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de la
SOCIETE IIPERIALE
DIS JiTDRlLlSTIS
Il ■•IC«I.
»OU la Rédaelloi <■ Doeleir Rciar«.
ANNEE 1885.
ToHB liXI.
Première Partie.
(Avec 3 planches.)
H08G0D.
Imprimerie de l'Université Impériale.
^"1886.
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BULLETIN
DE LA
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE
DES NATURALISTES
AC о s о о T7.
Томе LU.
ANNEE 1885.
До 1.
MOSCOU.
Imprâerie de lUnîTersité Impériale. (M. Katkoff.)
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f
I
REVISION DES VALEURS NUMERiaUES DE LA FORCE
REPULSIVE.
Par
Th. Bredichin.
(Associate ef tbe Royal Astronomical Society).
Dans mes recherches sur les comètes, la valeur de la
force répulsive est calculée dans plusieurs cas à l'aide
de la formule grossièremant-approximative de Bessel. Dans
la présente révision je veux corriger ces résultats, ou par
le calcul direct de la force, — à l'aide des formules appro-
ximatives mais beaucoup plus exactes, qu'on^^trouve dans
le dixième volume de nos Annales, — ou par le calcul
indirect, à Paide des isodynames construites d'après
mes formules rigoureuses, — selon la qualité des observa-
tions ou de^: estimations.
Dans cet examen il est très important de se souvenir
de Tinfluence qu'ont les erreurs de l'angle 9 dans diffé-
rants types sur la valeur cherchée de la force 1— (ii.
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— 2 —
L'expression théorique de celle influence est pré-
senlée par la formule (Ann. X, 2; pg. 136) *), qui donne
pour un déplacement parallèle à l'axe de /;, c'est à dire
pour la coordonnée ^ invariable:
> ,, , 1.43 (l-fji) .
0 (1— a) = — ^. с-/;
On voit à la simple inspection que la même erreur
de v) produit des erreurs très inégales dans 1— ел des
différents types. Ainsi, pour la comète de 1811, par
exemple, les coordonnées d'un point de l'axe, pour le 11
octobre, sont; 5=0,304, r^=0.120 et <p=13'25' pour un
changement de 9 de — 1*^, c'est à dire pour 9=12^23' on
obtient, avec 1— [x=l 7.3, a/i=^-0.009, d'où o(l— (л)=
H- 1.8.
Ainsi, à cause d'une erreur presque insensible dans
9, l'erreur dans la valeur de la force monte jusqu'à deux
unités. Pour la queue hypothétique du II type dans cette
comète, la valeur de -/j pour le même $=0.504 aurait
été y;=0.4236 et 9=40^ Pour 9=39' on trouve, avec
1— a=1, 07)=— 0.015 et è (1— a)=-|-0.05.L'errear dans
ce dernier cas est presque 40 fois plus petite que dans
le I type. Pour des anomalies très grandes ces erreurs
deviennent encore beaucoup plus considérables.
On conçoit donc quelle exactitude dans la position de
l'axe et des bords doit être exigée dans les observations
du I type pour une évaluation suffisante de la force!
Si dans ce type l'observation ne dislingue pas l'axe et
les bords et n'indique que sommairement la position de
*) Dans mes citations les Annales de notre observatoire seront
désignées simplement par Ann.
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_ 3 —
la queue en notant seulement qu'elle passe par une étoile
4iuelconque^ alors, en prenant cette direction pour la
position de Taxe, nous courrons le risque de faire une
faute de plusieurs unités dans le calcul de la force. Pour
4a queue (I type) de la comète 1682 (Halley), par exemple,
Jes deux meilleures estimations sont faites le 2 et le 3
septembre par Cassini et par Biithner; d'après la première
«la queue passait sur l'étoile S Ursae majoris», et d'après
ta seconde: «Der Schweif zwischen den Sternen 2 und
€ mg. im Flusse Jordan». — Quelle exactitude peuvent
donner ces observations dans la déduction directe de la
force? Pour cette même comète en 1835, la meilleure
estimation^ se rapportant au point le plus éloigné du
uoyau, est de Sabler: <der Endpunct des Schweifes (mit
unbewaffnetem Auge) traf nahejs^u in die Mitte zwischen
^em zweifachen Sterne 16,17 Draconis und (л Draconis.»
L^examen attentif de l'ensemble des phénomènes nous
a montré que la queue du premier type, surtout quand
elle accompagne la queue claire du П type, ne présente
ordinairement que sa partie antérieure; si l'on envisage
cette partie comme la queue totale, une erreur modique
dans sa position peut mener dans le calcul de la force
à une valeur absurde par son énormité. Ainsi, pour le
bout du rayon du I type de la comète 1882 II, M. Elkin
<Ann. X, 1, pg. 9) donne a=145^48', §=— 8П', en
ajoutant que l'incertitude dans la déclinaison ccpeut
bien être 0®.S ou plus.y> De ces coordonnées on trouve
^=0.962860, '/i=0.0G1112, 9=3^38'. Et bien, si l'on
prend ce rayon pour un conoïde total, on trouve pour
son axe la force absurde 3100, tandis qu'en adoptant
que ce bout appartient au bord antérieur du conoïde du
1 type, formé par la force 1 — u=17.5, on trouve pour
le même 5=0.962860, avec5f=0.20 et 5г=— 4B^ la valeur
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— 4 ~
de •/i=0.22259, d'où (p=13^2'. Celle différeoce de 9M
daos 9 correspoDd à l'erreur de 2^5 daos l'augle de
position jp et à l'erreur de 50' seulement dans la décli-
naison^ laquelle aurait du être —VIV. La différence de
50' se trouve certainement dans les limites des erreurs^
admises par l'observateur lui même.
La position de la queue très courte de la comète
1863 lY est présentée par les coordonnées EsO.05633^
r^=0.00187; en supposant que ce point se trouve sur
l'axe, on obtient pour lui 1 — (jl=132, tandis qu'il est
parfaitement représenté pari — {х = 17.5, ^=0.3 et
ff=^— 1°; donc c'est la bande antérieure du conoïde do
I type, ou un faisceau formé par un jet assez mince
d'émission se déversant presque entièrement dans la partie
antérieure du conoïde idéal de la queue du I type.
Pour préciser définitivement les valeurs de la force,
surtout celle du I type, on doit avoir des observations
des bords de la queue ou de ses conoîdes faites non à
l'oeil nu et à l'aide de quelque petit atlas, mais avec un
cométoscope ou une bonne jumelle et à l'aide des toutes les
étoiles disposées sur la queue ou près d'elle, qui puis-
sent servir à préciser sa figure.
Pour la recherche de la valeur de 1 — (л «lu premier
type jusqu'à présent la plus favorable a été la grande
comète de 1811; elle nous a fourni pour cette force la
valeur 17 — 18. Le nombre 1 — {л=17.5 ne parait être
affeclé que d'une erreur modique de quelques dixièmes.^
La vitesse initiale g *) dans ce type est en moyenne 0.23
et varie de comète à comète entre 0.1 et 0.3i.
♦) Toutes les vitesses initiales g qu'on va rencontrer dans ce Mé-
moire sont déjà réduites pour le premier type à la force répulsive
17.6-, pour le second type à la moyenne des forces de ce type, c'est
à dire b, 1.4, et pour le troisième type à sa force moyenne O.2.—
La vitesse g=0.l est équivalente à 2950 mètres par seconde.
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— 8 —
Les comètes bien observées dans la seconde moitié de
notre siècle donnent en moyenne pour le maximum (bord
antérieur) des forces du II type la valeur 1 — (л=2.2 et
pour le minimum (bord postérieur) 1 — fxaO.S, avec la
vitesse moyenne initiale 5^=0.03, variant de comète à
eomète entre 0.03 et 0.07.
Les valeurs des forces du troisième type se trouvent
«ntre 0.1 et 0.3, et les vitesses initiales entre 0.01 et
«.02.
Toutes ces valeurs numériques sont déjà assez précises
•pour être employées dans les calculs des éphémérides des
queues dans l'avenir et pour représenter parfaitement
bien toutes les comètes observées jusqu'à présent.
Néanmoins^ la révision simultanée du materiel existant
à Taide des formules plus exactes sera très utile pour
i'ëclaircissement et pour la consolidation de toute la
théorie des comètes basée sur la force répulsive.
Nous avons dit que pour les bords de la queue du II
type on a 2.2 et O.S; pour son axe optique on obtient
^n moyenne 1— (л=1.1 ou 1.0; ainsi la force pour la
iigne médiane de la queue ne correspond point à la va-
leur moyenne des forces pour les bords (l.i); et la posi*
tion des isodyntmes pour les différentes forces nous
montre en effet que la divergence réciproque de ces
isodynames diminue avec l'accroissement de la force.
Quand le bord postérieur de la queue est faible et
«stompé, il se présente comme son axe non Fisodyname
de la force 1 — {л=:1.1 (avec g=0)^ mais l'isodyname
d'une force plus grande *). Ce cas doit se présenter aussi
*) On doit s'attendre à ce cas dans les estimations faites à Toeil
sa, et c^est ce que nous verrons en effet dans les anciennes comètes»
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— 6 —
quand la queue ne cootient pas toutes les substances^
correspondantes à la série complète des Torces entre 2.i
et 0.5. Dans l'absence des molécules à maxima des forces,,
l'axe va correspondre à l'isodyname de la force plus
faible que 1— fA=l.l et vice— versa.
A l'aide des données qu'on possède actuellement, îi
est presque impossible d'indiquer dans telle ou telle^
queue du 11 type l'absence totale des substances à ma»
xima ou à minima des forces, — et la différence des va-
leurs de la force calculées pour l'axe de ces queues peut
être attribuée aux erreurs d'observation. La même re-
marque peut être faite par raport aux queues du Ili type.
Pour les queues du i type on est strictement obligé-
de n'admettre qu'une force unique, et nous avons vu dans
la comète de 1811, — qui est pour ainsi dire l'étalon de
ce type, — qu'avec une seule force et une seule vitesse
d'émission peut être construite la largeur de cette queue
et sa forme de conoïde creux. Si on suppose dans cette
comète l'existence des différentes forces, on va trouver
pour son bord antérieur 1— fjL=S8, pour Taxe 17.5 et
pour le bord postérieur 1 — (л=8. Dans la comète 1862
III on trouverait pareillement pour le bord antérieur
1 — (JL=120 et pour le bord postérieur 1 — [x=:5. On ver-
rait de plus que ces limites si différentes varient avec
l'anomalie du noyau au moment de l'observation. £n un
mot, en adoptant plusieurs forces répulsives et plusieurs
substances dans les queues du I type, on revient dan&
le domaine du chaos.
Passons maintenant à notre révision. La longueur de
la queue correspondante au point observé (ou estimé)
soit désignée par Л; la distance périhélie du noyau par
q; l'anomalie vraie par v; le rayon vecteur par r; la
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— 7 —
force répulsive 1 — [x par R; les coordonnées du point
observé par I el v;; l'angle de $ avec le prolongement
du rayon vecteur par 9.
1.— Comète 1472. (Ann. VI, 1; В- *) pg. 79). q=0.566.
Jci on n'a que deux estimations, pour la moyenne des-
quelles on trouve:
t;=— 75^5, Д=0.246, $=0.23818, vi=0.05378 d'où
par le calcul direct on obtient: R=6.5
La valeur trouvée de la force, vu l'incertitude des
estimations et des éléments de l'orbite, — ne peut servir
qu'à ranger seulement cette queue parmi celles du 1 type.
2.— Comète 1577.(Aun.V, 2; B, pgg. 80— 85). q=0.178.
On a vingt points estimés pour la queue principale et
deux points pour la queue secondaire. Les coordonnées
de ces points sont **).
r ^ '/) Notes***)
1577, Nov. 13 0.6094 0.21287 0.09448 bord antérieur
— 0.11230 0.02904 axe
14 0.6368 0.17832 0.08652 bord postérieur
15 0.6614 0.11165 0.04398
— 0.14789 0.07640 bord post.
— 0.23226 0.10357
*) La lettre В va indiquer le Mémoire de Brandes: üeber die
Gestalt der Cometenschweife (Unterhaltungen für Freunde der Physik
und Astronomie. Zweites Heft. 1826).
♦*) Je reproduirai ici les coordonnées des queues, pour lesquelles
dans nos Annales quelques points estimés sont omis.
*♦*) J'ajoute les notes se rapportant à l'axe ou aux bords quand
je les trouve chez Brandes. Pour la plupart, les points se rappor-
tent ä la direction générale de la queue, sans la distinction de l'axe
et des bords.
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— 8 —
23 0.8531 0.23869 0.08961
28 0.9694 0.11373 0.09887 queue secondaire
29 0.9937 0.13787 0.02431 ant.
— 0.20985 0.09416 ant.
— 0.07410 0.0436S post.
— 0.11144 0.06617 post.
— 0.05990 0.07882 queue secondaire
30 1.0158 0.18224 0.09690 post
— 0.06821 0.00627 ant.
— 0.19872 0.07695 axe
Dec. 1 1.0374 0.13424 0.06693
10 1.2240 0.37262 0.23738
— 0.20623 0.07917 axe
30 1.6021 0.23337 0.03603
1578, Janv. 5 1.7091 0.30656 0.07501
12 1.8162 0.09205 0.03907
£q portant tous cos points sur la carte, on obtient la
figure générale de la queue, d'oü l'on a par le calcul
direct: pour le milieu de la longueur de la queue:
(t;=125«.0, Д=0.23, ^=0.21008, r,=0.08220), R=1.0;
pour le bout de la queue:
(t;=134''.6, Д=0.44; ^=0.37262, т]=0.23738), R=1.25.
Le point du 5 janvier qui sur la carte parait être
situé hors du bord antérieur de la queue, donne pour-
tant:
(»=141 «.7, Д=0.32; $=0.30656, v)=0.07501), R=0.8.
Donc, pour l'axe de la queue du II type on a en
moyenne R=1.1.
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— 9 _
Pour le bord antérieur oo a:
(»=125«.0, Д=0.25; $=0.23603, ï)=0.05777), R=2.8.
EdRd pour la queue secondaire, du III type, on a:
(tta=128»8, Д=0.13; ^=0.08682, г^=0.08885), В=0.02.
3.— Comète 1580. (Ann. VI, 1; В. pg. 86). q=0.602.
On n'a- qu'une seule estimation pour laquelle le calcul
direct nous donne:
(»=— 73М,,Л=0.06, ^=0.05753, r, --=0.01 701),
R=1.0, Il type.
I. Ck)mète 1582. (Ann. VI, 1; В. pg. 86). q:=0.168.
On a deux estimations d'où, avec les éléments de d'Ar-
rest, on obtient par le calcul direct:
(t;=ll2«22', Д=0.16; Ç==0.12456, Г(=в.09558),
R=0.2, m type.
C'est un cas intéressant de l'existence isolée de la
queue du III type. Pourtant les éléments de l'orbite sont
assez grossiers.
5.— Comètel618 Ill.(Ann.V, 2; B. pgg. 89— 100).q=0.390.
Entre le 29 novembre 1618 et le 16 janvier 1619
on a 42 points observés, dont les coordonnées sont'.
r l T^ Notes.
1618 Nov. 29 0.6573 0.34104 0.07873
30 0.6768 0.07211 0.02615
— 0.19317 0.08134
Dec. 1 0.6958 0.07444 0.02957 axe
-- 0.14449 0.06393 axe
— 0.18514 0.08850 axe
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— 10 —
т ^ '/) Notes
Dec. 2 0.7150 0.11231 0.10132 axe
— 0.17568 0.12992 axe
— 0.18605 0.1ii23 axe
9 0.8636 0.16266 0.06007
— 0.17780 0.22580 obs. dootease
— 0.25974 0.38775 obs. douteuse
12 0.9138 0.12151 0.05158
— 0.18954 0.13603
— 0.19724 0.18159
14 0.9475 0.14723 0.08500
15 0.9639 0.19595 0.09891
16 0.9981 0.09175 0.03901
— 0.16257 0.10733
— 0.20616 0.15126
и 0.9981 0.23950 0.20121
17 1.0052 0.08991 0.02086 axe
— 0.18030 0.08530 axe
— 0.20580 0.14760 axe
— 0.22446 0.21425 axe
— 0.22355 0.28104 axe
20 1.0601 0.17533 0.04692
— 0.27274 0.07666
— 0.34722 0.13736
24 1.1357 0.24268 0.07667
— 0.29032 0.10403
28 1.2099 0.10842 0.03836 axe
— 0 17346 0.08138 axe
— 0.27976 0.16184 axe
— 0.32945 0.21408 axe
— 0.34141 0.25977 axe
29 1.2281 0.17932 0.07191 axe
— 0.34005 0.17339 axe
— 0.35684 0.26405 axe
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— 11 —
г \ r^ Notes.
1619, Janv. 3 1.3282 0.11031 0.05234
— 0Л7563 0Л5584
7 1.4000. ОЛ 1746 0.04275
12 1.4850 0.14095 0.05130
16 1.5550 0Л4419 0.04135
Eu portant tous ces poins sur ta carte, on obtient la
figure de la queue; les poiots vers le bout de la queue
oot plus de valeur pour le calcul de la force; donc, en
prenant la moyenne de ces 13 points et la moyenne des
temps, on en obtient, par le calcul direct, pour Taxe:
(t;=106^22', Д=0.312; ^=0.29454, /1=0.17255),
R=1.0, II type.
Pour le bord on aura:
(г;=105*»22', ^=0.30846, 7^=0.12292), В=2Л
6.— Comète 1652. (Ann. VI, 1; В. pg. 100). q=0.848.
On a trois estimations, d'où l'on obtient:
(г;=59П9', Д=0.054, 5=0.05287, 7)=0.01100), R=1.7.
Probablement les points observés sont situés entre
Taxe et le bord antérieur. La vitesse initiale est ^=0.03.
7.-Comète 1664.(Ann.VI, 1; B. pgg. 101— 105).q=1.026.
La Terre se trouvait trop près de Torbite et Tinfluence
de la perspective est très grande. Entre le 18 décembre
et le 9 janvier on a 9 points observés, dont les coor-
données sont:
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— 12 -
г k fj Notes.
1664, Dec. 18 1.0503 0.17237 0.11995
21 1.0615 0.14198 0.13944
— 0.39419 0.18158
1665, Janv. 5 1.1562 0.17274 0.02803 axe
— 0.29162 0.07001 axe
7 1,1719 0.03499 0.00847
— 0.10670 0.02676
9 1.1875 0.04081 0.00391 axe
— 0.13927 0.05571 axe
Pour les quatre points les plus éloignés du noyau on
a pour la moyenne des temps:
(t;=26«18', Д=0.215, $=0.20698, •/;— 0.11573), В=1.6.
Les six points situés plus près du noyau donnent:
(t;=39«, Д=0.091, 5=0.09018, -/)=0.03006), Н=1.8.
La moyenne des deux valeurs précédentes de
R est 1.7. La vitesse initiale ^=0.03.
Le bord postérieur étant estompé. Taxe se voit plus
près du bord antérieur.
8.-Comète 1665. (Ann. V, 2; В, pgg. 105—107) q=0.106.
On a 7 points observés (l'huitième point, du 16 avril,
n'étant donné que par l'angle 9). Les trois premiers
points donnent en moyenne:
t>=— 132»27', Д=0.138, 5=0.137815, v; =0.00714,
d'où par le calcul direct on obtient R=24.4.
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~ 13 —
Le second groupe, ou
t;=— 120^0', Д=0.254, ^=0.25107, r^=0.03849, donne
R=13.5. La valeur moyenne de R=19.
La queue est indubitablement du I type.
9.— Comète 1680. (Ann. VIF, 1). q=0.006.
Dans nos Annales, pg. 18 — 20, on trouve les coordon-
nées des points de la queue, qui sont portée; sur la
Planche et on y voit que la courbe calculée à l'aide de
nos formules rigoureuses pour R=1.0,' — comme axe op-
tique,— satisfait très bien à l'ensemble de toutes les obser-
vations.
10.— Comète 1682 (Halley). (Ann. VIF, 1). q=0.583.
Les meilleures estimations, dont nous avons parlé plus
haut, sont de Cassini et de Büthner. On voit sur la
Planche (1. c) que ces estimations sont présentées par
la courbe calculée à Taide des formules rigoureuses pour
R=12; on y trouve aussi Tisodyname pour la force
R=1.0, et on voit quelle grande différence il y a entre
la queue observée et la queue du II type. Ainsi, cette
comète appartient au I type. L'isodyname pour R=17.5
à cette longueur de la queue ne diffère pas sensiblement
de celle de R=12 et présente les meilleures estimations
d'une manière non moins satisfaisante. Il est à noter que
dans ses apparitions antécédentes (1531, 1607) cette
comète appartenait aussi au premier type, car l'angle de
sa queue avec le prolongement du rayon vecteur était
toujours très petit (Rrandes; 1. с pgg. 80, 89).
11.— Comète 1744. q=0.222. Cette comète est étudiée
par moi assez soigneusement (Ann. VII, 1. pgg. 36 — 53;
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— 14 —
X, h pgg. 75—86; X, 2, pgg. 142—148). Nous avons
vu que Taxe optique de sa queue priocipalc, du II type,
est représenté par la courbe correspondante à la force
R=1,0 et que le maximum de la force pour le bord
antérieur est R=2.4, avec la vitesse ^=0.06. Il nous
reste maintenant à faire une remarque concernant sa
queue secondaire, du I type. Nous avons donné des
nombres (Ann. X, 2; pgg. 142 — 148 et Planche) pour le
tracement des courbes isodynamiques de la force R=12:
A (^=0, 0=0), 5(^=0.15,0=— 45 •), (;(^=0.35,
(?=— 45^) et de la force R=21:D (^=0, G=0).
D'après le changement des positions produit par le
changement de R, de g elaeG il est très facile de trouver
graphiquement Fisodyname de la force R=17.5 qui cor-
respondrait parfaitement aux points de la courbe du
bord antérieur. Ainsi, on verra tout de suite que
pour augmenter la force jusqu'à 17.5 il faut diminuer
seulement de 0.03 la vitesse ^==0.35 et Ton aura alors
R=17.5, ^=0.32, G= — 45^ On pourrait obtenir le même
résultat en laissant la vitesse g sans variation et en dimi-
nuant seulement Tangle G. La position de Tisodyname
varie plus sensiblement du changement des dixièmes dans
la valeur de la vitesse g^ que du changement des unités
entières dans la valeur de la force. Voilà pourquoi il est
nécessaire d'avoir pour le premier type le nombre R dé-
duit de la queue à deux bords bien observés, comme
l'était celle de la comète de 1811.
Quant aux points du premier groupe, du 3 au 16
janvier, situés sur l'axe du conoïde complet, l'augmenta-
tion de la force ne leur nuira pas, car à celte distance
du noyau le déplacement de l'isodyname correspondant
à l'augmentation de la force est presque insensible et se
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— 15 —
trouve dans des limites des erreurs les plus modiques que
Ton pourrait attribuer aux estimations.
12.— Comète 1769. q=0.123. Dans ma recherche sur
celte comète (Ann. VII, 1; pgg. 22 — 36 et Planche) on
lit: «On voit sur la Planche que les observations du pre-
mier groupe seraient encore mieux représentées par une
force 1 — fx plus grande que 12, *) et celte circonstance
a lieu attôsi, comme nous allons voir, dans la comète de
1744».... «Pourtant je préfère de retenir pour le moment**)
cette valeur de la force.... il vaudra mieux de déterminer
un jour la valeur de 1 — (x qui correspondrait le mieux
à toutes les queues du I type, tant plus que dans ce type
les petits changements de l'angle 9 produisent des vari-
ations considérables dans la valeur de 1 — (л».
Pour le calcul direct de la force^ prenons d'entre les
points près du bout de la queue les quatre points
les mieux observés (Messier). Leur moyenne donne:
t;=— 138П2'; Д=0.404, ?=0.40406, r,=0.01832,
i^n=9.984o85 et on trouve R=59.6.
il est évident que c'est la partie antérieure du со-
noîde du i type.
Les trois points correspondants au milieu de la lon-
gueur de la queue nous donnent:
.140^30', Д=0.27847, 5=0.27605, •/j=0.03664, d'où
Ra=2.5. C'est le 11 type dont l'axe optique est rapproché
vers le prolongement du rayon vecteur par la présence
*) Cette valeur de la force est prise dans le calcul de Taxe de la
queue h Paide de la formule de Bessel.
**) Mon Mémoire est daté du 29 mars 1880.
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— 16 —
de la queue du I type, ou mieux dire, nous avons ici
Taxe commun des deux queues: du II et du I type;
plus loin vers le bout il n'y a que le I type qui s'amin-
cit de plus en plus, en perdant sa partie postérieure.
De là cette convexité anomale de la queue: «Plus de la
moitié de la queue vers la fin était d'une lumière très
faible; elle se courbait sensiblement, et la convexité était
tournée vers le Nord> (Messier). Ce gonflement de la
partie postérieure de la queue correspondait au bout de
la queue plus courte du II type.
Pour la bande antérieure du { type nous avons trouvé
tout-à-l'heure R=39.6. Pour l'axe du conoïde complet
du I type avec la force 17.5 et pour le même Ç=0. 40406
OD trouve 72=0.029718; pour la moyenne des trois points
que nous venons d'employer nous aurons l'isodyname
avec R=17.5; ^=0.2 et (?=— S.**3. Enfin pour le point
du 12 octobre le plus éloigné du noyau et le plus
antérieur, dont les coordonnées sont: Hs=0.51585,
7)=— 0.05028, l'isodyname se construira avec R=17.5,
д=^ОЛ et Gr= — 46 ^ Ce point se trouve donc sur le bord
même du conoïde de la queue se terminant en pointe.
13.— Comète 1807. (Ann. V, 2). q=0.646. Cette co-
mète a moutré deux queues et la position de chacune
d'elles n'est déterminée que par une seule estimation.
Pour la première on a:
v=4-<i8T, 5=0.13798, r,=0.01909, d'ouR=11.3, 1 t.
et pour la seconde:
^=0.09552, yj=0.04293, d'oli R=0.9, II t.
Il est à noter que Taxe de la queue plus longue peut
être présenté par l'isodyname de la force R=17.5 {g=Oj
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— 17 —
0=0) en admeUant que Terreur de restimation est non
seulement modique, mais presque iosensible.
Pour la seconde queue on peut dire la même chose
par rapport à la force R=l.l.
14.--Comète 1811 L q=:l.035. Cette comète est étu-
diée par moi Irès^oigneusement (Bredichin; sur la grande
comète de 1811; Bulletin de la Société des Naturalistes
de Moscou; Année 1881, № 3). Sa queue étant très
longue et formant un conoïde complet, peut être prise
pour Tétalon du premier type. Elle nous donne pour
R 17 — 18^ avec la vitesse initiale ^^=0.2.
En admettant que les forces sont différentes pour ses
bords, on aura pour le bord antérieur, dont ^=0.53161,
Y]=0.07539, R=58; pour le bord postérieur, où
5=0.48822, Yj=0.19346, R=8, tandis que tout le co-
noïde se laisse construire parfaitement bien, comme nous
l'avons déjà dit, avec une seule force et une seule vi-
tesse initiale.
15.— Comète 1819 IL q=0.3ll. Cette comète jusqu'à
présent n'a pas été étudiée par moi. L'unique^ estimation
de la position de sa queue est faite par Fischer (On the
orbit etc-.. New-Haven): <13 July, evening, the direction
of the tail was marked as being towards a point bet-
ween e and I ursae minoris. The length of the tail
13 July 8Ъ> II faul noter que les étoiles de comparaison
sont à la distance de 38® du bout de la queue.
Avec les élément de l'orbite (Brinckley):
T=Juin 27.74009 t. m. Green.
7c=287® 5' 5"
Û=273 43 44
i= 80 45 53
Ig q=9.532819
Mouvement direct.
J^ 1. 1885. 2
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— 18 —
OD trouve pour le temps de i'observatioo, Juillet 19.626,
la positioD do noyaa:
«=112« 12' 54", S=^51» 8' 44", lgp=0.08777.
Pour la position du Soleil on a:
«=1120 24^ 26", 6=4-21 • SI' 57", X=sllO» 44' 47",
Ig R=0.0070836; 6=23» 27' 46".
D'où OD obtient
A=187* 6' 21", D=-b6» 59' 17"
Le moyenne des positions des étoiles de comparaison
pour 1819.5 sera:
«=246V56' 15", 5=4-80* 19' 54"
On a plus loin:
p =-4-9» 32'.0 t;=77'' 17' 46"
j)*=-0 21.9 lgr=9.74752
P= 97 26.6 «=8"
F=141 11.5 ç==;36« 9'.6
S=sl04 53.7 $=0.12836
r=r 82 11.0 Y)=0.09380
Et la formule de M. ßadau me donne R=0.97 ou
simplement B=1.0, 11 type.
(La formule de Bessel ne donne que B=0.5).
16.~Gomète 1823 (Ann. V, 2). q=0.227.
La moyenne des deux estimations nous fournit
»=-+■131'' 2', Ç=0.06180, ï)=0.01598, d'où l'on obtient
par le calcul direct R=0.3.
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— 19 —
C'est le seeood exemple de Texistence de la (fuette
UMe du m type. (La formale de Besset nous a doonë
pow elle Bs=0.2).
17.— Comète 1825 IV (Ann. VIIl, 1). q=1.242.
La srale estimation nous donne:
(^=—56*^ 12'), 5=0.23383, Y3=0.02701, dVu par
le calcul direct B=17, I type.
18.— Comète 1835 III, (Halley). (Ann. V, 1). q=0.687.
L'estimation d'un point assez éloigné du noyau et par
cela plus favorable à la distinction de la force nous donne
pour l'axe de la queue (t;=— 73^ 24'), Ç=0.06i39,
4=0.00564, d'où
B=ll. La vitesse initiale est д^==^ОЛ.
La queue a été très courte, et une petite erreur dans
d'angle de position produit une erreur de plusieurs uni-
tés dans la valeur de la force, et Pon doit faire remar-
quer ici que Taxe calculé pour la force B=17.5 corres-
pond à la queue dans la supposition même que l'erreur
de l'estimation est non seulement modique, mais presque
JYisensibto. Nous avons vu déjà que cette queue appar-
tient au premier type. Elle contenait aussi des substan-
4îes du III type, mues par la force B=0.2.
19.-Comète 1843 L (Ann. V, 2). q=0.005.
La seule estimation de la position de sa queue nous
<lonne pour t;=169^ 52, $=0.83100, r^=0.05906, d'ob
B=10, I type. L'influence de la perspective est très
grande; d'après l'orbite de la comète et sa position par
rapport à la Terre, on voit qu'une' erreur très petite dans
a*
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— 20 —
Tangle de position produit des grandes erreurs dans la
valeur de la force. La comète a en aussi une autre queue,
du И type (Ânn. YII, 1, pg. 61), qui par sa position sur
le ciel en général a du être invisible en Europe. Dr.
Cooper à Nice a vu la partie de la queue ob ses deux
conoïdes étaient juxtaposés et de son estimation, pour
v=Ur 4Г 36", on a 5=0.3922, v]=0.0254, d'où on
obtient B=i, et ce nombre se rapporte évidemment à
Taxe commun des deux queues.
20.— Comète 1844 HI. (Ann. V, 2). q=0.252.
La seule estimation de Mann nous donne pour t;ssl 00^
32', 5=0.32636, -/1=0.24267, d'où R=1.8. Cette valeur
se rapporte apparemment à la partie antérieure du со-
noïde, et la queue était en effet «bushy» d'après la des-
cription de Mann.
21.— Comète 1853 IL (Ann. V, 2). q=0.909.
La seule estimation nous donne pour t;=— 10^ 41V
'/,=0.07533, 5=0.05171, d'où' on obtient R=0.2, Ш type.
En employant mes formules rigoureuses, avec la force
R=:0.3, on trouve (pour l'émission du 3 avril) pour le temps
de l'observation, 9=26^ 48', 5=0.03436, yj=0.01736, ce
qui confirme pleinement la petitesse de la force R dans
cette queue. C'est le troisième exemple de l'existence
isolée du troisième type.
22.— Comète 1853 IIL (Ann. V, 2). q=0.307.
Les six estimations de Schmidt nous donnent en
moyenne pour v= — 46® 44' les coordonnées: 5=:0.1 3919^
•/j=0.03522, d'où on obtient R=:ll, I type. La vitesse ini-
tiale est ici ^=0.23. Il y a quelque probabilité que la
comète a eu aussi nn petit appendice du III type.
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— 21 —
23.--Comèle 1853 IV. (Ann. V, 2). q=0.173.
La moyenne des trois mesures micrométriques qui ont
très peu de valeur dans le calcul de la force,— nous
fournil pour t;e— lOr 34', $=0.00304, у)=0.00046,
4'o\i B=0.1. Encore une queue isolée du troisième type.
24.— Comète 1854 II. (Ann. V, 2). q=0.278.
La moyenne des quatre estimations de Schmidt nous
<lonne pour v=SV 22', Ç=0.0243, y;=0.0057, d'où
B=l.l, Il type: La vitesse initiale ^=0.05.
25.— Comète 1854 Ш. (Ann. V, 2). q=0.648.
La moyenne des quatre estimations de Schmidt nous
donne, pour v=ÎV 54, $=0.00669, r^=0.00095, d'où
R=0.9, II type. La vitesse g^OM.
26.— Comète 1857 III, (Ann. V, 2). q=0.368.
Les cinq mesures micrométriques, par conséquent peu
valables pour le calcul de la force, nous donnent en
moyenne, pour v= — 46® 31',
$=s0.00253. Y) =0.00041, d'où on obtient R=0.3.
C'est le cinquième exemple de Texistence indépendante
du III type.
27.— Comète 1858 V. (Ann. V, 2; X, 1). q=0.578.
Dans la queue principale (II type) de cette comète on
a trouvé pour l'axe optique R=:1.0, pour le bord anté-
rieur R=2.2 et pour le bord postérieur R=0.5. La .vi-
tesse g=0.01.
Il nous reste maintenant à voir comment no peut con-
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— M —
ciller la force admise Rnsl7.^ avec les observalittis d»
la queue du I type de cette comète.
A l'aide de la Planche (Ann. X, 1, pgg. 100— U(^
et Planche), où so^t tracées Jes isodynames des différen-
tes forces et vitesses, on peut facilement trouver le
changement dans la position de ces courbes provenant
des changements des forces, des vitesses et des angles (7.
De cette manière, dont Texactitude ne se trouvera
nullement au dessous de Pexaclitude des résultats fournis
par les estimations de la queue, on trouve facilement
que pour satisfaire aux points du bord antérieur de la
queue avec la force 17.5 et la vitesse 0.15, il faut
admettre seulement в=^ — 20^; l'augmentation de la vi-
tesse initiale conduirait à une diminution de Pangle G^
Quant aux estimations du bord postérieur, elles sont
tellement grossières qu'elles ne perdront rien dans ces^
changements.
28.— Comète 1860 Ш. (Ann. V, 1). q=0.293.
Les estimations de Schmidt donnent approximativß-
meut la position générale de la queue. La moyenne des
deux points les plus éloignés du noyau nous donne, pour
v=6V 19', 5=0.18775, Y)=0.23265, d'où R=1.7. La
moyenne des autres 8 points, pour chacun desquels ^
est au dessus de 0.05, est (t;=88* 57') ^=0.0.8035^
Y)=0.03514, d'où R=1.0, et en moyenne R=l. 4, lï type,
il eat à ooter pourtant que dans la partie éloignée de
la queue, juin 24^ 25, on ne voyait probablement que
sa moitié antérieure, plus claire, car Schmidt fait la re-
marque suivante: «Das Mondlicht beeinträchtigte sehr die
Sichtbarkeit des Schweifes>. Dans le second groupe on
trouve en général des données plus exactes, de manière
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^ 23 —
que la force R^ssl.O poar Taxe de la queue parait être
la plus probable. La vitesse ^^=ф.06.
29.— Comète 1861 II (Ann. IV, 1). q=0.822.
La moyenne des deux derniers groupes d'observations
qui se rapportent aux points les plus éloignés du noyau
(I. с pgg. 75 et 76) nous présente pour v=n^^ W
les coordonnées $=0.2820, yi=0.0340, d'où Re21, 1 type.
Pour Textrèmité de la queue secondaire on a $=0.0825f
/1=0.0855(1=75^ 20'), d^oü R=0.2, III type. La vitesse
0 déduite des dimensions de l'enveloppe du III type
est 0.02.
Le conoïde du I type était complet au commencement
de sa visibilité; on le voit tel sur le dessin de M. Ellery
(20 juin) (Ann. VII, 2; Planche, fig. 12). Cette figure
montre la différence très prononcée entre les queues du
1 et du III types dans leurs positions, leur figure et leurs
étendues.
D'après Schmidt chaque queue a en son conoïde dis-
tinct, et la racine du conoïde du III type est assez bien
contournée pour en déduire la vitesse initiale de ce type,
et on la trouve égale à peu près à 0.02.
Il est très instructif d'examiner les cinq faisceaux
d'émission observés par Schweizer (1. с. fig. 9), qui se
prolongent justement dans les cinq faisceaux de la queue,
dessinés vers le même temps par Williams (Astr. Nachr.
№ 1348).
30.— Comète 1862 III. (V, 2). q=0.963. Cette comète
a eu deux queues, l'une du I et l'autre du III type. Pour
la première on a plusieurs observa tious qui se rappor*
teut au bord antérieur de son conoïde mais son bord
postérieur n'a été vu que par M. Schiaparelli, et ses
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— 24 —
dessins precieax confirment ainsi notre opinion, plusieurs
fois énoncée, que la partie postérieure du conoïde de ce
type reste pour la plupart invisible ou presque invisible.
Les deux bords du conoïde du premier type sont les
plus distincts sur les dessins de M. Scbiaparelli du 20
et du 21 août (Osservazioni astronomicbe et fisiche sulla
grande cometa del 1862, Tav. I).
Le 20 août le bord antérieur passe exactement par
une étoile (yi Ursae minoris). Pour le point qui se trouve
au milieu des deux bords, c'est à dire pour Taxe op-
tique du I type, on doit ajouter, d'après la carte, 16' à
la déclinaison de Tétoile, et l'on obtient ainsi avec une
certaine approximation, à Taide des valeurs numériques
pour le 20 août (Ann. Ill, 1, pgg, 17, 21), les coor-
données de ce point pour v= — 3® i3', $=0.07556,
7j=0.00758, d'où on a par le calcul direct R=15. La
vitesse initiale est g=0.ifi.
Ne perdons pas de vue que la queue est assez petite
et ne peut point servir d'étalon comme celle de 1811,
tant plus qu'en elle les déplacements du 'secteur d'émis-
sion causaient des déplacements des bords du conoïde.
En n'admettant qu'une erreur presque insensible, l'axe
du conoïde de cette comète peut être présenté par la
force R=17.5 (51=0, G=o).
Le 21 août la queue, sur le dessin de Scbiaparelli, a
trois branches distinctes, dont deux sont celles du I ty-
pe; quelle signification a la troisième branche? D'après
sa position sur la carte on trouve pour son bout cp=3i® iO',
5=0.0i317, 7) =0.02985, d'où R=0.2. Ainsi c'est
la queue très distincte du III type. L'ensemble de toutes
les estimations du bout de cette queue du III type nous
donne (Ann. V, 2, pg. 49) pour t;=8^2, Ç=0.036,
Y)=0.018, d'où R=0.3, m type.
Digiti
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— 26 —
Sur les dessins de Secchi et Schmidt, od voit un
croisement très prononcé des branches de la queue. Les
dessins de Schmidt rendent plus claire l'idée de ce phé-
nomène remarquable: on y voit du 27 août au 2 sep-
tembre le conoïde relativement faible du III type con-
server sa figure et sa position, tandis que la bande du
I type, liée toujours avec l'émission correspondante, oscille
et passe tantôt dans la partie antérieure de la queue et
tantôt dans sa partie postérieure.
Dans ce dernier cas on doit voir un eroisement du
bord antérieur du conoïde du III type, ou de tout ce
conoïde, avec le bord postérieur du I type, car le bord
antérieur devient alors presque invisible. On peut s'en
convaincre facilement en traçant a la main les courbes
des bords des deux conoïdes.
Ces déplacements du faisceau d'émission ont produit
la courbure anomale des bords de la queue, que nous
avons déjà étudiée en détail (Ann. Ill, 1; pgg. 6 — 7,35
et Planche, fig. 2; V, 2; pgg. 47—50). J'ai montré (fig.2)
comment le déplacement du cône d'émission de devant
en arrière du rayon vecteur donne à la queue la figure
de la lettre S, sans la rendre discontinue. Quant aux
déplacements des jets lumineux, Secchi énonce l'idée que
«il getto restava fisse. Restando esso fisse in direzione,
vedevasi estinguere, ed estinto il primo nasceva Taltro a
15^ circa di distanza, onde vi erano veramente due
centri di emissione di materia e per alcuni giorni questi due
centri si diedero lo scambio, quasi a sere alternanti in
cacciar fuori la materia»... D'après les dessins de Schmidt,
oil Ton doit faire attention à la direction des jets et de
leur courbure dans leur passage dans la queue, il de-
vient plus probable que les jet lumineux faisait des oscil-
lations dans la période de 2.7 jours. Quant aux parti*
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_ 26 -
cules du Ш type» ayant une vitesse g dix fois plus pe-
tite et l'ascension v^rs le sommet du conoïde dix fois
plus lente, les oscillations de leur jet ne pouvaient pas
devenir assez prononcées dans le court intervalle de 2Л
jours, et leur conoïde en a paru être plus invariable
dans sa structure et sa position.
31.-Comète 1863 IV (Ann. V, 2). q=0.707.
La moyenne des six estimations de Schmidt nous donne
pour v=W 20', 5=0.05633, 7)=0.00187, d'où par le
calcul direct on a R=lS2. Ce point moyen se trouve
évidemment sur la partie antérieure de la queue du
premier type; en effet, il est exactement représenté, à
l'aide des formules rigoureuses, par l'isodyname de
R=17.5, ^=0.20 et G=— 0^9. Pour l'axe du conoïde
complet on trouve pour le même 5=0.05633 la valeur
de 7)=:0.0019в. La vitesse fournie par les dimensions de
Tenveloppe est 0.22.
La queue est tellement courte que la courbe du bord
antérieur peut être calculée (c'est le I type) même à
Taide de la formule de Bessel.
Pour le point le plus éloigné du noyau et le plus anté-
rieur (5=0.0775, 7]=0.00212) on aura l'isodyname
R=17.5, ^=0.20, ö=— f.
32.— Comète 1865 I (Ann. VI, 1; pgg. 48—49). q=0.026.
Les valeurs moyennes des cinq estimations nous donnent
pour la queue principale, v étant 156^ 47', 5=0.32630,
Y)=0.08922, d'où R=0.8, II type. La vitesse flr=0.07.
Les trois estimations pour la queue secondaire nous
fournissent pour t;=149^ 49', 5=0.25811, r,=0.16334,
d'où R=0.i, Ш type.
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— 27 —
33.— Comète 1874 Ш. (Ann. Ill, 2). q=0.676.
Nous avons trouvé pour le bout de Paxe optique de
cette comète (Ann. V, 2; pgg. 38—39), à l'aide des
formules rigoureuses, les courbes isodynamiques qui
donnent R=1.2.
Ayant en vue la valeur de R=0.9 obtenue par М#
Hepperger à Taide du calcul direct assez axact des tout
les points estimés^ on aura en moyenne R=1.1, II type.
La vitesse ^=0.03.
Cette comète a eu encore une faible queue évidem-
ment du 1 type, car elle se trouvait en avant de la
queue principale (Schmidt; Astr. Nachr. Vol. 87, pg. 11).
34.-Comète 1877 II. (Ann. V, 1). q=:0.980.
Les sept estimations nous donnent en moyenne pour
t;=32« 19', ^=0.00785, y]=0.00026, d'où parle calcul
direct R=12, I type. La queue fut très courte, et sans
aucune erreur tant soit peu sensible son axe peut être
présenté par la force 17.5. La vitesse initiale ^=0.20.
35*— Comèle 1880 I. (Ann. VII, 1; Planche *). q=0.005.
Les isodynames calculées rigoureusement pour les for-
ces R=l et R=1.5 (et pour 5г=0, ö=0) nous mon-
trent que Taxe optique de la queue dans sa longueur
totale peut être très bien représenté par la force R=1.0,
H type.
36.— Comèle 1881 111 (Ann. VIII, 1; Planche). q=0.735.
On voit sur la Planche, où sont tracées les isodyna-
mes des ditférentes forces, calculées rigoureusement, que
*) Il est a noter que dans le tracement de la Planche il s*est
fflissé une erreur dans la position du troisième point: au lieu de
Assll7.6 mm'., on y trouve A»,176 mm.
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- 28 ~
Гахе opliqae de la qaeue principale correspood à R=l.l,
Il type. Poar le bord aolérieur on aura à peu près
R==2, et pour le bord postérieur R=0.5. La vitesse
initiale ^=0.03.
Pour le bout de la queue du I type on a, v étant
23^ 39', $=0.25732, у)=0.047в9 et par le calcul direct
on obtient R=23.2 (formule de Radau) et R=21.4 (for-
mule de Hepperger) et en moyenne R=:22. Evidemment
c'est la bande de la partie antérieure du conoïde du
I type. Pour l'axe du conoïde complet avec R=17.B et
le même $=0.25732 on trouve •/;=0.0э414. L'isodyname
pour le bord antérieur sera construite avec R=17.5,
5г=0.2 et ö=— 4^
37.— Comète 1881 IV. (Ann. VllI, 1). q=0.631.
La moyenne pour deux points les plus éloignés du noy-
au et par conséquent les plus valables, nous donne pour
v=l' 50', $=0.13299, 7]=0.02i91, d'où on obtient
Rc=13, par le calcul direct; I type. La vitesse ^=0.34.
La queue principale était peu claire mais complète et
par conséquent le nombre précèdent se rapporte à l'axe
et non au bord antérieur. En supposant que les estima-
tions ne sont affectées que des erreurs presque in-
sensibles, on leur satisfait parfaitement avec la force
R=17.5.
La queue du II type dans cette comète était exces-
sivement faible, et nous savons que son axe est repré-
senté par la force R=1.
38.— Comète 1882 I (Ann. IX, 1; Planche). q=0.061.
On voit sur la Planche que les bords de la queue,
pas assez claire d'ailleurs, sont représentés par les iso-
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— 29 —
dynames des forces 1.6 et 0.8. L'axe optique corres-
pond à 1.1 ou à 1.0. La vitesse initiale ^=0.04.
La queue était trop faible et assez courte pour ad-
mettre en elle l'absence incontestable des molécules char-
gées des forces entre 0.8 et 0.5 et puis entre 1.6 et 2.2.
Avant la périhélie l'axe de la queue très courte et
très faible avait une déviation qui surpasse celle qui est
exigée par la force R=l^ ce qui montre que la queue
contenait alors des substances du III type. Les dessins
avant la périhélie indiquent aussi la présence d'une
queue du I type en état rudimentaire.
39.— Comète 1882 IL (Ann. IX, 2; X, 1). q=0.008.
L'étude attentive nous a montré que dans cette co-
mète, qui a développé tous les trois types, les bords de
la queue principale correspondaient aux forces R=:0.2
et R=2.0, la queue du III type étant sondée pour ain-
si dire, le long de la queue du II type, comme cela
doit avoir lieu toujours pour des anomalies tellement
grandes (168^—173®); car dans ces cas la divergence
des isodynames des différentes forces devient peut sen-
sible et les queues des différents types doivent se con-
fondre par leurs bords.
La vitesse du II type est égale dans cette comète
à 0.03.
Le mince filet long qui correspondait au bord anté-
rieur du I type est représenté, comme nous l'avons déjà
dit plus haut, par l'isodyname de la force R=17.6 avec
^=0.20 et (t= — 45^ Ces valeurs donnent pour le bout
de la queue, dont ^=0.96286 la valeur de 7)=0.222S9,
tandis que y] déduit de l'estimation de M. Elkin est
0.061112. Celte différence des yj est tout à fait expli-
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- 30 —
qaée par une erreur de 80' daos la déclioaisoD do bout
du filet long^ et l'observateur lai môme avoue que l'erreur
est peut être <de Ш ou pîus^.
Ou pourrait certainemeot réduire considérablemeot
cette différence en adoptant gssO.b, mais on n'en a
aucun besoin. La vitesse initiale du I type déduite des
dimensions de Ténveloppe est^=30.20.
Cette comète nous a donné le moyen de suivre immé-
diatement le mouvement des masses émises par son no-
yau et de nous convaincre encore une (ois qu'il est né-
cessaire d'introduire dans l'espace céleste la force ré-
pulsive. Je parle des nuages de Schmidt, dont j'ai cal-
culé les orbites hyperboliques pour les forces répulsives
R=0.6 et R=0.75 (Ann. IX, 2; pgg. 69—71). Les dif-
férences des positions de ces nuages calculées d'après
mes éléments et déduites des observations sont assez
modiques et peuvent être expliquées entre autres par
une raréfaction ou une dissolution progressive des nua-
ges, principalement à leurs bouts antérieurs.
Maintenant je m'arrête définitivement à cette explication
et je la regarde comme la pins juste. En voici les preuves.
Adm^ittons que dans un moment donné il y a eu une
éruption de toutes les substances formant la queue. En-
tre ces substances les plus claires sont celles du II
type, chargées des forces répulsives entre 0.5 et 2.2.
A la suite de cette éruption il se formera une ban-
de, une couche ou un nuage oblong isochrone. Ce
nuage sera situé obliquement dans la queue. En suppo-
sant que la queue conserve visibles toutes ses substan-
ces vers cet endroit, on verra que le milieu ou le centre
de cette bande isochrone, de ce nuage, se trouve sur
l'axe optique de la queue du II type, c'est à dire qu'il
correspond à la force R=1.0. Or, la bande isochrone.
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— si-
en se déplaçant dans Геврасе, va se distendre inéga-
lement dans ses différentes parties, car les vitesses
orbitales sor Fisodyname de la force 2.2 sont plus gran-
des qoe sur Tisodyname de la force 0.6. Quand Гапо-
inalie du noyau est très grande, comme dans le cas de
notre comète, les isochrones traversent la queue pres-
que tongitudinalement (voir la Planche, Ann. IX, S).
Ainsi la matière émise par le noyau doit devenir beau-
coup plus diffuse dans la partie de Tisochrone plus éloi«*
gnée do noyau^ et elle ne paraîtra plus appartenir à la
masse plus danse du nuage. Le centre du nuage ne se
présentera plus sur Taxe optique, mais on le verra entre
cet axe et le bord postérieur, ou Fisodyname correspond
à quelque force entre 0.5 et 1.0 et ainsi de suite.
La première éruption dans notre comète a eu lieu le
17.7 septembre. Vers la moitié d'octobre nous ne voy-
ons déjà qu'une partie de la bande isochrone de cette
éruption, et le centre de cette partie est chargé de la
force 0.6. La seconde éruption s'est produite le 18.2 sep-
tembre, et vers le moitié d'octobre le eenlre de son
isockrone correspond à la force 0.75. En traçant sur
notre Planche (I. c.) pour le 16 octobre les isochrones
correspondantes à ces deux dates d'éruption, on verra
que le bout antérieur de la première isochrone se trouve
déjà dans le prolongement invisible de la queue, a tel
point la matière y est devenue diffuse; la seconde iso-
chrone, correspondante a l'autre nuage de Schmidt, n'a
pas encore subi une telle déformation, le centre de ce
nuage est encore plus près de Faxe, pour lui la force
est encore plus près de 1.0, quoique son bout est allongé
к a une structure filamenteuse, se trouvant dans le bout
diffus de la queue. La dilatation des nuages isochrones,
inégale dans leurs différentes parties, doit continuer avec
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— Sä-
le temps, et les centres apparents des restants des nua-
ges de jour en jour, durant le temps des observations
doivent s'éloigner de plus en plus de Tisodyname de
R==1.0 dans la direction vers l'isodyname de R=0.5.
En un mot, on doit remarquer la diminution progressive
de la force pour le centre apparent du restant de cha-
que nuage, et cette diminution^ à la même date, ceteris
paribus^ doit être moins avancée dans le nuage qui s'est
formé plus tard.
J'ai prié M. Socoloff de calculer rigoureusement pour
chaque nuage la force et le temps d'émission pour cha-
cun des quatre lieux normaux donnés par Schmidt.
Voici les résultats de ces calculs, oîi r est le rayon
vecteur hyperbolique du nuage; со l'angle de ce rayon
avec Taxe de l'orbite du noyau dirigé vers la périhélie;
M le temps d'éruption et M le temps de l'observation:
Nuage B.
M
1882
lg-«-
Ш
лг
в
Oct.
9.681
0.28126
159« 58'.2 Sept.
17.6705
0.657
15.684
0.36428
160 57.1
7308
0.662
20.684
0.41969
161 14.9
7072
0.592
Nov.
9.684
0.61456
161 7.1
6369
0.514
Moyennes:
17.686
0.606
Nuage a,
Oct.
9.684
0.19760
163 47.0
18,169
0.745
1S.684
0.30392
163 3S.6
055
0.699
20.684
0.34466
164 50.7
314
0.743
Nov.
9.684
0.S3088
165 9.6
203
0.640
Moyennes: 18.185 0.707
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— 33 —
Od voit en effet une dimioulioD de R qui devient évi-
dente dans le plus long intervalle (20 Oct. — 9 Nov.),
durant lequel elle a eu assez de temps pour ressortir
des erreurs des estimations.
La force R est plus grande^ donc sa diminulioü est
moins avancée dans le second nuage qui est émis plus
tard que le premier.
40.— Comète 1884 I. (Ann. X, 2). q=0.776.
Cette comète a eu deux queues. Nous savons que dans
la queue principale, pour le bord antérieur on a la force
R==:2.4; le bord postérieur, étant trop estompé, ne peut
pas servir à la détermination de la force. Pour l'axe de
cette queue du II type on doit adopter R=l. La vitesse
initiale ^r=0.03. Pour Taxe de la queue du I type M.
Wilson, qui seul Га vue assez longue *), (Д=0.25) a
trouvé R près de 16.
Les vitesses initiales du II et du I types sont respec-
tivement g=OM et ^=0.2.
Le calcul direct approximatif, moyennant les estima-
tions plus ou moins grossières, nous a fourni pour les
axes des conoïdes complets du I type dans les comètes
8, 10, 13, 17, 18, 19, 22, 29, 30, 34 et 37 les valeurs
numériques de la force dont la moyenne est le nombre
grossièrement approximatif R=14. Le nombre fourni par
l'étalon des comètes de ce type (comète 1811) est 17.5,
et nous avons fait remarquer plusieurs fois que ce nombre
présente les axes des comètes mentionnées ci-dessus même
dans Tadmission improbable- que leurs positions estimées
*) Mais toujours deux fois plus conrte que celle de U comète de
18U et incomparablement plus faible.
Л 1. 1885. 8
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— 34 —
ne sool affectées que des erreurs presque imperceptibles.
Le nombre 17.5 satisfait aussi parfaitement aux observa*
tions de toutes les autres queues du I type. Il est pres-
que inutile de se souvenir que dans ce type les erreurs
modiques dans la position de la queue produisent des
erreurs de plusieurs unités dans la valeur de la force.
Le calcul direct des estimations plus ou moins gros-
sières des axes optiques des queues du TI type nous donne
en moyenne pour les queues des comètes: 2, 3, b, 6, 1,
t3, 15, 20, 24, 25, 28, 32 et 33 la valeur de R=l.l,
qui s'accorde avec la position de Paxe déduite à l'aide
du calcul indirect« c'est à dire à l'aide de la confrontation
des points observés avec les isodynames calculées rigou-
reusement et tracées sur la figure de la queue, réduite
au plan de l'orbite. Ici on voit de nouveau que les er-
reurs d'estimations influent beaucoup moins sensiblement
sur le calcul de la force dans le II type.
Enfin, les estimations de la position des queues du III
type dans les comètes: 2, 4, 16, 18, 21, 23, 26, 29, 30
et 32 nous donnent en moyenne R^=0.2 pour l'axe de
ces queues; d^un bord a l'autre la force y varie proba-
blement entre 0.1 et 0.3. On peut supposer que les for-
ces inférieures de ce type, par exemple au dessous de
0.2, se rapportent à la matière qui n'est pas réduite aux
molécules, et par cela les charges de l'énergie y produisent
une force plus faible.
Les valeurs approximatives des vitesses initiales nous
sont fournies: pour lé I type par les comètes: 11, 14, 18, 22,
27, 30, 31, 34, 37, 39 qui donnent pour cette vitesse le
nombre moyen 0.22^ variant de comète à comète entre
0.1 et 0.34. Pour le second type la valeur moyenne de
la vitesse initiale est 0.05, variant de comète à comète
entre 0.03 et 0.07; celte valeur est déduite moyennant
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— 35 —
les comèles: 6, 7, 11, 24, 25, 27, 28, 32, SB, 36, 38,
39 et 10. Enfin, poar le Ш type la vitesse est fournie
par les comètes 26 et 29; elle se trouve entre 0.01
et 0.02.
La table suivante indique les types qui ont été visi-
blés dans toutes les comètes étudiées par moi:
Comètes.
1) 1472
2) 1577
3) 1580
4) 1582 П
5) 1618 Ш
6) 1652
7) 1664
8) 1665
9) 1680
10) 1682
11) 1744
12) 1769
13) 1807
14) 1811
15) 1819
16) 1828
17) 1825 IV
18) 1835 Ш
19) 1843 I
20) 1844 III
I
II
Types.
I. IL III.
I — —
- II III
- II
— 23)
— — Ш
— II —
— II —
— II —
I — —
— II —
I — —
I II —
I II -
I II —
I II ou III
— II —
— — III
П —
— Ill
II —
II III
Comètes.
21) 1853 II
22) 1853 III
1853 IV
24) 1854 II
25) 1854 III
26) 1857 Ш
27) 1858 V
1860 III
1861 II
1862 III
31) 1863 IV
32) 1865 I
33) 1874 III
34) 1877 II
35) 1880
36) 1881 III
37) 1881 IV
38) 1882
39) 1882
40) 1884
28)
29)
30)
I
Types.
I. II.
I —
— II —
— II —
— — Ш
I —
I
II
II
II
II
II
II
II
II
II
II
II
III.
Ill
Ш
III
Ш
III
III
III
III
Voici les rapports des différentes forces répulsives
trouvées dans les comètes et les poids moléculaires des
quelques substances, celui de l'hydrogène étant pris pour
unité:
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— 36
17.5 : 2.2 =8
17.5 :
0.6=29
17.5 : 1.1 =17
17.5 :
0.5=35
17.5 : 0.65=27
17.5 :
0.2=88
17.5 : 0.3 =58
17.5 :
0.1=175
Сп| • • • 8
Cg Н( . . 4
.15
с ...12
Na ..
.23
CjHj ... 13
C,N,..
.26
N ...14
НСу..
27
CjH^ . . .14
Fe ..
.56
^^^ 1
^y А
^ j:-^ j:„i
Quant aux queues anomales, c'est à dire dirigées vers
le soleil, j'en ai parlé en détail dans mes recherches sur
les comètes et entre autres dans mes Mémoires sur les
comètes de 1823 et de 1882 II.
Les proéminences que l'on a vues quelquefois sur les
racines des queues sont examinées dans mon Mémoire
sur la comète de 1881 с (IV).
Th. Bredichin.
Moscou,
le 7 (19) juillet 1885.
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DRIHER BERICHT OREN DEN BESTAND MEINES HERBARIUMS.
von
Eduard von Lindemanitj
Dr. der Botanik. *)
Alles ist darin zu finden,
Blätter, Knospen, Blumen, Frucht
Goethe.
Artenzahl.
412. Kuschakemce, Sammelte in Turkestan 3
413. Lacernelle, Sammelte in Frankreich 1
414. Lacroix, Louis, Sosthene, Veyron. Geb. 1818; f
zu Poitiers als Abbé 30 Novbr. 1864 163
415. Laestadiu^, Carl, Peter, Botanisirte in Lappland.
Laestadia von Kunth 12
416. Lager stedt^ N. G. W. Algolog in Schweden 1
417. Z/fljrjrer, Franz, Joseph. Dr. med. Geb. zu Münster
in Wallis 1799; f zu Freiberg 1870. Laggera von
Schultz; ausserdem Salix L. u. Carex L. von Wim-
mer; Fumaria L. von Jordan 35
418. Lamy de la Chapelle, Eduard. Lichenolog. Epi-
iobium L. von F. Schultz 1
419. Lang, Franz, Adolph. Geb. zu Pesth 1795; f
^u Neutra in Ungarn 22 Novbr. 1863. Apotheker
zuerst in Pesth, dann in Neutra. Langia von
Endlicher 7
420. Lange^ J, Mitarbeiter Willkomms an der Flora
hispanica 1861—1879 20
421. Lange^ Joh. Professor in Copenhagen 1
*; Fortsetsang. V. Bulletin. 1884. J^ 4.
Digiti
zed by Google
— 38 -
Artenzahl.
422. Langsdorff^ Georg, Heinrich, Baron von. Geb.
zu Laisk in Schwaben 18 April, 1774; f zu Frei-
burg im Breisgau 3 Juli 1853. Studirte u. pro-
movirte zum Dr. med. in Göttingen. Begleitete
1797 als Leibarzt den Prinzen Christian von Wal-
dek nach Lissabon, wo er die Schutzpocken ein-
führte, und 1803 die Krusenstemsche Expediti-
on von Copenhagen bis Kamtschatka; von dort
kehrte er über Sibirien zurück. Wurde bald da-
rauf Mitglied der Eaiserl. Akademie der Wis-
senchaften zu St. Petersburg. Von 1808 — 1821
russischer General-Konsul in Brasilien. Nach Pe-
tersburg zurückgekehrt, bereiste er 1823 den Ural
und ging dann wieder nach Brasilien, wo er
1825 — 1829 das Innere des Landes untersuchte.
1831 Hess er sich endlich ganz zu Freiburg im
Breisgau nieder. Sein reiches brasilianisches Her-
bar besizt die Kais. Akademie der Wissenchaf-
ten zu St. Petersburg. Langsdorffia von Martens;
Langsdorfia von Willdenow, Agardh u. Raddi; aus-
serdem wurden 14 Arten nach ihm benannt... 13
423. Larsson, H. Botanisirte in Schweden 2
424. Lasch, Gottfried, Wilhelm. Geb. 28 Jan. 1787;
t zu Driesen in der Neumark als Apotheker 1
Juli 1863. Sein Herbar umfasste 12,000 Arten.
Laschia von Fries und Junghuhn 20
425. Laurell, H. Botanisirte in Schweden 1
426. Laxmann, Erich. Geb. zu Abo 24 Juli 1737; f
nahe bei Tobolsk als Landeshauptmann 16 Jan.
1796. Botanisirte 17C3 um Petersburg. Akade-
miker seit 1784. Laxmannia von Forster, R. Brown,
Schreber, Gmelin u. Fischer; ausserdem wurden
14 Arten nach ihm benannt 1
427. Lechler, Wilibald, Geb. im Kloster Reichenbach
in Würtenberg 14 Septbr. 1814; f 5 àug. 1856
zur See unweit Guaquaquit (Central-America).
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~ 39 -
Arienzahl.
Botanisirte fleissig in Chili und an der Magellan-
strasse. Sein Herbar enthielt gegen 15.000 Arten.
Lechlera von Miquel u. Steudel; ausserdem Torula
L. von Saccardo 85
428. Lecoq, Henri. Geb. zu Avesnes 14 April. 1802;
* t zu Clermönt-Ferrand als Dekan der Fakultät
der Wissenschaften 4 Aug. 1871. Lecockia von
De Candolle u. Meissner 2
429. Ledebour. Carl, Friedr. von. Geb. zu Stralsund 8
Juli 1785; f zu München 4 Juli 1851. Bezog 1800
die Universität Greifswald um Jura zu studiren,
ging aber bald zur Mathematik u. Naturwissen-
schaften über. In Stokholm machte er das Staats
examen in Mathematik und Geometrie, wurde
aber von Thunberg u. Swartz ganz für die Botanik
gewonnen. Mit dem Offizierspatent nach Greif-
wald zurückgekehrt, ward er Doctor der Philoso-
phie *) u. 1805 Demonstrator der Botanik u. Di-
rector des botan. Gartens zu Greifswalde. 1811
folgte er einem Bufe als Professor der Botanik
nach Dorpat. Von hier aus machte er seine Rei-
sen: 1818 in die Krim u. 1826—1827 in das
Altai-Gebirge u. in die soongorischen Steppen.
Seit 1836 emeretirt zog er zuerst nach Odessa,
dann nach Heidelberg u. endlich 1845 nach Mün-
chen. Rühmlichst bekannt durch seine Flora al-
taica 1829—1834 (Ladenpreis 414 Thaler) und
Flora rossica 1842 — 1853. Die hinterlassene Witt-
we verschenkte sein Herbar an aen Kais, botan.
Garten zu St. Petersburg, wofür sie vom Kaiser
ein Entschädigung von 2500 Rub. erhielt. Lede-
bouria von Roth, Reichenbach und Link; ausser-
dem wurden noch 28 Arten nach ihm benannt.. 600
*) Seine Dissertation lautete: Dissert, botan. sistcns plantar um do-
mingensium decadem 1805.
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— 40 —
Artenzahl.
430. Legreze-Fossat, Sammelte in Frankreich 2
431. Lehmann, Alexander. Geb. zu Dorpat 18 Mai
1814; t zu Simbirsk 12 Septbr. 1842. Bereiste
1837—1838 mit Carl Ernst von Baer Nowaja
Semlja, dann den Ural, die Ostktiste des kaspi-
sehen Meeres und 1841-^1842 Buchära und Sa-
markand. Sein Material wurde von AI. von Bunge
bearbeitet. Alexandra von Bunge, ausserdem wur-
den noch 18 Arten nach ihm benannt 38
432. Lejeune, Alexand., Ludw., Simon. Geb. zu Ver-
viers 23 Decembr. 1779; f ebendaselbst 15 De-
cenribr. 1858 als Oberarzt des Kriegshospitals.
Schrieb eine flore des environs de Spa 1811 —
1813. Lejeunea von Hampe; Lejeunia von Libert;
ausserdem Rubus L. von Weihe 20
433. Leiner, Ludwig. Apotheker zu Constanz. Eifriger
Mycolog 6
434. Le Jolis^ Auguste. Geb. zu Cherbourg 1823. Dr.
philos. Gründer und Präsident der Naturforscher-
Gesellschaft zu Cherbourg. Ausgezeichneter Algo-
log 15
435. Leithner^ Joseph, Baron von. Finanzsecretair zu
Wien. Hatte vor vielen Jahren eine längst ein-
gegangene Pflanzentauschanstalt 19
436. Lelièvre^ Botanisirte in Belgien 109
437. Léon^ Botanisirte einst in Frankreich. Leonia von
Ruiz u. Pavon 3
438. Lerch, Julius. Dr 2
439. Lereche, L. Geistlicher zu St. Cierge sur Mon-
don. Sammelte in den Pyrenaeen und Spanien.
Lereschia von Boissier; ausserdem Elaeocharis L.
von Römer u. Schulthes, Thlaspi L. von Reuter. 30
440. Lessing, Christian, Friedr. Geb. zu Wartenburg
in Schlesien 10 Aug. 1810. Bereiste 1832—1834
den Ural, die Kirgisensteppe, das alginskische Ge-
birge und 1835 den Altai. Lessingia von Chamisso;
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— 41 —
Artenzahb
ausserdem Plantago L. von Fischer, Sesali L. von
Turszaninow, Stipa L. von Trinius, Bacharis L.
u. Trixis L. von De Candolle 7
441. Letourneux, Tacitus, f 8 März 1880 zu Nantes. . 2
442. Levander, J. G. Botanisirie in Schweden 1
443. Levier, E. Dr. Sammelte fieissig in Italien. Lebt
in Florenz 20
444. Lieb, Job., Friedr., Wilh. Geb. zu Lichtenberg
im Baireytschen 13 Juli 1730; f zuMitauSJan.
1807. Promovirte 1785 mit seiner Dissertation:
de Bryonia, zum Dr. med. Leibarzt des letzten
Herzogs von Kurland. Die Kurländer nannten ihn:
Aesculapius et Linnaeus noster. Sein Herbar, wel-
ches ich 1833 in Händen eines damaligen, längst
verstorbenen Mitauschen Gymnasiasten Kahn sah,
ist spurlos verschwunden 15
445. Liendon. Botanisirte 1847 um Paris 1
446. Limpricht, G. ScbuUehrer zu Breslau. Bedeu-
tender Bryolog 2
447. Lind, C. L 6
448. Lindblom, Alexis, Eduard. Geb. zu Lyckeby 15
Jan. 1807; f zu Lund als Docent im März 1853.
Bereiste Nord-America. Lindblomia von Fries.. 2
449. Lindeberg, С J. Botanisirte in Finland, Schwe-
den und Norwegen. Eifriger Bryolog 12
450. Lindemann, Emanuel v. Geb. zu Erfurt 24 Mai
*** 1795; t zu Mitau 22 Aug. 1845. Studirte 1813
in Erfurt, dann vom 15 Septbr. 1814 — 16 Jan.
1819 in Dorpat Theologie, Philosophie U.Natur-
wissenschaften. Von 1820—1845 lehrte er alte
Sprachen und Naturwissenschaften am Gymnasium
illustre zu Mitau. Gab 1839, nach Fleischers Tode,
die gemeinschaftlich bearbeitete Flora der deut-
schen Ostseeprovinzen heraus. War nicht nur
gründlicher Botaniker, sondern auch Entomolog,
besonders beschäftigten ihn die Dipteren, daher
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— 42 —
Artenzahl.
auch eine Tachina L. von Gimmerthal benannt
wurde. Gründer dieses Herbars. Seine entomo-
logischen Sammlungen werden im Gymnasium zu
Mitau aufbewahrt 13000
Die drei folgenden sind seine Söhne:
451. Lindemann^ Julius v. Geb. zu Mitau 11 Aug.
*** 1820; t zu St Petersburg 1 März 1867. Studirte
in St. Petersburg 1841—1842 Forstwissenschaften.
Sammelte fur dieses Herbar als gelehrter Forst-
meiter der Gouvernements Tula u. Czemigow
1843 u. 1844 123
452. Lindemann, Gustav v. Geb. zu Mitau 28 Novbr.
1821. Im Militairdienste 1838—1856; dann Chef
der Telegraphenstalionen zu Tula, Kiew u Ko-
wel. Sammelte 1862—1866 die Pflanzen Volhyni-
ens, namentlich um Kowel 460
453. Lindemanni Eduard v. (Эдуардъ Эмануиловичъ,
gewöhnlich Эдуардъ Богдановичъ genannt) Gebor,
zu Mitau 13 Juni 1825. Studirte 1841—1847 in
St. Petersburg Naturwissenschaften und Medicin.
Botanisirte als Militairarzt in 30 Gouvernements
des russischen Reiches. Diente als Arzt 1848 —
1856 beim Narwaschen Jägerregimente, als Ober- n
arzt beim Lubenschen Husarenregimente 1856 —
1862, beim Weissrussischen Husarenregimente
1862 — 1870, beim Kriegs-Progymnasium zu Eli-
sabethgrad 1870 — 1875 u. zog am Ende des Jahres
1875 als Divisionsarzt der 8-ten Kavalerie-Di-
vision nach Kischinew. Wurde 1874 consultiren-
des Mitglied des Medicinalrath's des Ministerium
des Innern und 1877 von der Kaiserl. Neurussi-
schen Universität zu Odessa einstimmig zum
Dr. botan. honoris causa ernannt. 1878 siedelte
er sich wieder nach Elisabethgrad über als Divi-
sionsarzt der 7-ten Kavallerie-Division. Hat 32
Schriften, meist botau. Inhalts veröffentlicht;
«
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— 43 —
Artenzahl.
Schrieb unter Anderem eine Flora Chersonensis.
1881 — 1882. Verzeichnisse seiner botan. Schrif-
ten findet man in: Catalogne of Scientific papers
of the Royal Society. London. IV. pag. 28. Traut-
vetter: Florae rossicae fontes pag. 162—164.
Herder: Fontes Florae rossicae pag. 26 — 27. —
Ballion: Table de matières du Bullet d. 1. Soc. des
Natur, de Moscou pag. 43—44. Vervollständigte
die Sammlung durch eigene Exkursionen u. durch
Tauschverbindungen. Scleranthus L. von Reichen-
bach sen 10640
454. Lindquist, Б. Sammelte iu Schweden 4
455. Lader. Sammelte in Frankreich. 4
456. Lohse 1
457. Loiseleur-Delonchamp, Jean, Louis, Auguste. Geb.
zu Dreux 24 März 1774; f zu Paris 13 Mai
1849. Schrieb eine Flora gallica 1806—1807.—
Loiseleuria von Desvaux; Longchampia von Will-
denow; ausserdem Ervum L. von M. Bieberstein. 2
458. Lonnengren, M. Sammelte in Schweden 4
459. Lorinser, Gustav. Dr. f zu Wien 20 Mai 1863.
Profess, am Gymnasium zu Eger. Lorinseria von
Prehl 4
460. Loseos y Bernai^ Don Francisco. Apotheker in
Caste] Seras in Aragonien 80
461. Lothigius, С А. R. Botanisirte in Schweden... 1
462. Lucae, August. Geb. zu Berlin 25 März 1800; f
ebendaselbst als Apotheker 9 April 1848. Sein
Herbar mit 40 000 Nummer, wird bei der Uni-
versität Kiel aufbewahrt 58
463. Lucas, H. Botanisirte 1830 in Thüringen 4
464. Lübeek^ H. G. Sammelte in Schweden 3
465. LuersseHy Chr. Geb. zu Bremen. Assistent am
** botan. Laboratorium zu Leipzig, VerdinstvoUer
botan. Schriftsteller 2
466. Lundberg^ E. Sammelte in Schweden 1
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— a -
Artenzahl.
467. Lundell, J. Aug. Botanisirte in Schweden 1
468. Lytikens, Ivar. Botanisirte in Schweden 10
469. Maack, Richard (Ричардъ Карловичъ). Botani-
sirte am Amur und Ussuri 1856 — 1856. Maackia
von Ruprecht; ausserdem Prunus M., Evonjmus
M. u. Lonicera M. von Ruprecht; Delphinium M.»
Aster M., Veratrum M. von Regel; Cirsium von
Maximowicz 40
470. MàbUle^ P. Professor am Lyceum zu Bastia.
Schrieb über die Flora Corsica's 1877 2
471. Maconi^ Peter, Heinr. Geb. zu Nyslott in Finn-
land; t zu Sederbohl 1850. Studirte in Dorpat
1815—1818. Dr. med 16
472. ifoc Owan, P. Botanisirte am Cap. Diatrype M.
von Thumen 187
473. Maeder, Albert Geb. 2 Febr. 1826; f 1864.
Vicepräsident der Association philomatique vo-
gese-rheanan 10
474. Magnaguti^ Antonis, Graf. Lebt in Mantua und
besitzt ein Herbar von 12.000 Arten, meist aus
Italien, Spanien und Algier 8
475. Magnus, P. Dr. Mykolog in Berlin. Magnusia von
Klotzsch 4
476. Maille^ Alphonse. Geb. zu Rouen 1814; f zu
Paris 30 Septbr. 1865. Maillea von Pariatore.. 2
477. Maire^ Sammelte mit Mundt am Cap.— Mairia
von Nees 52
478. Malinvemi^ Alexis. Lebt in Vercelli. Ausgezeich-
neter Mycolog. Malinvernia von Rabenhorst; aus-
serdem Isoetes M. von de Notaris 26
479. Malmgren, Andreas, lohannes. Botanisirte in
Schweden. Lichenolog 1
480. Manderstjema, Alex., Nicol., Georg., Heinr., An-
ton von. Geb. zu St. Petersburg 6 Novbr. 1817.
Kommandirte eine Infanterie-Division. Besitzt
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— 45 —
Artenzabl.
ein Herbarimn cultivirter Pflanzen, u. eine recht
schöne InsektensammluDg 25
481. Mandon, Gustav, f zu Poitiers 30 Decembr.
1866. Sammelte auf Madera u. den Cordilleren.
Mandonia von Weddell u. Schultz-Bipont 135
482. Mannersheim^ Carl, Gustav, Graf von. Geb. 1800;
t zu Wiborg als Gouverneur 9 Oktbr. 1854.
Seit 1827 Mitglied der Kaiserl. Akademie der
Wissenschaften zu St. Petersburg. Bekannter Ento-
molog 2
483. Marchesetti, C. de. Bereiste Indien. Sammelte
vorzüglich in Istrien 1
484. Marcuccij Emilio. Botanisirte in Toscana. . . . . . 44
485. Martinis^ A. Geb. zu Obourgh in Belgien 1837;
t 1866. Schrieb über Erodium 16
486. Martins, Charl., Frédér. Geb. zu Paris 6 Febr.
1806. Professor u. Direktor des botan. Gartens
zu Montpellier. Machte Beisen nach Spitzbergen,
Algier etc. Martinsia von Godron 3
487. MartiuSy Carl, Friedr., Philipp, von. Geb. zu
** Erlangen 17 April 1794; f zu München 13 De-
cembr. 1868. Studirte in Erlangen, wo sein Va-
ter Hofapotheker war, Medicin. Bereiste Brasi-
lien 1817—1820. Feierte sein 50— jähriges Doc-
torjubiläum am 30 März 1864, bei welcher Ge-
legenheit er 386 Gratulationsschreiben aus allen
Erdtheilen erhielt. Schrieb unter vielem Anderen
die klassischen Werke: Beise nach Brasilien
1824—1831, Genera et Species palmarum 1S24 —
1836, Flora brasiliensis 1834, welche bis heute
noch von anderen Botanikern fortgesetzt wird.
Sein Herbarium, gegenwärtig in Brüssel, kaufte
der belgische Staat für 30,000 Franken. Martia
von Sprengel, Endlicher u. Lenardo di Sacra-
mento; ausserdem wurden noch 10 Arten nach
ihm benannt 4
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— 46 —
Arteozahl.
488. Massalongo^ Abramo, Bartholomeo. Geb. zu Treg-
nato bei Verona 13 Mai 1824; f daselbst 25
Mai 1864 als Professor am Ьусеиш. Berühmter
Lichenolog. Seine reichen botan. Sammlungen
kaufte die Stadt Уегова für 8.000 Gulden. Mas-
salongia von Körber 200
489. Matz, Alexander. Pfarrer zu Angern in Nieder-
Oestreich 20
490. Maydell^ G., Baron von. Bereiste Sibirien 6
491. Medwcdew, Jacob (Яковъ Серг4евичъ). Forst-
meister in Tiflis; gegenwärtig Verwalter der Kreis-
domainen zu Kutais im Caucasus. Phillynnea M.
von Sredinski 360
492. Meinshausen, Carl., Friedr. (Карлъ ведоровичъ).
** Geb zu Riga. Conservator des botan. Museum's
der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften zu St.
Petersburg. Bereiste mit Schrenk 1839 das rus-
sische Lapland bis Kola, 1840 den Altai u. 1844
das Gouvern. Orenburg. Schrieb eine ausgezeich-
nete Flora ingrica 1878. Ranunculus M. u.
Oxytropis M. von Schrenk 366
493. Melander, Sammelte in Schweden 2
494. Merck, Besuchte von Irkutzk aus das östliche
Sibirien und nordwestliche America, kehrte 1794
von Kamtschatka nach St. Petersburg zurück.
Merckia von Fischer 4
495. Merklin, Carl, Eugen, von (Карлъ Eвгeнieвичъ).
*** Geb. zu Riga 7 April 1821. Studirte in Dorpat.
Dr. Philos, et Magist. botan. Physiolog am Kai-
serl. botan. Garten zu St. Petersburg I848 —
1855 darauf Professor der Botanik an der Me-
dico-Chirurgischen Académie ebendaselbst. Seit
1864 Mitglied der Kais. Académie der Wissen-
schaften u. des Medicinalraths. Mercklinia von
Regel 30
496. Mertens, Carl, Heinrich. Geb. 17 Mai 1796 zu
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— 47 -
ArtenzaU.
Bremen; f zu St. Petersburg am Typhus 17
Septbr. 1830. Diente 181S— 1815 als Freiwilliger
gegen Napoleon. Studirte im Lyceum zu Bremen
alte Sprachen und Naturwissenschaften; 1817 in
Göttingen Medicin darauf ging er 1818 nach
Halle, wo er die freundlichste Auftiahme bei Spren-
gel fand. Im luli 1820 promovirte er zum Dr.
med. und habilitirte sich als Arzt zuerst in Berlin,
dann in Bremen und endlich bei Perowski in
der Ukraine. Begleitete F. P. Lütkeauf der, Erd-
umsegelung 1826—1829. Seit 1830 Mitglied der
Kaiserl. Académie der Wissenschaften zu St. Pe-
tersburg.—Sein Herbar, aus ungefähr 35,000 (?)
Arten, erwarb 1832 der Kais, botan. Garten zu
St. Petersburg für 25,000 Rub. В.— Mertensia
von Humboldt u. Bonpland-, ausserdem wurden
noch 12 Arten nach ihm benannt 18
497.*lfeyer, Carl, Anton (Карлъ Андреевпчъ). Geb.
zu Witebsk 1 April 1795; f zu St. Petersburg
13 Febr. 1855. Studirte in Dorpat 1813—1814.
Bereiste mit Ledebour und Bunge 1826 — 1827
den Altai und die soongorische Steppe, 1829 — 1830
den Caucasus. Seit 1833 Mitglied der Kais. Aca-
démie der Wissenschaften zu St. Petersburg. —
1832—1850 Direktorsgehulfe u. 1850—1855 Di-
rektor des Kais, botan. Gartens zu St. Peters-
burg, woselbst auch sein reiches Herbar aufbe-
wahrt wird. — Schrieb 44 botan. Abhandlungen. —
Meyera von De Can d olle, ausserdem wurden
noch 37 Arten nach ihm benannt 247
498. Меуегу Ernst, Heinr., Friedr. Geb. zu Hannover
1 Jan. 1791; fzu Königsberg 7 Aug. 1858. Ging
1809 nach Göttingen, wo er Philologie und Jura
studirte u. gleichfalls an dem Befreiungskriege
Theil nahm. Nach geschlossenem Frieden stu-
dirte er Medicin, wurde 1819 Privatdocent der
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— 48 —
ArtenzaM.
Botanik, begab sich dann nach Königsberg, . wo er
Professor der Botanik u. Direkotr des botan.
Gartens wurde. — Meyera von Schraber 30
499. Meyer^ Georg, Friedr., Wilhelm. Geb. zu Hanno-
ver 1782; f. Widmete sich dem Berg — u. Forst-
wesen. 1808 Forstinspektor, 1813 Forstdirektor
zu Paderborn, 1820 Königl. Physiograph in Han-
nover, 1832 Profess, zu Göttingen. Schrieb einige
botan. Schriften, darunter eine Flora Hannovers
1 832—1836 1
500. Mielichhofer, Mathias. Geb. 26 Oktobr. 1772; f
als Bergrath zu Salzburg 17 Novbr. 1847. — Mie-
lichhoferia von Hornschuch u. Nees, ausserdem
Carex M. von Seikuhr, Salix M. von Sauter.... 1
601. Middendorff, Alexandr., Theodor von (Алек-
сандръ Федоровнчъ). Studirte und promovirte in
Dorpat. Berümt durch seine Reisen in den ar-
ctischen Gegenden Europa's und Asiens 1843 —
1844. Lebt gegenwärtig zu Ellenorm in Livland.
Academiker. Seine Pflanzen bearbeitete R. von
Trautvetter. — Middendorffia von Trautvetter; aus-
serdem Calyptrostigma M., Oxytropis M., Heme-
rocallis M., Delphinium M., Éetula M. von Traut-
vetter; Sedum M. von Maximo\icz 3
502. Milde, Julius. Geb. zu Breslau 2 Novbr. 1824;
f zu Meran 3 Juli 1871. Realschullehrer zu Bres-
lau. Hat sich vorzüglich mit Cryptogamen be-
schäftigt. Schrieb 20 botan, Abhandlungen. Seine
Farrnsammluug kam nach Frankfurt a. M, seine
Moossammlung an die Königl. schwedische Acadé-
mie der Wissenschaften.— Mildea von Grisebach. 36
503. MinkSy Arthur. Botanisirte in Pommern. Liche-
nolog 6
604. Monbeim , 1
505. Montesquieu. Botanisirte in Frankreich 3
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— i9 —
Artenzabl.
506. Montrësor, Ladislaus, Graf von (Вдадисдавъ Вла-
*** дисхавовичъ). Gutsbesitzer unweit Kozin im
Eiewschen Gouvernement Sammelt besonders die
Pflanzen des Kiewschen Lehrbezirks 200
507. Morandell. Botanisirt in Tirol 3
508. Mortensen, H. Botanisirt in Dänemark 15
509. Morthier, P. Botanisirt in der Schweiz. — Pyre-
nopeziza M. von Saccardo 21
510. Motelay. Botanisirte um Bordeaux 3
511. Mühlenbeck^ Gustav. Geb. zu St. Marie aux
mines 2 Juni 1798; f zu Mühlhausen im Elsass
21 Novbr. 1845.— Hinterlies ein Herbar von
30,000 Arten. — Mühlenbeckia von Meissner.... 11
512. Müller, Franz. Geb. zu Lausigk in Sachsen 29
Novbr. 1799; f als Apotheker zu Schneeberg im
sächsischen Erzgebirge 28 Septbr. 1871.— Carex
M. von Steudel., Borbula M. von Bruch 30
513. Müller, Ferdinand, Baron von. Dr. Direktor des
Botan. Gartens zu Melbourne in Australien. Un-
tersucht mit besonderem Eifer diesen Welttheil. 50
514. Müller, U. 1 4
515. Mundt, Leopold. Geb. zu Berlin, Botanisirte mit
Maine am Cap.— Mundia von Kunth; ausserdem
wurden 6 Arten nach ihm benannt 52
blbsi. Murray, A. E. Botanisirte am Cap. — Murraya
von Rönner 3
516. * Nehrenst^ Eduard. Geb. zu Narva 1822; f zu
Charcov 1865. Privatlehrer. Sammelte um Sla-
wjansk 40
517. Neumayer, Franz. f ^^ Dorfe Cunna auf der
Halbinsel Sabionello, 18 Septbr. 1840. Privatge-
lehrter in Ragusa.— Neumayera von Reichenbach;
ausserdem Echinops N. u. Amphori carpus N. von
Visiani; Peucedanum N. von Reichenbach fil — 3
518. Nida. Professor in Heidelberg 5
.¥ 1. 1865. 4
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— 30 —
Art en zahl.
519. Niessl. G. von. Professor in Brunn. — Diaporta
N. von Saccardo 10
520. Nielsson^ M. Sammelte in Schweden 2
521. Nigri 1
522. Nos, Wilhelm, Apotheker in Fiume. — Noöa von
Fenzl; ausserdem Trifolium K. von Reichenbach;
Heliotropium N. von Bunge 180
523. NoUe, Ernst, Friedr. Geb. zu Hamburg 24 De-
cembr 1791; f zu Kiel 12 Febr. 1875.— Dr. med.
et philos. Professor u. Direktor des botan. Gar-
tens zu Kiel, wo er am 16 Septbr. 1867 sein
50 — jähriges Doctorjubiläum feierte. — Botanisirte
vorzüglich in Meklenburg und Holstein. — Noltea
von Reichenbach u. Eckion, Noltia von Schu-
macher; Zostera N. von Hornemann 10
524. Nordmann^ Alexander von (Адександръ Давы-
довичъ). Geb. zu Rustzensalmi in Finnland 24
Mai 1803; f zu Helsingfors 25 Juni 1866. War
Professor der Naturwissenschaften am Lyceum- u.
Direktor des botan. Gailens zu Odessa, von wo
aus er 1836 Taurien u. den Caucasus besuchte;
später Profess, an der Alexander-Universität zu
Helsingfors. — Sein reiches botan. Material bear-
beitete von Ledebour.— Nordmannia von Fischer-
Meyer u. Ledebour; ausserdem Potentilla N. u.
Bupleurum N. von Ledebour; Pedicularis N. von
Bunge; Pinus N. u. Carpinus N. von Steven; Ara-
bis N. von Ruprecht; Vicia N. von 0 worin.... 500
525. Nordstedt, С F. 0. Botanisirte in Schweden... 18
526. Nordstrom^ A. Botanisirte in Schweden 1
527. Notaris, Guiseppe de. Geb. zu Mailand 1805; f
zu Rom 17 Jan. 1877. Grösster Bryolog Italiens. —
Notarisia von Hampe und Colla, ausserdem Thy-
rea N. von Massalongo etc 38
828. Nyman, I. M. Botanisirt in Schwedep 1
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— ГА —
Artenzahl.
529. Oberleitner, Franz. Priester zu AVindischgarst in
Oestreich 13
530. OenicJce, K. Botanisirte um Düsseldorf 1
531. Oertel, A 2
532. Ohlert, Beinh. Geb. zu Thiensdorf bei Elbing 15
Aug. 1621 1
533.* Olcel, Peter von. Geb. zu Sahten in Kurland 15
Mai 1780; f zu St. Petersburg 19 März 1858.
Studirte in Könfgsberg u. St. Petersburg 1798 —
1801, dann in Halle, Jena nnd Wien. Dr. med.
1806. Praktisirender Ärztin Mitau bis 1825, dann
in St. Petersburg 8
534. Oldberg R. Botanisirte in Schweden 3
535. Olson, P. Professor in Lund 8
536. * Orphanides, Theodor, Georg. Geb. in Griechen-
land. Studirte in Paris bis 1848. Professor zu Athen,
den Griechen auch als Dichter bekannt. Sein rei-
ches Herbar besitzt gegenwärtig das Museum zu
Athen. — Tulipa 0. von Heldreich; Silène 0., Viola
0., Rosa 0., Euphorbia O. von Boissier 20
537. Orsini, A. Lebte in Ascoli.— Orsinia von Berto-
loni; ausserdem Veronica 0. von Tenore 10
538. Ortmann, Anton, f zu Carlsbad 25 Novbr. 1861.
War Apotheker zu Elbogen, zuletzt in Carlsbad. —
Ortmannia von Opiz; Mentha 0. von Opiz 6
539. Oseln, B. Botanisirt in Schweden 1
540. Osanon^ Ch. Botanisirte in den Alpen und in
Spanien 2
54 1 . Paelson 1
542. Pahl. Sammelte in Schweden 1
543. Pallas, Peter, Simon. Geb. zu Berlin 22 Septbr.
1741 t ebendaselbst 8 Septbr. 1811. Studirte in
Berlin Medicin uud Naturwissenschaften. 1768
als Academiker nach St. Petersburg berufen, trat
4*
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— 52 —
ArtenzaM.
er seine grosse Reise über Moscau, Simbirsk, das
Ural-Gebirge bis in die Steppen der Kirgisen an,
von dort ging er nach Tobolsk, Omsk, Tomsk,
Krasnojarsk bis Kiachta, zurück wandte er sich
über Krasnojarsk, Tomsk, Tara u. Uralsk, be-
suchte die Steppen an der Wolga, Tambow, Mos-
kau und traf am 30 Juli 1774 wieder in St. Pe-
tersburg ein. — 1793 — 1794 machte er eine neue
Reise durch die südlichen Provinzen des russi-
schen Reichs, besuchte Saratow, Pensa, Astrachan,
Stawropol, Tscherkask, Sympheropol und nahm sei-
nen Rückweg über Cherson, Elisabethgrad, Kursk
u. Moskau.— 1795 zog er sich ganz in die Krim
zurück, wo er bis 1810 theils in Sympheropol,
theils auf seinem nahe gelegenen Gute Kalmu-
karowka lebte, bis endlich der Tod seiner Gattin
ihn bewog mit seiner Tochter nach Berlin zurück-
zukehren.— Er war der grösste Naturforscher Russ-
lands aller Zeiten. — Seine Sammlungen kamen
theils an die Kaiserl. Académie der Wissenschaf-
ten zu St. Petersburg, theils an die Museen Ber-
lin's.— Pallasia von Linee. Scopoli, Héritier, Hont-
tonye u. Klotzsch; ausserdem wurden 42 Arten
nach ihm benannt 154
544. Panciö, Joseph. Geb. zu Bribir im croatischen
** Litorale 1814. Professor der Botanik zu Bel-
grad in Serbien. Schrieb unter Anderem eine
Flora der Umgegend Belgrad's in serbischer Spra-
che und machte mit de Visiani einige neue
Pflanzen bekannt. — Pancicia von Visiani, ausser-
dem Astragalus P, von Heuffel und Mulgedium
P. von Visiani 150
545. Papon, H. Botanisirte in der Schweiz 15
546. Paris, Edouard, Gabriel. Kapitän eines franzö-
sischen Jägerregiments sammelte 1863 im südli-
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— 33 —
Artenzahl,
chen Frankreich; 1864 — 1865 im nördlichen
Africa 120
547. * Pariatore, Filippe. Geb. zu Palermo 8 Aug.
1816; t zu Florenz 16 Febr. 1877. Direktor des
botan. Gartens und Professor an der pharma-
ceutischen Schule zu Florenz. Schrieb unter Ande-
rem eine Flora italiana 1850 — 1869, u. bearbei-
tete die Gnetaceae u. Coniferae für De Candol-
le's Prodromus. Parlatoria von Boissier, Ustilago
P. von Fischer v. Waldheim 7
548. "^Parrot, Joh., Jacob, Friedr., Wilh. (Федоръ
Егоровичъ). Geb. zu Carlsruhe 14 Oktbr. 1792;
t zu Dorpat 15 Jan. 1841. Siudirte 1809—1811
in Dorpat Medicinund Naturwissenschaften. 1811
machte er mit Moritz v. Engelhardt eine minera-
logische Reise in die Krim u. den Caucasus, von
welcher er 1812 nach Dorpat zurückkehrte. 1815
Stabsarzt bei der russischen Armee u. 1821 Pro-
fessor der Medicin zu Dorpat. 1824 besuchte er
diePyrenaeen und 1829 den damals noch wenig
bekannten Ararat, den er bestieg. 1837 machte
er eine neue wichtige Reise nach dem Nordcap.
Durch seine Barometernivellements hat er sich
besonders grosse Verdienste erworben. — Parrotia
von C. A. Meyer 1
549. Passerini, Giovanni. Professor in Parma, Bedeu-
tender Mycolog. — Amphisphaeria P. von Sac-
cardo 24
550. Pavai, Alex. Conservator des Museums zu Klau-
senburg 1
551. Pavon, José. Geb. in Spanien. Bereiste mit H.
Ruiz Süd-America 1779 — 1788 u. gab mit ihm
eine Flora peruviana et chilensis heraus. — Pavo-
nia von Cavanilles 1
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— 34 —
Artenzahl.
552. Peck^ Reinhard. Apotheker und Inspector des
Museums zn Görlitz. — Geum P. von Pursh 135
553. Pedicino^ N. Algolog 1
554. Perard, A ISO
555. Perraudière^ Henri, René, La Tourneux de la. Geb.
zu Angers 6 Juni 1831; f zu Bougie in Africa
31 Aug. 1861. Bereiste mit Cosson das nördliche
Africa und die canarischen Inseln. — Perroderia
von Cosson 38
556. Perrottet, Georg, Samuel. Geb. zu Vully im Can-
ton Waadt; f ^u Pondichery in Ostindien, wo er
Regierungsbotaniker war, auch hat er 22 Jahre
in China und auf den Philippinen gesammelt —
Perrottetia von Humboldt-Bonpland u. von De
Candolle; ausserdem 11 Arten nach ihm benannt. 42
557. Perschinat 2
558. Persoon^ Christ., Heinr. Geb. zu Capiown 1755;
t zu Paris 17 Febr. 1836. Kam 1767 nach Eu-
ropa. Studirte in Leiden Medicin, widmete sich
aber später ausschliesslich der Botanik, die er
hauptsächlich zu Göttingen und Paris betrieb.
Ausgezeichneter Mycolog. Schrieb unter Anderem
eine Synopsis plantarum 1805 — 1807. — Persoonia
von Smith, Michaux und Wildenow; ausserdem
Cucubalus P. von Sprengel, Omithogalum P. von
Hoppe, Silène P, von Schultes, Chaetacanthus P.
von Nees 1
559. Petermann, Wilhelm, Ludwig. Geb. zu Leipzig
3 Novbr. 1806; t ebendaselbst 27 Jan. 1855.—
Dr. und Professor der Philosophie zu Leipzig. —
Petermannia von Reichenbach und Klotzsch.... 4
560. Peters, Christian. Dr. med. Umsegelte 1828 —
1830 die Erde mit dem Kapitän Hagemeister.
Sammelte unter Anderem auch in Kanitschatka.
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~ оЗ —
Artenzahl.
Seine Ausbeute besitzt der Kaiserl. botan. Gar-
ten zu St. Petersburg 1
561. Petroivski^ Andreas (Аждрей Станиславовичъ).
Lehrer der Naturwissenschaften am Lyceum zu
Jaroslaw., 10
562. Fetter, Franz. f zu Catarro in Dalmatien 7 Juli
1853, nachdem er durch Ausgleiten von einer
Schiffsleiter zweimal den Oberschenkel gebro-
chen.— Professor zu Spalato. — Pettera von Rei-
clienbach; Petteria von Presl; ausserdem Fumaria
P. von Reichenbach 33
563. Petterson, A. Botanisirt in Schweden 4
564. Pfeiffer, Ludw. Geb. zu Cassel. 4 Juli 1805; f
daselbst 2 Oktobr. 1877,— Pfeifferia von Buchin-
ger 10
565. Pflümer. Lehrer 2
666. Piaget, H. Botanisirte in Frankreich 10
567. Piccone, Antonio. Bekannter Bryo-u. Algolog in
Ligurien. — Picconia von De Candolle 8
668. Pichler, Th. Botanisirte in Tyrol u. Dalmatien. 2
569. Pidoll. Sammelte in Istrien 108
570. Pinard. Sammelte in Egypten 2
571. Pittoni^ Joseph, Claudius, Ritter von Dannenfeld.
**Geb. 1797; f zu Gratz 2 April 1878. Kais. Kö-
nig!. Oestreichischer Trugsess. Verkaufte in Fol-
ge einer unglücklichen Eisenbahnspekulation sein
schönes, reiches Herbar an die Oestreich. Regie-
rung.— Pittonia von Kunth; ausserdem Semper-
vivum P. von Schott 226
572. Plössei, Simon. Geb. zu Wien 10 Septbr. 1794;
, t ebendaselbst im Jan. 1868. War anfangs
Drechsler, dann Optiker. Plösslea von Endlicher . 2
573. Plowright, Charles, B. Botanisirte in England.. 4
574. Poeppig, Eduard, Friedr. Geb. zu Leipzig 1798;
t daselbst 4 Septbr. 1868.— Bereiste 1822 Cuba,
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— 56 —
Artenzahl.
1824 Pensylvanien, 1826—1832 Chili und Peru.
Nach seiner Rückkehr wurde er Professor und Di-
rektor des naturhistorischen Kabinets an der Uni-
versität Leipzig. Schrieb unter Anderem mit End-
licher: Nova genera ас species plantarum 1835 —
1839.— Poeppigia von Bertero, Kunze u. Presl;
ausserdem wurden 16 Arten nach ihm benannt.. 1
575. Poetsch, J. S. Dr. med. Oestreichscher Bryolog. 2
576. Pohlmann, C. H. Geh zu Lübeck 1799; f da-
selbst 3 März 1849 als Kunst— und Handels-
gärtner 10
577. Poiteau, Antoine. Geb. zuAmbley 23 März 1766;
t zu Paris 1854. Französischer Botaniker. Lebte
lange Zeit in St. Domingo. Schrieb unter Anderem
ein Flore parisienne 1808.— Poitaea von De Can-
doUe 1
578. Pokorny, Franz. Geb. 1805; f zu Wien als Ad-
vocat 1 Juli 1873 2
579. Pommanet^ E. de. War Artillerie-Hauptmann. —
Tragopogon, P. von Schultz 2
580. Poncin, LI 2
581. Porta, P. Botanisirte in Tyrol 2
582. Portenschlag ^ Franz. f zu Wien 7 Novbr. 1822
Dr. med. — Portenschlagia von Tratinnick u. Vi-
siani 6
583. Poscharski 1
584. Prescott, John, f zu St. Petersburg freiwillig
1837. Er brachte zu seiner Zeit die vollständigste
Sammlung der Petersburger Flora zusammen. Sein
Herbar erhielt die Universität Oxford, wo er Me-
dicin studirt hatte. — Prescottia von Endlicher; ,
Prescotia von Lindley; ausserdem Chaerophyllum
P., Scorzonera P. von De CandoUe, Aster P. von
Lindley, Artemisia P. von Besser, Eriocaulon P.
von Bongard, Cyperus P. von Hooker. \ i
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— 57 —
Artenzahl.
58Ö. Presl, Jan, Swatopolk. Geb. zu Prag 4 Septbr.
1791; t daselbst 6 April 1849. Prof, der Natur-
wissenschaften.Schrieb eine Flora czechica 1819.—
Preslea von Sprengel und Opiz; ausserdem wur-
den 11 Arten nach ihm benannt 2
586. Prihoda, Moritz. Sammelte in Istrien 5
587. Progel. Dr. zu Waging in Bayern. Hat die Cus-
cuteen für die Flora brasiliensis bearbeitet 4
588. Prolongo, Pablo. Geb. zu Malaga 1806. Proion-
goa von Boissier 10
589. Puel, Timothée, Arzt in Paris 2
590. Puget, Abbé in Savoyen 23
Ь91. Purkinje, Johannes, Evangelista. Geb. zu Libo-
chowitz bei Leitmeritz in Böhmen 17 Decembr.
1787; t zu Breslau 28 Juli 1869. In der Piari-
stenschule zu Nicolsburg in Mähren erzogen,
wurde er zuerst Lehrer, dann verliess er den
Orden um in Prag Medicin zu studiren. 1819
Dn med. und Assistent der Anatomie u. Physi-
ologie, zu Prag, von wo er 1823 als Professor
der Physiologie und Pathologie nach Breslau be-
rufen wurde. Einer der bedeutendsten Physiolo-
gen seiner Zeit. — Purkinjia von Lindley; Purkin-
jia von Prehl 4
592. Ilabenhorst, Ludwig. Geb. zu Treuenbritzen in
der Provinz Brandenburg 1806; f zu Meissen 24
April 1881. Anfangs Apotheker zu Luckau, dann
zu Dresden. Bereiste Dalmatien und Italien. Be-
rühmter Cryptogam olog. Schrieb unter Anderem:
Flora lusatica 1840, Deutschlands Cryptogamen-
Flora 1844 — 1853, Cryptogamen-Flora von Sach-
sen etcl 1863 — 1870, Cryptogamen-Flora von
Deutschland, Oestreich u. der Schweiz 1861 —
1863, Flora europaea Algarum aquae dulcis et
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~ 58 —
Artenzahl,
submarinae 1864 — 1868. Rabenhorstia von Fries
und Reichenbach 314
593. Radde, Gustav, Johannes (Густавъ Ивановичъ).
Geb. zu Danzig. Bereiste 1853 Taurien, 1855 —
1859 den Süden von Ost-Sibirien, 1864, 1865,
1867, 1870, 1875 die Caucasus-Länder, 1871,
1874 u. 1876 Hoch-Armenien. Lebt gegenwärtig
in Tiflis. Seine botan. Ausbeute bearbeiteten v.
Trautvetter, Regel u. Herder.— Aconitum R., Ane-
mone R., Astragalus R., Corydalis R., Merendera
R., Orchis R., Ranunculus R., Viola R. von Re-
gel; Acanthus R., Oleome R., Campanula R., Cen-
taurea R., Gladiolus R. Silène R. von Trautvetter. 4
594. Rainer. Botanisirte in der Schweiz 1
595. Romberg^ H. M. Botanisirte in Schweden 3
596. Rastern^ Nicomed, Baron von. Botanisirte in
Kämthen und Tyrol 14
597. Rathke^ Martin, Heinrich. Geb zu Danzig 1793;
t als Profess, der Anatomie u. Physiologie zu
Königsberg 15 Septbr. 1860, wo er vom Jahre
1835 docirte. Rathkea von Schumacher 2
598. Raymond, E. f zu Athen. Botanisirte auf Corsica. 4
599. Reboul, E. Botanisirte um Florenz. — RebouÜa
von Kunth 1
600. Reckahn, A. Cryptogamolog in Hamburg 2
601. Redowsky, Johannes. Geb. 1774; f zu Ischiginsk 8
Febr. 1 807.Seine Todesursache lautete verschieden:
die Académie der Wissenschaften zu St. Peters-
burg deren Mitglied er seit 1805 war, machte
die sonderbare Mittheiluug, er wäre auf einer
Reise nach Kamtschatka ertrunken (sind im Fe-
bruar die Flüsse dort offen?); Chamisso jedoch
erzählte Czemaejew und dieser mir, Redowsky
wäre an Gift gestorben, welches ihm die Einwoh-
ner von Ischiginsk in Kaffe gegeben hätten, da
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- 59 —
Artenzahl*
sie in ihm einen geheimen Agenten der Kegie-
rung verrautheten, der gekommen war, ihre Mis-
sbräuche aufzudecken. Seine botan. Sammlun-
gen kamen theils an die Akademie der Wissen-
schaften zu St. Petersburg, theils an Chamisso,
welcher sie, nach seinen mündlichen Nachrichten,
vom Gouverneuren von Kamtschatka Rudokow
für eine alte Flinte erhandelte, in seiner Be-
schreibung der Erdumseglung jedoch beschönigt
er diese Angelegenheit. Redowskia von Chamis^o
u. Schlechtendal; ausserdem wurden noch 16 Arten
nach ihm benannt 7
602. Regele Albert (Альбертъ Эдуардовичъ). Dr. med.
** Kreisarzt zu Kuidsha. Bereiste Turkestan und von
Kuldsha aus den Issik-Kul und den Saisan-nor.
Ueberall sammelte er sehr fleissig, wie schon
vordem um Dorpat, im Waldai und im Gouvern.
Czernigow. — Viele neue, von ihm entdeckte Ar-
ten, sind besonders von seinem Vater (vergl, J^
603) nach ihm benannt 80
603. Regele Eduard (Эдуардъ Людвиговичъ). Geb. zu
♦** Gotha 1 Aug. 1815. Schüler Reichenbachs. War
Inspektor des botan. Gartens zu Zürich; seit 1
Oktobr. 1855 beim Kaiserl. botan. Garten zn St.
Petersburg u. gegenwärtig dessen Director. Hat
mehre hunderte botan. Werke und Abhandlungen
geschrieben und sich um die Kenntniss der
russischen Flora höchst verdienstvoll gemacht,
auch sind von ihm die Betulaceae für De Can-
dolle's Prodromus bearbeitet 1868. Regelia von
Schauer; ausserdem wurden viele Arten nach
ihm benannt. Durch seine gütige Vermittelung. 715
604. Rehmann^ A. Botanisiite in Podolien, Cherson,
Bessarabien u. Taurien 1868, dann in Galizien
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— 60 —
Artenzahl.
und der Bukowina. Gegenwärtig Professor in
Krakau 1
605. Reichenbach, Ludwig, Heinr., Gottl. Geb. zu Leip-
** zig 27 Decern br. 1793; f zu Dresden 17 Decembr.
1879. Sohn des berühmten Philologen Job. Friedr,
Jacob R. Studirte 1810—1813 zu Leipzig Medi-
cin; praktisirte als Arzt 1813 — 1815; Docent
1816, Dr. med, 1817, u. Professor der Medicin
daselbst seit 1818. Direktor des naturhistorischen
Museums und Gründer des botan. Gartens zu
Dresden 1820, wo im Mai 1849 während des Auf-
standes sein Herbar, bestehend aus 1500 Pake-
ten, verbrannte, Feierte am 2-ten April 1867
sein 50-jähriges Doctorjubiläum. Seit 1869 nannte
er sich legaler Präsident der Kaiserl. Königl.
Leopoldino-Carolinischen Ajcademie der Naturfor-
scher.— Schrieb 227 Werke und Abhandlungen,
mit gegen 6000, meist eigenhändig gezeichneten,
vortrefflichen Abbildungen. — ^Mein Herbar besitzt
14 Centurien seiner Flora germanica exsiccata
und 120 neu von ihm unterschiedener und be-
nannter Scleranthus-Arten.— Reichenbachia von
Sprengel; ausserdem Stellaria R. von Wier^bicki
Centaurea R. von De Candolle, Nepeta R. von
Fischer-Meyer, Ligularia R. von Steudel, Rubus
R. von Weihe, Galeopsis R. von Reuter, Scle-
ranthus R. von Tauscher 1520
606. Iteinhardt^ Ludwig (Людвигъ Васильевичъ). Geb.
*** im Dorfe Woitewci im Perejaslawschen Kreise
des Poltawschen Gouvernements 6 März 1846.
Studirte in Charcow, war darauf Conservator des
botan. Kabinets beider Universität und seit 1878
Professor der Botanik in Odessa.— Erythrospa-
era R. von Sorokin 300
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, — 61 ~
Artenzahl.
607. Reinwardt^ Caspar, Georg, Carl. Geb. zu Lütt-
ringhausen im Bergischen 3 Juni 1783; f 6 März
1854. Studirte in Amsterdam Naturwissenschaf-
ten u. Medicin. Seit 1801 Professor der Chemie,
Botanik und Naturgeschichte, 1808 Direktor des
König]. Museums und des botan. Gartens zu Ley-
den, 1815 — 1822 bereiste er die niederländischen
Besitzungen in Ost-Indien in naturhistorischem
Interesse, verlor aber leider auf der Rückreise
seine Sammlungen durch Schiffbruch. Am 10
Juni 1851 feierte er sein 50-jähriges Doctorju-
biläum. Reinwardtia von Sprengel, Dumortier,
Blume u. Nees; ausserdem Oxalis R. von Zucca-
rini 1
608. Requien, Esprit. Geb. zu Avignon 6 Mai 1788;
f zu Bonifacio auf Corsica 29 Mai 1851. War
Adjoint au Maire. Sein Herbar wird beim Muse-
um zu Avignon aufbewahrt. Requienia von De
Candolle; ausserdem Mentha R. von Bentham,
Silène R. von Otth 10
609. Reuss^ A. Professor in Würtzburg. Reussia von
Endlicher 8
610. Reuter, Georg, Francois. Geb. zu Paris 30 Novbr.
1805; t zu Genf 23 Mai 1872. War anfangs Gra-
veur, dann Conservator des De CandoU'schen
Herbars und zuletzt 1849 Direktor des botan.
Gartens zu Gent Reutera von Boissier; ausser-
dem Hieracium R. von Reichenbach, Allium R.
von Boissier 4
611. Richard, Achille. Geb. zu Paris 1794; f Profes-
sor der Naturgeschichte an der medicinischen
Fakultät und Mitglied der Académie der Medi-
cin zu Paris 1
612. Richter, Herrn., Friedr., Eberhardt. Dr. med. Geb.
zu Leipzig 14 Mai 1808; f zu Dresden 24 Mai
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— <)2 —
Artenzahl.
1876, wo er Professor war. Schrieb eine Flora
Leipzigs. Richtera von Reichenbach 40
613. Richter, L. Botanisirt in Ungarn 40
614. Riedel, Louis. Geb. 1794. Anfangs Kunstgärtner
* zu Lyon, darauf Lehrer der französischen Spra-
che zu Berlin. 1816 — 1819 angestellt beim bo-
tan. Garten zu Dorpat. Bereiste mit Langsdorff
Brasilien und brachte 1830 ein reiches Material
nach Europa, welches der Kaiserl. botan. Garten
zu St. Petersburg für 12.000 R. B. kaufte; es
enthielt 8000 Arten in 80.000 Exemplaren. In
Auftrage des botan. Gartens kehrte er 1831 nach
Brasilien zurück und blieb bis 1836 im Dienste
desselben. War zuletzt Direktor aller Gärten des
Kaisers von Brasilien. Riedelia von Chamisso
und Trinius; ausserdem Aiidropogon R. vonTri-
nius, Eriocaulon R. von Bongard, Marantha R.
von Körnicke 200
615. Rieder^ lohannes, Georg von. Vorsteher des bo-
tan. Gartens zu Petropawlowsk in Kamtschatka
1828-^1836. Sein Herbar besitzt der Kais, botan.
Garten zu St. Petersburg. Riedera von Fries;
ausserdem Stachys R. von Chamisso, Trollius
R. von Fischer-Meyer, Saussurea R. von Herder. 1
616. Rietmann^ C. Sammelte am Cap 3
617. *** Rischawi^ Ludwig, Alfred (Людвигъ Альберто-
вичъ). Geb. zu Staevicze im Gouv. Kiew 25 Aug.
1851.Studirtö Naturwissenschaften zu Odessa. Seit
1878 Professor der Botanik zu Warschau 200
618. Robert. War Professor und Direktor des botan.
Gartens zu Toulon • 1
619. Rodriguez, José Demetrio. Geh. zu Sevilla 1780;
t zu Madrid 1846 als Direktor des botan. Gar-
tens.—Rodriguezia von Ruiz et Pavon 20
620. Roemer, Ferdinand. Geb. 1818. Seit 1856 Pro-
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Artenzahl,
fessor der Mineralogie zu Breslau. Bereiste Ame-
rica 1
621. Bogowice^ Athanasius (Афанас1й Семеновпчъ).
*** Geb. 1815; f zu Kiew im Mai 1878 als eme-
ritirter üniversitäts Professor der Botanik. —
Cuscuta R. von Trautvetter 880
622. Bosenberg, Caroline 6
623. Bosenberg, L. 0. Botanisirt in Schweden 1
624. Bossiy F. Botanisirt um Fiume 37
625. Bossmässler^ Emil, Adolph. Geb. zu Leipzig 3
März 1808; f ebendaselbst 8 April 1867. Studirte
Theologie. Professor der Naturwissenschaften an
der Forstacademie zu Tharand. 1848 Reichstags-
abgeordneter. Seines Amtes zu Tharand enthoben,
privatisirte er die letzten Jahre seines Lebens in
Leipzig. Verfasser mehrerer ausgezeichneter popu-
lären naturhistorischen Schriften. — Rossmässlera
von Reichenbach 10
626. Bostan, E. Dr. med. zu Pinerolo in Piémont. . 30
627. Bostermehl. Apotheker 1
628. Bostoch, M. Sammelte Moose in der Ober-Lau-
sitz 10
629. Jîo^A, Carl, 1). E. Botanisirte in Schweden 1
630. Bothe 3
631. Bottier, Johannes, Peter. Geb. zu Strassburg; f
zu Madras 27 Jani 1836. Dänischer Missionär
auf Trankebar. Sammelte in Ost-Indien.— Rottlera
von Roxburgh; Rottleria von Bridel; ausserdem
Würden 8 Arten nach ihm benannt 12
632. Boux^ Polidore. f zu Bombay 1835. Conservator
der naturhistorischen Sammlungen zu Marseille.
Ging 1831 als Begleiter des Baron Hügel nach
Ost-Indien 26
633. Budolph, Joh., Heinr. Geb. 1744; f 1809 zu St.
Petersburg, wo er Professor und seit 1804 Aca-
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— 64 —
Artenzahl,
demiker war. Sein reiches u. noch gut conser-
virtes Herbar befindet sich bei der Militair-Me-
dicinischen Akademie zu St. Petersburg, — Rudol-
phia von Medicus u. Willdenow; ausserdem Or-
nithogalum К von Jacquin, Anthémis von Adam. 108
634. Rudolphi^ Friedr., Carl, Ludw. Geb. zn Ratze-
burg 18 Septbr. 1801; f daselbst 27 April 1849.
Gab einen Atlas der Pfianzengeographie heraus. 51
635. * Ruprecht, Franz, Joseph (Францъ Ивановичъ).
Geb. zu Prag 1 Novbr. 1814; f zu St. Peters-
burg 4 Aug. 1870. Mitglied der Kaiserl. Académie
der Wissenschaften zu St. Petersburg seit 1848.
War 1851 — 1855 Direktorgehilfe am botan. Gar-
ten. Schrieb gegen 50 Abhandlungen und drei
selbständige Werke: Flores Samojedorum cisura-
lensium. 1845, Flora ingrica 1860, Flora Caucasi.
1869. — Ruprechtia von С А. Meyer, ausserdem
Avena R. von Ledebour; Astragalus R. von Bun-
ge, Potentilla R., Rosa R., Hieracium R. von
Boissier; Lonicera R., Dracocephalum R. von
Regel 33
636. Russ. Lehrer 1
637. Ruthe. R. Bryo- u. Mycolog. Ruthea von Opa-
towski 4
638. Sack. Schrieb über die ältesten und merkwür-
digsten Bäume Braunschweigs 1
639. Saîjsmann, Philipp. Geb. zu Erfurt 27 Septbr.
1781; t zu Montpellier 11 Mai 1851. Botanisirte
vorzüglich in Süd-Spanien und Nord- Africa. .. . 103
640. Sartori. Dr. Sammelte in Griechenland.— Sartoria
von Boissier und Heldreich 10
641. Sauter, Anton. Geb. zu Salzburg 18 April 1800;
t daselbst 6 Aug. 1881 als gewesener Kreisarzt. —
Sauteria von Nees; ausserdem Hieracium S. von
Schultz— Bipont , 120
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— 65 —
Artenzahl.
642. Savatier. Botanisirt in Frankreich- 1
643. Savi, Gaetano. Geb. zu Florenz 13 Juni 1769;
t zu Neapel 23 Oktbr. 1817, Professor der Bo-
tanik zu Pisa. Schrieb eine Flora pisana 1798;
Botanicon etrusc. 1808 — 1825: Flora italiana
1815.— Savia von Wildenow und Raffinesque; aus-
serdem Isolepis S. von Bömer u. Schultes; Fe-
stuca S. von Tenore; Cissus S. von Bertoloni,
Scabiosa S. von Reichenbach; Bivonaea S. von
Caruel 17
644. Savi, Pietro, f zu Pisa als Professor im Aug.
1871 3
645. Schaffner. W. Geb. in Darmstadt, Botanisirte
in Mexico 1849 170
646. SchangWj Peter (Петръ Ивановичъ). Geb. 1741;
t 1816. Bereiste den Altai. War Berginspektor
zu BamauL— Schanginia von С А. Meyer, aus-
serdem Fumaria Seh. u. Astragalus Scb. von
Pallas; Heterotrychum von Bieberstein 8
647. * Schapitz, M. Geb. in Sachsen; t zu Mitau 1837.
Kunstgärtner beim Grafen Medem zu Durben
in Kurland 180
648. Schaufuss^ L. W. Naturalist in Dresden 2
649. Schenk, A. Geb. 17 April 1815. Professor in
Leipzig. Schenkia von Grisebach 2
650. ScheuUy Johann. Dr. Sammelte in Schweden und
Norwegen Moose 4
%Ы. .Schiede, Christ., Julius, Wilh. f iro Decemb.
1836. in Mexico, wohin er 1828 als Botaniker
ging; früher war er Arzt in Kassel gewesen. —
Schiedea von Chamisso, Bartling und Richard;
ausserdem wurden 8 Arten nach ihm benannt.. 2
652. Schimann. Dr. med. in Wien 93
653. Schimper, Georg. Heinrich. Wilhelm. Geb. zu
Mannheim in Baden 1805. Bereiste 1830 die
.V J. 1885. , 5
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— 6fi ~
Arteazahl.
Länder des • Mittelmeeres, besonders Algier. Dann
Egypten, u. Arabien» wo er sich längere Zeit auf-
hielt. Ging 1837 nach Abyssinien, von wo er erst
nach 15 Jahren zurückkehrte; unterdessen hatte
sich in Europa 1843 die Kunde verbreitet, dass
er vom Fürsten von übie mit der Provinz An-
titscho belehnt worden sei, was sich aber kaum
bestätigt haben mag.— Schimpera von Steudel u.
Hochstetter 500
654. Schimpet-, Wilhelm, Philipp. Geb. zu Strassburg
8 Jan. 1808; f daselbst 20 März 1880. Berühm-
ter Bryolog 8
655. Schindler. Botanisirt in Ungarn 1
656. Schirme 1
657. ** Schlechtendal, ^Dietr., Franz, Leonhard. von.
Geb. zu Xanthen im Herzogthum Cleve 27 Novbr.
1794; t »tt Halle 12 Oktbr. 1866. Anfangs Pro-
f essor der Naturwissenschaften zu Berlin, dann
von 1833 in Halle. Schrieb eine Flora berolinen-
sis 1823. Bearbeitete die Elaeagnaceae für De
Candolle's Prodromus, 1856. Hat sich besonders
grosses Verdienst durch die Herausgabe der bo-
ten. Zeitschrift Linnaea erworben.— Schlechten-
dalia von Willdenow, Lessing u. Sprengel; aus-
serdem Melanthium Seh. von Schultes; Vaccinium
Scfc. von Don., Mamillaria Seh, von Ehrenberg. 66
668. Schleicher^ J. С Botanisirte in Canton Waadt. —
Schleichera von Wildenow; ausserdem: Orchis
Seh. von Sweet; Saxifraga Seh. von Don; Cala-
magrostis Seh. von Besser; Fumaria Seh. von
Soyer., ilubus Seh. von Weihe; Aconitum Seh.
von Reichenach 2
659. Schliephacke, C. Bryolog in Galizien 8
660. Schlegel, L •... 1
661. SchlicMtt^i, Julius. Apotheker zu Winuingen bei
Cot^lenz an der Mosel 3
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— 67 —
Artenzahl.
662. Schlosser, Joseph» Calasantius. ComitatsPhy^ikus
in Croatien. Schrieb eine Flora Croatiens 1869. 22
663. Schmidt Ludw., Beruh., Ehregott. Geb. zu Lobeda
bei Jena 20 März 1788. Studirte 1807— 1810 zu
Jena Theologie. Hauslehrer zu Aachen, Hamburg
und Paris, YiO er das Armehische und Arabische
erlernte. Reiste 1817 als Missionair nach Ma-
dras, wo er sich zwei Jahre aufhielt, ging dann
in die blauen Berge Nilgherri (Nilargiri), nahe
der Küste von Malabar, von wo er 1837 nach Eu-
ropa zurückkehrte. Die von ihm in Ost-Indien ge-
sammelten Pflanzen erhielt meist sein Onkel Pro-
fess. Zenker in Jena.— Schmidtia von Steudel:
ausserdem Adenandra Seh. von Steudel TOO
664. Schmidt Christ, Heinr. Geb. 1787; f zu Mitau
* an der Cholera 4 Septbr. 1866. Studirte in
Berlin unter Willdenow. Apotheker in Mitau... 420
665. Schmidt^ Friedr. Sammelte in Spanien 1
666. Schmidt, Friedr. (Федоръ Богдановичъ). Bota-
nisirte in Est -u. Livland, auf den Inseln Oesel
und Moon, dann auf seinen sibirischen Beisen,
im Amurlande und auf Sachalin 5
667. Schmiedeknecht, G. Botanisirte in Thüringen... 1
668. Schneller, Aug. War Rittmeister in Pressfeurg. . . 10
669. Schnitzlein, Adelbert, Geb. 1813; f zu Erlangen, '
wo er Apotheker und Professor war 24 Oktobr.
1868. Sein wichtigstes Werk ist: Iconographia fa-
miliarum naturalium regni vegetalibis 1843 —
1870. — Schnitzleinia von Steudel 3
670. Schultz, С H.— Scholtzia von Schauer 4
671. Schrader, Heinr., Adolph. Geb. zu Ahlfeld hei
Hildesheim, 1 Jan. 1767; f zu Göttingen, wo er
seit 1802 Professor war, 21 Oktobr. 1836.—
Schrieb unter AndereiA eine Flora germanica
1806.— Sein Herbar kaufte 1841 der Kais, botao.
5*
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— 68 —
Аг1е&гаЫ.
Garten zu St. Petersburg für 3750 R. S., es ent-
hält gegen 10,000 Arten.— Schraderia von Mönch;
Schradera von Vahl und Wfldenow; ausserdem
wurden 10 Arten nach ihm benannt 10
672. Schramm, Joh., August. Geb. 1773: f als Pro-
fessor zu Leobschûtz in Oberschlesien 1
678. Schreber, Joh. Christ., Daniel von. Geb. zu Weis-
sensee in Thüringen 16 Jan. 1739; f zu Er-
langen 10 Decembr. 1810. Schüler Linné*s zu
Upsala 1758; Arzt am Pädagogium zu Bützow
1759; Prof. der Medicin u. Naturkunde zu Er-
langen 1769; Leibarzt und Hofpfalzgraf 1791.
Schrieb unter Anderem Specileginm florae lipsi-
ensis 177L — Sein hinterlasisenes Herbar, gegen
12,000 Arten, bildet einen Theil des Königl. Her-
bars zu München. — Schrebera von Linné, Rox-
burgh, Thunberg und Ketzius; ausserdem Carex
Seh. von Schrank, Gagea Seh. von Reichenbach,
Lithesperiuum von Sprengel,Campanula Seh. von
Loddiges 10
674. Schrenk^ Alex., Gustaw von (Александръ Ивано-
вичъ). Geb. 1815; f zu Dorpat am Typhus 13
Juni 1876. Bereiste 1837 Archangel u. den Nord-
osten des europäischen Russlands durch die
Tundern der Samojeden bis zum arktischen Ural-
gebirge; 1839 das russische Lappland bis Kola
u. 1840 — 1843 die soongorischen Steppen. Sein
Material bearbeitete er selbst und R. von Traut-
vetter.—Schrenkia von Fischer u. Meyer; aus-
serdem wurden 15 Arten nach ihm benannt.... 271
675. SchuUes^ Joseph, August. Geb. zu Wien 15 Ap-
ril 1773; t zu Landshut 21 April]831. Studirte
in Pavia unter Johann Peter Frank Medicin; er-
warb den Doctorgrad 1796. Nachdem er mehrere
.Reihen durch Deutschland u. die Schweiz gemacht
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— 69 —
Ârtenzahl.
hatte, ward er 1797 Professor an der theresiani-
schen Ritteracademie. 18C6 Lehrer der Chemie
und Botanik in Krakau, wo er sich besonders
durch die Umschaffiing des botan. Gartens ver-
dient machte. 1808 ging er als Profess, der Na-
turwissenschaften nach Innsbruk, wurde aber bald
seiner politischen antiöstreichischen Gesinnun-
gen wegen, gefangen nach Fünfkirchen in Ungarn
gebracht. Nach seiner Befreiung wurde er als
Professor der Naturwissenschaften, besonders Bo-
tanik nach Landshut in Bayern berufen. 1824
bereiste er wiederum Deutschland, dann auch
noch Holland, England und Frankreich. Die vielen
Widerwärtigkeiten, die ihm häufig durch eigene
Schuld widerfuhren, Hessen ihn zuletzt in eine un-
heilbare Schwermuth verfallen. Sein Herbar, wie
auch das seines Sohnes Jul. Herrn. Schultes, aus
ungefähr 20,000 Arten bestehend, kaufte 1853 die
Universität Charcow fUr 3000 K. В., es soll aber
nur einen sehr unbedeutenden Werth haben, wie
mir der verstorbene Prof. Czemajew sagte. —
Schultesia von Eoth, Schrader, Sprengel u. Mar-
tius; ausserdem Agrostis Seh. von Kunth; Erysi-
mum Seh. von Schrader. Dendrophtoë Seh. von
Blume 1
676. Schultz— (Bifoniinus), Carl, Heinrich. Geb. zu
Zweibrücken 30 Juni 1805; f zu Deidesheim,
wo er Hospitalarzt war 17 Decembr. 1867. Seine,
berühmte Compositeen-Sammlung umfasste 237
Pappdeckelkasten. — Schultzia von Nees 1
677. Schultz, Friedr. Geb. za Zweibrücken 3 Jan.
1804; t 30 Decembr. 1876. Studirte in München.
Arzt zu Kron-Weissenburg iin Elsass '. 4
678. Schur, Philipp, Johann, Ferdinand. Geb. zu Kö-.
nigsberg 18 Febr. , 1799; f zu Bielitz in Schle-
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— 70 —
ArtenzahL
sien 21 Mai 1878. Professor zu Brunn.— Besass
ein reiches Herbar der siebenbürgischen Flora. —
Mentha Seh. von Gandoger 125
679. Sckwaegrichen^ Christ Friedr. Geb. zu Leipzig
16 Septbr. 1775; f daselbst als Professor 2 Mai
1853.— Schwaegrichenia von Reichenbach 1
680. Schwarte. Dr. Bryolog in der Schweiz 5
681. Schiveinfurth^ Georg. Geb. zu Riga. Lebt in Cairo.
Berühmt durch seine Entdeckungsreisen in Afri-
ka.—Diospyros Seh. von Heer, Ustilago Seh. von
Thümen 1
682. Schwie. Die von ihm stammende Pflanze ist mit
dem Jahre 1811 bezeichnet 1
683. Scjsukin^ Simeon (Семенъ Семеновичъ). Direktor
des Gymnasium's zu Irkutzk. — Sczukinia von
Turczaninow; Aconitum S. von Reichenbach 76
684. Séchera^ WenzeL, Johann, f ^'s Apotheker zu
Münchengrätz 21 April 1875. Botanisirte fleissig
in Boemen 32
685. Seehaus, С Lehrer in Stettin 3
686. Seeiius., Joseph, Baron von. Sammelte in Capo
dltria .1805 3
687. Seiiwanow. Sammelte 1834 am Ural Pflanzen för
das Bergcorps 1
688. Sellow, Friedr. Geb. zu Potsdam; f 31 Oktober
1831. Bereiste Brasilien zuerst im Auftrage von
Joseph Banks 1816, dann mit dem Prinzen von
Neuwied. Ertrank beim Baden im Rio Doce.—
Sellowia von Rothi ausserdem wurden noch 23
Arten nach ihm benannt •. 66
689. Sensinow M. (Михаилъ Семеновпчъ). Erblicher
Ehrenbür^rer in Nertschinsk. Sammelte in Davu-
rien 3
690- Sieber, Franz, Wilhelm. Geb. zu Prag 1789; f
daeelbst im 17 Decembr. 1844 im Irrenhause,
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~ 71 —
Artenzahl,
in welchem er 14 Jahre zugebracht hatte. — Studirte
Medicin zu Prag. Bereiste 1817 den Orient, von
wo er ein angebliches Mitteldie Wasserscheu
zu heilen mitbrachte und vergeblich den Monar-
chen Europas für eine bedeutende Summe anbot.
Nachdem er seine egyptischen Sammlungen der
Akademie der Wissenschaften zu München ver-
kauft hatte, machte er 1822—1824 eine Reise
um die Welt; rühmte sich immer noch des ge-
nannten Arcanum's und ging mit dieser Idee
1829 nach Paris u. 1830 nach Prag ins Irren-
haus.—Seine sehr bedeutende botan. Sammlung,
gegen 30,000 Arten enthaltend, kaufte Baron
Reichenbach (der Entdecker des Od) auf Schloss
Reichenbach bei Wien;' es enthielt unter Ande-
rem auch die Pflanzen des Esslinger Reisever-
eins und solche, die noch von Linné bestimmt
waren.— Siebera von Schrader, Preel, Gay, De
CandoUe und Reichenbach; ausserdem wurden
noch 18 Arten nach ihm benannt 8
691. Siegfried, Hans. Kaufmann zu Reisbach bei Zü-
♦* rieh 265
692. Siegmund^ J. Schullehrer. 5
693. Sievers ^ Johannes. Besuchte 1790— 1795 Sibirien
bis Davurien, die Kirgisische und soongorische
Steppe, gleichfalls auch die Mongolei. Sein Her-
bar erhielt die Kais. Medko-Chirurgische Aca-
démie zu St. Petersburg. — Sievarsia von Wilde- ,
now; ausserdem wurden 14 Arten nach^ ikm be-
nannt 31
694. Siwhowice, Lajos, Philipp. Geb. 10 Jan. 1851.
Schttldirektor zu Arad. Botanisirt in Ungarn... 4
695. Simonis, C. liotanisirte in Meklenburg 1
6^6. iS^Uofl», K. G. Botanisirte in Schweden 3
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— 72 —
Ârteozahl.
697. Skäne 1
698. Smeller. Botanisirt in Ungarn 7
699. &nith, J. W, Botanisirt in Schweden 1
700. Sobolewshh Gregor. Professor zu St. Petersburg.
Schrieb eioe Flora Petropolitana 1799. Sein Her-
bar kam an die Kais. Medico-chirurgische Aca-
démie zu Su Petersburg.— Sobolewskia von Mar-
schall V. Bieberstein 128
701. Soderwall, S. J. Botanisirte in Schweden 1
702. Soleiral. Sammelte die Flora Corsica's. Sein Her-
bar ging in den Besitz von Moquin-Tandon über. —
Soleiralia vqu Gaudich; ausserdem Gagea S. von
F. Schultz, Himatidium S. von Kützing, Chlorea
S. von Schaer. 1 6
703. Sollwann 3
704. SolniS' Laubach, Herrn., Graf. Geb. zu Laubach
23 Decemb. 1842. Prof. in Strassburg 10
705. Sommer^ Otto. Wirthschaftsbearater zu Lack. —
Sommera von Chauiisso 1
706. Somfifßrauer, Ignatius, f 1854. Capitular des
Stifts Admant in Ober-Steier. — Sommerauera von
Hoppe und Endlicher 2
707. Sonhlar, Carl, Edler von Jenst&dten. Geb. 1816;
t zu Jnnsbruk 10 Jan. 1885. General und Pro-
fessor der Militairacademie zu Wien. Bekannt
als Geograph, Meteorolog u. Durchforscher der
Alpen. • 22
708^ Sper^, W. Botanisirt in Ungarn 3
709. Spitßel von.-r-t zu München 27 März 1853. War
Förster in Beichenthal und For strath. Sammelte
vorzüglich .um Lofer.-r-Spitzelia von Schultz; aus- i
serdQm: Draba S. von;Hoppe 4 . .. .-^ . . - UP.
710. Sprecj Theodon Di. zu Lobem. Bryolog. .. !;•.•. 6,
7} I. Sre^inshi^ iNioolaus (Нвволай Коридовичъ) Gtéb.* ,i : i
♦**zu Berdjansk im Gouv. Taurien 9 Mai 1843.
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— 73 —
Arten zahl
Studirte 1867—1871 in Odessa Naturwissen-
schaften. Botanisirte in den Gouvernements Cher-
son, Charcov» Poltava, Ekatherinoslaw, Taurien
und im Caucasus. Macht sich gegenwärtig sehr
verdienstlich um die Anpflanzungen längst den
Eisenbahnlinien im südlichen Russland. --Hyperi-
cum S. von Lindemann (manusc. in herbar)... 1200
712. Stanowicz. Trocknete Pflanzen des breslauer bo-
tan. Gartens 7
713. Stavenhagen. Dr. med. Arzt zuGoldingen in Kur-
land. Seine Pflanzen sind vom Jahre 1733 22
714. SteffeJc, Geb. 1834. War Arzt am 37.ten Infan-
terie-Regimente Joseph zu Grosswardein in Un-
garn 3
715. Stein^ J. H. f zu Frauenfeld als Apotheker 1в
April 1834 1
716. Stephan, Christian, Friedr, Geb. zu Leipzig 1757.
t 17 Decembr. 1814. Studirte in Leipzig und
Leyden. Ging 1782 nach St. Petersburg, 1783 als
Militäirarzt in die Krim. 1786 Professorder Bo-
tanik und Chemie in Moscau. 1811 Direktor des
Forstinstituts zu St. Petersburg. Schrieb unter
Anderem eine Enumeratio stirpium agri Mos-
quensis 1792. — Von ihm existiren drei Herba-
rien: in Berlin, beim botan. Qarten und bei der
Medico-Chirurgischen Académie in St Peterg't
bürg.— Stephania vonWildenow; ausserdem wur-
den 8 Arten nach ihm benannt 10
717. ** Steven, Christian von (Хрнст1анъ Христ1ано-
внчъ). Geb. zu Fredriksham in Finnland 19 Jan.
1781; t zu Sympheropol 17 April 1863, Studirte
in Jena u. St Petersburg Medicin, wurde L799 ,
Arzt am Landhospital. L800 machte er die
Be^anutechaf);, mit^ Marschall ; voa . Bieberste^u.
(vergl. }i 65). Bereiste von 1803 Taurien und
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— 74 —
Artenzahl,
den Caucasus. 1806 wurde er Gehilfe M. v. Bie-
bersteins als Direktor für Seidenbau. 1812 Di-
rektor des botan. Gartens zu Nikita. 1815 Mit-
glied der Kais. Académie der Wissenschaften zu
St. Petersburg. 1826 General-Inspektor des Sei-
denbaues.—Schenkte 1823 seine reiche Insekten-
samralung der Universität Moscau und sein schö-
nes Herbar 1861 der Universität Heisingfors. —
Stevenia von Adams und Fischer, Stevena von
Andrzejowski; ausserdem wui-den 21 Arten nach
ihm benannt 370
718. SpitzenbergeTf Ernst. Dr. Cryptogamolog zu Con-
stanz 2
719. Stocks, John, EUerton. Geb. 1826; f zu Hull 30
Aug. 1854.— Stocksia von Bentham 3
720. Israel, Carl. Geb. 1809. Lebte in Luttich 2
721. Strandmark, P, Botanisirte in Schweden S
722. StrobeU Friedr., Gabriel Peter. Schüler Kerner's.
Schrieb 1878 eine Flora der Nebroden, die er
1873 u. 1874 bereist hatte 1
723. Stromeyer, Johan., Friedr. Geb. zu Göttingen 2
Aug. 1776; t daselbst 18 Aug. 1835. Studirte
1793—1796 zu Göttingen. Machte 1801 eine
Reise nach Frankreich u. der Schweiz; zuruckge-
gekehrt wurde er 1805 Professor extraord. der
Medicin, 1806 Direktor des chemischen Labora-
torium's u. 1810 Professor ordin. der Chemie
und Pharmazie bei der Universität seiner Va-
terstadt. Zuletzt gleichzeitig General- Jnspektor
aller Apotheken des Königreichs Hannover 1
724. Stuart 1
725. ^ubendorff von. Dr. Bereiste Ost-Sibirien und
Kamtschatka 1 84 'j — 1859, darauf Gouverneur in
Jakutzk. Seine Pflanzen bearbeiteten Regel u.
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— 7?) —
ArtenzahL
Hei der.— Stubendorffia топ Schrenk; Saussurea
S. von Herder 1
726. Stur, Dionys. Reichsgeologe in Wien 15
727. St. Vinceni, Johannes, Baptiste, Bory de. Berei-
ste den Caucasus, Armenien, Persien etc. 1825 —
1829 l
728. Sweet, Robert. Handelsgärtner in London. Be-
reiste Neu-Holland. Schrieb: hortus suburbanus
Londiuensis 1818 u. Geraniaceae 1820.— Sweetia
von De CandoUe 20
729. Szovits, Л. I. (Осипъ Ивановичъ). Gebürtig aus
Ungarn; f iß der Nähe von Kutais 30 August
1830. War Apotheker in Odessa. Bereiste 1827—
1830 das »tidliche Russland, den Caucasus, Ar-
menien und Persien. Seine schönen Sammlungen
besitzt der Kais, botan. Garten zu St. Peters-
burg-.— Szowitsia von Fischer u. Meyer; ausser-
dem wurden 20 Arten nach ihm benannt 40
730. Szubert (Schubert), Michael. Geb. 1787; f im
Mai 1860 zu Warschau, wo er Direktor des bo-
tan. Gartens war. Sei rieb: Spis roslin ogrodu
botanieznego Krolewsko-Warszawskiego Univer-
sitetu, in welchem auch 907 in der Umgegend
Warschau'« wildwachsende Arten verzeichnet sind,
1 820 u. 1824 300
731. Tanjioni'Tozeetti, Antonio. Geb. zu Florenz 30
Septbr. 1785; t daselbst 1 a Decembr. 1856. Glied
einer mehr als hundert Jahre berühmten Familie
von Botanikern Toscanas. War Arzt, Chemiker,
Phytophysiolog und Professor am grossen Hospi-
tale zu Santa Maria Nuova.— Targionis von Mi-
chaux; Tozzettia von Savi 7
732. Tassedih^ Franz. Conceptsadjunct bei der 2-teii
ungarif^chen Hofkanzelei zu> Wien 2
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— 76 —
ArtenzabL
733. Tauscher, Julius, August. Geb. zu Erksi an der
** Donau im Stuhlweissenburger Comitate in Un-
garn 8 Juli 1832. Studirte in Pesth; promovirte
1856 zum Dr. med. Machte 1859 als Arzt den
italienischen Feldzug mit Gegenwärtig praktischer
Arzt in seiner Vaterstadt. — Scleranthus T. von
Reichenbach; Campanula T. u. Centaurea T. von
Kerner 680
734. Thedcnius, Knaut, Frederik. Professor zu Stock-
holm. Schrieb unter Anderem: Flora öfver Up-
lands och Södermanlands fanerogamer 1871. The-
denia von Schimper 7
785. Théveneau^ A. D. Arzt zu Beziers, dann von 1 867
** zu Agde im südlichen Frankreich 612
736. Thielens, Armand. Geb. zu Jodoine in Brabant.
** 2 Septbr. 1833; f. Studirte in Lütticb, Brüssel
und Bonn. Dr. scient, natur. War eine zeitlang
belgischer General-Postinspektor. Sein Herbar
umfasste gegen 25,000 Species. Hat mehrere kleine
botan. Abhandlungen geschrieben 2020
737. Thomas, Emanuel. Lebte zu Вех im Canton
Waadt. Untersuchte gründlich die Flora der Al-
pen.— Thomasia von Gay; ausserdem Crocus Th.,
Juncus Th., Sison Th. von Tenore; Piplatherum
Th. von Kunth; Cryptostaenia Th. u. Miconia Th.
von De CandoUe; Cirsium Th. von Nägeli 184
738. Thomson, Botanisirte in England S
739. Thore^ Jean. Geb. zu Montant 3 Oktobr 1762; f
zu Dax als Arzt 27 April 1823.— Thorea von
Bory; ausserdem Psychotis Th. voçi Grenier,
Avena Th. vou Duby 1
740. Thunbergy Carl, Peter.^^ Geb. zu Jbnköpeiig in
Smaland 11 Novbr. 1748; f auf seinem Landgute
Tünaberg bei Upsala 3 Aug. 1828. Studirte in
Upsalal761— 1764 unter Linné, der ihn für sei-
nen besten Schüler erklärte. 1770 Dr. med.
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ArtenzahK
Ging 1762 in Diensten der holländisch-ostindi-
schen Kompagnie als Arzt nach dem Vorgebirge
der guten Hofihung, ^o er während eines dreijäh-
rigen Aufenthaltes verschiedene Reisen in das
Innere des Landes zu den Hottentotten und Kaf-
fern unternahm. 1775 ging er nach Batavia und
Japan, kehrte 1778 nach Schweden zurück, wo
er sogleich Profess, extraord. und nach des jün-
geren Linnés Tode 1784 Profess, ordin. an der
Universität Upsala wurde, bald darauf auch Prä-
ses der Académie der Wissenschaften. Seine
grossen Sammlungen besitzt die Universität Up-
sala. Schrieb unter vielem Anderem: Flora japo-
nica 1784 u. Flora Capensis 1813. — Thunbergia
von Linné fil. und Montini, ausserdem wurden
52 Arten nach ihm benannt 15
741. Thevaites, George, Henry; Kandry. Direktor des
botan. Gartens zu Paradenia auf Ceylon. — The-
vaitea von Martins; Dracaena Th. von Regel... 30
742. Tilling. Heinr., Silvester. Geb. in Livland. Dr.
med. Sammelte in Ost^Sibirien aof Ajan 1845 —
1850, dann in Neu- Archangelsk auf Sitcha und
zu Kevada in Californien.— Schrieb mit Regel
eine Florula Ajanensis 1859. — Tilingia von Re-
gel 13
743. TimbahLagrave, Edouard. Apotheker und Pro-
fessor an der Ecole préparatoire de médecine zu
Toulouse 15
744. Tinea, Vicente. Geb. zu Palermo 27 Febr. 1791;
f daselbst 22 Juli 1856 als Professor und Kanz-
ler der Universität. Beschrieb über 80 neue sici-
lianische Pflanzen.— Sein Herbar besitzt die Uni-
versität zu Palermo. — Tinea von Sprengel und
Bivone 150
745. Tiselius, G. Botanisirte in Schweden 1
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— 78 —
Artenzahl.
746. TitiuSf Pius. Italienischer Mycolog 4
747. Todaro, Agostino. Gegenwärtig ProCeseor und
** Director (les botan. Gartens zu Palermo. Beschäf-
tigt sich in neuerer Zeit mehr mit Advokatur als
mit Botanik. Schrieb mehreres über Gossypium. —
Todaroa von Pariatore; ausserdem Serapias T.
von Tineo, Mentha T. von Gandoger 524
748. Tommasini, Claudius, Mutius von. Geb. zu Triest
** 10 März 1794; f daselbst 19 (31) Decembr. 1879.
Direktor der Gai-tcnbauschule zu Podesta bei
Triest. — Tommasinia von Bertoloni: ausserdem
Ranunculus T., Seseli T., Orobanche T., von Rei-
chenbach; Silène T. von Visiani; Primula T. топ
Grenier; Tragopogon T. von Schultz-Bipont.;
Mochringia T. von Marchesetti; J uncus T. von
Parlatore; Onobrychis T. von Borbas 22
740. Törnquist, S. L. Botanisirt in Schweden 1
750. Traunfellner, Aloys. Geb. zu Wien 27 Septbr.
1782; t zu Klagenfurt als Apotheker 13 Oktbr.
1840. Sein Herbar wird im Kloster zu. Salzburg
aufbewahrt. — ^Ranunculus T. von Hoppe ....••. 4
751. Traunsteiner, Joseph. Geb. zu Kützbühl in Ty-
rol 18 Decembr. 1798; f daselbst 19 März 1850.
Studirte 1820 in Wien Botanik and Chemie.
Uebernahm nach seines Vaters Tode dessen Apo-
theke zu Kützbühl. 1840—1843 Bürgermeister
seiner Vaterstadt. — Traunsteinera von Reichen-
bach, ausserdem Draba T. von Hoppe, Orchis T.
von Sauter 41
752. Trautvetter, Ernst Rudolph, von (РудолФъ Эрне-
стовичъ). Geb. zu Mitau 8 lebr. 1809. Studii-te
in Dorpat 1825—1831 Philosophie und Naturwis-
senschaften. Promovirte 1 832 zum Dr. philos. War
Direktorgehilfe am botan. Garten zu Dorpat
1833—1834, dann in St. Petersburg 1835—1838.
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- 79 ~
ArtenzaU.
Seit 1837 Mitglied der Kaiser!. Académie der
Wissenschaften. Von 1848 — 1860 Professor der
Botanik und Rektor der Universität Kiew, da-
rauf Director das laodwirthschaftlichen Instituts
zu Gorigorezk, endlich von 1864—1875 Direktor
des botan. Gartens zu St. Petersburg. Lebt gegen-
wärtig, nachdem er sich von allen Dienstämtern
zurückgezogen, in St. Petersburg immerfort auf
des Eifrigste mir. botan. Studien beschäftigt. Hat
über 55 Schriften, die Flora Russlands betreffend,
veröffentlicht und eine grosse Anzahl neuer Arten
beschrieben. — Sein Herbar, welches nur rus-
sische Species enthält, ist in seiner Art gewiss
das reichste, welches existirt. Trautvetteria von
Fischer und Meyer; ausserdem .Artemisia T. von
Besser; Brorous T. von Schultes; Jurinea T. \on
C. A. Meyer; Nepeta T. von Buhse; Cousinia T.,
Salix T., Salvia T. Serratula T. von Regel; Oxy-
tropis T. von Meinshausen. etc 30
753. Trawirij Peter (Петръ Павловичъ). Arztgehilfe,
hat für dieses Herbarium in der Umgegend von
Elisabethgrad gesammelt 30
754. TremoUj F. Botanisirte in Spanien.— Mentha T.
von Gandoger 2
755. Trinius^ Carl, Bernhard von (Каржъ Антоно-
вичъ). Geb. zu Eisleben 7 März 1778; f zu St.
Petersburg 14 März 1844. Schwestersohn Hahne-
manns. Studirte 1796—1802 Medicin in Jena,
Halle, Leipzig und Göttingen. 1805 Arzt zu Ha-
senpoth in Kurland. 1807 Leibarzt der Herzogin
Antonie von Wurtemberg in St. Petersburg. Seit
1823 Mitglied der Kaiserl. Académie der Wis-
senschaften zu St. Petersburg. Seit 1824 Leibarzt
am Kaiserl. Hofe. Berühmt als Agrostolog und
bekannt als Dichter.- Schrieb 19 botan. Abhand-
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- .'80 —
АгЬешаЫ.
lungen.— Sein Gramioeen^Herbarium, ungefähr
5000 Arten in 40,000 Exemplaren befindet sich
in der Akademie der Wissenschaften; ein allge-
meines Herbarium aus ungefähr 8000 Arten be-
sitzt die Kais. Universität zu Moscou. — Trinia
von Hoffmann; ausserdem Artemisia T. von Bes-
ser; Bambusa T. von Nees; Bromus T. von Schal-
tes, Panicum T. von Kunth; ' Calamagrostis von
Ruprecht 18
756. TuUberg^ A. Nils. Sammelte in Schweden 5
757. Turczaninov^ Nicolai (Николай Степановичъ).
*** t zu Charcov 26 Decembr. 1863, als ungefähr
70-jähriger Greis. Studirte in Charcov, wo er
eine kurze Zeit das Amt eines Professors der Bo-
tanik vertrat Bereiste 1828 — 1835 im Auftrage
des botan. Gartens zu St. Petersburg und her-
nach als Beamter und Yice^Gouverneur den Bai-
cal und Davurien. Lebte darauf in Taganrog, wo
er während des Krim-Krieges sein ganzes Ver-
mögen verlor, was ihn bewog, sein reiches, mehr
als 57,000 Arten umfassendes Herbar der Univer-
sität Charkov zu verkaufen, welches er auch
späterhin, in Charkow lebend, bis an sein Le-
bensende vervollständigte. Leider ist diese werth-
volle Sammlung aus Raummangel gegenwärtig
nicht aufgestellt und hätte wohl von Seiten der
Universität eine grossere Beachtung verdient, als
ihr wirklich zu Theil wird. — T. schrieb 12 botan,
Abhandlungen und eine Flora baicalensi-dahurica
1842 — 1867. — Turczaninowia von De CandoUe and
Endlicher; ausserdem: Echinops T., Arabis T.
von Ledebour; Crépis T. von С. А. Meyer; Arte-
misia T. von Besser; Astragalus T., Euphorbia T.
von Karelin u. Kirilow; Corydalis T. von Bois-
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— 81 —
Artenzahl.
sier; Carex T. von Steudel; Nasturtium T. von
Czernaj^w; PotentilTa T. von Schegelow 14
758. lUrpin, J. FraQZösi(^her Botaniker. Gab 1808
mit Poiteau eine Flore de Paris heraus. Turpinia
von Humboldt Persoon, Ventenat 1
759. UeeJUritz^ Rudolph» Friedr., Carl, Baron von.
Qeb. zu Breslau 31 December. 1838. Schrieb meli-
reres über die Flora Schlesiens 20
760. UMin, B. L. Botanisirt in Schweden 1
761. Urgel^ Th. Botanisirt in Frankreich 72
762. Vdgner, Ludw. Forst-und Domainenamtseinneh*
mer in Ungarn. . « 26
763. Vakl, Martin. Qeb. zu Bergen in Norwegen 10
Okibr. 1749; f zu Kopenhagen 24 December.
1804. Studirte ein Jahr lang in Kopenhagen» ging
aber 1770 nach Upsala, wo Linné sein Lehrer
ward. Wurde» nachdem er Reisen durch Europa
und Nord Afrika 1783 gemacht hatte, Profeasor
und Direktor des botan. Gartens zu Kopenha*
gen. — Vahlia von Thunberg und Dabi; ausserdem
wurden 22 Artennach ihm benannt ; . . . . 2
764. Vaion, E. Botanisirte in Frankreich. — Valonia
V0n Agardh. 2
765. Vanaegold, E. Geb. su Martinis. Studirte in
Lütüch 1
766. Varell 1
767. Vixfhorst^ A. Botanisirte in Schweden......... 1
768. Venturij Antonio. Dr. Gutsbesitzer in Brescia.
Sammelte Moose um Trient Venturia von de
Notaris 10
769. Vereier^ Sammelte in Frankreich 1
770. Verheggen^ Sammelte in Belgien 3
771. Verlot^ B. J. Direktor des botan. Gartens zu
Grenoble ; 12
772. Vielguth^ Ferdinand. Sammelte in Oestreich ... 3
Л? 1. 1885. 6
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--. 8i —
ArteozahL
773. УШйгв, Feeder., Pierre, i z\x Drped» 191*ут-
; I YUlarsia w\k Venteaat; .außerdem . Apargia Y.
voaWiUdeuQw, $aUK V.vou Flügge, Poa V, von
C^eUn, Violar У« vqb Schultßs, Alai^e V. von
; Hertena lU.Ko.cb, Arenaria V. von BalbiSi Сагез^
у., voa ScUnijir, Schismue V. von Trinjius ^ • • ^ • /33
774. Visiani^ B4>bext de. Geb. in Dalmatien igOO; f
^*? zu Padua.. 4. .Mai 1878, wa er Professor war.
Schrieb. unter vielen anderen |)Otan. Werkeçt eine ,
Flora dalmatica 1842.— Vi&iania von De CandpUe .
and Ga^^rini; auaserdem Onosma . V. von Clet
menti,, Stigmella .Y. voa Sacc^rdo, Ornithogalum
V. yon. Tominaaini etc.« • • • V ^ 3
775. Yrdbely, Mart. Geb. 180ft; t 17 Juni 1877. Вот
tanieirte in Ungarn. ^ • . . . 10
77G. W^^fntr, Carl, Heinr. Geb. zu le Bried bei Neu-
cbatel 10 April 1765; f zu Riga 23 Septbr/
1846. Bcikannter Kunatgärtner zu Biga 63
777. Winger, P. Botanisirt. in. Ungarn 16
778. WiMstedi, L.. Botanisirt in Schweden ..... 6
779. Walberçy H. Botanisirt in Schweden. 6
780. Walke. Die von ihm stammende Pflanze ist mit
dem Jahre 1807 bezeichnet 1
781. Wallrofh^ Friedr. Géb. im Dorfe Breitenstein im
Harzgebirge 13 März 1792; f. zu Nordhausen
22 März .180.7. Studirte unter Sprengel in Halle
Botanik und Medicin. Promovirte 1815 zu Göt-
tingen zum Dr. med. und diente als hannover-
scher Oberarzt in der Armee gegen Napoleon. Zu-
letzt Kreisphysikus zu Nordhausen. — Wallrothia
von Both und Sprengel 40
782. TTaZir. Jacob '(Яковъ Явовлевнчъ). Geb. zu Kiew
*** 1 Oktbr. 1840; f zu St. Petersburg 1880. Stu-
dirte in Kiew unter Hogowitz und in Berlin un-
ter Ascherson, welche seine Lehrer in der Bota-
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— 83 -
• ij^ л Artenzahl.
щк waren. Pf'ofessor in Odeesa. Hat eiefa fleiseig
und mitguteta Erfolg mit der Entwickelangs»
( gescblchte .dec .niederea pflanzlieUeD Organismen
bescl)&ftigt.V^&chri6l) : II AbhandiuHged». Walzia .
von Sorokin '. . . . ; . . . J. ; li .:• . . • .... 200
783. Walthorst у А. Bôtanisirte: in Schweden 1
1^84, Watstm^ Seren. Botanieirfe in Amerioa« . . : ... 1
785. Weicher^ Carb Ediuird. Diaconus zu Chemnitz. 15
786. Weihe^ August, Maximilian, f zu Herford in
Westphalen als Ereisphysiktts i» Marx 1834.
Gab mit. Nees 1820 eine Beschreibung der deutf^ - :
sehen Brombeeren- heraus. Weihea ■ von Sprenget -
EeieheAbach u. i^ckloh; ausiterdem Rubus W. voisi -
Koeler , Mentha :W. von Opiz . . . j .'^ . * . . — ... 54
787. Weinmann, Johum, Anton (Иван^ Авдреебячъ)
(' Geb. in Baiern 1 784; -fm Pavrl dw sk f fün weit Pe-
tOTÉlwrg 17 Aug. 1858. Wurde' 1804 aus Wien -
nach Di)rpàt als Obergärtner des botan. Gattens
berufen, wo er bis 1818 blieb, daarauf war er bis
zu seinem Tode Direktor ^dee KaiserK- Gartetis^
zu Pawldwsk. Seit 1881 Mitglied der Kais. Aka-
demie der Wissenschaften zu St.- Petersbufjf.
Ausgezeichneter Mycolog. Hat Ï9 Werke "utid Ab^
f handlungen geschrieben.-^Weinmaùnia von Kec^
ker; ausserdem Salix W: von Sprengel u.Setarla '
W. von Römer n. Schultes. . ...... * 380
788. Weiden, Ludwig von. Geh: zn Laupheim îu Wur-
temberg 10 Juni 1782; f zu Gratz in Steierhiark
an der Wassersucht 7 Aug. 1853. Studirte in
Wurzburg Philosophie und Naturwissenschaften.
Machte im östreichschen Heere alle Feidzûge ge-
gen Napoleon mit und wurde mehrmals verwun-
det. 1849 war er Feldzeugmeister und Oberbe-
fehlshaber der oestreichschen Armeen in Ungarn.
Seit 1852 verabschiedet. — Sein Herbar besitzt die
6*
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— 84 —
ArtenzahL
bûtan. Gesellschaft in Regensburg. — Waldesia ven
Schattet; Verbascum W. von Moretti, CentaurM
W. Ton Reichenbach 15
789. WélîoUseJ^ Friedr. Geb. su Mariasaal in Kftnb
then; t zu London 8 Oktbr. 1871, Studirte in
Wien die Bechte und Medicin. Bereiste Portugal
und die Azoren, hernach 1858 — 1868 das westliche
Africa. — ^Wehfitschia топ Beichenbach; Allium W.
von Begel, Pulegium W, von Gandoger 1
790. Werting^ ¥. Botanisirt in Schweden 1
791. Westendorn 1
792. Wideen^ A. Botanisirt in Schweden 1
798. Wiedemann. Sammelte in Anatolien 1884. Wie-
demannia von* Fischer u. Meyer; Verbascum W.,
Cirsium W., Centaurea W. von Fischer und
Meyer; Allium W. von Begel 20
794. Wierxbieki^ Peter. Geb. 1794; f zu Orawicza
im Banat, wo er Bergarzt war, 5 Febr. 1847.
Sein Herbar« ungefähr 15,000 Arten tnthaltend,
wird im Museum zu Gratz aufbewahrt. — Wierz-
bickia von fieichenbach; ausserdem Echium W.
von Haberle; Alyesum W., u. Allium W. von
Heuffel; Cerinthe W., und Mentha W, von Opia. 138
795. Wigener, A. Apotheker zu St. Tonis 24
796. Wiegmcmn^ A. F. f su Brannschweig 82 Jahre
alt. Dr. med. und Apotheker.— Wiegmannia von
Meyer (Wigmannia von Walpers); Mentha W.
von Opiz 6
797. Wüandt, J 1
798. WiïMms^ Christian. Apotheker za Tiflis im Cau-
casus. Sein Material bearbeitete Ledebour.— ^
Wilhelmsia von C. Koch., ausserdem Salix W.
von M. Bieberstein; Pedicularis W., Astragalus
W., Lactuca W. von Fischer u. Meyer; Trisetum
W., Arundo W. von Ledebour 196
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— 85 —
Artenzahl.
799. WiUkamm^ Moritz (Морицъ Карловочъ). Geb.
*** zu Herwigsdorf bei Zittau in der s&chsiscben
Laustti. Studirte 1841— 1844 in Leipzig Medicin
and Naturwissenschaften. Bereiste 1846—1848
Sud^-Deutschlandf die Schweiz, Sud-Frankreich u.
Spamen« 1850 machte er eine zweite Rmse nach
Spanien. Zurückgekehrt habilitirte er sich 1852
als Decent an der Universität Leipzig. Darauf
Professor der Botanik an der Forstacademie zu
Tharand, von 1868—1874 in Dorpat u. später
bis gegenwärtig in Prag.— Verfasser vieler höchst
werthvoller Schriften, darunter seine berühmte
Flora hispanica 1861—1879. — Globularia W. von
Nyman; Aster W., Podospermum W., Centaurea
W., Spitzelia W. von Schultz-Bipont; Malva W.
I von Scheele; Mentha (Pulegium) W. von Oan-
doger 1266
800. Wimmer, Friedr. Geb. 30 Oktobr. 1803; f zu
Breslau 12 März 186& Schulrath und Professor
am Friedrichsgymnasium zu Breslau. Hat sich
besonders durch die Bearbeitung der europäi-
schen Weiden grosse Verdienste erworben. —
Wimmera yon Gharaisso u. Schlechtendahl;
Mentha W. voa Gaadoger 13
801. Winkler. Moritii Geb. zu Bresteu 12 Febr. 1812.
** Seit 1841 Direktor der landwirthschaftUchen
Fabriken zu Giesmansdorf bei Keisse in Schle-
sien. Bereiste und botanisirte in Spanien. La-
serpitium W. von Herbich, Mentha W. von Opiz. 2140
802. Winter, F. Mycolog in Saarbftcken.— ВмвеКиа
W. v«n Spegaosini, Lophiosteme W. von Saccardo. 9
803. Witt, £. W. Botaaisirt in Schweden 1
804 . WittewM L « ; w . . . 1
805. Wblfgemg.: J«hattn» Friedr. f zu Poliknie bei
Vilna 17 Mai 1859. Apolbeker und Professor der
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— 86 —
: \ Arieasabl.
Pharmaèie. ЬЦ der. Uaiverskftt Viloa. OriUid-
licher Kenner der lithauschen Waseergewäch-
se.— Anemone W., Hiéracinm W., Polygala W.,
Bo^^. W*«: Scirpes W. топ. Besser; Mentha W.
voa GandogôTvb . . • .w.. • • 370
806. Wolhow; Alexander (Аымьвщръ Ишоодмвмяъ).
Ctob; im fionv. Pskow. SüuUrte in Dorpat Landr
¥^irtk8chaft* Professor der Phytophysiologie in
Odessa bis 1878. Lebt gegenwärtig im Aaslande,
vorzOgUch mtt Malerei beschäftigt. Hat №r dieses
Herbar Algen in Devonshire gesammelt....... 40
807. Woronin, Michael (Мнхаидъ Степановичъ). Be-
kannter Mycolog zu St Petersburg. Schrieb ge-
gen 20 Ьо1дп. Abhandlungen 2
808. WossneaenJci 1
809: Wuisl(nü, À- P« Sammelte in Schweden 12
810; Jifgberg^.JL.. 1
SU. Ysârny Don. Juan, f im Januar 1866, oald nach
zurückgelegter Erdumseglung. Gustos des Mose-
ums flu Madrid 1
812. Zabel. Hogo, NicolMS (Някош! Бгоровжчъ).
Diente beim Kais, betau. Garten zu SU Peters*
bürg, darauf Direktor des botaa. Gartens zu
Nikita. in den £rim.. Lebt gegenwärtig in Moscau. 1
813. ZabloUfhi^l>€$iat(msii, Vm\ {Июыл Парфено-
ввчъ). Geb. im Doi?fe MefediHrka im Kowf^od*
Severshischem Kreiae des Gfouvem. Ozemigow 8
Juni 1^1 5; t ^ttf вешещ Gute! Krimki im Qzegrin-
^ ' üben Kreiste des Gouverft. Kiew 2 Joli 188в.
Studîste in Mo$c#tt Maithematik u. M;edici&. Bä- i
gleitete^ Karelin 1 688^1838 (VecgL .^ M«) . hl
die Steppe . der ШГ{^еп b^ei . Orenbuiig, . an dM
östliche Ufer, .des Caspischen MIeeres ». ir de^ » v.
baïié ааж Ttrkmanen; leao.bereiatt:^ .dae,¥eslr : ^
Ucbec Ëiiro^j . Ьев<Ыег1(/ b>a])kreiclit Qtdi.die
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-- 87 -
ArtenzabL
Schweiz.— t^romovirte sum Dr. ii№d. et cbirui^v
mit der DiseertatHm: de Solpuga oaepia. War SO
Jahre Professor der theoretischen Chirurgie uud
eine kurze Zeit der gerichtlichen Hedicin in St •
Petersburg bei der Kaiserl. Medico-Chirurgiechen
Académie. Verfasser vieler sehr werthvoller me-
dieinischer Schriften.-^Âmmodendron Z., Heli-
otropium Z., u. Heliotropium Zw von Fischer... 136
814. Zartmann 2
815. Zehenter^ Johann, f zu Wien. Botanisirte beson-
ders in Steyermark 1
816. Zeller ^ lUchard. Apotheker zu Oarsten in Oest-
reich 1
817. Zetterstedt^ Joh. Emanuel. Oeb. 1828; f als Pro- .
fessor zu Lund 18 Febr. 1880. Beschäftigte sich
vorzüglich mit Gryptogamen ^ • . 5
818. Zeyher, Carl. Geb. 2 Mai 1799; f am Cap 18
Decembr. 1858. Bereiste mit Eckion (Vergl.
Я 193) 1829—1833 das südliche Africa.— Zey-
hera von De Cändolle, Zeyheria von Sprengel und
Martius; ausserdem wurden noch 22 Arten nach
ihm benannt ..../. 134
819. Zigra, Johannes, Hermann. Oeb. zu Lübeck 19
* Juli 1775; f zu Riga, wo er lange Zeit Eunst-
gärtner war, $ Jan. 1857. Mitglied der KaiserL
Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg
seit 1821. Verfasser mehrer nützlicher Schriften
über Blumen-und Baumzucht. .......:...... . . 52
820. Zinger. W. (BacHirifi Якоыеввчъ); Professor der
** Mathematik an der Uni^versität Mostau. Ünter-
sdclit til'botan. tiln9iclbt das Moscaüsche und die. [^
an dasselbe grenzendep Gouvernements, Entdeckte
im Gouv. Orel . u. beschrieb eine дёие Pôten-
tnia-Art: P. laûaiti^ca Zillger, liB»f2.^P. Zingeri
* ■ ■ . ' ' . ■ ■■ • ^
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— 88 —
Arteimhl.
топ LindemaoQ )882 (manuscr. in herb* aate
public) 130
821. ZoUmger, H. f auf Java 1869, wo er fleiaeig
« botanisirt hatte.— ZoUingeria von Schulta— 6i-
pont 5
823. ZvbhaWy Peter. (Петръ 1еонтьевжчъ). Arzt in
Kiew. Sammelte vor zwanzig Jahren um Eli-
sabethgrad 10
Lectori salutem!
Der hochverehrte Leser dieser kleinen Schrift wird si-
cher in den biographischen Notizen manche Irrthfimer und
viele Lücken finden, welche mir zu beseitigen und auszu-
füllen unmöglich war. Daher bitte ich ihn angelegentlichst
mir seine Verbesserungen und Ergänzungen zukommen zu
lassen, wofür ich ihm ganz ausserordentKch verbindlich sein
würde; denn nur:
Concordia parvae res crescunt!
Elisabetbgrad.
8 (aO) April 1885.
Durch ein Versehen sind beim Setzen die unten folgen-
den Namen ausgelassen.
386. Koekler. Begierungsrath zu Mitau. Sein Herbar
bestehend ungefähr aus 800 Arten, befindet sich
im Museum zu Mitau 15
387. Kogewfiikow. Demetr. (Дмктр1й Адексац^овичъ).
♦** Studirte in Moscau. 1879—1880 Privatdbcent
der Botanik in.Qdessa. f 1881 zu M^ntope. ... 120
388. Koermche. Franz. Geb. 29 Jan. 1828 bei Witten-
berg. Profess, zu Bonn 1
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— 89 —
АгСепгаЫ.
389. Koleuatù Friedr, Antoib Geb. m Prag 1813.
* Wш:de am 7-ten Juli 1864 in der Scbweizerei
des Altvaters im m&brischen Cresenke, nach einer
Excursion, todt gefunden. — ^Profess, der techni-
schen Lehranstalt zu Brunn in Mähren. Bereiste
im Auftrage des Kais, bot Gartens zu St Pe-
tersborg 1848 — 1845 Transcaucasâen und Arme-
nien.—War mehr Entomolog als Botaniker.^-^-
necio K. und Campanula К. von С. А. Meyer;
Orobus К. von С. Koch; Saxifraga К. von Regel. 12
390. KorolkoiCj N. J« Obrist Sammelte in Mittelasien.
Cbiwa u. Taschkent — Seine Pflanzen bearbeitete
Regel.— Korolkowia» — und 12 Arten nach ihm
von Regel benannt 6
391. Kotinawiez. Sammelte in Groatien 2
392. Katschy^ Theod. Dr. Geb. zu Ustron in Schlesien
15 April 1813; f zu Wien 11 Juni 1866, als
Gustos des botan. Museum's. Botanisirte in Per-
sien, besonders aber in Aethiopien als Begleiter
Joseph's von Russeger 1837 — 1839. — Seine
Sammlungen kaufte der Kardinal Dr. L. von Hay-
nald.— Ketsch ja von Endlicher; ausserdem wur*
den 8 Arten nach ihm benannt 60
393. Kovdts, Jul. Geb. zu Ofen 25 Septbr. 1815.—
Profess, in Pesth. — CentaureaK. von Kooh..^. 5
894. Kralih^ Ludw. Geb. zu Strassburg 26 Juli 1830.
War Gonservator des Herbars von Barker-Webb,
gengenw&rtig des Gossonschen Herbars. B^ni-
sirte besondere auf Corsika und in Algier. .... 7
395. Krascheninnikow^ Stephan. Geb. zu Moscau 1713;
t zu St Petersburg 12 Febr. 1755. Begleitete
Gmelin 1736 bis Irkutzk» trennte sich aber von
ihm 1737, um Kamtschatka n&her zu untersu-
chen. 1741 traf er mit Gmelin wieder zusammen
und kehrte mit ihm gemeinschaftlich nach St
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— 9« —
л ArtenzahL
Petetsbiirg zurück, wo er 1745 Akademiker
wurde. — Krascheninttikovia ^ von ^ G4iMenstftdt,
KrasckemniiikoTia von Turcza^inow» nnd Kra-
echenmnikovia топ Maximowics 1
396. Krause, J. W. Prediger 1
397. Kreusfberger. Swaxméibe in Kärnthen.. 4
398. Kristof, Lorenz. Sammelte in Kämtben 2
399. Kronberger, Jos. Botaniairte in Oestreicb S
400. Kruhse. Sammelte in verschiedenen Gegenden
Rnssland's, besonders in Sibirien. — Wahlenbergia
BL u. Saxifraga K. von Fischer; Artemisia К.
von Besser 2
40). КгунШЫ, Job. Geb. zu Zwenigorodkaim Gouv.
Kiew 2 Juni 1787; f zu Ambley bei Soissons 12
Septbr. 1838. Erzogen im Basilianer— Gymna-
sium zu Uman. Studirte 1810—1812 zu Vilna.
Seit 1826 Profese, der Zoologie zu Charkow.
Botanisirte vorzüglich in der Krim u. im Cau«
casus*-*Kryiiitzkia von Fischer n. Meyer 8
402. Kuffleff £. Dr. Arzt zu Schmalhausen u. Pfron*
ten in Bayern « ^ ......... . 1
403. Kukntrt. Botanisirte um Königsberg ........ 1
404. Kuntge, Otto, CE...'; 5
405. KufUFe. Alb. f zu Eisleben 18 Mai 1881. Profess.
in Weimar . . . . * 6
406. Kunjge, С .... 1
407. Ктме, Gustav. Geb. zu Leipzig 4 Oktobr. 1798;
t ebendaselbst SO April 1851. War Profese, der
MediciUr ^ind Botanik in Leipzig. — Kunzea von
Réichenbaeli .:...;. ^ 11
Г" ' t , . ;
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BERICHTIGUNGEN
zum
dritten Bfricktf über dfn Bestuii meines Herbarinas»
Seite 265:
Wohlwollen.
Präsid. K. von.
267. Pflanze
Tauschverkehr.
268. Senjawin-Bucht (zu America).
J* 12. Schriftsteller.
54. Martius.
60. t 13 Mai 1850.
65. Merosa.
67. Martius.
anfertigte.
73. Gabriel (Гаврвлъ Явовл.)
75. Zu St Petersburg, bereiste von (Za aus Moscau — ,
ausserdem Ammi B.
82. Steudel.
128. Valesia.
133. Vire. Geb. 27 Septbr. 1797.
137. Komuch— Trotzki.
154. America.
163. Debeaux. Bordeaux.
176. Aug. 1784.
195. t 27 Juni 1876.
196. Helichrysum.
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— 92 -
200. Emstson.
211. Gilia.
215. t 1869.
236. Fritzsche.
238. Rheingau.
261. Arcos.
272. Orobanche.
300. Oeb. 1816.— Heuffel.— Athamanta.
308. Heppia von Naegeli.
314. Mycolog.
324. Nieder-Oestreich.
333. Houttuynia.
338* Hugueninia«
355. Roxburgh.
383. Eirilowia von Bunge«
409. Geb. 7 Mai— t 1870.
411. Sonder.
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SUR LES OSCILLATIONS DES JETS D'EMISSION DANS LES
COMÈTES.
(Avec une Planche).
Par Th. Breâichin, A. B. A. S.
La question très importante dans la théorie des со»
mètes est la variation dans la direction des jets de la
matière émise par le noyau. Bessel a observé dans la
comète de Haliey (183S) les oscillations du secteur lu-
mîneQX autour du rayon vecteur. Mais les oscillations
de ce genre ont été beaucoup plus régulières et beau*
coup plus prononcées dans la comète de 1862 III, où
elles ont causé une anomalie très étrange dans la stru-
cture même de la queue,— le croisement de ses bran-
ches, qu'on voit si bien dans les dessins de Secchi et de
Schmidt. Nous allons voir que tous les détails de la
structure et de la forme de la comète s'expliquent par-
faitement bien par les oscillations de l'émission (pro*
bablement avec le noyau) qui s'effectuaient à peu près
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— 94 —
dans le plan de l'orbile. Pour s'orienter mieux dans
Tensemble des observations qui en apparence présen-
tent quelques désaccords, et pour avoir un fil conduc-
teur, il faut commencer par des considérations theo*
riques.
La comète de 1862 III a eu incontestablement deux
queues: l'une du premier et l'autre du troisième type.
Or, les substances de ces types en se séparant du noyau
sont animées des forces et des vitesses initiales très
éifféreqieç. .Foer rimpliBer jios râisooeeA^iits, adbe^tbns
que le jet est très mincer^'il consiste en particules des
deux types et qu'il oscille autour du rayon vecteur dans
le plan de rorbite. ^
Posons, conformément aux observations, que la pé-
riode des oscillalioas est if :s^l9 jours, que la limite de
l'angle G à chaque côté du rayon vecteur est égale à
50^ (-f-SO^ en arrière du rayon vecteur et — 50^ en avant
de ce rayon) et examinons comment ôeront disposées dans
la tète, dans un moment donné, les particules de chaque
type émises dans les moments antérieurs» Dans cet exa-
men nou& nous servirons des formules du нюuveюent
parabolique des particules libres, dt9 courbes de tir *),
et l'accord des résultats avec l'observation nous va
montrer que Tétat de raréfaction de la matière caudale
nous permet en effet de la considérer non comme un
système mais comme un agrégat des particules presque
libres ^*).
*) Voir mon article sur les tètes des comètes, pag. 2.
^ C^est ane circonstance très importante dans la théorie deë
comètes. Elle approuve entre antres Papplication de la formule
très simple an calcul de la vitesse initiale, etc.
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^ 95:—
D'après les esUmalioDS de Schmidt la distance du
soumet de reQvelq>p« paraboKque ац ooyau était^ égale
à 270''; d'où, avec Ja distance da Qoyau à la Terre
p=0.4l27, on a £=0.000579^, лАу№ Igre9.»8368 oo
obtieot pour la queue (dus ciaire^.dii i type, ou. 1 — fii=a
17.5,. la vitesse initiale ^r=p0.1|8. Cette vitesse est uo
peu au dessous de sa valeur moyenne pour le premier
type probablement à cause de la réaction des particules
do III type et de la résistance de Talmosphère *)i Celle
résistance doit être beaucoup plus grande pour le 1 type
que pour le type IIL Ayant ea vue la réaction des
particules du I type, admettons ''p^oor la vitesse des par-
ticules du III type une valeur un peu plus grande de
sa valeur moyenne (0.01), et posons que ce ^=0.018.
Pour le rayon de Tenveloppe parabolique à son sommet^
avec ce g et 1— jxeO.» on obtient pour le 111 type
£=0.0005183 ou 230''. Cette enveloppe est ainsi très
près de l'enveloppe du' I type. ;
• Imaginons nous maiateoant qu'on observe la comète
à trois époques cardinales: 1) (quand la direction initiale
de rémission coïocide avec Taxe de l (ваО) en arri-
vant de rangle— 80'; 2) cette direction fait rangle-«-50'
avec le rayon vecteur, et 3) la direction initiale fait
l'aogl« de-^30* avec le rayon vecteur, en arrivant ici
de Tangle-^ 50*. Calculons les coordonnées des points
*) N*oablions pas qne cette comète est intéressante encore par ce
qu'elle conservait toujonrs son atmosphère ordinaire de la forme
sphérique qu'on voit parfaitement dans les dessins de Schmidt et
dont le rayon était égal à 15' ou, en unités linéaires, к 0.0019. Les
cinq premiers dessins de Schmidt nous moi^trent dans Pintérieur
de la queue formée par les émissions (queue parabololdale) un
appendice к ^opposite du Soleil rappelant les constructions thé-
oriques de M. Boche. .
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— H —
sortis à différents momeûls antérieurs à celui de Tobser-
vatioD, sous des angles G correspondants à ces mo-
ments, conformément à la durée de la période. L'unité
des temps т est 58.1 S2* . . jours« Les résultats des cal-
culs sont illustrés par les constructions qu'on trouve
sur la Planche et dont l'échelle est 0.0001=9 milli*
mètres.
1) flg. 1.
I type:
Points
z
G
■')
A
0.00312
— 12».5
+0.00036
-0.00010
В
0.0062i
—25
+ 0.00047
—0.00039
С
0.00935
—37.5
+0.00027
—0.00084
D
0.01247
—50
III t]
—0.00028
f pe:
—0.00141
a
0.01247
-50
+0.00012
—0.00017
b
0.02i»i
0
+0.00033
0.0
с
0.08742
+50
+0.00021
+0.00052
d
».«4989
0
H- 0.00050
0.0
e
0.06237
+50
+ 0.00009
—0.00086
f
0.07488
0
+0.00044
0.0
9
0.06730
+50
-0.00022
+0.00120
h
0.09977
0
+ 0.00019
0.0
i
0.11221
-50
—0.00074
—0.00155
J
0.12472
0
—0.00027
0.0
2) fig.
2.
I t
ype:
A
0.00318
+37.5
+0.00027
+0.00028
В
0.00625
H-25
H-0.00047
-*-0.00039
С
0.00933
+12.5
-нО.00053
-+-0.00030
D
0.01247
0.0
-1-0.00038
0.0
E
0.01559
12.5
—0.00004
— o.oooso
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— 97 —
III typ e:
Points
a
a
Ъ
с
d
e
f
9
h
0.01247
0.02494
0.03742
0.04989
0.06236
0.07483
0.08730
0.09977
0.11224
0.12472
G
O^
—30
О
+50
О
—SO
О
+ 50
О
—50
+ 0.00020
0.00019
0.00045
0.00017
+0.00049
—0.00004
+ 0.00034
-0.00046
—0.00002
—0.00056
0.0
-0.00034
0.0
+0.00069
0.0
—0.00103
0.0
+ 0.00138
0.0
—0.00172
3) fig. 3.
Л
В
С
D
Е
0.00249
0.00499
0.00748
0.00998
0.01247
I
+ 40
50
40
30
20
type:
+ 0.00022
0.00024
0.00032
0.00034
0.00027
+0.00024
0.00057
0.00071
0.00074
0.00063
F 0.01496 +10 +0.00007 +0.00038
G 0.01746
О —0.00029 0.0
111 type:
a
Ъ
с
d
e
0.00499
0.01746
0.02993
0.04241
0.05488
0.06735
0.07982
+50
0
—50
0
+50
0
-50
+0.00002
0.00027
0.00020
0.00047
0.00015
+-0.00048
—0.00011
+0.00007
0.0
—0.00041
0.0
+0.00076
0.0
—0.00110
.V i 1886.
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-- 98 —
La courbe S sur la Plaoche désigne le contour géné-
ral extérieur de Tenveloppe parabolique du I type. Les
droites L L indiquent les valeurs limites de G (+60^
et —50^).
Supposons, pour simplifier Texplicalion, que les parti-
cules ^ et D (fig. 1) sont les premières qui ont été
émises par le noyau. Or, au moment de l'observation, la
particule D du I type passe dans la partie antérieure de
la queue (r^ négatif), tandis que la particule ^, du Ш
type; va dans sa partie postérieure. Une demi-përiode
plus tard (regarder la figure 1 à travers le papier de la
Planche) le courant du premier type sera à gauche de
l'axe l et ses particules passeront dans la partie posté-
rieure de la queue, tandis que la particule e, comme le
montrent les temps et les coordonnées de la table 1) fera
sa descente dans la partie antérieure de la queue. Entre
les particules ^ et e se trouve une rangée des particu-
les *) formant la bande de la queue eg (Planche, fig. 4,
où les courbes à points désignent les bords des conoïdes
complets **) du I et du III types). Celte bande touche le
bord postérieur du conoïde complet du III type et se
recourbe en forme de la lettre S dans la partie antérieure
de la tête.
Dans le premier type, la particule D après une demi-
période sera déjà en D (fig. 4), el les particules du cou-
rant, tourné a gauche, feront leur descente dans la queue
en D' (fig. 4). L'émission des particules étant continue,
♦) L'émission n*étant pas une ligne de particules mais un cône,
un fai8ceau,—cette rangée sera une bande plus ou moins demse.
•♦) Je nomme conoïde complet,— le conoïde qui serait formé par
les particules émises continuellement et uniformément sous tons les
angles О entre -f 50» et — 50* et dans tous les plans passant par le
rayon vecteur.
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— 99 —
uous aurons 9us8i une bande de la queue DD' Гогтее
1С
dans la demi-période -^. Cette trainee de particules louche
au contraire le bord intérieur du conoïde complet du I
type et se recourbe en Гогте d'un 8 dans la partie pos-
térieure de la tète. Ainsi, dans TiDtervalle de cetle demi-
période nous aurons évidemn)ent un croisement des ban-
des de la queue, qu'on voit dans les dessins de Secchi *)
et de Schmidt '''*).
Dans la durée de la demi-période suivante les bandes
des queues, se Tormeront autrement: la bande du I type
passera do la partie antérieure de la lèle vers le bord
postérieur du conoïde complet correspondant, et la bande
du troisième type ira de la partie postérieure de la tele
vers le bord antérieur du conoïde du troisième type;r-^n
n'aura alors aucun croisement.
On conçoit Tacilement que le phénomène du croise-
ment va se répéter périod^uement dans в.9 jours, et
c'est ce qui est admirablement décrit par Schmidt (I. с.
PI. 1, août 27, 30, Sept. 2).
Les queues de la comète de 1862 III ont été assez
courtes (0.15 I type et O.Oi 111 type) et leurs étendues
visibles ne correspondaient qu'à 1.3 de la durée d'une
période; ainsi, il ne pouvait se présenter plusieurs ondu-
lations dans leurs bandes, mais la Гогте en iS y était
très prononcée d'après les descriptions de Schmidt et de
Schiaparelli ***). Nous trouvons aussi dans ces observations^
*) Secchi; Meinorie deirOsservatorio del CoUegio Romano, Nuova
serie, Vol. II, №№ 7, 8 e Tavola.
**) Schmidt; Astronomische Beç^bt^Qoigen неЬег Comet,en, 1963',
РДа^сЬев.
*^ 8с1ц»раге1И; Ppbhlicaziom 4el В. Q^seryatprio di MUano, Ш IL
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— toe —
que la racine de la queue plus claire (I type) souvent
n^élait pas tangente au rayon vecteur, mais Taisait avec
lui un angle fini.
En somme, toutes les anomalies apparentes dans la
structure de la queue, que nous avons rassemblées pour
la plupart dans nos Annales (VoL III, livr. 1, pgg. 2 — 9),
et les déplacements de sa racine s'expliquent parfaite-
ment par les oscillations périodiques du jet d'émission.
Mais revenons à ce jet. On voit sur notre Planche
(figg. 1, 2, 3) qu'à la suite de l'oscillation l'erfluve gé-
néral de la matière a dû se diviser en deux faisceaux.
Dans leur mouvement oscillatoire le faisceau dérivé du
m type se trouve à côté du faisceau du I type. Le
faisceau du I type était en général plus long et plus
clair; *) il restait visible jusqu'à l'enveloppe extérieure
parabolique de la tête; le faisceau du III type a dû s'es*
temper plus près du noyau, en dissipant ses particules
le long des courbes poiutillées de nos figures. Plusieurs
observateurs ne s'arrêtent que sur le faisceau principal,
mais chez Secchi nous voyons presque chaque jour tous
les deux faisceaux, et Schmidt mentionne plusieurs fois
«den schwachen NebenstrahU. Les interruptions dans
l'émission étaient périodiques et cela produisait les chan-
gement périodiques dans la clarté du noyau et des dif-
férentes parties de la queue.
Les figures 1 et 2 de notre Planche montrent les po-
sitions respectives des deux faisceaux de rémission
dans sa marche de droite à gauche, c'est à dire de la
partie antérieure de la tète dans sa partie postérieure.
*) L'intensité des émissions n'était pas constante, maïs parfois
elles s'interrompaient presque entièrement (Secchi)'et alors le jet du
I type, comme beaucoup pins rapide, devait s'affaiblir plus vite.
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— 101 —
Pour se préseoler la disposilion des faisceaux daus ia
marche rétrograde od n'a qu'à examiner ces figures à
travers le papier de la Planche. La figure 3 se rapporte
au moment ou rémission a rebroussé chemin à ia limite
postérieure de G (-^50**) et va déjà vers le rayon vec-
teur, ou vers Taxe de Ь On voit que vers ce moment
les deux faisceaux doivent se confondre en voisinage du
noyau et puis diverger à quelque distance de lui, en
présentant une forme qu'on trouve chez Schmidt désignée
par a. Notre figure 1, designée chez Schmidt par 7,
doit avoir lieu près de Taxe de ^. Ces figures doivent
se répéter après chaque demi-période, c'est à dire après
1.5 jour. Il est à noter que Schmidt a vu les figures
antérieures 7 (dans la partie antérieure de la tête) ré-
gulièrement (I. c. Planche) les soirs du 25, 28 et 31
août et du 3 septembre. Les 7 postérieurs pendant ce
temps restaient invisibles car ils se formaient avant le
coucher du Soleil.
Je le répète, à Taide de nos constructions s'expliquent
parfaitement tous les détails des phénomènes périodiques
observés dans la comète, ce qui met hors de doute Tos-
cillation de l'émission près de l'époque du périhélie.
Passons maintenant aux mesures de l'angle de position
{p) de l'émission. Outre les observations contenues dans
les ouvrages cités de Secchi et de Schmidt, nous avons
plusieurs mesures faites à Pouikowa *), à Moscou **) et
à Berlin **').
♦) Wiimecke; Mémoires de PAcad. de Pétersbourg. Vil Série, T.
Vf, M 7.
**) Schweizer, Balletin de la Société I. des Naturalistes de Mos-
cou, 186S. Jfc Ш. -
*•♦) Förster Qud TifeUen; Aetron. NaQhriclrten, J6 1433.
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— IM —
Presque toutes les mesures se rapportent principale*
me«l à la (tirection inüiaie de rémission (Anfangsrieh-
luBg), immédiateavent près du noyau, oii les faisceaux
des deux types n'étaient pas encore divisés. Il n'y a
que quelques exceptions, dans lesquelles la description
de Tobseryateur ou la comparaison de l'observation aux
autres mesures simnitanëes nous noontre que celte me-
swre avait pour objet ou la corde du jet recourbé (End-
ricbtung), ou l'axe du secteur formé par les deux fais-
ceaux. Ces nômtres seront mis en parenthèses, te temps
1ма{ est exprimé par moi en temps moyen de Green-
wich.
1862. Juillet.
Août.
Athènes
Rome
'. m. Gr.
P
T. m. Gr.
P
—
26.400
128 ».0
—
1.400
179.0
—
—
3.400
176.0
—
—
4.392
178. 1
—
—
6.372
157.0
—
—
7.334
186.8
—
8.344
145.0
9.434
180»
9.351
184.0
10.384
210
10.340
198. 5
11.313
165
11.340
161. 3
13.250
195
12.368
203.3
13.246
(225)
13.299
167.8
14.246
200
14.340
189.3
15.271
236
15.340
236.8
—
^
I«.3l7
204.3
17.263
225
17.340
219.8
18.276
278
18.365
273.1
19.40»
227
19.299
287.7
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Août.
Sept.
—
103 —
Albènes
Rome
T. m. Gr
• P
T. m. Gr
• p
20.271
(245»)
20.320
254».8
21.271
(311)
—
—
22.363
237
22.299
241.5
23.300
287
23.396
290.5
24.284
257
24.516
243.5
25.304
(237)
25.310
267.8
26.313
299
26.426
297.3
27.280
229
—
—
28.276
(230)
28.851
(222. 8)
29.267
285
29.369
281.4
30.255
(227)
30.292
232.0
31.304
(230)
31.445
282.0
1.254
258
1.292
261.8
2.267
224
2.292
(274. 8)
3.254
(225)
—
—
4.250
225
* ,
—
5.242
221
—
6.242
(222)
6.309
261.8
7.258
224
—
;
8.234
212
—
—
9.242
195
—.
—
10.228
222
10.224
202.2
11.221
200
—
—
12.221
190
— .
—
13.226
220
—
—
14.221
195
—
—
15.226
195
—
16.221
220
..
«—
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lui
Août.
Sept.
P 0 II 1 к
0 w a
iM os
cou
T. m. Gr
• f
T. m. G
r. p
5.488
134«.2
—
—
8.461
148.0
—
—
11.326
166.0
—
12.367
203.5
—
—
13.389
176.8
—
—
14.315
193.4
—
—
15.456
238.3
15.427
242 ».7
17.399
228.0
—
—
18.299
254.9
18.401
276. 5
—Ш
-^
19.310
230.5
20.436
270.7
20.348
251.6
21.358
249.6
21.332
(296. 7)
—
22.354
244.2
23.405
290.0
23.398
290.8
—
24.489
236. 4
25.360
273.5
—
—
• —
—
26.279
292.8
—
—
27.355
237.2
30.251
236. 4
—
—
31.317
265.9
31.401
273.4
1.251
241.5
—
2.240
238. 0
2.264
232.0
3.260
255.7
—
—
4.260
223.9
4.248
226. 2
7.247
215.0
, 7.231
215.8
—
—
8.237
224.4
—
, —
,9.244
(257. 1)
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10a —
Août
Berii
11
T. m. Gr.
P
15.456
245 ».8
16.372
219.8
19.506
236.6
20.436
274.3
25.364
273.2
26.407
293.4
27.397
240.7
28.381
279. 0
29.372
295.0
Les nombres de Schmidt du 13, 20, 25, 28, 31 août
et du 3 et 6 septembre se rapportent à la direction de
toute la longueur du faisceaux principal et non à la di-
rection initiale de l'émission; ainsi, par exemple, le 25
son angle 237^ correspond à 235^ que Winnecke donne
pour la direction finale du Taiscean (Endricbtung). Le 28
et le 31 Schmidt donne lui même pour la base du fais-
ceau, c'est à dire pour ta direction initiale le nombre
270®, et le 3 septembre le nombre 265 •. Pour ces trois
dates les angles p de Schmidt seront remplacés dans
nos calculs ultérieurs par 270^, 270* et 265^ pour les
autres quatre dates les p de Séhmidt doivent être omis,
lie nombre 311® (21 août) se rapporte au faisceau se-
condaire; à Pouikowa on a mesuré la vraie direction
initiale et on a trouvé 249^6.
À Rome, le 28 août, l'angle 222^8 doit être omis,
car il se rapporte aussi, comme chez Schmidt, à toute
la longueur du faisceau, et en effet chez M. Winnecke
on Iroàvë pour la direction initiale à ce(te dfate le nom-
bre 213 ^ Le 2 septeèbre, l'angle 274^8,' d'après la
comparaieen avec les nombres de Pouikowa,^ de Moscou
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— loe —
et d'Athènes, se rapporte au Taisceau secondaire (du Ш
type), assez vif.
A Moscou, Tangle 296*.7 (21 août) se rapporte au
faisceau secondaire, comme à Athènes; l'angle 257.1
(9 sept.) doit aussi être omis, car il se rapporte, comme
le dit l'observateur, à l'axe de tout le secteur, c'est à
dire non à la direction initiale de l'émission, mais au
milieu des faisceaux dérivés, du I et du III type.
En prenant maintenant pour chaque soir les moyennes
des temps, des angles p (direction initiale de l'émission)
et en désignant par p^ les angles de position du rayon
vecteur, et par F el S les angles qui servent à la ré*
ductioB ao plan de l'orbite, on aura:
1862. T. m. r,r.
P
i>*
P
S
Juillet 24.400
128«.0
132».0
212*.0
lOl'.O
Août 1.400
179.0
133.0
219.0
97.0
3.400
176.0
134.0
221.0
96.0
4.392
178. 1
134.6
222.0
95.0
5.488
134.2
136.3
224.3
94.0
6.372
157.0
138.3
226.9
93.1
7.334
186.8
140.3
229.5
92.2
0^3
146.5
142.4
232.1
91.4
9.393
182.0
146.2
236.2
90.2
10.362
204.3
149.8
240.3
89.1
11.326
164.1
155.3
246.0
88.0
12.328
200.6
162.1
263. 1
86.6
13.311
172. 3
170.5
262.2
85.2
14.300
194.2
182.3
274.3
83.7
19.374
239.9
194. 1
286.4
81.8
11345
212.1
206.9
299.4
79.9
17.9Э4
224.3
217.7
311.8
77.9
18.385
270.6
228. 1
321.1
75.6
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— 107 —
1862. T. m. <;r. p p* P S
Août. 19.379 гзг.'Э 23б.*8 ЗЗО.'З 72.«9
20.344 2в2. 9 243. 2 336. 7 70. 1
21.320 249. 6 248. 3 341. 9 67. 1
22.339 240. 9 253. О 346. 3 63. 4
23.375 289. 6 256. 3 350. О 59. 7
24.430 245.6 259.5 .353.0 55.3
25.325 271.5 261.6 365.5 51.1
26.356 295. 6 264. 1 358, О 46. 1
27.344 235. 6 266. 1 0. 4 40. 6
28.336 275. О 267. 8 3. О 35. 2
29.336 287. 1 269. 6 6. О 29. 5
30.266 231. 8 270. 9 9. 8 24. 2
31.367 272.8 272.3 16.3 18.1
Sept. 1.266 253. 8 273. 2 26. 1 13. 4
2.266 231. 3 274. 5 45. 4 9. 3
3.257 260. 4 275. 8 80. О 8. 3
4.253 225. О 276. 7 113. 7 8. 7
5.242 221 278 131. 5 11. 9
6.276 262 278 142 15
7.245 218 279 148 18
8.236 218 279 152 21
9.246 195 279 154 24
10.226 212 278 157 27
11.221 200 279 157 29
12.221 190 281 158 31
1а.226 220 282 158 33
14221 195 282 158 35
15.226 195 283 159 37
16.221 220 883 159 3t
N«B0b{4aRk ttlie c«afrMtalio» soignée des deecnpNpfM
et d«4 d«és}№t, on n'a pas le dfdit d'tffifffier qae tof«
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— 108 —
ces angles p se rapportent sans aucune exception à la
direcUon initiale de rémission et ne contiennent plus le
faisceau secondaire. Il n'est pas impossible que dans
quelque cas les mesures chez tous les observateurs se
rapportent au faisceau secondaire^ alors plus vif que le
faisceau principal *). Nous avons vu déjà que le 21
août à Moscou et к Athènes on Га pris jpour le jet prin-
cipal, tandis qu'à Pouikowa on a mesuré la vraie dire-
ction initiale.
 partir du 5 septembre on n'a vu pour la plupart
que la lumière diffuse nébuleuse, et les observations sont
par conséquent douteuses, comme l'avoue Schmidt.
En réduisant p et p^ au plan de l'orbite on aura les
angles G formés par la direction initiale de l'émission
avec le rayon vecteur, oîi -+- désigne la position en
arrière du rayon vecteur et — en avant de ce rayon.
Temps
G
Tem
ps
G
Juillet 26
-*- 14»
Août
25
-i- 16"
Août 1
— 54
26
-♦- 42
3
— 56
^
27
— 37
4
— 58
28
-i- 9
5
-♦- 28
29
-t- 20
6
— 57
30
— 41
,7
- 68
31
H- 1
Э
— 60
Sept.
1
— 20
9
— 89
2
- 43
10
-»-121
3
— 16
U
-b 96
4
- 52
*) L'étiiission s'«Skiblit et' presque t'évanonit de temps en temps.
Or le jet du I type étant beaucoup plus rapide s'éloigne du noyau
tree vite, tandis ^ue les partiouleft lentes du troiiième tjrpe restent
pr^a da noyau XToiit'l^s nombres 4e apa n^isonaome&ts théori^tes).
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109
Temps
G
Tem
ps
G
\oùt. 12
-bl04
Sept.
5
— 56
13
-+- 20
6
~ 17
14
-b 75
7
— 63
15
-1- 97
8
— 65
16
-+- 33
9
— 89
17
-f- 29
10
— 72
18
-H 85
11
— 86
19
- 12
12
— 99
20
-*- 51
13
71
21
-+- 3
14
- 98
22
— 24
15
—100
23
-t- 56
16
— 77
24
— 23
шш^
Ces nombres sont portés sur la Planche, dont l'échelle
est: 40^=15 millimèlros pour les angles et 1 jour s=
7.5 millimètres pour le temps. Les lignes horizontales
indiquent la direction du rayon vecteur; les angles po-
sitifs sont comptés en haut de ces lignes, et les angles
négatifs — en bas. Les courbes pointillées désignent la
marche de l'émission en va et vient.
On voit qu'entre le 11 et le 31 août l'émission oscil-
lait à peu près autour du rayon vecteur, la durée
moyenne de la période étant égale à 2.9 jours. Le pas-
sage du noyau au périhélie a eu lieu le 22.9 août.
Mais on remarque dans ces oscillations la tendence de
s'effectuer autour d'une ligne qui Taisait avec le rayon
vecteur un angle croissant avec le temps dans le sens du
mouvement de ce rayon. Près du périhélie cet angle
était égal à 0^
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— no —
Avaot le 11 août la périodicité n'est pas assez pro-
noncée, et l'émission se trouvait de préférence en avant
du rayon vecteur. Il faut noter pourtant que la Terre a
passé par le plan de l'orbite le 9 août, et vers ce temps
l'influence de la perspective, — comme on le voit d'après
les angles S, — était très grande et chaque erreur dans
l'angle p devient, très considérable dans l'angle G. Le
changement brusque de la position de l'émission vers le
temps du passage indique peut être qu'elle faisait un angle
avec le plan de l'orbite étant déviée de lui dans le sens
du mouvement de la Terre. En tout cas les observations
entre le 6 et le 10 août ne peuvent avoir qu'une signi-
fication très modique.
Après le 1 septembre l'émission se trouve aussi tou-
jours en avant du rayon vecteur et parait faire ses oscil-
lations autour d'une ligne déclinée en avant <le ce rayon.
Dans la deuxième décade du mois de septembre les oscil-
lations cessent d'être bien prononcées *). Il parait qu'en
même temps le troisième type disparaît tout a fait et
que l'émission du I type s'afTaiblit mais devient plus
large, de manière que le conoîde de la queue se pré-
sente plus régulier, avec la prédominence de l'émission
dans la partie antérieure de la tète. D'après les descrip*
tions de Schmidt (I. с. pgg. 121, 122) aous savons eo
efl'el qu'au mois de septembre la matière lumineuse de
l'émission était constamment liée avec le bord antérieur
de la queue et le rendait plus clair.
On pourrait appliquei aux angles (? la foi mule connue
du mouvement oscillatoir où m est l'amplitude et n la
*) La position défavorable de la comète et la Lune y joi^t aussi
leur rôle.
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— Ill -
durée d'osciliatioo (et se servir de la méthode des moin-
dres carrés; mais je ne le Irouve pas nécessaire):
e=:wi. Sin {t - -),
Examinons maintenant les positions des panaches latéraux
(Nebenstrahl, nébulosité, pennacchio di nebbia ricurvo
etc.) qui d'après nos raisonnements théoriques ne sont
autre chose que les branches du III type dérivés (par
aberration, pour ainsi dire) de la masse générale de
l'émission.
Août
Sept.
T. m. de Gr. p
8.40
(18Г) - Secchi
11.33
(202) — Idem
13.31
213 Idem
16.3")
264 — Idem
19.38
290 — Idem
20.31
(280) — Idem
30.34
239 — Secchi, Schmidt (moyenne)
21.32
304 — Schmidt, Schweiz, (moyenne)
22.34
' 298 — Secchi
23.38
245 — Idem
24.43
296 — Secchi
25.33
308 — Secchi, Schmidt (moyenne)
2S.33
(242) — Secchi, Schmidt (moyenne)
27.34
302 — Schmidt
28.34
(222) — Schm., Sec. Winn. (moyenne)
1.27
316 — Secc, Schm. (moyenne)
2.27
275 — Secchi
4.25
314 -^ Schmidt
7.25
282 — Schmidt
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— 112 —
La coQfroDlalion dos dessins et des descriptions des
différents observateurs nous montre clairement que les
nombres en parenthèses se rapportent aux prolonge-
ments, quelquefois très recourbés du jet principal du [
type. Les autres nombres qui présentent en effet les po-
sitions des branches du III type, étant réduits au plan de
l'orbite, nous donnent pour l'angle G' de cette branche et
pour la différence G' — G, qui est l'angle entre les deux
jets (+ quand le jet du III type est décliné vers la
partie postérieure de la tète, à gauche du faisceau du I
type et — quand il est à droite de ce dernier, vers !a
partie antérieure de la tète):
6'
G'— G
Août 13
+ 103»
+83»
16
+ 101
+68
19
+ 87
+99
20
- 12
—63
21
+ 82
H-79
22
+ 71
+95
23
— 21
—77
24
+ 35
+78
2S
+ 61
+45
-27
+ 45
+82
ept. 1
+ 44
+ 64
2
0
+ 43
4
+ 37
+89
7
+ 4
+67
Naturellement les positions du Taisceau secondaire, très
courbe, ne peuvent prétendre qu'à une exactitude assez
modique.
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— tl3 —
Pour lier ces branches secondaires avec le jet princi-
pal^ il faut rapprocher de la réalité nos figures théori-
ques. L'émission est un cône plus ou moins large et
non une série de points. П faut donc que nos construc-
tions soient remplies de matière. Dans ce cas pour la
figure t la courbe 0ЛВО deviendra une bande recour-
bée qui couvrira une partie de l'espace OaA; cet espace*)
sera aussi rempli de la matière du HI type et la
corne Ecf sera une formation nébuleuse; les particules
sorties plus tôt appartiennent déjà a l'enveloppe et à
la queue. Ainsi l'espace plus clair de la figure 1 aura
la forme d'un panache courbé à droite avec un appendice
plus faible à gauche. Cette figure que Schmidt désigne
par Y ressemble parfaitement à plusieurs de ses dessins,
p. ex. à celui du 31 août (1. с T. IV).
La figure revenait d'après Schmidt périodiquement: 13,
16, 19, 22, 25, 28, 31 août et le 3 septembre. L'angle
G' — G à ces dates doit avoir le signe -)-» car le panache
secondaire se trouvait à gauche du panache principal
Notre fig. 3, remplie convenablement de matière, donne
la forme désignée chez Schmidt par a: le panache prin-
cipal a un appendice tourné à droite^ et par conséquent
l'angle (?' — Gr aura — . D'après Schmidt la figure revient
le 20, 23, 26, 29 août, 1 et 4 septembre. Le 20 et le
23 août nous avons en efi*et le signe -^ pour G' — Ö,
mais en septembre ce signe est remplacé par h- ; or
on voit d'après la position de l'émission qu'à ce temps
la figure a a dû se convertir dans la figure suivante, ^,
qui a son appendice tourné à gauche.
*) £n diminuant la limite— 60^, on fera cet espace pins étroit.
Л 1. 1885. 8
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— 114 —
Notre figure 2, remplie de matière et renversée dans
le sens horizontal (regardée à travers le papier de la
Planche) est la forme que Schmidt désigne par ß. Elle
se produit quand rémission s'approche de la limite né-
gative de G. Dans son développement complet la figure
présente un faisceau long et clair ayant à gauche une
aile d'oiseau (voir les figg. de Schmidt du 21, 27 et
30 août; 1. с T. YI). La figure se répétait d'après
Schmidt le 12, 15, 18, 21, 24, 27, 30 août et 2 sep-
tembre. Son appendice étant à gauche, Tangle О' — Q doit
avoir !e signe -h, comme il en a en effet chez nous.
Jusqu'à 24 août (1. с T. YI) la figure n'est pas assez
prononcée *); on ne voit en elle que la partie gauche
mais claire. Schmidt lui même parle des variations dans
ses figures et entre autres de changement dans ß (1. с.
pg. 134). La figure 2 entre ses deux faisceaux se re-
courbant l'un sur l'autre peut présenter une ouverture
non remplie de matière; et nous lisons chez Schmidt:
<Mit dieser Gestalt verbunden war 3 Mal die elliptische
dunkle Oeffnung in der Coma> (T. III, août 27, 30;
sept. 2).
La période des oscillations était plus courte que l'in«
tervalle de trois jours et outre cela elle n'a pas été
tout à fait constante. Yoila pourquoi il nous parait tout
à fait satisfaisant si la réapparition de la même figure em-
brasse au moins trois périodes (voir toutes les figures de
Schmidt; T. VI). Nous avons dit tout à l'heure que la
*) D'après les positions de rémission le 12, 16, 18 août on doit
admettre, que c'est notre figore 2, non renversée, qni avec le tempe
va être remplacée par ß. Voir les descriptions de Schmidt ,à ces
dates.
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— 115 —
forme a s'est remplacée avec le temps par la forme ß,
€t ß a remplacé la figure 3 (non renversée).
La ramification du jet et les changements dans la
position de l'émission ont mené Secchi à l'idée de l'exi-
stence des deux jets intermittents et immobiles (1. с pg.
25): <AI giorno 11 agosto si ebbe non solo il destro ma
anche il sinistro cosi «ripiegato. Intanto nel suddetto in-
tervallo ci si presentava un fenomeno assai stravagante
ed era che ora il getto appariva a destra, ed ora a si-
nistra, variando di posizione di circa 15° da una sera
alfaltra Bestando esso (le jet) fisso in direzione ve-
devasi estinguere, ed estinto il primo nasceva l'altro a
15^ circa di distanza onde vi erano veramente due centri
di emissione di materia e per alcuni giorni quesli due
centri si diedero lo scambio, quasi a sere alternanli in
cacciar fuori la materia».
Quand l'émission s'approche de son limite et puis
s'éloigne d'elle, le changement de sa position ne sera
pas prononcé, mais dans les autres moments de sa
marche la variation de l'angle G peut être reconnue, et
en effet le 23 août on trouve chez Secchi une variation
de 5° dans 5,5 heures. Une pareille variation se trouve
aussi le 21 août. Chez Winnecke nous rencontrons le
20 août une variation de 10° dans 2 heures, et il dit:
«Die Ausströmung ist sichtbar nach links gegangen >. Le
21 août cette variation est de 15^ dans 1.4 heures (I. с
pgg. 11,12), etc..
L'idée de Secchi est basée sur les apparences *) et
non sur l'étude approfondi du phénomène dans tous ses
*) L'apparaÜon et la disparition de qaelqae amission secondaire
n'est point impossible en général, mais il s'agit ici des traits fon*
damentanx du phénomène.
8*
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— 116 —
détails. En adoptant cette idée on pourrait faire deux
suppositions suivantes:
1) Le jet d« I type se déverse dans la partie ante--
rienre de la tête^ et le jet du HI type — dans sa partie
postérieure. Alors il n'y aura aucun croisement des
bandes de la queue.
2) Les jets du [ et du Ш type ont la position inverse;
alors le croisement sera permanent et non périodique.
Les autres suppositions quelconques seraient trop artifici-
elles et trop compliquées. Schmidt a remarqué les de-
placements périodiques du jet principal d'une partie
de la tète dans l'autre et voici comment il décrit le
phénomène (I. с pgg. 127, 128): <Die merkwürdigen,
auch von andern Astronomen gesehenen Figuren der
Kreuzung oder Durchschlingung zweier Arme des Schwei-
es sowohl, als auch die characteris tische Art, in wel-
cher einigemale der Zusammenhang des Schweifes mit der
Ausströmung sich darstellte, lassen wiederum den Wech-
sel identischer Erscheinungen in 2V2 bis 3 Tagen er-
kennen.
Phase A. Der helle und lange Schweifarm erscheiat
als rückwärtige Verlängerung des jedesmal glänzenden^
Sirömungsbuschels; er geht von der Unken Seite der
Coma (partie postérieure) aus, und wird schräge von
dem rechten und schwachen Nebenarm (III type) derart
geschnitten, dass die Fortsetzung des schwächern Arms
an der linken Seite des Hauptschweifes wieder hervor-
tritt.
Phase B. Der helle und lange Schweifarm erscheint
als directe Fortsetzung des jedesmal grossen, breiten,
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— 117 —
krummen und lichtschwacheu stets nach rechts gekrämm-
teo Strömuogsbuscbels (c'est la figure y); grosser Schweif-
^rm rechts. Schmidt a quatre fois observé la phase A>.
{1. 1). Cette description s'accorde parfaitement avec nos
^constructions théoriques.
Les observateurs de la comète parlent des variations
dans l'intensité des émissions et des changements dans
l'éclat de la queue. Schmidt (1. с. pg, 144) trouve peur
la clarté du noyau le résultat suivant: «Wenn der Kern
am meisten glänzte der Fächer war am weitesten nach
links (en arrière du rayon vecteur) geneigt. Dagegen
stand der Kern im Minimo seines Lichtes, wenn die Ne«
igung des Fächers nach rechts am grössten war».
Ainsi les éruptions *) du noyau se suivaient donc
régulièrement dans la même période que les oscillations
de l'émission, et ce sont elles selon toute probabilité qui
causaient l'oscillation du noyau. Quant à la coincidence
du moindre éclat avec la plus grande amplitude négative
(à droite), etc. il faut être circonspect sous ce rapport,
cor on voit d'après les angles G que durant la plus
grande vivacité des oscillations les plus grandes digres-
•) A propos des éraptîons je me permet de faire remarquer que
la matière émise par le noyau est chargée d^un genre d'électricité
(électricité répulsive par rapport à celle du Soleil)*, Tautre genre
d'électricité reste dans le noyau Or, si la comète est pauvre en
masse, si sa densité est petite, cette dernière électricité peut pro-
duire une accélération dans le mouvement de Tastre. Avec Paflfai-
blissement de l'énergie produisant la queue, avec Fépuisement de
la matière caudale, doit s'affaiblir aussi cette accélération. N'est ce
pas cet effet qu'on doit prendre en considération dans l'explication
du mouvement de la comète d'£ncke? Quand le noyau est assez
dense ce genre d'électricité resté au noyau est tout à fait insen-
sible par rapport à l'attraction newtonienne.
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— 118 —
sions s^effec tuaient pour la plupart hors des temps des
observations.
Pour concilier les constructions théoriques non seule»
ment avec les dessins de Schmidt mais aussi avec les
détails des dessins de Secchi, il faut adopter que rémis-
sion du I type était plus claire et plus large que celle
du III type et qu'elle se divisait parfois en plusieurs
rayons séparés. Il faut aussi avoir en vue le mouvement
orbital du noyau, qui n'entre pas dans nos formules
approximatives et qui décline l'émission en général et
plus considérablement celle du I type dans le sens même
de ce mouvement. Je reviendrai un jour à ce sujet avec
des formules plus axactes.
En résumé, je répète encore une fois que les osciU
lations de l'émission dans la comète de 1862 III doivent
être regardées désormais comme un fait incontestable^
basé non seulement sur les mesures de la position des
jets, mais sur l'ensemble de tous les phénomènes pré*
sentes par Га queue et la tête de la comète.
Th. Bredichin.
Moscou^
Je 3 (16) octobre 1885.
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PLANTAE RADDEANAE MONOPETALAE
bearbeitet von
Ferdinand von Herder,
Labiatae Jas8.
С 0 n t i Q n a t i 0.
(Vide Bulletin. 1884 J6 2).
551 (292). Meitha arvensis L.
Bentham. Labiat gen. et spec. (1836) p. 178—180. Bentb. in DC.
prodr. XII. (1848) p. 171—173. n. 13. Ledeb. fl. rose. III. 1. p. 338.
Arcangeli Comp, della flora Ital. p. 536—587. n. 3284. Ascberson.
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bite (BulL IV) p. 16. n. 162. Bretschneider. Early europ. research,
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den Jahresber. d. PolUchia. ХП. 1854. p. 33—34. XVIII— XIX. 1861-
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Tarez, fl. baical.— dahur. П. 1. p. 393. Wainio. 1. с p. ХХХШ. Wat-
son. Cyb. brit П. p. 289—241. S. Watson. Contr. to Amer. Bot. Pal-
mer. New Mexico pi. (1883.) p. 136. Willkomm. Prodr. fl. Hisp. П.
p. 394—395. Wimmer. Fl. v. Schlesien. 2. Ausg. 1844. p. 289—290.
3. Ausg. 1857. p. 860—351. Winkler. fl. Bait p. 58. n. 403. Wirtgen
im Oestr. bot Wochenbl. V. 1855. p. 818—319, 325-327, 382—334.
Wirtgen in Schultz Arch, de flore, p. 190. Wirtgen. Beitr. zur Fl.
d. nördl. Pfalz in d. 22—24 Jahresber. d. Poll. 1866. p. 52. 94. Wirt-
gen. Fl. d. Reg. bez. Coblenz, 1841. p. 146. n.' 866. Wirtgen. Rhein.
Reise flora. I. p. 214. 217. П. p. 106. n. 1567. Wirtgen. Flora der
preues. Rheinprowinz. p. 355—359. Engl. Bot 1 1413. 2118. 2415. Fl.
Dan. t 512, 673, 736, 794.
Yon Mentha arvensis L. und M. aquatica L. lag uns
ein sehr reiches Material im Herbar des Kais, bolan. Gar-
tens vor, namentlich das Herbarium Merlens enthält eine
Menge Originalexemplare der Smilh'schen, Sole'schen.
Friesischen, Nees'schen, Becker'schen, Lejeune'schen und
Opiz'schen Arten, ausserdem lag uns noch eine Sammlung
der Schultz'schen und Wirtgen'schen Bastardformen vor.
Trotzdem konnten wir, nachdem wir Wochenlang das Ma-
terial unter einander und mit der vorhandenenen reichen
Literatur verglichen haben, uns nicht dazu entschliessen,
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— 122 —
dasselbe so zusammeozuiegeo, wie Bentham (Lab. geo. e.
spec.) es gruppirt bat, obwohl wir mit ihm uod mit
Ledebour die 5 Hauplformeo der M. arvensis L. (sativa,
rubra, vulgaris, glabra und crispa) zu unlerscheiden ver-
möge». Es waren aber der Mittelformen wieder soviele,
dass wir darauf verzichteten, namentlich da uns Formen
aus verschiedenen Florengebelen vorlagen. Nur einem Flo-
risten, welcher sein Gebiet selbst Jahrelang durchrorscht
und die Pflanzen lebend an ihren Standorten beobachtet hat,
dürfte eine genaue Unterscheidung der Formen mit Er-
folg gelingen.
Exemplare von Jrkutzk (Haupt und Turczaninoiï), von
der Angara, vom Argun und von der Schilka (Turczani-
noff), von der Selenga (Bikofl), von Nichne Wereninsk
(herb. Ledebour), aus Transbaikalien (Koptjeff)^ aus Dau-
nen (Rytschkoff, Sosnin und Wlassoff), von Nertschinsk
(Sensinoff), aus Kamtschatka (Merk), von Wiluisk (Pod-
gorbunsky) von Krasnojarsk (Konowaloff), von Tobolsk
(Haupt), aus dem Altai (Gebier, Karelin, Kiriloff^ KoptjeflT^
Mardofkin, Schangin und Ledebour), aus der Kirgisensteppe
und dem Alatau cisiliensis (Schrenk), aus dem Alatau
transiliensis (Semenoff), aus der Kirgisensteppe (Karelin,
Kiriloff, Kuschakewicz und Miroschnitschenko), vomSyr-
Darja (Golike und Smirnoff), aus Turkestan (Fetissoff,
Korolkoff, Kuschakewicz und A. Regel), von Hakodate
und Yokohama (Maximowicz), von Nagasaki (Oldham),
aus Japan (Bürger), von Whampoa (Hance) *), von Ceylon
(Thwaites) *), vom Ural (Helm), von Tobolsk, Omsk und
Orenburg (Haupt), von Astrachan (Becker und Blum),
von der Wolga (Claus), aus dem Kaukasus (Adams und
*) S. n. M. javanicae Blume.
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— 123 —
Wilhelms), von Krukow (Timiansky)^ von Taganrog (El-
singk), von Sarepta (Becker), von Samara (Pabo), vom
Don (Mertens und Pabo) vom Dniester (herb. Fischer),
von Elisabethgrad (Lindemann), von Ekaterinoslaw (Во-
schniak), von Mohileff (Downar und Pabo), von Kurba-
towo (herb. Fischer), von Nowgorod-Siewersk (Mertens),
aus Volhynien (Besser), von Orel (Grüner und Tara-
tschkoff), von Moskau (Annenkoff, Henning, Stephan und
Goldbach), von Pensa (Jacquet), von Jaroslaw (herb. Soc),
aus dem Waldai (A. Regel) aus dem Gouv. St. -Petersburg
(Graff, Meinshausen, Monin, Mertens und Regel), von Wa-
laam (Regel), aus Lappland von Saunawara am Fl. Kemi
(herb. Schrader) *\ aus Lappland vom Fl. Simo (herb.
Ledebour) **), aus Estland (Laupmann), von der Jnsel Dago,
(Winkler), aus Livland (Höltzer), aus Schweden (Ander-
son, Fries, Ringius und Wickström), aus England (For-
ster, J. £. Smith), aus Catalonien (Costa), aus Norditalien
(Cesati), aus Frankreich (Custer, Gandoger, Thuillier),
aus Belgien (Dumortier, Haesendonk und Thielens), aus
der Flora von Spa ' (Lejeune), von Köln, Göllingen und
Bremen (Mertens und Schrader), von Hamburg (Sonder),
von Rostock (Detharding), von Greifswalde (Ledebour),
aus Mecklenburg und Lauenburg (Fiörke und Noite), von
Berlin (Kühlewein), von Prenzlau (Grantzow), aus Schle-
sien (Weihe), von Halle (Wallroth)/ aus Thüringen (Rei-
chenbach), aus Böhmen (Opiz, Tausch und Weihe), aus
Ungarn (Lang und Rochel), aus Oestereich (Trattmeck
und Welwitsch), von Salzburg (Mielichhofer), aus Wür-
lemberg (Hohenacker und Lechler), von Würzburg (Mer-
ens), von Frankfurt und Offenbach (Becker und Günther),
tvon Wiesbaden (Herder), aus der Pfalz (Koch, Scherbius
Schultz und Zilz), vom Rhein, von der Lahn, von der
♦) S. n. M. laponnicae Wahlenberg.
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— 124 —
Mosel UQd von der Nahe (Wirlgeo), aus Weslphaleo (Boeo-
niogbauseo und Weibe)^ aus der Schweiz (Hohenacker,
Moricaod und Schleicher).
Im ostsibirsicheo Floreogebile lassen sich neben der
genuinen Form noch besonders die var. angustifolia, wozu
die Mehrzahl der baikaliscben und daurischen Exemplare
gehört und eine eigenlhümliche niedrige und stotonenreiche
Form vom Wilui unterscheiden *)•
Geographische Verbreitung'. In Europa, Nord und Mittel-
Asien und wohl auch, wenn M. canadentis L. nur eine
Form der M. arvensis L. seyn sollte^ in Nord-Amerika
sehr häufig, besonders im nördlichen und mittleren Theile
dieser Erdtbeile an den von Linné schon angegebenen
Orten als eine «Species ultra omnes polymorpha» (ßth.)
auftretend, hat sie jetzt längst die von Lecoq bezeichen-
ten Grenzen (zwischen 36 und 69® N. Br. und zwischen
9 und 170® 0. L.) überschritten, da die uns vorliegen-
den Exemplare der M. javanica von Whampoa und Cey*
on sich von der M. arvensis nicht gut unterscheiden
lassen. In Nordamerika wird ausser M. canadensis L. von
A. Gray auch die genuine M. arvensis in den Neu-Eng-
land. Staaten als native from Europe angegeben, was sehr
wahrscheinlich ist; ob aber die von Palmer neuerdings bei
Saltillo in Nord-Mexiko gefundene und von S. Watson
als M. arvensis bezeichnete Pflanze auch als native from
Europe angesehen werden kann, möchlen wir fast bez-
*) M. arvensis L. var. stolonifera Herd. Planta tota, i. e. pars Stt-
perior sui)erterranea ejusdem simplex aut rarius ramosa, 7 — 8 c.«m.
alta, pars inferior subterranea et stolonifera etiam 7—8 с m. longa
et radicibus multis tilamentosis nee non stolonibus multis albido—
rubellis instracta. Ex. von Wiluisk (Podgorbunski) und ähnliche von
Orenburg (Haupt).
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— 125 —
weifelD. Der Verbreiluogsbezirk der Ы, arvensis L. erst-
reckt sich demoach jetzt über Groftsbriltanien, Jrland,
die Orkadeo, Faroer, ScandiDavien, Lappland, Dänemark,
Holland, Belgien, Frankreich, Deutschland, die Schweiz,
Oesterreich, Ungarn, Slavonien. Siebenbürgen, Croatien,
Serbien^ Rumänien^ Bassland, das nördliche, mittlere and
östliche Spanien^ Italien, Sicilien, Griechenland, Kaukasas,
Sibirien, Turkestan, Kaschmir, Japan, China; Ceylon und
Madeira.
552. (293.) MeilkA canadensis L
A Gray. Syn. fl. of N. Amer. II. 1. p. 862. A. Gray. Bot. of Cali-
fornia, p. 691. S. Watson. Bot of the Un. St. Expl. exp. p. 234.
Benth. in DC. prodr. ХП. p. 173. n. 14. Benth. Labiat. gen. et spec
p. 181 et 716. Michx. fl. bor. amer. II. 2. Fresenins. Syllabus, p. 21.
n. 15. Meehan in den Proceed, of the Acad, of nat. scienc. of Phi-
lad. 1884. I. p. 86—87.
M. canadensis variât pilis praesertim ad caules et ca*
lyces numerosis densis (a. villosa Benth.,-M. canadensis
aoct.) et pilis raris sabnnllis (ß. glabrata Benth.,-M. bor-
ealis Michx.).
Exemplare aus Kamtschatka (Bieder and Stewart) und
aus Sachalin (Mizul und Schmidt); ausserdem aus Arizona,
1869 (Palm) und 1876 (Bostusk) von Salt Lake City,
1879 (Jones), von den San Bernardino Monts in Süd Ca-
lifornien (Parish), aus Californien (Harlweg) vom Saskat
chawan, 1888 (Bourgeau), vom Oregon, 49® N. Br., 1859
und aus Columbia-Valley, 1860 (Lyall), von St. John
(Matthew), von Bockford, III. (Swezey), von St. Louis,
Miss, 1847 (Engelmann), aus Missouri, 1832 (Drummond),
vom Missouri (Prinz Max von Neuwied), von Mobile,
Alab. (Mohr), von Philadelphia (herb. Ledebour.), von
Providence (Olney) aus Pensylvanien (Pöppig), aus Mas-
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— 18в ~
sachusets (herb. Fisch.), von den Alleghaoy's (Bafioesque),
aus New-Jersey (Stüve), aas Nord-Amerika (Schweinitz
und herb. Hooker, Merteos uod TorreyX aus Nord- Ca-
roliDa (Beyrich) uod von Montreal in Canada (Goldie).
Ein Exemplar aus Nova Anglia, Oakes (herb. Fischer.)
mit kleineren, kürzeren, sehr stark eingekerbten Bl&ttera
und gedrungenem, niedrigerem Wüchse erinnert schon
an die europäische Mentha arvensis.
M. canadensis L. dürfte auf eine Form der M. arvensis
L. herauskommen, ausgezeichnet durch hoben, schlanken
Wuchs, schmälere und längere Blätter^ weiter von einan-
der abstehende Blüthenquirle und etwas länger gestielte
Blüthen. Die Form und Länge, sowie auch die Berandung
der Blätter variirt aber auch hier, ebenso auch die Beha*
arung der Pflanzen.
Geographische Verbreitung: in Nord-Amerika von den
Neu-England-Staaten an^ wo sie mit der M. arvensis L
hie und da zusammen vorkommt, durch die ganzen Verei-
nigten Staaten hindurch südwärts bis Arkansas und Neu-
Mexiko, nordwärts bis zur Hudsons-Bei und zum Makenzie,
westwärts bis zu den Küsten des Stillen Oceans von Süd-
Californien an bis zum Puget-Sund; in Nevada und in
den Uintas von 1500 bis 7000' Höhe; ausserdem auf
Sachalin und in Kamtschatka.
553. (291.) Mentha davariea Fisch.
= M. origanoides Maxim.
Benth. Labiat gen. et spec. p. 181 et 716.
Benth, in DG. prodr. ХП. p. 178. п. 17. Maxim, primit p. 2i5 et
216. n. 576. Rgl. tentam. p. 115. n. 879. Glehn. Verzeichniss. p. 74.
D. 288. Porter and Coulter. Syn. of the flora of Colorado, p. 9a Bren-
del, flora Peoriana. p. 74.
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— 127 —
Blütheuexempare aus dem Bureja-Gebirge (Radde), vom
Amur, 24 Juli 185S und vom Sungari, 26 Juli 185»
(Maximowicz), aus Daurien (Sosnin), vom üssuri und
Suugatschi (Maak)^ vom Flusse Mo, 1869 (Przewalski) and
vom Suifun, 27 Aug. 1872 (Goldenstädt).
Geographische Verbreitung: in Daurien, aber seilen
und mit der schmalblättrigen Form der M. arvensis zusam-
men vorkommend, in der Mandschurei und zwar am
Häufigsten im südlichen und südöstlichen Theiie dieses
Landes. Die von Brendel, Coulter und Porter in ihren
Floren angeführte M. davurica dürfte der M. canadensis
oder arvensis zugezählt werden.
Mentha sylvestris L.
Benth. in D. G. prodr. XII. p. 166. n. 3.
Blüthenexemplare, angeblich aus Daurien (Sosnin) und
aus dem Altai (Gebier und Koptjeff)-
Geographische Verbreitung: Obwohl M. sylvestris eine
weite Verbreitung über den grössten Theil Europa's und
einen grossen Theil von. Nord — ^und Mittel-Asien hat, so
erscheint sein Vorkommen in Daurien doch sehr fraglich
und dürfte der Altai als die Ostgränze von M. sylvestris
in Nord-Asien zu betrachten sevn.
551. (295.) Lycopas earopaees L
Beoth. in De prodr. ХП. p. 178. п. 4. Ledeb. fl. rose. Ш. 1. p«
841. Aitchison. On the flora of the Knram valley, Al'ghanitan. 1. c.
XIX. p. 182. Arcangeli. fl. Ital. p. 587. d. 8287. Asa Gray. Manuel,
p. 346. Aecherson. Flora, p. 609« Ball, spicil. fl. Marocc p. 610. Ba-
Inmin. Flora von Twer. L с p. 341. Batalin. fl. Pskov, n. 884. Beka-
rewicz. Kostroma, p. 4U n. 801. Boise, fl. orient IT. p. 545. Bonlyts-
cbeff. Aperçu. 1. с. p. 10. n. 54. Brendel, flora Peonana. p. 74. (?>
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Celakovsky. prodr. p. 349. 837. Camel Flora Ital. VI. p. 72— 74*
Francb. et Savat enom. plant П. p. 366. n. 1328. Fresenius. KriU
Bemerk, über die Gattung Lycopus, in Flora. XXV. 1842. p. 305—
309. Qarcke. Flora, p. 308. Gobi. Verz. p. 89. n. 873. Grenier et
Godron. 1. с. П. p. 655. Ghrenier. fl. de la chaine Jurass. p. 613. Günt-
her. Materialien. 1. с. p. 46. п. 811. Hegetscbwei ter. Beiträge, p. 295*
Heldreich, fl. de Gephalonie. p. 57. Irmiscb. Beitr. z. Tergl. Morph,
d. Pfl. V. p. 65—67. f. 24—36. Ivanitzky. Wologda, 1. с p. 472. Ка-
nitz. PI. Roman, p. 92. n. 1292. Kaufman, flora, p. 373. Klinge. Flora.
П. p. 282. Koch. Syn. p. 552. Koch. Taschenb. p. 400—401. Koscbew-
nikoff u. Zinger. Abriss. p. 87. n. 564. Lecoq. Études. VIS. p. 16 —
17. Lindem, fl. Cherson. П. p. 74. Marsson. Flora, p. 354. MartjanofiL
Materialien. Nro. 526. Martjanoff. Plant Minusin. exsicc. p. 8. n. 129.
Maximovicz. Ad florae Asiae orient cognit mel. fragm. p. 42. Mein-
shausen. fl. Ingrica. p. 268. n. 501. Mert et Koch. 1. с I. p. 346.
Moewes. 1. с. p. 205. Norrlin. Fl. Karel.— Oneg. I. p. 162. Nyman.
Consp. fl. europ. p. 597. Päschkjewicz. flora n. Minsk. 1. c. p. 182.
n. 614. Rchbob. 1. с XVni. p. 51. t 90. Pomata Catalogo de Toledo,
n. 461. Rostafinski. Fl. Polen. Prodr. p. 132. n. 482. Saint-Lager.
Catal. p. 618. Schell. Verz. p. 37. Schell. Materialien, z. bot Gteogr.
d. Gouv. Ufa u. Orenburg, p. 266. п. 772. Stewart Punjab plants, p.
168. Schur. Enum. pi. Transe, p. 519. Tscholowsky. Flora d. Gouy.
Mohileff. p. 50. Turcz. fl. baical.-dahur. П. 1. p. 895. Unger. Einfl.
d. Bod. p. 331. Watson. Cybele. П. p. 235. Willkomm. Prodr. fl.
Hisp. П. p. 397. Winkler, fl. Bait p. 58. n. 404. Zetterstedt Vege-
tationen pa Visingsö. I. с p. 30.
Exemplare von Jrkutzk (Schtschukin) von (JerAngarai
1833 (TurczaniDolT)^ aus Daurien (Sosnin), aus dem
Altai (Gebier und Ledebour), aus dem Alatau (Schrenk
und Semenoff)^ vom Amu-darja^ 187i (Smirnoff), aus
Chiwa^ vom Amu-darja, 1873 (Korolkoff und Krausen,
vom Syr-darjav 1874 (Golike), von Arassan, 1873 (Kuscha-
kewicz), aus Kokand und von Samarkand, 1871 (Fed-
schenko und Lehmann), lus Turkestan, von Kuldscha und
von Utsch-tübe, 1000', 1876—1878 (A. Regel), aus dem
Kaukasus (Hokenacker und Kolenati), aus Persien (Han*
sen), aus Nordwesl-Jndien (herb. Roy le), aus Kleinasien
vom Südufer des Schwarzen Meeres (Thirke und Koch),
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in agro ByzanliDo (WiederoaDD), von Astrachan (Kusmisch-
scheff), vom Don und von Samara (Pabo), von Simbirsk
(Vesenmeyer), von Elisabethgrad (Lindemann), von Sa-
repla (Becker), vom üfer des Tscheremshan, Gouv, Sa-
mara, 20 Juni 1865 (Ender), aus der Kalmückensteppe
und aus dem Kaukasus (Sergatscheff), aus dem Gouv.
Kasan (Timiansky), aus dem Gouv. Mohilew (Downar,
Pabo und Tscholowsky), aus dem Gouv, Orel (Grüner
and Taratschkoff), von Oman (Golde), von Moskau (Evans),
vom Waldai (A. Regel), aus dem Gouv, Sl--Petersburg
(Kornicke, Meinshaasen, und Regel), von Walaam (Regel),
von Dorpal (Bunge), voл Dago (Winkler) von Dubbeln
(Höltzer), von Stokholm (J. E. W— m), aus der Graf-
schaft Kent in Nord-Amerika (Fowler), von Cintra (Wel-
witsch), von Murcia (Bourgeau), aus Catalonien (Costa),
von Bona (Bové), in humidis Jlaliae australis und von
Florenz (herb. Mus, Flor,), aus der Schweiz (Schleicher),
von Albisheim in der Pfalz (Herder), ans Böhmen (Petler
und Tausch), vom Postsee, Stuttgart (Lechler), aus dem
Bîcklinger Wald bei Schweinfurt (Nees), von Halberstadt
(Fischer), von Gottingen (Mertens und Schrader), von
Gröpeln und Schwachhausen bei Bremen (Mertens) und
von Greifswalde (Ledebour).
var moUis^ (L. mollis A Kern.) Ex. von Seefeld
Tirol (A. Kerner) und aus dem Kreise Jelelz, Orel
(Grüner). An = ß pubescens Benth. I. с
var. macrocalyx Maxim. Ex. vom Alakul? (Schrenk) und
aus Afghanistan (herb. Griffith).
var. minor Herd. Ex, vom südlichen Ufer des Bai-
kalsee's, 1885 (Radde), vom Baikalsee (Kruhse) und
ans dem Altai, vom Flusse Alai, in arenosis, 12 Juli (Po-
litoff).
.¥ 1 1886. 9
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Unterscheidet sich vod der genuineo Form nur da-
durch, dass er in allen Theilen kleiner ist.
Geographische Terbreitung: An feuchten Orten in ganz
Europa, in Nord-Afrika und in Nord-Asien, nach Le-
coq, vom 35 bis 62^ N. Br. und vom 11 bis 163* ö. L.;
zieht die Ebene den Bergen vor, geht aber doch, wie z.
B. im Beschtan, bis 800 m., fehlt im Norden von Scan-
dinavien, in Lappland, in Nord-Finland und im nörd-
lichsten Theile von Russland, tritt abar auch seltener im
südöstlichen Europa auf und scheint auf Greta und den
Jnseln des griechischen Archipels ganz zu fehlen; findet
sich also in England, Schottland, im mittleren Theile von
Scandinavien, in Deutschland, Belgien, Frankreich, Spa-
nien, Portugal, Marocco^ Algerien, Sicilien, Italien, Gri-
echenland, Cephalonien, in der Türkei bei Konstantinopel,
in Oestereich, Ungarn, Siebenbürgen, Groatien, Dalmatien,
im europ. Bussland von Kardien bis zur Krim und bis
Astrachan, am Kaukasus, in Anatolien, am Libanon, in
Mittelasien (Turkestan, Ghiwa, Buchara, Kokand, Kasch-
mir, Afghanistan), in Mittel und Süd-Sibirien Süd-Ural
Altai, Baikalien, Daurieu, in Nord-Ghina, in Japan und
in einigen Staaten von Nord-Amerika, aber wahrschein-
lich von Europa aus als Ballast einmal eingeführt, wie
in Kent-Gounty auf Bhode-Jsland, oder zu Norfolk und
Philadelphia« Ob auch zu Peoria in Illinois?
555 (296). Lycopns lucidns Tnrcz.
Ledeb. fl. roes. Ш. l. p. 841. Tarez, fl. baical-daher. IL 1. p. 895.
Franchet et Savatier. ennm. plant. L p. 867. n. 1329. Franchet pi.
Dayid. 1. c. p. 115. n. 782. Maxim, primit p. 217. n. 677. Rgl. ten«
tam. p. 115. n. 880-881. Schmidt Reisen, p. 164. n. 889.
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— 131 -
Wir unterscieden mit Maximowicz, Regel, Miquel und
^sa Gray Tolgende Hauptformen:
a. genuinus.
Exemplare von Irkutzk, «ad montem fragiferum», 1829,
1830 (Schlschukin und Turczaninofi), vom Argun (Turc-
zaninoff), aus Daurien zwischen deu Flüssen Argun und
Gasimur, 1836 und aus dem Bureja-Gebiege^ vom Amur,
Л. 6 (18) Juli 1857 und 18Б8 (Ràdde), vom Argun,
1839 (Turczaninoflf)^ von der Mandshurischen Küste zwis-
chen dem 44 und 45' N. Br. (Wilford), vom Amur, 23
Juli 18S5 vom Sungari, 16 Juli 1839, von Port Bruce,
29 Juli 1860, vom Hafen May, 21 Aug. 1860, von Sa-
chalin, 1861 (Glehn), von Hakodate, 1861 und von Yo-
kohama, 1862, vom Ussuri (Maack und Maximowicz),
von Tschemaché in der südöstl. Mandshurei 14 Juli 1873
(Goldenstadl), vom Hanka-See *) (Przewalski), von Pekin
(SkatschkofT) und von Tamsay auf der Jnsel Formosa
ioidham).
var. hirtus Bgl. Exemplare vom Snngatschi (Maack).
var. angustifdies Miq,
Exemplare vom Suifuu, 1872 (Goldenstadl), von Hako*
<iate, 1861 und von Yokohama, 1862 (Maximowicz) und
von Hakone, Nippon (Tschonowski und Franchet).
var. Maackianus. Maœim. (=L. sinuatus Bgl. fl. üssur.)
Exemplare vom üssuri, oberhalb Siangé (Maack), von
der Mandshurischen Küste (Wilford) und aus Mitlel-Nip-
pon, 1866 (Tschonowski).
var. ашепсапш А. Gray.
Exemplare vom Saskatchawan (Bourgeau) und von Salt
Lake City, Utah, 4300' (Jones).
*) Hanka-See=»KeDgka See, im ostsibirischen Küstengebiete. Cf.
Semenoff. Lexikon. П. p. 669. und V. p. 451.
9*
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Geographische VerbreUw^i Im südöstlichen Sibirie»
(Baikalien und DaarienX in der Mandsharei, besonders
m südlichen und sudöstlichen Theile derselben, auf Sacba-
ÜB, Jesso, Nippon, in China und auf Formosa; die ame-
rikanische Form im wesüichen Theile der Vereinigten Staa-
ten: vom Saskatchewan bis Kansas, in Utah, Californien
und von Arizona bis New-Mexico.
Dem L. lucidus Turcz. am Nächsten steht L. australi»
B. Hr., von welchem uns E\ ans Tasmanien vorlagen.
556 (297). LycoyHS vlrglnlcas L.
Bentham. Labiat gen. et spec p. 185. Bentham in De prodr. XIL
p. 177. Maxim, prim. p. 21в. п. 576. Schmidt Reisen п. 164. п. 888»
Michaux fl. bor. amer. L p. 14. A* Gray. Syn. fl. of N. Amer. VL V
p. 353. A. Oray. Bot of California, p. 592.
Exemplare von den heissen Quellen in Kamtschatka^
1833 (Rieder), von der Jnsel Sachalin, 1861 (Glehn) und
vom Amur, 18 Juli 1855 (Maximowicz), von den Allega-
ni-Bergen (Rafinesque) von Penn-Yan (Sartwell), voft
Providence (Olney), von New- Haven, Connecticut (Eaton)^
vom Delaware (herb. Ledebour), aus Pennsylvanien (herb-
Nees), aus Nord-Amerika (Hooker und Torrey) und cul-
tivitte Exemplare in Mortons (leneralherbarium.
A. Gray unterscheidet hier 2 Formen: die var. pau-
ciflora Benth.=L. uniflorus Michx.,=L. pumilus Vabl),
eine kleine niedrige schwnchblüthige nordische Form
und den L. macrophyllus Benth., (=var. macrophylla A.
Gr.), eine breitblättrige Form von der Küste des Stillen
Oceanes.
Geographische Verbreitung: lirsprünglich nur aus Nord-
amerika bekannt, wurde die Verbreitung dieser Pflanze
Aber Kamtschatka, das untere Amurgebiet, Sachalin und
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Jeeso in oeaester Zeil voo Maximowicz oacbgewieseo,
wcdcher die eiuander so äbDÜcb sehenden and so nahe
werwandten Arten der Gattung Lycopus einer eingehen-
den Untersuchung unterzog, wobei es ihm gelang, auch
die geographische Verbreitung dieser Arten genauer
festzustellen.
In Nord-Amerika erstreckt sich die Verbreitung des
L. virginicus L. von Labrador bis Florida und von den
Neu-England-Staaten bis Missouri und nordwestwärts bis
Oregon und Brittisch-Columbia.
Dem L virginicus L. am Nächsien stehen:
L. rubeUus Mönch, = L. arkansanus Pres. (Regensb.
Flora 1812 und Syll. pl. Soc. Ratisb. 1. p. 88). Bentb.
in DC, prodr. XH. p. 179. n. 8.,:=!.. euröpSteos var.
integrifolius A. Gray. Man. ed. V. p 345, von welchem
ons Ex. vorlagen aus Texas (Vinzent) aus Nordamerika
(herb. Wahie et herb. Mertens)und aus Nordamerikanis-
chen von Beyrich eingesandten Saamen aurgegangene und
im Dorpater Garten cultivirte Exemplare (herb. Lede-
bour), alle s. n. L. virginici und teste Maximowicz zu
L. rubellus Mönch gehörig.
Geographische Verbreitung: Von Ohio bis Süd-Carolina,
Louisiana, Arkansas und Texas.
L. sintuttus EU.=Jj. europaeus var. sinuatus A. Gray,
ed. V. p. 345. A. Gray. Bot. of California, p. 592. S.
M^atson. Botany, p. 234, von welchem uns Ex. vorlagen
von Penn-Yan (Sartwell), von Rockford, III. (Swezey),
von Athens, 111. (Hall), von St. Louis, Miss. (Engelmann
und Riehl), aus Carolina (Beyrich), aus Arkansas (herb.
Ledebour), von Salt Lake City, 4300', Utah (M. E. Jo-
nes), von St. Bernardino valley, S. Calif. (Parish), aus
Nord-Amerika (herb. Hertens) und cult, aus amerikaii.
Saamen von Beyrich gezogene Exemplare in herb. Fis-
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cher und Ledebour, mehrere s. n. L. europaei, exalUH
odei virginici eingesandt und von Maximowicz als zaL
siuuatus Ell. gehörig bestinimt.
Geographische Verbreitung: Von Nord-Canada bis Flo-
rida, Texas und Arkansas, im Gebiete des Mississippi
und Missouri und des Saskatschewan, westwärts bis Ne-
braska, Oregon, Californien und New Mexico, in den
Wahasatch-Bergen bis 6000'.
557. (298.) Origanam vulgare L.
= Thymus Origanum Caruel fl. ilal.
Benth. in DC. prodr. XIL p. 19S. n. 9. 10, Ledeb. iL ross. Ш. L
p. 343. Arcangeli. fl. Ital. p. 537. n. 3290. Ascherson. Flora, p. 610.
BaU. spicil. fl. Marocc. 1. с p. 610. Batalin. fl. Pskov, n. 385. Bakunin.
Flora von Twer. L с p. 341. Bekarewicz. Kostroma. p. 42. n. 302.
Boiss. fl. orient IV. p. 551—552. Boise, voy. t 147. Bluff et Finger-
hut 1. с p. 325. Boulytscheff. Apercu. L с p. q. n. 36. Bretsclineider.
Early European Researches into the Flora of China. 1. с p. 167. n.
438. Brotero. Phytographia. tah. 112. 113. Bunge, reliq. Lehmann.
p. 255. n. 1022 und 1023. Celakovflky. Prodr. p. ЗбО. Camel. Flora
Ital. p. 101— 103, Clerc. Mater, pour la flore de l'Oural. I. p. 76. n.
398. Ш. p. 81. n. 69. IV. p. 5. n. 17. p. 106. n. 72. p. 112. n. 62.
Don. fl. Nepal, p. 113. Franchet PL David. 1. с p. 115. n. 734
Franchet Mission Capus. p. 136. (}arcke. Flora, p. 310. Gaudin. fl.
helv. IV. p. 78. Gobi. Verz. p. 90 n. 874. Gren. et Godr. L с IL p.
656. Grenier, fl. de la chaine Jurass. p. 615. Grisebach. Spicil. II.
p. 115. Günther. Materialien. 1. с p. 46. п. 312. Jrmisch. Beitr. z.
▼ergl. Morph, d. Pfl. V. d. 69. Ivanitzky. Wologda. 1. с p. 472.
Kanitz. PI. Roman, p. 93 n. 1302. Kaufman, flora, p. 373. Kernen
Schedae ad floram exsicc austro-hung. I. p. 57—58. n. 181. Klinge.
Flora. II. p. 232. С Koch in Linnaea. XVII. p. 294. Koch. Syn. p.
554—555. Koch. Taschenb. p. 403. Koschewnikoff und Zinger Ab-
riss. p. 88. n. 566 Lecoq. Etudes. VIII. p. 26—27. Lejeune et Cour-
tois. Comp. fl. belg. П. p. 248. Lindcmann. fl. Cherson. II. p. 80.
Marsson. Flora, p. 355. Martjanoff. Materialien, n. 527. Meinshausen.
Beitrag, p. 69. n. 270. Meinshausen. fl. Ingrica. p. 269. n. 502. Mer-
tens et Koch. 1. с IV. p. 303—304. Herrn. Müller. Weitere Beobach-
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Umgen. Ш. p. 57 bS. Munby. Gatal. Norrlin. Om Onega-Karel.
veget. p. 48. 70. Norrlin. Flora KarcL Oneg. I. p. 162. Nyman. Consp.
fl. enrop. p. 592. Rehbch. 1. с XVIII. p. 85. t. 61. 62. Rostatinski.
Fl. Pol. Prodr. p. 132. n. 483. Saint-Lager. Catalogue, p. 618. Pomata.
Gatal. de Toledo, n. 466. Pascblgewicz. fl. Minsk. 1. с p. 182. n. 616.
Seabert fl. Azor. p. 36. 6. Savi. Osservazioni sopra ale spec del gen.
Origanum p. 4—9. Schell. Verz. p. 37. Schell. Mat z. bot. Gcogr. d.
Oouv. Ufa und Orenburg, p. 266. n. 744. Schur, en. pi. Tranns. p.
524 Tscholowsky. Flora d. Oouv-Mohileff. p. Stewart Purjab pi. p.
171. Turcz. fl. baical.— dahur. II. 1. p. 397. Watson. Cyb. brit П. p.
242-243. B. Webb et Berth, hist Canar. Ш. 2. p. 67-68. Unger. 1.
с p. 330. Willkomm. Prodr. П. p. 398. Winkler, fl. Bait p. 58. n. 405.
Zetterstedt Vegetationen pä Visingsö. 1. с. p. 30.
Da Origanum vulgare eine vielehige- zweihäusige
Pflanze ist, so sehen die Exemplare der beiden Geschlech-
ter meist schon etwas verschieden aus, indem die weib-
lichen Exemplare Staubgefässe haben, welche kürzer als die
Röhre der Blumenkrone sind und die Blumenkrone
selbst bei ihnen nur halb so gross als bei den männlichen
Exemplaren ist. Ausserdem ist die Form und die Länge
der Deckblätter eine sehr verschiedene, bald noch ein-
mal so lange als der Reiche bald länger als dieser. Diese
Deckblätter und der Kelch sind entweder kurz be-
haart oder ganz kahl, entweder violett oder grün; die
Stengel und die Rispe entweder mit einem krausen oder
abstehendem Flaume bedeckt, die Ähren der Rispe selbst
bald kurz bald lang (1 zoll) und prismalisch;die Blumen ro-
saviolett oder weiss. Wir unterscheiden mit vielen Autoren
folgende Hauptformen, wobei wir mit Boissier, C. Koch
und Turczaninoff der Ansicht sind, dass 0. normale Don,
wenigstens nach den uns vorliegenden Exemplaren, zu 0.
vulgare L. gehöre.
OL. typicum Turcz., seu genuinum De Vis. et Rchbch.
Exemplare von Irkutzk und Tobolsk(BIum und Haupt),
von Irkutzk (Turczaninofl), vom Baikalsee (Kruhse), aus
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Daurien (Soeiiio), von Krasnojarsk (KonowaloflT), atts éem
Allai (Aodrejeff, Gebier, Karelin, Kiriloff, Kopijeff, Lede-
bour^ Mardofkin, Scbangin uod Tchibalscbeff), aus den
Alalau cisiliensis (Kanclio, Kiriloff und Scbrenk), aus de«
Alataa Irairsiliensis (Semenoff), aus Turkeslan (Korolkoff,
Krause, Kuschakewicz und Larionoff)^ aus Kokand (Fed-
scbenko), von den Hochgebirgen in Turkeslan, zwiscben
6—7000' (A. fiegel), von den Hochgebirgen in TtirkiBstaû
zwischen 5500—8500' (Feiissoff), aus dem Kaukasus
(Hoeffl, Hohenacker, Kolenali, Meyer, Nordmann, Pero^'ski,
Radde und Szovils), aus der Krim (Ledebour und Herb.
Fischer), von Elisabethgrad (Boschniak und Lindemann),
von Ekaterinoslaw (Boschniak und Grüner), vom Don,
von Samara und Mohileff (Pabo), von Mohileff (Downar),
von üman (Golde), von Orel (Grüner und Taraischkofi),
von Kletzkaja am Don (Hermann), von Blislowa, Kur-
balowo und von der Wolga (herb- Fischer), von Slepa-
nowka, Gouv. Samara (Euder), von Sarepla (Becker),
aus Südrussland (Szemioth), aus dem Gouv. Moskau (An-
nenkoff und Goldbach), aus dem Gouv. Sl. Petersburg
(Meinshausen, Merlens, Regel), aus Livland (Basiner), von
Dorpat (Girgensoho), vom Estnischen Strande (E. Ditt-
mann), von der Insel Dago (Winkler), von Upsala (An-
derson), von Gutzkow, 1805 (Ledebour), in rup. sylv.
Galliae (herb. Fischer), von Stuttgart (Lechler), von Karls-
ruhe Mayer), aus Böhmen (Tausch), aus der Schweiz
(Moricand und Schleicher), von Albisheim, von der Ebern-
burg, von Kirchheim- Bolanden und Zell in der Pfalz
und von Elm in der Schweiz (Herder), aus dem Dep.
Loire inférieure (Bureau), aus Catalonien (Costa), von
Langeron in Südspanien, 1873 (Winkler), vom Etruski-
sehen Appenin (herb. Mus. Flor.), vom Berge Korthiali
bei Thessalonica, 2000' (Beldreich), aus Rumelien (Frivald-
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sky), von Pa[Dgt vail«y, СЬпшЬа, Dec. 188« (R. CUis),
ans Nordwest- Snàitn (herb, Boyle), von New Jersey-
City (H«aser), aus Kent... 'Go. (Fowler), aus Ntrrdateerika
(bcfrb. Mertens).
Ъй OL. typicum gehört auch nach den uns vorh'eg.
Exemplaren: 0. stoloniferum Bess. (m. Besser) und die
y». includens Tausch <1156 herb, bohem.).
ß. prismatictim ^avd (s= 0. megastachyum Lk. = 0.
euboeum Boi^sier et Heldr.=Creticum L.=J3. australe Gay.
Exemplare vom JImen-tau (Meinshausen) von Derbent
(Eichwald), von Bergen am Kasp. Meere (Aucher-Eloy),
von Karabagh (tiobenacker), von Tiflis (Pomorzoff), aus
Turkestan von der Talkischlucht (A. Regel), vom Flusse
Maify (Krause), von Buralc (Radde), aus Yolhynien (Bes-
ter), vom Dm (Blume und Hermann), aus dem Gouv. Orel
(Grüner), laus lliVland (Höltzer), aus der Schw^z (Mo-
ricand), ans Galalonien (Costa), von Araas (Gandoger),
von Namur (Tbüens et Devos), von Montpellier (De Can-
^lle Roubien), von Crau dories (Artaud), von der Insel
Teneriffa (Eschscholtz), von der Insel Pico (Bocbstet-
ter), aus dem Dep. de ГНегаиН (herb. Fisch.), aus der
Pfalz (Koch); von Euboea (Heldreich), und Ex. aus dem
ЪегЪ. Pallas, Fischer, Ledebour, Mertens^ Schrader und
Stephan.
y. virens Vis. = 0. virens Hofifmsg et Lk.
Ex. aus Spanien und Portugal (Boissier , Bourgeau,
Holl, Welwilsch, Willkomm und Winkler) vom Pico
Branco (Lowe), spet. culta e semin. Maderensibus (herb.
Fisdrer), von Arnas, «loco unico» (Gandoger), aus der
Schweiz (Schleicher), von Buchberg in Oesterreich (Mer-
tens), aus Macédonien (Frivaldsky), bei Konstanlinopel
(Noë), aus Kleinasien vom Ufer das Schwarzen Meeres
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(Thirjke)i aus Abchasien (Radoscbkowsky) und cultivirte
Ex. aus den herb. Nees und Schrader.
è. hirtum Vis. = 0. hirtum Lk., et aucl. plur, = 0.
beracleoUcum et smyrnaeum Host, und Sibth. tab. 571,
non L., = 0. vulg. ß. vlride Boiss. fl. or., = 0. virens
C. A. Mey. et auct. plur., non Hoffm. et LL, = 0.
normale Don, = 0. neglectum Vog.» = 0. creticum Sieb.
Ex. von Derbent (Becker), von Tiflis (herb. Fischer),
von Helenendorf, Lenkoran und Swant (Hohenacker), von
Guriel (Szovits), vom Kaspischen Meere (Aucher*Eloyi
Karelin und G. A. Meyer), vom Pontus (C. КосЬ), aus
Persien (Buhse und Hansen), aus Ghilan (Bunge), aus
Kamaon (Gerard und herb. Ledebour), aus Afghanistan»
Kurrum-valley, 1879 (Aitchison), vom Agalik-lau bei Sa*
markand (Lehmann), aus Kokand (Fedschenko) ausTur*
kestan (Krause), vom Karatau 3—5000' und aus dem
Tschirlschikthale, 4—6000' (A. Regel), aus dem N. W.
Himalaya und aus N. W. Indien (herb. Galcutt und herb.
Royle), aus Ostindien (Falconer, Jameson, Wallich), in
agro Byzantino (Wiedemann), vom Berge Alhos (Fri-
valdsky), vom Berge Delphi, 5000' auf Euboea und vom
Taygetus (Heldreich), vom Berga Malevo (Orphanides),
von Lassiti und von Greta (Sieber), von Greta (Hohe*
nacker pL mere), von Bujuckdere und aus Kleinasien
(Tchihatscheff), vom Taurus, 1836, aus Nord Persien,
1813, vom Bulghar-Ddgh, 1853 und von den Alpen bei
Mesch, it. cilic. Kurd., 1859, (Kolschy), vom Gataonischen
Taurus, 1865 (Haussknecht), aus Algerien (Bové), aus
Sicilien (herb. Jan.), aus Dalmatien (Hohenacker pl. mere),
von Lussin-picolo (Noë), von Spalato in Dalmatien
(Petler), von Pola und aus Istrjen (Mirich), aus Piémont
(Reichenbacb fil.), und von xMontmelas «in coilibus apricis
perraro» (Gandoger).
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var. magnilimbis Bciss. ft. or., = 0. albiflorom C*
Kocb.
Ex. aus (lern Thaïe von Djimil in Lazistao, 2000 m.,
1866 (Balansa).
Wie Mertens und Koch (I. c.) mit Recht bemerkt haben,
gibt es Übergänge in Menge zwischen 0. vulgare L. und
0. crelicum L (=ß. prismaticum Gaud ♦); unter dem
uns vorliegenden Material fanden wir I Exemplare von
verschiedenen Standorten, welche gleichsam in der Mitte
zwischen vulgare und prismaticum stehen und zwar so»
dass die erst aurgeblühten Exemplare 0. vulgare zuge-
sprochen werden müssen, die verblühten dagegen zu
prismaticum zu rechnen sind; ähnliche Mittelformen lagen
uns auch zwischen 0. virens und prismaticum vor. Die
Form prismaticum oder megastachyum kommt übrigens
sowohl in der typischen oder genuinen Form, als auch
in der Form virens und hirtum vor. Was nun diese beiden
zuletzt genannten Formen anbetrifft, so haben wir mit
Yisiani, und theilweise auch den Meinungen Boissiers
und Kerner's beipflichtend, sie mit 0. vulgare vereinigt,
in dem wir als Raup tuntercheidungs-Merk mal der Form
hirtum Vis., (=0. hirtum Lk.), von der Form virens
Vis., (:=0. virens Lk et Hoffmsg), die kleineren, kürzeren
und schmäleren, nicht häutigen und auch nicht kahlen
und drusenlosen, sondern an der Aussenseite behaarten,
an der Innenseite mit grossen glänzenden Drüsen besetz-
ten Deckblätter betrachten, andererseits die Hauptunter-
scheidungsmerkmale der Form hirtum von 0. vulgare
in den fast doppelt kleineren Blüthen, weissen oder weiss-
lichen Korollen, blassgrünen Blättern und in den mit
steifen Börstchen bekteideten und in schmalere steife
Zähne auslaufenden Kelchen finden. Nur variirt die
Stärke der Behaarung und treten die glänzenden Drüsen
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auf der luneDseüe der Deckblätter nidit bei alleo Exem*
plaren von 0. hirtum stark hervor. Habituell dürfte sich
die Mehrzahl der zu 0. hirtum gehörigen Exemplare auch
durch sehr sparrige Blülhenstände von 0. vulgare unter-
scheiden, wozu noch, wie gesagt, die kleineren Blüthen,
die meist hellere Färbung der Pflanze und die eigenthüm-
liehe Behaarung hinzukommt.
Geographische Verbreitung^ in einem grossen Theile der
nördlichen Erdhälfte an Wegen und Hecken^ in Berg-
wäldern bis in die Voralpen, und zwar in Grossbrittanien
ubd Irland, Dänemark, Scandinavien ausser Lappland,
Finland, im europäischen Busland, in Deutschland, Ое-
sterreich, Ungarn, Siebenbürgen, Bumänien, Frankreich»
Spanien, Portugal, Sardinien, Sicilien, Grichenland, Nord-
Âfrica, auf Madeira und den Ganaren, auf den Inseln
des Mittelmeeres, im Orient, im Kaukasus und Perslen,
in den Küstenländern des Schwarzen und Gaspischen
Meeres^ im asiatischen Bussland (Altai, Baikalien, Daurien,
Ostsibirien), in Mittelasien (im 7 Stromlande, in Turke-
stan, Kokand, Buchara, Kaschmir, Afghanistan, Punjab
und auf dem Himalaya), und in Ghina; auch in Nord-
america: von Pennsylvanien bis Virginien. Nach Lecoq
vom 29 bis 63' N. Br. und zwischen dem 19 und 163'
0. L., steigt bis 1,600 m. und höher (in Turkestan und
atn Himalaya). Während im Norden die typische Form
die vorherrschende ist und ß. prismaticum seltener auftritt,
überwiegt weiter südwärts die letztere, um endlich mit
der virens und hirtum fast ausschliesslich aufzutreten.
Die beiden letzten Formen treten sehr häufig auch als
prismaticae seu megastachyae auf, weshalb Schur 1. с wohl
auch hirtum als а hirtum zu roegastachyum Lk gezogen
hat. 0. virens Lk et Hoffmsg. scheint hauptsächlich in Süd-
west- Europa (Spanien, Portugal^ Madeira und Südfrank-*
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— 141 -
reich zu Hause zu sein und anderwärts, wie in der Schweiz
und im Südosten von Europa nur sporadisch aufzutreten,
während hier im Südosten und zwar von.den Küstenländern
der Adria bis zum Himalaya 0. hirtum LK (=0. normale
Don), entschieden prävalirt und zwar auf der Balkan*
Halbinsel, auf den Jonischen und Griechischen Inseln, auf
Greta, in Kleinasien, im Kaukasus, in Nord-Persien, in
Turkestan und in Nordwest-Indien. — Die Form magni-
limbis Boiss. ist bis jetzt nur ans Bithynien und aus
Lazistan bekannt geworden. — Stark behaarte Ex. der Form
prismaticum mit behaarten Deckblättern, und darin der
Form hirtum ähnlich, kommen stellenweise auch in Mittel-
Europa vor wie uns z. B. ein Ex. aus der Pfaltz (Koch)
vorlag, sowie andererseits auch der virens sehr ähnliche
weissbläthige Formen mit häutigen, kahlen, grünen, gros*
sen Deckblättern aus der Schweiz (Schleicher) und von
Buchberg in Oesterreich (Mertens) uns vorlagen.
558. (299). Thymos Serpyllom l.
Benth. in DC. prodr. XII. p. 200—202. n. 17. 18. 22. Ledeb. fl.
roBs. Ш. 1. p. 345—348. Aitcbison. On the flora oftheKuram valley,
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35. Buchenau und Focke. Die 2-te Deutsche Nordpolfahrt I. Bo-
tanik, p. 60. n. 30. Bunge, reliq. Lehmann, p. 255 et 256. Celakovsky.
Prodr. p. 350—351, 687—838. Celakovsky. Über einige Arten resp.
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165—173 und Neue Thymi, in Flora 1884. p. 533—538, Clerc Mater,
pour la flore de l'Oural. L p. 76. n. 399—401. III. p. 97. n. 101. IV.
p. 112. n. 90. Caruel. Flora Ital. VI. p. 98—99. Coulter. Bot Gaz.
Vin. 1883. p. 189. Coutinho. Flora transmontann. p. 146. A. De Can«
dolle. Geogr. bot rais. I. p. 576. Déséglise. Obs. sur les Thymi
Opiziani, in Bull. d'Angers. 1882. p. 179—192. Franch. et Savat
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B. 735. Franchet Mission Gapus. p. 186. Garcke. b'lora. p. 310.
Glehn. Verzeichniss. p. 74. Gobi. Verz. p. 90 n. 375. Gremli. N.
Beitr. z. Fl. d. Schw. II. p. 64. Gren. et Godr. 1. с П. p. 657— 658.
Grenier, fl. de la chaîne Inrass. p. 616. Grönland. Bidrag til Islands
Flora. 1. с p. 66, n. 166 Günther. Materialien. 1. с. p. 46 п. 313.
Heer, die Veget Verh. d. Cant Glams. p. 464. Helm. Remarque im
Bull, de la Soc. Oural. I. p. 33. Irmisch. Beitr. z. vergl. Morph, d.
Pfl. V. p. 70. Ivanitzky. Wologda. 1. с p. 472. Kanitz. PI. Roman,
p. 98. n. 1806. Kaufmann. Flora, p. 373—374. Kerner. Schedae. L p.
65—57. n. 178—180. Klinge. Flora. II. p. 233. G. Koch in Linnaea.
XVII. p. 294—295. Koch. Syn. p. 555—566. Kocb Taschenb. p. 403.
Küschewnikoff und Zinger. Abriss. p. 88. n. 667. Krasan. Über die
Bedeutung der gegenwärtig. Verticalzonen der Pflanzen, in Englere
Botan. Jahrb. B. IV. H. 3. p. 288. Kurtz. AufzШung. p. 30. п. loa
p. 53 п. 226-226. Lange. Studier til Grönlands Flora. 1. с. 1881.
p. 137. Lecoq. Etudes. Vill. p. 28—31. Lejeune et Courtois. Comp,
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post 404. Martjanoff. Materialien, nro 628. Martins. Von Spitzbergen
zur Sahara. II. Der Mont Ventoux. p. 130. Maxim, primit p. 217.
n 578. Meinshausen. Beitrag, p. 69* n. 271. Meinshausen. Nach-
richten, p. 197. n. 287. Meinshausen. fl. Jngr. p. 269—270. n. 603—
504—. Mert. et Koch. 1. o. IV. p. 308—314. Herrn. Müller. Befruch-
tung, p. 826. und Weitere Beobachtungen. Ul. p. 56—57. Norrlin.
Fl. Kar. Oneg. p. 162. Norrlin. Gm Onega Karel. veget p. 37. Nyraan.
Consp. fl. europ. p. 594. Ostrovsky. Liste des pl. d. gouv. de Ko-
stroma. 1. с p. 675. Radde. Berichte, p. 119. 189. Paschkjewicz.
Flora V. Minsk, n. 617. Rgl. et Til. fl. Ajan. p. 115. n. 236. Rgl. Räch
et Herd. 1. с p. 15. n, 126. Rgl. tentam. p. 116. п. 382. Rchbch. 1.
с. XVra. p. 36—38. t 63-67. Richard. Tent fl. Abyss. П. (V.) p.
188. Rostrap. Faroemes Flora. 1. с p. 49. Rostafinski. Fl. Pol.
Prodr. p. 132. n. 484. Ruprecht fl. Samojed. cisural. p. 51. n. 227.
Ruprecht Nördl. Ural. p. 70 п. 197, Saint Lager. Catalogue, p. 6ia
Schell. Mat. z. hot Geogr. d. Gouv. Ufa u. Orenburg, p. 266. n. 776.
Schmidt Reisen, p. 58. n. 300. p. 164. n. 340. Schmidt Mammuth-
Expedition. p. 114. n. 190. Schrenk. 1. с П. p. 518. n. 174. Schur,
en. pl. Transs. p. 525. Trautv. et Mey.fl. Ochot p. 72. n. 266. Traut?.
Cat. pl. a Lomonossov. in Mong. orient, lect p. 28. n. 84. Trautv.
Enum. pl. a Radde in Armen, ross. lect p. 88. n. 415. Trautv.
Plant mess. p. 81. n. 463. Trautv. Plant, a Radde in isthm. Caucas.
lect. p. 61. n. 292. Trautv. Plant Sibir. bor. p. 95. n. 281. Trautv. Plant
CaspioCauc. p. 70. n. 434. Trautv. Flora, ripar. Kolym. p. 58. u.
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— 143 —
165. Tscbolowsky. Flora d. Gouv. Mobileff. p. 51. Tarez, fl. baical-
dahur. II. l.p.a99Uiiger.Ober d. Einfl. d. Bodens, p. 829. Visiani. F].
Dalm. П. p. 193 et suppl. p. 86. Vis. in Nuov. giom. bot ital. U. p.
p. 224. Wainio. 1. с p. ХХХШ. Watson. Cyb. brit II. p. 242. Wül-
komm. Prodr. fl. Hisp. II. p. 404—406. Winkler, fl. Bait p. 68. n. 406.
Wir unterscheiden mit Bentham, Boissîer, Koch, Le-
debour, Reicheobach und andereu Floristen besonders
folgende Formen dieser vielgestaltigen und weil verbrei-
teten Pflanze:
a. Chamaedrys Koch.=l!. Chamaedrys Fries,=T. ad-
scendens Bernh.,=T. hybridus Bernh.,=T. alpestris
Tausch,=T. citriodorus Gmel.,=T. subcitratus Schreb.,=
T. sylvestris Schreb.,=T. montanus Waldst. et Kit.,^=
T. S. ß. montanus Benth.,=T. pulchellus С А. Меу.,=
T. pulgioîdese Lang,=T. coloratus Gaud.,=T. effusus
Host.,=T. glabratus Lk et Hoffmsg,=T. obtusifolius Opiz.
Exemplare von Narwa (Meinshausen), von Pskow
(Kastalsky), aus dem Gouv. Tschernigow (A. und £.
Regel), von Winnica in Podolien (Besser), ad pagum
Besak (Panot), von Kudaur (Radde), vom Kaspischen
Meere (Meyer), von Akalkalassi (Schmidt in herb. Le-
debour), aus dem Kaukasus (Graflf, Hohenacker, Kolenati
und Wilhelms), aus Nord-Persien (Szovits), aus dem Altai
(herb. Fischer), aus dem Banal (Heuflfel, Rochel und
Wierzbicki), aus Ungarn (Feichtinger^ Lang und Sadler),
bei Triest (herb. Ledebour), aus Krain (Bernhardi und
GraO» vom LoibI in Kärnthen (Mertens), ausKarnthen
(Sieber und Traunfellner), bei Wien (herb. Mertens), von
Linz (Brittinger), aus Oesterreich (Sieber), aus Böhmen
(Tausch), von Admond (Sommerauer), von Koniggrälz
(Beichel), von Pardubic (Opiz); bei Prag (Eisenstein,
Mann, Opiz und Ortmann), aus den Sudeten (herb. Ficher
et Ledebour), aus dem Biesengebirge (Schauer und Tausch),
vom Fusse der Schneekoppe (Benesch), von Wilhelmsthal
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bei Glatz uod von der «Tanoe»^iD.iomgramiDOsis (Nees),
aus Schlesien (Göother, ScbumiD und' Wimmer), voo
Rasteoburg (Köroicke), von Bostocj^ (Kubleweiq), von
Westervicke im östiichen Smoland (Audersou uod Arrbe*^
nius), von Christiania (Wahlberg), von den Faröer, (herb,
Schumacher), aus Sachsen (Radius), von Dresden (Vill),
von Frankenhausen (Hornung), von Wärzburg (Voit), bei
Mainz (Zitz), aus dem Schwarzwalde (Herder), aus der
Schweiz (Schleicher), vom Grand Salève (herb. FIcherX
aus Süd-Frankreich (Rudolphi), bei Nismes (Grenier), von
Amas und Montmelas, Rhone (Gandoger), aus Catalonien,
Rergregion (Costa), bei Lissabon (Link), aus Sicilien
(Cilarda) und vom Taygetus (Heldreich).
ß. angustifoUm Ledd>.^=T. anguslifolius Schreb. et
Pers.^T. comptus Friv.=T. coloralus. Boiss, et Reut.=
T. crelaceus Tschern. herb. fl. Ucran. — T. fallax F. et M.
Ex. von der Insel Olehon im Baikalsee, den 2 Juli
18B5 (Radde), vom Baikalsee (Kruhse), von Werchne-
Udinsk (Sedakoff), von Irkutzk und aus Daurien (herb.
Fischer), von Tschindansk und Gogoldansk in Daurien
(Pansner), «Räucherwerk der Schamanen», von der Schilka
(TurczaninoflQ, vom Amur, 18S9 (Maximowicz), von
Kiachta (Asiat. Departement und Urtiuchaninoff), von
Nertschinsk(Sensinoff), von Nertschinskoi-Sawod (Tsches-
nokoff), aus Daurien (Pallas «var. daurica, in glareosis
et rupestribus frequens», Rytschkoff, Sosnin und Wlassoff)|
aus der Mongolei und China (herb. Fischer), aus Si-
birien (Haupt und Salessoff), aus dem Altai (Andrejeff,
Gebier, Kar. et Kir. Ledebour, Ludwig, Mardofkin,
Schangin und Tchihatscheff), aus der Kirgisensteppe
(Popoff und Schrenk), vom Musart-Piket am Issyk-kul,
3_9000', 1877, vom Altyn-imelpass, 4600', 1876 und
vom TschapschaUpass, 5 — 6000', 1878 (A. Regel), aus
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Semiretschensk und Turkestao (Fetissotr, Kuschakevicz
und Miroschnitschenko).
Von den Bergen der Baschkieren (Siemaschko); aus
dem Süd-Üral (Lehmann), von Orenburg (Basiner), von
Uralsk (BurmeslerX vom Ural (Helm), aus dem Kaukasus
(Hohenacker, Kolenali, Pomorzoff^ Radde und Wilhelms),
von Batum (herb. Ledebour), aus Anatolien (Tchihat-
scheff und Wiedemann), von Odessa, von Spasskoi bei
Nikolajewsk und aus Lithauen (Besser), von Simbirsk
(Wesenmeyer), vom Don (Pabo), von Tscherkask (Henning)^
von Elisabethgrad (herb. ross. Merlens), von Orel (Taral-
schkofr), von Nowgorod-Siwersk (Mertens), von Blistowa
und Pogor (herb. Fischer), in cretaceis ad Tanain
(Tschernajeff), vom Estnischen Strande (E. Dittmann),
von Upsala (Anderson)^ von Dorpat und St.-Petersburg
(herb. ross. Merlens), bei Konstan tinopol (Wiedemann),
vom Balkan (Frivaldsky), aus dem Banat und aus Ungarn
(Rochel), bei Wien (Rohde), bei Prag (Opiz), aus der
Lausitz (Burkbardt)^ aus Schlesien (Günther und Wimmer),
aus Böhmen (Tausch), von Braunschweig (herb. Scbrader),
von Bremen (Mertens), von Kaiserslautern (Koch), von
Mainz (Zitz), aus Montenegro (Ebel), aus dem Dep. Vau-
cluse (herb. Fischer), aus Catalonien (Costa), aus Italien
(Nees), von TIemcen in Algerien (Boissier, Munby,
Reuter) und aus Nordwest-Indien (Royle).
Hierher gehören auch (und zwar zu den var. nervosa
und humifusa Rchbch. ic. fl. germ. XVHI p. 37. t. 65,
11. V.=T. S. crassinerve Mert.=T. nervosus Gay.). Die
meist nordischen Formen, welche Fischer in seinem Her-
barium mit Th. serpylloides m. bezeichnet hat:
£x. von Wercbne-Üdinsk (herb. Fischer), von Nischne-
Kolymsk, 1833—1835 (ScharypoflO^ zwischen Jakutzk
und Wiluisk (Kruhse), zwischen Ocholzk und Jakutzk
^ t 1885. 10
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(Langsdorff), von der Lena (Pallas), von Nischne-Kolymsk,
1875—76 (Auguslinowicz), vom kleinen Anuj (Lavinsky),
von Werchojansk (Maydell), von der Ishiga (Kröhse),
von Irkutzk und aus Daurien (herb. Fischer), aus Daurien
bei Nertschinsk (Fischer), von den Katunja-Qaellen,
183S (Gebier), aus dem Districle Wernoje (Kuschakewicz),
aus Island, 1821 (herb. Schumacher), aus Grönland
(Hornemann und Vahl) und aus Grönland, von Frid-
richsthal (m. Hohenacker), von Femsjoe im östlichen
Smoland (Fries.).
Zu T. angtistifolius s. humifusus BcJibchy (=T, ri-
gidus Rchbch.=T. humifusus Bemh.)=T. rupeslris
Schrad. fl. Goelt.,=T. barbatus Opiz,=T. Mannianus
Opiz,=T. polytrichus Kern.=^T. reflexus Lej.) gehören
ausserdem noch Exemplare aus Tibet. 4—17000' (Slo-
lizka und herb. Calcutta), aus Nordwest-Indien, Jaunsar
Bahar, 7—8000' (Duthie), aus Kurrum-valley in Afgha-
nistan, bis 9000' (Aitchison), in locis subarenosis Mongo«
Пае sinensis (herb. Fischer), aus Grönland (herb. Mertens
und Schumacher), von den Faröers (herb. Schumacher),
aus der Berg-und Alpenregion Cataloniens (Costa), aus
den Schweizer Alpen (Mann), vom Brewent (Fége pl. alp.)
von den Kalkbergen bei Ofen (Lang), aus Schlesien
(Günther et Schumm), von Königshütte in Oberschlesien
(W. Wagner), von Chernosek und Leitmeritz in Böhmen
(H. G. Reichenbach), von Erfurt (Bernhardi), vom Re-
genstein im Harz (Schrader), von Sicksheim (Nees), aus
Franken und aus Braunschweig (herb. Fischer), von Zell
und Göllheim in der Pfalz und vom Stuiben bei Immen-
stadt (Herder), von Mainz (Zitz), von Dresden (Vill), von
Spa (Lejeune), von der Türkenschanze bei Wein und
von Prag (Opiz), von Theben in Ungarn (herb. Mertens),
aus dem Banal (Heuffel), von der Insel Cherso (herb.
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Ledebonr), von Triest (Kunze und Nées), vom Balkan
(Frivaldsky), aus Dalmalien, (Fenzl und Fetter), von dem
Etrurischen Apennin (herb. Mus. Flor.) und von den
Pyrenäen (Lapeyrouse). Wir sind mit Celakovsky (!. c.)
der Ansicht, dass sich bei dieser Form auch wieder eine Al-
penform von der gewöhnlichen humifusus unterscheiden
lässt und dassichjene zu dieser verhält, wie T. alpestris
Tausch, zum gewöhnlichen Chamaedrys.
Zu T. S. angustifdius C. nervosus Bchbch, (=T. ner-
vosus Gay,=T. confertus Gren. et Godr.,=T. gratissi-
mus Durour) gehören Exemplare von Canigou, Pyren.
orient, (herb. Montagne), aus der alpinen Region der
Catalonischen Pyrenäen (Costa), aus Grönland (herb.
Mertens), vom Stein bei Würzburg (Nees), aus Böhmen
(Tausch), von den Earpathen (Genecsich), aus Abyssi-
nien (Schimper)^ vom Berge Tschad (herb. Stephan), vom
Süd-Ural (Lehmann), von Palanteken basis, 6300', 2G
Juli 1874 (Badde), in apricis montium Akstschauly (Ka-
relin et Kiriloff) und vom Strande bei Ziegelskoppel,
Reval (Herder).
Die Eigenschaften des nervosus kommen sehr häufig
auch dem humifusus zu; auch treten die klein-und rund-
blättrigen und die klein-und schmalblättrigen Formen,
besonders im Norden und auf den Hochgebirgen zusam-
men auf und gehen oft in einander und in die Form
vulgaris über.
Von T. 8. angustifolivs albiflorus (=T. albiflorus
Opiz,=T. albidus üpiz), lagen uns Exemplare vor aus
der Chinesischen Mongolei (herb. Fischer), von Prag und
aus dem Ghrudimer Ereise (Opiz) und aus der Schweiz
(Schleicher).
Von T. S. angustifolius lanugmosus: Ex. aus Nordwest-
Indien (herb. Royle), vom Berge Argaeus in Kappadocien,
10*
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— 118 ^
7000' (Kotschy), *) dus dem Banate bei Orawitza
(Wierzblcki), **) aus Ober-Ungarn (Genecsich), von der
Törkenscbaoze bei Wien (herb. Merteos), von Wien
(Berohardi und Mertens), aus Oesterreich (herb. Schra-
der), von Prag (Opiz)» ans Schlesien (Günther) und von
Kusel (Koch).
7 vulgaris Ledéb.
Ex. vom felsigen rechten Ufer des Amur zwischen
Ust-Strelotschnaja und der Mündung des Flusses Dseja
oberhalb Eamar d. 9 Juni 1857 und aus dem Bureja
Gebirge, 1858 (Radde), vom Amur 12 Sept. 1851 (Ma-
xiroovicz), von Jakutzk, d. 8. und 16 Juni 1859 und vom
linken Wiesenufer der Maja, d. 26 Juni 1859 (Stuben-
dorff)f vom Aldan (Orloff), zwischen Aldan und Ocholzk
(Turczaninoflf), vom Fl. Mirkan (Paulowsky), vonWiluisk
(Maydell und Podgorbunski), von der Lena (Kusmisch-
scheff), von der unteren Lena, d. 20 Juli 1862 (Scha-
churdin), aus dem Lande der Tschuktschen, von der
steinernen Tundra, d. 18 Juli 1859 (Russ. Priester),
von Ajan (Tiling)^ von Irkutzk, vom Baikalsee und von
Tobolsk (Haupt)^ von Tigil in Kamtschatka (Rieder), aus
Kamtschatka (Kusmischscheff und Merk, 1788)» aus der
Gegend zwischen Jakutzk und Wiluisk (Kruhse), zwischen
Aldan uud Ochotzk (herb. Turczaninoflf), von Krasnojarsk
(Konowaloff), von Nertschiosk (Frisch und Sensiooff)»
vom Amur, d. 12 Juni 1859 und von der St. Olgabai
d. 24 Juni 1860 (Maximowicz), vom Kengka-See 1859
(xMaack), vom Kengka-See 22 Juni 1869 (Przewalski),
von Werchne-Üdinsk (Sedakoff), von der Schilka (Tur-
*) 8. n. T. pannonici Glos. var. Boies.
**) 8. n. T. pannonici All ß. lannginoei Mill.
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czanÎDoflf)} aus Japao (Wright), von Nippon, Haicone,
1864 und NambQ 1865 (Tschoooski), лгоо Yeddo und
Yokoska (Franchet), ans der östiicheo Moogolei, 1870
(Lomooossoff), ans China (Tatarinoff), vom Alexanderge-
birge, 9000', 1876, vom Sairam und Talki, 6—8000',
1877 (A. Begei), von den Gebirgen in Turkestan, 6—
8000', 1872 (Krause) und 6500-9000', 1878 (Fetissoff),
von Wernoje, 1873 (Kuschakewicz), aus Kokand, 1871
(Fedschenko), aus dem Alatau transiliensis (Semenoff),
aus dem Alatau cisiliensis (Schrenk), aus dem Altai
(Andrejeff, Bunge, Karelin, Kiriloff, Ledebour und Po-
iitoff), aus dem Süd-Ural (Lehmann), von Helenendorf
(Hohenacker)^ von TiOis (Pomorzoff und Radde), vom
Pontus (Koch), aus dem Gouv. Samara (Pabo), von Sa-
repta (Prescott), aus dem Gouv. Simbirsk (Vesenmeyer),
aus dem Gouv. Orel (Taratschkoff), vom Don und aus
dem Gouv. Mohileff (Pabo), aus dem Gouv. Tschernigoff
(Af. Fedoroff), von Uman (Golde), aus dem Gouv. Jaro-
slaw (herb. Soc), aus dem Gouv. St.-Petersburg (Kör-
nicke, Meinshausen, Mortons und Regel), von Walaam
(Regel), aus Schweden (herb. Fries), aus England (E.
Förster in herb. Mertens), von Arnas und Montmelas (Gan-
doger), aus Catalonien (Costa), von Montlouis in den
Pyren. orient (Hertens)^ von Rayonne (Deslongchamps),
von der Sierra Nevada (Rourgeau und Reuter), aus Nord-
amerika von Penn-Yan, N. Y. (Wright) und vom De-
laware (Gamby), aus Abyssinien (Schimpor), von Rremen
und von Driburg (Mertens), von St. Magnus (Treviranus),
von Prag (Manu), von Kuchelbad (Renesch), von Main-
stockheim (Neos), von Stuttgart (Lechler), von Deidesheim
(Schultz), von Albisheim, von Dahn und von der Limburg
in der Pfalz und vom Ütli, von der Ufnau bei Zürich
und aus dem Rerner Oberland (Herder).
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0. latifoUus Ledeb. = var. nummularius C. Koch., s=
T. Dummularias M. В., = T. comosus Hetiff.
Exemplare aus dem Kaukasus (Becker^ Georgia Hohen-
acker^ Meyer, Nordmann, L. Peroffsky^ Radde, Steven
und Wilhelms)^ vom Berge Kaischaur (herb. Stephao),
aus Kleioasien von der Küste des schwarzen Meeres
(Thirke), von Amu-Darja, I Mai 1874 (Smirnoff), aus
Nord-Persien (Szovits), aus dem Gouv. Samara (Bremer),
von den Bädern des Hercules im Banat (Heuffel).
Nach Kerner (Schedae I. p. 57) unterscheiden sich T.
aipestris Tausch und T. comosus Heuff. von T. nummu-
larius M. В., welchem beide habituel ähnlich sind, durch
die ganz verschiedene Nervation der Blätter, dagegen
soll T. nummularius M. B. identisch sein mit T. lanugino-
sus Rochel, was aber von Celakovsky, auf Grundlage
Bieberstein'scher Exemplare, iu Abrede gestellt wird. Cf.
Celakovsky iu Flora. 1883. p. 120—122. Der Blatlform
nach gehören hierher die unter E. villosus Ledeb. ange-
führten Ex. von Barguzinsk (Turczaninoff).
£. villosus Ledéb. (= T. villosus Pall., = T. hirsutus
M. В., = T. austriacus Bernh., = T. lanuginosus Schkuhr
et Mill. = T. S. var. canescens C. A. Mey. fl. ochol., =
T. S. var. pannonicus Koch. = T. Tiltae Steph. in
herb.).
Exemplare von Sachalin (F. Schmidt), Barguzinsk
(Turczaninoff), vom Kaspischen Meere (Karelin und B.
A. Meyer), aus Turkmenien (Karelin), aus dem Kaukasus
(Hohenacker, Meyer, Radde und Steven), aus der Krim
(Ledebour^ Marschall Bieberstein, Pallas, Steven und
Trautvetter), vom Sudagh, in campis et montium pra-
eruptis frequens (herb. Fischer), von Biatzowa (herb.
Fischer), aus Schlesien (Günther et Schumm), von Kusel
(Koch) von Prag (Opiz), aus Böhmen (Tausch), von
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Wien (Berohardi und Merteos), aus Ober-Üngaro (Ge-
Decsich), aus dem Baoat (Wierzbicki), von Stuttgart
(Lechler), vom Jura (Nees), aas der Schweiz (Schleicher),
aus Südrraokreich (Rudolph!)^ aus Italien (Heinecken)
und von der Alpe Kuh-Delu in Süd-Persien, 1812
(Kotschy), vom Berge Argaues in Kappadocien, 7000,
vom Taurus und vom Bulgar-dagh, 1853 (Kotschy), aus
der Alpenregion des Taurus unterhalb Boulgar maden,
1855 (Balansa), vom Galaonischen Taurus, 1865 (Hauss-
knecht), vom Taurus bei Gheidagh, 1815 und vom Gipfel
des thessalischen Olymp, 1851 (Heldreich), vom tauri-
sehen Chersones (herb. Stephen), aus Nordwest-Indien
(herb. Royle) und Originalexemplare von T. lanugiuo-
sus Schkuhr, sowie von T. Tittae Steph. Unter der Yar.
£. villosus Ledeb. befinden sich mehr oder minder alle
stark behaarten Exemplare von T. Serpyllum vereinigt; es
gehören desshalb hierher nicht nur villos., sondern auch
hirsut, lanuginos und selbst canescent behaarte Formen,
bei denen man wieder schmal-und breitblättrige For-
men unterscheiden könnte. Es wiederholen sich hier
desshalb auch die Hauptformen von T. Serpyllum, welche
wir mit Ledebour und Boissier unterschieden haben, wel-
che aufzuführen aber hier zu weit führen würde. Wir
verweisen desshalb auf Vaillant. Botanicon Parisiense. p.
183. t. XXXI. f. 40 u. II. dann auf Reichenbach. icon.
0. germ, et helv. XVIII. t. 66. f. Ill u. 67. f. III. und
auf Schkuhr. Handb. II. p. 167. t. 164. Am stärksten
lanuginos-behaart erscheinen die Orig. ex. von Schkuhr,
dann ein als Serpyllum angustifolium angeführtes Exem-
plar ex herbario Waltheri in herb. Stephan^ und von
diesem als Th. lanuginosus bezeichnet^ und der obenange-
fährte Th. Tittae Steph., ursprünglich als Serpillum alpi^
num, latifolium, birsutum, inodorum, ab Antonio Tilta,
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— 152 —
ex herb. Breynii aufgeführt, habituell ein Th. S. Cha-
maedrys. Schmalblättrige stark behaarte Formen sind be-
reits oben unter Th. S. angustifolius ianuginosus erwähnt.
Zu e. villosus Ledeb. durfte wohl auch T. pulvinatus Gel.
gehören. (Cf. Flora. 1884. p. 533—636).
С MarschalUanus Ledd>.=T. Marschallianus Willd.=
T. pannonicus Benth. et Host.,=T. pannonicus ß. Mar-
schallianus G. Koch,=T. ammophilus Tschern.,=T. Qu-
sianus Bernh.,=T. comptus Friv.,=T. austriacus Host.
Exemplare aus dem Altai (Koptjeff und Ledebour)^ aus
dem Tarbagatai (Karelin, Kiriloff und Schrenk), aus dem
Alatau und aus den Karkaraly — Bergen (Schrenk), vom
Berge Daigorak (Krause); aus dem Assu- Thale, 6—^000'
(Fetissoff), vom Altyn- imel- Passe, 1600' (A. Regel),
aus dem Sud-Ural (Lehmann), von dem Majak bei Oren-
burg (Basiner), aus dem Kaukasus (Hoefft, Hohenacker,
Kolenati, Peroffsky und Wilhelms), vom Kaspischen Meere
(Karelin), von Alawersk (Eichwaid)^ vom Pontus (Koch),
aus Kleinasien von der Küste des schwarzen Meeres
(Thirke), von Derbent, von Karass, von Temir-Chan-
tchira und von Barkantschak (Becker), vom Bogdo (Claus),
vom Don, von Nartzana und von Pjatigorsk (Hoeffl),
in arenosis praeruptis circa Zaritzyn (Pallas), aus dem
Gouv. Simbirsk (Vesenmeyer), von Sarepta (Becker und
Prescott), von Saratoff (Becker und Claus), von Kasan
(Graff), vom Don (Pabo), aus dem Gouv. Orel (Tarat-
schkoff), von Kiew (Herb. Ledebour), von Charkow
(Tschernajeff), von Elisabethgrad (Boschniak und Linde-
mann), von Ekaterinoslaw (Boschniak), in apricis Podoliae
et Volhyniae (Besser), von Uman (Golde und herb. Ste-
phan), von Kurbatowo und Sarepta (herb. Fischer), aus
der Dobrudscha (Sintenis), aus Ungarn (Hohenacker und
herb. Schrader), aus Oesterreich (herb. Schrader), von
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— 153 —
der Türkenschaoze bei Wien (FenzI) aus Rumelieo (Fri-
valdsky), vom Berge Kartbiates in Chaicis, 5000' (Held-
reich) und vom Berge Corfiati in Macédonien, 1—2000'
(Orpbanides).
Zur forma angustifoUa von С Marschalliana Ledeb.
geboren Ex. ans dem Alalau transiliensis (Semenoff), von
Uralsk (Burmester), vom Kaspiscben Heere (Karelin), von
Tiflis (Pomorzoff und Badde)^ von Barkantscbak, 1867
(Becker), aus dem Gouv. Orel (Grüner), von Odessa
(Besser), von Elisabetbgrad (Boscbniak und Lindemann),
von Ekaterinoslaw (Grüner) und von Wien (herb. Mer-
lens). Verwandte Formen haben wir schon oben unter
angustifohus lanuginosus erwähnt.
Zur forma latifdia von ü^. Marschallianus Ledeb
gehören Ex. aus dem Alatau transiliensis (Semenoff), aus
dem Alatau, Ulutau und den Karkaraly-Bergen (Schrenk),
aus dem Saissan-Gebiete (Potanin), von Kopal (Ludwig),
von Samara (Bremer) und von Karaptscheef an der Oka
im Gouv. Moskau (Kaufmann). СГ. Christ. Pflanzenleben
der Schweiz, p. 98.
-/j. odoratissimus Ledéb.y==ï. odoratissimus M. B.,=M.
Zygis M. B.,=T. angustifolius Benth. quoad pl. ross. et
c! Koch in Linn. XVII,=T. pectinatus F. et M.
var. foliis latioribus *) et angustioribus.
Exemplare aus dem Kaukasus (Graff, Hohenacker, Koch,
Peroffsky und Stackeiberg), aus der Krim (Parrot und
Trautvetter), aus Anatolien (Tchihalscheff), vom Berge
Taurus, 1836 (Kotschy. Nro, 476), vom Berge Babadagh
*) Dieser Tb. odoratissimus latifolius von Sarepta (Becker) ist,
teste Celakovsky (Flora, 1884. Nro. 29. p. 538) identisch mit Th.
cimicinos Blame, welcher bisher nur von Astrachan bekannt war.
Cf. auch Celakovsky in Flora 1883. p. 165—171.
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— 154 —
in der Dobrudscha (Siotenis), von Nowo-Rossjisk (Bado-
schkovsky), Id arenosis circa Aiescbki, 1837 (Trautvetter),
Tauria (herb. Schrader), inter Cberson et Perekop et
prope Spaskoi ad Hypanimi 1818 (Ledebour), vom Don
(Blume und Trinius), aus der Baschkirei und vom unte-
ren Don im Flugsande (Eversmann), von Sarepta (Becker)^
in australibus montosis ad Wolgam (Pallas)^ von der
Wolga und von Wolsk (herb. Fischer), in sabuletis Char-
koviae (Tschernajefi), ad limitem gub« Kioviensis, 1866
(Lindemann)^ in sabuletis ad portum Nikolajewsk et in
sylvis Spaskoi ad Hypanim (Lang et Szovits), aus dem Gouv.
Pensa (Jacquet), von Ekaterinosiaw (Boschniak), von
Kiew und aus dem südlichen Podolien (Besser), von der
Insel Veglia (Noe), von Nizza (m. Hobenacker), aus der
westlichen Bergregion von Catalonieu (Costa} und spec,
cull. s. п. T. citriodori in Würtemburg (Hohenacker pl.
mere).
Sehr nahe verwandt mit dieser var. odoratissima Ledeb.
ist T. Zygis L herb- ex parte=sT. acicularis W. et. K.=
T. zygioides Griseb.,=T. striatus Vohl. Von dieser Art
lagen uns Ex. vor: aus Ungarn (Graf Waldstein), von
Felsen bei Cattaro, 2—3000', 3 Juni 1867 (Huter), Triest
(herb. Schrader), vom M. Cabria im Dmbrischen Apennin
(herb. Mus. Flor.), in montibus Nebrodensibus et in Aetna
(herb. Schrad.). aus Sicilien (herb. Jan.}, vom Hymettus
und Pentelikon, 3000' (Heldreich und Sprunner), vom
Hymetlus, 2—3000' (Orphanides), von Tunis und aus
Spanien, «ad Siguensam» (Vahl in herb. Schum.), von
Lerida (Costa), von Granada (Winkler), von Cadix (Bois-
sier et Beuter}, von der Sierra de Baza und von der S.
Bernardica Metisti (Bourgeau), von der Sierra de Mon-
lejuolo in der Prov. Eslremadura (Welwitsch), von der
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~ 155 -
Sierra da Arrabida (herb. Mertens) uod aus Portugal (Fr.
Holl und Link).
Dieser Art zuoächst stehen dann: T. Barona Loisl. aus
Corsica uod T. serpylloides Bory,=T. angustifolius Pers.
var. serpylloides G. Koch), aus Spanien nach Ex. von
der Sierra Nevada (Boissier, Bourgeau, Reuter und
Winkler).
var. Chaubardi Boiss. et Heldr.j=^T. lanceolatus Sm.
prodr.,=T. Siblhorpii Benlh. Lab.,=T. glabralus Lk. et
Hoffmsg,=T. giabratus Bory et Chaub. Pelop.,=T. Chau-
bardi Boiss. et Heldr.^=T. helerotrichus Griseb.
Var. glabra et tomentosa.
Exemplare «in apricis montosis Siciliae» (Citarda), in
pasc. sicc. reg. med. Taygelti, 1814, vom Berge Onion
in Böolien, 1851 und in reg. abiet. mont. elat. Graeciae,
3500—5000' (Heldreich), vom Berge Ozia in Attica,
1000—5000', 1854 (Orphanides), vom Berge Kuh-Daena
und vom Berge Kuh-Delu in Südpersien. 1842 (Kotschy),
und Original-Exemplare von Link.
var. Kotschyanus Boiss. fl. or.,=T. Kotschyanus Boiss.
et Höh. diagn.=T. xylorrhizus et Balansae Boiss. et
Kotschy in Sched.=T. lanceolatus Benth. in DC. prodr.,
non Desf.
variât glabra^ hirsuta et lanuginosa^ latifolia et angu-
stifolia, nervosa et squarrosa.
Exemplare aus Aderbeidshan und von Kochadora in
Persien (Szovits), von Teheran, 1859 (Bunge), von Na-
chitschewan, 1847, aus Ghüan, von Ferouz-Koul und von
Djel-naun in Persien (Baron Bode), vom Berge Gara in
Kurdistan, 1841, vom Berge Totschal bei Teheran, 1843
und von dem Gipfel des Berges Bimgöll, 1859 (Kotschy)
und vom Kataonischen Taurus, 1865 (Haussknecht),
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— 156 —
Diese var. ist ausgezeichnet durch Blatt^Form, Fär-
bung und Punktirung der Blätter, sowie durch die Form
und Behaarung der Kelche, und steht T. nummuiarius M.
B. und T. comosus Heuff. am Nächsten. (Cf. Kernen
Schedae. I. p. S7 und Celakovsky in Flora. 1853. p.
145—160 und 172—173).
var. sqwnrrosm Boiss. fi. or.,=T. squarrosus Fisch,
et Mey..=T. rigidus Schott et Kotschy.
Exemplare von Spasskoi (Besser), aus dem Süd-Ural
(Lehmann), von Bergen der Baschkirei und von Wolsk
(herb. Fischer), aus dem Alatau, auf dem Wege zu dem
Arkatskoi Piket, 18 Mai 1810, von dem Kokatau, 7 Juli
1810 und von den Karkaraly-Bergen (Schrenk), von dem
Süd-Ural (Lehmann), von Batum (Ledebour), vom Kaspi-
See, 1810 (Karelin), aus Anatolien, 1831—1836 (Wiede-
mann), aus Natolien (Tchihatscheff), vom Gilicischen
Taurus, 1853, von dem Bulghar-Dagh, 6500', 1853 und
In alpe supra Apisch-Gaja in Nord-Syrien, 1200', 1862
(Kotschy).
var. suffruticoms Bgl.
Exemplare von Jagotin und Siemaschko (herb. Fischer),
vom Karagus und vom Karatau, 1876 (A. Regel).
Diese var. ist dem Kotschyanus Boiss. in Blattform
und Blattfarbe, dem squarrosus Boiss. in der Strauchform
sehr ähnlich.
Zum Schlüsse der Aufzählung der wichtigsten Formen
von T. Serpyllum L. wollen wir noch auf eine neuer-
dings von Ball (I. c.) aufgestellte var. atlanticus aus der
Alpenregion des Grossen Atlas aufmerksam machen, welche
wohl mit nervosus Gay nahe verwandt sein durfte. Sehr
interessirt haben uns auch Celakovsky's neueste Arbei-
ten über Thymus in der Flora 1883 und 1881, obwohl
wir uns nicht enlschliessen konnten seinem Beispiele zu
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— 157 —
folgen und noch neue Thymus-Arlen aus der Gruppe Ser-
pyilum aufzustellen. Er gelangt zu dem Resoltale aus Bois-
sier's T. Chaubardi 2 Arten (T. Chaubardi Boiss. et
Heldr. und T. heterotrichus Griseb.) und aus T. Kotschya-
nus Boiss. I Arten herzustellen: T. Balansae Boiss. et
Kotschy, T. lancifolius Gel., T. daënensis Gel. und T.
Eotschyanus Boiss. et Höh.
Geographische Verbreitung: In der gemässigten Zone
von Europa, Asien und Nord-Afrika, nach becoq von 0
über Meer an bis 3000 m. und darüber, vom 10 bis 70 <^
N. Br. und vom 51 bis 163^ 0. L. Doch sind die zahl-
reichen Formen dieser sehr formenreichen und weit
verbreiteten und auch noch nicht genau als species be-
grenzten Art sehr ungleich über die nördliche Erdhälfte
verbreitet. Während die Form a. vulgaris Benth. und Le-
debour verhältnissmässig die grossie und weiteste Ver-
breitung in der nördlichen Hälfte ihres Verbreitungsbe-
zirkes hat, und zwar «in siccis apertis», tritt die Form
ß. montanus Benth. (T. Ghamaedrys Fr.) im Hügel- und
Berglande von Mittel- und Süd- Europa auf und zwar
gern in sylvis et graminosis «und zwar nordwärts bis
Grönland (670), Island, den Faröers gehend in Schottland,
England, Dänemark, Scandinavien, (mit Ausnahme des
Nordens), Deutschland, Holland, Belgien, Schweiz, Frank-
reich, Spanien, (besonders im Nordosten), Portugal (sel-
ten), Sicilien, Italien, Istrien, Oesterreich, Ungarn, Sieben-
bürgen, Groatien, Dalmatien, Griechenland, (auf den Ber-
gen), Macédonien, Tbracien, Rumänien, im europäischen
Russland, Kaukasus, in Nord-Persien und am Altai. Der
ächte T. angustifolius Pers. (Wallr. und Schreb.) ist, wie
Kerner (1. c.) mit Recht hervorhebt, insbesondere in der
norddeutschen Niederung, in Dänemark und Scandinavien,
zumal auf trockenem Sandboden in den Kiefernhaiden
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— 158 —
sehr verbreitet und erstreckt seinen Verbreilungsbezirk
von dort einerseits über die Rheingegenden und Bel-
gien, nach dem nördlichen Frankreich, (Normandie, Mont
Ventoux '), Pyrenäen) auch in Catalonien, andererseits
Süd- und ostwärts durch die mitteldeutschen Bergland-
schaften bis Nürnberg in Bayern, in das Mittelland von
Böhmen, nach Steiermark und in die Schweiz. Südwärts
und ostwärts ist sein Yerbreitungsbezirk grösser als
Kerner anzunehmen scheint, selbst wenn man ihn genau
von den südlichen Formen von T. Serpyllum (T. acicu-
laris, T. odoratiseimus u. T. Zygis) unterscheidet und
erstreckt sich nach Italien, Dalmatien, Croatien, Ungarn,
Siebenbürgen, «аиГ sandigen Hügeln und auf sandigem
Boden an Flussufern» bis in die Alpenregion, so auch in
Galizien und Schlesien und im grössten Theile des euro-
päischen und asiatischen Russlands, wie aus unseren Cita-
ten und Fundorten hervorgehen dürfte, auf welche wir
hier verweisen müssen.
Die Form Marschallianus Ledeb. (=:T. Marschallianus
Willd und T. pannonicus All.) hat ihren Hauptverbrei-
tungsbezirk in Osteuropa und Mittelasien, auf Wiesen der
Hügel- und Bergregion der Karpalhen und des Balkan in
Ungarn, Siebenbürgen, Dalmatien, Macédonien, Griechen-
land, Rumänien, im sudöstlichen europäischen Russland,
*) Sehr eigenthümlich ist das Vorkommen des T. angastifolias Pers.
auf der Nordseite des Mont Venteux zwischen 1720 und 1911 m«,
während am Sttdahhange desselben T. Serpyllum L. in der alpinen
Region zwischen 1810 und 1911 m. auftritt. Gf. Martins Von Spitz-
bergen zur Sahara. I p. ISO.
Im Bereiche der span. Pyrenäen kommt T. Serpyllum L. nur in
der unteren und montanen Region vor, im Bereiche der Alpen
Jedoch, wenigstens der Ostaipen, bis in die Region des Krummholzes
(Krasan. 1. c.}.
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— 159 —
Kleinasien, Kaukasus, Turkestan, Cral, Alatau und Altai.
Der nordwestlichste Fundort von Marschallianus durfte
die Türkenschanze bei Wien und der nördlichste Ka-
raptscheef an der Oka im Gouv. Moskau sein. Südwest-
lieh erscheibt diese Form noch auf den Bergen Italiens
nach Arcangelis Angabe.
Was die geographische Verbreitung der stark behaar-
ten Formen von T. Serpyllum anbetrifft, so muss man
hier, so weit es bei der confosen Synonymie möglich ist,
zwischen den behaarten Individuen der Hauptformen (vul-
garis, montanus, angustifolius und pannonicus) wieder
scharf unterscheiden und erhält darnach den Yerbrei-
tungsbezirk derselben, welcher zugleich der Verbreltungs«
bezirk der Hauptform selbst ist. Thut man diess, so
bleibt nur eine stark behaarte Form noch übrig: e.
villosus Ledeb. (=T. vlllosus Pali., — T. hirsutus M. В.),
deren Verbreitungsbezirk nur dem Süden angehört und
auf den Bergen Griechenlands, Thessaliens und der Krim
zu suchen isl.
Die Form o. latifolius Ledeb. (=T. Numularius M. B.
und T. comosus Heaff.) gehört auch dem Süden an und
hat ihren Hauptverbreitungsbezirk im Kaukasus, tritt
jedoch im Banat und, da Kerner seine (I. c.) Identität
mit dem Rochel-schen T. lanuginosus Schkuhr nachge-
wiesen hal, in Ungarn und Siebenbürgen auf. Die Form
Tj. odoratissimus Ledeb. (=T. odoratissimus M. B.,=T.
Zygis L. herb, ex parte. Vis. et Sibth.,=T. acicularis W.
et K.,=T. striatüs Vahl), von Neilreich (Veg. Verh. von
Croatien. p. 115), als das äusserste Endglied der schmal-
blättrigen Formen des T. Serpyllum» bezeichnet, ist auch
eine acht südliche Form und darf unserer Meinung nach,
nicht mit T. auguslifolius Pers. verwechselt und zusam«
mengeworfen werden. Ihre Heimath ist Süd-Russland, der
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— 160 —
Kaukasus, die Krim, Kleiuasien, Griechenland, die Dob-
rulscba, Croatien, Dalmatien, Ungarn, Siebenbürgen, «auf
dörren Heiden und Bergabhängen und sonnigen ТпПеп»,
in Unter-Italien, Sicilien, Nordafrika (Tunis), Spanien und
Portugal.
559. (300). CalftMlitha ClliopNi» Beitl.
s Melissa Glinopodium Benth. Lab., = Clinopodium vul-
gare L.
Bentb in DC. prodr. XII p. 233. n. 32. Ledeb. fl. ross. IIL 1. p.
865. Benth. Lab. p. d92— d08. Aitchlson. On the flora of the Knram
Talley, Afghanistan. 1. c. ХУШ. p. 86. ArcangelL fl. Ital. p. 541. n.
9317. Ascherson. Flora, p. 614. Bakonin. Flora von Twer. 1. с p.
842. Ball, im Joornal of Botany. 1876. p. 175. Bekarewioz. Kostroma,
p. 42. n. 304. Boise, fl. orient. lY. p. 679. Bonlytscheff. Aperça. 1.
с. p. 16. n. 154. Bnnge. reliq. Lehmann, p. 256. n. 1027. CelakoTsky.
Prodr. p. 351. 888. Coulter. Bot. Gaz. Ylll. 1883. p. 189. Caniel. Fl.
Ital. VL p. 135. A. De Candolle. Geogr. hot. rais. I. p. 576. Cou-
tinho. Flora transmontana. p. 146. Garcke. Flora, p. 311. Gobi. Verz.
p. 90. n. 377. Gren. et Godr. 1. c. П. p. 667. Grenier, fl. de la chaine
Jurass. p. 618. Günther. Materialien. 1. с. p. 46. п. 315. Heldreich,
fl. de Cephalonie. p. 58. Irmisch. Beitr. z. vergl. Morph, d. Pfl. Y.
p. 71—72. Ivanitzky. Wologda. 1. с p. 472. Kanitz. Plant. Roman, p.
95. n. 1819. Kaufman. Flora, p. 375. Klinge. Flora. IL p. 234. Koch.
Syn. p. 559. Koch. Taschenb.p. 405. Koschewnikoffu. Zinger. Abriss.
p. 88. n. 569. Lecoq. Études. YIII. p. 40—42. Lindemy fl. Ghersoo.
II. p. 84. Marsson. Flora, p. 357—358. Meinshausen. fl. Ingrica. p.
271. n. 506. Mert et Koch. 1. с IV. p. 322—323. Herrn. Müller.
Befruchtung, p. 326. Norrlin. Flora Karel. Oneg. I. p. 162. Norrlin.
Om Onega Karel. veget p. 37. 40. 41. Nyman. Gonsp. fl. europ. p.
587. Paschkjewicz. Flora y. Minsk. 1. с p. 183. п. 619. Porter and
Coulter. Syn. Colorado, p. 99. Rgl. tentam. p. 117. n. 384. Rchbch.
1. с XYHI. p. 42. t 73. Rostafinski. Fl. Pol. Prodr. p. 182. n. 488.
Saint-Lager. Catalogue, p. 622. Schell. Mat z. bot. Geogr. d. Gouy.
Ufa u. Orenburg, p. 267. n. 776. Schur, enum. plant Tranes, p. 531.
Tscholowsky. Flora d. Gouv. Mohileff. p. 51. Unger. Enfiuss des
Bodens p. 329. Watson. Cyb. brit П. p. 245-246. Willkomm.
Prodr. fl. Hisp. U. p. 416.
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— 161 —
Exemplare aus Estland (Kuhlewein), aus dem Gouv. S.
Petersburg (Meiushausen, Mertens, Regel), vom Imatra
üüd von Walaam (Regel), von Warschau (Ender), von
Moskau (Annenkoff)) ^on Mohilew (Pabo), von Simbirsk
(Vesenmeyer), von Kasan (herb. Stephan), von Samara
und vom Don (Pabo), von Orel (Grüner), von üman
(Golde), von Elisabethgrad (Boschniak und Lindemann),
aus der Krim (Hiltebrand, Ledebour, Stephan und Traut-
vetter), aus dem Kaukasus (HoefTt, Hohenacker, Kolenali
Nordmann, Radde und Wilhelms), von Astrabad (Karelin),
aus Daghestan (Becker), aus Turkestan (Fedschenko und
Krause), aus Nord-Persien (Szovits), von Bujukdere (Tchi-
hatscheff), von Marsiwan, Safranbol, Tokat (Wiedemann),
aus Syrien (Ehrenberg), aus Rumelien (Frivaldsky), aus
Kurrum- Valley in Afghanistan, 1879 (Aitchison), aus
Algerien (Bové), von Bon Ventura, 1875 (Lowe), von den
Azoren, 1861 (Moriz), aus Nordamerika (Mertens), aus
Kentuky (Raünesque) aus Pennsylvania (Poeppig), von
Plumsteadville, Pa, 1867 (Moyes), von Helderberg Mts,
N. Y. (Peck), von Penn-Yan, N. Y. (Sartwell), aus Chilen-
ischen Samen (herb. Fischer), von Marly, 1870 (Krause),
von Montzeil, Loire inf., 1866 (Bureau), von Arnas und
Denise Rhone, 1873 (Gandoger), aus «Deutschland» (herb.
Fischer), von Grubenhagen (Ledebour), von Wiesbaden
und von Elm in der Schweiz (Herder).
ß. gracilis Lnge. (=C. atlantica Ball. I. c).
Ex. aus Marocco (Warion).
Geographische Verbreüung: Fast In ganz Europa (aus-
genommen im Norden Scandinaviens, Nord-Finlands und
des europ. Russlands), in Mittel-Asien» Nord-Afrika und
Nord-America und zwar hier wahrscheinlich von Europa
aus eingeführt, nachgewiesen in Schottland, England,
Dänemark, Scandinavien, Süd-Finland, in Mittel — und
•¥ 1. 1885. 11
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— 162 —
Säd-Bu88land, im Kaukasus, io Turkestao, Nordpersieo,
AfghaDistan, Korea (als var. urticifoiia Haoce) % ita Auä?
tolien, Bumeliea, Griecheolaod Greta, Cephalooin, in
Algerien, auf Madeirai аиГ deo Azoren, in Portugal
Spanien, Frankreiëb, Deutschland, in xier Schweiz, in
Oeeterreich-HÜngarn, den Donaustaaten, in Dalmatien^
Italien, Sardinien und Sicilien.
560. (301). Galaaintha chinensis Beith.
Bentk. in DC. prodr. XIL p. 23t. в. &1. ^ncim. ртатН. p. 217. à. 57^
Franch. et Savat епиш. plant. I. p. 869. n. 1886. Fraf chet P|..
David) 1. с p. 116. n. 737. Hance, AdTcrsaria in den Ann. sc. nat
Sér. V. t V. p: 235. . . •
t^^r graf^ifiora Maxim. 2. c. . ;
Bliithenexemplare vom Amur, aus dem Bureja-Gebirg«
(Badde)^ voqo .Amur, I Aug. 1856, von Prärien am Amur,
d. 5 und 6 Juli 1859| von Prsiriep am Sungari, d. 22
und 26 Juli 1859 und von Wiesen an der Possjet-Bai
häufig, d. 11 Juli 1860 . (Maximowicz), vom Sungatschf
und Ussuri.(Maak), von Nikolske, 28 Juli 1872 (Goldeur
städt), von der Mandshurischen Küste und aus Japan^
von Hakodate (Wil(ord), von Nagasaki (Bürger, Oldham
und Textor).
♦) Hance (1. с p. 235—236). CcUamintha Clinopodium Bth. vor*
urüeifolia H. caule glabriasculo ad angolos tantum piloso, foliis
majoribas oyatis basi rotondati; grosse serratis apice integerrknis
appresse pilosis Ъгете petiolatis, Terticillastris'denstssimis pednn-
cnlo commoni trilineali snffaltis, snpremis . conflnentibus, bracteis
pllosissimis calycis longitndine. In ora Koreensi leg. Dr. Baynes,
1866. Din baesitavi an pro propria baberetnr specie, at probabiliter
nil est nisi Tarietas С. Clinopodii, peduncnlo comnmai OToluto inr
signis.
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^ 163 —
Von der geouioeo С. cbiaeosis Benth. lag ons ein Exem^
|)lar aus Nord-China (Fortune) vor.
Geographische Verbreitung: In der Mandschurei, beson-
<lers im südlichen Theile derselben, auf dem Japanischen
Archipel, аиГ den Loo*Gboo-Jnseln und in China.
561. (302). Calaaiitha assarieisls Rgl. et Maaek.
Kgl. tentaitt. p. lie. n. 383.
Bluthenexewplare voo} llssuri (Maack).
Geographische Verbreitung: In der südlichen Mand-
schurei.
f . ' . ; •
&62. (303). Galaniitha Mbrosa Beith.
ßentb. iii DC. prodr. XU. p. 232—238. n. 29. Schmidt Reibea. p.
164. D. 341. Stewart Punjab plant p. 1в7. Franch. et Savat. enam.
plant I. p. 368. D. 1394. Francbet PI. David. L e. p. 116. n. 736.
Hance. Adversaria. L с p. 235. Hook, et Thwaites. Бпшп. pi Zey-
lan. p. 239. Engler, Beiträge zur Flora des sttdl. Japan a. der Lia-
kin-^Jnôeln. n. 1384. Exemplare ans dem Kankasas (Hohenacker,
Kordmann nnd Steven), aus torkmenien (KarelinX ans Persien
(Bunge) nnd von Sikkim-HUnalaya, Mai 1876. (Trentter).
var. sachalinensis Schmidt, l с Exemplare aus Sacha-
lin^ von Nuburiendu, 29 Juli 1861 (Glehn).
Geographische Verbreitung: auf den Gebirgen von Mit-
lei- und Ost-Asieri: am Kaukasus, in Turkmenien, Nord-
Persien/ Afghanistan, am Hi№alaya und auf den Gebirgen
Vorder-lndieitsund Cèylcins/auf dem Japanischen Archi-
pel, ttin fruticetis umbrosis», auf den Liukiu-Inseln, «uf
Sachalin nn(;i in China,
, 56d, (304). Satureja hortensis L
Bentbi in DC. prodrl XILp. 209. n.l. Ledeb.fl. ross.Ul. 1. p.849.
Л. Gray. Syn. fl. of N. Amer. П. 1. p. 358. Arcangeli. fl. ItaJ. y.
11*
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— 164 -^
Ыд. п. 3801. Ascherson. Flora, p. 518. Boiss. il. orient IV. p. Ш-^
663. Camel. Fl. Ital. VI. p. 106. Coulter. Bot. Gaz. VIII. 1888. p.
189. Garcke. Flora, p. 810—811. Grenier et Godron. 1. с П. p.
660. Klinge. Flora. IL p. 238. Koch. Syn. p. 556. Koch. Taschénb.
p. 404. Lecoq. Études. VIII. p. 32. Lindem, fl. Cherson. IL p. 82.
Mert et Kocb. 1. с IV. p. 229. Herrn. Müller. Weitere Beobachtun-
gen. III. p. 56. Nyman. Consp. fl. еигэр. p. 691. Palacky, J. Ober
die Westgränze unserer Pflanzen, p. 39. Pomata. Catal. de Toledo,
n. 467. Rehbch. 1. с XVIIL p. 40. t 71. SaintrLager. Catalogue, p.
619. Schur, en pi. Transs. p. 531. Trautvetter. Plant, mess. p. 81.
n. 464. TrautT. Plant Caspio-Caucas. p. 70. n. 485. Turcz. add. et
emend, ad fl. baicabdahur. p. XLIX. Sereno VITatson. Botany. Ca-
talogue, p. 235. Willkomm. Prodr. fl. Hisp. П. p. 410.
£хешр1агв vom Baikalsee (Kruhse), aus dein Altai
(Ledebour), aus denn Gouv. Orel (Taralschkoff), aus dem
Kaukasus (Adams, Frick, Hoeffi, Kolenati, Badde und
Szovils) und aus Chiwa, 1873 (Korolkoff und Krause).
Geographische Verbreitung: UrsprÜDglich wohl nur it^
Süd-Europa und im Orient, aber als Kuchenkraut cuilb
virt, jetzt über alle Contineute verbreitet uod hie und da
verwildert. lu Spanien (besonders im Süden) in Süd-
frankreich (cf. Saint-Lager!), in Italien, Croatien, Dalma-
iien, in der Krim, im Kaukasus, in Kappadocien, in^
Chiwa, im Altai, in Baikalien, in Ostindien, am Cap der
guten Hoffnung und in Nord-Amerika in den Staaten.
Ohio, Illinois und Nevada (Unionville Cannon, West Hum-
boldt Mountains); gehört zu denjenigen Pflanzen, welche
in den westlichen Воску mountains bleiben und dea
Meeresstrand nicht erreichen. (Palacky. I. c).
564. (305). Hyssopus ofielnalis L.
Benth. in DC. prodr. XII. p. 251—252. n. 1. Ledeb. fl. ross. HL
1. p. 356—357. Arcangeli. fl. Itai. p. 541. n. 3816. Asa Gray. Syn. fl.
of. N. Am. II. I. p. 854. Asa Gray. Bot. of California, p. 590. Asc*
hersop. Flora, p. 512. Ball, spicil. fl. Marocc. 1. с p. 618. Boise, fl.
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— 1Го —
Hirîent IV. p. 684— Ö86. Carftel. FL Ital- VL p. 93. Celakovsky. Prodr-
p. 362. 838. Franchet. Mission Gapas. p. 140. Oarcke. Flora, p. 812.,
<ihrfst in Gremlî. N. Beitr. z. FI. d. Schw.Lp. 20. a. Pfl. leb. der.
Schw. p* 41. 43. Grenier et Godron. 1. с II. p. 669. Grenier, fl. de
la chaîne J^rass. p. 616. Irmisch. Beitr. z. Tergl. Morph, d. Pfl. Y.;
p. 72— 73. Kanitz. Plant Roman, p. 96. n. 1821. Kli|ige. Flora. II. p^
283—234. Koch. Syn. p. 659. Koch. Taschenb. p. 406. Lecoq. Études.
Till. p. 48—45. Ludwig. Flora hennebergica, in den Verh. d. bot.
Ver. d. Pr. Brandenb. XV. p. 96. Mert. et Koch. 1. с IV. p. 233—
234. Nyman. (Зопвр. fl. europ. p. 587. Rchbch. I. с XVni. p. 88. t.
68. RostafinskL fl. Pol. prodr. p. 132. Saint-Lager. Catalogue, p.
•618—619. Sanio. fl. Lycc. Nachtrag, in den Verh. d. bot. Ver. d.
Prov. Brandenb. XXIII. p. 37. Sievers. Briefe, p. 116. 137. Trautvetter.
Plant a Radde in isthm. Cancas. lect p. 61. n. 294 Willkomm.
Prodr. fl. Hisp. II. p. 418.
Exemplare aus Daurien (?) (Sosnin), aus dem Altai
(AndrejeflT, Kopljeff, Ledebour und Semenoff). aus dem
Altai uod Tarbagatai (Karelin und &iriloff), vom Nor-
Saissan (Bunge), «ad Ishim in arenosis sylvis Schubae»
(Sammler?), aus der Kirgisensteppe (Miroschnischenko
und Schrenk), aus Turkestan (Krause, Kuscbakewicz und
Larionoff), aus dem Kaukasus (Adams, Georgi, Hohen-
acker, Kolenati, Parrot und Radde), von Ttflis (Po-
morzoff), aus dem Östl. Karabagh und von Schita, Oct.
1829, in. Nordpersien (Szovils), aus «Tataria» (Norke),
von Belaja Glinka an der Wolga, 1852 (Claus), von der
Wolga (herb. Ledebour), vom Fl. Alei (Helm) und von
Sarepta (Prescoll).
Oeographieche Verbreitung: Ursprünglich wohl auch nur
in Süd-Europa, in Mittel-Asien und in Nord-Afrika (in^
der Alpenregion des grossen Atlas, zw. 3000 und 3300
m.), jetzt aber als Küehenkraut und Medicinalpflanze weit
verbreitet und hie und da verwildert und selbst in Nord-
amerika (Plumas С. in Californien) vorkommend. Nach-
gewiesen ist das Vorkommen des Yssops in Spanien (be-
sonders an der Sierra Nevada), in Süd-Frankreich (cf.
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— 16« —
SaioULager (I. с*) über seise Verbreitong nod seine zahl-
reichen Рогтео!)| in der südlichen Schweiz, in Italien, in
Süd-Tyrol, in Kam then, Istrien, Dalmatien, in der Herze-
gowina und in Montenegro, in Rumänien, in Sud^Rnss*
land, in der Krim, im Kaukasus, in Turkestan, in Per*
sien, in Kaschmir^ im Alatau, im Altai und vielleicht auch
in Daurien. Als Gulturpflanze verwildert findet sich der
Tssop an vielen Orten in Nord-Frankreich, in Deutschland^
in Oesterreich, in Ungarn und im europ. Russland, wie
in den Oetsee-Provinzen und in Polen und in Norwegen
noch zu Hamar unter 60® 1Г N. Br. (Blytt. NorgesOora.
IL p. 745).
565. (306). Lephaalhns ehliensis Beith.
= Hyssopus Liophanthus L.
Benth. in DC prodr. XII. p. 369— Зта n. b. Ledeb. fl. rose. IIb.
1. p. 872. Traatv. Catal. plant а Lomonossov. in Mong. orient lecU.
p. 24 n. 85. Tarez, -fl. baical-dabnr. IL 1. p. 401.
Bluthenexemplare von Nertschinsk (Sensinoff), von
Charalzai (Turczaninoff), aus Transbaikalien (Redowsky),
aus dem Altai (Ledeboor), aus dem Alatau (3chrenk>
und eultivirte Exemplare (ex herb. Fischer, Merlens et
Schrader).
Geographische Verbreitimg: Im Altai und im Alatau,.
in Transbaikalien, in der östlichen Mongolei und in Nont-
China.
{Fortsetzung folgt)
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R E I s E в R I E F E
FUR DAS JAHR 1884 UND 1885
van: Albert Begeh »
(^ den PräeideBten, der Kaiserlichen Moskauer Natnrforscher-
Gesellschaft).
■ • 1..
Buchara, den 29-sten ipril (ll-ten Mai) 1884.
WeDD vou wn an der Verkehr nur vpn meiner Seile
b«r leicht ist, so will ich doch gerne die Gelegenl)eit
ergreifen,, von der Reise aus knr^e Nachrichten zu ge-
ben. Vorgestern bin ich in Buchara angelangt. Als die
Fruch.tbäume verblüht waren und bereits der Pyrol seine
Stimme erhoben hqtte, war ich ßus: Samarkand ausgezo-
gen, (ch fuhr mit der Post nach Kattakurgan, einer re-
gelrecht Qnçelegten Gartenstadt mit russischen Dienst-
wohnungen. Pieselbe liegt an dem linken Rande der
dichtbebauten ßarafschanniederung und erb< ihr Wasser
aus dem oberwärts abgeleiteten Graben Narupai. Abwärts
von Kattakurgan versiegt der Narupai auf dem bucha-
rischen Gr&nzgebiete, und Unfruchtbarkeit hat jene hö-
bereu Theile der Uferterrasse ergriffeni welche nach altenp
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— 168 —
Rechte aus Samarkand roil Wasser versehen wurden.
Sonst entsprechen die einzelnen Reihenpflanzungen von
Pyramidcnsilberpappeln, Pyramidenbalsampappeln, Silber-
weiden, Ulmen und Elaeagnus bis zum bucharischen
Fort Siaueddin hin dem üppigen Anwüchse der gleichen
Holzarten in der Sarafschanniederung. Der Terrassenrand
bricht steil über der Niederung ah und besteht aus Lehm-
schichten, zwischen welchen am Grunde Sandschichten
vortreten. Sieben Fuss unter der Oberfläche liegt die letzte
Kulturscbicht, welche an der Abbrucbsteile gebräunte
menschliche Skeletltheile, gestreifte graue Thonscherben
jund einem einzelnen Funde nach zu schliessen auch Stein-
geräthe enthält. Dagegen bergen die oberflächlichen
Schichten Scherben und Ziegel, deren Zeichnungen aq
die jüngste Verfallsperiode Mittelasiens erinnern, wiewohl
die gleichen Muster bis auf die ältesten historischen Pe-
rioden zurück zuverfolgen sind. Die Randgebirge des Tha-
ies reichen beiderseits über den Meridian von Kermine
hinaus. Südlich von dieser Stadt erheben sich Schieferkup-
pen, welche nur kümmerliches Gestrüpp von Convolvulus
und Alraphaxis, einzelne Composilen, ümbelliferen, Cm-
ciferen, die knollige Euphorbia Rapulum hervorbringen.
Schildkrölen und Eidechsen zeigten sich Schritt für
Schritt. Den Anfang der bucharischen Ebene bezeichnet
eine Aftemisiensteppe; darauf hebt auf dem bald lehmi-
gen bald sandunlermischten und sturmdurch wirbelten
Boden eine theilweise aus Zwiebelgewächsen, theilweise
aus Schwertlilien, Astragaleen, Cruciferen und Borragi-
neen bestehende Flora an, wie sie von Ostbuchara's
Niederungen her bekannt war. Es war für den Naturfor-
scher ein nahezu jungfräuliches Gebiet, welches nur ein-
mal durch Lehmann auf seiner Reise nach Samarkand
untersucht, von den wissenschaftlich gebildeten Theil-
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— 169 —
nehmern am Gbiwareldzoge nur fluchtig berührt word^n^
war. АиГ seioer abgesonderten Oase glänzt Buchara als eine
der bedeutendsten Handelsstädte Mittelasiens. Innerbalb
des weiten und zinnengekrönten Mauerringes sind die ho-
hen Lehmgebäude und Ziegelgebäude dicht aneinander-
gedrängt. Aus den engen Karawansaraigassen tritt der
Beiter in die gedeckten Markthallen und bewundert die
Mosaikfaçaden der Moscheen und geistlichen Schulen.
Im Nordosten von der Stadt fliesst der eingedämmte
untere Sarafschan vorbei; rundum dehnen sich in weitem
Kreise obstbaumbeschaftete Niederungen, Höfe, kom-
postgedungte Felder und Haine von Euphratpappeln aus.
Ich denke in dieser Stadt noch einige Tage zu verxNei*
len und dann an den Amudaria aurzubrechen.
Mit vorzüglicher Hochachtung und besten Wünschen
verbleibe ich
Ihr ergebener Albert RegeL
11.
Merv, den 2^8tea Mai (lO-ten Jooi) 1884.
Excellenz!
Von Buchara aus hatte ich in wenigen Tagen den Weg
bis zum Amudaria zurückgelegt. Es erweist sich, dass heut-
zutage das bewässerbare Kulturarel des westbuchari-
sehen Gebietes nur gering ist, und nachdem Samarkand
und Kattakurgan einen anderen Aufschwung genommen
haben, könnte das Sarafschanwasser nur bei grösserer
Sparsamkeit im Verbrauche bis zu dem einstmals blühen-
den Karakul gelangen. Die Karakuler, ein Ihätiger und
gemüthlicher Stamm mit eigenthümlichem Mischdialekie,
setzen Schutzpflanzungen von genügsamen Euphratpappeln
und Ulmen, seltener von Weiden und Pîjppein. Trotz
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tHeo Aaetrengoogen bleibt es zweifelhaft^ 6b Westtnirtar«
seine Bedeutung als Durchgangspunkt ; des' Handele иве
Mitteljpiakt «tor altererbten mittelasiatischen Kultur be-
whreli wird^ und die eindriugiiide Civilisatfoi nicht
•Iwia nur 1ИВ lialtorersandetes Land erbt/ Ob dann Aach-
toägliebe Massregeln, die schwierige Bewaldung der Sai^af«*
schaegebirge eingerechnet, die Wasserm^nge zu erhöhen
Yerttdt^y ist vorderhand nicht zu bestimmen. Die freie
Lehwtipf^ südlich von Buchara bringt wenig Anderes,
als Ревепиш, Alhagi, Zy^hyllum und Salzpflanzen hervor.
Austersehat^nr^iehe DOntinbäuke legen sich dreihundert
Fdiss hoch und vieK Meilen brdt vor :den Amudaria.
Hier umschwirren seltene. Inaekten dus Gesträubfe von!
Smirnowia turkeatuiiet^ ZygophyHum^ Eremospartbn und
Astragalus, die Bäutncben voin Ammedebdron Sievèrsi
und die nickenden Grasbösche der Stipa capillacea. Unter
dem spärlichen Grün suchen die riugelschwänzigen Eidech-
sen Schatten und Schutz, wenn sie vor Überraschung
nicht mehr Zeit gewinnen, sich in den Sand platt ein-
zugraben und Ihre Körperumrisse in demselben verschwin-
den zu lassen. Inmitten der Dünen ist ein kleiner
Kochsalzsee in den Lehmgrund eingebettet. Er liegt fast
auf gleicher Höhe mit dem Karakuler Iiande und der
Amodaria-Niederung. Den schmalen Kulturstreifeia am;
Flusse nehmen Niederlassungen der Karakuler und der.
schwarzmützigen Kopalf ly ein; das zeitweilig iiberschwemm-
te Land deckt flacher Aluropusrasen, auf weichem
hier und da Tamariskengebusch und verkrüppelte Eu-
phratpappeln stehen. Der lehmbraume Strom ist über eine
Stunde breit und stellenweise über fünf Faden lief. Jen-^
seits zieht ^ich der alte Kulturstreif von Tschardschui in
einer Breite von kaum zwei Meilen flussaufw&rts gegen
die rothwildreichen Uferwälder von Kawakly hin. Den
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- 171 —
Südraad des Thaies bildet ein zehn .Heilen bmter Dunen^
wall, auf den ei*sten Blick ebenso kahl wie der вЧ^мш*
her liegende. Die eigenlhümlicben Papilionaceenholzarlen
krönen hier nur einzelne heisse Dünenkuppen; sonst schanl
nur da und dort der Kopf einer Eidechse oder eines
Schreit Vogels vorsichtig ober den Kuppenrand hervor« In
schluchtenartigen Griben zwischen den Flugsandwällen
wetteifert die Blöthdorülle der Ammodendronbäumchen
und Eremospartonbäumchen mit der Farbenpracht der
Mylabrisschwärme. Die Salzwasserbrunnen befinden sich
auf den L€ihmentbl$ssungen zwiscihen den Sandhugeln
and erreichen eine Tiefe von zwanzig Faden. Rundum
prangt das Caligoneengestrüpp in der Fülle seiner vielzi-
pfligen Perigonformen. Bei dem bucharischen Gränzbrun^
nen Rafatak an dem Sädfuäse der Hauptdîînenmasse lie-
gen Konchyüensplitter, Marienglas und zerstreute hand-
tellergrosée Sandsteinconcremente von unregelmässiger
kreuzförmiger oder sternförmiger KrystaHform auf der kies-
beslrenten Lehmfläche. Diese erinnern an die salzhaltigen
GoDcremente, welche am Ufer des Issikulse«^ аш dem
Sehaume des Seewaaeers niedergeschlagen werden. Lasd*
einwärts gleicht die Flugsandstrecke einem ungleich-
nüLssig gefurchten Wellenmeere. Da und dort erheben sich
!ehmg rundige Barchanböcker. Hangästiger Saxaulwald be-
schattet meilenweit den Hohlweg. Im Dickicht seiner fünfzig
Fuss hohen Bäume erschallt der Ruf der Würger und
Spechte: Trillernd sehwebt die Haubenlerche über den
Liehtungen, auf denen die Schafe durchziehender Händ-
ler Blasenriegdgräser, Borragineen und fleischfarbene Rit-
terspornblumen abweiden, fris, Eremurus» Tulpen, Arof-
deen und ein grossblättriger Rhabarber waren hier be*
reils verblüht, und je weiter der Fuss südwärts drang, um so
vorgerückter erschien die Jahresentwickelung. Peitschen-
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— 172 -
artig ausgestreckt hingeo Schlangen von den Silber-
grauen Zweigen der WüstenhÖlzer herab^ von denen sie
in der blendenden Mittagssonne kaum zu unterscheiden
waren. Das Heer der Eidechsen glitt über den Sand, die
Einen grau und algewandt» die Anderen, plumpköpfig^
den Röcken mit rother Zickzackzeichnung, verfärbten
sich an der Kehle veilchenblau, wenn sie erschreckt wur-
den, und eine hochbeinige fusslange schwefelgelbe Eidech-
se hob den Kopf hoch auf und verfärbte sich dann plötz-
lich azurblau am ganzen Unterleibe. Unwillig zischte
die vier Fuss lange Rieseneidechse aus ihrem Loche die
Verfolger an. Erst zur Abendzeit, wenn der auf 50 — Б5*'
R. erhitzte Sand abgekühlt wird, finden diese grossen
Reptilien ihre Reute von schwarzen und weissgestreiften
Pimelienkäfern; dann erst krabbeln die dreizölligen
schwarzen Phalangenspinnen zum unerwarteten Angriffe
hervor, und über dem Lagerfeuer schwirrt die Jagd der
Fledermäuse und Jagdschmetterlinge. Im südlichsten Theile-
der turanischen Wüste ziehen die Sandwälle parallel hin^
und dazwischen liegen Lehmentblössuugen, auf welchen
das Regenwasser stehen bleibt. Die Entfernung der übrig*
gebliebenen Salzbrunnen beträgt über acht Meilen, also
zu viel für einen Kamelmarsch. Die Kamelführer ver-^
sehen sich mit Wasser, und die Leichtberittenen spüren
Tauben und Sandhühnern nach, um den Fleischvorrath
zu erneuern. Die Sklavenraubzüge der Turkmenen haben
hier die letzten Monate aufgehört. Seitwärts vom Wege
giebt es Rrunnen mit gutem Trinkwasser. Im Rrunnen
Rurtyschik steht reines Wasser auf der Tiefe von sieb-
zehn Faden unmittelbar über dem Kalkgrunde. Das Ro-^
denniveau steigt in der Nähe der Tekeoasen über dasje»
nige der Amudarianiederung merklich an. Auf der Lehmßä^
che ausserhalb des jetzigen Rewässerungsgürtels liegen die
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— 173 —
Buiûeu des allen Mauri, iu welchem Kulturvölker des
Allerthums vod den Zeiten des Zendavesta bis zu dem
letzten Jahrhunderte Spuren hinterlassen haben. An den
Kanälen, welche sich vom Entenflusse des heutigen Merv
abzweigen, stehen die Aule der Teketurkmenen. Es sind
regellose Anhäufungen von Filzjurten und Höfen mit
Lehmmauern. Neben den Aulen liegen Melonenfelder, Se-
samfelder und Getreidefelder. Grosse Zwischenräume
liegen brach; denn dieses Volk scheut die Bewässerungs-
arbeit. Die Mauer von Merv zieht sich eine Meile weit
dem Flusse Murgab nach und umschliesst Weizensaat
und zwei kleine Aulen, welche in dem ungeheuren Vier-
ecke verschwinden. Die russische Garnison hat sich auf
dem schmalen Baume verschanzt, welcher zwischen Mauer
und Fluss übrig geblieben ist, muss aber in ihren Jurten
Sonnenstrahlen und Fliegen aushalten. Die bescheidenen
Aprikosengärten des linken Ufers versprechen bessere
Unterkunft. Ich beabsichtige im Süden und Osten von
Merv umherzustreifen und mich dann nach Ostbuchara
zu wenden. Am lohnendsten mag die hiesige Thierwelt
sein. Iltisartig gefleckte Wiesel, Wildschweine mit ge-
fleckten Jungen, Füchse, Wölfe, gelb-grundirle Panther
mit Irbiszeichnung, selbst Geparde gehören ihr an. Nach-
tigall, Kukuck, Wiedehopf, Honigvögel und Lachtauben
bevölkern die Gärten. Auf Lepidopteren, Hemipteren und
Goleopleren haben bereits Fachkundige ihr Augenmerk
gerichtet. Die Pflanzenwelt ist Derjenigen der südtur-
kestanischen Kulturzone verwandt. Alhagi, Zygophyllum,
Convolvulus, Lagonychium und Salzpflanzen herrschen
vor. Vesumpfle Kanäle sind von Schilf, Typha und Bulo-
jnus überwachsen; zierliches Salvinienlaub und braune
Potamogelonähren schwimmen auf der Wasseroberfläche.
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- 174 —
Wir leiden bier von der Hitze, welche fast täglich bis
30® B. im Schatten steigt und das Fliegeugeschmeies an-
zieht. Dasselbe stirbt im Juli, wo die Mittagstemperatur
35^ B. erreicht. Jetzt sind die Nächte noch kühl.
Albert Begel.
IIb
• Jalitan m Flusse Mnrgabvdeii 5-ten (17-ten)Mai 1884.
Excellenz!
Seit vorgestera befinde ich mich an dem.sädlichsteu
Punktei von welchem die russische Macht bis jetzt in Asien
Besitz ergriffen hat. Vom alten Mery an hatte sich die Be^
schaffenheit dès Landstriches wenig verändert. Die dortige
Lehmniederiing bildet einen Theil der Murgaboase, wel-
che ihrer Auslaufer weit in das nördliche Sandland hin-
einsendet. Erst oberhalb von dem heutigen Merv fälK
die unmerklich ansteigende Ldssiäche zu dem verengten
Flussbette ab, und bei den Trümmern der berühmten
Sultansschleuse oberhalb von Julitan scbliessen sich die
Sandhöhen, welche die Oase in weitem Bogen umkreist
haben, dem L'ferwalle an, um bald verschmolzen bald zu»-
rückweichend bis zu den Ausläufern des Paropamisus
und Chorassangebirges fortzuziehen. Auf dem ganzen We-
ge vom alten JMerv bis Julilan kehrt das bekannte Ge^
slrüpp des scfawarzbeerigen Lycium ruthenieum und der
Schoberia, Anabasis und Tamarix mit ihren grauschwar-
zen oder goldgetüpfelten Prachtkäfern wieder, und daneben
legt sich der Teppich von grünem Kameldorn, Zwerg-
mimosen, geselligen Cruciferen. und anderen einjährige!
Pflanzen, nach deren Verwelken nur die schillernden Вер»»
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— 175 ~
lileoy fflaroquioschàligeo Blapskäfer nod mistballwälzenden
Scarabäen die Lehmfläche beleben. Die Ländereien der
dsllicheo Теке1агкшепео ziehen sich im Süden vom
allen Merv die Gcäben entlang in die Steppe hinein. Das
reichlich überströmende Wasser bildet daselbst Schilf-
sömpfe, in denen^das Geschrei eines braunen ibisschnäbli-
gen Schreitvögels/der Kiebitze, Beiher, Wildgänse und
Enten die Aufe des Kukuks und Wiedehopfs überbietet.
Die nÖrdUeheUaSarykturkmenen wohnen in ihren Jurten,
Thürmen und bienenkorbförmigen lehmbeworfenen Schilf-
bauten auf idem erhabenen linken Lôssufer des Murgabs
und haben ihre Ansiedlungen noch fünfzig Werst über
Julitad hinaus bis zu ihrer letzten Faschinenschleuse aus-
gedehnt. EiBe andere Natur wäre am entlegenen Austritte
des Mut*gabflusses aus dem Gebirge zu erwarten, wo die
südliche Abthieilung der Sarykturkmenen um die Orts-
chaft Pändy herum entlegene Wohnsitze inne hat.
Albert Regel.
.IV.
Chanova bei Merv, den 29-steD Juni (U-ten Jali) 1884.
E^cellenz!
Auch dieses Jahr geht meine Reise langsam vod statten;
denn die Entfernung von der gewöhnlichen Richtung und
die grosse Hitze hab^n allerhand Verzögerung im, Gefolge.
Wie angedeutet w^r ich von Merv aus Anfang Juni auf
der rechten Murgabseite vorgegangen und hatte bei Juli-
tan das linke Ufer betreten, um demselben zweihundert-
vierzig Worste weit bis Pändy zu folgen. Statt dem ver-
wilderten brachlande mit seinem Kameldorngeströppe^
statt Schilfdickichten, liauen salvinienüberzogenen Kana-
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— 176 —
leo und ruckständigeo Tümpelo mit ihrem Vogelgewirre
und WasseriDsekleDreicbtbum, statt dem Steppenreiclie
der Wühlmäuse und Eidechsen erfreute das Auge der
Anbliclc eines leicht eingeschnittenen Thaies, dessen
gescblängelte Wasserader der Euphratpappelwald in süd-
licher Schönheit umrahmte. Zwischen dep durcheinander
geworfenen Stämmen und dem gesättigten Herzlaube der
Cynanchumranken balzten die Fasane^ gurrten die Tau-
ben, schwirrten die grünen Honigvögel und blauen Man-
deikrähen, und wühlten Säue unter dem wilden Kapern-
dornicht. Schafhirten, bewaflfnete Händler oder Freibeuter
lagerten auf den Lichtungen unter eingesunkenen Burg-
wällen und rothen Buinenh allen. Ermüdend brannte und
blendete hier der platte Lehmboden, und der Gaumen
lechzte nach Wasser. Leuchtend begränzten das Thal die
schwellenden Hügellinien eines meridional gegliederten
Piateaurandes, dessen Grundlage der Loss ausmachte, wäh-
rend der Sand an der Oberiläcfae blieb. Hier lag die
Südgränze des Saxaulwaldes. Er bedeckte Thal und Ab-
hänge, und Schlupfwespenschwärme umsummten seine
Prachtbäume. Fluss aufwärts bildeten Gräser, Labiaten,
Um|)elliferen und Cruciferen gegen die Thalränder zu
einen Wiesenleppich, welcher im Frühlinge die wasser-
lose Sandhöhe bis Serachs hin schmückt. Der Wüsten-
güHel, welchen Krieg und Sklavenraub zwischen unter-
lauf und Oberlauf der Turkmenenflüsse geschaffen haben,
endet in der Nähe des Gebirges, wo sieb die Wasser-
läufe vereinigen, und die Vorberge massiger über dem
Wellenlande aufsteigen. In der Nahe von Pändy, dem
Pändschech der Karlen, einem von Gräben und Schanzen
umschlossenen Turkmenenaule mit seinen Jurten und
Scbilfhütten, erreicht das meistentheils wasserlose Bett
des' Kuschk von Sü ien her den südöstlichen Hauptarm
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— 177 —
des Flusses Murgab. Über der melonenbepflanzlen und
baumwoileDbepflanzlen vierleimeileoweileD Thalmalde re-
hebt sich die Beifussteppe. Da und dort ist auf dem on-
bewässerten Felde Weizen gesäet. Auf den ersten Loss-
kuppen der Vorberge stehen ein Bromus^ Poa buibosa,
Alyssuni, Scabiosa, ein wejssblüthiges Acanthophyllum
und Iris tenuifolia als einzige Pflanzenarten. Weiter oben
am Flusse^ wo das Hochgebirge mit seinen Weidegründen
als bläulicher und spärlich gezeichneter Wall über dem
Anfange des Hauptthales sichtbar wird, nimmt eine im-
mer blutdürstigere Bevölkerung von Turkmenen und halb-
iranischen Jämschiden die schwüle Thalenge ein. Auf
ihrer gräbendurchschnittenen Niederung wogen die
Erianthushalme. £in Yerbascum mit glänzenden Herzblät-
tern überragt die bekannten Thalpflanzen Innerasiens
gegen das Wasser zu schmückt eine weisse Ery-
thraea den Aeluropusrasen. Grosse Taschenkrebse, Schlan-
gen und Fische regen sich zwischen den Schilfwurzeln
und Rohrkolben des Flussrandes. Die rothen Sandschluch-
ten der nächsten Anhöhen zieren rosenroth blühende
Astragalushalbsträucher. Angesichts der Sanüsteinkuppe
Tachlabala, w^elche eine halbe Tagereise von Pändy die
Wege vom Murgab nach dem afganischen Turkestan
deckte, wurde unsere kleine Schar trotz dem vorgeschütz-
ten Geleite in einem mittlerweile vorgeschobenen afga-
nischen Heerlager angehalten und musste eine schwere
Woche unter den Drohungen der halbwilden Soldaten
aushalten, bis der Rückweg angetreten werden konnte.
So blieb der Paropamisus von Maimene mit seinen Wach-
holderwäldern und dem riesigen Ferulawuchse verschlos-
sen. Mir blieb nur übrig, auf das turanische Wüstenreich
zurückzuschauen, wie es über dem Kalkgrunde als an-
geschwemmtes dünenbedecktes Lössland zu Tage liegt, und
Л^ 1. 1886. 12
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— 178 —
wie die SüdströmuDg der Atmosphäre vom Gebirge her
und die am Amudaria nicht weniger erhitzte Nordströ-
mung die Sandwirbelsäulen von ihren Ursprungsorten
linienweise hin und her tragen. Auf dem Bückwege bin
ich von Julitan aus der zur Hälfte versumpften linken
Flussseite bis Merv gefolgt. Nunmehr wende ich mich
so gerade als möglich nach Karki.
Ihr ergebener Albert Regel.
övim am Amadaria, den 8-8t6n (20-ten) Jali 1884.
Excellenz!
Endlich liegt die Wüste hinter mir, und die zweistöck-
igen Lehmhäuser der Ersariturkmenen mit ihrem Vor-
dergrunde von Morhirsenfeldern und Baumwollenfeldern
mulhen uns nach den überstandenen Mühsalen behaglich
an. Das Durchstreifen der Wüste zeigte sie einförmig,
gab aber über die gegenseitigen Verhältnisse ihrer Ab-
schnitte bessere Aufschlüsse. Bis zum alten Burghügel Gok-
lantüpe im Südorten des alten Merv bildet die Lössebe-
ne der Murgabniederung ein fast gleichmässig mit Scher-
ben bedecktes Buinenfeld^ auf welchem sich heutzutage
die Antilopen hinter Saxaulbüschen ducken. Dann beginnt
das Sandvorland, aus welchem da und dort lehmgrün-
dige Höhen emporlauchen. An den Bändern dieser freien
Stelle ist zu erkennen, wie der Zug der Sandhügelketten
von Südosten herkommt und also in der Bichtung der
Vorberge des westlichen Hindukuschgebietes liegt. Am
Amudaria erreicht das Wüslenland eine beträchtliche Höhe
und trifft jenseits auf die Ausläufer der oslbucharischen
Bandgebirge. Auf diese Weise wird das sandarme obere
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— 179 —
Amudariabecken nach Westen zu verschlossen. Die Weg-
richlung unserer Führer schnill die Sandrückenzüge io
der Diagonale. Das hohe Sandland beginnt auf der Mitte
des Weges bei dem Brunnen Julkui. Hier ist das Niveau
nur wenig über das Amudariabecken erhaben. Die Tiefe
des Brunnens beträgt fünf Faden. Auf dem Sande liegen
Sandsleinsplitter, und Austerschalenreste, die als Spuren
früherer Sandsteinriffc zu erklären sind. Vier Meilen vona
Amudaria treten am rothen Brunnen ebensolche Sand-
steinconcremente wie bei dem Rafatakbrunnen zu Tage.
Die Dänenmasse folgt der Richtung des Amudariathales;
jedoch brechen die queren Flugsandkämme nach Ostes
ab. In diesem trostlosen Dünenmeere verweht de^ Wind
die Hufspuren und schlägt den Sand in die Augen. Die
umhergewehlen Fetzen erzählen von der Knechtung und
Plünderung Verschmachteter. Der Kompass bringt dort
wenig Rettung, wo das Wasser in den Schläuchen Mi-
nute um Minute ungeniessbarer wird und versiegt. Der
Sand erhitzt sich im Juli nahezu auf 60° R.; nur die
Brunnen besitzen eine Tiefentemperatur von 15"^ R.; die
Luft erhitzt den erstickenden Luftzug selbst im Schatten
auf mehr als 36^ R. Die Saxaulwaldung und der Ried-
grasrasen nehmen nach Norden zu ab; dagegen beginnen
daselbst das Caligonumbuschwerk, die zierlichen Baum-
parthien von Ammodendron und Eremosparton und die
rossenährenden Büsche des Federgrases. Das Thierleben
verstummt in der heissen Zeit mehr und mehr. Ich eile
nun über Karki nach Ostbuchara, werde aber noch man-
chen Trumpf mit meinen Leuten auszufechten haben, de-
nen diese Reise verleidet ist.
Ihr ergebener Albert Regel.
12*
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— 180 —
VI.
Schlossbemerkong zn den Beisebriefen für das Jahr 1884.
St-Petersburg, den 2-ten (14-ten) April 1885.
Die wissenschafllicheü Pläne, welche sich an den Ab-
schiuss meiner Reisejahre knüpften, sollten nicht verwirk-
klicht werden, ich hatte eine Rundreise in Aussicht, wel-
che gemäss den Absichten der Leiter des botanischen
Gartens, denen seinerzeit die Oberbehörden und der er-
leuchtete Generalgouverneur von Turkestan, Herr von
Kaufmann, zugestimmt hatten, die letzten Verbindungs-
glieder zwischen den durchforschten Theilen iMittela-
siens und den südafganischen, nordindischen und tübela-
nischen Gebieten bringen sollten. Stand das Aufbringen
botanischen Materiales zufolge den dazu aus Petersburg
und auf Grund meiner Stellung auch aus Turkestan ge-
reichten Mitteln im Vordergrunde, so wurde doch gleich-
zeitig eine gewisse allgemeine naturhistorische sowie
kulturhistorische Übersicht wünschenswerth. Das Zusam-
mentrefifea der Nachrichten über den Ursprung einiger
Kulturpflanzen und Hausthiere mit den Berichten über das
Wesen der naiven Tadschikslämme und verwandter mit-
telasiatischer Gebirgsvölker hatte Gelehrte von europäi-
schem Rufe bewogen, in ihrem Gebirgslande die Heimath
des wagenfahrenden Arierbergvolkes, der Vorväter der
Inder und Iranier, zu muthmassen. Die Quellländer des
Oxus; des alten Wakschu, also Theile des Landes zwi-
schen dem indischen Kaukasus und Jaxartes, zwischen
dem alten Mauri, dem westlichen Hindukuschgebiete, Ka-
firistan, Dardistan und Chotan und andererseits Sogdiana
und Fergana waren vornehmlich in Betracht zu ziehen.
Gleichzeitig hatten Kurganbefunde und historische Nach-
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— 181 —
Tichlen über die nördlichen Thianschanländer auf Wan-
/Jerspuren der vereinigten Indogermanen geführt. Die So-
mafrage, welche von Herrn Professor Roth aufgeworfen
worden war, bot die Aussicht, das Einzelne vom Allge-
meinen scheiden zu lernen; dennoch waren die flei-
schigen Gewächse, welche den Haomaprieslern ihren über-
schwenglich gefeierten Trank geliefert hatten, nur in
wärmeren Breiten zu muthmassen. Immerhin waren in den
Amudarialändern zahlreiche saftgebende und aromatische
Gewächse, darunter auch die Ferulaarten, seit alter Zeit
werth gehalten, andere, darunter auch der Rhabarber zu
beliebtem Getränk und Speise benutzt worden, so dass
<lie Hoffnung vorlag, Mythen über die namenlos ver-
schollene Pflanze und ihre Heimath zu finden. Während
des Winters 1883—84 hatte ich in Taschkent alle Vor-
kehrungen zu einer Reise nach dem Pamirhochlande ge-
troffen und war von den späteren Leitern Turkestans,
den bald wieder zurückgetretenen Generälen Kolpa-
kowski und Tschernjajew, zu dem Besuche des kasch-
garischen Gebietes bevollmächtigt worden. So hatte ich
allmälig nach Baldschuan, meinem ergiebigen Standpunkte
in Ostbuchara, hinreichende Vorräthe an Barmetall, Ge-
schenken, Munition, Conserven und wissenschaftlichem Zu-
behör geschafft. Bei der Durchreise durch Ostbuchara
war mir seitens der dortigen Gewalten die Erreichung
von Merv möglich gemacht und dadurch der Besuch
des bisher verschlossenen westlichen Hindukusch wün*
schenswerth geworden. Wiewohl dieses Ziel schliesslich
seitab liegen blieb, so hatte ich doch einen Einbliek in die
südlichen Theile des Amudariabeckens gewonnen, die sich
einerseits in ihrer jetzigen Bodengliederung und manig-
fachen Übergängen des Thier-und Pflanzenlebens an die
Vorländer des Hindukuschsystemes, andererseits an Flora,
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— 182 —
Fauna und fossile Konchylienbedeckung des aralo-
kaspischen Beckens anschlössen. Schon die allgemeine
Verbreitung von Smirnowla lurkeslanica gestattete,
eine Ûbereinslimmang mit der benachbarten Kysylkum-
wüste feslzustellerà. Hatte ich dtimassen die Übersicht
über einen wichtigen Theil des nördlichen Erdwüsten-
gürtels ergänzt, so stand mir nunmehr bevor, zum letz-
ten Maie die zentralen Erhebungen des alten Kontinentes
zu kreuzen. Nach dem Rückwege aus Merv hatta ich
mein Gepäck von dem Amudaria nach Oslbuchara ge-
leiten lassen und unterdessen die Gelegenheit benutzt,
meine Angelegenheiten nochmals in Ordnung zu bringen.
Ich hatte in Karki den reichslbebauten Antheil des bu-
charischen Turkmenengebietes hinter mir gelassen. Na-^
türliche und angepflanzte Haine von Silberpappeln, Sil-
berweiden, Ulmen und Elaeagnus, Äcker, Höfe und Markt-
flecken waren auf diesem Kulturstreifen wechselreich auf
einander gefolgt. Dann war ich über den Strom gesetzt
und hatte die Strasse von Karki eingeschlagen. Eine
allmalig ansteigende wasserarne Lehmebene zieht sich
thalartig zwischen dem Sandlande von Karakul und den
Verzweigungen desKuitungebirgeshin und stellt die beste
Verbindung zwischen dem Amudarialande und Syrdaria-
lande dar. Der sandarme historische Verbindungsweg
nach Maimene, von wo aus sowohl das afganische Tur-
kestan wie die bequemste Fahrstrasse nach Herat und
Kabul ofl'en stehen, lehnte sich liier unmittelbar an die
Amudariapunkte Karki undKelifan. Nach einem Aufent-
halle in der grossen Gartenstadt Karschi hatte ich Mitte
Juli Samarkand erreicht und war von dort aus nach
Turkestan gegangen. Wie ich Ihnen seinerzeit aussführ-
lieh mittheilte, war ich Ende August über das Hissarge-
birge und seinen platanenbewaldeten Südabhang zu mei-
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— 183 —
Ben Leuteo zurückgeeilt, hatte auch einen Ausflug nach
Karategin an den Zusamenfluss des Surchab und Chin-
gab unternommen. Leider haben die Berichte über meine
Herbslreisen und Sammlungen Sie nicht erreicht. Das Pa-
cken der botanischen Sammlungen sowie der zoologischen
Ausbeute, zu welcher Felle von Hyänen, spiralförmigen
Bergziegen und Ovis Vignei gehörten, verzögerte den
Aufenthalt in Baldschuan. Im Oktober überschritt ich
das beschneite Hissargebirge, um den Transport persön-
lich in Samarkand in Empfang zu nehmen. Da die zu-
verlässigsten Leute und Pferde so wie die Saumkoffer in
Baldschuan ungefährdet zurückbleiben konnten, so durfte
ich auf eine rasche Beendigung meiner Pamirreise im
folgenden Frühsommer hoffen, wenn ich nicht wegen eines
Ohrenleidens im Januar 1885 nach Petersburg gesandt
und meine Ausrüstung veräussert werden sollte.
A. R.
VIL
Karmaktscbi (Fort № 2 am Syrdaria),
den 12-ten (25-sten) Februar 1886.
Excellenz!
Aus bekannten Gründen nach SL-Pelersburg abberufen,
habe ich eine beschwerliche Winlerreise zu überstehen,
benutze aber die Gelegenheit, das Bild der unteren Syr-
darialandschaften nochmals dem Gedächtnisse einzuprä-
gen. Nach allerhand Hindernissen war ich am 25-ten
Januar (6-ten Februar) 1885 von Taschkent abgereist.
Auf der Strecke bis Tschimkent lag noch eine beträcht-
liche Schneeschicht, und nur auf freien Flecken kamen
die ersten Sämlinge und Eremurustriebe zum Vorschein.
Auf dem erhöhten Weidenlande zwischen Tschimkent
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— 184 —
und Turkestan konnte die letztjährige Herbstilora nur an
den Samenständen erkannt werden. Eine dickschaftige Fe-
rula und die beschränkt verbreitete Sophora pachycarpa
traten hier aus dem Teppich der Beifussarten hervor,
welche auf der Santoninfabrik von Tschimkent unter der
Leitung des Herrn Dr. Pfaff eine zweckgemässe Benutzung
gefunden haben. Auch werden Pressziegel aus ihren Tra-
bern oder aus den Wurzelstöcken von Inula Helenium
daselbst als Heizmaterial verwandt. Der tägliche Santo-
ningewinn beträgt drei Pud. Als über Turkestan hinaus
die schneefreien Schieferwände des Karatau am Hori-
zonte zurükblieben, schweifte der Blick über die entblös-
ste Lehmsteppe und da und dort über Sanddünen, augen-
scheinlich die letzten meridionalen Ausläufer des Karatau.
Saxaulwald und Euphratpappelwald ist nunmehr nur noch
in der Gegend von Duhuiek wohl erbalten. Holzrver-
werthung, Kohlenverwerthung und die spärlichen Anfänge
kirgisischen Feldbaues haben ihn dagegen aus der Ge-
gend von Perowsk zurückgedrängt. Nunmehr wuchert
hier das Halimodendronbuschwerk in der fasanenbeiebten
Schilfniederung,und auf dem ilachen Lehmboden breitenTa-
mariXy Nitraria, Halbsträucher aus den Gattungen Suaeda^
Salsola, Anabasis ihr entblättertes Gezweig aus. Hullhemia
berberifolia, der Stadt Taschkent und wiederum den
Ufern des Irgis eigen, deckt bei Perowsk weite Flächen.
Caligonumbuschwerk bekleidet die ersten Dünen. Das
Thierleben bewahrt allenthalben seine Ursprünglichkeit.
Nach wie vor tummeln sich mäusesuchende Wölfe, Füchse,
Tiger, gedeckte Schilfkatzen, Wildesel, Wildschweine,
Schwarzschwanzantilopen^ Saigaantilopen, Steppenhasen
und Springhasen in der Nähe der Poststrasse und drücken
ihre Spuren dem Schnee und Sande auf. Die längli-
chen Erdspinnen sind bereits hervorgekommen.
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— 185 -
MIL
Kasalinsk, den IB-ten (30-sten) Febraar 1885.
Der WuDsch, meinem Vater sobald als möglich Kunde
über mich zugehen zu lassen, gab mir Anlass zu diesem
zweiten Reisebriefe. Bei jener zweitägigen Rast in Kar-
maktschi hatte ich die Natur des unteren Syrdarialandes
näher kennen gelernt. Jenes einsame Fort entstand offenbar
an einer alten Kulturstätte, von welcher noch rothe und
grüne Ziegelsteine und Schlacken übrig geblieben sind.
Die Lehmbank erhebt sich nur wenige Fusse über das
Syrdariaeis; auf ihrer Oberfläche liegt die Humusschicht
der Uferprairie. Lasiagrastis, Calamagrostis, Aeluropus und
Statice myriophyllata wachsen hier vorzugsweise. Landein-
wärts steigt der öde Lössboden an; selbst die graue
Eurotia bleibt zurück, und nur salsolaceenstrauchwerk fin-
det sein Fortkommen. Der Boden wird sandig, und da und
dort bedecken ihn bunte Quarzsplitter und kaum merk*
liehe wellenartig vertheilte Kiesanhäufungen. Leichtge-
schwellte Anhöhen, deren zusammengebackene Sandeon*
cremente in feucrrother Eisenockerfarbe leuchten^ treten
von Osten her an den Weg heran und setzen sich gegen-
über von Iltschebai als ansehnliche Hügelmassen auf dem
linken Ufer fori. In ihrer Massenverbreitung die Grami-
neen überwiegend, würzen graubraune Artemisien die
Steppenlufty und zwischen ihren wallenden Büschen ber-
gen sich halbstrauchige Pyrethrum und Statice, eine
wollblättrige Jurinea, ein Erynginm, ein Echinops, die
tiefwurzelnde Tulipa Borscbtschowi. Im Ganzen stehen
diese Floren typen eher dem Charakter der dschungari-
schen Terrassenländer als demjenigen der südaralokaspi-
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— 186 —
sehen Tiefebene nahe. Wiederum erstreckt sich die Lösse-
beoe mit ihren spärlichen Saxaulhainen und dem gleich-
förmigen Eurotienleppich bis zum unbegränzten Horizonte.
Schon erscheinen unregelmässig zerstreute Barchane. Ein-
zelne dieser Höcker bestehen aus zerfallendem röthlichen
Mergel oder Kalksleine. Caligonum und Tamarisken
überziehen ihren sandüberwehten Rucken. Bruchstücke
grauer Kalkplalten und schwarzes Schiefergebröckel liegen
am Grunde umher. Bei Perowsk und Kasalinsk kommen
in der Umgegend von Seebecken und auf der Oberfläche
zurückgetretener Salzsümpfe Schalen von Entenmuscheln
vor. Kasalinsk liegt unweit von der Mündung des Syr-
daria und wird von russischen Kleinhändlern und über-
gesiedelten uralischen Kosaken, welche dem Slörfange
obliegen, bewohnt. Der Syr bildet hier eine Sommerschei-
de der Halbwüste. Das anderthalb Arschinen dicke Eis
dient als Schlittenweg der Kirgisen, welche in den Jurten
und jüngst erbauten Lehmgiebelhäusern am Ufer ihr
Winterliiger finden und die Ersparnisse der Windmühlen
aufzehren.
Albert Regel.
IX.
Earabatak, den 26 sten Februar (12 ten M&rz) 1885.
Ein zweitägiger Schneesturm ist vorüber, und die
Schlittenkufen sausen racher dem Ziele zu. ?(ur wenige
Artemisienköpfe und Trllicumhalme überragen die weisse
Decke, und selten setzen sich Stare auf die Geleise. Vorher
halten die Pferde mühsam den Koth des irgisufers be-
wältigt. Silberschimmernde Slaticensträusse waren dort das
erste Zeichen einer veränderten Vegetation gewesen. Vom
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— 187 —
Irgis aus erstreckte sich das Reich der Saigaantilope und
Brachylepisgeslrüppes bis zum Abfalle der Lössbank gegen
die Terrasse der Karakumsteppe zu. Abwärts von der leicht
mit Sand überzogenen und grasbewachsenen Wellenfläche
dieser Steppe umsäumen Dünenwälle mit ihrer Sirauchve-
getation den Aralsee und seine Nebenbecken. Nicht Flug-
sand allein, sondern auch getrennte LösshÖcker von
wechselnder Höhe bilden die Dünen. Es sind die Barcha-
ne oder Wüstenhöcker. Der thauende Schnee hat diese
Höcker von der Schaltenseile her senkrecht abbrechen
lassen; über die breite Fläche des ungleichseitigen Kegels
und um den Fuss seines senkrechten Abfalles herum weht
der Wind den Sand an; auf ihrem Gipfel haften Tamarisken
und rolhästige Caligoneen und thurmen eine wurzel-
druchdrungene Humusschicht über die andere auf; winzige
Spitzschnecken bohren sich in die Saiidwände des Höckers
ein und sterben allmälig ab.
Der Sandboden um die Höcker herum ist von Marien-
glassplittern, zierlich gefurchten Cardiumschalen und Bruch-
theilen von allerhand anderen Muscheln und Scbneckem
hier und da auch von bräunlichen Korallenarmstücken
bedeckt. Die Barchanreihen schliessen sich mehr oder
weniger parallel an die Karakumlerrasse an; der Flug-
sand legt sich nach der W^indrichlung und dabei oft dia-
metral zwischen die Beihen. Um den Fuss der Terrasse he-
rum und auf ihrer oberen Fläche liegen Sand und Sandstein-
concremenle; die obersten Terrassenschichlen bestehen
aus salzhaltigem Gypsgeslein, die unteren aus pelrefaklen-
reichen Thonschieferplatten, welche das Material der
Lösseinwaschungen- hergeben, während die späteren Bil-
dungen den allen üfersaum bezeichnet haben. Auf hohen
Lehmhügeln, welche ähnlich wie die Barchane von der
Hauplbank abgelheill sind und von Weitem Grabhügeln
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— 188 —
gleichen, liegen Marienglassplitter, Sandsteingebröckel und
einzelne Thonplalteu umher. Höhere sargförmige Kuppen
umrahmen da und dort den Aralsee; von ihnen wird der
graue encrinilenhallige Kalk gewonnen, welcher in Kasa-
linsk hinwieder zum Bauen benutzt wird; an dem Irgis
liegen Schiefer und Sandsleine zu Tage. Also ist das
Aufeinanderfolgen der Schichten in der Steppe unver-
kennbar. Wasserarmuth und Salzgehall haben die Löss-
becken zur Wüste gestaltet, und nach dem Versiegen
der Flussadern ist dem Flugsande die Verödung alter
Kultursirecken gelungen. Dort, wo wie am Irgis neue
Terrassen schon in der Zone der Niederschläge über das
Binnenland aufsteigen, hat die Vegetation einen frucht-
baren Boden gefunden und Weideland und Torfboden ge-
bildet. Bei Karabutak verräth Spiräengestrupp bereits die
Nähe von Europa. Weiterhin haben die Kirgisen Dorf auf
Dorf gebaut, und die Möglichkeit liegt nahe, dass vere-
delnder Einfluss in dieser oder einer benachbarten Bich-
lung nachhaltigere Verbindungswege einschlagen möge.
Nach diesen Steppenbetrachlungen sei mir gestattet, meine
Hoffnungen auf die heimathliche Erde zu richten.
Albert Begeh
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REISE NACH ленд L-T EKE.
Von
Alex. Becker.
Im Auftrage des Vorstandes des Kaiserlichen botani«
sehen Oarlens und des botanischen Museums der Aka-
demie der Wissenscbarten in St. Petersburg unternahm
ich 1883 eine Reise nach Achal-Tei^e. Wegen der sich
dort sehr Trüb entwickelnden Vegetation musste ich die
Reise mit dem ersten von Zarizyn nach Astrachan abge-
henden Dampfer am 19 April neuen Stils antreten, wel-
chem oft durch Abstossen des dicht schwimmenden Eises
ein Weg gebahnt werden musste. Am 22 April Nach-
mittags bestieg ich in Astrachan das Seeschiff mit nur
sehr wenigen Passagieren, kam den 23 nach Petrowsk,
den 24 nach Derbent und den 25 nach Baku, von wo
ich erst den 30 April Abends nach Krasnowodsk
abfahren konnte. Den Aufenthalt von mehreren Tagen in
Baku benutzte ich zur Einsammlung der ersten Frühlings-
pflanzen in der Umgegend der Stadt. Am 1 iMay Abends
kam ich nach Krasnowodsk, fuhr mit einen Kronsdaropfer
am 3 May Morgens i Uhr in den Michailowschen Busen
bis zu seinem sehr schmalen Ende, wo ich um б Uhr
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— 190 —
Abends an der Eisenbahn ankam. Auf derselben am
4 May Morgens 7 Uhr fortgefahren, kam ich Abends nach
zurückgelegter Strecke von 216 Wersl nach Kisil-ArvaL
Von hier wollte ich weiter nach Asschabad fahren, sah
aber im Balchan-Gebirge — in nächster Nähe von Kisil-
Arvat ungefähr 4 Werst— die ersten Frühlingsblumen
schon verblüht und viele andere in schönster Blüthe,
so dass ich nicht wagen durfte, auf einem zweirädrigen
Wagen (Arba) täglich nur 20 Werst weiter zu fahren.
Ich hätte zu der Strecke von 200 Werst bis Asschabad
10 Tage gebraucht, während dieser Zeit die Pflanzen
bei Kisil-Arvat und auch wohl bei Asschabad gros-
sentheils verblüht wären. Posteinrichlungen waren leider
erst im nächsten Jahre in Aussicht.
Aus dem Balchan-Gebirge strömt stark gutes Quell-
wasser durch Kisil-Arvat, doch enthält dasselbe auch
Blutegel und es kam oft vor, dass nach dem Genus«
des Wassers erkrankte Leute durch ein Brechmittel Blut-
egel erbrachen; das Maul der Pferde zeigte sich blutig;
bei näherer Besichtigung sassen an demselben viele Blut-
egel. Das heisse Klima veranlasste mich oft meinen
ermüdeten Körper in den Schluchten von dem Wasser
überströmen zu lassen. Die Luft weht oft in starken
Stössen und ist sehr trocken. Diese starken Windstösse
sind besonders in der Höhe heftig und waren mir beim
Besteigen hoher Felsen sehr hinderlich und gefährlich.
Ich konnte mir anfangs nicht erklären, v;arum meine
Zunge und mein Gaumen am Tage so sehr trocken und
sich in der Luftröhre ein zäher grauer Schleim bildete,
der besonders Morgens nach dem Schlafe durch Husten
ausgeworfen wurde, bis man mir sagte, es sei Luft-
röhrenentzündung. Dieselbe behielt ich noch nach meiner
Wiederkehr in Sarepta 14 Tage . lang. Doch kam ich
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— 191 —
dabei nicht von Krärten und ging täglich weile Strecken
im Gebirge, manchen Tag über 30 Werst, machte immer
die Excorsionen ohne einen Begleiter und unbewaffnet,
worüber sich die dortigen Einwohner sehr verwunderten,
weil reissende Thiere, Panther, Leoparden, oft Unglück
machen sollen. Man erzählte mir, dass 2 bewaffnete
Soldaten in dem Gebirge gingen und sahen einen Panther.
«Erschiessen wir ihn» sagten sie, und der eine schiesst
ihn an. Der Panther stürzt sich auf ihn, zerfleischt ihn
und trägt ihn fort in eine Höhle. Der andere Soldat
geht nach Hause und erzählt das Vorgefallene. Am näch-
sten Tage gehen mehrere Soldaten ihren unglücklichen
Kameraden zu suchen und finden ihn und den Panther in
der Höhle, erschiessen den Panther und nehmen den
noch lebenden Soldaten mit nach Hause, dessen Wunden
erst nach einem halben Jahre heil wurden.
Das Gebirge ist sehr zerklüftet, besteht aus Sand, Lehm,
Gips, und weiter oben aus Felsen. Die Höhe soll über
6000 Fuss betragen. Kisil-Arvat liegt in der Ebene,
2082 Fuss hoch.
Viele wilde Esel sind in den Steppen und sollen, als
die ersten Eisenbahnzüge im Gang waren, zahlreich ge-
kommen sein und neugierig die Züge betrachtet haben.
Ich selbst sah einen solchen Esel in Kisil-Arvat im Hofe
eines Persers, der denselben erzogen hatte und ein Jahr
alt war. Er war grösser wie ein zahmer Esel, auf dem
Bücken schwarz, längs an den Seiten des Leibes schwarz,
am Schenkel schwarz, sonst grau, die Ohren kürzer als
beim gemeinen Esel, war sehr zahm und rasch in seinen
Bewegungen, gab den Fass und stieg an seinem Herrn
hinauf. Auch sah ich wilde junge Antilopen bei einem
Perser, an Körpergestalt ähnlich der Antilope Saiga, mit
Ausnahme des Kopfes, der nach dem Maul fein zuge-
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— 192 —
spitzt ist, die Ohreo lang, der Schwanz kurz, schwarz,
zwischen die Beine gekrümmt. Die Turkmenen nennen
sie Dschira. Wölfe, Füchse, Steinfüchse, Hirsche und Wild»
Schweine sollen auch viele da sein. Ein Thier, von der
Grösse und Farbe einer grossen Wanderratte, suchte sich
schnell nahe vor mir an einem Bergabhang unter der
Erde zu verbergen. Stachelschweine kommen auch vor,
denn ich fand eine schöngefleckte 0V4 Werschock lange
Stachel in einer Schlucht. Die Eidechsen Gymnodactylus
caspius, Agama sanguinolenta, Eremias variabilis und
Phrynocephalus caudivoivulus sind häufig, auch begeg-
nete mir eine 1 Arschin lange und 4 Werschock breite
gelbe Eidechse. Von Schlangen fand ich nur eine kleine
auf der Oberseite gefleckte Art. Von Hausthieren sah
ich viele Kameele und wenige Esel, unter zahlreichen
Pferden selten das grosse Turkmenenpferd. Wegen Futter-
mangel im Sommer wird Rindvieh nicht angeschafft. Im
Frühjahr ist die Weide nicht schlecht, besonders häufig
wächst Triticum orientale. Die iMilch der Schafe schmeckte
bitter von den vielen dort wachsenden Artemisien, so
dass ich mir ihren Genuss versagen musste.
Ich wohnte bei einem Armenier und musste für eine
kleine Stube und schlechte Kost sehr theuer zahlen. Bier
und Wein hatten doppelte Preise gegen die Preise in
Baku, woher sie bezogen wurden; die ausgeleerten Fla^
sehen hatten keinen Preis und wurden in ,die Steppe
geworfen. Melonen und Arbusen sollen gross werden und
sehr schmackhaft sein, die runden kleinen Melonen da-
gegen weniger gut. Der Kohl soll hoch wachsen und
erst im December sehr grosse Köpfe bringen. Kartoffeln
sind im Mai schon reif.
Im Zusammenhang mit den sich früh entwickelnden
Pflanzen stehen die Insekten und kommen dieselben bei
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— 193 ~
Kieil-Arvat 1 bis 2 Monate früher als bei Sarepta: Em-
pusa pauperata z. B. war den 4 Mai vollkommen geflü-
gelt; bei Sarepta dagegen tritt dieselbe erst im Juny
und Jnly aus dem Larvenstand.
Kieil-Arvat, аиГ deutsch: Schönes Mädchen, hat einige
Strassen mit Buden der Perser und Armenier. Die Per-
ser haben auch Ess-und Theestuben. Mit der Sicherheit
<)б$ Eigenthums steht es dort schlecht. Ich Hess anfangs
meine Stube oiïen wenn ich ausging, schloss sie aber
bald sorgrällig zu, als ich von meinem Hauswirthe hörte,
dass ihm aus seiner Stube ein Koffer gestohlen wurde,
dec ausser Kleidungsstücken 500 Rubel enthielt. Das ge-
schah 2 Wochen vor meiner Ankunft und noch wusste
er der Diebe nicht habhaft zu werden. Nicht die Turk-
menen, sondern die Soldaten und angereiste Kasaner Ta-
taren sollen die Diebe sein, welche er im Verdachte hatte.
Es ereignete sich auch, dass ein Reisender bei seinen
Sachen in einer Kibitke schlief; beim Erwachen am
Morgen sah er sich von der Sonne beschienen im Freien
und von seinen Sachen und der Kibitke war nichts zu
sehen.
Als Brennmaterial wird das harte Holz von dem häufig
im Gebirge wachsenden Strauch Zygophyllum atriplicoi-
des gebraucht. Der einzige Baum^ der im Gebirge nicht
häufig wächst, ist Jüniperus excelsa, dessen Stamm zu
Telegraphenpfählen benutzt wird.
Die Namen der Pflanzen wurden mir von dem Herrn
Geheimeralh E. R. von Trautvetter gegeben. Die mit *
bezeichneten sind von mir zuerst entdeckt; eine nicht
unbedeutende Pflanzenzahl konnte wegen Unvollsländig-
keil nicht bestimmt werden, wozu auch eine riesengrosse
gelbblühende Ferula? gehört, deren alte Stenget wie dicek
Л? 1. 1885. 13
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Stöcke in der Erde steckten und leicht herausgezogen
weiden konnten.
Angenehme Bekantschaft machte ich in Kisil-Arvat
mit einem Entomologen, Herrn Eylandt, und mit einem
Bergingenieur, Herrn Konschin, der bedeutende Schwe-
fellager in der Sand-und Mergelsteppe entdeckt hatte.
Letzterer war anfangs von dem Klima an der Ruhr
schwer erkrankt und musste, um sein Leben zu retten,
nach Baku zurückgebracht werden. Auch der Komman-
dant nahm mich in seinem wegen der Hitze in die Erde
eingegrabenen Hause in der von Lehm erbauten Festung
freundlich auf und beförderte meine Angelegenheiten
mit Rath und That.
SarepU, 10 Mai 1885.
Verzeichnis ëer bei Rtsil-4rvat von 4 bis 17 May gefaiëe-
пев Planzen.
Arnebia cornuta Fisch, et Mey. var. parviflora Trautv.
Amberboa moschata Dec. var. suaveolens Trautv., АсЬШеа
Santolina L., Androsace maxima L., Atriplex^ dimorphoste-
gium Kar. et Kir., Artemisia Sieberi Hess., Art spec. An-
thémis altissima L., Astragalus sericopetalus Trautv., Astr.
Xiphidium Bunge, * Astr. campylorhynchus Fisch, et Mey.
var. tenuifolia Trautv., * Astr. Basineri Trautv., Astr. fili-
caulis Fisch, et Mey., * Astr. velatus Trautv., * Astr. di-
versifolius Trautv., Astr. Winkleri Trautv., * Astr. curvipes
Trautv., Astr. gyzensis Delile, Astr. tribuloides Delile, Astr.
macrocladus Bunge, Astr. flexus Fisch., Astr. cruciatus Lk.,
Astr. oxyglottis Stev. var. psiloglottis Bunge, Astr. Haioden-
dron Bunge, Allium scabriscapum Boiss., AlL Regelii Trautv.,
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-~ 195 —
AU. rubellum M. В. AU. caspium M. В., Alsine Meyeri
Boiss., Alopecurus ruthenicus Weinm. var. typica Trautv.,
Aethionema cristatum Dec, Ammodendron Sieversii Fisch,
var. Sablozkii Trautv., AcanthophyUum spinosum С A. Mey.
vai\ rosea Trautv., Arabis auriculata Lam. var., Arenaria
serpyUifoUa L., Alyssum minimum L., Al. Szovitsianum Fisch,
et. Mey. var. marginata Trautv., Andrachne telephioides L.
var. rotundifoUa MûU., Aristida pungens Desf. var. pennata
Trautv., Aeluropus laevis Trin. var. typica Trautv., Agros-
tis verticiUata YiU., Aegilops triunciaUs L., Ae. squarrosa
L. var. Meyeri Griseb., Bongardia Rauwolfîi C. A. Mey.,
Broinus macrostachys Desf., Br. equarrosus L. Br. tectorum
L., Br. Danthoniae Trin., Bieberateiniana multifida Dec,
Barkhausia chaetocephala Bunge var. turcomanica Trautv.,
Biarum Sewerzowi Regel, Bulbocodium robustum Regel,
Centaùrea pulcheUa Ledeb., Cent, squarrosa W., Convolvu-
lus erinaceus Ledeb., * C. subhirsutus Regel et Schmalh.,
C. arvensis L., Coccinia glauca Savi var. typica Trautv.,
CaUigonum Caput Medusae Sehr. Cousinia dissecta Ear. et
Kir. var. microcarpa Trautv. et var. simplicior Trautv., *
Cous. Beckeri Trautv., Cous, spec, Carum Bulbocastanum
G. Koch, CaUipeltis Cucullaria Stev., Cnicus beuedictus L.,
Chamaesphacos ilicifoUus Schrenk, Crépis pulchra L., Cera-
tocarpus arenarias L., Corispermum hyssopifolium L. var.
remotiflora Fenzl, Crupina vulgaris Cass., Crambe edentula
Fisch, et Mey., Clypeola Jonthlaspi L var. lasiocarpa Grü-
ner, Colutea cruenta L., Chorispora teneUa Dec, CameUna
microcarpa Andrz., Carex physodes M. В., Delphinium camp-
tocarpum Fisch, et Mey. var. dasycarpa Ledeb., D. hybri-
dum Willd. var. pilosula Trautv., Dianthus crinitus Sm.,
Dîarthron vesiculorum C. A. Mey., Euphorbia Esula L., Euph,
spec nova? * Ereraostachys Beckeri Regel, Echinospermum
semiglabrum Ledeb. var. Bungei Regel., Ech. Vahlianum
Lehm., Ech. barbatum Lehm., Ech. sinaicum A. Dec, Ere-
murus Olgae Regel., Er. inderiensis Regel, Echinops spec,
Erodium oxyrhynchum M, В., Er. cicutarium L'Herit, EucU-
18*
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— 196 —
diam syriacum R. Br., Eruca satita Lam., Ephedra glauca
Begel, Fermla Karelini Bunge, Ferula spec? Fumariaparvi*
flbra Lam., Faldermaimia parviflora Trautv., Festuea Myu-
ms Ehrh. Gypsophila eiegans M. B. van parviflora Trautv.,
ealium verticillatum Danth. ß leiocarpum Regel., G. Âpa-
rine L. таг. Vailkmtii 6. Koch., et таг. spuria О. Kocb.,
Geranium rotundifolium L., Goldbachia laevigata Dec. var.
aseendens Boiss., Gagea reticulata Schult, Hedysarum mi-
cropterum Bunge var. vegetior Traut т., Hypecoum pendu-
lum Lk, * H. trilobum Trautv., Haplophylhim obtusifolium
Ledeb., H. acutifblium Juss., Hypericum scabrum L. var.
typiea Trautv.. Helosteum umbellatum L., Heliantheroum
salicifoHum L., Heliotropinm dasycarpum Ledeb., H. sogdia-
num Bunge, Haloxylon Ammodendron Bunge, Hymenocra-
ter calycinus Bentb^ Hordeum murinum L., Heterocaryum
minimum A. Dec. var. Szovitsiana Regel et var rigida Re-
gel, Ixiolirion tataricum Schult, Isatis minima Bunge, * Is.
trachycarpa Trautv., Is. violascens Bunge, Juncus glaucus
Efarii., Juniperns excelsa M. В.; Iris falcifolia Bunge, Koel-
pinia linearis Pall., Koeleria phleoides Pers. var. pubiflora
Trautv, Lepidium perfoliatum L,, L. Draba L. var. longi-
styla Trautv., Lotus corniculatus L., Lithospermum tenui-
fiorum L., Leontice vesicaria Pall,, Linaria simplex Dec.,
Lactuca viminea C. H. Schultz., L. undulata Ledeb., Lycium
turcomanicum Fisch, et Mey., Lallemantia Royleana Benth,
Lamium amplexicaule L., Medicago dicarpa Trautv., M. ra-
diata L., M. Gerardi Waldst et Kit, Malva rotundifolia
L.=M. neglecta Wallr., Matthiola odoratissima R. Br. var.
lypica Trautv., Meristotropis triphylla Fisch, et Mey., My-
osotis stricta LK., Malcolmia Bungei Boiss. var. lasiocarpa
Regel, Meniocus linifoliusDec, Myriophyllum spicatura L.,
Micropus erectus L., Matricaria lamellata Bunge, Mentha
sylvestris L., Nonnea picta Fisch, et Mey. var. typica Regel,
Nigella integrifolia Regel, Onobrychis polchella Schrenk, On,
micrantha Schrenk, Octoceras Lehmannianum Bun<re, Oro-
banche spec, Peucedamnn tenuisectum Reg. et Schmalh., PoJy-
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— 197 —
goiium aviculare L., Peganuin Harmala L., Prunus microcarpt
С. A. Mey., Pr. prostrata Labill. var. incana Trautv., Papavw
pavoaiam Schrenk, Pterntheca abovata Boies. s=:Pt. bifida
Fisch, et Mey., Phlomis cancellata Buage, Phelipaea salsa
С A. Mey., Perowskia abrotaooides Karel., Psilonema da-
sycai^m C. A. Mey , Poa bulbosa L. var. vivipara M. Bw,
Queria hispanica Loèfl. Rubia florida Boiss,, Koemeria hy-
brida Dec. var. orientalis Kegel, Rapistrum rugosum AlU,
Bhamnus Pallasii Fisch., et Mey. var. spatbulaelolia Maxim^
Beaumuria hypericoides W. var. latifolia Traute., RocheKa
cardiosepala Bunge, R. incana Bunge, Rhinopetalum Kare»
lini Fisch., Scabiosa (Nivieri Coult, 8c. rotataM. B. Silène
swertiaefolia Boiss., S. conoidea L., S. coniilora Neess, S.
Otites Sm.. Stellera stachyoides Schrenk, Sisymbrium coa-
tortuplicatum Dec, var. rectisiliqua Dec, S. torulosutti
Desf., * S. adpressum Trautv., * S. pilosissimum Trautv.,
S. pannonicum Jacq., S. pumilum Stephan var. longipedi-
cellata Trautv., S. leptophyllum Trautv. var. brevipedicella-
ta Trautv., Spergularia diandra Guss.. Scandix pinnatifida
Vent, Secale fragile M. В., * Stachys turcomanica Trautv,,
Scirpus maritimus L. var. compacta Ledeb., Scorzonera he-
milasia Bunge, Sc acrolasia Bunge, Sc. tuberosa Pall., *
Serratula raicrocephala Trautv., Senecio coronopifolius Besf,,
S. vernalis Waldst. et Kit., Sonchus arvensis L. var. uligi-
nosa Trautv., Scrophularia rutaefolia Boiss., S dpa Szovit-
siana Trin., Scleropoa memphitica Parlât, Statice suffruti-
cosa L. var. typica Trautv., St. perfoliata Karel, Salso^
hispidula Boiss., S. Arbuscula Pall. var. laeviuscula Fenzl
et var. angustifolia Fenzl., S. Kali L., Tetracme recurvata
Bunge, Tamarix Pallasii Desv. var,, T. laxa Willd., Trigo-
nella azurea C. A. Mey., Torilis heterotricha Trautv., Tri.
bulus terrestrls L., Thalictrum isopyroides C. A. Mey., Thai-
spec, Teucrium Polium L., Tulipa spec, Triticuni crist^-
tum Schreb. var. typica Trautv., Tr. prieutale M. B. var-
typica Trautv. et var. lanuginosa Griseh., Vicia peregr.iцa
L., Valerianella Szovitsiana Fisch, et Mey., "^ V. plaiycatpa
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— 198 —
Traotv., V. Dufresnia Bunge, Valeriana sisymbriifolia Desf.,
Veronica biloba L. van dasycarpa Trautv., V. Ânagallis L.^
Zosiinia absintbifolia Dec, Zygophyllum ovigerum Fisch, et
Jiey., Z. atriplicoides Fisch, et Mey.
Zu meinen Verzeichnissen der Pflanzen bei Baku sind
noch hinzuzufügen: Astragalus striatellus Pali , Holosteum
umbellatum L», Koeleria phleoides Pers. var. pubiflora
Trautv., Matricaria inodora L. var. praecox Ledeb., Scan-
dix Pecten L. var. ß Ledeb., Sisymbrium pumilum Steph.
var. brevipedicellata Trautv, Veronica biloba L. var. dasy-
carpa Trautv.
Zu den erwähnten Erasnowodsker Pflanzen (Bulletin 1. 1878^
&nd ich noch: Cleome Raddeana Trautv. var. platycarpa
Trautv., Euphorbia Chamaesyce L. var. canescens Boiss.,
Nitraria Schoben L. var. caspicaPall.
SchneUerliBgf bei Hisil-.Irvat.
Acontia Hueberi, Ac. Clio, Ac. nov. spec, Anthophilodes
conchylialis, An th. plumbiferalis, Anth. nov spec, Acidalia
Beckeraria, Colias Erate, Conchylis orientana, Deilephila
lineata, Epinephele Narica, Lycaena Loewi, L* Christophi,
L. Tengstroemi, Leucanitis picta, L. Beckeri Standf. = Ces-
tis?, Metoponia subflava, M. ochracea, Myelois fuscicostella,
M. xyiinella, Orobena desertalis, Psecadia vittalbella, Pyralis
provincialis, Thalpochares Moeschleri, Tegostoma comparalis,
T. baphialis und noch viele unbestimmte kleine Arten.
Kifer bei KisilArvat.
Adesmia laevicollis Kraatz, Ad. Karelini Fisch., Arthro-
deis Orientalis Kraatz, Anisoplia massageta Kirsch et var.
flava an Carex phisodes, Aphodius Zuberi, Aph. lividus,
Aph. pécari. Aph. Scybalarius, Aph. nov. spec, Attagenus
,bifasciatus, Ateuchus sacer, Acinopus megacephalus, Ale-
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— 199 —
ocbara bisiguata, Acmaeodera spec, Botynoderus anxius,
Blaps convexicoUis, Calosoma turcomanica Faast, Cleonus
Fischeri, CI. spec, Cepbalotes vulgaris var. semistriatus,
Colposcelis longicoUis, Cetonia Karelini, Calyptopsis pulchella,
Cis boleti, Coccinella aegyptiaca, Dermestes Frischii, D.
spec, Drasterius spec, Gymnopleurus cantharus var. cyanes-
cens Motsch., G. flagellatus. Hadrotoma 4 guttata Reitter,
Julodis Euphratica und J. variolaris an Alhagi camelo-
rum, Meloe proscarabaeus, Mylabris 2 spec, Necrobia
rufipes, Onthophagus marraoratus Fald., Onth. cruciatus
Men. Onth. Tages, Onth. spec, Ocnera inibricata, Onitis
Moeris, On. Menalcas var., Oxythyrea cinctella. Ox. hirta,
Otiorhynchus spec, Pimelia cepbalotes, P. cepbalotes var.?
Pentoden monodon, Pbilonthus caucasiens, Sphenoptera Ge-
bleri, Sphenaria spec, Silpba nov. spec, Stalagmosoma al-
bella Pall., Sphodrus parallelus, Saprinus Osiris, S. spec,
Rhisotrogus spec, Trigonoscelis sericata Men., Tr. pygmaea
Men., Tr. nov. spec, Trichodes subfasciatus, Typhaea fu-
mata, Zabrus gibbus, Zophosis rugosa Fald.
Am Ende des Michailowschen Busens liefen Abends im
Sand Pimelia gigantea Fisch., Trigonoscelis grandis Kraatz,
Tr. muricata Pall.
Mehrere Geradflügler befanden sich im Larvenstande; aus-
gebildet waren: Empusa pauperata, Heterogamia aegyptica,
Nocarodes cyanipes?, ist eine sehr dicke, ungeflügelte, son-
derbar gestaltete Art. Truxalis unguiculata sehr lang.
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UEBER NORDISCHE AUCELLEN
▼ on
JT. Trautschold.
1q dem Bullelin of the United states geological survey
№ i 1881 ist die Besprechung einer kleinen von Mr.
W. H. Dali eingebrachten Sammlung mesozoischer Fossi-
lien der Halbinsel Alaska enthalten. Der Verfasser Mr.
Charles A. White. M. D. fuhrt an^ dass schon im Jahre
1818 Prof. Grewingk die von Alaska stammenden Fos-
silien für jurassische und die von Kodiak für tertiäre
erklärte, Kichwald aber die Alaska-Fossilien fär Neocom
und die von der Insel Kodiak für Toronische ansah *).
Eichwald hielt auch im Gegensatz zu allen übrigen Geolo-
gen die Aucellenbank des Moskauer Jura für Neocom,
und auf Grund dieser vorgefassten Meinung erkannte
«r auch den Alaska-Aucellen das Alter des Neocom zu.
Da aber, wie schon vielfach erörtert, die Moskauer Vir-
gatus-Schicht unzweifelhaft das Alter des Kimmeridge hat,
*) Eichwald. Geognost.-palaeont Bemerkungeu über die Halbin-
sel Mangischlak und die Aleuti^chen Inseln 1871.
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— 201 —
voo der Avcellenbank conform überlagert wird, feroer
beide Schiebten durch gemeinsame Fossilim mit eioae-
ëer verbuudeu sind, ja selbst Aucella mosquensis beiden
gemeinsam ist, so scheint es doch viel mehr gerecht-
fertigt, die Moskauer Aucellenschicht dem Portland als
dem Neocom zuzotheilen. Wenn Hr. White sagt, dass er
Eichwalds Ansicht nicht für unverständig halte, da viele
von den von ihm beschriebenen Alaska-Fossilien einen
cretarischen Charakter haben, so kann ich dem entgegen-
stellen, dass der wirkliche Neocom von Ssimbirsk in sei-
ner Fauna entschieden jurassisches Gepräge hat. Dass
zwischen den Faonen der verschiedenen Schichtensysteoie
vermittelnde Formen vorhanden sind, ist ja seil lange
anerkannt, nnd dass sogar gewisse Species unverändert
aus einem System in das andere übergehen, isl vielfach
nachgewiesen. Es isl auch nachgewiesen für den Moskau-
er Jura und das concordant folgende Neocom (Griin-
sand mit Amm. fulgens); denn Aucella mosquensis kommt
sowohl in der Yirgatus-Schicht (Kimmeridge) wie in
der A. fulgens-Schicht (Neocom) vor, während zwischen
ihnen die grösseren Nester von Aucellen mit A. subdi-
lus eingelagert sind. Ob der. Ausdruck Marcou's, den Mr.
White anfährt (commingling types). Mischtypen passen-
der ist als Uebergaugsformen, möchte ich bezweifeln,
da ja überall eine natürliche Entwickelung in Form und
Verbreitung stattfinden musste.
Dass übrigens das Genus Aucella nicht allein in dem
oberen Jura (auch im braunen Jura Deutschlands nadh
Quenstedt) sondern auch in der Kreideformation vor-
kommt, isl bekannt, und hat man das Genus nur desshalb
als ein vorzugsweise jurassisches augesehen, weil es in
grösserer Verbreitung nur im oberen Jura vertreten isL
Da Eich Walds Ansicht über das Alter der ffloskaut^r
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- 202 —
Aucellen führenden Schichten keine Aussicht hat, accep*
tirt zu werden, so wird man auch nicht geneigt sein,
wie es Mr. White (sich auf die Autorität Eichwalds
stützend) scheint, das Genus Auceila als ein vorzugs-
weise crelarisches anzusprechen.
Dall's Fossilien stammen von der Westseite der Halb-
insel; die Ostkuste wurde zwei Jahre früher von Pi-
uart besucht, und die von dort mitgebrachte Auceila
wurde von P. Fischer als A. concentrica bestimmt. Von
Doroschin, der die Fossilien zu dem oben citirten Werke
Eichwalds geliefert, wurden wahrscheinlich beide Locali-
täten (die West-und Oslküste von Alaska) besucht. Da
eine und dieselbe Auceila in allen drei Sammlungen die
Hauptrolle spielt, so ist es nach Mr. White unzweifelhaft,
dass sie einem und demselben Horizont entnommen sind.
Mr. White bringt alle Aucellen der Dairschen Sammlung
unter die eine Species Auceila concentrica Fisch., obgleich
die auf T. 6. seines Artikels abgebildeten Individuen
recht verschiedene Formen zur Anschauung bringen.
Dass der Verfasser diese Formen für Varietäten der
Auceila concentrica hat halten können, muss einerseits,
dem Umstände zugeschrieben werden, dass sämmtliche
Fossilien der erwähnten Sammlung Steinkerne sind,
andererseits, dass Mr. White, wie es scheint, nur die ci-
tirte Schrift Eichwalds und den Artikel P. Fischer's «sur
quelques fossiles d'Alaska> zu Rathe gezogen hat. Aber
der Begründer der Gattung Auceila Graf Keyserling*)
beschreibt schon von nordischen Aucellen A. Pallasii, A.
crassicollis und A. concentrica**), und die Moskauer A.
*) Keyserling. WissenschafUicbe Beobacbtnngen anf einer Reise
in's Petscbora-Land.
•*) A. Keyserlingiana Trd. Verband), der Petersb. Mineralog.
Gesellscbaft 1866 p. 258.
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— 203 —
mosquensis Buch ist später : auch auf den Inseln des
Eismeers gefunden worden.
Was nun die Abbildungen des Mr. White betrifft, so
^lurften t. VI f. 4. und 5 zu A. mosquensis v. Buch zu
stellen sein; fig. 2 und 3 repräsentiren die allgemeine
Form von A. concenlrica (Inoceramus concentricus)
Fischer v. Waldheim (Oryctogr. de Moscou) wie sie bei
Kaschpur an der Wolga vorkommt. Fig. 8. ist entschie-
den A. crassicoliis Keys., sie stimmt gut mit den For-
men dieser Art von der Wytschegda, die ich dem ver-
storbenen Barbot de Marny verdanke; möglicher Weise
gehören auch hierher f. 9. 10. und 11. Fig. 6 und 7
sind identisch mit Formen, wie sie von Nordenskjold an
der Skodde Bay auf Nowaja semija gesammelt sind und
von denen ich zwei Exemplare der Güte des Hrn Tullberg
verdanke; da ihre Schalen weniger schief sind als bei
den anderen Aucella-Arten und sie einen fast terebratel-
arligen Habitus haben, so dürfte wohl der Name A. tere-
bratuloides für sie passend erscheinen.
Dass alle Aucellen-Arten, in welche die Gattung von Graf
Keyserling zertheilt worden ist, sich auf A. mosquensis zu-
rückführen Hessen, wie Eichwald meinte (I. с p. 186.),
würde sich doch nicht ausführen lassen, ohne der Sache
grossen Zwang auzulhun. Aucella Pallasii ist eine sich
sehr scharf von A. mosquensis und A. concentrica unter-
scheidende Art, wie Keyserling in Abbildung und Schrift
(v. Petschora-Reise) gezeigt hat. Während die kleine
Schale von A. mosquensis und A. concentrica sich ge-
gen das Schloss hin zuspitzt, verbreitert sie sich bei A.
Pallasii nach rechts hin flügelartig, was auf den ersten
Blick in die Augen fällt. Es ist demnach bei Eicbwald
(die Halbinsel Mangischlak) t. 17 f. 1. u. 2. nicht A. con-
centrica, sondern A. Pallasii, ebenso wie f. 5, 6, 7 uad
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— 2*4 —
11. Die Figuren 15, 1в, 17 sind wahrscheinlich richtig
als A. mosquensis bestioimt, und Г. i. und 14 ^iwden
möglicher Weise zu A. concentrica zu stellen sein.
Wean Eicbwald an demselben Orte sagt^ dass die AuceU
len allmählig in den Inoceramus Co(}uandi d'A. überge-
hen, so ist er den Beweis dafttr schuldig geblieben*
Aeusserlich hat allerdings 1. Goqnandi ganz dieselbe Form
wie A. Pallasii, aber selbst angenommen, dass der löffel-
artige Vorsprung der rechten Schale oblUerirl wäre, so
mOsste doch von der Schalenstruklur der Aucellen nodi
etwas vorhanden sein und wo sind die Uebergangs-
Bladien von Aucella zu Inoceramus?
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ROBIN.
Né en 1821 Mort en 1885.
Notice Nécrologique par Théodore Weschniakoff]
Membre honoraire de la Société Impériale des Natnralistes de Mescon.
Présentée h la Société dans sa Séance da U Novembre 1885.
La Revue Scientifique № 15 vient d'aononcer le 9
Octobre 1885 la mort ioattendue de Charles Robin d'une
manière sèche comparativement à la manière dont Tut
annoncée en son temps la mort de Claude Bernard qui
sans dépasser en valeur scientifique Charles Robin a su
conquérir une célébrité plus grande et plus étendue.
Charles Robin a été un des principaux et des plus
vigoureux initiateurs et un élaborateur le plus synthétique
et encyclopédique de l'Ânatomie générale normale et
pathologique dans le sens le plus étendu de ce mot. Sa
manière de procéder en cette science se distingue pro-
fondément de celle de la plupart de ses contemporains
et de ses successeurs.
Pendant tout le cours de sa carrière scientifique il
n'a cessé de combiner en un ensemble coordonné les
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— 206 —
trois aspects foodaraantaux de Tëlude des corps et élé-
meots orgauisés, que des groupes de savans distincts et
indépendans cootinuent à étudier séparément. Ces trois
aspects sont: celui des Morphologistes Micrographes,
celui du point de vue fonctionnel: physiologique et
pathologique et celui de la chimie biologique. Afin
d'accomplir cette féconde association de ces trois
parties distinctes de l'anatomie générale dans le sens le
plus étendu de cette expression, Gh. Robin n'a cessé de
s'appliquer à constituer une science intermédiaire nouvelle:
la science de la substance organisée, étudiée dans ses
parties les plus intimes et les plus délicates. Il n'a pu en
formuler que les traits fondamentaux, la méthode et les
conclusions générales, qu'il n'a cessé d'exposer d'une
manière précise et explicite dans ses travaux de l'ordre
le plus général et le plus encyclopédique. Ce sont ces
travaux surtout qui par malheur semblent le moins con-
nus aux contemporains ou qui du moins afTectent deles
ignorer.
11 avait commencé comme d'autres hislologistes mi-
crographes par étudier les seules apparences morpholo-
giques des corps vivans. Très jeune vers 1847 et 1848
ayant de 26 à 27 ans il pu publier les résultats de trois
groupes importans et fondamentaux de résultats scienti-
fiques obtenus à la suite d'une longue et persévérante
série de recherches micrographiques. Ces trois groupes
sont: be Sur le développement des spermatozoïdes, des
cellules et des élémens anatomiques des tissus végétaux
et animaux 1848; 2** Recherches sur les deux ordres de
tubes nerveux élémentaires et les deux ordres de gio«
bules ganglionnaires qui leur correspondent et sur la
structure des ganglions nerveux et 3^ Recherches sur
un appareil électrique qui se trouve sur les poissons du
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— 807 —
genre des raies et qui présentent les caractères analo-
miques des appareils électriques 18i7. De ces trois grou-
pes les deux derniers lui ont aussitôt acquis une cé-
lébrité à Fétranger.
jR. Wagner qui s'appliquait en même temps et d'une
manière indépendante aux mêmes recherches anatomiqnes
a fait une analyse détaillée et circonstanciée des travaux
de Ch. Robin dans son article Sympathischer Nerv, Gan-
glienstructur und Nervenendigungen. Handwörterbuch der
Physiologie, le merveilleux représentant collectif de la
renaissance positiviste de la biologie en Allemagne, qui
quant au charme de l'interprétation synthétique et de
Texposition des principaux sujets n'a pas eu d'égal de-
puis. Cet article de R. Wagner, le directeur du diction-
naire mentionné se trouve dans le 3-me volume. 1850 p.
360 à 406 p. B. Wagner a écrit entre autre en fai-
sant le récit de ses propres découvertes: < Unabhängig
davon entdeckte Bobin dieselbe Thatsache und verfolgte
sie nach seiner bekannten sorgfältigen und gründlichen
Weise». Depuis et à mesure que se constituait de plus en
plus son originalité encyclopédique si étendue et si in-
tense dans l'appréciation et l'interprétation des phéno-
mènes de la substance organisée, Ch. Robin devient de
moins en moins rappelé et mentionné dans les ouvrages
correspondans les plus célèbres de l'Allemagne propre-
ment dite.
Je n'ai trouvé cités ces grands ouvrages fondamentaux
que dans les traités classiques allemands des professeurs,
les plus voisins de la France:
Becklingshausen de Strasbourg: Handbuch der allge-
meinen Pathologie des Kreislaufs und der Ernährung.
1883 et Fol de Genève: Lehrbuch der vergleichenden
mikroskopischen Anatomie mit Einschluss der verglei-
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~ 208 —
cbenden Histologie und Histogenie. £o voie de publica-
tioa depuis 1884« Les sa vans rvsses, qui se nourrissent de
préférence de produits do la science allemande connais-
sent Ch. Bobin comme nous connaissçns Afiatctej Des-
cartes etc. par ouï-dire sans avoir lu leurs productions.
Les naturaliistes russes connaissent et apprécient quel-
ques recherches spéciales dew Ch. Robin tels que celles
sur l'embryologie des invertébrés et sen traité classique
sur l'Histoire Naturelle des végétaux qui croissent sur
Thomme et les animaux. Ce n'est en un mot que par des
faces parcellaires les moins caractéristiques de son type
scientißque qu'il est connu aux médecins et naturalis-
tes contemporains.
L'élément d'originalité, qui distingue et élève Ch. Ro-
bin au dessus de ses contemporains les plus distingués
s'est manifesté surtout dans ses grands traités systéma-
tiques de longue haleine, ou il passe en revue en leur
faisant subir une importante refonte et rénovation ency-
clopédique chacune des parties fondamentales de la sci-
ence biologique. Et ces travaux systématiques de longue
haleine sont le moins connus en dehors de la France. Le
plus achevé et le mieux élaboré dans ses détails est son
Traité avec la collaboration de Verdeil de Chimie Ana-
tomique et Physiologiqiêe 1853. 3 Volumes avec un atlas
de magnitique.s planches gravées en taille douce, en par-
tie coloriées. Malgré la date de la publication il faut re-
connaître que bien av.nnt cette date Ch. Robin a ter-
miné non seulement toutes les recherches qui lui ser-
vent de base mais même la rédaction définitive de cette
publication fondamentale. Comme il est écrit dans la
préface de cet ouvrage qui fait époque et signée le 26
Septembre 1852, l'impression de cet ouvrage a été сооь
mencée en Mai 1851 et depuis cette époque les feuilles
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en ont été déposées à la Société de Biologie à mesure
(lu tirage. Ce travail le plus original de Ch. ЕоЫщ ou
il manifeste le point culminant de son originalité et ma-
turité scientifique a été terminé quand il avait à peine
atteint ses 30 ans et doit être considéré comme indé-
pendant de l'admirable traité de Biologie générale de
Lotze, Allgemeine Physiologie, publiée et dont la pré-
face est signée eu 1851, qui présente beaucoup de
points convergens avec la méthode et là manière de con-
sidérer les phénomènes les plus intimes de l'organisation
et de la vie. Eu 1853 J. B. Bailliére, l'éditeur de l'ou-
vrage mentionné de Ch. Robin, avait annoncé comme ter-
miné et se trouvant sous presse pour paraître fin 1853
un autre ouvrage de Ch. Robin d'une importance tout
aussi majeure et qui devait avoir pour titre Traité d^And-
tamie Générale normale et pathologique chez l'homme et
les animaux; Histoire des élémens anatomiques des tissus
et Histologie, 2 vols in 8^ accompagnés d'un atlas de iO
planches gravées. Cet ouvrage n'a pas été publié. Mais
la plus grande partie des matériaux de cet ouvrage avec
des additions que comportait Tépoque de leur publication,
a été successivement publiée par fragmens plus ou moins
considérables et développés dont plusieurs pourraient
à eux seuls former de grands traités monographiques
d'Afiatomie et de Biologie générales. Surtout dans le mo-
numental Dictionnaire Encyclopédique des sciences Mé"
dicaies dirigé par A. Dechambre et sous une forme con-
densée et abrégée dans son Programme du Cours d'His-
iohgicy professé à la Faculté de Médecine de Paris â-de
édition 1870. XL — 416 pages et dans son Arbotomie
Microscopique Elémens Anatomiques. Epitheliums. Tissus.
2 vols 18K8 et 1869, ouvrage coordonné de ses articles
dans le Dictionnaire d'Histoire-Nalurelle de D'Orbigny.
.V 1. 1886. 14
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— 210 —
Je cilerai encore parmi ses grands tiaîtés systéma-
tiques les plus connus jusqu'à présent parmi ses grands
ouvrages: .
1) Anatomie et Fhysiologie cellulaires ou des cellules
animales et végétales, du protoplasma et des élémens
normaux et pathologiques qui en dérivent 1873; théorie
générale des Elémens anatomiqoes et des cellnles м
particulier et une histoire critique et encyclopédique de
cette théorie — 2) Leçons sur les Humeurs normales et
morbides du corps de Vhomme. Deuxième édition revue
et augmentée. 1874. Je ne cite pas ses très nombreux
mémoires et notes dispersés dans de nombreuses publica-
tions qui ne distinguent pas Ch. Robin du grand nombre
d'autres histologistes, et sont relativement les plus con-
nus. Mais il y a une longue série de grands traités mo-
nographiques, dont chacun épuise d'une manière systé-
matique le sujet traité, que malgré mes lectures nom-
breuses et variées je n'ai trouvé mentionnés dans aucun
ouvrage non français. Ces grands traités systématiques
et encyclopédiques publiés jusqu'à ces derniers temps
sont ses articles du monumental Dictionnaire Encydo-
pédique des Sciences Médicales publié sous la direction
de Dechambre. Les plus importans de ces articles sont:
Adipeu^^ Lamineux^ Fibreux, Musculaire^ Muqueux^
Lymphatique, élémens et tissus; Leucocytes ^ Sarcode,
Sperme, Sébacé; Biologie^ Organe et Organisation^ Sys-
tèmes anatomiques. Le tour de publier ses articles Elé-
mens Anatomiques et Principes Immédiats, auxquels il
renvoie et qui forment la partie la plus importante et la
plus originale de l'oeuvre de Ck. Robin, n'est pas en-
core venu avant la mort de ce savant illustre.
Ch. Bobin lui-même a condensé dès 1868 en peu de
lignes la partie la plus fondamentale et la plus originale
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— Sli-
de son oeuvre^ qai selon moi consiste 1) à avoir for-
mulé d'une manière la plus explicite une véritable Ana-
tomie el J^Jogie générale commune aux animaux et aux
végétaux et S) d'avoir mis en relief l'importance majeure
dans l'étude de la substance organisée des deux règnes
non de la connaisance des limitations morphologiques de
Jeurs parties élémentaires constituantes, mais de la con-
naissance de la structure intérieure intime et de la com-
position en principes knmédiats de chacune des espèces
^t des variétés des élémens anatomiques amorphes et
figurés. Voici comment il s'est exprimé là-dessus lui
même: «Une description générale des élémens anatomi-
ques, applicable aux élémens anatomiques végétaux et
animaux doit nécessairement comprendre à la fois celle
de ces parties constituantes des plantes d'une part et
des animaux de l'autre; les élémens de ces derniers ne
peuvent du reste être bien connus en l'absence de м-
Mons précises sur la constitution des élémens végétaux...
La substance des élémens des plantes et des animaux ne
diffère pas quant au mode d'union de molécule à mole*
€ule des principes, ni quant aux caractères de ceux-ci,
qui les font ranger en trois classes: gaz^ eau et sels
minéraux ou principes d'origine minérale, les principes
de désassimilation cristallisables et les principes albumi-
noides. Il ne faut pas par conséquent être étonné de
voir que les actes moléculaires qui se passent dans les
ileux espèces de substances organisées végétale et animale
sont de même ordre en un mot que les phénomènes de
nutrition sont au fond très analogues... Lors qu'эn vient
à comparer entre eux les élémens anatomiques sous le
rapport de leur composition par tels et tels principes im-
médiats юп reconnaît qu'il existe une certaine relation entre
leur forme et leur composition, fait qui a son analogie
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— 212 —
daos la reiatioD, qui existe entre la Гогше cristailine des
composés cbimiqaes et leur composition élëmeutaire...
«La coonaissaoce de la composition immédiate des élé-
mens analomiques nous rend compte de leurs variations
de forme, en ce que ces dernières se trouvaient être en
rapport avec le fait de légères variations de cette com-
position immédiate jointe à diverses particularités de^
conditions physiques de pression, d'humidité, de tempé-
rature.... La structure des Elénîens Anatotniques est
avec leur Composition Immédiate ce qui4l y a d'essen-
tiél à étudier en eux. Cest elle, qui les différencie le
mieux les uns des autres, plus encore que la forme et
le volume, car nous verrons ces derniers changer à me-
sure qu'ont lieu les progrés de Tage. Avec une struc-
ture différente la nature des propriétés est différente
aussi.. Chaque espèce d'élément anatomique a son mode
particulier de se nourrir, de se développer, de naître
etc.... Il y a comme on le voit pour chaque espèce d'élé-
ment anatomique.
1) des principes qui entrent
2) des principes qui sortent
3) et d'autres qui restent.
Pour chaque espèce aussi ces principes sont différent.
On comprend que pour étudier avec précision la nutri^
tion^ que pour déterminer exactement sa nature il fallait
surtout connaître les principes immédiats qui entrent, qui
sortent et ceux qui composent ces plasmas et les élémens
anatomiquesb.
Ch. ДоЫп Anatomie Microscopique 18(i8. Cette mé-
thode et manière de procéder n'a pas été suivie dans
rétude de l'histologie de l'homme et des animaux^ pas
mèn)e par les adjoints les plus proches de Ch. Bchin les
professeurs M. Cadiat son suppléant à la Faculté deMé-
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— 213 —
decioe et M. George Pouchet, professeur d'aoalomie com^
parée au Museum d'Histoire Naturelle de Paris. Ces deux
5^vaots émineus tout en rendant hommage à l'oeuvre
fondamentale mentionnée de Cb. Robin dans leurs traités
et manuels classiques si remarquables d'Analomie Géné-
rale et d'Histologie se sont livrés eux mêmes à des
recherches originales sur les systèmes et les grands en-
sembles anatomiques en laissant de côté la recherche
plus délicate et plus intime de la structure et de la
composition immédiate de la substance organisée. Le
Journal d' Anatomie et de la Physiologie^ malgré que
dirigé par Ch. ВоЫп lui même, renferme à peu près
exclusivement des travaux relalirs à Panatomie et à la
physiologie normale et pathologique des systèmes, des
organes et des appareils. Jusqu'à présent ce sont à peu
près surtout les botanistes seuls qui ont suivis à la lettre
la méthode et la manière de procéder que Cb. Bobin
n'a cessé de recommander depuis son Traité de Chimie
AnatomiqWy publié en 1853 jusque dans ses derniers
articles du Dictionnaire Encudopédique des Scie^ices
Médicales. J'indiquerai comme exemple de cette manière
de procéder à la Ch. Robin l'article si remarquable de
M. Arthur Meyer de Strasbourg: Die Trophoplasten. Zu-
sammenfassung der Resultate der neueren Arbeiten über
die Chlorophyllkörner.
Biologisches Centralblatt du
15 Avril 1884 № 4. A défaut de mention deToeuvre
de Ch. ВЫНп il est difficile de déterminer d'une ma-
nière précise le lien de filiation historique véritable qui
rattache celte série de travaux spéciaux à l'oeuvre fon-
damentale de Cb. ВоЫп^ de déterminer, en un mot, si
ce sont des travaux dérivés ou des travaux simplement
convergcns sans dérivation proprement dit^. Tel est
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-- 214 —
au6si le cas de Tadmirable série de recherches de M.
Beinkey professeur de botanique à rUniversilé de Got*
tÎDgue qui a réussi de déterminer d'uue manière expii-
cite la composition immédiate, très complexe d'un orga-
nisme inférieur publiée en 1881 sous le titre Studien
ober das Protoplasma. C'est grâce aux travaux de M.
Beinke que les physiologistes ont commencé à revenir
de rinterprétation simplifiée et schématisée de la sub-
stance organisée et à reconnaître sa composition immé-
diate complexe en gaz, eau, sels minéraux, principes
cristallisables et substances albuminoTdes cofüme c'est dit
dans le grand traité de physiologie, dirigé par le pro-
fesseur Hermann^ qui ne mentionne pas le nom de Ch.
ItùbtH»
Robin après avoir, comme continuent à le faire encore
les histologisles de nos jours, commencé à n'étudier que
les seules apparences micrographiques des systèmes ana-
tomiques, des tissus et des parties élémentaires des tis*
SOS, qu'au lien de nommer cellules il a nommé d'u(te
manière plus générale et précise Elémens Anatomiques
il est arrivé ainsi au point de vue original, qui le dis^^
tingue. Ses premiers travaux, comme Robin l'a énoncé
lui même dans sa Notice sur ses travaux publiée en
1866, à l'occasion de son élection comme membre de
TAcadémie des Sciences de Paris et dont je dois la pos-
session grâce à l'obligeante amabilité d'un de ses élèves
et adjoins les plus distingués, M. le professeur Georges
Pouchetj «m'ont amené, écrit Robin, à penser qu'il
comportait de connaître la composition immédiate des
humeurs! et celle des derniers élémens, que la dis-
section isole par dissociation mécanique sans destruc-
tion physique et moléculaire. Une semblable connais-
sance est d'autant plus essentielle, qu'elle se rapporte
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— 215 —
aux corps, sur lesquels portent direclemeut ou indh
reclemeot les observations de rauatomisle et du zoolo-
giste et les expériences du physiologiste. Cet ardre
d'études a été de ma part l'objet de quatre années de
recherches consignées dans plusieurs mémoires et dans
un Traité de Chimie Anatomique et Physiologique, 1853
dont il a été question plus haut couronné par «l'Académie
des Sciences». Selon Robin lui même ce traités! ассощг
pli, n'a été qu'un préambule, qu'une introduction à un
traité encore plus considérable, quMI avait réussi à ter-
miner vers Is même époque, mais qui n'a pas été publié
jusqu'à présent et dont il a été aussi question plus hauL
En dehors de ses travaux scientifiques personnels,
Robin a été un des plus habiles et des plus '-ingénieux
Organisateur d'Enseignement Scientifique Pratique et de
Travail Collectifs^ exécutés d'après un plan et une di-
rection générale imprimés par lui. Très jeune encore il
avait réussi à fonder avec la collaboration de Dolfus^
WUrtz et Verdeil un Laboratoire de Biologie privé mo-
dèle sur une échelle plus encyclopédique que les insti-
tutions semblables organisées depuis. C'est dans ce ta-
boratoire privé que furent exécutés toutes les recher-
ches, qui ont servi de matériaux aux deux grands
Traités terminés vers 1853. Son laboratoire a été recom-
mandé par le Dr. Meding, le président de la Société
médicale allemande, dans son livre si intéressant Paris
Médical 1853. Quelques détails quoique sommaires^ mais
intéressans, relatifs à la fondation et aux tristes circon-
stances qui ont amené la tin de cette institution scien-
tifique privée se trouvent dans la belle notice biogra^
phique de Wûrtz dans la Revue Scientifique 24 Janvier
J885 № 4. p. 101. Le Gouvernement français a fondé pour
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— 216 —
lui en 1862 une nouvelle chaire d'Histologie à la Fa-
culté de Médecine avec deux laboratoires celui delà Faculté
et un autre d^Histologie zoologique, rattaché au Muséum
d'Histoire Naturelle. De renseignement de VAnatomk
Générale dans la Médecine à travers les siècles, Histoire
et philosophie 1865 p. 25 et 657 par J. M. Guardia le
très savant et élégant auteur de VHistoire de la Méde-
cine 1885. Robin a été un des principaux fondateurs de
la Société de Biologie de Paris. On peut s'en assurer
par le discours si instructir, qu'il a prononcé dans la
première séance de la Société le 7 Juin 1848 sur la
direction, que se sont proposée en se réunissant les
membres fondateurs de la Société de Biologie pour ré-
pondre au titre, qu'ils ont choisi. Après «ivoir été nommé
membre de l'Académie de Médecine de Paris, il a été
nommé en 1866 Membre de l'Académie des Sciences en
remplacement du célèbre Zoologiste Valenäennes. Ro-
bin a élé membre titulaire de notre Société des Natu-
ralistes de Moscou depuis 1858 el membre honoraire
depuis 1878. Il est étonnant r!e ne pas trouver son nom
parmi les membres étrangers de l'Académie des Sciences
de Vienne, qui dans toutes les branches des sciences
naturelles favorise plus que les autres académies et so-
ciétés académiques l'appréciation Élémenlologique des
corps et phénomènes quelconques.
Voici en abrégé les caractères distinctifs originaux
du type intellectuel scientifique complexe de Robin,
1) Robin est le resprësentant le plus accompli el le
plus caractéristique de la Variété Élémentdogique Na-
bwraliste du Type Optique spontanément porté à voir,
imaginer, figurer et décrire les apparences élémentaires
les plus délicates et les plus intimes des objets et des
phénomènes naturels. Parmi les savans contemporains je
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— 217 -
pais citer comme Ses homotypes sous ce rapport M. M.
Hartihg et Sorby en histologie et en pétrologie histolo-
giqoe, le chanoine Carnoy de Louvain, MM. Brücke h
Vienne et Mollet à Graz. J'oppose au mode Élémentolo-
gique le mode mos^/ en &{oc d'interprétation, qui se borne
anx apparences directes et immédiates, sans se donner
la peine de rechercher les conditions élémentaires in-
times de chacune de ces apparences massives, qui ne
sont que des résultats éloignés des conditions intimes
et délicates pins ou moins cachées et inconnues. J'oppose
à la Variété' Natm-àliste Ho Type Élémentologique les
variétés Élémentologiques subjectives: п., Mathématique
portée de préférence à l'interprétation Algébrique des
conditions et phénomènes moléculaires comme Toeuvre
d'Optique mathématique A' Augustin Louis Cauchy, 2-de
section de mes Recherches sur les Conditions Anthropo-
logiques de la Production scientifique et esthétique. 1872.
Chap. 3 et 4-me et celle de M. Commines de MarsiUy.
Les Lois de la Matière. Essais de Mécanique Molécu-
laire 1884, ou Mathématique, portée de préférence à l'in-
terprétation figurée Géométrique des phénomènes comme
l'oeuvre de Hermann Scheff4er, résumée dans Natur-
gesetze und ihr Zusammenhang mit den Principien der
abstracten Wissenschaften 1876 — 1878, spécimen le plus
explicite de la méthode Géoméfrico-mécanique de Newton
appliquée à l'élude de toute la série des phénomènes na-
turels depuis les phénomènes du nombre jusqu aux phé-
nomènes biologiques et psychiques y compris^ à la seule
exception des phénomènes sociologiques. Je rattache au
type Élémentologique subjectif Antimathématique b) la
variété fantaisiste, lyrico-métaphysique plus ou moins
poétisée, qui imagine les conditions élémentaires des
phénomènes par des fictions plus ou moins vagues et
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— 218 —
îûdéfiDîes; la mythologie des Hindoue, la philosophie na**
turelle des aocieos, c'e SeheUingj Bartmann^ les mona-
des de Leibnit/gj les poésies de ScheUey, les théories et
les lemJdDces de la dernière phase philosophique du
regrettable Fernand Papillon né en 1847 et déjà mort
en 1871^ ce savant, penseur et écrivain si eminent, qui
après avoir été un des plus ardens élèves de Robin et
de Würtz, s'est de plus en plus élancé dans les espaces
dissociés et volatilisés du lyrisme passionné de la métha*
physique émotive. Malgré l'imperfection des instrumens,
comparativement aux perfectionnemens techniques de nos
jours au moyen desquels Robin est parvenu à faire se^
découvertes microscopiques les plus connues, il est par-
venu à saisir, décrire et figurer les nuances dislinctives les
plus délicates des objets étudiés. Je recommande la lecture
et la considération des planches de ses articles Leucocyte
et Myéloplaxes comme spécimens les plus caractéristi-
ques de la manière Élémentologique de Robin. Comme
professeur Robin n'a pas cessé d'être au courant de tous
les perfectionnemens techniques de son temps; son Traité
du Microscope ei des> In;edt(ms 1-re édition 184d et 3-me
édition 1877,1100 pages et 336 figures est recommandé
comme ouvrage à consulter par les ouvrages classiques
les plus récens, tels que celui de Fol sur VAnafomie
Microscopique^ Histologie et Hislogénie comparée 1884,.
V Anatomie Comparée (pratique de Vogt et Jung 1885
el la Biologie Cellulaire de Carnoy.
2) Robin était porté à trouver à chacune des nuan-
ces distinctives vues, conçues et figurées une expression
linguistique correspondante. Il a été très sévère à l'égard
de l'emploi pas assez précis selon lui des expressions,
ueftées en histologie. Il a systématisée cette partie ca-
ractéristique de son oeuvre dans sa dernière publication-:
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— 219 —
Nouveau Dictionnaire abrégé de Médecine^ de Chirurgiey
de FkarmaciOf des sciences Physiques^ Chimiques el JVa-
tureUes. Octave Doin 1885. Ce dictionnaire résume de la
manière la plus condensée l'ensemble et toutes les par-
ties de sa profession de foi philosophique et scientifique.
Enfin:
3) Robin par la manière vigoureuse d'abstraire et de
combiner en des ensembles synthétiques les matériaux
élémentaires de ses recherches doit être considéré comme
un des Philosophes Biologiques les plus éminens à la
hauteur de Lamarky de BlainviUej Auguste Comte et
Lotjiie pendant la première phase scientifique de ce der-
nier savant, résumée dans son AUgemeine Physiologie
des körperlichen Lebens 18С1. Malheureusement dès la
publication de cet ouvrage capital, Loize s'est de plus
en plus écarté de la voie positiviste d'abord adoptée
pour s'élancer à la manière du mentionné Papillon dans
les régions volatilisées de la métaphysique émotive. Pour
donner une idée plus explicite de ce que je comprends
sous le nom de Philosophe et Philosophique je renvoie
à mes Recherches sur les Conditions Anlropologiques de
la Production Scientifique et Esthétique 1868 Groupe
Philosophique et 3 section 1873 Chapitres: 2, 8, et
9^me Paris, 9 Massen. D'ailleurs M. Letourneau dans
son article: Histoire Naturelle des Grands Hommes
a parfaitement résumé mon idée la dessus en ces
lignes: «Nous arrivons enfin au groupe le plus complet,
au groupe Philosophique, qui a pour caractère une ten-
dance spontanée à condenser en des ensembles com*
plexes, mais organisés, bien fondus» des faits, des idées
multiples'à l'aide de l'abstraction et de la synthèse
M. Weschniakoff subdivise ce groupe important Les
caractères les plus généraux du type philosophique se-
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— MO —
raient Гепсу doped isme dans le choix des matériaux, Tassor
cîation intime de ces matériaux divers en de vastes en-
sembfes.... Pour la longévité les philosophes dépasseraient
rarement la soixantaine et leur activité scientifique ori-
ginale cesserait longtemps avant leur mort... Nous som-
mes obligés de renvoyer le lecteur au texte même de
notre auteur, surtout intéressant dans cette dernière
partie, pleine de vues originales, d'observations fines. M.
Weschniakoff a fait une belle étude d'anthropologie
psychologique» . Article de journal publié en 1889 et
reproduit sans changement dan? l'ouvrage de Letourneau
Science et Matérialisme p. 107— Reinwald. 1879.
Un superbe portrait de la dernière époque de Robin a
été publié dans la magnifique collection Goupä et C-ie
intitulée Galerie Contemporaine. Première série № 189
avec une courte notice.
Le texte de cette notice biographique dans ses parties
essentielles et fondamentales a été rédigé en Avril 1878
à l'occasion de l'élection de Robin comme membre associé
de notre société. Il n'y a été fait que quelques change-
ments de détails, que comportait le temps; j'ai omis dans
la présente rédaction les développemens et les conclu-
sions générales, que je réserve pour mon dernier ouvrage,
peut-être posthume Typologie ou essai d'une théorie
historique et anthropologique des différens Types Hu-
mains, productifs dans les Arts et les Sciences. Ma pre-
mière rédaction a été lue par Robin. Il a bien voulu
m'écrire le 8 Juin 1878: «Monsieur et très honoré
confrère. Mon ami, G. Pouchet m'a fait voir que grâce
à Votre bienveillante et confraternelle intervention scien-
tifique la Société Impér. des Naturalistes de tfoscou a
bien voulu me placer au nombre de ses membres hono-
raires.,. Je tiens à Vous témoigner personnellement com
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— 221 —
bien J'ai élé touché de Votre attention à mon égard et
à Vous tenir au courant de mes Trava/wx.
«Jai de шоп côté toujours lu avec le plus v^f intérêt
vos publications contenant vos appréciations sur les di-
vers types intellectuels de nos sociétés. Ce sont là des
études sociologiques des plus originales, dans le meilleur
sens dû mot et f ai plus d'une fois exprimé cette opinion
à M. IMré et à d'autres hommes distingués que chez
nous ces études intéressent». Bn vertu de cette aimabk
correspondance je lui avais proposé de constituer et
fonder à Paris sous ses auspices une Société d'Histoire
Générale et Encyclopédique des Sciences et de Biographie
Scientifique des Investigateurs Originaux^ à quoi il a
bien voulu me répondre par une lettre du 8 Août 1878
«Des occupations très absorbantes tant à la Faculté de
Médecine que personelles m'ont forcée et me forcent en-
core à vivre hors du mouvement scienlifique amené ici
par les réunions des savans à l'occasion de l'Exposition
et de plus à mon grand regret je dois m'absenter de
Paris pour 2 mois à dater du 20 Août. Parsuite je ne
pourrai assister aux Séances de TAssocialion Française.
Là est la cause qui fait que je n'ai pas pu eine pourrai
pas avant mon départ m'occuper de la Constitution de la
Société d'Histoire Naturelle générale^ dont Vous me tra-
cez la destination. Du reste je dois dire que malgré le
grand intérêt qu'offre cet ordre d'études^ je ne connais
pas plus de 8 à 10 savans qui s'en préoccupent autre-
ment que d'une manière vague. D'autre part en ce qui
me concerne des fonctions politiques: en 1876 il a été
élu Sénateur par son département de l'Ain, — que je n'ai
pas recherchées et dont mes compatriotes m'ont chargé,
jointes à nos travaux biologiques proprement dits que je
ne veux pas abandonner me laissent déjà à peine le
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— 222 ~
torops que je dois forcément consacrer aux Aoadéaiîee
des Sciences et de Médecine... Je Vous ai adressé il y
a IS jours par voie de fer mon Mémoire sur le Béve-
loppement des Hirudinéesm cette magnifique mmographie
étendue avec planches ne m'est par parvenue». J'y ai
joins mes remercimens pour M. le Viceprésident Cfa.
Лвпаг(2;— actuellement Président de notre Société— dont
Vefficace impulsion et le grand mérite sont hautement
appréciés des savons. — Veuillez agréer en attendant
Texpression de ma gratitude pour l'intérêt que Vous
portez à mes publications et celle de mes sentimens les
plus sympathiques et de considération la plus distin^e.
Ch. Robin. 91 BDulevard Saint-Germain».
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годичный ОТЧЕТЪ
ИмпвРАТОРСКАГО МосковснАГО Общества ИсаытАТВЯВЙ
Природы
за 1884-1885 годъ
Секретаря Общества
Профессора Е. Лапдамема.
Читанный въ nyбJrнчвolfъ засЗДаши Общества 8 октября 1885 год^.
HbiHi Императорское Московское Общество Испыта-
телей првроды закдючаетъ восьмидесятый годъ своего
существован1я.
1. Продолжая расширять свои сношен1я съ иностран-
ными учеными учрежден1ями, Общество, въ течен1е
истекшаго года вступило въ обм^нъ издан!ями съ 75
новыми учреждениями, благодаря чему бибд!отека Обще-
ства должна обогатиться значительнымъ числомъ изда-
ний, прежде въ нее не поступавшихъ.
Въ настоящее время Общество состоитъ въ сноше-
н1яхъ съ 539 учеными учрежден1ями. Изъ этого числа
въ Poccin находится — 100 учреждена; въ западной
^Енроп'Ь— 3ii; въ Америка— 66; въ Аз1и— tS; въ Африка —
5; въ Австралш — 8; въ Полиаез!и— 1.
Эти сношен!я предполагается еще значительно расши-
рить въ течен1е наступающего академическаго года.
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— 224 ~
2. Стремясь, 00 nipt возможностн содействовать pa-
сиростравеи1ю upocBiiueuia, Общество р^шию сд^жать
свою бнб11отеку легко доступною Д1Я аицъ ве иринад-
дежащихъ къ его составу. Дл этой ц1»1в ово поста*
BOBBio вз1|1вмть до свхъ поръ существовавш1й порядокъ
noibsoBanifl бвбд1отекой в открыть врв вей чвтаяьвю,
въ которую вм1|Ютъ доступъ, два раза въ вед11ю, ве
только члевы Общества, во в посторовв1я лица по ре-
комевдац1в члена. Общество вад1»ется, что учевые н
учащ1еся людв Москвы ъъ шврокой Mipi воспользуются
этой чвтальвей, которая открываетъ публвке доступъ
къ одвой взъ лучшвхъ естествеввоваучвыхъ бвблштекъ
PocciB.
3. Для сод^йстви экскурс1ямъ съ учевою ц^лью, пред-
врввятьшъ въ течев1е встекшаго л^та гг. Литвиновымъ^
Назаровымъ в Лоренцомъу Общество обращалось къ гг.
Начальввкамъ Довской, Кубавской, Терской, Уральской
в Тургайской Областей, къ гг. губерваторамъ Орев-
бургскому в Ставропольскому, в къ Тамбовской Губерв-
ской Земской Управе съ просьбою о выдаче откры-
тыхъ лвстивъ на вмя вазваввыхъ лвцъ. Bc^mb упомя-
нутымв вачальствующвмв лмцамв в учреждев1ями хода-
тайство Общества было любезво уважево.
4. Посредствомъ поздраввтельвыхъ адресовъ в теле-
граммъ Общество приввмало участ1е въ 11раздвовав1в
сл^дующихъ торжествепвыхъ актовъ:
а) Столетвяго юбвлея Богемскаго Общества въ Праге.
б) Пятвдесятвлетвяго юбвлея Общества встор1в в
древвостей ПрвбалтШскаго края въ Риге.
в) Двадцатвпятилетняго юбвлея Русскаго Энтомоло-
гвческаго Общества въ Петербурге.
г) Пятвдесятвлетвяго юбвлея Общества натуралвстовъ
въ Бамберге.
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— 225 -
д) 11ятидесятил4тняго юбилея члеиа Общества про-
фессора Менегиии въ Поз^.
5. Общество продолжало издавать свои записки, вы-
ходивш1я, какъ и въ предь]дущ1е годы, подъ редакщой
президента Общества К И, Ренара. Въ течеБ1и года
были изданы: а) три номера бюллетеня, именно №№ 2,
3 и 4 за 1884 годъ; б) метеородогйческ!я таблицы за
вторую половину 1884, и первую половину 1885 года; и
в) второй и третШ выпуски XV тома новыхъ мемуаровъ.
Къ этимъ издан!ямъ приложено 13 въ 31емуарахъ и
12 въ Бюллетене литограФированныхъ таблпцъ и не-
сколько политипажей. Въ этихъ выпускахъ напечатаны
сд1дующ1я идсл'Ьдован1я.
По 3 о о л о г I в:
£. И. Дыбовскш. 1Матер1ады для изучен1я ракообразныхъ
Байкала.
В. И. ДыбовскШ. О впдахъ Ancylus живущихъ въ Бай-
кал'^
» О язычной TepKi» Limuaca.
В. Е. Яковлевъ. Новые виды рода Jalla.
A. К. Беккеръ. 11утешеств1е въ Ханскую ставку и къ
большому Богдо.
Е. 9, Линдеманг. iMeromyza sallalrix и Elachiplera cornuta.
> Списокъ коро^довъ Московской губерн1и.
B. Н. Львоеъ. О строен!и кожи рептил1й.
Н. А. Стьверцовъ. Два новыхъ вида русскихъ соколовъ.
» О возрастныхъ изм'Ьнен1яхъ палеарк-
тическпхъ орловъ.
По ботаника:
Н. В. Сорокинъ. Матер1ады для Флоры средней Аз!и.
Ф. Э. фонъ Гердеръ. Plantae Raddeanae Monopelalae.
л? 1. 1885. 16
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//. H. Горожанкит. О cocTOHiiiii lepöapifl Московскаго
Унпверсвтета и Общества ПспытателеИ природы.
8. Д. Мгьшаевъ. Списокъ растен1й изъ северной частя
Рязанской губерн!в.
А. П, Артари. Списокъ водорослей Московской гу-
oepuin.
M. Я. Смирновъ. Сосудистыя растен1я Кавказа.
9. Б. Линдеманъ. Трет|'й отчетъ о состоян!и его гербар1я.
По MuuEPAJonu и Налкоцтолопи:
Л, П. Павлобъ. О геологической ucTopifl птицъ.
Маркизъ А. Fpeiopio. О Pecten lucidus и Р. bitidus.
Е. Кислаковшй. Химический аеализъ двухъ образцовъ
естественной глауберовой соли изъ Закавказья.
А. IL Сабамьевъ. Химическ1й составъ грязи одной изъ
сопокъ Таманьскаго полуострова.
С. Н. Никитит. Юрск1я отложеп!я окрестностей
Ела тьмы.
И о X II M I и:
А. Л, Сабамьевъ. О добыван1и и полимеризаш'и брома*
цетплепа.
II о Â с Т Р о Н о M I и и M А Т Б M А Т II к 'S.
0. А. Бредихинъ. О н*которыхъ Формулахъ теор1и
кометъ.
» О большой комет* 1811 года.
> О ядр-Ь кометъ.
Н. Е. Жуковшй. Ptraenie одной задачи нзъ теор1и
кометъ.
0. А. Слудскгй. Опытъ ptnieHi^ геодезической задачи.
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— 227 —
A. IL Соколовг. По поводу иредложеннаго г. Вышне-
градскимъ вывода Мансвелдова закона.
По МвтЕОРОЛОпи:
К. Веираухъ. О выведенш среднихъ чиселъ для отно-
сительной влажности.
B. Е. Бахметееь. Метеорологйчсск!я наблюдения за вто-
рую половину 1884, и первую половину 1885 года.
б. Общество им^ло восемь очередныхъ и одно го-
дичное дас1дан1е, въ которыхъ, кром^ текущихъ д^лъ,
доложены были сл*дующ1е рефераты научнаго содер-
жан1я:
По Зоолог! и:
М. А. Мензбиръ. Объ остеолог1и пингвиновъ.
Н. В. Гороновичъ. О закладка листовъ и спинной стру-
ны у лососевыхъ рыбъ.
» О морФолог1и бластодермы у Ichlyopsidae
и Sauropsidae.
-4. А. Еорошневъ. О развитии сердца у членистоногихъ
животныхъ.
К. 9. Линдеманг. О саранча въ Кубанской области.
A, А. Гудендорфь. О регенеравди конечностей и хвоста
у тритоновъ.
По Ботаника:
B. И. Бгьляевъ. О развит1и антерид1евъ и антерозоидовъ
у н'Ькоторыхъ плауновыхъ.
А. П. Артари, О пр*сноводныхъ водоросляхъ Евро-
пейской Poccin.
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— 228 —
B. Л, Тихомировг. О cipoeeie сосуднстыхъ иучковъ въ
корцеввщ'Ь вмбиря
» О полиморФизм-б у Peziza КаиГтапп1апд.
il о Геолог1н и Палеонтолог! и:
А. П. Давлоеь. О геологической истор1и птицъ.
C. П. Никитит. О пред^лахъ распространеаш ледни-
ковъ въ центральное! Poccin и на Vpait во
время ледяной эпохи.
По X п M i и:
A. Л. Сабангьевъ. О полимеризащи бромацетилена.
> Объ аллвлен-б.
> О д^аллнл'Ь.
> О лнпецкихъ мннеральныхъ водахъ.
B. Н. Бензетръ. Объ озон'Ь и его применен 1яхъ, въ
особенности по отношен{ю въ холер'Ь.
По А с т р о н о M i и:
в. А. Бредихинъ. О полномъ затм1н1и луны 22 сен-
тября 1884 года.
> О кометахъ 1884 года.
> О н^которыхъ Формулахъ кометноИ теорш.
> Обзоръ числовыхъ величинъ отталкивательной
силы.
По Ф U 3 и к t:
Я. И. Бейнбергъ. О nepe4a4t работы гальваничсскаго
тока па разстоян1е.
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- 229 ^
Некрологи:
С. А. Усоеъ. О бюграФ1и я ученой деятельности Н. А.
С^верцова.
А. П. Цавловь. Б10граф1я Г. П. Гедьмерсена.
7. Сов*тъ Общества им^лъ семь зас*дан1й, посвя-
щенныхъ преимущественно хозяйственнымъ д'Ьдамъ.
8. Въ истекшемъ году Общество утратило много
чденовъ. Скончались:
Членъ Сов*та Общества, знаменитый зоологъ и пу-
тешественникъ Я. А. Сгьвертвъ.
Почетный членъ Общества граФЪ А. С. Уваровъ.
Почетный членъ Общества И. Т. Глгьбовъ.
Почетный членъ Общества Г. П. Гельмерсенъ.
Почетный членъ Общества проФ. К. Т. Зибольдтъ въ
Мюнхена.
Д-ръ Г. А. Гтартовшй въ Москв*.
8. Гавр. Ерофгьееъ въ Петербург*.
Ф. Лекомтъ, въ Брюссел*.
Л. Фицингеръ^ въ Btnt.
Д-ръ Луце во Франкфурт*.
ПроФ. Рюппель^ во Франкфурт*.
А. Вилла, въ .Милан*.
Мильт-Эдвардсъ, въ Париж*.
9. Составъ Общества увеличился въ истекшемъ году
многими вновь избранными лицами; Общество почтено
было Его Пмператорскимъ Высочествомъ Ведикимъ Кня-
земъ Николает Михаиловичемъу благоволившимъ при-
нять зван1е почстнаго члена Оби1ества.
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— 230 —
Зат'Ьмъ избраиы:
а) В ъ II о ч е т U ы е члены:
О. Вл» НешняковЪу въ Мосвв1>.
А. О. Еовалевшй, въ Одесс*.
И. Л. 31ечниковъ, въ Одесс*.
К. М. Феофилакшовъ, въ Kieet.
Л. С. Ценковстй, въ Харьков*.
И. 31. Огьченовъ, въ Петербург*.
Д. И. Менделгьееь^ въ Петербург*.
A, М. Бутлеровъ, въ Петербург*.
К. И. Максимовичъ, въ Петербург*.
б) В ъ д * If с т в 11 т е д ь н ы е ч д е и ы:
B. И. Бгьляевъ, въ Москв*.
А. П. Артари, ви Москв*.
Д-ръ А. Н. Вейссъ, въ Москв*.
Н. В. Гороновичг, въ Москв*.
ПроФ. Бен. И. Дыбовшщ въ Львов*.
Ст. Соммье, во Ф.юренфи.
Д-ръ де Мань, въ Миддельбург*.
ПроФ. И. Арканжелщ въ Пиз*.
ПроФ. jr. А. Паженштеххеръ, въ Гамбург*.
Д-ръ Ф. Крепенъ, въ Брюссел*.
ПроФ. А. ФаврЪу въ Женев*.
ПроФ. А. Норденшельдъ, въ Стокгольм*.
Д-ръ Г. Хорватъу въ Будапе(ит*.
ПроФ. i?apHoa, въ Лувен*.
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— 231 —
Д-ръ Фгииыпъ Ск.1этеро, въ Лоидои*.
Д-ръ Рихардъ Шарпъ, въ Лондон*.
Д-ръ Генри Зибомъу въ Лондон*.
ПроФ. Неймайръ, въ Btut.
А. Шуллищ въ Btnt.
Эд. Жанетш(\ въ ПарпжЬ.
ПроФ. Я. Ствешонъ, въ НьюИоркЬ.
в) В ъ ч л е н ы-к орресионденты:
Д-ръ В. И, Дыбовшщ въ Минск* (Няньково).
10. Въ состав* сов*та Общества произотди сл*дую-
щ{я иерем*ны.
Членомъ Сов*та, на м*сто умершаго Н. Л. С*вер-
цова, нзбранъ проФ. А. П. Сабангьевь,
Секретарь Общества проФ. Г. А. Траутшсльдъ но
бол*зии ц обрененен1ю занят1ями сложнлъ съ себя
обязанности секретаря н хранителя мннералогнческихъ
и геологическнхъ коллекщН. Не приступая къ избран1ю
втораго секретаря, Общество передало н*которыя обя-
занности его члену сов*та Б. А. Eunpianoey и бибд!о-
текарю К. П. Л€р€пелкину\ на должность хранителя
минералогическйхъ иредметовъ избрало В, А. Kunpia-
нова.
11. Денежныя средства, которыми располагало Обще-
ство въ истекшемъ году, состояли изъ суммы ежегодно
отпускаемой правительствомъ въ рдзм*р* 4,857 рублой
и членекихъ взносовъ, которыхъ поступило всего 199
рубля.
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— 5232 —
12. Въ ястекшемъ году Общество значительно обо-
гатило научныА собрания 31осковскаго Университета
многими драгоц%нными предметами, а именно:
а) Въ Ботанически кабинетъ Университета Общество
передало весь свой гербар1й, состоящ1Н язъ 73 отд^ль-
ныхъ собран1Й, заключающйхъ въ ce6i бол-Ье десяти
тысячь различныхъ видовъ растен1й.
б) Нъ Зоологически Музей переданы: 822 шкурки
Уральскихъ отицЪу собранныя бывшимъ секретаремъ
Общества Л. Л. Сабангьевымъу 164 шкурки Уральскихъ
млекопитающихъ и 23 шкурки птицъ разнаго проис*
хожден1я.
в) въ Минералогическ1й кабинетъ иереданы:
1. Палеонтологическая коллскц1я члена Оби^ества
Вырубова^ состоящая изъ 1615 нумеровъ.
2. Шесть большихъ шкаФОвЪу заключающйхъ въ ce6t
Bct минералогическ1е и иалеонто1огичбск1е предметы,
полученные Обществомъ въ течен{е посл'Ъднихъ двад-
цати л1тъ и содержащ1с около шести тысячъ видоп
ископаемыхъ и множество минераловъ и горныхъ по-
родъ.
Трудно, конечно, выразить въ рубляхъ ценность всЬхъ
этихъ предметовъ, переданныхъ Университету; но во
всякомъ случае ц%нность ихъ весьма значительная и
можетъ быть определяема не однимъ десяткомъ тысячъ
рублей.
13. Въ свою очередь Общество получило драгоцен-
ный даръ отъ своего почетнаго члена в. В. Вешня-
кова^ подарившаго Обществу свою библ!отеку, состоя-
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— 23S ~
щую изъ 779 сочинешй пи естественнымъ наукамъ,
принося Обществу этотъ AparoutHHbiä даръ, в. В. Веш-
няковъ поставилъ услов1емъ, чтобы жертвуемая имъ
бвбд{отека всегда была доступна лицамъ за1шмаю1цимся
наукой и не входящимъ въ составъ Общества.
II. Въ оби^нъ на свои нздашя Общество получило
въ истекшемъ году всего около 140й томовъ книгъ,
между которыми находится много драгоц'Ьнвыхъ взда-
Hie вс*хъ странъ св*та.
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BULLETIN
DE LA
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE
DES NATURALISTES
x>:es ]!л:о80ОХ7.
Тоне LU.
ANNEE 1885.
Xi 2.
MOSCOU.
Imprûnerie de TUiiiTersilé Impériale. (H. Kttkoff.)
"^1886.
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ENUMERATION DES ESPÈCES DE PLANTES VASCULAIRES
DU CAUCASE
par
M. Smirnow
de ïiflis.
(Continuation. V. Bulletin. 1884. № 4.)
lin (léfiDissant la région désignée sous le nom de
Transcaucasie centrale nous avons admis qu'elle s'éten-
dait vers Test jusqu'au méridien de Sliemakha. Celle li-
mite ne coïncide avec aucun trait orographique et
les contrées conligues qu'elles sépare n'offrent aucun
contraste apparent ni sous le rapport de leur relief, ni
^ous celui de leur climat. Nous I avons choisie par ce
qu'elle passait à une distance suffisante de la côte de
la mer Caspienne pour laisser à l'est toute la région
soumise à l'influence directe de cette mer. Les données
météorologiques viennent justifier cette supposition. La
comparaison des températures moyennes de Shemakha et
de Bakou réduites au niveau de la mer démontre que la
première station se trouve comprise dans le domaine d'un
climat plus continental que la seconde. En hiver la tem-
pérature est plus élevée à Bacou, dans la période plus
chaude de l'année à Shemakha.
Le littoral Pontique de la Transcaucasie et les basses
vallées qui y débouchent se distinguent, ainsi que nous
l'avons déjà dit, de toutes les autres parties du Caucase
par des températures hivernales bien plus élevées. Dans
.¥ 2. 1886. 16
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— 236 —
cette région au sud du 44^ lat. N et jusqu'à une altitude
de 150-m les moyennes des mois d'hiver sont à peu près
égales à celles de la Provence et de Tltalie centrale. La
similitude entre les moyennes annuelles de ces pays est
tout aussi parfaite. Le tableau suivant permet de s'en
assurer.
T f m p. Mo-
Sotchi 43«34'. 20 7,2
Sukhum 43-. 5 7,9
Koatais * 42M6'. 140 6,3
Redout-kale 42П6'.) ,rv ^^
Poti 42»9 I ^" '»'
Batoum 4140'. 5 8,9
Avignon 48W. 22 6,2
Montpellier 43«37'. 60 6,2
Perpignan 42M2'. 47 10
Marseille 43П8'. 45 7,9
Florence 4346'. 73 6,3
lesi 43*30'. 118 6,6
Constantinople 4Г2'. 50 6,6
Trebizonde 414'. 9
L'examen du tableau démontre que dans les stations
de la France du sud et de l'Italie centrale les températu-
res moyennes du printemps sont en général un peu plus
élevées (de 1^ environ) et celles de l'automne un peu plus
basses (de 1^ environ) que dans les stations de laTrans-
caucasie occidentale.
Le lent accroissement de la température au printemps
est un trait commun à tout le Caucase, et cette particu-
larité se fait reconnaître dès le mois de Février dont la
moyenne dans tout le pays est inférieure à celle de Dé-
cembre. Ce dernier trait s'observe, il est vrai, aussi dans
quelques contrées du bassin méditerranéen, mais c'est le
cas contraire qui y prévaut. L^été est moins chaud dans la
Transcaucasie occidentale que dans les autres régions
du Caucase, et la moyenne d'Août y est généralement su-
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— 237 —
périeure à celle de Juillet. Parmi les stations susmenlioD-
nées (le la France du sud et de l'Italie centrale il n' y a
que Marseille qui ait une température estivale inff^rieure à
toutes celles des localités du littoral Pontique du Cauca-
se. Dans ces dernières stations les moyennes de l'été sont
4l'un Г moins élevées qu'à Florence et à Jesi, mais la
7 f n n f s.
Jan. Fév. hiv. print. été. autom. année.
6,2
5,8
6
11,5
21,9
15,6 .
13,8
6,1
6,4
6,8
12,9
22,3
16,8
14,7
4,5
6,8
5,7
13;4
22,6
16,1
14,5
5,8
6.5
6,6
12'8
22,5
16,6
14,6
6,4
7
7,4
12,6
22,8
17
14,9
4,8
6,7
5,9
18,6
21,9
14,6
14
6,6
6,8
6,2
13,7
28
14,6
14,4
6,6
5,9
7,1
12,8
21,3
15,1
14,3
6,4
9
7,8
14,4
23,9
16,2
15,4
6,2
6,9
6,2
18,8
23,8
15,2
14,7
6,2
6,7
6,2
13,7
24,3
16,8
15
4,6
4,8
5,8
11
21,3
15,3
13,3
6,8
8,2
8
12,7
23,1
18,1
15,5
température dans cette saison y est tout aussi haute que
dans plusieurs localités du littoral de l'Italie, telles que Li-
vourne (22,^8) et San Kemo (22, 6^).
Les deux stations du littoral Pontique de la Trans-
Caucasie situées au N du 44^ lat. ont des moyennes hi-
vernales au dessous de 4^ En été la température s'y main-
tient à la même hauteur que dans les stations plus mé-
ridionale de la côte. La moyenne annuelle de Geléndjick
n'est inférieure que de 0,2^ à celle de Sotchi; mais à No-
vorossisk elle n^atteint que 12/6.
En hiver la température s'abaisse brusquement dès
qu'on passe au N de la Grande chaîne; à Ekaterinodar,
(90.m) situé à 0,3° lat. au Nordet à 1" long, à l'est de
Novorossiisk les moyennes de Décembre et de Janvier
sont respectivement de 0,7° et de — 2,2°, c'est à dire de
16*
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— 238 —
1*^ moius élevées que dans celte dernière localité. En été
au contraire la température est plus haute à Ekatérinodar.
Le tracé des isothermes nous a déjà révélé le con-
traste qui existe entre le climat maritime du littoraf
Pontique du Caucase et le climat plus continental du
littoral Caspien.
Le tableau suivant permet de se rendre compte des
différences entre les températures moyennes des saisons
de ces deux régions.
lat^ Uiv. Print été. aut. année. Jan.
Soukhoum 43» 6,8 12,9 22,8 16,8 14,7 6,1
Poti 42^9' 6,6 12,6 22,5 16,6 14,6 5,8
Koutais 140*" 42П6' 5,7 13,4 22,6 16,1 14,5 4,5
Bakou 40^22' 4,2 11,6 24,7 16,6 14,8 3,4
Léncoran 3846' 4,6 13 24,7 16,4 14,7 3,5
Derbént 42*3' 1,5 10 24 14,8 12,6—0,1
Petrowsk 48« —0,9 8,5 24,7 13,6 11,5 —3,9
Les deux stations de la côte orientale de la Transcau-
casie, Bakou et Léncoran, sont situées, la première à
2*^ lat. et la'secondeà 3,5^ iat.au sud de PotieldeKou-
tais. Néanmoins on y relève des températures moyennes
de l'année égales et des températures moyennes de l'hiver
de 2^ inférieures à celles de ces dernières stations *.
Les moyennes estivales de Bacou et de Lenkoran dé«
passent au contraire de 2^ celles de Poli et de Routais.
Au printemps et en automne les différences entre les
températures des deux régions littorales de la Transcau-
casie sont moins considérables. Toutefois la moyenne de
Mars de Bakou est encore de 2,5** plus basse que celles
de Poti et de Routais. **
• Les moyennes de Novembre de Bakou et de Lenkoran sont déja
inférieures de V à celles de Poti et de Koutais.
♦* La moyenne de Mars de Lenkoran est de 1* moins élevée que celle
de Poti. .
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— 239 -
En Italie des moyennes hivernales semblables à celles
de Bakou et de Lenkoran s'observent sur le littoral de
la Vénétie et au pied du versant septentrional des Apén*
nins. (Venise lat. 45^2b' moy. hiv. 4,Г; Bologne lai. 44^30
moy. hiv. 3,6^).
L'écart de 3,5** entre les températures moyennes de
Janvier de Bakou et de Derbént est beaucoup trop con-
sidérable pour pouvoir être expliqué par la différence des
latitudes respectives des deux stations, qui n'est que de
1/5. La douceur relative de Thiver à Bakou ne saurait
non plus être attribuée à la situation de cette ville au
sud de la grande chaine. Celte dernière en se rappro-
chant de la péninsule d'Apschéron ne forme plus qu^un
rempart de 600-m de hauteur et se termine au Nord de
Bakou par des collines trop basses pour servir d'abri
contre les vents du N et du N. E.
Le brusque accroissement de froidure hivernale con-
staté à Derbént parait être du à la proximité de cette
station de Taire des glaces flottantes qui recouvrent la
partie septentrionale de la mer Caspienne. Le vent pré-
dominant de celte saison, le N.E., atteint Petrovsk sans
avoir subi l'accroissement de température éprouvé au
contact de la nappe liquide par les courants atmosphé-
riques de même direction qui passent audessus des par-
ties plus méridionales de la mer, ordinairement libres
de glaces.
La justesse de Texplicalion précédente est confirmée
par la forte dépression de température qui s'observe à
Petrovsk dont la moyenne de Janvier est de 3,8*^ inférieur
celle de Derbént, quoique la différence des latitudes des
deux stations n'atteigne pas i\
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— 240 —
Sur le littoral occidental du Caucase des températures:
hivernales aussi basses qu'à Pelrovsk ne s'observent que^
dans des localités situées à 3* plus au Nord,
Les moyennes annuelles de Derhént et de Pelrovsk ne
diffèrent que de l**; elles sont respectivement égales à
celles de Novorossiisk et d'Ekalerinodar.
En été on ne constate aucune différence sensible entre
tes températures des quatre stations du littoral caspien
du Caucase.
Les observations météorologiques du Caucase sont
d'une date trop récente pour nous permettre de déter-
miner les maxima et les minima absolus de température
qui peuvent se produire dans les différentes parties de
ce pays. *)A Tiflis ou elles Turent poursuivies pendant
une période plus longue que dans toutes les autres sta-
tions du Caucase, on n'avait constaté de 1884 à 1883
qu'un minimum de — 17,3^ mais le 8 Janvier le ther-
momètre descendit jusqu'à— 24,4^ et la moyenne diurne
fut de — 18^ Il est vraisemblable que la partie du litto-
ral Pontique comprise entre Sotchi et Batoum, et la côte
Caspienne entre Bakou et Astara sont les seules régions^
du Caucase où la température ne s'abaisse jamais audes-
sous de 15^ ♦*)
Les maxima constatés jusqu'à présent n'excèdent pas
39^^ mais il est fort possible que cette limite soit dépassée
*) L'exemple de Paris démontre que les limites extrêmes atteintes^
par le thermomètre ne peuvent être déterminés que d'après une
période d'observations d'un siècle environ.
♦*) Un minimum de 15' a été observé à Koutais; à Poti on n'a
constaté jusqu'à présent qu'un min. de— 12».
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— 241 —
parfois dans ies plaines de la Transcaucasie centrale et
dans la vallée de l'Araxe. *)
Pias dignes de confiance sont les moyennes des maxima
et des minima de température, leur détermination n'exi-
geant pas une période d'observations aussi prolongée
que celle qui est nécessaire pour obtenir les limites ex-
trêmes atteintes par le thermomètre. Le tableau suivant
renferme les moyennes des maxima et des minima de
cinq stations du Caucase.
Moyennes des Minima.
Dec. Jan. Fév. Mar. Av. M.
Tiflis -6,8 —10 —8 —4,4 1,2 7,S
Bakou 0,5 —2,4 —3,1 —0,8 4,8 10,6
Poti 0,2 —1,7 —2,2 —1 4,8 10,2
Redout —1,3 —2,6 —1,4 0,1 4,2 11,6
Stavropol —11,9 —15 —17,3—12,4 —2,9 6,2
Ju. JL At. S. 0. N. an.
Tiflis 12,4 15,9 15,9 9,6 3,2 —3,1 —12
Bakou 17Д 21,3 21,2 15,7 9,6 4,5 —4,8
Poti 15,1 17,4 19,7 12,4 9,3 4,3 —6,5
Redout 15,4 18,4 19,4 13,4 8,2 2,8 —3,3
Stavropol 1114,1 12,6 5,7 —1 —7,4 —21,6
Moyennes des maxima.*)
Dec. Jan. Fév. Mar. Av. M. lu. II. At. S- 0. N. an.
Tifls 12,6 11 13 20,1 25,3 29,5 32,5 35,2 35,1 30,4 25,518,135,9
Bakou... 12,7 11,1 12,4 15,5 20,8 26,3 30 32,1 32,2 28,4 2419,2 32,9
Poti 17,6 15,4 15,4 21,5 25,7 28,1 30,3 29 31,2 28 27 22,2 32,9
Redout.. 16,8 15,2 18,9 21,5 29,2 29,2 30,4 29,3 31,2 30,2 26,3 22,3 33,3
Stavropol 10,4 8,5 8,8 15,5 21,2 27,8 28,9 30,6 31,3 26,8 24,217,832,3
•) Un maximum de 41® est indiqué par M-r Salatzky (Mém. de la
Soc. de Géogr. du Caucase V p. 105) pour Erivan, mais les observa-
tions de cette station paraissent être peu exactes.
*) Les moyennes de Poti et de Redout se rapportent à des séries
d'années différentes, c'est ce qui explique Técart assez considérables
entre les données de ces deux stations voisines.
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- 242 —
Les écarts eulre les moyennes respectives du mois le
plus chaud et du mois le plus froid de l'année, constatés
dans les principales stations du Caucase, sont indiqués
dans le tableau suivant. Ces écarts rendent compte de
l'amplitude de l'oscillation annuelle de la température
dans les différentes région du pays.
Écarts entre les Moyennes du nois le plus chaud et dn Mois
le plos trolû de l'aonéf.
Stavropol 25,r
Ekaterinodar 27,1
Podgornaja 25,8
Piatigorsk 26,7
Mikhailovskaya 28Д
Grosnaya 28,1
Veden 26
Alaghir 23,6
Vladikavkas 23,4
Goudaour 20,3
Novorossiisk 21,7
Solchf 18,5
Soukhoum 18,3
Poti-Redout 18,6
Koulais 19,6
Petrowsk 29,8
Derbént 25,3
Bakou 22,4
Lenkoran 22,3
Shousha 19,5
Shemakha 24,5
Elisabelpol 23,6
Tzarskii kolodlzi..,. 23,9
Tiflis 23,8
Bielyi klutch 21,6
Souram 23,4
Alexandropol 29,4
Aralykh 32
Erivan ?5,7
Sur le littoral Pontique au sud du 44** lat. et à Kou-
lais la différence entre les températures moyennes du
mois le plus chaud et du mois le plus froid n'est que
de 18^ à 19^ la même qu'à Triest et à Athènes. En
Italie et en Provence des différences semblables s'ob-
servent à une certaine distance de la côte. (Avignon,
Florence).
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— 243 —
En Ciscaucasie l'écart des deux moyennes dépasse en
général 25^' il est moins considérable dans les stations
plus élevées de cette région que dans celle des plaines
(Alaghir 23,6^ Ekaterinodar 27,Г).
Sur le littoral Caspien la différence entre les tempéra-
tures des deux mois augmente rapidement du Sud au
Nord et atteint 29,8 à Petrovsk; dans la Transcaucasie
centrale elle ne dépasse pas 25^ et diminue notablement
avec la hauteur de la station. A Schousha elle n'est que
de 19,5 ^
Nous avons déjà indiqué le profond constraste qui
existe entre le climal tempéré du Karabagh du N.E. et
celui du plateau Arménien. L'écart de 30® à 35^ entre
les moyennes de Janvier et celles de Juillet et d'Août
qui s'observe dans cette dernière région démontre que
l'élévation au dessus du niveau de la mer n'a pas toujours
comme conséquence nécessaire une diminution de l'ampli-
tude de Toscillation annuelle de la température; sur les
hauts plateaux qui se caractérisent tous par un climat
continental, elle peut être très considérable malgré l'altitude-
Un écart semblable à celui que nous venons d'indiquer
pour les stations Arméniennes s'observe dans les plaines
de la Russie de l'est et sur les derniers contreforts de
l'Oural et du Tian-shan septentrional.
Un coup d'oeil jeté sur le tableau suivant permet
de se rendre compte de la variation de la température
au Caucase dans le cours de l'année. Les chiffres qui y
figurent indiquent les différences entre les moyennes des
mois consécutifs, constatées dans les principales stations
du pays.
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— 244 —
Jan. Fév. Mrs. Av. M.
Dec. Jan. FéT. Mars. At*
Stavropol —2.5 0,9 4,2 6,6 6,8
Ekaterinodar —2,9 2,1 5 6,5 6,3
Petrowsk —V 4,4 2 5,7 6,7
Soukhoum —1,8 0.3 2,4 4 4,3
Derbént —3,7 0,9 2,9 6,1 6
Poti —1,9 0,7 2 3,9 4,7
Tiflis —2 1,4 4,6 5,3 5,7
Alexandropol —4,9 1,8 7 7,4 6,1
Bakou —2,6 0 2,7 5 6,6
Lenkoran. -2,4 0,8 3,3 5 6,2
Goudaour —2,2 —0,8 5,3 3,4 5,8
Wladikavkase —2,9 1,7 4,4 7,2 6,2
Avignon —1,4 1,9 2,7 4 4,7
Florence —1,1 1,7 2,5 4,2 4,5
Milan —M 2,7 4,3 4,7 4,7
Venise —1,9 2,3 3 5,1 5,1
Juin. Jl. At. Sep. Oc. N. Dec. m
M. Juin. Jl. At. Sep. Oc. Nv.
Stavropol 3,7 2,6 0,2 —5,5 —5,6 -5,3 —6,1 4,5
Ekaterinodar 4,2 3,5 0,3 - -6 —6,1 3^9 —6.2 4,«
Petrowsk 7,7 3,3 -0,2 —6,3 —5,2 —6,8 -6,9 4,9
Soukhoum 3 2,5 1,8 —4,2 —3 —4,1 —5,2 3
Derbént 5,7 3,5 —0,2 —4,6 —5,8 —5,1 —5,9 4,1
Poti 3,4 2,4 1,6 —4,2 —3,2 —3,8 —5,1 3
Tiflis 3,6 5,2 0 -6 —5,3 —6,4 —5,1 8,9
Alexandropol • . . 3,4 3,3 0,4 —4,4 —5,7 —6,6 —7,4 4,8
Bakou 5 3,1 0 —3,9 —5,8 -5,2 —5,4 3,7
Lenkoran 4,3 2,7 —0,5 —3,7 —5,2 —6,2 —5,3 3,7
Goudaour 2,8 3,2 —0,1 —4,2 —4,3 —1,5 —8,3 8,4
Wladikavkase 8 2,9 —0,8 —4,9 —5,2 —6 —6,1 4,3
Avignon 4,9 0,4 —4,6 —4,1 —6,6 —3,3 8,1
Florence 4 3,2 —1,6 —3 —5,6 —5,8 —3,1 3,8
Milan 4,1 2,4 —1,3 —3,7 —5,7 —6,3 —4,4 8,8
Venise 3,7 2,9 —1,7 —2,9 -6,9 —0,8 —3 3,7
Dans les stalioDS de Stavropol, d'Ekalerinodar, dt
"Wladikavkase, de Petrovsk, et d'Alexandropol la moyenne
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— 24o —
de récart entre les températures des mois consécutifs
atteint 1^, valeur qui indique un climat continental. Sur
le littoral Caspien et dans la région cenlrale de la Trans-
caucasie la variation de la température est moins rapide,
et sur le littoral Ponlique l'écart moyen ne dépasse pas V.
Les moyennes mensuelles qui diffèrent le moins entre elles,
sont respectivement celles de Juillet et d'Août et celles de
Janvier et de Février. Sous ce rapport le Caucase reproduit
le caractère commun à toute la région tempérée de l'ancien
continent. C'est au printemps et dans la seconde moitié
de l'automne que la variation de la température est la
plus rapide. Les mois consécutifs dont les moyennes présen-
tent entre elles -les différences les plus fortes ne sont pas
les mêmes dans toutes les stations. Sur le littoral Pontique
c'est de Novembre à Décembre que la température varie
le plus rapidement, sans que l'écart y dépasse toutefois 5^;
à Tiflis c'est d'Octobre à Novembre. Dans toutes les autres
régions du Caucase la variation est ou un peu plus ra-
pide au printemps qu'en automne, ou bien la même dans
les deux saisons. Les différences les plus fortes s'obser-
vent entre les moyennes de Mai et d'Avril et celles de
Décembre et de Novembre. Les stations d'Alexandropol,
de Wiadikavkase et de Petrowsk font toutefois exception;
dans les deux premières c'est de Mars en Avril, et dans
la dernière de Mai en Juin que la 'température croit le
plus rapidement. A Goudaour situé à 2160*^ de hauteur
et dans une contrée montagneuse qui n'a pas le carac-
tère de plateau Técart moyen n'est que de 3,4; on y
constate cependant une différence de 8,1^ entre les moyen-
nes de Novembre et de Décembre.
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— 246 —
Des écarts moyens semblables à ceux qui ont élé re-
levés sur le littoral Pontique du Caucase s'observent
dans diverses localités de la France du sud et de l'Italie,
telles qu' Avignon et Florence, et les mêmes valeurs qu'à
Bakou et à Lenkoran se constatent à Milan et à Venise.
Dans les quatre stations de l'Europe occidentale susmen-
tionnées la variation la plus rapide de la température se
produit d'Octobre à Novembre; la différence entre les
moyennes de ces deux mois y est plus grande que dans
la plupart des localités Caucasiennes, tandis qu'au prin-
temps c'est au contraire dans ces dernières que la tem-
pérature croit plus rapidement.
Titlis est la seule station du Caucase dont les obser-
vations thermométriques relevées à chaque heure du jour
permettent de déterminer l'amplitude diurne de la tem-
pérature.
Dans les diiTérents mois de Tannée l'amplitude diurne
y atteint les valeurs suivantes.
Dec. Jan. Fév. Mar. Av. M. Ju. Jl. A. S. 0. N. an
5,7 6,1 6,2 8 8,7 9,6 10,2 10,3 10,1 9,2 8,8 7,3 8,2
Ces valeurs sont bien inférieures à celles qui s'obser-
vent dans diverses parties du bassin méditerranéen.
Ainsi à Madrid Tamplitude diurne est en moyenne de
17^ en été et ne démeure inférieure à 10° que pendant
une période de 97 jours. Il est indubitable qu'en Ciscau-
casie et sur le plaleau Arménien l'amplitude diurne de
la température doit être bien plus forte qu'à Tiflis; sur
le littoral Pontique elle est au contraire moins considé-
rable que dans cette station.
Les recherches sur les températures des couchas super-
ficielles du sol et les observations d'un thermomètre à
boule noircie exposé à l'insolation et au rayonnement^
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— 2i7 —
entreprises depuis cinq années à Tiflis, ont une grande
importance au point de vue de la géographie botanique.
Les résultats obtenus grâce à ces investigations donnent
une idée plus exacte et plus complète de Taction calori-
fique, subie par les plantes, que les seules indications du
thermomètre à Tombre. En effet les températures des couches
superficielles du sol déterminent directement celles des raci-
nés et c'est du degré d'échauffement do sa surface que
depend la quantité de chaleur diffusée vers les parties in-
férieures des tiges. En outre, quoiqu'il soit évident qu'un
thermomètre se comporte à Fégard des rayons calorifiques
tout autrement que les végétaux, et qu'à l'exception du
cas où il serait fixé dans leurs tissus, il ne saurait indi-
quer les températures effectives de ces derniers, il n'en
est pas moins vrai qu'un instrument placé en dehors de
tout abri et exposé de même que la plupart des plantes
à l'insolation et au rayonnement indiquera des tempéra-
tures plus voisines des leurs que le thermomètre à l'ombre*).
*) Tous les savants qui se sont occultés de recherches sur Tinfluence
de la température sur les végétaux ont reconnu que le thermomètre
placé en dehors de tout abri fournit relativement aux conditions
thermiques de la plupart des plantes des données bien plus exactes
que celles qu'on obtient avec le thermomètre à Tombre. L'accord
est moins complet pir rapport à la surface du reservoir à choisir.
La plupart des observateurs préfèrent une surface noircie, (De ( an-
doUeGéog. Bot raisonn '*e T. L p. 31). et certaines recherches récen-
tes viennent parler en faveur de ce choix. (Maqucnne. Recherches
sur la détermination des pouvoirs absorbants et difiusifs des feuille-
Ann. agron. imbl. par Deherain T. VI fas. 3oct.l8b0). il est evident
que les températures effectives des végétaux ne sauraient être dé-
teminées qu'à Taide de thermomètres fixés dans leurs tissus. Nous
possédons déjà quelques observations des températures dans le tronc
des arbres et ces recherches en prenant un plus grand développe-
ment nous donneront sans doute des résultats fort importants, mais
il est peu probable que nous puissions trouver bientôt une méthode
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Stations. Lat.
Stavropol 4503'
Ekaterinodar 4ЬЧ'
Prishib 45»8'
Novorossiisk 44« 13'
Gelenjik 44''88'
Podgornaja 44Ч8'
Georgiéwsk 4409'
Piatigorsk . 44«3'
Sotchi 43«34'
MikbailoYska 4319'
Grosni 48ПН'
Alaghyr 43«2'
Wladikavkaee 43«2'
Sakhouro 43'
Petrovsk 43«
Vedeno 42«59'
Temir-Khan-Shoura... 4249'
Goudaour 42''2в'
Koutais 42П6'
Bedout-Kalé 42П6'
Poti 42«9'
Derbént 42"8'
Poni 42*2'
Souram 42П'
Borjom 4Г50'
Tiflis 4143'
Manglis 4142'
Bielyi Klutch 4ГЗЗ'
Tsärskyi Kolodtsi 41«28'
Ardaghan 4Г8'
Aîexandropol 4048'
Elisabethpol 4041'
Shemakha 40»38'
Bakou 40^22'
Batoum 4140'
Akhaltzikhe 4Г39'
Erivan 40»10'
Aralykh 39^53'
Shonsha 8946'
Nakhitchevan 39П2'
Lenkoran 8846'
2i8 —
L
Теш pératures
Long. H. en met Jan. Fév. Mars. Avr.
4Г59'
38«65'
8747'
384'
4Г'18'
43^29'
43»5'
3942'
4540«
4542'
44П6'
4441'
41П'
47*30'
46^5'
4707'
44«28'
4242'
41*36'
41W
48M8'
43«30'
43»34'
43024'
4447'
44*21'
44«28'
46*7'
42'»50'
4349'
46*21'
48»39'
49"50'
41 "38'
42»69'
44*30'
44"30'
46*56'
45П9'
48'5Г
650?
90
37
0
10
670
290
510
20
250
130
680
680
5
0?
740
425
2160*
140
'SI
— 5
922
730
796?
410
1204
1150
820
1786
1470
440?
710
0
5
1021
960
790
1180
910
—20
-4,3
-3,4
-2,2
-0,1
- 3
-0,6
2,4
1,3*
4,4
2
-4,9
-2,7
- 4
-3,7
-4,6
-3,2
6,2
5,8
-8,4
-1,6
- 3
-1,4
- 8,6
—8,6
-4,7
— 8
6,1
6,4
-8,9
0,6
-4,7
-8,1
- 2,1
-1,7
- 7,1
-7,4
4,6
6,3
5,8
6,5
- O'I
1
- 1,9
-2,4
-2,1
-0,5
-1,6
-0,7
0,5
1,9
-1,2
-8,8
— 2
-1,4
-1,7
-0,3
-13,4
-12
-10,6
-8,8
0,3
1,7
-0,6
0,6
3,4
3,4
6,4
7
- 8
-8,6
-9,5
-3,8
-6,5
-2,2
-0,2
0
-1,1
2,1
8,5
4,3
0,8 7,4
5.1 10,6
8,9 10,5
4,8 10,3
7,6 12,2
2.4 8,6
1.2 9,4
1,2 8,7
7,8 11,1
2.2 10,2
2.5 9^
2.3 8,7
1.4 8,6
8.8 12,8
2.5 8,2
1.3 8,5
2 8,9
-2,1 1,3
8.6 18,4
8,5 12,4
8.9 10
2,8 7,2
3.2 8,6
2.4 8,9
6.5 11,8
2.3 8,2
2,8
4,1
-8,2
-1,8
6,1
7,6
10
2,9
6,6
11,6
5,8 11,5
C,l 11,1
8,2 11,9
1,6 9,3
4,6 13,8
5.8 12,8
2.9 5,7
8,9 14,1
7 6 12,6
* A NoYorossisk, Gelenjik et à Manglis les moyennes de Février sont
inférieures à celles de Janvier et les corrections d'après les données
correspondantes des stations voisines à plus longue période d'observa-
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- 245» —
:.i
corrigées d'a-
moyennes.
2
'S g
près les ob-
2ë
serv. simul-
j^ai. Jain. Jail. Août.
Sep. Oct.
Nov.
Dec. ann. e
^S
tanées de:
14,2 17,9 20,5
20,7
15,2 9,6
4,3 .
- 1,8 8,4 ""
18
Lougan - Astra-
khan-Tiflis.
16,9 21,1 24,6
24,9
18,9 12,8
6,9
0,7 11,6
7
Lougan
17,2 20,7 24
22,5
18 11,3
6,6
1 11
2
Stavropol.
15,6 20,6 22,9
24,1
18,4 14
9,2
4,2 12,3
8
Poti-Redout.
16,7 20,4 22,8
24,7
19,8 15,8
11,2
5,6 13.6
1
Poti.
15 18 20,9
20,6
16,2 10,7
4,5 .
-2,6 8,7
2
Stavropol.
Astrakhan.
16,2 19,8 23
22,7
18,2 11
5,1.
- 1,1 9,8
5
15,2 19 22,1
21,6
16,4 10,5
3,8
- 1,8 9,1
4
Stavropol.
15,7 20 22
23,7
19,2 15,9
11,9
7,2 13,8
5
Poti-Redout.
18 22,5 24,7
24,5
19,2 11,6
4.7
- 2 10,9
SI
А41гя1сЪап
17,8 22,1 25,1
24,3
19,1 12,4
5,1
- 1,4 10.9
£X Э vX niV U n U '
14,6 17,1 20
19,8
15,2 9,4
8,8
-1,7 8,4
11
Tiflis
14,8 17,8 20,7
20,4
15,5 10,3
4,3
- 1,8 8,7
4
Stavropol
17,1 20,1 22,6
24,4
20,2 17,2
13,1
7.9 14,7
4
Poti-Redout.
14,9 22,6 25,9
25,7
19,4 14,2
7,4
0,5 11,5
3
Astrakhan.
15,1 17,1 21,3
20,6
14,6 9,7
4,4
- 2,1 8,6
8
Stavropol.
17,2 21 22,7
22,5
17,8 10,9
5,7
1,7 10,6
2
Stavropol.
7,1 9,9 18,1
18,2
9 4,7
3,2
— 4,9 3,3
4
Tiflis.
18,8 20,8 23
24,1
19,8 16,3
12,2
6,3 14,4
13
Poti-Redout.
17,1 20,5 22,9
24,4
20,2 17
12,8
7,7 14,7
8
z
16 21,7 25,2
25
20,4 14,6
9,5
3,6 12,^
6
Astrakhan.
12,8 15,7 18,3
19,3
16,6 10,7
4,8
— 0,6 8,^
0,4 9,6
1
13,7 17,5 20,4
21,3
16,1 11,1
5,3
3
l'4,4 18 20,8
20,9
16,4 10,8
4,4
0,1 9,6
2
17,5 21,1 24,3
24,3
19,8 14
7,6
2,5 12,e
31
14,7 16,9 20
20
14,1 11,1
4,4
— 0,3 8,8
1
Tiflis.
13 16,3 19,6
19,4
15,2 10,5
6,2
1,8 9
9
15,9 19 22,2
21,6
16,7 11,1
6,3
1,5 10,5
3
9,6 12,7 15,8
16
11,7 5,7
^1,1
-10,7 2,7
2
11,7 15.1 18,4
18,8
14 8,3
1,7
— 5,7 5,6
20
18 22 25,3
24,3
19,4 13,3
8
8,1 12,8
3
17,6 20,5 23,9
23,2
18,8 18
6,3
1 11,8
1
Tiflis-Bakou.
17,7 22.7 25,8
25,8
21,9 16,6
11,4
6 14,3
28
—
17,5 20,9 23,2
24,9
20,8 17,1
13,1
8,9 14,9
1
Poti-Redout.
14,5 18,4 21,6
22,2
17,1 -
— —
1
18,8 21,9 24,6
26,2
22 13,8
6,6
0,2 11,5
5
17,6 22 26,5
26,1
20 12,5
4,1
-1,4 11,2
5
Tiflis.
12,8 17,1 19,2
19,3
12,2 8,9
3,7
0,1 8,4
1
19,1 22,9 27,8
27,3
— —
1
18,8 23,1 25,8
25,3
21,6 16,4
11,2
5,9 14,7
9
Bakou.
tions exagèrent encore cette anomalie. Dans les autres localités du
littoral Pontique du Caucase les années où la moyenne de Janvier dé-
passe celle de Février sont assez nombreuses.
Digitized by
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— 250
II.
Tenpérfttiires moyeones
(Ces moyennes servent au tracé des
Stations. Jan.
Stavropol —2,7
Ekaterinodar — 1,9
Prishib — 3
Novorossiisk 2,4
Gelendjik 4,4
Podgornaja — 2,6
Géorgiewsk —3
Piatigorsk —2,8
Sotchi 5,3
Mikhailowskaya. — 2,6
Grosni — 2,6
Alaghir —1,4
Wladikavkase —2,3
Soukhoum 6,1
Petrovsk —3,9
Vedenol —2,1
Temir-Khan-Shoura —0,6
Goudaour 0,5
Koutais 6
Redout Kalé I . ^
Poti } ^»^
Batoum 6,4
Derbént —0,1
Souram 0,5
Borjom 1,2
Tiflis 2
Bielyi Klutch 2
Tsarekyi kolodtsi 1,2
Ardaghau —7,2
Alexandropol — 5,4
Elisabethpol 1,9
Schemakha 1,9
Bakou 8,4
Erivan —6,1
Aralykh —3,8
Shousha 4
NaJihitchevan 2,2
Lenkoran 3,5
év.
Mars.
Avr.
Mai.
-1.1
3,5
10,5
17,4
0,3
5,6
11,1
17,6
-0,6
3,9
10,5
17,2
1,8
4,8
10,3
15,6
2
7,6
12,2
16,7
0,1
5,6
12,4
18,9
-2,6
2,6
11,1
17,9
-1,1
8,7
11,6
18,2
5,9
7,9
11,3
15,9
-0,6
3,4
11,6
19,5
-0,9
3,2
10
18,1
0,9
5,4
ia,3
18,3
0,1
4,7
12,4
18,6
6,4
8,S
12,8
17,1
0,6
2,6
8,2
14,9
0
4,9
12,7
19,4
0,1
4
11,2
19,6
1,8
8,2
13,3
19,6
6,6
9,3
14,2
19,2
6,5
8,5
12,4
17,1
7
8,2
11,9
17.5
1
3,9
10
16
2,6
6,7
12,7
18
2,6
6,1
13,3
19
3,8
8,6
14,2
20,1
3,2
7,8
14
19,7
3,2
8,1
14,6
20,7
-4,4
5,2
12,8
19,6
•2,6
5,2
13,8
£0,2
3,6
8,2
14,1
20,6
3,7
9,2
15,6
21,8
3,4
6,1
11,1
17,7
0,8
9,1
18,7
24,4
1,1
9,6
16,7
22.2
5,1
8,6
12,8
19,7
6,1
13,3
19,2
24,4
4,3
7,6
12,6
18,8
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231 —
réilvltesa« aivfau île la шег*
iftotbérmes du Caucase).
Juin.
Juil.
Août
Sep.
Oct.
Nov.
Dec
aimée
21,3
28,8
24
18,2
12,2
5,5
—0,5
11
21,7
25,2
25,5
19,4
13,2
7,1
1
12,1
20,7
24
22,5
18
U,3
6,6
1
11
20,6
22,9
24,1
18,4
14
9,2
4,2
12,3
20,4
22,8
«4,7
19,8
15,8
11,2
5,6
13,6
22,1
24,9
24,5
18,7
13,8
5,9
—1
11,9
21,6
24,8
24,5
19,8
12,4
6,7
-0,4
11,2
22,1
25,2
24,7
19,1
12,9
4,9
-0,6
11,5
20,2
22,2
28,9
19,8
16
12
7,8
13,9
24,1
26,2
20,6
20
12,8
5,3
-1,4
12,1
22,9
25,9
25,1
19,8
13
5,4
-M
11,6
21
23,8
23,6
18,6
12,4
4,6
-0,2
11,4
22
24,8
24,6
19,1
18,5
5,7
--0,2
11,9^
20,1
22,6
24,4
20,2
17,2
Ч>^
7,9
14,7
22,6
25,9
25,7
19,4
14.2
7,4
0,5
11,5
21,6
25,7
25,1
18,6
18,2
6
-0,3
12,1
28,5
25,2
25
20
12,8
6,5
2,7
12,6
23,2
26
26,1
20,5
14,7
7,7
0,4
13,6
21,7
23,9
25
20,6
17
12,6
6,7
16
20,5
22,9
24,4
20,2
17
12,8
7,7
14,7
20,9
23,2
24,9
20,8
17,1
13,1
8,9
14,9
21,7
25,2
25
20,4
14,6
9,5
3,6
12,6
22
24,8
25,7
20
14,6
6,8
1,9
18
22,8
25,6
25,7
20,5
14,4
6
2,1
12,8
23,8
26,9
26,9
21,7
16
8,5
3,6
14,7
23,3
26,5
26,5
21,3
15,9
8,6
4,2
14,4
24
27,1
26,6
21,1
14,9
8
-8,6
14,4
23,4
26,4
26,7
21,1
13,9
2,4
-6,3
11,1
24
27,2
27,7
21,8
15,1
4,8
-2,1
12,6
24,7
28
27
21,8
15,4
8,9
4,2
14,9
24,8
28,2
27,5
22,6
16,3
7,8
2,8
15,2
22,7
25,8
25,8
21,9
16,6
11,4
6
14,8
27,8
30,3
82
27:i
18,8
8,6
2,6
16,1
26,8
31,2
30.9
24^
16,1
5,8
-0,5
16
24,3
20,2
26,4
18,5
14,4
6,2
3
14
28,5
38,2
32,8
—
—
—
28,1
25,8
25,3
21,6
IM
1*1^2
6,9
14,7
,V? 2. 1886.
17
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— 252 —
Les coosidëraliODS précédentes expliqueul rimportancc
que nous attribuons à la nouvelle série d'observations
faites à Tiflis. Les différences entre les températures de
l'air à Tombre et celles du sol et du thermomètre placé
en dehors de tout abri constatées dans cette localité sont
pour le moment les seules données *) qui permettent d'estimer
approximativement au moins pour une certaine région
du Caucase jusqu'à quel point les conditions thermiques
dans lesquelles se trouve placée la végétation s'éloignent
exacte et en même temps susceptible d'une application générale pour
l'appréciation des températures du feuillage et des derniers ramifi-
cations. Force nous est donc de nous contenter actuellement des
аоппеея approximatives obtenues avec le thermomètre à boule
noircie exposé à Tinsolation et au rayonnement
Les études de météorologie agricole entreprises récemment en
Allemagne et exposées dans Texcellent recueil périodique de Иг.
Wollny jyForscbungen auf dem Gebiete der Agrikultur Physik* ont
fourni beaucoup de données fort importantes par rapport aux tempé-
ratures des sols de diverse nature. Mais la question relative au
mode d'obs^vations thermomstriques en dehors de tout abri le
plus propre à nous renseigner sur les conditions thermiques des
parties des plantes exposées à Pair parait être encore en suspens.
Les recherches les plus récentes sur ce sujet sont celles que Mr. T.
Langer poursuit à Mödling près de Vienne; elles n'ont pas encore
donné des résultats conclusifs. (Wollny L с T. IV, p. 275;.
*; Les observations susmentionnées ont été faites sans interruption
depuis le Janvier 1880, mais il n'y a que celles de cette première
année qui soient publiées. C'est ce qui nous empêche d'indiquer
les moyennes pour toute la période quinquennale. Nous y ajoutons
seulement les données relatives à la période de froidure exception,
nelle de Janvier 1888, un extrait du journal d'observations de cette
période, nous ayant été communiqué grâce à Tobligeance du savant
directeur de l'observatoire météorologique de Tiflis, Mr Mielberg-
C'est à ce zélé investigateur qu'appartient l'initiative des observations
de la température du sol an Caucase. Des données ^'elatives aux
différences entre les températures indiquées par un thermomètre à
boule noircie exsposé к l'insolation et celles de l'air к l'ombre ont
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~ 253 —
de celles qui se laissent déduire des observations du
thermomètre à l'ombre ♦).
Les résultats des observations susmentionnées sont
indiqués dans le tableau suivant. Le sol de la station de
Tiflis est un sable foncé contenant des galets.
été recueillies к Tiflis en 1846 et 1846. (Annuaire de Kupfer 1845— 4П).
Les moyennes mensuelles de ces différences calculéas par Mr. de
Oasparin et réunies dans un tableau annexé aux j^observations des
radiations solaires ,de ce savant, ont paru dans ГАпп. de la Soc.
Météor. de France III- Elles furent réimprimées dans le beau travail
de Mr Wesselofsky „Le climat de la Russie^ (en lan. russe). Mais
ces moyennes ne sauraient être comparées à celle qui furent constatées
à Tiflis en 1830. Mr. de Gasparin s^étant borné к déterminer l'influ-
ence de rinsolation sans tenir compte des pertes dues au rayonne-
ment toujours pins fort en dehors de Pabri a nécessairement du trou-
ver des valeurs plus grandes que celles qui ont été déduites des
observations récentes.
*) 11 est hors de doute que les écarts entre les températures res-
pectives de Tair к Tombre, du sol et du thermomètre exposé à Pin-
soiation et au rayonnement dépendent en partie du degré de dia-
thermanéité de Pair, de la plas ou moins grande humidité du sol, de
sa nature, de la présence ou de Pabsence en hiver d^une couche de
neige etc. Aussi varient-ils d'une station à une autre, conformément
aux conditions locales déterminées par tous ces facteurs. Des obser-
vations recueillies dans des localités différant par leur caractère
général pourront seule nous fournir des renseignements plus complets
sur le sujet en question.
17*
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— 254 —
TfMpfratires 4e Tair et
^Moyenne»
Jan. Fe?. Mars. Avril. Mai. Juin.
thermomètre à l'ombre à
1,3* an d. de la surface
dn sol. —2,1 0,1 2,5 10,9 16,7 "20,5
therm, à boule noircie à
1,5^ au d. de la surface du
sol. —1,6
•0,7
3,4
11,6
17,9
21,8
sarface dn sol. -1,6
1,6
4,9
14,6
20,9
26,5
profandtwa a»äe$»ou$de
la mtr/aee.
0,01" —1,1
2,2
6,2
15,4
21,8
27,5
0,06 — l
1,9
5,6
14,6
21
27,2
0,12 —0,5
1,2
5,4
14,1
20,8
26,8
0,2 0,1
0,9
5,8
18,2
19,8
25
0,41 1,4
1^
5,3
11,6
17,6
22,1
0,79 4,4
8,3
.5,8
10,2
15,8
19,9
Différences entre les moyennes correspondantes et les
pérature à la surface du sol est plus basse que celle
plus élevée que dans
thermomètre к bonle noir-
cie et thermomètre à
l'ombre.
0^
0,6
0,9
0,7
1.2
1,3
sarface du |sol et therm.
h, boule noircie.
0
0,9
1,6
3
3
4,7
Couche de 0,01" de prof.
et surface.
0,5
0,6
1,3
0,8
0,9
1
Couche de 0,12« et sur-
face.
1.1
-0,4
0,5
-0,6
-0,1
0,3
Couche de 0,41"" et sur-
face.
3
-0,4
0,4
— 3
—8,3
-4.4
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- 255 -
4u sol à Tiflis tn 188 0.
mensuelles;.
Juil. At Sep. Oc. N. Dec. armée.
temper. Д g 5 S
extremes abs. '^«-f-^
max. min. g g p,jd »
25,2 28,9 17,6 14 8,8 0,9 11,6 87,6 —12 27,3
26,9 26,7 18,7 16,6 9,7 1,4 12,6 42,9 —14,5 28,5
32,2 29,2 19,9 15 8 8,6—0,2 14,8 64,7 —12,3 33,8
33,9 31,4 22,4 17,4 10,2 1,1 16,7 63,5 — 9,5
32,4 80,2 21,6 17 9,8 0,6 15
32,4 30,1 22,1 17,9 10,9 2 15,2
81 29,8 22,5 18,6 11,7 3,2 16,1
28,3 27,8 21,6 18,2 12 4,9 14,3
25,3 26,2 22 19,5 14,6 8,8 14,6
maxima et minima (le signe désigne les cas où la tem-
du thermomètre à bonle noircie, et cenx on elle est
la concbe donnée.)
1.7 1,8 1,2 1,6 0,9 0,6 1 5,8 — 2,5
5.8 3,5 1,2 —0,8 -1,1 —1,6 1.7 21,8 2,2
1,7 2,2 2,5 2,1 1,6 1.8 1,4 — 1,2 2,8
0,2 0,9 2,8 2,6 2,8 2,2 0,9 —22,5 8,7
—8^—1,9 1,7 2,9 8,4 5,1 0 —83,9 12,7
63,5
-9,5
35
48,9
-6,7
33,4
42,4
-3,6
32,9
36
-1,3-
80,9
303
0,4
26,9
27,2
3
22,9
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- 256 —
Les températures moyennes mensuelles déduites des
observations du thermomètre à boule noircie expose à
Tinsolation et au rayonnement sont toutes supérieures,
à celles de l'air à Tombre. L'excès, qui n'est que «ie
0/5 pour la moyenne de Janvier, s'élève jusqu'à 1, 8*
pour celle d'Août et atteint 1^ pour la moyenne annuel-
le. La diffé renée des maxima absolus est de 5, 3^ Ces
chiffres démontrent que même en hiver l'exposition aux
rayons du soleil communique au thermomètre à boule
noircie un surcroit de chaleur plus que suffisant pour
compenser les pertes dues au rayonnement *). Ce dernier
facteur ne semble exercer une influence prédominante
que sur les minima absolus, en effet Tinslrument susmen-
tionné en indique un de 2^ plus bas que le thermomèt-
re sous abri. A peu d'exceptions près les températures mo-
yennes de la surface et des couches superficielles du sol
surpassent toutes celles qui se déduisent des indications
du thermomètre en dehors de tout abri. Les exceptions
comprennent les moyennes de Novembre et de Décembre
de la surface, les moyennes de Décembre de la couche
comprise entre les profondeurs de 0,01*^ et de 0,05*^,
celle de MaiàO,41'^ de la surface, et celles d'Avril, Mai,
Juin et Juillet à la profondeur de 0,79*^. L'excédant de
la chaleur du sol par rapport à celle de l'air est le plus
considérable en été dans les couches supérieures com-
prises entre les profondeurs de 0,01^ et 0,41*^, en
hiver dans les couches situées au dessous de cette der-
nière limite.
* Des résultats semblables ont été obtenues à Chiswick en Ang-
leterre, dans des stations de la France dn sud et dans beaucoup
d'autres localités de TËurope. Cet effet se produit sans doute dans
toutes les régions du globe, à l'exception des polaires.
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— 257 —
Des moyennes de Janvier inférieures à 0** ne s'obser-
vent dans le sol que jusqu'à une profondeur n'atteignant
pas 0,2*^. La moyenne de ce mois à la surface du sol
est de 0,5^ plus élevée que celle de l'air à l'ombre. De
Mai à Septembre c'est à une profondeur de 0,01*" qu'on
constate la plus haute température. La moyenne de Juil-
let y est de 7^ supérieure à celle qui se déduit des in<
dications du thermomètre à boule noircie et dépasse de
1,7" la moyenne de la surface du sol. L'excès de cha-
leur est moins considérable dans les couches plus pro-
fondes et à 0,79^^ de la surface la moyenne égale celle
de l'air à l'ombre.
En Mars et en Septembre la température se main*
tient à la même hauteur dans les diférentes couches su-
perficielles du sol, en Octobre et en Novembre elle croit
rapidement avec la profondeur.
Les chiffres de la dernière colonne du tableau précé-
dent qui indiquent les écarts entre les moyennes respec-
tives (In mois le plus chaud et du mois le plus froid de
l'année des différentes couches du sol démontrent que
Tamplitude de l'oscillation annuelle de la température
diminue peu à peu à mesure que la profondeur s'accroit.
A 0,41*^ de la surface elle est déjà moins considérable
que celle qui a été déterminée pour l'air à l'ombre.
C'est à la profondeur de OyOl'^ qu'on constate la moyen-
ne annuelle la plus élevée. Elle y atteint lo,7^, dépas-
sant ainsi de 1,4^ celle de la surface du sol et de ijV
celle de l'air à l'ombre. Dans les couches comprises entre
les profondeurs de 0,05*^ et de 0,2*^ la moyenne annuel-
le varie de 15^ à 13,2^; à 0,41*^ de la surface elle est
égale à celle de cette dernière, à 0,79*^ elle remonte
jusqu'à 14,6'
Le maximum absolu de température le plus élevé s'ob-
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— 258 —
serve à la surface du sol; il est de 64,7^ et dépasse
ainsi de 21,8 celui du thermomètre à boule noircie. A
une profondeur de 0,2*^ le maximum absolu est déjà in-
férieur à celui du thermomètre à l'ombre.
La froidure exceptionnelle survenue à Tiflis au mois
de Janvier de Tannée 1883 a fourni une occasion parti-
culièrement propice pour la détermination de la limite
en profondeur de la couche du sol où la température
peut descendre jusqu' à 0^
Les données relatives à cette période sont réunies dans
ie tableau suivant.
Janvier 1883.
moyenne moy. diurne min.
mensuelle la plus basse * absolu *
thermomètre
à Pombre —3,3^ — 18,Г —23,9
thermomètre
h boule noircie
soue abri —2,4 —16,7 —23,3
surface du sol -2,7 —13,9 —19,9
profondeur de:
0,01*^ —1,8 —10,9 -16,7
0,02 —1,8 -10,9 —16,1
0,05 —1,8 — 9,7 —14,7
0,12 -1,1 — 7,1 —10,1
0, 2 —0,3 — 4,7 — 5,6
0,41 1,8 — 0,2 — 0,3
0,79 5,2 3,5 3,4
* Un thermomètre placé à une petite distance du premier dans ua
раИНоп séparé indiqua un minimum de'24«4*.
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— 25!» —
Conlrairemeot à ce qu'il serait naturel de prévoir et à
ce qui fut observé effectivement en 1880 ce n'est pas le
thermomètre exposé au rayonnement, mais celui sous
l'abri qui a indiqué la température *) extrême la plus bas-
se. A la surface du sol le minimum absolu n'était que
de— 19,9 et à une profondeur de 0,41^ la température
n'est pas descendue aodessous de — 0,3 \
Pendant cette période de froidure la moyenne diurne
la plus basse de l'air à l'ombre fut de— 18,1 • et celle
qui se déduisait des indications du thermomètre à boule
noircie de — 16,7 ^ A la surface du sol elle n'a pas été
inférieure à~13^9, et à une profondeur de 0,41*" à
— 0,2 ^ Les données précédentes rendent compte des grands
contrastes qui se constatent sous le rapport des tempé-
ratures tant entre les différentes couches du sol qu'en-
tre ces dernières et la couche voisine de l'air, un exem-
ple fera mieux comprendre l'importance des indications
fournies par les données précédentes. Considérons un ar-
buste de 1*" à 2*" de hauteur exposé à l'action directe
de Tinsolation et du rayonnement et croissant sur un
sol non revêtu d»^ gazon. Ses branches supérieures seront
placées dans un milieu dont la température moyenne an-
nuelle est de 12, *6, tandis que la base de la tige et les pre-'
mières ramifications de la racine jouiront d'une moyenne an-
nuelle de 15, l*a 15,7®**). Pendant les plus fortes cha-
leurs quand le feuillage et les branches supérieures sont
parfois exposés à une température de 42* et la base
de la tige à une température de 64 ^ les extrémités des fi-
* Uu fait semblable a été constaté к Paris pendant la période de
froidire exeptionnelle du mois de Décembre 1879.
** La différence entre les moyennes annuelles des milieux où se trou*
Tent placés la branchage et les parties souterraines des plantes est
à peu près égale к celles des moyennes annuelles de Milan et de
Bome.
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. — 260 —
lets (le la racine n'en auront qa'uoe de 30 ^ Par contre
ce sont ces dernières qui présentent un surcroit de tem-
pérature eu hiver, les minima absolus des milieux où elles
se trouvent n'étant jamais inférieurs à — 10**, tandis que
le branchage peut se trouver exposé à un froid de — 23^
Des contrastes aussi considérables entre les tempéra-
tures auxquelles se trouvent exposés selon leur situation
respective les ditférents organes des végétaux ne se ré-
alisent évidemment que dans le cas précité de plantes
clair-semées croissant sur un sol privé de gazon.
Des formations végétales semblables constituées par
des arbrisseaux et arbustes tels que le Carpinus orien-
talis, le Pyrus salicifoli, le Paliurus aculeatus, les Juni-
perus excelsa et oxycedrus et par diverses plantes her-
bacées^ occupent une grande étendue le long des derniers
contreforts des montagnes et dans les plaines de la Trans-
caucasie centrale ainsi que certaines parties du plateau
Arménien et du Karabagh.
Là ou l'ensemble des plantes forme un massif plus ser-
ré et ces dernières lnte^гceplent réciproquement une par-
tie des rayons solaires et projettent leur ombre sur une
grande étendue du terrain et ou le sol se trouve revê-
tu soit d'un gazon continu, soit de touffes d'herbes rap-
prochées,— les contrastes entre les températures des or-
ganes végétaux situés audessus et aadessous de la sur-
face du sol seront Naturellement moins considérables que
dans le cas précédent. Les écarts entre les maxima et
les minima à la surface et dans les couches superficielles
du sol y seront aussi moindres.
Néanmoins le mode de distribution des températures
demeurera le même en substance, une différence no-
table ne se manifestant en tous cas que par une réduction
des extrêmes de chaleur et de froid que subissent les
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— 261 —
parties des plantes sitaées tout près de la surface du
sol telles que le collet, les feuilles radicales etc.
11 est facile de s'apercevoir que la distribution des
températures indiquées plus haut est particulièrenoent favo-
rable aux végétaux. Dans les hivers exceptionnellement
rigoureux, lorsque les parties des plantes situées audes-
sus du sol seront tuées par les gelées excessives, les plantes
perenues herbacées, réduites en cette saison à leurs parties
souterraines, pourront ne subir aucune atteinte et les arbres
et arbustes dont les troncs et les ramifications auront péri
conserveront la faculté de se reproduire par les dra-
geons ou rejets qui pousseront aux racines restées indemnes.
En été par les plus fortes chaleurs la sève qui remonte
des racins, contribuera, au moins pour une certaine part
à atténuer Texcès de température qui incombe au col-
let et aux parties inférieures des tiges, grâce au contact
direct ou an voisinage immédiat avec la surface forte-
ment échauffée du sol *).
{à continuer).
*) Les consciencieuses et importantes études de Mr .le Prof.
WoUny de Mnnicb (Eiofinss der Pflanzendecke und Beschattung
auf die Phys. Eigen, des Bodens, in Forsch, auf dem Gebiete der
Agric physic VI), démontrent que toutes les antres conditions de-
meurant les mêmes, le sol occupé par des plantes herbacées vivan-
tes ou par leurs débris est moins froid en hiver et pins frais en été
que le sol nu. La différence atteint un maximum en été et croit
avec rintensité de rinsolation. Au printemps le sol nu sVchaaffe plus
vite, en automne il se refroidit plus rapidement que le sol revêtu
de plantes ou recouvert par leurs débris.
L'amplitude de Poscillation de la température est plus considé«
rable ^lans la sol nu que dans celui occupé par les plantes.
L'abri dû à ces dernières est d'autant plus efficace qu'elles for-
ment un massif plus serré et que leur port est plus luxuriant
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OISEAUX DE LA CONTREE TRANS-CASPIENNE.
Par
K. Zarouinoï^
avec préface de M. Menzbier.
P К E F A С E.
M. ZaroudDOî ma remis son article <(Sur les oiseaux
de la coDtrée Traos-Caspienne», dont le mérite, je l'es-
père, sera apprécié à juste titre des hommes de la scien-
ce. Muni d'une petite somme d'argenl, privé des provi-
sions uécessaires, abandonné à ses propres forces, M. Za-
roudnoï a exploré au point de vue zoologique Toasis
d'Ahal-Teké et les résultats qu'il nous présente surpas«
sent même tous ceux des expéditions qui ont eu lieu
dans les contrées voisines. Cela va sans dire que la durée
des explorations a été trop courte, M. Zaroudnoï, n'ayant
à sa disposition que les mois d'été et le commence-
ment d'automne. Par conséquent ce n'est que le premier
mot| la première note sur un pays qui nous est com-
plètement inconnu, mais ce premier mol M. Zaroudnoï
la prononcé. Ses investigations ont rattaché la contrée
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— 263 —
Aralo-Caspîenne à eeUe de la Perse et de l'ArganistaD;
aussi nous а-И1 déterminé le rôle important de Toasis,
comme route de passage des oiseaux.
Les 600 spécimens rapportés par M. Zaroudnoï et dé-
posés au Museum de l'Académie des Sciences nous per-
mettent d'établir les espèces, ce que N. Zaroudnoï fit
aussi avec l'aide des ornithologistes de S- 1. Pétersbourg.
Nous ne possédons que quelques doutes par rapport à
un petit nombre d'espèces et nous prenons la liberté
d'émettre notre opinion dans quelques courtes remar-
ques, tout en espérant que le second voyage de M. Za-
roudnoï, qui a pour but les explorations de Horosan et
d'Arganistan septentrional, Гега luire la lumière là dessus.
Ce second voyage de iM. Zaroudnoï Tut entrepris le IG
Mai *) de Tannée 1885 et nous sommes bien convaincus
que les résultats de ce dernier seront de la même haute
importance pour la science, que ceux que M, Zaroudnoï
vient de livrer à la publicité.
M. Menzbier.
MOSCOH.
*) Les dates sont marquées d'après le cahndrier Grégorien.
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1.
Caractère général de la contrée.-— Extrémités du désert Kara-
Koum.—Oasis d'Ahal-Téké.— Montagnes.— Coup d'oeil sur la faune
et la flore du désert, de Poasis, des montagnes.— Tableaux de la
nature.
Le 19 Juin 1884 j'atteignis le golfe S-t Michel de la
mer Caspienne et le matin de la journée suivante le
train du chemin de fer me transporta à Kizil-Arvad, le
point le plus éloigné de Toasis Ahal-Téké. Des tableaux
de la nature environnante pleins d'originalité s'étalaient
devant mes yeux et m'intéressaient vivement, mais le
manque d'argent et le manque de temps mis à ma dispo-
sition ne me permettaient pas d'explorer la contrée in-
connue dans tous les détails désirés. J'ai séjourné dans
la contrée Trans-Caspienue depuis le 20 Juin jusqu'au
8 septembre et pendant ce court laps de temps j'ai vi-
sité l'oasis Ahal-Téké dans toute son étendue à peu près,
j'ai examiné les chaînes des montagnes contiguës et les
extrémités du désert Kara-Koum; il Taut avouer que la
durée des explorations étant trop courte, les résultats
s'en ressentent.
Toutes ces régions, que je viens de nommer, représen-
tent des stations zoologiques d'une haute importance
pour la faune.
a) Désert Kara-Koum.
Plus loin au nord ou plutôt au nord-est de l'oasis
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— 265 —
Ahal Téké, à une distance de centaines de versles, est
situé le désert Kara-Koum, espace énorme, Tormé de
plaines arides, de masses sablonneuses, de salines. Mal-
gré tout mon désir de faire plus ample connaissance de
celte contrée sauvage, je me vis obligé de me contenter
de trois excursions dans ses limites. A la fin du mois
de Juin j'ai visité les sables prés de Bami et j'ai par-
couru l'espace de 20 verstes; à la fin du mois de Juillet
je m'en allai dans les sables près d'Askhabad, que j'ai
exploré à une distance de 15 versles^ et au commence-
ment du mois de Septembre je fis une petite excursion
dans les sables près de Douroun.
S'il est permis d'en parler d'après une connaissance
si incomplète, je dirai que le désert Kara-Koum nous
offre une végétation assez riche *), mais que le repré-
sentant typique de la flore des sables, le sacsâoul, est
plus ou moins détruit et n'en forme nulle part des forêts.
Au milieu des régions sablonneuses je rencontrais sou-
vent des salines desséchées tantôt polies et compactes,
tantôt recouvertes d'une couche de sol cendré, ressem-
blant beaucoup aux lits desséchés des lacs salés. A la limite
de ces salines se trouvent ordinairement des forêts de
lamarix, asile favori de nombreux Atraphomis aràlensis^
Evm^ représentants les plus typiques des 'oiseaux delà
région des sables, ainsi que les Podoces spec. (?) et les
Passer spec. (?) **). Les deux dernières espèces y sont peu
communes, vu que le district de leur nidification se trou-
ve, à ce qu'il parait, plus loin au Nord, où l'on* trouve
de nos jours des forêts de sacsâoul. Le Houbara Mac-
*) On en rencontre sonvent de roseaux.
*•) Je suis enclin de croire que ce sont plutôt lee Podoees Fem-
défi et Passer ammodendri, que je n^ai pas réussi к cipturer.
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- 266 —
Quenniij Gray, est de même 1res rare, mais en général
celle forme est typique pour la faune des régions sablon-
neuses.
Parmi les reptiles on y trouve souvent des Phrynoce-
phalus interscapularis, Licht.^ Phr. heUoscopuSy Agama
sanguinoknta^ Poil., Testudo spec* (?), pins rarement
Naja axiana, Eichw. *), Varanus scincus **); on ren-
contre souvent cette dernière forme audelà des sables,
dans la plaine tékine; une fois je l'ai vu môme au pied
des montagnes de Kopepète-Dague, près d'Askhabad,
dans un steppe tout brûlé par le soleil, à la hauteur de
1000' (Askhabad— 900'),
Les mammifères ont beaucoup de représentants
dans nos régions sablonneuses (Lepus^ Meriones, Sper-
mophiliiSy Dipus^ Vulpes mdanotiSj Erinaceus awri-
tus, Mustdla spec. (?), mais je n'ai pas réussi à
me procurer des specimens, car c'est à peine que
j'avais le temps à préparer les oiseaux, dont je m'occu-
pais spécialement, et quand même plusieurs exemplaires
d'entre eux étaient gâtés bien avant que leur tour soit
venu, telle est la vigueur du soleil dans la contrée
Trans-Caspienne. Au dire des indigènes, le printemps,
nomemment les mois d'Avril, de Mai et la première
moitié de Juin, sont les mois les plus favorables pour les
investigations mammalogiques et herpétologiques. C'est
alors que la nature se ranime, les animaux sont plus
*; Au dire de racadémicien M. Strauch, qui s'est donné la peine
de déterminer les espèces des reptiles, l'exemplaire que j'ai apporté
est unique aux musées depuis la découverte de cette espèce par m-r
Eichwald (Fauna Casp.-Cauc, p. 104).
*•) 11 m'est arrivé plusieurs fois de trouver de petits lézards de
cette espèce et des Agama sanguinolenia dans les entrailles des
exemplaires que je me suis procuré.
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— 267 -
nombreux, leur genre de vie est plus Taciie à observer.
Les mois suivants les animaux commencent à disparaître
ou bien la chaleur étouffante, l'air suffocant les obligent
à se tenir cachés. Il est à noter que parmi plusieurs
centaines de tortues que j'ai remarquées, il n'y en avait
pas un exemplaire adulte: tous ceux que j'ai observés
étaient jeunes. Il se peut que la chaleur les obligeait à.se
cacher sous les sables?
b) L^oasis Ahal'Tékéj que j'ai exploré dès son côté
ouest près de KiziUArvad, jusqu'à son extrémité orien-
tale à Gjaouarse, présente une plaine de peu de largeur
(près de 250 verstes de long et 20—60 v. de large)^
bornée au nord par le désert Kara-Koum et au sud par
les chaînes de montagnes de Kopepète-Dague et de
Zar-i«Kouch, qui sont pour la plupart déserts. Cet espace
possède un sol fertile, mais qui n'est bon à cultiver que
dans les lieux où il y a des rivières, à l'aide desquelles
on construit des canaux. Cependant ces rivières ou plutôt
ces ruisseaux, étant trop étroits, contiennent peu d'eau
et leur courant se ramifie en plusieurs branches, ce qui
fait que l'eau se cache sous la sable et la plus grande
surface de l'oasis reste dépourvue de tout arroseraent *)
et ne représente en été qu'un désert aride. Dans cet
endroit la plaine d'Àhal-Téké apparaît sous l'aspect de
plusieurs oasis, et l'existence de ces lieux de repos
dépend exclusivement de la présence de Геаи. Les
pentes septentrionales des chaînes de Kopepète-Dague
et de Zar-i-Kouch forment au sud de la contrée la
frontière la plus naturelle de tout le pays Aralo-Gas-
*) En été les pluies ne tombent presque jamais.
.^ J. 1886. 18
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— 268 —
.pien *). Ces chaînes escarpées et stériles qui se dressent
parfois perpendiculairement du côté de la plaine d'Ahal-
Téké, côtoyaient dans le passé les bords de la Médi-
terranée Aralo-Caspienne. Immédiatement après le des-
sèchement du fond de la mer l'oasis Ahal-Téké s'est
recouvert de masses de sable et de salines, au milieu
desquelles s'élèvent des roches et des monceaux de pierre
aporlés par la mer. Actuellement les salines sont dis-
parues, mais les pierres y restent et nous confirment
dans nos suppositions sur l'aspect primitif de la contrée.
Plus tard les eaux des rivières et surtout celles qui pren-
nent naissance sur les pentes des montagnes déplacèrent
peu à peu les sables et les transportèrent plus loin au
nord, jusqu'à leur frontière actuelle. Aussi le sol de
la contrée doit être envisagé comme résultat de Taction
des eaux, de produits de la décomposition des plantes
et des restes du sol ancien. Les faits actuels concourent
à nous prouver que la voie tracée est justement celle,
que l'oasis Ahal-Téké a suivi dans la formation de son
terrain.
La surface de la plaine d'Ahal-Téké est un peu ondu-
leuse et descend visiblement entre les villages Dourotin
et Zarodja. Vingt petites rivières divisent la contrée dans
sa direction transversale, n'atteignant jamais la région
sablonneuse, car les habitants construisent un réseau de
canaux et consomment tout l'eau qui s'y trouve; on ren-
contre outre cela un grand nambre de lits de rivières
à sec et de ravins parsemés de pierres, oii l'eau ne reste
*) Sur les points extrêmes d'un espace aussi petit que 50 ver-
fltes, par ex., on trouve d'un côté, dans les endroits situés plus
bas, des exemplaires des Foâoces^ Cursarim, AiraphomiSy et de
l'autre, sur les montagnes, des Gypaëtos, TirMdromma,, FregUus etc.
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— 269 —
qu'au printemps. Excepté ces couraots d'eau principaux,
on eu trouve beaucoup d'endroits^ ou Геаи coule des
fentes des montagnes, innonde la plaine et rend les che-
mins impraticables, car les ruisseaux qu'elle y forme
entraînent des cailloux, des décombres, de grosses pier-
res et les entassent sur leur passage.
Les paysages d'Ahal-Téké sont excessivement monotones
et de quelque côté que Ton tourne ses regards, l'oeil attristé
n'aperçoit que les mêmes tableaux. En se dirigeant vers le
. levant on ne voit à gauche que des masses sablonneuses, à
droite des chaires des montagnes escarpées. Excepté les
jardins de Téké, frais et verdoyant même aux mois de Juin,
de Juillet et d'Âôut, toutes traces de végétatiou disparais-
sent sous les rayons ardents du soleil et votre oeil, fa-
tigué de la stérilité de la plaine, ne trouve à admirer
que le tamarix, les roseaux aux bords des ruisseaux et
des fleuves et les abrisseaux vert-foncés des câpres, or-
nés de belles fleurs. Les buissons de* carlinos {Alchagi
^méhrum) et d'absinthe revêtent la surface à retendue
de beaucoup de verstes et contribuent à la n^onotonie
du paysage. De beaux Julodis variolarius^ evfraticusj
plus rarement des J. дЬЫсоПгз restent perchés sur les
tiges des plantes ou bien volent autour, faisant étinceler
Jeurs couleurs métalliques sous les rayons lumineux du
soleil. Au mois de Juillet on y rencontre souvent des
mantes aux ailes noires {Fis^eria badica^ Bamb.)j des
Iria gentiment coloriés et des Empus pennicornis, PaU.,
assis sur ks buissons bleuâtres des sparganiers, immobi-
les et gracieux. Les Ateuchus et les Copris voltigent
|[aiment dans l'air, tandis que de nombreuses espèces de
Melanoaomata sautillent ça et là sur oetle terre dessé*
ebée et brûlée. L'abondance des traquets et des atooeites
vous importune tout bonnement et on complimente Tap-
ie''
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— 270 —
parition de chaque autre oiseau. Les Phrynocephalus he--
lioscopus et les Agama sanguinolenta^ la queue en Tair,
s'évadent à l'approche de l'homme ou montés sur une
branche de quelque arbrisseau écarquillent les yeux à
Taspect de Tastre couchant. De temps en temps on rencontre
un dscheirany tantôt c'est un renard aux oreilles noires
qui s'échappe d'un ravin. La nuit tombe; mais c'est en
vain que vous cherchez le repos, Talr est brûlant et vous
restez de même accable, que dans la journée. C'est alors
le grésillonement des grillons (Grilltis Cerisyi^ Serv.; G.
capensiSy Fàbr.X Taboiement des chacals, le cri d'engou-
levent {Caprimulgus arenicolor^ Sev.\ le Trôlement des
plantes desséchées et le bruit du vent soulevant la
poussière, qui seuls troublent le silence et la solitude
du steppe.
Les rivières, comme je viens de le dire, n'ont pas
une grande étendue et portent peu d'eau. Elles pren-
nent naissance dans les chaines de montagnes con
tiguës, et se dirigent vers le Nord. A une époque plus
reculée, quand Kopepète • Dague et Zar-i-Kouch étai-
ent revêtus de forêts, le eaux de ces rivières étaient
plus hautes et les lits desséchés, qui actuellement ne
portent Геап qu'au printemps, étaient jadis très abon*
dants. A cette époque l'oasis Ahal-Téké était beaucoup
plus fertile et possédait une flore et une faune beaucoup
plus riches. Les bords de ces rivières à pente douce,
couverts de buissons et de roseaux servent de refu-
ge aux chats sauvages et aux Lagomys. Plus loin, à
quelque distance du pied des montagnes, les eaux se
réunissent pour y former un réseau de canaux destiné
à fournir l'eau nécessaire aux irrigations. Ordinairement
les Tékins choisissent ces endroits pour y fonder leurs
Tillages, nommés <aouls» et entourés d'un mur en terre
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— 271 —
glaise^ qui leur sert de rempart. Plus loio s'étendent des
jardios fruitiers, des terrains plantés de oielons, de champs
de dschigofura (espèce de mil), de potagers (le cotonnier,
le sésame etc.), de champs de seigle et d'orge. De pe-
tits murs en terre glaise divisent les jardios en plusi-
eurs parties d'après les différents propriétaires^ auxquels
ils appartiennent; les vignes occupent ordinairement le
milieu de ces pelouses tout environnées d'arbres frui-
tiers; c'est ici que s'élèvent les tourelles, lieu de refuge
des habitants, surpris par quelques aloman *) de Perse
ou de Kourde. Les exploits des djiguites ♦*) de même
que Taudace haï die des aiomans reppassenl encore sou-
vent dans la mémoire de Tékins et la présence de ces
petits tours ronds est facile à comprendre. Dans les
champs ces tourelles sont très nombreuses et du premier
abord elles produisent sur le voyageur une impression
très originale.
Eu remontant la rivière on rencontre des moulins à
l'eau, sous la garde de ces mêmes tourelles, et tout près
d'elles quelques saules touffus, lieu favori des Salicipas^
ser montanus. Voici en peu de mots la physionomie que
nous présente l'oasis Ahal-îéké.
Quant au climat il passe pour être très chaud et les mois
quej'y restais (Juin, Juillet) ont confirmé ce rapport (н-40
R. à l'ombre n'était point rare); à la fin du mois
d'Aôut et au commencement du mois de Septembre les
nuits devinrent plus fraîches. Je suis enclin de croire
que la température du pays joue un grand rôle dans la
mue énergique des oiseaux, qui est bien plus forte qu'à
des latitudes plus hautes. L'alouette perd ses plumes
*) Une bande de braves en invasion.
•♦) Cavaliers parfaits.
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— 272 —
en si grand nombre que, par endroits, le corps est mis
к nu; quelques fois les oiseaux perdent la capacité da
vol. Les traquets ne conservent sur la tète que la base
des plumes. Il arrive que les plumes se fendent et se
ternissent si fort, que du premier abord il est difficile
à distinguer les différentes espèces. Le plus grand nombre
d'oiseaux qu'on rencontre en été à Ahal-Téké, apparti-
ennent, d'après l'origine^ à la faune de la contrée Aralo-
Caspienne; les antres sont des espèces propres aux mon-
tagnes voisines. Quelques uns de ces représentants sui-
virent le cours des rivières et descendirent dans la plai-
ne, oîi ils trouvèrent les jardins tékins plus ou moins
conformes pour s'y installer^ tels sont: Salicipasser mon^
tanus, Passer indicus, Sylvia myslacea^ Butàlis grisola,
un grand nombre de Salicaria etc.; d'autres, au vol puis-
sent et soutenu, habitent exclusivement la région des
montagnes et ne descendent que pour chercher du bu-
tin^ tels sont: les griffons, les corbeaux, les milans, les
buses, Cypselus apus^ Ghdidon игЫса^ en partie Merops
apiaster *) etc. Un grand nombre de Galerita magna) de
CalandreUa pispolda et de Saxicola iseAeUina sont les
représentants les plus caractéristiques de la faune orni-
thologique de la plaine d'Ahal-Téké; comparativement
aux autres espèces le nombre de ces oiseaux est excès«
sivement grand.
c) Montagnes.
A la fin du mois de Juin j'ai visité les montagnes près
de la rivière Kizîl-Arvad, ensuite celles de la rivière
Bami et plus loin jusqu'au village Bendessin; le 3—4
*) Il De m'anrivait de rencontrer les Merops persica qne dans la
plaine.
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— 273 —
Joillet j'ai parcouru celles de la rivière Artschman; le
7—22 Juillet celles des rivières Gjarmaou et Koulkou-
laou; j'ai exploité ensuite l'espace entre ces rivières et
les rivières Tchirin-Tchaï et Kizil-Kan; depuis le 80 Juil-
let jusqu'au 12 Août mes excursions avaient pour but
les parties occidentales des montagnes Zar-i-Kouch et
Rizil-Baïr, les montagnes entre les rivières Guez-Bachi
et Kelté-Tchinar et les chaînes qui occupent l'espace
entre ces rivières et la rivière Tarharan; le 19 — 20 Août
j'ai visité les montagnes entre le méridien d'Askhâbad et
le village de Kourdjou au bord de la rivière Kargui-sou
et Firousé. Les chaînes dos montagnes de Kopepète-Da-
gue (Daman-i-Kouch), de Zar-i-Kouch et de Kara-Baîr
forment les embranchements N. 0. du système des mon-
tagnes Parapamyse. Ces montagnes n'ont pas en géné-
ral la pente douce et à divers endroits elles se dressent
perpendiculairement, mais c'est surtout au nord, en des-
cendant dans la plaine, qu'elles sont très escarpées. Tout
cela concourt à notre opinion sur ce qu' à l'époque de
l'existence du bassin Aralo-Caspien ces montagnes for-
maient les bords de la mer. L'eau entrait dans de nom-
breuses gorges, qui jouaient alors le rôle de fiordes, et
il se peut bien que les niches et les ornières, que nous
remarquons actuellement dans ces murs gigantesques et
sur les pentes escarpées tournées vers le nord, doivent
être attribuées à l'fnfluence des vagues. Le Kopepète-
Dague se dirige du S. £. à O.N.O en formant des chaî-
nes parallèles, qui descendent vers la mer Caspienne.
Les penchants méridionaux, où prennent naissance les
sources du bassin d'Atrek ont comparativement des pen-
tes douces et bien moins escarpées. Dans plusieurs en-
droits de Kopepète, sur les penchants de grandes chaî-
nes on rencontre de steppes fertiles, recouverts de bel-
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— 274 —
les herbes, qui restent fraîches mêrae en été, pendant
les chaleurs les plus fortes; en hiver c'est un excellent
pâturage pour les dscheirans {Antilope sübgutturosa)^
les arkars et les sangliers. Il m'est arrivé assez sou-
vent de trouver des pelouses de ce genre sur les pen-
chants des montagnes, quoique on rencontre plus souvent
encore des espaces stériles, tout couverts de pierres, où les
couches de terre fine ne se voient que de distance en distan-
ce. En générai les montagnes de Kopepète-Dague et de Zar-
i-Kouch sont très peu praticables, très escarpées, nues, dé-
charnées, taillées en roc, a pente très rapide, à gorges pro-
fondes et très nombreuses.
La région la plus élevée des montagnes est cou-
verte de forêts de genévriers arboriformes (artcha),
qui atteignent leur plus grand développement dans
la contrée orientale de Kopepète, la plus élevée de
toutes; depuis 3000' au dessus du niveau de la mer, le
genévrier n'est plus arboriforme, ce n'est qu'un arbris-
seau; mais au dessus de cette limite il forme de véri-
tables forêts, qui grâce à leur couleur sombre prennent
des formes originales et nous oiTrent un aspect grandio-
se. Il est difficile de trouver un second arbre qui s'ac-
comoderait aussi bien que le genévrier à des conditions si
peu favorables. On le rencontre sur des roches décharnées,
dans des endroits jonchés de grosses pierres; des arbres
isolés croissent dans des gorges tout déchiquetées, les
racines enfoncées dans des fentes, le tronc lancé verti-
calement de manière à former un bras. Les types des
genévriers sont au plus haut degré variés et parfois très
originaux. Le plus souvent ce sont de grands arbres,
dont Técorce pelée et pendue en lambeaux leurs donne
un aspect sombre et fantasque; parfois le tronc princi-
pal a la forme d'un pain de sucre et fait pousser de
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— 275 —
branches horizontale» de manière que ie végétai ressemble
à un champignon, 4' de hauteur et 3 toises de large;
souvent les branches de dessous rampent sur la terre et
ces exemplaires de genévrier grâce à l'épaisseur des
branches nous apparaissent sous l'aspect d'une forêt d'ar-
brisseaux couleur vert-foncé. Il m'est arrivé d'observer
aussi que la lige principale étant assez grosse et courte
(6' de hauteur) prenait au sommet la forme d'une boule
qui laissait percer de branches latérales; d'autres fois la
lige, ayant atteint un assez grand développement, ram-
pait tantôt sur la terre, tantôt se redressai^ changeait
de direction, et s'entortillait pour retomber ensuite sur
le terrain. Les exemplaires les plus intéressants des ge-
névriers sont ceux qui ont la racine, ie tronc et les
branches principales tordus ensemble à la manière d'un
gros cable. Toutes ces espèces je les rencontrais dans
des plaines jonchées de pierre, près des gorges oii la neige
restait sans fondre; dans les parties orientales de Kope-
pète, ou les genévriers se sont le mieux conservés, j'ai
vu des exemplaires d'une hauteur de 4 toises tombés à
force d'âge. Dans les gorges de la région des genévri-
ers^ sur les penchants des montagnes^ on rencontre sou-
vent des bosquets d'érables, aux feuilles menues, de grands
arbrisseaux d'épine-vinettes et des figuiers.
Ce qui concerne les sources d'eau elles ne sont pas
abondantes à Kopepète aussi bien qu'à Kizil-Baïr et à
Zar-i-Kouch, quoique au printemps et en automne la
pluie tombe assez souvent et en hiver il neige assez
fort. Les petites rivières qui se jettent dans la plaine
d'Àhal-Téké, les sources et la neige qui ne fond pas
même en été dans des gorges profondes procurent à la
contrée la masse principale des eaux *). Exposée à Гаг-
*; n m^est arrivé de visiter an commencement du mois d*Aôat
une de ces gorges située entre les rivières Kotour et Djiristan^
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— 276 —
deur de soleil Геаи des sources s'évapore bien vite et va
le terrain sablonneux elle se cache sous le sable. Par-
fois ces ruisseaux dégouttent de la fente des gorges ro-
cailleuses, et la chute de gouttes en forme un creux, qui se
remplit d'eau. Près de ces sources la végétation est tou-
jours plus belle; après avoir escaladé un rocher, on y trouve
un beau lieu de repos, une fraîcheur agréable et souvent
un bon pâturage pour le mulet — animai inappréciable
dans ces montagnes. Différents oiseaux s'y abattent de
tous côtés pour y trouver de Геаи el c'est alors qu'un
ornithologiste peut faire une riche récolte, car il peut y
rencontrer dans la journée toutes les espèces qui habi-
tent les environs. Des heures entières je passais aux
bords d'une de ces sources, à l'ombre de quelque ge-
névrier. J'étais là pour observer, pour chasser les ois-
eaux et les préparer; ma petite bouillotte était placée sur
un bûcher en bois de genévrier, de perdrix rôtissaient
à la broche arrangée à Taide d'une baguette, l'odeur du
gibier chatouillait agréablement l'odorat, et le coeur bien
léger, je m'oubliais dans la contemplation de ces lieux
sauvages, de ces montagnes escarpées, de cette nature
si originale et si grandiose. Voici un lagomys {Lagomys
specit) qui sort de sa tanière pour s'étendre sur une
pierre brûlante et se rechauiïer au soleil; et tout au côté
un gros SteUio $pec.{1) relève sa tète et le regarde avec
ses petits yeux d'un air assez bote; de pouillols verts
sautillent gaiment dans la forêt et les BuiiciUa rufiven*
iri8 restent à l'ombre des branches et de temps en temps
très profonde, aux mors dressés perpendicnlairement, ouverte du cdtô
nord, elle ne voit paraître le soleil que pour 20 minutes dans la
journée et contient une couche déneige de VU toises d^épaisseur.
C'est l'endroit unique où j'ai trouvé le tetragalîe et le ttchedrome
€ekeUite.
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- 277 —
remuent d'un air assez mélaDColique leur queue d4iD
rouge foocé: de perdrix se sont attroupés près de l'eau
pour se désaltérer, tandis que des volées de différents
oiseaux attendent leur tour. Des pigeons d'un bleu-noir
et des ramiers vont se poser sur les bords du défilé;
trois gracieux dscheirans surviennent non loin d'eux et
leurs belles silhouettes se dessinent sur le bleu-azuré du
ciel; Tun d'eux, allongeant le cou et enflant les narines^
s'approche avec précaution des oiseaux; les voilà effa-
rés, battant des ailes et s'envolant tout effrayés; un ani-
mal, épouvanté par ce bruit inaccoutumé, s'échappe à
toutes jambes... Je ne me lassais pas d'admirer ces beaux
habitants des montagnes et j'enviais leur liberté illi-
mitée!...
Il ne me reste par conséquent qu'à dire quelques mots
sur les rivières. Les sources des affluents septentrionaux
d'Atrek, que j'ai visitées, nommément Tchirin-Tchai et Ki-
zii-Kan, prennent naissance dans les vastes plaines re*
couvertes de roseaux, ou demeurent de nombreux trou-
peaux de sangliers et des volées de faisans {Пкт-
anus Komaravij spec, nov.) Les endroits dépourvus de
roseaux apparaissent sous l'aspect du steppe et sont
propres aux versants des montagnes contiguës. Les outar-
des y fondèrent leur résidence. Les rivières qui com-
mencent sur les crêtes de Kopepèle et qui se jettent au
nord ont un tout autre caractère, propre aux rivières
des montagnes. De gros filets d'eau froide jaillisseqt du
sol, leur cours n'est pas long, mais la hauteur de la
chute est très considérable et le rend très rapide, de ma-
nière qu'il est presque impossible de les passer à gaé>
quoique ils out rarement plus de 10 pas de large. Les
cataractes et les catadoupes sont assez nombreux. Ordi-
nairement les bords des rivières sont couverts de forêts,
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— 278 —
qui occupent un grand espace et y forment un rempart
impraticable *). Il m'arrivait de suivre le courant pendant
une lieue sans trouver la possibilité de percer ce mur gi-
gantesque et d'approcher Геаи. Les vallées ne sont point
larges (pas plus d'une derai-verste de large), mais elles
ont beaucoup de sinuosités et donnent souvent dans des
gorges escarpées, qui montent parfois à la hauteur de 800'
(Gjarmaou) et sont si étroites qu'on touche des deux
mains les murs opposés. Dans les rivières Koulkoulaou,
Gjarmaou et d'autres on rencontre souvent de petites
lies basses, couvertes de roseaux, lieu de refuge des
sangliers. La menthe aromatique (on en trouve beaucoup
aux bords de la rivière Bami) s'élève à la hauteur
de la taille d'homme et y forme de forêts épaisses. La
vallée de la rivière Kizil-Ârvad est dépourvue de forêts;
dans Tune de ses parties elle est couverte de pelouses, dans
l'autre elle apparaît sous l'aspect des steppes, de dislance
en dislance recouverts d'arbrisseaux, parmi lesquels on
aperçoit avec étonnement le tamarix, apporté sur ces hau-
teurs probablement de la plaine de Téké "^). D'autres val-
lées, par ex. celle de la rivière de Gjarmaou et surtout celle
de Kargui-sou, sont couvertes par endroits d'épaisses fo-
rêts d'orme6; au milieu desquelles on rencontre des
noyers et des figuiers. Les ceps de vignes sauvages en-
trelacent les arbres et y forment de belles guirlandes.
*) Les grosses baies de genévriers mûrissent à la fin da mois
de Juillet et an commencement d'Août^ c'est la nourritnre favorite
non seulement des moineaux et des sansonnets, mais aussi des cala-
moherpiens et des sylviens (surtout 8. m^itaeea).
**) De même j*ai remarqué les baissons de tamarix dans d'autres
vallées (au dessus du niveau de la plaine de Téké). Malheureusement
l'absence du baromètre m'a privée de la possibilité de déterminer
les hauteurs.
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— 279 —
On y trouve beaucoup de chats sauvages et de chacal?^
mais on rencontre bien plus rarement des Cynailurus
jubattis et des panthères {Leopardus pardtfs) *). Dans
les montagnes on peut voir des EUobis talpinus **), des
hérissons [Erinaceus spec? ***), Plaiycercomys spec? ****)
et des porc-épics {Histrix hirsutirostris\ dont les pi-
quants sont très appréciés comme cadeaux chez les peup-
les tékins; de temps en temps on voit de hyènes rayées
(Hyaena striata).
A rapproche du soir des crabes apparaissent en grand
nombre aux bords des rivières; en cas de chasse man-
quée ils m'avaient procuré plus d'une fois un met dé-
licat et nourissant. Les insectes y ont beaucoup de re-
présentants, surtout parmi les Heminoptera. Desouchets
d'une forme originale {Bacillus Rossii), des Amdes^ de
grands Hierodula, une espèce indienne découverte par
l'expédition de M. Fedchenko à Tourkeslan, attirent assez
souvent l'attention du voyageur. J'ai enlevé un jour à
une de ces mantes un exemplaire d^Agama sanguinolenta
(3" de long à peu près) à demi dévoré.
Parmi les serpents on rencontre souvent dans les fo-
rets de gros Tipera evfratica *****), dont la piqûre fait mou-
rir beaucoup de personnes pendant la vendange. Il faut
bien noter les Eremias vehx et les Agama sanguinolent
*) Ce n^est point L. irbis^ ce dernier ne se voit jamais dans la
contrée Aralo-Caspienne.
**; L'exemplaire, que j*ai capturé« fut déterminé par M. Bnchaer
et remis à M. Nicolski.
***) Aux oreilles longues, mais ce ne sont point ГЖ auritus.
*•*♦) On Га observé près de fort Tchouli, près de villages Firousé
et Ojarmaou; je doute fort que celksoit P. platywrus et même je ne
suis pas persuadé que cela puisse être Flaiyetrcomya,
♦♦^♦) Je les trouvais souvent sur les arbres.
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— 280 —
ta *). Ces deux espèces, ainsi que bien d'autres ani-
maux, appartiennent exclusivement à la contrée Aralo-
Caspienne.
II.
Liste des oîseanx de la contrée Trans-Caspienne.— Notes biologi-
ques et Koogéographiques.
Avanl de présenter la liste des oiseaux que j'ai cap-
turés à Abal-Téké, je saisis cette occasion pour exprimer
ma plus vive reconnaissance à M. le Chef de la cootrée
Trans-Caspienne, au Lieutenant-Général A. V. Komaroff
et à M. le Colonel I. A. Bogoluboff, qui se sont empres-
sés de me venir en aide dans mes excursions. De même
je m'estime heureux de faire mes remerctménts à M. Bian-
ki, qui a bien voulu m'aider à déterminer les espèces de
mes collections ornithologiques.
*) On rencontre dans la contrée Aralo-Caspienne deox espèces
i^^Agama. L'nne, le dos rayé d4in bron-roossâtre, est propre à la
plaine d'Ahal-Téké; Tantre, plus commune, n^estpoint rayée et liabi-
te les vallées de même que les montagnes. Quand il m^arriyait de
prendre les lézards dans les mains ou de les mettre dans de Pesprit
de vin, après les avoir étourdi d'un coup de baguette ou de к
paume de la main, je remarquais un changement^de couleur, de ma-
nière que les taches d'un brun*rouss&tre de la première espèce de-
venaient d'un rouge vif, tandis que les différentes parties du corps
de la seconde espèce se coloriaient d'un bleu d'outremer (gorge,
côtés, poitrine, ventre)^ il arrivait parfois que la poitrine, les pieds
de devant, les hanches, les jambes et en partie les doigts étaient
marqués en ce cat de raies transversales très peu apparentes. Pen-
dant les grandes chaleurs je remarquais les mêmes changements
chez les Agama de la seconda espèce, bien qu'ils restaient assis
tout tranquillement sur les branches de quelque arbrisseau. En ce
cas la couleur bleue devenait plus brillante et donnait en nacre de
perle ou en rose. Les raies foncées de ces lézards étourdis chan-
geaient en rouge vif, et la couleur rose en bleu.
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— 281 -
1. Bubo tnrcomaiiiis.
Ce dac est souvent observé dans les localités favora-
bles à son habitat, tels sont les montagnes de Kopepète-
Dague, de Zar-i-Kouch et de Kizil-Baîr. Les montagnes
de 2000' de haateur (et plus hautes encore), cou-
vertes de genévrier et variées par des endroits coupés
à pic et par d'énormes rochers, sont leurs résiden-
ces d'été les plus favorites. Cet oiseau est connu très
bien des Perses et des Kourdes sous le nom de Boume.
La nourriture ordinaire du duc font les perdrix parmi
les oiseaux et les lagomys parmi les mammifères. Dans
les matières dégorgées, trouvées en grande quantité
dans les montagnes appartenant et sans aucun doute au
duc, j'ai observé souvent des restes non digérées de
récaille des crabes.
2. Scops zorca *).
Assez commun dans les jardins épais de la plaine
Ahal-Téké, de même que dans les montagnes et dans les
plaines des rivières couvertes d'une végétation épaisse.
3. Atkeie pliBipffHBeriëioMlis **).
Le «Baï - Kouche» (un oiseau riche) des peuples
tékins.
*) Je suis persuadé qm'on observe dans le désert Kara-Konm une
aatre espèce de ce genre— <9cop« obsoletus^ compagnon ordinaire
de Caprim. arenicolor. mais Mr. Zaroadnoï ne nous a fourni que les
échantillons dn Se. ßorca.
M. Menzbier.
^) Les échantillons A'Athene que M-r Zi^^oadnoï nous a fourni
sont des exemplaires jeunes, de différents âges. Ils sont plus foncés
que ceux de Ferghana, pour cette raison ils peuvent ôtre considérés
comme une forme intermédiaire entre Aih. plumipes et Ath. me»
ridionalis.
M. Menzbier.
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-- 282 —
Très commun dans les montagnes ainsi que dans la
plaine Ahal-Téké. Dans les montagnes il niche principa-
lement dans les fentes des rochers, quant aux plaines —
on l'y trouve dans les ruines des forteresses, parfois
dans les creux des arbres. En été de petits animaux
rongeurs, des cigales, des scarabées de nuit . et même
des phalanges (Solptiga) font sa nourriture.
Dès que le soir commence, notre hibou se ranime,
quitte le lieu de son repos pour aller à la chasse; près
de minuit il se repose; mais il ne se tranquillise défi-
nitivement qu'au point du jour. Aux mois de Juin, Juillet
et dans la première partie du mois d'Août cet oiseau se
fait entendre sur la brune par ses cris forts et monoto-
nes, qui font dans plusieurs endroits un attribut indispen-
sable du concert crépusculaire. Le jour il voit très bien
et souvent il ne laisse pas le chasseur l'approcher à la
portée du fusil.
Dans les villages, situées dans les montagnes de
Perse notre hibou est très commun en nidification; à
l'époque des noces il fait retentir des cris perçants, qui
ont inspiré aux Perses la croyance populaire supersti*
tieuse que si ces cris ressemblent à un rire, le maître de
la maison, près de laquelle l'oiseau crie^ deviendra riche,
s'ils ressemblent à des pleurs— il lui arrivera un malheur.
1. Cireus rnfus.
On le trouve rarement nichant sur les ilôts des fleuves
Tchirin-Tchaï et Kizil-Kan.
3. Strigiceps etnerieeiis.
Commun dans les prairies près de fleuves Tchirio-
Tchaî et Kizil-Kan, il est observé plus rarement sur les
rives des fleuves Gjarmaou et Kouikoulaou.
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— 283 —
6. Strigiceps eyueas.
7. Strigiceps pallidas.
Ces oiseaux soot communs dans ies steppes près de fleu-
ves Kargui-Sou, Firousé, Tchirin-Tchaï et Kizil-Kan, et
en général sur les limites orientales de la hauteur Guerer.
Au commencement du mois d'Août j'ai observé à Ahal-
Téké le passage des individus solitaires, appartenant à ces
quatre espèces: ils se dirigaient de Touest à l'est. En même
temps on les observait volants remontant les rivières du
versant septentrional de Kopepète-Dague.
8. MieroHisus bidlos *).
Cet épervier est observé assez souvent dans les mon-
tagnes et dans les vallées boisées des rivières. Dans les
forêts des montagnes loin des fleuves il ne niche qu'avec
grande répugnance; de même que dans les forêts de ge-
névriers. En été je l'ai rencontré très rarement dans les
jardins épais d'Ahal-Téké, mais à la fin du mois d'Août
et au commencement de Septembre il s'y fait observer
assez souvent, car il descend les montagnes à cette
époque.
•) On ne pent confondre cet épervier qu'avec le Micron, cenchroides^
Sev.f qui loi ressemble d'après quelques caractères plastiques et ne
se distingue que très peu à différents ftges d'après les dimensions, la
coloration et la couleur des yeux. Mais les dimensions de Micron,
badins sont bien indécises et quoique la ?, que nous voyons dans la
collection de Mr. Zaroudno! est plus grande que 9 Micron, btidius
des Indes et de la Perse méridionale, le ^ est plus petit que le d*
Micron, badiua des mêmes endroits. En général le Micron, cenchroi-
des diffère moins de Micron, badins, que ce dernier de Micron, bre»
vipes et de Micron, spîienurus.
M. Menzbier.
Л? ^. 1885. 19
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— 284 -
Le 8 Juillet j'ai trouvé uu nid avec trois jeunes dans
цпе épaisse forêt au bord de la rivière Gjarmaou. Le nid
était placé à la hauteur de 2 toises sur un arbre, penché
au dessus de l'eau; la construction en était grossière,
peu solide, faite de verges sèches et de morceaux d'écor-
ce; sa largeur=0,48 m.; sa hauteur=0,2 m.; la profondeur
du lit=0,12 m.; point de pavage en dedans.
Par sa manière de vivre cet épervier ne se distingue
point de VAcc. nisw européen, mais il paraît être plus
fort et plus hardi que ce dernier.
9. Aceiplter nlsas.
Il fut observé à Ahal-Téké en petit nombre d'indivi-
dus aux mois d'Août et de Septembre. Je les crois être
en passage, car je ne les ai trouvé nicher nulle part.
10. Astar palnmbarias.
On le rencontre, à ce qu'il paraît, très rarement; et je n'ai
réussi à me procurer qu'un seul exemplaire (un vieux (f),
ce fût le 15 Juillet, dans les jardins du village Gjarmaou.
11. Milvus melanotis.
Ce milan est observé assez souvent à Ahal-Téké, mais
il paraît qu'il niche exclusivement sur les arbres des
montagnes voisines. Il a pour sa nourriture la charogne,
les rebuts des abattoirs; outre cela de grand matin il
s'occupe à attraper des MerioneSj des Diptis et d'autres
animaux rongeurs; un peu plus tard il attrape des lé-
zards et vers midi il se retire dans un jardin voisin ou
bien dans un défilé ombrageux, où il se livre au repos.
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— 28Ö —
12. Mikas ater.
Aux mois de Juin el de Juillet j'ai observé très peu
<ie roilaus noirs; à la fin du mois d'Août et au commen»
cement de Septembre cet oiseau commence à paraître
plus souvent à Ahal-Téké; je né les ai pas rencontré
plus de S — 6 individus à la fois. Sûrement ce furent des
oiseaux de passage.
13. Buteo ferox.
La variété fauve de cette buse, décrite autre fois com-
me B. hîLcuruSy est commune sur la pente du nord des
monts Kopepèle-Dague, d'où elle passe à Ahal-Téké. J'ai ob-
servé plusieurs fois cette buse attraper de gros lézards
4e rocher {Stellio sp.).
Outre cela j'ai rencontré quelquefois à Ahal-Téké une
variété fuligineuse — J5. eximius^ perchée sur de poteaux
télégraphiques et des tourelles de garde. L'estomac de
l'unique exemplaire, que je me suis procuré^ était plein
de lézards {Agama sanguinolentà).
14. Buteo vulpinus.
Je Tai observé plusieurs fois aux mois de Juilet et
d'Août dans les montagnes de même qu'à Ahal-Téké,
mais je ne pourrais pas affirmer sMI y niche. — A la fin
du mois d' Août et au commencement de Septembre on
observaitdes oiseaux de passage, qui sedirigeaientde l'ouest
à l'est, par l'oasis, et qui au sud suivaint le long le
cours des rivières.
15. Glrcaëtos bypoleucos.
Se rencontre rarement à Ahal-Téké et dans les mon-
tagnes de Kopepèle-Dague. Je l'ai observé trois fois, pré-
19*
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- 286 —
cisement le 21 Juin près de KizII-Arvad, le 29 — près de
Bami, et le 16 Août près d'Askhabad. Mais je ne m'ea
suis procuré pas un seul exemplaire.
16. PaHdioH hiliâëtas.
Quoique les rivières qui se dirigent vers le nord à tra-
vers les montagnes de Kopepète-Dagae sont petites, étroites,
peu profondes et ressemblent plutôt à des ruisseaux, le
balbuzard, ce représentant typique des systèmes fluviaux
s'y rencontre assez souvent. Gela va sans dire qu'il
niche sur les bords des rivières Gjarmaou et Fi-
rousé. Ces rivières abondent en poissons et, comme
toutes les rivières des montagnes, ont Peau transparente.
Les rochers impraticables et les rocs sauvages avec leurs
défilés sont bien favorables pour la nidification du bal-
buzard. Le nid, que j'ai trouvé sur la corniche d'un ro-^
cher perpendiculaire aux bords du fleuve Firousé, était
fait de grosses verges, rempli d'excréments et d'os
de poissons, et appartenait probablement au balbuzard^
puisque le Haliaëtos Macei^ qui niche dans les mêmes lo-
calités des monts Kopepète, ne mange le poisson que très
rarement. C'est étonnant, comment est-ce que cet
oiseau réussit à attraper le poisson dans des eaux si rapidesl
17. Haliaëtos Macel.
Se rencontre souvent dans le monts de Kopepète-Dague;
il y niche sur les rochers, comme les Kourdes et les Perses
raffirmenl.
Ce pygargue se nourrit de différents oiseaux, surtout
de perdrix, qu'il attrape avec beaucoup d'agilité et d'ad-
resse; il se nourrit aussi des Lagomys spec.y quand ces
derniers quittent leurs repaires pour se rechauffer au
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— 287 —
soleil* el de gros lézards, à ce qu'il parait. Cet aigle est
moins craintif que ses confrères: il m'est arrivé plusieurs
fois de m'en approcher sans précaution à vingt pas, c'est
à dire à la portée du fusil.
IS.AquIla minuta.
19. Aqulla pennati.
De tous les représentants de cette famille ces deux for-
mes d'aigles bottés sont les plus communes dans les
montagnes du Horossan septentrional. En été ils se
tiennent exclusivement dans les zones des genévriers et ne
se montrent que très rarement dans les lieux bas de la
plaine Âhal-Téké. Ils se nourissent ordinairement des pi-
geons sauvages et de deux espèces de perdrix, dont ils
sont les ennemis les plus menaçants. Ils se montrent aussi
assez souvent dans les villages des Perses et des Kour-
des pour y chasser des poulets.
A la fin de Juin j'ai rencontré de jeunes aigles volant
parfaitement bien, mais qui restaient sous la surveillance
de leurs parents.
20. Aqulla bifâsciata.
Le 15 Juin je me suis procuré un jeune mâle dans
les montagnes près de fleuve Kouikoulaou. Son estomac
renfermait des restes du Lagomys sp.
21. Aqulla iuperialls.
Il a été rarement observé dans les montagnes de même
qu'à Ahal-Téké.
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— 288 —
22. Aqiila ehrysiëtos?
Il parait que les grands aigles que je o'ai observé que ra-
rement dans les monts Kopepète-Dague, Zar-i-Kouch et Ka-
ra-Baïr^ appartiennent a cette espèce-ci. Malheurensement
je ne m'en suis procuré pas un seul exemplaire *).
23. Erytbropas vespertinus.
Je ne le rencontrai que dans les jardins de la plaine
Ahal-Téké et précisemeut dans deux localités: près de
Guek-Tépé (tékin) et près de Douroun, où il ne niche
qu'assez rarement.
24. GerchHeis eeuchrls.
Très commun dans les montagnes. A Ahal-Téké je ne
Tai rencontrai qu'aux mois d'Août et de Septembre. Il
se nourrit des cigales et des lézards.
25. TiHoaneulus aiiudarius.
Assez commun dans les montagnes du zone des genév-
riers. Il ne parait à Ahal-Téké qu'en automne.
26. Hypotriorehis siibbuteo»
Il se rencontre souvent dans les montagnes et les val*
lées boisées près des rivières. Je l'ai vu nicher dans les
forêts des genévriers près de sources à la hauteur de
7000'. Le passage fût observé à la fin du mois d'Août.
*) Je sois persuadé que ces aigles n'étaient qu* une des variations
des Ä. fulva.
M. Menzbier.
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— 289 —
27. HieroMco steer.
On ie rencontre dans les mêmes endroits que le pré-
cédent, mais il est à observer plus rarement.
28. GypiStos barbAtus.
Assez commun dans les plus hautes parties de l'est de
Kopepèle-Dague; on l'observe également à l'ouest de ces
montagnes, sur le Zar-i-Kouch et le Kara-Baïr, mais plus
rarement. Pour la recherche du butin il descend dans la
plaine Ahal-Téké et^vole a des dizaines de verstesdans
le désert Kara-Koum. Le plus souvent j'ai observé cet
oiseau à la fin du mois d'Août et au commencement de
Septembre dans les localités dernièrement nommés;
certainement plus tard ses visites dans les lieux bas doi-
vent devenir plus fréquentes. Il parait que pour le cou*
cher il retourne toujours dans les montagnes. Il se nourrit
ordinairement de toute sorte de charogne, depuis ie chameau
jusqu'à la souris; outre cela il saisit souvent des tortues
{TestudOj spec.) en se régalant de ses entrailles, dont il
s'empare, en jetant ces animaux d'une hauteur considé-
rable, et en brisant de cette manière leurs carapaces. A
l'embouchure de la rivière Kargui-Sou sur une saillie
d'une gorge, j'ai trouvé des restes d'une centaine
de tortues; les Kourdes et les Perses m'ont commu-
niqué, que ce sont les restes des repas du gypaëte, quant
à moi, je ne l'ai jamais surpris à ce travail, quoique
j'ai vu plusieurs fois les Haliaët. Macei jeter les tortues
sur les roches.
29. Gyps fulvas.
Le vautour Tauve est commun partout dans les mon-
tagnes, d'où il descend chaque jour dans la plaine Ahal-
Téké pour y chercher du butin.
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— 290 —
30. Valtur einereiis.
Quoique od l'observe assez souvent, il est plus rare que
le précédeot.
31. NeophroH percHopterus.
Des tous les vautours cet oiseau est le plus com-
mun. Il niche partout dans les montagnes, mais aux mois
de Juin, Juillet, Août et Septembre on le voit plus sou-
vent dans la plaine Ahal-Téké, oii il y a beaucoup de
bestiaux et par conséquent plus de charogne, qu'il aime
tant. Il est assez commun près d'abattoirs, où il dévore
non seulement les restes, mais aussi de gros morceaux
de terre imbibëe de sang; il se nourrit de même
des excréments des hommes et des chiens (Ahal-Téké
abonde en chiens). La nuit il s'envole dans les montag-
nes, ou il se tient caché dans les ruines et dans les
tourelles de garde. Il ne laisse qu'à grande peine s'ap-
procher à la portée du fusil, et n'est jamais si tranquille
que le raconte Brehm, en parlant de ses confrères
égyptiens.
32. Cypselns melbâ.
On ne l'observe que rarement à la fin de Juin dans
les gorges près des fleuves Kizil-Ârvad et Bami^ et à mi-
Juillet dans les gorges près de fleuve Gjarmaou.
33. Gypselus apus.
Il est observé dans plusieurs localités de Kopepète,
mais jamais en grand nombre. Quelque fois et surtout
sur la brune j'ai observé des bandes de martinets à
Ahal-Téké (Juin, Juillet) près des fleuves et des puits.
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— 291 —
34. Gotylf riparia.
Ed élé je n'ai observé qae raremenl Thirondelle du
rivage sur les fleuves de la plaiue Ahal-Téké et dans les
monts de Kopepète. Au commencement de Septembre on
a observé de grandes bandes de passage, qui se diri-
geaient de l'ouest à Test.
35. Gotyle rupestris.
Il est assez commun, dans certains endroits même très
ordinaire; je Tai observé à la hauteur de 6000'. Il pré-
fère les défilés de rochers.
36. Chelidon urbica.
Elle se rencontre assez souvent dans les montagnes; à
AhabTéké elle est plus rare; niche dans les ruines des
forteresses. A la fin du mois d'Août les oiseaux de pas-
sage venant du nord apparurent en bandes.
37. Hirundo rustica.
Assez ordinaire et parfois même très commune. A
Abal-Téké je l'ai rencontrée plus souvent, que dans
les montagnes, ou elle choisit les vallées des rivières.
A la fin du mois d'Août on l'a observé au passage.
38. Caprimalgas earopaees *).
Il est observé assez souvent en été dans les vallées
boisées des rivières Gjarmaou et Kargui-Sou. Dans la
*) J*ai TU Texemplaire de Tengoalevent cité par Mr. Zaroudnoï
comme CJapr. europoeus, mais je sois plutôt disposé et le reconnaître
ponr Caprim, pallidus^ Sev.
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— 292 —
seconde moitié d'Août et au commencement de Septembre
je l'ai rencontré plusieurs fois dans les jardins de la plai-
ne d'Ahal*Téké et dans les gorges boisées des monts de
Kopepète-Dague; c*étaient sans doute des exemplaires do
passage. A mon retour à travers la mer Caspienne (à mi
Septembre) do grand matin et le soir je les ai observés
souvent en pleine mer; ils volaient dans la direction S. E.
et se reposaient sur des bateaux à vapeur.
39. Gaprimulgus areDicolor, Sfv.
De tous les oiseaux de nuit cet engoulevent se ren-
contre à Ahal-Téké le plus souvent; en général il est
très commun. On observe sa nidification dans les step-
pes de la plaine d'Ahal-Téké, de même que dans le dé-
sert Kara-Koum; à mi-Juillet je l'ai observé même dans
la région des montagnes et précisément dans les step-
pes entre les rivières Gjarmaou et Eouikoulaou. Le jour
notre engoulevent se cache entre les pierres, dans les
fentes de la terre, dans les ravins, et dans les sables
sous les branches saillantes du tamarix. Aussitôt après
le coucher du soleil l'engoulevent s'en va pour chercher
du butin, et volant au dessus de la terre, il attrape de
différents insectes; j'ai trouvé dans les estomacs des indi-
vidus, que j'ai tués, toutes sortes d^Orthoptera^ de pa-
pillons et des scarabées (et bien de fois une espèce assez
grande des Monodon pentodon)] il attrape non seule-
ment les insectes volants, mais aussi ceux qui sont ca-
chés dans l'herbe ou qui circulent par terre. Ils viennent
volontiers dans les steppes sur les chemins poudreux,
et cachés dans la poussière, ils guettent le butin.
Ils effrayent bien souvent les chevaux russes înha-
bitués, puisque ils s'élèvent juste sous leurs pieds.
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— 293 —
Au mois de Juillet et au commencement d'Août Tengou-
lèvent pousse des cris aigus qui ressemblent à «cou*
cou-éou», surtout le son «éou» est perçant.
40. Laolus Grimmi, Bgdn«
Il est observé assez souvent à Ahal-Téké et dans le
désert Kara-Koum, dans les endroits couverts des brous-
sailles de tamarix^ de câpres et de haute absinthe.
41. Lanios minor.
Se rencontre assez souvent dans les jardins d'Ahal-
Téké, ou il niche sans doute. II est plus rare dans les
montagnes, dans les vallées des fleuves couvertes d'une
épaisse végétation. A la fin d'Août on a observé des
oiseaux de passage.
42. Goilurio erythronotus.
Assez commun dans les jardins de la plaine d'Ahal-
Téké et dans les vallées boisées près des rivières, qu'il
remonte jusqu'aux sources (par exemple dans les jardins
des villages Firousé et Gjarmaou). Le mâle et la femelle
de ce lanier ne quittent pas leurs poussins même jusqu'au
commencement de Septembre.
43. Enneoetonus coliurio.
Commun autant que le précédent. Dès les premiers
jours de la mi-Août il a commencé à paraître de plus
en plus souvent: c'étaient les oiseaux de passage» dont
la route se dirigeait principalement le long dos rivières
de montagne.
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— 294 —
44. OtoDifIa isabfliiia.
Se rencontre plus raremenl que le precedent^ mais
en tous cas assez souvent. Je l'ai observé à Ahal-Téké, dans
le désert Kara-Koum et dans les montagnes, où il se
tient aux rivières.
45. OtODifla pboenicaroidfs.
Commun dans les montagnes, mais je ne Tai point
observé dans la plaine d'Ahal-Téké. Il s'y tient aux bos-
quets clairs dans les vallées des rivières, sur les ver-
sants des montagnes, et dans des gorges claires, de même
que dans les broussailles du tamarix. Le 17 Juillet j'ai
rencontré un grand nombre d'exemplaires jeunes même
dans la forêt de genévriers, entre les rivières Kouikoulaou
et Kizil-Kan.
46. Butalis grisola.
Très commun dans les jardins de la plaine d'Ahal-Téké
et dans les vallées boisées des rivières, d'où elle vient
jusqu'aux sources. La vallée de la rivière Kargui-Sou et
les jardins du village Gjarmaou en sont les plus riches.
47. Erythrosteraa parva.
Se rencontre dans les mêmes localités que le précédent.
Outre cela on l'observe en grand nombre dans les fo-
rêts de genévriers entre les rivières Guez*Bachi et Kelté-
Tcbinar d'un côté, et les rivières Tarharan et Oouguaze
de l'autre. Après la mi-Août on a observé le passage
remontant les rivières des montagnes.
On ne peut entendre le cri d'erythrosterne rougêatre
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— 295 —
que de grand matin, quand la plus grande partie d'autres
oiseaux sommeille et dort encore. La nature a pourvu ce
petit oiseau d'un excellent appétit, et c'est sans doute
la cause de son réveil de si grand matin. Le matin il
m'est arrivé plusieurs fois de voir les erythros ternes
attraper de guêpes grises (de la grandeur de la Vespa
crabro européen, mais d'une autre couleur), qui passaient
la nuit quelque part sur l'écorce de l'arbre; c'est sans
doute la faim qui les force à un pareil exploit.
48. LusciHia phllonifla (7 van infascata, Sev.).
On le rencontre dans les jardins d'Ahal-Téké (Juillet
et Août), mais plus rarement que le suivant. Mes exem-
plaires ont quelque ressemblance avec une race décrite
par Mr. Sewertzow comme L. infuscata.
49. Lusciiia Haizi» Sev.
Très commun dans les jardins des Perses,dans les villages
de montagne et dans les bosquets aux bords des rivières
de montagne. Dans la plaine d'Ahal-Téké on le rencontre
plus rarement. Dans la première moitié de Juillet ils sont
en pleine mue.
oO. Aëdon familiaris.
Très commun dans les montagnes, aux bords des ri-
vières dont les vallées sont recouvertes de broussailles et
de haute herbe. On l'observe plus rarement dans les
jardins de la plaine d'Ahal-Téké et dans le désert Kara-
Koum, dans les broussailles du tamarix, éloignées de
l'eau à plusieurs verstes.
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— 296 —
51. Cyanffuia coernlfcala.
Je n'ai observé qu'une seule fois la nidification de
cet oiseau, précisément dans le jardin du village Fi-
rousé. A la fin du mois d^Aoùt et aux premiers jours de
Septembre des exemplaires de passage commencent à
paraître; les vieux individus se tiennent par paires — mâle
et femelle.
52. Ruticilla pbofDicura.
Ne se rencontre que comme oiseau de passage, pré-
cisément à la fin du mois d'Août et au commencement
de Septembre.
53. Rutiellla ruflventris, Vieil!. %
Très commun dans la haute région des genévriers
(50U0' et plus haut encore)^ on le rencontre aussi dans
les bosquets feuilles des gorges. On l'observe de plus
souvent près des fleuves, des sources et auprès des
limites des neiges. J'ai trouvé le plus grand nombre de
ces oiseaux entre les rivières Guez-Bachi el Tarharan.
Si. Saiieola ocnanthe.
On le rencontre sur toute l'étendue de la plaine d'AhaU
Téké et dans les monts de Kopepèle-Oague. Très commun
près des forteresses tékines.
*) Vérifiant les espèces des Euticilla de la faune russe, je me
suis persuadé que B. pJwenicuroideSy Moore^ et R.atrata^ Jard. et Selby,
sont des espèces bien distinctes, et Mr. H. Seebohm a en tort de
les citer comme identiques sons le nom de R. rufiventris. Les spéci-
mens, que j'ai Yu dans la collection de Mr. ZaroudnoY, appartien-
jient à Tespèce de Ä. cUrata.
M. Menzbier.
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— 297 —
5Fi. Saiicola isabelÜDa, Gretz.
Commun dans les mêmes localités que le précédent.
Il aime à s'en tenir aux masses de pierres amoncelées
par des torrents d'eau^ de neige et de pluie dans la
plaine des montagnes voisines. Outre cela je l'ai rencontré
a la mi-Juin près de Bakou.
56. Sailcola mootana, Goold.
Est observé assez rarement aux mois de Juillet et
d'Août dans les endroits déserts de la plaine d'Ahal-Téké.
Les exemplaires que je me suis procuré se rapportent
précisément à cette espèce par la coloration des ré-
miges.
57. Saiieola vittaU, H. et Ehr.
Pendant mon voyage dans la contrée Trans-Caspienne,
je n'ai vu cet oiseau que deux fois: le 23 Juin près de
Kizil-Arvad et le 23 du même mois près du village Ben-
dessen. A la mi-Juin je l'ai rencontré souvent sur les ro-
chers près de Bakou.
58. Saiieola morio, H. et E.
Observé très rarement: près de Kizil-Arvad (deux mâ-
les vieux) le 22 Juin, et dans les localités rocheuses
près de la forteresse Douroun le 10 Juillet (une vieille
femelle). Commun de même que le précédent sur les
rochers près de Bakou.
59. Saxicola pieata, Blyth.
Très commun dans les localités pierreuses et dans les
montagnes rocheuses. Il ne descend point dans la plaine
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— 298 —
et De monte pas très hau^ les montagnes. Au 'commen-
cement de Juillet à la plus forte chaleur de la journée
j'ai observé plusieurs fois de vieux mâles, en pleine mue,
qui, perchés sur une branche à l'ombre d'un arbrisseau
(cependant cet oiseau évite les localités boisées), fai-
saient leur chansons.
Je ne m'en suis procuré que de jeunes exemplaires^
qui se rapportent sans doute à cette espèce, car ils dif-
fèrent (ÏQ S. albonigray Hume.
60. Pratineoia rnbetra.
A la fin du second tiers de Juillet j'en ai rencontré
une famille près des sources de la rivière Tchirin-Tchaï.
Je m'en suis procuré une vieille femelle et une paire des
individus jeunes.
61. Pratineoia indica.
Très commun dans les prairies de montagne aux bords
de toutes les rivières que j'ai exploré.
62. Pftrocincla saiatilis.
Il parait que cet oiseau est bien rare dans cette con-
trée, je ne Tai observé qu'une seule fois, précisément le
28 Juin sur les rochers entre Kizil-Arvad et le village
Hodgeam-Kala (un jeune mâle).
63. Montieola cyana«
Assez ordinaire; par endroits très commun. 11 s'y
tient aux montagnes hautes, dans des gorges rocheuses.
A la fin du mois d'Août j'ai entendu souvent le chant
sonore des vieux mâles.
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— 299 —
64. Menla ?iigari8«
Commun dans les jardins du village Gjarmaou et dans
les plaines des rivières Gjarmaou et Eargui-Sou, cou-
vertes d'une épaisse végétation.
65. Meriria tor<|iata.
Il s^en tient exclusivement à la zone élevée des genév-
riers; assez commun entre les rivières Guez-Bachi et Tarha-
ran. Très précautionné: il laisse à peine l'approcher à la
portée du fusil.
66. Tardas atrigoiaris.
J'en ai trouvé des familles dans les gorges boisées
enire les rivières Guez-Bachi et Tarharan et un grand
nombre dans la vallée boisée du haut courant de la ri-
vière Kargui-Sou.
67. Lnsciniola negifcta, Hume *)•
Cet oiseau est très commun dans la zone de hauts genév-
riers de la partie orientale des monts de Eopepète-Dague.
68. PbylIoscopQS iitIdQs, Blyth **)•
Se rencontre souvent dans les jardins d'Ahal-Téké et
de Gjarmaou, et dans les vallées boisées des rivières
des montagnes.
*) Jusqu'à présent la région de la nidification de cet oiseau était
presque inconnue, car sa nidification n*a été trouyé qu'en Boubara
(par Mr. Ronssow). Mr. Lorenz s'est procuré quelques exemplaires
de cet oiseau de la partie septentrionale du Caucase.
M. Meozbier.
♦*) Au musée de l'Académie des sciences j'ai trouYé dans la col-
lection de Mr. Zarondnoï deux exemplaires étiquetés comme Phyll.
Л? ^. 1885. 20
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— 300 -
69. AdaphoBfBS orphara, Те тш *}.
Сошшпо dans les bosquets feuilles sur les versants du
haut Kopepète près de Bami et de Bendesseu.
Mon exemplaire n'approche pas tout à fait à cette
espèce, plutôt ce n'est qu'une forme intermédiaire entre
cette espèce et YAdaph. Jerdoni, Blyth. A juger d'après
les distinctions citées par Mr. Seebohm elle diffère
visiblement de Sylvia ВйрреИц Тетт.
70. Sylvia ciiifffa fuscipüfa.
Cet oiseau est observé dans les mêmes localités que
le dernier; outre cela assez souvent dans les jardins
d'Ahal-Téké.
71. Silvia afflais, Blyth.
Se rencontre dans les mêmes localités que le précé-
dent, mais beaucoup plus rarement.
72. Sylvia bortensis.
Je ne l'ai observé qu'une seule fois, précisément à la
mi-Juillet dans les jardins du village Gjarmaou. Je m'en
suis procuré: une vieille Ç et deux jeunes c?c?.
10 ^? *K\ 1
ru fus: 9 уц du Gjarmaou et o, у^т — уШ de PAskliabad, tons
les deux sont de véritables Phyli. nitidusy Blyth. Au printemps de 1886
Fhyll. nitidus a été trouvé par Mr. Lorenz au nord-ouest du Cauca-
se, de sorte que c'est une espèce qui ne se restreind point de la
région resserée de la nidification.
M. Menzbier.
*) C'est plutôt Adaph, orphaea-jerdoni, si on s'en tient à la no-
menclature de H. Seebohm pour les formes intermédiaires.
M. Menzbier.
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— 301 —
73. Sylvia luystaeea, Méertrlés.
Commun dans les montagnes, dans les vallées des ri-
vières couvertes de buissons, el dans les forêts de brous-
sailles, qui couvrent les versants des montagnes; il fut
observé souvent dans les jardins d'Ahal-Téké et même
dans les forêls de tamarix dans le désert Kara-Koum,
non loin de la plaine de Téké. Cet oiseau agile vole plus
adroitement que les autres oiseaux entre les arbrisseaux
les plus épais; au vol il a la queue bien haut en l'air.
Tous les sylviens cités ci-dessus (à l'exception de
AdapJi. orphaea-jerdoni) sont observés en grand nombre
dans la seconde moitié du mois d'Août à Ahal-Téké, d'où
ils s'envolent en Perse le long des vallées de montaj^ne.
74. Acrocephalos steetoreus.
Commun dans les roseaux épais des rivières Gjarraaou
et Kouikoulaou; il est observé plus rarement aux bords
des rivières Tchirin-Tchaï el Kizil-Kan.
Mes exemplaires rapprochent tout à fait la descrip-
tion de cette espèce faite par Hemprich et Ehreuberg
dans Synib. Ph. (Aves, fasc. 1), de même que le dessin
de cet oiseau en Ibis (1861, pi. I). Comme l'un des ca-
ractères essentiels de cette espèce on peut citer, que la
seconde rémige est plus courte que la quatrième {Blanf.j
Kast. Pers., Il, p. 194).
7p. Acrocephalus agricola, Jerd.
7Г). Acroeephalus dumetoruDi, Blyth.
Commun dans les mêmes localités que le précédent;
outre cela on l'a observé aux bords de beaucoup d'au-
tres rivières el dans les jardins d'Ahal-Téké.
20*
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— 302 —
77. Hypolftis pallida.
Commun dans les montagnes, dans les vallées boisée»
des rivières, de même que dans les jardins et tout près
de l'eau dabs les forêts de tamarix de la plaine de Téké
(par ex. il y en a beaucoup près de la forteresse
Artchmann).
78. Hypolals rama.
Il est assez souvent observé dans la vailëe du fleuve
Gjarmaou et dans les jardins du village de même nom.
1\). Atraphonis aralcHsis.
Commun dans le désert Kara-Koum, dans les forêts de
sacsaoul et de tamarix, dans les sables et dans les
localités argileuses, abondantes en salines. Il y grimpe
dans répaisseur ou circule par terre sous les branches
penchées. Le 23 Juin j'ai trouvé dans les sables près de
Kizil-Arvad une nichée avec quatre jeunes, assez grands.
Le nid était fait sous l'ombre des broussailles de ta-
marix entre les branches; sa forme est celle de nid de
calamoherpiens.
Hauleur=0,15 m.
Profondeur=0,06 m.
Largeur de la partie supérieure=0,095 m.
Diamètre de rouverlure=0,0o5 m.
Les matériaux principaux du nid sont les branches
fines et vertes du tamarix, plus fines et plus douces dans
les parties inférieures; elles le rendent d'une couleur ver-
dâtre, c'est pourquoi il est difficile de remarquer le nid
dans la verdure des arbrisseaux. Le material essentiel du
nid est mêlé à une partie considérable de duvet végétal.
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— 303 —
de toile d'araignée et de soie de cocons des papillons
el des microgaslères (Microgaster sp?). Les murailles de
l'ouverture sont couvertes des filaments végétaux qui
descendent en bas en y formant le pavage. Ce nid beau
et élégant, si habilement fait, diffère de beaucoup de
celui qui a été trouvé par Mr. Prjevalsky en Mongolie
sur t'Alachane.
80. Seotocerca inciuieta, Gretz.
Très commun dans les montagnes pierreuses, couver-
tes de broussailles basses, sur les versants, dans les
fentes et dans les cavités; on le rencontre plus rare-
ment dans la zone de grands genévriers, encore plus
rarement dans les plaines pierreuses des montagnes; il ne
descend point dans la plaine d'Ahal-Téké, quoique on
le rencontre dans les parties basses de Eopepète-Dague.
Très vif, il reste rarement tranquillei filant promptement
dans les broussailles, sautant d'une pierre à Tautre, ra-
massant de petits insectes; quelquefois il saute sur la
branche supérieure d'un arbrisseau ou sur une pierre,
lève la queue en l'air et fait retentir de cris perçants.
Au vol il fait de différentes pirouettes: s'élevant un peu,
il se jette tout d'un coup par terre, bondit, s'envole de
nouveau, retombe et caet., semblable à une balle de
gomme élastique. Dans la seconde moitié du mois de Juin
j'en ai rencontré des familles: I jeunes individus avec deux
vieux; aux mois de Juillet et d'Août j'ai vu de jeunes in-
dividus un à un et les vieux par paires (^ ^У Cet oiseau
est très confiant et laisse Thomme s'approcher à quelques
pas; un coup de fusil, après avoir tué l'un d'eux, ne-
chasse point l'autre.
81. ? Troglodytes panulos.
Très commun dans les gorges humides et fraîches, cou-
vertes de broussailles épaisses de la zone des genévriers.
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— 30i —
Il est possible que ce soient les Troyl. pallidus^ Sharpe^
mais les individus, étant jeune?, rendent difficile la dé-
termination exacte.
82. Anthus arboreus.
Se rencontre souvent dans les jardins épais d'Ahal-
Téké et dans !a vallée boisée de la rivière Kargui-Sou.
Dans la seconde moitié du mois d'Août on a observé le
commencement du passage de cet oiseau.
83. inthus prateBsis.
On ne les a observé qu'au passage, dans la seconde
moitié du mois d'Août et au commencement de Sep-
tembre.
84. Antbus campestris.
Fût observé dans les prairies sèches des rivières KiziN
Arvad et Bami (la fin de Juillet).
S5. Bodytes melanocephala.
Il a été très rarement observé; j'en ai trouvé quel-
ques exemplaires (des vieux) à la fin de Juillet dans les
lieux basses d'Ahal-Téké et dans les prairies des rivières
Firousé et Cotour.
86. Badytf!i flava«
Observé souvent dans les champs de trèfle des jardins
d'Ahal-Téké, il est plus rare dans les prairies de mon-
tagnes. Dans la seconde moitié du mois d'Août on les a
observé comme des oiseaux de passage, en bandes, quel-
quefois au nombre de plus de cent individus.
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— 305 —
87. Golobatfs sulphnrea.
Habite en petit nombre les sources des rivières de
montagne; fût observé sur les rivières Kargui-Sou, Gjar-
maoa, Firousé, Guez-Bachi et Tarharan.
88. MoUeilla alba *).
A été observé en grand nombre comme oiseau de pas-
sage à la fin du mois d'Août et au commencement de Septem-
bre; la route de migration se dirigeait le long de la plaine
de Téké de l'ouest à Test et en partie au sud, le long des
rivières, en Perse.
89. Motacilla personata, Gould.
Très commun sur les rivières qui s'écoulent des mon-
tagnes dans la plaine de Téké^ se rencontre plus rarement
dans les montagnes. Les premiers jours de la seconde
moitié d'Août on a observé son passage.
90. Cyanistes persicos, Blanf.
Assez commun dans les jardins des villages Gjarmaou,
Kouikoulaou et Firousé.
91. parus boebarensis, Licbt.
Commun dans les mêmes localités que le précédent,
outre cela il se rencontre dans les vallées boisées de ces
rivières et de la rivière KarguiSou.
*) J'ai tué et j*ai préparé ane paire des Motaeiîla alba typiqnes;
quoique je D'en ai pas fait grande attention, mais je ne doute pas
que parmi les exemplaires de passage il y en avait les MoL alba
var. dukhunensis (Mot dukhunensiSyChuld).
N. Zarondnoî.
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— 306 —
92. Parts MiGhalovsU, B^di.
Très commun dans les genévriers épais, mais il des*
cend souvent plus bas dans les vallées des rivières et
dans les gorges. A été observé sur les fleuves Gjarmaou,
Kouikoulaou, et surtout en grand nombre dans les fo-
rêts des genévriers entre Guez-Bachi et Tarharan.
Mes exemplaires comparés avec les originaux au mu-
sée zoologique de TAcadémie des Sciences de S-t. P.
étaient reconnus pour des P. phaeanotus, Blanf.^ dont
ils diffèrent définitivement comme je m'en suis persuadé
plus tard.
93. Vpupa epops.
Très commun dans les montagnes de même qu'à Ahal-
Téké; il se tient tout près de villages et de villes.
9i. Tichodroma muraria.
Il n'a été observé que dans un seul endroit, précisé-
ment sur les murs perpendiculaires de la gorge, entre
les fleuves Guez-Bachi, Gotour et Djiristan. L'exemplaire,
que je me suis procuré, se distingue par la présence
de la couleur rouge-carmine sur le haut de la tête.
9o. Sltta syrlaca.
Trouvé en petit nombre dans les monts rocheux de
Kopepète près de Kizil-Arvad; a été souvent lencontré à
la mi-Juin sur les rochers près de Bakou.
96. Situ rupiGola, Blanf.
Très commun dans les localités rocheuses de Kopepèle-
Dague, de Zar-i-Kouh et de Kizir-Baîr; a été plus rare-
ment rencontré dans la zone des genévriers.
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— 307 —
Le 28 Juin j'ai trouvé daos les raoolagnes entre Bami
et BeDdessen le nid de cet oiseau. Placé sur ud rocher
perpendiculaire sous une corniche penchée, il n'était fait
qu'en terre glaise. Il a eu la Гогше d'une tasse bombée;
élargie, à gros murs, dont les bords étaient attachés
au rocher. Le tube court, aux murs gros, placé au mi-
lieu de la partie extérieure du nid, conduit à l'intérieur;
le diamèlre=O,0i. L'intérieur du nid est couvert d'une
couche de duvet végétal, de plumes des perdrix, de peau
des serpents et de différents lézards {Stéllio sp., Eume-
ces sp.y Eremias velox). La largeur du nid=0,35 m., la Ion*
geurduhaut en bas=0,2 m., la hauteur (de l'ouverture du
tube jusqu'au mur)^0,ll m., le poids du nid entier près
de 8 livres. A juger d'après les couches de ces murs le
nid pouvait avoir près de trois ans, et était recouvert
chaque année d'une nouvelle couche de terre glaise. Si-
non ce serait étonnant qu'un oiseau si petit aurait pu
élever une construction aussi grande et lourde.
97. Guculus canorus.
Observé assez souvent dans les jardins d'Ahal-Téké
et dans les gorges boisées des montagnes; il se trouve
aussi dans les forêts de genévriers entre les rivières
Kouikoulaou et Kizil-Kan, entre Cotour et Djiristan. Dans
la seconde moitié du mois d'Août j'ai observé des exem-
plaires de passage.
98. Coraclas garrula.
Très commun dans la plaine d'Ahal-Téké, près d'aouls
entourés des jardins. A la fin du second tiers de Juillet
j'en ai vus beaucoup entre les rivières Kouikoulaou et
Kizil-Kan; sans doute j'ai surpris leur passage, parce que
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— 308 —
ces oiseaux s'envolent assez tôt même dans la latitude
basse (le la plaine Ahal-Téké, de sorte qu'à la mi-
Août ils étaient déjà rares.
99. Mffops aplaster«
Observé souvent dans la plaine d4hal-Téké et le long
des rivières dans les montagnes (commun par ex. en des-
cendant les fleuves Kizil-Arvad, Bami, Gjarmaou et Koul-
koulaou). Dans la seconde moitié d'Août je les ai vu com-
mencer leur passage; à la fin du premier tiers de Sep-
tembre j'en ai observé des bandes nombreuses entre les
villes Krasnovodsk et Bakou. Dès le commencement de
Septembre j'ai entendu souvent dans la nuit les cris de
ces oiseaux, qui volaient très haut au dessus de la terre.
100. Merops persiea, Pafb
La distribution de cet oiseau dans la plaine d'Ahal-Téké
est bien remarquable (en été je ne l'ai point observé
dans les montagnes): depuis Kizil-Arvad jusqu' à Guek-
Tépé on l'observe rarement, tandis que plus loin à l'est
il se rencontre très souvent, même plus souvent que le pré-
cédent; peut-être cette distribution ne depend elle pas
des jardins, dont la partie orientale de la plaine d'Ahal-
Téké est beaucoup plus riche, que celle d'ouest, et cet
oiseau préfère particulièrement le voisinage des jardins.
101. Miliaria europaea, Sw.
Très commun dans les jardins des villages Gjarmaou
et Kouikoulaou.
102. Emberiza ieterica, Evm.
Observé très souvent sur les versants pierreux, rocheux
et couverts de broussailles dans les vallées des fleuves
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— 309 —
Kizil-Arvad, Bami, Artchman^ Sountchi, Douroun et (ijar-
maou; il se rencontre plus rarement dans la plaine de
Téké (au moins en été); il paraît que ce n'est qu'avec
répugnance qu'il descend des monlagnes.
103. ? Emberiza strachei, Xoor.
Très commun dans les montagnes, oîi on le rencontre
même dans le zone de hauts genévriers. Il se tient pour
la plupart près des gorges et des versants rocheux,
couverts par-ci, par-la d'arbrisseaux bas.
Les exemplaires, que je m'en suis procurés, étant jeu-
nes, font la définition douteuse, mais leurs dimensions
sont proches à celles qui sont données par Gould, et d'après
la coloration ils ressemblent à une des figures de la
planche annexée à la description originale (Proceed.
Zoolog. Soc, 185Ö, p. 215, pi. 112). La queue est beau-
coup plus longue, que celle de VEmber. da.
lOi. ? EmberizA cia.
Fut tué à la fin du mois d'Août au bord de la rivière
Kargui-Sou, près du poste Tchouli. Sûrement on le ren-
contre souvent dans d'autres localités, mais je l'ai con-
fondu avec la forme précédente, à laquelle il ressemble
beaucoup au premier coup d'oeil.
L'exemplaire unique de ma collection est jeune, pour-
quoi il ne garantit pas la définition.
105. Emberiza hBttoni, Blyth,
Très commun dans les mêmes localités que VEmb.
strachei ?
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— 310 —
106. Embfriza shaeh, BapU
Assez commuD dans les vallées des fleaves Bami, Fi<*
roasé et Kargai-Soa. Mes exemplaires approchent toat-à-
fail an diagnose de Bonaparte et diflèrent d^Emb. hor-
tulana d'après tous les caractères donnés par Blanford dans
«Eastern Persia».
107. Cynvhramus pyrrhaloMes.
Fut trouvé en petit nombre dans les roseaux aux bords
du fleuve КоиШои1аои; sans doute il y a niché.
108. Gyachramus schoealclis«
On ne Га observé nulle part nichant. J'en ai tué plu-
sieurs individus au commencement de Septembre au
bord de la rivière Kizil-Arvad.
109. Corys arborea.
A été observé dans les prairies sèches des rivières
Kizil-Arvad et Bami, outre cela dans les lieux couverts
d'herbe et privés de bois près des rivières Sountcha,
Douroun, Artchnan. Il y niche sans doute, mais rarement.
110. Ammomanes desertl, Licht«
Très commun dans les monts Kopepète, mais il pa-
rait qu'on ne le rencontre pas dans le zone de hauts
genévriers.
111. Nigrilaaia UUrlca.
Le 5 Juillet j'ai tué un individu dans le steppe
entre les villages Douroun et Jarodscha. Puis je n'ai ren-
contré cet oiseau nulle part.
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— 311 —
112. Melaiiocorypbft Itucoptera.
Le it Juillet j'ai vu une bande, 7 individus, dans
le steppe entre Gnek-Tépé et Askhabad.
113. Iffanoeorypha calandra«
Pendant mon séjour dans la contrée Trans-Gaspienne
je n'en ai rencontré qu'une seule fois^ précisément le
6 Septembre près de la rivière Kizil-Arvad, au bord d'un
canal.
111. Calandrella pispoletta, Pali.
Beaucoup plus commun que l'allouette huppée. II
n'aime pas à se lever dans les montagnes, préférant les
localités glaiseuses^ abondantes en saline, dans le désert
Kara-Koum, où on rencontre aussi souvent son parent
huppé. L'abondance de ces deux espèces dans la plaine
d'Ahal-Téké est l'un de ses traits caractéristiques.
115. GalaDdrella sp»?
En été on ne Га observé nulle part; au commence-
ment de Septembre il paraît en petit nombre.
Je ne m'en suis procuré que de jeunes exemplaires,
dont la definition est impossible sans les comparer
avec des jeunes des espères congénères. Il est possible
que ce soit С brachydactyla, Leisl.
116. Otocoris peDicillata, Gould.
Très commun dans les localUés privées de bois des monts
de Kopepète-Dague. On l'observe souvent en société
de VAmmomancs deserti
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— 312 —
117. AlAttda guttata, Brooks.
Dans la plaine d'Âhal-Téké il se rencontre très rare-
ment. Ou l'observe souvent de l'autre côté des monts
Kopepète, dans les steppes de montagne. Notre exena-
plaire unique ressemble beaucoup au dessin de cet oiseau^
fait par Mr. Keulemans («Lahore lo Yarcand», pi. XXVIII),
et possède tous les caractères, données dans la descrip-
tion originale de cette espèce de Mr. Brooks et dans
celle de Mr. Biddulph (Ibis, 18«1, p. 90). Les lieux
d'habitation de cet oiseau ratifient aussi la certitude de
la définition.
118. Galerita magna, Hume.
Habite en grand nombre la plaine d'Ahal-Téké et les
parlies septentrionales du Kopepèle. Le long des ri-
vières qui s'écoulenl de ce dernier vers le nord il se
propage jusqu'aux sources. De même que le C. pispoletta
cet oiseau est le plus commun de tous ceux, qui habi-
tent la contrée Trans-Caspienne. Je l'ai vu souvent sur
les cîmes des arbrisseaux.
119. Friogilla coelebs.
Commun dans le zone des genévriers dans les gorges,
couvertes d'une épaisse végétation feuillée. Le plus grand
nombre fut trouvé dans les gorges profondes entre les
rivières Guez-Bachi, Kelté-Tchinar et Tarharan.
120. Coccothraustes speculigerus, Brndt«
Très commun dans les montagnes entre les rivières
(juez-Bachi, Djiristan et Tarharan, dans le zone des
forêts de genévriers, dont les baies lui servent de nourri-
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— 313 -
lure principale. Il aime les gorges qui conlieiinenl Геаи
ou la oeige, car il y vient se désaltérer plusieurs fois par
jour. Cet oiseau étant extrêmement confiant, son exploi-
tation ne présente aucune difficulté. La chair a\ant le
goût de genévriers amer-résineux n'est pas bonne à manger.
121. Garduelis orientalls.
Très commun dans les jardins des villages de Kopepète
et dans les gorges profondes et humides, couvertes
d'épaisse végétation. A été observé aux bords des ri-
vières Bami, Artchman, Sounlcha, Douroun, Gjarmaou,
Koulkoulaou et dans les mêmes localités que le précédent.
m. Oraegithas pusilius, Pali., var. ign№ous, Evm.
Observé souvent dans les mêmes endroits que le gros-
bec, outre cela il se rencontre dans les montagnes près
d'Artchman au milieu des genévriers clairs.
123. ? LlnoU cannabina.
Trouvé en grand nombre dans les montagnes entre
les rivières Guez-Bachi et Tarharan; au dessous du zone
des genévriers je ne l'ai point rencontré.
L'exemplaire que je me suis procuré, étant jeune, ne
permet pas de dire précisément avec laquelle espèce j'ai
eu affaire: avec L. beUa, Hempr. et Ehrb., ou avec L.
cannabina, Lin.; à juger d'après quelques données, c'est
avec la dernière.
124. Erythrospiza obsoleta, Licht.
Aux mois d'Août et de Septembre j'en ai rencontré
souvent dans lesjardinsd'Ahal-Téké (Douroun, Jarodscha,
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— 314 —
KjariZi tioek-Tépé, Bozmeïo, Baguir et Aâkhabad). A la
mi-Juillet i\ se réunit en grandes bandes jusqu'à 150
individus. Je l'ai rencontré souvent dans la vallée de la
rivière Gjarmaou et de son affluent Koulkoulaou, de même
que dans les jardins des villages des mêmes noms. Il y
niche en grand nombre sur les arbrisseaux des prairies.
Le nid est situé ordinairement sur la ctme de l'arbris-
seau et on le voit de loin. La construction^ étant peu
serrée^ est tout de même solide et élégante; elle repré-
sente deux couches: la couche extérieure est composée
de branches fines et sèches et de tiges entrelacées et
affermies au moyen de filaments végétaux très délicats;
la vaste couche intérieure est formée presque exclusive-
ment de semences de quelque plante, couvertes d'un
long duvet épais et blanc, entremêlés assez soliden^ent
avec un grand nombre de filaments végétaux fins et moux,
et avec des boules du poil de chacal. Le 8 Juillet j'ai
trouvé dans un nid comme-ça 5 oeufs couvés. Leur cou-
leur principale est d'un bleu-clair lavé de verdâlre,
sur la pointe émoussée d'oeuf bariolé de petites taches
noires; deux oeufs rayés; la surface en est brillante et
polie, un peu raboteuse sur les pointes émoussées. La Ion-
geur— 0,021— 0,019 m. *), la largeur 0,012—0,014 m.
Les dimensions du nid:
La hauteur=0,065 m.
La profondeur=0,035 m.
Le diamètre d'en haut=0,12 m.
Le diamètre de rouverture=0,06 m.
*) Les premieres dimensions appartiennent à an oeuf, remarquable
par sa forme allongée.
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— 315 —
125. Pyrgita petroDia.
Très commun dans les monts Eopepète, Zar-i-Kouh et
Kizil-Baïr. Il se tient près des gorges nues et sur les
versants rocheux des montagnes, sur toutes les hauteurs.
Dans le dernier tiers d'Août j'en ai rencontré de gran-
des bandes, dont chacune renfermait au moins 500 in-
dividus.
Le 21 Juin au bord de la rivière Kizil-Arvad, dans
la fente d'un rocher, j'ai trouvé un nid avec 6 jeunes
oiseaux, qui savaient voler, et un oeuf stérile. Ce nid
n'est qu'un tas assez grand de petites tiges avec un
enfoncement à moilië sphérique, pavé des plumes de
corbeaux, de vautours et de perdrix.
120. Salicipassff nontanus«
Très commun dans les mêmes localités que les Passer
indiens. Par rapport à sa nidification je n'en puis dire
absolument rien. Une fois, précisément le 11 Juillet, j'ai
trouvé nne couvée dans un nid sur un petit pommier
tout nn dans le jardin du village Gjarmaou vis-à-vis
d'une maison habitée; le nid ressemblait beaucoup à
celui du moineau indien; appartenait-il à ce dernier, ou
peut-être c'était la construction du Salicip. montanus—
je n'en puis rien dire.
Au commencement de la seconde moitié du mois
d'Août cet oiseau se réunit en bandes de milliers d'in-
dividus dans les jardin» d'Ahal-Téké. D'un coup de fusil
tiré sur une volée, qui s'élevait en l'air, j'ai réussi à
tuer une fois 43 individus.
127. Passer saliearius.
Dans le second tiers de Juillet j'en ai vu et je m'en
suis procuré plusieurs individus de cette espèce dans
ив ^. 1885. 21
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- 316 —
les champs au bord de la rivière Gjarmaou, entre Guek-
Tépé et le village Gjarmaou (dans le voisinage d'un
grand nombre de roseaux). Je ne l'ai rencontré nulle
part ailleurs.
128. Passer iidicus.
Très commun dans la plaine d'Ahal-T4ké près des
aoulSy entourés de grands jardins; on le rencontre outre
cela en grand nombre loin des habitations, dans de
différents endroits sur les versants de montagne, dans
les forêts feuillées (les montagnes entre les villages Bami
et Bendessen, les montagnes aux bords des rivières
Gjarmaou et Kouikoulaou). Ou l'observe pour la plus-
part dans un état sauvage, construisant ses nids hors de
rhabitation humaine. Les nids sont situés dans les bran-
ches des arbres à la hauteur de 5 à 40 pieds de la
surface de la terre. Les moineaux se disposent vo-
lontiers sur la courague touffue (espèce d'abricot) et
dans les montagnes sur les arbrisseaux d'épine-vinette.
Malgré l'abondance des arbres, les moineaux construisent
souvent leurs nids sur le même arbre, côte à côte Pun de
l'autre, de sorte qu'ils présentent un caractère colonial.
Sur une haute courague dans le jardin du village Gjarmaou
j'en ai comptés près de dix. Chaque nid a une forme
sphérique, avec une petite ouverture ronde en haut ou
de côté, quelque fois il y en a deux. Les murs y soni
composés de deux couches: la couche extérieure, deux
fois plus grande que celle de l'intérieur, est faite habi-
lement et solidement d'herbe sèche (principalement da<^
feuilles et des tiges des herbes, des grappes fruitières
des plantes crucifères et des cîmes des ombelliffères);
vers l'intérieur le material devient de plus en plus mou
et entrelacé plus compactement; la couche intérieure est
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— 317 —
composée de duvet, de plumes, de semences duveteuses,
de styles de la slipe plumeuse, de filaments végéUmx,
de cocons d^araignées, d'ouate, de poil de différents ani-
maux et ceat. Le nid que j'ai trouvé dans une forêt au
milieu des monts entre les rivières Bami et Bendessen,
sur un fondement du nid de VAdaph. Orphaea-jerdoni,
était couvert des réceptacles épineux des composées, de
sorte que les pointes sortaient en dehors. Le diamètre du
nid=0,2l— 0,27 m. A la rci-Août j'ai rencontré de
grandes bandes des moineaux dans les jardins tékins, dans
l'épaisseur desquels cet oiseau aime à passer le temps le
plus chaud de la journée.
129. Pastor resells.
, Très commun dans la plaine d'Ahal-Téké et dans les
-environs des villages Kouikoulaou et Gjarmaou, situés
dans les montagnes.
130. Oriolus gâlbula.
A été observé souvent dans les jardins épais de la
plaine d'Ahal-Téké. En été je l'ai trouvé dans les mon-
tagnes, dans les vallées boisées des rivières Kargui-Sou
et Gjarmaou. Dans les premières dates de la seconde
moitié du mois d'Août on a observé leur arrivé du nord.
131. Pica caudata *).
Cet oiseau est très commun dans les montagnes du
zone des genévriers. Aux premières dates de Septembre
*) Je n*ai pas vu les exemjJaires de cet oiseau daus la collection
de Mr. Zaroudnoï, de sorte que je ne sais pas quelle variété de pie
cet investigateur a trouvé.
M. Menzbier.
21'-
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— 318 —
il commence à descendre des mcotagnes dans la plaine
de Téké, où on ne le rencontre pas en été.
132. Cor?iis cornix.
Bien rare (en été au moins) dans la contrée Trans-
Caspienne. Pendant mon séjour je ne Tai vu qu'une seule
fois, précisément à la mi-Juillet, près du village Gjarmaou
(un sujet vieux et deux jeunes).
133. Gorvus corax.
Se trouve en grand nombre partout dans les mon-
tagnes. En été il est très commun dans la plaine d'Ahai-
Téké, quoique il n'y niche nulle part.
131. Pyrrhocorax alplnus.
Près d'une gorge couverte de neige dans les mon-
tagnes entre les rivières Kellé-Tchinar et Tarharan j'en
ai vu le 4 Août plusieurs individus aux nez jaunes, mais
je ne réussis pas à m'en procurer. C'étaient sans aucun
doute les chocards des Alpes.
135. Fregilus graculus.
Très commun dans les montagnes de Kopepèle, de Zar-
i-Kouh et de Kizil-Baïr. En été il habite exclusivement les
mout;)gnes et plus elles sont hautes, plus elles sont ri-
ches d'endroits coupés à pic, de rochers, de gorges, plus
cet oiseau s'y propage. En hiver, au dire des indigents,
il descend quelque fois dans la plaine tékine, j'ai en-
tendu raconter, qu'on a trouvé une fois un chocard, qui
s'est tué contre un fit d'archal télégraphique. C'est un
oiseau très précautionné et spirituel, mais on peut s'en
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— 319 —
procurer facilement, le guettant dans une embuscade
près d'un abreuvoir. Il vole rapidement, facilement et
gracieusement, et par l'habililé de son vol il laisse bien
Join derrière lui to^s les autres corbeaux. Les ailes plies, la
tête en bas, semblable à un ffiucon, il peut planer pendant
longtemps à une hauteur considérable, к des centaines
ч1е pieds. Comme tous les oiseaux criards, il aime la
société de ses confrères. Le m^tin fies bafldfis eptières
quittent leur coucher (les rochers, les corqiches, les
fentes et les niches) pour aller se désaltérer et chercher
du butin. Diflferens insectes, des vers et des semences
lui servent de nOurritur^. |I foule voloqliers dans les
ordures des chevaux et des mulets, pour y chercher les
grains d'orge non digérés. Après s'être désaltéré le
chocard se lève très haut en l'air et vole dans des différen-
tes directions, poussant de grands cris. Pendant la plus
grande chaleur de la joqrnée il passe son tpmps dans
Tombre ou bien près d'un abreuvoir, après quoi il s'en
va de nouveau chercher du butin, puis il revient'à Tabreu-
voir,ot enfin il va se coucher.
i3G. Palumbus lorqualus.
Il niche en grand nombre dans la vallée boisée de la
rivière Kargui-Sou; outre cela il est commun dans plu-
sieurs localités du' zone des forêts de genévriers. J'en ai
vu beaucoup surtout dans la partie orientale des monts
Kopepète, et entre les rivières Kouikoulaou, Tchirin-Tchaï
et Kizil-Khan. A la fin du mois d'Août j'en ai vu des
bandes dont chacune était composée d'une centaine
d'individus. Il ne descent point dans la plaine Tékine.
Pal. caslotis, le parent le plus proche du ramier, n'a
été observé nulle part.
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— 3iO —
137. Coluyiba livia fera, Bgdn.
Commun partout dans les monlagoes. Il se tienl pour
la plus pari près des gorges rocheuses, il évite les forêts
et on ne le rencontre point sur les platitudes. De tous
les pigeons il est le plus social^ tant à l'époque de la
nidification que dans la suite. On ne Га point observé
dans la plaine de Téké.
Cciumba livia domesticüj Bgdn. Après l'installation des
Russes dans la contrée Trans-Caspienne cette forme s'y
est établie.
138. Columba fusca, Pali.
Assez commun dans la plaine d'AhaUTéké; il y habite
près de villages, entourés de grands jardins; dans les
vallées boisées, situées près des rivières, il s'en va loin
dans les monts, et on le rencontre dans les jardins des
villages Gjarmaou, Firousé et Kouikoulaou. II niche dans
les repaires sur les rochers glaiseux, ou bien sur les
murs des canaux souterrains *)• Dans les premières dates
du mois d'Août j'en ai rencontré des bandes, de 40 in-
dividus chacune. Le temps le plus chaud de la journée
ils passent à l'ombre des jardins ou dans leurs nids, oîi
il passent aussi la nuit.
139. Turtur aarittts«
Répandu dans les mêmes localités que le précédent,
outre cela on Га observé nichant dans plusieurs endroits
dans les montagnes, dans les forêts feuillées sur leurs
*) Sorte de canaux faits par les Perses captifs, avec des soupi-
raux en haut, à travers lesquels on avait exécuté les travaux.
Au moyen de ces canaux on conduisait Геаи des montagnes ?i des
dizaines de verstes alentour.
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— 321 —
versaols, près de sources. Il y est commun partout.
Plus rarement je Га1 rencontré dans le zone des genév-
riers près des sources des fleuves Tchirin-Tchaï et Kizil-
Khan. Des nids, que j'ai trouvés dans l'épaisseur de bran-
ches des arbres, prouvent qu'il y niche aussi. Au com-
mencement du second tiers du mois d'Août la tourterelle
commence à descendre dans la plaine^ où j'en ai observé
des bandes, de 130 individus chacune.
140. Syrrhaptes paradoxus.
En été je ne Tai point observé dans l'espace que
j'ai exploité. Dans les premières dates du mois de Sep-
tembre on a vu apparaître dans la plaine d'Ahal-Téké de
petites bandes. Au dire des chasseurs du pays il y ar-
rive en masses en automne.
lil. Pteroeles Severzovb Bgdn *).
J'en ai vu plusieurs individus, dont je me suis pro-
curé un le 22 Juin près de la rivière Kizil-Arvad. Puis
je ne fai rencontré nulle part.
142. Pteroeles arenarla.
Très commun dans le désert Kara-Koum et dans la
plaine d'Ahal-Téké (quant à la dernière il y niche plus
rarement).
*) La différence de cet oiseau de Pt. alehata est tvès insigni-
fiante; quant à moi je le crois être une race locale de Toiseau
nommé.
M. Menzbier.
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— 32â —
143. eiarfola pratiicola«
Le 6 Juin j'en ai rencoolré une bande (des vieux et
des jeunes) dans une prairie entre les villages Douroun
et Kiariz; puis je n'en ai vu nulle pari en été. Dans la
seconde moitié du mois d'Août près d'Askhabad j'en ai vu
quelques bandes au passage, qui se dirigeaient le long
de la plaine de Test à l'ouest.
lil. Glareola Nordnanni (mflaaoplfra).
A été observé dans la seconde moitié du mois d'Août
près d'Askhabad en quelques bandes de passage, qui se
dirigeaient le long de la plaine de l'est à l'ouest.
115. Phasianus komar^ii, Bgda,
Les masses principales des monts de Kopepète-Dague, de
Kueren-Dague et de Zar-i-Kouh sont les limites septen-
trionales de la région de la distribution de notre Taisan.
Dans les limites de l'espace, que j'ai exploité, on le ren*
contre en grand nombre sur les îles basses des rivières
Tchirin-Tchaï et Kizil-Kau, appartenant au bassin d'At-
rek, recouverts de roseaux; outre cela il a été observé dans
les environs du village Bendessen aux bords d'une ri-
vière, qui se trouve hors de ce bassin et disparaît sur
les versants méridionaux des monts de Kueren-Dague. Mal-
gré toute la convenance que présentent les rivières Koul-
koulaou et Gjarmaou et le voisinage des sources de
Tchirin-Tchaï, je ne l'ai jamais observé dans ces localités.
Ii6« AUasea francolinus«
J'en ai vu plusieurs individus et je m'en suis procuré
un seul près des sources du fleuve Tchirin-Tchaï; c'était
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— 323 —
daus les dernières dates du second tiers de Juillet. Au
dira des Kourdes et des Perses on le rencontre souvent
dans les localités du bassin du fleuve Atrek.
117. Coturitx cemaiHiiis orientaiis, B^dn.
A été souvent observé nichant dans les steppes et dans
les prairies des limites orientales de la hauteur Guerère
aux bords de la rivière Tchirin-Tchaï; outre cela je l'ai
rencontré souvent à la mi-Juillel dans les steppes au con-
fluent des rivières Gjarmaou et Kouikoulaou. Au mois
d'Août j'en ai vu un grand nombre dans les champs de
trèffle d'Askhabad, de Bozmeïn, de Guektché, de Kiptchak
et de Baguir, mais je ne puis pas affirmer s'il niche dans
la plaine d'Ahal-Téké.
148. Perdii ehiikar.
Chez les Kourdes et les Tékins il est connu sous le
Dom kakéUk.
Très commun partout dans les montagnes: dans les
gorges rocheuses et les endroits coupés à pic, de même
que sur les versants pierreux et croisés des montagnes.
En général cet oiseau n'aime pas les endroits boisés el
ne s éloigne pas des montagnes, mais j'ai rencontré
beaucoup de fois de grandes bandes (jusqu'à 40 indivi-
dus) dans les forêts de genévriers sur les montagnes ro-
cheuses entre les rivières Kouikoulaou et Tchirin-Tchaï
et entre les rivières Kelté-Tchinar el Tarharan. Je les
ai vus plusieurs fois se reposer sur les branches à l'ombre
des genévriers, des noyers et des vignes. Après les avoir
guetté bien de fois près d'un abreuvoir quelconque, je
pouvais me persuader qu'après plusieurs coups de fusil
et le départ des bandes, les vieux arrivaient de nouveau
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— 324 —
el se «achaiewt dans l'épaisseur des arbres voisins, de
sorte qu'il était impossible de les observer, taudis qu'ils
pouvaient suivre tous mes mouvements.
Ensuite, je les ai rencontrés souvent dans les champs
du steppe au bord de la rivière Tchirin-Tchaï, à la dis-
tance d'une verste et demie des montagnes voisines (le
second tiers de Juillet), dans les champs de la vallée
Gjarmaou (le premier tiers de Juillet) et dans les loca-
lités sèches, les champs et les steppes aux bords de la
ri viel e Kargui-Sou. Outre cela, au dire des Kourdes et
des Perses, en automne les perdrix descendent ordinaire-
ment dans les vallées et les plaines des environs, s^ea
allant à l'approche de la nuit dans les rochers voi-
sins. — Dès mon arrivée dans la contrée Trans-Cas-
pienne (le 20 Juin) jusqu'à la fin du mois d'Août je
trouvais de jeunes individus on nombre de 9 — 10, de la
grandeur d'un moineau, sachant à peine voler; voici la
cause de ce que je doute fort que le perdrix ne ponde
normalement qu'une fois par an, au moins dans la contrée
Trans-Caspienne. — La mère, surprise inopinément avec ses
petits tous jeunes, perd tout à fait la tète: elle commence
à crier d'une manière singulière, sautant toujours sur la
même place, les aiks à demi-déployées, et cachant ses
petits dessous. Je m'approchais d'elle à trois ou quatre
pas, et c>st alors seulement qu'elle se décidait à s'en-
voler; (\lors les petits se dispersaient dans de différents
endroits et se cachaient à l'instant. Plusieurs fois par
jour le perdrix visite l'abreuvoir. Pris tout jeune, il de-
vient facilement apprivoisé. ,
149. ADimo|»erdix griseognlaris, Brndt.
Quoique ce beau perdrix est très commun dans les
montagnes, on le rencontre en général beaucoup plus
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— 323 —
raremeol que le précédent. Dans le second liers de Jail-
let je l'ai rencontré souvent sur les rochers au mi-
lieu des genévriers *), entre les rivières Koulkoulaou et
Tchirîn-Tchaï. Par la manière de vivre il diffère peu de
la forme précédente. C'est aussi un oiseau très habile et
très agile. Il ne peut se passer d'eau et pendant le jour
il descend plusieurs Tois dans les gorges et dans les val-
lées .des montagnes pour s'y désaltérer. Un jour j'ai tué
dans un de ces endroits une vieille poule après quoi il
lui découla de la bouche au moins un petit verre et de-
mie d'eau; alors je n'y fis pas grande attention mais
quelque temps après je me suis persuadé que, quand les
petits sont encore trop jeunes, la mère, après les avoir
cachés dans un endroit sûr, s'en va à Tabreuvoir toute
seule, prend de Peau et retourne vers ses petits pour les
désaltérer.
ioO. Crex pratensis«
J'ai rencontré souvent le râle de gènet dans les prai-
ries au confluent des rivières Gjarmaou et Koulkoulaou
(la mi-Juillet) et dans les prés aux bords de la rivière
Tchirin-Tchaï (dans les mêmes dates).
loi. Rallus aquatlcus.
Le 17 Juillet j'en ai tué un individu sur une ile basse
du fleuve Kizil - Khan. Plus je ne l'ai rencontré nulle
part.
*) Je Tai va souvent assis sur les branches des arbres.
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_ 326 —
152. Olis Urda.
Le 23 Juillet dans les forèls de lamarix à la distance
de б versles d'Askhabad j'en ai trouvé une vieille femelle
avec deux jeunes, dont j'ai tué un. Sans doute c'est un
oiseau nichant, quoique en nombre très limité. Dans les
premiers jours de Septembre j'en ai observé des oiseaux
de passage.
153. Otis tetrax.
Assez commun dans les steppes aux bords des rivières
Tchiiin-Tchaï et Kizil-Kan. Dans les premiers jours de
Septembre j'en ai observé dans la plaine de Téké des
bandes des oiseaux de passage, jusqu'à 30 individus
chacune.
Le 22 — 23 Septembre du bateau à vapeur entre Astra-
khan et Zarizin j'en ai vu de grandes bandes (à 200 in-
dividus chacune), qui volaient en descendant la Volga à
une hauteur plus considérable qu'à la portée du fusil.
loi. ПоиЬага Mac-Quennii.
Le 23 Juillet j'en ai vu plusieurs individus dans les
mêmes localités, que les grandes outardes. Sans doute
c'est un oiseau nichant.
15Ö. Ofdicnemus crepilaus.
Très commun dans la plaine d'Ahal-Téké. Il aime à
courir au printemps le long des Ills des sources, parse-
més de cailloux et à se cacher sous les branches sail-
lantes du tamarix.
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— 327 —
156. Vanellos cristalus.
Etait observé dans la plaioe d'Ahal-Téké au commen-
cement du mois d'Août. Dès les premiers jours do Sep-
tembre on a observé l'arrivée de cet oiseau en masses.
137. Chfttisia gffgaria.
Le 15 Août j'en ai vu quelques individus près d'As-
khabad.
158. Chettusia leHCura.
Pen ai rencontré dans les mêmes dates et dans les
mêmes endroits sur des champs inondés de trèffle.
159. Endromias caspius.
Le 6 Septembre j'en ai rencontré une petite bande
dans le steppe près de Kizîl-Arvad.
160. Aegialiles minor.
Niche dans la plaine de Téké en nombre très limité.
Dès les premiers jours du mois d'Août commencèrent à
paraître des individus nomades, et dès la mi-Août on
observait l'arrivée des oiseaux de passage.
161. Gursorius isabeillnus var. Bogolubovi, Bgdn.
Degland dans sa description de cet oiseau dit ce qui
suit: «nudité des jambes bleuâtre; pieds jaunâtres». Quant
à mes exemplaires, la nudité de leurs jambes est de la
couleur de l'os blanchi au soleil; outre cela, en compa-
rant mon oiseau avec les exemplaires du Musée zoolo-
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— 328 —
giqiie de TÂcadémie des Sciences il n'est pas diffîcile à
remarquer qu'il en diffère par ses dimensions (l'exemplaire
de Téké est beacoup plus grand) et par la couleur de sous-
alaires.
Sans doute c'est un oiseau nichant dans la plaine
d'Ahal-Téké, car dès le premier jour de mon arrivée
(20 Juin) j'en ai rencontré de petites bandes.
162. Haeaiatopiis oslralegus.
Le 17 Juillet j'en ai rencontré aux bords de Tchirin-
Tchaïi Je n'ai trouvé nulle part des lieux convenables
à la nidification de cette espèce.
1()3. !\uBienius arquatus.
161. Nuinenlus lenuirostris.
Au mois de Juillet j'en ai rencontré dans la plaine
de Téké des exemplaires solitaires de ces deux espèces.
Il parait qu'il Taut les reconnaître pour des oiseaux
nichants.
165. lotaiins stagnatiüs.
En été j'en ai rencontré souvent (des familles) dans
les prairies aux bords des rivières qui coulent des monts
de Kopepète-Dague au Nord.
166. lotaniis glareola.
Au mois d'Août j'en ai souvent rencontré de petites
bandes dans les champs inondés de trèfle de la plaine
d'Ahal-Téké.
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— 329 —
167. IoUbus oehropus.
Assez commun aux bords des rivières de montagne.
Dès les premiers jours du mois d\\oût on observait
l'arrivée des oiseaux de passage.
168. Aclitis hypoleiicos.
Assez commun près des rivières dans les montagnes et
dans la plaine.
16!). Tringa subarquata
A la fin du mois d'Août j'en ai vu plusieurs individus
au bord de la rivière Kellé-Tchinar.
170. Tringa minula.
171. Tringa Teuiminckii.
Dès les premiers jours du mois d'Août ces deux espè-
ces commencèrent à paraître souvent dans la plaine de
Téké. Mais ce qui est surtout interessant c'est que je les
ai rencontré aussi, quoique rarement, en été et précisé-
ment dans le dernier tiers de Juin de même qu'au mois
de Juillet. Le 18 Juillet j'ai tué T. minuta volant au
dessus des montagnes entre les rivières Tchirin-tchaï et
Kouikoulaou.
172. Machetes pugnax.
Au commencement de la seconde moitié du mois
d'Août fût observé souvent dans la plaine d'Ahal-Téké,
dans les champs inondés de trèfle.
173. Scolopax gallinago.
Très commun dans les mêmes endroits et les mêmes
dates.
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— 330 —
174. IMfts hyiifrborfDs.
Outre les grandes bandes, que j'ai observé à la fin du
mois d'Août et au commencement de Septembre j'ai vu
des exemplaires solitaires dans la • plaine de Téké le
dernier tiers de Juin et au mois de Juillet.
175. Anthropoides virgo.
Le i Septembre j'en ai rencontré 6 individus de cette
espèce dans le steppe près d'Arlchman.
176. Ardea ctaerea.
En été j'ai souvent rencontré de jeunes individus de
héron près des rivières de montagne, mais je ne puis
pas affirmer s'il y niche quelque part. A la fin^ du mois
d'Août et au commenceraet de Septembre j'en ai ren-
contré souvent dans la plaine de Téké des bandes des
oiseaux de passage, à ÔO individus chacune. Les oiseaux
se rangeaient en ligne transversale et se dirigeaient de
l'est à l'ouest.
177. Egretta garzetta«
Le 2 Septembre j'en ai trouvé sur un arbre d'un des
jardins d'Askhabad 3 individus de celle espèce*
178. \rdeola minuta.
Sans doute c'est un oiseau nichant dans la contrée
Trans-Caspienne. Le 12 Juillet je m'en suis procuré dans
les roseaux de la rivière Gjarmaou près du village du
même nom une couvée entière, composée d'une vieille
femelle et 5 jeunes.
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— 331 —
179. PlaMea ifoeoroMa.
Le 19 Août près d'Askhabad j'en ai tué une femelle
jeune. Puis je n'en ai rencontré nulle part.
180. Aoscr finereiis.
Le Iß Août j'en ai tué un individu tout jeune du
nombre de 6, assis au bord de la rivière Cotour.
181. Anas hoschas.
182. Ptffocyanea qiifrquedula«
En été j'en al rencontré bien rarement, rien que des
individus solitaires; il paraît qu'ils ne nichent nulle part
dans les lieux, que j'ai visités.
183. Spatula clypeata.
Le 22 Août j'en ai vu ö individus dans un champs
inondé de trèfle.
18i. Phalacrocorax rirbo.
Je m'en doute qu'il niche dans les monts du llorossan
septentrional, mais en été je m'en suis procuré plu-
sieurs fois (vieux et jeunes) près des rivières de mon-
tagne (le 21 Juin aux bords de la rivière Kizil-Arvad,
le 29 du même mois aux bords Hami, le 6 Juillet aux
bords de la rivière Douroun et le 11 du même mois une
paire de sujets jeunes aux bords du fleuve fijarmaou).
Xf 2. 1885.
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— 332 —
Outre le:» espèces ci*dessu8 uommées j'ai reocoulrë
daus (Jifféreuls temps sur l'espace que j'ai exploité
beaucoup d'autres oiseaux, doot plusieurs se rapportent
sans doute à des espèces qui ne sont poiut désignées
dans ce catalogue. Il y en avaient des espèces aussi
intéressantes, que celles de Podoces^ Salicaria^ FhyUo-
pneuste^ Megaloperdix et d'autres, mais je n'ai point réussi
h m'en procurer.
Orenbourg, Décembre 1884.
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7
FUNF-UNO-OREISSIGJÄHRIGE BE0BACHTUII6EN
fiber den Begiiii der frühesten und sjiitesten Blfithezeit
der in Kischinew's Umgebung
WILSWACH8ENDEK UNS ClILTITIRTEN PFLANZEN
nebst einigen Bemerkungen über vegetabilische Parasiten and pflan-
zenfeindlicbe Insekten,
von
Alexander Boengingh.
Seil 1815 bis zu Ende des Jahrs 1879 halle ich die
seltene Gelegenheit Jahr aus Jahr ein die Blülhenentfal«
lung an einer bedeutenden Anzahl der in Kischinew's
Umgegend sowohl wildwachsenden als cullivirlen Pflan-
zen ZQ beobachten, wobei ich ganz besonders meine
Aufmerksamkeit auf den Beginn der Blüthenentwickelung
der weiter angeführten Pflanzen richtete. Ausserdem habe
ich noch manche andere Pflanze beobachtet, doch ge-
schab es nicht alljährlich, oder die Beobachtungen umfas-
sen nur eine sehr geringe Zahl von Jahren, ich unterlasse
daher sie hier aufzunehmen.
Schon vor einigen Jahren hatte ich die Absicht, diese
ao-jährige Beobachtungen, mit Angabe der Data eines
22»
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- 334 —
jeden Jahrs, dem Drucke zu übergeben; da aber das Set-
zen der umfangreichen Tabellen Schwierigkeiten veran-
lasste, so enlschloss ich mich gegenwärtig aus der gan-
zen Reihe der Beobachtungsjahre, der Kürze wegen, nur
die Data des frühesten und spätesten Aufblühens der
Pflanzen zu entnehmen und daraus die mittlere Zeit der
Blüthenentwickelung zu berechnen; dabei habe ich, wo
Bruchlheito eiees Tages ^огкашво, den Bruch als einen
vollen Tag der gefundenen Zeit zugezählt. Die in den
Tabellen angegebene Zeit bezieht sich auf den neuen
Styl. Die mit einem * bezeichneten Pflanzen werden cul-
tivirl.
Die topographische Lage des Beobachlungsorls ist hü-
gelig, die Erhöhungen des Bodens über der Meeresfläche
variiren von 100 bis zu 100 Fuss rus. und der Mittel-
punkt der Stadt Kischinew, unweit der lulerischen Kir-
che, erreicht, laut trigonometrischen Messungen, eine Hö-
he von 280 Fuss und liegt unter dem 16^ 59' n. Breite
und dem 28*^ 31' östl. Länge nach dem Meridian von
Greenwich. Die Umgebung ist wasserarm und auf weite
Strecken, 30—40 Werst, waldlos. Eheraals waren auch
hier umfangreiche Eichenwälder, deren Spuren man noch
gegenwärtig in der Nähe der Stadt an mehreren Orten
antrifft, doch leider sind diese Wälder schonungslos mit
der Wurzel ausgerottet. In frühern Jahren als die Um-
gegend noch so ziemlich bewaldet war, ungefähr vor iO —
50 Jahren, gab es mehrere Brunnen, aus welchen man
einfach mit der Hand Wasser schöpfen konntc;sie sind ge-
genwärtig trocken, oder tief gesunken; ebenfalls sind viele
Quellen an den Hügelabhängen schon längst versiegt uiid
nur die Ueberbleibsel der einst an ihnen angebrachten
Wasserbehälter stehen da als Wahrzeichen des ehemaligei>
Wasserreichlhums. Der an der Westseite der Stadt noch
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— 333 —
rieseloüe Bach war ehemals, seinem Bett nach zu ur-
Ibeiien, ein bedeutender Fiuss, was auch die üeberreste
der verfallenen und wegen Wassermangel ausser Gebrauch
gekommenen Mühlen beweisen, — und wird sehr wahrschein-
lich in nicht zu ferner Zeit sein l^aum noch fliessendes
Wasser verlieren, und besonders deshalb, weil man ^uch
den oberen Theil Bessarabien's, wo der Fluss seine Quel-
len hal, nach und nach erbarmungslos entwaldet. Der
Boden besteht hier grössteniheils aus einer fruchtbaren
1 bis 2 Fuss mächtigen Schicht Dammerde und der Un-
tergrund Iheilweise aus Sand, Lehm oder Thonmergel;
nur an wenigen unbedeutenden Flächen tritt bald leh-
miger Saud, bald Mergelerde zu Tage. Unweit der Stadt
lagert, an beiden Ufern des Baches Byk, in mächtigen
Schichten der Miocenperiode gehörende Kalkstein, den
bald angeschwemmter Sand, bald Dammerde, bald Mo-
lasseugerölle decken *).
W^as das Klima der hiesigen Gegend betrifft, so gehört
es zu den veränderlichsten des südlichen Busslands. Der
Winter zeichnet sich in den meisten Jahren ganz beson-
ders durch seine Unbeständigkeit aus. Heftige Kälte wech-
selt oft sehr schnell mit Thauwelter und wiederum Thau-
wetler mit schneidendem Frost. Die Schwankungen der
Temperatur erreichen zuweilen, im Verlauf von wenigen
Stunden, eine Differenz von 20^ C. und mehr, besonders
im Februar, und in Folge dessen gehören Glatteis und
Nebel zu den gewöhnlichsten Erscheinungen. Schnee fällt
in manchen Wintern bis auf 2 Fuss hoch, doch in den
meisten wird kaum damit die Erde bedeckt. An Schneege-
*) Das Weitere darüber in meinem Aufsatz „Steinbrüche in der
tJmgegend Kischinew's", Bul. de la Soc. Impériale des Naturalistes
de Moscou. 1862, J^ 3., pag. 186.
V
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— 336 —
stöbern fehlt es auch Dicht, die bei scharfem Winde und
starkem Frost oft für Menschen und Thiere gefährlich
ausfallen. Der oft schöne und milde Frühling ist schnell
vorübergehend und wird, wenn auch selten, von heftigen
Winden und Nachtfrösten begleitet. Im Mai ist die Hitze
schon bedeutend, die Temperatur im Schatten hält sich
zu Mittagszeit fast beständig zwischen 20 und 25^ Gels.
Der Sommer ist gewöhnlich trocken und anhaltend heiss;
der grösste Theil der Regen — und Gewitiertage fällt fast
immer auf den Juni, doch kommen dann und wann auch
Sommer ganz ohne Regen vor und die Temperatur im
Schatten steigt dann bis 35^ C. und im Freien bis 46' Cr
und mehr. Zuweilen wieder ist der Sommer regnerisch
und schadet dann der Heu— und Getreideernte. Der Herbst
ist die schönste Jahreszeit der hiesigen Gegend und ist
beständiger als alle übrigen Jahreszeiten. Die Reschaffen-
heit der Atmosphaere ist gewöhnlich ruhig, warm und
hinreichend feucht, um die von der Sommerhitze versengle
Vegetation der Wiesen und Rergabhänge wieder zu
erfrischen und sie grünen zu lassen. Schwache Nachtfrö-
ste kommen dann und wann vor, doch stören sie selten
die ReschäftiguDgen im Garten und Feld. Eine angenehme
wohlthuende Witterung herrscht oft bis in den December
hin. Thau fällt nur im Frühjahr und Herbst. Hagel bleibt
in keinem Jahre aus, doch ist er nicht immer Schaden-
bringend. Zu den herrschenden Winden gehört N. W.
Windstille kommt nur seilen vor, die Luft ist fortwäh-
rend mehr oder weniger in Rewegung.
Ungeachtet der unbeständigen und sehr veränderlichen
Witterung gedeihen als Stammbäume und ohne besondern
Schutz die feinsten französischen Apfel-und Rirnsorten,
Pfirsiche, Aprikosen und Süsskirschen, deren Früchte sehr
oft die gehörige Vollkommenheit erlangen. Von Wallnuss-
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— 337 —
bäumen giebl es hier hunderljährigo Exemplare, die ein-
zeln in manchen Jahren 2ft und mehr lausend Nüsse ge-
ben, die per Eisenbahn jährlich nach allen Theilen Russ-
lands befördert werden; auch die ungarische Zwetsche,
getrocknet, bildet ebenfalls einen Hauptarlikel der Aus-
fuhr. Die Zwelsche wächst hier vortrefflich und trägt
jährlich efgiebige Ernten. Was den Weinstock betrifft, so
ist er hier ganz zu Hause, denn in der unmittelbaren
Nähe der Stadt wenlen jährlich viele hunderttausende
Wedro Wein bereitet und in fruchtbaren Jahren steigt
die Ernte bis zu einer Million Wedro. Schade nur, dass
die Weinbereitung nicht rationell genug betrieben wird.
Hierzu füge ich noch eine übersichtliche Darstellung
der mittleren Jahreszeiten-Temperatur aus meinen meteo-
rologischen Beobachtungen, die ich mit den nachfolgenden
Beobachtungen über den Beginn der Blüthentwickelung
gleichzeitig ausführte und die, nölhigenfalls, zur gegen-
seitgen Vergleichung dienen können. Aus dieser Tabelle
ersieht man, dass während der 33-jahrîgen Beobachtungen
die Winter 1817, 1835, 18S8, 1861, 1862, 1873 und 1876,
dem hiesigen Klima nach, sehr strenge waren; dahinge-
gen in den Jahren 1833, 1836, 1860, 1863, 1866, 1867
und 1868 kamen nur ganz unbedeutende Fröste vor und
in allen übrigen Jahren waren die Winter erträglich und
milde genug; jedoch muss hier bemerkt werden, dass nach
gelinden Wintern gewöhnlich späte Frühlingsfröste folgten,
besonders im März und Anfang April, und somit die
Pflanzenentwickelung hemmten und den Beginn des Auf-
blühens wochenlang zurückhielten; dahingegen nach stren-
gen Wintern waren die Frühlinge grösstentheiis frostfrei
nur das Jahr 1875 weicht davon ab, denn der Winter,
wie auch der Frühling waren ungewöhnlich kalt.
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338 —
Mittlere Temperatur der Jahreszeiten und des Jahrs lach Réaimar.
Reihen-
folge der
Jahre.
Winter.
Frühling.
Sommer.
Herbst.
Jahree-
Tempera-
tar.
%
Jahres-
Tempera-
tnr nach
Celsius.
1845
—1,53"
6,66"
17,13«
7,80»
7,52«
9,40»
1846
—0,46
8,95
18,19
8,10
8,69
10,86
1847
—3,13
8,28
17,96
7,98
7,77
9,71
1848
—2,36
9,28
19,74
9,04
8,92
11,15
1849
—2,27
7,52
18,52
9,52
8,32
10,40
1850
—2,21
6,68
19,33
8,55
8,09
10,11
1851
—1,30
9,13
18,27
10,S5
9,24
11,55
1852
—0,19
5,73
1G,12
8,00
7,42
9,27
1853
-0,01
7,51
17,66
7,87
S,26
10,32
1854
—0,92
6,68
16,93
7,24
7,48
9,35
1855
—3,80
8,57
17,94
6,83
7,39
9,24
1856
0,04
6,48
16,52
5,59
7 16
8,95
1857
—0,37
7,74
15,98
7,22
7,39
9,24
1858
—4,81
6,36
16,75
7,83
6,53
8,16
1859
—1,06
8,44
17,83
8,18
8,35
10,44
1860
—0,33
6,85
17,75
8,44
8,34
10,42
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- 339 —
Reihen-
folge der
Jahre.
Winter.
Frühling.
Sommer.
Herbst.
Jahres-
Tempera-
tur n. Bé-
aum.
Jahrea-
Tempera-
tur n. Cels.
1861
—4,18
6.36
17,07
8,76
7,00
8,75
1862
— 5,55
12,53
17,76
7,48
8.05
10,0C
1863
0,27
8,43
16,85
10,36
8,98
11,22
1864
—2,87
8,35
17,38
r* 1, Г-
7,71
9,64
1865
—1,26
8,06
17,36
8,89
8,26
10,32
1866
0.06
9,17
18,51
8,18
8,98
11,22
1867
0,76
8,17
17,16
7,41
8,37
10,46
1868
0,41
7,89
18,20
9,13
8,93
11,16
1869
-0,72
9,30
17,38
9,45
8,85
11,06
1870
-2,S7
7,56
16,89
8,89
7,62
9,52
1871
—2,88
6,91
17,65
7,61
7,36
9,15
1872
-1,46
10,64
16,54
9,71
8,86
11,07
1373
—0,46
7,76
17,38
8,64
8,33
10,41
1874
—0,18
6,26
17,82
8,16
8,02
10,02
1875
—4,06
4,56
17,84
6,76
6,28
7,85
1876
—3,12
9,12
16,42
6,24
7,17
8,95
1877
—1,90
7,02
16,85
7,04
7,25
9,06
1878
—0.90
6,34
16,19
10,64
8,07
10,09
1879
—1,60
7,54
16,38
7,78
7,52
9,40
Mitte!..
—1,65
7,79
17,44
8,23
7,05
9,94
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->l
Namen der Pflanzen.
340 —
Beginn
der Blttthezeit.
Frühester
Spätester.
s
9> m
=3
Beobach-
tungs
Jahre.
1
2
3
4
Г»
(i
7
8
9
10
11
12
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14
15
16
17
18
lî)
20
21
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24
25
26
27
28
29
30
31
32
Лсег campestre L. . . . . .
^ Negundo L
^ pseudoplatanus L. . .
„ tatariciim L
Achillea Millefolium L. . .
jy nobilis L
Adonis vevnalis L. ..... .
Aegilops caiulata L
Aesculus HippocastamimL.
Agrimonia Eupatoria L. . .
Agrostis stulonifera Bess..
Ailanthus glainlulosa Desf .
Ajuga Chamaepitys Schreb.
^ genevensis L. .
„ Laxmanni Beuth...
Alcea rosea L
Allionia nyctaginea L....
Allium coeruleum Pali. . .
n flavum L
„ odorum L
Allium rotundum L
Althaea officinalis L
Alyssum minimum Willd,
„ rostratum Stev.
Amaranthus retroflexus L.
Amorpha fruticosa L
„ Lcwisii Lodd. . .
Amygdalus communis L..
„ nana L ..... .
Anchusa italica Retz
^ ochroleuca M. B.
Anemone ranunculoides L.
D*
1
18
4
21
19
10
4
31
2
13
1
24
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15
8
10
16
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1
1
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10
12
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2
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1846
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—57
—58
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—59
—59
59
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—51
—45
—60
bis.
1879:
*) Anmerkung. D. bedeutet! Datnro; M Monat. J- Jabr.
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— 341
33
34
35
36
37
38
39
40
41
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Namen der Pflanzen.
Anemone sylvestris L
Antennaria dioica Gaert
Antbeinis tinctoria L
Aquilegia vulgaris L
Arenaria serpyllifolia L..
Aristolochia Clematitis L.
*Armeniaca vulgaris DC
Arrhenatherum elatius
Mert. et К
Artemisia Absinthium L.
„ austriaca Jacq.
я procera Willd.
„ Scoparia Waldst.
et Kit
„ vulgaris L....
*AscIepias Syriaca L
Âsperula bamifusa Bess.
„ tinctoria L
Asperugo procumbens L.
^Asphodeline tauricaKunth.
Astragalus alopecaroidesL.
я asper jacq
;, dasyantbus Pali.
я frulicosus Pall.
я galegaeformisL
я Onobrychis L..
„ virgatus Pali..
*Avena sativa L
Ballota nigra L
Barbarea vulgaris R. Br.
Barkhausia foetida DC. . .
*Berberis sibirica Pal)
я vulgaris L
Beginn
der Blütbezeit.
Frühester.
Spätester.
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Namen der Pflanzen.
Beginn
I der Blüthezeit.
Frühester,
Spätester.
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91
Berteroa incana DC
*Betula albaL
*Bryonia alba L
* » dioica Jacq
Bupleurum rotundifolium
L
* Calendula officinalis L. . .
Calystegia Sepium R. Br.
Camelina sativa Crantz. . .
* Cannabis sativa L
Capeella Bursa pastoris
Moench
*Caragana arborescensLam.
* „ frutescens DO . .
Carduus acanthoides L..
„ crispus L
♦Catalpa syringaefolia Ait. .
*Celtis australis L
* „ glabrata Stev
*Celtis occidentalis Duh..
Centaurea Biebersteiniana
DC
„ calo cephalaWilld.
* „ Cyanus L
„ Orientalis L . . .
^ solstitialis L. . .
Cepbalaria transsylvanica
Sehr
*Cerasus caproniana DC.
* „ Mahaleb Mill.,..
* „ virginiana Michx.
Ceratocarpus arenarius L
J.
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Namen der Pflanzen.
Beginn I
der Blüthezeit.
Frühester.
Spätester.
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Jahre.
N
92 Ceratocephalus orthoceras
DC
93 *Cerds siliqiiastrum L
94 Cerinthe maculata M. В..
95 Chenopodium foetidiim
Schrad
9f» Chondrilla juncea L
97 Chorispora tenella DC. . .
98 Cichorium Jntybus L
99 Cirsium arvense Scop
ICO „ ciliatum M. B...
101 Clematis integrifolia L...
102 Clematis recta L
103* „ vitalba L
104 *Colutea arborescens L. . .
105* „ cruenta Ait
1 Ob Conium maculatum L. . . .
107 Convallaria majalis L
108 Convolvulus arvensis L..
109 Cornus mascula L
HO ^ sanguinea L
1 1 1 Coronilla varia L
112 Corylus Avellana L
113*Crataegus Crus gali L...
114 Й melanocarpa M В
115 ç OxyacanthaL. .
116 Crépis biennis L..
117 Crocus reticulatus M. В.
118* „ vernus Willd....
119 *Cydonia vulgaris Pers. . .
120 Cynodon Dactylon Rich. .
121 Cynoglossum officinale L.
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151
*Cytisus alpinus Mill.....
Cytieus biflorns L'Hérit,.
я Laburnum L.
„ sessiiifolius L...
Dactylis gloinerata L
Datura Stramonium L...
Oancus bessarabicus DC.
я Carota L
Delphinium Consolida L..
Dianthus carthusionorum
L
"^ я plumarius L.. .
'*'Dict&mnu8 albus L
Dipsacus sylvestris L....
Echinospermum Lappula
Lebm
Ëcbium rubrum Jacq
„ vulgare L
""Elaeagnus bortensis M. B.
*Eremurus tauricus Stev..
Eryngium campestre L...
Euphorbia nicaeensis Ail.
Evonymus europaeus L. .
EvonymusverrucosusScop.
Filago minima Fries
*Fragaria vesca L
Fraxinus excelsior L
* „ Ornus L
"^Fritillaria imperialis L,..
Fumaria Vaillantii Lois..
Gagea lutea Schult.
Galega officinalis L
Beginn
der Biathezeit.
Frühester.
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181 *Jüglans nigra L
182* „ regia L
183 *Juiiiperu8 oblonga M. B. .
184* « Sabina L
185*Jnniperus virginiana L...
186*Kitaibelia vitifolia Willd..
187 * Koelreuteria paniculata
Lam !
188< Lactuca Scariola L
189 Lamium araplexicaule L.
1 90 „ purpureum L —
1911 Lappa major Gaertn
192 Lathirus latifolius L
193j „ tuberosus L
194 * Lavandula Spica L
195 Lavatera thuringiaca L...
19()| Leonurus Cardiaca L, . . .
197 Lepidium Draba L
198 *Levisticum officinale Koch.
199| Ligustrum vulgare L
200! Linaria vulgaris Mill . . . .
201 i Linum flavum L
202 j ^ hirsutum L
203i „ perenne L
2041 Linosyris vulgaris Cass..
205 j Lithospermum arvense L.
206 *Lomcera Caprifolium L. .
207* „ tatarica L
208 1 Lotus corniculatus L
209|*Lupinus polyphyllus R. Br.
210!*Lychiiis chalcedonica L..
211* „ coronaria Lam. . .
D.
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Namen d«r Pflanzen.
Lycium barbarum L
„ europaeum L
Lythrum Salicaria L
я virgatum L
Malva rotundifolia L
Maruta Cotula DC
Medicago falcata L
„ Lupulina L. . . .
' „ sativa L
Melampyrum arvense L..
Melica ciliata L
Melilotus coerulea Lam..
я officinalis Lam.
Menispermum davuricum
DC
* Mentha arvensis L
* Monis alba L
* я canadensis Ait —
я constantinopolitana
Poir
Muscari botrioides Mill . .
я comosus Mill . . .
я païens Fisch....
*Narcissu8 poeticus L
Nigella arvensis L
Nonnea pulla DC
Onobrychis sativa Lam . . .
Опощ8 spinosa L
Onopordon Acanthium L.
Origanum vulgare L. . . . ..
Ornithogalum umbellatumL.
Oxytropis pilosa DC
*Paeonia chinensis Hort. .
я officinalis L
Л Я. 1886.
Beginn
der Blflthezeit.
FrähMter.
Spätester.
D.
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Namen der Pflanzen.
Beginn
der Blüthezeit,
Frühester. Spätester.
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*Paliurus aculeatus Lam..
Papaver dubium L
„ Orientale L
j, Rhoeas L
*Pardanthus dichotomus
Led
*Persica vulgaris Mill
Philadelphus coronarius L
„ inodorus L . .
Phleum pratense L
Phloinis pungens Willd..
„ tuberosa L
Phytolacca decandra L. . .
Plantage major L
„ media L
„ la nee 0 lata L —
Poa bulbosa L
Podalyria auslralis Willd. .
Polygonum aviculare L. . .
„ Convolvulus L.
Populus alba L
„ italica Moench. .
Portulaca oleracea L . . .
Potentilla anserina L. . . .
„ argentea L. . . .
„ recta L
„ vema L
* Prunus Avium L
„ Cerasus L
„ domestica L
„ Padus L
^ Spinosa L
*Pteiea trifoliata L,
D.
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Pulsatilla vulgaris Mill . .
*Pyrethrura carneum M. B.
*Pyrus Aria Ehrh
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Ranunculus acris L
„ Ficaria L. . .
„ illiricus L. . .
Reseda lutea L
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Rhamnus catharticus L. . .
*Rheum Rhaponticum L...
Rhus Cotinus L
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* „ Typhina L
*Ribes aureum Pursh ....
* „ Grossullaria L
* « rubrum L
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* „ sanguineura Pursh.
*Robinia hispida L
* „ Pseudoacacia L..
* „ viscosa Vent
Rosa canina L
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* „ centifolia L
* „ damascena Ait
* „ lutea Mill
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„ pimpinellifolia DC.
„ pumila lacq
*Rubia tinctorum L
*Ruraex Acetosella L
* „ Patientia L
*Ruta graveolens L
Salix acutifolia Willd....
„ alba L
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* „ vitellina L
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J^
Namen der Pflanzen.
309 Salsola Kali L
310 Salvia Aethiopis L
311 „ nutans L
312* „ officinalis L
313 „ pratensis L
314 Sambucus Ebulus L
315* „ nigra L
316* „ raceraosa L. . ,
317 *Saponaria officinalis L...
318 Scabiosa ochroleuca L..,
319 Scilla bifolia L
320 *Secale cereale L
321 *Sedum oppositifolium Sim^.
822 Senecio vernalis Waldst.
el К
Setaria viridis Beauv. . . .
'öicyos angulatus L......
323
324
325 Sideritis niontana L.
326 Silène dichotoraa Ehrh.
327 ^ noctitlora L.
328 „ Otites Smith
329 Sisymbrium Sophia L..,
330 Solanum Dulcamara L. .
331 „ nigrum L
332* „ tuberosum L..
333 Sonchus asper Vill
334 „ oleraceus L.
335*Sophora japonica L
3o6*Sorbus domestica L
337*Spartium junceum L....
33b Spiraea crenata L
339 „ Filipendula L...
340 „ hypericitblia L. .
Beginn
der Blüthezeit.
Frühester.
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Namen der Pflanzen.
Spiraea saliciiolia L
„ sorbifoliaL
„ trilobata L
Stachys recta L
Steüaria media Vill
Stipa peimata L
Syringa persica L
„ vulgaris L
*Tainarix gallica L
Tanacetum vulgare L
Taraxacum officinale Wig,
„ serotinum Sadt,
Teucrium chamaedrys L.
j, Polium L
Thalictrum angustifolium
lacq
„ flavum L
*Thormopsis lanceolata R.
Br
Thlaspi arveuse L
* Thuja occidentalis L. . . .
Thymus Serpyllum L . . . .
Tilia argentea DC
„ parvifolia Ehrh
Tragopogon porrifolius L.
„ pratensis L..
Tribulus terrestris L
Trifolium arvense L
„ montanum L. . .
„ pratense L. . . .
„ repens L.. . . . .
Trigonella Foenum grae-
cum L
Beginn
der Blüthezeit.
Frühester.
Spatester.
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-57
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59
-57
—50
-52
—46
—45
—59
-60
—60
—57
—62
—59
bis.
1879
28
22
22
23
20
23
23
35
23
23
35
21
23
20
22
21
23
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21
23
30
28
34
35
21
20
20
23
18
21
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— 352 —
Namen der Pflaiaen.
Beginn
der Blûthezeit
Frühester. Spätester.
• s
371
372
373
374
875
376
377
378
379
380
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383
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389
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391
392
393
394
395
396
397
398
399
400
Triticum cristatum Sehr..
„ repens L
Tulipa Gesneriana L.....
Ulmus campestris L
Urtica dioica L
„ urens L
Verbascam Blattaria L...
„ Lychnitis L. . .
, phlomoidesL.
я pboeniceum L.
я Thapsus L.
Veronica austriaca L..
я hederaefolia L..
„ spicata L. . . .
я vema L
Viburnum Lantana L. .
я Opulus L
Vicia Cracca L
Vinca minor L.
Vincetoxicum officinale
Moencb
Viola canina L
я odorata L
я tricolor L
* Vitis vinifera L
* Wistaria chinensis DC...
Xanthium spinosum L —
я Strumarium L.
Xerantbemum radiatum
Lam
Zea Mays L
'Zygopbyllum Faleago L. . .
D.
1
25
16
26
16
14
14
16
29
2
6
21
15
25
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3
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12
1
22
1
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16
M.
6
5
4
3
5
5
5
6
5
5
6
4
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4
3
4
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4
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3
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5
7
7
7
6
6
J. P
7824
7824
76
76
76
76
66
66
76
66
76
66
66
48
66
48
76
76
71
62
•t
7»
66
•(
n
47
76
76
79
55
62
76
12
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25
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19
24
24
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27
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5
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3
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J
61
61
58
58
58
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.11
л
61
61
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50
.11
ii
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61
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D.
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5
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Beobach-
tnngs
Jahre.
M
29
26
6
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6
M.
6
6
4
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5
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топ.
1860
—57
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—61
47
big.
1879
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—47
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-46
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—57
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—40
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23
23
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19
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23
23
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34
35
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— 353 —
Zu den lästigsten оП io grossen Massen in Gärten und
Feldern aurtretenden Unkräutern gehören unter den fol-
genden №№ benannte Pflanzen: 25, 38, ii, iS, 59, 60,
73, 106, 108, 120, 127, 141, 149, 166, 171, 189,190,
238, 262, 309, 313, 322, 329, 345, 358, 365,375,396.
397. Seltener und vereinzelt vorkommende Pflanzen sind
№ 7, 8, 15, 34, 53, 54, 83, 84, 85, 95,101, 102,125,
136, 157, 177, 201, 202, 204, 221,223, 271,283, 300,
330, 350, 363, 376, 383, 390. Zu den verwilderten ge-
hören: № 17, 66, 72, 212, 220, 302, 324. Wildwach-
sende und zugleich cultivirte Pflanzen sind: № 270,
271, 279, 280, 303, 304.
Von den vielen hier vorkommenden vegetabilischen
Schmarotzern erwähne ich nur folgende als die hauptsäch-
lichsten, die auf Binde, Blättern und Blüthen verschiede-
ner Gewächse nisten und einen mehr oder weniger hem-
menden Einfluss auf die Vegetation ausüben.
1) Pilze.
Auf den Blüthen, Halmen und Blättern der Getrei-
dearten und Gräsern nisten: Gaeoma (Uredo) segetum
Link, Gaeoma sitophilum Link, Uredo Maydis DG., Puc-
cinia graminis Pers.
Auf den Blättern des Birn-und Apfelbaums: Aecidium
cancellatum Pers.
Au( der Binde des Wallnussbaums: Melaconium ovatum
Link, Dothidea juglandis Fries.
Auf den Blättern der Pflaumen-Aprikosen-Pfirsichbäume:
Dothidea rubra Fries, Uredo prunastri DG., Puccinea
pruni DG.
Auf den Banken des Weinstocks: Sphaeria insitiva
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— 354 ~
Tode. VoD Oidium Tuckeri ist der Weinslock io Kischi-
Dews Umgebung verschool geblieben.
Auf den Blättern des Weissdorns: Erysiphae oxyacanthae
ÜO. und auf seinen Blülhen, Früchten und Rinde: Aeci-
diuin laceratum Sow. Auf den Blättern« des Sauerdorns.
Erysiphae berberides DG.
Auf den Blättern der Rosenarten: Uredo rosae Pers.,
Phlebomorpha incrassata Link, und auf ihrer Rinde: Xy-
loma rosae DG.
Auf den Blättern der Ahornarten* Bhytisma acerinum
Fries, Bhyt. punctata Fr., Ascochita acerina Leveillé,
Erysiphae aceris DG. und auf ihrer Rinde: Stilbospora
pyriforuiis Hofm.
Auf den Blättern der Eiche: Stigmella druiaa Leveillé,
Sphaeria maculaeformis Fers., Sph. punctiformis Fers,
und auf ihrer Rinde: Peziza nigra Bull., Sphaeria quer-
cina Fers.
Auf den Blättern der Ulmen: Dothidea uimi Fries, Sep-
taria ulmi Fr. und auf ihrer Rinde: Tubercularia con-*
fluens Fers.
Auf den Blättern der Weidenarten: Uredo Salicis DG.,
Ur. vitellina DG. Erysiphae capreae DG. Sphaeria salicina
Fers.
2) Fleekten.
An den Stämmen und Aesten verschiedener Baum-und
Slraucharlen kommen besonders folgende Flechten vor:
Farmelia parietina Acharius, Farmelia tiliacea Achar.,
Farm, aipolia Ach., Farm, ciliaris Ach., Farm, pulveru-
lenta Ach., Lecanora parella Ach., Fhyscia (Evernia)
prunasiri DG., Fatellaria populicola DG., Fat. salicina
Hofm., Ramalina calicaris Ach., Verrucaria cerasi Schrad.,
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— ЗГ>5 —
Yer. nitida Sehr., Usnea barbata Fries, diese letzte nur
ao feuchten Orten.
Ausserdem kommen häufig vor noch folgende Parasi-
ten, die den Organismus der Pflanze theilweise oder ganz
in einen krankhaften Zustand versetzen und sie oft tödten.
Viscum album L. auf Linden, Weiden, Pappeln und be-
sonders auf Apfel-und Birnbäumen.
Cuscuta major С Bauh. auf Weiden, Nesseln, Hanf,
Hopfen und besonders auf Lycium barbarum in sehr gros-
ser Menge.
Cuscuta minor C. Bauh. umschlingt Hyssopus officinalis^
Lavandula spica, Medicago sativa, Thymus Serpyllum,
Gytisus sessilifolius und and.
Cuscuta Epilinum Weihe, auf Linum usitatissimum, den
sie erstickt.
Von pflanzenschädlichen Insekten giebt es in der Um-
gebung Kischinews eine sehr grosse Menge verschiede-
ner Gattungen und Arten, die den Gärten, Feldern und
Wiesen oft bedeutenden Schaden zufügen. Hier führe ich
nur diejenigen an, die am häufigsten erscheinen und in
manchen Jahren verheerend auftreten.
1) Шег.
Epicometis hirta Fb., Cetonia aurata Fb., Anisoplia
austriaca Hbst., Anis, agricola Fb., Anis, fruticola Fb.,
Melolonlha vulgaris Fb., Lucanus cervus L, Lethrus ce-
phalotes Fb. *) Lytla visicatoria Fb., Mylabris variabilis
*) Seine Lebensweise habe ich beschrieben in dem Aufsatze „Ueber-
sicht periodischer Erscheinungen aus der Thierwelt der Umgegend
Kischinews', BuUetin de la Société Impériale des Naturalistes de
Moscou, 1857, № 3, p 253.
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— 356 -
Bilb., Myl. i — puDclala Fb*, Myl. Fuesslioi Pz., Bruchus
pisi L, Bhyochites betuleti Fb., Bhyn. codicus III., Bhyn.
Bacchus L, Anlhonomus pomorum L., Boslricbus dispar
Hellw., Eccoplogasler pruni Blzb., einige Bupreslis-und
Chrysomela-Arlen. Einige dieser Käfer erscbeineo biswei-
len in sehr grossen Massen und verursachen dann, sowie
auch ihre Larven, in Gärten und auf Feldern Ungeheuern
Schaden.
2) SckmetterliBge.
Tagfalter. Ponlia cralaegi L., Pont, brassicae L;Pon.
rapae L., Vanessa Polychloros L, Van. Cardui L, Vanes.
Jo L., Bhodocera Bhamni L, Argynnis Paphia L., Arg.
Agiaja L, Arg. Pandora Hb., Papilio Podalirius L, Pa-
pilio Machaon L. Die drei ersten Falter sind die gefähr-
lichsten.
Schwärmer. Atychia ampelophaga Hb., At. pruni Hb.,
Macroglossa stellatarum L, Smerinthus quercus S. V.,
Sphinx ligustri L, Acherontia alropos L., Sesia apifor-
mis L., Zygaena lonicerae Hb.
Spinner. Cossus ligniperda Fb., Cos. Aesculi Hb., Li-
paris dispar L., Lip. auriflua L., Lip. chrysorrhoea L.,
Liparis monacha L., Gastropacha neustria L., Gastro-
pacha pruni L., Arctia caja L., Are. Hebe L., Saturnia
pavonia L., Lithosia complana L.« Orgyia antiqua Hb.,
Org. pudibunda Hb.
EuUn. Episema graminis L., Agrotis segetum L., Ma-
mestra brassicae L., Plusia gamma L., Catocala fraxini L.,
Acronycta rumicis L., Acr. tridens S.V.
Spanner, Fidonia defoliaria L., Fid. wawaria L., Aci-
dalia brumata L., Zerene grossuiariata L.
Wickler. Penthina pruniana Hb., Pent, cynosbana Tr.,
Tortrix viridana L., Tort, ribeana Hb., Tort, cerasana
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- 357 —
Hb., Tort. Forscaleana L., Tort. Bergmaoniaca L., Garpo-
capsa pomonana S.V.
Motten. HypoDomeuta cogoatella Tr., Hyp. padeila Rlz.
Lilbocolletis spinicolella Mo., Goleophora lusciniaepenella
Tr., Plutella craciferarum Zell.
Fast alle hier angeführten Schmetterlinge gehören, durch
die ungeheure Gefrässigkeit ihrer Baupen, zu den ge-
fährlichsten Pflanzenfeinden.
3) Wespen»
Vespa vulgaris L., Polistes gallica Fb«, Bylotoma enodis
Fb., Hyl. rosarum Fb., Seiandria pusilla Klg., Blenocampa
aethiops Fb., Qadius difiFormis Pz., Emphytus grossulariae
Klg., by da inauita De v., Tenlhredo excavator Merat.,
Bhodiles rosarum Gir.
i) Gridfligler.
Pachytylus migratorius L. *) Galoptenus italiens L.,
Gryllotalpa vulgaris Latr. Forficula auricularia L.
5) Milben.
Diese winzigen Thierchen, die kaum mit dem blossen
Auge zu erkennen sind, leben von dem Saft verschiede-
ner holz-und krautartiger Gewächse, deren Blätter sie
•) Die Lebensweise der Wanderheuschrecke habe ich im ßul. de
la Soc. Imp. des naturalistes de Moscou 1860, № 4. S. 531—542, an-
gegeben, und in dem vortrefflichen von H. Fr. Th. Koppen ver-
fassten Werke: «Ueber die Heuschrecken in Südrussland, (Peterb.
1866) ist alles was von der Wanderheuschrecke, seit uralten Zeiten
bis her, über ihre Lebensart, ihre Verheerungen, ihre Vertilgung
etc. geschrieben wurde zusammengetragen*
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— 358 —
mit dec feinsteo Fädeo omspinoeo, dann aussaugen, dif-
formireo und endlich zu Grunde richten. Man findet sie
auf Carpinus belulus, Populus Tremula, Morns alba, Cra-
taegus Oxyacantha, Gytisus Laburnum, Aesculus Hippo-
castauum, Acer campestre, Ac. Pseudoplatanus, Ac. pla-
tanoides, Goronilla varia, Trifolium repens, Glematis erecta,
Thymus Serpyllum, Gucumls sativus. Guc. Melo, Cucur-
bita Pepo, Gucur. Gitrullus und mehreren andern Ge-
wächsen: doch einen weit bedeutenderen Schaden fügen
einige Milben-Gatlungen folgenden Pflanzen zu.
Dem Weinstock— Phyllerius vitis Am., dem Apfel-
baum-Ërineus mali Am., dem Birnbaum— Vol veilina mar-
ginalis Am., dem Pflaumen*und Aprikosenbaum — Cecy-
doptes pruni Am., Voivulifex pruni Am. und Bursifex
pruni Am., dem Haselnussstrauch— Galycophthora avel-
lanae Am., verschiedenen Rosenarten — Tetranychus so-
ciarius Müll.
Ausserdem trifft man auf holz-und krautartigen Ge-
wächsen, wildwachsenden als cultivirten, eine grosse
Anzahl Arten Goccus, Ghermes, Aphis, Psylla, Gapsus und
Gimex. Der Schaden, den diese Insekten verursachen, ist
bisweilen bedeutend. Von Gicaden sieht mau am öfter-
sten die Typhlocyba rosae Toll. Auch auf Eichen, Eschen
und Ulmen leben Gicaden, doch der von ihnen den Pflan-
zen zugefügte Nachtheil ist sehr gering.
15 October 1886.
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RÉVISION DES ARiURES COPULATRICES DES MALES DE
LA TRIBU PHILÉRÉMIDES.
Par
le général Badoszkowski.
(Avec 2 planches).
Ed 1872 dans les Bulletins de Moscou, pag 1, j'ai
complété les communicatious sur la tribu des Philérémi-
des décrits par M. Gerstaecker dans les Stet. Ent. Zeit,
p. 139-
Aujourd'hui je les complète par la révision des
drmures copulatrices des mâles des genres apparte-
nant à la tribu des Philérémîdes Lepl.
Les armures copulatrices des mâles de cette tribu se
composent:
L De Vappareil préparatif.
IL Du forceps.
ÏIL De la pièce basilaire (Cardo).
IV. Du couvercle génital.
L V Appareil préparatif se compose:
a) de deux pièces pareilles, crochets (hamuli), qui
sont liés ensemble. Leur forme diffère avec chaque
groupe. La verge est enserrée entre ces deux pièces
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— 360 —
b) du fourreau. Celle pièce n'eoloure pas les cro-
chets, mais elle forme sur leur partie supérieure une
espèce de tablier «[ui ne couvre les crochets qu'en dessus,
et son bord inférieur est attaché à la pièce qui lie les
deux crochets.
II. Le Forceps dans cette tribu se compose seulement de
la bravache et de la base du forceps. Il lui manque le
volsella et le tenelte, qui accompagnent cette pièce dans
plusieurs autres tribus.
III. La pièce basilaire ne présente rien de remar-
quable.
IV. Le Couvercle genital, 7 et 8 segments abdominaux
de M. Saunders, se compose de deux pièces (supérieure
et inférieure). Cette partie a pour chaque groupe une
forme différente.
D'après la forme des armures copulatrices, ou peut
partager cette tribu en groupes suivants:
Groupe A.
Dans ce groupe le forceps présente seulement sa bran-
che et il est privé de sa base.
A ce groupe appartiennent les genres: Epeoloides Gir.,
Paidia Bad. et Dioxys Lepl.
Epeoloides ambigmis Gird.
Epeoloides ambiguns Gird. Verh. Zol. bot Geeel. z. Wien ХШ
p. 45. Rad. Ball, de Moscoa 1872 peg. 4.
L'armure copulatrice {Fig. 1 ^, Fig. 1 ^, Fig. 1 ^.).
La branche du forceps {d) est large. Ses deux surfa-
ces (supérieure et inférieure) sont recourbées plissées
dans différentes directions et forment comme un entonnoir.
La branche est ciliié de poils raides vers leur extrémité.
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— 361 —
Les crochets {Fig 1 г), vus en face, sont cylindri-
ques, vus de côté, un peu coniques vers leur extrémité.
Le fourreau se présente sous la forme d'un tablier
avec son extrémité membraneuse.
La partie inférieure du couvercle génital est repré-
sentée sur la {Fig 1 h.).
PiMia ibioniMlis lUd.
Pbileremas abdominalis Evers. Bull. d. Moscon 1852 p. 88 6 hirsu
lutns Ëvers. idem..... p. 89 cf. Ammabatoides abdominalis Rad. Ног
Soc Ent Ross. Y 1867 p. 82 9 <;. Phiarns abdominalis Gert Stet
Ent Zeit. 1869 p. 148. Paidia abdominalis Rad. Bull, de Mos. 1872
pag. 13.
L'armure copulatrice {Fig 2 ^ Fig 2 ^).
La branche du forceps est assez large, nue^ ses deux
surfaces sont recourbées vers leur extrémité.
Les crochets [Fig 2 i) sont un peu recourbés vers
l'extrémité.
Le fourreau en tablier pareil à l'espèce précédente.
Sur la {Fig 2 h) est représenté le couvercle génital
La {Fig 2 x) représente Thypopygium de la femelle,
d'une forme spéciale; au milieu on voit un aiguillon et
en dessous de chaque côté une baguette hérissée de
poils. De cette forme spéciale, se rapprochent les hypo-
pygium de la femelle de certaines espèces de Nomada,
Paidii melectoides Rai.
Euglages scripta Gert Stet £nt Zeit 1869 d*. Ammobatoîdes me-
lectoides Rad. Ног. Soc Ross. V p. 83 Tab. Ill, fig. 4. ? (^. Paidia
melectoides *Rad. Ball, de Moscou 1872 p. l6.
L'armure copulatrice {Fig. 3 ^ Fig. 3 ^).
La branche du forceps est plus large que dans l'es-
pèce précédente, son bord externe est arrondi; sur sa
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.. 362 -^
surface supérieure, on voit uu pli profood d'où sortent
des poils loDgs assez forts.
Les formes des crochets du fourreau et du couvercle
génital (Fig. 3 к) sont fdentiques avec l'espèce précé-
dente.
La forme de l'hypopygium de la femelle est aussi
identique à celui de l'espèce précédente.
Donc, il ne doit plus y avoir de doute pour personne,
que le prétendu genre Euglages est le mâle du Paidia
mdectoides.
Nota. En 1867 j'ai donné à ce genre le nom d^Am-
mabotoidesj en 1869 M. Gerstaecker a donné à ce même
genre le nom de Phiarus; en 1872 dans le BuU. de
Moscou T. XLV. p.y j'ai protesté contre ce procédé en
prouvant Tillégalité de ses prétentions; en même temps,
usant de mon droit, j'ai changé le nom d^Ammabatoides
en celui de Paidia.
J'ai été bien étonné que, même après ma protestation,
certains auteurs se servent du nom de Phiarus Gert:
Schmideknecht Apid. Eut. p. 22; Tachenberg Berl. Ent.
Zeits. 1883 p. 67.; Dr. Moravitz, Melng.'Bid. de VAc. de
Sci^ S. Päersburg T. X, p. 494.
Je dois supposer que ma protestation, publiée dans le
Bulletin de Moscou, a passée inaperçue; je suis donc
forcé de revenir encore une fois sur ce sujet.
M. Gerstaecker dit dans son Anmerkung {Stett. Ent.
Zdt. 1869), qu'il a été forcé de changer le nom
d^Ammabatoides donné par moi, pour les deux raisons
suivantes:
1^) M. Badoszkowski (Hor. Soc. Bos p. 82) présente
le genre Ammabatoides avec six articulations des palpes
maxillaires; à ce genre il joint comme seconde espèce le
PhUeremus melectoides Smit. avec les palpes maxillaires
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— 363 —
aux deux articulations. La constitution de ce nouveau
genre n'a aucune raison d'être parce que le Phileremus
mdedoides n'est pas lié avec l'espèce précédente P^tJe-
remus abdominalis Eversm.
Les caractères principaux et uniques de ce genre, les
nombres des articulations des palpes maxillaires et la
lorme de Texlrémité de l'anus de la femelle, ont été
donnés par moi avant M. Gerstaecker Hor. Soc. Ross. T.
m, p 82 Tab. Ill, fig. i, 6 (1867).
Si j'ai présenté le Ph. meUctoides comme espèce à
six articulations des palpes maxillaires, c'est que
je les ai comptées et que je les ai vues mieux, que
M. Gerstaeeker, quand il a compté seulement deux arti-
culations de son prétendu genre Phileremus *) qui est
Pamtes Lat ou Biastes Panz.
Aujourd'hui on connaît, non seulement la forme des
palpes maxillaires du P. meledoides, mais aussi la forme
de son armure copulatrice; et tout prouve quil est admi-
raUement lié avec le P. abdominalis Everm.
Feu M-r F. Smith pouvait se tromper sur le nombre
des articulations des palpes maxillaires, comme s'est
trompé M. Gerstaecker, parce qu'on se trompe souvent
quand on examine seulement avec la loupe. Supposant
même qu'il existe une autre espèce de Phileremus me-
leclmdes (à deux articulations des palpes maxillaires),
il est clair qu'il n'appartiendra pas à mon genre. On a
toujours le droit d'effacer ce nom, mais on n'a pas le
*; M. Gerstaecker (8tt £nt Zeit p. 142). Dans le Bail, de Moscou
1873| pag. 17 on trouvera qu^avec feu le Dr. Siebel nous avons cons-
taté que l'exemplaire du Phileremtis meïeetoides Smth.^ comparé par
F. Smith avec son type, a possédé des palpes maxillaires à six
articulations.
№ 2. 1885. 24
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~ 364 -
droit de rejeter le nom du bon genre; c'est un procédé
sans exemple.
2^) Donné par lui (Badoszkowski) le nom sans signi-
fication {vöUig sinnloser Name) Ammobatoides: pareil au
marchant sur le sable, ne peut pas ôtre admis dans la
nomenclature scientifique, un nom pareil est même {la-
chirlU^) ridicule.
Cette raison et cette phrase ne brillent pas par la
logique. Est-ce que les noms adoptés par tous les auteurs
comme: Hàlidoides (semblable à celui qui se rassem-
ble), Nommies (pareil à la pastorale champêtre) Bia-
stùides), même le nom employé par M. Gerstaecker Epe -
oUides (semblable à un garde de nuit), signifient quel-
que chose? Tout le monde sait et comprend que de
pareils noms signifient: pareil au genre auquel on ajoute
le nom aides, et cela ne gâte pas la nomenclature scien-
tifique.
Pour de pareilles raisons, on doit leur appliquer les
expressions employées par M. Gerstaecker: que ces raisons
sont vöUig sinnloser Name et lächerlich.
Il est clair que ce ne sont pas les raisons présentées
par M. Gerstaecker qui ont poussé les auteurs mentionnés
ci-dessus a adopter le nom de Phiartis; parce que ces
auteurs se servent aussi des noms avec la terminaison en
oideSf même du nom AmmabataideSy trouvé par M. Ger-
staecker lächerlich.
Peut être pensera-t-on que le nom d'Ammabatoides a
été donné avant moi par le feu Schenk. J'ai publié ce
nom dans le 1er Tascicule des Horae E. R. en 1867; M.
Deyrolle à Paris a exécuté la planche en 1866; le nom
d^ Ammobatoides donné par M. Schenk a paru seulement
en 1868. Donc il est évident que j'ai droit de laisser le
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— 365 —
Dom d^AfnmabcUoides à M. Scheok et de le chaoger en
Paidia.
II est permis pour ce genre de se servir de mon nom
primitif, comme a fait M. Becker de Sarepta; mais le
nom de Fhiarus ne peut être appliqué au même genre.
Peut être les auteurs qui se servent du nom de Phia^
rtés ont-ils d'autres raisons pour le faire qui me sont
inconnues; je serai enchanté de les connaître et de les
approuver.
Dioxys PyrenticA Lep.
Dioxys Pbyrenaica Lep. Hym. II, pag. 515. 3.
L'armure copulatrice {Fig. 11 ^, Fig. 11 ^).
La branche du forceps est nue, lisse, rétrécie vers
l'extrémité, recourbée en dedans. Les crochets simples,
avec la tête pourvue d'une dent émoussée.
Oraupe B.
Dans ce groupe le forceps se compose de la branche
et de la base; les crochets sont recourbés en avant; les
couvercles génitaux ont la forme spéciale qui ne diffère
pour chaque espèce que par ses contours. Л ce groupe
appartient les genres: Ammobatoides Sch. et Ammobates
Latr.
A»MObitoides blrolor Lep»
EpeolQs ponctatas Fab. S. P. p. Я89 (CoH. Jorine) Ammobates
bicolor Lep.Hym. II p. 511. Ammabatoides bicolor Sch. Jahrb. Nass.
Ver. 1867 p. 349. 350. Rad. Ball. d. Mos. 1872 pag. 28.
L'armure copulatrice [Fig. 4 „, Fig. 4 ^, Fig. 4 Д
La branche du forceps \d) est arrondie; sa surface
24»
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— 366 —
antérieure est hérissée de poils et grossie vers sa baee.
La base du forceps (e) est forte.
Les crochets (i) presque cyliodriqaeSi pourvus d'ioe
tète, vus de côté et fortement recourbés en avant.
Le fourreau ne couvre pas complètement les crocbots;
par sa forme il rappelle la forme du fourreau du
Bombus *).
Chacune des pièces qui composent le couvercle géni-
tal {Fig. 4 k) a sa forme spéciale. Les parties rappro-
chées du bord de la pièce inférieure sont densement
tapissées de petits poils courts.
immobttes carinates HortWi
Ammobates carinatus Мог. Ног. Soc Ши Boss. T. VUI p. 202.
Rad. Bull, de Mose. 1872 p. 8.
L'armure copulatrice {Fig. 5 ^ Fig. 5 ^).
La branche du forceps est rétrécie vers le bout, re-
courbée en dedans et cilliée de poils asses longs;
sa surface inférieure est pourvue d^un rebord longitu-
dinal.
Les crochets sont plus forts que dans l'espèce précé-
dente, avec la tète présentant une dent émoussée.
Ammobates setosas Hortw.
Ammobates setosas Morw. Hor. Soc. Ross T. VU p« 309. Red.
BuU. d. Mose. 1872 pag. 8.
L'armure copulatrice {Fig. 6^, Fig. 6^.
La branche du forceps rappelle la forme de ГАтшо-
bates bicolor; seulement elle est pourvue longitudinale-
*) Cette iorme est commane ä tontes les espèces d'Ammobates.
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— 3Ö7 —
ment d'un rebord eyliodrique, recourbé par ie bas, et
garni à soo extrémité de poils longs et assez fort; vers
sa base la surface de la branche est plate et tapissée
densement de poils minces et très courts.
Les crochets sont forts» coniques, pourvus d'une tète
arrondie.
immobttes riUlveitrts Lat.
Ammobates rafiyentris Lat. Gen. Gmst T. IV p. 169. Rad. Ball, de
Mose 18Г2 p. 9.
L'armure copuittrice. (Fig. 7^, Fig. 7^.
La branche du forceps est presque cylindrique,, le
côté interne sur toute sa longueur est garnie de poils longs
et assez minces.
Les crochets sont très forts, vers la base très élargis.
Groupe 0.
Dans ce groupe le forceps se compose de la branche
qui est mince et cylindrique et de la base qui est forte;
les crochets sont très épais, le fourreau caractéristique,
à ce groupe appartient le genre Biastes Panz. Pasites Latr.
Bustes Schottii Fab.
Nomada Scbottii Fah. S. P. 894, 15 Biastes Schottii Panz. Krit.
Bevis. П p. 241 Pasites Schottii Lat Oener. Crust IV p. 171 Bad.
Ball, de Mose. 1872 p. 21.
L'armure copolatrice (Fig. 8^ Fig. 8^, Fig. 8^.
La branche du forceps est mince avec son extrémité
un peu grasse, le côté interne cillié de poils.
Les crochets sont au milieu, tordus et pauvrement
garnis de poils, vus de côté Us sont larges, surtout au
milieu.
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— 868 —
Le fourreau (h) couvre les crochets, même un peu
de coté.
La pièce inférieure du couvercle génital est repré-
sentée sur la F4g. S^.
Biastes piictatis Sehr.
Pasites punctata Scb. Jahrb. Nase. Yen 1868 p. 346 9 b. Pbilere-
mas nasatns Oert. Stet Ent Zeit. 1869 p. 143 Pasites pmictata
Rad. BoU. d. Mose 1872 p. 24 T. I. fig. 15, a, b.
L'armure copulatrice {Fig- 9^, Fig. 9^).
La branche du forceps pareil à l'espèce précédente/ un
peu élargie au milieu, et les poils longs garnissent son
côté intérieur sur toute sa longueur.
Les crochets ne sont pas tordus, vus en face, il sont
très larges.
La pièce inférieure du couvercle génital est repré-
sentée sur la {Fig. 9j^).
Biistes truiMttts Nyl.
Nomada tnmcata Nyl. Ap. d. Boset p. 196. Phileremas ponctatas
Gert Stet Eut Zeit 1869, p. 142 Melitoxena trancata Мог. Ног.
Ent Soc. Ross. T. IX p. 156.
L'armure copulatrice {Fig. 10^, Fig. 10^^ Fig. lO^,
Fig. 10,).
La branche du forceps {d) et sa base (e) ressemblent
au В. Schottüj son extrémité est recourbée en bas, et
son extrémité seule est garnie de poils.
Les crochets {%) vus en face et de côté sont épais et
larges; leur surface externe est tapissée de poils minces
et courts.
Le fourreau (&) qui couvre les crochets a une forme
spéciale: il est membraneux vers son extrémité.
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— 369 —
Gomme cette espèce, dans toas les détails de la fe-
melle et du mâle, est conforme au genre Biastes^ sauf
les 12 articulations des antennes chez le mâle, et même
par la construction et ta forme de son armure copulatrice,
je trouve juste de l'ajouter au genre Biastes. On peut
conserver le nom Melitoxena comme sousgenre du Biastes.
Pasites mteelttes Jer.
Pasites maculatns Jar. Nonv. Met Hym. p. 224. Phiarus macak-
tas Rad. BnU. d. Mose. 1872 p. 36.
Cette espèce n'appartient pas au groupe C, mais s'en
rapproche.
L'armure copulatrice {Fig. ll^j Fig. 11^.
La branche du forceps n'est pas large, d'une forme
ordinaire, vers l'extrémité garnie de poils raides.
Les crochets sont recourbés en forme de gouttière
vers leur extrémité, et rétrécis vers leur base.
La forme de la pièce inférieure du couvercle géni-
tal est représentée sur la {Fig. llj^).
Phileremes Lepi
Phileremns Rad. Bull. d. Mose 1872 p* 29,
Les deux genres Ammobates et Phileremus se rap-
prochent tellement en certains cas que l'on oe peut cons-
tater leur identité que par l'examen des palpes maxillai-
res; par exemple Ammobates rufiventris Lot. et Phile-
remus dgeriensis. {Bad. Bul. d. Mose. 1872 p. 31).
L'examen des parties anales de la femelle m'a donné
le moyen plus facile pour la séparation de ces deux
genres.
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— 370 -
L'extrémité de rEpigygium д'АттаЬаШ {Fig. 7 J %
80 préseule sous la forme d'une languette bifide, lisse
et Que.
L'extrémité de T'Epigygium du PkUeremus {Fig. 13Jse
présente sons la même forme; seulement dans l'échan-
crura de bifidité on voit les pièces baculiformes, {S, S).
Les formes des armures copuiatrices des genres CoeU*
wys et Stdis sont représentées par M. Ed. Saunders
dans son excellent travail: notes on the terminal seg-
monts of Aculeate Hyfnenoptera 1884.
Yarsorie, le 1 Aôat 1886.
♦) Sur les figares {Fig. 2x, Fig. 7x, Fig. 13r,) représentent*
a rEpigyginm
ß PAigaillon
7 deux baguettes garnies de poils et placée« der»
rière Paiguillon.
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SÉANCES
de la
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATIRALISTES
DE MOSCOU.
. SÉANCE DU 17 JANVIER 1886.
Mr. le Yiceprésident, Prof. Tb. Brêdiehm a exposé quelques for*
moles de la théorie des Comètes.
Mr. le Prof. Ж. Tiehamiroff commnni qne les résultats de ses reeber-
ches sur le rhizome da Zingiber of/ieinaUe.
Le même a parlé dn polimorphisme de la Ремиа Жат/татшта.
Mr. A. Eoroineff a parlé du développe ment du coeur ches let
articulés.
Mr. N. W. Ooranovitêéh a exposé ses obseryations sur la blasto-
derme des Ichtiopsydae et Sanropsydae.
Le même a fait une commimicatioii pré liminaire snr la foimaüoii
de la Ve$9ie de Kupifer.
Mr. le JProf, Ch. lÀndemam a communiqué les résultats de son
expédition dans la province du КошЬащ envaMe par les saaterellee.
Mr. le Prof. Dybowêky remet 1Ш article sm* les Ancylas dn BaikaL
№ 1. 1886. 1
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— 2 —
Mr. F, de Herder présente la coDtinoation de son article: Plantae
Ruddeanae.
Mr. S. NikiHne envoie un travail sur lee dépôts jurassiques des
environs d'Ëlatma.
Mr. le Prof. Л. P. Sabanejeff remet un travail sur la prépara-
tion et la polimérisation du bromacétilène.
Mr. le Président Ch. L Benard présente le № 2 du Bulletin de
1884, qui a paru sous sa rédaction.
Le même annonce la mort du comte Л. S. Ouvaroff, membre ho-
noraire de la Société.
Mr. le Vice-Président de la Société des Carpathes à Kesmark en
Hongrie, Mr. Samuel Weber^ prie d'envoyer tout ce qu'on voudra
adresser à la dite Société au Professeur et Bibliothécaire Alexandre
Micanich à Poprad.
S. Ëxc. Mr. Gustave Ivan. Badde à Tiflis donne quelques détails
sur ses travaux omithologiques et ses projets de voyage d'explora-
tion pour 1885;— il annonce en même temps l'envoi . prochain de
la flore caucasienne par Mr. Smimov, pour être imprimée dans le
Bnlletin de la Société.
L'Académie Royale des sciences, belles lettres et arts de Païenne
annonce la mort de son Président Mr. Oiua^pe De Spuckes^ Prince
de Galaii.
Mr. L Bothschiîd, éditeur à Paris. (Rue des Saints Pères 13) en-
voie 2 ouvrages de MM. Meunier et Jannetas de Paris, priant de
vouloir bien, s'il est possible, en rendre compte dans le Bulletin.
Mr. K, Keck d'Aistersheim en Haute Autriche annonce par une
circulaire imprimée qu'il va, à ses frais, faire explorer les provîncee
occidentales de la péninsule du Balkan si peu connue pour sa flore«
Mr. Guillaume Zay, botaniste autrichien, partira à la fin de Mars
de Seutari pour pénétrer par Durazzo jnequ'à Salonique et к Vola-
On peut souscrire (sans donner une avance) à raison de Э0 francs
pour la Centurie.
Lünstitut Royal Géologique de HoDgrie à BoodarPest envoie le
14-ème volume de ses Bulletins et prie de lui faire savoir si notre
bibliothèque a reçu toutes ses publications se déclarant pi^t à
remplir les lacunes de ses publications dans notre Шbliothèque•
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— 3 —
Mr. le Dr. Geea Horvath^ Directeur de la Station phylloxériqne
de Bouda-Pest accuse réception du diplôme de la Société et remercie
de rfaonneur que notre Société loi a fait par son élection.
MM. les Professeurs Alexandre Pagenstecher de Hambourg et
Alphonse Favre de Genève envoient leurs photographies, et le pre-
mier annonce l'envoi prochain du Rapport annuel du Musée Zoolo-
gique do Hambourg, dont il est le Directeur.
Pour remplir les lacunes qui se trouvent dans notre bibliothèque
ont envoyé:
L'Académie Imp. des sciences de St. Pétersbourg 26 livraisons de
ses Mémoires.
La Société Imp. russe de Géographie de 8l Pétersbourg:
Записки 23 livraisons et 22 livr. Шъ^ст[л—Ьои1 ce qui nous man-
quait
La Société entomolegique russe à St, Pétersbourg: 3 volumes.
L'Université de Varsovie 3 livr. de ses Шв^аст'хя.
La Société des Naturalistes de Kasan 5 livr.
La Société d'agriculture du Caucase à Tiflis 36 N.
La Société Linnéenne du Nord de la France 43 № de ses Balle*
uns et 1 vol. de ses Mémoires.
La Société Royale de physique à Edimbourg 6 vol.
La Société zoologique de France à Paris 14 livraisons.
Lv Société philomatique de Paris 1 livraison.
Lettres de remerciements pour renvoi des publications de la Société
de la part de rUuiversité de Moscou, de la Société L géographique
russe et de la Société des Naturalistes de St Pétersbourg, des Mu-
sees public et Roumanzoff de Moscou, de la Société Ouralienne â*A-
mateurs des sciences naturelles к Ekathérinebourg, de MM. Lap-
schine, de MM. Fischer de Waldheim et Herder, de TAcadémie Roy-
ale des sciences de Lisbonne et de la Bibliothèque de FUniver-
tité de Breslau.
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— 4 —
Mr. le Dr, Guido >скепм1 envoie lee cbseryatione météorologiques
HUignétiques faites pendant le mois de Décembre 1884 à Bovdapest
La cotisation ponr Tannée 1886 a été payée par MM. E. JSL Lmde->
ma/m et E. B. Zickendraih,
DONS.
Livres offerts.
1. Deutoc^ Entomologische Zeitschrift.— Jahrgang 28. Heft 2. Berlin
1884 in 8*. De la pari de la Société enUmologi^e aUewuMuU d$
Berlin.
2. BuUeün de l'Académie de médecine. 1884. № 50, 51, 62, 58.
1885. >( 1. Paris 1884—85 in 8«. De la part de l'AeadémU de
médecine à Parie.
8. Zoologiseher Anzeiger* Jahrgang 7. № 188, 184, 185. Leipsig
1884—85 in S\ De la part de Mr. U Prof. Victor Сапш de
Leipeig,
4. Journal of the American Medical Association. Vol S. J^ SS; 23»
Chicago 1884—85 in gr. 8«. De la part de VAesoeiation Ы№
cale d^Afnérique à Chicago.
5. Nature. 1884. }k 790, 791, 792. London 1884 in 4'. De la part
de la Rédaction,
6. Der Naturforscher. Jahrgang 17. № 50, 51, 52. Berlin 1884 in 4\
De la part de Mr. le Dr. Sklarek,
7. The Canadian Entomologist Vol. 16. № 9, 10, 11. London 1684
in 8». De la pari de Mr. Saunden.
8. DoUfue, Adrien. Les espèces françaises du genre Philoscia
Latreille. Paris 1884 in 8*. De la part de l'Auteur.
9. Униеерситетск%я HsB-fecri«. 1884. }^ 9. К1евъ 1884 in 8«. De Im
part de rUnivereité de Kieff.
10. Отчетъ Кавказскаго Общества Сельскаго Хозяйства, 18791
J^ 10-12. 1880. № 4—12. 1881. J^ 2—12. 188:^. Л 1, 3, 5. 188t.
П 2—8. Тифлисъ 1879—83 in 8*. Ре la part de la Société <f«-
grieulêure du Са%леаае à Tiflis.
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11. Mémoires de l'Académie Impériale * des sciences de St. Péten-
bourg, T<m€ 7. № 1-9. Tome 8. 3^ 4—16. Tome 17. .^ 12. St.
Pétersboarg 1863—71 in 4\ De la part de l'Académie L deê
êcienees de SL Pétersbourg.
12. Földtani Közlöng. Kötet 14. Ftizet 9—11. Budapest 1884 in »•.
De la part de VlnstittU R, géologique de Hongrie à BoudapeaU
13. Atti della Reale Accademia dl scienze, lettere e bella arti di
Palermo. Nuova série. Vol. 8. Transconti fasc. 16 ed ultimo.
Palermo 1884 in 4*. De la part de V Académie Royale des seien'
ces de Palerme.
14. Mitiheilungen der natnrforsciienden Gesellschaft in Bern ane
dem Jahre 1883. Heft 2. № 1064—72. Bern 1884 in 8'. De Im
part de la Société d'histoire naturelle de Berne.
15. Verhandlungen der Naturforschenden Gesclschaft in I^asel. Tbeil
7. Heft 2, Basel 1884 in S\
16. Die Basler Maihematiker Daniel Bernoulli u. Leonhard £uler.
Anhang zum 7-ten Theile der Verhandlungen etc. Basel 1884. Ьвш
^ I5j 16 de la part de la Société des Naturalistes de Basle.
17. Verhandlungen der Schweizerischen (Gesellschaft in Zürich. Jab
resbericht 1882—83. Zürich 1884 in 8*. De la part de la Société
helvétique d'histoire naturelle de Zurich,
18. Neues Lausiteisches Magazin. Band 60. Heft 1. Görlitz 1864 in
8*. De la part de la Sociäe des sciences de Görlitz.
19. Csemiavsky^ Void. Crustacea Decapoda pontica littoralia. Харь-
ковъ 1884 in 8^ De la part de la Société des Naturalistes de
Kharkoff.
20. Bulletin des publications nouvelles de la librairie Gauthier-
Villars. Année 1884. Paris 1884 in 8^ De la part de Mr. Gaw
thier-Villars à Paris.
21. Bulletin de la Société belge de Microscopie. 11-ème année, ife
П. Bruxelles 1884 in s: De la part de la Société belge de Mi-
eroscopie à Bruxelles.
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— 6 —
22. Записки Инперат. Общества Сбльскаго Хозяйства Юхвой Рос^
du, 1884. Ноябрь— Декабрь. Одесса 1884 in 8*. De la part dt
la Société L d'agriculture du Midi de la Russie à Odessa.
23. Botanisches Centralblatt Band 20. ^ 12, 13 (1884) № 61, (52).
Band 21. № 1, 2. Cassel 1884— a') in 8V De la part du Dr.
Oscar Uhlujorm,
2L Transactions of the Connecticnt Academy of arts and sciences.
Vol e, part 1. New Haven 1884 in 8«. De la paH de Г Académie
des arts et des sciences du Connecticut à NewHaven,
25. Bulletin mensuel de la Société Linnéenne du Nord de la
France. № 5—16. № 38, 34. № 48—45, 64-69, 72—75, 88—98.
Amiens 1872—80 in S\
96. Mémoires de la Société Linnéenne du Nord de la France. Année
1867. Amiens 1868 in S'. Les J^ 25, 26 de la part de la Société
Linnéenne du Nord de la France à Amiens,
37. The scientific transactions of the Royal Dublin Society. Vol. 3-
(series 2). March. Dublin 1884 in 4%
38. The scientific Proceedings of the Royal Dublin Society. Vol. 4
(n. s.) part 4. Dublin 1884 in S\ Les И? 27, 28 de la раН de
la Société Royale de Dublin.
29. Журналъ Министерства Народваго üpocBimeHifl. 1884. Декабрь.
С.-Петерб. 1884 in S\ De la part de la Redaction.
30. Schriften des Vereines zur Verbreitung naturwissenschaftlicher
Kenntnisse in Wien. Band 24 (Jahrg. 1888—84). Wien 1884 in
S\ De la part de la Société pour répandre les connaissances
d'histoire naturelle de Vienne.
91. dfeimter, Stanislas. Traité de Paléontologie pratique. Ayec 815 vig*
nettes et 2 cartes géologiques. Paris 1884 in 12*. De la part été
l'Auteur.
82. Jannetlaz. Ed. Los roches. Avec 2 cartes et 215 gravures et
planches. 2-de édition. Paris 1884 in 12^ De la part de l'Auteur.
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— 7 —
38. Garietufdlung. 1884. № 51, 52. 18Ык J^ 1. Berliu 1864—85 in 8^.
2># la part dt Mr. le Dr. L. WiUmaek,
34. Bulletin mensuel de la Société nationale d'Acclimatation de
France. 1884. № 10, 11. Paris 1884 in 8*.
35. Chronique de la Société nationale d'acclimatation de France*
1884. № 24. 1885, ^ 1. Paris 1884-85 in 8*. Les Л? 34, 35 de
la part de la Société nationale d'acelimalation de France de
Paris.
36. Лпсной Журналъ. Годъ 14, выц. 10-ft. С.-Петерб. 1884 in 8*.
De la part de la Société forestière de St.-Pétersbourg.
37. Commeniari delFAteneo di Brescia per Гаппо 1884. Brescia
1884 in 8*.
36. Bettoni^ Eugène. Prodromi délia faunistica Bresciana. Brescia
1884 in S\ Les И? 37, 38 de la part de V Athénée de Brescia.
39. Труды Ино. Водьнаго Эковоянческаго Общества. 1884 годъ.
Ноябрь. С.-Летерб. 1884 in 8®. De la part de la Société L libre
économique de St. Päersbourg.
40. Записки Ими. Харьковскаго Университета. 1882 года. Т. 2, 3.
Харьковъ 1884 in 8*. De la part de V Université de Kharkoff.
41. BerUner Entomologische Zeitung. Band 28, Heft 2. Berlin 1884
in 8^ De la part de la Société entomologique de Berlin.
42. Joumai of the Royal Microscopical Society. 1884. December.
London 1884 in 8**. De la part de la Société de microscopie de
Londres.
48. Berichte über die Verhandlungen der natorforschenden Gesell-
schaft zu Freiburg i. Breisgau. Band 8. Heft 2. Freiburg i. B.
1884 in 8®. De la part de la Société d'lUstoire naturelle à Fri*
bourg i. B.
44. HsmcmiH Петровской Земледельческой и Л']&сной Акаде1пи.
Годъ 7-й. Выиускъ 2. Москва 1884 in 8^ De la part de l'Aca-
démie agricole et forestière de Petrowiky.
45. Comptes rendus hebdomadaires des séances de la Société de
Biologie. 8 ème Série. Tome 1. № 42, 48, 44. Paris 1884-85 in
8*, De la part de la Société de Biologie à Paris.
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— 8 —
46. Johrn Hopkins University circulars. YoL 4. 16 35. Baltimore
1884 in 4«. De la part de l'Université John Норктш de Bal-
timoré.
47. Anales de la Sociedad cientifica argentina. Novembre de 1884.
Bnenos-Aires 1884 in 8*. De la part de la Société snieniifique
argentine de Buenos Aires.
48. Coooneniß н Протоколы »JaciAaBifi Математическаго Общества
въ Харькова 1884. П. Харьковъ 1884 in S\ De la part de 1л
Société mathématique de Kharkoff.
49. Протоколы Зас^дан^! Общества Б1евскн»ь Врачей за 1882 —
83 годъ. Шевъ 1883.
60. EpuAOMenis въ Дротоволамъ Зас'Ьдан1й Общества Шевскихъ
врачей за 1882—83 годъ. Kieвъ 1884 in 8«.
51. Маковетпй^ Т. Б. Таблицы смертности и рождаемости KicB-
скаго населешя. Годъ 4-й. № 7—12. Шевъ 1883—84 in 8^ Les
Л 49—51 de la part de la Société des médecins de Kieff.
52. Протоколы зас^дан1й Общества естествоиспытателей въ Ка*
зааи. 15-й годъ. 1883—84. Казань 1884 in 8*.
53. Труды Общества Естествоиспытателей въ Базавп. Томъ 19,
вып. 5. Томъ 13^ вып. 1, 2, 3 (вып. 1 и 2), 4. Казань 1884 ine**.
Les Л 52 f 53 de la part de la Société des Naturalistes de Kasan.
54. Sitzungsberichte der Mathematisch - Naturwissenschaftlichen
Classe der К. Akademie der Wissenschaften in Wien. Jahrg.
1884. .^ 24—27. Wien 1884 in S«. De la part de l'Académie L
des sciences de Vienne.
55. The Geological Magazine. 1885. January. London 1885 in 8'. De
la part de Mr. Henry Woodward.
56. Feuille des jeunes Naturalistes. 15 Année, лг 171. Paris 1885
in gr. 8^ De la part de Mr. Adrien Dollfus de Paris.
57. Annual Report of the Curator of the Museum of Comparative
Zoology at Harvard College for 1883-84. Cambridge 1884 in 8*.
De la part de Mr. Alexandre Agassis.
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56. La Natm-aUza. Tome 6. Entrega 21—24. Tomo 7. Ëntrega 1.
Mexico 1883—84 in 4*. De la part de la Société mexicaine d'hi»-
toire naturelle de Mexico,
59. Records of the geological Survey of India. VoL 17, part 4. Cal-
cutta 1864 in 8^. De la part de la Société géologique des Indes
à СсЛсШа.
60. Sehr auf ^ А. üeber die Trimorphie und die Ausdehnungscoëffi-
denten von Titandioxid. Leipzig 1884 in 8^ De la part de
r Auteur.
61. The Quarterly Journal of the Geological Society. 1884. No-
vember. № 160. London 1884 in 8*.
62. List of the geological Society of London November 1884. Lon-
don 1884 in 8*. Lea M 61^ 62 de la part de la Société géologique
de Londres,
63. Proceedings of the Academy of natural sciences of Philadelphia.
Part 2, May— October 1884. Philadelphia 1884 in S\ De la part
de l'Académie des sciences naturelles de P/iiladélphie,
64. Jahreshefte des naturwissenschaftlicben Vereins fur das Für-
stentum Lüneburg. IX. 1883. 1884. Lüneburg 1884 in 8«. De la
part de la Société d'histoire naturelle de Lunébourg,
66. Труды Русскаго Энтомологическаго Общества bi. С.-Петер-
бург*. T. VL 3. 4. T. X. T. XIL С-Петерб. 1871-81. De la
part de la Société entomolo gique de St, Pétersbourg.
66. MiUheilungen aus der Zoologischen Station zu Neapel. Band 6.
Heft 3 u. 4. Leipzig 1884 in S\ De la part de Mr, le Dr, An-
toine Dohm de Naples,
67. Schmiit^ С. Mittheiluugen aus der amtlichen Leben smittel-
XJntersuchungs— Anstalt u. chemischen Versuchstation zu Wies-
baden. Wiesbaden 1886 in 8®. De la part de l'Auteur,
68. Proceedings of the Royal Physical Society. Session 1874—75,
1875-76, 1877—78, 1878—79, 1879-80, 1888—84. Edinburgh
1875—84 in 8^ De la part de la Société R, de physique d'Edim-
bourt/.
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~ JO —
69. BuUetin de la Société zoologiqne de France. i^6, parties 2-^
1877, part 1. 6. 1878. (3-е vol.) 188^, parties 2- 4, 6, 1884, part
3 et 4. Paris 1876--84 in 8^ De 2a part (le la Société жоЫод%-
que de France à Paris.
70. Варшавскгя Унивврситетск1Я Изв^спя. 1870. J^ 4. 1873. Л 1.
188Л, № 6. Варшава 1870—78 in 8\ De la part de l'Universué
de Varsovie.
71. Bulletin de la Société philomatiqae de Paris. 7-ème série. To-
me 5. «>& 1. Paris 1881 in 8^ De la part de la Société phikmo"
tique de Farts.
72. Bulletin de la Société géologique de France. 8-ème série. Tome
11, feuilles 40—48. Tome 12, feuilles 26—32. Paris 1884 in 8«.
De la part de la Société soologigue de France à Paris*
73. Haencmia Ими. Русск. Географическаго Общества. Толп 1. Тк
3—5. Томъ 6. J^ 8. Томъ 8, ->& 9. Г. 13, вып. 3—6. Т. 14, вып. 6.
Т. 15, вып. б. Томъ XVII, вып. г.' Т. XVIII, выц.З, 4. Томъ 20,
вып. 4. С.-Петерб. 1866—1884 in 8«.
74. Кропоткинъ. ИзслФдован1е о Ледццковоиъ nepioAt. С-Петерб.
1876 in 8\
76. Записки Ими. Русев. Географическаго Общесгва Томъ 2, 3, 4,
5, 6 кн. 1, 2. Т. VII, съ ATiac. Т. VIII, вып. 1, 2. Г. IX, X
№ 1, 2, 3, 4. С.-Петерб. 18.
76.— — — — — — — — — — — по Отд. Энтограф.
Томъ 2, 3, 4, 5, 7, 8, 9, 11, 12. С.-Петерб. Les J^ 73— 7в de la
part de la Société I. russe de Géographie de St. Pétershourg.
77. Stevenson, l. L Report of Progress in the Fayette and Westmo-
reland district of the bituminous CoabFields of Western Penn-
sylvania. Part 1 and 2. Harrisburg 1877—78 in 8*.
78. — _ The Geology of Bedford and Fulton Counties. Harris-
burg 1882 in S:
79. Report upon geological examinations in Southern Colorado
and Northern New Mexico. Washington 1881 in 4«. Les У^ 77, 78,
79 de la part de l'Auteur.
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— li-
ed. PyecKiu BibCMHUKb на 1884 г. Декабрь. Москва 1884 in 8*. De
la pari de la RedacHofu
81. Садг и Огородъ. Годъ 1-й. 1886. :^ 1. Москва 1886 in А\ De
la part de la Société des amie dliorticuUure de Moecou.
' 82. Записки Западно-Сибирскаго Отд'Ьла ,Имп. Русскаго Географн*
ческаго Общества. Книжка в. Оискъ 1884 in 8^ De la part de
la section occidentale de la Société L géographique russe
d'Omsk,
83. Atti dell'Academia pontifica de'Nnovi Lineei. Anno 36. Ses-
eione y, VI, Vn. Roma 1884 in 4^ De la part de l'Académie
pontificale de Nuovi Lineei à Лоте.
84. Siigungsberichte der mathematisch-physikalischen Classe der
К. В. Akademie der Wissenschaften zn München. 1884. Heft
8. München 1884 in 8^ De la part de V Académie Royale des
Sciences de Munich»
86. Zeitschrift für Naturwissenschaflen. 4-te Folge. Band 3. Heft 4.
Halle a. S. 1884 in 8^ De la part de la Société d'histoire natu-
relle de Halle.
86. Протоколъ ЗасЬд. Ими. Кавказскаго Медицинскаго Общества.
1884. № 10, 11. Тифлсъ 1884 in 8*. De la part de la Société
I. des médecins du Caucase à Tiflis.
87. Bericht über die Thätigkeit der St Gallischen natorwissen-
schafUichen Gesellschaft während des Yereinsjahres 1881—82.
St. Gallen 1883 in 8'. De la part de /a Société d'histoire natu-
relle de St. Oallen.
88. Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaft Band 16. Viertes
Heft Band 17. Heft 1 u 2. Jena 1883—84 in 8«.
89. Sitzungsberichte der Jenaischen Gesellschaft für Medizin u. Na-
turwissenschaft für 1882 u. für 1883. Jena 1883—84 in 8*. Les
Л* 88^ 89 de la part de la Société pour la médecine et l'histoire
naturelle de Jena,
90. Jahresbericht der Gesellschaft für Natur -u. Heilkunde in
Dresden. Sitzungsperiode 1882-83. Dresden 1883 in S\ De la
part de la Société d'histoire naturelle et de médecine d Dresde»
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— 12 -
91. Bericht (42-ter) über das Maseum Francisco-Carolinom. Liai
1884 in 8^ De la part du Musée Franeiaco-Carolinum de Lmg.
92. Mitiheüungen ane der Livländischen Geschiebte. Band 18. Heft
3. (Jubiliäamsbeft 6 December 1884). Riga 1884 in 8'.
93. BöthfOhr^ H. I. Die Livländer aaf aQSW&rtigen Universiatea.
Erste Serie. Festschrift Riga 1884.
94. SiUungeberiMe der Gesellschaft für Geschichte a. Alterthame-
knnde der Ostseeprovinzen Rosslands aas den Jahren 1882— 8S.
Riga 1884 in 8*. Les M 92^9à de la part de la Société pour VU'
stoire et les antiquités des provinces baltiques de la Russie à Biffa»
96. Труды С.-ПетербургсБаго Общества Бстествонсаытателей. Ton
14. вып. 2.i. Томъ 15, вып. 1. С.-Петербургъ 1884 in 8\ De la
part de la Société des Nalinralistes de St. Pétersbourg.
' 96. Челюкановъ^ Ai. Б. Докладъ о путешеств1и въ Константинополь
по осмотру дворцовых ъ птичниБовъ Его Величества Султана.
Москва 1884 in 8\ De la part de VÄuteur.
97. Horvath^ G. Heteroptera anatolica in regione Brassae collecta.
1883 in 8».
98. — — Diagnoses Hemipteromm. I. П. 1884 in 8'.
99. - — Le Phylloxera et le froid d'hiver. 1883 in 8«.
100. — — A Rovarok Dimorphismosarol. Budapest 1884 in S\
101. — — A Pirregö tttcsök fejlodést viszonyairol. in 8«.
102. — — Idöszakos tunemenyek az AUatvilagban. in 8*.
103 et 104. — — Kulönlenyomat a „Termeszattudomanyi^'. Köi-
löny 151, 158. Fûzetébol in 8«.
105. — — Rovartani Lapok. 1884. Oktober, Nuvömber, Deczem-
ber. Budapest 1884 in 8. Les Л- 97—105 de la part de ГЛш-
teur. (Dr. Gesa Hovarth),
106. Berichte über die Verhandlungen der К. Sächsischen Gesell-
Schaft der Wissenschaften zu Leipzig. Mathcm. Abhandlungen*
XII. L Physische Classe. 1883. Leipzig 1884 in 8\
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— 13 —
107. Fechnfr. G. Th. Ueber die Frage des Weberiscben Gesetzes und
Periodicit&ts Gesetzes im Gebiete des Zeitsinnes. ^ 1. Lei|«ig
1884 in gr. B: Les Л 106^107 de la part de la Société Я des
seimces de Leipsig.
106. Thomson C, Wyville and Mwrray, John, Report of the scientific
results of the Toyage of H. M. 8. Challenger during the years
1878—76. Zoolog}'. Vol. X. London 1884 in 4». De la part eu
Gouvernement anglais,
ЮО. Irmisihia. 1884. October, November. Sondershansen 1884 in 8*.
110. Töpfer, H. Phänologische Beobachtungen in Tübingen. Ans
dem Jahre 1888. Sondershansen 1884 m Ъ\ Les Л 109, ПО de
la part de la Société botanique de la Thuringe à Sondershausmu
111. Petermann's Mittheilungen ans Justus Perthes Geographischen
Anstalt. (Prof. A. Supan) 1884. № 12. Ergänzungsheft J^ 76.
Gotha 1884 in 4«. De la part de Mr. Justus Perthes de Gotha.
112. Frémilly^ J. de. Alexandre Grig. Fischer de Waldheim. Paris
1884 in 8*. De la part de Mr. Л. Л. Fischer de Waidheim de
Varsovie.
118. Труды Общества Естествоиспытателей при И. Казавскопъ Унп-
верситет^. Т. 6, вып. 4. Томъ 8, вып. 1. Т. II, выл. 6. ToMitÊ^
вып. 1, 3. Казань 1877—88 in 8«. De la part de la Société des
Naturalistes de Kasan,
114. WüUanis, Albert Mineral resources of the United States. Wie-
bington 1888 in 8». De la part de la Société géologique des E$êUs
Unis de Washington.
115. Изтстгя Геологическато Комитета 1884. Томъ 8-й. № 8. С-Пе-
тер(>. 1884 in 8*. D« ïa part du Comité géologique de St.-PéUrs-
bourg.
lie. Гердеръ Ф. Э. Сравнительная Таблица времени развит1я на
открытомъ воздух-Е листьевъ и цв^товъ и пр. въ 1888 году.
С.-Петерб. 1884 in 8«. De la part de VAuUur.
117. Qoronowiisch, Nie. Studien über die Entwicklung des Medub
larstranges bei Knochenfischen, nebst Beobachtnngen über die
erste Anlage der Kiemblfttter u. der Chorda bei Salmoniden.
1884 in 8'. De la part de FAutewr.
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— li-
ne. Золотпитгй,^ H. О. ÂKsapijMb Любителей. Москва 1885 in 8*.
De la part de V Auteur.
Membres élus:
(Sur la proposition de MM. Renard et Czech) Mr. August CsuUik
à Vienne.
(Sur la proposition de MM. Panloff et Lindeman) M. le Prof.
Ifeumayr к Vienne.
SÉANCE Dû 21 FÉVRIER 1886.
Mr. le Vice-Président prof. Th. A, Bredû^in déclare qu*il y a
une communication importante к faire à la Société: il s'agit d'une
perte douloureuse qu'elle vient de faire, ainsi que toute la science
russe, et propose d'écouter cette communication debout
Tous les membres présents de la Société s'étant levés, Mr. le
pro/. S. A. Ou88of fait part de la mort d'un membre du bureau
de la Société, du célèbre zoologue et voyageur N. A. Séverteof^
décédé dans la nuit du 28 Janvier d'un coup de sang, à la suite
d4me chute dans les eaux froides du Don.— Après cette communica-
tion, le prof. Ouesof fait un aperçu de la vie et de Pactivité scien-
tifique du déiiint*
N. A. i^évertzof est né en 1828 et a fait les premières études
dans la maison paternelle. Grâce à des dispositions peu communes,
à la facilité de sa mémoire et à sa passion pour la lecture, il était
prêt à entrer к l'université dès l'âge de 16 ans. A cet âge, il par-
lait et écrivait facilement le latin, l'allemand, l'anglais et le fran-
çais. Après avoir passé quatre ans à l^Qniversité, il en sortit avec
le grade de candidat Pendant ses études, il avait fait la connais-
sance du célèbre voyageur Kardîne et du professeur BouUier^ qui
donnèrent une direction déterminée к ses travaux. Amateur passi(nné
dans sa jeunesse, Sévertzof devint zoologue et s'adonna к l'étude de
la faune des vertèbres du gouv. de Vuronège.
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— lo ~
En 1856, 11 déiendit à TUniv. de Moscou sa dissertation pour le
grade de maUre en zoologie. Remarquons qne pour certaines raisons il
échoua une première fois à Pexamen de zoologie, mais le subit Tan-
née suivante аЧше maniéré brillante. Sa dissertation: „Sur les pliéno-
mènes périodiques dans la vie des mammifères, des oiseaux et des
reptiles du Gonv. de Voronège"; eut un grand succès. L\\cadémi-
cien Middendorf la cite fréquemment
Бп 1857, Sévertzof fit paraître plusieurs articles dans les publi-
cations de la Société des Naturalistes; ce sont a) о Б1ьлохвостикш
в) de TAstur brevipes. etc. Ce dernier article est le premier travail
de^ Sévertzof en zoologie systématique.
En 1867, S. fut désigné par l'Acaéémie pour diriger une expédi-
tion scientifiqne dans les steppes des Ehirguises, sur les rives du
Syr-Daria. Pendant cette expédition il fut blessé et emmené captif
en Turkestan. Remis en liberté, il continua encore ses travaux
pendant six mois. Il revint de ce voyage en 1859, et en rapporta
de riches collections^ bientôt après il partit pour les pays étrangers.
Pendant son voyage, il fit la connaissance de Gioger et de Levail-
lant, qui eurent beaucoup d'influence sur lui. Gioger s'occupait alors de
rétude de Tinfluence du climat sur les espèces des oiseaux, question
qui intéressa Sév. jusqu'à ses dernières années.
£n 1860, Sév. lut nonuné membre du comité de la réorganisation
militaire des cosaques de l'Oural, et eut de l'influence sur le perfee-
tîonnement des pêcheries de ce pays. 11 passa les années 1862 et
1863 к l'étranger.
En 1864 il prit part à l'expédition du général Tchemiaef à Tasch-
kent et к Tchimkent II eut uiie part active à la prise de Tchim-
kent, en remplissant les fonctions de chef d'état major, s'occupant
de mesures sur le terrain et de dresser des plans. En 1865, il fut en-
^yé comme parlementaire к Jacoub-Khan, qu'il amenna à un armis*
tice, grftce auquel gén. Toherniaef eut la possibilité de se retirer
et d'occuper une position plus avantageuse. De 1865 к 1868 il diri-
gea l'expédition de Tianschan.
La description des environs d'Issyk-Koul, qui forme un gros vo-
lume, a été très bien reçue к l'étranger. Sévrtzof revint de cette
expédition en 1869, et s'occupa jusqu'en 1874 du dépouillement des
collections qu'il avait recueillies.
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— 16 —
En 1874, il prit part à Texpédition dn général Stolétof dans le
delta de TAmoii^Daria.
£n 1875, il assista aa Congrès Géographique de Paris, où il pré-
senta on travail snr la période des glaces dans le Tianchan.
En 1877 et 1878 Sév. fit partie de l'expédition destinée à étudier
la Ferghana, l'Altaï et le Pamyr.
En 1879 il prit son congé et retourna en \Ru8sie. Vivant taur
tôt à Moscou et tantôt à la campagne, il s'occupa de Tétode des
nombreux matériaux qu'il avait rassemblés.
Sévertzof a laissé une collection de 15000 exemp. d'oiseaux et d'aut-
res animaux, dont plusieurs ont été tués et préparés par lui-
même, et de nombreux articles. Il y a plus de 03 ouvrages impri-
més de Sévertzof.
En terminant, le prof. Oussof a offert en don à la Société ив
des meilleurs portraits photographiés de N. A. Sévertzof.
Mr. M. A. МетЫег a déclaré que la veuve et le fils de Sévertiof
lui ont remis, pour être préparés à l'impression, tous les manuscrits
du défunty et a énuméré ces ouvrages.
n y a dans le nombre 2 ouvrages prêts à être livrés à l'impres-
sion; ce sont: 1) Sur les faucons nouveaux ou peu connus de la
Russie, avec une planche; 2) Monographie des aigles paléarctiques
(partie générale), avec des planches.
В y a en outre: a) Deux listes des oiseaux de la région paléarctique,
avec des notes qui permettent de terminer ce travail; b) les maté-
riaux d'une ornithologie du Turkestan, qui peut être publiée; c) les
vainqueurs et les vaincus dans la lutte pour Texistence; d) les oiseaux
du gouv. de Voronège; e) des variétés dans la famille des chats; 0
aperçu orographique de la chaîne du Pamyr; g) études des anciennes
voies du Pamyr.
Mr. Menzbier propose de publier tous les travaux zoologiques de
S. dans les Mémoires de la Société, en un volume séparé, et croit
pouvoir les préparer pour l'impression dans le courant de cinq années.
Mr. A. P. Pauîoff a donné un aperçu biographique de Mr. G. P.
Heîmersen, décédé le б Févr. courant
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— 17 —
L'Académicien Greg. Petrov. Helmersen est le plus ancien к pré-
sentant des études géologiques en Russie. Il a travaillé pendant ])rès
de (Ю ans aux différentes branches de cette science et a fait de П(^т-
breuses fouilles en Russie.
Ilelm. a fini ses études h l'Univ. de Dcrpat eu 1825, à l'âge de 22
ans, et après avoir subi ses examens, il accompagna le profess, de
zoologie Engelhardt dans l'Oural, pour y étudier les mines d'or. De
retour de cette expédition, il entra au service au min. des Finances,
et fut envoyé une seconde fois dans l'Oural avec Hofmaun.
En 1829, quand la chaîne de l'Oural fut visitée pour une expédition
de savants dont faisaient partie Humbolt, Ehrenberg et Rose, H. et
Hufmann furent chai gés deles recevoir et de les accompagner dans
rOural méridional. H. passa les deux années suivantes en pays
étrangers à étudier la géographie et la paléontologie, et il publia
à Berlin son premier ouvrage: „Desciiption géologique de V Oural mé-
ridional'', A son retour H. entreprend une suite d'expéditions dans
différentes \ arties de la Russie. Dans le courant des années 1833—
36, il alla deux fois dans TOural et une fois dans l'Altaï. Les résul-
tats de ces voyages ont été imprimés dans les Beiträge zur Kennt-
nis8 des Russischen Reichs ".publiés par Hel. et TAcadémicien Bö er.
En 1838 Hd. fut nommé professeur de zoologie à l'Institut des
mines de St.-Pétersbourg, et pendant les années 1838—41, il porta
toute son attention sur l'étude des provinces Baltiques et du bassin
des environs de Moscou: il étudia la partie septentrionale de ce
bassin dans le gouvernement de Novgorod, fit des recherches sur
les mines de charbon de terre des gouvernements de Toula, de
Kalouga et d'Orel, et publia une suite d'articles sur les richesses
minérales de ces contrées. Il entreprenait en même temps un tra-
vail très important: celui de dresser une carte géologique de toute
la Russie d'Europe. (La première édition de cette carte parut en
1841).
En 1852, Helmersen visita les lacs salés de la Bessarabie-, en
18o8— 59, il étudia les mines de la contrée d'Olonetz et s'occupa en
même temps du puits artésien qu'on devait forer à St.-Pétersbourg.
Pendant les années 1860—60 Hel. surveilla les recherches et l'ex-
ploitation des mines de charbon du bassin Moscovite, visita plu-
sieurs fois ces travaux et prit part à la polémique qui s'éleva
alors sur la position de l'horizon (du niveau) de l'antracite. Quand
on arriva à la conclusion qu'il fallait renoncer à trouver de nou-
velles couches de charbon près de Moscou, l'attention des géolo-
.^ 1. 1866. 2
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— 18 —
gués se porta sur d'autres localités, où Ton connaissait Poxistence
de ces couches, faciles à exploiter.
L'arc du Volga près de Samara, et surtout le bassin du Doneti,
attirèrent alors l'attention de Helm.— En 1864, il s'occupa des vol-
cans de boue de la presqu'île de Taman et des mines des gouver-
nements de Kiew et de Kherson et de la Pologne^ en 1863, il re-
tourna dans l'Oural pour des recherches du môme genre. Depuis
1864, Helmersen insista sur la fondation d'une Institut géol. spé-
ciale pour Pétude de la Russie. Ce projet devait être réalisé 18 ans
plus tard, с à d. en 1882.
Les questions ci-dessus mentionnées ne furent pas les seules à atti-
rer l'attention de cet actif géologue; une de ses études de prédilec-
tion était celle du période des glaces en Bussie; il lui consacra
son dernier ouvrage, publié dans les Mémoire de l'Académie de
1883, et imprimé dès 1860.
M. S. N. Nikitine a parlé des limites atteintes par les glaciers
dans la Russie centrale et dans l'Oural pendant la période gla-
ciaire.
M. le Vice-président Th. Bredichin a parlé de la grande Comète
de 1811.
M. Ä. P. Pavlaw présente une note sur l'histoire géologique des
oiseaux.
Mr. Л, Smimow de Tiflis, présente un travail sur les plantes
vasculaires du Caucase.
Le Comité d* organisation de la bibliothèque publique de Jitomwê
s^adresse à la Société pour qu'elle Taide dans ses travaux et lii
envoie ses publications.
La Société pro fauna et flora fennica de Helsingsfors réclame le
№ 4 du Bulletin 1883 qui lui a été envoyé dans le temps (le 3 Jnin
1884) sous le № 976.
Le Consul italien à St.-Pétersbourg, Mr. M. Pinto, envoie de la
part de Mr. Stephen Sommer de Florence Touvrage: „Un estate in
Sibiria^ avec beaucoup de planches et de dessins parfaitement exé-
cutés.
. S. Бхс Mr. Gustav Badde de Tiflis communique encore quel-
ques détails sur ses traveanx littéraires (sur l'Omis russe et le
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— lî> —
Talysch) et désire recevoir pour quelques temps les tiavaux de
Ilohenacker sur les plantes de Talysch et d'Elisabethpol puMiée
dans le Bulletin 1833 et 1838, le Président lui a envoyé ces tra-
vaux.
Mr. Edouard Bogdanovitsch Linde m an, d'Elisabethgrad, remercie
pour le Bulletin et les nouveaux mémoires et propose pour le Bulle-
tin un travail sur son herbier, dans lequel se trouvent des spéci-
mens de 818 Botanistes.
Mr. Alex. Casp, Becker de Sarepta écrit qu'ayant actuellement des
occupations qui le retiennent dans cette ville, il ne pourra plus
entreprendre des excursions dans des contrées sauvages et éloignées
et qu'il ne s'occupera plus que de recherches botaniques dans les
environs de Sarepta et d'Astrachan.
Mr. H. Ad. Trautsehold appuie l'observations faite par Mr. Neu-
mayr dans le Journal de Minéralogie: que * la Société ferait bien
d'ajouter к tous ses tirés à part le J^ du Bulletin de la "société
dans lequel les tirés к part ont été publiés; ce quo faciliterait beau-
coup les citations.
Le Jardin botanique de St-Pétersbourg envoie la liste des se-
mences qu'il offre pour échange en I8bi.
Mr. Ed. Ed. Ziem présente la cotisation de 8 Rbls pour les années
- 1884 et 1885.
La Société Royale des sciences de Turin envoie le programme de
la question du prix de feu Cesar Alexander Bressa, qui doit être
décerné к la fin du Décembre 1886.— Le prix est de 12000 florins
italiens.
La Société Royale des sciences de li Bohême à Prague annonce le
décès de son Vice-Président, le chevalier Frédéric de Stein, mort le
5 Janvier à l'âge de 67 ans.
La famille de Baumhauer annonce la mort du Commandeur
Edouard Henri de Baumhaner, secrétaire perpétuel de la Société
hollandaise des sciences к Harlem, le 18 (6) Janvier 1886 à l'âge
de 64 ans.
Le Bureau Statistique de Buenos-Aires envoie le Recensement gé-
néral de la Province Buenos-Aires jusqu'au 9 Octobre de 1881 et
prie de lui faire parvenir une copie des rapports, jugemens etc. qui
auront pour but d'analyser ce livre.
2*
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— 20 -
л/г. le Baron de Nordenàkiold de St< ckholm accuse réception da
diplôme de la Société, réitère ses remerciaiens et promet renvoi de
sa carte photographiée. Mr. Nordenskiold annonce en même
temps qn'il nons adressera prochainement le fac-similé d'un dessin
de Mamouth fantastique envoyé en Suède par un prisonnier
Suédois des guerres de Charles XIL Mr. de Nordenskiold exprime
aussi le désir de recevoir, s'il est possible, le Bulletin de la Société
au fur et à mesure que les Bulletins paraissent.
MM. Sclater de Londres et Camoy de Louvain envoient lenrs
cartes photographiées, le premier accompagnée d'une lettre en lan«
gne latine dans la quelle il remercie pour sa nomination de membre
de la Société.
Mr. le Dr. Vtne. Iv. Dybovsky accuse réception du diplôme de la
Société et envoie sa carte photographiée.
Mr. Auguste Czullik de Vienne désire recevoir uu exemplaire du
Ra()port annuel dos travaux de la Société, pour ap])rendre en quoi
il pourrait se rendre utile à la Société.
La Société a reçu, dès le 17 Janvier, en suite de sa circulaire par
rapport aux lacunes qui se trouvent dans sa bibliothèque, de la
part de la Société dés naturalistes de Kazan 6 volumes-, de la So-
ciété pour les sciences naturelles à Halle 6 volumes.
De la Société ornithologique de Vienne: 22 numéros de ses ]\Iitthei-
lungen.
De la Société litéraire et philosophiqae de Maneheslre 2 vol.
De rUniversité de Kiel 4 volumes.
Mr. le Dr. Guido Schensl envoie le Résumé de ses observations
météorologiques et magnétiques faites et Budapest pour toute l'an*
née 1884 et les observations pour le mois de Janvier 1885.
Le Préaident de la Société présente les Observations météorolo-
giques faites à TAcadémie de Pétrovsky Razoumovskv par Mr. B.
E. Baehmélieff троит la seconde moitié de l'Année 1884 et publiées
par les soins de Mr. le secrétaire Professeur Lindeman.
Lettres de remercimens pour Penvoi des publications de la So-
ciété de la part de PAcadémie L des sciences de St-Pétersbourg,
des Universités de Kieif, Kazan, St.-Pétersbourg et dЮdeRsa, de la
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— 21 —
bibliothèque publique, du Ljcée Alexandre et de TObservatoire pliy-
eique de St-Pôtersbourg, de TEcole réale d'Ekateriuoslav, du Co-
mité géologique et de Tins ti tut forestier de St. Pétersbourg. de l'Ins-
titut agricole et forestier de Nova Alexandria, de TAcadémie d'agri-
culture de Pétrowsky, de l'Ecole d'agri - et d'horticulture d'Ouman,
des Jardins botaniques de St-Péterbourg et de Varsovie, de la So-
ciété I. libre économique de St.-Pétersbourg, des Sociétés des Na-
turalistes de Kazan et de laroslav» de la Rédaction de la Gazette
du Turkestan, de la Société I. des amis d'histoire naturelle,
d'Anthropologie et d'Ethnographie de Moscou, de la bibliothèque
4e Karamsin de Simbirsk, de MM. Weihrauch de Dorpat, d'Ed.
Bogd. Lindeman d'Elisabethgrad, de l'Institut Smithson de Washing-
ton, de l'Institut Royal lombard des sciences de Milan et de la So-
ciété d'histoire naturelle de Hambourg.
D 0 N S.
Livres offerts.
1. Atii délia Società Toscana di Scienze Naturali. Processi ver-
bau. Vol. 4, p. 126—145. Pisa 1884 in Ъ\ De la part de la So-
ciélé Toscane des sciences naturelles à Fise.
2. Journal de Micrographie. 1884. Décembre. 1885. Janvier. Paris
1884—85 in 8*. De la part de Mr. le Dr. J. Pelletan de Paris.
3. Bulletin de l'Académie de médecine. 1885. № 2, 3, 4, 5. Paris
1885 in 8*. De la part de l'Académie de médecine de Paris.
4. Oarten-Zeilung. Jahrgang IV. Л& 2, 3— б. Berlin 1885 in 8*.
5. Verhandlungen des Vereins zur Beförderung des Gartenbaues
etc. 1886. № 2. Berlin 1886 in 8^ Les К- 4, 5 de la part de la
Société d'horticulture de Berlin.
6. Comptes rendus des séances de la Société de Biologie. 1885.
№ 1, 2, 3, 4. Paris 1885 in «•. De la pari de la Société de Bio-
logie de Paris.
7. Nature. 1885. /6 793— 9G, 97. London 1884 in gr. S\ De la part
de la Rédaction.
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— 22 —
8. Chrc nique Je la Société nationale d'acclimatation de France.
leSS. -V 2. Paris 1885 in 8^ De la pari de la Société fiatUmaU
d'acclimataHon de Paris,
9. Botanisches Centralblatt. 1885. J^ 3—5, 6. Cassel 1885 in 8*. De
la part de la Rédaction,
10. Journal of the American Medical Association. Vol. 3, ^ 25, 26
Vol, 4. .^ 1, 2, 3, 4. Chicago 1884—85 in &, De la part de
VAssociation médicale Américaine de Chicago,
11. Труды Общества Испытателей Природы въ Казани. 1875. (Т. 9).
1880. (Т. 14). Харьковъ 1875-81 in8\ Delà part de la Sociaé
des Naturalistes de Kharkoff.
12. Borsenkow, Jac, zur Entwickelungsgeschichte der Eier a. des
Eierstockes beim Huhne. Moskan 1869 in 8^
13. Борзенковъ Я. Изъ 0[стор1и развит1я яйца и яичпика у курицы.
Москва 1809 in 8«.
14. — — 06pa30BaHie яичвнка у курицы. Москва 1870 in S\
15. — — üeber die Entwickelung des Eierstockes beim Huhne.
Moskau 1881 in 8».
16. — — Чтeнiя uo сравнительной Анатом1и. Москва 1881 in 8*.
Les .1? 12 — 16 de feu Mr. J, Borsenkow.
17. Докучаевъ, В. В. Отчетъ Нижегородскому Губернскому Зем-
ству. Выпускъ 5 и 6. С.-Петерб. 1884 in 8^ De la part du
goubernskoié Semestro de Nijninovgorod.
18. Университететя Шв'1ст\я, 1884. ^ 10, 11. KieBb 1884 in 8*.
De la part de VUniversité de Kiew,
19. Записки Ими. Харьковскаго Университета. 1882 года. Т. 4.
Харьковъ 1834 in 8*. De la part de VUniversité de Kharkoff,
20. Zeitschrift für die gesammten Naturwissenschafteu. 1 Folge,
Band 10, 11, 17, 2a Folge 2. Band 4, 11. Folge 3. Band 1.
Berlin 1857—1877 in 8*. De la part de la Société des sciences
naturelles pour la Saxe H la Thuringue à Halle,
21. Beecher, Charles E. Some abnormal and pathologie forms of
fresh-Water shells for the Vicinity of Albany. Albany 1884 in
8*. De la part de l'Auteur.
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— 23 —
22. Boïetin de la Acadeœia nacional de ciencias un Cordoba. Tcmo
6. Entrega 4. Buenos-Aires 1884 in S*. De la part de l'Acadé-
mie nationale des sciences dt Cordoba {^République argentine).
23. Zoologischer Anzeiger. 1886. Ле 186, 187. Leipzig 1885 in 8\ De
la part de Mr. le Prof, Dr, Carus,
24. Archiv des Vereins der Freunde der Naturgeschichte in Mec-
klenburg. 38 Jahr. Abtheilung 2. Güstrow 1884 in S«. De la
part de la Société des amis d'histoire naturelle de Mecklenburg
à Güstrow,
25. Протоколъ Зac'Ьдaoiя Ими. Кавказскаго Медицпнскаго Обще-
ства. Годъ 21. № 12, 13. Тифлисъ 1884 in 8^ De la part de la
Société Imp, des médecins du Caucase à Tiflis.
26. Mittheilungen aus dem Jahrbuche der Eon. Ungarischen Geo-
logischen Anstalt- Band 7, Heft 2. Budapest 1885 in S\
27. General-Index iämmtlicher Publicationen der Ungarischen Geo-
logischen Gesellschaft von 1852—1882. Budapest 1884 in S\
Les Л 26^ 27 de la part de l4n$iilut Royal géologique de Hon^
grie à Boudapest.
28. Esencmis СанЕтпетербургскаго практическаго Техвоюгиче-
скаго Института 1883 и 1884 годы. С.-Петерб. 1884 in 8®. De
la part de l'Institut de technologie pratique de SL-Pétersbourg.
29. Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. Л2 И. Frankfurt а. M.
1884 in 8^ De la part de la nouvelle Société zoologique de
Francfort s. M,
30. Bulletin of the Torrey botanical Club. Vol. XI. .^ Il et 12.
New lork 1884 in 8^. De la part du Club botanique Torrey à
New York.
31. Siteungsberichte der physikalîsch-medicinischen Gesellschaft zu
Würzburg. Jahrgang 1884. WUrzburg 1884 in S*.
32. Verhandltmgen der physikalisch medicinischen Gesellschaft zti
Würzburg. Neue Folge. Band 18. Würzburg 1884 in S', LesJ^
31, S2 de la part de la Société physico-médicale de WUràbourg.
33. Adams, Herbert, B. Maryland's influence upon Land Cessions
to the United States. Baltimore 1885 in 8». De la part de VU*
niversité John Hopkins à Baltimore.
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— 24 —
34 Jalrbuch des ungarischen Karpathen-Vercines. Jahrgang 1884*
Heft 3, 4. Iglo 1884 in 8». De la part de la Société hongroise des
Carpathes,
35. Bulletin de la Société d'études des sciences naturelles de Nî-
mes. 12-6 année. № 10. Nîmes 1884 in 8*. De la part de la So-
ciété d'Etudes des sciences naturellts à Nîmes.
36. American Chemical Journal by Ira Remsen. Vol. 6. ->к 5. Па1-
timore 1884 in S*. De la pari de VUnivenité John Hopkins à
Baltimore,
37. Bericht (13-ter). Fest-Schrift zur Haibsäcurlar-Feier der Na-
turforschenden Gesellschaft in Bamberg. 1834. Bamberg 1834
in 8". De la part de la Société dЪistoire naturelle de Bamberg,
38. Tromso Museums Aarshafter. VIII Tromso 1884 in S\
30. — — Aarsberetning for 1883. Tromso 1884 in 8*. Les M 38,
39 de la part du Musée de Tromso.
40. Selwyn, Alfred R. C. and Dawson^ G. M. Descriptive sketch of
the physical Geography and Geology of the dominion of Ca-
nada. Montreal 1884 in S\
41. Tolmie, W. Fraser and Dawson, G. Comparative Vocabularies
of the Indian tribes of british Columbia. Montreal 1884 in S*.
Les .\? 40, 41 de la part de la Société géologique et d'histoire
naturelle du Canada^ d'Ottawa.
42. Bullettino délia Societk entomologica italiana. Anno 16, tri-
mestri 3 e 4. Firenze 1884 in S\
48. Atti délia Società entomol. italiana anné 1882 e 1883. Firenze
1884 in 8*. Les M 42, 43 de la part de la Société entomologique
italienne de Florence,
44. Bollettino délia Società africana d*Italia Napoli. Anno 8, fasc
6. Nai)oli 18S4 in 8®. De la part de la Sociaé africaine de Naples.
45. Bulletin de l'Académie Imp. des sciences de St.-Pétersbourg.
Tome 19 (feuilles SI—«', 38). St -Pétersbourg 1884 in 4^ Delà
part de VAcad. L des sciences de SL-Pétershourg.
4Г. Mittheilungen des Ornithologischen Vereines in Wien. Jahr-
gang 1. .^ 19-25. Jahrgang 8. ^t 8—12. Wien 1884 in 4\
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— 23 —
47. BeibUUt zu den Mittheilungen des Ornitbolugiscben Vereines
in Wien. Jahrgang 1. № 6-19, Wien 1884 in 4^ Les Л? 46, 47
de la part de la Société omithologique de Vienne.
48. The transactions of the Linnean Society of London. Botany.
Vol. П. Part 6. London 1884 in 4^
49. — — — -. —_ — ___ — _ — _-.
Zoology. Vol. 17. Part 9, 10. London 1888 in 4*.
60. The Journal of the Linnean Society. Botany, Vol. 20. >P 130,
131. London 1883-84 in 8^.
61. — — — — Zoology. Vol. 17. № 101, 102. London 1883-
84 in 8».
52. Proceedings of the Linnean Society of London. 1883. From
Nov. 82-to June 1883. London 1883 in 8*.
53. List of the Linnean Society of London. October 1883. London
1883 in 8®. Les Л? 48—53 de la part de la Société Linnéenne de
Londres.
54. Transactions of the Zoological Society of London. Vol. XI.
Part 8. London 1888 in 4*. De la part de la Société zoologique
de Londres.
55. Лесной Журналъ. Годъ 14-fl, вып. 11-й, 12. С.-Петерб. 1884
in 8*. Be la part de la Société forestière de St.-Päersbourg,
56. Отчетъ Кавказскаго Общества Cejbcsaro Хозяйства. 1884. M
И. Тифлисъ 1884 in 8*. De la part de la Société caucasienne
d'agriculture de Tiflis.
67. Andreaey A. Beiträge zur Kenntniss des Elsasser Tertiäre.
Theil 2. Strassburg 1884 in 8^ De la part de l'Auteur.
58. Труди Имп. Вольваго Эковомическаго Общества. 1884. Де-
кабрь. С-Петерб. 1884 in S\ De la part de la Société J. libre
économique de St. Pélersbourg.
59. Publicaziùni del Reale Osservatorio di Breza in Milano. ^ 2ê.
Milano 1884 in 4*. De la part de l'Observatoire R. de Вгеяа à
Milan.
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— 26 —
60. BuUetin de la Société de Borda Dax. Année 9-ème 1884. Tri-
mestre 4. Dax 1884 in S\ De la pari de la Société Borda de Dax.
61. Журналъ Министерства Народнаго lIpocBiii^eHifl. 1885. Январь.
С.-Петерб. 1885 in 8^ De la part de la Bédaction.
62. The Geoloijical Magazine. 1885. February. .>6 24«. London 1885
in 8**. De la part de Mr. Henry Woodward.
63. Bericht über die Senckenbergisclie naturforscheude Gesellschaft.
Ь 1884. Frankfurt à M. 1884 in 8^ De la part de la Société d'hi»-
^ toire naturelle de Senckenberg à Francfort s. M.
64. Труди Русскаго ^Энгомологическаго Общества въ С.-Петер-
бург*. Т. 18. С-Петерб. 1883—84 in 8». De la part de la So-
ciété entofiwlogique russe de Si. Péterabourg .
65. Collia^ Jonas. Om LiemQordens tidligere ag nuvaereude Ma-
\^ rine Fauna. Ejobenhaon 1884 in S\ De la part de l'Auteur.
66. Anales de la Sociedad esp&nola de historia natural. Tomo 13.
Guaderno 3. Madrid 1884 in 8*. De la part de la Société espa-
gnole d'histoire naturelle de Madrid.
67. Bollettino délia Società geografica italiana 1884. Novembre,
Dicembre. Roma 1884 in 8\ De la part de la Société géogra-
phique italienne de Rome.
68. Nuovo Oiornale botanico italiano. Vol. 17. J^ 1. Firenze 1885
in S\ De la part de Mr. T. Caruel de Florence.
69. Anzeiger der К. Akademie der Wissenschaften. Mathem. na-
turw. Classe. 1884. J^ 28. 1885, .>& 1, 2. Wien 1884—85 in S\
De la part de l'Académie L des sciences de Vienne.
70. Feuille des jeunes Naturalistes. ^Vnnée 15-ème. .>é 172. Pans
1886 in è: De la part de Mr. Adrien Doll fus.
71. La/idwirthschaftliche Jahrbücher. 14-ter. Band (1885). Heft 1.
Berlin 1885 in 8^ De la part du ministère prussien d'agri^
culture.
72. Записки Повгородскаго Общества Пчеловодства. 1884. Bun. '/и
Новгородъ 1884 in 8«. De la part de la Société de Novgorod.
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— 27 —
73. Vom Rath, G. Mineralogische Notizen; Bonn 1885 in &^. De Ja
part de VAuteur,
74. Archiv für Naturgeschichte herausg. von Martens Ed. v. JoÄr-
gang 48. Heft 6. Jahrgang 50. Heft 3 u. 4. Berlin 1882—84
in 8^ De la part de la Rédaction,
75. Mutheilungen der Naturforschenden Gesellschaft in Bern. 1884.
Heft 2. Bern 1884 in 8*. De la part de la Société d'histoire na-
ti^relle de Berne.
76. Memoirs of the literary and philosophikal Society of Manches-
ter. Second series. Volume 13. Third series. Vol. 1. London
1856—62 in S\ De la part de la Société littéraire et philosophique
de Manchester.
77. Studies from the biological Laboratory. Vol. 3. J^ 2. Baltimore
1884 in 8*.
78. John Hopkins University Circulars. Vol. 4. j>b 36. in 4*. Lea
J^ 77^ 78 de la part de l'Université Jvhn Hopkins à Baltimore.
79. Anales de la Sociedad cientifica argentina. Diciembre de 1884.
Entrega 6. Buenos-Aires 1884 in Ь: De la part de la Société
scientifique argentine de Buenos Aires.
80. Giomale ed Atti délia Società di Acclimazione ed agricoltura
in Sicilia. Vol. 24. № 9—12. Palermo 1884 in 8*. De la part de
la Société d'acclimatation et d'agriculture de Palerme.
81. Geologische Mittheilungen. Zeitschrift der Ungarischen Geolo-
gischen Gesellschaft 1884. April—August Buda-Pest 1884 in 8*.
82. Jahresbericht der K. ü. Geologischen Anstalt für 1883. Buda-
pest 1884 in gr. 8^
88. Farkassy Robert Catalog der Bibliothek u. allgem. Karten-
samlung der Königl. Ungarichen Geologischen Anstalt Buda-
pest 1884 in S\ Les J^ 81, 82, 83 de la part de l'Institut В.
géologique de Hongrie à Budapest.
84. Journal of the New-Iork Microscopical Society. Vol. 1. J^ 1.
New-Iork 1885 in 8*. De la part de la Société de Microscopic
de New- York.
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— 28 —
85. ЛШ della Reale Accademia deî Lincoi. Serie 4. Rendiconti.
Vol. 1. fasc. 1, 2. Roma 1884 in 4". De la part de V Académie
Royale de Lincei à Borne.
SCk Садъ H Огородъ. Годъ 1-й. -V 1—3. Москва 1885 in i\ De la
part de la Société dee amis d'horticulture de Moscou.
87. SüMungS'BericMe der Gesellschaft Naturforscbender Freuude za
Berlin, Jahrgang 1884. Berlin 1884 in 8'. De la part de la So-
ciété des amis d'histoire naturelle de Berlin.
88. Bulletifi de la Société belge de Microscopic. Onzième Année«
№ 3. Bruxelles 1885 in 8*. De la part de la Société belge de
Mieroaeopie de Bruxelles,
bi). Jahrbücher des Nassauischen Vereins fllr Naturkuude. Jahr-
gang 37. Wiesbaden 1884 in 8^ De la part de la Société des Na-
turalistes de Wiesbaden.
90. Изв1^ст\я Восточао-Сибирскаю Оид^да Ими. Русскаго Геогра-
Фичесжаго Общества. Томъ 15. -Vr 1—2. Иржутскъ 1884 in 4*,
De la part de la Section bibérienne de la Société de géographie
d'Irkoutsk.
91. Schriften der Universität zu Kiel. Band 21, 22, 23 und 27. Kiel
1875—81 in 4'.
92. Slechert^ С Definitive Bestimmung der Bahn der Kometea
1881. IV. Kiel 1884 in \\
93. Jacobi. Richard. Anatomisch-histologischc Untersuchung der
Poly deren der Kieler Bucht Weisenfels 1883 in 8".
91. Schönland Selmar. Ueber die Entwicklung der Blüten u. Frucht
bei den Platanen. Leipzig 1883 in 8^
95. Xawp, Joh. Neue Berechnung der Pasallaxe von 61 Cygni aus
den Beobachtungen von Schweizer in Moskau 1863—66. Kiel
1883 in 8«.
96. Ladenburgj Alb. Die Kosmischen Consequenzen der Spectral-
analyse. Kiel 1884 in 8^
97. Burmesler^ Joh. Beiträge zur Anatomie und Histologie von
Cuma Rathkii Kr. Kellinghusen 1883 in 8*.
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— 29 —
98. Spee^ lcrd Graf. Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der fiu-
heren Stadien des Meerschweinchens. Leipzig 1882 in 8*.
99. Chronik der Universität zu Kiel. Kiel 1884 in 8*.
100. Amtliches Verzeichniss des Personals und der Studirenden der
Konig. Chr. Albrs. Universität zu Kiel 1888. II. IV. Kiel
1883 in b\
101. Verzeichniss der Vorlesungen an der Köb. Chr. Alb. Universi-
tät zu Kiel. 1883. III. 1884. I. Kiel 1883—84 in 8».
102—106. Reden gehalten bei. der Universität in Kiel. Kiel 1883—
84 in 4» et 8\
107—184. Dissertationen geschrieben an der Universität Kiel. Kiel
1881-84 in 8». Les Л? 92-^134 de la part de l'Université В.
de Kiel.
185. Горный Журналъ. 1885. 2. Томъ 1-й. Январь. С.-Петерб. 1885
in 8*. De la patt du Comité savant des mines de St-Fétersbourg.
186. Petermann's Mittheilungen herausgegeben von Prof. Dr. A. Sn-
pan. 1885. .>& 1. Gotha 1886 in 4*. De la part de Mr. Jnsius
Perthes.
187. Рпчь и Отчетъ чнт. въ Торжеств. Coôpaniu Имп. Московсваго
Университета. 12 Января 1885 г. Москва 1885 in 8*. Df la
part de VUniversité de Moscou.
138. Verhandlungen der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin. Band
XI. № 6 u 7. >& 8. Berlin 1884 in S\
189. Zeüschrift der Gesellsehafl für Erdkunde zu Berlin. Band 19.
Heft 2, 3. Berlin 1884 in 8». Les К- 138, 139 de la part de Im
Sodétà géographique de Berlin.
140. Bericht (23-ter) der Oberhessischen Gesellschaft fttr Natur-ond
Heilkunde. Giessen 1884 in %: De la part de la Société hessoise
pour l'histoire naturelle et la médecine à Giessen.
141. SitMungàberiehte der Kais. Akademie der Wissenschaften. Ma-
them. natnrwiss. Classe. Jahrgang 1883. Abtheilung I. № 6 -10»
Wen 1883-84 in 8*.
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112. SiUungsherichte der Kais. Akademie der Wissenschafleiu
Mathem. naturwisF. Classe, Jalirgang 1883. Abtheilung П. >&
6—10.
143. «.—_-- — —__- — ____
Jahrgang 1883. Abtheilung III. St 4—10. Wien 1883-84 in 8«.
144. Denkschriften der Kais. Akademie der Wissenschaften. Mathem.
naturwiss. Classe. Band 47. Wien 18S3 in 4*. Les .V 141—144
de la part de V Académie Imp, des sciences dn Vienne,
145. Русскгй В^стпикъ 18vS5 г. Январь. Москва 1835 in 8«. De la
part de la Rédaction.
146. Eniomoîogische Nachrichten herausgegeben von Dr. F. Karsch.
Jahrgang X. № 24. Jahrgang XI. Heft 1. Berlin 1881—86 in 8*
De la part de la Rédaction,
147. Труды Общества Естествоиспытателей. Томъ 6, вып. 4. Том
Vin, вып. 1. Т XI вып. 6. Томъ VII, вып. 1 и 3. Казань 1877
83 in 8*. De la part de la Société dei Naturàliêtes de Kazan,
148. Deslongchamps, Eugène. Etudes critiques sur les Brachioi>odee
nouveaux ou peu connus. Fascic. 4, 5 et 6. Ann. 1884 in 8«. Dé
la part de l'Auteur,
149. Шегпу Carl, H. von. Jewish Hyggiene and diet Washington
1884 in 8*. De la part de VAutenr,
150. Rocha Dardo, Dr. Censo general de la Provincia de Bueaos-
Aires demografico, agricola, industrial etc. Buenos-Aires 1888
in 4*. De la part du bureau de Statistique de Bucnos-Aires.
151. Annales de l'Observatoire Imjjerial de Rio de Janeiro publiées
par L. Cruls. Tome 2. Rio de Janeiro 1883 in 4^ De la pari
de V Observatoire Impérial de Rio de Janeiro.
152. De Man^ J. G. Dr. Die, frei in der feinen Erde u. im süssen
Wasser lebenden Nematoiden der Niederländischen Fauna. Mit
34 Tafeln. Leiden 1884 in fol. De la part de l'Auteur et de la
Société Zéelandaiêe des sciences de Middelburg.
X58. Sommier^ Stepben. Un'Estate in Sibiria con 144 incisioni e tre
carte. Firenze 1885 in gr. 8®. De la part de VAuteur.
154. Труды Общества Русскихъ Врачей въ С.-Петербург*. Годъ
51. Вып. 2. С.-Петерб. 1885 in 8\ De la part de la Société
des médecins russes de St.- Péter sbourg.
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— 31 —
155. Bùletin de la Academia nacional de ciencias en' Cordoba (Re-
publica argentina). Tomo 7. Entrega 2^. Buenos- A ires 1884 in
8*. De la part de V Académie nationale des aciencee de CordcbiB.
156. Catalogo de las Jonas. Vol. 7, parti primera. Cordoba 1884 in
4\ De la part de l'Observatoire de Cordoba.
157. Извгьстгя Петровской Земледельческой и Л*сной Академ1н,
Годъ 7-й. Выпускъ 3. Москва 1884 in 8*. De la part de P Aca-
démie agricole et forestière de Pétrovsky-Razoumovsky-
158. Accademia pontificia de'Nuovi Lincei. Anno 38. Sessione 1-е
(1884—85). Roma 18a5 in 8». De la part de V Académie pontife
cale de Nuovi Lincei à Rome.
159. Journal of the Asiatic Society of Bengal. Vol. 52, part П. 1888.
(Natural history). Calcutta 1885 in 8^
160. Proceedings of the Asiatic Society of Bengal. 1884. >P 7. 8.
Calcutta 1884 in 8'. Les Л? 157, 158 de la part de la SoeiéU
asiatique au Bengal de Calcutta.
161. Die Fortschritte der Physik im Jahre 187a Jahrgang 84. Ab-
theil. Redigirt von Prof. Or. Neesen. Berlin 1883 in 8«. De ia
part de la Société de physique de Berlin-
Membres élus.
Actifs:
(Sur la proposition de MM. Renard et Korotneff)-
Mr. le Dr. N. B. Goronovitsch à Moscou.
(Sur la proposition de MM. Renard et Lïndeman).
Mr. le Professeur B. J. Dybowsky à Lemberg.
Mr. Edouard Janettae к Pans.
(Sur la proposition de MM. le Marquis Gregorie et Trant-
chold).
Mr. le Prof. Jacob Stevenson à New- York.
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Explieado« des Figires.
Les chiffres accompagnés des lettres suivantes représentent *):
la lettre a) côté supérieur de Parmure copulatrice
b) côté inférieur
c) Tarmure copulatrice vue de côté
d) la branche du forceps
e) la base
h) le fourreau
i) crochet (hamuli)
к) couvercle génital
X) repipygium de la femelle.
Fig. la, Fig. U. Fig. Ir, Fig. li, Fig. l^
Fig. 2a. Fig. 26.Fig.2r. Fig. 2,, Fig. 2t. Fig. 2s,
Fig. 3a, Fig. db, Fig. 3*,
Fig. 4a, Fig. 4ä, Fig. 4c, Fig. 4*.
Fig. 6a, Fig, бь, Fig. 5*.
Fig. 6a, Fig. 6*. Fig. 6t,
Fig. 7a. Fig. 7b, Fig. 7k. Fig. 7x,
Fig. Sa, Fig. 8b. Fig. St
Fig. 9a. Fig. 9*, Fig. 9a,
Fig. lOe. Fig. 10б. Fig. 10a, 10,,
Fig. IIa, Fig. lU, Fig. lU,
Fig. 12a. Fig. 12б, Fig. 12*,
Fig. 13x
Epeloides ambiguus
Paidia abdominalis
melectoides
Ammobaloides bicolor
Ammobates carinatus
— — setosus
— — rufiventris
Biastes Schottii
— punctatus
•*- truncatus
Pasites maculatus
Dioxys Pyrenaica
Phileremus Oraniensis.
^) Gomme je me propose de continuer les études sur les armu-
res copulatrices des différentes familles des Hyménoptères, je gar-
derai constamment pour la signification des parties composantes,
les lettres employées déja par moi dans la Bévisian def armure$
copulatrices dee mâles de îa famille des MutüUdes (Eor, Eni, 8oc,
Roêê. T. XIX).
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SEANCES
de la
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
SÉANCE Dû 14 MARS 1885.
Mr. le Dr. Ed. Bogd. TAndeman d^Ekaterinoslav a présenté son
3-ème rapport sur le contenu de son herbier.
Mr. le Dr. W. S. Djfbowsky a envoyé on article sous le titre
Stadien über die Zahnplatten der Gattung Limnaeus Lam. avec 8
dessins.
Mr. le Secrétaire, Prof. Lindemanfh a communiqué le désir du
Conseil de la Société de nommer comme membre du Conseil ä la
place de feu Sèvertzoff, Mr. le Professeur Л. P. Sabatîéêff. Sur la
demande de la Société, Mr. A» P. Sabcméeff a accepté avec recon-
naissance cotte charge.
Mr. £. J. Zmger a proposé à la Société d*aider, dans ses re-
cherches botaniques, Mr. LUwmoff^ qui se propose d'aller en été à
Tambow et sur les rives du Don, pour collectionner des plantes.
Mr. Zinger a démontré que la flore de Tambow est assez bien con-
nue, grâce aux travaux de MM. Meyer, Petounnikoff, Eajévnikoff,
Ignatieflf et Litvinoff, mais qu'on manque de détails sur la végéta-
tion du Nord-Est du gouvernement, qui attirera particulièrement
l'attention de Mr. Litvinoff. Quoique la flore du Don ait été étudiée
8
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- 34 —
par Henning et Semenoff, on a trouvé dans le Catalogue dn dernier
des erreurs qui font à désirer qu'on étudie de recbef et plus soig-
neusement la flore de ce pays. La Société décide de procurer à Mr.
Litvinoff la protection des gouverneurs de ces contrées.
Le Comité eavan/ des mines de St-Pétersbourg a envoyé son Jour-
nal des mines dès années 1879 — 1884, et annonce que le ministre
des Domaines ordonné d'envoyer dorénevant к notre Société le
Горный ЖypнaJrь à fur et mesure qu'il paraîtra.
Le Président de la Société eutomologique de St-Pétersbonrg, Pro«
fesseur E. K. Brandi^ remercie au nom de la dite Société pour la
part que la nôtre a bien voulu prendre b, la fête de son Jubilé de
50 ans.
Иг. GuaU Joan. Badde, de Tiflis, écrit qu'il ira au coaimence-
ment du mois de Juin dans le Sud du Dagestan jusqu'au Schach-
dagh.
Mr. Jean Leder d'Elenendorff remercie pour le Bulletin et les
Mémoires, et écrit que ses excursions seront dirigées cett« année
principalement dans les territoires de la mer Noire jusqu'aux crêtes
des plue hautes montagnes de ces contrées.
Mr. J. Chr. Knoch^ actuellement à Riga, donne, dans une lettre
adressée au Président de la Société, quelques détails sur ses occu-
pations ultérieures dans la cnltnre artificielle des poissons et sur
les maladies dont ces poissons et môme leurs Caviars souffrent Mr.
Knoch promet d'envoyer sous peu son travail sur la maladie fé-
brine des vers à soie.
Le Cercle botanique Ton*ey do New-Iork envoie le premier Ne
méro de son Bulletin de 1885.
Mr. Henri Dresser, Secrétaire de la Société ornithologique de
bondres, exprime ses vifs regrets de la mort de N. A. Séverzoff
et désire recevoir des détails sur ce triste événement et des nécro-
loges pour les publier dans les Journaux anglais.
Mr, le Smdic de la ville de Civita-Vecchia annonce qu'on va trans-
porter le corps dn défunt Commandeur Alexandre Cialdi le 28 (II)
Mars dans sa ville natale et invite la Société à prendre part à cette
cérémonie.
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— 35 —
Monfiear le Conseiller de cour. Chevalier Français de Hauer, Di«
rectear de PIneiitut géologique, annonce ea nomination d'intendant
do Mosée d'histoire naturelle à Vienne et prie de lui adresser de-
puis dès le 1 Mars à ce Musée tout ce qui lai est destiaé.
Mr. Biehêrd Bowdkr Sharp remerciant ponr son élection de mem-
bre de la Société, écrit qu'il serait bien aisé d'avoir des relations
avec dee Natsralistcs russes et qu'il serait heureux d^ètre utile a
ses Confrères de Bassie.Mr. Sharp envoie en même temps sa carte
photographiée.
Mr. Fr. Crépin, Directeur du Jardin botanique de l'Etat à Bru-
xelles et Mr. Edouard JannettaM de Paris remercient de leur no-
mination de membres actifs de la Société, ainsi que МИ. N. B.
ChronovUêd^ et le Dr. Ben. Dybowslcy de Lemberg.
En suite d4m circulaire de la Société pour remplir les lacuncb
qui se trouvent dans sa bibliothèque ont envoyé:
Le ComUé savant des mines de St.*Péter8bourg les années l879-~
83 et le № 10 de 1884 de son Journal des mines.
UVniversUé de Eieff 2 numéros de ses Изв'Ъст1л.
Le Musée de Zoologie comparative de Cambridge, 6 numéros du
7-ème volume de son Bulletin.
La Société omithohgique de Vienne, 12 numéros de ses Mittbei«
langen u. Beiträge.
Le Président présente la liste des membres, des Institutions et des
Sociétés russes et étrangères avec lesquelles la Société I. est en rap-
port d'échange jusqu'au 1 Février 1885. Cette liste a été recliüec
avec beaucoup de soin et mise en ordre par la Secrétaire de la
Société, Professeur Lindeman.
Mr. B. L Lapidnns d'Odessa a envoyé sa cotisation pour 1886,
et Mr. Смиигк de Vienne le prix du diplôme et sa cotisation pour
1886.
Mr. Albert Begel a envoyé plusieurs lettres très-intéressantes sur
son voyage en Boucbarie et dans les pays limitrophes«
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— зв —
LeUres de remercimefUe pour Tenvoi des рпЬИсаиопб de la So-
ciété« de la part des Sociétés d'histoire naturelle de Kharkov et de
Dorpat, de la Société I. d^gricultare de Moscou, de la Section
caucasienne de la Société géographique russe к Tiflis, de Padmi-
nistration de l'industrie de Helsingfors, de la Société Boyale ^Na-
fura (urlis тадШга*' d'Amsterdam, de la Société hollandaise des
sciences de Harlem^ de la Société Linnéenne de la nouvelle Galles
du Sud, de MM. Radde, Regel, Herder, Ed. Bogd. Lindeman et
Alex. Fischer de Waldheim, de la Fondation de P. Teyler топ der
Hülst de Harlem.
Mons. le Professeur A. P. Sabanéeff a exposé ses recherches sur
le diallyle.
Mr. le Dr. A. A. Hauâendorf a parlé sur la régénération des ex-
trémités et de la queue chez les Tritons.
DONS.
Livres offerts.
1. Язтстхя Геологнческаго Комитета 1884. № 9, 10. 1885. J^ 1.
С.-ПетерГ). 1884—85 in 8*, De la part du Comité géologique de
St.Pétenibourg.
2. Горпий Журналъ. 1879. (Л? 1—12). 1880. (Ji 1—12). 1881. (№
1-12). 1882. (Л 1-12). 1888. 0^ 1—12). 1884. J# 1-10. 1886.
Февраль. С.-Петер6. 1879—85 in 8*. De la part du Comité sa-
vont des mines de 8t.'Fétertbourg.
8. Bulletin de l'Académie de médecine. 1886. J6 в, 7, 8, 0. Paris
1885 in 8*. De la part de VAec^démie de médecine de Parie.
4. Botamaeheê Gentralblatt Jahrgang 6. J« 7, 8, 9, 10. Kassel 1885
in 8^ De la part de Mr. le Dr. Oecar ükhoorm de Kaeseh
5. Garten-Zeitung 1885. J« 6, 7, 8, 9, 10. Berlin 1885 in 8°. De la
part de Mr. le Dr. Wittmack.
e. Nature. 1886. ^ 798, 799, 800, 801, 802. London 1885 in 8«. De
la part de la BédacHon.
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— 37 —
7. Comptes rendue hébdomadairce des séances de la Société de
Biologie. 1886. Л 5, 6. Paris 1885 iii S\ De la part de la Ä).
eiété de Biologie de Paris,
a Zoologischer Anzeiger. J6 188, 189. Leipzig 1885 in 8«. De la
part de Mr, le Prof. Carus de Leipzig,
0. Садъ 0 Огородъ. 1886« J« 4. Москва 1885 in 4*. De la part de
la Société des amis d'horticulture de Moscou,
10. Nikitin, S. Die Cephalopodenfaona der JnrabildnngeD dee Gou-
vernements Kostroma. St Petersboorg 1884 in 4*. Ds la part
de PÄuieur.
lb The QuaterU^ Journal of the Geological Society. 1885. № 161.
London 1885 in 8^. De la part de la Société géologique de
Londres.
12. The Canadian Entomologist Vol 16. № 12. Vol. 17. № 1. Lon-
don 1884--85 \n^^ DeUk part de Mr. WM. Saundors.
13. Chaper^ M. Rapport snr une mission scientifique dans le terri-
toire d'Assinie. Paris 1884 in S\ De la paH de l'Auteur.
14. SitMun gtberichte der mathem. natorwiss. Classe der K. Akade-
mie der Wissenschaften in Wien. 1885. № 3, 4, 5. Wien 1885
in 8*. De la part de V Académie L des sciences de Vienne,
15. Beiblatt zn den Mittheilnngen des Omitbologischen Vereinob
in Wien. Jahrgang 1. № 1—6. Wien 1884 in 4*.
16. Mitthtilungen des Omithologischen Vereines in Wien. Jahr*
gang 8. ^ 1—7. Jahrgang 9. )6 1, Section für Geflügelzucht.
Jahrgang 1. № 26, 27, 28. Jahrgang 2. № 9. Wien 1884-85 in
4^ Les M iô^ 16 dé la part de la Société omithologique de
Vienne.
17. Журпалъ Мнннстерства Народнаго Просв'1щен{я. 1885. Февраль.
С.-Петерб. 1885 in S\ De la part de la Bédaction.
la Zeitschrift der Deutschen geologischen Gesellschaft. Band 36.
Heft & Berlin 1884 in 8*. De la part de la Société géologique
allémsmdt de Berlin.
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— 38 —
19. Jahrbuch der К. К. Geologisches Rekheanstalt Jahrgang 1884.
Heft i. Wien 1884 in gr. в».
20. Verhandlungen der K- K. Oeologiscben Reichsanetalt 1884.
J« 14--18. Wien 1884 in 8*. £e« Jf i9 ei 20 de la pari dt Пп-
atitut L B. géologique de Vimne.
21. The Geological Magasine. 188&. March. Losdon 1886 in 8*. De
la part de Mr. Woodward.
32. Протомлъ 3acteaBia Има. Кавказскаго Медидивсхаго Обще-
ства. Годъ 21. № 14, 16. Тифлиеъ 1884-86 in 8». De la part
de la Société Imp. dee médecins du Caucase à Tißs.
M. Monatliche Miltheilang«n des Natorwietaoschaftlichen Vereins
des Begiemngsbezirkes Frankfart Jahrgang 2. № 10, 11.
Frankftirt a. Oder 1885 in 8*. De la part de la Société dhis-
toire naturelle de Frankfurt sur VOder.
24. TrancacHons of the Royal Society of Edinburgh. Vcri. ЭО, part
II, Ш. Edinburgh 1882-83 in 4«.
25. Proceedmgê of the Royal Society of Edinburgh« Semon 1881—
82. Edinburgh 1882-85 in S\ Les Л 24, 25 de la раН de la
Société Royale d^Edimbourg.
26. Philosophical Transactions of the Royal Society of London.
Vol. 174, part 2. London 1888 in 4*.
27. Proceedings of the Royal Society- Yob 85. J>6 227. VoL 36. )fe
228—229. London 1883 in 8«.
2Ö. The Royal Society soth November 1883. London 1883 in 4V
Les M 26f 27, 28 de la part de la Société Royale de Londres.
29. Варшавская Уяяверситетсж1я Изв4ст1я. 1884. Ifr б, 6. Варшава
1884 in 8». De la part de l'Université de Varsotde.
30. BoUiin de la Acad€»ia national de cienciae. Tomo 7. Entrega
1. Buenos-Aires 1884 in B^* De la part de VAcaéémie nationaU
des sciences de Buenos-Aires.
31. Journal of the American Medical Asaocialioii. Vol. lY. H 5,
6, 7, 8. Chigaco 1885 in gr. 8». De la paH de l'Assecintion mé-
dicale amérieame de Chéeago.
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— $« -
as. BoUtHmo délia Socielii gtografiea itoliana. S<rie 2. VôL 10.
C&sc. 8. fioma 1885 in 8*. De lu pert de îa Société géographique
iiaiietme de Rome.
33. R. Comiêato g6ologi€0 d'Italia- 1864. BoUettino. № 11 e 12.
Roma 1884 in 8». De 1й part 4u Comité géologique éPItàUe.
34. BulteOm de la Société pbilomatiqae de Paris. Serie 7-ème, tome
8. № 1. Paris 1884 in 8*. De la part de la Société phüomatique
de Parie.
35. Aeeaâemia pontificia de*Naovi Lincei. Sessione П. 1885. Roma
1885 in 8*. De la part de l'Académie pontificale de Nuovi Lin-
cei à Some.
.ЭД. Feuille des jennes Naturalistes. Аппеэ 154me. /6 178. Parie
1886 in gr. 8«. De la part de Mr. Adrien DoUfm de Parie.
37. Memorie délia Società degli spettrosoopisti italiani. Vol. 18.
Dispensa 11, 12. Roma 1884—85 in 4\ De la part de Mr.
TaûMnL
38. DuboiSj Alph. Revae critique des oiseaux de la famille des
Bncérotides. Brmtellee 1884 in 8*.
39. — — Remarques sur les Alouettes du genre Otooorys. Bru-
xelles 1884 in 8^. Lee M 37, 98 delà part de VAuteur.
40. BUlottit Lorenzo, Teoria degli stromenti ottici. (PubUcazioni
del R. Osservatorio di Breza in Milano. Л? 25. Milano 1883 in
4*. De la part de l'Obeervaiorie R. de Breza à Milan.
41. Chronique de la Société nationale d'acclimatation de France.
Année 11-ème. J^ 5. Paris 1885 in 8^. De la part de la So-
ciété nationale d'Acclimatation de Paris.
42. Труди Имп. Вольваго Эковомнческаго Общества. 1885. Яв-
варь. С.-Петерб. 1885 in S\ De la part de la Société L libre
économique de St, Péteràbourg.
43. Atli delU Reale Accademia dei Lincei. 1884-^-85. Rendiconti.
Vol. 1. faac. 4. Roma 1886 in 4^ De la part de l'Académie
Royale de Lincei à Rome.
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— 40 —
44. Der ZoologiêOke Garten. Jthrgaig iS. J6 1. Fraak&urt a. M.
1885 in dP. De la раН äe Mr. le Jhrof. F. O. NoU.
45. Труды Общества Русскихъ Врачей въ С. -Петербурга. Годъ
51. Ван. 2. С.-Петерб. 1885 in S\ De la part dt la Société
deê médeemê гыешея de 8t,'PAer^<mrç,
46. Arcangelh 6. Elenco délie protallogamee italiano. Varese
1884 in 4*.
47. — — Ulterior! Ossenrazioni sapra la Canna iridiflora hy-
brida. Pisa 1884 in 4*.
48. — — Die nnoTO solla qnestione dei Oonidi 1877 in 8*.
49. ~ — Snlla-Pillnlaria globulifera e suUa Salvinia . natans
1876 in 8*.
50. ^ — Sol Lycopodiom Selag o. 1874 in 8*.
51. — — SoirOrganogenia dei flori del Cytinus hypootstis. Li-
vomo. 1874 in S\
52. — _ Snlla Gaprificazîone e aopra ш ca8o di втИарро anor-
male nei fiori del Ficns stipnlata Thnab. 1882 in 8*.
53. — — Osserrazioni (ktte in alcnne recenti erborazioni. 1883
in 8*.
54. — — Sopra la fioritara del Dracuneulai crinitns Schott.
1884 in 8».
55. — — Contrîbnzione alla Flora Toscana. 1882 in 8*.
56. — — Sulla Fistnllna hepatica Fr. 1878 in 8*.
57. — - L'Amorpbophallus Titannm Bec. 1879 in 8'.
58. — — Ancora snl Taccamm cylindricum. 1879 in 8".
59. — — Osservazioni snirimpollinazione in Alcnne Aracee,
1888 in S*.
60. ~ — Ancora sopra la Medieago bonarotiana. 1877 in 8^
61. — — Sul Trifolium obscurum Savi. 1878 in 8*.
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^- 41 —
62. — — Sopra alcune specie di Batrachospermam. 1882 in 8».
Lei № 45—6/ de la part de Г Auteur.
63. JouTfMÎ of the Royal Microscopical Society. 1885. Febmary.
London 1886 in 8^ De la part de la Société de Microêcopie de
Londres.
64. Ронановшйу Г. Д. Матер1алы для Геоюпи Турвестанскаго
Края. Выпускъ второй. С.-Петерб. 1884 in 4*. De la part.
65. Newton, Alfred. Ornithology, in 4*. De la part de l'Auteur.
63. Berthelot, M. Les origines de TAlchimie. Paris 1885 in 8«. De
la part de P Auteur.
67. РусЫй BicTHifRb на 1885 r. Февраль. Москва 1885 in SVDe
la part de la RédactUm.
68. Herder^ Ferdinand von. Beobachtungen über das Wachsthnm der
Blatter einiger Freilandpflanzen in 8®. De la part de l'Auteur.
69 Mueller Ferdinand von, Baron. Encalyptograpbia. Tenth De-
cade. Melbourne 1884. De la part de V Auteur.
70. Journal of the New-Iork Microscopical Society. Vol. I, >P 2.
New-Iork 1885 in 8^ De la part de la Société de Microscopic
de Newiork.
71. BulleHn of the Torrey botanical Club. Vol. ХП. J^ 1. New-
Iork 1885 in S\ De la part du cercle botanique Torrey à New-
York.
72. The Journal of the Antropological Institute of great Britain
and Ireland. 1885. February. London 1885 in 8'. De to part de
VInstitut d'Anthropologie de Londres.
73. Указатель РусскоВ Литературы по Математика и пр. за 1883 г.
Год1, 12-й. Шевъ 1885 in S\ De la part de la Rédaction.
74. LandwHihschaftUche Jahrbücher. Band 13. Heft 6. Berlin 1884
in 8». De la part du Ministère d'agrienlture de Prusse à Berlin.
75. Bijdragen tot de Dierkunde, ait gegeven dvor het Genvots-
chap Natura artis magistra te Amsterdam Aflev. 10. Amster-
dam 1884 in 4«.
Je M. J886. 4
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-- 42 -
7в. Neäerlandach Tijdschrift voor de Dierknnde. Jahrgang 6. Afle?.
1. Amsterdam 1884 in 8». Lea Je 74, 7$ de la part de laSoeUU
Royale de Zoologie „Natura сигЫз magistra*^ d'Amderdam,
77. Neeem, Prof. Die Fortschritte des Physik im Jahre 1878. Jahr-
gang 34. Abtheilnng 2. Berlin 1884 in 6*. De la pari de la SoeiéU
phyaiccUe de Berlin.
78. Nordenskiöld^ A. Б. Gammal framställning af Mammntdjnret
Imer 1884 in 8«. De la part de VAuteur.
79. Универеитетам Изв^тя. 1874. Январь. 1883. J^ 2. К1евъ
1874 H 1883 in 8*. De la part de VUnivereité de Kiew.
80. Gartenflora. 1884. November, December. Stuttgart 1884 in 8*.
De la part de 8. Exe. Mr. Ed. Begeh
81. Bulletin de la Société d'Anthropologie de Paris 1884. Juillet à
Décembre. Paris 1884 in 8*. De la part de la Société d'Anthro-
pologie de Parie.
82. Bulletin mensuel de la Société nationale d'acclimatation de
France. 1884. Décembre. Paris 1884 in 8*. De la part de la
Société naJUonale d'aedimatation de France à Paris,
88. Gaudry, Albert Nouvelle Galerie de Paléontologie. Paris 1886
in 8^ De la part de l'Auteur.
84. Journal de Micrographie. 1886. № 2. Paris 1885 in 8«. De la
part de Mr. le Dr. Pelletan de Parie.
85. Comptée rendue hebdomadaires des séances de la Société de
Biologie. 1885. № 9. Paris 1885 in ^. De la part de la Société
de Biologie de Paris.
86. Варшавскгя Университетская Изв'1ст£Я. 1884. 16 7. Варшава
1884 in 8^ De la part de l'Univereiié de Varsovie.
87. Bulletin de la Société belge de Microseopie. Année ll*ème. №
4. Bruxelles 1885 in 8*. De la part de la SociéU belge de Mi-
croecopie à Bruxelles.
88. Turatig, John. Untersuchungen über die Ëntwickelung der pri-
mitive n Aorten. Dorpat 1884 in 8*.
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— 43 —
89. Archiv für die Natarkande Liv^Ehst-n. Kurlands. 2-te Serie.
Band X, Lief. 1. Dorpat 1884 in 8*.
90. SitgtmgsberichU der Natorforscber Gesellscbaflt tn Dorpat Band
7. Heft 1. Dorpat 1885 \п ^. Le$ Л S7, 88 et 89 dt la part de
la Société des Naturalistes de Dorpat.
91. Bulletin of the Muséum of Comparative Zoology, at Harvard
Ck)llege. (2 Exempl.) Whole series. Vol. VII. Л 2, 8, б, 6, 7, 8.
Cambridge 1881—82 in S\ De la part du Musée de Zoologie
comparative de Cambridge.
92. Petermannsy A. Mittheilungen aus Justus Perthes Oeographi-
scber Anstalt (herausgegeben von Prof. A. Supan.) Band 31. №
2. Gotha 1885 in 4*. De la part de Mr. Justus Perthes.
93. Katalog von Oswald Weigels Antiquarium neue Folge. № 18.
Zoologie „Palaeozologie grOsstentbeils aus der Bibliothek Oott«
lieb Fischer v. Waldbeim 1885 in 8^ De la part de Mr. O.
Weigel de Leipsig.
94. B^letin de la Société Royale botanique de Belgique. Tome
23. Bruxelles 1884 in 8«. De la part de la Société Royale bo-
tanique de Belgique à Bruxelles.
96. The American Journal of science. № 164, 165, 166, 167. New-
Haven 1884 in 8^ De la part de MM. Dana et SilUman de
NeuhHaven.
96. The transactions of the Academy of Science of St*Louis. Vol.
4. Л 3. St-Louis, Missouri U. S. A. 1884 in 8». De la paH de
V Académie des sciences de St,-Louis.
97. Труды Баввазскаго Общества Сельскаго Хозяйства. Годъ 13-g.
16 1. Тифжисъ 1885 in S\ De la part de la Société d'agriculture
du Caucase à Tiflis.
98. Протоколы coôpaeift 28 Аор4ля, 19 Мая и 2 Сентября 1884
KicBCiaro Общества Естествонспнтателей« Шевъ 1884 in 8^
De la part de la Société des Naturalistes de Kiev.
99. The Transactions of the Linnean Society of London« Botany.
Vol. 2, part 7. London 1884 in 4*.
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— 44 —
100. The TranêacHons of the innean Society of Londoit
Zoology. Vol. 8. Part 1. London 1883 in 4'. Ltê Je 99, 100 de
la part de la Société Lkméemie de Londres.
101. Joîtrnal of tbe Academy of natnral sciences of Philadelphia.
Second Series. Vol. 9, part 1. Philadelphia 1884 in 4*. De la
part de l'Académie des eciences de Philadelphie.
102. Zeitschrift der Gesellschaft Пг Ërdkonde zu Berlin. Band 19.
Heft 4 u. 5. Berlin 1884 in 8«.
108. Verhandlungen der Oesellschaft fttr Erdkunde zn Berlin. Band
11. № 9 a. 10. Berlin 1884 in 8«. Les Л 102, 103 de la pari de
la Société géographique de Berlin.
104. Journal of the asiatic Society of Bengal. Vol. 53, part 1. J^
11. EdiUd pkOological Secretary. Calcutta 1884 in 8*.
106. — — — — — — —.— ^— — Natural history.
Vol. Ö3, part II. № 11. Calcutta 1884 in 8».
lOe. Proceedings of the Asiatic Society of Bengal. 1884. № 9, 10.
Calcutta 1884 in 8*. Les ;^Г 104—106 de la part de la Société
asiatique du Bengal à Calcutta.
Membres élus.
Actifs:
(Sur la proposition de МИ. Goroschankine, Menzbîer et Ch*s Lin-
deman).
Mr. Vlad. Ivuu. Bélaiff h Moscou.
(Sur la proposition de MM. Goroschankine et Lindeman).
Mr. Alexandre Pétrovitsch Artari à Moscou.
(Sur la présentation de MM. Renard et Lindeman).
Mr. Stephan Sommier de Florence.
(Sur la proposition de MM. Alex. Fischer et Renard).
Mr. le Professeur Jean Arcangeli à Pise.
(Sur la proposition de MM. Renard et Lindeman).
Mr. le Docteur Jean De Man h Middelbourg.
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- 48 —
SÉANCE DU 18 AVRIL 1886.
Mr. le Professeur Я. TramtaduM présente an travail sur le Néo-
comien de Sably en Crimée» Avec 9 planches.
Mr. Bas. Egor. BaehméHeff remet ses observations météorologi-
ques faites pendant les mois de Janvier, Février et Avril de cette
année.
Mr. A^ert Begel envoie quelques lettres de son voyage en Asie.
Mr. le Secrétaire, Professeur Ытьаемап^ annonce que Mr, Fed.
Vladim. Wesehmakoff a commencé à i émettre une partie de sa bi-
bliothèque dont il nous a fait don*, cette partie contient 222 ouvra-
ges en 649 volumes.
La Société a résolu, sur la proposition de Mr. M. A. Menzbier
de recommander MM. Ncuaroff et Lorenz à MM. les Gouver-
neurs d'Orenbourg, de Stavropol, du Kouban, de Tersk, de TOural
et de Tourgai, en demandant leurs protections pour les recherches
scientiüques proposées par M. M. Nazaroff et Lorenz dans les gou-
vernements indiqués.
VAUaman du district militaire du Don et le Tribunal du gou-
vernement de Tambow (Губ. Зеиск. Уорава) ont envoyé, sur la de-
mande de notre Société, des lettres ouvertes Mr. à Dmitri Ivanovitsch
Lytvinoff pour pouvoir explorer librement les pays du Don et le
Gouvernement de Tambow sous le rapport botanique.
La Section des travaux géologiques du Portugal à Lisbonne a
commencé à rassembler ses travaux dans un Recueil, dont elle nous
a envoyé le № 1 et propose réchange de ses publications.
La Société Broteriana de Coimbre en Portugal envoie le premier
fascicule de son Bulletin et propose rechange des publications.
Mr. L I. Simaschko de St-Pétersbourg qui possède un belle et
grande collection de météorites au nombre de 284 exemplaires (d'a-
près lui la sixième en grandeur du monde entier) voudra bien en
faire la description et la publication et désire recevoir dans ce but
des renseignements et des notices sur d'autres collections de mété-
orites à Moscou ou ailleurs et savoir ce qui a été publié à ce sujet
dans le Bulletin de la Société. Mr. le président a envoyé h Mr. Si<
maschko la Table générale etc. de Ballion.
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— 46 —
Mr. le Dr. Jacques de Bedriaga à Nice a besoin, pour un travail
commencé les pages 139 et 140, da Bmlletin 1844. J^ 1, et prie de
le lui faire parvenir, 8*il se peut Mr. le Président, sachant que la
Société possède encore quelques exemplaires de ce numéro« a en-
voyé à Mr. Bedriaga le J6 1 du Bulletin 1844 en entier.
Mr. le Dr. Wem. Ihfitnoeki de Niankow écrit quUl va nous en-
voyer sous peu un nouvel article pour être inséré dans nos Bul-
letins.
Mr. Adolph'Senoner, remerciant pour le Bulletin I& 2 de 1884, an-
nonce que Mr. le Professeur Dr. Suers a été nommé à la place de
Mr. Hauer comme Directeur de Tlnstitut géologique de Vienne.
Hr. le Dr. Chtido Sàheml envoie ses observations magnéto-météo-
rologiques, faites ä Boudapest pendant les mois de Février et Mars.
Mr. le Professeur Dr. Benedict Ivanopiteeh Dybotoski à Lemberg
a envoyé sa carte photographiée.
Mr. le Professeur ilf. Nenmayer de Tienne accuse réception de
son diplôme de membre de notre Société et envoie en remerciant
sa carte photographiée.
Mr. Edouard Jannettag de Paris envoie sa carte photographiée
et offre, avec Mr. le chevalier Emile Vanderheym la seconde édi-
tion de leur ouvrage: ffDiamants et Pierres précieuses^^.
Mr. Nie. B. Ooronavitsch nous adresse sa carte photographiée et
le prix du diplôme, avec la première cotisation de 19 Bonbles.
Mr. le Baron Ferdinand de Mueller de Melbourne envoie de
courtes notices imprimées sur quelques plantes de la nouvelle
Guinée.
La Soeiaé a reçu depuis le 14 Mars, en suite de sa circulaire par
rapport aux lacunes qui se trouvent dans sa bibliothèque de la
part de la Société des Naturalistes de SU-Pétershourg. 8 vol. de ses
travaux, de la Société ornithologique de Vienne^ encore 15 numéros
de ses Mittheilungen*, de l'Académie américaine des arts et des seien»
ces de Boston: 3 volumes de ses Proceedings. Du Musée d'histoire
naturelle de Klagenfonrt в années de son Jahrbuch.
Le Président de la Société, Dr, Henard, présente le Bulletin № 3
de 1884 qui a paru sons sa rédaction.
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^ 47 -
Mr. le Dr Jean Oovert De Man de Middelbourg remercie pour
son élection de membre actif.
La Cotisation pour 1886 a été payée par MM. B. J. Zinger e
A. /. Kronenberg.
Le décès des MM. K. Th. de Siébold de Manich et du Dr. Lucae
de Francfort s. M. ont été communiquées à la Société.
Lettres de remerciments pour renvoi des publications de la So*
ciété de l'Université de Varsovie, de la Société des naturalistes de
Visbaden, de PObservatoire de Prague, de la Fondation Teylor à
Наг1еш, de TAcadémie I. Leopoldino-Caroline allemande des Natu-
ralistes ä Halle, de Tlnstitut Smithson de Washington.
Mr. B. D. Soholov a parlé sur les Mergels de Théodosie.
Mr. Б. N. Lvoff a exposé les résultats de ses recherches sur la
structure histologiqne de la peau des Crocodiles.
DONS.
Livres offerts.
1. Saussure f Henri de. Prodromus Oedipodiorum insectorum en
ordine Orthopterovum. Genève 1884 in 4^ De la part de
l'Auteur.
2. Bulletin de la Société d^étude des sciences naturelles de Nt-
mes. 1884. № 11 et 12. Ntmes 1884 in 8*. De la part de la So-
ciété d'étude des sciences naturelles de Nîmes.
3. Joly, Ch. Note sur la Viticulture en Californie. Paris in S: De
la part de VAuteînr.
4. Sitsungs-Berichte der Kurl&ndischen OescUschaft fttr Literatur
u. Kunst aus dem Jahre 1883. Mitau 1884 in S: De la part
de la SodÜe Courlandaise pour laUttérature d les arts à Mitau.
5. йропитолы Заседай. Имп. Виевскаго Медицянскаго Обще-
ства. Годъ 79. № 6, 7. Годъ 80. № 1. Ви1ьно 1884-85 in 8».
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- 48 —
6. Годовой отнешь о деятельности П. BiueHcicaro Моднцивскаго
Общества за 1884 г. Вильно 1885 in 8*.
7. Докладь Коммнссш, назначенной И. Виленскнхъ Медиц. Обще*
ствомъ по вопросу „о и'1рахъ оздоровден1я Г. Внжьны". Вижь-
но 1886 in 8^ Les Л 5—7 de la part de la ЗоеШе L de mé-
decine de Vilna.
8. Упчверситетскья Изв4ст1я i884. ^ 12. 18S5. Jf 1. Е1евъ 1884—
85 in 8*. De la part de V Université de Kiev.
9. Natnre. 1885. № 806, 804, 806, 806. London 1885 in gr. 8". I)e
la part de la Bédaction.
10. BulUlin de TAcadémie de médecine. 1885. № 10. 11, 12, 13, 14.
Paris 1885 in 8^ De la pari de V Académie de médecine de
Paris.
11. Der Naturforscher. 1885. № 9—11, 13. Berlin 1885 in 4*. De la
part de Mr. le Dr. Q. SJOardo de Berlin.
12. Botanisches CentralbUUt. Jahrgang 6. № 11, 12, 13, 14, 35, 16.
Cassel 1885 in 8^ De la part de Mr. le Dr. Oscar UMioorm.
13. Garten-Zeitung. 1885. J^ 11, 12, 18, 14, 15. Berlin 1885 in 8«.
De la part de Mr. le Dr. Wittmack.
14. Zoologischer Anzeiger. 1885. № 190, 191. Leipzig 1886 in 8*.
De la part de Mr. le Prof. Victor Carus de Leipzig.
15. Chronique de la Société nationale d'Acclimatation de France.
1885. >6 6, 7, 8. Paris 1885 in S\ De la part de la Société na-
tionale d'Acclimatation de Paris.
16. Comptes rendus hebdomadaires des séances do la Société de
Biologie. 1885. № 10, 11, 12, 13. Paris 1885 in S\ De la part
de la Société de Biologie de Paris.
17. Archives de Musée Teyler. Vol. 4, fosc. 2 et 8, 4. Série 2, vol.
2, partie 1. Haarlem 1878-84 in 8*. De la part du Musée
TeyUr d Harlem.
18. Oould, Beiy. Apthorp, Catalogo de la Zonas. VoL 8, parte se*
gunda. Cordoba 1884 in 4\ De la part de VObservatoire natio-
nal argentin de Cordoba.
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— 49 —
19. SUzungêbtrichte der Kais. Akademie der Wissenschaften. Ma-
themati$ch'Naturwi9aen8chafiliche Classe. Band 84. Heft 1—5.
1 Äbmeüung. Wien 1884 in 8».
20. -. — — — ~ — — __
2-й Abtheilung. Band 89. Heft 1—5. Wien 1884 in 8«.
21. — -- — —__ — ---
3'U Äbtheilung. Band 89. Heft 1 n 2. Wien 1884 in 8*. Lea Je
19—21 de la part de V Académie J. des sciences de Vienne.
22. Nederlandsch Meteorologisch Joarbock voor 1877. Deel. 2. Ut>
recht 1884 in 4^ De la part de l'Institut Royal météorologique
des Pays-Bas à Utrecht.
23. Труди Имп. Московскаго Общества Сельскаго Хоздвства. По
Комитету Скотоводства. Внд. 15. Москва 1885 in 8^. De la
part de la Société L d'agriculture de Moscou.
24. Vom Raih, G. Vorträge and Mittheilnngen. Bonn 1885 in 8*.
De la part de l'Auteur.
25. Caàb и Огородъ. Годъ Ьй. № %, 7. МосБва 1885 in 4^ De la
part de la Société des amis d'horticulture de Moscou.
26. Becords of the geological Sorvey of India. Vol. 18, part 1. Cal-
cutta 1885 in 8*. De la part de la Société géologique des Indes
de Calcutta.
27. Записки Ниц. Общества Ceibcsaro Хозяйства Южной Росс1и.
1885. № 1, 2. Одесса 1885 in 8«. De la part de la Société Imp.
d'agriculture du Sud de la Russie d'Odessa.
28. KanitMy Agost Magyar No?énytani lapok. 8 Évfolgam. Kolozs-
Värt (Klausenberg) 1884. De la part de Mr. Kanits.
29. Esencmi» Ими. Русск. Географическаго Общества. Томъ 20.
Выи. 6. Тоиъ 21, вып. 1. С.-Петерб. 1884—85 in 8М>в la part
de la Société L géographique russe de St-Pétersbourg.
30. Journal of the American Medical Association. Vol. 4. № 9, 10,
11, 12, 13. Chicago 1885 in gr. S\ De la part de l'Association
américaine snédicale de Chicago.
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~ so -
31. АШ della Beale Accademia del Lincei. Série 4. Rendiconti.
Vol. 1, fasc. 3, 5, 6, 7, S. Roma 1886 in gr. 8*. De la part de
VAciidémie RoyaU de Lincei à Rome^
32. BoUeUino della Società Africana d'ltalia. Anno 4, fasc. 1. Na-
poli 1885 in 8^ De la part de la Société afHcaine d'Italie à
Rome.
33. IngUj Edward. Local Institutions of Virginia. Baltimore 1885
in 8°. Dé la part de VUtUveraiié John НорЫпе de BàlUtnore.
34. Mielberg^ L Meteorologische Beobachtongen des Tifliser phy-
sikalischen Observatonnms ira Jahre 1883. Tiflis 1885 in 8*. De
la part de Mr. Mielberg.
35. The Canadien Entomologist Vol. 17. Febraary 1885. London
1885 in 8^ De la part de Mr. 8a%nder$.
36. Труды Hmd. вольнаго Экононическаго Общества. 1885. Феврадь.
С-Петерб. 1885 in 8^ De la part de la Société I. libre écono-
mique de SU-Péterébourg,
37. JncHou Журналъ. Годъ 15-t. № 1, 2, 3. С.-Петерб. 1885 in 8*.
De la part de la Société forediére de St.-Péteràbourg.
38. Anàlea de la Sociedad cientifica argentlna 1885. Entrega 1, 2.
Buenos-Aires 1885 in 8^ De la part de la Société scien^fique
argentine de BuenoS'Aires.
39. Emety A. El Gnachamacà. Caracas 1885 in 8«. De la part de
VAuteur.
40. Bidletin de la Société belge de Microscopic. Année 15. № 5.
Bruxelles 1885 in 8*. De la part de la Société belge de Micros-
copie de Bruxelles.
41. Bidletin mensuel de la Société nationale d'Acclimatation de
France. 4-e série. Tome 11. № 1. Paris 1885 in 8\ De la part
de la Société nationale d'Acclimatation de France à Paris,
42. Журналъ Министерства Народнаго Просв'Ъщен1я. 1885. Мартъ.
С.-Петер6. 1885 in 8'. De la part de la Bédactiou.
43. The Geological Magazine. 1885. April. London 1885 in 8*. Delà
part àe Mr. Woodward.
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— 51 —
44. Отчетъ Имп. Русскаго Географическаго Общества за 1864 годъ.
С.-Петерб. 1885 in S\ De la part dt la Société L гивве de géo-
graphie.
45. Протоколы Заседай. Ииц. БавказсЕаго Меднцтюкаго Обще-
ства. Годъ 21. № 16, 17. Твфпсъ 1885 in 8'.
46. Мдт^инЫй Сборникъ. J^ 89, вып. 1. Тифлисъ 1885 in 8*. Les
№ 45, 46 de la part de la Société L de médecine d% Caucase à
Tiflis.
47. Entomoloffisk Tidskrift. 1884. Heft 3, 4. Stockbolm 1884 in 8*.
De la part de la Société enlomologigue de Stockholm.
48. Johns Hopkins University Circalars. VoL IV. Jfe 87, 38. Balti-
more 1885 in 4^ De la part de l'Université John Hopkins à
Baltimore.
49. Bulletin de la Société Vaudoise des sciences naturelles. 2-de
sér. Vol. 20. № 91. Lausanne 1885 in 8*. De la part de la So-
ciété Vaudoise des sciences naturelles d lÀHusanne.
50. SitMungsberichte der physikalisch-medicinischen Societät zu Er-
langen. Heft 16. Erlangen 1884 in 8^ De la part de la Société
physico-médicale d'Erlangue.
51. Archiv des Vereins der Freunde der Naturgeschichte in Me-
cklenburg. Jahr 38. Güstrow 1888 in8^ De la part de la So-
ciété des amis d'histoire naturelle de Mecklenbourg,
52. Hsencmiß Геологическаго Комитета« 1885 годъ. Jk 2. С-Петерб.
1885 in 8»,
53. Труды Геологическаго Комитета. Томъ 2. № 1. (Никитинъ, О.
Общая Геологпчесвая карта Poccin, листъ 7l-fi, съ картою и
8 таблицами). Les J^ 5^, 53 de la part du Comité géologique
de SL'Pétersbourg.
54. Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. № 12. Jahrgang 26. № 2.
Frankfort a. M. 1884—1885 in 8^ De la part de la Société zoo-
logique de Francfort s. M,
55. Протоколъ l-ro Экстр, собрали К1евскаго Общества Естество-
исцнтателей. 12 Лвваря 1885 года. К1евъ 1885 in 8^ De la
part de la Société des Naturalistes de Kieff.
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^ 52 -
56. BtäleUn of the Torrey botanical Clab. Vol. 12. № 2 and 3.
New-Iork 1885 in 8*. De la part du cercle botanique Torrey d€
New-Iork,
57. BoUettino della Società geografica italiana. Anno 19, foec 1«
fasc. 3. Borna 1885 in 8*. De la part de la Société géographique
italienne de Rome*
58. ЛШ della R. Accademia delle sciense di Torino. Vol. 20, disp*
2. Torino 1884 in 8^ De la part de VAcadémie В, des sciences
de Turin.
59. Boletin de la Academia nacional de ciencias en Cordeba. To-
mo 7. Entrega 3. Buenos-Aires 1884 in S*. De la part de l'A-
cadémie nationale des sciences de Çordoba.
60. Communicacöee da secc&o dos trabathos Geologicos de Porta«
gai. Tomo 1, fasc. 1. Lisboa 1885 in 8*. De la part de la Section
des travaux géologiques du Portugal à Lisbonne.
61. Bulletin de la Société de Borda Dax. 1885, trimestre 1. Dax
1885 in S\ De la part de la Société de Borda à Dax.
62. Cechj KareL Püvod Chmelarstvi a Pivovarstvi. Praua 1884
in 8'.
63. — Zur Lage der Bierbrauer in Russland. Moscou 1885 in 4*.
Les Л? ff^, 63 de la part de l'Auteur,
64. Tijdschrift der Nederlandscbe Dierkundige Vereiniging. Deel.
6. Aflev. 2—4. Leiden 1882—85 in 8'. De la part de la SociéU
néerlandaise d'ïUstoire naturelle de Leide.
65. Feuille des Jeunes Naturalistes, 15-ème Année. № I7i. Paris
1885 in 8^ De la part de Mr. Adrien Dollfus de Paris.
66. Leopoldina. Heft 19, 20. Halle 1883-1884 in 4*.
67. Nova Acta Academiae Gaesarcae Leopoldino - Carolinae Oer-
manicae naturae curiosorum. Tom. 45, 46. Halle 1884 in 4*. Les
•¥ 66, 67 de la part àe VAcadémie L Leopoldino-Caroline des
Naturalistes de Halle.
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— 53 — •
68. 8iUung$beriéhte der mathem. natorwiss» Classe der Kais. Akad.
der Wissenschaften in Wien 1885. J« 6, 7, 8. Wien 1886 in 8*.
De la part d$ V Académie L des sciences de Vienne.
69. Monatliche Itfittheilnngen des Natarwissenschaftlichen Vereines
der Begierungsbericht Frankfurt 2 Jahrgang. № 12. Frankfurt
an der Oder 1886 in 8^ De la part de la Sociäe des Natura-
listes de Francfort s, VOder,
70. Archives Néerlandaises des sciences exactes et naturelles. Tome
19, Итг. 3, 4 et 5. Harlem 1884 In 8'. De la part de la Société
hollandaise des sciences de Harlem.
71. Flora. Neue Reihe. Jahrgang 42. Begensbnrg 1884 in S\ De la
part de la Société B. botaniqne de Ratiebonne,
72. MiUheihmgen der Natnrforschenden Qesselschaft in Bern aus
dem Jahre 1684. Ift 1083—91. Bern 1884 in 8*. De la part delà
Société d'histoire naturelle de Berne.
78. Труды Общества Руссмхъ врачей въ С.-ПетербургЬ. Годъ 51,
выи. 1, 2. 0.-Петербургъ 1884—86 in 8^ De la part de la Société
des médecins russes de St.'Pétersbourg.
74. Bericht ttber die Senckenbergische natnrforschende Gesell-
schaft 1884. Frankfurt a. M. 1884 in 8». De la pari de la So-
ciété de Senckenberg des Naturalisées de Francfort s. M.
75. Die FortschritU der Physik in Jahre 1878. (Prof. Dr. Heesen)
Jahrgang 36. Abtheilung 3. Berlin 1884 in S\ De la part de
la Société de physique de Berlin.
76. BaputaecniH Университетсюя Изв4ст1Я. 1874. № 7, 9. 188Ô. J6 1*
Варшава 1884—86 in 8^ De la part de l'Université de Varsovie.
77. Bulletins de la Société d'Anthropologie de Paris, III série. To-
me 7, fasc. 4, 6. Paris 1884 in 8«. De la part de la Société
d'Anthropologie de Paris.
78. AtH délia Società toscana di scienze natural!. Memoria. Vol.
4, fasc. 3. Pisa 1885 in 8^ De la part de la Société toscane des
sciences naturelles de Pise.
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-54 -
79. The American Maseam of natural history. Aimiial Report of
the trustees for the year 1884—85. New-Iork 1885 m 8*. Delà
part du Мышее américain énUetoire naimréUe de Neuhlork*
80. Dr. A. Petermawne Mittheilungen (Prof. Dr. A. Snpan). Band
81. 1885. Ш. Gotha 1885 in 4\ De la part de Mr. Justue Fer-
(he$ de Chiha.
81. Pagenstechcr, A. Die Vögel Sfld-Oeorgiens nach der Ausbeute
der deutschen Polarstation in 1882 n 1888. Hamburg 1886 in 8'.
De la part de l'Auteur.
83. BulleHn of the Galifomia Academy of sciences 1885. № 2, 3.
Son Francisco 1885 in 8«. De la part de Г Académie Califor-
nienne des ecieneee de Se.-Francieco.
83. Bemeen^ Ira. American Chemical Journal. Vol. 6. № 6. Balti-
more 1885 in 8*. De la part de la RédacHan du Journal.
84. Proceedin§8 of the Academy of natural sciences of Philadel-
phia. Part 8. November— December 1884. Phihidelphia 1885 in
8*. Delà part de l^ Académie dee eciencee nakiréllei de Phila-
ddphie.
85. Протоколъ BactxaHiil Общества Одессвихъ Врачей. Томъ XY.
№ 16, 17, 18, 19 и OrjaBienie 1888-^ году. Томъ XVL №
1—6. Одесса 1884—86 in 8*.
86. Статл^етичеапя Табшца еженед'Ьжьной смертносто г. Одессн
за 1888. Нед'Ьдя 88-52. Одесса 1884 in ^. Les Л 85, 86 de la
part de la Société des médedne d'Odessa.
87. Danielii, Jacopo. Sperostosi in mandibole umane specialmente
di Ostiacchû In Firenie 1884 in 8«. De la paH de Г Auteur.
88. Отчетъ Каввазсваго Общества OejocKaro ХоздВства. 1884 г*
}к 12. Тифшсъ 1884 in 8'. De la pari de la Société d'agricuh
ture du Caucase de Tiflis.
80. The Joumai of the Linnean Society. Botany. Vol. 21. Л 132—
188. London 1884 in 8*. De la part de la Société Linnéeme de
Londres.
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— 55 —
90. Transactions of the Zoological Society of London. Vol. XI, part
9. London 1888 in 4^ De la part de la Société Zoologique de
Londres.
91. Fhilosophieal transactions of the Boyal Society of London for
the year 1883. Vol. 174. Part 3. London 1884 in 4».
92. Proceedings of the Royal Society. Vol. 86. }k 230, 231. London
1884 in 8*. Les M 91^ 92 de la part de la QoeUU Royale dé
Londres.
93. Transactions of the Boyal Society of Edinborgh. Vol. 32, part
1. Edinburgh 1888 in 4'.
94. Proceedings of the Royal Society of Edinburgh. Session 1882—
83. Edinburgh 1883 in 8». Les № 93, 94 de la part de la Société
Royale d'Edimbourg.
95. Travaux et Mémoires da Bureau international des poids et
mesures. Tome 2. Paris 1883 in 4*. Ds la part du Bureau in-
ternational des poids et mesures de Paris.
96. Natuurkundig Tijdschrift voor Nederlandsch-Indië. Deel. 43.
Achtste série. Deel 4. Batavia 1884 in 8^ De la part de la So-
ciété Royale néerlanéUnse des sciences naturelles de Batavia.
97. Neues LausUsisehes Magasin. Band 60. Heft 2. Görlitz 1884 in
8^ De la part de la Société des sciences de Oùrlitz.
98. Jahresbericht 61-ter der schlesischen Gesellschaft für vaterlän-
dische Gultur. Breslau 1884 in 8«. De la part de la Société
silésienne des sciences de Breslau.
99. ЕоесиевсШу H. Изсл^дован1я по Инне11вац1и pacinHpeeia зрач«
ка. Казань 1885 in 8*.
100. — — Методологическая зам-Ьтка относительно сравнитель-
наго опред'кюшя давлен!я крови въ различныхъ и'Ьстахъ арте-
р1альноЙ системы. Казань 1885 in 8*. Les И^ 99, 100 de la part
de VAuteur.
101. Труды С.-Петербургскаго Общества Естествоиспытателей. Томъ
4, вып. 2. Томъ 9. Томъ 13, вып. 1-й. С.-Петерб. 1873—78 и
82 in 8*. De la part de la Société des Naturalistes de St.-Pé-
iersbonrg.
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— Rfi —
102. Verkandkmgm der Gesellschaft fttr Erdkunde zu Berlin. Band
12. Л& 1, 2, 3. Berlin 1885 in S\
103. ZHtêchrift der Gesellschaft für Erdkunde zn Berlin. Band 19.
Heft e. Band 20. Heft 1. Berlin 1884—85 in 8*. Zet ^ ЮЯ, i03
de la part du la Société géographique de BerUm.
104. Beitragt zor Anthropologie a. Urgeschichte Bayerns. Band 6.
Heft 2 о. 3. Mttnchen 1886 in gr. 8*. De /а part de la SoeUté
d'Anthropologie^ d'Ethnologie etc. de Munich,
105. BoUtin da Sociedade de Geographia de Lisboa. 4^ série. № 10,
11. lisboa 1883 in 9^.
lOe. CorU Beàl, J. A. Resposta a Sociedade antiesclavista de Lond-
res. Lisboa 1884 in 8*. De la pari de la Société géographique
de Liàbonne.
107. MiUheüungen der Anthropologischen Gesellschaft in Wien.
Band 14. Heft 4. Wien 1884 in 4*. De la part de la Société
Anthropologique de Vienne.
108. Den NoTêke Nordhavs-Expedition 1876—78. Xiï. Danielsêen, D.
C. ng Когещ loh. Pennatnlida. Christiana 1884 in 4^
109. Pini Eduard. Sni temporali osservaü nelHtalia superiore du-
rante ГАппо 1879. Milano 1885 in 4«. De la part de VObeerva-
toire R. de Вгеяа en Volhinie,
110. Jowmal de Micrographie. 1885. № 3. Paris 1885 in 8'. De la
раН de Mr. le Dr. Pelletan de Paria.
111. Journal and Proceedings of the Royal Society of New South
Walis for 1888. Vol. 17. Sydney 1884 in 8«. De la part de la
Société Boyale de la nouvelle Galles du Sud.
112. The Proceedings of the Linnean Society of New South Wales.
Vol. 9, part 2. Sydney 1884 in 8». De la part de la Société Lin-
néenne de la nouvelle Galles du Sud.
113. Memoirs of the geological Survey of India. Palaeontologia In-
dica. Ser. X. Vol. III. Part 4. (R. Lydekker). Calcutta 1884 in
fol. De la part de la Société géologique des Indes à CalcuUa.
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— S7 —
114. Journal of the asiatic Society of Bengal (Natural Inetory). Vol.
52, part IL 1883. Л 1—4. Vol. 53. Part 2. I. 188*. Calcutta
1883-84.
115. _ _ — — Vol. 52, part 1. Jfe 2—4. 1883. Vol. 58. Part 1.
№ 1.— 1884. (Philological Surclary). Calcutta 1883—84 in S\
116. Proceedinge of the Aeiattc Society of Bengal. 1883. № 7—10.
1884. № 1— e. Calcutta 1883—84 in 8'. Les Л 114^ IIL, Ив de
la part dé la Société asiatique du Bengal de Calcutta,
117. ВоИеШло mensuale delPOseervatoiio centraleidël Real Qollegio
Carlo Alberto in Moncalièri. Serie 2. Vol. 4. И^ 4, 5, 6—8.
Torino 1884 in 4^ De ta part de la Bociété mitéor^logique
italienne de IWîn.
118. Carulla F. J. B. The Steel age. 1884 in 8^ De la part de
VAuteur.
119. Mütheüungen der Omithologischen Vereines in 'Wien. Jahrgang
.8. Ik 8—12. 9 Jahrg. Je 2—4. Wien 1885 in 4^
120. Section für GeflügeUucht u. Brieftauhenweeen. Jahrg, 1. ^ 7~
25. 2 Jahrgang. № 4—13. Wien 1884-85 in 4^ Les Л? 119, ию.
De la part de la Société omithologique de Vienne.
121. Sociedade Broteriana. Boletin Annual. Ill, fasc. 1. 18S4. Coim-
bra 1885. De la part de la Société Broteriana de Coimbre en
Portugal.
122. Tijdséhrift Yoor Entomologie. Jahrgang 1883—84. Aflevering
Dresde en Vierde- J'Graverhage (Leide) 1884 in 8*. De la part
de la Société néerlandaise entomologique de Leide.
123. Irmiechia. 1885. 16 1, 2. Sondershausen 1885 in 8*. De la part
de la Société botcmique Irmisohia de* Sonder a hausen.
124. Boletin de la Academia nacional de Ciencias en Cordoba. То-
то 8. Entrega 1. Buenos- Aires 1885 in 8^ De la part de l'A*
cadénie nationale des sdencea de Cordoba (ДериЬи arg,).
125. Bulletin de la Société philomatique de Paris 7-e série. Tome 9.
16 1. Paris 1885 in 8*. De la part de la Société philomatique
de Paris,
Л« ^. 1885. 5
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— 58 —
126. R. ComUcUo geoîogico dltalia. 1886. Bollettino. .^ 1 e 2. Borna
1885 in 8*. De la part du Comité Royal géologique d'Italie.
127. Jannettas^ E. et VanderJieymy Em. Diamant et pierres précieu*
ses. 2-de édition. Paris 1881 in 8*. De la part de MM. les
Auteurs.
128. Anales de la Sociedad espanola de bistoria natural. Tome 14.
Cuaderno l. Madrid 1885 in 8^ De la part de la Société espa-
gnole d'histoire naturelle de Madrid.
129. Whitney^ J. D. The Climatic changes of lates geological times
Cambridge 1882 in 4\ De la part de MM. Alexandre W. Agas-
siM et J. D. WUhney de Cambridge.
130. Awnual Report of the Mnsenm of comparative Zoology for.
1879—80. Cambndge 1880 in 8«.
181. Faxon Walter. Selections from Embryological Monographs. I.
Crustacea. Cambridge 1882 in 4^ Leê Л 130, 131 de la part
de Mr. Alexandre Agasaie de Cambridge.
132. Wadsworth, M, E. Lithological Studies. Cambridge. 1884 in i*.
133. Baird, S. F. Brewer, T. M. and Ridgway, R. The Water, Birds
of North America. Vol. 1, 2. Boston 1884 in 4*. Les № 131, 132
de la part de MM. Alexandre Agassis et J. D. Whitney de Cam-
bridge.
134. Sitzungsberichte der mathemat physikalischen Classe der К. В.
Akademie der Wissenschaften zu München. 1884. Heft 4. Mün-
chen 1885 in 8*. De la part de l'Académie В. des sciences de
Munich.
135. Sitzungsberichte u. Abhandlungen der Naturwissenschaftlichen
Oesellschaft Isis in Dresden. Jahrgang 1884. Juli bis Decem-
ber. Dresden 1885 in 8*. De la part de la Société d'histoire na-
turelle Isis de Dresde.
136. Mitteilungen der К. К. Mährisch-Schlesischen Gesellschaft zur
Beförderung des Ackerbaues, der Natur-u. Landeskunde za
Brunn. 1884. Jahrgang 64. Brunn 1884 in 4«. De la part de la
Société L R. pour le développement de VagriculturCj de la con-
naissances de la nature et du pays de Brunn.
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— 59 —
137. Proceedings of tbe American Academy of arts and sciences.
Vol. 1, 4, 9. (New series. Vol. 1.) Boston 1848, i860 and 1874
in 8". De la part de ('Académie américaine des arts et sciences
de Boston.
138. Berichte des Freien Deutschen Hochstiftes fttr Wissenschaft,
Ennst a. höhere Bildung zu Frankfurt a. M. Jahrgang 1884—
86. Lieferung 1. Frankfurt a. M. 1885 in 8^ De la part de l'Ins-
titut allemand libre powr les sciences etc. de Francfort s. M.
139. Pagenstecher^ A. Die von Dr. G. A. Fischer auf der Reise in
das Massai-Land gesammelten Säugethiere. Hamburg 1885 in
gr. 8". De la part de l'Auteur.
140. Горный Журнадъ. Томъ 1. (1886). Мартъ. С.-Петерб. 1885 in
8®. De la part du Comité savant des mines de St.-Pétersbourg.
141. Труды Общества Ёстествоиспытатеюй въ Казани. Томъ XII,
выи. 4. Томъ XIII, вып. 5, в. Казань 1885 in 8*. De la part de
la Société des Naturaliêtes de Kazan.
142. The transactions of the Entomological Society of London for
the year 1884. London 1884 in 8*. De la part de la Société en-
tomologique de Londres.
143. Bad Ingoslavenske Akademije znanosti i umjetnosti. Knjiga 73.
Razredi filologicko-historicki. IX. Knjiga 72. Mathematicko-
prirodoslovni Razred. V. Uzagrebu 1884—86 in 8«. De la pari
de VAcaoémie des sciences de Zagreb.
144. Verhandlungen des naturhistorischen Vereines der preussischen
Bheinlande u. Westfalens. Jahrgang 41. Hälfte 2. Bonn 1884
in 8*. De la part de la Soctété des Naturalistes de Bonne.
146. Herder,^ Ferd. v. Beobachtungen über das Wachöthum der Blut
ter einiger Freilandpflanzen, in 8*.
146. — — Fixation de certaines plantes, dont on peut observer
presque partout en Europe le développement à ses différentes
époques. St-Pétersbourg 1884 in 8^ Les № 145, 146 de la part
de l'Auteur.
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— 60 —
147. Journal of the Royal Microscopical Society. 1885. April. Lon-
don 1885 in 8*. De la part de la Société В. de Mieroscopie de
Londres.
148. Jàhrbiéch des natarhistorischen Landesmasenms von Kärnten.
Jahrganif 1. 1862, 1863, 1854, 1855—69. Jahrg. 4-8. ISCl (5-te8
Heft) 1862. (5 tee Heft, Abtheilg. 2.) Klagenfurt 1852—1862
in 8^ De la part du Musée d'histoire naturelle de Élagen-
fourt,
l'49. Жтитинъ С. H. Пред^хы pacopocTpaneniA аедникоЕых^ ci%-
довъ въ центральной Poccia и на Урал*. Петербургъ 1885. De
la part de VÄuteur.
Membre étu.
Actif',
(Snr la proposition de MM. Renard et Lindemann).
Mr. le Dr. Arseni Nicolaévitch Weiss à Moscou.
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HERBARIUM YIVÜM
SI VE
COLLECTIO PLANTARUM
SICCARUM
ШШШ umvERSimis mosquensis,
PARS TERTIA,
Pablicae utilitatis causa in ordinem secundum
Systema Benthami et Hookerl digesta
Bedactore
Prof. I. N. «»ГФвсЬмЫ!.
M О S Q и А E.
Typis Unirersitatis.
1885.
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PARS TERTIA,
CONTINENS
PLANTARUM COPIAM,
A
CAROLO TRINIO,
CELEBERRIMO BOTANICO PETROPOLITANO,
COLLECTAI.
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CLASSIS I.
DICOTYLEDONEAE
SÜBCLASSIS A. POLYPETALAE
I SERIES THALAMIFLORAE
I COHORS RANALES
I ORDO RANUNCULACEAE
TRIBUS I CLEMATIEAE
№ 1. Clematis L. (inclus. Atragene L.)
1. Clematis L. calycina Ait.
2.
—
cirrhosa Z».
3.
—
crispa L.
4.
—
dioica L.
5.
—
crecta L.
6.
—
flammula L,
-••
—
florida Thunb,
8.
—
glauca Wiltd.
9.
—
hexapetala.
10.
—
integrifolia L.
11,
—
maritima Z.
12.
—
occidentalis.
13.
—
Orientalis L.
14.
—
Viorna L.
16.
Vitalba L.
16.
—
Viticella L.
17.
—
virgittiana L.
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- в —
Atrag ene L.
18. Atragene alpina L.
TRIBUS II ANEMONEAE.
Thalictrmn L.
19. Thalictrum alpinum L.
20. — ambigaum Schleich.
21. — aoLgustifolium L.
22. — aquilegifolium L.
23. — atropurpureum L.
24. — cconcinnum Willd.
25. — Comuti L.
26. — . elafcum Jdcq.
27. — flavum L.
28« — ß speciosum.
29. — foetidum L.
30. — galioides Nestl.
31. — lucidum L.
32. — majne Jacq.
33. — medium Jacq.
34. — minus L.
35. — nigricans Jacq.
36. — petaloideum L.
37. — purpuraecens L,
38. — rugosum Ait
39. — sibiricum L.
40. — simplex L.
41. — speciosnm Willd
42. — tuberosum L.
Anemone (inclus. Pulsatilla Tourn. Anemone
Tourn. Hepatic a Dill).
Pulsatilla Tourn.
№2.43. Pulsatilla albana Stev.
44. — Halleri All.
45. —, patens i,
46. — pratensis L.
47. — vernalis X.
48. — vulgaris L.
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— 7 -
49. Anemone alba Öilib. {wm(^^s0 L.).
50. — alpina L.
51. — apennina JL.
52. — apiifoKa X.
53. — baldeneie L.
54. — carpathica.
55. — coronaria L.
56. — dichotoma L.
57. — horfcenßis i.
58. — leucocarpa.
— montan^a Hop.
59^ — narcissifloTa L,
60. — nenu^osa L.
61. — palmata E*
62. — Pavonina Lam.
63. — pensylvanica L.
64. — ranimculoided X.
65. — reflexa Steph.
66. — ßilrestris L.
ß (istr antiodes.
67. — trifolia L.
68. — virginiana L.
69. Hepatica trikba Dee.
Adonis L.
70. Adonis aestivalis.
71. — apennina L.
72. — autumnalis L.
73. — vernalis L.
Myosurus L.
74. Myosurus minimae L.
TRIBUS Ш RANUNCULEAE.
Ranunculus [inclus. Ficaria Dill. Ceratoce-
phalus Moench).
75. Bftnunculus acönitifolias L.
76. — acris L.
77. — alpestrie L,
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— 8 —
78. Bantmculue amplexicaolie L.
79. — aqaatilis L,
80. — arvensie L.
81. — asiaticas X.
82. — амггсотиз L.
83. — balbosus L.
84. — ballatas L.
85. — caspicae Pall.
86. — cassabicas L,
— — ß auricomus L.
87. — caacaeicus M. B.
88. — chaerophyllus L.
89. — creticus L.
JÉ 3. 90. — diseectus M В.
91. — falcatus L.
92. — flammula L.
93. — frigidue Willd.
94. — glacialis L.
96. — gramineue L.
96. — hederaceae L.
97. — hyperboreas Bottb.
98. — illyricae L.
99. — lanaginosas L,
100. — Lapponicae L,
101. — Lingua L.
102. — montanus WUld.
103. — maricatus L.
104. — nivalis L.
105. — nodiflorue L.
106. — • oxyspermne M В.
107. — parnaesifoliae L.
108. — parviflorae L.
109. — parvalus L,
110. — pedatus Kit.
Ill- — pensylvanicus L.
112. — Philonotis Betz.
113. — platanifoliue L.
114. — polyantbemos L.
115. — platyepermas Fisch,
116. — polyrrhizos Willd.
117. — py renaicue.
118. — repens L,
119. — reptans L.
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— 9 - •
120. ВаштоиШв mtaefoUus L.
121. — Bslsuginosus Pall.
122. — sarmentosus.
123. - — sceleratus L.
124. — Thora L.
125. — Seguieri Vill.
126. Ficaria Ranuncnloides Both.
127. CeratOCephalUS falcatus Pers. {Ranuncnlus faU
catuè L,).
TRIBUS IV. HELLEBOREAE.
Caltha b.
128. Caltha natans Pall.
12§, — palustris L.
Trollius L.
130. Trollius L. asiaticus L.
131. — europaensL.
— ß nantie.
Helleborus L.
132. Helleborus foetidus X.
133. — hyemalis L.
134. — lividus Ait.
135. — niger L.
136. — viridis L.
Isopyrum L.
137. Isopyrum fomarioides L.
138. — thalictroides L.
Nigella L. {indus. Oaridella L.)
139. Nigella arvensis L.
140. — cretica L.
141. — hispanica L.
142. — orientalis L. ^
143. — sativa JL.
144. — segetalis M. B.
145. Oaridella Nigellaetrum L.
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— Id -
№ 4. Aquilegia.
146.
Aquilegia L. alpijna.
147.
-.-
canadensis Z.
148.
—
panriflora De$. (neglecta Bdphi)^
149.
—
sibirica.
150.
—
reridiflora Jiicq.
151.
—
yiscosa JL.
152.
—
ynlgaris L.
Delphinium
L.
153.
Delphinium Ajacis L.
154.
—
? ambignum L.
155.
—
ciliatom 8tev.
156.
—
consolida L.
157.
—
coneatum Spr. (intermedium Ait.)
158.
— .
exaltatmn Ait.
159.-
.—
fissum Kit.
160.
—
flexaoeam M. B.
161.
—
grandiflornra L.
162.
—
hybridum Willd,
163.
—
intermedium Ait.
164.
—
palmatifidum Bel.
165.
—
peregrinum L.
166.
—
puniceum Pall.
167.
—
speciosum M. B.
168.
—
Staphisagria L.
169.
—
? urceolatum Jwq.
170.
—
villosum.
Aconitmn L.
171.
Aconitum album Ait.
172.
_
altissimum Milt.
173.
—
angustifolium Bernh.
174.
— .
Anthora L.
175.
—
Camarum L.
176.
—
cernuum Wulf.
177.
—
Lycoctonum. L.
178.
—
Napellus L.
179.
—
neomontanum KoeJ.
180
—
ochroleucum WilW.
181
—
pyreuaicum L,
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— и —
182. Aconitum septentrionale £b^{.
183. — tauricmn Wulf.
184. — tortuosum Willd.
185. — - variegatumX.
186. — volubilePaK.
№ 5. Actaea L.
187. Actaea Cimicifuga L. № 5.
188. — racemosa i.
189. — spicata JL.
Xanthorhiza Marhch.
190. Xantorhiza apiifolia Herit.
TRIBUS V. PAEONIEAE.
Paeonia L.
191. Paeonia albiflora РаП.
192. — corallina Retsf.
193. — humilis Beta.
194. — hybrida РаИ.
195. — tontdfolia L.
ORDO II. DILLENIACEAE.
TRIBUS II. DILLENIEAE.
DUlenia L.
196. Dillenia scandens Willd.
ORDO III. CALVOANTACEAE.
Calycanthus L.
197. CalrcanthUB floridus L.
ORDOIV. MAG NOLI AOEAE.
TRIBUS I. WINTEREAE.
11ис1шП L.
198. niicium floridanum L.
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— 12 —
TRIBUS II. MAGNOLIEAE.
Magnolia L.
199. Magnolia acuminata L.
200. — coDspicua Salisb.
201. — fascata Andr.
202. — oborata Thunb..
Liriodeudron L.
203. Liiiodendron tuHpifera.
ORDO V. ANONACEAE,
TRIBUS IV. XÏLOPIEAE.
Anonà L.
204. Anona mnricata L.
205.. — ? reticulata L.
206. — squamosa L.
207. — triloba L.
ORDO Vi. MENiSPERMAOEAE.
TRIBUS IL COCCULEAE.
Menispermmn L.
208. Menispermum canadense L.
TRIBUS III. CISSAMPELIDEAE.
Oissuupelos L.
209. CissampeloB Pareira L,
ORDO VII. BERBERIDEAE.
TRIBUS II. BERBEREAE.
Berberis L.
210. Berberis ilicifolia Forst.
211. — sibirica L.
212. — vulgaris L,
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- 13
Leontice L.
213. Leontioe altaica Pall.
214. — vesicaria H^t/W.
Ерипесишп L.
215. Epimedium alpinam L.
Podophyllmn L,
216. Fodophyllmn peltatum L
ORDO VIII. NYMPHACEAE.
TRIBUS II. NYMPHEAE.
Nuphar Smith.
217. Nuphar advena Ait.
218. — lutea L.
— ß pumila.
Nymphaea L.
219. Nymphaea alba L.
220. — Lotus L.
221. — odorata Ait
TRIBUS Ш. NELUMBONEAE.
Nelumbium Juss.
222. Nelumbium speciosum Willd.
2. COHORS PARIETALES.
ORDO X. PAPAVERACEAE.
SUBORDO I. PAPAVEREAE.
TRIBUS П. EUPAPAVEREAE.
Papaver L.
223. Papaver alpinum jL
224. — Argemone L.
225. — aurantiacum Loish
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— 14 -
226. Fapaver cambricum L.
227. — caucasicum M. L.
228. — dubium L.
229. — hybridum L.
230. — nudicaule L.
231. — orientlae L.
232. — Rhoeas L.
233. — somniferum L.
Argemone L.
234. Argemone armeniaca L.
235. — meiicaiia L.
№ e. Sanguinaria L.
236. Sanguinaria canadensis L.
Bocconia L.
237. Boooonia cardata Wilid.
238. — frutescens L.
Glaucimn Jitôs.
239. Olaucium luteum Seop.
240. — phoeniceum Crantß.
241. — violaceum Äfi.
Chelidonimu L.
242. Chelidonimn majus L.
— ß laciniatum Mill.
SUBORDO Ш. ZUMARIAE.
НуресошпЬ.
243. Нуреоошп erectum L.
244. — pendulum L.
245. — procumbens L.
CorydaliS Dec. (indus. Cysticapnos Gaertn.).
246. Oorydalis angustifolia M. B. ?
247. — aurea Willd.
248. — bulbosa L.
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— 15 —
249. CorYdaUsafttioidfli h,
250. — clavicubta h.
251. — CuwUam Z^.
252. — fateMea Mebf.
253. — ЧГогпмаа J>. С
254. — foftgAga Ли.
255. — Halleri WilU.
256. — lutea h.
257. — Mar«challiMI« Р(Л1.
258. — uobilis L.
259. — paeoaiaefolia iSKepA.
260. — pa^ciflora Steph.
261. — semper virent L,
262. — sibirica L.
263. Cystioapnos africana.
Fumaria L.
264. Fmnaiia capreolata L.
265. — enneaphylla JL.
266. — floccida.
267. — officinalis.
268. — parviflora 5. M.
269. — spicata.
ORDO XI. CRUOIFÇRAE.
s Б a I E s A.
TRIBUS I. AAABIDiAE.
Cheiranthus L.
270. Cheiranthus annuus L.
271. — apricufl Steph.
272. — Cheiri L.
273. — chius L.
274. — collinus M. B.
275. — ? Farsetia i.
276. — fenestralis X.
277. — fragrans Fisch.
278. — fruticuloeus L,
279. — ibericus Ad.
280. — incanus L.
281. — leptophyllus Stev.
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— 16 -
282. Oheiranthug leucanthemue Steph.
283. — Uttorins L.
284. — mutabilis UHer.
285. — odoratissimus PalL
286. — parriflorue Schousb.
287. — qaadrangulus VHer.
288. — ecoparius Brouss.
289. — semperflorens Schousb.
290. — sinuatus L.
291. — tenuifolius VHer.
292. — tomentoens Willd.
298. — torulosus Stev.
294. — tricuepidatus L.
295. — tristis L.
296. — versicolor M. B.
№ 7. Arabis (tnc/ftô. TurritisL).
297. Arabie albida i^ev.
298. — alpina L.
299. — arenosa Scop.
300. — bellidifolia.
301. — coerulea.
302. — Crantziana Ehrh.
303. — crispata Willd.
304. — Hallen L.
305. — haetata.
306. — hirsuta Scop»
307. — hispida L.
308. — incana Roth.
309. — тоШв Siev.
310. — nutans Moench.
311. — pendula L.
312. — recta Yilh
313. — saxatilis All.
314. — serpyllifoUa Ft«.
315. — stricta Huds.
316. — thaliana L.
317. — Turrita L.
318. Turritis ciliata Schlch.
319. — glabra Z.
320. — patula Ehrh.
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— 17 —
Cardamine L. (indtis. Dentaria L.).
321. Cardamine alpina Willd.
322. — amara L.
323. — bellidifolia L.
324. — graeca L.
325. — hirsuta L.
326. — impatiens L.
327. — parvifloraL.
328. — petraea Link.
329. — pratensis.
330. ~ resedifolia L,
331. — trifolia L.
332. — viscosa.
H33. Dentaria bulbifera L.
334. — Cardamine Ait.
33 Г). — digitata Lam.
336. — enneaphylla L.
337. — microphylla Willd.
338. — pinnata Lam.
339. — quinquefolia M, B.
340. — tenuifolia.
Anastatica L.
341. Anastatica hierochontica L,
TRIBUS II. ALYSSINEAE.
Limaria L.
342. Lunaria annua L.
343. — canescens Willd.
344. — graeca Willd.
345. — incana.
346. — rediviva L.
Alyssmn L.
347. AlysBUm L. alpestre L.
348. — arenarium Gmel.
349. — argenteum Willd.
350. — calycinum L.
351. — campestre L.
852. — ß simplex Budph.
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- 18 —
353. AlTSflum deltoideum L.
354. — edentulum.
355. — fruticesoens Link.
356. — gemonense L.
357. — halimifoUum L.
358. — hirsutum M. B.
359. — hispidum Stev.
360- — incanum L,
ЛЕ8 361. — marinum L, —
362. — minimum.
363. — montanum L.
364. — murale Kit.
365. — orientale Lam.
366. — rupestre Willd.
367. — rostratum Stev.
368. — saxatile L.
369. — scabrum Wein.
370. — sibiricum Willd.
371. — sinuatum L.
372. — spinoeum L.
373. — tortuosum Kit.
374. — utriculatum L.
375. — Wulffenianum Bernh.
Draba L. {inclusit PetrocalUs Br.).
376. Draba L. ai^oides.
377. .. androsacea Willd.
378. — aepera Ad.
379. — bruniaefolia iSitef?.
380. — cinerea Ad.
381. — hispida Willd.
382. — incana L.
383. — ß contorta 8prh.
384. — lactea Ad.
385. -^ mollis Scop.
386. ^ moUissima Stev.?
387. — muralis L.
388. — nemorAlisEhrh.
389. — nivalis Liljebl
390. — pilosa Лег.
391. — repens M. B.
392. — rigida Willd.
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- 19 --
393. Draba siliquosa M. В.
394. — stellafa Jacq.
395. — verna L.
Petrocallis. Br,
396. Petraoallis pyrenaica Br.
Cochlearia X.
397. Coclearia acaulis Desf.
398. — anglica L,
399. — Armoracea L.
400. — danica L.
401. — glastifolia L.
402. — officinalis L.
TRIBUS in. SISTMBRIEAE.
I& 9. Hesperis.
403. Hesperis africana L.
404. — bitnminosa Lant.
405. — contortnpUcata Jf. B.
406. — euganea Marsigl.
407. — flosculosa.
408. — inodora Xr.
409. — laxa.
410. — Hnifolia.
411. — maritima.
412. — matronalis L.
413. — muricata.
414» — rigida Stev.
315. — runcinata Eit.
416. — tatarka Pall.
417. — tristis L.
418. — verna L.
Sysymbrimn L.
419. Sysymbrium album Pall.
420. — bursifotium L.
421. — hefcerophyllnm Forst
422. — Nasturtitmi i.
423. — salsugiaosum Pall.
424. — Tilesii Led^b.
2^
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- 20 —
Ег781тшп L.
425. Erysimum Alliaria L.
426. — aureum M. B.
427. . — cheiranthoides L.
428. — diffusum.
429. — grandiflorum M, B.
430. — helveticum Del.
431. — hieraciifolium L.
432. — ochroleucum Bee.
433. — odoratum Ehrh.
434. — repandum L.
Heliophila L.
435. Heliophila amplexifolia L.
436. — coronopifolia L.
437. — erithmifolia WUld.
438. — intergrifolia Roth.
439. — ? pendula Willd.
440. — pusilla Thumb.
TRIBUS IV. CAMEIJNF.AE.
Subularia.
• 441.
Subularia aquatica L.
TRIBUS V. BRASSICEAE.
№10.
Brassica L. (inclus, s in ар is L.)
442.
Brassica
arvensis L.
443.
—
campestris L.
444.
»-
cheiranthue Vill.
445.
—
elegans Fisch.
446.
—
elougata Kit.
447.
—
Eruca L.
448.
...
Erucastrum L.
449.
—
longisiliqua ЫпТс.
450.
—
lyrata Desf.
451.
—
oleracea L.
452.
—
Orientalis L.
453.
—
pseudovesicaria.
454.
—
Rapa L.
455.
—
subularia Brot.
456.
—
vesicaria L.
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— 21 —
Sinapis L.
457. Sinapis L. alba L.
458. — Allioni Jacq.
459. — arvensis L.
460. — brassicata L.
461. — chelidoniifolia.
462. — erucoides L.
463. — glanca.
464. — hispida.
465. — incana L.
466. — integrifolia West.
467. — juncea i.
468. — laevigata L.
469. — nigra L.
470. — orientalis L.
471. — pubescens L.
VeUa L.
472. Veils L. annua L.
473. — Pseudocytisus L.
SERIES B.
TRIBUS VI. LEPIDINEAE.
Senebiera Poir (iwrfws. Goronepus Gaert.)
474. Senebiera Poir.
475. — didyma Dec.
COfTOnopuS Gaert.
476. Coronopus Ruelli Gaert.
1|ер1Шшп L.
477. Lepidlran L. amplexicaule Willd.
478. — alpinum L.
479. — ? bonariense L.
480. — chalepense L.
481. — caronopifolium Fisch.
482. — crassifolium Kit.
483. — divaricatum Ait.
484. — Draba Roth.
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- 28 —
485.
Lepidimn graminifolium L.
486.
..
Iberis Pal.
487.
—
latifolium L.'
488.
—
lyratum L,
489.
ШШШ
perfoliatum L.
490.
—
piecidium Forst
491.
—
procumbens L.
492.
—
Föderale L.
493.
—
sativum L.
494.
—
spinosum L.
495.
—
subalatum L.
496.
—
sufifruticosum L,
497.
—
vernam Link.
498.
—
vesicarium L,
499.
—
virginicum L.
№ 10. BiscuteUa L.
500.
Bieoutella apala L.
501.
—
auriculata L.
502.
—
coronopifolia L.
503.
—
depressa Willd.
504.
—
laevigata L.
505.
—
longifolia Vill.
506.
—
macrocarpa Pall
507.
—
raphanifolia.
508.
—
saxatilie Bet-
TRIBUS VII. THLASPIDEAE.
№ 11. Thlaspi L.
509. Thlaspi alliaceum L.
510.
511.
512.
—
alpestre £.
alpinum Mnrr.
arvense L.
513.
514.
515.
516.
—
bursa-pastoris L.
campestre L.
ceratocarpum Murr
hi r tum L.
517.
—
latifolium M, B.
518.
—
montanum L.
519.
520.
521.
—
peregrinum £.
perfoliatum L,
saxatile L.
522.
—
umbellatum ^tev.
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— 23 —
Iberis L.
523. Iberis amara L.
524. — cepeaefolia Wulf.
525. — ciliata Willd.
526. — gibraltarica L.
527. — linifolia L.
528. — nana AIL
529. — nudicaulis L.
530. — odorata L.
531. — pinnata L.
532. — ? saxatilis L.
533. — semperflorens L.
534. — umbellata L.
Hutchinsia Br.
535. Hutchinsia alpina Ait.
536. — petraea Ait
537. — rotundifolia Ait,
SERIES С
TRIBUS Vm. ISATIDEAE.
Feltaria L.
538. Peltaria alliacea Jacq.
Olypeola L.
539. Clypeola L. Jonthlaspi L
Isatis L.
540. Isatis L, aleppica Scap.
541. — armena L.
542. — orientalis Willd.
543. -^ tinctoria i.
Tauscheria 2^/scä.
544. Tauscheria lasiocarpa L.
Myagrmn L.
545. Myagrum L. austriacum Jacq.
556. — dentatum Wuld.
547. — paniculatum L.
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— 24 —
548. My&grxim perfoliatum L. (Hispanicnm).
549.
—
perenne L.
550.
—
rugosam L.
551.
—
sativum L.
552.
—
saxatile L.
Euclidimn Br.
553.
Euclidimn syriacum Ait.
JSßl2.
Bunias Br.
554.
Bunias
\ aegyptiaca.
555.
—
aspera Ret^.
556.
—
balearica L.
557.
—
cochlearioidee Murr,
558.
—
Erucago L.
559.
—
orientalis L.
560.
tatarica Willd.
SERIES D.
TRIBUS IX. CAKILINEAE.
Crambe i.
561.
СгашЪе aepera M. B.
562.
—
cordifolia Stev.
563.
—
filiformia Jacq.
564.
—
hispanica L.
565.
—
macracarpa M. B.
566.
—
maritima L.
567.
—
orientalis Jacq.
568.
—
strigosa UHer,
569.
—
tatarica Jacq.
Rapistrnm
Desv. {iuclusit Cord
Desf.).
Oordylocarpus l)esf.
570.
Oordylocarpus laeWgatus Willd.
Oakile Gaert
571. Cakile maritima Scop.
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— 25 —
SE&IES E.
TRIBUS X. RAPUANEAK
Raphanns L.
572. Baphanus cheiranthiflorae Willd,
573. — hybridns Kit.
574. — ibericus Stev.
475. — laevigatas Ж В.
576. — Raphanisèrom L.
577. — sativus L.
578. — tenellus Pali.
ORDO XII. САРРАВЮЕАЕ.
TRIBUS I. CLEOMEAE.
Oleome L.
579.
Cleome aculeata L.
580.
arabica L.
581.
—
dodecandra L.
582.
—
gigantea L.
583.
—
heptaphylla L.
584.
—
ornithopodioides L.
585.
—
pentaphylla L.
586.
—
? polygama L.
587.
—
procumbens L.
588.
—
pungens Willd.
589.
—
spinosa L.
590.
—
uniglandulosa Cav.
591.
—
violacea L.
592..
yisco&a L.
TRIBUS I. CAPPAREAE
Capparis L.
593.
Capparis cynophallophora L.
594.
—
eustachiana Jacq.
595.
—
frondosa L.
596.
—
horrida L.
597.
.—
ovata Desf.
598.
—
spinoea jL.
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— 26 —
ORDOXiil. RESEDACEAE.
Reseda L.
599.
Reseda alba L.
600.
—
fraticuloM L.
601.
—
glauca L.
602.
^^
latea L.
603.
-^
Luteola L.
604.
—
mediterranea
605.
. —
odorata L.
606.
—
Phyteuma L.
607.
—
purpurascens
608.
—
undata X.
ORDO XIV. CIST1NEAE.
№ 13. Oistus L.
609. Cistus albidus L.
610.
—
creticae L.
611.
—
crispas L.
612.
—
heterophyllus Vesf.
613.
—
hirsutus Lam,
614.
—
incanas L.
615.
—
ladaniferus L.
616.
—
laxus Ait.
617.
—
Ledum Lam.
618.
—
monspeliensis L.
619.
—
parviflorus Lam.
620.
—
populifolias L.
621.
—
purpureas Lam.
622.
—
salvifolius.
623.
—
vaginatns Ait.
624.
—
villosus L.
Bliai
athe
тшп Pers.
625.
Helianthemum aegyptiacum L.
626.
— ambiguum ?
627.
— angustifolium Jacq
628.
— anthurnm Link.
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— 27 -
629. Heliantheœavm apennimun L.
630.
—
canariénse L.
631.
—
croceum Desf.
632.
—
distachyon Both.
633.
—
foetidum Jacq*
634.
-.
Furnana Mill
635.
—
glutinoeum Lam.
636.
—
guttatum L.
637.
—
halimifolium L.
638.
—
hirtnm X.
939.
—
hispidmn Dunal.
640.
—
Laevipee X.
641.
—
Lasianthns Lant.
642.
—
1 ayandulifoliiim.
643.
—
ledifolimn L.
644.
—
Libanotis L.
645.
—
marifoliam L.
646.
—
mutabile Jaeq.
647.
—
niloticum L.
648.
—
naminnlariam L.
649.
-»
oelandicum L.
650. .
—
origanifolium Lam.
651.
—
piloeum X«
652.
—
polyanthoe Derf.
653.
—
pulverulentnm ?
654.
—
punctÄtum Wüld.
655.
—
racemoeum F.
656.
—
roseum Jacq.
657.
—
salieifolium L.
658.
—
scabrosum Pers.
659.
—
sqaamatam L.
660.
—
surrejanmn L.
661.
—
thymifolinm L.
662.
—
Tuberaria L.
663.
—
vineale Willd.
664.
—
vulgare Lam.
665.
—
ß grandiflorum 8cop.
Lechea L.
666. Lechea major
L.
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- 28 —
ORDOXV. VIOLARIEAE.
TRIBUS L VIOLEAE.
JS6 14. Viola L.
667. Viola arboreecens L.
668. — arvensie Roth.
669. — bannatica.
670. — biflora L.
671. — calcarata L.
672. — campestris M, B.
673. — canadensis L,
674. — canina L.
675. — cenisia L.
676. — cornata L.
677. — cucullata Ait
678. — glanca M. B.
679. — grandiflora L.
680. — hirta L.
681. — hybrida Wulf.
682. — Jaressi Linn.
683. — lactea Sm.
684. — lanceolata L.
685. — linarifoUa V.
686. — magellanica Forst
687. — mirabilis L.
688. — montana L.
689. — nummularifolia AIL
690. — obliqua L.
691. — odorata L.
692. — palmata L.
693. — palastris L.
694. — parviflora L.
695. — pedata.
696. — pinnata L.
697. — primalaefolia L.
698. — rothomagensis Vilh
699. — speciosa.
700. — striata.
701. — saffirnticosa.
702. — tricolor L.
703. — variegata FiscK
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- 29 —
TRIBUS IV. SAUWAGESIEAE.
Sauwagesia L.
704. Sauwagesia erecta L.
"«OS. — verticillata Ait.
ORDE XVII. BIXINEAE.
TRIBUS I. BIXEAE.
Biza L.
706. Biza Orellana L.
TRIBUS Ш. FLACOURTIEAE.
Lndia Lam.
707. Ludia eessiliflora Lam.
COHORS Ш. POLYGALINAE.
ORDO XVIII. PITTOSPOREAE.
Pittospormn Banks.
708. Fittospomm undulatum.
709. _ Tobira AU.
Bursaria Cav.
710. Bursaria spinosa Cav.
Billardiera Sm.
711. Billardiera mutabilis Salisb.
712. •— scandens Smith.
ORDO XIX.TREMANDREAE.
Tetratheca Sm.
713. Tetratheca juncea Snnth,
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- 30 -
ORDOXX.POLYGAL
Polygala L.
714.
Pohygala amara X.
715.
—
andrachnoides Willd
716.
—
Chamaebuxus L.
717.
—
cruciata L.
718.
—
cymosa Walt.
719.
—
diversifolia L.
720.
—
hamoea L.
721.
—
Heisteria L.
722.
—
incarna ta L.
723.
—
lutea L.
724.
—
major Jack.
725.
—
microphylla L.
726.
—
monspeliaca L.
727.
—
myrtifolia L.
728.
—
opposiiifolia L.
729.
—
paniculata L.
730.
—
Penaea L.
731.
—
sanguinea L,
732.
—
saxatilis Desf.
733.
—
Senega L.
734.
—
sibirica • L.
735.
—
spinosa L.
736.
—
stipulacea L.
737.
—
tenuifolia Willd.
738.
—
teretifolia L.
739.
-.-.
verticillata L.
740.
.— .
viridescens L.
741.
—
Tolgaris L.
E[rameria L.
742. Krameria ixina L.
COHORS IV. CARYOPHYLLINAE,
ORDO XXI. FRANKENIACEAB
JS&15. Frankenia.
743. Frankenia glauca RudpM.
744. — hirsuta Д
745. — laevis L.
646. — pulverulenta L.
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— 31 —
ORDO XXII. CARYOPHYLLEAE.
TRIBUS I. SILENEAE.
Velezia. L.
lil. Velezia rigida L.
Dianthus. L.
748. DianthUB albens Ait.
749. — alpesris Balb.
750. — alpinus X.
751. • — arenarins L.
752. — Armeria L.
753. — asper Willd.
754. — atrorubens AIL
155. — attenuatus Sm.
756. — barbatus L.
757. — bicolor M. B.
758. — bicolor Vent.
759. — ? caesius.
760. — campes tris M. В
761. — capitata« Pall.
762. — Carthusianorum L.
763. — Garyophyllns L.
764. — caucasicus M. B.
765. — chinensis L.
766. — collimie KU.
767. — deltoïdes L.
768. — fimbristnns.
769. — fragrans M. B.
770. — glaucus L.
771. — hirtus Vm.
772. — hortfensie Sclkrad.
773. — hftngaricue Pers.
774. — ibericus M. B.
775. — jiiniperiiius 8m.
77g. • — laxns 8tev.
111. — monepelftcus L.
lis. — montanus M. B.
779. — Mnesini Homm.
780. — nMidns Schrad.
781. — oxypetalus.
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— 32 —
782. DimnthXUI pallens M., В.
783. — patens Hornm.
784. — petraeus,
785. — petraeus M. B.
786. — plumarius L.
187. — polymorphuB M. B*
788. — pameridianus L,
789. — procumbens Pcrs.
790. — proUfer.
791. — Pseadarmeria ЛГ. В.
792. — pungens L.
793. — rigidus M. B.
794. — scaber.
795. — serotinns Kit.
796. — silvaticus Hopp.
797. — silvestris Willf.
798. — squamarius Rudphi.
799. — eqaarrosus M. B.
800. — superbus L.
801. — tataricus Fisch.
802. — virgineus L.
Nk 16. Dr3rpis L.
803. DrypiS spinosa L.
Qypsophylla L.
804. Gypeopylla addcendene Jacq.
805. — alpina Halb.
806. — altiseima M, B.
807. — arenaria Kit
808. — elegans M. B-
809. — fastigiata L.
810. — ? glauca Stev.
811. — glomerata. M. B.
812. — muralis 1.
813. — paniculata L.
814. — perfoliata L.
815. — prostrata L.
816. — repens L.
817. — saxifraga L.
818. — Struthium L.
819. — tenuifolia Ж. В.
820. — viscoea JfwKr.
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— 33
Saponaria
L.
821.
Saponaria Intea L.
822.
acymoides L.
823.
officinalis L.
824.
Orientalis L.
825.
porrigens L.
826.
Vaccaria L.
827.
viscoea Meyer.
Silène L.
828.
Silène acanlis L.
829.
—
ß exscapa All,
830.
—
alpestris Jacq.
831.
—
altaica Sw.
832.
—
amoena L.
833.
—
? anglica L.
834.
—
angulata Gouan.
835.
—
angustifolia M. JB.
836.
—
antirrhina L.
837.
—
apetala Willd.
838.
—
Armeria L.
839.
—
aspera Hort.
840.
—
Atocion Murr.
841.
—
Beben L.
842.
—
béllidifoUa Thunb.
№ 17.
843.
—
carnosa Heiner.
844.
-^
cerastoides L.
845.
—
ciliata Willd.
846.
—
chloraefolia Sm.
847.
—
cladestina Jacq.
848.
—
colorata V.
849.
—
compacta Fisch.
850.
—
congesta Willd.
851.
—
conica L.
852.
—
conoidea L.
853.
—
cretica L.
854.
—
depressa M. B.
855.
—
dichotoma L.
856.
—
distycha.
857.
—
fabaria.
858.
—
fimbriata M. B.
859.
—
flavescens Kit.
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— 34 —
860. Silène foetida Link.
861. — fruticosa L.
862. — gallica L,
863. — geminiflora Wald.
864. — glauca Sprengel.
865. — glutinosa Betz.
866. — hiepida Desf.
867. — iberica Stev.
868. — ? jeniscensis Wald.
869. — imbricata Desf.
870. — inaperta L.
871. — inclusa Schourb.
872. — inconspîcua.
873. — inflata Sm.
874. — italica L.
875. — leuocosiflia Wtlld.
876. — linifolia F.
877. — livida Willd.
878. — longicaulis Pair.
879. — longiflora Ehrh.
880. — lusitanica L.
881. — marginata EudpM.
882. — maritima Willd.
883. — mauritanica.
884. — micrantha Link.
885. — molissima Sm.
886. — multiflora Ehrh.
887. — muscipula L.
888. — Mussini.
889. — mutabilis L.
890. — nicaeensis AIL
891. — noctiflora L.
892. — nocturna L.
S93. — nutans Z.
894. — nyctantha Willd.
895. — orneLiB. Ait.
896. — Otites Pers.
Xb 18.
897. — paradoxa L.
898. — parviflora Pers.
899. — patula Cat;.
900. — pendula L.
901. — pernoctans Link.
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— 35 —
'ЭОг. Silène petraea Kit.
«03. — picta Desf.
904. — pinguis V.
905. — polyphylla L.
906. — procumbens Murr.
907. — prostrata.
908. — Psamitis Link
909. — Pamilio Wulf.
910. — pusilla Kit.
911. — quinquevulnera L,
912. — réfracta.
«13. — repens Fatrin.
914. — reticulata Besf.
915. — rubella L.
916. — rupestris L.
917. — sabuletorum lAnk.
918. — saxatilis M. B.
919. — saxifraga L.
920. — scabra Bernh.
921. — Schafta. GtweL
922. — sedoides Poir.
923. — sericea All.
924. — serpyllifolia.
«25. — sibirica L.
926. — sicula C//r.
927. — spathulata M. B.
928. — stepusiensis Kit.
929. — stricta L.
930. — supina M. B.
931. — tatarica L.
932. — tricuspidata.
933. — tridentata Besf.
934. — tunetana.
«35. — undulata Ait.
936. _ uDiflora Both.
937. — yallesia L.
«38. — vespertina Bete.
«39. — virginica Mich.
940. — viridiflora X.
941. — yiscosa Fers.
«42. — wolgensia Spr.
8*
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— 36 —
Cucubalus L.
943. CucuballlS baccifer Both.
№ 19. Lychnis L. {inclus. Agrostema L.).
944. LTOhniB alpina JL'.
945. — apetala L.
946. — arvensis liotb.
947. — chalcedonica L.
948. — coronata Thunb.
949j — floscuculi L.
960. — gentianoides Tisch,
951. — laeta Ait
952. — quadridentata L.
953. — sibirica L.
954. — silvestris Schkr.
965. — Viscaria L.
966. Angrostema coeli rosa L.
957. — coronaria L.
958. — ilos Jo vis L.
959. — Githago L.
960. — ß nicaeensis F.
TRIBUS II. ALSIKEAE-
Holosteum L.
961. HolOBteum cor datum X.
962. — diandrum Sw.
963. — umbellatum L.
Oerastium L.
964. Cerastium alpinum L.
965.
—
anomalum Kit.
966.
—
aquaticum L.
967.
—
argenteum M. B.
968.
—
arvense L.
969.
—
dahuricum Fich.
970.
—
dichotomtnn L,
971.
—
domingense Budphi
972.
—
frigidum Л/. В.
973.
—
latifolium L.
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— 37 —
974. Cerastimn ? lineare ЛИ.
975. — manticum L.
976. — : maximum L.
977. — ovale Fers.
978. — perfoliatmn L.
979. — repens L.
980. — rotundifolium Kit.'f
981. — ruderale M. B.
982. — semidecandrum L,
983. — eilvaticum Kit.
984. — strictum L.
985. — tomentosum L.
986. — umbellatum.
987. — riscosum L.
988. — vHlgatum L.
Stellaria L.
989. Stellaria Abine L,
990. — Arenaria L.
991. — biflora L.
992. — borealis M. B.
993. — bulbosa Wulf.
994. — cerastoides L.
995. — crassifolia EhrJu
996. — dichotoma L.
S97. — graminea L.
998. — Holostea L.
999. — ? latifolia Pcrs.
1000. — media ПП.
1001. — (Alsine media i.).
1002. — nemoram L.
1003. — palustris Bete.
1004. — pedunculata Fisch.
1005. — radians L.
1006. — viscida Jf. B.
J^ 20. Arenaria l^. {indus. MoehringiaL.
Alsine Wàhlehb.Cherleria L. Minuartia L).
1007. Arenaria anstriaca Jacq.
1008. — balearica L.
1009. — biflora L.
Digiti
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- 38 .-
1010.
Arenaria ВШага1вга Budphi.
1011.
— i
sephalotes M. B.
1012.
—
ßiUata L.
1013.
— (
[^oerulescens Rut.
1014.
_ ,
Bonimbricensis Brot
1015.
-_ 1
lianthoides Sm.
1016.
— J
asciculata L.
1017.
—
flaccida Schleeh.
1018.
—
Gterardi Willd.
1019.
—
glomerata M. B.
1020.
—
^lutinosa M. B.
1021.
—
graminifolia Schrad.
1022.
—
^andiflora L.
1023.
—
^peophiloides L.
1024.
—
^eteromalla Pers.
1026.
_
liirsuta M. B.
1026.
— hiepida L.
1027.
— unbricata Dcsf.
1028.
— J
uniperina L.
1029.
—
anceolata Alb.
1030.
—
iaricifolia L.
1031.
—
ateriflora L.
1032.
._
iniflora L.
1038.
— 1
iinkii Budphi.
1034.
ongifolia M. B.
1035.
lychnidea M. B.
1036.
1
оэасгосагра Pursch.
1037.
^"^
marginata Dec.
1038.
..
marina Both.
1039.
_ ]
media L.
1040.
]
montana L.
1041.
_ ]
multicaulis L.
1042.
peploides L.
1043.
_ ^
pinifolia M. B.
1044.
—
[)olygonoide8 Wulf.
1045.
)ubesceiis Bud.
1046.
—
recurva All.
1047.
rigida Stev.
1048.
..-.
rostrata Kit.
1049.
...
rotundifolia M. B.
1050.
— 1
rubra L.
1051.
— i
saxatiiis L.
1052.
Berpyllifolia L.
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— 39 —
1053.
Arenaris setacea Thuill
1054.
—
spathulata Des/".
1055.
—
tenuifolia L.
1056.
—
tetraquetra L.
1057.
—
triflora L.
1058.
trinervia JL
1059.
—
тегпа L.
1060.
—
? verticillata Willd
1061.
— .
ViUarsii Balb.
1062.
—
villosa Pourr.
1063.
—
viscida Des.
1064. Moehringia muscosaZ.
1065. Alsine mucronata L.
1066. Clierleria sedoides L.
1067. Minuartia campestrls L.
1068. — montana L.
№ 21. Bnffonia L.
1069. Buffonia perennis Lam..
1070. — tenuifolia L.
Sagina L.
1071. Sagina apetala L.
1072. — erecta L.
1073. — procumbens L.
Queria L.
1074. Queria hispanica L.
Spergula L.
1075. Spergula arvensis L.
1076. — laricina L.
1077. — nodosa L.
1078. — pentadra L.
1079. — saginoides X.
1080. — subuläta 8w.
TRIBUS III. POLYCARPEAE.
Polycarpon L.
1081. Polycarpon tetraphyllum L.
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- 40 —
Ortegia L.
1082. Ortegia dichotoma L.
1083. — hispanica L.
Loestliugia L.
1084. Loestlingia hispanica L.
1085. — indica L.
ORDO XXIII. PORTULACEAE.
Portulaca L.
1086. Fortolaoa olitoria L.
1087. — pilo&a L.
1088. — quadrifida L.
Talihmn Adams.
1089. Talinum Anacampseros Juss.
1090. — crassifolium Juss.
1091. — patens Juss.
1092. — reflexum Cav.
1093. — trianguläre Juss.
Claytonia L.
1094. ClaTtonia anomala Ad.
1095. — perfoliate.
1096. — sibirica L.
1097. —
1098. —
unalaccensis Fisch
virginiana.
Montia L.
1099. Montia fontana L.
ORDO XXIV. TAMARISOINEAE.
TMBÜS I. TAMARISCEAE.
Tamarix X.
1100. Tamarix africana Poir.
1101. — gaUica L.
1102. — germanica L.
— — ß davurica.
1103. — tetrandra Pall
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— 41 -
TRIBUS II. REAUMÜRIEAE.
Reamnnria L.
1104. Beaumuna rermlculata JL.
— — ß hyperioides Willd.
COHORS V. GUTTIFERALES.
ORDOXXV. ELATINEAE.
Elatine L.
1105. Elatine Aleinastram L.
1106. — Hydropiper L.
1107. — pedonculata Lin.
1108. — triandra Schkuhr.
ORDO XXVI. HYPERICINEAE.
TRIBUS I. HTPERICËAE.
Ascyrum i.
1109,
Ascyrum hypericoides L.
1110.
—
? multicaule Mich.
Hypericum (inclus. Sarothra L.)
1111.
Hypericum L.
1112.
—
Ândrosaemum L.
1113.
—
Ascyron 2/.
1114.
—
balearicum L.
1115.
—
barbatum Jacq.
1116.
—
calycinum L.
1117.
—
Coris L,
1118.
—
? corymbosum Willd.
1119.
—
dubium Leers.
1120.
—
elatum Ait
1121.
—
elegane Steph.
1122.
—
elodes L.
1123.
—
fasciculatum Mich.
1124.
—
glandulosum Muhlb.
1125.
—
hircinum L.
1126.
—
hirsutum L.
1127.
—
humifusum L.
1128.
—
hyssopifolium Lam.
1129.
—
linearifolium Vahl.
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- 42 -
11 30. Hypericum monogynmn L.
1131. — montairam L.
1132. — nudifloram Mich.
1133. — nnnimTilarium L.
1134. — olyntpicum L.
1135. — panriflorum Willd.
1136. — perforatum L.
1137. — prolificnm L.
1138. — pulchrum L.
1139. — pyramidatum Ait.
1140. — quadrangulare X.
1141. — Richeri УШ.
1142. — tomentosnm L.
1143. — undulatmn.
Sarothra L.
1144. Sarothra gentianoides X.
ORDO XXVII. GUTTIFERAE.
TRIBUS I. CLUSIEAE.
№ 22. Clusia X.
1145. Clusia yenosa L.
TRIBUS IV. CALLOPHYLLEAE.
Calophyllmn L.
1146. Calophyllum Calaba L.
Mammea L.
1147. Mammea americana L.
ORDO XXVIIL TERNSTROEMIACEAE.
TRIBUS II. MARCGRAVIEAE.
Marcgravia L.
1148. Marcgravia umbellata X.
TRIBUS V. GORDONIEAE.
Stuartia X.
1149. Stuartia Malacodendron X.
Camellia L.
1150. Camellia japonica X.
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— 43 —
COHORS VI. MALVALES.
ORDO XXXI. MALVACEAE.
TRIBUS I. MALVEAE.
EitaibeUa WiUd.
1151. Eitaibelia vitifolia Willd.
Palava Cav.
1152. Palava malraefolia Cav.
Altbaea X.
1153. Althaea сашшЫпа L.
1154.
—
chalepensis V.
1155.
—
flcifolia Cav.
1156.
—
hirsuta L.
1157.
—
intermedia.
1158.
—
Ludwigii L.
1159.
—
narbonensis Jacq.
1160.
....
officinalis L.
1161.
— -
pallida Kit
1162.
—
rosea Cav.
Lavatera L.
1163.
Lavatera arborea L.
1164.
—
cretica L.
1165.
—
hispida Desf.
1166.
—
lanceolata Willd
1167.
—
lusitanica L.
1168.
—
maritima L.
1169.
—
micans L.
1170.
~^
olbia L.
1171.
—
punctata All,
1172.
—
silvestris Link.
1173.
—
thuringiaca L.
1174.
—
triloba L.
1175.
—
trimestris L.
1176.
—
unguiculata.
Malva L.
1177. Malva abutiloides L.
1178. — aegyptiaca L.
1179. — Alcea L.
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— 44 —
1180. Mal va americana L,
1181. — angustifolia Cav.
1182. — asperrima Jacq^.
1183. — balsamica Jacq.
1184. — bryonifolia I.
1185. — capensis X.
1186. — caroliniana h.
1187. — coromandelina L.
1188. — crispa L.
1189. — decumbens Willd.
1190. — divaricata Andr.
1191. — flexuosa Kit,
1192. — fragraos Jacq.
1193. — gangetica L.
1194. — glabrifolia Sehr ad.
1195. — glomerata Vahl.
1196. — grossulariaefolia Cav.
1197. — hispanica Link.
1198. — lactea Ait.
1199. — limensis L.
1200. — mauritiana L.
1201. — microcarpa.
1202. — miniata Cav.
1203. — moschata L.
1204. — nicaeensis Cav.
1205. — obtusa Moench.
1206. — parviflora L,
1207. — peruviana L.
1208. — polystachya Cav.
1209. — rotundifolia X.
1210. — scabra Cav.
1211. — scoparia Cav.
1212. — silvestris F.
1213. — spicata L.
1214. — strie ta «/"acg.
1215. — Tournefortiana L.
1216. — ? tridactylites Cdv.
1217. — verticillata L.
1218. — virgata Murr.
№ 23. Napaea L.
1219. Napaea laevis Ir.
1220. — scabra L.
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— 4:; —
Plagianthus Forst
1221. Plagianthus divaricatus Forst.
Anoda Cav.
1222. Anoda acerifolia Cav.
1223. — Dilleniana Cav,
1224. — hastata Cav.
1225. — parviflora Car.
1226. — triangularis.
Sida L.
1227. Sida ? abutiloides Jacq. '
1228. — Abutilon L.
1229. — alnifolia L.
1230. — althaeaefolia Sw.
1231. — americana L.
1232. — angustifolia Murr.
1233. — arborea L.
1234. — carpinifolia L.
' 1235. — ciliaris L.
1236. — crispa L.
1237. — deflexa Cav.
1238. — ? flavescens Cav.
1239. — grandiflora Sehr ad.
1240. — herbacea Cav.
1241. — humilis Cav.
1242. — jamaicensis L.
1243. — jatrophoides L'He^'if.
1244. — indica L.
1245. — lanceolata Rnfjs.
1246. — ? maculata.
1247. — mauritiana Jacq.
1248. — mellissaefolia.
1249. — mollissima Cav.
1250. — paniculata L.
1251. — periplocaefoüa L.
1252. — pilosR Cav.
1253. — pulcherrima.
1254. -> rhombifolia L.
1255. — ricinoides.
1256. — rotundifolia Cav.
1257. — sericea Cav.
1258. — spinosa i.
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— 46 —
1259. Sida supina L'Herü.
1260. — tiliaefolia Willd.
1261. — triloba Jacq.
1262. — triquetra Jacq.
1263. — ulmifolia Cav.
1264. — mnbellata L.
1265. — urens L.
1266. — vesicaria Gav.
1267. — vîscosa X.
TRIBUS II. URENEAE.
Malachra L.
1208. Malachra alceaefoUa Jacq.
1269. — capitata X.
1270. — urens Poit.
Urena L.
1271. Urena lobata L.
1272. — palmata Jacq.
1273. — sinuata L.
Pavonia Gav.
1274. Favonia praemorsa Gav.
1275. — racemosa Sw.
1276. — spinifex Gav.
1277. — Typhelaea Gav.
1278. — Zeylanica Car.
Achania Sw.
1279. Achania MalTaviscus Sm.
TRIBUS Ш. HIBISCEAE.
№ 24. Hibiscus (Inclus. Lagunaea Gav).
1280. Hibiscus Âbelmoschus L.
1281.
— cannabinus L.
1282.
- clypeatus L.
1283.
- diversifolius Jacq.
1284.
- ? domingeneis Jacq.
1285.
— ficulneus L,
1286.
- Manihot L.
1287.
- militaris Cav.
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- 47 —
1288. HibiSOUB obtusifolius Willd.
1289.
—
palustris L.
1290.
—
pentacarpos L.
1291.
—
pboeniceus L.
1292,
—
populneus L.
1293.
—
radiatus Cav.
1294.
—
Rosa sinensis L
1296.
—
Sabdariffa X.
1296.
—
speciosus Ait.
1297.
—
syriacus L.
1298.
—
? tiliacens L.
1299.
—
Trionum L.
1800.
—
vesicarius Cav,
1301. Làgunaea sublobata Willd.
Gtossypimn X.
1302. Oossypimn barbadense L.
1303. — hirsutum L.
1304. — sinense.
1305. — vitifolium Lam.
ТЫВиЗ IV. BOMBACEAE.
Bombax L.
1306. Bomabax pentandram L.
ORDO XXXII. STERCULIACEAE.
TRIBUS I. STERCULIEAE.
Sterculia L.
1307. Sterculia platanifolia.
Heritiera Ait.
1308. Heritiera Uttoralis Ait.
TRIBUS II. HELICTEREAE.
ЮешЬоу1а L.
1309. Eleinhovia bospita L.
Helicteres L.
1310. Helicteres carthagenensie L.
1311. — jamaicensis Sw.
1312. — bora L.
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— 48 -
TRIBUS IV. DOMBETEAE.
Ruizia Cav.
1313. Rnizia variabilis Jacq.
1314. — Dombeya Cav.
1315. — Erythroxylon IVilld.
Pentapetes L.
1316. Pentapetes avata Pen.
1317. — phoenicea L.
TRIBUS V. HERMANNIEAE.
Hermauia L.
1318.
Hermania alaifolia L.
1319.
—
althaeaefolia L.
1320.
—
angularis Jacq.
1321.
—
argentea.
1322.
—
aurea.
1323.
—
candicans Jacq.
1324.
—
cuneifolia Jacq.
1325.
—
denudata L.
1326.
—
disticha Schrad.
1327.
—
flammea Jacq.
1328.
—
glabrata Thunb.
1329.
—
hirsuta Schrad.
1330.
—
hyssopifolia L.
1331.
' —
lavandulaefolia 1
1332.
—
micans Schrad.
1333.
—
multiflora Jacq.
1334.
—
odorata Ait.
1335.
—
? plicate.
1336.
—
procumbens Cav.
1337.
—
repens.
1338.
—
scabra Jacq.
1339.
—
trifurcata L.
1340.
—
Mahernia L.
1341.
—
diffusa Jacq.
1342.
—
glabrata L.
1343.
—
heterophylla Cav
1344.
—
incisa Jacq.
1345.
—
pinnata L.
1346.
—
verticillata L.
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— 49 —
Mb 25. Melochia L.
1347. Melocbia nodiflora Sw.
1348. — odorata X.
1349. — pyramidata L.
1350. — tomentosa Sw.
1351. — venosa Sw.
Waltheria L.
1352. Waltheria americana L.
1353. — indica L.
TiUBUS VI. BUETTNERIEAE.
АЪгоша Jacq.
1354. Abroma angusta L.
Q[U9a\}m& PUm. Bubroma Schreb.
1355. Bubroma Guazama Schreb.
Ayenia L.
1356. Ayenia pusila L.
OR DO XXXIII. T I LIA CE A E.
s £ R I Б s A.
TRIBUS I. BROWNLOWIEAE.
BerrjA, Boxb (Espéra Willd.).
1357. Берега cordifoJia Willd.
TRIBUS П. GREWIEAE.
Qrewia L.
1358. Grewia occidentalis L.
1359. — orientalis L.
13üO. — villosa Willd.
Triumfetta i.
1361.TriumfettaLappula L.
1362. — macrophylla F.
1363. — semitriloba L.
1364. — velatina V.
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— 50 -
TRIBUS Ш. TILIEAE.
Sparmannia L.
1365. Sparmannia africana L,
Corchorus L
1366. Corchorus hirtus L.
1367. — japonicus Thunb.
1368. — olitorius Z.
1369. — siliquosus L.
1370. — trilocularis L.
Mollia MaH.
1371. Mollia dififusa WilU.
1372. — latifolia Wüld.
Muntingia L.
1373. Muntingia Calabuca L.
ТШаХ.
1374. Tilia alba AU.
1375. — americana L.
1376. — europaea L.
1377. — pubescens Ait.
TRIBUS YII. ELAEOCARPEAE.
AristOtelea L'Herit.
1378. Aristotelea bLsLcqaii L'Herit.
П SEBIES DISCIFLOBAE.
COHORS VTI. GERANIALES,
О R DO XXXIV. L I N E A E.
TRIBUS I. EÜLINEAE.
Чпптп L.
1379. Linum alpinum L.
1380. — angustifolium Sehr ad.
1381. — austriacum L.
1382. — campanulatum L.
1383. — catharticum L.
1384. — diffusum Sehrad.
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— Ol —
1385. Linum fasciculare F«;?.
1386.
—
flavum L.
1387.
—
gallicum L,
1388.
—
gracile Hort.
1389.
—
hirsutum L,
1390.
—
hirtum Law,
1391.
^
humile Hedw.
1392.
—
luteolum Bbrst,
1393.
—
maritimum L.
1394.
—
montanum Holand.
1395.
—
narbonense L.
1396.
—
nervosum.
1397.
—
perenne L.
1398.
—
• quadrifolium L.
1399.
—
squamulosum Eudphl
1400.
—
strictum L.
1401.
—
suffruticosum L.
1402.
—
tenue Desf.
1403.
—
tenuifolium.
1404.
—
usitatissimum L.
1405.
—
viscosum L.
TRIBUS II. HUGONIEAE.
Hugonia L.
1406. Hugonia eerrata Luni.
TRIBUS III. ERTTHROXÏLEAE.
Erythroxylon L.
1407. Erythroxylon siderexyloides Cav
О R D О XXXV. HUMIRIACEAE.
Vantanea ЛиЪ. {Lemniscia, Schreb.).
1408. Lemniscia guianemis üacuscli.
ORDO XXXVI. MALPIGHIACEAE.
TRIBUS I. MALPIGHIEAE.
Malpighia L.
1409. Malpighia aogastifolia L.
1410. — coccifera L.
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— 52 —
1411. Malpighia glabra L.
1412. — glandulifera Jacq.
1413. — nitida X.
1414. — ? spicata Cav.
1415. — ? tuberculata J acq,
1416. — urene L.
TRIBUS П. BANISTERIEAE.
Banisteria L.
1417. Banisteria angalosa L.
1418. — bracbiata L,
1419. — emarginata.
1420. — laurifolia L.
1421. — sinemariensis Cav.
TRIBUS Ш. ШНАЕЕАЕ.
Triopteris L.
1422. Triopterie ,buxifolia Cav.
1423. — jamaicensis L.
Шгаеа Jacq.
1424. Hiraea reclinata Jacq.
ORDO XXXVII. ZyGOPHYLLEAE.
№ 26. Tribulus L.
1425. Tribulus cistoides Z.
1426« — maximus L.
1427. — terrestris L.
Nitraria L.
1428. Nitraria Schoben L,
Zygophyllum L.
1429. Zygophyllum Fabago L.
1430. — foetidum Schrad.
1431. — Morysana L.
1432. — retrofractmn ГампЬ.
1433. — sessilifolium L.
— ß fuhum LecM.
Fagonia L.
1434. Fagonia cretica L.
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— 33 —
ORDO XXXVIII. GERANIACEAE.
TRIBUS I. GERANIEAE.
Monsonia L.
1435. Monsonia orata Ait.
1436. — speciosa L.
Geranimn L.
1437.
(ïeranimn aconitifolium VHerit.
1438.
—
anemonefoliumi'lTm^. (palmatum €dv.).
1439.
—
angulatum.
1440.
—
argenteum L.
1441.
—
bohemicnm X.
1442.
—
canescens VHerit.
1443.
—
carolinianum X.
1444.
—
collinnm Steph.
1445.
—
colnmbinum L,
1446.
—
dissectum L.
1447.
—
divaricatum Ehrh.
1448.
—
glaucophyllum. L,
1449.
—
' ibericum Cav.
1450.
—
incanum L.
1451.
—
lividum L'Herit. (patulum Vill).
1452.
—
lucidum L,
1453.
—
macrorrhizum L.
1454.
—
maculatum L.
1455.
—
malvaefolium Gtnel.
1456.
—
molle L.
1457.
—
nodosum L.
1458.
—
pallens Stev.
1469.
—
palustre L.
1460.
—
parviflorum.
1461.
—
Phaeum L.
1462.
—
pratense L.
1466.
—
purpureum VilL
1464.
—
pusillum X.
1465.
—
pyrenaicum X.
1466.
—
radicatum 3f. B. (tuberosum Willd.).
1467.
—
reflexum X.'
1468.
—
robertianum X.
1469.
—
rotundifolium X.
1470.
—
sanguineum X.
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— 34 —
1471. Geranium sibiricum L.
1472. — striatum X.
1473. — sylvaticum L.
1474. — tuberosum L.
1475. — umbrosum Kit.
147f). — varium VH^^rit.
№ 27. Erodimu ли.
1477. Erodium alpinum VHerit.
1478.
—
anthemifolium Stev.
1479.
—
chamaedryoides Ait.
1480.
—
chium Ait.
1481.
—
ciconium Willd.
1482.
—
cicutarium Ait.
1483.
—
glaucophyllum Ait.
1484.
—
gruinum Ait.
—
—
Botrys Cav.
1485.
—
hymenodes VHerit.
1486.
—
malacoides Ait.
1487.
—
maritjmum Sm.
1488.
—
moschatum Ait.
1489.
—
petraeum W.
1490.
—
romanum Ait.
1491.
—
serotinum Stev.
1492.
—
Steveni M. B.
1493.
—
supracamim L' Her it
TRIBUS II. PELARGONIEAE.
Pelargonimu Ait.
1494. Pelargonium aerifolium Ait.
1495. — iidulterinum V Berit.
1496. — . alchimilloides Ait.
1497. — althaeoides Ait.
1498. — anceps Ait.
1499. — angulosum Ait.
1500. — angustum.
1501. — asperum Ehrh.
1502. — ^australe W. (glomeratum Amir.).
1503. — ^balsameum Jacq.
1504. — Barringtonii W.
1505. — beaufortianum Pers.
1506. — betulinum Ait.
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— оэ
1507. Pelargonium bicolor Jaeq.
1508. — ? blattarium Jacq.
1509. — canariense Ж
1510. — capitatum Ait.
1511. — carnosum Ait.
1512. — citriodormn Hort.
1513. — columbinum Jacq^.
1514. — conduplicatum.
1515. — cordatum Ait.
1516. — coriandrifolium Ait.
1517. — ? crassifolium.
1518. — crispum Ait.
1519. — crithmifolium Sm.
1520. — cucuUatum Ait.
1521. — cynosbatifolium W.
1522. — deltoïdes.
1523. — denticulatum Jacq.
1524. — exstipulatum Ait.
1525. — flavum Ait.
1526. — formosmu.
1527. — fragile W.
1528. — fragrans W.
1529. — fulgidum Ait.
1530. — gibbosum Ait.
1531. — glaucum Ait. (lanceolatum Cat?.).
1532. — glutinosum Ait. (viscosum Cav.).
1533. — grandiflorum Ait.
1534. — gratum WilU.
1535. — graveolens Ait.
1536. — grossularioides Ait.
1537. — hermanniaefolium Ait.
1538. — heterogamum VHerit.
1539. — hispidum Ait.
1540. — humifusum.
1541. — hybridum Ait.
1542. — inodorum W.
1543. — inquinans Ait.
1544. — lacermn Jacq.
— — ß longicaule Jacq.
1545. — lateripes VHerit.
1546. — magnificens.
1547. — myrrhifolium Ait.
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— 56 —
1548. Pelargonium odoratissimum Ait.
— — ß africanum Cav.
1549. — palmatum.
1550. — papilionaceum Ait.
1551. — pellatum Ait.
1552. — princeps.
1553. — pulchellmn Curt.
1554. — pasillum (...heterogamum Ait.).
1555. — quercifolium Ait.
1556. — Radula Ait.
1557. — ramosissimum Wendl.
1558. — rigidum Donn.
1559. — saniculaefolium (tabulare Cav.).
15G0. — scabrum Ait.
1561. — scandens Ehrh.
1 562. — Mcariosum.
1563. — selinum Andr.
1564. — speciosum Curt.
1565. — spurium.
1566. — etenopetalum Ehrh.
1567. — superbum.
1568. — tabulare Ait (elongatum Cav.).
1569. — Tankenrillei ЯоН.
1570. — tematum Jacq.
1571. — tetragonum Ait.
1572. — tomentoeum Jacq.
1573. — tricolor Curt.
1574. — tricuspidatum Ait.
1575. — tripartitum W.
1576; — triste Ait.
1577.- — vitifolium Ait.
1678. — zonale Ait.
— — ß marginatum Cav.
№ 28. Tropaeolum L.
1579. Tropaeolum majus L.
1580. — minus L.
TRIBUS VI. OXALIDEAE.
Ozalis L.
1581. Oxalis Acetosella L.
1582. — cernua Thbg.
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— 57 —
1583. Oxalis compressa ТЬЪд.
1584. — ? comiculata L.
1585. — incamata L.
1586. — multiflora Jacq.
1587. — pes caprae L.
1588. — purpurea Jacq.
1589. — ? repens L.
1590. — rosea Jtzcq.
1591. — speciosa Jacq.
1592. — stricta L..
1593. — ? tomentosa Thhg.
1594. — versicolor L.
1595. — yiolacea L.
1596. — vittata Lchtst.
TRIBUS Vn. BALSAMINEAE.
Impatiens L.
1597. Impatiens Balsamina L.
1598. — Noli tangere L.
О R D О XXXIX. RUTACEAE.
SERIES A.
TRIBUS I. CUSPARIEAE.
Monnieria L. (Aubletia Bich).
1599. Monnieria trifoUa Д
TRIBUS IL RUTEAE.
Ruta Tourn.
1600. Ruta chalepensis L.
1601. — graveolens L.
1602. — intermedia Stev.
1603. — linifolia L.
1604. — montana Loeffl.
1605. — pinnata L.
1606. — villosa M. B.
Peganmu L.
1607. Feganum Harmala L.
Dictamnus L.
1608. Dictamnus alba L.
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— Ö8 —
TRIBUS III. DIOSMEAE.
Calodendron Thbg.
1609. Calodendron capense Thbg.
iosic
la L.
1610.
Doiema alba Ihunb.
1611.
—
capitata L.
1612.
—
ciUata L.
1613.
— ^
crenata L.
1614-
—
cupressina Lam.
1615.
—
globosa.
1616.
—
hirsuta L.
1617.
—
lanceolata Thly.
1618.
—
marginata Thbg.
1619.
—
obtusata Lchtst.
1620.
—
oppositifolia L.
1621.
—
orbicularis Hort.
1622.
—
tenuifolia Willd?
1623.
—
tetragona.
1624.
—
virgata Thbg.
Adenandra W.
^ 1625. Adenandra acuminata Bdphi.
1626. — umbellata W.
1627. — ? uniflora Ж.
Barosma WiUd.
1628. Barosma latlfolla Rdphi.
1629. — serrulata W.
Agathosma W.
1630. Agathosma acuminata W.
1631.
—
imbricata W,
1632.
.*-
linifolia Lchtst.
1633.
—
pubescens W-
1634.
—
rubra W
1635.
—
serpyllacea Lchtst
163C.
—
villosa W.
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- ;>» —
TRIBUS IV BORONIEAE.
Boronia Sm.
1637. Boronia piimata Sm.
1638. — serrulata 8m.
Crowea Sm.
1639. Crowea saligna.
Correa Sm.
1640. Correa alba Sm.
1641. — rubra Sm.
TRIBUS V ZANTOXYLEAE.
Zautoxylon L.
1642. Zantoxylon clava Herculis L. <$
1643. — fraxineum Willd.
1644. — juglandifolium Willd..
1645. — rigidum НитЪ.
1646. — spinosum Sw. é9.
SERIES B.
TRIBUS VI TODDAUEAE.
Ptelea L.
1647. Ptelea trifoliata L.
TRIBUS Vn AURANTIEAE.
Limouia L.
1648. Limonia trifoliata L.
Murraya L.
1649. Murraya buxifolia.
1650. — exotica L.
Clausena Вш-т. (inclus, с о о к i a Sonn.).
1651. Cookia punctata Sonner.
Citrus L.
1652. Citrus Aurantium L.
— — a sinensis.
1653. — medica L.
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— 60 —
ORDOXL. SIMARUBEAE.
TRIBUS I SIMARUBEAE.
№ 29. Ailanthus Besf.
1654. Ailanthus glandulosa Besf.
Cneonim L.
1655. Cneorum tricoccum L.
Brucea Mill.
1656. Brucea ferruginea Herit.
Suriana Bum.
1657. Suriana maritima L.
TRIBUS П. PICRAMNIEAE.
Picramnia Sm.
1658. Fioramnia Antidesma Sw. «f et 9.
ORDO XLII. BURSERACEAE.
TRIBUS I. BURSEREAB.
Balsamodendrou Kmtb,
1659. fialsamodendron madagascariensb.
TRIBUS П. AMTEIDAE.
Amyris L.
1660. Amyris sylvestris L. *
ORDOXLIII. MELIACEAE
TRIBUS II. TRICHILIEAE
Melia L.
1661. Melia azadirachta L.
1662. — Azedarach L.
1663. — Sempervirens Sw,
1664. — tricjjiiliodes L.
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— 61 —
Ekebergia Sparrm.
1665. Ekebergia capensis Sparrm.
Cedrela L.
1666. Cedrela lodorata L.
ORDO.XLV.'TOLACINEAE.
TRIBUS III. ICACINEAE,
Pennantia Forst.
1667. Pennantia corymbosa Fisch.
ORDO XLVI. ILICINEAE.
Ilex L. (IdcIus. Prinos L.).
1668. Пех aquifolium L.
1669. — Caseine L.
1670. — ligustrina Jacq.
1671. — Perado Ait.
1672. ' — vomitoria Ait.
. 1673. Prinos verticillatus L.
ORDO XLVII. CELASTRINEAE.
TRIBUS I. CELASTREAE.
SUBTRIBUS 1. EVONYMEAE.
№ 80. Evonymus L.
1674. Evonymus atropurpareus Ait.
1675. — europaeus L.
1676. — latifolius Mill.
1677. — verrucosus Scop.
HartOgia Thunb.
1678. HartOgia capensis Thbg.
Oassine L.
1679. Cassine capensis L.
1680. — Maurocenia i.
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— 62 —
SUBTRIBUS 2. CELASTREAE.
Celastrus L.
1681. Celastrus acuminatas L,
1682. — buxifolius L.
1683. — procumbens L.
1684. — pyracanthus L.
1685. — scandens L,
1686. — ? sempervirens.
SUBTRffiUS 3. ELAEODENDREAE.
Myginda. Jacq.
1687. Myginda latifolia Sw.
Schaefferia Jacq^.
1688. Schaefferia lateriflora Sw.
Elaeodendron Jacq.
1689. Elaeodendron orientale Jacq.
TRIBUS II. HIPPOCRATEAE.
Hippocratea h.
1690. Bippocratea то1иЬШв L.
О R D О XLIX. RHAMNEAE.
TRIBUS I. VENTILAGINEAE.
Ventilago ваетЫ.
1691. Ventilago maderaspatana Gaerin.
TRIBUS П. ZIZYPHEAE.
Zizyphus.
1692. ZizTphus Jujuba Lam.
1693. — lineata Willd.
1694. — Lotus Latn.
1695. — Oenoplia Mill.
1696. — Paliurus Willd.
1697. — vulgaris Lam.
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— 63 —
TRIBUS III. RHAMNEAE.
Rhamnus.
1698.
Rhamnus Alaternus L,
1699,
—
alpinus L.
1700.
Catharticus L.
1701.
colubrinus L.
1702.
—
dahuricus Pall.
1703.
—
Erythroxylon.
1704.
—
Frangula X.
1705.
—
infectorius L.
1706.
—
lycioides L.
1707.
—
myrtifolius Lk.
1708.
—
oleoides L.
1709.
—
polifolius Forst.
1710.
—
pumilus L.
Ceanothus L.
1711.
Ceanothus africanus L.
1712.
—
americanus L.
PhyUca L.
1713.
Phylioa
acerosa Willd.
1714.
—
buxifolia L,
1715.
—
callosa L.
1716.
—
capitata. Thunb.
1717.
—
cylindrica.
1718.
—
ericoides X.
1719.
—
paniculata Schraâ.
1720.
—
parviflora L.
1721.
—
plumosa L.
1722.
— •
rosmarinifolia Lam
1723.
—
stipularis
1724.
—
strigosa i.
1725.
—
vlllosa Thbg.
Cryptandra Sm.
1726. Cryptandra amara Ягц,
TRIBUS V. GOUANIEAE.
Gouauia-
1727. Gtouania tomentosa Jaeq.
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— 64 —
ORDO L. AMPELIDEAE.
Vitis Linn. (incl. Cissus L.).
1728. Vitis arborea L.
1729. — hederacea Ehrh.
1730. — indica L.
1731. — Labrusca X.
1732. — laciniosa L.
1733. — vinifera L.
1734. CiS8U8 acida L.
1735. — lucida W.
1736. — sicyoides i.
1737. — vitiginea VighU
JLiOG& l^»
1738. Leea sambacina SShreb,
ORDOLL SAPINDACEAE.
SUBORDO I. SAPINDEAE.
SEEIES A.
№ 3L Serjania Schumach.
1739. Serjania ? lapullna Sehn.
1740. — sinuata Sch.
1741. — ? tritemata Willd.
Cardiospermmu L.
1742. Cardiospermmn Corlndom L.
1743. — Halicacabiun L.
Paullinia L.
1744. Paullinia pinnata L.
1745. — scandens?
Schmidelia Linn. (incl. Omitr ophe Juss.).
1746. Ornitrophe CoAinia Willd.
1747. — serrata Roxb.
Eoelreuteria Laxm.
1748. Koelreuteria paniculata Laxm.
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— 65 —
Aesculus L.
1749. AeeCTllus Hippocastanmn L.
1750. — flava Ait. (lutea Wngn.).
1751. — Pavia L. et Tarr.
S E R I E S B.
Cupania L.
1752. Cupania tomentosa 8w.
Schleichera.
1753. Schleichera trijuga Willd.
Sapindus Toum.
^^1754. Sapindus Saponaria L.
Nephelium Lirm. (incl. Dimocarpus Leur).
1755. Dimocarpus Litchi Lour.
SUBORDO IL ACERINA E.
Acer L.
1756. Acer campestre L.
1757.
—
dasycarpum Ehrh.
1758.
—
ibericum M. J5.
1759.
—
monspessulanum L,
1760.
—
montanum Ait.
1761.
—
Opulus Ait.
1762.
—
opulifolium Vill.
1763.
—
pensylvanicum L.
1764.
—
platanoidee L,
—
—
ß laciniatum.
1765.
—
Pseudoplatanus L.
—
—
ß fol. variegat.
1766.
—
rubrum L.
1767.
—
tataricum L.
Negimdo Momch.
1768.
Neglindo aceroides Moench.
SUBORDO Ш. DODONAE
Dodonaea L.
1769.
Dodonaea angustifolia L.
1770.
— elaeagnoides Rdph
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~ 66 —
1771. Dodonaea heterophylla.
1772. — triquetra Andr,
1773. — viscosa L.
Aitonia Lin. ß.
1774. Aitonia capensis Thbg.
SUBORDO IV MELIANTHEAE.
Meliauthus.
1775. Melianthus comosa Vahl.
SUBORDO V. STAPHYLEAE.
Staphylea.
1776. Staphylea pinnata L.
1777. — trifoliata L.
Turpinia Vent
1778. Turpinia punctata.
ORDO Llll. ANACARDIACEAE.
TRIBUS I. ANACARDIEAE.
Rhus lAn. (inclus. Bo em er ia Thunb.).
1779. Boemeria inermis.
Comocladia L.
1780. Comocladia ilicifolia Sic.
1781. — integrifolia L.
Mangifera L.
1782. Mangifera indica L.
SERIES ß.
Scbinus L.
1783. Schinus Molle L.
1784. — Areira Willd.
ORDOLIV. CORIARIEAE.
Coriaria i.
1785. Coriaria myrtifolia L,
1786. — sarmentosa Forst.
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— 67 —
ORDO LV. MORINQEAE.
3fforinga Ju88 (inclus. Hyper anthera Forsk.).
1787. Hyperanthera Moringa Vahl
ORDO LVII. LEQUMINOSAE.
SUBORDO I. PAPILIONACEAE.
TRIBUS I. PODALTRIEAE.
№ 32. Anagyris Toum.
1788. Anagyris foetida L.
ThermopsiS Brown.
1789. ThermopsiS lanceolata Br. (Podalyria lupinoi-
des Willd.).
Baptisia Vent. (Podalyria WiUd).
1790. Baptisia alba Ait.
1791. — australis Ait.
1792. — tinctoria Ait.
Cyclopia Vent.
1793. Cyclopia genistoides Ait.
Podalyria Lam.
1794. Podalyria biflora Willd.
1795. — calyptrata Willd.
1796. — capensis Willd.
1797. — genistoides Willd.
1798. — myrtillifolia Willd.
Ghorizema LabiU.
1799. Chorizema nana Sims.
Mirbelia 8m.
1800. Mirbelia reticulata Sm.
€k>mpholobimu 8m.
1801. Gompholobium latifolium 8ш.
Viminaria Sm.
1802. Viminaria denudata iSw. (Sophora juncea /SfcÄrrf.).
б*
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— 68 —
Daviesia Sm.
1803. Daviesia ulicina Sm.
Pultenaea 8m.
1804. Fultenaea daphnoides Sm.
Eutaxia B. Brown.
1805. Eutaxia myrtifoUa Br. (Dillwynia Lab.y
DiUwyuia Sm.
1806. Dillwynia ericifolia 8m.
TRIBUS П. GENISTEAE.
SUBTRIBUS 1 LIP ARIE AE.
Liparia 1a
1807. Liparia hirsuta Thbg.
1808. — villosa Thbg.
SUBTRIBUS 2. BOSSIAEA E.
Platylobimn 8m.
1809. Platylobium formosum Sm.
1810. — parviflormn Sm.
1811. — scolopendrium Vent
Ooodia 8alisb.
1812. Goodia pubescens Sims.
SUBTRIBUS 3. CROTALARIEAE.
Borbonia L.
1813. Borbonia cordata L.
1814. — crenata L.
1815. — lanceolata L.
1816. — undulata Thbg.
Rafnia Thbg.
1817. Rafnia amplexicauliß Thbg.
1818. — oppoßita Thbg.
Lebeckia Thunb.
1819. Lebeckia armata Thbg.
1820. — sapiaria Thbg.
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— 69 —
jLspalathus L. (inclus. Sarcophyllum Thunb.).
182L Aspalathus alb^ns L.
1822. — araneosa L.
1823. — astroides L.
1824. — callosa L.
1825. — capitata L.
1826. — carnosa L.
1827. — ciliaris L.
1828. — cytisoides
1829. — ericoides E. Meyer.
1830. — Hystrix L.
1831. — spicata Thbg.
1832- — spinosa L.
1833. Sarcophyllum carnoeum Thunh
1834. — Gaidioidee LMst.
Jb 33. Crotalaria L.
1845. Crotalaria biflora L.
1846. — cordifolia L.
1847. — imbricata L.
1848. — incana L.
1849. — incanescens L.
I860. — laburni folia L.
1851. — occulata F.
1852. — parviflora Roth.
1853. — pilosa Thbg.
1854. — rotundifolia WalL
1855. — sagittalifl L.
1856. — verrucosa i.
1857. — virgata Roxb.
SUBTRIBUS 4. SPARTIEAE.
bnpiuus L.
1858. Lupinus albus L.
1859. — anguetifolius Mill.
1860. — arboreus Curt.
1861. — hirsutus JL.
1862. — linifolius Roth.
1863. — luteus L.
1864. — perennis JL.
1865. — pilosus L.
1866. — Termis JPor^A.
1867. — varius L.
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- 70 —
Genista L.
1868.
Qenieta albida W.
1869.
—
anglica L.
1870.
—
bracteolata Lk.
1871.
—
canadensis ?
1872.
^^
canariensie Д
1873.
—
candicans L.
1874.
—
complicata Lk.
1875.
—
exaltata LTc.
1876.
^-
florida.
1877.
—
germanica L.
1878.
—
hirsuta F.
1879.
—
hispanica L.
1880.
—
Insitanica X.
1881.
—
ovata Bit.
1882.
—
patula MB.
1883.
—
piloea L.
1884.
—
prostrata.
1885.
—
sagittalis L.
1886.
—
Scorpiurus Bee.
1887.
—
sibirica L.
1888.
—
tetragona Vill.
1889.
—
tinctoria L.
1890.
—
triacanthos Brot.
1891.
.-
tridentata L.
1892.
—
triquetra Herit.
1893.
—
viscosa W.
Spartinm L.
1894.
Spartium aphyllam.
1895.
—
cinereum Vill.
1896.
—
creticum.
1897.
—
juncenm L.
1898.
—
linifolium Besf.
1899.
—
monoepermum L.
1901.
—
multiflorum Ait.'
1902.
—
patens L.
1903.
—
pnrgans L.
1904.
— .
radiatum L.
1905.
—
scoparium L.
1906.
—
Scorpius L.
1907.
—
sphaerocarpnm L.
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— 71 —
1908. Spartium spinosum L,
1909. — umbellatum Besf.
1910. — villosum V.
1911. — virgatum Ait.
№34.
Ulex X.
1912.
Ulex aphyllue Lk.
1913.
—
europaeus L.
1914.
—
nanus Sm.
Oytisus L.
1915.
Cytisus argenteus L.
1916.
—
austriacus L.
1917.
—
biflorus Ait
1918.
—
Cajan X.
1919.
—
calycinus MB.
1920.
—
capitatus Jacq.
1921.
—
elongatus Bit.
1922.
—
folioeus Ait.
1923.
—
glabratns Lk.
1924.
—
herminicus Lk.
1925.
—
birsutus L.
1926.
—
Laburnum L.
1927.
— .
leucanthus Kit.
1928.
—
nigricans L.
1929.
—
pauciflorus Jf. В
1930.
—
procerus Lk.
1931.
—
purpureus 8cop.
1932.
—
sessilifolius L.
1933.
—
supinus Jacq.
1934.
—
wolgaricus L.
TRBBUS Ш. TRIFOLIEAE.
Ononis I>.
1935. Ononis alopecnroides L.
1986.
—
antiquorum L
1937.
—
arvensis L.,
1938.
— .
caduca Vill.
1939.
—
capitata Cav.
1940.
-^
cenisia L.
1941.
.-.
Columnae All.
1942.
—
fruticosa L.
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— 72 —
1943. Ononis glandulifera Weinm.
1944.
—
grandiflora.
1945.
—
hircina Jacq.
1946.
—
hispanica L.
1947.
—
? hiflpida.
1948.
—
minutissima X.
1949.
—
mitissima L.
1950.
—
Natrix L.
1951.
—
pinguis L.
1952.
—
pubescens L.
1953.
—
? ramosissima Desf.
1954.
—
reclinata L.
1955.
—
repens L.
1956.
—
rotundifolia L.
1957.
—
epinosa L.
1958.
—
▼illosieeima Desf.
1959.
—
viscosa L.
№35.
Trigonella b.
I960.
Trigonella aegyptica Buck.
1961.
—
corniculata L.
1962.
—
esculenta W.
1963.
—
Foenum graecum L.
1964.
—
gladiata Stev.
1965.
^^
hamosa L.
1966.
—
hybrida Pour.
1967.
—
laciniata L.
1968.
—
monspeliaca L.
1969.
—
omithopodioidee Schrd
1970.
—
pinnatifida Cav.
1971.
—
platycarpoe L.
1972.
—
polycerata L.
1973.
—
ruthenica L.
1974.
—
spinoea L.
1975.
—
striata L.
Memotus Desf.
1976.
Melilotus coerulea Pers.
1977.
— —
connata Bernh.
1978.
—
cretica Desf.
1979.
—
dentata Kit.
1980.
—
hamosa MB.
1981.
—
indica Pers.
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_ 73 —
1982. UemotlU itaUca Des f.
1983.
—
Eochiana M\
1984-
—
linearis Cav.
1985.
—
macrorrhiza Kit.
1986.
—
mauritanica W.
1987.
:
messanensis Desf,
1988.
officinalis L,
1989.
ornithopodioides Willä.
1990.
palustris Kit.
1991.
? polonica Pars.
1992.
ruthenica MB.
1993.
— ^
taurica MB.
1994.
vulgaris W. (officinalis ß)
Trifolium L.
1995.
Trifoliimai agrarium L.
1996.
—
albidum Betz.
1997,
—
alexandrinum Sprgl.
1998.
—
alpestre L.
1999.
—
alpinum L.
2000.
—
ambiguum MB.
2001.
—
angulatum Kit.
2002.
—
angustifolium L.
2003.
—
apulum Jacq.
2004.
—
arvense L.
2005.
—
badium Schreb.
2006.
—
bracteatum Schousb.
2007.
—
Broteri Link.
2008.
—
campestre Schreb.
2009.
—
cespitosam Halb.
2010.
—
Cherleri L.
2011.
—
clypeatum L.
2012.
—
comosum L.
2013.
—
conicum.
2014.
—
diffusum Ehrh.
2015.
—
diraricatum Schousb.
2016.
—
echinatum.
2017.
-—
elegans Savi.
2018.
— ^
expansum Kit.
2019.
—
filiforme L.
2020.
—
flexicaule Jacq.
2021.
—
flexuosum Jacq.
2022.
—
fragiferum L.
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— 7i -
2023. Trifolium gemellum Pour.
2024. — glomeratum Z.
2025. — hispidum Desf.
2026. — hybridum L.
2027. — incamatum L.
2028. — involucratum W.
№36.
2029. — lappaceum i.
2030- — lencanthum MB.
2031. — Lupinaster L.
2032. — maritimnm Sm.
2033. — medium L.
2034. — Molineri Balb.
2035. — montanum L.
2036. — noricum Wuiff.
2037. — ochroleucum L.
2038. — pallidum Kit.
2039. — pannonicum Jœq.
2040. — panriflorum Ehrh.
2041. — pensylvanicum Willd.
2042. — phleoides Pour.
2043. — pictum Roth.
2044. — pratense X.
2046. — procumbene L.
2046. — pseudoprocumbens Omel.
2047. — porpurascens Roth.
2048. — purpureum Loisl.
2049. — recurvum JCt^
2050. — reflexum L.
2051. — :. repens L.
2052. — reeupinatum L.
2053. — rubens L.
2054. — saxatile ^Zï.
2055. — ecabrum L.
2056. — spadiceum L.
2057. — speciosum ? Fisch.
2058. — spumoeum L.
2059. — squarrosum L,
2060. — stellatum i.
2061. — striatum L.
2062. — etrictum L.
2063. — suffocatum Sm.
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— 75 —
2064.
-.
subterraneiim L.
2065.
—
tenuifolium.
2066.
—
tomentosum i.
2067.
—
trichocephalum Л/.
2068.
—
tumens M. p.
2069.
—
turgidum M. B.
TRIBUS IV. LOTEAE-
№ 37- Anthyllis L.
2070. АпШуШв Barba JotIs L.
2071.
^^
cornicinia JL,
2072.
..
cretica Lam.
2073.
—
cytisoidee L.
2074.
—
crinacea L.
2075.
«..
Gerardi L.
2076.
—
Hermanniae L.
2077.
—
lotoides jL.
2078.
—
montana L.
2079.
—
onobrychioides Cav.
2080.
—
tetraphylla L.
2081.
_
Vulneraria L. i ^^"- Р^Ч^^-
I var. coccinea.
2082.
—
Tulnerarioides
Securigera Lc. {Securidaca Oaertn,).
2083. Seonridaoa virgata L.
Dorycnium Vill
2084. Dorycnium ЬегЪасешп Vill.
2085. — latifolium Willd.
2086. — mospeliense Willd.
Lotus L.
2087. Lotns angustissimus L.
2088. — arabicoe.
2089. — australis Andr.
2090. — coimbreusis Brot.
2091. — coigagatas L.
2092. — cornicalatus L.
— — V. villosus Thuill.
2093. — creticue L.
2094. — cytisoides L.
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— 76 —
2095. Lotus depreseus.
2096. — diffusus 8m.
2097. — edulis L.
2098. — elongatus.
2099. — GebeUa Vent
2100. — glauca.
2101. — gracilis.
2102. — hirsutus L,
2103. — jacobaeas L.
2104. — maritimus L.
2105. — odoratus Schotisb.
2106. — ornithopodioidee L.
2107. — ? pedunculatus Cav.
2108. — peregrinus L.
2109. — rectus L.
2110. — siliquosus L.
2111. — tenuis Bit.
2112. — tetragonolobue L,
2118. — uliginosus Schkur.
TRIBUS V. GALEGEAE.
SUBTRIBUS 1 PSORALIEAE.
Psoralea L.
2114. Psoralea acauUs Stev.
2115. — americana L,
2116. — aphyUa L.
2117. — biflora Rudolph.
2118. — bituminosa L.
2119. — bracteata L.
2120. — capitata Thbg.
2121. — corylifolia X.
2122. — cytisoides....
2123. — glandulosa L
2124. — heterophylla Rudphi.
2125. — hirta L.
2126. — multicaulis Jacq.
2127. — palaestina L.
2128. — pinnata L.
2129. — spicata L.
2130. — tenuifolia L.
2131. — verrucosa W.
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— 77 —
Amorpha L.
2132. Amorpha fruticosa L.
2133. — pubescens W.
Dalea Vent.
2134. Dalea alopecuroides Willd.
2135.. — enneaphylla Willd.
2186. — Lagopus Willd.
2137. — violacea Willd.
2138. — virgata Juss.
SUBTRffiUS 2. INDIGOFEREAE.
№ 38. Indigofera L.
2139. Indigofera Anil L.
2140.
—
australis Willd.
2141.
—
caroliniana Walt
2142.
—
cariacea Ait.
2143.
—
cytisoides L.
2144.
—
digitata L.
2145.
—
filiformis L.
2146.
—
glandulosa Boxb.
2147.
—
inquinans Willd.
2148.
—
nivea Lchtst.
2149.
• *-
oxaloides.
2150.
—
psoraloides L.
2151.
—
purpurea ВохЪ.
2152.
—
sericea h.
2153.
—
tinctoria L.
SUBTRIBUS 4. TEPHRO^
Galega
L.
2154. Galega ? arborea.
2155.
—
capensis.
2156.
—
caribaea L.
2157.
—
cinerea.
2158.
—
filiformis.
2159.
—
grandiflora.
2160,
—
hedysaroides Lchtst.
2161.
—
ochroleuca.
2162.
—
officinalis L.
2163. — Orientalis L.
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— 78 —
2164. Qalega piscatoria Ait.
2165. — spinosa.
2166. — stricta.
2167. — villosa.
2168. — virginiata.
SUBTRIBÜS 5. ROBINIEAE.
Robinia L.
21 GO. Bobinia Altagana Fall.
2170. — Caragana L,
2171. — Chamlagu UHeriU
2172. — frutescens X.
2173- — grandiflora Ж В.
2174. — Halodendroii L.
2175. — hispida L.
2176. — mongolica Sw.
2177. — Pseudacacia L.
2178. — pygmaea L.
2179. — radicans Sw.
2180. — sepium Jacq.
2181. — speoiosa Sw,
2182. — spinosa L.
2183. — violacea i.
2184. — viscosa Vent,
Sesbania Pers.
2185. Sesbania aculeata Foir.
2186. — grandiflora Foir.
2187. — ? occidentalis Foir.
2188. — picta Foir.
SUBTRIBUS 6. COLUTEAE.
Lesse
rtia Decand.
2189.
Lessertia annua Bee.
2190.
— perennans Dec.
Colutea L.
2191.
Colutea arborescens L.
2192.
— baetica Link.
2193.
— cruenta Ait.
2194.
— frutescens L.
2195.
— media Willd.
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— 79 —
SÜBTWBUS 8. ASTRAGALEAE.
№ 39. Astragalus Lin. (inclus. Phaca Lin.).
2196. A8t3ragalll8 adsurgens Païï.
2197. — aduncus W.
2198. — alopecuroides L.
2199. — alpinus L.
2200. — Ammodytes Fall.
2201. — ampullatus Fall
2202. — arenarius L
2203. — aristatus VHerit.
2204. — Arnacantha M. B.
2205. — asper Jacq.
2206. — . baeticus i.
2207. — canadensis L.
2208. — carolinianus L.
2209. — caucasiens Fall.
2210. — Cicer L.
2211. — contortuplicatus L.
2212. — corniculatns Stev.
2213. — dasyanthus PaH.
2214. — depressus L,
2215. — Epiglottis L.
2216. — exscapus L.
2217. — fruticosus Fall
2218. — galegiformis i.
2219. — glaux L.
2220. — glyciphyllos L.
2221. — hamosns L.
2222. — humilis M. B.
2223. — hybridus Gmel
2224. — hypoglottis Z.
2225. — incanus L.
2226. — ? Laxmanni.
2227. — leontinus Jacq.
2228. — leucophaeus Sm.
2229. — longiflorus Fall
2230. — lupulinus.
2231. — macrocephalus Wïlld.
2232. — * macrorrhizus Cav.
2233. — melilotoides Fall
2234. — monspessulanus L.
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— 80 —
2235. Astragalue onobrychioidee M. В.
2236. — Ünobrychis 11
— — ? minor.
2237. — Oxyglottis Stev.
2288. — pauciflorus PalL
2239. — pentaglottis L.
2240. — physodes L.
2241. — ponticus Pali.
2242. — peeudotragacanthue Pali.
№ 40.
2243. — reduncus Pali.
2244. — rupifragus Pali.
2245. — eangoinolentus M. B.
2246. — seorpioidee Puor.
2247. — sesameus L.
2248. — sinicus L.
2249. — Stella L.
2250.
etriateUue Bhrst.
strictus.
2251. — subulatus Pali.
— — altaicus.
— — taurieus.
2252. — suleatus L.
2253. — sylvaticus Pali.
2254. — taurieus M. B.
2256. — tenuifolius.
2257. — testiculatus Pali.
2258. — Tragacantha L.
2259. — trimestris L.
2260. — tumidus M. B.
2261. — uliginosus L.
2262. — utriger Pali.
2263. — verticillaris.
2264. — vesicarius L.
2265. — vimineus Pali.
2266. — virescens Aü.
2267. — virgatus Pali.
2268. — vulpinus Willd.
2269. Phàoa alpina Jacq.
2270. — astragalina Dec.
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- 81 —
2271. Phaca auetralie L.
2272. — frigida Jacgt.
№ 4L OxytropiS Decand. (Astragalus L.).
2273. OzTtropis campestris Dec.
2274. — cymbiformis Dec.
2275. — dealbata Dec.
2276. — deflexa Dec.
2277. — dichoptera Dec.
2278. — lanatÄ Dec.
• 2279. — montana Dec.
2280. — PallsÄÜ Dec.
2281. — pilosa Dec.
2282. — uralensis Dec.
Biserrula L.
2283. Biserrola Peleciuus L.
Glycyrrhiza L.
2284. Glycyrrhiza asperrima L.
2286. — * echinata L.
2286. — glabra L.
2287. — glandulifera Kit.
TRIBUS VI. HEDYSAREAE.
SUBTRIBUS 1. CORONILLEAE.
Scorpiurus L.
2288. Scorpiurus muricata L.
2289. — repanda Lk.
2290. — subviUosa i.'
2291. — sulcata L.
2292. — yermiculata L.
Oruithopus L.
2293. Ornithopus compfeseus L.
2294. — ebracteatus Brot.
2295. — perpusillns L.
— — T intermediua Roth.
2296. — répandus Poir.
2297. — scorpioides L.
&
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— 82 —
Coronilla L.
2298.
СогопШа coronata X.
2299.
—
creüca X.
2300.
— ^
Emerus L.
2301.
—
glauea X.
2302.
—
iberica Stev.
2303.
—
juneea L.
2304.
—
minima L.
—
—
Mstipulata Vill
2305.
—
montana Dec.
2306.
—
pentaphylla Desf-
2307.
—
securidaca X.
2308.
—
varia X.
Hippocrepis L.
2309. Hippocrepis comosa X.
2310. — multisiliquosa X.
2311. — unisiliquoea X.
SUBTRIBÜS 2. ÇUHEDYSAREAE.
Je 42. Hedysamm X.
2312. Hedysamm abyssinicum Jacq.
2313. — adscendew 8w,
2314. — alpinum X.
2315. -rr Alhagi Lin.?
2316. — argenteum X.
2317. — biarticulatum X.
2318. — biflorum Willd.
2319. — BuxbauB^i M- B-
2320. — cs^nadense X.
2321. — candidum ^. 3f.
2322. — сацеасепб -t-
2323. — Caput galli X.
2324. — caucasicam M. J9.
2326. — coro;^airi,yjA X.
2326. — coAfertuift JP.esf.
2327. — Сг1^Ц gam X.
2328. — croaticum.
2329. — diphylljTO f,.
2330. — Яедашда 4
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— 83 —
'2331. Hedyearmn gangeticum L.
2332. — grammeum RetB.
2333. — gyrans L.
2834. — hirtum L,
2335* — ibericum Stev.
2336. -^ junceum L,
i2337. — maculatum JL.
2338. — marylandicum L,
2339. — montanum Dec.
2340. — muricatum J acq.
2341. — nudiflorum L.
2342. — nummulariifolimn L.
2343. — obscurum L.
2344. — Onobrychis L.
2345. — Pallasii Wittd.
2346. — paniculatum L.
2347. — petraeum M. Л.
2848. — pictum Jacq.
2349. — Poitea Hdphi.
2350- — Pseud-Alhagi M. B.
2351. — pulchellum L.
2352. — retroflexum L.
2353. — ? roseum Steph.
2354. — rufescens Willd.
2355. — saxatile L.
2356. — sericum.
2357. — spinosum Herm.
2358. _ gpirale Sw.
2359. — supinum Stc.
2360. — Tanaicense Яегт.
2361. — taaricum Pall.
2362. — triflorum L.
2363. — trigonum Si€.
2364. — vaginale L.
2365. — yeepertilionis L.
2366. — violaceum L.
2367. — wolgense Fiseh.
2368. — Zornia jRdpÄt.
SUBTRmUS 3. AESCHYNOMENEAE.
:№ 48. Nissolia L.
2369. Nissolia fruticosa.
6*
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- 84 -
Aesch3rnomene L.
3870. Aeschynomene americana L,
2371. — sensitiva Sw.
SUBTRIBUS 5. STYLOSANTHEAE.
Stylosanthes Sw.
2372. Stylosantbee procumbens Sw.
2373. — viscosa Sw.
Axachis L.
2374. Arachis hypogaea. L.
SUBTRIBUS 6. DESMODIEAE.
Hallia Thbg.
2376. Hallia cordata Thbg.
2376. — flaccida Thbg.
TRIBUS VII. VICIEAE.
Oicer L.
2377. Cicer arietinum L.
2378. — Lens L.
Vicia Linn, (ioclas. Ervum Linn.).
2379. Vicia amphicarpa Dorthes.
2380.
—
angustifolia Both
2381.
—
articulata Willd.
2382.
—
baetica Schousb.
2383.
—
benghaleneis L.
2384.
—
bicolor Bernh.
2385.
—
biennis L.
2386.
—
bithynica L.
2387.
—
caesulbca L.
2388.
—
Cracca L.
2389.
—i.
dumetorum L.
2390.
—
Ervilia Willd.
2391.
— .
Faba L.
2392.
—
fabosa Betz.
2393.
—
hybrida L.
2394.
—
lathyroides L.
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— 85 —
2395.
Vicia lugadensie.
2396.
—
lutea L.
2397.
—
megalosperma M. B.
2398.
—
Michauxii 8prgh
2399.
—
monaatha Èete^
2400.
—
narboaensis L.
2401.
—
nissoliaaa L,
2402.
—
nodosa.
2403.
-i-
пота LinK
2404.
—
oroboides Wulff.
2406.
—
pannonica L.
2406.
—
parda.
2407.
—
peregrina L.
2408.
—
pUosa M. B.
2409.
—
pisiformis L.
2410.
—
platycarpos Both.
2411.
—
polyphylla De^f.
2412.
—
puUulans Bamond.
2413.
—
sativa L,
2414.
—
sepium L.
2415.
—
serratifolia Jacq.
2416.
— -
sordida Kit.
2417.
—
striata M. B.
2418.
—
sylyatica L.
2419.
—
syriaca.
2420.
—
tenuifolia Both.
2421.
—
varia Link.
2422.
—
villosa Both.
ürvum.
2423.
Ervum Camelorum Pott.
2424.
—
hirsutum.
2425.
—
nigricans M. B.
2426.
—
tetraspermum L.
—
—
Y tenuïssimum M. B.
2427.
—
triflorum (?).
>6 44. Lathyrue L. (inclus. Or obus
L.)
2428. :
Lathyrue amphicarpos L.
2429.
angolatus L.
2430.
annuus L.
2431.
Aphaca L.
2432.
articulatus L.
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— 86 —
2433. Lathyrus Cicera L.
2434.
—
Ciymennm X.
2435.
—
cornutus SprgL
2436.
—
heterophylke L.
2437.
—
hireutue JL
2438.
—
birtus Lam.
2439.
—
inconepicuue L.
2440.
—
incurvus Willd.
2441.
—
latifoliue L.
2442.
—
lueitanieu« Rdphi,
2443.
—
monanthos Willd.
2444.
—
Kissolia L.
2445.
—
odoratue L,
2446.
—
palustris L.
2447.
—
pisiformis £.
2448.
—
prateneis L.
2449.
—
rotundifolins WilUé
2450.
—
satiyus L.
2451.
—
setifoHus L.
2452.
—
sphaericns Betz.
2453.
—
spurius Donn.
2454.
—
sylvestris L.
2455.
—
? tingitanus L.
2456.
—
tuberosus L.
2457.
—
tumidus Lam.
2458.
OrobUB albue £.
2459.
...
alpestris Kit.
2460.
—
angustifolius L.
2461.
—
digitatus M. B.
2462.
—
hirsutus L.
2463.
-~
lacteus M. B.
2464.
—
lathyroides X.
2465.
—
luteus Z.
2466.
—
niger L.
2467.
—
palescens 3f. B.
2468.
—
pyrenaicus L.
2469.
—
sylTOticus Willi.
—
—
T croceus L.
2470.
—
tuberosus L.
—
—
T tenuifolius Roth
2471.
—
vernus L.
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- 87 —
№ 45. Pismn L.
2472. Pistim агтеив« X.
2473.
—
? globtoum.
2474.
.—
2475.
—
Ochras If.
2476.
^-
sativum L.
2477.
—
thebaicum Willd.
Abrus L.
24^8. Abrus precatorias L.
TRIBUS Yin. PHASEOLEAE.
SUBTRIBUS 1 GLYCINEAE.
CUtoria L.
2479. CUtoria brasiliana L;
2480. — Galactia L.
2481. — micrantha Scop.
2482. — Tematea L.
2483. — Tirginiana L.
Glycine L.
2484. Glycine Apios L.
2485. — bimaculata Ourt.
2486. — bituminosa L.
2487. — caribaea Jacq.
2488. — humifiisa Willd.
2489. — monoica L.
2490. — phaeeoloides jSm^.
2491. — reticulata Sw.
2492. — rubicunda Curt.
2493. — subterranea L,
2494. — tomentosa L.
2495. — yirginica.
Teramnus Brown.
2496. Teramnus volubilis Бг.
SUBTRIBUS 2. ERYTriRÏNEAE.
Erythrina i.
2497. Erythrina herbacea L.
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— 88 —
Rudolpbia Wim.
2498. Rudolphia ? peltata WUld.
2499. _ volubilis WiOd.
SUBTRIBUS 6. EUPHASEOLEAE.
PhaseoliiB L.
2500.
Phaeeolus ? americanas.
2501.
—
? capensis.
2502.
—
capitatus.
2503-
—
? chinensie.
2504.
—
farinosus L
2505.
—
helvolus If.
2508.
—
inamoenue L.
2507.
—
lunatus L.
2508.
—
Max L.
2509.
—
Mungo L. •
2510.
—
nanus L.
2511.
—
radiatus L.
2512.
—
scaber F,
2513.
—
semierectus L.
2514.
—
sinensis.
2515.
—
tuberosus Sour.
2516.
—
Yulgaris L,
Dolichos L.
2517.
Doliohoe
capensis L.
2518.
—
Catjang £.
2519.
—
? cultratus ForsJc
2520.
—
? ensiformis L.
2521.
—
Lablab L.
2522.
—
lignosus L,
2523.
—
minimus L,
2524.
—
pubescens Willd.
2525.
—
purpureus L.
2526.
—
rotundifolius F.
2527.
—
? ruber Jacq.
2528.
—
sesquipedalis L.
2529.
—
Soja L.
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— 89 -
TRIBUS IX DALBERGIEAK
SUBTRIBUS 1 PTEROCARPEAE.
№ 46. Dalbergia L. (IdcL Amtrimnum Jacq^.),
2530. Dalbergia laaoeolaria .X.
2531. Ameiimnum aculeatum M.
2532.. — Brownei Ja^q.
2533. — latifolium ТГ.
2534. — pubeecens W.
Pterocarpue L.
2535. Pterocarpue Draco L,
2536. — Ecastaphyllum L.
SUBTRœUS 3. GEOFFRAEAE.
Geoffraea Fers. (Geoffroya Lin.),
2537. Geoffraea ? inermis 8w.
TRIBUS X. SOPHOREAE.
Virgilia Lam.
2538. Virgilia capensis ^tï.
SopllOra L. (Inclus. Edwardsia Salisb.)-
2539. Sophora alopecuroîdes L.^
2540. — tiactoria L,
2541. Edwardsia grandiflora Salisb. (Sopb. tetrapte-
ra Willd.).
2542. — microphylla Salisb, (Soph, microph.
Ait).
SUBORDO IL CAESALPINIEAE.
TRIBUS XIII. EUCAESALPINIEAE.
Caesalpinia Rum. (inclus. OuHandina L.)-
2543. Caesalpinia Sappan L.
2544. Guilandina dîoica L.
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- 9Ô -
Oleditschiâ L.
2545. Gleditsollia sineneis Lam.
2646. — triacanthos L.
2547. — iaermis Lin. (triacaoth. ß Mönch.}.
Parkinsonia L.
2548. Parkinsonia äCaleata L.
TRIBUS XIV. CASSIEAE.
Cassia Tourn
^
2549.
Cassia Absas L.
2550.
—
acuminata Willd,
2551.
_
? Canca Cav.
2552.
—
Chamaécrista L.
2553
—
chinensis Jacq.
2554.
—
diphylla L.
2555.
—
Ugustrina L.
2556.
.—
marilandica L.
2557.
—
microphylla WilU.
2558.
—
mimosoides L.
2559.
—
nietitans L*
2560.
—
occidentalis L.
2561.
—
pilosa L.
2562.
—
procumbens L.
2563.
—
Sophora L.
2564.
— -•
Tora L.
2565.
—
Tulgarie Roxb.
Ceratonia L.
2666.
Cei^tonia SiUquâ L.
TRIBUS XV. BAUHINIEAE
Bauhinia L
2567.
Bauhinia acuminata L.
2568.
—
? j^urpurea L.
2569.
—
tomentosa L.
Cerds L.
»^
2570.
Cerois canadensis L.
2571.
—
Siliquastrum L.
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-г 91 --^
TRIBUS XYI. ЛМНЕВ8Т1ЕАЕ.
Tamarindue L.
2572. Tamarindue indica L,
Schotia Jacq:).
2573. Schotia epecioea Jacq.
№ 47. Hymenaea L.
2574. Нттепаеа Courbaril L.
Lachnoblastis *).
2575. Lachnoblastis borbonica Mthi.
S и В О R D О III. M I M О S E A E.
TRIBUS XXI. EUMIMOSEAE.
Desmanthus WUld. [Mimosa L.).
2576. Desmanthus depreseiu Willd*
2577. — diftaâus WilU.
2578. — ptenua WHU.
2579. — punotatue Willê.
2580. — triquetrus WUld.
2581. — virgatue Willd.
Mimosa L.
2582. Mimosa leucocephala.
2583. — pubeecens Vent.
2584. — pudica L,
2585. — seneitiya L.
2586. — tetrandra НитЪ.
Schrankia WUld. (Mimosa L.).
2587. Schraûkla hamata Willd.
TRIBUS XXII. ACACIEAE.
Acacia WiUd. (Mimosa L.)-
2588. Acacia binerrie Linh.
2589. — decipiens Brown.
*) „Inter Adenantheram et Prosopidem inserendum genas* Trinias.
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— 92 —
2590. Acacia decurrens WiUd.
2591.
—
discolor Willd.
2592.
—
diyaricata Willd,
2593.
— .
eburnea Willd.
2594.
.»
? flexuosa Humb.
2595.
—
glauca Willd. (binervis Wendl.)
2596.
—
glaucescens Willd.
2597.
—
Julibrissin Willd.
2598.
—
laevis.
2599.
—
? latisiliqua Willd.
2600.
—
laurifolia Willd.
2601.
^
linifolia Willd.
2602.
—
longifolia Willd.
2603.
—
lophantha Willd.
2604.
—
myrtifolia Willd.
2605.
—
parvifolia Willd.
2606.
—
pennata Willd.
2607.
—
portoricensis Willd.
2608.
—
pulchella $rown.
2609.
—
Stephaniana Willd.
2610.
—
suayeolens Willd.
2611.
—
tamarindifolia Willd.
2612.
—
verfcicillata Willd.
TRIBUS XXIII. INGEAE.
Inga Wittd. (Mimosa L.).
2613. Inga foetida Willd.
2614. — purpurea Willd.
2615. — Unguis lati Willd.
2616. — xanthoxyloides Rdpki
ORDO LVIII. ROSACEAE.
TIUBUS I. CHRTSOBALANEAE.
№ 48. Chrysobalaiiuis 2/.
2617. Chrysobalanuis Icaco L.
Hirtella L.
3618. Hirtella americana L.
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— 93 ~
TRIBUS П. PRUNE AE.
Prunus L. (Inclus. Amygdalus L.).
2619. Prunus avium L.
2620. — Cerasus L.
2621. — domestica L.
2622. — fruticosa ?
2623. — ineititia L.
2624. — Laurocerasus L.
2625. — lusitanica i.
2626. — Mahaleb L.
2627. _ nana Du-Eoi.
2628. — occidentalis Sw.
2629. — Padus L.
2630. — pensylyanica L.
2631. — pumila L.
2632. — semperflorene Ehrk.
2633. — serotina Ehrh.
2034. — sibirica L.
2635. — sphaerocarpa Sw.
2636. — epinosa L.
2637. — virginiana i.
2638. Amygdalue incana Pali.
2639. — nana L.
2640. — pamila L,
2641. — persica L.
TRIBUS III. SPIRAEEAE.
Spiraea L.
2642. Spiraea acutifolia W.
2643. — alpina Pall.
2644. — Aruncus L.
2645. — carpinifolia Willd.
2646. — Chamaedryfolia L.
2647. — crenata L.
2648. — Filipendula £.
2649. — hispanica Link.
2650. — hypericifolia L.
2651. — laevigata L.
2652. _ lobata Murr.
2653. _ opnlifolia L.
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— 91 —
2654. Spiraea pabnata Thunb.
2656. — salicifolia L.
2656. — sorbifolia L.
2657. — tomentosa L.
2658. — trifoliata L.
2659. — triloba L,
2660. — Ulmaria L.
2661. — ulmifolia Scop.
TRIBUS V. RUBEAE.
№ 49. Rubus L.
2662. BubU8 arcticus L.
2663. — caeeius L.
2664. -^ Chamaemorus L.
2665. — corylifolius Sm.
2666. — fruticosus L.
2667. — glanduloffus Bell
2668. — hirtus Kit.
2669. — idaeus L.
2670. — occidentalis L.
2671. — odoratus i.
2672. — rosaefoliue Sm.
2673. — saxatilis L.
2674. — tomeatosus Thuill.
TRIBUS VI. POTENTILLEAE.
Dryas L.
2675. Dryas octopetala L.
Qeum L.
2676. Оешп album Jacq,
2677. — glaciale M.
2678. — intermedima ЕЛгЛ.
2679. — macrophyllum Willd.
2680. — moatanum L.
2681. — potentilloides Willd.
2682. — pyrenaicum Willd.
2683. — reptans i.
2684. — rivale L.
2685. — V. hybridum J acq,.
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— 95 —
2686. Qeum strictmn Ait. \
2687. — игЬаццщ Lp
2688. — yirginifmum L.
Waldsteinia waid.
2689. WalcUteinM geoides Willd.
Fragaria L.
2690. Fragaria соШпэ. Ehrh.
2691. — elatior Mrh.
— — ß muricata L.
2692. — grandiflora Ehrh.
2693. — indioa Lh
2694. — monopbyUa L.
2695. — vesca L.
№ 50. Potentilla X. (iocl. GomarumL. Tor-
mentilla L. Sibbaldia L.).
2696. Potentilla аа8сехы1шв EU.
2697. — agrimonioides M. В.
2698. — alba L.
2699. — alchemilloidee La Peffr.
2700. — anserina L.
2701. — argentea X.
2702. — astracanica Jßcq.
2703. — aurea i.
2704. — bifurca L.
2705. — BrauHiana.
2706. — ? canadensis L.
2707. — candicane Bdph.
2708. — canescens Bess.
2709. — caulescens L.
2710. — Clueiana J(icq.
2711. — fragarioides L.
2712. — fruÜQOsa L.
2713. — geoides M. B.
2714. — grandiflora L.
— — var. altaica L.
2715. — hirta L.
2716. — hispida Willd.
27 n. — inclinai» ГЩ.
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— 96 —
2718-
Potentilla intermedia L.
2719.
—
leucophylla Pali.
2720.
—
lupinoidee Willd.
2721.
—
monepeliensis L.
2722.
—
multifida L,
—
^~
? ß. pygmaia.
2723.
—
nitida L.
2724.
—
nirea L.
2725.
—
norwegica Z.
Ь51.
2726.
_
obscura Wüld.
2727.
—
opaca X.
2728.
—
patula Kit.
2729.
—
pedata Willd.
2730.
—
pensylranica L.
2731.
—
recta L.
2732.
—
reptans L.
2733.
—
rupestris lu
2734.
—
rutheniea Willd.
2735.
—
sarmentosa Wüld.
2736.
—
sericea L.
2737.
—
stipularis L.
2738.
«-
subacaulis L.
2739.
—
supina L.
2740.
—
uniflora Ledeb.
2741.
— .
yerna L.
2742.
—
V. salisburgensis,
2743.
—
viscosa.
2744. Comamm palustre L.
2745. SibbaldJa altaioa L.
2746. — erecta L.
2747. — procumbens L.
2748. Tormentilla erecta Ir.
2749. — reptans L.
TRIBUS Vn. POTERIEAE.
№ 52. А1сЬетШа L.
2750. Alohemilla alpina L.
2751. — Aphanes W.
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Bulletin 1885. P.l
Digiti
^5fâ.bvfi00#
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Bulletin 1885. P.I.
Tab.ll.
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/
I
u
ßUllETI^
de la
9 f
SOCIETE IMPERIALE
DES .VnillA LISTES
DE MOSCOU.
SOUS la RédaclioD do Uocteiir Reoard.
ANNÉE 1885.
Л'= I.
(\v"r 1 planche.)
MOSCOU.
I88:j.
-r^F
./■.>V*V^-^^:-..-,. ■: ..,.> ..
-^^>:г?,,.^и..и.
EXTRAIT DU REGLEMENT
1Ч;Н1Ли hl > л\ \ : i.a:j> il!
DE MOSCOU.
4s:;. — sn.p
Tii*'
rofubUlofi.
Lcô Membres qui auront \*u\é la cotisatibii de 4 КЫь annuc
meat, ou la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans ^
cune redevance nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la bociét
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la Se
ciété, ycrcwi m-aiid item eut nO oxcmpliiireb do son Mémoire. tîri'?s3
к ])art.
Les travaux prébentta a la »'société \\^\\\
tes les langues généralement en usage.
La Société doit à la munificence de Sa Majesté TEmpti
somme annuelle de 4.857
Séances pendant Tannée 1885.
17 Janvier. y 19 Septembre-
21 Février. 3 et 24 Octobre.
14 Mars. 14 Novembre.
18 Avril. r.^ Décembre.
Les séances ont lieu dans le local de la Société, hôtel de l'Uni versit
ООЯЖ
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TABLE DES MATIERES
CONTEiNUES DANS CE NUMÉRO.
Page.
Kév: • urs numérioi, 1е1.111я1Уе. Par
l'h. Bredichîti 1
Dritter Hericht über den Bestand meines Herbariums. Von Dr
E. biiidemanii. (Schluss)
=cillations des jets d'émission dans les comètos. (Ave
mche). Par Th. Bredichiii. A. R
Plantuo Kaddoanae Monopetalae bearbeitet von F. von Herder, ii^
Reisebriefo tUr das Jahr 1884 und 188-> — ^ Re^el 167
Reise nach Acbal-Teke. Von A- Beck«- 189
Ueber nordische Aucellen von H. Xrautsefiold -^X)
Robin, Notice BéCrologique i»av Th. Heeclmiakolf
Годичный отчетъ Императорскаго Москоискаго Общества Испы-
тателей Принпк? \п 7fisi-_sri ГПК. Ппги?.о,'Рора к. Э.
Линдемава 22^>
Extrait des proto ciété 1. d^s Natura-
îi^t^^^ . = 1
Êd by ^
iOG'^^
MEMBRES DU BUREAU
pRÉsmi'NT M
POUR L^ ANNEE 188J.
Iv. Rciiarti Conseiller imj
ineesse Koudaclbeff.
VICE-PRESIDENT: Mr. Theodore ßredichin, Conseiller
oicfiu î. à laFresnia, m. de rObservatoire (l'A
V Université.
SECRÉTAIRE: Mr. Charles Lindcman, Conseiller d'État, Pro-
fesseur à ГЛсаиеппс de PétrovsUy, a Petrov8ky'
Raгouшovsl:>i
MEMBRES DU CONSEIL:
Mr. öerge Ou Conseiller d'Etat artoeb
Afjhanasievslcoi réfcoiilolCy maison Fritsch.
Mr. Théodore Sloudsky, Conseiller d'Ei
tuel, à la Pakrovka, maison Karpoiv, jjree de Véglise
Troiizi (jria-i
Mr. V a U« i . ^^-
rémetiévsky Péréouiok, m. C/icrtmttiv/f, .V 00.
Ml. Alexandre Sabanéeff, Professeur à
rUniversitê. D^ügornukovsky Per. m, de VUni-
BIBLIOTHECAIRE: Mr. Coublaiitiu Pur. ) iki
lovka^ maison Konchine.
CONSERVATEURS DES COLLECTION^
Mr. Adrien Golovatsciio., x ,,..... .c..v".-..-..
К étions zoolot^'iques. Première Metschanskaia, m.
du Jardin botanique de VUniversité.
Ун. Ch. Lindeman, Professeur, à Z'^caiîlemte d'Agri^ 'Л
culture de Pétrovsky-Razoumovski;.
Л1г. J.N.Goroschankine, Professeur. Conservât'
des collections botaniques, au Jardin botanique u-
l^ Université.
Mr. Va lé r i e n К i p ri i a n о ff. Cons. priYé.Conservateur
des collections niinéralogique et paléoutologiquc.
Chérémetiérsky Péréoulok., m. Chcrémetiéff^ A' 60.
MEMBRE ADJOINT POur la Rédaction des Mémoires e^^^^^^^
Mr. Jean Dumouchel, Conseiller dEtut actuel.
(rontcharnaïa, maison Stépntioxc.
Al DE-BIBLIOTIIÉC AIRE.
llibûv
Mr. Alexis Koudriavzev. Arhot
É^ite
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'Jam
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~yf.
JJk.
Л^
■ä./Sf&
''%
шшш
de la
г *
SOCIETE IMPERIALE
BBS KATIIRAIISTKS
DE MOSCOU.
Publie
SOUS la RédaclloD du Uocteur Renard»
ANNÉE 1885.
(Avec 2 planches).
^^
MOSCOU.
1886.
*:-•; '",-^^^ъ;^ -'^.y^-.vr''!^"-^ - - ^" "v '
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EXTRAIT DU REGLEMENT
DE LA
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES
DK MOSCOU.
Aimée 1885, — 80-èine de sa fondation.
Les Membres qui auront payé la cotisation de 4 Rbis annuelle-
ment, ou la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans au-
cune redevance nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la Société.
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la So-
ciété, recevra gratuitement 50 exemplaires de son Mémoire, tirés
il part.
Les travaux présentés à la Société peuvent 6tre rédigés dans tou-
tes les langues généralement en usage.
La Société doit li la munificence de Sa Majesté TEmpcreur uue
somme annuelle de 4.857 r. 14 c.
Séances pendant Tannée 1886.
16 Janvier.
13 Février.
20 Mars.
IM Avril.
18 Septembre.
3 et 23 Octobre.
20 Novembre.
18 Décembre.
Les séances ont lieu dans le local de la Société, hôtel de TUniversit
:^>^?«-^
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TABLE DES MATIERES
CONTENUES DANS CE NUMÉRO.
Page.
Enumeration des espèces de plantes vasculaires du Caucase ]»ar
jfl. 8mirno%v de Titlis. (CoDtinuation. V. Bulletin.
1884. J^ 4) 235
Oiseaux de la contrée transcaspienne. Par Л'. ^armidiioî«
avec préface de M. iflenzbier 262
Fünf-und-dreissigjäbrigeBeobachtUDgen über den Beginn der
frühesten und spätesten ßlüthezeit der in Kischinew's
Umgebung wibhvachsenden und cultivirten Pflanzen
nebst einigen Bemerkungen über vegetabilische Parasi-
ten und ptlanzenfeindliche Insekten, von Alexander
Doengiiigk 333
Révision des armures copulatrices des mâles de la tribu Pbilé-
rémides. Par le général Iladoszkoivskî. (Avec 2 plan-
ches) 259
Extrait des protocoles des séances de la Société I, des Natur
listes
Pierbarium vivum sive collectio plantarum siccarura Caesareae
Universitatis Mosqnensis. Pars tertia. Rodactore Prof.
I. ^', Cworoeliaiikiii j
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.SSL^
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MEMBRES DU BUßEAL
POUR L' ANNÉE 1885
PRÉSIDKNT. .Mr. Charles Iv. Renard, Coii-cuiti privé. Staroi
rimène^ maison de la Princesse Koudacheffl
VICE-PRÉSIDENT: Mr. Théodore Bredichin, Conseiller d'État
actuel, à laPresntUy m. de l'Observatoire d'Astrono-
mit", de V université.
SECRÉTAIRE: Mr. Charles Lindeman, Conseiller d'État Pro-
fesseur à TAcadémi" ' DA.^-^ T ' ! '^rovsky-
Razoumovsky.
MEMBRES DU CONSEIL:
Mr. Serge Oussov, Conseiller d'État actuel.
Aphanasierskoi Péreoulok, maison Fritsch.
Mr. Théodore Sloudsky, Conseiller d'État ac-
tuel, à la Pakrovka, maison Karpow, près de Véalise
Troitzi griazù
Mr. Valerien К i p r i j a n и ü, Cuiiseiller [»ri-
vé. Chérémetiévsky Péréoulok, m. Chérémetiéff J^ 60.
Mr. Alexandre Sabanéeflf, Professeur à
l'Université. Di.lgoroukovsky ]?er. w. de VUni-
BIBLIOTHÉCAIRE: Mr. Constantin Pérépelk
lovka^ maison Konchine,
ande Kis-
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lections zoologiques. Grande Nikitskaîa, m. Kons-
пего ff.
Mr. Ch. Lindeman, Professeur, à VAcadé.i
culture de Pétrovsky-Bazoumovsky,
Mr. J.N.Goroschankine, Professeur. ^mservcHcu?^
des collections botantqties, au Jardin botaniaue de
l^ Université. ^
Mr. Valerien Kii)rijanoô;Cons.privé.Consei-vatGur
des collections minéralogique et paléontoloffiouc
Chérémetiévsky Péreoxaok^ m, Chérémetiéff .^60
MEMBRE ADJOINT pour la Rédaction dos Mémoires et du Bulbf i,,.
Ml. Jean Dumouchel, Conseiller d'État actue *
Gontc/tarHfiïa, maison Stépanoir, ^^'
TRÉSORIER et AlDE-BlBLlOTHÉCAIRE:
Mr. Alexis Koudriavzev. Sm^UnsIci Boulevard
m. ^Ip l Ecole a aanculture, ^^%лги.
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