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ANNUAIRE 

DE  ^ASSOCIATION 

i'  U  L  R  L' E  N  C  0  L  H  A  G  E  M  E  N  T 

DES  ÉTUDES  GRECQUES 

EN  FRANCE. 


2^  Année,  1868. 


PARIS 

\     M  iva:nu  hL  riviJUivE  LAURIEL,  LlBliAlRES-ÉDlTEURS 

RUE   CUJAS,    9    (ancienne   BUE   DES    GRÈS). 

AD.    LAiNÉ,    LIBRAIRE 
RCIEDCSCAINTS-pàHKS.   r». 


1868 


M.  le  Ministre  de  l'Instruction  publique  a  autorisé  V Asso- 
ciation pour  r encouragement  des  études  grecques  en  France 
à  décerner  des  prix  aux  élèves  qui  auront  remporté  le  pre- 
mier prix  de  version  grecque  en  rhétorique,  seconde  et 
troisième  au  Concours  général  des  lycées  et  collèges  de 
Paris  et  de  Versailles. 

M.  le  Ministre  a  également  autorisé  V Association  à  ins- 
tituer^  pour  la  version  grecque ,  un  concours  général  entre 
les  lycées  et  collèges  des  départements.  Cette  décision  re- 
cevra son  effet  dès  la  présente  année,  avec  la  coopération 
bienveillante  de  l'Administration. 

\J Association  décernera,  en  1869,  une  médaille  de 
mille  francs  au  meilleur  livre  pour  les  études  grecques 
publié  en  1868. 


ANNUAIRE  DE  L'ASSOCIATION 

POUR  L'ENCOURAGEMENT 


DES 


ÉTUDES  GRECQUES  EN  FRANGE 


Les  réunions  du  Comité  ont  lieu,  rue  Haute- 
feuille,  1  bis^  à  huit  heures  du  soir,  le  premier  ven- 
dredi de  chaque  mois,  excepté  au  mois  de  janvier 
1869,  oîi  la  séance  aura  lieu  le  deuxième  vendredi. 
Tous  les  membres  de  la  Société  ont  le  droit  d'y  assister, 
et  ont  voix  consultative.  Elles  sont  interrompues  pen- 
dant les  mois  d'août,  de  septembre  et  d'octobre. 


Les  demandes  de  renseignements,  et  les  commu- 
nications relatives  aux  travaux  de  TAssociation ,  doivent 
être  adressées  franc  de  port,  rue  Hautefeuille ,  1  bis, 
au  secrétaire,  M.  Ghassang. 


Les  membres  de  la  Société  qui  désirent  continuer 
à  en  faire  partie,  sont  priés  de  vouloir  bien  envoyer  le 
montant  de  leur  cotisation ,  en  un  mandat  de  poste,  au 
trésorier,  M.  Gustave  d'Eichthal,  100,  rue  Neuve-des- 
Mathurins. 


A  MARSEILLE  les  cotisations  peuvent  être  déposées  chez 

MM.  Antoine  Messe  et  C*«,  banquiers,  rue  Lafon,  n®  9. 
MÊLAS  FRÈRES ,  négociauls ,  avenue  Bonaparte ,  n°  9. 
GouNAROPOULOS,  uégociaut,  boulevard  Saint-Michel ,  3. 


ANNUAIRE 

DE  L'ASSOCIATION 

POUR  l'ENCOURAGE-MENT 

DES  ÉTUDES  GRECQUES 

EN  FRANCE. 


2«  Année,  1868. 


PARIS 

A,  DURAND  ET  PEDONE  LAURIEL,  LIBRAIRES-ÉDITEURS 

RDI  CDJAS,   9   (AlfCIEMNK  HUE  DBS   GRÈS). 

AD.    LAINE,   LIBRAIRE 
aus  DU  SAurrs-pi&xs,  i». 


1868 


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ASSOCIATION 

POUR 

L'ENCOURAGEMENT  DES  ÉTUDES  GRECQUES 

EN  FRANCE. 


STATUTS. 

§  I.  But  de  l'Association. 

Art.  i®^  L'Association  encourage  la  propagation  des 
meilleures  méthodes  et  la  publication  des  livres  les  plus 
utiles  pour  Tétude  de  la  langue  et  de  la  littérature  grecques. 
Elle  décerne,  à  cet  effet,  des  médailles  et  des  récompenses. 

2.  Elle  encourage  par  tous  les  moyens  en  son  pouvoir  le 
zèle  des  maîtres  et  des  élèves. 

3.  Elle  propose,  s'il  y  a  lieu,  des  sujets  de  prix. 

4.  Elle  entretient  des  rapports  avec  les  hellénistes  étran- 
gers. 

5.  Elle  publie  un  annuaire  ou  un  bulletin,  contenant  un 
exposé  de  ses  actes  et  de  ses  travaux ,  ainsi  que  l'indication 
des  faits  et  des  documents  les  plus  importants  qui  con- 
cernent les  études  grecques. 

§  II.  Nomination  des  membres  et  cotisations. 

6.  Le  nombre  des  membres  de  l'Association  est  illimité. 
Les  Français  et  les  étrangers  peuvent  également  en  faire 
partie. 


7.  L'admission  est  prononcée  par  le  Comité,  sur  la  pré- 
sentation d'un  membre  de  TAssociation. 

8.  Les  cinquante  membres  qui  forment  actuellement  le 
Comité,  et  qui  par  leur  zèle  et  leur  influence  ont  parti- 
culièrement contribué  à  l'établissement  de  l'Association, 
auront  le  titre  de  membres  fondateurs, 

9.  Le  taux  de  la  cotisation  annuelle  est  fixé  au  minimum 
de  dix  francs. 

10.  La  cotisation  annuelle  peut  être  remplacée  par  le 
payement,  une  fois  fait,  d'une  somme  décuple.  La  personne 
qui  a  fait  ce  versement  reçoit  le  titre  de  membre  donateur. 


§  m.  Direction  de  l'Association. 

il.  L'Association  est  dirigée  par  un  Bureau  et  un  Co- 
mité, dont  le  Bureau  fait  partie  de  droit. 

12.  Le  Bureau  est  composé  : 

D'un  Président, 
De  deux  Vice-Présidents, 
D'un  Secrétaire- Archiviste , 
D'un  Trésorier. 

Il  est  renouvelé  annuellement  de  la  manière  suivante  : 

!•  Le  Président  sortant  ne  peut  faire  partie  du  Bureau 
qu'au  bout  d'un  an  ; 

2"  Le  premier  Vice-Président  devient  Président  de  droit; 

3*  Les  autres  membres  sont  rééligibles; 

4*  Les  élections  sont  faites  par  l'Assemblée  générale ,  à 
la  pluralité  des  suffrages. 

13.  Le  Comité,  non  compris  le  Bureau,  est  composé  de 
vingt  et  un  membres.  Il  est  renouvelé  annuellement  par 
tiers.  Les  élections  sont  faites  par  l'Assemblée  générale. 
Les  sept  membres  sortants  ne  sont  rééligibles  qu'après  un  an. 

14.  Tout  membre,  soit  du  Bureau,  soit  du  Comité,  qui 


-    —  7  — 

n'aura  pas  assisté  de  l'année  aux  séances ,  sera  réputé  dé- 
missionnaire. 

15.  Pour  la  première  année,  les  fonctions  du  Comité  sont 
remplies  par  la  réunion  des  membres  fondateurs,  qui  a  déjà 
nommé  le  Bureau.  A  la  fm  de  la  première  année,  le  Comité 
sera  réduit  au  nombre  réglementaire  de  vingt  et  un  mem- 
bres, dont  quatorze  élus  par  le  sort  parmi  les  membres 
fondateurs  qui  ne  se  seront  pas  récusés,  et  sept  membres 
nommés  par  TAssemblée  générale  parmi  les  membres  de 
l'Association. 

16.  Le  Comité  se  réunit  régulièrement  au  moins  une  fois 
par  mois.  Il  peut  être  convoqué  extraordinairement  par  le 
Président. 

Le  Secrétaire  rédige  les  procès-verbaux  des  séances,  et 
ils  sont  régulièrement  transcrits  sur  un  registre. 

Tous  les  membres  de  l'Association  sont  admis  aux  séances 
ordinaires  du  Comité,  et  ils  y  ont  voix  consultative. 

Les  séances  seront  suspendues  pendant  trois  mois,  du 
i^  août  au  4"  novembre. 

17.  Une  commission  de  comptabilité  sera  établie,  et  des 
commissions  de  correspondance  et  de  publication  pourront 
être  établies  par  le  Comité.  Tout  membre  de  TAssociation 
pourra  en  faire  partie. 

18.  Le  Comité  fera  dresser  annuellement  le  budget  des 
recettes  et  des  dépenses  de  l'Association.  Aucune  dépense 
non  inscrite  au  budget  ne  pourra  être  autorisée  par  le 
Comité  que  sur  la  proposition  ou  bien  après  l'avis  de  la 
commission  de  comptabilité. 

19.  Le  compte  détaillé  des  recettes  et  dépenses  de  Tan- 
née écoulée  sera  également  dressé,  présenté  par  le  Comité 
à  l'approbation  de  l'Assemblée  générale,  et  publié. 

§IV.  De  L'AssEaïBLÉE  générale. 

20.  Une  Assemblée  générale  de  TAssociation  aura  lieu 
une  fois  au  moins  chaque  année,  le  premier  vendredi 


^  8  — 

après  Pâques  (1).  Les  convocations  auront  lieu  à  domicile. 
L'Assemblée  entendra  le  rapport  qui  lui  sera  présenté  par 
le  Secrétaire  sur  les  travaux  de  l'Association,  et  le  rapport 
de  la  commission  de  comptabilité  sur  les  recettes  et  les  dé- 
penses de  l'année. 

Elle  procédera  au  remplacement  des  membres  sortants 
du  Comité  et  du  Bureau. 

Tous  les  membres  de  TAssociation  sont  admis  à  voter 
soit  en  personne,  soit  par  correspondance. 

Elle  recevra  les  communications  qui  seront  les  plus  pro- 
pres à  l'intéresser. 

§V. 

Les  présents  statuts  pourront  être  modifiés  par  un  vote 
du  Comité,  rendu  à  la  majorité  des  deux  tiers  des  membres 
présents,  dans  une  séance  convoquée  expressément  pour 
cet  objet,  buit  jours  à  l'avance.  Les  modifications  votées 
seront  soumises  à  l'approbation  de  l'Assemblée  générale. 


Délibéré  en  réunion  des  Membres  fondateurs,  le  22  juin  1867. 

(1)  La  date  primitivement  fixée  était  le  mois  de  mars.  Sur  la  demande 
de  plusieurs  membres ,  et  sauf  approbation  de  la  prochaine  assemblée  gé- 
nérale, l'époque  de  cette  réunion  a  été  reportée  de  mars  en  avril ,  par 
décision  du  Comité  en  date  du  3  avril  1868. 


^  9  — 

MEMBRES  FONDATEURS. 
(1867.) 


Adert,  ancien  professeur  de  littérature  grecque  à  l'Académie  de 
Genève,  rédacteur  en  chef  du  Journal  de  Genève. 

Alexandre,  membre  de  l'Institut. 

Bertrand  (Alexandre),  directeur  du  Musée  de  Saint-Germain, 

Beulé,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  des  Beaux-Arts. 

Bré AL  (Michel),  professeur  au  Collège  de  France. 

Brunet  de  Presle,  membre  de  l'Institut. 

BuRNOUF  (Emile),  directeur  de  l'École  française  d'Athènes. 

Campaux,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Strasbourg. 

Chassang,  maître  de  conférences  à  l'École  normale  supérieure. 

Daremherg,  de  la  bibliothèque  Mazarine. 

David  (Baron  Jérôme),  vice-président  du  Corps  législatif. 

Dehèque,  membre  de  l'Institut. 

Delyannis  (Théodore-P.)',  ministre  plénipotentiaire  de  S.  M.  HeU 
lénique. 

Deville,  ancien  élève  de  l'École  d'Athènes. 

DiDOT  (Ambroise-Firmin),  libraire-éditeur. 

DÛBNER,  helléniste. 

DuRUY  (S.  Exe.  M.  Victor),  ministre  de  l'instruction  publique. 

Egger,  membre  de  l'Institut. 

Eichthal  (Gustave  d'),  membre  de  la  Société  asiatique. 

GiDEL,  professeur  de  rhétorique  au  lycée  Bonaparte. 

Girard  (Jules),  maître  de  conférences,  à  l'École  normale. 

GouMY,  rédacteur  en  chef  de  la  Revue  de  l'Instruct ion  publique, 

GuiGNiAUT,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  des  inscriptions. 

Havet,  professeur  au  Collège  de  France. 

Heuzey,  ancien  membre  de  l'École  d'Athènes,  professeur  à  l'École 
des  Beaux-Arts. 


—  10  — 

HiGNARD,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Lyon. 

HiLLEBBAND,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Douai. 

Jourdain,  membre  de  l'Institut. 

Legouvé  ,  de  l'Académie  française.  " 

LEVÉ  QUE,  membre  de  l'Institut. 

LoNGPÉRiER  (de),  membre  de  l'Institut. 

Maury  (Alfred),  membre  de  l'Institut. 

MÊLAS  (Constantin),  de  la  maison  Mêlas  frères  (Marseille). 

Miller,  membre  de  l'Institut. 

Naudet,  membre  de  l'Institut. 

Patin,  de  l'Académie  française^  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  de 

Paris. 
Perbot  (Georges),  ancien  élève  de  l'École  d'Athènes,  professeur 

de  rhétorique  au  lycée  Louis-le-Grand. 
Ravaisson,  membre  dé  l'Institut. 
Renan,  membre  de  l'Institut. 
Renier  (Léon),  membre  de  l'Institut. 
Saint-Marc- GiBABDiN,  de  l'Académie  francnise. 
Thenor  (l'abbé),  directeur  de  l'École  des  Carmes. 
Thurot,  maître  de  conférences  à  l'École  normale. 
Valettas  (J.-N.),  professeur  (Londres). 
ViLLEMAiN,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  française. 
Vincent,  membre  de  l'Institut. 
Waddington,  membre  de  l'Institut. 
Weil,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Resançon. 
Wescher,  ancien  élève  de  l'École  d'Athènes. 
WiTTE  (Baron  de),  membre  de  l'Institut. 


—  il  — 


iEMBRES  DONATEURS. 


Beulé,  membre  de  l'Institut. 

Brunet  de  Pbesle,  membre  de  Tlnstitut. 

Chrtstopoulos  (S.  Exe.  M.),  ministre  de  rinstruction  publique 

et  des  cultes  en  Grèce. 
Desjabdins,  1 1 ,  rue  Maurepas  (Versailles). 
DiDOT  (Ambroise-Firmin),  libraire-éditeur. 
Drème,  premier  avocat  général,  à  Agen  (Lot-et-Garonne). 
DuRUY  (S.  Exe.  M.  Victor),  ministre  de  l'instruction  publique. 
EiCHTHAL  (Gustave  d'),  membre  de  la  Société  asiatique. 
L.  Hachette  et  C%  libraires-éditeurs,  à  Paris. 
MouBiER,  vice-recteur  de  l'Académie  de  Paris.         ! 
Patin,  membre  de  l'Académie  française. 
Riant  (Paul),  docteur  es  lettres,  de  la  Société  des  antiquaires. 


IEMBRES  DU  BUREAU  POUR  1868. 


Président  Honoraire  :  M.  Patin. 

Président  :  M.  Eggkb. 

Fice- Présidents  :  MM.  Bsuii  et  Brunet  db  Prbslb. 

Secrétaire^Archiviste  :  M.  Chassano. 

Secrétaire' Adjoint  :  M.  Rouvray. 

Trésorier  :  M.  Gustate  d*£iCHTHAL. 


—  \2 


MEMBRES  OU  COMITÉ  POUR  1868. 


MM.  Alexàndbe. 
Beulé. 
Bbéal. 

Brun  ET  db  Presle. 
Dabemberq. 
Dehèque. 

DiDOT  (AmbroiseFirmin)l 
d'Eichthal  (Gustave). 

GiDEL. 

GiBABD  (Jules). 

GOUMY. 

Ha  VET. 

Heuzey. 

de  longpébieb. 

MiLLEB. 

Patin. 

Perrot  (Georges). 

Renan. 

Saint-Marc  Gibabdin. 

Thubot. 

Wescher. 


—  13  — 


COMMISSION  DE  COMPTABILITÉ. 


M.  JouBDAiN»  membre  de  Tlnstitut. 
M.  Pépin  Lbhalleub  (Emile). 


LISTE  GÉNÉRALE  DES  MEMBRES  AU  6  MARS  1868. 


Abeille,  4,  avenue  Gabriel  (Paris). 

Adebt,  ancien  professeur  de  littérature  grecque  à  l'Académie  de 

Genève,  rédacteur  en  chef  du  Journal  de  Genève, 
Agathidès,  professeur,  28,  KildareTerrace,Bayswater  (Londres). 
Agelasto  (D.),  négociant  (Marseille). 
Agelasto  (E.),  négociant  (Marseille). 
Alëxandbe,  membre  de  l'Institut,  9,  rue  Mogador  (Paris). 
Alglave,  avocat,  7,  rue  du  Cardinal  Le  Moine  (Paris). 
Allaibe  (E.),  ïwickenham  (Middlesex). 
Ambanapoulos,  négociant  (Marseille). 

Anazeibopoulos,  professeur  à  l'Ecole  hellénique  d'Argos  (Grèce). 
Andbéadès  (M™"),  directrice  de  l'École  primaire  grecque,  au 

Caire. 
Anonymes  (quatre)  (Paris). 
Abgenti  (liéonidas),  négociant  (Marseille). 


—  14  — 

AssELiN,  professeur  au  collège  Rollin,  40,  rae  de  TOnest  (Paris). 

AsTBODOSTAUROS  (Paris). 

AviEBiNO  (Alexandre),  négociant,  Gresham  house  (Londres). 

Badois,  127,  rue  de  la  Tour(Passy). 

Bagault,  43,  rue  Saint-Lazare  (Paris). 

Baguenault  de  Puchesse  (Gustave),  licencié  es  lettres,  49,  rue 
Bonaparte  (Paris). 

Bahaux  (  J.  ) ,  licencié  es  lettres ,  71 ,  boulevard  Mont-Parnasse 
(Paris). 

Baillière  (Germer),  17,  rue  de  l'École  de  Médecine  (Paris). 

Bailly,  professeur  au  lycée  impérial  d'Orléans  (Orléans). 

Ballu,  architecte,  80,  rue  Blanche  (Paris). 

Baltabd,  membre  de  l'Institut,  4,  rue  de  l'Abbaye  (Paris).  - 

Babbet-Massin  ,  16,  rue  de  la  Ferme-des-Mathurins  (Paris). 

Babon  (L.),  ancien  député,  Fontenay  (Vendée). 

Babbias,  71,  rue  d'Amsterdam  (Paris). 

Barthélémy  Saint-Hilaire ,  membre  de  l'Institut,  29  bis,  rue 
d'Astorg  (Paris). 

Baby,  professeur  au  collège  Rollin,  47,  rue  Pigalle  (Paris). 

Basili  (G.-A.),  sous-gouverneur  de  la  banque  nationale  d'Athènes. 
Basili  (D.-M.),  négociant  (Marseille). 

Bassiliadès  (S.),  négociant  (Marseille). 

Baudoin,  inspecteur  général  de  l'enseignement  primaire  (Paris). 
Baudbeuil  (de),  29,  rue  Bonaparte  (Paris). 
Beau  JEAN ,  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  rue  de  l'Univer- 
sité, 39  (Paris). 
Beaussibe,  professeur  au  collège  Bollin,  rue  des  Postes  (Paris). 
Belin,  libraire-éditeur,  52,  rue  de  Vaugirard  (Paris). 
BÉLISAIBE  (Jean),  professeur  de  grec,  5,  rue  Canonge  (Marseille). 
Belot,  professeur  au  lycée  de  Versailles. 
Bebcoet,  chef  d'institution,  3,  cité  Malesherbes  (Paris). 
Bebgaigne,  55,  rue  de  Verneuil  (Paris). 
Bebge  (de  la),  attaché  au  cabinet  des  médailles,  12,  rue  de  Lou- 

vois  (Paris). 
Bebgeb,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Paris,  1,  rue 

Leregrattier-en-l'Ile. 
Bernardàkis,  20,  rue  Racine  (Paris). 

Bebryeb,  de  l'Académie  française,  64,  rue  des  Petits-Champs  (Paris). 
Bebtband  (Joseph),  membre  de  l'Institut,  82,  rue  de  Rivoli 
(Paris). 


—  i5  — 

Bebtrand  (Alexaudre),  directeur  du  musée  de  Saint-Germain. 
BÉTOLAUD,  ancien  professeur  de  l'Université,  53,  rue  du  Bac. 
Beugnot  (Comte),  101  Ms^  rue  Saint-Lazare  (Paris). 
Beulé,  membre  de  l'Institut,  25,  quai  Conti  (Paris). 
BiENAYMÉ  (Jules),  membre  de  l'Institut,  1,  rue  de  Fleurus  (Paris). 
BiKELAS  (D.),  négociant,  19,  Old  Broad  street  (Londres). 
Blache,  de  l'Académie  de  médecine,  5,  rue  de  Suresne  (Paris). 
Blanc  (Charles),  à  Saint-Gratien  (Seine-et-Oise). 
Blancabt,  professeur  de  grec  moderne  (Marseille). 
Blignières  (de),  ancien  chef  d'institution,  80,  rue  de  Grenelle- 

Saint-Germain  (Paris). 
Blondel  (Charles),  élève  de  l'École  française  d'Athènes. 
Blotnicki,  2,  rue  Saint-Louis-eu-l'Ile  (Paris). 
BoDiNiER,  correspondant  de  l'Institut,  place  du  Château  (Angers). 
BoissoNADE,  professeur  agrégé  à  la  Faculté  de  droit  (Paris). 
Bouchard,  notaire,  1,  place  Boïeldieu  (Paris). 
BoucHARDAT,  professcur  à  la  Faculté  de  médecine,  8,  rue  du 

Cloître-Notre-Dame  (Paris). 
Boucherie,  professeur  au  lycée  impérial  de  Montpellier. 
BouiLLiER,   directeur  de  l'École  normale  supérieure,  45,  rue 

d'UIm  (Paris). 
BouRBAKi  (Démétrius),  officier  de  l'armée  hellénique,  24,  rue 

Chevert  (Paris). 
Bréal  (Michel),  professeur  au  Collège  de  France, 63,  boulevard 

Saint-Michel  (Paris). 
Brelay  (Ernest),  négociant,  34,  rue  Hauteville  (Paris). 
Briau,  bibliothécaire  de  l'École  de  médecine,  41,  rue  de  la  Vic- 
toire (Paris). 
Brunet  de  Presle,  membre  de  l'Institut,  61,  rue  des  Sts-Pères. 
BuRNOUF  (Emile),  directeur  de  l'École  française  d'Athènes. 
Cabanel,  membre  de  l'Institut,  17,  rue  de  la  Rochefoucauld  (Paris). 
Caffarelli  (comte),  député,  58,  rue  de  Varennes  (Paris). 
Cahen  d'Anyers  (Comte),  47,  rue  Lafûtte  (Paris). 
Cahen  d'Anvers,  47,  rue  Laffitte  (Paris). 
Cahen  d'Anvers  (Joseph),  47,  rue  Laffitte  (Paris). 
Cahen  d'Anvebs  (Louis),  47,  rue  Laflitte  (Paris). 
Cahen  d'Anvebs  (M"«)  ,118,  rue  de  Grenelle  St-Germain  (Paris). 
Caillemeb  (£xupère),  professeur  à  la  Faculté  de  droit  de  Grenoble 

(Isère). 
Galtocob£ssi(M.G.)>  négociant  (Marseille). 


-.  16  — 

Campaux,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Strasbourg. 
Canellopoulo,  rédacteur  en  chef  de  V Indépendance  hellénique, 

rue  du  Pirée,  27  (Athènes). 
Cabacoussi  (S.-B.),  négociant  (Marseille). 
Caramatîos  (Ph.-G.),  négociant  (Marseille). 
Caro,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres,  20,  rue  Saint-Maur- 

Saint-Germain  (Paris). 
Cassimati  ,  avocat  à  Syra  (Grèce). 
Catzigras  Cosmas,  négociant  (Marseille). 
C  AU  MONT  (de),  correspondant  de  l'Institut  (Caen). 
Ceffala  (Georges),  négociant,  3,  Winchester  Buildings  (Londres). 
Cerfbeer  (Théogène),  agriculteur  (Oberviller,  près  Saarbourg, 

Meurthe). 
Chabouillet,  conservateur  au  cabinet  des  naédailles,  22,  rue 

Boursault  (Paris). 
Chanrond  (Gustave  de),  à  Briançon  (Hautes-Alpes). 
Chantepie  (de),  professeur  de  rhétorique  au  lycée  impérial  de 

Vesoul. 
Chasles,  membre  de  l'Institut,  3,  passage  Saint-Marc,  rue  du  Bac 

(Paris). 
Chassang,  maître  de  conférences  à  l'École  normale  supérieure 

(Paris). 
Chasseriau  (M^e),  40,  rue  de  Bruxelles  (Paris). 
Chastellux  (Comte  Henri  de),  90,  rue  de  Varennes  (Paris). 
Chatel  (Eugène),   archiviste  du   département  du  Calvados,  à 

Caen. 
Chénier  (de),  35,  rue  Bellecliasse  (Paris). 
Cherbuliez  (André),  professeur  de  littérature  ancienne  à  l'Aca- 
démie (Genève). 
Cherbuliez  (Victor),  (Genève). 

Chéronnet-Champollion  (Léonce),  10,  rue  de  l'Oratoire  (Paris). 
Chéronnet-Champollion  (René),  10,  rue  de  l'Oratoire  (Paris). 
Cherrier  (de),  membre  de  l'Institut,  22,  rue  de  Londres  (Paris). 
Chevreul,  membre  de  l'Institut,  au  Jardin  des  plantes  (Paris). 
Chevriaux,  censeur  des   études   au  lycée  Bonaparte,  rue  du 

Havre  (Paris). 
Choisy,  ingénieur  des  ponts  et  chaussées ,  à  Rethel  (Ardennes) . 
Christopoulos  (S.  Exe.  M.),  ministre  de  l'Instruction  publique 

et  des  cultes  du  royaume  de  Grèce. 
CiRCOURT  (Comte  de),  aux  Bruyères,  prèsBougival  (Seine-et-Oise). 


-  il  — 

Clavel,  professeur  au  lycée  impérial  de  Bourges. 

Cleraiont-Tonnerre  (duc  de),  78,  rue  de  l'Universilé  (Paris). 

CoHN  (Albert),  docteur  en  philosophie,  42,  rue  Richcr  (Paris). 

Colin,.  18,  boulevard  Montmartre  (Paris). 

Colon N A  (la  Duchesse),  1,  rue  François  1"  (Paris). 

Combes  (de),  au  château  d'Amayé  (par  Evrecy,  Calvados). 

CoNDÉs  (Élie),  chez  jMM.  Tamvaco  et  Microlachi  (Marseille). 

CoRGiALÉGNO  (André},  négociant  (Marseille). 

CoRGFALÉGNO,  négociant  (Marseille). 

CosTE  (Olivier  de  la),  licencié  es  lettres,  108,  rue  du  Bac  (Paris). 

CouRKT  (Alph.),  docteur  en  droit,  2,  rue  Servan  (Grenoble). 

Courtaud  Divernéresse,  7,  rue  Madame  (Paris). 

Crauk,  46,  rue  de  Vaugirard  (Paris). 

Cros,  4,  rue  du  Mont-Thabor  (Paris). 

CuRNiEU  (le  baron  de),  68,  rue  de  la  Chaussée-d'Antin. 

CuviLLiER,  professeur  au  lycée  du  Prince-Impérial  (Vauves). 

Damalas,  négociant  (INIarseille). 

Daremberg,  de  la  bibliothèque  Mazarine,  1,  rue  de  Seine  (Paris). 

Dareste  de  la  Chavanne,  avocat,  1,  quai  Malaquais  (Paris). 

David  (Baron  Jérôme),  vice-président  du  Corps  législatif,  6,  place 
Saint-Michel  (Paris). 

Debin,  6,  rue  Germain-Pilon  (Paris), 

DiHÈQUE,  membre  de  l'Institut,  116,  rue  de  Greneile-St-Germain. 

Delagrave,  libraire-éditeur,  78,  rue  des  Écoles  (Paris). 
Delalain  (Jules),  libraire-éditeur,  76,  rue  des  Écoles  (Paris). 
Delalain  (Henri),  libraire-éditeur,  76,  rue  des  Écoles  (Paris). 
Delaroche  (Horace),  26,  rue  des  Bourdonnais  (Versailles). 
Delaroche  (Philippe),  103,  rue  du  Bac  (Paris). 
Delaunay,  professeur,  à  Ernée  (Mayenne). 
Delessert  (M^'c  Gabriel),  9,  rue  Basse,  à  Pass} -Paris. 
Delorme,  20,  rue  de  la  Fcrme-des-Mnthurins  (Paris). 
Delta  (Thomas),  négociant,  3,  Winchester  Buildings  (Londres). 
Deltour  ,  professeur  de  rhétorique   au  lycée   Saint-Louis,  98, 

rue  de  la  Pépinière  (Paris). 
Delzons,  professeur  au  lycée  Saint-Louis^  35,  rue  des  Fossés- 
Saint-Victor  (Paris). 
Delvannis  (Ïhéodore-P.),  ministre  plénipotentiaire  de  S.  M.  Hel- 
lénique, 5,  rue  Boissy-d'Anglas  (Paris). 
Demarquay.  docteur-médecin,  43,  rue  de  la  Vicloire  (Paris) .- 
DÉMÉTRios  (Eustache),  négociant  (Marseille). 

2 


—  18  — 

Denis,  répétiteur  à  Sainte-Barbe,  2,  rue  de  Reims  (Paris). 

Deschamps  (Arsène),  docteur  en  philosophie  et  lettres,  à  Liège , 
rue  Basse-Chaussée. 

Deschanel  (Emile),  ancien  maître  de  conférences  à  l'École  nor- 
male supérieure,  34,  rue  de  Penthièvre  (Paris). 

Des  Francs,  professeur  au  lycée  de  Tarbes  (Pyrénées-Orientales). 

Desjardins,  11,  rue  Maurepas  (Versailles). 

Devin,  avocat,  12,  rue  de  l'Échiquier  (Paris). 

DiDOT  (Ambroise-Firmin),  libraire-éditeur,  56,  rue  Jacob  (Paris). 

DiLBEROGLOu  (S.),  négociant,  Threadneedle  street  (g.  j.  Cavafy 
6  et  e**  (Londres). 

DoGNÉE  (E.),  20,  place  des  Carmes  (Liège,  Belgique). 

DoLLFUS,  rédacteur  en  chef  de  la  Revue  woc/erne,  10,  Faubourg- 
Montmartre  (Paris). 

Doyen  (Xavier),  maître  d'études  au  collège  (Schelestadt,  Bas-Rhin).' 

Dhapeyron,  professeur  d'histoire  au  lycée  de  Besançon, 

Drème,  premier  avocat  général,  à  Agen  (Lot-et-Garonne). 

Duc,  membre  de  l'Institut,  4,  rue  du  Marché-Saint-Honoré (Paris). 

DucAMP  (Maxime),  43,  rue  du  Rocher  (Paris). 

Dumas  (E.-R.),  professeur  au  lycée  impérial  de  Montpellier. 

DuMONT,  docteur-médecin  (Angers,  Maine-et-Loire). 

DUQUESNE,  51,  rue  Laffitte  (Paris). 

Durand,  libraire-éditeur,  9,  rue  Cujas  (Paris). 

DuRET  (M'ne),  17,  quai  Voltaire  (Paris). 

DuRUY  (S.  Exe.  M.  Victor),  ministre  de  l'instruction  publique. 

Egger,  membre  de  l'Institut,  48,  rue  Madame  (Paris). 

EiCHTHAL  (Adolphe  d'),  membre  du  Conseil  supérieur  du  com- 
merce, 98,  rue  Neuve-des-Mathurins  (Paris). 

EiCHTHAL  (Adolphe  d'),  fils,  banquier,  98,  rue  Nee-des-Mathurins. 

EicHTHAL  (Eugène  d'),  100,  rue  Neuve-des-Mathurins  (Paris). 

EicHTHAL  (Gustave  d'),  membre  de  la  Société  asiatique,  100,  rue 
Neuve-des-Mathurins  (Paris). 

Élèves  (les)  de  rhétorique  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 

ÉLiADE  (Léonidas),  professeur  de  grec  moderne,  2,  rue  Royer- 
CoUard  (Paris). 

Épinay  (de  1'),  6,  impasse  Sandrié  (Paris). 

EssARTS  (Emmanuel  des),  professeur  au  lycée  d'Orléans. 

Estrangin  (A.),  négociant  (Marseille). 

EuMORPHOPOULOs  (A.-G.),  négociant,  Ethelburghouse,Bishops- 
gate  Street  (Londres). 


—  19  — 

EvELABD,  professeur  au  lycée  Saint-Louis,  13,  rue  de  la  Cerisaie. 
Fabmacopoulos,  attaché  à  la  légation  hellénique,  5,  rue  Boissy- 

d'Anglas  (Paris). 
Faure  (André),  80,  rue  Taitbout  (Paris). 
Fayard  (Eugène),  18,  rue  d'Aguesseau  (Paris). 
Florent  Lefèvre,  conseiller  général  du  département  du  Pas-de- 
Calais,  47,  rue  de  Lille  (Paris). 
Flourens  (Gustave),  au  Jardin  des  plantes  (Paris). 
FoTiADÈs  (G.),  négociant  (Marseille). 
FoucART,  professeur  au  lycée  Charlemagne,  13,  rue  de  Tournon 

(Paris). 
FoucHER  de  Careil  (Comte),  11,  rue  François  !•*  (Paris) 
FouBNiER,  docteur  es  sciences,  72,  rue  de  Seine  (Paris). 
FuNCK,  aide-de-camp  de  S.  M.  Hellénique. 
Gaffarel,  professeur  d'histoire  au  lycée  de  Montpellier, 
Gaïdoz  (Henri),  licencié  es  lettres,  32,  rue  de  Madame  (Paris). 
Galichon  (Emile),  directeur  de  la  Gazette  des  Beaux-Arts^  182, 

rue  de  Rivoli  (Paris). 
Galusky,  126,  rue  de  Poissy  (Saint-Germain  en  Laye). 
Gando,  52,  rue  d'Amsterdam  (Paris). 
Garelli  (Alexandre),  négociant  (Marseille). 
Garnier,  architecte  de  l'Opéra,  84,  boulevard  St-Germain  (Paris). 
Gàrnier  (Auguste),  libraire,  6,  rue  des  Saints-Pèr^s  (Paris). 
Garnier  (Hippolyte),  libraire,  6,  rue  des  Saints-Pères  (Paris). 
Gatteaux,  membre  de  l'Institut,  41,  rue  de  Lille  (Paris). 
Gaudry  (Albert),  12,  rue  Taranne  (Paris). 
Georgiadès  (C.-B.),  rue  du  Loisir  (Marseille). 
GÉRÔME,  membre  de  l'Institut,  6,  rue  de  Bruxelles  (Paris). 
Geschwind  (Paul),  élève  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 
GiDEL,  professeur  de  rhétorique  au  lycée  Bonaparte,  130,  rue 

Saint-Lazare  (Paris). 
GiGUET,  traducteur  d'Homère  (Sens,  Yonne). 
Gilbert,  23,  rue  de  Marignan  (Paris). 
Girard  (Jules),  maître  de  conférences  à  l'École  normale  supérieure, 

26,  rue  Monsieur-le-Prince  (Paris). 
GouiN  (Ernest),  constructeur,  4,  rue  Cambacérès  (Paris).' 
GouMY,  rédacteur  en  chef  de  la  Revue  de  rinstructiov  publique, 

82,  boulevard  Saint-Germain  (Paris). 
GouNAROPOULOS,  négociant,  3,  boulevard  St-Michel    (Marseille). 
GouNOD,  membre  de  l'Institut,  19,  rue  de  la  Rochefoucauld  (Paris). 


—  20  — 

Gbéard,  inspecteur  de  l'Académie  de  Paris,  77,  boulevard  Saint- 
Michel  (Paris). 

Gréhan,  professeur  au  collège  de  Compiègne  (Oise). 

Gruyer  (Anatole),  10,  rue  du  Mont-ïhabor  (Paris). 

Gruyer  (Gustave),  28,  place  Saint-Georges  (Paris). 

GuÉRARD,  directeur  de  Saiute-Barbe-des-Champs  (Fontenay). 

GuiGNiAUT,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  des  Inscriptions 
et  Belles-Lettres,  25,  quai  Conti. 

Guillaume,  membre  de  l'Institut,  à  l'École  des  Beaux-Arts. 

Guillaume,  avenue  de  l'Impératrice  (Paris). 

GuiLLHEMASSY,  profcsscur,  5,  rue  Corneille  (Paris). 

GuizoT  (François),  membre  de  l'Institut,  10,  rue  de  l'Oratoire- 
des-Champs-Élysées. 

GuizoT  (Guillaume),  53,  boulevard  IMalesherbes  (Paris). 

Hachette  (Lo»is  et  G"),  libraires-éditeurs,  77,  boulevard  St-Ger- 
main  (Paris). 

Hamel,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Toulouse. 

Harcourt  (Comte  Jean  d'),  82,  rue  de  l'Université  (Paris). 
Hatzi  Petros,  général,  aide  de  camp  de  S.  M.  Hellénique. 
Havet,  professeur  au  collège  de  France,  60,  rue  des  Écoles. 
Hazzifilo,  négociant,  6,  rue  du  Conservatoire  (Paris). 
Heath  (John),  banquier,  31,  Old  Jewery,  cité  de  Londres. 
Heath  (Robert),  banquier,  31,  Old  Jewery,  cité  de  Londres. 
Heath  (Henry),  banquier,  31,  Old  Jewery,  cité  de  Londres. 
Heinhich,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Lyon,  28,  cours 

Morand. 
Hesse  (Antoine),  banquier  (Marseille). 
Hetsch  (l'Abbé),  supérieur  du  petit  séminaire  de  la  Chapelle- 

Saint-IMesmin  (Loiret). 
Heuzey,  conseiller,  4,  rue  de  Crosne  (Rouen). 
Heuzey  (Gustave),  25,  rue  de  l'Impératrice  (Rouen). 
Heuzey  (Edouard),  16,  rue  d'Aboukir  (Paris). 
Heuzey,  ancien  membre  de  l'École  d'Athènes,  professeur  à  l'École 

des  Beaux- Arts,  8,  quai  de  la  Mégisserie  (Paris). 
Hignard,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Lyon,  7,  cours 

Morand  (Lyon). 
Hillebrand,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Douai. 
His  de  la  Salle,  55,  rue  de  Clichy  (Paris). 
Hittorf  (Charles),  63,  rue  Saint-Lazare  (Paris). 
Hortus,  ancien  chef  d'institution,  24,  rue  du  Bac  (Paris). 


—  21  — 

HuBAULT  (G.),  professeur  au  lycée  Louis-Ie-Graud,  11,  rue  Bo- 
naparte (Paris). 

Hubert  (Alfred),  103,  rue  Lafayette  (Paris). 

Hugo,  24,  rue  Royale  (Paris). 

HuiLLiEB,  ancien  notaire,  49,  rue  de  Provence  (Paris). 

HussoN  (Hyacinthe),  14,  rue  Marignan  (Paris). 

HussoN  (Georges),  191,  rue  Saiut-Honoré  (Paris). 

Ingres  (Mme),  1 1,  quai  Voltaire  (Paris). 

lONiDÉs,  négociant,  19,  Old  Broad  street  (Londres). 

Jacquet  (Ernest),  5,  rue  des  Pyramides  (Paris). 

Jacquet  (père),  14,  rue  Castiglione  (Paris). 

Javal  (Emile),  6,  rue  d'Anjou-Saint-Honoré  (Paris). 

Javal  (Léopold),  député,  (î,  rue  d'Anjou-Saint-Honoré  (Paris). 

Jeannel,  professeur  au  lycée  de  Marseille. 

Jenck  (Jules),  40,  rue  de  Bruxelles  (Paris). 

JoLY  (A.),  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Caen). 

Jourdain,  membre  de  l'Institut,  41,  rue  de  Luxembourg  (Paris). 

Kastneb  (Georges),  membre  de  l'Institut,  16,  rue  Boursault  (Paris). 

Kergorlay  (Comte  Henri  de),  48,  rue  de  Varennes  (Paris). 

Labarthe,  propriétaire,  19,  rue  Jacob  (Paris). 

Lacroix  (Jules),  22,  rue  d'Aujou-Saint-Honoré  (Paris). 

Lacroix,  à  la  Briche-Saint-Denis. 

Lagache,  directeur  du  service  sténographique  du  Corps  législatif 
(Paris). 

Lagbange  (Marquis  de),  membre  de  l'Institut,  sénateur,  29,  rue 
Barbet-de-Jouy  (Paris). 

Lagbené  (M«»e  de),  14,  rue  du  Marché-d'Aguesseau  (Paris). 

L aguiche  (Marquis  de),  16,  rue  Matignon  (Paris). 

Lanjuinais  (Vicomte),  député,  20,  rue  Joubert  (Paris). 

Laprade  (Victor  de),  de  l'Académie  française,  10,  rue  de  Castries 
(Lyon). 

Lara  Minot,  1,  rue  Godot-de-Mauroi  (Paris). 

Lasteyrie  (Ferdinand  de),  membre  de  l'Institut,  11,  quai  Vol- 
taire (Paris). 

LaurentPichat,  39,  rue  de  l'Université  (Paris). 

Leblant  (E.),  membre  de  l'Institut,  3,  rue  Leroux  (avenue  de 
l'Impératrice). 

Le  Bret  (Paul),  représentant  de  la  Compagnie  des  mines  d'AnziOi 
22,  rue  Caumartin  (Paris). 

Lebrun,  de  l'Académie  française,  1,  rue  de  Beaune  (Paris). 


—  22  — 

Lecomte  (Eugène),  agent  de  change,  2,  rue  de  la  Chaussée-d'An- 
tin  (Paris). 

Leconte  (A.),  professeur  au  lycée  de  Toulon. 

Lee  Childe,  9,  rue  de  Penthièvre  (Paris). 

Legouez,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  28,  rue  de'la  Rochefou- 
cauld (Paris). 

Legouvé,  de  l'Ac.  française,  14,  rue  St-Marc-Feydèau  (Paris). 

Lehmann,  membre  de  l'Institut,  23,  rue  Balzac  (Paris). 

Lenient,  maître  de  conférences  à  l'École  normale,  48,  boulevard 
Saint-Germain  (Paris,\ 

Le  Proux  (Ferdinand) ,  élève  de  l'École  impériale  des  chartes 
(Saint-Quentin). 

LÉvÉQUE,  membre  de  l'Institut  (Bellevue,  près  Paris). 

Lévi-Alvarez,  19,  rue  de  Lille  (Paris). 

Levillaïn,  40,  Faubourg-Poissonnière  (Paris). 

Levis  MiREPOix  (Comte  de),  121,  rue  de  Lille  (Paris). 

LiLLEBs  (de),  46,  rue  de  Bourgogne  (Paris). 

Loiret,  professeur  au  lycée  de  Cahors. 

LoNGPÉRrER  (de),  membre  de  l'Institut,. 50,  rue  de  Londres  (Paris). 

Lorrain,  docteur-médecin,  11,  rue  de  TOdéon  (Paris). 

LuBERSAC  (Comte  de),  9,  boulevard  INIalesherbes  (Paris). 

LussoN,  21  ftw,  rue  de  Laval  (Paris). 

Magnabal,  agrégé  de  l'Université,  chef  de  bureau  au  ministère 
de  l'Instruction  publique. 

Maigret  (Edouard),  3,  boulevard  des  Capucines  (Paris). 

Maigret  (Théodore),  3,  boulevard  des  Capucines  (Paris). 

Marcellus  (Comtesse  de),  16,  rue  Martignac  (Paris). 

Marchand,  rue  de  Clichy,  institution  Prétet. 

Mariette,  correspondant  de  l'Institut  de  France,  44,  rue  Lafon- 
taine  (Auteuil-Paris). 

Marsand,  2,  rue  des  Bons-Enfants  (Paris). 

Marsy  (de),  archiviste  paléographe,  09,  boulevard  Saint-Germain 
(Paris). 

Martin  (Henri),  historien,  54,  Ranelagh  (Passy-Paris). 

Martin  (Th. -Henri),  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  de  Rennes. 

Matthieu,  député,  57,  rue  Sainte-Anne  (Paris). 

Maury  (Alfred),  membre  de  l'Institut,  1,  rue  de  Seine  (Paris). 

Mavrocordato,  5,  rue  Boissy-d'Anglas  (Paris). 

Mavrocordato  (D.-A.),  négociant,  37,  Theadneedie  street  (Lon- 
dres) . 


—  23  — 

Mavromichali  (M""')  (Paris}. 

M.  C,  80,  rue  Notre-Dame  des  Champs,  passage  Stanislas  (Paris). 

MÊLAS  (Constantin),  de  la  maison  Mêlas  frères  (Marseille). 

MÊLAS  (B.),  négociant.  Old  Broad  streel  (Londres). 

Menu  de  Saint-Mesmin  ,  préfet  des  études  au  collège  Chaptal, 
rue  Blanche  (Paris). 

Merle  (M"'«^),  6,  place  Saint-Michel  (Paris). 

Merruau,  conseiller  d'État,  45,  rue  de  Chabrol  (Paris). 

Messager  (E.),  5,  rue  Trouchet  (Paris). 

MÉTAXAs  (G.),  aide  de  camp  de  S.  M.  Hellénique. 

Métaxas  (Georges),  chez  M.  Corgialégno  (Marseille). 

MÉTAXAS  (J.),  docteur  en  médecine  (Marseille). 

Meyer,  inspecteur  de  l'Académie  de  Paris,  31,  avenue  Trudaine 
(Paris). 

Mézières,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Paris,  77,  boule- 
vard Saint-Michel. 

Michalinoudès  (J.-A.),  négociant  (Marseille). 

Michel,  professeur  à  l'école  Turgot,  46,  rue  de  l'Ouest  (Paris), 

MicHOTTE,  3,  rue  de  Rouvres  (parc  de  Neuilly). 

Micrulachi  (S.-E.),  négociant  (Marseille). 

INIiLL  (John  Stuart),  membre  du  parlement,  recteur  de  l'Université 
de  Saint- Andrew  (Londres). 

Miller,  membre  de  l'Institut,  bibliothécaire  du  Corps  législatif. 

Mollïard,  sous-directeur  à  l'institution  Sainte-Barbe  (Paris). 

MoNGiNOT,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  66,  rue  du  Rocher 
(Paris). 

Monnier  (Fr.),  docteur  ès-lettres,  99,  rue  de  Sèvres  (Paris). 

MoNZiE  (E.  de),  Sarlat  (Dordogne). 

Mortemart  (Marquis  de),  16,  rue  Matignon  (Paris). 

MouRiER,  vice -recteur  de  l'Académie  de  Paris,  15,  rue  de  la  Sor- 
bonne. 

MoussAHi  (S.),  négociant  (Marseille). 

Naudet,  membre  de  l'Institut,  184,  rue  de  Rivoli  (Paris). 

Naville  (Edouard),  licencié  es  lettres,  2,  rue  Racine  (Paris). 

NicoLAiDÈs  (Théodore),  négociant  (Marseille). 

NicoLAiDÈs  (Xénophon),  négociant,  12,  rue  du  Loisir  (Marseille). 

Nicolas  (Michel),  professeur  à  la  Faculté  de  théologie  protestante 
de  Montauban. 

NiSAHD  (Auguste),  inspecteur  de  l'Académie  de  Paris,  45,  bou- 
levard Haussmann  (Paris). 


-  24  — 

NiSABD  (Charles),  i03,  rue  de  Grenelle-Saint-Germain  (Paris). 

NisABD  (Désiré),  de  l'Académie  française,  sénateur,  2,  rue  Ca- 
simir-Delavigne  (Paris). 

NoTARA  (Emile),  23,  rue  de  Bréa  (Paris). 

Oppermann,  30,  rue  Saint-Georges  (Paris). 

OuELLARD  (Henry),  professeur  de  rhétorique  au  collège  de  Char- 
tres, 41,  rue  Saint-Michel  (Chartres). 

OuRSEL,  52,  rue  de  ïurenne  (Paris). 

Palascas,  capitaine  de  vaisseau  de  la  marine  royale  hellénique. 

Pandia  Ralli,  négociant  (Marseille). 

Panorios  (N.),  22,  boulevard  du  Nord  (Marseille). 

Parmentier,  professeur  au  lycée  de  Strasbourg. 

Pasquet,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  rue  du  Havre  (Paris). 

Passy  (Louis),  49,  rue  de  Clichy  (Paris). 

Patin,  de  l'Académie  française,  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  de 
Paris,  15,  rue  Cassette  (Paris). 

PÉLiciER,  professeur  au  collège  de  Compiègne. 

Pelletier,  président  de  la  Cour  des  comptes,  46,  avenue  Gabriel. 

Pelletrem,  27,  rue  de  l'Oratoire  du  Roule  (Paris). 

PÉPIN  Lehalleur  (Emile),  docteur  en  droit,  5,  rue  de  Greffiilhe. 

Pebdikidès  (Nestor),  négociant  (Marseille). 

Peroglous,  secrétaire  privé  de  S.  M.  Hellénique. 

Perrens,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  9,  rue  de  Greffiilhe. 

Perrot  (Georges),  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  21,  rue 
Jacob  (Paris). 

Pessonneau  ,  professeur  au  lycée  Napoléon,  30,  rue  Monsieur-le- 
Prince  (Paris). 

Petit  (Louis),  docteur  es  lettres,  porte  Bellou,  à  Senlis  (Oise). 

Petit  de  Julleville.  ancien  membre  de  l'École  française 
d'Athènes,  professeur  au  collège  Stanislas,  46,  rue  de  Babylone. 

Petit-Jean,  principal  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-R]iin). 

Philaretos  (G.  D.),  négociant  (Marseille). 

PiAT  (Albert),  98,  rue  Saint-Maur  Popincourt  (Paris). 

Pillon  (Alphonse),  propriétaire,  Roye-sur-Malty  (Oise). 

Piscis,  19,  rue  du  Cirque  (Paris). 

PiTTi  (A.),  négociant  (Marseille). 

PoMAREL  aîné,  professeur  à  Sarlat  (Dordogne). 

PoMPERY  (de),  au  château  de  Salsoigne  (Aisne), 

POTRON,  10,  rue  d'Antin  (Paris). 

Prache,  290,  rue  Saint-Honoré  (Paris). 


—  25  — 

PuASSACAKi  (Emmanuel),  uégociant  (Marseille). 

Pbassàcaki  (Leoni),  négociant  (Marseille). 

PsABAKis,  directeur  à  l'École  hellénique  de  Paros  (Grèce). 

PsicHA,  négociant,  19,  Greshamhouse  (Avieriuo  et  C')  (Londres). 

QuESNEL  (Adolphe),  négociant  (Havre). 

Gueux  de  Saint-Hilaire  (Marquis  de),  1,  rue  Soufflot  (Paris). 

Ralli  (V.),  négociant,  11,  Finsbury  Circus  (Londres). 

Ralli  Schilizzi  ARGENTr,  négociant  (Marseille). 

Ravaisson,  membre  de  l'Instilut,  9,  quai  Voltaire  (Paris). 

Renan,  membre  de  l'Institut,  29,  rue  Vanneau  (Paris). 

Renier  (Léon),  membre  de  l'Institut,  à  la  Sorbonne  (Paris). 

Renieri,  sous- gouverneur  de  la  Ranque  nationale  de  Grèce 
(Athènes). 

Renouard  (Léopold),  3,  rue  de  Grammont  (Paris). 

Reviers  de  Manny  (Vicomte),  Fontainebleau  (Seine-et-Marne). 

Reynald,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  d'Aix. 

Riant  (Paul),  docteur  es  lettres,  de  la  Société  des  antiquaires, 
2,  rue  de  Vienne  (Paris). 

RiFF,  principal  du  collège  d'Obernai  (Ras-Rhin). 

Rilliet  (Albert),  ancien  professeur  de  littérature  étrangère  à  l'A- 
cadémie de  Genève. 

RiNN,  professeur  au  collège  Rollin,  212,  rue  Saint-Jacques  (Paris). 

RioussET,  28,  boulevard  Poissonnière  (Paris). 

Robert  (Charles),  correspondant  de  l'Institut,  9,  rue  des  Saints- 
Pères  (Paris). 

RoDOCANAKi  (Emmanuel  PO,négt,  29,  Finsbury  Circus  (Londres). 

RoDOCANAKi  (Emmanuel  Z,),  négociant,  22,  New  city  Chambers 
(Londres). 

RODOCANAKI  (M ichel)V négociant  (^larseille). 

RODOCANAKI  (P.),  42,  avenue  Gabriel  (Paris). 

RODOCANAKI  (Stamali),  uégociant  (Marseille). 

RODOCANAKI  (T.-E.),  négociant  (Marseille). 

RoEDTS,  39,  rue  Godot-de-Mauroy  (Paris). 

RoNCHAUD  (Louis  de),  22,  rue  de  la  Plaine.  Ternes. 

Roque  (Phocion),  secrétaire  de  la  légation  hellénique,  13,  rue  de 
Turin  (Paris). 

RossEEW  Saint-Hilaire,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Pa- 
ris, 74,  rue'd' Anjou  (Versailles). 

Rothschild  (Baron  Alphonse  de),  21,  rue  Laffitte  (Paris). 

RouGÉ  (Vicomte  de),  membre  de  l'Institut,  53,  rue  de  Babylone. 


-  20  — 

Roussos,  directeur  à  l'École  hellénique  d'Argos  (Grèce). 
RouvRAY,  62,  rue  d'Enfer  (Paris). 
RuDLER,  professeur  au  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 
Sabatièr,  ministre  plénipotentiaire,  17,  rue  Lord-Byron  (Paris). 
Sainte-Beuve,  membre  de  l'Académie  française,  Sénateur,  11, 

rue  du  Mont- Parnasse  (Paris). 
Sainte-Claire  Deville  (Henri),  membre  de  l'Institut,  47,  rue 

Madame  (Paris). 
Saint-Marc  Girardin,  de  l'Ac.  française,  5,  r.  Bonaparte  (Paris). 
Salomon,  6,  rue  de  rKcole-tle-Médecine  (Paris). 
Salvago  Pantaleon,  négociant  (Marseille). 
Sayous,  professeur  au  lycée  Charlemagne,  232,  rue  de  Rivoli. 
ScARAMANGA,  négociant  (Marseille). 

ScLAVos,  négociant,  OldBroad  street,Vagliano  Brothers  (Londres). 
ScLivANiOTTis,  négociant,  31,  boulevard  Bonne-Nouvelle  (Paris). 
Sechiari  frères,  négociants  (Marseille). 
Selliès,  capitaine  au  13'' de  ligne. 

Sénart,  licencié  es  lettres,  12,  rue  Saint-Dominique  (Paris). 
Serbos  Mïltiades,  négociant  (Marseille). 
Sidericudi  Negrepontis,  négociant  (Marseille). 
SiMÉON  (Comte),  sénateur,  23,  quai  d'Orsay  (Paris). 
"SoMAKis  (d'Athènes),  avocat,  18,  boulevard  Saint-Michel  (Paris). 
Souloutziaroglou,  22,  rue  de  la  Paix  (Paris). 
Soutzo  (Constantin),  officier  de  l'armée  hellénique. 
SouTZO  (Démétrius),  49,  rue  Marbeuf  (Paris).    • 
Soutzo  (M"»«  S.-M.). 

Spanoudis  (Alexandre),  négociant  (Marseille). 
Sugdury,  négociant,  Gresham  house,  Mauro  Basich,  50  (Londres). 
ÏALBERT,  directeur  du  collège  Rollin,  rue  des  Postes    (Paris). 
Talbot,  professeur  au  collège  Rollin,  8,  rue  Garancière  (Paris). 
Tarral,  14,  cours  la  Reine  (Paris). 
Tattegrain,  conseiller  à  la  Cour  impériale  d'Amiens,  32,  rue  du 

Loup  (Amiens). 
Tavernier,  20,  rue  Neuve-des-Capucines  (Paris). 
ïertu  (Comte  de),  Tertu  parTrun  (Orne). 

Thédenat  (H.),  professeur  au  collège  de  Juilly  (Seine-et-Marne). 
Thenon  (l'abbé),  directeur  de  l'école  des  Carmes,  76,  rue  de  Vau- 

girard  (Paris). 
Thiers,  membre  de  l'Institut,  27,  place  Saint-Georges  (Paris). 
Thibion,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  19,  rue  de  Lille  (Paris). 


—  27  — 

Thomas  (Ferdinand),  21,  passage  des  Favorites  (Vaugirard). 

Thobin,  libraire,  58,  boulevard  Saint-Michel  (Paris). 

Thubot,  maître  de  conférences  à  l'École  normale,  77,  rue  du  Bac. 

TiMBAL,  13,  rue  de  l'Abbaye  (Paris). 

ToBRAs  (Léon),  ancien  agent  de  change,  32,  rue  de  l'Arcade  (Paris). 

TouGARD  (l'abbé  Alb.),  professeur  au  petit  séminaire  (Rouen). 

TouBMEB,  professeur  au  collège  de  Juilly,  6,  rue  Servandoni 
(Paris). 

Travers  (Emile),  archiviste  paléographe,  22,  rue  Pigalle  (Paris). 

Tresse,  182,  rue  Rivoli  (Paris). 

Tricot  (Lucien),  52,  rue  Taitbout  (Paris). 

TsopouLOS  (Achille),  chez  MM.  Zafiropoulos  et  Zarifi  (Marseille). 

TsoL'ROS  (D.),  chez  MM.  Michel  Rodocanaki  et  C*  (Marseille). 

TupiGNY  DE  BouPFÉ,  23,  ruc  Caumartin  (Paris). 

TuBBETTiNi  (Auguste),  ancicu  conseiller  d'État  de  la  république 
(Genève). 

Ubbain  (Ismayl),  conseiller  rapporteur  à  Alger. 

Vacalopoulos  (Théodore),  négociant  (Marseille). 

Valettas  (J.-N.),  professeur,  9^  Chepstow  place,  Royswater 
(Londres). 

Vallieb  (Jérôme),  négociant  (Marseille). 

Vabnieb,  professeur  au  lycée  de  Caen. 

Vast  Vimeux,  députe,  10,  boulevard  Malesherbes  (Paris). 

ViLLEMAiN,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  française,  au  pa- 
lais de  l'Institut. 

ViLLEMAN,  professeur,  5,  rue  Corneille  (Paris). 

Vincent,  membre  de  l'Institut,  60,  rue  Notre-Dame  des  Champs, 
2,  passage  Stanislas  (Paris). 

ViNET  (E.),  bibliothécaire  de  l'École  des  Beaux-Arts,  1 ,  rue  de  Ma- 
dame (Paris). 

ViTET,  de  l'Académie  française,  9,  rue  Barbet  de  Jouy  (Paris). 

Vlangali-Handjeri  (le  Prince),  21,  rue  Balzac  (Paris). 

VouTZiNA  frères,  négociants  (Marseille). 

Vréto  (M.-P.),  8,  rue  de  Miroménil  (Paris). 

Vrisachi  (B.),  négociant  (Marseille). 

Waddington,  membre  de  l'Institut,  14,  rue  Fortin  (Paris). 

Weil,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Besançon. 

Wescheb,  ancien  membre  de  l'École  d'Athènes,  33,  avenue  de 
Saxe  (Paris). 

WiDAL,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Besançon. 


—  28  — 

WiTTE  (Baron  de),  membre  de  PInstitut,  7,  rue  Fortin  (Paris), 
WoLOWSKi,  membre  de  l'Institut,  49,  rue  de  Clichy  (Paris). 
Yeméniz,  fils,  consul  de  Grèce  (Lyon). 
Ypsilanti  (Princesse),  48,  avenue  Gabriel  (Paris). 
Ypsilanti  (Princesse  Elisabeth),  avenue  Gabriel  (Paris). 
YuNG,  directeur  de  la  Revue  des  cours  littéraires  et  scientifiques, 

52,  rue  de  Verneuil  (Paris). 
Zapiropoulo  (E.),  négociant  (Marseille). 
Zafiropoulo  (Constant),  négociant  (Marseille). 
Zambaco,  médecin,  21,  rue  Marignan  (Paris). 
Zarifi  (Léonidas),  négociant  (Marseille). 
Zarifi  (Périclès),  négociant  (Marseille). 
ZiziNiA  (George),  négociant  (Marseille). 
ZoiopouLOS,  professeur  à  l'École  hellénique  d'Argos  (Grèce). 
Zygomalas  (N.),  négociant,  Lime  street  (Londres). 


—  20 


ASSEMBLÉE  GÉNÉRALE  DU  6  MARS  1868. 


DISCOURS  DE  M.  PATIN 


PRESIDENT. 


Messieurs  et  cuers  Confrères, 

Nous  inaugurons  aujourd'hui  ces  réunions  générales 
dans  lesquelles,  chaque  année,  à  pareille  date,  notre 
Association  devra  procéder  au  renouvellement  partiel  du 
Comité  et  du  Bureau  chargés  de  la  représenter,  se  rendre 
compte  de  sa  situation,  de  ses  ressources  actuelles,  des 
résultats  nouveaux  de  ses  efforts  dans  l'accomplissement 
de  la  mission  qu'elle  s'est  donnée,  V  encourage  ment  des 
études  grecques  en  France. 

Il  fut  un  temps  où  ces  études  avaient  dans  notre  patrie 
leur  siège  principal,  où  y  présidait  à  leur  universel  déve- 
loppement cet  Henri  Estiennc  sous  l'invocation  de  qui  vous 
placera,  en  quelque  ^orte,  avec  opportunité,  une  des  lec- 
tures que  vous  allez  entendre  (1).  Elles  n'étaient  pas  seule- 

(1)  Cette  lecture  a  été  faite ,  à  la  fin  de  la  séance,  par  M.  Egger. 


—  30  — 

ment,  au  seizième  siècle,  l'occupation  préférée,  l'honneur 
de  l'érudition  française.  Renouvelant  ce  qu'il  leur  avait  été 
donné  de  faire  dans  l'ancienne  Rome,  elles  exercèrent 
dès  lors  sur  le  mouvement  de  notre  littérature  une  action 
puissante  et  féconde;  et  de  là  provinrent,  dans  le  siècle 
suivant,  après  quelques  illusions  et  quelques  mécomptes, 
ces  belles  œuvres  à  la  fois  imitées  et  originales,  par  les- 
quelles s'est  opérée  la  conciliation  heureuse  de  l'art  an- 
tique et  de  la  pensée  moderne.  C'est,  on  le  voit,  à  des 
traditions  nationales,  bien  anciennes  et  bien  glorieuses, 
que  se  rattache  notre  Association,  Elle  pourrait  prendre 
pour  devise  ces  paroles  du  poëte  latin  : 


Res  antiquae  laudis  et  artis 
Ingredior.  . 


Il  ne  s'agit  pas,  au  reste,  d'une  passion  depuis  long- 
temps éteinte  qu'il  soit  besoin  de  ranimer.  Si,  au  dix- 
huitième  siècle,  l'enivrement  de  notre  gloire  littéraire, 
les  séductions  d'une  civilisation  élégante,  la  poursuite 
philosophique  des  réformes  sociales;  si,  dans  les  pre- 
mières années  de  l'âge  présent,  les  graves  préoccupations 
de  la  révolution  et  de  la  guerre  en  ont  distrait  lés  esprits, 
ces  défaillances  n'ont  été  ni  complètes  ni  durables  :  le 
culte  de  l'antiquité  s'est  perpétué,  à  l'écart,  dans  de  sa- 
vants et  poétiques  sanctuaires,  où  se  sont  préparées^  d'où 
sont  sorties,  en  des  jours  d'épuisement,  pour  rajeunir  les 
idées,  les  tableaux,  les  procédés  de  l'art,  pour  renouveler 
les  plaisirs  de  l'imagination,  des  productions  qui  ont  ra- 
mené, avec  charme,  aux  choses  de  la  Grèce.  On  s'est  plu 
à  y  voyager  à  la  suite  de  ce  Scythe ,  resté  quelque  peu 
Français,  par  lequel  la  faisait  décrire  et  expliquer  le  docte 
et  ingénieux  Barthélémy.  On  a  cru  ressaisir  quelque  chose 
de  sa  naïve  expression,  de  son  accent,  de  son  aiXtaTov 
cpwvvi|jt.a,  oublié  et  regretté,  dans  ces  vers  d'une  archaïque 


—  31   — 

nouveauté,  qu'André  Chénier  proclamait  lui-même  an- 
tiques. 

Lorsque,  après  de  trop  longues  années,  stérilement  rem- 
plies par  nos  troubles  civils,  notre  société,  rendue  à  l'ordre 
et  au  calme,  a  vu  les  compagnies  savantes  se  reconstituer, 
les  écoles  se  rouvrir,  les  travaux  sérieux  de  la  critique, 
les  grandes  entreprises  de  la  typographie  reprendre  leur 
cours,  les  lettres  grecques  n'ont  certainement  pas  été 
négligées  dans  cette  sorte  de  renaissance.  Il  s'est  retrouvé, 
il  s'est  formé  à  l'envi  des  maîtres  pour  les  enseigner; 
d'habiles  philologues,  auxquels  il  appartenait  de  diriger 
cette  éducation,  n'ont  manqué  ni  de  disciples  zélés,  ni 
d'utiles  côopérateurs  ;  les  méthodes  grammaticales  se  sont 
graduellement  perfectionnées;  les  textes  classiques  ont 
gagné  sans  cesse  en  correction,  ont  été  de  jour  en  jour 
mieux  compris,  mieux  sentis;  par  la  fidélité  de  la  tra- 
duction et  la  sagacité  du  commentaire ,  on  a  pénétré  de 
plus  en  plus  dans  leur  véritable  esprit,  avec  une  impar- 
tialité, une  indépendance  de  goût  qui  avaient  trop  man- 
qué, en  d'autres  temps,  aux  vues  de  la  critique. 

Par  suite  de  ce  mouvement^  qui  s'est  propagé  hors 
de  l'enceinte  des  écoles  et  du  cercle  des  lettrés,  qui  a 
gagné  jusqu'aux  gens  du  monde,  il  y  a  eu,  de  nos  jours, 
dans  la  société  française,  pour  les  lettres  grecques,  un 
retour  de  publique  faveur,  duquel  ont  témoigné  avec  éclat 
deux  faits  considérables  :  ce  sentiment  n'a  certainement 
pas  été  sans  influence  sur  l'élan  généreux  avec  lequel  la 
France  est  venue  en  aide  aux  défenseurs  de  l'indépen- 
dance hellénique;  il  l'a  inspirée  plus  tard,  quand,  sur  ce 
sol  classique,  redevenu  libre,  elle  s'est  créé  un  savant 
domicile,  donnant  à  son  École  de  Rome  un  digne  pendant, 
son  École  d'Athènes. 

C'est  à  ce  sentiment  aussi  qu'a  répondu  notre  Associa- 
tioTiy  qui,  à  peine  annoncée,  a  réuni  un  si  grand  nombre 
d'adhésions  diverses ,  non-seulement  dans  les  corps  aca- 
démiques et  universitaires,  dans  le  monde  de  l'érudition 


—  32  — 

et  des  lettres,  mais  dans  toutes  les  classes  de  la  société 
française;  non-seulement  en  France,  mais  à  l'étranger, 
et  particulièrement  chez  cette  jeune  nation,  héritière ,de 
l'ancienne  Grèce,  à  qui  les  lettres  grecques  semblent  avec 
raison  une  part  si  précieuse  de  son  héritage,  et  que  notre 
zèle  à  en  servir  la  cause  achevait  de  nous  rattacher  par  un 
nouveau  lien  de  sympathie. 

Quelque  tristesse  se  mêle  à  la  légitime  satisfaction,  aux 
espérances  que  doivent  nous  donner  les  favorables  débuts 
de  notre  œuvre.  Déjà  nous  manquent  quelques-uns  de  ses 
plus  ardents,  de  ses  plus  autorisés,  de  ses  plus  utiles  pro- 
moteurs ;  et  d'abord,  enlevé  dès  le  mois  d'octobre  de 
l'année  dernière,  par  une  atteinte  soudaine,  au  seuil  seu- 
lement de  la  vieillesse,  dans  sa  force,  dans  son  activité, 
dans  le  plein  exercice  de  facultés  puissantes,  qui  avaient 
suffi  à  tant  de  travaux,  et  dont  on  en  pouvait  attendre 
tant  d'autres  encore,  le  très-regrettable  Frédéric  Diibner. 

Regrettable  pour  la  France,  sa  seconde  patrie,  au  ser- 
vice de  laquelle  il  a  mis  une  science,  une  sagacité,  une 
habileté  philologiques  acquises  et  éprouvées,  sous  les 
plus  illustres  maîtres  et  en  leur  compagnie,  dans  les  gym- 
nases, les  universités  de  l'Allemagne.  Que  de  témoignages 
ne  lui  a-t-il  pas  donnés,  pendant  trente-cinq  années,  de 
son  entier,  de  son  infatigable  dévouement  I  Énergique 
collaborateur  des  Estienncs  de  notre  âge,  dans  l'érection 
de  ces  grands  monuments  qu'ils  ont  élevés  h  l'antiquité 
classique,  l'édition  nouvelle  du  Thésaurus,  la  Bibliothèque 
des  auteurs  ^rr^cs-y  prêtant,  en  même  temps,  sa  coopération 
à  des  entreprises  bien  considérables  elles-mêmes,  qui  ne 
se  proposaient  rien  moins  que  la  reproduction,  la  restau- 
ration savante  d'une  autre  antiquité,  celle  des  Pères  de 
l'Église  chrétienne;  mêlé,  incidemment,  par  le  besoin 
universellement  senti  de  son  concours  et  une  obligeance 
qui  ne  connaissait  point  les  refus,  à  d'autres  travaux  sans 
nombre,  de  sorte  que,  comme  on  l'a  dit  (1),  c  Sa  main 

(l)  M.  Egger,  discours  prononcé  aux  funérailles  de  Fr.  Dubner.  Voyez 


—  33  — 

était  partout  où  il  y  avait  quelque  manuscrit  à  colla- 
tionner,  quelque  texte  à  corriger  d'après  les  sévères  pro- 
cédés de  la  science  »  ;  se  souvenant  et  faisant  souvenir,  en 
mainte  occasion,  dans  ses  préfaces,  dans  ses  annotations, 
qu'avant  d'être  devenu,  par  un  exercice  assidu,  un  hellé- 
niste consommé,  il  avait  été  un  très-habile  latiniste; 
l'attestant  surtout  par  des  éditions  de  nature  diverse,  les 
unes  destinées  à  l'usage  commun  des  écoles,  dont  la  cor- 
rection savante  était  le  principal  ornement,  les  autres  dans 
lesquelles  s'ajoutait  à  ce  mérite  une  exquise  élégance  typo- 
graphique ou  une  grandeur  monumentale,  l'Horace  de 
1855,  le  Virgile  de  1858,  ces  petits  chefs-d'œuvre  elzé- 
viriens,  le  César  de  1867;  que  dirai-je  encore?  trouvant, 
dans  une  vie  si  remplie,  où,  comme  à  ses  débuts  en  Alle- 
magne, les  labeurs  de  l'enseignement  ont  eu  aussi  leur 
place,  le  temps  de  débattre,  avec  une  incontestable  com- 
pétence et  une  ardeur  passionnée,  celle  d'un  esprit  con- 
vaincu et  zélé  pour  le  progrès,  des  questions  de  méthode 
grammaticale,  le  temps  d'écrire,  pour  nos  journaux,  nos 
revues  d'instruction  publique,  sur  certains  passages  diffi- 
ciles et  diversement  interprétés  des  auteurs  anciens,  des 
articles  où  le  profond  érudit  se  montrait,  par  surcroît, 
dans  un  français  digne  de  sa  latinité,  un  fin  et  spirituel 
critique.  Je  résume,  à  grand'peine,  sous  des  expressions 
générales,  des  détails  dont  l'exact  relevé  composerait, 
l'auteur  d'une  notice  spéciale  (1)  l'a  déjà  fait  voir,  une 
longue  autant  qu'intéressante  biographie.  Regrettable  à 
la  France,  disais-je  tout  à  l'heure;  j'ajoute  :  bien  digne 
de  regrets  de  la  part  de  notre  Association^  qui  l'avait  vu 
accourir  à  elle,  des  premiers,  avec  des  espérances  que  le 
secours  de  ses  lumières  et  de  son  expérience  nous  eût 
puissamment  aidés  à  justifier. 
Elle  n'a  pas  tardé  à  être  affligée  d'une  autre  perte  bien 

ce  discours,  ainsi  que  ceux  de  MM.  Firmin  Didot  et  Bétolaud ,  dans  la 
Revue  de  l'instruction  publique  du  17  octobre  1867. 
(1)  M.  Fr.  Godefroy,  Notice  sur  J.-Fr.  Diibner. 


-  34  — 

sensible,  qui  faisait  disparaître  de  ses  rangs,  si  récemment 
formés,  un  helléniste  d'un  ordre  beaucoup  plus  modeste, 
sans  doute,  mais  non  d'un  moindre  zèle  pour  le  progrès 
des  études  grecques.  Il  en  a  fait  preuve  de  double  manière, 
soit  par  ses  leçons,  au  lycée  de  Montpellier,  où,  pendant 
quarante  ans,  de  4816  à  1856,  objet  d'une  estime  et  d'une 
reconnaissance  auxquelles  sa  retraite  n'a  pas  mis  un 
terme,  et  qui  lui  survivront  dans  le  cœur  de  ses  conci- 
toyens, il  a  professé,  avec  un  zèle  soutenu  et  efficace,  la 
grammaire  et  les  humanités  ;  soit  par  des  ouvrages  dont 
la  plupart  attestent  honorablement  son  penchant,  sa  pré- 
dilection pour  l'enseignement  de  la  langue  grecque  :  ce 
sont  des  traités  élémentaires,  des  éditions  d'auteurs  faciles 
à  l'usage  des  commençants,  que  leur  utilité  éprouvée  par 
la  pratique  a  désignés  tous  à  l'approbation,  à  l'adoption 
de  l'administration  qui  préside  aux  études.  Voilà  des  titres 
bien  respectables,  bien  dignes  de  recommander  à  nos 
hommages  la  mémoire  de  M.  Dumas-Saisset.  Beau-frère, 
le  second  de  ces  noms  le  rappelle,  du  professeur,  de  l'écri- 
vain éminent  qu'a  trop  tôt  perdu  la  philosophie,  il  a  bien 
mérité  lui-même,  dans  un  ordre  de  travaux  qui  a  particu- 
lièrement droit  à  notre  intérêt,  de  l'instruction  publique. 
Je  n'ai  pas  achevé,  il  s'en  faut,  cette  revue  funèbre;  il  me 
faut  y  comprendre,  nécessité  vraiment  douloureuse  !  deux 
jeunes  hommes,  que  des  trépas  inattendus  ont  enlevés, 
presque  ensemble,  tout  récemment,  Tun  le  6  décembre 
dernier,  l'autre,  il  y  a  quelques  jours  à  peine,  le  22  février, 
au  cours  heureux  de  leurs  travaux  et  de  leurs  succès,  aux 
belles  promesses,  déjà  accomplies  pour  une  si  grande  part, 
de  leur  avenir.  Bien  des  traits  leur  sont  communs,  outre 
la  fatalité  de  leur  mort.  De  fortes  études  les  avaient  dirigés 
tous  deux  vers  l'École  normale,  de  qui  les  avait  reçus 
l'École  française  d'Athènes,  pour  nous  les  renvoyer,  pour 
les  restituer  au  service  de  l'érudition,,  des  lettres,  de  l'en- 
seignement, avec  cette  espèce  d'achèvement  qu'un  heu- 
reux naturel,  une  riche  culture,  ne  peuvent  manquer  de 


—  35  — 

recevoir  d'un  séjour  sur  la  terre  de  Grèce,  dans  l'antique 
patrie  de  la  liberté,  de  l'éloquence,  de  la  poésie  et  des 
arts.  Ai-je  besoin  de  dire  avec  quel  empressement  ils 
étaient  -venus  retrouver  quelque  chose  de  leur  chère 
Athènes  dans  notre  Association,  et  quel  accueil  sympa- 
thique ils  y  avaient  reçu? 

Gustave  Deville,  mort  dans  sa  trente-deuxième  année, 
est  celui  des  deux  à  qui  le  temps  a  le  plus  manqué  pour 
mettre  à  profit  les  connaissances  variées,  dont  ses  nom- 
breux voyages,  ses  missions  dans  diverses  contrées  de  la 
Grèce  et  de  TOrient  avaient  enrichi  un  esprit  si  curieux  et 
si  pénétrant,  sa  connaissance  approfondie  du  grec  ancien, 
son  intime  familiarité  avec  le  grec  moderne,  que  nul  étran- 
ger, assure-t-on,  n'a  parlé  plus  facilement.  Il  n'en  restera 
d'autres  traces,  à  défaut  d'œuvres  plus  considérables, 
dont  la  mort  a  subitement  interrompu  le  projet  ou  l'ébau- 
che, que  des  thèses  soutenues  devant  la  faculté  des  lettres 
de  Paris,  en  1866,  dans  l'intervalle  de  deux  voyages  en 
Grèce.  C'est  à  la  Grèce  que  Fauteur  en  a  emprunté  la  ma- 
tière, comme  pour  se  maintenir  dans  un  commerce  per- 
manent avec  la  patrie  adoptive  de  son  intelligence.  L'une, 
De  popularibus  cantilenis  apud  recentiores  Grœcos,  ajoute 
un  chapitre  intéressant  à  l'histoire  des  chansons  grecques, 
et  quelques  pièces  aux  recueils  qu'on  en  a  faits  depuis  le 
beau  et  charmant  livre  de  Fauriel.  L'autre  est  une  curieuse 
Étude  d'un  des  idiomes  modernes  du  Péloponnèse,  du  dia- 
lecte tzaconien.  Les  Archives  officielles  des  missions  scienti- 
fiques et  littéraires  garderont  aussi  quelques  souvenirs 
des  travaux  de  Gustave  Deville.  On  ne  lit  pas  sans  une 
émotion  pénible,  dans  une  livraison  (1)  nouvelle  qui  en 
a  été  publiée  le  mois  dernier,  son  rapport,  en  date  du 
9  avril  1867,  sur  l'exploration  de  l'île  de  Samothrace,  l'un 
des  objets  de  cette  mission  dernière,  acceptée  et  pour- 
suivie par  lui,  malgré  le  délabrement  de- sa  santé,  avec 

(1)  2«  série,  t.  IV,  p.  253. 


—  se- 
uil dévouement  qui  devait,  au  retour,  lui  devenir  si  fatal. 
Grâce  à  une  vie  un  peu  plus  longue,  quoique  terminée  elle- 
même  bien  prématurément  à  l'âge  de  quarante-deux  ans, 
Eugène  Gandar  a  pu,  ce  qui  a  été  refusé  à  Gustave  Deville, 
fournir,  avec  un  progrès  continu  et  de  croissants  succès, 
une  belle  carrière  de  professeur  et  d'écrivain.  Plusieurs 
récits  déjà  l'ont  retracée,  sous  l'impression,  universelle- 
ment ressentie,  de  ce  qu'il  y  avait  d'amer  et  de  cruel  dans 
la  conclusion  inattendue  qui  l'arrêtait  tout  à  coup,  au  mo- 
ment où  elle  se  poursuivait  le  plus  heureusement,  où  elle 
atteignait  aux  prix  mérités  de  persévérants  efforts^  Je  dois 
redire  succinctement  qu'après  avoir  obtenu,  en  1847,  le 
premier  rang  au  concours  de  l'agrégation  des  lettres,  et, 
par  suite,  une  place,  honorablement  conquise,  à  l'École 
française  d'Athènes,  Eugène  Gandar,  de  retour  en  France, 
a  professé  avec  distinction  la  rhétorique  dans  le  lycée  de 
Metz,  la  littérature  ancienne,  la  littérature  étrangère  dans 
les  facultés  de  Grenoble  et  de  Caen;  que,  rappelé  à  Paris 
en  4860,  il  y  a  consacré  pendant  sept  années,  à  l'ensei- 
gnement de  la  littérature  française,  la  variété,  la  solidité 
de  son  savoir,  la  sagacité,  la  justesse  de  son  esprit,  l'élé- 
gante gravité  de  sa  parole,  d'abord  comme    maître  de 
conférences  à  l'École  normale,  puis,  dans  la  chaire  illus- 
trée par  M.  Yillemain_,  comme  suppléant  de  son  digne  suc- 
cesseur, M.  Nisard;  que  cette  chaire  étant  devenue  va- 
cante, dans  les  derniers  jours  de  1867,  par  la  démission 
de  l'honorable  titulaire,  elle  lui  a  été  donnée,  sur  la  pré- 
sentation unanime  de  la  Faculté  et  du  conseil  académique, 
sur  la  désignation,  on  a  pu  le  dire,  du  public  des  écoles, 
dont,  par  les  mérites  les  plus  sévères ,  il  avait  gagné  la 
faveur.  Mais,  hélas!  cette  récompense,  malgré  le  délicat 
empressement  de  Tadministration,  s'est  trouvée  tardive  ; 
celui  à  qui  elle  était  décernée  était  déjà  trop  cruellement 
distrait  par  la  souffrance,    trop  voisin  de   sa  fin,   pour 
qu'un  dernier  éclair  de  joie  pût  pénétrer  dans  son  âme. 
Du  moins  a-t-il  pu  jouir  sans  trouble,  quelque  temps 


—  37  — 

auparavant,  de  ce  qui  devait  compter  pour  beaucoup  dans 
l'évaluation  de  ses  titres,  la  distinction  flatteuse  accordée 
par  l'Académie  française  à  son  Bossuet  orateur^  la  haute 
approbation  donnée  par  les  meilleurs  juges  à  son  édition 
critique  des  Sermons  de  la  jeunesse  de  Bossuet,  Dans  le 
premier  de  ces  ouvrages,  écrit  d'un  style  simple  et  ferme, 
judicieusement  approprié  à  la  gravité  du  sujet  et  à  la  sévé- 
rité de  la  méthode,  sont  racontées,  avec  une  exactitude 
toute  nouvelle  et  une  remarquable  vérité  d'appréciation, 
la  jeunesse  du  grand  orateur  et  l'éducation  de  son  génie. 
Dans  l'autre,  ces  principes  de  critique  presque  unique- 
ment appliqués  jusqu'ici  à  la  restauration  des  monuments 
littéraires  de  l'antiquité,  et  qu'on  s'est  avisé  bien  tard  d'ap- 
pliquer aux  nôtres,  il  en  est  fait  le  plus  consciencieux,  le 
plus  habile  usage,  pour  retrouver  la  classification,  fixer  la 
date,  rétablir  le  texte  des  premiers  essais  d'une  sublime 
éloquence,  si  longtemps  oubliés,  et  qui,  malgré  un  zèle 
et  des  soins  sincèrement  reconnus  et  même  célébrés,  cela 
n'est  pas  commun,  par  le  nouvel  éditeur,  n'avaient  reparu 
à  la  lumière  que  dans  un  fâcheux  état  de  dégradation  et 
de  confusion;  Ce  sont  là  les  œuvres  suprêmes  d'Eugène 
Gandar;  elles  marquaient  la  maturité  de  son  esprit,  le 
dernier  progrès  de  son  talent,  au  moment  où,  par  le  choix 
le  plus  honorable,  allait  se  compléter  sa  situation  dans 
l'enseignement  supérieur. 

11  en  est  d'autres  par  lesquelles  il  nous  convient  de  finir, 
bien  qu'elles  nous  ramènent  à  son  point  de  départ,  vers 
le  temps  où,  à  l'Écgle  française  d'Athènes,  il  était  l'hôte 
delà  Grèce,  où,  plus  tard,  une  mission  dans  les  îles  Io- 
niennes le  rendait  à  cette  terre  aimée,  que  les  premières 
fatigues  de  sa  santé  lui  avaient  fait  quitter  trop  tôt  à  son 
gré.  Ce  sont,  en  1854,  ses  remarquables  thèses  de  docto- 
rat :  De  Ulyssis  Ilhaca.  Qux  sitUomero  locos  descrihenti  fides 
adhihenda;  —  Ronsard  considéré  comme  imitateur  d'Ho- 
mère et  de  Pindare.  C'est,  en  1858,  sous  ce  titre  :  Homère 
et  la  Grèce  contemporaine,  une  dissertation    écrite  pour 


—  38  — 

l'académie  de  Gaen,  à  laquelle,  l'année  suivante,  en  1859, 
il  devait  encore  payer  son  tribut  par  une  nouvelle  disser- 
tation de  titre  analogue,  mais  répondant  à  une  autre  des 
préoccupations  de  son  esprit  épris  du  beau  en  tous  genres, 
Les  Andelys  et  Nicolas  Poussin.  De  ces  diverses  produc- 
tions, les  trois  premières  procèdent  d'une  inspiration  toute 
grecque;  la  Grèce  ancienne,  la  Grèce  moderne  y  sont  sa- 
vamment et  quelquefois  éloquemment  expliquées  l'une 
par  l'autre  ;  Homère,  particulièrement,  avec  l'éternelle 
vérité  de  ses  descriptions,  y  apparaît  comme  le  guide  le 
plus,  sûr  du  voyageur,  et,  à  leur  tour,  ces  contrées  qu'on 
visite  à  sa  suite,  leur  ciel,  leurs  sites,  leurs  mœurs,  y  de- 
viennent le  commentaire  vivant  de  sa  poésie  ;  enfin  on  y 
voit  rattaché  à  cette  poésie,  et  à  celle  de  Pindare,  le  grand 
effort  tenté  chez  nous,  dans  le  seizième  siècle,  pour  haus- 
ser le  ton  de  la  muse  française,  avec  une  confiance  quel- 
que peu  indiscrète,  assurément,  mais,  après  tout,  géné- 
reuse, que  le  génie  n'a  pas  toujours  trahie,  et  qui,  par 
quelques  succès  partiels,  devait  profiter,  sinon  tout  à  fait 
au  présent,  du  moins  à  l'avenir. 

Me  voilà  revenu  à  la  dignité,  à  l'influence  des  lettres 
grecques,  à  l'intérêt  de  ces  études,  dont  nous  voudrions, 
par  notre  concours,  aider  le  progrès  dans  notre  patrie.  C'est 
par  là  que  j'ai  commencé  ;  c'est  par  là  aussi  que  je  dois 
conclure.  Qu'il  me  soit  permis  toutefois  d'ajouter  encore 
un  mot,  qui  intéresse  mes  sentiments  personnels.  Arrivé 
au  terme  légal  de  ma  présidence,  je  ne  voudrais  pas  la 
quitter  sans  une  dernière  expression  de  gratitude  pour  de 
trop  indulgents  confrères,  qui  pouvant  choisir  parmi  tant 
d'autres  plus  dignes  d'être  élus,  m'en  ont  obligeamment 
déféré  le  très-précieux  honneur. 


—  39 


RAPPORT  DE  M.   CHASSANG 

SECRÉTAIRE 

SUR 

LES  TRAVAUX  DE  L'ANNÉE  1867. 


Messieurs, 

11  appartient  à  votre  Président  et  à  votre  Trésorier  de 
vous  parler  du  présent  de  l'Association,  et  de  vous  faire 
concevoir  les  meilleures  assurances  pour  son  avenir.  Le 
devoir  de  votre  Secrétaire  est  de  vous  entretenir  du  passé 
de  l'Association  (car  elle  a  déjà  un  passé,  si  modeste  qu'il 
soit),  et  de  vous  faire  connaître  ses  travaux  pendant  la 
première  année  de  son  existence. 

Après  un  mois  ou  deux  d'essais  persévérants  pour  s'or- 
ganiser, l'Association  s'est  vraiment  constituée,  le  7  mai 
4867,  en  arrêtant  la  liste  de  son  Comité  fondateur  et  de 
son  premier  Bureau.  Depuis  cette  époque  ont  eu  lieu 
neuf  séances  ordinaires,  auxquelles  le  Comité  a  convié 
tous  les  membres  de  l'Association,  qui  de  droit  y  ont  voix 
consultative,  et  dont  plusieurs  ont  pris  une  part  active  aux 
délibérations. 

Les  premières  séances  ont  été  naturellement  consacrées 
à  fixer  les  bases  de  l'ARsociation,  à  déterminer  les  moyens 


—  40  — 

d'action  qu'il  lui  semblait  convenable  et  utile  d'employer, 
enfin  à  élaborer  des  Statuts  qui  lui  permissent  de  fonc- 
tionner avec  ordre  et  régularité.  Ces  Statuts,  publiés  avec 
la  liste  des  membres  de  l'Association  en  juillet,  ont  formé 
notre  premier  Bulletin. 

Le  Comité  n'a  d'ailleurs  pas  attendu  la  rédaction  et  la 
publication  des  Statuts  pour  chercher  à  remplir  l'objet  de 
l'Association,  qui  est,  comme  son  nom  l'indique,  d'encou- 
rager les  études  grecques  en  France.  Il  a  pris  immédiate- 
ment les  mesures  qui  lui  ont  semblé  devoir  être  les  plus 
efficaces  en  vue  de  stimuler  le  zèle  pour  les  études  grec- 
ques, soit  chez  les  élèves,  soit  chez  les  maîtres,  soit  même 
chez  les  personnes  studieuses  étrangères  à  l'enseignement. 
L'Association  a  fait  annoncer  par  la  voie  des  journaux 
qu'elle  décernerait  des  prix  aux  lauréats  de  version  grec- 
que de  nos  lycées,  et  des  médailles  aux  auteurs  des 
meilleurs  livres  relatifs  aux  études  grecques  qui  seraient 
publiés  à  partir  de  l'année  1867. 

Pour  avoir  tout  son  effet,  il  était  nécessaire  que  la  dis- 
tribution des  prix  décernés  en  notre  nom  reçût  la  plus 
grande  publicité,  et  fût  entourée  d'autant  de  solennité 
qu'il  serait  possible.  Aussi,  indépendamment  de  l'annonce 
dans  les  journaux,  une  démarche  fut-elle  faite  par  le  Pré- 
sident auprès  de  M.  le  Ministre  de  l'instruction  publique, 
afin  d'obtenir  que  les  prix  de  l'Association  fussent  pro- 
clamés à  la  distribution  du  Concours  général.  Cette  fa- 
veur n'ayant  été  accordée  que  pour  le  prix  de  rhétorique, 
le  Président,  après  les  vacances,  s'entendit  avec  les  provi- 
seurs des  lycées  de  Paris  et  fut  autorisé  par  eux  à  remettre 
aux  lauréats  de  version  grecque  du  Concours  général  en 
seconde  et  en  troisième  les  autres  prix  de  l'Association. 
Vous  entendrez  sans  doute  avec  plaisir.  Messieurs,  les 
noms  des  élèves  qui  sont  ainsi  devenus  vos  premiers  lau- 
réats; ce  sont  les  jeunes  Bérard-Varagnac,  du  lycée  Bona- 
parte (rhétorique);  Cauquelin,  du  lycée  Charlemagne  (se- 
conde), et  Créhange,  du  lycée  Louis-le-Grand  (troisième). 


—  4i  — 

Puissions-nous  avoir  couronné  en  l'un  d'eux  quelque  futur 
helléniste  ! 

C'est  à  des  hellénistes  déjà  formés  que  s'adressent  vos 
médailles.  Il  avait  été  annoncé,  par  la  voie  de  la  presse, 
que  l'Association  décernerait,  en  1868,  une  médaille  de 
cinq  cents  francs  au  meilleur  livre  relatif  aux  études  grec- 
ques qui  aurait  été  publié  en  1867,  et  qu'elle  décernerait, 
en  1869,  une  médaille  de  mille  francs  au  meilleur  livre  de 
ce  genre  qui  serait  publié  en  1868.  Au  concours  ouvert  en 
1868  pour  le  prix  de  cinq  cents  francs,  plusieurs  ouvrages 
ont  été  présentés  :  la  commission  chargée  de  faire  entre 
eux  un  choix  au  nom  de  l'Association  en  a  distingué  deux, 
l'édition  de  Sophocle  par  M.  Tournier  et  la  traduction  de 
Dion  Cassius  par  M.  Boissée.  Je  ne  saurais  mieux  faire, 
Messieurs,  que  de  vous  donner  connaissance  des  conclu- 
sions motivées  de  la  Commission,  qui  avait  pour  rappor- 
teur un  savant  dont  nul  ne  contestera  la  haute  compé- 
tence ni  l'impartiale  équité,  M.  Egger. 

«  L'édition  de  Sophocle  par  M.  Tournier,  dit  M.  Egger 
dans  son  rapport,  offre  le  résumé  substantiel  et  judicieux 
des  meilleurs  travaux  de  la  critique  sur  le  texte  des  sept 
tragédies  de  cet  auteur.  Le  nouvel  éditeur  corrige  et  inter- 
prète rarement  ce  texte  d'après  ses  idées  personnelles;  il 
choisit  le  plus  souvent  entre  les  leçons  et  les  interpréta- 
tions de  ses  prédécesseurs  ;  mais  il  le  fait  avec  un  goût 
sévère  en  même  temps  qu'avec  un  sage  esprit  de  justice 
envers  les  critiques  qui,  depuis  trois  siècles  et  plus,  ont 
successivement  amélioré  ou  éclairci  le  texte  du  tragique 
athénien.  La  Notice  sur  Sophocle  est  .écrite  avec  une  pré- 
cision élégante  et  ferme  ;  elle  est  aussi  instructive  qu'elle 
pouvait  l'être  en  si  peu  de  pages.  L'introduction  expose 
avec  une  parfaite  netteté  la  tradition  des  manuscrits  et 
les  règles  que  la  science,  aujourd'hui,  s'est  faites  pour  la 
récension  des  textes  anciens  :  c'est  la  première  fois  que 
ces  règles  auront  été  suivies,  chez  nous,  avec  rigueur  pour 
une  édition  de  Sophocle.  L'ensemble  de  ce  volume  est 


—  42  — 

exécuté  sans  luxe  inutile,  mais  d'une  manière  qui  fait 
également  honneur  à  l'imprimerie  et  à  la  librairie  fran- 
çaises. 

«  La  Commission  n'hésite  pas  à  décerner  à  M.  Ed.  Tour- 
nier  la  médaille  de  cinq  cents  francs.  Ce  jeune  savant  n'est 
pas  à  ses  débuts.  Déjà  deux  thèses  soutenues  par  lui  en 
1863 ,  devant  la  Faculté  des  lettres,  l'avaient  heureusement 
signalé  à  l'estime  du  monde  savant.  La  présente  édition  de 
Sophocle  marque  un  notable  progrès  dans  ses  études  ; 
votre  médaille  ne  pourra  que  l'encourager  à  poursuivre  de 
si  utiles  travaux. 

«  La  continuation  du  Dion  Cassius  grec-français,  dont 
M.  E.  Gros  n'avait  publié  que  les  quatre  premiers  volumes, 
était  une  œuvre  fort  difficile.  M.  Val.  Boissée,  qui  l'a  entre- 
prise avec  beaucoup  de  désintéressement  et  de  courage, 
en  soumet  à  notre  examen  le  neuvième  et  avant-dernier 
volume.  Publié  en  décembre  1867,  ce  volume  rappelait 
naturellement  les  quatre  précédents,  qui  ont  paru  de 
1862  à  1866.  La  Commission  reconnaît  tout  ce  qu'a  coûté 
d'efforts  une  publication  si  laborieuse.  Elle  reconnaît  les 
services  que  rend  aux  études  grecques  une  édition  de 
Dion  Cassius  où  le  texte,  accompagné  de  notes,  est  im- 
primé en  regard  d'une  traduction  française  que  l'on  peut 
considérer  comme  la  première  traduction  intégrale  de 
cet  historien  en  notre  langue.  Dion  était,  jusqu'ici,  d'une 
lecture  très-pénible  dans  la  savante  mais  fort  laide  édition 
grecque-latine  de  Sturz,  devenue  d'ailleurs  incomplète 
par  la  découverte  de  fragments  inédits.  Les  éditions  seu- 
lement grecques  deBekker  et  de  Dindorf,  dont  M.  Boissée 
ajustement  profité  pour  améliorer  le  texte  de  Dion  dans 
ces  derniers  volumes,  sont  à  l'usage  spécial  des  philolo- 
gues plutôt  que  de  toutes  les  personnes  qui  s'occupent 
d'histoire  ancienne.  La  publication  de  M.  Boissée  met 
donc  aux  mains  d'un  plus  grand  nombre  de  lecteurs  sé- 
rieux ce  qui  nous  reste  des  abondants  récits  de  l'annaliste 
grec.  Les  imperfections  de  détail  que  le  critique  peut  re- 


—  43  — 

lever,  soit  dans  l'établissement  du  texte,  soit  dans  la  tra- 
duction, ne  devaient  pas  nous  détourner  d'encourager  par 
un  témoignage  public  de  notre  estime  le  zèle  de  l'hellé- 
niste français  qui  poursuit  depuis  sept  ans  et  qui  va  bien- 
tôt achever  une  tâche  si  considérable.  La  Commission 
pense  donc  que  l'on  fera  justice  en  décernant  une  mention 
honorable  à  M.  Boissée.  » 

Les  conclusions  de  ce  rapport  ayant  été  adoptées  à  l'una- 
nimité par  le  comité  de  l'Association,  M.  le  Président  a 
déclaré  que  le  prix  de  cinq  cents  francs  était  décerné  à 
M.  Tournier  pour  son  édition  de  Sophocle,  et  qu'une 
mention  honorable  était  acquise  à  M.  Boissée  pour  le  neu- 
vième volume  de  sa  traduction  de  Dion  Cassius.  Cette  dé- 
cision a  été  annoncée  dans  plusieurs  journaux. 

L'activité  de  l'Association  naissante  ne  s'est  pas  bornée 
à  se  constituer,  à  s'organiser  et  à  distribuer  des  récom- 
penses en  vue  de  provoquer  de  nouveaux  progrès  dans 
la  voie  des  études  grecques.  L'emploi  des  séances  tenues 
chaque  mois  a  été  des  plus  variés.  Je  ne  puis  songer  à 
vous  donner  ici  une  lecture  ni  même  une  analyse  de  nos 
procès-verbaux.  Qu'il  me  suffise  de  vous  signaler  quelques- 
uns  des  objets  qui  ont  occupé  ces  séances,  et  qui,  ce 
semble,  leur  ont  donné  à  la  fois  de  l'intérêt  et  de  l'utilité. 

De  ce  nombre  est  à  coup  sûr  la  proposition  faite  par 
M.  Gaidoz  et  formulée  dans  une  lettre  signée  de  quatorze 
autres  membres  de  l'Association.  Elle  avait  pour  but  de 
répandre  en  France,  par  des  traductions,  quelques  ou- 
'vrages  d'érudition  grecque  publiés  en  Allemagne,  notam- 
ment la  Grammaire  grecque  de  G.  Cuitius.  Cette  proposi- 
tion a  été  acceptée  en  principe;  mais,  au  sujet  des  moyens 
<^i  employer  pour  remplir  cet  «objet,  il  s'est  engagé  plu- 
sieurs discussions,  soit  dans  le  sein  de  la  commission 
nommée  à  cet  effet,  soit  dans  les  séances  mensuelles  du 
Comité.  Tout  d'abord  il  a  été  reconnu  que  l'Association 
ne  peut  se  charger  ni  de  publier  à  ses  frais  ni  de  débiter  à 
son  compte  aucun  ouvrage,  pas  phis  celui-là   que  tout 


_  44  — 

autre.  On  a  ensuite  cherché,  mais  vainement  jusqu'ici,  un 
éditeur  qui  fût  disposé  à  publier  la  traduction  française  de 
la  Grammaire  grecque  de  Gurtius,  même  avec  l'espérance 
des  encouragements  pécuniaires  de  l'Association ,  qui 
sont  nécessairement  assez  restreints.  Enfin  le  Comité  s'est 
contenté  d'émettre  le  vœu  que,  à  défaut  de  cette  publica- 
tion, il  fût  fait,  soit  dans  la  Revue  de  Vinstruction  publique^ 
soit  dans  notre  Annuaire  de  1869,  une  analyse  des  parties 
les  plus  essentielles  de  cette  grammaire  :  il  y  a  tout  lieu 
d'espérer  que  cette  tâche  sera  bientôt  remplie  par  un  de 
nos  confrères  les  plus  compétents,  M.  Thurot. 

Les  séances  du  Comité  n'ont  pas  été  toujours  tout  en- 
tières consacrées  aux  affaires  :  le  temps  qui  est  resté  libre 
à  la  fin  de  ces  séances  a  été  rempli  par  des  communica- 
tions ou  des  lectures  propres  à  intéresser  très-vivement 
tous  les  membres  de  l'Association  :  c'est  dire  assez  qu'elles 
étaient  relatives  aux  études  grecques.  Ainsi  M.  Wescher 
a  parlé  de  l'historien  Aristodème,  récemment  remis  en 
lumière  par  lui,  et  dont  on  trouvera  un  fragment  dans 
notre  Annuaire  de  1868;  M.  Miller  a  exposé  la  composi- 
tion du  volume  d"AvéxooTa  dont  il  préparait  en  ce  moment 
la  publication  ;  M.  Egger  a  commencé  la  lecture  de  son 
Mémoire  «  sur  une  nouvelle  renaissance  des  études  grec- 
ques et  latines  en  France  au  dix-neuvième  siècle.  » 

Enfin,  Messieurs,  il  me  reste  à  vous  parler  d'un  travail 
qui  regarde  particulièrement  le  Secrétaire,  la  publication 
de  V Annuaire  de  l'Association,  lequel  doit  comprendre, 
en  1868,  outre  les  Statuts  et  la  liste  rectifiée  des  membres 
de  l'Association,  une  Bibliographie  et  une  Nécrologie 
spéciales,  et  quelques  pages  de  cet  Aristodème  qu'a  pu- 
blié M.  Wescher.  U Annuaire  ne  pouvait  paraître  avant 
l'Assemblée  générale,  car  c'est  de  cette  assemblée  que 
vont  sortir  le  nouveau  Comité  et  le  nouveau  Bureau,  dont 
il  devra  donner  la  composition.  Mais,  l'impression  étant 
déjcà  fort  avancée,  nous  avons  l'espoir  que  d'ici  à  quinze 
jours  environ  V Annuaire  sera  parvenu  à  tous  nos  associés. 


—  45  — 

même  aux  plus  éloignés,  et,  pour  le  dire  en  finissant,  nous 
en  comptons  non-seulement  en  France,  mais  en  Belgique, 
en  Angleterre,  en  Grèce  et  jusqu'en  Egypte  ;  car  des  mar- 
ques de  sympathie  nous  sont  venues  de  toutes  parts,  et 
notre  Bibliothèque  naissante  contient  des  publications  ou 
des  volumes  qui  nous  ont  été  adressés  de  Marseille  (1),  de 
Londres  (2),  de  Zacynthe  (3)  et  d'Athènes  (4). 


RAPPORT  DE  M.  GUST.  D'EICHTHAL 

TRÉSORIER 
SUR 

LES   RECETTES   ET   DÉPENSES  DE   L'ASSOCIATION 

jusqu'au    29    FÉVRIER    1868. 


Je  viens  au  nom  de  votre  Commission  de  comptabilité 
vous  présenter  le  compte  de  vos  recettes  et  dépenses  pour 
l'exercice  qui  se  termine  au  29  février  dernier  et  un  projet 
de  budget  pour  le  prochain  exercice. 

Vos  recettes  se  sont  élevées  à *    6,569 '' 35 

* 

(1)  'EpLTtoptxov  èy/etpiSiov,  ûttô  K.  MéXa,  èv  'AÔiQvai;,  1864. 

(2)  «twTiou  ÈTTiaToÀat,  Okô  N.  BaXsTxa,  èv  Aovoîvo),  1864.  —  '0(xtqûou  p(o; 
xal  7;otr,(xaTa,  UTtô  N.  BaXéxTa,  èv  Aovôivto,  1867. 

(3)  llept  orjtiOTixïi;  èv  'EX).àot  -^lôiaaritif  vizà  H.  Xkotou,  èv  ZaxOvOtj).  — 
AYaviTiTiT],  o\iyyç.a\}.[i.'x  Tiepioôtxciv,  Otiô  Xiwto'j,  èv  Zay.uvOw,  1867. 

(4)  C Indépendance  hellénique,  journal  hi'bdomadairc,  rédacteur  en 
chef  M.  Canellopoulo,  Athènes,  18G7.  —  «PiXinuo;  looâwYi;,  <^^/oXoYlxà  ni- 
pepya,  1805.  TajjLTQXio;  wSfj,  1867. 


—  46  — 

Dont    5,260^"  »,proc!uit  des  cotisations  annuelles  (1). 
1,200      »,  produit  de  12  cotisations  de  dona- 
teurs. 
109    35,  semestre  d'intérêts  sur  15  obliga- 
tions des  chemins  de  fer  de  l'Ouest. 


Total.  6,569     35 


Cette  somme  a  été  employée  comme  il  suit  : 

Prix  distribués  aux  lauréats  du  concours  général 
des  lycées  de  Paris  et  de  Versailles.  .......       342  ^'-   » 

Valeur  du  prix  décerné  à  M.  ïournier  pour  son  édi- 
tion de  Sophocle 500      « 

A  MM.  Laine -et  Havard,  imprimeurs,  pour  éditions 
•successives  du  programme,  du  Bulletin,  etc..   .   .       267    75 

Au  Secrétaire  pour  affranchissements,  expéditions, 
menus  frais  divers 120      » 

Fournitures  et  menus  frais  payés  par  le  Trésorier..  .         61     16 

'  Ensemble 1,290    91 

Achat  de  15  obligations  du  chemin  de  • 

fer  de  l'Ouest 4,6564 '"^4 

En  caisse 622  5,278    44 

Somme  égale  à  la  recette 6,569    35 


Les  obligations  appartenant  à  la  Société  restent  dé- 
posées chez  M.  Ferdinand  Moreau,  agent  de  change. 

J'ai  maintenant  à  vous  entretenir  de  notre  projet  de 
budget. 

Nous  entrons  dans  le  nouvel  exercice  avec  une  réserve  de  : 

En  obligations .     4,656    44 

En  caisse 622 

Total  à  reporter,  ....     5,278    44 

(1)  Il  est  intéressant  de  constater  que  plus  du  cinquième  de  cette  somme 
a  été  apporté  par  des  souscripteurs  hellènes.  La  colonie  grecque   de 


—  47  — 

Report 5,278'' 44 

Les  intérêts  de  nos  15   obligations  pendant  un  an 
nous  donneront 218    70 

Ensemble 5.497     14 

Cette  somme  peut  être  considérée  comme 
parfaitement  assurée;  mais,  après  l'expérience 
d'une  seule  année,  il  ne  nous  paraît  pas  pos- 
sible d'évaluer  avec  certitude  le  montant  pro- 
bable de  la  prochaine  cotisation.  Nous  croyons 
cependant  ne  rien  exagérer  en  admettant  un 
produit  minimum  moitié  de  la  cotisation  an- 
nuelle pour  l'année  dernière. 

Soit 2,630 


Ce  qui  porterait  le  total  de  nos  ressources  à.  .   ...  8,127     I4 

Par  contre,  nos  dépenses  peuvent  être  évaluées  comme 
il  suit  : 

Loyer  de  la  salle  de  nos  séances,  du  mois  de  novembre 
1867  au  mois  d'août  1868,  y  compris  chauffage, 

éclairage,  indemnité  à  l'agent 300"    » 

Frais  divers  et  dépenses  imprévues 250 

Annuaire,  environ 600      » 

Prix  pour  le  concours  général *  350      » 

Prix  pour  l'ouvrage  le  plus  utile  aux  études  grecques.  1 ,000      » 

Total 2,500      » 


Vous  voyez  que  cette  somme  est  à  peu  près  égale  à  celle 
que  nous  avons  adoptée  pour  le  montant  probable  de 
notre  prochaine  cotisation.  Il  serait  imprudent  de  la  dé- 
Marseille  a  donné  à  elle  seule  plus  de  soixante)  cotisations  ;  celle  de  Lon- 
dres plus  de  vingt. 


—  48  ~ 

passer.  Quelle  que  puisse  être  l'utilité  de  certains  travaux 
qui  viendraient  réclamer  nos  encouragements,  avant  de 
cédera  de  généreuses  tentations,  nous  devrons  avoir  cons- 
titué une  réserve  suffisante  pour  assurer  notre  avenir. 

Grâce  au  zèle  de  votre  Secrétaire,  nous  pensons,  Mes- 
sieurs, que  V Annuaire  pour  1868  pourra  vous  être  distribué 
à  la  fin  du  mois. 


NECROLOGIE. 


M.  Frédéric  Dubner. 

M.  Ddmas-Saisset.  (   ,,  Membres    de  l'Associalion 

,.  ^  ^  /   Voir  le  discours  du  Président. 

M.  Gustave  Deville.  l   p^  32-38. 

M.  Eugène  Gandar. 


M.  Reinaud. 

Bien  que  M.  Reinaud  ne  fût  pas  spécialement  un  hellé- 
niste, nous  devons  un  souvenir  respectueux  à  cet  éminent 
érudit,  qui  avait  témoigné  l'un  des  premiers  le  désir  de 
faire  partie  de  VAssociaiion  pour  V encouragement  des  études 
grecques. 

Joseph-Toussaint  Reinaud ,  né  à  Lambesc  (Bouches-du- 
Bhône),  en  1795,  est  mort  à  Paris  en  1867.  Élève  de 
Silvestre  de  Sacy,  qu'il  remplaça  dans  la  chaire  d'arabe  de 
l'École  des  langues  orientales  vivantes  (1838),  il  entra, 
en  1824,  comme  employé  au  département  des  manus- 
crits de  la  Bibliothèque  royale,  où  il  devint  plus  tard 
conservateur  administrateur  (1855)  ;  et  il  fut,  dès  1832,  élu 
membre  de  l'Académie  des  inscriptions  et  belles-lettres.  Il 
a  collaboré  activement  aux  Mémoires  de  cette  Académie, 
au  Journal  asiatique,  à  la  Bibliothèque  des  Croisades,  etc., 
et  il  a  publié  de  nombreux  et  savants  ouvrages,  dont 
les  principaux  sont  :  Extraits  des  historiens  arabes  relatifs 
aux  Croisades  (1829);  Relations  des  voyages  faits  par  les 
Arabes  et  les  Persans  dans  l'Inde  et  à  la  Chine  au  quinzième 


—  50  - 

siècle  (texte  arabe,  avec  trad.  et  notes,  1845);  Mémoire 
historique  ,  géographique  et  scientifique  sur  l'Inde  antérieu- 
rement au  onzième  siècle  {iMl);  Géographie  d'Aboulféda , 
trad.  de  l'arabe  en  français  (1848);  Mémoire  sur  la  Mésène 
et  la  Kharacène  (1862);  Relations  politiques  et  commer- 
ciales de  V Empire  romain  avec  l'Asie  orientale  (1863)  ; 
etc.,  etc. 

A.  Chassang. 


;MM.  F.  Bopp  et  A.  Boeckh. 

L'Université  de  Berlin  a,  dans  le  cours  de  l'année  1867, 
perdu  deux  de  ses  plus  illustres  professeurs,  MM.  Bopp  et 
Bœckh.  Notre  Académie  des  inscriptions  et  belles-lettres 
les  comptait  parmi  ses  associés  étrangers. 

Par  des  travaux  de  nature  diverse,  tous  deux  ont  bien 
mérité  des  lettres  grecques.  M.  Bopp  s'était  attaché  à  l'é- 
tude des  langues  indo-européennes.  Comparant  entre  elles 
les  différentes  souches  de  la  grande  famille  aryenne,  il 
était  entré  dans  le  secret  de  leur  vie,  il  avait  dénombré 
leurs  organes,  il  avait  fixé  les  lois  de  leur  développement. 
Dès  lors  l'étymologie  n'a  plus  été  un  inutile  jeu  d'esprit, 
les  archaïsmes  et  les  formes  populaires  un  lasus  naturœ, 
les  dialectes  un  caprice  sans  raison,  la  grammaire  un  re- 
cueil de  formules  dictées  par  l'empirisme.  De  même  que 
Platon  rapportait  tous  les  Phénomènes  du  monde  visible 
à  des  Idées  éternelles  et  immuables,  de  même  les  règles  de 
nos  langues  classiques  se  sont  classées  dans  les  règle? 
générales  de  la  grammaire  indo-européenne.  Celle-ci  a 
donné  aux  grammaires  particulières  des  cadres  logiques, 
en  même  temps  que,  par  la  comparaison  des  différents 
idiomes ,  elle  identifiait  racines,  flexions,  désinences  et 
suffixes.  On  avait  jusque-là  voulu  fixer  les  langues  à  une 
époque  précise  de  leur  développement,  condamnant 
comme  barbarisme  tout  ce  qui  ne  cadrait  pas  avec  la 


—  51  — 

convention  de  cet  âge  unique.  Mais  alors  les  langues  appa- 
rurent soumises  aux  lois  d'évolutions  successives,  et  l'on  re- 
trouva leur  histoire  perdue.  Nous  connaissons  aujourd'hui 
l'histoire  de  la  langue  grecque  mieux  que  ne  la  connais- 
saient les  grammairiens  les  plus  fameux  d'Alexandrie  ou  de 
Byzance.  On  pourrait  dire  que,  de  la  part  de  M.  Georges 
Curtius,  ce  n'a  été  que  justice  de  dédier  à  M.  Bopp  son 
grand  livre  des  Principes  de  Vélymologie  grecque.  La  phi- 
lologie grecque,  en  effet,  repose  sur  la  philologie  des  lan- 
gues indo-européennes  telle  que  l'a  comprise  et  fondée 
M.  Bopp.  Nous  ne  citerons  ici  que  ceux  de  ses  ouvrages 
où  il  a  frayé  la  voie  à  un  ordre  nouveau  de  recherches 
dans  l'antiquité  grecque  :  son  Système  de  conjugaison  de  la 
langue  sanscrite^  comparé  avec  celui  des  langues  grecque,  la- 
tine^ persane  et  germanique^  publié  en  1816  à  Francfort-sur- 
le-Mein,  et  sa  Grammaire  comparée  des  langues  indo-euro- 
péennes, l'cEuvre  principale  de  sa  vie,  commencée  en  1833, 
terminée  en  1849,  refondue  et  réimprimée  en  1857,  et  dont 
M.  Michel  Bréal  nous  donne  en  ce  moment  une  version  fran-* 
çaise.  M.  Bopp  était  né  en  1791  à  Mayence;  depuis  18:21 
il  professait  à  l'université  de  Berlin.  Dans  ces  dernières 
années,  l'état  de  sa  santé  ne  lui  permit  plus  d'enseigner. 

Plus  vigoureusement  constitué,  M.  Bœckh  enseigna  jus- 
qu'au dernier  jour,  bien  qu'il  fût  l'aîné  de  M.  Bopp.  Lui 
aussi  a  joué  un  rôle  important  dans  l'histoire  des  sciences 
de  l'antiquité.  Il  a  été  un  des  premiers  chefs  de  cette  école 
historique  qui  a  fait  de  la  philologie  classique  une  chose 
vivante,  et  devant  laquelle  est  tombée  l'école  dont  Gott- 
fried  Hermann  reste  à  nos  yeux  le  représentantle  plus 
illustre.  Si  l'on  excepte  les  travaux  de  F. -A.  Wolf,  qui 
dans  ses  Prolégomènes  sur  Homère  ouvrait  une  voie  nou- 
velle, les  textes  classiques  étaient  à  la  fois  la  matière  et  le 
but  des  études  de  cette  génération  de  savants.  Mais,  pour 
M.  Bœckh,  la  philologie  était  la  reproduction  de  l'anti- 
quité dans  son  développement  successif  et  dans  son  en- 
semble varié.  Pour  lui,  les  |arts  de  la  Grèce  étaient  objet 


—  52  — 

d*étude  comme  son  éloquence,  sa  religion  comme  sa 
grammaire,  ses  institutions  comme  sa  métrique;  en  un 
mot,  la  civilisation  et  la  vie  de  la  Grèce  étaient  pour  lui 
l'objet  propre  des  études  grecques.  L'influence  et  l'ensei- 
gnement de  M.  Bœckh  contribuèrent  puissamment  à  faire 
prédominer  en  Allemagne  ces  principes  auxquels  on  doit 
de  si  belles  recherches  et  de  si  grands  livres.  Ottfried 
Millier  était  un  de  ses  élèves. 

M.  Bœckh  était  né  à  Carlsruhe  en' 1785.  Il  étudiait  la 
théologie  à  Halle,  quand  l'influence  de  F. -A.  Wolf  l'attira 
vers  la   philologie.    Professeur     en    1807   à  l'Université 
d'Heidelberg,  il  fut  appelé  en  1811  à  la  nouvelle  Université 
de  Berlin,  où  il  passa  sa  longue  carrière.  Ses  principaux 
ouvrages  sont  :  une  édition  de  Pindare  (2  vol.  en  4  parties, 
1811-1822);  Économie  politique  des  Athéniens  {V  éd.  Ber- 
lin, 1817,  2  vol.  in-8;  —  traduit  en  français  par  Laligan. 
Paris,  1828;  2*  éd.  en  3  vol.  in-8,  Berlin,  1851-1852);  Re- 
cherches métrologiques  sur  les  poids,  étalons  et  mesures  de  l'an- 
Hquiié  {Berlin,  1838)  ;  Documents  sur  la  marine  des  Athéniens 
(Berlin,  1840)  ;  Manélhon  et  le  crjcle  caniculaire  (Berlin,  1845); 
Recherches  sur  le  système  cosmique  de  Platon  (Berlin,  1852); 
Cijcle  lunaire  des  Hellènes  (1855),  etc.  M.  Bœckh  a  donné 
en  outre  un  grand  nombre  de  dissertations  aux  Mémoires 
de  l'académie  de  Berlin,  aux  Programmes  de  l'Université 
de  cette  ville  et  à  différentes  Revues.  Au  premier  rang, 
parmi  les  travaux  qui  rappelleront  son  nom  à  la  postérité, 
il  faut  inscrire  le   Corpus  inscriptionum  Grœcarum    que 
publie  l'académie  de  Berlin.  Depuis  1850,  ce  travail  est 
continué  par  plusieurs  mains,  mais  ses  deux  premiers  vo- 
lumes (1824-1850)  sont  l'œuvre  personnelle  de  M.  Bœckh. 

Henri  Gaîdoz. 


FRAGMENTS  INÉDITS 

DE  l'historien  GREC 

ARISTODÈME, 


RECOEILLIS  ET  PUBLIÉS 


PAR  C.    WESCHER 


Aux  textes  inédits  renfermés  dans  le  volume  récemment 
publié  de  la  Poliorcêtique  des  Grecs  (1),  est  joint  un  morceau 
historique  d'une  étendue  considérable,  attribué  par  le 
manuscrit  qui  nous  l'a  conservé  à  un  écrivain  du  nom 
à' Aristodèi7ie .  Ce  manuscrit,  qui  remonte  au  X°  siècle,  a 
fait  partie  de  la  bibliothèque  du  couvent  de  Vatopède  au 
mont  Athos ,  et  appartient  aujourd'hui  à  là  Bibliothèque 
impériale  de  France.  L'auteur  des  fragments  paraît  être 
Aristodème  de  Nysa,  rhéteur  d'Asie,  contemporain  de 
Strabon,  cité  dans  Parlhénius  (£'ro/.  8)  comme  ayant  écrit 
un  ouvrage  en  plusieurs  livres  intitulé  'laxopiai. 

Le  morceau  d'Aristodème  se  compose,  dans  le  manus- 
crit original,  de  deux  longs  fragments,  ayant  formé  primi- 
tivement la  fin  du  JV*  livre  et  la  presque  totalité  du  V« 
dans  l'œuvre  complète  de  l'historien.  Ces  fragments  com- 
prennent l'histoire  de  la  période  de  cinquante  ans  ou 
pentéconiaétérîde,  qui  s'écoula  entre  la  fin  des  guerres 
médiques  et  le  commencement  de  la  guerre  du  Pélopon- 
nèse. C'est  un  trait  d'union  entre  Hérodote  et  Thucydide. 

Les  sources  auxquelles  Aristodème  paraît  avoir  puisé 
sont  les  suivantes  : 

1°  \J Abrégé  d'Hérodote,  attribué  par  les  anciens  à  Théo- 
pompe. —  En  effet,  dans  le  récit  de  la  bataille  de  Salamine 

(1)  IIoÀiopxYjTtxà  xal  TioXtopxiai  ôiaçopcov  TioXeuv.  Poliorcêtique 
DES  Grecs.  —  Traités  théoriques»  —  Récits  historiques.  —  Textes  restitués 
d'après  les  manuscrits,  augmentés  de  fragments  inédits  et  accompagnés 
d'un  Commentaire  palcograpliiquc  et  critique,  par  C.  Wkscukb.  Paris, 
Imprimerie  impériale,  1867,  grand  iu-8»  (ILIV  et  388  pages). 


—  56  — 

par  Aristodème ,  on  trouve  une  expression  rare  citée  par 
Photius  et  Suidas  comme  appartenant  à  l'Abrégé  de  Théo- 
pompe. (Cf.  Suidas,  s.  v.  1,-koM^m). 

2°  Les  Histoires  de  Clitarque  et  de  Stra(oclès,  — Le  récit 
dramatique  de  la  mort  de  Thémistocle,  tel  qu'il  se  trouve 
dans  le  texte  d' Aristodème,  est  attribué  par  Gicéron  à 
Clitarque  et  à  Stratoclès  {Brutus,  c.  XI). 

3°  L'Histoire  universelle  (VEphore.  —  L'énumération  des 
causes  de  la  guerre  du  Péloponnèse  que  nous  lisons  dans 
Aristodème  paraît  empruntée  à  Éphore,  d'après  un  témoi- 
gnage de  Diodore  de  Sicile  (XH,  38-41). 

Aristodème  serait  donc  un  abréviateur  ayant  composé 
des  'EXXyjvixa,  comme  Florus  a  composé  VEpitome  7'erum 
romanarum.  Mais  l'écrivain  grec  est  supérieur  à  l'écri- 
vain latin.  «  Bien  éloigné  de  l'emphase  de  Florus,  qui  ne 
cherche  qu'une  phrase  à  antithèse  dans  les  événements  les 
plus  remarquables,  Aristodème  sait  noter  avec  précision 
les  traits  saillants  d'un  récit  et  les  présente  avec  une  noble 
simplicité.  Rapide  et  correct,  il  se  rapproche  des  maîtres 
de  l'art  parl'intérêt  dramatique  de  quelques  tableaux  (1).  » 
On  peut  citer  en  ce  genre  le  récit  de  la  bataille  de  Salamine , 
l'histoire  de  la  jeune  vierge  de  Byzance  tuée  par  Pausanias, 
et  surtout  la  description  de  la  mort  tragique  de  Thémis- 
tocle. Le  texte  d' Aristodème  offre  en  outre  des  points  de 
comparaison  instructifs  avec  les  textes  classiques  déjà 
connus,  notamment  avec  ceux  d'Hérodote,  de  Thucydide 
et  de  Diodore  de  Sicile. 

(1)  Jugement  de  M.  Mérimée  dans  son  article  sur  la  Poliorcétique  des 
Grecs  [Moniteur  du  9  novembre  1867). 


SOMMAIRE 

DES   FRAGMENTS   D*ARISTODÈME. 


LIVRE  IV  (/«). 

Rapports  entre  Thémistocle  et  Xerxès.  —  Rataïlle  de  Salamine.  —  Dé- 
barquement d'Aristide  à  Psytalie.  —  Aminias  d'Athènes,  frère  du  poète 
Eschyle,  et  Artémise  d'Halicarnasse  se  distinguent  par  leur  héroïsme.  — 
Bravoure  des  Éginètes.  —  Fuite  de  Xerxès. 

Mardonius  prend  le  commandement  des  Perses.  —  Mission  d'Alexandre, 
roi  de  Macédoine.  —  Second  incendie  d'Athènes.  —  Bataille  de  Platée: 
Aristide  commande  les  Athéniens,  et  Pausanias  les  Spartiates.  —  Mort  de 
Mardonius,  tué  par  le  Lacédémonien  Aeimnestos  (  'Ae'.\ivt\<jto<;  dans  notre 
texte,  'AptfxvYiffToc  dans  Hérodote). —  Exploits  d'Aristodème  le  Trembleur, 

Bataille  de  Mycale.  —  Les  stratèges  Léotychidas  et  Xanthippe.  —  Fon- 
dation des  Éleuthéries  ou  fêtes  de  la  Liberté.  —  Décimation  des  Thébains. 

LIVRE  V. 

Siège  de  Sestos  par  les  Athéniens.  —  Commencements  de  la  trahison  de 
Pausanias.  —  Inscription  du  trépied  de  Delphes. 

Reconstruction  des  murs  d'Athènes.  —  Jalousie  des  Spartiates  :  habileté 
de  Thémistocle.  —  Description  de  la  nouvelle  enceinte  d'Athènes.  —  Les 
longs  murs.  —  Le  Pirée;  Munychie;  Dia;  le  temple  de  Diane.  —  Phalère. 

Thémistocle,  banni  d'Athènes,  fuit  à  Argos.  —  Pausanias,  rappelé  à 
Sparte  et  mis  en  accusation,  se  justifie. 

Puissance  et  richesse  d'Athènes.  —  Le  trésor  de  Délos  est  transporté  à 
l'Acropole. 

Séjour  de  Pausanias  à  Byrance.  —  Sa  tyrannie.  —  Histoire  tragique 
d'une  jeune  fille  de  Byzance  tuée  par  Pausanias.  —  Folie  du  meurtrier. — 
La  trahison  de  Pausanias  dénoncée  par  son  favori  Argilios  (esclave  ori- 


—  S8  - 

ginalre  d'Argilos).    —  Scène  du  temple  de  Neptune  au  cap  Ténare.  — 
Pausanias  se  réfugie  dans  le  sanctuaire  de  Minerve  Chalciœcos  à  Sparte. 

—  Sa  mort.  —  Les  Spartiates  lui  élèvent  une  statue. 

Thémistocle  chez  Admète,  roi  des  Molosses.  —  Scène  du  foyer  d'Ad- 
mète.  —  Thémistocle  en  vue  de  Naxos.  —  Son  arrivée  en  Perse.  —  Mis  à 
la  tête  d'une  armée  d'invasion  par  Artaxerxès ,  il  meurt  à  Magnésie  en  of- 
frant un  sacrifice  dans  le  temple  de  Diane  Leucophryne. 

Les  Athéniens  proclament  la  liberté  des  villes  grecques  d'Asie.  —  Ex- 
ploits maritimes  de   Cimon,  fils  de  Miltiade.  —  Les  Athéniens  en  Egypte. 

Guerre  entre  Athènes  et  Sparte.  —  Combats  de  Tanagre  et  d'OEnophyta 
en  Béotie  :  les  Athéniens  sont  deux  fois  vainqueurs.  —  Cimon  meurt  à 
Citium  dans  l'Ile  de  Chypre.  —  Le  stratège  Gallias ,  surnommé  Aaxxô- 
TtXouToç,  conclut  une  convention  avec  les  Perses.  —  Termes  de  cette  con- 
vention. 

Nouvelle  guerre  en  Grèce,  au  sujet  du  temple  de  Delphes.  —  Bataille 
de  Coronée.  —  Les  Athéniens  perdent  la  Béotie.  —  Les  Athéniens  dans  le 
Péloponnèse.  —  Prise  de  Gythium.  —  Révolte  et  soumission  de  l'Eubée. 

—  Siège  et  prise  de  Samos. 

Guerre  du  Péloponnèse.  —  Ses  causes. 

Première  cause  :  Périclès.  —  Rapports  de  Périclès  et  de  Phidias.  —  Ci- 
tation de  deux  passages  d'Aristophane.  — Mot  d'Alcibiade. 

Deuxième  cause  :  Épidamne  et  Gorcyre.  —  Rupture  entre  Athènes  et 
Corinlhe. 

Troisième  cause  :  Potidée.  —  Siège  de  cette  ville  par  les  Athéniens. 

Quatrième  cause  :  Jalousie  de  Sparte  contre  Athènes. 


EK  TQN 

,^    (0 


APISTOAHMOY 


xpucpa  2tîCivov  (2)  Tov  éauTO'j  TratSaytoyov  irpôç  Ssp^iiv , 
£yxe>>euca(J!.8voç  auTw  ETumÔecÔat  toi;  EX>.ri(7tv  xal  vauptajç^stv, 
oyi>>tov  TOV  [JLsXXovTa  ^pa<7fj.ov  âiro  2a^a[Jt.îvoç.  O  oè  Sep^viç, 
vo(/.iGaç  TOV  0£[Ai(jTO)t>.ea  [Ari^t(^ovTa  TauTa  aTTSdTaV/cévat? 
Si£xeuL^£   Ta;    vaO;    iizl    2a>.a^îva    xai   £îCux.XcoGaTO    Toùç 

(1)  Ce  titre  n'existe  pas  dans  le  manuscrit,  mais  on  trouve  en  tête  du 
premier  fragment  un  astérisque  avec  cette  note  écrite  en  lettres  onciales  : 
Kai  To  07i[xeTov  touto  âariv  xà  2[rjTOU{jLevov  toO  ^pi<TTOôy){jLou.  Il  faut  voir 
sans  doute  dans  le  mot  îiriToujxevov  la  réponse  à  un  renvoi  précédent. 
C'est  ainsi  qu'on  lit  ailleurs  dans  le  même  manuscrit  :  Zr\xei  (ms,  l^r{)  xà 
XoiTcov  (ms.  XiTïov)  toutou  oTTidOev  £v  to  o"ir)(i,£Î6v  èdTtv  toioOtov  (suit  un 
signe  destiné  à  marquer  l'intercalation)  ii  ôè  OLÇ-/i\  tou  Xoyovi  réypaçev. 
Plus  loin,  eu  effet,  le  même  signe  de  renvoi  se  trouve  répété  devant  le 
mot  YÉypaÇEv.  Ces  renvois  ne  sont  pas  rares  dans  les  manuscrits  du  siècle 
de  Constantin  Porphyrogennète,  renfermant  les  Collectanea  ou  séries  d'ex- 
traits faits  par  ordre  de  ce  prince.  11  faut  sans  doute  attribuer  les  ren- 
vois aux  lettrés  chargés  par  l'empereur  de  choisir  les  extraits  dans  les  ma- 
nuscrits originaux,  et  de  les  désigner  aux  copistes.  Il  convient  de  ne  pas 
oublier  que  la  partie  la  plus  ancienne  du  manuscrit  de  la  Poliorcétique  est 
la  transcription  directe  d'un  texte  oncial,  ainsi  que  je  crois  l'avoir  établi. 
(Voir  la  Notice  sur  les  manuscrits  en  tète  du  volume  de  la  Poliorcétique 
des  Grecs;  p.  XX-XXI.) 

(2)  Le  même  est  appelé  Zixivvo;  dans  Hérodote  (VIII,  76  et  110). 


—  60  — 

É>.XYivaç  ctç  t6  (jLevstv  aÙTOuç.  È^TTOuSaÇev  (i)  &ê  ô  SepÇviç, 
ÇeCîypLa  xaTacxeuàffaç,  tts^-^  ÈTTiê^vat  em  tyjv  2aXa(j(.tva  ôv 
TpoTTOv  ^t^>.Gev  êxl  Tov  E^>.7](77rovTOv.  Kat  (/.epoç  ti  e)(^wv 
fev  îtaTct  To  flpa>t>.£iûv.  ÈTuet^Yj  Se  a^uvaTOv  viv  to  Tuàv 
yeçupwôvivat,  y.aÔ£Ço|7.evoç  stiti  tol»  IlapVTiôoç  opouç  —  eyy^ç 
Se  71V  TOUTO  —  éo)pa  tvIv  vau{jLa)(^iav.  Hp^aio  Se  tou  vau(/,a- 
yreh  Àp^eiviaçÀÔTivatoç  (2),  utoç  (3)  (J(.8V  Eù<popt(ovoç,aS6>.(poç 
Se  Kuveyetpou  xat  Alcjykox)  toO  TpaytoSoTTOioO.  Èvixwv  (xèv 
oùv  TravTeç  oî  FA>.yiveç,  sxTrpeTusorTepov  Se  oî  ÀÔYivatoi.  2uv- 
ear/ixuiaç  Se  tHç  y-oiy'/iq,  6  Sep^viç  îxavàç  (jLuptaSaç  £7:eêi- 
êacev  et;  tviv  xXviciov  vvîGiSa  7rapaxety.év7iv  T'îp  2aXa[;.tvi 
6vojxa^o(A£V7iv  "^UTaXetav  (4),  èx.TrXviTTOf^.evo;  t£  touç  ÉX- 
Xvivaç  xal  Poi»Ao[;.evo;  xà  7rpo<79£po(X£va  vauayta  twv  ^ap- 
êapcov  ava(7(6Ç£cGat.  ÀpiGTetSviç  Se  ÀÔYivaioç,  utoç  Auct- 
(juxyou,  xaXoupLevoç  Stxaioç,  è^(o(JTpaxiT(A£voç  sx  twv  Àôrjvcov 
xal  uTuap^ç^wv  év  AiytvTi  TOTe,  G'jjAiAaytov  xal  aÙTOç  toIç 
ÉXXtigiv,  TrapeyeveTo  Tipo;  ©ejAiGTOxXéa,  xal  cxpaTov  aoTov 
Ti'r/i'Tev  (5)  ei;  to  à(jLuvac6ai  Toùç  £v  tyi  "^uTaXeia.  0  Se, 
xaiTuep  é)(^Opôç  aiiTw  yeyovw:,  opLwç  eScoxev.  Aaêwv  Se 
ÀptGTeiSy);  éTreêvi  eîç  tviv  "^'uTOcXeiav,  xal  TravTaç  touç 
papêapou;  è(poveuaev.  Rai  p.éyi(7T0v  touto  epyov  eireSetÇaTo 
ÙTuèp  T<ov  EXXvîvwv.  Aiacvip-OTepov   Se  vîytoViaavTo  t-^  vau- 

(1)  On  lit  dans  le  Lexique  de  Suidas  :  STrouSdiÇw...  iid  tou  xareTrei- 
YOjJLai,' ©eoTtojjLuo;  *E7ttTop.îi  twv  *Hpo66Tov»  •  èTiî  tou  pouXojxai,  ô 
aOTèç  èv  T^  aÙTT]   'Ettitoix^.  Or,  ici,  emouSdtîîcD  a  le  sens  de  pouXojxat. 

(2)  Le  même  est  appelé,  dans  Hérodote,  'A(xeiviy]çna>XYiveùç  àvrip  'A6r,- 
vocoç  (VIII,  84  et  93). 

(3)  L'orthographe  vulgaire  est  "^uTTocXeia  ou  VuTaXia. 

(4)  Ms.  :  uff  ici  et  ailleurs. 

(5)  Ms.  :  rJTYjaav. 


—  61  — 

[t-OLyja,  xal  7ipi<7TÊU«îgv  Â|jt.eivtaç  •  Ttov  8k  Papêapwv  yuvyj, 
A>.txaûvaat;To  yevo;,»ovo(JLa  Se  ApTe(JLi<jia  (ij,  viTtç,  Jtwxo- 
(jLevyiçTÎiç  veà)ç  aÙTÎjç  jcal  xtvS'uveuouaa  âiroXécÔai,  tvjv  cjatt- 
pocÔevvauv  îoiav  oùaav  èê'jÔiGev.  O  oè  Àpisivia;,  oo$a;  cij[jl- 
p-ayov  elvat  tûv  ÈXV/i'vwv,  aTTSTpaT^Y)  tou  Stwjcetv.  Ô  Se 
Sép^rç,  Gea<Ta{xgvoç  to  ysvoaevov,  êIttev  •  Ot  (y-èv  avSpgç  {aoi 
yuvaîxeç  yeyovaGiv,  ai  Ss  yuvaîksç  avSpe;.  HpiGTeucav  Se 
Twv  EXV/ivcov  £/.7rp67ré(7Tepov  |jL£Tà  ÀGrivaioi»;  Atyiv/îrat  (2)  • 
otTtveç  xarà  to  CTgvov  To2f  iropôiAou  xaraTa^avTg;  éauToùç 
7ro>.Xàç  TWV  Pap^apwv  vvia;  cpsuyouaaç  etç  to  gtsvov  Tuapa- 
Sgyop-gvoi  èêuGi'Cov.  nTTTiGévTCùv  Ss  twv  ^apêapwv  xal 
(pguyovTwv,  01  ÉX'Xyivg;  £êou>.ovTO  >.u£tv  to  ettI  tou  EXXv)(J- 
TîovTou  (3)  Ç£Gy{/.a,  xal  xaTaXa{J!.êav£(jGac  SfipÇ'/iv  £v  t"^ 
ÉXXaSt.  0£(jt.t(TTOxX^ç  Se,  oùx  oio(A£vo;  ctGcpaXèç  elvat  ouSè 
toGto,  à£èotxw;  [j-viTTOTE  eàv  âxoyvwGiv  t'/jv  (îWTViptav  _ot 
Papêapoi  (piXoxivSuvwTepov  àywvidOVTat,  £$  07roGTpo(p*/îç 
âvT£77paG(7£.  R£xupw|y.£vwv  Sfi  oOSèv  t'7)(^uwv,  €'7r£(/.<]^£  xpu<pa 
Sep^Yi  SyiXwv  oTi  ^AXkouai'j  ot  ÉXXviveç  Xueiv  to  (^£Gy(j!.a.  O 
Se  (poê7iG£iç  £(p£uy£v.  Êv  Se  tt)  'ia.\j[LOLyiioL  tyi  TCgpl  2aXa(J!.tva, 
xal  oî  Ggol  (îuve(J!.ayYi(7av  toi;  EXXviaiv.  lv£o;  (4)  yàp  ô  0eo- 
xuSouç,  àvYip  ÀGvivaîoç,  £(pyi  GeàcaaGat  ev  tw  ©ptaGtc»)  lue- 
Siw  xovtopTov  fa)ç  St(rp.uptwv  avSpwv  âva<p£pojAgvov  oltz* 
ÈXeuGÎvoç  PowvTwv  Tov  p.uGTixov  ioLT^yoy^  TOV  Se   xoviopTov 

V£(pwG£VTa   £fAû£GctV    £tÇ  Ta;   VaU;   TWV   EXX*/)VWV. 


(1)  Hérodote  (VUl,  93)  donne  la  forme  ionienne  du  nom  :   *Aptt\ua\.ri. 

(2)  Ms.  .  al^ivÎTat. 

(3)  Ms.  :  éXXKTuôviou. 

(4)  Ms.  :  ïveo;.   Le   même  personnage  c.U  appelé   AixaTo;  ô  6»oxuÔ£OÇ 
dans  Hérodote  (YIII,  Gâ). 


4>euY0VT0.;  ^à  ToG  Sep^ou,  Map^ovtoç  utoç  Fwêpijou  toûî 
:'.alaiiTfjG  sTrtÔgp.svou  toÎç  jy^ayoïç,  —  Guu7u[£t(jaç]  (  i)  >cal  yàp 
auTOçSsp^'/iv  çTpaTS'jGai  IttI  t-/;v  EXXaoa, —  vÎTiàTO  to  Tzokh 
x'XtjOoç  tcov  ^apêapcov  wç  aiTiov  ysyovoç  ttïç  y]Ttvi;,  Oirsa- 
•j(ez6  Te  v'.%r|G£tv  toÙ;  ÉXk'riVa.ç  d  Xàêot  CTpaToO  [Aupiat^aç 
TpiaxovTa  (2).  Aaêwv  r^è  6  Map^ovioç  'éize^^^e  xpwTOV  Trpoç 
AGvivaiouç  ÀXslav^pov  tov  Ma/.£^ova  tov  $t>.i7r7UOU  irpo- 
yovov,  67wic)(^voup,£voç  Sc6<7£iv  auToi?  (xupia  icxXolvtol  xal  yviv 
ocviv  aÙTol  PouXovTai  tyjç  EXXaSoç,  Tvip-^aeiv  (3)  t£  utto- 
Gyop.£Voç  xal  TViv  £XeuG£piav  auTotç  xal  tyiv  auTOvo^Aïav,  d 
eXotvTO  {;<£veiv  £(p'  éauTwv  y.al  u'h  (7up!.(jLa^£Îv  toTç  ÉXV/igiv. 
È77£i^yi  ^£  6  A)v£$av^poç  irapeyévETo  elç  tolç  ÀÔv)vaç  xal 
TaOr'  £^'/]X(OGev,  cl  ÂÔvivaiot  oute  touç  Xoyouç  xpùC£^£- 
^avTO,  uêpi(7avT£ç  t£  tov  ÀXe^avâpov  à7r£7:£(i,^j^avTO.  O  ^è 

Map^OVlOÇ,    aTwOTUy^lbV   £V    TOUTOIÇ,  £TC7iXG£V  £i;   Tocç  AÔ'/ivaç 

xal  Ta  £Ti  Tr£ptX£i7ro[JLeva  (Jt.£pyi  77pO(7£V£7rp7i(7£v  •  Trapayevo' 
[A£vo;  T£  £iç  Totç  ÀÔvfvaç  au.a  TÛ  GTpaTÛ  (4)  evTauGa  i^Tca- 
T07r£^£UGaTo  (5). 

01  ^£  ÉXXviveç  £CTpaT07r£SeiJGavTo  £V  IlXaTaiatç.  Ta  ^è 
p.£Ta$u  0Y]êa''wv  xainXaTOttôv  (JTaâia  £Gtiv  oySoyfxovTa  (6)- 
2u(A7rap£TàcGOvTo  ^è  Map^ovi'cp  BotwTÔv  p.upta^eç  t£G- 
Gap£ç  (7).  Ely^ov  ^£  TO  [Jt.£v  ^£$tov  X£paç  IlepGai  xal  Map- 


(1)  Ms,  :  CT'jjxTT Les  autres  lettres  sont  effacées. 

(2)  Ms.  :  (jLupiàSa;  A.  C'est  une  lettre  numérale. 

(3)  Ms.  :  TYiprjcnv.'^ 

(4)  Ms.  :  (TTpaTwt. 

(5)  Ms.  :  £(TTpaT07:aio£U(jaTO.  Et  plus  loin  :  èaTpaTOTiaiôeuaavxo. 

(6)  Ms.  :  o-ràSià  èaxtv  5*  ' 

(7)  Ms.  :  (jLuptàôs;  A. 


—  63  — 

^ovioç  •  To  ^£  8Ùwvu|Aov,  oi  p.7)St<JavT£ç  (i)  É>.V/;veç.  Tôv 
Se  ÉXV/i'vwv  01  [J!.£v  ÀGr.vaîot  slyov  to  Jc^iôv,  to  Se  s'jwvu- 
[;.ov  Aa/.soaiaovioi  •  [y-eTSGTYiTav  oè  aÙTO'j;  oi  Aax.£Sai(7-oviot, 
^-/fGavTSç  ÀÔTivato'j;  [£[jt.7:£i]poT6pouç  (2)  elvat  rpoç  to  f^.a- 
jç^eaOai  Dsp^ai;.  Èv  Se  toutw  MapSovto;,  SeSoi/.co;  {xa- 
j^ecGat  AGvivatotç ,  pLeTecr/)C£v  t£  tyiv  (paXayya  */.al  ojtco; 
cuveêv]  toi;  Aa)t£Sat[JLOvioi;  xal  àxoucioj;  [Aay^eaOat  toî; 
Ilfipcatç.  EaTpaTviyÊt  Se  AajtfiSatuLOVLcov  [j.èv  Hauiraviaç  6 
K).£0[;-êpoTou,  ÀÔrjvacwv  Se  ÀoitteiStiç  6  Stxatoç.  FfivojAfi- 
VYiç  Se  Tviç  <3U{j(.êo>.^ç  Twv  Ilfipcwv,  AÔvivatot  £7r£^0'/iÔrif7av 
Toîç  Aax£Saip.ovioi;  îtal  evi/z/iGav.  ÈvTaûÔa  6  MapSovtoç 
£7:£a£v  Y^P^  "^7  xe<paV?î  ^a/o(jt.£voç,  àvatp£6£l;  utto  Àsi- 
p.V7iGT0u  (3)  avSpoç  AaxeSat|x.ovtoi>.  lïptdTfi'jcEv  Se  svTaOÔa 
xal  Àpi<7ToSy){AO(;  6  OxoGTpfiij/a;  àiro  0£p{AO7ru>.c5v  xal  x'Xvj- 
Ôfil;  Sià  TOUTO  6  TpfiGGaç  (4).  Ato  AaxsSaipLoviot  oux 
eèwxav  ocuTÛ  to  yépa;  t-^;  àpLGT£ia;,  Yjy/iGap.evot  to  p,£v' 
TCpwTOv  y£Vop.£vov  TCSpl  T'/jv  ^fitTTOTa^tav  yvw(j!.viç  filvat ,  to 
Te^euTatov  Se  xspl  tyiv  àptGTSiav  Tiiyv);.  ÈttsiS-/)  Se  zT,&aey 
6  MapSovtoç,    ot   Ilépcai    £'(pi>yov   £t;   toc;    0y;êa;  *    ot    Se 


(1)  Ms.  ;  (xr.STQaavTeç. 

(2)  Ms.  : poxepoy;.  Les  premières  lettres  sont  effacées. 

(3)  Le  Lacédémonien  nommé  ici  '  'Aci(Avr)<TTOç  est  appelé  'ApijxvyidTo; 
dans  les  éditions  d'Hérodote  (IX,  G4).  Mais  le  manuscrit  d'Hérodote 
n°  1G33,  appartenant  à  la  Bibliothèque  impériale  de  Paris,  donne  'A£Î|xvr)- 
(jTo;,  tout  comme  le  fragment  d'Aristodème.  Le  nom  'Apt(JLvr,GTo:,  dans 
ce  manuscrit,  appartient  à  un  Platéen  dont  il  est  (piestioii  ailleurs  dans 
Hérodote  (IX,  72).  Les  deux  personnages  et  les  deux  noms  ont  été  con- 
fondus dans  les  éditions  et  dans  les  index  d'Hérodote,  et  cette  confusion 
se  retrouve  jusque  dans  la  belle  édition  de  la  collection  Didot  (Paris,  1844), 

(4)  On  écrit  aussi  Tpéda;  ou  Tpcaâ; ,  ainsi  dans  Hérodote  :  oveiSô;  xs 
«r^e  à  rpeffâ;  'ApiaTÔÔri(io;  xaXeufiEvo;  (VU,  231). 


—  64  — 

é^axtç  Se  p.upi(ov  è7:iGTp£(pdvTtov  ettI  T'?iv  oiXEiav,  ÀXe* 
^avSpoç  6  MazE^cbv,  i^ta  (i)  'Kçefj^îUGcH^evQç  irpôç 
Toùç  ÀGvivaiou;  7r£pl  wv  à7r£<7Ta>>Yi  ûtuo  MapSoviou,  TçàvTaç 
aÙTOuç  Y^vofAfiVouç  xarà  Max£5oviav  scpov£uc£V,  aTToT^oyou- 

(;.£VOÇ  OTt    aXWV  £(JL7fStG£V. 

Kal  01  £V  Tai;  vaual  Se  EXV/iv£ç  sSiwx.ov  to  vauTixov 
TO  SÉp^ou  •  x>.£U(7avT£ç  cxaSiou;  TEGCapa;  (2)  touç  âiro 
2aXa[Aivo;  £iç  MiXyitov  (3)  y.aT£>.aêov  tocç  vauç  twv  Papêa- 
ptov,  y.cà  (4)  STOipLot  TiTav  vauu,ay£tv.  Oi  Se  papêapot,  ou  (5) 
maT£oovT£ç  Taiç  vauGtv  Stà  to  7r£7r£ipàaôai  Tviç  Àôvivaiœv 
EjATTEipia;,  â^e^Yidav  xal  £(7TpaT07r£S£u(7avTO  (6)  77£pl  Muîta- 
V/iv  —  0TC£p  £(7tIv  opoç  T*^ç  MiV/iciaç —  (7)  •  y.cà  ot  E'XXvive; 
Sa  ûcTToêavTfi;  cuvs^aXov  aÙTOiç,  xal  toc;  Tsaaapa;  (8) 
(jLuptaSaç  £(pdv£UGav,  Ta;  T£  vauç  £pvf[Jt.oi»;  TraoEXaoov  •  yiyvo- 
(jLEVvi;  T£  T'^ç  p-ayviç  t-^ç    £V  IlXaTatai;,  xal  vixwvtwv  tcov 

(1)  Ms.  :  iSiai. 

(2)  Il  y  a  dans  ce  chiffre  une  erreur  évidente.  La  distance  entre  Sala- 
mine  et  Milet  est  de  plus  de  quatre  stades.  Le  scribe  avait  sans  doute  sous 
les  yeux  un  texte  oncial  dans  lequel  la  lettre  numérale  A  était  accom- 
pagnée du  signe  millénaire  appelé  7T).àYtov  aupfjia,  qui  consiste  en  une  li- 
gne oblique  placée  à  gauche  du  chiffre  et  transformant  les  unités  en  mille. 
Cette  ligne  est  tracée  avec  une  telle  finesse  dans  les  très-anciens  manus- 
crits, qu'elle  est  souvent  à  peine  visible,  même  pour  des  yeux  exercés.  Elle 
a  pu  échapper  au  scribe.  Je  suppose  donc  qu'il  faut  entendre,  non  pas 
quatre  stades,  mais  quatre  mille  stades. 

*(3)  Ms.  :  (JiiXiTov. 

(4)  L'accent  attique  Ï'ïoi\iqi  est  donné  par  le  ms.  L'accent  commun  est 

£T0T(JL0t. 

(5)  Ms.  :  o\. 

(6)  Ms.  :  2(7TpaT07tai8euffavTo. 

(7)  Ms.  :  (jLtXt<Ttaî. 

(8)  Ms.  :  Ta;  A  (lupiaSa;. 


TTfipl  Mu)totXy,v  [ÉX>.'/iva)v ècTpaTTiyei  Si  tyi;  MuxaXyi; 

Aa)t£r^at(7-ovtfa)V  (i.=v  AewTu/tàa;  6  paciT^sùç,  À67ivai(!jv  «^à 
SavôtiUTCOç  6  Àpt(ppovoç  6  nspixAsouç  -aTvip.  Ot  àe  £v  TaT; 
n>aTataiç  ÉXXyive;  uerà  to  vi'/cr.cat  âW/icav  TpoTuaia,  xal 
éopTTiv  Yi'ya-.'ov  ÈXsuGeptav  (i)  TTpoGayopeuaavTeç ,  07jêatou; 
T£  xaÔw;  co(7.o<7av  e^exaTeufjav  (2). 

TéXo;  ToûJ  A  [pi6Xiou]. 


*ApxT^  [toû  E  piêXiou]. 

Àtto  âè  TÎ;;  IlepctxYiç  cTpaxeia;  sttI  tov  ne>.o7:ovvYi(i[ia- 

y.ov  TToXei/^ov] (3;  eTCpa^ç^ôv) 

T«^£.  Èxei^y)  é^7f>.aaav  toÙç  Ilepaa;  ot  EX>.yiv£;  (4) 
[ £x.  T"^;  Àêu^ou  (^ta7:>.£U(7avT£;  [xe'zk  Tpivijpwv  elç  27]CTÔv 
ot  ÀÔYivaioi  iTpo(7£(/.£vov  7:poc7UoX£[xouvTeç  •  îtal  IlauGa- 
viaç  6  K).£0[;.êpoTOu  ô  tûv  Aaxer)ai[;.ovtct)V  (JTpaTYiYoç,  xaxa 
(piXoTifAïav  TViv  uTrep  twv  EXV/fvwv ,  auLa  Sicx.  irpooo- 
ctav,  —  cuvT£G£t[;-£vo;  yàp  t,v  Sfip^r,  7upo^oc£(jOat  aÙTw  touç 
EXV/)vaç  £7ri  TO  >.aê£tv  GoyaxEpa  Tcap'  auToG  TUpoç  ya|jt.ov, — 

(1)  C'est  la  fête  appelée  ordinairement  les  Éleutlieries,  ta   'EXeu6£pia. 

(2)  Comparez  Hérodote  :  Tô  ce  opxiov  wSe  etxe  •  îiffoi  tw  nép(Ti[]  looaàv 
aseaç  aOxoùç  "EXXyjveç  èovTeç  [xy)  àvaYxaffOévTe;,  xaxaaTàvTwv  açi  eu  TÔiv 
TipyiyjAàTtov,  toutou;  Sexateuffat  tw  èv  AeXçoïffi  Oecj^  (Herodot.,  VII,  132). 
On  lit  aussi  dans  Diodore  de  Sicile  :  01  S'  èv  'Io6[xtû  cruveôpeuovTe;  twv 
*EXXYiva)v  èiJ/YiçiffavTo  toù;  {lèv  èÔeXovTÎ  Ttôv  *EXX7iva>v  éXo(xévoui;  Ta  IIsp- 
(Tcôv  oexaTEÛTat  toT;  OeoT;  (Diod.  Sic,  XI,  3). 

(3)  Lacune  de  trente  lettres  environ  dans  le  manuscrit. 

(4)  Lacune  analogue  à  la  précédente.  Restitution.  ^ 

5 


—  66  — 

cbç  8Tnpp(JLevo;  ts  tti  èlizi^i  TauTYi  >tai  tw  £UTu^'fl'{A«Ti  tw  (i) 
ev  llXaTatatç,  oùx  £(J!.gTpt07ua6ei.  AXkk  TCpôiTOV  {Jt.8v  TpLiroàa 
âvaôetç  tw  ev  AeXcpotç  ÀtcoXXwvi,  è7riypa{X[jLa  (2)  eypa^j^ev 
irpo;  aÙTOv  toioutov  • 

*EXX7^voiv  apj^Yjyoç  Ittêi  (TTpaTov  wXsas  Mv^SoiV 
N  llauffaviaç  <I>oiê(o  (xv^u.'  àv£8y,xe  tocs. 

Tûv  ^è  u7roTSTaY(jt.£V(ov  aÙTÔ  m/tpwç  Vjpye  xal  Tupav- 
vty.(o;,  TYiv  [jLsv  Aaxovtîcyiv  StaiTav  aTTOTsÔeity.evoç,  eTriTeTV)- 
Jeuxtoç  Se  Tûtç  Twv  ITepçct)^  èiôriTaç  (popetv  xal  Ilepfjty-àç 
TpaTUsÇaç  TrapaTÊÔetp-éva;  (3)  TUoXuTsXeTç,.  w;  â'Ôo;  èîcetvoiç.  ■ 
Karà  Se  toOtov  tov  )^povov  ÀÔvivaîoi,  sjy-ireTrpYiajAevvi; 
aÙTwv  TY)ç  TToXewç  ÙTTO  SspÇou  îcal  MapSovtou,  éêouXeuovTO 
7ei)^i^stv  aOTyfv  •  AaxsSaifJLovioi  (4)  Se  oii)t  STrsTpsTrov  aO- 
Toî*;,  7rpo<pa(itv  (yiv  Troioupt-evot  dppiviT-^'ptov  slvat  Ta;  ÀÔvIvaç 
Twv  ÊTTiTuXeovTwv  Papêàpwv,  To  Se  àXviÔèç  xal  p//l  Po'Ao- 
(Jievot  iraXiv  aù$7i6/5vat  •  ou;  Se^iGroyCkriç  cuvedet  Stacpspwv 
xaTedTpaTT^'yvi^^^  ai»Tc5v  tov  (pÔovov.  Ey)ceXeuGà(i.£voç  yàp 
Tolç  ÀSvivaiotç  Tgt^t^etv  ttiv  tîoXiv,  wysTO  £iç  Aa/C£Sai(i,ova 
*  (b;  TCp£crê£uwv  *  Xoywv  t£  yiyvo{/,£Vcov  Trapà    toîç  AaxfiSat  - 

p-OVLOt;  OTl  AÔVlVaiQt  T£t)^l(^0U'7t  TVIV  TwOXlV,  avTéX£y£v  0£- 
(JLldTOxX*^;.    12;   Se   Ol»)C   £77tCT£UOV   Ot   AaîCsSaiJJ!.OVtOl,    £'7r£tG£V 

aÙTOÙ;  TTpficêetç  TTEfA^j^at  Ttvà;  éÇ  aÙTcov  £i;  Ta;  AÔ'^'va; 
Touç  yv(«)CO(ji.évou;  d  xti^oito  vî  ttoXi;.  Tûv  Se  Aax£Sai|i,o- 


(1)  Ms  :  TO.  Et  plus  loin  :  efjLexpoTiaôei. 

(2)  Ce  distique  est  cité  aussi  par  Thucydide  (I,  132). 

(3)  Ms.  :  iiapaTe9Yi(xévaç. 

(4)  Ms.  :  Aaxeôai(x.ovioi  •  ol  ôè. 


—  67  — 

vtwv  éXo(JL£VO)v  av&paç  xal  TCSfjuj'avTwv,  0£[Jt.t<;TOxX^;  xpuça 
67U£7r£p.?|;e  To^ç  ÀÔTiVaioiç  xaT£)^£tv  Tiap'  éauTOÎç  touç  cctte- 
<JTa>.[J!.evouç  twv  Aax£^ai|/.ovtwv  av^paç,  £(oç  àv  auTÔ;  ûtto- 
(JTp£i);Yl  £i;  TOt;  ÀSr^vaç.  Ilpa^avTtov  &£  toîîto  tcov  ÀGt)» 
vaicuv,  01  AaxfiSatjxovtot,  aicÔd{/.£vot  ttiv  (XTraTYiv  0£[JitGTO- 
xXgo'jç,  oii^èv  ^ié6£(7av  aÙTov  ^£tvov,  5£^oixot£;  7r£pl  twv 
tèuov,  àXX'  aTuo^ovTEç  auTov  fixot/.tcavTo  Toùç  i^iouç. 

Ev  oè   TÛ  {7-£Ta$i>  ypovw   sTatyiaÔriCav    aï    ÀG'^vat    tov 
TpoTTOV  toOtov.  O  fx£v  Toù  a(7T£wç  TveptêoXoç  é^vfjtovTa  Gia- 

^IWV  2T£tyjG0yi  •   TOC     ^£    [JLaîCpà  T£t;(_7]    (pfipOVTa    £7ri  TOV    n£l- 

paià  £$  £xaT£pou  {A£pou;  CTaSiwv  (i)  T£<7(yapaxovTa  •  6  ^è 
TO'j  Ilfitpatû;  7r£piêoXoç  GTa^^icov  (2)  OY^ovfîcovTa.  Éctiv  ^è 

6   n£lpai£Ùç    (3)    XlfAVlV      £IÇ     SuO      ^lYip7){JL£V0Ç  •    XfixX'/iTat     ^à 

a'jToO  To  (jt£v  Tt  pipoç  Mouvouyia  (4)  *  toc  ^e^ik  âè  axpa 
ToO  n£ipai(oç  'f\  £«jtIv  â'Tt  vuv  A  l'a  xaXfiÎTai  •  oyÔoç  âé  sgtiv 

£V  IlfilpaiEÎ  (5)  gÇ'  ÔV  TO  T*^Ç  ÀpT£{JLtSoç  t£pOV  tôpUTai.  To 
«^S  <ï>aX7]piX0V  T£t)^OÇ  fiXTlGÔV)  CTa^tcov  (6)  TptOCXOVTa,  TuXaTÙ 

àè  a)GT£   ^uvacÔai  âi*o  ap{j!.aTa  âXXyfXotç   GuvavTav.   Kal  tq 

(JL£V    TWV   ÀÔYlVaiWV   TToXlÇ  OUTCOÇ   5T£tyJaGYl. 

Ô  ^Ê  0£(AicToxXYiç,  ^là  TTiv  uTUfipêocXXoucav   cuv£(jiv  xal 
otp£Tyjv  (pÔov7iO£rç,  £$£^1(0^07)  uTTo   TÎ5v  ÀOyivaicov  xal  7cap£- 

(1)  Ms.  :  ffTaôttov  M. 

(2)  Ms.  :  (XTaStwv  ÏÏT 

(3)  Ms.  :  Tcstpeuç. 

(4)  Ou  écrit  ordinairement  Mouvv»xta.  L'orthographe  du  ms.  Mouvou^îa 
est  conforme  à  la  prononciation  éolienne  de  IT,  qui  s'est  conservée  dans 
le  romaïque  jusqu'à  nos  jours  (Voir,  à  la  suite  de  ma  publication  du  Da^ 
crit  (torien  de.  Carpatlios,  l'appendice  intitulé  :  C  liants  populaires  inédits, 
dans  la  Revue  archéologique  de  décembre  1863), 

(5)  Ms.  :  TreipaeT. 

(6)  Ms.  :  aTaSiiov  A, 


yévsTO  6t;  Apyo;.  AajtsSatuLovtoi  5'è,  ajtoudavxgç  Ta  Trepl 
T*^;  £yxe-/£tpt(7[JL£V7i;  TrpoJoGtaç  IlaixTavia,  xsjAtJ^avTeç  auTÔ 
T/iv  (7xi»TaV/iv,  (jLsrejcaXoOvTO  aùrov  wç  a7ro>.oyyi(JO(x£vov.  0 
8ï  Ilaucaviaç,  £>^Gfe)v  £Î;  ttjv  27ïàpT7]v,  à7r£>>oy^'(7aTO  •  xal 
a7raTvi«7aç  toÙ;  Aax£^ai(Aoviouç ,  à7roXuÔ£iç  tyiç  aiTiaç , 
07r£?7i^6£V,  îcai  7ra>.iv  £vvfpy£t  ttiv  irpot^ociav. 

Ev  o£  TOUTw  oî  EXV/jveç,  à(pt(7Ta[X£vot  (xtîo  twv  Aax£^at- 
(jLOViwv  ^là  To  7rix.pwç  Tupavv£Î'jÔai  ûiro  tou  Ilàuaaviou  , 
TTpocTcTtÔsvTO  TO^ç  A07)vaioiç.  Kal  ouTw;  vîp^avTO  TraXiv  oi 
ÀGvivaîot  (popouç  Xa(y.êavovT£;  ai>$£cGai  •  vaijç  t£  yàp  îcaT£- 

(TXgua'Cov  (i) ,    .   •    « /pyifAûCTWv 

G-/i(7aupo(pDXà}tiov  £7Uûtyf<7cxvTO  £v  A'/;>.(|)  (2).    ....... 

[tàXjavTa  (3)  èx.  tviç  A-^Xou  Ta  cuvay^GfiVTa 

[A£T£)co|y.taav  £iç  Taç  ÀGvfvaç,  xal  îcaTfiGfiVTO  £Vtoç  £v  À>cpo- 

7CdX£l. 

O  àfi  Ilauaavtaç,  ÛTrap^ç^wv  £v  Bu'^avTiw,  àvacpavr^ov  (4) 
ia'/l^iGÊV,  x«l  zaxà  ^ietiGsi  toÙç  ÉXXvivaç.  AtêTîpaÇaTO  <^' 
£Tt  xal  TOioijiTov.  Hv  £7utycopiou  Ttvoç  ôuyaTTip  Kopwvt^ou 
ovo{Jt.«,  5(p'  71V  £7r£(/.<J^£v  0  ITauGavtaç  E^atTÔv  tov  TtaTepa  (5). 
O  ^è  Koptovi^TiÇ,  ^g^oijccb;  Tviv  à){jt.dT*/iTa  (6)  Tou  IlauGa- 
viou,  £7r£p.i|;£v  aÙTw  T71V  TTat^a  (7).  H;  xal  7rapay£vo{7.£vy]ç 
vuxTo;  giç  TO  otx.7i(jt.a  xoi(aco{A£vou  tou  IlauGavtou  xal  Trapa- 

(1)  Lacune  de  dix-huit  lettres  dans  le  ms. 

(2)  Lacune  analogue  à  lu  précédente. 
,      (3)  Ms.  ;   ...avTa. 

(4)  Ms.  :  avaçavSwv. 

(5)  Ms.  :  irpa. 

(6)  Ms.  :  ofxoxriTa. 

(7)  Cette  jeune  fille,  d'après  Plutarque,  s'appelait  KXeovtxY],  mais  Plu- 
tarque  ne  donne  pas  le  nom  du  père  (cf.  Plutarch.,  De  sera  Numinis  vin- 
dicta,  c.  10.  —  Id.,  Cimon,  c.  G). 


—  69  — 

TTaGYiç,  rsptuTTvo;  (i)  yevopt-gvoç  (a)  ô  Ilaudaviaç  So^a;  t£ 
•/.ar'   s7Tt€ou7v-/{v   xiva    £i(7£X7i>.'jG£vai,   £77aûaty.£vo;    $i(pi(^iov, 

£77£pOV/;C£    (3)    T/.V    y.OiTjV    Xal    (X7:3JCT£IV£V.     Kal     c^tà    TO'JTO 

£iç  'xaviav  7:£pi£(jTyi,  '/-a'-  Y£voa£vo;  <pp£voê>.aêriç  £y.£xpay£i 
7T0>.)^axtç  w;  ^7j  [xaGTtyouty-fivoç  Otto  Tr^;  xopviç.  no>.>.oG  oà 
ypovou  <^iay£vof;.£vou,  £$i>.acaTO  Toùç  àaiy.ova;  ttî;  Traioo;, 
xal  cO'TCt);  àTCSX-aTc'TTvi.  T*^;  ^è  irpo^oTiaç  oùx  £7rau£T0, 
ù^Xkk  j^oi'])v.ç  i-niGTokoLç  SfipEv))  Àpyi>.i(o  (4)  âya 7r(o[JL£v<u 
éauToO  Si^to«7t  Taura;  Èy/tfiXfiuiaV.fivoç  xou!,(^£tv  Trpoç  Sfip^nv. 
O  oè  Apyi>.io;,  â£^oix(oç  irfipi  aÛTOu,  —  l-Kei^'h  yàp  oùoè  01 
TTpOTfipot  77£y.(p6£VT£ç  à77£voanri(7av,  —  irpoç  SfipJ'/iv  01»  xapE- 
yevETo.  EXGcov  à  à  £Îç  SûapTr^v,  toT;  £(popoiç  £L///)vua£  Tr,v 
TTpooO'Tiav,  xjTzéayjTo  Je  xaxaçopov  Jei^eiv  tÔv  Ilaucaviav. 
Kal  cuv6£^u.£voç  7:£pl  TOUTWV  yiXGe  £t;  Taivapov,  £V  t£  tw 
ToO  no<7£iâcovo;  T£(/.£V£t(5)  iXÊTfiU£v.  Oî  Je  ficpopoi,  iTapa- 
y£vo{/,£vot  xal  aÙTol  [ûxo  to  aÙTo  T£[i.£Voç  xal  SiJtcX'^v  (6) 
<7ît7)vyiv  xaTacx£ua(TavT£;,  £v  ai»T?i  âxpu^av  éauTOu;.  Où/. 
£7Tt7Ta{y.£vo;  Je  ITaudavta;  TaGTa,  âxou<Jaç  èè  tov  Apyt- 
Xiov    tx£7£'JovTa,  xap£y£veTo  T^poç  aÙTOv  y.al   à7;£[Jt.£W.(p£T0 

(1)  Le  mot  TiepiuTTvo;  est  nouveau.  On  ue  connaissait  jusqu'à  présent 
que  la  forme  verbale  Tiepiuirvi^Jo),  doiujce  par  les  Glossaires. 

(2)  Ms.  :  Ycvo(j,evo[X£vor. 

(3)  Ms.  •  èusptôvYjore. 

(4)  Cf.  Thucydid.,  I,  132.  Le  mol  'Ap^iXio;  est  à  la  fois  l'ethnique  et  le 
nom  propre  de  l'esclave,  comme  *IouSàto;  dans  les  inscriptions  de  Delphes 
(n*  364),  et  les  noms  Syrus^  Gela,  dans  les  comédies  romaines. 

(5)  Après  Tejxévet,  on  trouve  dans  le  manuscrit  le  signe  o  'o,  et  le 
texte  d'Aristodème  s'arrête  pour  faire  place  à  trois  pages  extraites  de 
la  Vie  d'Apollonius  par  Philostrate  A  la  suite  de  ces  trois  pages,  le  même 
signe  o  o  reparaît  avec  les  mots  ToOtô  èdTi  t6  îjr, . . . ,  déhris  de  l'ins- 
cription ToÛtô  èoTi  TÔ  Çr([Tou{JLevov  <nr)[jLeïov  toO   *Ap\.(Jzo^r\\LO'j]. 

(('))  Hestitutiou.  (iCtte  moitié  de  ligne  est  presque  effactt'    dans  le  ms. 


—  70  — 
èm  TO  (AT)  îco(/.t(7ai  Ta;  ItzigtoKolç  Trpoç  Ssp$'/]v,  a>.>.a  Tg  Tiva 

TgXfXTÎpia   ^L£$Yl£t    (l)   TY)Ç    TTPO^OGiaç  '    oî    ^6     â'<pOpOl,    à"/.OU- 

cavTgç  TÔiv  pYiOsvTwv,  7rapayp-^|/.a  [/.àv  où  cuvs);aêovTO  aÙTov 
Stà  TO  elvai  ayiov  to  Teasvoç,  à'XV.eiaGav  àireT.Ôsîv.  TorTe- 
pov  ^è  aÙTov  éXÔovTa  £iç  SuapTYiv  sêouXovTo  C'jX>.apL^a- 
vsaGat.  Ô   ^è  ÛTCovoyfcra;  et<7£^paL;.£v    £iç   to  t^ç   XaXxioi- 

XOU    (2)    ÀÔYlvàç   T£[J!.£VOÇ    7.al    ty-£T£U£V   (3).     Twv    ^è  Aa)C£- 

oaij7-ovt(ov  £V  (XTropoi  ovtcov  otà  tyiv  giç  tov  Ô£ov  (4) 
Gpyidzfiiav ,    71   (AviTTip   Tou   IlauGaviou    paaTaaaGa    tûXivÔov 

£ÔY)X£V    £Trl   TViç    £t(70^0l>    TOÛ   T£p.£V0U;  ,  7rp0)taT«py^0{J.£VVl    T'^Ç 

xaTa   Tou  Traiâoç   y.o'koiaeiùç  •    ot  ^è    Aax£^ai[Advioi,  xaTa- 

X0"X0u6vf(7aVT£Ç    aÙTYl,    £V(0>t0^o'|7//l(7aV   TO    T£a£VOÇ.    Kal  XlW.â) 

^ta(pOap£VTOç  Tou  Haucaviou,  àv£X6ovT£ç  tyiv  azéyrtv  éÇfiiX- 
xuGav  ToO  vaoO  £Tt  £|Jt,7rv£0VTa  tov  flaucaviav,  xal  £$£ppn];av. 
A  là  Se  ToijTO  XotjAo;  aÙTOuç  y.0LTéaje^,  Seou  Se  ^(^pviŒav- 
Toç  (5),  £7ràv  è^tXao-wvTat  toÙç  Sai(JLOvaç  toO  HauGaviou, 
TuauGaGGai  (6)  tov  Xoi[i.ov,  avSpiàvTa  aÙTco  àv£(7Tvi(7av,  xal 
£7cauGaTo  6  Xoi{;.oç. 

Z'/iT'/iG£wç  Se  oudTiç  TTapà  Toîç  ÊXX'/)Civ,  Ttvaç  Sei  irpo- 
ypaç'^vai  aÙTÛv  tûv  GU(J!,jj!.£[j!,a)(^7ixoTO)v  Iv  t(î>  M'/]Sty.to  tto- 
XfifJLw,  £$£Opov  01  AaxeSaitAOviot  tov  Sicxov  âcp'  ou  xuxXoTfipwç 
sirÉypail^av  Taç  yiy(dVi(7(jL£Vaç  TCo'>vgtç,  cbç  t;/^T£  TrptoTou;  Ttvàç 
yfiypàcpGat,  [;//]Ô'  0(7T£pouç.  Aax£Sai{Jt.ovioi  Sa,  £7r£i  Ta  toG 
lïaucaviou  £7rovetSt(7T(oç  £xe)^(opyfx£i^  to-jç  ÀÔ'/jvaLOu;  £7t£t6ov 

(1)  Ms.  :  ôie^eiY). 

(2)  Ms.  :  yjxkv.ioiv.oM  avec  le  signe  appelé  hyphen. 

(3)  Cf.  Thucydid.,  I,  134. 

(4)  Ms.  :  0v.  Et  plus  loin  :  (i,y]p. 

(5)  Ms.  :  xpt'ya'vTo;. 

(6)  Peut-être  faut-il  lire  Travo-eaOai. 


—  71  — 
^éyovTsç  £V  Taîç  ïlaucaviou  ÈTriCToXat';  KOtvwvov  fiûpvixévat 
•  Tvîç  TTpo^ociaç  0ÊtJLi(jTox>.éa  •  6  &è  ©sfxtffTOxV^ç,  ^eooixw; 
Toùç  AaxeSat(jtoviouç,  oOx  e(jL£tvgv  ev  tû  Apyei,  a>.>.à  xapeye- 
vsTO  £t;  Képîcupav,  xccjceiôev  ei;  MoXoacoù;  xpo;  A&{A7)tov 
PaaiXeuovra  xal  eyôpov  aÙTw  irpoTepov.  Twv  Se  Aaxeoat- 
(xoviwv  Tuapayevoixévwv  rpoç  tov  ÂSp^viTOv  xal  sÇaiTouvTwv 
aÙTov,  71  yuvvi  toO  ÀJjxyjTOu  uTieÔsTo  0£u,i(7TOX>.éa  àpiraffat 
TOV  ToG  pa<7tXéwç  Traîna  xal  xaôeaÔ-^vat  eirl  ttiç  édTta; 
îx£T5uovTa.  IIpà^avToç  Se  toO  0£p.i(7TOX>.éou;,  6  ASu-tito; 
xaT£X£7f(ja;  aÙTov  oux  s^fiSwxsv,  akV  (XTV£xpt6Yi  to^ç  IIeXo- 
TTOVVTKîtoiç  [/.'h  oaiov  filvat  £xSoOvat  tov  ixérviv.  O  oè  0£{jLt(T- 

TOXX-^Ç,  oux    £)(_WV  OTTOU  ÛTUOGTpe^j^fit,   £7:1  TYjV    IlfipGtSa    £7uX£t. 

ExtvSijv£U(j£  Ss  xal  irXfiwv  àXcovat  xal  7rapa"Xïi<pÔ^vat.  NaÇov 
yàp  '7:oX£[j!,cuvTwv  À6yivata>v,  -fi  vaOç  'h  toO  0fi(JLt(yTOX>.£ou;, 
5(^£t(jicovo;  £7rtyevo(i.£vou,  7cpocvfy£To  t7\  Na^w.  O  Se  0£(jLt<iTO- 

XT.^;,  SsSotXWÇ  (l)  (ATITTOTE  (7uXV/](pG7Î  UTTO  TWV  ÀÔYjVaiWV, 
717r£lX73G£  TW  XuêEpVvfr/)  aVaipV)(5£tV  aÙTOV,  £1  pLYJ  âvTE^^Ol  TOtÇ 
7UV£l>|Jia<7tV.   o  Sfi    Xuê£pv^'T71Ç,  S£t'ja;    TYIV    àirSlV/iV,    (Op(JLVia£V 

sttI  GaXo'j  vuxTa  (2)  xal  -/îj^-Épav,  xal  âvT£<Ty^£  toTç  àv£f;.ot;. 
Kal  oO'tw  0£{jLtaTOxX*^ç  StaccoÔ£lç  '7rap£y£V5T0  £iç  tyiv  Ilfip- 
«JtSa,  xal  Sfip^Tiv  u.èv  où  xaT£'Xaê£v  ^wvTa,  ÀpTa$£pÇriV  oè 
tov  uÎov  (3)  aÙTOu,  w  oùx  £V£<pavt<j6Yi  •  àXKoi  StaTpttj/aç 
iviauTÔv  xal  {;.a6(bv  TViv  n£pGix7iv  yXwaaav,  tot£  7rap£y£V£T0 

77pOÇ   TOV   ÀûTa^Ep^YlV,  Xal   £7w£p!.VVl<7£V   aOTÛ    TWV     SÙ£py£(7tt5v 

a;  £Sox£t  xaTaTeôeiaôai  eîç  tov  -TuaTfipa  (4)  «ùtoO  SfipÇyiv, 

(1)  Ms.  :  5e5ox(b;. 

(2)  Ms.  .  vuxTav. 

(3)  Ms.  îl^ 

(4)  Ms.  :  Tipa. 


__.  ^-  ^, 

^éycav  xal  t^;  cwTvipiaç  (i)  aÙTw  yevvfGsaÔai  atTio;,  [d 
xal  ^7i>.coGaç  (2)  >.u£iv  [/-AXovTaç  Toùç  E>.Xj'/)vaç  to  (^suy^Aa. 
Tireff/^eTO  ^è,  si  Aaêot  (iTpaTov  xap'  auToO,  j^sipco^aGÔai 
Toùç  E>.X7)vaç.  Ô  ^è  ÀpTa^sp^viç,  7rpoc>ycov  toi;  eipyiw.2- 
votç,  JéJwy.ev  aùiw  crpaTOv  xai  Tpeiç  tto^si;  si;  yop-/)- 
ytav,  MayvTGiav  jxèv  £^  gItov  (3),  Aajy^^^^xov  ^è  stç  olvov, 
MuoOvxa  Jg  etç  o^J'ov  (4)«  Aaêwv  ^5  ©sty.tdToy.V^ç  xaV  Tra-' 
pay£vo(J!.£Voç  £i;   MayvvjGiav,   syyùç  -/iôvi  y£vo{A£Vo;  t"^;  ÉX- 

Xa^OÇ,    [;.£T£V07]G£V,    0\J1   (."))    7ÎyyiGap!.£V0Ç   ^£17    7U0X£(A£ÎV    TOÎÇ 

6{AO<puXoiç  •    Ô'Jcov    c)'£    TYj  Asuxocppuvt  (6j   ÀpT£jy.t^t,    GCpaT-' 
TO[A£vou    Taupou,  Oxoaycbv  (piaV/iv  xal  .TrXyiptoGaç  aijAaTOç, 

£TCt£V  xal  £T£X£UT71C£V  (y).    Ot    cH  EX>.'/1V£Ç,    yvovT£;   TaÛTa, 

éEfi&iojxov  Tov  GTpaTOv  Tov  à^-a  tw  0£(;.igtoxX£Ù  Kai  Trapa- 


(1)  Ms.  :  apiaç. 

(2)  Restitution.  Lacune  d'une  trentaine  de  lettres  dans  le  ms. 

(3)  Cf.  Thucydid.,  1,  138. 

(4)  Diodore  (XI,  57)  donne  pour  raison  que  la  mer,  près  de  Myonte,  est 
très-poissonneuse . 

(5)  Ms.  :  oux. 

(6)  C'est  l'orthographe  du  ms.  On  trouve  AeuxoçpuvY)  dans  Pausanias 
(1,  26,  4).  On, écrit  aussi  AeuxoçpuYjvyj. 

(7)  Thucydide  dit  simplement  que  Thémistocle  mourut  de  maladie  . 
NooYicTaç  TeXeuxa  xèv  ^lov  (I,  138).  Le  récit  dramatique  de  la  mort  de 
Thémistocle,  tel  qu'il  se  trouve  dans  Aristodème,  est  attribué  par  Cicéron 
à  Clitarque  et  à  Stratoclès,  dans  un  passage  de  son  dialogue  intitulé 
Brutus  sïve  de  claris  oratoribus.  On  y  lit  en  effet  la  phrase  suivante  : 

« Ut  enim  tu  nunc  de  Coriolano,  sic  Clitarchus,  sic  Stratoclès 

de  Tliemislocle  finxit.  Nam  quem  Thucydides,  qui  et  Atheniensis  erat  et 
summo  loco  natus  summusque  viv  et  pauUo  a'talc  poslerior,  tantum  mor- 
tuum  scripsit  et  in  Attica  clam  humatum  addidit  fuisse  suspicionem  ve- 
neno  sibi  conscivisse  mortem),  hune  isli  aiuiit,  quum  taurum  immolavisset, 
excepisse  sanguinem  patera  et,  eo  poto,  mortuum  concidisse.  Hanc  enim 
mortem  rhetorire  et  tragice  ornare  potuerunt;  illa  mors  vulgaris  nullam 
prœbebat  materiem  ad  ornatum.  »  (Cic,  Brut.^  XL) 


ygvofxevot  Se  eyvwcav  xat  ccvTeTredTpaTeuov  tô  ÀpraÇép^Yi. 
EOGsœç  Te  toc;  Iwvixà;  xal  Tàç  >>otTCàç  tuoXsiç  EX>.7)vt5aç 
TiXsuÔspouv  À6yivaïou  K(|J!.(ovo;  Se  to'j  MiXTtaSo'j  CTpaTn- 
yoijvToç,  âvsTrXeuorav  èm  T7|v  nau.<pu>.f!av  xarà  tov  'keyou.e- 
vov  Eùc'ju,£SovTa7roTa|jt.Qv  (i),  xal  ivauaayvidav  <^oivt^t  xal 
rispcaïc,  xal  Xaj;.7rpà  epya  srsSet^avTO ,  éxarov  ts  vaO; 
éXovTSçaOravSpou;,  s7re^o(7.ay7i(Tav,xal  Suo  TpoTuatagCTYiaav, 
To  piv  xaxà  yrjV,  to  Se  xarà  ôaXaTTav. 

ETrXgudav  Se  xat  xarà  RuTupov  /.al  sir'  AtyuTUTOV.  È^aat- 
Xsixjev  Se  T^ç  AiyuTCTOu  Ivapo;  (2)  uîoç  (3)  "Tap-pTei/^ou  • 
0;,  axoCTa;  ApTaÇspÇou  ,  PoviGoù;  STTViyayeTo  aOrw  tou; 
AO-/]vaiouç,  oiTtve;  eyovTs;  StaxoGia;  vauç  (4)  £7i:oX£p.Yiaav 
sm  £T7i  e^  toi;  P^pêapotç.  MsTot  Se  TauTa,  Meyàêu^oç  (5) 
6  ZwTTupou  xaTa7:e[JL<pôei;  ûtto  ApTaÇep^ou,  (Î)ù{jl7][;.£V(ov  twv 
À6*/ivaiwv  £V  TYi  xaXoup.évy,  HpocwiriTtSt  (6)  vvîaw  £7ut  Ttvo; 
7:oTaj7.o'j,  èxTpeTrei  to  peîOpov  tou  iroTapLOu,  £7T0triG£v  ts  Ta; 
vaO;  êirl  t*^;  yrç  airoXeKpÔYÎvai.  ExTpaicetccov  Se  7C£VTYÎxovTa 
v/iôv  (^)  Attixwv  TupoGirXeoiKTwv  TYi  AiyuTTTw,  01  Trept  tov 
Meya^u^ov  (8)  xal  Tau  Ta;  TrapfiXa^ov,  xal  a;  [J.h  StECpOet- 
pav  (9),  a;  Se  xaTec^ov.  Tcov  Se  âvSpwv  01  [x.àv  ttXsiouç 
Si£cp6apr,<7av ,  oXtyot  Se  TuavTairaciv  ÛTTEffTpeij^av  el;  r/iv 
oixEiav. 

(1)  Cf.  Thucydid.,  I,  100. 

(2)  C'est  l'ortliogi'aphe  du  ms.   Dans  Thucydide  on  lit   'Ivâpto;  (F,  lOi). 

(3)  Ms.  :  ^       _ 

(4)  Ms.  :  eyovxe;  C  vau;. 

(5)  Ms.  »  p.£Yaê'j$o;. 

(0)  Cf.  Thucydid.,  I,  109. 

(7)  Ms.  :  N  vriwv. 

(8)  Ms.  :  (jLEYaêuÇov. 
^9)  Ms.  :  o'.EcpOeifov. 


—  74  — 

MsTa  oè  TauTa  FAXvivixoç  TcoXey.oç  iyévexo  À8Y]va(ojv  xai 
Aaxsàaiaovtwv  sv  Tavaypa  •  xal  oi  [asv  Aa)t£^at{Aovtot  '/icrav 
Tov  àptG[^.ov  {/.upiot  TpiayiXiot,  ot  «^è  ÀGrivaîoi  [j/jptot  é^a- 
xt<j)rt^tot  •  xal  vixîo'Tiv  ÀÔTivalot.  IlapaTa^aji.evûi  Tc  7ua>.iv 
£V  Oivo(puToi;  (i),  CTTpaTViyoGvTOç  aOrwv  ToT^pi^cu  */.al 
Mupwvi^ou,    èviV-V]Gav    BotwToù;  xal    y.aTé<7yov   BoiwTiav. 

EuÔÙ;  £(7TpàT£U<7aV   STtI  KuTTpOV,    (TTpaTTiyOUVTOÇ     aÙTWV  Kt- 

[Awvoç  Tou  jyii>.Ti«(^ou.  ÈvTaûÔa  Xi(A(o  cuvscyeÔ'/iaav,  xal 
Kt(A(ov  voa7;(7a;  sv  KiTctto  (2)  7:o>.£t  T'^ç  Kuirpou  tbXîijtS.. 
Oî  0£  llfipdai,  opwvxeç  xs/waîctofy-evo'j;  toÙç  À.GrjVaiou;,  TTspt- 
(ppov^VavTSç  aÙTÔv,  £T:Yi>.6ov  ratç  vauaiv  •  xal  àywv  ytveTai 
x.aTa  Ôa>.aTTav  ev  6)  vtxcoaiv  AGyivaîot.  Kal  GTpaTryov 
alpoOvTat  Ka'X'Xiav  tov  êttixV/igiv  (3)  >.ayvy,07w"XouTOv  (4), 
£7rel  Ô7)(7aupov  eôpcov  sv  MapaÔwvt  àveXoasvoç  au  tov  eirVjU- 
T7)<j£v.  OuTo;  6  Ka>.>.taç  £(77rsiGaTO  (5)  irpo;  ÀpTa$£p$Yiv 
îcal  Toùç  XotTToùç  rifipca;.  ÈysvovTO  r^è  at  GTTovoal  stci 
TolcOfi  •  £(p'  w  £VTo;  Kuav£wv  xal  Neggou  (6)  TUOTaaoû  y,ai 
<ï>a'7V));i^o;,  7)Ttç  SGTiv  TToli;  Ilajj.î^uXiaç,  /.al  X£)vi^ov£wv  (7) 
[7.71  (i.azpoî';  7r)^oioi;   zaTa-jvXfiwGi  flfiOGat,  /.al   évToç    Tpiwv 

7Î[/.£pÔV  O^OO,   YjV   av    ITTTTO;    OtVOlV/i  SlCO/.0(7.£VOÇ,   p//i  /aTtWGtV. 

Kal  GTTOV^al  oùv  âysvovTO  TotaOTai. 

(1)  Cf.  Thucydid.,  I,  108. 

(2)  Cf.  Thucydid.,  I,  112. 

(3)  Ms.  :  To  £7:txXiv. 

(4)  Cf.  Hesych.  s.  v.  XaxxÔTrXoyto;  et  Pliilarcli.,  JiîsticL,  5. 

(5)  Ms.  :  ecruiqaaTO. 

(6)  Le  nom  vulgaire  est  NeaTo;.  Cf.  Thucydid.,  II,  90. 

(7)  Ms.  :  xeXtqSovéwv.  Ce  sont  les  îles  ou  roches  Chélidoniennes,  Xzki- 
Sovéai  ou  XeXtôovtai.  Scylax,  p.  39  :  XeXiSoviai  àxpwTriptov  xat  VYJc-ot 
Suo  (cf.  MûUer,  Geogr.  gr.  min ,  vol.  I,  p.  74,  et  G.  B.  Hase  ad.  Thés, 
ling.  gr,  vol.  Vlll.,  p.  1435. 


—  75  — 

TOiauTvi;.  AaxeSaifJLovtoi  â<p£Xou.£voi  ^wxe'wv  to  èv  As^^tpciç 
Cepov  TcapeJoTav  Aoxpofç  (i)  xal  [ÀÔYivatot  J  â<p£^oV£voi 
aÙTOλ;  axfi^ocav  7ra>.iv  toîç  <^(ox£u<îtv.  riToaTp£(povTWv  oï 
Tôjv  ÀGvivaiwv  àiro  t-^;  ^Loiy'fiç^  GTpaTyiyoOvTOç  aÙTwv  To);- 
jxir^ou,  xal  Y£vow,£V(ov  xarà  K.op(ov£iav,  £7ti6£7.£voi  aÙTOtç 
a<pvù)  BouoTOt  oùatv  à7wapaG)C£uot;  £Tp£<|'avTO  aÙToùç,xat  Ttvaç 
£$  aÙTwv   é^(6ypv)Gav,  oGcTtvaç  ociraiTouvTWv  ÀÔvivaiwv  co 

TTpOTEpOV     fiCTUfi^OdaV    Y]    T'/IV    BoiWTiaV   tXTZOkOL^elv  •     xal    {X£Tà 

Taura  £ÙGyç  ÀÔvivaîot  7U£pi7î>.£UGavT£;  t'/jv  n£XoxovvviGOV 
FuÔtov  (2)  £lXov,  xal  ToluÂ^-fiç  yikioui  âycov  ÀÔTivatou;  £7ri- 
>v£XTOu;  5t7i>.Ô£  Tviv  n£>.0TC0vv/iG0v.  Kal  7ra>.tv  Euêoiav  àxo- 
CTÔccav  filXov   ÀÔ/iva/ot.  Èv  5è  toutw  toî;  EXXyigi  (77i:ov(^al 

TpiaXOVTOUT£tÇ  (3)  SyeVOVTO.  Tw  T£(7(7ap£(7XaiS£î^aTW  Je  £TÊl 

ÀÔriVaroi  2ay,ûv  TToXtopxvfcavTfi;  (4)   £lXov,   CTpaTViyoOvTo; 

atJTWV  IlEplxXfiOUÇ  xal  0£[J-1<7TOxX£OUÇ. 

Èv  àè  T'^  atjTÔ  £T£i  ouTOJ  XuovTat  ai  twv  TptaxovTa 
£Twv  (5)  (jTTOvSal,  xal-éviiTarat  6  IlfiVjTrovvTiGtaxoç  TwoXe,- 
(Aoç.  AtTtat  &£  xal  7rX£iov£;  (p£povTat  tteoI  toO  7roX£(i.oj. 
ripfOTT)  àè  71  xaTot  rieptxXsa.  <ï>aGl  yàp  OTi,  tôv  Àôvivatwv 


(1)  On  lit  dans  Thucydide  (I,  112)  :  AaxeSaitxovioi  ...  xpan^aavTe; 
Toû  èv  AeXçoïi;  ispoû  7rapé5oaav  AeX<poIç,  xal  au8t;  udtepov  'AOrivatoi  àuo- 
j^tj)pr,(jâvT(ov  aÙTwv  oTpaTeûaavTs;  xai  xpariQaavTe;  Trapeôodav  *w- 
XcOff'.v.  D'après  ce  texte,  il  faudrait  remplacer    oxpol;  par  AeXçol;. 

*  Le  mot  *A6irivaîoi  n'existe  pas  dans  le  manuscrit.  Je  l'ai  suppléé 
d'après  Thucydide. 

(2)  Ms.  .  Ôuyiov. 

(3)  Cf.  Thucydid.,  I,  115. 

(4)  Ms.  :  TïoXtopxrjdav. 

(5)  Ms.  :  Tûv  A  értôv. 


—  76  — 
^avTcov   gpyeTriaTaV/iv    tov    Ilepiy.Tvsa,  TsyviTv^v  (i)  oà  <ï>si- 

ô  IlepixXïiç  (^-'/l  y-a't  otÙToç  eùÔuva;  àTraiTviOvî  ,  (âou^oas- 
vcç  ixyJàvai  làç  zpiasiç,  sTTfAtTeuGaTO  tov  tto^s^lov  toD- 
Tov  Ypa^j^aç  To  narà  Meyapewv  ij^TiCpicj^a.  AtariTTOurat 
oè    Ta'JTa   xal   6    T'aç  âp-^ataç    xwpLco^iaç    tcoitittiç,   Xéywv 

OUTWÇ  • 

'iî  Ai7r£pv^T5ç  (3)  yswpYOt,  xàuLa  &y)  <tov(£Tc(4) 
^'ïlfji.aT',  av  (5)  ^ouXoiaO'  axouaai  rr^vo'  oirw;  aTToAsTO* 
upwTOv  (6)  {jLSv  yàp  vjpçaT'  (7)  aur^ç  U>eio(aç  7rpar,aç  xaxwç* 
slxa  riepixXs'y]?,  çoêrjôëiç  ur,  [jL£-ràff/_oi  tv);  xu/'/jç , 
xàç  cpu(X£iç  u|j.o)v  ÔeSoixw^  xai  xov  aùôaSvi  (8)  xpoTTO*.'  {9), 
£u.êaXo)V  CTrivÔTJpa  {/.ixpov  Msyapixou  vlr|'i)tau.aTO<; , 
E^ca/ucry;c£v(io)  xoffouxov  ttoXe^ov,  wctt'  Ix  xoîi  xaTrvou  (i  i) 
TTotVTaç    EXXy]vaç  8axpu(70(t,  touç  x'  £X£t  xoûç  x'  IvOaSs. 


(1)  Ms.  :  TexvrjTr,v. 

(2)  Ms.  :  àXôivTo;. 

(3)  Ms.  :  to7rec6riTeç.  (Cf.  Aristophan.,Pac,,  v.  603  sqq.,  e^.  Didot).  Dans 
les  éditions  d'Aristophane,  on  lit  .  ^Q  (Toçwraxot  ystopYot,  mais  le  scho- 
liaste  atteste  qu'Archiloque,  et  Cratinus  après  lui,  avaient  écrit  ;  ^Q  Xitcso- 
VY^xeç  TioXÎTat  ràfjià  ôy)  luviexs  ^^yjfjLaxa  (cf.  Schol.  Grœc.  in  Arïstopli.,  éd. 
Didot,  p.  189,  1.  23  sqq.).  La  leçon  de  notre  manuscrit  fait  penser  à  6f,T£ç, 

prolétaires . 

(4)  ^uviete  edd. 

(5)  Ms.  :  pYjjjLaxta.  J'ai  corrigé  en  ^T^ijax'àv.  Le  texte  édité  porte  ^TQfJiaT 
si  (pouXeaô'). 

(6)  TïpwTa  edd. 

(7)  ^p^ev  âxrjç  edd.  La  vraie  leçon  paraît  être  -/îplaT'  arriç. 

(8)  aÙTOôà^edd. 

(9)  Après  Tpouov,  on  lit  dans  le  texte  édité  :  uplv  TiaOsiv  ti  Seivov  aÙTÔ 
èÇéçXe^e  xyiv  tïoXiv.  Ce  vers  n'existe  pas  dans  le  ms. 

(10)  xà^eçuoYjaev  edd. 

(11)  w(7T£  Ttjj  xaTTVw  cdd. 


—  77  — 

nôpvYjv  (i)  £i;  ixsOyjv  îoîiaav  MiyoLOiB-x  [i) 

vcavtai  xXÉTT-ro'jcïiv  (JLEÔudoxoTxaSoi* 

xaTCciô'  (3)  01  MsY^p^îç  oouvai;  Tîâ'^ucriYYwtxs'voi 

àvT£xXc<j'av  (4)  'AdTcaaiaç  irdpvaç  ouo  (5)* 

IvOsvS'  (6)  6  TToXEfxoç  stxcpavio;  xaxeppay'yi 

"EXXrjffi  Traffiv  Ix  xpuov  Xaixa<7Tpiwv  (7)* 

ivôsvos  (jLSVTOi  (8)  nepixXÉyjç  'OXuaTrioç  (9) 

T^<7'z^a■Kx\  eêpovra,  auvsxuxa  (10)  Tyjv  'EXXàôa* 

£Tt6£i  vofxouç  wffTcep  cxoXia  YEypaiXj^.svouç, 

wç  )(^p^(li)  MfiYapiaç  [xvÎt'  £v  àyopa  [xvit*  Iv  -^TTfiipw  [X£V£iv. 

^aal  Se  oTt,  Tou  neptic>.£Ou;  GX£7rTO|i.évou  7U£pl  tyÏç  octto- 
oodswç  Twv  Xoywv  ÛTrèp  T'^ç  epysTrtdTaata;,  AX/ttêtaây]ç  6 
KXeiviou  eTuiTpOTueuofJLevo;  utu'  aÙTou  sitcsv  M'/j  cîteTUTOD 
TTÔç  aTCoSwç  Toùç  Xoyouç  ÀÔTivaiotç,  àXXà  tcôç  (xv)  aTToSô);. 

AeuTepa    Si  cdzioL   (12)  (pépsTat  Kepnupaiwv  xal   Èm- 


(1)  Ces  vers  sont  également  tirés  d'Aristophane  (Jc/iarn.,  v.  524  sciq., 
éd.  Didot). 

(2)  Dans  le  texte  édité  on  lit  :  iiopvyiv  ôè  XifxatOav  lovte;  MeYapâSs. 

(3)  xà6'  edd. 

(4)  àvTE^exXe^^av  edd. 

(5)  Ms.   :   Tïopva;  h.  Le  texte  édité  porte  :  Tiôpva  oûo. 

(6)  xàvTeùôev  Lp^-^  toO  Tzo\i\t.o\j  xaTEppàyr)  edd. 

(7)  Ms.  :  Ô£xa<TTpia>v.  Cette  leçon  pent  s'expliquer  par  le  changement 
de  A  en  A  dans  l'écriture  oncialc  et  par  la  prononciation  de  la  diphthon- 
gue  at  =  z. 

(8)  èvTsOOev  ôpYtj  edd. 

(9)  ouX0|X7rto;  edd. 

(10)  Çuvexuxa  edd. 

(11)  Le  texte  édité  donne  ces  deux  vers  :  *Q;  ypy)  Meyapéa;  (i^t4  Y"? 
jxiqt'  êv  aYopa  |  [i-rj  èv  Oa).âTTr,  (xôt'  èv  rjTc&îpw  itEveiv. 

(12)  Celte  énumération  des  causes  de  lu  guerre  du, Péloponnèse  parait 
empruntée  à  Épbore,  d'après  un  passage  de  Diodore  de  Sicile  (XII,  38*41). 


—  78  — 

^ap-viwv  Toiaur/).  Èm^apo;  (i)  viv  7:o>.t;  KepjtupaLWv  * 
aTCOtxoç  (îè'fl  Kepîcupa  KooivÔlwv  •  7uXriU,{jL£XoujA£vot  ouv  y.ar' 
emvov  Tov  xaipov  zat  67r£pvi<paveuo(/.svot  utto  tûv  Kepxu- 
paiwv,  ot  Èm^afAVtot ,  TrpocTTUOtYiaafxevot  aupLjjLaj^ouç  toÙç 
RopivOtouç  cb;  [JLV)Tp67ro);iTaç,  è^JTpaTsuaav  sm  Kspîtupav 
xal  £7ro>.e{/.ouv.  ni£(^opt.evoi  ^è  K£pxupaîbt  tw  7roX£pt.<t) 
£'jr£(j!.i};av  TTEpi  GU(JLp.ayJaç  irpôç  AÔyivaiou;  â/^ovTaç  (2)  ttoXi) 
vauTiîtov  •  6|J!.oiw;  ^è  xal  oî  KoptvÔioi  £'7T£p.tJ;av  irpoç  ÀÔv]- 
vaiou;  à^touvTfiç  éauTor;  xal  p//i  TOtç  Kfipx-upatoi;  Po7iÔ£rv 
auTou;.  Ot  Se  ÀGvivaToi  £iXovto  (aoXXov  PovjGsrv  toîç  K£p- 
îtupatoiç,  îcal  ivoLU^cHynGOLw  toî;  KopivÔtotç  oOgiv  £vc7rov- 
Soiç  •  xat  âià  toGto  ai  CTTOv&ai  £Xu6y)cav.     . 

TptTV)  aiTta  (p£p£Tat  TotauTV].  IloTt^ata  (3)  iroXi;  aTTOt- 
xoç  KopivGtwv  viv  Êirl  0paxviç.  Èm  TauTTiç  £7r£fj.(|iav  ÀGti- 
vaiot,  pouXo{A£voi   TwapaXaêfiiv   aOTvlv.   Oi    Se  IIoTtSatàTat 

'3TpOa£G£VTO    TOtÇ   KoptvGtOtÇ,    y.«l     Stà    TOOtO    fxàyV)     £y£V£TO 

ÀGvivaiwv  xai  KoptvGiwv,  xai  £$£TCoXiop)C7i(7av  (4)  ot  ÀGr/- 
vatot. 

ÏETapTV)  aiTta  (p£p£Tat  ti  xat  (xkrfieaTcli'zn.  Oî  Aax£Sat- 
(;.ovtot  6ptovT£ç  ai($avo(;<£Vouç  T0Ù4  ÀGvivatou;  xat  vauct  xat 
)^pyf(j!.act  xat  5up-p.«X°tç  (5) 

(1)  Cf.  Thucydid.,  I,  24.  ' 

(2)  Ms.  :  exovTeç. 

(3)  Ms,  :  TToXtTiSata. 

(4)  Ms.  :  £?e7coXitopxTr]aav. 

(5)  Ici  s'arrête  le  manuscrit.    Une  traduction  française  de  ces  fragments 
a  été  publiée  par  l'éditeur  dans  la  Revue  arc/iéolog-i (jue  (m^rs  18G8). 


BIBLIOGRAPHIE 

DES  PUBLICATIONS  LES  PLUS  RECENTES 

(1866-1867) 
RELATIVES  AUX  ÉTUDES  GRECQUES. 


I.  Recueils  périodiques  et  journaux. 


ABHANDLUNGEN  (philologische  und  historische)  (1er  kôuiglichen 
Akademie  der  Wisseoschaften  zu  Berlin,  aus  dem  Jahre  1865,  gr.  4. 
Berlin^  Dûmmler. 

'ArANinnH,  (TUYYpaH-|JLa«epio6ixov,  une  Xiwtou,  èv  Zaxûvôtp. 

ANNALI  deir  Institut©  di  corrispondenza  archeologica.  In-8.  Roma. 

'APXAIOAOriKH  E<I>HMEPli:,  £xôtûO[JL£VYi  Otiô  tyî;  èv  l\0rivai;  àpxaio- 
XoYixtj;  éxaipîa;,  TiepioSo;  ûeuTÉpa,  èv   'AOrivai;,  in-4". 

ARCHIVES  des  missions  scientifiques.  In -8.  Paris ^  Imprimerie  im- 
périale. 

liIBLiOTHECAPHlLOLOClCA.odcrgeordneteUebersichtalleraufdem 
(iel)icte  der  classischen  Altcrthumswissenschaft  wic  der;vlteren  und 
neueren  Sprachwissenscliaft  in  Deulschland  und  tlcm  Auslarid  neu 
eiscliienenen  lUïclier.  liera usgegebcn  von  Dr.  Gust.  Schmidt,  gr.  in-8. 
Gottingen,  Vanderhœck  vnd  Ruprec/U. 


—  80  — 

EDUCAïlONAL  TIMES  (the  and  Journal  of  the  Collège  of  Preceptors. 
London  and  Edinhurgh. 

E0NIKON  HMEPOAOnON  £xôtS6(JLevov  hr.o  Maptvou  Bpexou. 

*EPMHS  AOriOS,  IIuYYpa[;.aa  çtXoXoytxov  Tuspioôixov  xeTpàxiç  toù  ërouç 
£xôtS6[j-£vov  {iTto  K.  I.  KôvTou.  Gr.  in-8.  Leiden.  Brill. 

GŒTÏIXGER  GEI.EIIRTE  ANZEIGEN.  In-12,  Gœttinge. 

HERMES.  Zeitschiift  fur  classische  Philologie  unter  Mitwirkung  von 
R.  Hercher,  A,  Kirchhoff,  Th.  Mommsen,  herausgegeben  von 
Emil  Hùbner,  gr.-8.  Berlin,  Weldmann. 

INDÉPENDANCE  HELLENIQUE,  journal  hebdomadaire;  rédacteur  en 
chef,  M.  Ganellopoulo.  Athènes. 

JAHRBUCHER  des  Vereins  von  Alterthumsfreunden  ira  Rheinlande. 
Lex.  in-8.  Bonn,  Marciis. 

—  neue  fur  Philologie  und  Paedagogik,  herausgegeben  von  Prof.  Dr. 
Alfr.  Fleckeisen.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Teubner. 

JOURNAL  DES  SAVANTS,  recueil  mensuel,  Paris,  Didier,  in-4. 

LITTERARISCHES  CENTRALBLATT ,  herausgegeben  von  Prof, 
Zarnke;  in-4.  Leipzig. 

MÉMOIRES  de  l'Académie  des  inscriptions  et  belles-lettres  et  Comptes 
rendus  des  séances  de  l'Académie  des  inscriptions,  Recueil  men- 
suel, iiî-8.  Paris,  Durand. 

MÉMOIRES  DE  LÀ  SOCIÉTÉ  DE  LINGUISTIQUE  DE  PARIS.  In-8, 
Paris,  Franck. 

PHILOLOGUS.  Zeitschiift  fiir  das  klassische  Alterthum,  herausge- 
geben von  Ernest  u.  Leutsch.  Gôttingen^  Dieterich. 

<Ï>IAISTQP,  G-OyYpatjLaa  çtXoXoyixov  xai  Tia'.ôaytoytxov  xaxà  {jLYiva  èx- 
8tS6|X£vov  èv    l\èyjvaiç,  in-8". 

^^lAOAOriKOS  èv  Kœv<7Tavxtvo\j'n:6Xet  'EXXyivtxoç  luXXoyo;,  ouyypafxfia  tte  - 
ptoôixov,  èx6tÔ6[jL£vov  £v  KwvaxavTivouTîoXEi  uTio  xoO  ô[ji.wvu[j.ou  SyXXoyoy. 

REVUE  DE  L'INSTRUCTION  PUBLIQUE.  Recueil  hebdomadaire,  gr. 
in-8°.  Paris,  Hachette. 

RHEINISCHES  MUSEUM,  herausgegeben  von  F.  Ritschl.  In-8.  Franc- 
fort-sur-le-Mein ,  Sauerlander. 

TRANSACTIONS  of  the  philological  Society.  London. 

REVUE  ARCHÉOLOGIQUE,  Recueil  mensuel  iu-8.  Paris,  Didier. 

REVUE  CRITIQUE  d' histoire  et  de  littérature,  in-8,  recueil  hebdo- 
madaire. Paris,  Franck. 

REVUE  DE  LINGUISTIQUE,  in-8,  recueil  trimestriel.  Paris,  Maison- 
neuve. 

ZEITSCHRIFT  FUR  VERGLEfCHENDE  SPRACKFORSCHUNG.  Iu-S. 
Berlin,  Durnmler. 


-  SI  - 


II.  Mythologie  et  Philosophiç. 


SCHANZ,  Dr.  Mart.,  Beitrâge  zur  vorsokratischen  Philosophie  aus 
Plato.  1.  Heft.  Die  Sophisten.  Gr.  8.  Gœttingue,  Rente. 

E.  ZELLER,  Die  Philosophie  der  Griechen  in  ihrer  geschichtlichcn 
Entwicklung  dargestellt.  Tome  111.  Die  Dacharistotelische  Philoso- 
phie. 2*  éd.  "Gr.  in-8.  Leipzig,  Eues. 

BOHREN,  Dr.  Franc.  Aemil.,  de  Septem  sapientibus.  Gr.  8.  Bonn^ 
Weber. 

HUMBERT,  .1  ,  correspondant  de  l'Institut  de  France,  Mythologie 
grecque  et  romaine,  ou  introduction  à  la  lecture  des  poCtes.  In- 8. 
Paris f  Thorin. 

COX,  G.,  Les  dieux  et  les  héros,  contes  mythologiques,  traduits  de 
l'anglais,  par  F.  Baudry  et  E.  Délerot.  In-8.  Paris,  Hachette. 

SMITH.  Smaller  classical  mylhology,  wilh  translations  from  the  an- 
cient  poets.  In- 18. 

RIJEHLY,  J.,  Die  Schlange  im  Mythus  und  Cultus  der  classischen  Va  1- 
ker.  In-4.  Leipzig,  Teubner. 


III.    HiSTOlHE    ET   géographie. 


GROTE,  Histoire  de  la  Grèce,  trad.  par  L.  de  Sadous,  t.  I-XIX  et  der- 
nier, ln-8.  Librairie  Internationale^  Paris. 

EGGER,  E.,  Etudes  historiques  sur  les  Traités  publics  chez  les  Grecs 
et  chez  les  Romains  depuis  les  temps  les  plus  anciens  jusqu'aux 
premiers  siècles  de  l'ère  chrétienne,  nouvelle  édition,  ln-8.  PariSf 
Durand. 

—  Un  ménage  d'autrefois  (à  Athènes);  —  Étude  d'histoire  ancienne. 
Les  projets  de  réforme  sociale  dans  l'antiquité.  In-32  ((onférenccs 
faites  à  l'Asile  impérial  de  Vincennes).  Paris^  Hachette. 

SCilNEiDERHAHN,  Die  Entwicklung  der  attischen  Demokrntic  von 
Perikles  bis  in  die  Zeit  des  Demosthenes.  Nach  dcn  Quelleu  bear- 
beitet.  Gr.  4.  TUbingen,  Fues. 

SCiiiEFER,  A  m.,  Abriss  derQuellenkunde  dergriechischenGeschichle 
bis  auf  Polybios.  Gr.  8.  Leipzig,  Teubner. 


—  82  — 

TRIEBER,  Conr.,  Quaestiones  Laconicae.  Pars  I.  De  Nicolai  Damas- 
ceni  Laconicis.  Gr.  8.  Berlin^  Weidmann, 

BECKERS,  Jos.,  de  bostiis  humanis  apud  Graecos.  Ia-8.  Munster, 
Fahle. 

SCHLIEBEN,  Die  Pferdedes  Alterthums.  Gr.  8.  Neuwied,Heuser. 

CAMPE,  de  pugna  Marathonia.  Greiffenberg,  Gruss. 

TULLMANN,  Beîtrag  zur  Wûrdigung  Kleoii's  des  Atheniensers. 
Gr.  4.  Kielf  Schwers. 

GROSSER,  Dr  Rich.,  Geschichte  und  Alterthûmer  der  Stadt  Kroton. 
gr.  8*.  Minden^  Volkening. 

NTLONAS,  Cyriacus  Dion.,  de  Smyrnaeorum  rébus geslis.  gr.  8.  Gœt- 
tinguBj  Mente, 

LEPSIUS,  R.,  das  bilingue  Dekret  von  Kanopus  in  der  Original  grosse 
mit  Uebersetzung  und  Erklaerung  beider  Texte  herausgegeben. 
Griechischer  Texte  mit  Uebersetzung,  Hieroglyphischer  Text  mit 
Umscbrift  und  Interlinearûbersetzuug.  fol.  Berlin,  Hertz. 

UUCKE,  J.  F.  Alpb.,  Flavius  Claudius  Julianus,  nach  den  Quellen. 
Gr.  8.  Gotha^  F.  A,  Perthes, 

—  de  Xanthippo  Lacedaemonio  Gartbaginiensium  duce.  Gr.  8.  Berlin, 
Calvary. 

ROBiou,  F.,  Histoire  des  Gaulois  d'Orient,  in-8.  Paris,  Imprimerie 
impériale, 

PERROT,  G.,  De  Galatia  provincia  romana.  In-8,  Paris,  Thorin. 

UNGER,  Geo.  Frdr.,  Chronologie  des  Manetho.  Gr.  8.  Berlin,  Weid- 
mann, 

FOUCA"RT,  P.,  Mémoire  sur  l'affranchissement  des  esclaves  par  forme 
de  vente  à  une  divinité,  d'après  lea  inscriptions  de  Delphes.  Iu-8. 
Paris,  Thorin. 

PERROT,  G.,  Essais  sur  le  droit  public  et  privé  de  la  république  athé- 
nienne. Paris,  Thorin. 

DUGiT,  Etude  sur  l'aréopage  athénien.  In-8.  Paris,  Thorin: 

FUSTEL  DE  COULANGES,  La  cité  antique.  2*  édition,  ln-8.  Paris, 
Hachette, 

CHARICLES,  or  illustrations  of  the  private  life  of  the  ancient  Greeks  ; 
with  notes  and  excursuses.  By.  W.  A.  Becker.  Translated  by  the 
Rev.  F.  Metealfe.  In-8.  London, 

WENIGER,  L.,  De  Anaxandrida,  Polemone,  Hegesandro,  rerum  Del' 
phicarum  scriptoribus,  in-8.  Berolini,  Calvary. 

SMITH.  Dictionnaire  de  biographie ,  mythologie,  géographie  ancienne, 
traduit  par  N.Theil,  in-8.  Pam,  F.  Didot, 

GAUDRY,  A.,  Animaux  fossiles  et  géologie  de  l'Attique.  Des  lumières 


-  83  — 

3ue  la  géologie  peut  jeter  sur  quelques  points  de  l'histoire  aDcieaae 
es  Athéniens,  ln-8.  Paris,  Savy. 

BRANDES,  Dr.  H.,ùber  das  Zeitalter  des Geographen  Eudoxos und  des 
Astronoinen  Geminos.  Ueber  die  antiken  Namen  und  die  geogra- 
phischen  Verbreitung  der  BaumwoUe  im  Alterthum.  Zwei  geogra- 
phisch-antiquarische  Untersuchungen.  Gr.  8».  Leipzig,  Heinrich. 

SAAL^  Dr.  N.,  de  demorum  Atticae  per  tribus  distributione.  gr.  4*. 
Cœlrif  Boisserée. 

*IaTopia  ToO  •EXXïjvixoO  "Eôvou;  oîto  twv  àpxaiotàTwv  xpôvtov  lAe'xP» 
Twv  vewTCXTwv  x*pi"*'  'f""'  TcoX).tiv  è^ôpYaffOiïaa  Ono  K.  Hanap^riYO- 
TîouXou.  TÔjA.  Y»  À6r,vri(7i. 

*lTaXoeXXyivixa,  -^toi  xpittxr)  7ipaY(<.aTeia  itepl  twv  iv  toïç  àp^sCoi; 
NcanôXeuc  àvexôoTuv  iXXvjvixûv  7cepYa(&v)vûv,  Onà  A.  Za(ineXCo'j, 
'AÔVîv{j(yi. 


IV.  Philologie  et  Geaxhairb. 


MÛLLER,  Max.  La  Science  da  langage,  traduit  de  Tanglaîs  par 
MM.  G.  Harris  et  G.  Perrot.  In-8'.  Paris,  Durand. 

—  Nouvelles  Leçons  sur  la  science  du  langage,  traduites  par  les  mê- 
Ines.  Tome  l*"'*  (Phonétique  et  Etymologie)  avec  une  notice  sur 
M.  Max  Mùller.  In-S».  Paris,  Durand, 

BOPP,  F.,  Grammaire  comparée  des  langues  indo-européennes,  tra- 
duite par  Michel  Bréal,  prof,  au  Collège  de  France.  1"  et  2«  vol. 
In-S".  Paris,  Hachette. 

—  Glossarium  comparativum  linguae  Sanscritœ,  in  quo  omnes  San- 
scritae  radiées  et  vocabula  usitatissima  explicantur  et  cum  vocabu- 
lis  grœcis,  latinis,  germanicis  etc.  comparantur.  Editio  III,  in  qua 
vocabula  Sanscrita  accentu  notata  sunt  latinisque  litteris  transcripta. 
Adjecti  sunt  indices,  gr.  4**.  Berlin,  Dûmmler. 

BAUDRY,  F.,  Grammaire  comparée  des  langues  classiques.  1"  Partie. 
Phonétique.  In-8.  Paris,  Hachette. 

CURTIUS,  G.  Zur  Chronologie  der  indogermanischen  Sprachforschung. 
In-4*.  Leipzig,  Hirzel. 

DELLBRUCK,  Dr.  B.,  Ablativ  localis  instrumentalis  im  Altindischen, 
Lateinischen,  Griechischen  und  Deutschen.  Ein  Beitrag  zur  ver- 
gleichenden  Syntax  der  indogermanischen  Sprachen.  gr.  8**.  Berlin, 
Dummler. 

BENFEY,  Thdr.,  Ueber  einige  Plural bildungen  des  indogermanischen 
Verbum.  gr.  4**.  Gœttingen^  Dieterich» 


—  84  — 

FUISTING.  Morphologie  der  griechischen  Sprache,  zurùckgef  uhrl  au( 
die  indogermanische  Ursprache.  Gr.  8*».  Munster,  Theissing. 

KIRCHHOFF,  A.  Studien  zur  Geschichte  des  griechischen  Alphabets. 
Gr.  8°.  Berlirif  Lûmmler. 

POTT,  Prof.  Dr.  Aug.  Frdr.,  Etymologische  Forschungen  auf  dem  Ge- 
biete  der  indogermanischen  Spracheu,  unter  Berùcksichtigung  ihrer 
Hauptformen  :  Sanscrit,  Zend-Persisch,  Griechisch-Lateinisch,  etc. 
2.  Auflage  in  vôllig  neuer  Umarbeitung.  Gr.  8°  Detmoldj  Meyer. 

CURTIUS,  G.,  Grunzùge  der  griechischen  Etyraologie.  2.  Auflage 
2  vol.  in  8"*.  Leipzig,  Teubner. 

KRAMPE,  Aloys.,  de  Dialecto  laconica  dissertatio  philologica.  Gr.  8*. 
Munster  t  Niemann. 

BUTTMANN,  Ph.,  Lexilogus,  a  critical  examination  of  the  meaning 
and  elymology  of  passages  in  greek  writers.  Translated,  with  notes, 
by  Fishlake.  In-8°.  London. 

WRIGHT,  G.-N.,  The  Eton  greek  grammar  translated  into  english, 
with  many  notes  and  emendations  from  the  grammar  of  Tiersch, 
Matthias,  etc.  A  new  édition,  carefully  revised  by  the  Rev.  John 
Massic,  M.  A.  London,  William  Tegg. 

GUÉRARD  ET  PASSERAT.  Grammaire  grecque.  In-8».  Paris,  De- 
lagrave. 

CURTIUS,  G.,  Griechische  Schulgrammatik,  8.  Auflage.  In-8°.  Leipzig. 

—  The  students  greek  grammar  for  the  upper  forms  in  schools. 
Edited  by  Smith.  London. 

—  A  Smaller  greek  grammar,  for  the  middle  and  lower  forms,  abrid- 
ged  from  Ihe  above  work  of  Gurtius.  12™°. 

MATTHISSON.  Greek  grammar  for  the  use  of  schools,  abridged  by 
Blomfield,  revised  by  Edwards.  In*12.  London. 

FARRAR,  W.,  Abrief  greek  syntax,  and  hints  ou  greek  accidence. 
In-8°.  London,  Lagmann. 

WINER,  G.  B.,  Grammatik  des  neutestamentlichen  Sprachidioms  als 
sichere  Grundlage  der  neutestamentlichen  Exégèse  bearbeitet.  7'^. 
verbesserte  und  vermehrte  Auflage  besorgt  von  Prof.  Dr.  Glieb.  Lù- 
nemann.  Gr.  8''.  Leipzig,  Vogel. 

WIENER,  Dr.  M.,Wôrterbuch  zum  Pentateuch  als  Hùlfsmittel  fur  dar 
Verstœndniss  des  Textes  und  der  giammatischen  Formen  der 
heiligen  Schrift  beim  Schul-  und-  Privatunterricht  bearb.  gr.  8". 
Hannover^  Helwing. 

HERBST,  Ludw.,  Ueberàv  beim  Futur  imThukydides.  Gr.  A.Hamburg, 
Nolte. 

HOLZmAN,  Michael,  de  comparationis  quaî  dicuntur  in  grœca  et  la- 
tina  lingua  particulis.  Gr.  8**  1866.  Berlin,  Calvary. 

SEYFFERT,   Dr.    Mor.   Hauptregeln   der  griechischen   Syntax  als 


-  85  — 

Anhangder  griechischen  Formenlehre,  von  Dr.  Cari  Franke.  Gr.  8°. 
Berlin,  Springer. 

RCSEX,  L.  E.,  de  Future  indicativi  ambigui  linguae  graecae  cumlin- 
gua  latina  comparatae  commentatio.  Gr.  8**.  Berlin,  Calvary, 

LlNDXER,  Dr.  F.  G.,  Griechische  Synlax  in  den  Hauptregeln  ûber- 
sichtlich  zusammengestellt.  Gr.  8".  BreslaUf  Gosoharsky. 

SCHENKL,  Dr.  Karl,  griechisch-deutsches  Schulwôrterbuch.  Lex.-8*. 
Wien,  Gerold. 

PAPE,  Dr.  W.,  Handwôrterbuch  der  griechischen  Sprache.  Wôrler- 
buch  der  griechischen  Eigennamen.  2  Band.  Gr.  8**.  Bratinschweig, 
Vieiveg. 

LrBKER,  F.,  Reallexikon  des  classischén  Alterthums  fur  Gymuasien. 
Lex.-8«  Leipzig,  Tenbner. 

BENwSELER,  Dr.,  Ed.,  griechisch-deutsches  Schul-Wôrterbuch  zu 
Homer,  Herodot,  Aeschylos,  etc.,  soweit  sie  in  Schulen  gelesen 
werden.  Lex.-8'.  Leipzig,  Teubner. 

WITTING,  P.,  de  Usu  conjunctivi  et  optativi  in  enuntiationibus  se- 
cundariis  apud  epicos  graecos.  gr.  8».  Berlin,  Calvary. 

TRAUT.  Lexikon  ùber  die  Formen  der  griechischen  Verba.  Gr.  8». 
Giessen,  Roth. 

TREGDER,  Dr.  P.  H.,  griechische  Formenlehre  fur  Schulen.  Gr.  8*. 

Schleswig. 

RŒDER,  Wilib.,  Formenlehre  der  griechischen  Sprache  fur  Gymna- 
sien  vom  sprachhistorischen  Staudpuncte  aus  dargestellt.  gr.  8'. 
Berlin,  Weidmann. 

SCHNATTER,  J.,  Eléments  de  la  langue  grecque.  Le  verbe  et  les  par- 
ticules du  dialecte  attique.  In-8*.  Berlin,  Uerhig. 

ROST,  Dr.  Frd.,  deutsch-griechisches  Wôrterbuch  neu  bearbeitet  von 
Dr.  Frdr.  Berger.  Gœttingue,  Vandenhoeck. 

GOLDMANN,  Frid.,  de  Dochmiorum  usu  Sophocleo.  Part.  1.  Decanti- 
corum  dochmiacorum  compositione.  Gr.  m-8.  Halle,  Graeger, 

ROSSBACii.  A.,  u.  R.  Westphal,  Melrik  der  Griechén  im  Vereine  mit 
den  ûbrigenmusischenKùnsten.  2'=édit.  en  2  vol.  Gr.  in-8.  Leipzig, 
Teubner. 

DiDLE.  Dr.  Eug..  Matcrialien  zu  griechischen  Exercitien  Behufs-Ein- 
ùbung  der  Formenlehre,  nel)st  deutsch-gricchischem  Wôrterverzei- 
chnisse  fur  die  mittleren  Gymnasial-Classeu.  Gr.  in-8.  Leipzig, 
F.  Fleicher, 

VEITCH,  W.,  Greek  verbs,  irregular  and  defeciive,  their  forms, 
meanings  and  auantity;  embracing  ail  the  tenscs  uscd  by 
greek  wrilers,  with  références  to  the  passages  in  which  tliey  are 
iound.  New  édition.  London,  Cloth. 

MUELLER,  II.  D.,  Tabelle  der  griechischen  unregelmâssigen  Verba  zum 
Auswendigleruem  fùrSchùler.  Lex..8.  GotUngen,  Vandenhoeck. 


BUTTMANN,  Ph.,  A  catalogue  of  irregular  greek  verbs,  with  ail  the 
teuses  extant,  their  formation,  meaning  and  usage.  Translated  and 
edited  with  notes  and  a  copions  index,  by  Rev.  J.-R.  Fishlake,  M.  A. 
Fifth  édition.  London. 

HUTTON.  Principia  grœca,  first  greek  course.  A  grammar  delectus 
and  exercise  book,  with  vocabularies.  In-12,  1867. 

ADAM.  Greek  delectus  adopted  to  the  arrangement  of  the  R.  G. 
Wordsworth's  grammar:  with  a  lexicon  and  appendix.  Twelfth 
édition.  12  mo.  Clothj,  —  Greek  exercises,  similarly  adapted.  Third 
édition.  I2mo.  London. 

FRECND'S  Schùler-Bibliothek.  Praparationen  zu  den  grJechischen 
und  rômischen  Schulklassikern.  —  Horaer's  Ilias.  —  Homer's  Odys- 
sée. —  Xenophon's  Anabasis.  —  Xenophon's  Gyropàdie.  Gr.  in- 16. 
Leipzig^  Violet. 

WRIGHT,  J.,  Hellenica.  A  first  greek  reading  book;  second  édition, 
with  vocabulary.  In-8.  London, 

ROUZÉ.  Le  Jeune  Helléniste,  contenant  les  fables  d*Esope,  des  exer- 
cices élémentaires,  des  thèmes  d'imitation,  etc.,  par  M.  Rouzé, 
agrégé  de  l'Université.  In-12.  Paris^  Belin. 

rangabÉ.  Grammaire  abrégée  du  grec  actuel.  In-12.  Paris,  Durand. 

GAVIL  HAMïLTON,  the  Subjunctive  of  the  Greeks  and  Latins,  with 
an  Appendix  on  Mt^.  In-8.  Edinburghy  Oliver  and  Loyd. 

—  The  true  Theory.of  the  greek  négative  M^.  In-8.  Edinburgh,  Oliver 
and  Boyd. 


V.  ÉPiGRAPHiE.  —  Archéologie. 


LES  PAPYRUS  GRECS  du  musée  du  Louvre  et  de  la  Bibliothèque 
Impériale,  publication  préparée  par  Letronne,  exécutée  par 
MM.  Bru  net  de  Presle  et  Egger.  In-4.  Paris,  Imprimerie  impériale. 

EGGER,  E.,  Note  sur  une  inscription  grecque  de  Marseille.  (Extrait  des 
comptes-rendus  du  congrès  scientifique  d'Aix  en  Provence). 
In-8.  Aiœ. 

WESCHER,  Carie,  Notice  sur  deux  inscriptions  grecques  monumen- 
tales récemment  découvertes  en  Egypte.  Broch.  in-8.  (Annali  del- 
rinstituto  di  corrispondenza  archeologica). 

—  Inscription  archaïque,  gravée  sur  un  rocher  près  de  Delphes.  Ibid. 

—  Éclaircissements  sur  le  déchiffrement  du  monument  bilingue  de 
Delphes.  (Bidletino  delV  institiito  di  corrispondenza  archeologica.) 

—  Éclaircissements  sur  les  inscriptions  du  mur  oriental  de  Delphes. 
Ibid. 


—  87  — 

—  Éclaircissement  sur  une  inscription  grecque  d'Alexandrie,  appar- 
tenant au  règne  de  Cléopàlre.  Ibid. 

—  Texte  et  explication  d'un  décret  en  dialecte  dorieu  provenant  de 
l'ile  de  Carpathos.  {Revue  archéologique). 

— Inscription  inédite  d'Halicarnasse  en  dialecte  dorien  et  en  vers.  Ibid. 

—  Inscriptions  de  Tile  de  Rhodes  relatives  à  des  sociétés  religieuses. 
Ibid. 

—  Notices  sur  deux  inscriptions  de  l'île  de  Théra  relatives  à  une  so- 
ciété religieuse.  Ibid. 

—  Note  relative  à  un  prêtre  d'Alexandre  et  des  Ptolémées.  Ibid. 

—  Note  relative  à  un  passage  de  la  Paléographie  grecque  de  Mont- 
faucon. 

—  Notice  sur  un  fragment  de  stèle  trouvé  à  Athènes.  Ibid. 

—  Le  monument  de  Dexileos,  un  des  cinq  morts  devant  Corinthe  (avec 
une  planche).  Ibid. 

—  Notice  sur  deux  inscriptions  du  Pirée.  Ibid, 

—  Notice  sur  une  stèle  hypothécaire  des  environs  d'Athènes,  fbid. 

—  Rapport  sur  des  recherches  épigraphiques  en  Grèce,  dans  l'Ar- 
chipel et  en  Asie-Mineure.  (Archives  des  missions  scientifiques.) 

—  Rapport  sur  des  recherches  épigraphiques  en  Egypte.  Ibid. 

DECHARME  (P.),  membre  de  l'Ecole  française  d'Athènes.  Notice  sur 
les  ruines  de  l'Hiéron  des  muses  dans  l'Hélicon,  broch.  iu-8.  (Ar- 
chives des  missions  scientifiques.) 

WATTEXBACH,  Prof.  W.  Anleitung  zur  griechischen  Palaeographie. 
Gr.  in-8.  Leipzig^  Hirzeî. 

SCHVCHARDT,  Dr.  Otto,  Nikomachos,  eine  arcbâologische  Studie. 
In-8.  Weimarj  Bohlau. 

GRASER,  Bernh.,dieGemmen  deskôniglichen  Muséums  zu  Berlin  mit 
Darstellungen  antiker  Schiffe.  Gr.  iu-4.  Berlin^  Calvary. 

KEKULÉ,  Reinh.,  Hebe,  eine  arcbâologische  Abhandlung.  Gr.  in-8. 
Leipzig,  Engelmann. 

—  Menelao  ed  Elena,  spccchio  graffito  del  museo  Britannico,  in-8. 
Roma. 

KRUGER,  Gust.,  Charon  und  Thanatos.  Gr.  în-4.  Berlin^  Calvary, 

IIELBIG,  W.,  Dipinti  di  Pesto.  —  Vasi  di  Busiri.  —  Oresti  ePilade  in 

Tauride.  In-8.  Roma. 
DE  WITTE,  J.,  Etudes  sur  les  vases  peints.  In-8.  Paris. 

FOUCART,  E.,  Mémoire  sur  les  ruines  et  l'histoire  de  Delphes.  In-8. 

PariSf  Imprimerie  impériale. 
PINDER,  E.,  Ueberden  Frmfkampf  derHellenen.  ln-8.  Berlin tïïertz. 


—  88  - . 

MARTIN,  Th. -H.,  La  Foudre,  l'électricité  et  le  magnétisme  chez  les 

anciens  In-12.  Paris,  Didier. 
PAUL,  Dr.  Ose,  Die  ahsolute Harmonik  der  Griechen.  Gr.  in-4.  Leipzig, 

Dorffel. 
TIRON,  A.,  Etudes  sur  la  musique  grecque.  In  4.  Paris,  Imprimerie 

impériale. 

SMITH,  Smaller  dictionary  of  greek  and  roman  antiquities.  In  8. 
London. 

GOLL,  D^'  Herm.,  Kulturbilder  aus  Hellas  und  Rom.  Gr.  in-8.  Leipzig, 
Wiedemann. 

OVERBECK,  J.,  Die  antiken  Schriftquellen  zur  Geschichle  der  bilden- 
den  Kùnste  bei  den  Griechen.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Engelmami. 

BRUNN,  H.,  liber  das  Alter  der  aegineiischen  Bildwerke.  Gr.  in-8, 
Mûnchen,  Franz. 

—  ùber  die  sogenannte  Leukothea  in  der  Glyptothek  Sr.  Maj.  Kônig 
Ludwigs  I.  Gr.  in-4.  Mûnchen. 

CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'ART  ANTIQUE,  dessinés  et  gravés  par  les 
meilleurs  artistes  italiens,  mis  en  ordre  avec  un  texte  par  Fr.  Le- 
normant  et  F.  Robiou.  7  vol.  in-4.  Paris.,  Lévy. 

CHOIX  DE  PEINTURES  DE  POMPEl,  lithographiécs  en  couleur  et 
accompagnées  d'une  explication  par  Raoul  Rochette.  Un  fort  vo- 
lume in-folio,  texte  et  28  planches  en  couleur.  Paris,  Lahitte. 

BAZIN,  H.,  De  la  condition  des  artistes  dans  l'antiquité  grecque. 
In-8.  Paris f  Durand. 

IX)NGP£RI£R  (A.  de),  Musée  Napoléon  III.  Choix  de  monuments  an- 
tiques pour  servir  à  l'histoire  de  l'art.  In-4.  Paris,  Morgand. 

JACQUE»IART,  A.,  Les  Merveilles  de  la  céramique,  ou  l'Art  de  fa- 
çonner et  de  décorer  les  vases  en  terre  cuite,  faïence,  grès  et  por- 
celaine, depuis  les  temps  antiques  jusqu'à  nos  jours.  In-18.  Paris^ 
Hachette. 

CHAMPFLEURY,  Histoire  de  la  caricature  antique,  2^  édit.  ln-12. 
PariSy  Dentu. 

HENRY  HOUSSAYB,  Histoire  d'Apelle,  in-8.  PariSy  Didier. 

DETHIER,  Dir.,  Nouvelles  découvertes  archéologiques  faites  à  Con- 
stantinople.  In-4.  Berlin,  Oehmighe. 


VI.  Littérature  générale. 


OTTFRIED  MUELLER.  Histoire  de  la  littérature  grecque  jusqu'à 
Alexandre  le  Grand,  traduite,  annotée  et  précédée  d'une  Étude  sur 
0.  MùUer,  par  Karl  Hillebrand.  2  vol.  in-8.  Paris,  Durand. 


—  89  — 

--  Id.  3  vol.  iii-12.  Paris,  Durand, 

BERNiiÂRDT,  G.,  Grundriss  der  griechischen  Litteratur.  Gr.  in-8. 
Halle,  Anton. 

FEILLET,  A.,  Histoire  abrégée  de  la  littérature  grecque.  I11-I2.  Paris, 
Hachette. 

MEXXECHET,  Histoire  abrégée  de  la  littérature  grecque,  revue  par 
J.-P.  Charpentier,  in-12.  Paris,  Garnier, 

CHASSANG,  A.,  Du  spiritualisme  et  de  l'idéal  dans  l'art  et  la  poésie 
'  des  Grecs.  In-8.  Paris,  Didier. 

CHAIGNET,  Des  formes  diverses  du  chœur  daus  la  tragédie  grecque, 
broch.  in-8.  Paris,  Durand, 

EGGER,  Les  derniers  jours  de  l'éloquence  athénienne.  Démosthène, 
Eschine  et  Hypéride  (Extrait  du  Correspondant).  ïn-8.  Paris, 
Douniol. 

NiCOLAi,  Dr.  Rud.,  Geschichte  der  gesammten  griechischen  Litteratur. 
Gr.  in-8.  Magdeburg,  Heinrichshosen. 

NICOLAI ,  Ad.,  Ueber  Eutstehung  und  Wesen  des  griechischen 
Romans.  In-8.  Berlin,  Calvary. 

WALTHER,  Carol.  Herm.,  commentationis  de  Graecae  poesis  melicae 
generibusparlicula.  Gr.  in-8.  Berlin.,  Calvary. 

WELDËR,  F.-G.,  Kleine  Schriften  zur  griechischen  Mythologie,  Kunst- 
und-  Litteraturgeschichte.  Gr.  in-8.  Elberfeld,  Friderichs. 

RADEMACHER,  Eug.,  Quaistiones  de  irilogia  tragica  Grascorum.  Gr. 
in-8.  Kônigsberg,  Schubert. 

FK.  RITSCHELII  opuscula  philologica,  2  vol.  in-8,  (vol.  I  :  ad  litteras 
grœcas  spectantia).  Leipzig^  Teubner. 

TRENUELENBURG,  Ad.,  (irammaticorum  graecorum  de  arte  tragica 
judiciorum  reliquiae.  Gr.  in-8.  Bonn,  Marcus. 

NIEBERDING,  Rob.,  de  anapaestorum  apud  iEschylum  et  Sophoclem 
ratione  antisystematica.  ln-8.  Berlin,  Calvary. 

GiDEL,  C,  Etudes  sur  la  littérature  grecque  moderne  et  les  imita- 
tions en  grec  de  nos  romans  de  chevalerie.  In-8.  Paris,  Durand. 

FlRMENICH-RlCilARTZ,  Prof.  Joh.  Matth.,  TpayoûSia  fw[jLaïxà.  Neu- 
griechische  Volksgesange.  Lex.-8.  Berlin,  Hertz. 

MATHAlOr  K.  HAPANIKA  aytoioi<j\ia7zzfi  tyi;  èv  tw  *EXXyivixw  *'EOvei 
xaTaffTâffew;  twv  Ypa(i.(iâTtâ>v  àîcà  àXcîxTecoç  KwvffTavTtvouitôXsw;  {léxpi 
TÔJv  àp/wv  Tt);  èvEaTtôffT);  éxaTovTaeTTjpîSo;.  KtioXi;,  tûtcoi;  A.  KopôjXYiXa. 

MArPO<I>PrAHI,  Ilepl  Ttic  ÈXeystac  r,  Tcspt  tÎ);  èXeYSiax-îi;  7roiri<jea>;  Ttôv 
àpyaîuv  'EXXrivwv.  Bêcti;  èxJiôojiévr)  inicxcutlct,  xod  ôanivig  IleptxXéou; 
'laaefiîûou,   'AôiQv^ffi. 


90  — 


VII.  Auteurs  grecs. 


JESCHINES.  —  Voyez  Collfxtions. 

JESCHYLI  ïragoediae.  Ad  praestanlium  librorum  fidem  recensuit,  et 
animadversiones  criticas  adjccit  Car.  Herra.  Weise.  Nova  editio  ster. 
Collect.  Tauchnitiana.  Nova  impressio.  i  6.  Leipzig ^  Holtze. 

—  Persœ.  Recensuit,  adnotationem  criticam  et  exegeticam  adjecit  H. 
Weil.  In-8,  Giessen,  Richer. 

—  Agamemnon.  Uebers.von  Dr.W.  Marbach.  In-B,  Leipzig,  Marbach. 

—  Uebers.  von  J.-G.  Droysen.  lu-S,  Berlin,  Hertz. 

—  Voyez  PoET^  et  Collections. 

Beckmann,  Dr.  Fr.,  Bemei kungen  zum  Prolog  und  zur  Parodos  des  sschy- 
leischen  Agamemnon.  Gr.  8.  Bvaunsberg,  Peter, 

Mnellcr,  Phil.,  Obscrvaiioncs  ci  iticae  in  Aeschyli  Choephoros.  8o.  Erlan- 
gen,  Deichert, 

Sanneff  (J.).   De  vocabulorura  composilione  graca  praecipue  ^schjiea, 
In-8o.  Halle,  Anton, 

B.  Fœrster.  De  aitractionis  usu  iEschyleo.  In-8o.  Breslau. 

ANTHOLOGIA  PALATlNA  Epigrammatum  grœcorum,  cum  Planu- 
deis  et  appendice  nova,  annolatione  inedita  Boissonadii,  Chardonis 
Rochetlii,  Bothii,  partira  inedita  Jacobsii,  metrica  versione  Hu- 
gonis  Grotii,  apparatu  critico  et  brevi  commentario  instruxit  Fr. 
Dùbner,  Tom.  I.  Gr.  in-8,  Paris,  Fr.  Didot. 

ARATUS.  Germauici  Caîsaris  Aratea,  cum  sclioliis,  éd.  Alfr.  Breysig. 
In-8,  Berolini. 

ARISTOPHANES,  Ausgewiihlte  Komoedien.  Erklârt  von  Thdr.  Kock. 
Die  Ritter.  Gr.  in-8.  Berlin,  Weidmann. 

—  Die  Ritter.  Griechisch  und  deulscb  mit  krit.  und  erkliir.  Anmerkgn, 
von  W.  Ribbeck.  gr.  in-8.  Berlin,  Guttentag. 

—  Extraits,  avec  notes  par  Fallex.  In-18.  Paris,  Durand. 

—  Extraits,  traduits  par  Fallex.  In-18.  Paris,  Durand. 

—  Extraits,  avec  notes,  par  Poyard.  ln-18.  Paris,  Hachette. 

—  Exjtraits,  avec  notes  parHellen.  In-i2.  Paris,  Delalain. 

—  Extraits,  avec  notes,  par  Jacquet.  In-12.  Paris,  Belin. 

—  The  Peace.  The  greek  text  revised;  with  a  translation  inlo  corres- 
pond ing  mètres,  and  original  notes,  by  B.  Bickley  Rogers.  London. 

—  Voyez  PoET^. 

E.  Deicbanel,  Études  sur  Aristophane.  Id-18.  Paris,  Hachette. 


—  91  — 

ABiSTOTELis  opera  omnia  ad  optimorum  librorum  fidem  accurate 
édita.  Editionisstereot.  CoUectionis  TauchDitiaD»,  nova  impressio. 
Tom.  I,  6  et  10.  Leipzig,  Holtze. 

Inhalt  :  l.  Physicorum  libri  VIII.  —  6.  De  animalium  partibus,  generatione, 
incessu,  raotione  et  spiritu.  —  10.  Elhicorum  ad  Nicomachum  libri  X. 

—  Ars  rhetorica  cum  adnotalione  Léon.  Spengel.  Accedit  vetusta 
translatio  latina.  2  Voll.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Teubner. 

—  De  Arte  poelica  liber,  édit.  J.  Wahleu.  In-8.  Leipzig^  Teubner. 

—  The  Ethics,  illustrated,  with  essays  and  notes,  by  sir  Alexandre 
Grand,  Bart.  Second  édition  revisedand  completed.  2  Vol.  S^.London. 

—  Sélections  from  the  Organon  of  Aristotle  edited  by  J.  R.  Mazrath,. 
in-12.  Londorij  Rivingsion. 

—  Traité  de  la  production  et  de  la  destruction  des  choses,  d'Aristole, 
suivi  du  traité  sur  Mélissus,  Xénophane  et  Gorgias,  traduits  par 
Barlh.  St-Hilaire.  In-8.  Paris,  Durand.^ 

Tefcbmûller,  Dr.  GusL,  Aristotelische  Forschungen.  Beitraege  lur  Er- 
klaerang  der  Poëtik  des-Aristoteles.  Gr.  8.  HaUe»  Barthel. 

Talilen,  J.,  Beitraege  ïurAristotelesPoetik.  II— IV.  Lex'-8o.  Wien,  Gerotd. 

Saseinlhl,  Franc,  de  AristoteHspoliticornmlibris  primo  et  secando  quaes- 
tiones  criiicae.  Gr.  fto.  Berlin,  Calvary. 

Sclinelder,  Leonh.,  Unsiciblichkeitslehre  des  Aristoteles.  Gr,  8o.  Piissau^ 
Elsœsser. 
E.  HIrtz,  Die  verlorcncQ  Schriften  des  Aristoteles.  In-8°.  Leipzig^  Teubner. 
R.  Eacken.  De  Arisiotelis  dicendi  raiione.  In-So.  Gottxngœ. 
D.  lacoliy.  De  Leibuitii  studiis  Arislotelicis.  In-8o.  Berlin^  Calvary. 

Sllbersteln,  Dr.  Adph.,  die  Kalharsis  des  Aristoteles.  Aesthetisch-krit. 
Uutersuchung.  Gr.  in-16.  Lepzsig,  Rhode. 

Graf  York  von  Wartenbarg,  Paul,  Die  Kattiarsis  des  Aristoteles  uod 
der  Œdipus  Goloneus  des  Sophocles,  In-4o,  Berlin^  Hertz . 

Kern,  Franc,  Symbolae  criticse  ad  libellum  Aristotelicum  uepl  Sevoçàvov;, 
nepi  ZiQvwvo;,  Tiepl  ropytou.  Gr.  ft.  Oldenburg,  Stalling. 

Heyne,  G.,  de  Arisiotelis  casu  et  coutingenti.  Gr.  8.  Berlin,  Calvary, 

Mann,  Aug.,  Qux  apud  Aristotelem  invcDiantur  officii  praeceptorum  quasi 
semina  atque  initia.  8**.  Berlin,  Calvary. 

Alarbacli.  Die  Dramaturgie  des  Aristoteles.  8o.  letpzft/. 

Boecker,  Ewald,  de  quibusdam   Politicorum  Aristotelicorum  locis.  8o. 
Greifswald,  Héhraff. 
Bonltz,  H.,  Aristotelische  Stadien.  Lex.-8o.  fFien,  Gerold. 

Brentano,  Dr.  Frz.,  die  Psychologie  des  Aristoteles,  insbesond.  seine  Lebre 
vora  voùc  uoiYiTiv.o;.  Gr.  8°.  Mainz,  Kirchhcim. 

Spensel,  Leonb.,  Aristotelische  Studien.  Poetik.  Gr.  A°.  Mûnchent  Frantt, 

ARRIANI  Anabasis  Alexandri,  éd.  G.  Sintenis,  cum  tabula  geogr. 
aeri  incisa.  Gr.  in-8.  Berlin,  Weidmann. 

ATHENAEl  Deipnosophistîe,  ex  recognitione  Aug.  Meincke.  Vol.  IV. 
Analecta  crilica  continens.  In-8.  Leipzig,  Teubner. 

ATTICI  scriptores.  Selected  from  Xenophon,  Thucydides,  Plate, 
Aristotle,  and  Lucian,  by  H.  M.  Wilkins.  In-8.  London. 


—  92  — 

BiBRIOS. 

Eberbard.  Dr.  Alfr.  Verbesserungsvorschlâge  zum  Text  des  Babrios, 
Gr.  in-8.  Berlin,  Calvary. 

BlBLlORUM  sacrorum  vetustissima  fragmenta  grœca  et  latina  ex 
palimpsestis  codicibus  bibliothecae  Cryptoferratensis  eruta  atque 
édita  ab  A.  Jos.  Cozza.  Lex.-8.  Romw,  Spithover. 

CALLIMAQUE.  Voyez  Orphica. 

CHRYSOSTOME  (saint  Jean).  Œuvres  complètes,  d'après  toutes  les 
éditions  faites  jusqu'à  ce  jour.  Nouvelle  traduction  française  par 
l'abbé  Bareille,  texte  grec  en  regard.  TomVIIIet  IX.  Gr.  in-8, 
Paris^  Vives. 

—  On  the  Priesthood,  translated  with  introduction  and  notes,  by  B. 
H.  Cowper.  londoUf  Williams. 

COLLECTIONS.  —  VoyCZ   POET^E  GR.aECI,  POETJE   LYRICI,  P0ET.fi  SCE- 

Nici,  etc. 

—  Sammlung,  neueste,  ausgewâhlter  griechischer  und  rômischer  Clas- 
siker,  verdeutscht  von  den  beruhmtesten  Uebersetzern.  Gr.  in-16. 
Stuttga  rd,  Hoffm  an  n . 

Inhalt  :  258.  Quintus  von  Smyrna.  Die  Fortsetzung  der  Ilias.  Deutsch  in 
der  Versart  der  Urschrift  v.  J.  J.  S.  Donner.  Lucian's  Werke.  Dentsch  von 
Thdr.  Fischer.  —  263.  Plutarch's  ausgewalilte  Diopraphien.  Deutsch  v.  Prof.  Ed. 
Syth.  Fabius  Maximus.  Paulus  Aemilius.  264.  267.  Diodore's  v.  Sicilien  Ges- 
chichte  ùbers,  v.  Dr.  Ads.  Wahrmund.  268.  269.  Hcliodor's  aethiopische  Ges- 
chichien  ausd.  Griech.  ubers.  v.  Dr.  Thdr.  Fischer.  273.  Plato's  Werke  ueber- 
selzt  V.  K.  Pranli.  Ed.  Eylh  u.  C.  Conr.  Plato's  Gorgias.  Deutsch  v.  Cari  Conz. 

—  Prosaiker,  griechische,  in  neuen  Uebersetzungen.  Hrsg.  v.  C.  N.  v. 
Osiander  und  G.  Schwab.  In-16.  Stuttgardy  Metzler. 

Inhalt:  SftS.  ZU9.  Platon's  Werke.  S.  Gruppe.  Dialectische  GesprSche.  Ueber- 
setz  v.  Prof.  Dr.  F.  Susemilh.  —  S50.  351.  Die  erhaltenen  Reden  des  Lyslas, 
ûbers.,  erlaut.  u.  m.  Einleitung.  verechea  von  Prof.  Dr.  Ferd.  Baur. 

— Volksbibliothek,  deutsche,  der  griechischen  und  rômischenClassiker. 
In-8.  Stuttgardy  Hoffmann. 

Inhalt  :  79— 82.  101.  102.  Demosthenes  ausgewahlte  Reden  verdeutscht  von 
Prof.  Dr.  A.  Westermann.  1.  Bàndchen.  Philippische  Reden.  2.  Bdchn.  Aeschines 
u.  Demosthenes  Reden  gegen  u.  s.  Ktesiphon  vom  Kranze.  3.  Bdchn.  Reden 
gegen  Leptines  u.  Meidias.—  83—89.  Die  Musen  d.  Herodotus  v.  Halicarnassus 
ûbers.  v.  J.  Chr.  F.  Baehr.  6.  Bdchn.  Erato.  7.  Bdchn.  Polymnia.  8.  Bdchn. 
Urania.  9.  Bdchn.  Kalliope.  —  90—94.  — 96—100.  Thukydides  Geschichte  d. 
peloponnesischen  Krieges,  iibers.  v.  Ads.  Wahrmund.  —  103.  u.  lOù.  107-111. 
Die  Dramen  d.  Euripides,  verdeutscht  v.  Johs.  Wincswitz.  —  105.  u.  106. 
Quintus  von  Smyrna.  Die  Fortsetzg,  der  Ilias,  Deutsch  in  der  Versart  der 
Urschrift  v.  J.  J.  S.  Donner.  2.  u.  3  Bdch. 

—  Poliorcétique  des  Grecs.  Traités  théoriques.  Récits  historiques. 
Ouvrages  publiés  par  l'Imprimerie  impériale.  Textes  restitués 
d'après  les  manuscrits  de  Paris,  du  Vatican,  de  Vienne,  de  Bo- 
logne, de  Turin,  de  Naples,  d'Oxford,  de  Leyde,  de  Munich,  de 
Strasbourg,  augmentés  de  fragments  inédits,  et  accompagnés  d'un 
commentaire  paléographique  et  critique,  par  G.  Wescher,  attaché 
au  département  des  manuscrits  de  la  Bibliothèque  impériale.  In-4, 
Paris  f  Pion. 


^  93  — 

DESIOSTHÈNE.  Discours  sur  la  couronne,  édil.  classique,  parMarion, 
agrégé  de  l'Université.  In-12.  Paris,  Delalain. 

—  Les  Philippiquçs,  édition  classique  par  Chéron.  In-i2.  Paris, 
Delalain. 

—  On  the  crown,  with  euçlish  notes,  by  B.  Drake.  Second  édition  lo 
which  is  prefixed  .Eschines  againsl  Ctesiphon ,  with  english  notes. 
London. 

—  Voyez  Collections. 

A.  Bonllée.  Histoire  de  Démosthène.  In-8o.  Paris,  Didier. 

Doelile,  Valdem,,  de  Demosthenis  Philippicarum  orationum  prima.  Gr.  80. 
Berolini,  Caivary. 

DIODORI  SICULI  Bibliolheca  historica,  ex  recensione  et  cura  annota- 
tionibus  Lud.  Dindorfii.  Vol.  I.  In-4,  Leipzig,  Teubner. 

—  Bibliothecœ  historicœ  libri  XI,  cap.  1-12,  ecodice  Patmio  edidit 
Rich.  Bergmann.  In-4,  Berolini,  Caivary. 

— -  Voyez  Collections. 

DION  CASSIUS,  Histoire  roraaine,  traduite  en  français  avec  des  notes 
critiques  et  historiques  et  le  texte  en  regard,  c'oUationné  sur  les 
meilleures  éditions  et  sur  les  manuscrits  de  Rome,  Florence,  Venise, 
Turin,  Munich,  Heidelberg,  Paris,  Tours,  Besançon,  par  E.  Gros, 
continuée  par  V.  Boissée.  T.  IX.  Iu-8.  Paris,  Firmin  Didot. 

DIONYSII  HALlCARNASSEJiSlS  Anliquitatum  romanarum  quaî  super- 
sunt.  Recensuit  Adolph.  Kiessling.  Vol.  III.  In-^ y  Leipzig,  Teubner. 

ÉLIEN.  Extraits  de  ses  Histoires  choisies  et  de  son  Histoire  uaturel.le, 
texte  grec,  avec  notes  en  français,  par  M.  A.  Mottet.  Paris,  De- 
lalain. 

EPIMETRI  continualio  ad  editionem  Hippocratis.  Accedunt  non- 
nulla  ad  Aretaeum,  éd.-  Ermerius.  In-4.  Vtrecht,  Sohn. 

ÉSOPE.  —  Fables,  texte  grec,  nouvelle  édition  par  M.  Aniel,  suivie 
de  Thèmes  d'imitation,  par  M.  Rouzé,  agrégé  de  l'Université.  In-12, 
Paris  y  Belin. 

EROTIANI  vocum  hippocralicarum  conlectio,  recensait  J.  Klein.  In-8, 
PariSy  Franck. 

ESCHINE.  —  Voyez  yEscuiKEs. 

ESCHYLE.  Voyez  ^scHYLUs. 

ËURIPIDIS  FABULiE.  Recognovit  Adolphus  Kirchhoff.  Vol.  I  et  II. 
Gr.  in-8.  Berlin,  Wtidmann. 

—  tragœdia;.  Recensuerunt  et  commentariis  iuslruxcrunt  Aug.  Jul. 
Edoi.  Pflugk  et  Reinh.  KIotz.  Vol.  I.  Seçt.  I.  Gontinens  Medcam. 
Editiotertia,  quauicuravit  Reinh.  Klolz.  Gr.  in-8,  Leipzig,  Teubner. 

-  Voyez  Collections  et  Poet^e  scbnici. 

KTlcala,  Joh.,  Euripideische  Sludien.  S».  IVien,  Gerold. 


—  94  — 

Menzer»  Otto,  de  Rheso  tragœdia.  In-8o.  Berlin,  Calvary. 

Foetterer,  Petr.,  de  Euripidis  lone,  gr.  8°.  Munster,  Brun. 

Gzawallna  (J.).  De  Euripidis  studio  sequabilitatis.  In-S».  Berlin,  Calvary. 

Haapt  (B.)>  De  perfecti,  plusquamperfecti,  futuri  exaicti  asu  Euripideo. 
In-8°.  Giessen,  Ricker. 

EUSEBll  CAESARIENSIS  opéra.  Recognovit  Guil.  Dindorlius.  Vol. 
1-3.  Demonstrationis  evaogelicaî  libri  1-XV.  In-8.  Leipzig fTeubner. 

—  Hisloriae  ecclesiasticœ  libri  X.  Recensuit,  cum  prole^omenis,  appa- 
ratu  et  adnotatione  critica,  indicibus,  deauoedidit  Lie.  Prorect.  em. 
Prof.  Dr.  Frider.  Adph.  Heinichen.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Mendelsohn. 

—  Chronicorum  libri  duo.  Edidit  Alfr.  Schoene.  Vol.  2.  Eusebii  chro- 
nicorum  canonum  quae  supersunt.  Iq-4.  £erUn,Weidmann. 

GXOMIQUES.  —  Voyez  Poetje. 

HÉLIODORE.  Voyez  Collections. 

HERMÈS  TRISMÉGISTE,  traduction  complète  précédée  d'une  étude 
sur  l'origine  des  Livres  hermétiques,  par  L.  Ménard.  ln-8.  Paris. 
Didier. 

UERODIANi  technici  reliquiae.  Collegit,  disposuit,  emendavit,  ex- 
plicavit,  prœfatusest  Aug.  Lentz.  Tom.  I,  praefalionem  et  Herodiani 
prosodiam  catholicam  continens.  Lex.-8.  Leipzig^  Teubner. 

HÉRODOTE.  Voyez  Collections. 

UESIODI  Carmina.  Textu  recognito  et  emendato  curavit  C.  H.  Weise. 
Nova  edit.  stereot.  Coll.  Tauchnitiana.  Nova  impressio.  la~iG.'Leipzig, 
HoUze, 

Leliscbab,  Dr.  Frdr.,  die  Entstehung  der  Mythologie  und  die  Entwicklung 
der  griechischen  Religion  nach  Hesiods  Théogonie  dargestellt.  Ein  religions- 
philosoph.  Versuch.  Lex.-8o,  fyurzburg^  Stahel. 

UESYCHll  Alexandrini  Lexicon  post  Joanuem  Albertum  recensuit 
Maur.  Schmidt.  Vol.  V,  in  quo  praeter  auctarium  emendationum  et 
indicem  auctorum  copiosissimum  conlinetur  M.  Musuri  Cretensis 
vita  a  Radulfo  Menge  Vimariensi  enarrata.  Fasc.  I.  Jena,  Mauke, 

—  Editionem  minorem  curavit  Maur.  Schmidt.  Editio  altéra  indice 
glossarum  ethnicarum  aucta.  In-4. 

HlPPOCRATES,  cura  C.  Th.  Reinhold,  t.  II.  Gr.  in-8.  Athen,  Wil- 

berg. 

UOMERS  Ilias.  Erklârende  Schulausgabe  v.  Heinr.  Dûntzer.  Gr.  in-8/ 
Paderborn,  Schordngh. 

—  Odyssée,  fiir  den  Schulgebrauch  erklàrt  v.  Karl  Frdr.  Ameis. 
In-8.  Leipzig,  Teubner. 

—  Iliade,  édition  classique,  avec  notes,  par  Brach,  agrégé  deTUniver- 
sité.  In-12.  PariSfBelin. 

—  Odyssée,  édition  classique,  avec  notes,  par  Brach,  agrégé  de  l'Unie 
versité.  In-12.  Paris,  Belin. 


—  95  — 

—  Iliade,  chants  I-XII,  éditiou  classique,  avec  notes,  par  F.  Lécluse. 
In-12.  Paris,  Delalain. 

—  The  Odyssey,  books  I-VI,  with  notes  by  Heymann.  London. 
~  The  liiad,  book  I-XII,  with  notes  by  F.  Paley.  London. 

^~  Ilomer's  Werke,  prosaisch  ûbers.  von  Zauper.  Prag,  Tempstn» 

—  Ilias.  Nova  edit.  ster.  Coll.  Tauchnitiana.  Nova  impressio.  In-16, 
Leipzig,  Holtze. 

—  Odyssea  ad  fidem  libroniin  optiraorum  edidit  J.  La  Roche.  Pars 
prior.  Accedunt  tabul»  Xlspecimiua  libroruin  exhibentes.  Gr.  in-8. 
Leipzig,  Teuhner. 

—  Odyssée  erkliirt  v.  J.  U.  Fiesi.  Gr.  in-8.  Berliny  Weidmann.  \ 

—  the  Odyssey,  edited  with  marginal  références,  varions  readings, 
notes  and  appendices,  by  H.  Gr.  in-8.  Leipzig^  Teubner. 

—  Iliade,  Odyssée  et  Hymnes,  etc.,  trad.  en  franc,  par  Lecontede 
Lisle.  2  vol.  in-8.  Paris,  Lemerre,  1867. 

—  Iliade,  rendered  into  english  blank  verse  by  Edward  earl  of 
Derby.  2  vol.  in-8.  London,  Murra>j»  1867. 

—  L'Iliade,  1*""  chant,  traduction  littérale  en  vers  français,  par  A. 
Ménar.  In-8.  Paris,  Durand,  1867. 

—  Prâparationen  zu  Homer's  Uias.  Von  einem  Schulmann.  Gr.  in-8. 

Coin,  Schwann. 

Henkel,  Dr.  Willi.,  Uias  und  Odyssée  und  ilire  Uebersetzcr  ia  England  troa 
Chapinan  bis  auf  Lord  Derby.  Gr.  8°.  Hersfed,  lUaier. 

Ebellnff,  Ob.-Lcbr.  Dr.  Ileiur.,  Schulwôrierbucii  zu  Homer's  Odyssée  uud 

Ilias.  Gr.  8o.  Leipzig,  Uahn. 

Benicken  (J.  C).  De  Iliadis  carminé  deciuio.  Iii-S".  QuecUinburg,  Vieweg. 

HeynCy  Arn.,  de  Nominibus  propriis  apud  Ilomerum.  Gr.  8».  Kônigsberg, 
Schubert. 

Grève,   Gerh.,  de  Hymiio  in  Mcrcurium  hooierico.   Gr.  8».  MUnster. 
Brun. 
Daremberj;,  La  Médecine  dans  Homère.  In-8°.  Paris,  Didier. 

Hasper,  Dr.  L.  W,,  Beitraege  rur  Topographie  der  homerischen  Ilias. 
Gr.  4».  (a4  S.)  Brandcnburg,  Millier. 

G.  Nicolaldes.  Topographie  et  plan  stratégique  de  l'Iliade,  avec  une  carte. 

Iu-80.  Paris,  Ilaclictte. 

J.  Classen,  Beobachtungen  Uber  den  homerischen  Sprachgebrauch.  Ia-8<». 
Francfort  arn  Mein,  IVinter. 

Bindsell^  Dr.  Ileiir.  Ern.,  concordaniiarum  hoincricarum  spccimen,  euro 
prolegomenis,  in  quibus  prsescrtiin  cuncorduiiiix  biblicx  recensentur  caruuique 
origo  et  progressas  declaraniur,  Gr.  in-8".  Halle,  Ilendel. 

BaXÉTTa,  'Icoa.  N.,  '0[i.ifipûu  fita;  xai  7îotYi[Jiaxa.  IIpaY(xaTe(a  î«rropixr} 
xalxpiTixiî.  In-fto.  'Ev  Aovôîvo). 

Hoermann,  Dr.  Ludw.  v.,  L'aiersuchuugen  iiber  dl«  bomerische  Frage, 
Gr.  iu-8".  Innsbruck,  Wagner. 

À.  BXàxTi^.  Ta  d(iT)ptxûv  Z^TY)(xa,  'AOiQvigcri.  Ia-8*. 


k 


-  96  — 

Wlndlgeb,  Ernest,  de  Ilymnis  honiericis  majoribus.  Gr.  in-So.  Leipzig, 
Teubncr. 

WeckeDSiedt,  Dr.  Edm.,  Regia  potestas  quse  fuerit  secondum  Homerum. 
Gr.  in-8t>.  HaUe,  Barthel. 

MtffTpttoTYiç,  Feco.,  loTopîa  tûv  ôpLiqpiy.wv  èTiwv.  Gr.  in«8».  Leipzig,  List. 

'PaYy.àêyi;  *0  xaô'  "O[j.y,çov  oîxtay.ô;  pîo;,  ç'.XoXoYixri  p.e>£xri  uTtô  KXétovo; 
'PaYxaêrj  SiSàxTopo;  Ta  vo[j(,ixà,  'AOiQvaiç,  tûtioi;  A.  KopojArjXa. 

ISOCRATE. 

Sanneg,  Dr.  Paul,  de  schola  Isocratea.  In-8.  Uallc,  Anton. 

LONGI  IIot[jL£vixà ,  texte  grec  revu  et  publié  avec  des  notes  par  fuu 
N.  S.  Piccolos,  précédé  d'une  Notice  par  M.  Egger.  Iq-32.  Paris, 
Laine. 

LONGIN.  Aiovuat'ou  r^  Aofyaox)  Tiepi  u^'ouç,  de  sublimitate  libellus,  in 
usum  scholarum  edidit  Otto  Jahn.  Gr.  in-8.  Bonn,  Marcus. 

LUCIEN.  Voyez  Collections. 

Blnmnei',  Hugo,  Archaeologische  Studien  zu  Lucian.  Gr,  in-8.  Breslau, 
Malzer. 

Scbwarlz,  A.,  ûb.  Lukians  Gallus.  Gr  in-8o.  Berlin,  Calvary. 

Frllzsclie,  F.  Y.,  Adnotaiiu  ad  Luciani  Convivium.  Gr.  ia-Uo.  Leipzig,  II. 
Fritzsclic. 

Fritzsclie,  F.  V.,  Adnotatio  ad  Luciani  Fugitives.  Gr.  in-fto.  Leipzig^  II. 
Fritzsche. 

LYRIQUES.  Voyez  GOLLECTIOHS,  POETiE. 

LYSIÂS. 

Frifzclie,  F.  V.,  Eraendationes  Lysiacœ.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Fritisclie. 

MOSCIIUS. 

Fritzsche,  D.  Theod.,  de  carminé  Moscheo  oui  inscriptum  est  Epitaphius 
Bionis  quœsiiones  criiicœ.  Gr.  in-ft".  Leipzig,  Pernitzsch. 

aiUSÉE.  Voyez  Orpuica. 
ORIGÈNE. 

FreppeL  Origène,  Cours  d'éloquence  sacrée  fait  à  la  Sorbonne,  parTablé 
Freppel,  pendant  les  années  1866  et  1867.  2  vol.  in-8.  Paris,  Bray. 

ORPHICA.  Procli  hymni,  Musaei  carmen  de  Hero  et  Leandro,  Galli- 
machi  hymni  et  "epigrammata,  ad  optimorum  librorum  fidem  ac- 
curate  édita.  Novaedit.  stercot.  Coll.  Tauchuitiana.  Nova  imprcssio. 
In-IG.  Leipzig,  Holtze. 

PÈRES  DE  L'ÉGLISE  GRECQUE,  discours,  lettres  et  poésies,  avec 
notes,  par  Fialon,  docteur  es  lettres,  ln-12.  Paris,  Belin. 

—  Choix  de  Discours,  avec  analyses  et  notes,  par  J.  Genouille.  Iii-12. 
Paris,  Delalain. 

PHILON  D'ALEXANDRIE.  Les  écrits  historiques,  traduits  et  précédés 
d'une  étude  sur  ses  Œuvres,  par  F.  Deîaunay.  In-8.  Paris,  Didier. 


—  97  - 

PHILOSOPHORUM  graECoruoi  fragmenta  collegit,  recensuil,  verlil, 
annotationibus  et  prolegoraenis  illustravit,  indicibus  instruxit  Fr. 
Guil.  Aug.  Mullachiiis.  Vol.  II,  Pylhagoreos,  Sophistas,  Cynicos  et 
Ghalcidii  in  priorem  Timaei  plalonici  partem  commentanos  conti- 
neus.  Gr.  in-8.  Paris,  Firmin  Didot. 

PHILOSTRATE. 

Matz,  Frdr.,  de  Philostratoram  in  describendis  imaginibas  flde.  Gr.  in-8. 

Bonn,  Marcus. 

PHOTll  patriarchae  Lexicon,  edit.  A.  Naber,  2  vol.  in-8,  Leide,  Brill. 

—  4>(i)Tiou  ToO  CToçoùtàTôu  xal  ày^coTaTOu  lïaTptâpj^ov»  KwvffTavrivou- 
TïôXeo);  èmffToXaL  Al;  6ûo  toO  aÙToû  irapiQpTyiTai  TcovTjjjLaxia.  Meta 
TrpoXeYOjiévwv  Ttepl  toù  piov»  xal  twv  ct\)yyP*K'H-*'^'^v  4>(OTtou,  vTcà'Icoa. 
N.  KaXéxta.  Gr.  in-8.  London,  Nutt. 

—  Lexicon  Vindobonense  recensuit  et  adootatione  critica  instruxit 
Aug.  Nauck.  Accedit  appendix  duas  Photii  bomilias  et  aliaopuscula 
complectens.  Lex-8.  Leipzig^  Voss. 

PINDARE.  Odes,  traduction  nouvelle,  par  Boissonade,  complétée  et 
publiée  par  E.  Egger,  membre  de  l'Institut.  Iu-32.  Paris,  Hachette. 

Sclinltxer,  Dr.  C.  F.,  de  Piadaro  nuperriuie  emendato,  gr.  in-8°.  £//wan- 
gen,  Hess. 

Balle,  Constant,  de  Pindari  sapieniia.  Gr.  in-8°.  Bonn,  Cohen. 

Peter,  Guill.  Aug.,  de  dialecto  Pindari,  Gr.  in -80.  Berlin,  Calvary. 

PLATONis  opéra  omnia  ad  fidem  oplimorum  librorum  denuo  reco- 
gnovit  et  una  cum  scholiis  grœcis  emendatius  edidit  Godofr.  Stall- 
baumius.  Nova  edit.  stereot.  Coll.  Tauchnitiana.  Nova  impressio. 
Tom.II.  In-16.  Leipzig.    . 

—  Opéra  omnia  uno  volumine  comprehensa  ad  fidem  optimorum  11-' 
brorum  denuo  recognovit  et  una  cum  sclioliis  graecis  emendatius 
edidit  prof.  Godofr,  Stallbaumius.  Editio  ster.  Coll.  Tauchnitiana. 
Nova  impressio.  Gr.  in-4.  Leipzig,  Holtze. 

—  Ausgewâhlte  Schriften  fur  den  Schulgebrauch  erklàrt  von  Chru- 
Cron.  und  Jul.  Deuschle.  Gr.  In-8.  Leipzig,  Teubner. 

Inhalt  :  Gorgias,  fiir  den  Schulgebrauch,   erkiaert  v.  Dr.  Jul.  Deuscbl 
2.  Aufl.  neu  bearb.  v,  Dr.  Chrn.  Wilh.  Jos.  Cron. 

—  Euthydemus  et  Lâches,  edid.  C.  Badham.  ln-8.  Londini  et  Edinx 
Williams  et  Norgate. 

—  Convivium,  cum  epistola  ad  Thompsonum,  edid.  C.  Badham 
In-8.  Londini  et  Edinœ,  Williams  et  Norgate. 

—  The  Sophistes  of  Plato  a  dialogue  on  true  and  false  teaching, 
translated  wilh  an  introduction  on  ancient  and  modem  sophistry . 
In-8.  London,  Williams. 

—  Voyez  Collections  ,  Attici  scbiptores. 

Scbaarscbmldl,  C,  die  Saminlinig  d«r  Platonischen  Schriften  zur  Sclici- 
duiig  der  echten  v.  den  uncchten  uniersiK ht.  tir.  iii-8».  Bonn,  Marcus. 

C.  Badbam,  De  Platonis  Legibus  epistola.  iu-go.  Ix>ndini. 


Sclianz  (M.).  Spécimen  criticum  ad  Platonem  et  Censorinum  pertinens. 
Gr.  in-8.  Gœttingue,  Rente. 

Denschle,  Gymn.-Prof.  Dr.  Jul.,  Dispositionen  der  Apologie  u.  d.  Gorgias 
V.  Platon  u.  logische  Analyse  d.  Gorgias.  Anhang  zur  Ausg  d.  Gorgias  t. 
Deusclile.  Neu  bearb.  v.  Chrn.  Cron.  Gr.  in-8°.  Leipzig,  Teubner. 

H.  T.  Karsten,  Commentatio  critica  de  Platonis  quae  feruntur  epistolis , 
praecipue  tertia ,  septima  et  octava.  In-8.  Utrecht,  Kemink. 

PLOTIN. 

Rlchter,  Dr.  Arth.,  die  Ethik  des  Plotin.  Gr.  in-8.  Halle,  Schmidt 
—  Die  Théologie  und  Physik  des  Plotin,  Gr.  in-8.  Halle,  Schmidt. 

PLUTARQUE.  Vie  de  Marius,  traduite  et  annotée  par  Legentil,  pro- 
fesseur agrégé.  In-12.  PariSyDezobry. 

—  Extraits',  des  Vies  des  hommes  illustres,  éditioa  classique,  par 
Feuilleret,  agrégé  de  l'Université,  ln-1?.  Paris,  Bel'm. 

—  Vie  d'Alexandre,  édition  classique,  par  T.  Lemeignan,  professeur 
au  Lycée  Louis-le-Graad.  In-12.  Paris,  Delalain. 

—  Extraits  des  Vies  parallèles,  édition  classique,  par  F.  Lécluse, 
ancien  professeur  à  la  Faculté  de  Toulouse.  In-l?,.  Parîs^  Delalain. 

—  Extraits  des  Vies  de  Plutarque,  d'après  la  traduction  de  M.  Talbot, 
par  Feillet.  In-12.  Paris,  Hachette. 

Rnell,  Frz.,  die  Quellen  des  Plutarchs  im  Leben  des  Kimon.  Inaugural-Dis- 
sertation. Gr.  in-8.  Leipzig,  Teubner. 

Baziu,  H.  De  Plutarcho  Stoicorum  adversario.  In-8°.  Paris^  Durand. 

Gréard.  De  la  morale  de  Plutarque.  In-8.  Paris,  Hachette. 

POETM  GRiECi.  The  Golden  treasury  of  ancient  Greek  poetry,  by  R. 

S.  Wright.  In-8.  London^  Macmillan. 

—  Poetae  lyricigraeci.  Tertiiscuris  recensuit  Theodor.  Bergk. Pars  III, 
Poetas  melicos  continens.  Gr.  in-8.  Leipzig,  Teubner. 

—  Poetarum  scenicorum  graecorum  Aeschyli,  Sophoclis,  Euripidis  et 
.  'Aristophanis  fabulaesuperstites  et  perditarum  fragmenta  ex  recen- 

sione  et  cum  prolegomenis  Guil.  Dindorfii.  Editio  V,  correctior. 
Leipzig,  Teubner. 

-  Poetae  graeci  gnomici  ad  optimorum  librorum  fidem  accurate 
editi.  Nova  edit.  ster.  Ç.  Tauchnitiana.  Nova  impressio.  In-16. 
Leipzig,  Holtze. 

—  Dichter,  griechische,  in  neuen  metrischen  Uebersetzungen,  von 
Schwab,  ln-16.  Stuttgart. 

POLYBll  historia.  Edidit  Ludov.  Dindorfius.  Vol.  3.  In-8.  Leipzig, 
Teubner. 

PROCLUS.  Voyez  Orphica. 

PSEUDOCALLISTHENES. 

Pseadocallistbenes,  Forschungen  zurKritik  und  Geschichte  der  altesten 
Aufzeichung.  der  Alexandersage,  von  J.  Zaeher.  Gr.  in-8.  Halle,  Waisenhaus. 

QUINTUS  DE  SMYRNE.  —  Voyez  Collections. 


—  99  — 

SOPHOCLis  tragoidiaî,  éd.  Ad.  Nauck.  In-8.  Berlin,  Weidfnann. 

—  Tragédies,  éd.  Tournier,  avec  notes  en  français.  In-8.  Paris ^  Ha- 
chette. 

—  Tragédies,  éd.  Tournier.  In-12.  (Edition classique.).  Paris,  Hachette. 

—  Tragœdiœ,  Ed.  C.  Jebb.  In-8  London,  Rivingston. 

—  Tragédies,  édition  classique,  par  M.  Pessonneaux,  professeur  au 
lycée  Napoléon.  In-12.  Paris,  Delalain. 

—  Sophokles  fur  den  Schulgebrauch  erklàrt  von.  Gust.  Wolff.  Ajass. 
Gr.  in-8.  Leipzig^  Teubner. 

—  Antigone,  deutsch  in  den  Versmassen  der  Urschrift  v.  J.  J.  C. 
Donner.  Gr.  in-8.  Leipzig,  C.  J.  Minter. 

—  Œdipus  rex,  edidit  et  annotavit  Henr.  van  Herwerden.  Editio 
major.  Accedunt  analecta  tragica  et  anecdota  Ambrosiana.  Gr.  in-8. 
Leipzig f  A.  Dûrr. 

—  Philoctetes  ad  novissimam  optimi  codicis  conlationem  recensuit  et 
brevi  adnotatione  instruxit  Maur.  Seyffertus.  Gr.  in-8.  Berlin, 
Weidmann. 

-  Antigone.  Trauerspielùbeis.  u.  m.  erlàut.  Anmerkgn.  versehen  v. 
Dr.  Jos.  Tachau.  Gr.  in- 16.  Wien,  Beck. 

—  Tragœdiae  superstites  et  perditarum  fragmenta.  Ex  recensione 
Guil.  Dindorfii.  Editio  ex  poetarum  scenicorum  editioneV  ex  pressa. 
Leipzig,  Teubner. 

—  Extraits  (texte  grec),  édition  classique,  par  M.  Feuillâtre,  provi- 
seur du  lycée  de  Metz.  In-12.  Paris,  E.  Belin. 

—  V.  Collections  et  Poetjî  GRiEci. 

Wllle,  Àem.,  de  nonnullis  Sophoclis  locis.  Iii-8°.  Berlin,  Calvary. 

Campe,  Dr.  C, Quaestionum Sophoclearumpars III.  Gr.in-/i°.  Greiffenberg, 
Gruss. 

SOPHRONEORUM  mimorum  reliquias  conquisivit,  disposuit,  expla- 
navit  Botzon,  Dr.  Ludov.  Marienburg,  Hemmpel. 

STRARON,  Géographie,  trad.  par  Tardieu,  tom.  I.  In- 12.  Paris,  Ha- 
chette. 

TESTAMENTUM  novum  graece  ex  recensione  Aug.  Hahnii  denuo 
editum.  Editio  ster.  C.  Tauchnitiana,  nova  impressio.  In-16.  Leipzig, 
Brockhaus. 

—  Novum,  vulgataî  editionis  Sixti  V.  et  démentis  VIII,  pontt.  maxx. 
jussu  recognilum.In-8.  AfM«5/fr,  rAew5inflf. 

—  Novum,  grœce  recensuit  inque  usum  academicum  omni  modo 
instruxit  Const.  Tischendorf.  Editio  academica  ex  triglottis  ster.  V 
prolegomenis  emendatis  auclisque.  Cum  lab.  duplici  (lith.)  terrœ 
sanctœ.  In-18.  Leipzig,  Mendelsohn. 

—  Novum,  Vaticanum.  Posl  Angeli  Maji  aliorumque  imperfectos  la- 


iOO  — 

bores  ex  ipso  codice  edidit  Const.  Tischendorf.  Gr.  in-4.  Leipzig, 
Giesech. 

The  apocryphal  Gospels,  translated  willi  notes  by  W.  Cooper.  London, 
fVilliams. 

Wllkil.  Chrn.  Gottl.,  clavis  Novi  Testamenti  philologica  usibus  scholarutn 
et  jiivenum  theologiae  studiosorum  accommodata.  Quem  librum  ita  casti- 
gavit  et  emendavit,  ut  novum  opus  haberi  possit.,  Dr.  Caro).  Ludov.  Grimm. 
Lex.-S".  Leipzig,  Arnold. 

THEOCRITI  carmiua  ex  codicibus  italis  deuuo  a  se  coUatis  iterum 
edidit  Christoph.  Ziegler.  Gr.  in-8.  Tûbingen,  Laupp. 

—  Idyllia  iterum  edidit  et  commentariis  criticis  atque  exegeticis 
iDsttuxit  Arm.  Fritzsche.  Lex..-8.  Leipzig^  Pernitzsch. 

—  Carmen  iEolicum  tertium,  a  L.  Schwabio  recognitum,  in-4.  Dorp. 

Codicis  Âmbrosiani  222  scholia  in  Theocritum  primum  edidit  Christoph. 
Ziegler.  Gr.  in-8«».  TUbingen,  Laupp. 

THEOPHRASTI  opera  quaî  supersunt,  edidit  Wimmer.  (Collection 
grecque  latine  de  F.  Didot.)  Gr.  in-8.  Paris,  1866. 

THUCYDÏDIS  de  bello  peloponnesiaco  libri  VIII  cum  indice  rerum. 
Nova  edit.  stereot.  Coll.  Taucbuitiana.  Nova  impressio.  2  tom. 
in- 16.  Leipzig,  Holtze. 

—  Erklaertv.  J.  Glassen.  Gr.  in-8.  Berlin^  Weidmann. 

—  l^Mivre,  annoté  et  traduit  par  Legouez,  in-l2.  Paris,  Hachette. 

—  l*""  livre,  avec  sommaires  et  notes  en  français,  par  David,  professeur 
au  Lycée  d'Orléans,  ln-12.  Paris,  Delalaîn. 

Voyez  Collections.  * 

XENOPHONTIS  opéra  edidit  Gust.  Sauppe.  Editio  stereot.  Vol.  5. 
Scripta  minora.  In-8.  Leipzig,  B.  Tauchnitz. 

—  Opera.  Nova  edit.  ster.  Coll.  Tauchnitiana.  Nova  impressio.  Tom.  II 
et  IV.  In-16.  Leipzig,  Holtze. 

Inhalt  :  2.  Memorabilia.  —  4  Historia  graeca. 

—  Anabasis,  fur  den  Schulgebrauch  erklàrt  v.  Ferd.  VoUbrecht. 
Gr.  in-8.  Leipzig,  Teubner. 

—  Anabasis.  Books  Mil  elucidated  by  notes  critical  and  explana- 
tory,  a  Lexicon  of  ail  the  words  in  the  texte  and  a  séries  of  easy 
reading  lessons  for  beginners,  by  Isbister.  London. 

—  Anabase.   Extrait^,  Edition  classique.  Paris^  E.  Belin. 

—  Anabasis.  Recognovit  et  cum  apparatu  critico  edidit  Ludov. 
Breitenbach.  Gr.  in-8.  Halle,  Waisenhaus. 

—  Anabasis.  Erklàrt  v.  G.  Rehdantz.  Mit  1  Kartevon  H.Kiepert.  Gr. 
in-8.  Berlin,  Weidmann. 


—  101  - 

—  Xénophon,  œuvres  complètes,  traduction  nouvelle,  par  Talbot, 
2*  édition.  In-12.  Paris^  Hachette. 

—  TtDv  Ttapà  SsvoçwvTi  Siopôœaewv  (xépo;  P',  (luà  Havraffî^ou,  'AQT^vijiffi. 

TbrUz,  Dr.  Frdr.  Cari,  ToUstaendig  s  Wœrterbuch  zur  Xenophons  Anabasis, 
mit  besonderer  Rucksicht  auf  Namen- u.  Sach-Erkisrg.  bearb.  6verb.  Aufl.Gr. 
in-8".  Leipzig,  Hatin. 

Nlcolal,  Prof.  Adph.,  Xenophons  Cyropaedie  und  seine  Ansichten  .  vom 
Staate.  (ir.  ïn-k".  Berlin,  Calvary. 


'    TABLE  DES  MATIERES. 


statuts 5 

Liste  des  membres  de  l'Association 9 

Assemblée  générale  du  6  mars  1868.  Discours  du  Président,  Rap- 
ports du  Secrétaire  et  du  Trésorier 29 

Nécrologie 49 

Fragments  d'Aristodéme  ,  publiés  par  M.  Wescher 53 

Bibliographie  des  ouvrages  relatifs  «aux  études  grecques 79 


l'arU.  —  linp.  'I*'  \tl.  Laim?  et  J.  Havard,  rue  des  Saiuls-Pères,  lô. 


ASSOCIATION 


POUR  L'ENCOURACEÏiENT 


DES  ETUDES  GRECQUES 


EN  FRANCE. 


2''  SUPPLEiEKT 
à   TAnnuaire  de    1868. 


PARIS 

A,  DURAND  ET  PEDONE  LAURIEL,  LIBRAIRES-ÉDITËUUS 
RU«  CUJAS,  9  (ancienne  bck  dks  crï.s). 

AD.    I.  Al  NÉ, 


1869 


'k 


ASSOCIATION 

POUR  L'ENCOURAGEMENT 

DES  ÉTUDES  GRECQUES 

EN  FRANCE. 


2"  SUPPLÉMENT 
à   l'Annuaire  de   1868. 


PARIS 

A,  DURAND  ET  PEDONE  LAURIEL,  LIBRAIRES-ÉDITEURS 

RUE  CUJAS,   9   (ancienne  BUE  DES   GRJ(S). 
AD.    LAINE,    LlBRAinB 

RUE  D£S  SAINTS-PÈRKS ,   lU. 


869 


Les  réunions  du  Comité  ont  lieu,  rue  Haute- 
feuille,  1  bis^  à  huit  heures  du  soir,  le  premier  ven- 
dredi de  chaque  mois.  Tous  les  membres  de  la  Société 
ont  le  droit  d'y  assister,  et  ont  voix  consultative.  Elles 
sont  interrompues  pendant  les  mois  d'août,  de  sep- 
tembre et  d'octobre. 


Les  demandes  de  renseignements  et  les  commu- 
nications relatives  aux  travaux  de  l'Association  doivent 
être  adressées  franc  de  port,  rue  Hautefeuille ,  1  bis, 
au  secrétaire,  M.  Ghassang. 


Les  membres  de  la  Société,  qui  désirent  continuer 
à  en  faire  partie ,  sont  priés  de  vouloir  bien  envoyer  le 
montant  de  leur  cotisation,  en  un  mandat  de  poste,  au 
trésorier,  M.  Gustave  d'Eichthal,  100,  rue  Neuve-des- 
Mathurins. 


A  MARSEILLE,  les  cotisations  peuvent  être  déposées  cliez 

MM.  Antoine  Hesse  Et  C'^,  banquiers,  rue  Lafon,  i\°  9; 
MÊLAS  FRÈRES,  négociauts ,  avenue  Bonaparte,  n°  9; 
GouNAROPOULOs ,  négociant ,  boulevard  Saint-Michel ,  3. 


T  SUPPLEMENT 

A  L'ANNUAIRE  DE  1868. 


Fondée  au  mois  de  mai  1867,  notre  Association  a  ren- 
contré tant  de  sympathies  dans  l'opinion  publique  que, 
dès  le  mois  de  mars  dernier,  elle  comptait  douze  dona- 
teurs et  près  de  cinq  cents  membres  sociétaires.  A  cette 
liste  s'ajoutaient,  du  7  mars  au  10  juillet  suivant,  quatre 
donateurs  et  soixante-treize  sociétaires.  Au  mois  d'août, 
l'Association  publiait,  avec  une  liste  supplémentaire  de  ses 
membres,  des  Observations  régulièrement  délibérées  sur 
quelques  réformes  proposées  pour  l'enseignement  du  grec  dans 
les  établissements  secondaires,  et  cette  publication  était  à 
peine  achevée  que  de  nouveaux  et  importants  témoignages 
nous  parvenaient  du  zèle  entretenu  ou  excité  par  nos 
efforts  chez  les  amis  des  lettres  grecques.  Il  nous  a  semblé 
que  l'Annuaire  de  1869  ne  pouvant  paraître  avant  le  mois 
d'avril  prochain ,  nous  ne  devions  pas  attendre  jusqu'à 
cette  date  pour  porter  à  la  connaissance  de  nos  souscrip- 
teurs et  du  public  ces  favorables  nouvelles  du  succès  que 
nous  avons  obtenu. 

Six  nouveaux  donateurs  en  France,  neuf  à  Constanti- 
nople,  deux  cents  nouveaux  sociétaires,  tant  en  France 
qu'à  l'étranger  et  surtout  en  Grèce  ;  une  souscription  an- 
nuelle de  400  francs  votée  et  envoyée  pour  1868  par 
l'Université  d'Athènes;  un  don  de  20,000  francs,  envoyé 
par  M.  Ghristakis  Zographos,  de  Constantinople,  à  l'eflet  de 
fonder,  avec  les  intérêts  de  cette  somme,  un  prix  annuel 
d'encouragement;  le  don,  considérable  aussi,  de  tous  les 
exemplaires  qui  restaient  des  divers  ouvrages  du  feu 
comte  Auguste  de  Marcellus,  don  généreusement  adressé  à 
l'Association  par  son  frère  le  comte  Edouard  de  Marcellus; 
tous  ces  accroissements  de  ressources  assurent  si  bien 
l'œuvre  de  notre  Association  que  le  Comité  n'a  pas  craint 


—  4  — 

de  décider,  par  une  délibération  en  date  du  4  décembre, 
que  serait  adressée  au  Gouvernement  la  demande  formelle 
de  reconnaître  l'Association  comme  société  d'utilité  pu- 
blique. Le  Président  a  été  chargé  d'exécuter  cette  décision 
par  les  voies  régulières. 

Nous  décernerons  en  1869  le  prix  de  mille  francs  dont 
l'annonce  a  été  publiée,  et  nous  préparons  le  programme 
du  concours  qui  sera  ouvert  pour  le  prix  destiné  à  prendre 
le  nom  de  Prix  Zographos. 

Les  résultats  obtenus  par  le  concours  de  tant  de  volontés 
dévouées,  la  reconnaissance  et  l'émulation  excitées  par  nos 
encouragements,  nous  autorisent  à  espérer  que  notre  Asso- 
ciation continuera  de  s'affermir  et  de  s'étendre.  Ce  fidèle 
résumé  de  la  situation  présente  sera  comme  un  appel  à 
toutes  les  personnes  auxquelles  il  semble  ne  manquer,  pour 
se  joindre  à  nous,  que  de  bien  connaître  l'objet  de  notre 
institution,  les  moyens  dont  elle  dispose  et  Tusage  qu'elle 
a  su  en  faire.  A  cette  intention  nous  avons  cru  devoir  re- 
produire ci-dessous  les  principaux  articles  de  nos  statuts. 

i5  décembre  i868. 


EXTRAIT  DES  STATUTS. 

Art.  1".  L'Association  encourage  la  propagation  des 
meilleures  méthodes  et  la  publication  des  livres  les  plus 
utiles  aux  progrès  des  études  grecques.  Elle  décerne,  à  cet 
effet,  des  récompenses. 

2.  Elle  encourage  par  tous  les  moyens  en  son  pouvoir  le 
zèle  des  maîtres  et  des  élèves. 

3.  Elle  propose,  s'il  y  a  lieu,  des  sujets  de  prix. 

4.  Elle  entretient  des  rapports  avec  les  hellénistes  étran- 
gers. 

5.  Elle  publie  un  annuaire  ou  un  bulletin,  contenant 
l'exposé  de  ses  actes  et  de  ses  travaux ,  ainsi  que  l'indi- 
cation des  faits  et  des  documents  les  plus  importants  qui 
concernent  les  études  grecques. 


—  5  — 

6.  Le  nombre  des  membres  de  l'Association  est  illimité. 
Les  Français  et  les  étrangers  peuvent  également  en  faire 
partie. 

7.  L'admission  est  prononcée  par  le  Comité,  sur  la  pré- 
sentation d'un  membre  de  l'Association. 

0.  Le  taux  de  la  cotisation  annuelle  est  fixé  au  minimum 
de  dix  francs. 

10.  La  cotisation  annuelle  peut  être  remplacée  par  le 
payement,  une  foisfait,  d'une  somme  décuple.  La  personne 
qui  a  fait  ce  versement  reçoit  le  titre  de  memhi^e  donateur, 

U.  L'Association  est  dirigée  par  un  Bureau  et  un  Co- 
mité, dont  le  Bureau  fait  partie  de  droit. 

13.  Le  Comité,  non  compris  le  Bureau,  est  composé  de 
vingt  et  un  membres.  Il  est  renouvelé  annuellement  par  tiers. 
Les  élections  sont  faites  par  l'Assemblée  générale.  Les  sept 
membres  sortants  ne  sont  rééligibles  qu'après  un  an. 

15.  Le  Comité  se  réunit  régulièrement  au  moins  une 
fois  par  mois.  11  peut  ôtre  convoqué  extraordinairement 
par  le  Président. 

Tous  les  membres  de  l'Association  sont  admis  aux 
séances  ordinaires  du  Comité,  et  ils  y  ont  voix  consultative. 

Les  séances  sont  suspendues  pendant  trois  mois,  du 
1"  août  au  1"  novembre. 

19.  L'Association  tient,  au  moins  une  fois  chaque  année, 
une  Assemblée  générale  (1).  Les  convocations  ont  lieu  à 
domicile.  L'Assemblée  entend  le  rapport  qui  lui  est  pré- 
senté par  le  Secrétaire  sur  les  travaux  de  l'Association, 
et  le  rapport  de  la  commission  administrative  sur  les 
recettes  et  les  dépenses  de  l'année. 

Elle  procède  au  remplacement  des  membres  sortants 
du  Comité  et  du  Bureau. 

Tous  les  membres  de  l'Association  résidant  en  France  sont 
admis  à  voter  soit  en  personne,  soit  par  correspondance. 

(1)  L'assemblée  générale  a  lieu  le  premier  vendredi  après  Pâques. 


—  6  — 


MEMBRES  DONATEURS. 


Ballianos  (Andréas),  négociant,  à  Constantinople. 

Banque  nationale  de  Grèce,  à  Athènes. 

Beulé  ,  membre  de  l'Institut. 

Brunet  de  Pbesle  ,  membre  de  l'Institut. 

Christopoulos  ,  ancien  ministre  de  l'instruction  publique  et  des 
cultes  en  Grèce. 

CoNSTANTiNiDES  (Zanos),  à  Constantinople. 

CousTÉ  (E.),  directeur  de  la  manufacture  des  tabacs,  à  Paris. 

Desjardins,  11,  rue  Maurepas  (Versailles). 

Devillè  (  feu  Gustave  ) ,  docteur  es  lettres,  ancien  membre  de 
l'Ecole  d'Athènes. 

DiDOT  (Ambroise-Firmin) ,  libraire-éditeur. 

Drème,  premier  avocat-général ,  à  Agen  (Lot-et-Garonne). 

DuRUY  (S.  Exe.  M.  Victor),  ministre  de  l'instruction  publique. 

EiCHTHAL  (Gustave  d'),  membre  de  la  Société  asiatique. 

GiANNAROs  (Thrasybule),  néeociant,  à  Constantinople. 

HoussAYE  (Henry),  homme  de  lettres. 

Karapanos  (Constantin),  docteur  en  droit,  négociant,  à  Constan- 
tinople. 

KoENiG  (Richard),  négociant,  à  Alexandrie. 

L.  Hachette  et  CS  libraires-éditeurs,  à  Paris. 

Labitte,  libraire,  à  Paris. 

Landelle,  peintre,  membre  de  l'académie  d'Amsterdam. 

Maggiar  (Octave). 

Marcellus  (comte  Edouard  de). 

MouRiER ,  vice-recteur  de  l'Académie  de  Paris. 

Patin,  membre  de  l'Académie  française. 

Riant  (Paul),  docteur  es  lettres,  delà  Société  des  antiquaires. 

Saraphis  (Aristide),  négociant,  à  Constantinople. 

Stephanovie  (Zanos),  négociant,  à  Constantinople. 

SvoRONOS  (Michel),  négociant  à  Constantinople. 

Université  d'Athènes,  ('eôvdcov  IlavsTrtcTTTipMov), 

Zariphis  (Georges),  négociant,  à  Constantinople. 

ZoGRAPHOs(ChristakisBitos),  négociant,  à  Constantinople. 


—  7 


LISTE  GÉNÉRALE  DES  MEMBRES  AU  6  DECEMBRE  1868. 


Abeille,  41,  avenue  Gabriel. 

AcATios  (Nicolas),  négociant,  à  Constantinople.  ^ 

Adert,  ancien  professeur  de  littérature  grecque  à  l'Académie  de 
Genève,  rédacteur  en  chef  du  Journal  de  Genève. 

Afendouli  (Théodore),  professeur  à  l'Ecole  de  Médecine  (Athènes). 

Agathangelos,  archevêque  de  Dramas  (Constantinople). 

Agathidès,  professeur,  28,  Kildare  Terrace,  Bayswater  (Londres). 

Agelasto  (E.),  négociant  (Marseille). 

Albert  frères ,  négociants  à  Marseille. 

Alexandre,  membre  de  l'Institut ,  9,  rue  Mogador. 

Alexandrides  (Zacharias),  négociant,  à  Constantinople. 

Alglave,  avocat,  7,  rue  du  Cardinal  Le  Moine. 

Allaire  (E.),  Twickenham  (Middlesex). 

Ambanapoulos,  négociant  (Marseille). 

Amiel,  chef  d'institution,  rue  Saint-Jacques,  151  bis. 

Anastase  (Grégoire),  négociant,  à  Constantinople. 

Andréadis  (IM™'^),  directrice  de  l'Ecole  primaire  grecque,  au  Caire. 

Andréadis  (P.),  docteur-médecin  (Constantinople). 

Anonymes  (quatre)  (Paris). 

Anthime,  archevêque  de  Séleucie,  directeur  de  l'école  commer- 
ciale grecque  de  Chalki  (Constantinople). 

Anthopoulos  (Constantin),  membre  du  tribunal  de  commerce 
(Constantinople). 

Antoniadis  (Alexandre),  négociant  (Constantinople). 

Abgenti  (Léonidas),  négociant  (Marseille). 

Aristarchis  Stavrachis,  grand  logothète,  membre  du  conseil 
(Constantinople). 

Aristoclès  (Jean) ,  professeur  de  la  grande  école  patriarcale,  à 
Constantinople. 

Armingaud  ,  professeur  au  collège  Rollin ,  17,  rue  Cassette. 

Arvtaïos  (Théodore),  professeur  à  l'Ecole  de  Médecine  (Athènes). 

AssELiN ,  professeur  au  collège  Rollin ,  40 ,  rue  de  l'Ouest  (Paris). 

Athanasachis  (G.),  négociant,  à  Volo  (Turquie  d'Europe). 

Athénogénès  (Georges),  négociant  (Constantinople). 

AuBÉ,  professeur  au  Lycée  Bonaparte,  48, rue  de  Vienne. 

AviERiNO  (Alexandre),  négociant,  Gresham  house  (Londres). 

Badois,  127,  rue  de  la  Tour  (Passy- Paris). 

Bagault,  43,  rue  Saint-Lazare. 


~  8  ^ 

Baguenault  de  Puchesse  (Gustave),  licencié  es  lettres,  49,  rue 
Bonaparte. 

Bahaux  (J.)i  licencié  es  lettres,  71,  boulevard  Mont -Parnasse. 

Baillière  (Germer),  17,  rue  de  l'École  de  Médecine. 

Bailly,  professeur  au  lycée  (Orléans). 

Balanos  (Spyridon),  professeur  à  l'École  de  Droit  (Athènes). 

Ballakis  (Chr.),  négociant  (Gonstantinopie). 

Balltanos  (André),  à  Gonstantinopie. 

Baltard,  membre  de  l'Institut,  4,  rue  de  l'Abbaye. 

Banque  nationale  de  Grèce  (Athènes). 

Barbet-Massin,  16,  rue  de  la  Ferme-des-Mathurins. 

Baron  (L.),  ancien  député,  Fontenay  (Vendée). 

Barrias,  71,  rue  d'Amsterdam. 

Barthélémy  Saint-Hilaire,  de  l'Institut,  29  bis^  rue  d'Astorg. 

Bary,  professeur  au  collège  RoUin,  47,  rue  Pigale. 

Basiadès  (Héroclès-Gonstantin),  docteur  es  lettres  et  en  méde- 
cine, rue  Hamel-Bachi,  14  (Gonstantinopie.) 

Basili  (G.-A.),  sous-gouverneur  de  la  banque  nationale  d'Athènes. 

Basilt  (D.-M.),  négociant  (Marseille). 

Bassiltadès  (S.),  négociant  (Marseille), 

Baudouin,  inspecteur  général  de  l'enseignement  primaire  (Paris). 

Baudreuil  (de),  29,  rue  Bonaparte  (Paris). 

Beaujean,  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  39,  rue  de  l'Uni- 
versité. 

Beaussire,  professeur  au  lycée  Charlemagne,  90,  rue  des  Feuil- 
lantines. 

Belin,  libraire-éditeur,  52,  ruede  Vaugirard. 

Béltsatre  (Jean),  professeur  de  grec ,  5 ,  rue  Canonge  (Marseille). 

Belot,  professeur  au  lycée  de  Versailles^ 

Benoist  (Eugène),  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Nancy. 

Benoît  (Ch.),  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  de  Nancy. 

Berakd-Varagnac,  31,  Avenue  de  Neuilly  (Porte-Maillot). 

Bentzelos  (Miltiades), professeur  li  l'École  de  Médecine  (Athènes). 

Bercoet,  chef  d'institution ,  8,  cité  Malesherbes,  rue  de  Laval. 

Bergaigne,  55,  rue  de  Verneuil. 

Berge  (de  la)  attaché  au  cabinet  des  médailles,  12 ,  rue  de  Lou- 
vois. 

Berger ,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  deParis,   1,    rue 
Leregrattier-en-l'lle. 

Bernardakis,  5,  place  de  la  Sorbonne. 

Bertrand  (Alexandre),  directeur  du  musée  St-Germain  (en  Lave). 

Beslay  (François),  avocat  à  la  Cour  impériale,  372,  rue  Saint- 
Honoré. 

Bétant,  consul  de  Grèce,  à  Genève. 

Bétolaud,  ancien  professeur  de  l'Université,  53,  rue  du  Bac. 

BÉTOURNÉ,  professeur  au  lycée  de  Bordeaux. 

Beugnot  (comte),  10 1  bis,  rue  Saint-Lazare. 

Beulé,  membre  de  l'Institut,  25,  quai  Conti. 

Bien  AYMÉ  (Jules),  membre  de  l'Institut,  1,  rue  de  Fleurus. 


—  9  — 

BiKELAS  (0.),  Dégoçiant,  19,  Old  Broad  street  (Londres). 

BiMPOs  (Théoclète),  archimandrite,  professeur  à  l'École  de  théo- 
lofiie  (Athènes). 

Blache,  de  l'Académie  de  médecine,  5,  rue  de  Suresne. 

Blanc  (Charles),  de  l'Institut,  à  Saint-Gratien  (Seine-et-Oise). 

Blancabt,  professeur  de  grec  moderne  (Marseille). 

Blavet,  181,  avenue  Raphaël  (Passy-Paris). 

Blignières  (de),  ancien  chef  d'institution,  80,  rue  de  Grenelle- 
Saint-Germain. 

Blondel  (Charles),  élève  de  l'École  française  d'Athènes. 

Blotnicki,  2,  rue  Saint-Louis-en  l'Ile. 

BoDiNiER,  correspondant  de  l'Institut,  place  du  Château  (Angers). 

BoissoNADE  (N.),  professeur  agrégé  à  la  Faculté  de  droit. 

BoLL  (Gustave),  avocat,  24,  quai  de  l'École. 

BoNAFOUs,  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  d'Aix. 

BoTTENTUiT  (le  doctcur),  36,  rue  du  Champ-des-  Oiseaux  (Rouen). 

BocicHARD,  notaire,  1,  place  Boïeldieu. 

BoucHARDAT,  profcsscur  à  la  Faculté  de  médecine,  8,  rue  du 
Cloître-Notre-Dame. 

Bouchot,  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  58,  rue  de  Vaugi- 
rard. 

Boucherie,  professeur  au  lycée  (Montpellier). 

BouiLLiER, directeur  de  l'École  normale  supérieure,  45,  rue  d'Ulm. 

Bourbaki  (Demétrius),  ofUcier  de  l'armée  hellénique,  24,  rue 
Chevert. 

Brandt,  directeur  de  l'Ecole  internationale  (Saint-Germain  en 
Laye). 

Braud  (J.-B.),  professeur,  9,  rue  Sainte-Croix  (Nantes). 

Bréal  (iMichel),  professeur  au  collège  de  France,  63,  boulevard 
Saint-Michel. 

Brelay  (Ernest),  négociant,  34,  rue  d'Hauteville. 

Briau,  bibliothécaire  de  l'Êcole-de-Médecine,  41,  rue  de  la  Vic- 
toire. 

Broglie  (le  prince  Albert  de),  94,  rue  de  rUniversilé. 

Brunet«de  Presle,  de  l'Institut,  61,  rue  des  Saints-Pères. 

BuRET,  docteur  en  droit,  avocat  ^Caeu). 

BuRNOUF  (Emile),  directeur  de  l'Ecole  française  d'Athènes. 

Cabanel,  membre  de  l'Institut.  17,  rue  de  la  Kochefoucauld. 

Caffarelli  (comte),  député,  58,  rue  de  Varennes. 

Caffiaux,  ancien  professeur  au  collège,  bibliothécaire  de  la  ville 
(Valenciennes). 

Cahen  d'Anvers  (comte),  47,  rue  Laffitte. 

Cahen  d'Anvehs,  47,  rue  Laffitte. 

Cahen  d'Anvers  (Loui^),  47,  rue  Laffitte. 

Cahen  d'Anvers  (M'"«),  1 18,  rue  de  Grenelle- Saint-Germain. 

Caillemer  (Exupère),  professeur  à  la  Faculté  de  droit  de  Gre- 
noble (Isère). 

Calligas  (P.'ul),  professeur  à  l'École  de  droit  (Athènes). 

Calvocoressi,  négociant  (Marseille). 


—  10  — 

Calvocoressi  (m. -G.),  négociant  (Marseille). 

Campaux,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Strasbourg). 

Canellopoulo,  rédacteur  en  chef  de  Y  Indépendance  hellénique, 
rue  du  Pirée,  27  (Athènes). 

Caramànos  (Ph.-G.),  négociant  (Marseille). 

Caro,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres^  20,  rue  des  Missions. 

Caron,  1 1,  rue  de  l'Arbalète. 

Cassimati,  avocate  Syra  (Grèce). 

Castorki  (Eiithymos),  professeur  de  philosophie  à  l'Université 
(Athènes). 

Catzigras  Cosmas,  négociant  (Marseille). 

Caumont  (de),  correspondant  de  l'Institut  (Gaen). 

Caussade  (de),  bibliothécaire  au  Louvre,  25,  rue  de  Laval. 

Ceffala  (Georges),   négociant,   3,  Winchester  Buildings  (Lon- 
dres). 

Cerfbeer  (Th.),  agriculteur  (Oberviller,  près  Saarbourg  (Meurthe). 

Chabouillet,  conservateur  du  cabinet  des  médailles,  22,  rue 
Boursault. 

Chanrond  (Gustave  de),  à  Briançon  (Hautes-Alpes). 

Chantepie  (de),  maître  surveillant  et  bibliothécaire  à  l'École  nor- 
male supérieure,  45,  rue  d'Ulm. 

Chappuis,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Besançon). 

Charamis  (Adamantios),  professeur  à  Tagonrog  (Russie  méri- 
dionale). 

Chasles,  membre  de  l'Inslitut,  3,  passage  Saint-Marc,  rue  du  Bac. 

Chasles  (Emile),  2  ter^  impasse  Sainte-Marie  (rue  du  Bac). 

Chassang,  maître  de  conférences  à  l'Ecole  normale  supérieure,  1 3, 
rue  du  Jardinet. 

Chasseriau  (M"^),  40,  rue  de  Bruxelles. 

Chastellux  (comte  Henri  de),  90,  rue  de  Varennes. 

Chatel  (Eug.j,  archiviste  du  département  du  Calvados,  à  Caen. 

Chénier  (G.  de),  35,  rue  Bellechasse. 

Cherbuliez  (André),  professeur  de  littérature  ancienne  à  l'Aca- 
démie (Genève). 

Cherbuliez  (Victor),  (Genève). 

Chéronnet-Champollton  (Léonce),  10,  rue  de  l'Oratoire. 

Chéronnet-Champollion  (René),  10,  rue  de  l'Oratoire. 

Cherrier  (de),  membre  de  Tlnstitut,  22,  rue  de  Londres. 

Chevreul,  membre  de  Tlustitut,  au  Jardin  des  plantes. 

Chevriaux,   censeur  des   études  au  lycée  Bonaparte,  rue   du 
Havre. 

Choisy,  ingénieur  des  ponts  et  chaussées,  à  Rethel  (Ardennes). 

Chrtstidis  (Chr.-P.),  négociant  (Constantinople). 

Christopoulos,  ancien  ministre  de  l'Instruction  publique  et  des 
cultes  du  royaume  de  Grèce. 

Chrysospathès  (G.),  docteur  en  médecine,  54,  rue  des  Écoles. 

Chryssovelonis  (Leonidas),  négociant  (Constantinople). 

CiRCOURT  (comte  A. de),  aux  Bruyères,  près  Bougival  (Seine-et-Oise). 

Clavel  (Victor),  professeur  au  lycée  (Bourges). 


—  Il  — 

Cléanthe  (Zenon),  architecte  (Constantinople). 

Clermont-Tonnerbe  (duc  d*'),  78,  ruf  de  l'Université. 

Clérot  (Henry),  négociant,  rue  de  l'Hôtel-de-Ville  (Rouen). 

CoHiN  (Albert),  docteur  en  pliilosopliie,  42,  rue  Richer. 

Colin,  18,  boulevard  Montmartre. 

CoMBKs  (dp),  auchâienu  d'Amnyé  (par  Evrecy,  Calvados). 

CoNDKS  (Elit  ),  chez  MM.  Tamvaco  et  Microlachi  (Marseille). 

CoNDURiom,  ministre  de  Grèce^  à  Florence. 

CoNSTANTiNiDÉs  (Ch.-GeorRes),  rentier  (Constantinople). 

CoNSTANTiNiDÈs  (Gcorges-Charles),  à  Constiinlinople. 

CoNSTANTiNiDÈs  (Zanos),  rentier,  à  Constantinople. 

CoNTOSTANLOS  (Jean),  négociant  (Constantinople). 

CoRGiALÉGNO  (André),  négociant  (Marseille). 

CoRGiALÉGNO,  négociant  (Marseille). 

CossoucLTS  (Thémisiocle),  négociant  (Constantinople). 

CosTE  (Olivier  de  la),  licencié  es  lettres,  108,  rue  du  Bac. 

CouBET  (Alph.),  docteur  en  droit,  2,  rue  Servan  (Grenoble). 

CouiiTAUD  DiVEBNÉBESSE,  7,  ruc  Madame. 

CousTÉ,  directeur  de  la  manufacture  des  tabacs,  63,  quai  d'Orsay. 

Cbauk,  146,  rue  de  Vaugirard. 

Crémieux  (Emile),  ancien  agent  de  change,  2,  place  Wagram. 

CuBNiEU  (le  baron  de),  68,  rue  de  la  Cliaussée-d'Antin. 

CuviLLiER,  professeur  au  lycée  du  Prince-Impérial  (Vanves). 

Da  Costa,  substitut  du  procureur  impérial,  à  Compiègne(Oise). 

Damalas,  négociant  (Marseille). 

Daremberg,  de  la  bibliothèque  Mazarine,  1,  rue  de  Seine. 

Dareste  de  la  Chavanne,  avocat,  7,  quai  Malaquais. 

Dareste  de  la  Chavanne  (Cléophas),  doyen  de  la  Faculté  des 

lettres  (Lyon). 
David  (baron  Jérôme),  vice-président  du  Corps  législatif,  6,  place 

Saint-Michel. 
Dazapoulos  (Georges),  professeur. 
Decharme  (Paul),  professeur  au  lycée  (Marseille). 
Dehèque,  membre  de  l'Institut,  50,  rue  de  Bourgogne. 
Delacroix,  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  15,  rue  de  la 

Vieille-Estrapade. 
Delagbave,  libraire-éditeur,  78,  rue  des  Ecoles. 
Delalain  (Jules),  libraire-éditeur,  76,  rue  des  Ecoles. 
Delalain  (Henri), libraire-éditeur,  76,  rue  des  Ecoles. 
Delaboche  (Horace),  26,  rue  des  Bourdonnais  (Versailles). 
Delaboche  (Philippe),  103,  rue  du  Bac. 
Delaunay,  professeur,  à  Ernée  (Mayenne). 
Delaunay  (Ferd.),  8,  rue  des  Saussayes. 
Delkssebt  (M"'«  Gabriel),  9,  rue  Basse  (Passy-Paris). 
DtLOBME  (S.),  26,  rue  de  la  Ferme  des- Mal  burins. 
Delpech,  professeur,  Christ's-Hospital  (London). 
Delta  (Thomas),  négociant,  3,  Winchester  Buildings  (Londres). 
Deltoub,  professeur  de  rhétorique  au  lycée  Saint-Louis,  98,  rue 

de  la  Pépmière. 


—  12  — 

Delzons,  professeur  au  lycée  Saint-Louis,  86,  rue  des  Fossés- 
Saint-Victor. 

Delyannis  (Théodore-P.),  ancien  ministre  plénipotentiaire  de 
S.  M.  Hellénique  à  Paris  (Athènes). 

Demarquay,  docteur-médecin,  47,  rue  de  la  Victoire. 

Demetbios  (Tiberis),  à  Constantinople. 

Denis,  2,  rue  de  Reims. 

Depasta  (A.-N.),  libraire  (Constantinople). 

Depasta  (Antoine),  négociant,  à  Constantinople. 

Deschamps  (Arsène),  docteur  en  philosophie  et  lettres,  rue  Basse- 
Chaussée  (Liège). 

Deschanel  (Emile),  ancien  maître  de  conférences  à  l'École  nor- 
male supérieure,  34,  rue  de  Penthièvre. 

Des  Francs,  professeur  de  rhétorique  au  lycée  de  Bourg  (Ain). 

Desjardins,  11,  rue  Maurepas  (Versailles). 

Dethier  (Ph.-A.),  docteur  en  philosophie,  directeur  de  l'école 
autrichienne  de  Constantinople. 

Deville  (Mme  vcuvc),  112,  ruc  de  Provence. 

Devin,  avocat,  12,  rue  de  l'Echiquier. 

Dezeimeris,  9,  rue  Maison-Daurade  (Bordeaux). 

Dialegmenos  (Georges),  négociant  (Constantinople). 

DlANGELis  (Georges),  avocat  (Constantinople). 

DiDOT  (Ambroise-Firmin),  libraire-éditeur,  5C,  rue  Jacob. 

DiLBEROGLOU  (S.),  négociant,  ïhreadneedie  street  (g.  j.  Cavafy 
et  6"  (Londres). 

DivEEis  (Démétrius),  négociant,  à  Constantinople. 

DoGNÉE  (E.),  20,  place  des  Carmes  (Liège,  Belgique). 

Doyen  (X.),  maître  d'études  au  collège  (Schelestadt,  Bas-Rhin). 

Drapeyron,  professeur  au  lycée  Napoléon,  9,  rue  Clotaire. 

Drème,  premier  avocat  général,  à  Agen  (Lot-et-Garonne). 

Duc,  membre  de  l'Institut,  4,  rue  du  Marché  Saint-Honoré. 

DucAMP  (Maxime),  43,  rue  du  Rocher  (Paris). 

Dumas  (É.-R.),  professeur  au  lycée  (Marseille). 

DuMONT,  inspecteur  de  l'enseignement  moyen  ^  rue  Montoyer 
(Bruxelles). 

DuQUESNE,  51,  rue  Laffitte. 

Durand,  libraire-éditeur,  9,  rue  Cujas. 

Duret  (M'^'),  17,  quai  Voltaire. 

Durutti,  directeur  de  la  manufacture  de  soie,  à  Athènes. 

DuRUY  (S.  Exe.  M.  Victor),  ministre  de  l'instruction  publique. 

DuvEAU,  professeur  au  collège  Saint  Rambert  (Lyon). 

Ebronos  (Michel),  à  Constantinople. 

Egger,  membre  de  l'Institut,  48,  rue  Madame. 

Eginétès  (Dionysios),  professeur  à  l'Ecole  de  droit  (Athènes). 

EiCHTHAL  (Adolphe  d'),  membre  du  Conseil  supérieur  du  com- 
merce, 98,  rue  Neuve-des-Mathurins. 

EiCHTHAL  (Ad.  d'),  fils,  banquier,  98,  rue  Neuve-des-Mathurins. 

EicflTHAL  (Eugène  d'),  iOO,  rue  Neuve-des-Mathurins. 


—  13  — 

EicHTHAL  (Gustave  d'),  membre  de  la  Société  asiatique,  100,  rue 

Neiive-des-Mathurins. 
Elèves  (le^)  de  l'Ecole  normale  supérieure,  45,  rue  d'Ulm. 
Elèves  fies)  du  Lycée  d'Orléans. 

Élèves  (les)  de  rhétorique  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 
Elèves  (les)  du  collège  de  Valenciennes. 
Elèves  (cinq)  de  la  classe  de  quatrième  du  lycée  de  Montpellier 

(André-Michel,  etc.,  etc.). 
Elèves  (les)  de  rhétorique  du  collège  Stanislas,  rue  Notre-Dame- 

des-Champs. 
Elèves  (les)  de  rhétorique  du  lycée  Bonaparte  (divis.  Gidel-Talbot). 
Eliade  (Léonidas\  professeur  de  grec  moderne,  2,  rue  Royer- 

Collard. 
Epinay  (de  1'),  6,  impasse  Sandrié. 
EssARTS  (Emmanuel  des),  professeur  au  lycée  (Orléans). 
EsTRANGiN  (A.),  négociant  (Marseille). 
Etienne  (L.),  professeur  de  rhétorique  au  lycée  Saint-Louis,  17, 

rue  Soufflot. 
Eumorphopoulos  (A.-G.),  négociant,  Ethelburg  house,  Bishops- 

gate  Street  (Londres). 
EusTATHius  (D.),  négociant  (Marseille). 

ÉvELABD,  professeur  au  lycée  Saint-Louis,  13,  rue  de  la  Cerisaie. 
Fagnan  (Edm.),  docteur  en  droit  de  l'Université  de  Liège,  rue  et 

hôtel  Corneille. 
Faube  (Anirè),  80,  me  Taitbout. 
Fayard  (Eugène),  18,  rue  d'Aguesseau. 
Favre  (Lèopold),  22,  rue  Soufllot. 

Feuillet  de  Conches  (baron),  73,  rue  Neuve-des-Mathurins. 
Florent  Lefèvre,  conseiller  général  du  département  du  Pas-de- 
Calais,  47,  rue  de  Lille. 
Fontaine  (Médéric),  ancien  notaire,  63,  rue  Blanche. 
FoTiADES  (G.),  négociant  (Marseille). 

FoiiCART,  professeur  au  lycée  Charlemagne,  13,  rue  de  Tournon. 
FoucHER  DE  Careil  (couitc),  11,  ruc  François  I<^^ 
FouRNiER  (Eug.),  docteur  es  sciences,  72,  rué  de  Seine. 
Gaffarel,  professeur  d'histoire  au  lycée  de  Montpellier. 
Gaidoz  (Henri),  licencié  es  lettres,  32,  rue  de  Madame. 
Galichon  (Emile),  directeur  de  la  Gazette  des  Beaux- Arts ^  182, 

rue  de  Rivoli. 
Galusky  (Ch.),  126,  rue  de  Poissy  (Saint-Germain-en-Laye). 
Ganneau,  40,  boulevard  Gouvion  Saint-Cyr  (Ternes). 
Garelli  (Alexandre),  négociant  (Marseille). 
Garnier,  architecte  de  l'Opéra,  84,  boulevard  Saint-Germain. 
Garnier  (Auguste),  libraire,  6,  rue  des  Saints-Pères. 
Garnier  (Hippolyte),  libraire,  6,  rue  des  Saints-Pères. 
Gatteaux,  membre  de  l'Institut,  41,  rue  de  Lille. 
Gaudry  (Albert),  12,  rue  ïaranne. 
Gebhardt.  professiur  à  la  Faculté  des  lettres  (Nancy). 
Georgamtopoulos  (J.),  docteur  eu  droit,  avocat  (Constautinople). 


—  14  — 

Georgel,  professeur  au  lycée  (Nancy). 

Georgiadès  (C.-B.),  rue  du  Loisir  (Marseille). 

Georgîadès  (D.),  négociant  (Marseille). 

Georgiadès  (JN.-Ph.),  négociant  (Constontinople). 

GÉROME,  membre  de  l'Inslitut,  6,  rue  de  Bruxelles. 

GiANNAEOS  (Thr.isybiile),  négociant  (Consiantitiople). 

Geschwind  (Paul),'  élève  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 

GiANNAROS  (ïlirasybule),  négociant  (Constantiuople). 

GiDEL,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  130,  rue  Saint-Lazare, 

GiGUET,  homme  de  lettres  (Sens^  Yonne). 

Gilbert,  23,  rue  de  Marignan. 

GiNOUiLHAC  (Monseigneur),  évêque  de  Grenoble  (Isère). 

Girard  (Jules),  maîire  de  conférences  à  l'École  normale  supé- 
rieure, 26,  rue  Monsieur-le-Prince. 

Glachant,  inspecteur  général  des  études,  28,  rue  Scheffer  (Passy). 

Glycas  (JNicéphore),  archimaudrite,  professeur  de  l'école  ihéolo- 
gique  de  Chalki  (Constanlinople). 

GoMBOs  (Basili),  négociant,  à  Constantinople. 

GouiN  (Ernest),  constructeur,  4,  rue  Cambacérès. 

GouMY,  rédacteur  en  chef  de  la  Revue  de  l'Instruction  publique, 
82,  boulevard  Saint-Germain. 

GouNAROPOULos,  négociant,  19,  rue  du  Loisir  (Marseille). 

GouNAROPOULOS  (C),  doctcur  eu  médecine,  consul  de  Grèce  à 
Saint-Jean-d'Aere. 

GouNOD,  membre  de  l'Institut,  19,  rue  de  la  Rochefoucauld. 

Gréard,  inspecteur  de  l'Académie,  77,  boulevard  Saint-Michel. 

Grégoire  VI,  patriarche  œcuménique  de  Constantinople. 

Grégoire,  archevêque  de  Chios  (Constantinople). 

Grégoras  (Germauos),  archimandrite  et  professeur  à  l'école 
Ihéologique  de  Cbalki  (Constantinople). 

Gréhan,  professeur  au  collège  de  Compiègne  (Oise). 

Gruyer  (Anatole),  10,  rue  du  Mont-Thabor. 

Gruyer  (Gustave),  28,  place  Saint-Georges. 

Guérard,  directeur  de  Sainte-Barbe-des-Champs  (Fontenay). 

GuiGNiAUT,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  des  Inscriptions 
et  Belles-Lettres,  25,  quai  Conti. 

Guillaume,  de  llnstitut,  directeur  de  l'École  des  Beaux-Arts. 

Guillaume,  2,  avenue  de  l'Impératrice. 

Guillhemassy,  professeur,  5,  rue  Corneille. 

GuiMET  (Lmile),  membre  de  l'Académie  de  Lyon,  1,  place  de  la 
Miséricorde  (Lyon). 

GuiON  (Jean),  docteur  en  droit  (Constantinople). 

GuiONis  (Michel),  négociant  (Constantinople). 

GuizoT  (François),  membre  de  Tlnstitut,  10,  rue  de  TOratoire- 
des- Champs-Elysées. 

GuizoT  (Guillaume).  53,  boulevard  Malesherbes. 

Hachette  (Louis  et  C^^),  libraires-éditeurs,  77,  boulevard  Saint- 
Germain. 

Hamel,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Toulouse). 


~  15  — 

Habcourt  (comte  Jean  d'),  82,  rue  de  l'Université. 

Havet,  professeur  au  collège  de  France,  60,  rue  des  Écoles. 

Hazzifilo,  négociairt,  6,  rue  du  Conservatoire. 

Heath  (Heury),  ban(juier,  31,  Old  Jewery,  cité  de  Londres. 

Heinbich,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres,  28,  cours  Morand 
(Lyon). 

HÉLiASCos  (Constantin),  négociant  fConstantinople). 

Hesse  (Antoine),  banquier  (Marseille). 

Hetsch  (l'abbé),  supérieur  du  petit  séminaire  de  la  Chapelle- 
Saint-Mesmin  (Loiret). 

Heuzey,  conseiller,  4,  rue  de  Crosne  (Rouen). 

Heuzey  (Gustave),  25,  rue  de  l'Impératrice  (Rouen). 

Heuzey,  ancien  membre  de  l'École  d'Athènes,  professeur  à  l'École 
des  Beaux-Arts,  8,  quai  de  la  Mégisserie. 

HiGNARD,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Lyon,  42,  rue  Im- 
périale (Lyon). 

HiLLEBRAND,  profcsscur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Douai. 

HiNSTiN,  professeur  au  lycée  impérial  (Lyon). 

His  DE  LA  Salle,  55,  riiedeClichy. 

HiTTORFF  (Charles),  H3,  rue  Saint- l>azare. 

HoBTUS,  ancien  chef  d'institution,  94,  rue  du  Bac. 

HoussAYE  (Hei.ry),  49,  avenue  deFriedIand. 

HuBAULT  (G.),  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  11,  rue  Bona- 
parte. 

Hubert  (Alfred),  103,  rue  Lafayette. 

Hugo,  24,  rue  Royale. 

Huillier,  ancien  notaire,  49,  rue  de  Provence. 

HussoN  (Hyacinthe),  14,  rue  Marignan. 

Husson  (Georges),  191,  rue  Saint-Honoré. 

Inglessis  (Antoine),  négociant  (Constantinople). 

Inglessis  (Panaghis),  négociant  (Constantiuople). 

Ingres  (M"^),  1 1,  quai  Voltaire. 

loNiDÈs,  négociant,  19,  Old  Broad  street  (Londres). 

Jacobo  (Miliiade),  5,  place  de  l;i  Sorbonue. 

Jacquet  (Krnest),  5,  rue  des  Pyramides. 

Jacquet  (père),  14,  rue  Casiiglione. 

Javal  (Emile),  25,  rue  Saint- Roih. 

jAVAL(Lpopold),  député,  6,  rue  d'Anjou  Saint-Honoré. 

Jeanidès  (S.),  grand  scevophylax  (Constantinople). 

Jeannel,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Grenoble). 

Jenck  (Jules),  40,  rue  de  Bruxelles. 

JÉBASiïios,  archevêque  de  Chalcédoiue  (Constantinople). 

Joly  (A.),  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Caen). 

Jourdain,  membre  de  l'Institut,  41,  rue  de  Luxembourg. 

Kalliadis  (Constantin),  secrétaire  du  conseil  d'Éiat  (Constanti- 
nople). 

Kallinicos  (D.),  négociant  (Constantinople). 

Kalvocohessis  (Denieirius-J.),  ucgoiiant  (Constantiuople). 

Kanakis  (Athanase),  négociant  (Coustantinople). 


—  16  — 

Kanakis  (Constantin),  négociant  (Constantinople). 

Karapanos  (Constantin),  docteur  en  droit,  négociant  (Constan- 
tinople). 

Kaeatheodobi  (Constantin),  docteur-médecin  (Constantinople). 

Kautalts  (S. -G.),  négociant  (Constantinople). 

Karaïskakt,  capitaine  dans  l'armée  hellénique  (Athènes). 

Kebedgy  (Stauvro-M.),  négociant  (Constantinople). 

Kergorlay  (comte  Henri  de),  48,  rue  de  Varennes. 

KoccoNis  (D.-J.),  négociant  (Constantinople). 

Kœnig  (Richard),  négociant,  à  Alexandrie  (Egypte). 

KouMPARis  (Aristide),  astronome  (Constantinople). 

KoBOMiLAS  (Antoine),  typographe  (Constantinople). 

Kyriakidis  (Constantin),  négociant  (Constantinople). 

Labarthe,  propriétaire,  19,  rue  Jacob. 

Labitte,  libraire,  5,  quai  Malaquais. 

Lacroix  (Jules),  22,  rue  d'Anjou-Saint-Honoré. 

Lacroix,  à  la  Briche-Saint-Denis. 

Lagache,  directeur  du  service  sténographiqne,  au  Corps  législatif . 

Lagrange  (marquis  de),  membre  de  Tlnstitut,  sénateur,  29,  rue 
Barbet-de-Jouy. 

Laguiche  (marquis  de),  16,  me  Matignon. 

Landelle  (Charles),  17,  quai  Voltaire. 

Landois,  ancien  recteur,  13,  rue  de  Londres. 

Lanjuinais  (vicomte  Victor),  député,  20,  rue  Joubert. 

I^ANJuiNAïS  (vicomte  Henri),  propriétaire,  14,  rue  Moncey. 

Laprade  (Victor  de),  de  l'Académie  française,  10,  rue  deCastries 
(Lyou). 

Lara  Minot,  1,  rue  Godot-de-Mauroi. 

La  Saussaye  (L.  de),  membre  de  l'Institut,  recteur  de  l'Acadé- 
mie de  Lyou  (Lyon). 

Lasteyrie  (Ferdinand  de),  membre  de  l'Institut,  11,  quai  Voltaire. 

Laurent-Pichat,  39,  rue  de  l'Université. 

Lazopoulos  (Georges),  professeur  (Constantinople) 

Leblant  (E.),  membre  de  l'Institut,  3,  rue  Leroux  (avenue  de 
l'Impératrice). 

Le  Bret  (Paul),  représentant  de  la  Compagnie  des  mines  d'Anzin, 
22,  rue  Caumartin. 

I^EBRUN,  de  l'Académie  française,  1,  ruedeBeaune. 

Lecomte  (Eugène),  agent  de  change,  2,  rue  de  la  Chaussée- 
d'Antin. 

Leconte  (A.),  professeur  au  lycée  (Toulon). 

Lee  Childe,  9,  rue  de  Penthièvre. 

Legentil,  professeur  au  Lycée  (Caen). 

Legouez,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  28,  rue  de  la  Rochefou- 
cauld. 

Legouvé,  de  l'Académie  française,  14,  rue  Saint-Marc-Feydeau. 

Lehmann,  membre  de  l'Institut,  23,  rue  Balzac. 

Lenient,  maîirede  conférejices  à  l'École  normale,  suppléant  à  la 
Faculté  des  lettres,  48,  boulevard  Saint-Germain. 


—  17  — 

LÉOTARD  (Eug.),  aucien  élève  de  l'École  normale,  place  Louis  XVI 
(Lyon). 

Le  Proux  (Ferdinand),  élève  de  l'Ecole  impériale  des  chartes 
(Saint-Quentin). 

Leuond,  professeur  au  lycée  Cliarlemagne,  95,  boulevard  Saint- 
Michel. 

Leroy  (Alph.),  professeur  à  l'Université,  139,  rue  Saint-Gilles 
(Liège). 

LÉvÊQUE  (Charles),  membre  de  l'Institut,  professeur  au  collège 
de  France  (Bellevue,  près  Paris). 

Lévi-Alvabez,  19,  rue  de  Lille. 

Levillain,  40,  Faubourg-Poissonnière. 

Levis  Mirepoix  (Comte  de),  121,  rue  de  Lfile. 

LÉVY  BiNG,  banquier,  15,  rue  de  la  Banque. 

LiLLERS  (de),  46,  rue  de  Bourgogne. 

Loiret,  professeur  au  lycée  (Cahors). 

Longpérier  (de), membre  de  l'Institut,  50,  rue  de  Londres. 

Lorrain,  docteur-médecin,  11,  rue  de  l'Odéon. 

LoYSEAU,  professeur  au  lycée  (Angers). 

LuBERSAC  (comte  de),  0,  boulevard  Malesherbes. 

Maggiar  (Octave),  négociant,  32,  boulevard  des  Italiens. 

Magnabâl,  agrégé  de  l'Université,  chef  de  bureau  au  ministère 
de  l'instruction  publique,  rue  de  Grenelle-Saint-Gemaain. 

Maignen,  docteur  es  lettres,  76,  rue  d'Assas. 

jMaigret  (Edouard),  3,  boulevard  des  Capucines. 

Maigret  (Théodorej,  3,  boulevard  des  Capucines. 

Maliaca  (Abraham),  professeur  (Constantinople). 

Maliadis  (Démétrius),  docteur  en  droit,  avocat  (Constantinople). 

Manoliadis  (Panagiote),  négociant  (Constantinople). 

Marcellus  (comtesse  de),  16,  rue  Martignac. 

INIarcellus  (comte  Edouard  de),  à  Gironde  (Gironde). 

Marchand,  71,  rue  deClichy,  institution  Prétet. 

Mariette,  correspondant  de  l'Institut  de  France,  en  Egypte. 

Marion,  professeur  au  lycée  (Montpellier). 

Marsand,  2,  rue  des  Bons-Enfants. 

IMarsy  (de),  archiviste  paléographe,  69,  boulevard  Saint-Germain. 

Martin  (Henri),  historien,  54,  llanelagh  (Passy-Paris). 

Martin  (Th. -Henri),  doyen  de  la  Faculté  aes  lettres  (Hennés). 

Mathiudakis  (Alexandre),  docteur  en  droit,  juge  au  tribunal  con- 
sulaire hellénique,  (Constantinople). 

Matthieu,  député,  57,  rue  Sainte-Anne. 

Maiibice  (Charles),  60,  rue  Notre-Dame  des  Champs,  passage  Sta- 
nislas. 

Maury  (Alfred),  de  l'Institut,  directeur  des  archives. 

Mayrocordato  (D.-A.),  négociant,  37,  Theadneedie  street  (Lon- 
dres). 

Mavrocordato  (Nicolas),  nomarque  de  Corfou  (Grèce). 

Mavrogeni  (Spyridion),  docteur-médecin  (Constantinople). 

IMavrogeni  (M"*' Marie),  à  Constantinople. 


—  18  — 

Mavrogordato  (Etienne-M.),  négociant  (Gonstantinople). 

Mavkogobdato,  5,  rue  Boissy-d'Anglas. 

Maximos  (Pantaléon),  négociant  (Gonstantinople). 

Maybabgues  (Alfred),  ancien  professeur,  40,  rue  Blanche. 

MÊLAS  (Constantin),  de  la  maison  Mêlas  frères  (Marseille). 

MÊLAS  (Michel),  de  la  maison  Mêlas  frères  (Marseille). 

MÊLAS  (B.),  négociant,  Old  Broad  street  (Londres). 

MÊLAS  (G.),  chez  P.  Sugdury,  à  Rostoff-sur-Don  (Russie). 

Menu  de  Saint-Mesmin  ,  préfet  des  études  au  collège  Chaptal , 
rue  Blanche. 

MÊREAUx  (Amédée),  ex-président  de  l'Académie  des  sciences,  arts 
et  belles-lettres,  36,  rue  du  Champ-des-Oiseaux  (Rouen). 

Meble  (M™«),  6,  place  Saint-Michel. 

Merbuau,  conseiller  d'État,  45,  rue  de  Chabrol. 

Messager  (E.),  5,  rue  Tronchet. 

MÊTAXAS  (Georges),  chez  M.  Corgialégno  (Marseille). 

MÉTAXAs  (J.),  docteur  en  médecine  (Marseille). 

Meyer,  inspecteur  de  l'Académie  de  Paris,  31,  avenue  Trudaine. 

MÊziÈRES,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de  Paris,  77,  boule- 
vard Saint-Michel. 

MiAOULi  (André),  capitaine  du  port  du  gouvernement  hellénique 
(Gonstantinople). 

MiCHAiLiDÊs  (Georges),  docteur  en  droit,  juge  au  tribunal  consu- 
laire hellénique  (Gonstantinople). 

MiCHALiNOUDÈs  (J.-A,),  négociant  (Marseille) 

MiCHOGLOU  (Alexandre),  négociant  (Gonstantinople). 

MiCHOGLOU  (Jean),  négociant  (Gonstantinople). 

MiCHOTTE,  3,  rue  de  Rouvres  (parc  de  Neuilly). 

MiCRULACHi  (S.-E.),  négociant  (Marseille). 

M[LL  (John  Stuart),  membre  du  parlement,  recteur  de  l'Université 
de  Saint- Andrew  (Londres). 

Miller,  membre  de  l'Institut,  bibliothécaire  du  Gorps  législatif. 

MiNACOULis  (D.),  docteur-médecin  (Gonstantinople). 

Molltard,  sous-direeteur  à  l'institution  Sainte-Barbe. 

MoNGTNOT,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  66,  rue  du  Rocher. 

Monnier  (Fr.),  docteur  ès'-lettres,  9,  rue  deBabylone. 

Montagne,  directeur  de  l'institution  François  I^r  (Angoulême). 

Morand,  juge  au  tribunal  (Boulogne-sur-Mer). 

Monzie  (E.  de),  à  Sarlat  (Dordogne). 

Mortemart  (marquis  de),  16,  rue  Matignon. 

Mourïer,  vice-recteur  de  l'Académie  de  Paris,  15,  rue  de  la  Sor- 
bonne. 

MoussouRi  (S.),  négociant  (Marseille). 

Nasos,  directeur  de  la  compagnie  d'assurance  le  Phénix^  à 
Athènes. 

Naudet,  membre  de  l'Institut,  184,  rue  de  Rivoli. 

Naville  (Edouard),  licencié  es  lettres  (Fontanée,  près  Genève). 

NÉGRÊPONTis  (Ménélas),  négociant,  à  Gonstantinople. 

Néophyte,  archevêque  de  Dercon  (Gonstantinople). 


—  19  — 

NfCOCLÈs  (Pierre),  négociant  (Constantinople). 

NicoDÈME,  archevêque  de  Cyzique  (Constantinople). 

NicoDÈME,  archevêque  de  Vodena  (Constantinople). 

NicoLAiDÈs  (G.),  de  l'île  de  Crète  (Athènes). 

NicoLAiDÈs  (Théodore),  négociant  (Marseille). 

NicoLAïuÈs  (Xénophon),  négociant,  12,  rue  Loisir  (Marseille). 

Nicolas  (Michel),  professeur  a  la  Faculté  de  théologie  protestante 
(Montauban). 

NiOTis  (Stamatios),  professeur  à  l'école  commerciale  hellénique 
de  Chalki  (Constantinople). 

NisARD  (Charles),  103,  rue  de  Grenelle-Saint-Germain. 

NisABD  (Désiré),  de  l'Académie  française,  sénateur,  2,  rue  Casi- 
mir-Delavigne. 

NisABD  (Auguste),  inspecteur  de  TAcadémie  de  Paris,  45,  boule- 
vard Haussmann. 

NoMicos  (André),  négociant,  à  Constantinople. 

NoNNOTE  (Emile),  professeur  de  la  grande  école  patriarcale  (Cons- 
tantinople). 

Nourrit  (Robert),  avocat  à  la  cour  de  Cassation  et  au  conseil 
d'État,  10,  rue  Garancière. 

OEcoNOMiDÈs  (Basilics),  professeur  à  l'École  de  droit  (Athènes). 

Oppermann,  30,  rue  Saint-Georges. 

Orphanidès  (Théodore),  antiprytane  de  l'Université,  professeur 
de  botanique  (Athènes). 

Orphanidès  (Démétrius),  président  de  l'Académie  de  médecine, 
professeur  à  l'Université  (Athènes). 

Ouellard  (Henri),  professeur  de  rhétorique  au  collège,  41,  rue 
Saint- Michel  (Chartres). 

OuRSEL  (Paul),  59,  rue  de  Turenne. 

Patsdia  Ralli,  négociant  (Marseille). 

Panorïos  (N.),  22,  boulevard  du  Nord  (Marseille). 

Pantazis  (Miltiade),  professeur  (Constantinople). 

Papa  (Daniel),  négociant  (Constantinople). 

Papadopoïjlos  (Démétrius),  docteur-médecin  (Constantinople). 

Papadouca  (Jean),  docteur-médecin  (Constantinople). 

PaparicïOpoulos,  professeur  à  l'École  de  droit  (Athènes). 

Paris  (Gaston),  docteur  es  lettres,  1,  rue  d'Assas. 

Parpallis  (Nicolas),  négociant,  à  Constantinople. 

Paranika  (.m.),  professeur  de  l'école  commerciale  hellénique  de 
Chalki  (Constantinople). 

PARAPANTAPOULOs(Jean),  professeur  de  l'école  commerciale  hel- 
lénique de  Chalki  (Constantinople). 

Pasquet,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  rue  du  Havre. 

Paspatis  (Alexandre),  docteur-médecin  (Constantinople). 

Passy  (Louis),  49,  rue  de  Clichy. 

Patin,  de  l'Académie  française,  doyen  de  la  Faculté  des  lettres  de 
Paris,  15,  rue  Cassette. 

Pedone  Lauriel,  libraire-éditeur,  9,  rue  Cujas. 


—  20  — 

Pelagaud  (Elisée),  licencié  es  lettres,  15,  quai  de  l'Archevêché 

(Lyon). 
PÉLiciER,  professeur  au  collège  (Compiègne). 
Pelletier,  président  à  la  Cour  des  comptes,  46,  avenue  Gabriel. 
Pelletrem,  27,  rue  de  l'Oratoire  du  Roule. 
PÉPTN  Lehalleur  (Emile),  docteur  en  droit,  5,  rue  de  Grcf- 

fulhe. 
Perdicarts  (Lycurgue),  négociant  (Constantinople). 
PÉRiER  (Pierre-Casimir),  licencié  es  lettres,  76,  rue  Galilée. 
Perrens,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  9,  rue  de  Greffiilhe. 
Perrot  (Georges),  maître  de  conférences  à  l'Ecole  normale  supé- 
rieur, 21,  rue  Jacob. 
Perrot  (Alfred),  professeur  au  lycée  (Nîmes). 
Pessonneaux,  professeur  au  lycée  Napoléon,  30,  rue  Monsieur-lc- 

Prince. 
Petavel  (le  Révérend  A.-H.)^  10,  avenue  Percier. 
Petavel  (Emmanuel),  10,  avenue  Percier. 
Petit  (Louis),  docteur  es  lettres,  porte  Bellon,  à  Senlis  (Oise). 
Petit  de  Julleville,   ancien   membre   de    l'École    française 

d'Athènes,  professeur  au  collège  Stanislas,  76,  rue  d'Assas.  ' 
Petit- Jean,  principal  du  collège  de  Schelestadt  (Bas-Rhin). 
Petrakidis  (Pierre),  professeur  de  l'école  commerciale  hellénique 

de  Chalki  (Constantinople). 
Philaretos  (G.-D.),  négociant  (Marseille). 
Philippos  Ioannou,  professeur  à  l'Université  (Athènes). 
Photiadis  (Nicolas),  négociant  (Constantinople). 
Piat  (Albert),  98,  rue  Saint-Maur  Popincourt. 
PiERRON  (A.),  professeur  au  lycée  Louis-le-Graud,  76,  rue  d'Assas. 
PiLLON  (Alphonse),  propriétaire,  Roye-sur-Malty  (Oise). 
Piscis,  19,  rue  du  Cirque. 
PiTTi  (A.),  négociant  (Marseille). 
Plessas  (Nicolas),  docteur-médecin  (Constantinople). 
Flocque,  ancien  bâtonnier,  41,  rue  Saint-Georges. 
Plocque  fils,  avocat,  docteur  en  droit,  41,  rue  Saint-Georges. 
POMAREL  aîné,  professeur  à  Sarlat  (Dordogne). 
Pompera  (de),  au  château  de  Salsoigne  (Aisne). 
PoTous  (Xénophon),  négociant  (Constantinople). 
PoTRON,  10,  rue  d'Antin. 
Prache,  290,  rue  Saint-Honoré. 
Prassakaki  (Emmanuel),  négociant  (Marseille). 
Pretetnteees  (Typaldos),  médecin  de  S.  M.  hellénique,  professeur 

à  l'Ecole  de  médecine  (Athènes). 
Proïos  (A.),  négociant  (Constantinople). 
Psarakts,  directeur  à  l'Ecole  hellénique  de  Paros  (Grèce). 
PsiCHA,  négociant,  19,  Gresham  house  (Avierino  etC^)  (Londres). 
PsYCHARi  [M^^  Marie-A.),  Constantinople. 
PsYCHARis  (Antoine),  négociant  (Constantinople). 
QuESNEL  (Adolphe)  négociant  (Havre). 
Queux  de  Satnt-Hilaire  (Marquis  de),  1,  rue  Soufflot. 


—  21  — 

QuiNOT,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  17,  rue  de  la  Tour-d'Au- 
vergne. 

Ralli  (Georges),  prytane  de  l'Université,  professeur  de  droit 
(Athènes). 

Ralli  (V.),  négociant,  II,  Fiusbury  Circus  (Londres). 

Ralli  Schilizzi  Argenti,  négociant  (Marseille). 

Rangabé  (Rizo),  ministre  de  Grèce,  9,  rue  de  Vézelay. 

Raphaël  (R.),  trésorier  du  consulat  hellénique  (Constantinople). 

Raptabchis  (Jean),  homme  de  lettres,  à  Constantinople. 

Ravaisson,  membre  de  l'Institut,  9,  quai  Voltaire. 

Renan,  membre  de  l'Institut,  29,  rue  Vanneau. 

Renier  (Léon),  membre  de  l'Institut,  à  la  Sorbonne. 

Renieri,  sous -gouverneur  de  la  Banque  nationale  de  Grèce 
(Athènes). 

Benouaed  (Léopold),  3,  rue  de  Granimont. 

Reviers  de  MANNY(vieomte de), Fontainebleau  (Seine-et-Marne). 

Reynald,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  d'Aix. 

Rhallis  (Etienne),  négociant  (Constantinople). 

Rhasis  (Démétrius),  premier  drogman  de  l'ambassade  hellénique 
(Constantinople). 

Rhossetos  (Constantin),  négociant  (Constantinople). 

Riant  (Paul),  docteur  es  lettres,  de  la  Société  des  antiquaires,  2, 
rue  de  Vienne. 

RiFF,  principal  du  collège  d'Obernai  (Bas-Rhin). 

RiGOLLOT,  professeur,  rue  et  hôtel  Corneille. 

RiLLiET  (Albert),  ancien  professeur  de  littérature  étrangère  à 
l'Académie  de  Genève  (Genève). 

RiNN,  professeur  au  collège  Rollin,  212,  rue  Saint-Jacques. 

Robert  (Charles),  correspondant  de  l'Institut,  9,  rue  des  Saints- 
Pères. 

Roche  (Alexandre  de),  professeur  au  lycée  (Nancy). 

RoDOCANAKi  (Emmanuel  P.  T.),  négociant,  29,  Fiusbury  Circus 
(Londres). 

RoDOCANAKi  (Emmanuel  Z.),  négociant,  22,  New  city  Chambers 
(Londres). 

RODOCANAKI  (Michel),  négociant  (Marseille). 

RODOCANAKI  (P.),  42,  avenue  Gabriel). 

RODOCANAKI  (Stamali),  négociant  (Marseille). 

RODOCANAKI  (ï.  E.)^  négociant  (Marseille). 

RoEDTS,  39,  rue  Godot-de-Mauroy. 

RONCHAUD  (Louis  de),  22,  rue  de  la  Plaine  (Ternes). 

RoNTOPOULOs  (  D.-S.),  secrétaire  de  première  classe  du  consulat 
hellénique  (Constantinople). 

Roque  (Pnocion),  secrétaire  de  la  légation  hellénique,  13,  rue  de 
Turin. 

RossEEUw  Saint-Hilaire,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  de 
Paris,  74,  rue  d'Aujou  (Versailles). 

Rothschild  (baron  Alphonse  de),  21,  rue  Laffitte. 

RouGÉ  (vicomte  de),  membre  de  l'Institut,  63,  rue  de  Babylone. 


—  22  — 

RouvRAY,  professeur  au  collège  Rollin,  62,  rue  d'Enfer. 

Roy  (J.),  76,  rue  de  Vaugirard. 

RuDLER,  professeur  au  collège  de  Schelestadt  (Bas^Rhin). 

Sabatier,  ministre  plénipotentiaire,  17,  rue  Lord-Byron. 

Saglio,  archéologue,  31^  rue  Saint-Martin,  à  Versailles. 

Sainte-Beuve,  membre  de  l'Académie  française,  sénateur,  1 1,  rue 
du  Mont-Parnasse. 

Sainte-Claire  Deville  (Henri),  membre  de  l'Institut,  47,  rue 
Madame. 

Saint -Marc  Girardin,  membre  de  l'Académie  française,  5,  rue 
Bonaparte. 

Saint-René  Taillandier,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres, 
20,  rue  Saint-Benoist. 

Salomon,  professeur  au  lycée  Louis-le-Grand,  6,  rue  de  l'Ecole- 
de  Médecine. 

Salvago  Pantaléon,  négociant  (Marseille). 

Saraphis  (Aristide),  négociant  (Constantinople). 

Sarcey  (Francisque),  17  bis^  rue  de  la  Tour-d'Auvergne. 

Saripolos  (Nicolas),  professeur  à  l'Université  (Athènes). 

Sayous,  professeur  au  lycée  Charlemagne,  232,  rue  de  Rivoli. 

Sgaramanga,  négociant  (Marseille). 

ScHLiEMANN  (Henri),  6,  place  Saint-Michel. 

Sclavos,  négociant,  Old  Broad  street^Vagliano  Brothers  (Londres). 

ScLiVANiOTTis,  uégociaut,  31,  boulevard  Bonne-Nouvelle. 

ScouLOUDis  (Etienne),  négociant  (Constantinople). 

Sechiari  frères,  négociants  (Marseille). 

Sekiaris  (Panthias),  négociant  (Constantinople). 

Selliès,  capitaine  au  13*^  de  ligne. 

SÉNART  (Henri),  licencié  es  lettres,  63,  rue  de  Grenelle-Saint- 
Germain. 

Serbos  Miltiades,  négociant  (Marseille)- 

Sevastopoulo  (Alexandre),  négociant  (Constantinople). 

SiDERicuDi  Negrepontis,  négociant  (Marseille). 

SiMÉON   (comte),  sénateur,  23,  quai  d'Orsay. 

SiPHNÉos  (Jean),  négociant  (Constantinople). 

Sisco,  professeur  au  lycée  Napoléon  IH  (Bastia). 

Skylïzzi  (Jean  Isidoridis),  58,  boulevard  Mont-Parnasse. 

Société  académique  de  Maine-et-Loire  (Angers). 

Somakis  (d'Athènes),  avocat,  18,  boulevard  Saint-Michel. 

Sophocles  (Gabriel) ,  directeur  de  l'école  grecque  de  Péra  (  Cons- 
tantinople). 

SouGDOURis  (Constantin),  négociant  (Constantinople). 

SouvADZOGLOus  (Basilc),  négociant  (Constantinople). 

Spanoudis  (Alexandre),  négociant  (Marseille). 

Stephanovie  (Zanos),  à  Constantinople. 

Sugdury,  négociant,  Gresham  house,  MauroBasich,. 50 (Londres). 

SuRELL,ingén'^  en  chef  du  chemin  de  fer  du  Midi,  15,  place  Vendôme. 

SvoRONOS  (Michel),  négociant  (Constantinople). 

SvoRONOs  (Antoine),  négociant  (Constantinople). 


Talbert,  directeur  du  collège  Rollin,  rue  des  Postes, 
Talbot,  professeur  au  collège  Rollin,  8,  rue  Garancière. 
Tantalidis  (Elias),  professeur  de  l'école  théologique  de  Chalki 

(Constantinople). 
Tarral,  14,  cours  la  Reine. 
Tattegrain,  conseiller  à  la  Cour  impériale  d'Amiens,  32,  rue  du 

Loup  (Amiens). 
Tavernier,  20,  rue  Neuve-des-Capucines. 
Taxis  (Basile),  négociant  (Constantinople). 
Tertu  (Comte  de),  Tertu  par  Trun  (Orne). 
Testenoire,  à  Lyon. 

Thédenat  (H.),  professeur  au  collège  de  Juilly  (Seine-et-Marne). 
Thenon  (l'aobé) ,  directeur  de  l'école  des  Carmes,  76,  rue  de  Vau- 

girard). 
Theodoridis  (Nicolas),  pharmacien  (Constantinople). 
Thirïon,  professeur  au  lycée  Bonaparte,  198,  rue  de  Courcelles. 
Thurot,  maître   de   conférences  à   l'École   normale,  77,  rue 

du  Bac. 
TiMBAL,  13,  rue  de  l'Abbaye. 

TiopouLOS  (Achille),  chez  MM.  Zaflropoulos  et  Zarifi  (Marseille). 
Tivier,  professeur  au  lycée  (Amiens). 
ToRRAS  (Léon) ,  ancien  agent  de  change,  32,  rue  de  l'Arcade. 
TouGARD  (l'abbé  Alb.),  professeur  au  petit  séminaire  (Rouen). 
ïouRiNiER,  professeur  au  collège  de  Juilly,  9,  rue  Servandoni. 
Tranchau,  proviseur  au  lycée  (Orléans). 
Travers  (Emile),  archiviste  paléographe,  22,  rue  Pigalle. 
Tresse,  182,  rue  de  Rivoli. 
Tricot  (Lucien),  68,  chaussée  d'Antin. 
Tsouros  (D.),  chez  mm.  Michel  Rodocanaki  et  C«  (Marseille). 
TupiGNY  DE  Bouffé,  23,  rue  Caumartin. 
TuRRETTiNi  (Auguste),  aucicn  conseiller  d'État  de  la  république 

(Genève). 
TzANOS  (Jean-Constantinidis),  négociant  (Constantinople). 
Université  d'Athènes  ('eonikon  nANEni2THMiON). 
Urbain  (Ismayl),  conseiller  rapporteur  à  Alger. 
Vacalopoulos  (Théodore),  négociant  (Marseille). 
Valassopoulos  (Athanase),  négociant  (Constantinople). 
VALETTAs(J.lS.),prof'',  29, Lcdbury Road, NottiugHill  (Londres). 
Vallianos  (André),  négociant  (Constantinople). 
Vallter  (Jérôme),  négociant  (Marseille). 
Vaphiadis  fApostolos),  docteur-médecin  (Constantinople). 
Vaphiadis  (Georges),  journaliste  (Constantinople). 
Varnier,  professeur  au  lycée  de  Caen. 
ViLLEMAiN,  secrétaire  perpétuel  de  l'Académie  française,  au  palais 

de  l'Institut. 
Villeman,  professeur,  5,  rue  Corneille. 
ViNET  (E.),  bibliothécaire  de  l'Ecole  des  Beaux- Arts,  l,  rue  de 

Madame. 
ViTET,  de  l'Académie  française,  9,  rue  Barbct-de-Jouy. 


—  24  - 

Vlachos  (Angeles),  ancien  chef  de  division  au  ministère  de  l'ins- 
truction publique,  à  Athènes. 

Vlangali-Handjébi  (le  prince),  21,  rue  Balzac. 

VouTYRAS  (Slravos-Jean),  journaliste  (Constantinople) . 

VouTziNA  frères,  négociants  (Marseille). 

Vréto  (M.  P.),  8,  rue  de  Miroménil. 

Vbetos  (Jean-A.),  journaliste  (Constantinople). 

Vrisachi  (B.),  négociant  (Marseille). 

Waddington,  membre  de  l'Institut,  14,  rue  Fortin. 

Weil,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Besançon). 

Wescher,  ancien  membre  de  l'Ecole  d'Athènes,  33,  avenue  de 
Saxe. 

WiDAL,  professeur  à  la  Faculté  des  lettres  (Besançon). 

WiTTB  (baron  de),  membre  de  l'Institut,  7,  rue  Fortin. 

WoLOWSKi,  membre  de  l'Institut,  49,  rue  de  Clichy  (Paris). 

Yemeniz  fils,  consul  de  Grèce  (Lyon). 

YpsiLANTi  (princesse),  48,  avenue  Gabriel. 

Ypsilanti  (princesse  Elisabeth),  avenue  Gabriel. 

YuNG,  directeur  de  la  Revue  des  cours  littéraires  et  scientifiques, 
52,  rue  de  Verneuil. 

Zafiropoulo  (E  ),  négociant  (Marseille). 

Zafiropoulo  (Constant),  négociant  (Marseille). 

Zaïmts  (Thrasybule),  ancien  député,  ancien  ministre  (Athènes). 

Zambaco,  médecin,  21,  rue  Marignan. 

Zarifi  (Léonidas),  négociant  (Marseille). 

Zarifi  (Périclès),  négociant,  2,  Winchester  Buildings,  E.  0.  (Lon- 
dres). 

Zariphis,  négociant,  à  Constantinople. 

ZiRAs  (Etienne),  secrétaire  du  patriarcat  (Constantinople). 

ZiziNiA  (George),  négociant  (Marseille). 

ZoGRAPHOS  (Xénophon),  docteur-médecin  (Constantinople). 

ZoGRAPHOS  (Christakis),  négociant  (Constantinople). 

ZoioPOULOS,  professeur  à  l'Ecole  hellénique  d'Argos  (Grèce). 

Zygomalas  (N.),  négociant,  Lime  street  (Londres). 


Paris   —  Impr.  de  Ad,  Laine  et  J.  Havard,  rue  des  Saints-Pères,  19. 


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