Constantinople.
Deville (Mme vcuvc), 112, ruc de Provence.
Devin, avocat, 12, rue de l'Echiquier.
Dezeimeris, 9, rue Maison-Daurade (Bordeaux).
Dialegmenos (Georges), négociant (Constantinople).
DlANGELis (Georges), avocat (Constantinople).
DiDOT (Ambroise-Firmin), libraire-éditeur, 5C, rue Jacob.
DiLBEROGLOU (S.), négociant, ïhreadneedie street (g. j. Cavafy
et 6" (Londres).
DivEEis (Démétrius), négociant, à Constantinople.
DoGNÉE (E.), 20, place des Carmes (Liège, Belgique).
Doyen (X.), maître d'études au collège (Schelestadt, Bas-Rhin).
Drapeyron, professeur au lycée Napoléon, 9, rue Clotaire.
Drème, premier avocat général, à Agen (Lot-et-Garonne).
Duc, membre de l'Institut, 4, rue du Marché Saint-Honoré.
DucAMP (Maxime), 43, rue du Rocher (Paris).
Dumas (É.-R.), professeur au lycée (Marseille).
DuMONT, inspecteur de l'enseignement moyen ^ rue Montoyer
(Bruxelles).
DuQUESNE, 51, rue Laffitte.
Durand, libraire-éditeur, 9, rue Cujas.
Duret (M'^'), 17, quai Voltaire.
Durutti, directeur de la manufacture de soie, à Athènes.
DuRUY (S. Exe. M. Victor), ministre de l'instruction publique.
DuvEAU, professeur au collège Saint Rambert (Lyon).
Ebronos (Michel), à Constantinople.
Egger, membre de l'Institut, 48, rue Madame.
Eginétès (Dionysios), professeur à l'Ecole de droit (Athènes).
EiCHTHAL (Adolphe d'), membre du Conseil supérieur du com-
merce, 98, rue Neuve-des-Mathurins.
EiCHTHAL (Ad. d'), fils, banquier, 98, rue Neuve-des-Mathurins.
EicflTHAL (Eugène d'), iOO, rue Neuve-des-Mathurins.
— 13 —
EicHTHAL (Gustave d'), membre de la Société asiatique, 100, rue
Neiive-des-Mathurins.
Elèves (le^) de l'Ecole normale supérieure, 45, rue d'Ulm.
Elèves fies) du Lycée d'Orléans.
Élèves (les) de rhétorique du collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
Elèves (les) du collège de Valenciennes.
Elèves (cinq) de la classe de quatrième du lycée de Montpellier
(André-Michel, etc., etc.).
Elèves (les) de rhétorique du collège Stanislas, rue Notre-Dame-
des-Champs.
Elèves (les) de rhétorique du lycée Bonaparte (divis. Gidel-Talbot).
Eliade (Léonidas\ professeur de grec moderne, 2, rue Royer-
Collard.
Epinay (de 1'), 6, impasse Sandrié.
EssARTS (Emmanuel des), professeur au lycée (Orléans).
EsTRANGiN (A.), négociant (Marseille).
Etienne (L.), professeur de rhétorique au lycée Saint-Louis, 17,
rue Soufflot.
Eumorphopoulos (A.-G.), négociant, Ethelburg house, Bishops-
gate Street (Londres).
EusTATHius (D.), négociant (Marseille).
ÉvELABD, professeur au lycée Saint-Louis, 13, rue de la Cerisaie.
Fagnan (Edm.), docteur en droit de l'Université de Liège, rue et
hôtel Corneille.
Faube (Anirè), 80, me Taitbout.
Fayard (Eugène), 18, rue d'Aguesseau.
Favre (Lèopold), 22, rue Soufllot.
Feuillet de Conches (baron), 73, rue Neuve-des-Mathurins.
Florent Lefèvre, conseiller général du département du Pas-de-
Calais, 47, rue de Lille.
Fontaine (Médéric), ancien notaire, 63, rue Blanche.
FoTiADES (G.), négociant (Marseille).
FoiiCART, professeur au lycée Charlemagne, 13, rue de Tournon.
FoucHER DE Careil (couitc), 11, ruc François I<^^
FouRNiER (Eug.), docteur es sciences, 72, rué de Seine.
Gaffarel, professeur d'histoire au lycée de Montpellier.
Gaidoz (Henri), licencié es lettres, 32, rue de Madame.
Galichon (Emile), directeur de la Gazette des Beaux- Arts ^ 182,
rue de Rivoli.
Galusky (Ch.), 126, rue de Poissy (Saint-Germain-en-Laye).
Ganneau, 40, boulevard Gouvion Saint-Cyr (Ternes).
Garelli (Alexandre), négociant (Marseille).
Garnier, architecte de l'Opéra, 84, boulevard Saint-Germain.
Garnier (Auguste), libraire, 6, rue des Saints-Pères.
Garnier (Hippolyte), libraire, 6, rue des Saints-Pères.
Gatteaux, membre de l'Institut, 41, rue de Lille.
Gaudry (Albert), 12, rue ïaranne.
Gebhardt. professiur à la Faculté des lettres (Nancy).
Georgamtopoulos (J.), docteur eu droit, avocat (Constautinople).
— 14 —
Georgel, professeur au lycée (Nancy).
Georgiadès (C.-B.), rue du Loisir (Marseille).
Georgîadès (D.), négociant (Marseille).
Georgiadès (JN.-Ph.), négociant (Constontinople).
GÉROME, membre de l'Inslitut, 6, rue de Bruxelles.
GiANNAEOS (Thr.isybiile), négociant (Consiantitiople).
Geschwind (Paul),' élève du collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
GiANNAROS (ïlirasybule), négociant (Constantiuople).
GiDEL, professeur au lycée Bonaparte, 130, rue Saint-Lazare,
GiGUET, homme de lettres (Sens^ Yonne).
Gilbert, 23, rue de Marignan.
GiNOUiLHAC (Monseigneur), évêque de Grenoble (Isère).
Girard (Jules), maîire de conférences à l'École normale supé-
rieure, 26, rue Monsieur-le-Prince.
Glachant, inspecteur général des études, 28, rue Scheffer (Passy).
Glycas (JNicéphore), archimaudrite, professeur de l'école ihéolo-
gique de Chalki (Constanlinople).
GoMBOs (Basili), négociant, à Constantinople.
GouiN (Ernest), constructeur, 4, rue Cambacérès.
GouMY, rédacteur en chef de la Revue de l'Instruction publique,
82, boulevard Saint-Germain.
GouNAROPOULos, négociant, 19, rue du Loisir (Marseille).
GouNAROPOULOS (C), doctcur eu médecine, consul de Grèce à
Saint-Jean-d'Aere.
GouNOD, membre de l'Institut, 19, rue de la Rochefoucauld.
Gréard, inspecteur de l'Académie, 77, boulevard Saint-Michel.
Grégoire VI, patriarche œcuménique de Constantinople.
Grégoire, archevêque de Chios (Constantinople).
Grégoras (Germauos), archimandrite et professeur à l'école
Ihéologique de Cbalki (Constantinople).
Gréhan, professeur au collège de Compiègne (Oise).
Gruyer (Anatole), 10, rue du Mont-Thabor.
Gruyer (Gustave), 28, place Saint-Georges.
Guérard, directeur de Sainte-Barbe-des-Champs (Fontenay).
GuiGNiAUT, secrétaire perpétuel de l'Académie des Inscriptions
et Belles-Lettres, 25, quai Conti.
Guillaume, de llnstitut, directeur de l'École des Beaux-Arts.
Guillaume, 2, avenue de l'Impératrice.
Guillhemassy, professeur, 5, rue Corneille.
GuiMET (Lmile), membre de l'Académie de Lyon, 1, place de la
Miséricorde (Lyon).
GuiON (Jean), docteur en droit (Constantinople).
GuiONis (Michel), négociant (Constantinople).
GuizoT (François), membre de Tlnstitut, 10, rue de TOratoire-
des- Champs-Elysées.
GuizoT (Guillaume). 53, boulevard Malesherbes.
Hachette (Louis et C^^), libraires-éditeurs, 77, boulevard Saint-
Germain.
Hamel, professeur à la Faculté des lettres (Toulouse).
~ 15 —
Habcourt (comte Jean d'), 82, rue de l'Université.
Havet, professeur au collège de France, 60, rue des Écoles.
Hazzifilo, négociairt, 6, rue du Conservatoire.
Heath (Heury), ban(juier, 31, Old Jewery, cité de Londres.
Heinbich, professeur à la Faculté des lettres, 28, cours Morand
(Lyon).
HÉLiASCos (Constantin), négociant fConstantinople).
Hesse (Antoine), banquier (Marseille).
Hetsch (l'abbé), supérieur du petit séminaire de la Chapelle-
Saint-Mesmin (Loiret).
Heuzey, conseiller, 4, rue de Crosne (Rouen).
Heuzey (Gustave), 25, rue de l'Impératrice (Rouen).
Heuzey, ancien membre de l'École d'Athènes, professeur à l'École
des Beaux-Arts, 8, quai de la Mégisserie.
HiGNARD, professeur à la Faculté des lettres de Lyon, 42, rue Im-
périale (Lyon).
HiLLEBRAND, profcsscur à la Faculté des lettres de Douai.
HiNSTiN, professeur au lycée impérial (Lyon).
His DE LA Salle, 55, riiedeClichy.
HiTTORFF (Charles), H3, rue Saint- l>azare.
HoBTUS, ancien chef d'institution, 94, rue du Bac.
HoussAYE (Hei.ry), 49, avenue deFriedIand.
HuBAULT (G.), professeur au lycée Louis-le-Grand, 11, rue Bona-
parte.
Hubert (Alfred), 103, rue Lafayette.
Hugo, 24, rue Royale.
Huillier, ancien notaire, 49, rue de Provence.
HussoN (Hyacinthe), 14, rue Marignan.
Husson (Georges), 191, rue Saint-Honoré.
Inglessis (Antoine), négociant (Constantinople).
Inglessis (Panaghis), négociant (Constantiuople).
Ingres (M"^), 1 1, quai Voltaire.
loNiDÈs, négociant, 19, Old Broad street (Londres).
Jacobo (Miliiade), 5, place de l;i Sorbonue.
Jacquet (Krnest), 5, rue des Pyramides.
Jacquet (père), 14, rue Casiiglione.
Javal (Emile), 25, rue Saint- Roih.
jAVAL(Lpopold), député, 6, rue d'Anjou Saint-Honoré.
Jeanidès (S.), grand scevophylax (Constantinople).
Jeannel, professeur à la Faculté des lettres (Grenoble).
Jenck (Jules), 40, rue de Bruxelles.
JÉBASiïios, archevêque de Chalcédoiue (Constantinople).
Joly (A.), professeur à la Faculté des lettres (Caen).
Jourdain, membre de l'Institut, 41, rue de Luxembourg.
Kalliadis (Constantin), secrétaire du conseil d'Éiat (Constanti-
nople).
Kallinicos (D.), négociant (Constantinople).
Kalvocohessis (Denieirius-J.), ucgoiiant (Constantiuople).
Kanakis (Athanase), négociant (Coustantinople).
— 16 —
Kanakis (Constantin), négociant (Constantinople).
Karapanos (Constantin), docteur en droit, négociant (Constan-
tinople).
Kaeatheodobi (Constantin), docteur-médecin (Constantinople).
Kautalts (S. -G.), négociant (Constantinople).
Karaïskakt, capitaine dans l'armée hellénique (Athènes).
Kebedgy (Stauvro-M.), négociant (Constantinople).
Kergorlay (comte Henri de), 48, rue de Varennes.
KoccoNis (D.-J.), négociant (Constantinople).
Kœnig (Richard), négociant, à Alexandrie (Egypte).
KouMPARis (Aristide), astronome (Constantinople).
KoBOMiLAS (Antoine), typographe (Constantinople).
Kyriakidis (Constantin), négociant (Constantinople).
Labarthe, propriétaire, 19, rue Jacob.
Labitte, libraire, 5, quai Malaquais.
Lacroix (Jules), 22, rue d'Anjou-Saint-Honoré.
Lacroix, à la Briche-Saint-Denis.
Lagache, directeur du service sténographiqne, au Corps législatif .
Lagrange (marquis de), membre de Tlnstitut, sénateur, 29, rue
Barbet-de-Jouy.
Laguiche (marquis de), 16, me Matignon.
Landelle (Charles), 17, quai Voltaire.
Landois, ancien recteur, 13, rue de Londres.
Lanjuinais (vicomte Victor), député, 20, rue Joubert.
I^ANJuiNAïS (vicomte Henri), propriétaire, 14, rue Moncey.
Laprade (Victor de), de l'Académie française, 10, rue deCastries
(Lyou).
Lara Minot, 1, rue Godot-de-Mauroi.
La Saussaye (L. de), membre de l'Institut, recteur de l'Acadé-
mie de Lyou (Lyon).
Lasteyrie (Ferdinand de), membre de l'Institut, 11, quai Voltaire.
Laurent-Pichat, 39, rue de l'Université.
Lazopoulos (Georges), professeur (Constantinople)
Leblant (E.), membre de l'Institut, 3, rue Leroux (avenue de
l'Impératrice).
Le Bret (Paul), représentant de la Compagnie des mines d'Anzin,
22, rue Caumartin.
I^EBRUN, de l'Académie française, 1, ruedeBeaune.
Lecomte (Eugène), agent de change, 2, rue de la Chaussée-
d'Antin.
Leconte (A.), professeur au lycée (Toulon).
Lee Childe, 9, rue de Penthièvre.
Legentil, professeur au Lycée (Caen).
Legouez, professeur au lycée Bonaparte, 28, rue de la Rochefou-
cauld.
Legouvé, de l'Académie française, 14, rue Saint-Marc-Feydeau.
Lehmann, membre de l'Institut, 23, rue Balzac.
Lenient, maîirede conférejices à l'École normale, suppléant à la
Faculté des lettres, 48, boulevard Saint-Germain.
— 17 —
LÉOTARD (Eug.), aucien élève de l'École normale, place Louis XVI
(Lyon).
Le Proux (Ferdinand), élève de l'Ecole impériale des chartes
(Saint-Quentin).
Leuond, professeur au lycée Cliarlemagne, 95, boulevard Saint-
Michel.
Leroy (Alph.), professeur à l'Université, 139, rue Saint-Gilles
(Liège).
LÉvÊQUE (Charles), membre de l'Institut, professeur au collège
de France (Bellevue, près Paris).
Lévi-Alvabez, 19, rue de Lille.
Levillain, 40, Faubourg-Poissonnière.
Levis Mirepoix (Comte de), 121, rue de Lfile.
LÉVY BiNG, banquier, 15, rue de la Banque.
LiLLERS (de), 46, rue de Bourgogne.
Loiret, professeur au lycée (Cahors).
Longpérier (de), membre de l'Institut, 50, rue de Londres.
Lorrain, docteur-médecin, 11, rue de l'Odéon.
LoYSEAU, professeur au lycée (Angers).
LuBERSAC (comte de), 0, boulevard Malesherbes.
Maggiar (Octave), négociant, 32, boulevard des Italiens.
Magnabâl, agrégé de l'Université, chef de bureau au ministère
de l'instruction publique, rue de Grenelle-Saint-Gemaain.
Maignen, docteur es lettres, 76, rue d'Assas.
jMaigret (Edouard), 3, boulevard des Capucines.
Maigret (Théodorej, 3, boulevard des Capucines.
Maliaca (Abraham), professeur (Constantinople).
Maliadis (Démétrius), docteur en droit, avocat (Constantinople).
Manoliadis (Panagiote), négociant (Constantinople).
Marcellus (comtesse de), 16, rue Martignac.
INIarcellus (comte Edouard de), à Gironde (Gironde).
Marchand, 71, rue deClichy, institution Prétet.
Mariette, correspondant de l'Institut de France, en Egypte.
Marion, professeur au lycée (Montpellier).
Marsand, 2, rue des Bons-Enfants.
IMarsy (de), archiviste paléographe, 69, boulevard Saint-Germain.
Martin (Henri), historien, 54, llanelagh (Passy-Paris).
Martin (Th. -Henri), doyen de la Faculté aes lettres (Hennés).
Mathiudakis (Alexandre), docteur en droit, juge au tribunal con-
sulaire hellénique, (Constantinople).
Matthieu, député, 57, rue Sainte-Anne.
Maiibice (Charles), 60, rue Notre-Dame des Champs, passage Sta-
nislas.
Maury (Alfred), de l'Institut, directeur des archives.
Mayrocordato (D.-A.), négociant, 37, Theadneedie street (Lon-
dres).
Mavrocordato (Nicolas), nomarque de Corfou (Grèce).
Mavrogeni (Spyridion), docteur-médecin (Constantinople).
IMavrogeni (M"*' Marie), à Constantinople.
— 18 —
Mavrogordato (Etienne-M.), négociant (Gonstantinople).
Mavkogobdato, 5, rue Boissy-d'Anglas.
Maximos (Pantaléon), négociant (Gonstantinople).
Maybabgues (Alfred), ancien professeur, 40, rue Blanche.
MÊLAS (Constantin), de la maison Mêlas frères (Marseille).
MÊLAS (Michel), de la maison Mêlas frères (Marseille).
MÊLAS (B.), négociant, Old Broad street (Londres).
MÊLAS (G.), chez P. Sugdury, à Rostoff-sur-Don (Russie).
Menu de Saint-Mesmin , préfet des études au collège Chaptal ,
rue Blanche.
MÊREAUx (Amédée), ex-président de l'Académie des sciences, arts
et belles-lettres, 36, rue du Champ-des-Oiseaux (Rouen).
Meble (M™«), 6, place Saint-Michel.
Merbuau, conseiller d'État, 45, rue de Chabrol.
Messager (E.), 5, rue Tronchet.
MÊTAXAS (Georges), chez M. Corgialégno (Marseille).
MÉTAXAs (J.), docteur en médecine (Marseille).
Meyer, inspecteur de l'Académie de Paris, 31, avenue Trudaine.
MÊziÈRES, professeur à la Faculté des lettres de Paris, 77, boule-
vard Saint-Michel.
MiAOULi (André), capitaine du port du gouvernement hellénique
(Gonstantinople).
MiCHAiLiDÊs (Georges), docteur en droit, juge au tribunal consu-
laire hellénique (Gonstantinople).
MiCHALiNOUDÈs (J.-A,), négociant (Marseille)
MiCHOGLOU (Alexandre), négociant (Gonstantinople).
MiCHOGLOU (Jean), négociant (Gonstantinople).
MiCHOTTE, 3, rue de Rouvres (parc de Neuilly).
MiCRULACHi (S.-E.), négociant (Marseille).
M[LL (John Stuart), membre du parlement, recteur de l'Université
de Saint- Andrew (Londres).
Miller, membre de l'Institut, bibliothécaire du Gorps législatif.
MiNACOULis (D.), docteur-médecin (Gonstantinople).
Molltard, sous-direeteur à l'institution Sainte-Barbe.
MoNGTNOT, professeur au lycée Bonaparte, 66, rue du Rocher.
Monnier (Fr.), docteur ès'-lettres, 9, rue deBabylone.
Montagne, directeur de l'institution François I^r (Angoulême).
Morand, juge au tribunal (Boulogne-sur-Mer).
Monzie (E. de), à Sarlat (Dordogne).
Mortemart (marquis de), 16, rue Matignon.
Mourïer, vice-recteur de l'Académie de Paris, 15, rue de la Sor-
bonne.
MoussouRi (S.), négociant (Marseille).
Nasos, directeur de la compagnie d'assurance le Phénix^ à
Athènes.
Naudet, membre de l'Institut, 184, rue de Rivoli.
Naville (Edouard), licencié es lettres (Fontanée, près Genève).
NÉGRÊPONTis (Ménélas), négociant, à Gonstantinople.
Néophyte, archevêque de Dercon (Gonstantinople).
— 19 —
NfCOCLÈs (Pierre), négociant (Constantinople).
NicoDÈME, archevêque de Cyzique (Constantinople).
NicoDÈME, archevêque de Vodena (Constantinople).
NicoLAiDÈs (G.), de l'île de Crète (Athènes).
NicoLAiDÈs (Théodore), négociant (Marseille).
NicoLAïuÈs (Xénophon), négociant, 12, rue Loisir (Marseille).
Nicolas (Michel), professeur a la Faculté de théologie protestante
(Montauban).
NiOTis (Stamatios), professeur à l'école commerciale hellénique
de Chalki (Constantinople).
NisARD (Charles), 103, rue de Grenelle-Saint-Germain.
NisABD (Désiré), de l'Académie française, sénateur, 2, rue Casi-
mir-Delavigne.
NisABD (Auguste), inspecteur de TAcadémie de Paris, 45, boule-
vard Haussmann.
NoMicos (André), négociant, à Constantinople.
NoNNOTE (Emile), professeur de la grande école patriarcale (Cons-
tantinople).
Nourrit (Robert), avocat à la cour de Cassation et au conseil
d'État, 10, rue Garancière.
OEcoNOMiDÈs (Basilics), professeur à l'École de droit (Athènes).
Oppermann, 30, rue Saint-Georges.
Orphanidès (Théodore), antiprytane de l'Université, professeur
de botanique (Athènes).
Orphanidès (Démétrius), président de l'Académie de médecine,
professeur à l'Université (Athènes).
Ouellard (Henri), professeur de rhétorique au collège, 41, rue
Saint- Michel (Chartres).
OuRSEL (Paul), 59, rue de Turenne.
Patsdia Ralli, négociant (Marseille).
Panorïos (N.), 22, boulevard du Nord (Marseille).
Pantazis (Miltiade), professeur (Constantinople).
Papa (Daniel), négociant (Constantinople).
Papadopoïjlos (Démétrius), docteur-médecin (Constantinople).
Papadouca (Jean), docteur-médecin (Constantinople).
PaparicïOpoulos, professeur à l'École de droit (Athènes).
Paris (Gaston), docteur es lettres, 1, rue d'Assas.
Parpallis (Nicolas), négociant, à Constantinople.
Paranika (.m.), professeur de l'école commerciale hellénique de
Chalki (Constantinople).
PARAPANTAPOULOs(Jean), professeur de l'école commerciale hel-
lénique de Chalki (Constantinople).
Pasquet, professeur au lycée Bonaparte, rue du Havre.
Paspatis (Alexandre), docteur-médecin (Constantinople).
Passy (Louis), 49, rue de Clichy.
Patin, de l'Académie française, doyen de la Faculté des lettres de
Paris, 15, rue Cassette.
Pedone Lauriel, libraire-éditeur, 9, rue Cujas.
— 20 —
Pelagaud (Elisée), licencié es lettres, 15, quai de l'Archevêché
(Lyon).
PÉLiciER, professeur au collège (Compiègne).
Pelletier, président à la Cour des comptes, 46, avenue Gabriel.
Pelletrem, 27, rue de l'Oratoire du Roule.
PÉPTN Lehalleur (Emile), docteur en droit, 5, rue de Grcf-
fulhe.
Perdicarts (Lycurgue), négociant (Constantinople).
PÉRiER (Pierre-Casimir), licencié es lettres, 76, rue Galilée.
Perrens, professeur au lycée Bonaparte, 9, rue de Greffiilhe.
Perrot (Georges), maître de conférences à l'Ecole normale supé-
rieur, 21, rue Jacob.
Perrot (Alfred), professeur au lycée (Nîmes).
Pessonneaux, professeur au lycée Napoléon, 30, rue Monsieur-lc-
Prince.
Petavel (le Révérend A.-H.)^ 10, avenue Percier.
Petavel (Emmanuel), 10, avenue Percier.
Petit (Louis), docteur es lettres, porte Bellon, à Senlis (Oise).
Petit de Julleville, ancien membre de l'École française
d'Athènes, professeur au collège Stanislas, 76, rue d'Assas. '
Petit- Jean, principal du collège de Schelestadt (Bas-Rhin).
Petrakidis (Pierre), professeur de l'école commerciale hellénique
de Chalki (Constantinople).
Philaretos (G.-D.), négociant (Marseille).
Philippos Ioannou, professeur à l'Université (Athènes).
Photiadis (Nicolas), négociant (Constantinople).
Piat (Albert), 98, rue Saint-Maur Popincourt.
PiERRON (A.), professeur au lycée Louis-le-Graud, 76, rue d'Assas.
PiLLON (Alphonse), propriétaire, Roye-sur-Malty (Oise).
Piscis, 19, rue du Cirque.
PiTTi (A.), négociant (Marseille).
Plessas (Nicolas), docteur-médecin (Constantinople).
Flocque, ancien bâtonnier, 41, rue Saint-Georges.
Plocque fils, avocat, docteur en droit, 41, rue Saint-Georges.
POMAREL aîné, professeur à Sarlat (Dordogne).
Pompera (de), au château de Salsoigne (Aisne).
PoTous (Xénophon), négociant (Constantinople).
PoTRON, 10, rue d'Antin.
Prache, 290, rue Saint-Honoré.
Prassakaki (Emmanuel), négociant (Marseille).
Pretetnteees (Typaldos), médecin de S. M. hellénique, professeur
à l'Ecole de médecine (Athènes).
Proïos (A.), négociant (Constantinople).
Psarakts, directeur à l'Ecole hellénique de Paros (Grèce).
PsiCHA, négociant, 19, Gresham house (Avierino etC^) (Londres).
PsYCHARi [M^^ Marie-A.), Constantinople.
PsYCHARis (Antoine), négociant (Constantinople).
QuESNEL (Adolphe) négociant (Havre).
Queux de Satnt-Hilaire (Marquis de), 1, rue Soufflot.
— 21 —
QuiNOT, professeur au lycée Bonaparte, 17, rue de la Tour-d'Au-
vergne.
Ralli (Georges), prytane de l'Université, professeur de droit
(Athènes).
Ralli (V.), négociant, II, Fiusbury Circus (Londres).
Ralli Schilizzi Argenti, négociant (Marseille).
Rangabé (Rizo), ministre de Grèce, 9, rue de Vézelay.
Raphaël (R.), trésorier du consulat hellénique (Constantinople).
Raptabchis (Jean), homme de lettres, à Constantinople.
Ravaisson, membre de l'Institut, 9, quai Voltaire.
Renan, membre de l'Institut, 29, rue Vanneau.
Renier (Léon), membre de l'Institut, à la Sorbonne.
Renieri, sous -gouverneur de la Banque nationale de Grèce
(Athènes).
Benouaed (Léopold), 3, rue de Granimont.
Reviers de MANNY(vieomte de), Fontainebleau (Seine-et-Marne).
Reynald, professeur à la Faculté des lettres d'Aix.
Rhallis (Etienne), négociant (Constantinople).
Rhasis (Démétrius), premier drogman de l'ambassade hellénique
(Constantinople).
Rhossetos (Constantin), négociant (Constantinople).
Riant (Paul), docteur es lettres, de la Société des antiquaires, 2,
rue de Vienne.
RiFF, principal du collège d'Obernai (Bas-Rhin).
RiGOLLOT, professeur, rue et hôtel Corneille.
RiLLiET (Albert), ancien professeur de littérature étrangère à
l'Académie de Genève (Genève).
RiNN, professeur au collège Rollin, 212, rue Saint-Jacques.
Robert (Charles), correspondant de l'Institut, 9, rue des Saints-
Pères.
Roche (Alexandre de), professeur au lycée (Nancy).
RoDOCANAKi (Emmanuel P. T.), négociant, 29, Fiusbury Circus
(Londres).
RoDOCANAKi (Emmanuel Z.), négociant, 22, New city Chambers
(Londres).
RODOCANAKI (Michel), négociant (Marseille).
RODOCANAKI (P.), 42, avenue Gabriel).
RODOCANAKI (Stamali), négociant (Marseille).
RODOCANAKI (ï. E.)^ négociant (Marseille).
RoEDTS, 39, rue Godot-de-Mauroy.
RONCHAUD (Louis de), 22, rue de la Plaine (Ternes).
RoNTOPOULOs ( D.-S.), secrétaire de première classe du consulat
hellénique (Constantinople).
Roque (Pnocion), secrétaire de la légation hellénique, 13, rue de
Turin.
RossEEUw Saint-Hilaire, professeur à la Faculté des lettres de
Paris, 74, rue d'Aujou (Versailles).
Rothschild (baron Alphonse de), 21, rue Laffitte.
RouGÉ (vicomte de), membre de l'Institut, 63, rue de Babylone.
— 22 —
RouvRAY, professeur au collège Rollin, 62, rue d'Enfer.
Roy (J.), 76, rue de Vaugirard.
RuDLER, professeur au collège de Schelestadt (Bas^Rhin).
Sabatier, ministre plénipotentiaire, 17, rue Lord-Byron.
Saglio, archéologue, 31^ rue Saint-Martin, à Versailles.
Sainte-Beuve, membre de l'Académie française, sénateur, 1 1, rue
du Mont-Parnasse.
Sainte-Claire Deville (Henri), membre de l'Institut, 47, rue
Madame.
Saint -Marc Girardin, membre de l'Académie française, 5, rue
Bonaparte.
Saint-René Taillandier, professeur à la Faculté des lettres,
20, rue Saint-Benoist.
Salomon, professeur au lycée Louis-le-Grand, 6, rue de l'Ecole-
de Médecine.
Salvago Pantaléon, négociant (Marseille).
Saraphis (Aristide), négociant (Constantinople).
Sarcey (Francisque), 17 bis^ rue de la Tour-d'Auvergne.
Saripolos (Nicolas), professeur à l'Université (Athènes).
Sayous, professeur au lycée Charlemagne, 232, rue de Rivoli.
Sgaramanga, négociant (Marseille).
ScHLiEMANN (Henri), 6, place Saint-Michel.
Sclavos, négociant, Old Broad street^Vagliano Brothers (Londres).
ScLiVANiOTTis, uégociaut, 31, boulevard Bonne-Nouvelle.
ScouLOUDis (Etienne), négociant (Constantinople).
Sechiari frères, négociants (Marseille).
Sekiaris (Panthias), négociant (Constantinople).
Selliès, capitaine au 13*^ de ligne.
SÉNART (Henri), licencié es lettres, 63, rue de Grenelle-Saint-
Germain.
Serbos Miltiades, négociant (Marseille)-
Sevastopoulo (Alexandre), négociant (Constantinople).
SiDERicuDi Negrepontis, négociant (Marseille).
SiMÉON (comte), sénateur, 23, quai d'Orsay.
SiPHNÉos (Jean), négociant (Constantinople).
Sisco, professeur au lycée Napoléon IH (Bastia).
Skylïzzi (Jean Isidoridis), 58, boulevard Mont-Parnasse.
Société académique de Maine-et-Loire (Angers).
Somakis (d'Athènes), avocat, 18, boulevard Saint-Michel.
Sophocles (Gabriel) , directeur de l'école grecque de Péra ( Cons-
tantinople).
SouGDOURis (Constantin), négociant (Constantinople).
SouvADZOGLOus (Basilc), négociant (Constantinople).
Spanoudis (Alexandre), négociant (Marseille).
Stephanovie (Zanos), à Constantinople.
Sugdury, négociant, Gresham house, MauroBasich,. 50 (Londres).
SuRELL,ingén'^ en chef du chemin de fer du Midi, 15, place Vendôme.
SvoRONOS (Michel), négociant (Constantinople).
SvoRONOs (Antoine), négociant (Constantinople).
Talbert, directeur du collège Rollin, rue des Postes,
Talbot, professeur au collège Rollin, 8, rue Garancière.
Tantalidis (Elias), professeur de l'école théologique de Chalki
(Constantinople).
Tarral, 14, cours la Reine.
Tattegrain, conseiller à la Cour impériale d'Amiens, 32, rue du
Loup (Amiens).
Tavernier, 20, rue Neuve-des-Capucines.
Taxis (Basile), négociant (Constantinople).
Tertu (Comte de), Tertu par Trun (Orne).
Testenoire, à Lyon.
Thédenat (H.), professeur au collège de Juilly (Seine-et-Marne).
Thenon (l'aobé) , directeur de l'école des Carmes, 76, rue de Vau-
girard).
Theodoridis (Nicolas), pharmacien (Constantinople).
Thirïon, professeur au lycée Bonaparte, 198, rue de Courcelles.
Thurot, maître de conférences à l'École normale, 77, rue
du Bac.
TiMBAL, 13, rue de l'Abbaye.
TiopouLOS (Achille), chez MM. Zaflropoulos et Zarifi (Marseille).
Tivier, professeur au lycée (Amiens).
ToRRAS (Léon) , ancien agent de change, 32, rue de l'Arcade.
TouGARD (l'abbé Alb.), professeur au petit séminaire (Rouen).
ïouRiNiER, professeur au collège de Juilly, 9, rue Servandoni.
Tranchau, proviseur au lycée (Orléans).
Travers (Emile), archiviste paléographe, 22, rue Pigalle.
Tresse, 182, rue de Rivoli.
Tricot (Lucien), 68, chaussée d'Antin.
Tsouros (D.), chez mm. Michel Rodocanaki et C« (Marseille).
TupiGNY DE Bouffé, 23, rue Caumartin.
TuRRETTiNi (Auguste), aucicn conseiller d'État de la république
(Genève).
TzANOS (Jean-Constantinidis), négociant (Constantinople).
Université d'Athènes ('eonikon nANEni2THMiON).
Urbain (Ismayl), conseiller rapporteur à Alger.
Vacalopoulos (Théodore), négociant (Marseille).
Valassopoulos (Athanase), négociant (Constantinople).
VALETTAs(J.lS.),prof'', 29, Lcdbury Road, NottiugHill (Londres).
Vallianos (André), négociant (Constantinople).
Vallter (Jérôme), négociant (Marseille).
Vaphiadis fApostolos), docteur-médecin (Constantinople).
Vaphiadis (Georges), journaliste (Constantinople).
Varnier, professeur au lycée de Caen.
ViLLEMAiN, secrétaire perpétuel de l'Académie française, au palais
de l'Institut.
Villeman, professeur, 5, rue Corneille.
ViNET (E.), bibliothécaire de l'Ecole des Beaux- Arts, l, rue de
Madame.
ViTET, de l'Académie française, 9, rue Barbct-de-Jouy.
— 24 -
Vlachos (Angeles), ancien chef de division au ministère de l'ins-
truction publique, à Athènes.
Vlangali-Handjébi (le prince), 21, rue Balzac.
VouTYRAS (Slravos-Jean), journaliste (Constantinople) .
VouTziNA frères, négociants (Marseille).
Vréto (M. P.), 8, rue de Miroménil.
Vbetos (Jean-A.), journaliste (Constantinople).
Vrisachi (B.), négociant (Marseille).
Waddington, membre de l'Institut, 14, rue Fortin.
Weil, professeur à la Faculté des lettres (Besançon).
Wescher, ancien membre de l'Ecole d'Athènes, 33, avenue de
Saxe.
WiDAL, professeur à la Faculté des lettres (Besançon).
WiTTB (baron de), membre de l'Institut, 7, rue Fortin.
WoLOWSKi, membre de l'Institut, 49, rue de Clichy (Paris).
Yemeniz fils, consul de Grèce (Lyon).
YpsiLANTi (princesse), 48, avenue Gabriel.
Ypsilanti (princesse Elisabeth), avenue Gabriel.
YuNG, directeur de la Revue des cours littéraires et scientifiques,
52, rue de Verneuil.
Zafiropoulo (E ), négociant (Marseille).
Zafiropoulo (Constant), négociant (Marseille).
Zaïmts (Thrasybule), ancien député, ancien ministre (Athènes).
Zambaco, médecin, 21, rue Marignan.
Zarifi (Léonidas), négociant (Marseille).
Zarifi (Périclès), négociant, 2, Winchester Buildings, E. 0. (Lon-
dres).
Zariphis, négociant, à Constantinople.
ZiRAs (Etienne), secrétaire du patriarcat (Constantinople).
ZiziNiA (George), négociant (Marseille).
ZoGRAPHOS (Xénophon), docteur-médecin (Constantinople).
ZoGRAPHOS (Christakis), négociant (Constantinople).
ZoioPOULOS, professeur à l'Ecole hellénique d'Argos (Grèce).
Zygomalas (N.), négociant, Lime street (Londres).
Paris — Impr. de Ad, Laine et J. Havard, rue des Saints-Pères, 19.
.1
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