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BULLETIN
DE
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L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE
ST.-PETERSBOURG.
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Nouvelle Série I (XXXIII).
(Avec 8 planches.)
Srt.-PETERSBOURG, 1890.
Commissionaires de l’Académie Impériale des Sciences:
à ST.-PETERSBOURG: à RIGA: _ à LEIPZIG:
MM. Eggers et Cie M. N. Kymmel. | Voss’ Sortiment
et J. Glasounof. _- (G. Haessel).
Prix du volume: 8 Roub. arg. pour la Russie, 7!/, marks allemands pour l'étranger.
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Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des Sciences.
Novembre 1890. 4A. Strauch, Secrétaire perpétucl.
Imprimerie de l’Académie Impériale des Sciences.
Vass.-Ostr., 9 ligne, X 12.
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
I. SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES.
MATHÉMATIQUE ET ASTRONOMIE.
Backlund, O. Sur quelques observations faites dans les années 1861—1863 par M' Winnecke
au cercle méridien de Poulkowo. 473—486.
Bonsdorff, A. Déduction d’une formule pour lo calcul des arcs des cercles parallèles de
l'ellipsoide terrestre. 213—219.
Charlier, ©. V. Sur la solution des problèmes mécaniques amenant aux équations différen-
tielles hyperelliptiques. 9—82.
Lucas, B. Sur la loi de réciprocité des résidus quadratiques. 495—496.
Struve, H. Résultats préliminaires des observations faites sur les satellites de Saturne à l’aide
du réfracteur de 80 pouces. 443—460.
PHYSIQUE ET PHYSIQUE DU GLOBE.
Chwolson, O. Les fondements d’une théorie mathématique de la diffusion intérieure de la
lumière. 221— 266.
Schmidt, ©. (de Dorpat). Études hydrologiques. L. 133—146.
Wild, H. Sur une simplification essentielle de son photomètre de polarisation pour les usages
techniques. 5—8.
La marche normale et les perturbations de la déclinaison de la force magnétique ter-
restre. 155—172.
Un nouvel an&mographe et an&moscope (avec une planche). 487-493,
et O. Backlund. Rapport fait à l’Académie Impériale des sciences par les délégués de
la Russie à la conférence générale du mètre, réunie à Paris en septembre 1889. 288—290,
CHIMIE.
Beilstein, Fr., et O. von Blaese. Recherches sur la basicité de l’acide antimonique. 97—116.
Sur le dosage de l’antimoine. 201—207.
Sur le dosage de la soude en présence de la potasse. 209—211.
- et Th. Grosset. Analyse du sulfate d’alumine. 147—158.
Békétoff, N. Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium. Premier article. Préparation
du métal. 117—118.
Sur l'énergie de l'oxydation du Rubidium. 2% article. 178—176.
Ribalquine, M. De l'équilibre chimique entre l'acide chlorhydrique et l'hydrogène par rapport
aux métaux. Article 1°". Cuivre. 279-—9282.
Rusanow, A. Sur les produits de condensation du benzaldehyd et des phénoles. 461-468.
PALEONTOLOGIE.
Rohon, J. V. Poissons des couches siluriennes inférieures (avec une planche) 269 —277.
Poissons dévoniens de Jénissei (avec une planche). 393 —410.
Schmidt, Fr. Nouvelles contributions pour la connaissance du Olenellus Mickwitzi. 191—195.
ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE
Büchner, B. Sur l'absence de l’écureuil au Caucase. 135— 132.
Fooktistow, A. Sur la sonnette du Crotalus durissus. 1—4
Sur l’action anormale de quelques espèces de Curare. 177—180.
Herzsenstein, 8. Une nouvelle espèce de Silure russe, Erostoma Oschanini Herz. 119—123.
Kulaguine, M. Sur quelques Lumbricides que l’on trouve dans la Russie d'Europe et en
Sibérie. 181—190.
Morawits, A. Contributions entomolngiques. 33—82.
Owsjannikow, Ph. Sur l’embryologie da Petromyzon fluriatilis. 83— 96.
- De la structure des filaments des nerfs. 497 — 608.
Schevyrew, I. Liste des espèces du genre Sco'ytus de la collection du Musée de l’Académie
Impériale des sciences de St.-P&tersbourg. 469 —471.
N. SCIENCES HISTORIQUES ET PHILOLOGIQUES.
PHILOLOGIE CLASSIQUE.
Nauok, A. De scholiis in Sophoclis tragoedias a Petro N. Papageorgio editis. 411—441.
Nikitine, P. Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. 353—371.
LETTRES ORIENTALES,
Lemm, O, v. Fragments sahidiques de la Bible. 257—268 ct 373— 391.
Actes apocrypbes des apôtres en langue copte. 60—581.
Badloff, W. Sur les anciens dialectes turcs. I. Vers seldschuks dans Rebâb-Namch. 291 — 351.
et ©. Salemann, Rapport sur le mémoire de M' Anderson: Wandlungen der anlau-
tenden dentuleu Spirans im Ostjakischen, eiu Beitrag zur ugrofinnıschen Lautlehre.
197—199.
ANNEXE.
Prix proposé pour la découverte de la nature du poison qui ce développe dans les poissons et
sur les moyens de le combattre. 155—166.
SUPPLÉMENT.
Etat du personnel de l'Académie des sciences au 1 octobre 1890.
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
Backlund, O. Sur quelques observations, faites dans les années 1861—1868 par M' Winnecke
au cercle méridien de Poulkowo. 478— 486.
voyez Wild et Backlund.
Beilstein, Fr. et O. von Blaese. Recherches sur la basicité de l’acide antimonique. 97—116.
Sur le dosage de l’antimoine. 201—207.
Sur le dosage de la soude en présence de la potasse. 209—211.
et Th. Grosset. Analyse du sulfate d'alumine. 147— 158.
Békétoff, N. Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium. Premier article: préparation
du métal. 117—118.
Sur l'énergie de l'oxydation du Rubidium. 2% article. 173—176.
Blaese, O. von, voyez Beilstein et Blaese.
Bonsdorff, A. Déduction d'une formule pour le calcul des arcs des cercles parallèles de
l’ellipsotde terrestre. 213 — 219.
Büchner, E. Sur l'absence de l’&cureuil au Caucase. 125—182,
Charlier, ©. V. Sur la solution des problèmes mécaniques amenant aux équations différen-
tielles hy erelliptiques. 9—82. |
Chwolson, O. Les fnndements d’une théorie mathématique de la diffusion intérieure de la
Inmière. 221-—266.
Féoktistow, A. Sur la sonnette du Crotalus durissus. 1—4.
Sur l’action de quelques espèces de Curare. 177—180,
Grosset, Th., voyez Beilstein et Grosset.
Herzenstein, 8. Unc nouvelle espèce de Silure russe, Erostoma Oschanini Herz. 119 — 128.
Kulaguine, N. Sur quelques Lumbricides que l’on trouve dans la Russie d’Europe et en
Sibérie. 181—190 |
Lemm, O. von. Fragments sahidiques de la Bible, I — 257—268, II — 873—891.
Actes apocryphes des apôtres en langue copte. 509— 581.
Lucas, E. Sur la loi de réciprocité des résidus quadratiques. 495—496.
Morawits, A. Contributions entomologiques. 83—82.
Nauck, A. De scholiis in Sophoclis tragoedias a Petro N. Papageorgio editis. 411—441.
Nikitine, P. Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. 353—871.
Owsjannikow, Ph. Sur l'’embryologie du Petromyson fluviatilis. 83-—96.
De la structure des filaments des nerfs. 497—508.
Radioff, W. Sur les anciens dialectes turcs. I. Vers scldschuks dans Rebäb-Nämeh. 291—861,
et O. Salemann. Rapport sur le mémoire de M' Anderson: Wandlungen der anlau-
tenden dentalen Spirans im Ostjakischen, ein Beitrag zur ugrofinnischen Lautlehre.
197— 199.
Ribalquine, M. De l'équilibre chimique entre l'acide chlorhydrique et l'hydrogène par rapport
aux métaux. Article 1°. Cuivre. 279—282.
Rohon, J. V. Poissons des couches siluriennes inférieures (avec 1 planche). 269—277.
Poissons dévoniens de Jénissei (avec 1 planche). 898—410.
Rusanow, A. Sur les produits de condensation du benzaldehyd et des phénoles. 461— 468.
Salemann, OC. voyez Radloff et Salemann. |
Schevyrew, I. Liste des espèces du genre Scolytus de la collection du Musée de l’Académie
Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. 469—471.
Schmidt, ©. (de Dorpat). Études hydrologiques. L. 183-146.
Schmidt, Fr. Nouvelles contributions pour la connaissance du Olenellus Mickwitsi. 191 —195.
Struve, H. Résultats préliminaires des observations faites sur les satellites de Saturne à l’aide
du réfracteur de 30 pouces. 448—460,
Wild, H. Sur une simplification essentielle de son photomètre de polarisation pour les usages
techniques. 5—8,
La marche normale et lea perturbations de la déclinaison de la force magnétique
terrestre. 155 — 172.
Un nouvel anémographe et anémoscope (avec une planche). 487—498.
et O. Backlund. Rapport fait À l'Académie Impériale des sciences par les délégués
de la Russie à la conférence générale du mètre, réunie A Paris-en septembre 1889.
288—290.
Avril 1889.
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A. Morawits, Contributions entomologiques. : Le dure “88-82.
Ph. Owsjannikow, Sur l’embryologie du Petromyzon Auviatilis: an, 83— 26
Fr. Beilstein et O. von Blsose, Recherches sur la basicité de l'acide: . *
antimonique . : . ete rate,
N. Békétoff, Étude sur l'énergie dé combinaison da Rubidium.
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BULLETIN
DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST,-PETERSBOURG,
Zur Physiologie der Klapper des Crotalus durissus. Von Dr. med. A. E. Fook-
tistow. (Lu le 16 août 1888.)
Im Juni 1887 erhielt ich 10 lebende Crotalus durissus, die ich seit-
dem genau habe beobachten können. — Wegen Mangels an genügenden
Mengen geeigneten Futters (die Thiere wollten ausschliesslich nur ganz
junge Kaninchen fressen), verlor ich 5 davon im Laufe der ersten 6 Monate.
Die übrigen befinden sich gut und fressen nun ausser Kaninchen, auch Vö-
gel. — Sie bewohnen ein grosses Terrarium mit geräumigem Wasserbassin,
Cementboden und permanenter Wasserheizung, welche es ermöglicht, die
Temperatur der Luft im Innern auf 20—22° R. zu halten. Futterthiere
werden in genügender Menge gereicht, und sind die Schlangen Sommer und
Winter gleich munter.
Bei dieser Gelegenheit habe iclı das Wachsen, Abfallen und die Erneu-
erung der Klapper genau beobachten können. — Bis jetzt ist nichts Siche-
res über die Physiologie dieses Apparates bekannt. — In ganz Amerika
beurtheilen z. B. die Einwohner das Alter einer Klapperschlange nach der
Anzahl der Ringe an der Rassel, und glaubt man dort, dass jährlich ein
neuer Ring hinzukomme (Brehm). Andere glauben wieder, dass bei jeder
Häutung ein neuer Ring gebildet wird, etc. Brehm!) hebt hervor, dass
man an gefangenen und mehrere Jahre nach einander beobachteten Klapper-
schlangen zwar eine Zunahme ihrer Grösse, nicht aber eine Vermehrung
der Glieder ihrer Rassel wahrgenommen hat, dass letztere vielmehr sich
jahrelang nicht veränderte. Wie lang eine Rassel werden kann — giebt
auch kein Autor mit Bestimmtheit an. — Ich bin in die glückliche Lage
gekommen, an gesunden und gut fressenden Exemplaren einige Beobach-
tungen machen zu können, die diese Fragen entscheiden.
Fünf von meinen Schlangen fielen die langen Rasseln selbstständig zu
verschiedenen Zeiten ab, und nun konnte ich vor Allem beobachten, wie
schnell sich selbige wieder ausbilden. — Zuerst will ich aber bemerken,
dass es ganz natürlich ist, wenn die Rassel bei der Klapperschlange perio-
disch oder unperiodisch abfällt. Es besteht ja dieselbe aus leblosem Horn-
1) Brehm, Thierleben, B. VII, Kriechthiere. 1883, p. 491.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 1. 1
2 DR. MED. A. B. FEOKTISTOW. [N. 8. 1
gewebe, welches zu den bekannten hohlen «Kegeln» ausgebildet wird, welche
Kegel einander theilweise wöhl unischljessen, die Rasselkette bildend, im-
merhin aber mit einander nur ziemlich lose verbunden sind. Es ist nun ganz
natürlich, dass solch eine Kette, wenn sie einigermaassen lang wird, mecha-
nischen Insulten stark ausgesetzt ist, und desshalb leicht abreissen kann.
Ohne jeden Schaden für die Schlange selbst, lässt sich auch diese Kette ab-
schneiden, oder gewaltsam abreissen. Das ist auch der einfache Grund,
wesshalb die Rassel niemals besonders lang wird, und 15—18 gliederige
Klappern zu den Seltenheiten gehören ?). Gewölinlich hält die Rassel nicht
länger aus, als bis sie 8—10-gliederig wird.
Wenn eine Rasse] abgefallen ist, so bleibt doch immer wenigstens das
letztgebildete (also erste von der Basis) Glied derselben am Schwanze zu-
rück, da es mit demselben so lange fest verbunden ist, bis es nicht von
einem neuen, darunter sich ausbildenden, verdrängt wird. Dieses letztgebil-
dete Glied der Rassel hat nicht die düsterbraune Farbe der älteren Glieder.
Es ist vielmehr hornartig durchsichtig und nur schwach gelblich gefärbt.
Durch die dünnen Wandungen dieses Rasselgliedes sieht ınan den horu-
bildenden Kegel am Ende des Schwanzes, als weisse, plattgedrückte, un-
regelmässig-kegelförmige Masse mit tief eingekerbter Spitze, aufs deut-
lichste durchschimmern.
. Wie gesagt, konnte ich also an den 5 Exemplaren der Klapperschlangen,
denen ihre Rasseln abgefallen waren, die Neubildung derselben verfulgen.
So lange sie keine längere Rassel hatten, waren sie natürlich auch nicht im
Stande zu klappern. Nun wuchsen aber die Glieder langsam nach und zwar
so, dass bei allen im Laufe von drei bis vier Monaten bereits zwei neue
Glieder, ausser dem. erwähnten, zurückgebliebenen (jetzt endständigen
Gliede), vorhanden waren. Solche dreigliederige Rasseln brachten schon
einen ziemlich lauten Ton hervor. — Im Laufe von einem Jahre bildeten
sich die Rasseln bereits zu 5—6 gliederigen Ketten aus und waren dann
im Stande den gewöhnlichen, recht intensiven Rasselton hervorzubringen. —
Mit den Häutungen hatte das Nachwachsen der Rasseln nichts gemein).
Die Oberhaut wird bekanntlich ohne die Rassel abgeworfen, dicht an der
Grenze derselben sich abtrennend, und zwar so, dass das Ende des Schwanzes,
an der abgestreiften Haut, eine Öffnung mit fein gekerbten, den Schuppen-
reihen entsprechenden Rändern darstellt.
2) Rasseln aus 42 Gliedern, wie es Seba abbildet, gehören wohl in das Gebiet der Phantasiel
8) Schlegel (Essai sur la physionomie des serpens. T. II, 1837, p. 657) meinte, es entstehe
ein neueg Rasselglied bei jeder Häutung. Diese Meinung ist neulich auch von Garman aus-
gesprochen worden. Die Häutungen folgen aber nach meinen Beobachtungen viel schneller auf
einander (eine Häutung alle 6 Wochen), als die Bildung der Rasselglieder.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 2.
(xxx) | ZUR PHYSIOLOGIE DER KLAPPER DES CROTALUS DURISSUS. 8
Es folgt also aus meinen Beobachtungen, dass je ein Rasselglied im
Laufe von zwei—drei Monaten gebildet werden kann*) und ist mir nicht
klar, wesshalb andere Beobachter an gefangenen Klapperschlangen das
Wachsen der Klapper nicht wahrgenommen haben. Wahrscheinlich wurden
die Schlangen unter für ihr Wohlsein ungünstigen Bedingungen gehalten,
wodurch ihr Lebensprocess deprimirt war. Vielleicht waren aber such die
Beobachtungen nicht sorgfältig genug angestellt worden. Ä
Was das Rasseln selbst anbelangt, so kann ich die Worte Geyer’s im
allgemeinen bestätigen: kriecht die Klapperschlange langsam dahin, so
schleppt sie die Rassel am Boden völlig ruhig nach; ist sie aber auf der
Flucht, so hebt sie dieselbe in einem Winkel von etwa 60° und rasselt dabei
ununterbrochen. Nur wenn sie ihren Raub verfolgt, hört man davon meistens
nichts. Letzteres ist aber nicht immer der Fall, vielmehr sah ich oft Klapper-
schlangen die ihnen zur Nahrung dienenden Kaninchen mit lautem Rasseln
verfolgen, wovor die letzteren aber durchaus keine Angst zeigten. — Ge-
reizt, nimmt die Klapperschlange die in Brehm’s «Kriechthiere» (p. 492)
trefflich wiedergegebene droliende Lage ein, und ist im Stande dabei ge-
radezu stundenlang und ununterbrochen zu rasseln. Das Geräusch,
welches sie dabei hervorbringt, ist schwer mit irgend einem andern zu ver-
gleichen, jedenfalls dem «Zirpen einer Heuschrecke», wie Brehm meint,
nur sehr entfernt ähnlich. Eine starke, grosse Klapperschlange macht ein
so lautes Geräusch mit ilırer Rassel, dass man die Worte einer laut spre-
chenden Person in einer Entfernung von 3 Schritten nicht verstehen kann,
wenn der Schlangenkäfig sich zwischen den Sprechenden befindet. Die
kraftlosen Exemplare, die man gewöhnlich in den Thiergärten sieht, geben
keinen Begriff hierüber. — Taucht die eben vibrirende Klapper in Wasser,
so entsteht ein eigenthümlicher Ton, dem Zischen glühenden Eisens beim
Eintauchen in’s Wasser vollkommen ähnlich. Unter dem Wasser ist das
Rasseln fast tonlos. — Hält man eine Klapperschlange mit einer Hand
hinter dem Kopfe, und fasst mit der anderen das Ende des Schwanzes gleich
hinter der Klapper, so wird ihr das Rasseln unmöglich.
Ich habe es versucht, die Zahl der Schwingungen, welche die Rassel
pro Minute macht, zu bestimmen. — Es wurde eine grosse Klapperschlange
am Nacken gefasst, und ihr darauf von einem Assistenten eine Nadel durch
das mittlere Glied einer siebengliederigen Rassel durchgestochen, und zwar
so, dass die Nadel die Rassel im grössten Durchmesser durchdrang, also von
oben nach unten, wenn man sich die Schlange mit auf dem Boden ausge-
strecktem Schwanze ruhig liegend denkt. Da nun die Rassel, bei der ge-
4) Allerdings bei künstlicher Wärme im Winter, Herbst und Frühjahr. In der Freiheit geht
das Wachsthum der Rassel offenbar viel langsamer vor sich.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 3. 1*
4 DR. MED. À. E. FEOKTISTOW. ZUR PHYSIOLOGIE U. 8. W. [n. 8. 1
dachten Lage der Schlange, beim Klappern in der Richtung von links nach
rechts und umgekehrt bewegt wird, so konnte die Nadel auf berusstem Papier
Schwingungscurven aufzeichnen. Ich benutzte als Registrirapparat den Dud-
geon’schen Polygraphen mit berusstem, vermittelst des Uhrwerks schnell fort-
gleitendem Papierstreifen. Der Schwanz der Schlange wurde einigermaassen
dadurch fixirt, dass ich letztere, in der Gegend vor dem Anus, mit der
Hand hielt. Nach vieler Mühe gelang es die Nadel auf passende Weise mit
dem Papierstreifen in Contact zu bringen und Schwingungscurven zu ge-
winnen, aus welchen die Zahl der Schwingungen pro Minute (bei bekannter
Schnelligkeit der Fortbewegung des Papierstreifens) mit ziemlicher Ge-
nauigkeit auszurechnen war. — Es zeigte sich dabei, dass die Bewegungen
der Klapper aus grossen Schwingungen des ganzen Schwanzes selbst und aus
kleineren Schwingungen der eigentlichen Rassel sich zusammensetzen, und
zwar in der Weise, dass der Schwanz 75 Schwingungen, die Rassel hin-
gegen ihrer 110 pro Minute macht. Es sind das ungefähre Durchschnitts-
zahlen, da ich nur mangelhafte Curven gewinnen konnte, und zwar aus
dem Grunde, weil die Rassel ihre Schwingungen nicht genau in einer Ebene
ausübt. — Stundenlang mit einer solchen Geschwindigkeit ausgeführte Be-
wegungen sind geradezu staunenswerth. Mit blossem Auge beobachtet, sieht
man nur einen Schatten von der sich so rasch bewegenden Klapper’).
5) Über den Bau der Klapper haben folgende Autoren geschricben: Lacépède. Ilistoire
des Serpens. Vol. II, p. 890—420. PI. XVII. 1789. Leuckart. Anatom.-physiologische Über-
sicht des Thierreiches. 1855. Czermak. Über den Schallerzeugenden Apparat von Crotalus.
Zeitschrift für wissenschaftliche Zoologie, Bd. VIII, p. 294 und f. 1867. Wymann. The mode
of formation of the rattle of the Rattlesnake. Proceedings of the Boston Society of Natural his-
tory. Vol. VIII, p. 121. 1861—1862. Garman. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology
at Harvard College. Vol. XIII, 10. The Rattle of the Rattlesnake. 1888.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 4.
(xxxuı)] | 5
Über eine wesentliche Vereinfachung meines Polarisationsphotometers für
technische Zwecke. Von H. Wild. (Lu le 4 octobre 1888.)
Im XXXU. Bande dieses Bulletins, S. 193 und folgende habe ich ein in
der Sitzung der physico-mathematischen Classe unserer Akademie vom
27. October (8. November) 1887 vorgezeigtes Polarisationsphotometer für
technische Zwecke beschrieben. Bei Gelegenheit der von der Kaiserlich
Russischen Technischen Gesellschaft veranstalteten Ausstellung von Naphta-
producten und Beleuchtungsgegenständen, wo dasselbe ebenfalls comparirte,
wurde von Technikern neben der Anerkennung gewisser Vorzüge des neuen
Instruments daran ausgesetzt, dass die Justirung der verschiedenen Theile
desselben, wie ich sie in meiner Beschreibung verlangte, zu umständlich sei
und zu weitgehende Anforderungen an den Praktiker stelle; nur ein vom
Lieferanten fertig justirtes und ganz einfach zu behandelndes Instrument
hätte Aussicht, in der Technik zu ausgedehnter Verwerthung zu gelangen.
Mit Rücksicht auf diese Bemerkungen und in Erwägung des Umstandes,
dass gegenwärtig das Bunsen’sche Photometer in der Gastechnik und
Electrotechnik weitaus das gebräuchlichste Instrument ist, stellte ich mir
die Aufgabe, mein fragliches Photometer so abzuändern, dass jede Justi-
rung daran seitens des Beobachters nach Empfang desselben aus den Händen
des Verfertigers überflüssig sei und dass dasselbe wo möglich bei jedem
Bunsen’schen Photometer auf der Bank desselben ohne Weiteres und ohne
Änderung der sonst üblichen Einstellungsweise an Stelle des Papiers mit
dem Fettfleck und den verschiedenen Vorrichtungen zur Beobachtung des
letztern von beiden Seiten gesetzt werden könne.
Diesen Bedingungen dürfte vollkommen die in der umstehenden Figur
schematisch dargestellte Vorrichtung genügen, welche einfach an Stelle des
üblichen Kastens mit dem Fettfleck-Papier beim Bunsen’schen Photometer
zu setzen ist.
In einem innen und aussen geschwärzten Holz- oder Metallkasten A B
C D E sind an den Ecken eines eingeschriebenen Rhombus a b c d, dessen
Winkel bei a und d gleich 66°30’ ist, angebracht 1) bei a ein aus zwei
mattweissen Cartonpapieren mit zwischengelegtem Staniolblatt bestehender
Schirm & ß, der den Winkel bei «a halbirt, 2) bei b und c je ein belegter
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 1.
6 H. WILD, ÜBER EINE WESENTLICHE VERRINPACHUNOG [x. 8.1
mn nenn Er En Eh En m a D En RE ES a en m — Emmen mn nu en nn DDR a En ET nn nn nu m m
Glasspiegel + à und e ©, der parallel zur Diagonale a b des Rhombus steht,
3) bei d eine aus 10 je 0,5 mm. dicken nahe planparallelen Platten besteliende
Glassäule n i, die den Winkel bei d halbirt. @ ist ein beiderseits nahe an
die Spiegel herantretender undurchsichtiger Schirm, der als Diaphragma
wirken soll. Der Kasten hat drei Öffnungen, nämlich zwei unter sich dia-
metral und dem Schirm «x ß gegenüberstehende F und 7, durch welche das
Licht von den beiden Lichtquellen Z und Z auf die beiden Seiten des
Schirmes «ß normal einfällt, und eine dritte röhrenförmige bei o, deren
Axe in die Verlängerung des Schenkels dd des Rhombus fällt und die zur
Aufnalıme des Polariscops p mit seinem Fernrohr bestimmt ist.
Die Wirkungsweise dieses Apparats ist leicht ersichtlich. Das von der
Lichtquelle Z, die am einen Ende der Photometerbank aufgestellt ist, durch
H einfallende Licht beleuchtet die ihr zugewandte Seite der Scheibe a 6.
Ein Theil der von dieser diffus nach allen Seiten reflectirten Strahlen ge-
langt nach der Reflexion am Spiegel eT zur Glassüule nt und wird von
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 2.
xxxı)] MEINES POLARISATIONSPHOTOMETERS FÜR TECHNISCHE ZWECKE. 7
ihr unterm Polarisationswinkel als nahe vollständig nach der Einfallsebené
polarisirtes Licht zum Polariscop op hin reflectirt. Die Lichtstrahlen da-
gegen, welche von der andern durch die Lichtquelle Z erleuchteten' Seite
der undurchsichtigen Scheibe «ß ausgehen, gehen nach der Reflexion am
Spiegel + à auf ihrem Weg von da zum Polariscop op durch die Glassäule
hindurch und werden dabei senkrecht zur Einfallsebene nahe vollständig
polarisirt, so dass wir im Polariscop eine Mischung der von den beiden
Seiten der Scheibe «ß kommenden Strahlen erhalten, welche Strahlen senk-
recht zu einander polarisirt sind. Sind aber diese beiderlei Theile von
Strahlen gleich intensiv, so wird ihre Mischung sich wie natürliches Licht
verhalten und die Interferenzfarben im Polariscop werden dann verschwin-
den; dies ist nach den Gesetzen der Glassäule der Fall, wenn die beiden
Scheibenseiten von den betreffenden Lichtquellen gleich stark erleuchtet
werden.
Beim Gebrauch des Apparates hat man also unter Hineinsehen in das
Polariscop op einfach wie beim Bunsen’schen Photometer den Kasten
längs der Photometerbank zwischen den beiden festen Lichtquellen so lange
zu verschieben, bis die Farben im Polariscop verschwinden; alsdann werden
die beiden Seiten der Scheibe «3 gleich stark erleuchtet sein und es wer-
den sich somit die Intensitäten oder Leuchtkräfte der beiden Lichtquellen
wie die Quadrate ihrer auf der Scala der Bank abzulesenden Entfernungen
von der Scheibe «ß verhalten.
Diese einfache Benutzungsweise meines so abgeänderten Polarisations-
photometers, das sich in dieser vereinfachten Form wieder mehr dem
Babinet’schen Photometer annähert, setzt voraus, dass die beiden Seiten
der Scheibe «ß dasselbe diffuse Reflexionsvermögen (Albedo) besitzen, dass
bei den Reflexionen an den Spiegeln + à und e{ genau derselbe Lichtverlust
stattfinde und dass endlich die Glassäule im reflectirten und durchgegan-
genen Licht genau gleiche Mengen senkrecht zu einander vollständig polari-
sirter Strahlen liefere. Diese Bedingungen werden indessen in Wirklichkeit
wegen der unvollkommenen Durchsichtigkeit der Glassäule und kleiner Ver-
schiedenheiten der beiden Spiegel und der beiden durch die undurchsichtige
Scheidewand getrennten Papiere der Scheibe «ß nicht genau erfüllt sein.
Es ist aber ohne Weiteres einleuchtend, dass die Gesammtheit der hieraus
entspringenden Fehler im Schlussresultat vollständig eliminirt wird, wenn
wir zu der vorigen Messung noch eine zweite entsprechende hinzufügen,
nachdem wir den Kasten A BC D E um eine vertikal durch a gehende Axe
um 180° im Horizont umgedreht oder, um eine Deplacirung des Beobachters
auf die andere Seite der Photometerbank zu vermeiden, denselben um die
Diagonale ad des Rhombus als Horizontalaxe um 180° umgelegt haben.
Mélanges phys. où chim. T. XIII, p. 8. nu
8 H. WILD, ÜBER BINE WESENTLICHE VEREINFACEUNG U. 8. W. [N. 8. ı
Das Mittel aus den beiden so erhaltenen einzelnen Resultaten für das
Intensitätsverhältniss der Lichtquellen — eigentlich wäre das geometrische
Mittel zu nehmen; wegen des jedenfalls sehr kleinen Unterschiedes beider
Grössen genügt aber vollkommen das arithmetische — ergiebt daun das
wahre, fehlerfreie Resultat.
Sowie das in Construction begriffene Exemplar dieses vereinfachten
Photometers vollendet sein wird, werde ich die Elıre haben, dasselbe der
Akademie vorzustellen.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 4.
(xxxım)] 9
Über die Lösung mechanischer Probleme, die auf hyperelliptische Differential-
gleichungen führen. Von Dr. C. V. L. Charlier, (Lu le 24 mai
1888.)
1. Differentialgleichungen von der Form
(a) = F@
kommen sehr häufig vor in der Behandlung von mechanischen Fragen.
Indessen scheinen dieselben verhältnissmässig wenig von den Mathema-
tikern behandelt worden zu sein; was vielleicht in dem analytischen Cha-
rakter der durch jene Differentialgleichungen definirten Funktionen seine
Erklärung findet.
Die erwähnten analytischen Schwierigkeiten treten aber nur dann auf,
wenn man den Veränderlichen + und é ein unbeschränktes Variationsgebiet
giebt. In mechanischen Aufgaben, wo die fraglichen Grössen auf reelle
Werthe beschränkt sind, kommen dieselben nicht zum Vorschein. D. h.
Schwierigkeiten kommen wohl auch hier vor, sind aber dann nicht von der- .
selben Natur wie im vorigen Falle.
Der allgemeinste Satz, den man über die betreffende Differentialglei-
chung unter der eben gemachten Voraussetzung über die eingehenden Ver-
änderlichen besitzt, ist von Weierstrass in den Monatsberichten der Ber-
liner Akademie 1866 gegeben.
Er setzt voraus, das folgende Bedingungen erfüllt sind:
«1) Es verschwindet F (x) für zwei reelle Werthe a, b von x;
2) der Quotient Fu ändert sein Zeichen nicht und wird nicht
unendlich, so lange z in dem Intervall a . . . 5 bleibt;
3) für irgend einen bestimmten Werth von & ist der zugehörige von x
in diesem Intervalle enthalten».
Unter diesen Voraussetzungen hat er bewiesen, dass x eine periodische
Funktion von t ist, die in eine für alle reelle { gleichmässig konvergente
Fourier’sche Reihe entwickelt werden kann.
Die vorliegende Abhandlung hat zum Zweck die Fälle zu untersuchen,
wo die obigen Bedingungen nicht erfüllt sind, und zwar wenn die Wurzeln
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 1.
10 DR. C. V. L. CHABLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8. ı
a und d nicht einfach sind, sondern eine beliebige Ordnungszahl haben. Es
wird sich übrigens herausstellen, dass die dritte der obigen Bedingungen
in einer mechanischen Aufgabe immer von selbst erfüllt ist.
2. Wir verstelien unter x eine gewisse in einem mechanischen Probleme
vorkommende Grösse, die wir deswegen als reell und stetig betrachten
können, und nehmen an, dass wir zur Bestimmung derselbeu folgende Dif-
ferentialgleichung bekommen haben:
en | (GE) = FE... ernennen (1)
wo t die Zeit oder irgend cine andere reelle und stetige Veränderliche be-
deutet. Über die Funktion F (x) machen wir folgende Voraussetzung: wenn
% beim Anfang der Bewegung den Werth x, hat, so soll man immer zwei
reelle Grössen a und b (a < x, << b) und zwei ganze Zahlen m und à finden
können so beschaffen, dass
F(a) = F(b) = 0
und der Quotient um pa den wir mit 4 (x) bezeichnen, für alle
reelle Werthe von x zwischen a und b, die Grenzen inklusive, stetig und
von Null oder Unendlichkeit verschieden ist. Über die Funktion $) (x)
setzen wir übrigens nur voraus, dass dieselbe für eine kleine Umgebung
der Werthe z=a und æ =D in eine konvergente Potenzreihe entwickelt
werden kann.
3. Dies vorausgesetzt werden wir zuerst folgenden llülfssatz beweisen:
Wenn, der Voraussetzung nach, x anfangs swischen zwei Wurzeln a und b
von F(x) liegt, so muss x immer awischen diesen Grenzen bleiben.
Dies sieht‘ man gleich ein, sobald die Ordnungszahlen der Wurzeln «a
und b ungerade sind. Wenn dies der Fall ist, muss nämlich F'(x) für Werthe
von z in der unmittelbaren Umgebung der Wurzel a z. B. verschiedenes
Zeichen haben, je nachdem x einen reellen Werth grösser als a oder einen
solchen kleiner als a hat, und da nur in dem einen Falle (5) positiv ist,
so kann der Stetigkeit zufolge x nicht Werthe annehmen, die an beiden
Seiten einer Wurzel liegen, und muss folglich immer an derjenigen Seite
von a bleiben an der x anfangs liegt. Dass aber x auch keine Wurzel mit
gerader Ordnungszahl überschreiten kann, wird in folgender Weise leicht
bewiesen. Wir haben
dx
<a" 0er ne
und in dieser Gleichung betrachten wir nun für einen Augenblick 4 als
Funktion von zx statt umgekehrt. Und zwar indem wir die Werthe von ?
Mélanges mathem. et astron. T. VII, p. 9.
(xxxıu)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 11
suchen, die æ-Werthen in der Nähe der Wurzel a entsprechen. Wir be-
merken dann, dass in der Umgebung des Werthes & = a jeder Faktor
linker Hand mit Ausnahme von (x — a)” Tin eine konvergente Potenzreihe
entwickelt werden kann, dass wir also statt der obigen Gleichung für die
betreffenden z-Werthe die folgende schreiben können
_ + a) +, a —a + .:.)= + dt.
@@— a)?
Innerhalb derselben Grenzen von x können wir auch diese Reihe Glied
für Glied integriren, und erhalten daun
+ wa) +4 (0)... |
— an _ log @- 0) — [55 — +
«as —!
= ++ 7),
wo innerhalb der Klammer das Glied mit dem Koefficienten cm | Wegzu-
2
lassen ist. Wir haben hier vorausgesetzt, dass m eine gerade Zahl ist.
Lassen wir nun in dieser Gleichung x sich dem Werth z==a nähern,
sei es indem + von reellen Werthen grösser als a allmählig abnimmt, oder
indem x zu diesem Werth durch kleinere reelle Werthe aufsteigt, so wächst
gleichzeitig der absolute Betrag von der linken Seite also auch von £ über
alle Grenzen. Umgekehrt können wir also behaupten, dass, wenn m > 2 ist,
es keinen endlichen Werth © von t giebt für welchenzden Werth a annimmt.
Da weiter z von reellen Werthen grösser als a zu reellen Werthen kleiner
als a, da x reell und stetig ist, nur übergehen kann durch Passiren des
Werthes x = a selbst, so ist also unser Hülfssatz allgemein bewiesen.
4. Wir wissen also jetzt, dass x immer zwischen zwei Wurzeln von
F (x) bleiben muss. Nach der Voraussetzung können wir die gegebene
Gleichung unter der Form
(#)= (c— a)" (b— x)" bla) ......:..... (2)
schreiben. |
Die Hauptsache bei der folgenden Untersuchung ist nun, dass wir diese
Gleichung in zwei andere theilen, und zwar indem wir eine Grösse w ein-
führen definirt durch |
(#)= 11 Pe (8)
wo also x mit w durch die Relation
(&)= {@— a)" Eee >) (4)
verbunden ist.
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 8.
12 DR. C. V. L. OHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8.1
Es sind die Gleichungen (3) und (4) die uns nun beschäftigen werden.
Zunächst ist es klar, dass dem eben bewiesenen Satz zufolge die rechten
Seiten von (3) und (4) nie negativ werden können. Weiter kann in (4) gele-
gentlich die rechte Seite Null werden, wogegen dies in (3) nie der Fall ist.
Da die Gleichung (2) durch zwei andere, jede mit ihrer besonderen
Integrationskonstante, ersetzt worden ist, so ist es erlaubt, die eine von
diesen Konstanten nach Belieben zu bestimmen. Wir setzen fest, dass in
(3) die Integrationskonstante so bestimmt wird, dass w den Werth Null
erhält, wenn £ selbst gleich Null ist. Dann folgt aus derselben Gleichung,
dass # immer einen reellen Werth haben muss. Wir können aber nicht nur
über den Werth von w beim Anfang der Bewegung verfügen, sondern da es
nur nothwendig ist, dass die Gleichung
dx \3 / dw \3 dx \2
(a) (a) = (a)
zwischen den Quadraten der Differentialquotienten stattfindet, ist es auch
erlaubt z beim Anfang der Bewegung ein beliebiges Zeichen zu ertheilen.
Geben wir dann dw beim Anfang der Bewegung dasselbe Zeichen wie
dt, so wird dies immer der Fall sein, da = nie Null (oder unendlich) werden
kann. Wir haben also für alle Werthe von t
HUB een (5)
di
Aus dieser Gleichung zwischen w und & können wir eine sehr wichtige
Eigenschaft von w ableiten. Da nämlich x in seinen Änderungen so be-
stimmt ist, dass immer b>2”>a, und den gemachten Voraussetzungen ge-
mäss db (2) in diesem (Gebiete stetig ist und nie Null oder unendlich wird,
so muss nothwendig (x) für die genannten x-Werthe eine endliche obere
Grenze und eine von Null verschiedene positive untere Grenze haben. Das-
selbe gilt dann auch für VY (x), so dass es immer möglich ist zwei positive
Zahlen Z, und Z, zu finden der Art, dass für alle x, die hier in Betracht
kommen
L, <Vy(e) <L,,
und also für alle reelle Werthe von £
mithin
wo À eine veränderliche positive Zahl grösser als Z, aber kleiner als Z, be-
zeichnet.
Mélanges mathem. et astron. T. VII, p. 4.
(xxxnt)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEIOHUNGEN FÜHREN. 13
5. Nachdem wir zwei bestimmte Grenzen gefunden haben, innerhalb
deren die Werthe von w eingeschlossen sein müssen, können wir zur Unter-
suchung der Gleichung (4) übergehen, die die Relation zwischen + und w
enthält. Wir schreiben dieselbe unter der Form
dx :
@—a)5 O—25
wo wir uns erinnern, dass #0 eine mit é stetig wachsende Veränderliche be-
zeichnet, die alle reelle Werthe positive und negative von beliebiger Grösse
annehmen kann.
Wir bemerken hier gleich die grossen Vortheile, die uns die Einfüh-
rung der Hülfsgrösse » gewährt. In der That liegt nun die ganze Diskussion
der Bewegung in der Gleichung (8). Angenommen dass die Lösung der-
selben wäre
= (1),
so brauchen wir nur hier w alle Werthe zwischen — co und + oo durch-
laufen zu lassen, um die ganze Bewegung von darzustellen. Und noch mehr,
wenn wir 10 mit einer Konstante mal & identificiren, können wir eine an-
genäherte Darstellung der Bewegung bekommen. Es ist dies eine Annähe-
rung von derselben Art, die man im gewöhnlichen Pendelprobleme bekommt,
wenn man die da auftretende Sinusamplitudo gegen einen gewöhnlichen
Sinus vertauscht. |
Bei der Integration der Gleichung (8) ist es vortheilhaft in derselben x
gegen eine andere Veränderliche ç zu vertauschen, die mit x durch die Re-
lation
verbunden ist. Wir sehen hieraus dass ç alle Werthe zwischen Null und
+ co annehmen kann. Aus (9) folgt
b—a
air aa =l+—,
de de
b—-z 1-+c?
und wir erhalten statt (8)
(EP NT quo = À (1 + 2) (1 +),
oder
Tea MNT os (10)
" Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 5.
14 DR. .0. V. L..CHARLIER, ÜBER DIE LÜSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8. 1
Die Integration: dieser Gleichung ist sehr einfach, wenn man nur ver-
langt w durch ç auszudrücken. Das Integral besteht bekanntlich aus einem
logarithmischen und einem algebraischen Theil, von denen der eine in ge-
wissen Fällen wegfällt. Der Übersichtlichkeit wegen ist es am bequemsten
drei Fälle zu unterscheiden, je nachdem m und n gerade oder ungerale
Zahlen sind. Nach elementaren Methoden erhalten wir dann folgende Inte-
grale:
a) m und n beide gerade; es sei m = 2p, n== 2q. Dann wird
vi!
(b— ati w—w)=k,_ı log +de ko or 6"... (11)
r=- ns
wo
k=p+q—2, rk. =k(k— 1)(k— 2)... (k—r +1)
und in der Summe der Werth r = 0 ausgeschlossen ist.
b) m und n ungerade.
m—2p + 1, n = 2q = 1.
Dann wird für p+g>1
+ 21 +
b— a} om) = ç rs Ste er], ren (12)
r=—p
Wo
l=p—+q—1.
Für p+g—0, d.h. p—gq—0, bekommt man dagegen das Integral
= tg (w— 10) RE (13)
c) m» gerade, n ungerade. Der Fall m ungerade, n gerade braucht
e , 1
nicht besonders untersucht zu werden, da wir nur ç gegen — zu vertau-
schen brauchen um das Resultat zu erhalten. Also
m = 29, n = 2q—+ 1.
Dann bekommen wir
p—1
Bar kw Ih. K Br WR, ++ (14)
r=0
wo
h=p+q— 1,
und X, und J, folgende Bedeutung haben
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 6.
(xxxIn)| DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. ' 15
l ! ’
.
r 2.4.6...2r
= + (NY aan 2 V1+e(1 5e + 348 —
à 18..2r—1 r BR
+ 137. | | "
_ 1.3.5...2r — 1 VIrc—1 VX y (À
K = = CU gr Le es +2 +6 4, ($)]
wo |
1 1 2 1 2.4 1 2.4..2r — 9 1
A, ()=+—5 + Te Dr
Die Gleichung (14) kann man auch in der folgenden Form schreiben
b— a a)” Go —10,) = À log - is + Vi+<{[2 (6) +R, (2)}, 45)
Vi+cç+
wo À eine Konstante ist und R, und R, ganze rationale Funktionen von
dem Grade g— 1 und p — 1 resp. bezeichnen. Für A bekommt man fol-
gende Form
p—1
AZ N Naar per
=0
6. Die Diskussion der Bewegung geschieht nun ohne Schwierigkeit mit
Hülfe der Gleichungen (11), (12), (13) und (15).
Der Kürze wegen führen wir folgende Bezeichnungen ein. |
I. Eine Grösse wird gesagt eine Librationsbewegung zu haben, wenn
dieselbe periodisch zwischen zwei festen Grenzen hin und her schwankt.
Diese Grenzen werden wir Librationsgrenzen nennen.
U. Kine Grösse wird gesagt eine Limitationsbewegung zu haben,
wenn dieselbe sich allmählig einem bestimmten Grenzwerthe nähert, ohne
denselben je in endlicher Zeit zu erreichen. Dem fraglichen Grenzwerthe
werden wir den Namen Limitationsgrenze geben.
Ein Blick auf die Gleichungen des vorigen Paragraphen zeigt uns nun
gleich, dass die Bewegung in vorliegendem Falle nur von diesen beiden
Arten sein kann. Und zwar tritt Libration ein wenn die Bewegung durch
die Gleichung (13) bestimmt ist und also die Wurzeln a und b beide einfach
sind, sonst immer Limitation. Wir bemerken noch, dass wenn die eine
Wurzel einfach ist, nicht aber die andere, so giebt es immer zwei Werthe
von #, die demselben Werth von ç entsprechen, sonst nur einer.
Dass in (13) eine Librationsbewegung auftritt, ist durch die periodische
Form von & sogleich ersichtlich. Das Vorhandensein der Limitation in allen
übrigen Fällen wird dargelegt, indem man in den Formeln’ (11), (12) und
(15) & gegen Null oder Unendlichkeit konvergiren lässt. Übrigens folgt
dies leicht aus dem im dritten Paragraphen gelieferten Beweise.
Melanges mathem. ot astron. T. VII, p. 7.
16 DR. 0. V. L. OHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8. ı
Die obigen Formeln geben uns w in $ ausgedrückt. Wir brauchen in-
dessen umgekehrt < in w explicite ausgedrückt zu haben, um mit Hülfe der
Gleichung (3) die Relation zwischen # und # zu finden. Die genannten
Formein lehren uns, dass jedem reellen Werth von w nur ein einziger
reeller Werth von ç entspricht, dass also so lange wir uns auf reelle Werthe
beschränken, & als eine eindeutige Funktion von w zu betrachten ist. Dies
ist dagegen im Allgemeinen nicht der Fall, wenn wir auch komplexe Werthe
von w mit in Betracht ziehen. Die Aufgabe wird daher in ihrer allge-
meinsten Auffassung eine sehr schwierige, wenn man sich nicht eine prak-
tisch brauchbare Methode verschaffen kann, die es erlaubt, eindeutige Funk-
tionen einer reellen Veränderlichen für alle Werthe dieser Veränderlichen
darzustellen.
Wenn man z. B. wüsste, dass < als Funktion von w für alle reelle to in
der folgenden Form darstellbar wäre
ç= flo) = CO, + Ciq(s) + Cipi(te) +... ...... (16)
wo 9, (w), æ, (w) etc. bestimmte, gegebene, eindeutige Funktionen von w
sind, und könnte man weiter zwei konstante Grössen @ und $ finden der
Art, dass für alle Werthe von m und », die von einander verschieden sind
'estog to = 0 mZa(n =, x 21.) .... (16,1)
a
dass dagegen
[ont at) de = Ku, . m=0,1,2...) .... (16,2)
a
und wenn endlich die Reihe (16) gleichfürmig konvergent ist für alle
zwischen « und ß liegende Werthe von w, so wären immer die Koeffi-
cienten C._in (16) zu finden. In der That wird zuerst den obigen Gleichungen
gemäss für C, der folgende Ausdruck erhalten
B
Kr Cr =| 6 p,. (4) dw.
Indem wir hier w gegen < als laufende Veränderliche vertauschen, er-
balten wir nach der Formel (10)
° M
(arm Ko] Ur... (17)
À
Mélanges matlém. ot astron. T. VII, p. 8.
(xxx)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIATGLEICHUNGEN FÜHREN. 17
wo wir unter À und p die gegen 20 — a und # — ß resp. sprechenden
Werthe von g verstehen. In 9, (1) haben wir die Ausdrücke (11), (12) und
(15) für w einzusetzen. -
Die Bedingungen (16,1) und (16,2) sind an die Funktionen 9, (w) ge-
knüpft, da bei den gewölnlichsten Methoden, cine willkürliche Funktion
einer reellen Veränderlichen darzustellen, nämlich durch trigonometrische
Reihen und durch Reihen von Kugelfunktionen, die fraglichen Bedingungen
erfüllt sind. Die Reihen, die man durch Anwendung dieser beiden Me-
thoden erhält, werden aber im Allgemeinen nur innerhalb endlicher Gren-
zen die Funktion darstellen, und obgleich man diese Grenzen beliebig weit
ausdehnen kann, bleibt es doch zweifelhaft, ob man dabei zu praktisch
verwendbaren Formeln geführt wird. Jede Funktion 9, (2), die die Be-
dingungsgleichungen (16,1) und (16,2) eıfüllt, giebt indessen eine neue
Methode die Funktionen einer reellen Veränderlichen darzustellen, und die
Lösung derselben enthält also auch die Lösung des vorliegenden Umkehr-
problems [die Umkehrung der Gleichungen (11), (12) und (15)].
Übrigens kann man auch Methoden finden, die Funktionen einer
reellen Veränderlichen darzustellen, ohne dass man die fraglichen Be-
dinenngen zu erfüllen sucht. Es scheint mir als ob einige Unter-
suchungen von Tehöbychef in dieser Beziehung zu dem erwünschten
Resultat führen können (Vergleich: «Sur le développement des fonctions
à une seule variable» Bulletin de PAcadémic 1859 von dem genannten
Verfasser).
Hat man nun in irgend einer Weise $ durch w dargestellt, so liefert die
Gleichung (3) die noch erforderliche Relation zwischen # und i. Wir wer-
den dann auf ein dem obigen analoges Problem geführt. Indessen wird diese
Aufgabe durch die in $ 4 erwiesenen Eigenschaften von # einigermaassen
erleichtert.
7. Obgleich es nicht leicht ist einen für alle reelle Werthe von w gel-
tenden Ausdruck für ; zu finden, so lange m und n beliebig hohe Werthe
haben, so lässt sich doch immer eine Lösung erhalten, wenn m und » ver-
hältnissmässig niedrige Zahlwerthe sind. Zur Bequemlichkeit bei der Be-
handlung solcher Probleme, in denen nur kleinere Werthe von m und n
vorkommen, werden wir diese Integrale aufsuchen.
Mit Hülfe der Gleichimgen (11), (12) und (15) können wir leicht die
Fälle aufsuchen, in denen < sich ohne Reihenentwickelungen durch w aus-
(drücken lässt. Da aber diese Gleichungen hier nicht abgeleitet worden sind,
werden wir vorzichen, die betreffenden Integrale, direkt aus den Differential-
gleichungen abzuleiten.
Die Differentialgleichung für ç war
Melanges mathém. ot antron. T. VII, p. 9. 9
18 DR. C. V. L. CHARLIER, ÜBRR DIE LÜSUKG MSCH. PROBLEME, [N. 8. 1
dc +" _9 + __]
= (1+ 6) : = (b—a) : du == N, „dw,
und wir erinnern uns, dass
1) Wenn erstens
)m=n=1,sowird
dc L …
Grove — Nu dw, N,,=1,
und die Lösung dieser Gleichung haben wir schon früher gefunden, nämlich
= tg? + w.
€
Das war der Librationsfall.
2)m—2,n—= 1. Dann ist
« _ — N,.du, N—Vb-a.
<Vi+s
Das Integral wird
Vi+ ç—1
log 77 —
08 rer Nut,
also
Vlr 1e
Hs — 1— eur?
und
__ Amt
.— [1 e% "2
was wir auch schreiben können
1 ejar _.—4Mur 2 1
( à _) = sp" — N, w.
Hier tritt Limitation ein. Wenn # gegen die positive oder die negative
Unendlichkeit wächst, so nähert sich x indefinit dem Werthe z = a.
3))m=1l,n=2
& _—N,dv N,=Vb—a,
Veß+l)
also
1 EEE
log [Is +3 + V5 + 1) | — N,w,
oder
1 4 Nia to 1 —3N W732
[e — — € F.
S— 7% 2
Mélanges mathein. et astrou. T. VII, p. 10.
(xxxın)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLAICHUNGEN FÜHREN. 19
Diese Formel ist scheinbar unsymmetrisch. Indessen sieht man gleich,
dass wenn hier N,w um — log 2 vermehrt wird, was ja erlaubt ist, da wir
dadurch nur die Integrationskonstante verändern, so bekommt man
Je _ — [Mae
ST Ten 2
wie es ja auch bei Vergleich mit dem vorigen Fall nothwendig war.
Mit unendlich wachsendem to nähert sich x hier dem Werth 2=b.
4) m—n—= 2. Dann wird
© = Nydu, N„=b—a,
also
= EN,
und æ nähert sich dem Werth a oder b je nachdem w gegen — co oder
+ co konvergirt.
5)m—3,n=1
d
4 —=N,,dw, N,—=b—a,
also .
e— 1
TT Nu?
Wenn w unendlich gross wird, konvergirt x gegen den Werth a.
G)m=1,n=3
= N,,du, N,=b—a |
also
=} Nu.
x konvergirt gegen b. In diesen beiden Fällen ist + eine rationale Funktion
von W.
Tm=2,n=3
vire = = N,,dw, N, = (0 — a)!
mit dem Integral
Vl+c—1
log ——— +2V1--<=N.w
5 vi+ +1 ç 230?
oder
VI--c—1 2Vi1+e Nav
—— € =e
VI+c+l
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 11. 2*
?
20 DR. C. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MEOH. PROBLEME, [X. 8. ı
aus welcher Gleichung aber der Ausdruck für $ nicht unmittelbar hervor-
geht. Das ist auch der Fall, wenn
8) m= 3, n—= 2. Durch Vertauschung von ç gegen 2 in der
letzten Formel bekommen wir dann
— ILL
VYı+t-ı 3Yy,, 1! N, w
——i eo + 0 # .
Vi+læi
In beiden Fällen nähert sich æ dem Werth « oder b je nach der Anfangs-
richtung der Bewegung.
Vm—=3,n=3
(1 + s) = N du, N„=(b — a).
6
A"
Danı wird
— 1 1
Vs LIN
$ Ve 2 5%
und also
AVçs=Nw0+VN Su + 16,
wo wir das obere Zeichen wählen müssen, wenn wir unter V& die positive
‘ Quadratwurzel aus < verstehen. Indem w zwischen — co und + co variirt,
nimmt < successive alle Werthe zwischen Null und der positiven Unend-
lichkeit an.
Wenn die Orduungszahl der Wurzel nicht drei übersteigt, ist es
also keine Schwierigkeit $ explicite durch # auszudrücken [mit Ausnahme
von der Kombination (2, 3)]. Es sind dies die Fälle, in denen & eine ratio-
nale Funktion von w oder von e** ist.
Die obigen Formeln zeigen von welchem Nutzen das Einführen der
Hülfsgrösse w durch die Gleichung (4), für die Betrachtung des vorliegen-
den Problemes ist. Erstens braucht man hier nur w alle Werthe zwischen
— co und + co annehmen zu lassen, um gleich die successiven Werthe von x
während der ganzen Bewegung zu bekommen. Zweitens können wir, wenn
wir # mit einer Konstante mal £ gleich setzen, nach Formel (7) immer eine
erste Annäherung für die Bewegung bekommen, eine Annäherung, die um
so genauer ist, je grössere Werthe man der unabhängigen Veränderlichen £
giebt.
8. Einen von den erwähnten Fällen werden wir näher untersuchen,
nämlich wenn m = n = 1, da derselbe theils durch das Auftreten von
«Libration» sich von den anderen in mechanischer Iinsicht unterscheidet,
theils wegen der grösseren Leichtigkeit das Problem endgültig zu studiren
Mélanges mathém. ot astrou. T. VII, p. 19.
(xxx) DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFRRENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 21
besonderes Interesse verdient. Wie schon früher erwähnt, fällt der Libra-
tionsfall mit einem von Weierstrass im Jahre 1866 behandelten Pro-
bleme zusammen, und wir werden kürzlich die von ihm gefundenen Resul-
tate ableiten.
Wir haben hier
dx
() = @— 0) — 2) ÿ(@)
und diese Gleichung wird in zwei andere getheilt
dw\s
(&) =)
d
(2) = (&— a)(b—»).
Das Integral der letzten Gleichung war (die Integrationskonstante gleich
Null gesetzt)
4
oder
1 ol
L—= € COS” 40 +- b sin? — #.
Wie wir schon früher allgemein bewiesen haben, muss # mit # kontinu-
irlich wachsen, und zwar so, dass jedem Werth von € nur ein einziger
Werth von w entspricht und umgekehrt; beide werden gleichzeitig Null und
unendlich. Da nun x eine periodische Funktion von w ist, so ist hiermit
auch unmittelbar klar, dass nach bestimmten Zeitintervallen 7,, Z,, 73 etc.
x wieder zu demselben Werthe zurückkommt. Wir können leicht zeigen,
lass diese Zeitintervalle sämmtlich von derselben Grösse sind, so dass x eine
einfachperiodische Funktion von £ ist. In der That haben wir
dto — |
Vo)
e’ 0
und wenn wir hier v um 2x vermehren, erhält £ einen gewissen Zuwachs
2T, so dass
Und hieraus bekommt man durch Subtraktion
w+r.ir
dw
[CE
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 13.
22 DR. 0. V. L. OHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECE. PROBLEME, [n. 8. 1
Aus dieser Formel sieht man gleich, dass 7 von w vollständig unab-
hängig ist, da z und also auch 4 (x) die Periode 2x besitzt. Wir erhalten
also einfach
er d
9 T — —"—.,
Y(x)
oder da x von O bis x dieselben Werthe annimmt, wie von zw bis 2x
dw
nr Un
Nach Einführung von z statt w, können wir diese Formel schreiben
bd
dx
= fonte j
Wir wissen also nun dass x eine periodische Funktion von & ist mit der
Periode 27, so dass, wenn
æ = f(t),
so ist
ft+2T)=f),
und da weiter x eine gerade Funktion von # und also auch von £ ist, so
können wir # für alle reelle Werthe von # durch eine konvergente trigono-
metrische Reihe darstellen von der Form
= + B,+B, cs + B, COS +... ...... (19)
Die Koefficienten haben hier folgenden Ausdruck
T
TB, = à [een as
0
wo wir die Werthe von dé und £ in z ausgedrückt einzuführen haben. Durch
theilweise Integration erhalten wir die bequemere Formel
b
nnB,—= — (m M PR (20)
Mélanges matléin. et astrou. T. VII, p. 14.
(xxxm)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 23
Für numerische Rechnung wird eine dritte Form noch bequemer sein,
diejenige nämlich, die man aus der vorigen Gleichung durch Einführung
von # statt x erhält. Wir setzen erst
— 1
Co +C, COS 0 + C, COB 20-+...,
wo
2 cos nt0 dw
nn ar cos? } 1 + b sin? jt) ?
0
dessen Berechnung keine Schwierigkeiten darbietet. Wir bemerken be-
sonders, dass
Nach Integration dieser Reihe bekommen wir nun
xt
1.
FTZOUH DW ZEN U Here (21)
Da weiter
2 dx — (b — a)sinwdw,
so können wir nun den Ausdruck für die Koefficienten B, folgendermaassen
schreiben
nr B,= — (b—a) [sin "sin wdw |
(22)
— 7 Ga) co 7 —1 dw + + (b— of. cos | "Tr =],
0
oder nach Einführung der Reihe (21)
1 1
Da B,= [mn [(1+ )0 + ci sin 10 + + cs sin 210 +. . | do —
(23)
1 l,.
—[ cos ñ R — H)w-+e, sin w-+-— c,5in 240 + | dw.
Mit Hülfe dieser Integrale kann man in verschiedener Weise die Koeffi-
cienten berechnen; z. B. durch mechanische Quadratur, durch Entwicke-
lung nach Potenzen von c,, c, etc., mit Hülfe der Bessel’schen Funktionen
u. 8. w. In den meisten Fällen ist vielleicht die mechanische Quadratur vor-
zuziehen.
Mélauges mathem. et astron. T. VII, p. 15.
24 DR. C. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8.1
9, Obgleich Libration nur dann vorkommen kann, wenn die beiden
Wurzeln a und b einfach sind, und in allen anderen Fällen Limitation ein-
tritt, so dass man glauben könnte, dass das Auftreten der Libration eine
verhältnissmässig sehr seltene Erscheinung wäre, so ist indessen der Fall
gerade umgekehrt. Die Gleichung zur Bestimmung von x
dx \2
(27-20
müssen wir uns nämlich im Allgemeinen aus einer Gleichung von der Form
d!x
de — f(@)
durch Integration entstanden zu sein denken, eben weil wir mechanische
Probleme in Betracht nelımen wollen. Das Integral dieser Gleichung hat
nun die Form
(7) = 2 [ f(x) dx + K,
wo K eine Integrationskonstante bedeutet. Ilieraus ist also ersichtlich, dass
in der Funktion 2’ (z) im Allgemeinen eine Integrationskonstante lincar ein-
geht, und die Wurzeln von F (x) sind daher kontinuirliche Funktionen
dieser Konstante, die nur für isolirte Werthe derselben mit einander zusam-
menfallen können. Die Limitation setzt daher gewisse Specialwerthe der
Integratiouskonstante voraus. Dass dieser Umstand indessen das Auftreten
einer solchen Bewegung auch in Aufgaben der Natur nicht ausschliesst, kann
man aus analogen Fällen im Problem der drei Körper finden. Es ist in die-
sem Zusammenhang besonders eine Frage wichtig zu untersuchen, nämlich
die Beschaffenheit der Bewegung unmittelbar vor dem Auftreten der Limi-
tation, oder richtiger ausgedrückt diejenige Veränderung in der Librations-
bewegung, die eintritt, wenn eine Wurzel in d(z) (Paragraph 8) sich allmählig
einer der Wurzeln @ oder b nähert. So lange die betreffende Wurzel nicht
mit einer von diesen zusammenfällt, muss natürlich noch Libration auftreten.
Die hauptsächlichste Veränderung kommt in der Länge der Periode der
Librationsbewegung vor. Diese hatte folgenden Ausdruck [Formel (18)]:
| 1 . a 1
T— | - =". T—= à cos’ > av +- b sin? zw.
Wir nelımen also jetzt an, dass eine Wurzel in à (x) sehr wenig von
z. B. a abweicht, so dass
ya)=@—a+d) be),
Mélanges mathéw. et astron. T. VII, p. 16.
(xxxin)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 25
wo à eine kleine positive Grösse ist, und d,(z) für keinen Werth von æ in
der Nähe von + = a oder x — b verschwindet, und also für alle reelle Werthe
von 20 positiv und von Null verschieden ist. Nach dem Werthe von zx ist
g— a+ 8 —(b— a) sin = 10 + 3
und also
T= | de
„lo a) sin? | w+-8] p,(x)
Einem bekannten Satz in der Integralrechnung zufolge, können wir
diese Gleichung unter eine bequemere Form schreiben, nämlich
T— 1 " du
— v0 | Van jours ’
0
unter € einen gewissen reellen Werth zwischen O und x verstehend; oder
" dw
T= | "Tanz up?’ soso (24)
0
wo
1 8
ya Me
À ist den Voraussetzungen nach immer zwischen zwei positiven end-
lichen Grenzen eingeschlossen, und wir haben zunächst zu untersuchen das
Integral
" do
]; sin? jt +f? ?
0
oder
0= | Tate T= 2)1J(f)
für sehr kleine Werthe von f. Man sieht gleich, dass dies ein elliptisches
Integral ist. Um dasselbe auf die Normalform zu bringen, setzen wir
. Vvi+f?sin w
SN @ = — nn — ,
also
JV1-+fS? do
du = 1+-f?— sin?
und bekommen dann
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 17.
26 DR, 0. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MEUH. PROBLEME, [n. 8.1
3
| d9
0 = [ft
3
k|-— rm EX, R=—,
fete MK Kenn
0
Der Modul ist hier immer kleiner als Eins, nähert sich aber mit ver-
schwindendem f mehr und mehr der Einheit. Um das Verhalten von J in
der Nähe von & = 1 studiren zu können, müssen wir uns desswegen einer
Entwickelung von Æ nach Potenzen des Komplementärmoduls A’ bedienen.
Wir erinnern zu diesem Zweck an den folgenden Satz:
Wenn der Werth der unendlichen Reihe
1 + (5) k'3 + (53) kt GE) Ro +...
mit L bezeichnet und zur Abkürzung
I=L, 1+(4)°=L, 1+ (ja (ft L, etc.
gesetzt wird, 80 gilt die Gleichung
K= L log 5 —2 [5% —1) + —L)+ (LL) + … |
für Werthe von X in der Umgebung von X = 0.
Da die Periode T folgenden Ausdruck hatte
ENT CORRE (25)
sehen wir also aus der obigen Formel für X, dass wenn der Modul k gegen
den Werth Eins konvergirt, d. h. A gegen Null, so wächst gleichzeitig 7
über alle Grenzen und zwar so, dass der Quotient
T
log
sich allmählig einer endlichen Grenze nähert.
Der Übergang von Libration zu Limitation geschieht also dadurch, dass
die Periode der Librationsbewegung allmählig grössere und grössere Werthe
annimmt. Die Limitation ist wie ein Grenzfall von der Libration zu be-
trachten, und die Bewegungsverhältnisse, die beim Übergang von der einen
Bewegung zur anderen vorkommen, sind von derselben Art wie die inter-
Mélanges mathem, et asiron. T. VII, p. 18.
(xxxnı)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALOLEICHUNGEN FÜHREN. 27
essanten Erscheinungen, die im Problem der drei Körper zum Vorschein
kommen, wenn die mittleren Bewegungen zweier Planeten nahezu kommen-
surabel sind. .
Die Diskontinuität in der Behandlung der Limitations- und der Librations-
fälle kann man vermeiden, wenn man bei der Einführung der Hülfsgrösse
w auch die «gefährliche» Wurzel in à (x), die mit einer von den Librations-
grenzen zusammenfallen kann, berücksichtigt. Unserem in diesem Aufsatze
befolgten Princip gemäss geschieht dies, indem wir den Zusammenhang
zwischen w und x durch die folgende Gleichung feststellen:
(a) —= (1 — a) (b — x) (x — c),
wo c die fragliche Wurzel in ® (x) bezeichnet. Wir bekommen dann & durch
eine elliptische Funktion von w ausgedrückt, welche Form hier sowolıl die
Librations- wie die Limitationsfälle umfasst.
10. In einer Abhandlung'), im Januar dieses Jahres der Akademie vor-
gelegt, habe ich ein mechanisches Problem behandelt, welches in mehreren
Beziehungen die bei hyperelliptischen Integralen auftretenden Bewegungs-
verhältnisse illustrirt, und das ich auch hier als ein Beispiel der obigen
Auseinandersetzungen erwälnen will, um einige, in der genannten Ablıand-
lung nicht betrachtete Punkte zu bchandeln.
Bei der Behandlung des fraglichen Problems hatte ich die Vortheile
der Zerspaltung der ursprünglichen Gleichung (2) in zwei andere (3) und
(4) noch nicht gefunden.
Das fragliche Problem können wir in folgender Weise ausdrücken:
Drei materielle Punkte mit den Massen A, B und C werden mit belie-
bigen Anfangsgeschwindigkeiten nach beliebigen Richtungen, die doch alle
in der vom Dreieck ABC anfangs bestimmten Ebene liegen, ausgeschleu-
dert. Sie ziehen sich gegenzeitig nach dem Newton’schen Gesetze an, sind
aber während der Bewegung der Bedingung unterworfen, dass die Abstände
von B und C zu A unverändert bleiben. Es ist ihre Bewegung zu unter-
suchen.
Wenn wir mit R den Abstand zwischen B und C' bezeichnen, mit a und
a, die konstanten Abstände AB, AC resp., und mit & und ß endlich zwei
von a, a,, B und C abhängige, positive Konstanten, deren Werthe wir unten
angeben, hatten wir in der besprochenen Abhandlung zur Bestimmung von
R die folgende Gleichung erhalten:
1) «Über eine mit dem Problem der drei Körper verwandte Aufgabe».
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 10.
28 DR. 0. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N. 8. ı
1 (S) = (R— 0a) (rat RY(R+3-+-BR?), . (26)
wo
B C, 1 B Ü
a, p= (7 t }
CA a? aa? \a a,
und K eine Integrationskonstante bezeichnet, die von R und = beim An-
fang der Bewegung abhängt. Es verdient noch bemerkt zu werden, dass der
Winkel w zwischen den Verbindungslinien AB und AC durch die folgende
Gleichung bestimmt ist:
do \s 2
(7) =EKE+-Z-+ßR®. ............ (27)
R ist also durch eine hyperelliptische Differentialgleichung bestimmt,
und wir können mit Hülfe der eben gemachten Uutersuchungen die Bewe-
gung studiren. Es sind die Wurzeln der rechten Seite von (26), die uns
vor Allem interessiren. Der letzte Faktor verschwindet für drei Werthe von
R und da « und ß positiv sind, wissen wir, dass wenigstens eine von diesen
Wurzeln negativ ist. Wir nennen diese Wurzel —@ und setzen
BR’+ KR+%a—$(R—R)(R—R)(R+0),
wo nach (27) nur solche Werthe von R vorkommen können, für welche das
Produkt
(R—R)(R—R)
einen positiven Werth hat. Also muss R entweder grösser als R, und R,
sein, oder kleiner als beide. Wenn À, und A, reell sind, nehmen wir
RzZRan.
Die Gleichung (26), in der Form
4 R(%) = (R-a-a) (ara —R)(R- R)(R-R)(R--a-a) 2
(a+a +R) BR(R+e)
geschrieben (a > a,), zeigt uns nun:
1) Wenn &, und R, entweder imaginär sind oder reell, aber grüsser als
a + a, oder kleiner als a— a,, so muss in À Libration auftreten, indem
R zwischen den Grenzen a — a, und a-+-.a, periodisch schwankt. Nach den
früheren Auseinandersetzungen würden wir dann bei der Behandlung des
Problems eine Hülfsgrösse w, einführen, die durch folgende Gleichung be-
stimmt wäre
(=) — (R—a—a)a ra —R)
Mélanges mathéw. et astron. T. VII, p. 20.
(xxxn1)] DIE AUF AYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 29
oder
R=(a— a) cos’ Zw, + (a + a,) sin? +
Die Periode wird mit Iülfe der Gleichung (18) gefunden.
2) Wenn ar > R>a—a IR, wird eine Libration zwischen
den Grenzen a +- a, und 2, entstehen. Die Hülfsgrösse eo, hängt mit R fol-
gendermaassen zusammen
R = li, cos? 3 10, + (a + a,) sin? TU.
3) Wenn R>a+a > R,>a—a, wird auch Libration auftreten,
und zwar zwischen À, und a — a,. Dann setzt man
R=(n— a,) cost — 0, + À, sin? — y
4) Wem a+ a, > R, > R > a—a,, ebenfalls Libration, entweder
zwischen a + a, und Zi, oder zwischen R, und a —a,. Dieselben Hülfs-
grössen wie im Falle 2) und 3) kommen zur Anwendung.
5) Wem ara > R = R,> a—&, so wird dagegen Limitation
auftreten, und zwar indem sich R mehr und mehr dem Werthe À, — R,
nähert. Nehinen wir beispielweise an, dass R anfangs sich zwischen a + a,
und g (= À, und À) befindet, so setzen wir
(E)=(+a,—R)(R— 9),
d. h. nach den Formeln p. 9
„RI 1
a+e—R [ı-e"]
N=yara—.
6) Wenn a+a, a+a=hR> a—a,> R, wird die Gleichung nur von dem
Werth R=a--.a, erfüllt, und wenn R, >a+a>R,=a0—a, 80
wird nur der Werth R — a — a, gestattet sein.
7) Wenn R,>a a+a=R, >a— a, G,, oder ar, >R=a—a>R,
so wird Limitation auftreten von ähnlicher Art wie in 5).
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 91.
30 DR. 0. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 8. ı
8) Wenn endlich entweder = R,=— a — a, oder R=R,=a--a,,
so wird auch Limitation auftreten. Im ersteren Fall z. B. wird
4 R* (F = (R—-a—a)(a+a—R)(R+a—-a)(R+a+a)BR(R+0).
Dann setzen wir
(FE) = (R—a—a)(a+-a,—R),
also nach p. 9 |
R-a-a __1_
ara —ER a2?
oder
R— tata a a,w,?
u 1 + a,20,2 )
und es ist also R eine rationale Funktion von #.
In allen diesen Formeln bedeutet # eine mit £ stetig wachsende Grösse,
die alle reelle Werthe zwischen — oo und -+ oo annimnit.
Es verdient bemerkt zu werden, dass der unter 1) behandelte Libra-
tiousfall sich von den unter 2), 3) und 4) behandelten dadurch unterscheidet,
dass in den drei letzteren Fällen auch in w eine Libration eintritt wie es
die Formel (27) zeigt, was aber in 1) nicht der Full ist. Es ist aus diesen
Gründen, dass ich in der vorigen Abhandlung über dies Problem nur 2), 3)
und 4) mit dem Namen Libration bezeichnete, weil dies aus geometrischen
Gesichtspunkte geeigneter ist.
Ein gewisser Übelstand bei der früheren Diskussion liegt darin, dass |
man für jede besondere Art von Kombinationen der Wurzeln verschiedene
Substitutionen machen muss, und dabei auch verschiedene Hülfsgrössen w,,
w, etc. nöthig hat. Es scheint mir desswegen nicht unnützlich zu bemerken,
dass man, von einer etwas veränderten Betrachtungsweise ausgehend, alle
diese Substitutionen durch eine einzige ersetzen kann. In der That brauchen
wir nur eine Grösse u einzuführen so bestimnit, dass
(5) = Re) (+, — BR) R—R)R—R,) ... (29)
und dann wird
art) — (R+a—a) (a ++ BR)BR(R-+0).... (80)
Aus der letzten Gleichung ist unmittelbar ersichtlich, dass # mit é stets
wachsen (resp. abnehmen) muss und überhaupt von demselben Charakter
Mélanges wathéw. et astrou. T. VII, p. 92.
(zxxın)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFRRENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 31
ist wie früher w. Die Gleichung (29) giebt uns R als eine elliptische Funk-
tion von w. Sie erinnert, diese Zerlegung der ursprünglichen Gleichung
für À, an eine von Dillner eingeführte Betrachtungsweise für die Um-
kehrungen hyperelliptischer Integrale. (Vergleich: «Apergu d’une nouvelle
manière de représenter les inversions des intégrales hyperelliptiques» in den
Memoiren der Bordeaux?) Akademie 1883). Wenigstens scheint es mir, als
ob dies die einfachste Methode wäre, die von ihm eingeführten Umkehrungen
analytisch zu untersuchen.
Um bei Berechnung des Ausdruckes für R durch w imaginäre Substitu-
tionen und Module zu vermeiden, scheint es zweckmässig À mit Hülfe der
von Weierstrass eingeführten Funktion p (uw) auszudrücken. In der That
wird es dann möglich R durch eine p-Funktion auszudrücken, deren Invari-
anten bei allen Combinationen der Wurzeln in (29) reell sind. Wir werden
uns indessen mit dieser Reduktion hier nicht weiter beschäftigen.
Ausser dem eben behandelten Probleme können natürlich viele andere
angeführt werden, in denen die obigen Untersuchungen Anwendung finden.
Solche Probleme sind z. B. die Einwirkung der Abplattung der Planeten
auf die Bewegung ihrer Satelliten, die vom Saturnringe ausgeübten Stö-
rungen der Saturnsatelliten u. s. w. samımt allen mechanischen Aufgaben,
die auf elliptische Integrale dritter Ordnung führen, und die man im Allge-
meinen mit grösserem Vortheil nach den hier auseinandergesetzten Princi-
pien behandelt, als wie gewöhnlich durch Reduktion auf 8-Funktionen.
11. In den «Matlıematischen Annalen» für das Jahr 1887 hat Prof.
Staude in Dorpat einige sehr interessante Untersuchungen gemacht über
Differentialgleichungen von der Form
— "gu _ Qu) ds ACL
„Fu Fu (©) .” Fi (T2)
l'antyde, , |" ge (en da
Vu ED (2) VE &)
WO Li dy %, und x, reelle Veränderliche sind, und die Funktionen g und F
gewisse Bedingungen erfüllen. Er hat dabei die anfangs erwähnten Unter-
suchungen von Weierstrass, für Differentialgleichungen von der obigen
Form generalisirt, und gezeigt, dass unter gewissen Voraussetzungen z, und
x, doppelt reell periodische Funktionen von f, und 2, sind, zu welchen als
_ - mms un...
2) Mémoires de la Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux 2° série, t. V,
3° cahier.
Mélanges mathem. ot astron. T. VII, p. 98.
32 DR. 0. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME U. 8. W. [N. 8.1
specielle Fälle die hyperelliptischen Funktionen zweier Veränderlichen vom
Geschlecht 2 gehören.
Dies Resultat kann in analoger Weise mit der obigen Untersuchung
generalisirt werden, also unter allgemeineren Voraussetzungen über die
Wurzeln der Funktionen F. Ebenso wenn die Zalıl der unabhängigen Ver-
änderlichen £,, i, etc. und der abhängigen Veränderlichen z,, x, etc. grösser
als 2 ist. Diese letzteren Fälle scheinen mit dem Problem der drei Körper
in einem gewissen Zusammenhang zu stehen und verdienen aus diesen
Grunde näher studirt zu werden.
Mélanges matlıcın. ot astrun. TU. VIT, p. 44.
(xxx) ] | 33
Entomologische Beiträge, von August Morawitz. (Lu le 1 Novembre 1888).
I, Zwei neue centralasiatische Carabus-Arten.
Die beiden folgenden Caraben sind von Herrn Haberhauer in den
Bergen östlich von Taschkent gesammelt worden, zugleich mit Carabus puer
und C. Akinini, Arten, welche in den Gebirgen südlich vom Issikul zuerst
aufgefunden sind.
1. Carabus (Cratocephalus) pupulus: Oblongus, niger, coleopteris cu-
preis, dorso nonunquam viridulis, ore, antennarum articulis primis quatuor
femoribusque rufo-brunneis, capite angustiore pronotoque cupreo-nitente
distincte punctatis, hoc parvo postice rotundatim angustato, usque ad mar-
ginem tenuiter callosum convexo, angulis posticis apice extremo angulatis
minimis; coleopteris ellipticis convexis, humeris vix ullis, obsolete punctato-
striatis, limitibus alternis distinctius tuberculatis. © 15 mm.
6. Minor, gracilior, tarsorum anticorum articulis quatuor primis valde
dilatatis, transversis, subtus spongiosis. 13’/, mm.
Im Bau mit C. (Cratocephalus) infantulus zunächst übereinstimmend,
es sind, wie bei diesem, die Augen stark gewölbt, das vierte Fühler-
glied kurz u. s. w.; Kopf, Halsschild und Flügeldecken sind aber deutlich
schmäler und erscheint daher diese Art im Ganzen etwas schlanker als
C. infantulus.
Schwarz, auf der Oberfläche des Halsschildes mit Kupferschimmer, die
Flügeldecken kupfrig, beim Weibchen auf der Scheibe mit grünlichem
Schimmer, der Mund, die vier ersten Fühlerglieder und die Schenkel roth-
braun. Die Oberfläche des Kopfes ist deutlich, etwas zerstreut punktirt, der
Clypeus von der Stirn durch eine eingedrückte feine, in der Mitte gerade
Linie abgesetzt und am Vorderrande etwas bogig ausgerandet. An dem Kinn
sind die Seitenlappen vorn abgestutzt, der Kinnzahn ragt über dieselben
als flacher, vorn abgerundeter, über die Fläche des Kinns nach unten vor-
tretender Zapfen vor.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 5. 8
34 ‘ AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
Das Halsschild erscheint im Vergleich zu den Flügeldecken sehr klein,
ist kaum mehr als 1!/, mal so breit als lang, an den Seiten bogig gerundet
und nach hinten ziemlich stark verschmälert; der Vorderrandwulst ist in
der Mitte ganz undeutlich; von den kurzen, an der Spitze winkeligen Hin-
terzipfeln nimmt jeder ein Zehntel des Hinterrandes ein. Die Oberfläche des
Halsschildes ist überall ziemlich grob und deutlich, in der Mitte etwas spär-
licher und feiner punktirt, der Eindruck vor den Hinterzipfelu ist flach und
undeutlich.
Die Flügeldecken sind etwas mehr als 1°, mal länger als breit, nach
vorn etwas verschmälert, an den Schultern in schr flachem Bogen abge-
rundet; die Punktstreifen werden von den Höckerchen mehr oder weniger
verdrängt, die Höckerchen der zweiten, vierten, sechsten, achten, zehnten
und zwölften Reihe sind nahezu gleich ausgeprägt, fliessen der Länge nach
stellenweise zusammen, sind im Ganzen ziemlich flach, treten aber, da sie
dunkler, fast schwärzlich sind, deutlich hervor.
2. Carabus (Tribax) eous: Elongatus, convexiusculus, niger, supra laete
cupreus nonunquam cum nitore viridulo, ore, antennarum articulis quatuor
primis, tibiis tarsisque rufo-brunneis nigroque variis; elytris striis punctatis
quindecim subregularibus, limitibus angustis aequalibus, 4°, 8°, 12°que ra-
rius magis prominentibus. © 18 mm.
8. Minor, gracilior, tarsorum auticorum articulis quatuor primis valde
dilatatis, transversis, subtus spongiosis. 15 mm.
Schwarz, die Oberseite rôthlich kupfern, hin und wieder mit grün-
lichem Schimmer, der Mund mit den Tastern, die ersten vier Fühlerglieder,
die Schienen und Füsse rothbraun; die Endglieder der Taster sind schwarz,
die übrigen zum Tlieil schwärzlich, so auch die ersten Fühlerglieder, die
Spitze der Schienen und der einzelnen Fussglieder.
Der Kopf ist verhältnissmässig klein, hinter den Augen mit sehr flacher
Einschnürung, auf der Oberfläche grob und seicht eingeritzt. Der basale
Ausseneindruck der Mandibeln ist ziemlich scharf begrenzt; an den Kiefer-
tastern ist das Endglied deutlich länger als das vorhergehende. Die Fühler
sind kurz, nach hinten bis zum Anfang des zweiten Viertels der Flügel-
deckenlänge reichend, das erste Fühlerglied etwa so lang als das dritte, das
vierte kurz, so lang als das zweite und beim Weibchen am Enddrittel, beim
Männchen aber am Endfünftel fein behaart.
Das Halsschild ist etwa 1‘, mal breiter als lang, vorn in flachem Bogen
ausgerandet, mit abgerundeten Vorderecken und hier deutlich schmäler als
am Hinterrande; an den Seiten ist das llalsschild gerundet, nach hinten zu
kaum wahrnehmbar ausgeschweift. Von den kurzen llinterzipfeln nimmt
Melanges biologiques. T. XIII, p. 6.
(xxx) ] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 35
jeder etwa ein Siebentel des Hinterrandes ein und ist nur halb so lang als
an der Basis breit, an der nach unten etwas umgebogenen Spitze abgerun-
det und geht in flachem Bogen in den geraden Hinterrand über. Die Ober-
fläche ist deutlich gewölbt, wie der Kopf, von unregelmässigen groben
Rissen durchzogen, die nach den Seiten zu dichter gedrängt sind, wo
das Halsschild auch etwas abgeflacht ist, welche Abflachung nach hinten
zu an Breite etwas zunimmt. Der deutliche Längseindruck vor dem
Hinterrande ist im Grunde stärker vertieft, der hintere Quereindruck
scharf ausgeprägt, der Vorderrandwulst ziemlich fein, doch deutlich ab-
gesetzt.
Die Flügellecken sind leicht gewölbt, mit ganz flach abgerundeten
Schultern, vor der Spitze kaum ausgeschweift, beim Männchen etwa 1%,
beim Weibchen etwa nur 1%, mal breiter als lang und an den Seiten auch
viel gerundeter als beim Männchen; sic sind bis an den Umbilicallimes ziem-
lich regelmässig gestreift, diese fünfzehn Streifen sind im Grunde deutlich
punktirt, die Zwischenräume erscheinen als schmale, gleichmässig gewölbte
Streifen und ist der vierte, achte und zwölfte von den übrigen nicht ver-
schieden und nur bei einem Männchen ein wenig stärker vortretend; vor
der Spitze lösen sich alle Streifen auf und gehen in eine unregelmässige
Runzelung über.
Beim Männchen sind die vier ersten Glieder der Vorderfüsse stark
erweitert und mit schwammiger Sohle versehen, das zweite ist fast doppelt
so breit als lang, das dritte um ein Drittel kürzer als dieses und kaum etwas
schmäler, das vierte dagegen ganz klein und kurz, doch auch wenigstens
doppelt so breit als lang.
In der Wiener Entomologischen Zeitschrift hat nenerdings A. v. Semenow cine neue
centralasiatische, gleichfalls zur Abtheilung der tribacogenen Caraben gehörige Art beschrieben,
welche aber noch mehr abzuweichen scheint von den flachen kaukasischen Tribax-Arten als
die hier beschriebene. Mir ist zur Zeit die Beschreibung der von Semenow, auf seiner dies-
jährigen Reise in Turkestan, entdeckten Art leider noch nicht zugekommen, und kann ich daher
über etwaige nähere oder fernere Verwandtschaft zwischen dieser Art und dem Carabus eous
vorläufig auch keine Angaben machen.
Als Tribax-Gruppe betrachte ich diejenigen Caraben, welche mit den von Fischer (Mém.
d. Mosc. V. 1817. p. 463.), als zu seiner Gattung Tribax gehörig, namhaft gemachten Arten über-
einstimmen, welchen Namen Tribax, nur weil er nicht charakteristisch genug sei, Kolennti
(Melet. ent. I. 1845. p. 25.) durch Platychrus ersetzen zu müssen glaubte. Als Plectes-Gruppe
fasse ich dagegen diejenigen flachen kaukasischen Caraben zusammen, als deren Typus der von
Fischer (Entomogr. Ross. III. 1825—28. p. 230.) schliesslich allein als Plectes aufgefasste
Carabus ibericus angesehen werden kann. Tribax und Plectes sind zwei äusserst nahe ver-
wandte Gruppen, die, was den Habitus anbetrifft, in einem ähnlichen Verhältniss zu einander
stehen, wie die gleichfalls unter einander äusserst nahe verwandten Gruppen Damaster und
Coptolabrus (cf. Mor. Adcph. 1886. p. 19.). Auch Reitter (Wien. E, Z. 1887. p. 186.) nimmt
Molangon hlologiquos. T. XII, p. 7. g+
36 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1
jetzt diese beiden Gruppen unter den flachen kaukasischen Caraben als berechtigt an, ersetzt
aber den Namen Plectes durch den von ihm früher für eine umfangreichere Untergattung vor-
geschlagenen Namen Neoplectes. Über diese Namenänderung{ sagte übrigens Ganglbauer
(Deutsche E. Z. 1886. Heft II. p. 806. Anm. 1.): «Hr. Reitter (Wien. E. Z. 1885. p. 27.) hat
unter der irrigen Voraussetzung, dass Pterostichus Drescheri den Typus der Fischer’schen
Gattung Piectes bilde, für Plectes im bisherigen Sinne den Namen Neoplectes vorgeschlagen.
Dieser Name ist somit überflüssig», und hätten daher die Bemerkungen, weiche Reitter
(Wien. E. Z. 1887. p. 104. 15.) gegen die Nichtannahme des Namens Neoplectes machen zu
müssen glaubte, doch eher gegen seinen Freund Ganglbauer, der überdies selbst die erste
Veranlassung zur Namenänderung gegeben, gerichtet werden müssen und nicht, mit Verheim-
lichung von Ganglbauer’s Ausspruch, allein gegen mich, um so mehr, als ich mich, wenn
auch nahezu gleichzeitig, über diese Namenänderung lange nicht so absprechend geäussert,
wie es von Ganglbauer geschehen. Vorläufig kann man die Gruppen Plectes (Neoplectes) und
Tribaæ (Platychrus), da sie einmal in Vorschlag gebracht waren, als solche bestehen lassen,
indem so durch Nennung der Gruppe, zu welcher eine etwaige neue oder wenig bekannte Art
gehört, immerhin sogleich ein genauerer Begriff gegeben wird über habituelle Eigenthümlich-
keiten dieser Formen und eingeschränktere Verwandtschaft.
Mélanges biclogiques. ‘T. XIII, p. 8.
(xxzım)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 37
II, Zur Synonymie einiger Carahon,
In der Deutschen Entomologischen Zeitschrift (1886. p. 379. Anm. 1.)
druckt Ganglbauer die von Fabricius (Syst. El. I. 1801. p. 171.16.)
gegebene Beschreibung des Carabus lusitanicus wieder ab mit dem Zusatz :
«Diese Beschreibung passt absolut nicht auf C. anfiquus Dej. und es ist somit
das in der Fabricius’schen Samınlung befindliche Exemplar des ©. lusi-
tantcus, nach welchem Schaum denselben auf C. antiquus bezog, nicht als
Type zu betrachten». Wenn dagegen von anderer Seite für die Deutung der
beschriebenen Arten gleichfalls die Beschreibungen als maassgebend angese-
hen worden sind, so spricht Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. Nr. 1.) so-
gleich mit apodictischer Gewissheit über «zahlreiche unrichtige synonymische
Angabem, einzig und allein nach oberflächlicher Ansicht angeblicher Typen,
auch wenn die Beschreibungen «absolut nicht» auf dieselben passen und ohne
auf diese Beschreibungen auch nur im Geringsten einzugehen ; ja, ohne sich
selbst auch nur etwas Zeit zur Überlegung zu gönnen und es für nöthig zu
erachten, seine kategorischen Bemerkungen anders zu begründen als durch
den Wunsch zu «korrigiren». Es ist ja auch kaum statthaft, dass in neuerer
Zeit noch Jemand über Caraben Untersuchungen anstelle ausser Gangl-
bauer allein, der sich zu wiederholten Malen urbi et orbi als Monograph
angekündigt und als solcher von dem austro-germanischen Entomologenring
auch gleich für unfehlbar anerkannt ist. Wer. kann denn auch besser ur-
theilen als der Monograph, dessen für 1886 angekündigte Arbeit indessen
immer noch — angekündigt bleibt. Doch ich will auf diese jedenfalls sehr
sonderbaren Ankündigungen nicht näher eingehen. Hier handelt es sich ja
auch zunächst um den Carabus lusitanicus, mit welchem Schaum den
Dejean’schen C. antiquus identificirt.
Hinsichtlich derjenigen Form, welche Schaum (Berl. E. Z. 1860. p.
81. 4.) als C. lusitanicus in der Fabricius’schen Sammlung fand, ist
Schaum’s Hinweis indessen doch wohl von Wichtigkeit, dass Ahrens
(Faun. Ins. Eur. I. 1812. t. 7.) diesen ©. lusiianicus recht kenntlich abge-
bildet. Schaum stellt natürlich, wie es Jeder thun muss, der solche rohe
Abbildungen aus alter Zeit vergleicht, an dieselben nur sehr geringe Anfor-
derungen und meint unter «recht kenntlich» doch nur, dass der Habitus
einigermaassen wiedergegeben ist. Ein Vergleich dieser Abbildung, welche
Ganglbauer auffallenderweise ganz unbekannt geblieben ist, mit der von
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 9.
38 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. 1
Dejean (Iconogr.I. 1829.t. 47. f. 1.) mitgetheilten, zeigt klar genug, dass
Schaum, der den Dejean’schen C. antiquus ohne Zweifel nie gesehen,
‘ einzig und allein aus dem Grunde, weil Dejean ein recht schlankes Exemplar
des C. lusitanicus abgebildet, wie solche aus der Umgegend von Lissabon
Schaum nicht gekannt, der irrigen Meinung war, dass Dejean die dort
vorherrschenden kürzeren und breiteren Exemplare des ©. lusitanicus als
C. antiquus bezeichnete, und hat diese auch Ganglbauer selbst, eben so
wie es Schaum gethan, irrigerweise für den wahren C. antiquus Dej. er-
klärt und als var. antiquus aufgeführt. Dejean waren diese gewöhnlicheren
breiteren Exemplare des C. lusitanicus aus dem mittleren Portugal aber
schwerlich unbekannt, da Dejean (Spec. II. 1826. p. 91. 43.) keineswegs
völlig davon überzeugt, dass es auch wirklich die Fabricius’sche Art sei,
von seinem Carabus lusitanicus angibt: «mais c’est le même que celui rap-
porté du Portugal par M. le comte de Hoffmannsegg, et qui est regardé
comme le véritable C. lusifanicus dans la collection du Museum royal de
Berlin et par presque tous les entomologistew. Über den von Fabricius
zuerst bekannt gemachten Carabus lusitanicus, welchen Ganglbauer auch
nicht einmal zu deuten versucht, kann darnach gar kein Zweifel obwalten,
und sind ©. lusitanicus Fabr. und C. lusitanicus Dej. ein und dieselbe Art,
und sind dieselben überdies, da sie nur Unterschiede im Habitus darbieten,
auch nicht einmal als verschiedene Rassen anzusehen. Das von Fabricius
beschriebene Exemplar gehört indessen zu einer schwarzen l'arbenabände-
rung, wie solche sog. Nigrinos übrigens bei fast allen metallischen Carabus-
Arten vorkommen und wie auch unser Museum ein schwärzliches Stück von
der nordportugiesischen Form besitzt.
Ganglbauer führt diese nordportugiesische Form, welche bis zum Jahre
1860 ganz unbekannt war, als C. lusitanicus var. Schaumi Gaubil auf.
Gaubil (Cat. d. Col. 1849. p. 17. 63°.) hat aber, in der irrigen Meinung,
dass C. antiquus Dej. der echte C. lusitanicus Fabr. sei, für die von De-
jean unter letzterem Namen beschriebene Art nur einen neuen Namen in
Vorschlag gebracht, welcher neue Name übrigens schon von A. Deyrolle
(Ann. S. E. Fr. 1852. p. 245. 11.) zurückgewiesen worden ist. Die er-
wähnte nordportugiesische Form des C. lusitanicus, welche Gaubil damals
eben so unbekannt war wie allen andern Entomologen, ist von Paulino d’
Oliviera crst viel später in der Serra d’ Estrella aufgefunden und zwar wahr-
scheinlich erst kurz vor dem Jahre 1860. Schaum (Berl. E. Z. 1860. p.81.4.)
hielt diese Form irrigerweise für den Dejean’schen C. lusitanicus und scheint
Exemplare dieser Form gleichfalls erst von Paulino erhalten zu haben, und
wollte es ihm daher vielleicht auch überlassen, diese von C. lusitunicus Yabr.
seiner Meinung nach specifisch verschiedene Form zu benennen. Erst zwei
Mélanges biologiques. T. XII, p. 10.
(xxxm)] ENTOMOLOGISCHE REITRÄGR. 39
Jahre später gab Schaum (Cat. Col. Eur. ed. II. 1862. p. 3.) den Namen
Hellwigi, und wurde unter diesem Namen die nordportugiesische Form in
grosser Anzahl verbreitet, so dass sie jetzt in den Sammlungen am zalıl-
reichsten vertreten ist, und hat sie auch Thomson (Opusc. ent. VIL 1875.
p. 648. 2.) als C. (Hadrocarabus) Hellwigi kurz charakterisirt. Zu dieser
nordportugiesischen Form, welche Schaufuss übrigens als C. lusitanicus
bezeichnet, wie unserem Museum gesandte Exemplare es darthun, gehört
als Sculpturaberration C. descensus Schauf. (Nung. Otios. I. 1871. p. 195.),
welchen Schaufuss (l. c. II. 1876. p. 367.) selbst bereits zu stinem C.
lusitanicus zicht, und unterschied Schaufuss (l. c. III. 1882. p. 557.) spä-
ter noch eine andere Sculpturaberration als C. mediotuberculatus var. nov.
Diese nordportugiesische Form ist also mit vollem Recht als «Hellwigi» be-
zeichnet worden und lässt sich für den von Ganglbauer hervorgesuchten
Namen «Schaumi» absolut nichts geltend machen als Ganglbauer’s Wunsch,
einen eingebürgerten Namen durch einen mit vollem Recht unbeachtet ge-
bliebenen zu ersetzen, der, selbst wenn er gebraucht werden könnte, jeden-
falls nicht zur Bezeichnung der nordportugiesischen Form gebraucht wer-
den darf. |
Eine dritte südportugiesische Form ist von Paulino d’ Oliveira als '
C. antiquus Dej. bezeichnet worden und führt Paulino, der diese drei
portugiesischen Formen als zu Einer Art gehörig ansehen zu müssen glaubt,
diese unter dem Namen C. antiquus auf, weil er der Ansicht war, das C. lusi-
tanicus Fabr. auf keine dieser drei Formen zu beziehen sei. Abgesehen
davon sind aber Paulino’s Angaben im Übrigen sehr zutreffend, denn Pau-
lino unterscheidet auch drei Formen: eine nordportugiesische von der Serra
d’ Estrella und S. do Gerez, welche Paulino indessen gleichfalls irriger-
weise als C. antiquus var. lusitanicus Dej. bezeichnet, eine mittelportugie-
sische von Leiria und Azambuja, zu welcher das als C. antiquus var. Viet-
rae unterschiedene, gleichfalls in der Nähe von Leiria gefundene Exemplar
als Aberration hinzuzuziehen sein dürfte, und endlich eine südportugiesische
von Beja und Faro, welche Form Paulino wohl mit Recht als C. antiquus
Dej. bezeichnet. Paulino d’ Oliveira (Mél. entom. 1876. p. 19. Anm.)
hebt es aber ausdrücklich hervor, dass die Exemplare aus dem Süden (Beja
et Faro) und aus dem Norden (Serra d’ Estrella et Gerez) so sehr von ein-
ander abweichen, dass es nahe liege, sie als zu zwei verschiedenen Arten
gehörig anzusehen, «mais nous possédons des exemplaires des localités inter-
médiaires (Azambuja et Leiria), qui par leur forme aussi bien que par leur
position géographique établissent la transition parmi les premiers», und ge-
hören diese, den Übergang zwischen den nord- und südportugiesischen For-
men angeblich vermittelnden Exemplare zu C. lusitanicus Fabr., Dej.,
Mélanges blolngiquer. T. XIII, p. 11.
40 ‘ AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
Schaum (= antiquus Ganglb. nec Dej.). Speciell von C. antigquus sagt
Paulino: «Vers le sud du Portugal la forme de ces carabes devient gradu-
ellement plus trappue, le corselet s’élargit et les bords de celui-ci se
rabaissent en même temps que les élytres deviennent plus courts, plus
larges surtout antérieurement et moins convexes. Zu C. antiquus kann die
von Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1886. p. 379.) dafür angesehene Form
schon deshalb nicht gehören, weil sie durch «hinten sehr breit aufgebogene
Seiten des Halsschildes» von der nordportugiesischen Form abweicht, welche
letztere wach Ganglbauer (l. c. p. 380.) «hinten weniger breit abgesetzte
und weniger aufgebogene Seiten des Halsschildes hat». Denn ©. anti-
quus verhält sich in dieser Hinsicht zu C. lusitanicus nach Dejean (Spec.
U. 1826. p. 91. 44.) gerade umgekehrt: «les bords latéraux sont moins re-
levés», was auch in der nach Ganglbauer «eminenten» Dejean’schen Ab-
bildung deutlich zu sehen ist und was auch durchaus übereinstimmt mit
Paulino’s Angaben über die südportugiesische Form.
Über die Sculptur der Flügeldecken der mittel- und südportugiesischen
Formen macht Paulino Angaben, welche jedenfalls auch Beachtung ver-
dienen: «Dans les exemplaires de Leiria les lignes des élytres ne sont pas
encore interrompues, tandis qu’elles le sont déjà dans les carabes d’Azam-
buja et dans la plupart des individus plus méridionaux. Dans les premiers
les points des élytres ne terminent pas en pointe, ce qu’on voit déjà dans
les exemplaires d’Azambuja et elle devient ordinairement plus saillante dans
les exemplaires du sud». Paulino hebt es schliesslich noch besonders her-
vor, dass er die Fundorte Azambuja und Leiria nur deshalb bei seinem C.
antiquus verzeichnet, weil die von den genaunten Orteu stammenden Exem-
plare in der Gestalt mehr mit den südportugiesischen übereinstimmen, «car
par la forme, que nous croyons le principal caractère pour séparer la variété
lusitanicus Dej., ils sont plus rapprochés de l’antiquus Dej.», und scheint
darnach Paulino schlanke Exemplare aus dem mittleren Portugal, wie
Dejean einsolchesabgebildet, auch nicht gekannt zu haben. Diese scheinen
überhaupt selten zu sein und besitzt auch unser Museum nur ein solches
Männchen des C. lusitanicus. Offenbar hat Ganglbauer (l. c. p. 380.)
solche Exemplare aus der Umgegend von Lissabon, wegen ihrer schlanken
Gestalt, vermengt mit der nordportugiesischen Form, welche auch nach
Paulino’s Darstellung bei Lissabon unmöglich vorkommen kann, da fast in
der Mitte zwischen Lissabon und der Serra d’ Estrella, bei Leiria nämlich,
die mittelportugiesische Form allein vorhanden ist. Die von Ganglbauer
bei seiner var. antiquus, = C. lusitanicus Fabr., Dej., Schaum, erwähn-
ten «durch dunkel kupferig grüne Fürbung» ausgezeichneten Stücke stammen
auch vielleicht von der nordwestlich von Lissabon befindlichen Serra de
Mélanges biologiques, T. XIII, p. 19.
(xxx) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 41
Montachique und nicht von «dem südlichsten Gebirge Portugals, von der
Serra de Monchique, wie es Ganglbauer wahrscheinlich in Folge einer
Verwechselung der ähnlich lautenden Namen dieser Serren angibt. Denn
bei der südportugiesischen Form sind die breit abgeflachten Seiten des Hals-
schildes, wie es auch Paulino hervorhebt, nur sehr schwach aufgebogen,
ungleich schwächer als selbst bei der nordportugiesischen Form.
Dass die drei erwähnten portugiesischen Formen in Wirklichkeit nur
Varietäten ein und derselben Art seien, daran dürfte man eigentlich nach
Paulino’s Darstellung, dem ein sehr grosses Material dieser Formen vor-
gelegen, nicht wohl zweifeln. Einstweilen halte ich aber dennoch die An-
sicht, dass C. Hellwigi und die dünnfüssigen ©. lusitanicus und C. antiquus
nicht als drei verschiedene Arten anzusehen seien, für keineswegs erwiesen,
da ja Paulino, vielleicht befangen von den von ihm wahrgenommenen
Übergängen in der Sculptur der Flügeldecken, auf andere Unterscheidungs-
merkmale gar nicht geachtet. Das mir vorliegende Material ist leider nicht
sehr gross und von C. antiquus ist in unserem Museum überhaupt nur ein
Weibchen vorhanden, welches übrigenszu Dejean’s Beschreibung und Abbil-
dung seines C. antiquus im Ganzen recht gut. passt. Nach Dejean und Pau-
lino sind aber bei C. anéiquus die Höckerchen der Flügeldecken spitz, ähnlich
wie bei C. scabriusculus, und fliessen sie auch bei unserem Exemplar nicht
zu zusammenhängenden Leisten zusammen; nach Paulino ist letzteres bei
einzelnen Exemplaren der südportugiesischen Form beobachtet worden, wie
denn umgekehrt bei den Exemplaren der mittelportugiesischen Form von
Azambuja, wie ich solche noch nicht gesehen, keine zusammenhängenden
Leisten, sondern nur Höckerchen zwischen den Kettenstreifen vorhanden
sind. Da der C. antiquus wenig bekannt zu sein scheint, so gebe ich hier
einzelne Angaben über das mir vorliegende Exemplar. Es ist aufder Ober-
seite dunkel kupfrig bronzefarben und macht durch den verhältnissmässig
schmalen Kopf, das breite, quere Halsschild und die kurzen, breiten und nur
schwach gewölbten, und wie auch Dejean es hervorhebt, längs dem hohen
Seitenrande überdies breit abgeflachten Flügeldecken einen von C. lusitani-
cus ganz verschiedenen Eindruck. Das Halsschild erscheint im Verhältniss
zu den breiten, nach vorn kaum verschmälerten Flügeldecken, trotz seiner
transversalen Form, klein, ist fast doppelt so breit als längs der Mitte lang,
vorn nur flach ausgerandet mit verrundeten Vorderecken, die Seiten breit
abgeflacht, indessen nur schwach aufgebogen. Aufden opaken Flügeldecken,
welche kaum etwas mehr als 1} mal länger als zusammen breit sind und
deren Schultern nach aussen über das Halsschild vorstehen, sind zwischen
den Kettenstreifen drei Reihen längsgereihter, grober, rundlicher Höckerchen
vorhanden und sind die Höckerchen der mittleren Reihe etwas kleiner als
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 13.
42 AUQUST MORAWITZ, [N. 8. ı
diejenigen der seitlichen; zwischen diesen befinden sich längsgereihte feine
Körnchen, doch sind diese stellenweise undeutlich, da der Grund dazwischen
unregelmässig runzelig ist. Ähnlich gerunzelt und mit gereihten feinen
Körnchen ist auch der Grund der Flügeldecken bei der mittelportugiesischen
Form oder dem C. lusitanicus. Auch Dejean (Spec. II. 1826. p. 90.), was
übersehen worden ist, gibt von seinem C. lusiéanicus an: «on aperçoit, en
outre, dans les intervalles de ces différentes lignes des petits points peu
distincts, alternativement enfoncés et élevés», während die nordportugiesische
Form oder C. Hellwigi sich unter Anderm durch grössere Glätte auszeichnet
und auf den Flügeldecken für eine solche Runzelung auch gar keinen Platz
hat, indem zwischen den nahe an einander befindlichen erhabenen Streifen
ziemlich gleichartige, grübere, längsgereihte Körner vorhanden sind, die der
Länge nach häufig stellenweise zusammenfliessen, was so weit gehen kann,
dass zwischen den Kettenstreifen sieben an einander gedrängte convexe Strei-
fen zur Ausbildung kommen. Schon diese Sculpturdifferenz der Flügel-
decken steht einer Identificirung des Dejean’schen C. lusitanicus mit der
nordportugiesischen Form entgegen und wird von letzterer überhaupt wohl
Niemand ein Exemplar gesehen haben, welches hinsichtlich der Form und
Breite des Halsschildes und der Sculptur der Flügeldecken übereinstimme
mit der offenbar sehr guten Abbildung, wie sie Dejean von seinem C. lusi-
tanicus gegeben. Exemplare, welche mit irgend welchem Recht als Über-
gangsexemplare zwischen den drei besprochenen portugiesischen Formen in
Anspruch genommen werden könnten, sind bis jetzt wenigstens noch nicht
bekannt geworden und glaube ich auch, dass Paulino keine gehabt, wie ich
schon oben erwähnt. Paulino’s Angaben in dieser Hinsicht erscheinen um
so zweifelhafter, als Paulino (Revista da Soc. de instrucg. do Porto II. 1882.
p. 98. 21.), bei sonstiger wörtlicher Wiederholung der von ihm früher in
seinen Mélanges eutomologiques gemachten Angaben, z. B. als Varietäten zu
C. guadarramus, sowolıl C. Stewarti und C. errans, als auch C. Heyden:
zieht, trotzdem dass diese vier Formen von einander schr verschieden sind
und ganz allgemein als eben so viele durchaus berechtigte Arten angesehen
werden. |
Nach den Angaben, welche Chaudoir (Deutsch. E. Z. 1877. p. 76.)
über C. Gougeleti und C. antiquus macht: «qui a les tarses tout aussi grêles
et aussi allongés et ne paraît différer que par la sculpture moins en relief»,
ist es möglich, dass zu C. antiquus auch der mir unbekannte C. Gougeleti
als Rasse oder Varietät zu ziehen sein dürfte. Chaudoir, der das Benennen
von Varietäten im Allgemeinen nicht für statthaft fand, macht daher auch
gewöhnlich nur über das etwaige Zusammengehören verschiedener Formen
zu Einer Art Angaben, olıne auf Rassenunterschiede oder Varietäten näher
Mélangos Liologiques. T. XTII, p. 14.
(xxx) | ENTOMOIOGISCHE BEITRÄGR. 43
einzugelien, was bei seinen Angaben stets im Auge behalten werden muss,
und nur so darf es auch verstanden werden, wenn Chaudoir (l. c.) ausser-
dem auch noch die Identität von ©. Gougeleti und C. leptopus behauptet.
Denn die Angaben, welche Reiche (Ann. S. E. Fr. 1863. p. 472. 2. — 1864.
p. 662.) über den C. Gougeleti macht, weichen so sehr von der Beschrei-
bung ab, welche Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 648. 3.) von seinem
C. leptopus gibt, dass ein so einfaches Verfahren, beide Formen für absolut
identisch zu erklären, wie es Ganglbauer und jetzt auch Kraatz für be-
gründet halten, ganz und gar nicht gerechtfertigt erscheint, wie aus folgen-
den, nach den Beschreibungen zusammengestellten Diagnosen ersichtlich
sein dürfte:
C. leptopus (Thomson): Niger, capite minore sublaevi, prothorace duplo
angustiore, pronoto antice parum profunde emarginato, lateribus ante medium
rotundatis, disco distinete punctato; coleopteris convexis lateribus rotunda-
tis, inter catenas substriato-punctatis, interstitiis convexiusculis, antice in-
tegris, aequalibus vel 2:0 et 6:0 magis elevatis, limbo angusto parce aspe-
rato-punctato vix metallic. 20—22 mm.
& tarsis anticis articulo 2:0 elongato-triangulari, 4:0 haud transverso.
Habitat apud Cordobam.
Sehr verschieden erscheint nach Reiche’s Angaben der
©. Gougeleti (Reiche): Obscure aeneus, capite ruguloso medio obsolete
pünctulato, pronoto capite dimidio latiore lateribus parum rotundatis et
praesertim postice parıım reflexis, antice sat profunde emarginato angulis
anticis obtusis, disco ruguloso vix punctato; coleopteris parum convexis la-
teribus subparallelis, paullo infra medium vix amplioribus, inter catenas
aequaliter seriatim asperato-tuberculatis sine punctis impressis. 22 mm.
Habitat in Hispania meridionali orientali, civitates Malacam et Cordu-
bam versus.
Zu C. leptopus gehören die von Ganglbauer (l. c. p. 377.) als var.
Gougeleti aufgeführten Exemplare von Cordoba, und ist es leider nicht zu
ersehen, ob Ganglbauer Exemplare von Grazalema bei Ronda, westlich
von Malaga, auch wirklich gesehen, da er nur über Cordoba-Exemplare
Angaben macht. Die angeblichen Übergangsexemplare zu Rassen des C.
latus bleiben vorläufig aber ganz zweifelliaft, da Ganglbauer die meisten
der von Thomson angegebenen Merkmale tiberhanpt einer Beachtung nicht
für werth gehalten. «Noch deutlicher aber vermitteln die Formen von Al-
caraz und Riopar den Übergang zu var. helluo und var. albarracinus», was
aber, da Ganglbauer (l. c. p. 378.) über diese Formen aus der Sierra
de Alcaraz absolut gar nichts angibt, doch nur für Diejenigen genügend
sein kann, die auf eigenes Urtheil vollständig Verzicht geleistet. Dieser
Mélanges biologiques, T. XIIT, p. 15.
44 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. ı
absolut gar nicht charakterisirten, angeblich deutlichen Übergangsform
gibt Kraatz (Deutsch. E. Z. 1886. p. 384.) den Namen «aalcaracinus»,
ohne über diese, von ihm benannte Form sonst etwas angeben zu können,
da er sie überhaupt noch gar nicht gesehen und nach seinem eigenen Ge-
ständniss, sich über diese ihm meistens unbekannten, angeblichen Über-
gangsformen auch kein Urtheil bilden und daher auch keine Vermuthungen
anstellen könne!
Es ist selbstverständlich sehr schwierig, zeitraubend und immer mehr
oder weniger unsicher, nach Beschreibungen allein Angaben zu machen.
Ganglbauer scheint ein kritisches Prüfen der Beschreibungen für ganz
überflüssig anzusehen, wie es bei Erörterung von Dejean’s C. lusitanicus
und C. antiquus schon ersichtlich war, und so ist es denn auch erklärlich,
wenn Ganglbauer die Beschreibung, welche ein so ausgezeichneter Be-
obachter wie Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 650. 4.) von einer hier-
her gehörigen Form gegeben, sogar ganz unbeachtet gelassen. Thomson’s
C. (Hadrocarabus) lusitanicus (nec Fabr.) = antiquus (nec Dej.) kann weder
auf C. lusitanicus, noch auch auf C. antiquus bezogen werden, und erweist
sich den Angaben nach mit Ganglbauer’s var. portalegrensis als durchaus
identisch, wenigstens stimmt das Wenige, was Ganglbauer über letztere
Form sagt, ganz zu Thomson’s Angaben. Diese Form ist aber wahr-
scheinlich nicht verschieden von dem C. Gougeleti, wenigstens ist in den
Angaben von Reiche nichts enthalten, was nicht auf diese Form bezogen
werden kann, und desgleichen gehört nach Allem hierher auch der C. Luczots
Laporte (Ann. S. E. Fr. 1832. p. 393. 11. — Etud. ent. 1834. p. 88. 2.
— Hist. nat. d. Ins. I. 1840. p. 142. 7. t. 9. f.9.), welchen Kraatz (Berl.
E. Z. 1860. p. 59. 4.) jedenfalls ganz ohne Grund mit C. antiquus für vül-
lig identisch erklärt. Thomson hält diese Form aber für specifisch ver-
schieden von C. leptopus und müssen die von ilım angegebenen Unterschiede
jedenfalls erst eingehender geprüft werden. Mit solchen inhaltlich hohlen
Phrasen, dass diese oder jene Form, über welche indessen absolut nichts
angegeben wird, den Übergang bilde, ist nichts erreicht als allenfalls eine,
zunächst doch nur subjective, «Brücke» (cf. Deutsch. E. Z. 1886. p. 384.
Anm.) von einer allgemein als Art angesehenen Form zu einer andern. Dass
übrigens die von Ganglbauer unter dem Namen Carabus latus zusammen-
gefassten Formen nur Rassen ein und derselben Art seien, dies scheint aber
auch Kraatz (Deutsch. E. Z. 1886. p. 384.), so blind er auch sonst für
Ganglbauer eingenommen ist, denn doch zu viel zu sein, indem er unter
Anderm äussert, dass ilım «die Einziehung einer Art, welche der ungemein
scharfsichtige Thomson aufgestellt hat, stets besonders sorgfältig motivirt
werden zu müssen scheint». In Ganglbauer’s Arbeit vermisst man aber
Mélauges Liologiques. 'T. XIII, p. 16.
(xxxm)] RNTONOLOGISCHE BEITRÄGR. 45
jegliche Motivirung, und ist dies um so mehr zu bedauern, als wohl kaum
Jemandem so bald ein so «ausserordentlich reiches, prachtvolles Material»,
wie Ganglbauer das ihm zugekommene selbst bezeichnet, zur Verfügung
stehen wird. Nach Ganglbauer’s (l.c.p. 381.) enomenclatorischem Stand-
punkt» hätten die als zu Einer Art gehörig aufgeführten Formen wohl auch
als Carabus antiquus zusammenfasst werden müssen, da der Name antiquus
«vor latus Priorität» hat. Doch ist dies insofern gleichgiltig, als vorläufig,
ausser Ganglbauer’s unmotivirter Versicherung, absolut gar kein Grund
vorliegt, diese Formen als zu Einer Art gehörig anzusehen.
Wozu es führt, Exemplare, welche sich als sogenannte Typen in einer
Sammlung vorfinden, ohne Kritik als unzweifelhafte Typen anzusehen, dafür
liefert doch wohl der von Dejean beschriebene und abgebildete Carabus
latus ein auffallendes Beispiel. Denn wer auch noch so flüchtig die von
Dejean (Iconogr. I. 1829. t. 47. f. 8.) gegebene Abbildung des ©. latus
sich ansieht, dem muss der Gedanke ganz fern liegen, dass C. latus De.
und C. Gougeleti Reiche identisch sein könnten, wie es erst Reiche selbst,
nach der männlichen und weiblichen Type, und später auch Chaudoir, nur
nach einer männlichen Type der Dejean’schen Sammlung, dennoch be-
hauptet haben. Kraatz (Deutsch. E. Z. 1876. p. 334.) bezweifelte frü-
her die Angabe Reiche’s, dass C. Gougeleti in der Nähe von Malaga ge-
funden sei und auch die Identität der «Carabus, die eventuell bei Malaga
gefunden wurden mit dem Cordoba-Käfer», sagt aber nichtsdestoweniger,
Reiche’s Beschreibung sei eine solche, dass darnach die Art nicht wohl zu
erkennen ist. Nachdem Chaudoir aber C. Gougeleti und C. leptopus als zu
Einer Art gehörig bezeichnet, behauptet Kraatz (Deutsch. E. Z. 1877.
p. 77.2.), dass er dieses ein Jahr früher auch schon ausgesprochen, indessen
wies hier Kraatz nochmals auf die Unterschiede der Beschreibungen hin,
awelche kaum erlauben, den grossköpfigen, bläulich schwarzen, violett ge-
randeten C. latus mit leicht punktirtem Halsschilde auf C. Gougeleti zu be-
ziehen», schliesst aber trotzdem seine jedenfalls nicht grundlosen Zweifel mit
der Bemerkung, «indessen ist Chaudoir’s Angabe wohl festzuhalten». So fest
eingewurzelt ist der Typenglaube! In Dejean’s Sammlung hat aber ganz un-
zweifelhaft, noch bevor Chaudoir Besitzer derselben wurde, eine Verstellung
der Exemplare stattgefunden: Ein Dejean’sches weibliches Exemplar des C.
latus ist in Folge irgend welcher Unachtsamkeit als Dejean’s C. helluo auf-
gestellt worden, denn nur so erscheint die Angabe von Reiche (Ann. S. E.
Fr. 1864. p. 662.) erklärlich, die Dejean’sche Type des C. helluo sei, «une
femelle beaucoup plus grosse que toutes celles que j’ai vues. Die von De-
jean gegebene Abbildung des C. latus stellt aller Wahrscheinlichkeit nach die-
Mélanges biologiques, T. XIII, p. 17.
46 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
ses von Reiche gesehene, angebliche Weibchen des C. helluo dar, während die
Dejean’sche Abbildung des Weibchens von C.helluo den meisten Exemplaren
gegenüber auf die von Reiche gebrauchte Bezeichnung «beaucoup plus grosse»
absolut gar keinen Anspruch machen kann. Ganglbauer (l. c. p. 376.),
welcher unter dem Dejean’schen Namen «helluo» fülschlicherweise eine
südostspanische Form von Aguilas (am Mittelmeer, etwas südlich von Car-
thagena) aufführt, ist überdies durchaus im Irrthum, wenn er behauptet,
Dejean habe den Fundort seines C. helluo nicht genauer angegeben. Anfangs
war Dejean allerdings nur ein Weibchen des C. helluo zugekommen, von
welchem Dejean den speciellen Fundort nicht kannte; später sah er aber
noch andere Exemplare und theilt Dejean (Spec. V. 1831. p. 533. 48.)
selbst dieses auch mit: aM. Goudot a trouvé cet insecte (C. helluo) en Espagne,
près du Guadarama. Dans le mâle les stries des élytres et les trois ran-
gées des points enfoncés sont un plus marqués que dans la femelle». Dass
die bei Guadarrama vorkommende Form des C. latus Dej., welche die fran-
zösischen Entomologen meistens als C. helluo bezeichnet, dieser Name auch
mit Recht zukommt, dürfte darnach, schon weil Dejean selbst diese Gua-
darrama-Form zu seinem (. helluo gezogen, einigermaassen gerechtfertigt
erscheinen; de la Fert& (Ann. S. E. Fr. 1847. p. 449.) indessen, welcher
mittheilt, dass in Dejean’s Sammlung, wie es übrigens auch aus Dejean’s
Beschreibung evident ersichtlich ist, von C. brevis nur Weibchen vorhanden
seien, glaubte die von Ghiliani gesammelten männlichen Guadarrama-
Exemplare als Männchen zu C. brevis ziehen zu können, das eine de
Br&me’sche Exemplar freilich mit Zweifel, weil es «aussi grand que les
plus grandes femelles et entièrement noir sans reflets métalliques», das zweite
aber mit voller Sicherheit: «Si je conserve quelques doutes à l’égard du
premier, je n’en conserve aucun à l’égard du second, que j'ai definitive-
ment placé parmi les ©. brevis de la collection Dejean». De la Ferté, der
damalige Besitzer der Dejean’schen Carabiciden-Sammlung, von welchem
erst später Chaudoir die letztere erworben, hat demnach also deu De-
jean’schen Typen Exemplare hinzugefügt, ohne die von Dejean bestimmten
und beschriebenen kenntlich bezeichnet zu haben, und ist es daher auch nicht
überraschend, wenn Reiche (Ann. S. E. Fr. 1864. p. 661.) als Typen der
Dejean’schen Sammlung bei C. brevis «8 et 9» anführt, obgleich Dejean
von C. brevis gar kein Männchen gekannt. De la Ferté mag, da er über den
Werth von Typen jedenfalls ganz im Unklaren gewesen zu sein scheint,
überhaupt auf die Erhaltung der Dejean’schen Exemplare wenig Gewicht
gelegt haben; wenigstens führt Chaudoir zu wiederholten Malen an,
dass er nicht alle Exemplare erhalten, welche Dejean in seinem Werke
beschreibt.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 18.
(XxxH1)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 47
Was nun die bei Guadarrama gefundene Form anbetrifft, so befindet
sich in unserem Museum ein, unter dem Namen Carabus guadarramus de
Brême von Ghiliani eingesandtes, schwarzes Männchen, wie ein solches
de la Ferté erwähnt, und scheint auch Gaubil (Cat. d. Col. 1849. p. 17.62.
— Deyr. Ann. S. E. Fr. 1852. p. 239. 2.) unter solcher Bezeichnung ein ähn-
liches gesehen zu haben. Ganglbauer hat aber diese Guadarrama-Form,
welche Dejean zu seinem C. helluo glaubt ziehen zu müssen, mit Dejean’s
C. brevis vereinigt, obgleich letztere Form, abgesehen von dem Bronzeglanz
und den grünlich metallischen Seiten von Kopf und Halsschild, auch durch
die Sculptur der Flügeldecken constant abzuweichen scheint und auf den
ersten Blick durch die kaum hervortretenden schmalen Kettenglieder sehr
verschieden zu sein und auch nicht einmal mit der Guadarrama-Form an
denselben Orten vorzukommen scheint. Das Männchen des C. brevis zeich-
net sich überdies dadurch aus, dass die Flügeldecken auffallend abgeflacht
sind, ähnlich wie bei dem Männchen, welches Dejean als C. complanatus
beschrieben. Nach der Abbildung, welche Dejean (Iconogr. I. 1829. t. 48.
f. 1.) von einem Weibchen des C. brevis giebt, sind die Flügeldecken 1'/,
mal so lang als breit, in dieser Hinsicht also wirklich sehr wenig von den-
jenigen des C. latus verschieden. Mit dem von Dejean (Iconogr. I. 1829.
t. 48. f. 2.) nach dem einzigen, ihm anfänglich bekannten Weibchen abge-
bildeten C. helluo, welches laut Abbildung ein auffallend kleines Halsschild
zeigt, muss aber die von Ganglbauer (l. c. p. 377.) als var. albarracinus
unterschiedene Form verbunden werden, und hat unser Museum ein solches
hinsichtlich des Habitus und des «auffällig kleinen» Halsschildes zu Dejean’s
Abbildung des C. helluo recht gut passendes, im Übrigen aber mit den ge-
wöhnlichen Guadarrama- Exemplaren übereinstimmendes Männchen von
Seoane als C. helluo erhalten, bei welchem auch der aufgebogene Seiten-
rand des Halsschildes viel schmäler abgesetzt ist als bei den Exemplaren,
wie sie bei Guadarrama sonst in grosser Anzahl gefunden worden sind. In
diesen Unterschieden sehe ich aber nicht Rassenunterschiede, sondern indi-
viduelle, wie es ja auch ‘bei vielen andern Carabus-Arten vorkommt, dass
einzelne Exemplare derselben Form durch verhältnissmässig grosses, andere
umgekehrt durch auffällig kleines Halsschild sehr von einander abweichen,
ohne deshall als verschiedene Rasse in Anspruch genommen werden zu
dürfen. Man kann übrigens auch sagen, die bei Guadarrama von Goudot
gesammelten, von Dejean nachträglich gesehenen Exemplare, welche De-
jean zu seinem C. helluo gezogen und wie solche auch die französischen
Entomologen vorherrschend als C. helluo bezeichnen, Ganglbauer aber
ohne hinreichenden Grund mit C. brevis verbunden, seien Übergangs-
exemplare zwischen C. latus und C. helluo Dej. (= var. albarracinus
Mélanges hloingiqnen. T. XII, p. 19.
48 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
Ganglb.) Es ist ja auch nicht gutanders möglich, als dass zwischen Varie-
täten, welche wirklich zu Einer Art gehören, Zwischenglieder vorhanden sein
müssen, welche wegen des ganzen Habitus der Eine geneigter ist, der einen
bereits bekannt gemachten Form zuzuzählen, während ein Andrer für solche
Exemplare eine besonders zu unterscheidende Varietät annehmen zu müssen
glaubt, indem er Gewicht legt auf Sculptur, die Conformation des Hals-
schildes u. 8. w. Erwähnen muss ich übrigens, dass Kraatz (Deutsch. E.
2. 1886. p. 384.) Ganglbauer’s var. albarracinus nach den gemachten
Angaben als Varietät zu C. lepfopus (Gougeleti Kraatz) zielt wegen des
«kleineren» Kopfes, aber das «auffällig» kleine Halsschild unbeachtet lässt,
trotzdem dass er die Grösse desselben bei C. leptopus (Gougeleti Kraatz)
als specifisches Merkmal zum Unterschiede von C. latus ein paar Zeilen
vorher besonders hervorhebt! Doch auch Dejean (Spec. II. 1826. p. 95.)
sagt von seinem C. helluo «la tête est un peu plus petite que celle des espèces
précédentes, und kann daher die Identität von C. helluo mit Gangl-
bauer’s var. albarracinus wohl als völlig sicher hingestellt werden.
Mit Dejean’s ©. brevis hat Ganglbauer auch die Weibchen zweier
anderer Formen vermengt, deren Männchen er als C. latus var. complanatus
aufführt, doch sind seine Angaben über diese Formen so nichtssagend, dass
es nicht einmal sicher scheint, ob er eine dem Dejean’schen C. complanatus
entsprechende Form auch wirklich vor sich gehabt. Auf letztere beziehe ich,
nach dem mir vorliegenden Material, die von Seidlitz (Berl. E. 2. 1867.
p. 169.) bei Escorial gesammelten Exemplare, von welchen Seidlitz auch
unserem Museum zwei Weibchen und ein Männchen mitgetheilt. Das letz-
tere passt auf Dejean’s Abbildung und Beschreibung des C. complanatus
recht gut, hat auch ziemlich gestreckte, abgeflachte Flügeldecken, welche
etwas mehrals 1Y/, mal so lang wie breit sind, während die Weibchen, welche
Dejean unbekannt waren, durch kurze und stark gewölbte Flügeldecken
ausgezeichnet sind, die etwa nur 1'/, mal länger als breit sind. Das Hals-
schild ist bei dieser Form ziemlich gestreckt, der Vorderrand in der Mitte
tief ausgerandet, und auch die Vorderecken sind weniger verrundet under-
scheinen beinahe winkelig. Bei den Weibchen sind die Flügeldecken mit
groben Punktstreifen versehen und ziemlich regelmässigen, nur wenig unter-
brochenen Zwischenräumen, welche beim Männchen flacher und fast der
ganzen Länge nach in längliche, zum Theil der Quere nach zusammen-
fliessende, Höcker aufgelöst sind, und sind auch die Punktstreifen nur stellen-
weise und auch das nur undeutlich wahrnehmbar. Die Kettenglieder sind
ziemlich schmal, der Rand der Flügeldecken grob runzelig gekörnt. Die
Färbung ist schwarz, mit blauen, stellenweise in’s Violette spielenden Rän-
dern, und macht auch de la Brülerie (Ann. S. E. Fr. 1866. p. 536.) die
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 2.
(xxx) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 49
Bemerkung «que les individus de l’Escorial sont tous d’un noir plus ou moins
blenâtre», während bei Navacerrada die Exemplare «presque toujours d’un
bronzé doré très brillant et entourré de vert» seien. Diese bronzeglänzende
Form hat auch Seidlitz (Berl. E. Z. 1867. p. 171.) in der Schlucht, die
von dem Passe von Navacerrada nach La Granja (S. Ildefonso) zu steil ab-
fällt, gesammelt, wie solche Exemplare vor Jahren auch Staudinger in
grosser Anzalıl von dort mitgebracht, und hat Schaufuss (Sitzungsb. d. G.
Isis. 1862. p. 190. — Nung. Otios. II. 1874. p. 319.) diese «nach Dejean’s
Beschreibungen» für C!latus Dej.Q. — brevis Dej. 4. = complanatus Dei.
(& minor). = var. helluo Dej. erklärt und unter diesen Namen auch unse-
rem Museum mitgetheilt. Später trennt übrigens Schaufuss (Nung. Otios.
II. p. 557.) diese «wieder nach Dejean» als verschiedene Arten unter den
Dejean’schen Namen, und scheint Schaufuss damals keine der von Dejean
beschriebenen Formen vor sich gehabt zu haben, wie denn umgekehrt De-
jean diese Ildefonso-Form überhaupt gar nicht gekannt. Diese ist sehr ver-
schieden von der als complanatus zu bezeichnenden Form, mit welcher sie
Ganglbauer ganz ohne Grund zusammengepflanzt, und kann sie als var.
complantus unterschieden werden. Abgesehen von der verschiedenen Fär-
bung unterscheidet sich diese Form dadurch, dass sie im Allgemeinen ge-
drungener ist, namentlich sind auch die Beine und Fühler weniger schlank
und der Kopf breiter und dicker. Das Halsschild ist kürzer und stärker
gewölbt, am Vorderrande in flacherem Bogen ausgerandet, mit stumpferen,
breiteren Vorderecken und stärker gerundeten Seiten. Die Flügeldecken
sind bei beiden Geschlechtern regelmässig gewölbt, wenn auch beim Männchen
weniger stark ala beim Weibchen, an der Spitze stumpfer, und mit breiteren
Kettenstreifen versehen, übrigens in der Sculptur ausserordentlich variabel.
Das letzte Rückensegment des Männchens ist am Endrande feiner punktirt
und ist auch der Forceps ein wenig schlanker als bei dem einzigen mir vor-
liegenden Männchen der complanatus-Form von Escorial, und erscheinen
beide Formen überhaupt sehr verschieden von einander und auch von C. laius,
wenigstens hach dem mir vorliegenden Material. À
Manche der von Ganglbauer als Rassen des C. latus angesehenen For-
men, wenn es auch nur sehr wenige sind, kenne ich nicht, und ist es über-
haupt sehr schwierig, nach seinen Angaben die betreffenden Formen heraus-
zufinden, namentlich wenn die Sammlungsexemplare nicht mit genauer
Fundortsangabe versehen sind, wie es ja leider meistens der Fall ist. Es ist
dies un so schwieriger, als Ganglbauer überdies die einzelnen Formen,
abgesehen von den meistens unrichtigen Namen, unter welchen er sie aufführt,
auch nicht einmal richtig zusammengefasst und ausserdem so manche Unter-
schiede, welche zwischen den betreffenden Formen angegeben worden sind,
Mélanges bislogiques. T. XIII, p. 91. 4
50 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
weil ja diese Formen seiner Meinung nach doch alle zu Einer Art gehören, brevi
manu unerörtert gelassen. Gewissermaassen in Voralınung, dass es einmal
geschehen könne, dass Jemand, ohne kritische Erläuterung der angegebenen
Merkmale und ohne den Nachweis zu liefern, dass letztere nicht von speci-
fischer Bedeutung seien, allgemein als verschieden angesehene Arten zu-
sammenziehen könne, citirt Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 55.) Illiger’s
Worte: «Der für seine Lieblingswissenschaft so besorgte Creutzer fürchtet,
dass bei der Zusammenfassung aller oft so augenscheinlich abweichenden
Abarten manche Beobachtung verloren gehen werde, weil man eine Abart
nicht der Aufmerksamkeit werth zu halten pflege, welche man ihr wid-
men würde, wenn man sie als verschiedene Art ansälıe. Sollte man diese
Gleichgiltigkeit gegen Abarten wohl von einem Andern, als von einem An-
fänger oder einem Dilettanten erwarten dürfen, u.s. w.». Durch möglichstes
Unbeachtetlassen der anderweitig gemachten Angaben glaubt Ganglbauer
sehr selbstständig dazustehen, was indessen bei einem praesumptiven, wenn
auch nur palaearctischen Monographen schwer verständlich ist, und keines-
wegs zu seiner eigenen Erkenntniss beiträgt und auch nicht zur Kenntniss
der Arten, über welche er Aufklärungen zu geben wünscht. Beiden Hadro-
carabus-Arten finden daher auch weder Deyrolle’s, de la Brülerie's,
Heyden’s etc. Mittheilungen über das Vorkommen, und, wie bei C. helluo
erwähnt, auch nicht einmal Dejean’s Angaben Berücksichtigung, ja, bei
dem durch seinen Fundort so interessanten C. trabuccarius wird nicht ein-
mal angeführt, dass Dieck (Deutsch. E. Z. 1870. p. 148. Anm. 1.) ein
angeblich dazu gehöriges Exemplar auf dem Montserrat gefunden und be-
sprochen, und ein noch besser mit C. érabuccarius übereinstimmendes aus
dem südlichen Aragon erwähnt. Und doch sind dies die ersten Mittheilungen
über das Vorkommen von Hadrocarabus-Formen in den genaunten Gegenden,
die überdies in derselben entomologischen Zeitschrift gemacht worden sind,
in welcher auch Ganglbauer’s Arbeit erschienen ist! Das Vorkommen des
O.trabuccariug an der Grenze von Spanien und Frankreich, bei dem Col de
Perthus, welches Fauvel bezweifelte, konnte schon damals als nicht so
unwahrscheinlich erscheinen, wie es Fauvel (Faun. gallo-rhenan. I. 1882.
p. 42. Anm.) hinstellt, wenn ihm nur, was bei einem Franzosen zu ent-
schuldigen ist, die von Dieck in deutscher Sprache gemachten Angaben
nicht entgangen wären.
Den C. trabuccarius, nur weil Ganglbauer «die Type von trabuccarius
nicht zugänglich» war, ohne Weiteres als Rasse zu C. latus zu ziehen, ist
jedenfalls auch sehr eigenthümlich, so wenig befriedigend die Beschreibung
und Abbildung, welche Fairmaire (Ann. $. E. Fr. 1857. p. 727. s. t. 14.
I. f. 2.) vou dieser Form nach einem Weibchen gegeben, auch sein mögen.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 22.
(xıxım)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 51
Es darf doch jedenfalls nicht unbeachtet gelassen werden, dass es Fair-
maire nicht unbekannt geblieben sein konnte, dass die ähnlichen Dejean’-
schen Formen von Kraatz und Reiche als zu Einer Art gehörig ange-
sprochen waren, und wenn Fairmaire trotzdem eine Form als neue Art
aufgestellt, so muss doch dazu immerhin einiger Grund gewesen sein. Meiner
Ansicht nach ist C. trabuccarius eine Form, wie sie sich auch in Aragonien
findet und gehören zu dieser Form, als Abänderung, die von Ganglbauer
als ©. latus var. aragonicus aufgeführten Exemplare. Diese Form ist bis auf
Weiteres nicht als Varietät von C. latus anzusehen, wenn man nicht alle
Unterscheidungsmerkmale, welchen allgemein specifische Bedeutung beige-
legt wird, a priori als unwesentlich einer Beachtung nicht für werth erachtet,
wie es Ganglbauer thut. Hätte Ganglbauer die von Thomson für die
Artunterscheidung der oft überaus ähnlichen Carabus-Arten als höchst wich-
tig hingestellte Untersuchung des Forceps nicht vollständig ignorirt, so hätte
er, ausser andern Unterschieden, jedenfalls auch finden müssen, dass bei
seiner als var. aragonicus bezeichneten Form der Forceps viel breiter ist als
bei ©. latus. In ähnlicher Weise dem C. latus gegenüber durch Breite aus-
gezeichnet ist der Forceps bei einer Form, welche Schaufuss bei Chiva in
der Nähe von Valencia gesammelt und vor wenigen Jahren als den wahren
Dejean’schen C. helluo unserem Museum gesandt, welche Form ich für
identisch halte mit Ganglbauer’s C. latus var. catalonicus, aber bis auf
Weiteres gleichfalls für selbstständige Art ansehe.
C. castilianus, dessen «zuverlässige Deutung» nach Ganglbauer (l. c.
p. 381.) «vom nomenclatorischen Standpunkte von Wichtigkeit» wäre, «da
der Name castilianus vor latus Priorität hätten, kenne ich nicht. Dejean
(Spec. II. 1826. p. 87. 41. — Iconogr. I. 1829. t. 46. f. 3.) kannte nur
ein Männchen und hat Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 60. 5.) dasselbe Exem-
plar untersuchen können, welches nach ihm «möglicherweise nichts als ein
flaches, männliches Stück des C. Hellwigi (C. lusitanicus Dej. sec. Kraatz)
sein» könnte. Nach Gautier (Ann. S. E. Fr. 1865. p. XXXIV. 2.) wäre
aber C. castilianus identisch mit C. complanatus Dej., und gibt Gautier
hier folgende Synonymie: C. castilianus — latus — complanatus — brevis
— helluo, wobei er schliesslich aber den C. latus, worunter auch Gautier
wahrscheinlich den C. Gougeleti meint, doch möglicherweise als berechtigte
Art hinstellt, «comme le pense M. Reiche.» Gautier hat diese Angaben
aber offenbar nicht nach den Dejean’schen Typen gemacht und seine Be-
hauptung, dass C. castilianus nach einem Exemplar, «rapporté d’Espagne
par M. Chevrolat», dieselbe Form sei, wie C. complanatus, weist darauf
hin, dass er das Männchen des C. brevis, welches von Paris aus mehrfach
als C. complanatus versandt worden ist, irrigerweise für CO. castilianus an-
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 33. 4*
52 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
gesehen. Ich halte die Möglichkeit nicht für ausgeschlossen, dass C. castili-
anus als Männchen zu derjenigen Form gehört, welche de la Fert& (Ann.
S. E. Fr. 1847. p. 450.) nach einem gleichfalls einzelnen und zwar weib-
lichen Exemplar als C. Zgesippit beschrieben. Denn nach de la Ferté ist
der C. Egesipptii auch «thorace et elytrorum margine virescente», wie nach
Dejean der C. castilianus, und sind in den Beschreibungen von Dejean
und de la Ferté auch keine als wesentlich anzusehende Unterschiede vor-
handen, nur dass das de la Fert&’sche Exemplar, eben weil es ein weibli-
ches Exemplar war, einen dickeren Kopf hatte. Ganglbauer (l. c. p. 381.)
beachtet auch hier de la Ferté’s Beschreibung absolut gar nicht, sondern
sagt, dass ©. Egesippii «die Sculptur und Färbung des C. cantabricus habe»,
citirt auch Kraatz, obgleich Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 59. s.) die von
ihm als C. Zyesippii angesehenen Exemplare für nicht verschieden von (’.
cantabricus erklärt, welche nur hinsichtlich der Sculptur der Flügeldecken,
auf welchen die Zwischenräume nicht gleichartig hoch, sondern alternirend
niedriger seien, von den gewöhnlichen Exemplaren des C. cantabricus ab-
weichen. A. Deyrolle (Ann. S. E. Fr. 1852. p. 243. 9. t. VI. f. 2.) gab
eine Beschreibung der von ihm für C. Egesippii angesehenen Form, welche
aber nach der Abbildung ein viel längeres Halsschild aufweist als es bei
C. Egesippii sein kann, welches von de la Ferté als «transversal» bezeich-
net wird, und transversal erscheint es auch in der Abbildung, welche De-
jean von seinem C. castilianus gegeben. Jacquelin du Val (Gen. d. Col.
d’Europ. I. 1857. t. 3. f. 12.) gibt dagegen eine Abbildung, die mit der
Deyrolle’schen übereinstimmt, und darnach ist dieser neue C. Kgesippit
durch die weit breitere Körpergestalt von C. macrocephalus var. cantabricus
verschieden. Deyrolle hat vielleicht aber später Exemplare des C. cantabri-
cus mit abwechselnd erhabeneren Zwischenräumen der Flügeldecken auch
für C. Egesippi angesehen und unter letzterem Namen versandt und solche
Exemplare mag auch Kraatz gesehen haben. Ganglbauer’s C. Egesippii
ist ohne Zweifel identisch mit der von Deyrolle und Jacquelin du Val
abgebildeten Form, obgleich Ganglbauer die letztere Abbildung: nicht
citirt, «keinenfalls ist er mit C. macrocephalus zu verbinden, doch halte ich
ihn für eine Form des C. latus, die einzige die vorläufig nicht durch deut-
liche Zwischenglieder in denselben übergeführt werden kann». Aus der vor-
stehenden Darlegung werden aber noch viele andere, von Ganglbauer als
Varietäten des C. laöus in Anspruch genommene Formen nicht mit dieser
Art verbunden werden dürfen, und hätte auch hinsichtlich der von Gangl-
bauer als ©. latus var. Egesippii bezeichneten Form die Untersuchung des
Forceps es sicher stellen können, ob es wirklich eine von C. macrocephalus
specifisch verschiedene Form sei, da der Forceps des Münnchens von C.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 24.
(xxx!) ] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 53
macrocephalus en andern Hadrocarabus-Arten gegenüber sich dadurch aus-
zeichnet, dass er eine breite, unregelmässig verrundete Spitze hat. Paulino
(Mel. entomolog. 1876. p. 17.) führt C. Egesippii als eine ihm unbekannte
Varietät des C. macrocephalus auf, scheint aber später Exemplare des Dey-
rolle’schen C. Zgesippii gesehen zu haben, da Paulino (Rev. da Soc. de
instr. do Porto II. 1882. p. 97. 16.) über das Vorkommen dieser Form die-
selben Angaben wiederholt, doch ohne den Zusatz, dass ihm diese Form
unbekannt sei. |
Ich bin auf die Hadrocarabus-Arten nur aus dem Grunde näher einge-
gangen, weil ich an einer Art, dem Dejean’schen C. lafus, hinsichtlich
dessen Deutung, da ja Ganglbauer derselben Ansicht ist, von deutscher
Seite kein Einwand erhoben werden dürfte, es zeigen wollte, wie sinnlos es
unter Umständen sein kann, Exemplare einer Sammlung, wenn letztere nicht
unangerührt geblieben, als unbedingt maassgebend anzusehen. Denn wenn
diejenigen Exemplare, nach welchen eine Beschreibung gemacht, nicht so-
gleich als «Typen» kemntlich bezeichnet worden, woran in früherer Zeit fast
Niemand auch nur gedacht, so konnte es vorkommen und ist leider auch
vorgekommen, dass den ursprünglichen Exemplaren später erhaltene, besser
conservirte hinzugefügt worden und bei etwaigem Tausch schliesslich allein
nachgeblieben. Man behält ja die besten Exemplare für sich und gibt die
älteren, oft weniger gut erhaltenen fort. Siud nun einander sehr ähnliche
und zur Zeit noch nicht unterschiedene Arten vorhanden, so liegt die Mög-
lichkeit vor, dass auch der erste Beschreiber einer Art, welcher von Manchen
in Bezug auf die von ihm «creirte» Art für unfehlbar angesehen wird, in
solcher Weise unabsichtlich eine Verwechselung verschuldet. Ja, oft genug
ist eine Art nach einem einzigen Exemplar beschrieben worden, aber «Ty-
pen» dieser Art befinden sich trotzdem in vielen Sammlungen! Dies können
aber allenfalls nur Exemplare sein, welche der erste Beschreiber der be-
treffenden Art als zu dieser Art gehörig determinirt hat, und es fragt sich
dabei nur, ob überhaupt und wie eingehend ein Vergleich mit den ursprüng-
lich beschriebenen Exemplaren oder den sog. Typen gemacht worden ist.
Sogenannte Typen beweisen meiner Ansicht nach gar nichts, wenn sie zu
den Beschreibungen etc. nicht passen, höchstens allenfalls, dass der erste
Beschreiber einer Art sich genau eben so irren konnte wie jeder Andere, ja,
noch sehr viel leichter in früherer Zeit, wo viele Merkmale, auf welche erst
nachträglich die Aufinerksamkeit gelenkt worden, unbeachtet geblieben
waren. Ich theile solche, allgemein gehaltene Betrachtungen mit, weil Gangl-
bauer (Soc. ent. IT. 1887.p. 1.) ohne Erörterung der Angaben, welche Pio-
chard de la Brülerie (Ann. S. E. Fr. 1875. p. 118.) über seinen Oara-
bus Saulcyi macht, es für hinreichend hält, einfach zu sagen, «C. Saulcyi
Mélanges biologiques. T. XIIT, p. 95.
54 AUGUST MORAWITZ, | [n. 8..ı
Pioch. ist nach einem typischen Exemplare der Sammlung von Dr. L. von
Heyden eine kleine Form von Procrustes Duponcheli Bartliıw. Der C. Saulcy:
ist aber nach de la Brülerie 22—28 mm. lang, der Pr. Duponcheli nach
Gautier aber 26—30 mm., und gibt es also von beiden Formen Exem-
plare, welche hinsichtlich der Grösse von einander nicht verschieden sind.
Den C. Saulcyi als «eine kleine Form von Pr. Duponchelis zu bezeichnen,
ist doch jedenfalls nicht richtig, wenn von ersterer Form vielleicht auch
wirklich Exemplare vorkommen, die kleiner sind als alle bisher beobachteten
von Pr. Duponcheli. Der letztere hat aber nach Barthélemy (Ann. S. E. Fr.
1837. t. 8. f. 13.) eine deutlich dreilappige Oberlippe, nach Solier (Stud.
entom. I. 1848. p. 50.) den mittleren Lappen der Oberlippe «tr&s prononce
dans la femelle et à peine marqué dans le mâle» und einen Kinnzahn, wel-
cher so breit ist, dass er «caclıe à peu près en entier la languette» (l. c. p.
61.), und auch nach Schaum (Ins. D. I. 1. 1856. p. 176. 2.) einen breiten
Kinnzahn und eine dreilappige Oberlippe; nach Gautier (Rev. et Mag. Zool.
1866. p. 280. ı.) endlich hatten alle von ihm gesehenen Procrustes «une
forte dent très large» und eine dreilappige Oberlippe (cf. I. c. p. 292 et p.
372.). Piochard de la Brülerie (1 c. p. 120.) hebt nun in der Charak-
teristik der auch von ihm als Procrustes beibehaltenen Caraben-Gruppe als
wesentlichste Gruppenmerkmale hervor: «Labre trilobé, deut du menton
tronquée ou legerement échancrée à sou extrémité»; die von de la Brülerie
nicht zur Procrustes-Gruppe gezogenen, als Carabus Saulcyi beschriebenen
Exemplare müssen doch wohl eine ausgerandete Oberlippe und einen schna-
len, weder ausgerandeten, noch auch abgestutzten Kinuzalın gehabt haben,
weshalb auch de la Brülerie den C. Saulcyi nicht in die Procrustes-Gruppe
stellt. Wie das von Ganglbauer erwähnte, angeblich typische Exemplar
der Heyden’schen Sammlung in dieser Hinsicht beschaffen, darüber gibt
aber Ganglbauer absolut nichts an. Hat aber dieses sog. typische Exen-
plar eine dreilappige Oberlippe und einen breiten, ausgerandeten oder ab-
gestutzten Kinnzahn, so ist dieses Exemplar doch wohl anicht als Type zu
betrachten». Die Flügeldecken sind bei der gewöhnlichen Form der in den
Sammlungen als Pr. Duponchelt verbreiteten Art überdies mit ziemlich gro-
ben Punktreihen oder Puuktstreifen versehen, bei ©. Saulcyi dagegen, nach
de la Brülerie «punctis minutis bene tamen perspicuis, und müssten
typische Exemplare des letzteren auch in dieser Hinsicht von den gewöhn-
lichen des Pr. Duponcheli abweichen. Diese gröbere, resp. feinere Punkti-
rung der Flügeldecken dürfte natürlich nicht als ausreichend erachtet wer-
den, um beide Formen von einander zu trennen, und kommen vielleicht auch
von Pr. Duponcheli Exemplare mit feinerer Punktirung vor. Wenigstens theilt
Gautier (Rev. et Mag. Zool. 1866. p. 364.) eine darauf bezügliche Be-
AMélauges biologiques. T. XIlI, p. 26.
(xxxu)] ENTONOLOGISCHE BEITRÄGE. 55
merkung von Vuillefroy mit, doch hat Gautier solche Exemplare mit fei-
nerer Punktirung nicht selbst gesehen und könnte daher die Vuillefroy’-
sche Notiz sich auf C. Saulcys beziehen. Gerade der Umstand aber, dass de
la Brülerie seinen ©. Saulcyi nicht zur Procrustes-Gruppe zieht, welche
letztere, wie erwähnt, von ihm vorherrschend wegen der abweichenden Bil-
dung der Oberlippe und des Kinnzahns beibehalten wird, hat mich veran-
lasst, den ©. Saulcyi nicht ohne Weiteres mit Pr. Duponcheli zu verbinden,
so sehr er mit dem letzteren auch übereinstimmt. Denn de la Brülerie
hatte jedenfalls nicht ganz wenige Exemplare von C. Saulcyi, da er über das
Vorkommen desselben angibt: «Liban, régions boisées, Khamès! Ehden!
sous les feuilles mortes, les mousses et dans les souches pourries plus sou-
vent que sous les pierres. Und eben weil de la Brülerie viele, sowohl
männliche als auch weibliche Exemplare gehabt haben muss, welche in der
Bildung der Oberlippe und des Kinnzahns übereinstimmend von den gewöhn-
lichen Stücken des Pr. Duponcheli abweichend waren, so scheint es immer
noch gerathen, beide Formen so lange getrennt aufzuführen, bis der Beweis
erbracht worden, dass auch der Kinnzahn bei diesen Formen variabel ist und
auch anicht einmal specifische Bedeutung hat», wie auch alle anderen Unter-
scheidungsmerkmale zwischen diesen beiden Formen. G&hin (Catal. d.
Carab. 1885. t. IL 5.) bildet zwar angeblich von einer einzigen Art, welche
er Carabus Ehrenbergi nennt, sowohl die Oberlippe als auch den Kinnzalın als
variabel ab; die von Géhin (l.c. p. XII. 5.) gegebene Charakteristik der be-
treffenden Untergattung passt aber nicht zu den gegebenen Figuren und
überhaupt zu keiner einzigen der als zu dieser Untergattung gehörig aufge-
führten Arten, und hat Géhin offenbar die beiden einander ähnlichen Chae-
tomelas- und Pseudoprocrustes-Arten als zu Einer Art gehörig angesehen.
Von den Abbildungen der Oberlippe und des Kinnzahns gehört die erste
(von links nach rechts) zu C, praestigiator, die zweite wahrscheinlich zu C.
Saulcyi, die übrigen drei aber zu Pr. Duponcheli. Oder sind die dem Cata-
logue des Carabides beigegebenen Tafeln von Haury ganz selbstständig ent-
worfen, ohne von G&hin auch nur controlirt worden zn sein? Géhin (1. c.
p. IV.) theilt darüber nur mit, dass «Mr. Ch. Haury, de Prague, m’a offert
le concours de son habile crayon, pour ajouter quelques planches, und das
klingt doch so, als ob Géhin die abzuzeichnenden Objecte ausgesucht und die
Beifügung der Tafeln überhaupt sein Verdienst sei.
Dass übrigens die drei- resp. zweilappige Bildung der Oberlippe «nicht
einmal von specifischer Bedeutung» ist, indem bei einzelnen genuinen Pro-
crustes-Arten die Oberlippe bisweilen auch einfach ausgerandet sein kann,
dies ist schon sehr lange, seit vierzig Jahren nämlich, bekannt, indessen,
vielleicht nicht ohne Vorsatz, unbeachtet geblieben. In der akademischen
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 97. .
56 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
Sammlung sind jetzt zwei Weibchen des ©. (Procrustes) Foudrasi, desgleichen
ein aus Frankreich stammendes Weibchen des C. (Procrustes) coriaceus vor-
handen mit einer wie bei den typischen Caraben ausgerandeten Ober-
lippe und führt auch Solier (Stud. ent. I. 1848. p. 50.) gerade diese bei-
den. Arten als solche an, welche hinsichtlich der Oberlippe variiren. Auch
der von 'Chaudoir (Stett. E. Z. 1857. p. 82.) beschriebene Zrocrustes ob-
tritus, bei welchem die «Oberlippe wie bei Carabus ausgerandet» ist, gehört
zu C. (Procrustes) Foudrasi, wie schon Schaum (Berl, E. Z. 1864. p. 142. ı.)
nach den Chaudoir’schen Originalexemplaren ganz kurz mittheilt; Schaum
hätte uur hierbei die Richtigkeit von Chaudoir’s Angabe über die ab-
weichende Bildung der Oberlippe jedenfalls besonders hervorheben sollen,
da ja Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856. p. 174.) die dreilappige Ober-
lippe als wesentlichstes Merkmal für die Aufrechterhaltung von Procrustes
als Gattung festgehalten, trotz der schon früher gemachten gegentheiligen
Beobachtungen eines so ausgezeichneten Entomologen, wie es Solier war.
Ich gebe, nach unserem leider immer noch sehr geringen Material, mit
Berücksichtigung der anderweitig gemachten Angaben, zunächst eine Cha-
rakteristik der als Procrustes Duponcheli bekannten Art oder des
Carabus (Psewloprocrustes) Durvillei: Elongatus, niger, nitidus, parum
convexus, pronoto transversim levissime ruguloso, lateribus postice latius
reflexo, ad hasim parum angustato, angulis sat latis, rotundatis, margine
postico medio subrotundato sinuque utrinque distincto, linca media profun-
dius expressa. Coleopteris depressiuseulis elongato-ellipticis, grosse striato-
punctatis aut punctato-striatis, limitibus costalibus postice interdum fove-
olis antice tuberculo minuto instructis subinterruptis. Pectus et abdomen
lateribus punctulatis rugulosis. Femoribus posticis subtus sulcatis, tibiis
posticis.dorso planiusculis, rugulosis, opacis. Mentum dente latiusculo, apice
emarginato, labrum bisinuatum.
Procrustes Duponchels Barthélemy Ann. S. I. Fr. 1837. p. 245. t. 8. f. 15.
Procrustes Durvillei Barthélemy Ana S. E. Fr. 1838. p. V.
Procrustes Durvilles Dupont sec. Géh. Cut. d. Carab. 1885. p. 4.
: Procrustes punctatus Gautier Rev. et Mag. Zool. 1866. p. 363. 1.
var? sec. Gautier: elytris tenuiter minus regulariter striato-punctatis,
interstitiis tribus (vel limitibus costalibus) elevatioribus.
Procrustes punctatus var, Gautier ]. c. p. 364.
Dagegen dürfte lauten die Charakteristik des
C. (Pseudoprocrustes) Saulcyi: Elongatus, niger, minus nitidus, con-
vexiusculus, pronoto, postice parum angustato angulis rotundatis margine
postico utrinque sinu distincto, linea media vix ulla. Coleopteris maris elan-
gatis, feminae breviter-ellipticis, tenuiter striato-punctatis, limitibus 3—5
(costalibus et intercostalibus) saepe angustioribus et elevatioribus, foveolis tri-
Melauges biologiquer. T. XII. p. 28.
(xxx111) | BNTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 57
plice serie vel nullis. Tibiis posticis sulco dorsali distincto, tenui. Mentum
dente angusto, labro plerumque emarginato, rarius bisinuato.
Carabus Ehrenbergi Klug Symb. phys. Ins. III. 1832. t 23. f. 7. 4.
Carabus Saulcyi de la Brül.-Ann. 8. E. Fr. 1876. p. 118. oa
Carabus Ehrenbergi var. judaicus G&h. Cat. d. Carab. 1886. p. 6.
var.? elytris grosse striato-punctatis, margine vivlaceo
Procrustes incertus Ilaury Le Natural. VII. 1886. p. 80. 9. — Wien. E. Z. 1886.
p. 109. 9. — Geh. Cat. d. Carab. 1885. t. IT. f. 3. 9.
«Morawitsi» Ganglb. Soc. ent. II. 1. sine indicatione generis et subgeneris!
In einer Anmerkung, welche ich meiner Arbeit zur Kenntniss der ade-
phagen Coleopteren (Mém. d. l’Ac. Imp. d. sc. d. St. Pétersb. XXXIV. 1886.
Nr. 9.) glaubte beifügen zu müssen, um Diejenigen, denen ein grösseres
Material zu Gebote steht und denen die Unterdrückung von Procrustes als
Gattung möglicherweise nicht ganz plausibel scheinen könnte, zu veran-
lassen, einige «einander ähnliche und daher: oft mit einander verwechselte»
svrische Carabus-Arten, näher zu untersuchen, habe ich es versucht, nach
den bisherigen Beschreibungen eine Zusammenstellung dieser Arten zu
geben, und habe ich es hervorgehoben, dass diese meistentheils als Carabus
angeschenen, aber «mit der Procrustes-Gruppe übereinstimmenden Arten»
nur mit Unrecht als genuine Carabus- Arten angesehen worden sind. Bei
dieser Zusammenstellung habe ich für die in den Sammlungen theils als Pro-
crustes punctatüs, theils als Pr. Duponcheli aufgeführte Art, den Namen
Pr. Durvillei gewählt, weil ich annehmen zu müssen glaubte, dass Géhin
(Cat. d. Carab. 1885. p. 4. 10.). im Archiv der französischen entomologischen
Gesellschaft, vielleicht aber auch in Dupont’s Sammlung über Pr. Durvillei
die Auskunft gefunden, dass dieser Pr, Durvillei mit dem ein Jahr vorher
publicirten Pr. Duponcheli identisch sei und dass aus diesem Grunde die von
Barthelemy eingereichte Beschreibung und nach Dupont ungenügende
Abbildung, welche die französische entomologische Gesellschaft zur Ver-
öffentlichung angenommen, schliesslich für überflüssig erachtet worden:
Welchen Sinn hat es denn sonst, wenn Géhin einen sonst völlig unbeachtet
gebliebenen und gar nicht festzustellenden Namen als Synonym einer, unter
anderer Bezeichnung schon früher bekannt gemachten, Art aufführt? Aller-
dings kann ınan dagegen einwenden, dass es trotzdem unsicher sei, dass die-
ser Pr. Durvillei auch mit Pr. Duponcheli identisch sein könne, da es ja
durchaus zweifelhaft bleiben muss, was Géhin als Pr. Duponcheli angese-
hen, da er diesen letzteren zu denjenigen Procrustes-Arten rechnet, deren
erstes Fühlerglied ohne Borste sei. Aber G&hin’s überraschende Leistungen
in solcher Hinsicht sind durch die, nach Bertkau (Ent. Jahresb. für.1886.
p. 313.) liebevollen Besprechungen, welche Kraatz zu wiederholten Malen
gegeben, zu allgemein bekannt, um noch Worte darüber zu verlieren. Géhin’s
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 20. |
58 AUGUST MORAWITZ, [n. 8. 1
eminentes Talent, die Arten dahin zu stellen, wohin sie nicht gehören, ist ja
von keiner Seite angezweifelt worden, ausser von Heyden (Cat. Col. Eur. et
Cauc. ed. II. 1883.), der sogar einen von Géhin als Etiquetten gedruckten
Catalogue über Thomson’s bahnbrechende Arbeit stellt. Was dagegen den
C. (Psewloprocrustes) Saulcyi anbetrifft, so hatte ich früher, beim Ordnen
der Citate nach der Jahreszahl, den ältesten Klug’schen Namen vorange-
stellt, welcher indessen nicht gebraucht werden kann, da ja Fischer (Bull.
d. Mosc. 1829. p. 368. t. 6.f. 5.) schon einen Carabus Ehrenbergi beschrie-
ben hatte und Klug’s drei Jahre später bekannt gemachter syrischer Cara-
bus Ehrenbergi selbstverständlich diesen von Klug gegebenen Namen nicht
behalten kann, und war dieser Name zur Zeit jedenfalls unberechtigt. Und
der Name Æhrenbergi ist auch jetzt noch unberechtigt für eine andere Ca-
rabus-Art als diejenige, welcher Fischer diesen Namen beigelegt, da
Fischer’s ©. Ehrenbergi ganz willkürlich als identisch mit Fischer’s (En-
tomogr. Ross. IH. 1828. p. 303. 46°.) C. incompletus erklärt worden ist,
indem weder Abbildung, noch auch Beschreibung auf letzteren bezogen wer-
den können, und dürfte Fischer’s C. Ehrenbergi nach diesen schon eher
mit C. maeander verbunden werden als mit C. incompletus Fisch. (= C.
palustris Dej. Icon. I. 1829. p. 358. oe. t. 50. f. 3.). Der C. Saulcyi (Eh-
renbergi Klug) stimmt, wie es auch de la Brülerie hervorhebt, mit C.
Hemprichi sehr überein, im Habitus und hinsichtlich der Wölbung nament-
lich mit den schlanksten und kleinsten Exemplaren, in allem Anderen aber
so sehr mit C. (Pseudoprocrustes) Durvillei (Duponcheli), dass er selır wohl
eine Varietät desselben sein kann, und zwar un so eher, als auch der For-
ceps des Mäunchens ganz übereinstimmend gebildet ist. Man muss aber Ar-
ten, die unterschieden worden sind, so lange als solche gelten lassen, bis der
Nachweis geführt worden, dass alle angegebenen Unterschiede keineswegs
specifische seieu, und dieser Nachweis ist für diese Formen jedenfalls noch
nicht gegeben. Während nämlich die Exemplare des ©. Durvillei (Duponcheli),
so weit nämlich Exemplare dieser Form bekaunt gemacht worden sind, hin-
sichtlich der Contour der Flügeldecken im männlichen und weiblichen Ge-
schlecht keine erheblichen Unterschiede aufweisen, erscheinen dieselben bei
C. Saulcys nach de la Brülerie «aprothorace apud mares minus duplo, apud
feminas duplo aut majus latioribus» und werden bei den Weibchen hinsicht-
lich der Contour wohl der Abbildung entsprechen, welche Haury (Geh. Cat.
d. Carab. 1885. t. IL. 3.) von den Flügeldecken seines Procrustes incertus
gibt, mit welchem letzteren Ganglbauer’s «Morawitzw identisch sein
dürfte.
Der von Klug nach einem Männchen von 26%, mm. Länge abgebildete
Carabus Ehrenbergi gehört laut Beschreibung und Abbildung, welche letz-
Mulanges Livlogiquos. T. XIII, p. 30.
(xzxı1)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 59
tere, was wohl zu beachten, von dem eminenten Zeichner Sam. Weber
herrührt, unzweifelhaft zu ©. Saulcyt. Da diese Beschreibung wohl den
Wenigsten zugänglich sein wird, so gebe ich dieselbe vollständig wieder:
Mas. Niger, obscurus. Caput vertice punctato, fronte biimpressa, clypeo (sc.
labro) emarginato, mandibulis arcuatis, acutis, antennis capite thoraceque
longioribus, articulis quatuor prioribus laevibus, sequentibus griseo-pube-
scentibus. Thorax subquadratus, ad basin angustatus, angulis posticis ro-
tundatis, parum prominulis, lateribus rotundatus, supra punctatus, medio
laevis, vix rugosus, obsolete canaliculatus. Pectus abdomenque alutacea,
rugosa. Elytra ovata, confertim punctato-striata, apice rugosa, scabra,
interstitiis quarto, octavo et duodecimo subelevatis laevibus punctorum
impressorum serie ornatis. Tibiae intermediae extus ad apicem ferrugineo-
pilosae.
Hier ist zunächst zu beachten, dass Klug das Weibchen unbekannt war,
wie denn auch die Abbildung ein Männchen darstellt, und ist es daher um
so weniger zu begreifen, wie eine andere, im männlichen Geschlecht insbe-
sondere sehr auffällige Art für den Klug’schen C. Ehrenbergi hat genommen
werden können. Diese von de la Brûlerie fälschlicherweise als C. Ehren-
bergi Klug sehr ausführlich beschriebene Art habe ich Carabus praestigia-
tor genannt und ist dieselbe so matt, dass die schwarze Färbung geradezu
wie grau erscheint, während Klug’s Abbildung des C. Ehrenbergi ein ge-
sättigtes, sogar etwas glänzendes Schwarz zeigt. Der Kopf des C. praestigi-
ator ist ziemlich schmal und die Stirn namentlich fast quadratisch mit fast
parallelen Seiten; in Klug’s Abbildung des C. Ehrenbergi erscheint der
Kopf aber eben so kurz und die Stirn eben so breit und eben so stark nach
vorn verengt wie bei C. Saulcyi, und muss man dabei auch noch in Betratht
ziehen, dass Klug in der gleichzeitig mitgetheilten Beschreibung des Pro-
crustes impressus von diesem «caput elongatum» anführt, obgleich Pr. im-
pressus im Vergleich zu C. praestigiator einen breiteren Kopf hat. Es ist ferner
bei C. praestigiator die Oberlippe in der Mitte deutlich ausgerandet und ist
daher das Vorkommen von Exemplaren mit dreilappiger Oberlippe bei die-
ser Art kaum wahrscheinlich; in der Klug’schen Abbildung dagegen er-
scheint die Ausrandung der Oberlippe so flach, dass der Vorderrand der-
selben als fast gerade bezeichnet werden kann. Auch die Mandibeln sind bei
C. praestigiator viel schlanker und länger, während in Klug’s Abbildung
sie eben so kurz und breit erscheinen wie bei C. Saulcyi. Der «thorax sub-
quadratus, angulis posticis rotundatis» erscheint in der Abbildung fast 1'/,
mal so breit als lang und stellt sich als ziemlich gewölbt dar, der Hinterrand
in der Mitte flach gerundet, jederseits mit einer deutlichen tiefen Ausbucht
und die Hinterzipfel erscheinen als breite, abgerundete Lappen, welche nach
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 81.
60 . AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
hinten ziemlich beträchtlich vorragen; bei C. praestigiator dagegen sind die
Hinterzipfel des Halsschildes als solche eigentlich gar nicht abgesetzt, sie
sind überdies sehr viel kleiner, schmäler und gleichzeitig kürzer und gehen
unter einem sehr flachen Bogen in den geraden Hinterrand über; dabei ist
das bei C. praestigiator weit weniger gewölbte Halsschild verhältnissmässig
schmal, nur 1%, mal so breit als lang und erscheint auch deshalb noch
schmäler, weil es auch nach hinten stärker verengt ist. Überdies sind die
Seiten hinten nur schwach aufgebogen, eigentlich nur in Folge des stärker
erhöhten Seitenrandwulstes; in der Klug’schen Abbildung erscheinen die
Seiten des Halsschildes hinten stark aufgebogen und die Rinne, welche diese
abgeflachten und aufgebogenen Seiten nach innen absetzt, zieht sich genau
so wie bei C. Saulcyi zur Mitte des Innenrandes der viel breitereu lappen-
artigen Hinterzipfel hin. Auch ist bei C. pruestigiator die Mittellinie des
Halsschildes als scharf eingedrückte Linie deutlich markirt, nach Klug bei
C. Ehrenbergi dagegen aobsoletar. Überdies ist das Männchen von C. prae-
stigiator durch die gegen die Schultern ganz auffallend verschmälerten Flü-
geldecken ausgezeichnet, wovon die Klug’sche Abbildung gar uichts zeigt;
Klug bezeichnet ferner die Flügeldecken als «striato-punctata, interstitio
4°, 8°et 12° subelevatis, laevibus, punctorum impressorum serie ornatis».
Von C. praestigiator, von dem de la Brülerie gleichfalls sehr viele Exem-
plare gehabt, sind noch keine Exemplare bekannt geworden, deren Flügel-
decken als astriato-punctata», d.h. ınit gercihten Punkten verschen gewesen
wären, sondern nur Exemplare mit vertieften, im Grunde punktirten Strei-
fen (punctato-striata), und eben so wenig sind Exemplare bekannt geworden
mit stärker erhabenen, durch Glätte von den andern abweichenden Cuostalli-
mes. Bei C. praestigiator sind die Limes oder Zwischenräume der vertieften
Punktstreifen alle ganz gleichartig, nur je nach den Exemplaren flacher oder
gewölbter und scheinen auch Exemplare, deren Costallimes sämmtlich mit
Grübchen versehen wären, gar nicht vorzukommen. Klug’s Angabe endlich
«pectus abdomenque alutacea, rugosa» weist darauf hin, dass Brust und
Hinterleib bei dem Klug’schen C. Ehrenbergi gleichartig sculpirt waren,
ganz so wie es bei C. Saulcyi der Fall ist, während bei C. praestigiator die
Brust ganz glatt ist oder doch nur mit vereinzelten groben Punkten verse-
hen. «Alutaceus s. alutacius — lederartig hat Klug gebraucht, um zu be-
zeichnen, dass feinere, dicht neben einander stehende Punkte die Oberfläche
ähnlich dem mit Poren versehenen Leder erscheinen lassen.
Aus allem vorstehend Angeführten ist doch wohl ersichtlich, dass in den
Sammlungen durchaus mit Unrecht die in früheren Jahren bei Beirut in
grösserer Anzahl gesammelte und von Lederer insbesondere zahlreich ver-
sandte Art als Klug’s Carabus Ehrenbergi bezeichnet wird. Sämmtliche
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 33.
(xxx) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. | 61
Angaben von Klug sprechen gegen eine Identificirung der von Klug be-
schriebenen Art mit der von mir als C. praestigiator bezeichneten, und wenn
im Berliner Museum jetzt andere Examplare sich vorfinden, so ist das ur-
sprüngliche Männchen eben nicht mehr vorhanden, sondern leider weiter
gegeben. Zeller (Stett. E. Z. 1850. p. 312.) beschreibt z. B. die neue
Lycaena Hoffmannseggi, welche Kirby (Cat. of Diurn. Lep. 1871. p. 355.
120.) als Varietät zu Cupido (Lycaena) Thelicanus H. zieht mit der Vater-
landsangabe «Africa», Staudinger (Cat. d. Lep. d. europ. Fauneng. 1871.
p. 9. Anm. 1.) dagegen als «species americana» bezeichnet, nach einem
Exemplar mit der Bemerkung: «Ich erhielt es vom Berliner Museum, wo es
wahrscheinlich als zu schlecht mit guten Exemplaren des Telicanus ver-
tauscht worden war. Dieses Exemplar trug noch den vielleicht vom Grafen
v. Hoffmannsegg herrührenden Zettel mit dem Namen Telicanus H., Bae-
ticus E. F., und der Vaterlandsangabe: Lusitaniav. Warum kann nicht
Ähnliches mit Klug’s ursprünglichem Exemplar des C. Ehrenbergi passirt
sem? Auch gibt Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856. p. 176. 12.) an: Dr.
Duponcheli Barthélemy sei «dem ebenfalls in Syrien einheimischen Cara-
bus Ehrenbergi Klug schr ähnlich und am leichtesten durch die Gattungs-
charactere von Procrustes, den breiten Kinnzahn und die dreilappige
Oberlippe, zu unterscheiden». Soll man annehmen, dass Schaum zwei so
verschiedene Arten, wie es C. praestigiator und Pr. Duponcheli sind, welche
in zwei verschiedene Gruppen gehören, in solcher Weise erwähnt hätte? Nur
die grosse Übereinstimmung in ihrer äusseren Erscheinung ist die Ursache,
dass über diese procrustogenen Caraben hinsichtlich ihrer Bestimmung zur
Zeit so grosse Unsicherheit herrschte, und dabei liegt noch die Möglichkeit
vor, dass ausser den genannten, noch eine ähnliche syrische Art vorhanden,
deren Existenz auch Ganglbauer nicht abstreitet, und habe ich nur aus
dem Grunde auf darauf bezügliche Angaben hingewiesen, damit Diejenigen,
welchen diese zur Zeit nicht mit Sicherheit zu deutende Form bekannt sein
sollte, nach ihrem Material zur Aufklärung über dieselbe etwas beitragen.
Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.) sagt, dass ich «Unrecht» habe, dies
zu thun; mit welchem Recht Ganglbauer dieses sagt, ist aber gar nicht
zu ersehen.
Nachdem schon Reiche (Ann. S. E. Fr. 1855. p: 566. 3.) den von
Laporte beschriebenen Procrustes punctatus (Chevrolat) als identisch mit
Pr. Duponcheli angegeben, erklärt auch Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856.
p. 176. 12.) nach «Vergleich des in Cherrolat’s Sammlung befindlichen
Originalstückes» den Pr. punctatus für identisch mit Pr. Duponcheli, und es ist
mir daher auch nie eingefallen, daran zu zweifeln, dass das in Chevrolat’s
Sammlung befindliche Exemplar mit Pr. Duponcheli zu ein und derselben
Mélanges blologiqnes. T. XIII, p. 33.
62 AUGUST MORAWITZ, [n. 8.1
Art gehöre, und zwar um so weniger als Gautier (Rev. et Mag. Zool.
1866. p. 373.) angibt, dass er alle Procrustes der Sammlung von Chevro-
lat gesehen und den Pr. Duponcheli unter dem Chevrolat’schen Namen
als Pr. punctatus aufführt. Laporte (Etud. entom. I. 1834. p. 89.) be-
schreibt zwar seinen Procrustes punctatus auch mit dem Zusatz «Chevrolat,
collect.», was aber doch nur so viel bedeutet, dass unter dem von Chevro-
lat gegebenen Sammlungsnamen, was jetzt mit «in litt.» bezeichnet wird,
irgend ein Procrustes in den Sammlungen verbreitet war. Ich halte es so-
gar für ein Unrecht, einen in solcher Weise mehr oder weniger bekannten
Namen nicht zu verwenden, da Vielen das Erkennen der beschriebenen Art
dadurch doch wohl erleichtert wird. Aber die Behauptung, dass der Zusatz
«Chevrolat, collect.» es beweise, dass Laporte seine Beschreibung nach
dem Chevrolat’schen Exemplar gemacht, dürfte denn doch vorläufig abso-
lat durch nichts begründet sein, und wäre jedenfalls auch völlig unmotivirt.
Denn, wie Laporte von seinem Käfer angibt, «noir, un peu luisant. Corselet
finement chagrin& et ponctué en arrière; élytres ovalaires, allongées,
peu convexes, couvertes de points assez serrés et disposés de manière à fur-
mer de petites lignes longitudinales; ces points se confondent en arri-
ère, et font paraître cette partie de l’élytre chagrinée; côtés de l’abdomen
ponctués. 13 lin.» sind Angaben, welche nicht gut nach einem Exemplar des
C. (Pseudoprocrustes) Durvillei (Duponcheli) gemacht werden konnten. Der
letztere ist ja lang gestreckt, keineswegs «peu luisant», die Punkte der
Flügeldecken bilden auch nicht «de petites lignes», sondern es sind regel-
mässige, vertiefte, ziemlich grob punktirte Streifen vorhanden, welche sich
auch gar nicht zur Spitze hin verwirren, sondern es tritt hier zwischen den
Punktstreifen eine durchaus regelmässige Granulation auf; das Halsschild ist
auch keineswegs als «finement chagrin&, sondern die bei Caraben häufig
auftretende Querrunzelung ist eher als grob zu bezeichnen; endlich sind auch
die ganzen Seiten des Rumpfes punktirt, auch die Seiten der Brust und in
deutlichster Weise auch die Episternen des Prothorax, während Laporte
nur von einer Punktirung der Seiten des Hinterleibs Erwähnung macht.
Der von Laporte erwähnte geringe Glanz des Käfers und die angegebene
Flügeldeckensculptur passen am besten auf die von de la Brülerie (l. c.
p. 117.) beschriebene Form vom Dshebel-esch-Scheich, welche unter Ande-
rem sich auszeichnet «par la ponctuation de leurs élytres plus attenuée, au
point qu'il faut regarder de près pour la distinguer. Il en résulte que les
series de points indiquent & peine les stries dont elles occupent l’emplace-
ment.et que les intervalles ne font nullement saillie». Jedenfalls passt doch
wohl die von Laporte gegebene Beschreibung des Procrustes punctatus auf
keine andere der bekannt gemachten, aus Syrien stammenden Formen besser
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 84.
(xxxıu)] ENTONOLOGISCHR BEITRÄGE. 63
als auf die von de la Brülerie vom Dshebel-esch-Scheich erwähnte, und gibt
auch Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887.p. 2.) von letzterer es zu, dass «deren
Zugehörigkeit zu C. praestigiator (Eihrenbergi Ganglb.) nicht erwiesen» ist.
Wenn ich endlich nach Thomson’s (Opusc. ent. VII. 1875. p. 635.) An-
gaben eine von ihm als Procrustes (Chaetomelas) Ehrenbergi bezeichnete
Form herangezogen, welche nicht mit C. praestigiator identisch sein kann,
schon wegen der für seine Chaelomelas-Gruppe angegebenen Merkmale, so
geschah auch dieses wegen der Angaben, welche Thomson über die Sculp-
tur der Flügeldecken macht. Diese werden zwar als «strimmigt puncterade»
bezeichnet, von den von Thomson erwähnten Pseudoprocrustes- und Pro-
crusticus-Arten, welche Thomson in Einer Untergattung als Tribar zusam-
menfasst, nämlich ©. Hemprichi, C. prasinus (= Calleyi Thoms.) und C. Bon-
plandi führt aber Thomson (1. c. p. 671.) an «genom elytras sculptur kom-
mer det närmast Chaetomelas bland Procrustew. Thomson muss demnach
unter dem Namen Ehrenbergi eine hinsichtlich der Flügeldecken den genann-
ten drei Caraben ähnlich sculpirte Art gehabt haben. Dass Thomson etwa
ein auf dem Rücken mit Punktreihen versehenes Exemplar des C. (Pro-
crustes) Mulsantianus (asperatus Muls.) gehabt haben sollte, mit ausnahms-
weise vorhandenen «vanliga ventral-puncterna», ist übrigens eine Möglichkeit,
die nicht ganz ausgeschlossen bleibt. Der Kinnzahn muss aber bei allen von
Thomson untersuchten Procrustes jedenfalls breit gewesen sein, da Thom-
son von dem Kinnzahn sonst nicht gesagt hätte «lobis fere majoren.
Nach de la Brülerie (Ann. S. E. Fr. 1875. p. 114.) wären Procrustes
punctatus und Pr. Duponcheli mit einander identisch, aber eine Varietät des
Carabus Hemprichi (!), einzig und allein aus dem Grunde, weil unter den
Exemplaren des letzteren auch Individuen vorkommen, bei welchen die Flü-
geldecken auf der Scheibe gereiht punktirt sind: «Son labre est bien celui
d’un Carabe et non celui d’un Procrusten. Aber eben so unbegründet ist
auch de la Brülerie’s (l.c.p. 120.) Behauptung, dass Pr. asperatus Muls.
identisch sei mit Pr. impressus und hat de la Brülerie offenbar die gruben-
lose Varietät des Pr. impressus für Pr. asperatus gehalten, unter welchem
Namen unser Museum bei Antiochia in Syrien gesammelte Exemplare der
grubenlosen Varietät des Pr. impressus auch von Lederer erhalten. Pr.
Mulsantianus (asperatus Muls.) ist indessen sehr verschieden von Pr. im-
pressus und ist überdies auf dem letzten ventralen Abdominalsegment mit
Borstenpunkten versehen, kann also nach de la Brülerie’s (l. c. p. 121.)
eigenen Angaben nicht zu Pr. impressus gehören. In der Beschreibung, welche
Reiche (Ann. S. E. Fr. 1855. p. 566. 4.) von Pr.impressus gibt, ist diese
Variabilität hinsichtlich der Gruben der Flügeldecken ausdrücklich her-
vorgehoben: «on voit de place en place de très gros points enfoncés, quel-
Méleuges biologiques. T. XIII, p. 35.
64 . AUGUST MORAWITZ, [x. 8. 1
quefois peu marqués, quelquefois nuls». Wenn de la Brülerie (1. c. p. 121.)
der Meinung war, dass seine Exemplare in dieser Hinsicht noch abweichen-
der waren, so war dies einfach ein Irrthum, denn bei seinen als Pr. impres-
sus besprochenen Exemplaren waren von den Gruben immer noch «des ves-
tige», wenn auch «à peine appréciables vorhanden, wie de la Brülerie es
selbst angibt. |
Zu vielen Behauptungen, welche de la Brûlerie macht, kann man aber
leider nur wenig Vertrauen haben, zumal da er selbst die betreffenden For-
men, trotz unzweifelhaft sehr gewissenhafter Untersuchung, doch nicht rich-
tig unterschieden zu haben scheint. Denu die von de la Brülerie (Il. c. p.
123.) erwähnten, von ihm als Zwitter bezeichneten Exemplare zwischen
Procrustes impressus und Carabus Hemprichi können, nach de la Brülerie’s
eigenen Angaben, ganz leicht den betreffenden Arten zugewiesen werden:
das Männchen von Katana und das Weibchen von Zebdani sind C. (Procrus-
tes) impressus mit zweilappiger Oberlippe, die erwähnten Exemplare von
Nazareth dagegen C. (Pseudoprocrustes) Hemprichi mit dreilappiger Ober-
lippe, und de la Brülerie ist offenbar nur aus dem Grunde, weil er die
dreilappige Oberlippe als wesentlichstes Kennzeichen der Procrustes gehal-
ten, zu solchen Angaben veranlasst worden. Dass solche Variationen hin-
sichtlich der Bildung der Oberlippe bei den genannten Arten vorkommen
können, dies erscheint mir nicht unwahrscheinlich, beschreibt doch de la
Brülerie (l.c. p. 113.) das Labrum des C. Hemprichi als «bilobé, mais peu
profondément échancré, droit en son milieu ou même légèrement arqué en
avant», und bei dem mit C. Hemprichi nahe verwandten C. Saulcyi ist die
Oberlippe gewöhnlich auch zweilappig, das einzige mir vorliegende Männ-
chen hat indessen eine deutlich dreilappige Oberlippe! Ja, eine dreilappige
Oberlippe kommt auch bei genuinen Caraben hin und wieder vor; in deut-
lichster Weise dreilappig ist sie bei einem schwärzlichen Männchen des C.
(Megodontus) violaceus aus dem nördlichen Ungarn, welches Merkl unserem
Museum gesandt, und desgleichen sah ich auch ein in Nowo-Rossisk gefan-
genes Exemplar des C. (Megodontus) exaratus, dessen Oberlippe deutlich
dreilappig war. Ich zweifle auch gar nicht daran, dass die von Ganglbauer
(Soc. ent. II. 1887. p. 1.) ohne Frage fälschlich als Procrustes incertus
Haury bezeichnete Form, «welche durch den Habitus, die Sculptur und
Färbung lebhaft an C. (Meyodonius) purpurascens F. var. asperulus Kr. er-
innert», eine solche Megodontus-Form ist, deren Oberlippe abweichender-
. weise dreilappig ist, was eben auch einzig und allein Ganglbauer veran-
lasst hat, diese als Procrustes anzusehen. Dass sie nicht zu Haury’s Pr. in-
certus gehören kann, geht aus den Abbildungen, welche Haury (Géh. Cat.
d. Carab. t. II. 3 et t. III. 3°.) gegeben, deutlich genug hervor. Nach diesen
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 36.
(xxxm1)] ENTOMOLOGISOHE BEITRÄGE. 65
Abbildungen sind bei Haury’s Pr. incertus die Flügeldecken mit ziemlich
dicht und regelmässig gereihten groben Punkten und mit drei Reihen ziem-
lich grosser Grübchen versehen, bei C. violaceus var. asperulus Kr. (Claus-
thal) dagegen mit kleinen durchaus unregelmässig zerstreuten Körnchen
bedeckt und überdies von drei stärkeren, geglättenen erhabenen Striemen
durchzogen und, in der Nähe der Naht, mit noch einer ähnlichen, indessen
weit feineren, vierten Strieme versehen, und müssen daher die von Gangl-
bauer für Pr. incertus angesehenen Exemplare mit den von Haury beschrie-
_ benen in der Sculptur der Flügeldecken auch nicht die geringste Spur von
Aehnlichkeit haben. Ganglbauer, dem Haury mitgetheilt haben mag,
dass er Exemplare seines Pr. incertus im Wiener Museum geschen, hat nach
den Haury’schen, in der Diagnose und Beschreibung sich widersprechen-
den, unklaren Angaben über die Sculptur der Flügeldecken offenbar die
wirklichen Pr. incertus, wie ich es schon erwähnt, als neue Art angesehen,
und als «aMorawitsiv aufgeführt. Die dreilappige Oberlippe bei Procrustes
und die zweilappige bei Carabus sind Merkmale, welche der Mehrzahl der
dazu gehörigen Formen zwar unzweifelhaft zukommen, aber keineswegs in
der Weise, dass die Oberlippe bei Procrustes stets dreilappig, bei Carabus
dagegen ausnahmslos zweilappig wäre, so dass eine generische Sonderung
von Procrustes mit «dreilappiger» und Carabus mit «zweilappiger» Oberlippe,
wie es bis in die neueste Zeit hinein Brauch war, gar keine Berechtigung
hat. Thomson, der bekanntlich Procrustes als eine Carabus gleichwerthige
Gattung anerkennt, sieht aber die von Dejean und Klug als Carabus Hem-
prichi beschriebene Art für einen echten Carabus an, weil bei dieser Art,
abweichend von Procrustes, die innere Lade der beiden Mandibeln gleich-
artig ist, und stellt Thomson den C. Hemprichi in seine Untergattung Tri-
baz, während ich (Adeph. 1886. p. 8.) dieser «im Uebrigen mit der Pro-
crustes-Gruppe übereinstimmenden» Art in Verbindung mit Carabus Saulcyi
und Procrustes Durvillei (Duponcheli) ihre Stellung in einer besonderen,
Procrustes und Chactomelas nächst verwandten Gruppe, welche ich Pseudo-
procrustes genannt, anweise. «Was nun die Untergattung Pseudoprocrustes
anlangt», sagt Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2:), «so halte ich die-
selbe für unhaltbar, da der Character, auf welchen sie begründet wurde,
bei einem neuen Procrustes nicht einmal specifische Bedeutung hat. Bei
Procrustes Kotschyi Ganglb. n. sp.... sind die Ventralstrigae vollständig
wie bei Pseudoprocrustes, oder unvollständig wie bei Chaetomelas, oder gegen
die Seiten viel seichter und nur unvollständig mit den marginalen Längs-
streifen verbunden». Das Wesentlichste, die mit den genuinen Carabus über-
einstimmende, von mir überdies besonders hervorgehobene Bildung der
inneren Lade der Mandibeln, verschweigt aber Ganglbauer, es wäre ja
Mélanges biolegiquer. T. XIII, p. 87. 5
66 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1
sonst die Unhaltbarkeit der Gruppe Pseudoprocrustes nicht nachgewiesen.
Ausserordentlich diplomatisch ist es auch, Arten, über deren systematische
Stellung ich anderer Ansicht bin als Dejean, Schaum, Thomson und
Kraatz, wie z. B. Carabus Hemprichi, anzuführen, ohne zu sagen, wohin
sie gehören, ganz einfach, ohne Nennung der Gattung oder Untergattung,
nur unter dem Speciesnamen «Hemprichi, wie es Ganglbauer hier wieder-
holt thut.
Die Chaetomelas- und Pseudoprocrustes-Arten sind hinsichtlich der Bil-
dung der inneren Lade der rechten Mandibel von einander ganz verschieden.
Bei ©. (Chaetomelas) praestigiator ist die innere Lade der rechten Mandibel
fast wie bei C. (Procrustes) coriaceus gebildet, zur Basis nämlich allmählich
niedriger werdend und ist der Basalzahn derselben kurz oder auch gar nicht
vorhanden; bei ©. (Pseudoprocrustes) Hemprichi dagegen ist umgekehrt der .
apicale Zahn der inneren Lade der rechten Mandibel kurz, der basale aber
kräftig und nach innen weiter vorragend; bei C. (Pseudoprocrustes) Saulcyi
und Durvilles (Duponcheli) endlich sind beide Zähne der inneren Lade der
rechten Mandibel gleichlang, der basale aber etwas schmäler als der api-
cale. Aber es kommen auch Exemplare vor, bei welchen diese Zähne wahr-
scheinlich durch langen Gebrauch gleichsam abgeschliffen sind und besteht
der Unterschied in der Bildung der inneren Lade der rechten Mandibel
darin, dass der Innenrand derselben bei C. Hemprichi dann parallel der
Längsaxe der Mandibel geradlinig ist, bei C. praestigiator dagegen schief
erscheint, indem die innere Lade zur Basis der Mandibel so niedrig wird,
dass sie über den Innenrand derselben auch nicht vorragt. In den Gruppen
Chaetomelas und Pseudoprocrustes erscheinen die usuell angenommenen Pro-
crustes-Merkmale mit Carabus-Merkmalen gemischt. Bei den Arten der
Pseudoprocrustes-Gruppe ist die Oberlippe dreilappig oder auch zweilappig,
der Kinnzalın an seinem abgestutzten Ende ausgerandet oder schmal, oder
endlich gegen die abgerundete Spitze allmählich verjüngt, die innere Lade
der beiden Mandibeln ist aber nahezu gleichartig gebildet wie bei den mei-
sten der'als Carabus bezeichneten Formen. Die Chactomelas- Gruppe stimmt
umgekehrt hinsichtlich der Oberlippe und der Bildung des Kinnzahnes. mit
letzteren überein, dagegen erscheint die innere Lade der rechten Mandibel
abweichend von der linken gebildet, indem die innere Lade der rechten
Mandibel, wie bereits erwähnt, zur Basis ganz niedrig wird und daher im
Ganzen schief erscheint wie bei Procrustes. C. (Chaetomelas) praestigiator
stimmt hinsichtlich der Bildung seines Kopfes mit C. (Procrustes) impressus
am meisten überein und, was sehr auffallend ist, auch hinsichtlich der Bil-
dung des Forceps des Männchens; die Arten der Pseudoprocrustes- Gruppe
aber, insbesondere C. Hemprichi, der wie auch Schaum (Ins. Deutschl. I. 1.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 38.
(xxx) ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 67
1856. p. 176. ı3.) es hervorhebt, dem C. (Procrustes) Mulsantianus (aspe-
ratus Muls.) täuschend ähnlich ist, schliessen sich dagegen dem letztgenann-
ten Procrustes innigst an und ist auch der Forceps der Männchen dieser
Arten so übereinstimmend gebildet, dass unwillkürlich an einen genetischen
Zusammenhang gedacht werden muss. Daher glaubte ich diesen, überdies
meistens als Carabus angesehenen, aber in Wirklichkeit mit Procrustes
nächst verwandten, unzweifelhaften Uebergangsformen zwischen den bis in
die neueste Zeit hinein so oft als generisch verschieden in Anspruch genom-
menen Procrustes und Carabus durch Annahme eigener Gruppen Rechnung
tragen zu müssen. Am wenigsten Widerspruch dagegen hätte ich erwartet
von Ganglbauer, da in einer, ohne sein Wissen schwerlich zur Veröffent-
lichung gekommenen, nicht genug zu beachtenden Zuschrift Ganglbauer
(Berl. E. Z. 1884. p. 390.) sich in folgender, für die Entomologen im All-
gemeinen gerade nicht sehr schmeichelhafter Weise äussert: «Die Entomo-
logie ist mit Recht in den Augen der wissenschaftlichen Zoologen in Folge
der gedankenlosen Specieskrämerei in Misscredit gekommen. Dilettanten,
die allerdings hoch zu Ross sitzen und ganz eigenthümlich erhaben über die
Descendenztheorie, die allein wieder Geist in die descriptive Zoologie ge-
bracht hat, aburtheilen, verstehen nichts Anderes als über prioritätsberech-
tigte Namen, gute und schlechte Arten, Synonyme etc. zu hadern und da-
hei von Zoologie so gut wie nichts. Welcher Zoologe kümmert sich darum
um ihre Leistungen etc.» Um wenigstens in letzterer Hinsicht als Zoologe
zu gelten, kümmert sich Ganglbauer um die Mittheilungen der Entomo-
logen natürlich auch nicht; steht er ja wenigstens in seiner Meinung so hoch
über diesen, kann aber schliesslich selbst nichts Anderes fassen — als Syno-
nymisches. Doch auch Synonymisches wäre dankbar entgegenzunehmen,
wenn es nur irgend begründet wäre; in dieser Hinsicht hat aber kaum Je-
mand so viele geradezu unglaubliche Fehler gemacht als gerade Gang]-
bauer, was eine Erklärung findet in dem Dünkel, mit welchem Gangl-
bauer, in gar zu grossem Bewusstsein seines eigenen wissenschaftlichen
Werthes, herabsehen zu müssen glaubt auf die Leistungen der Entomologen,
die seiner Meinung nach so gedankenlos sind, dass er sie durchaus igno-
riren müsse, freilich auf die Gefahr hin, in den Augen dieser Entomologen
jedenfalls nicht als einer «der wissenschaftlichen Zoologen» zu gelten, als
welchen Ganglbauer sich selbst so erhaben über die Entomologen stellen
zu müssen glaubt. Die paar Versuche, welche Ganglbauer bis jetzt ge-
macht, Caraben-Gruppen zu charakterisiren, zeigen deutlich genug, dass
sich Ganglbauer auch nicht einmal um Thomson’s Arbeit «kümmert», und
sind daher auch die von Ganglbauer gegebenen Charakteristiken in Wirk-
lichkeit ganz ohne Verständniss zusammengestellte Phrasen, welche nicht
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 39. | 5*
68 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1
einmal genügend sind zur Erkennung der gemeinten Gruppe und daher auch
zur Erkenntniss der verwandtschaftlichen Beziehnungen der Caraben abso-
lut nichts beitragen.
Bei der Untersuchung der Caraben, deren Artenzalıl eine so grosse ist
und deren verwandtschaftliche Beziehungen zu erschliessen, eigentlich erst
Thomson den ersten Versuch gemacht, hat sich mir immer mehr und mehr
die Nothwendigkeit aufgedrängt, nächst verwandte, in gewissen Merkmalen
übereinstimmende Caraben-Gruppen als mehr oder weniger kleine Abthei-
lungen innerhalb der artenreichen Gattung Carabus zusammen zu fassen.
Eine solche Abtheilung innerhalb der Gattung Carabus bilden z. B. die
Gruppen oder Untergattungen Platycarabus Mor. (Platychrus Seidl.), Plec-
tes Fisch. (Neoplectes Reitter 1887.), Tribax Fisch. (Platychrus Kol.),
Damaster Kollar, Coptolabrus Sol., Acoptolabrus Mor. und Oychrocarabus
(Ornithocephalus) Semenow, welche Abtheilung als Carabi tribacogenici
bezeichnet werden kann; eine andere Abtheilung bilden die Carabi cecheno-
genici mit Iniopachus Sol., Cechenus Fisch. (nec Solier et Seidlitz, quod
subgenus Pseudocechenus Mor. (= Platychrus Thoms.) nominandum est)
und Cafthaicus Bates, worauf ich schon früher hingewiesen (cf. Adeph. 1886.
p. 18. Anm. — p. 60.), und eine solche Abtheilung bilden auch die mit der
Procrustes- Gruppe zunächst verwandten Gruppen, welche Abtheilung sich
in folgender Weise charakterisiren liesse:
Carabi procrustogenioi.
Strigae laterales occipitis distinctae, supra continuae,
Gula distincte constricta, plerumque seta nulla utrinque.
Mandibulae apice parum incyrvae, externe rotundatae.
"Palpi labiales articulo penultimo setis pluribus plerumque biscrintis.
Pronotum setis lateralibus nullis.
Abdomen segmentis 3—5 plerumque seta nulla utrinque.
Elytra saltem postice lateribusque asperato-tuberculata.
Folgende Uebersicht der einzelnen Gruppen dieser Abtheilung dürfte
die natürliche Verwandtschaft der hierhergehörigen Caraben zum Ausdruck
bringen:
I. Mentum planiusculum, sinu lato, semicirculari.
Antennae articulo secundo quarto breviore.
Gula plerumque puncto setigero utrinque.
Mas tarsis anticis articulis quatuor subtus spongiosis.
Caput validum vel validiusculum, fronte transversa, collo lato vel latiusculo,
oculis plus minusve subtrausversis, postice minus rotundatis.
Clypeus apice cmarginatus.
Labrum lateribus ferc parallelis.
Mandibulae ad basim externe profundius emarginatae.
Metathorax episteruis transversis.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 40.
(xxxun)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 69
1. Pachystes Motsch. Bull, Mosc. 1865. II. p. 294. (pro parte). — Meancarabus Thoms.
Opuse. ent. VII. 1876. p. 674. — Mandibulae mala interiore recta dentibus aequalibus vel
basali longiore. Mentum dente acute triangulari, marginato. Labrum apice emarginatum.
Abdomen strigis ventralibus profundis, ad latera evanescentibus, vel tenuibus vix indicatis,
vel omnino nullis, segmentis 8—5° saepius utrinque setigeris.
IT. Mentum medio ad dentem tuberculato-elovatum, sinu angusto.
Antennae articulo secundo quarto nequali vel paulo longiore.
Gula seta nulla utrinque.
Mas tarsis anticis articulis tribus primis subtus spongiosis.
A. Caput validum, fronte valde transversa, collo lato, oculis plus minusve sub-
transversis, margine postico minus rotundatis.
Clypeus apice emarginatus.
Labrum lateribus ferc parallclis vel antrorsum vix latius.
Mandibulae ad basim externe profundius emarginatae.
Metathorax episternis transversis.
2. Proerustiens White. Ann. Nat. Hist. XV. 1846. p. 111. — Zamprostus Motsch. Bull.
Mosc. 1866. II. p. 297. (ex parte, exclus. O. Hemprichi, O. Ehrenbergi et C. Brandti). —
Carabus B. (groupe des Lamprostus) de la Brülerie Ann. 8. E. Fr. 1876. p. 118. (ex parte,
exclus. ©. Hemprichi, C. Sauleyi et C. Ehrenbergi Brül.= praestigiator). — Tribaz Thoms.
Opusc. ent. VII. 1875. p. 670. (ex parte, exclus. C. Hemprichi). — Mandibulae mala interiore
recta, bidentata, rarius obsoleta. Mentum dente valido, late triangulari apice rotundato vel
subtruncato, aut angustiore, apice obtuso ct toto profunde sulcato. Labrum apice emargi-
natum aut subtruncatum, interdum trilobatum, lobo medio brevissimo aut lobis lateralibus
acquali. Abdomen strigis ventralibus bene expressis, ad latera evanescentibus aut nullis et
solum interdum indicatis, segmentis 5° vel etiam 4° et 8° interdum puncto setigero utrinque
instructis, plerumque nullo.
B. Caput minus validum, fronte et collo minus latis, post oculos subrotundos
distinctius constrictum.
Clypeus apice subtruncatus.
Labrum antrorsum distinctius dilatatum.
Mandibulae externe ad basim obtusius emarginatao.
Metathorax episternis fere quadratis.
3. Proerustes Bonelli Mém. de l’Ac. d. sc. de Turin. 1811. p. 89. — Carabus C. (sous-genro
Proerustes) de In Brül. Ann. 8. E. Fr. 1876. p. 120. — Mandibulae mala interiore inaequali,
sinistra recta bidentata, dextra obliqua dente apicali magis producto, basali saepe obsoleto
vel nullo. Mentum dente lateribus fere parallelo, apice lato, truncato vel emarginato.
Labrum apice plerumque trilobatum, rarius emarginatum. Abdomen strigis ventralibus
bene expressis ad latera evanescentibus vel usque ad latera productis aut omnino nullis;
segmentis 3—5 punctis setigeris nullis. Antennae articulo primo puncto setigero nullo
(Procrustes s. str. Thomson Opusc. ent. VII. 1875. p. 634.) aut, ut apud omnibus aliis,
puncto setigero instructo vel rarissime etiam nullo (Procrustes 2®® section de la Brül.
l. c. — Macrogenus Motsch. Bull. Mosc. 1846.11. p. 398. — Chaetomelas Thoms. Opusc.
ent. VII. 1876. p. 686. (ex parte vel tota parte?). — Sphodristus Fauvel Rev. d’Entom.
III. 1884. p. 294).
4. Psoudeprecrustes Mor. Adeph. I. 1886. p. 8. — Lamprostus Motsch. et de la Brül. ex
parte. — Tribax Thomson ex parte. — Mandibulae mala interiore recta, dentibus fere
aequalibus vel basali longiore vel omnibus obsoletis, tum mala interne directa. Mentum
dente latiusculo apice emarginato vel angusto longitudinaliter sulcato aut antice angustato,
apice subrotundato; lobis lateralibus planis externe rotundatis et marginatis. Labrum
emarginatum, interdum trilobatum. Abdomen strigis ventralibus profundis, usque ad latera
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 41. |
70 AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
produetis et in sulcum lateralem excuntibus; segmentis 3—5 punctis sctigeris nullis, raris-
sine 5° vel etiam 4° puncto setigero.
5. Chactomelss Thoms. Opuse. ent. VII. 1875. p. 634. (ex parte). — Lamprostus de la Brül.
(ex parte). Mandibulae elongatse mala interiore inaequali, sinistra recta bidentata, dextra
oblique dente apicali magis producto, basali minimo, obsoleto vel nullo. Mentum dente (sec.
Thomson) lato aut angusto, Jlongitudinaliter sulcato, apice rotundato. Caput angustius,
fronte fere quadrata, labro bilobo. Abdomen strigis ventralibus bene expressis, ad latera
evanescentibus, segmentis 3—5 punctis setigeris utrinque unico vel duobus.
Die Carabi procrustogenici und die Carabi tribacogenici sind vielleicht
nächst verwandte Gruppencomplexe, und könnte die eine von de la Brüle-
rie als flache Varietät des C. (Chaelomelas) praestigiator (Ehrenbergi Brül.)
aufgefasste Form vom Dshebel-Sanniu und auch von Géhin als Varietät
dieses de la Brülerie’schen ©. Ehrenbergi angesehene und als var. Ztochardi
bezeichnete Form ein wirkliches Bindeglied sein. Nach Ganglbauer (Soc.
ent. II. 1887. p. 2.) erinnert diese mir nicht bekannte Forın, welche nach
ihm «eine selbstständige Art bilden dürfte, habituell an Tribaz (Plectes) pon-
ticus», aber leider theilt Ganglbauer sonst gar nichts über diese allgemein
unbekannte Form mit, nicht einmal zu welcher Gruppe sie gehört, nament-
lich auch nicht, ob es eine Art ist, welche dem de la Brülerie’schen C.
Ehrenbergi, = praestigiator, trotz des abweichenden, an Tribaz erinnernden
Habitus dennoch so nahe verwandt ist, dass sie, wenn auch specifisch ver-
schieden, wenigstens zu derselben Gruppe zu ziehen sei. Ob Sphodristus
acuticollis Motsch. zu den procrustogenen Caraben zu ziehen sei, bleibt zu-
nächst unerwiesen; er scheint unzweifelhafte Beziehungen zu Thomson’s
Untergattung Sphodristus zu haben, welche in neuerer Zeit Sphodrislocara-
bus genannt wird, und wird diese Gruppe im System zwischen den procru-
stogenen und tribacogenen Caraben vorläufig die beste Stellung haben, wäh-
rend andrerseits an Pachystus sich Lipaster (Lamprocarabus) anschliessen
dürfte.
Ein Blick auf die vorstehende Zusammenstellung der procrustogenen
Caraben zeigt, dass die Gruppen in verschiedener Weise von einander ab-
weichen. Von den übrigen am meisten differenzirt erscheint die Pachystus-
Gruppe, während die andern durch eine Anzahl gemeinsamer Merkmale zu
der genannten Gruppe gewissermaassen einen Gegensatz bilden. Aber in
anderen Charakteren stimmen die Gruppen Pachystus und Procrusticus mit
einander überein und stehen, wenn man diese Merkmale voranstellen wollte,
zusammen wiederum in einem Gegensatz zu den drei anderen Gruppen,
welche letzteren auf’s Innigste mit einander verwandt sind, obgleich zu den
Gruppen Pseudoprocrustes und Chaetomelas solche Arten gehören, welche
sogar ganz allgemein als genuine Caraben angesehen worden sind, und ist
ihre nächste Verwandtschaft mit der Procrustes-Gruppe wohl nur deshall
Meisages bivloyiques. T. XIII, p. 43.
zzın)] ENTONOLOGISCHE BEITRÄGE. | 71
ganz allgemein verkannt worden, weil Gewicht gelegt wurde auf angeblich
generische, in Wirklichkeit aber ganz unwesentliche, zum Theil sogar bei
ein und derselben Art variable Merkmale. Wenn ich den Namen Procrusti-
cus für die unter diesem Namen aufgeführte Caraben-Gruppe jetzt definitiv
annehme, nachdem ich (Adeph. I. 1886. p. 46.) schon früher die Zugehörig-
keit des Procrusticus Paiafa zu dieser Gruppe als wahrscheinlich hinge-
stellt, so geschieht es, weil unterdessen Haury (Stett. E. Z. 1887. p. 284—
290 cum tabula.) den mir leider noch immer unbekannten C. (Procrusticus)
Paiafa offenbar sehr gut abgebildet, und kann über die systematische Stel-
lung dieser Art nach der in der Abbildung deutlich angegebenen Oberlippe,
welche nach vorn nicht erweitert ist, und desgleichen nach der ganzen Con-
figuration des Kopfes, an welchem die Augen klein und nur schwach gewölbt
erscheinen, kein Zweifel obwalten, dass diese Art wirklich zu derselben
Gruppe gehört, wie C. robustus und Verwandte. A.a.O. habe ich mich auch
gegen die Identificirung von C. (Sphodristus) acuticollis und C. (Procrusticus)
Paiafa ausgesprochen, welcher Ansicht sich auch Kraatz (Deutsch. E.2.
1887. p. 145.) nachträglich angeschlossen, was aber Ganglbauer (Deutsch.
E. 2. 1887. p. 146— 147.) trotzdem sogleich «korrigiren» zu müssen glaubte,
wobei er seine absolut irrigen Angaben fiber die angebliche Identität der
genannten beiden Caraben überdies mit dem Schluss versehen zu müssen
glaubte: «Mit dem Vorliegenden sind auch die von Morawitz ausgesproche-
nen Vermuthungen über Sphodristus und Procruslicus widerlegt». Haury
indessen, der sich, in Uebereinstimmung mit mir, gleichfalls gegen die Iden-
tität der beiden genannten Caraben ausspricht, verweist aber trotzdem, um
seine freundschaftlichen Beziehungen nicht zweifelhaft zu lassen, auf Gangl-
bauer’s Aufsatz, indem er mittheilt, dass er ihn «bis auf dessen Schluss,
vollinhaltlich unterschreibe», was doch jedenfalls schon mehr als diploma-
tisch ist. Haury’s Abbildungen sind vortrefflich, seine Beschreibungen
aber leider nicht so, und muss man nur staunen, wenn Haury (l.c.p. 287.)
das Kopfschild als Stirn bezeichnet, die Stirn dagegen als Scheitel, die Kie-
fertaster als dreigliederig und die Lippentaster als zweigliederig angibt u.
s. w., und wenn man daher seine Beschreibungen ab und zu nicht versteht,
so kann es nicht zweifelhaft sein, wem die Schuld dabei zuzuschreiben ist.
Ganglbauer (Stett. E. Z. 1887. p. 339—-343.) bespricht gleich darauf
von Neuem Procrusticus Paiafa und Sphodristus acuticollis, indem er durch
Körnchen, die er bei beiden verfolgt, wenn auch nicht mehr die Identität,
so doch wenigstens «die nahe Verwandtschaft der beiden Arten eingehend
erörtern» möchte, «da dieselbe von Haury negirt wird». Ganglbauer’s (1.
c. p. 343.) auf diese Körnchen basirte, schliessliche «Vermuthung, dass
Paiafa und acuticollis wahrscheinlich noch durch Zwischenformen verbunden
Mélanges biologiqnos. T. XIII, p. 43.
72 AUGUST MORAWITZ, [n. 8. 1
sind, beweist indessen nur, dass ihm das Verständniss für Gruppenmerkmale
noch vollständig abgeht. Denn obgleich «Pr. Paiafu die Charaktere von Pro-
crustes, denen man früher generischen Werth beilegte, in hohem Grade aus-
gebildet» zeige, wie Ganglbauer (l.c.p. 339.) merkwürdigerweise behaup-
tet, so scheint bei ©. (Procrusticus) Paiafa, mit Ausnahme der drei rund-
lichen Lappen an der Oberlippe, was ja auch bei andern Caraben hin und
wieder vorkommt, und daher ganz irrelevant ist, trotz Ganglbauer’s Be-
hauptung, gar nichts mit der Procrustes-Gruppe Uebereinstimmendes vor-
handen zu sein, und wie wenig Ganglbauer die für die Procrustes-Gruppe
angegebenen Merkmale kennt, geht aus seiner Schilderung der Mandibeln
von Pr. Paiafa und Sphodristus acuticollis deutlich genug hervor. «Die star-
ken Mandibeln zeigen, nach Ganglbauer (1. c. p. 340.), «bei beiden einen
kräftigen Basalzahn (processus Thomson), der von dem Basalzalın über-
deckte, in zwei divergirende Spitzen getheilte, Mahlzalın, (innere Lade oder
dens basalis Thomson) der linken Mandibel ist in derselben Weise unsym-
_ metrisch entwickelt, indem seine hintere Spitze viel mehr verlängert ist als
die vordere». Dass es bei Procrustes auf die Bildung der inneren Lade der
rechten Mandibel ankommt, was Thomson überdies ganz besonders her-
vorhebt und als wesentlichstes Merkmal für Procrustes in den Vordergrund
stellt, darum hat sich Ganglbauer wieder einmal nicht gekümmert und
gibt er daher auch überhaupt gar nichts über den Bau der inneren Lade
der rechten Mandibel an. Nichtsdestoweniger kann mit voller Sicherheit
behauptet werden, dass C. Paiafa und C. acuticollis nicht nur nicht identisch
sein können, sondern auch nicht einmal zu ein und derselben Gruppe ge-
hören, wenn man nur beim Suchen nach übereinstimmenden Körnchen
nicht die hauptsächlichsten Unterschiede, wie es Ganglbauer tlıut, voll-
ständig übersieht. Meinen Ausspruch, dass sich Ganglbauer in die Caraben
noch nicht recht hineingearbeitet zu haben scheint (cf. Adeph. I. 1886.
p. 52.), muss ich leider auch jetzt noch als durchaus begründet aufrecht
erhalten, wobei allenfalls nur der Zusatz «zu haben scheint» angefochten
werden kann.
Zur Procrusticus-Gruppe gehören auch C. Calleyi und C. torosus, hin-
sichtlich deren Deutung Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.) meine
Angaben gleichfalls «korrigiren» zu müssen glaubte, wobei er ausserdem
noch mittheilt, er «werde an anderer Stelle die Synonymie der in diese
Gruppe gehörigen Arten feststellen». Aber dieses ist trotzdem bis jetzt nicht
geschehen, und hat sich auch diese Ganglbauer’sche Ankündigung in gleicher
Weise als illusorisch erwiesen, wie alle andern. Ich hätte natürlich gern
eine Begründung gesehen von Ganglbauer’s zur Zeit völlig unmotivirten
Behauptungen, da das Deuten der gewöhnlich ungenügenden Beschreibungen
Mélanges bivlogiques. T. XIII. p. 44.
(zxını)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 73
und der meist wenig befriedigenden Abbildungen aus alter Zeit immerhin
in verschiedener Weise geschehen kann, namentlich wenn zufälligerweise
ein aberrantes Exemplar beschrieben oder abgebildet worden ist. In einem
solchen Falle ist ja oft genug nur dann eine Deutung mit voller Sicherheit
möglich, wenn wieder genau solch ein Exemplar zur Beobachtung kommt,
wie das in der Beschreibuug, resp. Abbildung dargestellte. Das von Fischer
(Entomogr. Ross. II. 1823. p. 96. t. 34. f. 2.) als Carabus Calleyi be-
schriebene Exemplar ist aber ein normales und trotzdem behauptet Gangl-
bauer, der C. Calleyi Fisch. «ist ohne Frage die von Faldermann be-
schriebene Varietät Boschniaki des C. Stjernvalli Mannerh.»! Hinsichtlich
dieses Ganglbauer’schen apodictischen Ausspruches unterliegt es aber gar
keinem Zweifel, dass Ganglbauer ohne Frage wieder einmal weder
Fischer’s, noch auch Faldermann’s Angaben über die betreffenden For-
men, noch auch die betreffenden Caraben mit diesen Angaben überhaupt
verglichen. Die Form, welche ich als C. Calleyi ansehe, ist ganz ohne Zwei-
fel die Fischer’sche Art und ich kann dies mit aller Bestimmtheit sa gen,
da die von Ménétriés (Cat. rais. 1832. p. 109. 848.) im Talyschgebırge
gesammelten Exemplare von Fischer selbst als C. Calleyi bestimmt worden
sind, und auf diese Form treffen auch alle Fischer’schen Angaben zu, aber
absolut gar nicht auf Faldermann’s C. Boschniaki. Faldermann (Faun.
transcauc. III. 1838. p.. 21.), der als C. Calleys fälschlicherweise den C.
prasinus aufführt, scheint Veranlassung dazu gegeben zu haben, dass C.
prasinus auch von Thomson (I. c. p. 671.) und Kraatz (Deutsch. E. Z.
1879. p. 30. 6. — p. 385.) unter dem Namen C. Calleyi aufgeführt worden
ist. C. Calleyi ist übrigens den grossen, als C. Renardi von Chaudoir
(Enum. Carab. 1846. p. 83.) beschriebenen Exemplaren des C. prasinus
sehr ähnlich, indessen sicher specifisch verschieden durch die tiefen, scharf
markirten Sulci ventrales und durch die dichte Punktirung der Flügeldecken,
auf welchen die Punkte wahrscheinlich nie regelmässig gereiht sind, und auf
welchen auch nur selten keine geglätteten Längsstriemen, meist aber als
solche wenigstens die drei Costallimes, oder auch noch ein bis vier Inter-
costallimes mehr oder weniger deutlich hervortreten, wie solche vier Striemen
auch in Fischer’s Abbildung der Flügeldecke des C. Calleyi deutlich
sichtbar sind. Auf den glatten Costallimes treten hin und wieder gegen die
Flügeldeckenspitze zu einzelne feine Körnchen auf. Bei C. Boschniaks sind -
die Flügeldecken, wie bei allen andern Varietäten des C. Stjernvalli, auf
der Scheibe gewöhnlich ganz glatt, die hier nur bisweilen auftretenden
Punktstreifen sind immer sehr fein, zwischen dem wenigstens hinten deut-
lichen Nahtstreifen und dem ersten Costallimes sind nur drei solcher Punkt-
streifen vorhanden und zwischen je zwei Costallimes vier, im Ganzen- also
Mélanges biologiqnes. T. XIII, p. 45.
74 | AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
die gewöhnlichen fünfzelın regelmässigen Punktstreifen, welche durch sehr
breite, gleichartige Zwischenräume oder Limes von einander in deutlichster
Weise geschieden sind, und erscheinen die Costallimes, namentlich der
dritte, wenigstens hinter der Mitte immer mit grossen Grübchen versehen,
in welchen sich je ein grobes Höckerchen befindet. Wie Ganglbauer den
in Sculptur der Flügeldecken so verschiedenen Fischer’schen Carabus
Calleyi auf C. Stjernvalli hat deuten können, ist darnach ganz unverständ-
lich, da bei C. Calleyi die Punkte so dicht sind, dass sie an den Stellen, wo
sie gereiht auftreten, eine doppelt so grosse Anzahl von Punktreihen auf-
weisen. Auch erscheint der Seitenrand des Halsschildes in der von Fischer
mitgetheilten Abbildung des C. Calleyi gewulstet und nicht abgeflacht; hätte
dem Zeichner ein C. Boschniaki vorgelegen, so hätte er nicht einen solchen
Wulst zeichnen können, da ein solcher bei letzerer Form garnicht vor-
handen ist, sondern der Zeichner hätte die nach hinten breit abgeflachten
Seiten des Halsschildes dieser Form doch wohl zur Darstellung gebracht.
Zetter, der in damaliger Zeit die meisten der von Fischer und Falder-
mann veröffentlichten Tafeln angefertigt, war übrigens ein sehr mittel-
mässiger Zeichner, und sind die von ihm gelieferten Abbildungen ziemlich
schablonenhaft, namentlich glaubte Zetter das Halsschild eines Carabus
nie herzfürmig genug darzustellen. Auf derselben Tafel, auf welcher
C. Calleyi dargestellt ist, erscheint z. B. auch C. maeotis Fisch. (= mingens
Dej.) mit starker Ausbucht vor den nach aussen vorgezogenen, spitzen
Hinterecken des Halsschildes, was überhaupt bei keiner Pachystus-Form
vorkommt, und als Zetter’s Gewohnheit bei Beurtheilung solcher Figuren
nicht unberücksichtigt bleiben darf, ebenso wie Fischer’s Gewohnheit, fast
jeden Carabus in seinen Beschreibungen ınit athorace Iyrato, lyriforme,
cordato oder cordiforme» auszustatten. Das dürfte genügend sein, um
Ganglbauer’s Widerspruch hinsichtlich der Deutung des ©. Calleyi
geradezu als leichtfertig zu bezeichnen.
Kraatz (Deutsch. E. Z, 1876. p. 142. — 1879. p. 30.6.) hat, durch
die Sculptur der Flügeldecken irre geleitet, die letztgenannte Art, den
©. Calleyi nämlich, als C. torosus aufgeführt. Carabus torosus, der eben so
wie der von Ménétriés (Bull. d. l’Ac. Imp. d. sc. d. St. P.T. 1836. p. 149.) fast
gleichzeitig beschriebene C. Bonplandi fälschlicherweise als aus der euro-
päischen Türkei stammend angegeben ist, stimmt nach der von Frivaldszky
(A’ Magyar tudös. 1835. t. 5. f. 2.) gegebenen Abbildung eines Weibchens
von 37 mm. Länge in der Grösse und dem ganzen Habitus mit einzelnen
Exemplaren dieser sehr veränderlichen, unter dem Namen Bonplandi (Spi-
nolae) in den Sammlungen jetzt zahlreich vorhandenen Art durchaus überein,
und da eine andere kleinasiatische, gewöhnlich gleichfalls grün oder kupfrig
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 46.
Xxx111)] ENTOMOLOGISCRE BRITRIGE. 75
metallglänzende Procrusticus-Art, nämlich C. robustus Deyr., nach Gilnizki
(Rev. et Mag. d. Zool. 1872. p. 474.) hin und wieder auch dunkel blau
oder schwarz gefärbt erscheint, so halte ich es für durchaus sicher, dass
C. torosus nichts Anderes ist als ein aberrantes schwärzliches Weibchen
des ©. Bonplandi, wenn mir auch ein solches ungewölinliches Exemplar,
wie es Frivaldszky bekannt gemacht, noch nicht zu Gesicht gekommen.
Mir liegt aber von ©. Bonplandi ein Männchen vor, welches in der Form
des Halsschildes, das nach vorn ganz auffallend verjüngt ist, fast genau mit
der citirten, von Frivaldszky gegebenen Abbildung übereinstimmt; bei
einem andern Männchen sind die Flügeldecken in ähnlicher Weise punktirt,
wie bei dem Frivaldszky’schen Exemplar, und es treten auf denselben in
deutlichster Weise die Costallimes als drei glatte Längsstriemen hervor.
Das von Frivaldszky abgebildete Weibchen ist ein in der Sculptur der
Flügeldecken noch mehr abweichendes Stück des C. Boñplandi, indem
zwischen den drei, als geglättete Striemen hervortretenden, Costallimes in
ähnlicher Weise auch noch drei Intercostallimes auftreten, ganz so wie es
bei Exemplaren des C. Calleyi auch vorkommt. Wenn Ganglbauer (Soc.
cat. I. 1887. p. 2.) behauptet: «C. torosus Kraatz ist gewiss die Fri-
valdszky’sche Art», so bleibt mir das aunverstäudlich», da Kraatz seinen
C. torosus einfarbig schwarz bezeichnet und ihm einen breiten queren
Thorax zuschreibt, während der Frivaldszky’sche C. forosus metallisch ist
und ein eher als schmal zu bezeichnendes Halsschild aufweist. Kraatz’s
Vermuthung, dass seine Exemplare von Frivaldszky stammen, ist schon
deshalb unwahrscheinlich, weil Frivaldszky, wie aus den angegebenen
Maassen hervorgeht, offenbar nur ein einzelnes Weibchen gekannt, über
welches er in ungarischer Sprache folgende Angaben macht: «Länge
1 Zoll 1 Linie, Breite 6 Linien. Kopf schwarz, gross, nach vorn gestreckt,
die Mitte der Stirn leierförmig erhöht, an beiden Seiten neben den Augen
eingedrückt.... Halsschild schwarz, herzförmig, in der Mitte nach dem
Kopfe zu convex, am Vorderrande eingesäumt und gekerbt, hinten nieder-
gedrückt und punktirt und fast gerade abgeschnitten, die Seiten aufgebogen,
hinten zwei stumpfe in’s Blaugrüne spielende Zipfel bildend.... Flügel-
decken convex, schwarz, 1’/, mal breiter als das Halsschild, elliptisch, fein
punktirt mit feinen Längslinien, .... die Ränder aufgebogen dunkel blau-
grün glänzend...... »
Aus einem Vergleich dieser Frivaldszky’schen Angaben mit den von
Kraatz über seinen C. éorosus gemachten, leider auch wenig befriedigenden
Bemerkungen ist es doch wohl durchaus sicher, dass die von Kraatz als
C. torosus aufgeführte Art nicht identisch sein kann mit der von Fri-
valdszky beschriebenen. Marseul (Abeille. XIX. 1880. p. 124.178.) repro-
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 47.
76 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. ı
ducirt in französischer Sprache, obgleich er einzig und allein «Frivald.
Maggyar. II. 252.» citirt, Wort für Wort die von Kraatz über seinen
C. torosus gemachten Angaben und erweckt so den Glauben, als wären diese
Angaben Frivaldszky entlehnt, obgleich nicht ein Wort zu Frivaldszky’s
Angaben passt, nur bezieht Marseul überdies zum Schluss irrigerweise auf
C. chalconotus die Angabeu, welche Kraatz zum Unterschiede von diesem
über C. torosus mitgetheilt. Die von Sacher (Wien. E. M. 1860. p. 145.)
gemachte Angabe, dass C. torosus zur Gruppe des C. graecus, mingens und
hungaricus gehöre, hat vielleicht G&hin (Cat. d. Carab. 1885. p. 7.10.) ver-
anlasst, diesen falschen C. torosus nach einem männlichen Exemplar von
Diarbekir als Pachystus procrustoides als neue Art zu beschreiben, doch
sind Géhin’s Angaben sehr dürftige, und wenn auch in denselben absolut
nichts vorhanden, was nicht auf C. Calleyi bezogen werden kann, so spricht
doch Géhin’s (l. c. p. XIII.) Angabe, dass die Männchen aller von ihm als
Pachystus angesehenen Arten «ont quatre pulvilli aux tarses antérieurs»,
gegen eine solche Deutung, wenn nicht Géhin, was bei ihm leider nur zu
oft vorkommt, auch in diesem Falle seine angeblich neue Art falsch ein-
gereiht, wie ja überhaupt die Pachystus-Gruppe bei Géhin die allerdifferen-
testen Caraben enthält, da er ja auch C. glabratus, cribratus, bessarabicus
und Mnissechi hinzugezogen. Vermutliungen auszusprechen über beschrie-
bene Formen, namentlich wenn über dieselben Jahre lang sonst von keiner
Seite Mittheilungen gemacht worden sind, wird man Denjenigen gestatten
müssen, die sich mit den betreffenden Gruppen einigermaassen vertraut
gemacht. Denn selbst, wenn solche Vermuthungen sich nicht bewähren
sollten, so regen sie doch Diejenigen, denen solche mangelhaft beschriebene
und daher zweifelhaft gebliebene Formen aus Autopsie bekannt sein sollten,
zu Mittheilungen au, wenn auch leider meistens nur dann, wenn sie glauben,
solchen Vermuthungen widersprechen zu müssen. Da aber der von Fri-
valdszky abgebildete C. torosus gar keine habituelle Aehnlichkeit hat mit
C. prasinus (Calleyi Kraatz), mit welchem Kraatz seine Art vergleicht,
so unterliegt es keinem Zweifel, dass auch hinsichtlich des C. torosus sich
(Ganglbauer offenbar nicht die Mühe gegeben, die Frivaldszky’sche
Originalbeschreibung und Abbildung auch nur anzusehen, sondern sich wahr-
scheinlich mit Marseul’s Abeille begnügt. Ueber diese Abeille hat Kraatz
(Ent. Monatsbl. II. 1880. p. 113—116.) übrigens eingehend berichtet,
leider aber nicht bemerkt, dass die Reproduktionen nicht immer der ange-
gebenen Quelle entsprechen, wodurch schliesslich nur dem Irrthum Vor-
schub geleistet wird.
Damit habe ich alle Ganglbauer’schen angeblichen Correcturen in
extenso besprochen und stimme ich der früher von Kraatz (Ent. Monatsbl.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 48.
œxxum)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE, 77
11. 1880. p. 114. Anm.) ausgesprochenen Ansicht bei, dass es hin und wieder
leider eine nicht zu umgehende Nothwendigkeït ist, aufzutreten gegen
Solche, die «mit grösster Oberflächlichkeit gegen die Wissenschaft vorgehen»,
— wenn es auch nur die entomologische ist. Es ist aber sehr bezeichnend
für die jetzige Zeit, dass die Jungen, im Bewusstsein ihres hohen Stand-
punkts, geradezu wegwerfend über die Entomologen im Allgemeinen glauben
reden zu müssen, dabei aber leider ausser Acht lassen, dass ohne descriptive
Entomologie eine wissenschaftliche Entomologie gar nicht denkbar ist, und
dass es ihnen selbst auch gar nicht einmal leicht fällt, in dieser Hinsicht
brauchbare Mittheilungen zu machen. Ein solcher unglaublicher Dünkel
gegenüber den von ilınen wo möglich auch «Entomographen» Genannten ist
aber geradezu lächerlich, denn es ist schon seit Latreille, dem hervor-
ragendsten Entomologen oder Entomographen der alten Zeit, auch in der
Entomologie das Bestreben zur Geltung gekommen, die natürliche Verwandt-
schaft der Arten darzulegen, das Ziel ist auch nach Darwin kein anderes
geworden, und der seit alter Zeit von den Systematikern gebrauchte Aus-
druck «Verwandtschaft» bei Erörterung einander nahe stehender Arten ist
doch gewiss eben so wenig zufällig, wie der von «Familie u. s. w. Die
Jungen sollten doch H. Milne-Edwards’s (Lecons sur la phys. et l’anatom.
compar. I. 1857. p. 8.) Ausspruch beherzigen: «Chaque question s’est murie
lentement; et si c’est pour tous une tâche ingrate et fastidieuse que de
rappeler la longue série des opinions fausses ou incertaines dont elle a pu être
l’objet, c’est au contraire une oeuvre utile et pleine de charmes (au moins
pour celui qui l’entreprend) que de montrer comment la lumière s’est faite.
En voyant la manière dont la science s’est constituée et a grandi peu à
peu, on en saisit mieux l’esprit et les méthodes; on apprend à connaître les
hommes aussi bien que les choses, et l’on s'inspire d’un juste respect pour
les travaux des investigateurs de la Nature, lors même que les fruits de
leur labeur n'auraient pas encore apparu; car dans cette étude on rencontre
maints exemples de faits qui, restés longtemps stériles et négligés, sont
devenus tout à coup le germe d’une grande découverte lorsque le moment
était arrivé pour en comprendre la portée, et qu’un homme de génie était
venu y apposer son cachet».
Ueber das was Ganglbaner als Gattungen unter den Caraben annimmt
in’s Klare zu kommen, ist ein ziemlich vergebliches Bemühen. Gangl-
bauer (Deutsch. E. Z. 1886. p. 305.) gab eine Revision der kaukasischen
Piectes- oder Tribax-Arten «ein Bruchstück einer für die Annalen des k. k.
naturhistorischen Hof-Museums in Wien bestimmten umfangreichen Revision
der gesammten paläarctischen Arten der Gattungen Oalosoma, Carabus,
Procrustes und Procerus, die ich», wie es Ganglbauer hervorhebt, «hoffent-
Mélanges biologiques, T. XIII, p. 49.
78 AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
lich im Laufe dieses Jahres zum Abschluss bringen werde». In dieser Arbeit
entscheidet sich Ganglbauer (l. c. p. 306.) zweifelhaft, «ob als Gattung
oder Untergattung» für den von Fischer gegebenen Namen Tribax, denn
«ohne Frage ist der Name Tribax gegenüber Plectes prioritätsberechtigt».
Ganglbauer führt aber die dazu gehörigen Arten mit Hinweglassuug des
Gattungsnamens Carabus als Tribax auf, erkennt also trotz seiner Zweifel-
haftigkeit Tribax thatsächlich als Gattung an. Umgekehrt führt Gangl-
bauer (Deutsch. E. Z. 1886. p. 374.) «die spanisch-portugiesischen Hadro-
carabus» ohne Ausnahme als Carabus an, dann spricht Ganglbauer (Soc.
ent. I. 1887 p. 1.) von Procrustes-, Chaetomelas- und Lamprostus-Arten,
wobei die Namen dieser einauder coordinirt genannt werden und nennt aus-
drücklich (l. c. p. 2.) Zridax Thoms. non Fisch. = Lamprostus Motsch.
«Gruppe; ferner führt Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1887. p. 130.) «die
Arten der Sphodristocarabus-Gruppe» wieder mit Hinweglassung des Gat-
tungsnamens Carabus als Sphodristocarabus auf und in seiner neuesten
Arbeit, welche mir erst während des Drucks dieses Artikels zugekommen,
werden von Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1888. p. 383.) Chaetocarabus und
Melancarabus als Untergattungen von Curabus, dagegen Procrustes als
selbstständige Carabus gleichwertliige Gattung angesehen. Doch vorher
machte Ganglbauer (Stett. E. Z. 1887. p. 343.) die Mittheilung: «Pro-
crustes coriaceus bildet mit dem monotypen Banont Dej. und dem in der
Flügeldeckensculptur sehr variablen Chevrolati Crist. eine Artgruppe, die
sich durch den Mangel einer Seta an der Spitze des ersten Fühlerglicdes
von allen übrigen Artgruppen der Caraben unterscheidetv. Dass die
genannten Procrustes auf dem ersten Fühlergliede keine Seta haben, wird
von Ganglbauer, wie es doch den Anschein hat, als etwas Neues und
zwar als seine eigene neueste Entdeckung mitgetheilt. Indessen de la Brü-
lerie (Aun. S. E. Fr. 1875. p. 121.), der zuerst die Abwesenheit der Borste
auf dem ersten Fühlergliede bei Procrustes coriaceus constatirt und im
Gegensatz zu diesem die Anwesenheit ‘derselben bei Pr. impressus und Pr.
anatolicus hervorgelioben, sah ja vor mehr als einem Decennium gerade
darin bereits «l’indice d’une transition» zwischen ‘Curubus und Procrustes,
«et c’est là une des raisons qui me conduisent à n’attribuer à la division des
Procrustes qu’une valeur subgénérique», und auch Thomson (Opusc. ent.
VII. 1875. p. 634.) führt an, dass bei Procrustes s. str. «antennae articulo
1:0 puncto setigero nullo» seien. Ja, sogar Géhin (Cat. d. Carub. 1885.
p. XI.) theilt die Procrustes in Gruppen, indem bei einem Theil der Arten
das erste Fühlerglied oder «scape non setigere» sei, bei andern aber «avec
un pore portant une soie», und führt Géhin (l. c. Note 1.) von letzterem
Merkmal ausdrücklich an «ce caractere se retrouvant dans tous les groupes
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 50.
(xxzıı)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 79
suivants, il n’en sera plus fait mention», nur dass Géhin itrrigerweise zu
den Arten, deren erstes Fühlerglied ohne Borste angegeboh worden, auch
den ihm unbekannt gebliebenen Pr. talyschensis, und, wie bereits erwähnt,
auch Pr. Duponcheli Barthel. hinzuzieht und endlich wahrscheinlich durch
die Aehnlichkeit mit dem nach Ganglbauer monotypen Zr. Banoni veran-
lasst, vielleicht ohne Untersuchung, auch den Pr. anatolicus, bei welchem
schon de la Brülerie die Anwesenheit der Borste auf dem ersten Fühler-
gliede ausdrücklich hervorgehoben. Oder hat Géhin von diesen Arten
wirklich nur solche Exemplare gehabt, bei welchen die Borste des ersten
Fühlergliedes und auch der entsprechende Porus abnormerweise nicht
vorhanden waren? Denn eben so, wie bei den Arten der Pachystus-Gruppe
die Gularborsten (cf. Mor. Adeph. I. 1886. p. 20.), welche sonst doch
ziemlich constant vorhanden oder nicht vorhanden zu scin scheinen, könnte
ja auch die Fühlerborste bei einzelnen Arten der Procrustes-Gruppe variable
sein, was unzweifelhaft festzustellen jedenfalls von Interesse wäre, und wäre
dies ein Beweis mehr dafür, dass diesen Borsten keine garzu grosse Bedeu-
tung beigelegt werden dürfe. Bei dem von Ménétriés als Procrustes taly-
schensis beschriebenen Weibchen ist auf dem ersten Gliede des linken Füh-
lers weder eine Borste vorhanden, noch auch die Spur eines Porus zu sehen,
während das erste Glied des rechten Fühlers einen solchen Porus hat, und
wird es daher wohl richtig sein, die Arten der Procrustes-Gruppe in einer
Gruppe zu belassen und nicht eine Spaltung zu versuchen nach der Au-
oder Abwesenheit der Borste auf dem ersten Fühlergliede, wie es Gangl-
bauer (Stett. E. Z. 1887. p. 343.) für gerechtfertigt zu halten scheint.
Die procrustogenen Caraben sind überhaupt hinsichtlich der Variabilität der
Borsten die interessante Abtheilung der Caraben. Denn dass die Borsten
des 3—5ten ventralen Abdominalringes bei den Arten der Pachystus-Gruppe
bald vorhanden sind, bald aber auch fehlen, und zwar bei ein und derselben
Art, ist schon früher bemerkt worden und kann sich davon Jeder bei Ver-
gleich einiger Exemplare von C. mingens z. B. leicht überzeugen. Bei den
andern procrustogenen Carabeh scheinen diese Abdominalborsten nur bei
C. (Chaetomelas) praestigiator constant vorhanden zu sein, bei den übrigen
fehlen sie aber nicht so constant als angenommen wird, und finden sich aus-
nahmsweise ab und zu einzelne Exemplare, bei welchen sie deutlich entwickelt
sind. So ist in unseren Museum ein Männchen des CO, (Pseudoprocı ustes)
Durvillei (Duponcheli) vorhanden, bei welchem auf dem 5ten Abdominal-
segment jederseits und auf dem 4ten nur auf der rechten Seite eine Borste
vorhanden ist; desgleichen erhielt unser Museum als Carabus lamprus von
Kraatz ein Männchen, bei welchem auf dem 5ten Abdominalsegment jeder-
seits ein Borstenporus vorhanden ist, und zweifle ich auch nicht daran,
Mélanges blologiques. T. XIII, p. 51.
80 AUGUST MORAWITZ, [n. 8. ı
dass G&hin (Cat. d. Carab. 1885. p. 8.1.) den von Schaufuss (Nung.
Otios. II. 1882. p. 526.) als selbstständige Art diagnosticirten Carabus
sexpunctatus, welcher nur durch die Anwesenheit der Abdominalborsten auf
dem 3.—5ten Segment von C. (Pseudoprocrustes) robustus unterschieden
wird, mit Recht mit dieser Art vereinigt. Aber das sechste oder sog. letzte
Bauchsegment ist bei allen procrustogenen Caraben jederseits mit Borsten
versehen, mit Ausnahme des C. (Procrustes) impressus, bei welchem sie
fehlen, und habe ich darauf hin die von Thomson (Opusc. ent. VII. 1875.
p. 635.) als Procrustes aspericollis erwähnte Art auf C. impressus bezogen.
Dass aber auch bei dieser Art hin und wieder Exemplare vorkommen, bei
welchen auf dem sog. Endsegment Borsten ausnalımsweise vorkommen, dies
kann ersehen werden aus den von Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.)
Procrustes hybridus genannten Exemplaren, welche mit dem typischen C.
(Procrustes) impressus in der Sculptur der Flügeldecken übereinstimmen,
aber «durch längere Körpergestalt einen Uebergang zu Hemprichi vermitteln»
sollen. Wenn Ganglbauer auch sagt, «möglicherweise aber haben wir es
doch mit einer selbstständigen Art zu thum, so ist dies, bei der sonst con-
statirten An- oder Abwesenheit solcher Abdominalborsten bei ein und der-
selben Art, eine ganz sicher irrthümliche Vermuthung und ein Irrthum ist
es auch, wenn Ganglbauer der Meinung ist, dass seine Procrustes hybridus
mit den von de la Brülerie erwähnten angeblichen Hybriden übereinstim-
men, denn de la Brülerie (Am. S. E. Fr. 1875. p. 122.) spricht vou
solchen einander ähnlichen Exemplaren des C. impressus und C. Hemprichi
«surtont si l’on considère ses variétés à points effacés, und nur solche,
überdies, wie bereits erwähnt, in der Bildung der Oberlippe u. s. w. aber-
rante Exemplare, sah de la Brülerie als vermuthliche Zwitter an.
Da die sog. gewöhnlichen Abdominalborsten, die vanliga ventral-punc-
terna oder die puncta ordinaria abdominis, wie sie Thomson (Opusc. ent.
VII. 1875. p. 625. fig. 28. 1.) nennt, bei einzelnen procrustogenen Caraben
bald vollständig fehlen, bald aber auch, wie bei C. (Procrusticus) robustus
aberr. sexpunctatus sogar in vollständiger Anzalıl vorhanden sein können,
so bleibt es natürlich fraglich, ob die Chaetomelas-Gruppe, so wie ich sie
auffasse, auch wirklich der Thomson’schen entspricht. Denn Thomson
führt als Typus dieser Untergattung einen Carabus Ehrenbergi an, welcher
nicht identisch sein kann mit C. praestigiator (Ehrenbergi Brül.) und noch
weniger mit C. Saulcyi (Ehrenbergi Klug.), und bleibt es natürlich fraglich,
ob die von Thomson gemeinte Art identisch ist mit der von de la Brü-
lerie beschriebenen angeblichen Varietät seines ©. Ehrenbergi, = praesti-
giator, vom Dshebel-esch-Scheich, und muss die Entscheidung dieser Frage
Denjenigen überlassen bleiben, welche die letztgenannte Forın kennen. Die
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 59.
(xxx) | RNTOMOLOGISCHR BEITRÄGE. 81
Unterschiede zwischen den drei Caraben-Gruppen Procrustes, Pseudopro-
crustes und Chaetomelas sind ohne Zweifel nur selır geringe, aber schliesslich
können ja auch alle Merkmale, welche zur Gruppirung von Arten innerhalb
einer Gattung benutzt werden können, nur geringfügige sein, bei einzelnen
Arten oder auch ganzen Gruppen schärfer ausgeprägt, bei andern gewisser-
maassen verwischt, und es kann dies ja selbstverständlich auch nicht anders
sein, wenn die einzelnen Arten wirklich einen genetischen Zusammenhang
mit einander haben. Für Gruppen innerhalb einer Gattung solche Merk-
male zu beanspruchen, wie sie für Gattungen gefordert werden, ist ein
absolut unverständliches Verlangen. Wem die Merkmale der Uebergangs-
gruppe P’seudoprocrustes zu geringfügig scheinen sollten, der kann letztere
Gruppe doch wohl mit keiner andern als nur mit der Procrustes-Gruppe
verbinden, doch muss er dann consequenterweise auch die Uebergangsgruppe
Chaetomelas hinzuzichen und nicht, wie Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887.
p. 1.) es thut, die letztere als gleichberechtigt mit Procrustes ansehen, die
Pseudoprocrustes-Gruppe aber nicht. Die nächste Verwandtschaft von
C. praestigiator (Ehrenbergi der Entomologen), C. Saulcyi (Ehrenbergi Klug.)
und C. Hemprichi, welche drei Arten von denjenigen Entomologen, welche
Carabus und Procrustes als einander gleichwerthige Gattungen annehmen
zu müssen glaubten, ganz allgemein als zu Carabus gehörig angesehen
worden sind, mit den Arten der Procrustes-Gruppe wird aber nicht abge-
stritten werden können, und auf die Erkenntniss der natürlichen Verwandt-
schaft kommt es doch wohl zunächst an, während die Gruppen selbst über-
haupt nur einen relativen Werth haben können, bis eine grössere Anzahl
von Arten genauer untersucht worden, als es bis jetzt der Fall ist (cf. Mor.
Adeph. I. 1886. p. 75.). Und so wie die Gruppen selbst, so werden auch
die Abtheilungen innerhalb der Gattung Carabus wo möglich einen noch
geringeren relativen Werth haben, da so manche noch nicht genauer unter-
suchte oder auch jede neu aufgefundene Art nicht nur die versuchte
Charakteristik solcher Abtheilungen modificiren, sondern auch die Er-
kenntniss weiterer verwandtschaftlicher Beziehungen sicherer erschliessen
lassen dürfte.
Alles was Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 1—2.) in seinen, nach
Kraatz (Ent. Nachr. 1887. p. 192. Anm. 2.) awerthvollew, in Wirklichkeit
aber unglaublich kleinlichen «Bemerkungen zu einer Arbeit von August
Morawitz» vorgebracht, kann nur als durchaus unüberlegt und leichtfertig
bezeichnet werden, und beziehen sich ja auch Ganglbauer’s kleinliche
Bemerkungen überhaupt nur auf zwei, in kleinster Schrift gegebene An-
merkungen, was doch jedenfalls hätte erwähnt werden müssen. Oder ist
die Ueberschrift gegeben worden, ohne dass sich Ganglbauer dabei etwas
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 58. 6
82 AUGUST MORAWITZ, ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. [n. 8. ı
gedacht, da ja der ganze Inhalt schliesslich auch ein ganz unbedachter ist?
Auf Ganglbauer trifft jedenfalls Kiesenwetter’s (Berl. E. Z. 1865.
p. 357.) gelegentlicher Ausspruch in vollstem Maasse zu, «dass er durch
vorlaute Urtheile dieser Art sich selbst und seinem Rufe den grössten :
Schaden zufügt».
— 600% 2 --
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 54
(xxx) | | 83
Zur Entwickelungsgeschichte des Flussneunauges. Vorläufige Mittheilung von
Ph. Owsjannikow. (Lu le 20 décembre 1888.)
Die nenen Methoden, sowohl die Serienschnitte, als auch die neuen
Färbemittel, erlauben jetzt eine viel genauere Untersuchung im Bereiche der
Entwickelnngsgeschichte anzustellen, als in früheren Jahren. Auf diese
Weise ist esganz verständlich, dass Dank diesen neuen wissenschaftlichen
Mitteln, viele Lücken, welche in unser®n Kenntnissen auch über die Ent-
wickelungsvorgänge des Neunauges vorhanden waren, durch zahlreiche neue
Untersuchungen ausgefüllt sind. Die neuen Thatsachen bringen neue Fragen
mit sich, die ein besonderes Interesse für die vergleichende Entwickelungs-
seschichte haben. Da eine vollständige Publikation meiner Untersuchung über
die Entwickelung des Neunauges nicht so bald erfolgen kann, weil das überaus
reiche Material aus allen Entwickelungsstadien geordnet. werden muss und
auch die Zeichnungen viel Zeit erfordern, so habe ich beschlossen, eine
kurze, vorläufige Mittheilung zu geben, die zugleich bestimmt ist, meine
vor fast 20 Jahren gemachten Untersuchungen über diesen Gegenstand zu
vervollständigen. Ä
Das Keimbläschen liegt in den Eiern der Neunaugenlarven, die 70— 90
ınnı. lang sind, häufig schon excentrisch. In dieser Periode der Entwicke-
lung, wo der Eiinhalt halb flüssig ist, kann das Keimbläschen seine Lage
ändern. Ich habe Gelegenheit gehabt, in einem Präparate drei junge Eier
zu beobachten, in welchen sich das Keimbläschen zwischen dem Dotter und
der Eihaut befand.
Die Graaf’schen Follikel sind mit Endothelzellen belegt. An der Stelle,
wo die Zellen sich mit ihren zugespitzten Winkeln berühren, meistens am
oberen Pol des Eies, finden sich, nach Behandlung mit salpetersaurem Silber-
uxyd, dunkle Flecken, welche als Eingänge in die Lymphräume betrachtet
werden können.
Die Blutgefüsse treten in den Graaf’schen Follikel an dessen zugespitztem
Ende ein, an welcher Stelle sich auch der thätige Pol des Eies innerhalb
der Follikelmembran befindet. Man hat öfters Gelegenheit zu beobachten,
dass die Spitze des Eies von der Spitze der Follikelhaut ein wenig absteht,
während dieselbe an allen anderen Stellen des Eies ilnn eng anliegt.
Mélanges biologiques. T. XIIT, p. 55. 6*
84 PH. OWSJANNIKOW, [x. 8. 1
An allen Eiern der laichfähigen Neunaugen, wenu dieselben ans den
Ovarien entnommen waren, habe ich mit der grössten Deutlichkeit an Schnit-
ten das Keimbläschen gesehen. Der Keimfleck war aber nicht vorhanden. In
sehr vielen Eiern dagegen, die aus dem Weibchen, zum Behuf der künstli-
chen Befruchtung ausgepresst waren, konnte das Bläschen nicht entdeckt
werden. In sehr wenigen Eiern lag dasselbe als eine kleine, platte Scheibe
der Dotterhaut dem thätigen Pol des Eies an. Es unterliegt wohl kaum ei-
nem Zweifel, dass in den Fällen, wo der Eikern nicht zu sehen ist, sein In-
halt sich mit Dotterelementen vermischt hat, denn alle Eier waren befruch-
tungsfähig und bei allen war gleich nach dem Befruchtungsakt der Zapfen
wahrzunehmen.
Die Präparate müssen, damit die einzelnen Theile des Embryo deut-
licher sich von einander abgrenzen, durchaus gefärbt werden. Die allgemein
verbreitete Ansicht, dass die Eihau® die Tinctionsmittel nicht durchlässt, ist
unrichtig. Ich fand, dass mehrere Färbungsmittel in das Ei und den Embryo
eindringen. Am besten färbten sich die Eier, gleichviel ob sie anfangs mit
Flemming’scher Flüssigkeit, mit Spiritus oder Überosmiumsäure behandelt
worden, durch zwülf- bis vierundzwanzigstündiges Liegen in starker, gesät-
tigter Hämatoxylinlösung. Bei längerem Liegen werden die Dotterkörner
kohlschwarz.
Ich besitze eine grosse Reihe von Schnitten, auf denen alle jene Vorgänge
zu sehen sind, die gleich nach der Befruchtung auftreten und an lebendigen
Eiern von A. Müller, Kupffer, Benecke, Calberla und mir beobachtet
und beschrieben wurden.
Durch Behandlung mit Überosmiumsäure erhärtet der Eiinhalt augen-
blicklich, so dass man auf Schnitten den Befruchtungszapfen sammt dem
Protoplasma, das beim Zurückziehen des Dotters von der Eihaut gewölinlich
auftritt, gut zu sehen bekommt.
Ferner kann man auf den Serienschnitten die verschiedensten Formen
von Mitosen studiren, die bei Theilung des Kernes vor der Bildung der neuen
Dottersegmente auftreten.
Die Zeit, in welcher sich die verschiedenen Metamorphosen im Ei
bilden, ist von der Temperatur abhängig, bei welcher die befruchteten
Eier aufbewahrt werden. Diese Thatsache erklärt, warum die früher von
mir auch an den Eiern des Neunauges beschriebenen Dottertheilungen
rascher vor sich gingen, als bei Calberla. Kupffer berichtet, dass in
Königsberg bei einer Lufttemperatur von 8—10° C. die Larven am
16—17. Tage ausschlüpften und in Neapel am Ende des 8. Tages. Meine
Larven schlüpften am 9. oder 10. Tage aus, bei einer Lufttemperatur von
etwa 16 R.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 66.
(xxxin)] ZUR ENTWICKELUNGSOBSCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 85
Die erste Furche ist eine Längsfurche, hat also eine meridionale Rich-
tung und theilt den Dotter in zwei ganz gleiche Theile.
Die Furche beginnt vom Kerne aus, welcher längere Zeit fast ganz ober-
flächlich in der Gegend des thätigen Pols liegt.
Die erste Furchung geht überaus langsam vor sich. Man sieht vom
Kerne aus lange Fäden austrahlen, die besonders deutlich sind und an der
Stelle dichter an einander liegen, an der sich die Furche zu bilden begon-
nen hat.
Vor der vollen Trennung der beiden Furchungshälften, treten mehrere
Kerne auf und zwischen je zwei Kernen eine Spindel. Einer solchen voll-
kommenen Trennung der Dottersegmente haben wir es wahrscheinlich zum
Theil zu verdanken, dass wir in den letzten Tagen der Entwickelung in einer
Eihaut zwei vollständig von einander getrennte Embryonen vorfinden, wie
ich häufig zu beobachten Gelegenheit hatte. |
Die zweite Furchung ist ebenfalls eine Längsfurchung, erst die dritte
ist eine aequatoriale.
Nach 15 Stunden stellt das Ei eine Blase dar, deren obere Wand aus
einer Reihe kleinerer Zellen, die untere aus viel grösseren besteht. Die
Baer’sche Höhle hat eine bedeutente Ausdehnung erlangt.
Die Eier von 28 Stunden lassen am Dache der Baer’schen Höhle eben-
falls eine einzige Zellenreihe erkennen.
Am unteren Pol liegt aber eine Gruppe von grösseren Zellen. Der Über-
gang von den kleineren Zellen des oberen Pols zu den grösseren des unteren
ist ein allmählicher.
Bei Eiern von 55 Stunden hat die Bacr’sche Höhle einen noch grösseren
Umfang erlangt.
Die kleinsten Zellen liegen am oberen Pol und tragen schon einen
epithelialen Charakter an sich. Auf manchen Schnitten hat das Ei das Aus-
sehen eines Ringes, welcher an einer Stelle, nämlich am oberen Pol, ein-
schichtig, am anderen zwei- oder dreischichtig ist. Zuweilen liegt am unteren
Pol eine kleine Gruppe von Segmentationskugeln. Schon in dieser Periode
findet sich an der unteren Fläche des Eies eine Rusconi’sche Grube. Die
Zellen des äusseren Blattes gehen allmählich auf den Grund der Grube über.
Das Bild dieser Grube giebt Veranlassung anzunehmen, dass dieselbe sich
durch Einstülpung des oberen Blattes gebildet hat, was in der That der Fall
ist. Diese Bildung ist jedoch eine vorübergehende, wenigstens ändert sich
ihr Aussehen sehr bald. Die grössten Zellen finden sich in der Rusconi’-
schen Grube und am Rande derselben.
Nach 80 Stunden hat sich das obere Blatt noch mehr umgebildet, dieZellen
sind noch mehr cylindrisch geworden und haben die Dotterkörner fast ganz
Mélanges biologiques, T. ZI, p. 57.
86 PH. OWSJANNIKOVW, [n. 8. ı
verbraucht. Die Segmentationsliöhle hat unterdessen an Umfang stark ab-
genommen. Die ganze untere Hälfte des Eies besteht aus kleinen runden
Zellen, die jedoch von den noch kleineren Zellen des Epiblasts etwas abste-
hen und viel lockerer liegen als die letzteren. Der Rusconi’sche After ist um
diese Zeitam unteren Pol sehr deutlich, seine Form hat sich jedoch verändert,
indem er schmäler und länger geworden ist. Das Ei selbst ist auch länger
geworden und an einem Ende zugespitzt. Diese letztere Erscheinung ist da-
durch entstanden, dass während dieser Periode die Zellenvermehrung beson-
ders reichlich an der oberen Lippe des Rusconi’schen Afters, an der Über-
gangsstelle des oberen Blattes in das untere, vor sich geht.
Da während dieser Periode, einige Stunden früher, meistens aber später,
manche höchst interessante Vorgänge im Ei sich entwickeln, so wollen wir
dieselben näher betrachten.
Die Bildung des Darmkanals.
In früheren Stadien stellte der Rusconi’sche After eine breite Grube
dar, die durch Einstülpung des Epiblasts entstanden war. Ich spreche von
einer Entwickelungsform, welche wenigstens um 24 Stunden jünger ist, als
die, welche auf der Fig. 10. a. von Scott abgebildet ist. In jener Periode
haben wir in der That eine Gastrula vor uns. In einigen Stunden aber hat die
Zahl der am Grunde des Eies liegenden Dotterkugeln um ein Bedeutendes
zugenommen. Die Baer’sche Höhle hat die Abnahme ihrer Grösse währen«d
dieser Zeit nicht dem Umstande zu verdanken, dass die Zellen durch die
sich bildende Darmspalte in dieselbe hineingeschoben sind, sondern dass
ihre Zahl zugenommen hat.
Die Bildung der Darmhöhle geht dadurch vor sich, dass von der Rusconi’-
schen Grube aus eine Abspaltung der Dotterelemente von dem Drüsenkeim
statt findet, ganz in derselben Weise, wie dieser Vorgaug beim Irosch,
Axolotl, Sterlet oft beobachtet und beschrieben worden ist. Bei den eben
genannten Thieren ist diese Erscheinung leichter zu beobachten, weil die der
Spalte anliegenden Zellen, während ihrer Theilung und Abtrennung vom übri-
gen Dotter, Pigmentkörper enthalten. Zuweilen geht ein Pigmentstreif der
Spalte voraus. Da die Eier von Petromyzon garnicht pigmentirt sind, so wird
die Beobachtung etwas schwieriger. Trotzdem kann man an Hunderten von
Präparaten sich überzeugen, dass das untere Blatt, das Entoderm, durch
Abtrennung einer Zellenreihe von dem Dotter entsteht. Es ist noch zu er-
wähnen, dass vor der Bildung der Darmspalte auf den Schnitten schon eine
besondere Gruppirung der Zellen erkannt werden kann, die später zu den
Elementen des unteren Blattes verwendet werden. Während dieser Periode
und auch etwas später sind zwei von einander gesonderte, nur an der Bie-
Mélanges bivlogiques. T. XIII, p. 58.
(axıım)] ZUR ENTWICKELUNGSGRSCHICHTR DES FLUSSNEUNAUGES. 87
gungsstelle in einander übergehende Blätter, das Ectoderm und das Ento-
derm, vorhanden. Die Zellen des Ectoderms sind kleiner als die des I;nto-
derms, was übrigens ganz natürlich ist, da die Entwickelung der ersieren
früher als die der letzteren begonnen hat.
Von nun an liegt der Schwerpunkt der Entwickelungsvorgänge eine Zeit
lang am hinteren Theil des Embryo. Auf gut gelungenen Längsschnitten,
nämlich solchen, welche durch die Mitte des Eies von hinten nach vorn ge-
hen, so dass dieselben die obere und untere Lippe des Rusconi’schen Afters
halbiren, sieht man den Embryo sich schon über die Hälfte des Eies erstrecken.
Er besteht, wie schon erwähnt wurde, aus Ectoderm und Entoderm, und je-
des dieser Blätter hat auf seinem ganzen Wege nur eine Zellenreihe arfzu-
weisen. Man findet freilich Schnitte, in welchen das Ectoderm mehr als eine
Zellenreihe hat, doch hängt das davon ab, dass die Schnitte schief geführt
worden sind und das Messer, mehr an der Oberfläche des Eies gleitend,
einen grösseren Streifen von demselben mitgenommen hat. Ich habe Prüpa-
rate gefunden, auf welchen die Darmspalte mit der Segmentationshöhle
zusammenhing. Die Zellen, welche sich an der Decke der Höhle befanden,
unmittelbar unter dem Ectoderm, wurden für die Bildung des unteren Blat-
tes verwendet.
Eier 118 Stunden nach der Befruchtung.
Bier aus dieser Periode unterscheiden sich wenig von denen aus der
vorigen. Sie sind um etwas länger geworden, die beiden Lippen, die nbere
und untere und der zwischen ihnen liegende Pfropf, sind noch deutlicher, der
Embryo selbst noch länger geworden. Auf vielen Längsschnitten zeigen die
beiden Blätter noch immer je eine Zellenreihe. Dagegen lassen manche
Querschuitte, wenn sie das hintere Ende des Eies trafen, eine Vermehrung
der Ectodermzellen unterhalb der Rückenfurche erkennen. Es bildet sich
der Rückenmarksstrang. Die solide Bildung, wie schon Calberla gezeigt
hat, wird erst später kanalisirt, indem die Zellen auseinanderweichen und
den Rückenmarkskanal bilden. |
Eier 126 Stunden nach der Befruchtung.
Diese Periode ist eine der interessantesten. Der Embryo ist bedeutend
länger geworden. Auf sehr vielen Querschnitten des Eies ist er an zwei Stellen
durchschnitten, am vorderen und hinteren Ende. Am letzteren sieht man das
solide Rückenmark, unter demselben schon die Chorda vollkommen aus-
gebildet und dann das Epithel des Darmkanals, welches die innere Wand
desselben bildet. An beiden Seiten der Chorda liegen zum Theil noch solide
Anlagen der Urwirbel, Wolf’schen Gänge und Seitenplatten; die Letzteren
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 59.
88 PH. OWSJANNIKOW, [n. 8. 1
gehen in ein einschichtiges Blatt über. Ein anderes Bild giebt ein nach vorn
gelegener Schnitt. Das Centralnervensystem ist hier umfangreicher, dicker.
Es hat sich schon ein Centralkanal gebildet, in einiger Entfernung vom
Gehirn, dessen vorderes Ende ebenfalls noch solid ist. Die Chorda ist hier
nicht vorhanden, die Zellen des Eutoblasts liegen aber dem Centralnerven-
system unmittelbar an. Ju einiger Entfernung von dem vorderen Ende des
Embryo ist die Darmhöhle sehr bedeutend. Oben ist sie von einer doppelten
Schicht der Entoblastzellen umgeben, die in der Mitte durch den Rücken-
marksstrang etwas nach unten herabgedrängt sind. An beiden Seiten dieser
Ausbuchtung dagegen, rechts und links von ihr, bildet das Entoblast eine
Erweiterung der Höhle nach oben. Durchmustern wir nun die Schnitte von
hinten nach vorn, so sehen wir, dass zwei Falten von dem Entoblast sich
mehr und mehr der Mittellinie nähern. Dadurch erscheinen zwei Höhlen,
eine obere — kleinere und eine untere — grössere. Endlich rücken die Fal-
ten ganz an einander, indem sie einen Ring um die kleinere Höhle bilden,
die schliesslich ganz verschwindet.
Am übrigen Körper scheint die Bildung der Chorda durch einfache Ab-
schnürung der unter dem Rückenmarke liegenden Zellen des Entoblasts vor
sich zu gehen, wie schon Calberla beschrieben und abgebildet hat.
An beiden Seiten der Chorda liegt eine doppelte Reihe von Zellen, die
bald in eine einzige übergeht. Diese Zellen haben sich vom Entoblast
abgetrennt. Zwischen beiden Reihen existirt kein Zwischenraum. Trotzdem
erkennt man schon jetzt die Elemente, welche sich zu Urwirbeln, zu Wolf’-
schen Gängen und zu Seitenplatten constituiren werden. Übrigens findet
man an manchen Schnitten die Urwirbel schon fast ausgebildet. Die Bildung
einer Höhle im genannten Urorgan, geht später vor sich. Das Epiblast ist
auch während dieser Periode noch durchweg einschichtig, ausser in der
Mittellinie, wo sich das Rückenmark schon gebildet hat. Es sondert sich
auf den Schnitten zuweilen noch von dem Ei vollkommen ab.
Alle Urorgane sind am hinteren Theil des Embryo in ihrer Entwickelung
weiter fortgeschritten als am vorderen. Die Bildung der Höhlen und Kanäle
geht dadurch vor sich, dass entweder die Zellen auseinanderweichen, oder,
wie namentlich im Bereiche des Drüsenkeimes, dass die Dotterplättchen
aufgebraucht werden und an Stelle der Dotterzellen nur leere Hüllen
naclıbleiben. |
Die Entwickelung schreitet von der Mittellinie nach den Seiten fort.
Nach der Bildung des Rückenmarks und der Chorda entsteht ein Hohlraum,
zuerst in den Urwirbeln, die sich von den übrigen Zellen des Mesoblasts
abtrennen, dann entsteht er in den Wolf’schen Gängen und zuletzt in den
Seitenplatten. A. Shipley hat (Fig. 11) angegeben, dass die Wolf’schen
Melanges biologiques. T. XIII, p. 00.
xxun)] ZUR ENTWICKELUNGSOESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 89
Gänge oder das Segmentalorgan sich früher hervorbilden, als die Urwirbel.
Solche Bilder habe ich auf meinen Präparaten nicht gesehen. Die genannte
Figur ist überhaupt zu schematisch gehalten.
Die Urwirbelsegmente sind nicht cubisch, sondern an dem unteren,
inneren Winkel zugespitzt, in der Richtung nach der Chorda zu.
Über das Entstehen der Sinnesorgane.
Die Bildung des Gehörapparates habe ich erst an 160 Stunden alten
Embryonen beobachtet. Es tritt an der Seite des Gehirns eine grubenförmige
Einsenkung des Ectoderms auf. Die genannte Bildung ist an Querschnitten
sowohl, als auch an Längsschnitten in gleichem Maasse deutlich. Die in der
Mitte der Grube sich befindenden Zellen sind etwas länger, als die übrigen.
Nach einiger Zeit schliesst sich die Grube und wird zu einer Kapsel, zum
künftigen Labyrinth des Gehôrapparates. Um diese Zeit sind alle Zellen,
sowohl der Haut, als auch des Nervensystems, noch ziemlich reichlich mit
Dotterplättchen gefüllt. Der Zwischenraum zwischen der Ohrkapsel und
dem Gehirn ist sehr unbedeutend und verschwindet später fast ganz.
Das Auge bildet sich in der 200. bis 240. Stunde nach der Befruch-
tung. An der seitlichen oberen Fläche des Vorderhirns, fast unmittelbar
hinter der Geruchsgrube, findet sich eine sackförmige Erweiterung der
Gehirnwand. Sie erstreckt sich nach hinten und unten. Auf den Längs-
schnitten ist sie besser zu sehen. Die Einen jedoch ergänzen die Anderen.
Anfangs ist die Höhle im Säckchen überaus eng, später wird sie etwas brei-
ter, besonders an ihrem äusseren Ende.
Die erste Anlage der paarigen Augen beim Neunauge hat mehr Âhnlich-
keit mit der Anlage des dritten Auges bei manchen Thieren, als mit der-
jenigen der Augen im Wirbeltliierreiche überhaupt. Wir haben hier näm-
lich einen verhältnissmässig langen, röhrenförmigen Stiel, dessen äusseres,
etwas erweitertes Ende nur zur Retinabildung verwendet wird. Die äussere
Wand des Augenstiels wird dicker, eingedrückt, grubenförmig, in der Weise,
wie sich überhaupt die Retina ausbildet. Das Epithel der Haut, welches
der Augenanlage gegenüber liegt, nimmt an seiner Bildung keinen Antheil.
Es ist während dieser Zeit keine Spur von der Linse zu entdecken.
Die Bildung der Nasengrube geht durch eine grubenförmige Einbuch-
tung des äusseren Blattes vor sich, wie es schon öfters beschrieben wurde.
Die ersten Sinneswerkzeuge scheinen im ganzen Wirbelthierreiche alle
auf dieselbe Weise entstanden zu sein.
Das Herz,
Die erste Anlage des Herzens oder vielmehr des Venengefässes habe
ich bei Embryonen von 133 Stunden gesehen. Auf dem Längsschnitte,
Mélanges biologiqnes. T. XIII, p. 61.
90 PH. OWSJANNIKOW, [N. 8. 1
welcher von oben nach unten geführt wurde, erhält man ein Bild, das einige
Ähnlichkeit hat mit der Abbildung von A. Goette in seinem bekannten
Werke über die Entwickelung der Unke (Fig. 37). Wir sehen nämlich, dass
die Darmhöhle ihre grösste Ausdehnung in der Gegend des sich bildenden
Kopfes erlangt hat. Nach hinten, zum Rücken hin, wird sie schmäler, bildet
eine sehr schwache Einsenkung in der Mitte des Drüsenkernes und geht
dann als eine sackförmige Vertiefung in den Dotter hinein, in der Richtung
zur Bauchfläche. Die Wände, sowohl der Darmlıöhle, als jenes Venensinus,
sind mit Zellen des Entoblasts ausgelegt, die noch lange nicht den epitheli-
alen Charakter angenommen haben. Sie sind gross und voll von Dotter-
körnern. Wir haben in dieser Periode nur die Höhle des Gefisses vor uns,
die sich später vom Darme abschnürt. Sehr wenig ändert sich das Aussehen
der Venenanlage in den nächsten 40—-50 Stunden.
Bei Embryonen von 180 Stunden hat der Körper eine bedeutende Länge
erlangt. Man sieht auf Längsschnitten die Kiemenhöhle in Form eines lan-
gen Kanals, welcher schon Kiemenspalten hat. Unter der Kiemenhöhle
befindet sich, wie im vorigen Stadium, eine seitwärts vom Darme abgelıende
Vertiefung. Sie ist unterdessen etwas länglicher und ihr unteres Ende weni-
ger regelmässig geworden. Dieselbe setzt sich vielmehr in eine Spalte fort,
die man sehr weit nach hinten verfolgen kann und von der, nach allen
Richtungen hin, Risse zu bemerken sind, die sich schliesslich zwischen ein-
zelnen Dotterkugelu verlieren.
Aus diesem Bilde geht hervor, dass wir, lange vor der Ausbildung des
Herzens, ein System von Kanälen haben, die mit einer Flüssigkeit, der
Lymphe, gefüllt sind. In allen genannten Höhlen, in der Darmhöhle, der
Kiemenhöhle u. s. w., finden wir runde Ringe, eine Art von Membranen, die
wahrscheinlich von aufgelösten Dotterkugeln nachgeblieben sind. Man
findet einzelne solche Schläuche, in welchen noch einige wenige Dotterkör-
ner vorhanden, andere, die ganz von ihnen voll sind. Die Körperchen
sind viel kleiner, als die in der Nähe liegenden Zellen oder Dotterkugeln
des Drüsenkeimes. Durchschnittlich kann man annehmen, dass die Dotter-
kugeln, während der zu beschreibenden Periode, die erwähnten Körperchen
9 bis 10 Mal an Grösse übertreffen. Übrigens sind manche von’ ihnen
grösser, als ich eben angegeben habe.
Weitere bedeutendere Veränderungen, die schon in direktem Zusammen-
hange mit der Herzbildung stehen, sind zu verzeichnen an Embryonen von
200—220 Stunden, wenn sie eine Länge von 2 bis 3 mm. erlangt haben.
Unterhalb der Kiemenhöhle bildet sich eine erweiterte ovale Stelle, in der
Weise, als ob der Embryo hier etwas anschwillt. Die Längsschnitte zeigen,
dass sich hier die Seitenplatten rechts und links weit gespalten haben, es
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 69.
(xxx) ZUR BNTWICKRLUNGSOBSCHICHTR DRS FLUSBNRUNAUGES. 91
legt sich das äussere Blatt an die Haut, das innere an den Darm. Wir
haben dann an beiden Seiten des Darmes zwei ovale Blasen, deren grüsster
Durchmesser sich von oben nach unten erstreckt. Die eben beschriehenen
Bildungen erinnern uns lebhaft an die Pleurasäcke der höheren Wirbelthiere,
vor dem Auftreten der Lungen. An einzelnen Schnitten sehen sie ganz
hohl aus, an anderen, mehr nach oben gelegenen, findet man die Anlage
der Segmentalorgane, nämlich der Urnieren.
Um ein deutliches Bild von der Entwickelung des Herzens zu erhalten,
müssen wir uns zu den Querschnitten wenden. Betrachtet man einen solchen
aus der Herzgegend, so hat man um den Oesophagus einen weiten freien
Raum, welcher sich durch Auseinanderweichen der beiden Seitenplatten
gebildet hat, es ist die Körperhöhle. Wir gebrauchen dieses Wort, um dieser
Höhle einen allgemeinen Begriff zu geben. Die Darmfaserplatte oder das
splanchnische Mesoblast ist an gefärbten Präparaten besonders gut zu ver-
folgen. Man sieht auf der rechten, wie auch auf der linken Seite eine Falte
desselben, die um die Segmentalorgane und um die obere Hälfte des Oeso-
phagus geht. Wenn sich die beiden Blätter unter dem geschlossenen Oesopha-
gus begegnen, so nchmen sie die Richtung nach unten und gehen schliess-
lich in den somatischen Mesoblast, der sich an das Ectoderm anlegt. An
der Stelle, an welcher die rechte und die linke Faserplatte sich genthert
haben, nämlich wo die beiden Stücke, zwischen dem splanchnischen und
somatischen Mesoblast einander gegenüber stehen, ist anfangs eine schmale,
später eine viel breitere Spalte, die sich von oben nach unten erstreckt.
Dieser Zwischenraum ist die Herzhöhle. Die genannten Stücke der Darm-
faserplatten waren an ihren oberen und unteren Rändern verwachsen und
werden zu einem geschlossenen Rohre, welches nun frei in die Leibeshöhle
hineinragt und durch ein kurzes Band an den Darm befestigt wird. Schon
vor der Vereinigung des mittleren Theils der Darmfaserplatten, um die
Herzwandungen zu bilden, konnte an ihrem inneren Rande eine besondere
Lage von platten Zellen entdeckt werden. Diese innere Zellenlage trennt
sich von der äusseren und wir haben auf den Querschnitten zwei in einander
liegende Röhren vor uns. Die innere wird zum Endothelüberzuge des Her-
zens, also zum Endocardium. Die zweite, etwas dickere Röhre wird zum
Muskelgewebe des Herzens, welches von aussen ebenfalls von Endothel-
zellen bedeckt wird. Das Herz entsteht bei Petromyson aus den Falten
der Darmfaserplatten, die allein das Material zu allen seinen Bestandtheilen
geben. Ich hebe besonders hervor, dass die Elemente des Darmes sich bei
der Bildung des Herzens garnicht betheiligen. Die Herzhöhle setzt sich mit
jenen Lymphräumen in Verbindung, die wir oben als Herzanfang bezeich-
net und die sich in die Venen umgewandelt haben. Die Venen haben um
Mélanges biologiques. T. XII], p. 08.
92 PH. OWSJANNIKOW, [N. 8. 1
diese Zeit keine eigenen Wandungen und stehen in Verbindung mit vielen
Kanälen und Lacunen.
Die Literatur des Gegenstandes wird zwar erst später, beim Drucke mei-
ner ausführlichen und mit Zeichnungen versehenen Arbeit ihre volle Würdi-
gung finden, dennoch kann ich-jetzt nicht unerwälnt lassen, dass die Be-
obachtungen von A. Shipley auch in Beziehung auf das Herz hochzustellen
sind. Seine Abbildungen (Fig. 24 und 26) entsprechen der Sachlage, nur
sind sie etwas schematisch gehalten. Das Endothel ist an der Darmfaserplatte,
bei der ersten Bildung des Herzens nicht mit jener Deutlichkeit zu sehen,
mit der es auf der Zeichnung wiedergegeben wird.
Da die Bildung des Herzens zu deu schwierigsten Objecten der Embry-
ologie gehört, so möchte ich zu den obigen Resultaten noch einige Worte
hinzufügen. P. Meyer in seinem Artikel «Über die Entwickelung des
Herzens und der grossen Gefässstimme bei den Selachiern» theilte eine
Beobachtung mit, nach welcher das Endocardium anders entsteht, als wir es
auseinandergesetzt haben. Nach ihm legen sich die beiden lateralen Venen
an einander unterhalb des Darmes, wenn dieser sich schliesst, vereinigen sich
zu einem Gefässe, um ein einheitliches unpaares Rohr, «ein Endothelsäck-
chen» dem Herzen zu liefern. Die Zeichnungen (Tab. 12, Fig. 2 und andere),
welche P. Meyer uns gegeben lıat, sprechen ganz für seine Ausicht. In der
That findet man eine Reihe von Präparaten auch aus der Entwickelungs-
geschichte des Neunauges, welche die Meinung von P. Meyer zu bestätigen
scheinen. Es ist nämlich höchst auffallend, dass das Endothelsäckchen des
Herzens oft sehr weit von dem Myocardium entfernt liegt, als ob es selbst-
ständig entstanden sei und in keinem Zusammenhange mit den Seitenplatten
gestanden habe. Ferner findet man die Herzhöhle durch die Seitenplatten _
begrenzt, ohne dass an der inneren Fläche derselben das Endothel mit Deut-
lichkeit erkannt werden kann. Dann kommen auch solche Präparate vor,
in welchen die Seitenplatteu die untere Fläche des Darmes noch nicht voll-
kommen umlagert haben, ihre beiden Blätter nahe an einander und mehr
zur Peripherie hin liegen und dennoch findet sich mitten in der Körper-
höhle ein Endothelhäutchen des künftigen Endocardiums. Trotz aller dieser
Erscheinungen glaube ich an der Meinung, dass das Eudocardium an der
inneren Fläche, ganz in derselben Weise, wie an der äusseren, von den
Seitenplatten sich abgegrenzt hat, festhalten zu müssen. Ich finde mich dazu
gezwungen durch die Bilder, welche ganz junge Stadien der Embryonen,
von c. 2,5 mm., geben. Hier ist das Endocardium auf allen Schnitten aus
der Herzgegend sichtbar, aber immer im engsten Zusanmmenhaug mit dem
Myocardium. Beide Häute erscheinen dick und sind reichlich mit Dotter-
körnern versehen.
Mélanges biologiques. T, XIII, p. 04.
(xxx) | ZUR RNTWICKRLUNGSAESCHICHTE DRS FLUSBNRUNAUGES. 93
Bevor ich diesen Abschnitt schliesse, darf ich die Angaben von A.
(roette nicht mit Stillschweigen übergehen, da dieselben im Widerspruche
ınit meinen Beobachtungen stehen. Nach ihm bildet sich das Endocardium
aus Entoderm. Da es schwer anzunehmen ist, dass ein so tüchtiger Forscher,
wie Goette, sich geirrt hätte, so muss das Untersuchungsmaterial derart
gewesen sein, dass das Gesehene auf verschiedene Art gedeutet werden
konnte. Es könnte für die Goette’sche Ansicht der Umstand sprechen,
dass der Oesophogus in der Gegend der Herzanlage ziemlich stark an den
Seiten comprimirt ist und mit seiner unteren Fläche das Ectoderm fast
berührt. Hat sich das Herz gebildet, so ist das Lumen des Oesophagus um
die Hälfte kleiner geworden. Dann findet man nicht selten einzelne Zellen
in dem oberen Berührungswinkel der Darmfaserplatten. Eine Abschnürung
des Oesophogus, wie zuweilen geschildert wurde, oder Abspaltung einer
Zellenreihe von seiner unteren Fläche zu Gunsten des Endocardiums, habe
ich niemals gesehen und bleibe desshalb bei meiner oben geschilderten
Annahme.
Das Entoblast.
Die Kiemenhöhle entsteht dadurch, dass die Zellen des Dotters am vor-
deren Ende des Embryo so auseinander weichen, wie wir es bei der Bildung
des Darmes Gelegenheit gehabt haben zu beobachten. Der grosse, dicke,
aus compacter Zellenanlage bestehende Kopf fängt an, sich vom Dotter etwas
zu entfernen, wird kleiner, schmäler. Zwischen ihm und dem Dotter wird
der Vorderkörper des Embryo immer sichtbarer und länger. Mit den Aus-
seren Veränderungen gehen die inneren Hand in Hand vor sich. Die gebil-
dete Höhle, die am vorderen Ende anfangs geräumiger war, breitet sich
auch allmählich in ähnlichen Dimensionen nach hinten aus. Die ganz
indifferenten, die Höhle umgebenden Zellen werden zu Epithelzellen. Es
treten in dem gebildeten Kanal, welcher zur Kiemenhöhle wird, seitliche
Ausbuchtungen auf, die sich von vorn nach hinten verbreiten. Die Aus-
buchtungen werden so stark, dass die Entodermzellen das Epithel der Haut
berühren, welches schliesslich resorbirt wird. Der Ausbuchtung gegenüber
ist zuweilen eine schwache Vertiefung zu bemerken. An einzelnen Stellen
glaube ich bemerkt zu haben, dass das Epithel der künftigen Spalte sich so
weit nach aussen hervorgedrängt hat, dass die Zellen der Epidermis hier
dünner erschienen. Die an der unteren Fläche der Kiemenhöhle, in der
Gegend von der ersten bis zur fünften Spalte entstehende Rinne, die sich
später zum, grössten Theil abschliesst, die Thyreoidea, ist sehr häufig
beschrieben worden und ich habe nichts Wesentliches hinzuzufügen. Die
Bildung des Mundes, die Vereinigung der Ectodermbucht mit dem Ento-
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 65.
94 PH. OWBJANKIKOW, Ä [n. 8. ı
derm der Kiemenliöhle ist in den Hauptzügen ebenfalls bekannt. Betrachten
wir einige Längsschnitte, die parallel der Bauchfläche des Embryo geführt
waren, ungefähr solche, wie sie A. Dohrn auf der Tafel IV (Bd. VII)
gegeben hat, so fällt die Ähnlichkeit zwischen den Kiemenspalten und den
beiden äusseren Winkeln der Mundbucht auf. Es scheint, als ob die Letz-
teren nur die Ausserste Reihe jener Spalten bilden. Die Ähnlichkeit bezieht
sich nicht allein auf die Lage, sondern auch auf die Form.
Die Leber bildet sich durch Ausbuchtungen der Darmwand. Man sieht
dieselbe in Vereinigung mit Kanälen, die sich bald zu Röhren abgrenzen.
An der Stelle, wo diese Bildungen vor sich gehen, ist der Darm weniger
reichlich von Dotterzellen umgeben, als in seiner hinteren Abtheilung.
Jedenfalls nelımen die Dotterkugelu keinen Antheil au der Bildung der
Leber. Trotz der Angabe von Kupffer, dass bei den Neunaugen ein
Canalis neurentericus nicht entstelit, muss ich auf das Entschiedenste sein
Vorkommen bei diesen Thieren behaupten. Es existirt bis jetzt freilich
keine einzige genügeude Zeichnung desselben.
Verfolgen wir auf flachen Längsschnitten das Rückenmark, so sehen wir
mit der grössten Deutlichkeit, wie das Ende desselben sich um die Chorda
umbiegt, um dann unterhalb derselben eine Strecke fortzulaufen und als
etwas dünnerer Strang in die obere Wand des Enddarms oberhalb der Anus-
öffnung zu enden. Meine Präparate waren mit Haematoxilin gefärbt und
sowohl die Zellen des Rückenmarkes, als auch der Canalis neurentericus
sahen sehr dunkel aus, wodurch sie von den übrigen abstachen. Die
Zellen waren übrigens auch viel grösser, als andere in der Nachbarschaft
liegende, z. B. als die Epithelzellen. Das Bild des erwähnten Canals
wird dadurch etwas getrübt, dass in seiner Nähe ein grosses venöses
Gefäss liegt.
Das Gehirn und die Ganglien.
In einer vorläufigen Mittheilung, die nicht von Zeichnungen begleitet
ist, lässt sich sehr wenig über die genannten Organe sagen. Mehrere Tage
vor dem Ausschlüpfen der Embryonen besitzt das Gehirn schon mehrere
Abtheilungen. Während der Bildung der Augenblasen stellt die vordere
Wand des Vorderhirns eine sehr dünne Lamelle dar. Die Hemisphären und
die Riechkolben bilden sich später. Die Hypophyse nimmt ihren Ursprung
aus dem Ectoblast, während sie sich bei fast allen anderen Thieren aus den
Zellen des Entoblasts bildet. |
Über die Epiphyse habe ich einige Data in der jüngst erschienenen
Schrift über das dritte Auge der Neunaugen gegeben. Alle Ganglien, sowohl
die des Kopfes, als auch des Rumpfes sind aus den Zellen des Ectoderms
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 66.
(xxxın)] ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTB DES FLUSSNEUNAUGES, 95
hervorgegangen. Die Gehirnganglien scheinen in einer sehr frühen Periode
entstanden zu sein. Später trennen sie sich von der Epidermis ab und
scheinen dem Mesoblast anzugehören. Man sieht sie aber bei Embryonen
von 2 bis 3 mm. noch im Zusammeuhange mit der Oberhaut. Die Spinal-
ganglien treten später auf, und zwar nicht oberhalb des Rückenmarkes,
sondern seitwärts. Ich habe Epithelzellen zapfenartig von der Haut naclı
innen zu, zwischen die Urwirbel, sich erstrecken gesehen. In späterer Pe-
riode lagen sie, eine rundliche, selbstständige Gruppe bildend, schon getrennt
von der Haut, nalıe dem Rückenmarke. Aus diesem letzteren ging ein
kurzes Bündelchen von Nervenfasern, also eine Wurzel, in der Richtung
der Ganglienzellen. Eine Vereinigung zwischen ihnen bestand in jener
Periode noch nicht.
Indem ich diesen kurzen Bericht abschliesse, kann ich nicht unerwähnt
lassen, dass die Beschreibung und die Abbildungen von A. Dohrn über die
Gehirnganglien, z. B. des Trigeminus, Ophthalmicus, Facialis, Vagus und
anderer, im höchsten Grade naturgetreu sind. Ich besitze eine grosse Reihe
von Präparaten, die ganz dasselbe Bild geben, wie seine Fig. 1, 2, 4 Tab. 10
und besonders Fig. 6 Tab. 11 (Bd. VIII, Ilft. 2.).
Nelanges biologiques. T. XIII, p. 67.
(zxxım)] 97
Untersuchungen über die Basicität der Antimonsäure von Fr, Beilstein und
0. von Blaese, (Lu le 15 novembre 1888.) .
Was bis jetzt über die Konstitution der Antimonsäure allgemein ange-
nommen wird, stützt sich einzig auf die Angaben Frémy’s') und obgleich
mehrere Beobachtungen dieses Forschers keine Bestätigung gefunden haben,
sind doch seine theoretischen Ansichten die herrschenden geblieben. Die
von ihm gewählten Benennungen der Salze sind, im Prinzip, beibehalten
worden.
Nach Frémy giebt es zweierlei Antimonsäuren: die aus dem Kaliumsalz
durch Salpetersäure abscheidbare Ortho-Säure H,SbO, + H,0 und die
durch Zerlegung von SbCI, durch Wasser gebildete Metaantimonsäure
(jetzt Pyroantimonsäure) H,Sb,0,+ 2H,0. Die Antimonsäure soll in
NH, unlöslich sein, die Metaantimonsäure sich aber darin langsam, in der
Kälte, lösen. Doch gesteht Frémy selbst zu, dass seine Beobachtungen an
Schärfe zu wünschen lassen, weil die Antimonsäure, schon durch Wasser,
in Metaantimonsäure übergeht. «Es scheint», (nach Fr&my), dass die Meta-
antimonsäure sich in Säuren schneller löst als die Antimonsäure. Geuther?)
stellte fest, dass die, durch HNO, aus den Antimoniaten abgeschiedene,
Antimonsäure lufttrocken der Formel H,SbO, entspricht. Bei 175° geht
die Säure in HSbO, und bei 275° in Sb,0, über. Daubrawa?) stellte
ähnliche Versuche mit der Antimonsäure aus SbCl, und Wasser an und fand
für die lufttrockene Säure die Formel H,SbO, -+-1,H,O. Beim Stehen über
Schwefelsäure geht die Säure in H,SbO,, bei 100° in H,Sb,O,, bei 200°
in HSbO, über und hinterlässt bei 300° Sb,O,. Durch eine Reihe sorgfäl-
tig ausgeführter Versuche stellte Conrad‘) fest, dass die auf die eine
oder andere Art bereitete Antimonsäure stets von einerlei Zusammensetzung
erhalten wird, nämlich H,SbO, -+-"/H,O für. die lufttrockene Säure, und
H,SbO, für die über H,SO, getrocknete Säure. Bei 100° entsteht H,Sb,0,
1) Journal für prakt. Chemie (1845) 48. 293; (1848) 45, 209.
2) Journal für prakt. Chemie (1871) [2] 4, 488.
8) Liebig’s Annalen (1877) 186, .110.
4) Chemical news (1879) 40, 198. Das Referat über diese Arbeit im Jahresbericht für Chemie
u. s. w. für 1879, 287 ist falsch.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. b. 7
98 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLABSE, [N. 8.1
und zwischen 100—275° geht ein weiteres Molekül Wasser fort, doch
hinterbleibt selbst bei 300° noch ein 2—3%, Wasser enthaltendes Präparat.
Erst bei Rothgluth entweicht alles Wasser, aber gleichzeitig beginnt ein
Zerfall in Sb,O, und Sauerstoff. Die Versuche von Daubrawa und
Conrad stimmen in allen wesentlichen Punkten überein und es kann daher
als feststehend angenommen werden, dass stets einerlei Substanz H,SbO,
+ Y,H,O (lufttrocken) und H,SbO, (über H,SO, getrocknet) erhalten wird.
Nichts rechtfertigt die Annahme zweier verschiedener Hydrate, wie es z.B.
in der neuesten Auflage von Graham-Otto’s Chemie (5. Aufl., Abth.
II, S. 676) geschehen ist. Unsere eigenen Versuche über Antimonsäure
verschiedener Herkunft stimmen mit dem oben Mitgetheilten überein. In
den Eigenschaften der verschiedenen Präparate vermochten wir keine Unter-
schiede wahrzunehmen; namentlich war das Verhalten gegen Ammoniak
stets ein ganz übereinstimmendes. Sollten hin und wieder von anderen
Forschern geringe Unterschiede im Verhalten beobachtet worden sein, so
erklären sich dieselben durch die verschiedene Temperatur bei der Abschei-
dung der Antimonsäure. Dass Geuther’s Säure lufttrocken H,SbO, und
nicht nach der Formel H,SbO, +-, H,O zusammengesetzt war, darf nicht
überraschen, da Geuther seine Säure während eines «Sommerhalbjahres»
an der Luft trocknete, Daubrawa seine Präparate aber nur einige Wochen
lang liegen liess. Ausserdem ist zu berücksichtigen, dass der Antimonsäure
häufig Sb,O, beigemengt sein kann. Man erkennt die Gegenwart von nie-
deren Antimonoxyden an der Reduktion von AuCl, durch die Antimonsäure.
Nichts nöthigt bis jetzt zur Annahme von zwei verschiedenen Anti-
monsäuren. : |
+ Die einzige Beobachtung, welche dazu führen kann die Existenz, in wässe-
riger Lösung, von Salzen zweier verschiedener Antimonsäure anzunehmen,
‘ist folgende.’) Bereitet man eine Lösung von Kaliumantimoniat auf kaltem
Wege, so entsteht eine Lösung, welche, durch wenig Natriumacetat, Natrium-
salze gar nicht fällt. Bei viel Natriumacetat entsteht ein flockiger Nieder-
schlag sofort. Bleibt eine solche Lösung nur 24 Stunden stehen, so erlangt
sie die Eigenschaft Natriumsalze krystallinisch zu fällen und momentan ge-
schieht dies, sobald die Lösung des Kaliumsalzes zum Kochen erhitzt wird.
Die kaltbereitete Lösung des Kaliumsalzes wird durch Alkohol gefällt. Der
Niederschlag KSbO, + 3H,0 (KSbO, + 1, H,0 = K,H,Sb,0, + 2H,0 bei
100° getrocknet) löst sich langsam aber reichlich in kaltem Wasser und
diese Lösung fällt Natriumsalze krystallinisch, erst nach dem Aufkochen.
6) Knorre, Olschewsky, Berichte der d. chem. Gesellschaft 1886, 23683; 1887, 8044;
Fremy.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 6.
(xxxın)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASIOITÄT DER ANTIMONSÄURE. 99
Daraus würde freilich die Existenz von zwei verschiedenen Antimonsäuren
folgen. Die Salze dieser zweiten Säure sind offenbar sehr unbeständig.
Bereitet man sich antimonsaures Ammoniak oder Kaliumantimoniat, gleich-
gültig wie, und gebraucht nur die Vorsicht die Lösung der Antimoniate, im
Laufe der Arbeit, zu erhitzen, so erhält man stets eind Lösung; : welche
Natriumsalze sofort krystallinisch fällt. Alle Salze,''welche durch doppelte
Umsetzung daraus bereitet t werden, leiten sich sämintlich von ‚einer und der-
selben Antimonsäure ab. ! LL LE
Das Einfachste wäre nun die Antimoniate als Derivate: der Orthosäure
H,SbO, aufzufassen. Allein'der Wassergehalt : der‘ Antimoniate' ist häufig
ein komplizirter, so dass viele Forscher es vorgezögen ‘haben, seit Frémy,
die Antimoniate als Pyroantimoniate, d.h. als Salze der Säure H,Sb,0, zu
betrachten. Von diesem Gesichtspunkte aus haben namentlich Knorre und
Olschewsky®°) einige Antimoniate untersucht. Das durch Schmelzen von
Antimon mit Salpeter bereitete Kaliumsalz führte zu. keinen’ bestimmten
Resultaten, weil dasselbe ganz allmählig Wasser verliert, es also unmöglich
ist zwischen Krystallwasser und Konstitutionswasser zu unterscheiden. Das
Natriumsalz entspricht, bei 350° getrocknet, der Formel NaSbO, +
„H,O = NaH,Sb,O,. Das ist die Formel eines Pyroantimoniates. Bei
verschiedenen Darstellungen von Kaliumantimoniat®) wurden Präparate er-
halten, die bei 330° annähernd der Formel K,H, Sb,0, entsprachen.
Unter diesen Verhältnissen erschien es wünschenswerth die Antimoniate
einem genaueren Studium zu unterwerfen, als bisher geschehen ist. Nament-
lich konnte auch die Untersuchung von Antimonsäure-Estetn Auf-
schluss über die Konstitution der Antimonsäure geben. ee |
Was bis jetzt fiber Antimoniate bekannt ist, verdanken wir grössten-
theils einer vorzüglichen Arbeit Heffter’s’} Der experimentelle
Theil dieser Arbeit ist mit grosser Sorgfalt durchgeführt, nur seine Be-
rechnungeii haben eine Korrektur erfahren. Heffter gelangte zu
ausserordentlich kompliziften Formeln für: die Antimoniate, z.'B. für das
bekannte, krystallirische Natriumsalz: :12 (NaSbO, + 3/,H,0) + NaOH.
Allein Schneider?) wies bald nach, dass hieran nur das früher irrthümlich
zu hoch angenommene Atomgewicht für Antimon (= 129, statt = 120)
Schuld sei. Rechnet man Heffter’s Analysen nach dem neuen Atomge-
wicht um, so gelangt man zu einfachen Formeln, für das Natriumsalz zu
NaSbO, + 3'/, H,O.
6) Knorre, Olschewsky, Berichte der deutschen chem. Gesellschaft 1887, 3060.
7) Poggendorff’s Annalen der Physik und Chemie (1852) 86, 418. :
8) Poggendorff’s Annalen (1856) 98, 298.
9) Berichte der deutschen chem. Gesellschaft (1885) 18, 2748.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. ?. 7
100 FR. BEILBTEIN UND O0, VON BLAESE, [n. 8. ı
Heffter stellte folgende Salze dar: KSbO, + 3, H,O; — Mg(SbO,),
+ 12H,0; — Ca(SbO,), + 5H,0; — Sr (SbO,) + 6 H,0; — Ba (SbO,),
+ 6 H,0; m Ni (SbO,), + 6 H,O; — Co (SbO,), + 12 H0.
Raschig®) stellte antimonsaures Ammoniak. NH,SbO, + 3 H,0
dar durch Behandeln von Schwefelantimon mit Ammoniak. und Wasserstoff-
superoxyd. Durch doppelte Umsetzung bereitete er daraus die Salze Mg
(SbO,)s + 12 H,O und OH. Cu. ONH, + 2 NH,SbO, + 4H,O..
Darstellung des antimonsauren Kaliums. Zur Darstellung der
Antimoniate wählten wir das Kaliumsalz. Das nach Raschig aus Sb,S,,
NH, und, H,O, ‚bereitete Ammoniaksalz wird in zu verdünnter. Lösung
erhalten. Für die Darstellung von Kaliumantimoniat ist die Dexter’-
sche!®) Vorschrift wohl die geeignetste. Danach trägt man ein inniges
Gemisch von 1 Theil entwässerten Brechweinstein und 1 Theil Kalisalpeter
portionenweise in einen glühenden Tiegel ein und fügt der völlig weissen
Schmelze, allmählig und in kleinen Antheilen, ?/, Theil Ätzkali zu. Man hält
die Masse noch '/, Stunde lang in ruhigem Fluss und giesst sie dann auf
eine Metallplatte aus. Das Produkt löst sich völlig in heissem Wasser; die
Lösung wird zur Krystallisation verdampft. |
Wir gingen bei unseren Versuchen vom käuflichen Salze aus. Dasselbe
ist oft stark verunreinigt durch K,CO,, KNO, u.s. w. Dasselbe wurde da-
her zunächst mit kaltem Wasser gewaschen. Beim darauffolgenden Kochen
mit Wasser löst sich aber nur ein kleiner Theil des Salzes auf, offenbar in
Folge einer erheblichen Beimengung an saurem Salze oder freier Antimon-
säure. Vermuthlich wird sich durch Schmelzen des käuflichen Salzes mit
etwas Kali eine grössere Menge löslichen Kaliumsalzes daraus bereiten
lassen. Wir fanden einen einfacheren Weg dazu. Das mit kaltem Wasser
gewaschene, käufliche Kaliumantimoniat wurde, in einem verstöpselten Kol-
ben, mit konzentrirtem, wässerigem Ammoniak übergossen, so dass ein dünner
Brei entstand, den man 2 Tage stehen liess. Dann verdünnt man das
Gemisch mit viel Wasser und erhitzt es in einer Metallschale längere Zeit
zum Kochen, bis alles Ammoniak entwichen ist. Es tritt sehr bald ein Mo-
ment ein, wo sich: eine grosse Menge des Niederschlages in der Flüssigkeit
löst. Während des Kochens hält man die Schale durch eine Glastafel bedeckt
und ersetzt von Zeit zu Zeit das verdampfte Wasser. Die klare Lösung wird
abdekantirt und nöthigenfalls durch Eindampfen konzentrirt, was aber meist
kaum nöthig ist. Eine von uns benutzte Lösung enthieltetwa 36 g Kalium-
antimoniat im Liter.
Die von uns dargestellten antimonsauren Salze sind in Wasser
10) Poggendorff’s Annalen der Physik und Chemie (1857) 100, 564.
Molauges phys. et chim. T. XIII, p. 8.
(xxxin)| UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÎT DER ANTINONSÄURE. 101
sehr schwer löslich oder unlöslich. Sie enthalten sämmtlich Krystallwasser,
das zum grösseren Theile bei 100° entweicht. Bei stärkerem Erlıitzen
geben sie alles Wasser ab, ohne hierbei Sauerstoff zu verlieren.
Wir haben uns hiervon überzeugt durch Wägungen sowohl des erhitzten
Salzes als auch durch Auffangen des Wassers in gewogenen Chlorcalcium-
röhren. Berzelius und Heffter beobachteten das Gleiche bei den von
ihnen untersuchten Salzen. Viele Salze erglühen beim völligen Entwässern;
eine Ausnahme hiervon zeigten das Lithium-, Quecksilber-, Chrom- und
Eisensalz. Die geglühten Salze lösen sich nur unvollständig in jenen
Lösungsmitteln, in welchen die wasserhaltigen Salze löslich sind.
Analyse der Antimoniate. Die Bestimmung der Metalle in den
Alkaliantimoniaten geschieht, nach dem Vorgange H. Rose’s derart, dass
man das Antimoniat direkt mit Salmiak glüht oder das Salz in Salzsäure
löst, die Lösung verdunstet und den Rückstand mit Salmiak glüht. Hierbei
entweicht das Antimon und es hinterbleibt ein Chlormetall. Durch erneutes
Glühen mit Salmiak überzeugt man sich von der völligen Entfernung des
Antimons.
Das Antimon wird meist als Sb,S, bestimmt. Das Schwefelantimon
durch Glühen im Wasserstoffstrome als Antimon zu wägen, ist, nach Heff-
ter, nicht empfehlenswerth. In den Analysen wird das Antimon meist als
Sb,S, gefällt und dieses wird, durch Erhitzen im Kohlensäurestrome, in
SDS, umgewandelt. Nach Heffter soll hierzu schon ein mehrstündiges
Erhitzen des Antimonpentasulfids auf 200—230° genügen. Wir fanden
bei unseren Versuchen, dass auf diese Weise keine genauen Resultate
erhalten werden. Man beobachtet allerdings, dass nach mehrstündigem
Erhitzen auf 200—230° das Gewicht des Schwefelantimons konstant wird;
allein demselben ist stets etwas Schwefel (als Sb,Sb,?) beigemengt. Erhitzt
man stärker, so entweicht wieder Schwefel. Wir haben es deshalb vor-
gezogen das Antimonpentasulfid im Kohlensäurestrome zu erhitzen. Der
wie gewöhnlich behandelte Niederschlag wurde, nach dem Trocknen, mit
CS, gewaschen um ihn möglichst von freiem Schwefel zu befreien. Das bei
100° getrocknete und gewogene Schwefelantimon wurde dann zum grösseren
Theile in ein Schiffehen gebracht und dieses, in einer Röhre, im Kohlen-
säurestrome erhitzt. Man lässt die Flamme des Gasbrenners nicht direkt
auf das Schiffchen wirken, sondern bedeckt die Flamme mit einem Drath-
netz. Diese Vorsichtsmaassregel ist in sofern zweckmässig, als bei zu star-
kem Erhitzen im Gasstrome sich leicht etwas Sb,S, verflüchtigt. Erhitzt
man das Antimontrisulfid, wie es Heffter vorschreibt, bis es eine blasige
Beschaffenheit annimmt, so kann man stets eine deutliche Verflüchtigung
von Sb,S, wahrnehmen.
Mélanges phys. ot cbim. T. XIII, p. 9.
102 FR. BEILSTEIS UND 0. VON BLAESE, [n. 8. 1
.Die: Analyse der Antimoniate durch Schmelzen mit Soda und Schwefel
vorzunahmen, ergab keine völlig befriedigenden Resultate. Beim Behandeln
der. Schmelze mit Wasser ging wohl das Antimon rein in Lösung, aber in
dem unlöslichen Metallsulfide konnte immer Antimon nachgewiesen werden.
1. Antimonsaures Lithium LiSbO, + 3H,O.
Die Lösung des Kaliumantimoniates wird durch Lithiumsulfat sofort
gefällt. Beim Stehen des Gemisches scheiden sich, am nächsten Tage, Kry-
stalle des Salzes an den Wandungen des Glases ab. Dieselben erscheinen,
unter dem Mikroskope, als hexagonale Tafeln. Beim Glühen verliert das
Salz alles Wasser ohne Feuererscheinung; es bleibt dabei farblos.
Zur Analyse wurde das an der Luft getrocknete Salz verwendet. Die
Bestimmung des Lithiums geschah durch Glühen des Salzes mit Salmiak.
Dieses Verfahren hat unvermeidlich einen kleinen Verlust an LiCl im
Gefolge.
1. 0,9541 g gaben 0,1742 LiCl.
2. 0,5410 g gaben 0,1060 LiCt.
3. 0,7586 g lieferten 0,1772 g Wasser.
Berechnet. Gefunden. 3
Li 7 LiO 655 6,52 6,99 —
Sb 119,6 Sb,0, 69,81 — —.
O0, 48 H,O 23,64 — 0 923,35
3H,0 54
228,6 100,00
2. Antimonsaures Quecksilberoxyd Hg (SbO,), + 6H,O.
Nach Berzelius!!) entsteht beim Eingiessen von Kalinmantimoniat in
Sublimatlösung, erst nach einiger Zeit, ein graugelber Niederschlag. Durch
Glühen von Antimon mit Quecksilberoxyd erhielt er ein duukelolivengrünes,
ziemlich feuerbeständiges Pulver.
Unsere Lösung von Kaliumantimoniat gab mit Sublimat, erst nach eini-
ger Zeit, einen farblosen, flockigen Niederschlag. Derselbe sctzte sich selır
langsaın ab und da er beim Filtriren theilweise durch’s Filter ging, wurde
er durch sehr langes Absetzen und Dekantiren gewaschen. Dabei nalım der
Niederschlag eine gelbliche Farbe an.
Zur Analyse wurde das Salz an der Luft getrocknet, danu in Salzsäure
und Weinsäure gelöst und zunächst das Quecksilber durch phosphorige Säure
11) Schweigger, Beiträge zur Chemie uud Physik (1812) Baud 6, S. 164.
Mélanges phys. et chim T. XIU, p. 10.
(xxxım)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIB BASICITÄT DER ANTIMONBÄURE. 103
als Kalomel gefällt. Im Filtrate davon wurde das Antimon durch Schwefel-
wasserstoff gefällt und als Sb,S, gewogen.
1. 0,8282 g gaben 0,3082 g Hg,Cl, und 0 ‚4338 g Sb,S,.
2. 0,7996 g gaben 0,2995 g Hg,Cl, und 0 4018 g SbS, |
| Berechnet. Gefunden.
2.
Sb,O, 319,2 49,64 49,88 49,18
HgO 215,8 33,56 34,14 34,36
643,0 100,00
Das getrocknete Salz ist gelb. Beim Erhitzen färbt es sich schwarz,
doch tritt während des Wasserverlustes keine Feuererscheinung ein.
3. Antimonsaures Aluminium Al(SbO,), + 15H,0 = Al(H,SbO,)
+ 12H,0.
Eine Lösung von Kaliumantimoniat giebt mit Alaunlösung einen Nieder- .
schlag, der sich, bei mehrtägigem Stehen in der Flüssigkeit, in glänzende,
mikroskopische Krystalle wnwandelt. Zur Darstellung des Salzes diente
Kaliumalaun (Analysen 1—3) und Ammoniakalaun (Analysen 4—6). Die
gut ausgewaschenen Niederschläge blieben an der Luft liegen, bis ihr Ge-
wicht sich nicht mehr änderte.
. 0,5626g gaben 0,3516 g Sb,S,.
. 0,7485 g gaben 0,0526 g Al,O,.
. 0,4964 g gaben 0,1660 g H,O.
. 0,6264 g gaben 0,3921 g Sb,S;.
. 0,6899 g gaben 0,0442 g Al,O,.
. 0,4312g gaben 0,1456 g H,O.
Berechnet. Gefunden.
1. 2. 8. 4. 6. 6.
39b0, 957,6 59,86 59,4 — — 595 — —
ALOs 102,1 6,38 — 70 — — 6,4 —
30H,0 540 33,76 — — 34 — — 33,8
1599,7 100,00
1,1241 g gaben hei 100° 0,2113 g Wasser ab, bei 150° 0,2677g
und bei 200° 0,3053 g H,O.
OO Où À © ND
Berechnet. Gefunden.
16H,0 18,0 %, H,O 18,8 %, H,O
21H,0 23,6 23,8
24H,0 27,1 27,2
Melanges phys. ot chim. T. XIII, p. 11.
104 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [n. 8. 1
Demnach entspricht:
das bei 100° getrocknete Salz der Formel: Al(SbO,), + 7H,O
| = AI(H,SbO,), + 4H,0,
das bei 150° getrocknete Salz: ANSbO,), + 4,H,0, :
das bei 200° getrocknete Salz: Al(SbO,), + 3H,0 = AI(H,SbO,),-
Das bei 200° getrocknete Salz besitzt demnach die Zusammensetzung
eines orthoantimonsauren Salzes. Bei starkem Erhitzen zeigt das Salz
eine Glüherscheinung.
4. Antimonsaures Thalliumoxydul TISbO, + 2H,0 =TIH,SbO, + H,0.
Durch Eingiessen von völlig neutralem Thalliumsulfat in Kaliumanti-
moniatlösung entsteht ein farbloser Niederschlag, der etwas in Wasser lös-
lich zu sein scheint; wenigstens liessen sich in den Waschwassern Thallium
und Antimon deutlich nachweisen. Das einmal getrocknete Salz ist in
Wasser unlöslich.
Zur Analyse wurde lufttrockenes Salz verwendet.
Die Trennung des Antimons vom Thallium geschah durch Schwefel-
wasserstoff, in saurer Lösung. Das Thallium wurde als Sulfat gewogen.
1. 0,8854 g gaben 0,5444 TLSO, und 0,3662 g Sb,S,.
2. 0,8168g gaben 0,0746 H,O.
Berechnet. Gefunden.
1. 2.
Sb,0, 319,2 39,18 39,38 —
TLO 423,4 51,98 51,72 —
44,0 72,0 8,84 — 9,13
814,6 100,00
1,0662g verloren bei 100° — 0,0515g H,O; bei 150° — 0,0674;
bei 200° — 0,0753; bei 250° — 0,0804 und beim Glühen 0,0946 g H,O.
Es beträgt daher der Wasserverlust:
bei 100° 4,83%, H,O 1H,0 = 4,42 °/, (berechnet)
„ 150 6,32
» 200 7,06
250 7,54
‚ Glühhitze 8,87 2H,0 = 8,84 (berechnet).
‚Das bei 100° getrocknete Salz entspricht wiederum genau einem
Orthoantimoniat TISbO,+H,0=TIH SbO,. Oberhalb 150° entweicht der
Rest des Wassers ganz allmählig, während das erste Molekül Wasser als
Krystallwasser leicht und vollständig bei 100° entweicht.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 12.
(zxxun)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 105
Beim Erhitzen färbt sich das antimonsaure Thallium citronengelb und
hierauf dunkelorangefarben, wird aber dann, beim Erkalten, wieder gelb.
Bei starkem Erhitzen zeigt das Salz eine Glüherscheinung, wie die Mehr-
zahl der Antimoniate.
5. Antimonsaures Blei.
Berzelius beschreibt das antimonsaure Blei als einen farblosen, käse-
ähnlichen Niederschlag, der beim Trocknen gelblich wird. Es gelang ihm
nicht die Zusammensetzung zu ermitteln, da er das Blei vom Antimon
(durch Salpetersäure) nicht zu trennen vermochte. Wasserhaltiges Blei-
antimoniat entdeckte Hermann) als ein (sibirisches?) Mineral von der
Zusammensetzung 3PbO . Sb,0, + 4H,0 = Pb(SbO,), + 2PbO + 4H,0.
Das Mineral war gelb und besass ein spezifisches Gewicht — 4,60 bis 4,76.
Als ein ähnlich zusammengesetzter Körper erwies sich nach Brooke ") eine
«Bleiniere», aus Cornwall. Dieselbe war wohl ein Umwandlungsprodukt von
Jamesonit und zeigte eine wechselnde Zusammensetzung. Ein paar Analysen
stimmten auf die Formel 3PbO . 2Sb,0, + 10H,0 = 2Pb(SbO,) + PbO
+ 10H,0. Das wasserfreie Bleiantimoniat, durch Schmelzen von Brech-
weinstein mit Bleinitrat und Kochsalz bereitet, wird als pomeranzengelbe
Ölfarbe, unter dem Namen Neapelgelb, benutzt.
Durch Versetzen von Kaliumantimoniat mit Bleiacetat erhielten wir
einen farblosen Niederschlag, der anhaltend, durch Dekantation, mit Was-
ser gewaschen wurde. Das luftrockene Salz wurde, behufs der Analyse, in
Salpetersäure, unter Zusatz von Weinsäure gelöst, die saure Lösung mit NH,
ueutralisirt und mit Schwefelammonium versetzt. Oder man fällte die Lösung
durch Schwefelwasserstoff und behandelte den Niederschlag mit Schwefel-
ammonium. Das Blei wurde als PbS gewogen. Das Salz wurde zweimal
dargestellt; Analysen 1—7 beziehen sich auf Salz der ersten Darstellung,
Analysen 8 und 9 auf Salz von der zweiten Darstellung.
0,7526 g gaben 0,3556 g PbS.
0,7063 g gaben 0,3331 g PbS.
0,8283 g gaben 0,3916 g PbS und 0,3763 g Sb,S,.
0,8896 g gaben 0,4231 g PbS und 0,3986 g Sb,S,.
0,3773 g gaben 0,0481 g H,O.
0,5341 g gaben 0,0674g H,O.
0,9870 g gaben 0,1259 g H,O.
0,6990 g gaben 0,3430 g PbS und 0,3024 g Sb,S,.
0,8455 g gaben 0,1105 g H,O.
son np m DE
12) Jonrnal für praktische Chemie (1845) 34, 179.
18) Jahresbericht der Chemie für 1856, S. 871.
Mélanges phyr, et chim. T. XIII, p. 13.
106 FR. BRILSTEIN UND 0. VON BLABSE, [N. 8. 1
Berechnet. . Gefunden.
ue 1. 2... 8. 4. 6. 6. 7. 8. 9.
2Sb,0, 638,4 42,46 — — 48,25 49,62 — - - 4119 —
BPbO 667,2 44,87 44,08 43,98 44,10 44,88 — — — 45,76 —
11H,0 198,0 18,17 - — — — 192,80 12,62 1274 — 18,06
1508,6 100,00 |
1,1625 g verloren bei 100° — 0,0924; bei 160° — 0,1164g; bei
200° — 0,1294 g; bei 250° — 0,1364 g und beim Glühen 0,1530 g Was-
ser. Demnach beträgt der Wasserverlust:
Berechnet. | Gefunden.
bei 100° 7,94%, H,O 7H,0 8,37%, H,O
» 150° 10,01 9H,0 10,10
» 200° 11,13 _- —
» 250° 11,73 10H,0 11,97
» Glühhitze 13,16 11H,0 13,17
Das Salz zeigt beim Erhitzen eine Glüherscheinung und bleibt dann
dauernd gelb gefärbt.
Es ist sehr bemerkenswerth, dass unser Salz fast genau der in Coru-
wall aufgefundenen «Bleiniere» entspricht; die ganze Differenz beträgt
nur ein Molekül Wasser. Für die Formel 3PbO . 2bS,0, + 10H,0 be-
rechnen sich: Sb,O, — 42,33%; PbO — 44,91 %,; ILO — 12,12%. Un-
ser Salz ist demnach ein basisches: 2Pb(SbO,, + PLO + 11H,0.
Die nicht unbeträchtlichen Schwankungen in der Zusammensetzung des-
selben erklären sich wohl durch die Wirkung des Waschwassers. In der
That, bei einer anderen Darstellung von Bleiantimoniat, wobei aber der
Niederschlag nicht durch tagelanges Dekantiren gewaschen, sondern sofort
abfiltrirt wurde, fanden wir im lufttrockenen Salze: 39,30 % PbO und
14,86%, H,O. Das Salz enthielt also erheblich weniger Base.
Ein anderes Bleiantimoniat erhielten wir durch Fällen von Kalium-
antimoniat mit Bleinitrat. Um auch hier den Einfluss des Wasch wassers
zu studiren, wurde bei der einen Darstellung (Analysen 1—3) der Nieder-
schlag sofort abfiltrirt und auf dem Filter gewaschen. Bei der anderen
Darstellung (Analysen 4—7) wurde der Niederschlag sehr lange, durch
Dekantation gewaschen, und dazu im Ganzen 33 Liter destillirtes Wasser
verwendet.
1. 0,5753 g gaben 0,2258 g PbS.
2. 0,5497 g gaben 0,2174g PbS und 0,2766g Sb,S,.
3. 0,6895 g gaben 0,1070 g H,O.
4. 0,4518g gaben 0,1756g PbS und 0,2255 g Sb,Ss.
Mélanges plıys. et chim. T. XIII, p. 14.
(xxxmm)| UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITIT DER ANTIMONSÂURE. 107
5. 0,4759 g gaben 0,1853 g PbS und 0,2390 g Sb,S,.
6. 0,5178g gaben 0,0816g H,O.
7. 0,2919g gaben 0,0452 g H,O.
l. 2. 8. 4. 5. 6. 7.
mm nes,
SO, — 47,89 — 47,52 47,77 — —
PbO 36,61 36,82 — 86,27 36,32 — —
H,0 — — 15,51 — — 15,77 15,48
Beide Niederschläge haben einerlei Zusammensetzung. Es ist also durch
das anhaltende Waschen keine weitere Zersetzung eingetreten. Das Salz
entspricht nahezu der Formel Pb(SbO,), + 6H,0; gefunden wurde nur
ein kleiner Überschuss an Bleioxyd. Die Ergebnisse der Analyse entspra-
chen dem Verhältniss 10Sb,0,: 11PbO. Offenbar besteht die Hauptmasse
des Niederschlages aus neutralem Salze und ist ihm nur eine kleine Menge
des basischen Salzes beigemengt. Sehr auffallend ist, dass bei zwei ver-
schiedenen Darstellungen doch Salz von einerlei Zusammensetzung erhalten
wurde.
6. Antimonsaures Chromoxyd Cr(SbO,), + 14H,0.
Eine Lösung von Chromalaun giebt mit Kaliumantimoniat einen
bläulichgrauen Niederschlag, der sich rasch absetzt und gut auswaschen
lässt. Während des Waschens ändert er seine Farbe nicht. Zur Analyse
wurde lufttrockenes Salz von zwei Darstellungen benutzt (Analysen 1—3
und 4—5).
1. 0,4724 g gaben 0,2929 g Sb,S,-
2. 0,6842 g gaben 0,0650g Cr,O,.
3. 0,4877 g gaben 0,1514 g H,O.
4. 0,6944 g gaben 0,0625g Ur,O,.
5. 0,4662 g gaben 0,1454 g H,O.
Berechnet. Gefunden.
amas muette, mme Names,
l. 2. 8. 4. 5.
356,0, 957,6 59,31 58,81 — — — —
Cr,0, 152,9 9,47 — 950 — 90 —
28H,0 504,0 31,22 — — 3104 — 31,18
1614,5 100,00
Beim Erhitzen wird das Salz grau, ohne eine Glüherscheinung zu
zeigen.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 15.
108 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLARSE, [N. 8.1
7. Antimonsaures Manganoxydul Mn(SbO,), + 7H,0.
Nach Berzelius ist Manganantimoniat ein schneeweisser, luftbeständi-
ger Niederschlag, der beim Glühen grau und schliesslich weiss wird. Analy-
sirt hat er dieses Salz nicht. Beim Versetzen von Kaliumantimoniat mit
Manganvitriol erhielten wir einen farblosen, amorphen Niederschlag, der
sich gut auswaschen liess. Das Salz färbte sich aber, bei längerem Stehen
an der Luft, dunkler. Beim Erhitzen wurde es schwarz, unter gleichzeitigem
Erglühen. Wir analysirten das lufttrockene Salz.
1. 0,6787 g gaben 0,1045 g Mn,0, und 0,4354 Sb,S,.
2. 0,7153 g gaben 0,1094g Mn,0, und 0,4602 g Sb,S,.
Berechnet, Gefunden.
1
. 2.
Sb,0, 319,2 61,86 61,08 61,26
MnO 70,8 13,72 1446 14,21
7H,0 126,0 2442 — —
516,0 100,00
8. Antimonsaures Eisenoxydul.
Über dieses Salz lag bisher nur eine qualitative Beobachtung von
Berzelius vor. Danach bildet es einen farblosen Niederschlag, der beim
Trocknen gelblich und hierauf gelbgrau wird. Das geglühte Salz ist roth.
Wir stellten das Salz durch Fällen von Kaliumantimoniat mit frisch be-
reitetem Eisenvitriol (Analysen 1—2) und mit schwefelsaurem Eisenoxy-
dul-Ammoniak (Analysen 3, 4)dar. Die Fällung wurde in Kolben vorgenom-
men und auch das Waschen in verstöpselten Kolben ausgeführt. Dergewaschene
Niederschlag wurde im Exsiccator getrocknet. Das Salz wurde als farblo-
ser Niederschlag erhalten, der sich nur sehr langsam absetzte und allmäh-
lig dunkler wurde.
1. 0,8068 g gaben 0,1582 FeS und 0,5537 g Sb,S,.
2. 0,7677 g gaben 0,1270g H,O.
3. 0,7726 g gaben 0,1507 g FeS und 0,5396 g Sh,S,.
4. 0,8940 g gaben 0,1434 g H,O.
Gefunden.
1. 2. 8. 4.
Sb;0, 65,34 — 6650 —
FeO(?) 16,03 — 15,95 —
H,O — 1655 — 16,04
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 10.
(xxxm)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÂT DER ANTIMONSÂURE. 109
Die Analysen weisen einen Verlust auf, der vielleicht durch die Gegen-
wart von Schwefelsäure im Salze zu erklären ist, wahrscheinlicher aber
durch einen Gehalt an Sauerstoff, d. h. das Salz enthält nicht oder nur
theilweise Eisenoxydul, sondern Eisenoxyd. Dieses liess sich, in der That,
im Niederschlage nachweisen. Die Zahlen deuten auf ein neutrales Salz von
der Formel Fe(SbO,), + xH,0. Dasselbe oxydirt sich augenscheinlich leicht
und kann daher nicht rein dargestellt werden.
9. Antimonsaures Eisenoxyd Fe,0,.25b,0, + 11H,0 = OH.Fe
(H,SbO,), + 3H,0.
Ein gelbes Salz von obiger Zusammensetzung erhielten wir durch Füllen
von Kaliumantimoniat mit überschüssigem Eisenoxyd-Ammoniakalaun. Das
Salz wurde an der Luft getrocknet.
1. 1,0362 g gaben 0,6859 g Sb,S,.
2. 0,7250 g gaben 0,1220 g Fe,O,.
3. 0,9322 g gaben 0,1832g H,O. a
4. 0,8254 g gaben 0,5449 g Sb,S, und 0,1550 g Fes.
Berechnet. Gefunden.
1. 2. 8. 4.
2Sb,0, 638,4 64,08 63,02 — — 62,49 .
Fe,0, 169,76 16,04 — 16,82 — 17,07
11H,0 198,0 198 — — 19,65 —
99,616 100,00
1,1149 g verloren bei 100°— 0,1198 g H,O; bei 150°— 0,1524 g; bei
200°—0,1682 g; bei 250°— 0,1866 g und beim Glühen 0,2283 g H,O.
Es beträgt also der Wasserverlust:
- Gefunden. Berechnet.
bei 100° 10,74% 6 H,0 10,84%
» 150° 13,66
» 200° 15,08
» 250° 16,73 9 H,O 16,26
» Glühhitze 20,53 11 H,O 19,88
Das bei 100° getrocknete Salz entspricht demnach der Formel OH.Fe
(H,SbO,),, entsprechend der oben mitgetheilten Formel. Beim Erhitzen des
Salzes tritt keine Glüherscheinung ein. Wie man sieht ist das Salz nicht
analog dem Thonerdesalz zusammengesetzt, wie man a priori vermu-
then könnte. Dahingegen stimmt es auffallend mit dem Bleisalze überein.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 17.
110 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAEBE, [N. 8.1
… Bleisalz 3PbO . 2Sb,0, + 11H,0.
: Eisenoxydsalz Fe,0, : 2Sb,0, + 1 1H,0.
“Ein Salz anderer Zusammensetzung erhielten wir durch Fällen von
Kaliumantimöniat mit überschüssigem, säurefreiem Eisenchlorid. Es ent-
stand ein farbloser Niederschlag, der nur einen Stich in’s Gelbliche hatte.
Derselbe setzte sich sehr langsam ab, wodurch das Waschen verzögert wurde.
Der Niederschlag hatte sich während dieser Zeit gelb gefärbt.
1. 0,0751 g gaben 0,0916 Fes.
2. 0,2587 g gaben 0 ‚0435 g H,O.
Berechnet. Gefunden.
re + A 2.
Fe,0, 159,76 11,82 12,34 —
35b,0, 957,6 70,86 — —
13H,0 234,0 17,32 — 16,81
1351,36 100,00
Der Niederschlag ist daher neutrales Eisenoxydantimoniat Fe
(SbO,), + 6',H,O. Ähnlich wie beim Bleisalz hängt auch hier die Zusam-
mensetzung des Niederschlages von der Natur der vorhandenen Mineral-
säure ab. Mit Bleinitrat wurde fast neutrales Bleiantimoniat erhalten, wäh-
rend mit dem Bleisalze der schwachen Essigsäure ein basisches Bleiantimo-
niat resultirte. Hier liefert Eisenchlorid ein neutrales, aber Eisenalaun
ein basisches Salz. Mit der stärkeren Schwefelsäure entsteht doch ein basi-
sches Salz, weil offenbar die Schwefelsäure beim Kaliumsulfat bleibt.
10. Antimonsaures Kupfer 3Cu0.2Sb,0,+1 3H,0.
Von diesem Salze giebt Berzelius nur an dasselbe sei ein voluminö-
ser, blassgrüner Niederschlag, der beim Trocknen blaugrün und beim Er-
hitzen, pistaziengrün werde. Nach H. Schiff) ist Kupferantimoniat ein
grünblauer Niederschlag, der sich nicht in Ammoniak löst, aber durch
Ammoniak in ein hellblaues, sandiges Pulver 2CuO.. 4NH, . Sb,O, + 4H,0
verwandelt wird, das sich nicht in Wasser löst.
Aus unseren Versuchen folgt, dass das durch Fällen erhaltene Kupfer-
antimoniat ein basisches Salz ist. Seine Zusammensetzung schwankt je nach
der Darstellung. Wie bei einigen anderen basischen Antimoniaten erfolgt
auch hier eine Zersetzung beim Waschen. Je länger der Niederschlag ge-
waschen wird, um so basischer wird er.
14) Annalen der Chemie und Pharmacie [1862] 123, 89.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 18.
a — À
(xxxım)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 111
a. Durch Vermischen von Kaliumantimoniat mit Kupfervitriol entstelıt
ein blassgrüner Niederschlag, der sich rasch absetzt und gut auswaschen
lässt. Der Niederschlag wurde sofort abfiltrirt, abgesogen und auf dem
Filter gewaschen. Der lufttrockene Niederschlag wurde analysirt.
1. 0,4193 g gaben 0,0672g CusS.
2. 0,7058 g gaben 0,1628 g H,O.
Gefunden.
CuO 16,36),
H,O 23,08%,
b. Der aus Kaliumantimoniat und Kupfervitriol erhaltene Niederschlag
wurde durch Dekantation gewaschen und dann an der Luft getrocknet.
1. 0,6362 g gaben 0,1023 g Cu,S und 0,3974 g Sb3Ss.
2. 0,3758 g gaben 0,0649g CuS.
3. 0,8120 g gaben 0,1899 g H,O.
4. 0,2766 g gaben 0,0628 g H,O.
Gefunden.
1. 2. 8. 4.
Sb,0, 59,44 — — —
GO 17,18 17,928 — —
HO — — 98,38 22,70
Das Verhältniss von Sb,O, zu CuO ist in diesem Niederschlage =
1: 1,16.
c. Darstellung wie bei b, nur wurde das Waschen, durch Dekantation
noch länger fortgesetzt. |
N ont
1: 0,4300g gaben 0,0874g Cuss.
2. 0,3850 g gaben 0,0796 g Cu,S.
3. 0,3391 g gaben 0,0696 g Cu,S.
4. 0,6932 g gaben 0,1227 g Cu,S und 0 86846 sh Se
5. 0,1986 g gaben 0,0444g H,0. | oo
6. 0,2592 g gaben 0,0550 g H,O.
Berechnet. \ Gefunden.
1. 2. 8. 4, . D 1 6.
2Sb,0, 638,40 657,52 — — — 657,52 — —
8Cu0O 237,54 21,40 20,32 20,67 20,52 . 20,70 — —
13H,0 234,00 21,08 — — — — 21,75 21,21
1109,94 100,00
Die Zusammensetzung entspricht, bis auf eine geringe Differenz im
Wassergehalte, der Zusammensetzung des Bleisalzes und des Eisenoxydsalzes.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 10.
112 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [N. 6.1
0,4538 g verloren bei 100° — 0,0504g H,O; bei 150° — 0,0656; bei
200° — 0,0746; bei 250° — 0,0850; bei 300° — 0,0878; bei Glühhitze
— 0,0963 g H,O. Die blaugrüne Farbe des Niederschlages geht, beim Er-
hitzen, in grün und dann in bräunlichgrün über. Hierauf erfolgt ein Er-
glühen des Salzes und dasselbe ist dann grau gefärbt. Es verliert also das Salz
Berechnet.
bei 100° 11,10%, H,0 7H,O 11,35%,
» 150° 14,45 9H,0 14,59
» 200° . 16,43 10H,0 16,21
» 250° 18,73
» 300° 19,34 12H,0 19,45
» Glühhitze21,22 . 13H,0 21,10
Dem bei 100° getrockneten Salze kommt die Formel 20H.Cu
(H,SbO,) + Cu(H,SbO,) + H,0 zu. Die letzten beiden Moleküle Wasser
entweichen nur bei hoher Hitze. Oberhalb 250° ist die Zusammensetzung
des Salzes 20H . Cu(H,SbO,) + Cu(SbO,)} und bei 300°: 20H.Cu . SbO,
+ Cu(SbO,)..
11. Antimonsaures Silber Ag(SbO,), + 3H,0 = AgH,SbO, + 2H,0.
Über dieses Salz lagen bis jetzt keine Angaben vor. Man erhält es als
farblosen, amorphen Niederschlag durch Fällen von Kaliumantimoniat mit
Silbernitrat. Das Salz liess sich gut auswaschen und wurde, zur Analyse, auf
Fliesspapier an der Luft getrocknet. Das frisch gefällte Salz löst sich leicht
und völlig in Ammoniak. Das getrocknete Salz liefert aber keine klare Lö-
sung. Die Behandlung einer solchen Lösung mit Schwefelwasserstoff, behufs
Trennung des Antimons vom Silber, gab kein befriedigendes Resultat: das
ungelöste Schwefelsilber erwies sich als antimonhaltig. Dagegen gelang auf
folgende Weise die Trennung sehr scharf. Das Salz wurde mit verdünnter
Salpetersäure und Weinsäure übergossen, wodurch nur eine trübe Lösung
entstand. Beim Übersättigen mit Ammoniak löste sich jetzt aber Alles klar
auf und durch Schwefelammonium wurde reines Schwefelsilber gefällt. Das-
selbe wurde als metallisches Silber gewogen.
Die Wasserbestimmungen zeigten deutlich, dass das Silbersalz von der
Orthoantimonsäure H,SbO, derivirt: bei 20° entweichen nur zwei Mole-
küle Wasser, der Rest erst bei stärkerem Erhitzen. Hierbei erfolgt eine Glüh-
erscheinung, die indessen von keiner weiteren Zersetzung des Salzes begleitet
ist. Wir überzeugten uns durch Wägungen, dass das wasserfreie antimon-
saure Silber ziemlich feuerbeständig ist und beim Erhitzen keinen Sauerstoff
verliert.
Mélanges phys. ot chim, T. XIII, p. 20.
(xxx) UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIR RASICITÂT DER ANTIMONSÄURR. 113
. 0,7080 g gaben 0,2280 g Ag und 0,8610 g Sb,S,.
. 0,7744 g gaben 0,2529 g Ag und 0,3964 g Sh,S,.
. 0,5168 g gaben 0,1686 g Ag und 0,2642g Sb,S,.
. 0,6789 g gaben 0,1134g H,O.
Berechnet. Gefunden.
O9 19 =
1. 2. 8.
Ag,0 231,32 35,11 34,58 3498 —
Sb,0, 319,20 48,49 48,54 48,73 —
61,0 108,00 16,40 — — 16,68
658,52 100,00
1.0,4165g verloren bei 120° — 0,0431 g und beim Glühen noch
0,0200 H,O. |
2. 0,8545 g verloren bei 120° -— 0,0953 g H,O und beim Glühen noch
0,0381 g H,0.
Berechnet. Gefunden.
1 2
211,0 10,92%, 10,34 11,16
11,0 5,46% 4,80 4,45
Das bei 120° getrocknete antimonsaure Silber entspricht daher der
Formel AgH,SbO,.
12. Antimonsaures Silberoxyd-Ammoniak
AgSbO, + 2NH, -+ 2H,0.
Das lufttrockene antimonsaure Silber absorbirt Ammoniakgas unter Er-
wärmen. Wir leiteten, bei gewöhnlicher Temperatur, getrocknetes Ammo-
niak über lufttrockenes antimonsaures Silber, das sich in einer gewogenen
Kugelröhre befand. Weildas Salz, bei der Reaktion, Wasser verlieren konnte,
so vereinigten wir das Kugelrohr mit einem gewogenen Kalirohr. Das Über-
leiten des Ammoniak. wurde stundenlang fortgesetzt, bis die Gewichte der
Apparate sich nicht mehr änderten. Natürlich wurde, vor jeder Wägung,
das in den Apparaten befindliche Ammoniak durch Luft vertrieben. Auf
diese Weise fanden wir, dass 0,5877 g lufttrockenes antimonsaures Silber um
0,0282 g zunahmen und 0,0290 g Wasser abgaben. Demnach beträgt die
totale Gewichtszunahme 0,0572g NH,. Diese Zahlen zeigen deutlich, dass
die Reaktion nach folgender Gleichung verlaufen ist.
AgH,SbO, + 2H,0 +- 2NH, = AgH,SbO, . 2NH, . 1,0 + H,0.
Berechnet. Gefunden.
+ 2NH, 10338 : 9,73
— H,0 5,46 4,93
Mélanges phys. et chim. T. XIIT, p. 21. . 8
114 FR. BEILSTRIN UND 0. VON BLABSE, [N. 8.1
Das lufttrockene Silbersalz verliert also nur ein Molekül des Krystall-
wassers und nimmt dafür zwei Moleküle Ammoniak auf.
13. Antimonsäureester.
Die Darstellung von Antimonsäureestern bot ein ganz besonderes Inter-
esse, da man hoffen konnte, durch Untersuchung der Zusammensetzung
der Ester, neue und vielleicht endgültige Thatsachen für die Konstitution
der Antimonsäure zu erlangen. Ein erfolgloser Versuch Antimonsäureester
darzustellen ist schon vor langer Zeit gemacht worden. Nach Nason’°) ent-
stehen, beim Behandeln von antimonsaurem Silber mit überschüssigem
Äthyljodid, Äther, Jodsilber und Antimonsäure. Diese Angabe konnte uns
von einer Wiederholung des Versuches nicht abhalten, giebt doch Nason an,
dass auch aus arsensaurem Silber und überschüssigem Äthyljodid eben-
falls nur Äther, Jodsilber und Arsensäure resultiren. Nun hat aber Crafts")
gezeigt, dass, wenn man arsensaures Silber mit der theoretischen
Menge Äthyljodid (und Äther) versetzt, Arsensäureester entsteht.
Lufttrockenes, antimonsaures Silber wurde mit absolutem Äther über-
gossen und dann (ein Molekül) Äthyljodid zugegeben. Es bildete sich sofort
Jodsilber. Das Gemisch blieb 24 Stunden in der Kälte stehen, dann wurde
filtrirt und das Filtrat verdunstet. Es hinterblieben nur wenige ölige Tro-
pfen. Der Filterinhalt bestand aus Jodsilber und Antimonsäure.
Der Versuch wurde nun so wiederholt, dass das lufttrockene Silberanti-.
moniat direkt mit Äthryljodid übergossen wurde. Nach eintägigem Stehen
wurde destillirt, wobei in das Destillat Äther überging. Ob daneben noch
Alkohol entstanden war, haben wir nicht weiter untersucht. Die Reaktion
war daher nach folgender Gleichung verlaufen:
2(AgH,SbO, + 2H,0) + 2CH,J = (C;H,,0 + 2AgJ + 2H,SbO,
j + 3H,0.
Die Antimonsäure weicht daher sehr auffallend von der Arsensäure
darin ab, dass sie nicht, wie diese, befähigt ist, sich mit Alkoholen zu ver-
binden.’ Vielleicht wird sich dieses verschiedene Verhalten zur Trennung
beider Säuren benutzen lassen. :
Unsere Beobachtungen führen uns zu dem Schlusse, dass: 1) nur eine
Antimonsäure H,SbO, bis jetzt im freien Zustande bekannt ist;
2) die Antimonsäure durchaus’ eine einbasische Säure ist;
3) bis jetzt'nur eine Reihe antimonsaurer Salze bekannt ist, die sich
am einfachsten als Salze der einbasischen Orthoantimonsäure H,SbO, be-
16) Liebig’s Annalen [1857], 104, 126.
16) Bulletin de lu société chimique [1870] 14, 99.
Molauges plys. ot chim. T, XIII, p. 92.
(XXxI)] UNTRRSUCHUNGEN ÜBER DIR BASICITÂT DER ANTIWONBÄURB. 115
trachten lassen. Die Reaktionen des frisch und in der Kälte bereiteten
antimonsauren Kaliums deuten die Existenz auch einer anderen (Meta- oder
Pyro-) Antimonsäure an, doch ist es bis jetzt nie gelungen, ein Salz dieser
Säure im freien Zustande darzustellen. Sollten auch Salze einer solchen
zweiten Antimonsäure existiren, so sind dieselben jedenfalls höchst unbestän-
dig. Wir haben hierbei, wohlbemerkt, nur auf nassem Wege dargestellte
Salze im Auge. Die Veränderungen, welche die Salze der Ortho-Ameisen-
säure in der Hitze erleiden, bleiben vorläufig unerörtert.
Über den Nachweis des Natriums von Fr. Beilstein,
Für den Nachweis des Natriums auf nassem Wege giebt es bis jetzt
nur die eine, von Fr&my entdeckte, charakteristische Reaktion mit antimon-
saurem Kalium. Durch die Entdeckung der Spektralanalyse ist diese Reak-
tion in den Hintergrund gedrängt worden. Die Auffindung des Natriums
durch die Spektralanalyse oder auch durch die Flammenfärbung ist eine so
einfache, rasch auszuführende Operation, dass man den verhältnissmässig
umständlicheren nassen Weg fast ganz verlassen hat. Dabei sind jene Reak-
tionen überaus empfindlich und verlangen nur verschwindend kleine Mengen
Substanz. Aber gerade diese ansserordentliche Empfindlichkeit ist, nament-
lich für die Zwecke des Unterrichts, unpraktisch. Bei der grossen Ver-
breitung des Natriums und namentlich seinem spurenweisen Vorkommen
überall, ist es begreiflich, dass der Lernende, fast in jedem zu analysirenden
Körper, Natrium findet. Hier liegt nun die Gefahr nahe, dass der Lernende
oder überhaupt wenig geübte Beobachter das Wesentliche nicht vom Un-
wesentlichen zu unterscheiden versteht. In der weitaus grüssten Zahl
der Fälle, und in der Praxis fast immer, kommt es nicht darauf an ein
spurenweises Vorhandensein von Natrium nachzuweisen. Durch eine
qualitative Analyse will man meist die wesentlichen Beständtheile
der zu untersuchenden Substanz feststellen. Es ist fast immer erwünscht,
annähernd zu wissen, welche Elemente in grösserer und welche in kleinerer
Menge vorhanden sind. Das lässt sich nun auf nassem Wege verhältniss-
mässig leicht erreichen, aber nur schwer oder gar nicht durch Flammen-
färbung oder Spektralanalyse. Die Geschwindigkeit der Entstehung von
Niederschlägen, ihr relatives Volumen geben schon Anhaltspunkte zur Be-
urtheilung der vorhandenen Quantitäten der Elemente.
Von diesem Gesichtspunkte aus erscheint es mir rathsam anzudeuten,
wie nützlich es sein kann das Natrium auf nassem Wege nachzuweisen, etwa
wie man das Kalium durch Platinchlorid oder Natriumbitartrat auffindet.
Die Fr&my’sche Reaktion mit Kaliumantimoniat ist hierzu in hohem Grade
geeignet und wenn man diesem Reagenz nicht häufiger in den Laboratorien
Mélanger phys. et chim, T. XIIT, p. 23. g*
116 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, UNTERSUCHUNOEN U. 8. W. Î[N. 8.1
begegnet, so mag der Grund wohl :darin liegen, dass die Bereitung dieses
Reagenzes nicht ganz einfach und dasselbe nicht sonderlich haltbar ist.
Es ist mir nun gelungen ein einfaches Verfahren aufzufinden, wodurch man
sich das Reagenz in sehr geeigneter Form bereiten kann. Man bereitet sich
(nach Dexter) Kaliumantimoniat oder wählt ein käufliches Salz, das man
zunächst mit kaltem Wasser wäscht, um beigemengte Salze (K,CO,, KNO,,
= KNO,) zu entfernen. Darauf übergiesst man das noch feuchte, breiige Salz,
in einem Kolben mit konzentrirtem, wässerigem Ammoniak und lässt das
verstöpselte Gemisch unter Umrühren, ein bis zwei Tage stehen. Dann ver-
dünnt man den Kolbeninhalt mit Wasser, bringt das Gemisch in eine
Schale und erhält die Flüssigkeit in gelindem Kochen, bis das freie Ammo-
niak entwichen ist. Am besten operirt man in einer geräumigen Silber-
schale, die man während des Kochens mit einer Glastafel bedeckt hält, um
das rasche Einkochen zu verhüten. Von Zeit zu Zeit ersetzt man das ver-
dampfte .Wasser durch frisches. Es tritt nun sehr bald ein Moment ein, wo
sich eine grosse Menge des antimonsauren Kaliums löst. Man lässt erkalten
und filtrirt; die erhaltene J,ösung ist genügend stark um in Lüsungen von
Natriumsalzen .sofort einen krystallinischen Niederschlag zu erzeugen.
Schütteln der Flüssigkeit und Reiben der Glaswände mit einem Glasstabe
beschleunigt sehr die Abscheidung des antimonsauren Natriums, dessen
charakteristische, glänzende Krystalle, unter dem Mikroskop leicht erkannt
werden. Bekanntlich setzt diese Reaktion die Abwesenheit ‚anderer Basen,
als Kalium, voraus. Sie erscheint daher besonders geeignet für den gewöhn-
lichen Gang der qualitativen Analyse, wo die anderen Basen durch Schwefel-
wasserstoff u. s. w. bereits entfernt sind und man schliesslich nur ein feuer-
beständiges Gemenge von Kalium- und: Natriumsalz übrig behält. Aber
auch im käuflichen Kali u. s. w. gelingt der Nachweis von Natrium, mit
Kaliumantimoniat, sehr leicht.
Das bein Kochen mit Wasser nicht gelöste Kalinmantimoniat unterwirft
man einer abermaligen Behandlung mit konzentrirtem Ammoniak und
Wasser und erhält dadurch eine neue Menge des Reagenzes.
Mélaugon phys. et chim. T. XIIT, p. 94.
(xxx)] | 117
Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium, premier article, la prépa-
ration du métal. Par N. Békétoff. (Lu le 1 mars 1888.)
Le Rubidium avec le Potassium et le Cesium forment le second demi-
groupe des métaux alcalins, dont le Lithium et le Sodium représentent le
premier. Les trois premiers éléments se ressemblent tellement par les pro-
priétés de leurs combinaisons, qu’on doit s’attendre À retrouver cette res-
semblance et dans leurs énergie chimique. C’est pour élucider cette question
de l’énergie de leur action chimique, non encore déterminée et pour suivre
l'influence du poid et du volume atomique, que j'ai entrepris cette étude.
D’après les principes, que je m’efforce d’introduire dans la science, ces deux
propriétés exercent une influence prépondérante sur l’énergie chimique des
éléments.
Dans mou dernier mémoire présenté à l’académie, contenant les résultats
de mes recherches sur les oxydes de Lithium et de Potassium, j'avais déjà
annoncé, que l'énergie de l’oxydation mesurée par la quantité de chaleur
dégagée par la réaction, allait en décroissant avec l’augmentation du poid
atomique. Mais puisque le Lithium et le Sodium appartiennent à un autre
sous-groupe, que le Potassium on pouvait se demander si cette marche de
l'énergie continuerait à décroitre pour le second demi-groupe — c'est-à-
dire pour le Potassium, le Rubidium et le Cesium — il m'était donc fort
important de suivre cette influence pour les métaux alcalins rares. La par-
cimonie des combinaisons du Rubidium dans les couches terrestres ne per-
met pas de se procurer de grandes quantités de ces combinaisons et encore
moins d’avoir le métal lui-même, dont on peut à peine se procurer quelques
grammes et à des prix énormes. D’autre côté la méthode de préparation du
métal telle qu’elle a été pratiquée par Bunsen — c’est-à-dire la calcina-
tion du tartrate acide avec du charbon — ne lui a fourni que 18°, (c’est-
à-dire moins de la cinquième partie) du métal, contenu dans la combinaison
— et puis cette méthode, qui est une variation de la méthode de Brunner
pour la préparation du Potassium et du Sodium, est d’une application fort
difficile — elle demande une très haute température et est entravée par la
propriété des métaux alcalins de former des combinaisons avec l’oxyde de
carbone — gaz qui se dégage avec les vapeurs des métaux. Guidé par des
Mélanges phys. et chim. T. XII, p. 28.
118 N. BEKETOFF, ÉTUDE SUR L'ÉNERGIE DE COMBINAISON DU RUDIUM. [N. 8. 1
aperçus théoriques de la relation de l’önergie chimique avec les équivalents
des corps combinés (désigné par moi en 1859) je présumais, que l’aluminium
devait enlever facilement l'oxygène aux oxydes des métaux alcalins à poid
atomique un peu élévé. L’expérience avec l’hydrate de Potassium a pleine-
ment confirmé cette supposition. — C’est par cette raison, que je m’ap-
pliquai à réaliser une nouvelle méthode pour la préparation des métaux
alcalins. Des études préalables de l’action de l’aluminium sur l’hydrate de
Potassium m’avaient appris, qu’on pouvait obtenir près de la moitié du métal
contenu dans l’hydrate, la seconde moitié restant combinée avec l’oxyde
d'aluminium formé — d’après l'équation:
47 O+ Al= K,0,4,0,+K,+H,
La facilité de la réaction à une température relativement basse, la pu-
reté du produit, qu’on peut recevoir directement dans un réservoir en verre
et dans une atmosphère d'hydrogène, se dégageant en même temps, que le
métal m’a confirmé, que cette méthode était de beaucoup préférable à l’an-
cienne et que c’est elle qui devait être appliquée à la préparation du Ru-
bidium.
L’hydrate de Rubidium retiré du sulfate par l’oxyde de Barium, calciné
dans une capsule d'argent fut mélangé avec des feuilles découpées d’alumi-
nium et le tout placé dans un cylindre de fer surmonté d’un tube et d’un
couvercle également en fer.
Ce cylindre fut chauffé dans un four à gaz Perrot et la réaction com-
menca dans un quart-d’heure par une production abondante d'hydrogène,
suivi de vapeur de Rubidium, dont la presque totalité se condensait dans
le premier réservoir en verre. Le métal coulait comme du mercure et
comine pendant toute la durée de l'opération — une demi-heure — l'hydro-
gène continuait à se dégager, le métal conservait sa surface métallique.
La proportion de l’hydrate et de l’aluminium, qui a donné les meilleurs
résultats, fut d’un équivalent et demi d’aluminium pour un équivalent
d’hydrate. Dans une seule opération 113 gr. d’hydrate mélangé avec 31 gr.
d'aluminium ont fourni aussi 31 gr. de Rubidium très pur, ce qui fait 66%,
de la quantité théorique et 33%, de la quantité du métal contenu dans l’hy-
drate — presque le double (18%) de ce qu'avait pu obtenir Bunsen par la
méthode de Brunner. |
Molaugos phys. ob chim T. XIII, p. 28.
(xxxin) | 119
Über einen neuen russischen Wels (Exostoma Oschanini Herz.) von S. Her-
zenstein. (Lu le 29 novembre 1888.) |
Die Siluroiden-Gattung Exostoma scheint, wie schon Day hervorhebt,
besonders an rasch fliessende Gebirgsflüsse gebunden zu sein, während ähn-
liche Gewässer der Ebene von anderen Gattungen bevorzugt werden'). In
der That, wo wir speciellere Angaben über die Verhältnisse der Frndorte
von einzelnen Arten besitzen, wird diese Behauptung Day’s vollkımmen
bestätigt. So passen hierauf die Angaben David’s über den «Chepadze»
(= Chimarrhichthys Davidi Sauvage — Exostoma Davidi Day)?), diejeni-
gen Anderson’s über E. Andersoni?), und auch der Fluss Tschirtschik, wo
cinige Exemplare der in Rede stehenden neuen Art gesammelt worden sind,
wird als ein «zur Zeit der Schneeschmelze sehr tiefer und unglaublich reis-
sender Gebirgsfluss, im Sommer und Herbst dagegen als ein sehr ruhiges,
wenn auch rasches Gewässer» geschildert‘). Fasst man nun dabei die von
früher her bekannte Verbreitung der Gattung Æxostoma und die im vorliegen-
den Aufsatze neu angeführten Daten darüber zusammen, so erweist es sich,
dass diese Gattung nicht etwa den gebirgigen Gegenden Südwest-, Süd- und
Südost-Asiens eigen ist, sondern vielmehr auf jene Gebirgsmassen beschränkt
zu sein scheint, welche das eigentliche Hoch-Asien ®) im Westen, Süden und
Osten umsäumen und von den mächtigen Flusssystemen Turkestans, Indiens,
Hinter-Indiens und Chinas bewässert werden. Dem eigentlichen Hoch-Asien,
und zwar nicht bloss den dort liegenden Quellwässern der genannten Fluss-
systeme, sondern auch den Gewässern ohne Abfluss fehlt Exostoma oder
dringt doch höchstens nur wenig über die untere Grenze dieses Gebietes
1) Proc. Zool. Soc. 1876, p. 804; Sc. Res. 2%. Yarkand Miss., Ichthyology, p. 22 (1878);
Journ. Linn. Soc. (Zoolog.), XIII., p. 339, 843—344.
2) David, Nouv. Arch. d. Mus. X, Bull. p. 42 (1874); Sauvage, Rev, ct Mag. d. Zool.
1874, p. 334.
8) Western Yunnan Exp. 1868-1875, Zoolog. Rescarch. p. 866 (1878).
4) bextenuxo, Bp Korancromp Xancre% (Ilyremecrsie pp Typxecranz. T. I, aacts 2.)
crp. 20 (1876).
5) Ich gebrauche diesen Ausdruck in dem von mir bei der Bearbeitung der Przewalski-
schen ichthyologischen Ausbeute adoptirten Sinne (vgl. Wissenschaftl. Result. der von N. M.
Przewalski etc. unternom. Reisen. III. 2., pp. I-II, Anmerkung [1888]).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 69.
120 8. HERZBNSTEIN, [n. 8.1
vor, indem es in den Oberlauf der erwähnten Flusssysteme steigt; so viel
lässt sich wenigstens aus dem zur Zeit schon recht beträchtlichen Material
entnehmen, welches Fedtschenko, Ssewerzow, Stoliczka und besonders
Przewalski mitgebracht haben. Die Flusssysteme Turkestans, Indiens,
Hinter-Indiens etc., die sehr reiche und von einander mehr oder weniger ab-
weichende Faunen beherbergen, verlieren also in Hoch-Asien ihre Eigen-
thümlichkeiten und die dortige Fischfauna ist nicht nur sehr arm, sondern
auch vom äussersten: Westen bis zum äussersten Osten sehr einförmig, da
sie nur aus spaltbäuchigen Cypriniden und einer besonderen Gruppe von
Nemachilus-Arten besteht.
Die Gattung Exostoma scheint also darauf hinzuweisen, dass zwischen
jener peripherischen Zone mit so mannigfach gegliederter Fauna und der
hoch-asiatischen mit einförmiger Fauna sich noch eine intermediäre Zone
findet, deren Fauna sich theils entsprechend der peripherischen gliedert,
theils durch eine gewisse Zahl von eigenthümlichen Formengruppen cha-
rakterisirt wird, welche durch die ganze Ausdehnung der Zone von Ost
(China) nach West (Turkestan) verbreitet sind®). Im Allgemeinen würde sich
hier vielleicht eine gewisse Analogie — allerdings im umgekehrten Sinne —
mit den: Verhältnissen herausstellen, die zwischen der reich differeuzirten
Küstenfauna und der einförmigen Tiefseefauna obwalten. Hoffentlich werden
spätere Forschungen das nöthige Material zur Lösung dieser interessanten
Frage liefern.
Wenden wir uns nunmehr zu der Beschreibung der neuen Art:
Exostoma Oschanini Herz.
D. 1/6. À. 8/6. P. 1/11. V. 1/6.
E. capite valde depresso, labio inferiore ad oris augulos modo evuluto,
dentibus aciculatis, spatio pinnam dorsalem et adiposam inter 14,—2!/,
pinnae dorsalis basin superante; pinna adiposa a caudali, recte truncata,
plane sejuncta; pinnae analis initio ventralium quam caudalis basi multo
propiore; pectoralibus ventralium basin haud attingentibus.
8055. Fl. Ugam (aff. dext. fl. Tschirtschik), pr. Kumsan. Oschanin.
1887. (1)°).
8056. Taschkent. Majew. 1887 (1).
8057. Amu-Darja super. Dr. A. Regel 1882 (2).
6) Vgl. auch Day, Fishes of India, p. XIV (1878).
7) Die Exemplare werden hier genau in derselben Weise augeführt, wie in dem Gencral-
Cataloge der akademischen Sammlung, d. h. zuerst die No., dauu der ‘Fundort, daun der
Sammler mit Beifüguug des Jahres, in welchem dieselben dem Museun zugekomnien sind; eud-
lich in Klammeru die Zahl der Individuen in dem betreffeuden Glase.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 70.
(Xxx11)] ÜBER EINEN NEUEN RUSSISCHEN WELS (EXOSTOMA OSCHANINI HRRZ.) 121
Der Körper ist hinter dem stark abgeplatteten Kopfe zuerst auch etwas
plattgedrückt, dann subeylindrisch und erscheint weiter nach hinten seitlich
zusammengedrückt. Die grösste Körperhöhe ist 7—8!/ mal in der Körper-
länge enthalten und übertrifft 17/,—2 mal die kleinste, welche 3!/—4 mal
geringer ist als die Länge des Schwanzstieles. Die Länge des vollständig
von weicher Haut umhüllten Kopfes verhält sich zur Körperlänge (ohne
Schwanzflosse) wie 1: 4%,—5. Die Kopfbreite steht der Kopflänge ein
wenig nach, oder kommt derselben gleich, während die Kopfhöhe die
Hälfte der Kopflänge oder etwas weniger ausmacht. Die Augen besitzen
keine freien Augenlider, stehen gleich weit von der Schnauzenspitze und
der Kiemenspalte ab, sind ganz klein und 18—20 mal in der Kopflänge
und 5—6 mal in der Breite des Interorbitalraumes enthalten. Die vorderen
und hinteren Nasenlöcher erscheinen durch eine schmale Brücke getrennt,
die vorderen sind abgerundet, die hinteren — länglich; beide besitzen einen
etwas erhabenen Saum. Die Nasalbarteln sitzen auf der die Nasenlöcher
scheidenden Brücke und da der ebenerwähnte Saum der Nasenlöcher sich
sowohl auf den Vorder-, als auch den Hinterrand der Barteln fortsetzt, so er-
halten dieselben eine plattgedrückte, bandförmige Gestalt. Die Maxillar-
barteln sind fleischig, dick, zur Spitze hin sich verjüngend, reichen bis zur
Basis der Pectoralen oder ein wenig darüber hinaus und erscheinen ebenfalls
etwas plattgedrückt. Dieselben sind durch eine Hautfalte mit dem Kopfe
verbunden, welche am letzteren bis zur Verticale des Auges, an den Barteln
bis etwa zu *, der Länge reicht. Ebenso zieht eine wohlentwickelte Haut-
falte von den Mundwinkeln längs der unteren Seite der basalen Hälfte der
Maxillarbarteln und setzt sich dann als schmaler Saum bis zur Spitze der
letzteren fort. Die inneren Unterkieferbarteln sind halb so lang, wie die
äusseren, welche letzteren bis zur Kiemenspalte oder etwas darüber hinaus
reichen; beide Bartelpaare des Unterkiefers sind etwas abgeflacht.
Der Mund ist unterständig, quer und weit. Die Oberlippe greift an
den Mundwinkeln ein wenig auf den Unterkiefer über, welcher aus zwei
beweglichen Hälften besteht und sonst keinen Lippensaum zeigt. Die Zähne
bilden ini Oberkiefer eine ununterbrochene, in der Mitte breite, an den En-
den zugespitzte, stark bogenförmige Binde; auf dem Unterkiefer erscheinen
dieselben in zwei, an der Symphyse durch einen schmalen Zwischenraum
getrennte, ebenfalls vorn und innen breite, hinten und aussen zugespitzte
Gruppen angeordnet. Die Zähne sind meistens beweglich, wenig aus der
Mundschleimhaut hervorragend, borstenfürmig und in den vorderen Reihen
etwas abgestumpft. Die glashelle äussere Substanz der Zähne lässt den
dunkleren Axentheil durchscheinen. Der Anfang der Dorsale liegt ungefähr
zwischen dem ersten und zweiten Drittel der Körperlänge. Die Länge der
Mélanges hiologiques. T. XIII, p. 71.
122 8. HERZENBTEIN, [In 8.1
Basis dieser Flosse macht !/,—!/, der Körperlänge aus; die Flosseuhölic
übertrifft 1%, — 1%, mal die Länge der Basis. Der ungetheilte Dorsalstralil
ist knorpelig und biegsam. Die Fettflosse ist von der Rückenflosse durch
einen Zwischenraum getrennt, der 1%, —2Y,, mal die Basis der Rücken-
flosse übertrifft. Die Länge der Fettflosse ist ungefähr dem Abstande vuin
Anfange der Dorsale bis zu demjenigen der Fettflosse gleich. Die Hühe der
letzteren ist unbedeutend und ihr hinteres Ende wird durch einen merklichen
Zwischenraum von den rudimentären Caudalstrahlen getrennt. Der Anfang
der Anale liegt ungefähr zwischen dem zweiten und letzten Drittel der
Körperlänge, dem Bauchflossengrunde bedeutend näher als der Schwanz-
flossenbasis; die Länge ihrer Basis macht ?/,—!/, der Körperläuge aus,
während ihre Höhe 1% —2 mal die Länge der Basis übertrifft. Die Pecto-
ralen erreichen mit ihrer Spitze die Basis der Ventralen bei weitem nicht;
ihr äusserer Theil ist horizontal, der innere — subvertical. Der ungetheilte
Brustflossenstrahl ist breit, knorpelig, unten von einer quergestreiften, leicht
ablösbaren Hülle bekleidet. Pori axillares fehlen. Die Bauchflussen sind
ein wenig hinter der Verticale des hinteren Rückenflossenendes eingefügt
und ihre Basis steht dem Ende der Fettflosse bedeutend näher als der
Schnauzenspitze. Ihre Form ist derjenigen der Pectoralen ziemlich älınlich,
ihre Spitze deckt den After zu und bleibt durch einen geringen Zwischen-
raum von der Afterflosse getrennt. Der ungetheilte Bauchflossenstralil
erscheint gleichfalls gestreift. Die Caudale ist vertical abgestutzt mit einem
abgerundeten oberen und einem ebensolchen unteren Winkel. Der After
steht ungefähr in der Mitte zwischen der Schwanzflossenbasis und der Kie-
menspalte oder ist der ersteren merklich genähert. Die Haut erscheint auf
dem ganzen Kopfe, sowie auf den vorderen Theilen des Rückens und der
Flanken mit feinen Papillen besäet. Zwischen der Kiemenspalte und dem
Brustflossengrunde zeigt die Haut wabenförmige Vertiefungen, die bei eini-
gen Individuen deutlich ausgesprochen, bei anderen nur angedeutet sind.
Die Färbung und Zeichnung ist an den mir vorliegenden Exemplaren sehr
unbestimmt und undeutlich; der Körper erscheint auf der Oberseite schmutzig
bräunlich, auf der unteren heller und ist, besonders oben, sehr dicht mit
dunklen Flecken und Puncten besäet, die sich auch auf die Flossen verbreiten.
Die Totallänge erreicht bis 215 mm.
Diese neue Art steht dem EZ. Stoliczkai Day?) sehr nahe, unterscheidet
sich aber durch die Anwesenheit eines merklichen Zwischenraumes zwischen
dem Ende der Fettflosse und der Schwanzflossenbasis, der bei E. Stoliczkai
‚ fehlt, da beide Flossen ununterbrochen in einander übergehen. Freilich er-
8) Proc. Zool. Soc. 1876, p. 782; Sc. Res. 2°. Yarkaud Miss, Ichthyology, p. 1, Pl. I,
fig. 1 (1878).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 72.
(XXX11)] ÜBER EINEN NEUEN RUSSISCHEN WELS (EXOBTOMA OBCHANINI HERZ.). 123
wähnt Day dieses Kennzeichen in seiner Beschreibung nicht, aber auf sciner
Figur ist die Continuität der genannten Flossen deutlich zu sehen.
Über diese Art schreibt Herr W. F. Oschanin (in einem Briefe an
Herrn N. A. Warpachowski) u. A. Folgendes: «Der neue Wels wurde
zum ersten Mal im April dieses Jahres (1887) in Taschkent, in der Stadt
selbst, in einem, Bosku genannten, aus dem Tschirtschik abgeleiteten Aryk
(Bewässerungsgraben) gefangen und lebte ungefähr zwei Monate im Aqua-
rium des Herrn A. P. Polewitzki. Der Fisch bevorzugte Wasser von
niedriger Temperatur und versteckte sich immer unter Steinen; zweimal
sprang er aus dem Aquarium heraus und blieb beide Male ohne Schaden
etwa 2 Stunden ausserhalb des Wassers»... Ein anderes Exemplar «ist von
den Schülern des hiesigen Lehrerseminars, bei Gelegenheit einer mit ihnen
im vorigen Sommer in’s Gebirge unternommenen Excursion am 21. Angust
geangelt worden. Ausserdem soll nach eingezogenen Erkundigungen dieselbe
Art auch in den Flüssen Tschirtschik und Tersa vorkommen. Ich denke,
dass der Fisch in den hiesigen Gebirgsbächen weit verbreitet ist, sich aber
wegen seines Aufenthalts unter Steinen schwer fangen lässt.»
Mélangos biologiques. T. X11I, p. 73.
(axxım)] 125
Über das Fehlen des Eichhörnchens im Kaukasus von Eug. Büchner,
(Lu le 17 janvier 1889.)
Das Fehlen unseres gemeinen Eichhörnchens (Seiurus vulgaris Linn.) in
den Wäldern der Krim, diese interessante zoogeographische Thatsache,
die durch Pallas bekannt wurde und auf welche später ‘verschiedene For-
scher ihre Aufmerksamkeit gelenkt hatten, wobei: sie in diesem Factum mit
Recht einen Beweis für die uralte Waldlosigkeit der südrussischen Steppen
zu sehen glaubten, ist neuerdings von Köppen!) in einer umfangreichen
Arbeit sehr eingehend erörtert worden. In dieser Untersuchung ist Köppen
mit ganz besonderer Ausführlichkeit auch auf die Frage eingegangen, wo-
her einzelne Waldsäugethiere, wie z. B. der Edelhirsch oder das Reh, der
Fauna der Krim und des Kaukasus gemeinschaftlich angehören, während
das Verbreitungsgebiet anderer, gleichfalls an den Wald gebundener, Säu-
ger, wie z. B. des Eichhörnchens, nur auf den Kaukasus beschränkt ist, und
gelangt dabei zu folgendem wichtigen Resultalte: «die Krim hat ihre
sämmtlichen Waldsäugethiere aus dem Kaukasus erhalten, und zwar sind sie
über die gefrorene Kertscher Meerenge eingewandert» und dieser Umstand
«erklärt zur Genüge die Thatsache, dass diejenigen Arten derselben, welche
in Winterschlaf verfallen oder wenigstens im Winter nicht wandern, nicht
nach der Krim gelangen konnten und folglich daselbst fehlen»).
Auf diese Weise glaubt Köppen eine Erklärung für das Fehlen des
Eichhörnchens in der Krim gefunden zu haben; dieser Erklärung ist aber
ein hohes Interesse in zoogeographischer Beziehung nicht abzusprechen,
umsomehr als die von Pallas?) und Nordmann*) aus dieser Thatsache
gezogene Schlussfolgerung, dass nämlich die Krim niemals mit dem Kau-
kasus zusammengehangen habe, geologisch absolut nicht berechtigt ist.
1) Köppen, „Das Fehlen des Eichhörnchens und das Vorhandensein des Rchs und des
Edelbirsches in der Krim“ in: Beiträge zur Kenntniss des Russ. Reiches, (2), VI, pag. 1—104
(1883).
2) Köppen: Beiträge zur Kenntn. d. Russ. Reiches, (2), VI, p. 61 (1883).
8) Pallas, Zoogr. Rosso-Asiatica, I, p. 184 (1811).
4) Nordmann, Observ. sur la Faune Pontique, p. 56 (1840).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 75.
126 EUG. RÜCHNER, [n. 8.1
Eine Untersuchung der geographischen Verbreitung des gemeinen Eich-
hörnchens hat mich jedoch zu einem anderen Resultate geführt als Köppen
und die schwersten Bedenken für die Richtigkeit seiner Schlussfolgerungen
in Betreff der Colonisation der Krim und speciell des hypothetischen Colo-
nisationsweges über die gefrorene Kertscher Strasse, bei mir aufkommen
lassen. Ich will in den folgenden Zeilen speciell die Frage über das Vor-
handensein des gemeinen Eichhörncheus im Kaukasus eingehend besprechen
und zugleich zeigen, . dass das Fehlen desselben in der Krim durch andere
Ursachen, als die von Köppen vorgebrachten, ‚bedingt wird. |
Da ich die Frage über das Vorhandensein des Kichhörnchens im Kau-
kasus mit einer. möglichst vollständigen Ausführlichkeit zu behandeln ge-
denke, so will ich zuerst die in der Literatur zerstreuten Angaben über
diesen Gegenstand zusammeustellen und kritisch sichten.
Die ersten Nachrichten über das Vorkommen des Sciurus vulgaris im
Kaukasus finden wir bei Georgi°); derselbe führt nämlich bei Besprechung
der Verbreitung dieser Art unter Anderem auch «am Kaukasu» und «in
Georgien bis an die östliche, waldlose Steppe» an. Dieser Angabe des kritik-
losen Compilators können wir weiter keine Bedeutung beilegen, da sie olıne
Zweifel auf Ungenauigkeit in der Wiedergabe der benutzten Quellen beruht.
Es hatten nämlich bis zum Jahre 1800 nur Gmelin und Güldenstaedt
über das Vorkommen von Sciurus-Arten im Kaukasus und benachbarten
Gebieten berichtet, und während der Letztere®) das von ihm in Georgien
angetroffene Eichhörnchen mit Recht für eine von Sciurus vulgaris verschie-
dene Art erkannte und mit dem Namen Sciurus anomalus belegte, theilte
Gmelin?) über die von ihm in Gilan erbeuteten Eichhörnchen zuförderst
Folgendes mit: «es gibt in Gilan viele Eichhörner; sie leiden aber daselbst
eine besondere Abänderung, wie aus der folgenden Beschreibung erhellet.
Indessen gehören sie zuverlässig zu der Race der Europäischen». Erst später
vergewisserte sich Gmelin®) von der artlichen Selbstständigkeit dieses Eich-
hörnchens aus Gilan und nannte es Sciurus persicus, welche Art übrigens,
nebenbei bemerkt, nur ein Synonym des Güldenstaedt’schen Sciurus ano-
malus ist. Nur diese Angaben von Güldenstaedt und Gmelin konnten
Georgi vorgelegen haben und in wie weit unzuverlässig er dieselben benutzt
hat, ist schon aus dem Umstande zu ersehen, dass er in Georgien nicht
allein das gemeine Eichhörnchen und Sciurus anomalus, sondern auch noch
6) Georgi, Geogr.-physik. und Naturhist. Beschreibung d. Russ. Reiches, Th. 8, Bd. VI,
p. 1584 (1800).
6) Güldonstacdt, Reise durch Russland und im Caucasischen Gebürge, T, p. 812 (1787).
7) Gmelin, Reise durch Russland, III, p. 379 (1774).
8) Gmelin, Linn. Syst. Nat., ed. XIII, I, p. 148 (1788).
Melunges bLiulogiques. T. XIII, p. 76.
(xxxm)] ÜBRR DAS FRHLEN DES FICHHÜRNURENS IM KAUKASUS, 127
Sciurus persicus®), welchen letzteren er als selbstständige Art aufführt, vor-
kommen lässt. Wir sehen auf diese Weise, dass diese Angabe von Georgi
ohne weitere Berücksichtigung gelassen werden kann.
Darauf theilt Pallas!°) in seiner Zoographia mit, dass Sciurus vulgaris
in grosser Anzahl auch im Kaukasus vorkomme. Es ist mir unbekannt ge-
blieben, auf Grund welcher Materialien und Beobachtungen Pallas diese
Angabe gemacht hat, doch scheint er selbst diese Art während seiner kau-
kasischen Reise nicht angetroffen zu haben, da er wol im entgegengesetzten
Falle nicht unterlassen hätte, über diesen Fund in der Beschreibung dieser
Reise ") näher zu berichten.
Indem ich von einer nur wenig glaubwürdigen Angabe von Bronewski "?)
über das Vorhandensein von Eichhörnchen in den Wäldern des nördlichen
Kaukasus einfach bloss Notiz zu nehmen brauche, muss ich bei den Mitthei-
lungen von Eichwald näher stehen bleiben, da dieser Forscher Specialist
war und während seiner in den Jahren 1825 und 1826 nach dem Kaukasus
unternommenen Reise die Fauna untersucht hatte, folglich seine Nachrichten
über dieselbe einen gewissen Werth beanspruchen können. Eichwald"®)
theilt mit, dass Scturus vulgaris im Kaukasus vorkomme, und sagt später !*)
noch, dass es in allen Wäldern daselbst sehr gemein sei. Nachdem Bog-
danow !5) in einer kritischen Besprechung der betreffenden Arbeiten dieses
Forschers die vollständige Wertlilosigkeit derselben gezeigt hat, können wir
diesen Angaben von Eichwald keinen weiteren Glauben schenken; es ist
im Gegentheil mehr als wahrscheinlich, dass wir in diesem Falle nicht mit
dem Resultate seiner Beobachtungen, sondern einfach mit einer bei Pallas
entlehnten Mittheilung zu thun haben.
Nach Ménétries!®) ist Sciurus vulgaris «assez rare dans les forêts cis-
alpines du Cancase»; in der beigefügten "Tabelle, welche die verticale Ver-
breitung der kaukasischen Säugethicre behandelt, führt Ménétrics die in
Rede stehende Art für die Region von 2—6000 und für diejenige von
6— 8000" abs. Höhe an. Ferner theilt Nordmann !”) mit, dass das gemeine
Eichhörnchen ziemlich selten in Abhasien, Mingrelien und Gurien vorkommt
9) Georgi, Geogr.-phys. und Naturhist. Beschreibung des Russ. Reiches, Th. 3, Bd. VI,
p. 1588 (1800).
10) Pallas, Zoographia Rosso-Asiatica, I, p. 184 (1811).
11) Pallas, Bemerkungen auf einer Reise in die südl. Statthalterschaften des Russ.
Reichs, I—II (1799-1801).
12) Bporescxifl, Hos. Teorp. u Hcrop. CsBx. o Kanxast, II, p. 26 (1823).
13) Eichwald, Zoologia specialis, III, p. 871 (1831).
14) Eichwald, Fauna Caspio-Caucasica, p. 34 (1841).
16) Borzanont, ras: Kasxasa, p. 10—12 (1879).
16) Ménétries, Catalogue raisonné, p. 21 (1832).
17) Nordmann, Faune Pontique, p. 54 (1840).
Mélauges biologiques. T. XTII, p. 77.
#
128 KUQ. BÜCHNER, [N. 8. 1
und in den .centralen Provinzen des Kaukasus gemein ist. Während ich
. weiter unten auf die Angaben dieser beiden Forscher noch zurückkommen
werde, habe ich weiter der Mittheilungen von Wagfier und Beketow, die
beide den Kaukasus bereist haben, Erwähnung zu thun. Wagner") theilt
mit, dass Sciurus vulgaris im Kaukasus seltener vorkomme als in Europa,
während Beketow'?) angiebt, dass in den Buchen- und Kastanienwäldern
des Kaukasus eine Menge von Eichhörnchen hausen, die den Arten Sciurus
vulgaris und Sciurus caucasicus angehören. Da jedoch einerseits der Zoolo-
gische Anhang. zu Wagner’s Reisebeschreibung zweifelsohne compilativen
Charakters, andererseits Beketow nicht Zoologe von Fach ist, seiner aus-
gezeichneten Beschreibung der Umgegenden von Tiflis folglich fehlerhafte
zoologische Nachrichten unterlaufen konnten, so können die erwähnten Be-
merkungen über den uns interessirenden Gegenstand keinen Anspruch auf
Zuverlässigkeit erheben.
In Betreff der Angaben von Ssimaschko®) dass Sciurus vulyaris in
grosser Anzalıl im centralen Theile des kaukasischen Gebietes vorkommt,
weniger häufig in Abhasien und selten in den Wäldern Transkaukasiens ist,
habe ich nur zu bemerken, dass dieselben ausschliesslich compilativer Natur
und daher für uns vollständig werthlos sind.
Schliesslich muss ich an dieser Stelle noch einer Mittheilung von Mo-
dest Bogdanow”!) erwähnen, in welcher der leider so früh verstorbene
Forscher in Betreff der Verbreitung des Sciurus vulgaris im Kaukasus Fol-
gendes sagt: «unser Eichhörnchen ist ziemlich gemein in den Bergwäldern
des Grossen Kaukasus» und dieser Angabe diejenige von Nordmann hinzu-
fügt. Die erwähnte Mittheilung könnte möglicherweise zur Annalıme füh-
ren, Bogdanow habe hier das Resultat seiner Beobachtungen über das
Eichhörnchen, welche er auf seiner im Jahre 1871 nach dem Kaukasus
ausgeführten Reise gemacht hat, niedergelegt; ich halte es daher für nicht
nnnôthig, auf Grund einer mündlichen Mittheiluing M. N. Bogdanow’s
darauf hinzuweisen, dass er 1871 Sciurus vulgaris nirgends im Kaukasus
beobachtet und über das Vorkommen desselben daselbst. nur auf Grund der
in der Literatur vorhandenen Angaben geschrieben hat.
Dieses sind alle die wenigen Angaben über das Vorhandensein des. ge-
meinen Eichhörnchens im Kaukasus, welche ich in der Literatur gefunden
habe. Ich habe diese Angaben in Verbindung mit kritischen Bemerkungen
über die Competenz und Glaubwürdigkeit der sie mittheilenden Autoren
18) Wagner, Reise nach Kolchis, p. 321 (1850).
19) Bereroge: B&cra. Pycex. l'eorp. O6, XV, p. 102 (1855).
20) Cumaııko, Pyccxas Payna, Mackonuramiuin, p. 589 (1861).
21) Boraauoss: 3Kypu. Oxoruı u Konuosanoacrna, p. 120 (1873).
Mélanges blologiques. T. XIII, p. 78.
(zxsı)] ÜBER DAS FEHLEN DES EICHHÖRNCHENS IM KAUKABUS, 129
angeführt, um zu zeigen, in wie weit jede einzelne derselben Anspruch auf
Zuverlässigkeit erheben kann. Aus dieser Besprechung ist zu ersehen, dass
bei der Frage über das Vorkommen des Sciurus vulgaris im Kaukasus nebeır-
der Mittheilung von Pallas, nur noch diejenigen von Ménétries und
Nordmann in Betracht kommen können. Auch bin ich fest überzeugt, dass
auf Grund der Angaben gerade dieser Forscher das Vorkommen von Sciurus
vulgaris im Kaukasus allgemein anerkannt wird. Nicht nur in allgemeinen
Hand- und Lehrbüchern, sondern auch in speciellen auf die Quellen zurück-
gehenden Arbeiten (wie Catalogen, verschiedenartigen Verzeichnissen, Mo-
nographien u. s. w.), wird bei Besprechung der geographischen Verbreitung
unseres gemeinen Eichhôürnchens in der Aufzählung der einzelnen Verbrei-
tungsgebiete desselben immer auch der Kaukasus genannt. Dieses Vorkom-
men des gemeinen Eichhörnchens im Kaukasus wird eben durchgängig als
eine feststehende Thatsache angesehen, und unter anderen auch von solchen
Forschern, wie Menzbier *) und Köppen, welche eingehend die Verbrei-
tung dieses Thieres in Russland behandelt haben.
Da jedoch die Nachrichten über die Zugehörigkeit des Sciurus vulgaris
zur kaukasischen Fauna so spärliche und dazu ausschliesslich älteren Da-
tums sind, 80 drängt sich unwillkürlich die Frage auf, ob die mitgetheilten
Angaben von Pallas, Ménétries und Nordmann überhaupt soweit sichere
sind, um das Vorkommen dieser Art im Kaukasus wirklich als constatirt
ansehen zu können. Eine Reihe verschiedener Umstände, zu deren Be-
sprechung ich jetzt übergehe, hat mich auch in der That zur Überzeugung
geführt, dass die Angaben der genannten Forscher irrthümlich sind, und
lässt sich aus der folgenden Betrachtung das Fehlen des gemeinen Eich-
hörnchens im Kaukasus mit Sicherheit nachweisen.
Als ich meine Aufmerksamkeit auf die Frage über das Vorkommen des
gemeinen Eichhörnchens im Kaukasus gelenkt hatte, unterwarf ich zuerst
die sehr ansehnliche russische Eichhörnchensammlung unseres akademischen
Museums einer genauen Durchsicht; es erwies sich dabei, dass unser Mu-
seum keine Vertreter dieser Art aus dem Kaukasus besitzt. War damit
einerseits der Beweis geliefert, dass Ménétries (dessen ganze Reise-
Ausbeute bekanntlich unserem Museum einverleibt worden ist) Sciurus vul-
garis nicht gesammelt hatte, so musste andererseits dieser Umstand im
höchsten Grade auffallend erscheinen, da unsere Sammlung in Betreff kau-
kasischer Säuger eine nicht unbedeutende zu nennen ist und Sciurus vulga-
ris doch nicht selten im Kaukasus vorkommen soll. In den Jahren 1883
und 1884 kaufte unser Museum eine bedeutende und vorzügliche Säuge-
22) Mena6up®: Ipupoxa n Oxora, I, p. 11 (1878).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 79. 9
130 EUG. BÜCHNER, [n. 8. ı
thiersammlung an, welcheHr.K. Rossikow am Nordabhange des Kaukasus
zusammengebracht hatte, doch auch in dieser Sammlung fehlte Sciurus vul-
garis, abgesehen davon, dass in derselben einerseits die Nager, andererseits
überhaupt die Waldsäuger gauz ausgezeichnet vertreten waren. Ferner
habe ich in keinem Cataloge irgend welcher Sammlung Bälge oder Schädel
von Sciurus vulgaris verzeichnet gefunden, die mit Sicherheit aus dem Kau-
kasus stammen; auch habe ich kein Museum kennen gelernt und von keiner
Sammlung in Erfahrung bringen können, dass sie im Besitze derartigen
Materiales wären ®).
Man wird mir vielleicht einwenden, dass das Fehlen von jeglichem kau-
kasischen Materiale in den Sammlungen ein nur zufälliges ist und noch
lange nicht als Beweis für das Fehlen des Eichhörnchens selbst im Kaukasus
angesehen werden kann. Ich glaube aber, dass meine Mittheilung in Bezug
auf unser Museum derartige Einwendungen ausschliesst, da in diesem Falle
das Nichtvorhandensein von Bälgen u. s. w. dieser Art aus dem Kaukasus
absolut nicht einem Zufall zugeschrieben werden kann. Nichtdestoweniger
ziehe ich noch einige Kenner und Durchforscher des Kaukasus aus der
neueren Zeit in dieser Frage zu Ratlıe.
Professor M. Bogdanow theilte mir nach seiner Rückkehr aus dem
Kaukasus im Herbst 1884 mit, dass er während seines Aufenthaltes im
nördlichen Kaukasus trotz vielfacher Nachforschungen und Erkundigungen
nach Sciurus vulgaris, diese Art doch nirgends gefunden habe. Seine fol-
gende, im Jahre 1886 nach dem Kaukasus unternommene Reise bot ihm
von Neuem die beste Gelegenheit, seine Nachforschungen nach dem gemei-
nen Eichhörnchen fortzusetzen; doch blieben dieselben auch dieses Mal
resultatlos, worüber er mir im September 1887 berichtete.
23) In seinem „Versuche einer natürlichen Auordnuug der Nagethiere“ theilt Fitzinger
[Sitzungsber.d.K.K. Akad. d.Wissensch.,Wien, I. Abth., Bd. LV, p. 475 (1867)] mit, dass das in
Sibirien und Kaukasien vorkommende Eichhôrncheu zu ein und derselben Varietät — Sciurus
vulgaris cinereus — gehöre. Ich habe wol in einer Beschreibung des Gouvernement Eriwan
[?Kype. Muu. Bu. Abz2, IV, 2, p. 119 (1881)] eine Mittheiluug in diesem Siune (,,81 Ipnsau-
cxoË uposuaniu ecrs Obaxu, ubckosao noxoxia, no usBry, na Cu6npcxin“‘) gefunden, die aber
Fitzinger ohne Zweifel unbekannt gebliebeu ist, sonst existirt in der Literatur, soviel mir be-
kannt, keine ähnliche Angabe. Man könnte daher vielleicht der Meinung sein, dass Fitziuger’s
Angabe auf einer vergleichenden Untersuchung von Materialien dieser Art aus dem Kaukasns
und aus Sibirien basirt, und dass derselben auch voller Glauben zu schenken wäre, wie dies
übrigens auch schon Köppen (Beitr. z. Keuntn. d. Russ. Reiches, (2), VI, p. 12—18) gethan hat.
Doch muss ich den Charakter und deu Werth der Arbeiten Fitzinger’s als zu bekunnt voraus-
setzen, um noch speciell hier nachzuweisen, dass div betreffende Mittheilung überhaupt gar
keine Berücksichtigung verdient. Ich will noch bemerken, dass Ir. Dr. Aug. v. Pelzeln auf
eine diesbezügliche Anfrage mir die freundliche Mittheilung zukommen liess, dass in der Zoolo-
gischen Abtheilung desK. K. Naturhistorischen Hofmuseums in Wien kein Exemplar des Sciurus
vulgarıs aus dem Kaukasus vorhanden ist.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 80.
(xxxu)] ÜBER DAS FEHLEN DES BICHHÜRNCHENS IM KAUKASUS. 131
Nachden Hr. K. Rossikow, dem wir mehrere sehr gute Arbeiten über
die kaukasische Fauna verdanken, im Herbste 1886 nach langjähriger
Durchforschung des nördlichen Kaukasus nach St. Petersburg zurückgekehrt
war, theilte er mir mit, dass auch er Sciurus vulgaris nirgends angetroffen
hat. Rossikow“) kam auch später in seiner «Übersicht der Säugethiere
des Malka-Thales», anlässlich einer Berichtigung der Angaben von Méné-
tries auf diese Frage zurück und sagte hier darüber Folgendes: «ich mei-
nerseits bemerke nur, dass ich das Eichhörnchen während meiner fünfjähri-
gen Beobachtungen im centralen und östlichen Theile des nördlichen Kaukasus,
welche ich in vielen Punkten durchforscht habe, nirgends gefunden habe,
und kann versichern, dass die Annahme über das Vorkommen von Sciurus
vulgaris daselbst jeglicher Grundlage entbehrt».
Ferner erhielt ich von Herrn L. Mlokossiewicz, dem tüchtigen Ken-
ner der kaukasischen Fauna, die gefällige briefliche Mittheilung, dass er
während seines langjährigen Aufenthaltes im Grossen Kaukasus nirgends
Sciurus vulgaris gesehen oder gefunden habe und dass es zweifellos sei, dass
diese Art den Kaukasus nicht bewohnt.
Endlich hat auch der Präparator unseres akademischen Museums, Herr
J. Ananow, welcher im Jahre 1886 längere Zeit in den südöstlich von
Wladikawkas gelegenen Bergen des Grossen Kaukasus excursirte, nirgends
das Eichhörnchen gefunden, obgleich er nach demselben specielle Nachfor-
schungen angestellt hat.
Wir sehen auf diese Weise, dass diese Resultate der neueren Durch-
forscher des Kaukasus mit unseren früheren Schlussfolgerungen vollständig
im Einklange stehen. Nach dem Mitgetheilten kann es meiner Ansicht nach
weiter gar keinem Zweifel unterliegen, dass Sciurus vulgaris überhaupt
nirgends im Kaukasus vorkommt.
Unwillkürlich drängt sich aber die Frage auf, auf welche Weise sind so
gewissenhafte Forscher, wie Pallas, Nordmann und Ménétries, zu ihren
falschen Angaben über das Vorkommen des Eichhörnchens im Kaukasus
gekommen? Ihren Angaben können, meiner Ansicht nach, nur. an Ort und
Stelle bei der Bevölkerung eingezogene Erkundigungen zu Grunde gelegen
haben. Beim Sammeln dieser Nachrichten haben aber die genannten For-
scher entweder Angaben über Sciurus persicus auf Sciurus vulgaris bezogen,
oder sie sind durch einen Umstand, den ich mir folgendermaassen erkläre,
in Irrthum geführt worden. Die gewöhnliche volksthümliche Bezeichnung
für Sciurus vulgaris lautet bekanntlich russisch 6baKa (bjelka), doch wird
dieser selbe Name (einfach oder in Verbindung mit einem Adjektivum) in
24) Poccukor®e: 8an. Han. Axax. Haykz, LIV, p. 87 (1887).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 81. o*
132 EUG. BÜCHNER, ÜBER DAS FEHLEN DES EICHBÖRNCHENS U. 8. W. [N.8.1
einigen Gegenden auch auf Myoxus glis angewandt. So heisst z. B. diese
letztere Art nach Pallas*) im Gouvernement Ssamara — semınuan Obıka
(semljanaja bjelka — Erdeichhörnchen) und nach Kessler*) in den Gou-
vernements des Kiew’schen Lehrbezirks — cousasan Obıra (ssonliwaja bjelka
= schläfriges Eichhörnchen); der Lokalname des Myozus glis iın nördlichen
Kaukasus lautet jedoch nach Rossikow”) einfach 6baxa (bjelka). Dieser
letztere Umstand war nun den erwähnten Forschern wol nicht bekannt und
können sie daher die ihnen zugekommenen Mittheilungen über das Vor-
kommen von Obaxa (bjelki) anstatt auf Myoxus glis, auf Sciurus vulgaris
bezogen haben. Ihre Angaben beruhen demnach in jedem Falle auf einer
einfachen Verwechselung.
Ich komme nun schiesslich auf das schon oben erwähnte Fehlen unseres
Eichhörnchens in der Krim und auf die Erklärung dieser Thatsache durch
Köppen zurück.
Es unterliegt keinem Zweifel, dass die Krim einen gewissen Prozentsatz
ihrer jetzigen Säugethierfauna einer Einwanderung aus dem Kaukasus
verdankt und diese Einwanderung zu einer Zeit stattgefunden hat, als der
Kaukasus mit der Krim noch in direktem Zusammenhange stand. Dieser
letzteren Annahme widersprach aber das Fehlen des Eichhörnchens in der
Krim, da es ja gleichfalls aus dem Kaukasus (wo sein Vorkommen allgemein
angenommen wurde) nach der Krim hätte gelangen müssen. Aus diesem
Grunde sah sich nun Köppen veranlasst, diese Einwanderung der Wald-
säuger in die Krim in eine Zeit zu verlegen, wo der Kaukasus von der Krim
schon getrennt war, und zwar lässt er diese Einwanderung über die gefro-
rene Kertscher Strasse vor sich gehen, da an einer solchen Winterschläfer
oder zur Winterzeit nicht wandernde Säuger nicht Theil nehmen können.
Diese schon eingangs der vorliegenden Notiz citirte Erklärung für das
Fehlen des Eichhörnchens in der Krim erweist sich nach den mitgetheilten
Betrachtungen als den Thatsachen nicht entsprechend. Das gemeine Eich-
hörnchen konnte nicht aus dem Kaukasus in die Krim einwandern, weil es
im Kaukasus garnicht vorkommt; es fehlt folglich in der Krim ausschliesslich
nur aus dem Grunde, weil es im Kaukasus nicht vorhanden ist.
25) Pallas, Reise durch versch. Prov. d. Russ. Reichs, I, p. 154 (1801) und Zoographia
Rosso-Asiatica, I, p.178 (1811); vgl. auch Ssepcmaut, Ecr. Hcr. Opeu6. Kp., II, p.126 (1860)
und Bazszioup, OnnTE 43Ca'BAOB. O pYCCKHX'E HA3BAHiAXD MACKOLHTAWINNX'L, p. 44 (1868).
26) Kecczsep®e: 3Kunorusıa l'y6. Kies. Yueôu. Oxp., I, Maexonuraiowuia, p. 48 (1850).
27) Poccunxos®, San. Hu. Arax. Hayxr, LIV, p. 48 (1887). |
Mélanges Livlugiques. T. XIIE, p. 83.
(xxxın)] | 133
Hydrologische Untersuchungen L. Von Prof. Dr. Car Sohmiét - Dorpat
(Lu le 17 janvier 1889.) RE
Die Thermen su Saniba, Be
1
am Fusse des Genaldonischen Gletschers, N.-W. Ablang des Kasbek, 8000 Fuss Meereshöhe.
(Mit einer Karte.) .
Am 11./23. Juli 1887 schöpfte Herr Stud. Eduard Tr aus Tiflis
persönlich 2 Flaschen dieser Thermalwasser und überbrachte mir dieselben
im August sorgfältig verkorkt a ee rl
und verharzt zur Untersu- l
chung. Über die Lokalver-
hältnisse berichtet Derselbe:
«Die Mineralquellen zu Sa-
niba befinden sich an der Nord-. DE.
westseite des Kasbek beim EN (PP) om
Genaldonischen Gletscher, ace 7
am linken Ufer des Flusses
Genaldon, wo dieser aus dem
Gletscher entspringt. An den
Pflanzen, welche sich hier be-
finden, kann man erkennen,
dass die Gegend circa 8000
Fuss über dem Meeresspiegel AT E |
sich befindet. : et | \smzon Lars
Im Ganzen sind hier 5 Mi- 2 à u 7
neralquellen. Von diesen wer-
den nur zwei von den Osseten'
als Heilquellen benutzt; zwei : sn. LUN
andere liegen sehr niedrig und _ ec
zu nahe am Gletscher; oft wer-
den sie von diesem verdeckt,
wodurch der Gebrauch verhin- WU 48 *
dert wird. Die fünfte Quelle + Mo
(LA
(tisel =
f]
%
1 L
. M'lMdivou aus
\ \ ar: :
MT 0{(Station Halte
T'irmarrs lg
us
ist arm an Salzen und hat eine \ Fe
nicdrige Temperatur. en
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 27. ‘1
134 PROF. DR. CARL SCHMIDT, | [n. 8.1
Ausserdem befinden sich noch Mineralquellen an dem rechten Ufer des
Flusses, aber da dieses Ufer zu steil ist und der Fluss stark strömt, ist es
fast unmöglich diese zu erreichen.
Die Quellen gehören der Gemeinde der Auls (Dörfer) Werchny- (Ober-)
und Nishny- (Unter-)Saniba, von denen ein 18 Werst langer, schmaler Pfad
zu den Thermen führt.
Werchny-Saniba befindet sich am rechten Ufer des Flusses Kauridon
und Nishny-Saniba an der Mündung des Flusses Faradon, der in den erst-
genannten fliesst. Der Kauridon ergiesst sich unweit Werchny-Saniba in
den Genaldon.
Beide Auls werden von Osseten bewohnt, die beinahe Alle Christen
sind — in Werchny sind 48 Familien, in Nishny — 49. Beide liegen 40
Werst S.-W. von Wladikawkas.
Als ich am 11. Juli 1887 die Quellen besuchte, waren hier 18 Perso-
nen, 10 Männer und 8 Frauen, die das Thermalwasser gegen Rheumatismus
und Fieber benutzten. Der Gebrauch ist sehr einfach: Von der Quelle I
fliesst das Wasser durch IHolzrinnen in die aus Steinen zusammengelegte
Hütte und kühlt sich unterwegs von 55° C. auf 41° C. bis 38° C. ab. Im
Boden der Hütte ist eine Vertiefung gemacht, die eine Wanne vertreten soll.
Bei der Quelle II wird das Wasser nicht abgekühlt, daher wird sie seltener
gebraucht, weil nicht Jeder die hohe Temperatur des Wassers (55° C.) ver-
tragen kann. Der Kranke kriecht durch die schmale Öffnung in die Hütte
hinein, kleidet sich aus und setzt sich in das Wasser hinein; die Öffnung
der Hütte wird sorgfältig zugestopft, damit die Dämpfe nicht entweichen.
Der Kranke bleibt 10— 15 Minuten im warmen Wasser, kleidet sich in der
Dampf-Atmosphäre wieder an, wird herauskriechend mit einem Pelz bedeckt
und so in die benachbarte Wohnung gebracht.....
Die Temperatur der nächsten Quelle am Gletscher, No. III war 48,8° C.,
No. IV 51,3° C., No. I 55° C., No. II 50° C., der am weitesten vom
Gletscher entfernten No. V 15° C.
Die Temperatur einer süssen Quelle, die sich unweit No. I befindet, war
12,5° C., die des Flusses Genaldon, der 2 Fuss weit von den Thermen III
und IV vorbeifliesst, war 5° C., die der Luft bei klarem Himmel um 12 Uhr
Mittags 17,5° C., bei bewölktem Himmel um 1 Uhr 15° C.».
Analytische Data.
Thermalwasser I: Quellentemperatur 55° C.
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, bläut empfindliches, rothes Lak-
muspapier.
Melanges plys. ot chim. T. XIII, p. 98.
(xxx) | HYDROLOGISCHB UNTERSUCHUNGEN. 135
Vol.-Gew. bei 21,2° C. = 1,00538 (Wasser gleicher Temp. = 1).
A) 194,830 grm. Wasser gaben eingetrocknet 1,3868 bei 100° tr. Rück-
stand, wovon «) in Wasser leicht lösl. 1,2347 = 6,3371p.M.,
B) » » unlösl. Kesselstein 0,1521 — 0,7807 p.M.,
daraus 2,7798 grm. AgCl + AgBr = 14,26782p.M. AgCl-+- AgBr,
0,0495 » BaSO,,
1,1562 » KCI + NaCl,
0,3492 » K,PtCI, + Rb,PtCI,
0,0763 » CaO,
0,0499 » MgSO,,
B) 375,936 grm. Wasser mit HCl, Chlorwasser und Chloroform colori-
. metrisch 0,0011 grm. Brom = 0,00293 p. M. Br. = 0,00688 p. M.
AgBr, 14,26094 p. M. AgCl = 3,52605 p. M. Cl.
A + B 0,0067 Si0, = 0,0117 p. M. SiO,,
0,0062 Fe,0, = 0,00759 p. M. Fe,
0,0055 gelben Ammonio-Phosphor-Molybdäns.- Niederschlag
= 0,00030 p. M. P,V,.
Thermalwasser II. Quellentemperatur 50° C.
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, bläut empfindliches, rothes Lak-
muspapier wie I.
Vol.-Gew. bei 17° = 1,00603.
A) 212,65 grm. Wasser 1,6203 grm. bei 100° tr. Abdampfrückstand,
wovon in Wasser leicht lösl. «) 1,4329 = 6,73513 p. M. lösl. «,
unlösl. Kesselstein, ß) 0,1874 = 0,88085 p. M. unlösl. ß,
daraus 3,2688 grm. AgCI + AgBr = 15,36451 p. M. AgCIi+-AgBr,
0,0574 » BaSO, = 0,09264 p. M. SO,,
0,0798 » (CaO = 0,26789 p. M. Ca,
0,1448 » MgSO, = 0,13777 p. M. Mg,
1,3026 » KCI + RbCI + NaCl,
0,4099 » K,PtCl, + Rb,PtCl,.
B) 446,357 grm. Wasser mit HCl, Chlorwasser und Chloroform colori-
metrisch 0,00131 grm. Brom = 0,00294 p. M. Br. = 0,00691 p.
M. AgBr, 15,36760 p. M. AgCl = 3,79733 p. M. CI.
À + B Kesselstein 0,0087 grm. gelben Ammonio-Phosphor-Molybdän-
säure-Niederschlag = 0,00041 p. M. P,O;:
0,00455 F&%O, = 0,00484 p. M. Fe,
0,0204 SiO, = 0,03102 p. M. SiO,.
I und II B nach der Brombestimmung eingedampft, mit Platinchlorid
gefällt, die Niederschläge mit denen von I und IT A vereint, im Wasserstoff-
Mélanges phys. et chim T. XIII, p. 20.
136 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [N. 8.1
strom geglüht, zeigten spektroskopisch Rubidium-Gehalt, davon 2,1348 grm.
KCI + RbCl mit Silbernitrat gefällt, ergaben 4,0910 AgCl = 191,63 %,
AgCl, entsprechend { Dome xcı » mithin 100 K,PtCl,+-Rb,PtCl,—30,659
0,179 Rb
KCI + RDC = {uk -
In Ermangelung grösserer Wassermengen ist dieses Verhältniss der Be-
rechnung des Rb- und K-Gehaltes beider K,PtCl, + Rb,PtCI,, Niederschläge
I und II zu Grunde gelegt worden.
Beim Eindampfen beider Thermalwasser setzen sich Sulfate und Car-
bonate vollständig um, die Kesselsteine ß enthalten keine Schwefelsäure,
dagegen Kalk, Eisenoxyd, Phosphorsäure, Kieselsäure vollständig, Magnesia
zum Theil. Ammoniak und Salpetersäure waren in den zur Verfügung ste-
henden geringen Wassermengen nicht nachweisbar, ebensowenig Sulfide —
der Silberniederschlag war völlig weiss.
Gruppirt man die Basen und Säuren nach dem Verhalten beim Ein-
dampfen und reducirt auf 1,000,000 grm. (ca. 1 Kubikmeter), so erhält man:
1,000,000 grm. Thermalwasser Saniba I und II enthalten: ...... grm.
(ca. 8000’ Meereshöhe, Kasbek-Gletscher).
ug eo
Saniba II.
Gruppirung. Sauiba IT. | Saniba II.
Volumengewicht ...... ; Wassertemperatur .. | 65° C. | 50° C.
Rubidium Rb......... 8,22 8,46 | Rubidiumsulf. ALSO, 6,08 6,41
Kalium K........ .... 285,64 807,06 | Kaliumsulfat K,SO, . 186,67 198,20
Natrium Na.......... 2122,20 | 2179,90 | Chlorkalium KCI..... 864,35 415,62
Calcium Ca........,.. 279,77 294,19 | Chlornatrium NaCl...| 5885,12 6581,90
Magnesium Mg ....... 51,90 187,77 | Chlormagues. MgCl, . 134,80 882,98
Eisen Fe.........,... 7,59 4,84 | Brommagnces. MyBr, . . 8,88 8,39
Chlor Cl1............. 8626,05 8797,88 | Calciumphosph.CaP,O, 0,42 0,57
Brom Br..........,... 2,98 2,94 | Calciumbicarb. CaC:0s 1006,69 1058,81
Schwefelsäure SO,..... 87,24 92,64 | Magnesiumbic.Mg(:,0 89,81 274,44
Phosphorsäure P,O,.. 0,30 0,41 | Eisenbicarb. FeC, 6, 21,68 18,82
Kohlensäure der icar- Kieselsäure Si0, ..... 11,70 81,02
bonate C,04........ 688,82 842,88
Saneretofe - Aeguival, d.
30, Ogre 142,69 171,79
nn A Si0, . RESTE 11,70 81,02
Summe der Mineralbe- Sumnie der Mineralbe-
standtheile......... 7209,45 | 7865,66 standtheile........ 7209,45 | 7865,66
Chlor-Aequiv. des Na..| 3263,22 8862,00
Chlor-Rest ........... 262,88 445,33
Beim Kochen und Eindampfen von 1,000,000 grm. (ca. 1 Kubikmeter)
dieser Thermalwasser
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 30.
(axxın)] HYDROLOGISCHB UNTBRSUCHUNGEN. 137
--- mm m u sehen mer er eg er Ge ra EEE GE need er nt tn. de Me me “te
bleiben gelöst x) leichtlösliche Salze
fallen nieder B) Kesselstein
Saniba II.
Saniba I. | Saniba II.
Gruppirung. [sent I.
Rubidiumsulfat Rb,SO,. 5,08 Calciumcarb. CaCO,...| 671,56
Kaliumsulfat K,S0, ...| 186,67 Magnes.-carb. MgCO,. . 68,70
Chlorkalium KCI...... 864,85 Eisenoxyd Fe,O,...... 10,84
Chlornatrium NaCl....| 8885,42 Calciumphosph.Ca;P,0, 0,68
Chlormagnesium MgCl, -Kieselsäure SiO, ...... 11,70
Brommagnesium MgBr,
Summe der Mincralbe-
standtheile d. a)....| 6079,66
Mineralbestandtheile d.
B) Kesselstein.......
768,46 | 968,61
Vergleicht man diese Kaukasischen Thermalwasser der Gletscherregion
des Kasbek mit denen des Altai (Rachmanow-Belucha)'), Kamtschatka’s?)
und des unteren Amur-Gebietes (Neu-Michaiïlowsk) °), Islands, Neu-Seelands,
der Alpen und Pyrenäen, so findet man, dass die Meisten viel ärmer an
Mineralbestandtheilen sind, als die des Kasbek in 8000 Fuss Höhe. In
1,000,000 grm. (ca. 1 Kubikmeter) enthalten die Thermalwasser:
Wassertemp.
Rachmanow-Belucha-Altai..... 172,83 grm. 42,5°C.
Neu-Michailowsk (Amur-Gebiet) 247,4» 49 »
Wildbad-Gastein .......... 349,2 » 47,8 »
Ragaz-Pfüfers. ........... 396,2 » 37,5 »
Kamtschatka. ............ 576,97bis3412,07 » 45bis100 »
Geisire Island’s........... 504,8 » 1187,2 » 100 »
Tan-la (Tibet) 4877 M. Meeresh. 1076 » 52 »
Geisire*) und Thermen des Na-
tionalparks ............ 1190 » 2046 » 100 »
Te Tarata Geysir, Neu-Seeland. 2661,83 » 100 »
Ems, neue Badquelle . ...... 4311,71 » 50 »
Aachen, Kaiserquelle....... 4396,99 » 55 »
Von den Kasbek-Saniba nächststehenden Thermen Wiesbadens ent-
hält die Schützenhofquelle®), Vol.-Gew. 1,00496, Wassertemp. 49,2°
— 6538,48, etwas weniger, der Kochbrunnen®), Vol.-Gewicht 1,00627,
Wassertemp. 68,7° — 8507,80 etwas mehr Mineralbestandtheile, beide mit
überwiegendem Chlornatrium.
1) Mémoires de l’Ac. Imp. d. sc. de St. Pétersb. 7° Série, XXXII, X 18 (1885), p. 19—21.
2) ib., p. 1—29.
3) Bulletin XX XII, p. 77—89 (1887).
4) À. C. Peale, Silliman Journal (8) XXVI, p 245 (1884).
5) Heinrich Fresenius, Journal f. prakt. Chemie (2) XXXV, p. 287—253 (1887).
6) R. Fresenius, Jahrbuch des Nassauischen Vereins für Naturkunde XXXIX, p. 1—20
(1886) — Heinrich Fresenius, Schützenhofquelle, ib., p. 21—650
Melanges phyr. et chim, T. XIII, p. 81.
138 PROF. DR. CARL SOHNIDT, [N. 8. ı
1,000,000 grammen Wasser enthalten:
Wiesbaden. Schützenhof. Kochbrunnen.
Kalium K .............. 82,630 95,698
Natrium Na............. 2030,472 2692,012
Calcium Ca .,........... 306,647 333,249
Magnesium Mg........... 35,567 50,747
Eisen Fe............... 1,052 3,249
Chlor C1............... 3602,848 | 4657,806
Brom Br............... 1,967 3,378
Schwefelsäure SO,......... 87,919 52,632
Kieselsäure SiO, . . ... eos 51,162 62,714
Phosphorsäure P Os een 0, 193 0. ‚013
Chloraequivalent des Natrium . 3125 023 4139, 442
Chlor-Rest.............. 477 825 518,364
Beide Wiesbadener sind absolut und relativ zum Natrium ärmer an
Kalium und Rubidium, Magnesium, Eisen, Phosphor, reicher an Kieselsäure
als Saniba-Kasbek. Die Schützenhofquelle nähert sich hinsichtlich des
Chlor-, Natrium-, Calcium-, Magnesium-Gehaltes mehr Saniba I. Der Koch-
brunnen II ist reicher an Chlor, Natrium, Calcium, ärmer an Magnesium
als Saniba IT.
Der relativ wie absolut dreifache Kalium-Gehalt der Saniba-Kasbek-
Gletscherwasser dürfte in der grösseren Basicität und entsprechend leich-
teren Verwitterung der Kaukasus-Gipfelgesteine begründet sein, deren Kali-
Gehalt beträchtlich ist?).
100 Theile enthalten:
Kali Natron
N k,0 Nu,0.
1) Labradorporphyr-Chomi-Borjom-Thal ........ 2,287 4,074
2) Eruptivgestein, Enge von Mzchetha ......... 4,630 3,601
6) Pechstein von Chomi, Kura-Borjom-Thal. . . .... 3,957 4,671
7) Pelit, Enge von Mzchetha. ............... 2,285 0,926
9) Gipfelgestein des Alagéz vom Ziarat ......... 2,806 4,144
16) Stufe IIamamli, im Norden d. Alagéz, Pambak-Thal 7,653 0,149
5°) Spaltenkrater, Samsargipfel. .............. 2,002 3,366
7‘) Hauptgestein aus dem Bergsystem d. Kaputschidagh 3,118 4,966
7) Vergl. meine Untersuchungen der Kaukasus- und Ararat-Gipfelgesteine in: Herrmann
Abich, Geologische Forschungen in den Kaukasischen Ländern, III, Abschnitt 4: «Chemische
Analysen von Prof. Dr. Carl Schmidt in Dorpat». Wien, 1887, pag. 155—159, die M beziehen
sich auf diese Abhandlung.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 82.
(zxxım] | HYDROLOGISCHR UNTERSUCHUNGEN. 139
13') Sumdur-Gipfel, Somkethien, Grundmasse . ..... 3,955 4,120
16) «) in heisser 10%, HCl löslicher Theil, Pambak-Thal 0,768 0,103
16) B) » » » » unlöslicher » » » 6,885 0,046
18) Trachyt-, Achatis-Mta, Kaukasus-Gipfel. . ..... 1,919 4,518
22) «) Hochlandlava von Keli, Kaukasus-Gipfel..... 1,641 4,524
In den Kasbek-Saniba wie den Wiesbadener Thermalwassern überwiegt der
Chlor-Gehalt bedeutend das Chlor-Aequivalent des Natriums. Dieser
Chlor-Gehalt entstammt demnach nicht allein der Auslaugung von Steinsalz-
lagern oder eingesprengten Chlornatrium-Krystallen, sondern wahrscheinlich
gleichzeitiger Einwirkung von Chlorwasserstoff oder Eisenchlorid auf
die von den Thermalwassern durchsickerten Gesteinsschichten. Beide sind
constante Begleiter und Produkte vulkanischer Thätigkeit — neben an-
deren Chloriden (AIÏCI,, MgCl,, CaCL) meist der Spaltung von Chlormagne-
sium des eingesickerten Meer- oder Salinenwassers durch hohe Temperatur
unter Mitwirkung der durchdrungenen Fels- oder Bodenschichten entstam-
mend. Die Oceane enthalten im Mittel ®) |
auf 101387 er um p. 1,000,000 grm. Meerwasser
Cl- Aequiv. des Na = 15574,7,
Chlor-Rest 2644,0. |
. Auf 100 grm. Chlor-Aequivalent des Natrium beträgt der Chlor-Rest
im Kasbek-Wasser Saniba 1 | | | 13 285
| Schützenhof . 15,291,
» Wiesbadener À Kochtrannen. 12,523,
» Ocean-Mittel. ........... 16,976.
Dieser «relative Chlor-Rest» ist im Oceanwasser am grössten, trotzdem
aus demselben kein Chlornatrium herauskrystallisirt ist, wie in den ge-
schlossenen Soolmutterlaugenbecken des todten Meeres, Karabugas, Urmia-
Sees u. A. |
Sämmtliche von mir untersuchte Quell- und Flusswasser Livlands ent-
halten dagegen mehr als 1 Aequivalent Natrium auf 1 Aequ. Chlor, sie
zeigen keinen relativen Chlor-, sondern umgekehrt einen relativen Na-
trium-Rest®). Das gleiche Resultat ergiebt eine genauere Vergleichung
zahlreicher anderer Quell- und Fluss-Wasser, sofern nicht besondere indu-
strielle oder anderweitige Lokaleinfiisse spärliche Ausnahmen veranlassen.
8) Bulletin XXIV, p. 231 —238 (1877).
9) Rulletin XXXI, p. 508— 632 (1887), Quellen, Brunnen, Bäche, Flüsse, Seeen der Babn-
linie Pskow- Dorpat-Werro-Walk-\Wolmar -Wenden - Riga.
Mélanges phys. ot chim. T, XIII, p. 33.
140 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [n. 8.1
1,000,000 grammen Wasser (circa 1 Kubikmeter) enthalten...... grm., nach steigende
Natrium- Ne ei
A) Bäche, Flüsse, Ströme. Natrium Na | Chlor Cl | Aequivalent [Pers il
des Chlors | N205 CO, und
gebunden,
Embach bei Dorpat, Livland........... 2,95 3,81 2,478 | 19,05
Moorbach bei Segewold, Livland ........ 2,473 2,779 1,807 | 36,8
Welikaja-Fluss bei Pskow ............. 5,720 6,275 4,081 | 40,16
Krew-Bach bei Rodenpois, Livland....... 2,221 2,334 1,514 46,7
Mudda-Bach bei Sagnitz, Livland........ 3,165 2,789 1,813 | 74,5
Ssyr-Darja-Strom, Unterlauf ........... 25,89 22,55 14,66 76,5:
Düna-Fluss bei Riga, Livland .......... 7,566 6,537 4,251 | 77,9
g Donau Strom, Jahresmittel 1878. ...... 2,82 2,40 1,56 80,7.
E
i derselbe Januar— April 1878......... 3,64 3,40 2,21 64,6
© 9» Mai August » ........ 2,08 1,60 1,04 100,0
4 » September—October 1878 ....| 2,67 1,80 1,17 117,0
& » November—December » .... 2,97 2,40 1,56 128,1
Peddel-Bach bei Walk, Livland ......... 2,895 2,171 1,412 | 105,0
Orro-Bach bei Karolen, Livland......... 4,548 2,769 1,801 | 152,5
Elwa-Bach bei Uddern, Livland ......... 4,206 2,384 1,550 | 171,3
Grube-Bach bei Ramotzki, Livland . ...... 3,534 2,018 1,283 | 175,4
Aa-Fluss bei Hinzenberg, Livland. ....... 5,184 2,858 1,859 | 178,
Pimscha-Bach bei Petschori, Gouv. Pskow .. 3,855 2,107 1,370 | 181;:
St. Lorenz-Strom, Kanada 1854 März... ... 5,138 2,409 1,567 | 227
Ahr-Fluss, 1 Kil. von der Mündung i. d. Rhein | 23,646 9,40 6,113 | 286,
Renze-Bach bei Lohde, Livland ......... 3,744 1,543 1,004 | 272;
Rhein-Strom bei Strassburg... ......... 5,167 1,212 | 0,788 | 555,
Rio de la Plata-Strom ..,.....,...... 15,74 11,40 7,41 112,
Nil-Strom, 2 St. stromabwärts von Kairo... | 15,665 3,37 2,192 | 714,
Kempen-Bach bei Stakeln, Livland ....... 4,234 1,988 1,293 | 439,
Elbe-Fluss bei Lobositz, Böhmen ........ 5,887 2,557 1,663 | 254,
Isar-Fluss, München ................ 4,866 0,988 0,642 | 657,
B) Süsswasser-Seeen. nn = u
Peipus-See ...................... 2,91 3,90 2,536 14,
Onega-See ...................... 6,575 6,883 4,476 46,
Goktschai-See, Armenien ............. 717,28 64,02 41,635 85
Gmunden, Traun. .................. 3,496 2,418 1,572 122
Tschaldyr-Göl-See, Armenien. .......... 7,79 5,09 3,310 135
Baikal-See ...................... 4,039 1,685 1,096 | 268
Züricher See ..................... 2,24 0,83 0,540 314
Genfer See ..... EE 4,29 1,03 0,670 | 540
Rachel-See, Bayerischer Wald .......... 5,13 | 0,91 0,592 766
Starnberger See .............. eus 4,86 0,78 0,507 | 858
Mélanges phys. et chim. T, XIII, p. 84.
(xxx1n)] HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. 141
atrium-Rest geordnet:
Aualytiker. Quellenlitteratur.
arl Schmidt Archiv f. d. Naturkunde Liv-, Est- u. Kurl. 1°" Sér., II, p. 13—14
(1863) und VIII, p. 3—8 (1876).
Bull. de l’Ac. Imp. d. sc. de St. Pétersb. XXXI, 508—532 (1887).
ib. (1887).
ib. (1887).
ib. (1887).
Mém. de l’Ac. Imp. d. sc. de St. Pétersb. 7°” Ser. XXIX,B.15 (1881).
Bulletin XXXI, 508—532 (1887).
J. F. Wolfbauer Sitzungsberichte d. K.K. Ak. d. Wiss. zu Wien LXXXVI, Abth. I,
Heft 5, pag. 404—422 (1883).
US NS NDS DH
» ib.
n 1b.
» ib.
» ib.
Carl Schmidt. Bulletin XXXT, 508—532 (1887).
» ib.
» ib.
» ib.
» ih.
» ib.
T. S. Hunt Phil. Mag. (4), XIII, 239 (1857).
E. W. Dafert Sitzungsb. d. Niederrh. Ges. 1885, daraus Jahresb. f. 1885, p. 2314.
Carl Schmidt Bulletin XXXI, 508—532 (1887).
L St. Claire-Deville | Ann. de Chimie et Phys. (3) XXIII, 42 (1848).
J. J. J. Kyle Chemical News XXXVII, 28 (1878), daraus Jahresb., p. 1296.
0. Popp Liebig’s Annalen CLV, 345 (1870).
Carl Schmidt Bulletin XXXI, 508—532 (1887).
Breitenlohner Verhandl. d. K. K. Geologischen Reichsanstalt 1876, p. 174.
Wittstein Vierteljahrschr.f. prakt. Pharm.X,342(1861),dar. Jahresb. ‚p.1098.
— tes
mn
Carl Schmidt Bulletin XX, 152 (1874).
» » XX VIII, 242— 249 (1882).
» Mémoires 7°"° Série XXIX, B. 43—46 (1881).
R. Godeffroy Jahresb. 1882, p. 1635.
Carl Schmidt Mémoires 7°” Séric XXIX, B. 43—46 (1881).
» Bulletin XXIV, 424 (1877).
Ü.F. Moldenhauer | Schweizer. Polytechn. Zeitschr. 1857, II, 52.
1. St. Claire- Deville | Ann. de Chimie et Physique (3) XXXIII, 41 (1848).
H. S. Johnson Liebig’s Annalen XCV, 230 (1855).
E. Mendius Vierteljahrschr. f. prakt. Pharın.V, 95 (1856), daraus Jahresb. p.765.
Mélanges phys. ot chim, T. XII, p. 25.
142 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [N. 8. ı
Woher stammt diese Steigerung des relativen Chlor-Gehaltes im Ocean-
wasser, wie im Wasser der grösseren Soolbecken des Caspi, Aral, Urmia?
Entweder strömen diesen kolossalen Reservoiren aus anderen bisher unbe-
kannten oder nicht untersuchten Chlorkalium-, Chlormagnesium-, Car-
nallit-, Chlorcaleium- u.a. -Lagern analog den Stassfurter «Abraumsal-
zen» entsprechend riesige Massen anderer Chloride als Chlornatrium zu, oder
den stetig zuströmenden Natriumreicheren Flusswassern wird, durch Wechsel-
wirkung mit dem suspendirten Schlamme letzterer, Natrium durch Addi-
tion (Zeolithbildung) oder Austausch gegen Kalium des Schlammes (Al-
bitbildung aus Orthoklas) entzogen.
Ist letztere Hypothese richtig, so müssen diese synthetisch neugebildeten
Kalk-Natron-Zeolithe neben Calciumcarbonat in Form von Muschelschalen,
Diatomeenpanzern und anderen organischen Gebilden den Tiefseeschlamım
der Oceane, den Boden abflussloser Salzwasserbecken, des Kaspi, Aral,
Urmia bilden.
Ersterer ist neuerdings von G. Lindström'®), letzterer (Aral- und Amu-
Darja-Schlamm) von mir’) mit folgenden Resultaten untersucht worden.
100 Theile enthalten:
re GT RS
100 Theile euthalten:
Auf 100 Theile Thonerde
bei 120° trocken | lufttrocken
Auu- Tiefsoeschlamm Amu- Tiefseeschlamm
D Aral- 1343.84, Dari Aral- Eismecr
arja- SDS urju-
Suspen- |Seeboden-| „© o 1% "© .| Suspeu- |Seeboden-
sions- SENÉ Sn"; | sions- A B
schlamm schlamm. | 57" 50 15” Fa schlanm schlamm. A. .
. . u a .
zen” |zam®
Boi 199°
Hydra I 2,672 | 4204| 1054| 10,10
+ Organ. 3.
K,0....| 9,140 1,998 2,06 8,28 12,88 12,78 12,01 18,08
Na, 0 ...| 1,588 1,892 1,49 1,12 9,23 8,87 8,89 6,25
Ca en 11,082 | 15,812 4,09 8,74 | 66,42 | 97,67 23,86 | 20,88
MgO ...| 2,462 1,636 0,99 2,86 14,82 10,42 5,78 16,97
Mn,0,..| 0219 | 0,018 0,06 0,41 1,82 1,15 0,86 2,29
l'eO, ..| 4,676 | 2,927 7,87 8,06 | 28,16 18,65 | 45,91 44,95
ALO3...| 16,608 | 15,694 17,14 17,91 | 100,00 | 100,00 | 100,00 | 100,00
P,0,...| 0,171 0,184 ? ? 1,08 0,85 ? ?
C0, ....| 8,094 | 12,519 8,67 ? 18,78 | 79,78 | 20,88 ?
SiO, ....| 60,898 | 44,166 | 62,98 | 64,36 | 803,42 | 281,43 | 809,10 | 308,62
Summa | 100,000 | 100,000 | 100,79 | 101,78 | | |
10) G. Liudström, Analysen von Gesteinen und Tiefseeschlamm aus dem Eismeere, vou
der Asiatischen Nordküste und Japan. Stockholm, 1885 — lieferat, Jahresbericht, p. 2314.
11) Carl Schmidt, Boden- und Wasser-Untersuchungen aus dem F'erghana- und Ssyr-
Darja-Gebiete. Mémoires de l’Ac. Imp. de St. Petersbourg, 7°"° Série, XXIX, X 1, p. 37—42
(1881). Aralseeboden und ib., XXV, X 3, p. 33 (1877). Suspensionsschlamm des Amu-
Darja.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 86.
(xxx) ] HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. 143
Gruppirung des Kalkes an Kohlensäure und Phosphorsäure.
CaCO, | 18,895 | 26,286 | 85,64 0 110,76 | 168,68 | 82,91
CaP,0,.| 0,878 | 0,292 ? ? 2,25 1,86 ?
CaORest| 0,5298 | 0,488 0 8,74 8.19 2.76 20,88
MgCO, . 2,08 0 12,14 |
NgORest 2,86 | 14,82 | 10,42 15,97
Aus dieser Zusammenstellung ergiebt sich, dass das Verhältniss der
Thonerde zu beiden Alkalien im Suspensionsschlamm des Amu-Darja beim
Fort Nukuss (Unterlauf des Stromes, 18,3 Meter über dem Aralsee-Niveau)
dem des Aral-Seebodenschlammes und Eismeer-l'iefseeschlammes A nahezu
gleich ist. Tiefseeschlamm B ist relativ reicher an Kali und Kalk, etwas
ärmer an Natron. Auch das Verhältniss von Thoncrde zur Kieselsäure
stinmt nahezu überein.
Mätte bei der Umwandlung des Amu-Darja-Suspensionsschlammes in
Aral-Seebodenschlamm, d. h. bei Einwirkung des Aral-Seewassers auf Amu-
Darja-Suspensionsschlamm, eine Addition von Kalk und Natron des ersteren
zu letzterem in erheblicher Menge stattgefunden (Kalk-Natron-Zeolith-Bil-
dung), so müsste der Aral-Seebodenschlamm relativ zur Thonerde mehr
Natron und Kalk enthalten, als der Suspensionsschlamm des Amu-Darja-
Wassers. Dieses ist nicht der Fall; der relativ zur Thonerde grössere
Kalk-Gehalt des Aral-Seebodenschlammes ist nicht als Zeolith, sondern
als Carbonat, d. h. als Muschelschalen-Detritus u. dgl., dem Amu-Darja-
Schlamm mechanisch beigemengt.
Kalk-Natron-Zeolithe werden durch heisse Salzsäure gespalten —
die Einwirkung letzterer auf 100 Th. bei 120° tr. mit Wasser ausgekoch-
ten, salzfreien Aral-Seebodenschlamm ergab (Mémoires 7ème Ser. XXIX,
B., p. 39):
Von 100 Th. mit Wasser ausge-
kochtem Aral-Seebodenschlamm Auf je 100 Th. Al,O, enthält
werden durch heisse 10%, HCl
a) zersetzt
(Zeolith ?) B) nicht zersetzt. a) B)
KO.... 0,3521 1,6455 5,65 17,39
Na0.... 0,1480 1,2441 2,37 13,15
CaO .... 14,8786 0,4330 238,74 4,58
Mg0....| 1,1826 0,4539 18,98 4,80
Mn,O,... 0,0179 — 0,29 —
Fe, Os . :. 2,1090 0,8183 33,84 8,05
ALO, ... 6,2322 9,4614 100,00 100,00
CO,..... _ 12,5194 — 200,88 —
P,0, . ... 0,1338 — 2,15 —
SIO, . ... 44,1663 — —
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p 87.
144 PROF. DR. CARL SOHNIDT, [n. 6. ı
Kohlensäure und Phosphorsäure sättigen den in die HC1-Lösung über-
gehenden Kalk vollständig, der relative Natron-Gehalt der HCI-Lösung
(AlO, = 100) ist nur ?/, des durch heisse HC1 nicht gespaltenen Silicat-
Rückstandes (Natron-Feldspath etc.); er ist viel geringer als der der Natron-
Zeolithe und Natron-Kalk-Zeolithe.
Das gleiche Verhältniss zeigt der alte Kreidemeerboden Südrusslands,
die Schwarzerden des Südosteuropäischen Sedimentärbeckens 'À).
Auf 100 Theile Thonerde ALO, enthalten:
Zahl der durch heisse 10%, HCI
der Die Schwarzerden der ALO
. &ek-
Ana- Gouvernements. 37 zersetzte Theil unzersetzie R c
lysen.
_K0 | 820 | K0 | N,0
13 | Ufa und Ssamara ...... 100 | 9,44] 1,86 | 18,08| 16,85
5 | Ssaratow ........... 100 | 9,85| 0,85| 19,76] 9,54
3 | Charkow............ 100 | 11,43! 2,01 | 26,54| 11,69
4 | Kiew.............. 100 | 9,25! 1,12! 34,51] 15,49
8 | Kursk ............. 100 | 11,40| 1,99! 33,46| 8,99
3 | Chersson. ........... 100 8,59! 1,46| 23,14] 14,11
— [Mittel .,..,......... 100 | 9,99| 1,55 | 25,91 | 12,79
Aral-Seebodenschlamm. . .| 100 | 5,65| 2,37! 17,39 | 13,15
Tambow, Balt. Wochenschr. Ä
XXIIL, p. 284 (1885) .| 100 5,73| 0,63| 23,11| 6,61
Wa
Der durch heisse 10%, HCl spaltbare Theil (Zeolith?) dieser Schwarz-
erden ist übereinstimmend viel Natronärmer, als der ungespaltene Silicat-
Rückstand (Orthoklas-Albit etc.) derselben. Sollte hier eine Natronbindung
aus dem Kreidemeerwasser stattgefunden haben, so muss ein durch heisse
10% HCI Salzsäure unzerlegbares Natron-Thonerde-Silicat (Albit) aus
ursprünglichem Orthoklas unter Austausch der Alkalien nach dem Schema:
KAISi,0, + NaCl = NaAÏSi,0, und KCI sich gebildet haben.
Je länger ein Orthoklas-Schlamm dieser Wechselwirkung mit Chlor-
natrium unterliegt, desto weiter schreitet die Albitisirung fort — die am
frühesten durch Hebung über den Meeresspiegel dem Austausch von Kalium
gegen Natrium entzogenen ältesten Sedimentärschichten müssen demzu-
folge die Kalireichsten, Natronärmsten sein.
12) Garl Schmidt, Chemische Untersuchung von 41 Schwarzerden und Untergrund der
Gouvernements Ufa, Ssamara, Ssaratow, Chersson, Kiew, Charkow, Kursk, Jaroslaw. Baltische
Wochenschrift, XVIIT, p. 421—441 (1880) und XIX, 265—280 (1881).
Mélanges phys. et chim, 'T, XIII, p. 38.
(xxx) ] HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN.
145
Die Erfahrung bestätigt diese Hypothese — die ältesten Cambrischen
und Silur-Thone Estlands sind relativ Kalireicher, Natronärmer als die jün-
geren Devon-Thone Livlands, diese Kalireicher, Natronärmer als die jünge-
ren Jura-Schichten Kurlands und Litthauens (Popilani), und so fort bis zu
den relativ Kaliärmsten, Natronreichsten, jüngsten Sedimentärschichten des
Kaspi- und Wiener Beckens. Auf 100 Th. Thonerde enthält der
K,0
graue untersilurische Thon von Isenhof (Estland). . . ... 39.25
rothe devonische Thon von Quistenthal bei Dorpat..... 40,67
» » » » Mutta D M» ..... 42,64
40 Schwarzerden Süd-Russlands, Kreide, Tertiär-Mittel . 15,17
Löss des Wiener Beckens (K. v. Hauer 1866) '")...... 9,26
Tegel » » (E. v. Sommaruga 1866) '*):
A) von Inzersdorf. ...... 6,72
B) » Ottakring....... 11,53
C) » Nussdorf........ 4,64
D) » Baden ......... 14,06.
13) Wiener Akad. Ber. LIII, 148 (1866), daraus Jahresb. f. 1866, p. 983.
14) Jahrb. d. geol. Reichsanstalt XVI, 48 (1866), daraus Jahresb. f. 1866, p. 984.
Mélanges phyn. ot chim. T. XIII, p. A9. 10
Na,0
1,06
3,61
4,11
7,26
18,34
39,03
36,45
14,63
21,35
(xzzıı)] 147
Über die Analyse der schwefelsauren Thonerde. Von F, Beilstein
und Th. Grossot. (Lu le 31 Janvier 1889). |
Das Ziel der nachfolgenden Untersuchung war die Auffindung einer ge-
nauen Methode zur Bestimmung der freien Schwefelsäure in der schwe-
felsauren Thonerde. Wer die vielfachen Anwendungen dieses Produktes in
der Industrie kennt, weiss wie sehr es. darauf ankommt den Gehalt an freier
Schwefelsäure rasch und genau zu ermitteln. Dies ist nun bis jetzt nicht
möglich gewesen. Es liegen zwar mehrere Arbeiten vor, welche die ge-
stellte Aufgabe lösen sollen, allein alle bis jetzt vorgeschlagenen Me-
thoden der Analyse sind fehlerhaft. Die von einzelnen Verfassern be-
obachteten günstigen Resultate sind nur scheinbare, denn soweit es die
veröffentlichten Zahlen erkennen lassen, gingen die Verfasser von bestimmten
Produkten aus, die sieeinfach analysirten, unterliessen es aber ihr Verfahren
synthetisch zu prüfen. Niemand hat sich die Mühe genommen Mischungen
von neutraler schwefelsaurer Thonerde und freier Schwefelsäure von be-
kaunter Zusammensetzung herzustellen und darin die freie Säure zu ermit-
teln. Nur auf diesem Wege lässt sich die Brauchbarkeit einer Methode
prüfen; die blossen Analysen von Handelsprodukten beweisen nichts.
Erlenmeyer und Lewinstein !) schlugen vor die freie Schwefelsäure
in der schwefelsauren Thonerde durch Kochen mit überschüssiger, feuchter
phosphorsaurer Ammoniak-Magnesia zu ermitteln. Nach der Gleichung:
AL(SO,, + 2Mg(NH,)PO, = 2AIPO, + 2MgS0, + (NH,),SO, wird hier-
bei alle Thonerde unlöslich niedergeschlagen und in Lösung gehen nur neu-
trale Sulfate. Ist dem Thonerdesulfat freie Schwefelsäure beigemengt, so wird
dieselbe nun durch die gewöhnlichsten Reagenzien, etwa Lakınustinktur, nach-
gewiesen und der Bestimmung derselben durch Titriren mit Normal-Alkali
stünde nichtsim Wege. Stein?) fand diese Reaktion vollkommen zuverlässig,
nur muss die phosphorsaure Ammoniak-Magnesia frisch gefällt sein. Wir
versuchten die obige Reaktion zur quantitativen Bestimmung der freien
Schwefelsäure anzuwenden, fanden aber das Verfahren nicht empfehlenswerth,
1) Jahresbericht der Chemie für 1860, 638.
2) Zeitschrift f. analyt. Chemie 1866, 289.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 41.
148 F. BILSTEIN UND TH. @ROBBRT, [n. 8. ı
so dass wir davon abstehen alle Einzelnheiten unserer Versuche mitzutheilen.
Der Hauptübelstand bei diesem Verfahren besteht darin, dass die phosphor-
saure Ammoniak-Magnesia kein beständiger Körperist. Schon beim Liegen
an der Luft verliert sie bald Ammoniak und selbst beim Stehen unter Was-
ser zersetzt sie sich nach etwa 14 Tagen. Nur die frisch gefällte phosphor-
saure Ammoniak-Magnesia setzt sich mit schwefelsaurer Thonerde gut um; hat
dieselbe einige Tage unter Wasser gestanden, so bedarf es eines längeren
Kochens behufs Umsetzung. Dabei können aber die gebildeten Ammoniak-
salze Ammoniak verlieren. Man ist daher gezwungen für jeden Versuch
sich reine phosphorsaure Aınmoniak-Magnesia darzustellen, was viel zu um-
ständlich ist. |
Um mit einem beständigeren Körper als phosphorsaure Ammoniak-
Magnesia zu operiren, kochten wir Thonerdesulfat mit orthophosphorsau-
rem Magnesium Mg,(PO,), und Wasser, allein die Umwandlung erfolgte
viel langsamer als mit Mg(NH,)PO,. Viel rascher setzte sich Thonerdesulfat
mit Baryumphosphat um, die Versuche scheiterten indessen an der
Schwierigkeit das Salz Ba,(PO,), rein zu erhalten. Als wir Chlorbaryum mit
Natriumphosphat Na,HPO, und Ammoniak fällten, erhielten wir nicht neu-
trales Orthophosphat, sondern das Salz 5BaO. 2P,O,. Auch mit Bleiphos-
phat wurden keine zufriedenstellende Resultate erhalten. Versuche die
Thonerde aus dem Sulfate durch Natriumphosphat zu fällen und dann
die frei gewordene Schwefelsäure zu titriren schlugen fehl. Nach der Glei-
chung A1,(80,), + 2Na,HPO, = 2AIPO, -+- 2Na,SO, -+- H,SO, sollte für je-
des Molekül neutrales Thonerdesulfat ein Molekül Schwefelsäure frei
werden. Ein Überschuss an Säure würde dann einen Gehalt an freier
Schwefelsäure im Thonerdesulfat andeuten. Die Bestimmungen an freier
Schwefelsäure schwankten jedoch, bei einer und derselben Probe, in viel
zu weiten Grenzen. :
Schon vor längerer Zeit hat man vorgeschlagen, die freie Schwefelsäure,
in Gegenwart von Sulfaten, in der Weise zu bestimmen, dass man die kon-
zentrirte, wässrige Lösung mit dem fünffachen Volumen Alkohol (von 95%)
fällt und dann im Filtrate die freie Schwefelsäure, nach dem Verjagen des
Alkohols, durch salpetersauren Baryt füllt und als Baryumsulfat wägt.
A. Girard?) hat dieses Verfahren eingehend geprüft und gefunden, dass es
nur bei grossen Mengen Schwefelsäure anwendbar ist. Der Hauptfehler be-
steht darin, dass die neutralen Sulfate sich nicht völlig ausscheiden. Girard
räth daher die Lösung der Sulfate abzudampfen und den trockenen Rück-
stand mit absolutem Alkohol auszuziehen. Girard’s Versuche haben für
8) Zeitschrift f, aualyt. Chemie 1865, 220.
Molanges phys. et chim, 'T, XIII, p. 42.
(xxzun)] ÜBER DIE ANALYSE DER SCHWEFELSAUREN THONERDE. 149
uns keinen absoluten Werth, da er nicht saures Thonerdesulfat untersuchte
sondern nur die sauren Sulfate von Natron, Kali, Magnesia, Kalk und Eisen-
oxydul berücksichtigte. |
0. Miller‘) zieht saure schwefelsaure Thonerde mit kaltem Alkohol
aus, verdunstet den alkoholischen Auszug und bestimmt im Rückstande die
freie Schwefelsäure durch Titriren mit '/,-Normal-Alkali, in Gegenwart von
Methylorange.
R. Williams?) lässt die feste schwefelsaure Thonerde über Nacht mit
starken Alkohol, in der Kälte stehen, filtrirt dann ab, wäscht mit Alkohol
und titrirt die alkoholische Lösung direkt mit Alkali, unter Zusatz von
Phenolphtaleïn. In einer Handelswaare wurden, auf diese Weise, 0,44%, freie
Säure gefunden, dauerte aber die Behandlung mit Alkohol bloss 1 Stunde
so wurden 0,29%, Säure gefunden. Das Verjagen des Alkohols und Aufnahme
des Rückstandes ii Wasser fand Williams nicht empfehlenswerth, weil da-
durch ein Verlust an freier Säure eintrat. Gefunden wurde z. B. 0,35%,
statt 0,44%, H,SO,. Vermuthlich war während des Eindampfens ein Theil
der zweibasischen Schwefelsäure in die einbasische Äthylischwefelsäure
übergegangen. |
Unsere Versuche lassen keinen Zweifel darüber, dass sich die freie
Schwefelsäure vom Thonerdesulfat, durch Alkohol, nicht quantitativ trennen
lässt. Zunächst können wir Girard’s Beobachtung auch für das Thonerde-
sulfat bestätigen. Aus einer wässrigen Lösung dieses Salzes wird, durch
starken Alkohol, nicht alles Thonerdesulfat gefällt. Ein kleiner Theil desselben
bleibt gelöst und da es sauer reagirt, so wird beim nachherigen Titriren
mit Alkali die Säurebestimmung natürlich zu hoch ausfallen. Aber auch in
starkem Alkohol ist das neutrale 'I'honerdesulfat etwas löslich. Wir liessen
neutrale schwefelsaure Thonerde mit Alkohol von 95% 10 Tage lang stehen
und verdämpften dann ein gemessenes Volumen der Lösung. 80cc hinterliessen
0,042 g Rückstand (bei 110° getrocknet).
Die nachfolgenden Versuche wurden fulgendermaassen angestellt. Eine
gewogene Menge (1 g) Thonerdesulfat wurde in 5cc Wasser gelöst und
mit 20cc Alkohol (von 95°/,) in einer Reibschale zerrieben. Nach weiterem
Zusatz von 30cc desselben Alkohols wurde '/,-Y, Stunde am Kühler gekocht,
dann erkalten gelassen und das gefüllte Thonerdesulfat abfiltrirt und mit
50ce Alkohol (von 95%) gewaschen. Die alkoholischen Lösungen dampften
wir ein, lösten den Rückstand in Wasser und titrirten die freie Säure mit
1, Normal-Kalilauge, unter Zusatz von etwas Phenolphtalein. Bei den Ver-
4) Bericht d. d. chem. Gesellsch. (1883) 16, 1991.
6) Chemical news, (1887) 56, 194.
Mélanges phya. et chim. T. XIII, p. 45.
150 Y. BRILBTEIN UND TH. GROSSET, [N. 8.1
suchen, in welchen ein Zusatz einer abgemessenen Menge verdünnter Schwe-
felsäure von bekanntem Gehalte erfolgte, wurde das Gemisch vor dem Fällen
mit Alkohol auf 2 gr eingedampft.
Die angewandte Kalilauge enthält im Liter genau 5 g KOH; 1cc der
angewandten Schwefelsäure entsprach 0,685 cc der Kalilauge. Die neutrale
schwefelsaure Thonerde war durch wiederholtes Lösen in Wasser und Fällen
mit Alkohol einer käuflichen, reinen schwefelsauren Thonerde dargestellt. Zur
Analyse wurde je 1 g schwefelsaure Thonerde mit wechselnden Mengen
unserer titrirten Schwefelsäure versetzt.
Schwefelsäure. Kalilauge. 0, H,80,
Zugesetat cc. Verbraucht. Berechnet. Gefuuden. Berechnet.
0 1,4cc 0 0,6 0
10,0cc 7,2 6,85cc 3,2 3,0
20,0 10,1 13,7 4,4 6,0
20,0 13,2 13,7 5,8 6,0
_ 20,0 9,9 13,7 4,4 6,0
Wie man sieht fallen die Resultate zuweilen angenähert richtig aus;
zuverlässig kann aber die Methode nicht genannt werden. Ein direktes
Behandeln des Thonerdesulfates mit Alkohol, ohne vorheriges Auflüsen in
Wasser, gab uns stets einen Verlust an freier Säure. Auch Breutel (Jahresb. d.
chemischen Technol. f, 1887, 581) verwirft das Ausziehen mit absolutem
Allkohol. Dass durch den Zusatz von Alkohol zur wässrigen Lösung des Thon-
erdesulfates die Abscheidung keine völlige ist haben wir auch auf folgende
Weise konstatirt. Eine gewogene Menge saures Sulfat wurde in Wasser ge-
löst und in der beschriebenen Weise durch Alkohol gefällt. Das Filtrat
verbrauchte 10cc'/,-Normal-Alkali. Das gefüllte Thonerdesulfat wurde wie-
der in Wasser gelöst und mit Alkohol gefällt. Das Filtrat verbrauchte
1,8cc der Y,,-Normal-Alkalilösung. Es wird also durch den Alkohol nicht
alle Säure ausgezogen; im Niederschlage befindet sich stets eine kleine
Menge saures Thonerdesulfat. |
Für die Bestimmung freier Säure, neben sauer reagirenden Salzen, hat
Kieffer®) das Kupferoxyd-Ammoniak vorgeschlagen. Für die Analyse
dessauren Thonerdesulfates ist dieses Verfahren ungeeignet, weil das ausge-
fällte Kupferoxydhydrat sich löst, unter Bildung von basisch-schwefelsaurer
Thonerde. Selbst Alaun verbrauchte mehrere Kubikcentimeter Kieffer’scher
Lösung ehe bleibende Trübung eintrat.
Vergebens versuchten wir die freie Säure durch direktes Titriren mit
Normal-Alkali zu bestimmen, unter Zusatz von Eisenchlorid, von Eisenalaun
6) Aunaleu d. Chemie und Pharm. 93,386.
Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 44.
(xxxım)] ÜBER DIR ANALYSE DER SOHWEFELSAUREN THONERDE. 151
oder eines Gemisches von Eisenchlorid und Rhodanammonium. Wir unter-
lassen es die wenig stimmenden Resultate mitzutheilen.
Wiederholt ist behauptet worden die freie Säure liesse sich im Thoner-
desulfat bestimmen, durch Titriren mit Alkali, in Gegenwart eines passenden
Indikators. Als ein solcher wurde das zuerst von W. v. Miller’) eingeführte
Tropaeolin 00 empfohlen und zwar von Lunge?) und Bayer‘). Nach
O. Miller'°) ist aber das Tropaeolin 00 weniger empfindlich als Methy]-
orange. Dieses bestätigen Thomson !!} und E. B. ").
Wie es scheint, handelt es sich aber, in allen angeführten Abhandlungen,
zunächst nur um den qualitativen Nachweis der freien Säure. Resultate
quantitativer Bestimmungen liegen keine vor. O. Miller giebt geradezu
an, dass er das saure Thonerdesulfat zunächst mit Alkohol ausgezogen habe.
Direkte Versuche belehrten uns, dass keiner dieser Indikatoren geeignet ist,
um die freie Säure durch Titriren einer wässrigen Lösung von Thonerdesul-
fat zu bestimmen.
Williams") erhielt brauchbare Resultate durch Schütteln einer wässrigen
Lösung von Thonerdesulfat mit einer gewogenen Menge Strychnin, Morphin
oder Chinin und Zurückwägen des ungelösten Alkaloids. Die Versuche erga-
ben einen etwas grösseren Gehalt an freier Säure, als das Ausziehen mit
kaltem Alkohol, was Williams der Löslichkeit der Alkaloide in Wasser
zuschreibt. Gefunden wurde z. B. 0,51 bis 0,54°/, H,SO, statt 0,41%. Die Ver-
suche sind wieder mit einer Handelswaare angestellt, nicht aber mit bekannten
Gemischen von neutralem Sulfat und Schwefelsäure. Auch wir haben einige
Versuche in dieser Richtung angestellt, aber mit anderen organischen Basen,
.die sämmtlich ungünstig ausfielen. Wir wandten auch Metalloxyde an,
wie CuO und HgO, ohne indessen zum Ziele zu kommen. Silberkarbonat
zersetzt Thonerdesulfat, schon bei eintägigem Stehen in der Kälte, völlig zu
Silbersulfat und basischem Thonerdesalz.
In der Hoffnung die freie Säure durch leicht lösliche Metalle ermitteln zu
können untersuchten wir das Verhalten der sauren Thonerdesulfatlösung
gegen Aluminium, Eisen und Zink. Aus dem Volumen des entwickelten
Wasserstoffes glaubten wir die Menge freier Säure berechnen zu können.
Es wurde aber ausnahmslos viel mehr Wasserstofferhalten als dem Gehalte an
7) Berichte der deutsch. chem. Gesellsch. 11, 460.
8) Daselbst, B. 11, 1944.
9) Zeitschrift für analyt. Chemie 1885, 543; Jahresbericht der chem. Technologie für
1887, 582.
10) Berichte d. d. chem. Gesellsch. 16, 1991.
11) Zeitschrift f. analyt. Chemie 1886, 233.
12) Daselbst 1886, 188.
13) Chemical news (1887) 66, 194.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 45.
152 P. BEILSTEIN UND TH. GROBSET, [N. 8. ı
freier Säure entsprach. Es erklärt sich dies aus dem Umstande, dass die an-
geführten Metalle sich auch in neutraler schwefelsaurer Thonerde lösen, unter
Bildung von basischem-Thonerdesulfat und Entwickelung von Wasserstoff.
Nach vielen erfolglosen Versuchen ist es uns endlich gelungen eine
Methode auszuarbeiten, die an Schärfe alle anderen übertrifft, sich leicht aus-
führen lässt und auf exakter Grundlage beruht. Man löst 1 g (bei säure-
armen Präparaten oder wo eine grössere Genauigkeit verlangt wird, nimmt
man mehr, etwa 2 g Substanz) in 5cc Wasser, giesst 5cc einer kalt gesit-
tigten, neutralen Lösung von schwefelsaurem Ammoniak hinzu, lässt Y, Stunde
lang, unter häufigem Umrühren, stehen und fällt dann mit 50cc Alkolıol (von
95%). Man filtrirt, wäscht mit 50cc Alkohol (von 95%) nach, verdunstet
das Filtrat im Wasserbade und titrirt den in Wasser gelösten Rückstand
mit !/,,-Normal-Kalilauge, unter Zusatz von Lacknmus. Die Methode beruht
darauf, dass man alle neutrale schwefelsaure Thonerde als Ammoniakalaun
niederschlägt. Die gesammte freie Schwefelsäure bleibt in Lösung. Durch
den Alkohol wird der Rest an Alaun ausgefällt und auch das schwefelsaure
Ammoniak. Im Alkohol gelöst bleibt nur etwas schwefelsaures Ammoniak.
Für die Zwecke der Technik lässt das Verfahren an Genauigkeit nichts zu
wünschen übrig.
Zur Analyse wählten wir zunächst ein käufliches 'Thonerdesulfat, dessen
einzelne Bestandtheile wir bestimmten.
Das Präparat hatte folgende Zusammensetzung:
ALLO, 14,02%,
Fe,0, 0,05
SO, 34,48
H,O 50,40
Na,0 0,63
99,62
Vertheilt man die gefundene Säure an die Basen, so bleibt ein Rest von
0,71%, freier Säure H,SO,. Bei der Analyse durch Fällen mit schwefelsau-
rem Ammoniak u. s. w. wurde der gleiche Säuregehalt (0,71°/,) gefunden.
Es wurde nun eine andere Handelswaare analysirt und in derselben,
nach unserem Verfahren, der Gehalt an freier Säure in 3 Versuchen zu
0,93%, — 0,98, — 1,01%, im Mittel zu 0,97%, gefunden. Wir lösten 20 g
dieser Waare in Wasser zu 100cc Lösung und versetzten je 5ec dieser
Lösung (= 1g Thonerdesulfat) mit wechselnden Mengen einer (titrirten)
verdünnten Schwefelsäure. 1cc dieser Schwefelsäure enthielt = 0,00491 g
H,SO,. Die zum Titriren benutzte Kalilauge wurde völlig gleichwertig her-
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 46.
(zxzın)] ÜBER DIE ANALYSE DER SCHWEFELSAUREN THONERDE. 153
gestellt, so dass 1ccH,SO, genau durch 1cc KOH gesättigt wurde. 1cc Kali-
lauge enthielt demnach = 0,005616g KOH.
Zugesetzt, Kalilauge (cc). Freie Säure H,80,%
cc H,S,0, Verbraucht. Berechnet. Gefunden. Berechnet.
0 2,0 — 0,97 —
0,5ce 9,7 2,5 1,36 1,27
1,0 2,9 3,0 1,42 1,47
1,5 3,5 3,5 1,72 1,72
2,0 3,8 4,0 1,86 1,96
6,0 7,5 8,0 3,68 3,92
10,0 11,2 12,0 5,50 5,89
Wir fügen schliesslich ein paar neue Beobachtungen über schwefelsau-
re Thonerde bei. Dieser Körper löst sich sehr beträchtlich in konzentrirtem
Glycerin, dagegen nur sehr wenig in Essigsäure. Auseiner wässrigen Lösung
von schwefelsaurer Thonerde wird, durch konzentrirte Essigsäure, der grösste
Theil des gelösten Salzes gefällt.
Paru le 20 avril 1889.
10*
Prix proposé pour la découverte de la nature du poison qui se développe
dans les poissons, et sur les moyens de le combattre.
LIN DIN
La fréquence des cas de mort causée par la consommation du poisson
salé non cuit, particulièrement parmi les populations habitant le long des
cours d’eau poissonneux, a décidé le Comité des pêcheries de la mer
Caspienne de faire appel aux savants afin d'arriver, par l'étude de la
nature même du poison à pouvoir indiquer les moyens efficaces de com-
battre le mal; à cet effet le Comité a déposé au Comptoire d’Astrakan de
la Banque d'Etat une somme de 5000 roubles, destinée à former un prix
pour la solution de la question sur la nature du poison qui se développe
dans Îles poissons salés.et sur les moyens de le combattre.
Ber question mise au concours est celle-ci:
. Définir par la voie d'expériences exactes la nature tant physique,
que chimique du poison qui se développe dans les poissons.
2°. Etudier, en expérimentant sur les animaux, l'effet de ce poison sur
le coeur, la circulation du sang, les organes digestifs et le système nerveux.
3°. Déterminer la promptitude de l’absorption du poison par les organes
digestifs.
4°. Etudier et décrire les signes caractéristiques dont on pourrait se
servir pour distinguer le poisson contaminé de celui qui ne l’est pas.
5°. Indiquer les moyens pour préserver le poisson contre le développe-
ment des éléments toxiques.
6°. Indiquer le contrepoison et les moyens de secours médical à donner
aux personnes empoisonnées.
Le terme du concours est fixé à cinq ans; sont invités à y prendre
part les savants du pays, ainsi que de l'étranger; les ouvrages pour ce con-
cours pourront être écrits en langues: russe, latine, française, anglaise ou alle-
156
mande, et être présentés en manuscrits ou en imprimés. Les ouvrages devront
parvenir pas plus tard que le 1. janvier 1893 au Ministère des Domaines
de l’Empire (Msuaucrepcrso L'ocyaapcrsenubix'e EMYINECTBB); passé ce terme
toutes les pièces du concours seront envoyées par ce Ministère à une Com-
mission, formée, sous la présidence du Président du Conseil Médical du Mi-
nistère de l'Intérieur, de deux membres délégués par l’Académie Impériale
des Sciences, d'autant de membres, représentant l’Académie Médicale Mili-
taire, et de deux membres adjoints à la Commission par la Société d'Hygiène
Publique (O6mecrso oxpaneuia uapoanaro sapasia). Cette Commission sera
tenue de présenter pas plus tard que le 1. janvier de l’année 1894 son
rapport au Ministré des Domaines, qui conformément aux conclusions de ce
rapport donnera des ordres nécessaires pour faire toucher le prix de 5000
roubles à l’auteur du mémoire qui sera reconnu être une solution suffisante
de la question mise au concours. Ne sera pas considéré comme obstacle à
l’adjudication de ce prix, si le mémoire, tout en offrant une solution sufü-
sante du problème dans ses parties essentielles, ne donne pas de réponse satis-
faisante aux questions énoncées sub 4° et 5° ci-dessus. Si parmi les mémoires
présentés il ne se trouve pas un seul donnant une solution satisfaisante du
problème dans ses parties essentielles, la Commision pourra décerner, comme
accessit, le montant des intérêts du dit capital accumulés pour les cinq
années, au mémoire qui donnerait la solution d’une partie quelconque du
problème, et apporterait par là des lumières nouvelles pour la connaissance
de la véritable nature du dit poison.
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CONTENU:
H. Wild, La marche normale et les perturbations de la déclinaison
de la force magnétique terrestre . . . . : . . . .'. . ..,
N. Békétoff, Sur l'énergie de l'oxydation du Rubidium. ge article : !
A. Féoktistoff, Sur l’action anormale de quelques espèces de Curare
155-172
. : 178—176
177—180
N. Kulaguine, Sur quelques Lumbicides que l’on trouve dans la |
Russie d'Europe et en Sibérie . . . .
Fr. Sohmidt, Nouvelles contributions pour la connaissance du Ole-. :
nellus Mickwitzi
.. 2.2. or 0 ee 0e 2 + + + ee’
W. Radloff et C. Salemann, Rapport sur le mémoire de M. Ander-
son: «Wandlungen der anlautenden dentalen Spirans im Ostja- .
kischen, ein Beitrag zur ugrofinnischen Lautlehre»
F, Beilstein et O. von Blaese, Sur le dosage de Pantimoine 2.
: —— Sur le dosage de la soude en présence de la potasse
A. Bonsdorff, Déduction d’une formule pour le calcul des arcs des
‘ cercles parallèles de l’ellipsoïde terrestre
u LL « , ‘
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©. Lemin, Fragments Sahides de la Bible . . , . . . . ..
J. v. Rohon, Poissons des couches siluriennes inférieures
M. Ribalquine, De l’équilibre chimique entre l’acide chlorhydrique
et ’hydrogöne par rapport aux métaux. Article 1°. Cuivre
H. Wild et O. Backlund, Rapport fait à l'Académie Impériale des
Sciences par lcs délégués de In Russio à la conférence générale
du mètre, réunie À Paris en septembre 1889 .
———2{ 900 —
Y@, Imprimé par ordre de l'Académie Im périale des Bciences.
‚Novembre 1889.
Imprimerie de l'Académie Impériale des Scionces.
_ Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12. 1 |
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11185 :
187189
201-207
209—211
‚218-219
O. Ohwolson, Les fondaments d’unè théorie mathématique de la dif.
füsion intérieure de la lumière. : . . . . . . . . . . .”.. .
. C. Vessélofsky, secrétaire re perpöla..
181—180
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AUG 27 1890
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BULLETIN
DE L'ACADÉNIE INPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
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Normaler Gang und Störungen der erdmagnetischen Declination. Von H. Wild.
(Lu le 31 janvier 1889.)
Die bald langsam bald auch plötzlich eintretenden mehr oder minder
grossen Abweichungen, welche die Magnetnadel von ihrem ruhigen, täglich
wiederkehrenden Gang von West nach Ost und zurück nach West zeigt, hat
man allgemein als Störungen der Declination . bezeichnet. Würden diese
Störungen innerhalb eines gewissen Zeitraumes nach beiden Seiten mit glei-
cher Stärke und gleicher Häufigkeit erfolgen, so würde ihr Effect im Mittel
für diesen Zeitraum offenbar verschwinden und die Mittelbildung für die ein-.
zelnen Tagesstunden während dieses Zeitraumes ergäbe dann auch unmittel-
bar einen von diesen Störungen befreiten täglichen Gang der:
Declination, den wir als normalen bezeichnen wollen. Vermittelst dieses
normalen Ganges wären sodann als Abweichungen davon die einzelnen Stö-
rungen leicht ihrem Betrage und Sinne nach zu fixiren. Da man aber nicht
a priori wissen kann, ob jene Voraussetzung in Wirklichkeit erfüllt ist, es
vielmehr auch möglich wäre, dass z. B. die Störungen nach der einen Seite
häufiger oder stärker auftreten als die nach der anderen und dass dieselben
überdies selbst auch noch eine tägliche Periode besitzen, so ist: man durch-
aus nicht sicher, dass der als Mittel eines längeren Zeitraumes erhaltene
tägliche Gang der Declination frei von Störungseinflüssen sei.
Es sind nun verschiedene Methoden vorgeschlagen worden, um aus die-
- sem mittleren, eventuell noch mit Störungen behafteten täglichen Gang.der
Declination den wahren normalen Gang derselben wieder herzustellen. Die
bekannteste und am häufigsten angewendete ist die Methode von Sabine?), _
welcher nach Herstellung des mittleren Ganges alle um einen gewissen Be-
trag davon abweichenden einzelnen Daten als Störungen ausstösst, aus den
übrig gebliebenen einen neuen mittleren Gang ableitet, an der Hand desselben
dann eventuell nochmals zu den einzelnen Daten zurückgeht und wieder
alle um jenen Betrag davon abweichenden von einer neuen Mittelbildung
ausschliesst u. s. f., bis die letzten Mittel sich nicht mehr durch Ausstossung
ändern; diese letzten Mittel sollen dann den normalen störungsfreien Gang re-
präsentiren. Gegen diese Methode ist mit Recht von vielen Seiten her einge-
1) Philosophical Transact. 1851. P. I, p. 128.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 49. 11
156 | H. WILD, [N. 8. ı
wendet worden, dass dieFixirung desGrenzwerthes der Abweichungen, von dem
an dieselben als Störungen auszuschliessen seien, eine durchaus willkürliche
sei, und daher auch bei verschiedenen Untersuchungen in der That anders
bemessen wurde, wodurch die ‚Vergleichbarkeit .der Resultate nothwendig
leiden musste. Buys-Ballot?) und van der Stok®) haben Vorschläge
gemacht, um diese Willkürlichkeit bei der Fixirung des Grenzwerthes zu
beschränken. und überhaupt das Verfahren von Sabine zu verbessern, allein
auch bezüglich ihrer Methoden bleibt noch ein weiterer gewichtiger Einwand
gegen die Sabine’sche bestehen. Schon Mielberg hat in seiner Arbeit
«Die magnetische Declination' in St. Petersburg») bemerkt, dass das Aus-
schliessen von Störungen überhaupt und namentlich in dem Falle, wenn sie
eventuell selbst eine tägliche Periode befolgen sollten, sehr misslich sei und
zu Irrthümern führen könne; und noch bestimmter hat Weyprecht in seiner
Abhandlung «Die magnetischen Beobachtungen der österreich-ungarischen
arktischen Expedition 1872—1874»°) sich dahin ausgesprochen, dass der
Einfluss der Periodicität der Störungen aus den zuerst gezogenen allgemei-
nen Mitteln nachher auf keine Weise wieder ganz herauszubringen sei. Nun
befolgen aber’ in der That nach Sabine’s eigenen Ermittelungen die Störun-:
gen ebenfalls eine tägliche Periode, welche von der Periode des von ihm
ermittelten normalen täglichen Ganges sehr erheblich abweicht, folglich
kann der wahre normale Gang nach keiner Mcthode genau aus dem gestörten
mittleren‘ Gange abgeleitet werden.
Viel rationeller ist daher das von Lefroy eingeschlagene Verfahren ®),
nicht von dem mittleren Gange mit Einschluss aller Störungen auszugehen,
sondern zur Ermittelung des normalen Ganges nur die Daten von einzelnen
Tagen mit geringen Amplituden, resp. solchen Tagen, wo keine entschiede-
nen Störungen wahrgenommen und daher keine Extra-Beobachtungen ein-
geschaltet wurden, zu nehmen. Auch hier begegnen wir aber wieder einer
Willkür in der Fixirung der Grenze für geringe Amplituden und ausserdem
ist gegen die Bezeichnung von Tagen mit kleiner Amplitude des Ganges als
ungestörte einzuwenden, dass eine kleinere Amplitude auch hie und da bloss
durch Interferenz der Periode des normalen Ganges mit derjenigen der Stö-
rungen zu Stande kommen könnte — was, wie wir sehen werden, in Wirk-
lichkeit in der'That der Fall ist. Auch diese Methode erscheint somit nicht
als befriedigend.
2) Aanteekeningen van het verhandelde in de Sectie-Vergaderingen van het Provinciaal
Utrechts Genootschap van Kunsten en Wetenschappen 1862, p. 6, und Archives Néerlandaises,
T. XIX, p. 107, 1884.
h Archives Néerlandaises, T. XIX, p. 341, 1884.
4) Repertorium für Meteorologie, Bd. IV, X 2, S. 5 und 9. 1874.
A Denkschriften der Wiener Akademie, Bd. XXXV, 1878, 8. 73 und folg.
6) Lefroy, Magnetical and Meteorological Observations at Lake Athabasca and Fort
Simpson. London 1885, pag. 14.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 50.
(XXXI11)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 157
Im Programm und in den Sitzungen der vierten internationalen Polar-
Conferenz in Wien (April 1884)”) habe ich eine neue Methode zur Ablei-
tung des normalen Ganges der magnetischen Elemente angegeben, welche
von folgender Überlegung ausging. Wenn es überhaupt eine normalen täg-
lichen Gang der Declination (und der übrigen magnetischen Elemente) giebt,
der unabhängig von den Störungen ist, so muss derselbe doch wohl hie und
da voll und rein in die Erscheinung treten, da wahrscheinlicher Weise auch
Tage ohne jede Störung vorkommen. Und in der That, wenn man z. B. die
Aufzeichnungen eines Magnetographen durchgeht, so wird man in jedem
Monat eine Zahl von Tagen finden, wo sich ohne Weiteres ein ganz conti-
nuirlicher, an den betreffenden Tagen in gleicher Weise wiederkehrender
periodischer Gang deutlich erkennen lässt. Sogar in den Jahren 1882 und
1883, mit stärkeren Störungen habe ich in den Magnetographen-Curven
des Observatoriums in Pawlowsk, wo die Störungen überhaupt bereits grosse
Beträge erreichen, in jedem Monat mindestens 4 solcher Tage mit regel-
mässig und gleichartig verlaufendem Gange gefunden. An diesen Tagen
erscheinen z. B. die Declinations-Curven entweder ganz continuirlich ohne
jede Zacke vom Minimum zwischen 8° und 9° a. zum Maximum zwischen
1° und 2° p. und zurück zum Minimum verlaufend, oder sind höchstens
durch eine vereinzelte plötzliche Störungszacke unterbrochen. Diesen, an
solchen magnetisch ruhigen Tagen deutlich ausgesprochenen und regel-
mässig wiederkehrenden Gang betrachte ich als den Repräsentant des
normalen Ganges gemäss der zu Anfang gegebenen Definition desselben
und stelle ihn also für irgend einen Monat dadurch her, dass ich nur
von den betreffenden, so ausgewählten Tagen, den sogen. Normal-Tagen, im
Monat das Mittel für jede Tagesstunde bilde. '
Es scheint mir, dass nur zwei Einwände gegen diese Methode möglich
sind, nämlich erstlich, dass die Auswahl der Normal-Tage auch wieder als
eine willkürliche erscheine und sodann, dass die Erklärung des Ganges. an
diesen Tagen als normalen nicht genügend begründet sei. Der erste Ein-
wand fällt für Jeden sofort als unbegründet dahin, wénn er . gemäss meinen:
obigen Bemerkungen mit Aufmerksamkeit Magnetographen-Aufzeichnungen
durchgeht. Es kann nämlich dabei kaum irgend ein Zweifel darüber ent-
stehen, welche Tage zu wählen sind, und wenn etwa über den einen oder
anderen wegen einer kleinen Unregelmässigkeit eine Unsicherheit entstehen
sollte, also etwa eine Person diesen Tag noch nehmen, die andere ihn bereits
7) Mittheilungen der internationalen Polar-Commission, herausgegeben von der Kaiser],
Akad. der Wissensch. zu St. Petersburg, unter Redaktion von H. Wild, S. 199, 208, 211, 254,
255, 257, 258; siche auch Report of the British Assocation etc. for 1886. Report of the Com-
mittee for comparing and reducing Magnetic Observations.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 51. 11*
158 B. WILD, | [N. 8.1
ausschliessen würde, so wird man finden, dass das Resultat sehr nahe das-
selbe bleibt. Man muss nur die Vorsicht beobachten, eventuelle plötzliche
und vereinzelte Störungen, welche sich mitunter auch an solchen Tagen
noch zeigen, vor der Mittelbildung durch graphische, resp. lineare Inter-
polation zu eliminiren.
Indem ich ferner den Gang an diesen ausgewällten Normal-Tagen als
normalen, d. h. ganz von Störungen befreiten erklärte, stützte ich mich vor
Allem auf den. vorherrschend ganz ruhigen und gleichförmigen Gang der
Magnetnadel und die gleichartige Wiederkehr der betreffenden Form der
Curve an den fraglichen Tagen. Sowie mehr als eine vereinzelte plötzliche
Störung auftritt, also die Curve durch Störungen eine gezackte, oder von
häufigeren oder länger andauernden Ausbuchtungen unterbrochene wird, so
verschwindet gleich auch im Allgemeinen die Form des Ganges von den
den Normal-Tagen. Weitere und vielleicht noch entscheidendere Gründe
für die Richtigkeit dieser Anschauung, nämlich, dass unsere Normal-Tage
wirklich den ungestörten täglichen Gang der Declination geben, werden
sich wohl aus den Untersuchungen über den normalen täglichen Gang nach
dieser Definition ergeben. |
Als Störungen betrachte ich sodann alle Abweichungen der einzelnen
beobachteten Declinationen in einem Monat, von dem so festgestellten normalen
Gang derselben für diesen Monat. Dadurch ist zugleich eine ganz bestimmte
Definition der Störungen gegeben. Dieselben sind ferner je nach ihrem Sinne
als positive und negative zu unterscheiden und können ausserdem naclı
Buys-Ballot noch nach ihrer Grösse in Gruppen classificirt werden, um
zu sehen, ob die Störungen innerhalb dieser Gruppen ebenfalls Perioden
zeigen. Damit dabei in jedem Monat die beiderlei Abweichungen richtige
relative Werthe erhalten, ist es endlich nothwendig, den aus den Normal-
Tagen erhaltenen normalen Gang seiner absoluten Grösse nach je auf die
Mitte, resp. den 15. des betreffenden Monats, nach dem jährlichen Gang
der Declination aus den Normal-Tagen zu reduciren, ehe man die Abwei-
chungen aller Einzel-Daten davon bildet. |
Nach der so skizzirten Methode hat seiner Zeit Herr P. A. Müller den
normalen Gang und die Störungen der erdmagnetischen Elemente in Paw-
lowsk während der Periode der Polarexpeditionen (August 1882 — August
1883) abgeleitet®). Der Erfolg dieses ersten Versuches sprach, wie auch
von anderen Seiten anerkannt wurde, so sehr für die neue Methode, dass es
wünschenswerth erschien, dieselbe auf alle Magnetographen-Aufzeichnungen
in St. Petersburg und Pawlowsk, die bis und mit 1885 zusammen 14 Jahre
umfassen, anzuwenden. Auch dieser viel grösseren Aufgabe hat sich Herr
8) Repertorium für Meteorologie, Bd. X, X 3, 1886.
Mélanges phys. ot chin. T. XIII, p. 52.
(xxxıım)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNBTISCHEN DRCLINATION. 159
P. A. Müller unterzogen und die Ergebnisse seiner neuen Arbeit in einer
Abhandlung niedergelegt, welche ich der Kaiserl. Akademie der Wissen-
schaften am 17./29. Januar 1889 vorgelegt habe und die gegenwärtig im
Repertorium für Meteorologie, Bd. XII, À 8, abgedruckt wird.
Bei näherer Betrachtung nun der in den beiden Abhandlungen des Herrn
P. A. Müller enthaltenen Resultate über den normalen Gang und die Störung
der magnetischen Elemente bin ich zu einigen Schlüssen gelangt, welche
mir nicht bloss für den Werth der in Frage stehenden neuen Methode zur
Ableitung dieser beiderlei Grössen ganz entscheidende Kriterien darzubieten
schienen, sondern auch in Verbindung mit den Ergebnissen der früheren
magnetischen Beobachtungen in St. Petersburg geeignet sind, einen neuen
und überraschenden Einblick in das Wesen des normalen Ganges und der
Störungen zu eröffnen. Da von den älteren magnetischen Beobachtungen in
St. Petersburg bisher nur eine Bearbeitung der Declination durch Herrn
J.Mielberg’) vorliegt, so werde ich mich in der gegenwärtigen Mittheilung
auch nur auf die, auf die Declination bezüglichen Resultate, beschränken.
Häufigkeit der Normal-Tage. Nach der Auswahl der Normal-Tage
durch Herrn Müller ist die Anzahl der Häufigkeit der Normal-Tage in den
einzelnen Monaten der 14 Jahre in der folgenden Tabelle übersichtlich
zusammengestellt.
I.
Zahl der Normal-Tage für Declination.
1874
1875
1876
1877
1878
1879
1880
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9) Repertorium für Metcorologic, Bd. IV, | 2, 1874.
Mélanges phys. et chim T. XIII, p. 58.
160 H. WILD, [N. 8.1
Hieraus folgt, dass die Zahl der Normal-Tage im Jahre durchschnittlich
72 beträgt, wobei sie, wenn wir von der exceptionell kleinen Zahl im Mini-
mum-Jahre der Sonnenflecken, 1878, absehen, zuZeiten der häufigeren und
grösseren Störungen, nämlich um die Maximum-Jahre der Sonnenflecken
1870 und 1884 etwas weniger häufig als in der Zwischenzeit zu sein schei-
nen. In den einzelnen Monaten ist die mittlere Zahl der Normal-Tage 6 und,
wenn wir wieder von der kleineren Zalıl im Juli absehen, im Sommer relativ
grösser als im Winter, wobei indessen die ganze Variation nur # 1 Tag
beträgt. Als kleinste Zahl in den 14 Jahren finden wir 2 und als grösste
12 pro Monat. |
| Normaler täglicher Gang der Declination im Mittel des Jahres.
Aus der Tabelle XXXVIH in der neuesten Abhandlung des Herrn Müller,
welche den normalen täglichen Gang der Declination im Jahresmittel für
alle 14 Jahre darstellt und die ich unten reproducire, ergiebt sich zunächst
das höchst wichtige Resultat, dass derselbe in allen Jahren ein einfacher ist
und zwar übereinstimmend mit einem Maximum westlicher Declination
zwischen 1° und 2° p., etwas näher an 2* als an 1°, und einem Minimum
zwischen 8° und 9° a., etwas näher an 8" als an 9*. Da also der aufsteigende
Theil der Tagescurve ungefähr 5 Stunden, der absteigende dagegen 19 Stun-
den umfasst, so ist der erstere viel steiler als der letztere, insbesondere aber
ist die tägliche Änderung der Declination in den Nachtstunden von 9° p.
bis 3° a. eine schr geringe.
II.
Normaler täglicher Gang der Declination in Abweichungen vom
Tagesmittel.
gro | 1878 | 1874 | 1876 | 1876
1877 se | ıom| 1880 | 1881 02 | 100 1 1885
18.| —0{o| —ı/1| —1/0| —0/6| —0{7| —0!6l —0/6! —0{el —0!6l —0’8| —0!8l —0/7| —0/7| —0/)
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7 1 —4,5| —8,3| —2,6| —2,4| —2,5| —92,3| —2,1! —2,4| —2,8| —8,3| —8,1| —8,1] —8,5| —2,
8 |—4,6! —8,7| —8,1| —2,9| — 2,8) —2,6| —2,4| —2,6| —8,4| —8,6| —8,7| —3,5| —4,2] —8,
9 |—5,2| —8,8| —3,0| —2,7| —2,6| —2,5| —2,1) —2,4| — 3,8] —8,2| —3,4| —8,1| —4,2| —3,
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Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 54.
(xxxIm)] NORMALER GANG UND STÜRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 161
1p. 6,0 8,8| 8,6 48] 4,4] 48] 4,4
2 4 5,4 HE ms 8,9 8,7 ue » 2 6,0 . 4,8 Y 4,6
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0,8. —0,2| —0,1|—0,1| 0,0! 0,0 9) —0:1 0,1! 0,0] 0,0! 021 0,2 01
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—0,8| —0,7| —0,8| —0,4| —0,4] —0,4] —0,5| —0,4| --0,8| —0,4| —0,4| —0,8| —0.2] —0.8
—0,6| —0,7| —-0,8| —0,5| —0,5| —0,5 —0,8 0,8) —0,5| —-0,6| —0,6| —0,4| —0,4| —0,4
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Des So ©
Was in den einzelnen Jahren variirt, ist nur die Amplitude dieser ein-
fachen täglichen Oscillation, indem sie von ihrem Minimum 6,0 im Jahre
1878 mit dem Minimum der Sonnenflecken beiderseits ansteigt, nämlich bis
zum Maximum 11,6 im Jahre 1870 und zum späteren Maximum. 9/8 im
Jahre 1884, welche beide ebenso Jahre mit Maxima der Sonnenflecken
darstellen.
Dieses Resultat bezüglich des aus den Normal-Tagen abgelei-
teten täglichen Ganges der Declination scheint mir nun ein wei-
terer Beweis dafür zu sein, dass wir esda in der That mit dem
normalen, i. e. ungestörten Gange zu thun haben.
Täglicher Gang mit Einschluss der Störungen. Ganz anders
verhält sich der tägliche Gang der Declination, wie er sich aus allen Tagen
und ohne Ausschluss von Störungen ergiebt. Derselbe ist für die Jahre
1874—1885 unmittelbar den Annalen des physikalischen Central-Obser-
vatoriums zu entnehmen, für 1873 hat ilın Herr Müller neu berechnet, da
die in den Annalen mitgetheilten Mittel mit Ausschluss der dort angegebe-
nen Störungstage abgeleitet sind; aus demselben Grunde musste er auch für
1870 neu berechnet werden; für die früheren Jahre endlich ist er in der
oben citirten Abhandlung des Herrn Mielberg gegeben. Wir haben hier
eine von 1841 bis zur Gegenwart reichende Reihe stündlicher Daten der
‘Declination, in der allerdings zwei Lücken, nämlich von 1863—-1869 und
1871 und 1872, vorkommen.
Vergleichen wir zunächst den mittleren, gestörten täglichen Gang
für das Jahr, wie er sich aus den 22 von Herrn Mielberg berechneten
Jahren 1841—1862 (Tabelle IV der erwähnten Abhandlung) '°) und sodann
10) Herr Mielberg hat den in Tabelle VI, Seite 44 gegebenen täglichen Gang allerdings,
den «normalen» genannt; es ist indessen leicht ersichtlich, dass derselbe seiner Ableitung
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 55.
162 | H. WILD, [n. 8.1
aus der 13-jährigen späteren Reihe 1873—1885, nach’ der Mittelbildung
von Herrn Müller (Tabelle XL seiner Abhandlung) ergiebt, mit dem mitt-
leren normalen täglichen Gang nach des Letzteren Berechnung (siehe oben
‘Tabelle II), so zeigt sich zwischen den beiden ersten Gängen, obschon die
"Zeiträume, für welche sie gelten, nicht gleich gross sind und nicht analog
zur Sonnenfleckenperiode liegen, doch eine ganz gute Übereinstimmung,
lresp. für beide eine ganz gleichartige Abweichung vom normalen Gange.
Das Hauptminimum zwischen 8° und 9* a. und das Hauptmaximum
‘zwischen 1* und 2* p. ist zwar den beiderlei Gängen gemein, und wenn
‘wir das erstere seinem absoluten Werthe nach bei ihnen gleich annehmen,
‘bleibt das Maximum für den gestörten Gang nur wenig unter demjenigen
des normalen Ganges; von da an sinkt aber die Declination beim gestörten
Gange viel rascher, erreicht ungefähr um 11° p. ein secundäres Minimum,
von welchem es nur wenig zum kleinen secundären Maximum um 3° a.
herum ansteigt und dann wieder zum Hauptminimum abfällt. Der Haupt-
unterschied der beiderlei Gänge besteht also im Auftreten eines zweiten
Minimums etwas vor Mitternacht und eines zweiten, allerdings unbedeu-
tenden Maximums in den frühen Morgenstunden beim gestörten Gange,
gegenüber der einfachen Periode beim normalen Gange. Zum Beleg dessen
gebe ich in der folgenden Tabelle die drei Gänge nebeneinander:
III.
Abweichungen vom Tagesmittel,
Stunde. Gestörter Gang. Normaler Gang.
1841 — 1862, 1873—1886. 1873— 1886.
1a. — 1/4 — 173 — 07
2 — 1,3 — 12 — 0,8
3 — 1,3 — 12 — 10
f 4 — 1,3 — 1,4 — 1,3
u 5 — 1,8 — 1,7 — 1,8
Ä 6 . — 1,5 — 1,9 — 2,3
T 4 —1,9 — 2,9 — 2,8
8 — 9,9 — 9,5 — 32
9 — 9,0 — 2,3 — 3,0
10 — 0,9 — 1,0 — 1,7
11 1,1 1,0 0,4
Mittag 3,3 3,1 2,7
nach mit dem von uns als gestörten Gang bezeichneten identisch ist, was ich zur Verhütung
von Missverständnissen ausdrücklich hervorhebe.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 56.
(XXXUI)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 163
Stunde. Gestörter Gang. Normaler Gang.
1841—1862. 1873—1886. 1873—1886.
1 p. 49 4/6 . 4/3
2 5,1 4,9 4,5
3 4,2 4,1 3,6
4 2,7 2,7 2,3
5 1,3 15 0183
6 0,3 0,6 : 0,7
7 — 0,4 0,0 0,4
8 — 0,9 — 0,4 | 0,2
9 — 1,4 — 1,0 0,0
10 — 1,7 — 14 — 0,2
11 — 1,8 — 1,6 — 0,4.
12 — 1,6 — 15 .—06
Noch auffallender werden die Unterschiede zwischen den beiderlei Gän-
gen, wenn wir den mittleren täglichen Gang in den einzelnen Jahren ver-
gleichen. Während nämlich, wie wir gesehen haben, der normale Gang in
aufeinanderfolgenden Jahren sich nur durch die Amplitude, nicht aber durch
die Form unterscheidet, treten ausser den Amplituden-Änderungen beim
gestörten Gange auch noch Form-Veränderungen ein. Auf diese säculare
Änderung in der Form des gestörten täglichen Ganges hat schon Herr
Mielberg in seiner mehrfach erwähnten Abhandlung, S. 48 und folg.,
hingewiesen; da ihm indessen der wahre normale tägliche Gang als Aus-
gangspunkt für die Beurtheilung der Verhältnisse nicht bekannt war,
so konnte er die beiden Hauptmomente, die hier in Betracht kommen,
nicht auseinanderhalten und. so auch zu keiner klaren Einsicht in das Wesen
der Sache gelangen. Herr Müller hat sich in diesem Theile seiner Arbeit
einfach dem Vorgange des Herrn Mielberg angesclilossen, und indem er
sowohl für den normalen als gestörten Gang die Abweichungen in den
verschiedenen Jahren vom Gesammt-Mittel vieler Jahre in den Tabellen
XLIII und folg. mittheilte, darnach bloss auf eine analoge eigenthümliche
zeitliche Vertheilung der positiven und negativen Abweichungen bei den
beiden Gängen hingewiesen.
Bei näherer Betrachtung ergiebt sich, dass diese eigenthümliche Ver-
theilung der positiven und negativen Abweichungen, die beiden Gängen
gemeinsam ist, nicht auf Anomalien in den verschiedenen Zeit-Perioden
beruht, sondern nichts anderes als den algebraischen ‚Ausdruck der schon
oben erwähnten Zu- und Abnahme der Grösse der Amplitude des normalen
Ganges im Laufe der Jahre darstellt, und dass also der Hauptsache nach
auch im gestörten Gange dieselbe Veränderung der Amplitude mit geringer
Mélanges phys. et chim. T. XIIT, p. 57.
164 H. WILD, [n. 8. ı
Steigerung, ja in einigen Jahren sogar etwas vermindert auftritt. Erst
wenn man das Gemeinsame in der Amplituden-Veränderung der beiderlei
Gänge durch Bildung der Differenzen des normalen und gestörten Ganges
je im gleichen Jahre eliminirt, zeigt sich dann deutlich die Formänderung
des gestörten Ganges im Laufe der Zeit.
Der normale Gang ermöglicht mit anderen Worten eine Trennung der
beiden Hauptmomente im gestörten Gange, nämlich von Amplitude und
Form. Während man bisher immer annahm, dass die Vergrösserung der
Amplitude des täglichen Ganges zur Zeit der Maxima der Sonnenflecken
der Zunahme der Störungen zu dieser Zeit beizumessen sei, erkennen wir
jetzt nach dem Vorigen, dass die Störungen daran keinen Antheil haben,
sondern dass diese Zunahme dem gestörten und normalen Gange gemeinsam
ist, also im Wesentlichen nur dem letzteren zukommt. Die Störungen modi-
ficiren den normalen Gang —abgesehen von den mehr oder minder grossen
unregelmässigen Schwankungen der Magnetnadel, die sie bewirken und
die sich im Mittel längerer Zeiten aufheben — nur durch gewisse Form-
änderungen desselben, welche auf periodisch wiederkehrende Störungsursachen
zurückzuführen sind. Diese Formänderung besteht, wie wir gesehen haben,
hauptsächlich in der Erzeugung eines zweiten Minimums der westl. De-
clination etwas vor Mitternacht und .eines zweiten Maximums in den frühen
Morgenstunden, was auf eine negative d. h. das Nordende der Magnetna-
del nach Osten ablenkende störende Kraft hinweist, die eine tägliche Pe-
riode mit Maximum etwas vor Mitternacht und Minimum in den frühen
Morgenstunden besitzt, resp. auf eine negative Störung am späten Abend
und eine positive Störung am frühen Morgen. Dieser Gang einer störenden
‚Kraft entspricht. aber vollkommen dem täglichen Gange des in Pawlowsk
im Jahre 1882 —1883 beobachteten Erdstromes zwischen den Nord-Süd-
Platten, der von Süd nach Nord ging und ein Maximun seiner Stärke im
Mittel des Jahres um 10° p. und ein Minimum zwischen 4* und 5° a. auf-
wies"). . ! |
‘. Betrachten wir nun den gestörten täglichen Gang im Jahresmittel in
den aufeinanderfolgenden Jahren, wie er sich unmittelbar im Mittel aller
Tage darstellt, so bemerken wir die sonderbarsten durch Lage und Grösse
des secundären Minimums und Maximums bewirkten Formänderungen der
Tagescurve. Von 1843 an, wo das secundäre Minimum sehr nahe dieselbe
11) H. Wild, Terminsbeobachtungen der erdmagnetischen Elemente und Erdströme im
. Observatorium zu Pawlowsk vom Sept. 1882 bis August 1883. Mém. de l’Acad. Imp. des Sc. de
St. Pétersbourg, VIT Série, T.XXXIII, M 5, S. 46, 1885. Was mir damals in keinem Zusammen-
hange zum täglichen Gange der Declination zu stehen schien, ist jetzt durch Unterscheiduug
von normalem und gestörtem Gang plötzlich in seiner Bedeutung klar geworden.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 58.
(XXxX111)] NORMALER GANG UND STÜRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 165
Grösse wie das Hauptminimum zeigt und auf 10° p. fällt, und das secundäre
Maximum recht deutlich um 2° a. heraustritt, verflachen sich allmählich
diese secundären Extreme unter fortschreitender Verspätung ihres Eintritts
und im Jahre 1849 sind sie ganz verschwunden, so dass auch der gestörte
Gang nur eine einfache Periode darstellt. Schon 1851 tritt wieder ein
secundäres Minimum zwischen 11° und 12° p. und ein zugehöriges Maxi-
mum zwischen 1° und 2” a. auf, welche beiden sich allmählich verstärken
und auseinanderrücken, so dass 1853 das secundäre Minimum bereits grösser
als das bisherige Hauptminimum geworden ist und endlich 1857 das Mini-
mum zwischen 9* und 10” p. um 1’ das Minimum um 8" a. übertrifft und
auch das secundäre Maximum zwischen 4* und 5” a. relativ recht bedeutend
erscheint. Schon 1859 hat sich dies Verhältniss der beiden Minima wieder
umgekehrt, so dass das vormittägliche Minimum um 2’ grösser als das
nachmittägliche um 9° p. ist. Die Curve des Jahres 1870 entspricht sodann
wieder ganz der von 1849 d. h. sie weist auch nur ein Minimum und ein
Maximum auf. Im Jahre 1873 haben wir ein secundäres Minimum um
Mitternacht, welches das übliche Hauptminimum sogar etwas übertrifft und
das secundäre Maximum fällt auf 5*a. Dieses secundäre Minimum verfrüht
sich darauf unter Abnahme seiner Grösse in den folgenden Jahren bis 1878,
wo es auf 10* p. fällt, während das secundäre Maximum deutlich zwischen
I und 2* a. sich manifestirt. Die Abnahme der Grösse aber unter Verspä-
tung des Eintritts setzt sich in den folgenden Jahren fort und erreicht die
extreme Stellung im Jahre 1884, wo das secundäre Minimum um Mitter-
nacht durch ein, nur um wenige Zehntel-Minuten grösseres secundäres
Maximum um 2* a. von dem Hauptminimum geschieden ist. Im Jahre 1886
endlich ist bereits das nachmittägliche Minimum zwischen 10* und 11” p.
wieder zum Hauptminimum geworden und das secundäre Maximum fällt
auf 3* a.
Diese complicirten und deshalb schwer zu interpretirenden Verhältnisse
werden nun sofort klar, sowie wir der früheren Bemerkung zufolge die
Differenzen des normalen und des gestörten Ganges bilden, also den täglichen
Gang der Störungen selbst durch die Veränderungen darstellen, welche sie
am normalen Gange bewirken. Diese Differenzen oder Abweichungen sind
in der folgenden Tabelle IV zusammengestellt, wobei ein negatives Vorzei-
chen eine negative Störung, resp. eine Ablenkung des Nordendes der Mag-
netnadel nach Ost bezeichnet. Sie ist mit Berücksichtigung der absoluten
Werthe, sowohl der normalen als gestörten Monatsmittel der Declination
gebildet, die wir weiter unten mittheilen werden.
Mélanges phys. ct chim. T. X111, p. 59.
166 | H. WILD, [N. 8. ı
IV.
Abweichung des gestörten vom normalen Gang.
Tages- e|slels
stunde & CE RE &
—1,6|—157|—1,0|—1,0|— 0/8 — 0!5|—0,8]— 072) —0;9|—0,91— 0/8) —0,81—0/9|—1,2| 08
—1,8—1,5/—1,01—0,8|—0,41-——0,41—0,11—0,1|- 0,6! - 0,6|— 0,8|—0,7|0,8|—0,9|—0,6
—18|—1,1|—1,0—0,8|—0,3]—0,1|— 0,3 0.0—0,4—0,11—0,51-0,5|—0,8|—1,11— 0,8
—0,8/—0,8|--0,51—0,61—0,3|—0,81—0,11—0,1 —0,2|—0,4/—0:8|—0,8|— 0.210.804
1
2
8
4
5. |+0,1|—0,1}—0,1]—0,4/—0,1/—0,1/—0,2! 0,0—0,1)| 0,01—0,1| 0,0/--0,2)— 0,8|—0,
6 +0,8|-+0.2|+-0,8|—0,11+0.1|+-0.21—0,1|+-0.21+-0,1|+-0,81+-0,41+-0,21+-0,51+0,1+-0,2
7
8
9
10
+-0,9|-+-0,4|-+-0,2/-+-0,21-+-0,41-+-0,21-+-0,1|-+-0,8]-+-0,6|-+-0,41-+-0,7|-+-0,8]|-+ 0,6i+-0,4|-0,4
+-0,4+-0,51-+-0,8|+0,41+-0,4|-+-0,3-+-0,2|+-0.8|-+-0,71-+-0,5-+-0.8|-+-0,41-+-0,81+-0,71.+0, Ö
+1,2/+0,6|+-0,8|-+0,5|-+-0,51-+0,4|-+ 0,2|-+-0,8|+-0,6|-+-0,5|-+-0,5i-+-0,3|-+-0,9| + 0,6|-+-0,E
+1,014-0,414-0,8)+0,81-0,4|+-0,61+-0,1|+-0,41+-0,81+-0,5]+0,8|+-0,01+-0,81+-0,51+-0,4
11 +0,8| 0,0/-+-0,8|-+-0,8\-+-0,21-+-0,4|-+-0,2 +-0,8|+-0,8|-+0,1|+-0,3|-+-0,5|+-0,8|-+-0,41-+-0,8
. +07 +02 +04 +01 +0, +03 +01 00 0,0 +02 +01 +08 _ 01 +0,5 +0, -
+-0,7)—0,2})+0,1|+0,4| 0,01+0,8|+0,8|-+-0,5|—0,140,1] 0,01+-0,5|—0,11+0,4|-+0,
+0,7| 0,0)+0,2|-+0,2|+-0,1|-+0,3}/-+-0,3|-+0,3|— 0,2] 0,0 0.0|-+-0,4 0,0+0,5+0,
+08 0,0/+-0,5|+.0,81+-0.11+0.21+-0,81+-0.2|—0,1|-+-0,1[-+0,1/+-0,6 0,0|+-0,7/+-0;
+08 0,0/+-0,4|—0,1/+-0,1|-+-0,11+-0,8/-+-0,2/-+-0,1]— 0,8 0,0|-+-0,5|+0,1|-+-0,4/+-0,1
Mittag
1p
2
4
5 |-+0,9/—0,4| 0,0/—0,8/—0,1| 0,0/-+-0,1/+-0,1/-+-0,2|—0,2/—0,4/+0,2/—0,1|-+-0,11—0,
6 |-+0,7/—0,6—0,1/—0,4/—0,11—0,1/-+-0,1|—0,1|—-0,4]—0,6/—0,7|—0,6|—0,4|—0,8|—0,
7 0,0|—0,9|—0,4/—1,7|— 0,41 — 0,8|—0,2|—0,1|— 0,71 —0,8|—1,2|—0,9/—0,71—1,1 0.
8 1-06-1.0-08-08—-08- 04-08 -08—1,11—-1.0|—1,5/—1,1-0,81—1,.21—0,
9 1—-08—-1,7)—-1,41—1,1-1,01- 0,7/—0,8—0,8—1,3[—1,4|—1,81—1,4|— 1,1 1,41— 1,
10 |—-09—-2,1l-1,8—14—-13-089—-1,01—0,6—1,83l—1,81—1,91—1,6|—1,8— 1,61 1,4)
11 |-18—-24-18-14-13-09—-0,7—-07-121-15—-1,8—1,4—1,4l—1,71—1,4
12 |-1,8-2,7-18-12-1,0-07-08-05—-12—1.2]—1,8]—1,8-1,4—14|—1,
Amplit.] 8,0 | 8,8 | 2,8 | 2,2 | 1,8 | 1,4 | 1,3 | 1,8 | 2,0 | 2,1 | 2,8 | 2,1 | 2,8 | 2,4 | 1,8
_ Aus dieser Tabelle folgt das überraschende Resultat, dass die tägliche
Periode der Declinations-Störungen wie diejenige des normalen Gan-
ges, wenn wir von kleinen, offenbar durch noch nicht ausgeglichene verein-
zelte grössere Störungen veranlassten Unregelmässigkeiten absehen, eine
einfache und gleichartige in allen Jahren ist d. h. auch wieder wie
jene sich nur durch die grössere Amplitude in den Jahren um die Maxima
der Sonnenflecken der Zeit nach unterscheidet. Das Maximum der negativen
Störungen tritt durchweg zwischen 10% und 11? p. ein und das Maximum
der positiven, schwächeren und daher auch etwas unbestimmteren zwischen
8° und 9° a. ein. Die Amplitude heträgt im Mittel: 1’, 8 und varüirt zwi-
schen 1’, 3 und 3, 3.
Aus der Interferenz nun dieser beiderlei periodischen Bewegungen
mit ihren variirenden Amplituden entsteht der scheinbar so complicirte täg-
liche Gang, wie er sich im Mittel aller Tage in den verschiedenen Jahren
dem Obigen gemäss darstellt. Allerdings ist dies zunächst nur für die Jahre
1870—85 nachgewiesen, da eben nur für diese Jahre der normale Gang
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 60.
(XXXIII)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISOHEN DECLINATION. 167
abgeleitet ist, durch Analogie erscheint dies indessen auch für die früheren
Jahre sehr wahrscheinlich. | |
Ebenso glaube ich allgemein als nächste Ursache dieser täglichen Peri-
ode der Declinations-Störungen die Nord-Süd-Componente der electrischen
Ströme in der Erde bezeichnen zu müssen, obschon dem Obigen zufolge die
Coincidenz der beiderlei Perioden zunächst nur durch einjährige Beobach-
tungen in Pawlowsk nachgewiesen ist. Unterstützt wird dieser Schluss durch
die von mir und Anderen '?) nachgewiesene Thatsache, dass die unregelmässi-
gen Störungen der Declination, insofern sie einen mehr stätigen Charakter
aufweisen, einen vollständigen Parallelismus mit den Variationen der Nord-
Süd-Componente der electrischen Potentialdifferenz in der Erde aufweisen.
Normaler und gestörter täglicher Gang in den einzelnen Monaten.
Betrachten wir zunächst an der Hand der Tabellen I—XI und der Ta-
fel 1 der 2. Abhandlung des Herrn Müller den täglichen Gang für die ein-
zelnen Monate des Jahres je im Mittel aller 13 Jahre (1873 — 85) sowohl
nach den Normal-Tagen als nach allen Tagen, so ist in allen Monaten mit
grösserer Amplitude d. h. vom März bis October der normale Gang auch
wieder ein einfacher, ein Maximum und ein Minimum, während der ge-
störte Gang mit Ausnahme des Juni— August, je zwei Maxima und zwei
Minima aufweist. Das letztere findet sodann in den 4 Wintermonaten
November — Februar sowohl für den normalen als gestörten Gang statt,
indessen mit dem Unterschied für beide, dass das Hauptminimum beim
normalen Gange (mit einziger Ausnahme des December) stets auf 9} a. fallt;
während beim gestörten Gange dies zum secundären wird und das Haupt-
minimum um 10 —11* p. eintritt.
Das Hauptmaximum sowohl des normalen als des gestörten Ganges ma-
nifestirt sich in allen Monaten ohne Unterschied zwischen 1* und 2* p. und
zwar näher an 2°; das Hauptminimum des normalen Gangestritt im Januar
— April und October— December (im letzten Monat das secundäre) um 9*
a. ein, rückt im Mai und September auf 8* a., im Juni und August ungefähr
auf 7 a. und im Juli auf 7* a. vor. Es variirt also ausser der Grösse der
Amplitude nur die Lage des Hauptminimums beim normalen Gange mit der
Jahreszeit und zwar um 2 Stunden.
12) G. Biddel-Airy, Comparison of Magnetic Disturbances recorded by the Self-register-
ing Magnetometers at Greenwich with Disturbances of Terrestrial Galvanic Currents etc.
Philos. Transactions Vol. 158, Part. II, pag. 465, 1868 und Vol. 160, Part I, p. 215, 1870. —
Wild, Terminsbeobachtungen der erdmagnetischen Elemente und Erdströme zu Pawlowsk etc.
Mém. de l’Acad. Imp. des Sc. de St. Petersb. VII 8., XXXII, X 6, S. 47, 1885. — von Sto-
phan, Die Erdstrom-Anfzeichnungen in den deutschen Telegraphen-Leitungen; Sitzungsb. der
Preuss. Akademie der Wissensch. XX XIX, 1886.
Mélanges phys. et chim. T, XIII, p. 61.
168 | H. WILD, [N. 8.1
Während sonach der normale Gang der Declination im Laufe des Jahres
durch Verschiebung des Hauptminimums und durch Entstehung eines secun-
dären Minimums und Maximums in den 4 Wintermonaten sowie durch Zu-
nahme der Amplitude vom Winter zum Sommer eine Veränderung erleidet,
bleibt er sich dagegen in aufeinanderfolgenden Jahren für denselben Monat
in der Form je wieder gleich und ändert da nur die Amplitude und zwar
wieder so, dass sie in den Jahren mit den Maxima der Sonnenflecken je
am grössten ist. Ob das Hervortreten der secundären Maxima und Minima
im normalen Gang während der Wintermonate etwa nur der geringen Ampli-
tude der Hauptperiode in dieser Jahreszeit und ungenügender Eliminirung
der Störungen beizumessen sei, müssen weitere genauere Untersuchungen.
eruiren.
Der gestörte tägliche Gang der Declination variirt dagegen sehr beträcht-
lich nicht bloss mit der Jahreszeit, wie wir oben gesehen haben, sondern auch für
denselben Monat in aufeinanderfolgenden Jahren, wie dies besonders auch
aus der mehrfach citirten Arbeit des Herrn J. Mielberg (S. 47, Tafel I)
hervorgeht. Ob dieser complicirte gestörte tägliche Gang in den einzelnen
Monaten entsprechend wie derjenige im Jahresmittel auch nur durch Inter-
ferenz des normalen Ganges mit einem einfachen täglichen Gange der Stö-
V. Normal-Monatsmittel der Declination un
Januar... [2° 8/ol 2° 68 1°46,4| 1°45,1| 1°40/0| 1°39,7| 1034,6| 1084,1| 1°27,4 1°27,0| 1°21,7| 1°21;4| 1°10/6| 1°1
—1, —], —0, —0,5 —0, —0,8
Februar., | 61| 58 46,4| 44,8| 99,2] 88,9] 842] 3381 268 262) 212] 211 98 :
—0,8 —0,6 —0,8 —0,4 —0,1 —0,1 —
März.....| 6,2] 6,6! 45,8! 44,61 89,6! 89,1| 329 8241 26,3) 25,7] 207 20,71 9,4! ;
—0,7 —0,7 —0,2 —05 —0,6 0,0 —
April... 6,1! “Bel 46,8! 448] sBal 88,92) 329] 824 926,1! 26,1! 198 19,7 91! :
—0,8 —0,5 —0,2 —0,6 0,0 —0,1 _
Mai...... I 51 56,0! 4601 44,8! 88.41 88,6| 8221 82,1] 926,0! 9261! 196! 198 81 :
0 —0,1 —1,2 +-0,2 —0,1 0,1 —0,2 _
Juni..... 6,1| 401 44,4] 44,01 87,61 87,91 814 81,8] 26,0! 2590| 1911 194 80
—0,2 —0,4 +-0,8 —0,1 | _01l. +08 _
Juli...... 62) 56 4821 42,91 87,8] 8372| 80,1 80,2| 26,8! 2531 183 186 7,4
+0,4 —0,8 —0,6 —0,8 0,0 +0,8 |
August... 161 07 429! 4251 B69l 36,6! 80,81 80,1] 24,5] 24,8] 187) 180 75
—0,9 —0,4 —0,4 —0,2 —0,2 —0,1 —
September | 1,7! 1,01 424| 422] 366! 86,1! 299! 29,91 23,91 28,6] 18,6 18,6] 7,0
—0,7 —0,2 —0,4 0,0 —0,8 —0,1 —
October.. | 231 28 423] 41,6! 86,0! 34,61 2981 29,11 28,91 28,4] 17,9] 176 6,1
+0,38 —0,8 —0,4 —0,2 —0,6 —0,8
November | 2,9] 2,4 4090| 40,8! 849! 934,6! 282] 28,0] 928,0] 228) 181 17,6! 6,3
—0,5 —0,6 —0,4 —0,2 —0,2 —0,6 _
December 1,1] 0,0! 41,1| 40,6! 8421 841] 27,51 27,4] 22,4) 21,8] 170° 16,8 4,9
—1,1 —0,6 —0,1 —0,1 —0,6 —0,2 _
Jahr..... [2° 42] 37110488] 43,211°87,4| 87,111°31,2| 80,9 1°26,1| 24,91 1°19,2] 19,1]1° 7,8
—0, — 0,6 083 | —0, —0,2 —0,1 _
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 62.
(XXXIH1)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 169
rungen entsteht, lässt sich vor der Hand nicht entscheiden, da auf den täg-
lichen Gang eines einzelnen Monats die nicht compensirten unregelmässigen
Störungen noch einen zu grossen Einfluss ausüben.
Absoluter Einfluss der Störungen. Nach Feststellung des normalen.
Ganges und damit auch Dessen, was wir als Störung aufzufassen haben,
lässt sich jetzt auch der Einfluss der Störungen auf die absoluten Werthe der
Declination zahlengemäss angeben. Zur Demonstration dessen stelle ich in
der folgenden Tafel V die absoluten Beträge der Monatsmittel der Declination
zusammen wie sie einerseits aus den, auf die Mitte des Monats reducirten:
Normal-Tagen folgen und andererseits aus allen Tagen ohne Ausschluss der
Störungen sich ergeben. Strenggenommen müssten an diesen Zahlen, um die
absoluten Werthe der aufeinanderfolgenden Jahre vergleichbar zu machen,
wegen Verschiedenheit der benutzten Instrumente und Localitäten noch fol-
gende Correctionen angebracht werden: 1° an allen Daten für 1870—1877
die Correction — 6,16. 2° an den Daten von 1878 bis 31. Mai 1883 die
Correction — 0,3"). Es ist dies hier unterlassen worden, da dieselben auf
die Differenzen der beiderlei Werthe, die uns hier allein interessiren, nicht
influiren. on
13) Siehe die erwähnte 2. Abhandlung dés Herrn Müller.
imatsmittel der Declination aus allen Tagen.
47] 1°4,5| 0059,6| 69,4 0°54,6| 564,0 0°490| 48,51 0°45/6| 48/2] 0°88/8| 88/71 0°842| 84/01: Januar
—02 —0,2 —0,6 — 0,5 ” —0,3 —0,1 —0,2 —0,44
4 44] 69,92! 69,1! 53,5! 62,7! 49,11 48,2] 48,5! 42,51 8861 87,91 94,1) 393,7 Februar
0,0 —0,1 —0,8 0,9 —1,0 —0,7 | —0,41 —0,89| ,
39 38] 58,7) 68,5! 63,3! 62,8! 48,8| 48,11 4382| 42,01 8881 37,7| 84,21 88,7 März
0,1 —0,2 —0,5 —0,7 —0,8 - 0,6 0,5! —0,41|
34 9394| 68,8] 58,2) 52,8) 52,81 47,7| 47,5) 43,11 42,81 88,1] 87,81 83,5] 83,6 April
0 —0,1 0,0 : —0,2 —0,8 —0,3 +0,11 —0,
13 92 67,9! 67,7| 52,6) 652,8] 46,81 47,1] . 42,91 42,81 87,6| 87,7] 88,8]. 83,0] ‘ «| Mai
—,1 —0,2 +0,2 +-0,8 0,1 1 —0,8| —0,14
25 26 67,8! 57,4) 62,3] 59,4] 46,6| 46,7) 429) 42,51 87,1] 87,41 824] 822] ‘ ‘:|Juni
| +0,1 +0,1 +0,1 +0,1 +03 |<+0,8! , |—0,2/—0,11| |
19 21] 672) 66,9 52,1] 51,3] 46,9] 46,91 120) 42,0] 37,01 86,6! 82,01 32,6| Juli
| +02 —0,3 +0,2 0,0 1: 0,0. : 1-04 : +0,51 —0,02 .
18 201 66,0! 66,0! 61,7| 651,8] 46,2] 46,1] 41,2] 41,5] 86,7| 36,7) 82,41 82,3 August
| +02 0,0 40,1 01 ”"|+08) ‘| 0,0 01-010
19 1,0] 55,9! 65,6| 60,6! 6508| 46,41 46,1] .40,4| 40,4] 36,4] 96,1] 82,0| 81,5 Sept.
0.0 —0,3 —0,2 —0,3 0,0! . —0,3 —0,5| —0,26
N 06 56,6| 65,2! 50,8| 50,01 45,1| 44,8] 40,2] 39,6] 86,9! 36,8] 31,4| 81,4 October
| —0,1 —0,4 —0,3 —0,8 —0,6 —0,6 0,0| —0,33
M 00! 654,7) 64,0! 49,7] 49,1) 44,6| 42,5] 89,4] 88,9) 85,1] 84,7) 81,3) 80,8 Novbr
, 1 —0,2 —0,8 —0,6 —9,1 —0,5 —0,4 —0,6| —0,51
EX 694! 544) 54,01 49,41 48,7| 48,6! 48,11 59,11 88,7] 84,91 84,6] 80,91 30,6 Dechr.
| —0,4 —0,4 —0,7 —0,5 — 0,4 —0,4 —0,4| —0,48
#3, 9'alos7i1l 668! 619! 616! 46,7| 46,8! 41,7) 41%] 37,0] 368] 82,7| 82/4 Jahr.
139,0 —0,8 —0,8 —0,4 —0,2 —1,2 —0,8| —0,26
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 68.
170 H. WILD, [n. 8.1
Aus dieser Tabelle folgt, dass die Störungen überwiegend negative d. h.
den Nordpol der Nadel nach Ost ablenkende sind; der mittlere Werth der-
selben im ganzen Zeitraum beträgt — 0,26; um die Jahre der Maxima der
Sonnenflecken erscheint er etwas beträchtlicher als zur Zeit der Minima
derselben. Auffallender ist die jährliche Periode des mittleren Störungswer-
thes, indem er. im Winter — 0,5 erreicht und im Juli nahezu auf O her-
untersinkt. Ja wir ersehen aus den Einzeldaten, dass sogar im Sommer
häufig die positiven Störungen im Monatsmittel überwiegen, während dies
im Winter nie vorkommt. Das Maximum der negativen Störungen im Mo-
natsmittel wurde im November 1882 erreicht, nämlich: — 2/1:
Die Resultate dieser Untersuchung sind also kurz zusammengefasst
folgende:
1°. Der nach meiner Methode aus den sogen. Normaltagen abgeleitete
tägliche Gang der Declination darf als der wirklich normale d. h. von Stö-
rungen befreite betrachtet werden.
2°. Dieser normale tägliche Gang der Declination ist im Jahresmittel
stets ein einfacher und in der Form übereinstimmender nämlich mit einem
Minimum etwas nach 8” a. und einem Maximum etwas vor 2* p. In auf-
einanderfolgenden Jahren variirt nur die Amplitude dieser periodischen
Schwankung und zwar in der Art, dass sie zur Zeit der Maxima der Son-
nenflecken ihren höchsten und zur Zeit der Minima derselben ihren kleinsten
Betrag erreicht.
.3°. Die Störungen der Declination befolgen in ihrer algebraischen
Summe ebenfalls eine tägliche Periode, welche im Jahresmittel stets auch
eine einfache und in. der Form übereinstimmende ist, nämlich mit einem
Maximum der negativen Störungen zwischen 10 und 11" p. und einem Ma-
ximum der schwachen positiven zwischen 8* und 9* a. Diese Periode scheint
dem täglichen Gange der Nord-Süd-Componente der electrischen Ströme
in der Erde zu entsprechen. In aufeinanderfolgenden Jahren variirt im
Wesentlichen auch wieder bloss die Amplitude dieser Tagesperiode und zwar
analog mit einem höheren Betrag zur Zeit der Maxima der Sonnenflecken
und dem kleinsten zur Zeit der Minima derselben.
4°. Aus der Interferenz dieser beiderlei einfachen Tagesperioden für den
normalen Gang und die Störungen ergiebt sich dann der bekannte, in Form
und Amplitude im Laufe der Jahre so bedeutend variirende, aus allen Tagen,
also mit Einschluss der Störungen, abgeleitete tägliche Gang der Declination.
5°. In den einzelnen Monaten des Jahres erscheint der normale tägliche
Gang der Declination weniger einfach und übereinstimmend, indem in den
4 Wintermonaten November bis Februar bei ihm auch secundäre Maxima
und Minima auftreten und das Hauptminimum im Laufe des Jahres in sei-
Melangos phys. et chim. T. XIII, p. 64.
(XxxI)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 171
ner Lage zwischen 7° a. im Juli und 9* a. inden genannten Wintermonaten
sich verschiebt. In aufeinanderfolgenden Jahren aber variiren für denselben
Monat auch wieder nur die Amplituden dieses täglichen Ganges und zwar
ebenfalls conform der Zahl der Sonnenflecken. Zur Feststellung des täglichen
Ganges der Störungen inden einzelnen Monaten ist das vorliegende Material
nicht ausreichend gewesen, so dass entsprechende Schlüsse wie oben sub 3°
und 4° hier noch nicht mit Sicherheit zu ziehen sind.
6°. Im Sommer compensiren sich nahezu die positiven und negativen
Störungen der Declination, während im Winter die negativen überwiegen;
ebenso compensiren sich im Jahresmittel die beiderlei Störungen nahezu zur
Zeit der Minima der Sonnenflecken und in den Jahren ihrer höchsten Zahl
präponderiren wieder die negativen Störungen.
Aus diesen Resultaten lassen sich nun über die Ursachen der Declina-
tions-Variation einige weitere interessante Schlüsse ziehen.
Erstlich weist die Verschiedenheit der beiderlei Perioden darauf hin,
dass die Ursache des normalen täglichen Ganges eine andere sein muss als
die der Störungen. Als nächste Ursache sowohl der unregelmässigen als pe-
riodisch wiederkehrenden Störungen der Declination haben wir aber die
Erdstrüme erkannt, folglich ist die normale Variation der Declination nicht
auf Erdstrôme zurückzuführen.
Aus der Thatsache aber, dass die Amplituden der beiderlei Perioden in
analoger Weise vom Maximum der Sonnenflecken zu deren Minimum ab-
und dann wieder zunehmen, folgt, dass die Ursachen sowohl des normalen
Ganges als der Störungen ihrem Effecte nach von der Energie der Processe
auf der Sonne abhängen, sei es nun dass sich diese als Wärme oder Licht
oder Electricität geltend machen.
Da die Erdströme entsprechend den Störungen, deren: nächste Ursache
sie sind, bekanntlich auch mit der Fleckenzahl auf der Sonne an Stärke ab-
und zunehmen, so frägt sich jetzt nur noch, in welcher Weise die Sonne
auf die Erdströme und weiterhin auf die noch unbekannte nächste Ursache
der normalen Variationen einwirkt. Meine Ansichten hierüber habe ich bereits
am Schlusse meiner mehrfach erwähnten Arbeit «Terminsbeobachtungen der
erdmagnetischen Elemente und Erdströme in Pawlowsk etc.» kurz dar-
gelegt. Sie weiter zu entwickeln resp. auch nach den neuen, hier gewon-
nenen Gesichtspunkten zu modificiren, halte ich augenblicklich nicht für
geraten. Es wird dies mit mehr Erfolg dann geschehen’ können, wenn
eine entsprechende Untersuchung über das Verhalten der Horizontal- und
Vertikal-Intensität erfolgt sein wird, wie ich sie hier für die Declination
ausgeführt habe. Hiezu sind aber noch einige zeitraubendere Vorarbeiten
nöthig.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 65 12
172 H. WILD, NORMALER GANG UND STÖRUNGEN U. 8. W. [n. 8. ı
Inzwischen hielt ich es Angesichts einiger unerwarteter wichtiger Re-
sultate, zu welchen schon jetzt die neue Definition der normalen Variation
und damit auch der Störungen geführt hat, für geboten, bereits die über die
Declination gemachte Untersuchung zu veröffentlichen, da nach dem Erfolg
dieser Probe Viele mit mir vielleicht für gut finden werden, schon jetzt bei
den regelmässigen Bearbeitungen der Magnetographen-Aufzeichnungen auch
die wenig Zeit in Anspruch nehmende Berechnung desnormalen Ganges nach
Normal-Tagen gemäss meiner Definition solcher ausführen zu lassen. Im Ob-
servatorium in Pawlowsk wenigstens wird von 1889 an die Bearbeitung
der Magnetographen-Registrirungen in dieser Weise vervollständigt werden.
— 0e—
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 66.
(xxxm)] 173
Sur l'énergie de l’oxydation du Rubidium. (2"* article). Par N. Békétot.
(Lu le 14 février 1889.)
Dans mon dernier article sur l’Energie des combinaisons j’ai eu l’honneur
de présenter à l’académie la description d’une nouvelle méthode d’obtenir les
métaux alcalins, que j’ai appliquée à la préparation du Rubidium métallique.
Ayant ainsi à ma disposition une certaine quantité de métal (plus de 30 gr.),
je me suis proposé d'exécuter une série d'expériences thermochimiques pour
déterminer 1) la chaleur de formation de l’hydrate par l’action du métal
sur l’eau et 2) la chaleur de formation de l’oxyde anhydre Rb,O, au moyen
de la réaction de cet oxyde sur l’eau.
La détermination du premier terme ne présentait pas de grande diffi- .
culté — il s’agissait seulement de préserver le métal autant que possible
de l’humidité et de l’oxygène de l’air — puisque le Rubidium métallique
est beaucoup plus oxydable que le Sodium et le Potassium et il prend très
facilement feu, quand on le manie sans précaution. A cet effet je renfermai
le métal dans un tube en verre, que je remplissai par aspiration. On obtient
ainsi une colonne de métal parfaitement pur et brillant; connaissant le dia-
mètre du tube et le poids spécifique du Rubidium on pouvait calculer la
longeur de la colonne qui correspondait à un certain poids, nécessaire pour
l'expérience.
Pour exécuter l’expérience de l’action du métal sur l’eau, on faisait
deux traits de lime sur le tube à Rubidium à une distance telle, que le poids
du métal contenu entre ces traits soit à peu près ce qui est nécessaire pour
la bonne réussite de l’expérience, c’est-à-dire, qu’il puisse élever l’eau du
calorimètre de deux ou de trois degrés, puisque par analogie on pouvait
s'attendre à un développement de chaleur par équivalent très rapproché de
celui du Potassium et des autres métaux alcalins.
Après que toutes les pièces du calorimètre étaient ajustées à leurs places
et la lecture du thermomètre placé dans l’eau du calorimètre effectuée on
coupait brusquement le tube sur les endroits marqués à la lime et on intro-
duisait rapidement le morceau du tube avec le Rubidium dans un autre tube
en toile métallique et on plongeait à l’instant tout le système dans l’eau. —
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 67. 12*
174 N. BÉKÉTOFF, [n. 6.1
Par cet artifice on prévient l’oxydation du métal, qui ne présente qu’une
très petite surface à l’influence de l’air et en même temps on modérait la
réaction entre l’eau, en la rendant plus lente. De cette manière la réaction
se produit assez régulièrement et dure environ dix minutes. Plusieurs expé-
riences concordantes m’ont donné le résultat moyen suivant:
Rb, + 2H,0 + aq = 270 + aq + H, = + 96400 c.
C’est la quantité de calories, dégagées par la réaction du métal sur
l’eau avec dégagement d'hydrogène et formation de deux molécules d’hy-
drate d'oxyde de Rubidium dissous; en ajoutant à ce nombre celui de la forma-
tion d’une molécule d’eau décomposé pendant la réaction — -+ 68400 et
qui a dû diminuer d’autant la chaleur dégagée on obtient une somme de
+ 164800, représentant la chaleur de formation de l’oxyde hydraté dissous
par l’oxygène, le métal et l’eau: Rb,, O, H,0 + aq = 20 + aq.
Cette quantité de chaleur est presque égale et un peu plus forte que
celle du Potassium, comme on pouvait s’attendre d’après la ressemblance des
deux métaux. Il s’agissait maintenant d’obtenir l’oxyde anhydre du Rubi-
dium et de déterminer la chaleur de son hydratation pour connaître la cha-
leur d’oxydation du Rubidium, c’est-à-dire la formation de l’oxyde Rb,O
par les éléments. La plus grande difficulté c'était de préparer cet oxyde,
parce que le Rubidium a une. tendance encore plus grande que le Potas-
sium à se péroxyder et le péroxyde une fois formé est très difficile à décom-
poser — il oxyde à une témperature rouge la plupart des métaux — non
seulement l’argent, mais même l’or. La seule méthode qui m'a réussi est
la même, que pour l’oxyde de Potassium — c’est-à-dire la calcination du
mélange de différents degrés d’oyxdation du Rubidium dans une capsule
d’argent avec le métal en excès. Quant au mélange oxydé je l’obtiens dans
un petit ballon en verre, ou je fais couler le métal liquide et j’en enduis les
parois. On fait passer lentement un courant d’air parfaitement pur et sec
dans ce ballon et on chauffe légèrement pour que l’oxydation commence, parce
que dans l’air sec et à la température ordinaire le métal reste brillant, mais
déjà à 50° il se recouvre d’une pellicule presque noire de sous-oxyde — si
le courant d’air continue ce sous-oxyde passe rapidement à un plus haut
degré d’oxydation, mais ne s’arrête jamais à l’oxyde Rb,O — il se forme
toujours du péroxyde — probablement Rb,O,. — Pour éviter la formation de
ce péroxyde en grande quantité j’ai pensé qu’il serait utile d’élever la tem-
pérature du ballon — afin de volatiliser le Rubidium, dont les vapeurs pour-
raient réduire le péroxyde formé — mais cependant je n’ai pu réussir jamais
à obtenir une masse homogène d’oxyde Rb,O, quoique l'opération était tou-
Mélanges plıys. ot chim. T. XIII, p. O5,
(xxx111)] SUR L'ÉNERGIE DE L’OXYDATION DU RUBIDIUM. 175
jours arrêtée, quand l’augmentation du poids du ballon avec le Rubidium
atteignait juste la quantité d'oxygène absorbé nécessaire à la formation de
l’oxyde Rb,0. On obtient toujours des mélanges, d’oxydes supérieurs avec
du métal non oxydé et du sous-oxyde. On transvase ce mélange dans une
capsule d’argent, où on fait passer un courant d’azote, puisque sans cette
précaution le mélange prend feu et se transforme en péroxyde, qui demande
une très grande quantité de métal pour être réduit Rb,O, + Rb, — 4Rb,0.
Le mélange d’oxydes, auquel on ajoute un peu de métal est calciné et de
cette manière on obtient enfin un oxyde pur de la composition de Rb,0,
qui ne dégage aucun gaz avec l’eau.
L’hydratation de cet oxyde m’a fourni le nombre 69900 ou presque
70000, beaucoup plus fort, que pour l’oxyde de Potassium, c’est ce que
j'avais prévu; en soustrayant ce nombre de la chaleur de formation de
l’hydrate + 164800 nous obtenons le nombre 94900 pour la réaction
Rb, + 0 = Rb,0, produisant l’oxydre anhydre; il est plus bas, que celui de
P’oxydation du Potassium — c’est ce que j’ai cherché à démontrer. La chaleur
d’oxydation des métaux alcalins suit donc une marche décroissante depuis le
Lithium — j’usqu’au Rubidium.
Mélanges phys. et chim T. XIII, p. 69.
xx) | 177
Über die abnorme Wirkung einiger Curare-Sorten. Von Dr. A. Feoktistow.
(Lu le 28 février 1889.)
Es ist allgemein bekannt, dass grössere Dosen Curare in das Blutgefäss-
system injicirt, bei Warm- und Kaltblütern ihre Wirkungen nicht mehr auf
die Nervenendigungen in den willkürlichen Muskeln beschränken, wie es bei
Injectionen von kleinen Dosen der Fall ist, sondern dass die lähmende Wir-
kung des Curare sich auch auf andere Theile des Nervensystems ausdehnt.
Es ist z. B. bekannt, dass grössere Curare-Mengen auch den nervus vagus,
splanchnicus und oculomotorius lähmen. Von diesen drei Nerven wird aber
vor allem und am häufigsten der n. vagus gelähmt. Diese letztere Eigen-
schaft wusste bereits CI. Bernard und wurde auf dieselbe auch von Kölli-
ker, Bezold, Heidenhain und Bidder hingewiesen. Böhm zeigte, dass
bei solcher Vaguslähmung die Reizung des peripheren Stumpfes dieses
Nervens mittelst des Inductionsstromes zur Blutdrucksteigerung und Puls-
beschleunigung durch Reizung der im Vagus verlaufenden ungelähmten
accelerirenden Nerven-Fasern führt. Es ist fernerhin bekannt, dass die
Intensität der vaguslähmenden Wirkung des Curare bei verschiedenen Sorten
desselben eine verschiedene ist. Es ist also im Grunde genommen nichts
neues, wenn ich mir erlaube es mitzutheilen, dass ich neulich bei der
Untersuchung von drei Curare-Sorten gefunden habe, dass alle drei die
erwähnte Lähmung der Vagusendigungen im Herzen hervorrufen. Es hat
dieser Befund nur in sofern eine grosse Bedeutung, als dass ich auf Curare-
Sorten stiess, welche nicht in grossen, sondern in kleinen Dosen diese
Vaguslähmung hervorbrachten. Dosen, welche gerade genügten das Thier
zu «immobilisiren», lähmten bereits den Vagus, was bis jetzt, wie es scheint,
nicht beobachtet worden ist. Die vasomotorischen Reflexe blieben normal,
der Blutdruck war aber etwas niedriger als er gewöhnlich unter gleichen
Bedingungen ist.
Es ist auffallend, dass der Vagus der Hunde und Kaninchen nur vor-
übergehend gelähmt wurde, hingegen der Vagus der Katzen sich als sehr
empfindlich erwies, so dass selbst nach 1—1’/, Stunden fortgesctzter künst-
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 83.
178 DE. À. FEOKTISTOW, [n. 8. ı
licher Respiration seine Functionsfähigkeit nicht wiederhergestellt wurde.
Höchst wahrscheinlich ist diese Erscheinung dadurch zu erklären, dass der
vaguslähhmende Stoff bei den Hunden und bei den Kaninchen schneller als
bei den Katzen ausgeschieden wurde.
Die eine von mir untersuchte Sorte des Curare wurde vor einigen Jah-
ren, die andere im Jahre 1887 von Merck bezogen. Die dritte Sorte hatte
vor vielen Jahren Herr Prof. Owsjannikow von Cl. Bernard persönlich
mitgebracht. Ich benutzte zu meinen Versuchen ganz frisch bereitete
1— 2°/,-ige Lösungen dieser drei Curare-Sorten, indem ich Katzen und
kleineren Hunden 5—10 Migrm., Kaninchen 2—3 Migrm. (trockener Sub-
stanz) intravenös injicirte.
Wenn das Curare von Merck von vornherein eine den Vagus lähmende
Wirkung besitzen könnte, so ist es von dem Curare von Cl. Bernard
kaum anzunehmen. Es ist vielmehr möglich, dass im Laufe von Jahren eine
Veränderung in der chemischen Zusammensetzung dieses Giftgemenges ein-
getreten ist, und zwar trotz der Aufbewahrung im trockenen Zustande.
Schulz erwähnt z. B. ausdrücklich, dass einige Curare-Sorten, welche vor
einem Jahr noch sich gut und kräftig zeigten, nach Ablauf dieser Zeit ihre
Eigenschaften zum Theil oder ganz einbüssen können. Ferner zeigt zerrie-
benes Curare unter dem Mikroskop hier und da Gruppen von prismatischen
und nadelförmigen Krystallen, deren Menge mit dem Alter des Präparates
zunimmt. Dieses allein zeigt, dass in dem complicirten Giftgemenge, wel-
ches wir Curare nennen, eine chemische Veränderung vor sich geht und
zwar selbst in dem im trockenen Zustande aufbewahrten.
Es zeigt in der letzten Zeit die Erfahrung zur Genüge, dass das Curare
im Handel ungeheuer oft verfälscht oder schlecht bereitet vorkommt. Bald
bekommt man ganz unwirksame oder schwach wirkende Sorten, Sorten, die
die stärksten Krämpfe hervorrufen etc., endlich Sorten, wie die von mir
untersuchten, welche in kleinen Mengen injicirt, die Vagusenden im Herzen
lähmen und das Präparat wenigstens zu gewissen Zwecken unbrauchbar
machen. Noch schlimmer wäre es aber, wenn ein solches Präparat den Ex-
perimentator irre führen sollte, was namentlich bei solchen toxikologisch-
physiologischen Untersuchungen leicht der Fall sein könnte, wo von einem
zu untersuchenden Gifte gerade Vaguslähmung erwartet wird. — Es ist
deshalb durchaus zu empfehlen, jedes Curare auf seine Eigenschaften
von Zeit zu Zeit genau zu prüfen, bevor man zu den eigentlichen Experi-
menten unter Zuhülfenahme desselben übergeht. Da aber die Unzuver-
lässirkeit des im Handel vorkommenden Curare immer zunimmt, so ist es
die höchste Zeit, der Fabrikation desselben einige Aufmerksamkeit zu
Schenken.
Melanges biolagigass. T. XIII, p 54.
(xxx) | ÜBER DIE ABNORME WIRKUNG EINIGER CURARE-SORTEN. 179
Bekanntlich bekommen die Droguenhandlungen das Curare von Brasilien
aus eingeführt, woselbst es von den im Norden des Landes wolınenden
Indianerstämmen fabricirt und verkauft wird. Ebenso wird es von den
Indianern des Orinokogebietes und von denen des British Guyana bereitet
und in den Handel gebracht. Nun wird aber in Süd-Amerika selbst das
Curare verschiedener Bereitung verschieden geschätzt, in Europa aber alle
Sorten unter einer Benennung und zu gleichem Preise verkauft. — Deshalb
wäre es sehr wünschenswerth, dem Vorschlage Schulz’s zu folgen und die
Rohstoffe selbst, welche zur Bereitung des Curare dienen, direkt auf den Markt
zu bringen und erst in Europa zu bearbeiten. Es ist das um so viel wün-
schenswerther, als bereits Appun gefunden hatte, dass der gehörig aus-
gekochte Saft der Rinde der zur Curare-Darstellung verwandten Sérychnos-
arten allein hinreicht, um ein Curare von derselben Wirkung herzustellen,
wie das von den Indianern bereitete. Couty und Lacerda erhielten auch
einen Curare-ähnlichen Stoff aus der Strychnos triplinervia, welcher Stoff
aber doch nicht die nöthige Intensität und Reinheit der echten Curare-
wirkung zeigte.
Es wäre daher wiünschenswerth, alle Ingredientien, die den Indianern
zur Bereitung des Curare dienen, zu prüfen. Als solche sind uns Sirychnos
toxifera, Str. cogens, Str. Schomburgkii, Str. triplinervia, Str. guyanensis,
Str. Castelnaeana, Str. Qubleri, Str. Crevauxii, Str. hirsuta, Sir. nigricans,
Sir. rubiginosa, ferner Paullinia Cururu (Curara), Cocculus Inème, Rouha-
mon quyanensis, Burmannia bicolor, Ficus atrox, Manihot utilissima etc.
bekannt. — Es unterliegt keinem Zweifel, dass zur Erzielung der Curare-
wirkung ein Gemenge aller dieser Ingredientien garnicht nöthig ist, sondern
dass eine oder wenige von den genannten Pflanzen das gewünschte Extract
in wirksamer Forın liefern würden. Es werden auch alle diese Pflanzen nicht
von einem und demselben Indianerstamme benutzt, sondern von verschie-
denen mehrere der verschiedenen genannten Pflanzen. Es ist ferner sicher,
dass die Beimischung von Schlangengift (oder wenigstens von Schlangen-
zähnen) zum Curare von keiner Bedeutung sein kann, da erstens alle Rei-
senden etc. behaupten, dass letztere Substanzen dem Curare vor, oder
während des Abkochens beigemengt werden und folglich durch die Hitze
zerstört sein müssen; zweitens aber habe ich bei dem Schlangengifte keine
Curarewirkung gefunden, allerdings aber eine vaguslähmende Wirkung, die
aber beim Kochen von Schlangengiftlösungen verloren geht.
Vor Jahren hat die Firma Merck das sogenannte Curarinum sulfuricum
in den Handel gebracht, welches sich aber als eine unconstante und unzu-
verlässige Substanz erwiesen hat. In nächster Zeit wird dieselbe Firma
eine constante chemische Verbindung — das Methylcurinhydroxzyd — in
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 85.
180 DR. A. FEOKTISTOW, ÜBER DIE ABNORME WIRKUNG U. 8. W. [N. 8. 1
den Handel bringen, welche die Endigungen der motorischen Nerven in
gleicher Weise wie das Curare lähmen soll. Die Zukunft wird zeigen,
ob es gelingen wird, das Curare durch das Methyleurinhydroxyd definitiv
zu ersetzen.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 86.
(axxın)] | 181
Über einige im europäischen Russland und in Sibirien vorkommende Arten
von Regenwürmern. Von Nicolaus Kulagin, Assistent am Zoologi-
schen Museum der Moskauer Universität. (Lu le 24 mai 1888).
Dank der freundlichen Zustimmung des Herrn Akademikers A. Strauch,
Direktors des Zoologischen Museums der Kaiserlichen Akademie der Wis-
senschaften, war mir die Möglichkeit geboten, die dem genannten Museum
gehörende Sammlung von Regenwürmern in systematischer Hinsicht zu bear-
beiten. Diese Sammlung besteht ausschliesslich aus solchen Formen von Lum-
briciden, welche im Norden des europäischen Russlands und in verschiede-
nen Orten Sibiriens gefunden sind. Zu meiner Verfügung standen 28 Exem-
plare, welche 7 verschiedenen Arten angehören, von denen aber 2, wie man
später sehen wird, eingezogen werden müssen. Zugleich konnte ich auch die
Originalexemplare zu den von Gerstfeldt und Prof. Grube beschriebenen
neuen Species aus Sibirien (Lumbricus brevispinus und L. triannularis) unter-
suchen.
Die systematischen Arbeiten über die nordischen Arten von Regenwür-
mern sind nicht zahlreich. Von den Reisenden des vergangenen Jahrhun-
derts, welche Sibirien besucht haben, erwähnen Georgi!) und Falk *) für Si-
birien nur einer Species, des Lumbricus terrestris L., beschränken sich aber
bloss auf Angabe des lateinischen Namens, ohne zu erwähnen, wo die Art
von ihnen gefunden worden ist. Der Erstere giebt nur zwei in Sibirien ge-
bräuchliche indigene Namen, aber keinen Fundort an, und der Letztere
bemerkt, dass Lumbricus terrestris in Sibirien: «ueberal in mulmiger Erde»
zu finden ist. Ausser in Sibirien wird Zumbricus terrestris im vergangenen
Jahrhundert noch von Mohr®) als auf Island und von Fabricius‘) als in
Grönland vorkommend erwähnt.
1) Bemerkungen einer Reise im Russischen Reiche im Jahre 1772. St. Petersb. 1778, p. 193.
2) Beiträge zur topographischen Kenntniss des Russischen Reichs. St. Petersb. 1786, III
p. 447.
8) Mohr. Forsög til en Islandsk Naturhistorie. Kjöbenhavn 1786, p. 118.
4) Fabricius. Fauna Groenlandica.
Melanges biologiquos. T. XIII, p. 87.
182 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND [N. 8. ı
In diesem Jahrhundert führt Prof. Leuckart?°) in seiner Beschreibung
der isländischen Fauna noch eine neue, dort vorkommende Species der Fam.
Lumbricidae, den Lumbricus flaviventris, auf. Die Merkmale, welche der
Autor zur Charakteristik dieser Species benutzt, scheinen mir nicht wesentlich
genug, um auf sie eine neue Species zu begründen. Er schreibt nämlich,
dass «der Körper cylindrisch ist, nach hinten etwas abgeplattet. Das Kopf-
ende von kolbiger Gestalt und nach vorn ein wenig verengt... Was aber
unsere Art besonders auszeichnet, ist die Stellung der Borsten, die nicht
paarweise an den Seiten des Rückens und Bauches vereinigt sind, wie sonst
gewöhnlich, sondern einzeln stehen. Statt zwei Reihen von Borstenpaaren
finden sich jederseits vier Reihen einzelner Borsten». Ferner werden als
Unterschiede zwischen Zumbricus flaviventris und anderen Arten die Lage
der Borsten auf dem ersten und zweiten Ringe, die Grösse und die Färbung
des Körpers angegeben. Was das erste Merkmal betrifft — die Beschreibung
der Körperform und der Lippe, — so lässt sich dieselbe ohne allen Zwang auf
mehrere andere Arten der Fam. Lumbricidae beziehen. Die Lage der Borsten
ist allerdings ein wichtiges Merkmal, doch findet sich die ebenerwähnte Lage
nicht nur bei Zumbricus flaviventris, sondern auch bei einigen anderen Arten,
z. B. bei Lumbricus puter Hoffm. und L. stagnalis Hoffm. Was die Anord-
nung der Borsten auf dem ersten Ringe betrifft, so ist eine ausführliche Be-
schreibung derselben nur dann möglich, wenn Querschnitte angefertigt wor-
den sind, und solche hat der Verfasser augenscheinlich nicht gemacht. End-
lich sind die Grösse und die Färbung der Regenwürmer solche Merkmale,
die sich mit dem Alter ändern. Desshalb scheint es mir, dass Lumbricus fla-
viventris keine neue Species bildet, sondern nach Leuckart’s Beschreibung
dem Lumbricus puter Hoffm. (Dendrobaena Boeckis Eis.) am näclısten
steht, welcher letztere im Norden sowohl nach den Angaben von Eisen, als
auch nach den mir zu Gebote stehenden Materialien weit verbreitet ist.
Im Jahre 1851 hat Grube die Regenwürmer beschrieben, welche Mid-
dendorff®)in Nord-und Ost-Sibirien gesammelt hat, und zwar werden folgende
Species mit ausführlicher Beschreibung genannt: Lumbricus communis Hoffm.,
der in der Boganida gefunden worden ist. Nach der Lage des Clitellums,
der Lippe und der Zahl der Ringe steht diese Species der Allolobophora mu-
cosa, die später von Eisen’) beschrieben worden ist, sehr nahe. Ferner wer-
5) Prof. Leuckart. Zur Kenntniss der Fauna von Island (Archiv für Naturg. 1849, p.
159—161).
6) Middendorff. Reise in den âussersten Norden und Osten Sibiriens. St. Petersb. 1851,
Band II, T. I, p. 17—20.
7) Eisen. Om Skandinaviens Lumbricider (Öfversigt af Vetensk. Akadem. Förhandl. 1873,
X 8).
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 88.
(xxxum] UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 183
den aus der Boganida zwei neue Species beschrieben: Lumbricus triannularıs
und Lumbricus multispinus.. In meiner ersten Notiz über die Fauna der rus-
sischen Ofigochaeta®) hielt ich diese beiden Species, nach der Beschreibung
Grube’s, für neu, fand aber in der akademischen Sammlung das Original-
exemplar des Lumbricus triannularis, von dem ich später eine ausführliche
Beschreibung geben werde, und will mich jetzt nur auf die Bemerkung be-
schränken, dass meiner Meinung nach diese Species ohne Zweifel zu Lum-
bricus rubellus Hoffm. gerechnet werden muss.
Alsdann erschien im Jahre 1858 Gerstfeldt’s®) Abhandlung, in welcher
gleichfalls einige hierhergehörige Arten beschrieben sind, so Lumbricus com-
munis Hoffm.(Lumbricus anatomicus Dugès), der bei Tomsk, in der Umge-
gend von Irkutsk, ander Luchna und am Amur gefunden worden und mit Allo-
lobophora turgida Eis. identisch ist; ferner Lumbricus multispinus, der in den
wichtigsten Merkmalen mit dem Lumbricus multispinus Grube übereinstimmt,
und endlich noch eine neue am Amur gefundene Art, Lumbricus brevispinus.
Nach genauer Untersuchung desjenigen Exemplars, auf welches Gerstfeldt’s
neue Art begründet ist, habe ich mich überzeugt, dass diese Species mit der
überall in Nord-Europa und in Sibirien vorkommenden Allolobophora foctida
Sav. identisch ist. Weiter unten, bei der näheren Beschreibung des Exeni-
plars, werde ich die Gründe auseinandersetzen, welche mich zu dieser Schluss-
folgerung geführt haben.
Was den von Grube beschriebenen Lumbricus mullispinus betrifft, so
muss man denselben nach der Zalıl der Borsten und nach dem Fehlen des
Lobus cephalicus für jetzt als eine selbstständige Species anerkennen.
Die Regenwürmer des nördlichen europäischen Russlands sind von Prof.
Kessler!°) beschrieben worden, und zwar führt er für die Gouvernements
St. Petersburg und Olonez zwei Arten auf, nämlich Zumbricus agricola Hoffm.
und Lumbricus communis Hoffm., welcher letztere der Allolobophora turgida
Eis. ähnlich ist. |
In neuester Zeit ist die Fauna der nordischen Zumbricidae hauptsächlich
von dem schwedischen Zoologen Eisen in seinen Arbeiten: 1. Bidrag till
Skandinaviens Oligochaetfauna ''), 2. Om nägra arktiska Oligochaeter "?),
8) H. Kysarına. KE œaynb Oligochaeta, serpkuaminuxen 82 Poccin, Tpyaër Sooxor.
Orxbs. O6ur,. Hioônr. Ecrecr. T. 1-N.
9) Gerstfeldt. Über einige zum Theil neue Arten Platoden, Anneliden, Myriapoden und
Crustaceen Sibiriens. St. Petersburg. 1858, p. 8—10.
10) Marepianıı xun nosnanin Oneskckaro 03epa ıı OGouexckaro Kpan, TIPEHMYINECTBEHHO BE
snosor. ornonıeniu. CIIB. 1868 r.
11) Öfversigt af Kongl. Vetensk. Akad. Fôrhandl. Stockholm 1870, p. 968.
12) Ibid. 1872, X 1, p. 119.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 89.
184 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND [N. 8. I
3. Om Skandinaviens Lumbricider '?), 4. Om New-Englands och Canadas
Lumbricider!*) und 5. On Oligochaeta, collected during the Swedish exped.!5)
behandelt worden. In der ersten Abhandlung beschreibt der Autor ausführ-
lich die 8 in Schweden und Norwegen vorkommenden Species der Fam. Lum-
bricidae und giebt eine synoptische Tabelle zu ihrer Bestimmung. Eine die-
ser Arten — Lumbricus purpureus — wird vom Verfasser als neu aufgestellt,
und für einige andere, namentlich Lumbricus communis, Lumbricus riparius
und Lumbricus tetraëdrus, werden die auf der Skandinavischen Halbinsel
vorkommenden Varietäten aufgezählt. In der zweiten Abhandlung beschreibt
Eisen ziemlich ausführlich 3 Regenwurm-Arten von der Insel New-Found-
land, namentlich: Zumbricus terrestris, Lumbricus rubellus und Lumbricus
puter. Die dritte Arbeit ist wieder den skandinavischen Regenwürmern ge-
widmet, und zwar theilt der Autor in derselben die besser bekannte Gat-
tung Lumbricus in drei Genera: Lumbricus, Allolobophora und Dendrobaena
und begründet ausserdem noch eine ganz neue Gattung Allurus. Aus der
Gattung Allolobophora beschreibt er 3 neue Species: Allolobophora arborea,
Allolobophora norvegica, Allolobophora subrubicunda. Die vierte Abhandlung
bezieht sich auf Regenwürmer aus Canada, New-Foundland und dem Briti-
schen Nord-Amerika; es werden darin zwei Arten Lumbricus und 6 Arten
Allolobophora behandelt, von welchen letzteren die drei folgenden neu sind:
Allolobophora tumida, Allolobophora tenuis und Allolobophora parva. Ausser-
dem ist daselbst auch eine neue Gattung Tetragonus aufgestellt mit einer Art
T. pupa aus Canada.
Die Regenwürmer von Nordenskiöld’s Sibirischer Expedition sind von
Dr. Eisen in seiner fünften und letzten Arbeit beschrieben worden: darun-
ter findet sich eine neue Art Allolobophora Nordenskiöldi, die von dem Ufer
des Jenissej und von der Insel Waigatsch stammt, ferner eine andere Art,
Allolobophora carnea, die bei Werchojansk (lat. 68°45’) und Wirogovo Selo
(60°50) vorkommt, und endlich Dendrobaena rubida, die zwischen Tomsk und
Krasnojarsk (lat. 50°) im Dorfe Jurgotskoje (lat. 62°50’) und in Nowaja
Semlja (lat. 73°20’) gefunden worden ist.
Alle Untersuchungen von Eisen zeichnen sich überhaupt durch ausführ-
liche, gewissenhafte Beschreibung des ihm zu Gebote stehenden Materials
aus, dennoch kann ich demselben in der Bestimmung der von ihm als neu
beschriebenen Arten nicht beistimmen. In der That, Eisen benutzt als cha-
rakteristische Unterschiede der Arten die Anwesenheit der sogenannten «Tu-
bercula pubertatis» auf dem einen oder dem anderen Segmente, ferner sehr
13) Ibid. 1873, X 8, p. 43.
14) Ibid. 1874, Xe 2, p. 41.
15) Kongl. Svenska Vet. Akad. Handl., Band 15, 1879.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 00.
(xxxm)] UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 185
unbedeutende Verschiedenheiten in der Zahl der Clitellumsegmente (von 1 bis
3), alsdann die allgemeine Zahl der Segmente und endlich die Körperfär-
bung. Bei meinen anatomischen und embryologischen Untersuchungen der
Regenwürmer Moskau’s habe ich mich nämlich überzeugt, dass alle diese
Merkmale sehr veränderlich sind, und dass deren Ausbildung oder Verküm-
merung vom Alter des Regenwurms und von der Jahreszeit, in welcher er
gefangen worden, abhängt. Desshalb sind die folgenden Arten: Allolobophora
subrubicunda, Allolobophora norwegica, Allolobophora tumida und Allolobophora
parva hinsichtlich ihrer artlichen Selbstständigkeit nicht über allen Zweifel
erhaben.
Die letzte Arbeit über die Fauna der nordischen Regenwürmer ist mein
Referat über die im nordwestlichen Sibirien von N. Gondatti gesammel-
ten Regenwürmer (gelesen in der Sitzung der Zoologischen Abtheilung der
Gesellschaft der Freunde der Naturwissenschaft, Anthropologie und Ethno-
graphie). N. Gondatti hat an den Flüssen Soswa und Ob drei Arten der in
Rede stehenden Familie gefunden, nämlich: Lumbricus rubellus Hoffm.,
Allolobophora foetida Sav. und Allolobophora tenuis Eis.
Die mir von dem Zoologischen Museum der Kaiserlichen Akademie der
Wissenschaften zur Bearbeitung zugesandte Sammlung enthielt folgende
Gattungen und Arten:
I. Allolobophora foetida Say.
Syn. ? Enterion foetidum Sa v., Cuvier, Hist. des Prog. d. Sc. Nat. T. 4, p. 14. Paris 1828.
Lumbricus foetidus Dugès, Annal. d. Scienc. Nat. Ser. II, T. VIII, p. 17, 21, fig. 4.
? Enterion fimetorum Fitzinger. Beobacht. über die Lumbrici. Isis 1888, p. 549—557.
Lumbricus annularis Templeton. Ann. Mag. nat. hist. IX, 1836, p. 288.
— olidus Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. a. d. Fam. d. Regenw., p. 32, fig. 6.
Allolobophora foetida Eisen. Öfvers. af Kongl. Vetensk. Akad. Förhandl. 1873, 8, p. 50-51,
fig. 8 u. 4.
Von dieser Art habe ich Exemplare von, folgenden Fundorten untersucht:
8 Exemplare aus Werchojansk von Baron E. Toll in Mai 1885 gefun-
den. Der Kopflappen ist bei einigen Formen von dem ersten Ringe scharf
abgesondert, bei anderen mit ihm verschmolzen. Die Rückenseite des
9-ten, 10-ten und 11-ten Ringes ist breiter als bei allen anderen. Vom 9-ten
an sind die Rückenporen deutlich sichtbar, eine Andeutung derselben ist
zuweilen schon vom 6-ten an bemerkbar. Die Vulva ist deutlich oder wenig
sichtbar; das Clitellum reicht vom 26-sten, oder 27-sten bis zum 33-sten; der
erste Ring zeichnet sich mehr oder minder von den anderen aus. Vom 15-ten
bis zum 26-sten Ringe findet sich zuweilen an jeder Seite eine Leiste. Die
Gesammtzahl der Ringe schwankt zwischen 81 und 109. Die Totallänge
beträgt 5—8,8mm.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 01.
186 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND [x.8.1
3 Exemplare von der Insel Spitzbergen, wahrscheinlich von Akad. C.
E. von Baer’s Expedition. Zwei davon ohne Clitellum, das dritte besitzt ein
Clitellum, das vom 27-sten bis zum 33-sten Ringe reicht. Alle Exemplare
sind schlechterhalten, was deren ausführliche Beschreibung unmöglich macht.
2 Exemplare vom Flusse Jenissej von Fr. Schmidt gesammelt. Das
eine mit Clitellum vom 26-sten bis zum 32-sten Ringe: die Clitellumringe
sind deutlich gesondert. Die Vulva fehlt. Die Länge beträgt 7,7 mm.; die Ge-
saınmtzahl der Ringe beläuft sich auf 113. Das andere Exemplar ist klein
und ohne Clitellum. Beide stehen der Färbung nach der von mir aus dem
Moskauer Gouvernement beschriebenen Varietät von Allolobophora foetida
Sav. selır nahe ?°).
2 Exemplare aus Padun am Baikal-See von Czekanowsky gesam-
melt. Das Clitellum reicht vom 26-sten bis zum 33-sten Ringe und vom
15-ten bis zum 27-sten findet sich auf jeder Seite eine Leiste. Ringelzalıl
130 — 138. Länge 7—8 mm. Das eine Exemplar ist dunkel gefärbt.
1 Exemplar aus Port-Ajan am Ochotskischen Meere von Wosnes-
sensky 1846 gesammelt, leider schlecht erhalten. Das Clitellum reicht
vom 25-sten bis zum 32-sten Ringe; die Vulva ist nicht deutlich.
2 Exemplare aus Bolschoje Simowje von Dr. Bunge am 17./29. Juli
gesammelt. Das Clitellum erstreckt sich bei beiden vom 27-sten bis zum
39-sten Segment, die Gesammtzahl der Segmente ist 96, die Länge 5,5 mm.
II. Allolobophora tenuis Eis.
Eisen. Öfvers, af Kongl. Vetensk. Akad. Förhandl. 1874, N 2, p. 44—45, fig. 1—4.
Syn. Allolobophora arborea (?) Eisen. Ude. Zeitschrift f. wiss. Zoolog., Bd. XLIII, p .133—194.
In der Sammlung sind zwei Exemplare vorhanden, von denen das eine
von Dr. Bunge den 17. Juliin Bolschoje Simowje, das andere von Baron E.
Toll in Dolgulach gefunden worden ist. Bei beiden ist der Kopflappen deut-
lich sichtbar, hinten viereckig und nimmt °/, des Kopfringes ein. Das Cli-
tellum ist bei dem einen undeutlich sichtbar, bei dem anderen dagegen stark
entwickelt und reicht vom 25-sten bis zum 30-sten Ringe. Die Gesammtzalıl
der Ringe beträgt bei dem letzteren Exemplar 106. Die Vulva ist fast nicht
zu bemerken. Die Länge beträgt 70 mm., ist also um 10 mm. länger als von
Eisen in der Diagnose angegeben ist.
III. Allolobophora carnea Sav.
Syn. Enterion carneum Savigny. Cuv., Hist. des Prog. d. Sc. Nat., T. 2, p. 12.
Lumbricus trapezoideus Dugès. Annal. d. Sc. Nat., Ser. II, T. VIII, p. 22.
—— m nn
16) H. M. Kyaaruur. Master. O-8a JIi06. Ecrecre. Ilporox. sachı. oraBaR 300x0riu T. I,
Bein. 1-8 1886 r.,crp. 146.
Mélanges bivlogiques. T. XIII, p. 92.
(xxxum)] UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 187
Lumbricus communis carneus Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. aus d. Fam. d. Regenw. p. 27.
— aquatilis Vejdovsk y. System und Morpholog. der Oligochaet. 1884.
Allolobophora mucosa Eisen. Öfvers. af Kongl. Vetensk. Akad. Förh. 1873 X 8. p. 47, fig.
7—10. .
Lumbricus mucosus Tauber. Annulata Danica. 1879, p. 56.
Zu dieser Art muss der von Grube beschriebene Lumbricus communis.
Hoffm., der von Middendorff an der Boganida gefunden worden ist, ge-
rechnet werden. Ich hatte drei Exemplare von der Boganida zu meiner Ver-
fügung. Der Form der Lippe, des Clitellums, der Ringzahl und dem allge-
meinen Habitus des Körpers nach stimmen sie mit der typischen Allolobo-.
phora mucosa Eisen überein.
IV. Lumbrious triannularis Grube .
Middendorff. Sibirische Reise, B. II, t. 1.1851, p. 18 T. II, fig. 8.
Die Charakteristik, welche Grube von dieser Art gegeben hat, ist fol-
gende: Uncinis binis utrinque distichis, in omnibus segmentis aeque dispositis,
segmentis 79 triannularibus, annulo medio paulo elato, uncinos ferente, vul-
vis sub segmento 15-mo sitis, clitellis minimum a 29-no usque ad 31-mum per-
tinentibus, processu postico lobi capitalis totum segmentum buccale dividente.
Grube, der nur ein Exemplar dieser Species von der Boganida untersucht
hat, sagt, dass dieselbe sich von den anderen Arten durch die dreiringeligen
Segmente, durch die Abwesenheit des Clitellums und durch die Zahl der
Ringe (79) unterscheidet. Bei den beiden Arten Zumbricus agricola und Lum-
bricus rubellus Hoffm., welche der Lippenform nach der Grube’ schen Art
am nächsten stehen, schwankt die Ringzahl bei der ersteren zwischen 154—
180, bei der zweiten zwischen 120—140. . .,
Nach den sibirischen Exemplaren von Lumbricus rubellus, die zu mei-
ner Verfügung standen, und nach genauer Untersuchung des Exemplars, auf
welches Grube seine neue Art begründet hat, habe ich mich überzeugt, dass
diese Species nicht für neu gehalten werden kann. Erstens sind die dreiringe-
ligen Segmente eine Erscheinung, die ausschliesslich von der Wirkung der
Reaktive abhängt, wie man sich leicht überzeugen kann, wenir man einige
Exemplare des Lumbricus rubellus Hoffın. in starken Spiritus legt. Was die
Grösse des Clitellums und die Zahl der Ringe bei Zumbricus triannularis
Grube betrifft, so variiren dieselben je nach dem Alter des Regenwurms
und nach der Jalıreszeit, in der er gefunden worden. Meiner Meinung nach
kann Lumbricus iriannularis nicht für eine neue sibirische Species gehalten
werden, sondern muss mit dem in Sibirien verbreiteten Lumbricus rubellus
vereinigt werden. |
Mélanger biologiques, T. NIIT, p. 92. 13
188 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND [N. 8: 1
V. Lumbricus brevispinus Gerstfeldt.
Gerstfeldt. Über einige zum Theil neue Arten Platoden, Auneliden, Myriapoden und Crusta-
ceen Sibiriens, p. 9, 1858.
Von dieser Art stand mir das Originalexemplar aus der Gegend der Sun-
gari-Mündung zu Gebote. Aus der von Gerstfeldt gegebenen Diagnose er-
sieht man, dass der Hauptunterschied zwischen dieser Art und den. übrigen
darin besteht, dass bei dem Lumbricus brevispinus der Kopflappen und die
Borsten unentwickelt sind und das Clitellum fehlt. Bei Determination von jun-
gen Exemplaren der einen oder der anderen Art habe ich die Bemerkung
gemacht, dass bei ihnen alle charakteristischen Merkmale viel kleiner, als bei
den erwachsenen sind; das Clitellum erscheint nur in der Zeit der Geschlechts-
reife. Daher scheint es mir, dass die Begründung neuer Arten auf die stär-
kere oder schwächere Entwickelung des einen oder des anderen Merkmals
nicht zulässig ist, besonders wenn die Abänderungen, welche vom Alter des
Exemplars abhängen, nicht bekannt sind. Ausserdem bin ich nach genauer
Untersuchung des Exemplars, welches von Gerstfeldt beschrieben worden
ist, zu dem Schluss gekommen, dass es, der Lippenform und dem Gesammt-
habitus nach, ohne Schwierigkeit zu Allolobophora foetida gerechnet werden
kann,
VI. Lumbricus rubellus Hoffm.
Syn. Enterion rubellum Örley. A mag. Oligoch. Faun. Budapest. 1881, p. 570.
Zwei Exemplare aus Werchojansk von Baron Toll gesammelt. Der Lip-
penform, der Clitellumlage und der Ringzahl nach stimmen sie vollkommen
mit Hoffmeister’s Diagnose dieser Art!?) überein.
VII. Dendrobaena rubida Sav. var.
Syn. Enterion rubidum Savigny, Cuvier Hist. des Prog. d. Scieuc. Nat. Tom 4, p. 20, Paris 1828.
Lumbricus rubidus Dugès. Annal. d. Scienc. Nat, Ser. II, T. VIII, p. 28.
Lumbricus puter Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. a. d. Fam. d. Regenw., pag. 33, fig. 6.
Lumbricus flaviventris Leuckart. Archiv für Naturg. 1849, p. 159.
Lumbricus puter Johnst., Catal. of the Brit. non-parasit worms, pag. 62.
Lumbricus pieter Udekem, Mem. Acad. roy. Belg. T. XXXV, Tab. 4.
Dendrobaena Boeckii Eisen. Öfvers. af Kongl. Vet. Akad. Förhandl. 1873, X 8, p. 58—54.
Einige Exemplare von der Insel Kildin von Herrn S. M. Herzenstein ge-
sammelt. Sie unterscheiden sich von den typischen Exemplaren, der von
Eisen beschriebenen Dendrobaena Boeckis einerseits durch die Lippenform,
denn bei den von Hrn. Herzenstein gefundenen Exemplaren nimmt der Lobus
cephalicus nicht %, des Kopfsegmentes ein, sondern theilt das erste Seg-
17) Hoffmeister. Die bis jetzt bekannten Arten aus der Famil. der Regenwüdrmer, Brauu-
schweig, 1845,
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 94.
(xxx)] UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 189
ment in zwei Hälften. Andererseits stehen die Borsten jeder Reihe viel wei-
ter von einander ab, als bei den Exemplaren dieser Art, welche sich in der
Sammlung des Zoologischen Museums der Moskauer Universität befinden
und von dem Prof. Vejdowsky stammen. Auf Grund dieser zwei Merkmale
kann man, meiner Meinung nach, diese Form für eine besondere Varietät
der Dendrobaena rubida Sav. (Dendrobaena Boeckii Eis.) halten. Das Cli-
tellum reicht vom 28-sten bis : zum 32-sten Ringe. Die Gesammtzalıl der Ringe
beträgt 70.
Die Exemplare mit der Aufschrift: «Mammuth-Expedition, Schmidt»
nnd aus dem See Taimyr von Middendorff konnten nicht bestimmt wer-
den, da sie zu schlecht erhalten sind. |
Aus allem Angeführten ergiebt sich, dass für den Norden Europa’s, Asiens
und Nord-Amerika’s überhaupt folgende Arten beschrieben sind: |
1. Lumbricus terrestris Lin. (Island, Skandinavien, Nord-Russland, New-Foundland und Nord-
Amerika).
2. — rubellus Hoffm. (Skandinavien, Sibirien und New-Fonndland),
3 — purpureus Eisen (Skandinavien, New-Foundland).
24 — multispinus Grube (Sibirien).
6. Alolobophora foetida Sa v. (Skandinavien, Sibirien und Nord-Amerika).
6. tenuis Eisen (Skandinavien, Sibirien und Nord-Amerika).
7. — carnea Sav. (Skandinavien, Sibirien und Nord-Amerika).
8. _ cyanea Sav. (Skandinavien, Nord-Russland, Sibirien und Nord-Amerika).
? 9. — Nordenskioldii Fisen. (Skandinavien, Sibirien, Nord-Amerika und New-
Foundland).
?10. — subrubicunda Eis. (Sibirien).
1. — tumida Eisen (Nord-Amerika).
212. — parva Kisen (Nord-Amerika).
?18. — arborea Eisen (Skandinavien).
?14. — norwegica Eisen (Norwegen).
16. chlorotica Sav. (Skandinavien und Nord-Amerika).
16. Dendrobaena rubida Sav. (Skandinavien, Nord-Russland und Nord- Amerika).
17. Allurus tetraëdrus Sav. (Skandinavien).
18. Tetragonurus pupa Eis. (Nord-Amerika).
Wenn man diejenigen Arten, denen ich ein Fragezeichen vorgesetzt habe,
nicht als neue Arten anerkennen will, da sieauf sehr unwesentlichen Merk-
malen beruhen, so bleiben für die nördlichen Gegenden folgende Arten
übrig:
Lumbricus terrestris L.
— rubellus Hoffm.
— _ purpureus Eis.
Allolobophora foctida Sav.
_ tenuis Eis.
— carnen Snv.
— cyanea Sav.
— chlorotica Sa v.
Dendrobaena rubida Sa v.
Tetragonurus pupa Fis.
Allurus tetraëdrus Sa.
Mélanges biologiqnes. T. XIII, p. 15. 13*
190 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER BINIGE IN EUROPÄISCHEN RUSSLAND U.8.W. [N. 8.1
Die Verbreitung dieser Arten erstreckt sich über ein weites Gebiet, denn
sie sind in Nord-Amerika, Sibirien, Nord-Russland und Skandinavien gefunden
worden. Einige Arten, wie Lumbricus rubellus, L. terrestris, L. purpureus,
Allolobophora cyanea, A. foetida, À. carnea, A. chlorotica, Dendrobaena ru-
bida und Allurus tetraëdrus werden nicht nur im Norden der alten und neuen
Welt angetroffen, sondern auch in Mittel- und Süd-Europa. Eine solche aus-
gedehnte geographische Verbreitung der gleichen Arten ist meiner Meinung
nach durch die Lebenweise derselben zu erklären: alle Arten der Fam. Lum-
bricidae halten sich in der Erde auf, wo der Kampf um’s Dasein und die
äusseren Bedingungen — die Hauptfaktoren für die Erscheinung der Ar-
ten — selır einförmig und schwach wirken.
Was die von mir bearbeitete Lumbricidensammlung der Kaiserlichen
Akademie der Wissenschaften speciell anbetrifft, so bietet sie nicht nur ein
allgemeines Interesse dar, sondern hat noch einen besonderen Werth, da sie
Exemplare aus dem höchsten Norden enthält.
Zum Schluss halte ich es für meine Pflicht, Herrn Akademiker A.
Strauch, Director des Zoologischen Museums der Akademie, der mir die
Möglichkeit gegeben hat, die akademische Lumbricidensammlung zu bear-
beiten, meinen verbindlichsten Dank auszusprechen.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 96.
(xxxm)] 191
Weitere Beiträge zur Kenntniss des Otenellus Mickwitzi. Von F. Schmidt.
(Lu le 1 novembre 1888.) .
In meiner Arbeit über eine neuentdeckte untercambrische Fauna
in Estland (Mém. de l’Acad. Vol. 36, À 2, 1888) habe ich nach zahlrei-
chen Bruchstücken den neuen Olenellus Mickwitzi aus den oberen sandigen Zwi-
schenschichten unseres cambrischen blauen Thons beschrieben, und ihn auch in
Fig. 1 auf T. I so gut es ging zu restauriren gesucht. Im verflossenen Som-
mer hat Hr. Ingenieur A. Mickwitz seine Forschungen an einem der Haupt-
fundorte des Olenellus, am Kunda’schen Bach, bei der Cementfabrik, fortge-
setzt und wieder eine Reihe neuer Stücke zu Tage gefördert, die die Kennt-
niss wenigstens des Kopfschildes und des Pygidiums zu fördern geeignet
sind. Er fand eine etwa ’/, Fuss mächtige hellgraue Sandsteinschicht, er-
füllt von Bruchstücken des Olenellus in der zweiten Entblössung unter-
halb der Fabrik in der Höhe von 15 F. über dem Niveau des Baches,
oben und unten von blauen Thonlagen begrenzt. Er nahm etwa 150 Pfund
dieses Gesteins nach Reval mit und hat durch geduldiges Zerklopfen des-
selben die nachfolgend zu besprechenden Stücke zu Tage gefördert. Es
ist augenscheinlich eine Strandbildung, worauf auch die häufigen Wellen-
spuren hinweisen, und wir werden auf vollständige Exemplare daher wohl
noch längere Zeit warten müssen.
In der vorigjährigen Sammlung ist der grösste Theil des Kunda’schen
Materials aus einem ähnlichen Gestein zu Tage gefördert worden, das aber
damals nur in herabgestürzten Blöcken am Flussufer angetroffen worden war.
Das Vorkommen des Olenellus ist nicht auf die erwähnte dünne graue Sand-
steinschicht beschränkt, sondern beginnt schon einige Meter höher in einem
gelblichen dolomitischen Sandstein, der wie früher ausser Pleurentheilen
keine erkennbaren Stücke geliefert hat. Tiefer abwärts sind im eigentli-
chen mächtigen blauen Thon noch keine Trilobitenreste nachgewiesen wor-
den. Bei Reval sind in diesem Jahre keine neuen Funde gemacht worden:
dort kam der Olenellus, wie früher erwähnt, in sandigen Zwischenschichten
des oberen blauen Thons mit Platysoleniten und Volborthellen zusammen vor.
Im St. Petersburger Gouvernement sind im blauen Thon und dessen oberen
Mélanges genlog. et paléontolog. T. I, p. 1.
192 F. SCHNIDT, [n. 8. ı
Grenzschichten bisher keine Trilobiten nachgewiesen worden. Hier kennt man
bisher aus dem oberen blauen Thon nur die Platysoleniten, ausser denen, wie
ich früher versäumt habe mitzutheilen, Volborth bei Krasnoje Selo (Kawe-
lachta) in den nämlichen Schichten auch Volborthellen nachgewiesen hat. Es
muss also noch weiter nachgesucht werden. Im östlichen Estland haben wir
am Fusse des Glint, zwischen Sackhof und Ontika eifrig nach der Olenel-
lus-Schicht gesucht. Wir fanden immer nur die schon früher bekannten
glauconitischen Sande an der oberen Grenze des blauen Thons ohne weitere
Fossilien, bis auf ein paar Exemplare des Medusites Lindströmt, der ja
schon früher hier gefunden worden war.
Die in der früheren Arbeit erwähnten ziemlich mächtigen Detrefacten-
leeren Sandsteine über der Zone mit Olenellus und Mickwitsia monilifera
haben auch jetzt noch keine organischen Reste geliefert. Ich fuhre fort sie
dem schwedischen ebenfalls petrefactenleeren Fucoidensandstein zu verglei-
chen, wie schon Linnarsson gethan hat. Die von mir schon früher ver-
tretene Ansicht, dass diese Sandsteine scharf vom eigentlichen Unguliten-
sande geschieden seien, der mit dem Dictyonemaschiefer nahe zusammen-
gehört, und dass hier ein Hiatus (ein Fehlen der mittleren cambrischen
Lager mit Olenus und Paradoxides) angenommen werden müsse, wird durch
Mickwitz’s und meine Untersuchungen am Glint im vorigen Sommer voll-
kommen bestätigt. Die Scheidung ist vollkommen scharf und in der unte-
ren Grenzschicht des echten Ungulitensandes lassen sich stellenweise, wie
bei Sackhof und Baltischport (Leetz), Conglomerate von Geschieben aus
dem unteren petrefactenleeren Sandstein nachweisen, die in den unguliten-
führenden Sand eingebettet sind.
Eine Analogie findet unser Vorkommen jetzt auch in England, wo Prof.
C.Lapworth (nach Mittheilung auf dem diesjährigen internationalen geolo-
gischen Congress in London, s. Nature, vol. 39, À 1100, p. 212, on the
discovery of the Olenellus-fauna in the lower cambrian beds of Britain) in
der Nähe von Shrewsbury bei Church Stretton Olenellus-Schichten nach-
gewiesen und mir auch gefälligst an Ort und Stelle demonstrirt hat, die
der Basis des Cambriums, dem Longwynd, auflagern und von höheren
cambrischen Schichten, wie es scheint mit Ausschluss des Menevian, be-
deckt werden. Auch in Nord-Amerika ist jetzt die Olenellus-Frage in Ord-
nung: gebracht, da Dr. Walcott, wie er ebenfalls auf dem Congress mit-
theilte, die Olenellus-Schichten unter den Paradozxides- Schichten auf New-
Foundland nachgewiesen hat (s. Nature 1888, vol. 38, p. 551). Früher war
man bekanntlich in Amerika geneigt die Olenellus-Schichten für jünger zu
halten als die Paradoxides-Lager, wogegen bekanntlich Brögger energisch
auftrat.
Melangos géolog. et paléoutolug. T. I, p. 2.
(XXXIN)] WEITERE BEITRÄGE ZUR KENNTNISS DES OLENELLUS MIOKWITZI. 193
Im Hinblick auf die erwähnten neuen Entdeckungen; die: die Mitthei-
lung jeder weiteren Erkenntniss wünschenswertt machen; :&tehe ich nicht
an, die mir zugänglichen Beiträge zur näheren Kenntniss unserés Olenellus
zu veröffentlichen, wenn die Kenntniss des ganzen Thiers auch! vorläufig
noch eine NO tee bleiben muss. 1° te net lan 1,4 ni. ei,
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Fig. 1: Glabell& mit restaurirtem Umrigs des Tr L'Fig. 2: Wangenschild.' = Fig. 8
Seitenansicht des Nackenstachels. «- Fig. 4—7. Hypostomen, in.7 mit x. Th. erhaltenen Seiten:
| flügeln. — Fig. 8—10. Pygidien in doppelter Grösse. — Fig. 1—8 in naeürlieher 0 Grösse.
ts! in» LU,
: Das Kopfschild muss nach den neugefundenen Stücken breiter, a
nommen werden als früher. Wir haben jetzt den hinteren Theil: des Wan:
genschildes mit wohlerhaltenem Hinterrande (F.:2), der uns ‚früher ‚gefehlt
hat, : so dass wir jetzt auch den ganzen Hinterrand ı des Kopfschildes recon-
struiren können. Die Glabella (F, 1) liegt uns jetzt in einem vollständigen
Stück vor, zusammen mit den Augen, was früher auch nicht,der.Fall war. ;
Die Beziehungen zur nächst verwandten Art, Olenellus Kjerulfi, :kön-
nen jetzt klarer.und richtiger aufgefasst werden.i. Die Glabella ist bestimmt
schmäler:als die typische Form, da sie mehr als ‚noch. einmal, ‚so. lang. wie
breit ist, was, wie es scheint, annähernd auch mit, der ;Form, aus, Schonen
der Fall ist, deren Zugehörigkeit zu unserer Art wir als, Pe: betrach-
tet haben. | a Ai ie
Die Seiten der Glabella sind fast parallel, ‚der RER PURE der
erste Seitenlobus nur wenig über die hinteren Seitenloben. vorgezogen. Vom
Frontallobus läuft seitlich ein auch nach ‚vorn deutlich abgesetzter .Wulst
zum Augendeckel, vor dem ein flaches dreieckiges Feld sich:deutlich unter:
scheiden lässt. Der zweite und dritte Seitenlobus sind sich :in ihrer Form
ziemlich gleich; der dritte ist an seinem Ende etwas breiter und scharf gegen
den Nackenring abgesetzt. Die dritte Seitenfurche lässt sich deutlich, wenn
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 3.
194 F. SCHMIDT, [n. 8. ı
auch schwächer werdend, über die Mitte der Glabella verfolgen, während
die Nackenfurche in der Mitte nur schwach angedeutet, an den Seiten aber
scharf markirt ist.
Die Form und Lage der Augen stimmt gut mit Olenellus Kjerulfi
überein, was ich früher nicht erkennen konnte. Die Oberfläche des flachen
Zwischenraumes zwischen Auge und Glabella zeigt die nämliche Skulptur
wie die letztere, und nicht die Radialstrahlen wie Olenoides typicalis (W al-
cott in Bull. Unit. Stat. geolog. surv. X 30, t. 25, f. 2), welche letzteren
bei unserer Art, wie früher geschildert, nur auf der Fläche der Wangen-
schilder auftreten. Von der Ausmündung der Nackenfurche ausgehend
lässt sich ein schwach angedeuteter Wulst schräg nach hinten und aussen
zum Hinterrande verfolgen, ganz wie bei Olenellus Kjerulf; er mündet
auch wie bei letzterem in einen bei unserer Art nur schwach angedeuteten
Zahn, der als Pleurenende des Nackenringes gedeutet werden kann. Ebenso
wenig wie bei der genannten Art kann hier an eine Andeutung der Facial-
sutur gedacht werden, da der erwähnte Wulst vollkommen unabhängig vom
Auge ist. Vor dem Auge verläuft aber allerdings die linke Seite unseres
Glabellaexemplars in einem so regelmässigen convexen Bogen nach vorn,
dass man hier an eine Naht denken kann, und nicht an eine blosse Bruch-
fläche, zumal bei anderen Olenellus-Formen und dem verwandten Olenoides
von Walcott (l. c., t. 20, f. 1; t. 25, f. 2) ein analoger Verlauf der Ge-
sichtslinie angedeutet ist, doch bleibt das eine blosse Vermuthung. Der
Hinterrand des Kopfschildes erscheint bei unserer Art, abweichend vom
O. Kijerulf, ganz geradlinig, der Randwulst ist längsgestreift, hinten flach,
an den Seiten, von den Hörnern ausgehend gewölbt, vorn vor der Glabella
wieder flach, wie sich durch Freilegen der Oberseite des Exemplars T. 1
F. 11 meiner früheren Arbeit erkennen liess. Das Wangenschild weicht,
wie früher erwähnt, durch seine grössere Breite und die Radialrippen we-
sentlich von ©. Kjerulfi ab und nähert sich darin Olenoides typicalis und
Mesonacis vermontana.: In F. 3 habe ich ein besonders kräftiges Exemplar
des Dorns am Nackenring abbilden lassen.
Das Hypostoma (F. 4—7) liegt uns jetzt in mehreren Stücken vor,
die wesentlich verschieden von dem bei Ol. Kjerul# erscheinen. Die in
F. 11 und 12 der früheren Arbeit abgebildeten Stücke sind ganz unvoll-
kommen. Wir unterscheiden den Mittelkörper und die fast gleichlangen
Flügel (F. 7), die nur an einem Exemplar sichtbar sind. Der Mittelkörper
ist hoch gewölbt, oval, am Hinterrande mit einem flachgewölbten, schma-
len, ganzrandigen Saum versehen, der durch eine schmale Furche vom
Mittelkörper getrennt ist, die in der Mitte ganz flach, an den Seiten (F. 6)
vertieft erscheint. Die Skulptur der Oberfläche stimmt ganz mit jener der
Mélanges géolog. et paldontolog. T. I, p. 4.
(xxx) | WEITERE BEITRÄGE ZUR KENNTNISS DES OLBNELLUS MICKWITZI. 195
Glabella überein. Zur Erläuterung der Anfügung des Hypostoma haben wir
ausser dem in F. 11 der früheren Arbeit dargestellten Stück kein neues
Material erhalten. Die F. 12 der früheren Arbeit entspricht vollkommen
dem jetzt unter F. 4 dargestellten Stück, und hat in der früheren Darstel-
lung fälschlich eine horizontale Lage erhalten. Durch das Hypostoma zeich-
net sich unsere Art besonders aus. Trotz allgemeiner Ähnlichkeit mit den
entsprechenden Formen bei Paradoxides und anderen Olenellus zeigt es
doch mit keiner anderen Art eine nähere Übereinstimmung.
Zur Kenntniss des Thorax können wir kein neues Material hinzufügen,
dagegen liegen uns einige neue Stücke des Pygidiums vor (F. 8—10), die
z. Th. am Hinterrande eine schwache Einkerbung zeigen (F. 9, 10), entspre-
chend der Lücke zwischen den beiderseitigen Pleuren, die, etwa drei an der
Zahl, jederseits in schwacher Andeutung an jedem unserer Stücke zu sehen
sind. An der Rhachis lassen sich mehr oder weniger deutlich zwei Glieder
erkennen, an die sich ein schwaches rundliches Endglied anschliesst. Das
ganze Pygidium erscheint hochgewölbt.
Trotz der vorstehend angeführten neuen Beiträge zur Kenntniss des
Olenellus Mickwitsi bleibt die Kenntniss seines Baues noch immer recht
lückenhaft, und wir müssen auf weitere Funde hoffen. Ausser zahlreichen
Bruchstücken von Olenellus finden sich in dem herbeigeschafften Material
auch Bruchstücke von Brachiopoden, die aber bisher keine nähere Bestim-
mung zuliessen,
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 5.
(xxxm)] 197
Bericht über die abhandlung des herrn Nik. Anderson «Wandiungen der
anlautenden dentalen spirans im ostjakischen, ein beitrag zur ugro-
finnischen lautlehrer. Von W. Radloff und C. Salomann. (Lu le
18/30 avril 1889.) | |
In den «Studien zur “vergleichung der ugrofinnischen und indogerma-
nischen sprachen I')» hatte herr Anderson, gegenwärtig lerer der alten
sprachen am gymnasium zu Minsk, den grundstam. des pronomens der 3.
person im ugrofinnischen als sava (seve)°) erschloßen, und mit dem idg.
*sa va, sva (seve, sve) identificiert, als anlaut des selben also, troz der ostj.
und vog. formen s an gesezt. Gegen dise aufstellung erhob professor Jo-
sef Budenz in seiner anzeige der genanten schrift?) energischen einspruch,
indem er auf die am rande erwänten formen mit t (t, 1) gestüzt, den lez-
teren laut für den ursprünglichen erklärte. Er betrachtet somit alle im
ostj.-vogulischen mit t oder verwanten explosiven an lautende wörter als
auf der ältesten ugrofinnischen lautstufe stehend, auß welcher erst später-
hin finn. s magy. h, ’ ab geleitet seien.
So annembar eine solche ansicht auf den ersten blik erscheinen dürfte,
herr Anderson glaubte der selben doch nicht one weiteres bei pflichten zu
können, da das von im gesammelte material gerade auf die entgegen gesezte,
schon früher auß gesprochene, anname hin leitete. Der beweis für die rich-
tigkeit diser lezteren sol nun in der vor ligenden abhandlung erbracht wer-
den. Zu disem zwecke untersucht der verfaßer zunächst, ob der von Bu-
denz für «keineswegs natürlich» erklärte lautwandel s:t. physiologisch
möglich und historisch erweislich sei, und ferner, welche von beiden laut-
1) Dorpat 1879. 8°. pp. (4) + 322 + (5). S.-A. auf den «Schriften der Gelehrten Estnischen
Gesellschaft».
2) Vgl.1.c. pag. 35 ff: finnisch hän pl. he suff. -nsä; vepsisch hän: hd: -ze; estnisch
sufl. -3a, -Be, -28, -8; mordvinisch son: sin (erza syn): -nza (e. -nzo, -zo); Ceremissisch
suff. -Za (-5a); lappisch sodn du. soi pl. sije suff. -s; votjakisch suff. -z; syrjänisch suff. -s; per-
misch suff. -y-s; irty3-ostjakisch teu du. tin pl. teg suff. -et; surgut-ostj. teuh: tin: teh:
-et; nord-ostj. lu: Iyn (lin): 1y (lu): —; vogulisch tav: tin: tan: —; magyarisch 5 suff.
-ja, -je.
8) Nyelvtudomänyi közlem&nyck XV, 2 (1879) p. 809ff.= Literarische Berichte aus Ungarn.
hgg. v. P. Hunfalvy. IV (1880) p. 160174.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 1.
198 W. RADLOFF UND C. SALEMANN, [N. 8. 1
reihen, die spirantische oder aber die explosive, auB der zusammenstellung
der mit t und dessen vertretern an lautenden vog.-ostjakischen wörter,
denen in den verwanten sprachen ein an lautender zisch- oder hauchlaut
gegenüber steht, sich als ursprüngliche ergeben dürfte.
Hiemit war der verlauf der untersuchung vor gezeichnet. Nachdem die
gründe dar gelegt worden, welche die von Budenz auf gestellte entwicke-
lungsreihe t:s: h: ’ als verschidenen zweifeln unterworfen erscheinen
laßen, muste der wandel eines s zu p oder t als in den verschidensten
sprachen wirklich. vor kommend und durch die analogie änlicher lautver-
stärkungen stüzbar erwisen werden. . Diß geschiht im I. teile der schrift,
dessen ergebnisse am schluße kurz zusammen gefaßt werden.
Der IL. teil befaßt sich mit dem auß den verschidenen ostj. dialekten
vor ligenden materiale von an lautenden dentalen explosiven, denen in den
übrigen sprachen s usw. (finn., magy. auch h, ’) gegenüber steht; dabei
werden die von den frühern forschern, besonders Budenz und Donner, her
rürenden vergleichungen ein gehend besprochen. Dise untersuchung glidert
sich in vier abteilungen, und behandelt unter n° 1—15 die jenigen zu-
sammenstellungen, deren richtigkeit keinem zweifel unterligt oder wenig-
stens algemein zu gestanden ist (darunter die meisten mit ostj. t-); dann
folgen die anlaute surgut-ostj. + (Castrén schrib +, etwa tl, pl) n° 16
bis 42; nord-ostj. | (eine nicht näher bestimte modification von 1 *) n°. 43
bis 98, und endlich € (mouilliertes t) n° 99 — 119. Auß diser sichtung
ergibt sich, daß in einer statlichen anzal von wortgruppen dem ostj. anlaut
in keiner einzigen der verwanten sprachen, außer dem vogulischen, ein den-
taler explosivlaut gegenüber steht, und somit alles dafür zu sprechen scheint,
daß die explosiva im vog.-ostjakischen sich erst auß der spirans entwickelt
habe, wie ja auch die selbe erhärtung in einigen lehnwörtern zu beobachten
ist (ostj. rut Rule, irt.-ostj. hot surg.-ostj. ñot nord-ostj. ho] auß oc»
nase, vorderteil des botes, u. dgl.).
“Es blib nun noch die andere these von Budenz zu prüfen, daß nämlich
ein an lautendes altes t im magyarischen und finnischen als spiritus lenis
(schwund) oder als h auf treten könne. Außer ein par schon unter den
frühern nummern besprochener fälle, wo die gleichung magy. h, ’=t durch
neue zusammenstellungen als ungenau und unhaltbar war erwisen worden,
bliben noch zu untersuchen für t : magy. ’ die n° 120—132, und für
t : magy. h die n° 133—135. Auch hier bestrebt sich der verfaßer seinen
vorgänger zu widerlegen, indem er die wörter der andern sprachen mit t-
4) Aug. Ahlquist. Forschungen auf dem Gebiete der ural-altaischen Sprachen. III.
Ueber die Sprache der Nord- Ostjaken. I, Abth. Hfors. 1880. pag. 95—101.
Melanges asiatiques, T. X, p. 3.
(xxxım)] BERICHT ÜBER DIR ABHANDLUNG DES HERRN NIK. ANDERSON U. 8. W. 199
von den dazu gezogenen magyarischen scheidet, und für die lezteren andere
etymologien aufstellt, welche auf urspr. s- zurük füren. Das selbe geschiht
in n° 136—139 für vier finnische, mit h- anlautende, wörter, und n° 140
endlich zeigt, daß das magy. teher, terh «last, gewicht» nichts mit dem
ostj. tägert vog. tarvit «schwer» zutun habe, sondern auf pers. „I ;täräzü
(vgl. repeasr) zurük zu füren ist. Den schluß bildet eine kurze recapitu-
lation.
Diß der gang der untersuchung, in welcher alles vor gebracht wurde,
waß Andersons anname vons:t im anlaut gegen Budenz’t:s:h:’ zu
verteidigen geeignet war.
Indem die hochvererte Classe uns beauftragte die hier kurz skizzierte
arbeit zu prüfen, war sie durch die umstände genötigt sich an dem urteile
von nicht speciell mit dem fache vertrauten zufriden zu geben. Wir unsrer-
seits milßen uns bescheiden der Classe vor zu stellen, daß wir auß dem an
gegebenen grunde nicht in der lage sind ein endgiltiges urteil ab zu geben,
ob oder wie weit herr Anderson seine sache gewonnen habe. Doch ligt
uns ein brief des sel. Wiedemann vor, in welchem dise bewärte aucto-
rität sich über den älteren teil von herrn Andersons schrift höchst aner-
kennend äußert, und auch uns wil es dünken, daß die streng methodische
art seiner untersuchung und beweisfürung (welche, wol nicht zum schaden
der sache, manches mal auclı in das gebiet seiner frühern verdienstlichen
arbeit hinüber greift), sowie die fülle und zuverläßigkeit des materials, die
ansprechende milde und zurükhaltung an den polemischen stellen, kurz,
daß all dise echt wißenschaftlichen eigenschaften der abhandlung nicht um-
hin können in dem linguistisch gebildeten leser ein günstiges vorurteil auch
für die resultate der untersuchung zu erwecken.
Dise umstände laßen es als wünschenswert erscheinen, daß die abhand-
lung unseres einheimischen finnologen der ere gewirdigt werde in den
schriften der Akademie einen plaz zu finden, da dise gelerte körperschaft
seit Sjögrens, ja Müllers zeiten die Rußland so nahe an gehnden finnisch-
ugrischen studien stäts wirksam unterstüzt und gefördert hat.
Mélanges asiatiques, T. X, p. 3.
(xxx) | 201
Über die quantitative Bestimmung des Antimons. Von F. Beilstein und
0. v. Blaese. (Lu le 15 avril 1889). |
Man pflegt das Antimon jetzt meist als Schwefelantimon zu wägen.
Das früher zuweilen angewendete Verfahren der Bestimmung als Sb,O, ist
ganz aufgegeben, namentlich seitdem Bunsen?), der selbst früher?) diese
Bestimmung empfahl, nachwies: «dass die Temperatur, bei welcher die
Antimonsäure in Sb,O, übergeht, derjenigen Temperatur; bei welcher Sb,O,
in Sb,O, und Sauerstoff zerfällt, so nahe liegt, dass eine sichere und exakte
Antimonbestimmung auf diesem Wege nicht zu erwarten steht».
Tamm’s Verfahren), das Antimon als gallussaures Antimonoxyd
zu wägen, scheint kaum einer allgemeinen Anwendung fähig zu sein. Das
Verfahren setzt voraus, dass alles Antimon als Oxyd vorhanden ist. Enthält
die Lösung Antimonsäure, so muss diese zunächst durch Jodkalium reduzirt
werden. Ferner muss die Antimonoxydlösung konzentrirt und neutral oder
nur ganz schwach sauer sein, weil sonst die Fällung unvollständig ist, alles
Bedingungen, die schwer einzuhalten sind. Das gallussaure Antimönoxyd
wird bei 100° getrocknet und gewogen oder man bestimmt es als Antimon-
sulfür. | | |
Antimon kann vom Zinn durch Eisen geschieden werden, welches das
Antimon metallisch fällt, eine Zinnchloridlösung aber nur zu Zinnchlorür
reduzirt*). Man könnte daher vielleicht daran denken, das Antimon regu-
linisch zu bestimmen, allein neuere Versuche lassen über die Unbrauchbar-
keit dieses Verfahrens keinen Zweifel. Clasen‘) beobachtete, dass die Tren-
nung nur dann genau ist, wenn viel Zinn neben dem Antimon vorhanden ist.
Auch fand Clasen, dass Antimon nicht ganz unbeträchtlich in Salzsäure
löslich ist, namentlich in kalter, verdünnter Säure. Eine weitere Fehlerquelle
kann daraus entstehen®), dass das beim Auflösen des Eisens gebildete Eisen-
1) Liebig’s Annalen (1878) 192, 817.
2) Daselbst (1858) 106, 3.
8) Zeitschrift für analytische Chemie (1875) 14, 851.
4) Tookey, Journ. of the chemic. soc. 15, 462.
5) Zeitschrift für analytische Chemie (1865) 4, 440.
6) Attfield, Zeitschrift für analytische Chemie (1870) 9, 107.
Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 71.
202 F. BRILSTEIN UND 0. VON BLARSE, [n. 8. ı
chlorür sich zu Eisenchlorid oxydirt; dieses löst aber das Antimon ziemlich
rasch auf. |
Es bleibt also als exakte Methode nur die Fällung des Antimons durch
Schwefelwasserstoff übrig. Ist sicher alles Antimon als Antimonsäure vor-
handen, so kann das Antimon, nach Bunsen, als Sb,S, gefällt und gewogen
werden. In jedem anderen Falle hat man es mit einem Gemenge von Sb,S,
und Sb,S, zu thun. In diesem Falle wird bekanntlich alles Antimon, durch
Erhitzen ‘im Kohlensäurestrome, in Sb,S, übergeführt und als solches ge-
wogen. Dieses Verfahren ist nun ziemlich umständlich und schliesst mehrere
Fehlerquellen ein. Namentlich ist es schwer, den Punkt genau zu treffen,
wo alles Sh,S, in Sh,S, umgewandelt ist. Erhitzt man nicht stark genug, so
hält das Antimonsulfür Schwefel zurück; erhitzt man zu stark, so fängt das
Antimonsulfür an sich zu verflüchtigen. Dazu kommt noch der Umstand,
dass das gefällte Schwefelantimon auf einem gewogenen Filter gesammelt
und nicht der ganze Niederschlag in Sb,S, übergeführt wird. Es ist
aber zweifelhaft, ob das Gemenge auf dem Filter überall die gleiche Zu-
sammensetzung hat. Classen und Ludwig”) haben vorgeschlagen, das Anti-
mon elektrolytisch zu fällen. Es wird zu diesem Zwecke das Schwefel-
antimon in Schwefelnatrium gelöst und, nach Zusatz von Natron, elektro-
lysirt. Die Methode ist aber nur gut anwendbar, wenn die Menge des Anti-
mons 0,16 g nicht übersteigt. Sie setzt ein besonders reines Schwefelnatrium
voraus und verlangt die Verwendung neuer Platinschalen, oder wenigstens
von solchen, die «tadellos gereinigt und geglättet» sind.
Unter diesen Umständen schien es uns angezeigt, nach einem einfacheren
Verfahren der Antimonbestimmung zu suchen und, gestützt auf unsere Er-
fahrungen bei der Untersuchung von Antimoniaten, glaubten wir ein solches
in der Abscheidung des Antimons als antimonsaures Natron zu finden.
Bekanntlich hat Fr&my°), gestützt auf die Unlöslichkeit dieses Salzes, die
Antimonsäure (resp. deren Kalisalz) als ein Mittel zum Nachweise des
Natrons empfohlen, Er hat sogar Versuche angestellt zur Trennung des
Kalis vom Natron durch Antimonsäure und ist, wie er angiebt, zu befriedi-
genden Resultaten gelangt. Leider fehlen in seinen Abhandlungen jegliche
Zahlenangaben über die Brauchbarkeit dieser Methode. H. Rose?) sagt:
«es gelingt nicht gut das Antimon vollkommen als antimonsaures Natron zu
fällen». Er empfiehlt die konzentrirte saure Lösung der Antimonsäure mit
Soda zu übersättigen, dann erst mit Wasser zu verdünnen und hierauf !/,
des Volumens der Flüssigkeit an Alkohol (vom spez. Gew. — 0,82) hinzu-
1) Berichte der deutschen chem. Gesellschaft (1886) 18, 1104.
8) Journal für prakt. Chemie (1843) 29, S. 86.
9) H. Rose, Handbuch der analyt. Chemie. 6. Aufl., 2. Bd. 8. 288.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 72.
(XxxIL)] ÜBER DIE QUANTITATIVE BESTIMMUNG DES ANTIMONS. 203
zufügen. Nach 24stündigem Stehen wird der Niederschlag auf einem ge-
wogenen Filter gesammelt, mit verdünntem Alkohol (3 Vol. Wasser auf
1 Vol. Alkohol vom spez. Gew. — 0,82) gewaschen, bei 100° getrocknet
und gewogen. Er entspricht dann der Formel NaSbO, + 3, H,O. Die
Fällung soll zuweilen eine unvollständige sein. Das Filtrat vom antimon-
sauren Natron trübt sich zuweilen, wenn das Waschwasser nachfliesst, weil
das antimonsaure Natron in verdünntem Alkohol weniger löslich sein soll
als in (leicht löslichen) Natronsalzen. Man benutzt bekanntlich oft die Ab-
scheidung des Antimons als antimonsaures Natron bei der Trennung des
Antimons vom Zinn, doch wird hierbei meist das antimonsaure Natron durch
Schwefelwasserstoff gefällt und das Antimon als Antimonsulfür gewogen.
Löslichkeit des antimonsauren Natrons. Ehe wir daran denken
konnten, die Abscheidung des Antimons als Natronantimoniat zu prüfen,
mussten vorerst die Löslichkeitsverhältnisse dieses Salzes festgestellt werden.
Wir untersuchten die Löslichkeit in Wasser, in wässrigem Alkohol von ver-
schiedener Stärke und in einigen Natronsalzen. |
a. Löslichkeit des an der Luft getrockneten Salzes.
1) In Wasser: 41,9208 g Lösung, bei 12,3° bereitet, hinterliessen
0,0130 g Rückstand bei 100°.
2) In Alkohol von 15,8%, bei 12,3°: 17,5333 g Lösung gaben 0,0023 g
Rückstand bei 100°. |
3) In Alkohol von 25,6%, bei 12,3°: 40,0848 g Lösung gaben 0,0028 g
Rückstand bei 100°.
Es lösen bei 12,3°:
1. 1000 Thl. Wasser 0,31 Thl. NaSbO, + 3Y,H,O.
2. 1000 Thil. Alkohol von 15,8°/, 0,13 Thl.
3. 1000 Thl. Alkohol von 25,6% 0,07 Thl.
Das frisch gefällte und gewaschene Natriumantimoniat zeigte eine etwas
grössere Löslichkeit in Alkohol von 25,5%.
4) 51,6299 g Lösung, bei 18,1° bereitet, hinterliessen bei 100° 0,005 g
Rückstand.
5) 25,412 g Lösung, bei 18,1° bereitet, hinterliessen bei 100° 0,0024 g
Rückstand.
Es lösen demnach bei 18,1° 1000 Thl. Alkohol von 25,5%
4. u: Mittel.
0,0968 0,0944 0,0956 Thl.
Das Verhalten gegen Natronlauge und Soda haben wir nur qualitativ unter-
sucht. Benutzt wurden Natronlösungen mit 2,5 und 10%, Natron; die Soda-
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 78. 14
204 F. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [x. 8.1
lösung war eine kalt gesättigte. Die mit Natriumantimoniat versetzten
Lösungen blieben mehrere Tage stehen, dann wurde filtrirt und das ange-
säuerte Filtrat mit Schwefelwasserstoff behandelt. Das Volumen der hierbei
erhaltenen Niederschläge zeigte ganz unzweifelhaft, dass eine erhöhte Lös-
lichkeit des antimonsauren Natrons nicht eingetreten war; im Gegentheil,
. das erhaltene Antimonsulfid betrug weniger als aus dem gleichen Volumen
einer rein wässrigen Lösung. Für Natron und Soda müssen wir daher durch-
aus den Angaben von H. Rose widersprechen: Natron und Soda verringern
eher etwas die Löslichkeit des antimonsauren Natrons. Dahingegen wirken
Ammoniak und Kalisalze etwas stärker lösend als Wasser. In Eis-
essig ist das antimonsaure Natron ganz unlöslich.
Unsere Versuche zeigen, dass Alkohol von 15%, etwas mehr antimon-
saures Natron löst als Alkohol von 25°%,. Es ist daher nicht angezeigt, einen
schwächeren Alkohol anzuwenden. Bei der Füllung des Antimons, wie wir
sie jetzt ausführen, bleibt viel Natronsalz (Na,SO,) in Lösung. Wollte man
einen stärkeren Alkohol anwenden, so könnten leicht Natronsalze im antimon-
sauren Natron zurückbleiben. Das Waschen mit Alkohol von 25°, hat nur
einen Übelstand: das antimonsaure Natrium geht etwas durchs Filter und
erzeugt trübe Filtrate und Verluste. Wir stellten verschiedene Versuche an,
um das Durchgehen des Niederschlages zu vermeiden und fanden schliesslich
einen Zusatz von essigsaurem Natron als hierzu vollkommen passend.
Um einen Rückhalt an Natron oder Soda im Niederschlage zu entfernen,
setzen wir dem Waschalkohol ausserdem noch etwas Essigsäure hinzu. Das
im Niederschlage befindliche Natrium-Acetat kann später durch starken
Alkohol weggewaschen werden. Auch kohlensaures Ammoniak verhindert
das Durchgehen des antimonsauren Natrons durchs Filter, allein auf Kosten
eines Theiles des Niederschlages.
Fällung des Antimons als antimonsaures Natron. Wir fällen
und wägen das Antimon als antimonsaures Natron. Wir beschreiben unser
Verfahren genauer für den gewöhnlichen Fall, dass das Antimon als Sulfid
vorliegt, wobei es ganz gleichgültig ist, ob Sb,S, oder Sb,S, vorhanden ist.
Die Abänderungen für alle anderen Fälle ergeben sich aus unserer Be-
schreibung von selbst.
Das gewaschene Schwefelantimon spült man vom Filter mit heissem
Wasser in ein Becherglas (oder Platinschale), wozu etwa 50cc Wasser er-
forderlich sind, giebt dann konzentrirte Natronlauge und hierauf 70cc
Wasserstoffsuperoxydlösung hinzu. Man rührt um, ohne aber mit dem Glas-
stabe die Wände zu berühren, weil sich sonst das Natriumantimoniat äusserst
fest an den gekratzten Stellen absetzt. Man benutzt eine kieselsäurefreie
Natronlauge; dieselbe kann auch dazu dienen, etwa auf dem Filter haften
Mélanges plıys. et chim. T. XII, p. 74.
(xxzıı)] ÜBER DIE QUANTITATIVE BESTIMMUNG DES ANTIMONS. 205
gebliebene Spuren von Schwefelantimon aufzulösen. Man erwärmt das Ge-
misch, unter beständigem Umrühren, bis deutlich Sauerstoff zu entweichen
beginnt. Dann lässt man erkalten, giesst !/, des Volumens der Lösung
Alkohol von 90%, hinzu und lässt mindestens 36 Stunden lang kalt stehen.
Dieser Zeitraum ist nothwendig, um eine möglichst vollständige Abscheidung
des Natriumantimoniates zu bewirken. Die klare Lösung wird jetzt durch
ein doppeltes Filter gegossen und der Niederschlag, zunächst durch Dekan-
tation, mit einem Gemisch aus Alkohol, Natrium-Acetat und Essigsäure ge-
waschen. Man benutzt dazu 7 g Natrium-Acetat, gelöst in 1 L Alkohol von
25%, und versetzt mit 7cc Eisessig. Der Niederschlag wird dann auf dem
Filter mit diesem selben Gemisch gewaschen, bis im Waschwasser keine
Schwefelsäure mehr nachzuweisen ist. Das dem Niederschlage noch anhaf-
tende Natrium-Acetat wird durch Waschen mit Alkohol von 50%, entfernt.
Den getrockneten Niederschlag entfernt man möglichst vom Filter, bringt
ihn in einen Porzellantiegel, verascht das Filter auf dem Deckel des Tiegels,
erhitzt dann den ganzen Niederschlag und wägt ihn, nach dem Erkalten,
als NaSbO,. |
Wir lassen nun die analytischen Belege für unser Verfahren folgen. Wir
wählten zunächst ein selbst dargestelltes Natriumantimoniat. Dasselbe
entsprach der Formel NaSbO, + 3,H,0. 0,5445 g verloren beim Erhitzen
0,1331 g Wasser.
Berechnet. Gefunden.
3YH,0 24,84%, 24,44%,
Von diesem Salze wurden 6,524 g in Salzsäure gelöst, unter Zusatz von
Weinsäure, und die Lösung bis auf 500cc verdünnt. Von dieser Lösung
wurden jedesmal 25cc abpipettirt mit HS gefällt und das gebildete Sb,S,
mit Natronlauge, Wasserstoffsuperoxyd u. s. w. gefällt. Die Lösung enthielt
jedesmal 0,2451 g NaSbO,.
Gefunden.
. 0,2442g NaSbO,.
. 0,2446g
. 0,2457g
. 0,2484g
5. 0,2449g
Reines Antimon wurde in Königswasser gelöst. Die Lösung enthielt im
Liter 5,492 gr. Antimon. Zu jedem Versuche dienten 2öcc dieser Lösung,
entsprechend 0,2188 g NaSbO,. Dieselben wurden durch H,S gefällt u. s. w.
1. 0,2176g NaSbO,.
2. 0,2236g »
Mélseges phys. et chim. T. XIII, p. 75. 14*
HR © WB ms
206 PF. BEILSTEIN UND 0. VON BLABSE, [N. 8.1
Von einer anderen Lösung von Antimon in Königswasser, enthaltend im
Liter 6,932 g Antimon, gaben 25cc (entsprechend 0,2367 g NaSbO,)
3. 0,2339 g NaSbO,.
Ausgesuchte Krystalle von Antimontrichlorid wurden abgewogen,
in verdünnter Natronlauge gelöst, die Lösung direkt durch Wasserstoff-
superoxyd oxydirt, dann durch Alkohol ausgefüllt u. s. w.
Angewandt. Entsprechend NaSbO,. Gefunden NaSbO,,
1. 0,4238g SbC, 0,3624 NaSbO, 0,3596 99,29%,
2. 0,3790 g SbCI, 0,3258 0,3261 100,099,
8. 0,4702 g SbCI, 0,3994 0,3990 99,90%
Wiederholt umkrystallisirter Brechweinstein wurde an der Luft ge-
trocknet und analysirt:
1,7884 g verloren bei 100° 0,0418g H,O.
Berechnet. Gefunden.
H,O 2,71% 2,34%
13,2761g dieses Brechweinsteins wurden zu Y, Liter gelöst. Unter
Berücksichtigung des gefundenen Wassergehaltes (2,34%) berechnet sich
der Gehalt von je 20cc-Lösung, entsprechend 0,3064 g NaSbO,. Angewandt
wurden jedesmal 20cc der Lösung. Man fällte mit H,S u. s. w.
Gefunden NaSbO,.
1. 0,3075 100,35”,
2. 0,3094 g 100,98%,
3. 0,3076g 100,39,
Etwa 12 g frisch dargestelltes und noch feuchtes Schlippe'sches
Salz wurden in 400cc Wasser gelöst. 200cc dieser Lösung lieferten, nach
dem Abscheiden des Antimons durch Schwefelwasserstoff, 0,3080 g Na,SO,
entsprechend 0,2759 g NaSbO,. Zu jedem Versuche wurden 20cc Lösung
benutzt. Die Lösung wurde durch Säure gefällt und das Sb,S, durch NaOH
und H,O, oxydirt.
Gefunden.
1. 0,2813 g NaSbO,.
2. 0,2813g
3. 0,2800g
Überblicken wir alle Zahlen, so ergiebt sich unzweifelhaft, dass das
Verfahren etwas zu hohe Resultate liefert, während man doch das Gegen-
theil erwarten sollte, da das Natriumantimoniat, selbst in 25prozentigem,
Alkohol spurenweise löslich ist. Allein die Löslichkeit wird durch die gleich-
zeitige Anwesenheit von Natriumsalzen (NaCl, Na,SO,, Natriumacetat) wohl
Mélanges phys. où chim. T. XILI, p. 76.
(xxım)] ÜBER DIE QUANTITATIVE BES'MMMUNG DES ANTIMONS. 207
eher etwas verringert. Es erscheint daher überflüssig, eine Korrektur anzu-
bringen für das nicht gefüllte Natriumantimoniat, entsprechend dem vor-
handenen Volumen an Filtrat. Führt man eine Korrektur ein, entsprechend
der von uns ermittelten Löslichkeit in Alkohol von 25%, so werden viel zu
hohe Zahlen erhalten. Der kleine Überschuss im Gewichte des gefundenen
Natriumantimoniates erklärt sich gewiss durch einen Rückhalt an Natron-
salzen im Niederschlage. Die Krystalle des Natriumantimoniates kommen
oft ziemlich gross heraus und schliessen dann Mutterlauge ein, die sich
durch blosses Waschen nicht entfernen lässt. Durch diesen Umstand werden
die Verluste durch die geringe Löslichkeit des Natriumantimonistes mehr
als genügend gedeckt und die erhaltenen Resultate sind befriedigend.
Mélanges pbys. ot chim. T. XIII, p. 77.
(xxım)] | 209
Über die Bestimmung des Natrons neben Kali von Fr. Beilstein und
0. v. Blaese. (Lu le 16 Mai 1889).
Es fehlt bis jetzt an einer Methode, welche es gestattet das Natron direkt,
in Gegenwart von Kali, zu bestimmen. Liegen beide Metalle vor, so wird
bekanntlich zunächst dasKali durch Platinchlorid gefällt und dann erst schrei-
tet man zur Bestimmung des Natrons. Wie zeitraubend dieses Verfahren über-
all dort ist, wo es sich zunächst nur um eine Bestimmung des Natrons handelt,
liegt auf der Hand. Hierher gehört z. B. der Nachweis, resp. die Bestim-
mung des Natrons im käuflichen Kalisalpeter. Die Methode der indirekten
Analyse eines Gemenges von Kali und Natron lässt sich nur in einzelnen
Fällen mit Vortheil anwenden. Unter diesen Umständen schien es uns von
Nutzen zu sein, eine Methode auszuarbeiten, die allgemeinerer Anwendung
fähig ist. Als eine solche ergab sich uns die Abscheidung des Natrons als
Antimoniat. Nachdem wir festgestellt hatten, unter welchen Umständen die
Fällung des antimonsauren Natrons eine vollständige ist, konnten wir daran
gehen zu untersuchen, wie weit diese Abscheidung genügend ist zur Tren-
nung des Kalis vom Natron. Zunächst musste aber festgestellt werden, in
wie weit Kalisalzelösend auf das Natrumantimoniat wirken. Die nachstehen-
den Versuche geben darüber die nöthige Aufklärung.
Frisch gefälltes und gewaschenes Natrumantimoniat NaSbO, -+ 3/,H,O
wurde übergossen mit einer Lösung von: 1) 164g Kaliumkarbonat in 250 cc
Wasser, — 2) 48g Kalisalpeter in 250 cc Wasser, — 3) 60 g Chlorkalium
* in 250cc Wasser, — 4) 40g Chlorkalium in 250cc Wasser, — 5) 27g
Chlorkalium in 250cc Wasser. Die Gemische blieben 4 Tage unter häufi-
gem Umschütteln, in einem Wasserbade von konstanter Zimmertemperatur
stehen. Dann wurde abfiltrirt, eine gewogene Menge des Filtrates mit
Schwefelwasserstoff gefällt und das ausgeschiedene Schwefelantimon als Na-
triumantimoniat gewogen.
1. a) 49,0 g Lösung gaben 0,2600g Sb,S,.
b) 60,0g Lösung gaben 0,3156 g NaSbO,.
2. a) 133,065 g Lösung gaben 0,1750 g Sb,O,.
b) 120,89 g Lösung gaben 0,1697 g NaSbO,.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 79.
210 F. BEILSTEIN UND 0. VON BLARSE, [n. 5. 1
3. a) 117,4g Lösung gaben 0,170 gSb,S,.
b) 130,85 g Lösung gaben 0,200 g NaSbO,.
4. 159,4 g Lösung gaben 0,1326 g Sb,S,.
5. 124,5 g Lösung gaben 0,0829 g Sb,Sb,.
Demnach lösen 1000 Thle. einer Lösung von
| a. b. Mittel.
164g K,CO, in 250cc Wasser 5,03 5,26 5,14 Thle NaSbO,.
48 g KNO, » » » 1,25 1,40 1,32 Thle NaSbO,.
60g KCI » » » 1,38 1,52 1,45 Thle NaSbO,.
40g KCI » » » — 0,79 Thle NaSbO,.
27g KCI » » » — 0,63 Thle NaSbO,.
Kalisalze erhöhen demnach etwas die Löslichkeit des Natriumantimoniates
in Wasser, am meisten Kaliumkarbonat und es ist daher angezeigt, die
Gegenwart dieses Salzes, bei der Fällung von Natriumantimoniat, zu ver-
meiden, was gar keine Schwierigkejt hat, da man die Lösung durch Salz-
säure oder Salpetersäure neutralisiren kann. Chlorkalium und Kalisalpeter
verhalten sich, dem Natriumantimoniat gegenüber, fast gleich. Jedenfalls
nimmt die Löslichkeit dieses Salzes in Kalisalzen, mit steigender Verdün-
nung ab. |
Um das Natrium bei Gegenwart von Kali direkt zu bestimmen, fällen
wir dasselbe durch eine Lösung von Kaliumantimoniat. Das, nach unserem
Verfahren bereitete, Kaliumantimoniat wird zur Lösung der Alkalien in ge-
nügender Menge eingetragen, und das Gemisch 1 Tag kalt stehen gelassen.
Ein Zusatz von Alkohol, um die Fällung des Natriumantimoniates voll-
ständig zu machen, ist unzulässig, weil bereits die Lösung des Kaliumanti-
moniates durch Alkohol gefällt wird. Man dekantirt, bringt dann den Nieder-
schlug auf das Filter und wäscht ihn mit einer Lösung von 7 g Kaliumacetat
in 1 I, Wasser und dann mit Alkohol von 50%,. Der Niederschlag wird im
Porzellantiegel geglüht und als NaSbO, gewogen.
Zur Prüfung des Verfahrens benutzten wir folgende Lösungen:
A) 3,0787 greinstesund bei 100 ° getrocknetes Natriumnitrat in 297,3 cc
Wasser, 10cc dieser Lösung enthielten also 0,1338 g NaNO, entsprechend
0,3000 g NaSbO,.
B) 33,002 g Kaliumnitrat gelöst in Wasser zu 500cc; in 1cc sind
onthalten 0,066 g KNO,.
Die von uns verwendete Lösung des Kaliumantimoniates enthielt in
10 cc — 0,1246 g KSbO, + 1'/, 1,0.
Mélanges phys, ot chim. T. XIII, p. 80.
(zxxu] ÜBER DIE BESTIMMUNG DES NATRONS NEBEN KALI. 211
Es wurden je 10cc der Lösung von Natriumnitrat und Kaliumnitrat
gemischt und, wie oben beschrieben, verfahren. Da zur Fällung des Natrons
jedesmal 10cc der Kalinmantimoniatlösung benutzt wurden, so betrug das
Gesammtvolumen der Flüssigkeit 30 cc.
Erhalten NaSbO, Gefunden Na,0
direkt, korrigirt. berechnet. korrigirt. berechnet.
1. 0,2825 0,2895 0,3000 0,0471 0,0488
2. 0,2868 0,2938 0,3000 0,0477 0,0488
3. 0,2827 _ 0,2897 0,3000 0,0471 0,0488
4 0,2855 0,2925 0,3000 0,0475 0,0488
5. 0,2932 0,2978 0,3000 0,0484 0,0488.
Wie man sicht fallen die direkten Bestimmungen etwas zu niedrig aus,
weil eben das Natriumantimoniat in Wasser etwas löslich ist. Bringt man nun
eine Korrektur an entsprechend der Löslichkeit dieses Salzes in Wasser, so
fallen die Resultate schr angenähert aus. Man misst zu diesem Zwecke das
erhaltene, wässrige Filtrat und addirt zu dem gefundenen Gewichte von
NaSbO, für jede 100 ce wässrigen Filtrates 0,0233 g NaSbO,. Diese Kor-
rektur beschränkt sich nur auf das wässrige Filtrat, nicht aber auf das
(kaliumacetathaltige) Waschwasser.
Bei den folgenden Versuchen wurden etwas grössere Quantitäten an
Natronsalz benutzt.
6. 15 cc der Lösung von Chilisalpeter gaben 0,4403 g NaSbO,. Das wäss-
rige Filtrat betrug 30 cc.
7. 20 cc der Lösung von NaNO, gaben 0,5954 g NaSbO,. Wässriges Filtrat:
40 cc.
Gefunden NaSbO, Gefunden Na,0.
Direkt, Korrigirt. Berechnet. Korrigirt. Berechnet.
6. 0,4403 0,4473 0,4500 0,0727 0,0732
7. 0,5954 0,6047 _ 0,6000 0,0983 0,0975.
Die erzielte Genauigkeit ist, namentlich für technische Analysen, eine
genügende.
Mélanges phys. et chim. T. NII], p. 81.
(xxxım)] 213
Herleitung einer Formel zur Berechnung von Parallelbogen des Erdellipsoides.
Von A, Bonsdorff. (Lu le 16 Mai 1889.)
Unter den vielen Europäischen Gradmessungen bietet die Mitteleuro-
päische von Orsk bis Valentia ein besonderes Interesse dar, indem sie einen
Winkel von 69° am Pole bildet.
Wenn einer der Hauptzwecke dieser grossen Gradmessung der ist, die
linearen Längen nicht nur derjenigen Bogen des 52° Parallelen, welche den
Längenunterschieden zwischen den einzelnen Astronomischen Stationen ent-
sprechen, sondern auch des ganzen Bogens des Parallelen zwischen den Me-
ridianen Orsk und Valentia zu bestimmen, so ist es vor allen Dingen wichtig
Formeln zur Berechnung von Bogen grosser Ausdehnung zu besitzen.
Die in der Theorie der höheren Geodesie gebräuchlichen Formeln sind
für die Berechnung grösserer Parallelbogen unzweckmässig, weil sie als
Potenzreihen von der kürzesten Linie dargestellt werden und also voraus-
setzen, dass diese Linie eine gewisse Grösse nicht überschreitet.
In dem vorliegenden Aufsatze wollen wir eine Formel geben, die, frei
von der erwähnten Voraussetzung, sich gut eignet den Parallelbogen zwi-
schen Orsk und Valentia aus der Gradmessung zu ermitteln. Eine solche
Formel wird erlangt, indem ein elliptisches Integral dritter Gattung statt
des Längenunterschiedes eingeführt und dann nach Legendre dieses in
eine Reihe von der folgenden Form entwickelt wird:
M,p— M, Sin29-+ M,Sinde—..,
wo æ das Argument des elliptischen Integrales und die M,, M, M,....
convergente Potenzreihen von dem Modul (<< 1) und dem Parameter sind.
Wie bekannt muss zur Bestimmung cines Parallelbogens auf dem
Erdellipsoide eine Triangulation ausgeführt und in dieser durch astrono-
mische Beobachtungen die Breite eines Dreieckspunktes und das Azimuth
einer Seite ermittelt werden. Gewöhnlich bestimmt man das Azimuth der
als Grundlinie dienenden Dreiecksseite (Basis) und die Polhöhe eines ihrer
Endpunkte. Der grösseren Genauigkeit und der Controle wegen misst
man aber nicht nur eine, sondern mehrere Dreiecksseiten, die Azimuthe und
die Polhöhen eines ihrer Endpunkte.
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 95.
214 A. BONSDORFF, HERLEITUNG EINER FORMEL [n. 8. ı
Wenn wir uns nun zwei so bestimmte Grundlinien denken, so können
die in der eben beschriebenen Weise bestimmten Punkte als Anfangs- und
Endpunkte der Gradmessung betrachtet werden.
Die Polhöhen dieser beiden Punkte nennen wir B’und B”, ihren Längen-
unterschied %, die halbe grosse Axe und die Excentricität des Erdellipsoides
a und e. Weiter soll angenommen werden, dass die Gradmessung mögliclıst
nahe in der Richtung des Parallelen ausgeführt sei.
Die Länge P des Parallelbogens soll für die mittlere Breite
B='},(B'+ B”)
ermittelt werden.
Weil die Dreiecke im trigonometrischen Netze im Verhältniss zu den
,„ Erddimensionen sehr klein sind, so können sie als Dreiecke auf der Ober-
fläche einer Kugel, deren Radius
av 1— À
TT @smB
ist, angesehen und nach dem Theorem von Legendre berechnet werden,
wenn von den Winkeln ein Drittel des sphärischen Excesses subtrahirt wird.
Wir können also annehmen, dass das ganze trigonometrische Netz sich auf
dieser sphärischen Oberfläche befindet, und nach der Ermittelung der Drei-
ecksseiten denjenigen Bogen eines grössten Kreises berechnen, welcher zwi-
schen den beiden Endpunkten der Gradmessung liegt. Bezeichnen wir diesen
Bogen mit ®, so wird die lineare Länge: S=rg. Die Berechnung der
sphärischen Coordinaten, indem man den Astronomischen Punkt als Pol an-
nimmt, giebt, ausser den Breiten der Eckpunkte, den Bogen @ eines grössten
Kreises, die Azimuthe T’ und 180°— 7” der Endpunkte dieses Bogens.
Aus den beobachteten Breiten B’ und B” auf dem Ellipsoide findet man
die reducirten Breiten 8” und 8”.
Das sphärische Dreieck, dessen Seiten 9, x, — 8”, x, —8"” und gegen-
überliegende Winkel o, 7’, T” sind, zerlegen wir durch einen grössten
Kreisbogen von © senkrecht auf @ in zwei rechtwinklige Dreiecke. Die bei-
den Theile von o seien ©’ und ©”, die beiden Theile von seien p’ und
@", die leicht zu ermitteln sind, nachdem 8, aus der Formel
kg, = (rer riet
berechnet ist. B, ergiebt sich aus
Br
Bekanntlich ist B, nichts anderes als die geographische Breite des Schnitt-
punktes eines auf die kürzeste Linie gezogenen senkrechten Meridianbogens
Mélanges ınatheın. et astron. T. VII, p. 30.
xx) | ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES BRDELLIPSOIDES. 215
mit dieser Linie, und 7’ und 180° — 7” sind nichts anderes als Azimuthe
des Anfangs- und des Endpunktes derselben Linie.
Die lineare Länge s der kürzesten Linie wird durch die bekannte
Formel
„
. °?
8 — Re | de V 1— e’sin’ B, : sin°q
9
und der Längenunterschied A der beiden Endpunkte durch
1 — tg Po ’ 1— e?sin? B, . sin? @
“sin B, 1-+tg2ß, . sin? @
@'
ausgedrückt.
Entwickeln wir S und s in Potenzreihen nach e, so ergiebt sich mit Ver-
nachlässigung der vierten und höheren Potenzen von e:
N
S—s — € si
ap
Die auf der Kugel aus einer Triangulation ermittelte Länge S des Bo-
gens eines grössten Kreises weicht also von der Länge s der kürzesten Li-
nie um eine Grösse von der Ordnung e’ ab. Die Länge s kann aus ciner
Triangulation nur unter der Voraussetzung, dass die Erdkonstanten bekannt
sind, ermittelt werden.
Um zu unserer Hauptaufgabe überzugehen, setzen wir tg'ß,—=n, esin B,
—=k, V1—k'sin’g=Ap; indem wir uns der Legendre’schen Bezeich-
nung für elliptische Integrale dritter Gattung bedienen, wird dann der Aus-
druck für A
1 — nn (145 ZT (m, (144 JU, k, $)
9" .. (a)
1
4
won, k, o also Parameter, Modul und Amplitude bedeuten.
In der Jakobischen Bezeichnungsweise ist nun
ı __1 * 4q ag? 2 ru 4 q° Sun
Ip ee u K irg‘®
au 1; + __ 298 u
Setzen wir nun 29, 49,... statt — 7 1 ‚. in der ersten Gleichung
und beachten die bekannten Relationen
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 27.
216 A. BONSDORFF, HERLEITUXNG EINER FORMEL (x. 8. ı
De = 1+ 49 + 129 + 329 +. ...
UK
= ++ por rg
so wird
55 = 4 — 24, c08 29 + 4A, cos 49 — 6.4, cos 6 + - (b)
d=l1+s<+i ke kr...
À, = (+5 + k* +... ),
8 15 6
A,= 56 F tn +
— D Le
A = 5553 k° +
In der Entwickelung
I(n,k, 9) = M,o — M sin 29 + A, sin4p......... (6)
haben die Coefficienten M,, M, M,, M, . . .(LegendreTrait& des fonctions
elliptiques) die folgende Zusammensetzung:
M,V1+n=4,— 204, + 4a? À, — 6a° 4, +: -:
— 2M,Vi+-n=a (MVi+n--4)— 24 +404, — 6a 4,+..
1MVIi+n=— (M Vi+n+ 4)—2a4 +414, —6aÀ, +..
— CMVItn= (M VI+n+ 4) — 9204, + 41ad, —64, +.
BMVItrn= a (M VIi+n+ 4,)— 204, + 4074, — bad, +.
—I10M,.Vi+n= 0 (M V1+n+ 4) — 204 + 4094, — Ga À, +.
und allgemein
(— 1)P. 2pM, V1 +n= (M V1-+n+ 4) — 2aP—14, + daP—3 1, —
— 6aP—34,-+ ....
«ist mit # durch die Formel
a = Vl+n—1
Vi+n+i
verbunden.
Multiplicirt man (b) mit dp und integrirt zwischen den Grenzen @ und”,
so wird |
op"
| z — À, — A, (sin 2p”— sin 2P) + A, (sin dp" — sin 49’) —
(4
? [4
— À, (sin 6g"—sin6p)+-::
Mélanges mathcw. et astron. T. VIT, p. 28.
(xxxın)] ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES ERDELLIPBOIDES. 217
Führen wir nun diesen Ausdruck ebenso wie (c), nachdem $ zu @' resp.
9 gesetzt ist, in (a) ein, so ergiebt sich
AVE (iR)
—[M, 1 + E)— 4, |ein 29" — sin 29) +
|
+[24,(1+ + À, | (ein 49" — sin 40) —
— [M, (1+ + +) = 4, |(sin 6?" — sin 6p) —
Die lineare Länge P eines Parallelbogens wird durch die Formel
a cos Bi
P— V1— et sin? B
dargestellt, oder wenn r statt a eingeführt wird durch
rÀ.cos BYi— &sin?B
vi—e ?
Wenn hier der zuletzt angeführte Ausdruck für À eingesetzt wird, so
erhalten wir
P=cosBV1— esin’B- Vor !M (1 + #)— #4 ro —
— [ M, (1 + =) — À, La r (sin 20” — sin 29°) +
+ [Ar, (1 + =) — À, = r (sin 4p” — sin 4’) —
— LA, (1 + =) — A| r (sin 69” — sin Gp) +.
P=
n
oder weil re = 8, g"-—® —
P=cosBV1 —esinB-y rm {La ( (1 + =) À ,15—
—2[M, (1 + + À |r- sin — cos (p +’) +
+2[M, (+ De Jr r - sin 2° cos 2 (9 +) —
1 (+ =): ZA ‚|r- sin 2° cos 3 (p’ +2") +
(F
Die Convergenz dieser Reihe ist um so grösser je kleiner a = tg? 3
oder je kleiner die Breite B, ist.
Wir haben also eine Formel zur Berechnung von P gewonnen, die aus
einem der Länge $ proportionalem Gliede und aus einer Trigonometrischen
Reihe besteht, deren Convergenz von S vollkommen unabhängig ist. Weiter
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 29.
218 A. BONSDORFF, HERLEITUNG EINER FORMEL [N. 8. ı
ersieht man dass, unsere Formel vom Azimuthe unabhängig ist; in der That
ist auch das Azimuth überflüssig, wenn die beiden Breiten 3’ und B” aus
astronomischen Beobachtungen abgeleitet sind. Wäre dagegen die Breite
astronomisch nur in einem der Endpunkte bestimmt, so würde man die
Breite in dem anderen Endpunkte durch die Triangulation ermitteln müssen,
wozu allerdings die Kenntniss des Azimuthes nothwendig ist. Der Bogen
ro — S kann aus einer Triangulation, in welcher die Seiten und Winkel
als bekannt anzusehen sind, ermittelt werden ohne dass das Azimutlı be-
kannt ist; dieses muss aber als bekannt vorausgesetzt werden, wenn die pola-
.ren oder die rechtwinkligen Coordinaten zur Bestimmung der Breiten der
Dreieckspunkte berechnet werden sollen. Es ist also nicht unumgänglich
nothwendig eine Azimuthbestimmung auszuführen um die Länge eines Pa-
rallelbogens zu berechnen; wenn aber das Azimuth wirklich beobachtet ist,
so ergiebt sich eine Bedingungsgleichung die zur Bestimmung der Lothab-
lenkung an der astronomischen Station angewendet werden kann. Die
von Professor Helmert abgeleiteten, ebenso wie andere in der Geodesie üb-
liche Formeln zur Berechnung der Länge eines Parallelbogens enthalten da-
gegen immer das Azimuth; von diesen unterscheidet sich also unsere For-
mel wesentlich.
Wenn das trigonometrische Netz auf eine sphärische Oberfläche vom
Radius Rprojicirt wird, so erhalten wir denselben Werth für S wie vorher,
aber die Amplitude würde dann nicht mehr + sein, sondern eine andere,
®, und zwar so, dass
rp = RP
ist.
Es ist also klar, dass, wenn R und ® in die Formeln für sund P einge-
setzt werden, Werthe von s und P hervorgehen, die sich beträchtlich von
den richtigen unterscheiden können.
Als Beispiel führen wir die Berechnung des Parallelbogens Orsk-Valen-
tia an. Die angewandten Erddimensionen sind die Bessel’schen, nämlich
log a = 6.5148235 toise.
log e = 8.9122052
Nach Hansen (Geodät. Untersuchungen) wurde angenommen
Orsk B’ = 51°12’0",
Valentia 2° = 51°55'0”,
log $= 6.3740211 toise.
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 80.
(xxx) ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES ERDELLIPSOIDES.
Hieraus ergab sich
B = 51°33’30”,
log r = 6.5151512
p = 41°2357"33
eo = — 21°27'19",59
eo = 19056'37",74
log k? = 7.6699686
log n = 0.3666042,
log «= 9.4649596,
A,= 1.0011723, M, = 0.5487835,
A, = 0.0005867, M, = — 0.1597941,
A, = 0.0000002, M, — 0.0233073,
M, = —0.0045398,
M, = 0.0009917,
M, = — 0.0002314,
M, = 0.0000614,
M, = — 0.0000164,
M, = 0.0000044,
M,= — 0.0000012,
M,, = 0.0000003
und endlich
P = 2456622,0 toise.
Für À = 69°3'0” wird die Länge der kürzesten Linie
S= 2361641,9 toise
und also
P—s = 94980,1 toise.
Mélangon mathém. ot astron. T. VII, p. 81.
219
(xxx) | 221
Grundzüge einer mathematischen Theorie der inneren Diffusion des Lichtes.
Von Dr, 0. Chwolson. (Lu le 16 mai 1889)®. ' . :.
| Einleitung, 0.
Unter innerer Diffusion des Lichtes verstehen wir die bekannte, ‘in trüben
Medien, z. B. im Milchglas, auftretende Erscheinung der Lichtzerstreuung.
Zweck der vorliegenden Arbeit ist es zu einer mathematischen Behandlung
dieser Erscheinung den Grund zu legen. Zu :
Ich will es sofort hervorheben, dass eine vollständige Lösung des Pro-
blems vorläufig nicht als möglich erscheint, da dasselbe zu einer Functional-
gleichung führt, die ich hier angeben will. Es sei À die Dicke einer von
zwei unendlichen parallelen Ebenen. begrenzten Platte, à die' Entfernung
eines Punctes M' von der Eintrittsebene des Lichtes, X ein Koefficient, der
stets < 1 ist, @ und p zwei Grössen, die ohne grossen Fehler auch als ‚gleich
angenommen werden können, 8. (3) und (5); ferner sei Ä
FE 4 ° ‘
10, , 4: +,
© : '
= —| ds h(e-2),
x
wo li den Integrallogarithmus
+ . , . ı
8 .
f A
_H()= _ |
TO Fr BE BE il, Lou ‚2. 0m u . ch
bezeichnet. |
_ Die Lichtintensität f (a) i im Puncte M wird, wenn wir ‘von den’ iinereh
Reflexionen an den Grenzebenen absehen, durch die folgende. Gleichung be-
stimmt:
Lt tue t
*) Die vorliegende Abhandlung ist schon im Herbst 1885 Herrn Akademiker A. Gadolin
und mir zur Vorstellung an die Akademie eingereicht worden, wurde aber dann vom Autor
wieder zurückgezogen, um noch einen Versuch zur vollständigen Lösung der Hauptgleichung
zu machen und dann fast unverändert im Herbst 1888 uns wieder zugestellt. Wegen des in-
zwischen erfolgten Erscheinens einer denselben Gegenstand behandelnden Abhandlung von
E. Lommel (Wiedemann’s Annalen Bd. 86) schien mir obige Erklärung nothwendig, welche ich
leider in Abwesenheit meines Collegen Gadolin nur allein abgeben kann. |
St. Petersbarg, 4. Juli 1889. ' Akademiker H. Wüd.' !
Mélenges phys. et chim. T. XIII, p. 88. 15*
222 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8, ı
a
f(a)= er — | f(x) © (pa — pr) dr — + otre mdr
0
Hier kann «==» gesetzt werden. Für unendlich tiefe Platten wäre
h — co. Bisher ist es mir nicht gelungen, die Function f (a) für beliebige
Werthe von 2, K und À zu berechnen.
: Der Inhalt det vorliegenden'Arbeitiist.kurz folgender: : ..: 1...
$ 1 enthält die Darlegung derjenigen:Hypothese über:die physikalischen
Ursachen der inneren Diffusion, welche der ferneren Rechnung zu Grunde
gelegt wird. Diese Hypothese bh wesentlich in der Annahme, dass die
innere Diffusion durch, in die homogene Grundmasse des Mediums. einge-
streute,: Partikelchen erzeugt wird, welche als leuchtende Puncte zu be-
trachten sind, deren Leuchtkraft proportional der'auf dieselben einfallenden
Lichtmenge ist. Die von aussen direct zu dem Puncte M gelangende Licht-
menge 4, ist. durch das erste Glied der. obigen Functionalgleichung gegeben.
…..$ 2-4 enthalten die- Aufstellung der allgemeinen Gleichungen.
: $ G'enthälti die vollständige Lösung der Aufgabe für solche Stellen im
Innern :deri Platte, bis zu denen’ kein Licht von Aussen her direct eindringt,
die also von den Grenzebenen!unendlich weit entfernt sind:. |
“ Jm $ 6 wird 'ein'allgemeiner,; ‚für beliebige Platten gültiger Satz be-
wiesen, ed ae: u. | Le
$ 7—10 enthalten die vollständige Behandlung des Problems für den
Fall, dass die Diffusion überhaupt nicht bedeutend ist.
8 1.
Um eine mathematische Theorie der inneren Diffusion des Lichtes auf-
stellen zu können, muss man eine bestimmte Annahme über die Ursache
dieser Erscheinung zu Grunde legen. Es ist nun wohl einleuchtend, dass
die nächstliegende und auch wahrscheinlichste Annahme darin besteht, dass
in der durchsichtigen Hauptmasse des betreffenden Körpers eine sehr grosse
Menge äusserst kleiner Partikelchen, entweder derselben Masse in modifi-
cirtem Zustande, oder eines völliganderen Stoffes eingestreut sind. An diesen
Partikelchen können die Lichtstrahlen möglicherweise regelmässige Reflexion
oder Zerstreuung erleiden. Es ist auch denkbar, dass die eingestreuten
Partikelchen aus einem an und für sich durchsichtigen Stoffe bestehen,
dessen Brechungskoefficient aber ein anderer ist, als derjenige der Grund-
masse.
Die geometrische Form der eingestreuten Theilchen kann eine in hohem
Grade verschiedenartige sein, doch ist es gewiss sehr wahrscheinlich, dass
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 84.
(XXXH1)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 223
für die Gesammtheit einer grossen Menge solcher Theilchen im Durchschnitt
eine, nach allen Richtungen im Raume hin, gleichförmige Oberflächenver-
theilung resultiren wird. In diesem Falle wird die optische Wirkung dieser
Gesammtheit wesentlich dieselbe sein, als wie in dem Falle, wo sämmtliche
Theilchen Kugelgestalt haben. Es ist nicht unmöglich, dass in.einigen Fällen
die eingestreuten Partikelchen wirklich kugelförmig sind: wenn nämlich so-
wohl die Grundmasse, als auch die Partikelchen zu irgend einer Zeit in flüs-
sigem Zustande sich befanden.
Es sei im Weiteren o der Radius eines der eingestreuten Theilchen und
r° dasjenige Volumen, innerhalb dessen durchschnittlich je ein solches Theil-
chen sich befindet. In dem Volumen v befindet sich also v/r? Theilchen.
Denken wir uns die sämmtlichen Theilchen als absolut schwarz, d. h. un-
durchsichtig und nicht reflectirend und bezeichnen für diesen Fall, der offen-
bar dem absoluten Mangel an innerer Diffusion entspricht, mit « den Absorp-
tionskoefficient der Substanz des Körpers. Sind die Theilchen in sehr grosser
Menge vorhanden, so wird « gross sein und eine verhältnissmässig dünne
Platte des betreffenden Stoffes wird bereits undurchsichtig erscheinen. Findet
eine innere Diffusion des Lichtes statt, so wird das Licht offenbar viel tiefer
eindringen; in einem idealen Grenzfalle, den wir später betrachten: werden;
würde das Licht sogar mit constant bleibender Intensität immer tiefer ein-
dringen, d. h. der Absorptionskoefficient wäre gleich Null.
Nehmen wir vorerst an, es finde keine innere Diffusion statt, die einge-
streuten Partikelchen seien also völlig schwarz. Ist das Letztere bei einer
beliebigen Platte der Fall und tritt normal zur Oberfläche derselben Licht
von der Intensität Z, ein, so wird in einer Tiefe x das Licht die Intensität
haben. Wir können leicht einen Ausdruck für & als Function von p und r
aufstellen. Es ist klar, dass jedesmal, wo x sich um die Länger vergrössert,
die Intensität Z sich um einen Theil verringert, der gleich ist dem Verhält-
niss der von der Projection eines Theilchens occupirten Fläche xp? zu der
gesammten Fläche r*, auf welcher Ein Theilchen sich befindet. Es ist also
— 2
ee" =l—ar—=| — +
und hieraus
2
EE , (2
Eine ganz analoge Entwickelung findet sich bei Clausius «Über die
mittlere Länge der Wege u. s. w.» Pogg. Ann. 1858, Bd. CV, $ 5 (Ab-
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 85.
224 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8.1
handlungen über die mechanische Wärmetheorie 1867, zweite Abtheil., Ab-
handl. XV, pag. 269). |
Um zur Aufstellung möglichst allgemeiner Formeln zu gelangen, wollen
wir die Absorption des Lichtes in der Grundmasse selbst, also z. B. beim
Milchglase, in dem reinen Glas, ebenfalls in Betracht ziehen, und es sei ß
der betreffende Absorptionskoefficient. Setzen wir . ï
p=a-+ß..., ernennen (3)
so ist (1) durch _
+
3 .? +, 0 dot, 1 ._
zu ersetzen. In den meisten Fällen wird wohl ß im Vergleiche mit « sehr
klein sein und werden wir daher oft
annehmen können.
Wir wenden uns zu der wichtigsten Frage — welche Annahme ist zu
machen über die. Art, wie die Zerstreuung des.Lichtes an den eingestreuten
Theilchen stattfindet? Die 2
einfachste Annahme ist
offenbar: jedes dieser
Theilchen kann als
leuchtender Punct be-
trachtet werden, des-
sen Lichtintensität ?
proportional ist der
gesammten auf das-
selbe einfallenden
Lichtmenge und des-
sen Leuchtkraft nach }
allen Seiten. hin die-,
selbe ist.
Auf verschiedene Weise
lässt sich zeigen, dass die-
se Annahme der Wahrheit
nahe kommt, besonders in
- Schichten, welche nicht zu
nahe an der beleuchte-
ten Oberfläche der Platte
liegen. | Fig. 1.
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 86.
axxum] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 225
Sind die eingestreuten Theilchen absolut und regelmässig reflectirende
Kugeln, so ist obige Annahme völlig richtig. In der That, es sei Fig. 1, A
die betrachtete Kugel, auf welche in der Richtung BO parallele Strahlen
fallen. Die Lichtmenge MNCE, welche beim Auftreffen auf die Kugel-
oberfläche mit der Normale einen Winkel zwischen & und @ + dp bildet,
ist proportional dem Producte der Zonenfläche CEFG mit cos à, oder pro-
portional sin .dp.cos —=Y,sin 29.dp—="/, sin Y.dp, oder, einfächer,
proportional sin Y, wo ) = 2@. Diese selbe Lichtmenge wird reflectirt (CD)
in einer Richtung, die mit der Axe BH die Winkel von à bis + dub bil-
det. Die von der Kugel in der Richtung zwischen Ÿ und) + dı) reflectirte
Lichtmenge ist also proportional sind — genau ebenso, ‘als wäre die Kugel
ein leuchtender Punct, welchen wir uns in O denken können, wenn der Ra-
dius der Kugel sehr klein ist im Vergleiche mit den Entfernungen OX der-
jenigen Puncte X, in welchen wir die durch A hervorgerufene ‘Beleuchtung
betrachten werden. Es könnte im ersten Augenblick befremdlich erschei-
nen, dass eine einseitig beleuchtete Kugel nach allen Richtungen im Raume
gleichviel Strahlen aussendet; man darf eben nicht vergessen, dass wir die
Annahme einer absoluten Reflexion zu Grunde gelegt haben, ‘welche ein
nach allen Richtungen gleich gut sichtbares Spiegelbild der ursprünglichen
weit entfernten Lichtquelle liefert. Ausserdem betrachten wir die Kugel
aus einer Entfernung, die gross ist im Vergleiche mit dem Radius derselben.
Schon Lambert (Photom., pag. 300 u. f.) hat auf diese Eigenschaft einer
«perfecte reflecten» Kugel aufmerksam gemacht. Dass wenigstens bei dem
von mir untersuchten Milchglase, an den eingestreuten Theilchen auch
Reflexion stattfindet, beweist ein früherer Versuch (Photometrische Unter-
suchungen über die innere Diffusion des Lichtes. Mélanges phys. et chim.
T. XII, p. 475—545). Es zeigte sich (1. c., p. 513 und 515), dass, wenn
auf eine Milchglasplatte in der Einfallsebene völlig polarisirtes Licht fällt
und die Dicke derselben eine gewisse Grösse übersteigt, indem düstretenden
Lichte keine Spur von Polarisation zu bemerken ist (ausser der auch bei
einfallendem natürlichen Lichte beobachteten). Wird die Dicke der Platte
soweit verringert, dass z. B. bei normal auffallendem polarisirtem Lichte,
im normal austretenden sich die ersten deutlicheren Spuren von Polarisation
zeigen, 80 zeigen sich ebensolche Spuren gleichzeitig auch in dem nach allen
anderen Richtungen austretenden Lichte (1. c.,.p. 517). Dies wäre unmög-
lich, wenn an den eingestreuten Theilchen gar keine Reflexion stattfände.
Findet Zerstreuung des Lichtes an der Oberfläche der Theilchen statt und
wird das Licht ausserdem vielleicht auch durch die Theilchen hindurch ge-
brochen, so würde bei einseitiger Beleuchtung allerdings das wieder aus-
gesandte Licht nicht nach allen Richtungen gleiche Intensität haben. In
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 87.
226 DR. 0. OHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N. 8.1
grösserer Tiefe, d..h. Entfernung von der beleuchteten Oberfläche der Platte,
wo die directe Beleuchtung der Theilchen vernachlässigt werden kann und
jedes Theilchen nur von den umliegenden beleuchtet wird, also von allen
Seiten Licht empfängt, dürfte das wieder ausgestrahlte Licht wohl ohne
Zweifel sehr nahe gleichförmig nach allen Seiten hin vertheilt sein. Die
durch die Theilchen hervorgerufenen Diffractionserscheinungen werden je-
denfalls die Gleichförmigkeit der Lichtvertheilung vergrössern.
Wir wollen im Folgenden annehmen, dass die beleuchteten Theilchen
als leuchtende Puncte zu betrachten sind und es sei # die Lichtintensität
derselben d. h. die in der Einheit der Entfernung auf die Flächeneinheit
fallende Lichtmenge. Ferner sei Z die Intensität des Lichtes, durch welches
das Theilchen beleuchtet wird, d. h. die auf die Flächeneinheit desselben
einfallende Lichtmenge.
Um 3 durch I. ausdrücken zu können, müssen wir noch eine besonders
wichtige Grösse einführen. Die von einem Theilchen wieder ausgestrahlte
Lichtmenge wird stets einen gewissen Bruchtheil der gesammten aufgefallenen
Lichtmenge bilden; dieser Bruch, das Albedo der Theilchen, sei mit X be-
zeichnet. Die einfallende Lichtmenge ist gleich Irp?, die ausgestrahlie Ari.
Die Gleichung
| | 4ri = KIne’
Bien 2
. 2
Luce... (D)
Es ist wohl festzuhalten, dass © und J in Bezug auf die Längeneinheit
von verschiedenen Dimensionen sind.
‚Die Grösse # besteht aus zwei Theilen: der erste rührt von der direct von
aussen eindringenden Beleuchtung her, welche durch (4) ausgedrückt wird;
der zweite verdankt seine Entstehung der Beleuchtung durch die Gesammt-
heit aller. übrigen Theilchen, In grösserer Tiefe, .wo der erste Theil ver-
schwindend ist, kann der zweite noch eine selır bedeutende Grösse haben. _
‚.. Vernachlässigen ‚wir die Absorption in der Grundmasse, d. h. setzen wir
8 =; 0 und. nehmen wir den extremen. Fall, dass das Albedo X = 1 ist, dass
also gar kein Licht verloren geht, so müssen wir in grösserer Tiefe # = const.,
d. h. unabhängig von der Tiefe, erhalten. Es sind also, s. (5),
RE 0 |
K=1 und eererererere nn (8)
| I — const.
zusammengehörige Grössen. Ä
. In Wirklichkeit wird stets X < 1 sein und also à mit wachsender Tiefe
% kleiner werden. Das Sinken von 5 wird aber jedenfalls langsamer vor sich
Melangos phys. et chim. T. XIII, p. 88.
(xxxım)] . THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 227
gehen, als nach dem Gesetz (4). Sollte also unter irgend welchen Umständen
$ als Function von z von der Form
sein, so wäre jedenfalls
zu setzen. Auch ist es a priori klar, dass je grösser K ist, je stärker
also jedes Theilchen von den Übrigen beleuchtet wird, desto kleiner der
Bruch —- und desto langsamer die Änderung von i vor sich gehen muss.
Der Grenzfall X— 1 giebt, s. (8), 5 = const., d.h. m=0.
8 2.
Wir wenden uns zur Aufstellung allgemeiner Formeln für die Lichtbe-
wegung in einer Platte, in welcher innere Diffusion stattfindet. Es sei, wie
oben, # die Leuchtkraft eines der eingestreuten Theilchen, dessen Coordi-
naten x, y, 2 sind. Wir setzen
i—f(t,y,#)........... ....1 (10)
Ein speciell zu betrachtendes Theilchen M habe die Coordinaten a, b, c
und die entsprechende Leuchtkraft f (a, b, c). Diese Grösse rührt erstens
von dem directen Eindringen der Strahlen in den Körper her und wollen
wir uns hierbei mit der Betrachtung des Falles begnügen, dass parallele
Lichtstrahlen auf die ebene Oberfläche des Körpers auffallen. Ist I, die
Intensität dieser Strahlen an der Oberfläche nach ihrem Eindringen und
R, die Entfernung des Theilchens M von der Oberfläche in der Richtung
der Strahlen, so wird der erste Theil von f (a, b, c) durch Combination von
(4) und (7) erhalten. Nennen wir ihn ?,, so ist
Der zweite Theil von # verdankt seine Entstehung ‚der ‚Beleuchtung
durch die Gesammtheit aller übrigen Theilchen, Er ‚besteht. wiederum aus
zwei Theilen: i,, herrührend von der directen Beleuchtung der, Theilchen
(a, b, c) durch die Übrigen und i,, herrührend von dem an der Oberfläche
reflectirten Lichte. [Ist die Platte durchscheinend, so kommt zu dem ersten
Theile, i,, noch Einer hinzu, hervorgerufen durch die an der einen Ober-
fläche eingedrungenen und an der anderen reflectirten Strahlen].
Um i, zu berechnen, bezeichnen wir mit R die Entfernung des Punctes
(a, b, c) von dem Volumenelement dv, dessen Coordinaten (x, y, 2) sind, und
in welchem jedes Theilchen die Leuchtkraft f (x, y, #) besitzt. Die Anzahl
dieser Theilchen ist offenbar
1 ,Mdlanges phys. et chim. T. XIII, p. 89.
228 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8.1
de
z<
und es kann also dv als mit der Leuchtkraft
D f (9,9)
begabt angesehen werden. Die in (e,b, c) durch dv hervorgerufene Beleuch-
tung ist also gleich
| | —9R
Po L fe, y, 8). a
tail N ve. .
Setzen wir diese Grösse statt I in (7), so erhalten wir den durch dv er-
zeugten Theil von $,:
dv
Kp? pp
Zsfl@a,y,2). - R?
und folglich die Gesammtgrösse i,, wenn wir noch (2) berücksichtigen:
een. “à
die: Integration über das ganze Volumen ausgedehnt.
‚ Der von der Reflexion an der Oberfläche herrührende Theil i, wird ge-
funden, wenn wir in (12) R durch R, + R,ersetzen, d. h. durch die Summe
der Längen des von dv bis zur Oberfläche hingehenden und des von der
Oberfläche nach M reflectirten Strahles und die Function unter dem f Zei-
chen mit F, (p) multipliciren, wo p der Reflexionswinkel und F die nach
den Fresnel’schen Formeln bestimmte relative Intensität des innen reflec-
tirten Strahles sind. Also
u —p(R, + B,)
= Efron) EE, (9). do poses (13)
Endlich ist
u i—=f(a,b,c)=ti Huth. ........... (14)
In grösserer Tiefe, wo das directe Durchscheinen aufhört, sind £, und i,
zu vernachlässigen und es bleibt nur i—i,, 8. (12).
Es dürfte wohl nicht überflüssig sein, die Richtigkeit der Formel (12)
dadurch zu prüfen, dass, wenn ß=0 und k= 1, also f (x, y, #) = const.
= 4, sind, 8:'(8), für die Leuchtkraft # des Punctes (a, b, c) dieselbe Grösse
i, erhalten werden wird. Führen wir Polarcoordinaten (R, ®, Ÿ) ein, mit
dem Anfang in (a, b, c), so wird dv= R® sin @.dp.dbdR und (12) giebt
| | On pr p2r
ir ak e— PR R1 sin o dRdpdy
7 0° 4nr R?
0 o vo
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 90.
(xxxum)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LIORTES. 229
oder
. aK Ar
= Ar | ra
was bei 8 = 0, d. h. p — « und K = 1 in der That i — 1, ergiebt.
8 3.
Um weiterhin Abschweifungen zu vermeiden, sollen hier einige auf den
Integrallogarithmus bezügliche Formeln angeführt werden. Nach Soldner’s')
Vorgange nennt man Integrallogarithmus und bezeichnet mit 4 (+) die
Function
hi (2) |: Ts de.
Wir werden nur mit dem Falle s < 1 zu thun: zu haben. Setzt man
2=e ”, soerhältman eine Function, die wir durch w (x) bezeichnen werden:
co
onen | de soso (15,8)
Es ist
x? CR at
fo@)=lgr-2+ 577 — 5138 Tiissi "+0 Le (15,b)
| 5 (0) —— 00 ;0(&)=0. ot D.
clim [I+5+5 ++. + 4180] = 0,5772156640. (15,c)
Soldner hat (l. c., pag. 43) die Function ii (e) für die Werthe von £
zwischen 0 und 1 berechnet und zwar für # — 0,01 — 0,02 — 0,03 u.s. w.
im Ganzen 100 Zahlen, die natürlich alle negativ sind. Mit wachsendem
x nähert sich w (x) so schnell der Null, dass zw(z) und sogar € (x) für
æ—= oo den Grenzwerth Null haben. Bei z— 0 wird w (x) unendlich wie
ge. Wir merken folgende Formeln:
LA = 2 . a Er er nn. (6,
mu _ dors ...: (15,e)
lim [z- @ @]= D.............. ... (15,f)
1) 3. Soldner «Théorie et tables d’une nouvelle fonction transcendante» München 1809,
pag. 7.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 91.
230 DR. 0. OHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISOBEN [n. 8. ı
lim [z-0 @]= 0 déreeseeeseessees (15,8)
lim 0 @]|=0 | 1:7 1\
lim Le"? @ = 0 (m<p).......... (15,i)
lim Lo (mx) — on) =18 Lee + (5,k)
lim [o @) — 182] =c(= 057721...) .... (15,1)
Iim[o ma) —Igne]=c+H1g%......- (15m)
| MS). (m)
| dx = Q(pn) — (pm) ......... (15,0)
Alle diese Formeln sind leicht abzuleiten; am einfachsten indem man
für.sehr kleine z einsetzt w (x) = lgz + c. Für die Grösse w (a — x) habe
ich drei Entwickelungen gefunden, auf deren eventuelle Anwendungen weiter
unten nur hingewiesen werden wird. Ich führe die Formeln daher ohne Be-
weise an.
Durch Entwickelung des Integrales
oo .
e—
| Fr Lune u
a
il DE \
gelangt man leicht zu den Formeln:
on — Werden, (a), | (6)
re ce un!
ne) or an N) rss
19
0 — a) = à (2) — € ra Si (a), (16)
, )
a an ri a +2
Ben Ge
Mélangos phys. et chim. T. XIII, p. 92.
(xxxm)] THBORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES, 231
Zerlegt man w (a-— x) direct nach dem Taylor’schen Satze und beach-
tet, dass der n-te Differentialquotient
(Lee ne" en(n—1)2 "+... +n(n—1)... 3.2. 1|=
CO
= Sr | e " "de
x
ist, so erhält man
© ;) = 0 (a) — Siné | de = 00 —
— D res le), (16,c)
Ba) = "+ na + n(n—1)a" +0 (n—1)(n—2)0" +...
+n(n—1)...3.2.1
se,
Wir wenden uns nun zur speciellen Betrachtung der inneren Diffusion
in einem Körper, der durch eine unendliche Ebene begrenzt wird, in welche
das äussere Licht mit der überall gleichförmigen Intensität I eintritt. Es
sei & die Entfernung eines Punctes von der Oberfläche; dann kann i— f (x)
gesetzt werden, da in allen Puncten einer zur Oberfläche parallelen Ebene
die Leuchtkraft der eingestreuten Theilchen gleich gross sein wird. , Ein
specieller Punct sei durch æ = a characterisirt. Setzt man, s. (14),
L * , L]
. „I : s, | “+ ee | *{ ’
ICE His... .. (17)
so ist, 8. (11), wenn das Licht _L zur Oberfläche auffällt,
zer nel. ....... fosoosee (18,3)
Bildet das auffallende Licht nach der Brechung mit der Normale zur
Oberfläche den Winkel ß,, so wird
= IE op rn ... (18,b)
Um $, zu finden, berechnen wir zuerst die Beleuchtung eines Theilchens
M, Fig. 2, durch eine unendlich dünne, der Oberfläche parallele Schicht.
Es sei 3 die Dicke dieser Schicht und # die Entfernung derselben von M.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 08.
232 DR. 0. OHWOLSON, GRUNDZÜGR EINER MATHEMATISOHEN [n. 8. ı
Ein Element dv der Schicht habe die Polarcoordinaten (r, 4), sodass
do = rd .dr.3 ist. Ist #’ die Leuchtkraft der Theilchen in der Schicht,
y dv
+ = eme
M
Fig. 2.
so erhalten wir für die, durch die ganze leuchtende Schicht hervorgerufene
Leuchtkraft di, des Theilchens M, nach (12), den Ausdruck
u \
1, —0R # —pR
. d,= z| | R— TE ? rd) -ar-3- == «| D E rdr. . (18,c)
=0*ræ=0 , r=0
Nun ist aber Er is rdr — RdR und für r = 0 ist R = 3; also’ Ä
O0 00
enge ad | er PpR aKëÿ| e-V
di,= 7 [an 2 | y dy
, tt Ze 8 '
So.gross ist also die Leuchtkraft eines Theilchens, welche
hervorgerufen wird durch eine, in der Entfernung 3 von ihm be-
findliche unendliche Schicht, deren Dicke 8 ist und in welcher
die eingestreuten Theilchen die Leuchtkraft 5” haben.
Hier haben & und p die in (2) und (3) gegebene Bedeutung; X ist das
Albedo der Theilchen, s. (7).
- Es sei nun, Fig. 3, PQ die Oberfläche der Platte; AB eine Schicht;
OC=x, OM==a. Dann haben wir in (19)
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 94.
(xxxm)] THBORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 233
und für
4a>%..... #—=aG—X%
a<LT..... B—=ZT— 0
zu setzen. Es ist also
a h
| No Be pds =) f@)u(pz-po ds, .. (20)
z=0 s=6
wo À die Dicke der Platte ist.
Da die in (13) auftretende Function F .@ sich, nicht in solche Form
bringen lässt, dass die Integrationen ausführbar würden, wollen wir ganz
kurz
| i : — Ref.
symbolisch ausdrücken.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 05.
234 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINBR MATHEMATISOHEN [n. 8. ı
Um jedoch weiter unten einen wichtigen Satz beweisen zu können, müssen
wir die Form der Grösse i, aufsuchen. Es sei (Fig. 4) PQ die Oberfläche
der Platte; AB eine Schicht und A’B’ das Spiegelgebild derselben. Dann
ist in (13) R,+ R, = MC+ CD = MD =R. Genau, wie in (18,c) er-
halten wir
oO .
di,— 22 Ce FÜ yrär F,(@)
r=0
Es ist P=er-+-(« + a); RaR = = rdr.
Ferner ist 3 = de und cos p = ">= ru
Setzen wir also F(9)=F (52), so wird
co
__ akt e? px + pa
di, 7 de | F (AE) aR
&+a !
09
ut, di, N d5 | y (2222) dy.
pz+pa
Nebenbei sei bemerkt, dass für 8 < 1 — nf (wo: n < 1 der Brechungs-
exponent ist), F von der Form ist: | |
n"—1-+ 5° — | + ı [YR-1+ st, — ns Il
F() = Vaste) 2m
Für s> 1—n" ist F(s) = const. = 1.
Setzen wir nun
y
(os)
5 F (Frr\ay= Q (pc +- pa),
pz+pa
so wird zh
di, = in Q (px +- pa) dx
und endlich
Refl.=1,= re Q(pz+pa)dx. ...... (20.2)
æ=0
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 96.
(xxxım)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 235
Setzt man in Q statt x und a die Grösse k— x und h-—d, so erhält
man i,, herrührend von der Reflexion an der anderen Oberfläche; % ist hier
die Dicke der Platte.
(17), (18, a), (20) und (20,a) geben nun die Hauptgleichung für deu
betrachteten Fall der inneren Diffusion in einer ebenen Platte:
= RE er 5 | f(@) o (pa— px) de —
N...)
h
_ #/ro © (px — pa) dx -+ Refl.
Fällt das Licht unter dem Winkel ß auf die Platte, so ist das erste Glied
rechts durch (19, a) zu ersetzen. Ist die Platte so dick, dass durch die
Schicht À — a kein Licht direct durchgestrahlt werden kann, so kann in
dem dritten Gliede als obere Grenze der Integration A — co gesetzt werden.
Der Gleichung (21) kann, auch bei = oo und bei Vernachläs-
sigung des letzten Gliedes, durch eineFunction f (a) von der Form
Ae "" nicht genügt werden.
85.
Wir wenden uns zur Betrachtung eines Specialfalles, für welchen die
vollständige Lösung keine Schwierigkeiten verursacht. Wir wollen die
Lichtbewegung innerhalb einer so dicken Platte untersuchen,
dass für die in Betracht kommenden Puncte derselben beideOber-
flächen als unendlich entfernt anzunehmen sind.
Da in (21) x und a die Entfernungen von der einen Oberfläche bedeuten,
so ist es besser für diesen Fall selbstständige Gleichungen aufzustellen. Es
möge jetzt in Fig. 3 PQ eine beliebige Ebene constanter i bedeuten und
soll sie uns nur dazu dienen, um von ihr aus die z und a zu rechnen. Die
Grösse = f (a)reducirt sich auf i,. Dieselbe Betrachtung, die uns von (19)
zu (20) führte, ergiebt nun für $ — i, in diesem Falle einen Ausdruck, der
sich von (20) nur durch die Grenzen unterscheidet; statt o und A werden wir
— 00 und -+ co zu setzen haben und erhalten so
f)=— 7 | f(@) © (pa — pa) de — “À | f(x) o (px — po) dr. . (22)
— CO a
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 97. 16
236 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHRMATISCHEN [n. 8.1
Dieser Gleichung genügt eine Function von der Form
ebene PQ; wird diese verschoben, so ändert sich nur der Coefficient A.
Setzen wir in (22) im ersten Integral a—x=y, im zweiten z — 4
= y, 80 wird
f(a = #re-nema- | renouer
0 0
Hier giebt nun der versuchsweise Ansatz (23):
[ee] [ee]
arme que | © (py) u al
| j 0 0
Kürzt man diese Gleichung, so bleibt
|”. (py) an nn (24)
Da die Grösse a sich weggekürzt hat, so genügt also der Ansatz (23) in
der That der Gleichung (22). Zur Bestimmung von m dient die Gleichung (24).
Um die beiden Integrale in (24) zu berechnen, setzen wir, als untere
Grenze, e statt o und gehen dann erst zur Grenze = über. Es ist bei
partieller Integration, s. (15, e, ?, k, n),
© (pY) my
m e y
| (py) dy =
00 00
11 e-(pmy _ w (pi) eme
6
+ Lo (ps — me).
oO 08
Kan sans
€
m y m
[rem Hans
— + © (ps + me).
Mélanges phys. ot chim. T, XIII, p. 98.
(xxx) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 237
Setzen wir jetzt e== 0, so wird
(ee) C9
| op) dy= À 16 2=" ; | yet
0 | 0
Endlich giebt (24)
2 _ 1 p—m
a m lg p+m
oder
a X py+m _
Em = me nennen (25)
Diese Gleichung bestimmt also den Exponenten m, d. h. den
Absorptionscoefficienten innerhalb der Platte an Stellen, die
weit genug (s. 0.) von den Oberflächen entfernt sind.
Hier ist «, der Absorptionscoefficient für den Fall, dass alle Theilchen
schwarz sind, durch (2) gegeben; p, s. (3), unterscheidet sich sehr wenig
von & und X ist das Albedo der Theilchen.
Setzen wir « =7, d. h. vernachlässigen wir die Absorption in der Grund-
masse, so können wir (25) in die Form
bringen. Diese Gleichung bestimmt das Verhältniss — der bei-
den Absorptionscoefficienten als Function des Albedo der einge-
streuten Theilchen.
Ist K= 0, d. h. sind die Theilchen absolut schwarz, so erhält man aus
(26) m — 9», wie selbstverständlich.
Setzt man m = 0, d.h. à = const., so wird, da lim [+ ke |= == 2 ist,
K = 1, wie es auch sein muss. Für alle anderen Werthe von Æerhält man
für _. einen echten Bruch.
Ehe wir zu einer näheren Untersuchung der Formel (26) übergehen,
wollen wir die Bedeutung des Bruches —- oder richtiger des Bruches À —
(>1) klarlegen und einige neue Termina einführen. Die Grösse p wäre der
Absorptionscoefficient der Platte für den Fall, dass die eingestreuten Theil-
chen völlig schwarz wären. Wir wollen der Kürze wegen diese Platte als
agraue Platte» bezeichnen. Findet innere Diffusion statt, so werden wir
die Platte weiss nennen. In der grauen Platte findet die Verminderung
der Lichtstärke nach dem Gesetze e”?” statt, ist also durch px bestimmt.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 99. 16*
238 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N. 8.1
Wir wollen nun x die geometrische Tiefe, px dagegen die optische Tiefe
eines Punctes der grauen Platte oder einer Ebene nennen. In gleiche op-
tische Tiefen dringt also bei allen grauen Platten gleich viel
Licht. Für das Innere der weissen Platte sei ebenso my die optische Tiefe
von irgend einer Anfangsebene aus gerechnet, wenn y die geometrische Tiefe
ist. Die Grösse € "Ÿ misst zwar eigentlich die Leuchtkraft der eingestreu-
ten Theilchen, doch ist diese proportional der an den betreffenden Puncten
vorhandenen Gesammtbeleuchtung. Es seien nun x und y solche geometri-
sche Tiefen der grauen und der weissen Platte, welche gleichen optischen
Tiefen, d. h. gleichen Lichtschwächungen entsprechen. Dann ist
Pr = my
oder
£ — _ ses osee (27)
Die Zahl À zeigt also an, um wieviel tiefer ein gegebener
Bruchtheil der anfänglichen Beleuchtung sich in der weissen
Platte fortpflanzt, als in der grauen.
Wie man aus (26) sieht, hängt diese Zahl nur von X ab, ist aber von
p unabhängig, d. h. also unabhängig davon, ob die lichtzerstreuenden Theil-
chen mehr oder weniger dicht gelagert sind.
Denken wir uns eine Reihe von Platten, in denen in allen die
Theilchen dasselbe Albedo X haben. In allen diesen Platten wer-
den die Puncte gleicher optischer Tiefe (von einer beliebigen
inneren Ebene aus gerechnet) um gleichviel mal, nämlich um
Æ mal tiefer liegen, als in don entsprechenden grauen Platten.
Es folgt dies sofort aus der Gleichung y = x.
Um die Abhängigkeit der Zahl von K zu zeigen, genügt es für eine
Reihe von Werthen des Bruches — die zugehörigen X zu berechnen. Für
sehr kleine T erhält man aus (26)
Daraus folgt bereits, dass X sehr nahe gleich 1 sein muss, damit die
Zahl À gross sein kann. Aus (26) berechnet sich die folgende Tabelle
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 100.
(xxxum)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 239
Tabelle L
do der ei
Tiefe in d. weissen PI. Albedo der eingestreuten
p
Abs.-Coeff. in d. weiss. Pl. |” Tiefe in d. grauen pi. Theilchen X
Abs.-Coeff. der grauen PI. |[Die beiden Tiefen entsprechen gleichen
Lichtschwächungen.)
0 ” 1
6 (sehr klein) = (sehr gross) 1 — + eg
. 0,99996667
. 0,9967
.. 0,9864
.. 0,9692
.. 0,9442
..0,9102
. 0,8656
Das anfänglich so überaus langsame Sinken der Zahlen K führt zu dem
interessanten Satze:
Nur wenn das Albedo der eingestreuten Theilchen sehr gross
(sehr nahe gleich Eins) ist, d. h. wenn sie fast alles empfangene
Licht wieder zerstreuen, wird die Lichintensität innerhalb der
weissen Platte merklich langsamer abnehmen, als das von Aussen
her in eine graue Platte eindringende Licht mit der Tiefe ge-
schwächt wird.
Damit die Abschwächung im ersten Fall 100mal langsamer vor sich
gehe als im zweiten, dürfen die Theilchen nur 30.006 des empfangenen Lich-
tes absorbiren; 10mal langsamere Abschwächung findet statt, wenn etwa
=. absorbirt wird; es muss mehr als 0,9 wieder ausgestrahlt werden, um
eine nur 2mal langsamere Abschwächung zu erhalten; absorbiren die Theil-
chen 0,387 des empfangenen Lichtes, so geht die Abschwächung innerhalb
der weissen Platte nur um _ langsamer vor sich, als in der grauen und
nur um Rn langsamer, wenn 0,626 absorbirt wird.
Mélanges phys. et chim. T. XIIT, p. 101.
240 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8.1
8 6.
Wir wenden uns wiederum zur Betrachtung einer Platte von der end-
lichen Dicke h; die Grösse ph werden wir die optische Dicke bei feh-
lender Diffu sion nennen (wären die eingestreuten Theilchen absolut
schwarz, also die Platte «grau», so würde der e ?*te Theil des auffallenden
Lichtes hindurchgehen, wenn die Reflexion an den Oberflächen nicht gerech-
net wird). Ebenso soll px «die optische Tiefe» eines Punctes sein, der
sich in der Entfernung x von der Oberfläche befindet. Für die Leuchtkraft
eines Theilchens, für welches z = a ist, fanden wir, s. (20,8) und (21):
= fü)= re? — | f(x) à (pa— pr) dx —
9 .. (29)
h co
— K| f(x) w(Px—pa) dx + — K| f(x) Q (px+ pa) dx
Wir wollen nun einen, besonders für die Experimentaluntersuchung,
wichtigen Satz beweisen, welcher gültig ist für den Fall, dass man ß im
Vergleiche mit « d. h. die Absorption des Lichtes in der Grundmasse ver-
nachlässigt — was wohl stets erlaubt sein dürfte. Es ist dann « — 9, 3. (5).
Der Satz lautet:
Verschiedene Platten mögen bei fehlender Diffusion von
gleicher optischer Dicke sein (pk =ph =9p, h = :-.:: , Z. B. alle
Platten nach einer Seite von unbegrenzter Dicke, À— oo); K sei in
allen Platten dasselbe und ebenso die Intensität Z des in die Ober-
fläche eindringenden Lichtes. Dann findet in gleicher optischer
Tiefe (pa—=p; 4 —=9p,4a,—=::.:) in deu verschiedenen Platten die
gleiche Beleuchtung I statt. Kürzer ausgedrückt: in solchen Platten
ist Z eine Function von ap:
I — F(ap) ns . (30)
Da dies für das erste, von der directen Bestralilung herrührende Glied
von #, 8. (29), selbstverständlich ist, so liegt die Bedeutung des Satzes da-
rin, dass in gleicher optischer Tiefe paauch die Beleuchtung eines
jeden Theilchens durch alle übrigen und durch das an der Oberfläche re-
flectirte Licht die gleiche ist. Die verschiedenen Platten können sich so-
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 102.
XXxIN)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 241
wohl durch die Grösse der eingestreuten Theilchen, als auch durch die
Dichtigkeit der Einstreuung unterscheiden.
Rein physicalisch ist der Satz so zu verstehen, dass wenn die Theilchen
grösser oder dichter (oder beides) genommen werden, so wird ein Theilchen
M von den zunächst benachbarten zwar stärker beleuchtet, von den weiter
entfernten dringt aber weniger Licht.
Beweis des Satzes. Man kann sich die Leuchtkraft $ auf eine Weise
entstanden denken, welche analog ist den sogenannten successiven Influenzen
in der Electrostatik. Ein bestimmtes Theilchen M wird zuerst direct von
Aussen her beleuchtet, wodurch ein Theil von $ entsteht, welcher durch das
erste Glied in (29) repräsentirt wird und welchen wir früher mit s, bezeich-
net haben. Wir wollen ilın jetzt mit f,(a) bezeichnen, so dass also
f, (a) = FE a ............. (30)
ist. Mit dieser Leuchtkraft wird nun jedes Theilchen von allen übrigen be-
leuchtet, wodurch zu f,(a) eine neue Grösse f,(a) hinzutritt. Diese hinzuge-
kommene Lichtstärke f, kann nun als neue Beleuchtungsquelle angesehen
werden und indem jedes Theilchen durch das f,(x) aller übrigen beleuchtet
wird, tritt zu f\(a) + f,(a) das dritte Glied f,(a) hinzu. Dieses ruft auf die
nämliche Weise f,(a) hervor, dieses f,(a) u. s. w. Es ist nun klar, dass f,(a)
gleich ist der Summe der drei letzten Glieder in (29), wenn f(x) = f(x),
8. (30); setzt man flx) = f,(x), so geben jene Glieder f(x) u. s. w. Ganz all-
gemein ist also (wir setzen «= p, d. h. ß==o, 8. (6)):
a h
1, (0) = — | (0) 0 (pa ps) de — 4 f,—1 (6) © (px— pa) dr +
0 a (81)
+ d m (0) Q (px + pa) de.
Wir wollen nun allgemein beweisen, dass wenn f, _;(a) — p,_:(pa) eine
Function von pa ist, so ist auch f, (a) eine Function von pa. Es ist in
diesem Falle also
a h
.=—- | Pa—1 (92) © (pa — px) dx — E° | Pn—1 (PT) @ we=pe)d dx +
oO
+ | 9,_1 (92) Q (px+pa) de
0
zu Betzen.
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 103.
242 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8. ı
Führen wir eine neue Variabele px = y ein, so wird
pa ph
onen 3m ver # +
0 pa
| nam
0
Hier kürzt sich die Grösse p weg und es bleibt, da ph eine für
alle betrachteten Platten constante gegebene Grösse ist, f, als Function von
pa, was vorläufig zu beweisen war.
Nun ist aber, s. (30), fı das Product aus der constanten Grösse —— LÉ
in eine Function von pa. Setzt man (30) statt f,_.(x) in (31) und beachtet,
dass p sich kürzt, so erhalten wir
fe) = HE er LE y, (ap) = 9, (ap)
und
RO = FT M QD) = pan)... (31,2)
Dies wiederum in (31) eingesetzt, giebt
8702
fd) = 7.57 Ve (ap) = 9 (ap)
U. 8. W.
Allgemein wird
A) = a en + Ÿ, (ap) = 9, (ap)
sein. Durch Addition erhält man endlich © in der Form
CO
. Ip
i= re d + _ W(ap)............ (32)
N=]
So gross ist also die Leuchtkraft eines der eingestreuten Theilchen M,
welches sich in der Entfernung a von der Oberfläche befindet.
Um nun die im Puncte M stattfindende Beleuchtung J zu finden, wenden
wir uns zur Formel m, in welcher diese Beleuchtung mit Z bezeichnet
war. Sie ist also gleich — za oder es ist die Beleuchtung J
I<1 CA 2 „(ap) = IF(ay) cs. (33)
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 104.
(xxxim)] THBORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 243
Sind also in den verschiedenen Platten die Theilchen verschieden gross
(e) oder verschieden dicht gelagert (r) oder beides, sind aber K, ph und 1
für alle Platten gleich, so herrscht in optisch gleich tiefen Puncten die
gleiche Beleuchtung, w. z. b. w.
Der Schwerpunct des Beweises liegt, wie man sieht, darin, dass in (31)
der Factor p sich weghebt.
Wir haben bei dem Beweise die Glieder von ? unberücksichtigt gelassen,
welche durch die Reflexion an der zweiten Oberfläche (a = ») hervorgerufen
werden. Es ist leicht einzusehen, dass auch bei Berücksichtigung dieser
Glieder für J ein Ausdruck von der Form (33) erhalten wird.
Für die Experimentaluntersuchung beruht die Bedeutung dieses Satzes
darin, dass man sehr dünne Platten aus stark zerstreuendem Stoffe durch
dickere aus weniger stark zerstreuendem ersetzen kann — vorausgesetzt,
dass in beiden Arten von Platten die zerstreuenden Theilchen von einerlei
Art (K) sind und sich nur durch ihre Menge oder Grösse unterscheiden.
8 7.
Wir haben in $ 5 den speciellen Fall der Lichtverbreitung an denjenigen
Stellen betrachtet, welche von den beiden Endflächen der Platte so weit
entfernt sind, dass eine directe Beleuchtung jener Stellen als nicht mehr
vorhanden angenommen werden kann. Im vorhergehenden $ 6 war gezeigt
worden, wie wir uns bei einer Platte von endlicher Dicke % die wahre Be-
leuchtung eines Punctes successive entstanden denken können. Die erste
directe Beleuchtung giebt das Glied i,, s. (18, a) und (29); dasselbe wurde
in (30) noch durch f,(a) bezeichnet. Wir wollen nun das zweite Glied f,(«)
berechnen, welches durch die erste gegenseitige Zustrahlung der Theilchen
entsteht. Da wir sie als einen Zuwachs von à, ansehen können, so werden
wir noch die Bezeichnung
einführen. Wir setzen also als erste Annäherung
i= f, (a) + f (a) = à, + Ai, = LR e—0P + Ai, .... (33,b)
Um diesen Ausdruck zu berechnen, haben wir, nach dem im vorigen
Paragraph Gesagten, in (29) statt f(a) die Grösse f(x) = Ze e ° einzu-
setzen. Das letzte Glied in (29) vernachlässigen wir selbstverständlich. So
erhalten wir
Mélanges phys. etchim. T. XIII, p. 105.
244 DR. 0. OHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISOHEN [n. 8. 1
i — LE 0e — Er | fer otpe-paas +
fi 2... (84)
+ | e Po (pa de |
Es ist, pa — px = y gesetzt und dann partiell integrirt:
a pa pa pa
[rein ma- za do (y) -2|#-
pe ps
pi
— (pe) _ 7
m ein rom)
Nach (15, f) und (15, %) ist der Grenzwerth (für e = 0) des Ausdruckes
in den Klammern = c = 0,57721..... Also ist
[ere (pa— px) dx = —- [lg ap + c— eo (ap) I. (35,2)
Setzen wir in dem zweiten Integral (34) px — pa = y:
h
p(h—a)
| e Po (pr— pa) de = = | e Vo(y)dy.
a
Wir berechnen zuerst durch partielle Integration und mit Berücksich-
tigung von (15,0) das Integral
p(h-a) p (h-a) p(h-a) „p(h-a)
[eue -| @(y) de = — je Vo(y)| + | dy =
€ €
= — e PM. (ph—pa) + à (2ph—2pa) + {e w (e) — w (2e)).
Der Grenzwerth des Ausdruckes in den Klammern ist gleich — Ig 2.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 106.
(xxxm)] THBORIS DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 245
Also ist
h
— | e Po (px— pa) dx — {g2 + e PERS © (ph—pa) — . (85,b)
— © (2ph— 2pa)).
(35,a) und (35,b) in (34) eingesetzt, ergeben
. 2 _ 210?
i= He Fr.
_,e » _—e®
ze lg 2 ap + c—e”? 0 (ap) +- |-@9
+ e PET (ph-pa)— o[2p (k—a)]}.
Es sei daran erinnert, dass die w nur negative Werthe besitzen.
Im Weiteren setzen wir «=». Für unendlich tiefe Platten verschwinden
die zwei letzten Glieder und es bleibt:
= + (A Er (A,
| . . (36,2)
e h= CO __ K?lp? e ap
aire ER,
{lg 2 ap + c— 0 w ap)}.
Für die in Folge der inneren Diffusion entstehende erste, relative
Verstärkung der Beleuchtung erhalten wir bei einer Platte von
der Dicke hin einer Tiefe a:
( F ) = = [182 ap + c— 6 0 (ap) + e PO u (ph-pa) —
— o[2p(h-a)l).
Für unendlich tiefe Platten wird
m
(=> — = {lg 2 ap +c— e? a (ap)| soso. (37,8)
An der beleuchteten Oberfläche ist a — 0 und hier erhalten wir
(5) — À {lg2 +6 Po(ph)—o(2p#)} ....... (38)
a=0
und für unendlich tiefe Platten an der Oberfläche die erste rela-
tive Verstärkung:
(ME lg 2 = 0,34657 ...K. (38,2)
& — 5 = VU, co. to " y
Mélangos phys. et chim. T. XIII, p. 107.
246 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N. 8.1
An der entgegengesetzten Oberfläche ist a = À und da die Summe der
letzten zwei Glieder in (37) hierbei den Grenzwerth — ig2 erhält, so wird
(a) = = {lg ph + c — e?* w (ph) à poses (39)
In der folgenden Tabelle II sind die Werthe der Grössen (A4,)‘ © und
(à) #—® für verschiedene Werthe von e”“® nach der Formel (37,a) aus-
gerechnet. Da w (ap) — li (e””P) ist, so können aus den Soldner’schen Ta-
feln die Werthe der w direct entnommen werden. Das erste Glied von 5, s.
(36), bezeichnen wir durch i, (a); dann ist e = = er die Ab-
schwächung des Lichtes in der Tiefe a bei fehlender Diffusion, d. h. in der
«grauen» Platte.
Tabelle I.
Die Platte ist unendlich dick; k = oo.
e P
(a) _ s,(a)
ET = TK 4 = {1g2 ap+c-e@ w (ap)}
0,34657 À, ..| 0,34657 K = T2)
0,36811 — ...| 0,37182 K
0,44695 — ...| 0,49661 K
0,59394 K
0,63202 K
0,67807 K
0,75496 K
0,84059 K
0,90764 K
0,99033 K
1,08594 K
1,21409 K
1,49025 K
Sehr kleine Zahl Sehr kleine Zahl Sehr grosse Zahl = Ig2ap
0 = (a = oo) 0 OO
Für sehr kleine Werthe der Grösse e “P, also für sehr grosse ap wird
das letzte Glied in der Klammer, — e%w (ap), sehr klein; für e” *?= 0,99
ist jene Grösse gleich 4,03296 (für e” = 1 ist sie co); für e * — 0,01
ist sie nur noch gleich 0,18297.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 108.
(xxx) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LIOHTES. 247
Desto tiefer wir in die Platte eindringen, eine desto grössere erste,
relative Erhöhung der Helligkeit finden wir also. Die absolute Grösse
(Ai) © dieser Erhöhung hat nicht etwa ihr Maximum an der
Oberfläche, sondern wächst anfangs mit der Tiefe, erreicht ein
Maximum und sinkt dann wieder, um schliesslich unendlich klein
zu werden. Das Maximum der Grösse (ie LE e? (1g2 ap +
+ c— e”” w (ap)) findet statt bei
lg2 ap+c—0
oder
und ist der Maximumwerth gleich
EI Ji (0,7552) = 0,4773 . ZZE.
Es ist das Verhältniss
„h=
Ai)
h==00
(Ai)
= 1,3771.
8 8.
Wir wenden uns zu Platten von endlicher Dicke À. In den hierauf be-
züglichen Formeln (35, b), (36), (37) und (38) findet sich überall eine Func-
tion, die wir hier der Kürze wegen durch A(z) bezeichnen wollen, nämlich
A(t)—=e ut) —w(2x) ............ (41)
Die Werthe dieser Function sind stets negativ und wachsen von
— 192 = — 0,69315 bei æ — 0, oder e””=1, bis Null bei x = oo oder
e _“—0.
Es ist
Xe *li(e*)—li(e—*#)
und daher nach den Soldner’schen Tafeln leicht die folgende Tabelle
auszurechnen:
Mélauges phys. ot chim, T. XIII, p. 109.
248 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8. ı
Tabelle III.
x) = 07% 0 (2) — w (2x)
1 @=0)|...-0,69315 (= —1g2)
41
...—0,039385
...—0,019083
...—0,0071299
...—0,0014092
Wir wollen nun für verschieden dicke Platten speciell die beiden Ober-
flächen in Betracht ziehen und zwar mit Hülfe der Formeln (38) und (39).
Es ist ph die optische Dicke der «grauen» Platte (d. h. bei fehlender Diffu-
sion); e ?* ist die, durch die directe Beleuchtung an der Grenzfläche À
erzeugte, Leuchtkraft, die an der anderen Fläche gleich Eins gesetzt:
(4,).-—0 = 1 oder, was dasselbe ist, die Lichtabschwächung in dieser grauen
Platte.
Tabelle IV.
Lichtabschwächung Erster, relativer Helligkeits- Erster, relativer Helligkeits-
in der Platte bei zuwachs an der ersten Ober- | zuwachs an der zweiten Ober-
fehlender Diffusion fläche. fläche.
(«agraue» Platte) Ai K Ai
— = - . —
ze Co
0
0,13752 K
0,20828 K
0,27546 K
0,28831 K
0,31124 K
0,32688 K
0,33703 K
0,34301 K
0,34527 K
0,34657 K= Z1g2
Melangos phys. et chim. T. XIII, p. 110.
0
0,15004 K
0,24737 K
0,33150 K
0,40839 K
0,49402 K
0,56107 K
0,64376 K
0,73937 K
0,86752 K
OO
(xxxm)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 249
Aus den Zahlen dieser Tabelle lässt sich nun die folgende ausrechnen:
Tabelle V.
Als Einheit der Leuchtkraft dient (#),_.0, d. h. die an der ersten
Oberfläche durch die directe Beleuchtung erzeugte Leuchtkraft
(ho = 1.
ph = optische Dicke der «grauen Platte (bei fehlender Diffusion); e-P®—=Lichtabschwächung
in derselben Platte = Beleuchtung (i,), an der zweiten Oberfläche bei fehlender Diffusion.
0,086752 K
0
Von besonderem Interesse ist hier die dritte Colonne, welche den ersten,
absoluten Lichtzuwachs (infolge der gegenseitigen Zustrahlung der Theil-
chen) an der zweiten Oberfläche (x — h) der Platte angiebt.
Es ist, s. (39),
(Ai,), = = eP {lg ph + c— eP* w(pk) } esse (42)
immer (4) , = 1 gesetzt; c—0,5772156649 . ...
Diese Grösse hat ein Maximum bei Zgph + c = 0, d.h.
oh= e”" = 0,561463
oder
— ph +
e P—e — 0,570377. ........... (43)
Dieser Maximumwerth ist gleich
Le h=-— Zi (e-°) — 0,249046 K.
€
Der, durch die gegenseitige Zustrahlung erzeugte erste, abso-
lute, Zuwachs an Helligkeit an der sweiten Oberfläche der Platten
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 111.
250 DR. 0. CHWOLBON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8.1
wächst also anfangs mit wachsender Dicke der Platten und er-
reicht ein Maximum, wenn die Platte bei fehlender Diffusion
e = 0,570377 des auffallenden Lichtes hindurchlassen würde.
Der Zuwachs ist gleich 0,249046 K.
Interessant ist auch die vorletzte Colonne, welche für den extremen Fall
K = 1 das Verhältniss o der, an den beiden Oberflächen stattfin-
denden Beleuchtungen darstellt, wenndie erste gegenseitige Zustrah-
lung berücksichtigt wird; die erste Colonne enthält dasselbe Verhältniss
e”* für den Fall, dass gar keine gegenseitige Zustrahlung stattfindet. Die
Zahlen der letzten Colonne zeigen endlich um wieviel, bei A=1, in
Folge der ersten gegenseitigen Zustrahlung, in gewissem Sinne,
die Durchdringbarkeit der Platte für Licht gewachsen ist.
Nehmen wir z.B. eine Platte, welche 0,7 des auffallenden Lichtes durch-
‚lassen würde, wenn alle eingestreuten Theilchen absolut schwarz wären;
es wäre also 0,7 für diesen Fall auch das Verhältniss der an den beiden
Oberflächen stattfindenden Beleuchtungen. In Folge der ersten gegenseiti-
gen Zustrahlung wird dies Verhältniss gleich 0,7307, wächst also um 0,044
seines Werthes. Diese Zahlen sind von Bedeutung als Grenzwerthe
bei XK= 1, wenn die Theilchen alles erhaltene Licht wieder ausstrahlen.
Bei X< 1 werden die oe den e ?* und die Zahlen der letzten Colonne der
Eins näher kommen.
89.
Wir haben bisher nur die Grenzwerthe der Grösse Ai, betrachtet, wel-
che a =0 und a — h entsprechen und wenden uns nun zur Untersuchung
dieser Grösse für a, welche > 0 und <A ist, d. h. wir wollen den, durch
die gegenseitige Zustrahlung erzeugten, ersten, absoluten Lichtzuwachs
Ai, für Puncte, die innerhalb der Platte liegen, untersuchen. Wir sahen im
vorhergehenden $, dass für unendlich dicke Platten das Maximum der
Grösse Ai, in einer Tiefe liegt, welche durch e” “* = 0,7552 bestimmt
wird.
Es zeigt sich, dass auch für endliche Platten ein Maximum der Grösse
As, existirt; dies Maximum liegt in einer Tiefe, die stets geringer ist, als
die durch e “= 0,7552 definirte und stets näher zur ersten Oberfläche,
als zur zweiten. j
Wäre die erste Beleuchtung i, = const. C,, so würde durch die ge-
genseitige Zustrahlung ein erster Zuwachs Ai, entstehen, welcher sich leicht
berechnen lässt, indem man in (34) statt e”?” ein Constant = C, einsetzt.
Man erhält (durch einfache partielle Integration):
Mélanges phys. et chim T. XIII, p. 112.
(xxxm)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. . "251
Ai, = z {2 — pa: (pa) — (ph — pa) © (ph — pa) — e Fe Pr } C; (43,8)
(die w sind negative Grössen!).
Das Maximum dieser Grösse ist bei
und ist gleich
h Ph
während an den beiden Oberflächen
(Ai), = (Ai), = 5 {1— rho(py—e C.... (43,0)
al
ist.
Für eine Platte, deren Dicke z. B. durch e”?* — 0,81 definirt ist, :
wäre (Ai) _ D — 0,28710C,; und (di) _,= (At) = 0,21934 C..
In Wirklichkeit ist aber i, nicht constant, sondern variirt nach dem Ge-
setz 4e P®, die erste Beleuchtung wird desto stärker, je mehr wir uns der
ersten Oberfläche nähern, daher auch das Maximum näher zur ersten Ober-
fläche hinrückt.
Der allgemeine Ausdruck für At, ist, nach (36), (wir setzen, wie früher
KI
=)
&æ = p und (to —
Ai, — Fe {lg 2 ap + c— eo (ap) +
+ 6 (ph —pa) — 0 (2ph— 2 pa).
Diese Grösse erhält ihren Maximumwerth bei einer Tiefe ap, definirt
durch
g2 ap+c—w(2ph—2pa)—=0 ......... (45)
und es ist . a
(Adna = 3 I— o (ap) + e PFo(ph— pa) os (46)
In (45) ist — © (2ph — 2pa) eine positive Grösse; es muss daher
Ig 2 ap+-c<0
sein. Dies giebt
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 113. | 7. 17
252 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n- 8.1
ap < 7e *; ap < 0,28074
une <Ve 7 oder en“? < 0,7552.
Die für k = co gefundene Tiefe, in welcher Ai, seinen grössten Werth
erhält, ist also eine maximale. In Platten von endlicher Tiefe % liegt der
grösste Werth, (Ai)max., in geringerer, durch (45) bestimmter Tiefe.
Es ist schwierig aus der Gleichung (45) für einen gegebenen Werth
von ph den zugehörigen von ap zu finden, dagegen ist es leicht umgekehrt
diejenige Plattendicke ph (oder den Werth von e” ?*) zu finden, bei welcher
Ai, seinen Maximumwerth in einer gegebenen Tiefe pa oder bei einem ge-
gebenen e” P® erhält.
Tabelle VI.
Maximum von As, Wenn die Dicke h der
befindet sich in einer Tiefe,
für welche e—2P — Platte ergiebt für e ?i=
0,7552 Ve
0,8
In einer Platte, für welche e?* — 0,8, befindet sich das Maximum
von Ai, in einer Tiefe, für welche e7 “© — 0,906 ist. Dieser Maximumwerth
ergiebt sich aus (46) als gleich 0,2665 K, während an den Oberflächen
(s. Tabelle IV) 0,20828 K und 0,19790 K gefunden worden war.
Ich habe für diesen speciellen Fall (e” ?* = 0,8) auch noch zwei Mittel-
werthe von Ai, ausgerechnet und zwar für e” — 0,95 und 68 7% — 0,85,
unter Zugrundelegung der Formel (44):
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 114.
(zxxım)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 253
Tabelle VII
Dicke der Platte definirt durch e * — 0,8.
1 (a=0)| 0,2083 K
0,2580 K
0,2665 X (Max.)
0,2544 K
0, '8 (a=h) 0,19790 K
Stellt man die A? graphisch als Function der ap dar, so erhält man eine
Curve, die etwas steiler zuerst sich erhebt, als sie nachher wieder sich senkt.
Der Scheitelpunct befindet sich nicht in der Mitte, sondern ist gegen die
Ordinatenaxe verschoben.
Wir finden noch für dieselbe Platte (e ?* = 0,8)
(At, Imax
———— — 1,2794.
TIRER 1,2794
Für À = oo war die entsprechende Zahl gleich 1,3771.
Wir haben uns in den beiden letzten Paragraphen lediglich mit der
ersten durch die gegenseitige Zustrahlung entstehenden Vergrösserung von
i, beschäftigt. A1,, s. (44) EF — — |] gesetzt) ist nichts Anderes, als die
in (31, a) mit f, (a) bezeichnete Grösse. Um weiter zu gehen, müssten die
f,(a) berechnet werden, das ist die Leuchtkraft, welche ein Punct in der
Tiefe a erhält infolge davon, dass er von allen übrigen mit der Leuchtkraft
Ai, = f,(a) beleuchtet wird. Es müsste in (44) x für a und der so entstan-
dene Ausdruck statt f,_,(x) in (31) eingeführt werden. Mit Hülfe der For-
meln (15, n, o,) können die so entstehenden Integrale zwar ausgerechnet
werden, doch erhält man hierbei Ausdrücke von zu wenig handlicher Form.
Es frägt sich nun, in welchem Falle der Ausdruck (36) eine wirkliche An-
näherung an den wahren Werth von à darstellt? Wenn die Platte eine be-
deutende optische Dicke hat und X gross ist, so ist dies durchaus nicht der
Fall — übrigens ist im $ 5, s. (23) und (26), für ein beliebiges X der
Werth von # für Puncte gefunden, die sehr weit von den beiden Oberflächen
entfernt sind — es ist dies gleichsam eine Grenzform, welcher sich die Func-
tion 2 mit wachsender Tiefe und Dicke assymptotisch nähert.
Der in (36) gefundene Ausdruck von i=1,—+-Ai, und die in den
Tabellen II, V, VII ausgerechneten Werthe der Ai, können als
wirkliche Annäherungen gelten, wenn XÆ klein ist, die einge-
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 116. 17*
254 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n. 8. 1
streuten Theilchen viel Licht absorbiren und überhaupt nur eine
geringe innere Diffusion vorhanden ist.
$ 10.
Für Platten von geringer optischer Dicke, für welche etwa e 7? nicht
< 0,7 ist, lassen sich für die Werthe der 5 ziemlich enge Grenzen angeben,
innerhalb welcher sie sich jedenfalls befinden müssen.
Die Grösse Ai, hat ein Maximum bei dem durch (45) gegebenen ap und
. erreicht ihren kleinsten Werth bei a=h. Es sei
Max. 4$ = Cmax.; Min Ai = (Ai), _ , = Cmin.
Denken wir uns alle Werthe von As, durch einen constanten Werth ©,
ersetzt, d. h. legen wir, statt der von den beiden Oberflächen nach Innen
zunehmenden Beleuchtung C eine überall constante C, der weiteren Rech-
nung zu Grunde. Diesen Fall behandeln die Formeln (43, a), (43, b) und
(43, c).
Es sei
12a (Meta |
+0 — pho (ph) —e#} = m |
Wir erhalten an den beiden Oberflächen eine Minimumlichtstärke
KmC, und in der Mitte der Platte ein Maximum XKnC,.
Nehmen wir nun statt der Ai, in allen Puncten der Platte den Max.-
Werth Cmax.; so erhalten wir an den beiden Oberflächen die zweiten Zu-
wüchse der Lichtstärken KmCmax. und in der Mitte KnCmax. Die so erhal-
tene Lichtvertheilung ersetzen wir wieder durch eine überall constante,
gleich dem Maximalwerth KnCmax. derselben. Dies giebt an den Oberflächen
K’nmCnax. und in der Mitte KnCnax. Wiederum nehmen wir für alle Puncte
als neue Lichtquellen die constante Intensität K?n’Omax. und erhalten an den
Oberflächen X®r®m und in der Mitte Æ°n°. Indem wir so immer weiter gehen,
erhalten wir Reihen, deren sämmtliche Glieder zu gross sind. An den Ober-
flächen erhalten wir
CO. Km {1 + Kn + Ku + Kôn + .. = Tr On.
und in der Mitte der Platte .... (48)
Oo. En 1 + En + K°n° +... = Cour
Hätten wir statt Cox. den Werth Cmiu. angenommen und weiterhin jede
Lichtvertheilung durch eine überall constante, gleich den Minimumwerthen
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 116.
(xxxun] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 255
KmCmin., K’m’Cmin. u. 8. w. ersetzt, so hätten wir an den Oberflächen
ni Cmin. und in der Mitte nu Chin. erhalten.
Setzen wir also, s. (36),
woi,=e ?* und Ai, in (44) gegeben ist, so ist an beiden Oberflächen
mK
RR Cas. » Ca 7 / ce
und in der Mitte der Platte — een (49)
1— nr Omar . > Gi), DT mE C
Hier sind m und n in (47) gegeben.
Ferner ist, s. (39)
Cu. = (Ai) _ = ze" Île ph--c—e?"o (ph)
und Cmax. = Max. As, durch (45) und (46) bestimmt.
Für alle anderen Puncte der Platte erhält man die entsprechenden
Grenzen, wenn man in den Zählern der Ausdrücke (49) statt m und n die
allgemeine Grösse q setzt, welche man erhält, wenn man (43,a) in der
Form At, = KaC, schreibt.
Zahlenbeispiel. Die Dicke der Platte sei durch e *— 0,8 definirt.
Dann ist, Tabelle VII,
Cox. = 0,2665 K, . Chin. 0,1979.
Ferner erhalten wir aus (47)
m—0,2265; n= 0,2981.
Es ist also, aus (49), an den Oberflächen
0,06036 K? 0,04482 K?
1 — 0,2981 K > Gi), — Io > 70% 71 — 0,2266 K
und in der Mitte
0,058994 X?
0,07944 K? .
; >), 3> T- 0,22%66K *
Es sei beispielsweise X = 0,75. Dann ist
Mélanges phys. et chim. T, XIII, p. 117.
256 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN THEORIE U. 8. W. [N. 8.1
0,04384 > (Gi), un > 0,08001
0
0,05770 > (&i)__ >> 0,03950.
Für dieselbe Platte ist, s. Tabelle VII,
(Ai), = 0,2083 - 0,75 = 0,1562; (Ai), = 0,1979 . 0,75 = 0,1484;
da ferner (i,), = 1 und (i,), = 0,8, so giebt (48, a):
bei a=0
1,2000. >, > 1,1802 HE
und bei a =h
0,9922 HA > à, > 0,9784 XP.
Der Werth der Helligkeit ist also innerhalb zweier Grenzen eingeschlos-
sen, die sich um etwa 1,3%, von einander unterscheiden.
Das Verhältniss der, an den beiden Oberflächen stattfindenden Beleuch-
tungen kann sich nur sehr wenig von der Zahl 0,8266 unterscheiden,
während es bei fehlender Diffusion 0,8 gewesen wäre.
Die Grenzen, innerhalb welcher wir die Grösse ds, eingeschlossen haben,
könnten noch viel enger gezogen werden, wenn wir, statt für At, in der
weiteren Rechnung Constant zn setzen, eine andere, der Wahrheit näher
kommende Function eingeführt hätten, z.B. eine parabolische Abhängigkeit
der Grösse At, von h oder vielleicht von eh, Ist aber e ?* < 0,5, oder
gar e”?*— 0 (für welchen Fall die Zahlen Ai, der Tabelle II gelten), so
wird jede ähnliche Methode der Annäherung hinfällig. Auf den Fall e”?*
= 0 bezieht sich der $ 5.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 118 .
(xxx) ] 257
Sahidische Bibelfragmente. I. Von Dr. 0. v. Lemm. (Lu le 23 mai 1889.)
Herr W. v. Bock, Conservator an der Mittelalterlichen Abtheilung der
Kaiserl. Eremitage, hat von seiner im Auftrage der Kaiserl. Eremitage in
Winter 1888/89 unternommenen Reise nach Aegypten ausser einer selır be-
deutenden Sammlung von Gewändern und Erzeugnissen der Textil-Industrie
aus christlicher Zeit!) unter anderen kleineren Gegenständen, als Stelen,
Ostraca, Kreuzen, Menas-Vasen etc. auch drei koptische aus dem Funde
von Deir el-Abjad?) stammende Handschriftenfragmente mitgebracht und
letztere der Kaiserl. Gesellschaft «der Liebhaber des alten Schriftthums»
(Huneparopckoe O6mmecTBo xoônrexeñ xpesneñ IACBMEHHOCTE) zum Geschenk
gemacht. Der Secretär der Gesellschaft, Herr Prof. Pomjalowski, über-
wies mir die Fragmente zu näherer Prüfung, wobei sich herausstellte, dass
sie sämmtlich sahidisch sind. Eines derselben bereichert die sahidische Bibel
um einen längeren Abschnitt des Alten Testamentes; dasselbe enthält Pro-
verbia X1,16 — XII,13, welcher Abschnitt unter den Borgianischen Frag-
menten fehlt. Die übrigen zwei Fragmente enthalten Abschnitte aus dem
Evangelium Johannis, das eine Cap. X, 8—29 und das andere Cap. XII, 48 —
X1,9. Diese Stücke sind bereits aus den Publicationen von Woide, Min-
garelli und Amélineau zum grössten Theil bekannt, doch ergänzen sie
manchen lückenhaft erhaltenen Vers bei Woide und enthalten interessante
Varianten, so dass es immerhin sich der Mühe lohnt, dieselben mitabzu-
drucken.
Fragment I. — Zwei zusammenhängende Blätter, in zwei Columnen ge-
schrieben, enthalten die Seiten Ae— nk, gr. 4°. Der Schriftcharacter
kommt dem des Cod. Borgianus 150. bei Hyvernat®) am nächsten, so dass
wir die Handschrift mit ziemlicher Sicherheit ins XI. Jahrhundert setzen
können. — Proverbia X1,16—XI,13.
1) s. die Beilage.
2) Über das Kloster «Deir el-Abjad» oder «das weisse Kloster» vergl. Butler, The an-
cient Coptic Churches in Egypt. Oxford, 1884. — Vol. I, pag. 851 u. ff.
8) Album de paléographie copte pour servir à l’introduction pal&ographique des Actes des
Martyrs de l'Égypte. Paris, 1888. Fol. — Taf. XI, X 2.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 5.
258 DB. 0. VON LEMM, [N. 8. 1
Fragment II. — Ein Blatt, in zwei Columnen geschrieben, enthält die
Seiten pme— pr. Fol. Die Schrift kommt der des Cod. Borgianus 25. am
nächsten, so dass dies Fragment ins VIII. oder IX. Jahrhundert zu setzen
sein wird. — Evang. Johannis X, 8—29.
Fragment III. — Ein Blatt, in einer Columne geschrieben, enthält die
Seiten ge—p. 4° min. Die Schrift deckt sich fast vollständig mit der des
Cod. Borgianus 103.*), so dass die Handschrift ins IX. Jahrhundert zu setzen
ist. — Evang. Johannis XII,48—XIII,9.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 0.
259
SAHIDISCHB BIBELFRAGMENTE. 1.
(xızun]
A. PROVERBIA XI, 16—21.
16. ape orcg1
+ Me eOTHTC
9MOT TOT
Hec OT6007 M
MECORI : °° ei
Oveponoc 2e 11
+ cow : ne or
COIME ECMOC
Te HOMMAT
ME "75
NHpeqx. naar
+ HA EPI PO
HM TMNHT
PAMMAO :°°" #5
Hxwwope ae
+ naTaæpo pH
TMHTPM
MAO ir ci
17. Epe orpome n
+ HaHT epaca
vor nrenpr
XH .ı.. on
Ilarna aena
+ Tane neq
COMA : 0
18. Ujape naceñne
+ ep gnghure
n2æin Sonce : —
Epe nero
+ 2e NTAIRAI
OCTHH epoub
Mélanges asiatiques. T. X, p. 7.
Ae
__ éTnicTic : +
Orkrre mue
ne iecnepma
HHAIRAIOC : oe
19. Grzno nor
wynpe HAT
RAIOC ENONQ : r%
Ja iorvuoc
ne MHACE
nc ne nMoT
20. Benarasap
+ Toc nnagpe
M HHoTTe
He HHAIUT
QHT : 0
—Orshote MIO
eic ne NeT600
— ME HN TEgHIH : ei
Ceynn aen
Na9padg 15T 07
ON HIM ETOT
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= Qi ie
21. Hernawen
TOOTY NOTE
HN OT node -
Henawyore
an egovaak €
_ ice :+..#
Ilerxo ae nos
260 DR. 0. VON LENN, [n. 8. ı
A. PROVERBIA XI, 22—29.
M
DATRAIOCHHH OTMHINE €
qnancıkene _HOTWOpg : ei
HOTIICTIC : Ilecuor ae nur
22. Hee nossaxe en Tane M
+ egpn Wan nett : e%
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echaäne : --#
23. Hanor nos
* OW THPY
MHMIRAIOC : —
Tlerneere egn
RETHANOTY
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PHX PIC era
MOTOT I ci
Hneeoos ae na
TA9e MeT
Hegioove 2e n wine nec
+ naninoc 90 O7 : 0%
OT Zu
24. Ovn nero nt
+ NOTE MAIN
MMOY esp
HOTO Half: ei
Ost neTco
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Ilerna ae nn
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napıze M
907: ATo MO ie
eTyAAT !e% IleTRoT M 29
25. rx tuM €
+ TOTCMOT epoc
POOTT : +... 0
Hanor o7pu
+ Me ne à nue
OUINT : ++ vi
26. Ilerer ncovo
+ egorn wape
Mélanges asiatiques. T. X, p. 8.
HeqHi HN 0%
2e SOHc - eg
HARA HNEM
RAQ HOHT N
— Hegignpe : eo
Ilere nqueer
ae AN Mneg
HI HARAHPO
(xxxım)] SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. 1. 261
A. PROVERBIA XI, 80 — XII, 5.
HOMeI non
THT ‘er
IaonT nap
+ puoaù un
cafe :-.- 2
30. Ovn orwmm
+ nong ehoA
OM HRAPHOC
HTA IRAIO
CTHIL !- ++ 0%
CenaMoToTT
+ ne Mr
XI sltenapa
HOMOC ! ++ 0%
on OTMIT
Wapage :-
81. Eike Mure
+ epe naïnaïoc
HAOTMAT ol
e Gie epe npeqp
+ noâe Mn na
cefnc HAOTO)
HO ehoA Ton : ei
x, 1 Wjape nerue
+ nrechu me
pe Tecoecice : : v%
Oraont ae
+ ne neTMoc
Te HHERIIO : ——
2. MHanos nen
+ Tagge er9
Mélanges asiatiques. T. X, p. 9.
Ma
MOT nAppe
— M HHOTTE : °° #5
Epe orpoMe
ae HPeqMeETe
enNee007 na
_— PANOMET : =>
3. Mi pome na
cooFrTıt EROÀ
9H OTANOMIR ri
Hnovne ae in
ATRAIOC Ha
_ HOPR AN °° 0%
4. Orion Mm
NeCOaI ne OTC
HIME NO
_— pe .ono on.
Nee norbnT
eo ovye : ri
ZA TG organe"
= IH OTTHN : +
Tai Te ee erepe
oTcoiMe echaa
Ne NATARE
NECORT : "ri
5. =Bngan ame
eve HHAIRAI
OC : 77
=Wape nace
Ric ne ep
OMME HONK
pog : +
262
DR. 0. VON LEMM,
A. PROVERBIA XII, 6—18.
— M8 —
6. Tranpo nn
+ MIRAIOC Ha
TOT2OOT : " * ol
OvRpoy Te T
+ Tanpo nnace
ec : o%
7. TDacekuc naTa
+ RO OM Ma
ETEUNAROTY
epog : «%»
Has ae nnaï
+ naioc HAMOTH
eROA : 2
8. lUjape npeun
+ ue Mnpe
MHOHT €
MOT ETEUTA
ppo :--
Uarrwoaıy
+ zenca ncak
OHT : 005
9. Orpoue ego n
+ pMpaù may
OTARY eygpn oT
cuy : gore
nerteoos
Hay oTaay egp
| Spa HM noi -
10. Ujape naïre
+ ocna: nne
Mélanges asiatiques. T. X, p. 10.
11.
12.
15.
WT XH Hey
TÉNOOTE :-- #2
—=Bnatna ae
HMMNHTUA
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cehne :--: ei
Ileteppuk
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Tpeqpnoke na
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MHTPE HE
[N. 8.1
(xxxnt)]
9.
10.
11.
22.
SAHIDISOHE BIBELFRAGNENTE. I. 263
B. EVANGELIUM JOHANNIS X, 8—18.
Hgenpegmiore ne
ATW Hencoone ne
SAAaA MINE HECOOT
COTM ePOOT :
ANOR Ne Po epıya
Ta Ar e90TH 91
TOOT GHAOTRAI :
ATW ANABWR e907
ter ehoA nyjge er
Ma MMOONE -
Ipeqxıore Mey
es etke AA&T eIMH
TI MERAC CLEO
AT + ATU HU
OT + A TU HATARO -
ANNHOR HTAIEI IE
RAC EeTEeRI HOTW
no A TU) HCEXI MH
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AHOR NIE HIJC
ETHANOTI-
UUWC ETHANOTY
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WALNAT ENOTU)
HU CUNHT à TO
HANA MECOOT
HONOT à TU)
Wape ROTONU
TOPNOT 122.00
Mélanges asiatiques. T. X, p. 11.
13.
24.
15.
16.
17.
18.
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264
DR. 0. VON LEMN.
[N. 8. 1
B. EVANGELIUM JOHANNIS X, 19—29.
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19. avexiema on 0 IC 2e AI200C HH
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The nerwyaze : cTeTe à epoi
20. nern pag ae x neonTe anor €
MMOC HOHTOT Teipe Muoor
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aTw yAoke erke Tpe erkunTt -
OT TETHCWTM 26. Aa HTOTH HTe
21. epog - OenRo THnIcTeTe al
OTE HET) MMOC 2e HTeTH gene
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22. Auquyuwne Mneor trat nar noswng
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23. Te + A TU HEGMO nov ehoA on Ta
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24. àTRUTE Ce epoy
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 12.
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12.
13.
14.
15.
16.
SAHIDISCHB BIBELFRAGMENTE. I.
VARIAE LECTIONES.
. = Mingarelli.
— Woide.
. HeCooTTAM für
HECOOT COTM
07 An
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. {9€ ETMAMMOOE
. EIMHTEI
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MMNWSOM.
C. EVANGELIUM JOHANNIS XII, 48 — XIII, 2.
49.
50.
NTAIWAME AN HAPOI MATAAT -
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TEJeNTOAN OTUWNO JA ene{
Te - metz se MMOOS AMOR
NATA 66 NTà NACIWT 200€
Ha] - TAI Te 66 efwazxe MMOC —
Mélanges asiatiques. T. X, p. 13.
266 . DR. 0. VON LEMX, [N. 8.1
XIIL, 1. Bson ne Mia Annacxa
CYCOOTH NOT IC: Me à TELOTHOT 1
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C. EVANGELIUM JOHANNIS XIII, 3—9.
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4. A370 EYHA CPATE MHHOPTE : — ay
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5. MMOY : — à TU AUYNHAMOOT eTAe
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6. nAenaTon eTMHP MMOY: — Adeı Fe
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WÉ nexay rag 22% eITMIAPATR
MEHTR MEPIC HMMAI :
ne àa4 Hay HOT CIMON NETpoc
ME HAOGIC - OT MOMON HAOTEPHTE
VARIAE LECTIONES.
W. = Woide.
A. = Amélineau, Fragments thébains inédits du Nouveau Testament,
Evangile selon St. Jean, in «Zeitschrift f. Aegypt. Sprache u. Alter-
thumskunde». 1886; pag. 103 ft.
Mélanges asiatiquos. T. X, p. 14.
(xxxI1)] SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. 267
Ev. Joh. XI, v. 48. W. ngae n900%
49. W. nenTaïwa2æe
W. ne:wT
W. norenToÂn
W. netnararog
Dieser Vers ist bei Woide überhaupt sehr lückenhaft und wird durch
unser Fragment ergänzt.
50. W. naıoTt 5. A. aqnezxmoor
XIII, 1. À. reqnuor eTAARAHH
A. æestattæenac À. novepnTe
À. negbon HMMAOHTHC
A. W. neıwr A. Aenton
A. W. eaymepe 8. A. Tenor fellt.
2. A. ou für avw 7. À. eesapar
À. mcRaPIOTRC À. nezæacu fehlt
3. A. na À. eıtmesa
4. À. aqrworng À. MHTR
À. neqooerTe 9. A. mepoc
A. Acırton
Beilage.
Unter den Zeugresten finden sich manche mit Inschriften. So ist auf
einem Stücke in schöner grosser Schrift zu lesen:
+ YAXW-FTTSAYPE +
Das YAXUW ist mir bis jetzt nur an einer Stelle begegnet, und zwar in der
etwas abweichenden Schreibung TTIGAXO. Dasselbe findet sich in einer In-
schrift aus Der el Medineh (Lepsius, Denkmäler VI, 103. M 36.), welche
folgendermassen lautet:
AHORN NATAOC
RCA XO IUHM
apı TAURH sic!
wAHnA €
2 CO!
Das yaxo oder ncaxo scheint ein Titel zu sein. Hier liegt wol nur eine
ungenaue Schreibung von Jap = neao «der Schreiber» vor. Vergl. YAo
TTA9WM TTKACEo «der Schreiber Pachomios mit dem Beinamen KALEo»
auf der koptischen Elle aus der Sammlung Anastasi im Museum zu Leyden.
Lepsius, Die alt-aegypt. Elle und ihre Eintheilung. Aus den Abhand-
Mélanges asiatiqnos. T. X, p. 15. 18
268 DR. 0. VON LEMM, SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. 1. [x. 8.1
lungen der Kgl. Akad. d. W. zu Berlin 1865, p. 16 u. 62. Taf. IV. und
«Zweiter Nachtrag», p. 64*. Taf. V. — Leemans, Description raisonnée
des monumens égyptiens du Musée d’antiquités des Pays-Bas à Leide.
Leide, 1840, p. 135. I. 635. — Was das x an Stelle des kopt. 9 betrifft,
so muss hier übrigens bemerkt werden, dass in einem griechisch ge-
schriebenen koptischen Papyrus (Mitthl. d. Samml. Papyrus Erzherzog
Rainer. I, pag. 49. ® 1785.) das kopt. 9 durch x wiedergegeben ist;
tepaı «ich schreibe» wird dort sıoxaeı geschrieben. Das w, resp. o am Ende
könnte man für eine analoge Verlängerung ansehen, wie sie uns in den For-
men napwmao (Lepsius, Denkm. VI, 102. À 3.), nagwmo (Zoëga 175,
28.— Mitthl. Sammlung d. Papyrus Erzherzog Rainer. V, p. 39. Kopt.
Papier À 7751) und nagoma (1. 1. p. 26. Kopt. Pap. N 94) vorliegt für
und neben dem gewöhnlichen nagomn.
Dem Namen TTSAYPE bin ich bis jetzt nirgends begegnet.
Auf einem anderen Zeugstreifen muss eine längere Inschrift gestanden
haben, wovon jedoch nur ..... Y ea ..... erhalten ist.
Schliesslich sind auf einem grossen Zeugstoffe mit verschiedenen in run-
den Rahmen eingeschlossenen Figuren, wohl Heiligen, folgende einzelne
Zeichen zu sehen, deren Deutung ich nicht zu geben wage.
I0CS3*+ ©
E A X A
+ 3
2X T
oı J
Vielleicht haben wir es hier mit Abkürzungen irgend eines gnostischen
Gallimathias zu thun. — Die Sammlung ist erst vor Kurzem hier ange-
langt und von der Kaiserl. Eremitage erworben worden; sie wird jetzt ge-
säubert, geglättet und geordnet; möglicher Weise finden sich noch andere
Stoffe mit Inschriften darunter.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 16.
(xxxım)] 269
Über unter-silurische Fische. Von Dr. med, 3. V. Rohon. (Lu le 16 mai
1889).
(Mit einer Tafel.)
Wenn wir die Ergebnisse mit einander vergleichen, zu welchen die Geo-
logen und Palaeontologen bezüglich der geologischen Verbreitung der Fische
bisher gelangten, so erfahren wir, dass die ältesten Fischreste in den ober-
silurischen Ablagerungen gesehen worden sind.
Wohl hat Pander!) zahlreiche in der palaeozoischen Periode verbreitete
Häckchen und Kieferchen, die er «Conodonten» nannte, beschrieben und für
Fischzähne erklärt; aber die Untersuchungen aus neuerer Zeit?) zeigten, dass
diese zierlichen und mannichfaltig gestalteten Gebilde, mit der allergrössten
Wahrscheinlichkeit, Kauwerkzeuge von Anneliden und Gephyreen darstellen.
Mit dem Studium des merkwürdigen, durch den Herrn Akademiker
Schmidt auf der Insel Oesel gesammelten ober-silurischen Fischmaterials
beschäftigt, konnte ich auch die Conodonten nicht unberücksichtigt lassen,
denn es kam die Frage in Betracht, ob nicht vielleicht Formen unter den
Conodonten vorkommen, die man in Beziehung mit den ober-silurischen
Fischresten bringen könnte.
In der That wurde ich in meinen Erwartungen nicht getäuscht. Ich unter-
suchte mehrere Hunderte von Conodonten und fand darunter 10 Exemplare,
welche ihrem Habitus nach ganz gut zu den Conodonten passten, dagegen
in ihrer mikroskopischen Structur völlig verschieden waren.
Durch den Besitz einer Pulpahöhle, der typischen Zahnsubstanz und des
Schmelzes unterscheiden sich unsere winzigen Körperchen wesentlich von
den eigentlichen Conodonten Pander’s und charakterisiren sich andererseits
als ächte Zähne von Wirbeltieren, beziehungsweise von Fischen.
Dieser Befund stellt uns in geologischer und morphologischer Hinsicht
vor wichtige Thatsachen hin. Durch den Nachweis des gemeinschaftlichen
1) Pander, Chr. H.: Monographie der fossilen Fische des silurischen Systems der russisch-
baltischen Gouvernements. St. Petersburg 1856.
2) Zittel, K. v., und Rohon, I. V.: Über Conodonten. Sitzungsberichte der k. bayr. Aka-
demie der Wissenschaften. Mathem.-phys. Classe. München 1886, P- 108—186.
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 7. 18*
270 DR. MED. I. V. ROHON, [N. 8. 1
Vorkommens von Conodonten und Fischzähnen glaube ich zu einer zwei-
fachen Schlussfolgerung berechtigt zu sein:
* 1) Das gleichzeitige Erscheinen ächter Wirbeltier-Zähne mit
den Conodonten liefert uns einen wichtigen Beweis gegen die Wir-
beltier-Natur der letzteren.
2) Die Wirbeltiere (beziehungsweise die Fische) kommen auch
in den sehr alten Meeressedimenten, d. h. in unterem Silur vor.
Das Untersuchungs-Material stammt aus dem Glauconit-Sande von Go-
. stilitza und anderen Lokalitäten des St. Petersburger Gouvernements und
befindet sich in den Museen der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften
und des Berg-Instituts zu St. Petersburg.
Erhaltung, Gestalt und Bau der Fossilien.
Der Erhaltungszustand kann gar nicht anders als ein vorzüglicher be-
zeichnet werden; sämmtliche Exemplare stimmen hierin mit den gleichfalls
vorzüglich erhaltenen Conodonten überein. Aber auch in Betreff der Farbe
ihrer Oberflächen kommen sie im Allgemeinen den letzteren gleich: es gibt
gelbliche und durchsichtige, die meisten sind undurchsichtig, grünlich
oder bräunlich und die Aussenseiten sind von glänzender Beschaffenheit.
Die Zähnchen verhalten sich also in dieser Beziehung genau wie die Cono-
donten. Untersucht man jedoch die Zühnchen mit Hartnack Oc. 3 und
Syst. IV bei auffallendem Lichte, so überzeugt man sich sofort, dass an
ihrer äusseren Oberfläche regellos verlaufende Streifen existiren, während
die Conodonten auch bei derartiger Untersuchung den Glanz an ihren Ober-
flächen bewahren.
Die Färbung der Aussenflächen von den in Rede stehenden Fossilien ist
nicht ohne Belang, wenn wir die Schichten der Ablagerungen, in denen die
Fossilien erscheinen, näher ins Auge fassen.
Über die Beziehungen, welche zwischen der Färbung der versteinerten
tierischen Reste und den sie bergenden Gesteinsmassen bestehen, äussert
sich Pander) bei der Besprechung des russischen Silurs folgendermassen:
«lm Allgemeinen ist die grüne und rote Farbe den untersten festeren
Schichten mehr eigentümlich als den oberen, wo der Kalkstein gewöhnlich
heller gefärbt, gräulicher, gelber, hellblau und blassrot wird. Diese ver-
schiedene Färbung kann uns zuweilen zum Wegweiser dienen, den aufge-
fundenen Petrefacten, von welchen wir doch vielen nicht mit Bestimmtheit
ihr Vorkommen in diesen oder jenen höheren oder tieferen Schichten anzu-
8) Pandor, Chr. IL: Beiträge zur Gcognosic des russischen Reiches. St. Petersburg 1830,
pag. 30.
Mélanges geolog. ot paldontolog. T. I, p. 8.
(xxx) | ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 271
geben vermögen, ihren Platz anzuweisen. Weun diese nämlich grün
gefärbt sind, so können wir ziemlich sicher schon daraus schliessen, dass
sie aus den untersten Schichten herstammen, wo die grüne Erde
noch eine Rolle mitspielte, ebenso wenn sie hochrot gefärbt sind, wie fast
alle diejenigen, die aus den Steinbrüchen von Podolowa herstammen, wo
die oberen Schichten des Kalksteines von den Ufern der Ischora bis gegen
Fedorowski hin gänzlich zu mangeln scheinen und nur die untersten nach-
geblieben sind. Wo nun hingegen diese auffallenden Farben fehlen, und die
Petrefacte schmutzig grau u. s. w. aussehen, können wir mit Wahr-
scheinlichkeit vermuthen, dass sie den mittleren und oberen Schichten
angehörten. Ebenso können wir uns der Farbe des Gesteines als Hülfsmittel
bedienen, welches von aussen den Schalen anhängt oder dieselben aus-
füllt».
Abgesehen von der eben angeführten Bedeutung, welche der Färbung
der silurischen Fossilien und Gesteine in vielen Fällen zukommt, besteht
noch ein viel ausgesprochenerer Umstand, der für die Zugehörigkeit der vor-
liegenden Zähnchen zum unteren Silur spricht. Pander wies bereits dar-
auf hin, dass die einfachen Conodonten fast ausschliesslich in den unter-silu-
rischen Schichten auftreten, während in den später erfolgten Ablagerungen
die zusammengesetzten Formen herrschen. Damit stimmt auch die von
J. Bock‘) gemachte Angabe überein, wonach im Glauconit-Sande ausschliess-
lich einfache Conodonten vorkommen. «DR TAAYKOHHTOBONB tecuanakb —
sagt J. Bock*) — n Hallerb TOABKO NPOCTbII SOPMBI KOHOAONTOBB Ilaurepa,
a aMenx0: Drepanodus Pand., Acodus Pand., Machairodus Pand., Paltodus
Pand., Scolopodus Pand., Oistodus Pand. x Acontiodus Pand.».
Diese Angaben kann ich durch Folgendes ergänzen: Unter den zahl-
reichen Conodonten, welche ich der Güte des Herrn Akademikers Schmidt
bei meiner Untersuchung verdankte, befand sich nicht ein einziger zusam-
mengesetzter Conodont; sämmtliche Formen waren einfache Conodonten
und wurden im Glauconit-Sande von Gostilitza gefunden. Zwischen densel-
ben fand ich bloss drei Exemplare von den Zähnchen.
Alles spricht also dafür, dass wir unsere Fossilien, mindestens zum
Teil, in die unter-silurischen Schichten verweisen müssen.
Was nun die äusseren Umrisse der Zähnchen anbelangt, so genügt ein
Blick auf die beigefügten Abbildungen, um uns von der Verschiedenheit in
den Formverhältnissen bei denselben zu überzeugen. Wir sehen ausserdem,
dass sich die Verschiedenheit noch in beträchtlicherem Maasse kundgibt,
4) Hsan®% Box: l'eornocruuecxoe onucanie nuxue-cuaypiñckoË u XEBOHCKON cucremst
C.-Ierep6yprekof ry6epnin. Marepiaser zın reozorin Pocciu. T. I, 1869 r., crp. 108 u 109.
Vergl. auch v. Zittel und Rohon: 1. c., pag. 109.
Mélanges géolag, ct paldontolag. T. I, p. 9.
272 DR. MED. J. V. ROHON, [N. 8.1
wenn wir zwischen den Zähnchen und Conodonten einen genauern Ver-
gleich anstellen. Zu diesem Behufe liess ich in den Figuren 2, 9 und 10
Conodonten zeichnen. Die Figuren 2 und 9 sind seitliche Ansichten von
zwei einfachen und verschieden gestalteten Conodonten und Fig. 10 zeigt
die obere oder äussere Flächenansicht eines zusammengesetzten Conodonts;
an diesem Exemplar ist eines von den beiden Endstücken abgebrochen. Das
Wesen der Verschiedenheit in der Gestalt zwischen den Zähn-
chen und den Conodonten Pander’s beruht in erster Linie darauf,
dass erstere rundliche und im Innern die Pulpahöhle führende
Gebilde darstellen, letztere hingegen niemals vollkommen rund-
lich sondern stets mehr oder weniger abgeflacht sind, ohne eine
centrale Höhle (Pulpahöhle).
Ein anderer wesentlicher Unterschied zwischen den Zähnchen
und Conodonten ergibt sich, wie ich schon früher bemerkte, aus der
histiologischen Structur; denn es ist noch niemals gelungen, den
Schmelz und die von einer centralen Höhle entspringenden und
verzweigten Dentinröhrchen bei den Conodonten nachzuweisen,
während sich die in Rede stehenden Zähnchen durch diese Merk-
male in vorzüglicher Weise als Wirbeltier-Zähne präsentiren.
Nach diesen allgemein gehaltenen Bemerkungen dürfte die spezielle
Beschreibung des Untersuchungsmaterials zweckmässig erscheinen.
Der Gestalt und dem inneren Baue nach können wir mehrfache Unter-
schiede von den einzelnen Zähnchen ableiten; diese Unterschiede weisen
jedenfalls auf mehrere Geschlechter (Genera) und Arten (Species) hin. In
dem Sinne wird auch die Beschreibung erfolgen.
Palaeodus n. gen.
Palaeodus brevis n. sp.
Figur 1 und Figur 8.
Fundort: St. Petersburger Gouvernemeut. Unter-Silur.
Winzige, bloss mit bewaffneten Augen deutlich erkennbare Zähnchen
von regelmässiger Kegelgestalt (Fig. 1); es sind das in engerem Sinne des
Wortes die eigentlichen Conodonten. Das obere Ende derselben ist ziemlich
dünn und abgerundet, das untere Ende oder die Basis wird von einem ein-
wärts gebogenen und Bruchflächen aufweisenden Rande gebildet. Unter-
sucht man die Oberfläche der Zähnchen unter dem Mikroskop bei auffallen-
dem Lichte (Iartnack Oc. 3, S. ID, so bemerkt man sofort die Streifung
(Fig. 1 st), welche eine geflechtartige Anordnung zeigt und sich bis zur
Mulanges geolog. et paluoutolug. T. I, p. 10.
(xxxım)] ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 273
Basis der Zähnchen erstreckt. Die Färbung dieser undurchsichtigen Zähnchen
ist eine grünliche.
Bei mikroskopischer Untersuchung ergab sich für den innern Bau Fol-
gendes. Die Figur 3 führt uns eine möglichst naturgemässe Abbildung des
in der Mitte eines Zahnes bewerkstelligten Dünnschliffes vor. Wir sehen
zunächst auf der Abbildung eine central gelegene Höhle (die Pulpahöhle),
die sich allmählig nach oben verschmälert (P). Dieselbe ist an der Basis
des Zahnes durch eine selbst bei mikroskopischer Beobachtung ‘structurlos
erscheinende Substanz (B) abgeschlossen, die man jedoch von der sie be-
grenzenden Gesteinsmasse (Kalkspath u. s. w.) selır wohl unterscheiden
kann. Diese Substanz stellt eben die Reste der früher als Unterlage dem
Zahne dienenden Masse, möglicher Weise von knöcherner Beschaffenheit,
vor. Die Pulpahöhle ist ferner von keiner bedeutenden Ausdehnung und
erreicht daher auch nicht die Zahnspitze; endlich wird die Pulpahöhle von
einer ganz gleichen Gesteinsmasse erfüllt, wie die Basis des Zahnes.
In der die Pulpahöhle umgebenden Zahnsubstanz (Dentin) bemerken
wir parallele Streifen, nämlich die Dentinlamellen (Z) in ihrer dutenför-
migen Anordnung, ferner sehr viele, schwarzen Strichen ähnelnde Zahn-
oder Dentinröhrchen (D). Verfolgen wir die Verlaufsweise von den letz-
teren. Dabei sehen wir, dass sämmtliche Zahnröhrchen von der Pulpahöhle
entspringen, und dass sie alsbald in schiefer Verlaufsrichtung die Peripherie
der Zahnsubstanz anstreben. An den Ursprungsstellen oder den Mündungs-
stellen sind die Dentinröhrchen breiter; während ihres Fortganges inner-
halb der Zahnsubstanz werden sie feiner, zumal an den Stellen, wo ihre
zweigförmige Teilung beginnt. Die verzweigten Röhrchen endigen an der
Oberfläche der Zahnsubstanz in Form von selır feinen und zugespitzten
Ausläufern. |
Bezüglich der Verteilung der Zahnröhrchen möchte man beim An-
blick der Figur 3 meinen, dass dieselbe eine sehr unregelmässige sei. Dem
gegenüber zeigt aber die mikroskopische Untersuchung des Präparates in
verschiedenen optischen Ebenen, dass die Abstände zwischen den Dentin-
röhrchen regelmässige Entfernungen darstellen. Dies konnte namentlich an
denjenigen Stellen des Präparates constatirt werden, wo die Zahnröhrchen
genau der Quere nach getroffen waren. In solchen Fällen erschienen die
Röhrchen als kleine kreisrunde Lücken von mathematisch regelmässiger
Anordnung.
Oberflächlich und in ihrem ganzen Umfange wird die Zahnsubstanz
von dem Schmelze (Email) eingeschlossen. Dieser (Fig. 3 Z) bildet einen
zarten Belag, der sich allüberall bis zu der Zalınbasis gleichmässig aus-
breitet. Die Substanz des Schmelzes erscheint bei gewöhnlicher mikrosko-
Melangos geolog. et palcontolog. T. I, p. 11.
274 DR. MED. J. V. ROHON, [N. 8.1
pischer Untersuchung homogen, hingegen treten in ihr bei gekreuzten Ni-
cols in polarisirtem Lichte dunkle, senkrechte Streifen auf, welche mit lich-
ten alterniren, ein Umstand, der die prismatische Structur des Schmelzes
optisch demonstrirt.
Palaeoıdlus oblongus n. sp.
Figur 4 und 5.
Fundort: St. Petersburger Gouvernement. Unter-Silur.
Auch diese Zähnchen sind von mikroskopischer Kleinheit, von grünli-
cher Färbung und vollkommen undurchsichtig. Ihre Gestalt hat zwar das
kegelförmige Ansehen beibehalten, aber sie weist gewisse Unterscheidungs-
merkmale auf, zufolge derer sich diese Zähnchen von den vorigen entfer-
nen; sie sind länger, nicht gerade und etwas verbogen (Fig. 4 und 5), und
erhalten auf diese Weise oberflächlich an der einen Seite eine Auftreibung,
an der andern eine Einsenkung. In Betreff der Pulpahöhle, des Dentins,
der Dentinröhrchen, des Schmelzes und deren histologischen Baues verhal-
ten sich unsere Fossilien ganz genau, wie wir das bereits bei der vorange-
henden Species gesehen haben.
Palaeodus gracilis n. sp.
Fig. 6 und 7.
Fundort: St. Petersburger Gouvernement. Unter-Silur.
Charakteristisch ist für diese Zähnchen ilıre zierlich gebogene Gestalt
und der an ihrer Basis befindliche stärker entwickelte Abschnitt von unre-
gelmässiger Form (Fig. 7 B). Als mikroskopisch kleine, undurchsichtige
und grünlich gefärbte Formen unterscheiden sie sich von den früheren nicht
allein durch ihre schlanke Gestalt, durch engere Pulpahöhle, sondern auclı
durch Abweichungen in ihrem histiologischen Baue.
Um einen Einblick in die Verhältnisse des histiologischen Baues zu ge-
winnen, wollen wir die Figur 6 einer flüchtigen Betrachtung unterziehen.
Die Abbildung gibt die Detailverhältnisse des untern Abschuittes eines
etwas seitlich geführten Längsschliftes wieder. In der Mitte der Zeich-
nung sehen wir die mit Kalkspath erfüllte Pulpahöhle (P), die von einem
zackigen Rande des Dentins beiderseits begrenzt wird. Die zackige Be-
schaffenheit der Begrenzungsflächen spricht ganz entschieden für die Zer-
störungen, welche im Innern des Zahnes im Laufe des Fossilisationspro-
cesses entstanden sind, und sie lassen eine künstliche Erweiterung der
Pulpahöhle vermuthen.
Mélanges géolog. et paleontolog. T. I, p. 12.
(zxxın)] ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 275
Zu beiden Seiten der Pulpahöhle befindet sich die Zahnsubstanz (Dentin),
die von senkrecht gestellten und parallel verlaufenden Lamellen (Z), den
zahlreichen feinen und verzweigten Zahnröhrchen (D) und einer homo-
genen Grundsubstanz aufgebaut wird. Fasst man die Verlaufsrichtung
und die Ursprungsverhältnisse der Dentinröhrchen etwas näher ins Auge,
so gewahrt man darin einen wesentlichen Unterschied, der sich in dieser
Hinsicht den vorhin beschriebenen Zähnchen gegenüber stellt. Wir sahen
nämlich, dass dort die Zahnröhrchen die Zahnsubstanz in schräger Rich-
tung (fast unter einem spitzigen Winkel) durchliefen, während sie hier in
horizontaler Richtung (unter rechtem Winkel von der Pulpahöhle entsprin-
gend) die Zahnsubstanz durchziehen. Offenbar entsteht hierdurch ein auffal-
lendes Unterscheidungsmerkmal. Zu erwähnen wären endlich die im Dentin
zerstreuten dunklen Flecken (x), die weiter nichts als Infiltrationen von bi-
tuminöser Substanz darstellen.
Archodus n. gen.
Archodus clegans n. sp.
Figur 8.
Fundort: Gostilitza im St. Petersburger Gouvernement. Glauconit-Sand. Unter-Silur.
Sehr dünne, rundliche, gelbliche und völlig durchsichtige Zähnchen von
beträchtlicher Läuge; sie sind durch eine schlanke Gestalt ausgezeichnet.
Im Ganzen haben sie eine bogenähnliche Form, wobei der obere, in eine
Spitze auslaufende Abschnitt stärker als der untere gebogen erscheint. In-
teressant ist der mikroskopische Bau. Die verhältnissmässig sehr grosse
Pulpahöhle (P) erstreckt sich in der ganzen Länge des Zahnes. An der
zweifelsohne abgebrochenen Zahnbasis mündet dieselbe frei aus, und erlangt
daselbst den grössten Umfang, hingegen an dem obern spitzigen Ende, bis
wohin sie vordringt, wird die Pulpahöhle etwas schmäler und endigt blind.
Ans ihr entspringen unter rechtem Winkel die Zahnröhrchen (D), welche
in horizontaler Richtung die aus vielen, dutenföürmig über einander gelager-
ten Lamellen (Z) zusammengesetzte Zahnsubstanz durchbrechen, da-
bei einen geradlinigen Weg beschreibend. Während ihres Verlaufes teilen
sich die Dentinrührchen dichotomisch und ihre Zweiglein überschreiten
niemals die Grenzen der Zahnsubstanz. Der als sehr zarte Decke an der
Zahnoberfläche erscheinende Schmelz (Z) breitet sich über den ganzen
Zahn aus; derselbe hat alle jene Eigenschaften, die der echten Emailsub-
stanz zukommen.
Melanges géolog. et paléontolag. T. I, p. 18.
276 DR. MED. J. V. ROHON, [n. 8. ı
Fasst man nunmehr die Ergebnisse vorliegender Untersuchung in we-
nige Sätze zusammen, so ergibt sich Folgendes: Gemeinschaftlich mit
den Conodonten Pander’s kommen im Glauconit-Sande des St. Pe-
tersburger Gouvernements winzige Gebilde vor, die nach ihren
morphologischen Merkmalen von den Conodonten getrennt werden
müssen. Dieselben sind durch den die Wirbeltier-Zähne charak-
terisirenden histiologischen Bau ausgezeichnet; demnach sind sie
ächte Wirbeltier-Zähne der Mundhöhle und stehen morphologisch
in schroffem Gegensatze zu den Conodonten. Ihrer Gestalt und
Mikrostructur nach kann man die Zähnchen in zwei Genera: Pa-
laeodus und Archodus, ferner in vier Species: Palaeodus brevis, Palaeodus
oblongus, Palaeodus gracilis und Archodus elegans einteilen. Durch den
Besitz einer ächten Dentinsubstanz und Pulpahöhle präsentiren
sich diese Zähnchen als Mundzähne höher organisirter Fische,
können also auch nicht den Selachiern zugeteilt werden, deren
Zähne bekanntlich aus Vasodentin bestehen. Möglicher Weise
stehen sie inirgendwelcher Beziehung zu den auf der Insel Oesel
vorkommenden ober-silurischen Ganoid-Resten.
Endlich gelangen wir zu der geologisch und palaeozoologisch
bedeutungsvollen Schlussfolgerung, dass bereits in den unter-
silurischen Ablagerungen hoch entwickelte Fische gelebt haben
müssen.
Zum Schlusse meiner Mitteilungen fühle ich mich verpflichtet, dem
Herrn Akademiker Fr. Schmidt und dem Herrn Professor J. Lahusen
für die gütige Überlassung des Untersuchungsmaterials herzlichst zu
danken.
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 14.
e
De Rohon: Üeber unter -sılurische Fische.
2 ES — ss ee Ge Me de — nn
3. 2.
Gez.v J. Koch. Lfh-DruckvR Koch BO] Lin S'Petorsburé
(xxxm)]
Figur 1.
2. Conodont. Seitliche Flächenansicht. Hartnack Oc. 8, Syst. II.
Figur 8.
Figur
Figur 4.
Figur 6.
Figur 6.
Figur 7.
Figur 8.
Figur 9.
Figur 10.
ÜBER UNTER-SILURISCHR FISCHE. 277
Erklärung der Abbildungen.
Palaeodus brevis. Flächenansicht von der Seite. Hartnack Oc. 8, Syst. II.
Palaeodus brevis. Längsschliff durch den ganzen Zahn. D = Dentin (Zahnsubstanz,
Substantia eburnea), E = Schmelz (Email, Substantia adamantina), P = Pulpahöhle,
L = Lamellen der Zahnsubstanz, B — Basis des Zahnes, G = Gestein. Hartnack
Oc. 8, Syst. combinirt IV und VII.
Palaeodus oblongus. Seitliche Flächenansicht des ganzen Zahnes. P = Pulpahôhle.
Hartnack Oc. 8, Syst. II.
Talaeodus oblongus. Seitliche Ansicht des unteren Abschnittes. P=Pulpahöhle. Hart-
pack Oc. 3, Syst. II.
Palaeodus gracilis. Längsschliff von dem untern Abschnitt des Zahnes. P = Pulpa-
höhle, D = Dentin, L = Lamellen der Zahnsubstanz, B = Basis des Zahnes, x =
Infiltration der bitaminösen Substanz. Hartnack Oc. 3, Syst. V.
Palaeodus gracilis. Seitliche Flächenansicht, B = Basis des Zahnes. Hartnack Oc. 8,
Syst. II.
Archodus elegans. Seitliche Ansicht des Zahnes, in durchfallendem Lichte gezeichnet,
E = Schmelz (Email), D = Dentin, L = Lamellen der Zahnsubstanz, P = Pulpa-
höhle. Hartnack Oc. 3, Syst. V.
Conodont. Seitliche Ansicht des unteren Abschnittes. h = basale Höhle. Hartnack
Oc. 8, Syst. II.
Zusammengesetzter Conodont. Ansicht der Ausseren Oberfläche, Hartnack Oc. 8,
Syst. II. .
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 15.
279
De l'équilibre chimique entre l'acide chlorhydrique et l'hydrogène par rapport
aux métaux. 1° article — cuivre, par M. Ribalquine. (Lu le 30 mai 1889).
Sur la proposition de Monsieur N. N. Békétoff, j’ai entrepris l’étude
de l’action de l’acide chlorhydrique sur le cuivre et de l’hydrogène sur le sous-
chlorure de ce métal pour appliquer à un cas plus accessible à l'expérience,
la méthode, qui a servi à St. Claire-Deville à fonder les principes de la
dissociation et de l’équilibre chimique entre les corps agissants et le produit
de leur combinaison. Le choix de la réaction ci-dessus nommée devait pré-
senter l’avantage de se produire dans deux sens opposés à des températures
pas trop élevées, parce-que la différence des chaleurs de formation de l’acide
chlorhydrique (22,0 C.) et du sous-chlorure de cuivre (32,8 C.) n’est pas
grande et que par suite les expériences pourraient être exécutées dans des
tubes scellés en verre.
On plaçait du cuivre métallique tout-à-fait pur et sec!) et dans un état
moléculaire dans des tubes de verre. La proportion du métal était toujours
très forte par rapport à la quantité de l’acide chlorhydrique. Le système
de tubes avec le métal était encore une fois desséché à 92° dans un courant
d'hydrogène pendant une demi-heure et puis rempli d’acide chlorhydrique
desséché par de l’acide sulfurique et par de l’anhydride phosphorique. La
pureté de l’acide était constatée par l’absorption totale du gaz par l’eau,
après que le gaz avait traversé tout le système. Les températures aux-
quelles les tubes ont été chauffés se plaçaient entre 100° et 440°. Pour la
température de 100° je me servis de la vapeur d’eau, pour celle de 440° de
la vapeur de soufre en ébullition, et pour les températures moyennes j’em-
ployais un bain d'air. Après le chauffage on brisait les pointes des tubes sous
le mercure et on mesurait le volume du gaz, et puis on absorbait l’acide
chlorhydrique par une goutte d’eau et on déterminait ainsi la quantité
d’acide chlorhydrique et de l’hydrogène, formé pendant l'expérience. Les
volumes déterminés ont été amenés par le calcul à la température de 0°, à la
1) Le cuivre était préparé par l’électrolyse, puis dissout dans l'acide nitrique; l’oxyde de
cuivre obtenu par la calcination du nitrate était réduit et puis refroidi dans un courant
d'hydrogène. |
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 119.
280 x. RIBALQUINE, DE L’£QUILIBRE CHIMIQUE ENTRE L’ACIDE CHLORHYDRIQUE [N. 8.
pression normale et à l’état sec. Dans ces conditions j’ai obtenu les résultats
suivants. Le commencement de la réaction peut être constaté à 100°: après
une heure de chauffage la quantité de l’acide chlorhydrique décomposé est
minime, après 5 heures elle est déjà de 38%, après 18 heures elle est égale à
66°/, et enfin après 196 heures elle est totale. En élevant la température depuis
100° jusqu’à 440° et pour un temps égal pour toutes de 9 heures on obtient
les résultats suivants, qui peuvent être représentés graphiquement par une
courbe, en prenant pour abscisse les températures et pour ordonnée la quantité
de l’acide chlorhydrique décomposé pour 100 volumes.
109° 120° 205° 250° 270° 5/0° 51° 200
9 heures de chauffage.
D'après ce diagramme on peut constater, que la quantité de Pacide
chlorhydrique décomposé monte rapidement jusqu’à 230°, mais depuis 270°
elle commence à baisser, quoique faiblement, et à 440° la décomposition
n’atteint que 66%. Avec plus de netteté la baisse de la courbe depuis 230°
jusqu’à 270° s'exprime pendant une chauffe de 18 heures, — ainsi la quantité
d'acide chlorhydrique décomposé à 230° monte jusqu’à 96,2%, tandis que
à 270° cette quantité reste la même que pour 9 heures, c’est-à-dire elle n’est
que de 91,5%, — il en suit donc, qu’à cette dernière température (270°)
l'équilibre entre l’acide chlorhydrique et l’hydrogène est déjà atteint pendant
les premières 9 heures de chauffage. Quoique la quantité d’acide chlor-
hydrique décomposé à 230° est très grande (96%), mais on ne peut pas
atteindre une décomposition complète: cette quantité augmente rapidement
avec le temps de chauffage jusqu’à 14 heures, s’arrête à ce moment et reste
constante, c’est-à-dire de 96%, après 18 et 24 heures d'expérience. En re-
présentant cette marche graphiquement on obtient une courbe, qui s’élève assez
brusquement et puis après 14 heures prend l'aspect d’une droite parallèle à
l’abscisse. Pour être sûr, que l’équilibre chimique avait été atteint, j’ai exécuté
des expériences en sens contraire, c’est-à-dire, que je fis agir l'hydrogène sur
le monochlorure de cuivre CuCI (ou Cu,Cl.); celui-ci était préparé par la
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 120.
(XXxIH)] ET L’HYDROGENE PAR RAPPORT AUX MÉTAUX. 1°* ARTICLE — CÜIVRE. 281
méthode ordinaire, par l’action du cuivre métallique sur le bichlorure; en
présence d’un excès d’acide chlorhydrique la dissolution était précipitée par
l’eau et le précipité lavé par de l’eau chaude, puis par de l’acide acétique
glacial et finalement par de l’alcool et par de l’éther. Le monochlorure
presque sec était encore desséché à 92° dans un courant d'hydrogène pendant
24 heures.
On plaçait le sous-chlorure de cuivre en petite quantité dans des tubes
qu’on remplissait d'hydrogène et on les chauffait depuis 200° jusqu’à 400°.
A 200° je n’ai constaté aucune action, quoique le temps de chauffage était
poussé jusqu’à 84 heures; à 230° l’action commence et après 18 heures il
s’est formé 5°, d’acide chlorhydrique, à 270° après 9 heures 10°/, d’acide
et enfin à 440° 35%.
Si nous représentons ces résultats par une courbe d’après la quantité
d'acide chlorhydrique, qui correspond à l’hydrogène restant, et si nous
comparons cette courbe avec celle qui représente les résultats de la
première série d’expériences, c’est-à-dire l’action du cuivre métallique sur
l'acide chlorhydrique, nous obtiendrons le diagramme suivant:
200" 250° 290° 310° ue"
La courbe en points représente l’acide chlorhydrique correspondant à
l'hydrogène restant, et l’autre la quantité d'acide chlorhydrique décomposé
par l’action du cuivre métallique: il ressort de ce tableau, que les deux lignes
se confondent — c’est-à-dire qu’il s'établit le même équilibre chimique en
partant du système cuivre et acide chlorhydrique, ou du système invers:
monochlorure de cuivre et hydrogène — pourvu que le temps de chauffage
soit assez prolongé pour atteindre un état constant.
Après ces expériences j’ai entrepris l’étude des mêmes réactions pour les
systèmes: argent, acide hydrochlorique et chlorure d’argent, hydrogène, et
j'ai pu remarquer le fait intéressant suivant: le commencement de l’action de
l'acide chlorhydrique sur l’argent est à 150°, et l’action inverse — l’action
de l'hydrogène sur le chlorure d’argent commence déjà à 215°, tandis que
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 191.
282 M. RIBALQUINE, DE L’EQUILIBRE CHIMIQUE ENTRE L’AOIDE ETC. [N. 8. I
pour le cuivre l’action de l’acide chlorhydrique commence à 100° et l’action
inverse ne se fait qu’à 230°. Si maintenant nous comparons les quantités
de chaleur de formation des deux composés — CuCl et AgCI, nous consta-
tons, qu’à une plus grande quantité de chaleur (pour le CuCl) de formation
correspond un plus grand intervalle entre le commencement de l’action du
métal sur l’acide chlorhydrique et l’action inverse de l’hydrogène sur le
chlorure. Ce fait me conduit à rechercher une loi, qui pourrait lier ces deux
données thermiques pour la plupart des métaux, et j’ai l'intention de con-
tinuer mes recherches dans ce sens.
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 122.
(xxx) | 283
Rapport fait à l’Académie Impériale des Sciences par los délégués de la Russie
à la conférence générale du mètre, réunie à Paris en septembre 1889;
par H. Wild ot 0. Backlund. (Lu le 10 octobre 1889.)
Il y a maintenant un peu plus de vingt ans que dans la séance de la
Classe physico-mathématique du 8 avril 1869 feu notre collègue, Mr.
Jacobi, faisait la proposition de soumettre à une commission internationale
plusicurs questions se rapportant à la confection de nouveaux prototypes
métriques, et qu’une commission nommée par l’Académie pour examiner cette
question formulait, dans la séance de la Classe du 20 mai 1869, à la fin de son rap-
port, les résolutions suivantes: 1° que l’Académie emploie son autorité pour
solliciter S. E. Monsieur le Ministre de l’Instruction publique d'intervenir
auprès du Gouvernement Impérial pour que tous les États étrangers soicnt
invités à envoyer des délégués pour former une commission internationale qui
devrait se réunir dans une capitale encore à désigner, dans le but de régler
la confection des étalons prototypes métriques et de créer une unité de
mesure véritablement universelle et effectivement internationale; 2° que
M. Jacobi soit chargé de faire valoir à la réunion de l’Association bri-
tannique pour l'avancement des sciences à Exeter, les principes qui
viennent d’être établis dans le présent rapport et l’urgence de l’adoption
universelle du système métrique par les savants de tous les pays.
Ces propositions furent adoptées unanimement par l’Académie.
Sans entrer ici plus particulièrement dans les détails de l'exécution de
ces décisions nous nous bornerons à faire observer qu’elles contribuèrent
essentiellement à la convocation, par le gouvernement français, d’une com-
mission internationale de délégués de tous les pays, qui devait se réunir à
Paris au mois d’août 1870 et délibérer sur la construction de nouveaux
étalons métriques et de copies exactes de ces prototypes pour tous les pays
intéressés.
Ainsi on doit avant tout à la Russie que la réforme des prototypes
métriques, dont la première phase vient de se terminer, ait été entreprise
en temps opportun, et notre Académie des sciences peut se féliciter de ce que
cette réforme a été exécutée d’après les principes établis par elle dès le
Mélangon phyn. ct chim. T. XIII, p. 193. 19
284 M. WILD BT 0. BACKLUND, RAPPORT FAIT À L'ACAD. IMP. DES SC. [N. 8.1
début et maintenus par elle pendant tout le temps contre des idées quel-
quefois divergentes.
Nous nous permettrons de rappeler en peu de mots les phases princi-
pales de cette grande et importante entreprise scicntifique pour faire mieux
comprendre sa longue durée et faciliter l’appréciation des résultats acquis.
La guerre ayant interrompu la première session de la commission inter-
nationale du mètre en 1870, ce n’est que dans la seconde session, en 1872,
qu'ont eu lieu les délibérations complètes sur tous les travaux à exécuter
pour la réforme des prototypes métriques et que ces travaux furent fixés
par 40 résolutions prises par la commission. Voici les principales de ces
résolutions.
On construira un nouveau mètre international et un nouveau kilogramme
international et en même temps des copies identiques des deux pour tous
les pays qui en demanderaient. Pour ces prototypes internationaux aussi
bien que pour les prototypes nationaux des différents pays on emploiera un
alliage de 90%, de platine et 10% d’iridium. Le nouveau mètre inter-
national et ses copies seront des mètres à traits, mais on construira aussi
pour les pays qui en demanderont des étalons à bouts. Le nouveau mêtre ct
kilogramme internationaux devront autant que possible être égaux aux an-
ciens prototypes métriques des Archives de France.
La confection des prototypes internationaux et nationaux, le tracé des
mètres et la comparaison avec les prototypes anciens des Archives seront
confiés à la Section Française de la Commission internationale avec le con-
cours d’un Comité permanent de 12*) membres appartenant tous à des
pays différents et choisis par la Commission. Ce Comité dirigera et sur-
veillera l’ex&cution des décisions de la Commission internationale concernant
la comparaison des nouveaux prototypes entre eux et aura à cet effet
recours à un Bureau international des poids et mesures dont la fonda-
tion à Paris sera recommandée aux gouvernements intéressés. C’est dan ces
Bureau, muni de tous les appareils nécessaires à cet effet, que les premières
comparaisons des prototypes auraient lieu, que seraient conservés à l’avenir
les prototypes métriques internationaux, et que les comparaisons pério-
diques des prototypes nationaux avec les prototypes internationaux seraient
faites plus tard pour constater leur invariabilité, etc.
Pendant que la Section Française, étant chez elle, pouvait tout de suite
commencer les travaux qui lui étaient confiés par ces résolutions, le Comité
international n’entrait que quatre ans plus tard dans la possession de son labora-
toire, c. à d. du Bureau international des poids et mesures, fondé en 1875
*) Ce nombre a été augmenté jusqu’à 14 par la conférence diplomatique du mètre en 1876.
Meluugos phys. ot chim. ‘, NET, p. 124.
(XKXIH)] MAR LES DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIE À LA CONF. GÉNÉRALE DU METRE. 285
à Paris en vertu d’une convention entre 16 états contractants. Du reste
pour les travaux incombants au Comité international il n’y avait pas cu de
temps perdu. Celui-ci pouvait même en toute tranquillité organiser le Bureau
international, y installer les nombreux instruments de comparaison, et faire
toutes les études préparatoires, puisque les kilogrammes et les mètres proto-
types à comparer par les soins du Comité au Bureau international ne furent
livrés par la Section Française que dans le courant des années 1886 à 1888.
Ce retard inattendu dans la confection des mètres ct kilogrammes a été
principalement causé par les grandes difficultés qu’on a rencontrées pour la
préparation du platine et de liridium assez purs et pour l’alliage de ces
deux métaux afin d'obtenir des masses assez homogènes par la fonte. Ainsi
ce n’est qu’en 1882, c. à. d. 10 ans après la session de la Commission inter-
nationale du mètre, que la Section Française a pu enfin faire à Matthey et
Comp. à Londres la commande de la matière pour tous les mètres et kilo-
grammes. La confection de ces mesures avec une matière si dure et cepen-
dant peu apte au polissage a de nouveau rencontré toutes sortes de difficultés.
Les études seules pour la meilleure manière de tracer les traits sur les mètres
ont pris plus d’une année de travail.
Le Conité international tout en prêtant son concours efficace à la Section
l'rançaise a profité du long intervalle de temps pour étudier à fond, au
Burcau international, les instruments et appareils auxiliaires, tels que
thermomètres, baromètres, appareils de dilatation, et pour perfectionner
successivement les comparateurs de longueur, les balances ct les méthodes
de comparaison, de sorte que quand dans les dernières années il a pu atta-
quer sa tâche principale — la comparaison des nouveaux prototypes entre
eux, on y a atteint un degré de précision tout-à-fait inconnu jusqu'àlors.
Les mètres ont été comparés entre eux avec une exactitude de 0,0002 mm.
ct les kilogrammes avec une exactitude de 0,005 mg. Pour apprécier ce
progrès nous rappelerons seulement qu’en 1860 une commission composée
de Regnault, Morin ct Brix, ayant à faire des comparaisons de kilo-
grammes à Paris, devait se contenter d’une exactitude de 0,5 mgr. Quant
à la thermometrie et la mesure des dilatations des corps par la température
le Comité a réalisé dans son Bureau de telles améliorations et une telle
exactitude supérieure à tout ce qui a été fait jusqu’à présent qu’une nou-
velle époque dans cette branche de la science datera de ces travaux.
Après avoir achevé la comparaison de tous les mètres et kilogrammes
entre eux, au nombre desquels se trouvaient aussi le mètre et le kilogramme
comparés par les soins communs de la Section Française et du Comité inter-
national directement avec les anciens prototypes des Archives de France, le
Comité en choisit pour servir de prototypes internationaux le mötre et le
Mélanges phys. où chim. T. XIII, p. 195.
286 H. WILD BT 0. BACKLUND, RAPPOUT FAIT À L'ACAD. IMP. DES SC. [N. 8. 1
kilogramme qui entre les limites des erreurs d’observation correspondaient
le plus parfaitement à ces derniers; les autres mesures devaient être ré-
parties aux pays intéressés.
À cet effet le Comité international des poids et mesures a, conformément
aux prescriptions de la convention du mètre, invité les gouvernements à en-
voyer, pour le 24 septembre de cette année à Paris, des délégués qui
devaient former la conférence générale pour sanctionner et distribuer comme
telle les prototypes internationaux et nationaux. Cette conférence s’est réunie
à la date indiquée au ministère des affaires étrangères à Paris et comptait
37 membres représentant 20 états différents. La première séance a été
ouverte par le ministre des affaires étrangères de la France, Mr. Spuller,
qui dans son discours à relevé l'initiative que la Russie a prise dans cttee
question; ensuite, Mr. Descloiseaux, président en exercice de l’Académie
des Sciences à Paris et, comme tel, président de la conférence, conformément
aux prescriptions de la convention, a prononcé un discours. Enfin le pré-
sident du Comité international général Ibanez, marquis de Mulhaçen, a
lu un compte-rendu des travaux accomplis par le Comité et le Bureau inter-
national et a fait distribuer aux membres de la conférence le rapport im-
primé du Comité sur les comparaisons des mètres et kilogrammes prototypes,
sur la détermination de leurs constantes essentielles, savoir la dilatation, le
coefficient d’élasticité, le poids spécifique du platine-iridié et la coınposi-
tion chimique de cet alliage et sur les thermomètres, accompagnant les
prototypes, et leur vérification d’après le thermomètre à hydrogène. Il
aurait sans doute mieux valu que l’on eut pu soumettre aux membres de
la conférence une publication en détail de tous les observations, calculs ct
résultats concernant ces prototypes, comme on les trouve publiés pour la
comparaison d’autres mesures et pour les études préparatoires dans les sept
volumes, que le Comité a déjà fait paraître. Mais considérant qu’une telle
publication ne pourrait être achevée avant deux ans, que d’autre part les
prototypes étaient prêts pour être distribués et que beaucoup d'états en
avaient à plusieurs reprises demandé la livraison, le Comité a cru ne pas
devoir différer plus longtemps la distribution.
Aussi la confereuce a-t-clle, dans sa seconde séance, le 26 septembre,
adhéré à cette manière de voir ct pronoucé la sanction des prototypes
internationaux et de tous les prototypes nationaux, mentionnés dans le rap-
port du Comité. Nous joignons à notre rapport la formule de sanction
adoptée par la conférence.
On a procédé ensuite à la répartition des prototypes, par le tirage au
sort, entre les États qui les ont commandés, savoir 30 mètres et 30 kilo-
grammes nationaux, Pour ces mesures on avait déjà préparé des étuis con-
Mélauges phys. ut chim. !. XII, p. 126.
(XXXI11)] PAR LES DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIE À LA CONF. GÉNÉRALE DU METRE. 287
venables pour le transport et quelques indications imprimées pour leur
transport et leur conservation, de sorte que les délégués, qui le désiraient,
pouvaient incontinent retirer les prototypes destinés à leur pays ou les
mettre en attendant sous scellé.
A la fin de la seconde séance la conférence a par scrutin secret, confor-
mément aux prescriptions de la convention, renouvellé par moitié le Comité
international (les membres sortants ont tous été réélus) et a élu en outre
deux nouveaux membres en remplacement des deux membres du Comité, dé-
cédés dans le courant de cette année.
Dans l'intervalle entre la seconde et la dernière séance une commission de
5 membres a, en présence de Mr. le directeur du Bureau international et de
Mr. le garde général des Archives nationales de France, enfermé dans la
cave inférieure du bâtiment des observations au pavillon de Breteuil ct dans
une armoire en fer, qui y est placée, les prototypes internationaux du mètre et
du kilogramme ainsi que deux mètres et deux kilogrammes-témoins égale-
ment en platine-iridié, appartenant à la série des mesures comparées aux
premiers.
En rendant compte à la conférence dans sa troisième et dernière séance,
le 28 septembre, de sa mission la Commission a présenté au président sous
envoloppe cachetée les clefs de trois serrures différentes des portes en fer
de la cave meutionnée, lesquelles furent alors, conformément aux prescrip-
tions de la convention, immédiatement remis à Mr. le président du Comité
international, à Mr. le garde général des Archives nationales de France,
et à Mr. le directeur du Bureau international à Breteuil. Le dernier n’aura
à l'avenir accès à ce dépot des prototypes qu’en vertu d’une decision du
Comité international et en présence de deux de ses membres.
Considérant que la publication des travaux du Bureau international
pour la comparaison des prototypes n’est pas encore faite en détail; consi-
dérant que les mètres à bouts commandés par quelques états, et dans ce
nombre par la Russie pour l'Observatoire de Poulkowa, ne sont pas encore
prèts et pas même livrés par la Section Française, ayant été considérés des
le commencement comme des étalons de second ordre; considérant enfin
que plusieurs états ont encöre depuis peu demandé des prototypes et surtout
des mètres à traits, la conférence generale a décidé dans sa dernière séance
que la première période des fonctions du Bureau international, après laquelle
son personnel et son budget annuel seront réduits, ne s’achevera qu'après
l’accomplissement de ses travaux qui prendront encore trois ans.
Ainsi par la sanction des nouveaux prototypes métriques internationaux
et par la sanction et Ja distribution des prototypes nationaux à la plupart des
états les voeux que notre Académie a formulés il y a 20 ans sur la proposition
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 197.
288 H. WILD ET 0. BACKLUND, KAPPORT FAIT À L'AUAD, IMP. DES SU. [N. 8.1
de Mr. de Jacobi ont été complètement réalisés. Par la création d’un centre
international où les prototypes internationaux sont convenablement déposés
et conservés et où l’on pourra toujours opérer avec des appureils à la hau-
teur de la science et sous contrôle international de nouvelles comparaisons
avec ces prototypes, ainsi que par la distribution à tous les pays de proto-
types équivalents et rigoureusement comparés l'unification des poids et me-
sures pour le globe entier est accompli; il n’y aura plus à l'avenir aucune
difficulté pour comparer exactement entre elles des quantités mesurées dans
les différents pays. Le nom de l’Académie Impériale des Sciences de St.
Pétersbourg qui a par son initiative et par sa persévérance le plus contribué
à cet heureux résultat, restera pour toujours étroitement lié à l’histoire de
ce grand progrès des sciences exactes.
Les deux sousignés ont été chargés par Son Altesse Tmpériale Mon-
seigneur le Président de l’Académie et Mr. le Ministre des finances de la
réception et du transport de Paris à St. Pétersburg des prototypes destinés
pour ces deux ressorts. Nous avons effectué ce transport avec tous les soins
que demande le caractère de la plus haute exactitude scientifique de ces
étalons, et comme les mesures sont toujours restées sous nos yeux dans leurs
étuis et caisses scellés nous pouvons garantir qu’ils n’ont subi dans ce trans-
port aucune détérioration appréciable. Pendant notre séjour à Berlin ils ont
été enfermés à l'Observatoire dans une armoire de la salle des chronomètres
et à St. Pétersbourg ils ont été inimédiatement déposés à l'Observatoire
physique central dans un caveau sûr contre l'incendie et le vol, et s’y
trouvent encore actuellement.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 128.
(XXX111)] PAR LES DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIR À LA CONF. GÉNÉRALE DU MÈTRE. 289
APPENDICE.
SANCTIONNEMENT DES PROTOTYPES.
La Conférence générale,
Considérant le compte rendu du Président du Comité international et le
Rapport du Comité international des Poids et Mesures, d’où il résulte que,
par les soins communs de la Section française de la Commission inter-
nationale du Metre, et du Comité international des Poids et Mesures, les
determinations métrologiques fondamentales des prototypes internationaux
et nationaux du mètre et du kilogramme ont été exécutées dans toutes les con-
ditions de garantie et de précision que comporte l’état actuel de la Science;
Considérant que les prototypes internationaux et nationaux du mètre et
du kilogramme sont formés de platine allié à 10 pour 100 d’iridium, à
0,0001 près;
Considérant l’identité de longueur du mètre et l'identité de la masse du
kilogramme internationaux avec la longueur du mètre et la masse du kilo-
gramme déposés aux Archives de France;
Considérant que les équations des mètres nationaux, par rapport au
mètre international, sont renfermées dans la limite de 0,01 millimètre avec
une erreur probable ne dépassant pas + 0,0002 millimètre, et que les
équations reposent sur une échelle thermométrique à hydrogène, qu'il est
toujours possible de reproduire, à cause de la permanence de l’état de ce
corps, en se plaçant dans des conditions identiques;
Considérant que les équations des kilogrammes nationaux, par rapport
au kilogramme international, sont renfermées dans la limite de 1 milli-
gramme avec une erreur probable ne dépassant pas + 0,005 milligramme;
Considérant que le mètre et le kilogramme internationaux et que les
mètres et les kilogrammes nationaux remplissent les conditions exigées par
la Convention du Mètre,
Sanctionne,
A. En ce qui concerne les prototypes internationaux:
1° Le prototype du mètre choisi par le Comité international.
Ce prototype représentera désormais, à la température de la glace fon-
dante, l'unité métrique de longueur.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 199.
290 H. WILD ET 0. BACKLUND, RAPPORT ETC.
2° Le prototype du kilogramme adopté par le Comité international.
Ce prototype sera considéré désormais comme unité de masse.
3° L’échelle thermométrique centigrade à hydrogéne par rappport à
laquelle les équations des mètres prototypes ont été établies.
B. En ce qui concerne les prototypes nationaux:
1° Les mètres en platine iridié, dont les équations, par rapport au
prototype international, sont renfermées dans la limite de 0,01
millimètre.
2° Les kilogrammes en platine iridié dont les équations sont ren-
fermées dans la limite de 1 milligramme.
C. En ce qui concerne les équations des prototypes nationaux:
Les équations des prototypes nationaux, telles qu’elles ont été deter-
minées au Bureau international, sous la direction du Comité international,
et inscrites dans le Rapport de ce Comité et sur les certificats accom-
pagnant ces prototypes.
Paru le 17 nevembre 1889.
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Nouvelle Série I (XXXIM). ° '.-
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CONTENU. | à
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W. Radloff, Sur les anciens dialectes turcs. I. Vers seldschuks dans et.
RebAb-Nâmeh. . . : .............. eee 201-861
P. Nikitine, Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. . . . . . . . .. . 868-871
O. von Lemm, Fragments sahidiques de la Bible... . . : . : x . 873-891
J. v. Bohon, Poissons dévoniens de Jénissei (avec 1 planche). . ‚998-410
_ A. Nauck, De scholiis in Sophoclie tragoedias a Petro N. Papageorgio |
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"Herm. Struve, Résultats préliminaires des observations faites ı sur 168..." …:.
satellites de Saturne à l'aide du réfracteur de 80 pouces . 100 , Bu
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10 imprimé par ordre de l'À cadémie Impériale des Sciences. PT
Janvier 1 oo. 0. Vessélofsky, secrétaire perpétael, \
Imprimerie de l’Académie Impériale des Sciences, :
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BULLETIN
DE L'ACADÉNIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSEOURE
Über alttürkische Dialekte. Von W. Radloff. (Lu le 22 Août 1889.)
1. Die seldschukischen Verse im Rebâb-Nâmeh.
In der Privat-Bibliothek Seiner Majestät des Kaisers von Osterreich in
Wien findet sich ein in sehr schönem Neschi geschriebenes Exemplar von
Sultan Weled’s Rebäb-Nämeh. Dasselbe ist von Hassan ben Osman ge-
schrieben und im Jahre 768 d. H. vollendet wie die Datirung Lö
nas Ole cp un all all Je (subi gl. Am Ende des ersten
Theiles, der 767 geschrieben ist, befinden sich 156 türkische Distichen, die
zum ersten Male im 48. Bande der «Jahrbücher der Literatur» (1829 Anzeige-
Blatt) veröffentlicht wurden. Der Herausgeber in den Wiener Jahrbüchern
macht schon auf das Alter dieses türkischen Textes aufmerksam und meint,
dass die türkisch-seldschukische Sprache schon 200 Jahre früher als die
Dshagataische eine weit höhere Ausbildung erlangt habe als diese, wiewohl
sie noch gar nicht mit arabischen Wörtern vermischt war.
Zum zweiten Male wurden diese Verse von Moritz Wickerhauser im
Jahre 1866 in der Zeitschrift der D.M.G. Band XX, p. 574 veröffentlicht).
Herr Wickerhauser hat aber den Text mit lateinischen Lettern trans-
scribirt und wie er selbst angiebt: «der Text ist überschrieben nach dem in
B. XVII, p. 513 d. Zeitschr. vorgeschlagenen Mitlauter-Schema. Für die
Selbstlauter-Überschreibung nehme ich mir ein bischen mehr Freiheit, als
das Selbstlauter-Schema, ebenda pag. 512 einräumt».
In seiner kurzen Einleitung weist Wickerhauser darauf hin, dass zur
Zeit Weledi’s der Eintritt des arabischen Elements in’s Seldschuken-Idiom
bereits vollzogen war und zwar seit geraumer Zeit. Was Wickerhauser
veranlasste ein so wichtiges Dokument wie diese seldschukischen Verse in
Trausscription wiederzugeben, anstatt in genauer Kopie des Textes, kann
ich nicht begreifen. Eine phonetische Transscription ist nur möglich,
wenn man den Text selbst einer genaueren Analyse unterworfen hat, und
1) Im XXIII B. p. 201 derselben Zeitschrift hat Behrnauer in einer Abhandlung «Über
die 166 scldschukischen Distichen aus SultAn Weled’s RebäbnAmce» viele Verse Wicker-
hauser’s verbessert nnd Prof. Fleischer vortreffliche Erläuterungen und Nachträge gelicfert.
Mélanges asialiqnos. T. X, p. 17. 20
292 W. RADLOFF, [N. 8. ı
sie hat nur dann eine wissenschaftliche Berechtigung, wenn man beabsich-
tigt durch dieselbe die Spracheigenthümlichkeiten des alten Seldschuken-
Dialektes bildlich darzustellen. Dies hat aber Wickerhauser nicht be-
absichtigt, seine Transscription soll nur eine graphische Übertragung des
Originaltextes sein, und eine solche halte ich nicht nur für unnütz, sondern
sogar für schädlich, da sie den Originaltext verdunkelt und den Leser
nur irreführen kann. Da ich selbst diese Unzugänglichkeiten des Wicker-
hauser’schen Textes erfahren hatte, benutzte ich meinen Aufenthalt in Wien
im Winter 1884 um die Seldschukischen Verse im Original zu studiren. Die
Benutzung des Manuscriptes wurde mir in freundlichster Weise gewährt und
ich konnte eine genaue Kopie des theilweise vocalisirten Textes anfertigen.
Ich halte es für nöthig diese Verse noch einmal zu veröffentlichen, und zwar
80, wie sie niedergeschrieben sind, mit allen Fehlern und Versehen, die in
ihnen auftreten*). Darauf werde ich den Lautwerth der Schriftzeichen
prüfen, ein Wörterverzeichniss des türkischen Sprachmaterials der Verse
zusammenstellen und die grammatischen Formen, die uns hier aufstossen,
schematisch ordnen. Nach Beendigung dieser einleitenden Untersuchung
will ich eine Transscription des Textes liefern, um dadurch ein Sprachbild des
Seldschuken-Dialektes des vierzehnten Jahrhunderts zu skizziren. Ich hoffe
auf diese Weise einen Ausgangspunkt für fernere Untersuchungen der alten
Sprache der türkischen Süddialekte zu gewinnen, an die sich weitere For-
schungen auf diesem Gebiete anschliessen können.
Was das Auftreten arabischer Wörter in der alten Sprache der Türken
betrifft, darüber kann uns natürlich ein Text mit so ausgesprochen religiösem
Inhalt wie diese Seldschukischen Verse gar keinen Aufschluss geben. Die Bei-
mischung arabischer Ausdrücke ist eine Licenz, die jeder mohammedanisch
gelehrte Türke nicht nur für sein Reclıt, sondern auch für seine Pflicht hält;
besonders in einem Werke religiösen Inhalts ist eine solche Beimischung
unvermeidlich, und ich muss darin dem ersten Herausgeber beistimmen, dass
in den Seldschukischen Versen diese Anwendung auf ein Minimum beschränkt
ist. Ich bezweifle, dass die in unserem Gedicht angewendeten arabischen
Elemente in die Sprache der Seldschuken eingedrungen waren; diese Verse
können uns für eine solche Annahme durchaus nicht als Beweis dienen. Wenn
Ausdrücke wie 5 15 mal, 3» 9 mal, 5. 8 mal, li 7 mal, L5> 4 mal sich
wiederholen, so muss man bedenken, dass dies termini technici sind, die der
Autor, der gewiss eine arabische Bildung erhalten, sich schon in der Schule
angeeignet hatte; andere Ausdrücke wie SL pl} se ai &l. müssen wir
*) Durch die gütige Vermittlung des Herru Prof. Fr. Müller habe ich eine vortreffliche
photographische Kopie der Verse erhalten und nach dieser sind die Korrecturbogen verbessert
worden. Diese Kopie wird jetzt in unserem Asiatischen Muscum aufbewahrt.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 18.
(xxx) ] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 293
als Übertragungen aus dem Persischen ansehen. Ebenso müssen wir auch die
fast in allen Versen auftretenden untürkischen Constructionen mit „S und af
(letzteres direct aus dem Persischen entlehnt) und die Anwendung des nega-
tiven &....o als litterarischen Einfluss des Persischen bezeichnen, der gewiss
damals der Volkssprache noch ganz fremd war, wie ja auch die ganze
Anlage des Gedichtes auf eine Nachahmung persischer Verse hindeutet. Die
von Künos veröffentlichten in Constantinopel gesammelten türkischen Mär-
chen geben uns einen deutlichen Beweis, dass bis auf den heutigen Tag ein
grosser Theil des türkischen Volkes selbst in Constantinopel seine Sprache
noch verhältnissmässig rein von fremden Ausdrücken erhalten hat, wie
sollte das nicht vor 500 Jahren in noch viel grösserem Maasse der Fall ge-
wesen sein. Ich werde daher in meiner Untersuchung die arabischen und
persischen Elemente der Verse vollkommen unberücksichtigt lassen, da ich
sie nur für zufällig vom Autor eingeführte Ausdrücke halte.
I. Der Originaltext der Seldschukischen Verse?),
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294 W. RADLOFF, [N. 8.1
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 20.
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 21.
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Reihenfolge ergiebt sich aus dem Originale. 15) L ge) 16) über der Zeile eingefügt.
17) 5 W. 18) IF.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 22.
(xxxHn1)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 297
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 21.
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II, Über den Lautwerth der im Texte apgewendeten Schriftzeichen,
Eine Vergleichung der Wiedergabe gleicher Wörter an verschiedenen
Stellen des Textes beweist uns auf’s Deutlichste, dass wir es hier nicht mit
einer in hohem Grade ausgearbeiteten Schriftsprache zu thun haben, wie
der erste Herausgeber der Verse meint, sondern mit dem Versuche eines
Türken, der eine arabisch-persische Bildung erhalten hatte, ein Gedicht in
seiner Muttersprache zu verfassen. Nirgends begegnen wir einer auch nur
irgendwie durch den Gebrauch festgewordenen Orthographie. Man betrachte
nur die Schreibung der allergewöhnlichsten Ausdrücke, die jeder irgendwie
im Schreiben Geübte gewiss aus Gewohnheit gleichmässig schreiben wird, wie
den Genitiv des Demonstrativ-Pronomens, der in folgenden Schreibungen auf-
Mélanges asiatiques. T. X, p. 36.
(XXX111)] ÜBER ALTTÜRKISCHR DIALEKTF. 301
tritt: „Gl (1350), SF (V. 3), ELs1(23b, 758), ELT(182b), Sul (1078,
119a, 129a), vi] (43 b), oil (2 a), oder den Dativ desselben Pronomens: LG]
(16a), (Gl (10a), (KI (33 b, 48b, 54 a), «GT (141 a), K1(116a), oder den
Accusativ: „) (85b), À (42b, 66 b, 88b u. s. w.), Li (1345), ji (23a,
61 a u.s. w.), of (131a); oder die Formen des Zeitwortes gb! (sein): p)
(13a), M (55b, 107a, 107b), Y,/ (93b), JY,I (136b), | (Ga, 8a), JI
(12b), „| (67b), I (588, 73b, 108), ‚sol,) (32a, 1278), (soll (28.8,
29 a, 39a), sol} (78 a), (> ER, (30 b, 34 a) etc. So verschiedenartig kann
nur Jemand schreiben, der keine Übung im Schreiben hat. Wir müssen also
annehmen, der Autor sei gewöhnt in einer anderen Sprache zu schreiben und
mache hier nur einen Versuch seine Muttersprache durch fremde Zeichen
auszudrücken. Dadurch erklärt sich auch das Schwanken bei Wiedergabe
des dem Persischen und Arabischen fremden Nasals #4; bald schreibt der
Autor ein $ (wie auch noch heute die Karaimen der Krym ı durch 3
wiedergeben) z. B. Kl ana (116), bald ein © 2. B. Uyol iriy (29 b),
Doll aanaanıy (125 b), u 6inÿn (43b), > 6in (tausend) (34b,
84a), während er doch meist den Doppelconsonanten SL zur Wiedergabe
des Nasals benutzt z. B. ne 5 US röpyyy3 (131 a), LS rü3ÿx (104 a), [G]
aya (16a). Am meisten Schwierigkeit macht dem Autor die Wiedergabe
der Vocale; er fühlte selbst wahrscheinlich, dass die drei arabischen Vocal-
zeichen |, ., ‚snicht zur Wiedergabe seiner 8 Stammvocale ausreichten, daher
nahm er die Zeichen __ —- _'_ zu Hülfe und suchte durch Hinzufügung der-
selben das Fehlende zu ersetzen. Er führte diese Zuhülfenahme aber nur in
den ersten ncun Zeilen streng durch, und weil er einsalı, dass er durch diese
Hülfszeichen keinen grossen Nutzen gewonnen hatte, wendete er diese Zeichen
in der Folge nur vereinzelt an, um etwaige Missverständnisse zu verneiden.
Zur Wiedergabe der vier Labialvocale treten „, , —- und — (Auslassung)
auf und zwar sehr unregelmässig. Es lässt sich höchstens feststellen, dass
ÿ vorherrschend durch „ wiedergegeben wird, während o in der Stamm-
silbe sehr oft ausgelassen wird, ö und y hingegen öfter als die übrigen
Vocale durch —- bezeichnet werden. Der dem Persischen und Arabischen
fehlende Vocal sı wird meist in den Stammsilben durch „, — bezeichnet, öfter
aber auch ausgelassen. & wird durch |, Ï, A} —, „ wiedergegeben oder aus-
gelassen, a hingegen durch T, l, ] bezeichnet, oder ausgelassen. Es wäre
also unmöglich aus den für die Stammvocale angewendeten Schriftzeichen
Mélanges asiatiques. T. X, p. 97.
302 W. RADLOFF, [n. 8. ı
auf den Werth derselben irgendwelche bestimmte Folgerungen zu ziehen,
und wir müssten dieselben in einer phonetischen Transscription vollkommen
unberücksichtigt lassen, wenn nicht andere Umstände uns erlauben würden
hier Ersatz zu schaffen.
Alle südlichen Türkdialekte haben, wie bekannt, in den Stammsilben die
ursprünglichen 8 Vocale bis auf den heutigen Tag bewahrt, ebenso wie die
räumlich am weitesten von ihnen entfernten östlichen Dialekte. Von den west-
lichen Dialekten, die gegenwärtig zum grossen Theil eine Verschiebung der
ganzen Vocalscala aufweisen, haben wir ein Document vom Anfang des
XIV Jahrhunderts mit guter Vocalbezeichnung d. h. den Codex Comanicus,
und aus demselben ergiebt sich, dass damals in den Westdialekten die Vocal-
schiebung noch nicht stattgefunden hatte. Wir sind also vollkommen berech-
tigt anzunehmen, dass auch die Stammvocale des seldschukischen Dialektes
im XIV Jahrliundert dieselben waren, wie sie sich bis heute in den Süd- und
Ostdialekten erhalten haben. Wir sind somit im Stande die 8 Stammvocale
a, 0, y, bl, 4, ö, %, i der Seldschukischen Wörter unseres Textes richtig ein-
zusetzen, wie ich dies in der Folge in meiner Transscription thun werde,
und wie dies auch Wickerhauser in seiner Transscription gethan hat, in-
dem er einfach die Stamınvocale des Osmanischen anwendete. Störend ist nur
die Wiedergabe Wickerhauser’s insofern als er jedesmal ein Längezei-
chen über den Vocal setzt, wenn der Text zufällig einen arabischen Vocal-
buchstaben |<, ,, | bietet.
Viel grösser ist die Schwierigkeit den Vocalwerth der auf die Stammsilbe
folgenden Silben zu bestimmen. Für die Bezeichnung der weichen Vocale a—ä
genügt das sehr häufig angewendete — vollkommen. Anders verhält es sich
aber mit den weiten Vocalen pi, i, y, ÿ. Dass die Stamınvocale o, y, 6, ÿ Labial-
attraction ausüben, zeigt eine grosse Anzahl von Wörtern: 5 3,3,1 YPy3rı (20b),
yay ol (94 b), yccys 34-4) (86 b), rösyuyaä | 1,65, (131 b), ayply Jus>
(31 b), Gyuyx Up (84 a), jysay3bl (65 ab (20 a), jokcyz4ap ji (93 b).
Ob aber diese Attraction wie in den heutigen Süddialekten über die ganzen
Affixreihen ihre Wirkung ausübte, ist schwer nachzuweisen, da viele En-
dungen wie (55, L>, ‚3 etc. stets gleichmässig geschrieben werden. Ich bin
zwar der Ansicht, dass dies nur eine durch Analogie der grammatischen Endun-
gen hervorgehende Schreibweise ist, und dass trotz dieser Orthographie die
Vocale der Endsilben ganz wie im Osmanischen durch die Labialvocale
der Stammsilbe afficirt wurden, dass man also so (32) oxxy, Hull (154)
ölayläp, GS (132 b) ryuy ebenso wie ;,b (78 b) jasyay zu lesen habe. Um
aber nicht eigenmächtig zu verfahren, werde ich dennoch in meiner Trans-
scription s der Endsilben stets durch i oder vı wiedergeben.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 28.
(xxxin)] ÜBER ALTTÜRKISCHB DIALENTE. 303
Andererseits ist aber nicht jedes „, *- und , in den Endsilben durch y,
ÿ wiederzugeben, sondern sehr häufig wird auch noch, wie heute im Osma-
nischen, der y-Laut gesetzt um das gutturale pr zu bezeichnen. Hier eine
Anzahl Belege: anbı (sein) wird durch ER (3b), SL] (23 b), SUT (132 b)
wiedergegeben, kann aber auf keinen Fall anyy gelautet haben. 42a wird
arambı3 unser Vater = aTa + Mis (= 6i3) durch ;,), TaBapeım (4 a) durch
ish, MaahıM (4 a) durch Ju wiedergegeben, während das st in den beiden
letzten Fällen nur Bindevocal ist, der sich unbedingt vollständig nach den
Gesetzen der Vocalharmonie zu regeln hatte.
Ich glaube nach dem uns vorliegenden Material darauf schliessen zu
können, dass im Seldschukischen folgende Gesetze der Vocalharmonie Gel-
tung hatten:
1) In einem Worte können nur gutturale Vocale (a, bi, 0, y) oder nur
palatale Vocale (à, ö, ÿ, i) auftreten. Transscriptionen wie, „Sb bilaysysi
statt bilayrymi sind offenbare Versehen.
2) o—-ö erscheinen nur in den ersten Silben.
3) Die labialen Vocale o, y, ö, ÿ üben einen labialen Einfluss auf die
engen Vocale aus, so dass auf labiale Vocale in den folgenden Silben von
engen meist y oder ÿ folgen. In den offenen Endsilben ist dieser Einfluss
wenig bemerkbar, z. B. yccyc > 1 (86 b), aber yeyypı u (53 a).
Diese Vocalgesetze hat das Seldschukische mit den heutigen Süd-
dialekten gemeinsam, wir finden aber hier eine Erscheinung, die im heutigen
Osmanli verloren gegangen ist, und höchstens noch vereinzelte Spuren in
der Schrift zurückgelassen hat. Es giebt im Seldschukischen eine ganze
Anzahl von Affixen mit engen Vocalen, die einen labialen Vocal ent-
halten, die also je nachdem die Stammsilbe eine gutturalen oder palatalen
Vocale enthält die Vocale y oder ÿ darbieten. Dergleichen Affixe sind:
1) Das Adjectiva bildende ay, aÿ (z.B. (LL (74 b) narayası = nat +
ay + j-+ bi) JS (111b) rösly = Kü3 + 1ÿ.
2) Das Participium futuri auf yp z. B. ainypym (ainypam ?) pol (15a),
aayp (6b), oayp „I (Ga), ölyp „I (81), kaayp Li (8a), ypyp 45,5
(143 b), kapblayp „5 (12 a), BÜPYP 225 (6 b), BAPYP Jus (82 b), 6ilypy3
June (42 b). | oo
3) Die erste und zweite Person des Imperfects aym, Ayx (AŸM, AŸH)
japarrym PT (1358), äuirryy SL, Li) (29 b).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 99.
304 W. RADLOFF, [n. 8. ı
4) Die zweite Person des Pluralis des Imperativ keıuyy sul; (1b), 6ilyy
LL (m. |
5) Das Nomen actionis auf 4yx (4ÿK) Gilaÿrÿui és JL (92 a, 94 a) 6yı-
AYBYMbI PR (92a, 94 a).
Ebenso tritt y (ÿ) in einer Reihe mehrsilbiger amorpher Bildungen und
unzerlegbarer Stämme in der Endsilbe auf, während die Stammsilbe einen
dentalen Vocal enthält z. B.
aipyk (aus aip + yk «jé, .1) (89 b)
kapaly (kapa +- ıy) =,GLL (81b)
Kkapıny 2,15 (70b)
Kamy „ls (38 a, 93 a)
kinaÿ su (10b, 16b) „5 (122 b)
rüpÿ se (15b), „,S (44b, 54a, 115)
rijÿp aus rip + ÿp LS (143 a)
jasys 5, (55b), jasyay 5,L (78b)
jokapy „U, (17 b)
Caipy ss (122 a), caipyayk 5), (127 b)
AaMyAAH Uoyelb (144 a).
Das Consonantensystem schliesst sich auf’s Engste an das der Süd-
dialekte an:
Wir finden hier folgende Consonanten k, 5, K, T, 4, j, H, T, À, 4, I, €, 3,
m, u, 6, B, M.
Von den Labialen treten im Anlaute 6, B auf und zwar ganz wie in
den heutigen Süddialekten. Das B des Anlautes in Bap und Bäp (siehe die-
selben im Wörterverzeichnisse) entspricht dem der Süddialekte und steht dem
6 der Westdialekte (Gap, 6äp) und n der Ostdialekte (nap, näp) gegenüber.
Von den Lauten der mittleren Zunge sind a, 4, c, wi, im Anlaute all-
gemein im Gebrauch ganz wie in den Süddialekten a&, aär, aäryl, as, AoB,
aan etc. und zwar schreibt unser Text vor Palatalvocalen >, vor Guttural-
vocalen aber b. Dass dieses aber auch wie a zu lesen ist beweisen uns die
Wörter lö,> AOBa (136 a), 5 a0nasap (137 a), aber LsJëb AOHABI (35 a),
g > aaprını (127b). Der Anlaut „ des Textes ist offenbar a zu lesen, da
auch im Inlaute häufig » vertritt (vergl. QystLls und „,=,;). Da es jetzt
keinen Dialekt giebt, der das 4 im Anlaute zu g erweicht hätte, so müssen
wir auch annehmen, dass das Seldschukische im Anlaute nur 4 kannte.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 30.
(xxx 111) | ÜBBR ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 305
Einen klaren Einblick in die Consonanten der hinteren Zunge (Guttu-
rale) zu gewinnen verhindert uns das arabische Schriftsystem, in welchem
S sowohl für x wie auch r stehen kann. Wir treffen im Anlaute der Wörter
unseres Textes 5 und S, ersteres ist offenbar k zu sprechen. Über die Aus-
sprache des letzteren lässt sich jedoch etwas Bestimmtes nicht aussagen.
Es lässt sich aber annehmen, dass das $ derjenigen Wörter, die jetzt im
Osmanischen mit r gesprochen werden, bei den Seldschuken schon r ge-
sprochen wurde; dazu veranlassen uns folgende Übergänge der explosiven
Anlaute:
östl. Dial. west!. Dial. südl. Dial. Seldsch.
6 6
fl 6
B B
T A A
K K rt ?
wo wir für «?» ohne Zweifel r zu setzen haben. Ich habe daher an
Wickerhäuser mich anschliessend $ in denjenigen Wörtern durch r wieder-
gegeben, in denen das Osmanische ein r bietet, aber durch & in denjenigen
Wörtern, die noch jetzt im Osmanischen mit k gesprochen werden, z. B.
küny US (10 b) KIM za b) kimch auf (15 b).
Im Auslaute der Wörter unseres Textes sehen wir folgende Consonanten
erscheinen
k,B,K,T,T,A,H,H,T, 4, C, 8, I, 1 (6), B, M
Wenn ich von Labialen den Auslaut n (6) anführe, so will ich damit
nur bezeichnen, dass der im Auslaut überall durch © wiedergebene Laut
offenbar n zu lesen ist. Die Schreibweize 6 kommt jedenfalls daher, dass
jedes in den Inlaut tretende ı zu 6 erweicht wird. Ich bin zu dieser
Annahme berechtigt, da ja im Auslaut aller türkischen Dialekte stets das
tonlose n erscheint und wir nicht annehmen dürfen, dass das Seldschukische
hierin eine Ausnahme machte. Ich werde deshalb in der Transscription stets
keussın — 5 etc. schreiben. Dass im Auslaut einzelner Wörter r und 5
auftritt, wenn wir auch solche Wörter nicht nachweisen können, beweisen
uns die Schreibungen N, aär-xi (91 b), AOB-AbI sub (35 a) und as-ap
ET (17 b), die darauf hinweisen, dass diese Verba, wie in den Süddialekten
aär, 405, an lauteten. Hätten diese Verba rok, ak gelautet, so würde
offenbar im Texte 53h und ,5) geschrieben sein, vergl. 6akma Lis (87 a)
Gak-ap ‚sl: (87a). Dass auch x im Auslaut auftritt beweist die Form
aa-bt (63) (1468), >) (146b) und og-a o>,| (32 b) verglichen mit y)
iT-i (29 b).
Melanges aslaliqnos. T. X. p. 91.
.
306 W. RADLOFF, [N. 8. 1
Im Inlaute zwischen Vocalen treten alle Consonanten auf, die wir oben
angeführt haben, und zwar ebenso in unzerlegbaren Stämmen, wie auch,
wenn durch Antritt eines vocalisch anlautenden Affixes der Auslaut in den
Inlaut tritt. Dabei ist zu bemerken, dass überall der in den Inlaut tretende
Auslaut mit Ausnahme des n in derselben Form erscheint, die er im Aus-
laut hatte. z.B. 6ak — 6akap #b (87 b), 0 — x05a L,5(136 a), kyıak —
kysakbı , 5 (62 b), AAB — apa aölb (36 b), iTr— irig Cal (29 b), jar —
jaryp „> (59 b), aa— anı ‚s>| (146 a), aix — aixau poil (50a), cis —
cäBäp pe (106 b), gas — 4aBbiH RAR (29 b), 6am — Hamsına LL (134 b),
cis— cisi | = (97 b), rôkÿe— rônci ju (132 b). Für m im Auslaute
eines Wortes mit Affixen liegt uns kein Beispiel vor. Ob «, n im Auslaut
vorkommen und wie sie sich beim Eintritt in den Inlaut verhalten, dafür
können wir aus unseren Texten natürlich keine Belege aufweisen, da die
arabische Schrift überall „ bietet. Wir können uns hier nur an die Aussprache
der Süddialekte halten, die das in den Inlaut tretende 4 nicht erweichen.
Es wäre demnach aa — agap +) (61 b) zu lesen.
Die einzige Ausnahme von dieser Regel bieten die Wörter auf 5 IbIK,
die beim Antritt von vocalisch anlautenden Affixen das s in $ verwandeln.
caipyıyk 3, _ (127 b), aber caipyıysyarau Ural, ro (129 a), AOCTIBIK—
A0cTayByH „‚aliu,> (4 D).
Was die consonantisch anlautenden Affixe betrifft, so haben diese wie
in allen Süddialekten das offenbare Bestreben in tönender Form aufzutreten,
nicht nur wenn sie an vocalisch auslautende Stämme, sondern auch wenn
sie an mit Consonanten auslautende Stämme gesetzt werden und solche
Consonanten- Verbindungen entstehen, deren zweiter Consonant ein tünen-
der sein kann, d. h. an Stämme, die mit einem sonoren (flüssigen) Conso-
nanten oder einem tönenden Consonanten auslauten. Da die Zahl dieser
Stämme eine bei Weitem überwiegende ist, so fand der Verfasser unserer
Verse sich veranlasst alle Anlaute von Affixen durch Zeichen tönender
Consonanten wiederzugeben, also stets |», Us, o> Je zu schreiben. Die
einzige Ausnahme bildet der Antritt eines mit a anlautenden Affixes an
einen mit T auslautenden Stamm, so finden wir
änir-rÿ4 Eis] (29 b) statt EL, ox)
rär-riläp US (45 b) statt „LS
JapaT-TyM er (135 a) statt px.
Dieser Vorgang erlaubt uns den Schluss, dass bei Antritt von conso-
nantisch anlautenden Affixen an consonantisch anlautende Stämme genau
dieselben Consonanten-Verbindungen im Seldschukischen entstanden, wie in
den heutigen Süddialekten, d. h.
Melanges asiatiques. T. X, p. 32.
œxxm)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALBKTE. 307
‘ 1) Treten consonantisch anlautende Affixe an einen Stamm, der mit
einem tonlosen Consonanten auslautet, so bilden sich Doppelconsonanten
aus tonlosen Consonanten
T+A = TT „SL japar-Tyx
K-HA = KT oJSS rÜR-TA
T+ 5 — TK Jö,> ayT-kenn.
2) Treten consonantisch anlautende Affixe an Stämme, die mit einem
tönenden Consonanten auslauten, so entstehen Doppelconsonanten aus tönen-
den Consonanten
B--A == BA |sJEeb AOB-Abl
+= Ts > TÄr-Ai
B+ À — BA (539 CäB-Al.
Eine Ausnahme bilden die auf x auslautenden Stämme; hier entsteht
(I) ar = Tr Ja (10b) är-kil
(ol) aa = Tr Lol är-Tiläp.
3) Treten consonantisch auslautende Affixe an Stämme, die mit einem
sonoren (flüssigen) Consonanten auslauten, so bleibt der Affix-Anlaut tönend.
Es entstehen daher solche Verbindungen:
a+ 4 = u co) ox
1+-x = la OS Käl-ni
P+A = PA (52, rôp-Ai
— „LS rip-nilap
H--A — HA a TYH-AB.
Eine vollständige Tabelle der Doppelconsonanten zu geben bin ich nicht
im Stande, da die uns vorliegenden Verse kein genügendes Material liefern.
Es sei nur noch erwähnt, dass mit sonoren Consonanten anlautende Affixe
unverändert an jeden anderen Consonanten treten.
Y+-M— m Le (148 a) igmär
km —#M ‚li (76b) unıkmak
T-+-M = TM Jai] (105b) ümir-märil
1+M = m QU (125 b) ax-maxn
p+n=pm Less (47a) röp-mä
()a-+-m= am Ja oder Ja) (118b) srmau-mapsia oder
bIHATMAHBIN |
NHIi= HI pr XG) (126 a) añ-1aMa8PIM
T+a— 174 (QD (74b) aar-aywir.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 38. 21
308 © W. RADLOFF, [n. 8.1
Ich halte diese Erörterungen über das Lautsystem unseres Dialektes
für genügend um jetzt zu der Transscription der einzelnen Wörter unseres
Textes übergehen zu können. |
Ill. Verzeichniss der türkischen Wörter der Seldschukischen Verse.
Ich habe dieses Wörterverzeichniss nach der Ordnung des Alphabetes
meines Wörterbuches der Türksprachen geordnet. Um das Verhältniss der
alten Türkdialekte deutlicher hervorzuheben, habe ich bei jedem Worte die
entsprechenden Formen des Kudatku Bilik (Uigurischer Dialekt) und des
Codex-Comanicus (Komanischer Dialekt) in Klammern hinzugefügt, natürlich
wenn mir solche Wörter zu Gebote standen. Ich hoffe, dass ich so die Unter-
schiede der Dialekte am besten dem Leser vorführen kann. Es sind bei jedem
Worte alle Stellen unseres Textes in Klammern bei jeder auftretenden Form
hinzugefügt. Diejenigen Wörter des Seldschukischen, die in der heutigen
Sprache nicht mehr auftreten, habe ich mit * bezeichnet.
| | | . A.
ai (02 ai Uig., ai Kom.).
der Mond, re «sf ai Oyi (82 a), dem Monde gleich, y) sr
JapAbI Ajbı, er zerspaltete den Mond (27a).
aipbla (v) (XD agpou Uig.). |
getrennt werden, Y .) aiphaa (100 b), er wird getrennt.
aipy* ( anpa Uig., aipsı Kom.). |
getrennt, gesondert, „.J) C2), Bärinäa ajpy (478), hakran aipy
sr) Qué (1026), augau aipy „.] Jo) (1045), Bälinäu aipysamı
ol La; (129), ich bin vom Propheten gesondert.
aipyk*
anders, übrig, aipyk jysä Lo 5») (141 a), auf ein anderes Antlitz,
aipyHBIH ‚Ey _) (89 b), sein Übriges, Alles ausser diesem, aipyksın un]
(66 b) die Übrigen.
aipykcıı* |
auserwählt, aussergewöhnlich, aipykcbi o1yp Ji Be (21 b), wird
auserwählt sein; aipykcbi-Ayp BEE (72 a), sind. gesondert.
aiabıHıbık (aixbiHxbik Osm.).
die Helligkeit, „,, SL, aixsınasık Bäpyp (82 8), er giebt Helligkeit.
Melangcs asiatiques. T. X, p. 84.
(XXXIN)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 809
aia* (v) (+ ai Uig., air Kom.). tt eu ur:
sagen, AinaM nl (50a), ich sage, aiıypym (aiıypam ?) ER (15 a),
ich werde sagen, airrbt Gal (45 a) er sagte; aittbisap La (45 a) sie
sagten; ainai’aim rl (91a), ich würde sagen; ainyp’cä a, pi (139b).
an (v) (Au Uig., ap(pın) Kom.). |
emporsteigen, apap Bj (17 b), er steigt empor.
apbız (AS apsıc Uig., a5b13, aya Kom.). |
der Mund, appızayp „2581 (fehlerhaft: ,>,8l) (74a), ist der Mund.
ayıa (v) ( f yre— aıjaa Uig., ayaa Kom.).
verstelien, aıptama3bıM f sl (126 a) ich verstehe nicht.
ajsıp (v) (Sa anıp Uig., aip Kom.).
trennen, ‚s>.J ajbıpapı (27 b), er trennte.
AHYBIAQ] BIH *
auf solche Weise el (19 b).
apa (Ps apa Uig., apa Kom.).
wischenraum, apacsına L.. LT (37b), zwischen hinein, apackınza
I] (79 b), zwischen.
apsı (Mau apeik Uig., apy Kom.).
rein, apbI Cÿ y» (54) (30 a), reines Wasser.
aı (v) („au Uig., ax Kom.).
nehmen, ara dj (53b), asa Ÿ] (55a) er nimmt, auachı di] ( 149 b),
ihr nehmt, aıyp Ji (6 b), HI (5la), er wird nehmen, AIGEL Jill
(77 a, 77 b), nimm! hica6a aumaapın ob LL (125 b) du hast nicht
beachtet.
AT ( Ti ar Uig., at Kom.).
das Pferd, ar-ilä ST (78 a), mit dem Pferde.
ATA ( ana Uig., ara Kom.).
Vater, GI (39 b); ara ri6i eg GT (96 a), wie ein Vater; aTambis el
(42 a), unser Vater.
ar (= ar Uig., ar Kom.).
Name; anpı >] (146 a), sein Name; aapın (y>) (146 b), seinen Namen.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 35. 2317
810 W. RADLOFF, [n. 8.1
au (v) (Ju aa Uig., an Kom.).
öffnen, au ‚| (11a), g) (1048), öffne! auap „| (81a), yel (83 b),
>» (61 b), er wird öffnen; ayap’cä L. el (99a), wenn er Öffnet; asau
y?! (140 b), geöffnet.
AYEI (Ay ansık Uig., ansı Kom.).
sauer AUbIAAH (y Je) (74 b), von dem Saueren.
a1b14 (V) (ta ampıı Uig., aupıı Kom.).
geöffnet werden, aublıa Le] (2b), es werden geöffnet, es öffnen sich.
auyk (Maui anyk Vig., ansık Kom.).
offen, auyk ayp ui] (119 a), es ist offen.
a3 (4 ac Uig., as Kom.).
wenig, A3bIAyp 31 (120 a), es sind (ihrer) Wenige.
i
& (v.) (Je äp Uig., ä Kom.).
defectives Verbum äcä L. (86 b) wem er ist. An Verbalformen gehängt
meist zu ’cä gekürzt z. B. aiayp’cä «.,.] (139 b), 6yjypr’äch Us
(1b), oksıp’ch L, 5) (2b), cycanpııy’ch LE (87 a), kösly ücäy
DT US (111 b) wenn du Augen hast, rälÿp &ai _s> 7 (31 b), jok Hai
Si (4a) er war nicht.
ki (02 Uig., ai Kom.).
Ausruf, äi kapbınzam (il, 5 (si (1068), o Bruder, ai äui =] (4
(121a), o Herr! |
sila (dilä Osm.).
so, äilä in „SaL) (78b), „SaLl (115), „kl (29,6, 71b), aila wi
af 4) (97, 99 b), a NL) (106 a), so dass, kim Ailä oaası sui) ab] P
(120 a), die so sind, Ailä aai [> LI (146 b) so sagte er.
ailä (v) (Osm.).
thun, machen, xac äiläjä LL) ol: (65 a), er macht zu eigen, aipiäiläp
Ju ‚s> (83 a), er macht lebendig, kalır äilädi sl p (33a), er
wüthete, sähp äiläri ‚soLl ,»;, (33b), zu Gift machte, Gip rämiji Hyh
äiläai subi e GS Je (41a), Noah machte ein Boot.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 86.
(xxxm)] ÜBER ALTTÜRKISOHR DIALEKTE. 311
äilik (AAN ärkylyk Uig., äirilirk Kom.).
die Güte, das Gute SL] (96 b).
äk (v) (—2— är Uig., äk Kom.).
säen, ox jäpä äk s]} I» Joli (55a), dort säe! Axuñjèn yes (55b), der
nicht gestet hat.
âki (SDS tri Uig., 4ki Kom.).
‚zwei ‚CI (12b), CRI (1058, 1108, 111b, 1132, 133), äxinis
„Ll (133a), wir zwei.
ärinni (JR) äriua Uig., äkinni Kom.).
der zweite | ‚U | (42 a).
äp (Ye äp Uig., äp Kom.).
der Mann, oa äpi ‚s,] Js) (66 a), jenen Mann.
Apäh (ju äpän Uig.).
trefflicher Mann, äpäu cipin u Du U Fi (50 a) das Geheimniss des (Gottes-)
mannes, äpäuläp ‚J;,) (150 a, 152a).
Aprük (14 j4u- äprärk Uig., äpkäk Kom.).
männliches Wesen, äpräk-ila II] (136 b).
41 (au ülik Uig., äl, koa Kom.).
die Hand, älnäa oJ) (66b, 151 b), aus der Hand, älingän Qu)
(28 a), aus seiner Hand. |
älr (v) (Ses älr Uig., ält Kom.).
bringen, älrä al} (61 a), er bringt, älryp’ai sah (35 b), er brachte.
Bräk (uDs- juir Uig., Aräk Kom.).
der Rockschooss, äräki „el (142 b) seinen Rockschooss.
ka (v) (Du ür Uig., àr Kom.). |
thun, paxmär ärril Ja] Ces, (10 b), übe Gnade! strenge dich an! xipi
&añ Jul Ls_w> (64a), er macht lebendig; äxä Jul (120 b); vapk Aal
ol 5,5 (74b), er unterscheidet; oähm äxüp „ul ré (18 LA er ver-
steht; Azäp „.J (56 b); Aräp ol (84 a).
&nin (v.) (} änin Vig.).
für sich thun yäha äainiıg eb. „> bemühet euch (148 b.
Mélangos asiatiques. T. X, p. 37.
812 W. RADLOFF, _ [N 8.1
ac * (Sa jai Dig.)
der Herr gihau äci cle (67 a) der Herr der Welt.
init (SNS mir Uig., ämir Kom.).
hören, ämir [| (48 a), höre! ämirrÿx SL) (29 b) du hörtest,
änitmäril Ja wi (105 b), höre nicht.
ip (Hs än, äB (Uig., ä4ÿ Kom.).
das Haus, äsa |, j (35 b), nach Hause, äsä o] (113 b), auf das Haus,
äslüp PAL (114a), die Häuser, äsläpä 1,1 (113a), auf die Häuser,
üBini | go ‚1 (134 b), sein Haus (acc). Fleischer hält ‚| in V. 113 und
114 für ein alttürkisches Wort = DS und weist als Beleg auf
Zenker p. 100 hin. Zenker hat dieses Wort aus den Abuschka ent-
nommen, wo (vgl. p. 22) in der That ‚J durch 3 aus „ erklärt
wird. Dies ist aber, wie man aus den dort angeführten Beispielen er-
sieht, ein aus einer fehlerhaften Zerlegung des dem südtürkischen Ver-
fasser unbekannten Zahlwortes ‚I, (6ipäy) hergeleitetes Wort. Die
‘ Endung ay (äÿ) wird an alle Zahlwörter gehängt: 6ipäÿ nur einer,
ikäy alle beide, asray alle sechs etc. (von Personen und Sachen). Die
Endung lautete ursprünglich a5y, äry wie auch das Kudatku Bilik
ex) bietet. Die Verschmelzung des any zu ay ist doch erst als Affix
vor sich gegangen, es müsste daher, wenn diese Endung ursprünglich
ein selbständiges Substantiv gewesen wäre, als solches Wort any nicht
as oder ay gelautet haben. Die Schreibung ° A (V.113) beweist nichts,
da ja V. 134b ebenfalls _ s) steht, was hier unzweifelhaft «sein
Haus» bedeutet und von Fleischer auch nicht beanstandet worden
ist. V. 113 ist somit unbedingt so zu übersetzen: «schaue auf die
Häuser, man sieht dort zwei (mehrere) Lichte, schaue nicht auf das
Haus, sondern auf das Licht, welches (überall) ein und dasselbe ist».
Ö
oksı (v) (Ma ok Uig., oktı Kom.).
rufen, kôpläpi okpıp-cä L. We 7 PP (2b) wenn er die Blinden ruft.
opyı (SMS opyı Uig., o5yx opyı oyı Kom.).
der Sohn Jé,] (39 b).
03 (&- 04 Uig., ox Kom.).
jener, er. os J,] (1b, 5b, 15a, 16b, 20a, 20b, 53a, 63b, 79a,
Mélanges asiatiques. T. X, p. 28.
(xxxm)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 313
83 b, 84a, 85a), J,l (29b, 36a, 36b, 44 b, 50b, 51b, 52a, 52b,
55a, 62a, 66a, 74b, 86b, 89a, 100b, 101a, 101b, 103a, 104b,
106b, 109a, 109b, 117a, 119b, 120 a, 120 b, 129b, 130a, 130b,
132a, 133b, 134a, 135b, 138 a, 139b, 142a, 143 a, 144 a, 146a,
: 155a. — Gen.: aubıy gl (22), ab EN (3b), &lul (23b, 758),
EL] (1320), EL (1078, 119 a, 129 a), Di] (43 D). anbm iuya „eV,
(1358, 140b). „ey (1408). Dat.: ana ©) (102), Ki (168), Ki
(33b, 48b, 54a), «QG (1418), KI (116). Acc.: aus ol (85b),
JT (1b, 8b, 22b, 42b, 44b, 48b, 49b, 63b, 66 b, 67a, 88b, 89 b,
93a; 102b, 103b, 121b, 128a, 130a, 130b, 131b, 133b), jl
(1342), Qi (23a, 61a, 103a, Of (131). Loc.: ana ol (41b,
114b, 148 a), lil (55b, 56b, 131a, 145a, 145b, 147b). Abl.:
aan ul) (7b), ul] (1218), us) (80b, 47b, 131b, 136a,
142b). Plur. anıap ,Gl (45 a, 45 b, 112a). Gen. ausapem CL) (37b),
Dat. ausapa LI (31b, 156a). Acc: ansapsı ‚sb (37a, 111b,
138b, 156 b). Abl.: ansapaan >,Ll (46 a, 46b, 67 b).
04 (v.) (=&5 nox Uig., 601 Kom.).
sein oapbia Jal,) (48 b), osam pl (13a), om VI (55b, 107a, 107b),
I (93b), oxaap „JN,) (136b), oayp „| (6a, 8a), „I (12b, 21b,
147), | (67b), „I (58a, 58b, 59a, 73a, 108a, 108b, 110b),
oaaym poli (122 a), omr ‚sol,] (32a, 127 a), (sl (28 a, 29 a, 39a,
120), ‚sol (146), omvrsap JuJ,) (154b), oamanër SIT (19b),
sul (78 a), oayp äni (suy,| (30b, 34 a), oayp’ai 524)! (30 a), oayp’
ca L.),] (57 b). Se
04 (5 or Uig., or Kom.).
das Feuer 3,1 (32 a), Dat. oxa 02,1 (32 b), ont |s2,/ (32 b) sein Feuer.
öl (v.) (as öl Uig., öl Kom.).
sterben ölyp I (8b), J,) (109 a), ölayläp JS (154 b), ölnäjän „a
(13), ölmtni ul) (52 b), öliyär Se) (60 a).
Mélanges asialigqnos. T. X, p. 39.
314 W. RADLOFF, [N. 8.1
öly (aan ülyx Uig., öly Kom.).
todt, der Todte öly ‚)) (68 a), ölyji Lolo) (266), hf (83 a).
08 (20 Üc Uig., ös Kom.).
selbst käu’ös’-iayn =, 5 (412), Kann dsyurän Jui, US (58 a) von
ihm selbst, käug’ö3i | 63.25 (65 a) er selbst.
bI.
BIHAH (BIHAT) (v.) (442 zınan Uig., bixau Kom.).
glauben srranmagpıa Je) (118 b). Im Originale steht sınarmagsıı und
dieses reimt auf carmappız. Sollte ein Verbum sıuar (das mir nirgends
aufgestossen ist) existirt haben, so müsste es «vertrauen machen» be-
deuten und der Vers 118 wäre zu übersetzen: «schau auf ihre Worte,
frage ihre Worte, verbreite (verkaufe) sie aber nicht, alles ist Irrthum,
veranlasse Niemand daran zu glauben».
pıpak (28 jsıpak Uig., jeıpak Kom.).
weit 5.) (75 b).
I
ild ( je Gilä a 6iplä Uig., 6ilä Kom).
mit SL} (108b), ar ilä LT (78a), äpkäsila WS) (136 b), yjüsla
2,1 (83 a), kya-ila Ss (109 b), nös-ila 422,9 (75 a), rüsÿu-li def
(23 a) mit meinem Auge, cös-ilä \L 239“ (115 à), L 3 (17b), I. (92 a),
nas-ilü JUL (Ab).
ir (> ir Uig., ir Kom.).
der Hund irig (9%) (29 b) des Hundes.
iq (Ju ia Uig., in Kom., el iq Osm.).
das Innere ini, ,=) (68 b) das Innere acc., ini _,=) (107 b) sein Inneres,
igiunk oe] (178), ous) (88b, 89a, 152 b, 153 b, 154).
ig (v) (ig Üig., in Kom.).
trinken, ia &J (87 a) trinke! isäcis ;.le] (145 a) ihr trinket, isäp ,<]
(57 b) er wird trinken, iquäüx ls] (148 a) das Trinken.
iyyu > yuyu Uig., yuyı Kom.).
wegen .y=1 (368), els (322), „edle (358), Gänin inÿi Orr
(95 b), Cortes (384), „eis (41 a), erh, (1358, 1408, 140 b),
Mélanges asiatiques. T. X, p. 40.
(xxxın)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 315
uses! (1516), ans (778), au (77), eG (988), yerd,
(135 b).
iuyp (v) (SSL inyp Uig., inip Kom.).
zu trinken geben, iaÿpä |,s] (144 b).
japä ( iypä Uig., inxüpi Kom.).
innerhalb Î,s2) (110b, 112a, 1148, 127b, 144b, 147 a), ll (90 a).
ini (vergl. pers. ‚ .)).
Herr, ,,£) (121 a).
‘icTA ( PF icrä Uig., icrä Kom.).
suchen, icrä a. (9b), | (47b, 48a, 121a), au] (116b), icrä-
ril Jar] (66a, 102a), Ja] (898, 151 a), ir LE (5b), Lu
(122 b), icräp „| (79 a).
im („pP ii Uig., im Kom.).
die Arbeit, das Geschäft, imläp_,Li) (56 b).
y
yiky (9° 5 Uig., yjyky Kom.).
der Schlaf, yikyaa A (56 a) im Schlafe.
yjansık (ASS oıyk Uig., ojau (v) Kom.).
wach, yjansık ayp „swL| (59 b) er ist wach.
yn( I yn Uig., yn Kom.)
das Mehl, yn u, (34 a).
yp (v) (9° yp Uig., yp Kom.).
schlagen, ypa |,,/ (143b), ypyP 523) (143 b), past sus! (36 b).
ypy3 (bipbic Kom.).
das Glück(?), ypyabi (SDS u) (20b) das Glück acc., ypyayu SL: u!
(104 b) dein Glück. Wenn ;,,,] ein türkisches Wort ist, so ist es
durch «Glück» wiederzugeben, was zu beiden hier aufgeführten
Stellen ganz gut passt; es kann aber auch eben so gut ein Fremdwort
sein: 1) das pers. {55,4 = ar. 53, wie Fleischer zu V. 20 b meint,
dann darf man aber nicht von einem alttürkischen Worte reden, da das
nach Zenker citirte „| ypy3 das persische Wort ist — y-+py3 (vgl.
meine Phonetik $ 126); 2) das pers. ;,, «Glanz, Licht»; in Vers 20 b
ist letzteres vorzuziehen. Hier ist aber nicht o pysbı jenen Tag, son-
Melanges astatiqnes. T. X, p. #1.
316 W. RADLOFF, [n. 8. ı
dern auch ypy381 zu lesen: «er ist die Sonne, der Stern der Ileiligen,
er ist es, der allen den Tag (das Licht) bringt».
yıy (aa yayk Uig., yay Kom.).
gross, „),l (94b, 123 a), yay ayp 29)] (121 b) er ist gross.
ya (v) (ue ya Uig., ynKom.).
fliegen, y4ap el (57 a) er fliegt.
yc (re yc Uig., yc Kom.).
der Verstand, ycyy SLU..l (71b) dein Verstand, ycyyuı BR (53a)
deinen Verstand. |
ycay (Mapa ycıyk Uig., ycay Kom.).
klug 9 (5b, 6a, 79a), Lu (17), „L,) (114a), LI (69), ycay-
ap DL (7 b), Li (14a) die Klugen. |
yccy3 (Sy AB yecyc Uig.).
unverständig, yceyc äch L. 39. 0,1 (86 b).wenn er unklug ist.
y
ÿryun* (yes Yryıı Uig.).
viel EST (54 b).
yjäs* (vergl. Yäs Pferdebremse, Kürdak-Tataren).
die Mücke, Bremse, yjäs-lä Y; #(33 a) mit einer Mücke).
ÿsäp'ui
über L, 5) (81 b).
K
kai* (v)
sich wenden, räpy kaja L5 , ,S° (115 a) er wendet sich zurück.
kaina (v) („+ karua Uig., kaina Kom.).
kochen, kainaası sul (39 a), sis (40 a).
kaja (kaja Kom.).
Fels, Ls (115 b).
kajbıp*
Sand, Triebsand, .L (34 a).
kan In kau Uig., kau Kom.).
as Blut, (‚ls (30 a).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 42.
(zxxun)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 317
kanar (Das, kanat Uig., kanar Kom.).
der Flügel, kanaraapi | ‚öl (137 b) meine Flügel.
kansı* (si kaubi Uig., kai Kom.).
| wo, wie ‚3 (50 b, 68b, 103 b).
kankbı* (> kajy Uig., kaichı Kom.).
welcher CL (3 a).
kanaa* ( K kaina Uig., kaina Kom.).
wo, 1:5 (56a, 57 b, 100b), „sb (114 b).
kanzan* DS kainan Uig., kaiaau Kom.).
von wo, QU (124 b).
kapa ( Mo kapa Uig., kapa Kom.).
schwarz, 1,5 (30 b).
kapany* (9%, kapayry Uig., kapany).
die Dunkelheit, „G,L (81 b) kapanyaa 03,610 (153 a).
kapayyınık* |
Dunkelheit, 31,G1,5 (64 b), 3), 61,5 (82 b).
kappınaam ( nee kapbıtıaaın Vig,, kappınaamı Kom.).
der Bruder Js,s (106 a).
kapbıa* (v) (SX kapbia Uig.).
sich vermischen, kapbısyp J | Li (12 a).
kapıny* (Ga kapmuy Uig., kapıusı Kom.).
entgegen ,,L (70 b).
ka (v) (= kaı Uig., kaı Kom.). |
bleiben, kaxan AI (13 b), kasacsın y (9 a), kasyp 6 (8a), Ju
(14a), JB (46b), 5 (67b), ,15 (109a, 109b), kasmas AB (12b),
kasanpınbı Je (156 b).
kar (Su kar Uig , kar Kom.).
Seite, katbınaa ls (80 b), [55 (107 a).
karpı (ASS kassık Uig., karsı Kom.).
fest, 515 (88, 100).
Mélangen asiatiques. T. X, p. 49.
318 W. RADLOFF, [n. 8. 1
kag (ua kag Uig., kan Kom.).
fliehen, kasap „U (7 b), kauapceısa 5 (98 b).
kauy* (Maui kauyk Uig.). |
| alle, ,el5 (38a,93 a), kauyja L,.l5(96 b)allen, kauychı, „el (120 b),
kamyCbIHa Lues (90b), kauycbinbl eye li (85 b), kamymy3 Jrepel
(42 b), kanynys BRGAF (140 b), kamyuyabı, s yes (140 a), \s SL
(144 a).
ko (v) (a kor Uig., koi Kom.).
hinlegen, loslassen, ko ,5 (fehlerhaft: „) (71a), 5 (116b), kogsix Jé,5
(8b), Jés5 (53), JE (1516), Ja (1566), Jis (66b, 896), ko
523 (39 b), komannı 595 (38 b).
koı (4 koa Uig., koı Kom.).
der Arm, koasapbım f yir (137 b).
kb1p (v) (SK keıp Uig., kbip Kom.).
niedermachen, kbipabti «5275 (36 a), KbIPMAXBI [5 Je (37 à).
kbıa (v) (SK kbta Uig., kbra Kom.) |
machen, kb11yH SL (1b), Kerabufbıs ls (139 b), keıa 5 (114 b),
kbinabt sol (26 b), kbrabut 5 (108).
kpıs (SG kbi3 Uig., k613 Kom.).
die Tochter, ;5 (39 b).
kyi (v) (Os Uig., kyi Kom.).
giessen, kyimaja Le 5 (117 a) er giesst nicht.
kyı (ES kyı Uig., kya Kom.). |
der Diener, Knecht. J,5 (48 b, 110 a), J5 (110), kya-ilä S,5 (109 b),
kyısap u, (40 b), kyssapbım f pli (137 à).
kyaak (Aula kyasak Uig., kyaak Kom.).
das Ohr, 5), (50b, 73a, 73b), kyaakıap Jlals (51a), kyaaksı Re
(62 b), kyaaksına LLil,s (117 a).
kyın („A Uig., kyu Koin.).
der Vogel, Fr (57 b).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 44.
œxxni)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTR. 319
K
Känay (SS) känıy Uig., känni Kom.).
selbst, , JUS (10b, 16), „a (1226), ning'üs-inÿn 30 (41 2),
KäHA’O9ÿeaën DJ AS (58 a), känn’ösi (SJ if (65 a), LS JUS (15 b),
Känıyaän (3,25 (58b), kännyläpiei ou (155b), kängyläpıäs
DAS (154).
Köplix (pers. JS" lix)
Blindheit xkôplirinä LC LS (28 b) für ihre Blindheit.
ki dass aS 79a, af (18b, 24a, 24b, 25a, 50b, 62a, 85a, 97a, 99b,
100b, 101a, 103 a, 105a, 106 a, 109 a, 150).
Kimi (Od Kiki Uig., kimi Kom.).
der Mensch Lies (32), LES (21a, 258), LES (818), LAS (1208,
122 b), kiminig Dies (6 a), ximiläp_,Lif (136 a).
KIM (‚OR kim Uig., kim Kom.).
wer, dass, Fb, 3a, 4a, ba, 5b, 9a, 11a, 12a, 14b, 15a, 18a,
1462), „ (78b), „“ (8b,22a, 29b, 37a, 45a, 468, 46b, 51b, 52b,
54b, 55a, 61a, 64a, 70a, 70b, 71b, 75b, 85 b, 86 b, 88 b, 90 a,
91b, 93a, 95b, 97b, 105a, 106b, 112b, 113b, 114b, 115a,
115a, 119a, 120a, 120 b, 123b, 129b, 130a, 130b, 134a, 136,
137b, 138a, 139 b, 140a, 141 b, 143a, 143b, 146, 147 b).
KIMC (= KIM + Ac) (— ui 089 kim äpch Uig.).
irgend einer, Jemand. auf (15 b), uf (19b, 248, 24b, 25 b, 38b),
kimch Hä LS (52a), wer es auch sei kimcäjä ES (80 a) kinch-ai
IS (145 b).
T..
räi*
gut SJ (60b, 66a, 78b, 89a, 98a, 103a, 116b, 121b, 138b,
1423), 5 (73b, 74b, 98 b), räji _„S (27 b).
räi (v.) CSD kär Uig., ki Kom.).
ankleiden | sS räimäni (25 a).
rApAK (mL) Käpär Uig. käpäk Kom.).
- nöthig IS (638), LS (63b, 768, 76 b).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 45.
320 W. RADLOPF, [..8. ı
räpy* (9220 käpy Uig., käpi Kom.).
zurück ,,$ (15b), „5 (44b ,54a, 115).
räl (v.) (4) käl Uig., käl Kom.). .
"kommen rälä NS (70), rälyp # (46 a), rülai SOS (123 a), rülmüaÿi}
LÉ (123 b, 125 a), rälyp Bai (523 (31 b).
rät (a) (v.) (S4) kär Uig., kür Kom.).
© fortgehen JS räı& (64b, 100b), räaäp , LS (568), rärriläp „US 45b),
räryp (YaSu) küaÿp Uig., kär(r)ip Kom.).
fortbringen rärypä | 5 (143 a), rärÿpaÿu Ey (135 b) ich habe her-
vorgebracht.
räg (v.) Qu Kküa Uig., käy Kom.).
vorübergehen räy # (88 a).
räsyp (99040 Kküuÿp Uig., künyp Kom.).
vorüberbringen räuypü |,=° (144 a).
räud ( FA Kküqü Uig., küuä Uig.),
Abend, Nacht ax (9b).
räBAü |
der Körper 13,9 (59 b, 68a), 2,9 (69a, 70b, 132a), räsaüjt Lo
(68 b), räuaänd 502,9 (74 a), rängägäı (30299 (88 a), ©3299 (76 b).
rämi ( (> käsä Uig., Kimi Kom.).
das Boot, Schiff _„S (41a), _ „K (43 b).
rôk (232) kük Uig., kök Kom.).
der Himmel Ss (58b, 107 a), röktü JS. fg (27 a).
röxyc (89) Kkürÿc Uig.).
die Brust rökci 55 (132 b).
röp (v.) (928) köp Uig., köp Kom.).
sehen rör jf (468, 68b, 71a, 1188), (868), JS (45b, 149 a),
röpyuys 5 (131 a), 3,5 (23 a), röpäm vs (11a), rôpäcin LS
(75 b, 112 b), eb (90 a), Töpä LS (14b), 1,5 (86 b, 70a), rüpäcis
> (99b, 149b), röpäläp Je, (93 a), röpyp „u, (15 b, 16b), 9
(71 b, 72 b, 105a, 113 a), röpypeis zu, (99 b), rüpai 525 (18 a),
2 (117b), rôpaÿläp 2,” (1508, 152b), Ja, (1538), rôpäu
CS (81a), rüpuim vs (130 a), röpmärä FFyRg (123 a), röpmä
LS (47a, 111b) sieh nicht! röpmäril Ke,$ (121 b), röpmäs BR
Mélanges asiatiques. T. X, p. 46.
Gxxn)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 321
(15b), rüpuäjäcis L LS (145 b), röpmäri se rat (69 a), röpmärin
bus, S (128 a), röpmäy! LL, (133 a).
röpyu (v.) ( jo a) köpyu Uig., köpfu Kom.).
zu sehen sein; röpynyp Jo Ir (69a), » FR (112a), de on)
röpely (sons) Kkôüpxlÿk Uig., köpkly Kôm.)
schön + Ps (80 a).
röcTäp (v.)
zeigen; rücräpln as (4 b), röcräpdein grlius. (90 b.
rö3 (>) köc Uig., «kü3 Kom.).
das Auge 3$ (72h, 108 b), rösi (5399 (71a, 140 b) acc., rög-ilä aL,,f
(75a), rönläp LS (81a), „u, (70 a); rösi on (73a, 74) sein
Auge; rösläpi sr 2, Eng (72a, 117b) 119a, seine, ihre
Augen; rü3ÿi RL (11a), rösym’lä d 5 (23 a), rÜsÿ4 rs
(104 a), röayuyas | 6 5 (141 b), rösyayai Si (99 a).
röaly ze 0 köslyr Uig., KkÜ3lÿ Kom.).
mit Augen,’sehend rösly äcäy ya) 5 (1 11 b).
rip (v.) (9 kip Uig., kip Kom.).
eintreten ripäm NR (11 b), ripä LS as b), pal Ins (155 sa)
ripmäxi | se 5 67 b).
rijÿp (v) (YES kiryp Uig.)
hineinbringen, rijypä 1,,,S (143 a).
rigi (Sy) Kiyik Uig., kini Kom.).
klein ,,xS (94b, 123 a), (2 b, 145 b).
ri6i (ki6i Kom.).
ähnlich, wie. LS (11b, 84a), af (13h, 19b, 31a,. 34b, 42a,
96 a), Pr (101 b), Oyuyy ri6i ge (44 a).
rya (450) xy Uig., kÿn Kom.).
der Tag Ou (9 b), US (31a, 95a, 128a), :S (150b), rÿni „S
(99b), 59 (152 b). acc., kÿni 9 (132 b) seine Sonne.
ryxäin (kyjaur Kom.).
die Sonne LES (20 à), rYnäurräa LI (79 b).
rÿa Qu) kÿu Uig., xyu Kom.).
Gewalt, Gewaltthat. £ (147 a).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 47.
822 W. RADLOFF, [5 8. ı
ja ( Fr jau Uig., jas Kom.).
Die Seite jaya K (98 b).
jayasım (Manyiad jaayk Uig., jageis (v.) Kom.).
Irrthum, Fehler KL (118b).
jap (v.) (jap Uig., jap Kom.).
spalten japabı | s3. (27 a).
japar (v.) ( pa japar Uig., japar Kom.).
schaffen japarrym Pe sp (135 a).
japsın ()>%+> japbin Uig.).
der morgende Tag japsına L,L (150b).
jappııpa (v.) (ptits japsikaa Uig., japısıra Kom.). |
gnädig sein; japblapaja LL (133 b), japblıBa WJ,(95b) sei gnädig!
jaasap (v) (498 jas6ap Uig., jax6ap Kom.).
flehen, jassapypym Css ,,lJL (958), jarsapsın ll, od. lb (10a).
jar (v) ( jar Uig., jar Kom.).
liegen, jaryp u (59 b), jarsmak 5$L (57 a).
jasyk (jasyk Uig., jascık Kom.).
die Sünde, jasykyy ÉLi;L (65 b).
jasysa (A&9«* ja6yc, jasyc Uig., jays Kom.).
böse, schlecht, jasys ;,L (55b, 73b); jasyay , „L (78 b); jasys-
anpıan Ja, sl (27).
ja (v) (JS jé Uig., jà Kom,).
essen, jäp » (57 b), jäwäk sl. (148 a), jAmäxi sw (24 b).
jand (Aa jana Uig., jaua Kom.).
wiederum «u (125 a).
jäp (> jäp Uig., jäp Kom.).
das Land, die Erde, , (58b, 107 a), jäpä |. (55 a).
jäl (> jäl Uig., jäl Kom.).
der Wind Jo (36a, 37 b).
jok (“es jok Uig., jok Kom.).
das Nichtsein, nicht 54 (147), jok äyi Soi (43).
Melauges asiatiques. T. X, p. 43.
6
œauun)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 323
jokapy* (es jopapsı Uig., jokapsı Kom.).
oben ln (17b).
jokcya* (jokcya Kom.).
arm, jokcyaa di (22 b), al, (84 b), jokceyasap Lui, (93 b).
joa (SS joa Uig., jor Kom.).
der Weg Jy (38), Jy (83b, 1012, 1168, 143b), jo ). (53 a,
53 b), joai Jr (116b), joaxa ol (62 b), jozan Gl (101a),
joayn ur (116b) seinen Weg.
jrik (28 jnık Uig., jsık Kom.).
umwerfen, ÿ (134 b).
jyanya (Ses jyaye Uig.).
der Stern, jysay3bl |< ol (20 a), sein Stern.
Jÿpi (9 Q@SS jypi Uig., jypy Kom.).
gehen, leben jypijä L 2 (61 b).
jÿ3 CSSS jyc Uig., jÿ3 Kom.).
das Antlitz jysû Lis (1418); jÿ3i (> (15a), acc; jyai SD (80 a),
sein Antlitz, jysinä [4 3. (76 a); jyayıı Cp (70 a, 71 a).
jJya3 (+28 jÿe Uig., jy3 Kom.).
hundert 34: (53 b), 5» (55a, 58a, 72b, 86a, 108).
H.
HA ( — ni Uig., nä Kom.)
was & (119b), näkin ST (1b), SU (ba, 46a, 46b, 120b, 139 b,
147b), näki af L (85a, 109a, 1500), nä-ayp „>L (126b), näsäm
pr’ (138 a) was bin ich.
närät (vielleicht = mi -+- ürü Sas ninür Uig.)
KaKb aus (12a, 26h, 27a, 28a, 29a, 32a, 50a, 123b, 128a),
LS (14b), [5 (97 b), nüräcin „is (128).
nüTElirt ADS nixiklik Uig.)
die Beschaffenheit, nürälirini Js (69 b).
Melangen asiatiques. T. X, p. 49.
t9
LD
824 W. RADLOFP, [N. 8.1
HAnä (uänä Kom.)
wie as’ (27 b), ls (56 b).
Bäca? (= BÄ-+-äch — A po nû äpci Uig.)
Sache, nächniy SL; (72 a), näcäji „Lu (52 a), nächnaja LE (75 a).
T.
TABAP (94 Tabap Uig.)
Habe, Vieh. pa (8 a); TABApbIM al (4 a).
Täypi (94e Täupi Uig., Täupi Kom.)
Gott. 5 (3b, 5a, 168), 5, (18b, 80b), {5 (44b, 45a,
488, 49a, 99a, 103b, 104a, 111a, 121a, 122a, 1272), ‚CS (18a),
Täupijà LS (61a); Tänpiji Pe (16b, 18a, 18b, 81a), Pre
(98, 79 a), y A5 (47a, 47b, 90a, 90b, 103a, 106b), s (1028);
Täupiadu ul (2 à), Va (9b), Val (21a, 3la, 46a,
54a, 91b, 96b, 107b, 119 b). |
TS
schnell, :5 (43 b).
To6pak (AuXgan To6pak Uig., ronpak Kom.)
Erde SL2L.(7 a).
TYpKk (San Tÿpk Uig.)
türkisch TYpkyä ng F (91a).
À.
aakbi* (Jia Trait Uig., Tapbı Aanıı Kom.)
auch noch sl (13a), WE (97 a, 151a).
Aap (Au Tak Uig., rap, ray Kom.)
der Berg, aaa all (36 b), aanaa Jelb (115b), AAFAAU uselb (35 a).
AAPT (v) (Se rapı Uig., rapr Kom.)
ziehen, aaprrét , z,l> (127 b).
aaTay* (Se rarınık Uig., Tara)
wohlschmeckend, aarTayji LL (74 b).
AAA
Väterchen, I>l> (49 b).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 50.
(xxxum)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 325
AaAMan* (Tamak Kom.)
die Kehle, aanmazıny SlolesW (74 a).
zam* (yo rau Uig., rat Kom.)
das Äussere, ami | „ib (107 b) sein Äusseres.
Aam (yo Tam Uig., ras Kom.)
der Stein, aama aill (36 b).
Kany* (Maya ranyk, Tany (?) Uig.)
die Hölle, rauyaan seb (144 a).
AAMAA ( >> Tampa Uig., Tamıcıh Kom.)
der Tropfen del (11b, 12a, 12b, 13a), detb (155, 156 a).
Ad ( I? Tà Uig., r& Kom.)
sagen, aäriı J&s (10a, 156); adjän „> (24 a); aäp-ch au.>(119b),
zäpläp-ch au) J.> (1160), Ai [sb (122a, 1242, 125a, 126a,
127a, 146b), aiaÿrÿn Su> (125 b), aüjin vs (128 b), aâmù Les
(103 b, 156 a), aämäri oc (24 à).
zär (eo Täk Uig., TI Kom.)
berühren närai OS: 5 (91b), aärnäjä aS> (101 b).
aäryp (See Türÿp Uig.)
hinbringen ,,$5 (20 b).
aärÿl (räril, aäyl Kom.)
nicht JS: (70 L), K> (1048, 110 a, 116 a).
AärM4 (Jo Tärna Uig., Tärmti Kom.)
jedes a.S> (84 b).
züyis (AA Mo rijic Uig., räıis Kom.)
das Meer Ba (12b, 13a), ne (156 a), 56 (13 b), aäuisä 1,6»
(155a, 155b), 1,6» (11a), 1,6» (12a), aäıiand 02,65 (83 b).
AY (9a Tül6ä Uig., rüli Kom.)
dumm „5 (53 a), pds aälym (127 b).
AËBA (do TÜGà, Täsü Uig., TäBä Kom.)
das Kameel |,> (35 a), |, (788).
Melanges asiatigues. T. X, p .61. 994%
326 W. RADLOFF, [n. 8.1
108 (v) (2% rok Uig., Trÿ Kom.)
geboren werden aopa L-ö,> (136a); aogasap „L2,> (137 a), aopanı
‚swäyb (35 a).
204 (v) (Se Toa Uig., Toı Kom.)
voll sein TOAMaAnı se (19 b).
aoay (Ada roayk Uig., roay Kom.)
voll ToAy-ayp „>ylb (111a).
z0crasık (ASP Tocrıyk Uig.)
die Freundschaft, aocrabipbit lus (4 b) seine Freundschaft.
Adu (v) (Ran rüuÿl Uig., ou Kom.)
drehen \se> adumdai (115 a).
aôpr (Ses röpr Uig., röpt Kom.)
vier &,,> (98 b)
aipi (3 Tipik Uig., Tipi Kom.)
lebendig \s.> (64a, 67b), ‚s > (13b, 83a), ‚ss> (26b, 386),
aipiji Lg» (8b).
AÏl (eo til Uig., Til Kom.)
die Zunge Y> ailä (51a).
AÏl& (v) (ee rilä Uig., rilü Kom.)
bitten ailäpim ms (93 a, 96 b), ls DE (98 a); ailäpeiu hs (77 a,
717 b), uw)» An b, 76b), ailäpeis DRE (147 b), ailämiicis jee}
(98 b); ailäp-äai PIR (37 a).
aimi (à4Pe Tixi Uig., Timi Kom.)
Weibchen aiwiläp Li: (136 b).
ayp (v) (Se typ Uig., typ Kom.).
stehen, sein. Aypam À D (11b), aypa L,,5 (70 b), aypyp > (7 a, 7b),
> (118b, 147b), ,,5(147 a), ,,55(110 a, 112 b, 113 b), ayp(ayp) „>>
(43b, 101a), ,,5 (132 a), „> (2a, 5a, 5b, 7a, 20a, 62b, 72a, 86a,
+ 105b), „> (18b, 43a, 45b, 49a, 54a, 59b, 62a, 63b, 74a, 79a,
79b, 89a, 105a, 111a, 119a, 120a, 120b, 121b, 123b, 126 b,
130a, 132b, 134b, 139a, 142, 148).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 52.
(xxxım)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 327
AYT(v.) ( > tyr Uig., ryr Kom.)
halten. ayr > (8b, 9a), &,> (48b), ©: (88a), ayTkpia Js (89 b,
49 b), Jai,> (66b, 1566), ayryn Él5,> (1426), ELS,> (133), ayracsıs
BR (100 a), ayrrısı 235 (40b, 85 b), ayTanıap 5,5 (67 a).
ayKäl (0e ryräl Uig., ryräl Kom.) |
ganz, alle. aÿKäli, > (118 b); ayrälinä EKs (20 b), EL, (94 a);
aAÿkälini dE,» (72 b, 96 a), ayrälin > (95 b).
nyn( Po ryn Uig., ryn Kom.)
die Nacht ,> (95a, 152 b).
ayply aaa Tÿplÿx Uig., ıyply Kom.)
verschieden ayply aÿplÿ > 5 (81 b).
ayuı (v.)( Se tyu Uig., tyu Kom.)
fallen. ayuıiyär Sleıi,s (32 b), ayımäjäcin JL (75 b).
€
yap (SIZE OL ya6pr uaphı Uig.)
der Ruhm, uasbrx (sl (29 b).
yok
viel 59» (147 b), uokbr > (114 b).
urık (v.) CASE unık Uig., unık Kom.)
herauskommen, li» unıka (101, 10bb) unıkmak Sleis (76 b) upıkap-cä
Li (51 b). |
Jya*
sehr Ce» (117 b).
caipy*
krank op (122 à), „ (125), caipybam ps (129 a).
caipyıyk*
Krankheit — u (124a, 124 b), — es (127b), caipyay5riHaau
Ua, u (129 a).
cakrın ( Tun capbın Uig.).
sich hüten :,5L. (60b). Vielleicht ist hier cakyx zu lesen «hütet»,
dann wäre der Stamm cak (der auch in Kudatten Bilik vorkommt).
Mélanges asiatiques, T. X, p. 59.
328 W. RADLOFF, [N. 8. 1
capstnchi3* (pay cape Zahl Uig.).
zahllos jmbél. (136 a).
can (v.) (canpı Uig., caua Kom.).
meinen, denken cauma Lil. (129 b), caunapeis Jai. (102 b, 118a),
CauMaqBt Jule (25 b).
car (v) (Sy Uig., car Kom.)
verkaufen carmagbia Ja. (118 a) vergl. bar.
cas (v.) Guy cas Uig., cau Kom.).
ausstreuen Cayap ‚= (81 b), cayap-cä L. „== (134 a).
chu (sv cäu Uig., cän Kom.). |
du .„- (47a, 57a, 123b, 124b), .,- (9a, 60a, 75b), caya Kl.
(104b, 124b), Ki. (54b), cüni u (11a), Zu (658), elunk ai
(72 b), cänaäu (m (124 a).
cänci3
ohne dich ui. (56 b).
cäB (v.). (Say Hey clin cän Uig., cäy Kom.).
lieben cägäm pre (138 b), pr (140 a), cäBäp pe (106 b), cüuäipym f 7
(96 a), p,L. (97 b), cäsänläpi LL L,L. (138 b), cusÿy él. (97 a).
cop (v.) (Sy cop Uig., cop Kom.).
fragen cop 7. (118a), copyuys 535$ jp» (23 b), ne (131b), copa
Don (130b), copañt (6339 (18b), copabHap sg (26 a), copayıu
vr (130 b), copmapa la. 0 (123 b), copua lo. (47b), copmaneıy
Siege (128 b), copuaapt SIA pe (69 b).
coaTan (coxTax Kom.).
der Fürst (LL (109 b, 110 a).
cös (AS cöc Uig., cös Kom.).
das Wort pe (8a), jy (108a, 119a), cösi sy (71b, 73h,
106a, 125 b), cösnän C2, (3a), cözläp Lys (6 a, 7 à), Dog (24 a,
108 b), cüslüpiy Sb). (73a), cösläpä fe (1 4a), cüslüpi,s > by (6b),
sr (117a), cös-ilä Yo (92a), I 3 (17b), ab (115a), cöayni
Mélanges asiatiques. T. X, p. 54.
(xxxum] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 329
y» (105), cöcaläpi (eds (22), ‚sy (119b), cösläpia io
(118a).
CHIB(v)( 2484 cix Uig., ct Kom.). |
hineingehen cbipa la. (50 b), CHIBap a» (17 a), CHIEMa3 m (51 à).
CBIBBIN (V) (PESy CBIHbIH Uig., Cbi5bIH Kom.).
vertrauen SbIBBIHYH | pau (43 a).
ci* (v.)
ähneln ‚ cinä3 (80 b).
ci3 (> cic Uig., cis Kom.).
ihr je (23a), js (97a), 5» (98a, 147b, 151a), ciaä l;. (50a),
Lu (91,92 b), ciai (6 jee (97 b), (55 (133 b, 143 a), cisiniaÿe = C5.
(98 a). |
cy (Hy 4 cy, cyn Uig., cy Kom.).
das Wasser (30a, 39b, 40a, 87a), cyan Us. (38b), Css
41b), cyaap Dee (39 a). |
cyca (v) ( vv cy3a Uig., cyca Kom.).
dürsten eycanyy-ch LG (87 a).
cyuy (era, cYuyk Uig.).
süss QE (145 a), cyuÿañn Css” (146 à).
ID.
mau (YAyay mamyp (v.) Uig.).
verrückt , ‚U (105 a).
B.
Gai (949 nai Uig., Gai Kom.).
reich, Gaja L (22 b).
6ak (v.) (49 nak Uig., 6ak Kom.).
schauen 6ak Sb (75 a, 112 b, 113 b), 6akyx LL (141 a), Gakap #L
(87b), 6akan pt (113a), 6akmak sl (76a), 6akma L5L, (68 b),
Li (87a, 113b), 6akmarpis lil (141 a), Gakmanbisap pl
(150 b). |
Mélanges asiatiques, T. X, p. 55.
330 W. RADLOFF, [n. 8. 1
6Gaknı*
alles ,3L (88).
Gapbılıaa (v.) (Gapbııuma Uig.).
schenken Gassnuaaja Wie (65 b).
6aXbillay
glücklich „Li (62 a).
6aXllblll
der Lohn Gaxıeınıı (21b, 22 a), Gaxıubımeın (21 a).
_6ajsik*
sicher, gewiss. En (73a), 5» (134 a).
6apaak (6apaak Kom.).
der Krug, 6apaaka L>,L (87 a).
Gaiu („49 nan Uig., Ga Kom.).
der Kopf 6amıına Lil (134 b), Hauızınnı Se (87 b).
6ärlä (v.) ( 6ärlä Uig.).
befestigen 6ärlädi so, (41 b).
6ür (49 näk Uig., 6ür, 61 Kom.).
der Fürst SL (110 b).
6h (?)* (228 nüx Uig.).
das Antlitz, das Äussere 6äyi pe (80 a) sein Antlitz. Fleischer
will statt 6Gäyi hier jäyi lesen. Im Original ist nur ein Punkt unter
dem >; sichtbar, ein anderer Punkt, der sich links an diesem befindet,
scheint ein Fleck im Papier zu sein. Vielleicht ist aber auch jägi (=
Antlitz) zu lesen. Mir ist der Gegensatz jäuyi und nipi unwahrscheinlich.
Dem jäti steht ebenso im Uig. wie auch im Komanischen äcki gegen-
über, dem nip aber ja. In der Übersetzung bietet 6äyi keine Schwierig-
keit «Seinem schönen Antlitze gleicht Niemand, neben Gott ist (Nie-
mandes) Antlitz dem Einen ähnlich.
Säyi*
gleich, wie OR (13a, 83 b, 83a), Ps" (65 a, 155 a), ve (82 a),
ee (40a, 40b, 57b, 68a, 132b). Fleischer glaubt, dass 6iri, wie
er statt 6äıji zu lesen vorchlägt, eine Umstellung von ri6i sei, dies ist
offenbar eine unrichtige Ansicht, Güui ist aus 6äıg (Antlitz, Äusseres)
entstanden, ri6i aber entspricht dem Kom. ki6i und gcht aufeinen Stamm
kin, käu (Maass, Modell) zurück.
Melauges asiatiques. T. X, p. Su.
(xxx) | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 331
Gänai (v.) (yes miupsi Uig.).
ähnlich sein 6äy3imä3 a 54 (80 a).
Gin ( F= nän Uig., Mir Kom.).
ich .» (13a 15a, 188b), (yo (44a), «pe (24a, 25a, 50 a, 92b, 95a,
97a, 98a, 129a, 129b, 132a, 132b, 135a, 135b, 138a,), 6aya
KL (3b, 50), K, (100), K, (988), Gäni „so (97a, 1008, 130a,
130b, 131a, 131b, 142b), 6äunä& oo (131a), Häunäu Jo
(23b, 131b, 1348), us (26 a, 48a, 93b, 100 b).
6änim (tig mäuiy Uig., müuin Kom.).
mein > (23 a), re (25 b), st (139 a), 6änin-iuge Qyxvi (95 b)
meinetwegen.
Güpk (9 näpk Uig., 6üpk Kom.).
fest 5], (89 b).
Gäprim (v.) (SSL nüprir Uig., Gäpkir Kom.).
befestigen Gäprinÿn ÈS, (115 b).
GAY (8-49 nälry Uig.).
genau, offenbar. ,]L (4 b), ,L (11b), „UL (79 b), IL (117, 152).
6oin je nojyx Uig., 6ojyn Kom.).
der Hals, 6oinyı "og (143 D).
005 (v.)
erwürgen, ersticken, 6opant (SJE (38 b).
601* (mo Kirg.).
reichlich J„ (84 b).
6öilä
so, auf diese Weise dr (60 a), ds (122 b).
6119 (v.) (OS 1019 UÜig.).
schneiden € (87 b).
Gin (—248 mix Uig., Mix Kom.).
tausend |,» (34 b, 84 a).
Gin (v.) (Ps Min Uig., Min Kom.).
besteigen 6inyy um (43 b).
Molanges asiatiqnes. T. X, p. 57.
332 W. RADLOFF, [N. 8.1
6ip (AS nip Uig., 6ip Kom.).
eins ,» (12 b, 28 a, 41 a, 71 b, 84a, 84 b, 86 a, 108 a, 108 b, 110a,
110b, 112b, 113b, 114a, 127a, 128a), » (53b), » (21a, 35a,
55a, 58a, 107a, 107b, 109 a), 6ipä o (80 b), 6ipi |s» (105 a).
6il (v.) (AS nil Uig., 6il Kom.).
wissen Gil J— (46b, 152 a), Gilril Jal (608), ‚ab (788), Gilyn
OHK (1a), LL (142 a, 148 a). Sul, (132 a), 6ilyays UL, (139 a),
Gilä de (61a), Ÿ (106b, 114a, 1388), Gilyp „L (51b, 85a), LL
(73 b), Gilÿpmis ; ob (42 b), Gilmäx SLL (63 a), 6ily yo (16 b), 6ilayı'yan
web (92 a, 94 a), Gilmäsim e 6 (126 b), Gilcäixin ad (91a).
6ilaÿp (v.)
wissen lassen 6ilaypän ' JL (94a), Gilaÿpäi üxin po} sb (92 a).
613 (AA nis Uig., 6i3 Kom.).
wir jo (42 b), 6isä |, (91 b), 6isi |s» (133 a).
6y (S&3 ny Uig., 6y Kom.).
dieser » (3a, 5a, 5b, 6b, 7a, 14a, 17a, 17b, 52a, 52b, 100),
» (26a, 50b, ölb, 62h, 64b, 66a, 101a, 106a, 116a, 116b,
126b, 149a, 150b), Gynyu : 5» (310, 34b), Up» (84), Gyuyu rii
ge (44 a), ya [jy (132 a, 152 a), > (99 a), Gyuxa ob (88 a,
148b, 149b, 150a, 151a, 152a), ai (7b), Gyaap Je (137 bi,
6ynaap an (68 a), 6yaapa Re (15 a), Gyaapaau SD (137 a).
6jyp (v.) (9569 nyjyp Uig., 6yjyp Kom.).
befehlen 6ÿjyparr ci Lo (2b).
6yipy5
der Befehl -,&, y» 6yipy5bix (40 b).
6ya (v.) (nya Uig.).
finden 6yı J (48 à), J (116 b), el, 6yayıy (142 b), Oyaacvım Jde
(88 b), 6yaazap als (94 b), 6yayp _L (21 a), _L (85b), Gyaani sh
(32b, 52b), «sul» (103), Oyaasınap „ul, (152a 154), Oyanak
LL (63 b), 6y.mımak = (103 b), OyanyHymbı REN (92 b), „Erb
(94 b), Oyamaanı sc (52 a), sLL (78 b).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 58.
(xxxm)| ÜBRR ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 333
6y1aYP (v.)
finden lassen 6yaaypai’aim po: ob (92 b).
B.
Bap (%49 nap Uig., Gap Kom.).
das Sein „I, (72b, 85 a), ,, (106 a, 109 a, 150 a).
Bap (v.) (49 nap Uig., Gap Kom.).
gehen ‚I, (77b), ,, (77a), vapa L,, (3 a), BAPYP u» >, (82b), BAPEIN
ol, (128 a), sapyp'ät os (60 b).
Bäp (v.) (JA uäp Uig., Güp Kom.).
geben J-£,, säpril (54 a), Bäpän ps (24a, 25a), pas (4 a), zäpä
FF (3b), In» (54 b), gäpäcis ;),, (149 a), Bäpyp 23 (6b), os
(16a, 104 b), Pr (82 a), „u, (84 b), süpri su (Ba), Ssy—s
(44 b), (52, (22a, 22 b), säpailäp „Ju>,, (155 b).
IV. Übersicht der grammatischen Formen,
Naclıdem ich das lexicalische Material der Verse vollständig zusammen-
gestellt habe, halte ich es nicht für überflüssig aus diesem Wörterverzeich-
nisse die verschiedenen lebenskräftigen Affixe: (Declinations-Endungen,
Pronominal-Affixe, die Declination der Pronomina und die Conjugations-
Endungen der Verba) noch systematisch zusammenzustellen. Ich will dabei
alle besonderen Bemerkungen unterlassen und nur die vorhandenen Formen
des Textes zusammenordnen. Um nicht unnöthige Wiederholungen zu ma-
chen, will ich mich damit begnügen, die einzelnen Beispiele nur in der
Transseription aufzuführen und die Belegstellen in Klaramern hinzuzufügen.
Der Leser kann leicht im Wörterverzeichnisse die Schreibweise des Textes
auffinden. Ich beschränke mich unbedingt”auf das vorhandene Material
und unterlasse es Ergänzungen aus Analogieen herzuleiten und so die un-
vollständigen Schemata zu vervollständigen.
Declination der Substantiva.
Genitivus
BI, if, ÿ4, Yıl(nach ri; (29 b), raxmapbn (74a), cüsläpiy (73 a), xacxapbin
Consonanten) (21b), yanbi (88 b, 89a, 90a), Hylıyı (40b), waigam-
6äpläpiı (85 a).
NB etc. (nach Vocalen) kiıminin (6 a), Häcäuïr (72 a).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 59.
334
Dativus.
a, À (nach Cons.)
ja, j4 (vach Voc.)
Accusativus.
bl, i, ÿ ÿ (nach Cons.)
W. RADLOFF, [s. 8. ı
äsä (35 b, 113 b), oaa (32 b), jaya (98 b), j#34 (141a),
japtisa (150 b), jäpä (55 a), jokcyaa (22 b, 84 b), joua
(53a, 53b), aaya (36b), aäyisa (155 a, 155 b, 11 b,
12a), zama (36 a), Aïlä (bla), 6apaaka (87 a), 6ipà
(80b), äsläpä (113a), côsläpä (14a), käsipläpä (30 a),
Gaja (22 b), I6pahimä (34a), xacsapa (44 a), yımaka
(143 a).
kincä-jä (80 a), uäcäuä-jà (75 a), Täypijä (61 a, 95 a),
rüsadjä (68 b), masaauaja (22 a), kamyja (96 b), Mycaja
(122 a).
aj-b1 (27 a), o4b1 (32 b), ini (68b), äpi (66a), ypy3bi
(20 b), cipi(26 b), räj-i(27b), jasysy (78 b), rÿai(99b,
132b, 153b), uypui(114a), Köpläpi (2 b), joast (116b),
jY3i(15 a), 6ipi (105 a), mazbr (da, 5b), xaabikbi (14b),
cösi (71b, 73b), yann (55a, 63 a, 69 a, 88 b, 97b),
käsipläpi (36 b, 38 a), yauxapei (30 b), upıhansı (149 a),
cipläpi(91b), voksı (114 b), alämi (135a), Anämi(135b),
cöaläpi (6b, 117).
jei, ji, jy, jY (wach Voc.) ölyji (26 b, 83 a), uäcäji (52 a), TÄypiji (9a, 16 b, 18a,
Locativus.
an AU (ra-'rû)
Ablativus.
Au AH (rau-rän)
Plural.
xp, läp
18b, 47a, 47b, 79a, 81a, 90a, 90 b, 103a, 106 b),
aatayji (74 b), xipiji (8b), ayujajeı (151 b).
yikyaa (56 a), kapauyaa (153 a), räsaänä (74 a), rökTä
(27 a), josaa (62 b), zanıa (115 b), alyianä (83 b), yei-
hauxa (19 a, 66a, 109b, 142a), ayujana (49 a, 100a),
alüuañ (82 a), aümaä (84 a).
hakrau (19 b, 102b), yanıau (106b), räsnäräa (76 b,
88 a), cobaëu (3a), cyaau (38 b, 41b), äkiaü# (51b),
rynäwmrän (79b), aubraau (74a), älzän (66 a, 151 b),
käünayaän (57a, 58b), joanan (101 à), räypinäu (2 a,
9b, 21a, 31a, 46b, 54 a, 91b, 96 b, 107 a, 119 b),
rünÿpaiu (40 a), aapıan (35 a), Tamyaan (144 a), jasy3-
aapıau (27 b), käunyläpräu (154 b), Cyaangau (35 b),
Bäliaiün (47 a, 129 b), uauaau (48 b).
äsläp (114 a), inläp (56 b), yeaysap (7 b, 14 a), kyasap
(40 b), kyıakıap (51 a), kimiläp (136 a), rôsläp (70 a,
Melauges auiatiques T. X p W.
(xxx) ]
ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 335
81a), jokcyasap (93 b), nimiläp (136 a), cösläp (6a,
7a,74b,103b), cysap (39 a), äBaijasap (20 a), cipläp
(50 b), ganıap (54b, 81b), hapæzap (108a), xacıap
(38 a), äpänläp (150 a, 152 a).
Possessive Personai-Affixe und ihre Declination.
1. Pers.
Sing. Indef. n, bin etc.
acc. bIMBI etc.
Plur. Indef. mrı3 etc.
2. Pers.
Sing. Indef. buy etn.
acc. BIHBI etc.
abi. sııyzan etc.
Plur. Indef. zıybı3 etc.
dat. biynı3a etc.
ACC. DINBI3bI
3. Pers.
kanatsapbım (137 b), kozxxapsim (137), cipim
(139 a), kyınapsın (137 a), rasaprim (4a),
Bälim (1262), nälin (126 b), maxbim (4 a),
AYiuManBiM (134 b), xacıapbım (139 a).
r03ÿMi (11 b), Hakımrımmımpı (25 b).
aTAMBI3 (42 a), üikimis(133a), kamymy3 (42 a).
ypyayn (104 b), yeyn (71b), rôsÿx (104 a),
MYMAIAPEIH(86a), ja3b1kb1H4(85b), yannıy(5 7a).
yCyupt (53a), yansıypı (57 a, 60a, 64a),
IMAHBIHPI (60 b).
Iyroyıaän (10 b).
kan-y4y3 (140 b), näscinia (143 b).
rösyııyaä (141 b).
kanyny3bt (140 a, 144 a), rösyııyai (99 a).
Indef. bi etc. (nach Cons.) axp1(146 à), ränn’ösi(15b, 65 a), cüsi(106a),
isi (107b), kyaakp1 (62b), rörci (132b), rösi
(71a, 73a, 74a), rösläpi (2b, 72a, 119a,
117a), AÿKäli (118 b), jyaayanı (20a), anbı
(146 a), jysi (80a), namsı (107 b), cösläpi
(2a, 119 b), 6Gaxımpımsı (21b, 22a), Maui
(6a, 7a), kyröpı (la), yanaaprr(111a), Hypbi
(18b), öryri (43 b), xacpı (49 a), cipi (49 a),
naupı (62 b, 62a, 68a, 132 à).
CBI etc. (nach Voc.) kamy-chı (126 b).
gen. blHBli etc.
Ayımaubinpn (28 b).
dat. vina etc. (nach Cons.) kyaakpinia (117 a), köplikinä (28 b), xacbima
(43 a), jysinä (76 a), aÿräliaä (20 b, 94 a),
6Gambina (134 b).
China etc. (nach Voc.) apachına (37 b), kamy-crına (90 b).
Mélangos nrintiques. T, X, p. 61.
W. RADLOFF, [n. 8.1
acc. 1. bibi etc. (n. C.) äBiui (134 b), känaÿläpiui (155 b), nüräliriui
(69 b), aÿkäliui (72b, 94a, 96a), cösyni
(105b), 8ypsiuB1(16 a,153 a), ÿumäriui (41b),
Gabin] (87 b), maubınbı (6 b), mYaaini (3 b),
äcpapbiubi (23 b), kazanbimbr (156 b).
CbIHbI etc. (n.V.) kamy-cbiubi (85 a, 90 b).
aipy5b14 (89 b), aipykbix (66 b), aabiu(146b),
ätäkin (142 b), joxyu (116 b), jysya (70 a,
71a), aocryn (122 b), xocrabigbiu (4 b), xÿ-
kälin (95b), Gaxıueımeıa (21a), Hypbiu (1 1 8b),
ga8bix (29 b), cüsläpia(118a), Goiuyn(143b),
6yipy5ya (40b), cipiu (50a), ai’märia (38 b).
igixaë (17 a, 88b, 89a, 153b, 154a, 154b),
karbinaa (107 a, 80 b).
apacBuia (79 b).
Alinnän (28 a), räny’öaynnäu (58 a), caipyay-
pynaan(129a), uypbuyau (64b, 82b, 111a,
141 b), paxmärinaäu (65 b), naisamOäpiuaän
(102 a), haabingau (128 b), inäpOärisxäa
(144 b).
Prädicative Personal-Affixe.
336
2. bi etc. (n. C.)
loc. bIHA& (nach Cons.)
CHIHAA (nach Voc.)
abl. sıuzan etc.
1. Pers.
Sing. aM aipy-Bam (129 b), nä-B-än (138 a), caipy-B-au (129 à).
Plur. ÿ3 (mbı3) 6ipÿs (132 a).
2. Pers.
Sing. ciu uärtä-cin (128 à).
Das Pronomen.
1) Pronomen personale (siehe Wörterverzeichniss).
1. Person Güu
6ûuim
Gaia
Oui
Oui
Oz
Mélanges asiatiques. T. X, p. 62.
Singular.
2. Person cin
caya
cul
Cia
CHAN
(xxxm)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 337
Plural.
618 ci3
— CI3iH
Gisä cisä
6isi cisi
2) Pronomen possessivum.
1. Person 6änim 2. Person —
3) Pronomen demonstrativum.
Singular.
04 jener 6y dieser
AHDII OyHyH
ana —
AND] ÖyHbI
AHAR Oyuaa
ana —
Plural.
AHAAP 6yxap (6yHaap)
amıapa 6yaapa
ATAAPPI —
AHAAPAAII 6yaapaau
4) Pronomen interrogativum (relativum).
KIM Hi
acc. KiMi dat. näjü
Das Verbum.
Pracsens.
1. Pers. am, äM (nach Cons.) Bäp-äm (4a, 24b, 25a), kaxam (13b), aix-ax
(50a), oaam (13 a), röpäm (11 a), röcräpäm (4 b),
ripäm (11b), aypam (11 b), Gilaÿpäm (94 a), cäsäm
(138 b, 140 a).
Jam, jäm (nach Voc.) näjäm (24 a).
Mélangos arintiquos. T. X, p. 01.
838 W. RADLOFF, [». s. ı
2. Pers. acbin, ci (n. Cons.) kasacsıu (9 a), rôpäcis (75 b, 112 b, 90 a), röcrä-
päciu (90 b), Oysacsıu (88 bı, uäräcin (128 b).
jJacvın, jäcin(n.Voe ) —
3. Pers. a, ä (nach Cons) aïpsi4a (100 a), asa (53 b, 55 a), aysısa (2b), osa
(55 b, 93b, 55b, 107a, 107 b), iaÿpä (144),
ypa (143b), kaja (1154), keisa (119b), rälä
(70 b), räzä (64b, 100 a), rärÿpä (143 a), räaÿpà
(144a), rôpä (14b, 86b, 70a, 130a), ripä (141 b,
155 b), äañ (64 a, 74b), aoGa (136a), chi5a (50 b),
copa (130b), 6ilä (6la, 106b, 114a, 138a),
sapa (3a), Bäpä (3b, 54b), älrä (61a), abika
(101 b), aina (120 b).
ja, Jü (nach Vue) icrä-jä (db, 122b), japoitiaja (133 b), jÿpi-jà
(61 b), ällä-jä (65 a), Hayoımıaaja (65 bi.
Pluralis.
l. Pers. amb13, Amis,
jaub13, jämis.
2, Pers. acpı3, lcia(u. Cons.) asaccı3 (149 b), iuäcis (145 b), rüpücia (99 b,
149 b), ayrackı3 (100 a), Büpäcis (149 a).
Jacb13, jäcis (nach Voc.).
3. Pers. arap, &läp (nach Cous.) oxuaap (136 b), röpäläp (93 a), aoyasap (137 à),
6yaasap (94 b).
jasap, jäläp (nach Voc.) —
Futurum.
Sing. 1. Pers.
a) YPyM, YpŸM (nach Cons.) wiaypym (15 a), jaasapypys (95 à).
b) apbiM, äpiM (nach Cons.) ciBäpiu (67 a, 96a, 97 b).
C) PbIM, piM, pÿM, pÿ (nach Voc). ailä-pim (93a, 96 b, 98 a).
2. Pers.
a) YPCBIH, ŸpCiu (nach Cons.).
b) apcbiH, äpcix (nach Cons.).
C) pce, pcig (nach Voc.) ailäpcin (49 b, 76 b, 77a, 77 b).
3. Pers.
a) yp, Yp (nach Cons.) aıyp (6b, 5la), oayp (6a, 8a, 12 b, 21 b, 58a,
58b, 59a, 67a, 73a, 108a, 108b, 110b, 114a,
147a), ölyp (8b, 109a), ypyp (143), kapbiayp
(12a), kazyp (8a, 14a, 46b, 67b, 109a, 109 b),
Mülunges asiatiques. T. X, p. O4.
(xxx) | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 339
rälÿp (46 a), röpyp (15 b, 16 b, 71 b, 72b, 105 a,
113a), rôpÿaÿp (112a), jaryp (59b), aärÿpÿp
(20 b), aypyp (7a, 7b, 110a, 147a, 118b,112b,
113b, 147a, 147b), 6ilyp(51b, 73b, 85a), 6yayp
(21a, 85b), sapyp (82b), zäpyp (6b, 16a, 82a,
84b, 104b).
b) ap, äp (nach Cons). apap (17 b), auap (8la, 83b), änäp (18a, 84a,
56 b), isäp (57 b), yaap (57 a), kayap (7 b), rä1äp
(56 a), casap (81b), cäsäp (106 b), crızap (17a),
6akap (87 b), ubikap (51 b).
C) p (nach Vocal). äiläp (83 a), icrä-p (79a), jä-p (57 b), aü-p (119 b),
Plural 1. Pers.
allä-p (37 à).
a) YPMbI3, YPY3 (nach Cons.) 6ilypya (42 b).
D) apmp13, äpMia (nach Cons).
C) PMBI3, pMi3 (nach Voc.).
2. Pers.
a) ypcy3, YpcY3 (nach Cons) rüpÿpcÿ3 (99 b).
b) apcpis, äpcis (nach Cons.) kagapch13 (98 b).
C) pCb13, äpcis (nach Voc.) Ailä-pcia (147 b).
3. Pers.
a) ypaap, Ypläp (nach Cons.).
b) apıap, äpläp (nach Cons.).
c) paap, plär (nach Voc.).
Imperfectum.
Sing. 1. Pers. AyM, ayı
(Tym, TYam)
2. Pers. AYH, AYH
(Tyn, Tyı)
osayM (122a, 125a), rärypaym (135 b), japatrym
(135 a).
ämirrÿa (29 b).
3. Pers. apı, ai äiläai (33 a, 33 b, 41a), ajbipabr(27 b), airtbı (45 a)
(TPI, Ti)
Mélanges asiatiques. T. X, p. 65.
034b1 (28a, 29 a, 32a, 39 a, 120 a, 127a, 1465),
ypabi (36 b), kaïgayer (39 a, 40 a), koası (39 b),
kbipabt (36 a), krınaeı (26b), rälai (123 a), rüpaÿ
(18 a, 117b), japasr (27 a), aaprrrı (127 b), näni
(122a, 124a, 126a, 126 a, 127a, 146a), Oyjypabı
(1b), 6yanuı (32b, 52b, 103a), aärai (91 b),
23
340 W. RADLOFF, [x. 8.1
a0p151 (35 a), Ayrıeı (40 b, 85 b), Gäsläu (41 b),
6ozası (38 b), sâpai (da, 22a, 22b, 44b), copas
(18 b).
Plur. 1. Pers —
2. Pers, —
3. Pers. Asuap, ailäp ärrrssaap (45 a), osayıap(154 b), ölaylap (154 b),
(rsusap, riläp) särriläp (45 b), rôpaÿläp (150a, 152a, 153 a),
ripailäp (155a), 6yaabisap (152a, 153b, 154 a),
säpailäp (155 b), copabizap (26 a).
Imperativus,.
Sing. 2. Pers. a) (ohne Endung) au (11a, 104a), Ak (55a), ämir (45a), iu (87a),
icrä (9 b, 47b, 48a, 116b, 121a), ko(71a, 116b),
räy (88a), rôp (45b, 46b, 56a, 68 b, 71a, 86a,
118a, 149a), jsik (134b), ayr (8b, 9a, 48b,
88a, 103 a), japkıuzga (95 b), caksın (60 b), cop
(118a), 6ak 75a, 112b, 113b), Gbia (87b), 6ya
(48 a, 116b), sap (77a, 77b), 6il (153 a).
b) era (ril?) asneıa (77a, 77b), 6il-n614 (6ilril) (60 a), oa5b1a
(ku:a) (48b), icrä-puis (icräril?) (66 a, 89a, 102a, 151a),
koppia (8b, 53 a, 66 b, 89 a, 151 b, 156 b), är-
bia (vkil?) (10 b), aä-ınıa (abri?) (10a, 156 a),
AyT-Hbla (Ay'ıknıa?) (49b, 66b, 89b, 156b), Bäp-
Bla (säpril?) (5-4 a).
peu? Oilinu (Gilrin?) (78 a).
Plur. 2. Pers. a) y, Yg d&ayıı (148 b), koïayu (1 b), cüsÿuy (97 a), CHIBBIMYH
(43 a), Giuÿy (43 b), 6ilÿy(1a, 132 a, 142a, 148a,
158 b), 6yayn (142 b, 148 b), Gakyn (141a), ay-
Ty4 (138 D, 142 b).
b) yuys, YuYs — kb11yuy3 (139b), rüpÿuÿ3 (23a, 69 a, 131a),
copyıya (23b, 131b), 6ilÿuÿs (139a).
Gorundia.
1. à) but, int (nach Cons.) kbubin (10 a), jaasapein (10a), Gäprimin (115b), Bapkın
(128 a).
b) juin, jin (wach Voc) aäjiu (128 b).
2. y, } Gilÿ (16 b).
Melauges asiatiques. T. X, p. 66.
(XXXIN)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 341
Nomina verbalia.
1. Nomina agentis.
1) perfecti.
a) au, äh (nach Cons.) auanı (1 40 b), karausınpı) (156 b), röpän (81a),
AÿTau(sap) (67 a), cäsän(läpi) (138 b), Hakan
(113), säpäu (53 b), Anäıı (78 b).
ja,n jän (nach Voc.) äkmäjän (55 b).
b) Menu, min (My, Mÿm) — rôpuÿm (130 a), copmym (130 b).
2) futuri:
biyak, inäk — Ölinär (60a), jarcıyak (57 a), aÿwiyäk (32 b),
6yariyak (103 b).
Nomina actionis.
1) nak, mäk iumäk (148 a), jänäk (148 a), unıkmak (76 b), Gakuak
(76 b), 6ilmäk (63 a), Gyauak (63 b).
Dativ: copmara (123 b), röpstärä (123 a).
3) ayk, AYK (TyK TYK) — 6ilaÿrÿu(i) (92a, 94a), Oyaaysymtbı) (92 b,
94 b).
| Das negative Verbum.
Praesens.
Sing. 1. Pers. najam ölnäjän (13 b).
2. Pers. Majachin Aayımäjäcin (75 b).
3. Pers. maja kyimaja (117 a), aürmäjä (101 b).
Plur. 2. Pers. majacis rüpmijäcia (145 b).
Futurum.
Sing. 1. Pers. masbıMm ayıamasbı (126 a), Giluäsim (126 b).
3. Pers. Mas, mä3 röpmäs (15b), kasmas (12b), röpyumäc (70 a),
cebinmac (51 a), Giuy3imäs (80 a), cimäs (80 a).
Plur. 2. Pers. uäüscis ailämäscis (tilämäcci:?) (98 b).
Imperfectum.
Sing. 2. Pers. Magbin, märiıp — asmanpıy (125 b), rälmäxin (123 b, 125 a),
rüpuäni (128 a), copmaanıy (128 b).
3. Pers. Maarbt osmampı (19a, 78a), Öluäni (52 b), komaar1(38b),
kbipmaart (37 b), räimäxi (25a), röpmäni (69 a),
jäntai (24 b), nänäni (24a), aoamannı (19 b), adı-
Mélanges asiatiques. T. X, p. 07. 238*
342 W. RADLOFF, [m. 8.1
mäni (116a), canmanzı (25 b), copaaxsr (69 b),
Gyamaabi (52 a, 78 b), ripmäai (37 b).
Plur. 3. Pers. maxkisap OGakmazxpbisap (150 b).
Imperativ.
Sing. 2. Pers. a) ma röpmä (47 a, 111b), aäsä (103 b, 156a), cauma
(129 b), copma (47 b), 6akua (68 a, 87 a).
b) magpia (märil) — binatwapbıı (118 b), icrämägbis (icrämäril)
(118 b), röpmäril (121b), ämitwäril (105 b), cau-
Mahbli (102 b), carmañbia (118 à).
Plur. a) mäy röpnäy (133 a).
b) maıını3 Oakmannız (141a).
Zusammengesetzte Verbalformen mit dem Hülfszeitwort ü.
1) Ari mit dem Futurum:
älrÿp-ai (35 b), oayp-äni (40a, 30b, 34a), auyp-Ai
(30 a), rälyp-&ri (31 b), ailäp-äai (37 a).
2) &xi mit dem Conditional:
Gilciixim — 6ilcä-Arim (91 à).
3) äcä a) mit dem Futurum:
ayap-cä (99 a), okyp-cä (2b), oayp-cä (57 b), oxyp-äcä
(108 a), aäp-cä (119 b), aäpläp-cä (116a), uıkap-cä
(51b), cauap-cä (134 a), aiayp-cä (139 b).
b) mit dem Perfectum:
6yjypapı-ch (1b), cycansıı)-cä (87 a).
4) äkäx mit dem Futurum:
Bapyp-Käx (60 b).
5) Nomen verbale auf ai + äxiu:
aiaai-ain (91 a), 6ilaÿpäi-aim (92 a), 6yaaypai-Aim (92 b).
V, Transscription des Textes,
Erst jetzt halte ich mich berechtigt, an die Transscription des Textes
zu gehen. Ich führe sie nach demselben Alphabete aus, das ich beim Wörter-
verzeichnisse und bei der Übersicht der grammatischen Formen angewendet
habe. Ich habe die arabischen Wörter so transscribirt wie sie ungefähr von
Mélanges asiatiques. T. X, p. 08.
(XXI) ] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 343
den heutigen Türken ausgesprochen werden und habe es dabei unterlassen
auf die Consonanten des arabischen Alphabets aufmerksam zu machen.
Ich halte es für unnütz, mich auf genaue Unterscheidung zwischen „ — o,
L —;, 53 — ; etc. einzulassen. Was die Umschreibung der türkischen Wör-
ter betrifft, hoffe ich im Ganzen das Richtige getroffen zu haben, wenigstens
ist alles das genau hervorgehoben, was meiner Ansicht nach für den alten
Süddialekt charakteristisch ist.
1. Massana-ayp äslija ky'röpı Gilyı!
HÄ KIM O4 OyjyPAbI-ch aub1 kbiayu!
2. tAıpiaän pahär-rÿp aupng côalüpi,
köpläp’ okyp-cä aubraa rüsläpi.
3. kaukpt Kiuti, Kim 6y CÜ3ait joa Bapa,
Tänpi aubny MmYariıi Gaua Bäpä.
4. jok Ati MA4PIM, TABAPBIM, KIM BäpäM,
AOCTABIBINT Maa-ilà Gällÿ rücräpäm.
5. Ma4bl, KIM TÄNPi 6aa BäpAI 6Y-AYP,
KIM 6y Maabı ICTäjä OX YCAy-AyP.
6. ycay kiminin Maabt cÖ3läp 0xyp,
MalbIupı Büpÿp 6y cüsläpi aıyp.
7. Maabı TO6pak-Typ, 6y cösläp yan-AYPYP,
ycayaap auxax kayap; 6ÿHAa AYPyp.
8. cös kaıyp, 6aKb1 TaBap +aai OAyp,
aipiji ayr! koßbıa aubi, kim ölyp!
9, Tänpiji ayr, kim kasachın cär 5081!
ryn-Y-ränd riuppuän icri männ!
10. jassapnım saprt kpranın aäril ana!
paxmär ürkil kiinay Iyreinnlin Gara!
11. rüsÿmi au, kim cäni 6Ally röpäm! |
aamaa ri6i Adıiaä Tipäm, Aypam.
12. nätä kim aamaa adıyiad kapbııyp,
Aki kasma3 namıa A%H13 ID Oayp
13. 6än aakrı nanıa Oli AIS oxaM,
ölmitjäm anis ri6i aipi kasam.
14. ycayaap xaipan karyp 6y côsläpä,
KIM xasajpık Xa4PIKBI närä TÖpä.
15. 6&n 6ysapa aiıypyMm, Kim 0x jÿ3ÿ
KiMcä TöpMä3, räpÿ KÖpyp KüHA’03i.
16. Tünpi käıny aypylsı aa BÄpYP,
04 uyp-ilä Tipiji 6ily-Köpyp.
Melangen asintiquos. T. X, p. 00.
344
17.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
24.
25.
26.
27.
. 28.
29.
30.
31.
32.
33.
34.
35.
36.
W. RADLOFF,
hapæ iuinnä 6y kanap wä’ni chibap,
6y cö3-ilä ycay jokapy apap.
ähm Anäp, Kim TÄNpi Köpai TÄHPIji,
TAHPi nypbI Ayp, Ki copabı räypiji.
Masuana ri6i yoıhanya oAaMmambı,
anımırajbıu Kincäh hakran A02MaAnı.
os r'Yuäün-Tryp äplijasap Jyaayabı,
aykälinä oa aärypyp ypyahı.
räıpiaäu häp 6ip Kimi 6axuıpıı Oyayp,
xacsapkın 6aximbilupl aipyKebı OAyp,
6axımbııne), Kim Büpai hak MaBıanaja
ani nä jokcyaa Büpai ui Gaja.
ci3 aubi Oùuin rösya-lä röpyıya!
ANBIL ÜCPAPBINBI CHAR COPYHY3
6än adjäsı côcläp, ki kincäh Aündai,
Gâa Bäpäm air, Ki kimCA Jämäli,
Gän Bäpäm xil’ar, ki Kimi räimäai,
kimcä 6äniM 6aXINbIIULIMbl CAHMAABI.
copayıap Gänaän xasajpık 6y cipi,
ölyji ’Ica närk Ébiaabi Aipi?
Mycraæa rükTä närä japabt ajbı?
HäUË AjbIPAbI JaBy34apaau räji,
Myca älinaüu uiri oa1y aca.
AyınmaMbınei Kôplirinä äixAaaha ?
uirä o14y Hapk @ipapyn-i 1a’in?
üilä Kim äunrrÿy 08 iri YaBbın.
kan oayp-Ai apbı Cy käwipläpä,
yanıapıı OAyp-üni amaauı kapa.
Täupiaäu häp rya Gyuyuy r16i Gäla
aÿply ayply rälyp-üni anıapa.
ox Xalil iqÿa nürä osay käläe?
ora AYinÿuik o4pi Oyıay rYlü?
Gip yjas-lüä Hämpyaer kahp äiläni,
aa Aÿuja uimäria 3ähp äilüni.
kajbip yu oayp-äni I6palırına,
ny’ıriaä Öyıyıy riôi 6j AAjbıMa.
Casih iuyu aosapı aapaau 6ip AëüBä,
ÿauiri älıyp-ai Cyaauxau üBä.
hya iuyu jäl ksipast 0x mÿukiplüpi,
AAA AAA YpAbı 04 Käæipläpi.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 70.
[N. 8. 1
(xxxım)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALERTE. 345
37. anaappı kim ya ailäp-ai, ks1pmaxpi,
angapbiij Apachına jül ripmäzi.
38. Hyh isyı Tyœan kamy kä@ipläpi.
GopaBi, cyaan komanpı Kimcä Aipi.
39. kaitaapı cyaap, upılian oaapı Alılla
ui ara kony cy, nä opyA, ñä kbps.
40. Cy ränypaän kainaanı Giqip Oäni,
6yipysyu ayııy Uylıyı) kyasap Güui.
41. känn’öa 10ÿn Gip rämi Hyh äiläni,
Ymmärimi cyaau anna 6ärläni.
42. Hyh Anan ri6i äkinyi aTamnız,
Anam aubr 6ilypYa 613 kamynmy3.
43. 6y öryr-Typ hak xacnına crıppımyı]!
räni-yp anyiy öryri, Ts OinYıy!
44. Bin 6ynyıj ri61 kÄpamäar xacaapa
Bäpai Tänpi, TäpYy üTrTi 04 6üla.
45. ränpi airror, nö Kim auaap ÄTTiläp'),
räıpi hasarıp-ayp, rôp, ansap rärriläp.
46. Täypiaän, röp, uëä kim ausapaan rälyp,
Tänpiaña, Oil, nä Kim anapıan kaıyp,
47. cu sälinän aipy röpmä Tänpiji!
anıan icrä! xaıka copma TÄupiji!
48. 6änzän Amir] TÄypi hasbip, icräl Oyal
AUDI AyT! yannan OAHpIs aa ky4:
49. Täıpi xachı hak cipi-ayp Aÿajaua,
cip ailäpcis, anpı ayrkpia fi naaa!
50. Gin nirä ainam äpän cipin cisà,
ox kysak kaubr, ki 6y cipläp chına?
51. cip ailä crıpmaa, kysakaap nä aıyp,
6y äkinän, KIM ybıkap-ch ox Öyayp
52. ox näcäji, KIM kinmcäuä OysMAAbI
OA KIM AUb1 O6yXAbI, HAHBI ÖlMÄNI
53. ycyuy kopbia! aäly ox 6y joua!
6y josa 6ip an Bäpäu jy3 jan ana.
54. ränpiaäu-ayp nas räpy Bäpril ayal
Kim ’iBas BÄpA Yryın janıap casa.
1) Vergl. Fleischer’s Nachträge p. 209. Ich glaube, meine Lesart ist richtiger: «Gott hat
(im Koran) uns gesagt, was jene (die Propheten) gethan haben, Gott ist gegenwärtig, jene sind
davongegangen ».
Mélanges asiatiquon. T. X, p. 71.
346 W. RADLOFF, [x. 8. ı
55. os Jäpä äk yaunı, Kim Öip ]ÿ3 aua,
äkwäjäu auaa hassı jasy3 022.
56. yikyaa röp yanbııeı! kanaa räsäp,
cäuci3 auaa gan Hänä imläp äzäp?
57. cäu jarsıyak räsaäyän yanbıq Y4ap,
kymı 6äyi kauaa 0syp-cä, Jüp, i1äp.
58. känn’ösinaäu jÿ3 cÿpär Gip yan oayp,
mälp o1yp, 6a3ap Oayp, Aykau oAyp,
59. Kkäaÿaäâu häm jJäp o1yp, häu rük oayp,
au yjaubik-Typ, äräp räBañ jaryp.
60. 6öilä Gilril cäu Gliyäik yanbıybı,
yau Bapyp’kän, räi cakbıu imaunıgbı!
61. Kix Gilä, Alt aus: yan Täıpijä
yımak ispäjä, hyplapa jypijä?).
62. 6axbITay 02 ıjall, Ki Jana ’biimbik-TYPp.
kyaanbi 6ÿ joaaa Cawi ChiAB1k-Typ
63. ’sınnikcbı3 yaubi Öly Giluäik räpäk,
0x ’auısik-Typ (aypyp?), aubi Oyamak räpäk,
64. kiss yanbujbt ’puuk-ilä Aipi Und,
häs uypyuaan 6y kapasıyayk rüxi.
65. känn’ösi Oi cÄui xac Alläjä,
paxmäriunän jasykyı) 6aybımaaja.
66. 6y ybihauaa oa dpi rit icräril!
aubt AYT kbial aipykein ülaäu kopbia!
67. aubi AYransap ubihan Äcci 0xÿp
6ülki auaapyan unhau aipi kasyp.
68. 6y ymhau rüvait Gig, Oyunap yanbı,
rüsaijä 6akmal iui röp! au kaubr?
69. räsal röpyuyp, yaueı rö3 TÖpmäAl,
gau nirälirini ycay COPMaAbı.
70. yau röpyumäc, kim JY3ÿu rösläp röpä,
räsaä aäryl kim rälä, kapıny aypa.
71. ilu ilä röp yau jÿaÿu, ko 6y rösil
ftilä kim ycy4 röpyp häp 6ip cö3i.
72. häp uäcäiniq rösläpi aipykcbi-ayp.
ciuaä Jy3 rö3 Bap, aÿküliui röpYp.
2) 60 und 61: So, wisse, ist auch deine Seele, wenn du gestorben bist, dann ist die Scele
fortgegangen, (darum) hüte deinen Glauben, anf dass die Scele ihu kenne und zu Gott bringe,
in das Paradies, wo sic mit den Iluris sich aufhält.
Mélauges aslatiques, T. X, p. 72.
(XXx11)|
79.
92.
ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEXTE.
. eösläpig röny Gajrık kyaak oayp,
räi cö3ay jasy3 cösi kysak 6ilyp.
. Taamapcıy rösi appı3-ayp rABAËNA,
Tarayjbı anpıaan Où väi wapk An,
. häp näcänäjä anpı röz-ilä 6ak!
Kim Töpäcin ayınmäjäcin cäu bıpak!
. jan jYaink yan-ilä Gakmak räpäk,
san iläpein, räsadaän urıkmak räpäx.
. ayp ailäpein, vap! uyp 04Hb13 Hyp isyn!
hyp ailäpeiu, sap! hyp oapnıa hyp iuyul
. ar-ilä 6ilril aäpä UŸPT o1Mampı,
AA kim jasya’ nn rAl Oyamamnı.
häp wi icräp TÄNpIji, OA YCAY AD.
xaık apachınaa rYırdlımaän GUY ap.
. vöpkly jyai kimcäjä häd Odnaimäs,
Täupi karbinaa 6A 6ipä cimäs.
. Tänpiji röpäu Kimi rösläp ayap,
kapaıy nanıap Yaäp’nä nyp cauap.
. ai Gi alämai aiarınanık Bäpÿp.
jyai nypoiiiaau kaparyanik Bapyp.
. Aipi Ailäp 61ÿji ’Ica Gi,
Jos ayap aäyisnä où Myca Gäüni.
. Gin Gyuyx ri6i Anäp 6ip AÂMAË 04,
aärmä Gip Jokcyaa säüp}p Max (1a) 604.
. à Ki naipamdäpläpiı; Bap, 01 6ilyp,
KIM Allbl AYTTHI, KaMyCyHb1 GYAYP.
. MYPBI GiD-AYP, myMaapnıy rÔp ]ÿ3 äch,
ici röpä häp kim, ox yccy3 äci,
. eycanpııy-ch Gapaaka Gakma cy is!
ceYpärä närcig 6akap, Hamm Gin!
. Täpzfiaän Ka! karbr ayT Oyuaa 1jaHbı
KIM OYAACPII HAN] IIHAË AUDI.
. Jaubti} idinai-Aÿp 04, rit icräril!
AUbE 1YTKPIA Gäpk! AÏPYEPIURI kopnın!
. kim rôpäcin yantın jupä rÄypiji
röcräpäcin kanyceyna TÄnpiji.
. TÿpKui Gilcil’aim, 6än ainai-aim cisä
cipläpi, kim ränpinän aärai 6i3ä.
Gilaypäi-nim côa-il Gilayrymi,
Gyaaypai-nim 6ün ci3ä OYAAYEYMEI.
Mélanges nsiatiqnes. T. X, p. 73.
347
348
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94.
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97.
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103.
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106.
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108.
109.
110.
—
W. RADLOFF,
uläpäs, kim röpäläp kamy ausi,
nymlä jukcyssap o1a Gäuzäu saui.
Gilaypäm ayräliuä Oilayryni,
6ysasap yıy risi ÖyJayByMbi.
jaısapypym Täıpijä Gäu aÿu-ÿ-Kÿu,
Kim aykälin Japanıa Gäuin inÿnl*)
ara rit aykälini cäsäpya,
kauyja Täypiaäu äilik ailäpym.
cis aakbı 6äui cäiBfy! äilà ki 6äa
cisi cABäpYM, uÄTä KiM Haubı TÂH.
6üu cisiy-ayıı räi ailäpim, ci3 Haıa
räi Ailämäscis, kayapchı3 AÖpT jaıja.
rösyıy3i Tiupi ayap-cä, 6yui
röpäcia, äilä ki röpypcy3 ryui.
Gäui karhi ayrackıa Oy Aÿujaaa,
04 ki Oänadu aipbıza kasaa räah?
jos 6Y-AYP, 02 jan ki 6y josaan 1bıka,
säruäjä räsÿp ri6i 01 au haka)
räypiji naipam6äpinaäu icräril!
3biuhap aub1 hakrau aipy canmanbıa!
OA Ki Öyaabı TÄpiji, räi AYT aubi!
ab] Oyauıyak, aämä: Täypi kanbi?
räıpi anaan aipy aäryl, aa rü3ÿu!
ox BäpYp caya hämimä ypyavı!
KiM ki 6ipi äki TÖPYp, MAMBI-AYP,
cösyui linirmäril kyamanını-ayDp.
ü kapemmaam! 6y cösi üllä ki Bap
04 6ilä, kim TÄäypiji yanaan cüsäp.
rôk-ÿ-jüp auısı karbıuaa 6ip 04a,
Täypiaäu iyi aamıbı Oip Cip o4a,
jya3 oxyp-ücä hap»ıap, 6ip cô3 osyp,
cöalap-ilä ’aki6är 6ip rös 0ayp.
Hä Ki Bap-cä, Ölyp 04, Gip au kaıyp,
os ııpıhanna kya ilà coxran kaıyp.
kyl-y-costan 6ip aypyp, äki aäryl,
04 cäpa iupä Gip oayp 6ük-Y-kya,
8) «sei du Allen gnädig meinetwegen I»
4) Fleischer’s Erklärung (p. 210) entspricht nicht dem Originale, V. 101a steht umka,
aber 101b hakka, es ist daher zu übersetzen: «dies ist der Weg, die Scele, welche von diesem
Wege abweicht, kommt ebenso wie die Ungläubigeu nicht zu Gott».
Mélanges asiatiques. T. X, p. 74.
Is. 8. ı
(Xxx1n) |
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130.
Mélanges asinliqnos, T. X,
ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 349
TAHPI NYPPINAAR AOAY-AYP 1JAHSADI,
Ari röpmä rösly äciiy anxappi.
cÿpär iypä ansap äki röpyuyp,
mä’nijä Oak! kim röpäcin Gip AYpyp.
isläipä Gakan nyprt Äki rôpÿp,
äbä Gakma! aypa 6ak! kim 6ip Aypyp.
ycay äBläp iapä nypsı Gip Gil,
kanza kim röpä dokbr, aıaa Kkbixa.
AÜHMAI cö3-ilä, kim räpy kaja,
6äprimin-Typ &ilä kim nanıa kaja.
xaık aa näpläp’cä, 6y jox hak aäryl,
6y joay ko! hak joayu räi icräl 6ya!
kyıakvına kyimaja ox cöaläpi,
hak uypyn uyyn 6älly röpay rôslüpi.
côsläpin röp! cözläpin cop! carmanbıa!
aÿxüli jagapım Aypyp, bIHATMAHBIA|
CÜ3 AHPIH-AYP, KIM aabık-Typ rüsläpi,
ox H& aüp-cü rüupiaüu-aÿp côsläpi.
Où kiımi KIM äilä OAI A3bI AYP,
Hä KIM Où aita kamychi Pa3bI AYpP
TÄıpi pasbin anaan ictä, Ai iyil
röi yay Ayp, röpmäril aubı riuil
Tänpi alai: «caipy ox1yMlo Mycaja.
eränny aocTyn Kimi 60ilä ICTÉJE ? »
ayıy rigi rälxi 6äui TÖpmärä,
anärä-ayp, Kim rAluäaÿn cÄn copuaga ?»
Myca aäni: chama cänzäu caipyayk!
«cin xaabıkebin, Cara kanaan caipyayk?»
jänä AÂM: «caipy OxayM, Tälmärin,
enäri Kim CÜ3i häca6a aumampıy».
Myca aäni; «6y cipi AHIAMA3PIM,
emakcyayı nä-Ayp, 6y cipräe 6ilmäsiMn.
Tänpi adni: «caipy ont 6ip BAM,
eaynja iapä caipyayk aaprroı adlim.
abip Tu aubi HÄTÄ BAPRIT TÖpMÄNIH,
enüräcin aüjin haseınaam copmaarıy.
a6üh ANBIE CAÏPYAYHYHAAR CaipyBaM
«cauma, KIM 6än ox Bälinän aipyBam
«KIM AHbI rÜpä, 6äni TöpMmyıı-TYp O4,
«KiM ANBI COPA, 6äni COPMYMI-TYP 04.
p. 75.
350
131.
132.
133.
_ 134.
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150.
Mélanges asiatiques. T. X,
W. BADLOFF,
«Gäni auqa, anbı Oäaaä Töpyyya!
«6äni auaau, aubi Oänaäu copyqy3!
«räbaä-Ayp 04, Gäu sant, Oilyıy Oyubı!
eryl Gi ayp rFökci aneı, Oäu rÿui,
«ikimis Oip}s, äki Köpaän Oiai!
«AyTyı AND, JAPABIBAÏA 04 Ciai.
ai aubı Öäugäl cayap-cä, 04 6ajbık
«AyIUMAHLIM Ayp, ÄBini Gambia jbık!
«bän aHbIH iuÿ4 Japatrym aläni,
«oa BÄlIn-4Yu rârÿpaÿu Oän Andi.
aKiM AOHA AHAAH CAGPULICHI3 Kimiläp,
auyeT osasap Äpkäk-ilä aimiläp.
«lläm Oyaapaan aoGasap xac kyasapbım.
«ki Öyaap kauarsaprın-ayp kossapbım,
«bäHi ox xacaap Oilä kim Où HÄBÄM,
«aHsappı cäBänläpi 6äu räi cäBän
aXACAAPLIM GÄHIM cipiu-aÿp Gilyıya!
«Hä KIM O4 alaap-cä, aubı kbrayHy3!
«Kim CäBAM kamyılyabi aubıı iufr,
«kamyHys auax rösi aubıı i4Yır;
«aa Öakyıj! Hakmasjbı3 aipıık jÿ3ü!
«Ki Hypynaan uyp rip rösyıyaä!
«paxMüriM 04-Ayp Hbihauxa, räi 6ilyu!
TÜKIH AYTYH! 6äni anaaa Öyayıy!
«Kim Ci3i yyMaka ox xac rürÿpä,
aHädCiH13 KIM joa YPYP, O0iUYH ypa.
«kaMyHy3b1 04 ramyaau Läyfpä,
«yymak iypä wäpôürinaiu 11ÿpä.»
bypeixap-lü auaa iulicis cÿui
rüpuäjäcis kimcäaä anna riui
O4 cYuyaäıı, KIM Tylıyp OAAbI AABI,
Täypi kyp'auaa aasın äilü aüni.
yırııak iypä ara oayp, rÿa jok aypyPp,
Hi Kim auda Cis Ailäpcis, uok AypyD.
jümäk, iumäk auaa aajim-ayp, Oilyız!
uyhya âaÿuy! yuuakbr Oynaa Oyayı!
röp! Bäpücis 6y upıhansı, yumakbı
auacbi3, Oynna röpäcia (ci3) hakkbı.
röpıyläp 6yuaa äpäuläp nä Ki Bap
Hakpbix 6ÿrÿH, jappina 6aknaabiaap.
p. 76.
[n. 8. 1
(XXXIN)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 351
151. cän aaksı yıımakkı 6yaza icräril!
yymak idÿu ayıjajeı älzün koppıa!
152. Gynaa Oyaayaap äpäuläp, 6il Oyanı,
aÿu iinaà röpailäp 6Ally rÿni.
153. kapauyaa röpıyläp hak nypynbı,
is iyinzä Oyaayıap hä hyppiabi.
154. kYpp iuinnä ain-Y-iman Oyanyaap,
kännyläpıän Ölayläp, hak oxxyaap.
155. zamıa 6äyi ox adıyiaä ripailäp,
känayläpisi aAyiad Bäpailäp.
156. zamıa näsäü ansapa! alıyia aäril!
anaapbı aÿrkbial kasanpınsı Kopbın!
Ich hoffe, dass diese meine Untersuchung aufs klarste dargethan hat,
dass in diesen Versen uns ein Denkmal eines ganz bestimmten einheitlichen
Dialektes hinterlassen ist, der einer anderen Dialektgruppe angelıörte als
das Kudatky Bilik und der Codex Comanicus, und dass wir berechtigt
sind anzunehmen, dass schon im XIV Jahrhundert eine dreifache Scheidung
der Türkdialekte sich längst vollzogen hatte.
Die überall in unserem Gedichte auftretende vollkommene Gleichmässig-
keit der grammatischen Formen unterstützt auch meine Voraussetzung, dass
wir es hier nicht mit einer conventionellen Schriftsprache zu thun haben,
sondern mit einem Schriftwerke, das ein, in der arabischen und persischen
Litteratur bewanderter Türke als ersten Versuch in seiner Muttersprache
verfasst hat. Wenn der Verfasser ein Pronomen in doppelter Form aufführt,
ich meine ,),, (137 b) 6yaap und ,L, (68 b) Gynaap, so müssen wir annehmen,
dass beide Formen auch in der gesprochenen Sprache im Gebrauche waren, und
dass die Seldschuken im vierzehnten Jahrhundert begannen neben der regel-
mässigen Bildung des Plurals von 6y, eine ausap entsprechende analoge
Bildung 6ynaap anzuwenden, die in der Folge die regelmässige Pluralbildung
verdrängt hat. |
Mélanges asintiquos. T. X, p. 77.
353
Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. Scripsit Petrus Nikitin. (Lu le 22 août
1889).
Libellum qui repli maidwv &ywyñs inscribitur Wyttenbachio facile con-
cedimus Plutarchi non esse, huius discipuli esse commentationem argumentum
a magistro propositum tractantis non concedimus. Vix enim credibile est
adulescentulum nescio quem nondum e Plutarchi schola egressum eo arrogan-
tiae esse processuruin, ut haec, quac in c. 17 p. 13 Wechel. [vol. Ip. 29, 3
Bernard.] leguntur: önep yap noAdaxız xai mpôèc ToAlolus Tüv ratkpuv
srreiiö Akyıv, xal vov dv elnoy scripserit. Multa sane in hac declamatione
insunt quae puerilia videantur, nihil tamen est cur ea scriptoris aetatis,
non ingenii vitiis deberi putemus.
Velut minime certum auctoris aetatis indicium haberi potest, quamvis
puerile videatur, studium, cui deditus est, flosculos orationis undique decer-
pendi. Cuius unum exemplum nondum, quantum ego scio, ab aliis indicatum
afferam: cum c. 12 p. 9 A [19,25] scribit: yauvoDvrar yap tale unepßolats
av Éraivwov xal Spürtovtar, Platonem imitatur, qui Lys. p. 210 E: oürw
XPN — — Tols rardixote ah ye Jar, rareıvodvra xalavartiiovrea, AAN
Un Gonep où yauvoüvra xal dtaSpünrovta (rois inaivars scilicet. Cfr.
p. 206 A: ol xadol, inerdav tie abtoëc énaivh xal abËn, ppovnuatoc èpri-
mÂavro xal peyahauyiac).
Admonet me iste Platonis locus eorum, quae apud hunc nostrum scrip-
torem in cap. 2 p. 1 B[1, 19] edi solent: ta gpovnpata Tüv UröyaAxov
xal xiBônAov éyévrwv To yÉvos apaddeodar xal Taneıvoücda: nepuxe!).
Dubito num eo sensu qui hic requiratur T& ppovnuata op&Aeodar dici
possint. Exspectarim & ppovnparte — — œuotéAkeoSar. Cfr. Diod. 20,
18, 3: nav œuvestaÂn Ta ppovnpara Tüyv Bapßapwv et de iunctura
ovortlleodar xai taneıvoücdar praeter Platonis locum modo allatum Eurip.
fr. 716 (Trag. gr. fragm. cd. sec. p. 586):
1) In iis quae sequuntur: xat pal’ opdiuc 6 Àéywv TomtAs pret
"BouAot yap dvdpa, x&v Ipasbanlayxvös tic M,
Itav auverdfi untpöc H narpdc xaxd'.
vix recte omnium codicum scriptura rarpds n pantpôs xex% repudiata est. Neque enim id hic
spectandum est, quid Furipides scripserit, sed quid huius libri auctori scripsisse visus sit.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 1.
354 PETRUS NIKITIN, [n. 8. ı
réa 68 npcoßAknerv me xal Ppovnpartos
aa, ta to neyıora noAAaxız Jeôc
raneiv Édnxe xal auvéatetÂev nav.
Plut. Mor. p. 70 D [170, 4 Bern.]: étepos dt xupös éomt voudeoias örav dm
&ÀÀWY Aordopndtvreg &9’ cls apaptavouor Tanetvoi TE YEyvavrar xal GucTa-
Aöcıv. p. 366 D [448, 19 Duebn.]: xparnous navranacı ev Nellcv eis
évavtiov?) und dodeveias suotaitvra xal bucvra®) xolAcv xal Tanetvôv Ebimaev
eis nv Ialacoav. p. 544 F [659, 15]: xal xatanAnkews &viaycd xai
suoroANjs Évexa xal ou raneıy)aaı xal Aaßelv unoyeiptov Tèv audaon xai
Inauov où yelpov katı xounacaı Tı nepl aurol xal peyaanyopfjoaı. vit. Cim.
c. 12: xal pv aurcü ya tcü meyalcu Baoıltws obôels étaneivwae xal auve-
oreıne Tb poévnua wäddov 7 Kipwv. vit. Ages. c. 29: Taneıvöc Epaivero
xal ouveotaÂpévos. vit. C. Gracchi c. 18: Tareıvoü Yevouéveu xal auoTe-
Aëvroc. vit. Cic. c. 32: TS ppovnpatı puxcôs &yav xal Taneıydc und this
duppopäs YEOVUs xal suveotakuévos. Liberiore quam libelli repi &ywyñc
auctor locum illum Platonicum expressit imitatione ipse Plutarchus in vit.
Alcib. c. 6: éxelvov 6 Ewxparnç Spüdewcs dtamiewv xal yauvörntos écaxs
av Aaßcı méGwv ro Aöyp xal auotreiiwv Taneıvöv éroier xal &touoev. Cfr.
etiam Dionis Chrys. or. 67 (vol. II p. 231, 14 Dind.): vüv ptv pepöpevov xal
rerönevov ilmAOTEpov TÜV vepüv, dv TÜywot naptupnaavres alıov mıves xal
énatvéoavtes, vov öl auoteAAöpevov xal Taneıvoünevov et quae Anto-
nius Melissa qui dicitur Gregorio Theologo I 26 (p. 860 B ed. Mign.) tri-
buere videtur: auottAAcrar nalıv xal TareıvoürTaı.
Pueriliter libelli auctor etiam nimia illa orationis concinnitate delec-
tatur, de qua Seneca anon est ornamentum virile concinnilas». Eo magis
miri videri debent cum alii quidam eiusdem opusculi loci, in quibus cou-
cinnitas cum facillime servari potuerit laesa sit gravissime, tum hic qui est
c. 2 p. 1 C [2, 7]: Aröpavrov — röv OepioroxAkous noAdaxız Akyovar pavaı
xal mpès moÂÂobc ws Om dv aurd; BouAntar, Touto xal To önpp auvöcxel TO
rüv Adnvalov. & mtv yap abTèc edEkeı, xal n unenp &0’dvnuinmp, xal
Genotonins & 8’ dv Ocpioroxifs, nal navıes ASnvata. Nonne ea est ver-
borum compositio quae scribendum esse: & pv yap <&v) «br é9EAn*) ipsa
quodammodo clamet?
2) eis éautèv Bentley. Cf. Moral. p. 1129 E [p. 1381,16]: austadeıg à Aoyıopds zig auröv.
8) Interpunctionis nota quam editores post fuevra ponunt nemini placebit qui quid sit
roran.ög xoldos puets meminerit. Cfr. Plut. vit. Cam. c. 3: où dE norapoı navrzg Won) Get
xoidor xaı Taneıvoi ta Jépous Eppuncav.
4) Ante aurög pronomen av particulam excidisse arbitror etiam Moral. p. 159 À [p- 389, 8
Bern.], ubi lego: ö un Beöpevos tocgns oUÖL awparog deitan. ToutTo à’ (av) abtév nv aurou MN
Beiodur cÙv gwparı ap nuWv ÉXAGTO.
Mülauges gréco-romains. T. VI, p. 2.
(Xx3H)] AD PLUTARCHI QUAR FERUNTUR MORALIA. 355
Sed multo magis etiam inconcinna sunt quae c. 9 p. 7 À [p. 14, 23]
leguntur: Gonep — — nv Seatpixnv xal naparpdaywdov, oürws au
radıv xl nv ouuexpolcViav ris Akkus nal Tansivwatv rapoiv® GieuAx Bet Ion
xai geuyev. Nam adiectiva Jeatpıxnv et mapatptyôcv substantivum non
habent ad quod referantur. Tacent de hoc loco editores quos scimus omnes
praeter Huttenum, qui «subaudi» inquit «AtEıv stylum ex subsequenti
commaten. Sed si hoc loco ad subaudiendi artificium confugere licet, ubi
non liccat? Mihi probabilius videtur nv Seatpixnv ex TÔ Jeatpıxöv esse
corruptum. Plutarchus quam saepe numerum singularem neutri generis
adicctivorum pro substantivis quae abstracta dicuntur positorum cum gene-
tivo casu substantivorum coniungat, inter omnes constat. Nostrum scrip-
torem hoc dicendi genus non vitasse ostendunt verba c. 18 p. 13E [p. 30,
24]: 76 Toù ynpws außAuwrrov nal duoxwmpsv°).
“ Credere non possum sana esse verba c. 7 p. 4 A [p. 7, 24]: ereıav
zsivuy Ydıziav (oi nalses) Adfwav und nadeywyols teraydaı, Evraüde ON
JAANY Émpéhexv Extisv Earl TS Tobrwv XATAOTATEUNS, WS N Addwmarv
avôpanodots I Bapßazcız N nadıußörcıs za Téxva napadövres. Nam si ita haec
leguntur, verbi Aa9worv subiectum erit ol radaywyct, quo ineptius nihil
fingi potest. Recte sane loci sententiam Xylander expressit, cum verba ex-
trema sic latine reddidit: «ne filios nostros per imprudenliam mancipiis
aut barbaris aut levibus hominibus tradamus». Sed ut hic sensus restituatur,
Aadwarv in Aadwpev mutandum.
In eiusdem opusculi c. 10 p. 8 AB [p. 17, 13 sqq.] haec fere omnium
librorum scriptura esse videtur: metpatéov cbv eis dlvapıy xal Ta xcıv&
nparzeıv xal mis poocpiac avrdapßaveodar. xara To Tapelxov TOV xap@v.
obrws EroArteboato [leprxAïñs, cürws Apyütas: à TapavıTvo, obtw Aiwv à
Zupaxéotos, oürws ’Enaueivwvèas à OnBatos, av éxatepoc ITAdtwvoc éyévero
ouvouazorms. Pro &xatepos Wyttenbachii coniecturam &tepos et Bernardakis
recepit et ante eum Hercher. Hic tamen, cum post editionem suam emissam
in Hermae vol. XI p. 227 sq. hunc locum tractaret, pronuntiavit verba
wy éxatepos [lAatwvos Évyéveto auveuaixarns esse delenda, quippe quae ex
adnotatione ad illa oütws Apyiras 6 Tapavrlvos oürw Alwv à Zupaxootoc
a lectore aliquo adscripta nata essent. Equidem, sicut &tepos Wytten-
bachianum ne intellegi quidem posse, ita hanc Hercheri opinionem, quam
Bernardakis commemnorare noluit, prorsus veram esse iudico neque quid-
6) Neutrum genus adiectivi cum genctivo substantivi junxisse videtur etiam c. 7 p. 4E
[p 9, 9 sqq.], ubi edi solet: oùx erxörz roldaxıc Imxpurng exeivos 6 nadaıds Eleyev, re eimap
Apı duvardv nv, avaßzvra (an avaßas &v legendum?) ért rd nerewpöratov This nölewg Avz-
xpayeiv Epos 'w Avdpumoe, not pepeode;’ Nam pépos vocabulum ex glossemate ortum cssc
locus quem tenet perincommodus argumento est. Cfr. 7% pereopx tic noÂewe Thuc. 3, 72, 8.
4,112, 8. Sero comperi rd Yearpıxöv inventum iam esse a P. Papagcorgio (A9nväs vol. I p. 469).
Mulanges gréro-ramains. T, VI, p. 3. 24
356 PETRUS NIKITIN, [x. S.1
quam, quod iis quae ab Herchero disputata sunt addam nisi hoc parvum
habeo: videri mihi istius adnotationis auctorem, ut Archytam eodem atque
Dionem sensu Platonis covouotaorhv diceret, Amatorii Demostheni falso tributi
loco ($$ 44— 46) esse inductum, quem, ut quam huic nostro similis
sit appareat, adscribam: voute Ôè näoav pv tv quaoocpiav peyæAæ tous
Ypwpetvcus wpeielv, ToAU ö: nalıoıa MV mepl Tas npabeıs xal tous noAmxnus
Aöyous Emioempnv. — — Yvolns 8 dv EE &AAwy te roÂÂGy xal Tapadew-
pnauc tobc npè aauroü yeyevnméveus Evöökous &vôpas. toùro ev IlepıxAka, mov
ouvioeı mAelotov Tv xa9’ auröv dueveyxeïv Öökavız navtwv, dxoboe TANott-
cavta Avabayöpa to KAalopevip xai nadnınv éxeivou Yevéuevov Tabtns This
GuvaLEUG peraoyövra' todo 8 AZuflaôny eupnoes phorr iv Tpùs &oETNv
TOAAD yelpoy dimxeimevov xal rd ev Unepnpavus Ta ÔE Tameıvas Ta 8’ Umep-
axpıw; Cv nponpnuévov, and dE Ti; Euxpatous öpiÄias noAAd pèv inavopdwätvte
ou Biou va dt Acınd ip eye Tov &AAWV Epywv émxpudauevov. ei dE der
un ral Akyovras Starpißerv, &yovras Umcyworkocıs rapaleiynaaı ypüeden,
roëro pv Tinédeov cux EE MV vewrepos Gv enernöcuoev, aAN EE av ’ooxoate
auvdarpihac inpake ueyiorns GoËne xal nheiotuv muüv euonaeız dtwSévra”.
roûro à Apyürav nv Tapavılvav mov curw xaÀGS xal pLAav onu dtoxr)-
cavta, xÜptov abris xataotavte, ar’ els Éravtas Tv Éxeivou pvnunv Ötevey-
xETv' 66 Ev apyh xatappovounevos Ex ToÙ Illatwvı rÂnotaoar TosaûTnv
ENaßev énidoauv.
In c. 14 p. 10 E [p. 23, 24], ubi editur: xö zoivuv is YAwreng xpareïv
(neol Tourou yap, Wonep Umedeunv, einelv Aoımov) el vis puxpôv xal paülov
uneiÄnge, mAeïotoy CLALLAPTAVEL ans aAndelas, ea quae uncis inclusa sunt
aut fallor aut hunc in modum sunt emendanda: nepi vobreu Jap @vrep
unedeunv einelv Acınöv. |
C. 16 p. 12 [26, 25 sqq.]: noAdaxız — xateueudaunv tous uoySnoüv
I@v yeyovorag elonyntas, oltıves Tols pv naucl nada ywyous xal GæxthouG
intormeav, nv À Tüv pepaxiwv öpunv &perov elacav vineodar, &iov ad Tol-
vavriov nieiw Tv neipaximwv notelodaı Tv euAaßerav xal puAaxnv N
rüv naldwv. Codicis D auctoritatem Hercher et Bernardakis sequi videntur,
cum touzwv mv edunt. Nam ante Hercherum non 7üv pewaxiwv, sed
zourwv legebatur, et euAaßerav articulo carebat. Atqui, ut si Tcurwv a scrip-
tore profectum esse statueris, unde z@v peisaxiwv ortum sit, facillime intel-
leges, ita si T@v peipaxiwv genuinam esse scripturamn credideris, quo modo
in toorwv mutata sit, non magis unquam explicabis, quam quae sit nv illius
ratio syntactica. Quae cum ita sint, vereor ne hic locus iis, in quibus
librum D, quem Bernardakis certissimum atque adeo unicum in huius
Moralium partis lectione constituenda ducem praedicat, interpolationis
vitio laborare idem [p. XIX] concedat, sit addendus. Alibi fortasse iniuria
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. +.
(xxxı)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 357
Duebner ducem istum fallacem duxit, hic recte videtur edidisse: rAciw
zourwv euAaßerav rorelodar xal quAaxhny 9 Tov naidwv. Iste enim verborum
ordo, quem editor Parisinus quibus libris debeat, nescio, ego in codice
Moscoviensi 352*), qui Wyttenbachio Mosc. 1 est, inveni, praeferendum
arbitror ei, quem editiones antiquiores habent, huic dico: nAeiw rowloda
roûtuv ebAaBetav xal quAaxhv 7) Tov raidwv. Sed ea quae praecedunt: déov
au zouvavriov, num recte se habent? Soloecum esset xxi ötov, soloecum
ö&ov dE: non minus, nisi fallor, soloecum est Ôéov ad. Corrigendum aut dtov
räv zobvavrisv?) aut, quod ex tradita scriptura aliquanto facilius elicitur:
&ksv au<rö) rebvavtiov. Cfr. Plut. Mor. p. 646 C [p. 784, 8 Duebn.]: &ol
yap aurd Öoxel tsbvaveiov, el undtv N pÜais — army nensinge, TaÛta Th
dovfig nerorjoder yapıv. Krueg. Gr. gr. 18 46,3,3. Weil ad Demosth. 21,120.
Einsdem, ut credere licet, codicis D ope?), non sensu aut elegantia, sed
syllabis duabus locupletiorem cditores reddiderunt locum qui est eiusdem
libelli c.7 p.5 BC [10,5 sqq. Bern.]: ti oùv oupßaiver vols Saupaotcte ratpa-
ct, ia x xax®s LÈv Spébwor xaxis DE ruÎebawat Tobs ulels, Ey Ppaow. Örav
yap els &uöpas Evypapévtes tod ev Uyızivovros xal reraypkvou Biou xatape-
Answorv, ini dt Tas araxtous xal avßpanodwseıs N0ovas tautols xpnp.viowar,
orte On meramkAovrar Tv Tv Tenvwv Tpoßsdwxötes madeiav, Or’ oudEv ÖpeAog,
To; éxeivwy Aienpacıy dönpovoüvres' ol pv yo abtov xölaxas xal rapaai-
tous avalaußavcsuoıv, avdpwrous Tapasnuous xal xatapatous xal Tic veörntos
avarpontas xal Aune@vas, ol DE Tıves Eraioas xai yanaıtunas Autoüvrar aoße-
pas xal moAuredels, ol ÊE xarabopaysdaıv, sid eis xußous xal xwmous Éwxé-
houaty, Fon dE Tıves xal Toy vERYIKWTEIWV ÄTTOVTA XAXGV, [LOLYEUOVTES Kai
cixopdopoüvtes xal pLixv ydovnv Javarou TIRE VOL. prlocopla 8 épuAnaavtes
coter ob Tarolrors laws npayaoiv EauTsu; dv xataneıdels rapécyovto. Plura
descripsi quo clarius appareret obtet istud tam supervacaneum esse tamque
languidum, ut scriptoris quamvis imperiti esse nequeat. Miror, si nemini
adhuc in mentem venit natum esse ex prava syllabarum où ro, repetitione.
Libera est ab hac labe lectio quae ante Hercherum vulgo erat recepta,
obror cu cts looıs, quam perspicuum est ad où toroLrars flows recta via ducere.
Non nimis, opinor, indignum est illud ourowurorurses quod cum invento
comparetur, quo Plutarchi vit. Caes. caput 17 est amplificatum. Legebatur
6) Sed omissa ibi est 9% particula ante tüv raLdwv.
7) xäv touvavrıov sine dubio restituendum est in hoc Dionis Cassii (vol. I, p. 76 ed. Dind.)
fragmento: nYEËTo deiv Toy tt dr anoppntuv npägxı BouAön.evov Kndevi aurd To raparav épqai-
vetv” oUDéva Yyap our taxupppova etvat ü GXOUGaVTX Ti TAPATNPHGR XI CIDTAGA AUTO
Helisz, AÂÂX xx! Ta vu Touvavrioy, dam Av aroppnôf Tv! en eineiv tt, Too HANoV aurov
eridupeiv auto exlaÄficaı, xxt oÙtuç Erepov rap” Etépou T) aroppnTov De xat Mövov Havdavovre
onntkewv.
8) Neque enim Vulcobii lectiones Hercher nut Bernardakis tanti fecisse videntur, ut earum
causa calienm scripturas ne verbo quidem lectoribus monitis descrncrint.
Mélanges grech-romain«, T. VI, p. 5. 24*
358 PETRUS NIKITIN, [n. 8. 1
ibi tots emAnrtıxots Evoyos. Noluit hoc contentus esse Sintenis: ex codicibus
nescio quibus tofs éni ToTls EnıAnmeixok Évoyos invexit.
Perlegas nunc velim libelli de recta rat. audiendi c. 6 p.40 D [98,9
sqq.] haec: det petapéperv tnv euduvnv Ep’ éaurobs and soù Akyovros, ävaaxo-
rodvras el zı Touüto Aavdavonev &uaptavovres. Büstov Yap Eatı TGV Övruv
sd éphaoda öv nAnoiov, aypnotuws Te xal Xevids Yryvémevov, dv un xo6: Hiva
Söpdwarv N quAaxnv avapépmtar tüv &uolwv?). xal to Toü IlAatwvos oùx
oxvmrécv del npèc abTèv en! Tüv duaptavöovrwv avapdtyyeadaı, “un nou &p’Eyi
rotobtcc;” WS Yap Ey Tols Ouuaor Tov nÂAnoiov EAAaunovia TA ÉAUTOV ÉPOUEV,
oürw; ini tov Adywv del vous Éœutüv Eveixovileoda Tols étéowv, va unit’ &yav
Ypaotws xatappovWper &AÂWV, aurols Te npcokyupev Ev TD Akyeıv ETIMeik-
arepov. Ypnarov 6E mpös Tours xal td This rapaßoirjs, örav yevoneva xa9’
abtobs and Ts axpcacews xal Aaßovres tı Tav un xx À GS 7) un) ixavis eipfjoder
Ooxouvrwv emiyeimßpev els TabT xal Tooaywpev abtous T& Ev Waren àvx-
rAnpoüv, 1a 6 eravordoücden, Ta d'étéows ppalev'?), ra Coms EE Unapyii;
eioptpeıv nEipWpevor obs Thv umödentv. ö xal MMarwv Ensinoe mpès Tév Aucisu
Aöyov. zb pv yap avreınelv où yahendy aAAd xai navu banov eionpéve Aöya'
rè ' Erepov avravaarijcaı Beiriova navranacıv ipywöes. donep à Aaxedaunövios
&xoboas Or Pilmnos”"OAuvdov xatéoxadev "AAN cux àvaotioai ye Taauınv“
Eon 'nöAıv Exelvo; Av &uvndein’. Orav oùv iv ro Dia hE ET dat RPÔS TV TOLAUTNV
Unôdeotv un ToÄU paivuueda TOv elpnxéTuv Öapkpovres, TOAU To xaTappovelv
apapoüpev, xal Tayuota xoÂobetar nö aludades Aucv xal piAautov iv nal
rotabreis &Neyyöpevov avrınapaßolats. Nonne sentis pro nv Tcuauryv requiri
nv abtnv? Nulla opus est coniectura: nv abtnv omnes editiones, quae
ante dominatum codici D concessum prodierunt, habent '!).
Non minimi nobis momenti esse videtur quod in verbis qtAcocoia 8° öpı-
Ancavres obroı où Tolourors laws Tpaypaoıv kautous dv nataneıdels napkoyovro,
de quibus supra egimus, obta pronomine deleto hiatus tollitur molestissi-
mus. Nam in hoc, quod de pueris educandis inscribitur opusculo, quamvis
pessime a librariis habitum sit, hiatus neque tam crebri occurrunt neque
tam insanabiles, ut nullam a scriptore vocalium concursus evitandi curam
habitam esse affirmare possimus"). Praeter eum locum quem modo memo-
ravimus non desunt alii ita comparati, ut hiatu sublato aliud quoddam
vitium tollatur. Velut in iis quae c. 4 p. 3A [5,8] leguntur, iv dt xepl
9) An potius rüv otxetwv?
10) Cfr. vit. Demosth. c. 13.
11) Idem habet Mosc. 1. Valde ctiam dubito, num recto in eiusdem libelli c. 14 p. 45 E
[p. 110, 22], ubi ante Hercherum legebatur: où 1à pév éxetvou rAnpusAmpata mxpüc eberaleıv
dpether xata pra xaı npAYKa rpoaywv rnv EUdUYNv, auTès 8’ aveu duvos Aaxnoveiv, adiecti-
vum, quod non solo, opinor, codice Moscoviensi traditum est, aveuduvws adverbio cesserit.
12) Cfr. Benseler de hiatu p. 422 ct 517.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 0.
(xxx111)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 359
robrwv Erı napadeiynarı ypnsapevos anaddakonar Tod Erı nepl abTtov unxb-
verv, posterius &tı non modo propter hiatum quem efficit, sed etiam propter
repetitionem ingratum est. Bis in uno eodemque dicendi genere hiatum de-
prehendimus eumque asperrimum c. 9 p.7 A [p. 14, 22]: eravayw yap mpès
en &E apyiis Tod Aöyou unögecv et c.17 p. 12 F [p. 29, 1]: avaxapılo d’éri
anv && œpyñs toü Aöyou ünödeorv. De codicum lectione cum Bernardakis hic
etiam ut alibi saepius taceat, in Wyttenbachii acquiescendum testimonio,
ex quo discimus loco posteriore omnes eius codices eo, quem D appellavit
excepto, priore codices AC Harl. Mosc. 1. 2 non ürodeotv sed Toödentv
praebere. In codice Moscoviensi 352 utroque locu rpédeotv legi ego testis
oculatus confirmare possum. Codicem C, qui et ipse, si Wyttenbachius
vera rettulit, utroque loco contra D facit, etiam Bernardakis plus semel
vel codicis D auctoritate postposita secutus est. Dixit sane Plutarchus
Moral. p. 423 C [p. 515, 6 Duebn.]: pétmev En! tnv EE apyic Unödeorv
et p. 431 B [p. 524,3]: avorortos 6 Aöyos — — ini mv EE apyiis Umödestw.
Bed auctor opusculi falso Plutarcho tributi potuit rpö9ecız voce ita uti, ut
usi sunt Aristoteles Anal. pr. 1, 32 p. 47 A 5: vélos &v &ya n & apyxfis
mpôdeots. De sophist. elench. 33 p. 183 A 34: Acınöv dt nepl tic && apyiis
npodtoews avan,maaatv einelv tt Bpayü nepi abris. Rhet. 2,18 p. 1392 A 4:
önws Ta Acınd nooadévres anoößmpev nv EE Apyric mpôdeaiv et Polybius 2, 37:
xara — nv EE &oyñs npödectv. Itaque huius libelli non modo loco posteriore,
ubi scriptura quam defendimus ante .Hercherum vulgo erat recepta, sed
etiam priore rpödecıv auctorem scripsisse veri simile putamus. In c. 14
p. 10 A [p. 22, 8], ubi usque ad Hercherum !yw Ôt uaptupa Tourwv
Eipiriönv zöv aopev iravayaytodaı edi fere solitum erat, quo iure quave
iniuria Bernardakis tobteu forma recepta hiatum invexerit, tum videbimus,
cum melius, quam adhuc fecit, editionis suae lectores de codicum lectionibus
atque cognatione mutua docere voluerit.
Huius loci p. 12 E: ‘rüp audnpp un axa@debeıv’, &vri Tod Jupoüpevov ph
£pedilerv verba extrema ut significent non noli, iralus cum sis, trritare, sed
noli hominem iratum irriare, participio rèv articulus addendus est. Cfr.
Porphyr. v. Pythag. $ 42 p. 39, 7 sq. ed. Nauck. sec.: pn 16 nüp m
payaiox axadenerv, önep NV an TÔv @vardoüvıa xal öpyılömevov xıvelv Aöyorg
rednypevors. Viderat hoc Hercher qui edidit: avrl où pin E£pedileıv mov
Yupoüpevov. Eam quam supra posui scripturam Bernardakis codicum sine
dubio auctoritate fretus dedit. Eadem est editionis Duebnerianae, eandem
vidi codicis esse Moscoviensis prioris. Sed hoc verborum ordine restituto
Hercheri coniectura tantum abest ut supervacanea fiat, ut eo probabilior
existat, quo nunc facilius intellegatur, quomodo factum sit ut rôv illud in
libris exciderit.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 7.
360 PETRUS NIKITIN, [x. 8. ı
Cum aliorum corporis Plutarchei partium tum huius libelli locos plu-
rimos litterarum syllabarum vocabulorum omissionibus .depravatos esse
nemini est ignotum. Hac labe affecta sunt etiam ea quae in c. 9 p. 7 B ante
Hercherum sic legebantar: nv Et ruyyavo yvounv Eywv xal neol vis Ev th
Qu/ñ GiaStorws. Hercher tv aurnv de pro nv cé edidit. Hercherum secutus
est Bernardakis cuius haec est de hoc loco [p. 15, 4] adnotatio: «auınv
addfidit] H{ercher}». Necessaria sane est Hercheri emendatio, ut nulla defen-
sione indigeat. Sed nescio an liber Moscoviensis 352 commendationis aliquid
inde accipiat, quod in eo ante nv de (nam sic haec ibi scripta sunt) spa-
tium vacuum relictum est quinque vel sex litterarum capax. Itaque non
alınv sed rnv ab in codice, unde omnes qui adhuc innotuerunt descripti sunt,
omissum fuisse videtur.
Cum libri Plutarchei cui titulus inseribi solet rs Set Ev véov nompaTuv
æxobev c. 8 p. 18 F [p. 44, 3] verbis n mpés 7d mpocumov unodia &aßardeı xal to
rpäypa xal zov Aoycv ws PalAov und pabhou xal Asyöpevov xal TPRTTÖLLEVOV.
olöv ét xal rd T6 ovyxapınoews toü Tlasıdo; Ex Ts pays ancöpdvros.
ouälva yap &AAwv avdpwrwv Nukaas auyxommpevov Yuvaml romaas I) Tev
axOAaotoy xal poryixév iv alaybvn ÔTAGS ét xal döyp mudkuevcs Tv Toabrnv
&xpaciav Wyttenbach hanc annexuisset observationem: «Usus et ratio po-
stulat av wmv avdpwrwv aut &AAcv &vdowrcv. Partem rectae lectionis
habent E. margo C. Bas. Xyl. &Acv avdowrwv»!®), Hercher in ista Wytten-
bachii correctione &AAcv &vdpwrov acquievit, Bernardakis in textu qui
dicitur &AAov avdpwrwv seripsit, sed in adnotatione avdpwrwv delendum
sibi videri pronuntiavit. Cur videatur, non significavit neque ego intellegere
possum. Non obloquerer, si &AAov delevisset. Nam sive &AXcv ex &AAwv est
depravatum, potuit hoc ipsum ex sequenti &vwv oriri, sive &AAcv scriptura
ost antiquior, potest ciusdem esse originis, cuius sunt apud Xenophontem in
Cyrop. & Aou 2, 3, 10, ubi legitur payaıpav ye pv ebdbe rardicv &v fpralov
nou Mora, oböL Trap’ évôs oböL roüto padwv, önws del Aaußavev I) napd Ti:
Qualus, ante 9 particulam ct &AAo 5, 1, 30 in verbis ërws rowüvrsz ol ev
mals oxnvals navra ta Ökovra péowav eis Tac takes Tor Iléooos xal vob:
Inrous tedspameupévous napkywor, Tlpoars Ôè pnôèv n äpyov h Ta npès Tv
nôenov éxrovelv post pnôèv in libris deterioribus inserta. Sed utut haec res
se habet, sive Plutarchus côkva yap &AÂcv scripsit sive cudtve yao, aut
avdpwrov aut avdpwrwv!) aut tüv avdowruwv'?) necessario addere debebat,
13) &AXov avav habet etiam Mosc. 352.
14) Chr. Mor. p. 1074 F [p. 1816, 13]: dig Ya; torıv AI av):o0rwv —, & cux —. vit. Sol.
ce. 27: meri TéXkov AAlov Irvaxıy avŸpo rev cubrimevégtecv. vit. Pomp. c. 33: cübéve 22
ds dpriru dp inrou x a DES Op vov ev Popaixc ateatonidu RWroTs 0$Jrvas vit. Alex. 30: prbstc
No; avdzmırwv xadıasısv et tèv Nusou Y;9vov rAnv Adckavö;cu.
In) fr. gr Dion, Chrys. or. 11 (vol. 1 p. 172, 7 Dind.): ov&i 739 zwv avdswzwv eıxds ZA Àcv
Tıva etÔcvar TA roraute,
Matanges geo nuuaius, T. VELOR OS
(xxx) AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 361
ut Martis ac Vencris et Iovis atque Iunonae coitus diurnos, quos mox
(c. 4 p. 19 F') erat memoraturus, exciperet. Non praetermisit certe hanc
exceptionem facere p. 655 A [p. 795, 11 Duebn.], ubi de eadem re agit:
6 Romın TÜV NPWWY coûte yaner Tiva med pepav obre naAdaxidı auyraté-
xAıve nAnv 9 Tôv [lapiv.
In libri de adulatore et amico c.7p.52E [p. 127, 1 sqq.] Plutarchus
scripsisse fertur: &v Zvoæxoboats paaoiv, dnmvixa Idorwv apixero xal Atovi-
arov Eos kaye nepımavng Qilcacpias, Ta Baaikeıa xovioprod YÉuerv und TAN-
ou; Toy YEWBETPOUVTWV' Tel JE LE STÉXPIUTE IMatwv xæxl Arovboroc ÉXTES OV
quaocopias nadıv ei; môtous xal Yüvaix xal To Anpelv xal axoAaotaiverv Xe
DECOLEVOS, aIpows ünavras warnen tv Kipxns LETALOPPHIÉEVTES ausuola xal
Andn xal eundera« zxatésyev. In eundeız iam Herwerden offenderat, qui
(Plutarchea ct Lucianca p. 2) «dicuntur» inquit «eundeıs homines hebelioris
ingenii, quos nulla philosophia curare potest. Sed huius loci est dementia,
&vcıan. At quis credat &vora in eunder« abire potuisse? Equidem, ne Circes
frustra mentio fiat, pro EYHOEIà scripserim CYHNIA 4). v@ÿes editur
apud Plutarchum Moral. p. 535 F [p. 648, 24 Duebn.], sed ov@ÿes p.716E
[p. 873, 17]. Ipsum ounvi« p. 988 E [p. 1210, 14] dicitur de specie suilla
quam Circe Ulixis comitibus induit.
Eiusdem libri c. 18 p. 59C [p. 143, 15] sunt haec: @onep &v ropdig
Mevavdpou WeudnoaxAñs npöceıcı bönakov cu arıßapdv xomilwv — cd lryupèv
ara ‘yaüvov te nidona xal draxevov’!), oürw NV TOO xöluxos Tappnoixv
vaveladaı reipwpevors maÂaxNv xl aBapñ xal tévov cur Eyoucav, Ad tar
Ro TOV yuvamav rpooxepadaloıs Ôpoaav, & doxoüvra Tals xepadal; Avrepei-
dev xal avtéyetv &väldwor xal uneixer nälAov. Verbum TTPOCEICI in TTPOEICI
mutandum puto. Cfr. Moral. p. 289 D [p. 357, 17]: Aomwôn véaov ëv ‘Pour
vevcuévny navras ôuaXGs dixpdetpar tous en! axnvnv npoepyoptvoug. Plut.
vit. Phoc. c. 19: 5 pèv tpaypdög eloıkvar HÉAAwWV Baardido; rpédwnov Yet xal
xexoopnpevas moÂÂdç noluteÂGs Omadoug Töv yopnyôv xal jh TMopkyovros
nyavanıeı xal xatelye mo Jéarpov où BouAduevos npoeAderTv(CFa: mposeNdelv).
vit. Demetr. c. 25: &Aeye vv np@rov éwouxévat Tönvmv Tpoepyoukvnv ëx (?)
zoayıxfis oxnvñs. Luciani Men. 16: à autos, ei tüyor, puxpôv Eurpoadev pLahæ
deunv@s vb od Kexpsnos 9 'EpeydEws ayfua puunoapevos her oAlyov olxerng
npojAdev Und To nomrol xexeleuopevos.
16) Cuius vocis syllaba media per et fortasse scripta erat. Nam ünveie pro ünvia scriptum
inveniri constat. Multum negotii haec vocabula librariorum +ÿj ünvia facessisse documento sunt
Unvetas in annveiac ap. Phot. Bibl. p. 347Ÿ, 17, ünvarg in xußerg ib. 850°, 17, vavia et vavtas in
-Yuavia et Yuxvias ap. Athen. 2 p. 86D, aunvia sive ounveia in ouyyévetx apud Suidam v.
“Ynvie de II, p. 1301, 17 Bernh. corrupta.
17) Vide Kockii Com. att. fr. vol. III p. 150.
Mélanges greco-ramaine. T. VI, p. 9.
362 PETRUS NIKITIN, [n. 8. ı
Nihil ad hunc libri qui inscribitur rüs &v tu aladcıro Éautoÿ TpoxönTov-
roc én’ àpetÿ locum (c. 13 p. 84 A = p. 202, 19): xadanep yap al Tüv vörwv
el; Ta un xÜpra pépn Toü cwpatos äxtponal ampelov elaiv où qaüdov, oÙtws
N xaxia TOY TPOXCRTOVTWUV Ecıxev EG ÊTUELXÉOTEPX TAÏY HEMOTAUÉVN xata
puxpév éfakeipecdat Bernardakis adnotavit. Minus parcum se praebuit Wytten-
bach: «xaiua» inquit «Mosc. 1. Collect. Muret. Jannot. Anon T. V. B.».
Sed codex Moscoviensis 1 eo nomine minus de hac re certus esse testis putari
debet, quod in eo, cum primitus xüpua scriptum esset, postea alia for-
tasse manu vu in « correctum est. Sed alium testem neque a Wyttenbachio
neque ab editore novissimo auditum dare possumus. Descriptum esse
hunc Plutarchi locum in Parallelorum sacrorum et profanorum codice
Parisino 1169 f. 7. ibique xaiota legi certiores nos fecit Semenov, gymnasii
Petropolitani quinti praeceptor. Itaque vix iam dubium haberi debet, quin
Plutarchus, id quod sententiae aptissimum!) vereque xüprov est, xatpıa Scri-
pserit, librarii xöpı='), quo nihil magis vulgare esse potest, vocabulo rariori
elegantiorique substituerint. Hinc etiam apparet, quam recte et Maxim.
Treu (De Plutarchi libellis qui in codice Tischendorfiano VII. insunt dis-
sertatio p. 7) Vulcobii lectionibus (hae enim a Wyttenbachio V littera
significantur) maiore quam adhuc a viris doctis factum sit cautione fidem
esse abiudicandam affırmarit et vir ille doctissimus, qui Literar. Centralbl.
1888 p. 1551 de editione Moralium novissima rettulit, a Plutarchi editoribus
florilegiorum graecorum copias sperni non debere monuerit.
Quod in tali sententia, qualem habemus in eiusdem libri c. 15 p. 84F
[p. 204, 26 sq.]: pire quyñv Apıoreidou und’ eipyuèv Avakayöpou pie Teviav
Zwxpatous I Puxiwvros xaradixnv Unodernaivopev, Phocionis damnatio com-
memoratur, Socratis silentio praeteritur, non mirari nequeo. Cum ceteros
accusativos quynv elpyaöv neviav negutione gite iterata inter se copulatos
esse video, facere non possum quin putem per 7) particulam non xatadixnv
accusativum accusativis qui praecedunt annecti, sed Zwxpatcus ct Puxtw-
vos genetivos ita iungi, ut ex uno eodemque xatatixnv accusativo uterque
pendeat. Quod ut commode fieri possit, novo opus est nomine proprio, cuius
18) Cfr. Moral. p. 223C [p. 274, 11 Duebn.]: dpafacdat rıyos maxarpiou xat aurbv avatemeïv
and Tüv GPUPWY Ewg Ent TOUG xatpious TOROUS xal ourwg ExAUREÏV Tv Btovetp. 341 D [p. 418, 21]:
Yupv@ Rapexouoa rois BeÂear Ta xatpra. Sed recte sane se habet xupıos p. 159 [p. 889, 2 Bern.]:
Katnv To oüpa Mepıxeigeran a Yuxyfj' Ta nÂsïora yap aurou xat XupiwWrara TOV MEPWY ER TV
TPOPNY öpyava Tapesxeuagtar, YAOTTa xaı Obövres xat GTönaxos xaı nrxp et p. 375 [p. 468, 24]:
Xpn xaı Tv Jedv Taurmv— davosicdar Toù rpwrou Jeoü merahayxavoucav Get xat Guvoücav Épurt
Tv nepI ExXElvov ayadüv xaı xaluv, ouy Umevavtiav, aA” — ast YÄıXopevnv Exclvou xat mept
EXEÎVOY NAPOUGAV XL AVATIMTÄRMEVNY TOÏ KUPIWTATOIg MEDEGIV Kat Xadapwrärors,
19) In Hieroclis Facetiis c. 217, ubi codex habet: &AXos da derAtav ensypaıbev mi Toü merw-
rou "O Tonog TÜV xuplwv’. macpeves OUy GUvExig EINE mpôç Tv malovta ‘an TI 007g Ypap-
data oùx olde, xat avapeï pe; corruptum esse xupiwv CX xarptwv vidit Buissunade.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 10.
(xxXxH1) | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 363
cası genetivo revixv vocabulum definiatur. Neque difficile est tale nomen
quod hnne potissimum locum iure optimo tenere possit invenire. Nam
multi sunt et Plutarchus et alii librorum moralium auctores in Epa-
minondae animi aequitate, qua paupertatem tulerit, laudanda. Itaque sic
haec verba scripserim: pyte guynv Apıoreidou uns’elpypöv Avakayöpou piyte
neviav (Erapervovdou unte) Ewxparous 1} Puxiwvos xatadtxnv?) uroderai-
vop.ev. Hic etiam, ut alias saepe, una dicendi formula aliquoties deinceps
iterata ansam librariorum neglegentiae dedit ad scriptoris verba corrum-
penda.
Alium quidem, sed non minus illum perniciosum, eadem causa effectum
habuit alio eiusdem capitis loco, p. 85 A [p. 205, 12], quo et ipso de Epa-
minonda agitur: tels Toubrois napénetor rd Badilovrag Erni npakeıs Tıväs N
Aaßovıas GDYNY N YpnoapEvous TÜyN tidesdar po 0pIaALEOV nous Övras &ya-
Icuz 7) yevouévous xai dtavorlodaı ‘ti dv Enpakev ev tobtp IMatwv, ti 6’ &v
elnev ’Erapevwvöas, rolos 6° dv Gp3n Auxoüpyos A Aynotiaog;’. Nolo iis
quae de Epaminondae ingenio taciturno veteres tradiderunt abuti. Scio
eundem arte dicendi instructum fuisse perhiberi. Sed quid est eius elo-
quentia prae Platonis orationis flumine aureo? Idem fere, opinor, quod huius
res gestae prae iis quibus ille clarum se reddidit. Epaminondae dicta
Platonis facta praedicare nonne hoc demum est pavonis cantum, lusciniae
caudam admirari? Quid quod ne id quidem recte factum esse videtur,
quod verba nolos O’äv &p9n ab illis mi à’ av énpaëev interrogatione ti 5” dv
elnev interposita sunt disiuncta. Mirum ni scripsit Plutarchus: ti d’&v elnev
iv roûtw IMarwv, ti 8’ av Enpabev Enapevwvdas, nolos dv &p9n Auxoüpyos
n Aynotfaos;. Componitur Epaminondas cum Platone etiam Moral. p. 472 E
[p. 573, 2 Duebn.]: tsurou 88 obötv Berriwv à BouAöpevos Eux pèv’EunedoxÀñ<
n LAatuv 7 Anpöxpıros elvaı nepl xöopsu ypdpwv xal this Tov övrwv aAndelas,
pa dE nAcuoie ypal auyxadebdeıv, ws Eupopiwv, 7) lüv en! x@uov AXeEavôpp
oup.ziveiv, w5 Mnôts dyavaxrüv ÔE xal Aunobuevos, el un Iaupdlerar did
rAcötov, ws "lounviac, nal à apermv, &s ’Erauervovdas. Sed hic suum cuique
vides tribui, philosopho doctrinam virtutem imperatori.
In his, quae sunt libri De capienda ex inimicis utilitate c. 11 p. 92
[p. 224, 10 Bern.]: &nel tupAoüraı 7ö QeAodv meol Tö quAoümevov, dc na à
IMarwv, xal märdov Muiv ol ÉySpol naptyovarv aiadnoıv doynwovobvtec, del
inte To yaïpov Ep’ols üpapravovarv dpyèv elvar pre to Aunoupevov ëp’ cle
xaropdoüctv, aA émAoyiteadar Or auportpwv ÔTWG TA LV ŒUAXTTOUEVOL
20) Cfr. Moral. p. 1051C [p. 1286, 28]: vd pv oùv TA TOLMÜTE cuurtwpata TV xxDv xXya-
Jov avèpüv, olov ñ Zwxparoug xarabixn xat Ô Hudayopou Lövros eurpnouèc und rüv Kulw-
verav xx Zn nvwvos UNO Anpukou zoü Tup&vvou xx! Avtıgövrog und Atovustou otpeßAouudvuv
ŒVAPÉGELG, TITUPOIS HAPATIRTOUGIV anerxaleıv Bang EGTIv EUXERELOG, Éd.
Mélanges greeo-romain«, T, VI, p. 11.
364 PETRUS NIKITIN, [x. 8. ı
BeAtioves Œuev abrüv, Ta dt pupobpevor ui yeipoves, asperior sententiarum
infinitarum (78 yat2ov — apydv elva — @AX émAoyiteodœu) compositio tam
facile vitari poterat, ut vitatam a scriptore non esse non sit credibile. Nam
inter äpydv et elvar insere modo &&v: omnia erunt levia et concinna.
Libri De amicorum multitudine c. 6 p. 95 C [p. 231, 2] editur Grago-
pots npaypacı xal nadeoı npcoruyyavovres. Seil, quantum equidem scio,
rpaypara homini dicuntur rpootuyyaverv (cfr. ex. gr. Plutarchi fragm. p. 37,3
Duebn.), homo rpaypaoı repıruyyaveı, non npootuyy ave.
Libri De fortuna c. 4 p. 99 C [p. 241, 8] sunt verba: ai teyvar puxpai
mves elvar Akyovraı poovnaus, mäldov Ÿanoppoal posvioewc xal anotpippuata
évdteonapuéva Tate ypeiaıs Tale nepl rev Biov, dones aivitretar TÔ no Und Toü
Lpoundtws pupiodèv [&AA0 &AAN Giaotapñve]. xal yap The peovhoews pépia zei
orasnara pixpa Ioauonkvns xal xataxepuatılonkvng eis Tabers KEZWENKEV.
Quo modo Plutarchi editores ae istud intellegant non intellego. Neces-
sarium arbitror t&<s rpa>&eıs. Sic enim non nimis obscure & rpaxtixès Biss
significabitur, de quo supra auctor verbis als ypeias taie nepl Tév Picv
usus est. Etiam p.1034B [p. 1265, 5 Duebn.], ubi legitur ta déyuata tal;
y‚pelax avappoata xal tal; npakeoıv, vocabula ypelar et naher; ita sunt posita,
ut idem fere utrümque significet. Verba &\Ao &AAn dtaoraprjvan quid aliud
esse possint nisi lectoris additamentum, non video.
De virt. et vit. c. 2 p. 100 E [p. 245, 14 Bern.] lego: yuvarxds cu
yadınas &v is araldayein rovnpäs dvnp dv, un &vöpamodov' mad; 68 Thv
laurod xaxiav olx dorı ypadauevoy amöreıhv Neon noayuatwv apelodar xal
avanaveodar Yevönevov Ka’ abrôv, &AN delauvcıxoüca xaltols anAayyvors
Rpoonepuxula, vuxtwp xal ed’ Mukpav
'ebeı &rep Oañoë” [xal ou ynpai dwxe]
Bapıla auvkxônuos olaa à dAaloveiav xal noAureiigg auvdeınvog und Aryveias
xal auyxcıTos uvnoa, ppovriot xal pepipvats xal EnActutiars ixxöntouga Tèv
OUnvoy xal Ötapdeipouca. xal Yan ö nadehöouoı Toü awparos Ünvec kati xal
avamauaıs, is dt duyñe mrolaı xal olarpor‘!) val rapayal dix beirdarcviav.
Nam persuadere mihi non possum Plutarchum, id quod et editivnes et,
quantum quidem ex editorum silentio conicere licet, libri omnes habent,
auvomoüca tols andayyvcrs xal npoonepuxufa scripsisse. Id enim iam mihi
‘dubium est ouvomelv Tel; onAayyvas unquam graece dictum esse pro eo
quod est Tols omdayyvars &vamelv. Cfr. Eurip. fr. 403 (Trag. gr. fr. ed. 2.
p. 484):
tis @0a pntnp I) TATNP xaxiv neya
Boorcts équae tèv duawvupov gHévov;
21) Sic Hercher pro övsıpoı.
Mélanges greco-romalus. T. VI, p. 13.
(xxxı)] AD PLUTARCHI QUAB FERUNTUR MORALIA. 365
noû xœi nor’ olxel awpatos Aaylv (Epos;
Ev yepalv 1 onAayyvoratv —
Sed etiam si alibi dici potuisset, hoc loco incommodum esset. Nam quae est
orationis forma? Comparatur vitium cum uxore improba. Pergit scriptor
hac uti similitudine, cum &röder)hıv nominat, pergit etiam, nisi omnia me
fallunt, cum ouvaxoüox verbo utitur. Sed num recte se comparatio habebit, si
ita dixeris «ut uxor cum marito, sic vitium cum visceribus habitat»? Vix
opinor. Qui enim vitium cum uxore comparat, comparat cum marito quem? aut
quid? Non viscera sine dubio, sed hominem qui vitio est affectus. Itaque vix
recte ad ouvorxodca additur Tols anAayyvors, poterat addi T@ xextnuéve vel
xp éyovu, poterat etiam illud participium sine ullo dativo poni. Hoc a Plu-
tarcho factum esse arbitror. Sicut ad nudum ovvorxoüca rectissime iam cum
gradatione quadam, id quod et fortius et vitii proprium est, xal ol onAay-
yyors mpoonepuxula aliungetur, ita putidum est, postquam auvcıxoüce role
orAayyvors dietum est, xal npoonzpuxulz addere, quasi permagni interesset,
utrum cum visceribus vitium habitaret, an tn iis inhaereret. Quod ad versus
Hesiodei membrum posterius xal ou ynpat Süxe, a lectore id aliquo ex
vulgaribus llesiodi carminum exemplaribus inculcatum esse vel ideo pro
certo habeo, quod in iis quae sequuntur de senectute sive praematura sive
tempestiva ne unum quidem fit verbum. Si cui hoc parum firmum est argu-
mentum, meminerit ex Moral. p. 527 A [p. 637,47 Duebn.] constare in eo
Operum et Dierum exemplo, quo Plutarchus utebatur, versum 705 sine
turpi illo numerorum vitio sic scriptum fuisse:
Eder &tep aoû xal Ev un yhoat Shxev.
Itaque hoc loco, quo de nunc agimus, cum Plutarchus priorem tantum
versus partem attulisset, altera invito illo suppleta est. Qua expuncta ap-
tissime iam verba vuxtwp xal ed” yu&pav non ad ea quae praecedunt refe-
remus, id quod fecisse videntur editores qui post utpav interpungebant,
sed ad sententiam Hesiodeis verbis eüeı &tep dx\où expressam: edeı ñ xaxiæ
pe nuépav quippe quae Bapetx auvkxönpos sit et noluteAñe abvdermvos, ee.
vÜXTWp quippe quae ouyxorros sit oduvmod.
Mirari satis nequeo quod Consol. ad Apoll. c. 6 p. 104B[p. 254, 10
Bern.], ubi legitur: à Ôt Ilivôæpos Ev &A ot
tri DE ms; Ti D'où mis; ous övap &vIowmos”
ÉPAVTIXGS cpodpa xal quotéyvus bnepBoAñ ypnsauevos Töv Tüv &VIPUTWY
Biov édnAwoe . ti yap ous dodevétepov; Tb ÔE Talıng övap oUd Av Exppaoaı
au Erepog duvndein sap, istud ëtesoc et Duebner et Hercher et Bernardakis
aequo animo tulerunt. Quid nisi glossema esse potest, quo.nihil ineptius fingas
praeter étéows, quod Meziriaco et Wyttenbachio legendum esse videbatur?
Melanges gréco-romains, T. VI, p. 13,
366 PETEUS NIKITIN, [N. 8. ı
In poetae nescio cuius versibus, qui Consol. ad Apoll. c. 15 p. 110 D
[p. 270 Bern.] afferuntur:
TOD yYüp ra aruv& xelva, noù 68 Audins
plyas Suvdaıns Kpoïaos ñ ZipEns Bapüv
Leubas Salaoonç auyév ‘EAAnonovtias;
änavı’ ic döav NAdE xal Aadas dopous
Wyttenbach Bapuv non admodum feliciter in BaSuv mutabat. Ego, cur Bapüs
legere non liceat, non intellegere me confiteor. Cfr. Theocr. 16, 74
Plkas 9 Ayrhels öccov utyac h Bapuc Alu.
Eiusdem epistolae consolatoriae c. 31 p. 117 E [p. 287, 19 Bern.]
editur: meradeupévuiv Ö' éotiv dvdowmnwv nooetAnpévar örı Bpaybv Xpövcv
nposıANpaaıv nas ol Soxoüvres &wpor red Cv éotepñoSai. Sed nihil est cur
a consolationis auctore, quisquis ille fuerit, lusum verborum tam frigidum
aut dedita opera quaesitum aut, cum temere elapsus esset, non animadver-
sum concedamus. Itaque Madvigii (Advers. I p. 622) coniecturam üneAN-
otvaı, quae novissimo editori Moralium ne mentione quidem digna visa
est, recipiendam arbitramur. Similis est ratio corruptelae qua hic Mo-
ralium (p. 517A = p. 625, 38 Duebn.) locus inquinatus est: clov, el
Ts Axovitou Yeloıro ToÄunpaynovav mv nuörma, place Ti; aiodnoeus
rpoaveAuv Töv Tpoatodönevov' oürws ol T& Tov nellövwv xaxd EnToûvres,
rpoavadioxoun Th; Yvwoews éœutous. Nam hic etiam propter verbum cum
rpo praepositione compositum factum est, ut librarius, cum quae non satis
attente legerat non magis attente ex memoria scriberet, eadem praeposi-
tione aliud verbum auxerit. Delendam esse verbi rpomoÿépevoy syllabam
primam Duebncr in editione sua recte significavit®). Mihi ne rèv «aiodavöo-
pevcv quidem legi posse videtur. Requiri opinor aut tèv aloI«Kmo>öpevov aut
zo aladavonevov.
Ad consolationis c. 34 p. 120B [p. 294, 1 Bern.] verba: ei 8’ & av
nahadv nontWv Te xal piAcacpuv Acyos éctiv aAndns Waonep Eixds Eyeıv
oürTw xal Tols ebaeßio: Tüv neraddakavrwv Eorı 5 TN xal npseöpie, xxa-
nep Akyeraı, xal yWpos ms anoterayukvos Ev @ Starpißsuav ai Toutwv duyai,
xalas EAnidas Eyeıv oe bel nepl TOO maxapitcu VIEo; ou, Gt TOUTOL GUYXATE-
otundels ouvéotat Wyttenbachius adnotaverat: «Leve fortasse quibusdam
videatur, quod monemus comma inter &yeıv et cürw ponendum esse cum
Stephano Aldo et plerisque omnibus libris, non inter curw et xai, ut voluit
Reiskius et iam antea fecerat Xylander non animadvertentes vim parti-
culae cürw, quae hoc loco non refertur ad woxep, sed ad ei... Etenim ei —
oùtw significat consequentiam si — éunc. Plutarchus Adv. Epicur. p. 1100 D:
22) Vide de hoc errorum genere Nauckii Anul. crit. (Hermae vol. 24) p. 462.
Melanges grew-rimaius. T. VI, p. 14.
(xxxnn] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 367
el dE ypnruol xal pavtixn — Eväckov katı xal ebxAeée, obtus dvæyxn Tobc
Atyovras, &3 où del awbev tobs EAAnvas — adokelvn. Obtemperavit Wytten-
bachio Hercher, Herchero Bernardakis. At si oötw hoc loco est func,
statuendum est ab hoc iam adverbio apodosin quae dicitur incipere. Fac
hoc ita esse: quid tum verbis xæAds éAnidac Eyeıv oe det — œuvéotat fiet?
Ego worep adverbio in övrzo pronomen mutato et post &Andns et post oùtw
interpungo, ut protasis usque ad verba «il robtwv Quyai pertineat.
Quamquam mei fortasse iudicii culpa factum est, ut alibi etiam inter-
punctionis ab Herchero introductae a novissimo editore servatae ratio me
lateat. Velut p. 77 B [p. 186, 12 Bern.], ubi editur nunc: xadarep oùv Epw-
roc apyowkvcu onwelöv Eatıv ou To yaloeıv TO xaÀG napovrı (ToÜTO Yap xorvöv)
Ira to Sarveodar xal aAyElv ATIONUWLEVOV, TES Ayovraı pEv Und pLlocopias
mA xal anödex YE piActinws avrilapßaveoder Toù mavdaverv boxolarv, dv
6’ dméASwotv Une Toayuatuv &AÀwY xal aayoAıwv, ekeppum To nadoc
aura)v éxetvo, xai paôiws pésouoiv, ego non intellego, cur post &syoM&v non
post are)dwaoıv interpungatur, cum dubium esse non possit, quin illa und
Tpayparwv xal asyorıav cum ekeppun verbo non cum antAdwarv sint iungenda.
Libri de pucrorum educatione c. 14 p. 10 D [p. 23, 14 Bern.] legitur:
IMatuv dE di Aiyvo xal Bieiupp Iupwäels rev tic adeAphs vièv Erebnr-
mov xaAtoas roütcv Epnrev ameAdov ‘xpétnoov Ey yap ravu Jupoïuar”.
Corruptun esse xpotnso, dudum est perspectum. Vera fortasse est IIeusin-
geri coniectura xöAacov. Sed areIdwv etiam vix ferri posse videtur in ista
praesertim huius loci interpunctione, quam a Menagio commendatam Hercher
et Bernardakis receperunt. Neque enim poterat Plato, postquam abiit, haec
dicere, nisi a Speusippo exaudiri nolebat, poterat, cum abiret, quod graece
esset arımv?!). Sed neque aneÀSwv ex anmıwv corruptum esse facile quis
credat et ita hoc aröpdeypa« ab aliis auctoribus referri solet*), ut parti-
cipium exspectetur, quod non ad Epnoev, sed ad xöAcccv pertineat. Itaque
nihil iam restare videtur, nisi ut aut huius de educatione declamationis
auctorem areAdwv participium minus accurate pro eo quod dicere debebat
arayayav adhibuisse concedamus atque sic verba interpungamus: Zrevort-
nov xadkoas “ToUtov’ Epnoev 'aneAdwv xöAacov’, aut hac eadem interpungendi
21) Cfr. p. 551 B [p. 666, 41 Ducbn.): Apxurzs, orxer@v rıva rAneleıv | sv aypa au arakiav
xt dv, eitz Exuroü suvata Va vélLevog eunadearepov ‚Ixovros x TPAXUTEpO RpÈG AUTOUE,
oußlv éroinsev AÀÀ’ à ronoütov: anımv ‘euruyeïre” einev "örı Opyilopaı UV’.
22) Vid. Stob. Flor. 20, 67 [= Flor. Mon. 284 p. 286 Mein.; Maximi Conf. Loc. comm. 19
p. 841C. Mign.; Gnomol. Vatic. a Ster nbacho Wien. Stud. vol. 11 editi p. 200 n. 486, ubi cfr. notam
editoris.]; Née Opyılöpevös note Tin otxery, enısravrog Éevoxpatous ‘Aafwv! Ion zoutov KAGTI-
YUTOV, EYO vap öprigonar, Plut. Mor. p. 1108 A ‚[p- 1855, 8 ‚Duebn.]: ö Aptatobnpo Lay N olada’
Eon ‘ro Tod IAstovos, Or Ta mad: yadlennvas oux aurdc Evgrerve mAnyac, a2 Ersbairxov üxd-
Aeuaev, einwv aurds öpyileadaı‘ xaı ab toivuv napılaßwv xaAale (sic Cobet pro xönıLe) tèv
Eavdpwrov On; Boue” eyw yxp opyıLopar. Quo de loco cfr. nunc Nauck |. 1.
Mélanges greco-romaine, T. VI, p. 15.
368 - PRTRUS NIKITIN, [n. 8.1
ratione servata emendatione, quam Nauck Hermae vol. 24 p. 457 proposuit,
utamur.
Libri, qui inscribitur 'Yyıeıva napayyéApata, c. 6 p.124 sq.[p. 305,11
sqq. Bern.] sunt verba: œquAaxtéov — anepoxakiav xal grActıniav xal yap
auraı noAAlanız ouvavaneidcug: un neivavias écdierv Eva xal mivev ph Snböv-
mac, aveieudepous xCLÔT) xal poprixdç unoßaAdcusa quavtacias, Ws &Tonov
em npayuatos onavicu xal nohuteÂcs un ancAaüaat mapovtos, olov cudarcz
N puxtrtwv 'Iradıxöv 1) Zapiou nAaxcüvros 7) Xıcvos Ev AiyünTtp. Taüta yap
Énmou .npoayetar moAÂdus ypñodar mois nepußcntcz xal anavicız, wonep Umd
xviong tig xevis döbng ayouéveus xal Tod ol xorvwvely undLv ÖEÖLEVCV
auayxalcvras, önws Iywarv étécors dmyelodaı, InAcupevar fs dnolaloews;
av cütw Övonopiotwv xal reprit. In his editiones Duebneriana superiores,
quantum scio, omnes xvioors exhibent; editores novissimi unum sigma com-
pendii fecerunt legitima videlicet vocabuli forma restituta. Sed antequam
de orthographiae minutiis decernerent, sententia loci erat perpendenda.
Neque enim in ea verborum wre — ayoptvous interpretatione, quam Xy-
lander proposuit*), aanimo vanae gloriolae quasi nidore quodam illecto»,
acquiescere possumus. Mihi certe, pace virorum doctissimorum dixerim,
vanos vendere videntur fumos, qui quid vel ntdor iste vel fumus sibi velit
simulent se scire. Nam xvooxoÂaxes xwioohoyci xvioompyral nihil hic habent
quod agant. Quid multa? Ipsa se praebet emendatio: und xioonç; tam
evidens est tamque facilis, ut credere non audeam me primum in eam
incidisse. Cfr. p. 801 A [p. 978, 10]: ai xırrasar®) Atdcus xal ci
vaurıwvres GAuupidas xal tcaüra PBowpara duuxcuo moAdaxıs, elr” okiyov
Üortepov éféntuoav xal @neotpäprnoav. Musonius ap. Stob. Flor. 17, 43
[vol. I p. 286,31 Mein.]: roAu — xaxıov Giaxetuévous &päv Eotı Ta oWaTa To
nepl ra Bpopata Tpugwvras, dv eiaıv Evıcı Tapaninarsı Tals xırrWwaaıs yuvarki'
xal yap obtor xadanep ixelvar ra suyvndtorara T&v Bpwpatwv Ôua-
xepaivouar. Arrianus Epict. Dissertt. 4, 8, 34: vüv ©’ aurd movcv xıyndkvres
npds phogogiav, Ws ol xaxoarönaycı roës tt Ppwpariov ö meta puxpèv aixyai-
verv meAdouarv, Ed él To oxfimepsv, Emi wmv Baorheiav” xadelxe Tnv xépnv,
aveiinge tpiBwva, Yupvev deixvueı Tév wuov, peter Tols anavrüal XV Ev
pavéAn tva ln, péyetar alt. Avdpune, Yeindoxncov mp@tov iècD acu Tv
puy un xaxcoTopayou N) xioowons Yuvamxös éotiv. Vix opus est monere
genitivos rñs xevfig doËns non ex xicons nomine pendere, sed eam verborum
23) Eadem fere est Stephani in Thesauro s. xvioou: ureluti nidore inanis gloriae in-
ductos ». °
24) Inde quod hic xTTüoat, non xiooùoat scriptum sit, aut quod avis nomen xtrta in nostris
Plutarchi editionibus per rt scribi soleat (vid. pp. 887, 13. 1191, 14.22 Duebn), alibi eundem
forma xtosa uti non potuisse concludi non debere sciunt omnes qui illam sive sermonis Plutarchi
varietatem sive codicum Plutarcheorum inconstantiam cognitam habeant.
Mélauges gréco-romains. T. VI, p. 10.
(xxx) ] AD PLUTARCRI QUAB FERUNTUR MORALIA. 369,
onto Und xioons Tis xevic doing ayonkvous esse structuram, ut idem sint
atque und tic xevijs dokns Gonep Und xioons @ycutvous. De qua comparationum
forma a Plutarcho adamata Hermannus Sauppe Zmendation. Plutarch.
p. 10 sq. uberrime disputavit.
In Praeceptis conuiugalibus c. 20 p. 140 F [p. 344,1 Bern.] editur:
mv yuvalxa To ToÙ avdnds cupradelv xœ Ad xal mov &vôpa vol; TS Yuvaıxös,
v’, donep ol deapcl xata mv EndAAakıv isyuv I aAANAwmv Aaufavouatv, oÜTwg
Exatepou Tv ebvotav avriotpopov amodldövros À xoıvwvia awlntar à por.
al ydp 9 quoi piyvusı dd Tüv awparwv muä, [VE éxarépwuv pépoc
Anßoüce xal auyytaca xoivév dupotéocts dnobg To Yevvmpevov, Gare umöl-
epov Ötopioar undt dtaxplvar rd Trcv D To @AAorpiov. Recte fortasse faciunt
editores quod Wyttenbachium sequi nolunt qui in Animadversionibus ad
p. 177 F, ubi hunc locum affert, pro && exattowv scripsit €& exattpou. Nam
plus semel Plutarchus, ubi exa@tepcs vocabuli genus neutrum sine substantivo
ponit, numero plurali pro singulari utitur. Cfr. Mor. p. 961 E [p. 1177,4
Duebn.]: movñs &t to iv 6 Wrwv ôvoua xnAnois ot, To dt Öl oupatwy
yonzeia. yp@vtar dE éxætépors ini ta noie. p. 1082 F [1325,2 Duebn.]:
ei yon plain nAËdop pövov N yelwvn Tôv nov, ci roro pèv els &merpov
TÉLVOVTES, ÉXATEPX ÖL xivodvtes xaTa TÔ noôtepov xal TÔ brtepcv, obBÉnoTE
Tr Boadurate rpocd£ouat td tayıorov. l'ragm. 26, 1 [p. 45 sq. Duebn.]: où
TUVdETOS pÜots Avdpwrwv Ex awp.aros xal uyñs; N Jarepov apxoüv MUIV; xel
nos olöv Te; nö pv yap cux dv eln un ypwpevov Quyh, duyn oux dv eln un
&y/ovoa TÔ auvepelscv. ti ouv; Wonep EE loou xooneltar Éx@TEpæ Tols GUYYE-
véoiv, 1) pèv Öxatsauın xal cwppoobvn xal poovnoet, To 68 laylı zul xaAdeı
xal üyıelac. Huc fortasse referendum quod p. 920C [p. 1127,15 Duebn.]
dieitur: xal’EpunedsxAng nv éxatépuwv [de sole et luna sermo est] «rodidwarv
cux nos Sapopav. Simili ratione pnôërepa pro undkrepov et ab illis dictum
et a Plutarcho vit. Rom. c. 29: oi Popataı mov te moÂeuov Epoßcüvro xal
mv napddccıv Tv Yuvatxv oÙdEv alypaduaias emieixkotepov Éyerv Evönılov.
aropoücı 8 aurols Jenanaıva PBilwris — — auveßoüudeuoe LNÔETEPA nov,
AAN ypnoapévouc SoAp dtapuyelv ua Tôv nöleov xal nv eEounpeuorv®).
Eodem modo za Erepa sive Satepæ pro Tö Erepov poni constat *), neque alia,
opinor, ratio est nötepx pro nörtepov usurpati. Sed extra hanc exceptionem
a Plutarcho summa cum constantia illa regula observata est ut éxatesoc sit
ulerque, exatepsı utrique. Nam quod in Antonii vita c. 42 legitur rag nAeuoa
txartpas facilem in nomine collectivo habet excusationem. Vid. Krueg.ad
25) De ouderepx v. Stallbaum ad Plat. Lys. 218 E et Apol. p. 22E.
26) Vid. Kuehneri Gr. Gr. ampl. $ 366 not. extr. Exemplis a Schoemanno ad Isae. 1, 38
p. 191 allatis adde Plat. lhaed. p. 680: 6 aurdg DE noË oùtos Tuyyaveı Ov xa! prloypnmatoc
xar PLÄOTIROS NTOL TL ÉTEPA TOUTEV À ALPOTEPE.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 17.
370 PETRUS NIKITIN, [n. 8. ı
Xen. An. 3, 2,36 Er! tüv mAeup@vy éxatépuv. Vix licet eadem ratione in vitae
Arist. c. 7 librorum scripturam tas atacsız exatkpas eis Talıd auvayayövres
defendere, adversari enim videtur ipse Plutarchus qui in Niciae c. 11 de
eadem re: Tag oraatız auvayayövres eis ivanportpas. In vitae Antonii c. 30,
ubi legitur: ünateverv 68 takavres, orte in Öokeıev abrsts, quÂcus Exatiswv
ran MÉpos, fortasse Exatéocu est restituendum. Quae in v. Alex. c. 63 edi
solent: lleuxtotas 6: xal Aumvalcs nookotnaav’ av mANyÉvTwV Éxatéowv à
pèv amédave, lisuxéatas dE avretye, tôv dt Brpßasov AREEavOSCS anextevev
genetivis TANYÉVTUY éxatéowv in nAnytvrog exarkpsu mutatis hiatus vitio non
afficiemus, si hunc quem codex C verborum ordinem praebet [leuxétas pèv
avrelye, Satepos dt antdave pruetulerimus. Minus dubia praesto est eorum
emendandi ratio quae in Demosth. vitae c. 15 leguntur: 5 && xat’ Aiayıvcu
ris napanpeoßeias KönAcv ei Akkexrar xaitcı gnoiv löopeveus Tap& Toidxcvta
pévac tév Aloyivnv amoguyelv. &À À’ cux äcınev oürws Eyeiv TaAndEs, Ei del Tots
repl oTepavcu Yeypapukvos Exatkpwv Acyoıs Texmaisecdar meuvntar YO
oUOETEpOS aluriv Evapyüs oLEE Tpav@s Exeivou To dylvos ws; Et Cuxns TocEd-
Yöovros. Nam perspicuum est éxatéow pro éxatéowv esse scribendum. Cfr.
Moral. p. 58 [p. 140,7 Bern.]: &wxt mt av euro yeyzanpevwv et vit.
Dem. 17: peuvñodar Tüv nepl TÜV aupnayızdv Nuoprnukvav exatkscız (i. €.
utrisque) rnôkeuov. In libri de gloria Atheniensium c. 6 p. 348 E [p. 426,
35 Duebn:] verbis: BouAeode vobs &vöpas (i. e. et poetas et imperatores) eica-
yapev autcbs ta auußola xal Ta Tapaonua Tüv Epywv xomilcvras, ibiav
ixartpw napodov anobovrec, Si exarkop ad tous Avöpasrettuleris, ut interpretes
faciunt, cum per uérisque reddunt, in &xatipors mutandum erit; sed Plutarchus
fortasse ad xüv koywv referebat.
Septem sapientium convivii c. 15 p. 158 CD [p. 387,17 sqq. Bern.]
ostenditur, quantae rebus Ihumanis mutationes essent subeundae, si fieri
posset ut nullo hominibus cibo ad vitam sustentandam opus esset. Verba sunt
Cleodori: wç — OxAfs Aéye ris hs avampedeions auyyuarv Tév oAcv Éberv xéattov,
cütwc olacu OidAuats (M Toopñs avaisecisp") éoTr ouvavoupeltar yap aut) Trüp
iomioöyov [batia] xparipes ünsooyal Eeviopci, quavIpwnotata xal moûta
xovwvnnare npôs aAANAcus, BEA dt oûunas à Biss, el ye dia yuwyn Tis katıv
&vpwmou npabewv épouoa GEcdov, vH Ts Tocpis ypein zul napacxeun Ta;
nAtiotag mapaxadel. Servev ev cüv, © étaloe, nal rd yewpyias [aurñ]. &roAAu-
pévn yap audız arokeinu yñv nulv &oppov xal dxadaprov, ÜAns axaomou xal
beundrwv TANKMERDS Pepontvuv un’ doyias avanAewv. auvanöAiun di xal
riyvas nacas xal koyacias, iv Ehaxoyo; kom xal Taptye Baorv nagats xal
nv, xal to unötv ein, rabıng ixnodwv yevouévns. natallovraı 58 xal Tiuæi
25) Haec Bernardakis rectissime supplevit Madvigio (Adrers. I p. 625) praeeunte.
Melanges greco-romuius. T. VI, p. 18.
(xxxım)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 371
Seov, "HAip pèv purpav, Et 6’ EMarıw Zinn yapıv abyñs mövov xal Aka;
avdpurwv Eyövrwv. opßpig 0 Ari xal ponporig Anuntot xal puraduip Tloser-
don od Buués Eoraı, no dt Susiz; In his quae de agricultura dicuntur tum
demum intelleges, si molestum illud «urr) abesse finxeris. Nam cum ipsum
per se pateat cibi desiderio ex hominum natura sublato agriculturam neces-
sario esse perituram, hoc sine dubio vult Cleodorus: magnum fore malum
etiam id quod agriculturae tum accideret (i. e. agriculturae interitum),
hac enim amissa fore ut et terra ad pristinam illam tristem feritatem
recidat et artes, quarum omnium agricultura sit fundamentum, intereant et
deorum cultus, quos homines tum maxime et timere et precari soleant, cum
de prospero operis rustici successu sint solliciti, neglectus iaceat. Itaque
pronomen, quod post Yewsyixs est positum, nihil esse potest nisi interpretis
additamentum, qui istud suum aurn ad rapaoxeun, nisi fallor, referebat, neque
id perspiciens non opus esse hic dici, cui rei agriculturae interitus esset
periculosus (sic enim Ôervév intellexisse videtur), cum facile pateret periculo-
sum illum esse omni hominum vitae cultiori, neque id sentiens ineptum esse
in tali orationis contextu pronuntiare agricultura sublata periculum fore, ne
homines non haberent unde cibum sibi compararent. Non minus ab auctore
est aliena interpretatio esti« verbis r09 Ertiodyov addita.
Mélanges gréco-romains. T. VE, p. 19. 95
373
Sahidische Bibelfragmente. Il. Von Dr. 0. von Lemm. (Présenté à l’Académie
le 12 sept. 1889).
Die im Folgenden veröffentlichten Bruchstücke der sahidischen Bibel-
übersetzung sind im verflossenen Winter von meinem verehrten Freunde und
Collegen Herrn W. Golenischeff in Ägypten erworben und mir mit
grösster Liebenswürdigkeit zur Verfügung gestellt worden, wofür ich ihm
hier öffentlich meinen Dank ausspreche. Auch sie rühren, wie die vor Kur-
zem von mir edierten, aus dem Funde von Deir-el-Abjad her. Es sind
im Ganzen Fragmente von fünf Pergament-Handschriften, welche fast aus-
nahmslos solche Abschnitte enthalten, die entweder noch nicht ediert oder
ütberhaupt bisher nicht aufgefunden sind, so dass die sahidische Bibel durch
dieselben um manches werthvolle Stück vervollständigt wird.
D. Ein Blatt, in einer Columne geschrieben; pagg. où — 02; gr. 4°.
37,5 X 27,5 cm. Der Schriftcharacter kommt dem des Cod. Borg.
Sah. À XXI!) am nächsten; etwa IX. Jahrhundert. — Psalmus XLIX,
14— L, 13. — Unter dem Borgianischen Fragmenten ist von Psalm
49 gar nichts und von Psalm 50 nur Vers 9 und 12 erhalten?). Vergl.
dazu Lagarde’s Psalterium.
E. Ein Blatt, in einer Columne geschrieben; pagg. sa — cb; gr. 4°.
29,5 X 24 cm. Schriftcharacter wie des Cod. Borg. Salı. NX XX°) und
CII“); IX. Jahrhundert. — Psalmus CXVIIL, 152 — CXIX, 1. —
Unter den Borgianischen Fragmenten sind von diesem Abschnitte, von
Psalm 118 nur die Verse 109 und 154—156 erhalten®); bei Tuki*®)
finden sich nur von Psalm 118 die Verse 169 und 173.
1) Ciasca, Sacrorum Bibliorum fragmenta Copto-Sahidica Musei Borgiani. Vol. II. 1889. —
Taf. XXII.
2) Veröffentlicht von Ciasca, 1. 1. Vol. IT, pag. 104.
8) Ciasca, 1. 1. Taf. XXI.
4) Hyvernat, Album de pal&ographie copte. Taf. XI. X 8.
6) Ediert von Ciasca I. 1. Vol. II, pag.
6) Rudimenta lingune Coptae sive Aegyptiacae. Romae, 1778. — pagg. 178. 174.
Nelanges asiatiques. T. X, p. 590. 25*
374
DR. 0. VON LENM, [n. 8. 1
. Zwei Doppelblätter, in zwei Columnen geschrieben; pagg. pe — pif
fol. 45,5 x 34,5 cm. Schriftcharacter wie des Cod. Sah. Borg. MXXV’);
VII. oder IX. Jahrhundert. — Evangelium Marci VI,46 — IX,2. —
Dieser Abschnitt findet sich unter den Borgianischen Fragmenten;
bisher unediert.
. Ein Blatt, in zwei Columnen geschrieben; pagg. Pg7Z — pzu. fol.
39,5X31 cm. — Schriftcharacter wie des Cod. Clarendon Press,
21°). — VIII. oder IX. Jahrhundert. — Epistola ad Colossenses
IV, 2—18. Epistola I. ad Thessalonicenses I, 1—6. — Von dem
Colosserbriefe sind von Am&lineau, vermuthlich nach den Borgianischen
Fragmenten, veröffentlicht Cap. IV, Vers 1—5 vollständig und die
erste Hälfte von Vers 6, und von dem ersten Thessalonicherbriefe
Cap. I, Vers 4 und 10°).
. Ein Doppelblatt, in zwei Columnen geschrieben; pagg. n7— 4. 4°
min. 23,5 X 18,5 cm. Reich verziert mit Thierornamenten. Schrift-
character wie des Cod. Borg. 142'°). — X. Jahrhundert. — Epistola
Jacobi II, 23 — III, 14. — Von diesem Abschnitte ist bei Woide
veröffentlicht Cap. II, 23. und Cap. II, 3—6. Unter den Borgia-
nischen Fragmenten ist von diesem Abschnitte nichts erhalten.
7) Hyvernat, 1. 1. Taf. V, X 2.
8) Hyvernat, 1.1. Taf. VIII, X 1.
8) Zeitschr. far Ägypt. Spr. und Alterthumsk. 1887, pagg. 110 u. 126 fi.
10) Hyvernat, 1. 1. Taf. XI, X 1.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 39.
(XXXIN)]
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
D =
Ps. 49, 16.
17.
18.
20.
Mélanges asiatiques. T.
SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II.
D). PSALMUS XLIX, 14 — L, 8.
O
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3. Ha nat INOTTe NATA HENNOS’ Ita:
VARIAE LECTIONES.
Lagarde, Psalterium pag. 128 ff.
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HEHAMOOE
X, p. 81.
375
376 DR. 0. VON LEMM, [N. 8. ı
D. PSALMUS L, 4 — 18.
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13. MupnoæT ehoA Mnengo-
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VARIAE LECTIONES.
L. = Lagarde, 1. 1. pag. 129.
B. = Borg. Fragmente bei Ciasca, |. 1. Vol. II, pag. 104.
Ps. 50,6. L. nraepnobe L. ngove osx sont
| L. eneTmaeio B. ngove er Xiont
9. L. B. nnaseuswwT 12. B. conTy
B. ororcconoc B. Vor ovnna steht av :
B. ninaxonner
Mélanges asiatiques, T. X, p. 82.
(xxxum)]
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152. 2m nyopn aierme ehoA on nenmHT
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159. anaT %e aimepe nenenToAn:
MATAHHOT IMOEIC OM NERHA
160. TegoveiTe mienwaxe Te TMe:
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162. TnaTeAnA ex M enwyare nee Mnen
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163. aïmecTe naı noone a rw aıkory-
HERHOMOC 2€ AÏMEPIT:
164. aïcmoT epor HCAUY con MILe9007
SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II.
E. PSALMUS CXVIII, 152 — 164.
een n9an MTERAIRAIO
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VARIAE LECTIONES.
Fragm. Borg. bei Ciasca, 1. 1. Vol. IT, pag. 146.
156. mittwereortng
MATANHOI NOT RATA
SEeRHA 20e. 0 + ?
Mélanges asiatiques. T. X, p. 53.
877
378
165.
166.
167.
168.
DR. 0. VON LEMM,
PSALMUS CXVIII, 165 — CXIX, 1.
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HACHOTOT HAM HOTCMOT EHIUAN
TCAROI EHERA IHAIMDMA *
naAac HATATO HHEHUJA LE: por
2e TAIRAIOCTHH TE MERGNTOÂN TH
Mape Tend12% HWONE ENTOTMOT ME
AIOTeU HEenenToAH-
Me AIMEpe NENOTMAI AOC
à TU HERHOMOC HE TAMENETH
TAWTIH HAWIO HCCMOT EPOR-
A TU MERQAN HAËOHEEI EPOI-
AICOPM HEC HOVTECOOT EHCOPM
WINE CA NENIMIAA AT HTC
TM Epor-
2 @ „nespnoß NIENEeHToÄH-
TOAH HNT@PTP-
AIRIUARR E9PAs epon AOC HTEPI
VARIAE LECTIONES.
Tuki, Rudimenta pag. 173, 174.
169. — mape:
Ps. 119, 1. — Ciasca hat als Überschrift:
[THAH mnanaßaonoc]
Für Asæsunan etc. hat Ciasca
ergänzt: [aiwu eppas epon nxoerc
OM NTPAI@P : ARCHTM POI].
Mélanges asiatiques. T. X, p. 84.
(XXX111)]
46.
47.
48.
SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE II.
379
F. EVANGELIUM MARCI VI, 46 — VII, 1.
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54.
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56.
Mélanges nsfatiques. T. X, p. 85.
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SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II.
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Ep. Coloss. IV, 3. nat vor etuup eränrg fehlt.
Ep. I. Thess. I, 4. ererunnteotu
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SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II.
II. EPISTOLA JACOBI II, 28 — III, 4.
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5. nAac, pag. pi. unAac.
eqgite. — Pag. Pit. are.
6. Mueoc.
EEWIM — PAG. PIL. ETRWIM.
MNER.IO.
Treptmna.
Melanges asiatiques. T. X, p. 07.
391
|
Über devonische Fische vom oberen Jenissei nebst Bemerkungen: über
die Wirbelsäule devonischer Ganoiden. Von Dr. J. V. Rohon. (Lu le
19 septembre 1889.)
(Mit ciner Tafel).
Im Hinblick auf die bereits veröffentlichten Untersuchungen!) erlaube ich
mir weitere Resultate meiner neuerdings angestellten Beobachtungen mit-
zuteilen. Letztere bezichen sich auf das von Ilerrn Berg-Ingenieur Lopatin
im Jahre 1875 an mehreren Stellen der Umgebung des oberen Jenissei-
1) Rohon, J. V.: Über fossile Fische vom oberen Jenissei. Mémoires de l’Académie Impé-
riale des sciences de St. Pétersbourg, VII-e série, Tome XXXVI, N 18. St. Pétersbourg 1889.
Daselbst beschricb ich Schuppen (pag. 10—12) von Kubekowa und bestimmte dieselben als
Palaeoniscus Mancki und Palaeoniscus sibiricus. Gegen die letztere Bestimmung wendet sich
A. Smith Woodward (Annals and Magazine of nat. hist. July 1889. pag. 107) und glaubt, dass
meine Figuren 22 und 28 (Taf. II) Schuppen von Colobodus darstellen. Zur Unterstützung seiner
Ansicht verweist A. Smith Woodward auf die grosse Ähnlichkeit derselben mit den durch Prof.
Dr. W.Dames [Die Ganoiden des deutschen Muschelkalkes. Palaeontologische Abhandlungen von
W. Dames und E. Kayser. Bd. IV, Heft 2. Berlin 1888. Taf. Via (XVIa), Figuren (6—8)] ge-
zeichneten Schuppen des Colohodus chorzowensis IT. v. Meyer sp. In Folge dessen unter-
suchte ich den Fall von Neuem und bin jetzt überzeugt, dass beide Bestimmungen, die von
A. 8. Woodward und von mir, unrichtig waren. Freilich geschieht Ähnliches nicht selten,
wenn man nach isolirten Schuppen oder nach Bruchstücken von solchen Bestimmungen vor-
nimmt. Die Änderung in meiner Ansicht bewirkte hauptsächlich die wihrend des Druckes
meiner Arbeit veröffentlichte Schrift von J. v. Tscherski (H. FT. Yepcexilt: T’eoxornueckoe
ugeırbronanie cnônpcraro nouTonaro TpakTa I. T. x. Ilpuaoxenie kr LIX Tosy Banncor.
Isnepatopcerofi Akazcuin Ilaywkz. A 2. C.-Terep6yprz 1888. Geologische Untersuchungen
längs der sibirischen Poststrnsse vom Bajkal-Sce his zum Ost-Abhange des Urals. Verhandlun-
gen der Kaiserlichen Academie der Wissenschaften. Bd. LIX. Mit einer geologischen Karte.
St. Petersburg 1888). Aus diesen interessanten und sorgfältig durchgeführten Untersuchungen
geht mit voller Gewissheit hervor, dass der Kuudort Kubekowa jurassischen Ursprungs
sci, und dass sich derselbe innerhalb des grossen Jurassischen Jenissei-Bassins befindet
(vr. Tcherski: L. c., pag. 132). Demnach konnten auch die daselbst gesammelten und von mir
beschriebenen Fischreste weder dem Palaeoniscus noch dem Colobodus angehört haben, zumal
die Arten des ersteren nur im Kupferschiefer von Deutschland und dem Magnesian limestone
von England, die des letzteren aber nur in der Trias vorkommen (Vergl. v. Zittel: Handbuch der
Palacontologie Bd. III. Lieferung 1. München und Leipzig 1887. pag. 190 und 208). Unter Be-
rücksichtigung der palaeontologischen und geologischen Verhältnisse glaube ich gegenwärtig,
dass jene Schuppen (1. c. Taf. II, Figuren 20 a, b, 21, 22, 24, 25, 26,'27 und 28) einem Individuum
des Aspidorhynchus-Geschlechtes angehören, worin mich ausser der geologischen Bestimmung
des Fundortes noch das Nebeneinander-Vorkommen der Schuppen mit den von mir auf der
Tafel II, Figuren 19, 23, 29 (Vergl. v. Zittel, l.c., pag. 221 Fig. 235) und 37 (Vergl. v. Zittel,
l. c., pag. 220, Fig. 234) abgebildeten Wirbeln und Knochen bestärken. |
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 17.
394 DR. J. V. ROHON, ÜBER DEVORISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N. 8.1
Flusses gesammelte Fischmaterial. Die von mir sogleich zu beschreibenden
Fischreste bestehen aus isolirten Hautschildern, Schuppen, Knochen und
Zähnen, deren Bestimmung nach ihrer Beschaffenheit ziemlich gut durchge-
führt werden konnte. Dieselben stellen Skeletteile vom Coccosteus, Bothriolepis
und Holoptychius dar. Dabei fallen ganz besonders zwei Umstände in die
Augen, nämlich das isolirte Vorkommen und die innige Verbindung mit
der Gesteinsmasse der Reste. —Umstände, welche auch die im europäischen
Russland vorkommenden Fossilien in den meisten Fällen begleiten. Indessen
beschränkt sich die Übereinstimmung zwischen diesen und jenen Fischresten
nicht allein auf die besagten Umstände, sondern sie erstreckt sich auch auf
die Farbe der Fossilien, indem diese da wie dort bald dunkelbraun, bald
dunkel oder hellgrau gefärbt erscheinen. Bezeichnender ist ausserdem die
grosse Ähnlichkeit, welche zwischen den europäischen und sibirischen
fossilen Resten herrscht.
Es ist wohl selbstverständlich, dass die Systematik durch derartige Un-
tersuchungen keine Bereicherung erfährt, worauf es diesfalls gar nicht
ankommt; wird doch durch den Nachweis der geologischen Verbreitung
von bestimmten Geschlechtern der Wissenschaft Genüge geleistet.
Eine ganz andere Bewandtniss haben weiterhin die Mitteilungen in Betreff
der Wirbelsäule von den devonischen Ganoiden und Dipnoern; denn hier
tritt mehr das zoologisch-histiologische Moment in den Vordergrund, während
das geologische im Hintergrunde zurückbleibt. Obgleich sich die gewonnenen
Resultate nicht über das Allgemeine erheben, bieten sie einige Tatsachen
von wissenschaftlichem Interesse.
L Devonische Fische vom oberen Jenissei.
Placodermi M’Coy (Arthrothoraces Brandt).
Coccosteus Ag.
Figuren 15 und 16.
In einer grünlich-grauen Gesteinsmasse (gm) vorkommende Hautschil-
der (k), nicht besonders dick und von dunkel-brauner oder auch schwarzer
Farbe. Dieselben stellen teilweise ganze Stücke des Kopfschildes, teilweise
beschädigte Stücke des Rückenschildes vor. Die Figur 15 zeigt die Ober-
flächen-Ansicht eines Kopfstückes und Figur 16 die Innenflächen-Ansicht
eines wahrscheinlich ebensolchen Stückes. Die Oberfläche zeichnet sich durch
rundliche glänzende Höckerchen oder Tuberkeln (Fig. 15) aus, die seltener
vereinzelt, hingegen zumeist zu Reihen vereinigt erscheinen. Die zwischen
den Höckern vorhandenen Vertiefungen sind gleichfalls glatt; nur in den |
seltensten Fällen kommen Höckerchen von der für Coccosteus decipiens
Mélanges géolog. ot palsontolog. T. I, p. 18.
(XXXII)| NEBST BEMFRKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER GANOIDEN. 395
besonders charakteristischen sternchenähnlichen Gestalt vor. Die Innen-
fläche der Platten (Fig. 16) ist glatt und besitzt stellenweise rundliche Lücken,
welche den Ausmündungen von den Havers’schen Canälen entsprechen. Die
Species, zu welcher die Platten gehört haben mochten, konnte auf Grund der
makroskopisch durchgeführten Beobachtungen nicht eruirt werden.
Nichts destoweniger hat die mikroskopische Untersuchung der von diesen
Hautplatten angefertigten Dünnschliffe ihre Zugehörigkeit zum Coccosteus-
Geschlecht auf das Deutlichste erwiesen. Ich konnte an einem Vertikal-
schliff die drei verschiedenen Schichten unter dem Mikroskop erkennen.
1) Die äussere oder obere Schicht, welche die Höckerchen bildet und sich
aus parallel geschichteter Grundsubstanz, aus den die gleiche Lagerungs-
weise einhaltenden Knochenzellen oder Knochenkörperchen von verlflitniss-
mässig kleiner Gestalt und kurzen verästelten Fortsätzen oder Primitiv-
röhrchen zusammensetzt. Charakteristisch für diese Schicht bleibt die geringe
Anzahl von Havers’schen Canälen. 2) Die zweite oder mittlere Schicht be-
steht aus einer grossen Menge von in verschiedenen Richtungen verlaufen-
den Havers’schen Canälen, in deren nächster Umgebung concentrische
Streifung erscheint. Die Knochenzellen treten in der homogenen Grund-
substanz ziemlich zahlreich und dicht nebeneinander auf. Das Ansehen
dieser Schicht, welche, nebenbei bemerkt, von allen die stärkste ist, bietet
annähernd das histiologische Bild des spongiösen Knochengewebes. 3) Die
innere oder untere Schicht von dünner Lage besteht endlich aus parallel
angeordneten, spindelförmigen Knochenzellen mit wenigen und kurzen Pri-
mitivrührchen, zwischen denen die vereinzelten Havers’schen Canäle in
senkrechter Richtung nach oben verlaufen.
Bothriolepis Eichwald.
Figuren 9 und 17.
Bruchstücke von Kopf-, Rückenschildern und von Knochen des innern
Skeletes; die ersteren sind gelblich-grau gefärbt, die letzteren meist ganz weiss.
Diese Reste sind stets in einer grünlich-grauen Gesteinsmasse gelagert. An
der Oberfläche von den Schild- Fragmenten erkennt man stellenweise eine
Sutur von rinnenförmiger Gestalt (Fig. 17 sr.) und die den Bothriolepis aus-
zeichnenden Verzierungen. Letztere bestehen teilweise aus gerade oder gewis-
sermassen wellig verlaufenden Rippchen (Fig. 17 sp), die sich jedoch bei
Betrachtung unter der Loupe als kleine, mit einander verschmolzene
Höcker erweisen. Die Schilder sind dünn und an ihrer Innenfläche glatt.
Durch die Oberflächenverzierungen nähern sich unsere Hautplatten denen
vom Bothriolepis Panderi Lahusen, gefunden am Flusse Sjass im St. Peters-
burger Gouvernement.
Mélanges geolog. et paléontolog. T. I, p. 10.
396 DR. J. V. ROHON, ÜBER DEVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N. 8.1
Der histiologische Ban dieser Schilder stimmt mit dem beim Bothriolepis
bekannt gewordenen überein, der sich nur in geringerem Grade von der
vorhin geschilderten Mikrostructur des Coccosteus unterscheidet.
Bezüglich der anderen Knochenstücke verdient bloss eines besondere
Erwähnung. Dasselbe ist in der Figur 9 abgebildet. An diesem Kuochen
kann man drei Abschnitte erkennen: Einen mittleren, kurzen (mk) von horizon-
taler Lage und zwei bogenförmig nach oben aufsteigende Seiteustücke (sk);
alledrei Abschnitte sind verschmolzen. An seiner vorderen und hinteren Seite
ist der Knochen abgeflacht und besitzt auf einer Seite eine ziemlich tiefe
Furche, welche sich rechterseits in der Zeichnung bemerkbar macht. Ich
dente diesen Knochen als den zum Teil verknöcherten Schultergürtel des
Bothrtolepis. Die Richtigkeit dieser Deutung vorausgesetzt, würde Bothrio-
lepis einen ähnlich gestalteten Schultergürtel gehabt haben, wie z. B. der
Heptanchus, bei dem der Schultergürtel gleichfalls einen Bogen bildet, welcher
jedoch vollständig knorpelig ist.
Ein anderes Exemplar salı ich unter dem Zothriolepis-Material vom
Sjass; dasselbe ist grösser als der soeben beschriebene Knochen. An einer
beschädigten Stelle dieses Exemplars machte sich im Innern eine von
sehr dünner Wandung begrenzte Höhle bemerkbar, welche wahrscheinlich
chedem von knorpeliger, mit knöcherner Ilülle bedeckter Masse erfüllt war.
Iloloptychius Flemingti Ag.
Figuren 10 und 21.
Agassiz?) schildert die Schuppen dieses Fisches folgendermassen: «Les
ecailles sont beaucoup plus hautes que larges sur les flancs; mais il parait
qu'elles s’arrondissaient davantage sous le ventre. Dans leur état normal
d’imbrication, la hauteur de Ja partie libre égale plus du double de la lon-
gueur. Ces proportions sont constantes sur toute la longueur des flancs, et
fournissent par conséquent un excellent caractère spécifique. Les ornemens
des écailles ont aussi quelque chose de particulier. Ce sont des lignes on-
dulées, courant horizontalement vers le bord postérieur, sans se ramifier
d’une manière sensible. Ces rides naissent d’une série de petites collines
rangées parallèlement le long du bord antérieur, et séparant l’espace orné
du bord lisse et presque dépourvu d’&mail, qui est caché par les écailles
précédentes (Tab. 22, fig. 1). Les rides ondulées sont serrées et grossière-
ment parallèles»,
Mit dieser Schilderung stimmen, wie ich glaube, auch die Verhältnisse
an dem Schuppen-Fragment (Fig. 10) überein. An demselben bemerken
2) Agassiz, L.: Monographie de poissons fossiles du vieux grès rouge ou système dévo-
nicn (Old Red Sandstone) des iles Britanniques et de Russie. Neuchätel (Suisse) 1844. pag. 71.
Nélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 20.
(XXXIH)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBFLS\ULE DEVONISCHER GANOIDEN. 397
wir ein Stückchen des Vorderrandes; von dem Vorderrande verlaufen feine
Rippchen (p) in der Richtung gegen den Hinterrand der Schuppe; die Ober-
fläche der Rippchen wird durch das glänzende Email gebildet. Agassiz
gibt im Old Red auf der Taf. 31°, Fig. 25 die Abbildung einer isolirten
Schuppe, deren Oberflächen-Verzierung mit solcher an meiner Zeichnung
gleichartig erscheint. In der Figur 21 sehen wir die Innenfläche einer
ähnlichen, fast ganzen Schuppe, die wiederum in mehrfacher Beziehung
grosse Ähnlichkeit mit der Agassiz’schen Figur 25° derselben Tafel besitzt.
Die daselbst auftretende concentrische Streifung weist auf die schichten-
weise Entstehung der knöchernen Basis hin, und erinnert gewissermassen
an ähnliche Vorgänge bei den Glyptolepis-Schuppen. Immerhin besteht ein
charakteristischer Unterschied in der Streifung zwischen den Holoptychius-
und Glyplolepis-Schuppen; die concentrischen Streifen sind bei den letzteren?)
zahlreicher und regelmässiger angeordnet, als bei den ersteren.
Osteolepis Val. und Pent!.
Figur 12. |
Fragmente von isolirten Schuppen mit Innenflächen-Ansicht, von welchen
ein Exemplar in der Fig. 12 zur Abbildung gelangte. Letztere zeigt uns
die Hälfte einer gewölbten Schuppe (p), in deren Mitte eine leistenähnliche
Erhehung besteht; es ist.ein knöcherner Fortsatz, der wohl zur Befestigung
der Schuppe dienen mochte.
? Glyptolepis Ag.
Figur 11.
Isolirte Zähne von schwarzer Farbe. Die vordere und hintere Fläche
derselben sind gewölbt, glatt und glänzend; die Seitenränder scharfkantig.
An der Basis ist zuweilen andeutungsweise eine Faltung sichtbar. Das obere
Zahnende ist zugespitzt.
IL. Die Wirbelsäule der devonischen Fische,
Bei einer früheren Gelegenheit beschrieb ich einige knöcherne Fisch-
wirbel*), habe aber keine Abbildungen von denselben gegeben. Im Anschluss
an jene Mitteilungen will ich im Nachfolgenden die Resultate meiner in-
zwischen weitergeführten Untersuchungen über die Wirbelsäule devonischer
3) Vergl. Pander: Ueber die Saurodipterinen, Dendrodonten, Glyptolepiden und Cheiro-
lepiden des devonischen Systems. St. Petersburg 1860. Tab. 7, Fig 76.
4) Rohon, J. V.: Die Dendrodonten des devonischen Systems in Russland. M&moires de
l'Académie Impériale des sciences de St. Pétersbourg, VII-e série. Tome XXXVI, X 14,
St. P&tersbourg 1889.
Dr. Traquair (Geological Magazine. November 1889. pag. 490—492) unterzog neulich
diese Arbeit einer Kritik. Ich behalte mir vor, letztere bei einer andern Gelegenheit in
Mélanges geolog. et paléontolog. T. I, P- 31.
398 DR. 5. V. ROHON, ÜBER DEVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N. 8. ı
Fische mit Illustrationen unterbreiten. Dabei muss ich jedoch bemerken,
dass sich diese Resultate auf ein bescheidenes Mass reduciren, —ein Umstand,
welcher bei Berücksichtigung der mit ähnlichen Untersuchungen stets verbun-
denen Schwierigkeiten begreiflich erscheint.
Die Beschaffenheit der Wirbelsäule von den devonischen Fischge-
schlechtern fesselte seit jeher in hohem Grade die Aufmerksamkeit der
Palaeontologen, und zwar im Hinblick auf die Dipnoer seit der Entdeckung
des Ceratodus Forsteri, auf die Ganoiden seit der Aufklärung ihrer ver-
wandtschaftlichen Beziehungen zum Polypterus bichir. Die Thatsache, dass die
Mächtigkeit des Hautskeletes und die Mannichfaltigkeit im histiologischen
Baue desselben bei den devonischen Ganoiden dem auf niederer Entwick-
lungsstufe befindlichen Achsenskelet gegenüber stand, musste naturgemäss
einen bedeutenden Einfluss auf die Ansichteu der Palaeontologen bezüglich
der Wirbelsäule der Fische im Allgemeinen ausüben.
Demnach wird es uns verständlich, wenn der ausgezeichnete Kenner der
fossilen Fische, L. Agassiz, die Wirbelsäule der vorweltlichen Ganoiden
als ähnlich jener der Selachier bezeichnete®), und wenn ihm Chr. H. Pander‘*‘)
hierin vollkommen Recht gab.
In ähnlichem Sinne äusserte sich auch Th. H. Huxley’) gelegentlich
der Beschreibung des Tristichopterus alatus: «The condition of the vertebral
entsprechender Weise zu beantworten. Die von Dr. Truquair stelleuweiso gebrauchteu
Redewendungen veranlassen mich jedoch zu eiuigen Gegeubemerkungen. Vor Allem muss ich
erwähnen, dass es sich hier um die Deutung etlicher Knochen des von mir beschriebenen
Dendrodus-Schädels (Unicum) handelt. Bezeichnend für das Kritisiren Dr. Traquair’s
erscheint, dass er nur dasjenige meiner Arbeit entnahm, was seinen Zwecken diente,
während er Dinge ignorirte, welche seinen Betrachtungen unbequem waren. So liess z. B. Dr.
Traquair die von mir als Vomer und Parasphenoid gedeuteten Knochen völlig unbeachtet u.
s. w. Dr. Traquair fand sich ferner bewogen, die Thatsachen zu verdrehen; so führt derselbe
beispielsweise meine Diagnose vom Cricodus Wenjukotoi als diejenige der Dendrodonten-Ordnung
wörtlich (!) an u. 8. w. Derartiges Vorgehen muss ich ganz entschieden zurückweisen. Hätte Dr.
Traquair meine Abhandlung sine ira et studio gelesen, oder wenigstens die wesentlichen
Gründe berücksichtigt, von denen ich mich bei der Deutung der fraglichen Knochen leiten liess,
er würde mich schwerlich eines solchen Irrthums, dass ich nämlich das Quadratum und Hyoman-
dibulare vor die Orbita gestellt, ungerechtfertigter Weise beschuldigt haben. Hier liegen eben
Schwierigkeiten principieller Natur vor, zu deren Beseitigung ein vollständigeres Material un-
bedingt erforderlich ist, und zwar umsomehr, als die anatomischen Verhältnisse der genannten
Versteinerung durchaus nicht so einfach siud, wie dies Dr. Traquair anzunehmen scheint.
Endlich bemerke ich, dass wir den Dendrodus ebensowenig zu den Holoptychiden als den Cri-
codus zu den Rhisodontiden stellen können.
5) Agassiz, L.: Recherches sur les poissons fossiles. Neuchâtel (Suisse) 18831843,
Tome III, pag. 868. |
6) Pander, Chr. H.: Über Cienodipterinen des devonischen Systems. St. Petersburg
1868, pag. 18.
7) Huxley, Th. H.: Preliminary Essay upon the systematic arrangement of the Fishes of
the Devonian Epoch. Memoire of the Geological Survey of the united kingdom. Decade X.
London 1861, pag. 58.
Mélanges geolog. et paldontolog. T. I, p. 22.
(GXxI11)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER GANOIDEN. 399
axis in this fish forms a remarkable exception to the general law hitherto
applicable to the greater part (if not to all) the fishes of the Old Red Sand-
stone, and to all the Coelacanthi hitherto described. If we except the genus
Dipterus (some specimens of which show a tendency to ossification in
the caudal region) allthe Devonian genera have been considered
Notochordal fishes, that is to say, the chorda dorsalis has persisted in
its embryonic condition without any trace of segmentation. In tlıe
present subject, howewer, the whole of the vertebral axis has left its im-
pression distinctly on the matrix in one specimen, and in the other the ver-
tebrae of the caudal region are preserved entire. There can be no doubt
entertained therefore that in this genus the ossification and segmentation of
the column was complete, in which respects it stands alone among the con-
temporaneous fishes».
Neuerdings sagt Karl v. Zittel in Betreff’ desselben Gegenstandes
Folgendes®): «Sämmtliche Placoganoiden (Chondrostei, Placodermi, Cepha-
laspidae) haben eine knorpelige Wirbelsäule. Häufig sind auch die Bogen,
Dornfortsätze und Rippen knorpelig, doch beginnt bei Spatularta, die
Verknöcherung an den unteren Bogen, und bei dem fossilen Chondrosteus
sind Bogen und Dornfortsätze in Knochensubstanz umgewandelt: damit ist
die erste Anlage einer knöchernen Wirbelsäule gegeben, deren Entwick-
lung in den verschiedenen Familien der Schuppen-Ganoiden (Lepidoganoiden)
Schritt für Schritt verfolgt werden kann. Wie die allmähliche Gliederung
der Chorda eines Fischembryo durch die Anlage der oberen Bogen einge-
leitet wird, auf welche sodann die unteren Bogen und erst viel später die
Entwicklung des Wirbelkörpers folgt, so gibt es unter den Schuppen-Ga-
noiden eine grosse Anzahl von Gattungen, ja sogar ganze Familien (Hetero-
cerci), bei denen die Chorda keine Spur einer centralen knöchernen Um-
hüllung erlangt. Sie stehen immerhin in einem vorgeschritteneren Stadium
der Entwicklung, als die Chondrostei, weil die Bogen, Dornfortsätze und
öfters auch die Rippen verknöchert sind. In letzterer Hinsicht stellen die
Coelacanthinen ein Anfangsstadium dar, indem ihre Dornfortsätze und Flos-
senträger im Innern noch knorpelig und nur aussen von knöchernen Hülsen
umgeben waren u. 8. w.».
Zur Beschreibung der Ergebnisse vorliegender Untersuchung übergehend,
möchte ich zunächst eine Bemerkung über das Untersuchungsmaterial vor-
aussenden. Mir standen Objecte aus dem russischen und englischen Devon
. zur Verfügung, diese verdanke ich der Güte des Herrn Akademikers
8) Zittel, K. v.: Handbuch der Palaeontologie. Bd. III, Lief. 1. München und Leipzig
1887, pag. 136.
Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 93.
400 DR. J. V. RORON, ÜBER DRVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N. 5.1
Schmidt, jene Herrn Dr. Wenjukow. Das Material verteilt sich auf
mehrere. devonische Geschlechter und befindet sich zum Teil im Mine-
ralogischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften, zum
Teil im Geologischen Cabinet der Kaiserlichen Universität St. Petersburg.
Überdies untersuchte ich das von mir in den Sommermonaten dieses
Jahres im Orlow’schen Gouvernement gesammelte und im Museum des Berg-
Institutes aufbewahrte Material; die Ergebnisse meiner Untersuchungen be-
züglich des letzteren Materials werden in nächster Zeit au einer andern
Stelle erörtert.
Wirbelsäule des Dendrodus.
Die auf der beiliegenden Tafel befindlichen Figuren 1—7 bieten ver-
schiedene Ansichten von mehreren in natürlicher Grösse gezeichneten Wirbeln.
Die Abbildungen stellen die von mir bereits kurz beschriebenen) Wirbel dar.
Letztere sammelte, wie ich damals berichtete, P. Wenjukow im Dorfe
Juchora am Ufer des Flusses Sjass im St. Petersburger Gouvernement ;
wegen des Zusammenhanges mit meiner Betrachtung darf ich wolıl diesel-
ben nochmals besprechen.
Begünstigt durch den isolirten Zustand, in welchem sich diese Wirbel
bei ihrer Entdeckung befanden, können wir einen sehr genauen Einblick in die
makroskopischen Verhältnisse derselben gewinnen. So zeigt uns vor Allem
die Figur 6 einen Querschnitt, welcher durch künstlich ausgeführte Halbi-
rung eines Wirbels entstanden ist. Der Querschnitt oder die Bruchfläche ist
annähernd bisquitförmig, veranschaulicht in sehr deutlicher Weise die
amphicoele Gestalt des Wirbels, und es entspricht die an derselben sichtbare
(Juerstreifung der schwammigen Knochensubstanz, aus welcher sich der
Wirbel zusammensetzt. Den Aufschluss über die Deschaffenheit der Wirbel-
Peripherie gewährt uns Figur 7; darnach war die Peripherie an den unbe-
schädigten Stellen glatt und besass einen dorsalen Bogen (Neurapophyse)
und einen ventralen Bogen (Hemapophyse), von deren ehemaliger Existenz
die als Bruchflächen vorhandenen Ansatzstellen (Fig. 7 pr) ein sicheres Zeichen
geben. Aus deu Figuren 1, 4 und 5 ersieht man, dass die concaven Vorder-
und Hinterflächen von den Wirbeln gleichfalls glatt und von einem mehr
oder weniger abgerundeten glatten Rand umgeben waren. Jeder Wirbel be-
sitzt ausserdem eine ziemlich central gelegene kleine Lücke, welche dem
während der Fossilisation verlorenen Chordareste entspricht; der Chordarest
ist wiederum gegenwärtig durch Kalkspath ersetzt worden.
9) Hohon: ]. c., pag. 32 und 38.
Mlssges geulog. et palcontolug. TV. bh, p. 24,
(XXXIT)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVOXISCHER GANOIDBN. 401
Von den eben geschilderten Verhältnissen weicht jedoch ein Wirbel ab;
derselbe ist in seiner vorderen Flächenansicht (Fig. 3 gk) und in seiner seit-
lichen Ansicht (Fig. 2) gezeichnet. Beide Ansichten machen bei flüchtigem
Blick den Eindruck, als wäre ein kleiner Wirbel in die concave Fläche ei-
nes grösseren Wirbels mit Hilfe der Fossilisationsmassen eingeklemmt
worden; die genauere Besichtigung des Wirbels widerlegte diese Meinung,
indem es sich herausstellte, dass der muthmassliche kleine Wirbel gewisser-
massen einen Gelenkskopf bei diesem Wirbel bilde. Für eine derartige Auf-
fassung spricht auch der Umstand, dass die Lücke (Fig. 3 ch) sowohl an
der vorderen, als auch an der hinteren Wirbelfläche in der centralen Längs-
achse der Wirbelsäule gelegen ist.
In Betreff des histiologischen Baues habe ich die in den Figuren 18 und
19 abgebildeten Verhältnisse beobachtet. Fassen wir zunächst die erstere
Figur (19) näher ins Auge; dieselbe wurde dem Abschnitt eines in der Mitte
des Wirbelkörpers!?) ausgeführten vertikalen Dünnschliffes entnommen. Zur
Orientirung dient uns die dem Rest der Chorda dorsalis entsprechende Stelle
(ch), welche wir bereits erkannt haben (vergl. Fig. 3 ch); es ist eine mit
Kalkspath erfüllte Lücke von sehr unregelmässiger Begrenzung. Ob
die Begrenzung dieser Lücke dem natürlichen Zustande oder etwa mecha-
nischen Einwirkungen während des Fossilisationsprocesses entspricht, darü-
ber wage ich nicht auf Grund eines einzigen mikroskopischen Präpa-
rates zu entscheiden. In unmittelbarer Umgebung von dieser Lücke bemer-
ken wir eine helle Zone, welche von der Knochensubstanz gebildet wird.
Diese letztere besteht aus zahlreichen, regellos verteilten Knochenzellen, die
an unserer Abbildung in Form von zerstreuten Punkten erscheinen, aus längs
und quer durchschnitteuen Havers’schen Canälen von verschiedener Ver-
laufsrichtung und aus einer gestreiften Grundsubstanz, in welche die beiden
vorgenannten Elemente eingelagert sind.
Eine zweite, mehr nach aussen gelegene Zone, welche man auch als die
mittlere bezeichnen kann, wird von einer dunkel gefärbten Knochensubstanz
gebildet; die dunkle Färbung lässt sich durch die innerhalb der Grundsub-
stanz und deren Räume befindliche Infiltration bituminöser Substanzen
erklären. Die Knochensubstanz dieser Zone zeichnet sich durch eine grössere
Zahl breiterer Havers’scher Canäle aus, und weicht von der vorigen Zone
besonders in Folge der in ihr vorkommenden Räume ab.
Endlich können wir eine äussere oder oberflächliche Zone unterscheiden,
die sich ebeuso wie die zwei vorangehenden von einer Knochensubstanz auf-
10) Der Wirbelkörper nahm seiner Grösse nach eine Mittelstellung zwischen den in den
Figuren 4 und 5 gezeichneten, ein.
Melanze: gchne. et paléonteloz, TS Ip. 23%.
402 DR. J. V. ROHON, ‚ÜBER DEVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N. S. I
baut, deren Charakter aber durch das Erscheinen umfangreicher, meist mit
krystallisirter Kalkspathmasse erfüllter Räume (R) eine wesentliche Verän-
derung in optischer Hinsicht erleidet.
Aus dem Vergleich der eben beschriebenen Zonen ergibt sich zunächst
für die Räume (R), dass dieselben durch zerstörende Einwirkungen, besonders
seitens des in die Knochensubstanz eindringenden Kalkspathes hervorgerufen
worden sind; ferner ergibt sich daraus für die Blutgefässe führenden
Havers’schen Canäle, dass diese in ihrer Anordnung, Stärke, Verzweigung,
Anastomosirung und oberflächlichen Ausmündung mit den entsprechenden
Vorkommnissen einer beliebigen spongiösen Knochenmasse übereinstim-
. men. Demnach bestehen die uns beschäftigenden Wirbel aus schwammiger
(spongiöser) Knochensubstanz.
Nicht ohne Interesse bleiben in histiologischer Beziehung die Knochen-
zellen, deren Beschaffenheit und Anordnung. Figur 19 stellt einen Ab-
schnitt des Präparates bei stärkerer Vergrösserung dar, an dem wir uns
von den betreffenden Verhältnissen vollends überzeugen können. An dieser
Figur begegnen wir mehreren in vertikaler Richtung quer durchschnittenen
Havers’schen Canälen (Hc) von verschiedener Grösse und teils mit
bituminöser Substanz, teils mit dieser und Kalkspatlı erfülltem Lumen;
die Form der Canäle ist entweder kreisförmig oder unregelmässig länglich.
Die Havers’schen Canäle werden dann von conceutrischen Streifen nach
aussen umgeben; diese Streifen entsprechen der Faserstructur von der
Grundsubstanz. Ein Teil der Fasern verläuft zwischen den Fasern von con-
centrischer Anordnung, bogenfürmige Wege beschreibend. Die Art der
Faserung erinnert an dieHavers’schen- und Schalt-Lamellen. Nun folgen zu-
weilen den Faserzügen auch die Lagerungsverhältnisse von den Knochen-
zellen. Letztere (kz) haben in den meisten Fällen verschiedene Gestalt, bald
sind sie unregelmässig eckig und kurz, bald variiren sie zwischen rundlicher
oder länglicher Form. Dass diese Elemente in Wirklichkeit Knochen-
zellen oder Knochenkörperchen vorstellen, geht auf das Deutlichste aus
den Fortsätzen oder Primitivröhrchen, welche dieselben entsenden, hervor.
Die Primitivröhrchen sind meist sehr fein, verhältnissmässig kurz und von
unbedeutender Verästelung.
Wie ich schon bei früherer Beschreibung der mikroskopischen Structur
von diesen Wirbeln erwähnte, haben ihre Knochenkörperchen eine grosse
Ähnlichkeit mit denen der Dendrodus-Schuppen, wovon uns selbst ein ober-
flächlicher Blick auf die Figuren 10 und 17 !!) überzeugen kann. Stellen wir
den Vergleich zwischen den mit kz (Fig. 10) und Knk (Fig. 17) bezeichneten
11) Rohon: 1. c., Taf. II.
Mélanges géolog. et palsontolog. T. I, p. 26.
(xxxıı)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER GANOIDEN. 403
Knochenzellen an, so ergibt sich in beiden Fällen nicht allein eine grosse
Ähnlichkeit sondern fast vollkommene Übereinstimmung in allen Merkmalen.
Ausserdem weisen die in Rede stehenden Knochenzellen Beziehungen auf,
welche ich bei der vorhin erwähnten Gelegenheit beobachtete).
Aus den soeben geschilderten histiologischen Verhältnissen schloss ich
damals auf die Zugehörigkeit der Wirbelzum Dendrodus, und ich bin seit der
Zeit in dieser Meinung eher bestärkt, als schwankend geworden. Allerdings
muss ich zugeben, dass jene Begründung des Zusammenhanges von ver-
schiedenen Teilen des äusseren und inneren Skeletes, welche sich bloss auf
Ähnlichkeiten histiologischer Elemente stützt, umsoweniger eine Berechti-
gung haben kann, als derartige Ähnlichkeitsfälle zuweilen auch zwischen
weit von einander entfernten Geschlechtern, Familien und selbst Ordnungen
von mir beobachtet worden sind. Meine Meinung basirt vielmehr auf dem
paläiontologischen Material, welches man an der Fundstelle von den Wirbeln
vielfach gesammelt hat. Wie bereits oben erwähnt, stammen die Wirbel von
Juchora; die häufigsten Fischreste daselbst gehören aber dem Bothriolepis,
Dendrodus und Coccosteus an, seltener dem Cricodus, Psammosteus, Glyptolepis
und Osteolepis'#). Es scheint mir nun unter Berücksichtigung der Orga-
nisation dieser Fische, soweit sie uns bekannt ist, sehr wahrscheinlich, dass
die vorliegenden Wirbel nur dem Dendrodus oder Cricodus angehören
konnten, zumal aus meinen wiederholt erwähnten Untersuchungen die Ver-
knöcherung der inneren Schädelknochen und jenes an den Schädel unmittel-
bar sich anschliessenden, durch Verschmelzung von melreren Wirbeln "“)
entstandenen Abschnittes hervorging.
Zu diesen Wirbeln stehen in Beziehungen, meiner Meinung nach, auch
die von Chr. H. Pander untersuchten und an den Ufern der Flüsse Prikscha
und Sjass im Nowgorod’schen Gouvernement gesammelten. Dieselben waren
sehr klein, so dass sie Pander, ausgenommen Figur 1, mit Hilfe der Loupe
auf der Tafel 4 seines Werkes über Cienodipterinen zeichnen liess. «In dem
von À gassiz — sagt Pander )— Vol. 21%), Tab. 2a, Fig. 1 abgebildeten und
gut erhaltenen Exemplare von Dipterus Valenciennesi (Dipt. macrolepidotus
Ag.) ist auf der vorderen Hälfte die Schuppenbekleidung der linken Seite
unversehrt sichtbar, auf der hinteren nur der Abdruck, den die Schuppen
der rechten Seite des Körpers im Gestein zurückgelassen haben, zu er-
12) Vergl. Rohon: 1. c., Taf. II, Fig. 19.
13) Ich beziehe mich hiebei nicht nur auf die Litteratur-Angaben und auf das dort ge-
sammelte Material der verschiedenen Sammlungen von St. Petersburg, sondern auch auf
meine eigenen, während einer Excursion erworbenen Erfahrungen.
14) Vergl. Rohon: |. c., pag. 18.
16) Pander: ]. c., pag. 17.
16) Agassiz: ]. c.
Mélanges guolog. et paléontolag. T. I, p. 937. 97
404 DR. J. V. ROHON, ÜBER DEVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [\. 5.
kennen. Man sieht deutlich einen schon in der vorderen Hälfte anfangenden,
fast durch die Mitte des Körpers verlaufenden, dem Rücken mehr als dem
Bauche genäherten und erst am Ende des Schwanzes endigenden, schnur-
artigen aber eingekerbten Streifen sich hinziehen. Diesen Streifen halten
wir für die Wirbelsäule, wir glauben dieselbe in dem Exemplare, das wir")
auf Tab. I, Fig. 1 abgebildet haben, gleichfalls wieder zu erkennen, wo sie
unter den Schuppen des Körpers, über der Seitenlinie gelegen ist; endlich
ist auf unserer Tafel 2, Fig. 6 ein Bruchstück vom Körper abgebildet, an
welchem die hintere Dorsalflosse, ein grosser Teil der Schwanzflosse und die
anale, noch ziemlich vollständig erhalten sind und zwischen ihnen, eine
gleichsam aus an einander gereihten Perlen bestehende Schnur, bis gegen
das Ende des Schwanzes, zu verfolgen ist. Man könnte, selbst durch unsere
eigene Abbildung verleitet, diese angegebene Wirbelsäule sowohl ihrer
Richtung, als ihrem Verlaufe nach, mit der Seitenlinie verwechseln; allein
abgesehen davon, dass diese unter der Wirbelsäule und mit ihr an einem
und demselben Exemplare zugleich vorhanden ist, Tab. 1, Fig. 1, so hat sie
gegen das Ende des Schwanzes einen ganz anderen Verlauf, als letztere.
«Da wir bei keinem anderen Fische des devonischen Systems eine An-
deutung vom Vorhandensein einer Wirbelsäule ausfindig machen konnten,
so haben wir alle Wirbel, die wir bis jetzt in den devonischen Schichten an-
getroffen haben, ungeachtet der grossen Verschiedenheit in ihrer Gestalt,
hier an einander gereiht. Es bleibt künftigen Untersuchungen die Bestim-
mung übrig, welchem Genus oder Species dieselben angehören u. 8. w.».
Bezüglich des histiologischen Baues von denselben Wirbeln sagt Pan-
der"): «Feine Schliffe zeigen unter dem Mikroskop horizontale, anastomo-
sirende, grosse, dunkle, nach aussen sich Öffnende Röhren, die eine homogene
weisse, durchscheinende Grundsubstanz mit durchsichtigen länglichen Zellen,
ohne alle Verästelung, gleich den Knorpelzellen bei den Wirbeln von Lamna
und Ofodus durchziehen.
«Was die nun folgenden aber anbelangt, so sind sie sich alle in dieser
Hinsicht sehr ähnlich, stammen alle aus einer blauen Tlionschicht, sind
schneeweiss und bestehen aus einer homogenen Grundsubstanz mit runden
und länglichen, denen des Knorpels ähnlichen Zellen, ohne strahlige Aus-
läufer; von grossen, schon bei schwacher Vergrösserung sichtbaren Mark-
canälen (Gefässcanälen) durchzogen. Sie sind alle in vergrössertem Maassstabe
dargestellt, indem sie höchstens die Grösse eines groben Stecknadelkopfes
erreichen».
17) l'ander: L. c.
18) Pander: 1. c., pag. 18 und in der Tafelerklärung, pag. 56.
Melanges geclog. et paleontulog. T. I, p. 23.
(XXXI1)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER OANOIDEN. 405
Ans der Beschreibung und den Abbildungen Pander’s ergibt sich ganz
bestimmt, dass ihm meist winzige Wirbel von teilweise procoeler, teilweise
amphicoeler Gestalt bei seinen Untersuchungen vorlagen; dieselben weichen
in mehrfacher Beziehung von den in vorliegendem Falle untersuchten
Wirbeln erheblich ab.
Indessen scheinen die mikroskopischen, soeben citirten Beobachtungen
Pander’s auf gewisse Beziehungen aller Wirbel untereinander hinzuweisen,
und zwar insofern, als ich die knöcherne Natur der von Pander beschrie-
benen und abgebildeten Wirbel vermuthe. Dabei denke ich an folgende
Alternative: Entweder waren die vermeintlichen Knorpelzellen im Ent-
wicklungsstadium befindliche Knochenzellen, oder waren die Präparate über-
aus fein geschliffen, so dass die Ausläufer (Primitivröhrchen) der Knochen-
zellen abgeschliffen worden sind !°). |
Wirhelsfule des Osteolepis.
Gelegentlich einer Durchsicht der v. Hamel’schen Sammlung devo-
nischer Fische aus Schottland, welche sich im Mineralogischen Museum der
Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg befindet,
fiel mir ein Stück vom bituminösen Schiefer besonders auf, ich bemerkte
nämlich an einer Stelle desselben oberflächlich sichtbare Fischreste.
Figur 13 der beigelegten Tafel gewährt uns einen Einblick in die Ver-
hältnisse, unter denen die verschiedenen Fischreste erscheinen. Letztere
liegen teils innerhalb der Schiefermasse, teils ragen sie ein wenig an der
Oberfläche der Gesteinsmasse hervor; in beiden Fällen sind sie mit der Ge-
steinsmasse sehr innig verbunden, so dass sie nur mit schwerer Mühe mittelst
einesStemmeisens stückchenweise behufs näherer Untersuchung abgeschlagen
werden konnten. Schon der flüchtigste Blick lässt in den rundlichen Bil-
dungen (Fig. 13 w) Wirbelkörper vermuthen, während das dunkle Gebilde
(p) von der Gestalt eines etwas gewölbten und mit feiner concentrischer
Streifung versehenen Schildes, auf eine Hautplatte des Kopfes hindeutet.
Dagegen bereiteten die an unserer Figur radiär angeordneten Gebilde (p)
einige Schwierigkeiten bezüglich ihrer Deutung; es mussten mehrere derselben
durch mechanische Eingriffe innerhalb der Gesteinsmasse ansichtig gemacht
werden, und da zeigte es sich, dass sie siämmtlich isolirte und zufälliger Weise
durch die Fossilisation in solche Lage gebrachte Kopfschuppen des Osteolepts
macrolepidotus darstellen. Dies ging ausserdem aus der Betrachtung der ent-
blössten Aussenfläche einer in der Nähe von jenen gelegenen Kopfschuppe
hervor; die Aussenfläche derselben war glatt und glänzend, an ihr zeigten sich
19) Vergl. die Knochenzellen ohne Fortsätze in der Figur 19 dieses Aufsatzes.
Mélanges géolng. et paléontolog. T. I, p. 20. 27*
406 DR. J. V. ROHON, ÜBRR DRVONISCHE FISCHE VOM OBEREN JENISSEI [N.S.1
ziemlich dicht angeordnete zahlreiche Poren, in regelmässigen Abständen
von einander entfernt. Eine derartige poröse und glänzende Oberflächenbe-
schaffenheit der Kopfplatten und Schuppen kommt auch bei Megalichthys
vor, und man könnte daher die vorliegenden Reste eben so gut dem
letzteren Fisch zuteilen; wogegen wir einwenden, dass Megalichthys im De-
von von Schottland, wo v. Hamel sammelte, nicht vorkomnit.
Um über die inneren Structurverhältnisse dieser, in Folge von bitumi-
nöser Infiltration schwarz gefärbten Bruchstücke zu dem erwünschten Auf-
schluss zu gelangen, führte ich an den isolirten Stückchen der Wirbel und
Kopfschuppen Dünnschliffe aus. Von den letzteren liess ich die Zeichnung
eines vertikalen Querschliffes von einem Wirbel bei schwacher Vergrösserung
(Hartnack Oc. 3, Syst. IV) anfertigen.
In Figur 20 erkennen wir sofort einen solchen Wirbelschliff, zwar
nicht im seinen gauzen Umfange, doch zum grösseren Teil, wie man dies aus
der Vergleichung mit Figur 13 bei w ersehen kann. Wir schen an unserer
Abbildung, dass der dunkel gefärbte Wirbel (W) rechterseits von der Ge-
steinsmasse umgeben ist, während er linkerseits und obenan als freier Rand
hervorragt; dies rührt daher, weil der Wirbelkörper vor seiner Trennung an
letzterer Stelle frei hervorragte. Die mikroskopische Untersuchung dieses
Wirbels erschien auch deshalb vorteilhaft, da man aus dem erwähnten
Doppelumstande die Beschaffenheit der äusseren Oberfläche von dem Wirbel-
körper einigermassen sicher controlliren konnte. Wie unsere Figur zeigt,
ist dieselbe sowohl rechts als links gleichmässig und olme irgend welche
nennenswerthe Erhebungen, etwa von der Gestalt abgebrochener Wirbelbogen
oder Dornfortsätze. Von diesen letzteren konnte ich selbst bei einer, während
und nach der Präparation durchgeführten Loupen-Beobachtung nicht ein
Mal die geringste Spur bemerken. Es wurden eben die Wirbelbogen und die
Dornfortsätze, wahrscheinlich wegen ihrer grossen Feinheit, im Laufe der
Fossilisation so vollständig zertrümmert, dass sie sich der Beobachtung ent-
ziehen mussten. |
Ebenso zerstörend wirkte der Fossilisationsprocess auch auf die
Masse des Wirbelkörpers, denn wir sehen ganz deutlich wie der Kalkspatlı
(kt) im Innern desselben die Substanz grösstenteils verdrängt hat. Wenn
sich hiebei der Wirbelkörper an seiner Peripherie in unversehrtem Zu-
stande erhalten konnte, muss das Eindringen desKalkspathes in das Innere ent-
weder von der vorderen oder hinteren Wirbelfläche angenommen werden.
Trotz der Kalkspathinfiltration hat sich die mikroskopische Structur in
den unverletzt gebliebenen Wirbelabschnitten sehr gut erhalten. Letztere
bestehen aus verhältnissmässig zahlreichen kurzen Knochenzellen oder
Knochenkörperchen mit spärlichen Fortsätzen (Primitivröhrchen) von zwar
Mélanges gévlog. et paléoutolog. T. I, p. 80.
(xxxı)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER GANOIDEN. 407
geringer, aber deutlicher Verästelung. Zwischen den regellos verteilten
Knochenzellen kommen in der Grundsubstanz bogenförmige Linien vor,
welche die Faserung der Grundsubstanz anzudeuten scheinen. Auffallender
Weise sieht man von den Blutgefässcanälen (Havers’schen Canälen) gar
nichts, was zu der Vermuthung berechtigt, dass in diesen Wirbeln derartige
Canäle in sehr beschränkter Anzahl vorhanden waren.
Bei weiterer Betrachtung besagter Figur sieht man septenartige Fortsätze
der Knochensubstanz ins Innere des Wirbels eindringen. Dieselben zeichnen
sich sowohl ihrer Stärke, als auch ihrer Verlaufsrichtung nach durch be-
deutende Unterschiede aus, — Umstände, die durch die zerstörenden Wir-
kungen des Kalkspathes unzweifelhaft hervorgerufen worden sind. Unge-
achtet dessen können wir aus der Verlaufsweise der Septen auf den ehema-
ligen innern Bau des Wirbelkörpers schliessen; darnach können wir behaupten,
dass die Verknöcherung des Wirbelkörpers eine vollkommene war. Wenig-
stens kann ich mir die zwei schräg durch die Mitte des Wirbelkörpers ver-
laufenden dünnen Züge der Knochensubstanz nicht anders erklären. Würde
hingegen einstens ein Chorda-Rest bestanden haben, so müsste man dem ent-
sprechend eine Stelle im Centrum des Wirbels bemerken, wie wir dies in
Figur 18 bei ch sehr deutlich beobachten können.
Nach den angeführten Untersuchungsergebnissen kann man die Existenz
von knöchernen Wirbeln bei Osteolepis nicht mehr bezweifeln. Freilich ist
es höchst merkwürdig, dass man davon an ganzen Exemplaren gar nichts zu
sehen bekommt. Ich habe in der vorhin erwähnten v. Hamel’schen Samm-
lung Dutzende teils ganzer, teils in Fragmenten erhaltener Osteolepiden auf
die Wirbelsäule untersucht, ich konnte aber nirgends Wirbelkörper auffinden.
Man könnte sich diese Erscheinung in der Weise erklären, indem man an-
nimmt, dass die überaus zart gebaute Wirbelsäule der Osteolepiden während
der Fossilisation zertrümmert worden sei. Dies wird leicht begreiflich, wenn
wir berücksichtigen, dass sämmtliche in England vorkommenden Osteole-
piden auf den Schieferplatten völlig zusammengedrückt erscheinen, anderer-
seits die Reste von den Osteolepiden in devonischen Ablagerungen Russlands
ausschliesslich in isolirtem Zustande gefunden werden. Ueberdies ist es auch
fraglich, ob nicht unter den devonischen von Pander?®) beschriebenen
Wirbeln, mindestens nach ihrer Kleinheit zu urteilen, Osteolepis-Wirbel
vorhanden sind. Gegen die Erhaltungsfühigkeit der Wirbelsäule spricht
endlich auch der Umstand, dass letztere von einem mächtigen knöchernen
Schuppenkleide eingeschlossen war, dessen Zusammenpressung einen wirk-
samen und zerstörenden Druck auf das Achsenskelet der schottischen Oste-
olepiden ausgeübt haben musste.
20) Pander: l. c., pag. 15, 66 und 57.
Melangos géolog. et paléontolog. T. I, p. 31.
408 DR. J. V. ROHON, ÜBER DEVONISCRE FISCHE VOM OBEREN JENISSBI [N. S. I
Wirbelsäule der Placodermen.
Die Abbildungen, welche L. À gassiz*!) auf der Tafel 7 und 9 und Ch.
H. Pander*) auf der Tafel 2, Fig. 4, Tafel 3, Fig. 25 und Tafel 4, Fig. 1
vom Coccosteus gebracht haben**), zeigen sehr deutlich, dass dieser eigenthüm-
liche Fisch, mit Ausnahme seiner massiven oberen und unteren Dornfort-
sätze, wie auch der Flossenträger, keine verknöcherte Wirbelsäule besass.
Pander*) äussert sich bei Besprechung des Caudalabschnittes folgender-
massen: «Diese Ansicht findet zum Teil noch Bestätigung in dem Mangel
aller knöchernen, inneren Teile, von denen wir schon einige uud
namentlich die processus des oberen und unteren Bogensystems der Wirbel bei
Coccosteus antreffen». Demnach unterscheidet sich die Wirbelsäule bei Coc-
costeus wesentlich von jener der vorhin besprochenen devonischen Fische.
L. Agassiz*) sagt weiterliin; «La queue des Coccostées se distingue par
des particularités très-frappantes. Et d’abord il n’existe point de corps de
vertèbres ossifiés, mais seulement une corde dorsale, qui comme on sait,
remplace les vertèbres chez l’eınbryon de tous les poissons, et chez les
Cyclostomes durant toute leur vie. Cette corde dorsale, de structure cellu-
leuse et d’une consistance molle, n’a pas pu résister à la destruction par la
pourriture; elle est enlevée chez les fossiles, ou l’on ne voit que son empreinte,
qui forme une longue rainure continue sans division. Les apophyses des
vertèbres par contre sont ossifiées, comme chez les Lépidosirens de notre
époque, qui ont aussi une corde dorsale molle avec des apophyses osseuses des
deux côtés. La seule différence, c’est que chez les Coccostées les apophyses
sont grèles, courbées en arrière et renflées à leur base. Elles sont du
reste exactement semblables des deux côtés de la corde».
Um über den histiologischen Bau der Dornfortsätze in’s Klare zu kom-
men, verfertigte ich von den in Figur 8 der beifolgenden Tafel gezeichneten
Dornfortsätzen des Coccosteus decipiens mehrere Dünnschliffe und habe bei
der mikroskopischen Untersuchung derselben die Structur eines spongiösen
Knochens beobachtet. Figur 14 stellt den Abschnitt eines Längsschliffes
dar; wir sehen daselbst die längs verlaufenden breiten Havers’schen
Canäle (Hc) mit deren zum Teil sichtbaren Anastomosen, ferner die kurzen,
durch bituminöse Substanz schwarz gefärbten Kuochenzellen mit ihren
—.
21) Agassiz, 1. c. Old Red.
29) Pander, Chr. H.: Über die Placodermen des devonischen Systems. St. Petersburg 1867.
23) Vergl. Koenen, v.: Beitrag zur Kenntuiss der Placodermen-Fische. Göttingen 1883
und Zittel, v.: l. c., pag. 160.
24) Pander: ]. c., pag. 56.
25) Agassiz: 1. c., pag. 26.
Mélanges géolog. et palsontolug. T. I, p. 32.
(XXX111)] NEBST BEMERKUNGEN ÜBER DIE WIRBELSÄULE DEVONISCHER GANOIDEN. 409
spärlich verästelten Fortsätzen (Primitivröhrchen), welche in der glashellen
Grundsubstanz unregelmässig verteilt sind. Die Homogenität der Grund-
substanz entstand zufolge einer starken Infiltration mit Kalkspath.
Weiterhin wurden auch die Dornfortsätze vom:Bothriolepis mikrosko-
pisch untersucht. Dieselben fand ich in den Gesteinsstücken, welche nur
Bothriolepis-Schilder enthielten. Diese Fortsätze weichen sowohl in ihrer
äusseren Form, als auch in ihrem histiologischen Baue von denen des Coc-
costeus wesentlich ab; sie sind dicker, länger und haben im Innern einen Canal,
der im Verhältniss zur Dicke seiner Wandungen sehr dünn erscheint. Die
Mikrostructur zeichnet sich durch spindelförmige Knochenzellen von pa-
ralleler Anordnung aus. Die Knochenzellen verhalten sich in allen ihren histio-
logischen Merkmalen genau wie die der Zsopedin- oder innern Schicht von
den Schildern des Bothriolepis.
Nunmehr könnte ich die Untersuchungsergebnisse über die Wirbelsäule
des den Placodermen zugeteilten Chelyophorus schildern, schliesse aber die
Beschreibung, da dies zweckmässiger bei einer andern Gelegenheit ge-
schehen wird.
Resultate der Untersuchungen.
I. Im Gebiete des oberen Jenissei-Flusses in Sibirien finden sich devo-
nische Ablagerungen, welche durch das Auftreten des Coccosteus, Bothrio-
lepis und FMoloptychius characterisirt sind. Die Fische kommen bloss als
isolirte Schilder und Schuppen vor.
II. In den devonischen Ablagerungen Russlands und Englands lebten
Fische mit verknöcherter Wirbelsäule, wie Dendrodus, Tristichopterus
(Huxley) und Osteolepis. Auf die Weise befand sich nicht nur das
Hautskelet dieser Fische auf einer höheren Entwicklungstufe, sondern auch
das Achsenskelet. Demnach hat die Entwicklung der Wirbelsäule
von den Fischen bereits im Devon verschiedene Wege genommen.
Neben der vollständigen Verknöcherung einerseits und dem
ursprünglichen Zustande (Verknorpelung und Verkalkung) der
Wirbelsäule andererseits begann mit Coccosteus und Bothriolepis
eine von den Dornfortsätzen ausgehende Verknöcherungsreihe,
‘deren Mannichfaltigkeit späterhin bei den mesozoischen Fischen
eine bedeutende Ausdehnung erreicht hatte.
Mélanges geolog. et paléontolog. T. I, p. 33.
410
DR. 3. Y. ROHON, ÜBER DEVONISCBE FISCHE ETC. [n. 8. 1
Erklärung der Abbildungen).
Figuren 1—7. Verknöcherte Wirbel vom Dendrodus. ch = Stelle für den Chordarest, p = An-
Figur 8.
Figur 9.
Figur 10.
Figur 11.
Figur 12.
Figur 18.
Figur 14.
Figur 16.
Figur 16.
Figur 17.
Figur 18.
Figur 19.
Figur 20.
Figur 21.
satzstelle des Wirbelbogens. Natürliche Grösse.
Obere Dornfortsätze vom Coccosteus decipiens. pr == die Dornfortsätze, gm == Ge-
steinsmasse. Natürliche Grösse.
Schultergürtel? vom Bothriolepis. mk = Mittelstück, sk = Seitenstück, gm = Ge-
steinsmasse. Natürliche Grösse.
Schuppen-Fragment vom Holoptychius F'lemingis. p == Schuppe, gm = Gesteinsmasse,
Natürliche Grösse.
Zahn vom Glyptolepis? z = Zahn, gm = Gesteinsmasse. Natürliche Grösse.
Hälfte einer Schuppe vom Osteolepis. p = Schuppe, gm = Gesteinsmasse. Natürliche
Grösse.
Osteolepis macrolepidotus. w = Wirbelkörper, p = Kopfschuppen, gm = Gestcins-
masse. Natürliche Grösse.
Längsschliff von einem Dornfortsatz des Coccosteus decipiens. Hc = Havers’sche
Canäle, kz = Knochenzellen. Vergrösserung: Hartuack Oc. 8, Syst. V.
Ansicht der Aussenfläche eines Hautknochens vom Coccosteus. k = der Knochen,
gm = Gesteinsmasse. Natürliche Grösse.
Ansicht der Innenfläche eines Hautknochens vom Coccosteus. Natürliche Grösse.
Ansicht der Aussenfläche des Kopfschildos vom Bothriolepis. sp == Verzierungen
des Schildes, sr = eine Nath (Sutur) des Schildes, gm == Gesteinsmasse. Natürliche
Grösse.
Abschnitt eines vertikalen Dännschliffes vom Dendrodus-Wirbel. ch = Stelle für
den Chordarest, Hc = Havers’sche Canäle, R = iu Folge des Fossilisationspro-
cesses entstandene Räume. Loupen-Vergrösserung.
Stück eines vertikalen Düunschliffies vom Dendrodus-Wirbel. kz = Knocleuzellen,
Hc = Havers’scher Canal. Vergrösserung: Hartnack Oc. 8, Syst VII.
Vertikaler Dünnschliff vom Wirbelkörper des Osteolepis macrolepidotus. w = Wir-
belkörper mit Knochenzellen, kt = Kalkspath. Vergrösserung: Ilartnack Oc. 3,
Syst. V.
Ansicht der Innenfläche von einer Schuppe des Holoptychius F'lemingii. p == Schuppe
mit concentrischer Streifuug, gm = Gesteinsmasse. Natürliche Grösse.
1) Die über der Figur 21 befindliche Abbildung ist Figur 19 und nicht 10.
Melauges govlug. ot pyalwutulug. T. 1, p. 34.
xxxım)] 411
De scholiis in Sophoclis tragoedias a Petro N. Papageorgio editis. Scripsit
A. Nauck. (Lu le 31 octobre 1889.)
Quae Alexandrini grammatici ad explicandas et emendandas Sophoclis
tragoedias contulerunt pleraque nobis erepta sunt, pauca quae manserunt
debentur potissimum scholiis antiquissimi et optimi codicis Florentini (bibl.
Mediceue plut. 32, 9), quem Laurentianum primum appellare consuevimus.
edita sunt haec scholia primum Romae a. 1518, quam editionem curasse di-
citur Iohannes Lascaris, qui teste Papageorgio Laurentiani libri scripturas
saepe depravavit, non nulla omisit, locos corruptos non paucos ex coniectura
correxit. insecutus est R. Brunck, quem excepit a. 1825 Petrus Elmsley. ex
eo inde tempore ut Sophoclearum fabularum emendatio insignes progressus
fecit, ita scholiis Sophocleis haud pauci emendatricem manum admoverunt.
vel hanc propter causam nova scholiorum editio requirebatur. accedit quod
in editione ab Elmsleio incohata et post cius mortem a Tlı. Gaisfordo abso-
luta codicis Laurentiani scripturas parum accurate indicatas esse Duebneri
relationibus nixus ostendit G. Dindorf Schol. in Soph. trag. vol. II Oxonii
a. 1852 edito. nimirum Elmsley, cuius axpißer@v debita laude omnes prose-
quuntur, non ipse videtur descripsisse scholia codicis Laurentiani, sed descri-
benda mandasse homini parum diligenti, id quod colligimus ex verbis quae
leguntur in Oed. Col. p. III: «Romanam scholiorum editionem, quam tanti
fecerant Porsonus aliique, in annotatione mea prorsus neglexi, propterea quod
scholia ex eodem codice iterum descripta habeo, idque accuratius, ni fallor,
quam in impressis leguntur». Duebner vero cum Dindorfii in usum denuo
praestantissimum Sophoclis codicem examinaret, poetae potissimum verbis
conferendis intentus fuit, scholia raro attigit.
Novissimus scholiorum Sophocleorum editor P. Papageorgius operi suo
praemisit commentationem criticam «Kritische und paläographische Beiräge
zu den allen Sophokles-Scholien» (Lips. 1881). anno insequenti (1882) idem
Florentiae scholia Laurentiana accuratissime contulit et paulo post (a. 1884)
quae ipse rectius quam alii legisset publici iuris fecit in commentatione «Codex
Laurentianus von Sophokles und eine neue Kollation im Scholientexte» (Jahrb.
Mélangos gréco-romains. T. VI, p. 91.
412 A. NAUCK, DB SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [x. S. 1
für class. Philol, XIII Supplementband p. 403— 440). tandem prodiit opus
diu praeparatum
Scholia in Sophoclis tragoedias vetera e codice Laurentiano
denuo collato edidit commentario critico instruxit indices adiecit
Petrus N. Papageorgius. Lipsiae in acdibus B. G. Teubneri
MDCCCLXXX VIII.
Plus uno nomine hic liber laude dignus est. primum enim Laurentiani
codicis lectiones multo accuratius quam olim factum erat Papageorgius anno-
tavit, deinde innumera vitia partim suopte ingenio partim aliorum criticorum
coniccturis usus sustulit, denique addito «indice Graeco» uberrimo iis maxime
profuit qui dicendi usum scholiastarum cognoscere voluerint.
J,aurentiani codicis lectiones quatenus accurate et plene Papageorgius
indicarit, nemo nisi qui ipsum codicem inspexerit certo sciet. dubitationes
quacdam mihi obortae spectant fere ad res in quibus nulla sit codicum auc-
toritas. invitis ut opinor libris Papageorgius scripsit cwÿein p. 65, 20. ow-
Inceraı p. 68, 14. rnenopôévres p. 207, 8. awdels p. 284, 1. cydeins p. 334,
29. quibus in formis, cum écwSnv ex écxwSnv ortum sit, additum iota avex-
gwvntoy ferri non potest. onaiv et oxoiv formas encliticas esse voluit novissi-
mus editor secutus grammaticorum praeceptum, quod scriptorum usu confu-
tatur. itaque roùré onsıv Schol. Ai. 202 et alibi praebet Papageorgius, ubi
roro onsiv legitur in Elmsleiana editione: Taurentianus utri rationi faveat
nescimus. Ôfhov örı praeter duos locos, ubi SnAcvorı admitti nequit (Schol.
Phil. 203: Sñacv dt on et Oed. Col. 1437: &x roûtou OnAcy cu), semel dedit
Elmsley (Schol. Trach. 308 sive 315 Pap.). rectius egit Papageorgius, qui
plerumque dAAov ën scripsit, aliquoties öyAovötı praetulit (Schol. Oed. R.
118. Ant. 189. 221. Trach. 333. 549. Oed. Col. 61): quam inconstantiam
e Laaurentiano codice repetendan esse suspicor. sed ut missas faciamus
has et similes quisquilias, mirus est testium dissensus de Schol. Phil. 234.
verbis Sophocleis
gel To xal Aaßelv nzöopdeypa Tsıcuö' avésés Ev YpCwp paxo®
secundum Elmsleium apponitur hoc scholion: Sauuaonxèv per’ ixnzAnkew; Tè
peu ivradda. Anime 68 Td otepndñvat. Dindorf Schol. vol. 2 p. 105 annotat
aotepndfvar] male lectum quod in L obscurius scriptum afwörvzw. Papa-
georgius (Jahrb. f. Philol. Suppl. XIII p. 421) de verbis quae sunt Acizet ci
rd arepndijvar dicit à particulam a Laur. abesse (‘das I. && fehlt in diesem
neuen Scholion’): in nova autem scholiorum editione non solum 6 particulam,
sed etiam cire té otepndivar (vel &EwSñva) verba frustra quaesivimus.
enlem de versu pracbet Papageurgius hoc scholion: xaitè] re xai. ubi leuma
xzi 2 ab editore additum est, quae restant verba 76 xai mihi obscura sunt
Métsages greco-romaius. T. VI, p. 2.
(axxım)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 413
Scholiis in Sophoclis tragoedias, quae codex Laur. plenissima et inte-
gerrima servavit, non solum haud paucas deberi vetustiorum scriptorum et
poetarum reliquias, sed egregium contineri ad interpretanda et emendanda
poetae verba adiumentum, demonstratione vix indiget. plerumque sane his
scholiis ea ipsa verba explicantur quae in codicibus nostris poetae tribuuntur,
meliores libros circumspiciendos esse semel (Schol. Oed. C. 1560) anno-
tatur, alibi etiam locis manifesto corruptis et verbis quae intellegi non pos-
sint admoventur interpretandi machinae sano homini abominandae !). nec
tamen verum est quod Dindorf in Soph. ed. tert. Oxon. vol. 1 p. XV con-
tendit, ad emendanda Sophoclis verba in codice L tradita exiguum fructum
ex scholiis pereipi. triginta tribus locis scholiorum ope emendatis, quos ibi
affert, poterat addere viginti fere versus in tertia editione Oxoniensi eodem
ex fonte sanatos. at ctiam plures Sophoclearum tragocdiarum emendationes
scholiis suppeditari ostenderunt cum alii tum Chr. Heimreich Kri. Beiträge
zur Würdigung der allen Sophoklesscholien (Progr. gymn. Ploen. 1884). adde
quae dixi in Schneidew. edit. appendice ad Oed. R. 795. 1070. El. 903.
Trach. 708. Phil. 33 al. necdum exhausta est messis: at eruere probas lec-
tiones in scholiorum colluvie abditas nemini facile continget nisi qui cum
mentis acie quadam intentum coniunxerit studium.
u ee ne
1) Exempla pauca sufficient. El. 841 Amphiaraus dicitur nambuyxoc ævroouv. rauduy2c
istud triplici modo explicatur in scholiis: racüv buyüv avacası, al En Ev ypeım xadecräcı tic
Exeivou povtixe N niubuxos 6 dtaawans näczv ınv EautoÏ buynv n 6 dia navrös nv buxnv
cubwv, 6 &arıv @9%vxros. missam facimus tertiam interpretationem, quam nemo editorum vide-,
tur probasse. qui xap$uxov Amphiaraum volunt dici dv dinswezvra räcav rnv éauroÿ quxnv
necesse est statuant plerasque umbras parte quadam animne suae privari, cuius opinionis testes
desidero. quominus vero rap.:buxos Avzocer putemus esse i. q. naoüv TWv Yuyav Avaaseı,
obstat ipsa dicendi forma. sicut xx1& 19ovèc Euxpérwv sepvöruaos &vaxtwp dixit Aesch. Choeph.
857, ita tiLoÜy 96 uvaoser scripsisse arbitror Sophoclem.
Trach. 188 quod traditum cest ev Boudepet Àeuüvw vix crit hodie qui sanum cxistimet,
quamvis coniecturne quae mihi innotuerunt, non videantur probabiles. scholia autem, quo ob-
scurior et absurdior est codicum scriptura, eo largiore ineptiarum copia nos obruunt. &v Bouÿe-
pet Aerpüve péya Jeépos Exoveı, 8 8acı Anıov, Td yap BOY enırarıxöv sarıv A To apodpa Ballo-
pév xaı depopeva (xat xadarponevo L, em. Papageorgius) fyouv Yepp.arvon.svo Und oU lou.
Eiws‘ Boudepei n övona ol Aeınövos h roAudepet: td yap BOY irırarıxöv sorıv 8 korı Toliz-
xıs YepıZonevw, iv’ sinn noAupspw à und Bomv Yapılopevwp troie Oboücı, rourtarı Boüs Tpépovrt.
neque ulli nobis usui est glossa Hesychii vol. 1 p. 888: Boudepei- ev d Boes Jépouc pg. venovraz.
xat Boudopw th auto. ubi Boudopw, quod probavit Wecklein, nihil esse arbitror nisi grammatici
nescio cuius coniecturam, cui dicendi usus adversetur. quod ipse a. 1864 dixi sententiae con-
venire &v Boußorw (vel Bouvouw) Àepüv, etiam nunc teneo, ac traditum Boudspeï unde ortum
sit, monstrare videtur Eust. Il. p. 222, 20: npds Bl rd Innößorov aûyxertar xaı 6 Boußoros
leınwv' xat’ aura de ws xat Tb JepetBorov auvrédertar, 6 Bnhoï ronov xatd Toùe raatobe
Éxovra xat ev Jépet vous. hinc suspicor scriptum olim fuisse
TP.9EPEI
EN BOYBOTQRIAEIMONI
potestate ea ut ad &v Boußorw varia lectio JepeıBorw annotaretur, qua lectionis varietate facile
cffici potuit quod codices nostri offerunt &v Boudepeï. simili errori deberi œtexmovas formam
in Maneth. 4, 684 ostendi Mel. Gréco-Rom. IV p. 165.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 28.
414 A. NAUCK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [s. 8.1
Deteriores Sophoclearum tragoediarum codices ei qui scholia restituere
conatur non neglegendi sunt, quoniam haud raro servarunt vocabula in Laur.
primo nunc evanida. nec desunt vetera scholia quae uni codici Florentino G
(v. Papag. p. XI) nunc debeantur. Papageorgius cum olim (Ærif. u. paldogr.
Beitr. p. 21) existimasset ista scholia sedulo collecta appendicis loco Lauren-
tianis scholiis esse subiungenda, postea Laurentiana scholia proponere satis
habuit, quae deteriorum codicum et veterum lexicographorum ope correxit
passim et supplevit. digna erant quae novae editioni adderentur saltem tria
scholia codicis G haec.
Schol. Ai. 83: Aidupos ompuodra iv ppaaıv ‘&AX' obôt un lôn téAag’.
id fortasse, ut ait Dindorf, etiam in L fuit, in quo tres versus ita sunt oblit-
terati ut non appareat quid scriptum fuerit.
Schol. Ai. 581: oùx éoniv latpoÿ acgoU énpdats ypñodat To Tpalp.aros
non Tous deoutvcu. hucusque L. in cod. G (quicum cf. Suid. v. Spnvetv énpôaç)
accedunt haec: xai &v Llouaéor “Acyqp yap ÉAxos oUdèv oda) mou ruyetv’.
Schol. Oed. R. 750: Bad] idiws avrl ton <els). &v Aiypalwricıv ‘intoa
Baräs xudıxos Gore debtepa’. cf. Suid. v. Barai.
Ex Ienensi codice derivatum est scholion Ai. 277 ed. Erf.: äuonxes ro
auportawdev Nxovnpevov, Gonep xal Apiotopavns (fr. 921 K.) elnev ‘aupnxn
yvasov'. |
Inprimis vero memorabile est Schol. Oed. C. 1248, ubi verba extrema
xal ev ‘IAaarv AloyüAo «d'PTrat (finai ed.) pèv en rarpös a Laurentiano abesse
testantur Elmsley et Papageorgius (Jahrb. f. Philol. Suppl. XIII p. 436),
ita ut nihil tribuendum sit Dindorfio Schol. vol. 2 p. 59 contrarium asse-
veranti_ergo Aeschyli fr. 68 qua auctoritate nitatur nescimus.
Vides, ut opinor, idoneam esse cansam cur doleamus deteriores Sophoclis
codices ad locupletandam scholiorum syllogen uondum esse excussos. iam
praevertemur ad id quod nobis propositum est et quae in Laurentianis
scholiis a Papageorgio editis emendationem requirere et admittere videantur
paucis indicabimus.
Schol. Ai. 7 p. 2, 28 in verbis Homericis (Od. + 436) Iyw’ épeuvovtes
scripsit editor. codicis L lectio lyvn épeuvovtes, quae Odysseae libris haud
paucis commendatur, erat servanda?), praesertim cum Iyvıov substantivum
2) Similiter alibi poetarum versus in scholiis allatos mutavit pro suo arbitrio Papageorgius.
ita servari debebat redveıwros p. 114, 9 (quam scripturam Il. I 638 libri plerique tuentur), item
Kwöy ev c’ Elınov p. 160, 23 (cf. Il. T 288), dıacı p. 432, 8 (cf. Od. + 440), Avöpes nölewg RUpya
apnıcı p. 166, 6 (cf. Alcaei fr. 23), neque ulla erat causa cur Ltoupou yYövov p. 20, 12 in Ziobgou
yévos mutaretur secundum Eur. Cycl. 104, ubi rectius Itsugou yövov ex scholiis Sophocleis
recepit Kirchhoff. ceterum multi editores, dum vile istud emendationum genus sectautur, genui-
nas scripturas temere oblitterarunt. velut Walz Rhet. vol. 8 p. 769, 14 non retinuit quod codex
Rehdigeranus praebet Tpwoiv äux arsadaı, sed ex Il. E 428 emendasse se ait Tpwarv &p'
Mélanges greco-romains. T. VI, p. 24. |
(axxım)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 415
grammaticorum sit figmentum non concedendum nisi doctis poetis aliorum
errores male propagantibus. in Hymn. Merc. 76 Iyve' aænootpébac (pro lyvn
&roorp.) restituit Ilgen. item Od. + 436 Ixve' arootptba; requiritur, id quod
agnoverunt I. van Leeuwen et Mendes da Costa Il. N 71.
Ai. 17 p. 3, 22: np@ros dt Apywvoas (sic GF et Suid., apıywvöas L)
ounpayav ols "Hoaxdeidars nyayev eis "EAAnvas nv Tupayvırmv aaAnıyya.
Etruscum nomen requirens O. Iahn Philol. 26 p. 6 Tapxwvdas sorrigit ad-
modum probabiliter.
Ai. 62 p. 8, 6: nıdavev Ôt xal Toëto npospfioden, [va ötav elrn ñ Téx-
unooa mepl To xptoÙ, rpoërtotaupeda toto. eandem structuram habemus
in Schol. Ai. 401 p. 38, 18: xal Tata yprnoiuc xatæ TÔv yopöv, Îva Eri-
oravrar nödev N xatapyn Ts pavias. similes sive librariorum sive scholia-
starum errores cum alibi sustulerit Papageorgius, his locis consentaneum
erat Brunckii coniecturas rpoemorwpeda et eriorwvrar recipi vel saltem
commemorari. item dubitationi obnoxium est quod habemus Schol. Oed. C.
785: xal va n Onßn aBdaßns Éotar ix rabıns This Yi.
Ai. 100 p. 10, 11: Savévres Hin Tan’ apareiodtev önia] xa AG "Ta EUX
Epn, oùy ‘à det pue Aaßelv. indicatur his verbis Aiacem proprie debuisse non
«sua» dicere Achillis arma, sed «sibi debita, denegata .vero ab iniustis
iudicibus et Ulixi immerito tributa». ergo spectatur non id quod debeat
fieri, sed agitur de re secus quam fieri debebat facta. proinde corrigemus
oby & Eder ne Außelv. |
Ai. 148 p. 15, 9: obötv ëvéyupov els 5 ’Oduasebs mAatreta deudete
Aöyous. dubitari potest an nAdrre: scribendum sit, sicut votobode A6yous Yı-
Soouçs nAaccwv dixit Sophocles. manifesto vitiosum est &v&yupov, neque
enim stabilitur hoc loco inauditum adiectivum &v£yupos, de quo cogitavit
editor p. 491. potius obôtv éyupôv eldws scribendum (cf. Mélanges Gréco-
Rom. II p. 219). yvoun &opahet xal &yup& Schol. Oed. R. 51 p. 165, 27.
Ai. 204 p. 22, 17: ol rpè noAoD xndöpevor xal obyl vüv L6vov. aptius
erit obyl vüv np&tov. facillime autem pövos et np@ros confunduntur, quo-
niam idem est utriusque vocabuli compendium (x). sic aruAıda i. q. tpwTnv
ruAtda Polyb. p. 663, 2 ed. Hultsch., unde corruptelae repetendae sunt
quales indicat Cobet V. L. p. 122. œÿoùc in movoedoüc librarii mutarunt
in Plat, Phaedone p. 83 E (cf. quae dixi in Iambl. V. Pyth. p. 159). inpri-
mis vero cum loco de quo agitur comparandus est Plat. Criton. p. 46 B:
eonésdat, quam emendationem vel potius depravationem propagavit Spengel Rhet. vol. 8 p. 206
1. ex Od. + 589 quod affert Herodianus mept mov. Àëëewç p. 15, 18 räcı xar’ auyev’ Enkev in
räcı xar auxevac nes mutavit Lehrs, cui obsecutum esse Lentzium Herod. techn. reliq. II p.
921, 82 non miramur, quamquam iste saltem scire poterat favere Herodiani testimonium coniec-
turae ab I. Bekkero propositae räcı xar’ auyev’ ÉFaës.
Mélanges gréco-romaine. T. VI, p. 95.
418 A. NAUCK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8. ı
Ai. 810 p. 69, 7: öroı nep dv odévw clov ti npodunia; CUBE EAAEig,
xal ei (1. ei xal) To cupat àèuvar&. auctor huius scholii spectasse videtur
Aesch. Prom. 341: rpodupias yäp cuèèv eines.
Ai. 815 p. 69, 21 cf. Bergk Griech. Literaturgesch. III p. 377, qui ph
xaraxoAoudelv tot; npeofluytépou lyvearv scribi, voluit.
Ai. 912 p. 76, 13: r& nd’ voûto xat &AÂNns apyijs. potius ax &AAn:
apyñs expectamus, cf. Schol. Oed. C. 3 p. 395, 4: ap’ étépas aoyñs*).
Ai. 913 p. 76, 21: Guotpanelov qaoiv Attixol Töv duetaxivmtov ëv dc vh
n dadkoeı N gılapyupia, rev aurev 6 xal àtpanehov. dubito num recte se
habeat œquapyusia: neque enim video quo pacto in Öuorpaneio; adiectivo
avaritiae significatio inesse possit. temptabam quAaoyia. imperiosus appellari
poterat Aiax, quem avaritiae nemo unquam insimulavit. inauditum propemo-
dum atparero; adiectivum®). vide an &tpentev scribendum sit. paulo antea
ÖvarpaneAov to öpynpa ö:0bx euäaAdaxcov legitur in Lobeckiana Aiacis edi-
tione prima (a. 1809) p. 177, non debebat igitur öpynpa tanquam Bern-
hardii coniectura afferri.
Ai. 950 p. 78, 9: cix dv 1ad' éotn cix dv taÜta EnzayIm cütw un Icwv
BcuAcutvuv, Gore xal Taëta darı nocadoxäv mepl rüv Arzeıdwv. praetulerim
ürte xal ala Earı npowboxäv.
Ai. 1044 p. 82, 14: eis évavriohoyiav. verba ista, quac intellegi ne-
queunt, locum non suum tenent; referenda sunt ad versus praegressos (1042
sq.), quibus Menelai adventus a choro nuntiatur. auctor annotationis scripsit
sine dubio eis &vtiAoyiav. cf. Schol. Ai. 1052. 1093. El. 628. similes cor-
ruptelas notavi Mélanges Gréco-Rom. V p. 260 sq.
Ai. 1356 p. 94, 13: nodanös TK ion npèç Eydpoü; xal Ti «bros &xIn-
TELE Gervév, ÖROTE cûtuws Und vexpoü Nrrmaaı; vitiosum est rodanös, cuis:
requiritur qualis, ergo retaxés scribendum, quod praebet codex G.
Ai. 1359 p. 94, 24: mob, gel, ToüTo Audpwrwv WS Té XaTa xaıpev
neraßaddeodaı eis pıllav 7 eis ÉySpav. Papageorgius ws particulam delevit:
ego ws vo in ware mutari malim coll. Schol. Ai. 1406: <iv) xaup& Yap Han
xal roûto Worte anoAolcaı To ua xal xadäncı.
Ai. 1418 p. 96, 15: taÿta dt &uaœ Akyovres npontunouot Tév vexpôv xal
yiverar 86080; notnovox TO Acıbavw. saltem tofs Asubavcız dicendum erat,
sed probabilius arbitror tüv Aeravev: Ekodcv enim appellasse videtur in-
terpres quae vulgo éxpcpa dicitur.
ne © ee —
4) Quod Lycophr. Alex. 2 dixit, apxñs ar’ dxpns, praeter Eumathium et Christi patientis
auctorem repetierunt Theodorus Prodromus in Boiss. Anecd. vol 1 p. 482 et Ephraemius
v. 9528.
6) In Tes. Gr. L. arpareios affertur ex Iob. c. 89, 9. ubi novöxspws cd. Tischendorf, qui
infra textum atpaxehoc Movoxscws annotat.
Molauges gröco-romaius. T. VI, p. 98.
(zxxı)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO BDITIS. 419
El. 39 p. 100, 13: &tav oe 6 xarpds xxAñ. annotat editor axuıpös Y&p
xaket legitur in Phil. v. 466». frustra vero ad unum quendam locum revo-
catur tritissima dicendi forma, cuius exempla praesto nobis'sunt haec. Carm.
popul. in Bergk. Lyr. ed. quart. vol. 3 p. 659 et 660: xaipès ÔE xadel pn-
xem péAAev. Artemid. Onirocr. 2, 1° p. 84, 18: xœpèc yap xaket. Aristid.
vol. 1 p. 191: mvixæ 5 xatpôç xadoin: Iulian. p. 38 C: nel d à xaupds Exadeı
orpatebecdan. p. 88 D: el note xaıpös xal ruyn xadoin. Liban. Decl. vol. 4
p. 152, 14: öte xaıpds ini Östnvov Exdder. Achill. Tat. 1, 19 p. 58, 1: is
yap xıdapas auınv à xaıpds exadeı. Procop. Gaz. Epist. 161: ei xal pôc Toüro
xarpds Exadeı. Choric. pro mimis c. 11, 11: xaıpod xaAoüvroc. Eustath. Ma-
“cremb. 3, 5, 5: nötou yap exadeı xaipéc. 4, 19, 1: Ünvou Yap Exadeı xaıpös.
5, 10, 1: mörou Yoüv Exadeı xaipéç. 10, 16, 1: xadel xal deinvou xœpés. Tzetz.
Epist. 7 p. 10: xadet oe pövov cüyi abréc 5 xaupös. Schol. Soph. El. 1251:
orav EmTpérn 5 xapös xal zart. Schol. Soph. Phil. 125: &av xaıpds xaÀn.
Schol. Soph. Phil. 174: örmvixa xpeias xadtom xaıpös?).
El. 50 p. 102, 2: mSavév dt 16 ëv Duxidt avarpaptvia Ile aywvile-
dat. requiritur rıdavöv dt Töv Ev Duxit avarpapkvra (Aut &vaTtpepéevoy)
ra IlUda aywvileodan.
El. 86 p. 105, 6: xal taüta dt Depexpdrns napıpönxev. spectat scholion
al verba & dos &yvèv xal yfis loömomos np. utrum haec verba an etiam
quae sequuntur parodia expresserit Pherecrates, omnino ignoramus, nec video
quo iure v. 86—89 risisse comicum poetam Papageorgius affirmet. multo
magis miror quod de verbis xal taür« editor profert, sc. ut versum 2 Macho
apud Athen. XIII p. 579 a et v. 7 Agenis (fortasse «poela» excidit) ibid. p.
595 f. scholii verbis indicatur id quod Meineke dicit, etiam alios Electrae
Sophocleae versus parodia lusisse Pherecratem. similiter de El. 289: & Ôo-
Secv pionma, oo! pövn natnp TÉdvnxev, schol. annotant «xal raüræ Aproto-
pays nappönxev iv Inpurzön». videtur igitur, ut ait Bergk Com. 2 p. 1012,
etiam alia ex praecedentibus Aristophanes in suum convertisse usum.
El. 232 p. 115, 22: ävæpi9uos &de Spnvov' Ev tior xeltai “œvavopog olov
Gel verroukvn Ev œbtoïe xœl obnote ywple oboa tic Tüv daxplwv vous. ex in-
terpretatione «el veroptvn probabiliter Schneider lexicographus conclusit
&vævouo6 in &eivouos esse mutandum. diversam sententiam sequitur Papa-
georgius: évévouoc compositum est ex a (= obnote) et kvouoc (= ywois
oÙoa vie Tv daxplwv vous). patet vero évavouos istud, sive librariorum
errore corruptum est sive absurdam refert grammatici coniecturam, nec So-
6) l'ortasse eadem formula usus est Araros Com. 8 p. 276 (fr. 17 K.):
Enwc Où mv vunpnv, Eùv xatpèc À.
pEtéwpoy en: to Ve yoc avaŸnoets Pepwv.
ubi &xe5av xarpds N coni. Kuster, non minus aptum videtur drav xapès xx.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 99. 28
420 À. NAUCK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8.1
phocli posse tribui neque unquam in Graeca lingua extitisse. vitiosae autem
scripturae etymologiam temptare inutile est et absonum.
El. 278 p. 118, 4: ebpodo’ ixeivnv nplpav’ 7 eupoüca zöv nödov xal Thv
enduniav Ts yuvaixés ampaiver, clov nötws auımv Sewpuévn. ineptum est
Yewukvn: corrigas deyonkvn.
El. 335 p. 120, 8: and züv mleövrwv, où nat; mv Biav Tov avépuwv ox
avrioyovres quo Tov lotiwv. potius upäcı sé latiov requiritur, sicut LpN-
dev rd lotiov statim subicitur.
El. 445 p. 123,12: où der dè Gixpuviav doxetv elvar mpès röv"Opnpov —
fpxet yap Ta öde ouppuvelv za npayparı, Ta yap xara pépos éÉcuaiav Eye
éxaatos We Bouderar ToayuateboacIou. vitiosum est y&o altero loco repetitum: '
quivis facile intelleget & Ôè xat& pépes esse revocandum. paulo post (p. 123,
20) habemus haec: épépouv dt eig Tas pasydhas Ta &xpa, à xal macyaÀi-
gdar EAeyov. mire dictum est épépouv, cuius loco &ridouv scribi vult Blaydes.
vitiosum paoxalicdaır in paoyahoSva mutavit Suidam secutus Papageor-
gius: praestat uacyañio, quae Elmsleii est coniectura. denique p. 123,
23: ol poveudévroc ta &xpa Éteuvov (anÉtenvov?) xal repli tv pacydAnv autol
éxpemaGov aura, insolens est xpematew verbum, cuius exemplum in Thes.
Gr. L. affertur ex Ducae Hist. Byz. p. 72, 1 ed. Bonn. fortasse éxpéuuv
corrigendum. |
. El. 539 p. 128, 9: Aaußavovrai tives toù nemroü &x tüv ‘Ounpixüv.
recte émAaufavovtai zıves codex H (Laur. plut. 32, 40), ut coniecerat Heyne
ad Apollod. observ. p. 289.
El. 622 p. 131, 18: zoürto öporv Éœm ta ‘ed vov éniotw” xal ta éEñc.
Papageorgius cum traditam scripturam 1d eu vüv éniotw in T@ EU vuv Eniorw
Dindorfio auctore mutarit, debebat xal oT; és scribere, praesertim cum
ots éëñs in G legi testetur Dindorf Schol. vol. 2 p. 127.
El. 635 p. 132, 7: énel navoonpıa Éduov vols Seoïc. ita Corais, énirav
öanpıx cod. Laur. ravoorpıa« forma mihi ignota est: scribendum ravoonpiav.
El. 657 p. 133, 18: Cntodo: dia ti (Clytaemestra) evraüda tv oùx äp-
paives nepl rod ’Opkorou, Larepov ÖL roù ayykAou EAdövros palveraı epndonkvn.
bncéov obv örı vüv iv npoodoxüox abtév Mkovra Covra, Tore ÖL Mg Xatk dmo-
Yavovros rappnsıalerar &poßos yevouévn. in verbis vüv pèv — Lüvr« deside-
ratur verbum finitum, atque cbôèv mepl aurod apäta post Züvra addit G,
quod supplementum si non recipiendum, saltem commemorandum erat.
ncovra Covra in féetv Covta mutarim.
El. 691 p. 134, 23: Aue, dioxoy, üxovra, dpouov, naAnv, Tata Ev pu
us Nywvilero nuépa. editor apponit annotationem Dindorfii, qui verbis taüta
— vuépa, si elidantur vocales, trimetrum effici dicit (Schol. Soph. vol. 2
. 127). addi debebat vitiosum esse trimetrum, cuius quartus pedes est
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 30.
(XXX) | TRAGOEDIAS A PRTRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 421
spondeus. neque unum habemus trimetrum, sed duos, quos Dindorf in Schol.
Odyss. p. VII tales fuisse existimat,
4
nEvd’), &Aua dlaxov &xovta Öpöpov TaANY,
raûr’ Ev ud Ts NYWVLES" MLÉPE.
vitia metrica auctori versuum condonanda sunt, qui rectius poterat scribere
naAnv &xovta disxov KA xal Öpöpev,
rads” nuépa pu Ts NYWVICETO.
siniles versus habemus in Schol. Plat. p. 897 a 6 (cuius loci Dindorf ad-
monuit), ubi scribendum
ran oiyuvvos Aa Ölaxos xal Spöp.os,
nevradAos oÙTOS Tols veoıs Aywvia.
adde trimetrum ab Eustathio Il. p. 1320, 19 et Opusc. p. 60, 91 servatum,
&Aua naAn dtoxeuma xovrös (vel xovröv) xai Öpöp.og,
quem in heroicum versum mutare temptavit G. Hermann Opusc. vol. 3
p. 27. Cirxeu” ŒXWY TE xal Önöp.os coni. Tafel.
El. 732 p. 136, 19: guAakapevoc, pnei, tToûTots auumeooücıv EuLTegelv
Ev an abtov napxond. vitiosum arbitror zobrors, cuius loco aurct; praebet
Suidas v. reororäv. aptius iudico PuAakapevos, pnai, Td Tols auunesoüaty
Eeureoelv.
Clytaemestrae haec tribuuntur verba El. 781 sq.: &AX à rpootatüy
ypovos Sihye pe aitv ws Javouuévnv. mire dictum est npsotart@v ypôvos: quod
enim interpretes narrant, tempus praeesse rebus quae fiant, insigni cum
licentia fictum est ad explicandum locum qui intellegi non potest. aliam lec-
tionem spectare videtur quod in codice L adscriptum legitur 5 enıyevön.evos
vel potius (ita enim Suidas) 5 Erıyıvönevos. cuius interpretationis auctorem
legisse suspicor «AA u’ ourıwv ypôvos &tfjyev. |
El. 823 p. 138, 3: napaxexıvöuveunivo T@ Aödyp éypnouto, More xal
nepl Jewv uw eimelv xal 5Aws Aupıßaddeıv ei 5Awg Ev obpav@ eiciv. posterius
öAws delendum esse iudicat Papageorgius, ego prius öAws abesse malim.
El. 901 p. 143, 4: vewpn Bootpuyov terunptvov] Töv vewotl nprnpe-
vov, 7] Ex véou mıvös xal Wnav Eyovros véav. num sanum sit nprnpkvov, iure
dubitat Blaydes, qui terpnpe£vov vel xexapp.evov proponit.
El. 903 p. 143, 6: Juyi) auvndes öppa] ôpapa à dei Epavralöuınv xatd
Quynv. vitiosum est lemma ab editoribus praemissum: auctor enim huius
annotationis non legit épnaie ti por Quyñ abvn8es önpa, sed paopma. con-
funduntur ôppa et paoua item in Ai. 1004, et oxoux per pavtaoux expli-
cant Schol. Trach. 508 et Hesychius, sicut in Schol. Aï. 172 p. 17, 21
pavtæsuatuy deteriores praebent libri, gxouatwv recte L.
Mélanges gréco-romains, T. VI, p. 81. 28*
420 À. NAUOK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8. 1
phocli posse tribui neque unquam in Graeca lingua extitisse. vitiosae autem
scripturae etymologiam temptare inutile est et absonum.
El. 278 p. 118, 4: eüpoüc’ ixeivav fpéoav' 76 elpoüca zöv nödov xal tv
ertdupiav Tic Yuvamds ampaiver, clov nölws auınv Sewpkvn. ineptum est
Jewutvn: corrigas deyonkvn.
El. 335 p. 120, 8: and rüv mleovrwv, ol noës tv Biav Tov avépuwv cûx
avtioyovrez bqudor av lotiwv. potius üpuäot vo lotiov requiritur, sicut dpn-
œetv tè latiov statim subicitur.
El. 445 p. 123, 12: où der à Giapuviav doxelv elvar npôs Tèv”Ounpov —
npxeı yap Tù öAa ouppuvelv Ti nodypatı, Ta yap xata Epos ÉÉcuoiav Eyei
exaaros ws Boukerar npaypareboacder. vitiosum est yap altero loco repetitum: '
quivis facile intelleget 7& dt xat& mépos esse revocandum. paulo post (p. 123,
20) habemus haec: &pöpouv dk eis Tas paoyddas ra äxpa, à xal nacyadi-
oda: Eleyov. mire dictum est &pöpouv, cuius loco étiSouv scribi vult Blaydes.
vitiosum paoxalicdar in nacyalıcdijvaı mutavit Suidam secutus Papageor-
gius: praestat pacyadicaı, quae Elmsleii est coniectura. denique p. 123,
23: oO poveudévroc 7a &xpa Ereuvov (anktepvov?) xal nepi tnv LasyaAnv autoü
éxpémaGov aura, insolens est xpepalev verbum, cuius exemplum in Tlıes.
Gr. L. affertur ex Ducae Hist. Byz. p. 72, 1 ed. Bonn. fortasse txpipwv
corrigendum. |
. El. 539 p. 128, 9: Aaußavovrai mves Tod nemrou x av "Opnpixüv.
recte emAaußavovrai mives codex H (Laur. plut. 32, 40), ut coniecerat Heyne
ad Apollod. observ. p. 289.
El. 622 p. 131, 18: zodto önoröv darı To ‘ed vOv émiotw” xal Ta Ebikc.
Papageorgius cum traditam scripturam 5 el vov éniotw in z@ EU vuv Eriorw
Dindorfio auctore mutarit, debebat xal votç éEñc scribere, praesertim cum
rots &éñs in G legi testetur Dindorf Schol. vol. 2 p. 127.
El. 635 p. 132, 7: ëénel navoonpıa éduov vols Yeotz. ita Corais, Erinav
öorpıx cod. Laur. ravéoxpx forma mihi ignota est: scribendum ravoonpiav.
El. 657 p. 133, 18: Inteün ia vi (Clytaemestra) &vraüde ptv oùx £u-
paives nepl toù "Opéotou, batepov SL roù ayyldou EAdövros palveraı epndoukvn.
pnréov oûv Gt vüv pv npoodoxüce aurdv MEovra Lüvre, röre ÖL WE XAT& ATO-
Javovtos rappnoidletar &ooßos yevopkvn. in verbis vüv èv — Lüvra desidc-
ratur verbum finitum, atque cuötv nepl auroü apäraı post (üvra addit G,
quod supplementum si non recipiendum, saltem commemorandum erat.
Néovra Lava in fée Züvra mutarim.
El. 691 p. 134, 23: &Aua, dioxoy, &xovra, 6pöpov, TaANV, TAUTa Ev qui
as Nywvilero nuépa. editor apponit annotationem Dindorfii, qui verbis taüra
— uépa, si elidantur vocales, trimetrum effici dicit (Schol. Soph. vol. 2
p. 127). addi debebat vitiosum esse trimetrum, cuius quartus pedes est
Mélanges gréco-romains. T, VI, p. 30.
(XXXIM)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 421
spondeus. neque unum habemuvs trimetrum, sed duos, quos Dindorf in Schol.
Odyss. p. VII tales fuisse existimat,
Cd
(rtv), &Aua Ötaxov &xovtæ Öpöpov raANY,
rar Ev pui T5 nywviled” Ynepe.
vitia metrica auctori versuum condonanda sunt, qui rectius poterat scribere
naAnv &xovia Öloxov dlue xal Öpöpov,
rad” nuÉpa prä T5 Nywvilero.
similes versus habemus in Schol. Plat. p. 897 a 6 (cuius loci Dindorf ad-
monuit), ubi scribendum
RAÂN SÉYUVVI AUX Oiaxoc xal Gpôpos,
nevradAoz OÙTOS Tolg veoıs Aywvia.
adde trimetrum ab Eustathio Il. p. 1320, 19 et Opusc. p. 60, 91 servatum,
Aa nein dioxeupa xovrds (vel xovröv) xal Öpör.os,
quem in heroicum versum mutare temptavit G. Hermann Opusc. vol. 3
p. 27. &ioxeup’ &xwv te xal Soôuos coni. Tafel.
El. 732 p. 136, 19: QuAakapevos, noi, toûtois auumeooücıv Eurecelv
te Am aurwv napxonä. vitiosum arbitror tobtouw, cuius loco a«urct; praebet
Suidas v. neoonäv. aptius iudico puAxkauevoe, Pal, Td vols oœuprecoïatv
euneoelv.
Clytaemestrae haec tribuuntur verba El. 781 sq.: GA 6 npootatüv
ypovos GLyÉ pe’ aitv os Iavounkvmv. mire dictum est npsoratav ypovos: quod
enin interpretes narrant, tempus praeesse rebus quae fiant, insigni cum
licentia fictum est ad explicandum locum qui intellegi non potest. aliam lec-
tionem spectare videtur quod in codice L adscriptum legitur à enıyevöpevos
vel potius (ita enim Suidas) à éreyivémevos. cuius interpretationis auctorem
legisse suspicor @AAa p’ oumıwv ypôvos &rfyev. |
El. 823 p. 138, 3: napaxexivouveunéve T@ Aöyp Éypnouto, Gore xal
nepl Hewv rı einelv xal GAwe aupıßardeıv ei öAwg Ev obpavÿ eiiv. posterius
Aw; delendum esse iudicat Papageorgius, ego prius öXws abesse malim.
El. 901 p. 143, 4: vewpn Béotouyov terunpevov] tv vewori nprnpk-
vov, N Ex véou mivös xal Wpav Eyovros véav. num sanum sit npTnuévov, iure
dubitat Blaydes, qui tetunpévov vel xexapp.evov proponit.
El. 903 p. 143, 6: duyñ obvndec öppa] épapa 5 aei Epavratopnv xatà
duynv. vitiosum est lemma ab editoribus praemissum: auctor enim huius
annotationis non legit epraieı ti por Quyñ obvndes Gp, sed pxope. con-
funduntur öppa et paoux item in Ai. 1004, et oaoux per yavızana expli-
cant Schol. Trach. 508 et Hesychius, sicut in Schol. Ai. 172 p. 17, 21
gavsacp.arwv deteriores praebent libri, pxop.atwv recte L.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 81. 28*
422 A. NAUOK, DE SOHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8.1
EI. 1078 p. 149, 9: npövorav chx Éyouox Toü un anodavelv, 5 éotiv
apubouoa hic ldiuc TÜûync xal bubouvôuvoüsx. dudum Heath et Brunck is
Bias Yuyñc restituerunt?), quam emendationem recipere debebat Papa-
georgius. manifesto scholii auctor respexit El. 980: Juyiis ayeıöngavee.
El. 1257 p. 153, 24: zory&p oùv owLou öde] nolov; Tö ékeudepootopety"
zoryap ouv avtéyou vis éAeudepoorouiac. interrogativum rolov in scholio ferri
non potest; scribendum esse olov ré &Xeudepoarouetv recte iudicat Ad. Michaelis.
El. 1344 p. 155, 18 (ubi agitur de verbis &ç Ôè vüv Eye xaÂGç ra xei-
vuv ravra xal ra pn xx): xal ra un xadis &AÂG xaxüis aol Eyovra
xal alta vüv allg Eye, éme cbölnW Tiuwpias tuyydvouaiv ämep Aeyöpeva
npèc &xpov karl napokuvrıxa. dum ab aliis edocear quid roos &xpov sibi velit,
requiro rpdg Épyov (i. e. ad caedem perpetrandam).
El. 1384 p. 156, 10: [de9’ ömor npovkueran elseAnAüdaoı mtv évraüda
ol nepl’Optormv xal IluAdönv, voùro ÔE roi ö yopôs pnol xai (ita cum G legen-
dum) is "HAËxtpas ouveroeidouong aurols [xai 16 Were npèc aAANdas paalv
al cu xopoü] I te EEw obca ñ "HAëxtpa Akyeı mpèç Tôv yopov ol; Lo ari-
jous xal obrws eiskpyerar. aliena sunt ab hoc loco verba uncis inclusa xai To
dere — yopod, quibus nihil novi affertur, sed inepte repetuntur quae modo
rectius dicta erant. tum offensioni est 7) ötı, nec potest admitti quod Wolff
de Soph. schol. p. 262 proposuit fre Éw cüca, sed restituendum ÿ Erı Ekw
ovoa ÿ "HAËxtpæ. eodem vitio laborat Schol. Oed. R. 89 p. 168, 10: örı
aoapñ zov Aöyov elnev, te akıol aurou Toù brroü axoücaı. ubi posterius örı
abici vult Papageorgius, rectius ét a&ıcl scripsit princeps editor.
El. 1391 p. 157, 14: évépwv 0 &pwyôs fra Too Ayauéuvovos 7) Tüv
{doviwv Jewv Bondös, 5 éonv unnptrıs. corrigendum ünnptrng. quod enim
antea dubitatur, verbis évépwv doArönous dpwyös utrum £rvüug indicetur an
Sainmv ms amdüs Bondds vexpwv an "Opéornc, ista dubitatio non sufficit ad
tutandam ürnpéti formam.
El. 1395 p. 157, 20: à ‘Eppñç aurôv &yet mpôç auté To Tepua xataxpÜdas
axörp ev Un” albrod yivémevov 8öAcv. Graecum erit vpatvémevov ÔéAov. ex
bpauvépuevoy facile oriri potuit parvcnevov, ac saepissime qaiveodau in yiyvecdat
a librariis mutatum est, cf. Thucyd. 4, 27, 4. Clem. Alex. Paed. p. 210
(vol. 1 p. 274, 10 ed, Dind.). Niceph. Greg. Hist. Byz. 13, 2 p. 638, 6.
hine &paivero reddidi Porphyrio de abst. 4, 2 p. 230, 10. épuvéunv revo-
candum in Soph. Oed. C. 272, gaiveraı in Eur. fr. 457.
7) Saepissime confundi ruyn’et buyn nomina satis est notum. cf. Schol. Soph. Ant. 1074 p.
268, 14: wç xat td 'swräpt Vuxÿ”, ubi dudum swrägı ruyn coll. Ocd. R. 80 restitutum est. Philon.
Jud. vol, 2 p. 889: Aufôvres cixtov Tüv Entaxotwv, to tüc Puxnis (1. Tuxns) Köndov xat arex-
Kaptov xatubeadevres. .
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 32.
(xxxım] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGBORGIO EDITIS. 423
El. 1404 p. 158, 6: Bowong tv th évarphou Kiurzuunorpas axoler 6
Jeartns xal évepyéatepov vd npäype yiveraı dh 60 AyyEAou amparvönevov.
genuinam lectionem évapyéotepoy servavit G.
El. 1417 p. 158, 18: éneképyovtæ éœutoic. inauditum est istud dicendi
genus. œùtous corr. ed. Rom., fortasse «brot; praeferendum.
El. 1439 p. 159, 12: mpèc rev &vôpæ ouppépor (dv) Toüroy Ws npèc vh-
rov EVVÉTELY OA VE dd Tod wröc, önws [dv] anamdels eunkoor ele Tv ayova
ris dixns. quod post aup.ptpoı Papageorgius addidit &v necessarium esse nego,
atque ipse editor toleravit eandem structuram alibi, velut Schol. Ai. 76 p. 8,
18: obtw yap apaıpedein The Tpaypias ro déiwpe. Oed. R. 175 p. 174, 1:
&AAov in’ AMY Bots axcdmoxovta. Oed. R. 203 p. 176, 3: BouAoiunv dt xal r&
où BEAN, w’AnoAAov, ra adapnacıa xatoauepiteoda. Oed. R. 216 p. 176, 15:
y O8 aitels &AxNnv Adfotc XAVÆXOUDITIV TÜV XXXGV, ÉGV JEANS ta EMA TN ÔE-
jeodar. Oed. R. 498 p. 186, 21: yévorro pv yap Ti xard œUveorv Erepcs
ertpou nponxwv. Oed. R. 503 p. 186, 27: &v ti aroyaleodar &AAoG &AAov
rapeAdor xal vixnoetev. Oed. R. 857 p. 195, 12: éyù yapıy wis pavrelas
oùte in’ Exelva Ta fmpara obre radra BA oute Éxatéporc moreboauut, &AN
ænop@. non magis assentior editori &v particulam quae sequitur delenti: me
iudice önws; dv anammdels eurtocı ferri potest; si tamen improbanda sit ista
structura, nihil obstat quominus önws dv anammdels &unkon (sic G) prae-
feramus.
Oed. R. 34 p. 164, 16: Ev te Önövwv auvaddayals' xal Ev Taïç npèç Tô
Yelov xotvoviats xal quite. malim épuäias cum Suid. v. cuvaAayats.
Oed. R. 38 p. 164, 27: neoutreder 0 ñ EE 9 N Uno. dixit poeta xal taü9”
up’ nu@v obötv fes nAtov, ubi dici poterat nu@v clöLv eidg mAtov, ergo
redundare videtur utraque praepositio. itaque corrigendum reprrreücı Ôù »
6 xal ñ Uno.
Oed. R. 46 p. 165, 18: It oiv xal eNaßndnm pin Tnv Tpoündpyoucav
Soéav int th ebmotix œnoAËon. ordo verborum perversus: scripserim ph nv
npoUnäpyourav ni th ebnotix Sökav anoAËNs.
ibid. p. 164, 24: éxoov oùv, onoiv, axkpaıov Tv npoyeyevnuevnv ou Do-
av, [va aurd toûto Akywpev, OT! en Oidinodeg ts Zpryyôc anadlaykvres £v
euöig yeyövapev. sphinge liberati sunt Thebani non en! Oidinodoc, sed und
Olßirodoz. Ä
Oed. R. 80 p. 167, 13: slde oùv napayévorro Kpkwy Eri tv owrnpip
zoyn Aaprpôc, bonep Ex Tic nepl TO Tposwnov xatastaoewc PaLdpög Éd.
Creontem Delphis reversum conspicatus Oedipus his putatur uti verbis:
ei yap Ev TÜN YÉ TH
cutipt Bain, Aa TPpÈS wonep Ua.
sententiarum nexui parum conducit Aaprpds &onep ôuuat, quoniam hilaris
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 33.
424 A. NAUCK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [n. 8. ı
vultus notio requiritur, splendor autem oculorum etiam ira augetur. itaque
patdpès Gonep éuuan a. 1866 in Oed. R. quinta editione Schneidewiniana
praeferendum mihi videri dixi nimis, ut opinor, timide. postea Aaumpés et
paÿpés adiectiva confundi ostendi ex Orac. Sibyll. 5, 420:
patôpotépav &atpwv te xal Alou NEL aeAnvng,
et Lactant. Inst. 7, 24, 6 (ubi idem versus affertur): Aaunpotépav &otpwv
(Te) xal nAiou not seAñvns. iam addo coniecturam de Oed. R. 80 a nobis
propositam confirmari apposito supra scholio, cuius genuina forma absurdo
emblemate oblitterata est. coniunguntur hoc scholio Aap.rpö;, quod in libris
traditum est, et qæuôpés, quod mihi placuit. atque eo quo referri debebat,
relatum est paröpös: Aaurpôs inepte verbis ini tin owrnpip zuyn adhaesit.
dubitari non potest quin Aaurpös interpolatori debeatur, qui corruptam
librorum nostrorum lectionem ante oculos habuerit. excluso isto additamento
habemus lectionis a me restitutae interpretationem aptissimam: elde cüv na-
payévorro Kptwv Ent tin swrnpip Tuyn, Waren x Ts mepl T0 mpéwrov xata-
aracewg Yaröpö; kam. ceterum ex hoc scholio etiam alia emendatio prodire
videtur: in Sophoclis libris perhibetur &v züyn, rectius Er! zuyn scribemus.
Oed. R. 93 p. 168, 21: rüvde yap nAkov péow Tö nevdos‘ nepl Toûtuv
nAtov Aywvilopaı ñ nepl this émautoü Qu/ñs. emendandum esse mAtov &yw-
vo vidit Wecklein.
Oed. R. 101 p. 168, 26: ws 16% alua yeınalov nov] ArtıxWs avıl toù
alnaros xemalovros tv nédv, Akyeı dt où Aalsu. aut (rö> roü Aalou cum
Elmsleio aut tè Aalou scribi necesse est.
Oed. R. 109 p. 169, 3: öuortxuaptov] duoxatépyaotov, duaßnmeev,
Öugeuperov, Öuaxardanntov. ferri non potest Suoxarkoyaatov, requiro duaei-
xaotcv, unde duoxateixactov facile oriri potuit propter insequens duoxata-
Anntov adiectivum.
Oed. R. 130 p. 170, 11: n oplyé nvayxalev nuäs, pedevras Tô axomeïv
Ta xarı TOY pÜvov, Ta npö; noalv Apavii Inteiv, rourtor: Ta [apavÿ] aiviypara
Gntely ra napaxeineva uiv. quod uncis inclusi &pavñ expungendum censeo
ut ex praegressis verbis t& rpös nooiv &pavñ repetitum. napaxsinsva in npo-
xeineva mutandum.
Oed. R. 198 p. 175, 22: el mn vuk ayadov xaradeine, ToUto ëv NÉ?
avarselrat. BobAetar CE Akyeıv Gti Ta xaxa adaAermrov Eye. Dindorfio debetur
xaradeineı, ubi xaradeineraı praebet L. aœæAentov in Arien mutari
iussit G. Hermann. utramque emendationem codice Vindobonensi 281 con-
firmari docuit Heimsoeth Xrit. Stud. p. 361.
Oed. R. 255 p. 178, 8: un JenAarov] ciov ywpis ws Bondeixs. lemma in
edit. Rom. appositum non debebat repeti: verba enim ciov ywpls ts Ben-
Mélanges gréco-romains, T. VI, p. 84.
La
(xxxı)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGRORGIO EDITIS. 425
Yeias spectant ad axadaprov v. 256 (250 meae edit.), quo relata sunt ab
Elmsleio.
Oed. R. 460 p. 184, 24: nv aurnv oneiowv Yuvatxe. interpretationi isti
consentaneum erat lemma praefigi non öpöcnopos, sed quod Bothe Sophocli
reddidit öpsoröpos.
Oed. R. 511 p. 187, 12: 7@] Aeireı 7d évexe. haec qui scripsit, non +
an tnäc, sed rwv an’ tuäs legit.
Oed. R. 607 p. 189, 4: orı xal aurd; Töv Enauroü xaranmpioona Yava-
zov. articulum rôv delendum esse nemo facile negabit.
Oed. R. 626 p. 189, 20: ösov nxev els int alas Boufeton.an. Nxov scrip-
sit Papageorgius; si mutatione opus sit, utique praestat quod Brunck com-
mendavit Nxeı.
Oed. R. 640 p. 190, 3: duotv anoxpivas] Ev tv duo romaaz. ut alibi ita
hoc loco fraudi fuit scholiorum editoribus vitiosa codicum Sophocleorum
scriptura. corrupta leguntur poetae verba hunc in modum:
ömaune, deva u Oldinoug à ads nôats
Öndoaı dxarot, SuoTv amoxpivas xaxalv.
palmarem emendationem Dindorfii Jartesov duolv xaxotv confirmat interpres,
cuius verba attulimus. itaque scribendum erat:
paca Yarepov duotv] Ev twv dlo morfjcat.
Oed. R. 649 p. 190, 8: xadüs to Jeinoas' roAAaxıs Yan in! Tate opyals
perayvovai mis [opeilwv] aldobpevos éuuéve Tol; éuapthuaov. abesse malim
opeilwv participium ut omnino inutile.
Oed. R. 677 p. 191, 21: nis épcixs doing, Mv nal nowny elyov nepl ine.
praeferendum, ut opinor, mepi &woü.
Oed. R. 766 p. 193, 18: napestıv] olov vopıLe aurdv mapelvat. impera-
tivus vöpıle ferri vix potest: requiri arbitror quod in quarta Oed. R. edit.
Schneidew. reposui vopilw, quamquam interpretatio ista improbanda est.
Oed. R. 777 p. 194, 2: Eder yap npöc To ob pv dxolaavre ds eln vo-
Jos Iaundlev, ch nv Toaoürtov poovtioat Tol rpayparos. verba npôs To oŒb
quid sibi velint non assequor: acris enim auditus notio, de qua cogitabat
Papageorgius Ind. p. 511, ab hoc loco aliena est. habebimus quod intellegi
possit, si scripserimus &der yap rapaurixa pv — Yaupaleıv. quod in Lip-
siensi editione Elmsleiani scholiorum exempli legitur roö5 ou ex typographi
errore repetendum est.
Oed. R. 789 p. 194, 8: &rtıucv] avnxouotov' mepl &v yap antiAdev oùx
elnev. ineptum &nnjAYev in ErfjAYev mutavit Brunck.
Oed. R. 873 p. 196, 7: da Tic ÜBpews qÜetar xal avaveodtzı à TUpavvos
<xaly örav, pnai, ro À& dtanpakntar, tote eis pe ya éprirre dix The Üßpews errap-
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 35.
426 A. NAUOK, DE SCHOLIIS IN SOPHOOLIS [N. 8.1
Jets. post Tüpavvos ex deterioribus libris et Suida xæi particulam inseruit Papa-
georgius: fortasse & praeferendum. ibidem p. 196, 14: Lßpis queues TÜüpav-
vov, &rörav noÂAGv üneprAnodn army & éon an énixepa unöt éauT Éxeiv
oupotpovta. vix credibile est éxut® potuisse servari, ubi at dicendum erat.
Oed. R. 924 p. 199, 7: &yyeAoc] Sepanwv TloAußcu. accessit hoc scho-
lion in Papageorgii editione, ubi continuo haec accedunt quae iam nota erant:
Ipyerar &yyelos and Kopivdou anayyéAAwv zöv davarov IloAüßou xt. tam in
lemmate quam in scholio expungendum arbitror &yyeAos nomen, ita ut
restent haec: Yepanwv TloAußou éoyetar and Kopivdou anayylidwv zöv Sava-
xov IloAUBou xte.
Oed. R. 943 p. 200, 3: aoptvus axnxoe tic Tod Savatou aùroë, (va
mœhiv avarplim ta pavreüuata. inexplicabile est vis: quod enim Elmsley
et Papageorgius intellegi iubent @yyeAia;, non video unde peti possit. item
molestum est et ineptum auroü, quae dittographia debetur Javarou nominis
clausulae. scripserim &optvws axnxoe Tè toù Javarou, (va xti.
Oed. R. 961 p. 200, 18: n tuxoüca npögaoız ebapxel Gore T0 raladv
ap ébeveyxetv 509 Biou. constanti dicendi usu requiritur é£ayayetv.
Oed. R. 970 p. 201, 5: 5 yap IlöAußos za nmaÂaià Seoniomata, noi,
naparaßüv unôevès Aka xetat mapè zo "Ardn. parum credibile mihi videtur
quod editor annotat, ra«Aaı« sumptum esse ex schol. v. 906: œSivowta yap'
al roù ralarz, napeAnAudöra. immo vero ralma Jeotiouara aptissime
dicuntur oracula quae in poetae verbis absurde appellantur rapovra Seo-
rionata. ex scholii interpretatione apparet id quod vel sine isto adiumento
quivis poterat assequi, vitiosum esse ra»aövra. reddendum esse poetae T& yap
ytpovra œuAlafwv Seoriopara sagacissime agnovit F. G. Schmidt Anal.
Soph. et Eur. p. 28 sq.
Oed. R. 1056 p. 202, 24: auvinawv Hön To näv ñ loxdorn xal SéÂe [non]
kaurmv Ötayeıpmoaoda mplv éxmuata yevkodar Ta xaxa. bis deinceps positum
non ferri nequit, nec tamen delendum arbitror non secundo loco adhibitum.
sufficere videtur facilior medela, xai IEAcı dn éauthv diaypnoacIau. Giayon-
cuoJai enim malim quam êtæyetpioaoda hoc loco sicut Schol. Ai. 657 p. 57,
5 coll. taypitat tauröv Schol. Ai. 646 p. 55, 22.
Oed. R. 1070 p. 203, 4: yaipetv] tpupäv xal évafpüveodat. nemo un-
quam yaiperv verbo admovere potuit quas hoc loco habemus interpretationes.
scribendum erat in poetae verbis et in scholio yAıdäv. cf. quae dixi in Herm.
Berol. vol. 10 p. 126.
Oed. R. 1113 p. 204, 18: ode Tavôol Eumperpos‘ To Kopvdip dufjkık
[xai cos éoti xara mv nAtxiav]. verissime Herwerden Oed. R. p. 164 ex-
pungit quae inclusi verba, liberans vetustum scholion importuno recenti-
orum interpretamento, quod ferremus, si poeta ipse öujAı& adiectivo esset usus.
Mélanges greco-romains. T. VI, p. 86.
(zxxun] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 427
Oed. R. 1374 p. 210, 8: ayyovns énixpatéotepa, &nep cux nv läcden
ounE &v Savary. corrigas oböL Javatw.
Oed. R. 1396 p. 210, 15: ürouXov] ürortov. digna erat quae commemo-
raretur coniectura Meinekii (Oed. Col. p. IX) ürörvov. |
Ant. 75 p. 219, 10. laudatur sententia Antigonae dicentis longius
esse tempus per -quod inferis (Tel; xatw) quam per quod superis (tols ëv-
Saÿe) placere debeat. yevvalov xal toüro sis Unodnxa; auvreAoüv tic pet
raura intönpias (anoönnias Papag.), örı der ed tideoda epvnmévov Exelvou
no ypovcu xal örı del Aöyov Umoayelv xarw. restituere haec verba fortasse
alii poterunt: probabile mihi videtur corrigendum esse &xeivou oU ypôvou
ôte del Aöyov uroaxelv x&rw. accedunt haec: ineußtßAyraı dE taüta (malim
rotadta) Tel; mompaoıv cux œyptiws eis ebatßeray nporperöpeva. nisi fallor,
scribendum oùx &ypeiws (ws) eis euotßerav npotptrovre.
Ant. 88 p. 220, 7: Sepunv éni duypolor xapdiav Eyeıs] ènl dduvaroıs
veavieun xal Enl anÿéot téprn Tv Yuynv. diversae proponuntur verborum
Sophocleorum interpretationes, itaque xœi in n mutandum, quod vidit A.
Pallis. contrario vitio laborat Schol. Ant. 212 p. 229, 3: Àeire 1d un
Yarrzeıv 9 (l. xel) Serre. nimirum poetae quae perhibentur verba, col zaür’
aptoxeı Töv Tide Suovouv xal Tôv euevij node, ita explicantur ut ad Sücvouv
suppleatur un Santev, ad esbuevñ contrarium Yarteıv. habes artificium
Alexandrino grammatico haud indignum.
Ant. 94 p. 220, 19: npès vo tj dixn antydeodaı xal ro Javövı Öuc-
pevns Em. veteres scriptores praesenti utuntur &reydavopar; novicii inde a
Theocrito haud raro artydopa: dicunt (cf. quae attuli Mélanges Greco- Rom.
IV p. 321). itaque accentus artyYeodeı, qui in codicibus regnat, merito
mutatur in proborum scriptorum exemplis, non debet abrogari scholiis.
Ant. 131 p. 224, 5: nat dintel mupi tp xepauvp T Avwdev naA-
Yeyrı. vide an BAndévu scribendum sit: mihi saltem raÀSeis forma ignota est.
Ant. 156 p. 227, 6: Kptwv 6 veworl [xaivès] Bœarhebc this ywpac Yevo-
pevos. inutile istud xavds interpolatorem redolet.
Ant. 241 p. 230, 7: xamogapyvusar xüxAp] xuxip oeaurév dayadikn N
aurnv nv rpäkıv. quantum scimus, xanopapyvuoaı Dindorfii est emendatio:
codices praebent x&r>ppxyvucaı, quod ipsum scholiastae relinqui debebat.
vice versu xatappaxtos p. 261, 24 edidit Papageorgius, cum in poetae ver-
bis (Ant. 957) xatapapatos praebeat L pr. m.
Ant. 260 p. 231, 9: ënel &x ddoyris al quAaxal yivovrar, NTopoüpev
eis nv Tivos QuÄlaxnv Eyeyöver. ınirum est Yivovraı praesens, &yivovro proba-
biliter corrigit A. Pallis. nv articulum delendum suspicor.
Ant. 528 p. 243, 7: &s yao n veptAn otuyvhv xal duuyidon Tv Ypkpav
norel, ourw xal tœbrnv (Ismenam) dtadnAov anal yiveodaı tal; ppt auvo-
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 37.
428 ‘A. NAUOK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [x. s. ı
ppualoucav xal té npécwnov aruyvöv xal xamnpeotepov nemomxulxv. satis
notum est ouvwppuwukvos, at œuvopoualev verbum quorum scriptorum usu
commendetur ignoro. hoc saltem loco nulla erat causa cur sperneretur quod
L praebet ouppopaloucev. cf. Diogenes Epist. 39, 1: n ydp Juxn ws Tevav
naixüv arodsmopkvn oupporater xal era dyImoovos TON: amoAleran.
Esaias c. 13, 8: oupapopaaouorv Erepos mod Toy Erepov xal ÉXOTNOOVTAL.
Pseudo-Callisthenis 1, 24 codex A: is oùv "OAuunızdos ouupapalcuons ni
ro ouußeßnxör.
Ant. 542 p. 243, 27: &v zobpyov] avi zoü up’ av 6 Enyov ninsaxtan
aitiov. retinuisse Papageorgium vitiosum extremi vocabuli accentum mi-
rum est, praesertim cum aitıwv in L legi annotet. œitiwv scripsit, ut par
erat, M. Schmidt. |
Ant. 561 p. 244, 21: «nv ‘lounvnv (amentem dicit Creon), ötı <ei xxi> un
duvepyäoato pinzer Éauthv ei; xivöuvov. supplementum editoris incertissimum
ac vix probabile. fortasse ötı un ouvetryæouévn praeferendum.
Ant. 599 p. 246, 17: vô dt Asyönevöv katı ToloüTo, vÜv Yo önen ÉTÉTET
Cow, anal, xal owrnpia &v als olxas TU Oidin2doc éoyatn; unto dilns —
Yavaros xatakaufave. po; addidit Papageorgius: probabilior videtur ratio
a M. Schmidtio inita, önep ététaro pacs xal awrmpia.
Ant. 696 p. 251, 16: dia toûtuv UnepamoAoyeltar tie xôMmS Unepeu-
noends Th more mepidel; Tôv Aöyov. lexicis illatum est Unepeunzerd; adver-
bium ex uno hoc loco, ubi dubitari non potest quin eunzerö; revocandum
sit. praefixum enim ünt> debetur praecedenti verbo bnesamoloyettou. .cf.
Soph. Ai. 387: & Zeü, mpoyövav rpondrwp (raten restituit Triclinius).
Arcad. p. 103, 3 sive Herod. techn. ed. Lentz. vol. 1 p. 305, 10: rè &
avappön mapokuverar xaitcı and su po, xal To avaéaun and Toü àvabeouss
(1. Seoués). Phot. Lex. p. 141, 3 et Suid.: xataruywv' xataceAyaivov (1.
GoeAyaivwv). Synes. Epist. 154 p. 291 D: Erawvel mv QrAcaopiav ws QrAoco-
awrarnv (l. sopwrarmv) alptsewv. adde quae dicemus de Schol. Trach. 614.
Ant. 711 p. 251, 26: toïro dt (sc. Tö mavdaveıv nöAA” æisypév oUdkv)
max ZoAwvos (l. mapk té LoAwvas) ‘ynodsxw 8 aisl mavıa Ötömaxöpevos”.
mavra etiam Tatianus Orat. ad Graec. c. 35 p. 37, 18 ed. Schw. praebet,
quae scriptura non pluris facienda est quam quod apud Psellum p. 14 ed.
Boiss. extat «el xaiva Oiarxômevos. noAAd in Solonis versiculo non solum
testimoniis munitur plurimis, sed maxime commendatur sententia, cf. Eur.
Hipp. 252. Trag. adesp. fr. 509, 3. Men. mon. 449. nec dubito quin Soph.
fr. 603 yüpas Giddoxe noAAd (pro xavra) restituendum sit, sicut in Soph.
fr. 855, 2 navtwv ovouatuwv praebet Stobaeus, genuinam scripturam roAA@v
ovsuarwv debemus Plutarcho. adde Eur. Hel. 425: yuvalxa nv xaxüv ravrwv
épol &pkaoav, ubi xax@v noAA@v kpol daynyöv expectamus. |
Mélanges gréco-romains, T. VI, p. 88.
(xxxım)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 429
Ant. 742 p. 253, 1: da dbeng kav] Eixaaapevos, dixaooyoumevos,
rappnyotalöpevos. quis non expectet dıxalönevos?
Ant. 781 p. 254,8: vo 88 épäv mAouaious £yer' xal n Tapomix «ev nANs-
povÿ wor Künpis, ëv nerv@ot Ö' ob». quamquam sw: pe Eyeı recte dicitur, ta-
men vo épäv nAougious Eye inusitatum est dicendi genus et incredibile. scri-
bendum suspicor ré dt éoäv nAoueious Akyeı xai n napsımiae. cf. Athen. V
p. 214 A: tv rapouiav nv Atyouoav apın aD! méyaipave.
Ant. 815 p. 255, 21: Asiner Supats 7) xoitaic. lemma quod Papageorgius
his verbis praemisit, émvumpiôtos — Ünvos, facile apparet non magis ferri
posse quam quod in Elmsleiana editione habetur Ayépovr. scholiastam
legisse er! vuppeius, poetae reddendum esse éni vuuyeias coniecit Bergk,
a quo in eo discedo ut in scholio éri vuppeite] deiner Jüooi 7) xoitaic scri-
bendum arbitrer.
Ant. 955 p. 261, 28: tv deauôv dt ris aunéhou netpwôn elmev œvrti Toù
[rèv] isyupév. uncis inclusi articulum öv ut delendum.
Ant. 981 p. 264, 14: us && émfouAñs TupAwsace mis KAconatpzs
naldac Ev rap xadelosev. Tuplwoaca <robs> This KA. raaçs cum principe
editore scripsit Papageorgius, praeferendum videtur tupAwoasa vob; KAeo-
Tatpac ads. |
Ant. 1037 p. 267, 15: el tı BouAesde eis ypnuata velov déyeade vèv
ya@p IloAuveixn où Sabete. potius vôv Ô [loAuveixn sententiarum nexu re-
quiritur. saepissime yap et Ô€ particulas confundi ostendit H. I. Polak ad
Odysseam eiusque schol. cur. sec. p. 172.
Ant. 1071 p. 268, 6: avéouv] pn Tuyovra Tüv doiwv vüv. vitiosum est
vüv. vide an scribendum sit &vöctov pin Tuyovra Tüv datwv vexuv, ut poetae
verbis &@vöcıov véxuy interposita sit prioris vocabuli interpretatio modo eo
cuius exempla praebent vetera lexica. cf. Hesych. vol. 1 p.402: Bouaaixtar
noeuxoi. Gpyntat pev aldcinou (h. e. BouañÂixtas noheuxol opynaral pe-
véôoumor). vol. 1 p. 514: dixn à tpönos uvnatnpwv (Od. a 276). vol. 3
p. 356: moÂuéArxtoy roAüxuxicv &dov<av)> (Eur. Phoen. 314). vol. 4
p. 136: rédpinnov retoanmnov &pua (Eur. Suppl. 501). vol. 4 p. 148:
TÉTpwpov Tertounrov puma (Eur. Alc. 483). Suid.: rrxTèv ro xataoxeu-
astöv &potpov (Hon.).
Ant. 1074 p. 268, 11: 7ö Aoy@ot yap mv où napaypjpa aAAa [nv] és
Üotepov abopnrtli Tinwpiav EnAor. alterum nv abici par est.
Ant. 1216 p. 273, 21: œpuèv yoparos Aıdosnadii] nv ix Adv @pp.o-
viav wol rapou 7) To wlmAdv Epos ToÙ ywpatos Tod nppoapkvov Aidors. non
app.oviav sell &pnoynv To0 Tæpou scripsisse interpretem fidem facit Etym. M.
p. 144, 42. ubi hunc Sophoclis versum addit cod. Flor. Milleri p. 44.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 39.
430 A. NAUOK. DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8.1
Ant. 1253 p. 274, 23: éow aneAgövres paÏnoômedx un Tı xal pavo-
&es xpupa Poudsierar. sicut napacteiyovres dixit poeta v. 1255, ita scholio
tw napeAdövres restituendum.
- Ant. 1303 p. 275, 25: voù noiv Javövros Meyapéws xAcıvöv Akyoc] ws;
aufs (Sc. Ts Ebpudixn) rooyaundeions Meyapet tive noö ou Kpkovros’ ol öt
pacl tod Mevcıxiw; Toü aroopdkavros éautév pötepov yap Meyapebs ixadel-
wo" iv Sk Tip Tupavvo Oldinck: xai autos Mevorxka auröv xadel. de duplici Eu-
rydices matrimonio quae dicuntur commentum referunt interpretis vitiosa
scriptura Meyapéws xAervèv Atyos decepti. neque compertum est Creontis
filio primum Megarei, postea Menoecei nomen esse inditum: potius Anti-
gonae v. 1303 Megareus appellari videtur qui vulgo Menoeceus audit. ex-
tremis scholii verbis ad Soph. Oed. R. transfertur quod de Euripidis Phoe-
nissis dicendum erat.
Ant. 1351 p. 277, 17: &taptper ris Ebpemidou Ayrıyövns aüm, ötı qu-
padeloa ixeivn dia Tôv Aluovos Eswra &bedöhn mpès yapov, evrauda St Tobv-
avridv. vitiosum est &xeivn: scribendum esse ixeT utv apparet ex ivradda dt
verbis quae sequuntur.
Trach. 1 p. 279, 1: paai dt «broÿ (sc. toù Kpoisou) ro nvixaüta néde-
nov alpoukvou mpèç [lépoac ypnoSñvar rap Toù SeoD
Kpoïooc "AAuv Sraßas peyéAnv &pyhnv xaradüceı.
Papageorgius annotat ‘œpouuévou L, correxi. alæo3a verbum requiri du-
dum intellexerat Dindorf, qui aütèv (ita enim L, «ur>ü corr. Neue) 16 mvt-
xaura mölemov œisôuesvoy proposuit Schol. Soph. vol. 2 p. 68. aptius vero
istius verbi futurum est tempus, quod ipsum servavit L, nam œpoupévou
i. q. dpoupévou, sicut étasoyuesda praebet L Trach. 491, in apelode Oed. R.
1225 a ex a: factum, atpeodar (pro arelodaı) papyrus Wilckeni Rhes. 54
(cf. quae dixi Herm. Berol. vol. 24 p. 450). genitivi autem loco praetulerim
dativum, quoi dE aur To mvıxalra moÂeuov apoupéve noès Tlépouc ypnoï-
vat. ceterum ad Trach. 1 retrahenda sunt quae ad v. 13 p. 280, 8 aberra-
runt, rapouia ex noAAo0 eipnpkvn, ubi ëx rakaoù legendum.
Trach. 4 p. 279, 12: &yw, pnai, tév ipdv alüva xal mpè Savarou àt-
éyvwxa Bapuv övra xal aney 9 xai Övoruyfj. praestat, nisi fallor, étay9ñ. a
librariis passim confundi areyIng et ëxæ«y9ns adiectiva docet Pierson Veris.
p. 68.
Trach. 29 p. 281, 15: vuE yap eicdyer <xal vuk anwdel Gadedeyuévn Té-
vov>' avıl vuxTès Épyetat xai vuxtos Ekoppäran, as pi diadoyhv or TV Tövwv
yev&odeı. expectabam ws Gadoyny por (vel ws éuct dadoy nv) Tv révwy
yivaodaı.
Trach. 192 p. 291, 18: nôs aneotıv 6 Atyas xal cûx NAŸE Taytus ar-
ayysAAwv; recte anayyeAov scripsit Brunck.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 40.
(xxx) || TRAGOEDIAS À PETRO N. PAPAGBORGIO EDITIS. 431
Trach. 216 p. 293, 7: deipopa oùd œxwoouu lemma in scholiis serva-
tum ed. Papageorgius, deipop’ cb6 amwaoua Elmsley. codicis fide niti vide-
tur œeipoue, sed disertum testimonium aegre desideramus.
Trach. 238 p. 294, 8: Knvaov Eößolas dxgwrnpiov and Kynvæiou rod
"EAspôpou. qui hoc loco commemoratur Cenaeus aliunde mihi non notus
est. ’EAepöpou corruptum esse recte iudicat Papageorgius: temptare possis
KAcopopou vel Teleopörou.
Trach. 246 p. 294, 25: &oxonov Ôè (sc. yoovov dtkrpube) noÂûv, öv oux
&v mie Entloyloarıo xal xorrau.ddor dd TÔv ypévov. necessarium opinor êt& vo
wrjxoc, quod Brunck substituit.
Trach. 256 p. 295, 9: töv dyyıoriipa toUde Toù nadoug‘ Tév altıov xal
aysddv abrby nomoavı= Toù nédous. si genuinus est verborum ordo, scri-
bendum erit cum ed. pr. æbtèv momoavta tè na9coc. interpretatione ista con-
firmatur quod poetae reddidi dv œbréyerpæ Toüde ol nadcuc.
Trach. 354 p. 301, 1: “HpaxArjc apıxvelzaı noce Eüpurov röv Melavéws
zoo ApxeoıAaou eis mv Oiyakiav, wpxelto (Exerro Papag.) dt abrn iv OoüAn
is Apxasias, xal fret av Juyartpe’TAAYp yuvalxæ. commemorat novissimus
editor ëv Owun (vel ev op) this Apxadias coniecisse Clavierium. poterant
addi aliae quaedam suspiciones, velut ëv boAön rs Apxadiæs proposuit
Stiehle Philol. vol. 8 p. 607, ëv MeoöAn vis Apxadiac H. Sauppe Mysterien-
inschrift aus Andania p. 8, ëv &hou ris Avdavias Bursian Geogr. von Griechen-
land vol. 2 p. 164. quid verum sit, non liquet.
ibid. p. 301, 6: Mevexparns dt oürws Akyeı, ‘HpaxAëa els émiSupiav ’Ic-
Ans apıxtadar The Ebpürou, tôv SE ph YEdeıv &dövar' pa Te Yap aus xal
piyvuodar EpeAkev 7 Suyatpi, ei un Apyeloı ÉERASOV eis Tv Ebfotuv. aptius
dici poterat pa te yap T6 Juyarpödc xal piyvuodaı EueAdev «dt, nec ta-
men talem emendandi conatum admittendum arbitror. potius pa te yap
auröc scribendum.
Trach. 368 p. 301, 25: &vredtpuavrar] Exxéxaute. scripsisse Sopho-
clem non évreSépuavrau sed Extedtppavren coniecit Dindorf, quae suspicio
scholii interpretatione stabilitur. accedit quod formae évreSépuavto prius v
puncto in codice L notatum esse testatur Vlad. Subkoff, qui Sophoclis Tra-
chinias edidit Mosquae a. 1879.
Trach. 379 p. 302, 9: xat’ öppa xal play avıl mol eunpenng nv ëduv
xal To näv aüna' avt! su apa Th ea nal ro YÉvos Eoapıdldov. coniunctae
sunt diversac Sophocleorum verborum interpretationes. cur &p« praeoptarit
Papagcorgius, non asscquor.
Trach. 414 p. 303, 18: n] ævt! où funv. Sophoclem ÿ scripsisse mihi
persuasum est: scholio tribui malim quod codices praebent Av, sicut formam
istam servavit Papageorgius in Schol. Phil. 1219 p. 390, 4.
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 41.
432 A. NAUOK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8.1
Trach. 434 p. 304, 9. de Lichae verbis graviter corruptis,
&vSpunoc, D ökanorv’, arcotmtw To yäp
vcaoüvri Anpelv &vôpés oùyl awppovo,
in scholiis praeter alia prostant haec: veocdvu 62 avi où vosouen umd GnAo-
unias' Aparvixüög 58 elmev I xadorou 5 Aöyos xal in dokn abrnv Öiedkyyeıv
corw xt. interpres ubi voroüvt: &vri Toü vooouem dictum esse opinatur, ma-
nifesto voooücav hoc loco non quamlibet mulierem appellari vult, sed unam
Deianiram, quam alloquitur: hoc ut perspiciatur, necesse erit addi prono-
men personale. quae sequuntur verba &ooevıxüs 68 elnev I) xadöAou à Aöyos
intellegi non possunt, sed facilis est medela. scribendum vcooüvu d& &vıl tcü
voocuon <aoı) ind InAoruniaz' apoevixs Ôt elmev, «(> n xad6Aou à Aöyaz x.
iam patet recte se habere verba xat un 60&5n a Papageorgio in pn xxi ÔcEn
mutata.
Trach. 460 p. 305, 3: avno els” mivès avavöncus mapdévous, ws Mnôav
mv PüAavro:, Aüynv Thv AdcoD xré. corrigas mvès <avngets clov> dvavöpous
A yinpas N> rapévous coll. Etym. M. p. 108, 6.
Trach. 503 p. 306, 23: 5 dè vod: oürw. malim oùres cum ed. pr.
Trach. 509 p. 307, 9: àx' Oluadar and Aitudiac N oürws, Oivia no-
As Axapvavias. nolim an’ Olveadäv corrigi invito codice Laurentiano. Oiviaı
in Oivi@daı mutandum esse coni. Stiehle Philol. vol. 10 p. 230.
Trach. 614 p. 313, 14: eüyvwarov ompelov xomiaeıs, önep Éxelvos Ent-
yvwostar inıdels Tb öppa Th appaylöı, yvoüs ötı map’ EuoÏ ein Y appayis.
Sophocli in codicibus nostris haec tribuuntur:
xal rüvo” amolaeıg af, à xelvos eunadts
appaylöog Epxeı TOO En’ LUE Incerar,
quae vitiosa esse quivis videt. praeter alios emendandi conatus memorabilis
est coniectura ingeniosissima quam G. Burges proposuit (cf. Boissonade in
Theophyl. Simoc. p. 233 sq),
xal Tüvè” amcloeız af, à xelvos, öpua Sels
appayldos Epxeı TH En’, eu padnoeta.
ubi unum est quod dubitationem iniciat: dico ert praepositionem medio in
versu verbis Éoxe @ôe subiectam. omnino mihi placeret talis dicendi forma,
xai TOVÔ amoicers ou, à xelvog pu” Eni
ppayièoc Epxeı ride del; masnceraı,
modo ne longius a traditis verbis discederet. utique Burgesii coniecturae
eximie favet appositum scholion, cuius genuinam speciem hanc fuisse credi-
derim: ompelov xopiseis, önep Éxelvos Yvwaeraı inıdels Tè ua Ti appaylöı.
etenim eüyvworov deleri necesse est tanquam interpretationem adiectivi
ebpadis, quod adiectivum scholii auctor non norat. quod intyvaoerıar
Mélauges gréco-romaius. T. VI, p. 43.
(XXXH)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO BDITIS. 433
éntdels in Yywoeraı émideis mutari malim, non desunt similium errorum
exempla?).
Trach. 641 p. 316, 3: oux avapaiav] oux &y9o2v oußt Spnvwv Bonv. potius
Ionvwsn Benv requirimus.
Trach. 673 p. 317, 20: yuvalxec, Lutv Sadua Yaupaordv xal clov oùx
av ms Einiloı nadelv. ypapetar SE xal pad. in poetae verbis I, praebet
1
gap’ aveinıotov Anßels.
itaque scholio restituendum erit clov oux &v mis EAmilor Aafeïv Yoaneraı D:
xai LLoudEty.
Trach. 693 p. 318, 22: pattv] paopa, pavtasiav. poetae verba in codi-
cibus haec habemus:
elow 9” ancoteiyouoa Ökpxonar Parıv
&ppactov atumBAntov.
ubi ineptum esse paxv vidit Reiske, nec tamen ferri potest quod coniecit
Jépaouat par. potius scribendum p&ope Ötoxop.ar. quae emendatio ut per se
nulli dubitationi est obnoxia, ita stabilitur allato scholio, quod duplici labo-
rat vitio. abiccto vitioso leınmate scribendum erat qésua péviasuz (cf.
quae dixi de Schol. El. 903).
Trach. 695 p. 319, 4: xataypa] 16 alyeıov panouua. nisi gravior est
corruptela, tè éptov > proue emendabimus. Deianira enim tunicam cen-
tauri sanguine tingens non caprina lana, sed ovini velleris villo usa erat, et
XATAYUX esse Epiou xaraornacna 7 unpupe dicit Suidas, Td xatetoYaouévoy
éptov Eust. Od. p. 1399 extr. et p. 1414, 28.
Trach. 708 p. 319, 19: ns édvno4” Uno] üp’ he, à Nv. lemma additum
ab editoribus, in quo üx2 pro ürep non monito lectore Papageorgius substi-
tuit, me iudice omittendum. corrigas Ns Uno: à Av. ita satis factum erit
Tournierio, qui librorum scripturam ÿç édvnsy” ünep in ng édvns 4’ üno me-
cum mutare noluit, quoniam ns üno non videretur indigere tali interpreta-
tione qualis est Up ñc. facillime autem potuisse fieri ut 75 Uno a librario in
Up’ Ns mutaretur, quivis intelleget. |
Trach. 710 p. 319, 22. quod poeta dixit inv nadnarv Apvunaı, in scho-
lis explicatur nv yvooıv nav9&vw. expectamus nv Yvootv Aa ave.
Trach. 770 p. 322, 11: odaypds avtionaotos‘ xvmouéc. önkacdaı yap
ro xvnoacdar. hand frustra Onéxodx vitii suspectum fuit Heathio: videtur
esse scribendum odafnoacdaı.
8) Ex Florentino codice Osann post Philemonis Lex. p. 289 protulit haec: xadaraf xaIo-
hou, ubi Ara‘ x296)ov litterarum ordine requiritur. Stob. Flor. 8, 62: ix pv ts xpopavrixñc
(L pavauxñs) nesvorav EÉprauv ôsiv anılmreiv xt. adde Hesych. v. évotspvouavtiauc, quo de loco
diximus in Soph. fr. 56.
Melanges grico-romains. T. VI, p. #9.
434 A. NAUCK, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [n. 8. 1
Trach. 779 p. 322, 22— 925: elpmraı dt and Tüv Abywv — pédyotot
Abyoraı. verba ista, quae locum non suum tenent, post p. 323, 2 erant collo-
canda, ubi de verbo Auyileta: agitur.
Trach. 801 p. 324, 11: &vnexyuraı ya abroü Javelv. recte Evnoxuvraı
ed. Elmsley, quamvis invito codice L. noyuvrar ex V. T. 1 Reg. 27, 12
affert Veitch, de participio Yrxupuetvos doctissime disputavit Contus Adnva;
vol. 1 p. 380 sqq.
Trach. 824 p. 325, 16: ônep en9kyEaro, ÉRELDAV ÉVIQUTÈS rapeAdcı,
nôte Gaboynv yevkodaı Tov növmv zo "Hpaxder th Arts naıdi avadoyav dE
avanauaıv, Avaxwynv, &vadoy nv. sicut in Schol. Trach. 148 p. 289, 7
commemoravit editor Brunckii coniecturam énedav yaun3n (yaundein L)
ec, ita hoc loco eundem Brunckium scripsisse énmedav évautès mrapkAdn
referri par erat. extremum vocabulum &vadoynv deleri vult Papageorgius,
fortasse potius praegressum &vadoyav in &varnvosv mutandum est, quod no-
men Sophocli restituit Meineke Oed. Col. p. 299.
Trach. 963 p. 334, 16: 5 yopès alodaveraı toù ‘IlpaxAbouS mAnaiov pepc-
pévou xai nANdcS Ipnvobvrwv EnaxoAoudouvrwv auto. si AMI recte scri-
bitur, par erit &raxoAouSoUv corrigi. sed probabilius arbitror rAnSous Ion-
voUvTuY enaxoÄloudcüvro; auti.
Trach. 1064 p. 339, 24: adra dt ayvowv örı tédvnxev (Deianira). desi-
deratur dicendi verbum. &yvoov öt ztdvnxe Akysı scripsit Brunck, praefe-
rendum zaüta dt QE» ayvcav örı Tédvmxev. sic Schol. Phil. 720 p. 372,
25: Ex xeivwv dE Akyeı TOv xaxav.
Trach. 1086 p. 340, 16: & Aids àxtiç, nalaov] & xepauvé, elde me Ad-
Bou. ut par erat, elde pue Baroıs scribit Blaydes.
Trach. 1157 p. 343, 9: els nAıxiav Mets (Va pavñs aka noattwv ral;
épès elvar. vitiosum çavç in poetae verbis praebet L, ubi quod ex deteriori-
bus libris repositum est œavets etiam scholio deberi recte iudicat Blaydes
Trach. p. 320.
Trach. 1225 p. 346, 21: &tonov yao, onoi, mv ünad avaxiıdeloav
por étépp Eevp napaxadevönice. haud male ouvavaxASeïoav ol scripsit
Heath, dubito tamen an rapaxAıdeicav Euol praeferendum sit.
Trach. 1235 p. 347, 5: ig dv ara npatrev Elorto ExTÔS Wv paviæs
xal nAncias; avıl toù cux dv EÂoïunv, el an pavoinnv. quod Lascaris con-
iecit pavias xal denAaotag propagarunt insecuti editores, et nixi coniectura
ista lexicographi SenAaoiav volunt esse fatum divinitus immissum. sicut
vero apnarmmAacta est curruum agilatio, BonAacia boum abactio, xurmAacia
remigatio, kevnAacta peregrinorum eiectio, ita JenAacia, si extitisset unquam
tale nomen, non poterat dici nisi de diis expulsis vel expellendis. medela
autem allati scholii dubia esse vix poterit: scribendum pravias SenAatou.
Mélanges greco-romnins. T. VI, p. 44.
(XXxIn)| TRAGOFDIAS À PRTRO N. PAPAGEORGIO RDITIS. 435
Trach. 1255 p. 348, 2: pôvn yap avanauou rd napadelvai pe TD mupi
xal torxbtn Teleurn) xpnoxode. non apponi se igni vult Hercules, sed com-
buri. verissime igitur rè rpnodñvai me ro nupi correxit M. Schmidt Mélanges
Gréco-Rom. V p. 79.
Trach. 1260 p. 348, 12: Aiivov xal oxAnpév yalvév cœur értBakoüca.
dicendi usu redarguitur émfBœAoücæ, quod debet esse éufaloïoæ. exempla
praesto sunt haec. Il. T 393: &v ö& yadıvous yaupnAñor Balov. Anacr. fr.
75: lo tot, xadüg tv &v tou röv yadıyöv eußadouı?). Xenoph. de re eque-
stri c. 3, 2: ei öp@vrog ev Tod wvounkvou Euß@ANoıTo à yarıyös, dpwvros 8
EEmpotro. c. 6, 7: va ÔE © Innoxöpog xal mov yarıvöv opdüs tußaAn. c. 9, 9:
xal yadıvol dt ol Acloı Eimerndestepor Tüv rpaykuv' Ed 0 xai pays &uBAndT,
Th xarapornzı Aslıp del aurdv apoporoüv. Eur. Alc. 492: oùx eumapts yadıvöv
eußaretv yva9ors. Lucian. Hermot. 82 vol. 1 p. 827: wc vOv Ye yadıvov ave
eußeßinxev at n Piooopia. Aclian. V. H. 9, 16: doxel d£ por rp@voc Ir-
nov avaßrivar xal Epßadeiv aut yadıvöv.
Phil. 94 p. 353, 7: J£Aw elnwv to @Andt; anoruyelv nädov 7) tEaratäv
zöv &vöpa xal émituyetv. notum est saepe « et w confundi (v. quae dixi Herm.
vol. 24 p. 452). levis ista corruptela in causa fuit cur x«! copula adderetur:
revoces N &kanatiov tév &vôpa Erruyelv.
Phil. 109 p. 353, 26: ei owrnpia &E œbtoù npooyivetar. genuina lectio
est repıyiverar. '
Phil. 163 p. 355, 27: öypos ñ En! otiyov purela. n Eriororyos G, ut ait
Papageorgius, n erl orotyov corr. Dindorf in Soph. ed. tert. Oxon. vol. 7 p. 36.
Phil. 225 p. 358, 23: ôxvp] Pößp ante Papageorgium restituit G. Wolff
de schol. Laur. p. 201.
Phil. 276 p. 359, 26: avastaoıv vüv mv E& Ünvou Eyepaıv. avdotaotv
Atyeı vov ed. pr., avdoracıy vv (xadel) cum G (in quo avastacıy xadel
extare dicit Dindorf) scripsit Papageorgius. importunum istud vüv vide an
vôet (vel vontéov) primitus fuerit.
…__—. =
9) Venustissimi carminis ab Ilcraclito Alleg. Hom. c. 6 proditi oxtremus versus in libris
hanc fere refert formam, |
derby yap inmorerpnv oùx Exeıs EnepBarnv.
ubi inrosetonv Aldinne cditionis, ut nit, lectionem reccpit Bergk, quo iudice inroosipng is dici-
tur qui equum vinculo iniecto domat. ego dubito num ixnosetpne recte formatum sit, neque ar-
bitror od erenßatou cesse ut catena equum constriugat. quotiescunque autem versiculum illum
lego, dubitatio animum subit an scripserit poeta id quod aptissimum mihi videtur,
dekıdv yap Innos etpnv oùx Éxetc éxeuBatnv.
qua de coniectura aliorum esto iudicium. de brevitate dicendi cf. quac attuli Eurip. Stud. I
p. 44, quibus addas exempla quac collegerunt Naber Mnem. nov. VI p. 267 sq. et Kock Com.
Att. fr. I p. 28. codem pertinet, quod interpretes fugisse videtur, Horat. Epist. 1, 8, 19: ne mo-
rent cornicula risum furtiris nudata coloribus, ubi subiectum est non cornicula, scd Celsus.
Melanges gréco-romains. T. VI, p. 46. 29
436 A. NAUCK, DE SCHOLIIS IN BOPHOOLIS [n. 8. ı
Phil. 446 p. 364, 19: ÉueAd’" énel obötv rw xaxöv Y’ anwieto] xara
auvilnaıv Baivera émeou avıl Tod nou. aut irel où avıl voÿ erou dicendum
erat aut, quod praefero, IIEIOY avıl zo TIOT.
Phil. 601 p. 368, 13: Bix] pSôvoc. non ad deüv Pia, sed ad vépeats (v.
602) adscriptum œ90voc rettulerim.
Phil. 696 p. 371, 9: oùd ö; mv Sepuorarnv xal œypiav alıadı — ava-
Srdoutvnv ix Tov ÉAxGV Toù Snpobnetou node nmio pUAÂOKG KaTEuvdasıev.
mirum est quod Smpéènxtos mobs Philoctetae tribuitur: aptius utique erat
roù opioënxtou noöös, sed fortasse perversae interpretationi ansam dedit
Sophocleum évônpcu.
Phil. 736 p. 373, 17: 5 PiAoxınns dia nv els olxov avexouônv àna-
yopebeı tas yıvonkvas döuvas xal Akyeı In Seol gs yaiowv dix röv Neomtöieuov,
où duvaraı dt aAndas. scribendum esse öduväraı St dAndüs praeclare agno-
vit Contus Adyväs vol. 1 p. 316.
Phil. 764 p. 374, 3: fou] néiwaax, Mes. ntoù potius scribendum,
quem accentum praebet Aldina Sophoclis editio. vitiosum accentum Brunckio
deberi suspicor, qui éypw pro eyp& substituit in Ar. Ran. 111.
Phil. 776 p. 374, 13: Ixoxou zöv pévov Gate abta un yevkodaı oo!
roAuorova, nıxpa xal altix xaxüv. ex appositis interpretationibus apparet
rcAlctova mutandum esse in noAurova!), quod habemus in poetae verbis.
Phil. 891 p. 378, 13: ixavès aurolg yevnoerar à mövos Emi Th vni auvel-
vai got xal auvvaleıy Euci. molestum est duplex pronomen personale nec dubi-
tatione caret ordo verborum. requiri videtur auvvateıv äpol xal auvelvar.
. ‚Phil. 1025 p, 381, 13: xAorfj] avayan. xal"Ounpos ‘xAënte véw’. facile
patet requiri xAonÿ] axætn, sicut habemus in Schol. Phil. 968 &xxAtyac]
amarnoas. ac praebet ararn Elmsleii editio, nec Papageorgius in commen-
tatione de Sophoclis codice Laurentiano discrepantiae istius mentionem fecit.
Phil. 1131 p. 386, 7: vôv ‘IIpaxdeıov &dArov' avi Euè Tôv où ‘Hpa-
xAtous dıddoyov. corruptum &SAwv qua potestate dictum voluerint veteres
interpretes, nescio; probabile tamen arbitror quod Blaydes p. 234 coniecit,
zöv toù ‘HpaxAëcus Gitxovov.
Phil. 1326 p. 391, 18: vooetç ëx deixç mpovoius, rAnaiov ame À BUY Toù
Öpews ToÙ QuAattovrog To iepôv Tic Anväc. quid sit TAnoioy dneAdwv, nemo
nm mm nn eme —
10) Facile confunduntur x et ar, cf. Pseudo-Callisth. p. 4 annot.: eici yap Övapoxpirar, o4-
KeroÄurat, épvsoaxénor, mavrecs, apoupavres (1. aheupouavtex), YevzdAtalsyoı, ampodétar (sic
L, mayo: A), aotpoAöyor. Carolus Mucller ärpodétat in xpogñtat mutari volebat, veram lectionem
&otpodétar pracbet Fabricii Bibl. Gr. XIV p. 149. ceterum optamus ut mox existat qui Pscudo-
Callisthenis opus admodum memorabile pleniore quam quo Mueller usus est apparatu instructum
recenscat, nec desperamus fore ut huic desiderio satis faciat Alfrcdus Eberhard vir eximius
maximeque idoneus qui tale onus sustineat,
Mélanges gréco-romaius. T. VI, p. 416.
(xxxum)] TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGKORGIO BDITIS. 437
facile dixerit. Xpüonc neAaodels puraxos dixit Sophocles v. 1327, ubi rAn-
otov ÉAS&Y ol peus schol.
Phil. 1385 p. 392, 24: oo nou qihos ÿ &v] üntp To ooÙ œuppépovroc.
dissentire lemma ab editoribus additum cum scholii verbis manifestum est.
scripserim 5 Aöyog Tordade you] untp Toü vol œuppépovroc.
Oed. C. 37 p. 399, 6: oùy &@yvav' olov wol oby ayvov ei un paôvouc iepeü-
arv, N olov oùx avemtvov xal Baröv. quod secundo loco positum est oiov delen-
dum arbitror: quae praeterea in hoc scholio insunt vitia certam medelam
videntur respuere. temptabam olov coi ouy &yvöv, 7) oux avsımetvov xal Baröv
ei un pövorg lepelarv.
Oed. C. 39 p. 399, 8: BuAapyos pnoi Jüo abtas (eumenides) elva va
re ASnvnotv œyéAuata duo, Tlodtumv dE Tpels auras ont. non debebat prae-
termitti admodum probabilis coniectura Heckeri, qui Phylarchi mentionem
suspectam habet et duAGyopos emendat Philol. vol. 4 p. 489.
Ocd. C. 42 p. 399, 14: ’Erpeviöns Kpôvou pnol Tas ebevidac,
&x où xæAAixouoc YÉvETO ypuarj Appoditn
nolpai 7’ aduvaror xal éprvbes aloAödwpot.
vitiosum est necdum sanatum aioAödwpor. inter tres coniccturas a Papa-
georgiv commemoratas una cst quae non displiceat, éprvbec aloAön.oppor (cf.
Orph. Hymn. 69, 8). item possis temptare éprvbes œivodotepar (cf. Orph.
Argon. 352).
Ocd. C. 113 p. 405, 5: orynoopai te’ va pn mpôc Toutous à Aöyos Tpo-
TUvdavonevous YÉVNTAL, MAG npndr) Once rapayivouévw. rectius erat rapa-
yevoptvp, sed istius scholii auctori tale dicendi genus abrogare vix licet.
Oed. C. 131 p. 406, G: raprövres, pnoi, Tabras tas Sec dt oldevög À6-
you roroupede — Ev Eaurols ÖL pLôvov xal xark dtdvorev elpnpötepov dtadeyö-
da, önolor yıvöpeda örav padtara Ev iv ppxwdeotÉpy yevapeda PÉBe.
vide an corrigendum sit ônotor yıvönede nadora Örav Ev mıvı potxwdeotép
YEVWUEDX TOT.
Ocd. C. 133 p. 406, 20: ra dt vüv uv] ünepßaröv, viva EL ma vüv.
hyperbaton non poterat agnosci nisi in postposito interrogativo pronomine,
quod in principio sententiae collocari solet. ergo scribendum <a ÔE vüv tive]
unepßarov, tivæ dE ra vüv, quam correctionem a. 1857 a me propositam
recepit Meineke. u
Oed. C. 378 p. 419, 14. 16: moAÂayoù Tö’Apvos xolhov quoi, xadarep
xal &v "Ertyôvoic
6 xollov Apyos où xarommaavı' Er,
xal Ev Oxpüpa
ex ntv EptySoviou nouuaotiov Écyede xoUpov
AuröAuxov roltwv xteavwy oiviv’Apyet Koldp.
Melnngus gréco-romains. T. VI, p. 47.
438 A. NAUUX, DE SCHOLIIS IN SOPHOCLIS [N. 8. ı
"Opmpos ‘ol & IEov xolinv Aaxedainova’. Kirchhoff titulos "Ertyovas et Oxpupa
sedem mutare iussit et Epigonos intellegi voluit non Sophocleam fabulanı,
sed cyclicum carmen. quam coniecturam admodum speciosam et a me ipso
olim admissam (Trag. Gr. fragm. ed. pr. p. 145) comprubarunt praeter
alios Dindorf Poct. scen. ed. V,"Wilamowitz - Moellendorft Zlom. Untersuch.
p. 345, Papageorgius. ac sane duo illi versus hervici epicam potius quam
tragicam poesin sapiunt. nihilo minus Kirchhoffii coniectura gravissimis dubi-
tationibus obnoxia est: qua de re disputavimus in Trag. Gr. fragın. edit. sec.
p. 183, adde quae dixit O. Immisch Jahrb. f. Philol. Suppl. XVII p. 155.
ceterum Autolyci patrem fuisse Erichthonium incompertum est et incre-
dibile: &x paèv &pa ySoviou (sc. "Eppoü) scite coni. Wilamowitz-Muoellendorff.
interpolatori deberi suspicor extrema verba, “Opunpos ‘ot 8’ Ikov xoiAnv Auxe-
Oœiuova’, quibus Aaxedaiuwv commemoratur, nun ’Apyoc.
Ocd. C. 488 p: 425, 25: olov 7) où raïta noie 7) &AÂoOG Ti Unèp aoû taire
roweitw. Sophoclea verba haec habentur,
aitoù où Y abrèç xel me &AÂOG avıl ao,
ubi altoü au 7’ ar vulgo scribitur. corrigendnm esse secundum allatum
scholion, aitoü où y’ abrèc ñn el mic &AAcs avıl coù, annotat Blaydes recte, ut
opinor, nisi quod N ız praetulerim.
Oed. ©. 504 p. 427, 5: xpein koraı xata ouvalopnv ypñota. istud
Xeñota, quod rectius xpfñotæ scribemus, non ex xpein (sive xpeia) éotau
ortum est, sed ex yon Zora, nec dubito quin ‚hoc ipsum ducuerit scholii
auctor.
Oed. C. 583 p. 429, 11: ta Aoiodt aitñ] ypape Ta Acta’ &p’ air [roù]
Biou. rectius scribemus sa Aciadı' ait zoo Biou] yp. T& Acta’ &p’ œit <Toü)
Biou. quod in codice L constanter scribitur yp potest tam ypaperaı quanı
Ypape siguificare, ab editore plerumque ypape redditum est: pracstabat ser-
vari scribendi compendium. [toü] ex Elmsleii editione retinuit Papageorgius
mero errore.
Oed. C. 668 p. 431, 19: ñn dtargıßn Toù yopod npèç To kyxwpiov This
ywpas alroü Toù EopoxAëous ni Tô lölov anavTüvTos yapaxınpıatıxöv, Tè YAx-
pupév xal mörxdv méÂos. ante yapaxımpıarıxöv addenda videtur xai particula.
Oed. C. 674 p. 431, 26 : iv Auxoüpyp Alayudog "äxcve à av’ ol; Eywv.
Elmsleianam scripturam &v oös nolens, ut opinor, servavit novissimus editor.
Oed. C. 681 p. 432, 15. de Euphorionis versibus cf. Meineke Anal.
Alex. p. 93 sq. et Oed. Col. p. 61 et 210. receptis aliis aliorum emenda-
tionibus scripserim
mponpo SE puv ÔaonAïtes operhouévnv Kkyov> oll.ov
yñhopov eis) apyiita Yuyarpıötaı Döpxuvos
GAnpaot> vapxiscoıo Eniotepkes mÄorauldaz.
Mélanges grécu-romains. T. VI, p. 48.
(xxxı)] TRAGOEDIAB A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIB. 439
Oed. C. 705 p. 435, 21: xal Eotıv 5 Aeyönevos pôpros Zeus, we onalv
AroAAödwpog, nepl Aradneızv korıv. non Zeus <mepl Axzönperav) cum edit.
pr. supplendum arbitror, sed delendum éoxiv ex praegressis verbis repetitum.
codem vitio laborat Schol. Oed. C. 1571 p. 460, 19: öv quoi xonäcdeı
xvulelodei ze [paoi].
Oed. C. 712 p. 436, 10: éni ro gepvoratov &yer To npäype th mom)
xatayptuevoc dei. malim ri Tè ceuvétepov. vice versa Schol. Oed. C. 1530
p. 459, 9 scribendum rapadıdövan rd énéppntov ro npeoßurdrp (non Tip npes-
Burtpp) vi.
Oed. C. 905 p. 440, 25: el tv 84 opyñc nxov' el pv & öpyiis EAnAü-
Jetv, iv Taûtn Th öpyfi Ns nv obros &Eros. verborum 5 nv ordinem inverten-
dum esse recte iudicat Blaydes. qua emendatione admissa ser. <ei) &v raum
Th dpy Tv, Ne obrog toc.
Ocd. C. 916 p. 441, 13: napaguAdrreodar Ô <ÖET) ws dervonotel T& Toù
Kptovros 6 Onoeüs. der addidit Papageorgius, qui ‘rapaquAartete pr. L’an-
notat. rectins rapapukatretar dE in rapapludarte öt mutabimus cum Dindorfio.
geminum vitium extat in Schol. Oed. C. 1257: rapagulareraı nav nv
TÉyvnv wc Éntopeiac abtoU, ubi napapuAarrere scripsit Elmsley, rapapurarıe
Dindorf et Papageorgius. cf. rapxpuAatte p. 443, 7. rapapüAakov p. 442,
4. 453, 11. 468, 11. napaguAaxrtov p. 464, 1.
Oed. C. 1059 p. 447, 7: Ews KoAwvod rapa töv yalxolv (odöv) nporx-
yopeuöpevov. ö%6v addidit Dindorf, rectius tamen mutato verborum ordine
nap& Tôv yalxoüv npscayopeuönevov (odöv) scribemus. ac potest dubitari au
oudöv sit praeferendum, sicut servavit Papageorgius formas oùô& p. 409, 2.
obdöv p. 409, 27. oùôoù p. 41 0, 1, et annotatur in scholio Oed. C. 1590
p. 462, 3: 6d8v] &vrl Tod oùdov.
Oed. C. 1211 p. 450, 11: Gomes Toù mAËovoc mépoue — Eorxe To Cap’
‘Horde ‘vnnist oÙdE Ioacıv da nAkov Muuou navıöc’. rap” addidit Papageorgius,
rt ‘Hotodeiw scripsit Bruuck, item 1& *Horödou dici poterat.
Oed. C. 1225 p. 451, 7: pn yüvar zov änavıa' mavu &piotov av}punotc
zo ph pÜvat, napa To Àeyépevoy
apynv pv an pÜvar Erniydoviororv &ptorov.
Thepgnidis v. 425 afferri censent Elmsley et Papageorgius fortasse recte:
&pynv enim (pro codicum lectione ravrwv) pr aebent qui Theognidis locum
repetunt Stob. Flor. 120, 4. Sextus Empir. p. 175, 22 ed. Bekk. Macarius
2, 45. Suidas. vide tamen an spectentur hoc lo co heroici versus, quos Midae
Silenus dixisse ferebatur,
Kpynv pÈv un pÜvar ÉmtySoviciorv proto,
povra Ô önws Gxiore nuAas ’Aldao nepñocu.
quos versus afferunt Stobacus Flor. 120, 3. Diogen ianus 3, 4. Certamen
Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 49.
440 4. NAUCK, DE SCHOLIIH IN BOPHOCLIS [n. 8. ı
Homeri et Ilesiodi p. 315 cd. Guettl. Procopius Gaz. Epist. 47 p. 549,
respiciunt Alexis Com. 3 p. 447 (fr. 141, 15. 16 ed. K.). Ps.-Aristoteles
(fr. 44 ed. R.) ap. Plut. Consol. ad Apollou. c. 27 p. 115E. Gic. Tuse. 1,
48, 114. Lactant. Inst. 3, 19, 13 et 14.
Oed. C. 1375 p. 453, 19: ci nepl ’EteoxAéa al Louve beny je ESouc
Eyovres TD Tartpl OBiro niumerv EE Exdotou lepeiou tèv wprov EriAadöpevoi
note — loyiov abri Eneubav, 6 dE puxoodÜüyuwc xal TEAEWG KYEvos dus You v
&pas idero xar’ abrov obus xatolywpelode. particulas ôuws yoùv abici
voluit Dindorf, quae suspicio probabilitate destituta est. ego scripserim ö ôt
mixporbuyws <ubv> xai TeAtius dyevs dus 6 oùv apa; Édeto xté.
Oed. C. 1512 p. 458, 27: onpatuwy npoxemtvwv]| ciov dia Tov onpeiwv.
ferri non potest articulus, quo deleto olov dtoomu&v sagacissime restituit Cou -
tus ASnv&s vol. 1 p. 306.
Oed. C. 1600 p. 462 sq.: zw Ÿ euyAcou Anuntpos euyAdou Anpntpos
lepov éate npös Th axponoe, xai Eüros Mapıxa
AAN EbSÙ nörewg Elu Yücaı yap pe Öel
xptôv XAon Anne.
evda Onhoïtar Om nal xpiôs Indeıa TH de Tabtn Iueraı, oÙtw dE mınäraı This
Rad TOV xnrwv YAons' Yuovol te Bapyniwvos Even. plus uno vitio locug
laborat, quem ex parte saltem emendare temptabo. ac statim eüyAöou Anun-
zpos dubito num in scholio ferri pussit. puetae quidem licuit tritum deae
cognomen variare substituenti sejvortpav appellationem: interpretem Sophoclis
probabile est attulisse nomen communi usu receptum et scripsisse yAöng A
awmtpos: xAon enim vocatur Anpiyınp cum alibi tum in Corp. Inser. Att. II, 1
p. 389. deinde non xai Ebroks dicendum erat, sed &ç EbmoAxç: perpetuo
confundi xal et ws notissimum est nec mirum videbitur ei qui norit utrius-
que particulae compendia. tum ineptia vix credibilis in verbis xptès ImAeı«
inest. xpıös enim nominis ca est potestas qua femininum genus excludatur.
difficultatem expedire conatus est Triclinius ita ut scriberet, &vdev Ôfjhov Or
xal xpıds Th Je Tab Yücraı, ou Indeıe aövn dr, a quo Brunck ca in re
discessit quod Wövov ös practulit. commentum istud audacissimum probari
non posse quivis videt. silent insecuti editores, uisi quod Papageorgius an-
notat traditum SnAc in SnAcix mutandum duxisse Stoeckerum: quac con-
iectura ut facillima ita perversissima oblivioni mandari debebat. in verbis
autem quae sunt xptès Shea practer vitiosum genus grammaticum etiam
_alia res offensioni est. sacrificari Cereri arietem vel ovem mirum videtur
esse et inauditum; quod enim dicit A. Mommsen Heortol. p. 416, am VI
Thargelion wurde der Demeter Chloë ein weibliches Schaaf geopfert, uno de
quo agimus loco nititur. non ovis, sed porca mactari solebat Cereri. cf. Schol.
Ar. Ran. 338. Ovid. Fast. 1, 349—352. Serv. in Verg. Georg. 2, 380.
Mélauges greco-rumains. T. VI, p. 50.
(xxx) | TRAGOEDIAS A PETRO N. PAPAGEORGIO EDITIS. 441
Hygin. fab. 277. itaque corrigendum oïpoc SnAetx, cuius iuncturae duo
exempla in Passovii Lex. ed. V afferuntur, Geopon. 19, 6, 1: za; utv 5n-
eig yoipous GoxmaGouar, et Theophanis Nonni Epit. de curat. morb. c. 124
p. 380: &podov yolpou JnÂcias Acıwoas peta méArToc. Eupolis vero num et
ipse yotsov scripsit? non opinor: saltem diversorum animalium sacrificia ab
Eupolide et Sophoclis interprete commemorari manifestum est ex scholii ver-
his, ÉvOa ÔnAotar OT xeal yolpos JnAeux (non solum xptös) Th Je raum
Set. quod enim G. Wolff de Soph. schol. Laur. p. 15 contendit £v9« spec-
tare ad Didymi in Eupolidem commentarios, inane est somnium, cui nollem
astipulari M. Schmidtium Didym. fragm. p. 309 et Papageorgium. potius
évda de Eupolidis loco intellegendum est, cuius paucissima verba in scholio
afferuntur. comicus poeta hominem nescio quem proposuit, qui a more recepto
discedens non porcam sed arietem Cereri esset oblaturus, atque insolens
istud sacrificium ansam pracbuisse videtur debitum Cereri sacrificium com-
memorandi. in extremis scholii verbis our dë aurn OxpynAdvoc exen
malim cum Brunckio. restant verba diffcillima oürw 68 Tınäaraı is ara
av xnrwv (Tèv xfnov cod. Lobk.) yAöng. ubi quod in ed. pr. legitur <&xy
ris xaTa Tv xnnwv yAöyg non magis placet quam quod G. Wolff p. 21
suasit xar& Th TOY XNTUV yAons. ego olim temptabam oùtw 'y TTL Cor
eneieltan) The Tv xaprov yAën, probabiliorem medelam fortasse alii
reperient.
Oed. C. 1679 p. 466, 4: vi ap Eotıv Eixovioa EXEÏVE TAVU, OT [ANTE
néÂeos TE vöcog EnNAdEV AAN pavés Sc yaop.aros aroAoutvp; scriben-
dum suspicor &te ön apavöc.
Oed. C. 1696 p. 466, 20: oüx év rorourars Eataı Gate xatanutupeodat.
Eoto quid sibi velit non assequor: &ott recte praebent vetustiores editiones.
Vitiosos accentus ex Elmsleii editione Papageorgius retinuit hos: ecüEaı
Ai. 360 p. 35, 4. tpiuma Ai. 381 p. 36, 20. Nücav Ai. 699 p. 60, 5
Kpicav et Kpioa El. 180 p. 111, 24. &aı Phil. 1402 p. 393, 4. alii qui-
dam errores novi accesserunt, velut xpüar Ai. 66 p. 55, 21. 6 xüdoç Ai.
722 p. 62, 21. avanrüëa Oed. C. 515 p. 428, |
Praeterea haec potissimum corrigenda annotavimus: dou} À& (a El. 716
p. 135, 21. 8EeAnAadaı Oed. R. 196 p. 175, 18. lode Ocd. R. 690 p. 192,
17. zöv (1. 76) Ant. 1120 p. 269, 25. aùtoù (1. aurov) Trach. 932 p. 332,
27. Adna Trach. 1167 p. 344, 14. lloceıaovip Oed. C. 1494 p. 458, 18.
Mélanges gréco-romalins. T. VI, p. 51.
443
Résultats préliminaires des observations faites sur les satellites de Saturne
à l'aide du réfracteur de 30 pouces. Par Hermann Struve. (Lu le
10 octobre 1889.)
Tandis-que les observations des satellites de Saturne, faites à l’aide du
réfracteur de 15 pouces, avaient eu pour objet principal la détermination de
la masse de la planète et des. éléments des orbites des deux satellites exté-
rieurs Japetus et Titan, les mesures entreprises au nouveau grand réfracteur
poursuivent la détermination exacte de tous les autres éléments du système
de Saturne. Selon leur arrangement et leurs buts les nouvelles observations
se divisent en trois groupes: ;
1) Observations pour déterminer les orbites des satellites intérieurs,
Rhea, Dione, Tethys, Enceladus et Mimas. |
2) Observations de Hyperion, consistant en jonctions micrométriques
soit avec le disque de la planète, soit avec Titan et Japetus.
3) Détermination des dimensions de la planète et des anneaux, ainsi
que de la direction de la ligne des anses.
En outre nous avons exécuté aussi quelques jonctions occasionnelles de
Japetus et Titan avec la planète ou avec d’autres satellites, lorsqu'ils se
trouvaient en proche conjonction. Cependant, dans l’intérét du travail prin-
cipal, il a paru utile de ne pas poursuivre regulièrement ces deux satellites,
dont les mesures peuvent être exécutées tout aussi bien avec des lunettes
moins fortes.
Pour le premier problème, le plus important pour l'étude du système
de Saturne, nous nous avons tracé le programme suivant:
Les orbites de Rhea et Tethys seront évaluées avec la plus grande exac-
titude possible pour plusieurs années de suite, par des jonctions des satellites
entre eux et avec le disque de la planète. L’orbite de Dione sera déduite des
comparaisons avec Rhea, celle d’Enceladus des comparaisons avec T'ethys,
cufin celle de Mimas des jonctions avec l’un ou l’autre satellite intérieur,
par preférence avec Tethys. Pour chaque époque les observations de chaque
satellite doivent être rassemblées, en nombre suffisant, dans un espace
de temps assez bref pour admettre la déduction d'éléments osculateurs de
l'orbite.
Mélanges mathém. ot nstron. T. VIT, p. 89. 29®
444 H. STRUVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRRS DES OBSERVATIONS FAITES [N. 8. I
Selon ce programme les observations des satellites intérieurs ont été
exécutées dans les mois voisins des dernières quatre oppositions de Saturne.
Elles fournissent pour Rhea, Tethys et Enceladus des éléments osculateurs
des orbites pour quatre époques, pour Dione et Mimas pour deux époques.
Puisque les jonctions micrométriques de Rlıea et Tethys devaient former la
base pour la déduction des orbites des autres satellites, nous avons entrepris
en premier lieu la réduction de ces observations. Les calculs ont conduit
à quelques résultats, dont on peut déduire certaines conclusions concernant
la position de l’équateur de Saturne et les perturbations dans le système. La
publication préliminaire de ces résultats paraît utile dans l'intérêt des ob-
servations exécutées en d’autres lieux. Notre série d'observations sera con-
tinuée encore quelques ans, tant que la déclinaison de la planète permettra
de faire encore des mesures exactes dans notre latitude boréale.
Concernant les mesures et leur réduction, nous nous permettons de
renvoyer à notre premier Mémoire «Beobachtungen der Saturnstrabanten,
l-ère Section», publié en 1888 en forme de Supplément aux Observations
de Poulkova. Chaque jonction complète de Rhea avec Tethys est basée sur
huit pointages, tant en distance qu’en angle de position. Les derniers
embrassent les premiers symétriquement, au nombre de quatre de chaque
côté. Toutes ces mesures, ainsi qu’en général les observations des satellites,
à la seule exception de celles de Hyperion, ont été exécutées au réfracteur
de 30 pouces par un champ illuminé. La force optique de la lunette s’est trouvée
assez forte pour admettre même les mesures de Mimas toujours dans le champ
illuminé. Dans toutes ces mesures le grossissement employé a été de 515 fois.
Par rapport à la construction du micromètre filaire fourni par M. Repsold
pour notre lunette et concernant la déduction de la valeur d’une révolution
de la vis micrométrique, nous nous permettons de renvoyer à l'ouvrage publié
dernièrement par l'Observatoire à l’occasion de son jubilée sémiséculaire.
Nous y empruntons les déterminations suivantes :
Valeur d’une révolution pour 0° C.
a) par des mesures micrométriques dans
l’amas de h Persei .........,.. — 1277843 err. prob. = 0,0006
b) par des observations de passages ... = 12,7869 » » = 0,0012
c) par la distance focale et l’hauteur des
pas de la vis ..,.....,........ — 12,7880 à — 7009 Près
Coefficient thermométrique pour 1° C. — 000025.
Dans la réduction des jonctions de Rhea avec Tethys, nous nous sommes
servis de la valeur préalablement déterminée 1 rev. = 1277835 — 0,00025t
Molangos matbém. ot asiron. T. VIT, p. 84.
(XXXI11)] SUR LES SATELLITES DE SATURNE À L’ÄIDE DU RÉFR. DE 50 POUCES. 445
s’accordant avec la valeur a) en dedans des limites des erreurs admissibles.
Cependant il paraît utile de relever ici la circonstance qu’aussi la valeur a)
demande encore un contrôle supplémentaire, dès qu’il s’agit de la déduction
définitive de la masse de la planète. Les erreurs périodiques de la vis ont
été trouvées d’une petitesse évanouissante; également les erreurs progres-
sives sont extrêmement petites et ce ne serait que pour des distances beau-
coup plus grandes que dont il s’agit ici, qu’il y aurait lieu de les prendre
en considération.
Aussi dans la déduction des éléments on a poursuivi en général lé même
chemin qu'auparavant: les coordonnées polaires directement observées furent
converties en rectangulaires æ—x, et y,—y,, et ces dernières furent
comparées avec les valeurs correspondantes déduites des éléments prélimi-
naires. Cette méthode est certainement la plus simple pour arriver au but
proposé, dès qu’il s’agit de la déduction simultanée des éléments de deux
satellites, dont les relations mutuelles sont données par les observations. La
seule objection à élever contre cette méthode pourrait être cherchée dans
la supposition admissible, que, par la conversion des coordonnées, des erreurs
constantes des observations fussent peut-être cachées. Mais en pratique cette
objection est d’aucune conséquence, parce qu’à cause des faibles ouvertures
des orbites des satellites, les erreurs dans les p, s’il y en a, se reproduiront
principalement dans les y, —,, et celles des distances dans les 2, —x,. Aussi
on se convaincra facilement qu’en général le même poids peut être attribué
à toutes les équations en + et y, sans égard à la différence des poids que
pouvaient offrir les déterminations des s et des p.
Dans la comparaison des observations on a admis, pour les deux satellites
Tetlıys et Rhea, des éléments circulaires, coincidents avec le plan de l'anneau
adopté selon la détermination de Bessel. La longitude et le mouvement
moyen de Rhea sont adoptés selon mes propres observations faites au réfrac-
teur de 15 pouces; pour Tethys ces quantités ont été adoptées selon des obser-
vations plus anciennes. Enfin les élongations moyennes ont été déduites
de la masse de Saturne — 2208 , eu égard à l’effet approximatif des
perturbations. De cette manière les éléments préliminaires des satellites
ont été les suivants:
Tethys Rhea
1886 Mars 22,0. Temps moy. Gr. (réd.).
Longitude E 165° 30,3 140° 57,3
Noeud Éclint. ® 168 0,0 168 0,0
Inclinaison nn. ; 28 10,0 28 10,0
Mouv. moyen (tropique) À 190769820 797690096
Élongation moyenne a 492,609 76,169
(pour (pe) = 9,53887)
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 35.
446
H. STEUVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES DES OBSERVATIONS FAITES [n. 8.1
Dans les calculs effectués pour la dernière époque, celle de 1889,
on s’est servi de longitudes plus exactes, en admettant pour Tethys
dE = — 40,0, pour Rhea dE = — 8,0.
Les tableaux suivants présentent les résultats des observations et des
calculs avec leur comparaison entre eux. En outre ils donnent les erreurs v
des observations, qui restent après la compensation définitive. Dans quelques
cas exceptionnels, où p avait été déterminé avec exactitude, sans détermi-
nation également exacte de s, on n’a pu déduire qu’une seule coordonnée.
Pour les trois premières époques, toutes les observations ont été exécutées
par moi seul; pour la dernière opposition en moitié par M. Renz. La
coopération d’un second observateur nous a paru désirable soit dans l'intérêt
des mesures faites sur les autres satellites, soit particulièrement dans le but
de gagner un jugement sur l'existence d'erreurs systématiques dans ces
mesures.
Tethys-Rhea. 1886.
Temps sid.
Poulk, Ya | O—C
1880.
l'évr.
Mars
Avril
6 | Au — |— 8507| — +-1926 | +19’82 | — 0/56 | -+-0/14
G | 444 17 | — 88/08 | — 82,82 | —0771 _—0"14 — 60,87 | —61,88 | -+-0,71 | -+-0,04
16 | 6 26 88 — |—11880| — — À 588 |— 4834| —0,84| —0,
28 | 456 11 — 84,99 | — 84,64 | —0,85 | +0,04 | — 15,10 | — 16,27 | +1,17 | +0,12
24 | 4 68 20 | — 46,7C|— 46,71 |-+0,01 | —0,09 1 —17,00 | — 16,02 | —0,98 | —0,07
24 | 9 18 53 | — 52,06 | — 62,08 | -+-0,02 | —0,01 | — 25,24 | — 24,76 | — 0,48 | -+-0,08
28 | 6 40 81 | —116,95 | —116,90 | —0,05 | —0,04 | — 14,88 | — 14,87 | —0,02 | —0,01
6 | 6 88 42 | + 17,56 |-+- 17,77 | —0,22 | -+-0,09 | —81,87 | —81,72 | -+-0,85 | — 0,14
7 | 945 61 + 78,30 | + 72,97 | +-0,88 | —0,05 | —+-58,61 | -+-54,84 | —0,88 | —0,11
8 | 6 1154 | — 71,08 | — 70,67 | —0,86 | —0,12 À -+-19,74 | -+11,58 | +1,16 | —0,02
8 | 10 18 89 | — 64,10 | — 68,71 | —0,89 | —0,09 À + 2,74 | + 1,78 | +1,01 | —0,11
0 | 6 28 83 À — 54,18 | — 64,33 | +0,15 | +-0,02 | + 0,88 | + 1,23 | —0,85 | —0,02
10 | 621 87 | — 712/— 8,66 | —0,47 | -+-0,07 1 —56,36 | —56,99 | +-0,63 | —0,01
11 | 8 O0 61 | + 99,80 | + 93,64 | +0,16 | —0,10 À -+24,98 | -+-26,80 | —0,87 | +0,07
19 | 6 48 87 | -+- 18,46 | + 18,62 | —0,16 | -+-0,06 | +18,22 | +-17,18 | +1,04 | -+-0,06
18 | 626 & | — 81,68 | — 81,91 | +0,28 | -+-0,01 | +27,91 | -+-28,26 | —0,35 | +0,10
14 | 6 45 61 | — 98,71 | — 928,28 | —0,48 | —0,081 —52,32 | —62,72 | +0,40| 0,00
15 | 644 1 | + 34,87 | + 84,67 | -+-0,20 | +0,07 | — 6,68 | — 5,02 | —0,51 | -+-0,10
16 | 7 19 88 | + 97,88 | + 97,79 | +0,04 | +-0,09| -+-17,27 | + 16,91 | -+-0,36 | -+-0,07
17 | 7 89 1 | — 76,68 | — 76,88 | -+-0,30 | -+-0,09 | --36,52 | +-36,97 | +0,25 | —0,08
18 | 7 6 a1 | — 37,41 | — 87,18 | —0,28 | —0,11] —21,98 | —21,84 | —0,09 | —0,06
19 | G 49 9! — 87,90 | — 37,78 | —0,12 | +0,02] —33,95 | —83,96 | -+-0,01 | —0,01
21 | 7 27 18 | — 99,46 | — 29,60 | +-0,16 | -+-0,14 | -+-81,10 | -+-80,30 | -+-0,80 | —0,08
99 | 7 4 4! — 97,96 | — 98,24 |-+0,28 | +-0,18 | --18,93 | +-19,35 | —0,42 | — 0,08
23 | 7 4 91 — 90,02 | — 89,71 | —0,81 | 10,081 —46,01 | —45,67 | -+-0,66 | -+-0,01
27 | 7 53 49 | — 92,00 | — 91,40 | —0,60 | —0,14 | —84,72 | —85,57 | -+-0,85 | —0,04
3 | 8 14 40 | + 82,56 | + 82,80 | —0,24 | +0,02 | —38,68 | —33,66 | —0,02 | -+-0,06
8 8 41 50 I + 29,48 | + 29,85 | +0,18 | —0,07 1 -+81,59 | +81,41 | +0,18 | +0,01
11 | 869 8 À + 90,45 | + 20,75 | —0,30 | +0,14 | — 40,91 | —41,53 | +0,62 | —0,02
19 | 9 14 39 | -+- 87,73 | +- 87,35 | -+-0,38 | -+-0,06 | -+41,32 | +-42,01 | —0,69 | +0,07
13 | 948 9) — 33,64! — 33,46 | —0,18 | -+-0,06 | 11,86 | -+-10,80 | -+-1,06 | -+-0,03
14 | 9 49 71 — 75.04! — 76,26 | +0,91 | +-0,08| + 7,17 | + 7,74 | —0,57 | +0,02
183 9 50 1 | — 90.87 | — 91,07 | +0,20 | —0,.02 I -+25,93 | +-25,92 | +0,01 | — 0,08
a0 8338 + 7.22|-+ 728 | —0,06 | —0,03] —18,82 | —18,84 | +0,02] —0,01
31 4 10 10 43 | -+-109,78 | +-109,90 | —0,12 | —0,18 | -+18,84 | 19,10 | —0,26| 0,00
232: 10 16 26 À — 62,02 | — 68,11 | +0,09 | 0,01 À +30,54 | -+-29,68 | +0,86 | +0,08
23 ; 10 52 13 | — 33,64 1— 38,55 | —0,W! -0,11] — 4,60 | — 4,14 | —0,46 | +0,06
24 [10 35 52 À — 47.991 — 4781 018 +016 — 43,32 ı —43,89 | -+-0,57 | +u.us
27 | 11 14 60 | — 85,37 | — 35,65 | +0,28 | +0 04 | -+-30,57 | +31, 12 | —0,55 +0,04
Belangen matten. ei astren. T. VII, p 3%.
(xxx)
1
Janv.
16
18
Févr, 9
Mars
Avril
Mai
6h62"21" | + 8920
8 31 59 | + 26,77
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56
22
— 82,02
+ 28,96
— 106,51
+- 89/05
+
+
+
TUUEUETTENEEZTENEENTERTe EN
26,37
81,96
36,17
96,41
18,17
71,98
18,95
67,75
89,42
58,76
65,91
1,12
28,50
— 106,07
12 6 01 -+- 51,14 |-+ 60,72
Belnuges muathem. ol astron. 1. VII, p. 37.
— 0,44
+-0,42
Tethys-Rhea, 1887.
CS
Temps sid. C C
887.
-+-0,09
+ 0,01
—0,06
+0,15
+-0,01
+0,02
—+-0,06
-+-0,04
+-0,01
—0,01
— 24'683
+-49,66
-+29,69
— 42,33
—14,21
— 87,64
-+32,78
— 20,50
— 1,79
+-61,59
—85,47
— 28745
+-60,15
— 28,77
-+-28,86
—42,09
—14,06
— 38,28
+-B1,62
— 19,59
— 2,77
—+-51,89
— 85,33
|—14,11
—10,24
—46,47
+22,25
— 50,34
— 0,92
+ 8,84
+-61,79
+-42,47
—81,89
—17,74
—16,19
+-48,61
+-40,56
+ 4,01
-—-80,36
-+-36,75
— 28,65
—16,11
— 12,99
+ 6,01
+ 8,16
+-25,95
—+-19,22
— 28,72
— 27,87
+-13,22
— 6,90
+-45,50
— 18,60
— 9,60
+-83,25
-+44,77
— 21,47
+-48,84
SUR LES SATELLITES DE SATURNE À L’AIDE DU RÉFR. DB 80 POUCES.
—1,18
—049 |
— 1,00
+1,33
—0,24
—0,15
+0,59
-+1,26
—0,91
—+-0,98
—0,80
—0,14
+-0,15
+-0,68
447
—0,05
—0,10
448 H. STRUVYE, RÉSULTATS PRÉLININAIRES DES OBSERVATIONS FAITES [N. 8.1
Tethys-Rhee. 1888.
Temps sid, VO C
Poulk. Ti—Ze | O—C Yıda | Yi—-Ye | O—C r
1888. | |
Févr, 11 | 748915" + 5/49|-+- 5’u8 | -+0741 | -+07165] -+-86°40 | -+-54783 | +-0°57 | +011
19 | 8 46 86 | + 61,21 |+ 50,77 | +0,44 | —0,08 | -+-42,46 | -+-41,34 | -+-1/11 | +0,06
28 8 20 15 | + 44,96 | + 44,69 +0,27 +-0,02 | +-11,56 | -+-10,88 | -+-0,68 | -+-0,08
24 | 620 4] + 78,81|-+ 78,30 | -+-0,01 | +0,05! -#+27,00 | -+-27,10 | —0,10! —0,03
26 | 6 52 52 | — 10,69 | — 10,37 | —0,82 | —0,10| —28,85 | —27,98 | —0,37 | — 0,07
28 | 944 10 | + 0,69|-+ 0,99 | —-0,80 | —0,22| —22,93 | —22,92 | —0,01 | —0,02
27 | 665921 + 436)+ 4,48 |—0,12| —0,031 —24,26 | —24,15 | —0,10 | —0,07
27 | 9 87 25 | + 17,62! + 17,851 —0,23| 0,00! —26,18 | —25,79 | —0,39 | —0,12
28 | #11 1 |-+114,36 | 114,80 | +0,05 | —0,18 | -+-40,00 | -+-39,17 | +-0,88 | -+-0,04
29 | 668 11 | — 70,47|— 70,66 | +0,08 | +0,08] +15,90 |-+16,09| —0,19| 0,00
Murs 2 | 825 8] — 2888| — 2842|—0,46| 0,00! —49,82 | —48,53 | —0,79 | -ı-0,03
8 | 8 217 | -+ 93,28 | + 98,40 | —0,12 | +0,12] + 7,96 | + 8,31 | —0,35 | —-0,01
10 | 10 44 56 — |- 4035| — — | —20,97 | — 20,58 | -- 0,39 | -ı 0,07
11 | 7 81 24 | — 4447| — 44,68 | -1-0,21 | -6-0,08 | — 23,95 | — 21,90 | -+-0,27 | -ı 0,01
12 | 7 69 81 | +128,52 | +-128,77 | —0,26 | —O,04 | — 2,73 | — 2,65 | —0,08 | --0,06
16 8 14 8 | -+- 01,68 | + 94,56 | -1-0,18 | -+-0,161 — 7,29 | — 7,73 | -+-0,44 | +0,01
17 | 7 86 85 | + 34,20 | -+- 34,82 | 0,121 —0,07 | + 9,29 | -+ 9,27 | -+-0,02 | -+-0,06
18 | 9 19 89 | -+- 12,10 | + 11,66 | +-0,45 | -+-0,08 | +-48,61 | -+42,79 | +-0,82 | +0,07
19 | 8 7 64 | —118,67 | —118,49 | —0,18 | +0,06 | —-26,91 | —-26,16 | —0,75 | +0,06
20 | 7 85 82 | -+ 14,97 | -+- 14,88 | +-0,14 | +0,04) —15,13 | —16,63 | +0,40 | —0,05
21 | 9 88 16 | -+- 68,61 | + 68,97 | —0,36 | +-0,08 | —17,14 | —16,68 | —0,46 | +0,07
22 | 12 28 26 | + 9650| 8,941]-+0,56| 0,00 — [446,1 _ —
30 | 11 56 16 | + 84,82 | + 34,89 | —0,07 | —0,08 | — 8,94] — 3,79 | —0,156| —0,165
Avril 2 | 9 41 18 | — 90,11 | — 20,00 | —0,11 | —0,10 | —15,95 | —16,14 | +0,19 | +-0,05
8 | 866 11 — 6,61|— 6,31|—-0,23 | +0,08 | —84,55 | —834,16 | —0,39 | +-0,06
4 | 8 653 18 | +-117,92 | +-117,78 | +0,14 | —0,06 | -+-81,82 | -+-80,40 | -+-0,93 | -+-0,10
18 | 9 85 28 | -+-108,55 | +-106,81 | —0.26 | —0,06 | + 5,77 | + 6,90 | —0,13 | —0,03
14 | 9 87 6 | — 36,85 | — 87,34 | +-0,49 | +0,03 | +-36,48 | +-36,93 | +0,60 | +0,01
15 | 9 47 16 | — 40,63 | — 40,89 | —0,24 | —0,18 | — 9,06 | — 8,76 | —0,29 | —0,01
17 | 10 4 40 | +-115,03 | 116,13 | —0,10 | +0,02 1 — 2,12] — 2,42 |-ı-0,30| 0,00
23 | 10 40 13 | -+- 22,58 | + 22,07 | +0,61 | +0,08 | -+-45,96 | +-45,14 | +0,82 | —0,05
24 | 10 26 42 | — 96,21 | — 94,92 | — 0,32 | —0,06| —21,09 | —20,82 | —0,77 | -+0,06
80 | 11 141 | + 52,95 | +- 59,21 | —0,26 | +0,09 | —32,86 | —32,64 | —0,22 | +0,11
Mai 1 [1148 6 | + 89,92|-+- 89,65 |+0,27| 0,00 | +18,02 | 17,60 | +0,42 | -+0,08
2 | 12 87 67 | + 38,37 | +- 938,48 | —0,11 | —0,19 | +-29,41 | +-29,28 | +-0,18| —0,15
6 |12 1 66 | +- 28,21 | -+- 23,20 | .+-0,04 | + 0,16] — 15,25 | — 15,08 | --0,22! -ı 0,01
Tethys-Rhea. 18889.
Tempssil. CO | 0 C
Poulk, — Le | XL —Le 0-6, v In—Ylyı-y|9-0C| v
1889.
Janv. 24 7°16"48T — |- 71/09) —| — |+20/75/+-21/61| 0/87] —0)06
28| 7 84 46 - 25”39|— 25,60 +-0’21 +-0"16 +19,87|+-19,96| —0,59| -+-0,06
Févr. 4| 7 28 8|+- 20,86|+- 20,67| +0,19| 0,001-— 9,06|— 8,98| —0,08| —0,18
7| 7 41 18|— 68,84|— 68,27| —0,07| —0,02 I— 9,10|— 9,22] -+0,12] —0,08
11l 9 3 441+- 8,79/+ 8,81] —0,02| -+0,01 |+-17,83|-+-16,53| -+-0,80| -+-0,04
14| 7 45 10 |-+- 87,61|+ 37,17| -+-0,14| +0,25 H+- 0,61|-+ 0,95| —0,34| +0,06
17|10 82 81 |— 16,15/— 15,28| -+-0,08] -+-0,02 |—11,72/—12,00| -+-0,28| -+-0,17
18| 9 10 88 |+- 21,86/+ 21,80| + 0,06) —0,01 125,30 — 26,16] —0,14| —0,04
Murs 9| 7 48 45}+ 50,254 60,40! —0,15| —0,18 [+ 3,02|-+- 2,85| +-0,17| +0,08
14/10 9 54|+ 17,33|+- 17,21] -+0,12| —0,08 I+-85,37|-+-35,77| —0,40| —0,01
19/11 7 Olfr 28,14|-4- 28,17) —0,08] —0,02 I--26,95|-ı 26,21] -+-0,74| 0,00
26| 10 30 18|— 37,91|— 37,92] +0,01] —0,03 I— 8,90|— 8,62] — 0,28) —0,13
301 8 66 40|— 26,80|— 26,77| —0,03| — 0,08 I—89,14|—-39,55| -+-0,41| -+-0,18
Mélanges mathén.
ot astron. T. VII, p. 38.
(xxxım)] SUR LES SATELLITES DE SATURNE À L'AIDE DU RÉFR. DE 80 POUCFS.
'empssid, {) (@ | () C
Poulk. | #,—r, | 1,—7, | O—C ù Yi —Vo | Vi —Yo
1889. az À |
Avril 13/10 1 42/-4- 45,11|-+- 44,97! +0,14] —0,02 |— 5,66|— 5,78
16/110 15 28 |— 76,85/— 75,82! —0,08| +0,03 I— 16,05 — 16,21] -
21110 8 21 |-111,23/—111,36| +0,13] +0,01 [—15,55\— 14,46
22110 6 24 I+- 57,59) — 67,87| +0,02] —0,09 1 —20,90/— 21,73
24| 10 35 30 1-+- 55,08|-+- 66,11! —0,03| — 0,01 [-+-29,96|-+29,15
26| 11 10 10|-- 120,03) —120,84| — 0,09! —0.03 | 11,50| — 10.68
261 10 43 62/1 4,57)-+- 4,60| —0,03| —0,07 |—15,34|—15.48
27111 4 46 Fr- 26,25) 26,07| -+-0,18| +0,10 |— 18,08) — 17,99
1889. | |
Janv, 20) 8/65"88)— 35,27] — 34/92] —0/35(—0/83)+- 8°72/4- 8/23
Févr. 4| 8 61 451}+4- 18,78, - 18,5 59! : -0,19/(+- ri 8,40 — 8,30)
7| 9 19 571— 61,76, — 61,32 0,44 (- -0,49))— 9,15|— 9,58
11110 10 13 I 6. 76/4 1,75 10,01 (-1-0,06) ı-18,46); +17 ‚ol
161 8 41 33 |—122,06)— 122,17] +-0,11/(+-0,03)— I 67|— 6,65
20] 7 53 55 |— 61,59 — 51,88] —0,21[(—0,18)+- 6,08/+ 6,28
22/10 12 44 5,76, 5,971 —0,21(— 0,29) 36,86) — 36,92
25| 9 21 Sc] — |— 96,69, —| — |+-12,86[+18,78
Murs 2110 53 38]— 87,29|— 36,93) —0,86(—0,37)— 8,10/— 8,53
8111 3 39 1— 46,70 — 46,56) —0,141(—0,80)]— 83,52|—82,72
4110 57 5[.+-130.90|-+-130,77| -#0,18\(-#0,19)]-+-16,92)-1-15,93
6/11 16 28]— 10,77)— 10,88] +-0,11\(-+-0,14)[-4-13,76|-+-13,95
14110 46 34 /4- 11,35/-+- 11,14| -+0,21/(+-0,08)] +-34,40|-+-34,88
15[ 11 13 55 I— 86,201— 35.92] — 0,28[(—0,201-1- 0,75|-+- 0,26
18/10 50 49 [-+- 33,15/-1- 32,80! -1-0,36(-+-0,22)]-+-16,92|-+-17,01
25| 12 14 29! 42,50— 42,14| — 0,36 (—0,50)1— 9,65|— 9,31
81112 9 27 1+ 51,21-+- 50,82 KR + 8,26|-+ 8,70
Avril 1111 46 74 76,10|-+- 76,90| - 20 (-+- 0,25 +-20,99|+-19,89
3112 6 591— 22,87 — 21, 187 05 50 (—0,5 55) —22,72|— 29.05
18| 10 41 24}4- 89,90 -+- 89,40 +-0,50/(-+-0,48)1— 13,18/— 14,24
19/11 47 14
a 18,86 + 19,36! - Fol, an 1:28,82 -+29,01
|
0 C rn
-+0,08| +0,04
+-0.16| —0,02
— 1.09) — 0,04
+-0,83| —0,02
+0,81} +-0,08
—0,82 0,00
+-0,14! —0,15
—0,04| 0,00
ds
-+-0,49(-+-0,19)|-# 0,37
—0,10|(—0,04)/-+-0,10
1-0,4%1(+-0,12)/4-0,46
+-0,951(-+0,24))+-0,25
—0,92/(—0,03)|— 0,03
—0,20|(+-0,04)! +0,18 |
+-0,06}(—0,88)/+-0,84 |
—0,87/(+-0,02 |
+-0,43(-4-0,01))-+-0,36
—0,80(—0,19)|-+-0,95
+0,99 |(+-0,06)|-+-0,20
—0,10)(-+0,07)| —0,08
— 0,391(-+-0,09)-+-0,10
+0,49/(—0,06)|-+-0,29
—0,09|(-+-0,32)|-+-0,35
—0,34|(—0,04)-+-0,50
= 0,44 (—0,09) +0,15
+1,17\(-+-0,16)|-+-0,23
+0,23/(—0,34)|-1-0,63
1,06 (-+-0,05)) +0,46
=
— 0,19/(-+-0,80)
+-0,43
449
"IX 3p suoneatssqgg
zuay
En considérant que les observations faites au réfracteur de 15 pouces
n’avaient indiqué aucune trace d’excentricité pour l'orbite de Rhen et qu’en
outre les éléments e et P ne peuvent pas être déduits simultanément pour
les deux satellites avec assez d’exactitude, la résolution des équations de
condition a été effectuée pour Rhea sans égard à ces éléments. Pour Tethys
au contraire, où les observations antérieures avaient indiqué une faible
excentricité, on a introduit les esin P et ecos P dans les équations. Ayant
en outre adopté les élongations moyennes des deux satellites d’après la loi
de Keppler, nous n’avons eu dans les équations de condition que neuf in-
connues à déterminer. Le calcul de ces inconnues, ayant été exécuté pour
les différentes années séparément, a conduit aux résultats suivants.
Mélanges mathém. ot ariron. T, VII, p. 39.
450 H. STRUVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRPS DES OBSERVATIONS FAITRS [N. 8. 1
Éléments de Tethys.
1886. 218 1887. 214 1888. 224 1889. 206
T. M. Greenw. (réd.) Mars 22,0 Mars 20,0 Mars 23,0 Mars 17,0
165° 17,6 +- 1/1 | 268° 47/8 + 1,1 | 76° GLEN | 186° 19/1 + 1,8
165 17,5 166 21,0 165 1,2 164 3,49
— m. Cm = esse un m mu
168 85,6 + 2,6 | 170 11,8 4: 2,8 | 168 86,9-£2,7 | 168 7,4 + 9,7
27 O1+11| 28 2511| 29 62+1,8 | 28 40,2-+ 1,6
ne me mms te ns ces À een = = © man _-_— Per
-1-0,00188 + 28 | -+0,00174 #24 |-+-0,00160:: 29 |-+0,00248 + 67
—0,00066 + 13 | —0,00029 4: 15 | —0,00047 +22 |-—0,00112 :+ 68
0,00158 0,00177 0,00158 0,00273
Éléments de Rhea.
Époque moy. 1886. 218 1887. 214 1888. 224 1889. 206
T. M. Greeuv. (réd.) Mars 22,0 Mars 20,0 Mars 23,0 Mars 17,0
E 140° 50/6 + 0,6 | 268° 20/8 + 0,6 | 163° 67/7 + 0/7 | 822° 48/6 + 1,0
E, (1886) | 140 50,6 140 50,5 140 48,7 140 49,8
n 168 7114 | 167 66,8 + 1,8 | 167 60,0% 1,6 | 167 46,2 + 1,9
i 28 19,7+0,7 | 28 226:506 | 28 28,7+0,7 | 28 221+ 1,0
a +-0,00050 + 15 | -+-0,00093 + 14 | -+-0,00081 :+ 17 | -+-0,00189 + 29
N) 767207 -& 0/12 | 767240 + 0/011 | 76/198 + 0018 | 76,276 & 0,022
A ce que les erreurs restantes v font voir, la representation des obser-
vations par ces éléments ne laisse rien à désirer. Elle est ici encore beaucoup
plus parfaite que pour les jonctions exécutées avec la lunette de 15 pouces.
Quoiqu’on n’ait exclu aucune mesure, les différences entre le calcul et l’ob-
servation n’atteignent que dans 5 cas entre 281 le montant de 0,2. Pour
les sommes des carrés des erreurs et les erreurs probables on trouve ici les
valeurs suivantes:
(vv). (vo), (vv), err. prob.
1886 0,295 0,226 0,172 =+0)056
1887 0347 0417 0274 -+-0,059
1888 0,300 0,274 0,156 0,059
1889 0,159 0,223 0,129 0,064
Ici (vv), et (vv), désignent les sommes des carrés des erreurs, telles qu’elles
résultent de l'introduction des corrections évaluées, dans les équations de
Mélanges malhém. ot astron. 'T. VII, p. 40.
(XXXH1)] SUR LES SATELLITES DE SATURNR À L’AIDE DU RÉFR. DE 80 POUCES. 451
condition. Cependant les oscillations considérables que subit l'orbite de
Tethys d’un an à l’autre, ne peuvent manquer d’exercer aussi une influence
notable sur l'accord, en dedans de chaque série d’observations à part.
Effectivement on trouve, qu’en considérant l’effet du mouvement des noeuds
sur l’&quateur de Saturne, les erreurs dans les y résultent encore beaucoup
plus petites, les (vv), se reduisant alors aux valeurs désignées par (ww),
La haute précision des mesures justifie l’essai de déduire la masse de la
planète, des corrections évaluées pour a. Puisque les a, adoptés dans le
calcul, ont été déduits de la masse réciproque de Saturne p, = 3500, on
trouve ici: |
1886 du —— 52 p— 34948 +16
1887 — — 9,8 = 34902 #15
1888 — — 3,3 — 34967 +17
1889 — —14,6 — 34854 —+3,1
Moyenne p = 3493,0 +0,89:
Cependant, concernant l’exactitude de ce résultat, d’assez fortes illusions
pourraient facilement avoir lien. Il y manque encore la preuve que, dans la
mesure des distances, aucune erreur systématique de l’ordre des erreurs acci-
dentelles ne soit commise. Cette preuve est justement le point faible dans
toutes les déterminations des masses, basées sur des mesures micrométriques.
L'effet d’une erreur systématique sera naturellement d’autant plus fort, que
les distances mesurées sont plus petites. Sous ce rapport la comparaison de
mes mesures avec celles de M. Renz durant la dernière opposition, conduit
à des considérations bien importantes. Lorsqu'on calcule les p et s pour les
observations de M. Renz, à l’aide des éléments définitifs déduits de mes
mesures, on trouve pour les angles de position un accord très satisfaisant.
Au contraire les distances, à ce qu’on peut voir dans les ds précédemment
donnés, ont étè mesurées par M. Renz presque toutes plus fortes, en moyenne
de 0,29, valeur qui surpasse de beaucoup l’erreur accidentelle des mesures.
On voit en même temps que cette différence est à peu près d’égale grandeur
pour les petites et les grandes distances, ce qui fait conclure qu’elle ne peut
pas être expliquée uniquement par une valeur différente des pas de la vis
micrométrique, applicable aux mesures de M. Renz. Il s'ensuit directement
que les mesures de M. Renz entraineraient non seulement un changement
des dimensions, mais encore de tous les autres éléments des orbites. Pour
cette raison, c. à d. pour donner aux résultats à déduire de nos observations,
le degré de sûreté qui leur convient selon leur accord intrinsèque, il sera
de la plus haute importance d'examiner les distances par rapport aux erreurs
systématiques et — quant à la détermination de la masse de la planète — de
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 41. 80
452 H. STRUVE, RÉSULTATS PRÄLININAIRES DES OBSERVATIONS FAITES [n. 8. I
baser la valeur de la vis micrométrique exclusivement sur des mesures de
distance. La valeur, telle que je l’ai déterminée par les mesures faites dans
l’amas de À Persei, ne satisfait qu’en partie à cette condition, puisque la
moitié des intervalles a été mesurée comme différences de déclinaison, en
remplacement des distances directes.
La comparaison entre eux des éléments évalués pour les différentes
années, montre d’abord pour Rlıea un accord parfait des longitudes, tandis que
pour Tethys il y a des différences plus fortes, qu’il n’y aurait pas moyen de
faire disparaître par la seule variation du mouvement moyen adopté. C'est
ainsi que mes observations confirment la conclusion déduite déjà par
M. Bohlin!) de la discussion d’anciennes séries d'observations, qu’il y existe
une variabilité dans le mouvement moyen de Tethys, dont l’origine devra
probablement être attribuée à des relations remarquables des satellites in-
térieurs entre eux. La formule empirique de M. Bohlin, qui lui a servi pour
compenser les oscillations dans la longitude par un terme périodique À sin pt,
laisse subsister dans les longitudes précédentes les différences suivantes:
Obs. — Calc.
1886,2 dE — — —26,6
87,2 = — 15,1
88,2 = —26,0
89,2 — —32,3
A juger d’après ces différences, la valeur adoptée du mouvement moyen
de Tethys (À = 1907698169) devrait recevoir une correction négative.
Quant au terme périodique proposé par M. Bohlin, c’est aux observations
futures d’en prouver la légitimité; l’accord plus parfait établi par son appli-
cation dans les résultats de nos observations parle en sa faveur.
Les valeurs déduites de nos observations pour e sin Pet e cos P per-
mettent seulement de conclure que lexcentricité de l'orbite de Tethys
soit une très petite quantité, de l’ordre dé celle de Rhea. Quant aux valeurs
numériques précédemment indiquées, on ne devra leur attribuer qu’un très
faible poids, parce qu’elles dépendent de la supposition arbitraire que l’orbite
de Rhea soit exactement circulaire, Elles devront notablement varier, dès
qu’on accepte pour ce satellite une faible excentricité. Une détermination
indépendante de cet élément, ne serait possible que par des jonctions directes
du satellite avec le disque de la planète. Dans ce but une série spéciale de
mesures a été entreprise par nous, nommément de mesures de distances du
satellite aux bords Nord et Sud, Est et Guest du disque, qui fourniront en
1) Bohlin, Über die Bahnelemente des dritten Saturnsatelliten Tethys. Stockholm 1886.
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 49.
(XXxI11)] SUR LES SATELLITES DE SATURNE À L’AIDE DU RÉFR. DE 80 POUCES. 453
même temps une détermination exacte de l’aplatissement de la planète. Cette
méthode d’observation présente plusieurs avantages sur la méthode des
jonctions avec le disque par s et p, lesquelles, à ce qu’il me parait, peuvent
être affectées en plus forte raison par des erreurs systématiques. Dans
la déduction des résultats de cette série nous nous proposons d'introduire
dans les équations de condition seulement les deux inconnues e et P, en y
admettant que tous les autres éléments de l'orbite de Rhea soient exacte-
ment donnés par les jonctions réciproques avec les autres satellites.
Les oscillations des plans des orbites de Tethys et de Rhea, distincte-
ment prononcées dans les éléments précédents, méritent une attention parti-
culière. Elles permettent en premier lieu une détermination exacte de la po-
sition de l’équateur de Saturne. Suivant un theorème bien connu les plans
des orbites des satellites intérieurs doivent se mouvoir sur l'équateur de
Saturne, en conservant une inclinaison à peu près constante, avec
vélocité uniforme des nocuds, tant que l’aplatissement de la planète, comme
c'est le cas pour le système de Saturne, est la source principale des pertur-
bations. En effet on peut démontrer que les éléments de l’équateur de Sa-
turne n, et &, peuvent être déterminés de manière que la dite condition soit
de très près remplie pour les satellites Rhea, Dione et Tethys. Nous prou-
verons la justesse de cette thèse en premier lieu par rapport à Tethys.
Si nous désignons par y et © l’inclinaison et la longitude du noeud de
l'orbite du satellite par rapport à l’équateur de Saturne, nous avons les
relations suivantes:
N) . s—ı . } . . .
sin? z = sin? —! +- sind sin, sin”
sin y sin (0 —n,) = sin? sin (a —n,)
siny cos(O—n,) = sin(i—i,) — 2 sin‘ cos, sin? Az
Les équations à établir sur la première de ces relations permettront de
déterminer n, et i, de manière que y conserve pour chaque satellite une
valeur constante; les deux autres relations fournissent ensuite la longitude
des noeuds sur l’équateur. En acceptant d’abord, dans le calcul de y, la
position de l'équateur de Saturne, telle qu’elle a été déterminée par Bessel,
nommément:
n, = 168° 2) |
i—= 28 10,2 pour 1886,2
les éléments de Tethys, corrigés pour précession, donneront:
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 48.
454 H. STRUVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES LES OBSERVATIONS FAITES. [N. 8. ı
sn —ù
1886,2 + 36/5 —701 72/0
87,2 +1305 — 7,7 61,8
88,2 + 35,2 +55,0 657,5
89,2 —115,1 -+30,0 62,3
Dans ce tableau les différences entre les y surpassent considérablement
les erreurs admissibles des éléments et ne se laissent pas expliquer par les
perturbations exercées par les autres satellites. Mais, lorsqu'on adopte pour
n, et i, les corrections suivantes
sind, An, = — 3,0
di, = — 8,2
on obtient avec un accord très satisfaisant
1886,2 y= 64/9
87,2 = 64,4
88,2 = 66,2
89,2 = 66,1
Moyenne y = 65,1
Avec les mêmes valeurs corrigées de n, et 5, les éléments trouvés pour
Rhea, auxquels nous ajouterons aussi l’ancienne détermination obtenue au
réfracteur de 15 pouces, donnent pour l’inclinaison de l'orbite:
n—n, s—i, Y
18857 +193 +184 205
86,2 +135 +177 18,8
87,2 + 1,9 +20,6 20,6
1 882 — 53 +217 21,8
89,2 —10,9 +201 20,7
Moyenne y = 20,5
tandis que les éléments Besseliens de l’équateur de Saturne n’auraient donné
pour y qu'une valeur deux fois plus petite. D'un autre côté j’ai démontré,
dans mon mémoire antérieur, que les anciennes déterminations de l’orbite
de Rhea ne peuvent être représentées d’une manière satisfaisante qu’à con-
dition que l’inclinaison de son orbite soit d’environ 20”. Cette circonstance
prouve donc que les corrections précédentes aient la même force pour Rhea
que pour Tethys. Enfin les valeurs corrigées de n, et i, sont indiquées éga-
lement par les petites variations que subit le plan de l’orbite de Dione, pour
lequel les anciennes observations ont donné les éléments suivants:
Mélanges mathéæ. ot astron. T. VII, p. 44.
(XXXI11)] SUR LES SATELLITES DE SATURNB À L'AIDE DU RÉFR. DE 80 POUCES. 455
” {
Newcomb & Hall 1875,3 167° 58/1 #72 28° 3/9 #334
W. Meyer 81,8 167 58,0 #83 28 1,1 4,0
H. Struve 85,7 167 39,4 &31 28 18 =1,4
Eu égard aux corrections indiquées on aura donc maintenant pour les
éléments de l’équateur de Saturne:
n, = 167° 53,6
i— 28 230
Il y a lien de croire que ces éléments soient déjà très exacts. Toujours
nous espérons pouvoir augmenter encore l'exactitude dès que nous serons
en Ctat de faire concourir les orbites d’Enceladus et de Dione à déduire des
observations récentes faites à la grande lunette. L’erreur dans la détermi-
nation de Bessel s'explique suffisamment par la difficulté de mesurer les
angles de position de la ligne des anses, sans y considérer qu’une faible in-
clinaison du plan de l’anneau sur l’équateur de la planète doit également
produire certaines inégalités périodiques dans les directions déterminées à
différentes époques. On se convaincra facilement que la représentation des
anciennes observations de disparitions de l’anneau, ne souffrira que très peu
par la valeur adoptée de n,. Aussi il ne demande aucune explication ulté-
rieure pourquoi le mouvement propre séculaire des noeuds de l’équateur,
évalué par Bessel à 4” par an, ne doive être regardé que comme un résultat
très incertain.
Nous déduisons maintenant des éléments de l'ethys les longitudes sui-
vautes des nocuds de son orbite sur l’équateur de Saturne:
1886,218 ©—n,— 16229
Fiquinoxe 1886,2.
87,214 — 91,0
88,224 — 17,8
89,206 — 305,7
Réduites à l’époque de la premiere détermination, avec le mouvement rétro-
grade des nocuds AO — 7278 par an, elles présentent l’accord suivant:
1886 O—n, — 16229
87 — 163,5
88 — 163,8
89 — 163,3
Moyenne © — n, = 16393
Mélanges malhém. et astron. T. VII, p. 45.
456 H. STRUVYE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES DKS OBSERVATIONS FAITES [N. 8. I
Pour obtenir une valeur plus exacte du mouvement des noeuds, il sera
nécessaire de recourir aux anciennes déterminations de l’orbite. Le mémoire
précédemment mentionné de M. Bohlin présente un tableau de ces anciennes
déterminations, dont nous extrayons les données suivantes:
” s
Lamunt 1836,38 107° 48 — 26° 37,8 —
Secchi 56,14 165 53,5 +386 27 34 +922,4
Newcomb 74,74 165 52,6 #145 27551 = 6,7
Hall 75,63 167 172 + 9,5 2706 # 3,8
W. Meyer 80,76 165 47,5 — 27 1,7 —
W. Meyer 81,79 169 430 #132 27243 + 5,1
Le calcul des n et s, effectué pour les époques précédentes avec la va-
leur O—n, = 163,3 — 72,8 ( — 1886,218), conduit à la comparaison sui-
vante, à laquelle nous ajouterons aussi celle de nos derniers éléments:
Obs. — Calc.
. de di
1836,38 —+ 21,9 — 20,4
56,14 —62,3 — 4,8
74,74 -+24,6 — 18,3
75,63 +52,9 — 7,9
80,76 —706 + 0,5
81,79 — 1,7 — 0,4
1886,218 + 0,7 + 0,4
87,214 — 17 + 0,2
88,224 + 18 + 0,9
89,206 + 1,4 — 0,7
La détermination obtenue à Washington en 1875 serait représentée
un peu mieux par une valeur plus faible du mouvement des noeuds, nommé-
ment par AO — 7150; mais les deux séries d'observations plus anciennes
s'opposent décidément contre une pareille diminution. Pour cette raison, si
l’on ne voulait pas rejeter entièrement les deux anciennes séries d’observa-
tions, procédé qui ne paraît pas suffisamment motivé, vu qu’aussi les
autres déterminations peuvent être affectées d’erreurs systématiques, nous
devons conclure que la valeur précédemment trouvée AO — 7278 sera déjà
de très près exacte. Tout au plus son erreur pourrait s'élever à 055.
Ainsi le plan de l'orbite de Tetlıys sera représenté avec une exactitude
satisfaisante par les expressions:
O —n, = 16353 — 7278 (t— 1886,218)
= 65,1.
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 46.
(xxxıı)] SUR LES SATELLITES DE BATURNE À L'AIDE DU RÉFR. DE 80 POUCES. 457
De la même manière on trouve pour le plan de l'orbite de Rhea, les
cxpressions:
8 —n, = 1627 — 10°2 (t— 1886,218)
Y = 20,5.
Dans ce cas le mouvement des noeuds est basé sur la comparaison des
éléments déduits des observations de Bessel et Jacob*), à peu près avec la
même exactitude que pour Tethys. Les deux autres constantes sont déduites
de mes propres observations. Voici comment les données précédentes satis-
font aux éléments du plan de l'orbite:
Obs. — Calc.
dn di
Bessel 1832,3 +42 +18
Jacob 57,6 +84 — 3,9
li. Struve 1885,68 +29 —0,6
» 86,218 +1,1 — 2,0
» 87,214 —3,0 +0,2
» 88,224 —25 -+1,2
» 89,206 —0,6 “+ 0,2
Ces résultats paraissent d'autant plus satisfaisants que, dans ce cas, en
plus haut degré que pour Tethys, il y a lieu d'attendre de petites oscilla-
tions produites par les perturbations exercées par Titan et le Soleil.
Les mouvements des noeuds trouvés pour Tethys et Rhea gagnent en-
core un intérêt supérieur par la comparaison avec le mouvement moyen du
perisaturnium de Titan, pour lequel les nouvelles observations, eu égard à
la précession et les perturbations produites par le Soleil, ont donné la va-
leur approximative AP — 1800” = 05500 par an. Cette valeur se compose
de la manière suivante des perturbations produites par l’aplatissement de la
planète, par les anneaux et les autres satellites:
0°500 = (1 ,2841) 7" -+ (2,5000) my, -+ (3,2312) mm -+ (2,8540) m,
+ (2,6074) Mn + . ...
oü nn signifie Ja constante de l’aplatissement, augmentée de l’effet de
0
la masse des anneaux m,. La signification des autres quantités ne demande
aucune explication.
*) Voir: Beobachtungen der Saturnstrabanten. 1 Abth., pag. 106.
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 47.
458 f. STRUVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES DES OBSERVATIONS FAITES [N. 8. ı
Dans mon mémoire antérieur j’ai montré que pour la constante de l’a-
platissement, l’équation précédente désigne la valeur:
Es — 0,0223
valeur qui — à condition que la masse de lIyperion n’exerce aucune in-
fluence sensible sur AP — paraît être exacte à 10 unités près de la der-
nière décimale. . |
Concernant le mouvement des noeuds de Tethys il faudra considérer par
préférence, outre l’effet de l’aplatissement et des anneaux, celui de Dione et
ensuite ceux des satellites Enceladus et Rhea. A ce que nous avons montré
plus haut, le plan de l'orbite de Dione coïncide de trés près avec celui de
l'équateur de Saturne; aussi les autres satellites nommés se meuvent dans
des orbites peu inclinées sur l’équateur. Dans ces circonstances on pourra
adopter sans erreur sensible, comme première approximation, que toutes les
masses troublantes soient réunios dans l’équateur de Saturne. La fonction
perturbatrice obtient alors la forme simple Q = a + bsin?y et l'on trouve
pour le mouvement annuel rétrograde des noeuds de Tethys l'expression:
A® — (8,4458) + (4,7340) mu + (5,4133) my, + (5,1786) my +
(4,2700) m -+ (2,9174) my.
Comme précédemment dans le calcul de la constante de l’aplatissement,
nous admettrons que les masses des satellites soient directement propor-
tionnelles à leur éclat. Dans cette hypothèse les mesures photométriques de
M. Pickering présentent, par rapport à la masse déjà bien connue de Titan
1
Mn — jpg les Valeurs:
My: = 0,0090 . Mn
m = 0,0182 .my
Mr, = 0,0667 .Mr,
Mn = 0,0573 .mı;
Mm —= 0,1488 .m;,
Ces valeurs substituées dans l’expression précédente et combinées avec
la valeur trouvée plus haut pour la constante de l’aplatissement, donnent
pour le mouvement des noeuds de Tethys:
par l'effet de l’aplatissement et des anneaux . . . . . . . 62,2
» » des perturb. exercées par les autres satellites . 3,7
A6 = 6579
tandis que les observations l'ont fait A8 = 72;8.
Molanges maihem. ei astron. T. VIE, p 43.
XXI] SUR LES SATELLITES DE SATURNE À L'AIDE DU REFR. DE 80 POUCES. 469
Abstraction faite de l’aplatissement, le mouvement des noeuds de Rhea
est influencé particulièrement par les masses de Dione et de Titan. En ad-
mettant de nouveau, comme première approximation, qu’aussi dans ce cas
Mn se meuve dans l’équateur de Saturne, nous aurons:
m
49 = (2,5608) 1"! + (4,6421) my + (3,4144) my,
d’où nous tirons pour le mouvement des noeuds de Rhea
produit par l’aplatissement et les anneaux . . . 851
» par les perturb. des autres satellites . 1,1
AO = 992
au lieu de AO — 1032, déduit directement des observations.
Dans les deux cas les différences entre les valeurs calculées et observées
de A® portent le même signe ct sont, au moins pour Tethys, considérable-
ment plus fortes que l'incertitude admissible dans le résultat fourni par les
observations.
En présence de ce fait il y aurait à examiner en premier lieu, si la
remarquable action réciproque entre Hyperion et Titan ne puisse produire
une rétardation d’environ 3° par an dans le mouvement du perisaturnium
de Titan, rétardation qui suffirait pour expliquer les différences trouvées.
Cette question réclame des recherches spéciales et nous devons ajourner
la réponse.
Si la rétardation mentionnée ne se confirme pas, il paraît que nous ne
pouvons former que les deux hypothèses suivantes sur l’origine des diffe-
rences: ou 1) les déterminations photométriques ne permettent aucunement
de former un jugement sur les masses relatives des satellites, ou 2) les diffé-
rences indiquent l’effet de perturbations produites par les anneaux et indé-
pendantes de celles de l’aplatissement.
Non seulement la dernière hypothèse ne peut pas être contestée a priori,
mais elle semble même assez probable. Notre déduction des valeurs de A®
est basée sur la supposition que la fonction perturbatrice des anneaux puisse
être réduite à son premier terme, comme nous l’avons admis pour l’attrac-
tion du sphéroïde. D’un autre côté nous pouvons démontrer aisément qu'avec
des suppositions admissibles sur la masse des anneaux m,, aussi le second
terme puisse influencer notablement le mouvement des noeuds des satellites
intérieurs. Lorsque nous admettons que le plan des anneaux coïncide avec
celui de l'équateur de la planète, les termes séculaires de Q se rapportant à
cette question se présentent sous la forme suivante
Q hm 4 À sin 2y) + he ( __6 ® sin y)
Mélangons mathein. ot astron. T. VII, p. 49. 80*
460 H.8TRUYVE, RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES DES OBSRRYATIONS FAITES ETC.
Si nous désignons par c la constante de l’aplatissement, par À le mouve-
ment moyen sidéral, par p, comme précédemment le rayon équatorial de la
planète, cette équation conduit à l'expression suivante de l’effet de l’apla-
tissement et des anneaux sur le mouvement des noeuds:
48 = a(#)(1 + ts)
Dans la supposition que la masse des anneaux soit uniformément répartie
entre les rayons p, — 13,33 et ps — 19,65, la constante !, de la fonction
perturbatrice des anneaux se trouve:
2 (eh, ) = Pet
T— 16 Pa® — Pr?
Nous aurons ainsi
pour Tethys A®= 6252 (1 + 40m,)
» Rhea A8 — 8,1 (1 + 13%,).
| 1
Par conséquent une masse des anneaux au montant de > de celle de la
planète, suffirait pour expliquer en plus grande partie les différences indi-
quées entre les valeurs observées et calculées de A8. En même temps elle
serait encore assez petite pour ne pas surpasser, dans la comparaison de la
constante calculée de l’aplatissement avec la valeur fournie par les mesures,
les limites de ce qu'on peut distinctement reconnaître.
Les questions soulevées ici ne peuvent être décidées que lorsque la dis-
cussion des observations de Dione, Enceladus et Mimas sera terminée. En
tout cas il y a lieu d’espérer que par cette voie la masse de l’anneau pourra
être renfermée entre des limites beaucoup plus étroites, qu’il n’a été
possible de faire jusqu’à présent.
Para le 12 février 1890.
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Nouvelle Série 1 (XXXIIN), Ne 4 et dernier.
À .
BULLETIN
L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES.
DE
ST-PETERSBOURG.
Nouvelle Serie I (XXXI).
(Feuilles 31— 38.)
CONTENU.
Page.
A. Rusanow. Sur les produits de condensation du benzaldehyd et u
des phénoles . . . . . . ei... so 461-468 .
L Schevyrew. Liste des espèces du genre Scolytus de la collection -
du Musée de l’Académie Impériale des Sciences de Bt-Péters-
bourg . . . . . ee 469—471 Mu
©. Backlund. Sur quelques observations faites dans les années
1861—1863 par M. Winnecke au cercle méridien de Poulkowo 473—486
H. Wild. Un nouvel anémographe et anémoscope (avec 1 planche). 487—498 . *
E. Lucas. Sur la loi de réciprocité des résidns quadratiques. . : . 495-496
Ph. Owsjannikow. De la structure des filaments des nerfs. . . ; 497—508.
©. Lemm. Actes apocryphes des apôtres en langue copte. . . . '. B09—681
SUPPLÉMENT.
État du personnel de l'Académie Impériale des Bciences au ı octobre 1890:
Ci-joint le titre et les tables des matières du tome N. 8. I(XXXIII) du Bulletin.
a7 Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des Sciencos.
Novembre 1890. : u A. Strauch, secrétaire perpétuel.
— an
Imprimerie de l'Académie Impériale des Sciences.
Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.
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BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Über Kondensationsprodukte aus Benzaldehyd und Phenolen. Von A. Rusanow.
(Lu le 24 octobre 1889.)
Baeyer!) beobachtete dass, in Gegenwart von wasserentziehenden
Mitteln (Salzsäure, Schwefelsäure), sich Aldehyde mit Phenolen, unter
Wasseraustritt, verbinden. Baeyer’s Schüler?) setzten diese Versuche fort
und stellten eine grosse Anzahl von Kondensationsprodukten von Acetaldehyd
und Chloral mit Phenol, Anisol und Thymol dar. Als wasserentziehendes
Mittel benutzten sie Vitriolöl oder Zinnchlorid. Die Reaktion verlief jedesmal
nach der Gleichung:
I. R,CHO+2CnH,,. OH = R,CH. (CnH,_ .OH),-+H,0.
Die Reaktion schien eine ganz allgemeine zu sein. Es musste daher sehr
auffallen, dass Michael?) in einigen Fällen, mit Benzaldehyd zu anderen
Resultaten gekommen war. Nach ihm soll die Reaktion nicht zwischen einem
Molekül Aldehyd und zwei Molekülen Phenol erfolgen, sondern zu gleichen
Molekülen. Benzaldehyd und Phenol sollen sich nach folgender Gleichung
verbinden:
II. 2C,H,-CHO-+20,H,. OH = C,H,0, + 2H,0.
Noch komplizirter wäre das Kondensationsprodukt aus Benzaldehyd
und 8-Naphtol (Irzeinski‘). Hierbei soll ein Körper C„H,,O, entstehen.
Dem trat aber Claisen‘) entgegen; er zeigte, dass das Produkt aus
Benzaldehyd und Naphtol ein acetalartiger Körper ist und nach Gleichung
I gebildet wird. |
- 6,H,.CHO + 2C,,H,.OH = C,H,. CH (OC, H.), + H,O.
Die Reaktion verläuft also ganz in der als allgemein hervorgehobenen
Weise. Nur tritt beim B-Naphtol die Eigenthümlichkeit ein, dass das Konden-
u es m - me ie
1) Berichte d. d. chem. Gesellschaft 6, 25, 280, 1095. |
2) Jäger. Ber. 7,1197; — Ter Meer, Ber. 7, 1200, 1201; — Steiner, Ber. 11,978; —
Fabinyi Ber. 11, 283.
8) Americ. chem. Journ. 5, 388; 9, 180,
4) Ber. 16, 2838; 17, 499.
5) Ann. Chem. 237, 261.
Mélangos phys. ct chim. T, XII, p. 191. 91
462 | A. RUSANOW, [n. 8. 1
sationsprodukt kein zweiatomiges Phenol, sondern ein Acetal ist. Diese Ab-
weichung verschwindet aber bei weiterer Einwirkung von Salzsäure auf den
acetalartigen Körper. Derselbe wandelt sich dadurch in das isomere zwei-
atomige Phenol um, welches aber sofort weiter Wasser verliert.
C,H,.CH (OC, H,) = 0,H,.CH (C,H,.0H), = CH, CHC GO + H,O.
. Endlich verdient noch hervorgehoben zu werden, dass nach Etti°) ein
so komplizirter Aldehyd wie Vanillin sich mit Pyrogallol und Phloro-
glucin in normaler Weise verbindet, d. h. ein Molekül Vanillin verbindet
sich mit je 2 Molekülen jener dreiatomigen Phenole unter Abscheidung von
1 Molekül Wasser. Unter diesen Umständen musste es als wahrscheinlich
erscheinen, dass die von Michael herrührenden Angaben falsch sind. Auf
den Rath des Herrn Prof. F. Beilstein unternalım ich es daher, das Ver-
halten von Benzaldehyd gegen Phenole aufs Neue zu untersuchen. Die von
mir erhaltenen Resultate beweisen, dass, in Gegenwart von etwas Schwefel-
säure, Benzaldehyd sich mit Phenol in normaler Weise verbindet. Aus 1
Molekül und 2 Molekülen Phenol entsteht hierbei das schon auf anderem
Wege erhaltene p-Dioxytriphenylmethan C,H,.CH (C,H,.OH),. Eine weitere
Bestätigung der Regel lieferte das Verhalten von Benzaldehyd gegen
Thymol. Durch Darstellung von Estern habe ich die Konstitution der Kon-
densationsprodukte sicher festgestellt. Dieselben sind zweiatomige Phenole
und keine Acetale. Damit glaube ich die Frage über das Verhalten der
Aldehyde gegen Phenole endgiltig erledigt zu haben. Stets verbindet sich
ein Molekül Aldehyd mit zwei Molekülen eines Phenols unter Ausscheidung
von ein Molekül Wasser und zwar ist es hierbei gleichgiltig ob der Aldelıyd
der Fettreihe oder aromatischen Reihe angehört. Es darf dabei aber nicht
übersehen werden, dass alle Angaben zunächst sich nur auf gesättigte Alde-
hyde (CnH,,0 und CnH,,_,0) beziehen.
L Benzaldehyd und Phenol.
p-Dioxytriphenylmelhan C,H 0, = C,H,-CH (C,H,.OH),. Die Reaktion
zwischen Benzaldehyd und Phenol erfolgt schon in Gegenwart einer sehr
kleinen Menge Schwefelsäure, doch geht dieselbe dann sehr langsam vor
sich. Zur Darstellung grösserer Mengen Dioxytriphenylmethan verfährt man
zweckmässig folgendermaassen. Je 10 g. Benzaldehyd und 17,8 g. Phenol
werden tropfenweise mit 1—2 cc. Schwefelsäure (4 Volumen Vitriolöl,
1 Volumen Wasser) versetzt, wobei sich das Gemisch stark erwärmt und
6) Monatshefte f. Chemic 8,638.
Melangos phys. ot chim. T. XIII, p. 192.
(XXxX111)| ÜBER KONDENSATIONSPRODUKTE AUS BENZALDEHYD UND PHENOLEN. 463
roth wird. Man lässt, unter stetem Umschütteln, erkalten, fügt noch 3—4 cc.
jener Schwefelsäure hinzu und lässt einige Stunden stehen. Dann wird das
Gemisch in Wasser gegossen und der zähe Niederschlag erst mit kaltem, dann
mit heissem Wasser gewaschen. Durch Einleiten von Wasserdampf kann das
anhängende Phenol und der Benzaldehyd abgeblasen werden. Den Rückstand
giesst man, noch heiss, in kaltes Wasser und zerkleinert den erhaltenen
Niederschlag; derselbe löst sich in Natronlauge und wird aus dieser Lösung
durch Kohlensäure gefällt. Durch directes Umkrystalliren aus Lösungsmitteln
lässt sich der Körper nicht reinigen; es scheiden sich nur Harze aus, wie dies
auch von Michael beobachtet wurde. Man muss den gepulverten Nieder-
schlag zunächst mit Benzol waschen und ihn dann aus schwacher Essigsäure
umkrystallisiren. Die weitere Reinigung erfolgt durch wiederholtes Lösen
in Alkohol und Fällen der Lösung durch Wasser. Schliesslich krystallisirt
man den Körper aus schwachem Alkohol um. Die Ausbeute betrug 35 g.
krystallisirtes Produkt aus 60 g. Benzaldehyd.
Das auf diese Weise rein dargestellte Kondensationsprodukt ist das be-
reits bekannte p-Dioxytriphenylmethan. O. Fischer’) erhielt dasselbe zu-
erst durch Behandeln von p-Diamidotriphenylmethan C,H,.CH (C,H,.NH,),
mit salpetriger Säure. Dann stellte es Döbner®) dar durch Reduktion von
Dioxytriphenylcarbinol C,H,.C (OH) (C,H,.OH), mit Zinkstaub und Salz-
säure. Der von mir erhaltene Körper hatte alle Eigenschaften des p-Dioxy-
triphenylmethans. Er bildet lange, dünne Nadeln vom Schmelzpunkte
160—161°. Die Nadeln besitzen eine gelbliche Farbe, wenn man das
Dioxytriphenyimethan bloss durch Umkrystallisiren reinigt und nicht vorher
wiederholt, aus alkoholischer Lösung, durch Wasser fällt. Der Körper ist
fast unlöslich in Ligroin und Schwefelkohlenstoff; er löst sich schwer in
kaltem Benzol, leicht in heissem. Er löst sich leicht in Alkohol, Eisessig und
Chloroform. Er löst sich, im reinen Zustande, in Natronlauge farblos auf;
beim Stehen an der Luft wird die Lösung, in Folge von Oxydation, roth.
Charakteristisch ist folgende Reaktion: man erwärmt Dioxytriphenylmethan
mit Bromwasser, löst das, mit Wasser gewaschene, Produkt in Alkohol und
fügt einige Tropfen Natronlauge hinzu. Die Lösung färbt sich dadurch
schön blau. |
Die über Schwefelsäure getrocknete Substanz lieferte bei der Analyse
folgende Resultate.
1) 0,3928 g. gaben 1,1836 g. CO, und 0,2058 g. H,O.
2) 0,2719 g. gaben 0,8213 g. CO, und 0,1432 g. H,O.
7) Ann. d. Chem. 206, 152.
8) Ann, d. Chem. 217, 230.
Mélanges phys. ot chim. T. XIII, p. 131.
464 4. KUBANOW, 0 [n. 8. ı
Berechuet: Gefuudeu:
| 1. 2.
Cy 228 82,6 82,2 82,4
H, 16 5,8 5,8 5,8
0, 32 11,6 _ _
276 100,0
Nach Michael soll aus Benzaldehyd und Phenol der Körper C,.H,0,
entstehen. Nach dieser Formel berechnen sich
C = 85,7
H= 5,5
O= 8,8
100,0
Zahlen, die weit abliegen von den von mir erhaltenen Resultaten.
Nach dem von mir angegebenen Verfahren kann das p-Dioxytriphenyl-
methan, ein bisher nicht leicht zugänglicher Körper, bequem dargestellt
werden. Mit konzentrirter Salpetersäure liefert er, in der Kälte, ein Dinitro-
derivat.
p-Diozytriphenylmethandiacetas C„H,„0, = CH, . CH (C,H,.0.C,H,0),.
Döbner giebt an, dass die Versuche ein Acetat des Dioxytriphenylmethans
darzustellen zu keinem befriedigenden Ergebnisse geführt haben. In nach-
folgender Weise gelang es mir mühelos das gesuchte Diacetat darzustellen.
Man erhitzt 1 Thl. Dioxytriphenylmethan mit 4 Thl. Essigsäurean-
hydrid und 1 Thl. Natriumacetat 4 Stunden lang im Wasserbade, wäscht
das Produkt mit Wasser, hierauf mit Natronlauge, darauf wieder mit Wasser
und krystallisirt es endlich wiederholt aus wässrigem Aceton um. Lässt man
eine solche Lösung an der Luft verdunsten, so scheidet sich das Diacetat
in Schuppen (rhombische Täfelchen) aus. Die Verbindung schmilzt bei
110-—111°. Zur Analyse wurde die Substanz über Vitriolöl getrocknet.
1. 0,3852 g. gaben 1,078 g. CO, und 0,1953 g. H,O.
2. 0,3687 g. gaben 1,0306 g. CO, und 0,1618 g. H,O.
Berechnet. Gefunden.
l. 2.
Cu 76,7 76,3 76,2
H, 5,6 5,6 5,7
0, 27,7 — —
100,0
p-Diozytriphenylmethandibenzoat C,,11,,0,= U,H,.CH (GH, .0.C,H,0),.
Man gewinnt diesen Körper durch 3—4 stündiges Erhitzen auf dem Wasser-
Melangos phys, et chin. T. XIII, p. 134.
(XXXUH)] ÜBER KONDENSATIONSPRODUKTE AUS BENZALUEHYD UND PHENULEN. 465
bade von 3 g. Dioxytriphenyimethan mit 5 g. Benzoylchlorid. Man zerstört
das überschüssige Benzoylchlorid durch Wasser, wäscht den gebildeten Nieder-
schlag mit verdünnter Natronlauge und dann mit Wasser und krystallisirt
ihn hierauf wiederholt aus starkem, siedendem Alkohol um. Das Dibenzoat
bildet mikroskopische, rhombische Tafeln, die bei 129 —130° schmelzen
und, nach dem Erkalten, zu einer amorphen Masse erstarren. Schwer löslich
in Alkohol, leicht in Aether u. s. w.
0,3525 g., über Schwefelsäure getrocknet, gaben 1,055 g. C0, und
0,1614 g. H,O.
Berechnet, Gefunden.
Css 81,8 81,6
H,, 5,0 5, 1
0, 13,2 —
100,0
Dintrodiosytriphenylmethan C,H,,N,0, = CH, {NO ){OH),. Die Dar-
stellung dieses Körpers gelingt am besten in eisessigsaurer Lösung. Eine
Lösung von 3 g. Dioxytriphenylmethan in 15 g. Eisessig versetzt man,
unter Abkühlen, allmählich mit einem Gemische aus 3 g. Salpetersäure
(spez. Gew. = 1,5) und 3 g. Eisessig und giesst dann gleich in viel Wasser.
Den erhaltenen Niederschlag wäscht man mit Wasser, löst ihn in Natronlauge
und fällt die Lösung durch Salzsäure oder man krystallisirt ihn zunächst
aus verdünnter Essigsäure um. Schliesslich wird der Körper einige Mal
aus Alkohol umkrystallisirt. Derselbe bildet feine, gelbe, glänzende Nadeln,
die bei 133— 134° schmelzen. Vermuthlich kommt dem Körper die Formel
C,H,.CH [C,H, (NO,).OH], zu und werden sich wahrscheinlich die Nitro-
gruppen in o-Stellung zum Hydroxyl befinden.
Zur Analyse wurde die Substanz über Schwefelsäure getrocknet.
0,435 g. Substanz gaben 30,75 cc. Stickstoff bei 24° und 777,5 nım.
Berechnet für C,9H,4N208. Gefunden.
N 7,7 8,1.
IL Benzaldehyd und Thymol.
Phenyldithymolmethan C,,H,,0, = C,H,-CH (C, H,,. OH),. Die Reaktion
zwischen Benzaldehyd und Thymol verläuft genau wie jene zwischen
Benzaldehyd und Phenol, nur ist dieselbe viel glatter. Es entstehen mit
Thymol viel weniger harzige Beimengungen, so dass sich mit vielem Vortheil
Schwefelsäure als Kondensationsmittel benutzen lässt. Ein Gemisch aus
20 g. Benzaldeliyd und (2 Molekül) Thymol wird mit 5 ce. Schwefelsäure
Mélanges plıys. ot chim. T. XIII, p. 135.
466 A. RUSANOW, j [x. 8. ı
(4 Vol. Vitriolöl, 1 Vol. Wasser) tropfenweise versetzt. Die Masse erhitzt
sich stark und wird dick; sobald sie etwas abgekühlt ist, tröpfelt man noch 5 cc.
derselben Schwefelsäure, unter stetigem Umschütteln, ein und lässt dann
einige Stunden stelıen. Die fest gewordene Masse wird zerkleinert, mit
kaltem und dann mit heissem Wasser gewaschen. Etwa noch anhängendes
Thymol vertreibt man durch Einleiten von Wasserdampf. Zur weiteren
Reinigung genügt es das Produkt wiederholt aus Alkohol (von 75—80°/,),
oder aus Benzol umzukrystallisiren. Je nach dem Lösungsmittel krystalli-
sirt das Phenyldithymolmethan mit (1 Mol.) Alkohol oder mit (4, Mol.)
Benzol. Die Krystalle verlieren bei 100° den Alkohol oder das Benzol und
schmelzen dann bei 165,5—166,5°. Der Körper löst sich leicht in Ligroin,
Chloroform und Essigsäure. Er löst sich in Alkalien farblos auf. Erwärmt
ınan den Körper mit Bromwasser, löst das mit Wasser gewaschene Produkt
in Alkohol und fügt Kali hinzu, so färbt sich die Lösung blau, ganz wie
beim Dioxytriphenylmethan.
Die zur Analyse benutzte Substanz wurde bei 100—110 getrocknet.
1. 0,2492 g. gaben 0,7595 g. CO, und 0,1840 g. H,O.
2. 0,2510 g. gaben 0,7660 g. CO, und 0,1866 g. H,O.
3. 0,2018 g. gaben 0,6155 g. CO, und 0,1497 g. H,O.
Berechnet. Gefunden.
1. 2. 8.
C,, 83,5 83,1 88,3 83,2
H,, 8,3 8,2 8,3 8,2
0, 8,2 —_ — _
100,0
Alkoholat C„H„0,+-C,H,0. Aus Alkohol krystallisirt das Phenyl-
dithymolmethan mit 1 Mol. Alkohol. Die Verbindung verliert den Alkohol
sehr leicht, schon beim Liegen an der Luft. Die Gegenwart des Alkohols
in der Verbindung wurde auf folgende Art nachgewiesen. Die aus Alkohol
ausgeschiedenen Krystalle wurden mit Wasser gewaschen und dann einige
Tage an der Luft getrocknet, um allen mechanisch anhängenden Alkohol
zu entfernen. Eine grössere Menge (15 g.) wurde dann iu einem Destillir-
apparate, im Luftbade, auf 110°— 120° erhitzt und die entweichenden Gase,
unter guter Kühlung, in eine Vorlage geleitet. Es kondensirte sich dort eine
Flüssigkeit, welche alle Reaktionen des Alkohols zeigte. Quantitative Be-
stimmungen ergaben folgendes Resultat.
1. 0,5022 g. verloren bei 100—110° 0,0459 g. Alkohol. Die benutzte
Substanz hatte mehrere Tage au der Luft gelegen.
Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 186.
(xxxım)] ÜRER KONDRNSATIONSPRONDUKTR AUS BRNZALDREYD UND PHRNOLEN. 467
2. 1,6729 g. Krystalle, die nur 24 Stunden an der Luft gelegen hatten,
verloren bei 100° 0,1529 g. Alkohol.
Berechnet für C,,H320,-+C,H40. Gefunden.
1
. 2
C,H,0 10,6% 9,1
9,5.
Die Analysenresultate weichen nicht unerheblich von der Theorie ab,
allein, da die Krystalle leicht verwittern, ist der Verlust erklärlich. Um
indessen keinen Zweifel an der angenommenen Formel zu lassen, wurde noch
folgender Versuch angestellt. Gut gereinigte Krystalle blieben 24 Stunden
zwischen Fliesspapier liegen. Eine Portion der Krystalle wurde auf einem
Uhrglase abgewogen, an die Luft gestellt und von Zeit zu Zeit gewogen.
0.5898 g. verloren nach 1 Stunde 0,0178 g. entsprechend 3,02%,
| » 2 Stunden 0,0008 » » 0,13
» weiteren 2 Stunden 0,0004 » » 0,07
» 24 Stunden 0,0082 » » 1,39
» schliesslich bei 100° 0,0510 » » 8,65
im Ganzen 0,0782 g. — 13,26%,-
Man sieht aus diesen Zahlen deutlich, dass anfangs bloss der mechanisch
anhängende Alkohol entwich. Zieht man den betreffenden Gewichtsverlust
(3,02%) vom Gesammtverlust ab, so bleibt 10,24%, (= 13,26—3,02), eine
Zahl, welche der theoretisch geforderten (10,59%) sehr nahe kommt.
Benzolat 2C,,H,0,-+C,H,. Aus Benzol krystallisirt das Phenyldithymol-
methan in benzolhaltigen, glänzenden Tafeln (nur einmal wurden vierkantige
Nadeln erhalten). Die Krystalle sind viel luftbeständiger als das Alkoholat,
verlieren aber doch, beim Trocknen, leicht alles Benzol. Die Gegenwart des
Benzols wurde in ähnlicher Weise nachgewiesen wie jene des Alkohols. Die zur
Analyse I benutzten Krystalle hatten vorlıer längere Zeit an der Luft
gelegen.
1. 1,4393 g. verloren bei 100—110° 0,1300 g. Benzol.
2. 1,1271 g. Krystalle, die nur 24 Stunden an der Luft gelegen hatten,
verloren bei einwöchentlichem Stehen an der Luft nichts an Gewicht. Bei
100—110° entwich 0,1058 g. Benzol.
Berechnet für (Coel13202) Celle: | Gefunden.
C,H, 9,1% 9,0 9,4.
Phenyldithymolmethan-Diacetat C,H„O, = C,H,.CH (C,.H,,. OC,H,O),.
Ich stellte diese Verbindung dar durch 4—5 stündiges Erhitzen auf dem
Wasserbade von 2 Thl. Phenyldithymolmethan mit 4 Thl. Essigsäure-
Mélanges phys. ot chim. T, XIIT, p. 137.
468 À. RUSANOW, ÜBER KONDENSATIONSPRODUKTE U. 8. W. [n. 8. 1
anhydrid und 1 Thil. Natriumacetat. Das Produkt wurde mit Wasser und
Natron gewaschen und dann wiederholt aus Alkohol umkrystallisirt. Daraus
scheidet sich der Körper in kleinen, glänzenden Krystallen aus, die bei
125°—126° schmelzen. Derselbe löst sich leicht in Chloroform, Aceton,
Benzol und Essigsäure.
0,1801 g. Substanz, über Schwefelsäure getrocknet, gaben 0,5178 g.
CO, und 0,1245 g. H,O.
Berechnet. | Gefunden.
Cu 78,8 | 78,5
H,, 7,6 7,7
0, 13,6 —_
100,0
Nachdem ich somit das Verhalten der einatomigen Phenole gegen
Aldehyde ausser Zweifel gestellt habe, beabsichtige ich das Verhalten der
mehrwerthigen Phenole gegen Aldehyde weiter zu untersuchen.
Obige Arbeit ist im Laboratorium des Herrn Akademiker F. Beilstein
ausgeführt worden.
Mélanges phys. ot chiın. l'. XII], p. 138.
(Xxx1n)| 469
Liste des espèces du genre Scolytus de la collection du Musée de l’Académie
Impériale des sciences de St. Pétersbourg. Par Ivan Schevyrew,
assistant de zoologie à l'institut forestier. (Lu le 19 décembre 1889).
Grâce à l’aimable permission de Mr. le directeur du Musée, l’académicien
A. A. Strauch, j'ai eu la possibilité d'étudier la riche collection des Sco-
lytiens de la faune russe, qui se trouve dans la section entomologique du
Musée de l’Académie. Dans cet article je présente la liste des espèces du
genre Scolytus Geoffr. de cette collection, déterminées par moi. En donnant
le nom de chaque espèce, je place aussi celui de la personne, qui l’a procurée
ct de la localité, où cette espèce a été trouvée. A mesure que j'aurai l’occa-
sion d'étudier les autres groupes de cette intéressante famille des Coleoptères
j'espère publicr aussi les résultats de ces études.
Soolytus Geoffr.
1. Gooffroyi Goetze & Sarcpta — Christoph.
42 Kharkow — Schevyrew.
2. Ratzeburgii Jans. & St. Pétersbourg
9 Astrakhan
49 Siherie, Radeewka (Amour) — Christoph.
Daurie, Tschita, rivière Ingoda — Czcka-
nowsky.
S. W. Baikal — Solsky.
Monts Boureia — Radde.
\— Solsky.
3. pygmaeus Wahr. & Koslow — Solsky.
49 Kharkow — Schevyrew.
4. carpini Er. Caucase, Borshom — Schevyrew.
5. muni Rtzb. Caucase, Tiflis
Nowotscherkask
Mélanger binlngiqnes, T. XTIT, n. 97. 31*
à— Schevyrew.
470 I. SCHEVYREW, LISTE DES ESPÈCES DU GENRE SCOI.YTUS DE LA COLLECTION [N. 8. 1
6. snéricatus Koch. 52 19—22 mai; gouvt. de
Woronège — Czekanowsky.
19 juin; gouvt. de Pensa
Koslow — Solsky.
Samara
- 7. rugulosus Koch. Sarepta — Becker.
Kharkow — Schevyrew
EE eo Pe BR Tiflis ! ; . , y . °
"8. amygdali Guér. Tiflis — Schevyrew.
Je pense que cette espèce ne doit pas être considéré Ce que comme une
variété de l’espèce nrécédente.
9. Kirschii Skal. Kiew — Schevyrew.
10. mullistriatus Marsh. Sarepta
— Solsky.
Koslow
Kharkow — Schevyrew.
Sibérie, Wladiwostok — Christoph.
11. ventrosus nov. sp.
Niger, nitidus, antennis tarsisque ferrugineis; fronte subconvexa, a
marginis anterioris medio radiatim aciculatu; prothorace latitudine vix
longiore, parce punctato, punctis in disco subtilioribus, ad apicem late-
raque profundioribus, congestis; elytris prothorace vix longioribus, striato-
punctatis, interstitiis planis, primis et secundis multipunctatis, ceteris unise-
riatim punctatis, ad latera apicemque punctis irregularibus, sutura a basi
ad medium depressa. Abdomine parum truncato, a basi versus apicem vix
ascendente; marginibus Scegmentorum posticis subincrassatis, medio vix
tuberculatis; segmento ultimo linea longitudinali media depresso.
1. © Long. 6 millim.
: Wladiwostok (Sibérie) — Christoph.
12. unispinosus nov. Sp.
Niger, nitidus, antennis tarsisque ferrugineis; fronte subplana, pilis flavis
convergentibus hirta; prothorace latitudine vix longiore, "disco subtiliter
punctato, punctis lateribus majusculis congestis; elytris prothorace vix lon-
gioribus, striato-punctatis; interstitiis planis, primis irregulariter punctatis,
strigellis nonnullis obliquis, ceteris uniseriatim punctatis, ad latera apicemque
punctis irregularibus, sutura a basi ad medium depressa. Abdominis segmento
Méluuges Livlugiques. T, XIII, p. 98. |
(XXX111)] DU MUSÉE DE L’AUADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. PETERBBOURG. 471
sccundo appendice conico, brevi, acuto, decliviter instructo; marginibus
scgmentorum lateralibus subincrassatis.
1.4 Long. 5'/, millim.
Tiflis (Caucase) juin. — Sewastianoff.
13. dauricus Chap. var. Kônigi mihi:
Abdominis segmento ultimo integro non bilobato ut in specie Chapuisi.
&2 Turkomania, Kopet-Dag. — König.
—.,0—
Mélanges biologiques. T. X111, p. 99.
473
Über einige von Winnecke am Pulkowaer Meridiankreise in den Jahren
1861—1863 angestellte Beobachtungen. Von 0. Backlund. (Lu
le 20 décembre 1889).
1.
In den Jahren 1861——1863 hat Winnecke die Meridianzenithdistanzen
von 10 südlichen und 10 nördlichen Sternen, die nördlichen in ihrer unteren
Culmination, bei sehr verschiedenen Temperaturen gemessen, um Data zu
Untersuchungen über den Einfluss der äusseren Temperatur auf die Refraction
zu liefern. Die südlichen Sterne sind:
(1) À Ursae Majoris
(2) 25 Leonis Minoris
1
2. 39
3.
4. 56
D. 69
. 97
. B.A.C 8199
. 104 Aquarii
te Aquarii
Aquarii
Aquarii
Aquarii
Aquarii
h Aquarii
94 Aquarii
Aquarii
50
Die nördlichen:
(3) Gr. 1661
(4) B. A. C 3665
(5) o Ursae Majoris
1861.0
& m Praec. 1862.0
21590 —14°33 -+ 17'324
250 —1456 + 17,582
22 17,0 — 14 18 + 18,066
223,0 —1521 + 18,282
22 40,3 — 14 51 + 18,858
22 580 — 8 30 + 19,325
23 11,8 —1413 + 19,614
23 15,4 —15 48 + 19,677
23 25,0 —12 19 + 19,822
23 34,5 — 18 35 + 19,932
1861,0
net
œ Ô Praec. 1861,0
10° 857 -+-43°36’ — 17798
10 2,6 -+4233 — 17,895
10 27,0 “+42 38 —18,427
10 35,3 +46 57 — 18,706
10 46,0 “+43 56 —19,047
Mélanges rhathém. ot sstron. T. VII, p. 61.
E. B.
— 0,058
+ 0,005
— 0,027
474 0. BACKLUND, ÜBER BINIGE VON WINNECKE AM PULKOWAER MERIDIAN- [N. 8.1
1881.0
& è Praec. 1862,0 E. B.
(6) B. A. C 3760 1059254 + 43°%40’ — 197192 —
(7) Gr. 3813 11 1,8 +4358 — 19,414 =
(8) B. A. C 1749 11 6,0 -+4150 — 19,503 _
(9) Gr. 1784 11 21,3 +4134 —19,771 er
(10) 59 Ursae Majoris 11 31,0 -+4424 — 19,895 — 0,055
:' Der Dilatations-Coefficient der Luft, welcher den Pulkowaer Refrac-
tionstafeln zu Grunde liegt, ist so genau bestimmt, dass wohl nicht erwartet
werden kann, aus den Winnecke’schen Beobachtungen ein wesentlich ge-
naueres Resultat zu erhalten, obgleich dieselben mit der Sorgfalt augelegt
und ausgeführt sind, die diesem hervorragenden Astronomen eigenthümlich
ist. Jedoch scheint es mir wichtig dieses Material zusammeuzustellen, um cs
weiteren Untersuchungen leicht zugänglich zu machen. Deshalb werden die
Beobachtungen möglichst ausführlich mitgetheilt, und die zugehörigen Be-
merkungen angegeben.
Zunächst gebe ich die Resultate der Kreisablesungen, corrigirt wegen
der Refraction und auf 1861.0 reducirt. Die Theilungsfehler des Kreises
sind nicht berücksichtigt worden. Nur für einige der nördlichen Sterne
sind die Eigenbewegungen bekannt, diese wurden aber, weil sie sehr klein
sind und keinen Einfluss auf das Endresultat üben können, vernachlässigt.
Von den südlichen Sternen haben 9 bekannte Eigenbewegungen, die berück-
sichtigt wurden.
EDER DIKIKIERDIE
j es
345°27'1545° 6'1846°45'1344°41'
344° 11'1847°40'|841°26'1846°4 1’
345° 1271951°8327]345°46’
1861 Aug. 16| 8,92 | 60,25 | 3o’24 | 54°68 | 18/21 | 61/84 | 44/72 | 80/33 | 57:04 8,27
» 17, 4,09 | 69,05 | 38,64 | 53,38 | 19,06 | 61,86 | 44,65 | 50,38 | 57,49 24°60 3,51
» 19, 3,73 | 59,88 | 38,60 | 53,69 | 19,36 | 61,54 | 44,18 | 29,82 | 57,11 | 21,64 | 2,95
Nov, 17 63,46 | 42,29 | 57,58 | 20,89 | 68,71 | 45,67 | 81,50 | 68,08 | 28,48 | 5,24
Dec. 28 15,88 | 68,21 | 41,04 | 26,68 | 54,58 0,00
n 830] 3,02 | 57,18 | 38,99 | 61,88 | 19,86 | 69,79 | 42,33 | 30,14 | 56,80 | 21,76 | 2,18 |
LL
pra
|
1862 Jan. 2] 8,07 | 51,56 | 89,68 61,69 | 44,07 | 31,03 | 58,11 | 24,08 8,08 ||
n 8 | 21,12 | 60,75 | 42,48 | 80,47 | 56,78 | 21,86 | 2,90
Aug, 21] 5,57 | 62,86 | 42,88 | 66,21 | 21,75 |
» 28] 5,10 | 61,80 | 41,23 | 56,20 | 20,92 | 63,11 | 46,47 | 32,48 | 68,69 | 24,65 | 4,96
Sept. 1] 7,58 | 68,81 | 43,55 | 58,12 | 28,16 | 64,99 | 47,91 | 33,20 | 60,29 | 24,58 | 6,72
hi 9 63,17 | 42,43 | 56,14 | 21,88 | 63,52 | 46,70 | 33,44 | 59,48 | 24,40 | 5,77
u 3 6,48 | 63,78 | 41,29 | 57,06 | 21,97 | 64,40 | 46,07 | 32,37 | 59,65 | 24,17 6,73
y 4| 6,22 | 61,50 | 41,62 | 57,46 | 21,72 | 68,44 | 45,77 58,75 | 24,64 | 5,88
» 10 69,56 | 48,78 | 57,10 | 22,38
64,51 | 47,01 | 60,11 | 25,29 | 6,47
Mélanges mathém. et astron. '. VII, p. 52.
(xxxım)] KRBISA IN DRN JAHREN 1861—1863 ANGESTELLTE BROBACHTUNGBN. 475
| | 2 | 3 4 | ñ | 6 | 7
845°27’\345° 6’1345°45’\844°41’845° 12’)3651°32’|845°46’|814° 11'|947°407]841925°
1862 Nov. ı8| 9718 | 64’36 | 44764 | 59/45 | 25?68 | 66,11 | 48,56
» 19| 9,19 | 64,92 | 48,17 | 58,66 | 24,41 | 66,19 | 48,42 | 34,91 | 61,91
» 20! 9,63 | 66,78 | 44,27 | 69,99 | 25,47 | 67,13 | 49,19 | 36,13 | 60,98
» 92] 10,04 | 66,19 | 44,34 | 60,22 | 26,87 | 66,44 | 49,00 | 86,93 | 62,10
» 27| 9,44 | 65,33 | 44,86 | 69,98 | 25,40 | 66,87 | 48,80 | 86,29 | 62,71
Dec. 1! 10,69 | 66,06 | 43,98 | 58,88 | 24,92 | 67,52 | 49,36 | 87,62 | 63,00
» 8 9,67 | 66,71 | 45,72 | 61,69 | 26,88 | 67,76 | 49,09 | 86,00 | 62,47
» 9| 11,29 | 66,76 | 46.03 | 61,12 | 27,26 | 67,77 | 60,78 | 38,08 | 68,74
» 11] 11,20 | 67,94 | 47,78 | 61,98 | 27,28 | 68,86 | 51,95 | 37,46 | 63,87
» 18| 12,58 | 68,07 | 47,00 | 68,80 | 28,62 | 68,63
1863 Aug. 28| 3,93 | 59,08 | 37,68 | 54,56 | 18,88 | 60,93 | 43,17 | 30,23 | 55,36
» 291 8,25 | 59.01 | 37,75 | 58,19 | 18,93 | 60,31 | 43,38 | 29,77 | 56,82
» 301 4,55 | 61,51 | 40,11 | 52,84 | 20,07 | 62,74 | 48,79 | 31,94 | 57,17
» 31) 3,98 | 60,56 | 40,30 | 55,80 | 20,54 | 62,64 | 44,78 | 80,00 | 67,56
Sept. 2 18,78 | 60,66 | 44,71 | 80,15 | 56,98
»n A| 6,28 | 62,93 | 41,46 | 56,03 | 22,48 | 62,46 | 46,41 | 32,39 | 59,80
Mdı9) | 6,65 | 62,74 | 41,85 | 56,80 | 22,39 | 64,06 | 46,47 | 83,15 | 59,69
186°23’|137°26’|187°22’|133° 8’|136° 3’1186°19/|136° 2’|188° 9’1188°28’|135°85’]186°17
1861 Ang. 16| 6337 | 748 | 4082 | 6664 | 61715 | 2766 | 8/98 | 2,46 | 54,66 | 17,80
» _17| 14*60 | 53,79 | 6,78 | 89,66 | 54,78 | 60,54 | 2,83 | 1,11 | 3,81 | 54,00 | 17,14
» 19! 15,20 | 54,20 | 9,29 | 39,85 | 54,27 | 61,20 | 1,94 | 8,96 | 2,74 | 54,22 | 17,69
Nov. 17 51,15 38,79 | 63,48 | 69,49 | 2,11 | 8,95 | 1,52 | 52,95 | 16,27
Dec. 28 56,08 | 60,71 | 1,73 | 4,70 52,80 | 17,13
» 80| 14,28 | 51,77 | 6,32 | 89,89 | 54,78 | 61,02 | 3,40 | 2,08 | 8,41 | 55,01 | 17,04
1862 Jan. 2| 15,28 7,28 | 41,87 | 66,78 | 62,64 | 2,87 | 4,01 | 4,41 | 53,97 | 18,18
» 8 56,66 | 61,84 | 4,14 | 4,26 | 8,86 | 55,30 | 18,51
Aug. 21| 18,94 | 67,18 68,53
» 28| 16,71 | 56,18 | 8,18 | 42,07 | 67,15 | 62,40 | 5,58 | 4,58 | 5,02 | 55,99 | 19,38
Sept. 1| 18,04 | 53,83 | 7,82 | 42,84 | 58,62 | 63,68 | 3,85 | 5,00 | 5,82 | 67,60 | 19,69
» 2 66,32 | 10,17 | 48,00 | 58,32 | 63,48 | 6,39 | 5,87 | 6,44 | 67,99 | 20,58
» 31881 | 57,17 | 11,18 | 43,96 | 69,91 | 65,18 | 6,14 | 8,08 | 7,85 | 68,20 | 21,64
» 41 19,25 | 68,72 | 12,22 | 46,74 | 59,96 | 66,74 | 7,38 7,87 | 59,71 | 22,56
» 10 68,14 | 11,28 | 43,99 | 68,61 | 64,25 | 5,75 0,21 | 58,13 | 21,19
Nov. 18| 20,25 | 68,81 | 11,41 | 46,39 | 60,58 | 65,92 | 7,17 8,30 | 59,78 | 22,57
» 19| 17,84 | 59,88 | 11,04 | 45,06 | 60,37 | 66,47 | 6,76 | 8,34 | 8,14 | 58,84 | 22,31
» 20| 19,68 | 59,44 | 11,33 | 45,69 | 60,18 | 66,65 | 6,66 | 7,61 | 6,96 22,32
?
» 29] 20,04 | 58,46 | 12,14 | 45,37 | 60,69 | 65,95 | 7,59 | 8,74 | 8,72 | 60,13 | 22,78
» 27| 19,76 | 66,60 | 10,14 | 44,44 | 59,99 | 65,01 | 6,88 | 7,44 | 6,53 | 56,89 | 21,37
Dec. 1| 23,07 | 61,92 | 16,96 | 45,82 | 63,86 | 68,85 | 11,03 | 10,87 | 10,22 | 62,08 | 25.87
» 811971 |,59,88 | 12,22 | 46,41 | 59,89 | 68,22 | 8,82 | 7,91 | 9,19 | 60,48 | 23,22
» 9! 21,19 | 59,86 | 13,51 | 47,02 | 61,86 | 68,36 | 8,11 | 9,92 | 9,62 | 60,44 | 28,88
» 11] 22,09 | 60,49 | 14,67 | 47,93 | 62,68 | 68,15 | 9,44 | 9,68 | 9,66 | 61,26 | 24,56
» 18] 18,96 | 60,11 | 14,13 | 48,59 | 65,76 | 89,94 26,02
1863 Aug. 28| 16,40 | 55,10 | 8,64 | 41,35 | 56,58 | 62,94 | 4,17 | 4,78 | 0,74 | 55,69 | 18,64
» 29| 16,30 | 55,84 | 7,71 | 41,60 | 67,02 | 62,83 | 3,46 | 5,12 | 4,86 | 55,85 | 19,00
» 30! 17,08 | 60,92 | 9,81 | 41,78 | 67,64 | 64,97 | 8,81 | 4,62 | 5,95 | 57,82 | 20,39
» 31] 19,51 | 67,26 | 11,53 | 48,85 | 68,69 | 64,44 | 6,22 | 7,98 | 6,74 | 66,65 | 21,16
Sept. 2 65,88 | 60,44 | 1,80 | 2,06 | 8,41 | 53,48 | 16,91
» 41 17,89 | 66,08 | 8,79 | 43,48 | 57,86 | 63,67 | 4,70 | 4,60 | 6,25 | 66,16 | 19,90
M (18) | 18,14 | 57,09 | 10,80 | 48,43 | 58,66 | 64,66 | 5,82 | 6,87 | 6,86 | 57,58
Mrilangos mathém. et astrou. ". VIT, p. 51.
476 0. BACKLUND, ÜBER EINIGE VON WINNEOKE AM PULKOWAER MERIDIAN- [N. 8. I
Bomeorkungen,
1861 Nov. 17. L’observation de (2) incertaine. Jusqu’& 69 Aquarii nuages, d’iei images meil-
leures, & la fin belles.
1861 Déc. 80. (9) faible. 10. Images assez bonnes.
1862 Jan. 2. 2 très faible. 10. Images assez bonnes.
1862 Sept. 1. (6) Nuages, faible. (7) Observation satisfaisante. (8) Faible, incertainc. (9) Faiblo
à travers les nuages. 10. Observations satisfaisantes. Images diffuses.
Toutes les étoiles se présentent comme des nébuleuses planétaires de 6” de
diamètre. Les ondulations verticales ne sont pas très fortes. I.os étoiles
boréales se trouvent dans une aurore boréale.
1862 Sept. 2. Toutes les observations satisfaisantes. Images 1—2.
1862 Sept. 8. Images vers le Sud satisfaisantes, au Nord après le passage de (5) asscz mau-
vaises.
1862 Sept. 4. Vent assez fort. Images au Nord 3, au Sud 2.
1862 Sept. 10. Images 2. Air assez serein et très humide. A la fin nuages légers vers le Nord.
1862 Nov. 18. Bel air. Pendant les observations une aurore boréale sc formait, qui éclairait
la partie boréale du ciel.
1862 Nov. 19. Nuages légers. I’abaissement du thermomètre était accompagué d'images peu
satisfaisantes, plus tard elles étaient meilleures. Parfois brouillards.
1862 Nov. 20. Tout le soir images très mauvaises, diffuses et ondulantes,
1862 Nov. 22. (8), (8) et 8. Le vent éteignit la lampe. Images assez satisfaisantes, mais vent
très fort.
1862 Nov. 27. Images 8.
1862 Déc. 1. Observations assez satisfaisantes, excepté lorsque le ciel était couvert de
nuages. (4) très faible à cause de nuages.
1862 Déc. 8. Nuit belle et sereine, Images 8.
1882 Déc. 9. Nuit belle et sereinc. Images 1—8, petites ct tranquilles.
1862 Déc. 13. (6) et 6 très faibles à travers les nuages.
1863 Aug. 28. Images peu satisfaisantes. Vent très fort.
1868 Aug. 20. Images grandes et diffuses. Nuit peu humide, ciel blanchâtre quoiqu'il u’y a
pas de nuages. Vent très fort.
80. Nuit belle ct tranquille, pas humide. Images variables, au Sud meilleures qu’au
Nord.
1863 Sept. 2. Nuit humide, images petites ct trauquillcs.
1863 Aug.
Sämmtliche Südsterne sind, wie aus der Tafel hervorgeht, an 19 und
simmtliche Nordsterne an 18 Abenden beobachtet worden. Die Mittel der
Kreisablesungen für die einzelnen Sterne an diesen Abenden finden sich in
der Horizontalreihe unter der Bezeichnung M (19) und M (18) angegeben,
und diese wurden angewendet, um die Mittel der einzelnen Tage, an welchen
nicht sämmtliche Sterne beobachtet sind, auf die gemeinschaftlichen Mittel
A und B (letzte Columne) zu reduciren.
Die Mittel À und 3 variiren unter anderem auch in Folge der Schwan-
kungen des Nullpunktes des Kreises. Die Differenz
C=B—A
für die einzelnen Tage ist aber frei vom Nullpunkte, wenigstens insofern
man annehmen kann, dass derselbe sich im Laufe von 1'% Stunden d.h.
also während der Beobachtungszeit proportional der Zeit ändert. C kann
Mélangos mathém. ot astron. T. VII, p. 54.
(xxxnn)]
KREISE IN DEN JAHREN 1861—1863 ANGESTELLTE BEOBACHTUNGEN.
477
man num als einen Meridiaubogen betrachten, der sich von 74° Süd vom
Zenithe bis 76° Nord vom Zenith ausdehnt und es kommt jetzt darauf an,
ans den Beobachtungen den noch nicht berücksichtigten Einfluss der Tempe-
ratur auf die beobachteten Werthe dieses Bogens zu untersuchen.
Tafel IL.
Äusseres | Thermo-
© Thermo. [meter R in
meter R. burg.
150°36 | —
1861 Aug. 161 14,53 | --11°9 | +1397
» 17] 13,83 | +12,4| +15,2
» 191 14,74 | +10,2| +10,4
Nov. 171 11,03 |—12,9| —15,1
Dec. 28| 17,13 | —12,2| — 2,3
» 30! 14,86 | —13,7 | — 4,9
1862 Jan. 2] 14,60 | —15,9| — 9,5
» 31 15,53 | —14,5 | — 4,5
Aug. 2353| 14,44 | -+- 7,9| +15,8
Sept. 11 12,97 |+ 8,0| -+11,0
» 21 14,76 | + 7,7| 12,1
» 3] 15,92 | + 8,8| +13,9
» 41 16,18 | + 9,0 | +12,8
» 101 14,721 + 8,9! +14,5
Nov. 18] 14,26 | — 6,9| — 6,4
» 19] 14,43 |— 8,5| — 7,3
» 20] 13,69 | — 8,3| — 4,1
» 22] 14,13 |— 8,2| — 6,9
» 27| 12,80 | —10,0| — 8,5
Dec. 1] 16,39 | —10,9 | — 2,7
» 81 13,88 | —16,3 | —15,5
» 91 13,57 | —18,4| —18,4
» 11] 13,69 | —18,3 | —15,8
» 13] 13,43 | —17,4| —13,0
1865 Aug. 28] 16,18 | +13,6| +15,1
» 291 16,72 | +14,1| +15,8
» 30! 16,68 | +14,1 | +13,6
» 311 17,25 | +14,3| +14,7
Sept. 21 14,52 | +-13,1 | +14,6
» 41 14,39 | +-10,3 | +10,8
Mélanges mathe, nt axtron, 'T. VIE, p. nf.
Bar.
St. Peters-|1 Engl. Zoll.
599,1
595,3
594,5
590,1
594,6
595,5
586,8
584,0
596,2
597,2
598,9
599,4
595,9
594,9
607,2
608,0
607,7
601,0
603,1
604,4
607,0
607,0
602,1
599,5
596,5
597,7
601,0
599,9
595,8
598,0
Therm. R.
am Bar.
+10,6
Barometer
in Mill.
bei 0° iu
St, Peters-
burg.
760,2
760,9
761,1
760,0
749,3
756,8
748,0
740,6
761,3
765,1
767,1
765,0
759,8
759,3
780,8
782,1
478 0. BACKLUND, ÜBER EINIGE VON WINNEOKE AM PULKOWAER MERIDIAN- [N. 8. 1
Die Überschriften der Columnen geben die Bedeutung der in denselben
enthaltenen Zahlen an.
Herrn Director Wild verdanke ich die meteorologischen Angaben für
St.-Petersburg. Leider sind die Thermometer- und Barometerbeobachtungen
in St.-Petersburg 1863 Aug. 28 — Sept. 4 zwei Stunden früher gemacht
als die in Pulkowa, so dass an diesen Tagen die meteorologischen Beobach-
tungen nicht gleichzeitig sind.
Die Untersuchung über den wahrscheinlichen Fehler einer Beobachtung
ergab, dass derselbe durchschnittlich kleiner als 0,5 ist. Demnach sind die
wahrscheinlichen Fehler eines der in der Columne A, B (Tafel I) enthaltenen
Mittel kleiner als 0,2, wenn alle 10 Sterne beobachtet sind, und also der
wahrscheinliche Fehler eines C kleiner als 0,3, unter der Voraussetzung,
dass alle Süd- und Nordsterne berücksichtigt sind.
Indessen sieht man sofort, dass der wahrscheinliche Fehler der C that-
sächlich viel grösser ist; zieht man sie nämlich in Gruppen nach möglichst
gleichen Temperaturen zusammen, so ergiebt sich ein wahrscheinlicher Fehler
von etwa 0,7 bis 0,8. Es sind also hier Fehlerquellen vorhanden, die an den
verschiedenen Abenden verschieden sind und die einzelnen Abende charakte-
risiren. Aller Wahrscheinlichkeit nach wurzeln diese Fehler in unvollstän-
diger Berücksichtigung der Refractionen, d. h. die Theorie, nach welcher sie
berechnet sind, legt nicht Rechenschaft ab für alle in dieser Höhe merkbare
Einflüsse auf die Strahlenbrechung. Tür den Augenblick gilt cs aber nur
die Existenz dieser Abweichungen constatirt zu haben; und deswegen habe
ich nur die Mittel C' untersucht. Es folgt nämlich aus dem eben Ge-
sagten, dass die Combination jedes einzelnen Südsternes mit jedem einzelnen
Nordsterne zu ungenauen Resultaten führen könnte, abgesehen davon, dass
ein solches Verfahren die hundertfache Arbeit fordern würde. Aus dem-
selben Grunde war es auch nicht gerathen für diejenigen Abende, an welchen
sämmtliche Sterne nicht beobachtet sind, geringeres Gewicht einzuführen.
Die Beobachtungen 1862 Aug. 21 sind ausgelassen, weil sie so wenig zalıl-
reich sind, dass ein besonderes Gewicht für diesen Tag hätte angenommen
werden müssen.
= Die Pulkowaer Refractionstafeln sind auf die Temperatur 7744 Réaumur
reducirt. Nennen wir R den von der äusseren Temperatur unabhängigen
Theil der Refraction, so wird die Refraction R durch die Formel
r[ 1+-7.44m \À
R=R ( l-r mé |
ausgedrückt. Für die Reduction der Beobachtungen kommt es nicht so viel
Molunges lunthôu, ot astron. T. VIT, p. 56.
(XXXIH)] KREISE IN DEN JAHREN 1861—1868 ANGESTELLTE BEOBACHTUNGEN. 479
darauf an, den wahren Werth des Dilationscoefficienten m zu kennen,
wie denjenigen, welcher die Pulkowaer Beobachtungen am besten befriedigt.
Es sei nun 1-+-n der Factor, mit welchem m multiplicirt werden muss,
damit die Beobachtungen möglichst gut dargestellt werden; in der obigen
Formel muss dann m durch m (1 +-n) ersetzt werden. In dieser Weise
werden überhaupt nur die systematischen Unterschiede zwischen den Be-
obachtungen bei hohen und niedrigen Temperaturen (Sommer und Winter),
nicht aber die Abweichungen an den einzelnen Abenden in Betracht ge-
zogen. Für Untersuchung dieser letzteren fehlen genügende Anhaltspunkte
und werden höchstens durch die Temperatur- und Barometer- Unterschiede
zwischen Pulkowa und St. Petersburg einige Data geliefert. In deutlicher
Weise fallen zwar die grössten Abweichungen der C mit den grössten
Temperaturdifferenzen dieser beiden Orte zusammen, aber es wäre hier
ausserdem mindestens wünschenswerth, auch die meteorologischen Zustände
südlich von Pulkowa zu kennen. Wenn die hier mitgetheilten meteorologi-
schen Data auch hinreichend wären, um die Neigungen der Luftschichten
und ihren Einfluss auf die Beobachtungen der nördlichen Sterne zu be-
stimmen, so erübrigte es doch die analogen Einflüsse auf die Beobachtungen
der Südsterne zu ermitteln, denn in so grossen Zenithdistanzen wie die, um
welche es sich hier handelt, darf man nicht aus den Neigungen der Luft-
schichten nach Norden hin Schlüsse auf die Neigungen nach Süden hin ziehen.
Die Art und Weise, wie wir jetzt die Temperaturdifferenzen zwischen Pul-
kowa und St. Petersburg, einigermaassen berücksichtigen werden, ist deshalb
ganz provisorisch. Dasselbe Verfahren ist von Gyldén in seinem Aufsatze:
«Ermittelung der Verbesserungen der Pulkowaer Refractionen, welche von
den Angaben des äusseren Thermometers abhängig sind» — angewandt
worden, um gewisse Fehler der Thermometerangaben zu berücksichtigen.
Es sei £, die Temperatur in St. Petersburg, é die Temperatur in Pulkowa,
M ein Mittelwerth von , —# und
T=t,—i— M,
so soll, wenn ?» eine Constante bedeutet, T folgenderweise eingeführt wer-
den, nämlich:
1+-m(l+-n)i+-mpyT
R=R'| 1-1-7.44m (1 -ı-n) \
Setzen wir nun
und vernachlässigen höhere Potenzen von n und p als die erste, so ergiebt
sich für jeden Beobachtungstag eine Bedingungsgleichung von der Form:
Mélanges mathem. et astron. T. VII, p. 57.
480 0. BAUKLUND, ÜBBR EINIGE VON WINNECKE AM PULKOWAER MERIDIAN- |N. 8. I
a+by+c=s,.......,........,. (1)
wo
a BR ,7Tu-t
u 100 1-+-mi
bp— RAR ,_T
100 1-1- mt
c— C—150° 86’ 11,00
und eine Constante bedeutet.
Bei der Berechnung der Coefficienten a und 5 müssen die Refractionen
für die Zenithdistanzen À und B um Grôssen, die im Maximum sich auf 4,5
belaufen, corrigirt werden; denn die Mittel A und B entsprechen nicht den
Mitteln der Refractionen. Diese Correctionen sind berücksichtigt worden.
Was die Ermittelung von T betrifft, so wurde folgenderweise verfahren.
Da die wahren Mittelwerthe der Grössen {, —? für die hier in Frage kom-
menden Beobachtungszeiten nicht bekannt sind, so blieb nicht anderes übrig
als aus dem geringen hier: gegebenen Material die Mittel zu bilden und
zwar sind getrennt die Mittel für die Sommer- und Winterbeobachtungen
berechnet. Für August — September wurde M = <+- 253 und für No-
vember — Januar M = -+ 378 angenommen. Es braucht ja nicht besonders
betont zu werden, dass diese Zahlen höchstens eine rohe Annäherung der
richtigen Mittelwerthe sein können.
Es folgen jetzt die Bedingungsgleichungen:
— 1842 + 2,1y — s +3,53 = 0
— 20,5% — 2,1y — z + 2,83 = 0
— 11,52 + 9,1y — #8 +3,74 = 0
+ 106,8 x + 31,5 y — z + 0,03 = 0
+ 98,9% — 30,64 — z + 6,13 = 0
+ 112,62 — 26,79 — 3 + 3,86 = 0
—+ 128,82 — 14,3y — 2 + 3,60 = 0
+114,72 — 32,4y — 2 +4,53 = 0
— 2,9% — 24,3y — 8 + 3,44 = 0
— 2,9% — 3,0y — z +1,97 = 0
— 1,32 — 9,2y — z +3,76 = 0
— 5,72 —12,1y — z +4,92 = 0
— 712 — 6,4y — 8 +5,18 = 0
— 6517 —14,1y— 2 +3,72 = 0
+ 73,1% + 16,8y — 2 + 3,26 = 0
+ 82,6% + 18,5y — z + 3,43 = 0
+ 81,52 — 2,1y — # +2,69 = 0
+ 77,32 +12,8y — # +3,13 = 0
Mélanges matlcım. et astron. T. VII, p. 58.
(XXX111)] KRBISE IN DEN JAHREN 1861—1868 ANGESTELLTE BEOBACHTUNGEN. 481
+ 90,62 + 12,09 — 8 -1- 1,90 = 0
+ 94,2% — 23,29 — z + 5,39 = 0
+ 132,02 + 16,5 y — z -+ 2,88 = 0
+ 147,22 +91,7y — z + 2,57 = 0
+ 145,42: + 74y — 2 + 2,69 = 0
+ 138,72 — 3,4y — z + 2,43 = 0
— 25,47 + 3,39 — z +5,18 = 0
— 27,52 + 2,5y — z +5,72 = 0
— 27,72 -+-12,0y — z + 5,68 = 0
— 2822 + 7,8y — z + 6,25 = 0
— 23,3x 4- 3,3y — z +3,52 = 0
— 12,12 -ı- 7,6y — z +3,39 = 0
z wurde zunächst eliminirt in der Weise, dass das Mittel sämmtlicher
Gleichungen von jeder einzelnen Gleichung subtrahirt wurde; die resulti-
renden Gleichungen wurden nach der Methode der kleinsten Quadrate auf
folgende Normalgleichungen reducirt:
123876,6xæ<+ 243,7 y — 1049,9 = 0
243,7x+ 7453,9y— 300,8 = 0.
Hicraus ergiebt sich:
= + 0,0084 + 0,0022
y = -- 0,0401 # 0,0091,
oder:
mn = -1- 0,000087 = 0,000023
p= + 0,0887 —#+0,0203.
Der Werth von m, welcher den Pulkowaer Refractionstafeln zu Grunde
liegt, ist:
m = 0,0046117.
Nach Winnecke's Beobachtungen würde sich also ergeben:
m —= 0,004699 = 0,000022.
Dieser Werth stimmt mit dem von Gyldén aus Beobachtungen von
Sternen zwischen 12° und 24* abgeleiteten:
m — 0,004711 + 0,000028
(Observations de Poulkova Bd. V) innerhalb der Grenzen des wahrschein-
lichen Fehlers überein.
Mélanges mathém. ot astron. T. VII, p. 59.
482 0. BACKLUND, ÜBER EINIGE VON WINNEOKE AM PULKOWAER MERIDIAN- [N. 8.1
Der Werth von p ist allerdings ebenso wie mn 4 mal grösser als sein
wahrscheinlicher Fehler; trotzdem darf hierauf nicht besonderes Gewicht
gelegt, oder die Schlussfolgerung gemacht werden, dass mit der Einführung
dieser Grösse das Richtige getroffen wäre, um die Temperaturdifferenzen
zwischen Pulkowa und St. Petersburg zu berücksichtigen und die grossen Ab-
weichungen der ©, welche einzelne Tage charakterisiren, zu erklären. Denn,
wie schon bemerkt, kann die Variation der Temperaturdifferenz zwischen
St. Petersburg und Pulkowa nur eine der Ursachen sein, und also » schon
deswegen höchstens nur eine sehr rohe Annäherung bedeuten, um diese eine
Ursache zu berücksichtigen. Wenn dies schon a priori klar ist, so gelıt es a
posteriori hervor, indem wir aus den übrig bleibenden Fehlern den wahr-
scheinlichen Fehler einer Bedingungsgleichung ermitteln und denselben mit
dem schon angegebenen wahrscheinlichen Fehler der C' vergleichen. Der
wahrscheinliche Fehler einer Bedingungsgleichung ergiebt sich nämlich zu
+ 058, während der wahrscheinliche Fehler eines C durchschnittlich kleiner
als 0,4 ist.
Die beiden Tage, der 17. November und 28. December 1861, zeichnen
sich nicht nur durch die grossen Temperaturdifferenzen zwischen St. Peters-
burg und Pulkowa aus, sondern auch durch starke Differenzen der Barometer-
angaben. Diese hätten auch in Rechnung gezogen werden sollen; da wir
aber auch in dieser Weise nicht hoffen können zu einer definitiven Ant-
wort kommen zu können, so sind keine hierauf bezügliche Rechnungen vor-
genommen.
Es ist nicht olıne Interesse zu erfahren, ob die grossen Abweichungen
der C am 17. November und 28. December 1861 wesentlich von den Süd-
sternen oder wesentlich von den Nordsternen abhängen. Betrachten wir zu
dem Zwecke die Mittel A (Tafel I), so sehen wir, dass sie vom 16. August
1861 bis zum 3. Januar 1862 mit alleiniger Ausnahme der beiden Tage
November 17 und December 28 ziemlich constant gewesen sind. Die Ab-
weichungen an diesen Tagen sind beinahe dieselben wie die Abweichungen
der ©. Weil nun die Mittel B während derselben Zeit ohne auffallende
Ausnahme nahezu constant geblieben sind, so könnte es erscheinen als
rührten die Abweichungen von den Beobachtungen der Südsterne her.
Indessen müssen die Nullpunkte des Kreises in Rücksicht genommen werden,
um nicht auf Fehlschlüsse zu verfallen. Ich stelle hier die im 7. Bande
der Observations gegebenen «Corr.» zusammen, welche die Summe der
Theilfehler und der Nullpunktscorrectionen bedeuten'). Die Theilfehler sind
natürlich constant, so dass die Schwankung der Zahlen nur von den
Schwankungen des Nullpunktes herrühren.
1) Die Pointiruugen sind am Mittelfaden gemacht.
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 60.
(XXXHI)] KREISE IN DEN JAHREN 1861—1868 ANGESTBLLTE BEOBACHTUNGEN. 483
«Corr.» (69 Aquarii)
1861 August 16 + 29,20
» 17 + 22,45
» 19 + 22,25
November 17 + 21,67
December 28 + 26,02
» 30 + 22,91
1862 Januar 2 + 19,94
» 3 +- 23,14
August 16, 17, 19 und November 17 sind die Nullpunkte mittelst der
Collimatoren bestimmt, an den übrigen Tagen sind sie aus Beobachtungen
von « Andromeda und y Pegasi abgeleitet. Hiernach scheint es dann als ob
die Abweichungen am 17. November wesentlich auf die Südsterne und am
28. wesentlich auf die Nordsterne fielen. Im ersten Falle war die Temperatur
in St. Petersburg niedriger, im zweiten höher als in Pulkowa. Einen ähn-
lichen Fall, obgleich nicht so ausgeprägt, bieten die beiden Tage November
27 und December 1 1862.
Wenn wir also, wie zu erwarten war, kein positives Resultat in Bezug
auf die Abweichungen der C’ an den einzelnen Tagen gewonnen haben, so
weist doch die Zusammenstellung des Winnecke’schen Materials darauf hin,
dass es wünschenswerth wäre, laufende Meteorologische Beobachtungen nicht
nur in Pulkowa selbst, sondern auch in passenden Entfernungen nach Norden
und Süden hin, vielleicht am besten in allen vier Cardinalpunkten, anzu-
stellen. Denn erst dann wird es möglich die Neigungen der Luftschichten von
gleicher refractiver Kraft zu bestimmen und ihren Einfluss in Rechnung zu
ziehen. So wie die Sachlage jetzt ist, muss man sich begnügen Abwei-
chungen von der eben besprochenen Art als zufällige zu betrachten. Man
sieht übrigens ein, dass solche Abweichungen, wenn sie nicht beseitigt
werden können, stark auf die Genauigkeitsgrenze der Bestimmung von m
einwirken müssen.
Die Correction, die wir für m erhalten, scheint wohl nach ihrem wahr-
scheinlichen Fehler zu urtheilen, Realität zu haben. Ob sie aber auch eine
Correction der Dilatation der Luft bedeutet, kann angezweifelt werden. Um
dies zu entscheiden, fehlen uns wieder genügende Data. Der Umstand, dass der
Unterschied zwischen den Angaben des äusseren und inneren Thermometers
im Sommer und im Winter verschieden ist, könnte sogar eine Correction
von der Art, wie wir sie gefunden haben, hervorrufen. Indessen dürfen wir
Mélangos mathém. ot astron. T. VII, p. 61.
484 0. BACKLUND, ÜBER BINIGR VON WINNEOKE AM PULKOWAER MERIDIAN- [N. 8. I
aus den Unterschieden des äusseren und inneren Thermometers, welche aus der
Tafel I. hervorgehen, nicht schliessen, dass eben diese Angaben auch für
die Unterschiede zwischen der Temperatur der Luftschichten, welche den
Meridiankreis umgeben, und der äusseren Luft gelten. Weun solche Unter-
schiede existiren, so sind sie gewiss bedeutend geringer. "Thermometer in der
unmittelbaren Nähe des Meridinankreises scheint Winnecke nicht abgelesen
zu haben. Endlich ist es möglich, dass der systematische Unterschied
zwischen den Sommer- und Winterbeobachtungen der Entfernung C' wesent-
lich keinen Zusammenhang mit der Refraction hat, sondern sich lediglich
auf den Meridiankreis bezieht. | |
In meinem Mémoire «Über die Herleitung der im achten Bande der
Observations de Poulkova enthaltenen Sterncataloge etc.» habe ich bei
Gelegenheit der Untersuchung der Biegung des Meridiankreises nachge-
wiesen, dass die Amplitude der Collimatoren sich proportional der Tempe-
ratur ändert. Dieses Resultat nahm ich als von einer mit der Temperatur
veränderlichen Biegung herrährend an. Dass ich aber kein besonderes Ge-
wicht auf diese Hypothese gelegt, dürfte aus dem, was ich in meinem Mémoire
gesagt habe, hinreichend klar hervorgehen; bei der Prüfung der Bicgungs-
formeln habe ich sogar das Temperaturglied bei Seite gelassen. In der
letzten Zeit hat Herr Nyrén Untersuchungen über die Collimatorzapfen
vorgenommen, unter anderem auch mit dem Zweck zu entscheiden, ob nicht
das T'emperaturgliel von den Collimatoren selbst herrührt*). Bis Herr
Nyrén eine definitive Antwort auf diese Frage geliefert hat, dürfte daher
das Folgende nicht ohne Interesse sein. Wenu & die Correction wegen der
Veränderung der Biegung für 1° R. bedeutet, so erhalten wir aus den ©
30 Gleichungen von der Form:
— 20mm me te u ne
*) In der Abhandlung: «Eine Studie auf dem Gebiete der practischen Astronomie» hat cs
Herrn Professor Schwarz gefallen, die erwähnte Ilypothese als eins der Hauptresultate meiner
Untersuchungen zu bezeichnen, und erklärt dieselbe als «unbegründet» nicht «aceeptiren» zu
wollen. Indem ich die Möglichkeit, dass dus erwähnte Teimperaturglied vou den Collimatoren
herrühren kann, durchaus nicht läugnen will, gestatte ich mir nur zu bemerken, dass seine
Argumente keine conclusive Kraft in Bezug auf die wirklichen Vorgünge bei den Pulkowacr
Collimatoren besitzen.
Herr Schwarz sagt ferner, dass ich mir keine altechenschaft» über die Wirkung der T'ew-
pcratur auf die einzelnen Theile des Instrumentes gegeben habe. Herr Schwarz kann nicht
wissen, ob ich dies nicht ebeu so gut gethan habe, wie er; er kann höchstens wissen, dass ich,
im Gegensatz zu ihın, es als vollkommen nutzlos betrachtet habe, den Biegungsausdrücken eine
Anzahl Constanten hinzuzufügen, die aus dem gegebenen Material nicht bestimmt werden
können.
Was den zweiten Hauptpunkt seiner, gegen mich gerichteten «Studie» betrifft, nämlich, dass
ich das «Versehen» begangen habe die Bicguugsansdrücke wegen der Entfernung der C'ollima-
toren (0/1) zu corrigiren, so hat wohl Herr Schwarz überschen, duss ich selbst nnd zwar in
demselben Mémoire dieses «Verschen» angegeben habe.
Mélanges walbuın. ot astrou, . VIE, p. 82.
(XXXIN)] KREISE IN DEN JAHREN 1861—1868 ANGESTELLTE BEOBAOHTUNGEN. 485
at+c—2—0
zur Bestimmung von «. Nehmen wir nun die Summe von den 15 Gleichungen,
in welchen £ positiv ist, und subtrahiren davon die Summe der übrigen 15
Gleichungen, so erhalten wir eine Endgleichung von der Form:
Ta-+-M=0.
In dieser Weise ergab sich
a — — 0,041
mit dem wahrscheinlichen Fehler von +. 0,013. Um diese Grösse auf den
Horizont zu reduciren wird es genilgen mit cosec 75° zu multipliciren, und
wir erhalten dann als doppelte Correction wegen der Veränderung der
Horizontalbiegung:
— 0,042.
In der erwähnten Abhandlung erhielt ich aus Winnecke’s Beobachtungen
1858-——1862 für dieselbe Grösse:
— 0,040.
Wenn wir aber die C zuerst wegen des schon bestimmten Werthes von
y corrigiren, so wird:
a= — 0,037 # 0,010
und die doppelte Correction wegen der Veränderung der Horizontalbiegung:
— 0,038.
Ich habe also einmal aus den Collimatorbeobachtungen und dann aus
Sternbeobachtungen, bei denen die Collimatoren gar nicht in Betracht kom-
men, vollkommen fibereinstimmende Resultate erhalten. Ist dies ein Spiel
des Zufalles oder ist es eine Bestätigung dessen, dass die Biegung von der
Temperatur abhängig ist? Eine entscheidende Antwort kann nur ein sorg-
fältiges Studium der Biegung oder der Collimatoren geben. Ich habe ver-
sucht das in der Tafel I gegebene Material so zu behandeln, dass sich ein
Schluss ziehen liesse, ob die Grüsse 5 sich proportional der Tangente der
Zenithdistanz ändert, habe aber auf diese Frage eine negative Antwort
bekommen. Grund dazu könnten die geringen Unterschiede der Zenith-
distanzen der einzelnen Sterne sein.
Betrachten wir nun die erhaltene Correction, sei es dass sie eine
Correction der Refraction wegen Temperatur oder eine Correction wegen
veränderlicher Biegung bedeutet, vom practischen Gesichtspunkte aus, so
lässt es sich nicht verhehlen, dass sie für die im 8-ten Bande enthaltenen
Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 68. 82*
486 O0. BAOKLUND, ÜBRE EINIGB VON WINNEOKR ETC. [n. 8.1
Cataloge belanglos ist. Denn wenn diese Correction aus den Endresultaten
auch nicht vollständig eliminirt ist, so dürfte sie eher den Charakter eines
zufälligen als systematischen Fehlers haben. Wenn sie aber systematischen
Charakters ist, so ist sie sicher eine kleinere Grösse höherer Ordnung als
andere nicht eliminirte systematische Fehler. Immerhin hat aber die Frage
soviel theoretisches Interesse, dass es gewiss der Mühe werth wäre, sie defi-
nitiv beantworten zu können.
Mélanges muthém. et astron. T. VII, p. 64.
(xxxIn)] 487
Neuer Anemograph und Anemoscop von H. Wild (mit einer Tafel und einem
Holzschnitt). (Lu le 10 avril 1890.)
Die Erfahrungen, welche im physikalischen Central-Observatorium
während einer Reihe von Jahren mit Anemoscopen und Anemographen nicht
bloss unserer Anstalt, sondern auch mancher besser ausgerüsteten meteoro-
logischen Stationen gemacht worden sind, liessen es mir wünschenswerth
erscheinen, einen Anemographen zu construiren, welcher bei möglichster
Einfachheit und Solidität der Construction gestatten würde, die Richtung
sowohl, als die Stärke, resp. Geschwindigkeit des Windes mit genügender
Sicherheit fern vom Aufstellungsort der Windfahne und des Anemometers
zu registriren. Aus meinen Bemühungen in dieser Richtung, bei denen mich
das constructive "Talent des Mechanikers des Observatoriums, Herrn Frei-
berg, unterstützte, ist der neue Anemograph entstanden, den ich nach-
stehend beschreiben werde. Das Anemoscop, dessen ich am Schlusse ge-
denken werde, repräsentirt eine Vereinfachung des Apparats für directe
Beobachtung statt Registrirung.
Die in der beiliegenden Tafel Fig. 1 im Durchschnitt dargestellte Wind-
fahne mit Robinson’schem Anemometer und den electrischen Contact-Vor-
richtungen für beide ist in der Werkstätte des physikalischen Central-
Observatoriums unter Leitung von Herrn Freiberg construirt worden, den
unten in äusserer Ansicht durch einen Holzschnitt repräsentirten Registrir-
Apparat dazu habe ich bei den Gebrüdern Richard in Paris ausführen
lassen. Dieselben liefern gegenwärtig diesen Theil für 600 Francs, Herr
Freiberg berechnet den ersten Theil des Instrumentes zu 250 Frs.; die
13—14 zugehörigen galvanischen Elemente (Leclanché) sind zu 70 Frs. zu
veranschlagen und das zugehörige 10drähtige Kabel kostet pro Meter 5 Frs.,
so dass bei einer Entfernung beider Apparattheile von 20 Meter die ganze
Binrichtung auf ungefähr 1020 Frs. zu stehen kommt. Ich hielt es für
nöthig, die Preise hier beizufügen, um auch in dieser Beziehung den Ver-
gleich mit anderen bekannten Anemographen zu ermöglichen.
Der neue Anemograph wurde im Jahre 1887 im physikalischen Central-
Observatorium aufgestellt!) und hat seither ohne erhebliche Unterbrechungen
1) 8. Annalen des physikal. Central-Observatoriums pro 1887, I. Theil, Einleitung, 8. XLVI.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 189. " "
488 H. WILD, [N. 8. ı
functionirt. Von 1888 an erfolgte die Herleitung der Windverhältnisse für
St. Petersburg nach seinen Aufzeichnungen.
Das Anemometer besteht aus dem Robinson’schen Schalenkreuz AA
(Fig. 1 der Tafel), das vermittelst der Mutter B auf seiner Stahlaxe U be-
festigt ist. Diese Axe geht mit ihrem oberen cylindrischen Theil durch den
Messingdeckel a der Umhüllungsröhre Æ willig durch, wobei von dem auf
C sitzenden Ölgefäss b durch einen kleinen Fortsatz des Deckels das
nöthige Öl zum Schmieren der Axe stets aufgesaugt wird. Die cylindrische
Hülse D schützt diesen oberen Theil der Axe und ihr Lager vor dem Ein-
dringen von Regen, Schnee, Staub etc. — Mit der Schraube ohne Ende an
ihrem mittleren Theil greift die Schalenkreuz-Axe in ein gezahntes Rad c
ein, das seinerseits mit einem Getriebe in ein zweites Zahnrad d eingreift.
Die Axen dieser Räder werden von den Wänden eines seitlichen Gehäuses F
getragen, von denen die vordere abzuschrauben ist, um zu den Rädern ge-
langen zu können. Ein Platinstift am ersten Rade gelangt bei jeder Um-
drehung desselben mit der darunter befindlichen isolirten Feder e für kurze
Zeit zum Contact, wobei je nach 100 Umdrehungen des Schalenkreuzes ein
solcher Contact erfolgt; das zweite Rad dreht sich 10 Mal langsamer, so
dass sein Platinstift je nach 1000 Umdrehungen des Schalenkreuzes mit der
zweiten isolirten Feder f einen Contact macht. —- Das unterste cylindrische
Ende der Schalenkreuzaxe ruht mit ebener Fläche auf einer Stahlkugel g
auf, welche in einer entsprechenden cylindrischen Bohrung der Stahlschraube
h liegt. Um das untere, in eine gehärtete Spitze auslaufende Ende dieser
Schraube dreht sich wie um eine Vertikalaxe die Röhre E, au welcher die
Windfahne @ mit ihrem Bleigegengewicht H befestigt ist. Sie ruht mit der
Spitze auf dem gehärteten oberen Ende der Stahlstange #.J auf, welche bei à
eine gefässartige Erweiterung zur Aufnahme des von % aus einzugiessenden
Schmieröls hat. Am unteren Ende umfasst ein die Röhre abschliessendes
Messingstück m die Stahlaxe, während die Messingscheibe 7 aussen auf die
Röhre geschraubt ist, welche mit dem an sie angeschraubten Cylinder n die
innere Contact-Vorrichtung schützt. Die letztere nun besteht aus einem auf
der Stahlstange J befestigten Ebonit-Cylinder 00, auf welchem zunächst ein
Messingring p befestigt ist. Auf ihm schleift beim Drehen der Windfahne
mit dem Rohr E die Messingfeder r, die von einer vom Deckel isolirten Säule
getragen wird und durch den Kupferdraht q in leitender Verbindung mit
der Contactfeder f beim Anemometer steht, während andererseits der Ring p
durch einen zur Schraube s führenden Metallstift mit dem Kupferdraht 9 in
leitende Verbindung gesetzt ist. Mit einem weiteren Draht 10 sind durch die
Schraube v die Stahlstange J und damit auch die Röhre Z, sowie endlich
die Axen der Räder c und d leitend verbunden. Endlich sind auf dem Um-
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 140.
(xxxım)] NEUER ANEMOGRAPH UND ANEMOOSOP. 489
fang des Ebonit-Cylinders neben einander mit bloss 1 mm. breiten Zwischen-
räumen 8 Lamellen w befestigt, welche einerseits durch die Schrauben x
mit 8 Drähten 1 bis 8 leitend verbunden sind, während auf ihren oberen
Enden eine Messingfeder y schleift, die, an einer vom Deckel Z isolirten
Säule befestigt, durch den Kupferdraht zz mit der Contactfeder e des ersten
Zahnrades in leitender Verbindung steht. So wird also erzielt, dass unbe-
schadet der Beweglichkeit der Windfahne die Contactfeder f stets in leiten-
der Verbindung mit dem Draht 9 steht und dass die Contactfeder e je nach
der Stellung der Windfahne mit einer oder auch zugleich mit zwei be-
nachbarten Lamellen w, resp. den Kupferdrähten 1 bis 8, in leitende Ver-
bindung gesetzt wird. Zu dem Zwecke ist am Ende der Feder y vermittelst
eines Gelenkes ein die halbe Breite einer Lamelle oder !/, der Peripherie
des Cylinders umfassendes Contactstück angebracht. Die Drähte 1 bis 10
sind von einander isolirt zu einem Kabel Z vereinigt, das durch die excen-
trische Oeffnung O in dem die Contact-Vorrichtung nach unten zu ab-
schliessenden Holzstück K austritt. Vermittelst der konischen Holzschraube
R wird die Stange der Windfahne auf einem Maste oder Thurme in passen-
der Höhe, resp. freier Lage, aufgeschraubt. Im physikalischen Central-
Observatorium ist sie am oberen Ende eines das Thurmdach um 3 m. über-
ragenden Gasrohres aufgeschraubt und durch den Hohlraum des letzteren
geht dann auch das Kabel in den Thurm herunter. Das Schalenkreuz des
Anemometers befindet sich da 3,8 m. über dem Thurmdach und 25,8 m.
hoch über dem Erdboden.
Das Kabel Z mit seinen 10 Drähten führt zu dem Registrir-Apparat
M, der in irgend einem bequem zugänglichen Raum aufgestellt und in dessen
Nähe dann auch die galvanische Batterie S untergebracht ist. Im physika-
lischen Central-Observatorium befindet sich der Registrir-Apparat im Plain-
pied des Hauptgebäudes 30 m. vom Anemometer entfernt und ist da im
Local der Bulletin-Abtheilung auf einem an der Wand befestigten Schranke
aufgestellt, in dessen unterem Theil die Batterie placirt ist. Daselbst zer-
spaltet sich das Kabel wieder, und zwar in der Art, dass der Draht 10 zu-
nächst zum Zinkpol einer 4—5elementigen Batterie führt, deren letzter
Kohlenpol weiterhin mit einer Messingplatte M des in der Tafel nur hie-
durch dargestellten Registrir- Apparats verbunden ist. Von den übrigen
Drähten 1 bis 9 geht jeder zunächst zum Kohlenpol eines Elementes und
dann weiter vom Zinkpol desselben zu einem der 9, auf der Platte M be-
festigten Electromagnete, deren andere Drahtspulenden mit der Platte in
leitende Verbindung gesetzt sind. Wenn also irgend einer dieser Drähte
oben beim Anemometer in Contact mit der Windfahnenstange und weiterhin
mit Draht 10 gesetzt wird, so befindet sich ausser dem entsprechenden
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 141.
490 | H. WILD, [n. 8.1
Element und Electromagnet auch noch die 4—belementige Batterie in der
geschlossenen Leitung. Dadurch ist erzielt, dass auf die Electromagnete je
der Strom von 5—6 Elementen einwirkt und bei wechselndem Winde je
eines dieser nicht constanten Elemente durch ein anderes ersetzt wird,
welches kürzere oder längere Zeit in Ruhe gewesen ist und also seine Pola-
risation wieder verloren hat. Diese erst im Jahre 1888 getroffene Anord-
nung der Batterie hat sich seither vollkommen bewährt!); dabei werden bei
uns seit jenem Zeitpunkte die 36 cm. hohen sogenannten Schweizer-Zink-
Kohlen-Elemente mit einer Lösung von Kochsalz und Alaun benutzt, welche
durchschnittlich ein halbes Jahr vorhalten und später nach erfolgter Reini-
gung und Neufüllung wieder dienen können.
À
|
Der Registrir-Apparat, wie der vorstehende Holzschnitt ihn darstellt,
ist in einen Kasten aus Holz und Glas AA eingeschlossen und besteht zu-
— - +, —
1) Siehe Annalen des physikalischen Central-Observatoriums pro 1888, I. Theil, Einleitung,
S. XLVII.
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 142.
(xxxım)] NEUER ANEMOGRAPH UND ANEMOSCOP. 491
nächst aus einer Messingplatte BB, auf welcher einerseits das Uhrgehäuse
U, andererseits in zwei Reihen die Electromagnete E und E’ (entsprechend
wie auf M in der Tafel Fig. 1) befestigt sind. e und € repräsentiren die
Zuleitungsdrähte zu diesen Electromagneten, p das Uhrpendel und g den
Viereck-Zapfen zum Aufziehen des Uhrwerks. Die Armaturhebel a und «@’
der Electromagnete stehen durch vertikale Gelenkstangen 5 mit den 9 Schreib-
federhebeln c, bis c, in Verbindung, welche die gewöhnliche Einrichtung
der Richard’schen Registrir-Apparate haben. Ihre Drehungsaxen werden
von der Säule C getragen, welche auf der zweiten, metallisch mit der unteren
verbundenen Messingplatte DD steht. Auf derselben Messingplatte steht
auch die Axe der Trommel 7), auf welche das Papier für die Registrirung
aufgelegt ist und welche vom Uhrwerk durch die Stange d mit Schraube
ohne Ende in 24 Stunden nalıezu einmal umgedreht wird. Zur Einstellung
der Schreibfederspitzen auf die Stundenmarken des Papiers beim täglichen
Wechsel des letzteren dient ein auf das Viereck e am vorderen Ende der
Stange d aufzuschiebender Schlüssel.
Das Papier auf der Trommel, welches Fig. 2 in natürlicher Grösse
mit der Registrirung vom 12./24. Januar 1889 als Beispiel darstellt,
ist bloss durch vertikale, den ganzen Stunden entsprechende und unten
markirte Striche eingetheilt, wobei darauf zu sehen ist, dass diese
Striche genau senkrecht auf dem unteren Rande des Papiers stehen, der
an den vorstehenden unteren Rand der Trommel angelegt wird. Am
vorderen Rande des Papiers sind noch die, den 8 Hauptwindrichtungen
entsprechenden internationalen Bezeichnungen: N, NE, E, SE etc. bis
NW angebracht, welche den von den oberen 8 Schreibfedern auf dem
Papier bei der Drehung der Trommel aufgezeichneten horizontalen Linien
gegenüberstehen.
Die Function des Apparats ist folgende. So oft, als nach 100 Um-
drehungen des Schalenkreuzes das erste Rad c einen Contact macht, wird
je nach der Stellung der Windfalıne, resp. der Berührung der Contactfeder
y mit einer oder zwei Lamellen w, der eine oder andere, resp. zwei benach-
barte, der Electromagnete 1 bis 8 auf der Platte M Tafel I Fig. 1 oder B
im Holzschnitte durch Stromesschluss angeregt, also die Enden c der betref-
fenden Schreibhebel heruntergezogen und damit die Schreibfedern selbst am
anderen Ende auf einen Augenblick etwas gehoben, so dass auf der oder den
betreffenden Längslinien des Papiers kurze vertikale Striche entstehen.
Hiemit wird also auf dem Papier nicht bloss die augenblickliche Wind-
richtung, und zwar bis auf !/, des Kreisumfanges notirt, sondern auch die
Windgeschwindigkeit, indem man bloss die Zahl der auf ein Stunden-
Intervall fallenden Striche dieser Art zu zählen hat, um daraus die Um-
Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 148. °
492 H. WILD, | [N. 8.1
drehungen des Robinson’schen Schalenkreuzes während dieser Zeit nach
Hunderten zu erhalten. Das Facsimile einer Registrirung Fig. 2 zeigt in-
dessen, dass diese Abzählung der Striche, resp. Geschwindigkeitsbestimmung
des Windes, direct nach Hunderten der Umdrehungen des Schalenkreuzes nur
möglich ist, wenn nicht mehr als etwa 40 Contacte in der Stunde resp. 4000
Umdrehungen erfolgt sind; bei grösseren Geschwindigkeiten fliessen die
Striche ineinander und sind daher nicht mehr zu zählen. Alsdann hat für
die Zählung der zweite, 1000 Umdrehungen des Schalenkreuzes entsprechende
Contact durch das Rad d einzutreten, welcher die 9., unterste Schreibfeder
ablenkt und somit durch ihre Querstriche die Umdrehungen des Schalen-
kreuzes nach Tausenden markirt; die oberen Federn geben dann nur die
Windrichtung.
Um aus der registrirten Umdrehungszahl des Anemometers die Ge-
schwindigkeit des Windes berechnen zu können, wurde dasselbe auf den
Combes’schen Rotationsapparat des physikalischen Central-Observatoriums
gebracht und seine Angaben bei verschiedenen Geschwindigkeiten von 5
bis 75 Kilometer pro Stunde bestimmt. Hieraus ergab sich schliesslich, mit
Berücksichtigung aller Correctionen in der bei uns üblichen Weise, zur
Ableitung der Windgeschwindigkeit v in Kilometern pro Stunde aus der
Anzahl c der in einer Stunde erfolgten Contacte beim Rade di. e. für je
1000 Umdrehungen des Schalenkreuzes die folgende Formel: |
v = 1,68 + 3,405.c — 0,0171.c®.
Hiernach sind also die Zahl der von der untersten Schreibfeder in einer
Stunde registrirten Striche nahezu auch die Repräsentanten der mittleren
Geschwindigkeit des Windes in Metern pro Secunde während dieses Zeit-
raumes. Das Instrument gestattet somit Winde bis zu nalıe 40 Meter pro
Secunde Geschwindigkeit zu messen und doch können auch die schwachen
Winde von 4 Meter pro Secunde an abwärts durch Zählen der Hundert-
Contacte oder 0,1c noch genau genug bestimmt werden. |
Aus der Fig. 2 ist endlich ohne weiteres ersichtlich, dass auch die Ab-
und Zunahme der Windgeschwindigkeit innerhalb einer Stunde leicht er-
kannt und bemessen werden kann.
Nachdem die Batterie die in Fig. 1 dargestellte Anordnung erhalten
hatte, haben nur dadurch noch Störungen in der Function des Instrumentes
stattgefunden, dass sei es im Rädergehäuse F, sei es im Gehäuse n der
Contact-Vorrichtung im Winter durch Condensation des Wasserdampfes
isolirende Eiskrystalle sich bildeten und so die Cuntacte verliinderten. Diesem
Übelstand ist wirksam dadurch begegnet worden, dass man in Fliesspapier
Mélanges phys. et chim, T. XII, p. 144.
(xxxim)] NEUER ANEMOGRAPH UND ANEMOSCOP. 493
lose eingewickelte Stücke geschmolzenen Chlorcalciums in diese Gehäuse
legte und dieselben von Zeit zu Zeit durch neue ersetzte.
Das Anemoscop stellt gewissermaassen eine Vereinfachung des vorigen
Apparats dar. In dem Gehäuse F der Windfahnenröhre befindet sich nur
ein Zahnrad c, welches einen Contact mit einer dem Drahte q und weiterhin
qr 9 entsprechenden Leitung vermittelt. Diese führt dann zum Electro-
magnet eines electrischen Zählwerks, von da zu einem Schlüssel zum
Schliessen und Öffnen des Stromes und weiterhin zum Kohlenpol einer
Batterie, deren Zinkpol wie bei unserer Fahne durch den Draht 10 und
Schraube v mit der Fahnenstange in leitender Verbindung steht. Die Drähte
1 bis 8 von den Lamellen w führen zu 8 Electromagneten eines Tableaux
mit Fallklappen, welche die Zeichen der 8 Hauptwinde tragen; von ihnen
geht ein gemeinsamer Draht zu einem zweiten Schlüssel und dann auch
wieder zum Kohlenpol derselben Batterie. Die Feder y aber, welche auf
den Lamellen # schleift, ist hier nicht isolirt, sondern im Gegentheil durch
den Deckel Z u. s. w. mit der Fahnenstange J leitend verbunden.
Durch Schliessen der Leitung mit dem ersten Schlüssel während einer
bestimmten Zeit, z. B. 10 Minuten, kann man also jeweilen am Zählwerk
die Contacte während dieses Zeitintervals resp. die mittlere Windgeschwin-
digkeit während desselben erhalten, und schliesst man den Strom momentan
mit dem zweiten Schlüssel, so gibt die je nach der Stellung der Windfahne
von der Feder y berührte Lamelle resp. die Berührung zweier benachbarten
Lamellen durch den Fall der betreffenden Klappe resp. des Klappenpaares
im Tableau die augenblickliche Windrichtung wieder bis zu !/, des Kreis-
umfanges an.
Instrumente dieser Art sind sowohl im Observatorium in St. Petersburg
als in dem zu Pawlowsk seit über 10 Jahren im Gebrauch und haben sich
gut bewährt.
Melanges phys. et chim. T. XIIT, p. 145. 33
H.WILD, Neuer .Inemograph.
&
À
_
_
_
—
4’ “= Oo
5 = À, tN-
Mélanges mathém. et astron. T. VIS, p. 65.
n
+ (U OU 1).
33*
Sur la loi de réciprocité des résidus quadratiques. Par Edouard Lucas. (Lu
le 10 avril 1890.)
On peut déduire immédiatement du criterium de Gauss une démonstra-
tion de la loi de réciprocité qui nous parait la plus simple de toutes celles
qui ont été données jusqu’à présent. Soit p un nombre impair et premier,
p —= 2h + 1, et q un entier positif premier à p. Le nombre p. des restes
minimums et négatifs des termes
4, 29, 39,... , hq
divisés par », est égal an nombre des restes positifs compris entre 1 p et p.
Désignons par À, le nombre des termes de la suite (1) qui sont < np; on
aura évidemment
np
A =ES)
et aussi
p=—l+k-À +... +À,,
t étant le plus grand nombre pair qui ne surpasse pas q.
Pour g = p—1,9 = 2,q — 3,q — 5,..., on trouve immédiate-
ment les propriétés quadratiques des nombres — 1, 2, 3, 5. Mais suppo-
sons, de plus, q impair et premier; alors — g—1; pour calculer le reste
de y par 2, on peut prendre les termes de x avec un signe quelconque.
Posons
np = 24h, +-r,
(g—n)p = 29h, +7,
r et r' étant compris entre 0 et 2q. Par addition
pq = À, + À, _n) 2 +rT+ Tr;
donc r + r’, impair et divisible par q est égal à q ou à 3q. Dans le pre-
mier cas, r et r’ sont tous deux <g; dans le second, r et r’ sont tous deux
>q. On a donc
p—1 _
=, + À,
Mélanges mathém, et astron. T. VII, p. 65. 39%
+ (0 ou 1).
n
496 EDOUARD LUOAS, SUR LA LOI DE RÉCIPROCITÉ DE RÉSIDUS QUADRATIQUES. [N. 8. I
Faisons la somme de ces égalités, en désignant par v le nombre des 1,
on aura
er 1— = +). (mod. 2).
Mais v est égal au nombre des restes >q de la division de
2p, 4p,...,(q—1)p,
par 2gq; c’est-à-dire des restes minimums négatifs de
P, 2p,..., 1 2,
divisés par g. Donc v est ce que devient x quand on échange les lettres p
et g. Par conséquent, avec le symbole de Legendre
+, e—! ge!
CORAN
C. q. f. d.
On peut appliquer cette méthode à la démonstration de la loi de ré-
ciprocité généralisée par Jacobi. Mais il faut alors donner au théorème
de Fermat généralisé par Euler un énoncé qui est de beaucoup préférable
dans l'application: Six est premier à un nombre n = ABC... , en dé-
signant par A, B, C,... des puissances de nombres premiers différents, et
par @ le plus petit multiple commun des indicateurs
p(4), PB), ?(C), ...,
a = ], (mod. n).
on & la congruence
Mais lorsque » est un multiple de 8, on doit remplacer @ par 39, pour
la puissance de 2 correspondante.
Pour adapter le théorème précédent à un nombre quelconque x, pre-
mier ou non, au module n, il suffit de multiplier les deux membres de la
congruence précédente par x’, en désignant par o le plus petit exposant
des facteurs premiers contenus dans le module n. D'ailleurs @ + o est tou-
jours plus petit que le module.
Les deux améliorations apportées au théorème de Fermat généralisé
par Euler permettent de simplifier la théorie des congruences de module
quelconque et de généraliser celle des racines primitives.
Mélanges mathém. et astrou. T. VII, p. 66.
(xxxım)] 497
Zur Structur der Nervenfaser. Von Ph. Owsjannikow.(Lu le 30 janvier 1890).
Ende des Jahres 1888 erschien in den Sitzungsberichten der König-
lichen Preussischen Akademie der Wissenschaften, eine Untersuchung von
Dr. Max Joseph, über einige Bestandtheile der peripheren markhaltigen
Nervenfaser. In diesem Artikel spricht der Verfasser unter Anderem über
die Structur des Axencylinders und weist nach, dass derselbe bei allen von
ihm untersuchten Thieren, auf seiner ganzen Länge, eine regelmässige Quer-
streifung zeigte. Um dieselbe zu erhalten, behandelte er die Nerven mit 1°),
Lösung von salpetersaurem Silberoxyd und einer Mischung von 10%, Salpe-
tersäure mit Wasser. Nachdem die Nerven in dieser Flüssigkeit einige
Stunden gelegen haben, bringt er dieselben erst in eine schwache, dann in
cine stärkere Lösung von doppeltchromsauren Kali, bis sie erhärten, und
untersucht sie alsdann auf Längsschnitten.
Ganz unabhängig von dieser Mittheilung erschien in demselben Jahre,
wahrscheinlich um einige Zeit früher, eine Schrift von Jakimowitsch'),
welche einen ähnlichen Gegenstand behandelt. Dieser Autor hat die Quer-
streifung des Axencylinders ebenfalls gesehen und abgebildet. Er geht aber
in seinen physiologischen Betrachtungen viel weiter als der erstere. Während .
Max Joseph die Querstreifung der Cylinderaxis als einen Ausdruck nur
wirklicher Structurverhältnisse dieses Gebildes auffasst, bringt Jakimo-
witsch diese Erscheinung mit der Thätigkeit des Nerven in Verbindung. Er
fand keine regelmässige oder scharf ausgesprochene Streifung in den Rücken-
marksnerven eines mit Curare vergifteten Frosches, ebenso wenig auch in
den Fasern des Opticus, wenn dieser Nerv unthätig war. Jakimowitsch
hat die Querstreifung aber auch in den Nervenzellen beobachtet und nimmt
in den Nervenfasern mehrere Arten derselben an. Näheres über die Unter-
suchungsmethode, über einzelne Ergebnisse und Schlüsse, so wie auch über
die frühere, hierher einschlagende Literatur, ist in den beiden citirten
Arbeiten nachzusehen. Ich gehe jetzt zur Beschreibung meiner eigenen
Beobachtungen über.
ne nn nu om
1) Journal de !’Anatomie et de la Physiologie, normales et pathologiques de l’homme et des
animaux. 1888, Paris.
Melanges blolngiquos. T. XIIT, p. 101.
498 PH. OWSJANNIKOW, [N. 8.1
Ich richtete anfangs meine Aufmerksamkeit auf die marklosen Nerven
des Flusskrebses. Es ist bekannt, dass im Centralorgane dieses Thieres die
Nerven nur aus Cylinderaxen bestehen, die aber eine überaus grosse Breite
erlangen, also zur Untersuchung der feinen Structur selır geeignet erscheinen,
wie ich, vor längerer Zeit, an grösseren Krebsen gezeigt habe. Das Central-
nervensystem wurde auf verschiedene Weise, auch nach der Vorschrift von
Max Joseph mit salpetersaurem Silberoxyd behandelt, olıne dass die Quer-
streifung zur Ansicht kam, und auch andere, sehr verschiedene Reactive, wie
chlorsaures Gold, Safranin, Osmiumsäure, Salzlösung, Picrinsäure, picrin-
saures Carmin, Haematoxylin, so wie noch weitere Färbungsmittel führten
zu negativen Resultaten.
Ich ging nun zur Untersuchung der markhaltigen Nerven über und
benutzte zu diesem Zwecke den N. ischiadicus des Frosches. Nachdem der
Frosch durclı Decapitation getödtet und sein Rückenmark zerstört worden
war, entnahm ich ein Stück des Ischiadicus, legte dasselbe in eine Mischung
aus gleichen Theilen 10%, Salpetersäure und einer Lösung von 1 Theil sal-
petersaurem Silberoxyd auf 300 Theile Wasser, liess es einige Stunden darin
und brachte es dann in einem dunklen Raume unter. Wie spätere Versuche
mir gezeigt haben, ist es durchaus nicht nöthig, die oben angeführte Quan-
tität von 10%, Salpetersäure der Silberlösung hinzuzufügen; man erhält
dieselben Resultate, wenn man auch nur ein Viertel oder ein Fünftel davon
anwendet. Darauf wurde das Präparat in destillirtem Wasser ausgespült und
in demselben ein oder zwei Tage gelassen. Jakimowitsch?) berichtet, dass
die Nerven, nachdem dieselben aus der Salpeterlösung entfernt, in frisches
Wasser übergefülhrt und dann einer intensiven Beleuchtung ausgesetzt worden
waren, schon in einigen Minuten braun wurden. Hier, in St. Petersburg, beson-
ders in unseren dunklen Decembertagen, müssen die Präparate stundenlang
dem Lichte ausgesetzt werden, bis sie eine bräunliche Farbe erhalten.
Nachdem die Nerven in einem Tropfen Glycerin unter der Lupe mit
Präparirnadeln in feine Fasern zerlegt waren, wurden sie unter das Microscop
gebracht und bei mässiger Vergrösserung (Seibert 5. Oc. I) untersucht. Es
erwies sich, dass einzelne Nerven und Nervenbündel etwas stärker gefärbt
waren, als die anderen. Besonders stark färbten sich die Enden des Nerven-
bündels und boten ein überraschendes Bild. Man glaubte Insectenmuskeln
vor sich zu haben. Schwarze oder braune, schmale, regelmässige Streifen
wechselten mit hellen ab. Der dunkle Strich war nicht gleichmässig schwarz
oder braun, sondern liess zuweilen regelmässige Linien erkennen, welche an
die Primitivfibrillen der quergestreiften Muskeln erinnerten. Wenn man in
ee tu nn
2) 1. c., pag. 150.
Melunges biologiques, T. XIII, p. 102.
(xxxım)] ZUR STRUCTUR DER NERVENFASER. 499
einigen Präparaten keine Querstreifung entdecken konnte, so brauchte man
nur schwach auf das Deckgläschen zu drücken oder zu klopfen, um ihrer
ansichtig zu werden. Durch diese Manipulation wird das Nervenmark
zusammengepresst, wodurch der Axencylinder und an ihm die Querstreifung
zu Tage tritt. Die nähere Untersuchung der Querstreifung ergab, dass dieselbe
in manchen Nerven sich nur auf den Axencylinder beschränkte, in anderen
Fällen auf den ganzen Nerveninhalt, nämlich auch auf das Nervenmark ver-
breitet war. Es fanden sich nämlich Niederschläge in den Lantermann’schen
Einkerbungen. Die beiden oben genannten Forscher sprechen nur von den
Streifen in dem Axencylinder und bilden dieselben auch nur auf ihm ab. Die
Streifung des Cylinders kam allmählich zum Vorschein und wurde erst nach
einigen Tagen gut sichtbar. Es unterliegt also keinem Zweifel, dass bei
gewisser Behandlung der Nerven mit salpetersaurem Silberoxyd, der Axen-
cylinder eine sehr regelmässige Streifung erlıält, die uns unwillkürlich an
quergestreifte Muskeln erinnert. Die schwarzen Streifen wechseln mit hellen
ab und wenn der Axencylinder allein gefärbt ist, so fangen die Streifen von
den Ranvier’schen Schnürringen an und liegen hier sehr nahe an einander. In
einiger Eintfernung stehen die dunklen Streifen etwas weiter von einander ab.
Nachdem die oben beschriebene Querstreifung in den markhaltigen Nerven
festgestellt worden, ist die Frage zu beantworten, ob dieselbe wirklich mit
dem Ruhezustande oder der Thätigkeit des Nerven in irgend einem Zusam-
menhange steht, wie es Jakimowitsch vermuthet. Ich muss gestehen, dass
mir seine Ideen von vorn herein etwas zu kühn erschienen. Allerdings ist
cs ganz natürlich und verständlich, dass jeder Forscher sich selten mit rein
histologischen Thatsachen zufrieden giebt, sondern nach Gesetzen sucht,
welche diese Thatsachen hervorgerufen haben, und sich bemüht der anato-
mischen Structur physiologische Gründe unterzulegen. Da Jakimowitsch
bei seinen physiologischen Betrachtungen sich auf Beobachtungen stützt, so
unternahm ich auch eine Reihe von Versuchen in seinem Sinne. Zuerst muss
ich hervorheben, dass ich meine Beobachtungen im December und Januar
angestellt habe, an Fröschen, welche schon ziemlich abgemagert waren.
Nachdem ich den Frosch mit Curare vergiftet und das Thier sich eine Zeit-
lang im Vergiftungszustande befunden hatte, schnitt ich den N. tschiadicus
heraus. Natürlich konnte von Nerventhätigkeit oder Nervenreizung, nach
einem solchen Versuche, nicht mehr die Rede sein. Trotzdem konnte, bei
geeigneter Behandlung, die Querstreifung des Axencylinders, fast in allen
Nerven, auf’s Klarste gesehen werden, ganz in derselben Weise, wie bei unver-
gifteten Fröschen. Wenn Jakimowitsch bei ähnlichen Versuchen andere
Resultate erhalten hat, so müssen höchstwahrscheinlich irgend welche zufäl-
lige Bedingungen bestanden und solches hervorgerufen haben.
Mélanges biolegiques. T. XIII, p. 103.
500 PH. OWSJANNIKOW, [X. 8. 1
Einige Forscher — Lawdowsky, Schiefferdecker und andere halten
die Fromann’sche Querstreifung für ein Kunstproduct. Lawdowsky glaubt,
dass die Membran des Axencylinders, das Axolema, sich in Falten legt und da-
durch die Querstreifung bedingt wird, eine Ansicht, die auch von einigen
anderen Forschern getheilt wird.
Wir wollen nun versuchen, eine genauere Einsicht über einige, am Axen-
cylinder beschriebene Eigenthümlichkeiten zu gewinnen. Jakimowitsch
erwähnt, dass der Axencylinder an der Stelle der Einschnürung des Nerven
keine Verdickung zeigt, wie man sie gewöhnlich an dieser Stelle beschreibt.
In gewissem Sinne hat er auch vollkommen recht, denn das Auftreten und
das Fehlen dieser Verdickung scheint zum Theil von der Art und Weise,
wie die Präparate bereitet worden, abzuhängen. Bei practischen Übungen,
mit den Studenten der Universität verfuhren wir, um die Kreuze von Ranvier
zu zeigen, auf folgende Weise: Es wird ein frischer Nerv auf dem Objectiv-
glase in einem Tropfen Wasser mit Nadeln zerzupft, darauf betupft man das
Präparat mit ein Paar Tropfen Lösung von salpetersaurem Silberoxyd,
spült dasselbe mit destillirtem Wasser ab, bedeckt das Präparat mit einem
Deckgläschen, fügt einen Tropfen Glycerin hinzu und setzt cs dem Lichte
aus. Nach zwei Stunden hat man bei günstiger Beleuchtung die Ranvier’schen
Kreuze vor sich. In diesen Präparaten sind an Stelle der Schnürringe häufig
Verdickungen am Axencylinder zu bemerken. Die schwarzen Kreuze, die
selbst bei mittelgrossen Systemen zu sehen sind, entstehen auf folgende Weise.
‘* Der ziemlich lange Längsstrich rührt vom schwarzgefürbten Axencylinder
her, der kürzere Querstrich entspricht häufig fast dem Querschnitte des
Nerven und wird durch eine Art von Kittsubstanz bedingt, welche die Stelle
der sogenanten Ranvier’schen Schnürringe einnimmt. Wenn unsere Präparate
in anderer Weise, und zwar so bereitet waren, dass ein Theil des Nerven-
stammes in seinem natürlichen Zustande erst zerzupft wurde, nachdem er
einige Zeit hindurch in Silberlösung, darauf in destillirtem Wasser gelegen
und dann, dem Lichte ausgesetzt, eine bräunliche Farbe erhalten hatte, so
zeigten sich die oben erwähnten Kreuze seltener und weniger regelmässig.
Die schwarzen Längslinien waren vorhanden, die Querlinien dagegen erschie-
nen kurz, oder fehlten ganz, oder es waren auch anstatt einer, mehrere kür-
zere Querlinien zu sehen. Ich habe die Bereitung des Präparates noch etwas
modificirt: Ich befestigte nämlich den Nervenstamın an einem hölzernen
Stäbchen in der Art, wie man mit Muskeln verfährt, welche man in aus-
gespanntem Zustande untersuchen will, und zwar wurde der Nerv dabei
nur mässig ausgezogen. Nachdem derselbe 24 Stunden in Silberlösung und
schwacher Salpeterlösung gelegen hatte und eben so lange in destillirtem
Wasser, wurde er mit dem Stäbchen zusammen in Spiritus, anfangs in schwa-
Mélanges Liologiques. T. XIII, p. 104.
(xxxum)] ZUR STRUCTUR DER NERVENFASER. 501
chen, später in 95° gelegt und darauf in Nelkenöl übertragen oder auch in
(Glycerin untersucht. Wenn so behandelte Nerven zerzupft wurden, waren die
Kreuze sehr häufig garnicht zu sehen. Die schwarze Längslinie war vor-
handen und der Silberniederschlag erstreckte sich über die beiden Stücke
der sich gewöhnlich berührenden Schwann’schen Nervenscheiden. Hier waren
aber die beiden Nervenstücke durch ein schmales Zwischenstück mit einander
verbunden. Der schwarze Niederschlag bedeckte häufig den Axencylinder,
wie ein Muff, und liess sich in derselben Form auf eine kurze Strecke im Innern
des Nerven verfolgen. In diesen Präparaten waren die Verdickungen des
Axencylinders meist nicht vorhanden. Ich versuchte ferner die frischen Nerven-
stämme an einem Ende mit Gewichten zu belasten und dann in den oben
erwähnten Lösungen aufzuhängen, wobei die weiteren Manipulationen die-
selben waren wie oben. Diese Versuche gaben Bilder, welche sich wenig von
jenen unterschieden, die bei Behandlung des ganzen Nervenstammes mit sal-
petersaurem Silberoxyd und Salpetersäure gewonnen waren. Unter den Bil-
dern, die häufig vorkommen, wenn die Präparate schwach mit Silber gefärbt
sind, ist noch anzuführen, dass an der Stelle der Nerveneinschnürung auf
denf Axencylinder eine braune niedrige Scheibe, in der Art einer Schrauben-
mutter aufsitzt; zu beiden Seiten derselben liegen zwei hellere längliche
Streifen, denen niedrige Scheiben oder dunklere Streifen folgen. In einzelnen
Fällen habe ich die Scheibe vom Axencylinder sich ablösen gesehen, sie war
beweglich, wie einRing auf einem Drahte. Mitunter, nämlich bei ausgespannten
Nerven, war an der Scheibe der Axencylinder heller gefärbt, während die
nebenan liegenden Partien dunkler und dicker erschienen.
Ich habe auch einige Untersuchungen an den Nerven weisser Ratten
angestellt. Die Kittsubstanz war hier in viel grösserer Quantität vorhanden,
als an den Nerven des Frosches und zeigte sich auch viel resistenter gegen
äussere Angriffe. Die Querstriche waren in vielen Fällen auch an ausge-
spannt gewesenen Nerven zusehen und die Ranvier’schen Kreuze erschienen
in sehr regelmässiger Form. An manchen Nerven dagegen löste sich die Kitt-
substanz und erschien als breiter Ring, oder bloss als schwarzer Fleck, oder
in der Weise, wie ich es an Froschnerven beschrieben habe.
Eine der wichtigsten Fragen, die zu beantworten sind, bezieht sich auf
die Ursache der Querstreifung des Axencylinders. Befinden sich die Silber-
niederschläge auf dem Axceneylinder oder aber in demselben? Zunächst kann
es als eine feststchende T'hatsache angesehen werden, dass die Substanz, in
der sich die Silberniederschläge bilden, den Axencylinder häufig in der
Gegend der Ranvier’schen Einschnürungen mit einer regelmässig dicken
Lage bedeckt. In diesem Falle ist es leicht einzusehen, dass sie dem Axen-
cylinder aufliegt. Die braune, dicke, mit unregelmässigen Conturen versehene
Mélanges bioloziques. T. XIII, p. 105.
502 PH. OWSJANNIKOW, [s. 8. 1
Masse zieht sich, auf eine kurze Strecke, als ein dünnes Häutchen hin und
dann erst folgen die Querstreifen, die uns näher interessiren. Von diesen ist
es viel schwieriger zu sagen, ob sie nur äusserlich liegen. Um diese Frage
zu entscheiden, machte ich mich an die Untersuchung von Querschuitten
und verfertigte mir mehrere aus Nervenstämmen verschiedener Thiere, wie
Frosch, Ratte, Ochs, auch einiger Fische. Alle diese Präparate lagen anfangs
in Silberlösung und einige von ilınen wurden ausserdem mit Carmin, Ani-
linblau, Haematoxylin oder Safranin gefärbt. Es kamen Querschnitte vor, in
welchen fast der ganze Innenraum einer Schwann’schen Scheide mit einer
schwarzen oder braunen Masse ausgefüllt war, die entweder in allen ihren
Theilen gleichmässig schwarz erschien, oder in ihrer Mitte eine rundliche
Stelle zeigte, die weniger dunkel gefärbt war. Dieses war der Axencylinder.
Alsdann fanden sich im Präparate mehrere dunkle Ringe vor, welche den
Axencylinder umgaben und etwas von demselben abstanden, wobei dieser
Letztere gewöhnlich bräunlich gefärbt erschien. Bei sehr starker Färbung
endlich, fanden sich Niederschläge in dem Axencylinder selbst, scheinbar zwi-
‚schen den Fibrillen desselben. Die zuerst beschriebenen Figuren, nämlich die
grossen dunklen Scheiben, gehören jenen Querschnitten, welche aus:der
Gegend der Ranvier’schen Einschnürungen stammen. Da die schwarzen
Massen innerhalb der Schwann’schen Scheide liegen, so ist es ganz klar, dass
wir es hier nicht mit Schnürringen zu thun haben, sondern mit einer Kitt-
masse, die in der Nerveuscheide liegt. Sie umgiebt den Axencylinder und
legt sich zuweilen an die innere Fläche der beiden Ausbuchtungen der
Schwann’schen Scheide an. In anderen Fällen liegt sie nur auf dem Axency-
linder und kann in der Schwann’schen Scheide nach der einen oder anderen
Richtung verschoben werden. Da diese Masse an frischen oder überhaupt
an nicht gefärbten Nerven durchsichtig ist und dasselbe Lichtbrechungsver-
mögen besitzt, wie die Nervenscheide, so entzieht sie sich gewöhnlich der
Beobachtung. An Silberpräparaten dagegen gelingt es zuweilen, durch
Klopfen auf das Deckgläschen, den Querstrich des Kreuzes in zwei gleiche
Theile zu sondern. Da die Substanz, welche den Querbalken des Ranvier’schen
Kreuzes bildet, innerhalb der Nervenscheide liegt, so passt der deutsche
Ausdruck Schnürring nicht zur Bezeichnung der von Ranvier an Nerven
beschriebenen Verengung ihrer Membran und es muss ein anderes Wort dazu
gewählt werden. Darauf macht schon P. Schiefferdecker aufmerksam, dem
wir eine sehr eingehende Untersuchung über die Structur der Nerven ver-
danken.
Die grössere Zalıl der Präparate von verschiedenen Thieren, die allmäh-
lich gewonnen wurden, machte es wahrscheinlich, dass eine Querstreifung
auch an marklosen Nerven auftreten kann.
Molanges biolugiques. T. XIII, p. 106.
(sxxım] ZUR STRUOTUR DER NERVENFASER. 503
Meine Untersuchungen, die ich in dieser Richtung, aber an Fasern der
Krebse angestellt habe, gaben, wie ich schon erwähnt habe, nur negative
Resultate. Andere Forscher, die sich mit diesem Gegenstande beschäftigten,
haben auch keine Querstreifung entdecken können. Ich wandte mich nun zu
der Untersuchung eines Objectes, welches mir in früheren Jahren eine Reihe
von interessanten Thatsachen geliefert hatte, nämlich zu den Nerven und
zum Rückenmarke des Neunauges. Aber auch hier haben die ersten Präpa-
rate mir nichts Neues geliefert. Schliesslich erhielt ich doch auch hier eine
ebenso regelmässige Streifung, wie an markhaltigen Nerven, wobei aber eine
nothwendige Bedingung darin besteht, dass man die Nerven und das Rücken-
mark von eben getödteten Thieren nimmt. Die grösseren Rückenmarksstücke
müssen durch Nadeln in etwas kleinere zerzupft und dann erst in die Silber-
lösung gethan werden. Benutzt man ganze Stücke des Rückenmarks, so färbt
sich gewöhnlich das ganze Object nur äusserlich, da die Silberlösung wahr-
scheinlich nicht genug in die Tiefe zwischen die einzelnen Fasern eindringt.
In der genannten Lösung (1 auf 200—300) müssen die Objecte im dunklen
Raume 20—24 Stunden liegen. Dann, wenn die Beleuchtung gut ist, hält
ınan sic 6— 24 Stunden in Aq. destillata. Schliesslich wird das Präparat auf
einem Objectglas in destillirtem Wasser noch etwas mehr zerzupft, mit
einem Deckgläschen bedeckt und nach Zufügung eines Tropfens Glycerin
untersucht. |
Die Manipulationen, die ich beschrieben habe, können wahrscheinlich
auch verkürzt werden, und es mag auch die Querstreifung hier und da beim
Einlegen grösserer Stücke eintreten; ich hielt es aber für nöthig, das Ver-
fahren genauer anzugeben, welches mir ohne Ausnahme gute Präparate
lieferte. Man erhält die Querstreifung besonders an denjenigen Stellen, wo
die Silberlösung mehr der Beleuchtung ausgesetzt war, und dabei in einer
so regelmässigen und schönen Form, dass man ganz überrascht ist. Man
traut seinen Augen nicht recht und vermuthet in der ersten Zeit, dass vielleicht
zufällig Muskelstücke in das Präparat gelangt sind. Man mustert ein Stück
nach dem anderen und findet verschiedene Übergänge von kaum sichtbaren
Streifen zu vollkommen ausgebildeten. Da beim Zerzupfen des Rückenmarks
auf dem Objectglase natürlicher Weise auch tiefere Schichten zum Vorschein
kommen, so findet man nicht selten Müller’sche Fasern, nämlich sehr breite,
nackte Axencylinder, die an dem einen Ende hell, durchsichtig, schwach
längsgestreift erscheinen, am anderen dagegen mit einer regelmässigen
Querstreifung versehen sind. Zuweilen, wenn man das Object gut beleuchtet
und Ausdauer hat, dasselbe längere Zeit zu beobachten, sieht man unter
den Augen die Querstreifung in jenen Theilen auftreten, die früher frei
davon waren. Gewöhnlich zeigt sich aber eine starke, dunklere Streifung an
Mélanges bloleziques. T. XIII, p. 107.
504 PH. OWSJANNIKOW, [n. 8 1
jenem Ende, welches der Einwirkung des Silbers mehr ausgesetzt war. Hat
man ein grösseres Stück des Rückenmarks vor sich, an dem das eine Ende
besonders stark durch Silber gefärbt ist, so sieht man an demselben die
einzelnen Schichten stufenartig sich abblättern. Die oberflächlichsten, die
am dunkelsten erscheinen, sind auch kürzer als die übrigen und etwas aufge-
rollt. In diesen Schichten, theils an einzelnen Fasern, tlıeils an ganzen
Bündeln, ist die Querstreifung besonders schön zu sehen. Die Ähnlichkeit
zwischen den quergestreiften Muskeln und den mit Silber bearbeiteten Axen-
cylindern ist besonders auffallend, wenn man die Müller’schen Fasern be-
trachtet. Da sieht man nicht allein die dunklen querliegenden Streifen mit
hellen sich regelmässig abwechseln, sondern man erkennt noch eine sehr
deutliche Längsstreifung, welche lebhaft an die Köllicker’schen Muskel-
primitivfibrillen erinnert und in der That durch die Nervenfibrillen hervor-
gerufen wird. Ä
Man hat die Querstreifung bis jetzt, wie schon oben angeführt, nur an
Cylinderaxen der markhaltigen Nerven beobachtet und es konnte daher
diese Entdeckung zu keiner allgemeinen Geltung kommen. Immer tauchte
die Frage auf, wenn die Querstreifung durch einen normalen Bestandtheil
des Nerven bedingt ist, warum kommt sie nicht in allen Nerven, also auch
in marklosen, vor. Die Entdeckung der Querstreifung an Letzteren, sollte
man glauben, müsste jener Erscheinung eine positive Grundlage verleihen
und sie aus dem Bereiche der Kunstproducte herausführen. Es hat sich aber
diese Voraussetzung, wie man sehen wird, nicht bestätigt. Ich habe aus dem
Rückenmarke des Neunauges, welches auf die oben beschriebene Weise be-
handelt wurde, Querschnitte verfertigt. Natürlich fanden sich darunter viele
Nervenfasern, welche schief geschnitten waren. Die Durchmusterung solcher
Präparate, namentlich die Betrachtung der Müller’schen Fasern, hat er-
wiesen, dass die (Juerstreifung nur an der äusseren Fläche der Faser vor-
kommt und sich nicht in die Tiefe erstreckt. Sind die Elemente sehr stark
gefürbt, so ist auch das Innere der Faser entweder gleichmässig braun, oder
es finden sich dunkle Körnchen, die zwischen den Elementarfäserchen mehr
oder weniger regelmässig vertheilt sind. Ein sehr anziehendes und instruc-
tives Bild zeigte mir ein schiefer Querschnitt einer sehr breiten Müller’-
schen Faser. Dieselbe war äusserlich mit einer schönen regelmässigen Quer-
streifung bedeckt. An ihren: oberen Ende, welches etwas schief abgeschnitten
war, befand sich ein dunkler breiter und etwas erhabener Ring. Er hatte
sich dadurch gebildet, dass die äussere Schicht der Faser sich in der Art
einer Membran aufgerollt hatte. Aus diesem Ringe, also aus dem Faser-
abschnitte, ragte eine sehr grosse Anzahl von Nervenprimitivfibrillen her-
vor, an welchen keine Querstreifung vorhanden war. Man könnte das Bild
Melanges biclogiques. '. XIII, p. 108.
(xxxı)] ZUR STRUCTUR DER NERVENFASER. 505
mit einem Sacke vergleichen, aus welchem ein Strohbund heraussteckt.
Wenn, nach dieser Beobachtung, kein Zweifel mehr darüber bestehen kann,
dass die Querstreifung nur an der äusseren Fläche des Axencylinders vor-
kommt und in gar keiner Beziehung zu den Primitivfibrillen steht, so möchte
ich noch einige Thatsachen anführen, welche dafür sprechen, dass die Be-
handlung der Nervenfasern mit Silber dieselben stark verändert und Ver-
anlassung zu Kunstproducten giebt. Ich gehe nun wieder zu den Ranvier’-
schen Querlinien an den markhaltigen Nerven über. Jeder Histologe weiss,
dass nach Behandlung von frischen Nerven mit einer Lösung von salpeter-
saurem Silberoxyd in der Gegend jener Linie der Axencylinder schmäler
und dunkler ist. Je mehr er sich von der Querlinie entfernt, um so heller
und dicker wird er, bis er seine normale Dimension erlangt hat. Jede
Flüssigkeit, jeder Farbstoff dringt leichter an den erwähnten Stellen ein,
als an anderen, da dort der Axencylinder vom Marke entblösst ist. Von dort
verbreitet sich die Färbung oder Wirkung des Reactivs nach beiden ent-
gegengesetzten Richtungen. Je entfernter die Punkte liegen, um so weniger
und später werden sie angegriffen.
Nicht Alle werden aber mit der eben ausgesprochenen Erklärung ein-
verstanden sein. Einige Forscher glaubten, dass die Cylinderaxen an der
Grenze der Marksegmente auch bei frischen Nerven dünner seien, als an
ihren übrigen Theilen. Dass dieses nicht der Fall ist, dafür sprechen sorg-
fültig angestellte Untersuchungen. Ich habe mich auch oftmals überzeugt,
dass die Axencylinder an jener Stelle dieselben Dimensionen besitzen, wie
an allen übrigen.
Als einen zweiten Beweis für die Veränderlichkeit und Schrumpfung
des Gewebes durch Silberbehandlung möchte ich folgende Thatsache an-
führen. Unter den Rückenmarksstückchen des Neunauges, die mit einer
Lösung von salpetersaurem Silberoxyd behandelt waren, traf ich einige,
welche an einem Ende schmäler waren, als am anderen. An dem ersteren
waren sie stärker gefärbt, hier war die Querstreifung viel intensiver und die
einzelnen Streifen standen einander viel näher. Je mehr man sich von dem
starkgefärbten Ende des Rückenmarksstückchens entfernte, desto breiter und
dicker wurde das Stückchen und um so entfernter lagen die Querstreifen
von einander. Wir sehen hier an ganzen Rückenmarksstückchen dieselben
Erscheinungen, die man an einzelnen Axencylindern beobachtet hat. Be-
weise genug, dass hier und dort dieselben Ursachen, die Schrumpfungs-
processe, statthaben.
Bei Weitem der grösste Theil der Histologen hat sich der Ansicht an-
geschlossen, dass der Axencylinder aus Primitivfibrillen besteht, nur wenige
haben, auf Grund ihrer eigenen Untersuchungen, sich eine andere Meinung
Mélanges blologiques. T. XIII, p. 109.
506 PH. OWSJANNIKOW, [N. 8. ı
über die Structur dieses Gebildes geschaffen. So glauben manche, dass der
Axencylinder ein Rohr ist, dessen Inhalt eine halbflüssige Masse darstellt.
Da viele. Axencylinder aus dem Rückenmarke des Neunauges eine bedeu-
tende Breite besitzen, so wird dadurch die Untersuchung ihres feineren
Baues sehr erleichtert. Wenn auch in den Nerven fast sämmtlicher Thiere
die Längsstreifung und die Primitivfibrillen im Axencylinder bei starker
Vergrösserung erkannt werden können, so sind dieselben in den Central-
fasern des Neunauges deutlicher und schöner zu sehen, als bei irgend einem
anderen Thiere. Die erste Beobachtung über die Zusammensetzung der
breiten Axencylinder aus feinen Fasern (Primitivfibrillen) ist, so viel ich
weiss, von mir (1854) an den Nerven des Neunauges gemacht worden. Ich
habe Fasern von den Nervenzellen zu dem breiten Axencylinder verfolgt
und ihr Verschmelzen mit jenem gesehen und auch eine Abbildung davon
gegeben (Fig. 3).
Ganz ähnliche Verhältnisse habe ich später auch an den Nerven der
Wirbellosen beschrieben und abgebildet (Fig. 1). Obgleich man über die
Fibrillen-Structur des Axencylinders viel geschrieben hat, so ist mir nicht
bekannt, dass meine Beobachtung über die Verschmelzung der feineren
Nervenzellenausläufer in Centralorganen zu breiten Axencylindern eine Be-
stätigung erfahren hat.
. Ich gehe nun zur Schilderung meiner späteren Beobachtungen über.
Das Bild, welches ein ganz frischer, eben aus dem lebenden Thier heraus-
genommener oder ein todter, besonders mit verschiedenen Reactiven be-
handelter Axencylinder giebt, ist ein verschiedenes. Deshalb stimmen die
Beobachtungen verschiedener Forscher über die Structur des Axencylinders
des Neunauges nicht in allen Stücken mit einander überein. Sowohl im
frischen Axencylinder, als auch in einem solchen, welcher mit Essigsäure
oder anderen Reagentien behandelt wurde, lassen sich die Längsstreifen
und die Primitivfibrillen bei stärkeren Vergrösserungen sehr gut erkennen.
Im frischen Axencylinder lässt sich das Axolema von den Primitivfibrillen
nicht trennen und diese scheinen die ganze Breite der Faser einzunehmen.
In einem mit schwacher Essigsäure behandelten Axencylinder dagegen
trennt sich der Inhalt vom Axolema. Ein Bündel, bestehend aus Primitiv-
fibrillen, nimmt die Mitte des Cylinders ein und liegt in einiger Entfernung
von der peripheren Schicht. Das Bild erinnert mich an die Fig. 3, b, c, die
ich von den Nervenfibrillen in der Schwann’schen Scheide der Krebse ge-
geben habe.
Die Primitivfibrillen zeigen Varicositäten und sind durch eine Zwischen-
substanz von einander getrennt. Die Müller’schen Fasern des Rückenmarks
des Neunauges werden gewöhnlich mit glatten Rändern beschrieben, ich
Melanges biologiques. 1. XIII, p. 110.
(zxxum)] ZUR STRUCTUR DER NERVENFABER. 507
habe aber eine Faser gesehen, an welcher sehr viele dünne Fäserchen hin-
gen, ungefähr in der Weise, wie die Rückenmarkswurzeln am Rückenmarke
zu hängen pflegen. Freilich zeigte sich dieses nicht auf der ganzen Länge
des Axencylinders, sondern nur an einer beschränkten Stelle, denn weiter
waren die Ränder wieder glatt und eben. Dieser Umstand sprach aber ge-
rade deutlich dafür, dass das untersuchte Object wirklich der Axencylinder
war. Auf welche Weise könnte man diese verschiedenen Befunde erklären?
Es ist möglich, dass die Nervenzellenfortsätze, die sich mit der Müller’-
schen Faser verbinden, sehr zart sind und beim Zerzupfen der Präparate,
namentlich wenn dieselben erhärtet sind, leicht von der Faser abreissen.
Ähnliches kann man auch an den Nervenzellenfortsätzen in der Grosshirn-
rinde beobachten. Ist das Präparat ziemlich stark in Chromsäure erhürtet,
so reissen bei der Präparation mit Nadeln alle kleinen Fortsätze ab und man
erhält einen nackten unverästelten Axencylinder. Ganz andere Resultate er-
hält man, wenn man frische Nervenzellen oder solche, die, nur kurze Zeit
mit einer Lösung von doppeltchromsaurem Kali. behandelt worden sind,
untersucht.
Die Axencylinder erscheinen an zerzupften Präparaten als flache Bänder,
in der That sind sie, wie die Querschnitte es zeigen, runde Fäden. Sehr
häufig hat man an Querschnitten den Axencylinder eckig oder gar stern-
förmig gesehen und beschrieben, nur hatte man in diesen Fällen Schrumpfungs-
producte vor Augen. Wenn man das Präparat in seiner natürlichen Form
erhalten will, so muss die Erhärtung allmählich vor sich gehen und zu
diesem Zwecke ist die Chromsäure noch immer sehr zu empfehlen.
Man hat in der letzten Zeit nicht selten die Ansicht ausgesprochen,
dass das Keratinnetz von Ewald-Kühne zu den Kunstproducten zu rechnen
sei. Es wurde festgestellt, dass dasselbe durch die Verdauungsflüssigkeit
eben so wie jedes andere Gewebe aufgelöst wird. Da dieses Netz sich mit
Osmiumsäure nicht färbt, so muss dasselbe eine andere Zusammensetzung
besitzen als das Nervenmark. Die Ansicht, dass wir in diesem Netze Fort-
sätze des Plasma der Nervenfaser besitzen, kann nicht bewiesen werden.
Hätte dieses Netz in der That seine Entstehung einem halbflüssigen Plasma
zu verdanken, so würde dasselbe nicht unter allen Umständen ein und die-
selbe Form besitzen, sondern man würde Stellen finden, an welchen sich das
Plasma zu grösseren Tropfen vereinigt hätte.
Das auf gewöhnliche Art dargestellte Ewald-Kühne’sche Netz hat mir
nichts Neucs gezeigt. Um so interessanter war das Bild, welches mir Nerven
von Torpedo und einigen Haifischen gaben. Diese Nerven hatten eine Zeit
lang in einer Lösung von doppeltchromsaurem Kali, dann aber einige Jahre
in Spiritus von 95%, gelegen, welcher seiner Zeit einige Mal gewechselt
Melanges biologiques. T, XIII, p. 111.
508 PH. OWSJANNIKOW, ZUR STRUOTUR DER NERVENFASER. [n. 8.1
worden war. In diesen Präparaten war jede Spur von Nervenmark ver-
schwunden, das Netz war grobmaschig, aber es fanden sich ausserdem Fäden
vor, welche den Axencylinder auf grösseren Strecken spiralfürmig umgaben,
und dabei gingen Netz und Spiralfaser nicht von einem Nerveumarkseginente
in das andere über.
Aus Allem, was ich an dem Ewald-Kühne’schen Netze beobachtet habe,
bin ich zu dem Schlusse gekommen, dass wir in demselben ein normales Ge-
bilde des markhaltigen Nerven besitzen, welches keineswegs als Kunstproduct
betrachtet werden kann.
Litteratur.
Ph. Owsjannikow. Disquisitiones microscopicae de medullae spinalis tex-
tura imprimis in piscibus factitatae. Dorpati 1854.
—— Recherches sur la structure intime du système nerveux des crustacées
et principalement du homard. Ann. des sc. naturelles, tome XV,
1861.
Schiefferdecker. Beiträge zur Kenntniss des Baus der Nervenfasern. Archiv
für mikr. Anatomie Bd. XXX, 1887.
Max Joseph. Über einige Bestandtheile der peripheren markhaltigen Nerven-
fasern. Sitzungsberichte der Königl. Preuss. Akad. der Wissen-
schaften zu Berlin. December 1888.
J. Jakimowitch. Sur la structure du cylindre-axe et des cellules nerveuses.
| Journal de l’Anat. et de la Physiol. normales et pathologiques,
1888.
Mélanges biologiques. T. XIII, p. 112.
(xxxm)] | 509
Koptische apokryphe Apostolacten. Von Dr. 0. v. Lemm. (Lu le 23 mai 1890).
Die im Folgenden nach einer Handschrift der Kaiserlichen Öffentlichen
Bibliothek !) veröffentlichten Bruchstücke apokrypher Apostelacten in
untersahidischer Mundart bilden eine Ergänzung zu den von Georgi ?),
Zotga®), Dulaurier‘) und Guidi°) nach Borgianischen Handschriften und
von Mingarelli®) nach einer Handschrift der Sammlung Nani zu Venedig
herausgegebenen und behandelten sahidischen Texten verwandten Inhalts.
Die meisten der St. Petersburger Fragmente enthalten solche Abschnitte,
welche unter den oben genannten Fragmenten fehlen, so den Schluss der
Acten des Bartholomäus in den Oasen, einen grossen Theil der Acten
des Andreas und Matthäus in der Stadt der Menschenfresser und
1) Cod. Copt. Tischendorfianus VI. Vergl. meine Bruchstücke der Sahid. Bibelübersetzung,
pag. XVI ff.
2) De miraculis S. Coluthi et reliquiis actorum S. Panesniw martyrum Thebaica frag-
menta duo. Romae, 1798. — 4°. Enthält auf pag. 102 die Geschichte von der Erwählung des
Apostels Matthias nach dem Cod. Borg. CXXIV.
8) Catalogus codd. Copticorum manu scriptorum, etc. Cod. CXXII—CXXXVII — Aus dem
Cod. CXXXII, welcher die Acten des Andreas und Paulus, so wie die des Bartholomäus
bei den Parthern enthält, theilt Zo&ga einen grösseren Abschnitt mit (1. 1., pag. 230—285).
4) Fragment des révélations apocryphes de Saint-Barthélemy et de l’histoire des commu-
nautés fondées par Saint-Pakhome. Paris, 1835. — Auf pag. 80 ff. findet sich eine französische
Übersetzung des von Zoëga aus dem Cod. Borg. CXXXII veröffentlichten Abschnittes der
Acten des Andreas und Paulus; letztere ist zum grössten Theile wieder abgedruckt bei
Tischendorf, Apocalypses apocryphae Mosis etc..... additis evangeliorum et actuum apo-
cryphorum supplementis. Lipsiae, 1866. Prolegomena, pag. XLVII ff. Anm. 1.
5) Frammenti Copti. Note I VII. Romae 1888. [Rendiconti della R. Accademia dei Lincei.
Classe di scienze morali, storiche e filologiche. Vol. III, 1° e 20 semestro; Vol. IV, 1° sem.] —
Note I—V enthalten die apokryphen Apostelacten nach den Borgianischen Handschriften
CXXII—CXXX VII mit Ausnahme des von Zo&ga veröffentlichten Abschnittes aus Cod. CXXXII
und des von Georgi mitgetheilten Fragmentes der Acten des Matthias; zu diesem letzteren
giebt Guidi einige Textverbesserungen. Ausserdem theilt Guidi in Nota II ein Fragment der
Bodleiana mit, welches zu den Acten des Petrus gehört. Nota VI enthält ein im Besitze des
Lord Crawford befindliches Fragment der Andreasacten. Ferner sind in Note VI und VII die
neutestamentlichen legendarischen Erzählungen nach den Borg. Handschriften CXI—CXV ab-
gedruckt. — Guidi, Gli atti apocrifi degli apostoli nei testi copti, arabi e etiopici in «Giornale
della Societä Asiatica Italiana». Vol. II, 1888, pag. 1—66. — Enthält die Übersetzung und
Besprechung der von Guidi edierten Fragmente apokrypher Apostelacten.
6) Aegyptiorum codicum reliquiae Venetiis in Bibliotheca Naniana asservatac. — Bo-
noniae, 1785.—40, — Auf pag. 800 ff. findet sich die dem Prochorus zugeschriebene Vita
S. Johannis.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 09. 84
510 DR. 0. VON LEMN, [n. 8.1
den Schluss der Acten des Philippus, wogegen nur die 10 ersten Co-
lumnen dieser letzteren dem von Guidi?) edierten Bruchstücke derselben
nach dem Cod. Borg. CXXVI entsprechen.
Im Ganzen sind hier Fragmente von 9 Blättern erhalten, vom 9-ten
nur ein ganz winziges.
Der Zustand der St. Petersburger Iandschrift ist leider ein schr beklagens-
werther, da dieselbe bis auf einige wenige besser erhaltene Fragmente fast
ausnahmslos aus vielen kleinen Stückchen besteht, die in kurzer Zeit ganz
zu Staub zerfallen sein werden. Letzterer Umstand veranlasste mich die
anderen St. Petersburger Fragmente für’s Erste bei Seite zu legen und an die
Veröffentlichung der apokryphen Apostelacten zu schreiten um sie vor
gänzlichem Untergange zu retten. |
Trotz ihrer schlechten Corservierung enthalten diese Fragmente ein höclıst
werthvolles und interessantes Material sowohl in sprachlicher wie in cultur-
historischer Hinsicht; auch bestätigen sie auf’s Neue die schon mehrfach
ausgesprochene Ansicht, dass die unter dem Namen Gadla Hawäryät be-
kannten aethiopischen apokryphen Apostelacten wenn auch durch die
Mittelstufe der arabischen Version auf die koptischen Apostelacten zurück-
zuführen seien®). Erstere repräsentieren eine zum Theil überarbeitete zum
Theil verkürzte Gestalt der letzteren.
Beim Ordnen der St. Petersburger Fragmente und zum Verständniss der-
selben hat mir die englische Übersetzung der Gadla Hawäryät®) nicht un-
wesentliche Dienste geleistet; besonders war dies der Fall bei dem Bruch-
stücke der Acten des Bartholomäus in den Oasen und dem Schlusse der
Acten des Philippus. Bei den Acten des Andreas und Matthäus in der Stadt
der Menschenfresser konnte ich ausserdem noch die griechischen rpafeıs
Avôpéou xal MatSaiou eis nv nölıv rav avdpwropaywv!) benutzen, da die
koptischen Acten diesem Texte sehr nahe kommen und ohne Zweifel auf
letzteren zurückgehn. | |
Nach der englischen Übersetzung des aethiopischen Textes dieser Acten
zu urtheilen müssen sowohl in der arabischen wie in der koptischen Version
an mehreren Stellen grosse Kürzungen des griechischen Originals gemacht
worden sein”). Obgleich der koptische Text sehr fragmentarisch und die
7) Frammenti, pag. 20 ff.
8) Lipsius, Die apokryphen Apostelgeschichten und Apostellegenden. I, pag. 220. —
Zotenberg, Catalogue des mss. éthiopiens de la Bibl. Nationale, pag. 56.
9) Malan, The Conflicts of the Holy Apostles, an Apocryphal Book of the Early Christian
Church. Translated from an Ethiopic MS. London, 1871.
10) Tischendorf, Acta apostolorum apocrypha. Lipsiae, 1851, pag. 182—166.
11) Vergl. z. B. Malan, 1. 1., pag. 152 ff. Tischendorf, 1. L., pag. 142 ff. und Lipsius,
1. 1., I, 547.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 10.
(xxxn)] KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTRLACTEN. 511
Stelle, wo nach dem aethiopischen Texte die grösste Kürzung in der Er-
zählung vorliegt, gar nicht erhalten ist, so lässt sich doch auf Grund des
aethiopischen Textes mit Sicherheit behaupten, dass auch diese Kürzungen
bereits im koptischen Texte vorhanden gewesen sein müssen. Merkwürdig
ist der Umstand, dass fast dieselben Kürzungen in der syrischen Version
dieser Acten auftreten und dass z. B. die ganze Geschichte von den Sphinxen
sowohl im aethiopischen wie im syrischen Texte fehlt!?). Sollte vielleicht neben
den von Lipsius erwähnten zwei Redactionen'?) dieser Acten, deren eine
Tischendorf mit Varianten ediert hat, noch eine dritte kürzere existiert
haben, nach der sowohl die koptische wie die syrische Version gemacht
worden, oder geht vielleicht der syrische Text, wenn auch durch die Mittel-
stufe des arabischen auf den koptischen zurück? In letzterem Falle müssen
die Kürzungen zuerst im koptischen Text aufgetreten sein, wobei dann
von der Annahme der Existenz einer dritten griechischen Redaction abgesehn
werden kann. Letzteres wäre nicht unmöglich, da Beziehungen der syrischen
Litteratur zur koptischen bereits nachgewiesen sind“). Das Verhältniss der
verschiedenen Versionen der Andreas- und Matthäusacten zu einander würde
sich demnach folgendermassen gestalten:
Griechisches Original
sahidisch
untersahidisch
arabisch
aethiopisch syrisch
Bei den Acten des Bartholomäus in den Oasen konnte ich keinen grie-
chischen Text benutzen, da eigentliche Acten (npa£eız oder nepioôcr, Taweoeıy
und nowne ekoA, virtutes, russ. abanin, xomnenin) des Bartholomäus im
Griechischen nicht erhalten sind, sondern bloss ein Martyrium; selbst wenn
auch ein griechischer Text der Acten des Bartholomäus erhalten wäre, so würde
er sicherlich von der koptisch-arabisch-aethiopischen Redaction bedeutend
abweichen, da, wie Lipsius es in seiner bereits citierten Arbeit nachgewiesen
— ———— -_— —— —en -
12) Wright, W., The Apocryphal Acts of the Apostles, edited from Syriac Manuscripts in
the British Museum and other Libraries. 2 Vols. London, 1871. Vol. II, pag. 98, 100, 101.
13) Lipsius, 1. ]., I, pag. 546.
14) Guidi, Le traduzioni dal copto. [Nachrichten d. Kgl. Ges. d. Wiss. zu Göttingen. 1889.
6. Februar. X 8, pag. 49—56].
Melanges asistiques. T. X, p. 101. 34*
512 DR. 0. VON LENM, [n. 8. 1
hat, die koptisch-aethiopischen Acten des Bartholomäus aegyptischen
Ursprungs sind und vielfach auf Localtradition beruhn !*).
Ebensowenig konnte ich einen griechischen Text der Acten des Philippus
zu Rathe ziehn, da die koptisch-aethiopische Redaction derselben von den
griechischen npa&eıs bidinrou ganz bedeutend abweicht und sicher eine von
Grund aus auf Localditration beruhende Überarbeitung der griechischen
Acten des Philippus zu Hierapolis darbietet; die entsprechenden Abschnitte
des sahidischen Textes der Philippusacten sind selbstverständlich zum Ver-
gleiche mit herangezogen worden.
Ich hielt es aus praktischen Gründen für zweckmässig überall neben der
Übersetzung des untersahidischen Textes — so weit eine solche überhaupt
noch möglich war—auch die anderen entsprechenden Texte mitabzudrucken:
bei sämmtlichen Acten die englische Übersetzung des aethiopischen Textes,
bei den Acten des Andreas und Matthäus auch noch den griechischen Text,
schliesslich noch bei den Acten des Philippus das sahidisch erhaltene Stück
derselben nebst einer Übersetzung.
Aus dem Vergleiche der beiden koptischen Texte der Philippusacten
unter einander wird man den Schluss ziehen müssen, dass im Koptischen zwei
verschiedene Redactionen existiert haben, und zwar will es scheinen, als liege
dem untersahidischen Texte eine ältere sahidische Redaction zu Grunde, als
die uns im Cod. Borg. CXXVI vorliegende. Die Existenz von zwei ver-
schiedenen sahidischen Redactionen der Acten des Philippus gewinnt noch
grössere Wahrscheinlichkeit dadurch, dass von mehreren anderen Acten
sich gleichfalls zwei verschiedene Redactionen erhalten haben, wie von den
Acten des Jacobus (Cod. Borg. CXXVII u. CXXVI, Guidi, 1. 1., pag.
(8)— (13), den Acten des Paulus (Cod. Borg. CXXVIH., CXXX. Guidi,
1. 1. pag., (23)—(34)), und den Acten des Bartholomäus bei den Parthern
(Cod. Borg. CXXXI. CXXXIU. Guidi, 1. l., pag. (52)—(59)). Auch der
Umstand, dass der aethiopische Text in sehr vielen Punkten dem unter-
sahidischen Texte näher kommt, als dem sahidischen, spricht, glaube ich,
dafür, dass die untersahidische Redaction auf eine ältere sahidische zurück-
gehe, da man wohl annehmen darf, dass die vermittelnde arabische Version,
welche dem aethiopischen Texte zu Grunde liegt, nach einem sahidischen
und nicht nach einem untersahidischen Texte gemacht worden sei.
Als eine Eigenthümlichkeit des uns vorliegenden untersahidischen Textes
muss besonders hervorgehoben werden, dass statt nee und der davon ab-
geleiteten Formen fast regelmässig nee, mneæeuy etc. steht.
16) Lipsius, 1. 1, II, 2. Hälfte, pag. 85.f.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 102.
a.
(xxxm)]
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
513
Die Acten des Bartholomäus in den Oasen.
Fragment 1.
Avers.
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[Ag]TpeAoso non ap
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15
25
[Ave à nanoc]roAoc ywAg
[nes nren]nAecia
9. 9 = . 9 + ee © MAC
30
Melanges asiatiques. T. X, p. 108.
Ist es gut was du mir
sagen wirst, so werde ich
dich hören; sage indess,
was in dein Herz gekom-
men ist.
Und es antwortete der
Älteste und sprach zu
ihm: Ich wünsche, dass
du befiehlst die Knechte
rufen zu lassen, damit sie
diesen Wald und diesen
Weinberg, über die der
Segen gekommen.....
.... mit Ausnahme des
mittleren. ...... und
uns eine Kirche... .. ,
denn dies ist der Ort des
Anfangs des Glaubens,
der Ort auf welchem ich
stehe.
ses ich werde nicht
sterben.
Es sprach der Apostel
zu ihm: Diese Rede...
sus Und sofort
befahl er den Weinberg
zu reinigen. Sie brach-
ten ihm einen Korb mit
Stroh.
Und der Apostel machte
ihnen den Plan der Kirche
Malan, 1. 1. pag. 88.
Then the Apostle said
unto him:
If thy request be good,
I will grant it. Tell me
what it is.
Then his master said
unto him: I wish to in-
quire after the wine con-
cerning which thou hast
commanded me. I will
build a beautiful church
in the same place where
I died, and came again
to life, and on which
blessing came down.
And the Apostle said
to him: Be it so, as thou
hast said. And on
that hour he commanded
that they should levelthat
wine, and they brought
straw and berries, and
spread them over the face
of the earth, for the foun-
dation of the church.
514
DR. 0. VON LEMM,
[N. 8.1
And as they brought them he gave orders to all builders and all work-
men to build, and the church was built, a beautiful building until it was
finished. Then Bartholomew commanded that all the people should be
.gathered unto him and he baptized them in the name of the Father, of the
Son, and of the Holy Ghost.
ab agoreo . .[eornpa]
- THPION : 6
à vo Ahbzı [npenarn]
aquAnÀ elpAnı e]
. 2.00% - aß[Tı ner]
eBa ou [coma]
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ENAPXUON ......
Anpechsl[Ttepoc]
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AßbneeT on T......
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SH HHMET .,.,..,... 20
HOHTOT M ........
pmAasAacn......
Ara Menne[nea ner aß]
- TUTO eTaal[lT....]
Annıwerls...... ]
> TEIKApIe . .......
ea sıra[ary]
Melauges asiatiques. T. X, p. 1ü4.
Und er nahm Brot und
betete für sie und gab
ihnen von dem Leibe und
dem Blute Jesu Christi...
den Ältesten
zum Presbyter und er
weilte Diakone ein und
setzte sie in... .....
Und er blieb noch drei
Monate und lehrte sie
und heilte (?).......
Und darnach gab er
sie indie..........
Then he took a bunch
of grapes from the vine-
yardwhichhehadplanted,
and which had yielded
fruit through his hands.
And he pressed some
grapes into a cup, and
they brought white bread,
and he intreated God and
gave thanks; and he brake
it and gave it to those that
were assembled, of the
Body and of the precious
Blood of our Lord; and
ordained his master pres-
byter and other deacons.
Then he continued there
three months, teaching
them; and healed all the
sick that were in the city,
and turned them unto
God.
And when he departed
from among them, they
sent him away in peace,
and said unto him:
(xxxım)]
Fragment 1.
Revers.
QG. ......... te pt
[an]anocroAoc Bap
[e0AonJeoc :
[neXpe nrlagremteor
[man nan] erpenneg
[men eJRaÀ enen
[tags -] sic
[abnjur eneinTtoc
[ngra]weaıy mnot
[tre ne] Xpe nes e
[RA o1]TaaTy near
? [ru] mi neqror
[nmana]leoc un nna”
[eroreleè nAeygran
[pa ar] own '®)
[orcio]n nor av
[nmozralııy m"
[wa leon THÂor
hucejon gamnmn:
5
[A vo ageı e]haA om oveo:
10
15
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
des Apostels Bartholo-
mäus,
Christus, der dich uns
gesandt hat damit du uns
erlösest von unseren Sün-
den. |
Und er kam aus den
Oasen und ging nach
Nintos und verkündigte
den Herrn Jesum Chri-
stum, durch welchen ihm
Ehre zukommt und sei-
nem guten Vater und dem
lebenschaffenden und
wesensgleichen Heiligen
Geiste, jetzt und zu aller
Zeit bis in alle Ewig-
keiten der Ewigkeiten.
Amen.
b15
There is no other God
but thine,
Christ, who sent thee
to us, that thou should-
est cleanse us from our
Bins.
Then he came forth
from the city of Elwa,
and went to the city of
Naidas, to preach there
in the namè of our Lord
Jesus Christ, to whom be
honour and glory, and
worship and blessing,now
and ever. Amen, and
Amen.
16) In der von Guidi (Frammenti, pag. 51) ergänzten Stelle: menna erjoraak
upeq[wno] ist das letzte Wort in Ntpegrango zu verbessern, Der h. Geist führt häufig
den Beinamen peyranso entsprechend dem rxveüp« Lworowv z. B. Concil zu Nicaea
(Zoëga, 246.) TIIIICTETE enenna eTovaak ıpeqgrango «Wir glauben an den
lebenschaffenden heiligen Geist».
Alélanges asiatiques. T. X, p. 105.
516 DR. 0. VON LENN, CAEN
Erläuterungen.
Nach der koptisch-arabisch-aethiopischen Tradition hat der Apostel
Bartholomäus seine Missionsthätigkeit in zwei verschiedenen Gegenden ent-
faltet: in den aegyptischen Oasen und in dem Lande der «Parther» oder
«Berber».
In unserem Bruchstücke ist nur der Schluss des Berichtes über Bar-
tholomäus’ Thätigkeit in den Oasen erhalten; zum Ganzen vergl. man
Malan, 1. 1. pag. 29—39. Lipsius, 1. 1. II, pag. 86 ff. und Wüstenfeld,
Synaxar pag. 6 zum 1. Tut.
Das Synaxar, welches uns den Bericht in kürzester Fassung erhalten
hat, weiss über Bartholomäus’ Aufenthalt in den Oasen Folgendes zu be-
richten: «Diesen Apostel traf das Loos in die Wahat (Oasen in Aegypten)
zu gehen und er tlıat dies in Gemeinschaft mit Petrus und forderte die
Leute auf zum Bekenntniss des Glaubens an Gott, nachdem er Zeichen und
Wunder gethan, die über ihr Fassungsvermögen giengen und ihren Verstand
staunen machten. Er war mit List dadurch in die Stadt gekommen, dass ihn
St. Paulus als Sklaven verkaufte und arbeitete nun in dem Weinberge mit
seinem Herrn, und so oft er einen Steckling an den Wasserleitungen ein-
setzte, brachte er sogleich Früchte hervor. Als der Sohn des Ortsvorstehers
gestorben war, liess ihn der Apostel von den Todten wieder auferstehen, da
wurden sie alle gläubig und er führte sie zur Erkenntniss Gottes. Hierauf
befahl ihm Christus der Herr in das Land der Berbern zu gehen und er
sandte ihm seinen Schüler Andreas zu Hülfe».
Wie man sieht, ist hier vom Weinbau in den Oasen die Rede. Es ist zu
beachten, dass bereits im grauen Alterthume in den Oasen eine bedeutende
Weincultur existierte und dass der Oasenwein bei den alten Aegyptern hoch
geschätzt war. Es werden in den aegyptischen Inschriften mehrere Oasen
erwähnt, die besonders durch ihren Weinbau berühmt waren, so die von
Khargoeh (hierogl. Kenem), Dakhel (hier. Desdes) und Belınasa (hier.
wet mehet «die nördliche Oase»), wo Ramses III (XX Dynastie) Wein-
gärten hatte anlegen lassen. Sehr häufig werden «Öasenweine» erwähnt und
wie hoch sie geschätzt wurden, sieht man schon daraus, dass in auf uns ge-
kommenen Weinkarten dieselben an erster Stelle genannt werden. Auch in
späterer, ptolemäisch-römischer Zeit werden die Oasenweine von Kenem
und Desdes in den Texten der Tempellaboratorien häufig genannt; auch
heutzutage ist die Weincultur in den Oasen nicht völlig ausgestorben '’). In
17) Brugsch, Reise nach der grossen Oase El-Khargeh in der Libyschen Wüste. Leipzig,
1878, p. 79 ff. und pag. 90 ff.; ferner pagg. 56, 64 und Taf. XVII. X 11 und Taf. XXII. —
Dümichen, Die Oasen der Libyschen \Vüste. Strassburg, 1877.
Mulauges asiatiques. T. X, p. 100.
(xxxm)] KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 517
unserem Fragmente haben wir nun ein weiteres Zeugniss für den Weinbau
in den Oasen in den ersten christlichen Jahrhunderten.
Fragm. 1. Av. a. |. 24—28. — avuw nrer[nor] Aygovapcepmı
e[nasJapızce anna [naAajadı - avems [ng nJomksA ntop- «Und
sofort befahl er den Weinberg zu reinigen. Sie brachten ihm einen Korb mit
Stroh». — Vergl. dazu zunächst Fragm. 5. Av. a. «. I. 5—8. in den Acten
des Philippus: piAfsnmoc TJe ahneAere [erper]etts ng [norbsJA nrog
aund Philippus befahl einen Korb mit Stroh zu bringen». — Ferner ist dazu
zu vergleichen das Martyrium des h. Georg 43,29—44,4. 0509 ageporsi
MICOMR MIUATIOC TEHPTIOC ESoTn ETeRRARCIA WATOTEepRABapızıı
AUUMA ETATROTG ACHT AE ETATEPRASAPITIN MILMA EOPOTXA-
cent espns AgepoTcoprTop RATA MAI MITROT2ÆI HTONOC 2€ itä-
ROTY RATA Teq2eon!?). «Und er liess den Leib des heiligen Georg in die
Kirche hineinbringen, bis man den Platz gereinigt hatte, wo man bauen
wollte. Es geschah nun, als man den Ort gereinigt hatte um das Fundament
legen zu lassen, dass er Stroh streuen liess gemäss dem Umfange des kleinen
Heiligthums, welches er nach seinen Mitteln bauen wollte».
Das Streuen von Stroh bei einer Grundsteinlegung im Allgemeinen oder
bei der Grundsteinlegung einer Kirche im Speciellen hatte — wie Amélineau
meint — den Zweck, den Umfang des Gebäudes zu bestimmen; es muss wahr-
scheinlich eine Ceremonie gewesen sein, ähnlich der des Sandstreuens bei der
Grundsteinlegung eines Tempels im Alten Aegypten'®). Wie Am&lineau, der
treffliche Kenner koptischen Lebens, angiebt, scheint sich die Ceremonie des
Strohstreuens bei den heutigen Kopten nicht erhalten zu haben”). — Zum Aus-
druck coprop naTa eMain Minor: troroc vergleiche man das hierogl.
db snti m 3ä& r dar-f «bedecken mit Sand den Grundstein nach Maassgabe
seines Umfanges» im Horustempel von Edfu (Apollinopolis Magna ®”).
Fragm. 1. Av. a. I. 29. 30. — [Arw à nanoc]roAoc Woo [ner
nren]rAecia . ....... Vergl. dazu Jacobusacten, Cod. Borg. CXXVI.
A TO à NAIOCTOAOC WUAO ar norennAecra. — Cod. Borg. CXXVI:
A TO HANOCTOAOC ATWUA9 ar norenrAecra”). — Vita S. Hilarionis,
pag. Ze. MnOTRA HAapıW eROÀ eimHTei AYWUWAO HAT HTERRAHCIA
18) The Martyrdom and Miracles of Saint George of Cappadocia. The Coptic Text
edited with an English Translation by Ernest A. Wallis Budge. London, 1888. Oriental
Text Series, I.
19) Dümichen, Baugeschichte des Denderatempels. Strassburg, 1877, Taf. LI. — Victor
von Strauss und Torney, Der altaegypt. Götterglaube I. Die altaegypt. Götter und Götter-
sagen. Heidelberg, 1889, pag. 400. — Lemm, Das Ritualbuch des Ammondienstes, pag. 69 ff.
20) Contes et romans de l'Égypte chrétienne. 2 Volumes. Paris, 1888. (Collection de contes
et chansons populaires). Vol. II, pag. 213. Anm. 1.
21) Brugsch, Hieroglyph.-demot. Wörterb. V, 1360. 1894.
22) Guidi, Frammenti, p. 58.
Mélanges asiatiqnes. T. X, p. 107.
518 DR. 0. VON LENE, [N. 8.1
ATW HETOTHHÉ epe nenAOM OIMUXL HWC Hgeenoc HATHOE à TIMARA-
pioc HAapıwn TAOOZ epaTg eagepparıze MMOY OI Tecpparıc
“Anexc”). Das lateinische Original des Hieronymus bietet dafür: «Mira
Domini gratia, non prius abire passi sunt, quam futurae Ecclesiae lineam
mitteret, etsacerdos eorum, uterat Coronatus, Christi signo denotaretur»*).
Schliesslich vergl. noch Fragm. 5. Av. a. a. 1. 8—10. der Philippusacten:
[aygw]oAap emrt [nrlen[nAecra].
Fragment 1. Rev. a. I. 8. — ovegs Oase; sah. owage, ovoge; bob.
ovà9,. — In oveos etc. haben wir wahrscheinlich das hieroglyph. wet, we
vor uns, welches dann auch aus dem Koptischen ins Arabische als ‚I,J|
el-wäh plur. Lel,)l el-wähät übergegangen ist; dasselbe steckt auch in
Elwa, Elwah oder Hawa der aethiopischen Version, wie das Zotenberg*)
zuerst richtig erkannt hat. Das Elwa liefert auch einen weiteren Beweis,
dass die aethiopische Version auf die arabische zurückgeht, da das el in
Elwa zweifellos der arabische Artikel ist.
Das in der Überschrift der Acten des Bartholomäus und Andreas (Cod.
Borg. CXXXII) enthaltene nrow nosope ist meiner Ansicht nach von
Zoëga missverstanden worden, indem er dasselbe durch «fines Ichthyophago-
rum») übersetzt. Guidi übersetzt «confini dei pescatori», setzt aber in Klam-
mern daneben «ittiofagi»”). Zoëga’s Irrthum ist nun auch zu Lipsius über-
gegangen und veranlasst ihn über die Ichthyophagen ein Näheres zu sagen®®).
Ich glaube, dass wir es hier weder mit Ichthyophagen, noch mit Fischern zu
thun haben, sondern dass owoge einfach als nomen proprium «Oase» bedeutet.
Zoëga hat zunächst owoge mit orwge verwechselt; doch bedeutet letzteres
auch nur «Fischer» (so übersetzt Guidi) und nicht Ichthyophage. Ichthyophage
dürfte nach Analogie von osemaq «Fleischesserv, oremcnoy «Blutsauger,
oremepwrte aMilchesser», pegovenpwme «Antlıropophage» u. 8. w. nur
*oremTRT oder *pegosentär heissen. Den besten Beweis, dass hier unter
orope nur die Oasen gemeint sein können, haben wir im Synaxar, welches aus-
28) Rossi, I Papiri Copti del Museo Egizio di Torino. I. fasc. 4. = Mem. della R. Accad.
delle Scienze di Torino. Serie II, Tom. XXXVIII, pag. 29. — Bei dieser Gelegenheit bemerke
ich, dass der in der 6. Lief. der Turiner Papyri auf pag. 52 als «Frammento relativo alla vita
di Sant’ Ilarione» bezeichnete Text keiner «Vita 8. Hilarionis» entstammt und mit dem h. Hi-
larion absolut nichts zu schaffen hat; derselbe enthält vielmehr ein Bruchstück aus der Ge-
schichte von Kaiser Zeno und seinen zwei Töchtern und deckt sich fast wörtlich mit dem von
Amélineau in den «Proceedings of the Soc. of Bibl. Archacology». X, pag. 198 mitgetheilten
Abschnitte der genannten Geschichte.
24) Migne, Patrologia Latina. Tom. XXIII, 42.
25) Catalogue des manuscrits éthiopiens de la Bibliothèque Nationale, pag. 64, h. Vergl.
Guidi, Giornale, pag. 55. Anm.
26) Zoëga, 1. 1., pag. 236.
27) Guidi, 1. L., pag. 46.
28) L. 1. II, 2, pag. 84.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 108.
(xxxm)] KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 519
drücklich bemerkt, dass den Bartholomäus das Loos traf, in die Wahat (Oasen
in Aegypten) zu gehen. Bei Zoëga haben wir aber den Bericht über seine
gemeinschaftliche Wirksamkeit mit dem Apostel Andreas bei den Parthern,
nachdem er die Oasen verlassen hatte. Es heisst eben da in der Überschrift:
Has ne IIPAZIc (MUSS Has e nenpazic heissen) nAapeoAomascce Tages
eRoA on NTOU HOTOPE, AYÈWR EMNAPEOC MN ANR PERC MN xpıeta-
“oc npwme 190 noT900p. «Dies sind die Acten des Bartholomäus, welcher
kam aus den Gebieten der Oasen und zu den Parthern ging mit Andreas und
Christianos dem Manne mit dem Hundsgesichte». Man vergleiche däzu, was
das Synaxar bemerkt, nachdem es über Bartholomäus’ Thätigkeit in den
Oasen berichtet hat. «Hierauf befahl ihm Christus der Herr in das Land
der «Berbern zu gehen und er sandte ihm seinen Schüler Andreas zu Hülfe».
Von Ichthyophagen ist hier mit keiner Silbe die Rede. Auch die aethiopische
Version weiss nichts von Ichthyophagen oder Fischern, sondern sagt zu Be-
ginn des Berichtes über Bartholomäus’ Aufenthalt in den Oasen: «And it
came to pass when the apostles were gathered together to divide among
themselves the cities of the world, that the lot fell unto Bartholomew to go
and preach in Elwa, in thé name of our Lord Jesus Christ». Und die
Überschrift der Acten des Andreas und Bartholomäus’ bei den Parthern
lautet daselbst: «The book of the Acts of the two blessed disciples, Andrew
and Bartholomew, Apostles of our Lord Jesus Christ, which they did in the
city of Barthos, after they returned from the city Hawa, which is called
Elvwa, in the peace of God. Amen».
So stimmen denn alle Berichte in Bezug auf die beiden Gebiete von
Bartholomäus’ Missionsthätigkeit miteinander genau überein; dies sind das
Gebiet der Oasen und das Land der Parther; von einem Gebiete der Ichthyo-
phagen ist nirgends die Rede. Wenn Bartholomäus nach der Tradition im
Gebiete der Ichthyophagen gewirkt hätte, so würde sicherlich an irgend einer
Stelle der Erzählung davon die Rede sein; indess findet sich in keinem der °
Berichte auch nur die geringste Erwähnung von Ichthyophagen.
Fragm. 1. Rev. a. 9. — neintoc. Die hier genannte Stadt Neintos,
Nintos, wohin sich der Apostel aus den Oasen hinbegeben haben soll, wird
im aethiopischen Texte Naidas genannt. Wenn wir diese Notiz mit den
übrigen Angaben combinieren, so muss diese Stadt im Lande der Parther
oder Berbern gelegen haben. In dem aethiopischen Martyrium des Bartholo-
mäus wird die Stadt näher bezeichnet als «the largest of cities ever built on
the sea shore», wonach dieselbe also am Meere oder sonst an irgend einem
Wasser gelegen gewesen sein muss.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 100.
520 DR. 0. VON LEMM, [x. 8.1
Die Acten des Philippus.
Fragment 1.
Revers.
b. nraweaiy a[rw n]
| none ehaA an[pacıoc]
nAanocToAoc pl[Aım]
JIOC + nes HTAgTAye
Ay HOHTY ON Te
Ppiusa ont OFOH
PHNH nTre dt amant]
Acyarı ae [ire]
Ae neanocroAoc c[o]
oTap enewakıT gi [ni]
NTAT HHCMAIT ET
yes MN NeTaÄAHnT
ON neMeTHàa np+
HesTec AYgoFwnay
eAAT H2e CP eg
20 MMAC HT le]
Xepe nayıkn‘ eme[Aoc]
eTTAH0OTT erke o[Tn]
Terengemac ere[Tten]
AI HHAMEÄHC :
EWTMTAWEAI ET
MeTepa “pt
Tno[r]
sh ginAnpoc M[n]
neTenaAHv nT[ern]
eA nnocuMoc Mık
HOT + NTern[Ta]
Lea COHTY-
ag na nron[pn]
in [af nor eoAnls]
[eneun na[ov: 5
Mélanges asiatiques, T. X, p. 110.
Codex Borg. CXXVI (cf. Guidi, Frammenti 20).
10
15
80
SOMAIOC
RTà eos
Alnjacıoc
[nJa[soc]roAoc p[Aın]
noc
Acyune ae ıre
pe nanocToAoc co
OF9 e907H: HIEM
HTOOT NHEeRAETAT
WARE MH HEeTepHT
EeNEMHTHOGS MINOTTE:
Gic nCOTHP Ayoronoy
poor -
Re à HAT - ee
Xepe HACHHT na
ubapueoc - erke 0%
TeTH
ameÂer
eraäweoery [nlne
MHTHOG [un]norTe
[ut runrppo nu
IIHTE : Tenor
6e HER RÄNHPOC MH
METHEPHT- NTETH
P HROCMOC MMNTEHOOTC
HOTOM -
A TU NTepegme HAI HAT
at nas nipn
MH Adkor
EeNAMIHTE
(xxxım)]
Fr. 1. Rev. b.
Die Predigt und die
Reise des heiligen Apo-
stelsPhilippus; jenepre-
digte er in Phrygien. Im
Frieden Gottes. Amen.
Es geschah aber, als
die Apostel miteinander
auf dem Ölberge ver-
sammelt waren, dass sle
mit einander von der
Grösse Gottes sprachen;
siche, daerschien ihnen
der Heiland und sprach
zu ihnen:
Seid gegrüsst, meine
Genossen und geehrten
Glieder! Warum sitzet
ihr müssig da und pre-
diget nicht das Reich
Gottes?
Werfet jetzt
nun unter einander das
Loos und theilet die
Welt in zwölf Theile
und prediget in der-
selben.
Er gab ihnen den
Frieden und entfloh hin-
auf gen Himmel.
se
Mélanges asiatiques. T. X, p. 111.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
Die Acten des Philippus.
Cod. Borgianus CXXVI.
Desgleichen
die Predigt des heiligen
ApostelsPhilippus, wel-
che er predigte in Phry-
gien. Im Frieden Gottes.
Amen.
Es geschah aber, als
die Apostel auf dem Öl-
berge versammelt wa-
ren, dass sie mit ein-
ander von der Grösse
Gottes sprachen; siehe,
da erschien ihnen der
Heiland und sprach zu
ihnen:
Seid gegrüsst, meine
Brüder, meine Genossen
und Glieder! Warum
seid ihr müssig zu pre-
digen die Grösse Gottes
und das Himmelreich?
Werfet jetzt
nun unter einander das
Loos und theilet die
Welt in zwölf Theile.
Und als er ihnen das
gesagt hatte, gab er
ihnen den Frieden und
entfloh nach den himm-
lischen Regionen.
521
Malan, I. 1. pag. 66 ff.
The book of the
preaching of Philip, the
Apostle of our Lord
Jesus Christ, which he
held in the city of Assa-
kia, in the peace of God.
Amen.
And it came to pass,
when the Apostles were
assembled on the Mount
ofOlives, to talk among
themselves of the glory
of God, that the Lord
appeared untothem,and
said to them:
Peace be unto you,
My beloved ones! Why
abide ye here and do not
go forth into the world
to preach the gospel
of My Kingdom?
Now, there-
fore, cast ye lots among
yourselves, and divide
the world into twelve
parts, for you to preach
in them.
And saying this He
gave them His peace,
and went up into heaven
with great glory.
522 DR. 0. VON LEMM, [N. 8.1
Fragment 2.
Avers.
a. [nras] ae argı[lnAn] . 1 AT ATomAR
[poe MIn neraÂnas poc MI HETEPHT -
. [a ne]JnAnpoe s een | à NERÄHPOC 1 ER M
[piminoc - erpegra | priAmnoc erpeqgra
_ [wearly pi Tex uw 6 wyeoerw on
" [pa n)ppua. Teppnuisa -
Also] unekanmeks HTOY ae Mneganeker
[AAA] ayrong eg
onen. MINCE MI
[erpoc] : ze naïwT
[a nejtcap ovw eq
00. ÆHTÈR
[ne]rremaauss
[mu] noveer noveer .
[erey]xwpa : nor.
[Su njaiwr Mau:
[ne] mas era x wpa :
[A vw] HTEQK ATMA
Laws] mn nerañar
Le. HEXPC AJOT
[nap] ar
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[suze] nrernra
[weasıy] eremerAo
[us nre]rnkiTe
. [elan om] nes:
[Banın ta ]o M
Melanges asiatiques. T. X, p. 113.
10
‘20
SAAA AUNDT HTETHOT :
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À TU STTWOTH ATMO
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HO ePOOT MIIECMOT
HOTPOME HOTOEH
Lex aq
nav - Te pale na .
MASHTHC :
EN LH)
IUTE HTETHTA
Weoerg HTMHTPO
ME THPC -
Sanın Fa M
(xxxım)]
Fr. 2. Av. a.
Sie warfen nun unter
einander das Loos; das
Loos fiel auf Philippus,
dass er predigen sollte
im Lande Phrygien.
Und er säumte nicht,
sondern stand auf.....
und sprach zu Petrus:
«Mein Vater! Unser Hei-
land hat verkündet in-
dem er sprach: «Du bist
derjenige, welcher mit
einem jeden in sein Land
gehn wird». So komm
nun jetzt, mein Vater,
mit mir in mein Land.
Und also giengen sie
mit einander.
erschien ihnen
Christus und sprach:
Seid gegrüsst, meine
gechrten Jünger . ...,
jetzt nun kämpfet und
prediget der Menschheit
und erlöset sie von dem
Feinde.
Amen sage ich
Melanges asiatiques. T. X, p. 118.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTBLACTEN.
Und sie warfen das
Loos unter einander; das
Loos fiel auf Philippus,
dass er predigen sollte
in Phrygien.
Er aber säumte nicht,
sondern machte sich so-
gleich auf. Er sprach zu
Petrus: «Mein Herr und
Vater! Unser Heiland
hat verkündet, dass du
derjenige seist, welcher
einen jeden von uns an
seinen Ort führen wird.
So komm nun jetzt, mein
Vater mit mir, bis dass
du mich bringest an mei-
nen Ort in Frieden.
Und sie standen auf
und gingen mit einan-
der, die zweie. Während
sie noch auf der Strasse
giengen, erschien ihnen
der Herr in der Gestalt
eines lichtglänzenden
Mannes und sprach zu
ihnen:
_ Frenet euch, meine
Jünger,
kämpfet und
prediget der ganzen
Menschheit.
Amen sage ich
523
Then they cast lots,
and the lot fell unto
Philip to (pag. 67) go to
the city of Assakia;
and he delayed not to
go; but he said unto
Peter: Behold God has
commanded thee to go
with every one of us to
his own city, and I wish
thou wouldest come with
me to my country. And
Peter said: Well.
Then they both start-
ed together; and our
Lord appeared again to
them, and said to them:
Peace be unto you,
My chosen disciples; go
ye and preach unto eve-
ry creature, so that they
may be saved from the
hand of Satan.
Verily, I say
524
Fragment 2.
Avers.
b. [mac nurn - 2e ....]
OTAN eMT[an eus
HHTN HTe[TH ........ ]
gew enerng[ice THAoT -]
“ Her re nréeqy[æ aa]
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anor egAnı e[neunx]
OTI - NTAT Te ar[maaıyı]
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Ture nerpoc alkı]
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 114.
DR. 0. VON LENM,
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eine Ruhe wird euch
sein... und ihr werdet
befreit sein von : allen
euren Leiden.»
Und als er ihnen das
gesagt hatte, gab er
ihnen den Frieden und
entfloh hinauf gen 1lim-
mel. Sie giengen nun in
der Kraft Christi und
Petrus stärkte den Phi-
lippus, bis er seinen
Dienst vollendet hatte.
Es geschah aber, als
die Apostel sich der
Stadt genähert hatten,
dass ihnen ein Mann mit
einem Wahrsagergeiste
entgegen kam. Er schrie
und sprach: «O, ihr Apo-
stel Christi! Ich werde
euch in die Stadt nicht
hineingehn lassen».
Da salı Petrus, dass
es ein Wahrsagergeist
wäre, welcher mit ihm
war und sofort
mn nn m
Mélanges asiatiques. T. X, p. 116:
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTRLACTEN.
euch: «Denn obgleich
ihr leiden werdet mit
den Menschen, bis sie
erlöst werden, so sage
Ich euch, dass euch eine
Ruhe sein wird in Mei-
nem Reiche.»
Sie giengen nun in der
Kraft des Herrn; und
Petrus stärkte den Phi-
lippus, bis er seinen
Dienst vollendet hatte.
Als der Apostel sich
der Stadt genähert hatte,
kam ihm ein Mann mit
einem Wahrsagergeiste
entgegen. Er schrie und
sprach: «O, ihr Apostel
Christi! Ich werde euch
in die Stadt nicht hinein-
gehn lassen».
Petrus aber wusste,
dass es ein Wahrsager-
geist wäre, welcher mit
ihm war. Sofort
625
unto you, ye shall have
to toil and to struggle
with this world until ye
pass from darkness into
light. Verily, I say unto
you, that great shall be
your reward in heaven,
when ye enter into your
rest, and forget all your
SOTTOWS. |
And as He spake these
thingsuntothem Hegave
them His peace, and went
upinto heaven withgreat
glory. Then their hearts
were comforted,and they
went on their way.
And, as they drew
nigh unto thecity, aman
met them who had an
unclean spirit, and who
cried,saying : O Apostles
of Christ, I will not let
you come intothecity.
And Peter, knowing
that he was possessed
with a devil, rebuked
him; and forthwith
ps
85
526
a.
[aus min nestıoe
[T0Aoc] awnoT epor
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Molangos asiatiques. T. X, p. 110.
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DR. 0. VON LEMM,
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[unjpome [22e] ade
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(xxxmm)]
Fr. 2. Rev. a.
sensor er gieng
mit den Aposteln und sie
eilten in die Stadt; es
war aber eine grosse
Säule in dem Thore der
Stadt, welche sehr hoch
war.
Und zur Stunde, als
sie das Thor der Stadt
erreichten, flehte Petrus
.....und sprach: «Im
Namen Jesu Christi!
Senke dich herab mit
der Säule, welche auf
dir ist, bis du uns er-
reichest !»
Und zu derselben
Stunde senkte sich das
Thor und auch die Säule
auf ihr, bis dass das Ka-
pitäl der Säule mit der
Erde gleich (wörtlich
zusammen) war.
Und Petrus sprach zu
dem Mann: «Besteige
diese Säule und sprich
Mélanges aniatiqnes. T. X, p. 117.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
als er mit ilım sprach,
kam er aus ihm heraus.
Und es wurde ruhig der
Mann und gieng mit den
Aposteln und sie eilten
in die Stadt. Es war eine
grosse Säule in dem
Thore der Stadt.
Und zur Stunde, alssie
sich demselben näher-
ten, sprach Petrus: «Im
Namen Jesu Christi !
Lass diese Säule sich
herabsenken»,
Zur Stunde senkte
sich dieselbe herab und
berührte die Erde.
Und Petrussprach zu
dem Manne: «Besteige
diese Säule!»
527
Satan came out of him.
And that man lived and
followed the Apostles
and came to where was
the city. It was on the
top of a very high pillar;
and when Peter came to
the gates of that city he
prayed unto the Lord,
and said: I beseech Thee,
O my Lord Jesus Christ,
that this gate and this
high pillar be lowered
to the earth until my
hands reach it.
He then laid hold on
the gate and at the same
moment came down to
the earth both the gate,
the pillar, and all they
were on it, until they
appeared level with the
ground.
Then Peter spoke unto
the man out of whom he
hadcastanuncleanspirit,
and commanded him to
climb upon the top of
the pillar, and
35*
528
Fragment 2.
Revers.
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 118.
DR. 0. VON LEMM,
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Has ne egew MMOOT
KOT HPOME - AT
au OA ot on
oposhar
ermahne die Einwöhner
der Stadt. Der Mann
bestieg nun die Säule,
welche auf das Thor ge-
setzt war und Petrus
sprach zur Säule:
bis zu mir.
Erhebe dich und steh
wiederum still» Und zur
Stunde erhob sich das
Thor mit der Säule da-
rauf,
Der
Mann schrie nun mit
lauter Stimme nnd
sprach:
«O, ihr Männer der
Stadt Phrygien! Kom-
met alle an diesen Ort
zu den Aposteln Christi,
damit sie für euch flehen
und cuch eure Sünden
vergeben».
Und als der Mann das
sprach, erscholl Donner sprach, erscholl Donner
mme mm mm RL en eee en nenn
Molnngos asiatiques. T. X, p. 119.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
Und er bestieg
dieselbe. Als er sie be-
stiegen hatte, sprach
Petrus: «Im Namen Jesu
Christi, meines Herrn
und Meisters! Lass diese
Säule sich erheben und
dass sie stehe an ihrem
alten Orte». Und es ge-
schah also.
Es sprach
Petrus zu dem Manne:
«Sprich, was dir der
Geist eingeben wird».
Der Mann schrie nun
mit lauter Stimine:
«O, ihr Männer der
Stadt l’hrygien! Kom-
met an diesen Ort zu den
Aposteln des Herrn, da-
mit sie für euch flehen
und euch eure Sünden
vergeben».
Und als der Mann das
529
to utter curses against
the inhabitants of the
city.
(pag. 68). That man
then got upon the top
of the pillar. And Peter
said to the pillar: In
the name of our Lord
stand up high as before.
And the
man cried with a loud
voice, and said to those
that were in the city:
Come turn ye unto
the Apostle of our Lord
Jesus Christ that he ınay
bless you.
And when he had
said this there was an
earthquake,
530
Fragment 3.
Avers.
8. ....[MIn nese%ur
....ATyTaATeN ıı
[ee] mom: avior
[eneleir enenaTa
[usjon - arw ade ne
[pwelse re owun
[uyn] noaoëT 91 co:
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DR. 0. VON LEMX,
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Molanges asiatiques. T. X, p. 120.
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HA HAH KO HA
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(xxxXIn)|
Fr. 3 Av. a.
.... mit einander
... die Leute wurden
unruhig und flohen in
die Höhlen und die
so dass eine Menge von
Männern und Weibern
....Aurch die... . des
Donners
..... Der Mann schrie
nun: «Kommet alle an
diesen Ort!»
Und es kamen alle
Leute der Stadt und
flehten zu den Aposteln
mit ausgestreckten Hän-
den; sie beteten zu Gott;
sie warfen sich vor die
Apostel und weinten,
indem sie sprachen:
«Wir bitten euch, ihr
Männer Gottes
cesse sie spra-
chen: «Wahrer Gott, den
wir nicht kennen.....
ern vergieb uns
unsere Sünden!»
Mélanges asiatiquos. T. X, p. 121.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
und sie wurden unruhig
undeineMengevonihnen
floh in die Höhlen. Und
die Blitze erschreckten
sie sehr und erreichten
sie in den Höhlen,
so dass die Weiber, wel-
che schwanger waren,
niederkamen wegen des
Schreckens des Donners.
Die Leute der Stadt
schrieen:
«Wir bitten euch, ihr
Männer Gottes,
erbarmt euch unser, ver-
gebt uns unsere Sünden!
531
and great trembling
came upon all: so that
the men of the city en-
tered into caves and
holes, and went upon
islands, whither light-
ning drove them;
and they died, many
men and women, from
the uproar and the earth-
quake.
Then there came unto
him many people gather-
ed together, and they
looked upon the Apostles
spreading their hands in
prayer. And they also
prayed, and fell and wor-
shipped them, weeping,
and saying unto them:
O, servants of God,
we entreat you to pray
for us.
532
DR. 0. VON LENM,
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 122.
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2e HTOR
[N. 8. 1
(xxxm)]
diese grosse Verwirrung
welche bei uns ist.»
Da flehten die Apostel
zum Herrn
Und die Blitze und der
Donner liessen nach und
der Mann schwieg und
hörte auf zu sprechen ....
Und das Thor senkte
sich und der Mann kam
herunter.
Als die Menge sah,
dass der Mann schwieg
und die Verwirrung
nachliess, glaubte die
Menge, dass der Mann
ein Gott sei. Und die
Menge schrie mit lauter
Stimme: «Bist du
Mélanges asiatiques. T. X, p. 193.
KOPTISOHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
Sagt uns, was wir
thun sollen, um errettet
zu werden, nehmt nur
den Schrecken fort».
Die Apostel flehten
zum Herrn.
Und die Verwirrung
und der Donner liessen
nach. Der Mann schwieg
und hörte auf zu spre-
chen.
Und die Säule senkte
sich herunter und der
Mann stieg herab.
Als sie sahen, dass
der Mann schwieg und
die Blitze und der Don-
ner nachliessen, glaub-
ten sie, dass der Mann
ein Gott sei. Sie riefen
zu ihm: «Bist du
633
Tell us what ye desire,
and what sacrifice you
wish us to offer unto
you, and we will do it.
Pray intercede for us,
and remove from us this
terror and consterna-
tion.
Then the Apostles
prayed unto the Lord
for them; and the earth-
quake ceased,
and the lightning dis-
appeared; that man also
ceased to speak,
and the gate, together
with the pillar and them
that were on it, went
back to where it was
and remained there. And
that man came dawn
from it;
and when the people as-
sembled and saw that
when that man remained
silent the tumult ceased,
they said of him: He is
a god; and they cried
with a loud voice, and
said: Art thou
DE. 0. VOS LENS,
Fragment 3.
Revers.
a. [ne nenort er]
[nrTencaorn] mag
[en - arw]) aqou char
[xe]- nanan en
[orinort aAda
[anlan orAoms
[ntejrnon nra
[njenna “pt
w[ajn noutk
[eBaÀ HsTaaTor nne
AHOCTOÀ 0€ - Tu)
NTHNOT HTETH
HOT Ja HeaROC
[rloAoc unexmelq n[es ze]
[nelrornezxag num
[aJArııq - nraÂere
[rinnenag
[nfrar Te arıon
[or] awnotr wadar
[ar]|rıme nersix
[u]n nesepat -
[ere muac zen
[rar own reis
[erjerenaı noat
[T Juve $nAmnoc
[aßjyexı un neAw
[ub eqgme muac
[2æe-] arernuauus:
[nnbrn - nrar Te
[mu]nexer naq ze
[ahıynıys nosßıs
[nlrag Te anexeq
[nas - ze] nor...
Meanges asiatiques. T. I, p. 134.
10
15
25
[= 8.1
He HNOTTE er
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an - Îlexe nupume nar
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noTTe an -aAAa
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Ilerepe nanoctoAoc
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RAY Taperemang -
AFS ATRAOT Wa HANOCTOAOC-
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Nlexe piAinnoc
nar
2e ATEeTnujnuje
HUM -
llexar xe
ANUJMUE norAnd -
Ilex aq
HAT Re AUOT
(xxxum)]
Fr. 3. Dev. a.
der Gott, den wir nicht
kennen?» Und er schrie:
«Ich bin kein Gott, son-
dern ein Mensch wie ihr,
in dem der Geist Gottes
sich befindet durch die
Vermittelung der Apo-
stel. Erhebet euch und
eilet zu den Aposteln !»
Und er sprach zu ihnen:
«Was sie euch sagen
werden, das thut und ihr
werdet leben.»
Sie erhoben sich und
eilten zu ihnen; sie
küssten ihre Hände und
ihre Füsse und sprachen:
«Wer seid ihr denn, ihr
Schrecklichen ?»
Da sprach Philippus
mit den Männern und
sagte: «Wem dicnet ihr?»
Sie sagten zu ihm: «Wir
dienen einem Sperber».
Er aber sprach zu ihnen:
«Bilet.....
KOPTISCHE APOKRYPHB APOBTELACTEN.
der Gott den wir nicht
kennen. Und der Mann
sprach zu ihnen: «Ich
bin kein Gott, sondern
ein Mensch wie ihr, in
dem der Geist Gottes
spricht.
Was die Apostel euch
sagen werden, das beeilt
euch zu thun, damit ihr
lebet.»
Und sie flohen zu den
Aposteln und küssten
ihre Füsse.
Spricht Philippus zu
ihnen:
«Wem dienet ihr?» Sie
sprachen: «Wir dienen
einem Sperber». Er
sprach zu ihnen: «Bilet
ee nn dr M an CR Ver ne ae
Mélangos asintiques. T. X, p. 125.
535
God himself or not?
that we may know who
thou art. Then the man
said to them: I am no
god, but I am a man
like unto yourselves,
through whose mouth
the Spirit of God spake
the commands of the
holy Apostles. But come
ye to Saint Peter and to
SaintPhilip,andhearken
to all they shall tell you,
and give you to know,
that ye may be saved.
Then they arose and
came to the Apostles,
and said (pag. 69) to
them: Whence are ye?
And Philip said to them:
Which among the gods
do ye serve?
Then they answered:
We serve a statue of
gold. And Philipp said:
536 DR. 0. VON LEMM,
Fragment 3.
Revers.
b. arıraq nus enermle]
ATFNOT ON OTRUA [EM |
HæÆe MIMHHUSI :
ATINI MAY ııng eh[no’e]
nova - ATOU char
er uw MMAC: le 1]
[arten] uneAran(e M]
pt nTrnnoïic ner]
neTquier eAan oln]
of sıßı - enmarn
[eAewyalı osnoAınoc
[rJuovn gan
[nes] nernecor
+... + HTATEN
MNEÂMUOOM . . .
[tefrusie ar...
.... an Mate n[iMH]
[Hjun era n[mac]
[je nanove Tne[w]
TM tea neanoc[To]
Aoc neTpoc Mn [hi]
Asnnoe - e907à
eAarı nleri]nor[T:|
MMOTHR 6012 [ne]
emerner Merc[oTM|]
giTenes -
aveint|s|
May enMe nnearoc|
TO oc - Hna[ruaa]
us ne nee n[eov]
eek nea nealnocro]
Aoc evuu e|kaX er]
0) MM[ac ie -]
[A rernt]osc[e erern]
Mélanges asiatiques. T. X, p. 196.
10
15
2
30
ANIME MMOY erieıma
À TU) ATHUT
aveine MMOY :
‘1:
à HMHHILJE OU CROÀ
Re
MHOD MNPTARE 1
HOTTEe HTHNONIC :
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HTOOT HETHOTHM
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Ilexe nerpoc Mn PiAinnoc :
Re NEINOTTE HAI
HNMOTHT NOI ne
METHAT ehoA-0TAe METCUTM :
OVRAE METIWOAM - OPA €
METRE - OTAE METMOOUE -
Heymoowe ae
HCà HàANOCTOA OC
O1 neosunß -
er
20 MMOC : Xe
aTeTnyice eTeTn
(xxx) ]
Fr. 3. Rev. b.
und bringet ihn mir an
diesen Ort.» Und in Eile
gieng die Menge und sie
brachten ihm den gold-
nen Sperber.
Und sie schrieen und
sprachen: «Zerstüret
nicht den Gott unserer
Stadt; dieser ist es der
unshilft in allen Dingen.
Wenn ein Krieg über
uns ausbricht, so ist’s cr,
welcher [uns] errettet
ss. ihr verunreini-
get nicht .... eure
Hände!» Und es [rief]
die Menge und sprach:
«Es ist gut, dass wir
den Aposteln Petrus und
Philippus mehr als euch
gehorcht haben.
Eure Götter sind von
Menschenhand gefertigt,
wesshalb sie weder
sehen, noch hören».
Sie brachten
ihn an den Ort der Apo-
stel. Und die Priester
giengen hinter den Apo-
steln her und schrieen
und sprachen: «Ihr ge-
bet euch Mühe zu ver-
führen
KOPTISCHE APOKRYPHE APOBTELACTEN.
bringet ihn an diesen
Ort.» Und sie giengen
und brachten ihn.
Und die Menge schrie:
«Zerstüret nicht die Göt-
ter unserer Stadt!»
Petrus und Philippus
sprachen: «Diese Götter
sind von Menschenhand
gefertigte (Bilder); sie
sehen-nicht, noch hören
sie, noch riechen sie,
noch reden sie, noch
gehen sie».
Die Priester
giengen hinter den Apo-
steln und sprachen: «Ihr
gebet euch Mühe zu ver-
führen
ee Amann un An mm una ne nn ea née mem a nn m nn a ee
Mélanges asiatiques. T. X, p. 192.
537
Go and bring it me.
Then they did as Philip
commanded them. But
the priests cried: De-
stroy ye not the gods of
the city, that’ deliver
you at all times; for
when war arises against
you ye shall cry unto
them and they will help
you. |
But the men of the
city said unto them: We
prefer to hearken to the
voice of the Disciples
than to the voice of these
your gods, the work of
men’s hands, that neither
hear, nor see, nor smell,
nor walk. |
Then when the priests
cametothe Apostles they
_cried, and said to them:
Ye deceive
238 DE. 9. V65 LENS [x =. ı
Pragmmi 4.
Ares.
COPA MEHRT uMEpUWME nremoäsc-
4, 222222... THMACUIA 1 on nerugbare MMATIA -
so. MM0QŸ Eor MANTOVHICTETE €OT
[sort-| me sort HOTTE
nor: MTANE . ...
0001: RE ATOM 5
[Aupoe]| ze nÂaroe
croco 8 emah- av
Injra sapıa ænaf| NTA mapıa AIO : à FU)
,* AT macrlıcor.... ATIHTENON MACTITOT MMOY-
(njort - se wa ..... 10
1 ,,, NOTŸ MOT 69...
‚‚nojrßb gs gern...
vor BEAASME HO) , ...
vo. NOTEN ,,,..
or WITAM ...... 15
sr... 98 TUTE
[bAifnuoc aquoro biAsınnoc ae AGMOTY
[ehaA] pn Tram ene ehoA ou ne
[unula erToreei ma erovask
[mMnemey] me acc 20 net ay te AM OC
jtle enerpe je ENeTpe OT O
[os Aw] nu HRWOT RU
[re eneor/eei Te eMeOTHH -
Mi Me ...: RE HTOOT HET
MU CAPM « . . . 25 COPM MIOHT
or |nter] | MnARNge - Hrer
\no]® ereumer acı HOT à HRWOT NWTE
[uæe 0[ runs un [AM] —— —_—_———
lepAsıı] ar Mum[Ta ha] Finis.
|umoralır hr : 30
vorn. Re tioTeeh
+ yyvaı = m. 22 © ORDER De = RSR D © nn
Molaugus asiatiques. T. X, p I
(xxun)]
Fr. 4. Av. a.
sou... eure Zauberei
ren glauben an
einen Gott; ein Gott
. se 0 + 8 8 Tr re + + so
... Pilatus
sense ihn und
den Maria gebar
... sie geisselten . ..
Gott. Siehe .......
....GoldundSilber. .
. . die Menschen. . .
Philippus von der Kraft
des Heiligen Geistes er-
füllt und sprach: «Mein
Herr Jesus! Lass eine
Flamme dic Priester um-
zingeln».
jener Stunde kam eine
Feuerwolke über sie an-
gesichts aller Leute
KOPTISCHE APOKRYPIE APOSTELACTEN.
das Herz
der Leute dieser Stadt
durch eure Zauber-
künste, bis sie an einen
Gott glauben,
den Maria gebar und
den ein Landpfleger gei-
sselte.»
Philippus ward vom
Heiligen Geiste erfüllt
und sprach: Mein Herr
Jesus! Lass eine Feuer-
flamme die Priester um-
geben, denn sie ver-
führen das Herz der
Menge!» Sofort. umgab
sie die Flamme
Mélanges asiatiques. T. X, p. 129.
539
men by your enchant-
ments; by saying that
God is a man born of
the Virgin Mary, and
that Pilate put him to
death. Was there ever
a god that was smitten
or that died? On the
other hand, the gold and
thesilver we fashion, and
call gods, suffer not. -
Then Philip was en-
dowed with the power
of the Holy Ghost that
came upon him, and
was strengthened in His
might, and entreated
God, saying : O God send
fire from heaven to de-
vour these priests that
lead astray the people,
that the people may be-
lieve in Thy name; and
at that same moment fire
came down [from heav-
en] and consumed them;
540
HOMA .
$iAmnoc Te u[nexeq]
nn ze erhe or|[n Te]
Tauoı AA [on Tno]
[Ase] Te - un une]
ec me eAewan o|Tno]
[AjJemoc Toorn p[smon]
mnneow eyAnı [orke]
nun waqn
[elgue man mn Tn[no]
Aie TAe - nor ou
MANCINEOMETH
[n]Jos eye nrarın...
... . Meoreeh
nerpoc Te agbı M[n]
[&jns muork - aßcer[k]
[e]Jgorn enenAwm
one. teoreeh egora
ss... eqæu MM|ae]
[ze ew]ze ornort [ne]
mMañeynegmeq
„2... MTEAC .......
Toy e ...
sos. ner «M
eTRe TH ........
TICTIC Ma]
char
eh. muac [ee]
« neanocToAo!c e]
rex pe pt MALee:]
Mniefatan(izse mas]
Mélanges asiatiques. T. X, p. 120.
5
10
15
80
BR. 0. VON LENN,
Philippus sprach zu
ihnen: «Warum schreiet
ihr durch die ganze Stadt.
Sagt sie nicht: wenn ein
Kriegüberunsausbräche,
würden wir zu unserem
Gotte schreien und er
würde uns und unsere
ganze Stadt erretten?
Jetzt nun, möge er euch
retten, wenn ihr den Prie-
stern [glaubt.»]
Petrus nalım den gold-
nen Sperber und schleu-
derte ihn in die Flamme.
. . - die Priester. . ...
... und sprach: «Wenn
er ein Gott ist, möge er
sich retten
Wegen ...........
der Glaube — und schrie
und sprach also:
«O ihr Jünger Christi,
des wahren Gottes, quä-
let [mich] nicht
[ns ı
but not the people, that
wept over them.
Then Philip said to
them: Why weep ye and
lament. Because they
said to you: When there
arises war against you
ye will cry unto your
gods to deliver you?
And Peter also took
the image of gold, and
then cried, and made it
say:
Ö ye disciples of Christ,
be not angry with me;
(xxx) |
Fragment 4.
Revers.
no . aan
Dornen ebaA 9m ni
.. T ne MIAGMI
... HCI MMAI HOTR
. + HECMAT nnosß[no]
... ATAN HETE A TIC
[m]uar nooën eneA
sınnt:ercandı eFno
.. .gaAar IM AT
SHOT nonTeq{nov:]
Wa TOALWOeU NH
{s] unercnag war
(wor mis nornAÂn
[Aro area beA nina
[e es] mMuac nur me
[aïnan neroswn ar[o]
[nerjeo nos sn [m]
[nsjorwm os[ae unıco]
[or]ae uruwj[emı er]
[A]Joms aem......
... à: MANAR en
... wjeı aAda...
[mmer ..... ] erpiusez(r]
{erh]e Tfriclrie miero
[ps A Jeror - mer Te
[lege jo MMaT more n
fans] enork . ......
Mélanges asiatiques. T, X, p. 181.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
. die Gestalt eines
Sperbers
esse. sie
stellen mich in einen
Tempel hinein ......
nen 2... Sie
schlachten Thiere, sie be-
sprengen mich mit ihrem
Blute, sie mischen (es)
mir mit Wein.
Und sie verführen die
Menge und sprechen zu
ihnen: Ich bin einer der
isst und trinkt; jetzt nun,
weder esse ich, noch trin-
ke ich, noch rede ich mit
einem Menschen .....
ich bin nicht
ich (die Kraft) zu spre-
chen von dem Glauben
der Anwesenden.» Als der
goldene Sperber dies ge-
sprochen hatte
541
I will ask you to have
pity on me, that am
among you sinful men;
for those men made me
of things of the earth,
and have thus placed me
by their arts that they
should see me, and install
me in a temple, and sacri-
fice animals to me, and
mingle their blood with
wine, and deceive the
people. And they fancy
(pag. 70) that I eat and
drink, but I eat and drink
not, and converse with no
one; but the power that
dwells in you is the same
that will enable me to
converse with this people,
and will reprove them
because their works are
evil.
And when it had spok-
en with them '
36
542
Fragment 4.
Revers.
b. [arous ehad] 1
[nen] nmiMmeT2e cs , |
[ps ze Tnjcanc emarı
[eo neano]erooc en
ess. nreımAntc[n 5
..... ReMèAN
NT riserer[nné]
2 aad men T[rees]
[unjeme iAinoc“
[>e]e eye arern 10
[ro] newrn [n]
[rer InnAann
[a]2æeie ze Tnnie
[res] an pt m
[meei] made Tesn[ni] 16
[nnwo]oT nor pa
| ‚an nr[ar ae]
(as]neresi IM
[njour Tupg - asl[o]
[nrer]nor Acnor 20
[non Ton]ni nrAvm
alc...... Je mar - ealc]
rain
ot owefre] 26
HTE HEATIOCTOAOC
EAÄWIUPH NM......
.. à aN-HA[T....
EHENEÄATIOCTOAOC
erpostanma [ne] 30
Tosmeeh-ım......
Mañent
— nn + ne ue
Mélanges asiatiques. T. X, p. 182.
DR. 0. VON LENM,
es riefen die Macht-
haber : «Wir bitten
- euch, o ihr Apostel
. eee 2 0 0 0 ee 882 0 0
Und wasihr uns sagen
- werdet, werdenwirthun».
Da sprach Philippus:
«Wenn ihr euren Irrthum
verlassen habt,sosprecht:
Wir glauben an Dich, o
wahrer Gott! Möge diese
Feuerwolke von uns
weichen.»
Sie glaubten
nunvonganzer Seele. Und
sofort wich die Feuer-
wolke und wurde wie ein
Wassersee .. 2.2.2.2...
Milch,
die Apostel sich verwun-
derten.
Sie [kamen]
auch zu den Aposteln,
damit sie mittheilten, was
sie thun sollten.
Philippus sprach:
«Lasst uns [bauen] eine
Kirche...,.........
[n. 8. 7
and then kept silence,
the priests entreated the
Apostles to get them out
of the fire;
and they did all that the
Apostles had commanded
them to da.
Then Philip said to
them: When you have
given up your gods, and
then say: We believe in
the Lord Jesus Christ,
and we also speak in His
name, this cloud of fire
will rise away from you.
Then they went on crying
and saying: We believe
in God the Father, and
in His Word Christ Jesus,
and in the Holy Ghost;
and at that moment the
fire rose up and became
like a sea of water, agree-
able and white as milk,
so that they all marvel-
led. And the people as-
sembled entreated the
Apostles to give them
precepts of the right
faith.
AndPhilipcommanded
them to build a church
(xxxım)]
Fragment 5.
Avers.
aa. ..... MENT... ... 1
.INHAT NM. .....
[>.]e ner ne neue]
[nrlaviucerer[e]
[nosır)g pıA[ım] 5.
[noc Tle aßnedere
[erper]eins nn [nt]
[oA] nrop [ad]
[wjoAap..cnn[t]
[tTjen[nAecıa 2»
Fehlen mehrere Zeilen
B..... MMAE. 0... 1
AE HO. ......
MET AHMEO
. SUONE. .
. HOT ne[me] 5
[uneA ]nns Mnot
[on] Toro ae acı e
[nec#h]r nee TnnA[s]
[mit] nrecrnAA[oc er]
[polawe-acwo... 10
‚SAMOTA....
. MHOTCH[TEM
. TH THCOT . . .
roses biin[noc] 16
ern ATGEeN...
Molangos ssiatiques. T. X, p. 138.
KOPTISOHE APOKRYPBE APOSTELACTEN.
dies ist der Ort an wel-
chem sie glaubten.»
Philippus befahl nun
sich einen Korb mit Stroh
zu bringen und er grenzte
den Plan der Kirche ab
543
in the very place in which
they had believed. And
they a greed to all he said.
.,1! sr
And : he: commanded
. that they should bring
him straw, and he weigh-
ed some for the found-
ation of the church, and
he commanded ‘them to
_ digthe foundation, and he
foundedit. And when they
. 4 02 08 2 4 8 + 8 + ee 5 % ee oo
. 6 4 0e ee + 0e oe
8 4 0 5 0 ee + e 9 0e + « ee ee
en gehe an den Ort
des Tempels des Herrn.
das Thor mit der Säule
darauf............
had done and finished all
“he commanded them to
do, hé came td the'gates
of the city, and mounted
the pillar, and said: In
the name of our Lord I
command thee that thou
“remove from this place
"as far as to the Church,
which is called by the
“name of God.
Und sofort senkte sich '
And at that same hour
the gate fell, and the pill-
ar that stood up came
down. And the people
‘ assembled removed as far
as the place where [the
church] was being built;
where they heard no noise
neither saw any dust.
86*
b.a. en ...... eo... 1
eg : MN Ne . . . . .
‚ „TSRHOTT
. „os nceeAp[uk
ss ecan ...,
soso. HIT ,...
.. THÄOT ,.,.
OT cos
. . fea[nocroAoc. .
_... TYAN
... Aoıt NAPX Jon]
HTHOÂIC + esos[par]
MAT - egAnı ex[e]
nsennnwle......
€ nnot SH[C neXpe w] 10
on neppar(ie nor]
an mr agi y[aAar]
Mnexey "nov [2e]
Xepe nerpoc mn [pıAım]
[noc] neanocroA[oec er] 15
TAHOTT NTATH . . .,.
enmn[nlue à .....
MEeTartaı Tırov [SH]
NOT MATH wa[AaT]
nreritncho [MMaT] 20
PH HETHWERIE. 0...
Mélanges asiatiques. T. X, p. 194.
DR. 0. VON LENM,
9 9 ee 0 0 % + ee ee + ee ee 6 0e © ee
9. 0e 9 0e © + 0 6 ee ee ee ee © + ee
. 8 2 2 se 0e 0 0e 0 © e © ee + © po
. 9 06 0 0 9 + © 6 ee ee ee © + ee ee
es alle ..,....
der Stadt; sie freuten
sich über die Menge
nn. unser Herr Jesus
Christus ist zum Siegel
für Jedermann geworden
und Er kam zu ihnen und
sprach zu ihnen:
«Seid gegrüsst, Petrus
und Philippus, ihr ge-
ehrten Apostel! Ihr...
die Menge... ......
Busse tlıun. Jetzt nun,
gehet zu ihnen und unter-
weiset sie in euren Wor-
112) 1 .
[n. 8.1
And the king said to the
assembly: There is no god
but the God of Peter and
ofPhilip, Apostlesof God.
Then Philip turned
round and said to them:
Behold I have not delayed
tobuild youachurchanda
house (pag. 71) of God; I
now wish that ye gather
into it maidens to carry
water, and elderly men,
and young men, and all
the men of the city, for
every one to do what he
can for the house of God;
and ofall assembled there
not one refused to do as
he told them.
Andthe Apostlesdwelt
with Karou, the judge of
the city, rejoicing at the
many people assembled
that had so soon turned
to the faith.
Afterthisour Lord ap-
peared unto them in the
form of a man, bright
with light, who said to
them: Peace be unto you,
My blessed Apostles. Be-
hold, I have seen the faith
of the inhabitants of this
city; why remain ye in it?
Go ye forth, and teach
the World of Life.
(xxxım)]
Fragment 5.
Revers.
A&....... 1 eTÉITY 1
0.0. WONI NETH
[ron]pann eceiyo
[ru] nemern n 4
Fehlen mehrere Zeilen.
[abnor egAjnı en
[eun]nosi Tore 6
[njerpoe un p[rAs]
[nnpce à nerga or
[ass gm norant nt
[rue nwrañorwnao
[A las nrar Te 10
BA HHEM,. ....
... HT EATNEITOT
[pa] nerepnt nrar
[re] avrornal[cor av]
[ns] nas norcËe ... 16
. . wolns]- esrazep
. MAT MIICA OTHOD
Mélangos asiatiques. T. X, p. 185.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
er entfloh gen Himmel.
Da glänzte das Angesicht
des Petrus und Philippus
in dem Glanze Jesu, wel-
cher ihnen erschienen
war. Sie
9 8 2 0e ee 8 + ee ee 0e + 0 ee ee €
nieder vor ihre Füsse.
. Sie hoben sie auf und
gaben ihnen eine Lehre
545
unto all that ask after Me.
I will be with you.
Having said this our
Lord went up into hea-
ven; and the face of
Peter and that of Philip
shone of the glory of the
Lord, who had appeared
unto them; and they re-
turned to the assembly.
And when the people
assembled saw their faces
shining they fell upon
the earth, and the Apost-
les blessed them, and ma-
de them rise, and taught
them and confirmed them
in the right truth
546
Fragment 5.
Revers.
ferpe]rcaguwo[r e]
[aa] nnenaßı ....
D. a.
soossss WHT ..
eHAT NET ....
.. a AÄHT eo
. oc m]aAsc[ra...
Fehlen mehrere Zeilen.
Bo... . ricjanc ema
Ten &w neanocT{o]
| Poe] aneXpe and]
höcanıce Mas [TI]
‚nnw ea eont[q]
_ nerpoc ae Mn fi]
[Asn]noc avenir
|... Meg abs eqaÀ eo
. MAT EHAGMI
. MS OM Ne...
ahnegrq ça [ner]
pat mean[ocroAoc]
ahtnı eAa[r.....
__ Mélanges asiatiques. T. X, p. 186.
1
ot
10
DR. 0. VON LENH,
zu verlassen die Sünden
. 9 ee 0 0 0e 0 Fr + © € ee »e
*. » ee ee 8 ©
ich bitte euch,
o ihr Apostel Christi,
quälet mich nicht; ich
gehe aus ihm hinaus.».
Petrus aber und Philip-
pus schalten ihn und er
kam heraus .
er warf sich zu den Füssen
der Apostel und küsste
of our Lord, and com-
manded them nottoreturn
to their former sins. And
the number of these tlıat
received the blessing of
the Apostles was increas-
ed; and they wondered at
the glory of God that
rested on tlıem, on tlıeir
. faces.
And there \ was a man
. from among the assembly
possessed with a devil,
who cried with a loud
voice saying:
I entreat you, O ye
disciples of Christ, that
ye torment me not; I will
come out ofthis man; and
. at once [the unclean spi-
rit]threw the man on the
ground and came out of
him. For Peter und Phil-
ip commanded that devil
to come out of tlıe man
and not to return into him
for ever. And the man
who was healed fell down
at the feet of the Apost-
les, in worship.
(xxxım)]
Fragment 6.
Avers.
peser THRA[H]
[poro]mnt neana
[son nirmuerepa
[stem ]nnovt:
[Hresnlor ermmer
|arwıy e]baA gen ont
[AS nelan: ertear M
pt] eraseAowk
[eneAnna]ns mbt eTe
[rennJAecıa Te gen
[os...] nosrwor nf
[rosT mit] ninao Hwe
ss... HTAT 2 1DAI
[Tscna]..Tno ebaX nt
ren ja: anov
ses I Her
ess ae 90 n[?
... ner ERA ı
sors... ne cunu[?
ss... OTHUT
10
15
. . [negTos] pa neorepıt
[tteanoc]roAoc avc
[ane er] zu mac
80
Mélanges asiatiques. T. X, p. 137.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
6e 2 2 9 9 8 6 D» 0e € = © © ee ee 0 €
2.0 0 0 0 0
. +. 8 0 008 + 8 8 ee 8 + Ve
. 2 0080 0 0 ee Ve Tr +» oe
. eo 0 8 0 + 0 8 ee Vf of} e
. 2 + 0 8 ee ee © + = 8 5 re
. . + ee + = ee 0e 0 0 + 0 = ee 0e e © 0
ua + 2 ee 2 0 ee 0 © ee © © + 0e oe
erbendieGtüterdeshimm-
lischen Reiches.»
Zujener Stundeschrie-
en sie mit lauter Stimme
und priesen Gott; sie ar-
beiteten am Tempel Got-
tes, welcher die Kirche
Christi ist in einer...
su... die Kleinen und
die Grossen . ..... und
sie liessen sich taufen ..
... Vergebung der Sün-
den ...............
sie warfen sich zu den
Füssen der Apostel und
flehten indem sie spra-
chen:.............
547
Then they gathered to-
gether the people at the
sea, in the water, and bap-
tized them in the name of
theFather,andof the(pag.
72) Son, and of the Holy
Ghost. And the Apostles
said unto the congre-
gation: Your sins are
forgiven you which you
‚committed unwittingly;
at once set about doing
good works that ye may
be thought meet for the
good Kingdom ofheaven,
that shall abide for ever.
Then they cried with
aloud voice and said: We
give thanks unto T'hee, O
Lord God of Peter and
Philip, for that Thou hast
pity and compassion on
us, and for that the Apost-
les have also consecrat-
ed a church, and that
the people have gatlıered
unto it with joy.
548
Fragment 6.
Avers.
b. yes MP .......
Ne prAm[noc wow]
OM Tutomor Mn re]
npobarnc : eA[e ne]
[rpoc] om Aw [e]
[daR eflar 9m nenna
NHeOTI MNeXpc
Acwyonı ae nteAor[nara]
cTeÂ1 om miennfecsa |
..ne]rpoc mn prAs
[nnoc]...... ATcan
rennen nÀ..
TELUS
ep. .............
OTETEN. .........
ara NTEO[H.......
...MMAT Qnne.....
MP ..........
[as] ATkı nrenpocph[w]
10
[pa] avcnnare mMual[r] 20
[rIHÂor ein ner
[ro31] ya nesnacn
[pao]sT mn negrau fi]
MICOMÈ MH nec]
nah e[nelxpc aruw
HATHHY THAOT
[on]n ovensez au(x]
[mix osnas nra
[raclracie - eszzı M[n]
[cojua Mn necn[aß]
[e]Jnencwp :
[Rcjwuns ae nT{[e]
Aovecnnare MMA[T]
gen Tenpochw[pa]
eroveek-ast nuls n]
TOHpHNH Mne[Xpe]
25
80
85
Mélanges asiatiques. T. X, p. 138.
DR. 0. VON LENN,
Philippus las in dem
Gesetze und den Prophe-
ten, und Petrus erklärte
ihnen durch den Geist den
Glauben an Christus.
Und esgeschah, als man
die Kirchen geschmückt
hatte, dass Petrus und
Philippus...........
...Gott ...........
Und sie brachten das
Opfer und liessen sie
theilnehmen, klein und
gross, Männer und Wei-
ber am Leibe und Blute
Christi und sie kamen
alle in Einsicht und gro-
sser Seelenruhe und em-
pfiengen den Leib und das
Blut unseres Erlösers.
Es geschah aber, als
man sie am heiligen Opfer
hatte theilnehmen lassen,
dass sie ihnen den Frieden
[Christi] gaben.
[x. 5.
Then Peter discoursed
with them of the law and
the prophets, while Phil-
ip explained it to then
through the Spirit of our
Lord. Then did the con-
gregation rejoice at the
knowledge of the faith,
and at being meet to re-
ceive the Holy Mysteries.
And tlıey made a pray-
er, they consecrated the
Mysteries, and concluded,
and gave untothe congre-
gation ofthe Body of our
Lord and of His precious
Blood; and they receiv-
ed it in truth; and the
Apostlesgavethem peace,
and abode with them six
days, teaching them the
commandments of God,
until they believed.
(xxxım)]
Fragment 6.
Revers.
G. ....... sucT jesı narı 1
[tt nesno]sı wa ner
HAT àTO à TNUOU]
[en nes norenieno
[njoc mi onnpec[nre] 5
[poc] avw nreon ar
[es eRaA gratos esp
. MMAT cha‘ TIAOT
sos. TPOTTAWEAIU
..HRe....... [nJoAsc 10
... HHMHH
— ___ sis
[wn]..... MT nexc
HMEFAM
MMAT
[Iles] eRaA gırarag ne] 15
[av] ng un necgoT
Imma]naeoe mit net
na eroveeh nAeq[T]
[ahıga a rw nomul[o]
[os leon nor ar 20
[uno frasus ıßı mwa
[ejeo mine[o palm.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 139.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN.
... «Sie glaubten, klein
und gross. Und man setzte
ihnen einen Bischof und
Priester ein und so schie-
den sie von ihnen .
seu. Gott Christus
die Zeichen
welchem Ehre zukommt
und Seinem guten Vater
und dem lebensschaffen-
den und wesensgleichen
Heiligen Geiste, jetzt
und in alle Zeit von
Ewigkeit zu Ewigkeit.
Amen.
549
They alsoset over them
bishops and presbyters
and deacons, and went
from them wondering at
the powers they had
wrought in the name of
our Lord Jesus Christ;
to whom belong glory and
honour, as untothe Father
and to the Holy Ghost,
now and henceforth, for
ever and ever. Amen, and
amen; so be it, so be it.
Forgive me, O my
brethren, if I have either
added or omitted any-
thing.
550 DR. 0. VON LEMM, [N. 8. 1
Erläuterungen.
Der interessanteste und merkwürdigste Abschnitt in den Acten des Phi-
lippus ist ohne Zweifel der darin enthaltene Bericht über das Wunder mit
" dem Thore und der Säule. Und zwar gewährt derselbe besonders nach zwei
Seiten hin ein Interesse, erstens, was speciell die Construction des Thores
mit der Säule und zweitens, was die Predigt des geheilten Dämonischen von
der Säule aus betrifft. In diesen beiden Theilen des Berichtes stecken, wie
ich glaube, alte Erinnerungen, die in der Tradition fortlebten.
Betrachten wir zunächst das Thor mit seiner Säule.
Als Lipsius vor mehreren Jahren sein Werk über die apokryphen Apo-
stelgeschichten schrieb, war der sahidische Text der Philippusacten nach dem
Cod. Borg. CXX V1 weder ediert noch übersetzt, sd dass damals die einzige
ihm zugängliche Quelle für die speciell aegyptisch-arabisch -aethiopische
u Fassung der Philippuslegende die englische Übersetzung der Gadla Hawariyät
war. Allein auf letztere gestützt, war es Lipsius nicht möglich gewesen, eine
klare Vorstellung darüber zu gewinnen, wo die Säule sich befand, — ob
dieselbe in der Nähe des Thores oder sonst wo anders am Thore angebracht
war, da der aethiopische Text, wenigstens so weit man nach der englischen
Übersetzung urtheilen kann, sich darüber sehr unklar ausdrückt). Heute,
wo uns der sahidische und der untersahidische Text der Philippusacten vor-
liegen, steht es über alle Zweifel erhaben fest, wie man sich das Verhältniss
der Säule zum Thore zu denken hat; die Säule befand sich, wie das die bei-
den Texte zu wiederholten Malen bezeugen, über dem Thore.
Bei dieser Beschreibung wurde ich unwillkürlich an das bekannte
Löwenthor von Mykenae erinnert, wo bekanntlich über dem Thore eine
grosse Säule zwischen zwei Löwen angebracht ist.
Da nun der Schauplatz unserer Erzählung Phrygien ist, so vermuthete
ich, dass müglicherweise auch in Phrygien ähnliche Denkinäler existiert
oder gar sich noch erhalten haben könnten und ich suchte darüber nachzu-
forschen. Als ich nun meine Vermuthung meinem lieben Freunde und Col-
legen Dr. Alexander Enmann mittheilte, fand ich dieselbe auf’s glänzendste
bestätigt, indem er mich auf eine Arbeit in dem «Journal of Hellenic Studies»
hinwies®); hier fand ich eine ganze Reihe von älınlichen Denkmälern aus
Phrygien, zum Theil von sehr roher Arbeit.
29) Lipsius, 1. l., II, 2-te Hälfte, pag. 47.
50) Ramsay, Studies in Asia Minor. 1. ]., Vol. 8, pag. 18 ff. u. Pl. XVII.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 140.
(axxım)] KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 551
Ich glaube daher nicht zu irren, wenn ich behaupte, dass dem Verfasser
der Acten ein derartiges Thor vorgeschwebt oder dass er aus der Volksüber-
lieferung, die an ein derartiges Denkmal anknüpfte, geschöpft habe.
Was nun das Wunder mit dem Thore und der Säule betrifft d. h. das
Versinken, Sichfortbewegen etc., so steht dieser Zug in der altchristlichen
Tradition nicht vereinzelt da. Gleich am Schlusse der Philippusacten wird
uns berichtet, wie beim Bau einer Kirche das Thor herabfällt und die Säule
zum Bauplatz wandert°®'). Ferner vergl. man das Bruchstück der bisher nur
aus dem Koptischen bekannten Acten des Paulus und Andreas ®): Cod Borg.
CXXXI. Zoëga, 1. l., pag. 234. 235. Es wird dort, ähnlich wie in den
Philippusacten, unter Anderem Folgendes berichtet: Die beiden Apostel
kommen an das Stadtthor und werden von den Juden nicht hineingelassen.
«Da ward Paulus vom h. Geiste erfüllt und sprach zu Andreas: Mein Vater!
Befiehl mir, dass ich ausführe die Kraft, die über mich gekommen. Andreas
antwortete: Thu was du willst! — Da nahm Paulus das Stück Holz, das in
seiner Hand war, dasselbe, welches er aus dem Amentes gebracht hatte,
näherte sich dem Thore, schlug daran mit dem Holzstücke und sprach: In
der Kraft meines Herrn Jesu Christi, welcher die Thore des Amentes hat
kleiner werden lassen, lass dieses Thor sich öffnen, damit die Juden wissen,
dass bei Dir nichts unmöglich ist. — Als er das gesagt hatte, schlug er drei-
mal an das Stadthor und das Thor versank und die Erde verschlang dasselbe
und nicht konnte man die Stelle finden, wo es verschwunden war.»
TOTE HATAOC AYMOTYO ehoA OM neitta ETOTARË Heæay Man-
2 PERC: ME HACIUT OTEPCAONE HAI TRGIPE HTOOM NTACEI EPOI- ILE2 €
ANA PERC: ME HETROTAUY API TOTe HATAOC AU HTAARM HUE
TON TEFIM. TAI HTAYNTC EOPAI ON AMNTE, AJT negoros nr AH
AYPOYT MMOC OI TÄAARM HUE EXO MMOC- Me ON TOOM MAROC
IC HEC NENTAUTPE NPO HAMNTE PIJHMIJHM ERETPE NPO HTENTAH
OTOHY, MERÈC EeTeerme MOI MEOFTAARI Me MN AAAT MHTATIOM
HAHTHR- HTEPEGAME HAI RE AYPWIT HTNFÄH MYJOMNT HCON à
enecHT HIT PO NTNTÄH ATO IRAQ AJOMR MMOY MNOTON TIMA
NTAGEOR EPOY.
Schliesslich vergleiche man eine Erzählung, die sich bei Socrates®®) er-
halten hat: Als das Christenthum zu den Iberern am Schwarzen Meere ge-
81) Fragm. 5. Av. a. B. 510: nor ene[ue mneAjın «not [on] ToT-
KOT 2e acı e[necn]T nee rnnA[n mit] nnecrnAA[oc ero Ji we. «gehe
an den Ort des Tempels des Ilerrn. Und sofort senkte sich das Thor mit der Säule, welche auf
ihm war».
32) Vergl. dazu Lipsius, 1. 1., Bd. I, pag. 616 ff.
83) Eccl. historia, ed. Hussey. I, cap. 20. (Vol. I, pag. 121).
Melangos asiatiques. T. X, p. 141.
552 DR. 0. VON LBMM, ... [N. 8. 1
drungen war und man eine Kirche bauen wollte, geschah es, dass eine sehr grosse
und schwere Säule nicht von der Stelle zu bringen war, so dass die Arbeiter
bereits den Muth sinken liessen. In der Nacht geschah aber ein Wunder.
Durch das Gebet einer gläubigen Gefangenen erhob sich die Säule und blieb
genau über der für sie bestimmten Basis in der Luft hängen; nach einiger
Zeit senkte sich zur Verwunderung aller Anwesenden die Säule auf ihre
Basis herab. |
Wir kommen jetzt schliesslich auf das Predigen von der Säule aus zu
sprechen.
Wenn ich nicht irre, so liegt hier eine Reminiscenz an die Styliten und
ganz speciell an Symeon den Styliten vor. In unseren Philippusacten scheinen
eben zwei alte Erinnerungen, die an Thor mit der Säule und die an Symeon
den Styliten mit einander verschmolzen zu sein.
Vergleicht man nun den nur in den koptischen Apophthegmata patrum
erhaltenen Abschnitt über Symeon den Styliten mit unserem Berichte über
die Predigt des geheilten Besessenen, so wird man die grosse Ähnlichkeit,
die zwischen beiden Berichten besteht, sofort erkennen; ja es werden in
beiden Berichten, sowohl dem Volke wie dem Redner fast dieselben Worte
in den Mund gelegt, so dass man zu der Annahme geneigt ist, beide Berichte
gehen auf eine gemeinsame Quelle zurück oder der eine habe aus dem anderen
geschöpft.
Ich lasse den Text selber reden *):
àaTæO0C eThe Ana CTMEWIN TICFPOC, ME Adyp 9070 ece poune
egjaägeparg gie OPCTTANOC, HgoTenAaar an ehoA On TEeTpocpH
HNPOME, OTAE ON MH puMe (che) COOTIH me egong Haly HQE - HTE-
POTAICTATE Ae HIT HETMNEUHUTE ATMEETE EPOY we TAXA OFPHHA
ne, à TU) HTEPOTCHOTO MMHTCHOOTE HENICHONOC ATWAHA eNNOTTE,
MERAC ETCCIME HA: ACHONE 2€ DIMAS CTHHCTETE MHEYROTE *)
ATO ETWÄHA, NHHATIOC 2€ Ana CTMEUN Heqiyame HMMAT Ne, Me
ant OTPWME OÙ HE HOTOH MIM EÉC.
«Man erzählt von Apa Symeon dem Syrer,dass er mehr als sechszig
Jahre auf einer Säule stehend zugebracht habe. Weder ass er etwas von
menschlicher Speise, noch wusste Jemand, wovon er lebte. Nachdem die
Leute aus seiner Nachbarschaft im Zweifel gewesen waren, glaubten sie,
dass er vielleicht ein Geist sei. Und als sie zwölf Bischöfe versammelt
hatten, beteten sie zu Gott um es zu erfahren. Es geschah aber, während sie
fasteten und beteten, dass der heilige Apa Symeon zu ihnen sprach: «Ïch bin
34) Zoëga, pag. 348.—Georgi, De miraculis S. Coluthi, pag. 140 ff.
35) Es muss hier 151 HNeTMHeqRuwTe heissen.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 142.
(xxxı)] KOPTISCRE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 553
auch ein Mensch wie alle Menschen!» etc. — Vergl. dazu die ähnlichen
Redensarten in den Philippüsacten. Als nach der Predigt des Mannes die
Blitze und der Donner nachliessen, «glaubten sie, dass der Mann ein Gott
seiv; nachdem er nun von der Säule heruntergestiegen war, sprach er zu
ihnen: «Ich bin kein Gott, sondern ich bin ein Mensch wie ihr, in dem der
Geist Gottes sich befindet durch die Vermittelung der Apostel.»
Vergl. noch zu diesen Redensarten die bekannte Stelle aus der Apostel-
geschichte, wo Barnabas und Paulus zu Lystra für Götter gehalten wurden,
worauf sie antworteten: anon gwwn AngenpwMme nreriige. «Auch wit
sind Menschen wie ihr». (Act. XIV, 15) und schliesslich Acta X, 26, wo
Petrus dem Cornelius, der sich vor ihm niederwarf, antwortete: anon owuwT
ON ANT OFTPWME-
Fragm. 2. Av. b. l. 18—28. acmwni ae nre[Ae] neanocroAoc gun]
egosn eTnoic à [hi] ea gaxwor næle] osAwœu: — abwm ebaA
ey2æeu MMAC: 26 & neano[c]roloc enexX pe. HTIMCRETHHOT 61 por
ernoA[sc-] «Und es geschah, als die Apostel sich der Stadt genähert hatten,
dass ihnen ein Mann entgegen kam — er schrie und sprach: «O, ihr Apo-
stel Christi, ich werde euch in die Stadt nicht hereinlassen!» Vergl. dazu
Acta Andreae et Pauli (Cod. Borg. CXXXII, Zoëga, pag. 231). aTMOOe
DE ME ETNACI EHOTH ETNOÄIC- A HEIOTA AI RUOÂT MMOOT ET2ÆU MMOC
2e NTHNARAAR AN 661 007 erennoäsc. «Sie giengen nun um in die
Stadt hineinzugehn. Und die Juden hinderten sie und sprachen: wir werden
dich in unsere Stadt nicht hineinlassen».
Fragm. 3. Revers. a. 1—3. aurar [ne nenost ernrencaorn] May
en, «Bist du der Gott, den wir nicht kennen?». Vergl. dazu Acta 17, 23:
SINE ETIUHTE ECHO EPOC. ME HHOTTE ETE HCECOOPN MMOG art. «Ich
fand einen Altar auf dem geschrieben steht: Dem unbekannten Gotte».
Fragment 3. Revers. a. 1. 25 ff. Auf die Frage, die Philippus an die
Einwohner der Stadt richtet, wem sie dienten, erhält er zur Antwort:
«Wir dienen einem Sperber». Wie aus dem Weiteren hervorgeht, war
dieser Sperber von Gold. (n&ns’ enor&). Der koptische Bericht ist hier viel
genauer, als der aethiopische, welcher nur von einer goldenen Bildsäule
spricht («We serve a statue of gold».) Diese Notiz über den goldenen Sper-
ber ist nicht ohne Interesse; es ist hier ein echt altaegyptischer Zug erhalten.
Wie bereits oben bemerkt worden, sind die koptischen Philippusacten
eine von Grund aus umgearbeitete Fassung der griechischen Philippusacten
in der Stadt Ilierapolis in Phrygien, und mehrere Züge, wie z. B. das Erd-
beben, die Feuerwolke und das Mischen von Blut und Wein, sind ohne
Zweifel den letzteren entlehnt; dagegen finden wir in unseren Acten an
Stelle des Schlangencultus den Vogelcultus, welcher Zug, wie Guidi meint,
Mélanges asiatiquos. T. X, p. 143.
654 "DR. 0. VON LEMM, ... [v. 8.1
nicht ohne Einfluss des altaegyptischen Ibiscultus in die: Acten eingedrun-
gen ist*).: Ich kann in diesem. Punkte.Guidi. nicht : beistimmen, sondern
glaube vielméhr, dass hier nur von einem Sperbercultus die Rede sein kann.
Guidi.übersetzt Ans’ mit «avvoltoio», also «Geier»; doch bedeutet Ans,
welches auf das hierogl. biwk zurückgeht, nicht «Geier», sondern «Sperber»").
Somit glaube ich, dass dieser Zug auf den altaegyptischen Sperbercultus
zurückzuführen ist! Letzterer spielte ja im alten Aegypten eine sehr grosse
Rolle. Zunächst war der Sperber das heilige Thier des Gottes Horus und
des Gottes Ra, besonders. des ersteren; er war der Sonnenvogel xar’ iEoynv.
Das hierogl. Zeichen des Sperbers war die gebräuchlichste Schreibung des
Namens Horus. «Horus» war auclı ein Ehrentitel der Könige. Ferner war
nach dem 77. Kapitel des Todtenbuches ein goldner Sperber (biwk n nub
genau entsprechend dem Asıa now unseres Textes) eine der heiligeu sym-
bolischen Gestalten, die der Verstorbene nach Belieben annehmen konnte *).
Sodann erfahren wir aus der bekannten Geschichte der Prinzessin Bentresch,
dass der Gott Chonsu seinen Naos in der Gestalt eines goldnen Sperbers
verliess ®). Schliesslich sei noch bemerkt, dass es im alten Aegypten einen
Schmuck gab, der sich auf alten Sarkophagen abgebildet findet und mit dem
Namen nub n biwk d. h. «Gold des Sperbers» bezeichnet wurde “).
Kurzum, wir begegnen im alten Aegypten dem Sperber auf Schritt und
Tritt und ich glaube nicht zu irren, wenn ich behaupte, dass der Zug vom
goldnen Sperber nicht olıne Einfluss des altaegyptischen Sperbercultus in die
koptischen Apostelacten eingedrungen sei. Ä
Fragment 3. Revers b. I. 23— 26. n[ern]nos[rs]) mmosnn est. [nel
emernes Merc{wTm] girenes. «Eure Götter sind von Menschenhand ver-
fertigt, weshalb sie weder sehn, noch hören». Vergl. dazu das Bruchstück
des Martyriums des h. Coluthus‘)}: agorouh nos 1HATIOC ara
ROAAOTEOC 2e HMECUJOIE MMOI END ETPARA MANOTTE MCWI
TaWMe none uAon epenobnre re 191% HpuMe OT bal MMOOT
86) Giornale etc. II, pag. 29, Anm. 1.
87) Obgleich das griech. tepa& eigentlich speciell den «Habicht» bedeutet, so ist überall,
wo in griech. Texten vom aegyptischen Sperber die Rede ist, das Wort ispa& gebraucht, so z. B.
regelmässig bei Horapollo. In der sahid. Übersetzung der Septuaginta wird iepa& durch And”
wiedergegeben, z. B. Deut. XIV, 16.
88) Brugsch, Die Capitel von den Verwandlungen im Todtenbuch 76—88, in der Zeitschr.
f. Acgypt. Sprache u. Alterthumsk. 1867, pag. 21 ff. — Husson, La chaîne traditionelle, contes
et légendes au point de vue mythique. Paris 1874, p. 97. —
39) Vergl. z. B. Brugsch, Gesch. Aegyptens, pag. 640.
40) Lepsius, Älteste Texte des Todtenbuchs nach Sarkophagen des altaegypt. Reichs im
Berliner Museum. Berlin, 1867. — Taf. 40.
41) Peyron, Grammatica linguae Copticae. Taurini, 1841, pag. 166.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 144.
(xxxım)] KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 655
cenaT ehoA an OF MAAME MMOOF HCECOTM A OF TAIIPO MAMOOFT
METRE: WAAHTOT MMOOT METWUWÄN HET. MEFFOMIM HETOT-
EPHTE MMOOT METMOOUE METMOTTE HN TETOTORE MH ia 'TAp
HOHTOT ETEPTETHE HIT NEHNTÄTTAMIOOT MH OTOH HIM ETHÄAHTE EPOOT:
«Es antwortete der heilige Apa Coluthus: Nie geschehe es mir, dass ich
meinen Gott verlassen und den Götzen dienen sollte; diese sind Werke von
Menschenhand: sie haben Augen und sehen nicht, sie.haben Ohren und hören
nicht, sie haben einen Mund und reden nicht, ihre. Nasen riechen nicht, ihre
Hände sind kraftlos, ihre Füsse gehen nicht, nicht rufen sie mit ihrer Kelle,
denn es ist kein Geist in ihnen; ihnen gleichen die sie gemacht haben und
alle die an sie glauben». — Dies Citat geht auf Ps. 134, 16—18, zurück;
diese Stelle ist bisher im Sahidischen nicht aufgefunden, lässt: sich jedoch
auf Grund des angeführten Citats herstellen: 2
Boheirisch. | Sahidisch.
Ps.-134, 15—18. Ps. 134, 15—18.
15. %€ ıunost THPOT TE ns- 15. pneaWAon epenghnTe ne
ESNOC OTHAT NE MHEM OTHOTB . noi2e HPOME. |
OANOËROTI HMI HOME HE. BE =
16. poor MMWOT, 0709 HHOT- 16. OT TANPO MMOOT METWA-
CART: NOTKAA MMWOT, 0709 2e. OT BAÀ MMOOT HCE HAT
HMOTHAT. eo ant:
17. MOTMALUX MMWOT, 0509 it- 17. OT Maame MMOOT , Itce-
HOTCOTEN : HOTUWAI AMWOT, COTM All- WAAHTOT MMOOT
0709 INOTWWÄEM : MOT2 12e METWWAÄM- NETIIM MMOOT
MMOOT, 0709 HNOTAOM- METOOMEM : NETOTEPHTE
REM: NOTSAAATM. MAMWOT, MMOOT METMOOWE +: MET-
0709 HMOTMOU, OTAE It- MOTTE HN Terworobe . MN
NOTMOTT ehoA Sen Tor- ta Cap HONTOT-
wewßr, oTae Tap MMOI
INMETMA Sen PHOT.
18. events MMOOT MXE NI ET- 18. eTepresge HOT MENTATTà-
SAMIO MMOOT NEM OTOIN MIOOT MIE OFON HIM ETNAHTE
mie eTXo OST EPWOT. ePooT-
Fragment 3. Revers. b. I. 33 — Fragm. 4. Av. a. |. 1.
[Arernlose[e .erern] ........ naacıa. Zur Parallelstelle aus
dem Cod. Borg. CXXVI: arterngsce ererncopM MIHHT Hnepwme itTer-
noÂicron nernofinre mmarsa. «hr gebt euch Mühe zu verführen das
Ilerz der Leute dieser Stadt durch eure Zauberkünste», vergl. Acta Andreae
et Pauli (Cod. Borg. CXXXU. Zoëga, pag. 234.) noAsc im ewaréun
EHOTH EPOOT WATIIWWNE MIHHT MHETPOME HN nevmarıa. aln jeder
Mélanges asiatiques. T. X, p. 145.
556 DR. 0. VON LENM, [n. 8.1
Stadt, in die sie kommen, verdrehn sie das Herz der Einwohner durch
ihre Zaubereien».
Fragment 4. Avers. a. I. 16 — 19. torte [PiAijnnoc aquoro [ebaA]
on TEAM ene[nn]a eroveeh. «Da ward Philippus von der Kraft des hei-
ligen Geistes erfüllt». Cod. Borg. CXXVI. piAmnoe 2e aquoro ehkoA
om nenna erovaah. Vergl. dazu Acta Andreae et Pauli (Cod. Borg. CXXXII.
Zoëga, pag. 234). rore nasAoc aquorg eboÀ Hm nenna erovaak.
«Da ward Paulus vom heiligen Geiste erfüllt».
Fragment 4. Revers. a. I. 9—19. evcanbs erno . . . gaAan nm.
Diese Worte bieten grosse Schwierigkeiten dar. Was cankı bedeuten könnte,
weiss ich nicht zu sagen: escarbı steht jedenfalls für eoscankı wenn es
Nomen sein sollte, an cankınoc*) — griech. cxyarnvoy oder cayannvöv
(Dioscorides 3, 85. Galen XIII, 226), lat. sagapenum, sacopenium (Plin.
H. Nat. 12, 25) als Name eines Pflanzensaftes ist wohl kaum zu denken.
Ebenso ist mit gaAar nichts anzufangen. Es kann—sah. gapor sein, doch
will das hier nicht gut passen.
Fragment 4. Rev. b. 10 —12. — ewyxe arern[nwo] newrn [nrer|n-
nAank «wenn ihr euren Irrthum verlassen habt». Vergl. dazu Coluthus *)
AT CHAR newc HrecnAann «Und sie wird ihren Irrthum verlassen».
Fragment 6. Avers. b. 1— 7. — wezs pt. .. .Ae BiAsm[noc wow]
9m nnomac M{n nejnpopntnc- eA[e nerpoc] gum Au‘ [ebaX eflar
HM menma MNne9Ts MneXpe. «Philippus las in dem Gesetze und den
Propheten, und Petrus erklärte ihnen durch den Geist den Glauben an
Christus.» Vergl. dazu Jacobus-Acten, (Cod. Borg. CXXVII) asw nepe
—ARGOBOC WU EPOOF MIIHOMOC MH HENPOPHTHE NIeTpoc 2 € QUUWY HEY-
Bu ehoA Muoor epoor. «Und Jacobus las ihnen das Gesetz und die Pro-
pheten, während Petrus ihnen dieselben erklärte.» — Cod. Borg .CXXVI“#):
Aro nepe sarwhoc Fekw nas Hit eoTe MMmoeic- egWiy EePooT
MIHNOMOC MH tenpopntnc- aUnd Jacobus unterwies sie in der Furcht
des Herrn, er las ihnen das Gesetz und die Propheten».
Fragment 6. Avers. b. I. 19 — 25. [ar]j» avr nrenpoch[wpa:]
Ascrnace Muafr T|HAoF em ner[novi] ya nernas n[pao]sr mn
tessarn|s) uncoma mn n[ecjnaß e[ne]xXpe, «Und sie brachten das Opfer
und liessen sie theilnehmen, klein und gross, Männer und Weiber am Leibe
und Blute Christiv, und ib. 1. 31 — 34. — ut[elAoscnnarte mMual[r|
ven Tenpochw[pa] eroveeh: «als man sie am heiligen Opfer hatte theil-
42) Tattam, Lexicon Aegyptiaco-Latinum 861.
43) Georgi, De miraculis S. Coluthi, pag. 24.
44) Guidi, Frammenti, pag. (12).
Mélanges asiatiques. T. X, p. 146.
(xxx) | KOPTISCHE APOXRYPHE APOSTELACTEN. 557
nehmen lassen». Vergl. dazu Jacobus-Acten (Cod. Borg. CXX VII): a vw
ATCTHATE MAROC THPY ON Tenpocpopa erovaak”). «Sie liessen das
ganze Volk am heiligen Opfer theilnehmen». (Cod. Borg. CXX VI): icecrna-
Te MMOOT HN Tenpochopa nanepanTon“). «Sie liessen sie am unver-
gänglichen Opfer theilnehmen».
Fragment 6. Revers. a. I. 3—5. — avuw avnowlen ne]r noreniıc-
nofnjoe «ut onnpech[nrepoc]. «Und sie setzten ihnen einen Bischof und
Priester ein». Vergl. dazu Jacobus-Acten. (Cod. Borg. CXX VII). unnca
HAT ATRAEICTA Hovenienonoc nav“) «Darnach setzten sie ihnen einen
Bischof ein». Cod. Borg. CXXVI: Gagnogn tar nonensenonoc: Mn
pinpechrTepoc, mir gitäsanonoc-"”) «Er setzte ihnen Bischöfe ein, und
Priester, und Diakone».
: 45) Guidi, ].1., pag. (12).
46) Guidi, 1. 1., pag. (12).
47) Guidi, 1. 1., pag. (13).
Mélnnges asiatiques. T. X, p. 147. 87
558 DR. 0. VON LEMM, [N. 8.1
Die Acten des Andreas und Matthäus in der Stadt
der Menschenfresser,
Fragment 6. Tischendorf, Acta apostolorum apocrypha,
Revers. pag. 132 ff.
b. [nTayeasıy a vu] 1 IpaEeıs Avöptou xal Mardeia eis
[nnone ekaA un]
av[ioc HnanocTo]
Aloe mMalerac-nes nrau]
TaWeai[u HOHT]
où TnoA[sc eneAeqor]
[en fon: [on ovon]
[prhut nfre PX)
[pamsıt]
Acw[ons ae nTe]
Ne neanoc[ToAoc]
hou eew[or]
HI WPA TH[Ao7]
[no]vees noveles na]
Ta nekrÄnpoc
à nerAnpoc M[maei]
ac Tagak erplegs]
errioAsc ene[Aeqoren |
Awu:- enıae [n]
eAwMI urn[oAse]
eTeMMeT Mera[ Main]
oF7Te MeTcàa[ HAN]
aa nuar[oremaq]
avw neec[ecna 11]
Aou: : AOMI: . ...
HWATNW[T egorı]
eruoAsc e[Temmev]
WaTrIano|r wav]
mi nnevhe[A eban]
OM METCAP. .....
On mepAs. .......
Melanges asiatiques. T. X, p. 148.
10
16
20
25
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Kar’ exeivov tév xxıpbv Noav Tav-
mes cl anöorola Emil T0 auto œuv-
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ExagTOG Eis TÔ Aaydv aToÿ Epos.
xara XATpov ouv ÉÂayev röv Mardeiav
ropeudrjvar eig TÜV ywpav TOV avdow-
TOPAYWV.
ol dE Avdpwra wis TOUS Exeivng
oùte &prov hodov orte olvov Émvov,
GAN Nouv Eadiovres aapxas aväpw-
TWV xal TIVOVTES aurWv TO aim. HAS
oÙv &väpwnog ög AnpyETo Ev TI) TO-
Acı aurwv, xatelyov abtév, xxi opua-
aovres EEißaAAcv aüroü Tobc Opdak-
poûs, nal pappaxcv abrév EniriLov Ex
papaxelas xal payias T'XEUQO DEV,
xal Ev TW abtobs Torılev TÔ papa-
xov NAAcıoüro alrou 7, xapöla xal ö
voüg auroü nernAAdogero.
(xxxın)]
Fr. 6. Rev. b.
Die Predigt und die Reise des
heiligen Apostels Matthias. Die
Predigt verkündete er in der Stadt
der Menschenfresser. Im Frieden
Gottes. Amen,
Es geschah aber, als die Apostel
unter einander die Länder theilten,
einem Jeden nach seinem Loose,
dass das Loos bestimmte über Mat-
thias in die Stadt der Menschen-
fresser zu gehn.
Die Leute jener Stadt aber assen
weder Brot, noch tranken sie Wein,
sondern sie assen Menschenfleisch
und tranken Menschenblut. [Alle]
Leute, welche in jene Stadt kamen
ergriffen sie und rissen ihnen die
Augen aus mit ihrem Werkzeuge...
mit dem Zaubermittel ........
Mélanges asiatiques. T. X, p. 140.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 559
Malan, 1. 1. pag. 147 ff.
In the name of the Father, and
of the Son, and of the Holy Ghost,
one God.
This is the book of the preaching
of Matthias, Apostle of the Lord
Jesus Christ, which he preached in
the city of Ba’alatsaby, and ended
his conflict on the 8th of Magabit
(March), in the peace of our Lord.
Amen.
And it came to pass, when the.
Apostles had parted among them-
selves the cities of the world, and
cast lots about it, that the lot fell
to Matthias to go to the city of
Ba’alatsaby.
“ The men of that city neither ate
bread nor drank water, but tlıey ate
the flesh of men and drank their
blood; and every wayfaring man
who came into their city they took
and bound him tight, until his heart
fainted and his eyes came out of
their sockets; then they gave him
grass to eat as.to an animal,
87*
560 DR. 0. VON LEMX, [x. 8.1
Fragment 7.
Avers.
ose 2e 9807 men 1
ose avenTor eba[A]
ss... teh emarT
[nlcenancor nce
[oramor] naoıac Ae 6 Toù oùv Mardeia
[nteAeyno]r eporn elseAdövrog év th run this Trolewg
nenne. MMAG... abrüv ixparmoav adv ol &väpwror
...... avi neq[hen] chic RöAewg éxeivns xal EEEBaÂov abroù
[ehaJA ost omnep[As] vol; opdain.ouc, xal merk To ebevey-
[art]: ung enexXw[proc] 10 xelv ÉTOTITAV auröv TO Yapuaxov Ts
[aAAXa unelgoralug payıxnjs abtüv mÂAavne,
se Moses T
.àa]rcery enew[Te] xal annyayov alröv Ev Th puAax,
[na] asw magcanc xal napédmxav au yoprov Éd die,
eu MMAC 2e 16 xal oux Tadıev. petalafüv yap ex
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EE7jAYev Ex ToÙ Pwrös ouvn Akyouca Mardeix ayanmré, &vaBhebov. xai eudens
a@veßAebev.
Mélanges asiatiques. T. X, p. 150.
(xxxım)]
soso. Tage. .........
um sie zu schlachten und zu essen.
Als nun Matthias [in die Stadt]
kam [griffen sie] ihn .........
rennen und entfernten seine
Augen mit Zaubermitteln und gaben
ihm Grass, aber er ass es nicht
. . . sie warfen ihn ins Gefängniss;
und er betete und sprach:
«OÖ Herr Jesu Christe, um dessent-
willen wir Alles verlassen haben
und Dir nachgefolgt sind, wir wis-
sen, dass Du der Helfer aller Men-
schen bist ................
sense seesesseee sondern gieb
das Licht meinen Augen und ver-
lass mich nicht...............
o Herr, nicht................
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 561
and they cast him into a dark
place for thirty days, after which
they brought him out to eat him.
But, when the blessed
Matthias came to this city, they
took him and put out his eyes with
a medicine, and they gave him grass
to eat like a beast; but he would
not eat it, for the power of God was
on him;
then they cast him into prison.
And he prayed unto God, and made
his request, saying: O my Lord and
God Jesus Christ, for whose sake
we renounced the world and follow-
ed Thee, since we have no help
but in Thee, look, O Lord, on what
they do to me Thy servant;
how they treat me like a beast.
Thou, O Lord, knowest what has
been, and also what shall be, and if
it be Thy will that I die in this
city, be it as Thou wilt;
but if not, give light to my eyes,
and do not allow these men to eat
my flesh like that of a beast.
And when he had ended his prayer his eyes were opened, and he saw
perfectly and was as before;
Melangos asiatiqnos. T. X, p. 161.
562 DR. 0. VON LEMYX,
Fragment 7.
Avers.
b. no[r eruuer 07] 1
CMH woln waAad]
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MMAR malsıac nTan]
nos ne- m[neAeAgat ze] 5
nrirtenen [eıt-]
Hrar un nen ..,..
warn nemn[n] oder [rit]
EILIME ETENHE . . . . .
e[Ajar a%Aa 10
M{ennenca] rene
M[9a0T] Tne[rennaov]
waña[n nian]apeac [2e]
benrn [ebaJA ou [nei]
[me] men nu er[ânel] 16
SHTOT neMHR [9]
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TI HHQ nronplsns]
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nHovŸ AT n[ade] 20
MASIAC 20 MM[Aac- re]
[male nengeuar [uw]
[uns mem not
Ars HT OH aq[uaan]
[o]m newrena [egemor] 26
[e]noc - ewuwns [re es]
[wan] marno%se [1]
[eplorn ener em Awmi]
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Hcenancqy: alle] 30
Haesac wrem enfeu|
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2ÆUWME ET [MMAC] 86
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 153.
[n. 8.1
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Mardeia Eionvn oc, nuétepe Mardeie.
xai Enopeudn eig TÔV obpavov. TÔTE 6
Mardeing Seacauevos elnev mpès Töv
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an QuAaxtı xal nv YaAkwv. xal &yk-
vero iv ı@ elotpyeodar Toug Gnious
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à Martdeias xAEiwv alutoü tous OpdaA-
Kous, ÔTWS un Yewanowaıv alıöv
Bitnovra. xal EAdövres ol Énpuiot Tps
auröv avkyvwaav nv Ev Th yerpi œU-
zoü taßAav, xai einav Ev ÉQUTOIS
(xxxım)]
Fr. 7 Av.b.
zu jener Stunde erschofl eine Stimme
und sprach also: «Sei stark, o Mat-
thias, du bist Mein; fürchte dich
nicht, denn Ich werde dich nicht
verlassen.
Du mit deinen [Jüngern], ich
werde mit dir sein an allen Orten,
wohin du gehen wirst, aber nach
26 (sic) Tagen werde Ich zu dir den
Andreas senden, damit er dich aus
diesem Orte herausführe und dieje-
nigen, welche er mit dir im Gefäng-
nisse finden wird». Und er gab ihnen
den Frieden und entwich gen Himmel
und Matthias sprach: «Möge Deine
Gnade mit mir sein, o Herr..... I»
Und also blieb er im Gefängniss
[preisend] den Herrn. Als nun die
Einwohner der Stadt hineingingen
um die Leute zu sehn und um einen
Menschen hinauszuftihren um ihn
zu schlachten, da schloss Matthias
seine Augen, damit sie nicht glau-
ben sollten, er könne sehn; und sie
kamen und..................
Mélanges asiatiquos. T. X, p. 153.
KOPTISCHR APOKRYPHE APOSTELACTEN. 663
and there came to him a voice that
said: Be strong, O Matthias, for I
will be with thee, and I will not
forsake (pag. 148) thee;
but I will be with thee in every
place to which thou shalt go; be
patient and fear not; for in ten days
I will send to thee Andrew who
will bring thee out of this prison.
Then Mathias gave thanks to the
Lord, and preached continually; his
soul rejoiced and was glad;
and he continued in the prison
as our Lord had told him. But when
they came to tlıe prison, to take out
one man in order to put him to death,
Matthiasshuthiseyesthatthey might
not see him and look at him [with
his eyes open]. For their custom
was, when they cast a man into pri-
son on tlıe first day, when they
brought him, they wrote a writing
564 DR. 0. VON LEMM,
[or à nor inc] neXpe 5
[orunag eJanapeac
ss. apa HTÈY
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 154.
[N. 5. 1
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Jelv ExET Tpd TS Tpodeospias Tüv
Toudv MueEpov, AAN amöareıAov Tv
ayyeAöv ocu ré nayos [va ebakeı œ-
növ Exeldev. SU Yap YVWOXEL, XUPIE,
tt xayin cap ein xai où Öuvnacpa
ro rayos nopeudñvar Exeî xal Akyeı
17 Andeta ’Eraxcucov TW Tonaavti
oe, to xal Cuvapuéve Acyw eimelv
(xxxn1)]
Fr. 7. Rev. a.
ss 26 Tagen erschien der
Herr Jesus Christus dem Andreas
«Erhebe dich und geh mit deinen
Jüngern in die Stadt der Menschen-
fresser in...................
soso sie werden ihn her-
ausführen und schlachten».
Spricht Andreas zu ihm: «....
drei Tage bleiben übrig, bis sie ihn
herausführen und schlachten werden
und ich kann nicht dorthin gelan-
gen, aber sende ihm einen Engel oder
eine Kraft, damit sie ihn schnell her-
ausführen; denn ich bin ein Mensch
und kann nicht dorthin gelangen in
drei Tagen».
Da sprach der Ilerr Jesus zu
Andreas: «Gehorche dem, welcher
dich erwählt hat, o Andreas!
If I will I can say to the city: Come to me,
Mélanges asiatiqnes. T. X, p. 155.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 565
and tied him by the neck; and
when his thirty days were ended,
they brought him out to eat him;
for such was their law.
But when Matthias had been
twenty-seven days in prison, the
Lord appeared to Andrew, who was
in Syria, and said to him:
Arise and go to Matthias, in order
to bring him out of prison, for the
men of that city will in three days
bring him out to eat him.
Then Andreas said to the Lord:
If it be within three days, how can
I get at him in so short a time? But
rather send one of thy angels that
may reach him at once, and bring
him out of prison; for I cannot get
there in three days.
Then the Lord answered and said
to Andrew: lIear what I say unto
thee:
566
Fragment 7.
Revers.
b. ...nes næe [TmoAsc]
[r]HAc enesmle]
an HeAGMI er[t]
QHTE HEN M. ...
nenne Mn[2æea1....|
inc Te aßeN.....
nexe anapeac [xe]
ATternn[wT eswn]
DR. 0. VON LENM, N. 8.1
xal Mereveydmoeran 7) TOÂS Exeivm
tvraüda xal ol olxoüvreg Ev auch, Tav-
weg’ XEAEUW YAp Tols XÉPAOIV TÜV QVE-
uv xal &youaiv abrnv evraüda.
AH HTEHETH. ..... 6
TOO [wo en] Arad &vaatas ip rpwi xateAde eig
an HERMAO[HTHC] my Ialacsav alv Tols paÏNnTals aou,
aAHT nanot [nu] xal eupnaeıs mAoïov Eri Töv alyınköv
Mer - neX pe ae alt] xal avkÄäng per& TOY nadınrav aou’
HHOT HTOHPHNH 10 xal taüra ein@v à awınp nadıv elnev
aßıı[wT e]pAnı enfeu] Eipnvn oo, Avôpéa, ua Tols lv act.
sun[osT- ] xal inopeudm Eis Tobç olpavouc.
Anzapeac ae ayr[ong] Avaoräs dE Avèpkas zo npwi Eno-
nıy@Aen Mn [ne] pebero eni nv Jahaooav Ana Tols La-
MaOHTHC: abs e[BaA] 15 Intals auroü, xal xatEAÏGY ini tiv
ex n saAacca Rata] œiyiahdv [dev nAoapıov puxpôv xal En!
OH HTà nexX pe x{[aac] rÔ mAcıapıov Tpels &vèpas xa Sel opLE-
ne. ara à u[eXpe] vous’ 5 y&p xÜpt0S Th Eauroü Öuvapeı
Tpe 0T2Æ as yolnı] xateoxelaoev nAolov, al abTès 1 a-
Abe‘ necmar n[nor] 20 mep &vdownos npwpebs ev TD TrÄcio'
[nn]ay. aqbr male] cionveyxev duo @yykAous obs Énoinaev
[autre Joc & neu[eu] Ws Avdownoug pavivat, xal Nouv Ev
e[7]as nnecma[T noel] ao rhoiw xadelönevor. à obv AvÈpéæ
Aou evpemale ou m] Jearauevos TÔ nAolov xal TOUS Tpelc
ar efmanı- ahlrı] 26 Övras Ev aUTO EAN YAPAV LEYLANV
[nedoraas eAaq apédpa, xal mopeudels pls abtols
rer. ane ınc elnev Iloù nopedeode,
...QATY ne en[qea|
ovni en me ınc [ne]
neæey neË [e] 80
adeApoi, BETA TOD mAoiou TOÜ puxpoÿ ToUtou; xai amoxpıdeis 6 xupıos elmev aùrt
Ilopsuöpeda Ev Th ywpa Tüv avdpwnogaywv. 5 6: Avôséas Jeaauevos Têv
’Insoüv oux énéyvw abröv' nv yap 6 ’Inooës xpurbas nv tauroü Jeérnta, xal nv
Qaıvöevos TG A vönka ws Avdpwros nowpeus. 6 6: Inooüs dxolcas Toù Avôokou
Akyovros OT xd JR Eis TV Ywpav TOV AVÏPUTOPAYWY TTOpELOLAL,
Mélanges asiatiques. T. X, p. 150.
(xxzım)]
Fr. 7. Rev. b.
.... die ganze Stadt wird an die-
sen Ort kommen mit den Leuten,
welche in derselben sind........
erhebe dich früh morgens mit dei-
nen Jüngern, besteige (ein Schiff)
und fahre mit ihnen.» Und Christus
gab ihnen den Frieden und entwich
gen Himmel.
Andreas erhob sich am Morgen
mit. seinen Jüngern. Er gieng ans
Meer, wie der Herr ihm gesagt
hatte. Und Christus liess ein Schiff
entstelin; Er hatte die Gestalt eines
Schiffers und führte bei sich zwei
Engel in menschlicher Gestalt, wel-
che im Schiffe, das am Ufer lag,
sassen. Er näherte sich ihm (dem
Schiffe), in welchem Jesus sich be-
fand, ohne zu wissen, dass es Jesus
sei und sprach zu ihm: «OÖ Schiffs-
oberster. Jesus....
Spricht Andreas: «Wohin schiffet
ihr?»
— ne mem me de
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 567
and it would come with all the men
that are on it, and they would come
hither :
but rather, to morrow arise thou,
and thy two disciples, and go, and
thou shalt find a ship ready to sail;
go on board, and it will bring thee
to the place. Having said this, our
Lord gave him His peace, and went
up into heaven with glory.
And on the morrow Andrew rose,
as the Lord had commanded him, and
went, and came to the sea-slıore,
where the Lord had made lıim a
good ship, on board of which the
Lord Himself sat, as Captain of the
ship, (pag. 149) with two angels
for sailors. So that when Andrew
arrived at the sea-shore, he found
the Lord Jesus Christ sitting at the
head of the ship; but Andrew knew
not that it was the Lord. And he
said to the Captain: Peace be to
Thee, O Captain. And our Lord
said to him: The peace of God abide
with thee, O Andrew. Then Andrew
said to Him: Whither goest Thou in
this ship?
And the Captain answered: I go to the city of Ba’alatsaby.
Mélangos asiatiquos. T. X, p. 157.
568
Fragment 8.
Avers.
a. ..... ana |peac neq
ss. CAO Adams
soso. n oaban n
[nee inc] eg ze 0%
[enrn anes]nosros:s
[npak o]u nue e
[reumer] Trou
sos... eTRITY
[nexe a]napeac nfey]
ss... Neue TMET
[meño]us nemnn
[ernoAlıc eremmer
DR. 0. VON LEMM,
10
15
[uneæmey ne] me cn am
[wın]n- nexe an
[»peac njny ze
rennen en ant[ert]
[osger mjmer Tr]
[nıtn...am ers a
[nee ı]sıc nel ze
ern THHEOT
Pr .ERWM
Mélanges asiatiques. T. X, p. 158.
80
[x. 5. 1
Atyeı avr Tläs &vdpwnas pel yet NV
nov Exeivnv, xal mé UE Topeu-
ET dE EXET;
xal anoxpidels Avöptas elnev [loäyud
mu puxpôv Exopev Èxet Sanpakacdar,
xal der nuas ixteikocı alro. KA ei
duvaoaı, moinoov ned’ UV nv qt-
Aavdpwriav tabrnv 100 anabar WU
ev Th ywpa TOY Avdpwrropaywv, Ev 7)
xal üpels merdere Topeleoden. ano-
xprdeils 68 5 Inocüg elnev abroïç AvEÀ-
DATE.
Kai elnev Avôptas OEÂw oo 7:
pavepèv Toon, veavioxe, TpÔ TCÜ
NS aveAdelv Ev To mAoip aou’ 6 öl
’Inaoüs elmev Akye 6 BouAn. 6 dt Av-
dptac elmev alt Naüdov oùx Éyomév
oa napaayelv, AAN cute &prov Eyo-
pev eis dtarpopnv. xai amoxpidels 6
’Inocüg elmev auro Tas cuv antp-
LETŸE un napkyovres uv TÔV vadAcv
te Aptev Épovtec eig Oiatpopny;
elnev 68 Avôoéas ao ‘Inc "Axouacv,
adeApE. u vonlans ÖT XaTa Tupav-
viav cu Öidonev or Tv vaüAov Nu&v,
aA nueïs pad yTai Eamev TOÙ xupicu
nov ’Inocü Xpiorcd Toù ayadcü
dEOÙ.
(xxxım)]
Fr. 8. Av. a.
[Spricht] Andreas zu Ihm:
sonores Jeder-]mann
[Spricht Jesus] zu ihm: «Wir ha-
ben ein kleines Geschäft in jener
Stadt, um dessentwillen [wir dorthin
reiseno]. Spricht Andreas zu ihm:
[« Wir bitten dich:] Thue die Barm-
herzigkeit an uns [und bringe uns]
mit dir in jene Stadt». Spricht Er
zu ihm: «Ja, komm!»
Spricht Andreas zu ihm: «So
lange wir noch nicht eingestiegen
sind, [ wisse, ] wir haben kein Geld
zum Zahlen und auch keine Speise.»
[Spricht] Jesus zu ihm:e......
nn nen
Mélanges asiatiques. T. X, p. 159.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 569
Then said Andrew: All the men
thereof have fled from it, and goest
Thou thither?
Then our Lord answered: I have
business in that city; let us go thi-
ther. Then said Andrew: I also ask
Thee, Brother, to let me come on
board; and carry me to that city.
And He said: Yes; come up.
And Andrew said to him: Before
thou takest us over, [know that] we
have no money to give Thee for our
fare: but we will eat of Thy bread
with Thee.
Then our Lord, under the ap-
pearance of the Captain of the ship
said to him: Since you will eat of
our bread and will pay us no fare,
tell Me, I pray, how it is that you
are without bread and have not
where to pay your fare? Then An-
drew said to him: We are not men
of means, and fond of eating and
drinking;
570
Fragment 8.
Avers.
Me + aû.......... |
eoncqars ze e[wxe]
erernTawgeaswy AULEÀ |
&: norh nemnTe[n 91]
TeQIH 02e ger o|lvae]
HAMET ON HITM........
Wa egAnı eva en...
AneAßıry nemn[Ter]
91 Tep[ın ejrke ner
THN MH. ...
eWRE RHEEÄTMT.....
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Aan se TaAar-
Ewwons ManTn [emmer]
ea neoveer Mnfexe]
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nHucaËt novalin]
Mélanges asiatiques. T. X, p. 160.
DR. 0. VON LEMM,
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Zuyywpnaoov po, adehpé, 6 xüptos
rapaayy acı Tv öökev xœi Tv THEN.
xal dvnädev AVÔpERG LETA TOV auto)
paÏnrüv eis To nAotov. Kai eiceAdwv
Exadéodn Tapa To lariov où TAoiou.
xal anoxaideis 6 ’Inooës elnev Evi tüv
GYYÉAWV Avaortäç xateÂdE sic TNV
xoiAnv ToÙ mAciou xal aveveyxe Tele
&prTous,
(xxx) |
Jesus erwühlte...............
[gab er uns].................
die Lehren: Wenn ihr prediget,
nehmet mit euch kein Gold auf den
Weg, noch Silber, noch Erz, in
euren.............. : selbst ein
Brot nehmet nicht aufeuren Weg»,
Deshalb....................
wenn du die Menschenfreundlichkeit
wenn wir nichts anderes haben».
Spricht Jesus zu ihm: «Komm und
steige ein! Denn ich wünsche
lieber, dass du mit uns fährst, als
5000 als Fährlohn;
denn wir sind wirklich würdig, dass
die Apostel Christi mit uns fahren.»
Da sprach Andreas: ..........
und er stieg ein mit seinen Jüngern.
Sie setzten sich an das Steuer des
Schiffes.
Da sprach Jesus zu einem der
Engel in Menschengestalt: «Erhebe
dich und gehe und bereite [uns ein
Mahb»].
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 571
but we are disciples of a good God,
whose name is Jesus; we are twelve
chosen Apostles, and He gave us
rules of conduct, and has sent us to
preach in His name all over the
world. And He commanded us to own
neither gold nor silver; nor anything
of the goods of this world; therefore
do we not labour for such; and there-
fore, also, seest thou us as we are.
But if Thou wilt be so good as to let
us come on board, thou wilt do us
a great kindness; but if thou wilt
not do so, nor let us come on board,
tell us how we may go, and we will
look for another ship.
And the Capitain said to him: I
will take you on board My ship; I
wish that, instead of paying Me,
your fare, ye do Me a greater good,
to sail with Me,
for this is a great joy to Me, that
my ship should have been ready for
you to sail with Me in my ship, O
ye Apostles of Jesus Christ.
Then Andrew said: The Lord
bless Thee with blessing of the
Holy Ghost. And Andrew and his
two disciples went on board the ship
with him. But our Lord said to one
of the angels: Bring bread and let
us feed these brethren, for they are
come from a far conntry.
D cm ne nn nn nn mn me m nn ns m nn ne m mn nn a Jona an ne man nn TE nn nn m nn m
Mélanges asiatiques. T. X, p. 161.
Fragment 8.
Revers.
a. [x pa mnjengnT 9e
[nn vono]v: nain
ss... Tenswove
sos. nexe anTpe
[ac enjegrovs nıy
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[pen] ov[nov: nJain
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Mélanges asiatiques. T. X, p. 162.
DR. 0. VON LENM,
10
15
20
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rot Undpyouarv amd bhoD paxpäs EAN-
Andores rot; NUS. xal dvaatas xu-
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avnveyxe Tele &otous, nading à xÜDLOG.
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Avèpéa Avdora, abeApt, da Toïs
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paÏnTas abToù Texvia pLou, pe Y&ANv
puaavpuniav nÜDauLEv Tapa TE AV-
Jour TOUT. AVAOTAVTES 0UV jLETE-
Aaßere &pvou rpogfic, [va ioyüonte
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ang.xal oùx nouvnänaav ol nadıntal
aurod anoxpıdfvar al Acyov. ëta-
payIncav yap à Tv Jahasaav' To-
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guy rois nadmrals alrol. amoxpidels
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axwv ötı ’Inaoüg kotiv, AdeAdt, d xû-
PLOG TAPATYYN DO APTOV ÉTSUDAVOV EX
rs Baorhcias abrod. Excov oùv, àdeÀ-
pt. épüc yap Ta nadix Om Terape-
yuéva eioiv évexev Tic SaÂaoon.
(XXxH1)]
Fr. 3. Rev. a.
Stärke dein IIerz mit etwas Brot
00 0 0 0 2 ee ee Tr © + ee € Tr ee + 95 oe
9 9 0 0 2 0 8 ee = 0 + 0 © ee + + ee ee + © + ee
Sprach Andreas
zu seinen kleinen Kindern: «Erhebet
euch.......................
die Jünger aber
konnten nicht sprechen mit Andreas
aus Furcht vor dem Mcere. Andreas
wandte sich zu Jesus, nicht wissend,
dass es Jesus sei, und spricht. zu ihm:
«Bittest du nicht, o mein Bruder, dass
Jesus Christus dich essen lassen
möge von dem Tische im ITimmel-
reiche.?
Habe mit mir ein
wenig Nachsicht, denn ich kann
nicht essen, wenn nicht meine Jün-
ger mit mir essen, da ihr Herz...
aus Fnrcht
Melangos nalntiqnes,. T. X, p. 108.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 573
Then the angel did as the Lord
commanded him. And the Lord said
to Andrew: Arise thou and thy dis-
ciples, and eat bread, ere we go from
land in my ship.
Andrew then said to his disciples:
Let us eat bread. But they could
not speak to him for fear of the sea.
Then Andrew returned and spoke
to the Captain of the ship: O Cap-
tain, may our Lord Jesus Christ do
Thee good in the Kingdom of heav-
en: bear with me a little, for my
disciples do not cat with me because
they are afraid of the sea, and they
are not yet on board.
38
574
Fragment 8.
Bevers.
b. nanToc.............
OF 907 ...........
Me warten on ea]
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Mulanges asiatiques. '. X, p. 104.
DR. 0. VON LENM, [n. 8.1
10
20
30
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tayev Yplv 6 xUplos. vüv oÙv era
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Ancxpıdeis Où 5 "Inooüg elnev To
Avôpéa Ei aAndüs padyıng el Toü
Aeyoptvou ’Inooü, AaAncov Tols padn-
rails aou tas Öuvdpeis ds ÉRCINTEY Ô
GôaoxaAde aou, (va yaipn œbrüv à
Jun xal émAGSwvTat Tèv poßev This
Saasons.
(xxxum]
® Fr. 8. Rev. b.
2 ve 8 8 0 0 0 0 rer hr re 6 ee © ee + ee ee €
Werk, dazu du gesandt worden
bist».
Da sprach Andreas zu seinen
Jüngern:
«Wenn ihr euch fürchtet
2 0 8 8 8 0 Tr © Tr + ee ee ee ee ee ee €
2 0. + 9 0 0 ee ee 0 ee ee ee ee » € 5 © ee + + +
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5e 9 % ee 9 0 0 © me 0 ee ee se ee + e ee ee + oe
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. ss 8 008 0 2 ee ee ee ee ee ee 0e ee ee 0
. 8 0 0 8 0 ee 0e 0 ee ee ee 0 € % ee 0e © ee + ee ee = +
, 8 8 8 8 2 Re 0 te ee 0 ee ee ee 0e ee + ee ù + + + oe
S 0 5 8 D 0 0 Tr 0 ee + ee ee ee + 0 + = ee 0e 0e © +
9 4 0 9 2 Se 5 8e ee ee ee ee ee € 0e 0 ee = ee s ee
. + + 8 8 8 8 ee 0 0 0 0 Tr 0 0e ee + 0
2 6 4 9 2 9 0 0 ee ee e 0 ee © 0 + + = 6 + ee
Da sprach Jesus zu Andreas:
«Wenn du der Jünger Christi bist,
so [befichl] deinen Jüngern, dass
sie aufhören, sich vor dem Meere
zu fürchten.»
Molangos auintiquos. T. X, p. 165.
KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 57
a
The Lord then said to Audrew:
If they are afraid let them remain
on land, and let them wait for thee
here; until thou hast been where
thou wishest to go, and then return
to them.
Then Andrew said to them: o ye,
ıny two disciples, get ye down to
the shore, and abide there until I
have been to where the Lord has
commanded me to go; and I will
return to you. But they said to him:
We will not part from thee; neither
will we transgress the commandment
of God.
Then said the Lord to Andrew:
If thou be the Apostle of Christ,
command them not to fear the sea;
for we must now depart.
576
Fragment 9.
Avers.
QAICH)
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Apeac HHY eco
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. ..ReAA HOT ah...
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OTHOTETOEP . . ..
..MIPATE.......
AND HUA......
Tad ı190%...[o%]
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MÄL.22220..
LR. 0. VON
L. 1. pag. 141.
NXOUTARLEV Yap
CT EpavÉpwgEv
any deorma au-
rod Tok padn-
raie aurcl' xal
anoxpidels Av-
Gpéaç elnev
LENM,
ser Ich habe
gehört, dass Er
seine Wuuder-
kraft den Apo-
steln aufdem Öl-
berge offenbar-
te.» Da sprach
Andreas zu ihm:
«Llöre
In. 5.1
Malau, 1. 1. 161.
we have also
heard concern-
ing you, that He
showed His mir-
acles to His dis-
ciples, on the
Mount of Olives.
Then Andrew
said to him: lea
me, Thou good
man; I will tell
thec what He did
L. 1. pag. 142.
xal ancxpideis Avöpkas
elmev ‘(2 ävdoune 6 Eywv
70 nveüpa TG Erepwrn-
GEWS, Ti me Exmeialeıs;
xai amoxpıdeis 6 Inaoüs
einev OÙx éxmapalu ae
zaura Akywv, Lanta Toù
Asyouévou ’Insoë, aAAd
yalpıı duyn mou xal
ayalderaı, où mövov Ö& N
un, aAAa xai räca urn
N) Axououca Ta Jaupaorx
xoù ’Incoù.
Ile opened the
eyes ofthe blind.
L.1. pag. 162.
Then Andrew said to
Him: But tell menow, also,
why thou inquirest of me
all these things? Wishest
thou to know it in truth,
or wilt thou laugh at me?
And the Lord said to
him: If thou knewest the
joy I feel, thon wouldst
know that I would not
laugh at thee; on the
contrary, I too rejoice,
and am glad with those
who make mention of the
name of Christ.
Diese Zeilen lassen keine Übersetzung zu; nur muss diese Stelle wohl
der aus dem griechischen und aethiopischen Texte angeführten Stelle ent-
sprochen haben; als Anhaltspunkte dafür dienen die Wörter nıpaze
—
—
maple und [oran rıdı = n&oa Quyn. — Die Rückseite dieses Frag-
mentes ist unleserlich.
| Melunges auiatiquos. T. X, p. 166.
(xxxı)]| KOPTISCHB ATUKRYPHÉ APOSTELAUTEN. 577
Erläuterungen.
Obgleich im koptischen und griechischen Texte stets maeïac, resp.
Mardeias steht, habe ich in der Überschrift Matthäus gesetzt. maeıac,
resp. Mat$eix; beruht auf einer Verwechselung mit Mardatos. Vergl. dazu
die Ausführungen bei Lipsius, 1. 1., II, 2-te Hälfte, pag. 135 ff.
Fragm. 6. Rev. b.. 28 — 31. — [wars] neske[A ehaA] ou ner-
CAD ..... QUMEOAÀ! . . ... «sie rissen ihnen die Augen aus mit ihrem
Bohrer ..... mit dem Zaubermittel . . . . .». Vergl. dazu das Martyrium
des h. Anub#): o509 ageporimn ticap à es AoËyy HXPOM : AUYITOT
esosn eneqfaA aqyeporoit Muwor mare iaNAor Hire neqan
bopn ehoA ticeges eneqx12 «Und er (Cyprianus) liess zwei feuerglühende
Bohrer*) bringen und stach sie in seine (Anub’s) Augen; er liess sie drehen,
bis die Pupillen seiner Augen heraustraten und in seine Hände fielen». —
AYOPOTAMONT MHATIOC ANA ANOTÉ HCELUTOY HIMLEN MEUCOI ces Mi
ibentonron ) ibensus es AOËY HOTXPHOM HCeTOPTHPOT esorsn Sen
neqeoma à esorn Sen neqhan À ıyarorı ea Sen neqmost «Er
(Armenius) liess den heiligen Apa Anub greifen und ihn auf seinen Rücken
legen; man brachte 10 glühende eiserne Nägel und bohrte sie in seinen
Leib; zwei in seine beiden Augen, bis sic aus ilıreu Höhlen heraustraten».
Martyrium des h. Epime: ageposını norujfizx them ecAoßkuy
EXPOM : HCegITg Sort enegmamyx Nova!) «Er liess ein glühen-
des eisernes Messer °?) bringen und es in sein rechtes Ohr stechen».
Märtyrer von Kark?&ä®): «Auch machten sie Nägel glühend und
stachen sie in die Pupillen ihrer Augen».
Fragm. 7. Av. a. I. 16 — 19. — [nor s]uc nexpe su[er uno scan
[na njim ergurg - [urijoseon eco «O Herr Jesu Christe, um dessent-
willen wir alle Dinge verlassen haben und Ihm nachgefolgt sind». Zu dieser
_— — un mm ni
48) Georgi, De miraculis S. Coluthi etc. pag. LXXIII u. LXXXIT.
49) cap bedeutet ohne Zweifel «Bohrer», da es in Samanntıdi’s Scala durch all
wiedergegeben und unter den Werkzeugen eines Zimmermanncs aufgeführt wird, bei Kircher,
Lingua Acgyptiaca restituta. Romac 1643. pag. 123.
50) epeittonson scheint für beponson, was etwas weiter im Texte folgt, verschrie-
ben zu scin; letzteres ist das griech. TEPOVIOV. Vergl. Sophocles, Lexicon s. v.
51) Georgi, 1. 1. pag. LXXX.
52) wyAs>e wird in der Scala unter den Werkzeugen eines Fleischers aufgeführt und mit
3.J) übersetzt.
53) Auszüge aus syrischen Acten persischer Märtyrer übersetzt von Georg Hoffmann.
Leipzig, 1880. pag. 65. [Abhandlungen für die Kunde des Morgenlandes. VII Band. X 3.)
Mélanges asiatiques. T. X, p. 167.
578 DK. 0. VON LÉMM, In. 8. 1
Stelle vergl. man Matth. 19, 27. rore agorowk n91 nerpoc eq
MMOC HàY 2€ CIC HHHTE AMON NRA HRA HMIM MOON ANOTAQN NER.
Tore anoxpdels 6 [lérpos elmev at, ’Idou, Met apnxauev navra, xal NxoÄou-
Incautv co.
Fragm. 7. Av. b. 1. 11. — we mgaos a26 Tage». — Im koptischen
Texte ist immer von 26 Tagen die Rede, wugegen der griechische Text
immer von 27 Tagen spricht. Das koptische we beruht offenbar auf einer
Verwechselung mit «3. Merkwürdiger Weise spricht der aethiopische Text
an dieser Stelle nur von 10 Tagen, während er an den übrigen Stellen wie
im Griechischen stets von 27 Tagen spricht.
Fragm. 8. Av. b. 1. 4— 11. e[wxe] ererurameas[iy mue li: moy
nexmiuTefn 95] Tepısı ovae ger o[ 2e] gamer pn wur... wa egAnı
ETAR eT..... mneAßıtgz nemn[Ten] 91 Tepın. «Wenn ihr prediget,
nehmet nicht Gold mit auf den Weg, noch Silber, noch Erz in euren [Gür-
teln], selbst kein Brot führet mit euch auf dem \Wege!» Vergl. dazu folgende
Bibelstellen:
Ev. Matth. 10, 9 — 19.
MUP 220 MATH HOT-
noch O1AE OTHaT
072. € DOMNHT HN HETN-
MOX QU : OTAE pa
eregin CFA UTHN
ECHTE OTAE OTTOOTE
02€ OTTepwA.
Mn xtnonode ypuoèv,
pnèe &pyupov, anse Aa h-
xÔv Eis Tas Cwvas Uu@v,
Km Thpav eis öödv, LLMÔË
Lo yYırWvas, mot Uno-
önnara, ndë bafdov.
Ev. Marc. 6, 8. 9.
0709 Aygongen 1W0T
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BOT MMATATYE 072€
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Die von Lipsius ausgesprochene Ansicht, dass die Acten des Bartho-
lomäus und Andreas «nach dem Vorbilde älterer Acten, insbesondere der
Mélanges asiatiquos. T. X, p. 168.
(xxx 111) | KOPTISCHR APOKRYPIIR APOSTRLACTEN. 579
Acten des Andreas und Matthäus (nicht Matthias) gearbeitet» seien °*),
findet auch in unseren Fragmenten ihre Bestätigung; besonders deutlich
sieht man den Zusammenhang dieser Acten aus dem Abschnitte, welcher die
Geschichte mit dem Schiffe enthält; häufig decken sich sogar die Ausdriicke
in diesen beiden Acten. Man vergleiche z. B. folgende Sätze.
Andreas und Matthäus.
Hran ar sten[masırste] Tyan
tern] emiue erenne.....e[A]a7
«Du mit deinen Jüngern, ich bin
mit dir an den Orten, wo du hin-
gehn wirst».
Tiie[rennaos] wardalı mtaı]-
Apeac [xelhenrr [ehjaA om
[nesne] men nu eT[bne]éuros
MER [om] HETERÀ -
«Ich werde den Andreas zu dir sen-
den, damit er dich aus diesem Orte
herausführe und diejenigen, welche
er mit dir im Gefängniss finden
wird».
TOOFT H[wuñen] Mn nenmaelit-
Tue] 3AnF nnnor [nuu]mer:
«Erhebe dich früh morgens mit
(deinen Jiingern und gehe mit ihnen.
—
ATS A n[eXpe] Tpe or Ar yo-
[sis] aßei necnar nfnos]nnne -
agbı ııneacteAloc & neuleu]
e[vlasnnecua[r nyer]Awmı er-
gemal[e ou nass ebuanr:
«Und Christus liess ein Schiff
entstehn und Er hatte die Gestalt
eines Schiffers und führte bei sich
zwei andere Engel in Menschenge-
stalt, welche auf dem Schiffe, wel-
ches landete, sassen».
——— in un de — m.
64) Lipsins, 1. 1. 11. 2° Hälfte. pag. 89.
Molnngen aniatiqnas. 1. X, p. 199.
Bartholomäus und Andreas.
Guidi, 1. 1., pag. 178.
TOR NOHT MRePPO0Te RE Tyoon
MMA
«Sci stark, fürchte dich nicht, ich
bin mit dir».
EICHHHTE Fra 007 WAPOR tan-
Apeac TATpeqzıtn ernoÄsc eT-
MMAT -
«Siehe, ich werde den Andreas zu
dir senden, damit er dich in jene
Stadt führe».
TWOFN HUB EOPAI eTe......
.. MI. ..€
«Erhebe dich und gehe....
1. 1., pag. 180.
ETES ETWARE MH METEPHT - Me-
pe 122017 MOOUE EPOOT ROTI ROTI
+ epe Ic TAÄHT ePOY MIECMOT
torneef.
«Während sie mit einander rede-
ten, kam das Schiff allmählich an sie
heran; auf demselben befand sich
Christns in der Gestalt eines Schif-
fers».
580 DR. 0. VON LEMM, [n. 8. 1
Besondere Beachtung verdient der zuletzt angeführte Abschnitt der
Acten des Andreas und Matthäus.
Es findet sich nämlich in dem von Besa oder Wisa (Auca) verfassten
Leben des heiligen Schenuti eine Stelle, die zweifellos auf unsere Acten zu-
rückgeht. Der Verfasser der Vita S. Senuthii ward nicht müde das Leben
seines geliebten Meisters mit wunderbaren Geschichten aller Art auszu-
schmücken; und dabei schöpfte er nicht nur aus der Überlieferung der älte-
sten heidnischen Zeiten, wie das Am&lineau gezeigt hat°®), sondern wie
aus dem Vergleiche des unten angeführten Abschnittes aus Schenuti’s Leben
- mit unseren Apostelacten hervorgelit auch aus der christlichen Legende,
wobei die Möglichkeit nicht ausgeschlossen bleibt, dass dieser Erzählung
vielleicht auch ein altaegyptisches Vorbild zu Grunde liege.
L.1. pag. 16.
ACHONI 2€ ON NOTEHOOT EJQEMCI HAE TENIUT Ama wenort SaTen
ASRO MNETPA HEOY HEM MEHOT SC IXC EFCARI HEM MOTEPHOT.
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COTR.OS EGEPOUT MHAIMA- 0509 nexe HOT tag me Fıraf MRAQ
HOHT HAR AN @ HACWTN WEHOTT 0709 Ayıne ehoA HIToTy - Mererca
OTROTRI 26 à TIMA MOQ MMWOT HITEH POTAHCAINI MAIS HMIOTP-
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RESTTEAOC ON ETOS MICMOT HORNRENEZ Agep9@T WJATELPWO Epit-
ceoTab ana WenorTT egopr EPATY EGUA HA.
«Es geschah eines Tages, dass unser Vater Apa Schenuti auf einem
Felsenstücke sass und er und unser IIerr Jesus Christus mit einander rede-
ten. Da sprach mein Vater der Prophet zu Ihm also: «Mein Ilerr! Ich
wünsche an diesem Orte ein Schiff fahren zu sehn». Und der Ilerr sprach
zu ihm: alch werde dich nicht betrüben, o mein auserwählter Schenuti!»
Und Er entwich von ihm. In Kurzem füllte sich die Stelle mit Wasser auf
das Geheiss Gottes des Demiurgen und Er liess das Schiff entstehn und
auf der Tiefe des Wassers, das entstanden war, fahren. Und der Herr
selbst war in der Gestalt des grossen Schiffers (Capitäns) und
die Engel waren gleichfalls in der Gestalt von anderen Schiffern.
Und Er fuhr bis Er den heiligen Apa Schenuti erreicht hatte, welcher da
stand und betete».
65) Monuments pour servir à Phistoire de V’iögypte chrétienne aux IV-e et V-e siècles,
pag. 1,XX suiv. [ = Mcinoires publiés par les membres de la Mission archéologique française
au Caire. Tome IV. Paris, 1888.]
Mélanges nsiatiquos. T. X, p. 170.
(xxx) | KOPTISCHE APOKRYPHE APOSTELACTEN. 581
Es ist hier genau dieselbe Geschichte wie in unseren Acten und der
Umstand, dass Besa diese Acten gekannt haben muss, ist in bestimmter
Hinsicht von Bedeutung. Wir gewinnen nämlich dadurch das unzweifelhafte
Resultat, dass diese Acten nicht später als im 4-ten Jahrhundert entstanden
sind, da wir genau wissen, wann Schenuti lebte. Er wurde geboren im
Jahre 333 und starb 451°%). Wenn nun Besa im 5-ten Jahrhundert schrieb,
so werden diese Acten schwerlich erst im 5-ten Jahrhundert entstanden sein.
Berichtigung.
Fragm. 7. Av. a. I. 19 ist für econ — eco, u. 1. 20 für nran —
ıraß zu lesen. Dementsprechend ist in der Übersetzung «Ihm,» und «Er...
ist» zu lesen.
I)
56) Amélineau, I. 1., pag. LXXXIX n. XCIII. — Ders., Les moines égyptiens. Vie de
Schnoudi. Paris, 1889, pagg. 13 und 868.
Para le 12 novembre 1890.
88*
Supplément au Bulletin de l Acad. Imp. des Sc.
ÉTAT DU PERSONNEL
DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES
AU 1 OCTOBRE 1890.
A. CONFÉRENCE ACADÉMIQUE.
Président, Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Constantin
Constantinovitch. 1889.
Vice-Président, Académ. Ord., conseiller privé actuel J. Grot. 1889.
Secrétaire Perpétuel, Académ. Ord., cons. d’état act. A. Strauch. 1890.
MEMBRES EFFECTIFS DE L’ACADÉMIE.
1. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE.
Mathématiques pures: Académ. Ord., cons. d'état act. B. Imchénetzky.
1881.
—— Académ. Extraord., cons. de collège A. Markof. 1886.
Mathématiques appliquées: Académ. Ord., cons. privé P. Tchébychef.
1853.
Astronomie: Académ. Ord., cons. d’état O. Backlund. 1883.
Académ. Ord., cons. privé Th. Bredikhine. 1890.
Physique: Académ. Ord., cons. d'état act. H. Wild. 1868.
Académ. Extraord., général d'artillerie A. Gadoline. 1875.
Chimie: Académ. Ord., cons. privé N. Békétof. 1886.
— 9 —
Technologie et chimie appliquée aux arts et métiers: Académ. Ord., cons.
d'état act. Th. Beilstein. 1886.
Mineralogie: Acad&m. Ord., cons. prive N. Kokcharof. 1855.
Géognosie et Paléontologie: Académ. Ord., cons. d’état act. Fr. Schmidt.
1872.
—— Académ. Extraord., cons. d’état act. A. Karpinsky. 1886.
Botanique: Académ. Ord., cons. privé Ch. Maximovicz. 1865.
Acad. Extraord., cons. d’état act. A. Famintzine. 1878.
Zoologie: Académ. Ord., cons. privé L. de Schrenck. 1862.
Académ. Ord., cons. d’état act. A. Strauch. (Secrétaire Perpétuel).
1867.
—— Académ. Ord., cons. d’état act. A. Kowalewsky. 1890.
—— Adjoint, cons. titulaire Th. Pleske. 1890.
Anatomie comparée et physiologie: Académ. Ord., cons. privé Ph. Ovsian-
nikof. 1862.
Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES.
Académ. Ord., cons. privé actuel J. Grot, Président de la Classe (Vice-
Président). 1855.
Académ. Ord., cons. privé Th. Bouslaéf, à Moscou, 1860.
Académ. Ord., cons. privé actuel A. Bytchkof. 1866.
Académ. Ord., cons. privé M. Soukhomlinof. 1872.
Académ. Ord., cons. d'état act. A. Vessélofsky. 1877.
Académ. Ord., cons. d’état act. J. Jagié, à Vienne. 1880.
Académ. Ord., cons. d’état act. N. Tikhonravof, à Moscou. 1890.
Académ. Ord., cons. d’état act. C. Bestoujef-Rioumine. 1890.
Académ. Ord., cons. privé N. Lavrofsky, à Riga. 1890.
Académ. Extraord. cons. d’état act. L. Maïkof. 1889.
I. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
Statistique et Économie Politique: Académ. Ord., cons. privé actuel C. Vessé-
lofsky. 1852.
—— Académ. Ord., cons. privé actuel N. Bunge. 1890.
Histoire et Antiquités russes: Académ. Ord., cons. d'état act. B. Wassilief-
sky. 1890.
-- — Académ. Extraord., cons. d’&tat actuel E. Kunik. 1844.
Académ. Extraord., général-lieutenant N. Doubrovine. 1887.
— 3 —
Philologie et Archéologie classiques: Académ. Ord., cons. privé A. Nauck.
1858.
——— Adjoint, cons. d’état act. P. Nikitine. 1888.
Litterature et Histoire des peuples asiatiques: Académ. Ord., cons. privé
O. Böthlingk, à Leipzig. 1842.
—— Académ. Ord., cons. d’etat actuel W. Radloff. 1884.
—— Academ. Ord., cons. privé B. Wassilief. 1886.
—— Academ. Extraord., cons. de collège Ch. Salemann. 1886.
B. MEMBRES HONORAIRES.
Sa Majesté l'Empereur Alexandre III. 1865.
Son Altesse Impériale, le Césarévitch Grand-Duc Iléritier Nicolas. 1876.
Son Altessé Impériale Monseigneur le Grand-Duc Wladimir. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Alexis. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Serge. 1876.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Paul. 1886.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Constantin père. 1844.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Constantin fils. 1887.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Nicolas père. 1855.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Michel. 1855.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Romanovsky Duc Nicolas
de Leuchtenberg. 1865.
Sa Majesté Don Pedro II, Empereur du Brésil. 1876.
Son Altesse Nicolas I, Prince de Monténégro. 1889.
Mgr. le métropolitain Isidore. 1857.
MM. le conseiller privé actuel Hoube. 1857.
le conseiller privé actuel Kerbedz. 1858.
le conseiller privé actuel comte Delianof. 1859.
le conseiller privé A. Th. de Middendorff. 1865.
l’aide-de-camp général comte Milioutine. 1866.
l'amiral S. Zelenoï. 1873.
le conseiller privé P. Sémenof. 1873.
le conseiller privé actuel Abaza. 1876.
le conseiller privé actuel N. de Giers. 1876.
le conseiller privé prince Lobanof-Rostofsky. 1876.
— 4 —
MM. le conseiller privé Kotchoubey. 1876.
P. A. Tchikhatchef. 1876.
le conseiller privé actuel baron Buehler, à Moscou. 1878.
l’aide-de-camp général Possiet. 1879.
le conseiller privé actuel Pobédonostzef. 1880.
le conseiller privé Sabourof. 1880.
le conseiller privé actuel baron A. Nicolai. 1881.
le conseiller privé D. Rovinsky. 1883.
. le général-lieutenant Wésélago. 1884.
le conseiller d'état actuel Bidder, à Dorpat. 1884.
le conseiller privé actuel A. Polowtzof. 1884.
l’aide-de-camp général de Kaufmann, 1885.
le conseiller privé actuel Zdekauer. 1885.
le conseiller privé Zakhariine, à Moscou. 1885.
le conseiller privé actuel Ostrowsky. 1886.
le comte A. de Keyserling, à Reval. 1887.
l’aide-de-camp général Wannofsky. 1888.
le conseiller privé actuel Wychnégradsky. 1888.
l’aide-de-camp général Obroutschef. 1888.
Mgr. le métropolitain Platon. 1889.
l’Archev&que Nicanor. 1889.
MM. le conseiller priv& A. de Hubbenet. 1889.
le conseiller privé baron Osten-Sacken. 1889.
le marquis de Pietra Catella, à Naples. 1846.
le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858.
le comte Moltke, à Berlin. 1871.
de Lesseps, membre de l’Institut, à Paris. 1876.
C. MEMBRES-CORRESPONDANTS.
I. CLASSE PHYSICO-MATHEMATIQUE.
1. SECTION MATIIÉMATIQUE.
MM. Lorenz-Leo Li ndelüf, à Helsingfors. 1868.
le conseiller privé Döllen, à Poulkova. 1871.
le général d'artillerie Maïefsky, à St.-Pötersbourg. 1878.
—_ 5 —
MM. le général-lieutenant Stebnitzky, à St-Pétersbourg. 1878.
MM.
MM.
le conseiller d’&tat Yermakof, à Kief. 1884.
le conseiller d’état Andréïef, à Kharkof. 1884.
———
Airy, à Greenwich. 1840.
Hermite, à Paris. 1857.
Bertrand, à Paris. 1859.
Kummer, & Berlin. 1862.
Winnecke, & Strasbourg. 1864.
Weierstrass, & Berlin. 1864.
Adams, à Cambridge. 1864.
Ross-Clarke, à Southhampton. 1867.
Cayley, & Cambridge. 1870.
Kronecker, à Berlin. 1872.
Sylvester, & Londres. 1872.
Auwers, & Berlin. 1873.
Schiaparelli, & Milan. 1874.
Newcomb, à Washington. 1875.
Gould, & Cordoba (Rep. Argent.). 1875.
Hind, & Londres. 1878.
Asaph Hall, à Washington. 1880.
Catalan, à Liege. 1881.
Gylden, & Stockholm. 1882.
Tissérand, à Paris. 1883.
Brioschi, à Rome. 1884.
Repsold, & Hambourg. 1885.
D. Gill, au Cap de Bonne Esperance. 1885.
Sophie Kowalewsky, & Stockholm. 1889.
Maurice Loewy, & Paris. 1889.
2. SECTION PIIYSIQUE.
le conseiller d’état actuel Ch. Schmidt, à Dorpat. 1873.
le conseiller privé Yerémeïef, à St-Pétersbourg. 1875.
le conseiller d’état actuel Mendéleïef, à St.-Pétersbourg. 1876.
le conseiller d’état actuel d’Oettingen, à Dorpat. 1876.
le conseiller d'état actuel Avenarius, à Kief. 1876.
le conseiller d’état actuel Lenz, à St.-Pétersbourg. 1876.
—6 —
MM. le conseiller d’état actuel Henri Struve, à Tiflis. 1876.
le conseiller privé Möller, à St-Pétersbourg. 1883.
le conseiller d'état actuel Zaïtzef, à Kazan. 1885.
MM. Neumann, à Königsberg. 1838.
MM.
Weber, à Goettingue. 1853.
Frémy, à Paris. 1856.
Hofmann, à Berlin. 1857.
Dana, à New-Haven. 1858.
Daubrée, à Paris. 1861.
Bunsen, à Heidelberg. 1862.
Des Cloiseaux, à Paris. 1871.
Cahours, à Paris. 1873.
Römer, à Breslau. 1874.
Berthelot, à Paris. 1876.
Frankland, à Londres. 1876.
Beyrich, à Berlin. 1876.
Damour, à Paris. 1876.
Sir William Thomson, à Glasgow. 1877.
le baron Nordenskjöld, à Stockholm. 1879.
Werner Siemens, à Berlin. 1882.
Gustave Wiedemann, à Leipzig. 1883.
P. Groth, à Münich. 1883.
G. Kenngott, à Zurich. 1884.
Gust. Lindström, à Stockholm. 1886.
Kekulé, à Bonn. 1887.
Süss, à Vienne. 1887.
Vict. de Zepharovich, à Prague. 1887.
M. A. Cornu, à Paris. 1888.
A. Kundt, à Berlin. 1888.
Mallard, à Paris. 1888.
E. Mojsisovics de Mojsvär, à Vienne. 1888.
Stanislao Cannizzaro, à Rome. 1889.
3. SECTION BIOLOGIQUE.
le conseiller privé Mercklin, à St-Pétersbourg. 1864.
le conseiller d’état actuel Setchénof, à Moscou. 1869.
le conseiller privé Regel, à St-Pétersbourg. 1875.
le conseiller d'état actuel Metchnikof, à Odessa. 1883.
MM.
MM.
MM.
— 7 —
le conseiller d'état Woronine, à St.-Pétersbourg. 1884.
le consciller d’état actuel Radde, à Tiflis. 1884.
le conseiller d’état actuel Ed. Russow, à Dorpat. 1885.
le conseiller d'état Borodine, à St-Pétersbourg. 1887.
le conseiller d’état actuel Th. Köppen, à St.-Pétersbourg. 1889.
Gaimard, à Paris. 1839.
Owen, à Londres. 1839.
Burmeister, à Buenos Ayres. 1855.
Kölliker, à Würzbourg. 1858.
Alf. Decandolle, à Genève. 1858.
Jos. Dalton Hooker, à Londres. 1859.
Hyrtl, à Vienne. 1859.
Lovén, à Stockholm. 1860.
Leuckart, à Leipzig. 1861.
Steenstrup, à Copenhague. 1861.
Huxley, à Londres. 1864.
Naegeli, à Münich. 1865.
Helmholtz, à Berlin. 1868.
Van Beneden, à Louvain. 1869.
E. Weber, à Leipzig. 1869.
Ludwig, à Leipzig. 1871.
Virchow, à Berlin. 1881.
Ludw. Ruetimeyer, à Bâle. 1882.
Alb. Guenther, à Londres. 1882.
L. Ranvier, à Paris. 1882.
L. Pasteur, à Paris. 1884.
R. Koch, à Berlin. 1884.
À. Milne-Edwards, à Paris. 1885.
E. de Martens, à Berlin. 1885.
Ch. Gegenbaur, à Heidelberg. 1885.
G. His, à Leipzig. 1885.
Donders, à Utrecht. 1887.
Ad. Engler, à Breslau. 1888.
H. Baillon, à Paris. 1889.
I. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTERATURE RUSSES. |
le conseiller privé Apollon Maïkof, à St-Pétersbourg. 1853.
le conseiller d'état actuel Gontcharof, à St-Pétersbourg. 1860.
—8 —
MM. le conseiller privé Galakhof, à St.-Pétersbourg. 1868.
l’Archimandrite Amphilochius, à Moscou. 1868.
le conseiller d’état actuel Savvaïtof, à St-Pétersbourg. 1872.
le comte Léon Tolstoï, à Moscou. 1873.
le conseiller d'état actuel Pavlof, à Moscou. 1873.
le conseiller d’état actuel Porfirief, à Kazan. 1873.
le conseiller privé Tchistovitch, à St.-Pétersbourg. 1874.
le conseiller d'état Potebnia, à Kharkof. 1875.
l’Archimandrite Léonide, à la Laure de la S° Trinité près Moscou.
1882.
le conseiller d’&tat actuel Boudilovitch, à Varsovie. 1882.
le conseiller privé Boulitch, à Kazan. 1883.
le conseiller d’état actuel Jacques Polonsky, à St-Pétersbourg. 1886.
le conseiller d'état actuel Athanase Chenchine (Fet). 1886.
le conseiller d’état actuel Grigorovitch, à St.-Pétersbourg. 1888.
le conseiller d'état actuel Strakhof, à St-Pétersbourg. 1889.
MM. Mikioëié, à Vienne. 1856.
Hattala, à Prague. 1862.
Raëki, à Agram. 1869.
Emler, à Prague. 1876.
Novakovié, à Belgrade. 1876.
Leskien, à Leipzig. 1876.
Rambaud, à Paris. 1876.
Milan Milièevië, à Belgrade. 1877.
Patera, à Prague. 1877.
Tomek, à Prague. 1878.
Nehring, à Breslau. 1881.
Matkovië, à Agram. 1882.
Guillaume Tomaschek, à Gratz. 1883.
HäSdeü, à Bucarest. 1883.
L. Léger, à Paris. 1884.
Dr. Gr. Krek, à Gratz. 1887.
C. Jireëek, à Prague. 1888.
Vicomte E. M. de Vogué, à Paris. 1889.
A. Brueckner, à Berlin. 1889.
P. Boudmani, à Agram. 1889.
— 9 —
I. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
1. SECTION HISTORICO-POLITIQUE.
MM. le conseiller d'état actuel Skalkovsky, à Odessa. 1856.
MM.
MM.
le conseiller privé Eugène Lamansky, à St. Pétersbourg. 1859.
le conseiller d'état Goloubinsky, à Moscou. 1882.
le conseillar d’état actuel Nilus Popof, à Moscou. 1883.
le conseiller d’etat actuel Za béline, à Moscou. 1884.
le général-lieutenant Henri Leer, à St.-Pétersbourg. 1887.
le conseiller d’etat actuel A. Tchouprof, à Moscou. 1887.
le conseiller d’état actuel G. Zamyslofsky, à St.-Pétersbourg. 1888.
le conseiller d’état actuel B. Klioutchefsky, à Moscou. 1889.
Zachariae de Lingenthal, près Mersebourg. 1856.
Renan, à Paris. 1860.
Schirren, à Kiel. 1864.
Michaclis, à Berlin. 1868.
A. Maury, à Paris. 1872.
E. Freeman, & Oxford. 1875.
Ferd. Hirsch, & Berlin. 1877.
H. Jiredek, à Vienne. 1882.
F. Loeher, & Munich. 1884.
Soph. Mueller, à Copenhague. 1885.
L. Bodio, à Rome. 1886.
J. Caro, à Breslau. 1886.
G. Molinari, à Paris. 1887.
P. Leroy Beaulieu, à Paris. 1888.
9. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET D’ARCIIKOLOGIE.
Wieseler, à Göttingue. 1856.
Brunn, à Munich. 1861.
Mueller, à Copenhague. 1867.
H. Sauppe, à Göttingue. 1874.
Ad. Kirchhoff, à Berlin. 1876.
Helbig, à Rome. 1876.
Newton, à Londres. 1876.
Fiorelli, à Naples. 1876.
Chr. Froehner, à Paris. 1877.
1*
MM.
MM.
MM.
— 10 —
Henr. Keil, à Halle. 1877.
A. Rhangabé, à Berlin. 1878.
H. Weil, à Paris. 1882.
Th. Gomperz, à Vienne. 1883.
Fr. Buecheler, & Bonn. 1886.
H. Usener, & Bonn. 1886.
S. A. Naber, à Amsterdam. 1887.
H. van Herwerden, & Utrecht. 1887.
M. Hertz, à Breslau. 1888.
8. SECTION DES LETTRES ORIENTALES.
le conseiller d’état actuel Chwolson, à St.-Pétersbourg. 1858.
le conseiller d'état actuel Ilminsky, à Kazan. 1870.
le conseiller d’état actuel Gottwald, à Kazan. 1870.
R. Roth, à Tubingue. 1855.
À. Weber, à Berlin. 1860.
F. Spiegel, à Erlangen. 1870.
H. F. Wuestenfeld, à Göttingue. 1874.
F. Neve, & Louvain. 1875.
H. Kern, à Leyde. 1876.
Edw. Thomas, à Londres. 1879.
Th. Noeldeke, à Strasbourg. 1885.
Ch. Schéfer, à Paris. 1885.
J. De Goeje, à Leyde. 1886.
H. Brugsch, à Berlin. 1887.
le marquis J. Z. d’Hervey de Saint Denys, à Paris. 1888.
E. Sachau, à Berlin. 1888.
R. G. Bhandarkar, à Poonah dans la présidence de Bombay. 1888.
4. SECTION DE LINGUISTIQUE.
W. Whitney, à New-Haven. 1875.
Ascoli, à Milan. 1876.
Budenz, à Buda-Pest. 1876.
Jules Oppert, à Paris. 1883.
| | —n
VIIL.
XII.
— 11 —
D. APPARTENANCES SCIENTIFIQUES.
. Bibliothèque.
1j" Section (Livres en langue russe et dialectes slaves). Biblio-
thécaire: M. l’académicien Kunik. Aides: MM. Lambine,
Orlof, Sirkou.
9ème Section (Livres en langues étrangères). Bibliothécaire: M. l’aca-
démicien Salemann. Aides: MM. Fuss, Enmann et
Peters.
. Cabinet de Physique. Directeur: M. l’académicien Wild. Aide: M.
Chwolson.
. Laboratoire chimique. Directeurs: MM. les académiciens Békétof et
Beilstein. Aides: MM. Krakau et Grosset.
. Musée minéralogique. Directeur: M. l’académicien Schmidt. Con-
servateur: M. le baron de Toll.
. Musée botanique. Directeur: M. l’académicien Maximovicz. Conser-
vateur: M. Meinshausen.
. Laboratoire botanique. Directeur: M. l’académicien Famintzine.
Aide: M, Iwanofsky.
. Musée zoologique. Directeur: M. l’académicien Strauch. Conser-
vateurs: MM. Herzenstein, Buechner, Bianchi et Schalféew.
Préparateurs: MM. Ananof, Désiatof, Firley et Prikhodko.
Laboratoire physiologique. Directeur: M. l’acad&micien Ovsiannikof.
Aide: M. Féoktistof.
. Musée asiatique. Directeur: M. l’académicien Salemann. Conser-
vateur: M. Lemm.
. Musée d'archéologie classique. Directeur: M. l’adjoint Nikitine. Con-
servateur: M. Kieseritzky.
. Cabinet numismatique russe. Directeur: M. l’académicien Kunik.
. Musée éthnographique et anthropologique. Directeur: M. l’académicien
de Schrenck. Conservateur: M. Russow.
Observatoire physique central. Directeur: M. l’académicien Wild.
Aide: MM. Rykatschef. Secrétaire: M. J. Kiersnowsky. In-
specteur des stations météorologiques: M. Schönrock. Physiciens:
MM. Bergmann, Berg, Friedrichs, Sresnewsky, Br. Kiers-
nowsky. Observateurs: MM. Hlassek et Neumann. Calculateurs:
MM. Kaminsky, Harnack, Séménnikof. Adjoints: MM. Simi-
khof et Néander. Intendant: M. Pern. Mecanicien: M. Frei-
berg.
— 19 —
XIV. Observatoire magnétique et météorologique à Pavlovsk. Chef: M. Leyst.
Physicien: M. Dubinsky. Observateurs: MM. Bergsträsser,
Godmann, Schukewitsch.
XV. Observatoire physique à Tiflis. Directeur: M. Mielberg. Aide:
M. Assafrey. Observateurs: MM. Wosnessensky et Iliine.
XVI. Observatoire magnétique et météorologique a Yekatérinbourg. Directeur:
M. Abels. Aide: M. Müller. Observateurs: MM. Maseine,
Korowine, Golenef, Ismosheref et Morosof.
XVII. Observatoire magnétique et météorolugique a Irkoutsk. Directeur: M.
Stelling. Aide: M. Rosenthal. Observateurs: MM. Broden-
feldt, Kossowitch et Liebhardt.
E COMITÉ ADMINISTRATIF DE L'ACADÉMIE
Mgr. le Président.
Mr. le Vice-Président.
Membres du comité: délégué de la classe physico-mathématique M. l’acadé-
micien Strauch,— de la classe de la langue et de la littérature
russes M. l’académicien Soukhomlinof et — de la classe
historico-philologique M. lacadémicien Radloff,
Conseillers, préposés aux écritures: MM. Lange et Yakowlef.
F. CHANCELLERIE DE LA CONFÉRENCE DE L’ACADEMIE.
Chef de bureau et translateur: M. Stein; Sous-chef de bureau: M. Kaléri.
Archiviste et gérant du dépôt des éditions académiques: M.
Schemiot.
Commissionnaires de l’Académie pour la vente de ses publications:
J. Glazounof, Eggers & C°, à St.-Pétersbourg.
N. Kymmel, à Riga.
Voss’ Sortiment (G. Haessel), à Leipzig.
af
m.
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1995
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