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Conseils à mes Elèves.
(irmii
m n m.jkw m
j !
SUIVIS de
•il' Jlorremix Elc'mrnlairet,
•nre dis Promis j ,/itns /nus 1rs tons majeurs et mineurs , des fines a fermer tr y mit
ri /‘f.rpre.*st*n . r( t/e 24- Etudes spéciales nttuvrffrs ri pnyr**jtt»s.
J. BCR AM E R
Pris : 20r
fki/iee a Parti, fmr M-llRIl E S( II LES IN GF. K .Sue Àifhe/iru .y ~
/.end/e r. . Wd/J vn ri fira/e p/ r/> ‘de* Cdururr . de /m „ iJf S rA/es ut fer
/* .
/■ ?;/*<■ V
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PRÉFACE.
J'ioûjn" plu*i"Mt** »xr«|I >nts p*-u»iU d instructions, pour 1° !*hno rortr l iii , nl et** |Hihlié*,d' pui* peu d;innér',rep"ndant,comiir* I»hi lait
journellement tirs pni^rm,(|ui Icndrul « faciliter aux élève* la cou naissance de làrt musical, lautrur croît devoir publier sa métbo«b*;av ml
consacré toute m «te à létudede la musique, il espère que le publie accueillera favorablement le fruit de *c* observations
L’experienee nous apprend, que laïque 1rs élèves sexerccnt sur des airs connus, arranges en forme de leçons, leur application et leur
progrès augmentent sensiblement; de plus, si on les imite à jouer, ils ont le plaisir de remarquer quavee des morceau y de celte cspèr",ils
excitent davantage latlmlion d** ceux qui les ecoutent, que s’ils exécutaient d** longues compositions qui sont souvent sans nul intérêt; lau-
letir,en conséquence a est déterminé à choisir plusieurs airs favoris, qu il a arrangés en forme de ferons, dans un style familier, il en a inè-
me compose plusieurs afin de conserver h gradation nécessaire pour passer à drs morceaux plus difficiles.
Son plan d'instruction a quelque chose do particulier, au lieu de placer a la tète de I ouvrage» suivant lusage ordinaire, tou* le* précep-
tes necessaires à un pianiste, il a mieux aimé rntremèlrr l-s leçons de toutes les remarques relatives aux agrément*,aux caractère*, *t ,, |n.
pression; la meilleure manière d indiquer leur usage, pour faire plus d impression sur la mémoire, est sans contredit, de le* placer aux en _
droits où Ion doit en faire (application dans la pratique. G est pourquoi, il faut consrnir,que cette méthode de placer les eiplicnl ions, suc-
cessivement , sous les yeux, est bien préférable à celle qui renvoie les elève» à un tableau grnérabqne peu denlreu* se donnent la peine de
lire, et encore moins d apprendre.
Le* instructions préliminaires et necessaire* aux élèves, c’est à dire, une es plient ion des Y»(e*,dr* (ïl*f«,des Dièse*, des Bémols, i b* la
Mesure, Hr.snnl présentés de la manière la plus simple et la plus concise suivent le* règle* et les exemples concernant le do îgicr, dan* le*
quels I auteur a classe et doigte les nombreux passages qui se rencontrent dans la plupart des morceaux.
A la fin de louvrage se trouve un petit a ppend ire, pour expliquer 1rs intervalles, le* accord*, les clefs d I I, H la transposition: ces ar-
ticles nctanl pas nécessaire* à un commençant, auraient été déplacé* dans la première partie. Lr tout r*l terminé par un diclionnnirc ge-
neral vies mots italien* qui se rencontrent le plus souvent dan* les compositions musicales. J
Tel est Je contenu de cet ouvrage puisse-t-il mériter I approbation du public, I auteur se croira Miffisammcnl rrrompenv dr sa peine.
INSTRUCTIONS ELEMENTAIRES .
Avant de jouer aucune de* Irons de cette méthode, l*>* écolier* doivent lire attentivement les sept pages suivant*** et faire tou* leurs
efforts pour graver dxn* l**iir memoir» le* précepte* qu’elle» renferment.
DES NOTES ET DE LA TOHTEE.
Les caractères qui expriment le* sons de la musique sàppellent Note»; on ne compte que sept note* en musique,auxquelle* on donne
les nom* suivant*- I t, Rr, Wi, Et, Soi, Si,
(Juand un passage setend jusqu’à 8 ou 9 notes ou plu*,on répète dans le meme ordre le* noms precedent*: en descendant. ils suivent
lordr" inverse. KXKMPI.E. Si, L*,Sof, Et, Ri, Ré,l't. Mai* la musique se lit de gauche à droite comme elle est imprimée.
Les notes de musiqw se placent sur, cl entre cinq lignes parallèlr* et horizontal** que Ion nomme porter.
N. B, Le* ligne* et interligne* se comptent de bas en haut.
Lorsqu" dans un morceau il" musique quelque* note* vont plus haut ou plu* has que la portée, on ajoute d" —
petite* lignes supplémentaire*. r? les tel"* de* noie* se placent sur, ou entre ce* ligne*. ' ■■■
Li Musique do
j,'ci-ur«. sert pour
l’IAXO s'écrit sur deux portées liées ensemble par un 4 *
le dessus, •*! la porter inférieure pour la basse.
accolade: I l portée su-
t. ,'|. Ourlquefois la main droit" joue d«* note* p|,ic«* sur*
portée du dessus.
M
la portée de la Risse et h main gauche exécute de* note* placée* sur la
8. S 11 4 .
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OFS Cf. K FS.
.Mi-rnmirr I" iuiiii d - note» >■( |< ur« plans mit l«- rlivier, on nM l u.it- fi^irr aommN> CK au «Muntnrawnl H. , hiuju
porlrr.
(*) ftti ne sesert que Hrdnu clef» dan* 1rs composition* mod"rttes pour Ir Piano savoir;
IV ha fl”{ .1 dfwi» <*u dr Sol ain$i font * "'■>/* '*( pl‘''r* sur h deiiKr'utc ligne d<> I» porter, toute*
I** iml's sur cette lign* s appellrnl comme h clef elle S*H pour U partie la plu* haute.
-■ ha rlrf de Haw «u «Ir Fa ainsi formée,*): rM placée sur la quatrième ligue «le h porter; tou.
1rs h note* sur cette lign* * appellent comme la clef: on I emploie piur h partir la plu* Kiw.
DES NOMS DES NOTES.
Le» n*wm des notes tarrut d’après leur position sur les ligne* ou interlignes.
Note* Mir les lignes, ISotw des interlignes.
Biw.
Noie» sur les ligne
JM. ai. tir. Fi,
IWc* stir le* interlignes
l-a lt Ni. JM.
Dessus.
-4 e * i. • f £ f
i *T' « ** a
ni.— « G. r.7 —
; t 1
FW, tU- *U Iû4, -
Ktrrrice pour les note* du des-
9 +
Evrrice pour les notes de U Bas*-. . 4 ^ m
■ fcr • - : . —
, 4 i* . ■ : I
-*\-
1 *
DE LA GAMME, OV ECHELLE .
Les s**pl noies de U Musique placérs dm* un° s «rie montante ou descendante forment ce que Ion appelle Gamme.
La gamine peut rtr- diatonique ou chromatique ft)
La ^ un me diatonique, qui est I échelle nature Ile, cons Me en cinq tons et deui demi Inns fl) qui se trncnrnl difTereinmenl places»
suivant que la gamme r»t majeure ou mineure.
IVm* lWh»ll» nu gitmm* diatonique majeure, le premier d-mi-ton est entre la troisième et la quatrième note, le second entre la srji.
tftme rt la huitième» l"s autre* notes sont distantes don ton lune de 1 autre.
Gamme diatonique
d Cf majeur.
Cette gamme peut rire répétée plusieurs fois dan* de* positions plus grades ou plus aigues; mais toujours semblables par rapport
aux places des tons et demi-tons. Votez la page «amante où l’on Irous** les nom* de toutes le* notes et leur position sur le rlati*r.
(«) lira. lW, w m>iù<(nr m Fairt<i* -»«1 g* il ' mm- aulr» rW Jin'i f-rmt'* . jcj'l'»- IV.B •>..mnv C.irf d'il. H» m a AW BtpIifMlMM à lt !»•<• 56 «t»
I 4|i|MtMiârr.
(t) lèrrfcrll™ rhrMiulHp' *“U p*p» H.
^ J j | b dmti i™« ni la pnifrvnima ifim. «..ir à I» tunMrir. <-.annw* d* I l i 1*1 t. ntt R<* ► ■ l'«* <»n *r d> dnl drai.l.ai A* «wiw, l’i. l’i I.U H», f"! BMMl un
um : ui >. Mi Fa J. cm r-nnil -m mW.
O» lngi> p.t- 13 I dr la pnnr MHIriir*.
M 5 . 3114 .
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EXPLICATION DU CLAVIER
l,i' ch\«T dvs Rianos mtMktim a nol<N ivldilionnflln contient »H octavrg depuis le I*;i le plu» ha» a gauche
jusqu'au Fa le plus haut ter** li droite, ' Les Pianos *ut* n<i|r« additionn* llr« n'ont que cinq octaves <{u Fa au Fa.
N. B. l/s touches tomme les notes <iV|»p lli i ii! 1 t, Re,\li, Fa,Sd» La, Si.
EXPLICATIONS.
1. Le r|t»i*T e*l rompe** de louches longues et courte», (** touches longues ou les Manches servent pour b 1 * notes iul(iiv|J«‘s ,
et les (Mif'lirs courte* «mi les n»»îre«. servent pour les dièses et les henml*.
2. I«r* louches Manches sont toutes à égalé distancé les unes des autres, mal* hs louches noires «ont divisées eu groupes de
deu\ et de trois, ‘■p|i»res par deux louches Manche* «an* être séparée* par une touche noire.
3. I.i touche blanche qui précédé toujours dent noire*, en allant d«* gauche a disûtc s’appelle l t dan* {« Mite» les peu* lies du ela_
fier, h» Inache suivante Ile, la troisième Mi e| ainsi de suite en suivant I ordre d°s noms, 1 1, II", Mi, Fa, Sut. La, Si.
1. Il y a un inlertalle d un demi Ion entre chaque touche: deux touche* blanche* aire la noire qui les sépare forment un
ton enter.
filn'jiw' touche noire peut se prendre, ou pour le dièse de la note qui prprède, mi pour le bémol d* 1 la note cpiî uiiIî.'iiiim
la tnoch- noire au devstis du Rc sert pour l i t dièse et le Ile bémol.
tî. Comme il ny a |»« de louche noire entre Si et l t. Mi et Fit, ce* notes s'emploient ir<|HeliifHH , iil oimme dièses ou lr,
mol*, lune pour I autre; tutsi h* Si dièse «■ jwr sur lit naturel, et lit bémol sur I" Si naturel; te Mi diV sur te Fa naturel,
et le Fa hcmol sur le Mi nalur*).
7. Huit iM't"s de suite comme dl’l à l't, inclusivement, forment une octave.- chaque odwf est etart 4 *iu»*nl la meme par rapport
a li disposition et aux noms des touche*; une octave contient sept touche* blanche* et cinq nuire*.
8. Les l« inclu s qui sont dans |e milieu du claièr semployent ou pur le dessus ou pair la basse, ceM pourquoi dan* leehel-
le precedente les note* qui ont une double quene île cette manière 0 du Sol a la basse au Sol du dessus, peinent se Jouer ou a -
icr la nii’.in gauche, ou aire la main droite. ;
DES DIFFERENTES ESPECES DE NOTES.
Oli emploie
su sortes de notes dans les
compositions musicales.
Savoir LA ROXDK
LX RUXCIie.
LA VHHE-
la crochu.
LX POt RLE CROCHE.
*
O
0
0
0
J.
(
La valeur ou la duree de ces notes i trie suivant leur figure.
lin* Ronrle vaut :
2 Blanche*,
î \o»rt's.
8 <’ roches.
jii Rouble-, «'roches.
."‘2 Triple* erorhes.
LA TRIPLE
0
m * s tu
CROCHE.
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Une Biche est egxle à
2 Noire*.
4 Croches.
.8 Doubles croch"*.
ft» Triples croches.
»
0
0 0
0 0 0 0 A Croches |»emriit sr marquer ainsi O
0 0 0 0 0 4 Double* eritebe* aim>l #
* # 4 Triples croches iu> i §
Une Gloire tant :
0
2 Crnrbn.
0 0
4 Doubles croches.
0 0 0 0
8 Triple* croches.
SBS —
Une Croche x*at:
8
2 Doubles rroches.
0 0
E5SH
4 Triples croches.
Une Double croclie vaut.
8
2 Triples croches.
Y
0 0
DU POINT .
Un point plac® après une not» quelconque augmente sa valeur «1° moi tir, Exemple.
Une Ronde
Une Blanche
Une Notre
Une Croche
pointer O •
pointée j? •
pointée 0 •
pointée 0 •
y
est égale à O O
est égale à 0 0
est égale h 0 0
est égale à 0^~^0
I 1
1 V
V t
tW Double croche
pointée
0
v
rst égalé à 0
4
Deux points place* après une noir augmentent sa valeur de trois quarts: ainsi, une Rlanch» a%«* «leux points o • • e*l içalf à
(9*"^ et une \oirr axer drus points 0 .. est égale à ê'"' E ' 0
v I I r r
DES SILENCES OU FAUSES.
Les Pause* sont «1rs caractère* qui marquent les silences égaux en durée aux note* qu’ils représentent. (Quand on rencontre une
puise on doit lexer la main d« dessus le rlaxier) Il y a autant de pauses qnr despères de notes.
r ■' ' - J d
Pause.
Demi-pause.
Soupir.
4=
fr
Demi -soupir. Quart d* Soupir. Demi quart de soupir.
N. H. Quand une pause est pointer sa durée détient de la moitié plus longue, p - est égal àp«jft*j' a *Tï]
Qmnd il y a une pause de plusieurs mesures, le nombre des mesures s’exprime,
dans la musique modrrne, par un chiffre au dessus de la portée. Dans |a musique an-
cienne, on se sert de petits traits placés en traxers de la portée, suixanl le nombre
des mesures.
du dh:xi: or hk mol et du décadré .
hausse d’un demi -ton la noie de tant laquelle il
Le Dièse qui s’écrit ainsi
est place.
Le Double di*>” qui s’écrit ainsi x hausse une note déjà diésée dun autre demi
ton.- sur les louche*, le dièse se prend sur le roté droit de la note.
m ; s.sit* .
bâton di*
quatre mesures.
Ut » se jour
sur !» Ké.
T~ ~~H l
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f»
Le II. n*i*l ainsi formé > baisse don dcmi-lmi la note devant laquelle il
plW.
Le Double hemol, ainsi larme Ü>» hfliw une not« déjà henml d'un autre de_
mi Ion; le Kcinol se jour «tir le rifle tiMidr dune touche.
Le Bécarre, ainsi forme t|. place devant une note qui .1 été dièse mi
remet la noie dans son état mturel.
l it Bécarre après un Double dièse iVrril ainsi :s il supprime un dic*e.
I n Beurre après un Double bémol serril, ainsi :!> il supprime un b'innl.
Le Double dire ne peut srmphner que lorsque la no|» est d«ji dn'*ep;il en es|
i. l’n dièse ou un brmol v placr immediatemrnl après la clef sur «ne ligne ou un espace, influe sur ((Miles tes ne.
les de la ligne nu de lespare semblable, pendant Inut le rnorreau: mais quand il est introduit seulement dans le cours de la peV t *
il s’appelle .v-cfdentel, et son influence ne sctrnd que sur les notes placées sur une ligue ou un espace, semblable dans la mesure
où il s r trous e M
*1 Quand |e deuxieme dirse ou le deuxieme bémol ^suivant sa progression) «e trouve seul a la clef, le premier doit avoir rte in-
IriMluil dans rp qui le précède.
PROGRESSION DES DIE/ ES ET DIS BEMOLS.
Il ny a en Musique que deux sort*** «b* mesure?» la mesure a ibat temps qui consiste #*n deux ou quatre parties entre deux h.ir.
res,el la mesure a trois temps, qui est composer de trois partir* entre deux barres. Biles se subdivisent toutes deux en simple et
en composer.
La mesure simple à deux temps se rrpre>ente par une des figures suivantes C C 2 “ placer au commencement du morceau ,
immédiatement après la clef.
La mesure composée à deux temps s’exprime par jj ou 0 * mi •
La mesure simple a trois temps se rrpresenlp par ou ■) ou
La mesure composée a trois t* mps par $ ou jj.
IN. B- Quand on se sert de deux chiffres pour niarqtrr h mesure, |«* chiffre inférieur désigné la qualité des noies, «oit |»hn.
ches, noires, ou croches; et le chiffre supérieur la quantité nécessaire pour former une mesure comme il suit.
EXEMPLE DE MESURE A DEUX TEMPS .
Seconde espèce de mesure à deux t<*nin*
'•) I* **“•“ «l'in* m~*Krr ni |i^m|.ir dut ll’wv <•■ «lui» Ri-inul ia firrrnilt-r* Mf il*- I. ii>.-«ur» «ni, an U- ti* la mAmr lipir <*u !•* a»»» r.ju,»
w i •»•*! «U k*J II- 3 ou Ir * nr «»il jui nurifur-
M . 8. 3114 .
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La note fondamentale d'un morceau de musique, s'appelle note du ton ou tonique; chaque morceau e*l écrit
dans un ton particulier auquel doivent »e rapporter tou* le» autres tons dans lesquel-- on passe par modulation.
I.,a basse d’une composition régulière, finit toujours sur la note du ton. On dit qu'un morceau est compose
dans le ton d’Ut, quand la basse finit par cette note.
Ln ton peut etre dans le mode majeur ou dans le mode mineur. On distingue le mode majeur du mode
mineur » la première tierce de la gamme.
I. Quand il y a un intervalle d’une tierce majeure,* compter de la note du ton ou premier degré, à la litote au dessus, on
e*t dans un mode majeur et il s'appelle ton majeur, l’ne tierce majeure consiste en quatre demi-tons, ou deux tons entiers. Vojei 4.
Dominion tijroe mjj.ur», _ Tierce majeure.
A.
fn : : : T : 1 1 f 1 Gamme en VT. nr
3» _
ILS» f intervalle est seulement d’une tierce mineure, de la note du ton au 3- degre au dessus,
de mineur. Une tierce mineure consiste en trois demi-ton*, ou en un ton-et-demi. Voyrt ».
O ^
on est dans un mo-
Detni tons tierce mineure
Tierce mineure.
Gomme en LA.
OBSERVATION». La véritable différence entre le mode majeur et le mode mineur e*t un demi -ton dan* I* interval-
le de, la première tierce de la gamme .
Comme la gamme peut se diviser en douze demi-tons, et que Ion peut prendre chacun d’eux pour la note du ton, dans les deux
mtnlc> majnir,rt mineur; il y a en conséquence, 2i tons; douze dans le modr majeur et douze dans le mode mineur.
IS. IL Le ton naturrl majeur est celui <PUt: le ton relatif est celui de La mineur; (•) tous les autre* ne sont
que des transposition* de ce» deux premier*.
TABLE DE TOLS LES TONS.
Ut. Sol. Re, La. Mi. Si. Ki.
Ton» Majeur avec diezes .
Le Ion d'Cl I evt rurEmnit em|iUi»E.
les coiupüviiHir* pn-f«T>-nl |ir«’M|iir
toujours relui de Eet.
5>i^
Fa.
5F?E
Si b.
Mil».
La 1».
Rrb.
Sol I».
Tons Majeur avec bernois.
■ Tons Mineur avec dièzes.
( * ) Lr rtlilif ■imr t'w
i le mrmr nombre d* dittt-* »l i
M. B.3H4 .
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I INSTRUCTIONS.
I ne position aisée, une bonne nvnim > de tenir les liras le- poignet» H !<••» doigt», faciliteront beaucoup 1rs rlrvrs pour injui’.
rir ime exécution rapide et brillante; .ni contraire P omission «l«* ce» détail» j nuirait et»rAlirllna^nt.
1 N STR UCT IU NS RELATIVES À LA POSITION DU CORPS DES BRAS ET DES MAINS.
l' nrnibnl doit -être assis »v« frace, Jaa>l«* au milieu du cl<i> irr, ni trop pren, ni trop loin de l'instrument, a -
fin de pouvoir atteindre avec facilite les touche.- 1rs plus hautes, rt le- plus basses.
La» hauteur du siégé doit être proportionner a la taille de l’elrve dont les coudes doivent être un peu plu- hauts
que le clavier, et les pieds fermes sur le plancher, tout près des pédales pour les- presser au besoin.
Un ne doit pas avoir le» bras trop près du corps, ni à une distance trop éloignée; les épaules se trouveront alors
toujours un peu baissées: les poignets doivent être d>- niveau avec les bras rt 1rs coudes; le- jointures étant un peu
clevee», il faut recourber le ü- le «5- et le 4- doigt de maniéré à porter le pouce et le petit doigt sur une -eule
ligne, et a placer chaque doigt au dessus de la touche a laquelle il correspond.
Ce -ont les entremîtes des doigt-, mai- non les ongles qui doivent frapper les touches, qu’on doit attaquer avec assez de
douceur pour éviter de faire entendre leur mouvement. Le pome doit toujours rester -ur le clavier afin d approcher les au-
tres doigt- des touche- noires, pour être prêts a le- frapper; par ce moyen on évitera devancer et de reculer le poignet.
REGLES GÉNÉRALES ET EXEMPLES POUR LE DOIGTER.
OBSERVAT IOÜS. I. Les combinaisons des passage- de niu-iqiie se multipliant à Tinlîni, il est impo-sible de donner des rè-
gles fine» pour tous le» cas; néanmoins, si f élève étudie avec attention les règle» suivante-, et se familiarise avec
le» exemples suivans, il sera capable de doigter toute espece de pa-sages.
II. On marque le doigter en désignant les cinq doigts de chaque main, en commençant par le pouce, par le»
cinq premiers chiffres; I, S, S, 5 .
REGLE. I. Le doigter d’un passage, doit -e régler d'apres le nombre des note» en montant ou en descen-
dant, et d’apres la distance qui les sépare: on peut jouer les passages de cinq notes san- déranger la main,
chaque doigt frappant la touche qui lui correspond; mai» quand il jr a fi, 7, 10 notes ou plus, de sui-
te, il faut passer le pouce en dc-sous des doigts en montant, ou les doigts par dessu- le pouce iu des-
cendant, de cette maniéré.
REGLE. II. On peut passer, en montant, le pouce en
dessous du petit doigt.
En descendant on peut passer le 4- le 5- ou le fi- doigt par dessus le pouce, mai» non le petit doigt.
REGLE. III. On ne doit pas passer les doigts longs l’un par dessus P autre, ce qui déplacerait la main
et serait tre» désagréable a l’oeil .
Mauvais .
REGLE. IV. Il n’est pas permis de jouer deux notes de suite avec le même doigi
soient séparées par un silence ou pause. (*)
ÉlÉli
qu'elle* ne
• I On d«i| rti-r^lcr dr *ilir rr*|r i|u»lq«r* fi'lutlirfi dr t’Adagio, ii*ti qx* Ir. do«bln unis cl !•- arror4», ou l’u* «F »crt
• »M il* mîme 4nii» irntir »olc- Miilr,
m. a. su* .
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SsSlfrïFîrïï
La plnre naturelle «lu pouce de b main droite, en montant, est immédiatement* ?
descendant il faut le mettre avant: à la basse au contraire, la 'place naturelle
en montant, est avant une touche noire, et apres en descendant .
me de> héniob
F*rT> mm
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EXEMPLE DE DOIGTEE DOCK LES GAMMES.
L? auteur recommande particulièrement un exercice continuel Jw Gamme*, comme le meilleur moyen «Tac
quérir une execution nelle et rapide.
Les élevés doivent exercer d’abord chaque main séparément quand ils pourront jouer toutes les Gammes in-
différemment de l’une et de l’autre main, alors ils exerreront le» deux mains ensemble.
OBSERVATION. Dan* les f.inimh d’il, de Sol, de Ré, de La, de Ni et de Si majeures et mineures, le pouce
de la main droite s'emploie toujours sur la noir du ton ou I- dégre et sur le 4-* degré de la gamme
en montant et rn descendant: Le pouce de la main gauche se place sur la note du ton et sur le ô-
GAMMES MAJEURES. GAMMES MllAElRES. f*)
IIPhsIIs™
.iSf'J.
- ■- "■ mmtr- m m
5îi5
H 4»n» Ir mi dr riîmiii <|u«ml il 7 • m-u!
IrnrHl «n i*)rn*ll' d une lirrrr fl
!.. r..
J* ml . ion .
Innj«|u« . ou 1 itijir 411 S- d'(rr «a di>Mii
niMHii j t*l* 4 r fj[iK,||«r, qur |< •itirmr
il U ••flnnip Milr *r lruntr*l Juin rn «■nn«»i
il rin[urninMni
... 1,...
itlr ni* Uncnlujur .
qui
X . s. 3114 .
B
13
G A MM ES MAJEURES
s
GAMMES MINEURES
* i .
La 'amine suivante est une exception à la règle generale du doigter, car elle commente sur une touche noire,
et I on met le druiicme doigt sur la note du ton .
Il faut observer «|ue dans toutes les gammes majeures avec un liemol à la ele ou plus, le pouce se place sur
Plt et le Fa, en montant et en descendant.
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(.AHIM l-.S MA.IEIKKS.
GAMMES MINEURES.
OB.\mVA7IO\. Dans les tons de Si bémol, Mi b, La b, et Ré b majeurs, on met le pouce de la main gau-
che sur le 3- el 7- degré de la gamme en montant et en descendant.
DK LA GAMME CHROMATIQUE.
La gamme chromatique est une sérié montante et descendante de douxe demi-tons alternativement majeurs et mi-
neurs. ( *)
de demi-ton» ™ »»«• *«“■ , «T *. fcàu*.
y ? ! t J -J f tfr r ■[ ■ *. ] 1 ri ■ ^ f *
♦ 3 a
OBSERVATIONS SI R LES LEÇONS.
I. On a plai e les leçons suivantes dans les principaux tons majeurs et mineurs, en commençant par les die -
«es, et suivant leur ordre progressif «b* quinte en quinte en montant. Le ton de Si, avec cinq dirxes, et son re-
latif mineur Sol 8, ont rte omis a dessein, comme étant trop difficiles pour les commençants, et rarement usités.
II. Chaque ton majeur est suivi de son relatif mineur.
fil. II se trouve un petit préludé dans chaque ton au commencement des leçons, ils seront très ulilr» aux éle-
vés pour leur, former la main et le fout.
IV. On n'a pas marque le do if ter sur chaque note, ce qui ne servirait qu'a gêner lYleve$ on In écrit seulement lors-
qu'il arrive un changement de position,ou qu'il se rencontre quelques passages difficiles.
( * ) Lr demi» ton «iftrul, r*l la di.lihc i|ui te t»«iu«r ttlrr di ut nuit» du mrVr o.aa. Il S II. R. Br r. liant ui.lr* d« dilfr'trlil* num* il
4ilfn»na*M mr la forlrr, ruimml lr d>*i In* ruaaiM- fl Br >. Il S Br.
MS. 3114 .
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V.
flIP!
Les
renvu :
* Jb
l*i '»• trouvent « U fin de chaque p<i»e sont de* «\plic.it ions simples et eoiteises, des differents si-
et Agrément» que Ton rencontre dans les levons.
La lettre A. est le signe du premier renvoi; II. relui du second, et C- celui du troisième.
VI. Un conseille .iui élèves d'apprrndre d'abord les leçons les plus faciles et «le hisser les plus difficiles jti'qu’a
qu’il» aient acquis quriqu’ habitude du toucher de l’instrument.
Prélude
dans le tou
dTt llaj .
K. Ce Irait ainsi forme —s au de-*»u» dr 4m t loin, irr la même lira» on I» même interligne «'appelle liaison; il réunit le» «Irai nntr» m une *«a-
Ir.qni itail rlrt teaer |><iur la «alrar 4e» druuquaad il f i eur liaison aur 4rut KMirf» oa ir que lr premier,
B- Tmr« le» m>rrr»i 4» mu«iqur .ont 4i*i«e» en petite» partie» appeler» me«ure».el *e parée» par 4e» barre* en lra«rr» 4r la porter.
Ci | | | Chaque mtwrr est d'uar «alear «gain, rt mntirnl aa certaia ai«tre 4e wtr» 4rlrimiae p.r I» • ibillrr» qui Mini pla-
C. Une double barre rl trater» dr la porter di»i«r la pièce »a 4ml partie*, im pin», qar l'on apprll» reprise; quand il * a 4»» peint* 4e» 4»n»
ei’tr. on 4e.il répéter la repn»r prr<r4rnlr et la >ai««nlr : ,IJ : ^|, mai» quand il Cy a 4e» peinl» «|oe 4 a» r.'.lr ■* répété
»rulrmral li rrpti.r 4u cite un •■'•t plaie» |rt point».
H. Le .ûw V'.‘ ( «bre * ietiou 4u mot ci ta, a ) an 4r»»u» 4'un pa»*açe. indique qu'il faut jiarr une urine plu» haut tunlm l« » *t..|»« »ui lr»qiu l-
le» <1 s'étend' «n èrril de eetlr manier r poar mire d'ajouter un plu* 41 ami nombre de ligne» «applrm» ntaii e»
K. Liieo, r» in. I mdiqae qa'il faut jour» le» neilr» nimmf elle» »»at renie,, il ne »*rmpluir qu'apré» |r *içne *tV
H. S
3114 .
Digiti.
X. Ce liai) ' ■' JU det-u* de phtiitari unir» fl>rrr< «nr Jillf'ntli't ligut ou dilbrrnlt e*p>rr», iixiil <|M*iI faut attaquer Irt luu<h»* n»t
di-u'cuf lier l«ul*» |r« ncl»*, M nr letrt Irt doi;l> qw loriqnr lurt «*lrur« mil nfitit»,
Ci- «Mifcii tiifriMr m il.li.n par Ir mol Lrgala: on doit loojourt jour» «ia*i. * m<<in* qu'un .i$nr |>n lu «lit i n' in<( i-|- • Ir ('iilbiirr
B. Dru» mr4i% l'ut tou» |* attire t’app. lirai doublet oMet, rl te fi *|.|»e# I en «orme lintp. romae une t«ule. ce «|«l ne change rit» » b »»lriit de I*
mt-tarr ,
Ti «i% n.4.. l'une Pautre forment un Mmd. ( »»»rf |« fn.inrr de Ir. frapper fçe 57- J
C 1.4 liew r.l nrili- tut la portée du dr.>«« pour «tiirr Ir. Icnri *upj -lemrnlairet ijtc | on >ri«il oblige d'«i««lir mi d» d« la pmlre
d. |. batte
B Ce *ii«i« ff i ■» uni- abr«t«»li*tn d>-nl un t» teii -ontenl puer imliqxr •(•.! I.ul irptlrr la |*ille»M pre’i edrnlr
M . 8 . 3114 .
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17 »
Lj lallr» |) >ur Cl, Ml. L>, iiiiIiijii» <|u*i| hui jixrr rr» «ml», il» I* main droilr, rl I* IfHir U, »ou» I»* (roi- indiqur «|r «IN- d-«i -
**•1 »p j»U*r or» I. m>m c avatar.
R Dam I»* ton* nianrait», ijllrll» «|w »nit II «•|>larmr aolr dr I* {alliWi rl UKiil.nl. r||r rat • diàli» *1 rr darrr i .1 lijtjniir» arn -
4a»la I .
(*. I. nu Indl» air rrt air rtapirr I* •i»|»lnilr' dr» habllao* dr» Aljn».
M A 3114
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4. '*n .lui Irair lr» nnlr» qui uni u»r dont. U qww f lunl le Ump» H» leur |u-nd*M i|« n« jour lr» «rirrt.
K, l‘«l pu'tl f|ir. m% ()■•«• cm 4 II droi’u- J'iH Unir, lodujrr qu'il liai |nr| |r li-ilft d* U Imu *lr • U'«l»ù| I|U*p||p a rlr fi.|qir'r; rl l«ll
qur I. i »l« ui <ii |» u.'lr •ml rtpu>Y r rHIr nuiiff* dr Inochrr > <f|" Hr Hêfral». rl l«ir»«|u‘i IU r.l ■•Unl un lr[al< J,o- I 21 rl la V- fillir
dr I* «ir-ur» rllr pinduil un «rr» Un rfTrl.
C. Cjllf nuiqn* ~~ T »»rr||| qn'i| fini U pi««ni*M »<<•■ nn lorrr rl rnrltir ,»l jnurr I. •rrun*li nrr plu» dr d«ui « ui .
M . 8 . 9114 •
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k. I.i t A rnmmrwr* irtlr Iihii |t«l umr iliwi »»*uit (niai l»i»»rr l« * lui »l* » Ion pritfn pl>rr; I «olrr m»ill> l< I. ••
«•••■ .r n.uw . I, lin 4. r»ir.
It IJn.iiil li li>»r 4 lia »-•! plmr Ml |< |Mifl«« lia 4< »»••», «II» >1 |>»f 4> l> ■<ill : ki <«| Jj f.rtl* >v|i«l|i««r «lu iljlMl.
C. <!• irn* i ni4»i|ar ij» il I .vl <fftnir »ut I. |iirwi>«i •*-!« A <^.i|«i, •••mr, *|«i ni I. (ml» «i • • •lar-r nwaiii-
t* U- ili m n*li» «.ni |j ft *ihU •« |"mnl Irr» i||r rl •> p »•»* linif- <j«« I • unir 4> I >
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|. | . ta «il rN'«l<iir 'a r'u <| »n *• «*•< il- imlil|u» <|M- |*<mi d-'il fi aj.|M i I»* Mn >|"i PaaiatrJ. *n aff«viiti. ' *■»« » l< f-.i 37 J
M. I, Il s j |< lin H. ilii.nl I. Il* nHr afa I» l ■mina minrurr j • <•«!... I un k"ti rlf*l; l»l 5 ;.»«l<it I. ni»l>w|ia «lu |U«j:« .
C. L • D*I| ■!'■« haut H* ih.'ian «!•• « I» alj.lti- Joil *l|r la mit |ia r a| anl a|H« I ‘'H JIUI^ !*-• «III*.
M. t. Slll .
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4. C» >•:» O |>n«nl d‘»r£V», il p«ll»H de ir«lrt **r I* tulr Jiilinl ijii'i» U irul, rl r«rl>in< u», IVw'riiljnl p*nl dfiiMMr i.m péril
If dr %w» >ji«n rl d* mu» krni f iît rn inlf iidiii»*nl un p»><[r il r »j r«>nipi *ilmn . .
>i. B. C* ‘lin* 1 mt di«»n* d un «••u|<ir p nr lui I|M le pi«|niiLrr,
B l'i» nilr lontm, i|< plu »• >u ditlift «inli » dp nu i»drr *al««r »r mr I* V* »• dml •»«•• i*nu« |»ndiBl •(«» l'ri» J'*h-
Ip* uiilcfB* d I »ir mil i»l I» Rp m* lii «I t-mi lr |i»p* di |j mr-miip.
C. T* u« <r> M-rnrd» d-'iien» -f j^ft •• irp> ;riM »« uiuliual i lk»|< • Butr jt>i|U i rr i|ur t|i| **^'*# * ’#'*' * I
*-»•«» d'une nui» .. . **' 5-
«I. /» .1 v ■■ iimIi.jii» «|ii il 1*1 f><- ii.m. m fur d* »r \ *••••! • li «M* lirir»
M *.*114
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Pri'lmli'
clnns li' ton
di> SI
Miin'iir.
A. |. i-lnr* naa »ntf , iln<nt li nul* «aipriiaur» d'un «fuir H anller *«n|»f*»al <nr
• •II» tuai a», «I al «' fl>|i|M-| *%rr 11 *n*r 11 pin» ba*»r.
P.mr amil UM* « t|>ln .1 o l» j.lu. 4. litlIrV 4 r l>|'f»;Li>luiJ. (»©»*•» la p»„.
H. Ci -i:»r w ini(ii|iir a|»' il lanl fui» «n Hti-r «yr la Pa.
L< lui*» a*l un il». |ninripiut agrtWwl» 4* la mu*ii|ur, n un 4a nui a|u« » »a»|i|oarnl I»
l'Iu* *aw*»n|; il rn «Ji-tar (vin; la » «H»* au 4r**u* M na 4««»i.*« air la ni Ip |il ma ipala-, »r
llMllanl a rprlrr* 4a«| fi»|« ,
C. (• a (Mita 4u 4a.* U- 4r aa |<aa |*4a r*l aaralr « 13, a II <i|nr mr*«rr cain»|»lanl m a|ujlfr Iranlrt»;
•I'»' la 4a*arr 4r 4* «« wm br* , I» rnr.ua» n» *uu|fr» »u»«n» «|t»i»ti*«: la b«»*r »-»l nrilr à 4au» la*
4a an |•■I|I•» m api ‘Ira a riaa la»» and a la* 4au« Katar*.
On u»
la-* If fiai» ••• |i*»»eul
la artuir n4a»aitr ,
P r "
4a
M t. 3111 .
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A.
|>.» «|»’il fanl Irapprr I’ *py-":r> alur» aner la noir I* plu* bi«r.
B. In Irait an Jrtwnn «J un» lijnr q«rli-un<|«r dr b pi'ilf»’ | ■ | rrprr*r«1r •rdinaiic ni fit *nr
>»rl ni puur riftrimrr |> uNti 4 'ntr bliwlk ^mnlir, l>u>r dm autir >i;nr.
C. C r >i"p« tr qui r>l an jbrr|r if* nul llalir» Il illn, indiqua qu'il (aul faiir unr «jjrmr *ui Ir
La. La »*«Iiii»« nnmian.r »ur I* i«lr la pin* btutp >1 (mil <w la *■>•< pii «ripai*. a la (in
«l'un aiiircM «II» r«» i»idin<iu»ril «iiif d'un l>ri»« ■
La r Jn«r jui* i|n » lie *i»i| k»n«r dcil »(!*■ *r»a « • »|r il dt-limlr. Lr* •!•»•* it«itril l*Mrr »
r» » d* - di ut ri üir |<a« lr* duift*, «an* rn Htcflir lr puui* . -ur l« - li«ih«* nu»* ro* •
tut lr* li I an « k« * .
r ■•••!• ai «a- n-.nio t p.u>* ,
I
II»
VI . s 3 114 .
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\, T -Il - If» |iai|i. aauli • ■ •••! Ii :» »u*lr >i>*l Jr» ««ikjUIi |<» • it •-» ivlr*, animant *•«! Ia.«|aaii*» un 4iiiii !<•«• ati 4» I*
nul' |*ni*> , il •* (•»*»•• II*» »ili «I I m lia •#•••! I*H* »rnlir i|ne la im|« (■••-- i^ila
H Cilla- |» I • I * h-l* •• •|>|>a lia ‘tt "i • l* r ** l»l | • |»ilir tir la *>1 -tilt rl i|nrl|i »|ai- »• il I- *»fa"i i|u ««H lui llamm . >1 I ml la ir
Il in* lu r lit la U«la la" • J'p". . • -l'M |'*>al •* |'luil »■ 4«»‘ll* *1 ai» 4* ••«•II* il* l< nH. |.m» rm f*|i| af| • l'O ■-!•••• "I »
••Ml. a.|,.«* .<• ••"la . I. •|.|a.a t«(*'lll • »• !••••» I liai ja. lit» la ;al*i <1 liai al^r.- l' «lia alll.élpr |'lua IW.I.I. lia Il %<ll*frl 4* la I» la . I . | . If
• ria au* a|«. I. f—a-a I at...
C. U*.I»4 la |a,|lir 4*«lll ma-aall *.«« .‘il. *.l.»l...« M I . I. | .la. .MI,-., la y„ ««.a fl. Km» ' ““ ““ -al la» Ml. •• •••■•|a.
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k Il»n« tri air, I» d« la mii* <lrnii« >'r«p|m*
la l>>ur kr n»*«lr |Mml nr fj« I la fin il • 'If il* li ■<)* .
Il !..
»>*ll • IK «lairr m 4r> 4ni filial*. l » tl l < | •< « |. %!.«»•• •liilali' Ir»
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\ lu K ni un nm< rni Àr bii-»|iir , it<(l> li'JM-l I. |>rraiM'r> (il»« • *r nprlr |'lw>nut« !■•••: «n I* i’mIiiiiinbiiiI
M. B. !Uli .
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SI
Préludé
dau» le (uu
d’n
Mineur .
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Tri 1 » lentement ci avec sent i ni'. **“**"
K. Cli>«r le p-'iirc il<n> li !*••»« 4e la l»«tkr noire wr la Mitrkr <uiwil(.
B Ce sujet nt du crlclir* R I M K IL' . l'u» 4n- n<i> el plo* în»rl> i i>np«>ilrui« i|«f la Ptnrr lit
I. C'II* e*d»nrr nef |a double unir doit *e |»urr ain*i .
m. è.stu .
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APPENDICE
Les iirlirlr' contenus dans cri .ipiirmlin*, .'Mil ali-o|umrnl nre«- .-aires .* un lion ru-rul.mli niai.* connue il* ne -oui
il'.uMiinc utilité |iour le-* commençant** cl qu'il* -«Mil même .ni de--ii* de leur U|Miilr, il« peuvent le* |iwmt jus-
qu'à ce. qu'il* «intt fait quelque progrès en musique.
/. EXPLICATION DE LA CLEF D'ET.
Outre lc> rlw de de— u* et de ka^ilnnt lYipli ration *r trouve page 3, il y » une .«litre dé .«in-i formée |H cl appelée
r|(* «Tl ’t, dont on se sert ms.'i dan» l'ancienne mu-ique e| parti* ulièrement dan* l.i imi-iqitr en partition. K.lle peut *e placer
sur la I- la 2- I.» 3-el l.i 4-lignrs de lit portée, el Ton **en sert pour et rire les partir» de* diffrivnlr» espèces de ton,
I. Quand elle est placée sur la I- ligne de la portée 4 elle s'appelle de de Soprano, »u de il II Hir
l.« I- ligne: on »'e« »ert pour les Vui\ les plu* haute*.
II. Quand elle est placée sur l.t 2- li^nc de la porter, elle s'appelle «le de M 1//.0 soprano, «ni rie
d'il sur la li^nr; elle s'emploie, mai» rarement, pour les second.* de— u*.
III. Quand elle est plarce sur la 3-lignc de la porter, elle s'appelle clé de Colitralt«i,ou de llaule-ronfre,
(Mi ch* «fl 1 sur la Aligne: clic sert pour la voix la plu- h. mie de* hommes et la voit la plus bvts'C des b nmie*
IV. Quand elle est placée sur l.t 4- limite de la portée, elle s'appelle de de Ténor, ou dé tl Lt *ur la
4- ligne: dont on se sert pour les voit ordinaires d'homme*.
rr
rr.
I ' Il
If. DE LA TRANSPOSITION.
La franspo-îtion consiste a écrire el à lire un morceau, dans un autre ton que celui dan* lequel il est écrit, ou sur
une autre clé, d quelquefois, dan* un autre t«rti et sur une autre clé en meme temps.
I . Pour lrao*po>er de clé de .Soprano en clé de Sol, lise/.
et joucx toute.- les notes une tierce plu* haut. IUWIOSITIoM.
. . - , -4 1 1 .A ftik-cfr. 1 i
Il ,yï=ï=±
II. Pc ele de Contralto en de de Sol, lise» toute* les De la meme en ele.de ba*se, lisez foules les
noie* un degré plu* haut, et paie* 1 rs une octave plu* bas. notes un degré plus bas.
s J
111. De de de Ténor de de Sol, lisez toutes les
noies un degré plu.* ba>,el jouez une octave plu* Ha*.
De la même en de de Basse, lisez toutes le* note.* une
quarte plus bas, et jouez une octave plu* haut .
fe A '■ ! H
3* : : — t ^ — :
•“ : ■■ 1 ! ; f'*» Il
-■** r-T 5 . t:- *- 4 . 3 E
i — i — l—i +
Pour lran-|Mi*er d un ton dan* un autre, placez à la ele* les «lieze» ou les bémol* «pii appartiennent au nouveau ton, et
li*cz el écrivez la musique plus haut ou plu* bas- d’apre» le nouveau ton .
t„„ .il 1 ...m.... t™***,,. ■ lîT? H
? ##*!».#
•r — I * '-rr
N. B. lu arfoiti|ii^iial<'iir tloil a\oir nnr ctMmal-saiiec |>»«r
failc «k ta lr«D>|Hhi!ion, afin de pouvoir |»ro|M'riîi>nu« i r
ou air a la vu» du chanteur.
III. EXPLICATION DES INTERVALLES.
I ri intervalle est la distance d une note a une autre comme d l t a Ré, Re a Mi, dre. On compte le* intervallrs a
partir de la dernière note de la basse à gauche, qui est la note fondamentale.
On evprinie les intervalles par de* chiffres «pii indi«pi« , m !«• nombre de degré.* contenu* «lans rhaipic intervalle: .m».
si. un*' sreende qui contient deux degré-, s'exprime par I 2 I, une tierce qui contient trois degré* par (3)
Le plu* pet il intervalle dont on *c sert dan* la mu*ique mml« ene.est le demisteo.qui peut être majeur, connue «le Si a l t „
,'L a Fa, au mineiii-,< oniine de Si à Si t>. Mi i a Mi. Deux demi lui* réuni-. eiannie I I, I l $ et Ré,lorin> nt un ton.
R . 3111.
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. . - . 3 M
Il y a autant dfinlervallei. pi unir if-. que ilr degrés;' un intervalle quelconque à |'»rt<ivr supérieure nV»t que lit répé-
tition de lVl»ve inférieure.
DES ACCORDS ET DE LA MANIERE DE LES JOUER .
Plusieurs intmalfcs tir suite forment une mélodie, et quand on le* fait sonner ensemble leur combinaison est un accord»
riiarmonie n>st autre chose qu'une succession d'accords; on appelle basse fondamentale, l'art d'accompagner les voix, ou un
instrument avec des accords, «pic l’on forme d'après qurltjites ebilfres écrits au dessus des notes de basse d'une composition.
Les accords (irinrnt »e jouer de deux diHrrentrs manières.
I. Kn frappant toutes les notes en même temps et avec précipitation, ee tpii »c fait principalement à la fin d'un mor-
ceau ou d'une phrase.
II. Kn arpeggio, cVst-a-dire en faisant parler successivement les notes qui composent l'accord, et en les tenant jus-
qu'à ce que la valeur «b’ la mesure soit eipirée.
III. Un place ordinairement ee signe ( ou celui-ci | à coté de l'accord qu'il faut arpéger; quelque» auteurs se ser-
vent d'une barre en traders «le raccord de cette manière .
K. B. Les noie» de I accord, se jouent avec plus ou moins de vitesse, suivant que le caractère du morceau l'exige;
quand la main de l'eveculant est trop petite pour atteindre toute» les notes de l'accord, on peut supprimer la no-
te la plus basse- de l'accord, mais jamais la plus haute pour la partie du dessin: ainsi, l'on peut omettre à la
basse la note la plus haute, mai» non la plu» basse.
Quand le mot Trcmrndo est écrit au dessus d'un
accord, les notes se divisent en deux partir» que l’on
joue avec la rapiditc d'une cadence .
Le Tremcndo avec la grande pédale pour enfler et diminuer le son, produit un grand effet dan» quelque» passage».
V. DE L'ACCENT MUSICAL .
K elève doit particulièrement fixer son attention sur cet article; car sans accents; la meilleure musique perd son
effet, comme un discours prononcé dune voir monotone.
Un doit naturellement dans un morceau de musique, accentuer les notes »ur lc»quclle» tombe l'expression; il faut
le» jouer avec plus de forer et presser davantage -la touche avec le doigt.
1. Dans toute» le» mesures à 2 temps, qui
consistent en quatre parties, on doit accentuer
la 1- et la 3- partie», mais non le» 2- et 1*. *’
Lorsque b* mouvement est lent, les ac-
cents sont plu» frequent», mais ils suivent
la même réglé.
M. ft ,3 1U .
11. Dans la mesure a 3 temps, et de 3 noires
dan» une mesura» on n* accentue que la 1 -
note .
Quand le mouvement e»l lent, rt que la mesure
e?t subdivisée en croche», les aeernts sont pin» fré-
quents, il» tombent sur la |- 3- et 5- partie».
Amiante.
^ - ■ i
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|),tn> !»• | cl lr Jj, la première partie dr la mesure est .im , nlu»-i , 1 cl la l|i sm» wwnh. Dans le et le b pre-
mière note de chaque triolet, doit rire accentuée. nurN|iicfdi> le compositeur pour produire plus d rflet, pl.o ■»• I inverti
»ur lit partit* faillir de I.» mesure; rpi écart dr l.« règle generale dc.s iiirriil' » , »p|i«llr
il s'exprime ordinairement |wr rr *i,;w »otls une note, au* i bien
ijiie p.ir les mots italiens, xforxnmfo^ xfnrxato^ ou leur* »bmMlinn>, _ — -f-~ ~ + m~~
tf fx. les notes sur lesquelles tombent ces ^eeent> t doivent >e jouer
*vre plus do force «pie les autres.
w ' r? -
' / ! l
VI. DK LA SYNCOPE.
On se sert de l.< Syncope, lorsque la partie non Accentuée dune mesure, est lice avec la partie Accentue* 1 de la
mesure suivante, de manière que les accents se trouvent changé» de place. Il y .« plusieurs cas de syncopes.
de
1. tjuand la dernière note dune mesure, est lier avec la première
la mesure suivante, ou la *1- partie a la .V.
II. (juand il se trouve des notes Ion- ues. places entre des
courtes, comme des noires eiitrr des proches, des erochcs en-
tre des doubles eroelies, ftn. Ou. nul la syncope se trouve a la
partie du des'U», la basse marque ordinairement la mesure par
des notes égalés.
ORSKRYA T! ON SUR L' US AO K DK LA UK DA LK DROITK ,
(Cela veut dire) celle de vibration.
Je voudrais surtout graver dans I esprit de rru\ qui étudient le Piano Forte que la pédalé de vibra-
tion ne doit être employer qu'avec mesure et discernement; c’est ftar l'usage bien entendu de celte pe -
dale, que Ton obtiendra les plus grands effets, tandis qu'au contraire rien ne sera plus prejudiciable aux
propres de Fcleve que l'abus de rr moyen qui doit inévitablement le mener a la confusion cl produire un
bruit dosagreable aux ayditcurs .
Il était d'usage il y a quelques années en Mlcmagnc | particulièrement a \ icnne ) et dan- d'autres par-
ties du Continent de placer aux grands Pianos, cinq, six, et meme sept pédalé*, servant à produire cer -
tain- effets imitatifs, de divers instruments a vent, eet usage ces-a rn |x*2i, époque a laquelle Messieurs
HKOADWOOD ( célébrés fabriquants de Pianos à Londres) ayant lait hommage a //re/Aoerw duo tir leur»
instruments, le lui envoyèrent a Vienne, ou a peine arrive, il devint Pobjet d'un examen serirtix. T»*is les
juges éclairés I apprécièrent, et il servit depuis lors de modèle a tous les instruments confectionnes dans
ce pays.
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1
DICTIONNAIRE
DES TERMES ITALIENS USITES DANS LA MUSIQUE.
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AFI F I ’l I OS(l. illi-i lintirliuil ,
•ALI I A I O. itti pj*»i«n «| fui.
Al.l.l *>MO. Mil ll ixi. n-lr *1 H|f.
ALI.I •• H Fi I O m.-iu» %ilr i|ii'\IIi;ivi.
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AMOI'.OSO l, nAi* ii'r-ni .
IMUMISO. Il» p.n plu» Mr fi’.Wikli.
A N II A VI F-, un p«a tu. un» lilr *|u* .Andaiitini».
ARIA ait. ARIFTTA, un prlil ait.
ARIOM» 4 « n» lr »n|r ilu air.
ASSAI, »*».•». AI.I.FLIlO AVSAI, lr»< *j«r.
H|s ... i<mmrmri-t b- |>j ■ ». , . .jm , <urj il*- jnu»i .
BRIflSI». nu CON U RIO, j«rr t aiêr .
BRILLANT F. 4.*» «n ililr huilUi.
LA III N/. A. ml il'iir;»».
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LANTADILK, 4 m a.l. rbamiurf.
C APIl|l.r|0, II». puri dr wihM|Hr II I * ;llll* 1 r -
CODA, snr pb.n-e dr aam»».|Br ud.pIrY ; U fin dus
CBS, jw.CIW AKM.IMi.wi *• tinlnn».
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IORTK. f»tl. FORTISSIMO, .
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FIN ALK, lr 4» r ni ri n M .
FOHJANIlO, «n <tum« ni ...i I» »*.n.«>*> I 'lui£» .u -ii>|
FIOCO ..M ro.N Fl (ICO, .w fui.
Fl HIOSO, CON Fl RI A, bi.i U u rl il Mers *r •
I.RAAF, m»u«r«i ni |.»l *1 ».4«n.n«l.
LRA/IOSO, il'unr MUUirT*- iCl.r,
GIISTO m TFMPO (Ûll'STO.in.um mmt j^tr
4.1 SfOso nu CON («ASTO, un mV
LAR4.41, un mnuinu»l Irni .
I. A R4.III.TI O. «u pi i* plu« »il» i|w Lar^i».
1.1 •• \’l O, imuAr Lr il c£*| .
I.OCO, i«.r lr» U«r»r» a li plu » n» »l|r» «oui i«rilr»,
A| A F. si (ISO, ni r tu... W il.
MA NON TROPPO, p«« trop.
M ANCAÎIDO .. diminuant :
MF..N FORT K. m»..- («il.
MF/. /O, ; d. mi .
MF// A VOCF., i 4rmi-»ni«.
MF/./.O PI ANO, mmiu-’-dm» .
M KZZO FOHTF., 4rmi-fn*l.
Ail NI F n o, un miH , mumiHM-nl . itm» iimp».
MOI.nMmu.raNp. AI.LF4.RO MOLTO, lr»» ni».
MOIlFKATO. nni.1» »rim ni Ail».
MORI N IKI. .s muiM.
MOTO r* TON MOTO , mr lilrur.
NON. r „. N4»N 1 Hoppo. fj. lmp.
4IBI.I4.ATO. n„r pmlm dili-r».
on AA A ALT A .NI K!»i:mr.. Lui p«rr •» nr
|j*r fjn- Ii.nl (n.i|u i «r ipi'd * ..H lr n.. I |.wn.
l’RFvro, 1 , 1 . . ritFSTISSlMO. lr. »-»•!. .
POMPIIsO. dm» ».n *ljl» prmpiNi.
l'F R IlINlMISl, in dmrimi.nl -i .4», 11- m. M I. .un.
PIANO, Ümn. PI ANISSIMO. ir.%-d..M»
PIF, plu». PII FRF.STO, |-b» % il.- .
PIITTOSTO, plut.*» .
POI.II, piN. P4MO PII LFNTO.n» prvpln» Irai,
POt, m*Ni4». Plll sFLlF.u.w.
RM.I.FNTANOO RITaRIIANDO. m rdk«ii>
«•ni lr »."ii»n»»»l pur 4i£ii .
B ISOI.I TO, nruira.nl Kn n d< Irrminr .
HIMOR/AMMI, i* m. «■ nl.nl - ikrrliilKn —r — *
RC H F. R /AN DO, ^kjAItmiI rw Bu.linunl.
SC 101.10, dr'lnrtr.
SF:MPHK,I«>pnii». SEMPRC PIANO, mujnu»» dm».
SOTTO A OCR, m»*i d-ui .|ur piHiiMr.
SFOR/. ANIMA. *n «:mmlinl uni unir nul, <
SlClI.IANO. <ir iltmiir mnusrmral p»>l<r.l-
SPIRirOSI) nu CON SPIRITO. mm rapt il .
STACCATO, 4rl*if>» al puiulr .
SLKNTANDO,
SMOH/ANDO, WM iraiiaual |r .«• .
SIA/.A, «un».
SONATA, »oMi , mmiMi r.mpm». 4» 4r«i .m
plii-lrur» niairgna. .
SON A TI N A, pn.lr a.raulr farilr.
SI) AA F, •••u .
SOsTKNnO. .«.Lun.
SOLO, M iN.lmn.i-Ml nu aar *»ii «al».
T ASTO SOLO. |«n»( I» bu»». .
TRM PO DI H ALLO, «nnrar.1 d. d.r-r.
TF'MPO PRIM4I, jour! dan», lr pris'i'l' imnuir.nl
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