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BIOGRAPHIE
UNIVERSELLE,
ANCIENNE ET MODERNE.
SUPPLÉMENT.
LAM—LAZ
LL 2
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2°, tur dr %» 107.
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AR UNE SOCIÈTÉ DE GENS DE LETTRES ET DE SAVANTS.
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0 1 ver (FOUT premidre Lettre ae Udipe
E SOIXANTE-DIXIÈME.
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éleve de Luc Givrdano , et condisci-
ple de Paul de Matteis, dont il devint
par la sure le beau-frere, et auquel
dt fut redevable de la route qu'il sui-
vil dans ses études. À l'exemple de
Matteis, Lama rechercha la suavilé
du colors et du clur-obscur. Les
grands tableaux qu'il executa pour
la galere du due Sant-Niculas de
Gaëte lu firent beaucoup d'honneur,
mas ce furent partheulærement les
petits tabiraux qu'il peigut pour les
cabinets de quelques curieux, qui
fomderent <a réputation. I y repré-
sentait ordinmrement des sujets tirés
de la fable. Ses ousragrs sont assez
renandus d Naples et daus les autres
iles dec: rovaunie.— Julie Lama,
peintre, naquit à Venier au commen-
cement du xvim sèrle, et s'acquil
une répolatiou, par là mamere
pleine de talent dont elle à print
quelques-uns des tableaux de l'eglise
de la Vierge aux-Wracles, et de celle
de Sainte - Manr-Formose. Elle ne
déloigna jamais de sa ville uatalr,
qu'elle n'aress d'ennchir de ss pro-
ductions. P—«.
LAMAQUE (1, en latiu Lama
chus, pénrral athésien du cinquirme
siecle avaut notre rre, est un de res
personuases auxquels mi Plutarque,
n: Cornelius Nepes n'ont sance à
ransacrer uu article special, et dont
en conwquepre les lexcagraphre et
Inngraphre murirrnes ant ou marque
où neglige La phiwonvuaue. Cepen.
dant divers pauses rpars dans Thu-
eve, ins Dxdure, dans Justin,
4 Amp er! f'amertur eme lynima
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dans Frontin,dans Poiyes, dans Pla-
turque lui-même, et surtout des
Aristophane (2), où Lamsque revswnt
souvent et occupe des scènes enberrs.
donnaient moyen de la recomposet.
Sabhathier de Castres, dans trues ar-
ticles distincts sur truss Lamaque : 3.
dont toutefois 11 finit par apercesons
ou soupouuer l'ideutte, et dans ua
autre sur un quatrième qu est plus
évidemment encore ua des trous pre-
miers (4), n'a pas même prriudr à
cette täche. Lamaque était le fils d'un
Xenophane;etce n'est que par un &
ces jeux de mots du genre de creux
qu'ilaune multiplier qu'Anstophane
Lapperile tôv l'osyuses .evulente ails-
son à la Gorgone (ra l'ocywe, vu
Moppore ; el à popiqa)enre-
lef sur san bouclier. Bien n'indique «
quelle tnbu, à quel drme 11 apperte-
nat; mas on ne peut douter qu'à
fu Athena, et d'ongine ciluyrnne
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Lamaque n'eut £uere part, même
comme seldat, à cette cloreuse clà-
Lure de La lutte eutasuer à Marathon.
Neanmeans al pur parte lnen jeune
enpcots dans l'armee athenunre. Sa
pauvrete, son peu de goût pour les
travaux du crmurce, de L'indus-
tie, de Lagruulture on des annes,
eÙ du amedioerate de ses dnpusilions
toto‘ uslles he Jinssuent pas
d'autres Vues ouvertes à son act:
tale. En revanche dd avait toutes les
qualités qui constituent un tb:
ture : hard, robuste, brave, atnant
Be Prat tac it, Vcu qu'aunant
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hsutd trie ct la schauseant proha-
Llement parce s tripes tell s Sur
lesquelles Arstoghane est intarisss-
ble 19 re pmusa tqu'etre ra ellent
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chat, tupru set faut ut l' rte
fun corus dote, et tue d'un
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Ju'2t V\asspittiee sr Le qui Îe
dresse Veretophiane su Dresde tre
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populaire. Nous ne saurions sr :vve
carter ent ses pas dans retlr carre
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hbeete a lache nuobcuvnne de Se
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not du quets republieaute de Singer,
cuutre Te part de la cunarchse, et
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partie d'une flotte pins consderable
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ques, où formerent-1ls constaninent
une cscadre à pari’ et daus le pre-
suter cas Lamaque, qui plus lard fut
detuche d Arstide, etait relative:
ant os bus sur le pred d'exslite, d'in:
dependanc Tout comlbaue, le plus
pecbaite, est que pendant quelque
tonus Veste et Lataque agirent
ouimble, Lawsque lexrrement su-
berdetne a son coll gues mass que,
quand Demsadleque amena des ret-
berts nl recut ordre, lt, d'air à
port te se porter sur l'est, sur
D'autant qu'Aritide et eme.
que & concentrant sur lonest et
D éuespe. Lamauque s'etait deja fanni
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cernés par les feracléotrs , mms d°
terminés a se bien drfendre, L.smaque
et ses hommes uolitinrent où suberrat
une capitulathon, dont les deux arn-
cles furent l'évaruation de la nve
l'Euxio par les Athéniens,mats hberts
de faire en paix leur retraite. lle ee-
rent des guides , r'est-a-dire que be
Heraclvotes voulurent etre sûrs pas
eux-onèmes de leur elougnrment. 1h
traversreut ane, accoimpapnes À
surveilles, le pass montueur ds
Thraces Bithymens, non sanscrainte
détre harceles par ces faronuches 1n-
digenes, rt altesgnirent la vole de
Chalerdoine. Cette catastrophe . on
rien h'indique que Lamaque ait eu dre
erprochesaefare nel'emérha sans
doute pas d'étre emplorr ire «14 ne
sept aunées suivantes: ctil faut que
areputihonn'aitfntque saccroltee
puisque 12 loreque bac come ripe
dition de Sale fut decerrtre, lin qu
m'avant pas moven d'acheter des suf-
frasve, et pour qi l'on ne prut sup
pour que, sit Aloiluade, sut Scise
lea ait achetes, il devinmtlours ilrze
conne frnopalen chef 14 Unie
s1 Veagurre 6:01 vu 109 098 (R107v00" a
d'A heveo on ee, qu intogr Où à à Progress À
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dant, comte ce quil fallut pour une
cnquéte, but réel de l'expédition,
: tuent des succes frappanls, rapi-
des, Lamaque plein d'expenencr, de
bravoure et de leu, etait lien apte à
faire pencher li balance du côte d'Al:
cibiade et dun succes. Une fatalité
cruelle voulut que la populace d'A-
Prethee, turn préte HN Cevetur sur
es de Got rasnussoes, igis oh
atuure dans ses fois, décret d'ac-
sat fi Alan CS | por cela meme
1 erceht ou conso letuent. ns
frsutus cut en frteun general.
Duheqgue, pauvre el ans Fons
“oure, fut atescrhe par Nuras, rt
et plus Qriomiher ses tdves sur
open uncrat, sur le chuux des vpe-
ratune, Mais, susqu'ou depart d'Al
bad tout avait parfatrinent mar
che On avait franche Corvcyre, rrn-
der cu ss seneral desc ntusents des
Hessquee apr sas d'ublé le cap
Dhspos sue, en ant ques suive tite nt
tant bareute Mets, Hrraclee.
Dhnquun, Crete isalounm,
biure. heu Cr ue avait
nmentqe de eo ns dass tons ana
Atantaseus, hi onu. suator sv rt ses
est set out os Lo Ut .:
beatien On ose hit a Ste Die
as voudant qu ue rendtenlienr
peste à Ne tineete qu ue ccutranire
cote se respecter Don fe perudatre
Lkavte, car tel etant le but avc ur
de Va guerre Nate je léique A1.
sale, a ouaque. malgre a8 si:
toute, Ne coimevsentse plan ji
esalie Neboac ie his de Clhnsas. :l
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cales scale ns, do raie Nrbnotir ot
vorscusr, ner desdites, drharher
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etplus harcs, le Gls de Veno!
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rs uns des autres. Nul alhe €
ne s'est deulare pour eux, tul
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lieu de concentrer ses efforts sur Sy-
racuse , La flotte athénienne revint
au nord jusqu'a Mesune , puis lon-
gea tout le litlorai septentnunsl de
la Sicile jusqu'a la petite ville meam-
que d'Hycrara. La prise de cetle
place , patne de La celebre Lais , fut
l'unique fat d'armes gioneux de
celte campagne qui absurba tout
l'été. Himère, maigré les sollcita-
trous de Nicias, avait fermé ses portes;
Égeste ne donna que trente talents
(le quart de ce qu'avait produit la
vents des captifs d'Hyccara) ct peu
de troupes : une marche a Lra-
vers les montasnes des Sicules fil
perdre plus de temps qu'elle ne fuur-
ul d'auxhatres effectifs. Les deux
Renéraux sr transportereul el per-
suane chez Les cunféderes des Sscules
pour obtenir leur accesiou à l'al-
lance , et n'obüunrent des cuntin-
geets que de trespeu d'entre eux;
ünslement | moitié de l'armee
athensenne se trouva devant Hy-
bla et nutle siege devant retle au-
tre Hycrars: et. quille crosrat ? elle
eat La honte d'échouer. Nicias ne
fut pas plus heureux lorsqu'il cases a
de tomber sur Syracuse vide de de-
leuseurs, eu altirant tous les Syra-
cusnbs à Calanr ; cts il eut le demus
alaffure douteuse d'Helure , n'en
put rer aucun prubt , et alla passer
Lhuver a Natos ct à Latanr, n'ayant,
en Qnq ou mx mois de belle sarsun,
que pris un Kros bourg rt fait une
marche de ran:juantr lieues sur Ler-
res d'allics. Mass ce qui etait plus for-
madable, ce que Nicias, maigre de
Durs jfrmruliments, Le cC:Empre-
nait pas chcute are, c'est que de-
mures le prodige moral qui rntuu-
rait l'arinre d Athenes à ses debuls,
et qu double La force matrnelle.s e
tal evanuu puur jamais, surtoul
depurs L'echec d Hybla ; « est que les
Nvrscuenn, retrouvawnl em Secibr
LA
d'abord , puis hors de la Sicde (Ce-
rinthe , Sparte), et surtout aliment
retrouver de jour en jour des alhés :
c'est qu'on les voyal déjà surtir an-
dacieusement de leurs mœurs, toner le
. courir sur les svent-pes-
campegne
tes athémsens, et railler en foc «
tout heut les envahisseers : c'etents
qu'ils réduisaient à tros (au lee de
quinze)le nombre de leurs géaéreuz.
Le mal n'était pes irréparable cartes,
l'armée sthénienne exxstmt tomgourx
mais prendre Syracuse et conquéer
Je Sicile n'était désormais nen mess
que sûr:et en tout cas on ne pouvas
plus cfectuer les plans oemnbeus
qu'a force d'hommes , d'or, de temgs
et de peines. lorsque de mx à bus
mots plus Lt le prodige étast facie.
Tout l'hiver, Land: que Nicsns écye-
tait jusque dans Csrthage.
dut jouer le princpal rôle dons ses
pus expédiuoss conire Les cubes
ou neutres (c etuent surisel
cœux de lemontagne). Au printemps le
campagnes ouvrit per une ponte sus
Megare et sur les Lesnuns du Térus:
où prit Centuripes . on mul le fru ons
bles d'inesmse et d'Hybla. Beentét l'ar-
emée entière, accrue de quelques ren-
forts, se muten marcheets'empare à
l'impurtante possuon d'Epspoles qu
doamnait tous leseovironsetSyracess
méme : les Syrecusains, trop lents à
vemur sy porter, tratrreni vame-
ment de la reprendre , et le combel
qu'ils engagerent a cet Set sous Be-
ryele leur coûta tres cents hommes.
Les Athémens élevérent eue à
Labdsle un kert qui rrgerdat Mrgnse
et qui devat leur servir de magaesn,
purs commencrrrnl sa Syce un mer
de crconvallauon quils poussereat
rapidement : le general des Syroce-
sains , ermuerate, voulant ever
les allures gencraies ant que les er-
cours qu'i aliradait du FPelopoutsr
De serawnl pural amies, y vppres ne
RARE
a
k 32° Ë
ch HER AUDI 35
mourir dans un jour
Surtout il ne vit pont
La détresse et la destruetion de Var
É5
iii il héititiisitiestitin
a<£s + £
la eten définitive
emportée ,
«le bonheur de
de victoire.
etqu'ils et à tous les on
l ï lie
12 LAN
mee, le massare de ses conpatnotes,
Ledlavage et Les hallons de ceux
queparenereut les couteaux des Sy-
racusains : 0 fie fut port same de
chanter de l'Euripide aux vainqueurs
nres Sunaut Plutarque, Calhcrate
aus svt recu du heros mortelle-
went blesse le coup du la mort, et
les Grecs, qui Sisauent leurs tragt-
ques ar Grur pouvaient dire de lui,
ous D 'ésvants, cs 4 192.
on corp, qu at atent eu sun d'enle-
ver les Svracusauns, fut rendu le Jen
dessu aux Atheteus, ans que
ceux de cine ot six bonus Rues à
ses cotes. — Le su Ant ? sopluste,
dent adepte poele plushant, etat
sus de P'Attique, mis du derme de
Morcrhanmente. vivant nn siecle apres
Le Seberal ego la fat echapper à
Det, 4, ous he dirts jras le
jan svroque etnghatique de Philigye
it d Ai holve (J" 1l fee Ca JUX
pur elvmiquques, mous lo vohemenute
appruvisation par laque le su Pepe
dit atrtantaneument, dit 0, Deus
Uaone Loonprnnisnt mest oHereelle
Nous ends stens, tout cassible qu'en
etait Becresthene 3 avait en quel.
que Sante Gt prescrite, there du
J” {” D 4 ch Mise ‘{ seul: line
Nr € ae latente lin
ÿ |.
tar capte louer a anttraiter La:
na ue Moro nt meta pjetnteur
possede cire etat bitege ne du
naateteque pate ot. 0 Ditettesmla
ss tin te jour de D'improvin
tot Quqgnieon st sn hisour.
pers fe des poertuns dot
ice où that. stat Ilnm'osetohe
per et en etoiles enaquse
aurtt jnree s 4 Ph ir, ge dans) autre
set et de aittree que les tu.
triurs et ter vrntine
etysrit la
1 uulre maus Pre Brerre A
Does he sue es ste faites
LE ST
ler ire
‘auw dr
prver :-
Ms r1l OL AT)
LAM
4 quelle epoque cut heu cette er
de discussion" Ncsandre «ut
pour D'Aue eu 3364: les clim
suivantes comemencerept cu
128,326: le dernier des Grards
pret l'auure d'Arbelles 3301. E
di, Cote ou quut prachrr a le
re, Decsthenur parlait suue Fi
ration de ls puissaswe persane,
le pengonnut Cau trans d
3361, conwquemment avaut lai
définitive de cette puissine,
aux jeux olvuipiques dr 330
Lanaque je scphiste se serait fai
Verser par Densesthione. Tout «
que puise sembler ce trait,
manque pas dintere ts et ce ser:
clementessenteld une histoire
n'a jatuats tenter l Histoure
dircce pendant lorpeditiom
lesundre. }" or
LAMANDE : Faavcus -
ANT. nsproteur-srin tal de
et chaussees, fut tu des brmes
plus dhstingtes dr Ce COPA 14 NV 4
naquit à Dinar, en Britain,
avr 1789, ses etudes à Par
ent per maitre de maths miatoq
celebre La Gaule. aile M
Balls rt Fernardin de Nat ti
furent us condivaplies Los per
Rouen, de Paegure, de Heu,
BE offer Dur durent sucres
des atmeh: patine dupe tentes,
rt taurt-utdanserlu: Maisre
denbisalegius de talent he
Obna % os sctitaininur Ouf ss {A0
puissuu tt,detres isss ‘pa
Les Sais dtbonne, Ur ours
rhvalus par later, lus current
notaerpratrn, et soute, s "us !
pe pris Lopes de sotte ville. €
1 hpasonre Jun « ctoud
due lus Et par sus te ainent u
cotardor ble € estec father
di sode ave die sdunratrns
be rater shot eriple Bernan
Not l'irers darts 1 Mermane
jt RUE TAUE Ai
3 à . Fi
ls
AMEL En
st LAM
vingt hotmmres. Arrive au domele
de l'evéque , le hrutenant lus mtime
l'ordre de le sure. «+ Volontiers,
monueur, fepoudu le prelat qui etait
daus sa chamler, mais vous one per-
mettrez de passer dans le calunet voi-
un pour faire ma toilette”. Er lirate-
nant, raanunant les heus etre votant
au pourtour de l'appartement que des
ravonus de dubliotheque chargrs de
lavres, restr à la parte el l'attend
Macs la toslette ne finsswnt pas. Le
heutenant & druide à suvnr.... fllus
de prisonnier. Île rtaitaauvr par une
parte srcrete que les dispeaitions de
la inbliothequre masquaient compile.
tement. On apprit Inentot que , ve
tant embarque à Rocaff, petit port
cloigne d'unr demi Lieuc de Saint Pol
de Leon, dl avait gagne les esters
d'Angleterre. Srs instructinns rt ses
mandrments n'en circulirrent pas
moins dans son ducrer et dans
toute La Brrtasne, Ceux qui ent con-
nu La Marche pendant sn emugra-
Wen s'accordent à dire quoi fut br
nu dele de toutes ire vertus, le pere
elle concotatrur non seulement des
cougres et des prétres relugirs mais
encute des preuntuers francais. 1
mourut à Lsndrre Ir 25 nov. 1808,
cnœlle des henedictions des pauvres.
Labbe Du Chatrihier, depuss riêque
d'Ésreus, proneus à son ofaison fu-
nebre, dans la chageile françcare de
Unnses strert, bitsens Squarr. Le
gentre Danous ports en brancr dr
perrtrait nfgisiral de (EL cyur de Lz ‘fi,
ter Wbleau, eupuer dans la galenr
du Louser., rucsta un vf anterét. La
Marche afrroe lrcctirir de Sasnt Fo
de Lou. de ntl editer seul lus cota
Vas Oum fr li santreajuit dans sou
berger la culture de la pumme de
terre. desire de Lontetnpe, ri qu:
netaupes rh une si grandir res.
ne quon les jo pulatins pauvres
bi: Pet... M! ?
AM
LAMAROBTE (Jnarpn Lac s1i.
general francars, naquit à Worhr
(Vosges). le 14 juillet 1733, d'une
famille obsrure, rrcut une rducatr e
incomplete et seur'la des l'ige à
dix-huit ans dans nn regiment 4
dragnns, où «4 devint sous-ofbrire
apres huit ans de service et lente.
nant en 1760, Îl était alors à l'armee
de Hanosre, tal s fut blesse dus
coup de sabre , purs d'un coup de fra
à la pounine, qui lui fit courir de
grands dangers. Nomme par suite
capitaine en second dans ir mémr
corps. passa cagnlaine common
daut dans les huwards dre Uolunel.
général ,en 1593, et 9 parvint sur-
ceaivement an rade de li utrmsat-
colnnel. C'etait le point le plus etere
où pt arnver dans ce trmps La ce
que l'an appelait un ofhcirr de tre
tune. Dans cette proaili-n Lamarrb
devait sure le part de la Rrvols.
ton: et1l le auvit avec d'autant ples
d'empressement que, des fe 25 jusl-
let 1791, auaslit aprrs l'emigrstee
des officiers nobles, 11 devint chioart
de ce méme regiment des hussards
de Cnlunel-géneral, l'un drs pes
beaux dr l'armer francaise. Place ds
le commencement dr la gurrre oc
les ordres de Lurhner.1l eut part sut
operations de l'armée qui fut ‘gps
ae aux l'rusuens dans leur eaped-
Uon de Champagne, et 1l les suivit
dans leur retraite ous le commen
dement de Valence. Avant cie me
me marechal de-camp l: 10 octrère
1902, 1 prit pour aude dr camp be
prune Nes devenu plus tard cr
Lire Let qua rtait alors frirr de ma
retient Lamarche ç nes urult a Le
pre dr Nainur, rl sptrrs sjuriqurs
sucres de peu cf unpertanes 1] pates
Ourthe rt alla sctolblirs Verrwr
au d prit we quarters her Dam
peerre . qui mat dait sur ta Be,
Un De, LL 'u.sr. su siet
ment général se trouvant alors tout
entier dans les mains de Lamarche ,
épouvanté d'une sr et
rapi- d'un fardeau qui, dans nus
circonstances , étaient v lement
que l'on se hâta de lui donner. Ce fut
Custine que l'on nomma; mais ce
général, alors Étant ne put ve
l
voy.
517). La droite et la gauche de l'ar-
mée se trouvant forcées hrs
h LAM
dut, comme ce qui fallut pour une
cmquéte, but réel de l'expédiion,
etuent des succes frappants, rapi-
des, Lamaque plein d'expérience, de
bravoure et de feu, etait lnen apte a
faire pencher la balanee du côte d'AI-
viluade et du succes, Uue fatalité
«ruelle voulut que la populace d'A-
NT Hu, bupours peste A TevVORNT SUr
es dec sions roses s, ts ob
<tuues dans ses folies, décret d'ac-
usa ut Moabuade et jar cela imème
ere hit au coins leinent. hs
Pros cat eu fret un general.
Dahrpue, prouve el sans rousis-
op, fut atccrbe par Nueas, ct
we St plus trusmiier ses tulces eur
D Open cetit 1, qur lechunx des pu.
talons. Mais, susqu'au depart d'la
bal tout avart parfaitement tar
che On ovait franchn Corvyre, ren-
ler ur, ecnepsl des tt tire nls des
He espere ane sovenr duble le cap
Pcpoy rie, on ont @ucce suive tin ht
oaut barente Mets erartre.
arr, OCrotons, Diswshuium,
Dour S, ii trs Ont ur avait
TUE EL EC CL CESR TA
ee Rs tours osater iris rte
Me À
solides 6 0 Niter ….
bn tout Vo Sorte D N-
ss outetou vire (AOUCES PCR TER LEXUS
Net per contrcnire
ete rt rpesgeites Lit & prtulat.e
theseate, cor Vel etait Le but avoue
te [a guerre Nile je tique Ah:-
Aabe.n lansque, tolérer à Gr,
nfarite, De comes enter plan ji
valse Sel is de Cliimas . :l
une Loutee tra
CRE
, rt sa rs el «ii i
rates sons ss opt te Nero tte ef
Sortcusr, ner des bic, detscher
CRE VS LOI OR
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cs. TRE M net las?
LR EE ETC ENTER D:
r CCE PH 0
sontet.
usster de Messrs +.
tr.
ra CNE CO LA RE DCR LT
LAM
tes de la Siuile, un attaque
Syracuse et Schinunte. Flus es
et plus hard. le fils de Xe
voulait qu'on tombit à l'insta
me sur Syracuse, rt qu'on frap
grandcuup ,uncoupdrosf (38
racuse D'est peant prétr, dhisail
valungtemps doute de l'rupe
athemenne, les citoyens ve.
les us des autres. Nul 3lhe
ne s'est declare pour eux, ne
deslarrra st nous avance,
pous à Punpeoviste le puit pa
euvirons. que de Syros usait
pris que d'otasrs ! ct que de
de ess urees peur eutretrui
ee Mets le urse der
vite, battus des Nyricuwit
Ssracuse, tente La Sie attre
lemme l'evenement. EL si
une station, un lu de relich
lifitte Mi are cat ls, Mesarr
atatnpee et Leone rie,
truns el neuee que Mrssne,L
ON du que LOT ur 19 .. TFou
rires etant de Li plis itcent
juste su en le vont tjr la ss:
nie Je Dartsnie nt. the rien gi
prohot au ni ins cehttreute
Vies tin et 3e, 5000 ocimes
pr evo uis jte Elus sole
de a Nucie et dr Nyra uw. |
Verte af Nomade he tanqu,
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D'UN oil se gout aver ce
Pounaque. Mois, dus cette:
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heu de concentrer ses efforts sur Sy-
racuw , la flotte athénienne revint
au nurd jusqu'a Mesuine , puis lun-
wea tout le lilloral septeutnoual de
la Sicile jusqu'a la petite ville scam-
que d'Hycrara. La prise de cetle
place , patrie de la celebre Laïis, [ut
l'umque fait d'armes gloneux de
celte campagne qui absria tout
l'etr, Hoimerr, malgre les solliuita-
Lonus de Nuias,asaut ferme ses portes:
Égeste ne donna que trente talents
de quart de ce qu'avait produit la
vente des captifs d'Hyccara) et peu
de troupes : une marche «a tra-
vers Les montasnes des Nicules fit
pendre plus de temps qu'etle ne four.
nat dd anuhaires effectifs, Les deux
SeRerout $e transport rent cu je r-
une chez les ronfederes iles Stcules
boue obtenir leur accession à lal-
hance , et mobtiurent des contine-
gents que de trre peu d'entre eux:
hnalement !a mmnte de l'arimece
sthenienne se trouva devant Hs-
bla et unutle Grge devant cette au-
tre Mycsara: et. quiie crurat elle
eut a doute dmheuer. Noos ne
fut pas plus heureux lors quil ess a
de toner our Spa ur vuke de dr-
lenéeurs. et attirant Loue Les N\ra-
ouais à €atune jotsieut le dessus
à baffairs Hosie is d'Uelore dust
put repas petit, ol aila pusswr
Dluiser a Nav et a Uatate, d'avant,
eee sn theis de belle suis,
ue pr bn stress leurg et fat une
uutohr dec panier ivurs our trr-
res dass Maisor jus etaitquus fe.
nafatle cr
OU pres nie LS, he
our Niesas aire td
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at pas eur ae oo satojue cle.
Rares etre Pabrÿne ent u
to urste Nuits à ma crus,
AR ERREURS Log. uatrmeils se
Part out ui ke 7 jalhia.s , Auf ll
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d'abord , purs hors de la Secsie 1Ce-
nathe , Sparte), et surtout ailes
retrouver de jour en jour des alles :
c'est qu'on les voyait déjs sorte «-
dacieusement de leurs murs, teur le
campagne , countr sur les avont-pes
tes athéniens, et ruller en fou «@
tout haut les envalusseurs : c'etesés
qu'ils reduisaent à tross (au Les
qunze)le nombre de leurs penersaz
Le mal n'était pas srreparable certes.
l'armee athénienne exsstast losgourx
mais prendre Syracuse et conquéne
la Sicile n'etait desormas nen mens
que sùr: et en loul cas on ne poura
plus ecfectuer les plans omintess
qu'a force d'hommes , d'or , de temgs
et de peines, lorsque de six à bat
muis plus tôt le prudige étant Ésraie.
Tout l'iuvre, tandis que Nirsas érpe-
Laul jusque dans Carthage. Lameger
dut juuer Le principal rüle dans ors
pelites ezprdituns contre les Suis
hustles vu neutres (c elaseni surtsel
ceua de lamontagoe). Au printrenps is
campagne s vuvni par une posnée sf
Meryxarr et sur les bhasns du Vers:
en prit Centuripes. ve mul le fre ans
Lies d'inesse et d Hybla. Beemsôt For
inée rnlicre, accrur de queiques ren-
forts, sr miten marchect s'empare &
Limpetantr possilon d'Épppules qu
doounait tous lesenvirveset vrac
meine : les Syracusaine, trup lents à
venir s9 porter, troirreni vame-
ment de la reprendre, el le cumbel
qu'ilsengaserent a cel effet ses En-
rvcle leur coûts trous cents boumeærs.
Lre Athrnins eleverrnt emsuñe à
Latatale uu fert qui rrgardast Mrgase
etui devait irur servir de magaun.
puis c'tumrhcrrrul a Svce un mer
dr uurcenvallatin quais pruwrervrsf
tapidemeul le grorral des Svrare-
uns, Hernewratr, voulant curtr?
les sMaurre gris rales Untque bes er
cours qui attendait du lebipraerer
Me rare til pm aPTitrs. % pp Te LE
. = © — = — PT _ =
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Ps ni TITE ï DÉS
; Hs Lt il RE
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11 LAN
we, le massacre de ses compatriules,
Pelasage et bee hallons de ceux
qu epuranerent les coutraur des Sy-
racusnns; 4 ne fut point wmime de
chanter de i Euripide aux vainqueur
nres Musant Plutorque, Callicratr
aus avt recu du heros mortelle-
ment birese le coup de la mort, et
les Grres, qu sent leurs tragi-
ques jar cœur pouvaent dre de lu,
den disent, 3e: 3'i5ant:.
Sen curpe, q'avatenteu sun d'enle.
ver bre Suracusamns, fut rendu le let
deuioin aux Athemiens, sinu que
eur de can eu six honmes lues a
cs côtes — Le Lamour sphiste,
duntil adepte parle plus haut, etait
aueu de P'Attique, anis du deme de
Worriunonte. 1 vivait nn siecle apers
le general. Ce qui Pa fait cchpper à
Deus, set, nous me dires js Le
paursvrque etuphatique de Pulse
eÙ AMenandre quil prochotca uit
jus elsmpuques, mas la sohennuute
improvisation par laque tie sui pepetr-
dt snstantaucinent, dit cn, ruse.
Uione Lamprossstnest cllerrolle
Nous en lots, tout rssable qu'en
etait Drinemthere 14 avait en quel.
que soffe tt ptosranme, terre du
jour pour choque cpu opinure
sure ntra pages reset. vu
pooque.etThauin her les sito nuaître
davaser quelau et a'atttratre La-
moque Masse que netat prant sur
Dares di, cure r'aulacepe ne du
nmashtequie rater. at Litiettetein
passrahe tt pour de lingro via
Vu Qucsqguilen st, sh in otirs
eu quant he deux partis dune
ait lwiesel Chr
roue elen Soperalt. ins ruLqUuiIse
sorre ce! pebiat.
AU Ut pes shije dousi autre
ent gout de atrer que les in.
tres 67 den onteguentr ts dre
Mad or etasert 12 cause dre
V'ustoe fuaus les Grecs À prrswnt,
LM
J quelle epoque cut heu celle oc eper
de discuss Mlesandre quil part
pour Due en 4336: les olvemquohe
euivantes comineuiceront ch 332,
328,326: le dermer des Grands Rius
peut l'annee d'Arbellrs 6330, Inc,
M, remme ou peut pencher à le cr.s
re, Demosthene prarlal suus l'inspa
ration de la puinance persate, qui
le peusontant (au tons depuss
336, consrquemimont avant la ruinr
detuntue de cette puswime, cest
aux jeux cliques dr 310 que
Lauaque {ec sopluste se serait fait pui
Venser par Demesthenr. Tout umsçle
que punis sembler ce trait, 1l ne
manque pas interet; et cr scrail uu
clemenutessentild une bnatiurs qu ou
n'a jamaistentre L Mosteore de le
forcer pendant l'eorpeditunm d'4
lexuondre. F o1
LAMANDE 1 Faascuis - Lui -
MonTe, apsperteur grurral dus prats
et chausaere, fut un des homuss le
plus detingues de ce core saut
13quit à Dinar, en Rortaïtu , le 45
atril 9735, Ulses etudes a Doris, ct
eut pour maitre de mathematiques Le
celehrr La Galir. L'olw Mine,
Bailly et Brruardin de Saint Ferre
furent ors condinaples Lis pr ete de
Rouen, de Dieppe, 1ù Person. : et de
Honfleur lun durent sucres. vement
des amelralins nupertontes, 30
celitsurteutdansorh: it Haisre quoi
deubivale plusde tolentet de satcar
Onv a continus sur «rs j'ans, de
puis sauun-vt,drtres ulirs ravaute
Les Sulies d'tiotine, une. ace d'être
envalue par la quer, lui durent leur
consrratien, ct lun des jus mu 8
prepartures cle sette ville, en re-
conhassoure dun ss £raud wt:
vue, dus fl par sou trstatnent ua lc
consleratie € est ce fait Dun œalse
qu'a ctr avec une aduiration nu lare
weniter & boutdiaple Bernsrdin à
ut Terres dans Ir Hermenr: 4:
se voient encore dans les gal “4
Ps.
LA MARCHE (Je ts
où). éréque de Salt-Pol de Lun.
né dans le diocèse de Quimper en
1729 , suivit d'abord la carrière des
pere 2
en qua fieutenaut de dragons ;
mais ayant Lorer re
ecclésiastique, promu, en 1772,
à l'évêché de Saint-Pol de Léon , et
sacré le 7 septembre de la même an
fermeté
Révolution. Quand il reçut la notifi-
cation, qui lui fat faite par le district
de Morlaix , de la constitution civile
rent près de leurs parents ou chez des
grade hr s'empressérent de les
.
d'olficier dans sa cathédrale et de ré-
Rir son diocèse. Ses mandements ,
excitant le peuple à la résistanre ,
une telle agitation que
‘administration départementale ré-
solut de le faire traduire au tribuwat
de Morlaix. récemment + Len
janvier 1791, on lieutenant de gen.
Marmerie [ut envoyé à Saint- Pol
de Léon avec un détachement de
tt LAN
vingt hommes. Arrive au dumele
de l'évéque , le lirutenant lui intime
l'ordre de le suivre. « Volontiers,
monsieur, repomu le prélat qui était
dans sa chambre: mais vous me per-
mettrez de passer dans le cabinet voi-
sin pour fair ma totlette?. Le lieute-
nant. exannnant les lheux etre voyant
au pourtour de l'appartement que des
rayons de lbliotheque charges de
lvres, reste a la porte et l'attend...
Mais la toidette ne finisaait pas. Le
heutrnant se décide à ouvnr.... Plus
de prisonnier. Il s'-taitsauve par une
secrete que les dispositions de
la lablothrqne masquaient complé-
tement. On appnt bientôt que , «'é.
tant embarque à Boncaff, pelit port
éloigné d'une demi-lreur de Saint-Pal
de Léon, d avait gagné les cûtes
d'Angleterre. Srs instruclhnns et tes
mandements n'en circulcrent pas
moins dans sun dincrse et dans
toute la Breta;sne. Ceux qui ont con-
nu La Marche pendant son cmigra-
bon s'accordent à dire qu'ol fut le
nmudele de toutes les vertus, le pere
et le conslateur non seulement des
enugrrs el des prêtres réfugiés man
encore des praunters francais. Il
mourut à Dsndres le 23 nov. 1806,
comble des brnédictions des pauvres.
L'abbe bu Chatriher, drpurs evêque
d'Évreus, prounca san oraison fu-
nebee, dans la chapelle françarr de
Conuey:sirert, Faitzruy-square. Le
peintre Danloux porta en France Île
portrat original de l'escque de Leun,
ct ee tableau, cupouw dans la galene
du Louvre, racits un vif sotrrét. La
Marrhe alle le colirer de Sasnt.Pol
de Leon, dent! etre seul lus coûta
d00 .Onu fr. {1 3 intr uit dans son
dhorver la culture Se la pomme de
terre, deslssguer de son eine, rt qui
est aujenrd us d'une s gramme res-
sure pour les japulatuns puuvres
he fa PFrotasne PU
LAB
LAMARCHE (Joerra Dex ot),
général français, nagnt à Wirbr
(Vosges). le 14 juillet 1733, d'en
famille obscure , reçut une éducabes
sacomplète et s'enrols dès l'age &
dix-huit ans dans uo régiment à
dragons, nù :l devint sous-efcer
après huit ans de servire , et lirubr-
nant en 1760. 11 état alors à l'armée
de flaoovre, et il y fut blessé d'un
coup de sabre , puis d'un roup de fra
à la poitrine, qui lus 6t cours @&
grands dangers. Nummé par sut
camitaine en srcond dans le mêer
corps, | paua capitaine commes-
dant dans les hussards de Colosel-
général . en 1783. et v parvrat eur-
cessivement au grade de lirutenset.
colnnel. C'était le point le plus éirré
où pôt arriver dans ce trmpe-Ù cœ
que l'on appelant ua offers de fer-
tune. Dans celte posibra Lamercb
devait suivre le part de la Brrole-
Uoa ; et 1l le suivit avec d'autant ples
d'empressement que . des le 23 jui-
let 1791 , ausatñt apres l'émigraten
des officrs nobles, 1l devent colsnri
de re même régement des busesds
de Colnuel-général, l'un êrs plus
beaux de l'armée françars. Placé @e
le cnmmencement de La gurrre us
les ordres de !urkner, 1h eut part ous
opératons de l'armée qui fut opge-
see aux l'ruauens dans leur ezpéd-
Uon de Champagne, et 1i les envi
dans leur retraite sous le commu:
dement de Valence. Avant eté mem
me marechal-de-camp Îr 10 ectebre
1792, 4 prit pour ade-dr-camp à
jrunc Nes, devenu plus tard ss orbs-
bre, et qui etait alors ofireer de 2e
régiment. Lamarrhe concouret à le
pris de Namur, rl apres queriqers
sucres de jeu d'importance :l pas
l'Ourthe rt alla srtabhrs Verve.
eau al put os quartiers d'hiver. Des-
peeree , qui mmardan sur La Bniv,
Note Lorere ec 1°" enars nivo
Er
dans l'in-
É
ji
16 LAB
LAMARCOR : Jeus-Barrisre-
l'isnan-AnTOIxE D Moser, cheva-
her de), l'un desnaturalistes dont la
France s'honore le plus, naquit Île
ver avril 4766, à Bazantin, village du
département actuel de La Somme, eu
ter Albert et Bapaume. Ounieme en-
faut du seigneur de ce heu, qui des-
cendait us qmeae d'une ancienne
man du Bear, dl weut en per-
peche qu'un mme palrinoinc
qu'une à nnmbreus ligure devait
redure a de Ben mudiques divulen
des. Aus full, suit l'usage dn
temps, destine au sucrdrce, Four
l'y preparer, on l'envers au college
des jesutes d Atniens. Ce n'etait pas
ul'epaque on la Franre se trouvait
chgagee avrc le pluside viulence dans
la desastreuse lutte comimencre cn
17256 contre la Prusse rt l'Augirierre,
qu'un jeunr homœe, dont Fun des
freres avaitteouse tune art honore.
Lie sue La bre de an arse de fr:
ge Lu, et dont deux autres freres
ervaient encore avec distinction,
pesant aljurer sus frantance rs
traditions de av fanmile, vote de
tout temps à la carners drs armirs
Aus fallut-il une ferme decsuien de
La vodunte paternelle pour le maunte
tr dans la liste qu'on lui tracait :
Hsdas , 4 Ex anort du stllard , arriere
iu 4e, nulle retu-nlranee ne fut
ap de le reletur à & minarr.
Ate a peune de dit-m plans, ls cm.
para d'un tauvaisshrsal, se fit aui-
vec par Un pauvre gore de sors nl
le, el sachenmnas vers Lorimer
ûù Vbletragtee, forstusttoutrs ws rs
fe Pau re QUE Win cutter ts rune
i dre Po.
sue de a frrnaie ao avait :etie
nebdu es tion Je ra:
puoans Obs ne futel ft tem'ar
sas de celolloor pau tas rallensnt
mctatdatun 4j. ne
peur les.
lagune 6Ù aulleure pas la tester o e
or du ‘ouudte srtis pot 0: etant
L'AM
di l'adent comme voloutmre. Le ms
ment était critique; on er trouvant
au mois de juillet 1761. Le marechei
de Broglie. général en chef de l'or.
mére française. qui venait de reumr
ses troupes avec une parte de celles
du prince de Soulusr. éPvart attsquer
le jendeman les alliés comamamèn
par le prince Fernand de Bruns
wick. Les Francais, persnane ne F:.
gnore, perdirent ceîte beluile. b-
vrée a Willinghausen , entre Hsm À
Lippstadt. l'endant l'affaire une cren
pagmie de grenadiers., au preaurt
rang de laquelle Le jeuns Lamarcà
s'etait placr des le point du jour. re
cut la garde d'un pnite qui la tint
exposée au feu de l'artiliene rane-
mie . et où on l'oubli méme dans le
confuson de la retraite. Tous les d
uiers et sous-ofliners avenant sue
combé el 1l ne restait plus que qus-
torze grenadiers, dont le plus snrws
proprsnt de sauver le mouvement
retrogradr quil vovait operer ast
autres troupes. Lamarra s y onposs
avec eneneve, etil fallut que Le cb
nel envovita ce fulile drtarhemat
une endonnance quieut drancoup dé
peine à prnetrer juujue la prur im
transmettre L'ordre dr se ralios te
tent de fremetr avont rte rappretr
au maréchal. ut tit sur-be- champ
Lamarrh cflicirr, malsre les ordre
formels du nunastrr dr la guerre. qu
voulant apjr'iter quelques chanse
mentasdans |'organsation de | sr.
avant défendu de nommer à sures
emiploi devenu varant. leu apers b
poune homme cb ntir grade dr re
tuant, etaoltr uss dans ls mer
campagne pluurure autrre crc es
de & dhustimguer Mais un arraûrmt
imprrsuleinperis de profiter des
aheureusirhut À 12 pit eu ve
moe ut vante ns te a M noce us
de are roanarsbre nc unt ke eng
lrvom pur io téts 01 olepmins vom.
jisuss un ji pis
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UE à mit vi
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lité d'en créer un qui conduisit plus
4
;
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É
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D'un a0-
ne
! . Ni
MAJU Vos, ve fods.ts Da D Calaque
prpulaure. Aussila Fiure Française
cut-elle un rapuie succes, Daubeuton
s'etnt charge dv expeser churennt
Les ae se d'auteur dans un discours
prchaunsre qu'ou l'encre avec
nlaiur, 04 Hans, qui savait tiottre
tant ele ame et de san daus ses
meindres prsdus tions, s'etut charge
Len polir le atile, car, 0 Dont lun
labre, laide ovante de Laimarck
ur fut p'liats losanie, ti fuome cor
pate. Lu Fiore Frunçunrse sortit des
presse Dunprunere royale parles
ans de Buffen, qui oui ec etui.
l'reesc ment cette cc assoti de pretvr
appuie oeml set se tit facile ei in
fferentes les mel che selistnlutis es
, ur Ÿe EL es 3! aff tt La si [LL
end de un. Non seu d'ecran ue
Out soc othoder à Hinfeulde
tndeur it cadre present d svance,
a Pese haïtetteontetalasuls rination
deguues Vote pe que tite pla-
L . '
CRT CEE TES CR aathiir eltnt
oveto oo NN it 4 Vu unes us
Virt es Lauisatin V fit fi hi en
PET EE CES ET
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Pont or", cet ee ut, . Vus!
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sut"! ,1 i fist
: : Je os nd:
' tn 1
LUI
ua he parti des anures 4394 «
1782 à parcounr la Hollande, LA:
leusagte et la Hongrie, aver wi.
juuur eleve, vialanl partout les rta.
blissements publics et les savants,
desquels sat og n'etait deja plu:
ipuore. À sou reluur en rancre, 1.
oultisa la l'atanuque avec plus d as
de ur que jomas. ctitentétihacat.t d
juste drosts a la celebinte pair La pu-
bliaton d'un travaii inoœins seurra
lement connu, sais plus impr!
que sa Flore . la partie botanique dr
LEncyclopedie methndique. Yet
Best pas original dans ce grand ce.
vrage, et he pouvant l'être: nai Les
descriplhuns sont lirees des meilleurs
auteurs: le chaux des ligures à et
fait avec beasicoup d'intrilisence . c!
Lomareh + a sense une foule de re
marques curieuses, purwes dans Les
magntiques hrriners de Snarrat,
de Commerun rt de Jum.ru, qe
furent geurreusement mis à © de
postion. Eu lin reprechant de s être
asterint a l'ordre «dphialetuque «14
dour au le ssstesne de Line, ca
UD attaque Le plan etat pas de ere
chusix, qu'il di: avast sir np
Dravaullr sous la directun et does
lossues dun lbraire rit alues we
laque fessoures , car la fase » €
buten ne rs avaittaiu aus eu
Prssetent Site Ce he fut ques
dons que le euccsautr de ce gran
Megte. Le an sr de Las Pire.
Elotesp orluut !'1.e de ré
hate due :st cn le rares à
n cceprr el sranses ls bretam
Bocre tit ou cs rent de purée
qe un este en bcr- ue x rent
44 utbss se: salive. da 19
CET CT EL CO D
€ Pom EN Savaties, ÎLE crade
[HLES 4 Jj nn in rt te © tres :-
Vos actes dons la unter ge-
ds la doivest & à
“Di, ch A:
‘mea Les Lis dectet rende be 10
l
iii
+3
î
5
Î
à
H
Î
ime d priori, ainsi que, sans autres
armes que celles di in
ne eraignit pas
que
Lit
30 LAN
systeme qui n'a prut-être n1 plus ni
mosns de valeur qu'aucun de ceux
qu'on pourrait imaginet, fai qui
cependant a un defaut incontestahir :
celui de ne pas s'harmonner avec les
fasts mêmes , tels qu'on les connais
sat alors. C° qu'on y découvre de
plus remarquable, c'est l'idée que les
chaines les plus élevées de montagnes
ont appartenu autrelors a despiaines.
Aujourd'hu: celte opinion est celle
qui réunit le plus de suffrages, mais
on attnbue la formation des monta-
&nes a drs soulevements déterminés
par les forces volcaniques, et La-
march les (atsait produre par des
amuncellements de drbns de corps
orRaunLws, antthauzs el vegelauxz, Lan-
dusque, malgré l'anciennete luen con-
atatee de la vie sur la terre, personne
ne duute mauntenssat qu'elle n'en a
pas toujours animé La surface, qu'elle
est même posténeure a l'appantion
des grandes sspéniés qui hérissent
cette derniere. La parti des travaux
de Lomarck qu'on a plus désp-
prouvée, parre qu'elle Éut mal jugre
des le pnanpe. et qu'on chrrcha
tout susstot a lourner en recule,
ea celle qus concerne la métrorolo-
me. En publiant ses priaripes et ses
observalanns à ce supet. dans un ou-
vrage prriodsque auquel 11 donna le
Uutre d'Annessre metrorologique . 11
eut l'idee, pour éviter que les frais
d'impression ne resissent à sa rher-
Re. d'insérer dans ce livre des pro-
babalites qui pussent sntrreseer le pu-
ble sans le tumprer, Laciliter la vente
de l'ouvrege. et faire arnver aux
amateurs snstruits jrs prüls memo:-
res méénmliogiques qui wuls en {as
mnt l'objet. Lette publication sou -
leva des susreptilniitrs qui deprag -
rent Lemerck à Napnleua comme un
Lossrur d'almanar hs et de prrdruons,
chme effectivement mennvemantr
per an memire à un curpe genera-
LAN
lement considéré. + Je ne Îus pes
° longtemps, a-t-1) écrit. sans ap-
« prendre de la bouche même de ce-
- lus qui gouveranit alors son ærcon-
e tentement posilf sur enr entreprur
«qui n'avait crpradsnt d'autre but
que l'étude des météores. Chosr
étrange! l'auteur, en tout sneme
aux jou, n'écnvanl point sur le
° politique et ae s'occupant que d'e-
e tudes de la nature, se vai foree de
e cemer sur-le-cha@p toute pabl-
° cabon de ses observations sur l'et-
« mosphere. Accoutume depuis long-
« Lemps à céder à la néreasie , se
« suumit en silence el cuntinus d'ob-
eserver, mas pour lui: seul. . Le
passage de l'arucie Mrisorolegse du
Dictuunaasre d'hisioire naturelle de
Déterville prouve que Cuvier à dms-
mulé une partie de La versté en éssant
que Lamarch Gest par renoncer a son
travail sténile, dégoûté de vor bre
évenements ne jam répondre à ors
prédicuons.Quus qu'ilen sos, cr Labe-
neuxsavantuentrebnt plus le pese
que de ses travaux sur Les amuse:
sons vertrbres et sur ia physsolage
Rénérale. Drs son avénement à La
chaire de zoologie . l'aflsiblasement
dr aa vue l'avait oblige de recours
pour les insectes à l'assestanee de Ls-
tresile. Beenint ol ne put plus émue-
tuer trs prits obyris, rt, dans brs
derniers temps, 1 devint comple-
trment aveugir. Ss vo reteve et
ss prruslance dans des systemes pes
d'accord avec brs sdees qu dems-
ss:ent dans les sciences ne jui avast
pas concilie La faveur drs émpeneæ-
turs de grècrs. « Lorsque irs safie-
° utrs sans nombre, amenfes per
«la voriilesse , eurent accru ers be-
cosvins, dt Guvier, toule son ezm-
etence se trouva à peu près rédests
° av mcdique traiirement de ne chasse.
° Les «ms rs acenres,. slluwvs per
+ La houle rrpulsuon que lus avast
qui croisent naturellement
, 1778, 8 vol. in-8® ; ibid.
in-8°. M. de Candolle
aidé par Desrousseaux; le IVe (1705)
est de ce dernier, de Poiret et de Sa-
de Poiret et de
{pos} leve
pr
rend sensible dans
1
fur
ail
22 LAN
neraun euh de Letteelien de la vie
des dtres organiques, de lour accros:
ment, de leur otat de vigueur, de
leur deperisement oc! de leur mort,
Paris, 1704.20 tn nt. V. Memo
res de physique ct Œhutrire natu-
relle . etalilis sur des buses de raison-
nement itdepenlizt sd toute theo-
Be. Aves Lospesitieu de nouvelles
cuhonleral ns sur La sais cenctale
des dswlutiuts, Sr la nature du
leur sur la ccudleur desc tps, sur fa
Donation us sua origine
den bone too Not sur Do nas ati tt
RES
L'ulsoteh
dege Sr co ne
ss: flo sivoautits, l'un .
Due foulol mafrenu:
Uutqoe RCE
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EL LOC RCE TL EUR L'ORTSCE CLOS DCRTE OS,
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Bei aticn, cr, couts fe june
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Qu:r l Nu fu tn tes, D holerr
Pope toute, 0e rene, Cie
cette Vo tri le ns eee
dus tn sde ruors de or
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st Lis: lire Vos
Mer. , .. LU.
ar dir. Ps vs di
ml cs À ro grum.iye
Us: : s. os Cfur eu ti
see ue CUS, qe cle rue
; ° .« “ur t be
. speses ) st:
LAN
bites par Fourcroy dans sa l'heire:
phir rhimique,préredced un Supqie
ment complementaire de la threv
cvposre dans ire Recherches sur 1e
causes des principaux faits phs
ques, Fans, 1798, 1 vol m-e°
VI. Hydrogenlugte , vu Rerherche
sur l'influenve generale drs eaut.
sur a surface du globe terrestre . eur
les causes de l'entenre du han
des auers, de son d'placement,. de
son trancport surcesuf sur les d'#-
Pots peinte de ce p'obe, enfin our
les chaugernents que ‘rs certe ep
Hius vins exercent sur ba notne
6 etat de cettrauriue., Fins ter
Baup se Lantarck chcrche à ta
bre sue sans la lune, Lam ss
raser nus. bles: leurs fo ce
Dreams de nson et de een ter
ELA CA OCR ENT NE TE MONET LE DELA
apreu ta surface delaiepre NII. de
nuutre mctror longue, © Elena
Per arcs prehalalites sriqurers j:2°
tre lopsue sue d'ohurvaly ne we
telatducieleties varatwns de ! at
tue Vere jour diderents ten je à
Mantes, Fnuñuatondescisques set
queries on pets siltenure à 31:47 de
Peau ter ose ds plues, dre neagrs
des mais, drs grlers. dre drgele
ot. stn Îv citation, d'apers lee
pr LEE LECLCL ES des trmyr fivses' les
A Ven gre, as einbsr
guet: !S, aux frruirs et snx sur
enir-pnss datslouquelles 1 empeertr
denetre ponte. ttesne por be temps
ORELTOE CCCDRR EULIEE CULE L'OLRE COUR
Ver. dune, fut, 109 rt
Yates. soiuemes, dont ire dus
pu tes cn un ect bre autres in «e
est heoax sen Ucsnt, peut
ebre ve guet past Ve mb à
pubde ot. n que :e put c'e [| crii.ne à
Pan nb lurasstfetodenter cn mt
ten tenter area ontliia ns cs be
ts à Mot ocre tnaur Le pô
tnt. 7!
uit ‘et D
" J'Jues suer r'en
une
physionomie qui choque, ou qui du
moins semble étrange , et les consé-
quénces déduites de principes vrais
sont souvent forcées au plus haut
point. La proposition qui à soulevé
le plus d'objec est celle qu'un
besoin peut des organes.
Cependant un l'est que l'ex-
pression d'un rapport entre La forme
de la vie et les influences ambiantes.
Celles-ci venant à varier, et le peu
que nous savous en géologie prouve
qu'elles l'ont fait plus d'une fois, les
relalions n'élaut plus les mêmes, il
laut de toute nécessité que les corps
i
He
H
vivants s'éleignent quand le passage
d'uu ordre de choses à l'autre est
adimis des générations sponta
modifiables par le seul effet des lois
de la mature, CRE re
que ces modifications pouvaient n'a-
voir pas de termes, et que la plus
simple tion donnée suflisuit
pour
toutes les autres. La seule ubjeeuon
qu'on lui ait faite, celle qu'il y
gré l'effroi qu'éprouve otre imagi-
Eee, mous sotiotes forvés de Ft
culer sans come Les bornes qi finis
24 LAB
seat par se perdre dans l'infini , eu,
ss o0 l'aime mieux, dans l'indéfini ?
X1. Estroit du cours de soologis du
Muséum d'hisioire asturelle sur les
animaux sa0s vertèbres, présentant
la distribation et la classification de
ces animaux, les caractères des prin-
nipales divisions , et une simple liste
de genres: Pans, 1812, 1 vol. in-8°.
XII. Histoire naturelle des animaux
sans rertébres, présentant les carac-
tères généraux el parüculers de ces
animaux, leur distribution, leurs
classes, leurs familles , leurs geures,
et la citation des principales espèces
qu s'y rapportent; précédée d'une
introducuon offrant la détermination
drs caracteres rasentiels de l'animal,
a disunction du vegetal et des au-
tres corps naturels, enbiu l'expou-
on des principes fondamentaux de
la anolngie; Pans, 1N13-1n22,7 v.
1m n°. Depuis la mort de l'auteur,
MU. Drshayes ct Milne Edeards ont
publie une seconde édition, Pans,
1436 1840, 9 501. in-8°. C'est l'ou-
vragr caqulal de Lamarch, le seul,
avec la Botanigue et là Philosnphie
saningique qui patters à la juntente.
On peut prevou ua temps où sl per-
dira le caractere clasuque qui le dis
Uungue à emiuemment aujourd'hui ;
ais du ins drineurera-t-1l tou-
jours cuome un dre plus braus mo.
numents de l'espnthugain. A111. Me.
mosre sur Les fnestles des rnesrons de
Paris, 1n23, 1 vol. in 4°, avec grand
membre de planchre. Cr memoire,
vuprime par frasments dant ire 4n.
nales du Muswum, n'à pas cie termi-
ne; al ne traite que des coquilles fre.
bre, bent Lamarrh à contnbur plus
que prrenne à repondre l'etule.
NIV. Systems unalytique des con:
nasssances prsoliees de l'homme, res
tresnies à celles qus prorurnarni di -
rertemenl mondirect ment del obser
totem Loc: ein mn: J- p-«
LA
LAMARCK. Voy. Assuassec,
LVI, 406.
LAMARE , (Guiinauus ve) né
à Paris en 1664, et mort dans cette
ville en 1747, fut curé de Saini-Be-
nolt et ensuite chanome de Netre-
Dame. !l est auteur de plameurs en-
vrages estimables et très-répanèus.
entre autres : Épitres et Évangiles
pour Les dimanches et fêtes, ores
de courtes reflezions . 1 vol. sn-0°,
imprimé en 1714 ,et qui à eu plus
de canquaute editions: la dermere
est de 1824. (Voy. Le France ce
tolique 1825, Chronologie histon-
que drs curés de Saint-Benoît, per
l'abbé Bruté.) Z.
LAMARE. Foy. Mans, NAN I.S.
LAMARLIERE (Asrorss - Ne-
cot.as, comte de), grocral (ran-
ça. su d'une nuble rt tilustre
fanulle d'Écosse , dont irs ancêtres
suverent la furtune du rus Jacques Il,
lorsque ce pnace se riugs en
France, nsqut à Crepy. pres de
Meaux , en 1746, rtiut drauné rs
l'enfance à la carnere des armes.
Entre comme eleve » l'École Mb-
taire en 1756, 11 fut nommé nu ses
apers sous-lirutenant dans ke reg-
ment du Dauphin, dans lequel à 6t
les drrnserrs campagnes dr La guerre
de Srpt-Aus en Allemagne. Birme »
l'attaque du fort de llamm,ra W rst-
phale , sl pass comme lirutrnent
dans le régiment du Perche; devint
major des grenadiers rujaux en
1769 . et Hit la campagne de € uvre de
celle annre sousle marechal le V aus.
Dix aus plus tard il fut nummr bee-
trnant de seu ct cummandent de le
tulle et clubrile de Mootprilerr , em
plen qu'il conscrss jusqu à La rrevlm
Lun de 1789. S'etaut olurs mate
partisan des innovations, et n'a93nt
par conséquent pas enugre , al cltat
en 1298 le comtmaudremcnt du à 49 rx
punsat d'infantresr , pus le arabe dr
département
Périgueux en 1700 , et
des dé née suivante député dir
| Hi ou
Hs hl
I a \
als Ve he mas ne Ge 4 dr Tai jte
prqprubases. Visas Li Elure Françun:
rut-elle garage succes. Piauietitr a
s'etit haie deg e cer laiton ni
lesuless le L'auteur dansun ddineenrs
pre bhmatinre queu nl etre. ave
nbarairs oo Hañin, qu savant tattre
tunt doi “us el le Su aus es
tuugriles « LT dut eltotoh 72e
d'en pt ste car dd fiutiuen
bre a guet aavante de Lusure
de Put patois oies, Githoie cn
tot. La Pire Prinçursr til des
peus sh Daunprune revale par des
wars te Futfn , ‘tel SU av cth
jrs mentoetricossotide prove
‘'i jus mocitinent fausses it
freres is
opens tt tt fa Uuhoapr:
Undel Dan Noutone doonsanmne
Loutat see mnt ter ee Hinfenté
peleur en cadte pr Pit avates,
eu Mibessntetohnsal rdéats mn
guetls loss atrilutives
CR TPE ‘ N Line tie Ï AC REL 13 44 -
(] ! [ER 4 “e ' a » 0] ; Ki: s—” sont
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usa dou pare des annees 1784 0
1282 à parcourt La Hellauee LA,
lenisagste 64 Da Hongre, avec
jour eleve, visstant parliut les 13
blhisesments pulblis et re savants
desquels Su os etat de 34 ;
géure. À son retour on brates, :
ondtion La latanue avec grue 1j ar
dur que pamaisse Qrentétihan: 9!
just dress a la celebre pur lag
Bic ation d'un travaii Enentss eus Pa
lent count, as plus imp rtor°
que sa Flore la parue betanuue d.
Léncyelepedie methodrque. Vi
Dent puoserngnal dans ce grand ou
Vase € De pouvait Léfrr tas es
deseriplone sv nl trees des aneudeurs
steurs: le ohax des Livres à 0!
faunt sv breasertu usste tete ,°
Banmareh y à eme une Poule de re
Eiatiues CUrotites, plier s dore bre
magiques borlners de Nornerat
de Coamertun et de Jussou,
Face LU Seneres sement his a ds
pesstion. bus reguee chiant de serre
acteront à Dordre ciphibet que 14.
Dour niv da vadegu fe Lotite
ile tape te is het eus
chin, quial à: DANS se ik, %
Liu alor Rate 14 sstfes La vi et :‘5r:
les aues din titan stat aupres.
LA Le Possrntts., Das tc
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red More es
30 LAN
sysieme qu n'a prat-être om: plus ni
mons de valeur qu'aucun de ceux
qu'on pourrail hnaniner, Mai qui
cepradent a ua defaut incontrstabire :
celui de ne pes s'harmoneser avec les
faste mêmes , tels qu'on les connais-
agit aiors. Ce qu'on y découvre de
plus remarquable, c'est l'idée que les
chalnes irs plus élevérs de montagnes
ont sppartranu autrefon à des planes.
Anjourd'hu cette opinion est celle
qui réumt le plus de suffrages, mais
vu attribue La formalos des monts-
tunes à drs soulevements déterminés
par lien forces volcamques, et La-
march jrs famsail produire par des
amuncellements de débns de corps
ofgantés, antmauxs ri vrgélaus, Lan-
disque, malgré l'ancienneté bien con-
statée de le vie sur la terre, personne
ne duate mantensat qu'eile n'en à
pes toujours ammé La susface, qu'elle
est même postérieure a l'appantion
des grandes aspéniés qui hénssemt
cette derawre. La partr des travaux
de Lomerch qu'en s plus déep-
prouvée , parre qu'elle fut mal jugee
des le pnanpe, et qu'on rhercha
ton! sussitt a tourner en rule,
es celle qu: concerne La météorolo-
ame. En publiant ses praecpes rt ses
obsrrralons a ce sujet, dens un où-
vrage prnodique auquel :) donns le
Utre d'Annussre meésorelogique , :i
eut l'idte , pour éviter que les frass
d'imprranon ne restamsent à sa char-
ge. d'inecrer dans ce livre des pro-
babslités qui pusent sstéreserr le pu-
Dior sons Le tomper. lacaliter La vente
de l'ouvrage, et faire arnver aux
amateurs snstruits Les peuts memos-
res météorolagiques qui suis em ns
sœrnt l'objet. Cette publication soe-
leva drs sueceptilninies qu deprigne-
rent Lamearch à Napoleon cumme ua
lansrur d'almsnar hs rt de predsruons,
chme effectivement inconvensair
per nn membre d Un carpe penera:
LAN
lement conmdére. « Je ne lus pas
clongtemps, s-t-41 écrit, sans ap-
« prendre de la bouche même de ce-
e lus qui gouverant siors son mecun-
e trolement positif sur enr entreprur
«qui n'avait cependant d'autre but
«que l'rtude des métcorrs. Chosr
e etranger! l'auteur, en tout sum
«aux los, n'ecnvent point sur la
« politique el ne s'occupent que d'e-
etudes de ia nature, se vit force de
«cesser sur-le-champ toute publ-
° cabon de ses observations sur l'et-
« mosphere. Accoutume depuss long-
e temps à ceder à La néreassle , 1i ce
< sousmil en silence et continus d'ob-
sserver, mas pour lu srul. . Le
pessage de l'article Mricorologse du
Dscuonnarre d'histoire naturelle de
Déterville prouve que Cuvier s dus-
œulé une parte de ls verité en disant
que Lamarch basl par rencarer s so
travaul sténie, dégodté de vosr bre
évenements ne jamas a ors
prédicuons. Qou: qu'il en ect, cr Labo-
neux savant s'entretnt plus br public
que de srs travaux sur Les ammou:
sens vertebres et sur La physmoiege
ténérale. Des son svesement as La
chaire de soologe , l'aflaiblesement
dr as vur l'avait oblige de recoursx
pour les insectes à l'amsmtance de La.
treslle. Boerntüt sl me put plus data:
guer Les prüuls obyrts, et, dans brs
dermers temps , 1 dennt comple-
tement aveugle. Ss ve rrhree et
2 prrustance dans des systemes peu
d'accord avre Les 0ders qui dcem:-
nant dons les sciences ne lu: avasemt
pes concile la faveur drs éupeass-
teurs de grècrs. - Lorsque brs snfr-
+ @itrs sans sombre, smenfes per
° La vielileme , eurent accru sr be-
e soins , dt Cuvier, loute s08 ezm-
otence or rouva à pru près rédusts
- su modique trastrment de ss chere.
e Les sm des scrares, atlueve per
- La hauts srputauen que lus avascet
mesi (1783) et1l (1786) sont en entier
de Lamarck; pour le Ille (1789), il fut
aidé par Desrousseaux; le IVe (1705)
est de ce dernier, de Poiret et de Sa-
HUE le Ve (1804), de Poiret et de
‘de Candolle: le Vie (1804), le Vite
Ni. € le Viiie (1808), de Poiret
seul. ainsi que les cinq volumes de
sont supplément (1810— 1817). HI, flbus-
22 LAM
neraus ,etin de L'entretien de ia vie
des étres vrgauiques, de leur accrois-
sement, de leur ctat de vigueur, de
leur depérissemient rtde leur mort;
Paris, 1704.20 im ne, V,. Memos.
res de physique ct d'hstrore natu-
rele. établis sur des luses de raisuni-
nement independant s de toutr then
He. avec Leapoution de nouvelles
cunuderations sur La cause cenrrale
des dixolutirs, sr la miatere du
feu , sur laculeur des: rps, Sur la
fegnsation dose cn trrers, ur Lopigine
des WUNCTALX et sur Los cotisation
des corps vivants: Parts. 107 DS.
a mo Le feel des adecs de L'sisitrh
“tait que ds nt .Loere «er tlrporéer de
j'toks us esse tetie Dirtautit ae lepie.
es queries Lotions eus svt:
Line su comlineesens, Se nt jus cui
Eenns dans nu etat de gore et de
Meetic atan : 7, cantine 1 feguisne
Ja rarsen su ant Eur, qu iüne sul:
tce tatoo 0 sed Stor di sn etat
ati.te | « ot evn.! 0 LU e fin de ? :-
fur: ls nature
Pr tn runse nie trou, 4 Len
coteure D tri les pher metres
dus, tu, à Da vroratiu de Log
1 des turn Monfils, L'idis à coile
Ban Manet recettes subtil, quil
or sl étre ei l: ts dl. + ctia-
or toat ft riur enetutre
le PO hrcre 1! LL
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alors qu'en n'aura csubplose pour
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tonte ae eontedde sec
s " stats st:
LAB
bles par Fuourcroy dans sa Fhsires
phie rhimique, prérédre d'un Sappié
meut complementaire de la thrarv
expose dans les Rerherches our les
causes des prncrpaux faits père
ques: Fans, 1796, 1 voi. m-e
VI. Hydrogenlogie. on Recherches
sur l'influence grarrale des eus.
aur la surface du globe trrrestre . «ur
les causes de l'esetenre du beau
des surrs, de s00 drplarrement, à
san trancpurt succrasf sur Les fr
reuts points de ce giobe, enlin our
les changetments que !r4 rorps œps-
mis vivants exercent sur ls noter
etletatde cette aur'scr. Fans, tem?
put un no. fan.arrÀ rherrhe à
ble que, aus la lune, Lsmms
rater anni bulre: leurs be & re
blorucrt de limon et dr detre tre
rent, "teurs est ec uvnPaint pen
a pou la surfare drlairere NE de
nuarre emcteor:lnngtque, nirpat
Prugriar des prolalalitrs 2zrqurers poor
une longue suitr 1! re rralsiere se
l'etat du rwietles varutae de fat
Imsschere pouf didrtents trn.ps à
Fanuee, Findicat:on des je ques ses
quelire en pents atiradre à 21:e7 da
be at tripes eur les pltes, des neages.
des termites, des grhres, bre drevris.
ete. cutvn Îs citation, d'apevs les
proteabohes, des trempe ficelle
dut fetes, 114 vuvasee, aus exsber-
quemnt ts, aux recultrs et aux autre
entrrpnus dans leurelles il rempoetr
den etre peinles nirane par Le trange
Pres, faun, ant, 1002, 1003 1004.
Dm, fn@ , fun, nou, Dao À
tuto. ones volumes, dent ire dut
pou go uin fn.et re autres 1-2
est ‘hcheus queu blinset, peut
etre ses quete raivus, Île m'obr dr
puldeotun que ir jeu dde l'rtime dr
Eamorch Jun ao sit fuit 2ibcsteg, 1 @ à°
forces Lornlur are] one la no ob
quest ellait pur coder be pâvr
ofuonre motropel ques 3107 tan
physionomie qui choque , ou qui du
moins semble étrange , et les consé-
in n'est que l'ex-
pression entre la forme
de Ja vie et les influences nmbiantes.
brusque , insi qu'il est arrivé à plu
sieurs reprises, ou qu'ils se modilieut
quand celte transilion a Leu d'une
aucune valeurs
ne quarante mecies dans ee
Lars Dr = avenr, dont, mal:
gré éprouve notre imagi-
malus Ta ET
caler «ans cesse Les bornes qui fines
24 LAN
sat per se perdre dans l'infin: , ou,
« os l'aime mieux, dans l'indéfini ?
XL. Estrait du cours de s0ologie du
Muséum d'hisoire asturelle sur les
animaux sans vertèbres, présentant
la distribuuon et La classification de
ces anmaux, les caractères des prin-
cipales divisons , rt une simple liste
de genres; Pants, 1812, { vol. in-8°.
X11. Histoire naturelle des animeur
sens vertèbres, présentant les carac-
tères généraux et parücaliers de ces
animaux, leur distribution, leurs
classes, leurs familles , leurs genres,
et la citation des principales espèces
qu s'y rapportent, précédée d'une
introduction offrant la déterminauon
des caracteres essentiels de l'animal,
düuncton du végetal et des au-
tres corps naturels, enfin l'expuss-
ion des principes fondamentaux de
la anolngie: Pans,1#13-1522,7 v.
in n°. Depuis la mort de l'auteur,
MU. Drshages rt Mine Edwards ont
publie une seconde éditon, Pans,
5n38-1840,9 vol. in-8°. C'est l'ou-
+rage capulal de Lamarck , le seul,
avec la Botamigue et 13 Philosnphie
zanlogique, qui pauerà à la posiene.
On peut prevou un temps où 1! per-
ra r caractere clasmique qui le dus-
tague à cmivemment aujourd'hui ;
mais du moins demeurera-t-1l tou-
jours cuamime un des plus braux mo-
numents de l'espnthuaaun. ALI. We.
more our Les fossiles des eneirons de
Paris,1023, 1 vol. 10-6°, avec grand
tmmbee de planchrs. C7 mémoire ,
:mprime par fragments dans les 4n-
nabs du Museum, n'a pas rie tertmi-
ue; 1 ne traite que des coquilles fus-
wire, dent Lamarrk à contnbor plus
que prrsone » répandre l'etubr.
NIV. Systems analytique des con-
na@sssances prestires de l'homme, res:
treiniss à celles qui prorwnnent di-
rectementouinderectcment de l'obocr
t@ften l'osts 1e, nn 4 J-p-na
LA
LAMARCK. Voy. Accus,
LVI, 406.
LAMARE , (GusiLauns os) né
à Parisen 1664, et mort dans cette
ville en 1747, fut curé de Saint-Be-
noft et ensuite chanome de Netre-
Dame. li est auteur de plusieurs en-
vrages estimables et très-répsndes,
entre satres : Êpires et Évengiies
pour les démanches «t fêtes, oret
de courtes réfloxions , 1 vol. in-0°,
imprimé en 1714, et qui a on pies
de canquante édilions: la deresere
est de 1824. (Voy. La France ce
Wolique 1825, Chronologie htston-
que des curés de Saint-Benoît, pes
l'abbé Bruté.) Zz.
LAMARE. Foy. Mans, X LV II, S.
LAMARLIERE (Asrorss - N-
cot1s, comte de), grneral frse-
ças. su d'une noble et :llastre
fenuile d'Écosse , dont irs ancéères
suivirent la fortune du ru Jacques D,
lorsque ce pnace se refugis en
France , nsqut à Crrpy. près de
Meaux ,en 1746, rtiut drstiné dès
l'enfance à la rarnère drs armes
Entré comme eleve a l'École Mab-
taire en 1756, 11 fut nommé x ses
apres s008-lirutensnt dans le rég-
ment du Deuplhun , dans lequel d £t
les dernserrs campagnes de La gurrre
de Srpt-Ans en Allemagne. Birmé à
l'attaque du fort de Hamm,rn W'est-
phalie , :l passa comme lentement
dans le régument du Perche: ésvumi
major des grenadiers rojenz en
176% , et fit la compagne de Corsæ de
cette annre sous le maréchal de Vans.
Dis ans plus tard 1j fut nome kee-
tenant de roi rt cummandsat de le
tille et ctadrile de Muetprilrs , em
pilot qu'il ronsers a jusqu à La revoie-
Lun de 17n9. S'etant alurs montre
partisan des innuvatioes , ct n'sy2mi
par conséquent pas émigré . obtet
en 1291 Le coummandrecalt du 16° re.
puma d'infanterie , pus le grade à
ss gsitss
22 EH sit ii
de URI
il
il
oi 3315 MT i ii #35
;
TE
HETLL
LAN
de la Drurdogne à l'Assmllec lruts-
late. Î'comumenca à & fire cusi-
haitre dans surtt Netnllee par des
travaux sur Lerdre jimhoure , et on
suite par dis tautins contre les et:
res, dent dl proprisa, des le 21 jun-
Vier 4702, de sequestrer Jes lues,
disant que oc cat a ceux quiprovoe
quaient la guerre d'en supperter Les
fraus ,otque ceux qui del nlasent Ja
gaine devant ot cles aux
depuis de ses eunetiis. Pris jours
aprrs dd futelu secretaire Le simars
autant dl dt que de decritde
equestre il set prevesiue tie fit
pas Suis au ref GO Fu, Ci qui
etait une unten tite sabtite de la
Cenatitutin, De ss sur al ier put
! ‘ri
Bien t, opt cuus uelsritqe
deg patens se Le to ant ul
je ed D Asset, ue ot pr hscer la
os dir Atse or . LL Hfusterare
duoubets"d nl sirelde la corequ.
potion outos que de prouse cuite
aout ee est qualges prsua PA
se tibrtun aie Sur ar on. fera
sta veltr tn
p clame cure, no Descente, au
ee 9 poids slt le
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grace VU rage to et dd fut
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Lu.ïoe 4 |. À: CRE “1 à :!
ui! NT. : CS CEE
".- ss fo truhrs, ms fu
LAU
«pouvoir creculif; que Mets ca:
sans canons, el les sidats sans »e
emes, ete. , ete. À son etur,
devint meuiire de la Couvent ns
Uonale, ct y vita la net de
Louis AVI , de la minvre suivante
.Lousest coupable de consptrabos,
cul fut parjure, 11 fut traitrer. Se
sexistener sutent les rjrranes
desantnpants, lrs cflorts des ans
elocrates. La ns a proncnes ‘2 par
de mort: je la proue sus,
cdeurint que ert acte le juste,
equithiar le sort de la France, sut ke
dernier sacimpile d'un bh-ruscde le-
cgsl eo Moregels L'appel au prupée &
le surus a Frieuutiuns Lauiarque %#
montra dort Lostie au gars de L
Grade et connut, à Liv Gers
tte, 4 cotntotitie 1% F'arre, à
ctsee dd faire dhllsor.r La UC rves-
Lits Sous de couteau l'eutrs cena
au cotote de defense rnérale,
deuil la sue. hrs j'rocrdares
Cotblneheses contre les ::.teurs des
Mans res de ue ptenbee 11 5 nppus
etsut ace que le ituc d'Orlesee Si
cogmpris dans Le dreret dd exçrsist
de Le fanile des Bourln us,
VAR is series tondus par ®
prince à la Revaolutin. À :a see
d'un rapyrr! sur les patnpliets re-
pattus depuis la mort ide Luis AVE
Mtiteureter Ja jeune de ot o a
lee atiteur. druonts protiaquanl be re
Ur de larevaute. Au m- mes! dr ls
doses ale Lou ere 7 1Ù ‘ut eus et
Atuttsec na Nord. avrc Ronral, on
et het uns, Quinrtir c'e en.
pistes de a Querre Beum ati”.
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LD LAM
la morale des élus devait étre
la seule regle des choix, Lomarque,
que cette maume nouvelle frappa
d'étonnemenut, monta a là tribune,
et dit avec une leinte sensibilité :
+ On or avancer que le teurs des
principes est paume , el que la mo-
realite des lus dut étre la rule
« regle de votre deciuon ‘Et ce blas-
ephrme deja fort etrangr , on ose
«l'appuser d'unesemple plusetran-
+ geencore, du 18 fructulor. Ah' que
«ceux qui Dinvoqueut ronnaussent
peu cette journee rt les hommes
qu l'ont faste Crux-cs ont versé
- des Larmes de sang sur le plus né-
.<cesuire des notes. Is ne se
eaumulasent pas qu'ils turttatent
«la Consutution de côté et la hherte
eu danger: mais al fallait vpier en-
sfre celte mesure et le reuvene-
ewentde la republique. et.amarque,
Inen qu'il tete nemene daus deux
drpartements, lncn qu'ou rapjelt
en wfascur sa prowdence au 16 fruc-
duc, fut du nombre des exclus. On
le sat alers donner sauts adbhewen au
coup d Etat qui suspendait, seluu lus,
les druite du pruple, - parer que,
«dti, La rrssstance serai iuutile,
CUqur Bodhrauu purs ail av or sou
euthts + Etoou efet, pour rroum:
pense dr coûte scnnnauon , le Inrec-
Uurr le neunma, aus le saine mins,
atmbasudeur alaceur de Stochbrlien ;
mais Le ra de Sunde, qui n'avait pas
les unes ravis de le drlrmmager,
eUqur ne vessie pas se trouver eu
preeime duuregiuele, lus ht igts-
fere de ne jus maritre de gard dans rs
Etata. Au evunduit, larmirswleur
sen rest dd ucctient à Lans, de
Hamleure. cu selaitteniu Hevlu
au cause les Cinq Cents, l'annee
suivante, sn ui gernat colle frs
Œs coter stat fut uominmr ‘ecre-
tasre levant Le Cermiplrr LCL ji
Pots OU arr tn, sort rpnjque
LAB
ayant amené de nouveaux prog
d'amnste , Lomarque eut cor
vrcauon de réclamer , mais toujours
sans qucrés , en faveur de Rarvre.
vola la suppreauon du mot Aeme €
l'anarchie dans le serment civique ,
parce qu'il prnaait que c'etait pour
calomaier la hherte qu'un l'y avant
onsére , fit l'eluge du general Joubert
tué a Novs ,etle propuea pour me-
drle aux defenseurs de la patrw. La
15 août 1799 (24 theremidor, an VID,
fit parte d'une comtmiason de sept
membres nomemes par le coner:l des
Cng-Cents, pour lus presenter des
tuesures de salut poulie 'irs autre
meubres etaient Chenvrr, lunos,
Luneu Bonaparte, Eschasseruus di-
né, Boulay de la Meurthe ct Betis)
Lamanque se prononra, dans le eœmf-
me temps, contre la licence de la
prressr ; appuya la mot-n du graral
Jourdan lursque crlur cs voulut Lasre
drclarer la patrie eu danger: exs-
nuna stÙ etat neoreatre d'impn:
ner une force catraondnaure à
marche cousbtutinnuelle, et 1. ou
heu de conerrver le caracirre mme
ténsel et secret, cette boror ne devra
pas recevoir un caractere haboadl «
publie. 1 vota pour l'affirmatite,
rapprla Fepnque de 1792, ou ceti
declaration des dangers de ls patru
avant, lon ur, griduit lee pèu
grands avantagre. || 112 reproda
qu'en crtle circonstanre '\awmble
lesislative rt voulu amener le ren:
serment de la cousülutun ryab
qu'elle avait lait srrowmt de dréen
dre, re qui fut drmentt par los
Ure Lanarque termina oo ds
couts purces muds la ltherte
La emert e Le © til repeta ce on
iats ne deisra junnt La pate «
danger Celtr resntonce paraitu
tuûre Les imanœuurre du parts jare
lon .quecntes discuss csjuve d æ
2ctuets. cldainns ir temps ses =
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Pur uqrent Pesture du nouveau
Pen, qui veut on faire son aulr
dec, Mos, ccanie 1 eût fal-
bou pus cle quttee Le wrvue de
france, lus deip'ie SN refusa L'em-
peer Le Ulaicrs general de divs-
sen ete laisses dans de eos ume de
Nopes. dent ibinvestit dette t Jon
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diras nues sus etonte quatre,
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dent is place. Ce faut d artnes s
nul doute un de ceux qui nnt be
honore la valeur francaise. Le
nastre ke Joachim, Sahcetts, à
Vonu,aprslasrtare, rame
Deus, ecrit a Nagies « J v sœ
«Jv vous les Francass: moe
squus eomprendes coment |
Ont Vruus.e Le nouveau re
Naples, a qua tonte valeur prof
&tlinnira fret revoit u&ant eg
haut à Eamarque un deuiane @
derable, mous dont 51 ne des at
jour lnsitenips Pen apres, le
nerat quitta rs tale de 9
gere titan ler due der nn à
aie dilale sous le priur Ra
Reasharnius Ooite armee ar
au debut de x camsacne ‘he !
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ins cnui'e le corps de Lam
tint ne cos ler anis as is
au ta lave .etoueteut à Las or
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Gaibie pristisets ct pe! un
Cat gueecs de catch. Lire
tuee délais ee ut reunxw à
que Najenese cntnatdast lus-g
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pour combattre enœmble Les cnnc.
ais de La France. M celle pénereusr
propouton n'eut aucune suite, cr
n'est pas Lamarque qu'il faut en ac-
our. Drs que l'autonté du roi fut
evclablée, ce general s'rmpressa de s'y
soumettre, etal lit prendre la cocardr
blanche à son armee. Cependant
celte guerre lus avait fait pres du
trône des ennemus purssants. Flare
sur La late de proseription du 26 juil.
let 2815, 1 fut oblige de se réfugier
dans les F'ays-Bas. C'est la qu'avant
lu un menunre dans lequel le ge
neral Canuel blämait sa conduitr
dans la dermere campagne vend
conne. y ht. oous lr Utre de Letire
du general Lamurque au grueral
Canwel, une reponse fort ingeneus-
et tout à fait rerasantr pour son ad-
seraire. Une dicton piquante, sats-
«nique, un syle vigoureux eteleve,
.aditun bigraphe, rappellent au
clrctur ire metres de Besumar
. chaisetles lettres de Port-Royal...
bansie meme trmpal.amarque adres
sut au rot ut memnoure fort premant,
et cependant tres respreturux, pour
obtenir La bn de son ex, mars dd nr
Loblint qu'en SA20. Mlors i vint ha-
buter La capitale, et parut ne s ÿ oc.
cuger qur d'obyrts hittrraires. Lr
paru de Loppeation lierale s'ef-
forces à ploweurs trpnses de le faire
nouer deputr, mais 4 nr put
\ reuswr qu'en 1n19 lLamvurque
mrera à Lratreme souche de la
Charubre. KRrelu apers la rrioiutien
de tn10, quil avat comyletrawnt
approuver elwccmire, 11 fut encure
une fus enveve par ir toruveau gau
vernenent dans les drpartrments dr
Düuera, ou Len craenait un ssule
vetuenl de la part destuvalmirs. Ce
Su vethent h avant paseu lieu, La.
morque truint oecer à la Chamber
les depaites, ou 0 pen plusenre
Lou a porte sue des qoeshons
LAN
mulilaires, entre autres pour le:
bres de la Légion- 4 Honneur,
dl continua de voter aver la ©
jusqu'a sa mort, qui eut lieu
juin 1432. dre suites de l'eps
cholénque. Ses funerailes au
Lere de l'Éstaturereut un no
concours. Deux parts sY
trouvés en préwnre, lent
une Dutte sanglante qui dur
seurs jours, et qu ne fut tes
que par un deplowment de
ronsderables et la prence
Louis-Phuhppe dans le qi
Saint-Martin, au plosfort du «
OnacncorcdrLamarque b. Ve
d'une armee permanvnle rl
d'unr organisation d'infanter
numigue, Paris, 1n20. in 8°
l'esprit militaire en France. d
ses que contribuent u l'riendrs
neressite et des mnyens de le
mer, 1126,im.ne. II. Memo:
les arantagrs d'un ranal de n
fhion parallele a l'idour, res
sous le rapport agrirnke, coms
et mulutaure, lPans, 1h25, in-
Notece sur la vie de Rastevia
Basses-P'yrenves, imprimre «
d'unCAner de Drsesners dr re €
Paris, 1n2%. On à publi, en
un ouvrage posthume, wat
tre de Saurenirs. mrmrnanres
ires du grwwral Vanmiuire
marque, Far, 3% val 101
l'on aetretonne de 1e trou
des diatriles rri-altues contre
lauraluon, et print de rettr
tu, de cette genermate d'a
que Don aval qnelquelins rem
dons are rerite ci iians es dires
ltnbune -- {'ausnour d'êr
se baron Jean-Baptiste Des
tiré bol de carmp.nue s Lorsa
es lirrnres srnnla ant
Lontee 1291 dns tu hatail
voloutarres du departement à
re ou fut nomme: coptam
LME
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fl
Énel ol
RURE É I fi È
ii RIRE Hit
HI
i
!
6 LAN
cur lee medleurs effets à ob nor
dans l'artillerie, 2 vol. 1u-x°,
2e edition. 3812. Îl. Referions
sur le fabrication en grneral des
bouches à feu, augmenires d'un iraute
de le ballrstique . l'ans, 5817. nn.
Le genérsl de La Martlliere mourut
a Paru, le 2n mars 1419, sans launerr
de pastrrité. Aines a paine fetes
gaut en an persannr. M—0 ].
LAMAUVE :LoutsCruan). né
à Vittrfleur-en-{aux, était destine
par sa famille à l'etat ecclesastique :
ais an penchant irrésistible l'en-
trains vers l'etude de la medreine. !l
suivit d'ahord les rours de chururmie
a Rouen, pute sl vint a Panne, ou ul fut
nomme aurcrauvemient prrvot d'a-
natome de l'eculke pratique, profes-
sœur de gurderine et d'arrouche-
ment. etenfin, en 1798, chirurgien
des hôpitaux uuhtarrs. Lanauve
ait emplose en rettr derniere qua-
bte à Reims quand 1 reçut le grade
de docteur en medrciu. Quriques
annres aprre 1] alla ee Lasr 3 Rouen,
ou on Ut gratuitement, et avec grand
succes, dre cure d'anatomie, de chi
rurge rt d'arcou-hement. Il dut
a sa crputat n dhalulr pratrien là
plare de chirurmen ea chef de L'hos-
jure general de eette vallr. Dre lors
les ons d'une nomleeusr cheutri:
et la publwatin de pleurs me:
mourrs de chururgme. dent quelques-
ne ent ir certlanne onipretaince, 0c-
euperent lus ee instants. Îl mou-
fut le % août 5h21. Nous avions
delus 1. Manserr deirauter les ma
laders syphilitiques dans les frmmes
enennies, dars les enfants nrurerau
nes eo dans ds naurrires : à ia quite
de Lllistemre de La anicahes ane chinsque,
ete def À 60. Maïun. puliorr par
lamauve, F'arre, an ADI 2m46 in à”
HO Nouveau pra’cdr pour deiruire
vo pr ypes : danvics Canales risne
jee de li Noreate de mestocine de
LAN
Montpellier, NVE (Mist... IN. p
120). Ce prucédé cnnssie dons le tas
ponnement des fusers nasairs, qur
l'auteur vante comme ben suprreur
à La ligature, « l'arrachrement rt à
la cauténsation. Cette assertion ea
Jon d'avoir reçu la sanruna ée l'e1-
pénence ,et cette nouvelle metboër
eat entrrement tomber dans l'rath
LL. Sur Îrs dangers d'ourrer l'arter:
epigasirique dans l'oprration de is
hernie sngusnalce { dans les Mrme-
res de Le snricte libre d'rmuiatsss
de Rouen). Lamauve 3 (ant, sur Ls és
Inbuton de l'artere rpagastnque «
sur ses rapports avec le cordoe, dr
travaux qui, depuis, ont ete compir-
tement rflarés par ceux dr Srarpe .
de Dupustreu st de À. Cnoprr , mes
qu n'en etaient pas moins re re
marqualles a l'epoque uu 1le onl ps
ru. IV. De l'influence de limagsas-
Hon des meres sur Le pradust és is
conreplon (arme roue). L'auirer.
tout en reconnaissant | :afuraer qu
les couumobous eatrrnes. irs smprrs-
Suns inteneures exercenl paréces er
le mude de develuppement de | af
humain, drclare qu'il cat aleurt
de suppaerr que les ax dhbcatsoes œ:
cu resultrot pour ce derruer pes
seul jatuass eupruuler queijurs-on
des caracteres de la cause priturts
trice. L—e—a
LAMBD Jacqgius Bisns-Btness,.
publiciste «1 purte angles. neguit br
juin 17323, à Gibraltar. File user
d'u ufbrier fort nche, ensuite ce
Uuleur pgeurral drs duusurs nes Le
(srandr Aretagne du murd, :Ù Emi cèree
avec ir plus grand oun, érmress
drusaus à l'un rate d Edimbourg.
aus Somervile, l'auteur dr LE Mes-
loure du regne de le veuns Aux
passa lientnt a l'ecule de R eatms
sier et enbn, de 1760 à 1772, foi es
des hoire du codirge de | V ncocruts »
Onbed Vent rerumie br voyage
dei
HE
4°: on
b
sttifitiss FE
gps il
É
fi AH
te
impriunait déja que celui
un autre sous
cer te
temps après son dé- qu'en 1424 il n'avait porté de nom
iv LAN
des puetes cumberlandais, lesquels,
au resir, auageux, brumeux, pi-
teux et fHilaudreux sentimentalistes
au moral, ctaient dans l'ordre puli-
tyue de furt ardents revolutionnai-
res, rnmant des sonirts aux contveu-
huunels, des élrgies aux regicides,
drrssant des plaus de pantisocratic
uu Sucietes de l'egalite universelle,
ct trouvant qu'il pouvait y» avoir à
prendre dons la fête de la Raison et
dans Laresellirre-Lepaux. Charles
Lumb eut des relations times
sunirs avec luus les corvphers des
laquastrs; mais telle elait sa haute in-
depeudauce d'esprit, tel .clnt son
tapsssible bon sens, quel s'adupta
nulle de leurs caogerstiunus pelit-
ques, seu lruaut litteralemenl aux
principes constlutonncls de la
stmalle Aug'eteree, la iuonarchuie he
ailes, Érpiscupat, les deux Cham-
Lres, Lanstecratie, le pauperisime.
Ce uest pas la sans doute le til:
louer des uundes possibles" mars
feux out amere le chateau 1e
beuderteutronk que Linvaun drs
Dulsars setuite cale et plu cos:
slique ponvwur, lin dr so'atuer
ts un fantadtnpue avoir, Conte
les sbrclugues fanlis a ratitrs, pes
‘sir adrs, re Liaindil d + fF: gros
er dausle panne, Don results rail
que etui pus jlus laquinte cu faut
d'attetoke puma s qu ets fat dure
piliques, etui eat put El aura,
1, lots r, qur lc le ie où l'aflilse
de Drecle cutulerlammdaise Lo x
esp tel te let pren duui.s
shot operentie et
Mas je cr cuves salle ut
dant aus À, 1
Le j'ur Lost
reuns
ue fosuesbite Dors
Hamas tt 4 NAS cube
robin es apte te cobesitis
ir utile
d'a dus femsut , hu «st
EEE TN ARS LA pure quelque: ‘rs
U se laqureles Use
” Vous ve as Vous L'ar ouate
Lan
d'est vrai de leurs inspwraliuns , 2n
culie des vicilleslegendrs, a La revsve
bcalun des vieilles rpuques . et rage-
dement :l en vint a se chose ane
epuyue favonte sur laquelle sl cue-
ccutra luutes ses ctudes, Lluultes se
facultés. Ce fut crile d Élmabrtà,
etrndue de quriques anners cn deg
et au dela. ll s uuplanta Le, (angnes
an re nullins, se salura des ccrits, ds
l'esprit, du goût, des mudes du temgs,
tercut, se wut et respire dans l'aime
sphere des Lrwester et des Ralragh.
benrtra par la peusre, par UD snstaci
de couvicuon, ce que les rrhiques e-
crites, aculptrs uu manularturees ds
temps ne pouvaratrrseler et en vai
rrelirmenut à se faire le cuntemgpes-
rats d'une fencratiou antencure à
deux secles. Le méme que tel vene-
table Benrdictin. an courant àn
moindres avtes dr Tubaut-le-In-
cheur et d'Herbert Frelle-{bers,
savait à peinc la Lataule de Frré-
laud et le traite de Dubarret, de mé-
ue pour Lotib, capable de s'ogesr
JUr raviruns de Rrgenl - Strret «
daus rs larges rucs de Net End,
out ele uu jeu de se drgagetr de de-
ele de La (ae ous les T'udurs. Lette
chasse du Luiye, des choeurs,
des lunes, des prexuges et des
nheos dahrs, resgarr clans out cr
qu s lait Lau, cthoour à ua œuure
des certe de veriir locale qu copt-
toutet prduisrnt Lillusus. uses
Mull, par l'eviat rt la trcundsis &
«ui lairut.rut pre place aux sse-
iutes de l'areue hlteraire, et que le
cime Ul la Urccrre de sun gens.
Qi put veour que dans cet art de pre-
lfe bits miecie el in pass. ert Qu M
JU bete Mocdir de de9s Gucres, 6
vail ou des precurweurs, el qur
Lol dut Sultau reste n est p ont
0 pagiaire aval, crue lus, man
avant lin, ‘tes 241: lt 1 dr Perses
oser D'outoque dois toute La porn
RES gi
Apssire
44
°2 LAN
Londres, 1798, an-n°. Bien qu'en
general vous ne gudtions pas les vers
«ns rees, c'est a tort que Byron,
dans une natr de sa famrus satire,
pour exploqner ces deux vers,
M bang torse of 8.1 bat child prattie teté
tes bimed barmoeay !e L2mb sed Liezé
caractere les deux am:s par -Latb
Lloyd. les deux plus aignobles sus-
vonts de Seuthes ct compagnie. °
2°Jean Wouderille, \ragrdie, 1n01,
MEN O0 vers ct et prose, à la tua-
mere de Shaksge are 1. 3° M. 48",
farce reprevrnter cn 1806 à Drury-
Lane. De tous ces morcrauxtla rage:
die apartiles mesdleurssontirs Truss
Mas et les .idirur au Tabac,
en vers dé con syllabes, la V'er-
non de reprnianre rl quelques-
tas des deuse saunets. I Le cuute
de HNusamende srey et la vocrile
areugle Margurric, Lonulres, 150,
nu N°. ÔI. Arcots sur Shukspeure,
Doantres, Un, 2 val sn nv
Vaoun Frooits, faut sur des contrinpes
nains de Sluhegpeare que sur Shih-
gerarr lui Wiener ue ul jus seulr-
eut renplie de charme, ce ant dre
ierceaus de cntique achrtes . ils
Bt fait cotoproudre à louis Latino
sphere que réaqurait Nubopeare, rt
faboere à Leigh Huut :Lamb cût
«merite que Nliadoprare lus servit
eutboe Geo craturs, ut chaud sr.
tout du diur IN. érentures dl -
lyssz. Loucires, Dnunm 1-52. V. Les
bosnus NE users Druntireus arts.
besoins le Magazine, le Nes.
VontAly Maguzsans. le Hischsersd s
fes
Voyaseme ir plupart sens je voue
de Date no vis le patdouvime
UP. NU Un resneil inttule
Prhantasuns des p cites angiass dra
agétqgues cures en msies Dam 1 À:
Us notes uen ques rl crilques
Sur Nike orr
«rt Voiue sur rar:
|. aVdVrs - L:
LAN
mines du thedtrr anglers et Lai 2p-
precier la grneraliun dr portes dont
pouvait alors s'enorgneillir l'Ancte-
terre. Lesœuvres portiques de |_zmb
ont ete données par À. et W. Gah-
nan, dans leur The Poetcal W'orès
of Rogers, U(ampbell, Mongomrry.
Lemb end Kirke White, Varu.
1829.— De sa srur on à: !. lÉceis de
auss Lesvrester, Lodres, 108, in-2°
(ouun-12). Il. des Poestes pur bes
enfants, 10, 3 sul. in-b° ou mn (2.
MI. Unverses prunes mélres parmi
criles du frerr. Por.
LAME «Gousou), quatrieme et
dermer his du prrter vicumte Mei-
bourne 1 l'enwton Lans }, nequai
le 41 jutibrt 1754. Îl fut un des plus
brillants élrves d'Eton, passa enomsèe
au college de la Trinitr de Lambné-
ge. ou al recut le degre de maltre és-
arls (1805, et ou se Lil r'Rarques
son goût pour la solitude et puur les
lettres. Cependant 1 susnat la car-
rure du barrrau avre l'idre de de-
veur uu jour uu botutme politique.
clilentra dans cetle sue a Lincuin se
lun, d'ou lerntet 1 fut appeler à Le
crconscnplhon du Nord. Mass ol
dréoûla presque ausutsl drs fver-
Ueus judiciaires, et la drlscatraer êr
su saute lus servit de prrieate brer
les quatter Son frere alne vroat &
teur, lui laiasantet à belle Lebine
Uirque rlunilegs. cunsa ra d abred
waoliurs a desctindes de one choes
Poudont antempeou le vitse Lvrer
4 la getitr litterature de thedtre et ée
prurraus Ds 'aviss de d'innef 3 Lo-
veut Carole ter larve sntitaher Suy-
fes Wbuiathe lorats sl D'avaut è&e-
rs, entra muros ei srgphie. 8
priosre de Latin re, evant es ama
ctossnives, et bon avant (rt apptss
di vsis a 0 vent Garden le pers tde
pubs dthanetrnt cet s Féama :
auteur 0 fa cute Se uer@er ni
Coccorss amis toets eut jras Mn sut dr
les a meer ss
demon avait eu reclrodl
berge bip
Cartwright. Mais aux élections
Lorie pr il dut céder la place
miles de l'Angleterre et de l'iriende,
lle unique de comte (Frédérick Pon-
soaby) de Besborough , petite-fille,
par ledy Henrietle, se mère, du pre-
édershos de fille unique et d'héri-
ere. Née le 13 nov. 1785, lady Caro-
lme avast à peu pres vingt aus lors-
que . manée (le 3 juin 1905) à l'ho-
norahie Willism Lamb, elle Gt son
entrer dans le monde. Elle y prods-
at la ples vive sensetion, et &vint
war des brsatés à ls mode , anne des
premvres dames du château. Ce n'est
pes qu'elle fôt belle : on rêt pu mime
truaver qu'elle n'état pes jolie. Dern
fmte , mas prise de tnile , et de fer-
mes un peu gréles, blanche et blon-
de , us pru réguhère de traits, elle
cêta prone et remarquée dns un
cercle cummus. Ve sein d'un monde
d'elibe, où so mari jount un grand
rôle . 11 n'en élan puant armes. Le con:
trente de ors veux d'un naer ssmmbre ,
avec 200 tri et en chevelure d Aa-
tiane . les donnait queiqur chose dr
waguher : 2 cambrure € Espagaote,
s1 dévuvoitere d'ishranr, es vivaer
té de créole frappairat et la eisex
à pert. Au total, elle ettirait,
captivait et Soissait le plus sou
per fasciner. Ses manières ezsu
ques srmblaient d'abord ééeous
bissrres ; mais on s'approchalt |
le mieez voir, et l'on die,
plus, et l'on s'y habitueit ; en
vait à y trouver, s0e-sruirmes
charme, mais ce qui certes
trouvait pas, de l'hermouie et:
gredetuon , ou plutôt on ne peus
- rien de tout cela : on Le voyait!
et on ne ls désrait point sutsez
Est-ce qu'elle « mettant en gi
frois de coquetterie pour cale!
peu, mas peu, el certes mel
moins maladroitrment que colls
depréciaient et jaloussient sn
On l'accussit de menquer de &
c'et possible (bien qu'on pass
pondre quelque ee
et que s08 abord sb
fois un pre heutmn). À coup sf
grandeur.Le mariage de lady Cas
Lamb fut d'abord beureu : eîte
dooné ir jour à trois fils, êx
survit enrore ; elle se Ver
r Gsat caquetage |
Pan is inténeur, près dr en
théque , près dr 08 Lei t-rel qui
tagesnt son goût pour les ietire
sait souvent avec ville les chefs
vre de l'art. Ms cetèe pomible «
non ne pouvail longtreps entl
la vive 1magtaation de La noble
Pour ces organiatons de feu, K
de braut sites que Les sites accidi
la vie ume et sans tempêtes bei
blait monotnnxæ et prosslsse
aspurait à quelque malheur. ES
trou a paint tant qer Byron nef
HARSETNNl
£Ÿs 55 Ë
HT
sa a
us ï ï ÿ JE IE]
jet
FÉRTENTE EN j
+
es LAB
tres mots sut cette Ligne écrassnie :
°Etton aussi se souviendrs : -
Puis ii déchire le éruillet et l'envoys
sous ua pli a ss persécutnice. lis ne
se réconcilserent jamais , ct queiques
mots après eut leu le meriage de
Byron , suivi biensôt des plus tnstes
tédeurs de ménage , et du second et
dermer adieu du porte à ss paine.
Lady Caroline eùt peut-être loul par-
donné sors, s'il l'eût muse de moitsé
daus ce second prlernnage de Childe- redou
Harold. Mas jamais Byron n'en avast
femmes d'esprit et des femmes domi-
motners. el des femmes.
Pour être souferte de lai au sortir de
cette haison . 11 fallut qu'ane jeune
aues , aprés avoir déserte La maison
paternelle , pessèt un an à ses cèles.
vêtue en page. Et pent-être le dcur
d'un contreste fut-il pour plus qu'on
ne prase, a l'ineu de Byron méme, dans
le choux qu'il Gt de mis Maibenke,
correcte épouse . ms peu semblable à
celle qu l'avat tyraunsé. S'il en fut
mmsi , lady Lamb fat vengée en quel
que sorte per elle-même : son souve-
ner porta malheur. Mass ce ne lat pont
asrz pour elle : le resentiment
profond qu'elle nourssas dans son
cœur s'ezhala beau. et le romss de
Girmnarven(1816) vont atirster qu'elle
entwndat biemer de ses trasts, blesser
de srs muas celus dont elle avait a
ee plmnère. Vous cri de détresse et de
colére où qui ne servait qu à pruu-
ver son dépit et sou démr de fasre du
mal sus suteurs de es mauz, cr
Byron n'état pas seul l'objet de se
hasne. Moss plus le en de l'abendos-
ae sccmeit de désrapoir et de furvur,
plus l'imgaoyalle orguesl de Byron
TRAIT R ENTIER
EE
ÈS HE ji En HR l
AN fobaieup —
i ft un ARE “a
FIFA HE
il a | HAUT
so LAN
geur et en fumdant Dieu les traits
qui La composeut, elle deviendrait su.
perbe, dominerat la têle méme de
Glenarvon , el composceant nn adun-
rahle Uno avec celle de l'héroïne. On
devine, «rs que nous eu disinns da-
vantage, que nous desapprouvons la
conf-son non molver : c'est une
des Lachrs Îrs plus reelles de l'ou-
vrage. Quant à Lepauulr final, ce
n'est plus le roman, c'est on hon
d'œuvre, un epilogur, une ballade à
part c'est uen que L'un connasssr
des lrgeodis analogurs à celle qui
faut Le fox) du morreau) une magni-
bque et dithyramlnque prophetie sur
Brun: c'est le chant des Fures d Es-
chui, le chant qui drswehe, qui
égare, quinuwene a l'abime, - dunt cha
que suilabe est comme la malle d'un
reseau.llu'y a nou dans Manfred qu
danaoe jelus L'inpresmon de terreur et
de fatalité. L'eleve avait passe ir mal
tre. ce n'eat comme pussanre dr
stuir , at Mans comme pusaanc de
pense ct de maledicuon. 1 n'y à
plus la de Bas-Bleu. Au fond dun
cette aditroucpeu longue d ailleur).
ne nust priut à l'unatr. L'uaite vraie
de Glenarran, ec cat L'une d'imprre
on o Verla ton passe rl rt le
ns ile 2 vuiunre et pt huberues:
MU voue ten aveur » (tel est le
œns des dernires purs; Lra pare
sont comme lauenature ads Lam
saigne .- Celle qu te lait. Le merite
des deus autres romans est tres rerl
aueu, et puut tre ler davantage.
Ada Revu rit l'ouvrage laver: de
l'auteur. Îl a le puquant de la satire,
et. qunque niarur, c'est de tous le
plus prufoud le defaut 1 ral pas rare
chez ceus qui, parlant prur La pre-
more fre au path, cn! trop à dure,
el mont pres emcer aus d'eminre
prur nednacr leurs 1mprenmus,
car en matbemaliques 08 nr nn
le poirnour a dernier na à Free
Graham Hemilion déceler ba
de connatssanre et du mod
et drs carartèrrs, des passer
ressorts secrets qui font agor |
nite : Îles erxageratiuns , f
gratuite etinexplhiquer sv U
ouns prodisueers que (lan 4
con; la donner fundainrutabe «
tement plhulsopluque et a
c'est que la franchie , la rm
la inenfasance , le deur de la
lorsque la raison nr tent
ranes, sont les causes de run:
malheur, tant pour celle qui
sale que pour tous srs rntnu
immanquablemenut rarure €
cruellement que Îr voce ss ste
etle crune avre prrmeditation
line, en trarant ce tableau,
d'insperatiou Comme elle avi
Asron dans G/rnarron, de au
se peint ar sous les traits tr 11
laquelle ilest vrai, rappetiel
de celle de (olenarron max
ltus et aueus findus (re
million auas contient diver
adaurables en vers, partouls
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fran: (e que j as fatt, tu ne
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thuèvre . que alla devenir sa brile-
<æur,elit un modele de grâce, de
décence , et non moins verlurusr que
son pere elle ne balanra pas a don-
ner son consnlement. Le 14, le me-
rage fut declare, et, le 17, M. de
Chonrul signa le contrat, conime
avant Îes pleins pouvoirs du duc de
Peathicvre. La bénehction nuptiale
fut donnee le lendemain , le prince
Vietor de Cangnan represeutaut le
prince Lamballe: et le sir méme
la jeune princess partit pour la
France, accompagner du chevalier
de LEstre, gentiihomenr d hopneur
de due de Penthicore, de la rnmtesse
de Gurbriaut et du marquis d Arhé,
destines a son service. Elle arnva le
3 » Montereau ,et, au moment on
l'on se mettait à biere pour super,
un page, vêtu avec recherche et de
tournure éi-pantr, s prrsnta el but
offint un bouquet de la part de son
man. Comparant alors dans sa pen-
we les traits du galant memager avre
ceux du portrant qu'on lus avait rer
a Tanin, elle recoanut bwn vite que
C'etant le prinre lui-même , mans elle
reuwrta son 1nengmilo, qui ne ces
qu'a Nangis, où rile le retrouva ac-
compagne du due dr Penthierre, qui
etait venu jusqur-la au drvant d'elle.
H l'embezmma ave fusion el la com.
bla de carrsus. Apres ls brnedichon
nupüale, donnee aus drut epnux
dans {er chateau dr Nangis, par
le cortinal de L'uyure, 1e partirent
peur Pansavec le dur drl'entlnesrret
toubrs Les prrenanes dr leur suite. Ua
dame de Lamialle fut presrnter Îr 5
levrwr, à Vrraailles. su rit et à la
rose, 513 dauphunr, et sus quatre
Allee du ru. mrauismes Adrlasle,
Vortoure, Sophie tou Louis NV
lsviteti os wesllst avre le pins vifinte
FA: Destin et l'atlschement que
des Ines :) roncut prer elir 2e se dr.
mentirent soma Madame dr Lam.
LAN
balle parut avec éclat dans une cou:
qui commençant à vieillir ets y 6t ds
tinguer uon moins par sa grècr char
manie que par une conduite srrepre:
chable ,et des mœurs tomours r3ræ
plaures. Dans les preaner: irmge de
son oariage, le prince de Larmiaik
se inoutra asudu aupres d'elle, à
coma d'eganks et d'attentras. Le
bon duc de l'emihievre put crue que
sesesperances rlasrni rralisres el Que.
senuble aux vertus, aus choreæes &
son epauee, son bls allasl argeuse-
ment se réfurmer et craer le ve
de hibertinage ou 1l s'etaut lame vs:
trainer jusque-la. Mais 1 n'en de-
vait pas étre ainsi. Tru mo ne
selarul pas vrcutules que Le lm-
son deplorable du jeunr pere
avec le duc de Chartres se rraves
plus furte que jamms. L'on cere-
tere faite et d'un temperament er-
deut, le prince de Lamballe or Lure
de Druveau à ous les rxcrs de La de-
bauche : tie duc de Chartres . éset d
se piqua plus que jamms de mauve
les prruceux exemples , le prre-
Pila juurnellement dans les piles
grands désordres. Touirfues, pour es
pas alarmer sun prre el ne peut
affliger son epuusr il environs ses
écarts d'ube sorte de mysiere , et me
rrplungeait dans la {ange de vu
que clandeslinement. Neaneoes
torux dur, inkerme de reibr trute ve-
nie le lit euivre par un dr ors vabres
Lr jrune prince | avant surpne ua jour
dans rette surveillanre : + Combers
mon pere Le donue-l:1l pour me em-
vre? — Cmquante loum — Ed
Dern’ mer, je l'rn donner autant
pour Cr tenir Tranqulle, et conguentr
cour de canne où lu coatinurs - Bee:
tel apres il leva le masque , pass bre
peurs el les nuls dance re orgue @œe
puleuers, mepriant Les ralbgtatsses
d son pere et les timbres reprurbes
d'aur rp-uer dual 11 e7 mantrast &
is Mageuié pale à lien:
ser el qu'on ne
34 LAN
sons doute que per le der de rrle-
ver la majesté royale de la déconsi-
dératun où la conduile jusque-là
si dérégiée du monarque l'avait fait
tomber. Mass ce proget, qui paraissait
être à la veille de s'accompli, avorta
bientôt par Les menées du duc de Choi-
seul et de sa sœur, la ducheme de
Grommont , qui n'était pas femme à
se dessaur volontiers, en faveur d'une
autre, de l'empire qu'elle avait pris
sur le faible Lows XV. Mme de Lsm-
belle, qui avait déjà reeu nombre
de félicitations asticrpées , ne fut n:
afligée n1 sarpnse, et conunea
de remplir sans ostentalion ses de-
voirs de fille adoptive auprès du
duc de Pentluèvre. Le mariage du
dec de Chartres avec Mile de Pen-
tiuèvre ayant eu lieu vers ce lemps,
elle parut au manage, et asmsta
à toutes les fêtes rélébrées à cette
octasien. Devenue l'ame de la nou-
velle duchesse de Chartres, ciles
Brent ensemble différents voyages
dans les pomsrasuons de !s manon
d'Orléans et de ls maison de Pen-
tuèvre, sement partout les luen-
faits et recueillant partout les béné-
detioes és pauvre. Après la présen-
tation de Mme Deaberry .la princeme
de Lambelle et le duc de Peathuevre
se retrèrent a Vernon, ou leur con-
tante afBatulté , leur charité inepur-
sable brs Great adorer, rt où leur
mémoure est encore aujourd'hes ea
vénérauon. Mme de Lamballe revint
à Versailles pour les fêtes du ma-
nage de La Dsuplune . réservee cum-
me elle a var Gn a: deplarable. Cette
priaceme | auma des qu'elle La vu , et
c'en de ce jour que date leur 1oti-
aute. Drvenue reine de France, Ma-
ne-Antosnrite s'otische encore ds-
voniage à Me de Lombolle , et ce
fut pour cille que La rene ft re-
vivre la cherge de ounatendente
de on marton. ou grond regret à
La virille maréchole de Necsites, qu
en remplissait Les fonctions ses ee
avoir le titre. Peu de temps spoès,
le due de Penthièvre, étant allé tente
les états de , CEORERS SV
lai sa belle-fille, dot :! ne pouves
consentir à rester séparé, même pour
quelques semaines : et Là, comme à
Vernon , comme à Rombeuslist,
comme à Versailles , elle gagne tous
les cœurs per ses manières afable,
et se Bt bénir des malkeurvux per es
nombreuses cherités. Ce fut pendant
cette absence de !a princrsse és Les-
belle que Mme de Polignec , eus ve-
nait de à la cour , s'inmens
plus avant dens les bonnes grêess de
Marie-Antoinette, et que commre-
cèrent les faveurs répendees ensure
avec taatde sur ane fsamile
dont ls fatale influence s'est perpé-
ture jusque dans ces dermers trempe.
À son retour Mme de Lasmbeble s'e-
percut fnciiemrat des progrès que à
nouvelle favonte svait faits den l'e
pri de la reine , el, n'ayaat rocs à
cette princesse, tout à l'heure emeuse
sou auue, que des marques d'ane pe
litrane froidement sfirctueuse, elle ur
demeure que pru de jours à Ve:
les , et aile la betle sms »
Scesuz. Ce fut là quelle appt à
mort de |» princesse de Cangnes.,
mère, qu'elle avait loujours tradre-
ment chéne, et dontelle s'étant oipe-
rée avec lant de Toet e»-
tiere à se douleur , elle fut eblagée .
pour vbésr aux lois d'une ngousvess
éuqurtie, de reparaître à ls cour.
an d'y recevosrles cuadolésanasds te
famille royale. Mme de Lomballe cest
la derniere princesse de la cour de
Louis A V1 qu se so: conéormée à ort
sage, ct les furmalités avec lenquet-
les 11 s'accomplesst n'étant guere
connues de la génersuoe ectasi-
nu
PRE
ul HE
_. ik sa
16 LAN
Uce crganaee par les chefs de la Revo
lutir, et qu'is attribuent & 1ndi-
enetment aux manduvres de la covr.
Un banquer ou agent de change,
nemme Pinet, qut avait toutr Îa
copliance du duc d'Orleans, pas-
sat chez quelques persnnnes pour
être l'agent secret des accapareurs,
etpour dinger à leur compte toute
la marwruvre de l'arcaparrment.
Mae de Lamballe dit 21 la rrine
laut re quelle avaut s cet rgard, et
Fos proper de faire inviter l'inet à
une conferenee au rhèteau dre Marly,
stin d'obtenir de lui, au moyen de
baillantes promrasws, le secret des
acrapareurs. + Qu'on lus premette
teutce qu'il voudra, reporudfit la
crene à Meme de Lamballe, mars
qu'il aparse La fan du peuple; et
eje sus sûre qu'il nous reviendra,
-car 1] nous anprratt sion ne Île
trompait pas.» Finet fut donc in.
dite a daconference, el fatte de la
marque de conbonce qu lus rt ne
onde, 1 avait pronuus de Sy rendre
Les auteurs de Tv farine gvant eu
vent dr l'affaire, le tralheureux f'inet
fut trouve aauseté ans Lo foret dus
Vesinet, sn portefeuille vrfe, à rû
te de Qu Ce misstenenx xsareinat
pesait une srandr wniation, Mate
ve dents Nou + aucune jprurunite
les scraporenents coutiuuerent,
eo pain devint de plus en plus
cher, enperuta a ou xccrucer la
cour. etles hordes pariuennes mar.
chercnt ur Verailles ON peine
Mme dr Lamballe, qui etait lues s
Dhétel de Tout ose tans-urd huit la
Banque de France , en fut instruit
qu'elle © apures à voler aupres dr
‘atene Le duc de Fenthiensre ritra
fans wat sppartetuetst au inoneut
u elle setast, et la supplis de 4
meurvr, lut repregwatant avec forcer
le guet cruel qui l'attendait,eile amis
dr la reuvr. si l'on venait a le re.
LA
connaître en route, el le érsrspour
où «a perte le plangerat. Mme à
Lanhalle céda à ses larmes et à «es
prières, sous la promemr qu'il à
ferait avertir de deux en deux brures
de la suite desévénements. Le beude-
main elle n'eut pes plustM appes que
la famille royale rtnit amente a Py-
me, qu'elle courut sux Tetlenes
elle eut la triste cunsolation d'u eves-
voir la reine à son retour de l'Hôes-
de-Ville ,ou le Pros avait d'aboed et
conduit. Des que Mane-Antortie
l'apereut , elle sr prreints dans es
bras, fondant en larmes. : Tout et
« prrdu, mon amie ce palar est une
e prison dunt nous ne snrlirons que
« pouraller a lamort. - Mme de Len-
balle, emavent de ranimer se con
rage, lui declara que nen dronrmses
ne pourrait la détarher d'elle, et
se retira pour lu: lasser prendre quri-
que repos si Déresssire apres deu
j'urnées pawwes dans d'ausss tn.
bles angriaes. Deus ce moment,
Mere de Lamballe, compsgne smmêur
de la reine dont rile partageant et
consolnt les peines, ne Lt que &
couttrs almeures pour aller vou be
due de Penthnevre, sut à Aumsbr,
ant a Vernon. Êll- w trouves des
coûte derniere réudencr à l'épequr
de !3 fameuw sance du 6 frere
1790, wn Lour NN, voulant Over
tout prrtexte aux fartieus qui lac-
cuaiteunt de nourrir dans sos cœur
UDe 2tertun jronontee pour be Bee-
vel ordre de chere, ve rendt acgs-
nement à l'Awrmblce nationsie peer
v jurer de maintetnr la liberte eue-
alifutionnelle On sant avre qeri ee-
theusiasme settr da laration sprete-
nee fat scenenthie par 1 amis de !
dre usatsusrquel \uembirepres
ue cr re vw leva sut rrrs de Pose
le rœu'etlr rrennduiul juique ses
sonpular Lours NV put crorr œ
ur so qu'il avait rrconquesl'saser
ï
HIH
la
dit
ES
4
a
È
3
CL]
+ cet effort, mon cher papa
«+ Le coûté droit n'a opposé qu'une
«faible résistance, excepté le mar-
«corps; et, comme où pe pourait
garanties: justifier Le prince qu'en sccmsant de
38 LAN
- braves gens, le marquis de Bonnay
- a fait leur apologie, ra vieux sol-
« dat, de la manière la plus tou-
chanter, et a Gni par dire que les
« gardes du corps, £es braves frères
+ d'armes, seront toujours ce qu'ils
eont été, semblables à Bayard,
°ssns peur et sons reproche. Sin
+ Courage a ranitné le côté droit, qui
° a demandé l'ajournrment: mais 1en-
° poemble. Mirabeau était trop pressé
+ de sortir d'affaire, et ils ont été
+ blanchuis tous deux. Je vous écnrai
- tout ce qui s'ensuivra, el je prof-
- ras toujours des occasions de vuus
assurer du tendre respect, etc.
Rien de remarquable dans la 15e de
Mme de Lamballe jusqu'au monent
du fatal voyage de Varennes. Quand
le projet eu fut drémitivement arrête,
la reine lus en Gt part, rt l'assurs
que dès qu'elle serait en lieu de sù-
reté elle l'appellerait aupres d'elle.
Mais sl fut coavenu que juwqur-la,
pour écarter loul soupenn, rlle srait
haluter le château d'Aumalr, un une
adispoulion auez grave pelrniait
alors le duc de Prathievre, et que la
rene lus ecriwait des qu'elle serait
amvee a Wontmedvy. Elle partit donc
pour Aumale. Leurs acheux furent
Urs-tou hante: 4 semblait qu'elles
éprousasent l'une et l'autre ir duu-
loureus preswntiment des malheurs
srreparables qu'entralnerait un voya-
ge cntrrpris sous de si lristss aus-
porre Rien tristes ra efrt° Le mor et
la reine ramrnes caplfs aux Tinle-
mes. Mane-Antouinette epaocha ane
sa douleur dane Le sein de son ste .
e Nous avons etre trahrs: notre mal-
hbeur rst su comble: vus Élu:
cheth je ne rs juaqu'ou aurait
créé mon drarspur Mais ret ange
+ faut poser ce s'ans les arurs ire plus
- Olevtes la pars rt la ru gnation qui
ne l'ahandoonent puint Mrs eu-
« fauts nnt étr acrables & fatigu-.
LAN
+ la chaleur etast exceauve, de mou
e raient de soif, À nous evens eu
« toutes Les prines du monde & new
procurer des rafraschsssements. .
e Les défiances sont sugmæpratres : 1
< ya eu plus de dangers qu'avant
<ce malheureux voyage. Oh! ms
+ Chère Lamballe, ne vous expesrs
«pas aux plus snjustes soupques.
« éluignez-vuus pour quelque temps.
«S plus tard le ciel nous réenst,
« vous retrouverez louwvurs le cour
- d'une smie qui compte sur le vé-
etre... Cette lettre afliges prufuadé
ment le duc de l'enthuèvre rt Mme &
Lamballe. Cependant elle ne pouvas
se résoudre » suivre, cn s'rhugnoat.
le conseil de la reine, obligée qu'elle
eût été d'abandonner sun beas-prre
souffrant. Ce fut alors qu'il parut
dans une feuille révolubunaasre, ©-
Utulie Le Pagurbot, un artcie 1af3.
mr. où la princrasr élait accusée d'a
voir, au moment du depart peus
Varennes, fait arbuorer la cocaré
blanche à ses domestiques ; d'être
en currespundancr avec Mec De.
barrs, retirée en Angleterre, et &
preparer par ses intrigues la contre
revolution. Cuasternée d'unr parralle
dénonciation, qui mreitalt ses jours
en danger, Mmes de Lombulle cret
devur se discuiprer par crite beîire
adressée au rrdsctrur de Le Fame
de Jour : : Permettrz moi, monure.
° de réclamer contre une erreur dem
«laquelle le rrdsrtrur du Pegurèst
<scte sindul par sin correspvaedant
«de Londres. Mme de Lamballe »
+ appris à Aumale Le drport de res
° Elle y était allre à causer d'une
edepraiton survenue à 0 bros
père, M. de Fratlucure. Elle ns
avec elle qu'un seul nègre. BE
«n'a dune pu faire portes la corsæè
e blanche à srs geus, qu soet rexèrs
+ & Par. Elle n'a pammens ete ça car
. respondance avec Mme Dubesrt.
RAP LLC LI EE
1 MR
fl ATÉe ji
£ BAR HENRI plus il
fi SH: fi jh HR FH li
HÈ CE jissi Ysatiiss ris
JE FAR fl ji ju jus
RH
ee LAM
suis aœmurée de mourir où d'être déli.
vrée avec vous, je me trouve heu-
reusr.. Ce douloureux bonheur ne
devait pas lui être laissé longtemps.
Les hommes de la Commune avaient
décidé qu'on enléverait à la famille
rayale les bdeles serviteurs qui s'é-
tasent voués à» son sort, et, quoique
pour en ven là un prétexte leur
Mt peu néresaire , 1ls fabriquérent
la déciaration suivante, que nous re-
produsons texturllement : . Par de-
<vant nous. préposrs à la survel-
lance de Louis XVI, le 18 anût
. 1792, à mods, est comparu le «1-
tosen Devin, sous-offinier de 1a
e compagnieci-devant Monueur. sec.
«ton du Lux-mhourg, lequel nous a
- déclaré qu'élant en sentinelle sur
l'escalier où donne la chambre de
our AVI, d'a su, vereles onre
«heures, sortir de la chambre du mi
heu, une dame qui tenait (rois let-
ctres d'une main, et de l'autre
“ouvrant avec précantion Îa porte
- de la chainbre a rente, d'où elle
“onvtt rs mams vuirs quelques
<tnstante apree, pnur rentrer dans la
chambre du nulieu. Devin ajoute
quil à va dretinrirment, prndant
elec deux fers que cette dame savait
-ouvertls porte, une irlire à mm
cr rente: et. noustlémagnant ses
-irqutuke sur La correspondance
qu'il upronne exrster, 1 nous à
errqus de anur toutes lettres st
cfjrapuers que nous pPeurrons 2per-
ecevur entre toutes les mans d-
“tontrs peraonnrs que approrhent
eLoure NV Sur quoi nous avions
“arrete dencdhrer aux trpreun.
etants — À l'instant rt compare
-Jesn PP Pro quet, garde natronal dr
* Va section de Saint-Sulperr, lequel
- mous à dl qu etanten wnhnmellere
rmatun, sur la paires eutre odeur
- teuvelbrs 1 a su par la feudire de
‘la chombre dre muiloeu une dame
LAN
. écrire avec hesucoup d'attes
+ d'inquiétude, pendant tnutle
+ de sa faction. Lesquelles &
ctions les ausdits n'ont a
° pour ne le savoir, ainsi qu'il
e déclaré. - Ce fut d'apres ceu
cule déclaration qu'un mandat
uer ayant rté lancé contre toa
prrsonnes qui étaient venues 1
fermer avec le roi au Temple.
ugntfa à Mmes de Lamballe
Tourzel, qui furent contramte
rendre auprès de la reine
prendre conge d'elle. Les
de Marne - Antiunette et de La
crue furent dechirants. Qu
été donc ss elles avaient pu
trer dans l'avenir! H étant |
quand elles arriverent à la Com
On lesinlerrogra loutrs wpen
Nous n'avons à nous occtiper !
de l'interrngature sul pur 4
Lamballe. — ° Vos tome ? — !
Loutw-Thereer dr Save.
Lamballe. — Quris rrnsrigm
avez-vous à donner sur fl'af
10" — Aurun. — Ou aver-vo®
crie journee? — Comme ps
j'ar auivi le r.1 à l'Assemblée
nale.— Vous #trs-vous rnucd
la nuit du 9 au 10? — Nos.
eher vous?— Dans mon appart
au château. — Ne vousétre-ve
rendue chez le roi dans la et
Voyant qu'il pourra v an
beurt, j'a pacw chez lut ve
berurr du matin. -— Vous devr
et ronnasaure que le prupé
tnsurge ' — Je l'a appns es
dant sonnerirtcan — Ave
vu les Suisere rt re cardrs
DOUX que onl pass ‘a notl sup?
raue ? — Je eme surs meer à ei
tre: masjn'en ave sure,
ratetail-il chez lur quand vue
s ctre rendur?— [ y avait be
le mon, mars be ren n'v rês
Vaus avez su que le mesre :
mnt prêter ? — Je n'ai pas cn-
u prêté de serment.
aller
au Temple. Tous T
qu'ils y retourneraient avec joie. On
les fit retirer pour la deuxième fois ,
et on délibéra sur la question de sa-
voir si on les remettrait en liberté,
ou si on les maintiendrait en état
np LS
on décida L s'en rapporter
sn tamis sde Manacl et de Pons
Manuel eut bientôt pris son parti , et
il les fit, pour la troisième fois, com-
paraître à la barre. + Mesdames, leur
« dit-il avec assez de politesse, le con-
+ seil général, dans sa sagesse, vient
cette alternative infamante , de
Lamballe, relevant fièrement La tête,
conduise dans La :
Te
e4 LAM
v fat parteuhièrement remarque, qui
or ft sotre chose qu'égorger peu-
dant les trois jours entiers, sans au:
tre enterruphon que relle dont il avait
besnn pour aller prendre à la bite
quelques aluneuts dans un caharel
de la rue du Ror de Sicile. Cet homme
etait hornide à voir : les bras nus, la
poitnur découverte, 43 peau naure
rougie par le «apz qu'il répandait à
flots, aur & fizure d'affreux éclats de
rire, à chaque voctne qu'il vovant
CAPIFET SOUS PS COURS, TOUS PUSSIPZ
dt le chef dre esprits infernaux , ac-
couru là tout expres pour assouvir
ann antique haine contre le grnrr
humain 1%. On dutinguant parmi les
autres masurreurs Varirt, Gouchon,
Allagre, Belar, le lissrand Radi.
Mau et Charlat, dont nous aurons
a parler tout a-l'heure. Mme de Lam
balle, apres le départ dre Mme de Tour
ze, fut hvree à l'inquiétude la plus
Vive, autatigrisrsles plusternibirs.
Les cris des malheureux qu'on sir
Rrait daus Î1 rue rrtrntissatent jus
qu'aelle. A chaque instant ol bus sem:
but vor armes les lmurreaux qui
devaient sorgrr a soutour. Sa porte
ouvre, elr & croit au moment
supréar ; ce Mme de Navarre qu,
la heure ravounantre d'espoir, lui
presente « lnllet sans sisualurr, qui
tient de luudtre retnis par Une all
iNcubcur + Soyez tranquille, M. .
«à premtela vie a celle qui vous est
chere. Intes-lusque, quelque s hrs
cqu'ilarmae, cbr se tienne eufrr
. mre dans ss chambre ,rtuends.
0 ‘e vwg'e qu Pouvuier rAmerwes.n at:
meer 00 vaûseum 09 Dumas ! Deisres + se !
59 deDne . que royreum 0 roggssour À:
ren es op 00 © MYCBÈPE 0: Our! ©
c'D00 08 (ap:l2 ve 69 Cause 00 D Etre 68
Fosse ya mire, ,t 1 0e 0 Où D pro r à
au [A cm 7 - œmiro > ” “as nm mn; "0e
@ "Emgeames fu "pre Dse0g; 1 0 0UBut De’
We 85 D ot ( 000 p:qu (et 210 007 ©
gare be o bon + © : We Bus
L AM
° cende pas. + Bien quell:
déja le «scnhce de sa vie
Lamballe n'en eprouva pas
vif sentiment de jrie à la k
ce billet, et sl ne Ju fut pas d
deviner d'ou fui venant cette
Uononattendur UWuel avtn
quel duc de Feuthievre pue
cuper de sa «d hvrrance dan
red moment? Acecable de ch
d'inmquietudes, atteint d'une
grave ,ce malheureux prince
uit dans son hôtel de Touto
que le danger que courant ss
ne vint ajouter 2 sa d'uleur,
la délivrance de Me: de To
savail à quriles conditinns
l'avait procurre. Un valet d
bre , joutesant de toute as ex
est mandé pres de lu. « Al
°dit-11, nreparçenez nen
« Manuel; la moitié de ma |
° ma fontuur tout entiere, s':
«pourvu que je la auvr' A
- gerdezpasune minute‘. CN
cher Manuel. 150.000 fr. sa
see ct rerus. Manuel pro
œuvre à Me de lomholle. M
roce que see rollegues, cet
N'etait pas drpourvu d'une
luvauté ,rtilse prquait de
parle. Aus jourshoniiesd
parlns, 1 la tint wrupuirus
tous ceux à quil à avait à as
+ pri d'argent sut pur toi
tutif: car est svere que
et lui uverent surlques a
Prut svne pen rupger Vas
vertanetment v;yvrene Mec d
late .silaohesr 1vait ebtx
doper de tur Vase ol trou
Pesestaner a la jueile tlne à a!
pts. etilfutedlhige de coder
vel ute plus forte que la ves
Masssrs le 2} urtwe du 3:
teratunun t, st un vicn.e À
succes augir. .trureuit
awtl fat ctendr, prudent «
CRE
où elle
que temps évan. Kl
3
de silence,
. Elle eut néanmoins la
RE
. demeura quel
mais bientAt les cris lt Lamballe ! La
Lamballe! rrcommenernt ;
se fit alors un moment
LH
LL
âl- force dela
Les
L L'un
Ë
$ ee HS ï fl
6 LAN
lice urganisée par les chef de La Révo-
lution, et qu'its attrihuaient & indi-
#nctmeut aux manruvres de la cour.
Un banquier au agent de rhange,
nunmé Pinet, qui avait toute Île
confiance du duc d'Orleans, pas-
san chez quelques persnnnes pour
être l'agent secret des acrapareurs,
eCpour dinger à leur compte toute
la manœuvre dr l'arcaparement,
Mme de Lamballr dit 21la rrine
tout ce quelle savait à cet égard, et
lus proprsa de faire inviter Pinet à
uue conferenre au château de Marly,
shn d'obtenir de lus, au moyen de
brillantes promesses, Île secret des
actapareurs. « Qu'on lus pronwtte
tout ce qu'il voudra, repandit la
speine à Meme de Lamballe , mas
qu'il apais La faim du peuple; et
<je suis sûre qu'il nous reviendra,
-car il nous aimerait sion ne Îe
trompait pas. - Pinet fut done in-
vite à la confrrence, et, fatté de la
marque de routine qui lu était ac
“ordre, ol avait promus de S'v rendre,
Les auteurs dr la famine avant eu
veut de l'affaire, ir malheureux finet
fut trouve assumé ins La forst du
Vrsinet, sn portefeuille vide, à ri
tr de lin. Ce mvdteneur aswmmnat
peut une grande wneation, niate
ne donna lieu à aucune prourstutr
les accoparements conlinnerent,
e pain devint de plus en plus
her, onperuta à cn accuser la
our, et lre hordes pariuenties mar-
shercnt sur Veruities À peine
Mme de Lamballe, que etait alors à
Eltel de Tout our tausurd hu la
Banque de France , #0 fut instruitr
qu'elle dv ilaperer à voler aupres de
Le tue fe lentfieste entra
lots sut: partrtmest au Moment
«re s est etls supplrs dr +
ueurer, lui reprewatant avec force
ét oral qu | attendant. elle amv
ve Don venait à la re-
y fs iii
te Vo pen
LAB
connaître en route, et le dtesmpes
où sa perte le plongereit. Mme &
Lamballe céda à ses larmes et à «es
prières, sous ls promesse qu'i
ferait avertir de deux en deux brures
de la suite des événements. Le lende-
main elle n'eut pes plus tôt spprsque
la famille royale était amense à Ps-
ns, qu'elle courut aux Tosienss :
elle rut la trete consolation d'y reur-
voir la reine à son retour de l'èes-
de-Ville , ou le roi avant d'abord
conduit. Dès que Mane-Antosnetie
l'apercut , elle se précipite dsas sn
bras, fondant en lsrmes. . Tout est
- perdu, mon amie’ ce palars est une
° prison dont nous Be sortrons que
- pour aller s la mort. . Mme de Len-
balle, emavant de renimer sa cse
rage, lui déclara que ren d'enrase
ne pourratt la détacher d'elle, nt
se retira pour let latserr prendre quri-
que rrpns si Décrire apres érus
j'urnées paudes dans d'aness tern-
bira angnimers. Drpur ce mom.
Mme de Lamihalle,cnmpagne asmêse
de la reine dont elle partageant à
consolan les prines, ne 61 que à
courtes almences pour aller vo be
duc de Penthièvre, snit à Aumebe,
sta Vernon. Elle « trouves dens
cette derniere réudener à l'époque
de la fameuse seanre du 4 fevrer
1790, ou ours N9I, voulant êtr
tout pretexte aux facteuz qu lar-
cuatent de nourrir dans 200 cœu
une aversion péononree pour le se
selorire de chers, e rendst mege-
nement à l'Assemblée nationale pes
y qurer de œaintrtur !a liberté ese-
stututinnnelle. On sat avec qeni ce-
thoussasme cette der larsuoe spsate-
nee fut accueillie par les 2m: de l'or
der.snsatausuquel ivembiegres
ur chtieee er leva sux ces de Fou
le ro! et le rrennduiut jusque dns
mm palar. Louis AV! put crue œ
mur ls quil avoit rrconçue l'aase
Re NE RM anis
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Ucc organe par les chrh de la Réso
lutin, et qu'ils attribuant à indi-
encment aux mancruvres de la cour.
Un banquer nu agent de change,
nsame Pinet, qui avant toute Îa
confiance du duc d'Orlesns, pas-
sait chez quelques persnnnes pour
tre l'agent secret des accapareurs,
eCpour dinger à leur compte toute
la manœuvre dr l'accaparrment.
Mmes de Lamballe dit a la rrvine
tout ce quelle savait a cet égard, et
lux proposa de faire aniviter l'inet a
nue conference au château de Mariv,
atin d'obtenir de lus, au moyen de
brillantes promesses, le secret des
accaparrurs. « Qu'on lus promette
tout ce qu'il voudra, repondit la
reine à Mec de Lamballe, mais
«qu'il apoise la faim du peuple: et
<je suis sûre qu'il nous reviendra,
<car 1 nous amerait son ne le
etrompait pas « Pinet fut donc in-
vité à la conference, rt, latte de la
marque de confiance qui lus était ac
curdre, al avant pronns de s'y rendre.
Les auteurs dr la farrine avant en
sent de l'affaire, ir malheureux finet
fut trouvé assasuné dans La forst du
Vreunet, sin portefeuitle vide, a rs
tr de lus Ce mvtrneut assminat
produit une grande «nation, mat
ne donna fwu à aucune prursuite
Tes xcraparements renlnnerrnt,
te pain devint de plus en plus
her, onperata à en 2ecruser la
nr, et re hordes pariuenries mar-
cherent sur Verailles À peine
Mme dr Lainbralie, qui etait alors à
Lhétel de Ton! uw ‘aujourd hur la
Ranque de Francr , en futinstruntr
nuelle & apres s voler auprre de
venue Le ue de l'ontlnevre ertra
ste Got si parteruent 20 Meonent
crie sort ets supplis or +
dcurer, lt erpreswotant avec frre
s-rt cruel qu l'attrndast elle amv
Vo teurs où l'on venait à ln re.
LAN
connaitre ru route, et le érsespur
où «a perte le plongerut. Mme @&
Lamballe réda à ses larmes et à eos
prières, sous la promeme qu'il ls
ferait avertir de deux en deux brures
de la suite des événements. Le lende-
main elle n'eut pas plustôt apps que
la famile royale etait amense e Pe-
ns, qu'elle courut aux Toenienss :
elle eut la triste consolstine d'y rece-
voir la reine à son retour de l'Hôtss.
de-Ville , on le rot avast d'abord et
conduit. Dés que Mane-Antomærtie
l'opercut , elle se precipits dans ors
bras, fondant en larmes. . Tout est
«perdu, mon amie ce palars est uar
e praan dont nous ne s0rurons qur
° pour aller a la mort. . Mme de Lam-
balle, emavant de renimer s0e cs
rage, lui deciara que ren désnrunses
ne pourral Îa detarher d'elle, et
se relira pour lu: latsser prendre qurt.
que repas ni Décessatre apres dus
j'urnées pamées dans d'auess trrn-
Lies angmievrs. Depuns ce mort.
Mme de Lamhalle. rnmpagne amer
de la reine dant rlle partegren et
consolant Îles peines, ne ft que à
courtes alwences pour aller vou
dar de Penthièvre, soit à Aumebe,
entte Vernon. Ellr ee trouvant dem
cette dermere réudence à l'époque
de |2 famruer sanre du 4 fevner
52%, ou Lour NVI, voulsnt en
tout pretexte aux factieux qui lee-
cusaient de nourrir dans se cœur
une version péonobree pour le nee
telordre de chose, e rende 1mcgs-
némrnl à l'Atwemblée nationale peus
v qurer de manteuir la liberté cue-
sututinnelle On sat avec qert ea-
thensiseme cette da larstion speute-
nee fitareueillie par Îrs ame de l'or
dre: neatausuquel \ermideepres
or ecnictre leva sut cree de Dour
le res‘ et le rrrnnduiat jusque sms
son pular Loors NVI put croe œ
ur la qu'il avait rrconques l'acmses
fl
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8
+
Ci
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38 LAM
- braves gens, le marquis de Bunnas
<a fau leur apologi, en vieux sol-
« dat, de la maniere la plus tuu-
- Chante, et a fin: par dire que les
+ gardes du corps, ses braves (freres
« d'armes, særunt toujours ce qu'ils
ont été, semblables à Bavard,
san peur el ns reproche. Son
< courage a ranumné le côté droit, qui
+ a demande l'ajouruement: mais im-
-< possble. Mirabeau rtait trop pressé
de sortir d'affaire, et ils ont été
« blanchus tous deux. Je vous écrira
etout ce qui sensuvra, et je profi-
< rattoujours des occasions de vous
«assurer du tendre respect, ele.
Rien de remarquable dans la vir de
Mme de Lamballe jusqu'au moment
du fatal suvage de Varennes Quand
le projet en fut detiniivemenut arrete,
la reine lus en fil part. rt l'aura
que dès qu'elle serait eu lieu dr sù-
reté elle L'appellerait aupres d'ille.
Mass ol Cut convenu que jusque-là,
pour carter toul soupcon, elle srant
hainter ie chateau d'Aumals, ou une
indispiion avez grasr prie
alors le due de Penthiesre, et que la
resar doi eeneant des quelle serait
amnee à Mentweds. Elle partit dune
pour Aumole Leurs adieux furrnt
rs tuus hante, al semlidait qu'oiles
eprousawant l'ane et l'autre le dou.
loureur preswntiment des malheurs
wrrpurahies qu'entrainreait un versa:
ge cntrepris eus dr si tristes aus-
porra Bien tristra ro effet Lori rt
la rene ranicties captifs aux Tuile-
nus, Marie-Antoinette cpane ha ais
a douteur dans le sen de su atine
Noos ons ete tralue. notre mal-
sheut ot an comble, ane Eli:
cheth je ne sais jequ'ou aurait
ectn "1 PA COL Moiort Jr
futouswtr ‘ais lee mours des plus
-G'ertre "a quiz ctlareustatit qui
he Dalandonnent point Mers et:
fonts ent ste ar: alles er fatigu:
LAN
+ la chaleur etasl excessive, os men
« raient de soif, et nous ere ne
« toutes Les peines du monde ç x
+ procurer des refreschsssements.
« Les drhances sont sugmratres: d
°ya bien plus de dangers qu'avait
-<cr malheureux voyage. Où'
«chrre Lamballe, ne vous expos
° pas aux plus snjustrs suapgses.
- éluignez-vuus pour quelque iemgs.
«Si plus tard le cl nous rem.
vous retrouverez luugours le oser
+ d'une amie qui compte sur be vé-
etre. Celle lettre ailiges prufuads
mentle duc de F'euthievre et Mas &
Lamballe. Crpeudant elle ne poesag
se résoudre à suivre, rn 9 rhmgnent,
le conseil de la reine, vbiagee qu elle
eût éte d'abandonner sun bras-pere
souffrant. Ce (ut alurs qu'il peret
dans une feuille revulutiunensre, ©
Utulce le Paqurbnt, un arteie all
me, ou la proncessr elail accasee d a
voir, au moment du depart pes
Varenues, fait arburer la cocarée
blanche à ses domestiques . d'être
en cofrespundance avec Mec De.
bares, relirer en Angleterre, et &
Prrparer jar ses intrigues La contre
revolution. Consternee d'une percale
dénonciation, qui cmetlast rs pour
cu danger, Mac dr Lamiuile cru
drvonr se disculper par cetle britre
adresser au rrdxctrur de Le Femme
du Jour : . l'ermettrz mu, more.
+ de rrclamer contre une etreus dem
claquelle le rrdsrteur du Pegerèe
acte tndut par son corresp el
«de Londrre. Mme de lsmballe »
«appns à Aumale le drpart ds run
- Elle 4 rtant allre a cause d uar =
edapubon survenue à 8 bres
pere, M. de Frullicure. Elle ns
-avec elle qu'un seul negre. EX
Nador pu laure purter La corarè
blanche à ors geus, qu s0ei rer
* à l'ans. Elle n'a jamans ete ce cer
- respundance avec Mme Daberrr
ÉTEND EE
ji A
EE
FH El —
FH # = Ha
EE RE ji ii
HA HAE Fi
60 LAN
sus auurce de mourtr uù d'être ééli-
vrée avec vous, je me trouve heu-
reuse.. Ce douloureux bonheur ne
devait pas lu tre laisse longtemps.
Les hommes de la Commune avaient
décidé qu'on enléverait à la famille
rayale les Bdelrs serviteurs qui s'e-
tarent voués a ann sort, el, quinque
pour en sent là un préteste leur
Mt peu néresaire , 1ls fabnquérent
la déctaration suivante, que nous rr-
prodinsans texturilement : « Par de-
.vant none, préposrs à la surveil-
sance de Louis NV1, le 18 aût
1792, à mod, est compare le e1-
etoseit Devin, sous-offiner de la
compagnie ci-devant Monueur.arc-
tion du Luxembourg, lequel nous a
. declaré qu'étant en sentinelle sur
+ l'eeralier ou dunne Îa chambre dr
ours AVI, 1 se su. vers les onze
heures, sortir de la chambre du ei
heu. une dame qui tenait trois let-
ctres d'une man, et de f'antre
ouvrant aver précaution Îa porte
de la chambre à droite, d'où elte
coomtit rs mams vides quelijues
ernstants aprre, pour rentrer dansla
echambre du mieu. Devin ajoute
qui a vo distünriement, prenant
ele deux fins que crite dame avait
ouvert la perte, une lettre à moi.
ct entr: et. noustlémaignant as
-inquetuds sur La enrrespondanre
<qu'if snupronne eviter, 11 nous à
oprqus de sœrur toutes lettres et
“papers que nous pourrions aper-
ecevair entre loutes les mains dr
ctaitrs prunes qui approchent
Loos ANT Sur quer pus svens
cerétr den dtfrer aux Prpreu hi.
“tante — À Pinstant est compare
* Jeso P Pro quet, garde natsnal de
la œtren de Snint-Sulprer, lequel
nus 3 dit quetanten sulinellerr
matin eur la galere entre leodunt
turelles Hasvu par la fenêtre dr
Ta chombee fr mmlseu ne dame
-. écnreavec beaucoup d'attent
+ d'inquiétude, pendant inutile
- de sa faction. Lesquelles dé
etions les susdits n'ont «g
* pour ne le savoir, ain qu'ih
déclaré. - Ce fut d'apres cet
cule déclaration qu'un mandstc
uer avant rté lancé contre tos
prrsonnes qui étaient venues &
fermer avec le roi au Temple,
agnifia à Mmes de Lamiulie
Tourrel, qui furent contramnte
rendre auprès dr la reine
prendre couge d'elle. Les :
de Mare - Antennelle et de La
reue furent drchirants. Qu'e
été done ss cÎles avaient pe
trer dans l'avemr' 61 étant !
quand elles arriverent à ls Cox
On lesinterragrs luutrs «paré
Nons n'avons à nous arcuper 3
de l'interrogature sale par M
Lamballe, — . Vas noms? —1
Loutv-Theree dr Sarme-Be
Lamballe. — Quels renseigne
avez-vous à donner sur l'afls
10° -- Aucun. — Ou avez-vous
relte journee — Comme pa
j'as suivi be roi à l'Assemilée
nale.— Vous êtrs-vous cneché
la nuit du 9 au 50? — Nous. :
etiep vous?—-{[lans mon appart
su rhitrau. — Ne vous étre-ve
rendue chez le rot dans la os
Vovont qu'il pourrait y aw
brint, j'ai pas chez lun va
heure du malin. — Vous devei
en connassauer que le pruph
usurge ‘ — Je l'a apps ee !
dant sonner letecun. — Av
vui les Sutsere rt ire carèrs
Baux qui ont pau :23 auit ur
raser ? — Je De sure Entse à URI
tre; taie je D'en ai vu perse.
rouetait-il chez lus quand vo
vetrs rendue’— Îl y avant bes
Je mondr, mars le nn n'y sta
Vous arez su que Le easee :
61 LAM
d'abord que Mmes de Lamballe et de
Toursel sersient séparées l'une de
l'autre. Mass ce Manuel, qui faisait
proframon de baïr Dieu et les rois, ne
se montra pas insensible, dit-on,
aux charmes de Mme de Lamballe;
car, bten qu'elle eût alurs pres de
quarante-trois ans, s3 figure n'avait
encore nen perdu de l'éclat de srs
preaneres années. |) drcida de son
autonte privre que les deux prson-
awres resteraswnt ensemble. Mme de
Lamballe et Mme de Tourzel passe-
rent les derniers juurs d'auêl a se
confier leurs chagnins , leurs inquié-
tudes, a se consuler et à s'encourager
œutuellement. Cependant les visstes
domiciliares avairot encombre Îles
prisons qui regorgraiult de detenus.
On y cu amenait luus les jours par
cœntaunes, et ir moment était ve-
nu ou elles n'allaient plus sufbre. )l
Gallut suuger a se drbarramer de tou-
tes ces bouches inutiles. et les chefs
des cunjures s'asembiereut à l'hôtel
de la Chancrlirne pour + aviser. Le
entre de la justice, Danton, prest-
daut le cemeeil, anuste de ses deux
arcretaures s contnleutls inliines, Fa-
bre dÉglantine et Launile Drsmou-
has. Plusseurs moveus furent eus en
avant. Billaud-Varenune propnsa tout
d'abord de mettre le feu aus pnsons
ete brûier tout re qui lait dedans.
Ce munven avant rte tejrte dans la
craute que l'incendie ne causâl plus
de anal quil ne fallait, un autre pre
pass de faire penis rs prisonmers par
vou dinondetin. Ce serait beau.
coup trop lent, s rer Marat : ° ll ral
°anmeven tduen mrilleur,el auquri,
jen sus certain, le pruple prra:
- dre part avec plasssr d'asuuxante
chruus, garcons louchets, d'init
eprauiseir rs gens 129 ntaccou-
elumrsauere ler facile de bre
-detesmauer à 'uer Vous ca arintre
orrates que au fait wat mrrams in
LAB
«nocents que les moutons :
eégorge tous les jours per
chers. . L'avis de Marat préval:
le mascacre des prisons fut &
C'est ausss Marat qu, dem
vues d'humanitr, ou de sûrrt
un ne peut croirr à de l'hue
chez un pareil homme), den
que, pour moinsefrayes les vict
on ne pronunçit, en les ean
ala mort, que crs mots: Êle
sez Monsieur ou Mademe. —
n'avons point a peindre :cs les
reats de sang qui coulerent pe
pres de huit jours dans toutes
sons de Îs capitale; nous ne }
rons, afin de rester dans notre :
que dr ce qui se pau a l'hôtel
Force. Des démarches avan
laites , dans la journér du 51
aupres de Manuel, en faveur dr
de Tourzel , Thibaut et autres €
détrnues dans celte pnraos. C
marches, accompagnées de ou
d'argent conuderablies, av ral
fruit. Manuel , qui d'aileurs ét
peu plus accessible à la paué q
autrre membres de la Commens
sulta ses lustre dame la matinée
seplembrr, et 11 envoya, va
heures du maun, Trurbne,
(prand Nirnlias , avec ordre de
sortir de la leltr-Forre ringt<4
femmes , du nomter drsqueile
de Tourrrh, l'aulinr «à Bille,
Thohaut et Sant Bnce. Lorey
pnocresr de Lamballe ft 1
de icur drpart par sa rmme dec
ler, Mes de Navarre, eile va
que sn sort elant lende. — A
les wusante tmamarreurs ©
etaient reunis dans une salle ba
UH'tel dr-Ville, vu ne brs go
de vin ete liqueurs furtrs, por
le courage ne leur maoquA
dans cette hernie tresse. S
ta tree et dans les prourmres
trs. un plus grand anembes d
per
sl on ji Il u
HUE HF ie hi Î Ë
— | LL
il THERE : di ni ji
a ji
e4 LAN
y fat parüeulièrement remarqué, qui
ne fit autre chose qu'égorger pen-
dant les trois jours entiers, sans 20.
tre interruption que celle donl il avait
besoin pour aller prendre à la hâte
quriques siuments dans un cabaret
de la rue du Roi de Sicile. Cet homme
étaithomiAe a van : les bras nus, la
poitnne déconverte, «3 peau noire
rouge par le «anz qu'il répandait a
flots , sur sa figure d'affreux éclats de
rire: à chaque victime qu'il voyait
CApIrer SOUS se8 CAups, VOUS eUSSieZ
dit le chef des espnts infernaux , ar-
couru |à tout expres pour assouvir
son antique haine contre le genre
humain (5). On distinguait parmi les
autres mawrreurs Variet, Gonchan,
Allaigre, Belar, le tissrrand Radi,
Mauntu et Charlat, dont nous aurons
a parler tout-à-l'hrure. Mme de Lam:
balle, apres le départ de Mme de Tour
gel, fut hvree a l'inquiétude la plus
tive, aux angaiarsles glusterrilies.
Les cris des malhrureus qu'on cor
Rrant daus la rue rrtentiasasent jus-
qu'aclle. A chaque instant il lus sem
blat vour arnser ire bourreaux qui
devaientl'rgneger a sontour. Sa portr
souvprr, elle o croit au moment
suprimer, c'est Mme de Navarre qui,
la hssure ravounante d'espotr, lu
persente ce lullet sans signature, qui
vient de lu étre remis par une main
cenoue. + Sovcz tranquille, D...
ea prurmis la die à celle qui vous est
chere. Durs-luique, quelque chu
<qu'ilarnve, elle & tienne eufrr-
- re dans aa chambre , et u'en dis-
» "+ tegro çus Douvutse rAnmerœe.n etm:
secs de mens °9 mes : Dee me !,vsa)t
00 EaDen © Ge -à opera lomparens Ÿ 1e
‘os nm vip 54% 09 © wpembrS ,01 OU ©
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9 Lssabduit 1.0 p qe lot 10 ve! «€
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LABS
. cende pas. « Bien qu'elle
déjà le sscntice de sn vie,
Lamballe n'en éprouva pes æ
vif sentiment de juie à la lec
ce billet, et il ne lus fut pas dd
deviner d'où lu: venant cette c
Uon inattendue. Quel autre
que le due de Pruthievre put
cuper de sa delivrance dans
rril momrat? Acrablé de cha
d'inquétades, atteint d'une :
grave,ce malhrureur pnaer L
sait dans son hôtel de Touloes
que ie danger que courait sa &
ne vint ajouter à «a douleur, |
la délivrance de M=° de Tou
sara à quelles conditions :
l'avait procurée. Un valet de
bre , jouissant de touts «s one
est mandé pres de lu. - AR
edut-1l, n'epargnez nen:
° Manuel; la mortié de ma &
° ma fortune tout rntiere, s'il
+ pourvu que je La ssuve' AN
- perdezpasune minute‘. On
chez Manuel : 150,000 fr. svat
sés el rreus. Manuel proen
sauve à M=* de Lambelle. Me
roce que ses collègues, cet À
n'etait pas drpourvn d'une a
Invauté ,etilse pequart de
parle. Aux jours hornbies dos
parlons, d la tint serupuleuen
tous reux à qu tl l'avait dnax
a prix d'argent , sait pour lou
motif: car 1'estaveré que D
et lus auverent quelques eu
Peut sant Prn euiger. Mens
tertanetment rgrargné Mes de
balle ,s1la chose savait entèr
dependu de lui Mais 1 trous
Praistance à laquelle 1 ne 5 at
pus elil fut obhge de cedrr
tolute plus forte que La ram
mauacrrs de 23 journee du 3 &
ersinuu.t, ct un ulrace le
cod sus cr. iouloureus q
‘ovrn!t fait cutradr- pradant ss
le et sa femme
Label
Diliates, et il demanda ce
z Jui en fallait Baire s'il fallait les délivrer
il
et l'ordre est
Lam-
dit-elle à Mes de
les voilh qui .viennent!
Et elle tombe
«n°
» S'écrie Lhuil
lundi 3, Some apr) x
pense
luien- prisonniers. »
Jo
{ls
de
lui reprochât son marché
trouve. un silence
le ch” .
: ln
HF
pi
Dee
Hu
HE li nl
fe
sur son lit, où elle
EAN
Orte Souvre are fracas Elle voit Lrs
eux mêmes hommes qui selstent
tests a veulr. « Venez, lus dit
cruchon d'un air feroce, on vous
end. - Gus éles- vous ?—Qnir vous
importe ‘je suis le Grand Virnlas, el
viens de la part du conseil de la
Commune qui vous ordentme de venir
a instant me parier aux commis
aires qui veus attendent la-bas. —
(bmels sont ces commissaires? -—
Qu'est ce que ca vous fait? Obersser,
4 nous sanrone uen sous + forcer
Lure ins ler tenips de passer
nue pole -- A la bonne heure, mass
que ce ne wutpaslong : Etles deux
hommes seerhrent. En proie à la
olus vise fravrur, Mec de Lamballe
s'habille à lahate : Ehluro! s'rene,
ii hout À quelques minutes, Tru-
cles qui etat veate our le palier,
ste quus Drentit ine-Bbtoirrntre,
etforce la princeste à des habilire
de ru cure avec han dans le redoni.
tale gauhrt. cu elle se trouve en
Lace dre afficr mtimeipaus. ârrnes
levant er tribunal cfrovablr, la que
dre armre eusanclanters, des bour
reaus nant ire mains, le viage et Îrs
vétrments mal leints de sang, les
ns de douleur drcenrs quon ræecr.
2e dons la eue ut rausnt un tel
samscment quellr s'évanout de
M oteau s pluswurs repris À per
# commenre ele à reprendrr rs
ete, par les wunede Me: de Navarrr,
quelle en reprend ausutit D'uuge
Laraqu'on da cet en rtat de subir un
nterragaloure, on a L'air d'y peu
cher Vanciquel fut, à jeu de mots
œes, celinterreæaliire. czalement
recu. par M°° de Navarre, el qui,
ot me celui quete avait suta a ho
tele vaile, © fit dans un journal
lu temp Qi étes vous? -
done Lauiw. prinreaw de Savons
Uarghan - Votre quairté® -
vunetwadantr d !2 marnn de ls
LAU
trive. ALIEZ-VOUS Conan
des complots de la cour, su 18
— Je ue sats pas il v avast re
plots au 10 août, mars je san :
(et ai eu aucune ConRanun
Jurez l'egalite, la liberte , ls
du ros, de la reine et dr la vr
— Je purerufactementirs dru
uuers jetie jurern pus le dem
n'eet pas dans ion reur - les à
sstant lin dittont has. Jurrz
SUTORIS DE JUPE pas. vous les
te. La princren de Lamballe:
pondit en, leva ses mains a L
teur de es veux, rl à dinge
le guichet Llaunllser dit alors.
rlargisse Madame” On sait qu
pére état nn senal de 10e
ntéene soufsvidu, cqrirife ja lus awa
Jurrz dune, etqur tent fau
Aveur eté ape ste la psr Manve
rrcominanda, lorsqu'on cuve
chet, de crier Vore la
Mars, efraver à la suc du sang
cadavres qu'elle aperout, rlle
Cchapper crtte earlamatnn
quelle horreur‘. Ace moment:
monstres qui entourant
de Jui rhlever sn bunnet a!
gente de son sabre ;: mars, cena
ctoitonre de ang et de vin. d
sut la princes au dessus de
Vs sans jatllat, et ere Innzx rà
Uouberrnt sur re rpoule
homnmirs !3 tenant À rires
fre bras. et la forvaucnt &
suf desradasres Files rsans
a chaque intant File « tr
alors dans cet pare elrodt qu
dut de la pue int Vniranv &
sun. ct qu'on nomme L ru
Rallts Unr den: douzaine di
dus jretre dans ce passage ba:
rentquelqurerre de grére’ gre
- Mort aua laquais dcgures Ja:
leothievre'.secre Mama qu
le sureux à coups de sabre. De
Prut lués enr plare lee amires
princesse avait p
cs php pr
. besse, M=" de Beouvau , que les
Î
1
|
|
monstres savaient être l'amie parti-
culière de Mer de Lamballe, Puis le
cortège, marchant avec des tambours
et des fifres en tête, se dirigea vers le
Temple, Ceux qui le conduisaient ,
pe qu'une femme de cham-
bre de la reine, jeune personne de 18
ans, demeurait à l'entrée de la rue de
+ Jouy, revinrent sur leurs pas, mon-
quand
comp.
i
FE
le
térent chez elle et lui t
k
Î
:
avce une députation de l'Assemblée
législative, qui s'y était rendue en
toute hâte. Er are g com-
plices de ces ibles bits. Approu-
vant tacitement les fureursdes assas-
sas, et ne D point
les armée qui
ét 2 leurs ordres, Brent une
l'examen des fusils de cette garde,
effrayé de la responsabilite qui pese
rait sur eux, si cette populace pére
",s Î A
enits hoisenalrs , el dy ut
cher eu piuuears endrons ua pa
photon celle tiscription Ci
NON, L'MA QUI 4 une Jusle ven-
y tnec saces allier l'amour de l'ar-
dire, respectes retle barricre, elle co
ne“essatre « potre surresllarce et u
notre responiabilite. Goruas, loug
teumns Lapolenate, purs le denonc:a-
teur des inasacres de septembre, €
ceivaut le lercheamain dans son journal
que le peuple s'rtat arrete a la vue
de cette borne, quals etat mme
aporaghe de ce ruban sacre avec un
respect roliusux, et l'avait basse à
srnoux Ort acte, td vera, nr
prouseral quune che c'est que
le pruple, sus Limpulaun des scr-
lerate qua le dinsent, cat susceptible
de toutes les cripirrasions ; qu'il mas-
sicre, sw prntetne, bent du uk,
parle humatumte, jure, olwit, rit,
pleure, tur, chantre, adorr, comme
ut automate codant au rrasirt qui le
rmeut. L'iuteution de ceux qu dhri:
savent le prouule 2sasuu n'rtant
pout encore arrétre sur le sort des
prsonnirs du Temple, 1ls ne firent
point violer la losrniere Urienlure par
leurs agents. À uu signe du chef dr
12 bande, luus sarrrterent devant ir
ruban triolore, el «ils ne le ba:
wrent pas a genus, comme Îr dit
Gnrsas, toujours rst it qu'ils sencls
crrenl avec un air de respect. Ce
:bef de bande, s'airesuant alors aux
“tinmueires « Mazistrats, leur dit
°1l, mous he venons pas porter unr
“In, je De dirar pas wcnirge,
.<sar les olages contes à votre
-turveillaure., nous demandons
+ wulemeut quun nembre des pa-
-Inotes qu M acrowmpagnent, far
for vous, portent «US preds dr la
fur crtle Me impue, afin que ceux
- qui sont caus de laut de maut
- vowntie résuliat de leurscomplints
- limestes Les commisanires an nm
LAU
bts de tasse, Dstjou, que mue
deja nommer, Chanler et Gun
er ederent 4 0 tu 1 Carr]
tent prononce. Mas tandis
parlementairnt arc cette bos
bandits sur le monber plus ou
grand d'indisidue qui devrai
mer la deputation, ceur- ca
purs de tant de leutiurs,
chout la barnrre truclore €
laquelle ls venaicut de s 1m
et, sc prociulaut comme nt
rent dans la principale rour de
ple.ilstrasersent le passage
Baslh, s'avancent dans le jard
arenent, en pouswant des bhurie
de etre ferures, juique 9e
croure du hdtiment lateral, dit
Ute-Tour, que la famille rurale
paut de pure quelque s jours Der
commnssaires de la commune
rouvasenut ca ce moment de s
aupres d'elle, l'un, nomme Ua
derinait dans une puere à ce
celle où la fanuile etait rrunx
Olery dinait dans lrs ipprarte
du Las de la Tour. NH etat alu
viran trous hrures. Menrasser,
Coihissairre, lait assis aupe
Fu que jouait avec madame Éle
La crue de l'apparirment é&
dette. Meneauer, decrure d
écharpe, 9 montra; les re:
blereut; al fera la crue et 1
Étenne et inquiet de ce Lirul,
en demanda la cause a Mroeums
lus ht une repener rvannc, et |
gra a continure sL jeu. Cegu
lattrouprment devenait à €
instant plus cunsdrrable; les :
rations rrienirnesnt jusque dem
partement le rus rt sa lamalle , ef
s approclrreut de La crusee par
à !avve- 4 9 be8 tutos , os D EE
dotunri po ne 0! À. :e20 bortuess ge. oen
en pomme où a +t0-0t0s Le ront ie qu'u
chers le où Le 99909 pe 3: 0 : uen
HENRY
.
elaissant
ple que les traces de douleur
au Te
Ê
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È
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*
nds forts. Tous ces mi-
enfin,
vp
ce mntde
pe
fu
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Lu
0 EAN
Huron se jets run fauteuil. seu
ot la lsnre de se deux anus, et
“nant tout operdue hum Due.
- ma tête sr pr menera un juur de
ccette marrer" - Le due pl,
rhancela et fut pres des trouver
mal. Un des \: 2 is qu'il avartins:
tesne puitoiracs spectacle, el il
“retira avant que Bon se fût mis à
table. Du À is Hoval a nine se
ent à D'htel de Toulouse ours
dant le duc de Peuthuevtre, et or:
wine de Lamballe avait longtemps
hadmtt, mais of est quete de dire
quails m'imusterent pas pour entrer,
et qu'ils voulureut den cpargner
cce pruce l'affrenx spectacke qu'ils
ment fait sulur aux prisonmen du
Femple Us continirernt de prome.-
ner dans Parts vote tete sanslaute,
tandis que d'onutres welcrats rai.
atent dans Les rise aux son tronr
uutilé. Draus La serre, des arrvitrur
fideles qui avarentes Ve triste con
rage de quivre ren t.stres, pour de
voler à enr ''soseur durlques uns ile
ee dephrittes potes paruinront
sen recueil onu pootie et ils les
inhumerent sors ne CNon Lou
cauws de J'ausisanaz dr Mir de
Lamballe L'opumentopluss:srite
mratacrcreditee onu lrecetts rs (1
SADPE RENNES AU vu br ON: VI ‘tbe
sacre as riomernes dautr sf
œnt auvan'orrts crtun. du due
Orleans Prier sous dre que
lire maswrera des 5% mmibre nr furent
decis gsnt À ceméçrenire
C4 "st ture de 1. A PE DRAC S TL
er in as Les cri ina
tours des uen or “uzrarnilt lies
Miusgt con ser CObiantonifetihe
a patte jeter dd.
DEL DR EE LE LE Ut:
sage rude der tt.
ns se dre norte tar fn
Flan PF,
: 5 1 "es re “h'rtqpuite. a rr
. tOirlesnisare
nitrmt'ats.mren
AM
de nuire su de protéger de sauver +
de faire pere qui quere fit Ms cu
pourtant une cause jartiuliere de
cet affreux assascmat. Vingt-it fm:
mes étuent enfermées à la Forre,
Vugt cru en Sorlirent saines et au
vers, Mme Je Lauiballe swnfe tas
voucrautneuttrer, et so quel meurtre
et daus quelles : 1rr onstanres' Pour
quo donc elle piutt que ame à
Bourse, que Pauline « fill:, que
toutes les autres? Pourque, lorsque
le méme jrur el preaque 5 \s même
heure, Mme je Lamballe ct la pas
ces de Tarente interrogées, celle a
a l'Abhave, celle la à la Force, sur brer
sentiments pour la reine, rt loutre
deux avant protrste de leur attorè
ment pour elle, Mae de Lamb:"
estelle impitovabienent mawwrre
tandis que Mme de Tarcnte est mis
el hiherté, aus acclamatuns de là
populace et des egorsrurs” Pourqu
cufi. tout ce raflinriment de crus
Us Nous allons le dire Que
tm: apres la journee du 10 a 4!"
depeté Kersunt futenvosr à l'arme
de Dafavotte ain, que eur autre
hoputes, ve teen d'ale-rg d'a°
rétrr cr géreral, emauite d'examie :
puaqu'a quel prantil était prauble à
de or defendre contre linvssre dns
Prusuens, cu etait immiurttw 1
ne lus fallut : se beau: cup de ways
pes se convaincre que. dam l'etr
de faitdleser ct dr deuirzannatoe r-
l'artnre ar trouvant, sv Ne sera
persiir dre pp r à la marrbr ên
als (revint en 1 at- Nr fe
psrteser Q fraveur s ere enlirgwr,
rUue Lot dsumuls pas qu'en er
08 ) urires Cetape Let bem à
uprttes de f'ans Pile ut
et io onime egrque T.mxcrw:
tt. vurequi'etuntte
ne fe roeuter, qu nf fallast serre
Ds Peuvent par d'autres muse
qu ‘at laforce dre ses (de êrù
# Mathien, prêtre
aborde le roi, l'œil étince-
refusée aux prières des trois com-
missaires, Irrités de cette courageuse
l'épouvante dans leurs
- terminerait enfin le malheureux
la lettre. Tout cela
exéeulé comme on vient de le
voir; la lettre signée par Louis X41
fut aussi illaud Varen.
l'Europe.
cette lettre ne fut pas auprès
plus efficace, et que les dia
destoueherent
bien davantage... Quoi qu'il en sil
où suit assez aujourd'hui cnmiasent se
termina celle funeste comédie (roy
Demousiez, LAN). Quelques binste
mouvelle riens ignorants ou intéressés ul it
vé des doutes sur lus ces Lits, et
récemment encore M 4 Aimnvole me
formellement La lettre de Lite NAT,
2 LAM
mais il n'appuse son opinion d'aucu-
ne preuve. Nous sjouterons à celles
que nous avons données quelques
passages du discours prononcé à la
Convention, per Billaud - Varenne,
dans la séanre du 2 juin 1793, et
qui se trouve rapporté plus su long
dans l'article lragraphique consacre
ace fameux Montagnsrd (roy. Bic-
cp- Vangnax, LV, 272). « Pe-
« thion, qui s'était engagé avec Louis
° XViale sauver s'il voulait prier le
. roi de Prusse d'évacuer le territoire
« francais, Péthion, assucié pour cette
. machmation avec Manuel et Ker-
. saint, a une teinte de notrcœur de
. plas que les 4eux autres, puisque
. ceux-es ont cu la conscience de vo-
.ter pour la grdce qu'ils evaient
. promise, Tandis que Péthion a sa-
. crifié sa parois à la crainte de per-
- dre sa pnpulanté . et a voulu , en
. mépris d'un engagrmeni formel
se faire un masque de la tête sbet-
tue du despotr.. .- S res paro-
les de Billaud Varenne, proguneres
dans une trlir ciremtstance, et cons-
gnées depars un demi-uerclr dans le
Moniteur. nr suMsa-ent pas. nous v
ajuutenons Îr temoignage de Louis
XVilus même, té par pluururs hs
tunens , qui rapportent que Île mal.
heureuz monarque ,sppretante con
dinnation a met, dirt à Maleshertes :
Je ouss bien sur au moins que Pe-
son, Manuel et L'ersaint ne l'ont
pes voire. Louis VNV1 7 trompait
quant à Pethuon , et c'est le reprocher
que Billaud- Varenne fit à celus- 0
cuq œus plus tar! L'accu-ation de
regle dans La Lruche de Billaud est
asors lasarer, mais «on trmugnage
D'encst que plus certain. Quelle que
ant au surplus La csuw que l'onde
asuter à lame Mouse ous
balle, où nr poul ere jure celle
ouet D 'atete figue d'elle ct de lin
‘untotre primer : qu elle avait
LAN
VOUE€ 32 vIC.' | MRprieue en !
à Pans, 2 voi. )-8°, intitulés :
moires relatifs à le famille reg
France pendent la Rrvointion
compagnés d'anecdoies tnconm
authentiques rur les princes ces
porains el euires perommnages
bres de celle époque , etc. Ci
Ke. que l'on dit cumpusr d'e
Journal , lettres et entretiens
princesse de Lamballe, est 4
de toute probelulité et de
vraisemblance. C'est une des
piiatiuos les plus fausses, Les
mensongères qu ant eté fnsten
uno temps où l'on semble svoe
tâche de mettre en romsn où ea
tes sbsurdes les récits les plus g
et les plus dignes de l'attention
de la postérté. G. D
LAMBARDE(WiLlias). a
légiste et antquatre angias. 6h
aldermen de Londres, nequt
celte ville en 13536, et fut adme
la sonéte de Lincoln's Isa ee
ll s'appliqua surtout » l'etaé
coutumes et de La junsprudrnc
trmps satons. Le preanurr réal
es Lravaus fut une rollechoe €
ducuon des los 1088 «0es
tre de Asgmewmma, ave De p
Anglorum legsbus lobes. Lo
13264, 1n-4°.; réimprimé en |
avec l'Histoire cer de
par Abraham Whreiuch Loi
travailla sue a un voyage &
cumtr de Kent, qu'iitermases
sous lc titre de Perembuieté
ent, et qu fut puble ee 1!
spres avour ele revu par l'arche
Parker , et Le lord treauner Beri
Lamtarde avait l'intention d'&
plus loin ses recherches . et
deja recueilli des malteruux pou
dunpliin prnerake de ls Gr
Protugue, duut ce qu'il avast &n
raiue n'etaitque l'echentdion: a
suspend es travous lorsqu dl:
HT
ail
HE
Ë
re
| Et
ii
FA
41 LAM
place de grand-maréchal de l'evèque
d'Augbourg : mais bicutôt, fatigue de
la friv nle smpurtance de cesfvnctons,
s'enudémitpour pouvoir se hvrer en-
Lbresnrul à La culture des sciences el
des lettres. 1! Gt en 1770 un srcond
voyage en llalie , et proëla d'une oc-
casou favorable pour aller en Curse,
d'où s! poussa jusque sur Les côtes
d'Afrqur. Ayant voulu revoir Ve-
nice, où il avait laissé des amis, il y
rencontra le fameux aventurier con-
nu sous Le mom de comte de Saint-
Germain (roy. ce nom, XX XIX, 568).
HW eut pluururs conversations avec
re mysiéneux persounagr, ct :l
anauacait le projet de publier ses
mémoires , mats ul ne l'a point exé-
cuté. De retour en Allemagne, il resta
d'abord a Landshut, dans La Baviere,
et Gait par se fixer dans son château
de Brüna, où !| mourut le 23 juin
1792 , a l'âge de soixantr-truis ans.
Deué d'un espnt tres-vif et d'ane
grande pradtration , le comte de Lam-
berg avait des connaissances fort
étendues dans presque tous Les gen-
res. I parlait avec une rgale facilité
toutes Les langues de l'Eurupr. Grand
mathématinen, où las doit l'inven-
Len de pluueurs machines ingenien-
ses. D 29 ait furme Île plus beau cabi-
net de physique de l'Allemagne, et
sÙ fn où réprtant luutes les expe-
nencrs indiqures par Les Académies.
Mass dans Le comte de Lambergl'he-
me valant rarore mueux que Île sa-
vant. il fut Le Lernisiteur de La con-
trée qu'il habitait : en mmerœoure y
resls ra venération. !l avait été ma.
ré deux buis, d'abord avre La com-
tease de Trautsmansdorff, dont :! eut
deux enlsnts qu 1 perdit en bas âge,
enasr ovrc la lornane Dawhlerg,
que dus donna piussurs benters de
ennom rc tr de Lamlerg svait
ren D ae sms Le Litre de Demerr:
tee Dralrenr : mars 11 a dut tm même,
LAN
dans le Momoral d'un mondes
que « plus poli que Démocrite envers
+ le genre humais , il ne rit pes êrs
hommes, mais des systèmes, de
< contradictions et des puérilités aus-
«quels et à l'side desquels Le
« hommes donnent ou savent æ êse
<ner un sir d'importance. - Tous
ses ouvrages son! écrits en françes,
savoir : 1” Mes Fragments , Parts,
1758 ,in-8°. Il. Essai our F'imposst-
ble, ouvrage problématique , il.
1764, in-8°. II. Venéis de
unes de nos connaissances, .
1760 , in-0°. IV. Nouvrous sujets dr
létéreture et de philassplhée , 1707,
in-0°. V. Réflerions sur La propridi
d'une courbe algrbrique dont les un
(ours merqueraiont les troits d'un
visage connu, Livourne, 1770, in-2.
Mémoriel d'un mondain, se
Corse (Vienne), 1773, ia-0. C'e
l'ouvrage capital de l'auteur. Le gere
mier volume esi us résumé très ©-
rieux des oberrvstions critiques, 2
rales et philologiques qu'il avai fs
tes dans ses voyages. Le srcond ren-
ferme plusieurs mémoires scienté-
ques rt deux extraits de es care
poudance avrc ua grand nombee &
savants. Toutes les vurs ne nul pes
égalrment justes, mais D en ru pra
qui ue soient présentées d'une mansier
piquanie. L'autrer s recunlii bus
coup d'anecdoërs, primci
Paol: qui venait de quities Le Cons.
La srconde édtios , isprumée dus
Chronique de Lendrrs. 1776, in-®.
est urace d'un portrait de
ca médadlos , gravé per F.
noble Venibre, et ce
toluwc qu conbvrat Îre opus
l'auteur arail ide
wrot. V1. Le a pm
Mamen irrgsz, Vienne (1703,
m8. Vi. roionséis &
la re d'Albert de Melbre, 1779
n-$° de 108 p.,rtavec ua pagvess
jy ie
485
He
tu ah
qi Hot DH
pl | Eu Hi
FE
Mit pes FFT
îr
î
ur
HAE
=
76 LAN
vemesment. D etat entre eu 1605,
avec le grade d'enseigne, dans le ré-
mmrnt de M. de Châtillon. |! se
trouves au sirge de Jeliers. Bemom-
porcre, qu'il suivit dans sou ambas-
sde . et qu'il ne quitta
point dans !a guerre qui eut liru en-
sastr (ayant ete fast par lui, en 1610,
brutenant de sa compaguie de gen-
darmes), l'employa dans plusieurs
cnæhats. A celui de Nanteuil, près
Pamprou, en Poitou, en 1618, Lam-
brrt fut grièvement blessé. Ce lut su
sisge d'Hesdo sur ls brèche qu'ilavait
fete, que le ros entré de ce côté donna
le hôton de maréchal à la Mrilleraye.
L'autorité qu'il avait dans l'armée
fut bien prouvce au siége de Grave-
lines (16464). où commandæent les
maréchaux de France Gasnion et de
la Mrclleraye. Ces deux généraux s'é-
tant brouillés, les troupes, divisres
per La querciir de leurs chebs, al-
camp. cordons, de le part du ras, et
ea son nom, suz deux parts dr s'ar-
rêter, de ne plus recuanaitre l'auto-
rolé @e ces meréchaus.
On cbrit a l'instaut; les meréchsuz
se retevrent, rt l'armee fut sauvce
per cet acte dr vigueur. Se Édrlitr
ne fit pont cbranire, prndsat drs
troubirs de le Fronde, par l'uffre
que les Gt Le duc d'Uriéans de La pre-
amère de loutrs les dgustés m:ilses-
res pour l'atirer dans s00 parti. Tel
etant sun sticrsme qu'etani dans son plus
lt lursqu'un courrier les appurta le
brevet de gouverneur de Mets, su-
prrbe place alurs, il prit le paquet
as l'ouvrir. Enba son désntrrrsr
ment fut poune au puit que, plus
d'unr fine, 1i rrfuss de sommes
enctmee quue lus pruporsl pour
«dot mer be portotee concessuss rrgat -
des par lus cuame vnrumpatriirs
aves su drios. Sa brile bile, le ce.
M
LAN
lebre Mes &e Lambert (voy. «7 nous.
XXI, 202), » tiré dr ces brousezre
ples et de quelques sutrurs une e-
bon, père de grand Condé, atieste que
Soint-Bris, comté d'Aunerse,
pour lui en merquisnst (1664). H !
mourut le 23 octobre 1068. £gé&
nier vil arriver en 1724 le tesme &
eue esistonce. — Lansant (éenet-
Joseph, marquis de), in ue
bronche cadette de ln famille és
prrordrats, Le 11 lévrise 6728
Botre av dre con cabes.
1 cummencs, avec Le grade du esge-
tasne dans le régrnent de Hureunse,
cavalente, la guarre de Sept-Aus. Dr
1757 à 1763, pement de guise ©
grode . À prit port aux comèets be
importants de Louis cette ége-
que. À Le fa de 1762, à int au
mestre dr coup, commentent à
regument de Drery, caverne, «©
conserve les fopctnns puuqu'en 0 3e
Decurr de la crus de Smat-Leus ra
1763. malsrr s2 pronruer, d âne:
barssdire des armes du rue 4770
On avast, 0 1729, rasreabée eu bn
côtrs de Dertagur rt de Nasmenle
dons La vue d'unur drsremie en da
régiment
dont les rapports devaient être adres-
il sés directement, soit au czar lui-méê-
il lexandre.
jus É
HAL El
8
HE
"N LAN
aute ne a Pans eu 1016, fut horge.
pendant un grand nombre d'anuers.,
de La dhirectuen de La mnson profesw,
cUtmoneut à lauisie 26 tar 1070. fl
est auteur de si ux petits ouvrages
asetiques de Lrosor de la commu:
ion gencralr lle Hon Pasteur.
apres eh tes oit LT W-s.
LAMBERT Jonsvn,. his dun
maître des comptes, aqut on 1606
Paris, peitlehbe netdedatur desire
bonne eteut le pricure de Palaiseau,
pres Paris. se distin sua par la pra
Uque cvomplaire de tentes les vertus
qu fement un due ceclesasuque
Does D 2, de trente ans il sr consiea
à da chaire dans l'eglse Samt-An-
drer-des Ares, à paroisse, es in:
tructins schdes, pleines domi,
Jun ste sample, ais teuchaut.
Mürerent pormi <es auditrurs uu
#raumi nosubre de protestants et il
out le Leubheue d'en convertie plu
Mers ile pour à miutlen de la
hi piste eu: lesastque, Oecrivit
contre Late Borbeau sur la plural.te
dl . le. astooes sÙlre fait 4Asinrt states
tar. que le E OL te |. ‘lie rte ft
! tirotubestlosthe
Un + tel ù LL '
rs ir crt.L ‘4 Un NV uetute Hiotnitioes
titulaires dr lus dun Vetuefie Pos
p'usvresavant ete tnt iv e lolset
urlotnu dr as
purs iles ceneur.. et vente oleur
dessu tt mr, ts
Sepuion À Oortrvrnnus, EE LA DETTE
futur, sess atpiote rt tp our
eur vtot.u js": Pur te contrat
Srurs nié prit appos step
Pnda rs:
en.abre ue
Le Station Ooost ou
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va Po ir Ed jeu Crpli dir a sut
poste er 29 Nine de lojets
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th, A 31e 4: laut. "€
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LAM
1. Phscours sur 14 vie ecrlemustiqe
1509, 2 sol. Ce sont des contre
fautes à Aunenset al'ans [1 L' tnavs
eranyelique, nu Homelswes. © 1.
1692-05enmvul, 1740 1 Eposes
cl Frangiles de l'annee, ve. de:
reflessons 114 1V. Les Ordini:son,
des Saunts, 171%. %. La Minerve
de Lien enstruire les paurres, 11°
VE. Foistosres choines de L'n-oru et
du Nouveuu Testament Vi] Jostrer
Hions courtes et familirres peur
domanches etfrtes, 1724 NI: Ds
siruclsons sur les commandrmsau
de Peu, 1722. IN. Le (hretsrnin
strust des mystrres de la religion «t
des verites de lu morale ,1729
Ds Lettres de controverw et pe
ururs Jutrers prlilsuurrages Care
narque dans loutes les pe ducta®æ
de ce saint pritre un espet mur
de la jcc'ure des lnres were. en
clnqueuce jlere once, ms'gr
4 Sprocdte du stise, qual te we
gudit pas Leauccup, tn'ectis:".! cer
Fun \] LELS prune les LL d es! : PE 9
sonecle à campagne, des ro. : à
cut doute ul set raactes i -»
LAMBERT tusnise-Gi ii
ul :, toseniee Adi parlen FA 5 un
au const d'Etat, toqut 5 Parn. es
1226, dure srsenne faauic de mèe
Vous dust t.twe à la CET QT EE à
tt de tres L'onnrs etudes, Lu
QIICRE RE CARS nl tuaitre des frqwrirs
consetiler Hbiat, rl sscqut 29
state repuluti cn de ve or ce or pr
Pate Or fat lui qur l'un ‘hergea €
faire Dr rapport au couse.l sur : arvv:
qu aval cndamunr Le tatly ure.i
stluet Dlails, lequel fut catar ds
pros us Lauwons Le;r:. De nes
de Ds Betlerel. que ge uesas à
vo taf vog Lassv LIN. 515
as butin toutes les UCCEA HN , de
Me eu sus re + Lamiewr: Ue nr
cute Dont ust sppcie 4 ce
ds huances, pareil Et partie de ‘ze
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f chand placé
tête d'une mission, et enfin grand.
vicaire en 1820 Quelquesannées plus
tard il précha à la cour en présence
de Louis XVI, et, son éloquence y
ayant été appréciée, Îl reçut le titre
de prédicateur ordinaire du roi. C'est
dans ce temps que, le hasard l'ayant
conduit près de deux soldats qui at.
laient s'égorger, il se jeta au milieu
d'eux, bravant leurs glaives menn-
çants, et parvint à les réconcilier. Ce
respectable ecclésiastique est mort
en 1831. Ou a de lui : 1. Oraison fu
nébre de Louis XVIII, prononcer
dans l'église cathédrale de Poitiers, tr
2hsept. 1824, Poitiers, 1424.11. Orat-
Ch: François d'Aviau
in-#e. Lire p A oer
cours prononcé à Migné, le jour anni
versaire de l'4 bon de La Croix .
LAS
Poitiers , 1428, .vL DE
de la Croix , discours
a prononce
œux l'église de Saint-Etienne le 23 mars
1428, Toulouse, 1828, in-K°, Mn)
LAMBERT (Pienne-Tnomas) |
etsavant ecclésiastique, naquit
en 1791 ,à Lons-le-Saulmier Apr
avoir terminé ses étuiles aù see
maire de Nantua, il entra (abs >
congrégation des missionnaires 1
Saint-Joseph, à Lonmn dE ooii dl pass
LAN
Irentot dans celle du Mont Valerte ts
V'elant fait ennnaîtrr avantagrusr-
ment de l'ancwn évéqne de Sener
(roy. Brarvais, 111,639) ,re pré:
fat fun contis la rrdacthou de l'Ora.
tour sacer . ouvragr destiné, comme
son titre l'annonce , à former pour la
charre de jeunes athletrs Les talents
de Labbe Lambert lui tueriterent
aus l'estime de M. de Jurgué , ar
chevéque de Paris, qui lemploya
souvent dans 1rs affaires de son din-
ceæ et en 1990 le fit agréer por le
due de Penthevre pour son confes-
sœur. Apres la mort de re prince . :|
fut attaché comme aumômier 4
Mme 11 duchrser d'Orls:ans: mais le
couté révolutionnaire de Vernan
avant donné ordre de l'arrêter , :l
fut cbtige de s'rlaigner dans un mo-
ment où Îa princess avait le pins
brun de esronenls et des seconrsde
son mansirre. N'avant pu paswr en
Angleterre, comme il en avañt le pm
pt, le rendit à Lons-Îe - Sani:
ur, d'ou 11 cepérait gagner Îles
montagnes de Î1 Surser. Quelqnes
j'urs aprés on armes, ON fut
reeounu À condunt à :3 maison
de réclusion de Braancon f por
vint à s'évader aus compromettre
en gerdien. etalla d'abord à Fri.
bourg. pure 3 Cat.tauce. Nansrcettr
derriere ville rencontra l'alhe Dre
ques. son ancien profrawur ir
heuloge, qui lus ronweills d'appren
dre Lallemane , rt se chargera de lui:
donner les pretuiereslrrons Nespri
etes dans srttr langue furent trra
rajudes Î'ontrepritun-uvrag. 1hes
le ,on pnlilique. dans Jrquel 1 ©
proge ant de tounter a ford fre prin
tipates questions wnlrters por a
shout civic du clerse: nas
lea sque lee Demain tr ls France lui
lirenluuvents si hits rentrer.
otuthta ban: cree ha OR LE le s2c ri
ur de
in front Craft pt an 3trCe
LAS
Ce ne fut qu'en 1707 qu'à
permisaion de revenir à Pans.
dant son ent ilovsit cé €
tenir une rarrespondenre en
amis, par la evaiste de les ca
mettre. En amivant , eppri
autant de douleur que er
que la personne à laquetie @ |
en partant, ronfr lous svs ps
rs avait jetrs au feu, o @
menacer d'one vue domisf
Un inetant avait aff pour ea
le fruit ds travant de se vie a
Psenn es manos-ris, er dé
Rrettant le plus , c'état mue &
ton entière de la Bride d'après
rale , rt les matéreuz qui &
urvr à compnéet l'Ureier !
dont l'Hapremon commen
1747 n'avait ete qe
les événements !1). La jeusx
18 frurthinr kr (nee de qua
nouvean la Fronce. !| bug
moven de vendre ua pri ds
que Jtri restait aux eaviruns ©
le-Suinier, et, muni des 1astru
qu'il avait rrrurs dr Mme !
chere d'Orlrans 11 se rendit
honrg aupres de Î3 princes
Cons, qu, cronnornesmt os
vonement, l'en avant éhà
pensé par tr titre dr one cum
de 13 ,.en Allemagne , et ende
tau.nùû lent l'honneur d'Îte
2 Uunr audinre perdra
Lours NVIU. L'abbé Lombey
rendre compile à Mme dn
rlunee en Fspsgne. du td
de Vinneu:n | rrpnltaeps@
prinre.w ea fe nethinns d'acmé
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ou deja Lan apercoit nu achemuir
ment vers une meilleure maniwre.
Les hgures ontplus de mouvement,
les couleurs sont nurux fuudues, les
deaperies ont des plis moins raides et
mans multiples, et elles commen-
cenla accuser le pu. Oncunsersr de
lusau dessus de La porte duretretnre
des Cartues de Saint-Marlin de Bo-
logne un Lablrau cn pleseurs com-
partuuents, qu'il avait signé dr Ja
manre suinante : Michel Maiiei,
l'anno 1469. Ce Lablran Feat place
su tnaitre-autrl de la chapelle des
Aragluers jusqu'en 1640, epoque
a laquelle on x sulatitus le tabiran
de Sainte Madelene de lasse, juantr
par Cesar Gerunart. neveu du Gurr-
un. On cite encore de Lambertint
un tabiran que Lun cent print à
Eh en 1669, dont L'Alliane lassait
le plus grand css, et qu'il prekreait.
juir La fraicheur et la fermrete des
chars, aux ouvrages du franca.
Lans, danse son fstone puitnrea
A Htalsa, assure que ce que L'otcou
nait aupourdhius de ce peiulse, peut
CFE rotnparer ALU CUNTARrR due toral
leurs artiotrs coufetupe-rans ile Len
bras. On agree en que be anne
1 m-urul. l -s
LAMAERBEN Guunsaræs mp1.
plomats cetuituer vers 1060 lats le
pause dea torse neue pions nie) sragine
italienne Avant ochrve rs clinles. ot
parcourut lee prineoganx blils d:
L'Éuroge je nrsutnure de leurs
trrête gelitupres Ne trous out à R:l:-
tendeem ntm to uls. ata Fonte thus
progres dd tralute eux italien rs
Noutes:r de ls Rrpubiugar d'est
“res. Bis e hitracte Se Pan, uavr
pres gel. sfr 1 e. neu’
ras de cute Lens de eng sprrsillut
ae Dino sun ee mt et V rt
Tan, aniloauagts 1 À Ang'otctre
tegrans 1 fulemgpteose poor ivre ar,
, fous eutent qu à
sette :
Pr 0 P'isprosttes ‘1
LAN
se louer de son sole et dr «2 @ure
tiou. Le journal que Garedevéle pe.
blimt à La Have, sous le titre d Hs.
prit des cours de l'Europe, uyamû été
suppruné our les plantes és l'amhe-
sadeur de Freare , Lamberty is ee
Uunua pendant trois mois, pous bD-
ger Guraderille, auquel :l en remmtl
eusuilr la ralsctiun ( c0y. Geutes-
vise, XX, 35). Pervesu à l'ip
du repos, 1l s'établit à Nyon, patl
ville du canton de Berne, ans uw
siuatron agréable. Ce fut là qu'a ce
cuesllit et mit eu ordre l@ tandis et
autres actes diplomatiques puèlhenes
Europe depuss La mort du rot d'Esge-
gur € harles M. Crtte compaletes fn
imprimre à La Have, 1720-36.0m-0?,
en12v.. sous le tire de remets
pour servir 4 l'hésiosre du EX VIIR
stecle. L'édition etat à prie tu
mer que drs lilrawes d Amede
cn Jounerent ur scnadr Que pas
de 1745 a1740,1n1-6°,16 vol. Con
plus estimire. 1] en esnte des eus
platres Fr. pap. On trouve @es D
Biblinih. hosterique de da Prens.
ne 29135, l'indicatioa rs este
conlenurs dans cheque volume. Ca
ouvrage, qui n'a plas guere 6v-
lle, nt cependent dire céust.
dans lr« grau:ies hibhotbreuss, sus
comipulalions du méme grare. pe
bhiees par liumet et Rrunve. Lam-
berty mourut plus qu artegeemse. æ
1262 Rarbier, dans son Drctionn. ds
annngers, lus avait dsner le RD
marquis,n"1 n'a james perte : un
ls cupprneé De La srranér à
U nn Lutre les ouvrages entés, en dm
d 7 Wrmaires de la der aueve te-
touts in € Éngleierre, has L. BY.
Lobse 1709, Zuul ew-959. Ce
Ur, COPH oates uer rond pe
Male 6 Lidepuss loc rampe cube
B —e.
LAMRENC :: namas Dosèns
nuls de Prirnne pninre &) Éte
der janvier survinrent sons leurs officiers sur La
Fhwoneur place Louis XV; et résolurent d'y
établir des bivouacs.
., LAN
Ut it Stereo neuf deglu 4 bonus
AU, qu copetefant ve matnfestt
este pescentiment, ot se contrnta
pe qpantrepondre Soistoinmnte
pootesarlasetimemer tre til que
bons LL Gmanarh Royal 116
Ymgn eine pbs qu nn sent ln
euhp rss duvannms eponre
L l IN DAS us? { us, | flis | NAT Îe
D LLLELLEL nt dite ds chevatiorsdsur.
res, rar fe fo tente 0)
1977 Bequus lenjereur freres eler
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metnoire de Henri D, fnnlstenr Le
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L'histoire de chaque roller set can
nue, et l'an ne peut porter ‘on va 2
ut le crmenttque lescllwr qu're
Arecn Î rat vrai que hraarocp
ces colliers n'avatent pas rte rondes
deprus ba Révolntion, et que d'autres
étuenthsperses ou detruns Is enes-
““auue Pingue convertion entre br
pones et le charge d'affairre Autun
Le puince joraicait “randre que,
dans Da persition on se trouvait { 0n
NU sis sis de quelques mt.
rt rvoluthnnatres, le encreres-
menthe vont S'ahétrnir de marier
atohiotndo cc. minndant de Roue Q)
mat.xquil.moivatfature cs: moe
Von reprit sien | ras mones & ‘»
por Leune NN. Hertrouva que l'a
“ntduractutnn de ces buts qu
A Dent oc te Romus de l'ecran.
et quil avuttout vu de ee ne pers
vous Le crus. entente we
“hair IPC Gle “Pond. que, et pro
putoudemment.ecnvrentant
HUofrcrervers tion et ir la d''nedr
CT contit le Porte croûte HS La "4 des
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1 latssa outre autres less 2.000 fr. à
fnsttut pour Le prix dun dirons
sur da iherte relisiense: M. Corlarre.,
Alors hunistere de Piutenenr, refus:
abord ee fogs. uns plus tard il fut
décepte. Damblrechts donna eurore
12,000 france de reutes pour La fun.
dation d'un hospice destiné amique
ment AU npotestants aveugles : ve
que fernt serre quil apparteuait à
Er roues prefere, Men que né
“ns do othohorune On a pute
ess mort nn cer de M pag. us
ce ftre Nutire trouree dans les pa-
prers de M. le comte Lambrerhts, rt
puhliee par on Arrilier M. d'Outrr
pont one", nav et, en lansue
emaude, {ne fleur sur la tumbe du
comte Lam'rechts un de 4 pri
“…s,.prir HO Ntolor. Os de Lim-
Vreilits Ù Prineipes politiques.
Por (stunt Il Quelques re
forums à lorranun du livre de
W l'anbe Pravesnus infitulr vnate
DUUNe NUS PS L'ARTISR DAT LIOANNS
Borus, quite nt Le titre de rot
page SUPRT peur et siaquer Le
pritetlediet WU -n;
LAMHTON Guuncams nm
lige de {a LE Joe A al, sde Londres,
ere spertant de l'institut de France
eue hs Sisters N'est Pristts
vobpe pur re avan r astro hefni-
ans ttgreteques dors! Hindous
Va ON cor lsn 1° toast in,
hcmssher Hunt rte, Lreque |.
lb lis de NW ‘est, ti 4 uit eu,
Dr ut os HO RDV UT 0 es !à
4 cc tspéen ie oser les i:
2 te rues Us avait
Ut Us 0 porte Quitr
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0 cu trs sr s : 'alrs
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"M trs lanbt ou...
û St NM pssainite . si
LAM
lus donner plus d'naportaner
Ufique, +1 mreurant, à l'eves
ce qui avant été bit en Fran
arc de mérudhenterrratre, 8e
terminer la valeur d'un drgre
d'un prand cercle de la terre
perait pouvenr étendre ses opé
dans toute la longueur & li
tan. et mesurer mare da m
lerrestre qui aurait eu 38 d
tude , ce qui était presqur ex
pueur tnple de celle de l'arc :
ru Europe, depuus Donhrrg
qu'aux Îles Ralrares par MM. |
bre, Méchain, Arago et Bot. D:
cours de plus de vingtans dr!
asus, Lambinn avait one
inent pounsé sm operetog
ienere dans le Camehr jen
Le hpaur. I arait mesurer un
merehen dont l'amplitude cu
12° D s'embarqua plein d& «
surtout plens d'ardrur, pour
babsd vers le milieu de jauven
une fievrr catarrhair be k
s'arréter : Hinzhan-Ghaut. à
lex au Snd 4e Nagpour ,et du:
dans crt vberur villegr. Le
20 ‘i)janvter a lire dr 73
avant vtr eurcranvement pra
prades de capitaine , de mas
hratrnant-coluarl: et somemx
brv de la Sréieté Angale ie Les
Correspondant dr l'insutet à
ce ! fut vivement rrere
svulement à cause des rex
prronts juil svaitreademse
et qu1l continuant de rad
Sieheor,mats ste. a couer r|
universelle dont :l parman, d
qu ‘ut avatent pr.<urés Le «
ru. ararterr el ors verte]
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bon CoBeucre Deqprts La mort de
Lanbten, ses operaliius grecques
bete cunlinures jur M. Everul,
sh peenner allant. cles hourvraut
travaus ont fait decouvrir, dans le
tra de Lauibtou, des crreurs qui
ut arhetie La tosolubun de tur-
rende nouveau tue de nes bass.
6sonsultez Mroure d'unurc du me-
voten cite En OV at 346 T° par le
à Apte Everest, Londres , Ju,
un 4, pe. ‘4, et Description d'une
v arhenr componoulrice pour mesu-
Ces quan c apalasne Fvcrest, tom. 2n,
y des des Mounares de là Societe
dstrehethique Cres he dent point de.
nu:s.er da gtouse Lonblou. La mine
dou est arrivee en France ru les
nuuve.lossyeralneentreprises jar
6 "fhents de là guerre pour
1 is carte de braine ont
he ou à La rroübvotiou de plu:
“eus daugirs de la mesure de l'an
ose comimencee pat MM Dela:s..
7 4 Mechauts 6 sisvtee dits Luttes
Se setatrons ft ide ile use lie prul
TURTOUIL he [4 dd: :. Vs: Llade aile
noel que et jasiass à alle unlre. ceux
gen serbe Ules peratie ns qu'à
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‘ours Euoultes de DATI: «jui ie « pl
OUR es l'ours sssuser que lenteur
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U sfPito ul œudas, ercrsstiPelie Hl à
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LE gore s ave À
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LAM
LAME ou LAMME :
l'omiu, ou mtru Biuss0
peuntre, uaquui à Bologne
tn du AVS meule. ll sr rends
pour à susre brs leçous ds Fi
Hraucia, rise la d'une etrusts
avec Barthelenn Ramengis
noumure le Regnacavall: Lun
peintre alla setablie à Belge
tro Piaggio l'y suit et l'aids
plupart drs trasaus qu Lu
coithantes. 1l avait une sren
que de sou art, et Vavwn dl
daveur profite de cette Poil
abuser de la boutr de Bagnec
mais Vasart avait quelques æ
Pros hliment contrr ct arta
NS ACCUS NS pirauser nt PR
fotsle nent Paagiu peigusi rus
ment avec Daxnsesvall, le nf
du couvrant ile Saut Sauve
tableau à pour sujrt L Mira
cing pesns ei des drusr poéss
peighire GUououre à fresque La
de La Biblmthrque . ds v sp
renl is Duspuite de sin 4e
rtbavunuer peut s'ewpcher
Vous que da perrpeeüre eut
leule. Hisgis s'amwecia dr
devine da Fresygn ei
quelques autrrs urtisios
“uvragre suaquels it à dues
Benne, to PCs Nhdil à RO
Posucss, sun maitre, Uassé &
par leludr qui avait laite
plier. Ses Hsuris tu date
Peu s deuurrr les are terre di
mers. Fuutrsucequali"ce sea
it dlous 4 Vutiuoie de
{ Avast, fes lobioouwrue ab,
J Olmaiseiue Clg :tr eù qua
Leo ds Me,ri.l t
LAMELIN. Escsinsnt)
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ou deja bon apercot un aclwanne
set vers Une tumeillenure maniere
Lecthigures ontplus de mouvement,
les cuiours s nt unes fondues, les
doper ni des plis moins roides et
mens mullüighies, etelles comnten-
dot s accuser le nu. Onecunsrese dr
lun dessus ie La pure durehobare
Len à opihes de Saint Marlin ch: Ro-
bete un Late su on p'ésteurs cos-
pardunntes, qu'il avt ignr de la
uoatisre suisante . MairArl Maiter,
sunme 609 Os Labo. Prat: pl ice
a touter autel de où chopelle des
Leur uen juagquen Ho6n, efpnqque
a lsquelle sh aulatitua be tableau
de Saurte Madrlone de PD'esss, junte
par Crsar Renhart, neveu du Guer
cts Oeronte cncute de Lanbertunt
un Losrtoan que Vo cat peint à
Dasetse ta 1665 ,cheent ! Aline lsisait
opus randos, cUqutl per fepant.
Jour 14 fraietieur a ferniste des
AUX sLiragrse du rats
ans son Potorss puttorieu
hop,
Ü st
Paca, vesrte he se pre preth cent
toont aujourd loco pertes, feu?
we ctpralee aun envra ges se tel
eue ptites os nte is arts de Von.
de rt ut
1 ft eu! ls
LAMIEREN tinvauer ps
hpl tue etoilre vote do tt fatis ce
passe a hotlre tn
Oro dé Pr ets ue Dee tite
D È , st huis “tige
d'abeitse 4,.! dose es c'ivles L:
parer ® Le DCE EL bttls ‘|.
Dhues qe is 7°
egr's t- sl) ss +
terlatn ls 1!
atgta tenta loups
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Neutre 16€ Kryut "/. J t .rf
tres mu Oo oi ce ve Ve hrss "av:
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‘.,; . . CRE 2 r*
st , “: OU S'tette
CLR CE LE
"+ CS RE CAE AUS EX PS LP
LAU
«loner de sou 2ele ei dr «2 &n
Lou. Le journal que Gaerevieriwle
blaat à La Have, sous Le btre €
prit des cours de l'Eurnpe. avant
supprime sur les plaintes de l'an
eadeur de France, Lamiberty be €
Unua pendant trois mess, pur @
wer oueslerille, auqueliten re
eusuils La relacuen roy. Leur
vous, VIN, 3. larvesu a |
du rep, 1lsrtablit à Neon, pu
tulle du canton de Berue, dans
stuatron agréable. Cr fut ls qu u
Cuesllit et mit eu ordre le tra
autrrsactes diplomatiques pahhe
Europe deja da mort du rue d'E
eue Churles IL Uetle cotmpelatung
imprunee sl 2 Have, 1724 36.00
HAN. sous lettre de Mons
pour servir à l'hssioire du K F1
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uarta hherte rehisense : M. Corlbiere,
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vrcepte. Lanbecohts donna encore
12,000 francs de reuts pour la fon-
dition d'un hsqure destiné anique
ment aus protestants detigles : ce
queferat ceore quil apparteuait 4
la tebiseon rofermes, uen que né
ns boeth dune On a puthe
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puees de M. le comte Lumbreehts, ct
putes par son Acruier M. d'Outre
pont ,inent, [n2%: et, en lancue
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+ rrospetitant de l'institut de Franc.
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ce pe Lot es travaus atrotuotnt-
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ce qui avant été bit en Fran
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d'uu grand crreie de la tern
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dans tuute la longueur é TR
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tude , ce qui étant presger æ
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en Europe. dejuus Donherg
qu'aux frs Rairares par MM.
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cours de plus de vingtans ér |
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surtout plis: d'ardeur. pour
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une fievrr catarrhak be &
s'arrétes : Hinghan Ghout. à
les au Sud de Nagpour , rt dl
dans rot vberur village. be
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ce I fit vivement rrgreu
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et quil continuant de rend
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que luravaent pr. curés la:
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a ON sons ténor tain,
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d'un grand cercle de la terre. N es-
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dans toute là longueur &e l'séss-
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en Europe, dequus Donbrrque je
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ment poussé mm nprebon es
menere dans le Carmabr jusqu'à B-
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menedien dont l'amplitude curpasmé
12° 11 s'embarqua plein d saute, nt
surtout plein d'ardeur, pour Myder-
babad vers le muilteu de jante 1888.
une fievre catarrhai- be forge &
s'arréter : Hinghan-Ghout,s 90 a
les su Sud de Nagpour , et 1 meuret
dans rit cherur villagr. be 99 es
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avant rle surcPanvement proue eus
crales de capitaine , dr mage. @&
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bre de le Sueirté Royale de Lomdêres rt
Correspondant dr l'insuial à Ps
ce Îl fat vivement rares, um
wulsment a cause dre errercrs
prrünts juil avatrendmecsagen
et quil continuant de rene à à
Wiener, Mais s,.a cout delete
univrrecile dont 1] arme, êre eme
qu” lui asaent prcurés Le éseresr
Arurcarartere el rs vertes pros
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amene ds tesoiuliunu de imr-
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“ arhanc comprnsdlrice pour mesu-
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coco cet arrives en France ou les
nuuve ts sjsratineentrepnises jur
. tnneurs de là storre prut
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mais Vasar: avail quelques mulds ds
Prunulinment contre ct arümbr, ”:
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fondent Baagio peigrii roapagte.
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de ls Bibliotheque . ils s se presrate
null Disputes de s5in Augustsa,
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venu qur Lo perce cest Ues
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avec derôthe da Frevign et ae
qu'iqurs auirrs stusica Lans le
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Motte, où trouNadll la menssre à
Frais, sun caltre, Us agrasdee
par lrtudr qui avant faite de Be
plisë Ses Léures cut du relief, ef
leu s deauurre lesarx re du grand
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Vonsvont, des qu'ils virent Qur iqurs
troupes marcher contre eus ones ln
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Mreonserva css faciles fre 15008 s-
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mn ce Nadrol (. prune cd
1er. Su601 HeUngUue br M8 pré
qe pt ss valenr avoit érp Lt os
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ste t losfin. 12 joue Lui. smêèr <o
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eut vers une meilleure mauswre.
Les hgures onthlus le mouvement,
les couleurs saut inirux fuudues, les
drapenses ont des plis moins rides et
moins multiples, el elles commen-
cents accuser le bu. On concærse de
lus au dessus de La porte dureircture
des Larmes de Saint-Martin d Ba-
logne un tableau cu plesieurs cum-
partiuents, qu'il avait signé dr la
matiere sunante : Mirhcl Matiei,
l'anno 1659. Ce lableau resta plice
me taitre-autel de la chapelle des
Anngluers junqu'en 1640, rpoque
a laquelle on x subatitua fe tabhran
de Saunte Madeiens de Passe, juinitr
par Craar Geunart, nrveu du Guer-
chan. Once encore de Lambertunt
un tabiean que l'on ceotd print a
Lhuuls en 1468, dogt | Alliause laissait
le plus grand css, rt quil prchrait,
eue La fraicheur st la fermrie des
chars, aux ousrages du Francia
Lans, dans son stone prtinrsea
d lialia, ever que ce que Lourot
nait aujourdhui re peiutte, prul
“ Coimpatrfr aux uuvragrs dre torsl
leursartiaes contcbp--rans de Lam
brun. Ou sgrete en que ble unre
dd m:urut Fes
LAMREREIYN Guoincauues De).
hplomate .etailue vers 1400 dans le
pare dratorin nie, pars nl origine
nahenne Avant schrer ww cligles. il
parrognat Lee prinripaurx bats de
l Eur LEELE steve de loire st:
terdta prhiques Ne tretsvont à Rite
tenisem 10 :1 its Doaste sus
prrogmms je fraluohr eu atahen fr.
Noureirs de li Nrpubugue d'r rt
tres. Eos se dite sta te fav: 11 ave
pes gd!
pas de auste ons de emiqee apres lt
Uhr: ie'lrt
fat), anusagnatr A ang oetrtrs
de goss 0 nil cngeteve juan chvr es er
hp ioueepes ons eme ju à
cr!te ['ÊL tanals U rl mou
"tr er * la".
se luuer de son sie et dr sa @ure
lion. Le journal que Gusséevule pe.
bliset a La Haye, sous Le titre € Bs-
pris des cours de l'Europe, wyemt
supprimé sur les pluatss de l'ombes
sadeur de Freare , Lamberty Le «e-
Uauxa pendant tros mois, pour bb-
ger Gurudeville, auquel à ee rem
ensuitr la redaction 60y. Geures-
vais, XIX, 35). Pervesu à lg
du repos, 1 s'établit à Nyos, paille
ville du canton de Berne, ss ue
siluatron agréable. Cr fut à qu'a se
cumllit et sut eu ordre lé trastre et
autresactes diplomalques publhéses
Europe depuis la mort du roc d'Bme-
gue Charles 11. Cette comptlisten Êst
imprime à La Haye, 1720-36. .
eh12v.. sous le tre de Mrmetses
pour servir à l'hésioire de XVIIR
suecle. |. rdition etant » prine trut-
uér que des hi:rmres d Ames
en dounerent ut sronadr Que puni
de 1735 2 1740,1n-6°,16 val. Cest
plus ratimer. 11 en estste des exse-
platres gr. pap. On tmuve des à
Heblinth. hsstorique de Le Frens,
u° 29135, l'incheatinn des etre
contenues dans choque volume. Ca
ouvrage, qui n'a plos guère d'e-
Hietr, nt cependont dire véuss.
dans les gronibrs ibhotbrques , sus
romnulalions du méme grave, ge
biere par Dumet et bamet. Lan-
berts mourut plus qu'ortagresse.
1762 Rarturr, dans son Dectisan. de
anangmes, lus evait donne le RRQ
marquis," d'a jones perte : am
11lasupprneé De Le srenér db
U 1 tlutre les ouvragrs etes, en
dt VNemnires de la devnseve ve:
tetuti on Englrierre. pas L. BV.
ls ve To, Zu mm-19. Ce
uuitise mr ave ver £ronér per
rate 4 depuus long mg ruble
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LAMRENC. .: namss Bouèns
noir de Nricnne pninre &), éue
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nue, et Pnau ne peut porier ‘on Pn
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aureon NT eat vras que brauroap #4
cscoihers naissent pas rte rentes
depuis D Révolution, et ne A satrve
ctuentdispersss ou detruits Ie emes-
S“vaute Lnçsur convenmatoonentee ke
proue et le charge d'affaires oops
De prnur pooraiseat cramndre que.
ans La pesiteon ou ee tpuvait | &e
NN vus suis de quelque 18%
rot proocluti nuares, le enrvere
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stotoudde c-mtovnadan: de Mosel À!
men rquitsmivatfitose s: mue
Vite pegrotoie ul rade venes & ‘3
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in URAMIUE
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QisEs pe PATE ai iii
HOME HE $
.#. HAN
, à Par sou testament
A laisses ocmtre autres Pris 9,000 fr. à
eUnatitut pour Le pri dun durs
ur la bente relinens : M. Corinere,
Mors manustee de Pintersenr, refusa
d'abord cu legs, nus plus tardail fut
accepte. Lambrschte donna rurore
12.000 france de rentes pour la fon-
ation Sun hospier destine unique
ment aux protmlants aveugles : ce
qu fera crurr quil appartenant à
la rehanen references, uen que né
dans Le sathoicieme. On a pute
pers s SU tort in rertt de K pays. sous
ur Mtre . Notice trourer dans les pa-
guers de M. le comte Lambrerhts, et
puhliee par son keritier M. d'Ontre.
pont ten", 1n23: et, en lancue
Aemaud, {ne fleur sur latumbe du
mile Lamérechls in #7 de 4 ju
ss ,.par HW Ntceler, Ona de Lan:-
Erechts E Prinriper politiques.
Paris, 1nts onu nt UN Ouriques re.
Aeraome à l'oreasion du livre de
VW l'ufte Franyssincus tnlitule vrais
PRINCIPES DE VU Rte OA L BEC ANF
Pure, fat ounos Le titre de cet
rage SUR jeu o 1 sdfaquier Lee
pres et D'absrt MW -1)}
LAMHTON Gcucarmr,, nm
bre de la Sciéte ovale de Londres,
pre pendant de institut de Franc.
Monceau rs Srartiues , ve st rer
veleire par se l'avaut astrehotni-
ques st NL a LL « donisi Hindous-
far No scope Pan 1768 beat ru
; lip chier Ta cptepie . L'raque l.
Maur 4 de MW este, qui av nt su
pat,t us
pro er BOB ir el Ses !à
ea g tarsen ce neer les ls
vous RES rte jues UE avant
nt Pgo une suite de
sn eitetitalre à.
vale
*
1. “ C4 nf:
ue" "mlorttu ion
W Ofess Dainbt tive
* . tu salsres so 185)
tt‘: 4, . ss le
LAN
lus denuner plus d'rnportance orme
Ufique, n mrairant, a l'exemple &
ce qui avait été lent en Franc. ua
arc de méndieniterrretre, En dr d-
terminer la valeur d'un drgré moyes
d'un grand crrele de la terre. H es-
pérailt pouvotr étrndre ses opfestises
dans toute la longueur de l'Eméses-
tan, etmesurer un are da ménéen
terrestre qui aura eu 98° d'ammè-
tude , ce qui éfut presgur ame Îes-
wueur tnple de celle de l'arc est
en Eurupe, depwus Danbrreus jes-
qu'aux frs Baléares par MM. Deles-
bre, Méchain, Aragu et Bot. Dureatie
cours de plus de vingtans de ave
awmdus, Lambion aval sercusmee-
inent pounsé son oprobon es
mencre dans le Caruabir jesgu'é &-
hohpour. M avait mesure un ose @
mendien dont l'amplitude cuypaumi
12°. {l «'embarqua pleie de sauté, et
surtout plein d'ardeur, pour pô.
habad vers le milieu de jsavere 5888:
une fievrr catarrhair Le Gorge &
s'arrêter : Ringhan-Ghout. » 90 a$.-
les au Sud 4e Nagpour , rt dd mesure
dans crt vberur village. b 39 es
26 ’1) janvier à L'âge de 73 ons. D
avai rte suroPaRvement FORMS QE
Frales de capitaine, dr magper . @
leutenant-coluari: et nommé mas:
brr dr la Suereté Royale de Lentses et
correspondent de l'insttet @r Puns-
ce. [1 fat vivement rare, um
wulrmment à cause êrs etters
portnts ju'1l avaitrrndes cese ge.
et qu'il conunuat de read à à
Sience,mansmu.scous delete
uuvrrselle dont 1] permet, ds ans
qu” lus avaient pr curés Le éseresr
Ar us rararlôre el ers verte prodre
0 dom! 4 : sommes 1 AU ou
p tes - Ur en + © peus boss 0e uiRe
V\ e'8,' {es tr: ul © Can En Du
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Perra Te ne 001 6 MORE à es ©
fssussêse :
a12325
À sut
D
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Lion coBimeue ce Dejans La art de
Lame, ses operations geodesiques
ut cle continues jar M Everust,
pr noer asaalaut, cÜesnouvesur
travaux sul Lait desouver, aus le
travad de Latblon, des crreurs qui
ut amete La cosolnlien de tur-
cuter de poteau une de es Lars.
UOsuaultes MNrosure d'unurce du me-
voliem entr, Ln V'at 26 par le
capable bsorest, Loudres, IN,
Wu 67, je. ‘4. ct Description d une
v arhane comprnialrice pour mesu-
Vot ral lee sjrilatne [9 vepenst Loin, 24,
4 1 des Mennsaitos de La Socio tr
Areuetmeque Ceei tue dit point di-
baise pda gloire Lomiblou. Le tnine
educu est arrives eu ratios, où rs
huuveskesuperati ne entrepris pur
ss échouts de Îà Xiorre pour
Vies. D as carte de Fraune out
4 pee Ulhcations de plu
“toits Lau gies de la wesute de l'arc
oge obus coœumescee bat M Lie las.
Fe Urchait Uscsdothes ditan Luttes
cu etat os Pate 09 ol ie fe ul
JURIOUE den do 14. Catasde CET ile
EC ‘us . 0! jalliaus : alle üulre. ceux
sut sera Lies perl is qu'ils à
Ve 4 Lites dile ro ut lutsjuurs dans
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: [LL « r ‘ us ss [] e 2e
tt. __ l ® , sf »
[As se tte }
“
LAM
LAME ou LAMME : Bean
lupus, vu Mestru Bsan3O DaLLs .
peintre, uaquué à Brlagre vers bd
hu du Ar mecle. 1! or rendit à Rose
pour y swnvre les leçous de Eranages
Frauvsa, rise a d'unectruss ameter
avec Barthrlem: Rameugls, one:
noue le Bagnacavalle Lorsque
peintre alla s'établir à Bolrgse. Us
tre Hiagu l'y sunt et l'aide den de
plupart des travaus qui lu furent
eninthatuirs. || avait une cronde pes
tique de son art, et Vaun l'accues
davcur probtr de cette {scie pue
abuser de la Loute de Bagnacas aie,
tuais Vasar: aval quelques muse à
renmnluivent contre ot arlmbr, «
US ut CHSAICNS parasseni dre een de
fondeueut. Baagio peigiui roapante-
theut avec Bagnseavall, le réretusss
du couvent de Saut Sauveur. Less
Ubleau à pour sujrt L Morerts és
ciny pasns cl des dur poéssens. L
poigiar alrurure à fresque La Lagpées
de La Biblatheque . sis y rrpresrate
rout ia Dispuée de sum Auguetss,
rt Vouriue jeut s'ewpècher àr c@
Venu que ls pergecüte en ent trs
Le ile Bisgiu vawuis de méêsr
aves drréine da Trevign et ae
quelques aulrrs srüsics Dans le
UuVrAgrS auaquels 11 à duane tuas
Des mettait, nt, Fos sNudll la meansste à
Brauuis, sun waltre, Ua agrandie
par l'ludr quii avast late de Bo
phiar.. Ses hautes cut du ref. et
l'ours douvr levsra ere du gras
mes. Toutrs tes yualitre se ane
tit ous 8 Natrusse de Jos
Ohrui. qu Lou couwrve à | lents
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LAME LIN :tounsiasst :, ærér
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chaudement La cause que ses freres
tale remplit dans le rmmvne
ment aucune fonchon publ que Ce
Unuant s vivre pasiblemeut dune es
chitean d'Henencourtprrsd Acuwras
fut à planeurs ceprers mauvr &
son village. En 149 11 etat chef &
legs de la garde natromale de ent
arrondissement, ctil fut cncettr que
Lite char: de commander les garden
natwaaux que lon envuva car | Es
caut pur drfendre AusrrereterTæ
Vas des Anglais On sat que cet
even dura peu, et que ire La-
“huis hiterenut de retourner à brurs
Varsnt. des qu'ils viremt Quriqurs
troupes marcher contre eur ones in
urdres du marrhal R-rasêrète
Launeth etat depuis 1905 l'on ês
ur mbres dut srpe Lrcrlauf mert. «a
'eonserra ess faciles fox 10m jus
qua l'anime niv Nosme » à
Chuankbre des reprevntanls dans ©
Uout-Jours de 1915, par Le depart
tent de Va Noene ile vs at pere Fe-
marquer. sl, apres bon où chat
du seusormement mupenal, d 1e
tourus halnier ms terre dr l'asrdèe
ety mourntle 19 jouer 1535. —0
lila 4ifred. ne en 15°0, Jun premme
saripe avec Mile je Le Tour du ls.
cuirs en 1n0U bas uncurye à voies
Loir sethtl: campagne de Dumas
le ccerchal Brune. 1! dent em
cas taine art br camp du emerechel
Sut,pur chef d'u2dron dans
“il su jefisie, el rnL® , en 1088.
ut rs up de Mer .t, 4e «ec
dus ton hsiague. te ::er Lrosts &æ
lusse fe de Nadroi. €: prune af
Ur, Ausss hebngue br 58 CODEÉ
ne er eatalres avait ps Li opt
' upagtes, rec. dis blessures. «to
5 test ls j'en Lrilsnèr CH
Vers, leu 16 lt our post ar baemËr
ke é'utiise à (urthe apr 4 sauf
2 DE CL Sun Éerir tdpè
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not de La liberte un despotiome nou
veau, de plus extraordinatrr ot le
piussntnieralle peut stre dont on nt
concrve fa qiinoure C'etait surtout
par un comte de Lasseimbles, appelé
lecnmale desrecherches, que Sourr-
cat or despoliome , et Charles de
Laneth eu etait un des mremlbirs à les
plus actifs On gele l'avant conduit
pendant Da ru. avec son collesue
Pre those, as cottvent den Niro sa
des pour vs cherchior M de Waorontin,
Vus des manatres prie tie, qui on
tenants os tre pe foi rey, Banra ris,
VU, tous, cetle cire cnatanue, qui
Lot connai de Voul Pons des leon
dem. donna beau co te sr ot rss
ore de pluernteees Où de Lans th
ne deaguena paske fast: et le mrorquis
de. Ronnav putin. PCI LEE COR A LUCE TES
un pottt powme plus esprit et dde
nulnme intitulé le Siege des fnnnn
riades. que esavs benne anx de
pers fes agente din ccnte des re.
chetehesceoy Boss. ENT 559)
Du peste. Lameth prit sep luen Le
pheresnte rue. Tpeaeut ss amer bus
rome. ssas 4 ent. vers Ve taime
rue, une aventure plus (lobe ter
ter rade sf € eetrres cp laine à
92
von cosgapu À “pes Celle Phmoipe tes
jte Re: fanrrreuer . rit. ve ports
NUS tr oem jo Dotnet oo 0 6,
pen vents cuve eh Net: pre ol
raswlien ent & per'orent ht
le Ooustr ee onvrent leutmeublert
en pot tonte otre tros
Dee LT don soso 5 ou ot Lilo
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dune cerlauns quotite de cettr-,
trousse, rommr #onsarrant (hl
riotnrralir des vorhesses Toi cr
occupe d'affnbur Lautonibr r. ve
deja et ittipuiseuuntre, 1; prop es neutre
d'éter au nuite dr de farr grère
Entin,ne révant que ruine »t fre
flute, 2 se onentra sans not d. av
ua des plus ardents à per La en.
ture bise dvne ones mule °° Ed
ienageantpaedasantage bs rrugwre
1 s'appresn 4 ce que l'on drerrtit que
de catliclscieme rtat la rrhguvm &
L'État Mass cette motion fut hrurre
sement rrpanstr par la man
Pate Le die canton sur le love range.
Lameth garda le qlence, poree qu'#
SY'rOUNS porté pur dre enmames
congderibles, que sou “durat.n 4
cell de rs frepra avaient route 2e
Pn, et fit reporter au trroor ru
l'argent qui en avatot re pe €? 0
fanulie, lequel nes tenta pes
Mons de GA nnnfrairs rs .surnget
ris listes sibhrent alors agi pour
que etre lanhise srattutinn ets:thkuz
Pocqentter er sers le tour tout ce qe
lus devant Charles de Laeth ç° à
famuie Mons la deux er tv
drcut de pain ete guertr. 1 van
que legepcire de celle pr svgatser
apportintescluuvement ta nt
©] D EURE DE LIL CU la ppp resten des Litres
been fines et contribua s pause
ceontscristuwe Ur fut s rex pers
versie neme lotupe quil tt en pie
Acccrnfilse pa prohasinn che Free pod:
te quernte lurdemandotpase 2
ris tosame nine - enr
sermcmme el L'outr ati rite Joe
ten te sse rit cratie le terr de à
ft À es giroer s'epgahtesg
e li ‘re uit de Ur ssvr suc tes Eten
ra le mere ea
svt re
Pa
s LUN 11 16
ss PACN jt! “* N
HRL NE . \e pers gai
6 s i t : ‘se h. …Niivse e .°
“et des sem =.
M LAN
frere Théodore (1) à le defendre, soit
4 latribune de l'âsembhee, soit an
prredu mauratre de la justice, Danton.
Ayant an obtenu sa liberte, Charles
sortit de pren, : 1 alla au Havre, ou
ecsibharqua le jour méme su Robes-
puerre ensuvant cnire de l'arréter. lise
reurit à Hamlenirg, cul fonda, avec
son frere Alrzandre el son ancien
collegne d'Aisuilles, ane masson dr
cominere qui eut peu de succès. Rer-
contre dans cette ville par nn ancreu
rite povalute, qui D apostrojiha
vivement, 1l fut contraint de se haitre
en duclel recut ua coup d'épér an
travers du eorps. Rentré eu Fram,
on 41x01, Chartres dr Lameth y vecu
relire, ave un brarteuent de geniral
de bngede réforme, jusqu'en tant. A
«ele epoque 1 fut envois par Napo-
leuu, al armée de ilanvvre, fut noin-
tue, dans |: même aunée, guurver-
eur qu érand-luche de W urtal urx,
eUrevunt presque ausulol en Fraime,
1 TANPTIN Ft oise © , à oecei de ir là
uw “se jm 07 en ,ce “hje je tu sue <a
mu re de ‘A0 "3 1e eter 51,
c'en": s8 June nn er EM de (subr” et :Urr se
vevs | jeans os +1: moe cg se sn av:6.
ee arnrore 0" spirrre Vas 50
fut ‘ue on --.1181 de 18 (.rvas je Forsva. en
Dronce scoot 60 261710 Je : -@iw 1h sq
De ‘ee & us verre
€ LL ] soda . 2 -.FBBDonds it Je
Pay mous 0 “srs os kujpn « ‘angers , °1 caûs
mur re je 8, nt trou le... - vgrep ‘
ces uen robe œi: °11 ‘Sa ee ef
(PM 08 : + “hisgr de doper omont ds Jos. ,œ 0
“ve 0 eu te . .-im
Re To vont : 0 DS 2 10 °°
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berosers » 1°, fer ue n ques rt me re ty
lee mre.ve pes © mage ne me Daterse » 0
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destiner a tepriner la revolle, qu
n'aurait pas dû accepter nn cer.
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nel, ne pouvait étre quon pure
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que Mliesanere drlamethin à
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tot la tout pusatee constituants
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un limgetvinient rapport contre les
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nte royale, de bi relient catholique,
etltrevusseons. dde tous les doretuir y
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ls multitude, et faire des res
des revolutins. Gotte found
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Visandee de Lssneth, qus pes
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nnenfont perdu, et} nt 3 d
vrusenllaner que Nievre pr
Les itértaupe, Jatuass al 1 av ant
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ire, lorsqu un jutur, à la Uribe
Jaune, s'elant perinis en
Les quelquesitsinuati-tas pl
die qur dr Coülutue, ls arr
bilemonut loregis ui vit ratrer
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Bou de vois cravan: rt dut dl
binit se Miaus. bte ad
etats rotuc sv bre IUT.
arlsehbeas que je patrie”!
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hou! past ue! afefe Dire. ]
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qu'au Mots de niars LGV, on, pere sue
cncope parles Espasrn ds, il fut otilig
de ne tunfenuse r danekhrenbrentets in.
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Fosse, Al N seit soet Lasrt dix but
Mons Lewlas des do prenne in ques
osuelle fonuve stnens toi de
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beonorabte Stan st crspetele or
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1 eupperss 4 ce que l'on drerrti! qe
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SU rOUNS porté pur des enemaes
conugieroihles, que en durate À
celle dde a freres auairnt coûte 2e
Ron, et fit rester an trace run
l'argent quernavautrte Mire sr @
faune, lequel ne vw tentad pese
ineuns de 60 ,6nn francs re suruget
ru atiates rratilirent slore autre pose
que cette tanhine cratitation eta:t bug
d'ocquitter rover Jeter tu! re qu
bu des ent Charire sie Lometh et
famole Mons ls deruuven er à
est de pars et de guerre. n sut
que levrrire à evttr je ventre
iptortint rvcluuvement : la mit
ape s anqu la snppurren :n re Wire
ben nheaues et ccutribua s peur
d'oontseirisruwe Ur fut s sou pres
verse cineme temps qui bi en pire
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+ la tnbune de l'Asemhbkee, soit au
pere du munrstre de la juatire, Danton.
Ayant ain obtenu sa liberte, Charles
sortit de prann. «t alla au Havre, ou
ds cinharqua le jour même «cu Robes
pérerrenvayait onire de l'arreter. le
renal à Masmbronry, ou al fonda, are
son frere Alezandn et son ancien
collrgne d'union, une maison dr
commence qui eul peudesursès. Ren
contre dans retle ville par un anctn
cinwTe posaliste, qui l'apostropiha
vivement, 1 fut contraint de se haltre
eu duelelreout un coup d'épée au
trasers ‘lu enrps. Rentré en Franwr,
en 101, Chartes dr Lameth 3 erut
teur, ave un trantrwment de griral
de brigade reforme, jusqu'en 1nn6. À
tele epoque 1) fut envose par Napo-
lou, à armér de Ilanwvre, fut noin
ue, dans l1 même année. goutver-
neur su Sraud<itushede Wurtehurs,
revu presque auanlôol en braime,
U L'AMPFTU F4 ots'e , à mousi de 11 18e
in ver ie vu rs ice “Age je 19 6er can
AE eo ,ù je 180% 1993 spam nt 1:
GR": 08 Gaves mas MU 60 li, pm be © L'Urs »
en | ame 6 Dee gp 08 sa v5 5
LU "sn e en 0 “ agurree Vars :20 : à
fut ‘nn an - 401 0 14 vaste Pere. ve
Dronsr soes 060 ts:Pumisres 2e 1m 3: Dave og
pe en + S um «a cr
D 2e 4 ms 1 Bite 1: 20! ssmmmands nt €,
PU mL ‘4 S'oovus Rupe s'Pusger . st anêëa
MO se 5e 0, 0 Per oops os 00e 3
tata 0 ''OwRet mu 911 ‘3, 1: “+ +
D. to + ben r 6e Sep omons ds Jos. ,e
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Re MÉE ji te
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Ù st ste Pa son festathent
Llasssu outre cutres legs mo fr à
Mnsttut peur Le prix d'un disons
curlithert relnieuss : M Corbuere.
aboes nnuustre de Piutersenre, refus
d'abeogdos Bogs, nous plus tardif fut
accepte Luulecohts donna vncope
12,000 fran sde reutes pour la fon
datien dun hesquee destine unique
ment aux protestants virugies : cr
qu ferait cvore que appartenant à
Pa reusrers pofepanes . uen que né
Cons Le so athlon On 4 path
pes st nortun cent den pass. nus
vo titre Notice frouree dans les pa-
pers de M le comic Lambreehts, ct
puhlore par son Rerilier M. Outre
pont un", nav: et, en loueur
en: {ne fleur sur lat:.mbe du
emte Lam'rcchts im Mt de 4 po
PAU Necler Ons de Evm.
Der, Pernripes politiques
Pers, 1ntoon « NO Quelques re
Resume à lorraun du livre de
W sut Prunesin us inlilulr Vhate
PEUNGIDDS UN LA tIS GATE ANS
…t «
Porus que un Le Utre de cet
tag AUfRt urnes ss dequer Les
pririholrt LUS CE
LAMHTON Gouusoms: nmem
te de no sete ovale D Londres,
efposgmuslant de istitit de France
Le chan. ds %. vs . vers tent
c'e t pe BadT re usa AGP Dons
PCR , “si "" Jar s! Hinlous
Pas ON croit Ts, le tott,
tecrseler rtctere Vrequri
dust" + de NN D LE 1e,
CURE Ds 7 0 Se ‘:
ets ps tr Srairsi
ses Tr, st oret jh. avait!
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' ! M te Last!
? ,. licvsites lui
« tt" !
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lus donner plus d'auportance «we
hhique. on mrenrant, à l'exemple &
craque avait été Et en Franc. na
arc de méndienterr-etre, aûn de à.
terminer la valeur d'un drgre magen
d'uu grand cercle de ls terre. B es-
perait pouvenr rtrndre ses oprratsses
dans toute l1 Inngueur àr l'Hinéses-
tan. et mesurer nn are da mfnéen
terrestre qui saurait eu 99° d'amph-
lude , ce qu étant presger une Îce-
gueur inple de celle de l'arr mesurt
cn Europe, deqpuus fnoherqgue Jes-
qu'aux fk-s Raiéares par MM. Delen-
ber, Méchain, Aragu et Bot. Durent le
cours de plus de vingtans dr trevuss
asus ,lamhinn avail snrcesnve-
ent paume 00 ojwratne ose
menrre dans le Camabr jusqu'à D-
le hpour. Il avait mesurer un ave
menehen dont l'amplitude surpassat
12° Li s'emiiarqus plein de sente, nt
surtout plan d'ardeur, pour Bigéer-
babes vers le milieu de jowvere 1088:
uw fievrr catarrhair be freres
s'arréter : Hinghan Ghaut,s 30 a
les au Sud 4e Nagpour , rt 1} mourat
dans et cherur villagr. br 90 es
20 1) auster a l'âre & ‘> ons. li
avi rie surcramtenent pros eus
proies de rapntaine, dr majae . &
hrutrnant-coluncl: et nommé ma
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copresnomisnt dr l'insulel êr Fees
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neddraguea pas be fait: et le micrquis
de Ronnar publi cette on most,
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malue.sntitile Le Ssoyr des mnnn
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il se mit en routr pour le Havre avee
52 femme et sa fille, fui arrêté le 12et
emprisonné à huuen par ordre dia em
mstre Clavière. Une recoavra latiber-
té que par Le courage qu'apparta sem
H4 LAN
frere Théodore (1) À le defendre, soit
0 Es tribune de L'Asmbiler, ant au
pres du auuratre de la just ie, Danton.
Ayant ans vhteou «a liberte, Chartes
sortit de pren, ctalla au Havre, ou
ds cmbarqua le jour méme su Robes
perrcemogantonire de l'arréter. Ile
reuht à Hambourg, sul fonda, avec
wn frere Alexandre: et son ancun
college S'Aiguillen, une matson de
Cominere qui eut peude succès. Reu-
contre dans cette ville par an ancwu
cIDYTE Povaliste , que | apostenphas
sivement, fut contrasnt ir se laitre
en duelel recut un coup d'épée au
travers du corps. Rentre er Frane,
en saut, Chartes de Lameth y vreut
tetre, ave nn treatment de general
de brogade réforine, jusqu'en fun. À
selle cprque al fut envene par Nape-
lou, al armér de ILanovrr, fut nein
Wie, dans |l1 wdme snnée, Router-
Meur au grand-lus he de Wurtabourg.
eUrevunl presque ausmtet cn kratmr,
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qu'a ce quil rrcôt de Lous'
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general, JA À on ancenmorte,
ne fut pront cmpluye . et vecut
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ter, ch 1829, meuibre de La eh
0 Ê sdeputés pur l'arr.:ndsesem
Pontise, à la plar de 0
Alvsandre, qui vrunt de a
rep. l'art suivant, 1 alla me
l'extrême ssuche arût: de Lafs
dont il partagra emure u8e
comme À ! Aswiublée Cumstta
les travaus st les panoons C
dant ils's fit mens re
N'est dans a se ane r du 3 levres
où, teponiaut au ieputr Joihee
avait paru los fut. on regrod
et gran, 6 den ur oi
sotlie eÙ sur nn frerr es «
tatiiS as surr-us 4 pe
nous cpopions deveur Les raggs
ce pres, tuant a dit que jeta
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suis sr de Prine agrre ave
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neulsruvne Far duvet,
frere leurre implora me ,
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dit ce thirlies n aimer pas Le rvy
‘que , thai la pesclutsee seras
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oitte « Je sur alle 28 Havre,
J ct tres Ko rs: otre ans!
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le vote formel de La maccrite, allerent
Se prune au depulrs des cmitmunes,
etuolerent aimes dans leurs bases les
bas etlre constlutions de notre ont
que His nafe lue. qui drs loops ty jus ul
Bb cher . Cru Pre Uetent eviter
Le culevement st la LA EE LEE CON D 0 D
te juallet ne furent que les cotise
urnes de ce pretnier faut, et quan!
cette res ut cnne peut pas dot
ter qu Mesandre de Lane thon ait pris
ÉTEND de pirt aux trie s qui
la preparerent I raconte lut méme
aus sen Histoure de l'Assembire
constituante, que. de concert avr
le tale du marcohat de Broche, iltit
dure à ce commandant de l'artner,
destinee à repniner la evclte, qu'il
n'aurait gras Ni accepter tu ren
mandement dont Loffre, faute por le
prinre de Conde sonennenmiperen
vel, ne pouvait étre qu'un quete
pu a os benne for. Note prtir
henuatn lesions Quertier repun
Et lovatenset: ‘te lame tonslreute,
UD frpuito tu'eñeor ets es@ant au
rs Nous sommes bandepens pue,
Lans cette cons one ! mars chal
ot pre Voutesst Part Vous qu'a A6
ut Que, mans on te peut dune ins
eepner de delire etlrrpue
pe ft a sut et sut neveu tu
Dean tete. tros acer ar. he
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puisqu'il ne prrdait à cet sut
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que Son inedeste ct vain tire d
vaher. Vosant un peu plus Lu
le chere ne tuetlut pas sutaat
prrsu ment s livrer ors inens p
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de concertaves le marques de La
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de LÉRAL et cette proprubne,
ne cdocrels pis sur le « himp
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dr cette crande op lecen, qua
Alieatlir, sal pro tt pur à |
pour wecrcancers, dre riches
coutures cdopuas tant de 6
debtlo plus grande partie, vf
sut que trop aujourd hu: quel
suppl CRE AE CE L les: sinilutrous
aies, etait conoacrer ns bare,
lenscigoencent et lac bor:te
que Niovanedre del atreth 1. 20
petiss atruutoels sutas hotte,
til ssemeten,.rtilnenssang
vibre ir itnlreser ‘Heuutu es.
Avr lonetne legerrte 1 tue
proue pee mien que. ie 3 mt
«lne!, i
straneethre utelrr d'in bener:
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da 10 février 1790 sur un
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a ut
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ser étde
portant,
les vices de L'ancienne organisa:
ton, mass el a nuque penut de re mr-
de : al woutra les abus, 1 conseil de
les faire disparaitre, tuais sl ne dit
point coment ou devait où prrn:
der sun ee que Le devait inettee à ls
piocr, Nes aprbugistre, louant outre
Bas soge es trisanx ds srette parlur
de a desislot on, scttaltes jusqu a
date que ous" à ur que a branee
aut em vus nee que un peu pus
Lou dus Brent tout lronpeur Nas
Ceut qui ussent fientetre bus
ture maulitasre savent acer7 que ins
celle branche de ladnonmistralion,
come dns la plupart des autrre,
cette Nasembler delruiat et rrtise ren
beasucuup . Douis qqu elle ne retablit
et ne construit rien de schide ni de
durable; qu aucune los ailitasre de
quelque smpartanee sur la dis iplinr
nu aur D'asausrroent ue date de sors
epoque, ous uen dre annees 1792
et LUN cu theîhent on lre nerve
test a cacrrr bret tion ux contal:
tre La elite et Le danser de loul ce
quest uit cette prethicte ses m-
loee ques etat elle ie ifastueu
“uen! ctlttubere € onmststuunte. Ak:rs
ce fut Dub de Drance qui, at mom
du cons ce trublaire de ja €enventon
natichale, 14 ædopter res line 1 à-
maisanee rt se des btailh tn de ve
Leplaisre et ia troupe die bugs, es
basel ces ve choments qu tiserent la
ierighiue, icerre du wriuretls
Var othart ta ar cu alarm tin ariates.
et ont da poussrt se ten ect vi
EUeUr Cerrtrs see das ours teste
ueislsque Li aibegole rfrlese fe Uror.
ce clournt euecte Danone ia perfre
su, er.
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HN Per Preis is fran quon
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Us it: jar pagepe Pt la
20 sop'entiote 1 Du 1 ton te 51,
pv Do cmcunnets te chose le
nue Sr, « rat
vru:
fuas,s s ?
LAN
eeale d'avancranent, mars 1 n'en it
sdopter sun autre, et 1 esagvrs
cmore des torts dout quekjues- em
eluent recls, mass dont la fsameibr
des Larmeth aval peut-être eve
qu tonte aulre eu bronce le dre
de se plauumbre Crsnmeut en clbrtev
“une colonel, ie quatre des cm
qu el oltent uu (rl gradr à prs-
ne dge de vragt-cinq ans, ve-t-#
dite en presenre de Lant dr temem
uipouvaient lacvalirr, qu'avant ts
Revolubon tous les emploss ef ioutes
lesgrares, suit proumiarree, sal e-
norifiqure, nm'eicient donnrs que
l'intrique rt a la farrur... Vous es-
citer L'amlntiondrssuhaltrrmes. peur
bs mettre en rehellou routse tran
quefs il fallait drurrerr le bisous et
Le rubieule sur loul ce qu s ctst lat
Jutrefons, et dans re but tous les
Wwseus etant uns. Alezsmdre Le.
diet quut un trl sel quue læ
ous un jour d'avoir lu-m/me coi-
pertr dans lescawrnesties pamphèrts
quittent autre cher qur ses ds-
cours de tribune. il sen eurmes aver
lraucoup de vivacitr : mass si me per
suarla personne , et le fru de l'rmses-
rerclun gagnant leent't Le piepert
des regntnents, nn vil dense Isere
fre pgarrnivne bre suklsts se sevei-
tre contre leurs chris Dians bros
coupe ropimile les forcrrent a pee
dre la fuite, el is egorgees:
Feu qui souiurrnl Fraser. Abes
vefutrlaut ie Larmeth, lies Beruste.
Jratalasettr, et la plupart & crus
UN stP el a imprudrmæent mes be
lru atouts les parties de der,
sutpinet.cs.ent à trvenw dr brurs d
bisrete, ot sis verser Qù cus-0nf-
lues cllaent etre englutrs dans à
our, cuis Le se Pilat Gr be bre:
inrr Viessruire denonra les me
cr epuque ‘ani 1:01,;, cour
prrmuerre aus du mal, les uès
de > inns. et plus parc uheseemen
4
no
IE nn ft fe 1 Eu
ae EAN
lit Rien EE ji BH
fl je 4 CRT AUHIDE. HL ji
fl AAA
Hi il | HAE
|
ji
sh
d'abord mis dans lrsiniun s prisons,
4 Namur eta Lusemhourz, puis D
vernis aus l'eussiens qui les rondirent
a 'Autru helorsqu'ishrenut leur paix
aveu La eepabhque. Lameth sul
resta malade à Masdebeure, outre
couves fa hbeete ot 1708, jpar linter
ces de sers oncle, de mare had 1e
Broglie prfainse chiez Le due de Eruns-
mer, qu apres avonr ete dot unes
dansirs suepres de Hanovre, eo son
ali fort equivecque si di bios
sante dans La Gonrase vageidition
de Champazsne, dennait un aule 4
sen fortune À us acverda to del
vranre d'anneseuquienpnntdestorts
dont certes vain otont Longs ole puuivenr
sccuwr le brave more Dsl. Ale van
der alla ausctt en Nuslotrrre ou
1 fut cucure pouransai par la hione
des Francais rosahiat.s qui de rent
etpularr. Uors 4 sr rendit à Hat.
bourg eu retrouva sou trrre Char-
les et san aune, le lue d'Ausinilon,
que formerent avee lui une asso-
cutren de commerce Eujuelle ne
paraft pas avr eu beaucoup dr sur-
ces. car des l'annee sui antr11793 3l
la quitis pourrentrer cu brance, brs-
tant hrs boues de Femueriteon, qui
dans ce nunment ue senrcuitnent pars
avec Veau coupole roueur Minis la
peocelaatueun dus De True tcp de becge à
bent fon softr chere te Lors
pour ee soustraire 4 ces dois de la
Mrordutin qu naval (LE fastre, ul
eat sr, inats que vettunenent dur
clara ainre avaient tte rest stren
dues emruntaldre lune tentes rit
hisement qu apire Le pPuncstut on Vu
da brute, opus Vo toasaatte out
CL EL CERCLE CRT OZ AE ES CRE ACTE
Vrarpoaslessniotrersers hour 4h
maitquer ea Lee 1 0. veu Hisitre
de lotrasr 4 +
Eros quine sels st
nuts les auvutere lord es Be crus n
Vornaonvire de Ban the equisr s'ssit te
21° Piu.sn ia AT
ET] 1: +
dates nt
LAN
jours sus fortune, soilicola de jen:
cthplin,etilenobtunten 172 enr pi
frcture de peu dimportaure e4 &
clore de Paris. relir des Baere-i
pes, troisans apres celle de Km
Welle à Cobleutz, puis cle à»
Hosts à Ait-la-t haprilr, etenbs en
du, ot 1 reaxla dlatis La copatabr
vu de Nindugne et fut presque :
lus meme. Mines Nap-dleon, aness ha
le que prevovant, savater wru:
eut le nu nv et mel're chorus a
place Nous en gouvernement |
bunmes dela Kevotutuin qu 11 eu
Eten ctuploser furrnl toupuure
aus L'itnupusssance de lus mure , @
etat peruade, somme 1 | a dé «
Daufavette, quoiiectaient luut pros
recommenerr ns ils catse-uv awntle
ado, nas, ere oéras: cn. 108
ratu ira loujours pour De puma .
leur offrir. Ain: trous à ir art. ls
wrurentausst uen et avec autani(
ele et de hérlite que sers plus ascrt
4ftis. Tant que dura sa passes
Mexaodre de Latmrih parut sstafs
les diverses fonction que les est
halle maltrr ; et lout suou Durs qu
les mrilleurs prefels de cr trmgnè
1 Ut repuindre les ronsonts et ses
Ure re contributions. Lie ee où
Napaleon, content de ors ere rc, |
crea boron etchesales de |2 Lross
1 Honneur. titresque sell ta. et ds
+ montra fret honore et fort recss
nusunt relus: qui en avast as en
puise de lus annens -1 de plus res
tour les awmher a un van fur d
pepulante Cettr parte de La vue (
lovascite de lamweth. rarmpèr €
trcoble et de trul priret à sv
lutin. en fut sans nel duuts ta pli
heurruer Miss quand le cran ea
ture Lomliaen 116. la prrésetuee d
avant ‘hensru, le prrért dû
© buts de venir à Pars et d'offr
us apvicrs à louis NN Sd led
rouvr aus ft. sue hé
Con- présence. +
ÉRNSRE
intéressés.
Pour lui c'était l'arche sainte, et il
ne fallait Le pe touchät en sa
, dit-il, dans La
séance du 21 février 4821, en s'adres-
sant au ministre de Serre, qui avait
pour parlé de l'illustre
Te
+ more d'avair fait partie de cette As-
+ semblée; ses services soul connus,
+ son éloge est fait depuis longtemps;
«si en La biâme dans vrtte enceinte,
+ au-dehors on n'a pas La même opt
«mia. D'ailleurs il est uaturel
l'ai eut vote Cana Le
d'abord nus dans lesménu:s prisons,
4 Nauur eta Luscemboure, quss ls
verre aus Prusstens qui les ronirent
a L'Autre he terequ ls irentlenr pars
avec de republique, Lameih seul
resta malade «4 Masdeheure, cttre.
conne fa iherte on 490, pae Linter.
cesunn de Son oncle, le marwhal de
Hrnglie refusa vez D dur de Hrunse-
mie, qu apres avoir ete eo nteinil
dans les suerres de Hanespe, ot son
allie fort equiveque ous du uns
inutile dans La fomeuse expedition
de Chompazsne, donnait nn aile 4
op trafooctoine AD Eur severiba 14 del
vrance d'unneseuqurenpatilrstunts
dont certes otre Lt lun de priver
scuswr le brave mare: ial Ar van-
der alla ausutot en AuSletrere vu
1 fut cucure pouranvi par da banc
des Franrais ravalist.s qua le Hire nt
ctpulsrr, lors se rent 0 Ham.
bourg onu dretrouta sou trees Char-
les et mn ant, de due d'Aisucdion,
qur formerent ave dut une asso-
cisben de commerr Avquelle ne
parait pas aveur en beaucoup de sur-
ces, car des l'annee soivantr117993 al
la quitts pour rentrer ecnbranre.brs-
vant frs bus de Lemusrition, qua
dans ce numentue sesreulaient pas
avr lea de r'iueur Mae la
resolutsn du 9e fous tag Le fon à
tuent dote œptir once te fous
pronr ee cmatrure à cos lois dde La
Mrnetutaee qui sn svt quas faite
est veu, tnare que certainement fui
etars vire avaient pret pros tten
dure imevitalise Un: retlas detini
tosenest qu 337 La Pavel
En teuraine, L'orwque ie toosusrte eut
etaldour pen Tasws fort pe cru
Sont pisieent-iofriwss cUiour bn
auitoquir dre opus Le "ve vs tsitse
de Lara us sn true
Erroguu te vit: Soft v 1e
nert.t dire sun nitro Be uries
Lovonter De L'on bs quir s'att
Nous
LAN
jours sans fortune, sollocats de ie
ctpleu,ctilenobtntenteuz eng
frcture de peu d'importer et à
clugnes de larss, reilr des Baere-
pre. trots anus apres crile de Rhen-
Moselle à Ooblentz, purs colle dr
Hour à Ait-la-0 haprile, ctenûe œ
ch 5, ous 1} rronta dons Li copntabr
roi de Ninlugne et (ut presqee |
lus méenr. Ainsi Napoleon, aueu he
le que provuvant, avait trs
tout le monde el mel're chorus a
phare Nous son pouiveruenemt |
homes dr 3 Kevolutusn qu 1l 1e
Peru coplises furent Gunran &
fans Dinpuisaonce de lus mure , €
'ett porausde, comme 01 1 à éd:
Laofavette, qu'ils etaient tuut pro
rerommenrer,sils chtss-us amewntle
Oututs ina, ceûte occae-n, 168
ran<ea Loujours fetir De Rama
leur offrir. Ainsi lepus à | rv art. ds
sruirent aus lun et avec autesé
arte et de lrielite que ses plus a9cœn
otnis. Taut que dura sa pusesnt
VUrasndee de Lamrth parat stef
ile diveres fonctions que les en
ba le maltrr: et lout susu bers q
les meilleurs prefels de ce temgol
il tit rejonnire les ronsonts et 0
tre des contnbutious. Lie se
Napoileun, content de ors wruscen,
crea boron etchevalie de la Leg
1 Honneur, titresque ils ts. et du
se montra fort honvre et (oct tom
nant relus qui en avan awes
prise de nus anciens rt de plus cru
four lre aorritier a un vain deu (
poputante Ceîtr parte de La our di
satire de lameth, carmper
trouble et de trul prinet & peux
lutin. en fut ssne nel duate ta gà
hourruar Miss quand be cran ee
nite temliaentns16, la prréretuse d
f avant dhesnuru. le prrért del
à héta de vruir à Parn et of
os ptites à louis NOUS Sd lai
rause aus Het. sus és
Somme vit les
vite el
bâta de
Cham.
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CE
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quelque irrévérence,» oui, je m'ho-
« nore d'avair fait partie de cette Às-
+ semblée; ses servicrs sont connus,
au? LAM
abord mes dans les mines prisons,
a Namur eta Lusembenure, puns bi
srersans d'rustiens que les rombirent
4 P'Sutre he lorequ ds brenthetur paix
ave La republique Lameth sul
resta malade à Masdotoures outire-
couvra doltherte on 1709, par liner
eeasten de sers atiede, be gate al le
Hroglie peau chez de ui 1 Brune:
mu. MU Apres Aveur ce Ru chienne
danses guerres de Hanevre 91 sats
allie fort esqave que ou du uns
sautale dans La Comes vapeditrnn
de Choampazsue. M opresrt vtr nue à
on tafeetune À bus aoccrtila La els
vranre d'unnesenuigquienguaitiliatirts
dont certes su bait honte cr prouvent
accuser de benve tisaroc al Nic van
dev alla macnitel rn Nnsltepre ou
1 fut europe pourenrss par Va ban
dre Fronrais rovahist s qui le Urul
expalur Alors 1 sr rendit à Ham.
baure nu retrouva son frere € har-
les et sn aus. le du d'iswllon,
qui formerent aves lui une assn-
cahon de commete quelle ne
parait pas avear eu beancnupdesur-
ces. rar des l'anner suis ante1179% al
laquitta peuerrentrerenbranucr. Lra-
tant les one dr Lemisrition, jui
dans ce nunent ue seurcuithent pas
avec lwaus cup de er sueur Mais la
revetutoen du 38 frustichor Le Le s
Lreutet d'en sorte stuote te fans
pont ee umistrn re su rondes 1e 12
Mestre qu mn avs qua faste ol
eat vran, cnais «jure cetlatnernenit PE
el are atnre avasentitot Pres itren
dues imevaitaldes le rotites crtan-
Uisement qu apres la fever cn fu
En bruiniourr, lroqre He tatsarts cut
CA EL O0 CR PURE CO ETC CZ AS LE CP ER TRE
Vourpasisvun otre -Uu'eut Cu
sait su Jai vs | : Ve vi) dcstlre
de a brasse ce 7 ai rouvre ess
Érrs nine site ' tn - €
mer! lue ant sstrre ist Karim
dornarmter $e D same thr qe vost te
LAN
jours sans fortune, sollicata de ie
couples, etilenobtnten 1er var pe
frclure de peu dimmmrbnee et tr
cloigtuer de l'an. rril. des Besre-A
Les frmsaus apres colle de he.
Meme lle à Cobientz, pris celle @ |
For A AIT la-! Najer ile, ecltenbs cb
ui Un, eue ob tesnta datis La cogetsbe d
ni de NSantugne et fut presque n
lus méque. Min Nap-dleen, aus La
lue provrsant, savator rs d
Peut Le qu oe et mere chorus at
gare Nous eut go'inreuenwat b
hoanenes dela Kesobutie n qu st rw
leu cmgdovre furent toujours mu
dans Dinqaussance de lu: Binsre , ca
etat persuade, coruttie 11 5 C& d
Daofevette quads lairut lout press
recommencer, Nils rntiutawntl'e
Cu SIofr: A22S, erfle cross 1.1 æ
rat,.r4 loujours per br pamass À
leur otre Ana trous a Le art. ds |
wrvirent aus: biru et avec sutané d
alert de fubrlile que ors pius 20cm
attis Tant que dura sa pasrensaex
Mruasndre de Larnrth port sstaés
des diverses fonctions que las con
halle moltrr : et lout autu Lern qu
rs mrilleurs prefets de ce Lempods
1 üiterjpuinder les suscrits el ren
ter Les contributions [+ 0e cé
Napleen, content de are wrurcra, à
spra horun etchesaivre dr ls Loges
1 Honneur trreque mu ta, et ére
«# montra fort honte et let rreus:
nusunt colus que en 25 at awes me
pose us anciens ste plus ras
rout re auritior a un vain deu @
pepulsrte ette parle dr ta ver É À
lenasre de lameth, 1-5 à
rcuble et de tool prisel de pren
, en ful us nel si etr Le pl
heourerusr Mais quand be cran rœ
rte Lomlaen 116. la prréretuse à
Ve avant chenaru, le perrhrt drrûn
à hd'a de venir » l'an et d offre
se wpvers à Louis NN Soil eà
ours quan f4t, su sl érmss
menta, où que les besvins
firent que l'on vint à son aide comme
cela se pratiquait alors; car, saus
Joi qui fixait Le ceus de l'éligibi
+ Alexandre de Lameth
en 1820 la députation du dé-
=
Ê
fût changée
fu
1013 L AM
d'abord ms dans les méme prisons,
+ Namur rta Lusemblonrs, pins li
vrés ann lrussiens qui des rordirent
AV utri he lorequ ils firentleur paix
aver a republique. Lameth seul
resta malade à Masdebours onurire
couvea la bent ot 170%, jpar finter
cesse de sc oncle, Le nat hal di:
Brnghie refasger chez Le dus de Brune.
mir, qua apres avonr ee na crues
dans les guerres dde Hatoste, et san
allie fort equiveque ou du trans
utile dons Lo Comeuse capeditinn
de Chompazne, douait nu astle à
son dfostute D dur averda la dels
vranced'unneseuaquienpuatidesterts
dont certes oct ent bout de pouver
seccuset le brave mars al Nb un:
dre alla ausutet en Angleterre ou
1 fut encre ponranise par La lune
des Francan rovaliats qui le hrott
cxpulsre. Vars d se pentit à Han.
bourg ou 1lretecuva sou frere € har-
les et sen an. le din d'üeuwllon,
qui foemepent aves [lis uns asso-
cisben de commerr Huquelle ne
parait pas avrar eu beanceupir euc-
ces, car des l'annee suis antr14793 30
laquitta prurrentrer cubrance. bra-
vant les lens de Lennsretioti. que
dans ce nritent ne sexrcutaint pis
aves beauseup de r'iueur Mais la
cesudutie du 1e feu tuto Lo Lors à
Mentot d'en œftur cree ur frs
peonr se somstpare scene le ia
Mrsoutaegn qui a mo avt pas faste ol
est over, mais que cestanenrut lus
rlers ation avaient qesttes voter
durs inmruutaldes Jin ventes rtiti-
Uvement quapers Le poster Lu
LS bruinaite, loreque estate Hi
etalour prix ir sowsftt pe 7 na
Vusurpariesanitettepets cuire hu
part pren dre Ds À rs veu soalre
de Jabra ss vous:
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nent le ann utero che Ko ourimsr se
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LAN
jours sans furtune, srAliits de lus a
cmipln elilenobtunten 1er ua gs
frcture de peu dimportiuee et tr
clmiygnee de l'aris, reil: des Brere-4
pes.troisans apres crik de Klum-e
Minetle à Coblentz. purs celle &
Hoër à Aix i-Chapelle, etenho cé
dus VS, ee 1) reeris dans 12 cogntabe d
von dr Nardugne et fut presçque r
Ds méme. Aus Napoleon, ane: ha
leque presuvant, savait es error €
tout le quete el metre clurue a:
phare Nous un goneruenwst kb
hommes de la Kevolutasn qu il suœkh
leu ctuploser furrot touprurs
dlous D'ornpurssance de lus mutre , ca
l'etat persuader, untuite 1 À »s dé éd
Dafavette, qu'dserlairut luut preés
rerommenter. fils rntn-usswntle
Outer. nas, celle ocrass n,1le
rauses toujuurs peur he man |
leur oMrir. Ain trous a in art, de |
wPuirentauas lue etavec autant d
sclret de hidelite que ses plus 2ncers
attis. Tant que durs sa puarsssats
Mesandrr de Lamreth porut sstafs
des diverses fonctions que ins one
ha le maltre : et tout aus leva qu
lre meilleurs prelets dr ce temge
tit rejoindre les srnscrits et ren
trer lea contnbhutioue. lle con cl
Napoleun, content de sors wrvnces, |
cgra baron elrhenslier de |3 Loges
Honneur. Uiresque salle ta, et êe
“# montra fort honore et fret recee
neswnt celur qu en aval az me
pessr de nus anciens ste plus vraus
pour les auritier sun vain dr à
pepularte Lettre parte deta cu d A
louatdir de lanwih. cire: à
tenble et de tul prinet dr rree
lutin. en fut &sne ul doutsr La pl
heupruur Mais quand br ground cæ
rs Lomlaen1st6.la preéreture à
[avant dire, le prréet der
w hdta de vrai » l'ars et d of
os wrviers a louis NN Si le
trous quon ft, sure © dress
lire lil ne payait _
ne
a a A net,
menta, où que les besoins du parti
firent que l'on vint à son aide comme
cela se pratiquait alors;car, saus
häta de la loi qui lait le ceus de l'éligil
fût changée, Alexandre de Lameth
ne RARE,
partement de la
Éd va Ce A A
gauche, côté de Lalayetteet de Ben-
Jam Constant.
ik rat l'honneur et les principes de
l'Assemblée Consutnante intéresses.
PS era os
L3 on en ss
Ph e pra du- il, dans la
irrévérence ,« oui, je
« nore d'avnir (ait partie de cette Às-
+ semblée; ses services soul connus,
«son éloge est ait depuis longtemps;
+ si on la blâme dans ertte enceinte,
+ au-dehors on n'a pas la même opi-
+ ion, D'ailleurs em er à
+ celui qui à toué la Convention,
LAM
-tructise de a rovaute 123 et de
- toute hherte, bide 1 Assemblée
-Concütuantr, qi, en Îrs fondant
luue par l'autre, avait tout fut
«pour les garantrrties conserver.
etat le Lesmps su Le part de F'oppe.
aitu, 4 acharur contre la monar:
che des Bourhuus. avait adopte pour
baser de ses attaques des apalngirs
«ans venir el ans mesure de l'An.
sembire Constituante et de tout ce
que lus avait appartinn Ce fut sur
tout par la que re ports alürs Lemeth
dans æsrangs Ces cluges be rem
reblplusher et plusessigeant: jatfons
au ne l'avait vu aus porshasde de sa
superionte. Prenant un tt drdai-
cneus rt superbe. al hit uu jour aux
inintatres du fur, quil accueil dr
voufour renverser la € harte : Quels
- sont donc les antroscdeuts des bons:
° nes qui ment nier une telle eu-
- reprise” Sent ce des Hichelieu, des
. Aimenes , des L'oustal, des Chr-
- œul" Je jette les veu sur les hancs
+ es muniatres .etoctle vue uw ras
sûre... Degens lonslemyre , rn rf-
{rt uns svantplus ru France nt Ri-
vhelreu , nee nseul: thass ce nrtait
se au part rrvaluheunaire qu'il
appartenant de sen plaindre Ni,
cu 1999, Louts NV avan cu aupres
Je lus sulement ue enmbere de ces
<rands hommes, M de L'amerthet les
vens ue leuseent pas renverse du
Irooe . rat pisvus
trente ans pins Cort onen ter etespe
AU fitialpen de anfete
106
ct seu ne des
Crtles
quelqu un avast rat de parier
avr lantile megris des nnmes dB
tal dr celte ogmaque se totaul pas
0 Se joe 100600 501 D ’e Mere gr:
6:80 4 ?uroetm, greg 0 ve “D
4 Me, - a 5 : «- CT:
4 Lo æm:- + 0 =. :
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0 1.046 eutor sa Sms: p°-due
1 pÉS ee Qu'on moe € 0 bhe-. Le
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LAM
celui dout les plans et les pe
avateut eu de s psluvables res
or noelatt pas homme que, «
avr demande avre tant d'inst
la hherte, l'egaliie La plus rat
s etait fait ensutle voluntarecmr
wrviteur devoue rt furt bumbli
despute Ir plus absolu que pme
gourrenr la France, ce n etad
Dlemme dont toute ls ve |
Uque s'elast qu erreurs el com
Hos, qui, apres avow fonde de
des Jacohuins , avres s'ru étre ex
Lun des niwimbres ir, plus ad
lavait rosuite accuse de tue
maux de la Revolution, qu: we
ceunitient encore vehail d'inje
d'accuser les caugres, apres ave
eh 1791 que lesofhciers ne quai
leureregiments qur prur ne pes
pendus quienbnasatlu mn
#te pour ne pas subur un set pe
Vexandre de Lamvrtb fut aime |
dant quatre ans l'un des deputn
plus acharnes cuatre le ps
ruval , et il paris encure dans b
coup de discussuus sur la pass.
Fa querre et sur tuutra les quenti
Mars, quand les ruvalnire eapn
un peu d'influence apers La mes
duc de Berrs ri la guerre 4 Espa
11 ne fut pas reelu par le departes
br ja Seunr-Inferteurr L'arrund
met de Pontinse | avantetu es 4
lit eucurr une fuis wergrt à |
trème gauche, pres de Lola
st de Hhenjamin Cometaut. Ds
quelque trempe & sauts os etai
Malle. etil mourut à Pass
‘ua EASY. Nes fumersilies, à |
‘auen desquelles un crocasd
meutr. furent cepradant pou
MM Arratrs.asstmir Perress ce
‘ton Dcrenl dre diruers ou
ils , tire clerteurs & Ponts
out tendre uu bommagr ples
theft, à hireut un vou
Unit 1 c3 place, mrmbee à
L. MM
Lens rlevamgessstis an rmnibues con
fronerauis onsfaluenedr cnn slouvn
dose Colonne an tee affaire
par Punto et por uit, Dauteut
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je enr ii
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bolonais; 2° uulivre
pudicitia, adressé à Gui d'Autonio
en 1443 ; 3° un Discours
us LAN
1793, ou 42 OÙ Le Lemyir de lu
laurcser.soule Trremph. du Pratar,
atgaeae oty ut ne tetes, ver
ua prolosnue el un diertswment,
Bars, 474, mn 42 Ces deux que
COS Cet painais ee Po ptrrsentees
D Becteure ahroyee du venue de
Constance. emperrur dürienut et
d'Orcident Vars, nt -L2 ou
PASS Anse folie OCusme edite ur,
il a prit Le 1 Chrr - jrresies mm:
edes ct rhrifacinrs, ep Wu
Arr! Juan: pri et fr mes jours,
Paopis TU LUN uns te Non
reuu chor 4. vrorales el
chrelienmrs Vars ATOS,
Jr les
sen autre eds cu tuestteque, tas
Lire rs ion te venmgbires, l'ari,
DUT Vue oui Ho ave pros et
Lauble cf re. S fMucses rhussies
de J HO Koussruu, 1744. u 12. Cr
Peonseat, nil añes eut, set Souvent
Ceitiptine 4 Mibisthoque per
Uqme, su Nouv choses plus
belles poses de vevu en loul genre.
depuis Mar tquoquaur pretrode ns
poses, Par ss ANT Ur ON on Et vu
Bus 12. Poantre fée tiers qui en,
Worth!
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le avril 1772, à l'ans. :
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connawauce profnnde dre lancurs
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cinq ans des cours de thesingw.
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pohtique et v mu toute |'arèrer &
on caractere. Avant rtnheser
tatinr des Pranrars l'requ'ièe ssareut
dans à potrie ei 1799, 1) fut oblige
de se rrhrrr avec eut, et er rrendl ee
braure on dtobtint une plore & pro
fesèur au colirsge de Socrzr Das
vint à Paris, ou ploueurs sas se
et Hiterateur ilahens s rtasrat refe-
Lie par quute den rornements prhà
ques ss trouvait rpeore en 1088,
Lruque Mont, havrv-grophe ds
rovaume d'italse, puldis, eu 1 be.
neur de Napmleun, un js me mm
Il Hardn della Seire Nere Laren
bque pujuante de cet ouvrage, :08e-
pre dans la Drcade phrlesopèage.
fut ottnbuer à Lampreih. qu. ct
retourne ct ol, cl srisnl Ba
s Milan. se recueils rrprodsmi so
Wut, et devint l'on: de larsés.
Lambert Rrenish et sutrre vante
Vorntne prfesvur & m:31he matique
AC pages du ver pu Fugvraer Drou-
bogtonis Vanconela «6 de © & ca
tere duo tit quitter celte plare pous
Prteûre à Napirs. nus il fut ‘ hagrise
a mtuctre de la juin e Res. €
Uentadrsleraneidl lslirtaluse Lale
rt juorair talioune à 2 Diie. ae
Lorthu: Mes Cajrer Latre. part
dtingure lampred mrerst dm
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slucteons itshentes tros cales
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ii u'eut pmnt d'enfants. D <e rendit
“nautte dans la Gerre-Sainte, d'ou «dl
revint en 1221. À la mortdeilenr: ll,
arrner en 1272, Edouard, son his
aine, se trouvait eu l'alestine, rt il
etant a craindre qu'Ediunnd ue pro.
fit de La circonstance pour se aire
reconnaitre roi au fwejudue de sou
frère absent. Mais, sat qu ab ne vou.
Jüe. st qu'il n'ondt rien entrepren-
dre, 11 De soppru pas ave qu't
deuard (t priclaune, malgre vin
alnenuce. À son retour, Edouard.
pour reconnaitre celle marque de 1.
delite, bit diverses rotressuns 0 son
frere Edmund, rt dispos chtre au:
tres, en sa laseur, dis conte dr
Champagne Cr prince lui fut tou-
pours bee, rtoomiattil are courage
dans les rangs de l'aries anglaune
envuvee contre l'Ecoser De voolenitrs
querelles entre des matelints angiais
eUdessurts du ren de France, qui se
ternunerent par Ua sonelsntengase -
ment.danslequelpluiururs varseaux
francais furent oaplutes el pros de
quurse Welle heotsnoes Den eu hoivre,
provenquerent he tresses ut de Eh
egogee - br - Bel, ojun seutenss Le re
d'An.leterre 1298, rit ni qualite dr
ue A Aiguitastee à ccttpait it jeitir
ropenader ne ces units biluuri.
jotipe à Celle cpraque de sa projets
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sengageait à la rendre :mad
ment, cu accrptant trs sata
cunveusblrs pour lies autres a
dental avant à se plaindre. Eds
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et le mousrque franrars pros
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donnee à Edouard. et Limend :
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legale et en quelques punts em
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ralicn rs quarante jours du dek
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le reuit des ccrivains auglars. qu
teudrat que l'hulippe-le Bei abe
la contiance d Edouard, et ce ra
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des Polypuers dun ravaudl arr
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ditque Le manuscnt etait a pen pres
termine lorsque deiprra Passat anses
prepare tue twonagraophie de Lam:
RAIPES PS CUTIENSPS FFOMATAUPES Ur
cegenre sin le crtesque es, EEE A
par des partieulantes qual presente,
mon pount ele ps sue pour la sci ft-
ce dune part. lesespeces quil avait
reutues et dout | Lung ctirn etant lo
lease de sr travail, se vosent Li
jours au Musre de Uaen et anne
nombre et dans Lordre adopte jour
lus-meme: de L'autre cu à travadie
sur ws dontiees Bury dde Saint Voin-
cent surtout cn à probite ets est plu
a de dure frequennnent etlauteiment
Lamoureux projetait une Ffretosre de
la mer, pour boquelle peut cree prr-
anne et Europe te rennes autant
d'elenients le saurers que lue Lrt sl:
ados eut D'annentone D 'onricdte-
tion de la culture du ble Eanouixs 9
metr de fratents. Le letamste Auuth
a done en sonbhonvneur, à un ‘rure
de fafannlle des Mhsnmont svses le in
nu jeu dorhare de lameureuria
Or née Qu ovaitele donne au
par Awardit au grure ! lauder, qu:
Lamour avant dechire à un pere.
Mais .: Dostoge bise tat ele. Jet: fhaatiatie ti
ua vtr palilie par jersnte ractr
ar Lonacur: ntciverees joies sut.te
rsunles 1 par.) N Hul: Ann
des Ne nat UN. UV um 12"
2e par Hors ue Sant Voirie Phect
rlass foot mat! VEUT oser
"fs 'rli, « pat Blerbsrst ct et
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arm, 1929 gp 3. l
Le cotal re ve
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ane Taie Crus pes toute ee qu Ur
bois ben ortuont te
Resume bianigus eus le Nosue
pælitan ARE)
LAN
de phytagraphuw). dans |! Enrgeis-
pedie poriatire de Baillr de Ver
heux. Pat
LAMPRENM :Unsais). é ia:
cenne ecole lhingnetique nalwanr,
naquit a Naples en 1761. Îl stade
abord les brlles-lettres, La pe
etes mathrwaliques, et 2cquii ue
rupnawnre priondr dre langurs
poerque cilatine Se destinomt a le.
Ut reclesantune, 1 suivit pPinel
con aus des cours de throlone. «@
recul les ordres srres D une man:
Hatun tres vise 1lo's cup san dr
politique et v mit loutre l'ardrur &
«nm rararterr, Avant rmheaew
causer ra Franrars lreuqju'oles viarret
dans sa patrie, en 17%, 11 fut oblige
de se peter avec cut. ete rerudet ee
braure ou itobtüntune plare & pre
leserur su rollege de Sorrer Boost
vint a Fons, où plaurars sat sem
ct Ltterateur ilahens s'rtaswnt refe-
pire par saute des rornements prb.
ques sv trouvait rncure en 108.
Leuqmue Mont, Munr-grophe ds
rovaume ditolie, puldss, eu | bue-
peur de Napcleun,un pe me 1m0ubr
ll Rardn della Seire Nere. L'or en-
que piquante de cet vusrage, .a8r-
rée dans la Decade phslesepèege.
fut sttnbuer à lstmpredi, que. cts
ertourne en Male, el srisnt Ge
Milan ve recconcilia crprendamé avec
Monts, et devint l'atm: de larsée.
Landerti, Brenlob rt autrre uses
Von pe: lessrur & mathe mastque
es jrsaes du dicvr feu .Fugvar Bren-
Lorrain, Linronels ce à oc ær-
terre lui ttiputter cette plare puus ©
trimire à Naples, 4 11 it :hopeèns
Litminstre de La jun Record. €
Lorna deutrenneils itirtature Lober
ee gear Nalinne à 3 Bille, ar
utile Mme Career Lotre. pores
dbetingue Llatmprek mneret êsm
vote ville kr V2 fes 1436 Chut êm
‘pistons talent, tros caisse
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il {Hi Ï,
Su | | |
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”…
130 LAN
Guillaume, comte d'Alhesmnrie, doni
1 n'eut point d'enfants. Di se remit
“note dans La Terre-Samite, d'ou ol
revint en 2271. À la mortdetienrilll,
arruvee en 1272, Edouard, son tils
sine, se trouvant en Palestine, ct 1!
etait à craindre qu'Edinutel ue pro.
fuit dde la circonstance pour se faire
rerunnaltre ro au prejudue de son
irère alernt. Mau, mnt quai ne vou
jt, sut qu n'ondt eu entrepren-
dre, 1 De soppau pas « ce qu'h
dousrd ft prclane, inalgre son
abeence. À son relur, Edouanl,
pour reronnaitre crie manque de h-
delite, Hit diverses roncrsuunns à sen
frere kidmund, et dispos rhire su-
tres, en sa laseur, du comte de
Champagne Ce prince lui fut tou.
peurs brie etecmbsltt avec courage
fans les rangs de l'arines anglarnc
cuvovee contre lhcuser. le violentes
querelles entre des matriots arngiai
rt des suets du peu de brave, qua se
lermncrenthar ui sanelatnt engager -
ment .danslequel plusieurs vaisseaux
francais furent saptures ct prus dr
onze malle hetstues Lio s eu move,
provsmquere nt ke ressentie nt e l'hu-
Papgee - de - Bel, qua sens de ma
d'Ancheterre 1293,, rh oi qualite de
dus d'Aquitaine, à cup tre jet
ropogder dr ses musutes bdouari,
eo à Celle epoque de as progrls
outre Dhcsmec. Ut ni par sen
ainibesas enr, Levéque de Leudres
tuto dec Tee Uae DT AU Vin Lie © bis
parts br one ue, pe nefviieque br Mens
atosse
eŒUe pots ge confins av VU sie Frjetre,
b,l « pr). quiet av uit isess th DT CRE
eue van raoncs oct ae frere ia
eur. su frs Elise peur à
Lao Def so pense ire pe de Navat
Fr, tif: ects oÿe Pre
41.0! MEL CO COR CON LE Vis
de des!
à lise #f:à, (| 11 MPrail €.
mat 08 : 0e 19 mm -m er * v:
LAN
avec menvel ce : où be fit em
mais la saciplirite de prince ne
vaut lutter © re tout l'art «€
adveraures. Les deux princess
frirent leurs buns oflèces. et !
rent, le 1er janvier 1304. ua
pat lequel la Guwnne dut étre 5
entre les mains du vin dr Frame
sengageail à la rendre :mmé
tuent, eu accrptant des tués
ronvenables pour les autres
dont al avatt a se plaindre. Ed
donna son consentement a ce !
el le monarque franran pros
Pulmerver. On vetirs aire ls ©
donnee à Édouard, et Eimend
da des vrires puur que Le pos
legale et cu quelques puints m
re de la Gusrtine tit remise a
hosrs lu seigneur susrrain. A!
ration ds qjuarsntr juurs du del
availrete lise , le comte de Le
rappels à l'lulhippr sa ragace
1 n'ablint d'abord que des reg
“hases, el, sur de nouvcilre «
es. 1l recut ensuite uu refus g
nent qui d'un jugrineut @
‘leratla Gwente coutume. 1
le reuit drsecrivains anglars, qu
tendrat que l'hulippe-le- Bel abe
la contiance d Edouard, ctcr 10
ch grande parte coulirume pu
inennare À Eduunl, iuvwre da
Actre dr Ruiner, el su ire Drg cu
fuvslrnieuses par iraquelies ue à
bdouard ct bkiœmund se tre
enprrqrn best rx core par 18
dhdeuusrd aus jeriats et lue
saine, el par l'acte su st re
ilfemuse et ou 1 rapprt
‘raitre surris entre L'imuns &
pee le bei. Lu o Mosti-nve me tra
su contraire. dswnt que | abs
lait inule, que ce fut un per
‘ snste, be 0 RE an + € Ares œ
U oo Nilr v. .e l'one vouve à
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ennemi, ne roi,
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che- ce
shéritière des faite
et de
mar
126 LAN
de von, les seigneur avaunt intro-
dut a laceur un jeune homme tot -
me Hugues Spencer, qu'ilécrosstunt
devour à leurs intérits .etluiav aient
procure une place de chambelian: %
dans lasurdes servir de lus comme
d'un esgnon. Mass leur projet tourna
contre eux memes, car le pere de
Spencer lui donna des instru tions
fuutrs suontraires, et la persuulsle
pour aa fortune et trasuilaut
directement pour lur-méime, au het
de servir les barons. [ne taria pra,
eu effet, à force de patener et de
souples, , a pan les bonnes prà
ces du Pur De sus epson it desant
son contient, 6 Urempht cutin dans
ou cœur la place que Gaseston
Y avait autrotens erœeups Cote
Gaveston aueu 1 ne tinls pas
a unuonlrer «ir Hier cutren et
ume avidite snaasloatole. 11 devent,
ain que sou pure, qu'il avait faut
Honnmer comte de VWincheatrr,
«deux à Da malin, et partcuiiere-
inent a la noldrsee Leconte de Lan:
castre louponrs populure, ei chti
anus purs cu peu, moolare leur vrcun-
caloatren vaters nuire, 44 ant où hirodiler
de ee conjenetarrs pour fier un
parts contre lee deux lavune Java
persuade sers amis que leur perte rt
la Genne etasnt snfastlidies vils ne
tr mo sent anseneds smcnertsdenus
Nencer de is cuir : que te rer, opus
couvtan une pts or de ss vonger.
cladt . itrapralele de Doom
courte sracle see so ous qu ot avant
de or pti s acuiate
CL TERCEENE EE
Brut Oo cro'n-tte
de rs dr on triste auit
roc ti pris ac. jte fonventotr Los
c'tet !
Puies fon tre Cu EL LD
| au aPlelse PRICE MIE fr fut Fotos:
too en ANT Nyon 4. ? eue sr
U sa 3: 1. , Por ss er €
Ste Lo s': a 18. ..287 « ts
og" + :, CE
Sy D +iu'e pe
LAN
|
!
lea terres des leur Spencer . Lars. :
ter et les barone enrrat twgerer ver
telle crante au Por qu'il ct ob-
ve de ronwatir à l'enl des fve-
us. Mars nn préterts qui «8
a Fdouard lui avant p-rmen € #-
sembler drealtroupes pour verser vu
imaulle personnelle que Ine:t Bad-
lremere avait farie 5 la resne . À rap.
pris le jeune Spenretr , nm que we
pere el, avant jete dans an trrnbir
embarrasies haronsqu n atss ot pes
eu le terme de er ronrertre et & Le
ver nine arnmire, les attsqua owps-
remet, en iulimuls pluevear qu
œ Sonmrent, el junrsannt euvieaf
avre vcharnement ie enmte & Lss-
casier, le plus puressnt d'entre eut.
quonque & prepularitre woblit pen
quelque temps our «cn drriin Bones
pres de Burghi par Ir chroshber Lo-
dre Harrles, gouverneur de € arte.
Lascaster ,aprrs av cet fait rs fur
toutes pour rallier ve troeçes . 0e
put couter le molheur détre peu .
aveu quatre vinst-quinee bre on
chevaliers el fut roondut d'abeng à
Verh.ctilelsas.n rh:t:38 à Pons
fact. 0e malheurrua prnrr or vt d>
ler rupurer aus insultes dre éd
que l'appelarent par moqure le ous
trthur, 3 crane de rrrtsinre better
quon aval emtrrrrpires et où d
ctartelrogms pur ce inm Pre & porn
apere 22 mars .ir re o taf srads
a bentfoet le Utcompsreitre re je
cement devait coomire et borags
que louve mpagnaent.e! pores
quels trous seul ire des Rprorss
Ootte gauebire. reurue » Lo Rip et
peouncotubreuw lrrindsmns een
rutre . vetre traint , pre «€ an
rhquartiore Wao. cmnss dl etat d eu
tro tin Povate, le re voulet ten
U cparcher L'onfsser de ce eugolre
eU Iles httranrher la tête Los que
Vote ct les nuire & La jure
proc lonr perurr de late . re
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Mes ons nee Venupis ardent pre
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ner asset gaurpe botte Dautorite
contre Pantone du poitlement, qu
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des outre « pribotiquee “,
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parmi dre Anglais, quiucs cn retour
ndt avec deux où trous larons, che.
valet ou e Users par à part dr
aptis. Quelques hotniens appellent
des ee een Berls conte de Lau.
oaster, tre del il venait d'henter
sr La lot: de winmqure, Litidis qu il
laeait en toute 1e vomquetrs
frcabos Lace de Braues., avant n-
tu getabile es tuanees, ronsiuenes de
“rude [RART iratafs, ob Les lue oo Not
nano, accompagne du dus de Biour
QU COR A | aime toute de tuotidesse,
onaiut contre Berhs une jus:
Qute armes quelediites de se trhur
ut adohtuee Ne pouvant sopyro:
cran ege el a dla prier ol Aou
lue, @ at contrat d'inviter
bdmand a dus enouver des renfurts
Lorsqu'il leseut rréus Lput ropren-
de Lofense, nds que le rod An
cieterre sembarquan pour Sluss,
ant ds repuudre les deputre de
Flandre, aver lesquels 1 etait eu
pourparlers La retranr du duc dr
Nermiaulu de La Grunenine laresa |r
vestntr de Lanester anaitrr lu champ
te bataslie. Bi protits de a super:
nt pour Semparer cle Mirabeau,
d Luugnau, de Panleheurg st de
Sant - Jean - d Ansels. Fosuers lui
ouvri aussi we pories;ilqmusss as
gros jusque out les bonds dr la
Lure, rempli les prosnre mert-
Lecnolee de do beau e d'hecrour ct de
et Paruena ses roues
vhorsecs de dcpouilies dans leurs
atnarters hiver. Na state perwn-
eue etat alor coiprerr, dit Lou: -
date , de huit cents bounmes dar
nos, de deux nude archers et dr
rent: bonnisges |} renas:t un train
de jen re, ct la bpe nee dr at tutr-
pur soievait as tiin fem tin steri
par jour | amssta su meer el a la
gerer fe 4 alias. et Lt adtnre cu 330
More Les ctaiue Smile ds che:
1etorbke lo Darretiore ju bhouar |
4 nant, tosst.,
LAN
venaut de créer. Dons Île Ba
nas le que 7 dnnua le 35 set,
alias et ouvres, vu Fdéouaré
qut ner futile ospasnole
nastiee par on (arène de La €
le comte de Lanraæiter vint se ©
nu priuc de Gallre, dot Le
srau etait sue le pret de canin
ot larro ha a la mots. En 6
res avcunla au here snclas
tre de dur de lzeraster 14).
la mime antier. avec a qurem
dhdouard, pour aller crabet
atlideles, dd rvrtosrnat en Ang
pers avoir anis qu'une rer
non détre conclue cuire Les
Ueus et les paire, luraqu dl a
voie durussinn 18:r (bone, d
Rennswics, etlurpe:; en dr À
iiner pr tin duel Ses:vasot leu
Vois a0<lats, trop ut "01 pal
pour leurs eomjatnotra, le d
Laucruer mratrs aus cette
son tue bravoure chr2lerrsg
le dur dr Rruneuwerà 42 ronires
fatblese de rarseirre pousses
qua la poltronerie. Que qu
ant. la querelle avant vie es
d'uncommunacnel. a !'artetn
ras de France re praer ra ue
deus aderremres, qui « Gros
tuellement des prrents. lu
temiyn avant le hatatile de Fe
Lancaster Lil, suivant Deagés
uwutuwnenFranee,rts y eng
quelques villes, es tant d occey
Latadir que le rot. ru s pl
reprise, en dent qe à esaf
uhor à (aire, mas quoi La
l'ujuurs des lanterars allmenés
wo derneres. abs qu'oe pêt u
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1 lot os 119 ere ue
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ment ses Er Frances et, sonne son
tent demandant qui certe
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aime til le | Aus le tefte, 1 prit late
dater d'asaster ke per Chartes NV de
tutos &efopiis Les Eraneats sv ant
dramque de tre dd Prtigus, ot les
Vallee aol san Ni aspares tratte
netard Les olles s, Le du: de Lauc.s
ler ete coante cle Cible, sn
free, vosantoqu'asec le peu de tion
pes quafs avaient ds he peuvent
eaporer de les rs dunre, nt Scopus
eNiracement aus etflorts des bran
eus, qposserent ou Arïleterpe pe Ur
sollenter des secours Ldunard LE,
eur pere, decele à Durs un pursatit
efert en Gauwcgne, xsecimbia ur 4r
inete d. trente made housmes dont 1
dauns le cotnttandement qu duc de
Pancaister lequel prenait taupenrs en
Aneleterre de titre de run de € astuile
opens, clant debarque à Laure.
trsvorsata plus érarde partie ide La
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nent de | Angleterre pnitlare.
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loutes sé furves. Les Francais avant
rompu be rite de Proteus. et les
vollre codess aux Aniistsqatee traine
etant revoibos, le duc de Daur.s
ter ele comte de Carmbndze, son
frere, vossant qu'avec le peu detre,
pes qu'ils av nent ds ne pensent
capter de les rduire. in Sopprur
efhessement aux rflorts des bran
eus, qpawerent on Ansllerre pour v
wiloiter den secours. Edouand D.
eur pere, rene s faire un puissant
eBort en Gawogne, as imbla unr ar.
mer d. trente mille horsmes dont sl
donna le comiuandement au duc de
Lancaster, lequel prenait lougours ti
Ancieterre le litre de roi de € astsil:
Ce genes, elant debarque à Cala,
traversa la plus :rande partie dr la
Peouepour se rendre à Bordeaux,
mass dou que ce Ut ous Creuse re
dd pposmon., aus Ze de jee tou |:
quel bapen Dhsvoan, des Franeuss le
harueirront tellement dans cetUr bon
eus marche, st al v perdit tant dr
monde quil lus rent à prune la
ete db son arnire quand sl alter
gent ss thest.nalin Lre € nains
branratrs «nt unatitihrs à se euprt, 1!
Hume lus méme partaze leur os
bon Du sut dre Anglais et.i.t
Mordnpue -elrepreqte Qu'en LV.
lorequr EJ usrl ee il mtraut le
ec bolurs ue rever nine ns vetut
plus de we àniCie ne pribr neue 8.1
bran:, 1 ot Rætoa vs. Mansour, ot
Satan ba ttes. cv sont els pret
open, ei Aneiletee vec broder .s
de vs '! AVatior sr
tapas Les 1 bob art Hs Lregensse
rent ar
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ACT QUE LES LINE OUT LEP
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Muntstralue caire les mstns
de lancagter, malgre |'eadsé
populanite de ce prince. Men
lemeut reciama rt obus a
Star nt. sans doute a lies
du prince de Glles, qu ce
crrht du duc aupres du us,
SP eniant Mentriur, vOyan 4
quitude quel alian lasers |
Huhard, son his, a la me
uucle amiutuwur qu pee
servir de sou aulnnite pour |
ver la couronne. Lzs Use
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mort, Le nu s'riuprrass dr
aupres de lus Le duc de Lace
plars de n'uveau:537;
que celui-ci avait ete vblige
Ur. Neaurummns, en je: æ
ce teiingnagr de aux 2%ec ts
sa routunce, Edouari ne 1@
lus donner liru d'esprrre
destnasl puwr Sn sucCr2Se
de pervrair tous bre deféeeu
pourrsinnl survenx spres 1!
rr.als eirnl à s42 du crosses
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lu tt co cure prétrr rer
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pr utglil de a un eme :
le iwritre par svsnce creme
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be, ol dis donna uer plerr à
de us nrire dame touts br
nes. Pendant jee tuul ris
Ui als cogr. Jren Wetel,
cn Uiriloge de 1 Luis rad
fer pubiaces vpaorm @
fomners orties ie 1e,
L'ar heréque de tastrbeey
que del. oér..,chsrevre tr fs
cree lhrremanise à crtie t
Halo or cn: pe be rrias à
a! sulpes le mu,ees el d
D
p ÿl il RATER
ji
El ls
TRE
124 LAN
du ros, les regneur avant intro:
du à La cru un jeune dicsremne non
mr Hugues Spencer, qu'ils croient
devour à leurs imtéréts rtluins ment
procure une place de chimbellin 4
dans la sus des servir de lui cormme
d'uu espion Mass leur projet trurna
contre eur imeémes, eur de pre de
Spencer lus donna des instru bons
luulrs econtrairre, Fi lu: pers de
pour ss fortune en travaillant
directement put lui-méine , au heu
desrruur les bars. ne ards pas,
en effet, a force de paleure et de
wuplese , à gstter Îre lunes pri.
res du Pur De sun esp cr il devout
on Canlident, 1 remplit crtin dans
ou cœur la place que Gavestor
V avait aubrofons owœups Crime
Garvedon auess 1 ne ‘into gras
a entrer ui. Verte vulrrr rl
ar avubatr tuaatisbhe. 1 drrunt,
ana que son pere qui avait lat
enunaner cent: dr Wanchretrr,
sur à la maten, rl particulirre.
ineul alanaldess Less tite de Fan
catrr ,toupouts populouwr ,rtehne-
fous papes chu po, mobgte leur recut-
cahatien siiereure, avait eu protite p
de ce eotjonctnrnes je ur fwner un
parts contre los denx laveme list
peranadr à ere amis que lrur prete el
la œetnie etat nt cms lille vils ne
Ur un ent tive inerte drux
Wener driacur. qui
enutalune peter desc vrnser,
etant alive.
conduire virage ss Hiaie ges cts aval
o epotadte be er fine:
de we dr in reve ait a :.
lLuen pl. Paloussn squier dopveet ss
que be tou.
.stnespalds de ton
tent Juste
Pause Los Tire 7, 1
Dot ae todes € secteur to Luil fotos.
LE TL LA 189 #?
eccvr V2: Qur. 1e
Las” OL un Ter sos 5
tee ;,9 0°: s Ê Dr , 7 + rt
. trs) s "te 4 n ”» a
LAN
les terres des deux Spenrer . | snrns-
ter etles barons snrent 19œgurvr wne
telle crainte au vor qu'il vw va bh-
ge de roncntir à leni des frre-
ne. Mas un prétexte qui 8m
a Edouard lur svont pren € n-
sembler destmupes pour vence ve
imite prrennelle que lort Bo.
leinieer suact fane à la rene. 1 rap
pels le jeune Spencer , aim: qu se
pere ,el,avant jele dans nn terme
embarras les baroncei n'a sir at pan
eu le temps de & roncertre € & Le
ver une armee, les attsqua pe:
reineut, en omtind: plinwvers qu
er Soonmmrent, et pneu ourtoel
ave scharnement le conte & 120:
caster, le plus purssant dentre vert
quouque da pepulanntr wemblit pen
quelque temps sur «on debon D'ts
pres de Burelh par Lr chrrater ta.
rer Marvirs. souvermeur Det 2rirebr
Lancaster .aprr avone fait es forte
inutiles pour rallier ere rouges . De
put molcr le muheur 4 tre pm
ave quatre-vinctquinre horus en
Chroalicre et ol fout cons. 1 d'abog à
Verh.ctlelaaen ch:t, 30 & Font
futte malheureus prurrermt do
br rupees aux tnoultre ire ondésm
qu l'appelant par meujuepiw be vus
Grfhur .n raner dr cortrines britpon
qu'on avait intrtrrpires . »{ où à
ctutdogurpsrren em Pre & men
aptes 27 mars .ir run « set ronds
sfontfiet le titocinpéraitre e® pe
cementihouert es coohlse el botame
usa: mpagnsewnt .! pere
qitsw trous sent dre dus Aprarrs
Cette un blor ten, 5 19 Rlbs et
pponcatreuw kr ndsamns eau
rtre votre lraine, peonde el Em
enmquantore nos mn 1 at d ve
fra lou Povate, le v 4 voulet ben
M'oeogperstes Lino de cv cappler
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Vote ote ct les motmiodtrs & La jeter
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minent de | Angleterce, 1pntlare.
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luutes sroferves, Les Francais avant
reanqua de teute dd: Cretigus. et les
salles coder aus Ansluspareetrante
s'etant resolless, de dus de Laness
ter et le comte de Combmdee, son
fesre, voyant qu'avec le peu de trou:
pre qu'ils avant ds de peuvaient
csperer de les rcdunre, ni Sopprsr
efhcasement aux rflerts des +ran
eus, puwerent on Angleterre pour 1
allaiter des secours Edouand Lil,
eur pere, decide s fuire un pursaul
Mort cn Gas ogne, ass inbla uur ar
need. trente malle hossimes dont :l
douns le cotmuandement au duc dir
Lancaster, leqark prenait tougonrs cu
Anclrterre le titre de rar de Casuils
Cepeinre, etant debarque à Calais,
tesversa la plus ;:rande parte de la
Frouegour & rendre à Bordeaux,
mate Don que or it Qus trouver
ooppsssion. airs ie le pretend
qgusrtiifBapen Dhesoas, des Braniesss le
harceicecntleliement dans cs tr lon
eur marche, rt al y perdit tant ddr
monde qu'il lui trtait à prince a
thoie be son armer quand 1 attri
gtut © destination. Les € niains
franrais sont uhatttnrs à or atpel. st
Hume fur méme partager deiur ju
moon. LL s'uaton des Auglsin rta.t
Guru s-etteegueqle, qu'en DUT".
lorsque D j asart ee vit snglraist 1!
cbluite tuer Cove une Lun retue
pue se me ape Des penare ss
bramss ou Rietrons, Mavezis, o1
alba Lo fire avopt ets prof Eve.
ren, Lez Aneitlenr, cvechrerke hr.
de ww lroriue L'ous avances st 50
ntiren.rs à Reb esart DUT Metoges its
rent ares", Prugt CPE D porte! ,
LM
LAR
miuusiration voire les sex
de Lanraatrr, maigre L'esan
populante de ce pracr. Mes
lemeut reclama et obtint s
£ucuiunt, sans doute à l'in
du prime de Gilles, qu ca
credit du duc supers du sus,
Se SORT MeiPir, VOYAR
quetude qu'al allant lues
Richard, sou bis, a la me
vucle amiairur qu pou
sertur de un aulorte pour
ver La cuurente. Les irioë
sous te ce herus Le tarde
asc rraluer, rt il cesse d'e
njuiu 136,8 prine âge de q
sin ati Inimedisirinent
mort, Le nus ciupresss de
aupres dr lus be dur er Lance
plans de n'uveau:137 :
que relui-cs avant ete cbhgt
Ur. Neauiuoins, en les
ce demorgnage de sus 2flect
sa coulunce, Eduarii ne 1e
lui donner Lru d'esperre
deatstt pur Sn suroren
de prevenir tousirs édier
pourrairnt survene apres
rr alt cuirnl à 53 Su case
ti prht-Uls conte de Lhra
coufcra le tite de prince d
M lus ft co cure prétrr ent
toutr la muldrasw, come &
pe: utmquuil de à crunage :
le iuritre par avance comes
sauts lu Fa.8 que lus et
ne. ti lus dunns uer plerr «
de os caries dame touire à
nues. Pendant yee tout orù
uit sis cour, Jean Wæief,
en thrdugre de 1LLisc ra
ford publia es vpmnum q
- fimneresiaticpar Qev
L'or hrvéque de t'antortery
que dc Dérr., charge à à
ceire lhoremaniur à crtte
Valuin cl.rmc2e be retas d
iron ire wmrrralé
ie nl ii ann ie Et
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153 LAN
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mal chosse de ce due, par a con.
moctee des segrenurs bretons quil
mut su engager dans és imlérels
Lorsque La folle fut ou etat détrr
pos eur, Lancaster 4 endlar
LE Pine metine cet ft sole pour
ba Best, ot A srsspens à Sant
Mob Mon treuva tant d'olidtartre
scuege de Biport de Enreuesehin,
que ccnmmandnt Larmes françarsr,
qu dd fnt contraumnt de renoncer à
semetreprse Ce fulopresreleve
fesnie nl qu: le dur de rene, peur
sanur.tirosecoursdes Analais, leur
cela Brest par nu tnt. leu de
temps auparavant ds avant acquis
durs de Nasorre ba ville de ther
bourse facsque À Ausleterre (A en
cure ser Va Frames toner Frac
et quelle eût quelque pemr à
s'eferctes ses propres etes, le duc de
Earostopent aserz de ceredit dans le
con qeue de dhiertuimer 64300 3
eusever des froupes au smours ide
Berre vel, pou de Portugal, alors
attaque por Je m.rude Cntile Le
Bt Sr oo nette entres un etant
espoir losrateh sutnent de re
demer sonver un, ehnetnt avharne
des Anctooe, enats la serttalile cause
vraquur qu'avait couru
Poncver de sempearer dis rosaume
te Cote our tent dd set che jus
dette Le P'orlerert avant
D AT {se front ire, Lu
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Ut Caumbpreades à nfrre,
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cut olhetac!e. Crltr trève allant
agree qua] nn soulevement
nreal du Las peuple, qu ss
dbre pour chef un ener
Deptfor!, nomme Walt
qu'on ap; efut communément \
Tster, un Gauter le routreur
tout à feu eta <anz dansle roux
Cette populare, irritre suet ete
boduc de Lanra ter, qu'ele 2
d'aveur, parsauézshernce, causé
les maux que le pass avant vof
redoiut en crrslres le plan d
segneur, nait au ptilase lex ms
de ceux auquel e esstdnt cm
onnents, ot coment enfin des ©
Le ineues contre tous re noble
JUErS aneals et pre cuPrurs qu
berente: trowsmarins L'arrrae
ccsfonieux suient renrue em
due Jean d :{arcaster rtaitiofie (
sensagent par SCPment à 759 PU
naltre pour roi aurun km
sappe' At Jean. parce qu'ils De
convient dacpirer à la roen
Le die 1e Vanraurer, qui étant a
frenteres du Nori quand la «
In 2 lata dans la pr'ovinre @æ!
atuee à l'autre ritrronts du na
me, hits, des qu'iles eut spy
Prenner royvrelle de coorium
trrse de Trois ane aver des Les
que res mouvenmertst- ut:
dre ptusdithciles Crpendsnt, ce
Mormgnant de srupnivt à la ra
seche sit pet urr.ait à La:
et meme de fournir 304 peosien
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Mi sit demeurait danse mem
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d'une leçon pronencee à lu taverne
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tel, 1910. bb 7-.
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des die Lionitaites. ace pouelant Lossse
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reirs aus. NO unitr etant Le brunes
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à Le : Le pare
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r da le roi
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fournit des
au nard-
, ensuite où
s le Rouarra;
de roi et
ééushng 7 rent
er psieur x qui
gs Park
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(edy. ce nom, XXXI,
avait déjà constaté qu'il
près de Boussa , dans le Kowarra.
Ed le omduiits ed
isit à Yaourie ,
ville considérable an non de Dousss,
Ils y restèrent jusqu'au ?août; mais,
le sultan ne la
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aauche,.onaperent successivement
lee nulles A'Esga et de Rukhetunia.
leu de fleuve teprordeonrours ausud,
entr dons nue chone de ion-
Tagties, Les 26 cuoRechite Lors juuties \u-
gun setronserent devant Dembou:
chure du Eoloubla, ff nt cauche
dus Aenarra, et virent au confluent
Cuttan cacrasst, quest une Srondr
table ss etarent arrites dausdisers
ohdreuts, leur sept avant excité ut
plus haut degree la curuatte des ne-
pres, e On mn posarde, discut-ils,
aves tie <etisaliote Viuble d'etou-
chementelaue froveut, its ions
«approches rep de Va porte, la
sfuule recule dors un etat À suquie-
etude entrée et en tremblant.
Parfens is eturnt ockbilites ste se ca:
cherat user ganis jourevder la
amont tude des qnipesrtuns Cine lrus
Dareeait pres tn emstast de cepes: cha
eut donsandut que ee pivissent. tt
Bert mpaznnties lou andess vu
present che lempors Do ja vs av asenit
prsarque à begs des gestes vrtus
le sun do Menin ete Portugal,
ce qui al Dh ANT tar € of EE bite 1! 2
contre cette vibre be so Mr le oinner.
ds environ en ccge av onts.e à Ron
quaet on tte Gus Don que de leur
surpris Lopeque le 27. cup aeunt de-
vaut Proteins is, os, Ms etsrchtent
en deomer. event dune veste de
mldat anzbeie «jus, latis sa dat Sue de
lesip grave, les onivita à sarreter: ds
Het Lopent tie nl cohipe, a ue
douraine de pur purs re pe rat:
ant et ea fers de sonic vendre
leurs des. rs au Chef, quite ra
laine partir ue le 6 pesen re. D
atarent shwpor {or dre n.: hls nes
sresrtaient de ciioque vote Atin dre
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tuent le fleuve. 1 avour qer ler
qu dntinzus br pot like asgt
Parti Cru QU onu ere cab
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Ustacüon ne lut pas de lnagçger deef
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poreaues, nn coup dr Latminarer ee:
cntenedre, dre lus furet Wwern
Versus, en ui te sueut som bot
fut abonle etpulie 1e detriast ae
bravoiment quil bar tp agèd
Los bandits s'etoscuere nt, :i ire eur
vers Muret Cire aratt 1! ent bé
prlrchef dune grar de purogew q
lrcéiie en anelais à verur te tu
Ver. v'oounwnt, st trore au
lotte, eÙun moment spere À ee
ebscnfrre, dont le later, avan €
céaietiont !:à ftuie & » pallarde. L
our blans, srenivrs drcpot Arr
ut Ulorces de cooter sur la per age
Us etaient preoque nus el 1h
lardeur du will Le ltases vas
dafriuines prirent part à leur inf
lune, et leur apjortrrent à s dem
Ges et des cons pour les vire ch
Bent on leur dit de vrns secre
uaiter lents cBets. que À vts avast sut
res en louillant bee pri-curs des ba
lhans.une crane parte etat on tea
mauvaisetat trs pret s mu ui
plereimt s: chaudeuret en rue
teur, dane le juiabre que er Li
ensuite, que les ur Ruoçe
furent mandrs à trrre on cou
du s-iril (in drriars quue bn
PrGlran ce qu avat ete eetruum
que Lhoame in avast comes
loltsque serait cundassar à pr
latte pur avinr agi cou 1 pres
sen sn che: quiie ds arné
cotonierer ‘om pers cures.
lets 310 die wrent ce
_
il Li il le
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por.
« Kousrra, que ce fleuve, après avoir
autér.
coupé une chaine de muutagnes, entre
daus un pays uni,el se partage en plu-
put
152 LAN
avaient failli arreter leur marche. Le
“uvernement ct la Societe de geu-
“tape de Londres les recomnpense-
ent. Le pris annuel, laisser à la dis-
boston de celle compaguoie por le
tu, futrenus à Ruard Laonder, cosn-
ue Avant ete charge de l'expoition.
Des papiers des deux freres fureut
pettes a Lanaroute, ot leur relolion
fut publie ete Vn32. Us ctau ut re
tousnes as Brurus, Join Lauder, ce
dut a seu litimeur cassuiere, SA rta-
Bt. queont à Fachord, quesqu'l se
Dur dater abat sut secotu Vutugr,
oc heu net pos au {rt peur
l rlupres lu Et de coter ue Uroisieque
fous des bands auvque Es al avait
ch QC COQ CE CEE PE nls use nt. Son à-
ncur des ehlreprises uvetiureumes
Dataut pus satidasts etal pret luresl
le Ua CLED QU TL TELLE ‘| tre CRIE CUP LE
de he scciantsoke Livecpoct qui lin
Vilonent à hacer Uie ériteinent des
Une pour Entnenue de L'Araque. On
esperant Vetidee os Dogeqgiialiot nom-
Lreuse drspassl nsnes par le Ruuar
pa des tiatehatihiess dde trans -
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l'École de Mars, qui avait succédé à
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établissement les leçons de dessin
furent celles qu'il suivit avec le plus
ardeur. En 1298 il reprit l'étude
inconnu, dans la la plus gé-
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de l'ouvrase . Les rois nouveans
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par des relations de tons les non
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sont pas plus de mise que cena
que nous lisons dans les auteurs
efaimanws por nus de Piterbe,
dans Eritenmuns peus des Gaule.
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stagne « Leuest pas las montrer
purün be fourheris d'Anmius de
Puterhe st ya alleursde pisse:
non uns forts NN. Le Herger rhro
nulageque, cautre be ptetendu zeant
che a mette des te mpes ou le toners
sans arr 6e, geur la nue verte con
Lu des detset les ineonmes inatiles
du Ko Ut Leu Dot, Jeaunte in
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fants qu du étre en be Nu tréhr
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où Acel so eourahie pour ar dorer
per des cmbare ssrmenis noure au r
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sgrsndr s rhron logeywes. 4 1:
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developpat Le svsteme de Linue. Le
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du pas a devenir un ctabhlissement
munnipal, et la ville d'Augers à
chere aujourd hut sets jardin bo-
lantque. Cependant Larevelliere et
si fetume, qui poussent à lex:
tréine leurs opiinons phloscpliques
etrepublicaines, se trouvant mal
glaces, en France, sous nue tmmonar-
che ets projet nestdatler s'etablir
eu Nine tien Nineruque, Lorsque les
“svouments de 1289 dennerent un
autre cours 4 leur destinee. H fut des.
lurs froule ab arevelhere de presse
Ur quabnetant pus bescuns pete bus
d'aller au fon chereher une republi-
que ea Resolution sonmenva, dit
ei prohev taste 4 ses sfise QurS, 6e
ceurits ot lavorisees nt le progres. s
None svtehe de La commnne et
metre de Lissetublee du harthase
dAegersil fit euuodepute aux etats
PUR AUX Nprre avoir un de
suivit sellt terent Lrreuthion des
CREER CORNE PUCES AO LENT desprou
ne ot mia pros
Avec faste de sole La supers sn des
ordres etleresart ct.
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peuples eu leur farmnt coef ed)
teret de la relinon avec erbm à
nunistres. (. esL21nu que 9 some
deja relui qui devait se meotes
plus ardeut rnnean des prêtres es
mentes. Quoique segesot al 2
pauchr, qu'ou appelait e Comp;
Tariares., Larvuciliere se meet
sous le rapport pure mat poiteg
unns vicleut que pluwrurs à
collezues, que pur Là suits à ên
Ensser luen loin dernere lu Les
unce du 18 mar 1791.40 | coûts
prédire que la chute du ture» on
futieste à la liberte. vs par des 4
suüretinernteut étre cotes. . lus
«fus d'une trilretrodus. ft d.
«heu du souvermment deacrti
epetis serres qu a Glans . à à Agg
sarl. sansquo | ktal ses ant sbené
Ur aux horreurs de | anarchur. pr
passer ensuile sous la dommas
- de quelques mnirsganés Lun
°eCHDs pas d'assurer. de qui
“pis un penchant bien: de rée pi
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“cessera d'atinr 8 Pus, cs pee
sa li erte el ot rrpuns, Roue in
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1 trseque "se dr at meber 13 Pres
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tondes drapeaux conquis par l'armée
d'Italie. On avait sonde l'opimon
de Banaparte, qui la commandant en
chefsetcee senvral avait envoye à Pa-
ris un de see andes-de-camp pour àas-
suter de Inrecture de sm dévoue-
ment ot de celui de son armee: il
ataat méme proms d'envoser pour
l'esecubion tuesomme de 2 nnittons :
mais al n'en Lt ne. Cette assuratce
eLees promesses enhardirent angu-
herement Les directeurs. Apres le
SUCCeS, Oo put reconhaitre Pi
floence pernennelle de Lareselliere
dans les persesouti ns nouvelles qui
clnterent contre les prétres : le Di
rertoire obtint lafaculte de les depor-
ter, son son bon plasur, et la les du
24 ati pressent, qui rapportait
toutes les dispoutions penales a leur
vsard, fut rapporte 6: Fous rs
means Favrs, depiis les ax dermers
mois, de fa liste ds ennyres, y lurent
reportess nul parent d'énnsre he put
voter dons une su tulies quelron-
que qu'eprs les quatre anures qu
sinpoent ia FOR otirrale. lerantnt,e
nedatremeir de fnetins pblupees
avant d'avec qure haine a larevaut
Lu des prenuers actes du Enrestinre,
aus La nuit du in feuctol r fut la
same, Le pullaus des nupritenes :
“ar ire prebintis der le hihoete
de La pres fut t nu urstiits ble
Sihplônme du des strem. 7. Lei
CAO DA CRE LL LARERS DCRR LES HPEPTReUrS
de opironte en UP cu Fe
vues her À quest tontoez famtnrs
2 Ua depregtot on Nous orevethore
so Tor” 0 1 + 1
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de cancatures et de p smassteries ©
bouffonnes dent il 41 646 Tobyt
Onaditque le irertorre n'avat ot
le d'aurune tache de sang 08 vérteur
au ts frurtider, et que \a drportetien,
mesure arouve par l'huumansts. ovul
cle entre ses mains One gran De
surr de salut pubhe :41: comerdt
deportation a Sinnaman, etre cbr
traitements, les privations qu: sm
daentlesproaenitesons et crus db
mat.n'eussent pas té san rroris qu
lamont'Etansdoute. © mere li
cncore le Dirertnirr ne fugtt pes. mas
al fassart mourir d petit fre Pnle
pour prerrire 8 ennhetnis. 1 u'srsl
pas méme rerours à «vs f-rers à
proctdure révolutionnaire qu''e >
wrvait du moins sus a Terre
Quant a Larévellire et à os us
rollesues, qui. smples mpet
d'everuton, dftiwnt cuyers à
tone les pouvrirs. il ne Not pus à
eut que ce ro op d'Atat ne ft mer
datrment sniv:de mesures ges cèrs-
dues, témnin la prrpatie ds
vaste svet/me de prete Ba
susteur tupirahios, por Boules à
ln Meurthe) .le 14 cctnège 179.4
quimotaune drosprobebre à me
quer que, tron jours ape. ee per
retira on ropporf None ceowst à
desemater rt d'etrhher be sen
du cond onire . Latmelliee se:
cupa lesneup plans qu'en = +
cront genéralrment des sfluses et
terre tires ence qu'enncerusa Tin.
che rtovrtout l'ftahe, porre que des
cettr denuérecontrée H voes pogur
pipe, Sont ol ee croven véréiraurst
le nos! Au mou de og 1707
voulut nppner Anevrene » Be-
pare. dent la ghorr et l'egprit € e-
dependanre offusmawnt re dus
me — um moe meme
a Pos 01 se fl. ® 87 LEA
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plus grâce à ses yeux que les prêtres
qui refusé de se souusettre à
la constitution civile du clergé. La-
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Vernier, qui felicitait les citoyens de
Ja secuon Lepelletier de leurs efforts
pour ceraser le rnyalisme : « Il ne
«s'agit pas sc du royalisme, s'écria
° Laniiere, c'est du terroristue tout
«pur... On donne une faux direc-
ton a l'esprit publie. Pour mot,
«dus&-je être ,rotntme buvr, assas-
« Sine à Votre porte, je dhrasque crux
squ'on appelle royalistes sont lien
«mous à craindre que Îles Jaco-
sbins. + El accus ensuite Robert
Lundet d'avoir teuu chez lus uu
directoire pour orsanser Le mouve-
meut de la veille. H fit ensinte dr-
certer des remersibents aux ct-
lovens de so meten Lepelletier
comme ayant ause la representation
nationale, puis à ceux auxquels il
devaut La vie. D fut nensme ses retasre
le 2% ma. Quelques jours apres tl
demanda Larrestalins de tous re
membres des anciens contes de
pouvrrnement. aus rette circon-
atanee sbreilera nes acvusations con
tre Hobert Lindrt, qu'il stsmats en
ces termes : «este plus bi poele
e des hommes; alest esse de grat
sterase deter Li gone dun ann en
eJusfainaut de érariussserunates
Attaquant ensuite Cornet, ceanhe
avant fait cause © tube aves les
beurreaux . 6 are, secrta Lil,
scethinent as tue, jet lont quinse
sous caliets, Dr fran Àaje herve
e Qu'un assssnt it jeuruebietment ba
epalrir en pri out ses usenlienrs
scUsesplus nties citernes Cou
einen as lupuetre assezandif peut
eu ane Z Lise 1 pe UE br Joss ti
ovnr rs vous sur Les prets des
a cathibales avec laqueistute trou
etais jure sletuent Ne pause
e<cherle crie eo este sctuimetite Je
eme cdentan dr pas late nas veux
e seuletio.! dur Tag ue no Sen plus
epareun nous « udin il sit fucur
que tous les fauls volatils à La vovedte
LAB
du 1er prairial fussent juges per
commun millasre. Le 3 js d fs
nommé membre du nuuveau cu
de salut public. Le 4 2: ol os ogg
à l'impression d'un discours ér Du
bens-Crance cuntre la rracte,
demontrs qu'al ne Lellait 9 ces qu
les regrets de la Terreur. Drus jeu
aprés 1} proposa, au nue drs cum
reuuis, l'abrugation du éerret rrad
quelques jvurs auparavsat. pertn
l'etablisrment d'une commmx
chargre de juger les terrurnèrs
nus, L'assembire, cn abptont ct
Iesure, ajourna Îrs autres arte
daus lrsquels sl prrnta ua ma
de jugement par les tribunes osé
naures. Quelques jours s2vvs, Eles
Lanniure reproduit, avec és es
dihcabuns, le proyet, qu fut néeg
par acclamalue. Le 3 wpirabe
Ut rrnvover au comte Le irgrelses
la propuutiun de melire cn arret
on tous les prétrrs sasrrursen
{usant seutir le danger ér ve
denthouux.me une ln pre. M
de tetipe apres : 7 c°obre. à en
du cuite 1le salut pulr'oc Il peux
des lors pour ssuir alandase |
rauzs drs rrpubhrains. en rit.
“lat un des plus vehrthents cet
de ce parti qui, sous prririle &p
ture bn azents coupables de La Lars
du 9 thermdur. sspast sucersss
ment toutes les Lasrs dre inatates
prpruboi aiur.. À lepuque ds 53 9
detre au IV 2 url. 1793 . di
accuse dovoit eu des rristn®s æ
le part qui soubit renverser L Ca
ventiuti, À la seance du 17 ot. Du
thruir laccusa d'avuer. en less
deurcter la b4 du 6 rin todce . essan
ne des patrides Lanvere rrpum
que chius luus es dauuss d à o8i
parie tu dre puinuirs. ns eur d
ioersnalrs, Qu'il tu 214288 pommes pi
que des Leigande, drs amauses, d
tolents Or, ojnels-t-d se a
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sonffrez que Lepemere mitistra
eCratuire que be soc de L'Etat sont
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ete pas ogpoiites à Eorras.elle
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reflesiuns sur certains objets qua s
ont ete agites, et dou depend Ir
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condo "rather votile que Le: depar-
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druonurets que le nu mistre des linaness
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avec 3 planches). Lauth est allé,
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vanciers, dont il a rectifié les idées
et corrigé les erreurs. Ce mémoire
rence du timbre dans la voix des in
dividus provient de la
servation de l'homme à l'état de san-
snstoemie
de té; 3° pathologie,
logique ; 3° anatomie
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eGonsresteuumnnal et ne silbles
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des courantes, sens ds re pteteates,
ue avis et le cardinal della Gen£ga
Babe, Sas que Litanorite qui
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* etape se cl valitlatorssdres lines,
de se pour à La mesgenite etablie,
eut Le ten, sde tpante sie os Uamour
de Logan equeterinise cr hibaeetment,
pour Dheuneur de a chrenente,
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Rent, se preseotutaun des rrmiers
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spas let sine Lost NET Cotir qu, tout
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pren que la France trass et
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ses autels ahattes, Le gi re &æ
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réputation beil
mn prématurée pe l'elt
Ad es manie Depuis 1750
. le mauvais air des
Pie del
suivie
mas don pers
21 planer
on Lin des crises par
* Paduit de l'angle de AA,
, 1748, in-12. 11. Dissertation
la transpiration et autres excré-
Bons du corps humain, Pari 15.
de Newton, traduit de
‘spontanée,
, Paris, 1797, nd
: l'anglais de Mac-Laurin (1
ce
nom, XXVI, 68), Paris, 1749, 3
IV, Nouvelle Méthode pr
ne , Paris, 1750, in-8°. Y
En eg RS de Nerd-
voy. ce nom, XXXI, 31), Pa-
ris, 1730, in-89, VI, Disertationsur
foule de sarcasmes et de plaisanteries.
Il avait les opiuions fanati-
qurs ds
: HE in sl
É qu sa ti ie
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RTPTE ET ERTITIlRE
ne .
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, 1910,
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de Malte Jacg.-Henri
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woritéaur l'animal pour en faire sa le chevalier
de voir
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évéquesd'Ox- vait donner la réplique. Le jour de
comtes de Ba- tion est fixé ; on s'assembile ; la
, chez quel- Joutiers ; mais toutes les voix étaient
devint admiration ; l'ad- contre lui, et il ne trouva qu'un
. Sie Henry mot à dire! En vérité, Cest dome
que Tonuy n'avait pas be- de cœur, qui son heureux
sn d'un pareil secours pour faire naturel, et qui fit eouvrir d'embrasse.
sonchemin. Hoare, trouvant quelque ments et d' se) débutant
re éconduit. Le scène
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- Toutsemble sacrilié à l'effetde La tête ;
mais ce qu'un premier coup d'œil
pour de la négli-
D remuer
‘ et tration rayon
- mantede la lumière vous eutralue,
- ble émotion, qui malheureusement
LI n'a point de durée. En
tous ses efforts, Lawrence ne
= sui jamais bien se prémunir, dans
Dore feumes, contre celte di
dégagée que lui
3
rival, Vingt ans
célébre poëte Sa-
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ni
piquant lors de sa
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eut caraclérisé ses
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autre mobil devait
LAW aux
” pions parent mou ae a
grands seigneurs qui tenaient
pour le roi Fran : Lada que, I
rant par caractère, el un peu l'ami
du genre humain, Lawrence
n'était d'aucun partiel itindif.
féremment torys où sans sonf-
fler mot de politique. — Cependant
notre peintre avait trente ans: roiset
princes étaient ses patrons; il menait
une vie de grandseigneur, dans la s0-
ciétédespairseldes pairesses; aucune
renommée du temps qui ne ft jalouse +
de son amitié ; pas une porte qui ne
sang rene. 2
à, en se jouant, il croquail an crayon
el li visage, itl'esquisse,
pp pq ne ag
pliment souvent aussi bien reçu
bouche le dessin. Ailleurs, il récitait les
doux et les plus tendres passages de
Shakspeare, et se faisait appeler,
Vs pis maires 2 2 CM
plus gracieux. + Ou bien il jonait la
comédie en société de
applaudissement
que des véritables talents qui faisaient
ns rene il risquait
vers galants de sa compotilion,
dont le beau monde raflolait : vers
passionnés sans passion à des Iris en
Mr De purs de See
ivrdt à ce
fut d'abord un secret connu de quel-
à à peu le bruit trans
assailli de toutrs parts pour réeitre
où conumumquer tes vers, il les en
pia de s2 plus belle ais dans un jali
album qu'il livrait à l'engosement de
ses adiiratriers. On dit que quel-
des proces Lisment allusion
une nrabile a dont il su
dép vraies
RO RE
LAW
dans la touche et plus
l ; mais la coquette-
| aile Herendant, sensé que
| ent more avrene
ares que puissent ses caprices,
| du forcé de le chercher
pour uninstant.
À. Son tableau est comme un diamant
qui brille de lui-même et fait momen-
«anément oublier ce qui l'entoure.
| sacrifié à l'elfetde la tête ;
mais ce
À personnel, el laconcentralion rayon-
parie, où F'œil rit et vous suit sans
_ Cœme el vous communique une indi-
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me le plas prononcé, et s'aliénait eeux
des grands seigneurs qui tenaient
pour le roi régnant ; tandis que, tolé-
rant par caractère, el un peu l'ami
du ture humain, Thomas Lan à
n'était d'aucun partiel peignaitindif.
féremment torys on whigs sans sonf-
fler mot de politique. — Cependant
notre peintre avail trenteans: roiset
princes étaient ses patrons; il menait
une vie de grandseigneur, dans la so
ciété des pairseldes pairesses; aucune
renommée du temps qui ne fût jalouse +
de son amitié ; pas une porte qui ne
# pain hponens le monde.
, ense jouant, il eroquail an crayon
quelque joli visage, siguait l'esquisse,
et l'offrait au modèle avee un com
pliment souvent aussi bien reçu
bouche le dessin. Ailleurs, il récitait les
applaudissements qu'il
que des véritables talents qui faissient
sa gloire. Parfuis encore il risquait
des vers galants de sa composilion,
dont le beau monde raffolait : vers
passionnés sans passion à des Iris en
l'air. On ignora longtemps qu'il se
livrdt à ce de composition. Ce
, se x
Lt de toutes parts pour réciter
où communiquer tes vers, il les en
pia de sa plus belle main dans un joli
album qu'il liveait à l'engosementde
ses admiratriers. On dit que quel
ques-anes des précrs Lesient allusion
à une déplorable avrotare dent il su-
POR Qi te res ue CNE
LAW 409
lord Grey, lord Amherst , sir Joseph
Banks, le cote d'Abeerden, William
Pitt, lord Castlereagh Cr
ning, lord Melville , és ÉEmbo
Forster, depuis duchesse de Devonshi
lady
Mackensie; West, Fuseli, Campbell
sir Walier Scott, beaucoup moins
puissant el moins profond que celui
a de Roeburn ; sir Francis Baring étsa
bp pied gr
etses enfants; la comtesse Grey;
Elleuborough, si célèbre par sa beat-
té, non moins célèbre encore par ses
faiblesses et par l'éclatant procès qui
la sépara de son mari ; la duchesse de
Glocester; lady Auckland, entourée de
ses enfauts ; lady Cowper, maintenant
peintre lady Ashley ; la duchesse de Suther-
lady , de mistriss Arbuthnot et
de la di Lente eye à 2
est parlant et d'une grande fermeté
pose une admirable in!
: respire au frout el dans le La
duchesse a plus de cette sans
afléterie , de cette ité calme et
donnez- simple qu'à Lawrence n'appartenait.
Lady Cowper est un morceau de splen-
prrptienhgeernege ee 7
chef-d'œuvre de goût et d'adresse ,
marque avec un bonheur inattendu
cetle seconde beauté de la femme, ce
passage solennel du premier éclat aux
Lo
Tin. Éloge relauf, à coup sûr, et
2 qu'il y aurait folie à prendre à ka let=
un.
LAW
était allé occuper. Au contraire
sit Joshua, il ne lenait point de
table et ne donnait que de loiu à loin
des divers de gala, Mais sa maison
ouverte aux grands et aux gens
LAS Le]
commenrés, et qui attendaient
es où un curps ou des
autour régnaieut les
ses intimes : Flaxman,
Fuseli, par Baily. Sur des
inaient, de chaque
stturs de Michel-Auge et
de la main de Flaxman ,
ieut présider aux colloc-
de carlous et de
ces grands hommes et de
de Viueï, de Rembrandt, de
le Paul Véranèse, de Van-
et sutres maîtres italiens el fla-
mands, recueillis à grands frais par
25e E Lé
(AE
Aile
msisses , finis, tableaux, il
ahetait tout, s'il y avait du talent.
Plus dun jeune courage lui a dû ses
cc, plus d'un vieil artiste lui à
Müiieneuwmswlations. Le rude Fuseli, à
F'avait fait rentrer eu grâer . Les chefs
alliés s'élaient donvé rrodez-vots à
saverte.
da Û
par toutes les voies »es
Men avaitdes
LAW 501 |
Lawrence avait fait suivre à ses prix |
la progression de sa renommée, En
1802, il faisait payer une tête de trois
quarts 30 guinées; le 60;
le portrait en pied, 120, En 1806, le
trois quarts s'éleva à 50 guinées, et
le portrait en pied à 200, En 1808
Er Mg rer
grandeur fut de 80 guinées, et
ude de 320, Eu 1810, dns roc
la mort d'Hoppner lui eut enlevé
sou rival Le plus redoutable, le por
trait en grand fut porté à 400 guinées,
la simple tête à 100. Enfin, dans les
derniers temps de sa grande carrière,
la tête de trois quarts fut de 200 gui-
nérs, le portrait à mi-curps de 400;
à mi-jarmbe de 500 ; en pied de 600
et même de 700, si la toile et les no
cessoires dépassaient la mesure d'in
sage (4). Et, suivaut la coutume de
ce peuple de marchaods, les prix
éluent affiches à l'entrée, comme
en un magasin à prix fixe, pour pré -
venir Loule question et tout débat, —
Quaud la prenuère chute de l'Empire
eut rouvert les portes du continent,
Lawrener fut un des premiers pas-
ser Le détroit pour venir aieirer les
trésars que la conquête avait séen-
wmulés dans les léeriques palais du
Louvre, Mais Lawrence avait, ui
instant à peine, goûté toutes des
merveilles, qu'il fut rappelé par le
dance régent, auprès duquel son an-
Gien ami le marquis de Lowonderty,
époque sir Charies Stewart,
modérateur de la victoire, l'empereur
dde Russie Alexandre, le roi de Prusse,
144 Cost pans queue fois de pris de ot De |
CES
ä
, comme si l'insou-
en matière d'argent était le
du génie.—
Lawrence, un lour d'esprit sentimen-
À Al, un goût vif et plein de lumière
Ja littérature et les arts, quel-
ot
fonte sa personne, et avec cela
#ne rie de loisir et d'élégance, tout
en faisait une dangereuse visiteuse
| mmplie des devoirs d'épouse, crut
pores remplir le
d'amie d'un eflibataire
De là mille billets à
e LAW 203
Lious et de cette phraséolugie frivole
et musquée, de ces fadaises rimérs,
de ces douces frénésies platoniques
dont M. Dorat a donné recette. Néan-
moins plusieurs de ces lettres mé-
ritent d'être lues et fournissent sur
quelques-uns des sentiments intimes
du peintre des informations poi-
fait trop de bruit en Angleterre; mais,
sans posséder cetle foi robuste qui
admet le platonisme pur, exclusif de
toute surprise des sens, entre une
jeune femme séparée et un célibataire
tout parfumé d'amour et de galante-
rie, où doit remarquer, pour être
exact, que peu de lemps .
Mme Wolfe, qui eût pu tout aussibien
demeurer à Loudres , alla s'établir
dans le pays de Galles, et que la liai-
son ne moe Pat par cor-
pri MX personnages de
Per Dunes la esiie de WE
sor; et ali de le mettre en position
1,000 liv. sterling (23,000 de France)
pour les frais de voyage et les dépen-
su4 LAW
uade clhiuelle furent les pmrtraits de
l'empereur Francais 1er d'Autriche,
de L'archudue Chartes, du duc de
Cambeudse. du gerneial Eshrr-
ue he ff, du ares de Mardenberg, du
poneral Ouah, du comte de Nes
schrode du bacon dde Gentz, du comte
Bathurst. deu nisrqus Robert de
London derrs de Brrrees Cart et
dur center Povotp si, Lune de
as plus Bees oruutes, Cliose pi.
arqualie nu Jucoutiole ses passipes
pur Paris Down poegtut pu
Mens foss fepri de Mettoptieh,!a
pruntaere à Louders, et lai seconde an
Copatrs, Dei set pres de Fit
boranbicette celle rose quiceral
etes ph onu torse tue
pures Cest te tt oc autesenuse
li CRT | "sie it 0 cn soPast.t
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lauren er ‘von: lsegeers D pan à
ire:
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Me D dope time cran Ve
ineffable du style ra
vraiment divine
Tandis qu'il vivait
æumilieu de ces splendeurs, l'image
de sa patrie lui apparaissait comme
grande , et il écrivait à
An ane coniies avoit grandi à us
goux sir Joshua, maintenant qu'il
avait vu à quelles sources fécoudes
d'était abreuvé son génie. En même
temps qu'il donnait à Michel-Ange
Raphaël , Corrr ge.
Vs dieu
ture en Angleterre.
avait fallu
ï
dans les bonnes traditions, a une rpo-
décadence ; il avait fallu qu'il
à peine comparer sa peiniure
"1 2leramfel mg
aouraises matières dent il s'est servi
LAW 305
et qui ont perdu leur force et leur
vivacité, Or si, pour rendre aux
grands artistes la justice qui leur est
due, on doit plutôt, comme l'a dit
Reynolds lui-même, voir ce que leurs
Parsons
desgrands maîtresdesécolesitalienne
et flamande, bien autrement anciens
que lui. Qu'on les compare alors dans
cette hypothèse, I y a mieux: qu'on
les compare aujourd'hui purementet
simplement , tels que le temps les,a
faits, et qu'on juge. Où est le Rey
nolds qui pütégaler le Charles 1er
de Van-Dyck? Qu'aurait dit le bon
Reynolds lui-même, s'il se fût entendu
comparer à Baphaël? Il eût haussé les
époules, comme le faisait Fuseli
quand Lawrence étalait là-dessus ses
paradosales théories. Lawrence, à la
vue de crtle belle nature itélienne,
pensait aussi à Turner qu'il ne cessait
2 corapenisne. Des eut Fait
ss *
souvent pour antagoniste
à l'Acadé-
inie.«Turuer devrait venir à Home,»
écrivait-il,« il a une et une
grandeur d'invention pour un
ciel comme celui-ci. + Lawrence ne
faisait que lui rendre justice. Placé à
la tête des pay de son pays,
c'est, en eflet, un d'un génie
incontestable, d'un véritable senti-
nd paysagistr.
par TS du SEE
blique, et qu'après avoir laid si
loin son prédéermeur Wilson, lé
LAW
sn
Legebateur de anchuse de
possacte also tombes souvent dans
Pabeurde ete pour prous.ril'one
note ecbatonte quo nv ss qu'un
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ces defaults sur Lee SUPER LEE LE LLAS
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tour, ne grande partie de san temps
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rie parbonhère de sir
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phihiss HE i
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de Georges Cuvier en 1823,
etoffrit à Mme Cuxier le la
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peu au vif des questiuns d'art, Ce
d'ordinaire qu'an 2
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de l'autorité suprême
HLaxmann refusa d'accepter ces con-
Mitions, et par sa fermeté vainquit pa
des
is, qui finirent
PA allât par mer
Niro aa port de Khakhodadé. 11
œelai-ei le 4 juillet; le
avait duré un mois. Après un
, Laxmann s'a-
Chemina par terre, le 12 juillet, vers
atamat : il était, ainsi que tout sou
cérémonie.
LAX 513
il voulut.il exposa de vive voix ses de -
mandes
opposai
pût aller à lédo, et
stamment prié de s'él
tôt. Recondaits à leur
23 juil
congé. Le 11 août il sortit de la rade
de Khakhodadé, escurté j
voyage, récompensé par! lt,
À ct pas atteint le ps à
on par cette
bon. Sa « insérée dans les
de Wei-
article, et ajoutée à la relation du
voyage de (ray. ce nom,
LIX, 311), Ce fut sur le reserit ia
»
trs
M EU na nn
li lu Fa
de fi ul HI HHTE
no fl EE
fil
nn np
enneurrent de Laya au théâtre,
le second récipiendiaire. Les
nouveaux seadrmiciens furent
cusemble à Louis XVII,
eu ce jour-là à se mettre en frais
+ Votre cause, dit-il à
Ed nu eu ve moralité des
"choses d'ici-bas, dont Te de
LI
tique le rui eût été sauvé. Laya re-
cerait ce jour-là une belle courunne ;
D promnmet pu y Toni,
par Lally-Tolle
présent à la séance, on pourrait croire
RQ jaloux. 11 gris du
Jamais que son plai-
Pour Louis XVI ne [Ut pur ar.
Btemps. À une époque où Laya
plus avoir de flatteurs of.
d'aucune sorte dans le Momi-
teur, ce journal dit de lui, en annon-
sa mort
LAY si?
peut-être du renom de Laya , d'ulites
nie et surtout de justilier un pareil
éloge. Laya mourut à Bellevue, près
Paris, le 25 août 1433. Ses ouvrages
imprimés sont : 1. Essais de deux
Amis, Varis, Belin, 1786, iu-80,
avec Legouvé (anonyme). La ra
nmération des comédiens en
où leurs droits à l'état ra Paris,
1789, in-12 de 50 (anonyme).
1, Voltaire aux sur leur
constitution, Paris, 1789, Dés
de 61 pages (anonyme). IV. Les
Dangers de l'opinion, drame en cinq
. actes, en M
première fais à gr
SRE les comédiens
français ordinaires du roi, le mardi
tar 108 Paris, 1790, in-80.
V. Jean Calas, er Se cinq
actes, en vers, représent dl den
la première fois à Paris , sur le
tre de la Nation , par MM, les comé-
diens (sie) Cod le 14 décembre
1700, d'une préfoce histo-
rique sur Jean Calas , et suivie d'un
nouveau Ve acte, Paris, 1794, in-8®,
Il existe une réimpressiun de celle
pièce, Paris et Bruxelles, 1794, it-8%,
vL ne CS
actes, en vers,
comédiens de la Nation ns Le
1703, Paris, Maraian ct Lepetit, 1793,
in-s® de 118 pages; réimprimée avec
corrections et augmentations, lors ile
Ja reprise qui ent lien le 18 prairial
an NI, Paris, Barba, an ll, in-8e
cu Une cinquième édition
æ a EE »
à paru en 1822, Il a dlanné lien,
dde ses représentations, aux désrx tre
chures suivantes : Critique littéraire
et politique de l'Ami des Lois, pièce
en cinq aëtes ét en vers, pOr Mine Bo
ciété de gens de lettres, Paris, Mu
more, 1793, in-#* de 60
Lettre à l'auteur de l'A des lis ,
ver un arrété de la commune qui
33
L eut De .
“ii ë de
EE HUE
232
F RH Ë
LAY
Garat © Memeures historiques sur
la vie de M. Suard NE, 34395, «ce
quertun neveu desre de certitude
du teimsorsnase de L 4. Otra pull
onu 113 Lis OEueres compltrs de
J.-L. Lover une notice pur
ses til, D valu, NI nn.
LAN ANN l'un: Jesuite, Hà-
Qu Peux Ponts eue tu Le pli
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loive Eohiverse ie _"* PA. Ltétue,
et tenu Crsssbatee en 1059, 4
Pure ae eur ans Lonsscreur Fond.
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les maladies,
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ie
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El
ES
: LAZ
| Beute Notice pabliér en tête des OEu-
| “res de Perpiniano. 1
complètes ù
aist l'éditeur de la collection intitulée
| AMiscellanea ex mas. Wbris bibliothe-
we collegéii romani Soc. Jesu, Rome,
2734-97, 2 vol. gr, in-#®. On le re-
dans le temps comme l'auteur
deux sa: dissertations pu-
bliées par Lupi (eoy. ce nom,
XV, 436): De notis ch
œnni mortis et nativitatis Christi ;
et quoique n'ait cessé de protes-
Mer qu'il était bien réellement l'au-
leur de ces dissertations, Caballeru
Wen persiste pas moins à les attri-
À Lazeri, Outre quelques
| ani 'ofrent que pen d'intérit,
2 dont où trouvera les litres dans le tre-vi
| bibliathec. Soc. Jess,
UN, 176 et suivantes, an a de Jui : L
à Theses select ex historia eeclesias-
Men: de persecutionibus in Ecclesiam
| escilatis œvo » Rome,
ee fn-4e. 11. De faetis sœeuli V,
M Mid, 1751. IL. De arte critiea et
goneralibus rjus regulis ad histo-
ram veclesiastionm relatis, ibid.
2734. IV. De coneitiis romanis prio-
tribus quatuor Ecclesiæ sœculis, ib.,
2725. V. De vera ef fulsa traditione
M Aisibriea, ébid.,1753. V1. De hœresi
Marcianitarum, ibid. 17173. VI, De
| fales veterum christianorum rituum
@ ritibus cthnicorum origine, ilid.,
AA?T. Le P. Laveri s'était longtemps
émeupé d'un gran ouvrage sur
serée. On en trouve le
pho V'Histoire litiéraire de l'I-
taie, du P. Zaccaris, X, 512; et il a
Habéé sur l'histoire ecclésiastique de
sombreux matériaus doat on annou-
Len 1790 La publication en 18 vol.
ses manuscrits sont à La Biblio
| ærde, , fut professeur
Pts à antlier, et l'un des
ie
encore de Lazerme: 1° Curationes
id, prs à
2
in-89; 3° De febre tertiana intermit-
opus- tente, 1731, in-8°, Laserme mourut
LRU MERS
EMSRY, réroutheade
rire et vint à Paris, où,
D arr square
une
des manufactures
laces d'inspecteur des
pu venaient d'être créées pan. ile
zowski, Cefut en sullicitant l'échange
de l'inspection d'Amiens, dont sou
pourvu, contre celle de
L'emploi
imspectenr ayant dié
LE +HÉ fun # PAT ; sen
F4 2 C1
HDI IHM HE
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HAUT HR st M HR ii FU É
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= 23 ESP 5Ès Le 3 hr
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{ LE 1 L 1 Hi A gt
SATA if ee HU ii il in is
HET si ju
3: +
1
£.
co
E
Li
France,
Paris,
correctives et _
croire la reprise qui eut lieu le 18 prairial
on NE, Paris, Barba, an (I, in-8e
de ss Une éhibou
de ce et
a paru en 1422. Il a donné lien,
deses sur
deux trs.
LAY
HU; Crébillon, aus Le tone WI.
VIN: Notice sur Jules-César, vu
du 1er tome des Mémoires de
publiée pa
, XIX. Notice sur Justin.
4. Pierrot et E. Boitard, Paris,
, 2 v. in-80, faisant partie de la
latine-française. XX.
articles Lecouvé, Boraou et So-
ns, dans La Hiographie universelle.
Le Calalague des livres de la biblio-
de Laya indiquait, sous le
me 203, deux volumes de Mélanges
4 Fun d'eux, de format
articles
x Veillées des Mu-
0 nes; l'autre , in-4®, contenait un as-
ex ban nombre de uuméres de l'Ob-
servateur littéraire, auquel il à coo-
péré. À la fin de ce dernier volume
Betrouraient les six pièces suivantes,
étaot de Laya, bien qu'anony-
tes ou signées d'un autre nom
as le sien : 1° Discours prononce
de Seine-et-Marne lors
des pris de l'école
ès diablie à Fontainebleau ,
Melun, au V1(1797),in-4° de 18 pag.
2 Disevurs prommner par le préfet
de Saine-ct-Marne à la rentrée de
L'écnie centrale du département , Me.
Das, beumaire au VI, in-45 dde 6 pag;
2 Instruction pour Les
Melun, an VIII (1500), i ‘
pes qu signé : A. La Rochefoucauld ;
Discours prononcé par le préfet
re de Seine et-Marne à
daféte dater vendémiaire del'an IX,
Melun , 2° jour complémentaire au
VU, je-49 de 4 pages ; à" Programme
per la fée de la Concorde ct celle
LAY ELU
du 14 Juillet, qui vera célébrée Le 23
an VIN, jour où seront éle-
eulonues
eu deviat l'un des plus Er
ul
versires. Det elaprn ims
rempli de diatribes contre des hum
mes dont les
J'ai toujours en pour fui, et LA
pas ignoré), ete. + SA en
LAZ
en tte des OEu-
lente Notice
res de Perpiniano.
ist l'éditeur de la collection intitulée
ex mas, bris bibliothe-
romani Soc. Jesu, Rome,
2754-57, 2 vol. gr, in-#°, On le re-
quoique
Mer qu'il était bien réellement l'au-
— de ces dissertations, Caballero
| en
| oo Le Outre quelques opus-
qui n'offrent que peu d'intérêt,
2 dont on trouvera les titres dans le
bibliothec. Soc. Jesu,
1, 476 et suivantes, on a de lui : 1.
Theses selectæ ex historia ecclesias-
tiea: de perrecutiontbus in Ecclesiam
gerallus ju repas ad Mt
riam ecclesiasticam
relatis, ibid.
1754. IV. De concitiis romanis prio-
ribus Ecclesiæ sœeulis, ib.,
gualuer
2755, V. De vera ef falsa traditions
histories, ibid. 1733. VI. De hæresi
@ ritibus cthnieorum origine, ilid.,
2277. Le P. Laseri s'était longtemps
d'un gramt ouvrage sur
scrée. On en trouve le
plan dans l'Histoire littéraire de l'1.
talie, du P. Zaccaris, X, 512; et il a
pas moins à les attri- i
= LAZ
plus habiles praticiens de son
HN On a de lui: 1. Tractatus de
internis capitis, Amsterdam, 1748,
2 vol.in-12, ouvrage utile aux jeunes
médecins. Didier-des-Marets l'a tra-
era TEE Traité
des maladies internes el externes de
la téte, Paris, 1754, 2 vol. in-12.0na
encore de Lazerme: 1° Curationes
morborum, Montpellier, 1751, 2 vol.
in-12, trad. en français par le même
sous ce litre: Méthode pour guérir
les maladies, Paris, 1735, 2 v.in-12;
eventibus
tente, 1731, in-80, Lazerme mourut
polonais, se réfugia
1784, et vint à Paris, où,
par le duc de laochefouea
court, ilfut noffiné à une des quatre
places d'iampéienr de ES
qui venaient d'être créées pal, de
lonne. + On attribua à ces inspec=
«teurs, dit Mme Roland dans ses Mé-
+ maires, 8,000 liv. d'
mo, de verge Gi
ET
+ avec des indemnités, des gratilica-
«lions, elc.e C'était assurément un
fort bel emploi, un Coppeshese gr]
au-dessus de ce que méritait
zowski, CP er 2
de l'inspection d'Amiens, or
Haissésur l'histoire ceclésiatique de zowski.
Le lpaainbnebeleert
en 1790 la publication
D mn erie ant de BA
thique du Vatican. W—s.
LAZERME (Jacques), célèbre
médecin, né au l'uuguet, dans le Lan-
aucdue, en 1636, fut professeur de
médecine à Montpellier, et l'un des
+ prenant
L'emploi
HU 1
i le RH Ho
no : ais
nil:
sh saut
il
a |
“Hu
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RIRE tNET
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3
HE
LE
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QE
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M
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su
nn)
He
42 LL
me
iii
pe
LAW
gl tenche pus
mais la coquette.
- miedemeura ;l'artifice nefut pas moins
… visible. pag
s Tantsembie sacrifié à l'efletde la tête :
mais ce qu'un premier coup d'œil
pour de la négli-
goc un système plet et
D erninnne.
#mantede la lumière vous entraine,
comme en un cercle magique, vers le
= point principal, vers la figure, où la
wie semble étre partout, où la bouche
parle, où l'œil rit et vous suit sans
esse ei veus communique une indi-
véible émotiua, qui malheureusement
Das n'a point de durée. En
de tous ses eflurts, Lawrence ne comédie
] et de pardon pourvu qu'il les
ñ Belles. Un autre motif devait
LAW Au;
me le plus prononcé, ner ss |
parlera nuit: valu que le
pour le roi réguant ; landis que, tolé-
rant par caractère, el un peu l'ami
op humain, Thomas Lawrence
n'était d'aucun partiel peignaitindif.
féremment torys ou whigs sans souf-
fler mot de politique. —
notre peintre avait treuteans : rois et
princes élaient ses patrons; il menait
une vie ad gere 2 |
ciétédespairsetdes
renom du eme qui ne jalouse =
de son amitié ; pas une porte qui ne
fût ouyerte à sou nom dans le monde,
lei, ense jouant. il croquait aû crayon
quelque joli visage, siguaitl'esquisse,
enr en Ta
ment souvent aussi
le dessin. Ailleurs, il rate ps
les pelites-maîtresses, + un Garrick
Lin pe en ne
en sociélé avec de
pra le prince de Galles, le
due de Devoushire, le marquis d'A-
bercorn et l'illustre el infortuné She.
ridsn; et sa vanité jouissait plus des
applaudissements qu'il en recevait
que des véritables talents qui faisaient
sa gloire. Parluis encore il risquait
des vers galants de sa composition,
dout le beau monde raflulait : vers
passionnés sans passiun à des Iris em
l'air. On ignora longtemps qu'il se
livrt à ce genre de compoution. Ce
fut d'abond un secret enouu dde quel-
ques amis ; peu à peu le bruit trans-
pira, se répandit, devint général, et,
assailli de toutes parts pour réciter
où communiquer res vers, Îl les co
pia de sa plus belle main dans mn jeli
pe ee 0] mes. Où de
ques-unes des prècrs faisaient Baies aides
à une déplorable a dont il au-
veoture,
rait été conathenens
ques
î
Ë
2E
Ï
époque un grand nombre de dames
À monde, pr plupart célèbres
par la beauté. Il peignit également la
Fan, qui, sous les traits les plus com-
uns el les plus lourds, cachait un
d'élite et une âme de feu. Déjà,
pence : je ne vous ai pas vu encore
:rhenplerggimsss
med séance de Curran l'orateur ; » et,
, la grâce ct la beauté mêmes, et
peintre aussi de talent peu commun ;
mistriss Arbuthnot Detousces
; Arbathnot ,
chef-d'œuvre de goût et d'adresse
marque avec un bonheur inattendu
celle seconde beauté de La fesnime, ce
pue—
D nuire
sir Joshua, il ne lenait point de
Aable et ne donnait que de loin à loin
des divers de gala, Mais sa maison
était ouverte aux grands et aux gens
de goût, et les jours d'exhibition son
atelier avait plutôt l'aspect d'un mu-
que celui d'une maison partieu-
murailles étaient tapissées
el
fe
if
di
j
ie
;
por
commentés, et qui attendaient
ses loisirs ou un corps ou des
Tout autour régnaieut les
ses intimes : Flaxman,
Tes ï, par Daily. Sur des
dominaient, de chaque
, les statues de Michel-Ange et
aphaël de la main de Flaxwan ,
semblaient présider aux collee-
imaguiliques de cartous et de
dessins de ces grands hommes et de
Léonard de Vinci, de Rembrandt, de
Rubens, de Paul Véronèse, de Van-
Dyk et autres maitres italiens et fla-
mands, recucillis à gramls frais par
Lawrence. Si, durant toute sa ear-
aère, il
ii
quisses , dessins
achetait” tout, S'il y avait du talent.
Plus d'un jeune courage lui à dû ses
suceis, plus d'un vieil artiste lui
dû des eumsulations. Le rude Fuseli,
22 al enteg he avait
LAW soi
Lawrence avait fait suivre à ses prix
la de sa renommée, En
180%, il faisait payer une lête dé trois
quarts 30 guinées; le 60;
de portrait en pied, 120. En 1800, le
trois quarts s'éleva à 50 et
le portrait en pied à HR 1808
he Ea ii
mort
la simple tête à 100. Enfin, dans les
de sa grande carrière,
augmentalion nouvelle
liés
ré ri
sou rival le plus Eperequehnhte
grandeur fut de 80 gui
en roll porté à gi,
sage (4). Et, suivant la coutume de
ce peuple de marchands , les prix
élaient affiches à l'entrée, comme
2 EN NE NEO
venir Loute question et'tout!
Quand is première chute de l'Empire
eut rouvert les portes du continent,
Lawrence fut un des premiers à
merveilles, qu'il fat
Fe
LAW
si aisément Ji serre apr
rodépendantr, par se faire à ces
laits d'une existence, et par
D] d'un air indiffé-
«et dégagé, comme si l'insou-
0 entire À
le —
Ce fut durant les travaux les jilus ac-
As de son atelier que s'y ta ui
«pour s'y faire peindre, une
et belle persoune du voisi:
ne ce moment, devait
# vie une place importante.
LE
toute sa personne, el avec cela
mne vie de loisir et d'élégance, tout
en faisait une dangereuse visiteuse
pour notre peintre. Luiqui sans nulle
sensibilité qu'une émotion superti-
#
H
qui, de son côté, soit sa faute,
sou mari, n'avait pu
k
Ft
De là mille billets à
Î
al
il
1
ar
ï
è
,
F
Vraiment ri
LAW 503
Loos et de cetle phraséologie frivole
et re ad ces fadaises rinées,
de ces frénésies platoniques
dont M. Dorat a douné recette, Néan-
moins plusieurs de ces lettres ané-
ritent d'être lues ct fournissent sur
pére des sentiments intimes
qui fait de lord Byron un
i Nous n'avons
le véritable
caracière de crile liaison dont on a
jeune femme séparér et un célibataire
Lout parfumé d'amour et de galante-
rie, on doit Egg pour être
exact, que le temps après,
Mine Wolle, autel pu tout em@es
demeurer à Londres, alla s'établir
su4 LAW
nade ofhioiellr furent ls pottraits de
l'empereur Fraseus 1er d'Autriche,
de Farchudus Chartes, du due de
Cambeudee, du goneral Esp:
fase Def bare sd Uairdenbers, du
general Ousas Ù, di sumnte de Nes.
Soiree Je dar node Gou°z, lu esmte
Bathurst, cu nor s Robert de
Lot cn lerrv ie © orées Oartir set
dl oscnte ole Losetpr Loue de
“…n Ï LES le es ut javtes. ! h eu Fe
Pen ue tete es piienes
p'ebors boues os ct je eetpou
stop he Ne ppooh, fs
prosmtesbonties ot "r seconde su
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copgtes ne dis ere to prites le EI
Pos mteette 0 eos eg sent
tr ri ot un trs es etm-
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Arce vermrnara de Lotes we (grue
Il en avoit le ain de Jendes Bre
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