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BULLETIN
DE
L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE
S'-PÉTERSBOURG.
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TOME DOUZIEME.
(Avec 10 Planches.)
Sr.-PÉTERSBOURG, 1868.
Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences:
à St-Pétersbourg. à Riga, à Leipzig.
D er er ne M. Samuel Schmidt, M. Léopold Voss.
Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'étranger.
Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences.
Mars 1868. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel.
Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, \ 12.)
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES.
MATHÉMATIQUES.
Ferd. Minding, Démonstration d’un théorème de statique. 233 — 239.
ASTRONOMIE.
0. Struve, Résultats de quelques observations supplémentaires faites
sur des étoiles doubles artificielles. Troisième note. 73 — 95.
V, Fuss, Observations de la Comète Faye-Müller, faites au moyen
du refracteur de Poulkovo pendant les années 1865 et 1866.
108 — 113.
W., Dôüllen, Propositions pour le perfectionnement des instruments
à miroir. 125 — 143.
A. Wagner, Oscillation extraordinaire du niveau, observée à Poul-
kovo. 231 — 233.
H. Gyldén, Sur une formule général pour le calcul de la réfraction.
474 — 480,
PHYSIQUE.
L. Danckwerth, Appareil d’induction électro - électrique à double
effet. 57 — 60.
A. Moritz, L’éclipse solaire du 6 mars 1867. (Avec une Planche.)
143 — 152.
B, Jacobi, Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés dans
la fabrique royale néerlandaise d’orfévrerie de M. van Kem-
pen à Voorschoten, présenté à la Commission impériale de
l'Exposition universelle de 1867 à Paris. 563 — 578,
CHIMIE.
J, Fritzsche, Sur l’anthracène de M. Berthelot. 152 — 154.
À, Engelhardt, Composition chimique des bois et des ossements fos-
siles des terrains crayeux de la Russie. 394 — 418.
P. Alexeyeff, Sur l’azobensid. 480 — 481.
F. Beïlstein et À, Kuhlberg, Sur les bi- et trichlortoluols isomères.
547 — 563.
GÉOLOGIE..
C. Schmidt, Recherches hydrologiques. II. Eaux ferrugineuses de
Stolypin. 1 — 17.
G, Helmersen, La houille de la Russie centrale, son importance et
son avenir. 372 — 394.
— Rapport sur un mémoire de M. Gocbel concernant l’industrie
minière qui a existée jadis sur la côté l’appone (mer Blanche).
465 — 471.
BOTANIQUE.
A, Famintzin et J. Baranetzki, Sur l’évolution des Gonidies et la
formation des Zoospores, observées dans la Physcia parietina.
Communication préalable. 55 — 57.
C, J. Maximowiez, Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Japon
et de la Mandjourie. 4°, 5° et 6° décades. 60—73 et 225—9231.
A, Famintzin, Action de la lumière sur la Spirogyra. (Avec une
Planche.) 97 — 180.
A. Famintzin et J. Borodin, De la formation transitoire de l’amidon
dans le bouleau. 113 — 119.
El. Borscow, Action des rayons rouges et bleus de la lumière sur
la plasma liquide contenue dans les poils piquants de l’ortie.
212 — 295.
— Action des rayons rouges de la lumière sur la chlorophylle
des Spirogyres. 239 — 247.
— Action du protoxyde d’azote sur les plantes. 303 — 311.
J. Baranetzki, Observations biologiques sur les gonidies des lichens
418 — 431.
J. Borodin, Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec
une Planche.) 432 — 447.
ZOOLOGIE.
J. F. Weisse, Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux
Planches.) 120 — 125.
J. F. Brandt, Qnelques mots sur la configuration du cerveau des
Sireniens. 269 — 270.
Ph, Owsjannikow, Sur le système central nerveux d'Amphioxus lan-
ceolatus. (Avec une Planche.) 287 — 302.
Dr. À. Strauch, Remarques sur le genre Scapteira Fitz. 313 — 328.
J. Knoch, De l’existence du Cysticereus Taeniae medio-canellatae
dans les muscles des animaux de la race bovine. 346 — 359.
Dr. A. Strauch, Sur le genre Ablepharus. 359 — 371.
J. F. Brandt, Quelques mots concernants une nouvelle représenta-
tion figurée de la Rhytina Stelleri. 457 — 458.
— Rapport sur la seconde et la troisième parties des études sire-
nologiques. 471 — 474.
ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE.
MM. Zabeline et Dorogof, Influence du chlorure de sodium sur l’ab-
sorption du phosphate de chaux tribasique. 161 — 165.
MM. Zabeline et Wassilewsky, Influence du chlorure de sodium sur
l'absorption du fer métallique. 164 — 165.
W. Gruber, Sur les écarts de la Vena jugularis externa poslerior.
247 — 253,
37*
IV
E, Pelikan, Paralysie locale produite par le Saponin et les poisons
semblables (Githagin, Senegin etc.) 253 — 259.
W. Gruber, Sur les variétés du muscle brachialis internus. 259—269.
— Sur les variétés du muscle brachio-radialis. (Avec une Planche.)
277 — 287.
Dr. Woronichin, Infiuence des chlorures de potassium et de sodium
sur l'absorption du fer métallique par l'organisme animal et
sur l’excrétion du fer. 311 — 315.
W, Gruber, Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo-
anconeus des mammifères. 829 — 335.
— Sur les variétés du muscle radialis internus brevis. (Avec une
Planche.) 335 — 346.
— Second supplément au mémoire sur le processus supra condy-
loideus (internus) humeri de l’homme. (Avec une Planche.) 448
— 457.
PHILOLOGIE ET HISTOIRE.
M, Brosset, Rapport sur un recueil de documents historiques, publié
par la Commission archéologique du Caucase. 17 — 28.
E. Kunik, Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du solei
et de l’ambre. 28 — 56.
B, Dorn, De Bakou. 165 — 169.
E. Kunik, Rapport sur l’ouvrage de M. Winkelmann, intitulé:
Bibliotheca Livoniae historica. 169 — 179.
A. Schiefner, Contes et légendes ossètes. 180 — 212.
L. Stephani, Parerga archaeologica. XXVI. (Avec une Planche.)
273 — 277.
À, Nauck, Remarques critiques. V. 482 — 546.
Bulletin bibliographique, 95 — 96, 154 —160, 271 — 272, 458 — 464,
578 — 580.
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
AlexeyefF, P. Sur l’azobensid. 480.
Baranetzki, J, et Famintzin. Sur l’évolution des Gonidies et la for-
mation des Zoospores observées dans la Physcia parietina.
Communication préalable. 56.
_— Observations biologiques sur les Gonidies des lichens. 418.
Beilstein, F, et À, Kublberg. Sur les bi- et trichlortoluols isomères.
587.
Borodin, J, et Famintzin, De la formation transitoire de l’amidon
dans le bouleau. 115.
— Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec une
Planche.) 432.
Borscow, El, Action des rayons rouges et bleus de la lumière sur
la plasma liquide contenue dans les poils piquants de lortie. 212.
— Action des rayons rouges de la lumière sur la chlorophylle
des Spirogyres. 239.
— Action du protoxyde d'azote sur les plantes. 305.
Brandt, J. F, Quelques mots sur la configuration du cerveau des
Sireniens. 269.
— Quelques mots conceruants une nouvelle représentation figu-
rée de la Rhytina Stelleri. 457.
— Rapport sur la seconde et la troisième parties des études siré-
nologiques. 471.
Brosset, M. Rapport sur un recueil de documents historiques publié
par la Commission archéologique de Caucase. 17.
D'anckwerth, L. Appareil d’induction électro - électrique à double
effet. 57.
Dôllen, W, Propositions pour le perfectionnement des instruments
à miroir.
Dorn, B. De Bakou. 165.
Dorogof et Zabeline, Influence du chlorure de sodium sur l’absorp-
tion du phosphate de chaux tribasique. 161.
Engelhardt, A, Composition chimique des bois et des ossements
fossiles des terrains crayeux de la Russie. 394.
Famintzin et J. Baranetzki. Sur l’évolution des Gonidies et la for-
mation des Zoospores, observées dans la Physcia parietina.
Communication préalable. 56.
— Action de la lumière sur la Spirogyra. (Avec une Planche.) 97.
— et Borodin, De la formation transitoire de l’amidon dans le
bouleau. 113. .
Fritzsche, J. Sur l’anthracène de M. Berthelot. 152.
Fuss, V, Observations de la comète Faye-Müller, faites au moyen
du refracteur du Poulkovo pendant les années 1865 et 1866. 108.
Gruber, W. Sur les écarts de la Vena jugularis externa posterior.
247.
Sur les variétés du muscle brachialis internus. 259.
Sur les variétés du muscle brachio-radialis. (Avec une Planche.)
277.
Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo-anconeus
des mammifères. 329.
Sur les variétés du muscle radialis internus brevis. (Avec une
Planche.) 335.
Gruber, W, Second supplément au mémoire sur le processus su-
pracondyloideus (internus) humeri de l’homme. (Avec une Plan-
che.) 448.
Gyldén, H, Sur une formule générale pour le calcul de Ja réfraction.
474.
Helmersen, G. La houille de la Russie centrale, son importance et
son avenir. 372.
— Rapport sur un mémoire de M. Goebel concernant l’industrie
minière qui à existée jadis sur la côté lappone (mer Blanche).
465.
Jacobi, B. Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés
dans le fabrique royale néerlandaise d’orfèvrerie de M. van
Kempen à Voorschoten, présenté à la Commission impériale
de l'Exposition universelle de 1867 à Paris. 563.
Knoch, J. De l'existence du Cysticercus Taeniae mediocanellatae
dans les muscles des animaux de la race bovine. 346.
Kublberg, A. et F. Beilstein. Sur les bi- et trichlortoluols isomères.
547.
Kunik, E Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du soleil
et de l’ambre. 28.
— Rapport sur l’ouvrage de M. Winkelmann, intitulé: Biblio-
theca Livoniae historica. 547.
Maximowiez, C. J. Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Japon
et de la Mandjourie. 4°, 5° et 6° décades. 60. 225.
Minding, F, Démonstration d’un théorême de statique. 233.
Moritz, À. L’éclipse solaire de 6 mars 1867. (Avec une Planche.)
145.
Nauck, À, Remarques critiques. V. 482.
Owsjannikow, Ph. Sur le système central nerveux d’Amphioxus lan-
ceolatus. (Avec une Planche.) 302.
Pelikan, E. Paralysie locale produite par le Saponin et les poisons
semblables (Githagin, Senegin etc.) 253.
Schmidt, C. Recherches hydrologiques. II. Eaux ferrugineuses de
Stolypin. 1.
Schiefner, A. Contes et légendes ossètes. 180.
Stephani, L. Parerga archacologica. XXVI. (Avec une Planche.) 273.
Strauch, A. Remarques sur le genre Scapteira Fitz. 318.
— Sur le genre Ablepharus. 359.
Struve, 0. Résultats de quelques observations supplémentaires faites
sur des étoiles doubles artificielles. Troisième note. 75.
Wassilefsky et Zabeline, Influence du chlorure de sodium sur l’ab-
sorption du fer métallique. 164.
Weisse, J. F. Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux
Planches.) 120.
Woronichin, Dr. Influence des chlorures de potassium et de sodium
sur l’absorption du fer métallique par l’organisme animal et sur
l'excrétion du fer. 311.
Labeline et Dorogof. Influence du chlorure de sodium sur l’ab-
sorption du phosphate de chaux tribasique. 161.
— et Wassilewsky. Influence du chlorure de sodium sur l'absorption
du fer métallique. 164.
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T. XEE, N°1.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XIE.
(Feuilles 1 — 6.)
CONTENU.
Page.
| Prof. €. Schmidt, Recherches hydrologiques. Il. Eaux férrugineuses de Stolypin........ 1— 17
M, Brosset, Rapport sur un recueil de documents historiques publié par la Commission
archéologique du Cauçase......:..,4....4..40 2.44... resertsssieese 17 — 28
E. Kunik, Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du soleil et de l’'ambre °°: 28 — 56
Dr. A, Famintzin et J. Baranetzki, Sur l’évolution des Gonidies et la formation des Zoo-
spores, observées dans la Physcia parictina. Communication préalable ere Ecr 56 — 57 |
| L. Danckwerth, Appareil d'induction electro-electrique à double effet ..... M TER PS à 57 — 60 |
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On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorft et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de
Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Kowmurers Ipasaenis Mwuneparopekoñ Axaremiy Hayk®) et chez |
| M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. |
| Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rb]. arg. pour Ja Russie, |
3 thalers de Prusse pour l'étranger. Î
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BULLETIN
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C. Schmidt in Dorpat. (Lu le 17 janvier 1867.)
IL Das Eisenwasser zu Stolypin !).
Die Quellen entspringen am rechten Ufer des Ku-
schum, 2", Werst stromaufwärts, südüstlich vom Bade-
orte. Eine einfache Holzfassung umschliesst das Bas-
sin, aus dessen Grunde vier Quellen entspringen. Sie |
sind sebr reichhaltig und wirbeln beim Emporsprudeln
den das Quellenbecken bildenden groben, lockern,
grauen Sand beständig auf. Frisch geschüpft erscheint
das Wasser klar, trübt sich beim Luftzutritt und setzt
gelben Ocker ab. Die Gasentwickelung aus der Quelle |
ist schwach; beim Schütteln in einem Glase sieht man
jedoch eine ziemliche Menge kleiner Gasblasen auf-
steigen. Der Geschmack ist deutlich salzig, die Re-
aktion neutral; die Temperatur am 30. Juli (11. Au-
gust) 1866 10°, Uhr Morgens + 9,4° C. bei 27,5° C.
Lufttemperatur und 757,5 Mm. B. (0°).
Das Schüpfen und Verpacken erfolgte unmittelbar |
an den Quellen durch Hrn. Dr. Semmer, dasigen
Badearzt, aufs Sorgfältigste. Die Flaschen wurden
durch Untertauchen in der Quelle gefüllt, sofort ver-
korkt und verharzt.
im blanken kupfernen Kessel auf circa 4 Litres ein-
gedampft und der dünnbreïige Rückstand zur Bestim-
mung des Rubidium, Lithium, Mangan, der Kiesel- |
säure, Phosphorsäure, Thonerde, so wie des Chlors |
und Broms verwendet.
Die Sendung traf am 10. (22.) November in Dor-
pat ein und wurde sofort der Analyse unterworfen.
A. Das Eisenwasser.
Dichtigkeit bei + 19,0°C. auf Wasser gleicher Tem-
peratur bezogen 18 sn 1,00345.
1 Litre wiegt bei der Quellentemperatur (9,4 C.)
1002,145 Grm.
a) Summe fester Bestandtheile.
501,610 Grm. heiss mit titrirter reiner Sodalüsung |
in geringem Überschusse versetzt, erfordern 0,2512.
Grm. wasserfreies kohlensaures Natron und hinter-
1) Vergl. Bulletin IX, p. 315 — 331 (1865) und Mélanges phy- |
siques et chimiques, tirés du Bulletin de l’Académie Impériale des
sciences de St.-Pétersbourg, VI, p. 577 — 600 «Das salinische
Schwefelwasser zu Stolypin».
Tome XII.
DE [’ ACADENIE IUPERTALE DES Ê
Ausserdem wurden 150 Litres |
CIEACES DE NT “PTERS BOURG.
|lassen 1,9968 Grm. schwach geglühten Rückstand,
mithin, nach Abzug der hinzngesetaten Sodamenge,
| 1,7456 Grm. Rückstand' — 3,4800 p. M. Abdarpf-
| rückstand.
b) Chlor, Brom, Jod.
100,322 Grm. Wasser geben mit Silbersalpeter ge-
fällt 0,6619 Gr. Ag CI+ Ag Br + AgJ — 6,5979 p.M.
100: 2 Grm. Wasser, auf 60 Cc eingedampft,
durch F 'arbenvergléiéh mit titrirter Normal - Brom-
lüsung 0,00594 Grm. Brom — 0,00592 p. M. Brom.
Die Mutterlauge von 62,180 Kilogr. eingedampften
| Wassers, mit titrirter Chlorpalladiumlüsung durch
Farbenvergleich mit Normaljodpalladiumflüssigkeit,
0,00020 Grm. Jod — 0,0000032 p. M. Jod.
Der Silberniederschlag betrug 6,5979 p. M.
AgCIl+- AgBr+ AgJ
Davon AgBr+ AgJ ..
a
D 2
. = —0,0138
— 6,5841 p. M.
Ag CI = 1,62815 p. M. Chlor.
c) Schwefelsäure.
501,610 Grm. Wasser gaben 0,3670 Grm. BaOSO, °)
| = 0,25121 p. M. SO..
d) Kalk, Magnesia, Eisenoxydul.
501,610 Grm. Wasser mit oxalsaurem Ammon ge-
fallt, der Kalkoxalatniederschlag weissgeglüht, nach
| Abzug des mit gefällten Eisens 0,1272 Grm. Ca O —
0,25358 p. M. Kalk.
Das Filtrat mit Ammoniakphosphat gefällt, 0,1839
Grm. pyrophosphorsaure Magnesia — 0,13211 p. M.
| Magnesia.
| Der Sodaniederschlag aus a) durch Titriren mit
| Übermangansäure 0,0164 Grm. FeO — 0,03269 p. M.
| Eisenoxydul.
e) Rubidium, Kalium, Natrium, Lithium.
501,610 Grm. mit Barytwasser etc. gaben
1,2902 Grm. Rb Cl + K CI + Na CI + Li CI,
_woraus durch Platinchlorid
0,0133 Grm. RbPtCl, + K Pt CL.
1,6488 Grm. Platinniederschlag aus der Mutter-
ange von 62,180 Kilogr. eingedampften Wassers,
| durch Wasserstoft reducirt, gaben 0,5062 Grm. Rb CI
2) Wie früher 1. c. behufs bequemern Vergleichs mit ältern Ana-
| lysen anderer Mineralquellen, nach Berzelius’s Formulirung.
1
3 Bulletin de l’Académie Impériale 4
Re
+- KCI, woraus 0,9660 Grm. Ag CI entsprechend
0,00974 Grm. Rb. CI. — 0,49646 K CI
— 0,00032 p. M. Rb.0
0.004914 p. M. KO.
71,742 Kilogr. Wasser eingedampft, nach mehr-
wüchentlichem Stehen mit etwas phosphorsaurem Na-
tron, Kochen mit Kalkhydrat u. s. w. (1. c. p. 582)
0,0034 LiO SO; = 0,0000129 p. M. LiO, demnach:
Summe der Chloralkalien . .. —2,5721 p. M.
minus RbCI + KCI+ LiCl=—0,0041 » »
Rest — 2,5680 p. M. NaCI
— 1,36280 p. M. Na.
f) Kohlensäure.
1003,22 Grm. Wasser einer frisch geffneten Fla-
sche mit Barytwasser gefällt, der Niederschlag im
Geissler’schen Kohlensäure-Apparate zersetzt,
0,4721 Grm. — 0,47059 p. M. CO..
g) Manganoxydul, Phosphorsäure, Thonerde, Kiesel-
säure.
43,297 Grm. mit heissem Wasser ausgewaschener
unlôüslicher Antheil des Verdampfungsrückstandes von
71,742 Kilogr. Wasser, mit Salpetersäure eingetrock-
net, die heisse salpetersaure Lôsung nach Abschei-
dung von SiO, und MnO, mit molybdänsaurem Am-
mon etc.
0,0023 Grm. pyrophos-
phorsaurer Magnesia. . . — 0,0000205 p. M. PO,
0,0150 Grm. ALO, . ... —0,000209 p. M. ALO;
031561Grm S108: ru. = 0,00440 p. M. SiO,
0,0610 Grm. Mn O$SO, . . — 0,00049 p. M. Mn.
Behufs bequemerer Vergleichung des vorliegen-
den salinischen Kisensäuerlings mit dem benachbarten
Schwefelwasser sind beide im Folgenden nebeneinan-
dergestellt. Es enthalten:
10,000 Grammen.
1 Cubikmeter
bei der Quellentemperatur.
< ; 3 - Stolypin Stolypin
Bhenvaner, |Schwefelvasser.| Eisennusser | Sehrefemaser
Grammen. Grammen. Grammen. Grammen.
RUDIDIUM PR Et ER eu. 0,00293 0,02953 0,29 2,99
RATE EE end Te doute 0,04076 0,3934 4,08 39,84
NAT RARE 10,1167 51,6075 | 1013,86 5226,75
ÉTEND TE NES VÉRUUE RU EEE LAS: PR RE 0,00006 0,00021 0,006 0,021
CAC OR NE TE 1,8113 10,2136 181502 1034,40
Masnesinmeil ntm Ur 0,7927 4,5168 79,44 457,45
Bisengrisslante évasée 0,2543 0,00085 25,48 0,086
Mantans usideshprninpias: 0,0051 0,00015 0,31 0,015
AUOT Eee Cr M M ar à 0,00107 0,00059 0,11 0,06
SLICIU 0e ice Re 2: 0,0207 0,01458 2,07 1,476
M re 2 RE : 0,4986 0,1538 | 49,97 15,58
der CO, : ep »: 0,7848 0,3666 | 78,65 37,13
Posphon se Bi rs Le enr. 0,00009 0,00065 0,009 0,066
. fH—0,0161 , H— 1,63
DOEMEIEIES Dr 2e «LE dti 1,0048 | eue 100,70 S — 466,42
EN AOC PORN ENS Poe LT RUES 0,000032| 0,00076| 0,0032 0,077
Broma-Afurutse titine Re 0,0592 0,2170 5,93 21,98
CIO RE pa da cadet 16,2815 100,5770 |1631,63 10186,43
SET ARRETE 6,1217 10,3036 | 613,49 1043,55
Summa wasserfreier Bestandtheiïle | 37,7944 183,0180 3787,54 18535,95
Fixe Mineralbestandtheïle, excel. (B
Lt) COMPENSER À 34,9168 181,6740 | 3499,15 18399,84
O der fixen Mineralbestandtheile,
exel. O. der (8 u. y) CO,..... 4,0288 9,3262 | 403,75 944,57
… (a) fest gebundene . .| 1,82825 0,564 | 183,22 57,12
Te lé locker gebundene. | 1,82825 0,564 | 183,29 57,12
A) ÉTOILES sé leet 1,0494 0,780 105,17 78,99
Summe der Kohlensäure. ..,... 4,7059 1,908 471,61 193,23
5 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 6
Nach dem bei Berechnung des salinischen Schwe- | ohne Berücksichtigung der beim Eindampfen stattfin-
felwassers von Stolypin befolgten Principe der Zu- | denden Umsetzungen (Mélanges phys. et chim. VI, pag.
ordnung der stärksten Säuren an die stärksten Basen, | 583), gruppiren sich obige Elemente folgendermaassen:
————————————_—_— ——_——————
1 Cubikmeter
00/6 Eonen, bei der Quellentemperatur,
SLolypin Stolypin TELE an LEE
Eïsenwasser. | Schwefelwasser. (9,4° C.). (10,8° C.).
Grammen. Grammen. Grammen. Grammen.
Schwefelsaures Rubidion KbO SO,. | 0,00458 0,046 0,46 4,66
Schwefelsaures Kali KO SO, ....| 0,0908 0,876 9,10 88,7
Schwefelsaures Natron NaO SO... | 4,3856 18,571 439,50 1880,8
Chlormatnum NxCk.0 . . ...... 22,0690 115,704 2211,62 11718,6
Chlorlithium Li C1. :........ 0,00036 0,00127 0,04 0,13
Chlorcalcium.Ca C1........:. 4,5457 28,322 455,55 2868,4
Bromcalcium CaBr.......... GOTAD, A REENZ 7,41
Jodealcit Ca LB: 10 D;000087EPLR IR 0,0037
Chlormagnesium Mr CI #1 TO OAI RAT. Je sue 1673,3
Brommagnesium MgBr .......|........ (248) I Lronn 25,1
Jodtiténesium Meg ee li. ts 1 . 418 POUDSHNI. EE 0 0,08
Phosphorsaurer Kalk CaO PO;...| 0,000029 |........ 0,0029
Phosphorsaure Magnesia MgO PO, |. ....... OOLAMI FR 0,19
2fach kohlensaurer Kalk CaO, 2C0, | 0,5657 |........ 56,69
2fach kohlens. Magnesia MgO, 2C0, | 4,2274 1,638 423,65 165,9
2fach kohlensaures Eisenoxydul
NS IMOTGO) APR AIRES LEAAUES 0,7264 0,0024 72,80 0,24
2fach kohlensaures Manganoxydul
MAO 2ODEs. brise Tr 0,0090 0,0004 0,90 0,04
Pnonérde AO, Mers D re 0,0021 0,0011 0,21 0,11
MienelSAurl TO EdrD eg Ie LOU 0,0440 0,031 4,41 al
Freie Kohlensäure CO, ME dc 1,0494 0,780 105,17 79,0
Schwefelwasserstoff HS...1: 7... |... 1. OPA NIET CRE 21,6
Summe wasserfreier Bestandtheile. 37,7944 183,018 3787,54 18535,95
Cub. cent. Cub. cent. Litres. Litres.
joues [ «) der fest gebundenen CO, 22 ( 959,7 #8 381,0/2# 96,174/E &{ 38,587
ae 8) der locker » » “| J5AEES | 381,0 LA 96,174/:°1 38,587
temp. Lo der freien CO,...... 464 550,8 LÉ? 533,9L 8) 55,1988.5Ù 54,072
Gesammtvolum der CO, ....... De purs 22 |1905,0 Heh47026 =®%1131,246
Mondes HS" 282 "AUTRE CE 82 U 185,6 88 SE Me PAT
Beim Eindampfen fallen zunächst Eisen- und Man- | liche Krystallisationen von Gyps; dann beim Eisen-
ganoxydhydrat heraus, unter Entweichen ihres Ge- | Wasser schwefelsaure Alkalien, hinterher Kochsalz,
sammt-Kohlensäure-Gehalts, dann kohlensaurer Kalk | beim Schwefelwasser unmittelbar letzteres. Chlorcal-
unter Abscheidung desselben Kohlensäuregehalts des | cium, Chlormagnesium, Brom- und Jodmagnesium bil-
Kalk- und Magnesia-Bicarbonats. Es folgen reich- | den die zerfliessliche Mutterlauge.
1*
F4 Bulletin de l’Académie Hupériale S
3 1 Cubikmeter
10,000 Grammen. bei der Quellentemperatur.
D STAR CPAS Stolypin À Stolypin Un RP LEUR
Eisenwasser. |Schwefelwasser. (9,4° C.). (10,8° C.).
5 Grammen. Grammen. Grammen. Grammen.
Si O; 0,0440 0,031 4,41 3,1
Al, O, 0,0021 0,001 0,21 0,1
a) Unlôslich niederfal-} Fe, 0; 0,3632 0,0012 36,40 0,12
lend. Mn, O0; 0,0045 0,0002 0,45 0,02
CaO CO, | 3,6955 1,282 370,34 129,8
3Ca0,PO; 0,00045 | 0,003 0,045 0,32
b) Schwer lüslich . . . CaO SO; | 1,1320 | 18,481 113,45 1871,7
ÉbO SO: 0/00 ILE ETC 0,46
KO SO) AO DEMN ES SEEN. 9, LD
c) Leicht lôslich; kry-} NaO SO: | 3,2027 |........ 320,95
stallisirend. ; RD CIRRIMENMETEUNR 03042 Al 166) 4,2
RICE PACE ELA 0,750: 4007. Gex | 75,9
NaCI |23,0428 130,991 |2309,24 13267,0
LiCI | 0,0004 0,001 0,04 0,13
d) Zerfliessliche ut Ca CRAN ER. 11,824 MISCRAIPRE 1197,5
laugensalze, Mg CI 3,1001 17,743 310,67 1797,0
| Mg Br 0,0681 0,249 6,82 25,2
MgJ | 0,000035 0,0008 0,0035 0,08
ses #00 ,:1130799 1,345 308,65 136,2
gasfürmig entweichend. | oh RES Gers M 97 6
Summe, incl. absorbirter O . ..... 37,8312 183,0182 | 3791,24 18535,96
» zur Fe,O, und Mn,0.-Bil-
dung absorbirter O..... —0,0368 — 0,0001 — 3,70 — 0,01
Ursprüngliche Summe ........ 37,7944 183,018 |3787,54 18535,9
Summe a) der unlôsl. Verbindungen | 4,1098 1,319 411,85 133,5
» b) schwer lôsl. CaO SO, . .| 4,1320 18,481 113,45 1871,7
» ce) leicht lüsl. krystallisiren-
den)Salze EEE EE 26,3409 131,782 , | 2639,75 13347,1
» d) zerfliesslichen Salze. . .| 3,1686 29,819 317,53 3019,9
Abdampirückstande.. Len 34,7513 181,401 |3482,58 18372,2
Kohlensäure des Abdampfrückst. . | 1,6260 0,5630 | 162,95 57,02
Die genetischen Wechselbeziehungen beider Quel-!
len zu einander gestalten sich folgendermaassen:
Der in bedeutenderer Tiefe entspringende Säuer-
ling durchdringt die oberflächlichern, mit reduciren-
den organischen Substanzen imprägnirten Bodenschich- |
ten. Die freie Kohlensäure entweicht, entsprechend
der Druckverminderung; Schwefelsäure, Eisen- und
Mangan-Oxydul geben ihren Sauerstoff zur Oxyda-
tion der Vegetationsrückstände früherer Perioden her,
dem Boden fein vertheilten Schwefelkies mittheilend.
Das eisenfrei gewordene Wasser, hüher emporstei-
gend, verliert, fortschreitender Druckverminderung
entsprechend, stetig weiter Kohlensäure. In Folge
dessen spaltet sich ein Theil des Kalkbicarbonats;
der gefällte fein vertheilte Kalkspath inkrustirt als
Wiesen - Mergel und Kalksinter die oberflächlichern
Bodenschichten, deren Salzgehalt gleichzeitig vom
emporsteigenden Wasser ausgelaugt wird, und letzte-
res mit Gyps, Chloriden und Bromiden der Alkali-
und alkalischen Erd-Metalle sättigt. Die Reduktion
des Gypses zu Schwefelcalcium, durch Einwirkung
des Boden-Bitumens, Humus, Moorerde, «Tschorno-
sjom» und anderweitiger Reste früherer Pflanzen- und
Thier-Generationen, schreitet weiter. Das der Oxy-
| dation letzterer entstammende Kohlensäurehydrat setzt
sich mit dem Schwefelcalcium zu Schwefelwasserstoff
9 des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
10
———@—
und kohlensaurem Kalk um — der Eisensäuerling ist
in den salinischen Schwefelquell verwandelt.
Alle Zwischenstufen dieser Umwandlung finden sich
in der Umgegend. Der benachbarte Tschornosjom ist
mit Schwefelkies und Sinterkalk vielfach imprägnirt,
die umliegenden Bodenschichten salz- und gypsreich,
ihre oberflächlichen Auslaugungsprodukte durch Ta-
gewasser und atmosphärische Niederschläge aller Art
in die «salzig schmeckenden» Steppenflüsse Kuschum
und Irgis ergiessend.
1 Cubikmeter Eisensäuerling entzieht wälrend die-
ser Umwandlung zum Schwefelquell nach obiger Hy-
pothese den durchsickerten Bodenschichten:
CAUSO C COULIL5;S Gr:
3Ca0, PO, . 0,3 »
RELUEN 20) DOUX
K CI 68,2 »
Na CI 10694,0 »
Li CI OL En
Ca CI 1454,8 »
MeOl ar ES 5; ti»
Mg Br 18,4 »
MgJ OL
Im Ganzen . ... 14841,0 Grm.
Er lagert dagegen beim Durchsetzen der oberfläch-
lichern Bodenschichten in letztern ab:
54,4 Grm. .... Fes,
0 va Mn, 0:
240,7 » Ca0 CO,
Schwefelkies und Kalksinter finden sich im Tschor-
nosjom der Umgegend nach annähernd gleichem Ver-
hältnisse.
Die 27,6 Grammen im Cubikmeter Schwefelwasser
enthaltenen Schwefelwasserstoffs entstammen der Re-
duktion von 110,4 Grm. CaO SO, ; vom aufsenomme-
nen Gypse wurde demnach ",, reducirt, in SH und
Sinterkalk umgesetzt, während die übrigen *,, unver-
ändert als solcher in’s Schwefelwasser übergehen.
Lässt man Stolypiner Eisenwasser mit etwas Rohr-
zucker, Glucose, Milchzucker, Gummi, Torfpulver,
Moorerde, faulendem Holze, Algen- oder Conferven
in verkorkten Flaschen stehen, so bildet sich zunächst
ein schwarzgrüner Bodensatz von Schwefelkies; dann
erst beginnt der Schwefelwasserstoffgeruch deutlich
hervorzutreten, der immer stärker wird, bis die Um-
wandlung des Eisensäuerlings in’s Schwefelwasser voll-
endet ist. Tschornosjom, in Eisenwasser aufgeschlämmt,
bewirkt diese Reduktion in charakteristischer Weise,
während sein Gehalt an C und H sich stetig verrin-
gert. Es ist der natürliche Bildungsprocess des sali-
nischen Schwefelwassers.
Beim Stehen des Eisenwassers in hôlzernen Botti-
chen bekleiden sich letztere mit einem schwarzgrauen
Überzuge, einem Gemisch von Schwefelkies mit gerb-
saurem und gallussaurem Eisen. In offnen Bottichen
schreitet der Reduktionsprocess nicht bis zur Schwe-
felwasserstoffimprägnirung des Wassers fort, da letz-
teres mit dem Sauerstoff der Luft in Berührung bleibt
und dieser der Reduktion stetig entgegenwirkt. Sie
erfolgt dagegen leicht und vollständig in verschlosse-
nen Holzgefäissen, zugespundeten Fässern u. dgl.
Im Grossen erfolgt die Reduktion des Eisenwassers
unter Schwefelkiesablagerung, in Form fein getheiïlten
schwarzen Schlammes, überall, wo dasselbe in Pfützen
und kleinen Teichen stagnirt. Während des Sommers
entwickeln sich Protococcus, Conferven, Charen, Lem-
na, Gallionellen, Navicula-Arten und andere Bacilla-
rier, die am Schlusse der Vegetationsperiode massen-
haft der Zersetzung anheimfallen. Die winterliche Eis-
decke hemmt den Sauerstofizutritt; der Reduktions-
process schreitet fort, die Pflanzensubstanz selbst zer-
füllt zu einem schwarzgrauen, bedeutend kohlenstoff-
reichern, dagegen wasserstoff- und sauerstoffärmern
Brei, dem das gebildete Eisenbisulfuret eingemengt
bleibt. Es ist die erste Stufe jenes langsamen unter-
seeischen Verkohlungsprocesses, dessen Endprodukte
in den Kohlenlagern des Uralreviers*) vorliegen. Dieser
schwarzgraue Brei ist dem durch Einwirkung des Sto-
lypiner Schwefelwassers auf dem Untergrund gebilde-
ten Schlammabsatze des letztern‘), so wie dem schwar-
zen Schlammabsatze anderer Soolquellen, der Soole von
Staraja Russa, dem Badeschlamme der Ostseebuchten
von Oesel, Hapsal u. a. nach chemischer Constitution
und Bildungsweise durchaus analog. Es besteht zwi-
schen ihnen nur der Unterschied, dass der Eisenge-
halt letzterer grüsstentheils dem eisenreichen Unter-
grunde entstammt und der Gyps des Meerwassers oder
der Soole, durch Vegetationsrückstände zu Schwefel-
calcium reducirt, letzteres beisteuern, während beim
Stolypiner Eisenwasser beide Eisenkies-Elemente von
der Quelle selbst in der Weise geliefert werden, dass
zunächst durch Abdünstung der lüsenden freien Koh-
lensäure und Oxydation des Eisenoxydulcarbonats zu
Oxydhydrat letzteres nebst einem Theile des kohlen-
3) Vgl. H. v. Helmersen, des gisements de charbon de terre,
St-Pétersbourg 1866 und «Über die Bedeutung der Uralschen
Steinkohlenformation und der sie begleitenden Eisenerzlager». St,
Petersburg 1866, p. 4.
4) Cf. Mélanges VI, p. 585 — 590.
Bulletin de l'Académie Impériale
12
sauren Kalks gefällt wird, dann die Reduktion des
Gypses zu Schwefelcalcium in bezeichneter Weise be-
ginnt und letzteres im Entstehungsmomente sich mit
dem Eisenocker und der Kohlensäure zu Schwefelkies |
und kohlensaurem Kalk umsetzt.
B. Schlammabsatz des Eisenwassers im Sam-
melteiche.
Schwarzgrauer Brei, an der Luft rostfarben wer-
dend. Die rostfarbene Masse, feucht in verschlossenen
Gefässen aufbewahrt, wird nach einigen Wochen wie- |
der zu schwarzgrauem Schwefelmetall reducirt; die |
gleichzeitig gebildete Kohlensäure tritt an den Kalk
des reducirten Gypses, Bicarbonat bildend. Der grüsste
Theil des eigentlichen Schlammes ist durch Aufschläm-
men mit Eisenwasser leicht vom grobkürnigen Grand-
Untergrunde trennbar und bildet so ein zu Sool-|
schlammbädern geeignetes Material, in dem Reste von
Pflanzenstengeln und Wurzelfasern verschiedener Zer-
setzungsstufen suspendirt sind.
Die Zusammensetzung dieses Schlammes, ohne vor-
heriges Schlämmen, erhellt aus nachstehenden Be-
stimmungen:
a) Wasserlüsung, Chlor, Brom, Calcium, Magnesium.
92,256 Grm. Schlamm mit heissem Wasser erschüpft
gaben 0,1625 Grm. Ag Cl+ AgBr. Unter Annahme
des gleichen Verhältnisses von Chlor zu Brom wie im
ursprünglichen Eisenwasser, entsprechend:
043465 p. M. Chlor
0.00158 p. M. Brom.
Nach Füällung des Silberüberschusses durch Chlor- |
wasserstofisäure wurde durch Füällung mit Ammon- |
oxalat und Weissglühen des Kalkoxalatniederschlages |
erhalten: |
0,0271 Grm. Ca O — 0,2937 p. M. Ca,
Schwefels. Rubidion und Kali RbO SO, + KO SO. . :
Schwefelsaures Natron NaO SO. ........
Schwefelsauren Kalk CaOS0:......:....
Cblormagnesium Mg CI
Brommagnesium Mg BI
Chiocratngn Na OI sl ne Late qu) an
Koblensauren Kalk CaO CO,. ..........
Kohlensaure Magnesia MgO CO,
Schwefelkies Fe$,
Eisenoxyd Fe, O,
Organische Substanz AMAR RS SAUT Le.
Quarz und unlôsliche Silicate . .........
Wasser und Kohlensäure . ............
As reuftohe fslls fille lets acte
sole le ete fenenteoles oo de
COM CAS MO NONMOROMOS CRCNPEPIS SRE
GET ECMOMOT 0 MA IOMT T0
ste
aus dem Filtrate durch Ammoniakphosphat
0,0405 2Mg O, PO; — 0,1582 p. M. Mg.
b) Schwefelsäure und Schwefel.
Der chlorwasserstoffsaure Auszug von 50 Grm.
frischen Schlammes, direct mit Chlorbaryum gefällt,
gab 0,0805 Grm. BaO S0, — 0,5528 p. M. SO.
43,488 Grm. frischen Schlammes mit rauchender Sal-
petersalzsäure behandelt, ergaben als Gesammtschwe-
felbestimmung
0,1994 Grm. BaO SO, — 0,14086 p. M.S.
entsprechend 0,7661 p. M. Fes,
c) Organische Substanz, Eisen, kohlensaurer Kalk, koh-
lensaure Magnesia, Silicate (Grand des Untergrundes).
30,231 Grm. Schlamm, bei 150° C. getrocknet, hin-
terlassen 13,810 Grm. Rückstand = 456,81 p. M.
geglüht 13,403 Grm. Glührückstand — 13,463 p. M.
Glühverlust.
0,7661 p. M. Fe$, geben beim Rüsten an der Luft
0,5107 p. M. Fe, 0; — 0,2554 p. M. Glühverlust,
demnach 543,190 p. M. Wasser,
13,209 p. M. organische Substanz.
Die chlorwasserstoffsaure Lüsung des geglühten
Schlammes, entsprechend 10 Grm. frischen Schlam-
mes, giebt
0,5359 Grm. Fe, 0; — 53,079 p.M.Fe,0, (präformirt),
0,1077 Grm.CaO —10,476 p. M. cie) garde
0,0747 Grm. pyro- AE Schilamm-
phosphors. Magnesia= 9,534 p.M.Mg0O) “""
an Kohlensäure gebunden.
Demnach enthalten 1000 Theile frischen Schlam-
mes, wie derselbe zur Untersuchung übersendet wor-
den, ohne nachheriges Abschlämmen oder sonstige
mechanische Scheidungsprocesse analysirt:
0,004
0,236
0,713
0,374 {
0,002 |
0,255}
É
ol — 77,871 Eisenwasser-
0 766 ( absatz, entspr. 1,47 Cu-
53,079 | bikmeter Eisenwasser.
oo teens ==
— 1,584 Eisenwasser-
salze.
ns AE ie cd DS 20 PS
NEO DT ADN 364,146
0e 048,190 0, : 543,190
1000,000
13
Aus dieser Untersuchung ergiebt sich, dass der
vorliegende Schlamm auf 1 Theil eigentlicher
Schlammsubstanz(Absatz und Salzen des Eisenwas-
sers nebst vegetabilischem Detritus) cirea 4 Theiïle
groben Grand enthält, von dem er durch mechani-
sches Abschlämmen mit Eisenwasser leicht befreit
werden kann und dann dem Schwefelwasserschlamm
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
14
analog wird. Doch enthält letzterer in Folge des
Schwefelwasserstoffüberschusses nur wenig freies Ei-
senoxyd, während der Eisenwasserschlamm nur 1
Procent seines Eisengehaltes in Form von Bisulfid, die
übrigen 99 Procent dagegen als Sesquioxyd enthält.
Folgende Zusammenstellung beider ergiebt das Ver-
hältniss in übersichtlicher Weise.
1000 frischer Schlamm (Quellenabsatz plus Untergrund)
enthalten Stolypin Untergrund plus
Schwefelwasserabsatz Eisenwassérabsatz
OS PO ES EM AO TES PONT SA ul. via 1,58
FeS und FeS,..... p Re RER TPE ere PAIE: AUS 2 LS 0,77
(DIS de ct M A AE D er Re die denep bn php ==
Pa (08 6 RARE EME SSSR RE MIRE ET TR ET EN 53,08
(boit VENASE a ge RER LT ES DOTE 2 18,71
ns RE 0 ee SM A ele page eue ee DT ae à cer 5,32
EU D ee Men de tas de Le O;027 : Lp Spur ?
Uatersrundsndicate (Sand). M2 PME Ur 41070248). PR MO PIREE 364,15
Organische Substanz (Algen, Detritus ete.) . ... D3,23.......... 13,21
Wasser mit Kohlensäure und Schwefelwasserstoff
in wechselnden Mengen. ............ 483,46. ue nd au Le 10
L00D.002E: 4 2- . 1000,00
SOMMES 00IsalzE Res AMP TL Lo EEE st 2. (DRE ACER TR 0,553
S des unlôslichen Schlammtheils. . ......... LOLOH Se sp 7 re) 0,409
Während der Schwefelwasserschlamm fast säimmt- | oder andere Gliederungsprincipien. Dass im Vorher-
liche schwefelsauren Salze zu Schwefelmetallen (FeS, | gehenden daneben den üblichen Darstellungsformen
CaS) reducirt enthält, sind letztere im Eisenwasser- | nebst zugehüriger Nomenclatur und Formulirung Rech-
schlamm nur zum kleinern Theile in Sulfurete ver- | nung getragen worden, geschah mehr aus historischen,
wandelt, die sich mit dem in grossem Überschusse | als theoretischen oder praktischen Rücksichten. Wenn
vorhandenen Eisenoxydhydratniederschlage sofort zu | man den momentan befremdenden Eindruck der Ele-
Schwefelkies umsetzten ”).
In der balneologischen Systematik steht das
Stolypiner Eisenwasser dem Marienbader am näch-|
sten. Es enthält ungefähr gleiche Eisen-, Kalk-, Mag-
nesia-, Carbonat- und Chlornatrium-Mengen, mehr
Brom, dagegen bedeutend weniger Kohlensäure und
Natriumsulfat als die Ferdinandsquelle.
Bequemer Übersicht halber sind nachstehend eine
Reihe Eisensäuerlinge mit dem Stolypiner tabellarisch
so zusammengestellt worden, dass sie, nach anstei- |
gendem Natrium-Gehalte geordnet, charakteristische
Gruppen bilden.
Die Darstellung der Elementarconstitution der
Quellen umgeht jede Hypothese über die Gruppirung
der Elemente in der Wasserlüsung und giebt ein viel!
klareres übersichtlicheres Bild ihres Verhältnisses zu
einander, als die Zuordnung der stärksten Basen an
die stärksten Säuren, das Verhalten beim Eindampfen
5) Vgl. das Nähere Mélanges VI, p. 585 fr.
mentardarstellung von Wasseranalysen in der hier
gewählten Form überwunden, so orientirt man sich
| sofort über die Gesammtconstitution, das Verhalten
| beim Eindampfen und eine Menge theoretischer wie
rein praktischer Fragen leichter und rascher als nach
irgend welcher schematischen Gruppirungsmethode.
Bei Nitraten kann die bezügliche Stickstoffmenge durch
entsprechende Bezeichnung, z. B. N, bei Sulfureten
der betreffende Schwefel durch $ vom 5 der Sulfate
unterschieden, das NH, als solches bezeichnet werden.
Calcium-, Magnesium-, Eisen- und Mangan-Carbo-
nat sind weder als Spathe, noch als wasserfreie soge-
nannte Bicarbonate, Knochenerde weder als solche,
noch als Calciummetaphosphat in der Wasserlôsung
enthalten, wie sie schematisch formulirt zu werden
pflegen. Ob Chlornatrium und Magnesiumsulfat in der
| Wasserlüsung als solche, oder als Natriumsulfat und
Chlormagnesium neben einander existiren, hängt be-
| kanntlich von der Temperatur und der vorhandenen
15 Bulletin de l'Académie Empériale 16
Wassermenge ab. Aus der Thatsache, dass eine con- | quenzen, deren Beseitigung theoretische und prakti-
centrirte Chlorcalciumlauge mit gesättigter Kalium- | sche Schwierigkeiten hat.
sulfatlüsung zum Gypskrystallbrei gesteht, wäbrend |) Die hier gewählte empirische Elementardarstel-
Chlorkalium die Mutterlauge bildet, folgt keineswe- | lung beseitigt jedes theoretische Bedenken, indem sie
ges, dass beide Salze in 1000facher Verdünnung ge- | nur reine zweifellose Thatsachen bequem vergleichbar
lüst nicht, ihren sonstigen Umsetzungsweisen ent- neben einander stellt. Sie gewährt überdies den nicht
sprechend, unverändert als solche fortbestehen. zu unterschätzenden praktischen Vortheil, dem Tech-
Eben so misslich ist es, die Metalle als solche, die niker und Arzte Specialfragen bei geringer Ubung fast
Säurebilder dagegen als SO,, NO,, CO, aufzufübren, ! auf den ersten Blick zu DÉREnIEn Indem letzterer
wenngleich diese Darstellungsform den een die Rubriken Fe, Mg, Na, $ und Si J u. a. grosser
theoretischen Ansichten entsprechender ist. Die For- Reïhen von Mincralwasser El mentardarstellungen
men, oder richtiger bezeichnet, die graduellen Ver- | tabellarisch geordnet übersieht, erhält er die ge-
schiedenheiten der Energie, mit der Kohlensäure und | wünschte hydrotherapeutische Antwort in wenigen Mi-
Kieselsäure in den Säuerlingen und Geisirn, wie je- | nuten. Der Färber, Architekt, Lederfabrikant ete.
dem Quellwasser eines Kalk-, Dolomit- oder Granit- orientiren sich mit gleicher Leichtigkeit für jeden
Terrains gebunden sind, verleiten hier zu Inconse- | Sonderzweck.
10,000 Grammen Wasser enthalten:
LES RESTES > = = | 5 | LE:
EN El ee 0 Bippel ds su Ne RENE
Elementarbestand-| & = | = 2 25%) & Lu ) FRA MSIE MR
[ES |S5 22e 3 285 > |2É5%
theile. | £4 E < EE Ê À Leopold-[Wenzel-Hoseph- SET = ë £% 3,
— re | 0| Em | nm En
| E ÊË [EE $ E | quelle. | quelle. | quelle. bé | SK Ne Fe
Spec. Gew. ........ (1,00037| :. .... | 1,0025| 1,00447| 1,00371 | 1,00359) 1,00385| 1,0029| 1,00345!
RbondiR et 0e 0,0659 | 0,1364) 0,1238| 0,1740 | 0,1380 | 0,1281 | 0,2297 | 0,4708 0,0437 | 0,240
Na Meur 0,1788 | 0,2644| 1,8063) 1,8535 | 1,9288 | 3,1827 | 4,0508 | 54119, 10,1167 | 25,789
Mi Meet dti Le de NAré sé | 0,056)... ARTS PAT A ETES ME ERP PAC ON | 0,00006| 0,023
ES PR RENE 0,1180 | 72696 2,2852| 8,5615 | 5,3968 | 4,0611 | 4,7225 | 7,6092| 1,8113{ Sue
AN etes a er 0,0456 | 1,2840| 0,7416) 0,2238 | 1,2492 | 0,6264 | 0,6483 | 0,9617| 0,7927 | 1,300
FR Bot 0,2698 | 0,2629! 0,3747| 0,2178 | 0,3017 | 0,1279 | 0,1949 | 0,1593| 0,2543 | 0,296
Mn ee A de 0,0149/...... late ART A MECS RUE | 0,0081 | 0,075
INISSS LS NE RE 000 ER 0,0016 | 0,0438 | 0,0448 | 0,0508 | ...... | 0,0011 0,006
SR SA AL PHSEUE 0,0352 | 0,0161| 0,0427! 0,0024 | 0,3193 | 0,0204 | 0,2436 | 0,0870! 0,0207 0,454
BADACARRES. 0,0957 | 1,2227| 0,9343| 1,1455 | 1,8449 | 1,2079 | 1,4185 | 3,9663 0,4986 5,648
Halbfreie und freie | | | | | |
(ELA SORIOIEr 0,8535 | 5,4714) 6,3809) 8,4398 | 8,1388 | 6,9828 | 7,8570 |10,1495) 0,7848 | 8,724
PORN PRET I 2e AO EE A ARE Pet LEE Loneec RE | ma | 0,00009 0,009
SOS S EEE 0,0706 4,1762 0,6081| 4,9960 | 2.4184 | 2,9451 | 3,7252 | 0,7048| 1,0048 | 11,414
| | J —0,00003|
|
vHundiBr nec jeseses esessslesseseleeeeeeleesesees tes en Br—0,0592 |
CIM Lcd rue 10,2915 11119 2,6160, 1,0250 | 0,3303 | 0,5602 | 0,5945 | |0,3454 162815 | 14,584
(CPV: à 15061 |27,8282/22,1050 371871 [343692 |29,7503 |34,5273 (14,2500) 61217 | 56,943
SUMMER ELLES 13,0266 49,0720/58,0276,63,8280 156,4792 |49,6177 |58,2627 (74,1160! 37,7944 | 127,695
Fixe Bestandtheile . (17306 |29,0100 14,5984 32,8820 1266372 [24/0140 29/4532 (36,0010 3429167 | 95,706
Halbfreie u. freie CO, 1,2960 |20,0620 23,429230,946 298420 [256037 |28,8095 137,215 un | 31,989
Gebundene CO, .….…:10,3510 | 44830, 34258) 4,200 | 6,7647 | 4,4290 | 5,2005 |14,543 1,8282 | 20,710
0 d. ixen Bestandth. 10,5634 |13,2376, 5,0653/14,6811 |12,6657 1121994 13,5748 [17,1845 40288 | 33,678
| | à |
Tunbridge (Kent): reines Eisenwasser, fast | | Rubriken S, Ca, Ce, und Csry , Zufolge bedeutender
frei von anderweitigen Mineralbestandtheilen, geringer | | Gehalt an Gyps, Calciumearbonat und freier Kohlen-
Kohlensäuregehalt. re 2
; : , Liebig, Wühler und Liebig’s Annalen LXIII, pag. 221
Pyrmont: gleicher Eisengehalt mit Tunbridge; den | | Le 2 (847); a an
————— 9) Varrentrapp, Wôbhler und Liebig’s Annalen XLIX, pag.
6) J. ren Quarterly Journal of the Chemical FOREY X, | | 281 — 236 (1844).
Xe 39, p. 223 (1858). | 10) Will ibid. LXI, pag. 181 — 204 (1847).
7) Wiggers in B. M. Lerschs AE CRC IT, pag. | 11) A. v. Planta ibid. CIX, p. 168 (1859).
1510, Erlangen 1857. 12) C. Kersten in Lerschs Mineralquellenlehre II, pag. 1446.
17
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
LE]
säure; den Rubriken Na, Mg, CI entsprechend gerin-
ger Gehalt an Chlornatrium und etwas mehr Chlor-
magnesium.
Liebenstein: reicher an Kohlensäure und Eisen,
als Pyrmont, dagegen viel ärmer an Gyps und Cal-
ciumearbonat.
Driburg: wie Pyrmont reich an Kohlensäure, Ei-
sen, Gyps und Calciumcarbonat, ausserdem Glauber-
salz.
Rippoldsau vermittelt durch seine 3 Quellen mit
steigendem Natrium, dagegen abnehmendem Eisenge-
halt, durchgängigem Reichthum an Calciumcarbonat
und Kohlensäure, mässigem Gyps- und Glaubersalz-,
geringem Chlornatrium-Gehalte Driburg mit
Tarasp: typischer «alkalischer Säuerling», reich
an Kohlensäure, Natrium- und Calciumcarbonat, arm
an Chlornatrium.
Stolypin, charakteristisches «Eïisensoolwasser »,
reich an Chlornatrium, arm an Kohlensäure, von der
es, gleich Tunbridge, nur die zur Lüsung unumgäng-
liche Menge enthält.
Marienbad, bei gleichem Chlornatrium- und Eisen-
Gehalte mit Stolypin durch starken Glaubersalz- und
Soda -Gehalt als alkalischer Eisensäuerling charak-
terisirt, dessen wirklich freie Kohlensäure indessen,
wie ein Blick auf die Rubriken C,, C; und LE lehrt,
relativ viel geringer ist als in Pyrmont, Liebenstein,
Driburg, Rippoldsau und Tarasp.
Der Versuch lässt sich in obiger Weise leicht auf
andere Mineralwassergruppen ausdehnen, wie bei-
spielsweise das Stolypiner Schwefel- und Kisensool-
wasser selbst charakteristische Typen balneologischer
Gruppen darstellen.
Rapport sur un recueil de documents historiques
publié par la Commission archéographique
du Caucase, par M. Brosset. (Lu le 25 avril 1867.)
L'Académie m’a chargé, dans la séance générale
du 3 février de cette année, $ 20 du Procès-Verbal,
de lui rendre compte d’un ouvrage intitulé: Akrbi, Co-
OPAHHPIE KABKA3CKOIO APXCOTPAPHICCKOIO KOMMHCCIEN ;
APxuBB LIABHATO YIPABICHIA HAMBCTHNKA KABKABCKATO,
t. [, Haneyaran? 1018 pexaknier nperchzarens KoMMnC-
in, CT. CoB. A7. Bepxe, Tnæancr, 1866; c’est ce dont
je vais m’acquitter.
Tome XII.
L'ouvrage dont il s’agit forme un vol. in-fol., de
IX — 816 pages, plus les Index, encadrées de filets;
parfaitement imprimé, sur beau papier, à la Typogra-
phie du Lieutenant pour le Caucase; orné d’un riche
frontispice, d’un portrait du général-lieutenant K. Ph.
Knorring, premier commandant en chef de la Trans-
caucasie, ainsi que d’une carte, qui n'offre que les
grandes divisions géographiques de la contrée: le tout
exécuté à la lithographie de K. Tomson, à Tiflis. Au
point de vue de l’art, cette publication ferait certaine-
ment honneur à l’une des grandes capitales euro-
péennes.
Quant au contenu, l'honorable M. Berger nous ap-
prend qu’au baron A. P. Nicolaï appartient l'initiative
de la fondation d’une Commission archéographique, à
Tiflis, projet que S. A. I. le Grand-Duc lieutenant a
consacré par son approbation; pour lui, il s’est voué,
comme président de ladite commission, à la publica-
tion aujourd’hui commencée, et dont nous ne pouvons
que désirer vivement la continuation. Il rend compte,
dans une courte Introduction, de l’histoire et de l’état
actuel des archives de l’administration centrale de la
lieutenance dont Tifis est le chef-lieu. En 67 ans, il
s’y est amassé 128,000 dossiers, dont ceux des trente
dernières années ont un intérét d'actualité, tandis que
ceux des premières sont surtout précieux pour l'étude
de la Caucasie dans son état antérieur et immédiate-
ment postérieur à l’annexion.
Dès l’année 1818 Mgr. Phéophilacte, exarque de
Géorgie, avait commencé à rassembler sous sa main
les documents des églises de son diocèse; en 1852
cette collection, avec un certain nombre de chartes,
provenant de Kouthaïs, se montait à 415 pièces, réu-
nies aux archives centrales lors de l’incamération des
domaines ecclésiastiques. Malheureusement 76 seule-
ment de ces chartes en diverses langues, nommées en
géorgiens «Goudjars,» ont été jugées dignes de l’im-
pression, et le reste, comme trop peu important, a
été éliminé.
A ce sujet je ferai quelques observations. J’ai des
raisons de croire que les documents des églises et
couvents de la Géorgie se montaient à plusieurs mil-
liers; car j’en ai eu entre les mains les Catalogues,
contenant l’analyse de plus de 2500 pièces; de plus,
deux volumes de copies à-peu-près authentiques, au
nombre de 453. En outre, le Musée asiatique pos-
9
A
19
Bulletin de l’Académie Empériale
20
(oo
sède de bonnes copies, avec traduction russe, de plus
de 150 chartes; j’en dois moi-même un nombre égal
à l’obligeance de M. Berger, et une centaine ont été
exécutées pour mon compte; j'en ai tenu et lu 117,
qui se trouvaient au Département héraldique du Sénat,
enfin j'en ai analysé près de 500 dans mes divers ou-
vrages. V. 4° Rapp. sur mon Voyage, p. 3; Intro-
duction à l’Hist. de la Gé., et Hist. moderne de la
Gé. t. IT, p. 406 sqq.
On pourrait encore s'étonner qu'ayant sous la main
une charte géorgienne, de l’an 140 — 1020, la plus
ancienne connue, une autre de l’an 1258, quelques
dixaines des XITL° — XV° s., l'éditeur n’ait pas pré-
féré celles-là aux plus récentes, dont une est notoi-
rement apocryphe, et, si même il ne croit pas pouvoir
imprimer beaucoup de pièces géorgiennes à la fois,
qu'il n’ait pas commencé par les plus importantes,
dans l’ordre chronologique.
Pour le moment, soyons reconnaissants de ce qui
nous est donné: 62 pièces géorgiennes, du XIV° au
XVIIL°s., 14 documents persans, d'histoire moderne.
Les actes géorgiens admis dans le volume dont il
s’agit sont fort intéressants, bien traduits en russe,
par M. G. Berdzénof, et munis de notes peu nom-
breuses, mais bonnes et utiles. Le reste du volume
contient une trentaine de pièces relatives à la fin du
XIX° s. et à la Kabarda, et 1138 pièces, des années
1799 — 1802, tant russes que géorgiennes, réparties
en XVIII sections, j'en reparlerai plus tard. Le tout
est riche en faits, en noms propres, en dates positives.
Bien que la plupart des documents purement géor-
giens roulent sur des priviléges ecclésiastiques, on peut
y puiser une solide instruction sur les sujets les plus
divers, p. e. sur l’état des personnes souveraines et
le clergé, sur les paysans et les impôts, sur les ventes
et achats ...; car les chartes sont la vraie manne des
historiens et se prêtent aux recherches les plus va-
riées. Pour le moment je m’occuperai spécialement
des notations chronologiques qui y sont employées.
5. A. I. le Grand-Due Michel ayant fait présent à la
Bibliothèque Imp. publique de 10 originaux, dont
9 sont imprimés dans les Akrbr, j'ai eu le bonheur
de pouvoir les étudier de visu.
Ces chartes ne sont datées de l’année seule de l’in-
carnation que rarement, et ce en Iméreth; parfois
dans le Karthli, de cette année conjointement avec le
kroniconi ou année pascale du cycle de 532 ans, mais
pas avant le XVIL°s.; plus généralement du kroniconi
seul, quelquefois avec l’année mondaine de l’ère
grecque, 5508 avant l’ère chrétienne; peu fréquem-
ment encore, de quelque autre caractéristique chro-
nologique, comme le eycle solaire; je n’en connais
qu’une avec la date du cycle lunaire, mais quelques
exemples avec l’âge de la lune pour une année, un
mois et un jour donnés. Habituellement on y trouve
le quantième mensuel: presque toujours, en Iméreth,
et souvent dans le Karthli, l’indiction, ï. e. selon
l'usage géorgien de ce mot, l’année du règne du roi
signataire; très-rarement le jour de la semaine ou son
N° dans l’ordre de l’hebdomade. Le traducteur des
Akrs, pour la partie géorgienne, a exécuté avec soin
et exactitude la réduction des kroniconi aux années
chrétiennes; pour les autres notations, il ne les a ja-
mais contrôlées, quelque intéressant que soit ce genre
de critique, auquel la présente note est consacrée.
Voici à ce sujet mes remarques.
1) À la p. 7 des Akrpi se trouve une charte de
franchise d’impôts pour les paysans appartenant à
l'église de Sion, à Tiflis, donnée par le «roi des rois
Louarsab 1°, avec son épouse Thamar et ses fils Simon
et David.» Elle est datée du kroniconi 228 — (1540
de J.-C.), 13° indiction du règne. Or, suivant Wa-
khoucht, Louarsab devint roi seulement en 1534:
c’est donc une rectification à faire et 7 ans à ajouter
à la durée connue du règne de Louarsab 1°, remon-
tant à l’an 1527. Cette rectification est d'autant plus
nécessaire, qu’un acte sur parchemin, dont l’original
est maintenant à la Bibliothèque Imp. publique, mais
n’a pas été imprimé, est signé du même «roi des rois
Louarsab, avec ses frères Darazan et Ramaz,» et daté
du 11 décembre 218 —(1530 de J.-C.).
2) Une autre charte (p. 9), du roi Alexandré II de
Cakheth, avec ses fils David, Giorgi et Costantiné,
donne à sa soeur Kéthévan, dont lhistoire est peu
connue, le village d’Acouris, dans le Cakheth, et con-
firme les priviléges, accordés par son père, le roi
Léon IT, au couvent de David-Garesdja; ce magnifique
spécimen de calligraphie mesure en longueur 5 arch.
6", verchoks; en largeur 51, verchoks; l’écriture, en
215 lignes, est de 3!/ verchoks. La confirmation de
l'acte, par le roi David II Imam-Qouli-Khan, est en
deux lignes, des *, de la longueur totale du rouleau.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
22
Cette pièce est datée:
7104 du monde,
285 kroniconi,
8 cycle solaire,
24 j. de la lune,
30 avril.
La confirmation a eu lieu je 11 février 396—1708.
On sait positivement qu’un cycle pascal géorgien,
le XIIT°, a commencé en 781 de J.-C.; 780 + 5508
— 6288; or 6288: 532 donnant seulement 11 cycles
plus 436 ans, il a fallu pour parfaire le 1°” cycle
ajouter arbitrairement 96 ans à l’année du monde, en
sorte que, d’après ce système, la naissance de J.-C.
s’est trouvée fixée à l’an 5605: c’est donc à cette
ère, et seulement à cette ère, que doivent se rap-
porter les années des cycles pascaux géorgiens; mais
comme elle est très-peu usitée, il arrive souvent, que
les écrivains, sans en avoir conscience, réunissent les
kroniconi géorgiens avec l’ère, plus connue, de 5508.
C’est le cas de la charte qui nous occupe: au lieu de
5604 + 780 + 532°+ 285 — 7201, l'écrivain a
donné, l’année mondaine d’après l’ère grecque, et cela
sans s’apercevoir que la date 7104 est trop faible
d’une unité: car 5508 + 780 + 532 + 285 — 7105,
et le kroniconi 285 répond à 1597, qui, soustrait de
7104, donne 5507 pour reste, au lieu de 5508. Je
puis encore alléguer un autre exemple: analogue à
celui-là. Au N° 449 du recueil des copies de Mtzkhé-
tha, on trouve un acte du roi Giorgi XI, de Karthli,
par lequel ce prince, avec la reine Thamar et son
fils aîné Bagrat, fonde une agape au 1° septembre,
fête de Mtzkhétha, en l'honneur de son père Wakh-
tang V et de sa mère Rodam Orbéliane Barathachwili,
dite en religion Ecatérina, à la charge des habitants
de Didoubé; car son père avait construit un canal,
allant de ce village à Awdchala, au voisinage de
Tiflis. Cet acte est daté:
7189 du monde (ère grecque),
370 kroniconi,
4° indiction ou année du règne de Giorgi.
Or si, comme cela est exact, 370 répond à 1682,
cette année, soustraite de 7189 laisse aussi 5507
pour reste, il y a donc inexactitude d’un an, comme
dans l’acte d'Alexandre.
Dans un livre de Prières liturgiques œe(3sbo, im-
primé récemment à Tiflis, je trouve également cette
date fautive: «Tiflis, en 7372 depuis la création du
monde, 1866 depuis l’incarnation» (7372 — 1866 —
5506).
Quant au cycle solaire 8, c’est moins une erreur
qu'une mauvaise habitude de copiste; car il arrive
souvent que la lettre numéraire & 8 soit employée au
lieu de son homophone 3 5, qui est ici le vrai chiffre.
En effet 7201, ou, ce qui revient au même 285, di-
visé par 28, donne 3 de reste, tandis que 7104 don-
nerait le reste 14.
Pour obtenir l’âge de la lune (bsm9sgs30 doaséobs)
au 30 avril, il faut opérer à la manière géorgienne.
285 : 19 30
LOL — 19
95 NL 11 mars,
95 + 30
19 41
pol — 31
18 NL 10 avril,
X 11 +- 14
18 PL 24 avril, 15° jour de la lune,
18 + 6
198 : 30 30 avril, 21° » » »
18
+ 1
19, épacte au
dernier jour de
février. (Iakofkin.)
Encore y a-t-il un «moins» de 3 jours. Le déficit
sera nul, en opérant ainsi à la manière géorgienne:
19
+ 4 pour janvier, février, mars et avril,
+ 1 pour le bosgsso, perpétuel,
+ 30 pour avril,
54
— 30
24
Ainsi la date rectifiée de l’acte serait:
7201 ou du moins 7105 du monde,
285 kroniconi,
5 cycle solaire,
24 de la lune,
30 avril.
23
3) Un acte, imprimé p. 31, donné par le roi Iésé,
avec la reine Eléné, et adressé à Pawlé, métropolitain
de Tiflis, contient des franchises accordées à léglise
de Sion, en cette ville. Il est daté:
5508 du monde,
1716 de J.-C.
404 kroniconi,
28 cycle solaire,
4 de la lune (4° année du cycle lunaire),
10 mars, 2° année du règne, sous le catho-
licos Domenti III et le tsarévitch Simon,
frères de Iésé.
Ici tout doit être calculé d’après le système grec,
et en effet 5508 + 1716 — 7224 : 28 — 28; quant
à la lune, ce n’est pas son âge i. e. l’épacte, mais
l'année du cycle, qui est indignée.
1716 La 2° année du règne est exacte, comme
te on peut s’en convaincre en cherchant dans
1714 :19 l'Histoire moderne de la Géorgie.
110090
où 4
L'examen auquel je viens de me livrer sur les seuls
actes du recueil des Axrpr dont la notation chronolo-
gique offre des circonstances particulières, m’a engagé
à en contrôler quelques autres, du même genre, les
seuls du reste que je connaisse. Ainsi dans les copies
de Mtzkhétha j'ai trouvé:
4) N° 453, un acte passé sous le roi Rostom, de
Karthli. Ce prince étant allé chasser à Chirak, dans
le Cakheth, le catholicos Kristéphoré lui exposa que
. l’évêque de Nino-Tsmida et les gens du village de
Thwal étaient en contestation pour la propriété de la
forêt dite Sakhokhbé-Dchala «forêt des faisans.» Par
suite du serment prêté par les parties sur l’image de
S° Nino, promenée autour du terrain contesté, il fut
décidé que ce terrain appartenait à Mtzkhétha. L'acte
est daté: jeudi 29 mai,
339 kroniconi.
Or 339 correspond à l’année chrétienne 1651, où le
1° mars tomba un samedi (1651 + 412 + 1 —
2064 :7 — 6), et le 29 mai fut réellement un jeudi
(6+—2+92+929— 39:7 —4).
5) Même recueil, N° 182, Donation de paysans au
catholicos Domenti IT, par un prince Tzitzichwili,
datée: mercredi 13 juillet,
302 kroniconi.
Bulletin de l’Académie Impériale
24
352 répond à l’année 1664 de J.-C., où le 1 mars fut
un mardi (1664 -+ 416 + 1 — 2081 : 7 — 2), et le
13 juillet réellement un mercredi (2 + 2 + 2 + 3 +
24+13— 94 : 7 —3).
6) Ibid. N° 77, acte adressé au catholicos Domenti
IT, au sujet d’un terrain contesté, dont la propriété
fut reconnue appartenir à Mtzkhétha, après serment
prêté sur l’image de l’Assomption, d’Ouloumba, et sur
15 autres images. Il est daté:
samedi 1 du mois du vin (octobre)
355 kroniconi.
Or ce kroniconi correspond à 1667 de J.-C., où le
1 mars tomba un vendredi (1667 + 416 + 1 —
2084 : 7 — 5); le 1 octobre devrait être un mardi
(5+2+9+3+9+3+3+2+1—23:7—2),
mais, soit qu’il y ait eu omission dans ma copie, dsèsobs,
pour à. dsèsobs, ou erreur de la part de l'écrivain, je
n’ai pu faire concorder les deux notations.
7) Parmi les chartes dont je dois la communication
à M. Berger, j’en ai trouvé une, dans laquelle Antoni,
évèque de Tzager en Mingrélie, fils du dadian Otia,
fils de Béjan-Dadian, conjointement avec son frère, le
dadian Catzia IT, offre des paysans à N.-D. de Tza-
ger. Elle est datée:
vendredi 2 mars 1778.
Comme le 1 mars de cette année tomba un jeudi
(1778 + 444 + 1 — 2293 : 7 — 4), la notation est
juste.
8) Un acte par lequel Nicoloz Tsouloucidzé, abbé
de Khophi, fait différents présents à ce monastère; il
est daté:
bd0% 6057, pour 389% 7057 du monde,
car les lettres & et 3 s’emploient fréquemment l’une
pour l’autre. Soit l'an 1549 (7057 — 5508 — 1549);
mais comme je n’ai pas d’autres notices sur le per-
sonnage, je crains que la date n’ait pas été exacte-
ment transcrite.
9) P. 56 des Akrpi on lit un acte très-intéressant,
adressé au roi Solomon 1°, d’Iméreth, par un nombre
considérable de grands personnages, nommés là, qui
s'engagent à soutenir le monarque dans sa résolution
de ne pas vendre de chrétiens aux Turks. Il est daté:
1759 de J.-C.,
30 décembre,
5° jour.
25
L'année julienne 1759, le 1 mars tombait un lundi
(1759 + 439 + 1 — 2199 : 7 — 1), ainsi le 30 dé-
cembre tomba réellement un jeudi (1 + 2 + 2 + 5 +
24+ 34 3+9+3+92-+ 30 — 53: 7 — 4), mais
comme les Géorgiens commencent l’hebdomade par le
dimanche, notre reste 4 équivaut à 5 ou au 5° jour.
Cette manière de compter le rang du jour, au lieu de
le nommer, était usitée chez les Grecs, et se rencontre
fréquemment dans la chronique de Trébizonde, par
Michel Panarète.
10) Autre exemple, ibid. p. 29, acte très-intéres-
sant de Rostom, éristhaw du Radcha, en Iméreth,
pour la restauration des domaines du Kouthathel,
archevêque de Kouthaïs, daté:
7218 du monde (en géorgien xbei; il a fallu
1710 de J.-C., beaucoup de sagacité pour dé-
29 juillet, chiffrer et restituer cette date,
7° jour. qui doit se lire sol).
En 1710 le 1 mars tombait un mercredi (1710 +
497 + 1 — 2138 : 7 — 3), ainsi le 29 juiliet fut un
samedi (3 + 2 +- 2 + 3 + 2 + 29 — 41:7 = 6);
ici, comme au N°9, l’hebdomade géorgienne com-
mence par le dimanche.
Puisque je suis en train de vérifications, je parlerai
encore de deux inscriptions géorgiennes où est indiqué
l’âge de la lune.
11) A quelque distance de l’état-major du régiment
247119 des carabiniers, près de Mangjlis,
19 13 M. Dimitri, de Gori, a trouvé une
57 pierre provenant de quelque bà-
57 timent de l’église, sur laquelle
19 on lit ces quelques mots: «...
— 1 a dédié (cet édifice) le 1° jour
” 18 de la lune, au mois de février,
X11 kroniconi 247.» En opérant à la
18 manière géorgienne, on trouve |
18 en effet l’année 19 du cycle lu-
198 : 30 naire et la NL le 9 du mois de
180 3 février, résultat qui laisse pour-
18 tant quelques doutes, parce que
+ 1 l'inscription, publiée dans les 3a-
19 au 28 février, nuekn de la Société archéolo-
—19 giquerusse, n’est pas en bon état
NL 9 février. de conservation.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
26
12) Enfin dans le 2° Rapport sur mon voyage, p.
167, j'ai donné une inscription qui fait foi que l’église
de Coumourdo a été construite:
184 kroniconi,
un samedi,
de mai,
1 de la lune.
En opérant encore à la manière géorgienne, on
trouve que la nouvelle lune de mai eut lieu le 17.
184:19 30
LEON — 12
AE NL 18 mars,
— 1 +30
12 48
> —31
12 NL 17 avril,
12 +30
132 :30 CH
12, ép. au 28 févr. —30
NL 17 mai.
Le Kroniconi 184 répond à 964 de J.-C., où le
1 mars tomba un mardi (964 +- 241 + 1 — 1206:7
— 2); done le 16 mai dut tomber un lundi, d’après
le calcul (2 + 2 +- 2 + 16 — 22 :7 — 1). Je ne sais
à quoi attribuer la différence de cinq jours entre
ce résultat et l'indication donnée par l'inscription,
telle je l’ai copiée et revue présentement sur ma copie
originale. Une seconde copie, par M. Pérévalenko,
fournit la même lecture, et d’ailleurs la lettre numé-
rale & 1 est encadrée dans une ligne, qui la fait
parfaitement ressortir: c’est donc bien «le samedi, 1°
de la lune, qui est indiqué.» Sans doute en opérant
par le système grec j’arriverais à ce samedi; mais je
doute qu’une pareille déviation soit permise, quand
964 2
— 2 2
96209 2
12 14
—] 30606
MÉ1 samedi, 1 de la
xl lune. (Iakofkin.)
11
11
x 14
135 : 30
15
Bulletin de l’Académie Impériale
2s
—— 0
2%
30 184:19
— 15 1710019
NL 15 mars, 15
30 — 1]
45 12
—9 Xl
NL 14 avril, 12
3 12
_ 44 132 : 30
— 30 1204
NL 14 mai. _ 12 épacte.
on sait par un manuscrit géorgien, daté précisément
de l’an 941, qu’en l’année 184 du cycle pascal l’é-
pacte géorgienne est 12 et non 15, mème différence
de 3 jours qui vient d’être remarquée, N° 3).
Et ce n’est pas seulement en Géorgie que les in-
scriptions fournissent des matériaux au computiste
pour les calculs les plus délicats. Par exemple, le sa-
vant M. Mommsen a recueilli des inscriptions latines,
dont une en caractères grecs, des IIL°— V°s., où
sont mentionnés les 7 noms planétaires actuels des
jours de l’hebdomade: Solis, Lunae, Martis, Mercurü,
Jovis, Veneris, Saturni dies, avec des indications si
précises du calendrier romain que, hors une seule,
celle du lundi, j’ai pu les réduire toutes aux notations
du calendrier chrétien; v. Rümische Chronol. bis auf
Cäsar, Berlin 1866, p. 312. Quant aux quantièmes
lunaires dont il y est fait mention, pas un seul ne
s’est prêté aux opérations ordinaires de calcul. Jus-
qu’à la découverte de ces textes, on ne connaissait
que deux passages, de Pline et de S. Justin, où était
mentionné le dimanche seulement, sous le nom de
dies Solis, et l’on n'avait qu'une idée vague de l’é-
poque où l’hebdomade planétaire, analogue à la se-
maine biblique, a été en usage à Rome.
Le recueil des Arrpt sera d’un immense secours pour
l'historien qui voudra s’occuper de la Géorgie, depuis
lPannexion, en parler décemment et avec exactitude,
dans les limites de la discrétion. Pour le moment,
nous en étions réduits aux maigres matériaux épars
dans les périodiques et dans quelques rares ouvrages,
d'auteurs faiblement renseignés sur les événements
contemporains; ou bien la crainte de traiter certains
sujets délicats les faisait passer sous silence. Nous
aurons maintenant, pour l’histoire contemporaine de
la Géorgie, les Mémoires de deux tsarévitch, impri-
més seulement en partie dans le t. II de l'Histoire
moderne; les matériaux de M. P. Boutkof, qui bien-
tôt verront le jour; le livre de M. Doubrovin: 3akas-
Ka3Be 078 1803 — 1806 r..; enfin les Akrpr. Du moins,
pour la période semi-géorgienne du commencement
de ce siècle, la lumière se sera faite.
Au lieu d'entrer dans le détail des actes géorgiens
du recueil, disons quelques mots du contenu général.
La section II traite de la Géorgie sous le roi Giorgi
XII; la III°, de la maison royale de Géorgie. Dans
ces deux parties de l’ouvrage on trouve en détail les
pièces émanées de chaque personnage, en particulier,
ou le concernant, à savoir: les reines Daria et Ma-
riam; les tsarévitch Toulon, Wakhtang, Mirian, Alexan-
dré, fils du roi Iracli IT; Dawith, Ioané, Théimouraz,
fils de Giorgi XII.
La IV° traite des troubles de la Géorgie, après la
mort du roi Giorgi; la V°, de l'annexion et de la nou-
velle administration. Les dernières sont consacrées à
la partie de l'instruction publique, aux mines, aux
voies de communication, aux clergés géorgien, armé-
ménien et catholique. L’Iméreth, l’Oseth, chacun des
cantons musulmans et la Perse, ont leur section par-
ticulière: le tout est terminé par un vaste Index al-
phabétique. Il suffit de cet aperçu pour donner une
idée des trésors historiques mis à la disposition du
publique avide d'instruction.
25 avril 1867.
Über einige slawische Benennungen des Purpurs,
der Sonne und des Bernsteins. Ein Beitrag
zur vergleichenden Alterthumskunde des bal-
tischen Volksstammes !). $ 1-5. Von E. Ku-
nik. (Lu le 25 avril 1867.)
Wie das Gotische für sämmtliche germanische Spra-
chen mit Einschluss des Angelsächsischen und Altnor-
dischen, so bildet das Altbulgarische, als die Mund-
1) Die Abfassung des obigen Aufsatzes wurde zunächst durch,
eine von einem Naturforscher an mich gerichtete Anfrage über die
Bedeutung eines seltnen und bis jetzt auf verschiedene Weise er-
klärten Ausdrucks in den russischen Chroniken veranlasst. Nach-
dem ich das, worauf es zunächst ankam, festgestellt hatte, ent-
schloss ich mich einzelne Fragen, die ich in meinem Aufsatze zu
berühren Gelegenheit hatte, umständlicher zu behandeln, um s0
auch Germanisten und Iranisten in den Stand zu setzen, dieselben
von ibrem Standpunkte aus zu erôrtern und im Interesse der ver-
29
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
30
art der cyrillischen Bibelübersetzung und kirchlicher
Schriften überhaupt, die Grundlage für die gesammte
slawische Sprachforschung. Aus dem Kirchenslawi-
schen sind in das ihm so nah verwandte Altrussische
eine kaum zu übersehende Menge von Ausdrücken
übergegangen. Wir besitzen aber bis jetzt weder ein
altrussisches Wôrterbuch, noch ein den Forderun-
gen der Gegenwart entsprechendes kirchenslawisches.
Nicht nur lassen die verdienstvollen Arbeiten von Wo-
stokow und Miklosich an Vollständigkeit noch viel zu
wünschen übrig, sondern auch zur Feststellung des
wahren Sinnes vieler wichtigen Ausdrücke, und nament-
lich zu einer streng wissenschaftlichen Entwickelung
der Bedeutungen ganzer Wortsippen müssen ganz
andere Wege, als die bisherigen, eingeschlagen werden.
Besonders aber ist in letzterer Hinsicht eine genauere
Vergleichung des Wortschatzes der beiden dem Sla-
wischen zunächst verwandten Sprachstämme, des Li-
tauischen und Germanischen, als eine unerlässliche
Bedingung aufzustellen.
Niemand empfindet die erwähnten Mängel mehr als
der Culturhistoriker. Zunächst müsste denselben durch
die Abfassung eines môglichst vollständigen kirchen-
slawischen Sprachschatzes abgeholfen werden,
was bei der Zerstreutheit der kirchenslawischen Ma-
nuscripte und der Beschaffenheit vieler derselben na-
türlich nicht die Aufgabe eines Einzelnen sein kann.
So lange aber ein solcher Sprachschatz nur in dem
Reiche der frommen Wünsche existirt, darf Niemand
auf den Namen eines gründlichen Kenners des Slawi-
schen Anspruch machen, dessen einzelne Mundarten
einmal des von ihrer älteren Schwester ausstrahlenden
Lichtes nicht entbehren kônnen.
Einstweilen ist der Historiker ôfters da, wo es sich
um Erklärung einzelner seltenen Ausdrücke handelt,
auf sich selbst angewiesen. Die Analyse, welche hier
von solchen geboten wird, macht auf Erschüpfung des
Gegenstandes keinen Anspruch; doch werden hoffent-
lich dabei auch einige Streitlichter auf den alten Cul-
gleichenden Alterthumskunde ïhrer schliesslichen Lüsung entge-
genzuführen.
Die Gründe, welche mich bewogen haben, dic drei unter einan-
der eng verwandten Nationen der Slawen, Litauer und Germanen
unter dem Gesammtnamen des baltischen Volksstammes zusam-
menzufassen, sind von mir in $ 8 näher auseinandergesetzt worden,
wo auch über den Gebrauch von prûsisch (le prouse) für das zwei-
deutige und hier überhaupt ganz unpassende «altpreussisch» das
Nôthige mitgetheill ist,
turzustand der Slawen und ihre internationalen Ver-
hältnisse fallen und somit Anlass zu weiteren Erôr-
terungen geben.
Da der vorliegende Aufsatz nicht ausschliesslich für
eigentliche Sprachforscher bestimmt ist, unter den
Historikern aber über das nähere verwandtschaftliche
Verhältniss des Litoslawischen zum Germanischen
noch manche falsche Ansichten herrschen, so sind
hier einzelne Sätze ausführlicher, als es sonst nôthig
wäre, behandelt worden. Im Interesse solcher Histo-
riker sollen hier einige längst feststehende Sätze aus
der vergleichenden slawischen Lautlehre hervorgeho-
ben werden.
1) Die beiden einst allen Slawen gemeinsamen Na-
salvocale haben sich am reinsten im Altbulgarischen
und Polnischen erhalten. Der starke Nasalvocal x,
poln. à (2. B. npxXB, prad) ist aus einem ursprüng-
lichen einfachen an hervorgegangen, wurde dann rhi-
nistisch fast, d. h. nicht ganz wie ein franz. on in
plonger ausgesprochen. Im Russischen trat an die
Stelle des starken Nasalvocals meistens ein einfaches
u (npyxr), im Bôhmischen u und ou (prud-iti und
proud-iti) u. s. w. Vertauschung des starken Nasal-
vocals mit dem schwachen Nasalvocal À, poln. e (fast,
aber nicht ganz wie ex in prendre) kommt, zum Theil
in Folge bestimmter Lautgesetze, vor. Im Russischen
ist an die Stelle von À meist a (ia) getreten, was sich
auch früh in die Copien der kirchenslawischen Manu-
scripte einschlich.
2) Umstellung oder Vorschiebung der beiden
Liquiden 1 und r vor den ursprünglich vor ihnen ste-
henden Vocal ist eine im Slawischen häufig vorkom-
mende Erscheinung, z. B. altbulg. Gpaza, bühm. brada,
lit. und lett. barzda — der Bart. Im Russischen wird
zur Vermeidung der Doppelconsonanz im Anlaute noch
ein Vocal zwischen beide Consonanten eingeschoben,
daher 6opoza. Got. gards (— Haus, in Zusammen-
setzungen Garten); lit. gärdas (= Schafhürde); alt-
bulg. rpaxb, poln. gréd, russ. ropoxr (— Umzäunung,
Feste und dann gewühnlich Stadt).
3) Die von Grimm im Germanischen entdeckte
Lautverschiebung (nepe6oü), nach welcher das Go-
tische, Alt- und Angelsächs., Altnord. in den Wür-
tern, welche sie mit verwandten Sprachen gemeinsam
haben, nicht die stummen Consonanten der andern
indo-europ. Sprachen bewahren, sondern dieselben
31
um eine Lautstufe verschieben, erleidet manche Aus-
nahmen, die sich indessen zum Theil auch auf be-
stimmt abgegränzte Fälle zurückführen lassen. Das
Gotische besass zur Zeit des Ulfila (+ 380) im An-
laute die labiale Tenuis P nicht, sondern gebrauchte
sie nur in Fremdwäürtern. Dem slawischen P entspricht
im Anlaute bald die gotischniederdeutschnordische Me-
dia B, bald die Aspirata F, die den Altslawen gänzlich
fehlte.
Bei Lehnwôrtern aber — und in dem Folgenden
wird zum Theil von ihnen die Rede sein — kommt es
sehr darauf an, zu welcher Zeit sie aus einer Sprache
in die andere übergingen. Es kann nicht geläugnet
werden, dass in dieser Beziehung Sprachforscher üf-
ters aus Mangel an historischem Sinn in Irrthümer
verfallen, während der Historiker seinerseits einstwei-
len sich leicht den Vorwürfen der Linguisten aussetzt.
1. Gotisch fagrs — edSeros, urspr. — glänzend, schôn
und altbulg. bagru = purpurn.
Zur Bezeichnung des Purpurs, der Purpurfarbe,
purpurfarbiger und purpurartiger Kleider werden in
den Schriftdenkmälern des europäischen Mittelalters
verschiedene Benennungen gebraucht, von denen man-
che früh veralteten, oder ganz ausser Gebrauch kamen.
Zu den meisten europäischen Vülkern gelangten diese
Benennungen zum Theiïl durch Vermittelung der latei-
pischen Kirchensprache. Das lat. purpura selbst aber
war dem griech. teo-œve-« nachgebildet, in welchem
ein die Begrife des Brennens und Glänzens ver-
einigender Wortstamm (G. Curtius, griech. Etym. 2te
Ausg. p. 273 und die dort citirten Aufsätze) nicht zu
verkennen ist. Die Goten, deren Bibelübersetzung zu
einer Zeit verfertigt wurde, als sie in nahen Bezie-
hungen zum ostrômischen Reich standen, wandelten
einfach das griech. toppuoæ oder eine von einem un-
bekannten Volke daraus gebildete Form in paurpura
um und bildeten daraus sogar ein Verbum paurpur-on
(= mit Purpur färben), wovon sich indessen im Ulfila
nur das Participium paurpur-oths für das neutestament-
liche tooguooÿs erhalten hat. Sehr wahrscheinlich aber
ist es, dass die Goten noch eine volksthümliche Benen-
nung für die verschiedenen Stoffe hatten, die man
schon im frühesten Mittelalter für purpurfarbige aus-
gab, und müglicher Weiïse hat sich diese Benennung
Bulletin de l'Académie Impériale
32
bei den Slawen erhalten. Die gotischen Lehnwôrter,
welche im Kirchenslawischen vorkommen, stammen
aus zwei verschiedenen Perioden. Der‘eine Theil der-
selben ging noch vor dem Beginn der slawischen Vül-
kerwanderung nach Westen und Süden (jedenfalls ante
Christum natum), aus dem Gotischen zu den Slawen
über und hat sich in den einzelnen Mundarten der-
selben, zum Theil auch im Litauischen erhalten; der
andere Theil ist nur der altbulgarischen Mundart eigen
und in dieselbe erst eingedrungen, als die Vorfahren
der heutigen Bulgaren noch nôrdlich von der untern
Donau sassen und somit dem politischen Übergewicht
der einst so mächtigen, um 200 p. Chr. von der Ost-
see nach dem Pontus gezogenen (roten ausgesetzt
waren. Aus dieser zweiten Periode, in welcher eine
«Dneprstadt» eine Zeit lang die Hauptburg von Go-
tenfürsten war, scheint das Wort 6arp? zu stammen,
von dem bald die Rede sein wird.
Wie die alten Rômer den Griechen ibr purpura
entlehnten, so eigneten sich auch die Südostslawen
das griechische rogovoæ an, das aber nie volksthüm-
lich geworden ist und jetzt in Russland vorzugsweise
in dem Sinne von «Zarenmantel» neben den ihren west-
europ. Ursprung verrathenden Subst. und Adj. nyp-
nÿpB, nypuypogbii gebräuchlich ist.
Als die gewühnliche Benennung des Purpurs galt
im vorpetrinischen Russland ein Wort, das durch
die bei den Bulgaren entstandene kirchenslawische
Literatur in das Serbische und Russische eingedrun-
gen ist. Das gleichlautende Adj. und Subst. 6arpr
(bagru) hat im Kirchenslawischen durchaus die Be-
deutung purpureus und purpura und gab Veranlas-
sung zur Bildung mehrerer anderen Würter, wie 6a-
rphauna (6. mapecka; vgl. 4pRBIKHNNA HAPRCKA — Za-
renpurpur), 6arphaopoysne (im Russischen heisst dem-
nach der Kaiser Constantinus porphyrogenitus auch
K. 6arpanopoxmpli), Garp-0B (— purpureus), 6arp-nTm
(goviot, rubefacere). Das Igorlied scheint an eini-
gen Stellen das Adject. sepsaenbri in dem Sinne von
hochroth oder purpurfarbig zu gebrauchen, doch
kommt auch in ihm das Adj. 6arpaubii in dem Sinne
von purpurfarbig vor. Bei Gelegenheit der Nieder-
lage, welche im J. 1185 die zwei fürstlichen Brüder
Igor und Wsewolod im Polowzerlande erlitten, heisst
es bildlich: xBa coma nombprocra, 06a 6arpana
CTJ'BIA 10raCocTa (zwei Sonnen wurden finster, es er-
33
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
34
loschen beide Purpursäulen). Dagegen heisst es bei
Gelegenheit der Sonnenfinsterniss vom 14. Mai 1230
in den Chroniken: n 6bICTS comme MÉCANeMP, H ABHHACA
06anoJBI TO CTOINOBE HCPBICHN, 3CJICH, CHHM.
Aus der grossrussischen Volkssprache führt zwar
Dahl in seinem Toukogpi caosaps xugaro Beauko-
pycKaro #3P1Ka eine nicht unbeträchtliche von 6arp#
gebildete Anzahl von Formen an, jedoch ohne nühere
Bezeichnung ihrer Heimath, ihres häufigen oder min-
der häufigen Gebrauchs. Gewiss ist, dass nicht alle
von ihm gesammelten Ausdrücke allgemein bekannt
sind, Am geläufigsten ist das Adject. GarpôBpii zur
Bezeichnung der hellrothen oder hochrothen Farbe,
das auch für die von Schlägen herrührenden blauen
und braunen Flecke (6arpogbia naTHa — 6arpésnna etc.;
vgl. 6Garpôsbre) vom Volke gebraucht wird. Im Serbi-
schen ist diese Wortsippe entweder nie volksthümlich
gewesen oder nicht geblieben. Wuk Stephanowitsch
fübrt in s. Würterbuch unter bagra nur ein Beispiel
aus der serbischen Wojewodina an: ou je TBoje 6arpe
(= deines Gelichters, tuae farinae).
Ungeachtet dass 6arp? eine verhältnissmässig reiche
Nachkommenschaft gehabt hat, steht es doch im Sla-
wischen ganz vereinsamt da, so dass man es ebenso
wie nopænpa im Kirchensl. und purpura im Lat. für ein
Lehnwort erklären muss, besonders da auch die durch
Nichts unterschiedene adjectivische und substantivi-
sche Endung hôchst auffallend ist. Bagr-ü (mit dem als
Endung hinzugefügten altbulgar. Halbvocal”"h, der mit
dem stummen russischen % nur graphisch identisch ist),
erinnert offenbar an das got. fagrs, das indessen von
Ulfila nur in der abstracten Bedeutung zur Wiedergabe
von eÙSetos gebraucht wird. Nach Analogie des got.
bait-r-s (— bitter; vgl. Kuhn’s Zeitschr. V, 54), hlut-r-s
(= lauter) erweist sich fag-r-s, nach Abzug des alten
Nominativzeichens s, als eine rein adjectivische Bil-
dung auf -r. Die ursprüngliche Bedeutung des ger-
manischen Wortstamms fag muss aber glänzen ge-
wesen sein, und diese dringt auch noch im Altnordi-
schen durch. Dasselbe bietet ein Verbum fâga (—
glänzend machen, putzen; verehren, anbeten), fer-
ner fâgan (= Verehrung, Cultus), fagna (= sich freuen;
vergl. hinsichtlich des Übergangs der Bedeutung das
altbulg. kpacwrn CA — ornari; laetari), fagrblâr (— hell-
blau, himmelblau), fagrahvel (eddischer Beiname der
Sonne in der Bedeutung eines glänzenden Rades). Alle
Tome XII.
diese Bedeutungen reichen bis in die Periode vor der
Sprachtrennung der einzelnen germanischen Stämme
zurück, wie unter andern erhellt aus dem mittelhdeut-
schen vegen — schôün, glänzend, rein machen (daher
Fegefeuer ganz im Sinne von purgatorium, uncru-
ame) und aus den zur Bezeichnung des Schünen
(vel. russ. Kpacabri, roth und schôn und die doppelte
Bedeutung des lat. candere nebst candidus) dienenden
Adjectiven: althochd. fagar, angels. fäger (woraus das
engl. fair), altnord. fagr (z. B. auch im Beinamen här-
fagr des Künigs Harald von Norwegen), schwed. fager
u. S. W.
Eine weitere Bestätigung der Behauptung, dass dem
(entlehnten?) germanischen Wortstamm fag die Be-
deutung glänzen zukommt, dürfte die Geschichte
des Sonnencultus der beiden arischen Vôülker gewäh-
ren, In Folge gewisser historischen Verhältnisse (s.
S 6) ist sogar die alte, allen Indoeuropäern gemein-
same Benennung des personificirten Himmels, als des
Glänzenden, (Asus, Zeus; vel. sub divo, altnord.
tiv-ar — Gütter, lit. déva-s — Gott u. s. w.) im Sla-
wischen verdrängt worden, so dass diw (41m?) wie
im Iranischen die Bedeutung eines büsen Geistes be-
kam, nachdem au dessen Stelle ein dem iranischen
Bagha (urspr. wohl nur eine Benennung der glänzen-
den Sonne) nachgebildetes Wort Bor? (Boguü) getreten
war, das früh eine rein geistige Bedeutung erlangte*).
2. Altbulg. upamens (— roth, hochroth), prûs. wormyan
(= roth) und lit. kermis (— Wurm), got. vaurms (—
Schlange), altbulg. upier (= Wurm).
Jenes altbulg. bagrü hatte so tiefe Wurzeln im Kir-
chenslawischen geschlagen, dass kein russischer Co-
pist von älteren Texten es für nôüthig gehalten haben
würde, dasselbe oder eine andre mit ihm zusammen-
gesetzte Wortform durch einen mehr allgemein ver-
stündlichen Ausdruck zu ersetzen. Weniger gebräuch-
lich waren andre Benennungen des Purpurs, die aber
auch im Kirchenslawischen ihren Namen von der ro-
then oder glänzenden (brennenden) Farbe desselben
erhalten haben. Das Subst. pres (— vermis; poln.
czérw — die Made) ist, wie nicht mebr bewiesen zu
werden braucht, zunächst aus 1pæmb, dieses aber aus
Kkpæms entstanden, was zunächst auch die litauischen
2) S. $ 6. Andeutungen über das Verhältniss des slawischen
Sonnencultus zu dem der Arier.
3
35
Bulletin de l’Académie Impériale
36
EE
Formen kirmis (kirminas — Wurm, besonders grosser
Wurm) bezeugen. Eine strenge Unterscheidung von
Farbenschattirungen, wie karminroth, purpurroth u.
s, w. hat man natürlich weder in den ältern Mundar-
ten des Slawischen noch jetzt im Munde des gemei-
pen Volks zu erwarten. Letzteres gebraucht in ver-
schiedenen Gegenden Formen, die von jenem Subst.
gebildet sind, zur Bezeichnung der purpurfarbigen
Stoffe. Auch im Kirchenslawischen ist schon dieselbe
Beobachtung zu machen (vgl. uprBikanma — byssus,
purpura, color coccineus mit uprMakauma — byssus
bei Miklosich); doch verlangen alle hierauf bezügli-
chen Stellen noch eine nähere Untersuchung”*). Hier
soll nur versuchsweise die Zeit approximativ festge-
stellt werden, seit welcher im Slawischen die rothe
Farbe nach dem Namen eines Insects bezeichnet
wurde. In mehr oder minder ursprünglicher Form
kommt das zu diesem Zwecke gebrauchte Adjectivum
(altbulg. uprmems) nebst den davon gebildeten Subst.
und Verben in sämmtlichen slawischen Mundarten
vor, selbst das Polabische nicht ausgenommen: «Roth,
tzerwéna vom Sommervogel», d.i. wohl vom Schmet-
terling, nach der 3ten Redaction des mir in der voll-
ständigen (Hilferding’schen) Abschrift vorliegenden
Henning’schen Glossarium drevanicum; vergl. poln.
czerwony — roth, czerwonogardt — Rothkehlchen, das
bühm. éerm-äâk heisst, den Namen des Dorfes Czermo
an der Guezwa in Galizien, früher auch genannt
Czermno und wahrscheinlich an der Stelle der alten
Burg Jepsens, wovon Czerwona Rus (— Rothreussen)
seinen Namen erhielt. Man darf daher annehmen, dass
bei den Slawen schon lange vor dem Beginn der sog.
slawischen Vülkerwanderung (also vor 200 post Chr.
n.) jene Farbenbezeichnung gebräuchlich war. Aus
dem Umstande, dass dieselbe allen slawischen Mund-
arten eigen ist, darf man mit ziemlicher Sicherheit
sogar schliessen, dass sie noch vor der slawischen
Sprachtrennung, d. h. vor der Spaltung der slawi-
schen Ursprache in zwei Hauptäste, den sog. südüst-
lichen und westlichen, aufkam, und diese Spaltung
muss aus Jlinguistischen wie ethnologisch-historischen
Gründen jedenfalls in eine geraume Zeit ante Chr.
3) S. unter andern auch die Abhandlung von J. Hamel: Über
Cochenille am Ararat und über Wurzelcochenille im Allgemeinen
(Mémoires de l’Académie Imp. des sciences de St.-Pét. VI"® Série.
Sciences Naturelles. Tome I, p. 9).
natum gesetzt werden. Môglich dass die Anregung
zur Bildung jenes Farbennamens zu den Slawen vom
Pontus her kam, wie denn auch die Benennungen
karmin und karmesin den Europäern durch Ver-
mittlung der Araber oder Altsemiten überhaupt zu-
geführt wurden und schliesslich auf den arischen und
näher auf den altindischen Namen des Wurms (sanskr.
krmi, woraus erst krimi, altbactr. kerema, lat. ver-
mis, altgälisch cruim, welsch prif, pryf; got. vaurms
— Schlange, altnord. orm — Wurm, Schlange etc.)
oder eine sog. Schildlaus zurückgehen ‘). Zu den Li-
tauern drang dieser asiatische Einfluss nicht. Dagegen
stüsst man in den Überresten der Prûsiska auf einen
merkwürdigen Ausdruck. In dem Glossarium prüsi-
cum wird unter andern Farbennamen auch das Adij.
wormyan (— roth) angeführt. Aller Wahrscheinlich-
Kkeit nach haben wir hier den Accus. einer auf -as
auslautenden Adjectivform (s. Nesselmann, Spr. d. a.
Pr. p. 51, 56) vor uns. Dasselbe Adj. hat auch der
übrigens des Prüsischen wenig kundige Simon Gru-
nau unter seinen Glossen verzeichnet: «warmun —
roth». Nesselmann bringt die Grunau’sche Glosse mit
der Accusativform urminan (— roth) des samlän-
disch-prüsischen Catechismus zusammen und verweist
dabei noch auf das reval-estnische Substantivum urm
(— Blut). Sollte in urminan sich die Urform des
altbulgarischen poym-Bar (— roth von Gesicht, fleisch-
roth), poln. rum-iany (— rothbackig) etc. erhalten
haben? Vgl. altbulg. pambne (— heftig, stark), tschech.
nâ-ramny (— übergross, gewaltig) mit dem althd. ir-
min (für armin in irminsül] etc.), ags. eormen (= gross);
altbulg. pa6ora, poln. robota (— Arbeit) mit dem got.
arbäiths; abulg. xack-arn, tschech. lask-ati (— liebko-
4) Die Verwandtschaft jener Benennungen mit den litoslawi-
schen ist allgemein zugestanden. Woher kommt es aber, dass die
Linguisten bis jetzt noch nicht darüber einig sind, ob diesem Na-
men des Wurms eine mit HV oder KV aulautende Form zu Grunde
liegt oder ob das V ein sogenanntes V furtivum ist? Aus dem bal-
tischen Sprachstamme lässt sich mehr als ein sichres Beispiel
dafür anführen, dass in den ursprünglich in ihm mit HV oder SV
anlautenden Wôrtern in der einen Mundart bald der erste Conso-
nant, in der andern bald der zweite Consonant ab- oder ausfiel. —
Die Literatur über jenes Wort ist verzeichnet bei Miklosich (Lexi-
con unter upeB#), &. Curtius (Griech. Etym. 2te Ausg. p. 485; vgl.
Compendium von Schleicher, 2te Ausg. p. 303), wozu noch hinzuzu-
fügen sind: Kubn in der Zeitschrift 13, 136 und Benfey in s. Orient
und Occident 2, 755 u. 756. — Über den orientalischen Ursprung
von karmin und karmesin s. Pott in der Zeitschr. für die Kunde
des Morgenl. IV, 42. — Über die altindische Form wird gehandelt
im Petersb, Sanskrit-Wôrterbuch Th. 2, p. 407.
37
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
38
sen, schmeicheln; lask-a — Liebe) mit dem altnord.
alsk-a, schwed. älsk-a (— lieben). Mit dieser Ver-
setzung der Liquiden im Slawischen ist freilich der
Anlaut in wormyan noch nicht erklärt, das müglicher
Weise aus einer gotischen oder überhaupt germani-
schen Mundart entlehnt ist. Vgl. angels. vurma, m.,
— Purpurschnecke, Purpurfarbe, vurmreäd — cocci-
neus, altfries. worma — Purpur. Gewiss ist, dass das
ital. vermiglio, franz. vermeil (s. Diez, Etym. W.) aus
vermiculus entstanden ist und «palla vermicula» kommt
wenigstens schon im 6. Jahrh. p. Chr. vor.
3. Altbulg. Gpoume (— Purpur) entsprechend einem got.
*brahts (= Pracht).
Noch wenig belegt ist die altbulg. Benennung 6pomre
(fem.) für Purpur und das davon unzertrennliche Ver-
bum Gpour-wrn. Wostokow erklärt das Subst. durch
«4epgrenb», Miklosich durch «oowvxoùv, purpura» und
fügt noch hinzu, dass es in einer (oder mehreren?)
glagolitischen Handschriften für «coccinum» steht, Aus
einer Stelle im Jesaias (1, 18) führt Wostokow an: ançe
6oyzoyTS rpbeu Baux 4Kko Gpos (65 œouwxodv, bei
Luther: blutroth), ako cabre oy6baw. Für das Verbum
6pourrwru setzt Miklosich die Bedeutung rufare an (égv-
Saua iwatioy — Gpouienbr pu3k. O6pomr-wrn — tin-
gere, — CA — rubefieri).
Da in den Femin. mous, got. mahts (— die Macht),
altnord. mâttr, m., Hours, got. nahts (— die Nacht),
altn. nâtt, Beurre, got. vaihts (— Ding, Etwas; vergl.
nhochd. der Wicht und n-icht), altn. vættr f. das altbulg.
ur einem got. ht, altnord. tt und einem neuhochd.
cht genau entspricht, so würde die entsprechende go-
tische Form von 6porure lauten: brahts. Diese Form
kommt bei Ulfila, der selbst das Adject. baihrts (eig.
glänzend, dann hell, offenbar, deutlich) und die Ab-
leitungen davon schon meist in einem abstracten Sinn
gebraucht, nicht vor, hat sich aber im deutschen Bracht
und Pracht (nicht fastus und splendor, wie Grimm Wb.
2, 286 setzt, sondern splendor und fastus; vgl. un-
ter andern das mundartliche rotbräht — rothleuch-
tend) erhalten. Zu Grunde liegt also dem slawischen
Gpouurs die Bedeutung Glanz, was hier nicht weiter
ausgeführt werden kann. Daraus allein ist aber durch-
aus nicht zu folgern, dass das slawische Gpourrs ein
Lehnwort ist. Das Verbum Gpourrwrn kommt fast in
allen Dialecten vor, wie windisch: broë-iti jajca (—
Eier färben), poln. brocz-yé (— besudeln, sich be-
spritzen mit Blut), bühm. brot (— rother Saft, Pur-
pursaft) u. s. w.
4. Altbulg. npxdx (— electron) entsprechend einem
got. *brants oder “brands und altb. npanpxda (= Pur-
pur) vom Verbalstamm *npx0-umu(—brennen, glänzen).
Eine ganz eigenthümliche Bildung verräth eine kir-
chenslawische, bis jetzt ebenfalls noch nicht genau er-
klärte Benennung des Purpurs, welche in drei wenig
von einander abweichenden Formen vorkommt: mpa-
upxXB (masc.), npanpxia (fem.), nphupxa (fem.). Ein
entsprechendes polnisches praprad u. s. w. giebt es
nicht. Alle drei Formen mit der Bedeutung ropovoc
sind von Wostokow und Miklosich mehrfach belegt
und auch für das Adj. Hpanpx ABB (— Toppueods, pur-
pureus) hat Miklosich drei Quellen citirt. Eine davon
war schon von Wostokow beigebracht worden; an ihr
(Hpanpoyzanmn zAyramu in einem in Serbien geschrie-
benen kirchenslawischen Codex) scheint von der Farbe
des Regenbogens die Rede zu sein. Da wir nicht alle
Stellen der beiden Lexicographen controlliren künnen,
so müssen wir uns darauf verlassen, dass in keiner
derselben sowohl das Subst. als das Adj. anders als in
der Bedeutung «Purpur, purpurn» gebraucht wird.
Wie kam man aber darauf, ein Substantivum der
Art zur Bezeichnung des Purpurs zu bilden? Hatte
man dabei eine besondere Gattung von Purpur im
Auge? Darüber geben die kargen lexicalischen Indices
keine Auskunft. Jedenfalls hat man nparpxxz und
npaupx ua (npbrpA ia) in npa (np) und npx-18 (-xa) zu
zerlegen. [pa kann hier, so wie in dem von Miklosich
(p. 654) aufgefundenen npacraBbae nicht an der Stelle
des lat. pro in proavia (kirchens]. npa6a6a, poln. pra-
baba, przedbaba, nadbaba) stehen, sondern dürfte, nach
der unter N° 2 u. 3 (Einl.) erwähnten slawischen Laut-
vorschiebung und germanischen Lautverschiebung,
zunächst ein gotisches bar voraussetzen, das sich im
altsächs. bar (barwirdig im Heliand — sehr würdig)
und altdeutschen bore, bor in der Bedeutung ni-
mis (s. Grimm, Gramm. 2, 550 und die Artikel bor-
kirche, die Bore und empor ins. Würterb.) und viel-
leicht auch verdunkelt im Litauischen und Lettischen
erhalten hat. Dann aber fällt jenes bis jetzt nur noch
mit npacsagsns zu belegende altslawische Verstär-
kungspräfix npa mit dem gleichfalls verstärkenden kir-
chensl. Präfix npb (vor Adject. und Adverbien, wie vor
3%
39
Bulletin de l’Académie Impériale
40
Subst. z. B. npbpa6a, nphrphinra, npÉCTOIR u. S. W.)
zusammen, in welchem # noch nicht wie e in dem gleich-
bedeutenden und gleich häufigen russischen npe, son-
dern wie ein verschmolzenes ea — im Polnischen ver-
tritt dasselbe häufig ein iotirtes a — lautete. Somit
wären die Feminina npanpxya und npbnpxja als zwei
durchaus identische Formen aufzufassen und es wäre
nun ein einfaches npxya nachzuweisen. Sollte ein sol-
ches aber für immer im Kirchenslawischen unauffindbar
bleiben, so künnte man wenigstens das russische 3a-
upyza (— das Stauen, ein Damm, s. unten) anführen.
In gewissen Schriften (vgl. neuere Ausgaben der sla-
wonischen Bibel) wird für Purpur, ausser npanpyxa,
auch eine Form npenpæa angesetzt, die also altbul-
garisch nphnpaxa lauten würde. Im Altbulgarischen
kam sie aber schwerlich vor. In mittelbulgarischen
Handschriften werden die beiden Nasalvocale mehr
oder minder mit einander verwechselt. Vielleicht
wirkte auch auf die Bildung dieser neukirchenslawi-
schen Form eines der von mpACTu (npaxx = ich webe,
vgl. poln. prza$é, Präs. przede — ich spinne) gebilde-
ten Substantiva ein. Vgl. noch Garphanna npayeua bei
Miklosich, worunter ein Purpurgewebe zu verste-
hen ist. Die Bildung des Verb. npacru erfordert eine
genaue Untersuchung. Merkwürdig ist, dass bis jetzt
für das russ. Fem. npaxs (— der Faden) noch kein
altbulg. pas nachgewiesen ist. Dagegen lässt sich
für das obige Masc. npanpxy? ein einfaches und gleich-
falls männliches npxxR nachweisen, von dem die wei-
tere Analyse anzuheben hat.
Ein polnisches, formell ganz entsprechendes Subst.
prad (Gen. predu u. pradu) ist wirklich vorhanden, kann
jedoch hier, da es nur in einer abgeleiteten Bedeu-
tung vorkommt, nicht zu Grunde gelegt werden. Dage-
gen hat das Polnische und Bühmische andere nasalirte
und entnasalirte Formen bewahrt, in denen die ur-
sprüngliche Bedeutung des obigen kirchenslawischen
Substantivs deutlich hervortritt. Von dem altpolnischen
Verbum pred-aé hat sich nur ein (jetzt auch nicht mehr
gebrauchtes) Substantivum predanie (— das Brennen)
erhalten. Das bühmische prud-iti (— brennen, entzün-
den, reizen, beizen) setzt nach der oben aufgestellten
Regel ein altbulg. npxx-wrm voraus, und an dasselbe
schliessen sich zunächst an die bühmischen Wôürter:
prud-ivy (— wund brennend), prud-ina (— ein reiz-
barer, jähzorniger Mensch), prud-kÿ (= jähzornig,
hitzig, ungestüm, stark, schnell) und verschiedene von
prud-ky (in dem Sinne von schnell) abgeleitete Wür-
ter. Ein polnisches prad-ki existirt nicht, wohl aber
ist pred-ki (— schnell, rasch) ein ganz gewühnliches
Wort. Das Verb. npar-uru, bald durch salire, bald
durch trepidare gedeutet (Mikl. 753; vgl. die russ. V.
HpsA-aTs und np4-HyTs — hüpfen, springen), wird, nebst
einem sich scheinbar daran schliessenden litauischen
Verbum, hier absichtlich nicht herbeigezogen. Auch
die Wortsippe, zu der napa, poln. para (— Dampf,
Dunst), napu-r1 (— dampfen), poln. parz-yé (= bren-
nen, brühen) u. s. w. gehüren, bleibt hier unberück-
sichtigt.
Von predanie und pruditi (brennen) zu predki und
prudki (schnell) hat die Entwickelung der Bedeutung
dieses Wortstammes sich als eine ganz natürliche er-
wiesen. Liegt aber demselben die Bedeutung des Bren-
nens zu Grunde, so werden wir die davon unzer-
trennbare des Glänzens, wie wir bei topueæ und
bagrü (vgl. candere — brennen und glänzen, und can-
didus — weisslich) gesehen haben, auch bei der Ana-
lyse von npxxr im Auge haben dürfen. Bekanntlich
gab es im Alterthum und Mittelalter verschiedene Be-
nennungen des Bernsteinharzes. Aus der Analyse der-
selben, so weit sie überhaupt bis jetzt gelungen ist,
ergiebt sich, dass der Bernstein (Brennstein, Brennen-
stein; in holl. und fläm. Mundarten neben brandsteen
auch barnsteen) vorzugsweise nach seiner hellen Farbe
— und diese Benennungen mügen die ältesten sein —
oder nach dem Umstande, dass er leicht im Feuer
schmilzt, benannt wurde. Das griech. mhex-toc-v be-
zeichnet zunächst nicht den Bernstein, sondern ein
glänzendes Metall (aus einer Mischung von Gold und
Silber) und hängt zusammen (G. Curtius, gr. Etym. 2.
Ausg. p. 127) mit mhéx-top — 1) Sonne und 2) strah-
lend als Beiw. des Sonnengottes Hyperion. Wostokow
hat bereits nachgewiesen, dass das in der Septuaginta
und andern griechischen Schriften vorkommende àsx-
rev von den kirchenslawischen Übersetzern bald durch
np? allein, bald durch uucrs (— rein; vgl. cunreiner
Bernstein») npxxs wiedergegeben wird. Da jene Über-
setzer schwerlich genau von den verschiedenen Be-
deutungen, welche das Electrum der Alten hatte, un-
terrichtet waren, so lässt sich aus ihrem Gebrauch
von px noch nicht der Schluss ziehen, dass sich
in diesem Worte die urslawische Benennung des Bern-
A1
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
42
steins erhalten hat”). Lautlich gedeutet künnte aller-
dings, wie sich noch näher im Laufe der Untersu-
chung ergeben wird, npxx8 den Brennstein bezeich-
nen, allein dann wäre der Nachweis seines Zusammen-
hanges mit npanpxxs (Purpur) fast unmüglich. Dazu
kommt, dass der russische Glossator des 17. Jahrh.,
Iamsa Beprya, der uns manche schätzbare Notizen
gegeben, schreibt: npy Ab, MOCAXKP, 110 HHÉXP, ÉYPIITBIMB
(Prud, Messing, nach Andern Bernstein). Müssen
wir demnach vermuthen, dass man mit npAXE ursprüng-
lich ein Metall von glänzender oder hellleuchtender
Farbe — das succinum hielt man bekanntlich an ver-
schiedenen Orten lange für einen wirklichen Stein —
bezeichnen wollte, so wäre das durch npa verstärkte
upxxB eine Farbe oder ein Kleidungsstoff, den man
entweder nach seiner glänzenden, brennenden, oder
nach seiner wachsgelben Farbe nicht anders zu benen-
nen verstand.
Mit der nicht anzutastenden Bedeutung von npa-
upxaa (Purpur) und npanpxaeus (purpurn) lässt sich
aber der Gebrauch zweier lautlich übereinstimmenden
russischen Formen nicht vereinigen. Das Subst. fem.
gen. nmpanpyza wird in der 1. Pskower Chronik unter
d. J. 1470 und das Adject. upanpyzen in der 1. Nowg.
Chronik unter d. J. 1421 bei Gewitterschilderungen
in Verbindung mit xox18 (Regen) gebraucht. Es liegt
uns demnach ob, entweder nachzuweisen, dass diese
beiden Ausdrücke nur zufällig in lautlicher Hinsicht
an die obigen kirchenslawischen anklingen, jedoch
einer ganz andern Wortsippe angehüren, oder darzu-
thun, dass aus npxx-mrn (bühm. pruditi) und npxx? sich
noch andere Bedeutungen entwickelt haben. Da Erste-
res unmôüglich sein dürfte, so müssen wir wenigstens
den zweiten Satz zu beweisen versuchen. Wie im-
mer, so vermisst man auch hier einen nach den Quel-
len ausgearbeiteten kirchenslawischen Sprachschatz.
Oben ist angedeutet, wie aus dem Begriff des Bren-
nens der des Hitzigen, Ungestümen und Schnel-
len sich entwickelt hatte. Zunächst schliesst sich daran
noch das bühm. prud-êina mit doppelter Bedeutung
(— scharfer Pflanzenstoff;, Wasserstrom). Noch hat
das Bühmische eine Classe von Würtern zu bieten, in
denen der altbulg. Nasalvocal x nicht in ein einfaches
u, sondern in den dem Bühmischen eigenthümlichen
5) S. $ 7. Über das Bernsteinmeer der russischeu Volkssagen.
Laut ou übergegangen ist, gleichwie auch dem altbulg.
und poln. 61%, bfad ein bühmisches blud (— Irrthum)
entspricht, dagegen bloud einen Irrenden oder Tôülpel
bezeichnet. Das Verb. proud-iti (— reizen, antreiben),
proud-iti se (— strômen, wogen), die Subst. proud
(= Strom) und proud-nik (— Strômling und Schnell-
ente) lehnen sich übrigens ganz natürlich an die frü-
her aufgezählten Formen prud-iti etc. an.
Auch das Polnische hat noch einige zunächst hie-
her gehürende Wäürter bewahrt, wie das (jetzt veral-
tete) Verb. prad-aé sie (—fliessen), und das poln. Masc.
prad (gen. predu und pradu) hat ausser der Bedeutung:
«Schuss, Strom eines Flusses oder flüssigen Kürpers»,
nebst prad-owina noch die eines Baumes unter dem
Wasser, der die Schifffahrt aufhält. Prad-nik heisst ein
Flüsschen bei Krakau.
Aus dem Begriff des Jähen und Raschen ging ohne
Zweifel der des Strômens oder Schnellfliessens hervor.
Aus der Bedeutung des Jähen, Ungestümen oder Rau-
hen muss sich noch eine andere entfaltet haben. Das
angeführte Verbum und das Subst. wurde und wird
noch zur Bezeichnung eines Anstosses, Hindernisses
oder gewaltsamen Hemmens auf Flüssen u. s. w. ge-
braucht. Axercbeg® (ins. [Leproguprit Caoapr) bemerkt
unter Berufung auf einen slawischen Chronographen,
dass das Subst. npyxk — hier kann nicht von dem volks-
thümlichen russischen Ausdrucke, sondern nur von
einem durch russische oder serbische Copisten ent-
nasalisirten npxx8 die Rede sein — bisweilen auch
ratb, MocrB (— Weg von Faschinen, über einen Mo-
rast, eine Brücke) bedeutet. Miklosich hat einstweilen
noch keine anderen Belege beigebracht. Das Vorkom-
men des altbulg. Adjectivs npxxpx, in dem Sinne von
hart, emporragend im Meere, wird durch eine Stelle
in den Act. Apost. 27, 29 (eès toayeis TOTous — BB
npxamas mbcra) belegt. Miklosich führt für zwei andere
Stellen vermuthungsweise die Bedeutung «celer» an,
die durch das angeführte poln. pred-ki und bühm. prud-
kyÿ Bestätigung erhält. Der Glossator Hawsa Bepsruxa
erklärte npyausri durch ocrpori, Ankift, Heraankit (=
scharf, wild, uneben). Eine durch angeschwemmte
Erde, oder durch eine Sandbank gebildete Stelle in ei-
nem Flusse heisst noch heute im Russischen npy1-H0e
(pyamoe mbcro 85 phKE 3aPYÆCHOC HAHOCOMB, Me-
aan. S. auch Dahls Würterb.).
Das echt russische upyxr (— Teich) liegt vom büh-
43
Bulletin de l’Académie Hmpériale
4
9
mischen proud (— Strom) der Bedeutung nach ab, die
aber ihre Erklärung in den analog gebildeten deutschen
Würtern Deich und Teich, so wie im polnischen staw
(= Teich) findet. Deich (s. Grimm, Wôürterb.) und
Teich sind bekanntlich etymologisch identisch und nur
mundartlich verschieden. Deich ist «ein Wall oder
Erddamm, um das Fluss- oder Seewasser zurückzu-
halten», und hat sich auch in dem alten franzôsischen
Lehnwort digue erhalten. Das polnische staw hängt
etymologisch mit dem deutschen stau-en ‘), altbulg.
crag-wru (cessare facere, impedire) zusammen; vgl. das
kirchensl. cragnao (— Anker), poln. stawidto (— das
Fallbrett, die Hemme). Grimm müchte in Teich ur-
sprünglich nur piseina sehen. Prudas bedeutet nach
Nesselmann im Hlit. nur Fischteich, nach Szyrwid im
Nlit. einfach Teich. Stender führt ein lett. prôds
(= Fischteich; vergl. das witebsk-lettische pruds —
Teich) als im kurischen Oberlande gebräuchlich an.
In Übereinstimmung mit dem Gesagten wird npyaxa
und upyxs von Dahl durch sanpyza, raTb, IIOTHHA,
rpeôas erklärt. Hpyairs phky (— einen Fluss abdäm-
men), HpYARTS n0803ky (— einen Hemmschuh oder eine
Hemmkette an ein Fuhrwerk beim Herabfahren von
einem Berge anlegen) sind bekannte Ausdrücke, die,
zusammengehalten mit den sonst angeführten, darauf
hinweisen, dass npaxs und npxxuru schon in uralten
Zeïten den Begriff des Hemmens, Dämmens, Entge-
genstemmens in sich schloss. Das alt- und neuserbi-
sche npyxr (—Sandbank, Düne) stimmt ebenfalls da-
zu, Während prôd im Windischen (s. Mikl.) «sandiges
Ufer» (vgl. das magyar. Lehnwort porond — arena
und das walach. Lehnwort prud — sabulum) bedeu-
tet und mit prodi die Drauinseln bezeichnet werden.
Auch das lat. stagn-um hat man bereits, ohne an die
obigen Analogien zu denken, durch eingedeichtes Was-
ser (eines Flusses u. s. w.) erklärt, wozu auch das
Verb. stagn-are (in der Bedeutung: stehen machen, der
Bewegung berauben) passt. Über re-os (— Wall,
Mauer) s. G. Curtius, gr. Etym. À 145.
Nachdem die Hauptmaterialien zusammengestellt
sind, aus denen einst die Lebensgeschichte der Wort-
sippe npxi- hervorgehen soll, wird es môüglich sein,
6) Durch das vor tau- getretene S ist die Lautverschiebung von
T in D gehemmt worden. Die Gemeinsamkeit der juridischen Be-
deutung von stau, stav im Slawischen, Gotischen und Ahd. ging
schon aus den Bemerkungen von Grimm (RA. 748. 758. 855) hervor.
mit hinlänglicher Sicherheit die schon erwähnten zwei
Stellen in russischen Chroniken zu deuten, in welchen
das Fem. npaupzza und das Adject. npanp* pu? in
russificirter Form vorkommen. In der ersten Pskower
Chronik wird (Houm. Co6p. P. xbrou. IV, p. 255) ein
schweres Gewitter geschildert, das sich am 24. Juni
1470 über Pskow entlud. Bimexium ry4a 10%1eBañ, nl
ABUTHVINACA OAI, IL OBICTR TPOXOTB, TPOMB CB MOI-
nie Cienb, aKoke BCMR OBITI BB BOXE YÆaCb un
BB Crpach de10BÉKOMB, 1 TÉME FPOMOMB Ha SBANULE
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AKO CB HOATOPA JACA, I HOTOMB ObICTR KB B€JePy Aalb
Bors Tuxo H ONATR CBÉTA HCHOIHEHO, AKOKC I BB IPO-
qas xuu. Hier ist also ganz deutlich ein schweres Ge-
witter geschildert, mit besonderer Hervorhebung des
starken Krachens, Donnerns und Blitzens. Dann wird
noch hinzugefügt, dass sieben Menschen vom Blitze ge-
troffen wurden, dass «eine dichte Finsterniss herrschte
und ein an Heftigkeit unsäglich starker Regen war
(sich ergoss), ungefähr anderthalb Stunden» und dass
dann gegen Abend es wieder still und hell wurde.
Hier ist weder von Hagel und Steinen, noch von
einer feurigen Erscheinung die Rede, sondern nur von
einem ungewühnlichen Regengusse, während dessen
eine wahre Finsterniss herrschte. Eine andere Frage
ist die, wie der Chronist dazu kam, das Wort npanpyza
in dem obigen Sinne zu gebrauchen; doch diese Frage
wird sich leichter nach der Analyse der andern Stelle
in der 1. Nowg. Chronik unter dem J. 1421 beant-
worten lassen. Toro xe mbcana maia 19, 8R [lerpogo
roBbHie, BB HOILP, GPICTR TPYCB HA HEOCCH BEJUKB: BINC]-
UN TYJU CB DOIVAHN, BB HOJIVHOIE TPOMB H MIBHIN OT-
uaub CB He6CN CB IIYMOMB CTPAUHPIMB, H A0ÆKAP Dpa-
npyAeHBI CR KAMeHIeMB n CR rpaxoms. Es dürfte nicht
überflüssig sein zu bemerken, dass dem Bericht über
dieses Unwetter eine besondere Cxasauie (historische
Erzählung) zu Grunde liegt, welche in die 2" und 3"
Nowgorod’sche, so wie in die Nikon’sche Chronik
unter d. J. 1421 eingeschaltet worden ist, und schon
dadurch als die Urquelle des kurzen Berichtes des
ersten Nowgorod’schen Chronisten sich erweist, dass
in ihr viel genauere Zeitbestimmungen vorkommen.
Dem letzteren aber imuss die Crasanie in einer ur-
sprünglicheren Fassung vorgelegen haben, da nur bei
ihm das Adject. upanpyzemrs vorkommt, das von den
45
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
46
andern Copisten der CKasanie durch geläufigere Aus-
drück verdolmetscht worden ist. In dem Bericht der
ersten Nowgorod’schen Chronik wird ausdrücklich
bemerkt, dass auch Hagel und Steine fielen. Wollte
man auch in Betracht zichen, dass Aërolithenfälle
wäbrend eines regenlosen Gewitters vorgekommen
sind, so darf man doch nicht übersehen, dass hier
ausdrücklich vom Hagel die Rede ist, der doch ge-
wôühnlich von einem starken Regen begleitet wird.
Demnach dürfen wir Zo%k18 npanpyaens schwerlich
in einem figürlichen Sinne nehmen, sondern darun-
ter ist allem Anschein nach nur ein heftiger Regen
zu verstehen. Dieser Ansicht waren schon die Copi-
sten des Originalberichts, wie er sich in der 2. und
3. Nowgorod’schen Chronik und in der Nikon’schen
erhalten hat, indem der eine das einmal seltene Wort
npanpyzens durch cuaenr (stark), der andere durch
muorz (gross) ersetzte. Diese Epitheta waren ebenso
natürlich, wie die, welche andere Chronisten vom
Regen gebrauchen: yunoxenr (Hogr. I Er. unter das
J. 1419) n npoiame AO%KXR BEJMKPR Ha rpaxs MockBy
(ou. Co6p. P. xbr. VI, 182). Kurz, die Pskower
Chronik, wie der Verf. der CKasanie von 1421 wollte
nicht von einer gewühnlichen pluvia, sondern von ei-
nem heftigen Regenguss, einem Sturzregen, einem
imber magnus oder maximus sprechen.
Die Frage, wie die russischen Schriftgelehrten des
15. Jahrh. darauf kamen, die sonst nur in der Bedeu-
tung von «Purpur» und «purpurfarbig» vorkommen-
den Ausdrücke npanpxya und npanpx bn in dem Sinne
von «Heftigkeit, Gewalt» und «gewaltig» zu nehmen,
lässt sich vielleicht nach dem Mitgetheilten beant-
worten. Ein einfaches weibliches Subst. npxza ist bis
jetzt noch gar nicht und das männliche npxxr nur we-
nig belegt. Tpanpxza in dem Sinne von Purpur kam
auch so selten vor, dass die russischen Schriftsteller
des 15., vielleicht schon die der vorhergehenden Jahr-
hunderte, dasselbe vermittelst der damals allein herr-
schenden Etymologia vulgaris an der einen oder an-
dern Stelle im Interesse ihrer Leser so deuteten, wie
es ihrem natürlichen Sprachgefühl am richtigsten
schien. Auf diese Weise wurde die russische Schrift-
sprache mit zwei Ausdrücken bereichert, die auf einem
gauz andern Boden und zu einem ganz andern Zwecke
gebildet worden waren. Gerade der Gebrauch des ver-
stärkenden Präfix npa, welches selbst ein Miklosich
bis jetzt nur einmal belegen konnte, an der Stelle des
im Russischen vor Adjectiven üblichen npe weist bei
npanpyzapii (gewaltig) deutlich darauf hin, dass dem-
selben ursprünglich das vom altbulg. Subst. 1panpxxe
gebildete Adjectiv npanpx sur mit der Bedeutung «pur-
purfarbig» zu Grunde liegt. Übrigens scheint der Ge-
brauch von npanpyza und mpanpyxnpii in dem Sinne
der Schriftgelehrten des 15. Jahrhunderts nicht lange
gedauert zu haben, denn weder ist er bis jetzt aus an-
dern Quellen belegt, noch führt Dahl in seinem Wôr-
terbuch der russischen Volkssprache ein npanpyya, npe-
npyza oder ein davon gebildetes Adject. in dem Sinne
der obigen Chronisten an.
5. Ist gotisch brinn-an (— brennen), Practer. brann,
verwandt mit lit. bar-nis (— Zank, Haüer), altbulg.
Gpa-nv (= Kampf, Krieg) und russ. Gpan-umv (— schel-
ten)?
Bei Untersuchungen, wo es sich um richtige Be-
griffsentwickelung eines Wortstammes handelt, ist es
nicht nur wünschenswerth, sondern üfters sogar un-
umgänglich, dass vergleichend dabei zu Werke ge-
gangen, d. h. dass wenigstens die Sprachen der zu-
nächst verwandten Vülker zu Rathe gezogen werden.
Da das Slawische in grammaticalischer wie lexicolo-
gischer Hinsicht mit dem Litauischen innig verwandt
ist und das Litoslawische dem Germanischen am näch-
sten steht, — Germanen, Litauer und Slawen haben
lange einen uugetheilten Stamm gebildet und sich viel-
leicht erst unweit der Ostsee gespalten —, dagegen
dem Celtischen und Graecoitalischen bei weitem fer-
ner und dem an manchen alterthümlichen Formen so
reichen Arischen (Sanskrit und Iranischen) aller Wahr-
scheinlichkeit nach im Ganzen am entferntesten steht,
so fragt es sich nun: 1) Hält die obige Auseinander-
setzung von der im Verbalstamm prad- liegenden und
weiter entfalteten Bedeutung vom Standpunkte des
Litauischen und Germanischen die Probe aus, und 2)
Lässt sich zugleich mit Hülfe der Sprachen des einen
oder andern dieser zwei Stämme npx- noch in ein-
fachere Elemente zerlegen?
Von den Mundarten der drei Cousinen der Slawina
haben wir theils nur dürftige Überreste, wie von dem
Prüsischen, theils nur karge und selbst noch sebr
der Prüfung bedürftige lexicalische Indices, wie von
dem Litauischen und Lettischen, so dass dieselben für
4%
Bulletin de l’Académie Impériale
48
————————
den vorliegenden Zweck nicht so, wie es zu wünschen
wäre, ausgebeutet werden kôünnen. Anders verhält es
sich mit den an alten Schriftdenkmälern so reichen
und zugleich vielfach bearbeiteten germanischen Spra-
chen. Das, was sie zur Aufhellung von prad- und dem
was daran hängt, liefern künnen, ist freilich auch nicht
leicht zu ergründen; doch môgen hier im Interesse der
Sache einstweilen einige Bausteine zusammengetragen
werden, die zu bearbeiten wir den Germanisten von
Fach überlassen. Hoffentlich wird damit der Satz
aufs Neue bestätigt, dass die vergleichende Sprachfor-
schung, von der einmal die Geschichte der Culturzu-
stinde der Altslawen oder die sog. slawische Alter-
thumskunde eine feste Grundlage erwartet, ganz un-
wissenschaftlich verfährt, wenn sie das Gotische
und Germanische überhaupt frischweg mit dem Griechi-
schen oder gar dem Sanskrit vergleicht, ohne sich zu-
vôrderst um das jenem viel näher liegende Litoslawi-
sche zu kümmern. Würde wohl ein Naturforscher, der
eine Species Eines Genus zu behandeln hätte, dieselbe
zuerst mit den ihr am entferntesten verwandten ver-
gleichen und die zunächst verwandten Species, wenn
sie ihm zugänglich wären, ganz bei Seite liegen lassen?
Genau entsprechende Analogien zu dem Wort-
stamm np npAX, poln. prad pred bieten sich uns in
6x GAZ, p. blad bled und in rx ra, p.glad gled.
In allen drei Stämmen erweist sich die Dentalis nur als
eine, wenn auch nicht bedeutungslose Weiterbildung,
und lüsen wir die Nasalvocale in die ursprünglich nicht
rhinistisch gesprochenen an und en auf, so werden
wir alle Formen in pra-n-d pre-n-d, bla-n-d ble-n-d,
gla-n-d gle-n-d zu zerlegen haben. Ob in ihnen die
Liquiden R und L nach der oben unter X 2 angeführ-
ten slawischen Regel umgestellt, d. h. vor den Wur-
zelvocal geschoben sind, lässt sich vom specifisch lito-
slawischen und germanischen Standpunkte nur vermu-
then, schwerlich aber streng beweisen. Hier tritt nun
der Fall ein, wo Vergleichung des gesammten balti-
schen Sprachstammes mit dem Celtischen, Graeco-
italischen und Arischen nicht abzuweisen ist; doch
mügen Andere dieselbe nach den bereits vorhandenen
Vorarbeiten über die Geschichte jener Wurzel an-
stellen.
Schon Miklosich hat (p. 131) das altbulg. rxay-arn
(= sehen; vergl. altpoln. glad-aé — sehen, ferner
poln. wyglad-aé— aussehen, wygledy, plur. — Dach-
fenster, dwuglad — parallaxis, wzgledem — in Rück-
sicht auf, von wzglad etc.), als zusammenhängend mit
dem noch im 16. Jahrhundert gebräuchlichen mittel-
hochdeutschen glinz-en (— leuchtend in die Augen
fallen) erkannt, das gotisch glint-an lauten und also
Zu rIAJ-aru stimmen würde. Jenem glin-t-an muss aber
ein cinfacheres gotisches Verbum (s. Weigand, deut-
sches Würterb. Giessen 1857. p. 440) glin-an (Praet.
glan) zu Grunde liegen, und diese Praeteritalform zeigt
sich noch im altnord. glan, n. (— das Hellsein, der
Glanz). Gehôren die nur in der Bedeutung von «Trost,
trüsten und getrost» vorkommenden prüsischen Wôr-
ter glands, glandint, glandewingei zu dieser Wortsippe
und ist die Bedeutung «Trost» aus der des «Vergnü-
gens» oder der «Freude» hervorgegangen? Vel. noch
mittelhochd. gland-er (— Glanz, Schimmer) und in Be-
treff der Entstehung von glinz-en aus einem voralt-
hochdeutschen glint-an das nhd. gleiszen und ahd.
gliz-an (— blendendes Licht, augenblendenden Schein
von sich werfen) mit dem got. glit(m-un-j-an — glän-
zen, ott}fetv). Das Verhältniss des russ. Verb. simplex
TJA-HYTE (— einmal ansehen) zu glin-an ist noch näher
zu untersuchen.
Auf ein gotisches blin-an (Praet. blan) wird man
ebenfalls geführt, sobald man nach den schon von
Schleicher (Formenl. d. kirchens. Sp. B. 1852 vgl. 122;
vel. jetzt noch Miklosich Lex. 1862. p. 33, und G.
Curtius, gr. Et. 2. Ausg. p. 271) gemachten Andeu-
tungen das got. blin-d-s, das lit. blas-tis bles-tis (—
sich verdunkeln; von der Sonne: finster werden; das
d kommt in der Flexion wieder zum Vorschein, vgl.
priblinde — Abenddämmerung, Nesselmann WB. p.
340), das lett. blens-t (— nicht recht sehen, kurzsich-
tig sein), das noch von Lange verzeichnete — ob echt
lettische? — blinda (— ein Unstätiger, der nirgends
Stich hält), zusammenstellt mit dem althbulg. 61x1-uru
(—errare; scortari), 6rac-rn (— delirare, nugari, scor-
tari; Praes. G1A1%), 61x18, m.(— lenocinium), 61A%p, f.
(— fraus, mendacium) und poln. bladz-ié (—irre ge-
hen, fehlen), blad, gen. bledu (— Fehler), dem got,
blandan sik (—— misceri), altnord. blanda (— oculos
claudere), engl. blunder etc. Diese formell und begriff-
lich unumstôssliche Übereinstimmung zwischen den
germanischen und litoslawischen Formen, die hier nicht
näber zu begründen ist, entging J. Grimm, so dass er
in der Analyse von «blind» und «blenden» (WB. u.
49
vgl. Haupt’s Zeits. 6, 10; 7,449; 8, 384), keinen ganz
festen Boden gewinnen konnte.
Während für die aus wirklichen Formen erschlos-
senen gotischen einfachen Verba glinan (Praet. glan),
blinan (P. blan) keine Textbelege angeführt werden
konnten, sind wir hinsichtlich des zum slaw. pra(d)
pre(d) stimmenden gotischen bri-n-an (Praet. bran)
in der glücklichen Lage, uns auf den ebrwürdigen Ul-
fila berufen zu kônnen. Allerdings kommt auch bei
Ulfila kein Verbum brinan (Praet. bran) vor, sondern
nur ein intransitives brinn-an (1. Pers. Praet. brann,
3. P. Praet. brunnun, Partic. brunnans), womit das
griech. xx/:05a. wiedergegeben wird, und woraus das
fem. brinno (-— Fieber, rusetés), die transitiven ga-
brannjan und inbrannjan (— verbrennen), brunna (—
rnyr), brun-sts (— Brand; vgl. Gunst von günnen,
Kunst von künnen) in all-brunsts (— Brandopfer) u. a.
gebildet worden sind. Nun hat aber die Grimm’sche
Schule längst bemerkt, dass die Gemination des aus-
lautenden N in brinn, gleichwie in kunn-an, rinn-an
u. a. verhältnissmässig späten Ursprungs ist, und
Grimm hat nochmals in s. WB. (Art. braun; vergl.
Gesch. d. d. Spr. 853) nachzuweisen versucht, dass
brinnan und rinnan ein älteres brinan und rinan vor-
aussetzen. Im Niederdeutschen, wie z. B. im angels.
birn-an, altfries. barn-a, bern-a, in Bernstein (—
Brennstein), im ags. irnan (— rinnan) nimmt Grimm
Umdrehung der Liquida (vgl. die obige Regel M 2 in
Betreff der slawischen Liquiden) an. Selbst zugegeben,
dass diese Umstellung auch in Betreff von birn-an fest
begründet ist, so würde doch vielleicht aus einer wei-
teren Verfolgung dieser Wurzel im Litauischen und
andern verwandten Sprachen sich ergeben, dass sie
ursprünglich auch im Germanischen bar und ge-
schwächt bir oder ber lautete. Noch wäre zu bemer-
ken, dass dieselbe aus der Bedeutung «brennen» früh
die des «Glänzens» entfaltet haben muss (vgl. ardere
und ardor stellarum; candere — brennen, glühen und
dann glänzen, wie z. B. bei Horaz von einer vestis
cocco rubro tincta). Es ist dieser so natürliche Über-
gang vielleicht irgendwo genauer erürtert. Hier wird
nur auf das engl. burn (— brennen, glühend machen)
neben burnish (— glänzend machen, poliren; vgl. zu
dem letzteren das franz. brunir, bei Diez unter brune)
und auf die verschiedenen Bedeutungen von Brunst
(WB. von Grimm) hingewiesen Damit ist zugleich
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
50
eine bestätigende Analogie zu dem oben in Betreff
von npxB (— electrum) und npanpæXE (— purpura)
Gesagten gewonnen, dass sie nämlich nach einer bren-
nenden oder hellleuchtenden Farbe benannt worden
sind.
Ein dem urgotischen brin-an entsprechendes ein-
faches slawisches pran-pren-, ist — vom V. simpl. npa-
HyTrs (— springen) sehen wir ab — nicht nachweisbar,
und auch das Lit. gewährt uns keine entsprechende
mit der Tenuis anlautende einfache Form. Es ist dies
um so auffallender, als man gerade in Betreff solcher
sinnlichen Anschauungen vüllige Übereinstimmung zwi-
schen Germanen und Litoslawen erwarten sollte. Sollte
hier nicht auch einmal eine sprachliche Laune, oder
irgend ein uns noch dunkler Umstand obgewaltet ha-
ben, in Folge dessen die Litoslawen von einer und
derselben mit einer Labialis anlautenden Wurzel zwei
dem Anscheine nach verschiedene Verba bildeten, von
denen das eine mit der Media, das andere mit der
Tenuis anlautete? Wir wissen, dass gotisches, alt-
niederdeutsches und altnordisches B nicht immer ei-
nem slawischen B, sondern auch bisweilen — in
gewissen Füällen sicher in Folge eines besonderen
Grundes — einem slawischen P entsprach.' Erwä-
gen wir noch, dass aufwallendes Blut und erhitzte
Stimmung bald Hader bald heftigen Streit und Kampf
erzeugen, so werden die hier folgenden Data môgli-
cher Weise gewisse, nicht zu unterschätzende lautliche
Bedenken niederschlagen. Ausdrücke wie: der Kampf
entbrennt, bellum, seditio exardescit, entbrennen (—
sich erzürnen, s. Grimm WB. 3, 504), Boïxa Bo3rop#-
Jacs u. a. wird Niemand für sprachwidrig ausgeben.
Das Hochlitauische besitzt noch ein Subst. weibl.
Geschlechts barnis (— Zank, Schelten, Hader) und die
Adj. barnüs und barningas (— zanksüchtig, zänkisch),
ein Adverb. barningay (— hartnäckig) u. s. w. Eine
entsprechende lettische Form findet sich wenigstens
bei den witebskischen Letten und zwar von Kurmin’)
geschrieben borne und bornie (— altercatio, conten-
tio), der auch noch barnejgi (— pugnaciter, poln. spor-
nie), bornigs (— rixosus, contentiosus) anführt. Nach
Abwerfung des Nominativzeichens s und mit üblicher
Vorschiebung der Liquida vor den Vocal kann dem
hochlit. barnis nur ein altbulg. 6pans entsprechen, das
7) Stownik polsko-lacinsko-lotewski. Wilno 1858 (unter Spor,
swar). ci
4
51
auch in der That als Fem. in der Bedeutung von
lucta, pugna und bellum vorkommt. In den altrussi-
schen Chroniken war 6paus häufige Bezeichnung des
Kampfes und Krieges, während es im Neuruss. vor-
zugsweise das Schmähen und Schimpfen bedeutet. Das
bôhm. brañ (— Wehr, Waffe, Rüstung; vgl. bran-ba
— Vertheidigung mit russ. 6opp6a = Kampf) stimmt
zum poln. bro (— die Wafle, das Gewehr) und hängt
offenbar auch mit dem weiblichen brona (poln.), 6o-
poaä (russ.) und bräny (plur. im Bôhm.) zusammen,
das ein bei den Slawen verhältnissmässig junges Acker-
werkzeug, die Egge, bezeichnet. Wie in 6Goponä (vgl.
o6opôua, 66opons — Abwehr, Vertheidigung) nach rus-
sischem Gebrauch die anlautende Doppelconsonanz
durch Einschiebung eines Vocals gespalten wurde, s0
geschah es auch mit dem Verbum Gpan-nrn, russ. 60-
pos-nru, bôhm. brän-iti, poln. bron-ié, zbron-ic etc.,
in welchen je nach den verschiedenen Mundarten bald
die Bedeutung des Scheltens und Keïfens, bald die
des Verwehrens und Kämpfens hervortritt. Ein die-
sem slawischen Verbum entsprechendes litauisches,
lettisches oder prüsisches scheint abhanden gekom-
men zu sein; dagegen stossen wir in diesen Sprachen
auf ein andres, das hochlit. bâr-ti (— schelten, s.
Schleicher, Hdb. 2, 260 und vergl. Nesselm. WB. p.
322), refl. bâr-tis (— sich zanken), lett. bâr-t (—
schelten, keifen) lautet. Diesem aber entspricht wie-
der ein altb., jedoch uur im kriegerischen Sinne ge-
brauchtes 6pa-ru (Praes. 60p-14) u. 60p-nrn (—pugnare,
nebst 6opp, f. Gops-6a (— der Kampf; wind. borba, russ.
6opR64, serb. G6p6a; vel. das oben erwähnte bühm.
branba), 6opsug (— der Kämpfer). Ein entsprechendes
polnisches borz-yé fehlt. Auch das Bühmische kennt
keine ähnliche Formen. Das Serbische bewabrt noch
das refl. G6pn-rn ce. Dagegenu ist den beiden, einander
so nahe stehenden Mundarten des Bühmischen und
Polnischen ein Substantivum und Verbum eigen, das
den südôstlichen Mundarten des Slawischen fehlt:
bôhmw. zbroj, f. (— Rüstung, die Waffe), zbrojiti (—
waffnen, rüsten), poln. zbroja (--— die Rüstung, woraus
wohl das altrussische 36pya) — Rüstung, bes. Reiter-
rüstung), zbroiïé (—rüsten, bewaffnen, etwas verüben,
Bôüses stiften), rozbrojié (—-entwaffnen). Anstatt zbroj
und zbroja kommt im Kirchenslawischen und Altrus-
sischen eine dem Polnischen fehlende Benennung vor,
deren slawischer Ursprung bis jetzt, wie wir sogleich
Bulletin de l’Académie Empériale
D
5?
sehen werden, ohne hinreichenden Grund von Manchen
behauptet wird.
Das altslawische Kriegswesen oder die sog. Kriegs-
alterthümer sind bis jetzt wissenschaftlich noch gar
nicht bearbeitet. Ohne eine genaue Kenntniss dersel-
ben entgeht uns auch die richtige Einsicht in die
active und passive Rolle, welche die Slawen vor und
kurz nach ihrer Bekebhrung zum Christenthum gespielt
haben. Natürlich müssen zunächst alle sich auf Krieg
‘und Kampf beziehenden altslawischen Ausdrücke ei-
uer eingehenden Analyse unterworfen und mit cultur-
historischem Sinn betrachtet werden. Dabeï wird sich
unfehlbar herausstellen, dass manche derselben, die
man bis jetzt, wie z. B. Meyp, INTHTB (TUSS. INT —=
Schild, wovon sammrnrs — schützen, vertheidigen), für
echt slawisch ansah, andern Vôülkern entlehnt sind,
die wiederum auch von Andern, wie z. B. die Altger-
manen namentlich von den Celten, belehrt wurden.
Zu diesen Lehnwôrtern gehôrt auch das weibl. Subst.
kirchensl. Gphnia (— SopaË, lorica), altruss. 6pona nebst
lett. bruras— Panzer, welche auch Miklosich mit Recht
als aus dem Germanischen entlehnt erklärt und wabr-
scheinlich in einer früheren Zeit als das bôhm. F. brù
(— Panzer, Harnisch). Das got. F. brun-jô (althochd.
prunià, mittelhd. brünne, ags. byrne und beorne, alt-
nord. brynja) wurde bereits von Ulfila zur Wiedergabe
von SopaË im Sinne von Panzer gebraucht und wird
vou Grimm (WB. 2,435, 324) aus brinn-an (vgl. die
oben angeführten Formen brunn-un und brunn-ans)
ohne Bedenken durch «leuchtende, brennende Rüstung»
erklärt. Vel. micare—glänzen, schimmern vom Blitze,
den Augen; gladii micant nebst dem davon gebildeten
dimicare”). Brûn (— dunkelfarbig) war im Mittelalter
auch eine Bezeichnung des Schwertes. Im Beowulf
steht bryne-le6ma für Flammenglanz oder leuchtende
Flamme und bryne-vylm, pl. für Flammenwogen, wo-
gende Flamme. Diese und andre Formen scheinen sebr
zu Gunsten der Grimm'’schen Erklärung des gotischen
brunjô zu sprechen und doch dürfte dieselbe so lange
für noch nicht ganz sicher angesehen werden, bis man
nachgewiesen haben wird, dass die Celten keinen ähn-
lichen Ausdruck hatten. Die Germanen haben ohne
Zweiïfel mehr als einen Waffennamen von Nachbar-
vülkern entlehnt und vermittelst der Volksetymologie
8) Micare und dimicare werden in der Kuhn'schen Zeitschrift
(14, 453) von einander geschieden.
53
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
54
——
haben sie ebenfalls sich manche Lehnwürter mund-
recht gemacht.
Ob nun vermittelst des Germanischen das zur Be-
zeichnung des Ausdrucks brennen vermisste slawi-
sche pran — altbulgar, npra — Widerspruch, Streit
und upbauk — Widerspruch, Disputation, Streit sind
absichtlich nicht herbeigezogen — im lit, barn- und
slaw. bran- nachgewiesen worden, mügen diejenigen
definitiv entscheiden, welche die Geschichte dieser
Wortsippen des baltischen Volksstammes auf eine
umfassende und streng wissenschaftliche Weise be-
handeln werden. Ihnen bleibe es auch überlassen, das
weibliche Subst. Brenn, Brenne oder Bränne (Grimm,
WB. 2, 364), das entsprechende altnord. Fem. brenna,
Gen. brennu (— Brand, Feuerbrand; brennustein und
brennistein — Schwefel) näher zu analysiren, und na-
mentlich zu uutersuchen, ob hier das Suffixum -na
mit dem Suffixum -ni in barnis und 6paue gleiche Gel-
tung hat”). Einstweilen dürfte es auch noch schwie-
rig sein, im Germauischen eine dem slawischen prad-
pred- lautlich und begrifflich genau entsprechende
Form aufzufinden. Branz (— Zank), branzen (— zan-
ken, brummen; s. Grimm, WB. 2, 305) klingen viel-
leicht our zufällig an das durchsichtigere mundart-
liche Branz, Bränz (— Brantwein, vgl. engl. brandy)
an. Ein gotisches brint-an (Praet. brant) oder brind-an
(Praet. brand), analog den oben mit vollem Fug sup-
ponirten glint-an (glant) und blind-an (bland), existirt
in den Fragmenten des Ulfila, so wie auch in den
verwandten Dialecten nicht). Tpxxs würde nach der
allgemeinen vergleichenden Lautlehre ein got. brants
voraussetzen, womit auch die oben bei glad- gled- an-
geführten Formen glant- glint übereinstimmen würden.
Nach Analogie von blad- blend- aber müsste man
eher ein got. brands als brants, demnach ein althochd
prant, ein ags. brand, brond und altnord. brandr er-
warten und dann würde die von J. Grimm (WB. 2,
9) Über die neben einander stehenden Suffxreihen na, ni, nu
und ta, ti, tu s. Schleichers Compendium. 2. Ausg. p. 452 u. 455
und Bopps vergl. Gramm. 2. Ausg. 3, 258.
10) Nur die Holländer gebrauchen anstatt des deutschen «bren-
nen» das auch ins Neuhochdeutsche (Grimm WB.) übergegangene
Verbum «branden», neben welchem im Mittelniederl. (Grimms WB.
2, 365, branden Praet. brande) noch bernen (Pr. brende) vorkam.
Ein genealogischer Zusammenhang ist nicht zu verkennen zwischen
diesem branden und den altromanischen Lehnwôrtern oder aus
Lehnwôrtern geformten Verben: altfranz. brander (— brennen, in
Flammen stehn), altprovenç. abrandar (— in Brand setzen). $S. Diez,
roman. WB. unter brando.
2, 294) und Weigand (WB. 1, 175) aufgestellte gram-
maticalische Erklärung des wirklich vorkommenden
Subst. «Brand» vielleicht einer Modification bedür-
fen, wenn es nämlich gerade jenes nach den pho-
netischen Regeln vorausgesetzte, dem slawischen
npkxB entsprechende Substantivum wäre. «Brand» ist
im Deutschen, Angels. und Altnord. zunächst das
Brennende, besonders ein brennendes Scheit Holz,
titio, torris, dann überhaupt incendium. Im Angels.
wird die Sonne genannt bronda (Gen. pl.) beorhtost
— der Leuchten glänzendste. Wie Waffen überhaupt
vom Blitzen und Funkeln benannt wurden, so wurde
auch besonders das Schwert wie Feuer aussehend
oder hellleuchtend und wie ein verzehrender Feuer-
brand (vergl. das Schwert Tizon des Cid) gedacht.
In der Edda werden für das flammende oder blitzende
Schwert geradezu Benennungen des Feuers und Lichts
(eldr, logi, liomi, namentlich aber brandr) gebraucht.
S. unter andern J. Grimm WB. 2, 294 und in Be-
treff der romanischen Lehnwürter brandon, brandir,
ébranler etc. den Artikel brando in dem Etym. WEB.
der romanischen Sprachen von Diez, wo bei dem ent-
lehnten altfranz. «hrant, brane, bran Schwertklinge
(brance de l’espée)» noch auf das altnord. brandr — die
(blitzende, glänzende?) Schwertklinge zu verweisen
wäre. Im Beowalf erklärt Grein (Ausg. v. 1867) bea-
domêceas brondne durch flammende Kampfschwerter,
so dass das Adj. bronden sogar lautlich dem kirchen-
slaw. Adj. npxaenr, das freilich nur in abgeleiteter
Bedeutung sich erhalten, nahe stehen würde. Noch
sei bemerkt, dass in den altfriesischen Gesetzen brond-
rât (feuerroth) vom Golde gebraucht wird, was an
dus «Electron» bezeichnende slaw. Subst. npxxB er-
innert. Das altnord. Mase. brândi, brjändi (—— Glanz,
Schimmer) ist wohl nur eine Participialform.
Noch wären einige nautische Ausdrücke des Nor-
dischen zu erwähnen, die aber selbst noch der Auf-
hellung (aus dem Celtischen?) bedürfen, z. B. brandr
— prora etc."!). Das altnord. brandäss ist wohl gleich-
bedeutend mit dem deutschen «Brandbalken», und
beide sind schwerlich durch brand —— incendium zu
deuten. Doch dieses Material (vgl. noch Grimm WB.
II, 296, 11 und 12 und p. 302 unter brane) ist noch
zu dürftig, um irgendwie slawischen Formen gegen-
übergestellt werden zu künnen.
11) Irish Glosses. Ed. by W. Stokes. D. 1860 p. 147.
; 4*
55
Den Gesetzen der germanischen Lautverschiebung
gemäss müsste die dem slawischen npxi- entspre-
chende gotische, ags. und altn, Form eïgentlich mit
der Tenuis (t) auslauten; doch kommen genug noch
nicht gehôrig untersuchte Ausnahmen vor, in denen
die ursprüngliche Media in jenen Zungen unverändert
beibehalten wurde. Es giebt aber im Angels. und Alt-
nord. noch ein Adj., das mit der Tenuis auslautet.
In der angels. Poesie wird brenting— was nur zufäl-
lig mit einem ähnlichen Suffix gebildet ist wie das
dem holl. branding (— aestus maris) nachgebildete
niederdeutsche «Brandung» — für «Schiff» gebraucht.
Es ist zusammengesetzt mit dem Adj. brant, bront,
das die Bedeutung arduus, altus hat, wozu auch das
engl. brent (-— steil, hoch) stimmt. Im Beowulf wird
dieses bront (ed. Grein p. 90) im Sinne von «hoch,
hochgehend» als Beiwort von ceél und ford (— Schiff
und Fluth) gebraucht. Im Altnord. entspricht ihm das
Adj. brattr, m., brütt, f., bratt, n. (— jäh, schroff, steil,
im uneig. Sinne: beschwerlich). Entstanden ist die
Form brattr aus brants, d. h. im Altnord. (Altnorw.
und Isl.) ist r an die Stelle des alten gotischen Nomi-
nativzeichens s getreten und n wird ôüfters vor p, k, t
ausgestossen und dann die Muta verdoppelt (s. Grimm
Gesch. d. d. Spr. p. 338). Das vom Altnordischen viel-
fach abweichende Schwedische gebraucht bis jetzt brant
in gleichem Sinne, z. B. brant klippa — ein steiler
Felsen. Wenn dieses Adjectiv, das also gotisch brants
lauten müsste, zu dem oben besprochenen Wortstamm
gehôrt, so würde es fast denselben Sinn haben wie das
Adj. npæabx? und das russ. npyambi, das gleich dem
nord. brattr von Bergen gebraucht wurde. Verschieden
davon ist ein andres altnord. Adj. brâar (— schnell,
hastig) nebst dem Adv. brâtt. Ungeachtet dass es der
Bedeutung nach zu npxi-bnB, pred-ki, prud-kÿ (—
schnell) passt, muss wohl jeder Gedanke an eine in-
nere Verwandtschaft mit denselben fern bleiben.
Ein an den Wortstamm Gpax- und np#4- npAJ- an-
klingendes Verbum bietet auch noch das Litauische.
S. über bres-ti (Praes. brend-u u. s. w.), branda, bran-
dus etc. das WB. von Nesselmann p. 344, über das
prûsische brand- brend dessen Sprache der alt. Pr.
p. 91 und besonders Stenders lett. Lexicon unter den
entnasalisirten brês-t und brêd-is. Eigentliche Bedeu-
tung: quellen? Vgl. Brunne (im WB. von Grimm 2,
433) und got. brunna (— Quelle), das hervorgegangen
Bulletin de l’Académie Impériale
56
ist aus dem Präter. von brinnan. Vermuthen darf man
wenigstens, dass eine Wortsippe der Art nicht isolirt
da steht, sondern zunächst Verzweigungen im Slawi-
schen und Germanischen hat. Allein bei dem gegen-
wärtigen Zustande unserer Kenntniss von den ver-
wandtschaftlichen Verhältnissen des Litoslawischen
zum Gotischen und Germanischen überhaupt muss man
sich durch solche Assonanzen nicht verführen lassen,
sondern eher im Auseinanderhalten von Formen und
Begriffen streng sein.
Beitrag zur Entwickelungsgeschichte der Goni-
dien und Zoosporen-Bildung der Physcia pa-
rietina Dn. von Dr. À. Famintzin und J. Ba-
ranietzky. (Vorläufige Mittheilung.) (Lu le 23 mai
1867.)
3is jetzt sind die Zoosporen nur bei Algen und in
der letzten Zeit auch bei einigen Pilzen beobachtet
worden. Uns ist es indessen gelungen, Zoosporen bei
einer typischen Flechte, der Physcia parietina, nach-
zuweisen. Die Zoosporen bilden sich aus den Gonidien
der genannten Flechte. Um sie aber entdecken zu kün-
nen, müssen die Gonidien von den sie umgebenden
farblosen Hyphen befreit werden. Wir gelangten dazu
auf eine zweifache Weïise. Entweder cultivirten wir
dünne Querschnitte der Flechte auf Baumrinde in
feuchter Luft oder wir liessen, während zwei bis drei
Wochen, Wasser auf den Flechten-Thallus mittelst ei-
nes Hebers träufeln. Dadurch wurden merkwürdiger
Weise die Hyphen der Rinde, wie auch des Marks,
vollständig erweicht und endlich stellenweise gänz-
lich vernichtet. Die (ronidien blieben dagegen vüllig
gesund erhalten. Sie wurden dann aus der schmieri-
gen Masse der Flechte herausgehoben, auf Baum-
rinde in dünner Schicht aufgetragen und ebenfalls in
feuchter Luft cultivirt. Aus beiderlei Culturen erhiel-
ten wir Zoosporen. Alle diese Aussaaten wurden auf
vorläufig ausgekochter Rinde vorgenommen. Die Go-
nidien wuchsen in den ersten Tagen der Cultur zu
grossen Kugeln heran. Der Zellkern und die grosse
seitliche Vakuole, welche wir in jeder Gonidie gefun-
den haben, wurden dabei allmählich undeutlicher und
verschwanden endlich ganz; der homogene grüne Zel-
leninhalt wurde undurchsichtiger und feinkôrnig.
In einer Kugel bildeten sich Zoosporen zu mehre-
ren aus und wurden sämmtlich, von einer zarten
57
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
58
Membran eingehüllt, ausgestossen. Die Membran
wurde entweder sogleich aufgelüst oder sie blieb noch
einige Zeit erhalten, riss dann an irgend einer Stelle
auf und liess die Zoosporen frei werden. Die Zoospo-
ren bieten nichts Eigenthümliches dar; sie sind läng-
lich-oval, am vorderen Ende zugespitzt und mit zwei
nach vorn gerichteten Cilien versehen. Wir haben sie
zur Ruhe kommen sehen und sind jetzt beschäftigt,
ihr weiteres Schicksal zu verfolgen.
Es gehen aber bei weitem nicht alle Gonidien-Ku-
geln die Zoosporen- Bildung ein. Auf denselben Rin-
denstücken beobathteten wir noch zwei andere Ver-
mehrungs-Weisen der Gonidien. Es boten einige die
für Gonidien so charakteristische und üfters schon be-
schriebene Theiïlung dar, wobei sie an Umfang be-
deutend zunehmend, maulbeerformig aufgetrieben wur-
den und sich in mehrere ganz typische Gonidienzel-
len sonderten.
Bei noch anderen zerfiel der Zelleninhalt in eine
grosse Menge ganz kleiner Zellen. Der kugelfürmige
Umriss der Mutterzellen blieb aber unverändert. Die
Zellen wurden durch das Mutterzellenmembran frei.
Des überaus häufigen Vorkommens der Physcia pa-
rietina wegen liess sich erwarten, dass die eben be-
schriebenen Entwickelungsstadien der Gonidien schon
von anderen Forschern gesehen, wenn auch anders
gedeutet worden sind. Und es erwies sich auch in der
That, diss Nägeli sowohl die freien Gonidien als
ibre dritte Vermehrungsweise beobachtet und in sei-
nem Werke: «Gattungen einzelliger Algen» auf Taf. 3
f. E. abgebildet hat. Er betrachtete sie aber als eine
einzellige Algengattung, die er mit dem Namen Cysto-
coccus (S. 84) belegte. Der Zellenkern und die seitli-
che Vakuole sind bei ihm getreu abgebildet.
Der Beschreibung des Cystococcus fügt er aber noch
hinzu, dass er einige Formen schwärmen gesehen habe.
So wäre denn die Cystococcus - Form nicht mehr als
selbstständige Algengattung, sondern als eine Ent-
wickelungsstufe der Physcia parietina aufzufassen.
_L. Danckwerth’s doppeltwirkender elektro-
elektrischer Inductionsapparat. (Lu le 2 mai
1867)
Im Laufe des Jahres 1866 wurde mir durch Se.
Excellenz den General-Adjutanten v. Todleben der
Auftrag zur Construction eines Inductionsapparates
zum Sprengen von Minen nach einem vorgezcigten,
von mir construirten Modell übertragen.
Es bot mir dieser Umstand Gelegenheit zu einer
eingehenden Vergleichung der besten, bis jetzt bekann-
ten Inductionsapparate, wozu auch der des Herrn
Ruhmkorff gehürte. Ohne diese einzelnen Versuche
näher zu beschreiben und ohne den auf diesem Felde
3edeutendes geleisteten Meister und Landsmann zu
nahe treten zu wollen, sei hier nur erwäbnt, dass der
Apparat von Ruhmkorff, dessen Spirale bis 35 Cen-
timeter lang ist, bei Anwendung von 4 Bunsen’schen
Élementen mittlerer Grüsse einen Funken entwickelt,
dessen Schiagweite hüchsten 3 Centimeter beträgt.
Die Spannung dieses Funkens ist also ziemlich, seine
Wärmeerscheinungen dagegen nicht so bedeutend.
Auch würde der bei den Apparaten angebrachte Ham-
merapparat wohl vortheilhafter construirt werden kün-
nen, da es Thatsache ist, dass bei einige Zeit dauren-
der Wirkung dieser Theil des Apparates ins Stocken
geräth. Es ist mir gelungen diese Umstände zu besei-
tigen und einen Apparat zu construiren, dessen Fun-
kenschlagweite allerdings etwas geringer, deren Wär-
mebegleitung jedoch viel bedeutender ist und zu des-
sen Beschreibung ich hier sofort übergehe.
Ein Glasrohr von 5 Cent. innerem Durchmesser
und 42 Cent. Länge wird seiner ganzen Länge nach
aufgeschlitzt; dieser Schlitz nimmt das für den Elek-
tromagneten des Hammerapparates bestimmte Stück
weiche Eisen auf; dasselbe ist 1 Cent. dick und 1 Cent.
länger als das Eisenrohr und von letzterem auf das
Sorgfältigste isolirt. Dieses 1 Cent. längere Ende fübrt
durch das Holz, auf welches der Hammerapparat be-
festigt ist. Das Ganze, den sogenannten Eisenkern bil-
dende Eisen des Inductionsapparates, wird auf best-
môglichste Weise mit einer 3 Millimeter dicken Schicht
isolirender Substanzen bedeckt und hierauf der dicke
Draht für den primären Strom vorsichtig gewunden,
dessen einzelne übereinanderliegende Schichten gleich-
falls guter Isolation bedürfen. Auf diesen folgt der
dünne, zur Aufnahme des secundären Stromes be-
stimmte Draht, welcher nach der Weise des Herrn
Ruhmkorff vorzüglich isolirt wird.
Das Innere des oben erwähnten, 5 Cent. innere
Weite führenden Glasrohres indess ist zur Aufnahme
eines zweiten dünnen Drahtes für den nach Innen auf-
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Bulletin de l’Académie Impériale
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D ——————_—_—_————"—"—"—"————"——…—…————
tretenden Inductionsstrom bestimmt und die Lage die-| ladungen der äusseren Windungen des inneren Drah-
ses Drahtes findet in der Weise statt, dass er die Fort-
setzung des dicken Drahtes nach Innen hin bildet. Die-
ser Draht ist auf eine Rolle gewickelt, welche gleich-
falls einen massiven Eisenkern von 1 Cent. Durchmes-
ser trägt und jede seiner übereinanderliegenden Win-
dungen sind auf das Sorgsamste von einander isolirt.
Der Hammerapparat ist eine gewühnliche Feder,
an welcher ein Stück weiches Eisen als Anker be-
festigt ist. Über der Feder befinden sich zwei Kloben,
der eine in der Mitte der Feder selbst, der andere
über den an der Feder befestigten Anker. Unter beiï-
den Stellen der Kloben ist die Feder mit dickem Pla-
tina versehen. Durch die Kloben führen Schrauben,
welche beide ein Gewinde besitzen, so dass jede der
Schrauben nach Bedürfniss in diesen oder jenen Klo-
ben geschroben werden kann. Während die eine
Schraube mit Platina versehen ist, um die Unterbre-
chung zu vermitteln, dient die andere, mit einem
Stückchen Kork versehene, zur Dämpfung der übertrie-
benen Schwingungen des Ankers. Je nachdem man
die Unterbrechungen zu beschleunigen oder zu verzü-
gern wünscht, ist es erforderlich, die mit Platina ver-
sehene Schraube unten oder oben in die Kloben zu
schrauben.
Von den Unterbrechungsstellen führen gleichfalls,
wie bei Ruhmkorff, Drähte zu einem aus Zinnfolio
construirten starken Condensator.
Die Wirkung des Apparates, d. h. der äusseren [n-
duction, ist, bei Anwendung von 4 Elementen nach
Bunsen, mittlerer Grüsse, constant und die den
Funken begleitenden Wärmeerscheinungen bei Wei-
tem grüsser als bei Ruhmkorff. Ein 1 Millimeter
dicker Kupferdraht wird sofort geschmolzen, ebenso
auch ein Streifen von reinem Golde von der Dicke
starken Schreibpapiers und 1 Cent. Breite. Bei der
Thätigkeit des Apparates nahm die im Innern des
Eisenrohres befindliche Inductionsrolle, so wie das
Robr selbst eine Temperatur an, bei der Schellack
schmolz, wobei die elektrischen Entladungen der in-
neren Rolle weder an Kraft zu- noch abnahmen. Der
Appparat arbeitete 3 Stunden mit unverminderter
Kraft, ohne Unterbrechung.
Die starke Erwärmung des Eisenrohres wie der in-
neren Rolle rührte, wie sich später herausstellte,
grüsstentheils von den im Innern stattfindenden Ent-
tes, nach dem Eisenrohre zu, her.
Eine besondere Aufmerksamkeit jedoch verdient die
Art und Weise der Anziehung der Lichtmassen einer
Geisler’schen Rühre im Innern des Eisenrohres.
Ob eine Verbindung des äusseren secundären Drah-
tes mit den inneren statthaft, d. h. eine im Allgemei-
nen grüssere Wirkung erzeugende ist, war Verfas-
ser dieser Zeilen noch nicht im Stande zu ermitteln.
Auch hat es mir bis jetzt noch nicht gelingen wollen,
die innere Rolle gehürig zu isoliren, es hinterlässt in-
dess keinen Zweifel, dass bei gehüriger Isolation der
innere Inductionsstrom dem äusseren gleichkommt.
St. Petersburg, den 24. April (6. Mai) 1867.
Danckwerth,
Zu einem genauen Urtheile würde ein Vergleich
mit einem Apparate von Ruhmkorff erforderlich sein,
der mir nicht zu Gebot stand: das, was ich gesehen
habe, zeigte indessen die starke wärmende Kraft des
Apparates, die verschiedenen Metalle wurden leicht
geschmolzen und selbst bei hellem Sonnenschein war
das Funkensprühen von brennendem Eisen sehr leb-
haft. L, F, Kämtz,
Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae
et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicez.
(Lu le 2 mai 1867.)
DECAS QUARTA Er QUINTA.
Coptis quinquefolia, (Cryza Ra fin.) foliis 5-foliolatis,
foliolis longiuscule petiolulatis cuneiformi - obovatis
apice obsolete trilobis, incisoserratis serraturis mucro-
nulatis, subtus eximie prominenter reticulatis; scapo
unifloro; sepalis petaloideis leviter emarginatis rotun-
datis; petalis brevioribus cucullatis stamina subae-
quantibus; carpellis maturis stipiti subaequilongis in
stylum brevissimum acuminatis.
In sylvis subalpinis ins. Nippon mediae et meri-
dionalis.
Plantam fructiferam tantum possideo. Icon speci-
minis parvuli florentis vidi in opere japonico: Soo bokf
dz’ sets dsen hen (i. e. tentamen adumbrationum di-
versarum herbarum et arborum), vol. X. fol. 39.
C. trifolia Salisb., huic proxima, differt foliolis
ternis, laterahibus sessilibus, omnibus rotundato-cu-
61
neato-obovatis, superne minusque prominenter reti-
culatis, sepalis oblongis obtusis, carpellis stipite suo
evidenter multoque brevioribus in stylum filiformem
dimidio carpello longiorem abeuntibus.
Coptis orientalis, (Chrysocoptis Nutt.) foliis biternatim
sectis, segmentis primariis longe secundariis breve
petiolulatis, cireumscriptione late ovatis, pinnatifidis,
lobis mucronato-incisoserratis; scapo folia superante
3—4-floro: bractea infima tricuspidata ceteris subu-
latis; floribus longe fractibus longissime pedunculatis;
sepalis lanceolatis membranaceis petalisque paullo bre-
vioribus spathulatis erectis planis trinerviis: stami-
nibus quam petala paullo brevioribus; carpellis stipi-
tes superantibus stylo brevissimo mucronatis.
In alpibus Nippon meridionalis, raro, unde advecta
urbes Kioto et Ohosaka, ubi a botanophilis indigenis
magni aestimata. Ipse habui vivam, florentem et fruc-
tiferam. Sepala petalaque albida, priora membranacea,
posteriora carnosula.
Valde similis videtur C. anemonacfoliae S. et Z.,
cujus specimen unicum in Japonia colui fructiferum,
sed quam authenticam nondum vidi. Haec ex diagnosi
autorum ad sect. Chryzam referenda, praeterea diversa
est foliis semel ternatim sectis, floribus breve pedun-
culatis, petalis dimidio quam sepala brevioribus bre-
viter cucullatis, fere complicato-canaliculatis, stami-
nibus petala superantibus; ex specimine meo fructi-
fero insuper differt foliis segmentisque ambitu elongato-
ovatis neque prioribus circumscriptione deltoideo-
posterioribus lato-ovatis, scapum fructiferum aequan-
.tibus (foriferum igitur verosimiliter superantibus); pe-
dunculis fructum ad summum duplo, in nostra triplo
quintuplove superantibus.— Eidem sectioni ut nostra
adscribenda est C. Tea Wall., species rarissima, a
me non visa, diversa tamen foliorum forma, petalis
triplo quam sepala brevioribus, scapo folia aequante,
aliisque notis.
Achlys japoniea. Foliolo terminali cuneato -clliptico
apice leviter trilobo ceterum integerrimo, lateralibus
oblique transverse ellipticis margine exteriore leviter
remoteque sinuatis integrisve; spica interrupta.
In sylvis subalpinis principatus Nambu Nippon bo-
realis detexit opt. juv. Tschonoski a. 1865.
Achlys triphylla DC. definiatur: foliolis flabellifor-
mibus margine exteriori crebre inaequaliter sinuato-
dentatis; Spica continua densiflora.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
0
62
Oxalis obtriangulata ($. Acetosella PI.) Acaulis tenera,
rhizomate tenui apicem versus squamis dense obsesso;
foliis longe petiolatis, foliolis 3 obtriangularibus emar-
ginatis, angulis acutiusculis, ciliatis, subtus parce ad-
presse pilosulis glabratisve, ad petiolulos rufovillosis;
petiolis scapisque tenere pilosiusculis; scapis floriferis
folio multoties, fructiferisque brevioribus; bracteis 2
sub apice scapi; filamentis quam sepala oblonga gla-
bra vel dorso pilosa brevioribus; capsulis erectis cy-
lindricis longe acuminatis stylisque coronatis, poly-
spermis, calycem quintuplo superantibus.
In Mandshuria rossica, circa sinum Victoriae: in
sinu Possjet, in fruticetis umbrosis collium, rara, fine
Julii fr. nond. mat.; in aestuario Deans Dundas, in
sylvis frondosis humidis graminosis, non rara. In Ja-
poniae prov. Senano, in montosis sylvaticis ad rivu-
los, frf. leg. Tschonoski a. 1864.
Foliolorum bipollicarium forma inter omnes species
hujus gregis insignis, ©. Acetosellae Li. et praesertim
O. oreganae Nutt., mihi ignotae, characteribus appro-
pinquans. Quae posterior tamen, quamvis etiam sCa-
pos foliis breviores habet, jam rhizomate elongato ra-
moso squamis dentato, pubeque ubique ferruginea,
praeter foliolorum formam, bene distingui debet, eo
magis, ut, testantibus Torrey et Gray (FI. North.
Am.), a Hookero in FL. bor. am. cum ©. Acetosella
L. confusa fuerit, cui igitur simillima videtur.
Flores, in speciminibus nostris jam emarcidi, albi
sunt.
Hyperieum electrocarpum, (Perforaria Choisy). Per-
enne glaberrimum erectum, caule tereti solitario api-
cem versus fastigiatim ramoso; foliis crebris oppositis
connato-perfoliatis, e basi vix latiore oblongis obtusis,
minute pellucido-punctatis, subtus glaucis; cymis cau-
lem ramosque terminantibus numerosis multifloris pa-
niculam planiusculam efficientibus; bracteis subulatis;
peduneulis orem triplo superantibus; sepalis oblongis
margine integro obsolete nigro pauci-punctatis et ba-
sin versus pellucide pauci-vittatis; petalis obovato-
oblongis calyce vix duplo longioribus; stylis 3, ovario
triplo brevioribus; capsula ovoidea acuta calycem du-
plo superante, triloculari, seriebus sex guttarum
maximarum ellipticarum moniliformi-approximatarum
aureo-lucentium longitudinaliter percursa.
Circa Nagasaki, in fruticetis montium, pluribus locis.
Comparanda e foliorum indole tantum cum A. Nau-
63
Bulletin de l’Académie Impériale
GA
dm
diniano Coss. et Dur., algeriensi, et AH. perfoliato
Ledeb., caucasico. Prius jam pubescentia tomentella,
praeterea foliis ovatis reticulo pellucido instructis,
bracteis latioribus serratis diversum. À. perfoliatum
Ledeb. caule simplici paucifolio, foliis amplis deltoi-
deis, flore duplo saltem majore, petalis elongato-0b-
longis dignoscitur. A. caprifoliatum Boiss. denique,
e Hispania, jam caule lanato, foliisque ovalibus pu-
bescentibus abhorret. In omnibus tribus guttulae fruc-
tus descriptae desiderantur.
Meliosma tenuis, ($ 1. Miq. fl. Ned. Ind.) Fruticosa?;
foliis deciduis tenuiter membranaceis, ellipticis, apice
subito, basi sensius acuminatis, remote subsinuato-
grosse serratis, serraturis ob costas parallelas rectas
exeurrentes mucronatis, utrinque parce adpresse pi-
losis, subtusque ad axillas villoso-barbatis, venis trans-
versis costas jungentibus paucis; panicula terminali !
gracili pyramidata laxiflora rufo-tomentosula, rhachi
flexuosa angulata; racemis e racemulis paucifloris com-
positis ortis divaricatis; pedicellis longitudine florum;
sepalis 4 aequalibus tenuiter ciliatis; petalis majori-
bus rotundatis concavis, minoribus semibifidis inter-
jecto denticulo, liberis, filamento duplo brevioribus;
connectivo staminum fertilium naviculari loculos ova-
les oblique dehiscentes fovente; staminodiis inter se
connatis, vage subbilocellatis, stylum erassum brevi-
ter conicum includentibus; disco 5-dentato; germine
glabro 2-loculari; drupa piperiformi atrocoerulea.
Nippon, prov. Senano, in sylvis ad latera et in valli-
bus montium altiorum, unde fl. frf. misit Tschonoski.
Species sui juris, A. myrianthae $. Z., neque ulli
aliae, affinis.
Meliosma rhoifolia, ($ 2. Miq.) Arborea?; foliis impa-
ri-pinnatis 5 —7-jugis, foliolis coriaceis longiuscule
petiolulatis, lanceolatis ovato-lanceolatisve, longe sub-
oblique cuspidato - acuminatis, hinc serratura parva
longiuscule mucronata instructis vel rarius crebrius
serratis, glabris, subtus fuscescentibus, venis laterali-
bus arcuatis ante marginem conjunctis, reticulo mi-
nuto haud prominente; spicis interruptis laxifloris, in
paniculas angustas laxas, e foliorum superiorum axillis
ortas, dispositis; rhachi tereti rufovillosula; floribus
arcte sessilibus minutis; calyce petalis 4-lo breviore;
petalis majoribus basi auriculata latioribus quam longis
rotundatis, minoribus filamentorum fertilium duplo lon-
giorum basi adnatis bilobis; connectivo naviculari lo-
culos antherae ovatos rima transversa dehiscentes fo-
vente; disci dentibus 5 subulatis; germine villoso;
drupa pisiformi atra.
In Formosa legit inf. Oldham à. 1864, sub X 86/
flor., sub À 85 frf.
M. pinnata Roxb. (sub Müllingtonia) ex descr. ha-
bet folia abrupte pinnata 6—12-juga, paniculam ter-
minalem latissimam, petala minora (squamas Roxb.)
tridentata, lata, basi filamentorum adnata eaque ae-
quantia; germen denique, de cujus pube silet auctor
in descriptione sua fusiore, in spec. Griffithiano e
Bengalia orientali sub X 102 a h. Kew. distributo,
glaberrimum est. — M. Arnottiana Wall. distat jam
panicula densissima maxima, cet. — M. lanceolata BI.
paniculae ramis paucis longissimis, praeter alias no-
tas.— Cum ceteris speciebus minus adhuc comparanda.
Meliosma Oldhami. ($ 2. Miq.) Fruticosa?; foliis im-
pari-pinnatis 2—4-jugis; foliolis membranaceis brevis-
sime petiolulatis, utrinque adpresse pilosis et superne
ad venas crispe villosis, ovato-lanceolatis, terminali
majore saepius elliptico, acuminatis, remote serrulatis,
serraturis longe mucronatis, venis lateralibus arcuatis
trabeculis transversis crebris conjunctis, reticuloque
laxiusculo subtus prominentibus; racemulis brevissi-
mis paucifloris iu racemos interruptos fasciculatim con-
junctis, et in paniculam conicam densifloram disposi-
tis; loribus breviter pedicellatis; calyce petalis triplo
breviore; petalis majoribus rotundatis, minoribus fila-
mentorum fertilium duplo longiorum basi adnatis bi-
fidis; connectivo scutiformi plano, loculis antherae glo-
bosis rima longitudinali dehiscentibus; disei dentibus,
5 subulatis; germine villoso.
In archipelago Koreano legit b. Oldham a. 1863,
N 183, fl. incip.
Praecedenti affinis. — Pro frutice habeo, quia in-
sulae Koreanae ex am. Oldhamii verbis arboribus
saepissime carere solent. Drupa ignota. Staminodia
in utraque specie similia, squama nempe rhombeo-ro-
tundata, ventre loculos cassos valvis patentim apertis
adnatos, gerens, basi membranacea filamentum brevis-
simum constituente. Stylus in utraque specie subcy-
lindricus crassus, e staminodiis exsertus.
Panax repens. (Araliastrum V'aill.) Rhizomate hori-
zontali elongato repente flexuoso-articulato, fibris fili-
formibus; squama decidua ad basin caulis; foliis ter-
nis quaternis quinisve, foliolis 5 longe petiolulatis,
65
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
66
mo
superne parce adpresse setulosis, a late elliptico in ob-
longo -lanceolatum variantibus, saepissime ellipticis,
basi sensim acutis, apice subito cuspidatis, mucronato-
incisoserratis, serraturis basin versus minoribus; pe-
dunculo folia superante simplici vel ramoso, imo pe-
dunculis basalibus adventitiis brevioribus adaucto;
florum cum pedicello articulatione sub anthesi haud
incrassata subinconspicua; fructu globoso-didymo pa-
rum compresso piperiformi stylis 2—3 divergentibus
triplo brevioribus coronato. — Syn. P. quinquefolium
A. Gray. On the bot. of Japan, p. 391.—Miq. Ann.
Mus. Lugd. bat. I. p. 14.—?. japonicus C. A. Mevy.
Bull. Acad. Petersb. IT Ser. t. I. p. 340, et fusius in
Gaugers Repert. f. Pharm. I. p. 525. c. tab., quoad
radicem delineatam, sed non quoad plantae partem
epigaeam.
Per totam Japoniam in subalpinis, in umbra sylva-
rum frondosarum solo humoso pingui frequens.
CI. C. A. Meyer optime jam 1. c. differentias di-
versarum specierum hujus sectionis exposuit, ejusque
observationibus paucas tantum proprias novas addere
possum, omnes vero plerumque ex authopsia specimi-
num numerosorum probatas. Contra opinionem recen-
tiorum, persuasum mihi est, formas Asiaticas et Ameri-
canam specie differre. Sed differentiae optimae et gra-
vissimae in his plantis e radicibus sumuntur, cetera
signa, in foliis, pedunculo, fructibus aliisque organis
latentia, omnia leviora, etsi bene ad cognitionem plan-
tae adjuvantia, ab auctoribus ob illorum variationes
in aliis generibus manifestas, hic vero multo minores,
nimis neglecta sunt, praesertim quia radices saepissime
illis ignotae remanserant. Radicum vero P. Ginseng
et P. repentis mihimet videre licuit facile libras plures
cujusdam, de forma constanti radicis P. quinquefolii
(americani) a mercatoribus sinicis, quibus ex America
magna in copia advehitur, satis edoctus sum, ita ut,
hisce erutis, etiam ?. Pseudo-Ginseng radicem charac-
teristicam quoad formam pro constantissima habere
permissum sit. — Differt igitur P. quinquefolium L.
radice fusiformi simplici furcata, foliolis apice neque
basi vel medio latioribus (obovatis vel obovato-oblon-
gis), basi subito nec sensim attenuatis, pedunculo foliis
breviore, semper (?) simplici, articulatione florali in
sicco quam basis calycis latiore incrassata, ideoque
valde conspicua, fructu pisi mole (duplo saltem quam
in P. repente majore), valde compresso, stylis brevis-
Tome XII,
3
simis 2 erectis, ob brevitatem inconspicuis coronato;
pyrena laevis (in nostra pyrenae omnes ab insectis
fere totae destructae). Radix denique, ex A. Gray.
Bot. North. Un. St. p. 167, sub P. trifolio, aromatica
est, quod, quantum sciam, de nulla alia constat. —
P. Ginseng C. A. Mey., in Mandshuria et Corea spon-
taneum, in Japonia pro certo! tantum cultum, et ne
quidem efferatum proveniens, radice dignoscitur elon-
gato-fusiformi simplici versus apicem palmata (homun-
culum saepius referente, unde nomen sinicum gin-seng
vel japonicum nin-sin), squama caulina basali carnosa
persistente, foliolis ellipticis (oblongo-ellipticisve)utrin-
que sensim acuminatis subaequaliter serratis (exami-
navi millia specimina ad Usuri superiorem et prope
Hakodate culta, praeter exsiccata numerosa), pedun-
culo folia superante, fructu piperis mole globoso-di-
dymo leviter compresso (illi P. repentis simillimo), py-
rena granulata! — Multo magis diversum ?. Pseudo-
Ginseng Wall.! radice valida fasciculata, fibris napi-
formibus numerosis, foliolis superne margineque crebre
setosis, lanceolatis vel lineari - lanceolatis rarius ob-
longis, longe sensimque acuminatis, argute subdupli-
cato-serratis, aliisque forsan notis.
Nomen P. japonici C. À. Mey., P. quinquefolii var.
japonicae Siebold superstructi, delendum, quia spe-
| cimen Sieboldii unicum, a botanico Japonensi Kei-
ske datum, (conf. Miquel I. c. sub var. 8.) verosimili-
ter nil nisi exemplar monstrosum ?. Ginseng, qualia
aegre a Japonensibus conservantur, radix vero, certe
| seorsim à Sieboldio reportata, quia omnino non mos
est Japonensium, radices una cum reliqua planta ex-
siccare, praesertim si molis tam est incommodae, et
praeterea, quia a Miquelio, qui spec. auth. exami-
navit, sub silentio praeteritur, nostro P. repenti de-
sumta est.
Patriniae sectio Centrotrinia: corolla hine gibbo vel
calcari adaucta, fructu bracteae exerescenti adnato.
Patrinia palmata. Caule basi foliis radicalibus pluri-
bus longe petiolatis fulto, ceterum paucifolio; foliis
longiuscule petiolatis, ambitu cordatis superioribus
cordato-ovatis, acuminatis, palmato-quinquefidis inci-
so-serratisque, lobis basalibus minoribus, terminali
majore rhombeo obscure trilobo acuminato; corolla
calcarata, calcari longitudine tubi; fructu paleae obli-
que obovatae nervosae adnato triploque ab illa su-
perato.
67
Bulletin de l’Académie fmpériale
6S
——_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—…—…—…"…"…"…"…"…"—"…"—"—"—"—"…"…"…"…"”"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—————
In Nippon centralis et meridionalis sylvis subalpi-
nis, v. gr. in montibus Hakone, principatu Senano,
alibique.
Flores lutei pro genere maximi, calcar apice necta-
riferum. Planta elegans, decus generis.
Patrinia gibbosa, Caule basi nudo, plurifolio; foliis
radicalibus in capita segregata collocatis caulinisque
subconformibus longiuscule petiolatis suborbiculatis
superioribus rotundato-ovatis ovatisve, acuminatis, basi
subcordata vel truncata cuneo brevissimo in petiolum
superne marginatum abeunte, pinnatilobis, lobis acu-
minatis inciso-serratis; corolla basi gibba; fructu ..?
In Jeso, circa sinum Volcanorum, ad sylvarum mar-
gines, rarius; in Nippon borealis principatu Nambu,
in sylvis subalpinis.
Corolla lutea, praecedente paullo minor, gibbo di-
stinctissimo. Fructus, nondum collecti, ex conforma-
tione analoga bractearum, certe demum paleae adnati
et similes speciei praecedenti, cui evidenter ante alias
generis hujus species affinis.
Campanumoea japoniea, Volubilis glaberrima ; foliis op-
positis longe petiolatis cordatis acutis, pedati-quinque-
nerviis, grosse inaequaliter sinuato-crenatis, crenis api-
culatis; floribus axillaribus solitariis breve peduncu-
latis; calycis basi capsulae adnata, laciniis anguste lan-
ceolatis; corolla...?; capsula baccata, indehiscente,
5-loculari, violacea, respectu calycis supera, corollae
infera, vestigio corollae filamentisque e dilatata basi
subulatis coronata, disco plano 5-angulo styli basi api-
culato.
In proximis viciniis urbis Nagasaki, ad viam Tomats
versus ducentem, in intricatissimis fruticetis sylvarum
muscosarum, secus rivulos, rarissime; Deccmbri frf.
Generi Campanumocae sensu Hook. f. et Thom-
son, Praecurs. fl. Ind. in Journ. Linn. Soc. IL. p. 9.
adnumeranda, exclusa tamen Glossocomia lanceolata
(Gl. ussuriensi Rupr. et Max. et C. lanceolata S. Z.),
quae habet capsulam vertice liberam et dehiscentem,
semina lucida maxima, discum foveis 5 profundis nec-
tariferis instructum. A charactere, C javanicae super-
structo, nostra differt tamen loculis capsulae sepalis
oppositis, neque cumillis alternantibus. Placentae cras-
sae, loculos replentes, seminibus multiseriatis, nume-
rosissimis, minutis, ovalibus, tenuiter granulatis ob-
sessae. Testa seminum crustacea.
C. javanica BI. primo aspectu jam diversa: omni-
bus partibus duplo minor, caulis filiformis, folia ro-
tundato-cordata subintegra vel obsolete crenulata, sub-
tus glauca, nervis aequalibus neque pedatis, peduneuli
petiolum aequantes elongati, sepala ovato-lanceolata.
C. cordata Hassk. (sub Codonopside) foliis alaba-
strisque hirsutiusculis, prioribus calycisque laciniis
crenato-serrulatis, pedunculis elongatis differre vide-
tur, sed plantam non vidi et ad nostrum genus retuli,
ducente Miquel in FI. Ned. Ind.
Primula macrotarpa. (Arthritica Duby). Pumila gla-
bra efarinosa; foliis rotundatis subrhombeisve argute
serrato-dentatis basi subito cuneata integris, In petio-
lum alatum lamina longiorem angustatis; scapo folia
superante 1 —3 floro; involucri foliolis subulatis quam
peduneuli elongati inaequales multo brevioribus; ea-
lycis tubuloso-campanulati vix ad medium quinquefidi
laciniis late lanceolatis subito acutis; corollae hypo-
craterimorphae tubo e calyce non exserto neque fauce
ampliato, lobis tubum superantibus obcordatis; eap-
sula cylindrica! apice dentibus brevissimis aperta,
calycem fere duplo superante.
In altissimis alpibus Nippon borealis.
Plantula 2 — 4 pollicaris. Corolla ex sicco videtur
albida, ad faucem lutea. Capsula fere Cerastii cujus-
dam, in genere brachycarpo quam maxime singularis.
E serie P. minimae L., P. Floerkeanae Schrad.,
P. cuneifoliae Liedeb. et cet. Notis diagnosticis P. cu-
neifoliae proxima. Foliorum forma et serraturis primo
obtutu P. ellipticae Ro yle similior quam ulli aliae, sed
in hac folia subrugulosa, longiora, forma aliena, serra-
turae tenuiores et erebriores, nervi numerosiores, Ça-
lyx profunde fissus, pedunculi breves, flores duplo sal-
tem majores, capsula calycem aequans. P. cuneifolia
Ledeb. (f. Rossica!) diversa foliis sensim cuneatis
paucius et grossius dentatis, corollae tubo calycem
fere duplo superante, ad faucem ampliato, floribus du-
plo majoribus, lobis corollae profunde bifidis, pedicel-
lis abbreviatis, capsulis ovatis ealycem aequantibus.
Praeterea, si excipis specimina arctica, duplo triplove
major est quam nostrae specimina maxima.
Lysimachia Fortunei, (Æphemerum). Radice repente;
caule simplici tereti uti tota planta glabro vel inter
flores parcissime puberulo; foliis alternis subsessili-
bus vel infimis brevissime marginato-petiolatis lanceo-
latis vel spathulato-lanceolatis acutis apiculatisve, in-
tegerrinis, ad lucem crebre punctatis; racemo ex-
69
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
70
———@—
serto multifloro elongato laxiuseulo erecto, fruc-| sulae Sikokf collecta, ex foliis sessilibus, pedunculis
tifero longissimo laxo; bracteis lanceolato-subulatis
longitudine pedicellorum; pedicellis calyces aequan-
tibus, fructiferis non elongatis; calyeis laciniis ova-
libus obtusis albido-marginatis corolla ad ”, fissa du-
plo brevioribus; lobis corollinis late obovatis ro-
tundatis stamina duplo saltem superantibus; fila-
mentis brevissimis basi loborum adnatis late ligu-
latis, antheris basifixis! cordatis; stylo erasso basi
glanduloso incrassato ovarium globosum vix supe-
rante; stigmate truncato; capsula globosa calyei sub-
aequali.
Per totam Japoniam occurrere videtur, in meridio-
nalibus frequentior quan ZL. clethroides Duby, in bo-
realioribus rarior, sed similibus locis et iuterdum pro-
miscue crescens, v. gr. ad rivulos principatus Nambu;
circa Yokohama in fruticetis humidiuseulis parce; in
fruticetis graminosis ins. Kiusiu prope Wagats. In
China boreali jam a. 1845 detexit Fortune (A. 71).
In Formosa insula legit infaustus Oldham (Ÿ 3151).
L. clethroidi Duby affinis, sed haec, quam multis
millibus inüividuis semper sibi simillimis videre con-
tigit, diversissima est quam habitu tam characteribus.
Nihilominus utramque confudisse videtur nuperrime
el. Klatt. En diagnosis:
L. clethroides Duby. Radice repente; caule sim-
plici angulato glabro rarissime crispe villosulo, inter
flores puberulo; foliis petiolatis ellipticis late lan-
ceolatisve utrinque acuminatis margine sub lente re-
mote setoso denticulatis, ad lucem punctatis, gla-
bris vel rarissime utrinque parce ad venas subtus
paullo densius adpresse pilosis; racemo densissimo
primum nutante demum erecto, fructifero densis-
simo brevi; bracteis subulatis pedicellos superanti-
bus, rarius non adaequantibus, parce ciliatis; pedicel-
lis calyces duplo saltem superantibus florem aequanti-
bus, fructiferis non elongatis; calycis laciniis late
lanceolatis acutiuseulis anguste albido-marginatis co-
rolla ad basin fere partita triplo brevioribus; pe-
talis patentibus late oblongis obtusis stamina basi
adnata filamentis subulatis paullo superantibus;
antheris versatilibus oblongis acuminatis; stylo
crasso apice glanduloso clavato germen globoso-ova-
tum duplo superante, stigmate truncato; capsula glo-
bosa calycem paullo superante.
L. Ephemerum Thbg. F1. Jap. non L., ad vias in-
linealibus, potius L. Fortunei quam L. clethroidis sy-
nonyma.
Lysimachia acroadenia, (Zphemerum). Glaberrima, ra-
dice fibrosa; caule angulato superne ramoso; foliis
alternis lanceolatis acuminatis marginato - petiolatis,
ipso acumine tantum glandulis elongatis purpu-
reis dense notatis, cetcrum impunctatis; racemo
terminali haud exserto laxo multifloro; bracteis subu-
latis pedicello duplo brevioribus; pedicellis sub an-
thesi fere horizontalibus apice subrecurvis, fruc-
tiferis elongatis crassis apice subinerassatis strictis
patulis; calycis laciniis lanceolatis acuminatis mar-
gine minute glandulosis, ipso apice glandulis duabus
elongato-linearibus purpureis instructis, ceterum epunc-
tatis; corollae breviter tubulosae calyci subaequilon-
gae ad ?, fissae lobis obovato-oblongis obtusis; fila-
mentis basi paullo dilatatis supra basin loborum ad-
natis subulatis antherisque ovatis corollam ae-
quantibus; stylo exserto, stigmate capitato; capsula
stylo breviore terminata calycem duplo excedente. —
Syn. L. multiflora Wilford! in sched.; Black. Index,
in Bonplandia, X. 93; Klatt. Monogr., in Verh. d.
naturf. Ver. in Hamburg. IV. p. 14, tab. 4.
In Japoniae ins. Tsu-sima freti Coreani (Wilford!);
Kiusiu, cirea Nagasaki, ad rivulos in umbrosis, variis
locis, minime frequens; in tractu montium centrali
prope Ko-isi-wara, simili loco; Nippon, prope Yoko-
hama, in humidis, raro.
Arcte affinis L. multiflorae Wall., quam non vidit
monographus Klatt, sed optime insigniterque diversa,
uti docet diagnosis sequens:
L. multiflora W all! Glaberrima, radice fibrosa; caule
angulato superne ramoso; foliis alternis lanceolatis
acuminatis marginato-petiolatis sparse nigropuncta-
tis; racemo terminali non exserto laxo multifloro; brac-
teis subulatis pedicellos sub anthesi patulos erec-
tos subaequantibus, fructiferos filiformes elonga-
tos horizontales apice recurvos dimidio non attin-
gentibus; calycis laciniis lanceolatis acuminatis crebre
nigropunctatis margineque minute glandulosis; corolla
breve tubulosa calycem vix excedente ad 7, fissa in
lobos oblongos obtusos; staminibus corollam duplo
fere superantibus, filamentis ad basin loborum usque
adnatis filiformibus; antheris ovatis; stylo cylindrico
elongato stamina aequante, stigmate truncato; capsula
A
5
71
Bulletin de l’Académie Empériale
72
+
globosa stylo paullo longiore coronata calycem parum
excedente. — Praesto erant specimina Punduana et e
Himalaya orientali fructifera, Formosanum Oldhamii
X 313 florens, et Neo-Caledonica Vieillardi simul
floribus et fructibus onusta. Quae ultima docuerunt
L. consobrinam Hance plantam florentem esse Z.
multiflorae Wall., quam hucusque fructiferam tantum
cognoverant botanici.
Schizocodon ilicifolius, Nanus, foliis late ovatis vel
basi subcordatis acuminatis, grosse mucronato-pauci-
serratis, opacis, nervis subtus prominentibus; scapo
florifero foliis breviore fructifero vix longiore, racemo
paucifloro (2—4); bracteis linearilanceolatis; corolla
laciniata alba; stylo firmo persistente.
In insulae Nippon mediae m. Nikkoo, unde spec.
frf. exsiccavi, et plura in hortulo meo colui, quae anno
sequente flores protulerunt.
Valde, nimis forsan, affinis sequenti, cujus diagno-
sin comparationis causa offero:
Sch. soldanelloides S. Z. Foliis cordato-orbiculari-
bus cordato-ovalibusve, superne lucidis, nervis subtus
prominentibus, apice retusis cum apiculo, margine
subsinuato serratis, serraturis apiculatis; scapis folia
superantibus, racemo paucifloro (3 —6); bracteis li-
nearibus; corollae laciniatae limbo albo tubo purpu-
reo; stylo crasso persistente. — In Xiusiu variis locis,
in Nippon prov. Senano (fl. frf.).
Sehizocodon uniflerus, Foliis transverse cordato-orbi-
cularibus apice sinuato-retusis cum apiculo, apiculato-
serratis, lucidulis, nervis venulisque superne promi-
nentibus; scapis folia aequantibus 1-floris; bracteis
ovatis acuminatis; corolla...?; stylo gracili in fructu
caduco.
In Nippon provinciis Senano, in alpibus altissimis,
inter lapides, defl., et Nambu, in sylvis subalpinis, frf.
legit indef. collector noster japonicus Tschonoski.
Lindera hypoglauea, ($ 1. Meisn.) Cortice laevissimo;
foliis e basi acuta elliptico-lanceolatis breviter acumi-
natis, juvenilibus subtus adpresse parcius sericeo-pilo-
sis, adultis chartaceis glabris subtus glaucis obsole-
teque laxe reticulatis; umbellis 3—5-floris brevissime
peduneculatis, pedunculo pedicellisque sericeis.
In Nippon mediae et meridionalis sylvis frondosis
montanis, v. gr. montibus Hakone, unde vivam Petro-
polin introduxi, ubi anno curr. florebat.
Folia opaca subtus glauca, duplo fere quam in Z.
glauca BI. minora. Flores subcoëtanei. Stamina in fl
4 9, quorum 3 intima basi biglandulosa. F1. Q ignoti.
Baccae globosae, nigrae, pisi mole, pedicello fere pol-
licari apice incrassato insidentes, cupula calycina sub-
integra vel indistincte lobata.
Similis L. Benzoin Meisn., quae diversa foliis la-
tioribus longius acuminatis majoribus, adultis saepe
adhuc ad costam pilosulis, pedicellis baccam ovalem
aequantibus, aequalibus, umbellis subsessilibus totis
glabris, floribus praecocibus. — ZL. glauca BI.! (v. sp.
ster.) e diagnosi affinis videtur, sed longius distat
foliis fere duplo majoribus, basi vel medio latissimis,
acutis, (nec apice latioribus acuminatis), breviter pe-
tiolatis, petiolo duplo triplove quam in nostra bre-
viore, nonobstante lamina majore, lamina subtus pro-
minenter densiusque reticulata, adulta subtus ad ve-
nas breviter pilosa, cortice ruguloso, floribus praeco-
cibus.
Lindera membranacea, ($ 2. Meisn.) Ramulis tenuis-
simis; foliis tenuiter membranaceis, e basi attenuata
acuta late ellipticis vel elliptico -obovatis cuspidato-
acuminatis, obsolete immerse reticulatis, novellis sub-
tus ad venas superne ad costam parce sericeo-pilosis,
opacis concoloribus; umbellis coëtaneis brevissime pe-
dunculatis multifloris; pedunculo dense pedicellisque
patulo sericeo-hirtis; pedicellis #. 4 filiformibus longis-
simis, .® brevioribus firmis apice incrassatis, fructu..?
In sylvis provinciae Senano flor. legit a. 1864
Tschonoski.
Folia jam novella ampla, 4-pollicaria, 2 poll. usque
Jata. Flores @ firmiores quam d, utrique parvuli.
L. wmbellata Thbg. discrepat foliorum angustiorum
forma et consistentia, adultorum in pagina superiore
nitore, umbellis longiuscule pedunculatis, pedicellis
crassis pedunculo subaequilongis, dimidio quam in
nostra brevioribus, floribusque globoso neque aperte
campanulatis, firmis. — Ceterae species longe distant.
Najas serristipula, Mollis elongata, foliis verticilla-
tis patentibus rectis argute spinoso -serrulatis, apice
2— 3-cuspidatis, dentibus incurvis 1-cellulosis minu-
tis; stipulis distinctissimis lanceolatis foliaceis folii ad
instar serrulatis; fructu lineari-oblongo, granulato. —
N. graminea AT. Br. Rev. gen. Najas, in Seem. Journ.
IT. 278, non Del.—?
Nippon, in fossis circa Yokohamam semel inveni
fructiferam,
73
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
74
0
E mihi notis, proxime accedit quum habitu tum
characteribus ad N. alagnensem Pollini (Cauliniam
intermediam Nocca et Balbis. FI. Ticin. IL. p. 163.
t. XV.), cujus icone, et specc. frf. a Cesati et Ca-
ruel lectis comparatis, differentias erui sequentes: fo-
lia plantae italicae remote serrulata, apice integra,
stipulae nil sunt nisi utrinque dens parvus vaginae
membranaceae integrae, fructus oblongi granulati
quam in nostra multo breviores et crassiores, stipu-
lam brevissimam, ut in nostra, parum quidem tantum
superantes, sed in nostra stipulae elongatae, et nihi-
lominus fructu breviores. — Ad hanc proxime accedit
(Al. Braun non diversam putat) N. graminea Del.
Descr. de l'Egypte, t. L. fig. 3., ex icone pulchra ta-
men stipula longiore et fructu laevi discrepans. Utraque
planta re vera forsan ad unam speciem pertinet. Stirps
vero, cujus stipulas adumbravit Al. Braun (1. c.
p. 274. fig. 5.) certe minime cum hac planta conjun-
genda, et signis in diagnosi nostra datis abunde di-
versa, e longinquo tantum ob habitum similem cum
illa confundenda est. Nihilominus auctor laudatus spec.
auth. Delilei! vidisse asserit, cum aliis Ehrenbergii
ex Aegypto, et aliis e Cordofano, Bengalia, Ceylona,
Java et Celebe. Sed figuram Delilei si comparasset,
mox persuasus sit, specimen siccatum ab illa diver-
sissimum esse, etsi forsan ab ipso Delileo lectum
atque confusum fuerit. — Hisce addere liceat, N. in-
dicam Cham., a Braunio ad N. minorem ductam,
primo obtuto jam quam maxime differre vaginis elon-
gatis gramineis, neque breviter rotundatis firmis pal-
lidis.
Résultats de quelques observations supplémen-
taires faites sur des étoiles doubles artifi-
cielles, par O. Struve. (Lu le 29 novembre 1866.)
(Troisième note.)
Dans deux notes, publiées en 1853 et 1857, j'ai
exposé les principaux résultats de mes recherches
concernant les erreurs constantes et systématiques de
mes mesures micrométriques; ces recherches, ont été
basées sur de nombreuses observations d'étoiles dou-
bles artificielles, exécutées pendant les années 1852 —
1856. Elles ont évidemment fourni, quant aux er-
reurs systématiques de l’angle de position, des valeurs
très précises pour l’époque moyenne de ces expériences
antérieures. Elles ont également donné, pour la même
époque, des valeurs approximativement exactes pour
les erreurs constantes des distances mesurées. Il
restait à examiner, si quelques-unes de ces erreurs
n'étaient point sujettes à des changements sensibles
dans le courant de plusieurs années; il importait en-
core à prouver, par des observations directes faites
sur les étoiles doubles naturelles sous des angles ho-
raires considérablement différents entre eux, que les
formules de correction, déduites des mesures d'étoiles
artificielles disposées dans une direction à peu près
horizontale, étaient applicables pour toutes les hau-
teurs des objets. En outre les recherches précédentes
concernant les erreurs des distances avaient été basées
sur l’hypothèse que ces erreurs ne variaient pas avec
la direction des objets, et la justesse de cette suppo-
sition n’était pas encore suffisamment constatée par
l'observation. Au contraire, un examen plus soigné
de mes mesures micrométriques des étoiles doubles
naturelles, auquel j'ai dù me livrer l’année dernière
en procédant à leur redaction dans une forme conve-
nable pour la publication, me firent bientôt soup-
çonner que les angles formés par les directions des
objets mesurés avec le plan vertical, dans lequel se
trouve le couple au moment de l’observation, exer-
cent une influence très-importante sur les mesures
des distances. C’est ce qui devait surtout m’engager
à faire de nouvelles recherches avant de continuer
la rédaction de l'ouvrage entrepris. Les résultats de
ces expériences faites dans les derniers mois de été
passé, seront l’objet de la communication suivante
Un exposé détaillé des méthodes d’observation et de.
mesures elles-mêmes, trouvera sa place dans une In-
troduction destinée à être mise en tête de l’ouvrage
plus étendu, qui comprendra toutes les mesures mi-
crométriques des étoiles doubles, faites à Poulkova
depuis la fondation de l'Observatoire jusqu’à l’époque
actuelle.
L'appareil dont je me suis servi dans les expé-
riences antérieures, pour placer les étoiles doubles
artificielles sous des angles différents par rapport à
l'horizon, est resté le même dans les nouvelles expé-
riences. Les étoiles étaient formées par les bases de
petits cylindres en ivoire, soigneusement tournés, qui
ont été successivement introduits dans des trous éga-
lement perforés au tour dans une plaque en fer noirci;
ces étoiles se présentaient sous des angles apparents
75
Bulletin de l’Académie Impériale
76
mm om
de 0/1 à 0,5. Malheureusement la tour de l’ancien
télégraphe optique, où l'appareil avait eu autrefois
un emplacement très-convenable, n'existe plus. À sa
place, il y a quelques années, nous avons fait élever,
à quelques pas seulement de lendroit où la dite tour
se trouvait autrefois, une pyramide de près de 40 pieds
de hauteur, pour servir de station trigonométrique dans
les exercices de triangulations des officiers de l'État-
major Impérial, qui suivent chez nous le cours de
haute géodésie. Sur cette pyramide notre appareil a
été établi à une hauteur d'environ 24 pieds au-dessus
du sol environnant. Autrefois sa hauteur était d’en-
viron 50 pieds. Je crois devoir attribuer à la dimi-
nution de la hauteur que, cette année, les périodes
journalières des images tranquilles étaient plus courtes
et qu’en général l’état des images était sujet à des
changements plus rapides que dans nos expériences
antérieures. Sous tous les autres rapports l’emplace-
ment actuel de l'appareil était aussi favorable que
l’ancien.
La distance linéaire entre la plaque de fer portant
les étoiles artificielles, et l’objectif de la grande lu-
nette, a été déduite d’une triangulation exécutée cette
année, sous la direction du capitaine Kortazzi, astro-
nome-adjoint de l'Observatoire, par les officiers de la
Section géodésique de l’Académie militaire. Elle à
été trouvée égale à 106224,7 pouces anglais, avec
une erreur probable de deux à trois pouces. Il s’en-
suit que les distances angulaires apparentes des étoiles
doubles artificielles, en tant qu'elles dépendent de leur
distance linéaire à l’objectif, peuvent être supposées
exactes à "op Près, et comme elles ne dépassent ja-
mais une couple de minutes, l'incertitude qui pour-
rait en résulter est tout à fait insignifiante.
Avant de procéder à l'exposé des résultats ob-
tenus cette année par rapport aux erreurs systéma-
tiques, je dois mentionner encore que dernièrement
j'ai fait quelques recherches plus exactes sur la va-
leur angulaire des révolutions de la vis micrométri-
que. Dans ce but une poutre assez forte de bois sec
et trempée d'huile, de 9 pieds de Jong, a été établie à
l’endroit où auparavant s'était trouvée la plaque en
fer, et toutes les précautions nécessaires ont été prises
pour lui assurer une position perpendiculaire à la!
direction de la grande lunette. Sur cette poutre cinq
petits disques en ivoire sur fond noir, divisaient un |
espace de 8 pieds en quatre parties approximative-
ment égales. Ayant mesuré à différents jours la distance
des deux disques extrèmes et en y changeant chaque
fois le lieu de coïncidence des deux fils micromé-
triques, j'ai trouvé les valeurs suivantes:
rév.
19,224, le lieu de coïncidence étant à 46,5
19,230 » » » D DA
19,228 » » » » en) 505
19,216 » » p.02 01,
19,221 » » » » _» 66,2
L'accord de ces valeurs, rapprochées des mesures
également satisfaisantes des subdivisions, prouve qu'il
n’y a aucune trace sensible de différence dans les dif-
férents pas de la vis micrométrique, entre les limites
27 et 87, limites qui ne sont jamais dépassées dans
mes mesures des étoiles doubles naturelles.
En traitant, par la méthode des moindres carrés,
toutes les mesures exécutées entre les disques ex-
trêmes et les subdivisions, nous avons trouvé la va-
leur angulaire d’une seule révolution de la vis micro-
métrique — 9,6810 # 0,0016, pour la température
moyenne de nos mesures + 8,3 R. Eu égard au coef-
ficient de dilatation, déterminé antérieurement (De-
seription de l’Obs. centr. pag. 193) cette valeur se
change en 9,6830 pour {— 0°. Mais ce nombre cor-
respond encore au foyer de la grande lunette, vérifié
sur des objets placés à la même distance de l'objectif
que les étoiles artificielles. En effectuant la réduction
nécessaire pour obtenir la valeur correspondante au
foyer des objets infiniment éloignés, nous avons en
définitive:
r — 97074 (+ 00016) — 0/000224
Dans les réductions de mes mesures mieromé-
triques, j'ai employé jusqu’à présent la valeur r —
97319 + 0/0032, telle qu’elle a été déduite d’un
grand nombre de passages de différentes étoiles par
les deux fils du micromètre, placés à une très-grande
distance l’un de l’autre. La différence des deux valeurs,
en s'élevant à 0,0245, excède environ 7 fois l’erreur
probable combinée des deux déterminations et par con-
séquent ne peut pas être attribuée uniquement à l’ef-
fet d’erreurs accidentelles d'observation. D’un autre
côté une altération des pas de la vis par l'usage fré-
quent est hors de question. Si elle avait eu lieu,
77
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
7
EE ———————————————————————
elle aurait dû se manifester surtout aux environs du
lieu moyen de coïncidence, 56,5, dont ordinairement
nous ne nous sommes éloignés que très-peu; et nous
avons déjà vu plus haut qu’il n’y a aucune différence
appréciable dans les valeurs de la vis dépendant
des lieux de coïncidence. Si je ne me trompe, l’ori-
gine de la différence des deux valeurs doit être cher-
chée dans les deux causes suivantes. Dans l’ancienne
méthode, avant de placer, pour les observations des
passages, les deux fils à une grande distance l’un de
l’autre, j'ai eu pour règle de vérifier le foyer de l’o-
culaire sur les fils tenus au centre du champ. Il y à
done lieu de craindre que, placés ensuite près des
bords du champ, ils ont été sujets à une petite pa-
rallaxe optique, dont l'effet sur observation des pas-
sages doit avoir été de très-près de nature constante.
Une autre cause de désaccord pourrait être cherchée
dans la circonstance que, pour augmenter autant que
possible l'intervalle entre les passages par les deux
fils, il a fallu faire usage des pas extrêmes de la vis
micrométrique, dont la valeur, comme on sait, diffère
quelquefois assez considérablement de celle des pas
du milieu. La nouvelle détermination paraît être à
l'abri de toute objection sérieuse, et je n’hésite pas
à lui donner la préférence sur l’ancienne. Néan-
moins je ne tarderai pas à examiner de nouveau cette
question, dès que la saison le permettra.
En admettant done que cette nouvelle détermination
soit parfaitement exacte, nous devons corriger toutes
les distances publiées jusqu’à présent de leur ,."" par-
tie. Pour la grande majorité des étoiles doubles pro-
prement dites, cette correction est tout-à-fait insigni-
fiante comparativement aux erreurs accidentelles des
mesures isolées; mais, en augmentant en proportion
directe de la distance elle-même, elle devient de plus
en plus sensible et importante dans les classes V et
VI de W. Herschel. A 3° de distance son effet at-
teint déjà à peu près une demi-seconde, quantité
assez considérable et dont il faut tenir compte, surtout
quand il s’agit de combiner ou de comparer les me-
sures faites par différents observateurs. Tant que la
distance elle-même ne varie pas très - considérable-
ment, la correction est à peu-près constante. C’est
pourquoi les valeurs des parallaxes de « Lyrae,
61 Cygni et de quelques autres étoiles, telles qu’elles
sont déterminées par moi, n’en sont pas affectées.
Dans mes recherches antérieures sur les erreurs
systématiques des angles de position, j'avais étendu
les mesures sur 12 couples d'étoiles artificielles qui,
en égard aux différents grossissements employés, for-
maient 24 systèmes de différents angles visuels. Il sera
utile de se rappeler ici que l’expression «angle visuel»
se rapporte à la distance angulaire des deux objets telle
qu’elle se présente dans le grossissement V de notre
lunette, prise pour unité. Pour obtenir les angles
visuels (que nous désignerons par e) des astres me-
surés avec d’autres grossissements, nous devons mul-
tiplier les distances angulaires mesurées par le rap-
port qui existe entre le grossissement employé et le
grossissement V. Avec une exactitude suffisante pour
notre but ce rapport a été fixé:
pour le grossissement IL à 0,3 V
III » 0,4 V
IV » 0,6 V
NE » 1027
VII » 1,6 V
VIII » 2,0 V,
mais, à très-peu d’exceptions près, ce ne sont que les
grossissements IV, V, VI et VII, qui ont été effecti-
vement employés dans nos mesures des étoiles doubles.
Cette année, vu qu’il s’agissait en premier lieu de
constater à quel point les formules de correction dé-
duites de nos mesures de 1852 à 1856, étaient en-
core applicables à l'époque actuelle, je ne me suis servi
que de 9 couples d'étoiles artificielles et, à quelques
exceptions près, toutes les mesures ont été exécu-
tées avec le seul grossissement V. De cette manière
nous n'avons ici que 12 systèmes de différents angles
visuels, pour lesquels nous avons:
» » »
» » »
e—D 6, 102. HA 9,3
087819 10):11,6
neo Sun 76% 106
De même que le nombre de systèmes, aussi le
nombre des différentes directions, par rapport au
plan vertical, a été de la moitié plus petit cette an-
née. Pour épargner le temps je n’ai fait les mesures,
pour chaque système, qu’en directions différentes entre
elles successivement de 30°. Le nombre de mesures à
été fixé en moyenne pour chaque direction à trois, mais
je tâchais, autant que possible, d'exécuter ces trois
mesures en trois jours différents, afin de diminuer
79
Bulletin de l'Académie Impériale
EE EEE
dans la moyenne l'effet de dispositions accidentelles. | ment de 6 différents v et non de 12, comme dans nos
En tout, le nombre des mesures isolées des directions,
chacune composée au moins de trois pointages, s’élève
à 213, sans y compter les pointages des étoiles de
repère, qui se faisaient au moins deux fois pour chaque
mesure. En prenant les moyennes arithmétiques des
résultats trouvés aux différents jours approximative-
ment dans les mêmes directions, j’ai obtenu ainsi, pour
chaque système, 6 différences entre les directions
réelles et apparentes, qui devaient être représentées
par notre formule de correction, si elle avait encore
toute sa valeur à l’époque actuelle. Cette formule est
donnée dans ma note de 1857 ainsi qu’il suit:
…d4sin(2p—25°59/)
1+-0,20(3,0—e)?
5.0
1+0, 35e
5, Gsin(4p—-29°11/)
Corr.= 1+-0,20e2
2 (A)
où ® signifie l’angle entre la direction mesurée du
système et le plan vertical, corrigé pour l'effet du
premier membre de la formule précédente.
Ayant exécuté ce calcul pour tous les systèmes et
en désignant par » les différences entre les directions
vraies et observées, par v les différences restantes
après la substitution des corrections exigées par notre
formule, nous avons trouvé:
Er? Zv?
pour e — 0,6 DOM SA A
0,85 454,4 80,9
1,0 280,2 46,3
1,02 261,4 20,4
1,9 BST LA AA 4
3,8 122,0 19,2
5,4 45,1 10,8
7,0 13,6 5,0
7,8 7,0 3,9
11,6 4,6 2,6
15,6 el 0,5
La petitesse comparative des Z+° est sans doute
un indice très-fort en faveur de la supposition que
ancienne formule reste encore applicable à l’époque
actuelle. Cependant, si on compare les 2v° isolés,
trouvés maintenant , avec les valeurs correspondan-
tes obtenues en 1857, on voit qu'en moyenne les
premières surpassent un peu en grandeur les anciens
2°, tandis qu’il fallait s'attendre à trouver une di-
minution d’à peu près la moitié, parce que les Zv°
représentent maintenant la somme des carrés seule-
recherches antérieures. A cela s’ajoute la remarque
que presque tous nos nouveaux sont du signe po-
sitif, En prenant pour chaque e la moyenne arithmé-
tique des 6 différents v, nous trouvons:
e [v] 2v'2
0,6 70 24,1
0,85 + 3,40 18,5
1,0 + 1,64 6,2
1,02 + 2,60 6,7
169 +- 1,88 12,6
3,8 + 1,42 3,0
5,4 +- 1,06 4,3
7,0 + 0,80 1,5
7,8 + 0,55 159
11,6 + 0,48 1,2
15,6 + 0,13 0,4
Les petites irrégularités dans la succession des [v]
sont évidemment causées par des erreurs accidentelles
plus fortes dans les directions mesurées des systèmes
les plus resserrés. Le premier PSDDEE de notre formule
de correction est de la forme :
un En conservant
cette forme pour les [v], ere trouvons, par la mé-
thode des moindres carrés, l’expression:
[v] = +
Ici la valeur de x surpasse de 13 fois son erreur
probable. Par conséquent il ne peut guères être dou-
teux que, dans l'intervalle moyen de 11 ans entre les
époques des deux déterminations, il ne se soit opéré
un petit changement dans mon équation personnelle.
Faute d’autres données, la supposition que ce change-
ment se soit effectué successivement dans le courant du
temps, est la seule admissible. Il s’ensuit qu'après
avoir corrigé les directions observées des quantités
fournies par la formule (4), il nous reste encore à
ajouter une correction supplémentaire qui s’exprime
de (Crop 1855,5).
Après avoir appliqué cette correction supplémen-
taire à chaque v primitif, nous trouvons les différences
restantes v’, dont la somme des carrés est donnée pour
chaque système dans le tableau précédent. Ces v'
n’offrent plus aucun indice de régularité, ce qui nous
autorise à conclure que les deux derniers membres
940 (+ 0,18)
1 + 0,050 (5 0,017) &*
par +-
si
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
s?2
de la formule (A) n’exigent aucun changement pour
satisfaire complètement aux nouvelies observations.
Mon équation personnelle est donc restée constante,
en tant qu’elle dépend de la direction des objets par
rapport au plan vertical. Cette conclusion est confir-
mée par le fait que maintenant les Xv° ne s'élèvent
en moyenne qu’à 0,6 des 24° trouvés en 1857 pour
les mêmes e.
Pour être rigoureux nous devons donc appliquer à
tous les angles de position, mesurés depuis 1855 sur
des étoiles doubles naturelles, la correction supplé-
mentaire que nous venons de déduire. Mais alors
surgit la question, si nous avons le droit de procéder
de la même manière pour toutes les mesures exécutées
avant la dite époque. Je n’ose pas encore me pro-
noncer définitivement à ce sujet, car il me manque
pour le moment toute donnée directe pour en juger.
Cependant l'hypothèse assez plausible, que la disposi-
tion, pour ainsi dire, maladive de mes yeux de tour-
ner toutes les directions dans un certain sens, ait
augmentée successivement avec l’avancement de l’âge,
paraît favoriser l’application de la correction supplé-
mentaire aussi pour les périodes plus reculées, et, si je
ne me trompe, elle trouvera ultérieurement un appui
dans les comparaisons de mes mesures avec les obser-
vations contemporaines, exécutées par d’autres astro-
nomes, Nous possédons déjà un indice favorable à cette
supposition dans le fait que les mesures simultanées,
exécutées à Dorpat en 1836 par mon père et par moi,
n’offrent aucune trace de différence constante, qui
probablement se serait manifestée, si à cette époque
mes mesures avaient été affectées d’une équation in-
dividuelle aussi forte que le demande le premier
membre de la formule (4). Je remarquerai encore que
objection qu’on pourrait élever contre cette conclu-
sion, en émettant la supposition que les mesures de
mon père aient été sujettes à des erreurs constantes
analogues aux miennes de 1855, ne peut être main-
tenue en présence des expériences faites par lui
en 1836 sur des étoiles artificielles (Mens. micr. pag.
CXLIX sq.). Espérant qu’un avenir prochain me
permettra de répondre plus positivement à la ques-
tion posée, je me contente ici de diriger sur cette
circonstance l’attention des astronomes qui voudront
s’occuper du calcul des orbites ou en général du mou-
vement relatif des étoiles doubles.
Tome XII.
Passons maintenant aux résultats fournis par les
nouvelles observations des étoiles artificielles, pour
les erreurs constantes ou systématiques des distances.
Les mesures s'étendent aux mêmes 12 systèmes que
nous avons cités plus haut, et en outre, comme trei-
zième système, aux deux étoiles plus éloignées qui
nous ont servi de points de repère pour/la déduction des
directions véritables. Chaque système a été également
mesuré sous 6 différentes directions et chaque résultat
est la moyenne au moins de deux mesures de la di-
stance double. Le nombre total des résultats isolés
s'élève ici à 251. Après avoir pris les moyennes
fournies, aux différents jours, pour les mêmes direc-
tions, nous les avons comparées avec les véritables
distances angulaires, fournies par la mesure directe
des distances linéaires, divisées par la distance des
objets à l’objectif de la lunette. Nous avons obtenu
ainsi, pour chaque e, 6 différentes erreurs » qui, trai-
tées par la méthode des moindres carrés, peuvent être
représentées par les expressions suivantes:
e I II III
0,6 Corr. = + 0,040 + 0,021 sin 20'+ 0,039 cos2o"
0,85 + 0,028 +- 0,017 0,026
1,0 __0,082-+-0,055 + 0,105
1,02 0,000 + 0,057 +- 0,088
1,9 __0,031-+- 0,075 + 0,160
3,8 + 0,103-+-0,107 + 0,136
5,4 + 0,086 +-0,105 + 0,084
7,0 + 0,118+0,110 +-0,064
7.8 + 0,163+-0,125 + 0,054
9,3 + 0,063+- 0,065 + 0,028
11,6 + 0,030— 0,021 + 0,113
15,5 —0,031-+- 0,040 —+0,012
936,2 — 0,020 + 0,006 — 0,060
où ©’ signifie l’angle véritable, formé par la direction
des deux étoiles avec le plan vertical.
Les corrections calculées d’après ces formules pour
chaque système séparé s'accordent de si près avec les
valeurs isolées des différences, qu’il paraît entière-
ment superflu d'introduire encore des membres dé-
pendants du quadruple de l’angle, comme nous avions
été obligés de le faire pour les erreurs des directions.
Aussi les petites différences qui restent après l’intro-
duction de ces corrections, n’offrent plus aucune trace
de régularité.
s3
On remarquera que, dans le tableau précédent,
j'ai rangé les formules selon les e au lieu de le faire,
comme en 1857, selon les distances elles-mêmes. Pour
les angles de position un grand nombre d'expériences
avaient fourni la preuve que réellement leurs erreurs
dépendent en premier lieu de l’angle visuel. Par rap-
port aux distances le nombre des expériences ne suf-
fit pas pour nous donner au même degré la conviction
que cette loi s’y produit également. Mais au moins l’a-
nalogie parle fortement en sa faveur, et en outre elle
est supportée par le petit nombre d'expériences dont
nous pouvons disposer dans ce cas. Ainsi, la formule
donnée pour e— 7,0, a été obtenue par un système
d'étoiles, dont la distance angulaire est de 11,6.
Ayant été mesuré avec le grossissement IV cette di-
stance a du être multipliée par 0,6 pour fournir
l'angle visuel correspondant au grossissement V. On
voit du premier coup d’oeil que, de cette manière, les
coefficients des différents membres de la formule se
rangent parfaitement parmi les autres coefficients,
déterminés directement à l’aide du grossissement V,
tandis qu'il y aurait des discordances manifestes si
nous les avions rangés selon les distances angulaires
elles-mêmes. Deux cas analogues et également favo-
rables à notre procédé nous sont fournis par les for-
mules données plus haut pour e = 1,02 et pour e —
9,3. Dans le premier de ces deux cas, les mesures
ont été faites avec le grossissement VI sur un couple
de 0/85 de distance angulaire, dans le second cas
avec IV sur un couple de 15,5 de distance.
Il s’agit maintenant de comprendre les différentes
formules du tableau précédent dans une expression
générale. La forme adoptée dans la re-
Es
1+ y (2—e)?
cherche des erreurs systématiques des directions,
pour le second membre de la formule de correction,
paraît aussi dans ce cas convenir en général à toutes
les trois séries de coefficients. Au lieu de traiter
chaque série séparément par la méthode des moindres
carrés, je me suis contenté, dans ce cas, de procéder
par des approximations successives et en choisissant,
pour l'expression générale, une forme aussi simple que
possible, sans laisser de discordances qui ne pour-
raient être expliquées par la nature des données, je
me suis arrêté en définitive à la formule.
+-0"138 0,177
== Cas R°
Corr. D 0,180 (0-0 * 10070 (3-0) 08 (2P #01) (C)
Bulletin de l’Académie Impériale
s1
Cette formule appliquée aux données primitives de
l'observation », qui nous ont servi à déduire les coef-
ficients du tableau précédent, fournit la comparaison
suivante des En? et Zv°:
e En? Zv?
0,6 0,0246 0,0100
0,85 _0,0184 … 0,0104
1,0 0,0840 0,0756
1,02: 0,0351 0,0085
1,9 0,1550 0,0738
38 0,1953 0,0442
54:12 0,110, 0,0165
7.0 0,1357 0,0078
7,8 0,2273 0,0263
9,3 0,0497 0,0174
11,6 O0,0615 0,0433
15,5 . 0,0117 0,0082
38,2 0,0746 0,0753
On voit que, dans presque tous les cas, les Ze* sont
considérablement plus petits que les Zn et, par con-
séquent, nous avons le droit de dire que, par l’intro-
duction des corrections calculées sur la formule pré-
cédente, nos mesures seront en très-grande partie déli-
vrées de leurs erreurs constantes et systématiques.
Dans deux cas cependant la diminution est nulle ou à
peine sensible, nommément pour e = 1,0 et pour e —
38,2. Dans le dernier cas ce résultat s'explique facile-
ment; à cette grande distance les erreurs systématiques
sont minimes et disparaissent entièrement à côté des
erreurs accidentelles de l’observation. Mais pour e —
1,0 cette explication n’est pas admissible. On voit
dans le tableau précédent que, pour cet e, les coeffi-
cients de sin 29’ et cos 29 sont en parfaite harmonie
avec les séries correspondantes des coefficients pour
les autres e, et qu'ils sont assez considérables pour
ne pas se confondre avec les erreurs accidentelles. Il
s'ensuit que notre formule doit représenter approxi-
mativement les erreurs variables avec l’inclinaison
des objets à l'horizon. Le calcul prouve la justesse
de cette remarque, car, en faisant abstraction du
membre constant, les Zn? sont 0,0435 et les Zv°
ne s'élèvent qu’à 0,0143. C’est donc évidemment le
membre constant qui, dans ce cas, a produit la dis-
harmonie signalée. Notre formule lui assigne la pe-
tite valeur positive 0024, et les observations l’ont
donné — 0082. Il y a donc ici une erreur d’au-delà
S5
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
s6
EEE
de tout un dixième de seconde dans cette détermina- | vers l’autre disque; il est clair que, dans ce cas, nous
tion. Une si forte erreur ne peut guère être attri-
buée à une accumulation extraordinaire d'erreurs ac-
cidentelles. L'accord des différentes mesures faites
dans des directions à peu près identiques assigne à
l'erreur probable d’une mesure isolée de la distance
d’une seconde, la valeur 0,044. Par conséquent, puisque
dans ce cas chacune des 6 données, dont nous avons dé-
duit les coefficients précédents, est la moyenne de quatre
mesures isolées, leur erreur probable ne s’élève qu'à
0/022 et celle du membre constant à DRE — 0,013.
Aussi la mesure directe de la distance linéaire entre
les centres des deux disques, ne peut pas être sujette
à une erreur notable. Toute la distance n’est que de
0,511 pouces anglais et plusieurs mesures de cette
quantité, répétées dans différentes années, montrent
que cette valeur peut être supposée exacte à très-peu
d'unités près de la troisième décimale.
Il faut donc chercher autre part la cause de la dis-
harmonie. En comparant entre elles les mesures des
étoiles doubles naturelles, faites à différentes époques,
j'ai remarqué plusieurs fois que certains jours toutes les
distances ont été mesurées ou trop grandes ou trop
petites, comparativement aux moyennes des autres
observations. En d’autres mots il y a chez moi quel-
quefois une disposition de m'éloigner, pendant plu-
sieurs heures consécutives, constamment du même côté
de mon habitude moyenne d’observer et je ne crois
pas me tromper, si j’attribue en grande partie à cette
cause l’origine de l’anomalie indiquée. Un indice en
faveur de la justesse de cette opinion nous est fourni
par les observations elles-mêmes du couple en question.
Ayant été instituées le 7 août, le 18 août et le 3 sept.,
les mesures des deux premiers jours nous ont donné
avec grande harmonie le membre constant — — 0,106,
tandis que le troisième jour, à lui seul, le fait — 0,011;
il y a donc ici une différence moyenne de 0095 pour
le résultat du troisième jour, et cette différence surpasse
de beaucoup l'erreur probable de chaque détermination
isolée. En outre, par rapport aux étoiles artificielles,
la disposition signalée pourrait être quelquefois favo-
risée pas des circonstances accidentelles. Supposons
par exemple que, par suite d’une pluie ou de quelque
autre accident, l’un des deux petits disques qui forment
le système, eût été tant soit peu noirci du côté tourné
aurions été disposés à éloigner les centres des deux
figures l’un de l’autre.
Quoi qu’il en soit, il résulte assez clairement de ces
considérations, que les conditions de nos observations
n’ont pas été encore assez variées pour admettre la sup-
position que les équations du tableau précédent soient
uniquement affectées d’erreurs accidentelles. C’est
pourquoi j'ai cru être autorisé à remplacer, dans ce
cas, la méthode des moindres carrés par des approxi-
mations successives. Quant aux formules déduites en
1857 pour les corrections des directions, cette objec-
tion contre l’application de la méthode rigoureuse des
moindres carrés n'existait pas du tout ou existait à
un degré beaucoup plus faible; mais pour y parvenir
il m’a fallu consacrer à ces observations une grande
partie du beau temps de quatre étés différents.
Il nous importait particulièrement d'examiner à
quel degré notre formule (C) ferait disparaître les diffé-
rences remarquées dans les mesures des distances des
étoiles doubles naturelles. Dans ce but j’ai choisi huit
étoiles que j'ai observées assez fréquemment dans
les dernières années sous des angles horaires consi-
dérablement différents entre eux, et M. Linsser a
calculé pour elles les corrections exigées par notre
formule.
En désignant de nouveau par » les différences pri-
mitives entre les mesures isolées et leurs moyennes
arithmétiques pendant des périodes convenables, ordi-
nairement annuelles pour des systèmes binaires à grand
mouvement relatif, et par v les différences qui restent
après l'introduction des corrections déduites de la for-
mule, le calcul donne:
En° 2x?
& Bootis 0,3062 0,2922 14 obs.
Ey L« 0,1349 0,1086 18 «
Er 0,1675 0,1353 19 «
39 « 0,0230 0,0223 6 «
44 « 0,0373 . 0,0456 6 «
sCoronae 0,2356 0,1465 24 «
cs Lyrae 0,1230 0,1020 12,418
5 « 0,3041 0,0990 12 «
Somme 1,3316 0,9515
Comme on voit, la somme des carrés des diffé-
rences a diminué pour 7 étoiles entre 8. En moyenne
6*
s7
la diminution a été d'environ un tiers du montant |
primitif. J'avoue que je me suis attendu à trouver
une diminution encore plus forte; toute fois telle qu’elle
est, elle peut être considérée comme un témoignage
en faveur de la justesse approximative de la formule.
Évidemment le cas isolé d’une faible augmentation
(44 Bootis) trouve son explication dans le petit nombre
de six mesures dont les données ont été déduites;
si l’on considère que, dans ce cas, les différences pri-
mitives ne s'élèvent au maximum qu’à 0,11, tandis
que les corrections déduites de la formule varient
entre les limites + 0/22 et — 0/10, on pourrait
plutôt s'étonner que l’augmentation n’ait pas encore
été plus forte.
En outre il y a lieu de prendre en considération que
les observations de ces 8 étoiles ont été répétées plus
fréquemment dans le but principal d'examiner à quel
degré notre formule de correction (A) satisferait aux
directions observées des étoiles doubles naturelles. Les
mesures des distances y entraient, pour ainsi dire, en
seconde ligne, puisque tous les soins étaient donnés
principalement à la mesure des directions. Cette cir-
constance a sans doute contribué en grande partie à
produire, par rapport aux directions, un accord plus
parfait de notre formule (A) avec les observations de
ces 8 étoiles. En consultant seulement les mêmes
jours, pour lesquels nous avons comparé les mesures
des distances, nous trouvons pour les directions:
En? Zv?
6 Bootis 216,8 50,4
Et 165 359,0 13,2
E » 124,9 51,3
39 » 21,0 1 DB
44 » 13,0 183
sCoronae 205,4 54,5
s Lyrac 133,6 20,1
5 Lyrae 43,3 199
Somme 1116,3 288,2.
Les carrés des différences se trouvent donc ici di-
minués à leur quatrième partie. Cette expérience,
confirmée en outre par d’autres observations nom-
breuses, nous donne le droit de conclure qu’au moins
par rapport aux membres de la formule (A), qui varient
avec la direction, il n’y a aucune différence sensible
entre les observations faites à l'horizon sur des étoiles
Bulletin de l’Académie Impériale
ss
artificielles et celles des étoiles naturelles dans des
hauteurs assez considérables. Elle contient en même
temps aussi un indice favorable pour l’exactitude ap-
proximative du premier membre de la formule, puis-
que, dans ces mesures, nous avons varié exprès les
grossissements de la lunette.
Un autre effet très-favorable de l’application de nos
corrections expérimentales, se fait sentir distinctement
dans les séries des moyennes annuelles, presque pour
tous les systèmes binaires observés chez nous régu-
lièrement. Comme exemple je citerai ici les mesures
de «Coronae, faites pendant les dernières dix années:
1 Nombre Distance Direction
Époque des mes, obs. corrig. obs. corrig.
1856,57 4 2,395 2,450 1892582 179984
1857,63 3 2,407 2,493 184,20 181,56
1858,58 2 92,405 92,510 183,90 182,32
1859,94 4 9,565 9,610 189,40 186,08
186158 5 2,578 92,686 186,02 187,38
1862,76 2 92,725 9,760 192,50 . 188,62
1863,60 4 2,665 2,770. 188,37 188,21
1865:36:,:3,02:860: 12,928MA94 30 HP IE ST
1866.63 6 2,893 3,045 192,60 192,79
On voit ici au premier coup d'oeil, que toutes les
grandes irrégularités dans la liste des directions me-
surées ont disparu après l’application des corrections.
Ils y restent encore quelques irrégularités, comme par
ex. pour l’année 1863, comparée aux années voi-
sines 1862 et 1865; mais elles sont déjà affaiblies à
tel degré, qu’elles peuvent facilement s’expliquer par
des erreurs accidentelles.
Par rapport aux distances, l’effet des corrections se
présente ici également favorable. Il surpasse même
notre attente en si haut degré que dans ce cas nous
sommes disposés à l’attribuer en partie à un jeu du
hazard, en y considérant l’erreur probable dont chaque
moyenne annuelle est affectée.
En admettant donc que le résultat plus favorable,
obtenu pour les directions des étoiles artificielles, soit
produit en grande partie par un plus grand soin donné
à leurs mesures, il n’en est pas moins certain qu’en
général l’exactitude de la formule (A), basée sur des
expériences beaucoup plus nombreuses et plus variées,
surpasse considérablement celle de (C). Probablement
une continuation ultérieure de nos recherches par rap-
port aux distances, conduirait encore à quelques modi-
s9
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
90
fications de la formule (C), qui la rendraient propre à
satisfaire encore plus parfaitement aux observations cé-
lestes, mais même dans son état actuel il ne peut guère
être douteux, que l’application des corrections qu’elle
offre ne contribue efficacement à augmenter l’exactitude
des distances mesurées. Elle trouve en outre une confir-
mation très-satisfaisante dans les corrections constantes
déduites en 1857 des observations des étoiles artifi-
cielles. Ces mesures, ayant été instituées sans avoir
égard aux directions des étoiles, ne peuvent fournir
que des valeurs approximatives pour le premier membre
de la formule. Un seul coup d'oeil sur la table des
corrections, donnée dans notre note de 1857, suffira
pour montrer qu’en effet il y a une harmonie générale
avec les nouvelles évaluations. Mais pour la comparer
plus exactement avec la formule, il faut d’abord con-
vertir les anciennes distances en les e correspondants.
C’est ainsi, qu'après avoir réuni les mesures en diffé-
rents groupes selon les e approximativement égaux,
nous avons la comparaison suivante:
e ñn f
0,84 +- 0,043 + 0,020 6 obs.
1,10 + 0,045 + 0,023 7 »
Mo nshteE 0040 ut20:0 3 lie Diet
2,27 + 0,050 + 0,034 Du
3.58 mt 0;1684.102#0,056: 20 64 »
4,87 + 0,154 + 0,094 5 »
Gaule 0 we 0128m vd»
7,64 +- 0,120 + 0,140 6 »
D 00860081, Sn
11,58 + 0,053 + 0,036 4 »
où » est la correction déduite directement des obser-
vations de 1852 à 1856 et f la correction exigée par
la formule (C). Nous en déduisons 2° — 0,0877 et
Z(n—f} — 0,0210. Quelque considérable que soit
déjà ici la diminution, il est bien probable qr’elle au-
rait été encore plus forte, si nous avions pu y faire
entrer l’effet des membres variables avec la direction.
Une comparaison directe des derniers n avec le
premier membre des équations qui nous ont servi
de base pour la déduction de la formule générale, offre
encore une confirmation à la supposition, que les
valeurs négatives du membre constant, trouvées cette
année pour les e entre 1,0 et 2,0, ne sont pas exactes
en dedans des erreurs probables accusées par l’ac-
cord des mesures isolées avec leurs moyennes re-
spectives. Pour les mêmes e nous avons trouvé an-
térieurement des valeurs positives, et comme le prouve
l’accord général des deux séries, il n’y a pas lieu de
supposer, par rapport aux distances, un changement
sensible de mon équation individuelle. Nous avons
donc ici un indice de plus pour conclure que les condi-
tions des observations n’ont pas encore été assez va-
riées cette année, afin de détruire dans leur ensemble
toutes les petites erreurs de nature constante pendant
des périodes plus courtes. Je remarquerai à cette occa-
sion que, dans les mesures des distances des étoiles
artificielles, j'ai eu beaucoup de peine à tenir l’esprit
parfaitement libre de toute préoccupation causée par
la facilité de connaître à chaque moment, par une
simple soustraction mentale des deux lectures de la
division micrométrique, le résultat approché de chaque
mesure. Afin de l’affaiblir je tâchais toujours de faire
les mesures aussi vite que possible l’une après l’autre,
de sorte que l’esprit n’avait pas le temps de se rendre
compte des résultats. Par rapport aux directions, la
méthode suivie rendait une pareille préoccupation im-
possible, et je crois ne pas me tromper en attribuant
à cette circonstance les résultats plus satisfaisants de
mes recherches.
Jusqu'ici nous n'avons parlé que des distances me-
surées; il nous reste encore à parler des résultats ob-
tenus pour les distances estimées. Ici il faut faire une
distinction entre les deux méthodes différentes d’estima-
tion, dont j'ai fait usage dans les observations célestes.
Si les deux étoiles sont à peu près d’égale grandeur et
si rapprochées l’une de l’autre que, par un bon état des
images, elles ne peuvent plus être séparées distincte-
ment l’une de l’autre, j'estime quelquefois le rapport
des deux diamètres de la figure oblongue et en ajou-
tant ensuite une mesure de son plus grand diamètre,
j'en déduis par un simple calcul la distance des deux
centres. Il paraît qu’en suivant cette méthode, le ré-
sultat des estimations ne peut guère différer de celui
qu’aurait donné une mesure micrométrique propre-
ment dite à égale distance des objets. Dans cette sup-
position, je n’ai pas encore étendu mes recherches
à ce cas spécial.
Dans l’autre méthode d’estimation, suivie ordinai-
rement dans des conditions moyennes de l'atmosphère,
le mode d’opération différait essentiellement de celui
des mesures. Après avoir produit la coïncidence des
Bulletin de l’Académie Impériale
92
0
deux fils micrométriques, je note l'indication du tam-
bour au moment où, par un mouvement positif de la
vis micrométrique, le fil mobile commence à se séparer
du fil fixe. En continuant ensuite le mouvement positif
de 10,3 divisions, il se forme entre les bords inté-
rieurs des deux fils un espace libre d’une seconde de
largeur, et c’est avec cette largeur que je compare la
distance à estimer. Le même mode d’estimation a été
suivi par moi pour 16 différents couples d'étoiles
doubles artificielles de 0,2 à 1,0 de distance apparente.
Ces étoiles furent successivement observées sous diffé-
rentes directions par rapport au plan vertical, à l’aide
des mêmes grossissements VI et VII, dont je me sers
ordinairement dans les observations des étoiles doubles
naturelles les plus rapprochées. L'accord des diffé-
rentes estimations, faites sans la moindre connaissance
de la valeur réelle et par conséquent libres de toute
influence d’une préoccupation, est presque surprenant,
et il n’y a pas la moindre trace d’une variabilité avec
la direction des objets. L'erreur probable d’une seule
estimation, déduite de l’accord des valeurs estimées
avec les valeurs réelles, ne s’élève qu'à 0,040. En
revanche les erreurs constantes y sont plus considé-
rables que celles des mesures micrométriques en gé-
néral, et en plus forte proportion encore que celles
des mesures des plus petites distances. En désignant
par d la distance estimée en fractions de seconde,
l’ensemble de nos estimations donne la formule:
+ 02156 + 0/297 (4—0,5)
COIT.
avec les erreurs probables des deux coefficients 0/010
et 0,016.
Pour 1/0 de distance apparente, l’erreur constante
de l’estimation s’élève done à 0/30, mais ce n’est que
dans des cas exceptionnels, par des images extrème-
ment défavorables, que j'ai étendu les estimations
jusque dans le voisinage de cette limite. Ordinaire-
ment les distances estimées ne surpassent pas 0/5.
Si je ne me trompe, ces erreurs des estimations
s'expliquent simplement par les circonstances sui-
vantes. Il à été dit plus haut que l'unité, à laquelle
nous comparons la distance des étoiles, nous est
donnée par la distance apparente des bords inté-
rieurs des deux fils micrométriques. Mais l’oeil ha-
bitué aux mesures, dans lesquelles les étoiles sont
coupées par les fils, saisit plus facilement le milieu
des fils et sera disposé de l’introduire involontaire-
ment au lieu des bords. La comparaison se fait ainsi
avec une unité trop forte du diamètre d’un fil. Ordi-
nairement nos fils micrométriques sont très-fins et, nou-
vellement tendus, ils ne soustendent guères, dans les
grossissements les plus forts, qu’un angle de 0,20. Mais
avec le temps l’adhésion de petites particules de pous-
sière les rend plus gros, et ceux que nous avons au-
jourd’hui et qui nous ont servi depuis au-delà de 10
ans, ont actuellement une largeur d’environ 0:30. Or,
ayant employé, pour unité de comparaison, la distance
de 1/30 entre les milieux des deux fils, nos estima-
tions doivent être erronées à peu près en proportion
de 0,30 de la distance estimée. Cette supposition s’ac-
corde d’assez près avec l’expérience, comme on voit
par la comparaison suivante:
d formule 0,34
0,20 + 0,07 + 0/06
050 320, 16 Mine 0, 15
0,80 NEO 25 ME 0 24
Si cette explication est juste, il s’ensuivrait que
les erreurs de nos estimations doivent varier un peu
avec les diamètres apparents des fils et, dans ce cas, il
y aurait lieu d'introduire dans la formule un membre
dépendant du temps écoulé depuis l’époque où les fils
ont été tendus. Malheureusement nous ne possédons
pas de données assez exactes concernant les diamètres
des différents couples de fils, dont nous nous sommes
servis. Ce défaut, combiné avec la considération que
toute cette explication n’est qu’une hypothèse assez
probable, nous justifiera, j’espère, si nous nous tenons,
pour toute la période de nos observations, à la formule
fournie par les dernières expériences.
En terminant notre exposé des résultats obtenus l’été
dernier au moyen des observations des étoiles doubles
artificielles, il paraît utile, afin de ne pas obliger les
astronomes calculateurs, qui voudront s'occuper de nos
mesures, à parcourir à chaque occasion les trois notes
publiées sur ce sujet, de récapituler ici les règles à
suivre pour débarasser nos mesures de leurs erreurs
constantes et systématiques.
a) Règles pour la correction des directions,
1) A l’aide des rapports existants entre les gros-
sissements employés et le grossissement V de notre
93
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
94
lunette, convertissez les distances mesurées en les €
correspondants, en y adoptant:
À à dde
IV 00
VE M2 V
VIP TT
NII —"2,0V
Tant que les distances ne varient pas considérable-
ment, on épargnera le temps, sans sacrifier l’exacti-
tude, en calculant les e avec des valeurs moyennes
des distances pour des périodes plus prolongées.
2) Les e étant déduits, calculez à l’aide d’eux les
corrections des directions au moyen de la formule:
d'Asin (2 — 25 59)
1 +- 0,20 (3,0 —e)?
5,0
1+ 0,35e2
5,6sin(49—29 11!)
1+-0,20e?
COIT. = +
où ® signific l'angle formé, au moment de l’observa-
tion, entre la direction observée des deux étoiles et le
plan vertical, augmenté de l’effet du premier membre
constant de la formule précédente.
3) Aux corrections trouvées selon 2), ajoutez la
0,22
1+ 0,080 (—1855,0),
pour toutes les mesures faites depuis 1855. Pour les
mesures exécutées avant cette époque, il reste encore
indécis, si cette correction supplémentaire doit être
ajoutée ou non.
correction supplémentaire +-
b) Règles pour la correction des distances,
1) Toutes les distances publiées jusqu'ici diminuez
1 4
de leur me partie.
2) Aux distances mesurées ajoutez les corrections
d’après la formule:
Pa ras 0,138 u Oévzirs tre
OT 1013007,0-2 * 1+0,070(5,8 €)
cos(29 —45°0")
où © signifie l'angle compris entre la direction cor-
rigée et le plan vertical passant par les étoiles au mo-
ment de l’observation.
3) A toutes les distances estimées appliquez la cor-
rection: + 0,156 + 0,297 (d—0,50), où d est la
distance estimée en fractions de seconde.
A ces règles je dois encore ajouter la remarque
qu'une comparaison étendue des distances d’un grand
nombre d'étoiles doubles, mesurées par moi plus fré-
quemment à différentes époques, a montré que les
erreurs constantes de mes mesures des distances ont
subi un changement notable dans l’intervalle entre les
années 1841 et 1843. Cet intervalle ayant été rem-
pli par notre révision de l'hémisphère céleste boréal,
les deux périodes de mes observations se séparent assez
distinctement. Plus tard ma méthode d’observer pa-
raît être restée tout-à-fait constante par rapport aux
distances. Pour la première période 1839—1842, la
correction moyenne des distances est de très-près zéro
pour toutes les distances entre 0” et 8”. A partir de
8" la comparaison mentionnée, combinée avec les ré-
sultats de nos dernières expériences, indique pour cette
période une correction négative de — 0/15 approxi-
mativement constante pour toutes les distances jusqu’à
32”, Par rapport aux classes Herscheliennes V et VI, le
nombre des mesures comparables ne suffit pas pour
admettre des conclusions satisfaisantes. Quant aux cor-
rections variables avec la direction, il est encore in-
décis, si elles doivent être appliquées aux mesures
de la première période ou non, et je crains beaucoup
que les matériaux rassemblés dans cette courte période
ne soient pas assez nombreux pour permettre jamais de
répondre d’une manière satisfaisante à cette question.
A ce point de vue mes premières observations se trou-
vent donc de très-près dans les mêmes conditions que
celles de mon père et des autres observateurs de la
même époque.
Quelques étendues que soient déjà les recherches sur
les erreurs constantes et systématiques de mes mesures
micrométriques, on voit par ce qui précède, que même
après tant de travail je ne suis pas encore en état de
donner une réponse positive et satisfaisante à toutes
les questions que je pourrais me poser sous ce rapport.
Il y a même dans ce nombre des questions auxquelles
il paraît impossible de répondre aujourd’hui avec des
apparences de probabilité. Néanmoins j'espère avoir
rendu quelque service à la science en entreprenant ces
recherches. Non seulement mes propres mesures gag-
neront beaucoup en exactitude par l'application des cor-
rections évaluées, mais je le regarde comme un résultat
également important d’avoir indiqué le caractère des
erreurs à craindre dans ce genre d'observations. Comme
il est très-probable, que des erreurs analogues existent
plus ou moins chez tous les observateurs, il est bien à
désirer qu’elles soient soigneusement déterminées, ou
indépendamment, comme nous l’avons fait, ou relative-
95
ment par des comparaisons avec des déterminations
qu’on pourra regarder comme délivrées de ces erreurs.
Une telle comparaison serait très facilitée pour tous
les astronomes qui suivront la méthode proposée
par M. Dawes, en se servant d’un prisme placé de-
vant l’oculaire pour produire toujours une position ver-
ticale des deux objets. Dans ce cas on n’aura affaire
qu’à des corrections constantes pour chaque angle
visuel et qui varient seulement avec les e. Dans l’état
où se trouvent actuellement nos connaissances des mou-
vements relatifs dans les systèmes stellaires, tout pro-
grès semblera imaginaire, tant qu’on ne tiendra pas
compte de ces erreurs.
—_<22109——-
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Brandt, Fr. v. Über den vermeintlichen Unterschied des
Caucasischen Bison, Zubr oder sogenannten Auer-
ochsen vom Lithauischen (Bos Bison seu Bonasus).
Moskau 1866. 8.
— Nochmaliger Nachweis der Vertilgung der nordischen
oder Steller’schen Seekuh (Rhytina borealis). Moskau
1866. 8.
Dana, James D, A word on the origin of life. 8.
— On Cephalization. X 4. 8.
Sowerby, G. B. Thesaurus conchyliorum, or figures and
descriptions of recent shells. Part XXIV, XXV. Lon-
don 1866. 8.
Lettere del Cav. M. Lezzani al Direttore della Corrispon-
denza scientifica. 4.
Schultze, Max. Zur Anatomie und Physiologie der Re-
tina. Bonn 1866. 8.
Finlay, George. Thoughts about the coinage of the Achaian
league. London 1866. 8.
Winkelmann, Ed. Geschichte Kaiser Friedrichs des Zwei-
ten und seiner Reïiche, 1235—1250. Band IT, Abthl. I.
Reval 1865. 8.
The Journal of the Royal Geographical Society of London.
Vol. XXXV. London 1865.
Proceedings of the Royal Geographical Society. Vol. X,
M I— V. London 1866.
Karamzine. Lettres d’un voyageur russe en France, en
Allemagne et en Suisse (1789—1790). Trad. du Russe.
Paris 1867. 8.
spi TÂE XATUGHEUNE TOY OÙTU XAOUMÉVUY TEOÏUY TOY
YiyavTuv. Atatotôn ouyyoxpSelon pèy ÜTO ToÙ — Baot-
Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint -Pétersbourg.
96
Xéwc rnc Auvinc Poudeplxou Toù Z', merappnodeion dE
uno ‘Iuonp Aexryalkx. Ev Epuourcher 1860. 8.
Ac-Kuydhhac. l'en oratiotuen thç vnoou Onpnc. Ev Eo-
pourohet 1850. 8.
Recueil d’antiquités de la Scythie. Avec un atlas. Publié
par là commission Impériale archéologique. Livr. I.
St-Pétersbourg 1866. Fol.
L’Investigateur. Journal de l’Insitut historique de France.
XXXIII' année, Tome VI, livr. 378 — 385. Paris 1866.8.
Martius, Dr. v. Carl Albert Leopold Freiïherr von Sten-
gel. Ein bayerischer Staatsmann. München 1866. 8.
Beretning om Bodsfængslets Virksomhed i Aaret 1865.
Christiania 1866. 8.
Norges officielle Statistik. A. M 1. Beretning om almue-
skolevæsenets tilstand i K. Norges landdistrikt for
aarene 1861 — 63. Christiania 1866. 4.
Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland, heraus-
gegeben von A. Erman. Bd. 24, Heft 4. Berl. 1866. 8.
Baltische Monatsschrift. 13ter Bd. Gtes Heft u. 14ten Ban-
des 1—Gtes Heft. 1866. 8.
Cosogser®, Ceprbü. Mcropia Poccin ex per #ümuxr
gpemexs. Tous XVI. MockBa 1866. 8.
Ad Serenissimum Principem Ferdinandum Archiducem Au-
striae, Moscouitarum iuxta mare glaciale religio, à
D. Joanne Fabri ædita. (Genève.) 4.
Der Codex Zamoscianus, enthaltend Capitel 1 — XXII, 8
der Origines Livoniae. Beschrieben und in seinen Va-
rianten dargestellt von C. Schirren. Dorpat 1865. 4.
Luther an die Christen in Livland. Dem Hrn. Bischof Dr.
C. C. Ulmann zur Feier seiner funfzigjährigen Wirk-
samkeit im geistlichen Amte dargebracht von der Ge-
sellschaft für Geschichte und Alterthumskunde der
Ostseeprovinzen Russlands. 4.
Documents of U. S. Sanitary Commission. New York 1866.
2 vol. 8.
United States Sanitary Commission Bulletin (1863 — 65.)
Three volumes in one. New York 1866. 8.
Ages of U. S. Volunteer Soldiery. New York 1866.
Reports on the extent and nature of the materials avail-
able for the preparation of a medical and surgical
history of rebellion. Philädelphia 1865. 4.
Stanton, Edwin M. Report of the Secretary of war. 1865.
Washington. 8.
Auuario estadistico de la repüblica de Chile. Entrega
1— 5. Santiago de Chile. 1860 — 63. 4.
Estadistica comercial de la repüblica de Chile correspon-
diente al año de 1859. Valparaiso 1860. 4.
Censo jeneral de la repüblica de Chile levantado en Abril
de 1854. Santiago de Chile 1858. Fol. obl.
Paru le 26 juin 1867,
TE. XEE, N°2.
) CENTS
= De —— - - ————— — - ——— — Ip IN 7 )Z
VA OI Z —
[7 DEN N\)
C7 >
A A
|
"ACADEMIE 11 | - PETERSBOURG.
DE L'ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PE RG.
TOME XIL. |
(Feuilles 7 — 10.) |
|
|
CONTENU.
| Page. |
| À, Famintzin, Action de la lumière sur la Spirogyra. ............................ 97 — 108 |
| V. Fuss, Observations de la Comète Faye-Môüller, faites au moyen du refracteur de |
| Ronlkovorpendant les années 1865 et 1866. M MAO EEE 108 — 113
| À. Famintzin et J. Borodin, De la formation transitoire de l’amidon dans le bouleau... 113— 119
| J. F, Weisse, Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux Planches.)........ 120 — 125
| W. Dôllen, Propositions pour le perfectionnement des instruments à miroir... ....... 125 — 143
À, Moritz, L’éclipse solaire du 6 mars 1867. (Avec une PIAnChe ER Ar 143 — 152
J, Fritzsche, Sur l’anthracène de M. Berthelot................................ 152 — 154
HAE UHIDIDNOGTANIAUE A RUN D Le ARTS vin CR eue MES C0 154 — 160
= DE — ——
|
|
|
|
On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de
Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurerr Ipassenia Huneparopckoï Akaremi Hayk®) et chez
M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. |
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie, |
3 thalers de Prusse pour l'étranger. J
1e è : D) 50
Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. S D)
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) ! Se)
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BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Die Wirkung des Lichts auf Spirogyra, von Dr.
A. Famintzin, Docenten an der Universität | seht nur unter dem vollen Lam-
zu St. Petersburg. (Lu le 23 mai 1867.)
(Mit einer Tafel.)
In dem Aufsatze: «Über die Wirkung des Lampen-
lichts auf Spirogyra orthospira Naeg. (Mélanges biolo-
giques 1865) habe ich auf die Analogie hingewiesen,
welche diese Alge in der Bildung und Auflüsung der
Stärke unter dem Einflusse des Lichtes mit den Pha-
nerogamen darbietet. Umständlicher ist diese Analogie
von mir in meiner Dissertation‘) nachgewiesen wor-
den. Ich habe sie auf S. 53 ff. in folgender Weise for-!
mulirt:
Sgirogyra orthospira Naeg.
1) Stärkekôrner bilden sich
unter Lichtwirkung ausschliess-
lich in den Chlorophyllbändern.
2) Die in dem Chlorophyll
der Zellen erzeugte Stärke ver-
schwindet, wenn man die Zel-
len ins Dunkle versetzt.
3) Wenn man Spirogyra-
Zellen, die im Dunkeln ihren
ganzen Stärkevorrath einge-
büsst haben, wieder ans Licht
bringt, so erzeugt sich in den
Chlorophyllbändern Stärke bin-
nen kurzer Zeit aufs Neue.
4) Die Bildung der Stärke
wird durch das Licht in sebr
kurzer Zeit eingeleitet. Es ge-
nügte, die Spirogyra-Fäden eine
halbe Stunde lang zu beleuch-
ten, um in den Zellen Stärke
zu erzeugen. Binnen 24 Stun-
den waren die Chlorophyllbän-
der mit Stärke ganz gefüllt.
1) A. Pamuausuae. ]lbücrBie cBbTa Ha BOJOpOCan apyrie |
Phanerogamen.
1) «Die Chlorophyllkôrner |
sind der einzige undausschliess-
liche Ort, wo Stürke aus unor-
ganischem Material erzeugt
wird.» (Sachs, Bot. Zeit. 1862,
Xe 44, p. 372.)
2) «Die im Chlorophyll am |
Licht vorhandene Stärke ver-
schwindet aus jenem binnen
kurzer Zeit (2 bis 3 Tagen bei
hoher Sonnentemperatur),wenn
die grünen Blätter dem Licht
entzogen werden.» (Sachs,
Phys., p. 322.)
3) «Dieselben Chlorophyll- |
kôrner, welche ihre Stärke im
Finstern verloren haben, sind
im Stande, binnen einigen Ta-
gen unter dem Einfluss des
Lichts nochmals Stärkekürner
zu erzeugen.» (Sachs, Phys.
p. 322.
4) Beobachtungen über das
Minimum der Zeit, in welcher
unter Lichtwirkung Stärkebil-
dung eintritt, fehlen noch gänz-
lich.
Gxuskie KE HMMB OPrAHU3MEI. 1866 r,
Tome XII.
5) Die Erzeugung der Stärke
penlichte und dem gelben vor
_ sich; unter dem blauen wird da-
| gesen nicht nur keine Stärke
| gebildet, sondern die schon vor-
bandene wird wie im Dunkeln
| aufgelüst.
|
6) Die Theïlung der Zellen
wird nicht unmittelbar durch
das Licht,sondern nur als Folge
der Stärkebildung hervorgeru-
fen. In den mit Stürke erfüll-
ten Zellen geht die Theïilung
auch bei vôlligem Lichtmangel
| vor sich.
7) Im blauen Lichte bleiben
{die Chlorophyllkôrner auch
nach neuntägigem Verweilen
unverändert, obgleich sie keine
Spur Stärke mehr enthalten.
Im Dunkeln dagegen contrahi-
| ren sie sich sehr stark, bis auf
|1/, oder sogar !/, der Länge
der Zelle. Sie werden dabei
dünner, erhalten einen glat-
| ten, wellenfürmigen Rand und
werden perlschnurartig einge-
schnürt.
| 8) In Spirogyra-Fäden, wel-
| che während 4 Wochen lebens-
| kräftig unter dem vollen Lam-
penlichte sich erhielten, wurde
2) Sachs. Phys. p. 335.
nat. 1857. Chap. 4.
5) Es giebt keine direkten
Beobachtungen über das Ver-
balten der Stärke im blauen
und gelben Lichte, nicht nur
des Lampenlichts, sondern auch
des Tageslichts. Eine vollstän-
dige Analogie ist aber auch in
dieser Hinsicht äusserst wahr-
scheinlich, da für die Ausschei-
dung des Sauerstofis, welche die
Stärkebildung immer begleitet,
es bewiesen ist, dass sie, wenn
nicht ausschliesslich, doch vor-
zugsweise durch die weniger
brechbareren Strahlen des Spec-
trums hervorgerufen wird.
6) «Gewiss ist wenigstens,
dass der unmittelbare Einfluss
des Lichtes für die allermeisten
auf Zellenneubildung beruhen-
den Vorgänge nicht nur ent-
behrlich ist, sondern dass auch
die überwiegende Mebrzabl
derselben beständig in tiefer
Dunkelheit vor sich geht; die
Versuche zeigen ferner, dass
manche Neubildungen durch
die Abwesenheit oder Vermin-
derung des Lichtes entschieden
begünstigt werden.» (Sachs,
Phys. p. 30.)
7) An den Phanerogamen
sind keine Becbachtungen in
dieser Hinsicht angestellt. Die
von Sachs ?) und Gris) ge-
machten Beobachtungen, dass
die Stärke enthaltenden Chlo-
rophyllkôrner im Dunkeln ihr
Volumen verkleinern, gehôren
nicht hierher, da die von mir
beobachteten Chlorophyllbän-
der schon am Anfange des Ver-
suchs keine Stärke enthielten.
8) «Bei gewissen Entwicke-
lungszuständen der Zellen und
unter dem Einflusse solcher
Bedingungen, welche die assi-
3) Gris. Recherches microsc. sur la Chlorophylle. Ann. des sc.
7
99
Bulletin de l'Académie Hmpériale
100
————————————
die in ihnen gebildete Stärke
wieder allmäblich aufgelôst und
zur Bildung der Querscheide-
wände verwendet; die Stärke
wurde allmählich durch Ol-
tropfen ersetzt. Allmäblich
nahm auch das Chlorophyll
in den Zellen ab und wurde
endlich in allen Zellen durch
ein goldgelbes Pigment ver-
treten.
milirende Thätigkeit des Chlo-
rophylls unmüglich machen, er-
fährt dasselbe mehr oder min-
der tiefgreifende Veränderun-
gen, welche nicht nur die Form,
sondern auch die Substanz
selbst betreffen und nicht sel-
ten zum vülligen Verschwinden
der letzteren, d. b. zu ibrer
Auflüsung und Fortführung in
andere Gewebe und Organe füh-
ren.» (Sachs, Phys. p. 323.)
«Dabei ist es eine gewühnliche
Erscheinung, dass der grüne
Farbstoff in einen gelben oder
einen orangenrothen übergeht.»
(Sachs, Phys. p. 330.)
Diese zwischen Spirogyra und den Phanerogamen
durchgeführte Parallele ist aber in einer Hinsicht un-
vollständig geblieben : es fehlten genaue Untersuchun-
gen darüber, ob eine mit Stärke vollgefüllte, ins Dunkel
versetzte Spirogyra sich auf Kosten dieses Baustoffes
vergrüssere und in die Länge wachse. Von Phanero-
gamen-Pflanzen ist es bekannt, dass, wenn sie, mit
plastischen Stoffen versehen, ins Dunkel zu stehen kom-
men, die letzteren zu ihrem weiteren Wachsen verbrau-
chen. Erst nach dem gänzlichen Aufzehren dersel-
ben tritt ein Stillstand in der Weiterentwickelung der
Pflanze ein.
Bei der Spirogyra habe ich jetzt gauz das Nämliche
gefunden. Einige Spirogyra-Stücke liess ich unter dem
Lampenlicht sich mit Stärke vollfüllen: ich mass und
zählte dann an ïhnen alle Zellen und brachte sie darauf
ins Dunkel. Ofter an ihnen vorgenommene Messungen
ergaben, wie aus der beigefügten Tabelle zu ersehen,
dass die Zellen 2 bis 3 Mal länger geworden waren,
wobei sie meistens 1 oder hüchstens 2 Theilungen
eingingen. In dem Maasse als die Zellen sich ver-
längerten, verminderte sich in ihnen der Gehalt an
Stärke, und als letztere aus der Zelle bis auf die
letzte Spur verschwunden war, hôrte auch das Wach-
sen der Fäden auf. Die Chlorophyllbänder behiel-
ten in dieser Zeit die der Spirogyra orthospira eigene
Form und Lage. Nach dem Verschwinden der Stärke
aber begannen sie, wie in den früheren Versuchen, sich
zu contrahiren. Da sie aber hier durch das Wachsen
der Zelle auf einen 3 bis 4 Mal grüsseren Raum ausein-
andergezogen wurden, so zerrissen sie in mehrere
Stücke und schrumpften in den meisten Zellen zu ganz
unansebnlichen Klumpen zusammen. (Fig. 1 und 2.)
Tabelle
des Zuwachses und der Theilung der Zellen eines Spirogyra-
Fadens, welcher, mit Stärke gefüllt, am 24. Januar ins Dun-
kel gebracht wurde.
|
21. Jan. | 23. Jan. | 25. Jan. | 27. Jan. | 30. Jan. | 6. Febr.
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101 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10?
21. Jan. | 23. Jan. | 25. Jan. | 27. Jan. | 30. Jan. | 6. Febr. | Endzellen, welche mir in meiner früheren Arbeit als
TANT UNS w} A1} ; Kennzeichen der Enden dienten, meistens bald abfelen.
8 15 18 21 21 : : à
0j: É 14 19 99 99 Aus der Tabelle künnen mehrere Schlüsse gezogen
fs 12 18 91 91 werden, die sich auf folgende Weise bequem aus-
12 8 12 19 21 21 drücken lassen:
g où on DAMES NT 122 LIT 24 de Von NE nl
Ê 8 14 20 22 22 ZahlkdemZellent eaux. 42e 39.464
12 [9 18 20 22 22 Länge des Fadens in Ocularmi-
É £ . co a 2 krometertheiïlen : . . . ....: 359 . . . 1214
/ : 9 4 29 9 = 3 T: :
6 8 13 00 03 93 Absolute Länge des Fadens . .. 4,0 Mill. 13,0 Mill.
18 fs 13 20 23 23 Ganz entsprechende Resultate ergaben auch die
15 14 20 23 23 3 folgenden Versuche:
6 8 13 18 99 29 )
6 8 14 19 29 29 Versuch X 2.
12 [9 14 18 21 21 ZahldenZellen se Mer. ICONE 41
\8 15 15 20 20 Länge des Fadens in Ocularmi-
6 8 Be 17 Fe a krometertheilen . ........ 508... 1285
È “ . : ie Absolute Länge des Fadens ... 5,4 Mill 13,7 Mill.
T 9 14 20 21 21 Versuch X 3.
: # 2 d à " Zabl der Zellenvisratoe ste 28», 46
Länge des Fadens in Ocularmi-
389 | 11214 krometertheilen . ........ 276... 653
l x Absolute Länge des Fadens ... 3,0Mill. 6,6 Mill.
NB. Am 6. Februar waren schon fast sämmtliche
Zellen abgestorben. Versuch X 4.
NB’. In der ersten Colonne ist die Länge der Zellen | Zah] der Zellen........... J'ojI 24 4240
in Ocularmikrometertheilungen angegeben, als sie ins | Länge des Fadens in Ocularmi-
Dunkel gebracht wurden. In der einer jeden Zelle ent- krometertheilen ......... 209. 530
sprechenden horizontalen Reïhe ist der während des
Versuchs stattgefundene Zuwachs und die etwa ein-
getretene Theilung der Zelle bezeichnet. Zwischen den
Zahlen angebrachte horizontale Linien zeigen die am
meisten verdickten Querwände an, welche den Enden
älterer Zellen entsprechen. Ihre zufällige und dabei
aber unveränderliche Lage in dem abgeschnittenen
Fadenstücke habe ich mit grossem Vortheile benutzt.
um bei Längenmessung der Zellen mich zu orientiren.
Ich bemerkte nämlich die Zellenzahl, welche von einem
jeden Ende des Fadens bis zur nächsten verdickten
Querwand sich vorfand und konnte also die beiden
Fadenenden unterscheiden und die Messungen immer
_inderselben Richtung führen, damitdiejedesmal heraus- |
gefundenen Zahlen denselben Zellen entsprächen. Die-
ses Merkmal war mir desto erwünschter, da bei dem
bedeutenden Wachsen der Fäden die angeschnittenen |
Absolute Länge des Fadens ... 2,2 Mill. 5,7 Mill.
Ich stellte in diesem Winter noch eine ganze Reïhe
Versuche an, um ein müglichst normales Wachsen der
Spirogyra unter dem Lampenlichte zu erzeugen. In die-
sem Winter habe ich sehr kräftige Spirogyren zu Versu-
chen gehabt, da ich sie in einen speciell für diesen
Zweck eingerichteten Aquarium vom Herbst an kulti-
virte. Sie gediehen darin den ganzen Winter vortrefi-
lich und bedecken jetzt in einer dicken schaumigen
Schicht die ganze Oberfläche des Wassers.
Schon dadurch brachte ich eine viel kräftigere Ent-
wickelung unter dem Lampenlichte hervor, dass ich
die Fäden aus dem Aquarium sogleich unter das
Lampenlicht versetzte, ohne sie, wie in den früheren
Versuchen, bis zum vülligen Verschwinden der Stärke-
kürner vorläufig im Dunkel aufzubewahren.
7*
103
Alleineine vollkommennormale Entwiekelung erhielt
ich doch erst, als ich dem Wasser, in welchem Spiro-
gyra kultivirt wurde, Erde hinzusetzte, und statt der
Untertassen tiefe Teller gebrauchte, die, um die Verdun-
stung des Wassers müglichst zu verhindern, mit Glas-
platten überdeckt wurden.
Unter diesen Umständen zeigten die Spirogyra-Fä-
den einen äusserst starken Wuchs, eine ausserordent-
lich rasche Theïlung und selbst, als das wichtigste Zei-
chen ihrer normalen Entwickelung — die Copulation.
Obgleich alle diese Versuche bei fortwährender Be-
leuchtung vorgenommen wurden und, wie zu ersehen
ist, dabei eine normale Entwickelung der Spirogyra zu
Stande gebracht wurde, so wäre es dennoch übereilt,
daraus schliessen zu wollen, dass ein Spirogyra-Faden,
beständig beleuchtet, sich normal entwickeln würde.
Diesen Versuchen setzte ich immer nur wenige kurze
Spirogyra-Fäden aus. Da sie aber äusserst rasch wuch-
sen, so bildeten sie schon nach wenigen Tagen einen
ziemlich grossen Klumpen dicht verfiochtener Fäden.
Bald konnte man auch schon zwischen ihnen kleine
Sauerstoftbläschen wahrnehmen, welche allmäblich zu
grossen Blasen zusammenflossen und einen voluminü-
sen Schaumüberzug bildeten. Dadurch wurde selbstver-
ständlich die Vertheilung des Lichts unter dem Schau-
me sehr unregelmässig. Wenn man abernochin Betracht
zieht, dass, je nach der mehr oder weniger tiefen Lage
im Klumpen, die Fädeneinanderin verschiedenem Grade
beschatten, so ist leicht einzusehen, dass es meistens
unmôglich war, zu bestimmen, in welchem Grade ein
aus dem hellsten Raume des Tellers herausgehobener
Faden dem Lichte ausgesetzt gewesen war. Nur bei
den die Oberfläche des Schaumes bedeckenden Fäden
war ich sicher, dass sie wirklich stark beleuchtet wor-
den waren.
Noch ungewisser wird die Bestimmung des Licht-
quantums, welchesein Spirogyra-Faden erhält, dadurcb, |
dass, wie ich es sogleich zeigen werde, den Spirogyren
das Vermügen zukommt, sich unter Lichteinfluss zu
bewegen. Ein in dieser Richtung angestellter Versuch
zeigte es mir auf eine schlagende Weise. In die Mitte
eines mit Wasser gefüllten flachen Tellers brachte ich
einen Klumpen Spirogyra-Stüke; der Teller wurde in
einiger Entfernung vom Fenster aufgestellt und an
Bulletin de l’Académie Impériale
dem vom Fenster abgewendetem Theiïle bis über drei
Viertel seiner Oberflächemit einem Bretchenüberdeckt. |
164
Die meisten Spirogyra-Füden waren nach Verlauf eini-
ger Tage in den beleuchteten Theil des Tellers hinüber-
gewaudert. An einigen der ins Licht gelangten Fäden
beobachtete ich noch eine andere ganz eigenthümliche
Bewegung: meist verschiedenartig verbogen, änderten
sie fortwährend ihre Krümmung und Lage, und zwar
so rasch, dass die Bewegungen des Fadens mit blossem
Auge beobachtet werden konnten. Dazwischen traten
ab und zu Ruhepausen ein, die aber immer nur eine
oder wenige Minuten dauerten. (S. Fig.)
Aus diesen Thatsachen ist leicht zu ersehen, dass
die hier angeführten Versuche nur die Môglichkeit einer
normalen Erziehung der Spirogyra unter dem Lampen-
lichte ausser Zweifel setzen, dass es aber zur Entschei-
dungder Frage:welche Wirkungdiebeständige Beleuch-
tung auf die Entwickelung der Spirogyra ausübt, ganz
anderer Versuche bedarf.
Es wurden zwar von mir auch in diesem Winter ei-
nige Versuche in dieser Richtung gemacht, allein, da
sie nur wenige an Zah] sind und nicht lange genug fort-
gesetzt wurden, so geben sie nur eine noch unvoll-
ständige Auskunft über die Frage. In den ersten Tagen
geht die Entwickelung der Spirogyra bei ununterbro-
chener Beleuchtung energischer vor sich, als beim
Abwechseln vonLichtund Dunkelheit. Spirogyra wächst
in dieser Zeit im starken Licht bedeutend schneller
in die Länge; dabei ist auch die Theilung der Zellen
in dem Grade energisch, als ungeachtet des kräftigen
Wuchses des Fadens die Länge der Zellen gewühnlich
nicht mehr als die Hälfte der Breite des Fadens über-
trifft. (S. Fig. 3.)
Umständlicher habe ich die Wirkung des starken
und gemässigten Lampenlichtes, bei fortwährender Be-
leuchtung, auf Spirogyra geprüft. In den ersten Tagen
des Versuchs war das Längenwachsen und die Thei-
lung in gemässigtem Lichte geringer als im concen-
trirten. Die Zellen blieben ebenso lang als breit, oder
erreichten sogar eine doppelte Länge. Mit der Zeit
trat noch ein Unterschied hervor: im concentrirten
Lichte wurden die Fäden ganz blass, im gemässigten
dagegen dunkelgrün.
Eine Untersuchung mittelst des Mikroskops ergab
mir, dass in den blass gewordenen Fäden das Chloro-
phyll aus den Zellen fast verschwunden war, obgleich
die Zellen dabeiï, dem Ansehen nach, ganz gesund ver-
blieben. Dieses brachte mich auf den Gedanken, dass
105
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
106
—
das Chlorophyll in diesen Zellen durch das Licht zer- |
stürt sein künnte, was sich denn später auch als vollkom-
men richtig erwies. Gebleichte, aber noch ganz gesunde
Fäden brachte ich ins Dunkel. Die Chlorophylbänder
waren in ibnen nicht mehr zu beobachten. Das grünliche
Aussehen der Fäden war pur durch die grünlich gefärb-
ten Stärkekürner bedingt, indem das nachgebliebene
Chlorophyll nur um die grüsseren Stärkekürner in dün-
ner Schicht erhalten blieb. Im Dunkel wurden nach ei-
nigen Tagen die Stärkekürner gelüsst, die Chlorophyll-
bänder aber ihrer ganzen Länge nach wieder erzeugt.
In diesem Fall war es mir aber unmôglich zu bestim-
men, ob die Wiederherstellung der Chlorophyllbänder
durch das Zusammenziehen des Chlorophylls auf ein
um vieles kleineres Volumen in Folge der Auflüsung
der im Chlorophyll eingeschlossenen Stärke, oder viel-
leicht auch durch Neubildung verursacht wurde.
Dagegen kann ich mit grüsster Gewissheit angeben,
dass, bei geschwächtem Lichte, das Chlorophyll in gros-
ser Menge erzeugt wird. Ich habe sowohl die unter
dem Lampenlichte verblichenen, als auch die im Aqua-
rium mit Stärkekôrnern bis zum gänzlichen Verschwin-
den der Chlorophyllbänder gefüllten Spirogyra-Zellen
dem gemässigten Lichte ausgesetzt und immer ganz
übereinstimmende Resultate erhalten. Die Stärkekür-
ner wurden auf ein Minimum reducirt; die Chlorophyll-
bänder dagegen bildeten sich so stark aus, dass sie s0-
gar die den typischen Zellen der Spirogyra orthospira
eigene Länge und Breite um ein Bedeutendes überstie-
gen, und in Folge dessen ihre gerade Richtung in eine
schräge und allmählich in eine spiralige umwandelten.
Die Anfangs sehr weit auseinander gezogenen Windun-
gen der Chlorophylibänder wurden dabei steiler, rück-
ten immer näher an einander und stellten sich endlich
fast rechtwinklig zur Zellenaxe. In solchen Zellen er-
schienen also die Seitenwände in ihrer ganzen Ausdeh-
nung mit einer Schicht des Chlorophylls ausgekleidet,
da die breiten Chlorophyllbänder so nahe an einander
zu liegen kommen, dass sie sich mit ihren Rändern
fast berühren. In concentrirtes Lampenlicht gebracht
füllten sich diese Fäden von Neuem in der Zeit von
24 bis 48 Stunden mit Stärke.
Diese Beobachtungen gewähren noch in einer ganz
anderen Hinsicht grosses Interesse. Sie beweisen auf
eine ganz unzweifelhafte Weise, dass der auf die Lage
der Chlorophyllbänder gegründete Species-Unterschied
der Spirogyra orthospira Naeg. nicht stichhaltig sei,
da ja die geradlinige Lage der Chlorophylbänder in
derselben Zelle durch äussere Umstände in die spira-
lige übergeführt werden kann, weshalb denn auch die
Spirogyra orthospira N aeg. nicht mebr als selbständige
Art, sondern als eine Form, unter welche 5 Spirogyra-
Species von Kützing untergebracht werden künnen:
Sp. orthospira Naeg., Sp. majuscula K g., Sp. subaequa
K£g., Sp. luberica Kg. und Sp. brevis Kg.
Dieses Verhältniss stellt sich ganz klar heraus,
wenn man die der Eintheilung der Spirogyra von
Kützing zu Grunde gelegten Principien berücksich-
tigt. Er stellt zwei Hauptgruppen nach der Ab- oder
Anwesenheit der Falten an den Querwänden auf.
Jede dieser Gruppen wird in zwei Unterabtheilungen:
a) mit einem Chlorophyllband und b) mit mehreren
Chlorophyllbändern gesondert. Endlich werden die
Species durch 1) die Breite der Fäden, 2) das Ver-
hältniss der Breite der Zellen zu ihrer Länge, 3) die
Zahl der Chlorophyllbänder genauer charakterisirt.
Diese Merkmale aber haben einen sebr verschiede-
nen wissenschaftlichen Werth.
Über die Gültigkeit der von der Ab- oder Anwe-
senheit der Querfalten entnommenen Merkmale kann
ich kein Urtheil fällen. Auch ist es mir bis jetzt un-
bekannt geblieben, wie weit die Breite des Fadens
variiren kann. Dass es aber in Wirklichkeit vorkommt,
wird wohl kaum zu bezweifeln sein. Die Zahl der
Chlorophyllbänder ist auch nicht immer constant. So
führt schon Kützing Sp. flavicans Kg. an, deren Zel-
len 1 oder 2 Chlorophyllbänder enthalten; Sp. subae-
qua Kg. ist nach ihm mit 2 bis 3 Chlorophyllbändern
versehen. Seinen Abbildungen dieser Species auf Taf.
26, If, « und b in Tabulae phycologicae nach, kann bei
dieser Species die Zahl der Chlorophyllbänder sogar
vor 2 bis auf 5 variiren. Bei Sp. Heeriena hat er 7
bis 8 Chlorophyllbänder beobachtet.
Über Alles ist aber die Länge der Zellen Verände-
rungen unterworfen, indem sie, meinen Untersuchun-
gen zufolge, von der Beleuchtung im hôüchsten Grade
beeinflusst wird. Deshalb kann ich auch keinen we-
sentlichen Unterschied zwischen den 5 obengenann-
ten Spirogyra-Arten auffinden, welche alle zu den, der
Querfalten entbehrenden, und mit mehreren Chloro-
phyllbändern versehenen Spirogyren gehüren, und
dabei nach Kützing’s Tabulae phycologicae und Sp.
107
Bulletin de l’Académie Empériale
108
Algarum eine beinahe gleiche Zahl der Chlorophyll-
bänder und fast dieselbe Breite besitzen. Sp. ortho-
spira und Sp. majuscula (T. 26, I) stellen den Zustand
meiner Spirogyra dar, wenn die Chlorophyllbänder bei
Lichtmangel sich verkürzen; Sp. subaequa (T. 26, IF)
und Sp. lubrica dieselbe mit stärker entwickelten und
spiralig verlaufenden Chlorophyllbändern; Sp. brevis
(T. 29, 1) — dieselbe bei starker Beleuchtung in aus-
serordentlich rascher Theilung begriffen. — Von den
5 Species-Namen will ich meiner Spirogyra den der
Sp. lubrica beilegen.
Ganz analoge Versuche in Hinsicht auf Erzeugung
und Wiederauflüsung der Stärke unter dem Einflusse
des Lichts sowohl, als auch über das Verhalten im
Dunkeln, habe ich an der mit 3 bis 4 Chlorophyli-
bändern versehenen Spirogyra , unter welche die
Kützing’schen Arten der Sp. nitida und jugalis un-
tergebracht werden künnen, angestelit und vüllig ana-
loge Erscheinungen beobachtet.
Eine kleine 1 bis 2 Chlorophyllbänder enthaltende
Spirogyra schien mir in dieser Hinsicht sich den beiden
eben erwähnten Arten ganz gleich zu verhalten.
Die Resultate der vorliegenden Untersuchungen kün-
nen also folgender Weïse zusammengefasst werden:
1) Die mitStärke gefüllten Spérogyra-Zellen wachsen,
ins Dunkel gebracht, in die Länge, aber nur auf
Kosten der in ihnen aufgespeicherten Nabrung.
Mit dem Verschwinden der Stärke hôrt auch ihre
weitere Entwickelung auf. Auch in dieser Hinsicht
verhält sich also Spirogyra den Phanerogamen
analog.
2) Unter dem Lampenlicht ist es müglich, eine nor-
male Entwickelung der Spirogyra hervorzurufen.
Bei fortwährender starker Beleuchtung werden die
Chlorophyllbänder zerstürt, bei gemässigtem Licht
wiederhergestellt.
Die Spirogyra orthospira N aeg. ist nicht mehr als
eine selbstständige Art, sondern als eine Form auf-
zufassen, unter welche folgende 5 von Kützing
aufgestellte Arten untergebracht werden künnen:
Sp. orthospira Naeg., Sp. majuscula Kg., Sp. sub-
aequa Kg., Sp. lubrica Kg. und Sp. brevis Kg.
(y
7
Die hier bei meiner Spirogyra beobachteten Er-
scheinungen finden sowohl an den mit 3 bis 4 Chlo-
rophyllfäden, als auch an den mit 1 bis 2 Chlo-
rophyllbändern versehenen Spirogyra - Formen
statt.
Erklärung der Abbildungen,
Fig. 1 u. 2. Unter dem Lampenlichte mit Stärke
vollgefüllte und dann ins Dunkel versetzte Zellen der
Spirogyra lubrica mihi, deren Chlorophyllbänder bis
auf unansehnliche Klumpen zusammengeschrumpft
sind.
Fig. 3. Eine Zelle derselben Spirogyra, weniger
stark vergrüssert, in energischer Theilung, unter dem
Lampenlichte begrifien.
Fig. 4 u. 5. Zellen der mit 3 bis 4 Chlorophyll-
bändern versehenen Spirogyra. Ihre Zellen sind so
gross, dass ich sie um das Dreifache kleiner gezeich-
net habe, als die der Sp. lubrica mihi in Fig. 1. u. 2.
Fig. 4. Eine Zelle aus dem Aquarium entnommen.
Fig. 5. Eine Zelle mit Stärkemeh]l unter dem Lam-
penlichte vollgefüllt und ins Dunkel versetzt, bei der
die Chlorophyllbänder, obwohl ibrer ganzen Länge
nach erhalten, aber nur in losen Windungen vorlie-
gen, und um vieles dünner geworden sind.
V. Fuss. Beobachtungen des Faye-Môllerschen
Cometen am Pulkowaer Refractor während
seiner Erscheinung 1865 und 1866. (Lu le 6 juin
1867.)
Die Beobachtungsreihe des Cometen in Pulkowa
beginnt erst mit dem 27. September 1865, und es ist,
mit sehr wenigen Ausnahmen, jede Gelegenheit ihn
zu beobachten, benutzt worden, bis er, in der zweiten
Hälfte des März, in der Däimmerung verschwand. Der
Umstand, dass die Beobachtungen dieses Cometen von
andern Sternwarten schon im Januar geschlossen wor-
den zu sein scheinen, d. h. zu einer Zeit, wo er hier
noch ganz leidlich gesehen wurde, dürfte ein neuer
Beweis für die Vorzüglichkeit des hiesigen Refractor’s
sein, besonders da die Beobachtungen hier gegen Ende
bei nur geringer Hüôhe des Gestirns und bei beginnen-
der Dämmerung gemacht werden mussten. Der bis
zum Februar noch ganz gut hervortretende Kern hatte
später einer nur geringen Verdichtung des Nebels Platz
gemacht; die Nebelhülle selbst schien, mit der Annä-
herung des Cometen zur Sonne, an Dimension ab-,
aber an Intensität des Lichtes etwas zugenommen zu
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109
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
110
haben. Die schon erwähnten, die Beobachtung wäh-
rend der letzten Zeit erschwerenden, Umstände ver-
einigten sich in dieser Hinsicht noch mit andern: es
konnten nur in seltenen Fällen, auch wenn die Nähe
des Vergleichsterns es erlaubt hätte, Positionswinkel
und Distanzen gemessen werden, da das treibende
Uhrwerk des Refractors einer gründlichen Reinigung
bedürftig war und schon bei geringer Kälte stehen
blieb; ausserdem wurden die Beobachtungen, wie man
aus den weiter unten folgenden Bemerkungen sieht,
häufig durch Wolken unterbrochen, oder doch wenig-
stens der Comet durch dieselben sehr geschwächt.
Die Bestimmung der Positionen der Vergleichsterne
ist im Laufe des verflossenen Winters von Hrn. Gro-
madzki am hiesigen Meridiankreise ausgeführt wor-
den; die ausserordentliche Ungunst des Wetters, s0 |
wie auch die geringe Helligkeit der meisten Vergleich-
sterne zog die Bestimmung sehr in die Länge; es
mussten ausserdem mehrere Sterne, welche sich am
Meridiankreise nicht beobachten liessen, von mir mi-
krometrisch mit helleren verbunden werden, was
gleichfalls, wegen der seltenen günstigen Abende und
der Sternarmuth der Gegend, sebr lange dauerte. Lei-
der sind drei Vergleichsterne durch Verwechselung,
von mir nicht mit den, von Hrn. Gromadzki bestimm-
ten benachbarten Sternen verbunden worden und, in
Folge dessen unbestimmt geblieben; dieses sind die
Sterne, mit denen der Comet an den Tagen: Jan. 14,
Febr. 2 und Febr. 14 verbunden wurde. Übrigens ist
die Declination des letzteren von ihnen ein Mal im
Meridiane bestimmt worden. Da es erst nach mehre-
ren Monaten müglich sein wird, das Verseben zu cor-
rigiren und, im Übrigen, die vorläufig unbenutzbaren
Beobachtungen des Cometen nicht von besonderer
Bedeutung sind, indem die Beobachtung von Jan. 14
nur eine mangelhafte ist und im Februar, ausser je-
pen beiden noch: einige leidliche existiren, so zog ich
es vor, die Verüftentlichung der Resultate der Beob-
achtungen nicht weiter hinauszuschieben, bis die Jah-
reszeit es erlauben wird, die Vergleichsterne zu be-
obachten, sondern die Positionen des Cometen für die
genannten drei Tage nachzuliefern, sobald die Môg-
lichkeit da sein wird.
Ich gehe jetzt zur Mittheilung der Beobachtungen
über, indem ich mit den, wo es nüthig war, wegen
Refraction corrigirten Relationen zwischen Comet und
Stern beginne. Wo Positionswinkel und Distanzen ge-
| messen wurden, gebe ich auch noch die aus denselben
abgeleiteten Differenzen in Æ und Decl. Zur Beur-
theilung des Werthes der Beobachtung führe ich die
wabrscheinlichen Fehler der Unterschiede, wie sie aus
der Übereinstimmung der einzelnen Einstellungen fol-
gen, an, so wie auch weiter unten einige, während der
Beobachtung niedergeschriebene Bemerkungen. Die
mit Str. bezeichneten Messungen rühren von Hrn.
Dir. Struve, die übrigen alle von mir her.
————_———
|
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Febr. 2 | 430 28 |......|.... RTE BAIE 0M3189|NT9 0,054) — 3 49,5 | 12 | 0,73) 9
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Febr. 13 | 5 9 22 | 25,27 | 19 | 57,78| 10 |+0 1,65,....| 0,039! +0 52,2 |... 0,80! 11
Febr. 14 | 5 20 22 |...... LEA PE OR +1 2353| 8 0,045| —2 35,5 | 8 | 1,00) 12
Febr. 17 | 5 49 0 1345,44| 7 |294,09| 7 |—O 4,95)....| 0,056] +4 44,6 |....| 0,67, 15
Febr. 18 | 5 46 17 |...... DRRUEE LAS +0 32,71) 14 0,035 | +1 57,1 | 6 | 1,56|, 14
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Bemerkungen zu den Beobachtungen,
Sept. 27. Beim Beginn der Beobachtungen stand der
Vergleichstern ganz in der Coma, so dass
dadurch das Erkennen des Mittelpunktes
Bulletin de l’Académie Empériale
112
ee ——_—_—_—_—
sehr erschwert wurde. Auch beim Schlusse | grossen Passageninstrumente von Ertel, und zur Po-
|sition des Sterns 1 ist auch noch die Angabe des Hrn.
Dr. Murmann (Astr. Nachr. N° 1613), welche auf
zwei Wiener Meridianbeobachtungen beruht, hinzuge-
zogen worden. Die angewandten, am Refractor erhal-
| tenen, Relationen zwischen den Sternen sind folgende:
ÆR w. F. Decl. w.EF.
nm $ " "
(L)æ+ 17 2,96 40,099; 1 — (11) + 0/ 23/6 + 0/61
1— (12)+ 0 58,97 + 0,037; 1=— (12)+6 26,6 + 0,47
14 = (14) — 2 45,90 + 0,100; 14 — (14) —1 2,4 0,45
X | Gr. | ÆR | Anz. | Decl Anz.
| | m _S | HEURE
(GUN 21 39 11,89 | + 0° 43 24,0 1
GARE 21 39 16,52 DA PREE eden dEe e
1-| 10 DM AOMMD: 08 MIRE IRON NEO IEEE
2 8 0] 021. /41029;89 4 NET El 3
3 8 | 921 44 30,91 4 2 520028 3
4 OEM ES 7100 7 — 4 26 18,7 6
5 9 | 22 6 14,28 6 HE OT 5
6 9 RENTE 6 — 3 321458 5
(A) LEP 0 11 11,94 3 ET) PE 3
8 gl 0,18 1970 80 |N+ 0250180 7
OLA AE EEE 2
10 ENO 1 16 2405 | 31 |1+14,4813480 5
TION 1 19 22,52 2 | + 4 56 48,7 2
(12) 8 NON ST SIMS IE NS 2
AM PRIOR cc RAS TL ÉTEND
13 9,10! 1 30. 2,14 2 + 5 36 392 | 2
HAE 00000 1 34 48,01 1 + 5 51 158 1
1440) PRONLO| ARTE S 2 EE TIR EE | MOMIE |Bee ee
15 NIMES ONE 3MINE FIBRE 2NSE3 3
16 9 2 19 8,46 3 510596 3
17 9 2 95 31,26 SIN 95250 3
18 9 2 32 17,63 3: || +19 40 507 3
19 | 8,9 | 2 45 20,33 | 5 | +10 24 34,8 4
Mit diesen Positionen sind nun die folgenden schein-
baren Orter der Sterne und weiter die scheinbaren
Orter des Cometen erhalten worden. Die beigefügten
| wahrscheinlichen Fehler sind hervorgegangen aus der
111
der Beobachtung konnten Spuren der Coma
noch bis zum Vergleichsterne hin verfolgt
werden. Dabei war wegen leichten Gewül-
kes der Comet sehr schwach.
Oct. 22. Während der Messungen des Declinations-
unterschiedes schwankte das Rohr in Folge.
heftigen Windes; der Comet während der
Beobachtung häufig durch Wolken verdeckt, |
hinter denen er zuletzt ganz verschwand; er
war überhaupt sehr schwach.
Dec. 17. Unterbrechungen durch Wolken.
Jan. 14. Nicht gute Beobachtung.
Jan. 18. Der Comet erscheint heller als früher; der
Kern deutlicher; Nebelhülle kleiner.
Febr. 2. Gegen Ende stürte der Mond.
Febr.12. Die begonnenen Messungen des Positions-
winkels konnten wegen schlechter Wirkung
des Uhrwerks nicht fortgesetzt werden; nach
Bestimmung der Differenzen in Æ stand der |
Comet zu tief, um Differenzen der Decl. zu
messen. — 15 Reaum.
Febr.13. Fortwährend dünne Wolken.
Febr.14. Comet leidlich zu beobachten.
Febr.17. Comet sehr schwach.
Febr.18. Der Mond stürte.
März 7. Die Luft nicht sehr durchsichtig; zu Anfang
Dämmerung, gegen Ende der Comet sehr
tief und kaum zu sehen.
März 12. Comet sehr schwach.
Die jetzt folgenden mittleren Positionen der Sterne, |
Vergleichsterne des Cometen sowol, als auch derjeni-
gen (mit eingeklammerten Nummern bezeichneten), mit
denen die schwächsten von ihnen mikrometrisch ver-
bunden wurden, gelten für 1866,0 und beziehen sich
auf das Coordinatensystem der Tab. red. von Wolfers.
Ausser auf den Bestimmungen Hrn. Gromadzkis, be-
ruhen die gegebenen Rectascensionen der Sterne (1°), 2,
3 und 5 noch auf Beobachtungen Hrn. Wagner’s am
: Verbindung der Febler der Sternpositionen und der
| Beobachtung des Cometen. Zur Ableitung der erste-
ren dienten die, aus der ganzen Reïhe der Bestim-
mungen der Vergleichsterne hervorgegangenen wahr-
schein]l. Fehler einer dieser Bestimmungen: # 0070
und + 0,56, mit Ausnahme des Sternes 1, bei dem
der wahrschein]. Fehler der angenommenen Position
aus der Übereinstimmung der Bestimmungen der ver-
schiedenen Beobachter abgeleitet wurde. Die Paral-
laxe ist mit Zugrundelegung der Sonnenparallaxe 8,94
berechnet worden.
113
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
114
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| h m s| h ms IPS MliA seal ST ; s | 3
1865 Sept. 2710 51 36 | 1 21 40 15,75/+ 0 44 1,2|121 40 14,81/# 0,068] + 0 43 11,2, Æ 1,45 | +0,09) + 6,0
Oct: 12] 7.57 50: | 2 91 41 29,76— 1 34 52,9 | 21 3 0.050! — 1 35 50,7 0.65 | —0.02! + 6.0
Oct. 22] 7 50 2113 21 44 31,12 — 2 51 54,5|2 0,097| — 2 52 17,2 0,68 | +0,04! + 3,8
Nov. 13! 6 31 34 | 4 |22 5 37,01 — 4 26 11,6 |22 0,073, — 4 29 34,8] 1,08| 0,00! + 5,4
Nov. 14, 6 39 53 | 5 122 6-14,29/— 4 31 55,7 | 22 0,059| — 4 31 21,8 0,82 | +-0,01! + 5,4
Dec. 17! 6 22 48 | 6 93 9 3,58|— 3 32 429 | 23 0,064! — 3 33 58,6 0,87 | +0,05! + 4,7
1866 Jan. 18, 7 8 24 | 8 0 13 9,70 + 0 25 17,1] 0 0,052 + 0 27 8,6! 0,90 ![+0,10| + 4,1
Febr. 12! 7 45 12 |10 1 16 24,13|+ 4 48 31,1| 1 0,110! + 4 46 46,6] 2,59] +0,13| + 3,6
Febr.13| 7 35 17 |11 1 19 22,61/+ 4 56 45,0| 1 0,063, + 4 57 37,2 0,89 | +0,13!) + 3,6
Hebr A7 2ATO 2 SEE Ce SDL OO IE nr I|e Porc + 5 8 25,4 EE) Sd + 3,6
Febr.17| 8 O0 5 |13 1 30 2,23|+ 5 36 35,0| 1 29 57,28] 0,075, + 5 41 19,6 0,78 | +-0,14 + 3,6
Febr.18| 7 52 27 |14 1 32 2,20/+ 5 50 9,0| 1 32 34,91 0,127] + 5 52 6,1 1,72 | +0,14! + 3,6
Mäürz 7| 8 21 54 |15,16| 2 17 29,24/+ 8 51 53,5] 2 18 15,89, 0,095) + 8 52 26,0 1,16 | +0,14, + 3,4
März 10| 8 29 2 |17 9 95 31,37 9 25 29,6| 2 26 26,73| 0,083] + 9 22 48,0 0,68 | +-0,14! + 3,3
Mürz 12| 8 34 29 |18 9 32 17,75+ 9 40 44,3 | 2 31 54,69| 0,065, + 9 42 34,8 1,60 | +-0,14 +-3,3
März 17| 8 31 15 |19 9 45 20,42/+-10 24 28,0| 2 45 37,02| 0,068) +10 30 43,2) 0,90! +0,14) + 53,3
| | | | | |
Die Vergleichung der erhaltenen Positionen mit Untersucht man im Winter einen frischen Birken-
der Ephemeride des Hrn. Prof. Müller ergab, nach
Anbringung der Parallaxe, folgende Resultate:
B—R
in Æ in Decl.
Sept. 27 +0,08 +52
Oct 12025 UF 1,8
Oct. 22 +0,56 —1,3
Nov. 13 +0,61 —4,5
Nov. 14 +1,56. <+3,1
Dec. 17 +1,88 +5,7
Jan. 18 +2,10 <+4,7
Febr. 12 +2,85 —1,8
Febr. 13 +3,19 <+2,0
Heprneectree — 5,7
Febr. 17 +2,84 <+3,6
Febr. 18 +2,81 +1,
März 7 +3,04 —1,3
März 10 +296 +2,
März 12 +2,57 —0,8
s Mäürz 17 +3,09 +6,6
Über transitorische Stärkebildung; bei der Birke,
von Dr. A. Famintzin und J. Borodin. (lu
le 20 juin 1867.)
Die vorliegenden Untersuchungen wurden haupt-
sächlich im Winter dieses Jahres an frisch vom Baume
abgeschnittenen und in einem Wassergefässe im Zim-
mer cultivirten Birkenzweigen ausgeführt, und die
erhaltenen Resultate im Frühjabr an den im Freien
wachsenden Bäumen geprüft, wobei eine vüllige Über-
einstimmung gefunden wurde.
Tome XII.
ast, namentlich auf seinen Amylumgehalt, so erscheint
der letztere, besonders in den dünneren Zweigen, ziem-
lich gering; nur im Marke befinden sich beträchtli-
chere Stärkemengen; Rinde und Holz scheinen aber
davon fast vüllig frei zu sein; selbst die Markstrahlen
des Holzes, wenigstens die der einjährigen Zweige,
| machen hier keine Ausnahme; ibr Inhalt nimmt mit
| Jodlüsung meist nur eine braune Farbe an. Übrigens
ist dieses letztere Verhältniss nicht constant, denn es
kommen auch Zweige vor, deren Markstrahl- und Holz-
parenchymzellen deutliches Amylum führen"). Jeden-
falls scheint aber die als Reservestoff functionirende
Stärke hauptsächlich in der Wurzel ïhren Sitz zu ha-
ben. Namentlich fanden wir an einer über 30 Jahr
alten Birke, die am 4. (16.) Februar dieses Jahres im
Universitätsgarten gefällt wurde, einen sebr beträcht-
lichen Unterschied zwischen dem Amylumgehalte des
Stammes und dem der Wurzel. Schon die makroche-
mische Reaction machte diesen Unterschied sehr au-
| genfällig: während das Wurzelholz mit einem Tropfen
| Iodlüsung befeuchtet sogleich eine tiefbraune bis
schwarze Farbe annahm, färbte sich das Stammholz
bei solcher Behandlung bloss gelb. Die mikrochemi-
sche Untersuchung zeigte im Marke,in den Mark-
strablen, im Holz- und Rindenparenchym der Wurzel
1) Dieser geringere Stärkegehalt der dünneren Zweige wird
|auch von Schrôder in seinen «Untersuchungen über den Früh-
| jahrssaft der Birke» (Archiv für die Naturkunde Liv-, Esth- und
| Kurlands, II. Serie, Bd. 7) erwähnt.
8
115
Bulletin de l’Académie Hmpériale
116
sehr beträchtliche Stärkemengen. Im Stamme führten
alle diese Theile freilich auch Amylum, jedoch in weit
geringerer Menge, und stellenweise waren die Mark-
strahlen, so wie das Mark fast gänzlich davon frei.
Besonders beachtenswerth und für das Folgende
wichtig ist aber die Thatsache, dass in den männlichen
Kätzchen, gleichwie in den Laubknospen, die, wie be-
kannt, die jungen weiblichen Blüthenstände verbergen,
um diese Zeit auch bei der sorgfältigsten Untersuchung
nirgends Stärke gefunden wird, wenn man nur von
den hôchst geringen Spuren, die hie und da in einzel-
ven Zellen des Markes und Rindenparenchyms zum
Vorscheine kommen, absieht. Selbst bei der Anwen-
dung der von Sachs zum Nachweïisen kleiner Stärke-
mengen empfohlenen Reaction sucht man meistens
darnach vergebens. Bemerkenswerth sind weiter die
Verhältnisse, die in den einjäbrigen Zweigen unter
den Laubknospen, in den oberen Theiïlen der Interno-
dien angetroffen werden. Führt man nämlich einen
Querschnitt dicht unter solch einer Knospe, so findet
man zwei getrennte Holzkürper, von denen jeder ein
selbständiges Mark umschliesst. Der eine dieser Holz-
kôrper gehôrt selbstverständlich der Knospe an, der
andere dem Zweige selbst. Weiter unten vereinigen
sie sich zu einem einzigen, wodurch das Mark auf
dem Querschnitte eine Biscuitform erhält. Die Gefäss-
bündelgruppen der Knospe und des Zweiges sind
leicht von einander schon durch die verschiedene
Beschaffenheit des von ihnen umschlossenen Markes
zu unterscheiden: das der Knospe ist dünnwandig,
führt zu dieser Zeit gar keine Stärke, ist aber dafür
überaus reich an Krystalldrusen, die gleich denen des
Rindenparenchyms, nach den mikrochemischen Reac-
tionen zu urtheilen, aus oxalsaurem Kalk bestehen;
die Zellen des eigentlichen Zweigmarkes besitzen im
Gegentheil zierlich porôs verdickte Wände und ent-
halten eine nachweisbare Stärkemenge; Krystalldru-
sen kommen in ihnen dagegen nur vereinzelt vor.
Wird ein frischer Zweig in ein Wassergefäss ge-
bracht und der warmen Luft des Wohnzimmers aus-
gesetzt, so werden bald folgende Erscheinungen be-
obachtet.
Während an den im Freien wachsenden Bäumen
die männlichen Blüthenstände nirgends Stärke enthal-
ten, wird dieselbe, nach kurzer Zimmercultur der
Zweiïge, in den Spindeln der Kätzchen, so wie in den
einzelnen Blüthenstielen reichlich gebildet, Schon am
folgenden Tage findet man sie hier zuweilen, jedoch
in so geringer Menge, dass sie nur mit Hülfe der
Sachs’schen Reaction nachgewiesen werden kann.
Doch wird der Stärkegehalt der Spindel immer bedeu-
tender, bis er etwa am 4—5ten Tage sein Maximum
cerreicht. Nun wird die vorläufige Behandlung des
Präparats mit heisser Âtzkalilauge und das Neutrali-
siren mit Essigsäure vüllig überfüssig; die gewühnli-
che Iod-Reaction zeigt jetzt den ausserordentlichen
Stärkegehalt der Spindel mit grüsster Deutlichkeit:
das Mark, das ganze Rindenparenchym, die breiten,
so wie die engen, bloss aus einer Zellenschicht beste-
henden Markstrahlen, Alles ist strotzend von Amy-
lum. Diese Amylumbildung geht nicht in dem ganzen
Kätzchen gleichzeitig vor sich, sondern schreitet
allmählich von unten nach oben, à. b. von der Basis des
Blüthenstandes zu seinem Gipfel, vor. Das beweisen
zur Genüge die sich mit Stärke erst füllenden Kätz-
chen: in ihrem unteren Theile wird reichlich Amylum
gefunden, während in dem oberen bloss unbeträchtli-
che Spuren davon angetrotien werden. Da jedoch die-
ser Bildungsprocess im Allgemeinen ziemlich rasch
vor sich geht, so wird es gewiss nicht aufiallen, dass
man oft die Stärke in der Spindel der Länge nach
ziemlich gleichmässig vertheilt findet.
Keineswegs bleibt aber diese Stärkebildung bloss
auf die männlichen Blüthenstände beschränkt. Unter-
sucht man zu dieser Zeit das oberste Internodium der
Zweige, auf dem die Kätzchen gewühnlich paarweise
sitzen, so findet man alle Parenchymzellen sowohl der
inde und des Markes, als auch die der Gefässbündel
ebenso reichlich als in der Spindel des Kätzchens
selbst Stärke führend; im Freien dagegen enthalten
zu dieser Zeit die letzten Internodien nur in dem
Marke eine beträchtliche Menge Stärke. Auch in den
folgenden Internodien, die den Laubknospen angehô-
ren, erscheint bei der Zimmereultur der Stärkegehalt
um ein Bedeutendes vermehrt, besonders dicht unter
den Laubknospen, wo selbst das Knospenmark, das
im Winterzustande, wie erwähnt, meist nur geringe
Amylumspuren führt, jetzt reichlich damit erfüllt ist?).
Auch in den Knospen tritt eine ähnliche, jedoch wie
es scheint, minder reichliche Stärkebildung auf; man
2) Vergl. Hanstein’s «Untersuchungen über den Bau und die
Entwickelung der Baumrinde». 1853. S. 24 u. f.
117
findet nämlich zu dieser Zeit beträchtliche Stärkemen-
gen in den noch in den Deckschuppen verborgenen
Blättern und weiblichen Blüthenständen, sogar in der
Basis der Deckschuppen selbst.
Während der Stärkebildung, welche in den ersten
Tagen der Zimmercultur statt findet, wird der Ast
dem Aussehen nach fast gar nicht verändert, ja er ist
von einem frisch abgeschnittenen schwer zu unter-
scheiden; die Deckschuppen der Kätzchen liegen noch
dicht aneinander, und die Laubknospen sind meist
noch geschlossen. Die neu gebildete Stärke bleibt
aber nicht lange erhalten. Sobald die Streckung der |
Kätzchen und die Entwickelung der Knospen zu jun-
gen Trieben beginnen, wird sie wieder aufgelüst, in-
dem sie als Baumaterial verwendet wird. In den Inter-
nodien verschwindet die Stärke vor Allem unter den
sich entwickelnden Knospen im Knospenmarke und in
dem umgebenden Rindenparenchym. In dem jungen
Triebe selbst findet man bald nur in der schon von
Hanstein”) bemerkten und von Sachs‘) näher be-
schriebenen Stärkeschicht der Gefässbündel feinkôrni-
ges Amylum. In der Spindel des Kätzchens wird die
Stärke zuerst in den peripherischen Rindenparenchym-
schichten, später auch im Marke und in den Mark-
strahlen aufgelüst. Am längsten bleibt sie ebenfalls
in der Stärkeschicht erhalten; selbst bei dem Verstäu-
ben der Antheren findet man in ihr oft feinkürnige
Stärke; später wird sie aber auch hier vollständig
resorbirt.
Ganz analoge Erscheinungen von transitorischer
Stärkebildung haben wir auch im Pollen beobachtet,
welche aber hier immer einige Tage später auftrat.
Im Freien enthält der Pollen im Winter keine Spur
von Stärke. An einem ins Zimmer gebrachten und im
Wasser cultivirten Zweige bleibt der Pollen lange
Zeit stärkefrei, obgleich die anderen Theïle des Zwei-
ges sich reichlich mit Amylum füllen. Erst wenn die
Resorption des letzteren in der Spindel beginnt, tritt
in den Pollenkürnern Stärkebildung ein, und noch
lange bevor die Antheren aufspringen, ist der Pollen
dicht mit Amylumkürnern gefüllt, die auch bei der
Verstäubung und selbst in den auf den Narben lie-
genden Pollenkürnern in reichlicher Menge angetrof-
8) 1. e. S. 25.
4) Sachs, «Über die Stoffe u.s.w.» Pringsheim’s Jahrbücher,
Bd. II, S. 194 u. ff.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
118
fen werden. Diese Amylumbildung im Pollen und die
gleichzeitig stattfindende Resorption der Stärke in
der Spindel schreiten gleichfalls in der Richtung von
unten nach oben, d. h. von der Basis des Kätzchens
zu seinem Gipfel, fort.
Wie weit die oben beschriebene transitorische Stär-
kebildung in den älteren Âsten der Birke vor sich
gehe, ob sie auf alle Internodien der einjährigen Zweige,
oder vielleicht selbst auf mehrjährige sich ausdehne,
darüber geben unsere Beobachtungeu keinen weite-
ren Aufschluss.
Alle im Vorhergehenden geschilderten Vorgänge
haben wir im Frübjahr auch in der freien Natur be-
obachtet, nur bedurften sie hier zu ihrer Vollendung
eines viel grüsseren Zeitraumes, wozu gewiss der un-
gewôühnlich kalte Frühling dieses Jahres nicht wenig
beitrug. Am 15.(27.) April führten die Spindeln der
frischen Kätzchen, so wie die Internodien der dünne-
ren Zweige reichlich Amylum. Derselbe Zustand wurde
auch am 17.(29.) Mai angetroffen, nur dass jetzt schon
die Amylumbildung im Pollen begonnen hatte. Am 22.
Mai (3. Juni) waren die Pollenkürner dicht mit Amy-
lum angefüllt, während die Stärke der Spindel und
der Internodien sich in dem Zustande der Resorption
befand.
Diese Beobachtungen lassen noch unentschieden,
ob die transitorische Stärke, die vor dem Austrieb
der Knospen in den jüngeren Zweigen so reichlieh
angetroffen wird, da, wo sie zu dieser Zeit vorhanden
ist, gebildet wird, oder vielmehr als eine blosse Trans-
location aus anderen Stammgegenden betrachtet wer-
den muss. Giebt man aber auf folgende Umstände
Acht, so wird die erste Deutung als die einzig rich-
tige erscheinen:
1) Die oben geschilderten Vorgänge finden auch
in vom Stamme getrennten ÀÂsten statt, und, während
die dünneren Zweige sich mit Amylum anfüllen, wird
eher eine Zu- als Abnahme des Stärkegehalts der an-
deren Asttheile beobachtet.
2) Die Bildung und Wiederauflüsung der Stärke
geht sogar in den vom Baume getrennten Kätzchen
vor, wie der folgende Versuch lehrt. Die abgeschnit-
tenen Kätzchen wurden vorläufig an ihrer Basis auf
den Amylumgehalt der Spindel nach der Sachs’schen
Methode geprüft: wir fanden in ihnen gar keine oder
eine ganz unbedeutende Stäürkemenge vor, Die Kätz-
8*
119
Bulletin de l’Académie Impériale
120
Or
chen wurden darauf in feuchte Erde eingesetzt und
mit einer Glasglocke überdeckt. Ofters wiederholte
Beobachtungen zeigten uns, dass die transitorische
Stärkebildung in ihnen auf die oben beschriebene
Weise, sowohl in der Spindel, als im Pollen, zu Stande
kam, selbst wenn statt Erde feuchter Sand angewen-
det wurde.
Die Hauptresultate der vorliegenden Untersuchung
Jassen sich kurz folgendermaassen zusammenfassen :
1) Bei der Birke wird im Frühjahr, sowohl in den
Kätzchen als in dünneren Zweigen, Stärke transito-
risch gebildet und zwar unmittelbar aus dem Inhalte
der sie führenden Zellen.
9) Die erzeugte Stärke bleibt nicht lange erhalten,
indem sie zum Aufbau der sich streckenden Kätzchen
und Knospentriebe verwendet wird.
3) Im Pollen kommt eine ganz ähnliche, jedoch
später auftretende transitorische Stärkebildung zu
Stande. Die Stärke wird sogar an den auf die Narbe
gelangten und in kurze Pollenschläuche ausgewachse-
nen Pollenkürnern wahrgenommen, wie wir es auch
im Freien beobachtet haben. Ihre Auflüsung erfolgt
erst später.
4) Über den Stoff, aus dem in den vorliegenden
Füllen die Stärke gebildet wird, künnen wir nichts
Bestimmtes angeben. In der Spindel der Kätzchen
findet man im Winterzustande alle Mark- und Rinden-
parenchymzellen mit einem ülartigen Stofe angefüllt ;
ob aber dieser Stoff in irgend einem Zusammenhange
mit der später daselbst auftretenden Amylambildung
steht, lassen wir unentschieden, wenigstens wird in
dem Maasse, als Stärke sich bildet, seine Quantität
immer geringer und später verschwindet er gänzlich.
Diese transitorische Stärkebildung scheint demnach
der von Sachs”) beim Keimen ülhaltiger Saamen in
den Cotyledonen oder dem Endosperm beobachteten
am nächsten zu stehen.
5) Schliesslich müssen wir noch bemerken, dass
eine eben solche transitorische Stärkebildung, ausser
der Birke, auch in männlichen Kätzchen von Populus
nigra beobachtet wurde.
5) Sachs, L. c. S. 213 u. fi.
Mikroskopische Untersuchung des Guano; vom
Geheimrathe Dr. J. F. Weisse, correspondi-
rendem Mitgliede der Kaiserl. Akad. der Wiss.
zu St. Petersburg. (Lu le 6 juin 1866.)
(Mit zwei Tafeln.)
Reval. Mai 1867.
Es sind bereits mehr denn 20 Jahre her, seitdem
Ehrenberg die erste mikroskopische Analyse vom
Guano verüffentlichte, welche ergab, dass in demselben
viele interessante, meist marine kieselschalige Organis-
men sich vorfinden*). Da mir nun zufälliger Weise hie-
selbst im vorigen Herbste eine Partie aus Californien
herstammenden und vor 7 Jahren direkt aus London
bezogenen Guano’s in die Hände kam, benutzte ich
diese Gelegenheit, denselben mit dem Mikroskope zu
untersuchen. Ich habe wohl an 500 Analysen gemacht
und dabei nicht nur die meisten der von Ehrenberg
im peruanischen und afrikanischen Guano aufgefunde-
nen, sondern auch noch so manche andere Formen an-
getroffen, welche von ihmnicht angegeben worden sind.
Daher glaubte ich den Liebhabern von dergleichen
Untersuchungen einen Dienst zu erweisen, wenn ich
alle bisher im Guano entdeckten Kiesel-Organismen in
bildlicher Übersicht zusammenstellte, weil nur weni-
gen Privat-Forschern Ehrenberg’s kostbare Mikro-
geologie zugänglich sein dürfte.
In Betreff des nachstehenden, die beiden Tafeln er-
liuternden Verzeichnisses habe ich zu bemerken, dass
alle Namen mit einem Plus-Zeichen voran sich auf solche
Formen beziehen, welche sowohl Ehrenberg, als auch
ich gesehen habe, dass hingegen diejenigen mit einem
Minus-Zeichen von ihm beobachtet worden, mir aber
nicht zu Gesicht gekommen sind; die durch ein Stern-
chen bezeichneten Formen endlich sind sclche, welche
ich beobachtet habe, ihm aber nicht vorgekommen sind.
Die von mir als neu angesehenen Species sind durch
Cursivschrift kennilich gemacht.
Verzeichniss aller bisher im peruanischen, afrikanisehen und
,ealifornischen Guano aufgefundenen Kiesel-Organismen,
1. Actiniscus Pentasterias.
+ 2. Actinocyclus nonarius.
*) In den Berliner Monatsberichten vom Jahre 1845. — Nur ein
kleiner Theil der von ihm beobachteten Formen ist in drei Massen-
Ansichten des Guano auf Tab. XXXV. À. in der Mikrogeologie ab-
gebildet worden. Ich kann nicht umhin hier zu bemerken, dass man
sich sehr irren würde, wollte man glauben, dass die in jenen An-
121 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 122
a ——_—_—_—_—_—__EEE PR Ne TT PC
+ 3. Actinocyclus denarius. + 23. Coscinodiseus Oculus fridis.
+ À. » undenarius. » Patina. Nur ein Bruchstück in
» biseptenarius. der Mikrogeologie abgebildet.
» septemdenarius. +- 24. Ù perforatus.
» novemdenarius. +- 25. » “adiatus.
» Luna. 21 Str. 26: » radiolatus.
) Ceres. 22 Str. + 27. » subtilis.
» Juno. 23 Str. 26: » velatus.
» Jupiter. 24 Str. — Denticella Rhombus? Diese von Ehr, als in einer
» Mars. 25 Str. peruanischen Guano - Probe vorge-
» Venus. 30 Str. kommene, jedoch mit einem Frage-
» Antares. 35 Str. zeichen versehene Form wird in der
NB. Des Raumersparnisses wegen sind die letzten Mikrogeologie gar nicht erwähnt.
zehn Formen, von welchen mir keine zu Gesicht gekom- | + 29. Dicladia Capreolus.
. . . . . 22 1 7 , ce
men ist, nicht abgebidet worden, da sie sich von den | + 30. Dictyocha abnormis.
anderen nur durch die grüssere Anzahl von Strahlen 31. ? epiodon.
. k 9 js £
unterscheiden. 92. ? Fibula.
= ; ; + 33. Dictyopyxis cruciata. a. b.
+ D. Actinoptychus senarius. à. b. c. " ke < :
; : — 34. Endyctia oceanica. a. b.
RE » biternarius. À NE ARC ;
E Ê + 35. Eunotia amphioxys. a. b
rie » octonarius. GEL :
L 36. » Sphaerula a. b.
» denarius. APS en
: +-37 Fragilaria pinnata, a. b.
er GM » duodenarius. ss Te
: * 38. Gallionella crenata. a. b. c.
» quatuordenarius.
; —+- 39. » suleata. a. D. €.
BG | » sedenarius. AS L re
à ; +- 40. Goniothecium Gastridium. a. b.
» vicenarius. :
— 41. » Navicula. a. b.
NB. Auch von diesen Formen sind aus dem vorher |, 49 Grammatophora africana.
angeführten Grunde nicht alle abgebildet worden. A a angulosa.
* 10. Amphitetras antediluviana. + 44. » oceanica.
+ 11. Amphora libyea. a. b. €. + 45. » stricta.
— 12. Aulacodiseus Crux. #* 46. Haliomma radians.
* 13. Biddulphia Cylindrus. a. b. Nov. species. * 47. Hyalodisceus laevis.
+ 14. Campylodiscus Clypeus. Verletzt. + 48. Mesocena binonaria.
— 15. Chaetoceros didymus. + 49. » bioctonaria.
» Gastridium. In der Mikrogeologie | * 50. Mesocena biseptenaria. Nov. sp.
nicht abgebildet. * 51. Micrasterias Boryana. Bruchstück.
+ 16. Cocconeis Placentula. * 52. Navicula affinis. à. b.
+ 17. » Scutellum. 205) » fulva.
+- 18. Coscinodiseus centralis. » baltica. In der Mikrogeologie nicht
A » eccentricus. abgebildet.
+ 20. » lineatus. a. b. —+- 54. Odontodiseus eccentricus.
+21. » marginatus. +- 55. Omphalopelta areolata.
+ 22. » minor. +- 56. Pinnularia amphioxys.
O7 » borealis.
sichten dargestellten Formen alle gleichzeitig zur Beobachtung | * 58, » Crabro. (Diploneïs.)
kämen; es sind nur ideale Zusammenstellungen der vereinzelt im SE 2 : =
* 59, » didyma. (Diploneïs.)
Guano entgegentretender Kiesel-Organismen.
Bulletin de l’Académie impériale
124
EU "A — —]— — — — ——— —————— — —’”/"”—"”"’"———……"”…”…”"—" " ’ _—_. —
123
Podosphenia euneata. In der Mikrogeologie
nicht abgebildet.
+ 60. Stauroptera aspera.
* 61. Striatella?
* 62, Surirella crenata.
63. Syndendrium Diadema.
+ 64. Synedra Ulna. à. b.
— 65. Triceratium acutum.
+ 66. » megastomum.
* 67. Triceratium spectabile. Nov. spec. a. b.
Phytolitharia,
+- A. Lithodontium Bursa.
+ B. Lithostylidiuu Amphiodon.
+ C. » Clepsammidium a. b.
“AD? » rostratum.
+ E. » rude.
» quadratum. Vom Zeichner über-
sehen.
+ F. Spongolithis acicularis. à. b.
FuiCr: » Anchora.
QI à » Caput Serpentis.
+ IL. » cenocephala.
— K. » Clavus.
# Il » dichotoma.
+ M. » Fustis.
* X, Craspedodiscus radiatus. Nov. sp.
Anmerkungen.
a) Zu Grammatophora stricta. Ehrenberg nennt
diese Art als in dem Guano vorkommend, ohne sie zu
beschreiben; auch finde ich von ihr keine Abbildung
in der Mikrogeologie. Ich benannte die von mir beobach-
tete Form so, indem ich mich durch den Beinamen:
stricta leiten liess. b) Zu Mesocena. In der Mikroge-
ologie befindet sich auf Tab. XX. I. Fig. 49. ein Ac-
tiniscus heptagonus abgebildet, welcher früher von
Ehrenberg unter dem Namen von Mesocena hepto-
gona angeführt gewesen. Da ich nun, wie aus voran-
stehendem Verzeichnisse zu ersehen ist, eine wahre
Mesocena biseptenaria im Guano aufgefunden habe,
dürfte jene von Ehrenberg verzeichnete Form am
passendsten in Zukunft als ein Actinisceus stehen blei-
ben. €) Zu Triceratium spectabile. Von dieser neuen,
sehr ausgezeichneten Art würde die Diagnose folgender-
maassen lauten: Testula ampla cellulosa, lateribus levi-
ter convexis, apicibus attenuatis obtusis, cellulis hexa-
gonis, in centro puneto nigro insignibus, ordine paral-
leli positis. Beim ersten Anblicke gleicht dieselbe sehr
dem Triceratium obtusum, unterscheïdet sich aber
wesentlich durch die G6seitige Einfassung der Zellen.
Zur näheren Verständigung findet man ein kleines
| Bruchstück von demselben stärker vergrüssert unter
Figt61e0b:
Ehrenberg sagt S. 62 des Aufsatzes über Guano in
den Berliner Monatsberichten: «Wenn der Guano ein
Produkt der Seevügel ist, so sind diese Seethierchen
our auf solche Weise in denselben gelangt, dass sie
zweimal verzehrt worden sind; einmal von Würmern
oder Fischen, und diese erst wurden von Vôügeln ver-
zehrt. Vügel verzehren nicht direkt so viel Infusorien
haltendes Wasser» u. s. w. Unter obigem «wenn»
scheint mir ein Zweifel versteckt zu liegen, ob auch
der Guano in der That nur Vogelmist sei, und ich
muss gestehen, dass auch ich daran zweifele und der
Meinung bin, derselbe habe einen andern Ursprung
gehabt und sei zum Theil wohl eine neuere Bildung.
Dafür dürften die vielen noch frisch gefärbten nicht
zerstürten vegetabilisechen Überreste sprechen, welche
das licht-gelbe Aussehn des Guano mit bedingen. Aus-
nabmsweise stiess ich auch hie and da auf Eisen-
glimmer und zwar in eben so zierlichen carneolfarbigen
sechsseitigen Täfelchen, wie sie im Carnallit vorkom-
men.
Überschauen wir nun meinen Befund und verglei-
chen wir ihn mit den Angaben Ehrenberg’s, so geht
hervor, dass die mir vorgelegene Guano-Sorte mehr
dem afrikanischen als dem aus Peru kommenden Guano
gleicht. Ich fand in ihr manche Actinocycelus-Arten, von
welchen keine einzige Form in der peruanischen Probe
vorkommen soll, und noch mebrere andere dort feh-
lende Kiesel-Organismen, namentlich: Amphora libyca,
Campylodiseus Clypeus, Cocconeis Placentula, Cosci-
nodiscus minor, Dicladia Capreolus, Fragilaria pinnata
und die Mesocena-Arten. Letztere sind zwar — wohl
durch einen lapsus calami — in den angezogenen Berl.
Monatsberichten als im peruanischen Guano vorkom-
mend angeführt, in der Mikrogeologie jedoch in einer
der Massen-Ansichten vom afrikanischen Guano abge-
ve
Bullet. de l'Acad. Imp. d. se. de St. Pét. T. XII. I. F, WEISSE. Microscopische Untersuchung des Guano. T. I.
Lith. A. Münster. St. P. V. O, 2 Lin. M7.
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125
bildet worden. Stammt der von mir untersuchte Guano
wirklich aus Californien her, wie nach einem Schreiï-
ben des Londoner Handluugshauses, von welchem er
bezogen worden, nicht zu zweifeln ist, so wären nicht
nur die von mir als neu erkannten Species, sondern
auch noch nachstehende Formen als ihm eigenthümli-
che zu nennen: Amphitetras antediluviana, Coscinodis-
eus velatus, Dictyocha Fibula, Eunotia Sphaerula, Ha-
liomma radians, Hyalodiseus laevis, Pinnularia Crabro
und didyma, Surirella crenulata, Spongolithis Anchora,
Caput Serpentis und dichotoma.
Späterer Zusatz.
Als ich vorliegenden Aufsatz bereits abgeschlossen
hatte, fand ich, dass Ehrenberg in seiner Mikroge-
ologie auch eines von ihm untersuchten Tripels aus
Californien gedacht und von diesem eine Massen-An-
sicht auf Tab. XXXIIT. XIIL. gegeben hat. Da ich dort
pur einige wenige von den Formen verzeichnet fand,
welche ich in dem von mir untersuchten Guano beob-
achtet hatte, dagegen manche andere, die mir nicht
vorgekommen waren, so sah ich mich veranlasst, noch
einige Dutzend Analysen einer von einer anderen Seite
erhaltenen Probe, welche aus derselben Quelie her-
stammte, wie die erste, zu machen. Dabei entdeckte
ich ausser den meisten schon von mir verzeichneten
Formen noch einen hüchstauffallenden Kôrper, welcher
mir am passendsten zu der von Ehrenberg aufgestell-
ten Gattung: Craspedodiseus zu gehôren schien. Ich
gebe ihm den Beinamen: radiatus, weil der Randsaum,
welcher bei den übrigen Arten aus kleinen Zellen be-
steht, hier dicht schraftirt erscheint. Auf Tab. IE
Fig. X findet man ibn abgebildet.
Vorschläge zu einer weiteren Vervollkommnung
der Spiegelinstrumente; von W.Dôllen,Astro-
nomen an der Nikolai-Hauptsternwarte. (Lu
le 6 juin 1867.)
Das Spiegelinstrument im Allgemeinen und ins Be-
sondere der Pistor-Martins’sche Patentkreis besitzt
neben den Eigenschaften, die ihn dem Seemann gra-
dezu unentbehrlich machen, auch für die geographi-
sche Ortsbestimmung auf dem festen Lande eigen-
thümliche' Vorzüge vor allen andern Instrumenten,
die hierbei etwa noch in Betracht kommen künnten.
des Sciences de Saint. Pétersbourg.
126
{ So wird es, um bei dem stebhn zu bleiben, was uns am
nächsten liegt, namentlich in Russland noch lange
Jahre hindurch weite Strecken geben, in denen der
reisende Astronom ganz und gar auf dieses Instrument
sich angewiesen sieht, und wir sind also bei jeder
Steigerung seiner Leistungsfähigkeit ganz unmittel-
bar betheiligt. Diese Steigerung aber durch eine Ver-
stärkung der optischen Kraft erlangen zu wollen, ist
nicht statthaft; und das nicht blos deshalb, weil da-
durch das ganze Instrument auch grüsser und schwe-
rer, und also lästiger für den Transport und unbe-
quemer für die Beobachtung selbst werden würde,
sondern vielmehr deshalb, weil schon jetzt, so gering
die optische Kraft ist, dennoch die schliessliche Ge-
vauigkeit der Ergebuisse lange nicht an die durch
dieselbe gebotene Grenze hinanreicht. Es wäre in der
That kein geringer Fortschritt, wenn es gelingen sollte,
mit Sicherheit immer das zu erreichen, worauf die
Übereinstimmung der einzelnen Bestimmungen jeder
Beobachtungsreihe ein Recht giebt; ein jeder Beob-
achter weiss aber nur zu gut, wie weit man, selbst
unter günstigen Umständen, von dieser Grenze ent-
fernt bleibt. Der unbefriedigende Erfolg beruht eben
auf ganz andern Ursachen.
Diesen Ursachen weiter nachzuforschen und den
erkaunten Übelständen, wenn müglich, abzuhelfen, ist
seit lange mein Wunsech gewesen; und als ich im Mai
des verflossenen Jahres den mir zur Wiederherstel-
lung meiner Gesundheit bewilligten Urlaub antrat,
gab ich der Hoffnung Raum, dass es mir vielleicht
môglich sein würde, die bevorstehende Musse zu wei-
teren Untersuchungen auf diesem Gebiete zu be-
nutzen, indem ich mir ganz speciell die Frage stellte,
ob es nicht gelingen solle, den Spiegelinstrumenten
unter Bewahrung der grossen Vortheile, die die von
Pistor und Martins gewählte Form unleugbar dar-
bietet, einen noch merklich hühern Grad von Voll-
kommenheit zu verleihen. Die wesentlichste Bedin-
gung für die Erlangung dieses, wie oben bemerkt, in
praktischer Beziehung überaus wichtigen Zieles ist
ohne Zweifel die Herstellung eines müglichst unver-
änderlichen Instruments; und grade in dieser Hinsicht
scheint wirklich der heutige Bau des Prismenspiegel-
kreises einer entschiedenen Verbesserung fähig zu
sein. Es handelte sich für mich zunächst nun darum,
ob Hr, Martins geneigt sein würde, gewisse Verän-
127
Bulletin de l'Académie Impériale
128
EE EE EE
derungen, die mir vor allem geboten schienen, an
einem Instrumente auszuführen, das sodann Gegen-
stand meiner weiteren Untersuchungen werden kônnte.
Leider erlaubte mir mein Gesundheitszustand, verbun-
den mit der grade damals ungewühnlich rauhen Witte-
rung, wWährend meiner ersten Durchreise durch Berlin
nicht, mit Hrn. Martins persünlich Rücksprache zu
nehmen, und ich danke es lediglich der so oft erprob-
ten freundlichen Vermittelung Professors Foerster,
dass mir ein Instrument zugesagt wurde, an welchem
meinen Wünschen müglichst Rechnung getragen sein
sollte. Auf meine Mittheilung hierüber an den Hrn.
Director der Hauptsternwarte entschied derselbe, dass
das Instrument nebst Stativ für Rechnung der Stern-
warte angekauft werden solle, und erwirkte mir über-
dies eine Geldunterstützung, die mich in den Stand
setzte, meinen Winteraufenthalt so zu wählen, dass die
gebieterische Rücksicht auf meine Gesundheiït nicht
die Müglichkeit der zu den beabsichtigten Untersu-
chungen erforderlichen Beobachtungen ausschloss. Und
da nun auf diese Weise meiner Beschäftigung in ge-
wisser Beziehung ein amtlicher Charakter gegeben
worden, so erfülle ich nur eine Pficht, wenn ich im
Folgenden einen kurzen Bericht über den Verlauf
derselben abstatte.
Der in Folge der politischen Ereignisse während
des vergangenen Sommers vielfach gestürte Verkehr
in Deutschland wurde Ursache, dass ich erst im Laufe
des October in den Besitz des für mich bestimmten
Instrumentes gelangte; und da mittlerweile mein Ent-
schluss, für den Winter nach Algier hinüberzugehen,
zur Reife gediehen war, so verzichtete ich darauf, schon
vorher die eigentliche Arbeit zu beginnen, und be-
gnügte mich, die Überzeugung zu erlangen, dass im
Wesentlichen alles in Ordnung sei. Bei der Durch-
reise durch Genf kaufte ich mir ein Aneroidbarometer
nebst Thermometer und in Marseille einen künstlichen
Horizont, rectanguläre Quecksilberschale mit Marien-
glasbedeckung; und da ich ausserdem ein Taschen-
chronometer bei mir führte, das mir Hr. Kortazzi
für diese Reise zur Benutzung überlassen hatte, s0
glaubte ich mich hinreichend ausgerüstet, um wenig-
stens über einige Dinge ins Reine zu kommen.
Ich will nun aber gleich hier anführen, dass dieses
Chronometer leider sehr bald als ungenügend erkannt
wurde, indem die täglichen Ânderungen seines tägli-
F
chen Ganges zuweilen 5 und 6 Secunden erreichten.
Nun stellte mir zwar der Director der Kaiserlichen
Sternwarte in El Biar bei Algier, Hr. Bulard — dem
ich überhaupt zum wärmsten Danke verpflichtet bin
für die bei jeder Gelegenheit während der ganzen Zeit
meines Aufenthalts daselbst mir erwiesene grosse
Freundlichkeit und vielfache Unterstützung — bereit-
willigst eins der Boxchronometer der Sternwarte zur
Verfügung; aber auch dieses zeigte, wenngleich einen
viel bessern Gang als mein Taschenchronometer, doch
keinen so regelmässigen, dass ich dem ursprünglichen
Plane meiner Beobachtungen hätte treu bleiben dür-
fen. Dieser Plan bestand nämlich in der Kürze darin,
durch fortlaufende Reïhen correspondirender Sonnen-
hôhen Stand und Gang des Chronometers zu bestim-
men, und mit Hilfe des auf solche Weise jederzeit
bekannten Stundenwinkels die absoluten Hühen her-
auszurechnen und mit den wirklich gemessenen zu
vergleichen. Unter der Breite von Algier ändert sich
aber in der Nähe des ersten Verticals die Doppelhôühe
in jeder Zeitsecunde um 24 Bogensecunden; ist also der
Stundenwinkel nicht bis auf 0;1 sicher, so kann die Dop-
pelhôhe nicht bis auf 2/4 verbürgt werden, und wenn
dies auch für die einzelne Beobachtung eineGrôsse ist,
die, nicht besonders ins Gewicht fällt, so ist das doch,
wie die Erfahrung lehrt, keineswegs der Fall für eme
Reihe guter Beobachtungen. Es war demnach die For-
derung, mit Hilfe des Chronometers den Stundenwinkel
jederzeit bis auf die Zehntelsecunde richtig zu erhal-
ten, durchaus keine übertriebene; sie wurde aber beï
weitem nicht erfüllt, und es waren also auf diesem
Wege jedenfalls nur angenäherte Ergebnisse zu er-
langen.
Dazu kam ein andrer Umstand, der ebenfalls der
Absicht, die Hauptuntersuchung auf Tagesbeobach-
tungen zu gründen, hindernd in den Weg trat. Die
Wohnung, in der ich Unterkommen gefunden, ent-
sprach besser den sanitätlichen, als den astronomi-
schen Anforderungen. Die Villa Lagier, zu dem in
raschem Aufblühn begriffenen Hamma gehôrig, liegt
üstlich von der Stadt Algier, dem herrlichen jardin
d’essai gegenüber, mitten in einer grossen Garten-
anlage, auf zwei Drittel etwa des Abhangs, der sich
gegen Norden von der Hôhe des Sahel zum Meere
hinabsenkt. Dem für den weitaus grüsseren Theil des
Jahres vorherrschenden Bedürfniss nach Schatten war
129
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
130
so reichlich Sorge getragen, dass ich nur auf dem
flachen Dache eines zur Zeit unbewohnten Neben-
gebäudes einigermaassen freien Himmel hatte. Aber
auch hier verschwand mir in den kürzesten Tagen die
Sonne schon um 2 Uhr Nachmittags hinter der gegen
SS W. am hüchsten aufsteigenden Hügelkette; und als
gar Ende Januar auch dieses Haus Einwohner erhielt,
musste ich auf Beobachtungen am Tage so gut wie
ganz verzichten. Andrerseits machten sich bei den
Beobachtungen während der Nacht alle die Rücksich-
ten geltend, die ich für meine Gesundheit zu nehmen
hatte und deren Hintansetzung gewiss sebr bald an
der Sache selbst sich gerächt haben würde.
Obgleich ich somit auf das geeignetste Mittel zur
Erlangung klarer Einsicht in die Eigenthümlichkeit
des Instruments, nämlich auf zusammenhängende,
systematisch angeordnete und längere Zeit fortge-
setzte Beobachtungsreihen verzichten musste, so
glaube ich doch auch durch das, was mir zu thun
môglich gewesen ist, dem vorgesetzten Ziele einige
wichtige Schritte näher gekommen zu sein. Ich habe
nämlich eine sichre Anschauung darüber gewonnen,
was mit dem Instrumente, wie es jetzt ist, bei richti-
ger Behandlung und unter günstigen Umständen über-
haupt erreichbar ist; und bin sodann zu einer Ent-
scheidung darüber gelangt, welche Ânderungen am
Iustrumente ich zunächst vorzuschlagen habe, um
jeue Bedingung der günstigen Umstände, in Bezug
auf welche der reisende Beobachter meistentheils eine
nur sebr beschränkte Gewalt hat, auf ein müglichst
kieines Maass zurückzuführen, den Beobachter also von
diesen Umständen môüglichst unabhängig zu machen.
Was den ersten Punkt betrifft, so wird das Ergeb-
niss, zu dem ich gelangt bin, vielleicht einige Über-
raschung hervorrufen. Ich wage kaum es auszu-
sprechen, und doch zeigen meine Beobachtungen auf
zwingende Weise, dass es môglich ist, mit einem
Pistor-Martins’schen Patentkreise der grüsseren
Dimension, in der Zeit von etwa 40 Minuten eine
Breitenbestimmung zu machen, deren wahrscheinli-
cher Fehler nicht grüsser als 1” ist — wahrlich aller
Ebren werth für ein Instrument, das ein Fernrohr hat
von 9 Linien Offnung (die sich aber noch auf zwei
Objecte vertheilen) mit nur 12maliger Vergrüsse-
rung, und einen Kreis, auf dem der Vernier 10°
giebt! Für den mit der Sache aus eigner Erfahrung
Tome XII.
Vertrauten schwindet aber das Überraschende, sobald
man sich erinnert, dass, so gering dieser wahrschein-
liche Fehler ist, er doch keiner grüsseren Genauig-
keit entspricht, als von jedem einigermaassen geübten
Beobachter verhältnissmässig leicht erreicht wird, so
lange man nämlich nur die Übereinstimmung der ein-
zelnen Bestimmungen derselben Reiïhe in Betracht
zieht. Dass es mir nun aber, wie ich glaube, gelungen
ist, auch die Bestimmungen verschiedener Abende,
trotz der Veränderungen, die inzwischen am Instru-
mente vorgekommen und zum Theil absichtlich vor-
genommen, eben so gut unter einander stimmen zu
machen, ist ein Beweis, dass die bei der Anordnung
der Beobachtungen beabsichtigte Fehlerelimination
wirklich so gut wie vollständig erreicht gewesen. Und
in dieser Beziehung war der Erfolg mir keineswegs
unerwartet. Bei den erwähnten Polhühenbestimmun-
gen beruht nämlich das Ergebniss jedes Abends auf
der Verbindung einer Reihe von Circummeridian-
hühen des Sirius mit einer Reïhe von Hühen des Po-
larsterns, der eine halbe Stunde etwa nach der Cul-
mination von Sirius vom ÿScheitel meines Beobach-
tungsortes genau eben so weit nach Norden absteht,
als Sirius nach Süden. Es kommt demnach der ganze
Vortheil der correspondirenden Hühen zur Geltung,
our noch mit dem weiteren wesentlichen Vorzuge ei-
ner sehr geringen Zwischenzeit: und diesen Vorzug
babe ich in der letzten Zeit noch dadurch zu steigern
gesucht, dass ich die Beobachtungen des Sirius zwi-
schen zwei Reïhen von Polarisbeobachtungen ein-
schaltete. Und wenn ich nun hinzufüge, dass diese
Beobachtungen sämmtlich vom Stative aus gemacht
sind, zum Theil weil ich so merklich genauer beob-
achte, hauptsächlich aber weil dadurch viel sichrer
jede Stürung im Jedesmaligen Zustande des Instru-
ments vermieden wird — zu welchem Zwecke ich auch
beim Übergange von den Süd- zu den Nord-Beobach-
tungen das Instrument auf seinem Platze beliess und
our den künstlichen Horizont auf die andre Seite hin-
übertrug, — und endlich darauf aufmerksam mache,
dass es säimmtlich Nachtbeobachtungen sind, bei denen
also auch die schädlichen Wirkungen ungleicher Er-
wärmung durch die Sonnenstrahlen wegfallen; so wird
man vielleicht nicht mehr den Kopf schütteln zu mei-
ner Behauptung, dass die mit einem Pistor-Mar-
tins’schen Patentkreise aus Beobachtungen an 5 Aben-
9
Bulletin de l’Académie Impériale
132
mm ——————— ——
den erlangte Polhühe der Villa Lagier au Hamma près
Alger 36° 444470 wirklich keinen grüsseren wahr-
scheinlichen Fehler hat als & 0/5.
Âhnliche Resultate kônnen nun erlangt werden für
die Zeitbestimmung durch das Beobachten gleicher
Sternhühen in gleichen Azimuthen vor und nach dem
Ost- und West-Verticale, und für die Längenbestim-
mung durch Verbindung von Mondhôhen mit ent-
sprechenden Sternhühen; und ich will hier nur be-
merken, dass bei keinem Objecte die Beobachtung an
und für sich einen solchen Grad von Genauigkeit hat,
wenigstens für mich, wie grade beim Monde, so dass,
meiner Ansicht nach, unter günstigen Umständen ge-
messene Mondhühen bei weitem das beste Mittel dar-
bieten der absoluten Längenbestimmung durch den
Reflexionskreis. Ich habe natürlich auch dergleichen
Beobachtungen eine nicht geringe Zahl gemacht, eben-
so wie Zeitbestimmungen durch Sterne; ich kann mich
aber auf die dabei erlangten Resultate vor der Hand
nicht weiter berufen, da, abgesehen von der Überein-
stimmung der einzelnen Bestimmuangen jeder Reihe
unter einander, alle weiteren Schlüsse abgeschnitten
werden, bei den Zeitbestimmungen durch die Fehler
der Uhr, und bei den Längen durch die Fehler des
angenommenen Mondorts. Die letzteren aber werden
mit der Zeit bekannt werden und sich in Rechnung
bringen lassen, und dan» zweifle ich gar nicht, auch für
die Länge Resultate aufweisen zu kônnen, die den
oben angeführten Polhühen durchaus ebenbürtig sind.
Dies alles ist nun ohne Zweifel sehr erfreulich; so
sehr, dass es auf den ersten Blick bedenklich erschei-
nen künnte, an einem Instrumente, das so Vorzügliches
leistet, noch wieder Ânderungen vornehmen zu wol-
len. Und doch sind es eben diese Beobachtungen, die
die Berechtigung zn solchem Verlangen erst recht
begründen. Neben den angeführten Resultaten erga-
ben dieselben nämlich aufs deutlichste, nicht nur dass
Jeder Beobachtungsreihe für sich sehr erhebliche con-
stante Fehler anhaften, sondern auch dass diese Feh-
ler, trotz der aufmerksamen und vorsichtigen Behand-
lung, die ich dem Instrumente angedeihen lassen
konnte, Ânderungen erleiden, die jeden Schluss von
einem Tage zum andern sehr unzuverlässig machen.
Es muss demnach unser ganzes Streben dahin gerich-
tet sein, wenn nicht jeder einzelnen Bestimmung, sô
doch einem solchen Complexe, wie auch der reisende
Beobachter bei einiger Umsicht jedes einzelne Mal
sich schaffen kann, den môglichst hohen Grad von
absoluter Genauigkeit zu verleihen. Die Hoffnung
aber, dass in dieser Beziehung ein bedeutender Fort-
schritt verhältnissmässig leicht zu erzielen sein würde,
stützt sich auf folgende Betrachtungen.
Nimmt man die prismatische Gestalt des bewegli-
chen Spiegels aus, so führen diejenigen instrumentel-
len Fehler, deren Einfluss auf den gemessenen Win-
kel von der Grüsse dieses Winkels selbst abhängig ist,
allesammt nur zu Correctionseliedern zweiter Ord-
nuug; wohingesen der Indexfehler, der allein mit sei-
nem vollen Werthe in die Bestimmungen eingeht, für
alle gemessenen Winkel derselbe bleibt. Nun ist auf
die tadellose Gestalt des Spiegels schon aus andern
Gründen môglichste Sorgfalt zu wenden; nämlich um
der Stürung willen, die durch eine merkliche Abwei-
chung vom Parallelismus beider Flächen des Spiegels
die Bilder aller Objecte erleiden würden. Wäre aber
eine kleine Unvollkommenheit in dieser Beziehung
nachgeblieben, so würde sie, da sie ihrer Natur nach ab-
solut constant ist, ein für allemal bestimmt und ihr
Einfluss auf den gemessenen Winkel durch eine Cor-
rectionstafel vollständig unschädlich gemacht werden
kônnen. Andrerseits ist der Einfluss in der Stellung
des Spiegels, oder des Prisma, oder des Fernrohrs
gegen die Ebene des Kreïses, so lange dabei gewisse
Grenzen, wir wollen sagen bis 2 Minuten, nicht über-
schritten werden, geradezu unmerklich für alle Win-
kel, die man überhaupt noch zu messen sich erlauben
darf. Und was endlich den Indexfehler betrifft, so
fehlen weder bei Tage noch bei Nacht die Mittel, ïhn
entweder direct zu bestimmen, oder seinen Einfluss zu
eliminiren.
Es reducirt sich demnach die ganze Frage im We-
sentlichen darauf, ob es nicht môglich sein sollte, ein
Spiegelinstrument herzustellen, untadelhaft in opti-
scher Beziehung und dabeï, ohne erhebliche Vermeh-
rung der Schwere im Ganzen, von solcher Steifigkeit
und so fester Verbindung der Theile unter emander,
dass nicht nur an Ort und Stelle in verschiedenen
Lagen des Instruments, soudern auch auf längeren
Reisen die geometrischen Bedingungen immerfort in-
nerhalb der bezeichneten Grenzen erfüllt blieben.
Ohne der Beantwortung dieser Frage mit zu gros-
ser Zuversicht vorzugreifen, glaube ich doch so viel
133
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
134
sagen zu dürfen, dass die Aussicht auf einen günsti-
gen Erfolg gross genug ist, um einen ernstlichen Ver-
such als eine wahre Pflicht erscheinen zu lassen. Dass
die oben erwähnten, auf meinen Wunsch ausgeführ-
ten Ânderungen an einem schon fertigen Instrumente
den Erwartungen nicht entsprochen haben, darf offen-
bar von einem neuen Versuche nicht abschrecken;
und nach den wiederholten Besprechungen, die ich
bei meiner letzten Anwesenheit in Berlin mit Hrn.
Martins über den Gegenstand gehabt habe, darf ich
hoffen, dass Hr. Martins selbst sich bereit finden
wird, mir seine Hilfe dazu zu leihen. Von welcher
Bedeutung das für die Sache sein würde, bedarf wohl
keiner weitern Auseinandersetzung. Es handelt sich
ja um einen sehr tiefen Eingriff in den Bau des gan-
zen Instruments, und wenn man aus Erfahrung weiss,
welche Umsicht erforderlich ist, selbst bei scheinbar
geringfügigen Ânderungen, damit der mit gutem Grunde
erwartete Gewinn an einer Stelle nicht wieder einge-
büsst werde an einer andern, so erkennt man leicht,
dass der wirkliche Erfolg ganz wesentlich dadurch
bedingt wird, wie weit es gelingt, den Künstler selbst
für die Sache zu gewinnen.
Ich will nun in allgemeinen Zügen die Ânderungen
namhaft machen, deren Ausführung ich für nothwen-
dig oder wünschenswerth erachte.
Den ersten Platz weise ich dabei der Forderung
an, alle Correctionsschrauben, alle ohne Ausnahme,
wegfallen zu lassen, um die Theile, auf deren gegen-
seitige Stellung es ankommt, in den môglichst innigen
Verband mit einander zu setzen. Es scheint mir dies in
der That so wichtig, dass ich darin allein schon einen
bedeutenden Fortschritt erblicken würde. Hr.Martins
macht dagegen geltend, dass dadurch die Herstellung
des Instruments ausnehmend erschwert werde, ohne
dass doch, wenn es nun gelungen, den verlangten Grad
der Berichtigung wirklich zu erreichen, das Fortbe-
stehen desselben in verschiedenen Lagen des Instru-
ments und nun gar auf Reisen verbürgt werden künne.
Ist dies wirklich der Fall, so würde ich freilich be-
kennen müssen, in einem argen Irrthum befangen ge-
wesen zu sein. Ich bin nämlich ganz ernsthaft der
Meinung, dass die vorgeschlagene Vereinfachung des
Instruments grade eine Erleichterung für die Herstel-
lung zur Folge haben würde, und dass die für die Be-
richtigung gestattete Grenze weit genug bemessen sei,
um — natürlich nicht beim ersten Exemplare, wohl
aber wenn einmal alle erforderlichen Einrichtungen
getroffen worden — beim Zusammensetzen des Instru-
ments alles weitern Aneinanderpassens und Nachhel-
fens ganz und gar überhoben zu sein, Aber selbst,
wenn sich dies nicht in dem Maasse bestätigen sollte,
als ich geglaubt habe, so wäre das doch immer nur
eine Kostenfrage; und in ähnlicher Weise würde auch,
wenn man die Kosten nicht scheuen wollte, eine be-
deutende und hoffentlich hinreichende Erhôhung der
Steifigkeit des ganzen Instruments erlangt werden
kôünnen durch die Wahl eines andern Materials, etwa
Aluminiumbronce. Darüber aber wird, denke ich, kaum
eine Meinungsverschiedenheit Statt finden, dass neben
einer wirklichen Erhühung der Brauchbarkeïit und Zu-
verlässigkeit des Instrumentes eine Erhühung des Prei-
ses, selbst wenn dieselbe nicht unerheblich sein sollte,
gar nicht in Betracht kommt. In der That, wenn auch
das Instrument statt 100 Thaler künftig 150 kosten
sollte, so wäre meistentheils der Unterschied doch
gradezu verschwindend neben dem Aufwande, den die
sonstige Ausrüstung eines Reisenden für geographische
Zwecke und noch mehr das Hingelangen an den Ort
des Beobachtens in Anspruch nimmt.
Bei einem Reiseinstrument ist nun aber die zweck-
mässige Verpackung offenbar ein Gegenstand von kaum
geringerer Bedeutung als selbst die gelungene Her-
stellung; und es wird dieselbe desto wichtiger und zu-
gleich schwieriger, je grüssere Anforderungen an die
Constanz des Instruments gemacht werden. An der
bisher üblichen Verpackung habe ich vornehmlich
zwejierlei auszusetzen, nämlich dass das Instrument
beim Hineinlegen wie beim Herausnehmen an Theïilen
gefasst werden muss, die besser unberührt bleiben,
und dass die Wände des Kastens selbst die Stützpunkte
für das Instrument abgeben. Es scheint mir nothwen-
dig, dass auch hier, wie bei allen andern feineren In-
strumenten, die Verpackung gegen ein besondres Brett
geschehe, für welches der Kasten nur die Hülle bil-
det, und dass dabei das Instrument immer nur an der
auch beim Beobachten dienenden Handhabe gefasst
zu werden brauche. Und künnte vielleicht eben dieses
Brett auch zur Aufnahme des Instruments dienen, wenn
man dasselbe, wie beim Beobachten ohne Stativ oft er-
forderlich wird, aus der Hand stellen will, so wäre
der Gewinn ein doppelter. Dabei würde es mir zweck-
9*
135
mässig scheinen, den Kasten ausdrücklich darauf ein-
zurichten, immer mit einer Hand und in verticaler
Lage der Kreisebene getragen werden zu kôünnen, weil
das beim Transporte, namentlich in schwerer zugäng-
lichen Gegenden, auch jetzt schon oft genug vorkommt.
Die Beobachtung vom Stative gewährt an Genauig-
keit des Beobachtens und an Sicherheit für das In-
strument so entschiedene Vorzüge, dass man überall,
wo dieselbe statthaft ist und ein môüglichst genaues
Resultat angestrebt wird, die kleine Mühe der erfor-
derlichen Vorbereitung nicht scheuen sollte. Das Vor-
urtheil gegen den Gebrauch des Stativs gründet sich
auf die frühere weniger bequeme Construction dessel-
ben. Mit einem Stative, wie es mir zu meinem [Instru-
mente geliefert war, wird sich jeder Beobachter leicht
befreunden und sehr bald den grossen Gewinn zu
schätzen lernen, den namentlich die Nachtbeobach-
tungen dadurch erlangen, dass alles Umhersuchen nach
den Objecten und jede Gefahr eines Irrthums beseitigt
ist. In dieser Beziehung ist aber neben der bekann-
ten Knorre’schen Libelle an dem Alhidadenarm noch
eine weitere Libelle, zur Versicherung über die ver-
ticale Lage der Kreisebene, eine wesentliche Zu-
gabe; letztere kann jedoch, wie ich von Hrn. Mar-
tins gelernt habe, auch mit dem Stative verbunden
werden und wird, schon seit einiger Zeit, auf Verlan-
gen mit demselben geliefert. Damit nun aber das Sta-
tiv seine vollen Dienste leisten künne, ist es ganz un-
erlässlich, die Art und Weise der Befestigung des In-
struments auf demselben zu ändern. Jetzt befindet
sich in der Handhabe des Instruments ein Schrauben-
gewinde, in das die Spindel am Ende der Stativaxe
hineinpasst. Die Operation des Aufschraubens ist aber
eine so wenig bequeme und sichre, dass sie eine wirk-
liche Gefahr für das Instrument darbietet; und das
wiederholt sich beim Abschrauben, weil die Schraube
sehr fest angezogen werden muss, um an der Hand-
habe selbst die Drehung um die Stativaxe ausführen
zu künnen. Endlich erleidet dadurch auch die Stellung
des Gegengewichts am Stativ, die wegen der unsym-
metrischen Massenvertheilung am Instrument eine ganz
bestimmte sein muss, immerfort Stürungen. Auf alle
diese kleinen Übelstände genügt es aber aufmerksam
gemacht zu haben; die Mittel zu ihrer Beseitigung
finden sich leicht auf mehr als eine Weise.
Dasselbe gilt von einer Bemerkung, die ich in Be-
Bulletin de l’Académie Impériale
136
zug auf den Vernier zu machen habe. Die übliche
Einrichtung des Doppelverniers ist nicht nur unter
allen Umständen unnütz, sondern häufig gradezu stô-
rend und schädlich. Schon das Ablesen des zweiten,
um 180° abstehenden, Index geschieht nur, um die
jedesmalige Excentricität zu eliminiren, und keines-
wegs, um die Genauigkeit der Ablesung an und für
sich zu erhôhen. Käme es darauf an, so würde eine
feinere Theilung und stärkere Loupe viel wirksamer
sein. Es kommt aber gar nicht darauf an, und so wäre
also das Ersetzen des zweiten Verniers auf jedem der
beiden Alhidadenarme durch ein Paar Theiïlstriche jen-
seits der Null nicht nur eine Erleichterung für die Her-
stellung, sondern ein entschiedener Gewinn für den
Gebrauch des Instruments. Dahingegen wäre vielleicht
eine erhühte Sorgfalt in der Herstellung der Klemme
und feinen Bewegung von praktischem Werthe. Es
ist nicht zu vermeiden, dass der Kreis in anderer
Lage abgelesen wird, als in welcher die Beobachtung
stattgefunden, und da ist dann immer Gefahr vorhan-
den, dass die Feder, die allein die unveränderte Lage des
Index gegen die Theïlung verbürgt, dies nicht voll-
kommen leistet. So wie es jetzt ist, hat der Beobachter
stets darauf zu achten, dass diese Feder immer gehô-
rig gespannt bleibe, was aber bei Beobachtungsreihen
mit abnehmenden Winkeln doch nur zu leicht verges-
seu wird. Auch hiergegen findet sich die Abhilfe leicht,
wenn man die an andern feineren Instrumenten ge-
bräuchlichen Einrichtungen benutzen will; man muss
our erst die Überzeugung gewonnen haben, dass die
grôssere Mühe keine verlorene ist.
Dieses führt nun aber zu weiteren Wünschen und
Vorschlägen, die ich bisher absichtlich unberührt ge-
lassen habe. Alles nämlich, wovon bis jetzt die Rede
gewesen, scheint mir eine so unzweifelhafte Verbes-
serung des Instrumentes, dass ich die sofortige Ausfüh-
ruug für geboten halte, auch wenn damit das letzte
Ziel noch nicht erreicht sein sollte. Daneben aber
habe ich noch manche andere Wünsche, für die ich
freilich nicht eben so unbedingt einzutreten im Stande
bin, die mir aber doch hinreichend begründet schei-
nen, um einen Versuch damit zu wagen; und natürlich
wäre ein solcher Versuch am geeignetsten dann vorzu-
nehmen, wenn man einmal zu Ânderungen am Instu-
ment überhaupt sich entschlossen hat. Ich will nun
aber nicht verschweigen, dass gerade in Bezug auf diese
137
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
1358
weiter gehenden Eingrifte es mir noch nicht gelungen |
ist, die Zustimmung von Hrn. Martins zu gewinnen.
Dies darf weder befremden noch entmuthigen; denn
eine abwehrende und môüglichst conservative Haltung
des Künstlers ist nicht nur vollkommen berechtigt
durch die täglich sich wiederholende Erfahrung, wie
leicht das vorhandene Gute dem môglichen Bessern
vergeblich zum Opfer gebracht wird, sondern kann
bis auf einen gewissen Punkt der Sache selbst nur
zuträglich sein. Die Hoffnung aber, schliesslich doch
noch zu einem Einverständniss zu gelangen, habe ich
so wenig aufgegeben, dass ich vielmehr alle meine
Vorschläge überhaupt nur als eine Anregung betrachte,
von der ausgehend Hr. Martins uns ein Instrument
liefern wird, das wohl noch wesentlich anders gestaltet
sein wird, als ich es mir jetzt denke. Und von diesem
Gesichtspunkte aus wünsche ich auch das Folgende
betrachtet zu sehen, da ich sonst Ursache hätte mit der
Mittheilung desselben noch viel vorsichtiger zu sein.
Unter den verschiedenen Ursachen zu constanten
Fehlern unseres Instruments spielen auch optische Un-
vollkommenheiten eine nicht unwichtige Rolle; eine
Jede solche kann nämlich Veranlassung werden, dass
der Beobachter das Object, und zwar terrestrische
Objecte nicht minder als Sterne, oder die Ränder von
Sonne und Mond, das eine Mal anders auffasst als das
andere Mal. Die rechte Beschaffenheit von Spiegel,
Prisma und Objectiv ist deshalb eine ganz wesentliche
Bedingung eines guten Instruments. Bei aller Aner-
kennung nun der Sorgfalt, die Hr. Martins diesen
Theiïlen zuwendet, indem jedes einzelne Stück einer
strengen Prüfung, zuerst für sich und sodann auch in
der für jedes Instrument gewählten Zusammenstellung,
unterworfen wird, kann ich doch nicht den Wunsch
unterdrücken, dass auch in dieser Beziehung die Rück-
sicht auf etwa erhôübte Kostspieligkeit nicht Veranlas-
sung werde zu einer Herabstimmung der Forderun-
gen. Dass es müglich sei, eine geradezu tadellose Ver-
glasung zu beschaffen, kann nicht wohl bezweifelt wer-
den, wenn man bedenkt, was an andern Instrumentenr
mit sehr viel grüsserer optischer Kraft erreicht wird;
und es will mir scheinen, als ob auch hier die auf
eine môglichst vollkommne Herstellung der einzelnen
Theile verwandte Mühe wieder eingebracht werden
würde durch den Wegfall jedes weiteren Aussuchens
und Abgleichens. Eine Grenze der zulässigen Abwei-
chung von strenger Erfüllung der Forderungen in Be-
zug auf Homogeneität der Gläser und richtige Gestalt
ist hier nicht eben so leicht anzugeben, wie oben in
Bezug auf die gegenseitige Lage der verschiedenen
Theiïle; es muss eben die Forderung geltend gemacht
werden, dass bei der zur Anwendung kommenden op-
tischen Kraft durchaus keine Abweichung zu spüren
sei, wovon natürlich nur eine Prüfung mit stärkerer
Vergrüsserung die Versicherung geben kônnte.
Neben dieser allgemeinen Forderung will ich aber
doch auf zwei Punkte noch besonders hinweisen, die
mir in der bisherigen Praxis nicht hinreichend beachtet
scheinen. Sind bei dem Prisma die Neigungswinkel
der beiden Kathetenflächen gegen die Hypotenusenflä-
che einander nicht vollkommen gleich, so hat dies auf
die Messung an und für sich freilich keinen Einfluss,
indem es gewissermaassen nur den Winkel der opti-
schen Axe gegen das Prisma ändern würde; gewiss
aber leidet die Güte der durch ein solches Prisma
vermittelten Bilder, indem ein Theil der Farbenzer-
streuung nachbleibt, Und etwas Âhnliches wird eintre-
ten, wenn bei der Berichtigung des Prisma nur die
Hypotenusenfläche und nicht auch die Kathetenflä-
chen, also die Kanten, senkrecht gegen die Kreisebne
gestellt werden. Dass dadurch wirklich an Schärfe
des Bildes eingebüsst wird, davon hat man Gelegen-
heit sich zu überzeugen, wenn man bei grüsseren In-
strumenten mit gebrochenem Fernrohr einen etwaigen
Collimationsfehler durch ein Neigen des Prisma zu
corrigiren sich erlaubt und nicht, wie es allein ge-
schehen sollte, durch ein Verschieben desselben, paral-
lel mit sich selbst, in der Richtung der optischen Axe
des Objectivs, damit jedenfalls die Kathetenflichen
vom eintretenden wie vom austretenden Strahl senk-
recht durchschritten werden.
In dieser Beziehung ist nun aber die Aufstellung
des Prisma im Pistor-Martinsschen Patentkreise
überhaupt eine sehr ungünstige, indem beim Eintritt
sowohl wie beim Austritt der Lichtstrahl sehr starke
Brechung erleidet. Dies ist jedoch durchaus keine
nothwendige Folge der aus andern Gründen vortheil-
haften oder geradezu erforderlichen Anordnung der
Theile; man brauchte eben nur dem Prisma selbst
eine andere Gestalt zu geben, die bedingt wird durch
den Winkel, den die spiegelnde Fläche desselben ge-
gen die optische Axe des Fernrohrs bilden soll. Be-
139
trägt dieser Winkel 15’,
schen Patentkreise sehr nahe der Fall ist, so wäre ein
Prisma, dessen Querschnitt ein gleichschenkliges Drei-
eck bildet mit Winkeln von je 72° an der Basis und
36° an der Spitze, dasjenige, bei welchem, wenn es
sonst richtig gestellt ist, gar keine Brechung Statt
finde. Ich bin geneist die Einführung eines solchen
Prisma für eine merkliche Verbesserung des Instru-
ments zu halten; Hr. Martins aber hat verschiedene
Bedenken dagegen erhoben. Er sagt: «Æin solches
Prisma würde eine um die Hälfte längere spiegelnde
Seite erfordern als ein rechtwinkliges, bei gleicher
Lichtüffnung. Es würde dasselbe so lang werden wie
ein Spiegel, also eben so lang wie der Alhidadenspie-
gel. Damit fällt die ganze Construction über den Hau-
fen, deren Mangel schon jetzt darin besteht, dass das
Fernrohr so weit herausrückt; dies ist jedoch ein un-
vermeidlicher Mangel und muss schon mit in den Kauf |
genommen werden. Aber es fehlt nicht nur an Raum,
auch die grüssere Schwere, der längere Weg durch
Bulletin de l'Académie Impériale
die Glasmasse und der mehr als doppelte Preis sind
wichtige Momente; die grüssere Glasmasse verschluckt
nicht nur mebr Licht, sondern ist auch viel weniger
homogen — kurz: die Nachtheile werden durch die
Vortheile nicht aufgewogen.» Nun ich habe oben schon
gesagt, dass ich diese Meinung nicht theile, auch nicht
nach reiflicher Erwägung der angeführten Bedenken.
Ob das zu verwendende Prisma 5 Thaler oder 10 oder
15 kostet, ist von gar keiner Bedeutung, und dass
man, ich môüchte fast sagen beliebig grosse, Glasmas-
sen finden kann, bei denen eine 12malige Vergrüsse-
rung auch keine Spur eines Mangels an Homogeneität
zu entdecken vermüchte, ist wohl nicht zu bezweifeln.
Ob die Vergrôsserung des Verlustes an Licht durch
den längeren Weg im Glase nicht mehr als aufgewo-
gen wird durch die Verminderung des Verlustes beim |
Durchschreiten der beiden Durchgangsflächen, wird
zumeist von der Beschaffenheit des Glases abhängen;
bleibt also nur die grüssere Schwere und der Mangel
an Raum. Das erstere muss ich in der That als einen
Übelstand gelten lassen, und das um so mehr als die
zuverlässige Befestigung des Prisma noch erschwert
ist durch den Umstand, dass man mit dem Fernrobr
frei über das Prisma muss wegsehen künnen. Ich komme
indess hierauf noch wieder zurück und will jetzt nur
den Einwand des mangelnden Raums widerlegen, der,
140
wie beim Pistor-Martins’-| wenn er begründet wäre, ja für sich allein hinreichen
würde, mein Prisma unmôglich zu machen. Dass das
Prisma, wenn keine Brechung Statt finden soll, caete-
ris paribus grüssere Dimensionen erhalten muss, ist
freilich richtig, so wie dass eine derartige Ânderung
gewiss nicht ohne weiteres in’s Werk gesetzt werden
dürfte. Denn das will ich doch nicht unterlassen hier
ausdrücklich auszusprechen, dass das Instrument in
seiner jetzigen Gestalt ein wirklich sehr wohl dureh-
dachtes ist. Der Winkel, bis zu dem hin eine Messung
noch môglich sein soll, der Neigungswinkel der opti-
schen Axe gegen die spiegelnde Fläche des Prisma,
der Ort von Prisma und Fernrobr in Bezug auf den
im Mittelpunkt des Kreises befindlichen Alhidadenspie-
gel, die Dimensionen von Spiegel und Prisma bei ge-
gebener Offnung des Fernrohrs — das alles bedingt
sich unter einander in strenger Weise, und die Besorg-
uiss, durch eine vermeintliche Verbesserung zu verlie-
ren statt zu gewinnen, ist gewiss eine ganz berech-
tigte. Aber alles dies gebührend erwogen, steht doch
einer Verlängerung des Prisma, so viel ich jetzt ein-
sehe, nichts Ernstliches entgegen. Alle wesentlichen
Theiïle bleiben davon unberührt, und namentlich wäre
ein noch weiteres Herausrücken des Fernrohrs gar
nicht nôthig. Der erforderliche Raum nämlich ist
schon jetzt vorhanden und nur eingenommen von den
Blendgläsern. Dass deren immerfort 6 am Instrument
befindlich sind, ist gar nicht einmal bequem. Es würde
genügen, nur einen Rahmen zu haben, in den jedes-
mal das erforderliche Glas hineingesteckt werden
künnte: oder noch bequemer, jedes Blendglas hat seine
Fassung für sich und daran einen 4kantigen Stift,
mit dem es je nach Bedürfniss in ein entsprechendes
Loch des Instruments gesteckt wird.
Sind aber Ersparniss an Raum und Abkürzung des
Weges, den der Lichtstrahl im Innern des Prisma zu
durchlaufen hat, wirklich von einiger Bedeutung, so
findet vielleicht ein weiterer Vorschlag, den ich befür-
worten müchte, günstige Aufnahme. Was hindert, die
Theilung des Objectivs in die beiden Hälften für
das directe und das doppelt reflectirte Object, statt
nach dem Durchmesser parallel der Ebene des Kreï-
ses, nach dem darauf senkrechten Durchmesser vor-
zunehmen? also statt einer obern und untern Hälfte
eine rechte und linke zu schaffen? Spiegel und Prisma
werden dan» freilich noch einmal so hoch, nämlich
IA
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
142
gleich dem ganzen Durchmesser des Objectivs, aber
our halb so lang wie bisher; und zu gleicher Zeit wird
der Weg jedes Lichtstrahls durch das Prisma auf die
Hälfte reducirt. Für eine solche Ânderung spräche
ferner auch der gewiss nicht unerhebliche Umstand,
dass es dann nicht mebr erforderlich wäre, den Raum
oberhalb des Prisma frei zu halten; er künnte also zu
besserer Befestigung des Prisma verwandt werden,
was bei der dann doppelten Hôühe desselben gewiss
von Belang wäre. Unter den Bedenken aber, die Hr.
Martins gegen meinen Vorschlag erhoben hat, er-
scheint mir als das bedeutendste die Besorgniss, dass
die Conturen des Bildes grade an den Stellen, wo nun
bei der Beobachtung die Berührungen Statt finden
müssten, an Schärfe verlieren würden. Ich muss jedoch
gestehen, über das Nähere hierbei keine deutliche Vor-
stellung zu haben. Dass beim Heliometer Stôrungen
des Bildes vorkommen, ist freilich bekannt, so wie
dass diese Stürungen grade in der Richtung senkrecht
zur Schnittlinie am stärksten hervortreten. Dies darf
aber doch nicht so ohne weitereres auf Sextantenfern-
rôbhre übertragen werden, und selbst wenn die Erschei-
nung dieselbe wäre, so käme es doch eben auch auf die
Quantität an. Nun will ich darauf, dass eine aufmerk-
same Betrachtung der Ränder des Sonnenbildes mir
keine irgend bemerkbare Diformität an den Stellen ge-
zeigt hat, deren Tangenten dem theilenden Durchmesser
des Objectivs parallel sind, kein übermässiges Gewicht
-legen, meine aber doch, dass die endgiltige Entschei-
dung nur durch einen mit aller Sorgfalt ausgeführten
Versuch zu erlangen ist, und dass die Sache eines sol-
chen Versuchs wohl für werth erachtet werden darf.
Bei dem Instrument, wie ich es mir denke, bleibt
für die jedesmalige Messung nur eine einzige instru-
mentelle Bestimmung erforderlich, die des Indexfeh-
lers. Diese hat aber genau dieselbe Bedeutung wie
die Messung an sich, und wenn man bei der bisheri-
gen Praxis für eine lange Reïhe von Mittagshôhen mit
einer oder zwei Bestimmungen des Indexfehlers sich
begnügt — und wie viele Beobachter halten nicht auch
das schon für überflüssig! — so ist das von vorn her-
ein ein Verzichten auf die volle Leistungskraft des
Instruments. Dass dabei nicht auf einen wahrschein-
lichen Fehler von 1” zu rechnen sei, weiss jeder Be-
obachter zur Genüge: aber freilich weiss er auch, dass
eine ôfter wiederholte directe Bestimmung des Index-
fehlers ihn nicht wesentlich weiter führen würde. Das
kann eben auf keine andre Weiïse geschehen, als nur
durch das Hinzufügen einer zweiten Beobachtungs-
reihe, die so beschaffen ist, dass der Indexfehler den
entgegengesetzten Einfluss ausübt; und dies ist die
Bedeutung des Combinirens von Hühen Nord und Süd
für die Polhühe, oder Ost und West für die Zeitbe-
stimmung, oder von Abständen rechts und links für
die Länge aus Monddistanzen. Die Anwendung dieses
Hilfsmittels wird aber häufig beeinträchtigt durch den
Mangel an geeigneten Objecten oder durch eine mehr
oder weniger lange Zwischenzeit, die die Chance für das
Erhalten der correspondirenden Beobachtung über-
haupt vermindert und zu gleicher Zeit die Gefahr einer
môglichen Veränderung im Instrument erhôht. Wie
wichtig also, wenn es ein Mittel gäbe, an demselben Ob-
jecte, zu derselben Zeit die erforderliche zweite Beob-
achtungsreïhe zu gewinnen. Nun, ein solches Mittel
giebt es; es ist die sogenannte cross-observation, die Be-
obachtung des Ergänzungswinkels zu 360°. Leider aber
ist ihre Anwendung beim jetzigen Bau des Instruments
our auf verhältnissmässig wenige Winkel beschränkt,
und auch für diese mit mancherlei Unbequemlichkeit
verbunden; — sie bequemer zu machen und auf müg-
lichst verschiedene Winkel auszudehnen, wäre ein
ganz ausserordentlicher Fortschritt und eine sehône
Aufgabe für den Scharfsinn des Künstlers. Was sich
zunächst darbietet, ist ein Vertheilen des eigentlich
messenden Apparats (Limbus und Alhidadenarme) und
des optischen (Spiegel, Prisma, Fernrohr) auf die bei-
den verschiedenen Seiten des Kreises. Dadurch würde
vämlich eine Drehung des Spiegels durch alle 360°
ermôglicht, was jetzt durch das Anstossen der Alhida-
denarme an Prisma und Fernrohr behindert ist. Dass
eine solche Forderung leichter hingestellt als ausge-
führt ist, weiss ich sehr wobl; wenn aber Hr. Martins
entgegen hält, dass eine solche Anordnung nach allen
Erfahrungen, wegen der Torsion des Zapfens, verwor-
fen worden ist, so muss ich denn doch geltend machen,
dass dies kaum eine Anwendung finden dürfte bei ei-
nem Instrumente, bei dem man kein Bedenken trägt,
Hemmung und feine Bewegung von Alhidade gegen
Limbus an der Peripherie wirken zu lassen. Aber
freilich hängt das Verhältniss zwischen der Grüsse
der Torsion des Zapfens und der Biegung der Spei-
chen wesentlich ab von der Siärke des Zapfeus, um den
143
Bulletin de l’Académie Impériale
144
ES
die Drehung geschieht; je dicker derselbe ist, desto | mittags; der Punkt am Sonnenrande, wo sich der
crôsser ist die Friction in der Büchse und also auch cue-
teris paribus die Durchbiegung der Speichen, während
die Torsion abnimmt, und vice versa. Sollte das viel-
leicht ein Grund sein der ausnehmenden Feinheit die-
ses Zapfens in den jetzigen Patentkreisen? Ich würde
nun jedenfalls, d. h. auch abgesehen von der Rücksicht
auf Torsion, wünschen, dass derselbe mindestens dop-
pelt so stark gemacht würde; und sollte dann etwa
die Biegung merklich werden, so wäre es geboten,
Hemmung und feine Bewegung vom Centrum aus wir-
ken zu lassen. Môglicher Weise künnte eben dies auch
der cross-observation zu Statten kommen, bei welcher
das weite Fortrücken der Schraube für die feine Be-
wegung gar unbequem ist.
Ausser den hier mehr oder weniger eingehend be-
sprochenen Dingen ist nun noch mancherlei Anderes
vorhanden, was bei ernstlichem Nachdenken über das
Instrument, und wenn man einmal den Entschluss ge-
fasst hat, Ânderungen an demselben zuzulassen, sich
als wünschenswerth darstellt. Das Gesagte wird aber
vollauf genügen, die Überzeugung zu begründen, erst-
lich, dass das Instrument, auch wenn nur ein Theil
dessen, was ich jetzt angeregt habe, sich als wirklich
ausführbar erweisen sollte, ein gewissermaassen neues
und wir dürfen hoffen in vieler Beziehung vorzügli-
cheres geworden sein wird; und ferner, dass, wie ich
oben schon ausgesprochen, eine Aussicht auf Erfolg
lediglich in dem Maasse offen steht, als es gelingt,
den ausführenden Künstler für die Sache zu erwär-
men. Wenn er an der einen Stelle vielleicht nicht so
weit zu gehen sich entschliessen sollte, als es mir im
Augenblicke gerathen scheint, so kann es andrerseits
nicht fehlen, dass er an andern Stellen weit darüber
hinausgeht.
Die Sonnenfinsterniss vom 6. März |22. Februar|
1867, von A. Moritz in Tiflis. (Lu le 23 mai 1867.)
(Mit einer Tafel.)
Zum 6. März n. St. wurde eine Finsterniss erwartet,
welche für den mittleren Theïl des Europäischen Russ-
lands ringformig, für uns Kaukasier aber nur eine par-
tielle, nicht bedeutende Sonnenfinsterniss sein sollte.
Unser Kaukasischer Kalender brachte uns darüber,
unter Anderem, folgende Vorausbestimmungen (Seite
73): An Tiflis beginnt die Finsterniss um 0° 6” Nach-
erste Einschnitt zeigt, liegt von der hüchsten Stelle
der Sonnenscheibe rechts um 84 Grad, d. h. um
des ganzen Umfangs der Sonne. Die Grüsse der Fin-
sterniss ist 6 Zoll, d. h. die grüsste Breite des Ab-
schnitts, welche vom Monde bedeckt wird, ist ®,, des
ganzen Sonnendurchmessers. Das Ende der Finsterniss
erfolgt um 2’ 44" Nachmittags. Der letzte Einschnitt
verschwindet grade am hüchsten Punkte der Sonnen-
scheibe.» Obgleich eine so unbedeutende Finsterniss
an und für sich kein grosses Interesse beanspruchen
kann, so glaubten wir dennoch, das Phänomen nicht
ganz unbeachtet vorübergehen lassen zu dürfen, und
rechneten deshalb unsererseits ebenfalls die Hauptmo-
mente für Tiflis aus, mit Zugrundelegung der Angaben
des Nautical Almanac. Unsere Berechnung stimmte
aber schlecht mit den Angaben des Kaukasischen Ka-
lenders. Wo lag der Fehler? bei uns oder im Kalender ?
Eine sichere Antwort auf diese Frage musste das Phä-
nomen selbst geben, das dadurch an Interesse bei
uns nicht unwesentlich gewann. Deshalb richteten
wir unsere Vorbereitungen zur Beobachtung der Son-
nenfinsterniss so ein, dass selbst bei nicht ganz gün-
stiger Witterung wo môüglich ein astronomisches Mo-
ment erhascht werden konnte, das unsere Zweiïfel zu
lüsen geeignet war. Dazu wurde am Uranoskope, wel-
ches eine parallactische Aufstellung bat, ein Fernrohr
von 335" Länge (Objectiv-Offnung 29,7"", Vergrüs-
serung 27fach) angebracht, in welchem die ganze
Sonnenscheibe mit einem Male übersehen werden
konnte; im Focus des Fernrohrs wurde ein Netz von
sehr vielen vertikalen und horizontalen Fäden aufge-
spannt, welche das Gesichtsfeld in eine Menge symme-
trisch um den Mittelpunkt gruppirter Quadrate theilt,
und die Stunden - Axe erhielt eine Mikrometerbewe-
gung, um das Sonnenbild bequem in der Mitte des
Gesichtsfeldes erhalten zu kônnen. Die Uhrcorrection
sollte schon vorher an dem Meridiankreise bestimmt
werden; das seit dem 22. (10.) Febr. anhaltend trübe
und regnerische Wetter vereitelte jedoch diesen Plan.
Erst wenige Stunden vor dem Beginne der Finsterniss
klärte sich der Himmel durch einen NW.-Wind auf,
der aber so heftig war, dass es nur mit Mübhe gelang,
vorher 2 Sterne zu beobachten: 4 Sterne aber, die
während, und 4 andere, die nach der Finsterniss mit
Ertolg beobachtet werden konnten, gaben die Correc-
145
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
146
————
tion des (Taschen-) Chronometers mit einer Genauig-
keit, die für den vorgesetzten Zweck mehr als hinrei-
chend war.
Wir sahen Folgendes: Die Finsterniss begann 99°
rechts vom hôchsten Punkte der Sonnenscheibe um
0° 7" 50:6 mittl. Tiflis’scher Zeit; ihre Grüsse stieg
bis auf 8//, Zoll, wobei die Dunkelheït recht auffallend,
aber doch nicht hinreichend stark war, um Sterne mit
blossem Auge sehen zu künnen; besondere Erscheinun-
gen am Sonnen- oder Mondrande keine; das Ende der
Finsterniss erfolgte links von dem hüchsten Punkte der
Scheibe etwa 14° um 2” 57” 13;8. Alles dieses stimmte
vortrefflich mit unseren Vorausberechnungen, im Wi-
derspruche mit dem Kalender').
Beschäftigt mit astronomischen Beobachtungen,
konnte ich natürlich keine sehr specielle Aufmerksam-
keit den Veränderungen widmen, welche gleichzeitig
in der Atmosphäre vorgingen; diese bieten ja aber auch
nicht viel Interessantes, so lange eine Sonnenfinster-
niss our partiel ist, zumal wenn ein Witterungswechsel
gleichzeitig im Gange ist, dessen Intensität die schwache
Wirkung des Mondschattens vielmals übertreffen muss,
wie es dieses Mal bei uns der Fall war. Dennoch
konnte es mir nicht entgehen, wie auch jetzt der Ein-
fluss der Finsterniss sich bemerkbar machte an den An-
gaben der Thermometer, namentlich derer, welche mit
geschwärzter Kugel dem Einflusse der Sonnenstrahlen
ausgesetzt sind. Im Schatten beobachteten wir ein Psy-
chrometer,welches in der Mitte eines geräumigen (etwa
24G0 Cub. Fuss haltenden) Anbaues aufgestellt ist, des-
sen Dach und Wände aus Brettchen in Form der Fenster-
1) An demselben Tage berichtete ich (22. Febr. sub NV 24) an
die Haupt-Verwaltung des Statthalters von Kaukasien über meine
Beobachtung der Sonnenfinsterniss und über die Nicht- Überein-
stimmung meiner Resultate mit den Angaben des unter ihren-Au-
spicien veréffentlichten Kalenders. Acht Tage später lasen wir in
unserer Zeitung Kawkas (NV 18 vom 2. [14.1 März) Folgendes: «Über
die Sonnenfinsterniss vom 22. Februar 1867. (Mitgetheilt vom Astro-
nomen des Nikolajew’schen Observatoriums K. Ch. Knorre.) Ein
Fehler im Berliner Jahrbuche für 1867 hat Einfluss gehabt auf die
im Kaukasischen Kalender gegebene Beschreibung der Einzelhei-
ten dieser Finsterniss für Tiflis. Jene Beschreibung muss durch
folgende ersetzt werden: In Tiflis beginnt die Finsterniss um om
mittl. Zeit. Der Punkt am Rande der Sonne, wo sich der erste Aus-
schnitt zeigt, liegt rechts vom untersten Punkte der Sonnenscheibe
um 81°, d. h. um #/,9 der ganzen Sonnen-Peripherie. Die Grüsse
der Finsterniss ist 81/, Zoll, d. h. die grüsste Breite des Abschnitts,
der vom Monde bedeckt wird, ist 81/, solcher Theile, deren 12 dem
Durchmesser der Sonne gleich sind. Das Ende der Finsterniss er-
folgt um 24 58" Nachmittags. Der letzte Ausschnitt verschwindet
13° links von der hôchsten Stelle des Randes der Sonne.»
Tome XII.
Jalousien zusammengefügt sind ; die Luft hat somit voll-
kommen freien Zutritt zu den Thermometern, ohne dass
diese jedoch der Einwirkung directer Ein- und Aus-
strahlung ausgesetzt sind. Vor dem Beginne der Fin-
sterniss war im Laufe einer Stunde (von 11 bis 12 Uhr)
das trockne Thermometer um 172, das feuchte um 0°4
gestiegen; während der ersten Stunde sank das trockne
um 072, während das feuchte constant blieb, dann aber
begannen beide zu sinken und standen um 2 Uhr etwa
einen halben Grad niedriger, als sie um 1 Uhr gezeigt
hatten, wonach ein merkliches Steigen bis zum Maximo,
etwa um 4 Ubr, eintrat. Es spricht sich hierin nicht bloss
der unmittelbare Einfluss der Verdeckung der Sonnen-
scheibe auf die Temperatur der gesammten Luftmasse
aus, sondern auch die Nachwirkung, die das Tempe-
ratur-Maximum auf eine so späte Nachmittagsstunde
verschiebt, wie solches hier in dieser Jahreszeit nicht
statizufinden pflegt. Für das Eintreten des Temperatur-
Minimums später als des Licht-Minimums, also für eine
Nachwirkung in der Weise, wie wir sie täglich nach
Sonnenaufgang wahrnehmen, sprechen auch die Beob-
achtungen, welche ganz unabhängig von uns in einem
etwa 3 Werst südlich vom Observatorio gelegenen
Theile der Stadt während der Finsterniss angestellt
worden sind, und die ich der freundlichen Mittheilung
des Hrn. Ingenieur-Hydraulikers Nüschel verdanke.
Sein Thermometer befand sich in der Schlucht Sololaki,
auf der Nordseite seiner Wohnung, im Schatten. Im
Laufe der ersten Stunde, von 0", bis 1”, Ubr, sank
es um fast *, Grad, in den darauf folgenden 10 Minu-
ten um ‘/, Grad und dann innerhalb 20 Minuten noch
um ‘/, Grad, wobei die Zeit der Mitte der Finsterniss
bereits überschritten war; das Steigen erfolgte dann
langsam, erreichte am Schlusse der Finsterniss 1 Grad,
blieb aber doch noch um ‘/, Grad hinter der Tempera-
turzurück, welche bald nach dem Beginne der Finster-
niss notirt worden war.
Für die Sonnenthermometer ist auf einem freien
Platze des Hofs nahe bei dem Observatorio ein Pfosten
von 4 Fuss Hühe errichtet, auf welchem zwei Stative
nahe bei einander befestigt sind, deren jedes ein Ther-
mometer mit berusster Kugel trägt. Das eine dieser
Thermometer (N 1)ist ein gewühnliches, vertical mit der
Kugel nach unten aufgehängtes. Es wird direct durch
die Sonnenstrahlen erwärmt, durch Strahlung gegen
den Weltraum abgekühlt und erleidet ausserdem noch
10
147
HBulletin de l’Acadéimie Hmpériale
148
mm
Erwärmung oder Abkühlung durch die umgebende
Luft und die jedesmaligen Winde. Das andere Ther-
mometer steht dagegen geneigt, in der Richtung der
Weltaxe, mit der Kugel nach dem Südpole. Es ist in
eine weite Glasrübre mit Kugel von 2°, Zoll Durch-
messer eingeschlossen, woraus die Luft sorgfältig aus-
gepumpt worden ist; durch eine solche Aufstellung des
Thermometers im Vacuo erhält man ein Instrument,
das our der Insolation und Wärme- Ausstrahlung aus-
gesetzt ist, und auf welches die umgebende Luft und
die Winde einen fast verschwindend kleinen Einfluss
haben. Seit 1', Jahren lasse ich die Angaben jedes
dieser Thermometer am Anfange jeder Tagesstunde
(auch in der Nacht) aufzeichnen, mit alleiniger Aus-
nahme der Stunden, zu welchen es regnet, oder wenn
ein dichter Nebel auf uns lagert. Ohne in eine nähere
Discussion der Angaben dieser beiden Sonnenthermo-
meter während des Finsterniss-Tages einzugehen, will
ich nur bemerken, dass vom Beginne der Verfinste-
rung bis zu ihrem Maximo die Temperatur nach X 1
um 3°, nach Ÿ 2 um 17° sank und dann bis zum Ende
um 4° und 15° stieg, und dass die vorerwähnte Nach-
wirkung recht deutlich bei MX 1, nicht aber bei X 2
bemerkbar wird.
Ob die geringe Depression des Barometerstandes,
welche um 1 Uhr bemerkt worden ist, dem Einflusse
der Sonnenfinsterniss zuzuschreiben ist oder nicht,
wage ich nicht zu entscheiden. Der Dunstdruck, die
relative Feuchtigkeit, die Windrichtung und die Bewül-
kung sind aber wohl jedenfalls von ihr nicht merklich
afficirt worden; ebenso scheint mir kein hinreichender
Grund dazu vorhanden zu sein, um die stattgefundenen
Variationen in der Richtung und Intensität des Erd-
magnetismus durch die Finsterniss erklären zu wollen.
Auf der angehängten Tafel I findet man alle am 6. Mäürz
von 6 Uhr Morgens bis 9 Uhr Abends gemachten Beob-
achtungen zusammengestellt.
Ausser den eben erwähnten Beobachtungen sind in
Tiflis keine angestellt worden, so viel mir bekannt ist.
Unsere Besucher (bei der bekannten Schaulust unseres
Publicums konnte es natürlich nicht daran fehlen!)
begnügten sich das «Himmels- Wunder» anzustaunen,
oder uns auszuforschen, weshalb am Himmel nicht all-
Jäbrlich ein solcher «Schwindel» vorkomme? Dafür ha-
ben wir aber aus Stawropol einen sehr dankenswerthen
Beitrag erhalten, von unserem seit Jahren unermüd-
lich thätigen Correspondenten, Hrn. Obrist Zito-
witsch, der dort während der Finsterniss in Zwischen-
räumen von je » Minuten ein Thermometer im Schat-
ten und ein anderes in der Sonne aufgezeichnet hat.
Aus diesen Beobachtungen geht unter Anderem hervor,
dass die Temperatur-Abnahme erst 20 Minuten nach
dem Eintritte der Finsterniss begonnen hat, dass sie
von 3 Grad im Schatten und 9 in der Sonne über dem
Gefrierpunkte sich bis nahezu 1°, Grad unter dem
Gefrierpunkte erstreckte, dass die Nachwirkung im
Schatten sehr bedeutend, in der Sonne dagegen kaum
merklich war, und dass dort die Temperatur am Ende
der Finsterniss nicht mehr dieselbe Hühe erreichte, die
sie beim Beginne derselben gehabt hatte. In dem Briefe
(vom 17.[29.] März), bei welchem mir Hr.Zitowitsch
seine schätzbaren Beobachtungen zuschickte, heisst
es: «Da wir keine Instrumente zur Messung der fort-
schreitenden Veränderung der Sonnenscheibe hatten,
so konnten wir die Momente der atmosphärischen Ver-
änderungen nicht in directe Beziehung bringen zu dem
Gange des Ausschnitts, den der Mond auf der Sonnen-
scheibe bildet; nach einer Schätzung mit unbewaffne-
tem Auge betrug aber die grüsste Verfinsterung etwa *,
des scheinbaren Sonnendurchmessers. Der erste Ein-
schnitt zeigte sich am westlichen Rande der Sonne,
etwa 2 Grad südlich von ihrem horizontalen Durchmes-
ser. Die Verfinsterung begann um 11 Uhr 56 Minuten
Vormittags und endete um 2 Uhr 45 Minuten Nach-
mittags, nach hiesiger mittlerer Zeit. Während des Ma-
ximums der Finsterniss war die Verminderung der Hel-
ligkeit sehr bedeutend, etwa so, wie die Dämmerung
beim Aufgange oder Untergange der Sonne zu sein
pflegt. Sterne wurden nicht gesehen, obgleich der Him-
mel ganz heiter war. Während der Finsterniss wurden
nach je 5 Minuten beobachtet: die Temperatur in der
Soune, die Temperatur und Feuchtigkeit im Schatten,
der Luftdruck, die Richtung und Stärke des Windes
und die Bewülkung. Die Barometerbeobachtungen ha-
ben zu keinen besonderen Resultaten geführt; denn die
unbedeutende Verringerung des Luftdrucks, welche sich
zeigte, stimmte eben nur mit den gewühnlichen stünd-
lichen Variationen überein.»
Die Stawropolschen Beobachtungen findet man auf
der Tafel IT. Zu beiden Tafeln (I und IT) sei es bemerkt,
dass die Temperaturen in Réaumur’schen Graden
angegeben sind, und dass sowobl der Luftdruck als auch
149
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
=
150
der Dunstdruck in russischen halben Linien, d. h. Zwan-
zigsteln des Englischen Zolls ausgedrückt ist (reducirt
auf die Normaltemperatur 13°/,° R.). Den magnetischen
Beobachtungen am Tage der Finsterniss habe ich die
des vorhergehenden und nachfolgenden Tages beige-
fügt. Das Unifilar-Magnetometer befindet sich südlich
von der Theiïlung, auf welcher die Zahlen von West
nach Ost wachsen:; 1 Theil der Scala entspricht 58,386.
Das Bifilar steht üstlich von der Theilung, die von
L Beobachtun
Süd nach Nord wächst, mit einem Theïilwerthe von
0,00013819; dieTemperatur+8°35 R. hatte sich wäh-
rend der ganzen Zeit (3Tage) gar nicht geändert.
Zum Schlusse füge ich noch eine Tafel bei, wel-
che die auf Tafel I und II gegebenen Zahlenwerthe
graphisch zur Anschauung bringt. Man übersieht dar-
aus auch unter Anderem, wie in dem Steppenklima von
Stawropol Erwärmung und Abkühlung etwa 2, mal
rascher sind, als in Tiflis.
gen'in Tiflis.
A. Im Observatorio,
à Temperatur. Druck
Ës : TETE | $ FEU 3
85 |£—S É LE W in d. Himmelsansicht.
6 0—02|—1,7|—0,5 _- 0,2|572,28| 2,48 | 0,69 | NW.stark. | Zerstreute Wolken (64 30’ Auf. ©).
7 —| 00!—16|—03! 00157295] 246 | 0,68 id. id. (© verdeckt)
8 04|1—08| 30! 230/57341| 2,84 | 075 | id. id.
9 0,8|—04| 54| 29,2]574,08) 2,96 | 0,75 | N. mässig id.
100 1,6| 0,2| 4,9] 30,0|574,52| 3,00 | 0,71 id. Dünne Wolken.
11 2,6| O,I 5,5 | 928,41574,66| 2,42 | 0,52 id. Wolken am Horizont.
0 —| 38! 05! 76| 29,7|574,66 2,14 | 041 id. id. (Anf. d. © Finst.)
1 —| 3,6 0,5 5,5| 18,81574,34] 2,22 | 0,44 id. Klar (Sonnenfinsterniss).
NS) SL PR A RO D 4,5 | 19hul 02e: N. schwach. id. (Mitte der © Finsterniss).
= asc AN EN Séecaolenveni|lncoce id. id. (Sonnenfinsterniss.)
RASE) mt SANnE6 [ALU le DARCE EE PER id. id. id.
2,010) 3,1 0,1 5,1, 16,2|574,68| 2,16 | 0,44 id. id. id.
3 —| 44! 0,7 8,5 | 28,1|574,88| 2,02 | 0,37 NW. schwach. id. (Ende der © Fiusterniss).
4 —| 45| o08| 84| 2521574686) 206 | 0,38 id. id.
5 —| 42| 03 7,2| 19,4)574,82| 1,80 | 0,33 Still. id. (54 55’ Untergang ©).
6 —| 26/—0,4| 17| 2,11574,93| 2,22 | 0,47 id. id.
T7 —| 1,3|—1,0|—0,2 0,3|575,11| 2,36 | 0,56 |W. sebr schwach.| id.
8 !Ù 0,7|—1,2|—0,7|— 0,7!575,54| 2,46 | 0,62 Still. id.
Je 04e 20/0512 10 | 57572 2,34 | 0,67 id. id.
1867. | Variationen des Erdmagnetismus.
Tages-| Declination. Horizontale Intensität
t
SIC 5 März. | 6. Mäürz. | 7. Mürz. | 5. Mürz. | 6. März. | 7. Mürz.
8 | 408,0 407,0 407,2 3132 | 3742 | 372
10 407,8 406,8 407,8 374,0 375,0 373,0
0 | 4065 405,0 405,8 374,0 372,6 372,8
2 406,0 405,6 406,2 374,0 371,1 372.2
a | 4070 | 4083 | 4072 | 3730 | 3702 | 3715
6 406,5 | 407,0 406,5 373,0 367,6 | 371,5
1!
B, In Sololaki,
1867. März 6. n. St.
Nachmittags. Temperatur im Schatten. Nachmittags. Temperatur im Schatten.
0 14” 3,80 2h 10’ 3,00
215 3,10 2 33 3,10
1 95 275 2 A7 3,25
1 45 2,50 2 54 3,40
1 53 2,75 2 58 3,50
2 3 2,75
10*
Bulletin de l’Académie Impériale
152
IL. Beobachtungen in Stavropol.
A. Gewôühnliche Beobachtungen am 6. März 1967,
EE ee NU 2 IAE 20 1E CI MN TS ELU A UNE A 2 UE QUE
Temperatur. Druck =
AAA A œ #5 5 ED
Stunde. | € 2 £ Ans ESS Wind. Himmelsansicht.
De AR on HS es A
Éte 5 Po EN lai
6 9,6 —10,3|...... 560,16! 1,12 | 0,74 [SW.sehr schwach.| Wolken am Horizont.
FO ES TON EEE 0 0 Per 560,62, 1,08 | 0,69 id. id.
8 |— 6,0! — 7,0|...... 561,17, 1,50 | 0,70 id. Dünnes Gewülk am Horizont.
OI EE ES 0 ER 0 TN 561,47| 1,86 | 0,72 id. Klar.
10 |— 1,7, — 3,0)...... 561,34| 2,24 | 0,70 id. Einige leichte Wülkchen.
11 |— 0,41— 1,9] 7,2 |561,23| 2,44 | 0,69 id. Klar.
0 + 1,8| — 0,8] 7,3 |561,27| 2,30 | 0,53 id. Dünnes Gewülk am Horiz. (Anf. d. © Finst.)
1 — 0,5, — 1,9] 0,9 |561,08| 2,44 | 0,71 | S. sehr schwach. | Klar. (Sonnenfinsterniss.)
D 0829) 2 756110 92006 id. id. (Sonnenfinsterniss.)
ETS 561,25| 1,90 | 0,41 id. id.
TU SD EME 00e 561,39| 2,44 | 0,62 id. id.
5 |+ 1,9] — 0,3|...... 561,30! 2,58 | 0,60 id. id.
COTES aol H61A0|FRnN AIRE Still. id.
7 |— 4,6|— 5,5|....:.. 561,51] 1,84 | 0,76 id. id.
8 |— 5,6] — 6,41...... 561,62! 1,68 | 0,76 id. id.
NCA ENT | 561,38] 1,46 | 0,72 id. id.
B. Besondere Beobachtungen während der Sonnenfinsterniss,
————_—_—_—_—_—_—_———
Temperatur.
Stunde. Min. En = ñ Wind. Bewülkung.
Schatten. | der Sonne. L
56 1,6 7,7 | SO. sehr schwach. |Ortl. Wolken.
OO 1,8 7,3 | SW. sehr schwach.|| Cirro-cu-
5 2,1 7,4 | S. sebhr schwach. ; muli.
10 2,4 8,3 | SO. sehr schwach. Klar ?).
15 2,7 9,4 | S. sehr schwach. id.
20 2,7 7,3 id. id.
25 2,1 6,6 id. id.
30 1,9 4,3 id. id.
35 ii 3,9 id. id.
40 0,6 3,8 id. id.
45 0,3 3,0 id. id.
50 — 0,1 2,6 id. id.
55 — 0,2 1,8 id. id.
SEAT) — 0,5 0,9 | SSW.sebr schwach. id.
5 Je 0,3 id. id.
10 0,7 0,1 id. id.
15 — 0,7 | — 03 id. id.
20 — 1,1 | — 0,8 | S. sehr schwach. id.
D AA TS id. id. 3)
30 — 12 | — 0,8 id. id.
35 — 1,4 | — 0,2 id. id.
40 — 14 0,4 id. id.
ANT 0,9 id id.
50 — 1,8 1,6 id. id,
55 — 0,8 1,7 id. id.
DO 0,8 27 id. id.
5 — 0,4 52 id. id.
10 — 0,1 3,8 id. id,
15 0,2 4,3 id. id.
20 0,6 4,8 id. id.
25 1,0 Û id. id.
30 1,0 5,8 id. id.
35 nil 6,5 id. id.
40 1,2 112 id. id.
45 1,3 6,3 id. id.
2) Um 0 5’ bedeckte sich fast der ganze Himmel mit Cirro-
cumulis, und nur in der Richtang nach der Sonne hin blieb er klar;
aber schon zu 04 15’ klärte sich der Himmel mit unglaublicher
Schnelligkeit auf, so dass im Laufe von zwei bis drei Minuten der
-Himmel von einem bedeckten in einen klaren überging (Z).
3) Nahezu um 14 95’ erreichte die Sonnenfinsterniss ihr Maxi-
| Note sur l’anthracène de M. Berthelot; par J.
Fritzsche. (Lu le 1 août 1867.)
Le mémoire de M. Berthelot sur les carbures
d'hydrogène, inséré dans le Bulletin de la Société
chimique de Paris du mois d'avril, que je viens de re-
cevoir il y a quelques jours seulement, contient plu-
| sieurs passages sur l’anthracène, qui m'obligent à faire
les observations suivantes.
M. Berthelot dit d’abord à la page 279 dans une
note: «Je désigne sous ce nom (d’anthracène) le car-
«bure que M. Anderson a extrait du goudron de
«houille, que M. Limprecht a préparé avec le to-
«luène chloré, et que j'ai obtenu moi-même dans une
«foule de réactions»; et puis à la page 288: «L’an-
«thracène (résultant de la réaction directe du styro-
«lène sur la benzine) offre les propriétés ordinaires;
«il fournit des lamelles bleues avec le nouveau réactif
«de M. Fritzsche».
D'un autre côté M. Anderson a dit dans le Quar-
terly Journal of the chemical Society of London T.
XV p. 47, qu’une comparaison soigneuse de son an-
thracène avec le corps que j’ai décrit il y a plusieurs
années comme un nouveau carbure d’hydrogène,
nous à convaincu (M. Anderson et moi) que ma
mum; mit diesem Zeitmoment stimmt das Minimum der Temperatur
überein (Z).
Die Temperaturdepression begann im Schatten etwa 22, in der
Sonne 18 Minuten später als die Finsterniss; die Mitte der Finster-
niss fällt auf 14 22: und das Steigen der Temperatur begann in der
Sonne 3, im Schatten 15 Minuten nach dem Maximo der Finsteruniss.
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153
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
154
substance est véritablement de l’anthracène'). Sur
l’inexactitude de cette assertion je me suis déjà pro-
noncé dans le rapport présenté à l’Académie le 28
février 1867 *); mais M. Anderson a néanmoins pro-
clamé l'identité des deux corps, et il s’ensuit que, si
l’anthracène de M. Berthelot est identique avec ce-
lui de M. Anderson, il devrait être également iden-
tique avec mon corps. Pour ce dernier j'avais établi
déjà en 1857 la formule C,, H,,, et c’est cette for-
mule que MM. Anderson et Berthelot adoptent
pour leur anthracène.
Je puis cependant déclarer bien positivement que
mon corps C,, H,, n’est pas identique avec l’anthra-
cène de M. Berthelot, car il fournit avec mon nouveau
réactif non pas des lamelles bleues que M. Berthelot
a obtenues avec son anthracène, mais des tables rhom-
boïdales d’un brillant violet-rouge. Cette réaction est
tellement caractéristique qu’elle re peut pas être
confondue avec les autres réactions que j’ai décrites;
je l'ai montré moi-même à M. Berthelot dans
son laboratoire du Collége de France au commen-
cement du mois d'avril de cette année peu de temps
après mon arrivée à Paris. A cette même occa-
sion j'ai fait voir à M. Berthelot tous les corps
dont je parle dans le rapport ci-dessus cité, et je lui
ai remis non seulement ce rapport, mais aussi des
échantillons de la plupart de mes corps, parmi les-
quels je nommerai seulement le corps C,,H,,, le corps
dont le point de fusion est environ 235° C., et mon
nouveau réactif. Peu de temps après, pendant une
autre visite au laboratoire de M. Berthelot, j'ai
examiné par mon réactit un corps que M. Berthelot
me désigna comme anthracène, et ce corps me donna
immédiatement des cristaux bleus qui peuvent très
bien être nommés des lamelles; cette réaction est
caractéristique pour celle de mes substances, dont le
point de fusion est environ 235° C., aussi n’hésitais-
je pas à déclarer positivement à M. Berthelot, que
le corps en question ne peut nullement être identique
avec mon corps C»5Hw Or, comme d’après l’asser-
tion de M. Berthelot le point de fusion de ce pré-
tendu anthracène était environ 210° C., ce corps ne
1) A careful comparison of the two substances made by Professor
Fritzsche and myself, during a visit he paid to Glascow some time
since, satisfed us that his substance really is anthracene.
2) Bulletin de l’Acad. de St.-Pétersbourg, T. XI, p. 385.
pouvait être, d’après mon intime conviction, qu’un
mélange.
Je passe sous silence les autres indications de
M. Berthelot sur les réactions que lui a fournies mon
réactif avec plusieurs autres carbures, et j’observe
seulement que mon réactif a été obtenu avec le corps
C3 Hy5 or, comme M. Berthelot dit qu’il est un
dérivé nitré d’un carbure congénéré de l’anthracène,
il ne considère donc pas mon corps C,$H,, comme de
l’anthracène.
Il s’agit maintenant de connaître la réaction de
mon nouveau réactif sur l’anthracène de M. Ander-
son, ainsi que sur celui de M. Limprecht, et je me
suis déjà adressé à ces Messieurs pour leur demander
des échantillons. Dès que ces corps seront entre mes
mains, je ne tarderai pas de communiquer les résul-
tats des expériences auxquelles je me propose de les
soumettre.
m0 ———
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Catalogue of the American Philosophical Society library.
Part IL. Philadelphia 1866. 8.
Catalogus codicum manu scriptorum bibliothecae regiae
Monacensis. T, I, p. 2, 3, V. VI. Monachii 1866. 8.
Pibliografa d'Italia. Anno I, X 1. Firenze 1867. 8.
Knjizevnik. Godina 1 — 3. U Zagrebu 1864 — 66. 8.
Elmgren, Sven Gabriel. Oversigt af Finlands litteratur
ifrân är 1771 till 1863. Helsingfors 1865. 8.
Narducci, Enrico. Intorno alla vita del Conte Giamma-
ria Mazzuchelli ed alla collezione de’ suoi manoscritti.
Roma 1868. 8.
Revue des cours scientifiques de la France et de l'étranger.
4° année. M 16— 30. Paris 1867. 4.
— des cours littéraires de la France et de l'étranger. 4°
année. M 16 — 30. Paris 1867. 4.
11 scripta academica Universitatis Friburgensis annis
1865 et 1866 edita.
26 scripta academica Universitatis Marburgensis annis
1865 et 1866 edita.
scripta academica Universitatis Regimontanae auno
1866 edita.
10 scripta academica et 62 diplomata Universitatis Rosto-
chiensis annis 1865 et 1866 edita.
64 scripta academica Universitatis Upsaliensis anno 1866
edita.
45
155
Bulletin de l’Académie Impériale
156
oo,
Upsala Universitets ärsskrift 1865. Upsala— Stockholm. 8.
Rückblick auf die Wirksamkeit der Universität Dorpat.
Zur Erinnerung an die Jahre von 1802—1865. Dor-
pat 1866. 8.
Wykaz szkoly glownej Warszawskiej. 1866 i 1867. X 6.
Warszawa 1867. 8.
Mémoires de l’Académie des sciences morales et politiques
de l’Institut Impérial de France. T. XII. Paris 1865. 4.
— de l’Académie des sciences de l’Institut Impérial de
France. T. 29 et 35. Paris 1866 et 1867. 8.
— présentés par divers savants à l’Académie des sciences
de l’Institut Impérial de France. Sciences mathéma-
tiques et physiques Tome XIX. Paris 1865. 4.
Bulletin de la société philomatique de Paris. T. IIL. Mars,
Avril, Mai 1866. Paris. 8.
Memorie della reale Accademia delle scienze di Torino.
Serie seconda. Tomo XXI. Torino 1865. 4.
Memorie dell [. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed
arti. Vol. XIL, p. 3. 4.
Rendiconto delle sessioni dell Accademia delle scienze
dell Istituto di Bologna, anno accademico 1864—65.
Bologna 1865. 8.
Memorie del} Accademia delle scienze dell Istituto di
Bologna. Serie IT, Tomo IV, fase. 2—4. V. fase. 1, 2.
Bologna 1865 — 66. 4.
Atti dell’ IL. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti.
Tome XI, serie terza, dispensa 5 — 7. Venezia 1865
— 1866. 8.
Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. IT, fase.
3 — 8. Classe di lettere e scienze morale politiche.
Vol. IL, fasc. 3 —7. Milano 1865. 8.
Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere.
Classe di scienze matematiche e naturale. Vol. X, fase.
IT. Classe di lettere e scienze morali e politiche. Vol.
X, fasc. Il. Milano 1865. 4.
Solenni adunanze del r. Istituto Lombardo di scienze e
lettere. Adunanza del 7 Agosto 1865. Milano 1865. 8.
Abhandlungen der k. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin aus dem Jahre 1865. Berlin 1866. 4.
Monatsberichte der k. preussischen Akademie der Wissen-
schaften zu Berlin. November und December 1866,
Januar und Februar 1867. 8.
Abhandlungen der historischen Classe der k. bayerischen
Akademie der Wissenschaften. 10ten Bandes 2te Ab-
theilung. München 1866. 4.
Sitzungsberichte der künigl. bayerischen Akademie der
Wissenschaften zu München. 1866. I. Heft IV; IL.
Heft I. München. 8.
Abhandlungen der k. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Güttingen. 12ter Bd. von den J. 1864 — 66. Gôüttin-
gen 1864. 4.
— der philol.-histor. Classe der k. sächs. Gesellschaft der
Wissenschaften. Band V, X IL. Leipzig 1866. 8.
Abhandlungen der mathematisch-physischen Classe der k.
sächsischen Gesellschaft der Wissenschaften. Band.
VIII, X I, IL. Leipzig 1866. 8.
Berichte über die Verhandlungen der K. sächsischen Ge-
sellschaft der Wissenschaften zu Leipzig. Mathema-
tisch-physische Classe. 1865, 1866. I, II, LIL Philo-
logisch-historische Classe. 1865, 1866. T. I. IL III.
Leipzig. 8.
Denkschriften der kaiserl. Akademie der Wissenschaften.
Mathematisch -naturwissenschaftliche Classe. 25ster
Band. Wien 1866. 4.
Register zu den Bänden 1 — 14 der Denkschriften der
philosophisch-historischen Classe der kaiserl. Akade-
mie der Wissenschaften. I. Wien 1866. 4.
Sitzungsberichte der kaiserl. Akademie der Wissenschaf-
ten. Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Bd.
53, Heft 1— 5, Bd. 54, Heft 1 der ersten u. Bd. 53,
Heft 2— 5, Bd. 54, Heft 1 der zweiten Abtheilung.
Wien 1866. 8.
——— — Philosophisch-historische Classe. 52ster Band,
Heft 1 — 4. Wien 1866. 8.
Almanach der kaiserl. Akademie der Wissenschaften. 16ter
Jahrgang. 1866. Wien. 8.
Predneseni jednatele ve valném shromäzdeni spoleënosti
Musea Krälovstvi Ceského dne 10 éervna 1866. V
Praze 1866. S.
Vortrag des Geschäftsleiters in der General-Versammlung
der Gesellschaft des Museums des Kônigreiches Büh-
men am 10. Juni 1866. Prag 1866. 8.
Verzeichniss der Mitglieder der Gesellschaft und der Be-
amten des Museums des Künigr. Bühmen zur Gene-
ral-Versammlung am 10. Juni 1866. Prag 1866. 8.
Seznam clenü spoleënosti, védeckych sborû a odborü i
üurednictva Musea Krälovstvi Ceského, k valnému
shromäzdëni dne 10. Cervna 1866. V Praze 1866. S.
Casopis Musea Kräloystvi Ceského. Roënik XXXIX, svazek
3, 4, XL, svazek 1 — 3. V Praze 1865 — 66. 8.
Pamätky Archacologické a Mistopisné, vydävané od ar-
chacologického sboru Musea Krälovstvi Ceského. Dil
VI, svazek 8, VIL svazek 1—3. V Praze 1865—66. 4.
Liva. Roënik XIII, svazek 1— 3. V Praze 1866. 8.
Prvni roëni zpräva o éinnosti obou komitetü pro prirodo-
védeckyÿ vyskum zemë ëeské roku 1864. V Praze
1865. 8.
Transactions of the royal Society of literature. Second
Series. Vol. VIII, part 1 —3.
Proceedings of the royal Institution of Great Britain. Vol.
VII, X 43, 44. London 1866. 8.
Memoirs of the literary and philosophical Society of Man-
chester. Third Series. I° vol. London 1865. 8.
Proceedings of the literary and philosophical Society of
Manchester. Vol. IL, IV. Manchester 1864 — 65. 8.
The Journal of the royal Dublin Society. Vol. V. X 35.
Dublin 1866. 8.
157
Nova acta regiae Societatis scientiarum Upsaliensis. Seriei
tertiae Vol. VI, fasc. 1. Upsaliae 1866. 4.
Det kongel. Danske Videnskabernes Selskabs skrifter.
Femte Række. Naturvidenskabelig og mathematisk
afdeling. 5te bind, andet hefte. Kjôbenhavn 1861. 4.
Oversigt over det k. danske Videnskabernes Selskabs For-
handlinger i Aaret 1861. Kjôbenhavn. 8.
Notiser ur Sällskapets pro Fauna et Flora Fennica Für-
handlingar. Sjunde Häftet. Ny Serie, fjerde Häftet.
Helsingfors 1867. 8.
Az Erdélyi Museum - Egylet évkünyvei. Negyedik kôütet.
Elsô füzet. Koloszvärtt 1867. 4.
Proceedings of the American philosophical Society. Vol. X.
1866. X 75. Philadelphia. 8.
Schleicher, August. Compendium der vergl. Grammatik
der indogermanischen Sprachen. Weimar 1866. 8.
Neue, Friedrich. Formenlehre der lateinischen Sprache.
1ster Theil. Stuttgart 1866. 8.
Hattala, Mart. De mutatione contiguarum consonantium
in linguis slavicis. Pragae 1865. 4.
— Grammatica linguae slovenicae collatae cum proxime
cognata bohemica. Schemnicii 1850. 8.
Collan, K. Küniginhofer- och Grünberger-Handskriften.
Helsingfors 1865. 8.
Journal asiatique. À 30. Paris 1866. 8.
— of the Asiatic Society of Bengal. N. S. Part I, X II.
IUT, Part IL, X IL. IIL. Calcutta 1866. 8.
— — — — Part II. 1866. Special Number. Ethnology.
Calcutta 1866. 8.
Bibliotheca indica. À 215 and New Series. X 94,95. Cal-
cutta 1866. 8.
The Journal of the r. Asiatic Society. N. S. Vol. IL, p. Il.
London 1866. 8.
Abhandlungen für die Kunde des Morgenlandes, Band IV,
X 5. Leipzig 1866. 8.
The Kamil of El-Mubarrad, by W. Wright. Third part.
Leipzig 1866. 4.
Ibn Mâlik’s Lâmiyat al Afâl. Mit Badraddîn’s Commentar.
Revidirte Textausgabe von Dr. W. Volck. Leipzig
1866. 8.
Die orientalischen Handschriften der herzoglichen Biblio-
thek zu Gotha, verzeichnet von Dr. Wilh. Pertsch.
Theil 1, 2. Wien 1859—64. 8.
Textes tirés du.Kandjour par H. L. Feer. 6° livraison.
Paris 1366. 8.
L’Essence de la Science transcendante. (Prajnâpâramità
hridaya Süûtra) en trois langues, tibétain, sanskrit,
mongol, par H. L. Feer. Paris 1866.
Féer, Léon. Tableau de la grammaire mongole, suivi de
l'élévation de Gengis-Khan et de la lettre d’Arghoun-
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Clarke, Captain A. R. Comparisons of the standards of
length of England, France, Belgium, Prussia, India,
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Siebenter Bericht des Offenbacher Vereins für Naturkunde
über seine Thätigkeit vom 14. Mai 1865 bis zum 31.
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Zwülfter Bericht der Oberhessischen Gesellschaft für Na-
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Abhandlungen, herausgegeben von der Senckenberzischen
naturforschenden Gesellschaft. Band VI. Heft 1, 2.
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Abhandlungen der naturhistorischen Gesellschaft zu Nürn-
berg. 3ter Band, 2te Hälfte. Nürnberg 1566. 8.
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zur Befürderung des Ackerbaues, der Natur-u. Lan-
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Bulletin de la Société vaudoise des sciences naturelles. Vol.
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Mémoires de la Société de physique et d'histoire natu-
relle de Genève. T. XVIII, 2° partie. Genève 1866. 4.
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Harlem et rédigées par E. M. von Baumhauer. T. I,!
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Archives du Musée Teyler. Vol. IL. fasc. L Mémoire sur
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Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Mos-
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Natuurkundig tijdskrift voor Nederlandsch Indie, uitgege-
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Nederlandsch Indie. Zesde serie. Deel III, Aflevering
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Cuyper, C. de. Résumé succinct de diverses notes sur
les machines soufflantes ou à compression d'air de
M. le Marquis A. de Caligny. Paris. 8.
Caligny, A. de. Expériences en grand sur un nouveau
système d’écluses de navigation, principes de manoeu-
vres nouvelles. 4.
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en 1723. Paris 1846. 8.
Rapport sur la machine hydraulique à flotteur oscillant
de M. de Caligny. Extr. des Comptes rendus. T. XIX. 4.
Caligny, Anatole de. Expériences sur une machine hy-
draulique à tube oscillant et sur des effets de suc-
cion à contre courant. 4.
Plantamour, E. Expériences faites à Genève avec le
pendule à réversion. Genève et Bale 1866. 4.
Aéromotion. Mémoire sur la science et l’art de la navi-
gation aérienne, par M. J. B. Bayonne 1867. 8.
Zeitschrift für Chemie. Jahrgang 1865, Band I, Heft 19
— 23. 1866, Band II, Heft 1 — 24.
Proceedings of the Meteorological Society. Edited by James
Glaisher. Vol. IIL. M 27. London 1866. 8.
Ehrenberg, Christ. Gottf. Passat-Staub und Blut-Regen,
ein grosses organisches unsichtbares Wirken und Le-
ben in der Atmosphäre. Berlin 1849. Fol.
Ehrenberg, Christ. Gottf. Erläuterung eines neuen wirk-
lichen Passat-Staubes aus dem atlantischen Dunkel-
meere vom 29. October 1861. 8.
— 1) Der rothe Schneefall in den Central-Alpen am 7.
Februar 1862. 2) Der rothe Schneefall bei Lyon am
27. März 1862. 8.
— Mittheilungen über einen Phytolitharien - Tuff als Ge-
birgsart im Toluca-Thale von Mexiko. 8.:
Resultate aus den meteorologischen Beobachtungen im
Künigreiche Sachsen, bearbeitet von C. Brubns. 2ter
Jahrgang. Leipzig 1867. 4.
Annales météorologiques de l'Observatoire r. de Bruxelles,
publiées de A. Quetelet. 1" année. Janvier 1867. 4.
Plantamour, E. Résumé météorologique de l’année 1865
pour Genève et le Grand St. Bernard. Genève 1866. 8.
Haidinger, W. Ritter v. Der Meteorsteinfall am 9. Juni
1866 bei Knyahinya. Zweiter Bericht. 8.
Jahrbücher der k. k. Central-Anstalt für Meteorologie und
Erdmagnetismus von C. Jelinek und C. Fritsch. N.F.
I. Band. Wien 1866. 4.
Quetelet, Ernest. Sur l’état de l'atmosphère, à Bruxelles,
pendant l’année 1865. 8.
Observations météorologiques faites à Nijné-Taguilsk. An-
née 1865. Paris 1866. 8.
Intorno al corso ed all origine probabile delle stelle me-
teoriche. Lettere di G. V. Schiaparelli al P. A. Secchi.
Roma 1866. 4,
Lindberg, Sextus Otto. Botaniska bidrag till Finlands
Klimatologi. Helsingfors 1865.
Jahrbuch der k. k. geologischen Reichsanstalt. 1865 Oct.
Nov. Dec. 1866 April—September. 1867 Jan. Febr.,
März. 4.
Circulare dalla Gerenza della Societä Nazionale di mi-
niere in Lombardia.
Bulletin de la Société géologique de France. Tome 24°,
feuilles 1— 16. Paris 1866 — 67. 8.
Liste des membres de la Société géologique de France
au 31 décembre 1866. 8.
Zeitschrift der Deutschen Geologischen Gesellschaft. X VIIL.
Band, 35tes u. 4tes Heft. Berlin 1866. 8.
The quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XXII,
p. 2. M 90. London 1867. 8.
Abich, H. Karten und Profile zur Geologie der Halbinsel
Kertsch und Taman. Tiflis 1866. 4.
La mine de graphite de Sibérie, découverte en 1847 par
M. J. P. Alibert. Comptes-rendus des Académies, des
Sociétés savantes et des Journaux. Paris 1869. 8
Musée Teyler. Catalogue systématiqne de la Collection pa-
léontologique par T. C. Winkler. Cinquième livraison.
Harlem 1866.
Paru le 15 août 1867.
T. XIE, N°3.
BULLETIN
TOME XI.
(Feuilles 11—17.)
CONTENU:
MM. Zabeline et Dorogof, Influence du chlorure de sodium sur absorption du phos-
phate de chaux tribasique ..:.......... PRDIRS DECO OT ER T OS SPA ne à
MM. Zabeline et Wassilewsky, Influence du chlorure de sodium sur absorption du fer
EE OT ME PEER CN CS PR UC IN Le CNT ANR
RADIO SRE BARON RSR ER AE RAR RL the pe ur een té
E, Kunik, Rapport sur l'ouvrage de M. Winkelmann, intitulé Pibliotheca Livoniae
DO RCOURE PCR RACINE RS A A RQ ne Re EU ARE UT
Miele, (Uonteset lécendestossetes. 002. UN Ni Te ARNO pe
El, BorStow, Actions des rayons rouges et bleus de la lumière sur Ja plasma liquide
contenue dans les -poilsipiquants dell'ortie..:..204. LA ue 0 ain
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SUR ETC OROE e TT MER EN RE nn A à
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AA CRC EC) SNA INR ne RE done ne Col ee eur le
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J. F, Brandt, Quelques mots sur la configuration du cerveau des Sireniens. .........
RD PRO BTE QUE Ne os Le bn eue eo 2 Me LRU ARTE UN
M. Léopold Voss, libraire à Leipzig.
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Page.
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253 — 259
On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.-Pétersbourg, Perspective de
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BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES
SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOUR.
L'influence du Chlorure de Sodium sur l’absorp- |
tion du phosphate de chaux tribasique, par
MM. Zabeline et Dorogof. (Lu le 22 août 1867.)
Pour résoudre la question de l'influence de CI Na
sur l’absorption du phosphate de chaux, il fallait dé-
terminer d’abord, quelle est la quantité de chaux éli-|
minée par le rectum et par les voies urinaires sous
l'influence du CINa et dans le cas d’une absence
complète de cette substance dans les aliments.
Nous avons pris des chiens pour faire nos expé-
riences. On les nourissait avec de la caséine qui con-
tenait le phosphate de chaux tribasique et qui, outre
ce sel et l’eau, ne contenait pas de traces de chlo-
rures et d’autres substances solubles propres au lait.
Chaque jour, à la même heure le chien recevait une
quantité déterminée, de caséine et l’on introduisait à
l’aide d’une sonde stomachique une quantité détermi-
née d’eau distillée d’une même température. La quan-
6 = 2 |
tité de l’eau distillée variait suivant le contenu de
l’eau dans la caséine, de sorte que le chien recevait
chaque jour la même quantité de caséine et d’eau.
Toutes nos expériences ont donné un même résultat;
nous en décrirons une en détail pour faire connaitre
la méthode que nous avons suivie dans nos expéri-
mentations.
Pendant les premiers 7 jours le chien recevait la
caséine et l’eau distillée et point de CI Na; les 7 jours
suivants il recevait la caséine et l’eau distillée, plus
0,200 grm. de CI Na par jour. Pendant les premiers |
7 jours le chien a mangé 700 grm. de caséine qui.
contenaient 8,668 grm. de phosphate de chaux, pen-
dant les derniers 7 jours le chien a mangé également |
700 grm. de caséine qui contenaient 7,232 grm. de!
phosphate de chaux.
Pendant les premiers 7 jours, ont été éliminés par
le rectum 11,556 grm. de phosphate de chaux et par
les voies urinaires 0,114 grm.
Pendant les derniers 7 jours ont été éliminés par
le rectum 6,873 et par les voies urinaires 0,140 grm.
Par conséquent en cas d'absence complète de CI Na
Tome XII.
dans les aliments il a été éliminé par le rectum 2,888
grm. de phosphate de chaux de plus qu’on n’en a in-
troduit dans l’estomac, et par le rectum et les voies
urinaires ensemble 3,002 grm. de plus, qu’on n’en a
introduit dans l'estomac; au contraire sous l'influence
de CINa il a été éliminé par le rectum 0,359 grm.
de moins, et par le rectum et les voies urinaires en-
semble 0,219 de moins, qu’on n’en à introduit dans
l'estomac.
Dans la suite de notre expérimentation, les 10 pre-
miers jours le même chien recevait la caséine et l’eau
distillée sans CINa; les 12 jours suivants il recevait la
même quantité de caséine et d’eau distillée, à laquelle
on ajoutait le CINa en doses croissantes de 0,100
jusqu’à 1,200 grm. par jour. Enfin pendant 12 jours
encore le chien recevait la même quantité de caséine
et d’eau sans CINa. Le chien a mangé dans la caséine
pendant les premiers 10 jours 8,363 grm. de phos-
phate de chaux, pendant les 12 jours suivants 10,381
grm.; pendant les 12 derniers jours 10,843 grm.
Les premiers 10 jours le chien a perdu par le
rectum 8,445 grm. et dans l'urine 0,536 de phos-
phate de chaux, les 12 jours suivants sous l’influence
du CINa il a perdu par le rectum 7,925 grm. et dans
l'urine 0,420 grm. de phosphate de chaux; les 12
derniers jours il en a perdu par le rectum 10,726 grm.
et dans l’urine 0,119 grm.
’ar conséquent les premiers 10 jours, quand lani-
mal ne recevait pas de CINa dans les aliments, il
perdait par le rectum 0,082 grm. de phosphate de
chaux de plus, qu’il n’en recevait avec les aliments et
il perdait par le rectum et dans l’urine ensemble,
0,618 grm. de plus, les 12 jours suivants sous lin-
fluence du CI Na, il perdait par le rectum, 2,456 grm.
de moins, qu’il n’en recevait, et par le rectum et dans
l'urine ensemble 2,036 grm. de moins; eufin les 12
derniers jours, c.-à., d. de nouveau en cas d’une ab-
sence complète du CINa dans les aliments de l’ani-
mal, il perdait par le rectum seulement 0,117 grm.
de moins, qu’il n’en recevait, et par le rectum et dans
11
163
Bulletin de l’Académie Kmpériale
164
l’urine ensemble 0,002 grm. de phosphate de chaux
de plus qu'il n’en recevait.
L'expérience décrite, ainsi que plusieurs autres que
nous avons faites en suivant la même méthode, nous
ont montré que le phosphate de chaux introduit dans
l'estomac avec la caséine est absorbé par l’organisme
en plus grande quantité dans le cas où les aliments
reçus par l'animal contiennent le CI Na.
Pour voir si la quantité de phosphate de chaux
dans le sang a varié pendant nos expériences, nous
avons fait l’expérience suivante.
Le sang d’un chien qui pendant 18 jours n’a reçu
que de la caséine et de l’eau distillée, a donnée 0,034,
de chaux, le sang du même chien, après 18 jours,
pendant lesquels il recevait la caséine, l’eau distillée
et 0,500 grm. de CINa par jour, a montré un con-
tenu de 0,057, de chaux.
On voit donc que la quantité de chaux dans le
sang augmente sous l'influence de CI Na.
Après ces résultats il est naturel de se demander,
si la présence du CI Na dans les aliments influe sur
la déposition de la chaux dans les os. Pour résoudre
cette question nous avons entrepris une série d’expé-
riences et nous nous empressons de communiquer un
résultat frappant que nous a donné la première de
nos expériences qui à été terminée.
On a fait une résection d’une portion du milieu du
radius chez deux chiens; les bords des blessures ont
été réunis par une souture; après l’opération pen-
dant 25 jours, l’un des deux chiens ne recevait que
de la caséine et de l’eau distillée et l’autre recevait
de la caséine et l’eau distillée avec du CINa. Après
ces 25 jours on a extrait chez les chiens opérés les
radius et l’on a trouvé que chez le chien qui recevait
du CI Na, le morceau enlevé du radius était complète-
ment rétabli, tandis que chez le chien qui ne recevait
pas de CI Na dans des aliments, à l'endroit du mor-
ceau enlevé du radius il ne se trouvait pas de trace
d’ossification. Les deux radius sont conservés dans le
laboratoire pharmacologique de l’Académie de Médi-
cine de St-Pétersbourg.
L'influence du chlorure de Sodium sur l’absorp-
tion du fer métallique, par MM. Zabeline et
Wasilewsky. (Lu le 22 août 1867.)
On a expérimenté sur des chiens, que l’on nou-
rissait de caséine contenant son phosphate de chaux tri-
basique et son eau, et exempt de chlorures et d’autres
substances solubles contenues ordinairement dans le
lait. On donnait au chien chaque jour à la même
heure une portion déterminée de caséine et on lui
introduisait ensuite, à l’aide d’une sonde stomachique,
une quantité d’eau distillée d’une même température
tantôt avec du CI Na, tantôt sans ce sel. La quantité
d’eau distillée variait suivant le contenu de l’eau dans
la portion de la caséine administrée, de manière que
le chien recevait chaque jour la même quantité de
caséine et d’eau.
L'expérience qui a duré pendant 70 jours, peut
être divisée en 7 périodes. Pendant la première pé-
riode le chien ne recevait que de la caséine et de l’eau;
à partir de la seconde période il recevait chaque jour,
outre la caséine et l’eau, 0,200 grm. de fer métallique.
Le régime auquel l’animal a été assujetti pendant la
première période qui a duré 16 jours, avait pour but
d’appauvrir l’organisme quant au fer et au chlorure
de Sodium.
Pendant la 2°° période qui a duré 10 jours, on a
introduit dans l’estomac du chien 2,000 grm. de fer
métallique et on a retrouvé ces 2,000 gr. de fer dans
les matières fécales, déposées par l’animal pendant
cette même période. L’urine sécrétée pendant ce
temps contenait encore 0,016 gr. de fer, qui ont été
par conséquent perdus par l’organisme.
La 3°° période a duré 12 jours, pendant lesquels
on à introduit dans l’estomac du chien 2,400 grm.
de fer métallique et 3,480 grm. de CI Na (0,290 par
Jour). Dans les matières fécales de ces 12 jours on
a trouvé 1,749 grm. de fer et dans l’urine 0,012 grm.
Par conséquent des 2,400. grm. de fer métallique in-
troduits dans l’estomac de l’animal, 0,639 grm. sont
restés dans l’organisme.
La 4° période a duré 12 jours, pendant lesquels
le chien a reçu 2,400 grm. de fer métallique. On a
trouvé dans les matières fécales 2,400 grm. de fer et
dans l’urine 0,022 grm. La quantité de fer éliminée
par le rectum étant la même que celle que l’on a in-
165
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
166
troduite dans l’estomac, le fer contenu dans l'urine a
été par conséquent perdu par l’organisme.
Pendant la 5° période qui était de 6 jours, on a
donné au chien 1,200 de fer métallique. Dans les
matières fécales on a trouvé 1,999 de fer et dans
l'urine 0,016 grm. Par conséquent 0,015 grm. de
fer ont été perdus par l'organisme.
La 6° période dura 9 jours. Pendant cette pé-
riode on a introduit dans l’estomac du chien 1,800
grm. de fer métallique et 2,745 grm. de CI Na (0,305
par jour). Dans les matières fécales de toute la pé-
riode on a trouvé 1,205 grm. de fer et dans l’urine
0,027 grm. Donc 0,568 grm. de fer sont restés
dans l’organisme.
Pendant la 7° période qui était de 7 jours, le
chien a reçu 1,400 grm. de fer métallique et 3,500
grm. du CINa (0,500 par jour). Dans les matières
fécales on a trouvé 0,892 grm. de fer et dans l’urine
0,018 grm. Donc 0,490 grm. de fer sont restés dans
l’organisme.
En résumé toutes nos expériences prouvent que
le fer métallique introduit dans l’estomac du chien
est complètement éliminé par le rectum, quand les
aliments de l’animal ne contiennent pas de sel ma-
rin, et que dans le cas contraire une certaine quan-
tité de ce fer reste toujours dans l’organisme. Pour
voir si la quantité de fer dans le sang de l’animal va-
riait pendant la durée de nos expériences, nous avons
déterminé la quantité de fer dans le sang du chien
au dernier jour de la 5° période et au dernier jour
de la 7"° période. Le sang à la fin de la 5°° période,
pris après que l’animal a été pendant 18 jours privé
de CI Na, contenait 0,05°/, de fer; à la fin de la 7°
période, après que l’animal pendant 16 jours recevait
le fer et le CINa, le sang contenait 0,137, de fer,
c.-à.-d. que le sang a été deux fois et demie plus riche
en fer.
Aus Baku, von B. Dorn. (Lu le 5 septembre 1867.)
1) Als ich in den Jahren 1860 und 1861 die
sogenannten ewigen Feuer in Surchane (Cypxam,
Cypaxam, &b,s, ME ge, Sieh den Kaukasischen
Kalender, 1856, $. 500, 508 und 498) bei Baku be-
suchte, befanden sich fünf Inder da'). Einige Jahre
1) S. Bericht über eine wissenschaftliche Reise in dem Kauka-
sus u. 8. wW. 5. 435.
später wurde mir von verschiedenen Seiten her er-
zählt und zum Theil durch Reisende bekräftigt, drei
der Inder seien weggestorben und einer sei von den
Tataren getüdtet worden, worauf der Feuertempel”)
nebst seinen Nebengebäuden von der an Ort und
Stelle befindlichen Fabrikanstalt *) zu ihrem besonde-
ren (Gebrauche verwandt worden sei. Diese Nach-
richten mügen sich auch weiter verbreitet haben und
künnten allenfalls irgendwo als gewiss mitgetheilt
werden. Es wäre sehr Schade gewesen, wenn sich je-
nes Gerücht als richtig erwiesen hätte. Russland
hätte durch die Verwendung des Tempels zu anderen
Zwecken ein in seiner Art einziges und berühmtes
Denkmal verloren. Auch die indischen Inschriften ‘),
welche sich über den Eingängen zu den verschie-
denen Zellen befinden, hätten in diesem Falle ver-
schwinden künnen, was immer, mag ihr linguistischer
Werth auch eben nicht von überwiegender Bedeu-
tung sein, doch rücksichtlich der Geschichte des Or-
tes selbst, des Tempels und dessen indischer Bewoh-
ner zu bedauern gewesen wäre. Ich wandte mich da-
her im Anfange dieses Jahres an Hrn. St.-R. Spassky-
Avtonomov ”) in Baku um nähere Auskunft hinsicht-
2) Der Ort, wo sich die Feuer und der Tempel befinden, heisst
4
Ateschgah SSI «Feuerort», wie er auch auf Karten be-
zeichnet wird (Aramka — Aremraxt+); den Tempel selbst nannten
2
die dortigen Perser Ateschkedeh o LES].
3) Vergl. Bericht, S. 456.
4) Vergl. Eichwald, Reise auf dem Caspischen Meere, Bd. I,
S. 217 und (Bd.1I1) Alle Geographie des Casp. Meeres, S. 239. In letz-
terer Scbrift ist eine dieser Inschriften von Bopp erklärt. Ich besitze
deren fünfzehn, welche zum Theil schon zum Behuf der Herausgabe
lithographirt sind. Prof. Beresin (Reise, 2. Ausg. Th. 1, III, S. 47)
erwähnt einer Sanskrit-Inschrift über dem Eingange in die Capelle
(xacogxa), welche besagt, dass das Gebäude i. J. 1866 der indischen
Ara oder 1810 der Chr. Zeitr. erbaut worden sei. Vergl. die Eich-
wald'sche Inschrift. Er fügt hinzu, dass sich in dem Hofe der
Karawanserai oder der Wohnung der Inder zwanzig Zellen befin-
den. Über dem Eingange zu jeder Zelle war eine «Sanskrit-In-
schrift» und ausserdem über einem dieser Eingänge ein entstellter
persischer Name mit dem Jahre 1158 (1745) zu sehen. — Es besteht
die Angabe, dass Nadirschah seinem Gouverneur in Baku, Ke-
rim-Bek,den Befehl gab, für die nach Baku zu den ewigen Feuern
wallfahrenden Inder eine Karawanserai auf Staatskosten zu erbauen.
Vielleicht hat die Jahreszahl 1745 hierauf Bezug. Ussher (A Jour-
ney from London to Persepolis. London, 1865, S. 206 — 208) fand in
«Atesh Dja or Fire Temple», zwei Inder aus Calcutta und Delhi
vor. Über der Thür zu jeder Zelle war eine Inschrift. Die Sage,
fügt er hinzu, schreibt die erste Gründung eines Tempels an diesem
Orte dem Zoroaster zu: Tradition attributes the first erection of a
temple on this spot to Zoroaster.
5) Vergl. Bericht, S. 432. Er ist unter Anderem der Verfasser
der «Beschreibung des Baku’schen Kreises im Schemacha’schen
1h
167
lich des Feuertempels und seiner indischen Bewohner.
Ich erhielt dieselbe vor Kurzem. Der Feuertempel
ist keinesweges zum Gebrauche der Fabrikanstalt ver-
wendet worden; er wurde im Gegentheil nach dem
unglücklichen Tode des einen von den zwei nachge-
bliebenen Indern im September 1864 gerade der Ob-
hut der Verwaltungsbehôrde der Anstalt anvertraut,
weil auch der andere noch am Leben gebliebene Inder
sich irgendwohin entfernt hatte. Im September 1865
war Hr. Spassky selbst an dem Orte. Zwar war da-
mals kein Feueranbeter da, aber die Wohnung der
Inder war unangetastet geblieben. Seitdem haben sich
deren wieder zwei eingefunden und auf ausdrücklichen
Befehl S. K. H. des Statthalters des Kaukasus ist so-
gar das «indische Kloster» nebst seinen Bewohnern
unter die besondere Verantwortlichkeit der Fabrik-
anstalt gestellt worden.
2) Ich habe in meinem Berichte (S. 436) eines da-
mals (1860—1861) in Baku lebenden Persers, Mirsa
Abdurrahim®) gedacht, welcher mir bei der Erfor-
schung der Tat-Sprache unä noch sonst sehr behülf-
lich war. Auch andere Reisende vor mir hatten seine
Beihülfe nicht verschmäht. Er war in Baku der ein-
zige mir bekannte Muhammedaner, welcher den Werth
der europäischen Bildung und Wissenschaft begriff,
schätzte und sie gern in Anwendung brachte. Er ist
im Jahre 1863 gestorben. Eine kurze Biographie
von ihm dürfte nicht unwillkommen sein; er gehôürt
zu den Muhammedanern, deren Erwähnung in einer
einstigen Bibliotheca Muhammedana Caucasia nicht
umgangen werden kann. Ich verdanke die hier folgen-
den Mittheilungen ebenfalls der Gefälligkeit des Hrn.
Spassky, welcher den Mirsa seit 1847 gekannt hat
und in beständigem Umgange mit ihm stand.
Mirsa (auch Mulla) Abdurrahim, der Sohn des
Achund Mulla Imam-Aly, gebürtig aus dem Dorfe
Karakaschli (Kapakaman) im District Schabran,
Kreis Kuba, war geboren in Baku i. J. 1797. Er
erhielt seine Erziehung von seinem Vater und an-
deren Mulla’s und wurde dann selbst Lehrer an der
unter seinem Vater stehenden Schule. Auf diese
Gouvernement» (Onncarie Baxunckaro ybsaxa Ilemaxunexoï ry6ep-
Hiu), im Kaukas. Kalender, 1856, S. 500.
6) + plel ie p322° op pelouse Join wie er sich
selbst nannte.
Bulletin de l’Académie Impériale
168
Weise lernte er nicht nur die ürtlichen Sprachen, das
Tatarische und Persische, sondern auch Arabisch; er
galt als ein Kenner dieser drei Sprachen. Im Jahre
1825 kam der nach Persien bestimmte General-
Consul Wazenko auf seiner Durchreise nach Baku,
wo er in Folge der in Persien kundgegebenen feind-
seligen Gesinnungen gegen Russland, in Erwartung
günstigerer Umstände zur Fortsetzung seiner Reise,
fürs Erste blieb. Der junge Mulla Abdurrahim
wurde Lehrer der orientalischen Sprachen bei seinen
Kindern und ging i. J. 1826, als Baku von den Per-
sern belagert wurde, mit Hrn. Wazenko nach Astra-
chan. Nach Abschluss des Friedens von Turkman-
tschai kehrte Mulla Abdurrahim nach Baku zurück
und wurde zum «Mirsa» oder Schreiber in dem da-
mals bestehenden baku’schen Provinzialgericht er-
nannt, wo er auch noch das Amt eines Übersetzers
oder Dolmetschers versah. Von da an war Mirsa
Abdurrahim der beständige Reisegefährte und Weg-
weiser für alle gelehrten Reisenden in Baku und auf
der ganzen apscheronschen Halbinsel, zeigte ihnen alle
merkwürdigen Alterthümer, las, übersetzte und co-
pirte alte Inschriften in verschiedenen Sprachen und
gab über geschichtliche Ercignisse und Personen,
welche in den Inschriften erwähnt werden, Erläu-
terungen ”). Im Jahre 1834 (am 13. Mürz) wurde
M. Abdurrahim zum Lehrer der tatarischen und
persischen Sprache und der muhammedanischen Glau-
benslehre an der Kreisschule in Baku ernannt und
nach 25 jährigem Dienst i. J. 1859 mit Pension ent-
lassen. Von da an wandte er sich religiüsen Beschäf-
tigungen zu. Er unternahm fürs Erste eine Wallfahrt
nach Kerbela und im Jahre 1863 nach Mekka, wo
er an der Cholera starb. Mirsa Abdurrahim zeich-
nete sich durch besondere Hôüflichkeit und dankbare
Erkenntlichkeit für alles ihm auf irgend eine Weise
erzeigte Gute aus. Er war ein Freund der Aufklä-
rung und Freiheit, Russland’s und überhaupt Eu-
ropa’s, aber von dem Glauben an den Koran und den
Propheten des Islam’s konnte er sich nicht losmachen
und eben deshalb auch nicht von Asien.
7) Vergl. Beresin, Reise, Th. II, Beilagen, S. 61, wo viele von
M. Abdurrahim in Baku und dem bakw’schen Kreïise copirte In-
schriften mitgetheilt werden. Im Jahre 1848 befand sich derselbe
in der Begleitung des Hrn. v. Chanykov; s. «KaBkasb», 1850
Xe 52, S. 206.
169
Ich unterschreibe alles von Hrn. Spassky Gesagte
ohne Weiteres und füge nur noch hinzu, dass Mirsa
Abdurrahim aus Überzeugung ein cifriger Schiite
war. Ich habe ihn während meines Aufenthaltes in
Baku in den erwähnten Jahren 1860 und 1861 fast
tüglich bei mir gesehen, wovon an einem andern Orte
ausführlicher die Rede sein wird. Er gehürt auf je-
den Fall zu den Muhammedanern, welche die Achtung
derer erwarben und verdienten, welche sie näher
kannten. Er, der schiitische Perser, stand hinsichtlich
der Biederkeit seines Charakters den beiden Sunni-
ten, dem Araber Schaich Tantawy und dem Tata-
ren MullaHusainFais-Chanov(f1866)nicht nach.
Fer 1e rc
über die
«Bibliotheca Livoniae historica. Systematisches
«Verzeichniss der Queilen und Hülfsmittel für die
«Geschichte Estlands, Livlands und Kurlands bis
«zum Jahre 1715. Von Eduard Winkelmann, Dr.
«phil. Docent an der Kais. Univ. Dorpat.»
Von E. Kunik.
(Lu le 13 juin 1867.)
Einer der stärksten Vorwürfe, den man den Vertre-
tern einer Wissenschaft machen kann, ist der der Halb-
wisserei. Und dieser trifft, ungeachtet der grossen Fort-
schritte auf dem Gebiete der Geschichtswissenschaft,
die Historiker der Gegenwart immer noch nicht ohne
Grund. Gar Manches muss indessen zur Entschuldi-
gung der Historiker angeführt werden, die bei ihren
Arbeiten sich in einer ganz andern Lage befinden, als
z. B. die Naturforscher bei den ihrigen. Während die
Letzteren, um nur eine Seite dieses Unterschieds her-
vorzuheben, in Betreff literarischer Hülfsmittel im AÏl-
gemeinen nur darauf angewiesen sind, die laufenden Er-
scheinungen auf ihrem Gebiete zu verfolgen und nur in
bestimmten Füällen sich in die Literatur der Vergan-
genheit zu vertiefen haben, sieht der Historiker, schon
um des zu bearbeitenden und darzustellenden Stoffes
Herr zu werden, sich veranlasst, eine Unzahl von
Werken und Aufsätzen mehr oder minder zu berück-
sichtigen, die zu verschiedenen Zeiten und in verschie-
denen Sprachen erschienen sind. Und befindet er sich
auch in der glücklichen Lage, die Mehrzahl der in
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
170
seine Specialstudien einschlagenden Quellenwerke und
literarischen Hülfsmittel benutzen zu künnen, so
beschleicht ihn doch bald ein starkes Misbehagen,
wenn er zur Einsicht gelangt, dass zur Aufhellung
selbst wesentlicher Partien seiner Arbeiten ein reich-
haltiges Material noch in den Archiven und Bibliothe-
ken des einen oder andern Landes verborgen liegt.
Und wie oft ahnt er gar nicht einmal, dass ein solches
Material vorhanden ist!
Diese und andere Übelstände in kurzer Zeit zu besei-
tigen ist natürlich ein Ding der Unmüglichkeit. Aber
das kann nicht geläugnet werden, dass die Historiker
der verschiedenen Länder Europas im Ganzen zu we-
nig darauf bedacht sind, denselben durch zweckmäs-
sige Massregeln abzuhelfen. Nicht nur die historischen
Fachjournale— wir rechnen dazu auch die Zeitschriften
der orientalischen Gesellschaften, der Alterthumsver-
eine u. s. w.—erfüllen in dieser Hinsicht ihre Auf-
gabe in einer wenig befriedigenden Weise, sondern
es ist hauptsächlich auch der Mangel an wissenschaft-
lichem Gemeinsinn, welcher die Historiker verschie-
dener Länder nicht dazu gelangen lässt, mit vereinten
Kräften und so mit grüsserem Erfolg an die Ausfül-
lung der zahllosen Lücken, welche das historische Wis-
sen noch bietet, zu gehen. In dieser Hinsicht müsste
vor allen Dingen, da der Druck von unedirten Quellen
des europäischen und orientalischen Mittelalters so
wie der Geschichte der lezten drei Jahrhunderte ver-
hältnissmässig nur sehr langsam fortschreiten kann,
die Aufzeichnung und müglichst genaue Be-
schreibung von unedirten handschriftlichen
Quellen der Archiveund Bibliotheken viel ener-
gischer betrieben werden. Wenigstens würden dann
diejenigen, welche einen Gegenstand nicht bloss oben-
hin behandeln wollen, sich Gewissheit darüber ver-
schaffen künnen, ob und wo noch unbekanntes Quellen-
material vorhanden ist, das verarbeitet und in die histo-
rische Darstellung aufgenommen zu werden verdiente.
Aber auch die sorgfältigsten Nachwcisungen und
Angaben über den in Bibliotheken und Archiven
zerstreuten und früher ganz unbekannten historischen
Quellenstoff verschwinden leicht in der steigenden Sind-
fluth von neu erscheinenden Büchern und Zeitschrif-
ten, wenn solche Notizen nicht gesammelt und systema-
tisch zusammengestellt werden. In dieser Hinsicht ist
eseinerfreuliches Zeichen der Zeit, dass die Unzahl von
171
Bulletin de l’Académie Hmpériale
172
edirten und unedirten Urkunden und Briefen histori-
schen Inhalts, besonders aus der Epoche des Mittelal-
ters, chronologisch geordnet und in Form von Regesten
mehr oder minder genau beschrieben werden. Sind ein-
mal für die Geschichte einer Epoche eines Staates
oder Volkes solche Regesta angelegt, so ist eine je
nach den Umständen mehr oder minder erschüpfende
Ausbeutung dieses urkundlichen Stoffes Pflicht für den
Historiker, der über eine solche Epoche schreiben will.
Verhältnissmäsig weniger geschieht für die Sammlung
und kritisch-systematische Verarbeitung der Materi-
alien zur Literatur der Geschichte einzelner Länder
und Vülker. Und doch ist gerade in dieser Beziehung
überall ein dringendes Bedürfniss zu befriedigen. Das
Vorhandensein desselben ist wohl ziemlich allgemein
anerkannt; doch bieten sich in Betreff der Bearbeitung
der Literatur der Geschichte grüsserer Ländermassen
und Vülker der Schwierigkeiten so viele, dass man
sich nicht wundern darf, wenn auf diesem Gebiete nicht
das geleistet wird, was eigentlich schon längst mit aller
Energie durch Vereinigung verschiedener Kräfte hätte
geschehen sollen.
Im Ganzen ist es leichter, die Literatur einer Pro-
vincialgeschichte zusammenzustellen, und ein aller
Anerkennung werther Versuch dieser Art ist unlängst
von dem Docenten der Dorpater Universität, Hrn. Dr.
Winkelmann gemacht worden, dessen Arbeit ich in
Folge einer an mich ergangenen Aufforderung hier-
mit der Classe vorzulegen und zugleich ihrer geneig-
ten Beachtung zu empfehlen keinen Anstand nehme.
Ursprünglich wurde Hr. Winkelmann «durch das ei-
gene Bedürfniss veranlasst» die jetzt vollendete Arbeit
anzufangen. «Ermuntert durch den Zuspruch gechrter
Freunde» hat er sie, wie er selbst in der Vorrede berich-
.tet, in erweitertem Umfange unter schwierigen Ver-
hältnissen fortgeführt. Den Hauptbestandtheil der
«Livländischen historischen Bibliothek» bildet ein
müglichst vollständiges systematisches Verzeichniss al-
ler auf die Geschichte Estlands, Livlands und Kurlands
(bis zum J, 1795) sich bezichenden Schriften und Auf-
sätze, gleichviel in welcher Sprache sie abgefasst oder
gedruckt sind. Hervorzuheben ist besonders, dass Hr.
Winkelmann dabei auch eine nicht unbeträchtliche
Anzahl der bis jetzt nur handschriftlich vorhande-
nen Quellen verzeichnet hat. Eine kurze Übersicht der
Rubriken, unter denen er den Stoff angebracht hat,
wird einen Begriff von der Reichhaltigkeit des gesam-
melten bibliographischen Materials geben, das aus mehr
als 7000 Nummern besteht.
Erster Theil: Einleitendes,
T.
Allgemeines über die geschichtlichen Studien in Beziehung auf
die Provinzialgeschichte.
Bibliographische Hülfsmittel.
Zeitschriften der baltischen Provinzen historischen Inhalts.
Publicationen der gelehrten Gesellschaften.
Urkunden-Sammlungen und Nachrichten von Urkunden.
a) Baltische Urkunden-Sammlungen. — b) Ausserbaltische
Urkunden-Sammlungen.
Anhang: Baltische Diplomatik.
Chroniken-Sammlungen.
Miscellan-Werke.
IT.
Allgemeine Geographie der baltischen Provinzen.
a) Reisen und Beschreibungen. — b) Karten.
Oro- und Hydrographie.
a) Orographie. —
b) Hydrographie.
Das Meer.
Die Landseen.
Schwimmende Inseln.
Die Flüsse.
Kurl. Aa — Livl. Aa — Brohe — Düna — Em-
bach — Narowa — Pernau — Salis — Win-
dau — Wühhanda.
Geographie und Statistik der einzelnen Provinzen.
a) Estland. — b) Livland. — €) Kurland. — 4) die Inseln:
Dagô — Karls — Moon — Nargen — Oesel — Runü
— Worms.
IT.
Allgemeine Ethnographie der baltischen Provinzen.
a) Der finnische Stamm im allgemeinen.
Esten.
Sprache. Poesie und Sage. Literatur.
Religion. Sitten und Gebräuche.
Liven.
Kreewingen.
b) Der litthauische Stamm im allgemeinen.
Letten.
Sprache. Poesie und Sage. Literatur.
Religion. Sitten und Gebräuche.
c) Die Schweden.
d) Die Deutschen.
Sprache. Poesie und Sage. Literatur.
Aberglauben. Sitten und Gebräuche.
e) Die Russen.
f) Die Juden.
Anhang: 1. Luxus-Gesetze.
2. Hexenprocesse.
173
IV.
Alterthümer im allgemeinen.
a) Bauerburgen und Ritterschlüsser.
b) Grabstätten.
Eingemauerte Menschen.
c) Münzen.
Fremde in den baltischen Provinzen gefundene Münzen.
Eïnheimische Münzen.
Inländische Münzensammlungen.
d) Verschiedene Alterthümer.
Zweiter Theil: Zeitgeschichte.
VUL
Allgemeine Geschichte der baltischen Provinzen.
Zur allgemeinen Rechtsgeschichte.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte. Erste Abtheilung.
a) Urzeit.
b) Von der Gründung der deutschen Herrschaft bis zum
Untergange der Selbständigkeit.
Allgemeine Geschichte dieser Periode.
Geschichte einzelner Zeïtabschnitte und Ereignisse.
Anbhang: Die Bezichungen der baltischen Provinzen zu
dem rümisch-deutschen Reiche.
IL.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte. Zweite Abtheilung.
a) Polnisch-Schwedische Zeit.
Allgemeine Geschichte Polens 1561 — 1660.
Allgemeine Geschichte Schwedens 1561 — 1710.
Allgemeine Geschichte der baltischen Provinzen in der
polnisch-schwedischen Zeit.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
b) Russische Zeit.
Allgemeine Geschichte dieser Periode.
Zur Rechtsgeschichte seit 1710.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Dritter Theil: Ständegeschichte,
IÉ
Allgemeine Geschichte der baltischen Stände.
Der Orden der Schwertritter und der deutsche Orden.
IL.
Kirche und Geistlichkeit.
a) Die rômische Kirche bis 1561.
Bisthum Livland (Riga).
Erzbisthum Riga.
Allgemeine Geschichte des Erzbisthums.
Geschichte einzelner Erzbischüfe.
Bisthum Dorpat.
Bisthum Oesel-Wiek.
Bisthum Semgallen-Kurland.
Erzbisthum Lund.
Bisthum Reval.
Bisthum Wirland.
Klüster.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
174
b) Die rümische Kirche seit 1561. (Bisthum Livland —
Pilten; — Jesuiten).
c) Die Lutherische Kirche.
Allgemeine Geschichte der lutherischen Kirche in den
baltischen Provinzen.
Kirchengeschichte Livlands im allgemeinen.
Geschichte einzelner livländischen Kirchen.
Kirchengeschichte Estlands im allgemeinen.
Geschichte einzelner estländischen Kirchen.
Kirchengeschichte Kurlands und Piltens im allgemeinen.
Geschichte einzelner kurländischen Kirchen.
Kirchengeschichte Oesels.
d) Die reformirte Kirche.
e) Die Brüder-Gemeinde.
f) Protestantische Sekten.
g) Die griechische Kirche.
Anhang: 1. Allgemeine Geschichte des Schulwesens in den bal-
tischen Provinzen.
2. Geschichte der Landes-Universität.
LIT.
Die Ritterschaften.
Allgemeine Geschichte der baltischen Ritterschaften.
a) Herkunft und Geschichte.
b) Rechte und Gerichte.
c) Güter-Besitz.
d) Wappen-Sammlungen.
Geschichte der einzelnen Ritterschaften.
a) Estland.
b) Livland.
ec) Oesel.
d) Kurland (Pilten).
IV
Die Städte.
Allgemeines zur Geschichte der baltischen Städte.
Stadtverfassungen.
Handel.
a) Allgemeine baltische Handelsgeschichte.
b) Die baltischen Städte als Glieder der Hansa.
c) Der Handel mit Russland.
d) Der Handel mit England.
Die Bauern.
Anhang: Freibauern. — Kurische Künige.
Vierter Theil: Provinz- und Orisgeschichte,
I.
Al gemeine Geschichte Estlands.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Zur Rechts- und Verfassungs-Geschichte Estlands.
Geschichte einzelner Ortschaften.
Reval. (Stadt und Dom).
Namen.
Allgemeine Geschichte.
Pline und Ansichten.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute.
Kleinere Städte, Ortschaîten, Güter u. dgl.
175
Anhang: 1. Narva.
Namen.
Allgemeine Geschichte.
Pläne und Ansichten.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte cinzelner Oertlichkeiten und Institute.
9, Iwangorod.
IL.
Allgemeine Geschichte Livlands.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Zur Rechts- und Verfassungs-Geschichte Livlands.
Geschichte einzelner Ortschaiten.
Riga.
Namen.
Allgemeine Geschichte.
Pline und Ansichten.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute.
Dorpat.
Namen.
Allgemeine Geschichte.
Pline und Ansichten.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute.
Kleinere Städte, Ortschaften, Güter u. dgl.
Anhang: Polnisch-Livland.
Dünaburg.
Allgemeine Geschichte Oesels.
Geschichte einzelner Ortschaften.
II.
Allgemeine Geschichte Kurlands und Semgallens.
Zur kurländischen Rechts- und Verfassungs-Geschichte.
Geschichte Piltens.
Zur Piltenschen Rechts- und Verfassungs-Geschichte.
Allgemeine Geschichte der Herzüge von Kurland und Sem-
gallen.
Geschichte cinzelner Herzôüge, Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte einzelner Ortschaften.
Mitau.
Namen.
Allgemeine Geschichte.
Pläne und Ansichten.
Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.
Geschichte einzelner Ocertlichkeiten und Institute.
Kleinere Städte, Ortschaften, Güter u. dgl.
Fünfter Theil: Familien- und Personengeschichte,
L.
Familien und Personengeschichte.
IL.
Varia-Curiosa.
Sechster Theil: Register.
Register der Autoren, Herausgeber, Uebersetzer, Zeichner
und Stecher.
Register der anonymen Schriften.
Bulletin de l’Académie Empériale
176
Von drei Gesichtspuncten liess sich Hr. Winkel-
mann bei der Zusammenstellung der «Bibliotheca Li-
voniae historica» leiten: Die Arbeit sollte müg-
lichst vollständig, dazu nach einem einfachen
System geordnet und desshalb practisch
bauchbar sein.
Der Natur der Sache nach kann bei einer Arbeit
der Art absolute Vollständigkeit nicht sogleich erreicht
werden. Indessen wird Niemand, der auf diesem Felde
der Literatur bewandert ist, dem emsigen Sammler
das Verdienst absprechen, für die Literatur der Ge-
schichte der Ostseeprovinzen einen festen Grund ge-
legt und somit ein bibliographisches Handbuch aus-
gearbeitet zu haben, dem man in allen Literaturen nur
sehr wenige ähnliche Versuche an die Seite stellen
kann. Leider ist es Hrn. Winkelmann bis jetzt noch
nicht vergünnt gewesen, die petersburger Bibliotheken
zu benutzen, die gerade auch an Schriften über die
Ostseeprovinzen besonders reich sind. Einigermassen
ist die Autopsie der hier vorhandenen Schätze dadurch
ersetzt worden, dass Hr. Winkelmann in den Stand
gesetzt wurde, den imJ. 1860 lithographirten Catalog
der unter den Auspicien des ehemaligen Directors der
K. Offentlichen Bibliothek, Baron M. Korfl gesammel-
ten Rossica in ausländischen Sprachen zu benutzen.
Auch hat Hr. College Schiefner, der einst die Livonica
unserer academischen Bibliothek catalogisirt hat, be-
reits Mehreres gesammelt, was zur Vervollständigung
des Handbuchs dienen wird. Auch mir ist Einzelnes
bei der Durchsicht desselben aufgestossen, das ich na-
türlich Hrn. Winkelmann zur beliebigen Benutzung
überlasse. Eine umständliche Vergleichung des Ganzen
mit andern handschriftlichen und gedruckten Hülfs-
mitteln würde allerdings noch weitere Veranlassung
zur Ausfüllung einzelner Lücken und zur Berichtigung
einzelner Punkte geben; allein dies würde längere Zeit
erfordern, während Hr. Winkelmann natürlich wünscht,
bald an den Druck seiner Arbeit gehen zu kônnen.
Unter diesen Umständen kann ich aus der russischen
Literatur nur einige Materialien zur Vervollständi-
gung der bereits verzeichneten beibringen. Auch die
polnische Literatur ist bis jetzt wenig von Hrn. Win-
kelmann berücksichtigt worden, was ihm um so weni-
ger zum Vorwurf gemacht werden darf, als er in Re-
val und Dorpat kaum Gelegenheit hatte, sich mit
derselben vertraut zu machen. Nicht minder dürfte
177
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
i7S
die schwedische, namentlich handschriftliche Litera-
tur bei sorgfältiger Nachforschung in gewissen Sam-
melwerken und Zeitschriften noch manches zu berück-
sichtigende Material bieten; doch hier gilt, wie so
oft, bei bahnbrechenden Arbeiten der Satz, dass das
Bessere der Feind des Guten ist, und darum will ich
hier auch nicht weiter in die Erôrterung mebrerer
Fragen eingehen, wie z. B. der, ob man in einem
bibliographischen Handbuche der Art bei der Wieder-
gabe der Titel von Büchern und den in Zeitschriften
gedruckten Aufsätzen sich ganz genau an die ursprüng-
liche Form derselben halten soll, oder ob man sich
erlauben darf, die Autorennamen überall an die Spitze
jedes Titels zu stellen. Mebrere sind der Meinung
— und ich theile dieselbe mit den Verfassern der
«Russischen historischen Bibliographie» —, dass man
zur Vermeidung von Missverständnissen und Incon-
venienzen am besten verfährt, wenn man in bibliogra-
phischen Werken die Titel von Büchern und Aufsätzen
genau so wiedergiebt, wie sie ursprünglich von deren
Verfassern abgefasst wurden. Auch in Betreff der
Reïhenfolge der Titel in dem vorliegenden Werke wird
vielleicht hie und da eine strengere Scheidung dersel-
ben gewünscht werden. Jedenfalls ist es nicht zu bil-
ligen, dass die die Sprache der Letten, Esten u.s w.
betreffende Literatur keine besondere Abtheilung aus-
macht und dass eigentlich grammaticalische Unter-
suchungen nicht vollständig verzeichnet sind.
Steht es einmal fest, dass das bibliographische Hand-
buch selbst in der Gestalt, in der es jetzt vorliegt, ein
dringendes Bedürfniss befriedigt, so muss es, sobald
es gedruckt ist, in die Hände eines Jeden kommen, der
entweder sich ex professo mit der livländischen Ge-
schichte beschäftigt, oder sich näher über die Bezie-
hungen irgend eines Volkes oder Staates zu Livland
aus den Quellen und den bereits vorhandenen Hülfs-
schriften belehren will. In dieser Beziehung wird hof-
fentlich das systematische Handbuch des Hrn. Winkel-
mann besonders bei russischen und polnischen Histo-
rikern sich einer guten Aufnahme zu erfreuen haben.
Bekanntlich hat bereits Karamsin sich angelegen sein
lassen, verschiedene Ereignisse der russischen Ge-
schichte durch Nachrichten, welche er livländischen
Quellen entnahm, zu ergänzen oder zu berichtigen. Er
leistete in dieser Beziechung für seine Zeit nicht wenig;
doch konnte seine Einsicht und seine Kenntniss auf
Tome XII.
diesem Gebiete — es sind seit dem Erscheinen der 2""
Ausgabe seines Werkes bereits fast 50 Jahre verflos-
sen— unter den damaligen Umständen nur eine mangel-
hafte sein. Dessen ungeachtet hat man bis auf die neue-
ste Zeit sich fast ausschliesslich mit dem begnügt, was
über jene Verhältnisse bei Karamsin zu finden war. Erst
durch die von der Akademie hervorgerufene Russisch-
livländische Chronographie *) ist eine grüssere Fülle
von livländischen Nachrichten als zur Aufhellung der
russischen Geschichte dienend allgemeiner bekannt und
zugleich den livländischen Historikern das Studium
der russischen Quellen als eine unerlässliche Bedin-
gung einleuchtender gemacht worden. Das Bonnell’-
sche Werk, abgesehen davon, dass es nur bis zum
J.1410 reicht, konnte aber seiner ganzen Anlage nach
den livländischen Quellenvorrath nur nach einer Seite
hin einer kritischen Prüfung unterwerfen. Soll nun
für die russische Geschichte und für die Geschichte
des Grossfürstenthums Litauens ein noch grüsserer
Gewinn aus livländischen Quellen gezogen werden,
so muss man an das Studium der livländischen Quel-
len selbst gehen und zugleich das mit prüfendem Blick
benutzen, was die Bearbeiter der livländischen Ge-
schichte hie und da bis jetzt selbst geleistet haben. In
dieser Hinsicht wird die Bibliotheca Livoniae historica
nicht bloss den angehenden, sondern auch noch den
geübteren Historikern eine Menge zeitraubender Nach-
forschungen über Quellen und Hülfsschriften ersparen.
Freilich wird man bedauern, dass Hr. Winkelmann
sich auf die Sammlung des rein bibliographischen Stof-
fes beschränkt und die Benutzung desselben nicht durch
gewisse Zugaben erleichtert hat. Auch ich nehme mir
die Freïiheit, es üffentlich auszusprechen, dass das
Handbuch noch nicht allen Forderungen entspricht,
die man heut zu Tage an ein solches zu stellen berech-
tigt ist. Allein ein so eifriger Sammler und schon be-
währter Forscher wie Hr. Winkelmann wird, nachdem
er bereits so weit gelangt ist, das einmal begonnene
Werk auch in Zukunft gewiss mit derselben Liebe
*) Russisch - liwländische Chronographie von der Mitte des 9.
Jahrh. bis z. J. 1410..... Verfasst von Ernst Bonnell. 1862. Vgl.
meinen Bericht im Bulletin de l’Acad. Tome V, col. 338—348 oder
in d. 3anucku M. Akay. Hayke. Tow IT, 143—152.
Die Fortsetzung der Bonnell'schen Arbeit hängt zunächst von
Herausgabe oder Benutzung gewisser handschriftlicher Urkunden-
schätze ab. Glücklicher Weiïise hat das v. Bunge’sche Urkunden-
buch an Hrn. Kümmel in Riga einen Verleger gefunden.
12
179
Bulletin de l’Académie Impériale
1S0
pflegen, mit der er die mühsame Ausarbeitung dessel-
ben begonnen und zunächst zu einem gewissen Ab-
schlusse gebracht hat. Sollte es ihm, wie wir vermu-
then, nach Verlauf eines nicht langen Zeitraums ver-
günnt sein, die Hand an eine neue Ausgabe desselben
zu legen, so wird er hoffentlich bis dahin die nôthige
Musse finden, um sein Werk vollkommner und noch
nützlicher zu machen. Vielleicht versteht sich dann
der strebsame Verfasser dazu, über Chroniken und an-
dere Quellenschriften in gedrängter Kürze das mitzu-
theilen, was zu einer richtigen Einsicht hinsichtlich der
inneren Composition und des Werthes derselben verhel-
fen kann. Auch dürfte es fast unerlässlich sein, dass beï
einer zweiten Ausgabe Schriften und Aufsätze, aus
deren Titel man nicht genau auf den eigentlichen In-
halt und die Tendenz derselben einen Schluss machen
darf, in aller Kürze characterisirt werden und über-
haupt der Werth, oder in gewissen Fällen auch die
Werthlosigkeit und die falsche Richtung mancher
Schrift prägnant hervorgehoben werde. Besonders aber
werden nähere Angaben über handschriftliche Quellen-
schriften die Bedeutung derselben erst recht ans Licht
treten lassen.
Ich erlaube mir nun, der Classe den Vorschlag zu
machen, dass das Handbuch des Hr. Winkelmann auf
Kosten der Akademie gedruckt werde.
12. Juni 1867.
IE
Nariü Urüzmägü Kâdäg").
Nariül füdiug füdaz”) sKodta ämä ättämä racäunändär
nâl udüstü. Ju bon Ku udi, uäd ma sä särän éi udüstü, udonäi
éidärtä nüxasmä racüdüstü ämä sä mällägäi vüxasü baflüdtütä-
Kodtoi. Nariü Urüzmäg där nüxasü durün bandonül jä dün-
L:
Lobgedicht auf den Narten Urüzmäg').
Die Narten überkam Übelbefinden und Hunger
und sie waren nicht im Stande von Hause zu gehen.
Eines Tages waren von denjenigen, welche es noch
vermochten, einige auf den Sammelplatz gegangen
und durch ihre Schwäche stürzten sie auf dem Sam-
melplatze. Auch der Narte Urüzmäg sass auf dem
Ossetische Sagen und Märchen, mitgetheilt von
A. Schiefner. (Lu le 5 septembre 1867.)
Den fortgesetzten Bemühungen des Herrn Staats-
rath Adolph Berger zu Tiflis haben wir wiederum
einige sowobl sprachlich als auch sachlich sehr in-
teressante ossetische Texte zu verdanken. Es sind
auch diese, wie die früher im Bulletin T. VI, pag.
446— 474 (— Mélanges asiatiques T. V, pag. 1——40)
und T. VIII, pag. 35 — 43 (— Mél. asiat. T. V, p.
195— 201) mitgetheilten, von dem Lehrer der osse-
tischen Sprache am geistlichen Seminar zu Tiflis
Tsorajew aufgezeichnet und mit einigen erläutern-
den Anmerkungen versehen worden. Ich habe diesel-
ben in das von mir für die kaukasischen Sprachen
bisher angewandte Alphabet transeribirtund mitgrüsse-
rer Sorgfalt die Schreibweise Tsorajew’s beibehal-
ten. Namentlich habe ich in den Fällen, wo ich frü-
her nach Sjôgren’s Vorgang im Auslaut üi geschrie-
ben habe, nur ein einfaches ü gesetzt; insofern habe
ich mich aber noch der Sjügren’schen Schreibweise
angeschlossen, als ich in einigen Fällen, wo Tsora-
jew nur a darbietet, dafür das von Sjôgren ange-
wandte à habe eintreten lassen. In der Consonanten-
bezeichnung babe ich statt t und d in den nachfolgen-
den Texten mit engerem Anschluss an Tsorajew é und
4 gebraucht; vergleiche Ossetische Texte, Einleitende
Bemerkungen, Bull. T. VI, p. 447 (— Mél. asiatiques
TAN, 1p. 2):
sür Käre jà uälà afämäi bâdti. Uäd Käcäidär ju gatya ärba-
ltuudi ämä nüxasü äfiüdäi éi läuudi, udonäi Ku Käi uälä
agäbpKänü Kämän la jä rixii fars âstäri. Gädü Sürdon*) där
Käcäidär fäzündi ämä Kugü adämü uälä raxizhaxizgängäjà ‘)
Ku fedta, uäd nürdiagKodta ämä zaxta: «O Nartä, Nartäl ui
<bästü Ku fesäfat, uäd xuzdär u; eü baxärat ämä eü banâ-
«gai, ui uäm oâli. Nartän sä gälxuriä füstijà bazzâdüstü
Sammelplatz auf der Steinbank, seinen grossen Pelz
auf sich habend. Da erschien irgendwoher eine Hün-
din und soviel in der Versammlung gestürzt lagen,
über diese sprang sie hinüber, einigen aber leckte sie
die rechte Seite des Barts. Auch der Lügner Sür-
don‘) kam irgendwoher zum Vorschein; und als er
das Hin- und Herspringen des Hundes über die Men-
schen sah, schluchzte er und sprach: «O Narten,
Narten, wenn ihr statt dessen umkommt, ist es bes-
1S1
«ämä sün gatza sä rixilä stürü. Axäm läg uäm Ku razünid
<ämä smax 6i bafsadid!» Zärond Urüzmäg ai Ku fequsta, uäd |
mästügomauäi süstadi ämä jä xägarmä bacüdi. Aflämäi jä
süzéärin kälätsün bandonül mästü bâdt ärKodta ämä jà bünü
âsasti. Jä us Salana”) jäm fezdäxti ämä in zaxta: «Cü la Känüs,
nä zärond xäüiräg, cäul ta mästü däl» Uäd ün zärond Urüz-
mäg zaxta: «Âmä Kud nä uon mästü, dä märdü stän°), gaigai
qäwdün Sürdon mä mästäi marü, nüxasü aflä sürdta:
«Nartä! fesäfstustut, äwzär gälxurtä ”) fästijä bazzâdüstut ämä
un gaiza uä rixitä stärü. Smaxmä axäm läg Ku razünid ämä
ma smax Gi bafsadid.» Satana in zaxta: QUul mästü ma Kän,
Nariä mün sä Kuwäggägtäi *) Käi fäxastoi, udonäi mäm awd
awdü skulä is, awd awdü uälibüxlä, awd awdü rongü säüglä».
Uäd Urüzmäg racüd ämä Nartül fidiuägän”) nügqärkänün-
Kodta aftä: «O Nartäl Urüzmäg uä xonü ämä jä kaxül cäun
qom ‘°) éi u, ui cäugäärkKänäd, fazül bürün qom éi u, ui ta
jä fazül ärbüräd. Acü uacqud fequsgäjä Nariä innä bon äräm- |
ser; was ihr essen und was ibr trinken künntet, ist nicht
mehr bei euch. Von den Narten sind nur die grindi-
gen nachgeblieben und diesen leckt die Hündin die
Bärte. Wenn doch unter euch ein solcher Mensch
erschiene, welcher euch sättigte!» Als der alte Urüz-
mäg dies hôrte, stand er, als wenn er erzürnt wäre,
auf und ging nach Hause. Indessen warf er sich zor-
nig auf seinen goldlehnigen Sitz und dieser brach unter
ihm. Sein Weib Satana”) wandte sich zu ihm und
sprach zu ihm: «Was machst du, unser alter Teufel?
warum bist du in Zorn?» Darauf sprach zu ihr der
alte Urüzmäg: «Und wie soll ich nicht in Zorn sein?
bei deinen Todten schwüre ich, der Welp der Hündin
Sürdon lässt mich durch Zorn umkommen, auf dem
Sammelplatz sprach er also: «Narten, ihr seid um-
gekommen, nur schlechtes Gesindel ist nachgeblieben
und nun leckt die Hündin euch eure Bärte. Wenn
doch unter euch ein solcher Mensch erschiene, wel-
cher euch sättigen würde!»» Satana sagte zu ihm: «Dar-
über zürne nicht, von den Opfern*), welche die Nar-
ten betend gebracht haben, habe ich siebenmal sie-
ben Keulen, siebenmal sieben Käsekuchen, sieben-
mal sieben volle Flaschen». Da ging Urüzmäg aus
und liess bei den Narten den Herold”) also ausrufen:
«O Narten, Urüzmäg ladet euch ein, und derjenige,
welcher im Stande ist auf den Füssen zu gehen, der
komme gegangen, derjenige, der im Stande ist, auf
den Schenkeln zu kriechen, der komme auf seinen
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
18?
bürdstü Urüzmägmä. Ui sä xärd ämä nostül ärbädünKodta.
Ju fonz bonü sün Ku fäminasKänünKodta, uäd Urüzmäg gurü
fäsifidmä: «Ju éüsül ättämä Ku âkäsin, läbptä, Käd Nariü
qäul is$i ärbâdt, uädtär nä unäm, uädtär mä cäst ju éüsül Ku
ädarin!!')» Uäd ün Salana zaxta: «Dä ämbürd cämän xalüs,
zärond läg? ättämä cämän cäus?» Fälà ui uädtär nä baKumdia
ämaä zaxta: <Mä cübür lopb mä Ku uaid?» ämä süstadi, jä
darë Käre jä uälä ärbakodta ämä jä eübür topb jä kuxü, äf-
lämäi ättämä racäugäjä fasifädän zaxta: «Mä ärbazdäxünmä
uà bâdt ma fexalui, äz ättämä AKäson». Urüzmäg âcüdi ämä
caÿdü ‘*) uälä ärbädti, äftimäi jä Käsäneästäi ) alürdäm qagq-
qüdta. Ueü afonü jäüm cärgäs uälijä jäxi rauaxtä ämä 3ù
ji nüxlä nüssaxta, sista jä ämä jä xäsün baidüdta ämä jä sau
densüzü astäu sau durül cäwärta. Urüzmäg alürdäm qaqqän-
gäjä jeu-sagäsaKänün baidüdta, nür a cü Känün, Kud Känon
züdoäjà, cù füdäbon mül âreüdil» Uäd durü bünäi éüsül ruxs
szündi; ui Kud fedta, aflämäi umä jäxi âuadsün fändskodta,
Schenkeln angekrochen». Diese Botschaft hürend ver-
sammelten sich die Narten am andern Tage bei Urüz-
mäg. Er setzte sie zu Speise und zu Trank. Als er
fünf Tage sie bewirthet hatte, sprach Urüzmäg zu
den Knappen: «Ein wenig hinausblicken müchte ich,
Jünglinge, vielleicht sitzt an dem Dorfe der Narten
irgend einer, und wenn ich auch nichts sehe, stelle ich
dennoch mein Auge ein wenig hinaus»!'). Darauf sagte
ihm Satana: CWeshalb unterbrichst du deine Versamm-
lung, alter Mensch, weshalb gehst du hinaus»? Al-
lein er gehorchte nicht, und sprach: «Meine kurze
Flinte müchte ich haben?» und er stand auf, zog sei-
nen langen Pelz an, und seine kurze Flinte in sei-
ner Hand, also hinaus gehend sagte er zu seinem Ge-
folge: «Pis zu meiner Rückkunft unterbrechet nicht
eure Sitzung, ich werde hinausschauen». Urüzmäg
ging und setzte sich auf einen Holzhaufen; dann
schaute er mit seinem Fernrohr *) nach allen Seiten.
Zu der Zeit liess sich ein Adler von oben auf ihn
herab und setzte seine Krallen in ihn, erhob ihn und
fing an ihn zu tragen und stellte ihn inmitten des
schwarzen Meeres auf den schwarzen Stein. Urüz-
mäg nach allen Seiten schauend fing an ach und weh zu
schreien, «was soll ich nun machen, wie leben?» sa-
send, «welches Unglück ist auf mich gekommen!» Da-
rauf kam unter dem Stein hervor ein kleines Licht
zum Vorschein; als er es sah, wünschte er sich darauf
hinabzulassen, und betete zu Gott: «Gott der Güt-
12*
183
Bulletin de l’Académie Hmpériale
184
ämä xucaumä sKuwta: «Xucaulü xucau, mä xueau! Käd mä
istimän skodtai, uäd mä acü donän ma fälâsünkän». Aftämäi
durü bünmä Jäxi âuaxta ämä Ju xägarü eurmä äreüdi; xägarü
käsärmä Kud bawwaxsi, aftä: «Uazäg nà uagut, xägarontä»
zübgä zaxta. Um udüstü ju us ämä läpbû. Us «Uazäg xu-
caui uazäg u» zäbgä fäkKodta, cuazäg Kud nä uazäm?» ämä
ji midämä baKodta. Ju éüsül fästädär «Uazäg äreüdi, läpbûtä»
züggä zaxta us ämä uailaëd xägar läpbütäi ärbaigsasü. Uäd
sün us zaxta: «Läpbûlä, uazägän Kusart Känün qäui, âcäut
ämä burä nälfüs arbalâsuth» Acüdüstü ämä burä nälfüs ärbalâs-
toi, argäwstoi jä, âcädtä jàä Kodtoi, aftämäi jä ägâsäi agü cä-
wärtoi, Ku sfüxti, uäd äi Urüzmäsü râzü füngul ägâsäidär ärä-
wärtoi, sKu la xäitän sä bünü bakodtoi. Nariän sä ägdau
qamai füngäi Kuwün udi. Aftämäi Urüzmäg qamai fünzäi sKu
âgurün baidüdta ämä jä Ku ssardta, uäd äi qamai fünzäi
sista, sKuwta ämä Kuwd Ku fäci, uäd äi läpbûmä badarta "),
läpbû jäm qâzgäjà ärbazéordta, aftämäi jäxi nâl baurädta ämä
qamai fünÿül jà zärdäsär bakurta ämä läpbû âmardi. Ui Ku
ter, mein Gott! wenn du mich zu irgend etwas er-
schaffen, so lass mich nicht in dieses Wasser schlep-
pen». Darauf liess er sich zu dem Boden des Steins
hinab und kam in die Nähe eines Hauses; als er der
Schwelle des Hauses nahte, sprach er also: «Lasset
ibr nicht einen Gast zu, Hausbesitzer?» Dort war
ein Weib und ein Kind. Das Weib sagte: «Der Gast
ist Gottes Gast, wie soll ich den Gast nicht zulassen?»
und führte ihn hinein. Ein wenig später sagte das
Weib: «Ein Gast ist gekommen, Kinder», und sofort
füllte sich das Haus mit Jünglingen. Darauf sagte
ihnen das Weiïb: «Jünglinge, dem Gast muss man
einen Hammel schlachten, gehet und holt einen gel-
ben Schôüps herbei». Sie gingen und schleppten her-
bei einen gelben Schüps, schlachteten ihn, zogen das
Fell ab, und legten ihn also ganz in den Kessel;
als er gekocht war, legten sie ihn ganz vor Urüzmäg
auf den Tisch, die Keule aber hatten sie unter die
(andern) Theile gelegt. Die Narten hatten die Ge-
wohnheit mit der Dolch-Spitze zu beten. Demgemäss
fing auch Urüzmäg an mit der Dolchspitze die Keule
zu suchen, und als er sie fand, hob er sie mit der
Dolchspitze in die Hühe, betete, und als er das Ge-
bet beendigt hatte, gab ‘*) er die Keule dem Knaben,
der Knabe kam freudig herbei gelaufen, konnte sich
nicht mehr zurückhalten und stiess sein Herzende auf
die Dolchspitze und es starb der Knabe. Als die-
âmardi, uäd Urüzmäg ägâsai ta qügkänün uul baidüdta ämä
xärgädär nâl Kodta ämä gurgädär. Uäd ün us zägü: «Cäul
nâl xärüs istü, xorz läg? läpbû Käi âmardi, ui nicü Känü; xu-
cau äi acü saxatmä ärxasta ); färäz ün nâl is, fälä istü âxär».
Uäd ma änäbarü cüsül eüdärtä âxordta. Stäi süstadi ämä
sün «xärz ) äxsäw» zaxta. Us där süstad ämä in zaxta:
«Axsäw där am läu, xorz uazäg; stäi raisom âcäusünä»; ämä
jà nä rauaxta, uat là ün baKodta ämä jä nüxxussünKodta;
läpbûi ta äxsäw uatü cäwärtoi. Raisomü Ku sboni. uäd la
Urüzmäg durü särmä ssüdi ämä um sbâdti. Âmä ia Käcäi-
där ucü cärgäs fäzündi ämä la, jäxi rauaggä, Urüzmägü jä
nüxiä nüssaxta, aflämäi jä âxasta ämä jä cagdü säräi eü afonü
raxasta, innä ucü afon {a jä um cäwärta. Donü bün éi ear-
düstü, Urüzmäg Kämä nüzgüdi, udon donbedtürtä ”) udüstü,
jä us Satanai cägat, eü läpbûi âmarta ui la jäxi läpbû udi.
Satana jä cägaiü "”) Ku udi, uäd äi um nijarta ämä jä um nu-
uaxta, Urüzmäg ün äi Kud nä züdtaid aftä. Cärgäs äi cagdü
särül Ku cäwärta, uäd jä xägarmä bacüd, ämä ämbürdü uälijä
ser gestorben war, fing Urüzmäg ganz an über ihn zu
trauern und konnte nicht mehr essen und trinken.
Darauf spricht zu ihm das Weib also: «Weshalb isst
du nichts mehr, guter Mensch? dass der Knabe ge-
storben ist, das macht nichts, Gott hat ihn zu dieser
Stunde herbeigebracht ”), es ist keine Hülfe mehr;
aber iss etwas». Darauf ass er ohne es zu wollen ein
weniges. Dann stand er auf und sagte ihnen: «Gute
Nacht». Auch das Weib stand auf und sagte zu ihm:
«Die Nacht über bleibe hier, guter Gast, morgen
darauf ziehe fort» und liess ïihn nicht fort, bereitete
ihm ein Bett und legte ihn nieder; den Knaben aber
legte sie auf die Nacht in die Kammer. Am Morgen
als es tagte, begab sich Urüzmäg zum Stein-Ende
und setzte sich daselbst. Und irgendwoher erschien
der Adler, liess sich auf ihn herab, schlug seine
Krallen in Urüzmäg, darauf trug er ïhn davon und
in welcher Stunde er von dem Holzhaufen ihn davon
getragen, zu derselben Zeit wiederum legte er ihn
dort nieder. Diejenigen, die unter dem Wasser leb-
ten, zu denen Urüzmäg hinabgestiegen war, waren
Wassergeister ), Verwandte seines Weibes Satana,
der Knabe, den er getüdtet hatte, dieser war sein
eigner Sohn. Als Satana bei ihren Verwandten war,
hatte sie ihn dort geboren und ihn dort gelassen, da-
mit Urüzmäg es nicht wisse. Da der Adler ihn auf
den Holzhaufen gesetzt hatte, da trat er in sein Haus
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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ärbâdti ämä sün zägü: «Läpbütä! râgon ämbisond un zägon
awi ärügon?» Udon ün zaxtoi: «Râgon ambisändtä ma fe-
qustam, fälä ärügon». Uäd sün ragürta caÿdü särül Ku är-
bâdt, urdügäi jà cärgäs Kud âxasta ämä jä sau densüzü sau
durü uälä Kud cäwärta, um durü bünäi donü bünmä Kud
nüggüdi, xägarmä Kud bacüdi, Kusart ün Kud äKodtoi, Kusart
ün jä râzù Kud äräwärtoi, qamai fünzäi skKu Kud sista; Ku
skuwta, uäd äm läpbû qâzgä Kud ärbauad, jäxi qamai fünÿül
Kud bakurta ämä Kud âmardi, äxsäw um Kud fäcü, raisom
ia durÿ särmä fästimä Kud ssüdi, urdügäi ta jà cärgäs Kud
sista ämä jä fästämä cagdü särül Kud äräwärta; udon juul-
där sün ragürta lüstägäi. Uäd Salana jäxi nüdiüdta ämä nür-
rädüwta, zädgäjä: «Zärond xäräg! mä susäg äwäränmä där
ta mün baxäz3à dü»; fäli ma in eü xos udi. Adädtä Ku festü,
uäd Urüzmäg fäsifädmä fäsürta: «Läpbûlä! Kämä eü baxäs3ä,
ui in xälar uäd, jà mâdü äxsürau, nür uä xäpärtäm cäugäut».
Aftämäi adäm sä xägärläm fäcüdüstü. Urüzmäg Käi âmarta,
ui ju Kord boniä ingänä Ku fäci, uäd qünçümkänün baidüdta:
und setzte sich zu oberst in der Versammlung und
spricht zu ihnen: «Jünglinge, soll ich alte Wunder
sagen, oder neue?» Sie sagten zu ihm: «Alte Wun-
der haben wir schon gehürt, aber neue». Da begann
er zu erzählen, wie er auf dem Holzhaufen gesessen,
wie der Adler ihn von dort getragen, wie er ihn in dem
schwarzen Meer auf den schwarzen Stein gethan, wie
er dort auf den Boden des Wassers hinabgestiegen,
wie er in’s Haus getreten, wie man ihm einen Ham-
mel geschlachtet, wie man den Hammel vor ihn hin-
gestellt, wie er die Keule mit der Dolchspitze erho-
ben, wie als er gebetet der Knabe freudig herbeige-
sprungen, wie er auf seine Dolchspitze gestossen und
wie er gestorben, wie er die Nacht dort zugebracht
habe, am Morgen aber zu dem Stein zurück empor-
gestiegen, wie ihn von dort der Adler erhoben und
ihn zurück auf den Holzhaufen gelegt hatte; alles
dies erzählte er ihnen auf das Genaueste. Da zer-
kratzte sich Satana (das Gesicht) und zerriss (ihre
Flechten), sprechend: «Alter Teufel! du bist sogar
in meinen geheimen Versteck gedrungen»; allein was
hatte sie nun noch für ein Mittel! Als er zu Ende
gelangt war, sprach Urüzmäg zu dem Gefolge: «Jüng-
linge, was jedem zugekommen, das sei ihm zur Freude
gleich seiner Muttermilch, jetzt also gehet nach Hause».
Darauf gingen die Leute nach Hause. Derjenige, den
Urüzmäg getüdtet hatte, fing an einige Tage nach-
«Nariül füdtug füdaz sKodta, aftämäi mä füd Urüzmägän nicü
aqâz fädän, nieü fos *) ün fäKänünKodton», zäggäjà; ämä märdtü
xicau Barastürmä bacüdi ämä in nülläxstäkodta: «Uälämä
mä âuas, mä füd Urüzmägän istü fos fäKänünkKänon» zäggäjä.
Fäli jä ui nä uaxta, afiä in zaxta: Däu Ku âuazon, uäd
märdti juuldär dä fädül acäusüstü». Uul ün läpbû zaxta:
«Mä fäidül cämäi nä racäuoi, umän äz xos ssargünän mäxä-
däg». Stäi jä farast bonü äméudmä âuaxta. Läpbü bazdäxt,
aflämäi jä bäxän cäfxädtä fisinmä +) nüssaxta ämä racüdi;
duargäs äi Barastüräi uagd Käi u, ui zongäjä, âuaxta. Uäd
märdtädär raraststü ämä duargäsmä bacüdüstü ämä in zaxtoi:
«Maxdär âyag ui fädül». Ui sün zaxta: «Ui Ku niKädäm âcüdi, är-
Käsui ün, mänä, jä fädmä där, ättämä cäunû fäd miag u?» Udon
ärkastüstü ämä fäd fistimä Käi udi, ui Ku fedtoi, uäd säxudtäg-
där fästämä âzdäxtüstü. Läpbû, dün, urdügäi racüd ämä
Nari Urüzmägü duarmä baläuud ämä jäm bazürdta: «0
Nariü Urüzmäg: «<Attämä mäm rakäs». Urüzmäg ui Ku fe-
qusta, uäd zaxta: QÜi cawär u, cäi qär u, ai xuzän dusü
dem er ins Grab gethan, zu trauern sagend: «Über
die Narten ist Übelbefinden und Hunger gekommen,
darauf habe ich meinem Vater Urüzmäg keinen Nutzen
gebracht, habe ihm nicht geholfen Vermügen *) zu
erwerben», also sagend ging er zu dem Herrn der
Todten Barastür und flehte ihn an: «Lass mich hinauf,
ich werde meinem Vater Urüzmäg etwas Vermügen
erwerben helfen» sprechend. Allein dieser liess ihn
nicht los, sondern sagte zu ihm: « Wenn ich dich los-
lasse, werden alle Todten dir nachfolgen». Darauf
sagte der Knabe zu ihm: «Damit sie mir nicht nach-
folgen, dagegen werde ich selbst ein Mittel finden».
Darauf entliess er ihn auf eine Frist von neun Tagen.
Der Knabe kehrte um, setzte darauf seinem Pferde
die Hufeisen verkehrt an und zog davon; der Thor-
wart wissend, dass er durch Barastür entlassen war,
liess ihn durch. Darauf brachen auch die Todten auf
und kamen zu dem Thorwart und sagten zu ihm:
«Lass auch uns ihm nach!» Er sagte ihnen, dass er
nirgendhin gegangen. «Schauet hin, auf seine Spuren,
sind das etwa Spuren eines Hinausgehens?» Sie schau-
ten hin und als sie sahen, dass dieSpuren zurückführten,
kehrten sie auch selbst um. Der Knabe ging dir von
dort fort und kam zu der Thür des Narten Urüzmäg.
Urüzmäg stand vor der Thür und er rief ihm zu: «O
Narte Urüzmäg, komm heraus zu mir». Als Urüzmäg
dies hôrte, sagte er: «Wie gross ist das, wodurch
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Bulletin de l’Académie Empériale
ISsS
dardäi éi areüdi?» Uäd äm rakKast ämä éüsül läpbû éüsül bä-
xül bâdü ämä Urüzmägän aflä zägü: «Demä”) mä xätün
fändü ämä mün änä däuimä fäcäun näi». Urüzmäg ün zaxta:
«Au, Kugü qäbul, dä bäx tärqusü jâs jättämä Ku nä u, däxädäg
la sargü gopbü jàs, uäd dü memä ”) Kädäm ficäugünäl? Mä
zärond bonû mä Kud xünsülägKänüs, xudinag dün nä u?»
Âmä fämästi, fält in läpbû sabürä zaxta: « Âpbün dä nä
nuuagsünän, Urüzmäg, isgädäm mä Ku nä fäKänai uäd». Af-
tämäi büdürü astau, ämxiexärän *) bäräg bäre zädgä, urdäm
innä bon sixormä Kud baeäuikgoi, aftä ämégud sKodtoi; ämä
éüsül baräg fästimä âzdäxti; Urüzmäg ta jä us Satanamä
bacüdi ämä ragürta, ueü läpbû 3ù eù âguru ui; ämä jä Käi
nä fändü uidär. Uäd ün Satana zaxta: «Ma läürs, zärond läg,
äz dün, cämäi nâl âcäuat, ui xos sKängünän; jixädäg mäsügü
särmä ärtä müdâmästü ämä ronsü awgimä suadi ämä urdü-
gät nüKKuwta: Xucauiü xucau, mä xucau! Käd ma mä istä-
män sKodtai, uäd acü äxsäw änusü cilii mit äruaräd». Aflä-
mäi, dûn, aida, mit uarün baidüdta äxsäwäi bonmä ämä ma
Geschrei ist, wer ist in solchem Unwetter fernher
gekommen?» Darauf schritt er hinaus und ein klei-
ner Knabe sitzt auf einem kleinen Pferde und spricht
also zu Urüzmäg: «Mit dir will ich wandern und ohne
dich kann ich nicht fürder gehen». Urüzmäg sprach
zu ihm: «Ach du Hunde-Welp, obwohl dein Pferd
nur so gross wie ein Hase und du selbst wie ein
Sattelbug, wohin willst du mit mir wandern? In mei-
nen alten Tagen machst du mich zum Narren, hast
du keine Schande?» und wurde zornig. Allein der
Knabe sagte ïihm sanft: «Durchaus lasse ich dich
nicht los, Urüzmäg, wenn du nicht mich irgendwohin
bringst». Darauf trafen sie die Abmachung, dass sie
mitten auf dem Felde Namens Gleichmaass - Wiese *)
dahin den andern Tag zu Mittag zusammenkämen,
und der kleine Reiter kehrte zurück, Urüzmäg aber
ging zu seinem Weibe Satana und erzählte, was dieser
Knabe von ihm sucht und dass ihm dies nicht gefalle.
Darauf sagt ihm Satana: «Fürchte nichts, alter Mann,
ich werde dir ein solches Mittel bereiten, dass ihr
nicht mehr gehet»; selbst begab sie sich auf den
Thurm mit drei Honigkuchen und einer Flasche Arak,
und von dort betete sie: «Gott der Gütter, mein
Gott! wenn du mich für irgendetwas geschaffen, dann
müge diese Nacht Schnee eines unvergänglichen
Gletschers fallen». Darauf fing es dir, sieh da, an zu
schneien die Nacht bis zum Tage, dass nur noch des
mäsüsü çupb éüsül zündû, aftä äruarüdi. Raisom Urüzmäg
Ku raKasti, uäd jä zärdä bazäbäx is, nàl âcäusünän zäggä,
ämä äcäg nl àcüdi. Urüzmäg sà äméud afon äméud bünaimä Ku
nä äreüdi, uäd läpbû urdügäi racüdi, ämä {a Urüzmäsü duarmä
baläuud ämä baqärKodta ämä Jäm Urüzmäg racüdi, uäd ün
läpbû zaxta: «Dä 5ürd Ku fäsaitai», fälä in Urüzmäg zaxta:
«Ai xuzänü, mä urs rixitäi mit särfgä, Kädäm cäuon»? Uäd
ün läpbû zaxta: <Ui mä bar uäd, äz ün xos sKänpünän umän,
mä fädül raeu ui jättämä. Cü ma Kodtaid? bacüdi jä xä-
garmä ämä zaxta: «Acü füdäbonü baräg mä nä nuuazzän;
fälä cäuon zäÿgä dün Jäxi âcädtäkKodta zärondürdäm, jä qu-
lon jäfsül dün âbâdti ämä läpbûi fädül âcüdi. Läpbû bäxül
jä râzäi cui ämä jà bäx jä fünsüxunçüstü täfäi jä alüfars mit
musuat bäre tainkänü; Urüzmäg ta jä fidül surël cäui. Ju
Säwgar Ku fäcüdüstü, uäd läpbû Urüzmäsü färsü: «Xorz
Urüzmäg! änäsast bästä ma dün Käm bazzädi»? Ui in zaxta:
«Sau densüzül âcäun fadalän nieü ssarton ämä ma mün ui
iüxxäi T'erk ämä T'uréü *) bästä änäsast bazzadüstü ». « Uädä
Thurmes Spitze ein wenig zum Vorschein kam, also
schneite es herab. Am Morgen als Urüzmäg hinaus-
schaute, da beruhigte sich sein Herz, «ich werde nicht
ziehen» sagend, und in der That ritt er nicht mehr.
Als Urüzmäg zur Abmachungszeit zum abgemachten
Ort nicht herankam, ging der Knabe von dort fort,
und kam wieder zum Thor des Urüzmäg und rief
ihm zu und zu ihm kam Urüzmäg heraus, dann sagte
zu ihm der Knabe: «Wie hast du dein Wort gebro-
chen!» allein Urüzmäg sagte ihm: «Wohin soll ich
in solchem Unwetter gehen, den Schnee kehrend mit
meinem grauen Barte?» Da sagte ihm der Knabe:
«Dies sei meine Sorge, ich werde ein Mittel dagegen
finden, reite du nur hinter mir». Was sollte er noch
machen? er trat in sein Haus und sagte: «Dieser Un-
glücks-Reiter wird mich nicht loslassen»; allein «ich
werde gehen» sagend schickte er sich an bei seinem
Alter, setzte sich auf seine scheckige Stute und ritt
hinter dem Knaben. Der Knabe reitet vor ihm und
sein Pferd liess durch den Dampf seiner Nüstern
ringsum den Schnee auf dem Raume einer guten
Tenne schmelzen. Urüzmäg aber reitet hinter ihm
auf dem Trocknen. Als sie genug geritten waren,
fragte der Knabe den Urüzmäg: «Guter Urüzmäg!
welche Gegend ist nock ungebändigt geblieben?» Die-
ser sagte ihm: «Ich habe keine Müglichkeit gefun-
den, das schwarze Meer zu überschreiten, und des-
189
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
190
urdäm cäuäm» zäggä jä âKodta; ju säwgar ta Ku âuadüstü,
uäd ün läpbû zaxta: «Âz râzdär âuajon ämä bünat âKänon»,
aflämäi âcüdi ämä ämxiexärän bäräg bäreë Afünäi i; ualünsü
Urüzmägdär Ku äreüdi, uäd festadi läpbû ämä Urüzmäsü
arxizünKodta ämä in jä bäx âfäsaxsänKodta ämä in zaxta:
«Dü ual ju éüsül âxuss, äz la bäx qaqgqängünän»! Stäi rai-
qali ämä istü Ku baxäriKgam, läpbû zäggä zaxta ämä jä fän-
daKgag sista ämä läpbûjän zaxta: «lstü baxär» äggä, fälä
läpbû jä güxmä där nicü sxasta. «Mänän xärün mä rästäg
nä u» zäÿgä. Urdügäi âcüdüstü ämä densüzü bülmä Ku är-
baxägsästü, uäd läpbû sägzärmtäi muisong sKodta sägutzärm-
ti ta lüstän ämä Urüzmägän zaxta: «Am mäm läu, âbon
mairämbon, innä mairambonmä däm äzdär isgäcäi xä33ä-
Känsünän; jäxädäg Jä bäxül àbâdt ämä dün densüzü uci
fars T'erk ämä T'urkmä bacüdi, udonän sä rägau äfsängüx
biräg ämä äfsänzüx sünt ämä äfsänyüx urs qaqqänäg udüstü;
läpbà äfsängüx birägü ämä äfsängüx süntü âmarta, äfsängüx
ursül ta sbâdtü, jäxi bäx la rägaumä âuaxta ämä T'erk ämä
halb sind die Gegenden Terk und Turk*) mir unun-
terworfen geblieben». «So gehen wir dahin!» sa-
gend fübrt ihn der Knabe; als sie ein gutes Stück
geritten waren, sagte ihm der Knabe: «Ich ziehe
voran und bereite den Platz». Darauf brach er auf
und schlummerte ein wenig auf der Gleichmaass-
Wiese; zu der Zeit als Urüzmäg herbeikam, sprang
der Knabe auf und half Urüzmäg absteigen, legte
seinem Pferde Fussfesseln an und sagte ihm: «Du
nun schlafe ein wenig, ich aber werde dein Pferd
hüten». Darauf erwachte er und, «(Wenn ich etwas ge-
nôsse, Knabe», sprach er und nahm seine Wegkost
hervor und sprach zum Knaben: «Iss ein wenig» sa-
gend, allein der Knabe brachte nichts zu seinem
Munde, «Ich habe keine Zeit zu essen» sagend. Sie
ritten von dannen und als sie das Ufer des Meeres
erreicht hatten, machte der Knabe ein Zelt aus Hirsch-
fellen, aus Hirschkubfellen aber ein Lager und sprach
zu Urüzmäg: «Warte hier auf mich, heute ist Frei-
tag, zum andern Freitag komme auch ich irgendwo-
her hierher»; selbst setzte er sich auf sein Pferd und
ritt dir jenseits des Meeres nach Terk und Turk; de-
ren Hüter war ein eisenmauliger Wolf und ein eisen-
schnabliger Rabe und ein eisenmauliger Hengst; der
Knabe tüdtete den eisenmauligen Wolf und tüdtete den
eisenschnabligen Raben, auf den eisenmauligen Hengst
setzte er sich, sein Pferd liess er zur Heerde und
T'uréü rägau qäui ättimä ralarta; stüi jäxädäg T'erk ämä
T'urkmä bazdäxti ämä säm basürta: «O T'erk ämä T'urk!
uä rägau un fätardäu, fädisü cäugäut». Ueü afon T'erK ämä
T'urk Kuwdü*) bâdtüstü ämä sû ui gürd nä baurnüdta, «éi
Ku3, éi xäräg u, maxän nä rägau âtarün éi bauända ui»?
zäbgä zaxtoi; udonän äfsänzüx biräg, äfsängüx sünt ämä äf-
sänjüx urs qaqqänäg ku is uäd?» Ku nä sä urnüdta, uäd
säm xästägdär bacüdi ämä ta sün zaxta: «Uä rägau un fä-
lardäu, fälä udon zaxtoi: «Ai xärdacau ämä nostacau éi är-
cüdi axäm u, ärxizün äi Känut ämä in baxärünkänut ämä
banäzünKänut, urdügstéütä». Udon där, T'erkK ämä sün T'urk
Kud zaxtoi, aflä bakodtoi ämä läpbûmä basidtüstü. Ui uäd
lagdgomau raxüsti, âxorta cüdäriä ämä ânüsta; stäi äfsänzüx
birägü qus ämä äfsänzüx süntü sär sista jä güpbäi ämä sä
füngul cäwärta: «Käd uä udonäi där nä urnü, uäd un dälà
uä äfsänsüx ursül bâdün», zäggä, dün, rauadi, bäxül âbädti,
nüxxäftütä jä Kodta ämä rafardäsi. Rägaumä nä ma bax-
xässä is, aftà il ju zärond us sämbäldi don xäsgäjä ämä
trieb die Heerde des Terk und Turk jenseits des Dor-
fes; darauf kam er selbst zurück zu Terk und Turk
und sprach zu ihnen: «O Terk und Turk! man hat
eure Heerde fortgetrieben, gehet auf die Verfolgung».
Zu der Zeit sassen Terk und Turk beim Mahle und
glaubten seinen Worten nicht. «Welcher Hund, wel-
cher Esel ist es, der es wagt unsere Heerde davon-
zutreiben», sagten sie, «da ein eisenmauliger Wolf, ein
eisenschnabliger Rabe und ein eisenmauliger Hengst
sie bewacht?». Da sie ihm nicht glaubten, traten sie
picht an ihn heran und er sagte ihnen: «Eure Heerde
ist euch davongetrieben», allein sie sagten: «Dieser,
der gekommen ist, ist wohl ein solcher, der Speise
sucht und Trank sucht, lasset ihn absteigen und las-
set ihn essen und trinken, Aufrechtstehende “)!» Sie
thaten so wie Terk und Turk ihnen gesagt hatten und
luden den Knaben ein. Er eilte hastvoll herbeï, ass
ein wenig und trank; darauf holte er das Obr des
eisenmauligen Wolfs und den Kopf des eisenschnabli-
gen Raben aus seiner Tasche hervor und warf sie
auf ihren Tisch: «Wenn ihr auch .darnach nicht glau-
bet, so setze ich mich auf euern eisenmauligen Hengst»
sagend, lief er hinaus, setzte sich auf das Pferd,
schlug dasselbe und eïlte davon. Er war noch nicht
zur Heerde gelangt, da begegnete ihm ein altes Weib
Wasser tragend, und sprach zu ihm: «He, ich soll
deine Krankheit aufzehren und statt deiner Seele hin-
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in zaxta: «Jil dä rün baxäron ämä dä udi fagqau fäuon, bai-
qus mäm: sagü”) xuzän äxsäz läpbüi mün udi ämä 3ü
fong füdisi füssig uäwgäjä, mard festü, nürdär ta dä mä läpbû
függâgüdär äjafgäni ämä mün ün macü Kän, à dä mâd, dä
füdü uazäg, fälä ju ä baçärrämügtäkän ämä ju äi uälwän-
dagmä bapbar, margä mün ju äi ma äKän»: cämäi il bauän-
dâdaid, ui tüxxäi in jä sigidär badarta. Ualünmä dün fädis-
där jà fädül uain baidüdtoi ämä jä, mänä, ueü usü läpbü
äpbätü fügsâg ärbaïäfta. Cüsül läpbû jäm gurü: «<Dä xor-
zäxäi nuyag mä, dä mâdimä ärdxord stäm». Fälä in ui Zax{a:
«Mä mâd, mä füdü stän, nâl dä nuuazsünän»; Ku nä jä uaxta,
uäd äm éüsül läipbû fezdäxti ämä jà baçärrämügdKodtä ämä
jà uälwändagmä bapbärsta; fälä ui festadi ämi la jä surü,
nü jä uagü, éüsül läpbû la jäm füstimä jurü: «Dä xucaumä
skäs ämä mä nuuag, mä ard mün ma fäsainKän». Uäd ün ui
aftà zägü: «Usimä ard éi xärü, ui usü xuzän läg u; rägau fä-
tärün dä fändü, fälä dä äz nä bauagsünän». Xos Ku nä ual
udi, uäd äm dükgâg xatt zdäxt rakodta ämä jä <Uädä dä |
sterben! Hüre mich: Ich hatte sechs hirschähnliche *)
Jünglinge und von ihnen wurden fünf im Getüimmel
vom Feinde erschlagen; nun wird auch mein Sohn
dich vor allen erreichen; thu du ihm nichts, ich bin
deiner Eltern Gastfreund, ritze du ihm die Haut und
wirf ihn von dem Wege seitwärts, übergieb ihn aber
nicht dem Tode!» Um sich seiner zu versichern, des-
-halb gab sie ihm ihre Brust. Darauf fing das Gefolge
an ihn zu vérfolgen und sieh, der Sohn desselben
Weibes holte ihn vor allen ein. Der kleine Knabe
sagte zu ihm: «Durch deine Güte lass mich, wir
sind mit deiner Mutter Eidgenossen»; er aber sagte
ihm: «Ich schwôüre beim Vater, bei der Mutter, ich
werde dich nicht loslassen». Als er ihn nicht losliess,
wandte der kleine Knabe zu ihm (das Pferd) und
ritzte seine Haut und warf ihn vom Wege seitwärts;
er aber stand auf und verfolgte ihn wiederum, liess
nicht ab von ihm, der kleine Knabe sagte wiederum
zu ihm: «Schau auf deinen Gott und lass mich los,
mache nicht, dass ich meinen Eid verletze!» Darauf
sagte dieser so zu ihm: «Wer mit einem Weibe einen
Eid eingeht, der ist ein weiberähnlicher Mann; du
wünschest die Rossheerde davonzutreiben, allein ich
werde dies nicht zulassen». Da es schon kein Mittel
mehr gab, wandte er zum zweiten Mal das Pferd zu
ibm und indem er sagte: «So sei deine Sünde auf dir
selbst» verwundete er ihn und halbtodt warf er ihn
Bulletin de l’Académie Impériale
192
lürigäd däxi uäd» zäëgä, bacäftäkKodta ämä jä ärdägmardäi
fändagmä bapbärsta, jäxädäg rägaul raqärKodta, aflämäi sà
densüsü aeü fars fäkodta. Urüzmäg Ku ärbaggä is, uäd ju
ran ärläuudüstü ämä läpbû Urüzmägän zaxta: «Baiuar sä,
Urüzmäg». Ui in zaxta: «Däxädäg sä baiuar». Läpbü sà
ärlä xaji Känün baidüdta; uäd Urüzmäg jäxinümärü quü-
Kodta: «Awüggäügän, ärlà xaijà ju jäxicän icgäni, ju la jä fe-
jakgag, ju la gû mänän dätgäni; ämä ma uëäd äz Nariü äx-
sänü cawär casgomäi bacaugünän» zäÿgä zaxta qüncümgän-
gäjä. Ualüngü sä uarst fäci läpbû ämä Urüzmägän zägü:
«Xai sis, Urüzmäg». Ui ün zaxta: «Nart xistäräi nä isüne
xai, maxmä äédauäi xai sisün däul ämbälü», aflämäi Urüz-
mäsü sürd ssüdi ämä läpbü sista ju xai ämä Urüzmägän
zägü: «Ai dün dä xistärag, innä xaijäai la dün däxi xai,
ärtükgâgäi ai ta dün mä xai; ärmäst rägauäi ju urs gal säw-
zärsta ämä zaxta Urüzmägän: «Acü galäi mün xist sKän».
Âmä in jäxi rargomkodta ämä in zaxta: «Dü ju äxsäw don-
bedtürtäm Ku udtä, uäd dä qamai füngül jäxi éi bakurta ämä éi
zum Wege hin, selbst aber schrie er auf die Ross-
heerde und trieb sie darauf auf das jenseitige Ufer
des Meeres. Als er zu Urüzmäg herannahte, blieben
sie in einer Gegend stehen, und der Knabe sprach zu
Urüzmäg: «Theïile, Urüzmäg». Dieser sagt zu ihm:
«Theile du selbst». Der Knabe fing darauf an drei
Theile zu machen, da dachte Urüzmäg bei sich: «Si-
cherlich wird er von drei Theilen einen sich nehmen,
einen aber als Anführer, einen aber von denselben
wird er mir geben. Mit welchem Gesicht werde ich
dann unter die Narten treten», also sagend sprach
er sich bekümmernd, Indessen hatte der Knabe die
Theilung beendigt und spricht zu Urüzmäg: «Nimm
deinen Theil, Urüzmäg», dieser sagte ihm: «Der Nar-
ten Âltere nehmen nicht einen Theil, nach unserer
Sitte kommt es dir zu einen Theil zu nehmen». Da-
rauf ging des Urüzmäg Wort hervor, und der
Knabe nahm einen Theil und sprach zu Urüzmäg:
«Das ist dir der dem Âlteren gebührende Theil»,
(er nahm) den zweiten Theil. «Das ist dir dein eigner
Theil», (er nahm) den dritten — «Das ist dir mein
Theil»; nun wählte er aus der Heerde einen weissen
Stier aus und sprach zu Urüzmäg: «Aus diesem Stier
machet mir ein Todtenopfer». Da offenbarte er sich
ihm und sagte zu ihm: «Der Knabe, der damals, als
du eine Nacht bei den Wasserbewohnern warst, auf
deine Dolchspitze stürzte und welcher starb, dieser
193
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
194
—_ _————@
âmardi, äz ueü läpbû dän; ämä mäxi daumä Barastüräi raKur-
ton; nür mä äméêud ärxäszä is, äz cäun, fälä mün xist änà
skängä ma fäu, afonmädär ma mün mä nom nicämäi ssartoi.
«Nür fändarast fiu» zäggäi in zaxta, jäxädäg äi nuuaxta. Urüz-
mägdär rägaul laëdgomau raqärKodta ämä Salanamä Ku ar-
xäsaä is, uäd fâqärkodta: «Az dü jàä einäi Kämän cartä ämä
jä jä undä Kämän na bafsästä, ucü läpbûjimä nür, innä bon,
fixadtän». Satana Urüzmägü um fäuaxta, aflämäi lipbûi su-
rün baidüdta, surün baidüdta ämä jäm xästägkänün Ku bai-
düdta, uäd äm râzdär gurü: «O Käi undäi nä bafsästän ämä
Käi cinäi cardtän, dä und mün ma baxälägkän, dä cäsgom
mäm fezdax». Läpbû ta, jä äméud Käi ärxägä is ämä xur
Käi ärcäinüguld”) ämä jä bünaimä Käi tüngta, ui lüxxäi
sqärkodta: «Rästäg mün nâl i». Salana Ku fedta, ai mäm
Knabe bin ich; und ich habe mich zu dir bei Ba-
rastür losgebeten; nun ist meine Zeit gekommen, ich
gehe, allein lass mich nicht ohne Todtenopfer; bis
zu der Zeit schon hat man meinen Namen durch
nichts gefunden» ”). Nun sei der gerade Weg, sagte
er ihm und liess ihn von sich. Auch Urüzmäg schrie
auf die Heerde und als er zu Satana gelangt war,
rief er aus: «Ich bin nun die ganze Woche mit dem
Kuaben gewandert, durch dessen Freude du lebtest
und durch dessen Anblick du nicht satt wurdest.»
Satana liess den Urüzmäg dort, fing dann an dem
Knaben nachzujagen, fing an ihm nachzujagen, und
als sie anfing ihn einzuholen, sprach sie vor ihm her:
«O du, durch dessen Anblick ich nicht satt wurde,
und durch dessen Freude ich lebte, misgônne mir
nicht deinen Anblick, wende dein Antlitz zu mir».
Der Knabe aber, da seine Frist nahe war, und da die
Sonne schon fast unterging *), und da er zu seinem
Sitze eilte, deshalb rief er aus: «Ich habe keine Zeit
mehr». Da Satana sah, dass er sein Gesicht nicht
1) In Betreff der Narten giebt Tsorajew die Nach-
richt, dass diese gigantischen Naturen sich in häufi-
gem Kriege mit hüheren Mächten (guar) befanden und
auch häufig den Sieg davon getragen haben sollen. Er
macht von den Narten folgende namhaft: Sozürüqo, Bä-
täqgo, Soslän, Xämüce, Urüzmäg, und Celäsxän. Von
diesen Namen kommen auch bei den Kabardinern
Sozürüqgo, Xämüe und sein Sohn Batüraz, vielleicht auch
Urüzmäg unter dem Namen Ovirmeg vor. Vergl. Die
Sagen und Lieder des Tscherkessen-Volks, gesam-
Tome XII.
nâl rakKässäni zäÿgä uäd, mäguräg, sRKuwta: «Xucaulü xueau,
mä xucau! Käd dü mâdü zärdü Käsün zonüs, uäd ma xäxtül
düü xur?) ärbakäsünKän ämä uäd xäxtül dügü xur arba-
Kasti Ualüng£ü läpbû där märdtü duarül fägubürKodta ämä
ju zdäxt fäkodta Salanamä ämä in Salana jà fädsülü ämä
jä cäsgom ju und äKodta ämä läpbûil jä kuxdarän fexsta
ämä umän jä kuxül âbâdti ämä läpbû ucü kuxdaränü märd-
tm jämä baxasta ”). Urdügäi Salana fästämä jä xägarmä
racüdi ämä ueü urs galäi xist sKodta. Xist {a uädäi nürmä
Känün baidüdtoi, zäggä zägüne; aflä udi Urüzmägü bale
aügoä zäpüne; fälà sà âcägzinadän nicü zonün; ärmäst un ui
zägün, udonäi eü nà fedtai, rünäi där ämä sontäi där, ändär
macü zonui. Mä Kadäkgâg läpbûlän àwärul.
mebr zu ihr wendete, da betete die Arme also: «Gott
der Gôtter, mein Gott, wenn du im Herzen der Mut-
ter zu lesen verstehst, s0 lass auf den Hühen die kleine
Sonne ”) zum Vorschein kommen» und da erschien
auf den Bergspitzen die kleine Sonne (Todtensonne).
Indessen bückte sich auch der Knabe unter dem Thor
der Todten und warf einen Blick auf Satana, und sie
berührte den Saum und erblickte sein Antlitz und
dem Knaben warf sie ihren Ring zu und er blieb ihm
sitzen auf dem Finger und der Knabe trug den Ring
fort mit sich zu den Todten”). Von dort kehrte Sa-
tana in ihr Haus zurück und aus dem weissen Stier
veranstaltete sie ein Todtenopfer. Todtenopfer soll
man also seitdem bis jetzt zu bringen angefangen
haben; so soll die Wanderschaft des Urüzmäg gewe-
sen sein; allein von ihrer Wirklichkeit weiss ich nichts;
nur dies sage ich euch: Da ihr von diesem nichts ge-
sehen habet, müget ihr auch nichts wissen von Krank-
heit und Wahnsinn. Was mir für die Erzählung zu-
kommt, gebet den Jünglingen.
melt vom Kabardiner Schora -Bekmursin-Nogmow,
bearbeitet und mit einer Vorrede versehen von Adolf
Bergé. Leipzig 1866, S. 29, wo die Namen also ge-
schrieben werden: Ssosiroko, Osirmeg, Chimasch und
Batiras.
2) füdtug füdaz buchstäblich «schlechtes Blut» und
«schlechtes Jahr», bezeichnen nach Tsoraje w Krank-
heits- und Unglückszeiten.
3) Über Sürdon s. Anmerk. 31 zu den ossetischen
Texten (Bull. VI, 469).
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195
Bulletin de l’Académie Impériale
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4) Tsorajew führt noch mebrere ähnliche Verba
an, von denen ich in der Anmerkung zu 35 der osse-
tischen Sprichwôrter einzelne Beispiele beigebracht
habe, namentlich raiärbaiärKänün, hin- und hertreiben,
raligbaligKänün, hin- und herflichen, razurbazurKänün,
hin- und herreden, raKäbaKäkKänün, so und so machen,
raxonbaxonKänün, hin und her einladen, racubacuKänün,
hin- und hergehen, ratulbatulKänün, sich hin- und her-
wälzen, raskärbaskärKänün, hin- und hertreiben, ratilbaiil-
Känün, den Kopf hin- und herschütteln.
5) Während Saiana in dem Lobgedicht auf Baiüraz
(s. daselbst Anmerk. 8) als Gattin des Xamüc auftritt,
ist sie hier mit Urüzmäg verbunden. Tsorajew führt
noch folgende Redensarten an: ucü usü kuxtä Satanai
kuxiä, die Hände dieser Frau sind Hände der Satana.
Von einer guten Wirthin heisst es nä äfsin Salana, un-
sere Wirthin ist eine Satana. Sä bägänü Salanai füx,
ihr Bier ist Gebräu der Satana.
6) dä märdtü stän, ich schwôre bei deinen Todten;
Tsorajew verweist auf Sjügren, Osset. Sprachlehre
$ 250 Punkt 2; ich meinerseits bemerke, dass in
dem Thiermärchen Gädù ruwas (Bull. VIII, p. 41 —
Mél. asiat. V, 203) statt dü märdtüstän zu bessern ist
di märdiü stän.
7) gälxur bedeutet nach Tsorajew eigentlich «grin-
dig», wird aber gebraucht von Stubenhockern und
feigen Memmen.
8) Tsorajew bemerkt hierzu Folgendes: An Feier-
tagen versammeln sich die Osseten zum Mittag- oder
Abendmahl, bleiben alle stehen, entblôssen ihr Haupt,
und der Âlteste in der Familie nimmt in die eine Hand
einen KEäsekuchen (ualibüx von uäl oder uälä, auf, und
füx, gekocht, gebacken) und eine Hammelkeule (sKu),
in die andere aber ein Glas Branntwein (araqi) oder
eine Schale Bier, in Ermangelung dieser Getränke
aber eine Schale Hirsebier (büräë, welches aus Hirse-
mehl mit Malz gebraut, im Sommer, namentlich zur
Zeit der Feldarbeiten, das gewôhnliche Getränk ist),
und hält aus dem Stegreif ein Gebet, in welchem er
alle ihm bekannten Heiligen anruft und um ihren
Schutz, ihre Hülfe und Fürbitte anhält. Der Käse-
kuchen, die Hammelkeule und das Getränk heissen
Kuwäggag, Gebetgaben, d. h. beim Gebet dargebrachte
Gaben. Vergl. Anmerk. 38 des Lobgedichts auf Ba-
\üraz.
9) Jedes Dorf hat seinen fidiuäg, Herold. Es wer-
den zu diesem Amte ältere Männer mit lauter Stimme
auserwählt. Soll eine Versammlung berufen werden,
so stellt sich der Herold mitten im Dorf auf die
hüchste Stelle und ruft mit aller Macht aus, dass
man sich zu der und der Zeit zur Versammlung (nü-
xas) begeben solle. Dabeï sagt er stets die Worte: oi,
aflä maéi zägäd, nä fequston zäÿgä, also sage niemand:
«Ich habe es nicht gehürt». Auch wenn man im Dorfe
die Gedächtnissfeier für einen Verstorbenen begeht,
oder wenn ein Leichenbegängniss stattfindet, ist es
die Pflicht des Herolds am Vorabend der Bestattung
oder der Gedächtnissfeier Meldung zu thun, damit
niemand sich aus dem Dorfe entferne. Für die Er-
füllung dieser Pflicht erhält der Herold gewôhnlich
ein Maass Weizen, zwei Maass Hirse; bei der Ge-
dächtnissfeier einen besonderen Antheil am Fleisch,
Bier, Brot und Branntwein; ausserdem ist er von
allen Abgaben befreit. Tsorajew.
10) Von diesem gom kommt qomül, erwachsen, einer
Sache gewachsen: eäun qom dän, ich bin im Stande zu
gehen; acü läpbû bäxül bâdün qom u, dieser Knabe ist
schon im Stande zu Ross zu sitzen; nä rünéün nürma
rabädün om nä ma u, unser Kranker ist bis jetzt noch
nicht im Stande zu sitzen. Tsorajew.
11) Soll so viel heissen, als: eine Ortlichkeit un-
tersuchen, recognosciren. Tsorajew.
12) caëd bedeutet einige aufgehäufte Balken und
Bäume. Tsorajew.
13) Hierbei erinnere ich an die in dem Lobgedicht
auf Baiüra3s vorkommenden Mürser; s. Anmerk. 30
daselbst.
14) Nach beendigtem Gebet übergiebt der Greis
die Hammelkeule, den Käsekuchen und das Glas
Branntwein irgendeinem aus der Schaar der Jüng-
linge, dieser aber, nachdem er dieselben berührt hat,
dem sogenannten urdügstäg (von urdüg, aufrecht und
stün, ich stehe), Aufrechtsteher, d. h. Aufwärter. Tso-
ra]ew.
15) Dem bei den Osseten herrschenden Fatalis-
mus gehôrt auch folgender von Tsorajew beige-
brachte Spruch an: däuäi nä aiwéuisän, dein Glück
wird dir nicht entrinnen.
16) Tsorajew bemerkt, dass die Osseten sehr
häufig xärz statt xorz gebrauchen, sieht sich aber
ausser Stande anzugeben, wann das eine oder das an-
dere gebraucht werden müsse.
197
17) uai bedeutet 1) ein Bett, 2) ein besonderes
Gemach, das jungen Leuten und bisweilen auch Gä-
sten (wenn es kein besonderes Gastgemach [uazägdon|
giebt) zum Nachtlager dient.
18) Wassergeister, Wasserjungfrauen sind nach
der Ansicht der Osseten sehr schün und klug: Sa-
tana war eine solche. Tsorajew leitet donbediür ab
so dass es «Wassertreiber» hiesse.
19) cägat werden die Verwandten der Frau be-
nannt, das Haus, aus welchem einer geheirathet hat,
es sind die donbediür so cägat der Satana; früher wur-
den die Ossetinnen, um ihr Wochenbett abzuhalten, in
ihre Heimath geschickt; gebar die Frau einen Kna-
ben, so kehrte sie mit Geschenken- zum Manne zu-
rück, gebar sie aber eine Tochter, so kehrte sie mit
leeren Händen zurück. Tsorajew.
In der ossetischen Evangelienübersetzung vom J.
1864 kommt Luc. 13, 29 cägaifars als Bezeichnung des
Nordens vor, und ebenso ist Psalm 88, 13 cagat Norden.
20) fos, ursprünglich Vieh (zend. paçu), bedeutet
dann auch jegliches Vermügen, (Geld, Land u. s. w.
21) fisüin bedeutet «ŒEcke»; auf meine Anfrage ant-
wortete mir Tsorajew, dass fisün auch gebraucht
werde, wenn man einen Gegenstand mit den vorde-
ren Theilen nach hinten und mit den hinteren nach
vorn stelle.
22) Die Formen demä, mit dir, und memä, mit mir,
kommen häufig vor statt der volleren däuimä und mä-
nimä. Tsorajew.
23) ämxiexärän oder vielmehr ämxizxärän ist eine zu
gleichen Theilen unter zwei Personen getheilte Weïde,
bäräg, bestimmt, bekannt, bäre, Maass; also ämxiexärän
bäräg bäre, ein bestimmter Raum des Theils des zweien
gehôrigen Weideplatzes. Tsorajew.
24) Die Osseten sagen, dass T'erk und T'urk Brü-
der waren, anfangs in Frieden lebten, dann aber we-
gen einer Schünheit in Zwist geriethen; es erhob sich
zwischen ihnen ein Bruderkrieg. T'urk siegte, T'erk
floh und liess sich in den kaukasischen Bergen nie-
der. Tsorajew.
25) Kuwd bedeutet 1) Gebet, 2) Gastmahl, Schmaus
bei irgend einer freudigen Begebenheit. Tsorajew.
26) Der Hirsch (sag) ist bei den Osseten in hohen
Ehren; man sagt ui sa$ü xuzän läg u, dieser Mensch
ist einem Hirsch ähnlich. Treffen sich zwei Bekannte,
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
198
so begrüssen sie sich oft also: dä bon xorz ua, 0 sag
âmarai, sag! Dein Tag sei gut! Mügest du, o Hirsch,
einen Hirsch tüdten! Tsorajew.
27) D.h. man hat mir zu Ehren noch kein Todten-
fest gefeiert.
28) Die Osseten glauben, dass nach Sonnenunter-
gang die Thore des Schattenreiches geschlossen wer-
den und bis Tagesanbruch niemand mehr Eïinlass
finde; aus diesem Grunde bestattet man die Todten
nicht nach Sonnenuntergang, damit ihre Seelen sich
nicht in der Nacht zwischen der Erde und dem Reiche
des Barastür abquälen; zumal im Winter bestattet
man die Todten frühzeitig. Tsorajew.
29) düzü xur oder auch märdtü xur «die Todtensonne»;
düsü ist aus dem Kinderworte süzsül «klein» entstan-
den. Tsorajew.
30) Die Osseten haben den Glauben, dass es im
Reiche der Todten schwer halte seine Verwandten
und Freunde zu erkennen, wenn man nicht eine be-
sonderes erkennbare Sache mit ins Grab gelegt hat;
deshalb warf Satana ihren Ring auf den Sohn. Tso-
rajew.
31) Nach Tsorajew’s Mittheilungen kostet die
jäbrliche Gedächtnissfeier zum Andenken eines ein-
zigen Todten einer Familie mehr als 2000 Rubel.
Häufigere Todesfälle künnen eine Familie ganz zu
Grunde richten. Es giebt bei den Osseten ein Sprich-
wort: qüdüg cämän u? nà mél — ämä umän, Weshalb
ist er reich? deshalb weil man nicht stirbt. Schliess-
lich giebt Tsorajew folgende Übersicht der verschie-
denen Gedächtnissfeste im Laufe eines Jahres:
1) Das grosse Herbstfest (stür xist); Bier 20 Kessel
(= 800 Eimer), Branntwein 30 Eimer, Ochsen 5,
Schaafe 60.
2) Himmelfahrt-Todtenfest (zärdäwärän), Bier 2 Kes-
sel, Branntwein 10 Eimer, Ochse 1, Schaafe 20.
3) Mariä Himmelfabrt (Mairämü Kuagän), Bier 1 oder
2 Kessel, Branntwein 10 Eimer, Ochse 1,
Schaafe 10.
4) Kuchen-Todtenfest (Qäbüngänän), Bier 1 Kessel,
Branntwein 10 Eimer, Ochse 1, Schaafe 6.
5) Plinsen-Todtenfest (lauzgänän), in den Fasten 20
Rubel Unkosten, 25 Rubel Branntwein.
6) Palmen-Todtenfest (zasxässän), 50 Rubel Unkosten,
25 Rubel Branntwein.
13*
199
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200
7) Ostern (K'uagänü xist), Getränke 15 Rubel, Ochse | 10) Ablegung der Trauer (barüséi isän), Branntweim
1, Schaafe 6.
18 Rubel, Schaafe 4.
8) Quinquagesima-Sonntag (füdxärän), Branntwein 15 | 11) Wachen nach dem Todten (bädän), Ausgaben 25
Eimer, Ochsen 2, Schaafe 10.
9) Quadragesima-Sonntag (ursxärän), Branntwein 15
Rubel, Schaafe 6.
IT.
Xäxxon äldarü fürtü ämä büdiron äldarü éüzsü
arÿau.
Ju xäxxon äldarü fürt fegusta, ju büdiron äldarän xärz-
räsuëd éüzg Käi is ui ämä jäm Kuräg âcüdi. K'u rarasti, uäd ül,
Kuräg Kämä fäcäicüdi ‘), ueü äldar sämbäldi ämä jä bafarsta:
CK'äi ong, Kipbû?» *) Ui in zaxta: «Ju äldarmä xorz éüzg fe-
quston ämä umä Kuräg cäun». Âldar ün zaxta: «Cäuäm uädä
jumä». Cäun, dün, baïdüdtoi ämä ju cüfgast ranmä Ku baxäg3ä
stü, uäd läpbû zaxta äldarän: Fäläu, xid dün 3ü àkKänon». Aul
ün äldar zaxta : «O dä xuzdär âmälal”) eäi ärra dä cäi, calünmä
dü am xid Känai, ualünmä am bâdon?» Affämäi 5ü äldar ba-
cüdi ämä gù jà bäix nüssagdi jä qusräbüntäm; läpbû bacüd,
cüfäi jà slâsta, nüssügdäg äi Kodta, jä bäxül äi säwärta ämä
IT.
Märchen von dem Sohne eines Gebirgshäupt-
lings und der Tochter eines Steppenhäuptlings.
Der Sohn eines Gebirgshäuptlings hürte, dass ein
Steppenhäuptling eine sehr schôüne Tochter hatte,
und kam werbend zu ihm. Als er ging, traf mit ihm
der Häuptling, zu dem er werbend ging, zusammen,
und fragte ihn: «Bis wohin, Jüngling?» Dieser sagte
ihm: ch habe gehürt, dass ein Häuptling eine schône
Tochter hat, und gehe zu ihm werbend». Der Häupt-
ling sagte ihm: «Wollen wir also zusammengehen».
Sie fingen dir an zu gehen, und als sie zu einer ko-
thigen Gegend gekommen, sprach der Jüngling zum
Häuptling: «Warte, ich werde dir darüber eine Brücke
machen». Darauf sagte ihm der Häuptling: «O es
sterbe dein Bester! was für ein Narr bist du, so lange
als du hier die Brücke machst, so lange soll ich hier
sitzen». Also ritt der Häuptling in den Koth und
sein Pferd blieb stecken bis an die Ohrwurzel; der
Jüngling ritt hinein, zog ihn aus dem Koth, reinigte
ibn, setzte ihn aufs Pferd und sie fingen wieder an
zu reiten. Als sie zum Dorfe des Häuptlings in die
Rubel, Schaafe 3.
12) Wettrennen zu Ehren des Todten (dug), Bier 1 Kes-
sel, Branntwein 15 Eimer, Ochsen 1, Schaafe 5.
ja cäun baidüdtoi. ÀÂldarü qäumä äwwaxs Ku baxäzsä stü,
uäd Käsüne ämä qäuäi ju lägü mard raxässüne ämä läpbû
äldarü bafarsta: «Aldar, äldar, dä farn, däfarn, dä zädü stän,
ueü lig ägâs qäui läg udi äwi ju xägarü läg?» Âldar ta
in zaxta: «O dä xägar fexäla! mänä läpbôjän, ärra dä äwi
sont? lig ju xäügarü lg wäji, ui jättimä ju läg ägàs qäui läg
niku wäji». Aflämäi arbacüdüstü qüumä ämä jä äldar sà
uäzägdonmä baxudta ämä um ärxüsti läpbü. Âldar xägarmä
bacüdi ämä zaxta: «Uazägän Kärgün ‘)! sKänut». Âfsin ba-
cüdi käbiemä ämä xäbizsün 5) skodta, stäi äiéütä Afüxta ämä
uazägän arwüsta; Kusäg, füng Ku fäcäixasta, uäd äicütäi ju
âxorta ämä bacüd uazägdonmä ämä füng äräwärta uazäsü
râzü; uazäg xärd Ku füci, uäd Kusägän zaxta: «Füng âxäss
ämä xägarmä Ku bacäuai, uäd zäg: «Mäi jä calxü gag ud,
fäli stalütäi ju fiqud». Kusäg füng àxasta ämä xägarmä Ku
Nähe gelangt waren, da sahen sie, und aus dem Dorfe
trägt man den Leichnam eines Menschen, und der
Jüngling sagt dem Häuptling: cHäuptling, Häuptling,
bei deiner Ruhe, deiner Ruhe, bei deinem Schutzpa-
tron, war dies ein Mann des ganzen Dorfes oder der
Mann eines Hauses?» Der Häuptling sagte ihm:
«O dass dein Haus umkomme! sieh einen solchen Jüng-
ling! bist du ein Narr oder Verrückter? der Mensch
pflegt der Mensch eines Hauses zu sein, ausserdem
ist nirgends ein Mensch der Mensch eines ganzen Dor-
fes». Also ritten sie ins Dorf, und dessen Häuptling
lud ihn ins Gastgemach, und dort stieg der Jüngling
ab. Der Häuptling trat ins Haus und sagte: «Berei-
tet dem Gaste ein Hirsebrot!» Die Wirthin ging in
die Vorrathskammer und bereitete einen Käsekuchen,
darauf kochte sie Eier und schickte sie dem Gaste;
der Diener als er den Tisch trug, ass eines von den
Eiern auf und trat ins Gastzimmer und stellte den
Tisch vor den Gast; als der Gast abgespeist hatte, da
sagte er zu dem Diener: «Trage den Tisch fort, und
wenn du ins Haus trittst, so sage: «Die Mondscheibe
war voll, allein von den Sternen fehlte einer». Der
Diener trug den Tisch fort und als er ins Haus trat,
201
bacüdi, uäd zaxta: «Ucü uazäg ui zaxta: «Mäi, dam, jä
calxü gag udi, fälä stalüläi ju fqudi». Âldar xudägäi mälün
baidüdta ämä zaxta: «AÂmbisondü ärra läpbû u; — âbondär
ma fändagul racäidüstäm ämä ju ran çüf udi ämä aftä zäêü:
«Fäläu, xid dün äKänon». Urdügäi racüdüstäm ämä, mänä,
nä qäuäi ju ligü mard raxässüne ämä la mä bafarsta: «Ucü
lig ägâs qüui lg udi äwi ju xägarü; — ui lüxxäi äz aflà
änqäldän ärra u». Aldarän jä éüzg süstadi, Ju awiü 3ag
araq raista ämä jä agubüzäimä jà ronü baKodta; stäi äpbün
änäsurgä uazägdonmä bacüdi, jä ronäi awg raista, ju agubüzä
aü rauaxta ämä jä läpbûmä âwärta, läpbû jä ânüsta, rauaxta ta
dükgâg agubüzä ämä jà jäxädäg ânüsta; nogü la rauaxta ämä
jä läpbûmä âwärta, läpbû jà cüfmä apbärsta, éüzg sista agu-
büzäi ämä nüssärfta ämä la rauaxta araq ämä jä jäxädäg
ânüsta; nogü ta rauaxta ämä Jä uäd läpbû ânüsta; nür Kä-
rägiimä nieü gurüne,; stäi läpbû jä däs kuxü xärdmä sqilkodta,
jä bäxül âbâdt ämä âfardägi. Cüzg fästämä ärbacüd ämä
äldarän zaxta: «Dü, äda, ueü läpbûi ärrä xonüs, fälä umäi
da sagte er: «Dieser Gast sprach dies: ««Des Mondes
Scheibe freilich war voll, von den Sternen aber fehlte
einer»». Der Häuptling fing an vor Lachen zu sterben
und sagte: «Dieser Jüngling ist ein seltsamer Narr;
heute ritten wir auf dem Wege und an einer Stelle
war Koth, und er spricht so: «Warte, ich will dir
eine Brücke machen». Von dort reiten wir fort und,
sieh da! aus unserem Dorfe trägt man den Leichnam
eines Mannes, er aber fragte mich: «War dieser
Mensch ein Mensch des ganzen Dorfes oder eines
Hauses?» deshalb glaube ich so, dass er ein Verrück-
ter ist». Die Tochter des Häuptlings stand auf, nahm
eine Flasche voll Arak sammt dem Glase und that sie
in den Busen; darauf ohne etwas zu sprechen tritt
sie ins Gastgemach®), und nimmt die Flasche aus
dem Gurt, liess ein Glas herausfliessen und reicht es
dem Jüngling, der Jüngling trank es aus; sie goss ein
zweites Glas ein und trank es selbst aus; wiederum
goss sie ein und reichte es dem Jüngling, der Jüng-
ling warf es in den Koth; das Mädchen hob das Glas
auf und wischte es ab, und goss wiederum Arak ein
und trank es selbst aus, wiederum goss sie ein,
und da trank es der Jüngling aus; nun aber mit ein-
ander sprachen sie nichts. Darauf richtete der Jüng-
ling seine zehn Finger in die Hühe, setzte sich auf
sein Pferd und eïlte davon. Das Mädchen kehrte zu-
rück und sagte dem Häuptliug: «Du, Väterchen, hältst
äes Sciences de Saint-Pétersbourg.
20?
zond#ündär nä bästü birä nä ssargünä; ärbaiqus: «Abon smax
findagul Ku eüdüstut ämä çüfmä Ku ärbaxäzgä stut ämä dün
aflä Ku zaxta: «Fäläu, xid dün 3ù âKänon» zäggä, uäd dü aflä
änqältai, äcäg dün xid Känünmä qawüdi; uädämä gù füg3àsü-
där jäxädäg bacüdaid ämä Ku 9ù nüssagdaid, uädtär ui läpbüû
u ämä umän xabardär”) nä ud; fälä däuän xudinäg udaid
um nüssägün; ui dün ju. Dükgâg, urdügäi Ku racüdüstut,
ämä qäuäi ju lägü mard Ku racäixastoi ämä dä Ku bafarsta:
«Ueü lg ju xägarü mard u äwi ägâs qäui, dû ta il xudün
Ku baidüdtai, uäd dün ui umän zaxta ämä, Käd xorz läg
udis®), uäd ägâs qäui läg udi; Käd ta äwzär läg udi, uäd jä
xägarü mard udi. Ariükgâg: ardäm Ku ärbacüd ämä uäzäg-
Ku bacüd, dü la xägarmä Ku arbaudta ämä uäzägän
Kärgün skänut Ku zaxtai, stäi äna xäbizéün Ku sKodta ämä
jä äicütimä Kusägän Ku baxässünKodta, uäd Kusäg fändagul
ju aik âxorta: «Mäi jä calxü 5ag u, flä stalüläi ju fäqudi»,
räbgä ta ui ui tüxxäi zaxta, oma, ju aik Kusäg âxorta. Nür äz
awgü gag araq âxaston ämä Ku bacüdtän ämä in araq Ku
donmä
diesen Jüngling für verrückt, allein einen klügeren
als er wird man in unserer Gegend nicht wohl finden;
hüre: als ihr heute auf dem Wege rittet, und als ihr
an den Koth herankamt, und als er dir also sagte:
«Warte, ich werde dir eine Brücke machen» so dach-
test du so, dass er eine wirkliche Brücke zu machen
beabsichtigte; vielmehr wollte er früher selbst hinein-
reiten, und wenn er stecken geblieben wäre, so ist
er ein Jüngling, und es wäre ihm nichts Schreckliches
gewesen; allein dir wäre es schmählich dort stecken
zu bleiben: dies ist dir eines. Zweitens, als ihr von
dort rittet, und als man aus dem Dorfe den Leich-
nam des Mannes trug, und als er dich fragte: «st
dieser Mensch der Leichnam eines Hauses oder des
ganzen Dorfes?» du aber über ihn zu lachen anfingst,
so sagte er dies deshalb, weil, wenn er ein guter
Mensch war, er der Mensch des ganzen Dorfes war,
wenn er aber ein schlechter Mensch war, so war er
der Leichnam eines Hauses. Das dritte: als er hier-
herkam und ins Gastgemach eintrat, du aber ins
Haus eiltest, und sagtest: Bereitet dem Gaste ein
Hirsebrot», und darauf Mütterchen einen Käsekuchen
bereitete und ihn mit den Eiern den Diener hintra-
gen liess, da verzehrte der Diener unterwegs ein Ei;
«Die Mondscheibe ist voll, allein von den Sternen
fehlte einer» sagte er deshalb, denn ein Ei hatte der
Diener verzehrt. Dann trug ich eine Flasche voll
203
Bulletin de l’Académie Impériale
204
——_———
âwärton, ui ta jà Ku ânüsta, uäd jäxinümärü zaxta: «Ujàs dä
uarzaünän, mä zärdäi äwzärst, äz la nogüdär rauaxton ämä
ji mäxädäg Ku ânüston, uäd zaxton mäxinümärü: «Âzdär
dä uarzsünän, mä xurü éüsül». Nogü la rauaxton ämä jäm
äi Ku âwärton uäd jà ui çüfmä nüzzüwütlâästa ämä Jäxinü-
märü qudükodta: « Ku nä bäzzai, uäd la dä aflä apbarsünän».
Âz la jä cüfäi siston ämä jä nüssärfion ämä 3ù rauaxton
ämä ta jä mäxädäg Ku ânüston, uäd mäxinümärü zaxton:
Ui dä zärdä ma qudükänäd, mä bon, ämä tärsgä där ma Kän,
Arak, und als ich eintrat, und als ich ihm den Arak
darreichte, er aber ihn austrank, da sagte er in sei-
nem Herzen: «So sehr werde ich dich lieben, Auser-
wählte meines Herzens»; ich aber goss nochmals ein
und als ich selbst getrunken hatte, da sagte ich in
meinem Herzen: «Auch ich werde dich lieben, meine
kleine Sonne». Wiederum goss ich ein, und als ich
ihm den Arak darreichte, warf er das Glas in den
Koth und dachte in seinem Herzen: «Wenn du nichts
taugst, so werde ich dich also fortwerfen». Ich aber
nahm das Glas aus dem Koth und wischte es rein
und goss ein, und als ich es selbst ausleerte, sagte
ich in meinem Herzen: «Solches denke dein Herz
nicht, mein Tag, und fürchte durchaus nicht, ich
1) um fäcäcäun. Auf meine Anfrage über die Be-
deutung des Elements cäi in den mit ärcäi, fäcäi, bacäi,
racäi zusammengesetzten Zeitwôrtern benachrichtigt
mich Tsorajew, dass damit eine in der Vollendung
begriffene, aber irgendwie verhinderte und unvollen-.
dete Handlung ausgedrückt werde, z. B. xur fäcäinü-
guld, fälä jä uälärwon K'urdalägon fäurämta, die Sonne
ging beinahe unter, allein der himmlische Kurdalagon
hielt sie auf; mä ju füsü mün biräg fäcäixorta, fälä jà äz
baiston, eins meiner Schaafe frass mir fast der Wolf, allein
ich nahm es ihm ab; jäxi najinmä fäcäicüdi, fälä jä äz nä
buaxton, er ging beinahe baden, allein ich liess ihn
nicht; nä xägarmä ärbacäicüdi, fälä jà fästämä azdaxtoi, er
trat fast in unser Haus, allein er kehrte um. Aus
dem Abchasischen ist uns eine besondere Verbalform
des Präteritum interruptum durch Baron Uslar be-
kannt geworden. $. meinen Bericht $. 7, 16, 18.
2) läpbû bezeichnet nach Tsorajew sowohl ein
Kind und einen Knaben, als auch einen Jüngling,
überhaupt jeden unverheirateten Menschen.
3) Diese Redeweise wird bisweilen scherzweise ge-
bäzgä där Kängünän ämä dä uarzgä där Kängünän, nä mä
apbaraünä. Ui fästä jä däs kuxü xärdmä Ku sKodta, uäd zaxta
jäxioümärü: «Uädä däm däs bonü fästä Kurünmä äreäusü-
nän». Nür äz jä us, ui mä moi». Âldar zaxta, jà Güzgü gürdtü
fisti. «Âcig äcäg däsnü Ku u». Däs bonü fistä läpbû jà
éüngxässütimä”) äreüdi, rakurtä éüzéü, ärtä bonü ämä ärtà
äxsäwü minasfäKodtoi, sà udü câs fändüd ujâs; stäi jàä âxastoi,
sä xägarü där dunei dissag minasfäkodtoi. Card sün udi,
xorz sün udi. Udon äreüdmä xorzäi fäcärut, argaumä quséütä!
werde dir sowohl frommen als auch dich lieben, wirf
mich nicht von dir». Darauf als er seine zehn Finger
emporhob, sagte er in seinem Herzen: «Also werde
ich nach zehn Tagen kommen um dich zu freien».
Jetzt bin ich sein Weiïib, er mein Mann». Der Häupt-
ling sagte nach diesen Worten seiner Tochter: «Wahr-
lich, er ist ein kluger Mensch». Nach zehn Tagen kam
der Jüngling mit seinen Brautholern, warb um das
Mädchen, drei Tage und drei Nächte schmauste man
so viel es ihre Seele beliebte, darauf führte man sie
fort und auch in seinem Hause schmauste man zum
Staunen der Welt. Es war bei ihnen Leben, es war
bei ihnen Gutes. Bis zu ihrem Kommen lebet gnt,
Hôürer des Märchens!
:braucht und nicht übelgenommen, wie Tsorajew be-
merkt.
4) Kärsün bedeutet ursprünglich ein Hirsebrot, im
weiteren Sinne aber jegliche Speise, die auf den Tisch
kommt: fen ma max cäxsün Kärsün där, versuche doch
unser Salz und Brot.
5) xäbizéün, ein grosser runder mit frischem Käse
angemachter und auf Butter gebratner Kuchen.
6) Nach Tsorajew’s Bemerkung begiebt sich auch
jetzt noch in den Gebirgsdürfern, wo der Islam we-
niger umgestaltet hat, ein Frauenzimmer, das einen
bekannten Gast bewirthen will, mit einer Flasche
Branntwein ins Gastgemach.
7) xabar bedeutet Nachricht, Neuigkeit: eü xabariä
is smaxmä, Was für Neuigkeiten habt ihr? cü xabar qusü
K'äsägäi, was für Nachrichten hôürt man aus der Ka-
barda? Steht aber vor oder nach xabar die Negation
nä, so heisst nä xabar nicht schrecklich, nicht furcht-
bar, gleichgültig: näu xabar, es ist nicht schrecklich;
ämälän xabardär näu, es ist nicht schrecklich zu sterben.
8) Auf meine Anfrage, ob die Form udis ihre Rich-
205
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
206
tigkeit habe, hat Tsorajew folgenden Spruch mit
derselben Form angeführt:
ui um Kud nä udis,
aftà dü dä ud is
Wie er nicht dort war, d.h. so wahr er nicht dort war,
so nimm du deine Seele, d. h. stirb.
e, von éünz, Braut und xässün, nehmen,
führen. Wenn der Bräutigam die Braut holt, nimmt
9) Cüunzsxässäs
ss)
LIT.
Àldarü fürt Müstüqusü argäu.
Râgüma râgü ju äldar udi, ju xatt Ku ud, uäd, dün, baleü
âcüdi ämä fändagul äodär äldarimä sämbäldi ämä in zaxta
fändarast, uidär ün zaxta dä qudtag rast. Ju éüsül Ku âua-
düstü, uäd sà ju Gi udi, ui innämän zaxta: «Cäul änkard dä» ?
Ui jäm nicü ssürta; dükgâg xatt där la jä bafarsta: « Cäul
aftä änkard dä»? Ui fa jäm uädtär nicü spürta; ärtüKgâg xatt
äi Ku farsta, uäd ün uidär zaxta: «Dü däxädäg cäul änkard
dä?» Ui in aflä zägü: <Mänän mä us süwärgün u ämä äz
uul änkard dän». Uäd ün innä där aflä zägü: «<Uädä äzdär
mä us süwärgün Käiu, uul änkard dän». Stäi ucü ran xu-
cauäi somü bakodtoi: «Nä juän éüzg Ku raigura, nä innäjän
LIL.
Märchen von dem Häuptlingssohn Müstüqus
(Mäuseohr).
Längst längst war ein Häuptling; als es einmal
war, da begab er sich dir auf die Wanderschaft
und unterwegs traf er mit einem andern Häuptling
zusammen und sagte ihm «graden Wegl» er auch
sagte: «Dein Geschäft sei gerade». Als sie ein wenig
gereist waren, da sagte der eine zu dem andern: « Wo-
rüber bist du in Sorge?» Dieser sagte ihm nichts:
zum zweiten mal aber fragt er ihn: «Worüber bist
du so in Sorge?» Dieser aber sagte ihm wiederum
nichts. Als er ihn zum dritten Mal fragte, da sagte
er ihm: «Du selbst, worüber bist du in Sorge?» Die-
ser sagte ihm also: «Mir ist mein Weib schwan-
ger und ich bin darüber in Sorge». Da sagte ihm
auch der andere: «Also bin auch ich darüber in
Sorge, dass mein Weib schwanger ist». Darauf an
dieser Stelle schwuren sie bei Gott: «Wenn einem
von uns eine Tochter geboren wird, dem andern von
er 12-29 Brautholer mit; alle sind zu Pferde und
bewaffnet, sie nehmen im Hause der Braut den Eh-
renplatz ein; im Laufe von drei Tagen bewirthet man
sie Tag und Nacht mit dem Schünsten und Besten
was das Haus hat. Nach dreitägiger Bewirthung neh-
men sie die Braut, und indem sie nach dem Hause
des Bräutigams zurückreiten, stellen sie Reitübungen
an, schiessen aus Pistolen und Flinten und singen
Lieder.
la lipbû, uäd sä us ämä moijän éi nä radta» zäggä. Balcäi fà-
stämä Ku razdäxtüstü ucü äldärtä sä xägärläm, uäd sä juan
éüzg raigurd, sä innäJän ia läpba. Cüzg ämä läpbû Ku sqo-
mülstü, uäd éüzéü jà füd moimä ändärän radta. Innä äldar éi
udi, umä ueü uaequd Ku ärxäzgäi, uäd äm ittäg qüg fäkasti.
Ju bon Ku ud, uäd, dün, jä duarmä änkardäi bâdü; ämä in
cü läpbû raigurd, ui rauadi ämä in zäÿü: «Cäul änkard dä,
dada?» Ui jäm nicü ssürta, dükKgâg xatt där ta jäm nicü
ssürta, ariükgâg xatt ün aflä zägü; «O, dada dä rüniä ba-
xärä! Dü ma dä mâdü gubünü Ku udtä, uäd äz ju äldarimä
baleü udtän, ämä umän där jä us süwärgün udi ämä ard baxord-
tam: nà juän éüzg Ku raigura, nä innämän la läpbû, uëäd sä us
ämä moijän éi nä radta zäÿgà; nür ju Jä éüz£ü ändärän dädtü
ämä ui tüxxäi änkard dän». Läpbû in aflä zägü: «O dada! ui
uns aber ein Knabe, weshalb geben wir sie nicht ein-
ander zu Frau und Mann». Als diese Häuptlinge von
der Wanderschaft nach Hause zurückkehrten, da
wurde dem einen von ihnen eine Tochter geboren,
dem andern von ihnen aber ein Knabe. Als das
Mädchen und der Knabe heranwuchsen, da gab des
Mädchens Vater sie einem andern Manne. Dem an-
dern Häuptling aber, als zu ihm dies Gerücht ge-
langt war, erschien dies sehr bitter. An einem Tage
sitzt er dir bekümmert an seiner Thür, und der Sohn,
der ihm geboren war, lief heraus und sagt zu ihm:
«Warum bist du in Sorge, Väterchen?» Dieser sagte
ihm nichts, zum zweiten Mal sagte er ihm auch nichts,
das dritte Mal sagte er also zu ihm: «O müge dein
Väterchen deine Krankheiten verzehren! Als du noch
im Leibe deiner Mutter warst, da war ich mit einem
Häuptling auf der Wanderschaft und auch diesem
war seine Frau schwanger, und wir legten den Eïd ab:
«Wenn dem einen von uns ein Mädchen geboren wird,
dem andern aber ein Knabe, wie sollten wir sie nicht zu
Frau und Mann geben» also; jetzt giebt er seine Tochter
207
Bulletin de l’Académie Impériale
208
9
lüxxäi änkard äpbün ma Kän, äz umän xos ssar;ünän mäxä-
däg». Ju duuä bonü fästä, dün, läpbû âcüdi ämä jà füdü ärd-
xor äldarü qaumä bacüdü ämä äldarän zaxta: «Rodgäs nà
äxxursüs?» Uidär äi cingängäjà baxxursta. Ju bon Ku udi, uäd,
dün, ueü läpbû rodtä büdürmä âlarta; ueü bon axäm ixuarün
äreüdü, axäm ämä büdürü fos äpbäl fâcaxta, ueü läpbû la jä
rodtä bälâsü bünmä baskärta, jäxädäg la bälâsü märai nüpbü-
rüdi; stäi uarün Ku bancadi, uäd jà rodtä raskärta ämä zar-
sütà Känü. Ualüngü, dün, Käsü, ämä uärtä ju xäiräg Jä don
Kalgä äreäui ämä läpbômä Ku ärxäggäi, uäd ün aflä zäigü:
«O dä bünontü xuzdär âmäla! äz xäüiräg nä dän, äcäg xäiräg
dû Ku dä; aflä xusäi Kud bazzädtä?» K'u uarüdi, uäd Käm
udtä?» Ui in aftä zägü: «Cämän dün zägon, eü paida mül
baxxäggäni umäi?» Xäiräg ün aflä zägü: «Zäg mün äi, ämä dün,
mänä, acü süflär radton». Ui aflä zägü: cÂmä jäm eü miniog !)
is ucü süftärmä?» Xäüräg ün zaxta: «Dä zärdäi eü bafända, ui
dün bakKängäni». Stäi in zaxta läpbû Käm udi, ämä süftär jä-
einem andern und deshalb bin ich in Sorge». Der
Knabe sprach so zu ihm: «O Väterchen, deshalb sei
durchaus nicht in Sorge, ich werde dagegen selbst
ein Mittel finden». Ein, zwei Tage darauf da ging der
Kuabe und kam in das Dorf des Häuptlings, der Eïd-
genosse seines Vaters war, und sagte zu dem Häupt-
ling: « Wirst du nicht einen Kälberhirten annehmen?»
und er nahm ihn freudig an. An einem Tage als es
war, trieb dieser Jüngling die Kälber auf das Feld;
an dem Tage fiel ein solcher Hagelregen, ein solcher,
dass er alles Vieh auf dem Felde niederschlug, dieser
Jüngling aber trieb seine Kälber unter einen Baum,
selbst aber kroch er in die Hühlung des Baumes; als
darauf der Regen aufhôürte, da trieb er seine Kälber
heraus und singt seine Lieder. Zu der Zeit sieht er
dir, und sieh da, ein Teufel kommt herbei, indem
Wasser von ihm trieft, und als er zum Knaben her-
angekommen, spricht er so zu ihm: «O dass der
Beste deines Hauses sterbe! ich bin kein Teufel, du
bist ein rechter Teufel, wie bist du so trocken geblie-
ben? wo bist du gewesen als es regnete?» Dieser
spricht zu ihm also: «Weshalb werde ich es dir sa-
gen, welcher Nutzen wird mir daraus entstehen? «Der
Teufel sagte ihm also: «Sag es mir und ich werde
dir, sieh, dieses Blatt geben». Dieser spricht also:
«Und was für ein Talisman ist in ihm, in diesem
Blatte?» Der Teufel sagte ihm: «Was du in deinem
Herzen wünschest, wird dieses dir zeigen». Darauf
xicän raista Läpbû, dün, izärü Ku äreüdi, uäd ül äldar cintä-
fäkodta, ui tüxxäi ämä in ucü rodtü jättämä fos nl bazzâd,
ix sû ficaxta. Ucü izärü {a äldar jä éüz$ü ärwüsta. K'uddär
ärcüdüstü éüngxässütà, aflä äldarü us jä éüzgmä bauadi,
ämä jämä nüxästä Känü; ueü läpbû dr jä süftär innärdäm
fäfäldäxta ämä éüzg ämä mâd Kärägiil ânüxästüstü. Stäi äl-
dar rauad ämä jä usän aflà zägü: «Raeu ma, uärlä däumä
Käsüne, aftämäi ta uidär udonül ânüxästi, ui fästä um cü adäm
udi, udon juuldär sä Kärägül nünnüxästüstü. Uäd äldar läp-
büjän aflä zügü: «Acu ämä mollo arKän; ui där âcüdi ämä
mollojän zaxta; mollo jä bäxül sbâdti ämä racüdüstü. Cäune,
dün, ämä, mänä, ju ran fändagul xuzarmü gäbaz läui ämä
jä mollo jä jäxsäi âkurta; läpbüdär uäd Jà süflär fäfildäxta;
ämä xugarm molloi jäxsül nüonüxästi. Mollo aflä zägü: «Amän
la ma cü Känon?» Läpbû in aftä zägu: Umän xos nä zonüs,
stäima äldarän eü xos sKängünä?» Mollo läpbüjän aftä zägü:
CAÂmä amän eü xos is?» Läpbû in aflä zägü: «Dä bäxü sü-
sagte ihm der Knabe, wo er gewesen, und empfng von
ihm das Blatt. Als dir der Knabe am Abend kam, da
freute sich der Häuptling deshalb, weil ihm ausser
diesen Kälbern kein Vieh geblieben, der Hagel das-
selbe erschlagen hatte. An diesem Abend aber ent-
sandte (verheirathete) der Häuptling seine Tochter.
Als gerade die Brautholer kamen, da lief des Häupt-
lings Weib zu ihrer Tochter und begann mit hr ein
Gespräch; dieser Jüngling wandte aber sein Blatt auf
die andere Seite, und die Tochter und die Mutter
hafteten an einander. Darauf lief der Häuptling her-
vor und spricht so zu seinem Weibe: «Komm schon,
sieh, man wartet auch dich», auf diese Weise haf-
tete aber auch er an ihnen; darauf hafteten auch die
Menschen, die dort waren, alle an einander. Darauf
spricht der Häuptling so zu dem Jüngling: «Geh
und bringe den Mulla herbeï»; jener ging auch und
sprach zu dem Mulla. Der Mulla setzte sich auf sein
Pferd und sie zogen ab. Sie reiten dir und, sieh, an
einer Stelle unterwegs liegt ein Stück einer Schweins-
haut, und der Mulla schlug es mit seiner Peitsche;
der Jüngling aber wandte da das Blatt; und die
Schweinshaut haftete an der Peitsche des Mulla. Der
Mulla spricht also: «Was soll ich aber damit ma-
chen?» Der Jüngling spricht so zu ihm: «Wenn du
dagegen kein Mittel kennst, welches Mittel kannst du
denn dem Häuptling weisen?» Der Mulla spricht so
zu dem Jüngling: «Und was giebt es für ein Mittel
209
3än âpakän ämä xugarm âxaugän» Ui jä bäxü Sügän pa Kud
Kodta, aflä ia läpbû süf fäfäldäxta ämä mollo jä bäxü süzül
nünnüxästi; aflämäi jä läpbû äldarmä ärKodta; ämä il, um cüù
adäm udü, udon xudägäi fämardüstü. Stäi, dün, äldar läpbüi
däsoü usmä arwüsta. Ueü usdär racüdi, ämä sä ju ran donü
cäun qui, uäd läpbû usän aflä zägü: « ÀÂz acäusünän donü
fallag farsmä, ämä uälgommä nüxxussünän, ämä dü ia, dä
fädgitä Kud nä nüxxulüy uoi, aflä sä ju uäliau sKän ämä racu.
Ucü us, dün, jà fädsitä uäliaugomau sKodta ämä Kuddär
donü racäieüdi, aftä läpbû ja süf fäfäldäxta, ämä ucü usän jà
fädsitàä, Kud sül xäcüdi, aflämäi bazzâdüstü; ämä jä acü xu-
dagegen?» Der Jüngling spricht so zu ihm: «Küsse
den After deines Pferdes und die Schweinshaut wird
abfallen». Als er den After seines Pferdes küsste,
da wandte der Jüngling das Blatt um und der Mulla
haftete an dem After seines Pferdes; auf diese Weise
brachte der Jüngling ihn zum Häuptling, und alle Men-
schen, welche da waren, die wollten vor Lachen über
ihn sterben. Darauf schickte dir der Häuptling den
Jüngling zu einer klugen Frau. Diese kam auch und sie
musste an einer Stelle durch das Wasser gehen; da
spricht der Jüngling so zum Weibe: «Ich werde auf
die gegenüberliegende Seite des Wassers gehen und
mich aufs Gesicht legen, du aber hebe deine Säume,
damit sie nicht nass werden, hoch auf und geh so».
Dieses Weib hob dir ihre Säume recht hoch auf, und
wie sie ins Wasser gegangen war, da drehte der
Jüngling sein Blatt um, und wie dieses Weib die
1) miniog übersetzt Tsorajew durch «geheime
Kraft», sollte es nicht zusammenhängen mit dem ar-
IV.
aäré.
3är& udi, ärlä qübülü in udi, éidär sün eäxgün Käf ärxasta,
säxi gû nüddängälKodtoi ämä donüjä fâcäimardüstü; 3ärg, dün,
EX.
Die Sau.
Es war eine Sau, die hatte drei Ferkel; jemand
brachte ihnen gesalzene Fische, daran frassen sie sich
zum Bersten voll und vor Durst kamen sie beinahe
um; die Sau lief dir zum Wasser und als sie zum
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
————
210
zänäi äldarmä ärbaKodta; ämä la ucü adäm uuldär sä artäntä
xudägäi fäkKaltoi. Uäd äldar läpbüjäa zaxta: «Dä xorzäx nà
uäd, ämä nün istü xos ssar; mä éüzg där däu fäuäd». Läpbû-
där, dün, süf fäldäxün baidüdta ämä ucü adäm äpbätü suägd-
Kodta, mollo ämä däsnü usü jättämä. Udondär ün läxstäKi-
nün baidüdtoi ämä in zaxtoi fäinä bäxü uarë äxca; âämä udonü
där ta suägdKodta. Ui fästä, dün, ueü läpbûi äldar xädtulgä
ordonü sbâdünkodta jä usimä, birä xäzna sün radta; aflämäi
ucü Jläpbû jä xägarmä ärbafardäg; innä äbonäi innä âbonmä
éüngäxsäwtà fäkodta. Card udi, xorz udi; udon ärcüdmä xor-
zäi fäcär.
Säume hielt, also blieben sie, und er brachte sie in
dieser Gestalt zu dem Häuptling; und die Leute ver-
schütteten auch über sie ihre Gedärme vor Lachen.
Darauf sprach der Häuptling zum Jüngling: «Deine
Güte komme auf uns und finde für uns irgend ein
Mittel, auch soll meine Tochter dein sein». Der
Knabe aber fing dir an sein Blatt zu wenden und er
befreite jene Menschen alle, den Mulla und die kluge
Frau ausgenommen. Auch diese fingen an ihn anzu-
flehen und sagten ihm je eine Pferdelast Geld zu, und
er befreite auch sie. Darauf setzte der Häuptling den
Jüngling sammt seinem Weibe auf einen von selbst
rollenden Wagen, gab ihnen viel Schätze; auf diese
Weise rollte dieser Jüngling nach Hause. Von einem
Heute bis zum andern (eine ganze Woche lang) feierte
man den Brautschmaus. Es war Leben, es war Gu-
tes da; bis zu ihrem Kommen lebet gut (wohl).
menischen maneak, vergl. Zend mina, Geschmeid,
Halsband ?
donmä âuad ämä Kudtär don äwgänünmä qawüd jä kärtai,
aftä in biräg jä äkgoi äbädt. «Xärün dä, 3ärg. «cCü mä xärüs,
ün zaxta uidär,»» mä sär dur u, mà färstä käi stü, mä fästag
ärdäg smagkKänü. Ui bästü, Kid dä dändägtän tärigädkänüs,
uäd mün is ärtä qübülü, gurgiag fätKulü xuzädtä ämä dün
Wasserholen sich in ihren Eimer bückte, setzte sich
ihr der Wolf auf den Rücken. «Ich fresse dich, Sau».
«Was frisst du an mir», sagte ihm dieselbe, «mein
Kopf ist Stein, meine Seiten sind Platten, meine hin-
tere Hüälfte stinkt. Statt dessen, wenn du dich deiner
Zähne erbarmst, habe ich drei Ferkel, georgischen
Âpfeln gleich, und ich werde dir einen Schmaus ge-
14
211
Bulletin de l’Académie Empériale
212
oo
udonäi ju ratgünän»». «Uje uädä, dä qudtag rastl» zä£oä zaxta,
biräé, csä nämtäi ta eù xuinüne !» —«Sä nämtäi ta: ju Nafon ‘),
innä Fidar, äriükgâg la Qarmäg»». «Xorz», zäggä zaxta biräg
ämä jä âuaxta. 3äré, dün, âcüdi, Jà qübültän don banazün-
Kodta, jä duuä duarü fidar säxgädta ämä jä qübüllimä qarm
sxussüdi. Ualünmä biräg där ärbaqärKodta: «O Nafon» — ««Âna-
fonü däm ättämä nâl âKässünän»», äm ragürta midägäi 5ärê,
no$üdär ta biräg bagürta: «O Fidarl» ««Fidar äxgäd mä
duuä duarü»». Âriükgâg xatt biräg bazürta: «O Qarmägl»
«Qarm xussün mä qübültimän» zäggä jäm ragürta gärg. Bi-
rägän, dün, fürmästäi jJà sär äruaxta ämä ju ran nüfäldäxti.
Dunei xalädtäi eü udi, udon, dün, ärtaxtüstü, ämä jä kure-
kureKänün baidüdtoi; ui där, dün, jä dändägtä fäzüqqürKodta,
ben». ««Nun also, dein Geschäft sei gerecht!»» sprach
der Wolf, «wie nennt man aber ihre Namen?» «Ihre
Namen aber sind: das eine Unzeit, das zweite Fest,
das dritte aber Warm». «Gut», sagte der Wolf und
liess sie los. Die Sau ging dir davon, gab ihren Fer-
keln Wasser zu trinken, verschloss ihre beiden Thü-
ren fest und legte sich mit ihren Ferkeln warm nie-
der. Zu der Zeit schrie auch der Wolf: «O Unzeit!»
««Zur Unzeit werde ich zu dir nicht hervorkommen»»,
sprach zu ihm von innen die Sau. Wiederum aber
sprach der Wolf: «O Fest!» — «est verschlossen
sind meine beiden Thüren»». Zum dritten Male sprach
der Wolf: «O Warm!» — «Warm schlafe ich mit
meinen Ferkeln». Also antwortete ihm die Sau. Der
Wolf liess vor übergrossem Zorn seinen Kopf hängen
und warf sich irgendwo hin. Soviel es Krähen in der
Welt gab, eilten dir herbei und fingen an ibn zu
hacken; er aber fletschte seine Zähne und fing eine
derselben. «Weh deinem Herde», also sprach der
1) Nafon ist verkürzt aus änäafon.
Wirkung des rothen und blauen Lichtstrahles
auf das bewegliche Plasma der Brennhaare
von Urtica urens, von El. Borscow, Privat-
docenten an der St. Wladimir-Universität in
Kiew. (Lu le 12 septembre 1867.)
So weit meine Erfahrung reicht, besitzen wir bis
jetzt noch keine einzige Angabe über den Einfluss,
welchen die schwächer und stärker brechbaren Strah-
len des Sonnenspectrums auf das auffallende Phäno-
men der Plasmastrômung in den Zellen ausüben. Die
ämä 3ù jui racaxsta: «Dodoi, mün, dä kona», zäggä zaxta bi-
räg, mä mästütä juul déuäi isün». — ««Cü dä findü, ui mün Kän,
zäbgä zaxta xalon, Käd fändü, margä mä Kän, Käd dä fändü,
xärgä mä baKän, Käd dä fändü, donü mä bapbar, dä bar däxi,
ärmäst dà ju Kurün: dä xorzäx mä uäd, ämä mün mä qurül
qüduriü xal ämä gulü éiri ma baftau, ämä mä büläi ma apbar».
« Âgaitma mün däxäüdäg zaxtai, cämäi lärsüs ui» zäggä zaxta
biräg, ämä in jà qurül baftüdta qäduriü xal ämä gulü Gciri,
ämä jà büläi apbärsta. Xalon, dün, apärütlasta, ju stür bälâsü
kabuzül àbädti, jäxädäg qädurü nümüg àxärü ämä guläi âxärü,
ämä nügqärKänü: «Qaq biräÿ! dä cäränbon xorz; qaq biräg,
tipbütä fäxaul» Biräë där, dün, ueü dukgâg saidü ül Kä är-
cüdi, ui fürmästäi nüxxädmäli.
Wolf, «ich lasse meinen Zorn ganz an dir aus». «Was
dir beliebt, das thu mir», also sprach die Krähe,
«wenn es beliebt, bringe mich um, wenn es beliebt,
verzehre mich, wenn es dir beliebt, wirf mich ins
Wasser, dein Wille sei mein, nur um eines bitte ich
dich: deine Güte geschehe mir, hänge mir nicht an
den Hals eine Bohnenschnur und ein Laiïb Brot und
wirf mich nicht vom Ufer herab». «« Wunderbar schün
ist es, dass du mir selbst gesagt hast, was du fürch-
test», also sprach der Wolf und hing ibr eine Boh-
nenschour an den Hals und ein Laïb Brot und warf
sie vom Ufer herab. Die Krähe entfaltete die Flügel,
setzte sich auf den Ast eines grossen Baumes, ver-
zehrte selbst die Bohnenkerne und verzehrte das Laib
Brot und krächzte: «Krah, Wolf! deine Lebtage heil!
Krah, Wolf! mügest du bersten!» Der Wolf aber vor
Wuth darüber, dass dieser zweite Betrug über ibn
gekommen war, verreckte.
Untersuchungen von Treviranus, Thuret, Nägeli
und Cohn haben zum Gegenstande die Wirkung des
weissen (und farbigen — Cohn) Lichtes auf die Be-
wegungen der Zoosporen und Antherozoiden und die
neuerdings von Famintzin verôffentlichten ') bezie-
hen sich ebenfalls nur auf Massenbewegung freier,
grün gefärbter Protoplasmakôürper. Dagegen blieb die
Erforschung derjenigen Erscheinungen, welche die
1) Xbücrsie csbra Ha Boxopocan 1 xbKorOprte xpyrie, 6xuskie
KB HUMB OPrAHU3MEI. 1866, p. 22 sqq.
213
des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.
214
Spectralfarben im beweglichen, farblosen Zellenplasma
hervorrufen, noch unberübrt. Die vorliegende Zusam-
menstellung ist das Resultat einiger in dieser Rich-
tung angestellten Versuche.
Vor Allem halte ich es für nôthig, die von mir bei
diesen Versuchen befolgte Untersuchungsmethode kurz
zu besprechen.
Bei einer Prüfung der Wirkung äusserer Agentien
auf solche Gebilde wie das Zellenplasma, welches we-
gen des labilen Gleichgewichtszustandes seiner Mo-
lecüle überhaupt allen äusseren Eingriffen sehr leicht
unterliegt, ist es von grossem Belange sich zu verge-
wissern, dass mit Ausnahme desjenigen Agens, dessen
Einwirkung man zu verfolgen beabsichtigt, alle übri-
gen äusseren Einflüsse, welche gleiche oder ähnliche
Erscheinungen im Gebilde hervorbringen künnen, voll-
ständig beseitigt sind. Bei der vorliegenden Unter-
suchung lenkte ich alle Aufmerksamkeit auf die Be-
seitigung folgender äusseren Umstände, welche stürend
auf das Endresultat einwirken konnten:
1) Verletzung der Zelle. Es wurden nur vüllig
unbeschädigte, lebenskräftige Haare von Urtica urens
der Einwirkung des betreffenden Lichtstrahles unter-
worfen. Um in dieser Hinsicht eine vollkommene Ga-
rantie zu gewinnen, lüste ich sämmtliche Brennhaare
nebst einem Streifchen Epidermis ab. Auf dem Object-
träger wurden sie in einem grossen Tropfen Wasser
mit den dünnsten Deckgläsern bedeckt und dadurch
die etwaige Beschädigung derselben auch durch stär-
keren Druck vüllig aufgehoben.
2) Mechanische Erschütterung. Es ist eine von
mir schon längst beobachtete Thatsache, dass das
Zellenplasma, namentlich das Haargebilde, sogar für
leichte Erschütterungen empfindlich ist. Da es sich
aber, bei verschiedenen Pflanzen, in dieser Hinsicht
sehr verschieden verhält, so überzeugte ich mich im
Voraus über die Wirkung der Erschütterung auf das
Zellenplasma der Brennhaare von Urtica. Es erwies
sich, dass während das Zellenplasma der zarten, drü-
sigen Haare, welche bei Æyoscyamus und Datura die
Basis der Staubfäden bedecken, schon nach einigen
leichten Erschütterungen der Pflanze starr wird und
die circulirende Bewegung in demselben erst nach
Verlauf von 10 bis 15 Minuten wiederkehrt, — das
Zellenplasma der Brennhaare von Urtica für die Er-
schütterung beinahe vüllig unempfindlich ist und die
rotirende Bewegung desselben ebenso gut wie vor
der Erschütterung stattfindet.
3) Wirkung des Wassers. Zu allen Versuchen
wurde das reinste, destillirte Wasser gebraucht, wel-
ches die Bewegungen des Zellenplasmas durchaus nicht
beeinträchtigt, vorausgesetzt, dass es lufthaltig ist und
seine Temperatur in denjenigen Grenzen liegt, inner-
halb welcher das Protoplasma überhaupt nicht afficirt
wird. Es war immer reichlich vorhanden und wäh-
rend des Versuches wurden mittelst eines kleinen,
capillar ausgezogenen Trichters dem Präparate im-
mer neue Tropfen zugeführt. Das Zellenplasma der Ur-
tica-Haare bewegte sich in solchem Wasser (und weis-
sem Lichte) stundenlang, ohne Unterbrechung *). In
dieser Hinsicht kann ich nicht der Behauptung von
Zabel beistimmen, nach welchem die Plasmastrôm-
chen im destillirten Wasser zerfliessen sollen *). Diese
Erscheinung konnte ich nie wahrnehmen. Die Tem-
peratur des Wassers schwankte bei meinen Versuchen
zwischen 19 und 20,5° C., zeigte also, für die Bewe-
gung des Protoplasmas, die günstigsten Verhältnisse ‘).
4) Licht. Da vorliegende Untersuchung speciell
die Wirkung des farbigen Lichtes auf die Plasmabe-
wegungen zum (Gegenstande hat, so musste besonders
dafür gesorgt werden, dass mit Ausnahme der betref-
fenden rothen, resp. blauen Lichtstrahlen, alles weisse
Licht vollständig abgehalten sei. Dieses erzielte ich,
und zwar mit Erfolg, durch Eïinrichtung einer kleinen
Dunkelkammer über dem Objecttische des Mikroskops.
Diese bestand aus einem viereckigen, unten offenen
Kästchen aus dünnem Cartonpapier, welches inwendig
mit schwarzem, nicht glänzendem Callico überzogen
war und zwar in der Weise, dass von dem Callico-
Überzuge nach allen Richtungen noch 1”, Centim.
breiter Rand nach Aussen hervorragte. Von aussen
wurde das Kästchen an seinem unteren, freien Rande
mit zwei Centim. breiten Callico-Streifchen beklebt,
die ebenfalls aufanderthalb Centim. frei gelassen wur-
den und, etwas nach oben gebogen, den freien Saum
des inneren Callico-Überzuges überdeckten. Endlich,
um das Eindringen des Lichtes auch an den Winkeln
2) Ebenso verhält sich das Zellenplasma in den Haaren von Eri-
geron canadense, Lychnis chalcedonica, Prunella vulgaris, Circaea lu-
tetiana, Hyoscyamus, Datura, Cucurbita, Tradescantia crassula und
discolor u. a.
8) H. HaGezxs. Pacrurexsnan l'ucrozoris. Ben. I. 1864. p. 27.
4) Die Temperatur des Zimmers war um 1 bis 1,5° Cels. hüher.
14*
215
Bulletin de l’Académie Impériale
216
vôllig zu verhindern, brachte ich daselbst, von innen
und aussen, dreieckige Callico - Stücke an. Das Ein-
schieben des Linsensystems und eines Theils des Tu-
bus des Mikroskops in die Dunkelkammer wurde
durch eine, in dem nach oben gekehrten Boden des
Kästchens angebrachte, kreisrunde Offnung vermit-
telt, deren Durchmesser etwa 1°, Mill. grüsser als
derjenige des Tubus war. An ihrer ganzen Peripherie
wurde die Offnung mit einem nach innen freien, ra-
dial-zerschlitzten Ringe aus doppeltem Callico verse-
hen, welcher beim Einschieben des Tubus denselben
fast umfasste. Eine Prüfung zeigte, dass in einer sol-
chen sorgfältig angefertigten Kammer das Chlorsil-
berpapier, wenn man das Licht von unten abhält oder
nur rothe Strahlen durchlässt — längere Zeit beinahe
ohne Veränderung bleibt*). Übrigens, um der Sache
noch sicherer zu sein, hielt ich für zweckmässig, an
die messingene Fassung, in der sich der Tubus des
Mikroskops bewegt, noch einen cylindrischen Sack
chenfalls aus schwarzem Callico anzubringen, dessen
untere Ränder sich über der Offnung dicht an den
Boden der Dunkelkammer anlegten und so die Off-
nung vom Eindringen auch des schwächsten Seiten-
lichts schützten. — Um nun jetzt auch auf die Fläche
des Spiegels nur diejenigen Lichtstrahlen fallen zu
lassen, mit denen man experimentiren wollte und das
seitliche, wenn auch schwache, weisse Licht vüllig
abzuhalten, stellte ich das Mikroskop in einen grôüsse-
ren, inwendig schwarz angestrichenen Kasten aus
Carton, bei dem nur die vordere, den Gefässen mit
gefärbten Flüssigkeiten zugekehrte Seite offen blieb.
Dasselbe erzielte ich übrigens ebenso gut und viel
einfacher durch Umvwickeln des Stativ's mit doppeltem
schwarzem Callico, wobei nur die Stelle an der Mi-
krometerschraube und die den gefärbten Flüssigkeiten
zugekehrte Seite frei gelassen wurden.
Sämmtliche Beobachtungen machte ich constant im
Nord-Ost-Lichte, in einer Entfernung von etwa drei
Fuss vom Fenster, dem gegenüber, in einiger Entfer-
nung, eine weisse Wand vorhanden war. Auf diese
Weise war ich im Stande, auch in den späteren Ta-
gesstunden ein bedeutend intensives Licht, durch die
Reflexion der Strahlen der Süd- und West-Sonne, zu
5) Absolut weiss bleibt es nie: denn selbst in Blechbüchsen wer-
den Chlorsilberpapiere (besonders albuminirte) innerhalb 2 bis 3
Tagen gelb oder gelbgrau.
erhalten. Für die Beleuchtung mit rothen Strahlen
gebrauchte ich eine concentrirte Lüsung von doppelt-
chromsaurem Kali: für die mit blauen — eine Lü-
sung von schwefelsaurem Kupferoxyd- Ammoniak,
welche eine solche Concentration hatte, dass in dem
von ihr gegebenen Lichte auch kleinere Objecte mit
genügender Schärfe unterschieden werden konnten ‘).
Beide Lüsungen wurden in Gefässe mit parallelen
Wänden gegossen, in denen sie eine 2, Cent. dicke
Schicht bildeten und vor dem Gebrauche mittelst ei-
nes analysirenden Prisma’s auf ihre Durchgänglichkeit
für Spectralfarben geprüft. Es erwies sich, dass die
Lüsung des doppelt-chromsauren Kali grüsstentheils
Roth und Orange, dann Gelb und sehr wenig von dem
nächst liegenden Grün durchliess; die von schwefel-
saurem Kupferoxyd-Ammoniak aber nur für Blau, In-
digo und Violett und dem, dem Blau dicht angren-
zenden Grün durchgänglich war. Beim Gebrauch der
ersteren Lüsung tritt somit in Wirkung nur die min-
der brechbare, bei Anwendung der zweiten, die stär-
ker brechbare Hälfte des Sonnenspectrums.
Der bewegliche Theil des Zellenplasmas in den
Brennhaaren von Urtica urens, das Innenplasma (Endo-
plasma), stellt unter normalen Verhältnissen einen
ziemlich dicken Wandbeleg dar, welcher von Aussen
her von dem unbeweglichen Theile (dem Exoplasma
— der Hautschicht Pringsh.) wie von einem Sacke
vollkommen umschlossen ist (Fig. 1). Die Schicht des
Exoplasmas ist ungemein dünn, üfters kaum bemerk-
bar, lässt sich jedoch, bei Anwendung stärkerer Ver-
grüsserungen ‘) und guter Beleuchtung als eine dünne,
mehr durchsichtige, kürnchenarme oder kürnchenlose
Häülle wahrnehmen. Die Bewegung des Endoplasmas
ist keine einfache, gleichformige. Der Hauptsache nach
ist es eine regelmässige Rotation im Umkreise des
6) Es ist rathsam, der letzteren Lüsung etwas Ammonflüssigkeit
zuzusetzen und das Gefäss wohl zu verkorken. Sonst wird die Lü-
sung trübe, setzt einen grünlich-blauen Niederschlag ab, und jede
Beobachtung wird nun unmôglich, weil das Licht zu schwach ist.
Selbst bei vollkommen klarer Lüsung ist die mikroskopische Beob-
achtung im blauen Lichte dadurch erschwert, dass sämmtliche Con-
touren ungemein weich, wie verwischt erscheinen. Im rothen Lichte
dagegen treten alle Details des Objectes äusserst scharf hervor.
7) Ich machte meine Beobachtungen mit dem Ocular 3 und Sy-
stem 7, ferner mit demselben Oculare und dem Immersionssystem 9
von Hartnack.
217
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
218
Zellenlumens, wobei die Rich-
tung der Bewegungen der hya-
linen Grundmasse und der in der-
selben eingeschlossenen Kürn-
chenmasse entweder dieselbe
ist, oder die Kürnchen bewegen
sich im entgegengesetzten Sinne
und zwar häufig in einem und
demselben Strange der Grund-
masse. Ausser dieser regelmäs-
sigen Rotation bilden sich aber
auch ôfters enge, meist einfache
Plasmastrômungen, welche vom
Wandbelege der einen Seite zu
dem der anderen die Zelle in
schiefer Richtung durchsetzen.
Die auffallendste Erscheinung
ist aber die Bildung von Brücken.
Es sind breite, flache Plasma-
stränge, welche, senkrecht zur
Längsaxe der Zelle, von einer
Wand zur anderen verlaufen und
eine ganz eigenthümliche Com-
bination der Bewegungen zei-
gen (Fig. 1,b). Während näm-
lich ein solcher brückenartiger
Plasmastrang sich «in toto» in
der Richtung desjenigen Wand-
stromes bewegt, aus dem er als
breite Wulst entstanden ist (in
unserer Figur also sammt dem
linken Wandstrome gegen die
Basis der Zelle), zeigt seine ei-
gene Grundmasse eine zu die-
ser Richtung senkrechte Bewe-
gung und die eingeschlossenen
Kôrnchen bilden mehrere Strü-
me, deren Richtung bald mit
der der Grundmasse des Stran-
ges gleichlaufend, bald dersel-
ben entgegengesetzt ist. Solcher
Kürnchenstrôme kann ein brei-
ter Plasmastrang sehr viele ent-
halten. Diese Plasmabrücken
sind nur mit demjenigen Wandplasma innig verschmol-
zen, aus dem sie, in Form von sich rasch vergrüssern-
den Wülsten, entstehen; mit dem Wandplasma der ent-
gegengesetzten Seite stehen sie nur in lockerer Ver-
bindung, scheinbar mittelst der oberflächlichen Schicht
der Grundmasse *). So lange sich nun diese oberfläch-
liche Schicht in derselben Richtung bewegt, in welcher
auch die Bewegung der Grundmasse desjenigen Wand-
plasmas geschieht, aus dem die Brücke hervorging,
folgt auch die Brücke derselben Bewegung. Sobald
aber in der ersteren Bewegungen (Contractionen) im
entgegengesetzten Sinne entstehen, wird der brücken-
artige Plasmastrang losgerissen, ballt sich zusammen
und folgt, in Form eines grüsseren, entweder eine
Zeit lang bleibenden, oder alsbald verschwindenden
Klumpens der Bewegung des Wandplasmas, aus dem
er entstand.
Sowohl in den brückenartigen Plasmasträngen, als
auch überhaupt in dem Wandplasma und den die
Zelle quer durchsetzenden, kleinen Plasmastrômchen
ist die Geschwindigkeit der Beweguug der oberfläch-
lichen hyalinen Grundmasse und der eingeschlossenen
Kôürnchen eine ungleiche. Die hyaline Grundmasse be-
wegt sich durchweg langsamer als die Kürnchenmasse,
wobei die Geschwindigkeiten beider zuweilen sich wie
1 : 4 verhalten künnen”). Beachten wir diese Geschwin-
digkeitsdifferenz beider Massen, ferner die häufig ent-
gegengesetzte Richtung der Bewegung in der einen
oder in der anderen, so künnen wir nicht umhin zu
dem Schlusse zu kommen, den schon Brücke ") ausge-
sprochen hat, dass nämlich im beweglichen Plasma
zWeierlei Bewegungen zu unterscheiden sind. Diesel-
ben Erscheinungen und noch andere, deren ich hier
nicht zu erwähnen gedenke, führen aber auch noch
zu einer anderen Schlussfolgerung, dass nämlich die
Grund- und die Kürnchensubstanz des beweglichen
Plasmas zwei, gewissermaassen von einander unab-
hängige Massen sind, in denen die Anordnung der
8) Die Bildung solcher Brücken beobachtete ich üfters z. B. auch
im circulirenden Plasma der Haare von Hyoscyamus. Hier sind es
aber nur schwache Stränge, welche von einem Plasmastrome zum
anderen gehen.
9) So bewegt sich in den Haaren von Æyoscyamus die Grund-
masse der Plasmastrôme mit einer Geschwindigkeit von 0,001 Mill.
die Kürnchenmasse dagegen mit einer Geschwindigkeit von 0,004—
0,005 Mill. in einer Secunde. Bei Datura (Haare) ist die Geschwin-
digkeit der ersteren — 0,002—0,003 Mill, die der zweiten — 0,007
Mill. in einer Secunde.
10) Brücke, Sitzungsberichte der Wiener Akad. XLIV. 1861.
M. Schultze erklärt diese Behauptung von Brücke für unrichtig,
wie ich glaube, mit Unrecht.
219
organisirten Molecüle und die Beziehungen derselben
zu einander gewiss nicht dieselben sind.
Ich gehe nun zur Wirkung der rothen und blauen
Strahlen auf die eben besprochenen Bewegungen des
Zellenplasmas und zur Schilderung der dabei stattfin-
denden Erscheinungen, nebst ihren Endresultaten
über.
A. Wirkung des rothen Lichtstrahles,
Lässt man rothes Licht, von gehôüriger Intensität,
auf das sich lebhaft bewegende Zellenplasma der
Brennhaare von Urtica urens einwirken, so bemerkt
man, bisweilen schon nach wenigen (5—10) Minuten,
oder auch nach längerer Zeit, eine augenfillrge Ver-
langsamung der Bewegung. Zugleich tritt noch eine
andere Erscheinung ein. Der Plasmabeleg, welcher, un-
ter normalen Verhältnissen, an den Zellwänden eine
ziemlich dicke, gleichmässige Schicht bildet, wird in
dem, im Sehfelde des Mikroskopsliegenden, von inten-
siven rothen Strahlen getroffenen Abschnitte der Haar-
zelle viel dünner. Ist der mittlere Theil der Zelle be-
obachtet worden, so sammelt sich die Hauptmasse
des Plasmas an der ausserhalb des Sehfeldes liegen-
den Basis oder Spitze derselben. Trifft der rothe
Strahl dagegen das eine oder das andere Ende, so
zieht sich beinahe die ganze Masse in entgegenge-
setzter Richtung zusammen und sammelt sich grüss-
tentheils in der Mitte der Zelle.
Bewegt man nun vorsichtig das Präparat in der
Weise, dass bald dieser, bald jener Theil der Haar-
zelle eine Zeit lang der unmittelbaren Wirkung des
rothen Strahles ausgesetzt ist, und dass also die ganze
Masse des Plasmas dem directen Einflusse desselben
nicht entgeht, so finden noch folgende Erscheinun-
gen statt. Die gleichmässige Vertheïlung des, nun sehr
dünn gewordenen, Wandbelegs wird, bei immer abneh-
mender Geschwindigkeit der Bewegung, gestürt. Es bil-
den sich, bald allmählich, bald äusserst schnell, dün-
ne, zugespitzte, oder dickere, keulenformige Fortsätze
nach innen, welche bald darauf entweder sich schnell
wieder in die Plasmamasse, aus der sie entstanden,
zurückziehen, oder auch bleiben, dabei ihre Form
während einiger Augenblicke verändern und endlich
starr werden.
Mit dem Erscheinen dieser Fortsätze hôrt in der
Regel die zusammenziehende Bewegung der hyalinen
Grundmasse gänzlich auf. Es bleiben nun noch schwa-
Bulletin de l’Académie Hmpériale
220
che Bewegungen der Kürnchensubstanz, welche aber
nicht mehr den Charakter einer regelmässigen Strü-
mung besitzen, sondern in einem Zittern und Hin-
und Herwackeln der Kôrnchen bestehen. Nach 5—10
Minuten haben auch diese Bewegungen ein Ende, und
das ganze Endoplasma wird vollkommen starr.
Fäbrt man nun mit der rothen Beleuchtung fort,
so bemerkt man, dass in der ganzen Haarzelle die
Plasmamasse durch langsames Zusammenziehen in
mehrere Portionen zerfällt. Diese haben entweder die
Form von kleinen oder grüsseren Kugeln (Fig. 2, 3,
4, k. k.), oder von unregelmässigen, cylindrischen
_erwpl
Säcken. Sowohl diese letzteren, als auch die kugelige
Masse sind üfter durch äusserst dünne Stränge der
hyalinen Grundsubstanz mit einander verbunden. (Fig.
2 und 4). Stellt man das Mikroskop genau im opti-
schen Längsschnitt solcher neben einander liegender
Säcke, so erscheint die an den beiden einander zu-
221
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
222
gekehrten Enden derselben angehäufte Endoplasma-
masse gewühnlich in Form von Mondsegmenten (Fig.
2 und 4, x. x), welche mehrere Vacuolen (Fig. 2, 3
und 4 ®. v.) enthalten. Das Lumen der Säcke ist da-
bei mit grüsseren und kleineren Kugeln erfüllt (Fig.
2, k. k.). Die sackfôrmigen Massen liegen noch eine
gewisse Zeit lang dicht dem Exoplasma an. Alsbald
ziehen sie sich aber in einer der Zellenaxe senkrech-
ten Richtung zusammen, trennen sich vom Exoplasma
und erscheinen nun als kürnige, mitten im Zellenlu-
men liegende Schläuche (Fig. 3). Die Kugeln lüsen
sich dabeïi ôüfters in formlose, kôürnige Massen auf.
Sogleich nach dem Zerfallen des Endoplasmas in
kugelige und cylindrische Massen und dem Zusam-
menziehen derselben gegen die Mitte des Zellenlu-
mens erfolgt auch das Ablüsen des Exoplasmas von
der Zellwand und wird dann dasselbe als dünner,
hyaliner Saum leicht bemerkbar. (Fig. 3 und 4 expl.)
Das Endresultat einer anhaltenden Enwirkung ro-
ther Strahlen auf das Zellenplasma der Brennhaare
von Urtica urens besteht somit in einer gänzlichen
Storung des Molecularbaues und, in Folge dessen,
in einer vollständigen Aufhebung sämmtlicher phy-
siologischer Funktionen desselben. Innerhalb wel-
ches Zeitraumes sowohl diese Molecularzerstrung
des Zellenplasmas, als auch das Auftreten einzelner
Erscheinungen, welche ïhr vorangehen, stattfinden,
scheint hauptsächlich von der Intensität des Lichtes
und seiner physikalischen Wirkung, welche zu ver-
schiedenen Tagesstunden nicht gleich ausfällt, abhän-
gig zu sein. Indessen, auch unter scheinbar ganz glei-
chen Bedingungen, verhalten sich alle Brennhaare nicht
in derselben Weise. Während nämlich das Zellen-
plasma einiger von ihnen bei der Einwirkung des ro-
then Lichtes sehr bald die Zeichen einer tief eingrei-
fenden Zerstôrung zeigt, geschieht bei anderen das
Auftreten derselben Erscheinungen erst viel später.
Das Eintreten einer bedeutenden Verlangsamung der
Bewegung wird so ziemlich bei allen in den ersten
5—12 Minuten bemerkbar; aber die darauf folgenden
Erscheinungen der Moleculardesorganisation nehmen
bei einigen einen kürzeren, bei anderen einen viel
längeren Zeitraum in Anspruch. Wabhrscheinlich ist
dieser Unterschied im Verhalten des Zellenplasmas
zum rothen Strahle vom Alter der Zelle abhängig,
denn auch andere Agentien wirken mit ungleicher
Geschwindigkeit auf jüngere und mehr entwickelte
Plasmagebilde ein, wobei in der Regel die jüngeren
der Wirkung derselben schneller unterliegen als die
älteren. Hier gebe ich zwei Beobachtungsreihen, wel-
che diese Geschwindigkeitsunterschiede in der Wir-
kung rother Strahlen auf die Plasmamasse zweier
Brennhaare deutlich hervortreten lassen.
18
Temperatur des Zimmers: + 21,5° Cels.
Temperatur des Wassers: + 20° Cels.
Nord-Ost-Licht. Sonniger Tag.
Lebhafte Bewegung des Endoplasmas im
weissen Lichte.
Rothes Licht.
Verlangsamung der Bewegung. Die frühere
Anordnung des Plasmas als Wandbeleg wird
gestürt; dasselbe sammelt sich besonders an
beiden Enden der Zelle.
. Bewegung sehr schwach. Bald darauf hürt
die Grundmasse auf sich zusammenzuzie-
hen. Einzelne Küôrnchenstrôme sind noch
vorhanden.
. Grundmasse starr. Die Kürnchen zeigen
our zitternde Bewegungen, aber keine
Stromung. Es bilden sich Fortsätze nach
innen.
Die ganze Masse des Endoplasmas ist starr
und zerfällt in kugelige und cylindrische
Portionen. Es bilden sich zahlreiche Va-
cuolen.
Es erfolgt eine Trennung des Endoplasmas
vom Exoplasma; ersteres zieht sich dabei
stark zusammen. Bald darauf folgt auch
die Ablüsung des Exoplasmas von der Zell-
wand.
40 Minuten.
10. Juni.
8h 39°.
BPISSE
QE
17
IL.
11. Juni. Temperatur des Zimmers: + 21° Cels.
Temperatur des Wassers: + 19,75 Cels.
Nord-Ost-Licht. Sonniger Tag.
84 Lebhafte Bewegung im weissen Lichte.
Rothes Licht.
8" 19. Verlangsamung der Bewegung. Dünnwer-
den des Wandbelegs und Ansammlung der
223 Bulletin de l’Académie Impériale 224
Sn nn
Plasmamassen an den beiden Enden der | mächtigere Schicht, als in dem übrigen. Demnach
Zelle. scheint es, dass die blauen Strahlen eine anziehende
8* 30’. Derselbe Zustand. Wirkung auf die bewegliche Plasmamasse ausüben.
9! Âusserst schwache Bewegung. Die Bewegung im blauen Lichte dauert stundenlang
9% 15’. Die Grundmasse zeigt keine zusammenzie-
henden Bewegungen mehr; die Kôrnchen
bilden keine Strôme, sondern zeigen unre-
gelmässige Bewegungen. Einzelne Kürn-
chenstrôme sind nur in denjenigen kleinen
Plasmasträngen bemerkbar, welche die Zelle
quer durchsetzen.
9* 35". Die zitternde Bewegung der Kôürnchen
dauert fort, ist aber schwächer. Grund-
masse starr. Es bilden sich hie und da
Fortsätze nach innen.
9% 45'. Das ganze Zellenplasma zerfällt in Kugeln
und cylindrische Abschnitte. Die Kôrnchen
zeigen keine Bewegungen. Vocuolenbil-
dung.
10 Das Endoplasma trennt sich durch stärkere
Contraction vom Exoplasma. Das letztere
lôst sich ab von der Zellwand.
2 Stunden.
und ist sehr regelmässig. Beim Übergange aus dem
blauen in’s grelle weisse Licht erleidet das Zellen-
plasma durchaus keine Veränderungen und ein Zer-
fallen in Kugeln und Schollen, sowie das schliessliche
Ablôsen der Plasmamasse von der Cellulosewand nicht
bemerkt worden ist. Wird aber, nach der Einwir-
kung des blauen Lichtes, das Zellenplasma abermals
der des rothen Strahles unterworfen, so finden wie-
derum die schon beschriebenen Erscheinungen der
Moleculardesorganisation statt und binnen kurzer
Zeit (in einem Falle nach 45 Minuten) ist das Plasma
vollständig abgestorben.
Fassen wir nun die gewonnenen Resultate kurz zu-
sammen, so kônnen dieselben folgendermaassen for-
mulirt werden:
1) Eine anhaltende Wirkung des rothen Strahles
auf das Zellenplasma der Brennhaare von Urtica
urens erzeugt in demselben eine tief eingreifende Stü-
rung der Molecularstructur, deren erstes Kennzeïchen
eine Verlangsamung der Bewegung und das Endre-
sultat eine vollständige Desorganisation der Plasma-
masse und ein Absterben der Zelle ist.
2) Der Grundcharakter der dabei stattfindenden
Molecularmetamorphose besteht, wie es scheint, in
einer bedeutenden Verdichtung der ganzen Plasma-
masse, in dem Übergange ihrer Molecüle aus dem la-
bilen Gleichgewichtszustande in eine stabile Aufhe-
bung der Bewegung; Bildung von Kugeln und Va-
cuolen sind die äusseren Symptome einer derartigen
Veränderung.
3) Die Geschwindigkeit, mit welcher im Zellen-
plasma alle stattfindenden Veränderungen auf einan-
der folgen, scheint, ceteris paribus, hauptsächlich vom
Alter der Zelle abhängig zu sein.
Ist einmal die Bewegung bis aufs Minimum redu-
cirt worden, d. h. wenn in der Grundsubstanz keine
Contractionen mebr stattfinden und die Kürnchen bloss
eine zitternde Bewegung zeigen, so geschieht die
weitere Molecularstürung in der Plasmamasse nicht
nur im rothen Lichtstrahle, sondern auch dann, wenn
man nach dem rothen weisses oder blaues Licht auf
dieselbe einwirken lässt. Dabeï geht das Zellenplasma
um so schneller zu Grunde, je intensiver und greller
das Licht ist.
B. Die Wirkung des blauen Lichtstrahles
ist eine jener des rothen entgegengesetzte und zwar
nicht nur aus dem Grunde, weil die Bewegung des
Zellenplasmas durch das blaue Licht erhalten und
die Molecularstructur desselben nicht beeinträchtigt
wird, sondern auch deswegen, weil das Anhäufen der
Plasmamassen hauptsächlich in den vom blauen Lichte
erhellten Theilen der Zelle geschieht. Die Anord-
nung, als Wandplasma, bleibt unverändert, wie im
gewühnlichen Lichte, nur bildet dieser Wandbeleg in
den vom Blau am meisten erhellten Stellen eine viel
4) Sämmtliche, durch die Einwirkung des rothen
Strahles, in dem Zellenplasma hervorgerufenen Er-
scheinungen sind denen bei der Wirkung inducirter
electrischer Strôme auftretenden sehr ähnlich.
5) Gleich den feinen, beweglichen Protoplasmage-
bilden, wie Æuglena, Diselmis, vielen Zoosporen und
225
Antherozoiden, scheint auch das Zellenplasma sich
der Einwirkung des rothen Strahles zu entziehen.
6) Dagegen strômt es den blauen Strahlen, welche
die Bewegung und die Molecularanordnung desselben
nicht beeinträchtigen, entgegen, und es ist also die
Wirkung dieser Strahlen auf das Zellenplasma eine in
äbhnlicher Weise anziehende, wie auf freie, beweg-
liche Protoplasmamassen.
7) Die vorhergehende Beleuchtung mit blauen Strah-
len schützt zwar das Zellenplasma gegen die nachfol-
gende, plôtzlich eintretende Wirkung des grellen, ge-
mischten Lichtes, ist aber nicht im Stande, die zer-
stôrende Wirkung der nachfolgenden Beleuchtung mit
rothen Strahlen zu verhindern.
Kalaidowka. Im Juni 1867.
Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae
et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicez.
(Lu le 12 septembre 1867.)
DECAS SEXTA.
Acer capillipes. Arboreum glabrum; foliis ambitu ova-
tis caudato-acuminatis, circumcirca subduplicato-ser-
ratis, serraturis mucronulatis, subtus ad venarum axillas
membranula acuminata adauctis, infra medium trilo-
bis, vel saepe, ob lobulos duos basales, quinquelobis,
lobis majoribus patentibus acuminatis; racemis ter-
minalibus coëtaneis elongatis, multifloris, inferne
interdum subcompositis, folio parum brevioribus; pe-
dicellis tenuibus florem majusculum triplo saltem su-
perantibus; sepalis spathulatis, petalis longioribus obo-
vatis stamina aequantibus, fructibus.
Hab. in silvis subalpinis et alpibus altioribus pro-
vinciae Senano insulae Nippon.
A speciebus affinibus flore longissime pedicellato
distinctissimum, ad seriem À. rufinervis S. Z., À. teg-
mentosi Maxim.,et À. pensylvanici L. pertinens, fo-
lis angustioribus lobisque patentibus neque porrectis
etiam sterile cognoscendum, cum À. {egmentoso gla-
britie membranulisque paginae inferioris foliorum ma-
gis conveniens. E descriptione tantum simile videtur
À. cralaegifolio S. Z., sed in hoc folia saepe integra,
forma, lobis et serraturis diversissima.
Acer cireumlobatum, Petiolis, foliis subtus, pedunculis
samarisque villosis; petiolis lamina brevioribus; foliis
rotundatis vel rotundato-ovalibus profunde cordatis,
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
226
lobis saepissime sese invicem obtegentibus, 11-nerviis,
subtus prominenti-nervosis et reticulatis, ad axillas
rufobarbatis, ad laminam demum interdum subglabra-
tis, 9—11-lobis, lobis basalibus minutis, lateralibus
sensim majoribus, omnibus undique patentibus del-
toideis acuminatis, terminali deltoideoovato longe acu-
minato; corymbo terminali foliis duobus fuito, flori-
fero...… , fructifero dimidium folium aequante, oligo-
(ad 6-) carpo, pedicellis pedunculo parum brevioribus
subpollicaribus; samaris subhorizontali-patentibus, lo-
culis subglobosis elevato-nervosis dense alisque triplo
longioribus semiobovatis extus recte marginatis villosis.
In silvis subalpinis prov. Senano ins. Nippon.
Nulli e notis arctius affine, solo À. glabro Torr., (e
specimine a Dr. Lyall collecto deflorato), subsimile,
sed hoc, praeter glabritiem, diflert foliis 3—5-lobis
sub-5-nerviis, basi subtruncatis vel leviter cordatis,
serraturis minoribus densioribus, corymbis ad basin
ramuli folüferi lateralibus, alis samararum (juveni-
lium) arcuato-erectis, ex Nuttall sylv. amer. IT, 33.
erectis subobovatis brevibus, illis À. campestris L.
aequimagnis vel brevioribus, sed latioribus et obtu-
sioribus, ex Torrey et Gray (fl. Am. bor.) vero di-
vergentibus.
Acer argutum, Dioicum; ramulis petiolisque crispe pu-
berulis; foliis juvenilibus subtus subincanis, adultis
praesertim secus venas densius pilosis, ambitu rotun-
datis obovato-rotundatisve basi cordatis, quinquelobis
(3—7-lobis), lobis tribus terminalibus multo majori-
bus deltoideo-ovatis caudato-acuminatis, lateralibus
2 (—4) minoribus, rarius subdeficientibus, subhorizon-
talibus, omnibus argute duplicato-serratis, subtus ele-
vato-costatis, costis secus nervum medium subdenis,
et reticulato-venosis; gemmis floriferis ad basin
ramuli foliosi; floribus subcoëtaneis fascicula-
to-racemosis, basi tegmentis amplis rotundato-obovatis
obvallatis, pedicellis elongatis basi filiformi bracteatis;
sepalis obovatis petalisque brevioribus angustioribus
erectis, masçuli staminibus, feminei stigmatibus arcu-
ato-patentibus elongatis exsertis; pedunculo fruc-
tifero elongato; samaris subhorizontaliter divarica-
tis, loculo ovato planocompresso, profunde reticulato-
exsculpto, commissura loculo aequilata, alis
obovato-oblongis loculum plus duplo superantibus.
Hab. in provinciis Senano et Nambu, in silvis sub-
alpinis.
15
227
Bulletin de l'Académie Impériale
225
A. glabro Torr. et Gray. valde affine, sed hoc,
praeter glabritiem et fructus supra descriptos, fo-
lis subtus haud reticulatis costisque subsenis statim
distinguitur. Adest affinitas remota etiam cum À.
caudato Wall.
Acer barbinerve, Fruticosum, dioicum; cortice laevi
fusco; ramulis petiolisque crispe puberulis; foliis te-
nuiter membranaceis, subtus pilis ad venas densio-
ribus subincanis et ad axillas dense villoso-barbatis,
costis secus nervum medium subsenis debilibus arcua-
tis reticuloque inconspicuo haud prominentibus, am-
bitu ovatis rotundatisve basi cordatis vel truncatis,
3—5-lobis, grosse pauciuscule duplicatim dentato-
serratis, lobis terminalibus multo majoribus ovatis
longe acuminatis, basalibus parvis vel subdeficientibus;
gemmis floriferis secus ramulos lateralibus et
ad basin ramuli foliiferi terminalibus; flori-
bus subcoëtaneis basi tegmentis obovatis fultis fas-
ciculato-racemosis; pedicellis elongatis, basi filifor-
mi-bracteatis; sepalis spathulatis apice barbatis pe-
talisque aequilongis obovatis erectis, masculi stami-
nibus longe exsertis, stigmatibus amplis arcuatopaten-
tibus;, pedunculo fructifero elongato; samaris
sub angulo obtuso divergentibus, loculo obovato pla-
no-compresso profunde reticulato-exsculpto, commis-
sura loculo angustiore; alis oblongis vel spathu-
lato-oblongis loculum triplo superantibus.
Hab. in jugo litorali Mandshuriae, a 44° meridiem
versus, v. gr. in silvis ad fontes fl. Li-Fudin ad Usuri
superiorem, ad fl. Wai-Fudin aestuarii St. Olgae, in
sinu May et in portu Deans-Dundas sinus Victoriae.
Praecedenti simile, sed foliorum nervatione jam
sterile tute discernendum. Foliorum compage nervis-
que magis quam praecedens ad À. glabrum T. et Gr.
accedit, sed serraturis et forma foliorum magis ab illo
differt quam À. argutum.
Utraque species affinis videtur A. pycnantho C.
Koch in Miq. Ann. Mus. Lugd. bat. I, 251; Miq.
ibid. II. 89., mihi tantum e descriptione nimis brevi
cognito. At huic flores praecoces ruberrimi (in nos-
tris lutescentes), et pedicelli sub flore bracteati tri-
buuntur, et comparatur species cum À. rubro L., a
nostris longe remoto.
Acer nikoënse, Arboreum, dioicum; ramulis novellis
pedunculis petiolis foliisque subtus ad venas dense
villoso-hirtis; foliis ternatis, foliolo medio elliptico
vel obovato breviter acuminato, basi cuneata integro
ceterum grosse obtuse serrato, longius petiolulato, la-
teralibus obliquis subconsimilibus ovatisve brevissime
petiolulatis; omnibus valide costatis reticulatis, reti-
culoutrinqne praesertim subtus prominente, pagina su-
periore praeter nervos breviter puberulos glabra, in-
feriore ubique pube fulvescente praesertim secus ve-
nas densius villoso-hirta; umbellis terminalibus
coëtaneis brevissime pedunculatis subtrifloris, flori-
bus nutantibus, sepalis rotundatoovalibus unguiculatis
petalisque obovatis quinis, staminibus floris masculi
exsertis, feminei inclusis castratis; samaris pendulis
basi rufovillosis, loculis horizontaliter patentibus
crassissime lignosis oblique oviformibus, in alas late
obovatas apice rotundatas, a basi erecta incurvas con-
niventes vel totas erectas, loculum quadruplo supe-
rantes abeuntibus. — Negundo? nikoënse Miq. 1. c.
IT. 90. (specimini sterili superstructum).
In silvis subalpinis montium interiorum insularum
Kiusiu et Nippon.
Species peculiaris, typum proprium efformans.
Acer mandshurieum, Arboreum, dioicum, glabrum, ra-
mulis creberrimis tortuosis cortice cinereo scabro;
foliis longe petiolatis, petiolo laminam superante,
ternatis, novellis subtus ad costam villo tenui par-
co fugaci adspersis, adultis glaberrimis subtus glau-
cis, omnibus terminali longius petiolulatis, lanceola-
tis acuminatis, supra basin integram, in terminali cu-
neatam, in lateralibus obliquam rotundatam, inaequa-
liter obtuse serratis; corymbis terminalibus pauci-
floris; floribus...…. ; Samaris angulo obtuso patenti-
bus loculo globoso-oviformi subreticulato-nervoso te-
nue lignoso, biloculari! axin versus pervio! disper-
mo; alis quintuplo longioribus rectis semiobovatis
basi angustatis.
Hab. variis locis Mandshuriae austro-orientalis, in
silvis. à
Stirps ob fructus conformationem quam maxime
memorabilis, typum iterum a ceteris remotum prae-
bens, floribus adhuc ignotis.
Nota. Acera hisce proposita, cum multis aliis japo-
nicis hucusque imperfecte cognitis, mox in disser-
tatione propria fusius describere iconibasque illus-
trare in mente est.
Valeriana flaccidissima, Herbacea humilis flaccida gla-
bra, stolonibus longissimis ditissima; foliis tenuiter
229
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
230
membranaceis, radicalibus numerosis modice petiolatis
cordatis ovatis rotundatisve integris vel crenato ser-
ratis, rarissime lobulis 2 lateralibus accessoriis auctis,
caulinorum paribus 1—3, 1—4-jugis, jugo infimo
cauli approximato, saepissime 1-jugis, lobis ovatis ro-
tundatis obtusis acuminatisve crenato-serratis subinte-
grisve; corymbo densifloro demum sparsifioro vel ver-
ticillatim effuso; bracteis linearibus ipsa basi ciliatis;
floribus minutis hermaphroditis, genitalibus
inclusis, corollae tubo brevi, limbo 5-lobo; fructu
elongato-ovato glabro.
Hab. in graminosis silvarum humidis et secus ri-
vulos umbrosos, in interioribus alpibus ins. Kiusiu,
et cirea Yokohamam ins. Nippon, loco ultimo sat fre-
quens,.
Floribus fructibusque minutis, foliis radicalibus
numerosis convenit cum V. Hardwickii Wall., sed
statura humili, praesentia stolonum, genitalibus in-
clusis, et fructu longiore diversa. Indole foliorum
V. tripteridi Li. vel V. sisymbrüfoliae Vabhl. appro-
pinquans, ab utraque vero floribus hermaphroditis
duplo vel triplo minoribus, genitalibus inclusis, et
fructu duplo vel triplo minore abhorrens. À V. sam-
bucifolia Mik. (varietate V. officinalis L.), quae etiam
in Japonia crescit, sed nostrae numquam consociata
est, etiam parvitate florum et fructuum et genitalibus
inclusis, praeter habitum, diversa.
Abies diversifolia, (Tsuga) Arbor trunco elato, coma
anguste conica elongata, ramis ramulisque virgatis;
foliis subdistichis planis margine integerrimis, subtus
utrinque juxta nervum fasciis stomatum circiter 10
albidis notatis, linearibus, brevissime petiolatis, ter-
minalibus cujusvis ramuli (et plurimis in planta juve-
nili) apicem versus paullo attenuatis, ipso apice acu-
tis, reliquis multo numerosioribus ubique aequilatis
apice emarginatis; amentis staminigeris arcte
sessilibus cylindrico-globosis, femineis inter ra-
menta immersis substipitatis erectis; strobili
subsessilis reflexi vel nutantis anguste elliptici
acuti bracteis brevissimis inclusis truncatis emargi-
natis, squamis e basi late cuneata orbicularibus vel ro-
tundato-obovatis truncatis vel leviter emarginatis.
Hab. in insulae Nippon alpinis, uti videtnr haud
rara, in Kiusiu m. Naga-yama rarissima.
Intermedia inter À. Tsuga $S. Z. et À. canadensem
Mx., habitu plantae americanae accedens, quae etiam
folia apicem ramulorum versus acutiora, et strobili
squamas nostrae consimiles habet, sed ab hac nostra
planta dignoscitur foliis margine integerrimis emargi-
natis, strobili forma, ab utraque specie amentis mas-
culis sessilibus, ab À. Tsuga insuper habitu diversis-
simo et Constantissimo, jam in plantulis biennibus
semper manifesto, fronde subtus pallidiore nec ar-
gentea, foliis difformibus majoribus, coni ejusque squa-
marum forma. Definiatur igitur
Abies Tsuga S. Z. Arbor mediocris trunco brevis-
simo, coma globosa densissima ramosissima, ramulis
approximatis patulis; foliis subdistichis planis, mar-
gine integerrimis, subtus utrinque juxta nervum fa-
sciis stomatum argenteis circiter 8 notatis, linearibus,
omnibus conformibus, apice obtuso emarginatis; amen-
tis staminigeris stipitatis globoso-cylindricis, fe-
mineis nutantibus exserte pedunculatis; strobili
erecti vel nutantis distincte pedunculati rotundato-
elliptici obtusi bracteis brevissimis inclusis truncatis
bifidis, squamis late orbicularibus truncatis vel leviter
emarginatis vulgo stipitatis. — Habitu humiliore dif-
fuso appropinquat À. Brunonianae Lindl., quae di-
versa est foliis serrulatis apice integris, strobili ovati
squamis sessilibus.
Juniperus nipponica, (Oxycedrus) fruticosa decumbens
(2), densissime frondosa et ramosa, ramis firmis, ramu-
lorum apicibus nutantibus, fronde luteoviridi; folio-
rum verticillis approximatis, pulvinis valde tumentibus;
foliis dense imbricatis ternis naviculari-incurvis lan-
ceolatis exacte triquetris pungenti-acutis, superne
sulco angustissimo profundo subinconspicuo per-
cursis et in sulei fundo linea angusta pallidiore nota-
tis, subtus obtuse carinatis; galbulis monospermis
globosis folium superantibus laevibus atris caesio-
pruinosis, magnitudine pisi minoris; seminibus ovoi-
deis, foveis dorsalibus resiniferis ovalibus acute
marginatis, ad mediam seminis altitudinem pro-
tensis.
In alpibus prov. Nambu Nippon borealis.
A simillima J. nana W. statim foliorum sulco pro-
fundo, galbulisque apice haud tuberculatis distincta.
Habet sese ad J. rigidam $. et Z. fere ut J. nana W.
ad J. communem L., ita ut forsan tantum var. alpina
prioris. Sed hucusque transitus nulli observati, folia-
que videntur nimis diversa.
Juniperus litoralis, (Oxycedrus) fruticosa prostrata
15*
231
longe prorepens, cortice fusco, ramis crassis firmis
longissimis ramulisque dense aggregatis apice erectis,
fronde densissima glaucoviridi, verticillis foliorum ap-
proximatis, pulvinis alternis tumentibus, foliis ternis
dense imbricatis erectislinearisubulatisrectis,sensim
in mucronem pungentem acuminatis, superne canali-
culatis et in fundo sulci linea alba unica notatis,
subtus convexis, galbulis trispermis folio brevio-
ribus globosis laevibus coeruleis eximie caesio-prui-
nosis opacis, mole pisi majoribus; seminibus triquetro-
ovoideis, foveis dorsalibus medium dorsum occupan-
tibus oblongis utrinque acuminatis obtuse mar-
ginatis.
Hab. in litore marino, facile per totam Japoniam,
in arena mobili caespites amplissimos efformans, v. gr.
in insula Yeso prope Hakodate variis locis, in Nip-
pon boreali: Nambu, et media: 100 stadia a Yedo
boream versus in litore oceanico. Ad promontorium
Siriki saki, et in insula Yakuno-sima, a Kiusiu meri-
diem versus sita, collecta fuit a C. Wright (v. specc.
frf., J. taxifoliae H. et À. admixta).
J. rigidae S. Z. proxima, diversa habitu, frondis
densissimae colore, foliorum directione, galbulis majo-
ribus eximie caesiis, seminumque majorum forma. J.
taxifolia H. et A., quacum ab A. Gray (in schedula)
confusa videtur, a nostra diversissima habitu saepius
arborescente, fronde parca, verticillis foliorum remo-
tis, foliis patentibus latis brevibusque saepissime ob-
tusis vel acutis, galbulis lucidis minoribus, et semini-
bus foveisque.
Über eine auffallende an einem empfindlichen
Niveau beobachtete Bewegung, von A. Wag-
ner. (Lu le 3 octobre 1867.)
Am Morgen des 8. (20.) September dieses Jahres
bereitete ich mich zu einer Beobachtung des Sternes
SUrsae min. in der unteren Culmination am Passa-
geninstrument vor. Ich wollte um etwa 5* 55" Stern-
zeit mit dem Ablesen des auf die Axe des Instrumen-
tes gesetzten Niveau’s beginnen, als ich die Bemer-
kung machte, dass die Blase des Niveau’s in starker
Bewegung begriffen war und nicht zur Ruhe kommen
wollte, während sie sonst nach dem Aufsetzen der
Wasserwage schon nach 30 — 40 Secunden voll-
kommen stille steht. Die Blase bewegte sich bestän-
Bulletin de l’Académie Kmpériale
dig in kurzen Zwischenräumen hin und her. Zwei ähn-
liche Füälle, die im Februar 1861 und im August
1863 eingetreten waren, hatten in mir die Überzeu-
gung hervorgerufen, dass ich es hier nicht mit Ver-
änderungen der Wasserwage oder des Instrumentes,
sondern mit Bodenerschütterungen zu than habe; ich
begab mich also zu dem in demselben Saale befindli-
chen aber über 20 Fuss von dem Passageninstrument
entfernten Verticalkreise, um die Bewegung auch an
dessen Niveau, welches die Richtung Süd-Nord hat,
constatiren zu kônnen. In der That bemerkte ich
auch an diesem, nachdem ich es zum Einspielen ge-
bracht hatte, dieselben hin und hergehenden Bewe-
gungen der Blase.
Die Grüsse der Schwankungen der Niveaublase
(sie mügen anfangs wenigstens drei Theile der Scala
oder nahezu 3” betragen haben) nahmen allmählich ab,
ohne dass sie jedoch um etwa 6" 11” Sternzeit, wo
ich mit der Beobachtung von à Ursae min. beginnen
musste, ganz aufgehürt hatten. So viel ich in der
Kürze der Zeit wahrnehmen konnte, fanden die
Schwankungen der Plase um einen mittleren Stand
derselben statt. Um 6” 26” Sternzeit war nichts
mehr von denselben zu bemerken.
Interessant wird diese Beobachtung durch ein in
unseren Zeitungen mitgetheiltes Telegramm aus Malta,
welches meldet, dass dort am 19. und 20. September
ein Erdbeben stattgefunden habe, und dass der letzte
Stoss am 20. um 4” 45” Morgens sich ereignet habe.
Der Zeitpunkt, wo ich die Bewegung der Niveaublase
zuerst wahrnahm, fand in bürgerlicher Zeit ausge-
drückt um 6° 1” Morgens statt. Der Längenunter-
schied zwischen Malta und Pulkowa beträgt 1* 3”;
ist die Zeitangabe in der Zeitung genau, so fand also
der letzte Erdstoss in Malta um 5" 48” Pulkowaer
Zeit statt. Diese Übereinstimmung ist so gross, dass
man wohl beide Erscheinungen für zusammengehürig
halten dürfte.
Man künnte veranlasst sein, auch für die beiden
früher von mir beobachteten Füälle sich nach den dazu
gehürigen Erderschütterungen umzusehen; ich lasse
hier daher die genauen Zeiten derselben folgen:
1) 1861, Februar 4. (16.) 4* 4” Abends,
2) 1863, Juli 22. (August 3.) 9" 47" Morgens.
Es betrug indessen die damals beobachtete Grôsse
der Schwankungen hüchstens 6 —7 Zehntel Bogen-
Secunden, also sehr viel weniger als in diesem Jahre,
und es ist wohl müglich, dass die Erschütterungen
selbst in der Nähe des Herdes, von dem sie ausge-
gangen sind, unbemerkt geblieben sind.
Der Umstand, dass es mir im Verlaufe von 7 Jah-
ren vergünnt war, dieselbe Erscheinung dreimal zu
beobachten, gestattet vielleicht anzunehmen, dass sie
überhaupt nicht sehr selten ist, und veranlasst viel-
leicht auch andere Astronomen, derselben ihre Auf-
merksamkeit zuzuwenden.
Wenn es erlaubt wäre, aus dreimaliger Wiederho-
lung derselben Erscheinung schon einen Schluss auf
deren Häufigkeit zu machen, so würde noch die fol-
gende Betrachtung gestattet sein. Die Zahl der von
mir seit dem Ende des Jahres 1860 ausgeführten Ni-
vellements müchte 4000 — 4500 betragen. Berück-
sichtigt man die Dauer eines Nivellements und die
Dauer der beobachteten Erscheinung, so kann man
annehmen, dass ein Nivellement im Durchschnitt über
den Zustand der Ruhe oder Unruhe der Erdoberfläche
für einen Zeitraum von etwa 7 Minuten entscheidet.
Es wären also bis jetzt auf einen Zeitraum von bei-
läufig 30,000 Minuten 3 Erderschütterungen gekom-
men, was 1 auf je 7 Tage macht. Es ist aber gewiss
voreilig, aus nur 3 Füällen Schlüsse auf die Häufigkeit
einer Erscheinung im Allgemeinen ziehen zu wollen;
indessen künnte die obige Betrachtung doch Veran-
lassung geben, an die Construction eines Apparates
zu denken, der im Stande wäre, Veränderungen, die
in einem so empfindlichen Apparate, wie das Niveau
ist, vor sich gehen, zu registriren.
Pulkowa, d. 17. (29.) September 1867.
Démonstration d’un théorème de Statique, par
Ferd. Minding, professeur à Dorpat. (Lu le
3 octobre 1867.)
L'idée du centre de gravité ou du centre des forces
parallèles est si ancienne et tant de fois discutée,
qu’on aurait peine à croire qu’elle pourrait encore
devenir l’objet de nouvelles recherches. Cependant,
en l’analysant, on reconnaît qu’elle n’est pas fondée
uniquement sur le parallélisme des forces, mais qu’en-
core elle suppose des forces qu’on pourrait regarder
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
234
comme inhérantes à leurs points d’application, c’est-
à-dire qui restent invariables en grandeur et en di-
rection, de quelque manière qu’on fasse tourner Je
corps auquel elles sont appliquées. Sans changer la
position du corps par rapport aux forces, tous les
points de la ligne dans laquelle agit la résultante,
sont indifférens; ce n’est que par le changement de
cette position relative, qu’on rencontre ce point par-
ticulier du corps, par lequel passe toujours la résul-
tante et qui a reçu par cette raison le nom usité.
Cette réflexion m'a porté, il y a plus de trente ans,
à supprimer la condition du parallélisme des forces
et à considérer un corps solide soumis à des forces
quelconques, dont chacune soit donnée en intensité
et en direction et invariablement attachée à son point
d'application, de quelque manière qu’on fasse tour-
ner le corps. Seulement il faut admettre que toutes
ces forces, transportées parallèlement et appliquées à
un seul point, donnent une résultante différente de
zéro, qui sera désignée par À.
Il est vrai qu’on ne saurait trouver dans la nature
un tel corps; il n’y a que l’aimant qui, sollicité à la
fois par la pesanteur et la force magnétique, réalise
d’une manière particulière l'hypothèse proposée, en
offrant un système dont les forces sont toutes paral-
lèles à un plan. Encore, pour expliquer sous ce point
de vue la statique de l’aimant, faut-il faire abstrac-
tion des variations d'intensité et de direction de la
force magnétique, et la regaräer comme constante.
Quoiqu'il en soit pour les applications, il est néces-
saire en théorie de développer l'hypothèse proposée,
dont les conséquences ne sont pas dénuées d'interêt.
J’ose donc revenir encore une fois sur ce sujet
qui paraît être resté à peu près inconnu à la plupart
des géomètres. Mais je n’insisterai pas ici sur des dé-
tails tels que je les ai donnés autrefois soit dans le
journal de Crelle, soit dans un petit traité de méca-
nique rationelle qui a paru en 1838: à présent je
me bornerai à démontrer succinctement le théorème
principal auquel conduit l'hypothèse mentionnée.
Décomposons les forces données suivant trois di-
rections perpendiculaires entre elles, dont la première
soit parallèle à la resultante Æ, obtenue comme il
vient d’être dit. Le premier groupe de forces paral-
lèles aura Æ pour somme et par conséquent il offrira
un centre de forces parallèles fixe dans le corps ou
235
Bulletin de l’Académie Empériale
236
——————————<——
indépendant de la position du corps à l'égard des
forces; soit C ce centre, qui sera nommé le point
central.
Le second groupe de forces parallèles a pour somme
zéro. Pour le reduire à un couple à bras fixe dans le
corps, appliquons au point C la force À parallèlement
à la direction des composantes du second groupe et
à la fois la force égale et contraire que je designerai
par À’, pour la distinguer. Les forces du second
groupe, ajoutées à À, donneront avec la somme À un
centre À qui sera encore fixe dans le corps, et la force
À, appliquée en À, formera avec la force égale et
contraire À’, appliquée en C, un couple à bras fixe
(CA) dans le corps.
Traitant de la même manière le troisième groupe
de forces parallèles, on obtiendra encore un centre B,
auquel s'applique une force À qui, avec une force
égale et contraire R”, appliquée en ©, donne un se-
cond couple dont le bras CB est fixe dans le corps.
Par hypothèse, les forces égales R, R', R", appliquées
au point C, sont perpendiculaires entre elles.
Le plan du triangle ACB est le plan central, qui
est fixe dans le corps comme l’est le point central.
Mais les points À et B se déplacent, toutefois en
restant toujours dans le plan central, selon qu’on
aura choisi la direction des composantes du second
groupe ou bien, ce qui revient au même, la direction
de la force et avec elle celle de R”. On peut pro-
fiter de ce déplacement des points À et B, pour rendre
droit l'angle ACB.
Soient x et y deux axes choisis arbitrairement dans
le plan central, mais perpendiculaires entre eux et
partant de l’origine C, et supposons qu’on ait pour le
point À, x— a, y—b et pour le point B, x —«/,
y = D". Imaginons de plus, pour simplifier, que le
corps soit tellement placé à l'égard des forces, que la
force À, appliquée en C, soit perpendiculaire au plan
central; par conséquent les forces R’et R”, également
appliquées en ©, seront situées dans le plan central,
de même que les forces appliquées en À et B, qui
forment avec Æ’ et R” les deux couples dont les bras
sont CA, CB.
Décomposons ces quatre forces suivant deux droites
æ et $, également perpendiculaires entre elles et si-
tuées dans le plan ACB. Soit w l’angle compris entre
la force À appliquée en À, et la première direction «;
© + u sera l’angle entre la force À appliquée en B
et la même direction &«. En décomposant toutes les
forces suivant les directions & et $, on aura le ta-
bleau suivant:
coordonnées des
composantes suivant « suivant Ê points d'application
de À en À + COS 4 +- Sin 4 a, b
deR en B — sin +- COS 4 a',V'
de R'en C — coS% —sin# 0,0
de R’en C +- sin % — COS 4 0,0
en omettant partout le facteur R, qu'on peut regar-
der comme égal à l’unité de force.
Maintenant, de même qu'auparavant, appliquons
au point C la force À dans la direction « et avec elle
son égale et contraire X,. Mettant à part R,, et ajou-
tant Z ou 1 aux composantes parallèles à «, on ob-
tiendra avec la somme 1 un nouveau centre À', dont
les coordonnées seront:
He PIC 'e
É— acosu — a sinu, n—bcosu —b'sinu.
En opérant de la même manière sur les conipo-
santes parallèles à $, on aura avec une force À, — R
appliquée en ©, un autre centre B', dont voici les
coordonnées:
É—asinu+acosu, 1 —bsinu + 0V'cosu,
auquel s'applique la force À, formant un couple avec 2..
Pour rendre droit l'angle 4°CB, il faut faire
+ nn = 0, ce qui donne:
U
ss
2 (aa + bb") cos 2u — (a? + D? — a? —L?) sin 2u —0,
ou bien
2 (aa! + bb’)
CU = -—-> — ©
tg 20 a? + D? — a? — b??
équation qui détermine, sans ambiguité, les directions
de décomposition qu'il faut adopter pour rendre le
bras CA perpendiculaire à CB, et par cela achever la
réduction du système des forces données.
Cela posé, prenons l’axe des x sur le bras CÀ, celui
des y sur CB, et représentons par le tableau suivant
les composantes des cinq forces dont il s’agit, pour
une position quelconque du corps:
237
coordonnées des
Composantes suivant & y à points d'application
deR en C D'UN DARNE 0,0,0
de R,en C (pb sta 0,0,0
de R,en C 07 MIBPNPES 0,0,0
de À en À — & —V —c p,0,0
de? en B — d—D—0c 0, g,0
en posant les bras CA — p, CB —q. On aura les re-
lations connues:
++ 1, ax + + cc —0, etc.
Avec ces élémens on formera aisement les équa-
tions de la résultante associée au couple minimum,
dont le moment soit W, et qui est, comme on le sait,
perpendiculaire à la résultante. On aura pour cette
droite:
bz—cy = L—aV, ex — az — M—V,
ay —bx =N—0cV et V= La + Mb+ Nc,
L, M, N étant les expressions connues des moments:
L=—ZP(ecos8—ycosy), M—=2EP(x cosy —2 cos a),
N—EP(ycosa— x cos B),
dans lesquelles il faut substituer les composantes ac-
tuelles avec les coordonnées de leurs points d’appli-
cation. On trouve pour les parties de Z, M, N prove-
nant de la force en À, en mettant pour ? l'unité,
respectivement
0,
pour les parties provenant de la force en B:
! ’
— DC, +;
+ Qc O0, —ga”;
done on aura les moments:
M=—= —pc;
d'où l’on tire: V— q(ac’— a"c) — p{bc' —V'c),
L= + qc, N=— + pb —qa,
ce qui revient, comme on sait, à V— gb — pa”.
Les équations de la résultante associée au couple
minimum, seront donc:
bz—cy—qc—aV, cx—az——p—1Ùy,
ay — pe = pb'— qu" —0cV, V = qL'—pa.
On s’assurera aisément qu’il existe une infinité de
., . . « ., ! "
positions qui satisfont à la condition gb —pa — 0,
dans lesquelles par conséquent le moment V est zéro
et le système se réduit à une résultante unique, dont
voici les équations:
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
238
bz—cy = qc”
CE — ar = — pl
ay — bx — pb —qa',
gb —pa"= 0,
Cherchons les points d’intersection de cette résul-
tante avec le plan #2. Pour cela on a, en posant
y —= 0, par la première et la troisième des équations
qu’on vient d'établir, et sans avoir égard à la seconde,
qui n’est, comme on sait, qu’une conséquence de l’en-
semble des autres équations:
bacon br vb qu}
Élevant au carré la seconde de ces équations et en y
. ! m2
ajoutant (gb — pa ÿ — 0, on aura:
Da + (gb — pa’) = (pb — ga’)
ou bien:
b’x° + go” + pa” = pb? re qu”,
. )
ce qui donne: ——; =
q EE |
En ajoutant la première équation, également élevée
au carré, c’est-à-dire
p? 2? or
Eat fs
on aura
9 a? 2? DR » » » » )
RE + | EC ETES
1m |
donc on aura définitivement:
x? 22
—= ] ;
TE
équation qui indique la suite des points du plan #?,
dans lesquels seulement la résultante unique du sy-
stème, si elle existe, peut rencontrer le plan #z.
De la même manière on cherchera le lieu des in-
tersections de la résultante avec le plan >, en posant
æ— 0; on aura
pa"— qb = 0
u ’ 1
Up, ay —= pb — qu,
d’où l’on tire:
mais il est plus court de former immédiatement cette
seconde équation d’après l’analogie avec la première.
L’inspection des formules (A) et (B) fait voir, que
dans toutes les positions du corps relativement aux
forces données, dans lesquelles les forces peuvent être
239
Bulletin de l’Académie KHmpériale
240
eZ" _]—]_—_]—]—— ——————————————————_——————…—…—….……———
remplacées par une résultante unique, positions qui
existent en nombre infini, cette résultante, loin de
pouvoir traverser le corps d’une manière quelconque,
ne peut que couper à la fois les deux courbes fixes
dans le corps, dont on vient de trouver les équations.
Ces courbes sont situées dans deux plans perpen-
diculaires entre eux, que j'ai autrefois appelés plans
moyens; l’une est une ellipse, l’autre une hyperbole;
les foyers de chacune d’elles sont les sommets de
l’autre.
Il y a des cas particuliers remarquables. Si lun
des bras p ou g est zéro, l’ellipse devient un cercle
et l’hyperbole une droite perpendiculaire au plan du
cercle et passant par son centre. Dans ce cas il ny
a pas de plan central, mais seulement un axe cen-
tral, qui est cette même droite; c’est le cas de l’aimant.
Si p—q, on a un système bien singulier dans le-
quel toutes les résultantes uniques passent par l’un
ou l’autre de deux points isolés, situés sur l’axe des
z de part et d'autre du point central à la distance
p de ce point.
Über die durch den rothen Lichtstrahl hervor-
gerufenen Veränderungen in den Chlorophyll-
bändern der Spirogyren, von El. Borscow,
Privatdocenten an der St. Wladimir-Univer-
sität in Kiew. (Lu le 3 octobre 1867.)
Famintzin theilt in einer seiner interessanten
Schriften') mit, dass bei längerer Einwirkung des
concentrirten Kerosin-Lampenlichtes auf Spyrogira or-
thospira N äg. in den Zellen dieser Süsswasseralge be-
merkenswerthe Veränderungen stattfinden. Er beob-
achtete nämlich, dass, nachdem die Chlorophylbänder
nach den ersten 48 Stunden der Einwirkung des
Lampenlichtes, mit Stärke gänzlich überfüllt worden
waren, eine lebhafte Zelltheilung eintrat. Darauf be-
hielten die Chlorophyllbänder in einigen Zellen ihre
frühere Form und Anordnung, in anderen dagegen
wurden beide vollkommen verändert, indem die Chlo-
rophyllbänder sich zu kugeligen oder amorphen grü-
1) Xfücrsie csbra Ha BOOpoCIu 4 xpyrie 61U3KRIE KP HHMB OPrA-
ausmpt. 1866. Eigentlich erschien die citirte Schrift noch früher und
ist in den Mélanges biolog. tirés du Bullet. de l’Acad. des sciences
de St-Pétersbourg, Jahrg. 1865 publicirt worden, unter dem Titel:
Wirkung des Kerosin-Lampenlichtes auf Sparoggra orthospira Näg.
nen Massen zusammenballten. In diesem letzteren Zu-
stande gelang es Famintzin, die Spirogyra- Fäden
im vollen Lampenlichte noch während 2—4 Wochen
lebensfähig zu erhalten. Dann aber starben sie sämmt-
lich ab; die bis dahin noch grünen, amorphen Chloro-
phyllmassen nahmen dabei eine goldgelbe Farbe an
und enthielten (in sehr vielen Zellen) keine Spur von
Stärke mehr.
Dieselbe Reihe von Erscheinungen kann nun leicht
in den Zellen der Spirogyren Während einer sehr kur-
zen Zeit hervorgerufen werden, wenn man auf die
unter dem Mikroskop befindlichen Algenfäden rothes
Licht von gehôriger Intensität andauernd einwirken
lässt. Sämmtliche Vorgänge in den Zellen kôünnen auf
diese Weise sehr bequem Schritt für Schritt verfolgt
werden.
Ich experimentirte mit zwei Spirogyra-Arten, näm-
lich mit der Sp. decimina Kg. und einer der Sp.
adnata Kg. nahe verwandten Art. Die schüne Sp. or-
thospira N'äg. konnte ich in den hiesigen Gewässern
nicht auffinden; sie würde namentlich für derartige
Versuche, wegen der Grôsse ihrer Zellen, sich vor-
züglich eignen.
Lässt man nun rothes, durch den Spiegel des Mi-
kroskops concentrirtes Licht*) auf die in einem dun-
keln Raume *) befindlichen, vollkommen frischen Spi-
rogyren‘) einwirken, so werden die stickstoffhaltigen
Elementartheile ihrer Zellen alsbald in Angriff ge-
nommen. Dabei entstehen Veränderungen, zunächst
in dem grünen, zu spiraligen Bändern geformten Plas-
ma, dann aber auch im farblosen, worauf die gesammte
Lebensthätigkeit der Zellen für immer erlischt.
In den ersten 30 bis 45 Minuten der Einwirkung
treten keine besonderen Veränderungen im Âusseren
der Chlorphyllbänder ein. Wie unter normalen Ver-
hältnissen zeigen diese auch jetzt die frühere Anord-
oung in Spiralen; der Parallelismus der Spiralwin-
dungen und der flügelartige, abgerundet gezähnelte
Rand der Bänder bleiben unverändert. Der einzige,
9) Ich benutzte eine concentrirte Lüsung von doppelt-chromsau-
rem Kali, welche eine 2,5 Centim. dicke Flüssigkeitsschicht bildete.
3) Bei diesen Versuchen benutzte ich dieselbe Dunkelkammer,
welche ich in einem früheren Aufsatze (Wirkung des rothen und
blauen Lichtstrahls auf das bewegliche Plasma etc.) ausfübrlich be-
schrieben habe.
4) Es wurde nicht destillirtes, sondern dasjenige filtrirte Was-
ser gebraucht, in welchem die Spirogyren am Orte des Vorkommens
vegetirten.
241
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
242
jedenfalls sebr wichtige Unterschied besteht darin,
dass die Stärkemenge im Chlorophyll und besonders
in den grossen, kugeligen Kürnern, welche den Bän-
dern aufsitzen, eine viel bedeutendere geworden ist,
wodurch man sich leicht durch die Jodreaction über-
zeugen kann. In diesen letzteren bildet die Stärke
schon ganze Gruppen von äusserst feinen Kürnchen;
aber auch in der Chlorophyllsubstanz der Bänder hat
die Menge derselben um ein nicht Unbedeutendes zu-
genommen, und einzelne Kürnchengruppen kommen
auch hier vor. Dieser lebhafte Vorgang der Stärkebil-
dung und zwar in so kurzer Zeit, den auch Famin-
tzin im starken, gewühnlichen Lampenlichte beobach-
tete”), wird nicht befremden, wenn wir uns erinnern,
dass das rothe Licht die Sauerstoffabscheidung in den
chlorophyllhaltigen Zellen energisch befürdert, in die-
ser Hinsicht dem gemischten Lichte kaum nachsteht°)
und, im gegebenen Fall — da es concentrirt auf die
im Dunkeln befindlichen Algenfäden einwirkte — viel-
leicht dasselbe übertrifft. Dieser abgeschiedene Sau-
erstoff ist aber das Zersetzungsprodukt der Kohlen-
säure, welche die grünen Zellen im rothen Lichte be-
gierig aufnehmen, und des Wassers. Während nun der
überschüssige Sauerstoff ausgegeben wird, verbinden
sich unter Mitwirkung des Chlorophylls die Elemente
des Kohlenstoffs (oder einer niedrigeren Oxydations-
stufe desselben) und des Wassers etwa nach folgen-
dem Schema:
x (60) + x (H,9) — x (0;) + x (CH,0).
Nun ist aber x (CH,0) der allgemeinste Ausdruck
für Stärke und andere Kohlenhydrate, sowie auch für
die mit ihnen nahe verwandten Substanzen, wie rechte
und linke Glucose u. s. w. Aus dieser Auseinander-
setzung will ich durchaus nicht den Schluss ziehen,
dass nach der Sauerstoffabscheidung die übrig geblie-
benen Reste der Kohlensäure und des Wassers sich
direct zur geformten Stärke verbinden. Aber dass da-
bei jedenfalls ein Stoff entsteht, der mit der grüssten
Leichtigkeit in die organisirte, kürnige Stärke über-
geht, ist gewiss. Am wahrscheinlichsten ist es die Glu-
cose, welche durch Abgabe eines Moleküls Wasser
5) 1. c. p. 42, 48.
6) Vergl. die Versuche von Sachs. Botan, Zeitung 1864, — Ex-
perimental-Physiologie, p. 24—97,
Tome XII.
sich leicht in eine Verbindung von der Zusammen-
setzung der Stärke umwandeln kann:
C,H,0; CH:
nm 0 = ms,
Glucose Stärke
Diese Vermuthung, welche auch Sachs in seiner
Physiologie für die richtigere hält, findet ihre Unter-
Stützung sowohl in dem ungemein leichten Auflüsen
der Stärke in Glucose und abermaligem Übergange
dieser letzteren in geformte Stärke — ein beständi-
ger Vorgang in den Zellen stärkehaltiger Saamen
bei der Entwickelung des Keimes —, als auch in dem
Umstande, dass in denjenigen Chlorophyllbildungen,
welche normal keine Stärke erzeugen (wie im Chlo-
rophyll der Zellen von Allium Cepa), anstatt dersel-
ben grosse Mengen Glucose gebildet werden ‘).
Im Anfange besteht also die Wirkung des rothen
Lichtes auf die Chlorophyllbänder in einer Steigerung
der Thätigkeit des Chlorophylls als assimilirenden
Elementartheiles der Zelle.
Wird nun mit der rothen Beleuchtung fortgefahren,
so erscheinen die Chlorophyllbänder, nach Verlauf
einer Stunde oder etwas später, sowohl in ihrer An-
ordnung, als auch in der Molecularstructur gestürt.
Die einzelnen Windungen der Spirale sind jetzt nicht
mehr einander parallel, sondern mehr oder weniger
gegen einander geneigt. Die Bänder liegen nicht mehr
dicht dem dünnen, farblosen Plasmabelege an, son-
dern verlieren ihr straffes Aussehen, krümmen sich,
sind auch mehr nach dem Innern der Zelle gerückt
und scheinbar vom farblosen Plasma getrennt. Bis-
weilen bemerkt man dabei ein Zusammenfliessen
zweier benachbarten halben oder ganzen Windungen
der Spirale. Der flügelartige, gezähnelte Rand der
Bänder, welcher im normalen Zustande, besonders bei
Sp. decimina scharf contourirt ist, verliert diese
Schärfe seiner Umrisse und wird nur schwach wellig,
oder sogar ganz eben. Die grossen Chlorophyllkür-
ner, welche den Bändern aufsitzen, schwinden zum
Theil, indem sie mit der deutlich kürnig gewordenen
Substanz derselben verschmelzen. Endlich hat die
ganze Chlorophyllmasse nicht mehr die frühere schüne
saftgrüne Farbe (besonders bei Sp. adnata), sondern
zeigt einen Stich in’s Gelbliche.
7) Sachs, Experimental-Physiologie, p. 326.
16
243
Bulletin de l’Académie Empériale
244
EEE
Dieser veränderte Zustand der Chlorophyllbän-
der tritt allmählich und zwar nicht gleichzeitig in al-
len vorhandenen Zellen des Spirogyra-Fadens ein, son-
dern in einigen früher, in anderen später. In einigen
Zellen werden die Chlorophyllbänder, sogar bei län-
gerer Einwirkung des rothen Lichtes, nur äusserst
wenig verändert. Sie erscheinen nämlich nur etwas
aus ibrer Lage gerückt, und ihre Windungen sind nur
wenig gegen einander geneigt. Woher dieser Unter-
schied komme, was die Ursache einer solchen Tenacität
der letzteren sein mag, ist schwer zu entscheiden,
da durchaus keine Verschiedenheit der Zellen mit
veränderten Chlorophyllbändern von denen mit un-
veränderten nachzuweïsen ist. Famintzin ist bei sei-
nem Versuche mit Sp. orthospira ebenfalls auf solche
verwickelte Erscheinungen gestossen *).
Prüft man nun die veränderten Chlorophyllbänder
auf ihren Stärkegehalt, so erweisen sich dieselben
dermaassen mit Stärke überfüllt, dass an vielen Stel-
len die Chlorophyllsubstanz beinahe gänzlich ver-
drängt und durch Gruppen von Stärkekürnern ersetzt
ist. Demnach muss das kürnige Aussehen der Bänder,
sowie auch ihre hellere Farbe, zum Theil wenigstens,
in dem enormen Anhäufen der Stärke ihren Grund
haben.
Ausser dem grünen Endoplasma (den Chlorophyll-
bändern) enthalten die Zellen der Spirogyren auch
farbloses, welches das erstere umgebend und nach aus-
sen dem Exoplasma (der Hautschicht Pringsh.) dicht
anliegend, einen schwachen Wandbeleg bildet. Von
diesem Wandbelege gehen zum grossen, centralen
Zellkern dünne Plasmastränge., Durch eben solche
steht der Zellraum auch mit den Chlorophyllbändern
in Verbindung. Unter normalen Verhältnissen bemerkt
man sowohl in den ersteren, als auch in den letzte-
ren Plasmasträngen eine fortdauernde, zusammenzie-
hende Bewegung”). Diese wird auch bei dem eben
besprochenen veränderten Zustande der Chlorophyll-
bänder noch wahrnehmbar, ist aber bedeutend schwä-
cher geworden als vorher.
Bei weiterer Einwirkung des rothen Lichtes tritt
8) 1. c. p. 43.
9) In den Zellen von Sp. adnata ist die Bewegung schwer zu be-
obachten, weil die Windungen einzelner Chlorophyllbänder sebr
dicht aneinander gedränet sind. Sp. decimina eignet sich dazu
besser.
in den Spirogyra-Fäden eine lebhafte Zelltheilung
ein. In einem von mir beobachteten Falle theilten
sich beinahe sämmtliche Zellen des Fadens rasch,
durch Bildung vollständiger Scheidewände; in ei-
nem anderen theilten sich 30 Zellen von den 56 in
einem Spirogyra-Stücke vorhandenen. In beiden Füäl-
len ist diesem Theilungsvorgange durchaus kein merk-
licher Zuwachs der Mutterzellen vorangegangen.
Gleichzeitig mit dem Anfange der Scheidewandbil-
dung in den Zellen beginnt auch die vollständige
Degradation der schon veränderten Chlorophyllbän-
der und überhaupt des ganzen in den Zellen enthal-
tenen Plasmas. Die Chlorophyllbänder ziehen sich
noch mehr zusammen und ballen sich endlich zu Ku-
geln oder amorphen, hellgrünen, nur wenig kôrnigen
Massen. Solche Kugeln treten entweder einzeln in je-
der Zelle auf und dann verdanken sie ihren Ursprung
dem allmählichen Zusammenziehen und Verschmel-
zen sämmntlicher in der Zelle vorhandenen Chloro-
phyllbänder. Oder die Bänder einer Zelle zerfallen
vor dem Zusammenballen in mehrere Stücke, welche
dann durch Zusammenziehen mehrere Kugeln bilden.
Nach dem vülligen Zerfallen in Kugeln und amorphe,
wolkige Massen ändert sich sehr bald die bis dahin
noch hellgrüne Farbe des Chlorophylls in ein Fahlgrün,
dann in Gelb, und endlich wird die Substanz desselben
beinahe farblos. Prüft man jetzt die fahlgrünen oder
gelben Massen auf ihren Stärkegehalt, so erweist es
sich, dass in den Zellen, wo Theilungen stattfanden,
die Stärke spurlos verschwunden —, in denen aber,
welche sich nicht theilten, die Menge der Stärke eine
hüchst unbedeutende geworden ist.
Auf die eben beschriebenen Veränderungen in den
Chlorophyllbändern folgen nun auch Veränderungen
im farblosen Plasma. Die Bewegung in den Plasma-
strängen hôrt vüllig auf, das Wandplasma lüst sich
von der Zellwand und umhüllt die fahlgrünen Massen
in Form eines zarten, glashellen, etwas kürnigen
Schlauches. Der Kern bleibt dabei entweder an sei-
ner Stelle, in der Mitte der Zelle und wird, von der
fahlgrünen Masse umgeben, nicht sichtbar; oder er
wird zur Seite geschoben und liegt innerhalb des hya-
linen Plasmaschlauches. Dabei verliert er seine regel-
mässige Form und wird runzelig. Mit dem Eintreten
dieser Erscheinungen sind sämmtliche Zellen leblos.
Dies sind die Vorgänge, welche unter dem Ein-
245
flusse der rothen Strahlen in den Zellen der Spi-
rogyren auftreten und binnen 3 bis 6 Stunden mit
dem Absterben der meisten Zellen endigen. Dem Aus-
seren nach ist eine Analogie der stattfindenden Er-
scheinungen mit denen, welche ich im beweglichen,
farblosen Plasma der Urtica-Haare beobachtete nicht
zu verkennen. Hier wie dort entsteht bei der Einwir-
kung des rothen Lichtes eine Molecular-Veränderung
in der Plasmasubstanz, nämlich eine Verdichtung des-
selben, begleitet von einer nicht näher bekannten
chemischen Veränderung. Ein wesentlicher Unter-
schied zwischen den Vorgängen in den chlorophyll-
freien und chlorophyllhaltigen Zellen besteht aber
darin, dass bei dem farblosen Plasma wir zur Zeit
nur noch das Faktische der Erscheinungen wissen,
ohne im Stande zu sein, das innere Wesen der statt-
findenden Molecularmetamorphose mit den nächsten
Folgen desselben in Zusammenhang zu bringen. Da-
gegen ist in Zellen mit grünem Plasma eine Versinn-
lichung der stattfindenden Vorgänge im Zusammen-
hange mit ihren Folgen schon müglich. Meiner An-
sicht nach entsteht die eben geschilderte Storung in
der Lage und Anordnung der Chlorophyllbänder, fer-
ner das Zusammenballen derselben zu Kugeln und
endlich auch das rasche Absterben der Zellen nur im
Folge eines durch die Wirkung des intensiven ro-
then Lichtes übermässig gesteigerten Assimilations-
prozesses, dem ein energischer Stoffwechsel in der
Zelle nachfolgt, dessen nächstes Resultat eine voll-
kommene Erschôpfung sämmtlicher Plasmagebilde in
der Zelle ist.
Unter normalen Verhältnissen gehtsowohl die Stär-
kebildung im Chlorophyll, als auch der Verbrauch der
Stärke zu Gunsten der sich entwickelnden Zellen ganz
allmäblich vor sich. Eine Degradation des Chloro-
phylls und darauf das Absterben der grünen Zellen
selbst erfolgt erst nach Verlauf einer bedeutend lan-
gen Periode, und dies aus dem Grunde, weil bei der
allmählichen Bildung und weiteren Umwandlung der
Stärke ein Theil sowohl des grünen als auch des farb-
losen Plasmas immerhin noch thätig bleibt und keine
eingreifende Storung in der Molecularstructur erlei-
det. Ganz anders gestaltet sich die Sache im rothen
Lichte. Indem das grüne Plasma dabei zur energischen
Stärkeerzeugung angeregt wird, wird es im Ganzen
in Angriff genommen. Da es aber bei der Stärkebil-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
246
duug substantiell betheiligt ist und mit der Zunahme
der Stirkemenge ein fortwährendes Abnehmen sei-
ner eigenen Substanz stattfindet"), so tritt endlich
ein Moment ein, wo die Chlorophyllsubstanz durch
Stärke beinahe vollständig verdrängt wird. Eine sol-
che, wenn auch nur theilweise auftretende Verdrän-
gung kann aber nicht stattfinden, ohne die früheren
Formenverhältnisse und die Vertheilung des grünen
Plasmas zu stüren, und zwar aus dem Grunde, weil
die früheren Verhältnisse zwischen
desselben durch das Dazwischenkommen auderer, he-
terogener Molecüle gänzlich aufgehoben werden müs-
sen. In kugeligen Formen, wie Chlorophyllkôrner,
den Molecülen
kann diese Veränderung eine hôchst unbedeutende
sein; dagegen in solchen complicirten Gebilden, wie die
Chlorophyllbänder der Spirogyren, ist diese Verdrän-
gung der grünen, ursprünglichen Plasmamasse durch
Stärkesubstanz gewiss eine der Hauptursachen der
stattfindenden Lage- und Formveränderungen. Dage-
gen scheint das darauf folgende Zusammenballen der
veränderten Chlorophyllbänder zu Kugeln und amor-
phen Massen im Zusammenhange mit dem Auflüsen
und dem weiteren Verbrauche der Stärke behufs der
Cellulosenbildung zu stehen. Dafür sprechen: einerseits
die mit der Kugelbildung gleichzeitige Entstehung
der Scheidewände in den Mutterzellen und anderer-
seits das vollkommene Fehlen, oder nur spurweise
Auftreten von Stärke in den kugeligen und amor-
phen Massen.
Der Theilungsprozess in den Zellen der Spérogyren
ist, wie wir schon erwähnten, bei der Einwirkung des
rothen Strahles ein sehr energischer und rascher;
demgemäss geht auch das Auflüsen und die weitere
Umwandlung der Stärke, welche das Material zur
Scheidewandbildung geben soll, ungemein schnell vor
sich. Nun geschieht aber diese Umwandlung der Stärke
in Cellulose durch Vermittelung des farblosen Pla-
smas, welches dabei ebenso substantiell betheïligt ist,
wie das grüne bei der Erzeugung der Stärkekürner.
Erfolgt dieser Umwandlungsprozess allmählich, wie
unter normalen Verhältnissen, so bleibt auch das
10) So bemerkt man im Spätsommer in den Zellen alter Blätter
an denjenigen Stellen, wo Chlorophyllkürner vorhanden waren, nur
Anhäufungen von Stärkekôrnern, welche von einem äusserst dünnen
Überzuge des grünen Plasmas umgeben sind. (Vergl. Nägeli, Pflan-
zenphysiolog. Untersuchungen IT, p. 398, so wie Sachs, Physio-
logie, p. 320).
16*
247
farblose Plasma längere Zeit thätig. Wird dasselbe
aber allzu energisch in Anspruch genommen, wie im
gegebenen Falle, so erlischt alsbald seine Thätigkeit,
so dass die weitere Cellulosebildung, sogar bei noch
vorhandenem Stärkematerial, vüllig aufgehoben wird.
Dieses frühzeitige Erschüpfen sowohl des grünen als
auch des farblosen Plasmas durch eine allzu energi-
sche Thätigkeit müchte ich als Hauptursache sämmt-
licher, unter dem Einflusse des rothen Lichtes in den
Zellen der Spérogyren zuletzt auftretenden Erscheinun-
gen, namentlich aber des raschen Absterbens der neu
gebildeten Zellen ansehen. Einestheïls wird durch die
Erschüpfung und Veränderung des Chlorophylls die
Môglichkeit zu einer neuen Bildung von Stärke, also
des ursprünglichen Baumaterials der Zelle, vollkom-
men aufgehoben, anderntheils kann aber, auch bei
vorhandenem Baumaterial, die Bildung der Cellulose
nicht mehr stattfinden, da das auf einmal erschôpfte
farblose Plasma nicht die nôthigen Umwandlungen der
Stärke hervorzurufen im Stande ist. Auf diese Weise
wäre die von Famintzin beobachtete Erscheinung
einer unvollkommenen Zelltheilung ‘'), wobei nur eine
Theilung des Kernes, aber keine Scheidewandbildung
in den Zelleu stattfand, auch in solchen Zellen nicht
unmôglich, in denen noch Stärke enthalten ist.
Kalaidowka. Ende Juni 1867.
Neue Abweichungen der Vena jugularis externa
posterior, von Dr. Wenzel Gruber, Profes-
sor der Anatomie. (Lu le 3 octobre 1867.)
Die Jugularis externa posterior, welche, vom Sub-
eutaneus colli bedeckt, schräg durch die Regio ster-
nocleidomastoidea verläuft, den lateralen Rand des
Sternocleidomastoideus in der Gegend der Kreuzung
dieses Muskels mit dem Omohyoideus (seltener darü-
ber) verlässt, letzteren Muskel von vorn (seltener von
hinten) kreuzt und in die Regio omoclavicularis s.
supraclavicularis propria tritt (seltener zuvor eine
Strecke die Regio trapezica passirt), um über der
Clavicula (seltener schon über dem Omohyoideus) in
die Tiefe sich zu senken und in die Subclavia (sel-
tener in den Vereinigungswinkel der Subelavia mit
11) 1. c. p. 44.
Bulletin de l'Académie Impériale
248
der Jugularis interna) zu münden'), ist mannigfa-
chen anderweitigen Abweichungen unterworfen.
Der Caliber der Vena jugularis externa posterior
variirt sehr. Sie kann einen Durchmesser erreichen,
welcher dem der Jugularis interna wenig nachsteht,
aber auch nur ein feines Gefäss sein.
Die Vene kommt bisweilen doppelt vor, kann aber
auch gäuzlich fehlen, wie ich mehrmals beobach-
tet habe.
Wie bekannt,
bildet die Vene in ihrem Verlaufe
bisweilen Inseln verschiedener Grôsse, in Folge von
Theilung in Âste und deren Wiedervereinigung. Beï
den Präparirübungen im Winter 1864— 1865 kam
eine Inselbildung dieser Vene vor, wie sie wohl
noch nie zur Beobachtung gekommen war. Es war
uämlich an der rechten Vene einer mänolichen Leiche
eine Insel zu sehen, welche auf die Grüsse eines
Loches von nur *, Lin. Durchmesser reducirt war.
Durch das kleine ITioch war ein ‘, Lin. breiter Ast
des Nervus cutaneus colli medius getreten. Es sah
so aus, als ob die Mitte des Venenrohres von dem
Nervenaste durchbohrt worden wäre.
Die Vene mündet nicht immer auf die angegebene
Weise und nach Durchbohrung der Facia colli über
der Clavicula. Sie läuft bisweilen vor der Clavicula
und um diese herum in die Æegio infraclavicularis ab-
wärts, um sich in die Subeclavia, wie J. Fr. Meckel”*)
gesehen zu haben angiebt, oder in die Axillaris, oder
in die Cephalica zu üffnen, nachdem sie ihren Weg
durch die Fossa infraclavicularis genommen hatte,
wie C. Fr. Th. Krause*) und ich beobachteten.
Bei a Untersuchungen am Schultergürtel,
welche ich 1865 im Grossen anstellte, sah ich die
Vene der M 1 Seite einer männlichen Leiche
die Clavicula umschlingen und sogar durch einen
fürmlichen Infraclavicular-Kanal zur Subclavia
sich begeben. Der Cucullaris (a) der rechten Seite,
nicht jener der linken, hatte sich mit einer anomalen
Portion (æ&), welche die Regio omoclavicularis be-
deckte, ununterbrochen bis zum Cleidomastoideus (b')
an die Clavicula angeheftet. Die Vena jugularis ex-
1) Sieh: W. Gruber. Vier Abhandl. a. d. Gebiete d. medic.-chir.
Anatomie. Berlin, 1847, 80, $S. 37
2) Handb. d. menschl. Anatomie.
S. 337, $ 1584.
3) Han ». d. menschl. Anatomie. Hannover 1838, $S. 771.
Bd. 3. Halle u. Berlin 1817,
249
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
250
terna posterior (f) war ungewühnlich stark (3°, Lin.).
Sie lag über der Clavicula noch auf dem lateralen
Rande des Sternocleidomastoideus, überschritt daher
die Regio sternocleidomastoidea auch nach unten la-
teralwärts nicht, verlief durch diese Region weniger |
schräg als gewühnlich und am Halse fast vertical ab-
wärts. Das laterale Drittel (8) der Clavicularportion
des Pectoralis major (d), welches jedoch vom übrigen
Muskel nicht isolirt war, entsprang von der Clavicula
mittelst eines Sehnenbogens. Dadurch kam in der.
Regio infraclavicularis 1°, Z. lateralwärts von der
Articulatio sternoclavicularis, gleich unter der Clavi-
cula, zwischen dieser und dem Pectoralis major ein
elliptisches Loch (*) zu Stande, welches in trans-
versaler Richtung 6 Lin. weit war. Dieses Loch
führte in einen langen unter der Clavicula gela-
gerten Kanal, welcher von dieser, dem Ligamentum
costoclaviculare und dem Subclavius begränzt wurde
und schräg median- und rückwärts verlief. Die Cla-
vicula war an der Stelle, wo sie jenes Loch und je-
nen Kanal begränzen half, seicht gefurcht. Die
seichte Furche krümmte sich spiralformig von
oben vorn und lateralwärts nach unten hinten und
medianwärts. Durch diesen bis jetzt nicht beob-
achtet gewesenen knüchern-fibrüs-musculü-
sen Infraclavicularkanal verlief das Ende der
Vene, umschlang somit die Clavicula, gelangte erst |
nach diesem Umwege zur Subclavia, um, in sie zu
münden“). J. Fr. Meckel spricht allerdings von der
anomalen Mündung der Vene in die Subclavia, nach-
4) Dieser lange Infraclavicularkanal für die Jugularis ex-
terna posterior erinnert an den kürzeren anomalen]Infraclavi-
cularkanal für die Cephalica, welchen ich 1861 beschrieben
und abgebildet habe — St. Petersburger medic. Zeitschr. Bd. 1. 1861,
S. 134 —. Der Kanal für die Cephalica ist in der That nur die hin-
tere zwischen der Clavicula und dem Subclavius gelagerte Abthei-
lung des Kanales für die Jugularis externa posterior. Bei dieser
Gelegenheit bemerke ich, dass ich den Infraclavicularkanal
für die Cephalica mit Einmüadung derselben in die Jugularis ex-
terna posterior unlängst wieder an der linken Seite einer männli-
chen Leiche angetroffen habe. An einer anderen Leiche drang
die schwache Cephalica zwischen der Clavicula und dem Subelavius
| zur Jugularis externa posterior oder Subclavia, ohne dass es zur
Bildung eines férmlichen Infraclavicularkanales gekommen war.
In einem dritten Falle, an der Leiche eines neugeborenen männ-
lichen Kindes, gab die linke Cephalica, kurz vor ibrer Mündung in
| die Axillaris, einen 1/, Z. laugen Communicationsast zur Jugularis
| externa posterior, die am Vereinigungswinkel der Jugularis interna
| mit der Subelavia sich üôffnete. Der Communicationsast verlief zwi-
| schen der Clavicula und dem Subelavius, 1/, Z. von dem Sternal-
ende der ersteren entfernt, median- und rückwärts, ohne dass wie-
der ein formlicher Infraclavicularkanal gebildet worden war. Ob
| der von Krause — I. c. S. 776 — bisweilen geschene Nebenzweig
| der in die Axillaris mündenden Cephalica, welcher hinter der Cla-
vicularportion des Pectoralis major quer verlief und in die Subela-
via mündete, mit dem beschriebenen Communicationsaste gleichbe-
deutend sei oder nicht, ist unbekannt, weil seines Verhaltens zum
Subelavius nicht gedacht ist. Die Cephalica theilt sich bisweilen an
ihrem Ende in zwei AÂste, wovon der eine über der Clavicula zur
Jugularis externa posterior oder Subelavia, der andere in die Axil-
|Jaris mündet. M. J. Weber — Handb. d. Anatomie d. menschl.
| Kôrpers. Bd. 2. Bonn 1642, S. 240. — will den Ast zur Subclavia
dahin unter der Clavicula verlaufen gesehen haben. Ob der so ver-
laufende Ast meinen Füällen, in welchen die Cephalica zwischen der
| Clavicula und dem Subclavius zur Jugularis externa posterior oder
Subelavia sich begab, entsprochen habe oder nicht, ist ebenfalls
251
dem sie sich um die Clavicula geschlagen hatte *),
aber er hat eines besonderen Verhaltens der Vene
zum Pectoralis major und Subclavius nicht erwähnt,
was, wie zu vermuthen ist, er nicht unerwähnt ge-
lassen haben würde, falls ein solches da gewesen wäre.
Dies lässt schliessen, dass er nur die Abweichung des
Verlaufes, bei welcher die Vene vor der Clavicula
zur Fossa infraclavicularis herabstieg, durch diese
drang und unter dem Subclavius zur Subclavia sich
begab, nicht die beschriebene neue Abweichung,
wovon ich das Präparat besitze, vor sich gehabt habe.
Die Vene theilt sich vor ihrer Mündung bisweiï-
len in zwei Âste, wovon beide über der Clavicula,
oder einer über dieser, der andere unter dersel-
ben in die Tiefe dringen und im letzteren Falle die
Clavicula wie umklammern. Von der ersten Art
giebt es 4 Varianten: Es münden beide Âste in die
Subelavia; oder der laterale in diese, der mediale am
Vereinigungswinkel der Jugularis interna mit der
Subclavia; oder der laterale in die Subclavia, der me-
diale in die transversale Portion des Stammes
der vereinigten Jugularis anterior und mediana
colli, d. i. der Vena superficialis colli anterior, zu wel-
cher derselbe, nachdem er den Cleidomastoideus von
vorn gekreuzt hat, an der Fossa suprasternoclavicu-
laris durch die Lücke zwischen dem Cleidomastoi-
deus und Sternomastoideus und dann durch die
vordere Wand des Saccus coecus retro-sternocleido-
mastoideus des Spatium interaponeuroticum supraster-
nale, über welchen ich nächstens berichten werde,
dringt, wie ich 1864 an einer Leiche beobachtete,
an der die Jugularis anterior sehr stark, die Jugula-
ris externa posterior schwach war; oder der laterale
Ast in die Subclavia, der mediale in die Jugularis in-
terna, wie Fr. W. Theile‘) sah. Bei der zweiten
Art mündet der hintere Ast in die Subelavia, der
vordere in die Axillaris oder Cephalica, zu welchen
er vor der Clavicula durch die Fossa infraclavicula-
ris dringt. In einem Falle, der mir unlängst vorge-
kommen ist, üffnete sich der laterale hintere Ast in
die Subclavia vom Cleidomastoideus */, Z. lateralwärts,
ungewiss, weil des Verhaltens des Astes zum Subclavius gleichfalls
nicht gedacht ist.
5) L. c.
6) S. Th. v. Sümmerring. Lehre v. d. Muskeln d. meuschl.
Kôrpers. Leipzig 1841, S. 297.
Bulletin de l’Académie Impériale
252
der mediale vordere aber stieg an und vor dem la-
teralen Rande dieses Muskels und vor der Clavicula
in die Aegio infraclavicularis herab, durchbohrte
hier die Clavicularportion des Pectoralis major, drang
durch das Trigonum clavipectorale und mündete knapp
unter dem Subelavius in die Axillaris.
Nach früheren Beobachtungen, welche ich längst
mitgetheilt habe”), so wie nach den von mir seit je-
ner Zeit gemachten neueren Beobachtungen inserirt
sich der Cucullaris nicht selten mit einer mehr oder
minder breiten oder starken anomalen Portion an
den sonst von Muskelinsertion freien Theil der Cla-
vicula. In solchen Füällen ist diese anomale Por-
tion in der Regel, aber nicht immer, durchbro-
chen. Im ersteren Falle bildet sie mit der Clavicula
ein Loch, durch welches immer Nervi supraclavicu-
lares, bald alle bald nur einige, heraus, die Jugula-
ris externa posterior in der Regel, aber nicht immer,
hineintritt. An einer männlichen Leiche fand ich
1861 den rechten Cucullaris mit einer anomalen Por-
tion bis hinter die laterale Hülfte des Cleidomastoi-
deus an die Clavicula befestigt. Der Cucularis reichte
daher unten hinter den Sternocleidomastoideus, wei-
ter oben und in der Hühe des Interstitium crico-thy-
reoideum des Larynx bis 2—3 Lin. Abstand vom
genannten Muskel vorwärts. Die anomale Portion
bedeckte die Regio omoclavicularis vüllig, die Regio
omotrapezica grôsstentheils. Sie war in Abständen
von den Nervi supraclaviculares durchbohrt, besass
jedoch für sie und die Jugularis externa posterior
nicht die übliche Offnung. Die Jugularis externa
posterior verlief jederseits vor der Clavicula in die
Regio infraclavicularis, ging durch die gleichnamige
Fossa zur Axillaris und mündete in letztere. In dem
Falle von Vorkommen eines bogenfôrmig über die
Clavicula ausgespannten Musculus supraclavicularis
proprius, welchen ich 1865 beobachtete und be-
schrieb*), ging die Jugularis externa posterior eben-
falls nicht durch die Lücke zwischen dem Muskel
und der Clavicula, während doch die Nervi supracla-
viculares durch sie heraustraten. Die Vene verlief
wie im vorigen Falle vor der Clavicula abwärts und
7) Vier Abhandl. etc. S. 17, Taf. 2.
8) Supernumeräre Schlüsselbeinmuskeln. Arch. f. Anat., Physiol.
und wissenschaftl. Medicin. Leipzig, Jahrg. 1865, $S. 708, Taf. X VIII,
Fig. 1.
253
mündete in die Axillaris. Unter den Fällen der gab-
ligen Theilung der Jugularis externa posterior sah
ich einen ihrer Âste durch das von der anomalen
Portion des Cucullaris und der Clavicula gebildete
Loch zur Subclavia sich begeben.
Bei der Vornahme von Operationen am Schulter-
gürtel dürfte es nicht überflüssig sein, darauf zu ach-
ten, dass die Clavicula anomaler Weise von der Ju-
gularis externa posterior gekreuzt, oder von starken
Âsten derselben umklammert, oder sogar von dem
ganzen Stamme der letzteren umschlungen werden
künne.
Erklärung der Abbildung,
Rechter Schultergürtel eines Mannes.
1. Acromion.
2. Clavicula.
a. Museulus cucullaris.
«. dessen anomale supernumeräre Portion.
b, b' M. sternoeleidomastoideus.
ce. M. deltoideus.
d. Clavicularportion des M. pectoralis major.
8. Deren äusseres, mittelst eines Sehnen-
bogens von der Clavicula entspringendes
Driitel.
e. Die in der Fossa infraclavicularis sichtbare
Portion des M. subclavius und der Faseia co-
racoclavicularis.
Endstücke der anomai verlaufenden Vena ju-
gularis externa posterior.
Elliptischer Eingang in den anomalen Infra-
clavicularkanal für die Vena jugularis ex-
terna posterior.
St. Petersburg, d. 17. September 1867.
an
\
Notiz über locale Paralyse, durch Saponin und
ihm ähnliche giftige Stoffe (Githagin, Senegin
etc.) hervorgebracht, von E. Pelikan. (Lu le 3
octobre 1867.)
Ich habe im Laufe dieses Sommers, nach dem Er-
scheinen der Abhandlung von Hrn. Nathanson '),
mich mit den Wirkungen einiger physiologisch noch
wenig untersuchten giftigen Pflanzenstoffe bekannt ge-
1) O chmerax& uoxesaro Kykoz, C. IT. B. 1867.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
254
macht, wobei ich eine in toxicologischer Beziehung
interessante Erscheinung kennen lernte, welche bis
jetzt noch nicht beobachtet worden ist.
Es muss zunächst befremden, dass Orfila, selbst
in der letzten Ausgabe seiner Toxicologie vom Jahre
1852, der Kornraden-Samen (Agrostemma Githago L.)
nicht erwähnt, und dies um so mehr, da schon im J.
1843 darauf bezügliche Untersuchungen *) von Ma-
lapert der medicinischen Akademie in Paris vorge-
legt worden waren, durch welche zum ersten Mal
dargethan wurde, dass die giftige Wirkung dieser
Samen von nichts anderem als dem Saponin herrührt,
welches auch in den Wurzeln von Saponaria officina-
lis und besonders S. aegyptiaca vorhanden ist, und in
der ietzteren Pflanze, — den Botanikern als Gypsophila
Struthium L. bekannt, — von Bussy entdeckt und als
identisch mit dem von Scharling Githagin benann-
ten Kürper erkannt wurde. Denselben Kürper be-
schrieb Schultze unter dem Namen Agrostemmin.
Der Ansicht von Bussy trat die Mehrzahl der Che-
miker bei, und ist dieselbe jetzt als allgemein ange-
nommen zu betrachten. Jedoch nicht nur in der Gat-
tung Saponaria, sondern noch in vielen Pflanzen ver-
schiedener Familien, wie z. B. ausser den Sileneen,
auch in den Polygaleen, Sapindaceen, Hippocasta-
neen, Spiraeaceen etc. ist Saponin aufgefunden wor-
den, so dass gegenwärtig dieser Kürper (wenn aus
Polygala Senega gewonnen, als Senegin in der Medi-
cin gebraucht), meist wie Seife zum Abwaschen von
Fettflecken auf gewissen Zeugen benutzt, als ein im
Pflanzenreich weit verbreiteter zu betrachten ist.
Den speziellen Untersuchungen von Malapert
verdanken wir die ersten Angaben über die toxicolo-
gischen Eigenschaften des Saponins, und er bemerkte
zuerst, dass der feine Staub aus einem Saponin ent-
haltenden Gefässe eingeathmet, hartnäckiges Niesen,
begleitet von Schmerzen hinter dem Brustbein, her-
vorbringt. Nach den durch seine Versuche ermittel-
ten Wirkungen zählt Malapert das Saponin zu den
narkotisch-scharfen Stofien.
Diese zu allgemeine Bezeichnung eines so kräftig
wirkenden Stofïes bestimmte mich, eine Reihe von Ex-
perimenten mit dem von Hrn. Nathanson darge-
2) Bei Gelegenheit einer zufüllig stattgehabten Vergiftung von
16 Hausvügeln, die mit Teig, der diese Samen enthielt, gefüttert
waren, (Annales d'hygiène publique 1852. T. 47, pag. 350).
255
Bulletin de l’Académie Hmpériale
256
ee ———_—_—]—ÙZUZUZUZUEU
stellten Githagin anzustellen (welches er für verschie-
den hält vom Saponin), und auch die Wirkung dieses
letztgenannten Kürpers auf den Organismus zu ver-
folgen, wobei ich viererlei Arten Saponin benutzt
habe, die ich vom Prof. J. Trapp gefälligst erhielt,
nämlich: 1) hier am Orte käufliches Saponin (aus dem
Apothekerwaaren-Depot); 2) Senegin von Schering
aus Berlin; 3) Senegin von Prof. Trapp, aus der Wur-
zel von Polygala Senega gewonnen und 4) Saponin
aus der Rinde des chilesischen Baumes Quillaja Sa-
ponaria Molin. Es ergab sich dabei, dass alle vier
Präparate eine gleiche Wirkung hervorbringen, nur
mit dem Unterschiede, dass das Githagin (von Na-
thanson) allem Anscheine nach die stärkste Wir-
kung habe; eine geringere dem Saponin aus der Rinde
von Quillaja zukomme und die schwächste dem Se-
negin.
Schon im J. 1857, mit der Untersuchung eines der
stärksten Herzmuskelgifte, dem Upas antiar, beschäf-
tigt, beobachtete ich, dass dasselbe, unter die Haut
des Froschfusses gebracht, charakteristische Erschei-
nungen von Lähmung, zunächst des Herzens und
dann der Muskeln der willkürlichen Bewegung her-
vorbringt, wobei Muskelstarre stärker und schneller
an der Intoxications-Stelle als an entfernter liegen-
den Stellen bewirkt wurde *). Eine eben solche locale
Wirkung auf die Muskeln beobachtete ich später auch
bei einigen anderen Giften (Digitalin, Tanghinia ,Inée,
von Helleborus viridis und Nerium Oleander); doch
ganz besonders trat diese Erscheinung durch die so-
genannten Muskelgifte (Dybkowsky) hervor, d. h.
diejenigen Gifte, welche zuerst die Muskeln und dann
das Herz paralysiren. Unter denselben sind das Schwe-
feleyankalium und Veratrin die stärksten. Die locale
Wirkung auf die Muskeln stellt sich jedoch (wenn die
Dose des Giftes nicht zu bedeutend war) erst nach
dem Tode des Thieres ein, nachdem der Herzschlag
und die tetanischen Muskelbewegungen (durch ge-
wisse Gifte hervorgebracht) aufgehürt haben und eine
allgemeine Gefühllosigkeit mit Aufhebung sämmtlicher
Reflexbewegungen eingetreten ist.
Einige Abweichungen vom eben Beschriebenen habe
ich bei der paralysirenden Wirkung des Saponins
beobachtet. Es ist hinreichend, 1—2 Tropfen von der
3) Mémoires de la Société de biologie. Novembre, 1857.
concentrirten, wässrigen Lüsung dieses stark schäu-
menden Kürpers unter die Haut des Unterschenkels des
Frosches zu bringen, an die Stelle, wo die Sehne des
Gastrocnemius sich anheftet, und schon nach 5—6
Minuten bemerkt man eine bedeutende Erschlaffung in
der unteren Fusshälfte und dem Unterschenkel, un-
mittelbar darauf hüren die Reflexbewegungen des ver-
gifteten Fusses auf, und sogar weder mechanische, che-
mische, noch electrische Reizungen sind im Stande die-
selben wieder hervorzubringen. Ja, man kann sogar
den Fuss in Stücke zerschneiden (amputiren), und der
Frosch giebt nicht die geringsten Zeichen von Bewe-
gung oder Gefühl zu erkennen; alle übrigen Glieder
desselben befinden sich jedoch in ganz normalem Zu-
stande; er macht Sprünge, wobei er den gelähmten
Fuss auf der Erde nachschleppt. Isolirt man alsdann
den Jschiadicus der vergifteten Seite, so bemerkt man,
bei Reizung desselben durch einen unterbrochenen
Strom (mittelst des Schlitten-Apparats von du Bois-
Reymond), zuerst eine Schwächung in der Muskel-
contraction, welche letztere bald darauf gänzlich aus-
bleibt, so dass selbst die stärksten Inductionsstrôme,
durch den Nerv durchgeleitet, gar keine Muskelcon-
traction an der Intoxicationsstelle hervorzurufen im
Stande sind.
Wenn man jedoch zu dieser Zeit den oberen Theil
des Nerven entfernt von der Incoxications-Stelle reizt,
so entstehen normale Contractionen in denjenigen
Muskeln, welche nicht von dem Gifte berührt worden
sind; der Frosch macht starke Bewegungen mit dem
gesunden Fusse, den Vorderfüssen, dem ganzen
Rumpfe, indem er auch den vergifteten Fuss an sich
zieht, und nicht selten durch Gekreisch die durch Reï-
zung hervorgebrachten Schmerzen kund giebt. Durch-
schneidet man vor der Vergiftung des Thieres den
Ischiadicus am Oberschenkel, so wird der Eintritt der
Lähmung des Fusses um ein Weniges verzügert,
aber die erwähnte Differenz in Bezug auf Reizbarkeit
der peripherischen und centralen Endigungen des
Nerven gesteigert.
Wenn die von Gift ergriffenen Muskeln unmittelbar
galvanisirt werden, so kann man beim Beginn der
Vergiftung, wenn der Nervenstamm schon aufhôrt auf
die Muskeln einzuwirken, in ihnen noch Contractio-
nen hervorrufen, welche sichtlich immer schwächer
und schwächer werden, und nach einiger Zeit (15,
257
20, 30 Minuten, je nach der Quantität des Giftes und
dem Grade der Reizbarkeit des Thieres), ganz aufhô-
ren. Bei diesem allmählichen Schwinden der Reizem-
pfänglichkeit zeichnen sich diejenigen Stellen, durch
welche die in den Muskeln vertheilten Nerven gehen,
durch einen immer grüsseren Grad von Reizbarkeïit
vor den übrigen aus.
Unterbindet man die Gefässe einer Seite und lässt
den Nerv unversehrt (ligature en masse), so wird da-
durch die Wirkung des Giftes, welches unter die
Haut der Extremität gebracht worden, bedcutend be-
schleunigt.
Unterbindung der Aorta nach der Methode von CI.
Bernard hat dieselbe Wirkung.
Selbst wenn man die Extremitäten ganz vom Kôr-
per des Thieres abtrennt, erhält man dasselbe Resul-
tat, nur mit dem Unterschiede, dass sich die Wirkung
des Giftes etwas später kund giebt. Die vorderen Ex-
tremitäten, verschiedene Stellen des Rumpfes und
selbst isolirte Muskeln, vom Gifte berührt, offenbaren
gleichfalls seine Wirkungen. Übrigens sind Letzteres
Erscheinungen, welche in Gemeinschaft mit Kôülli-
ker von uns bei Untersuchung des Upas antiar und
anderer ähnlicher Gifte beobachtet worden sind.
Gauz dasselbe in Bezug letzterer beobachtet man
auch bei dem Saponin, denn wenn man einen Frosch
mit Curare (Kôlliker, Vulpian) vergiftet und dan
in einen seiner Füsse Saponin bringt, so stellt sich
die Paralyse desselben mit all den oben erwähnten
charakteristischen Erscheinungen von Erschlaffung
und Aufhebung der Muskelreizbarkeïit ein.
Wenn die Quantität des hineingebrachten Giftes
sehr bedeutend war, etwa 3, 5 und mehr Tropfen
von der concentrirten Lôsung, so bemerkt mau einige
Stunden nach Eintritt der beschriebenen Paralyse
auch in den anderen Kôrpertheilen paralytische Wir-
kungen: ihre Empfindlichkeit nimmt ab, die Reflex-
contractionen hüren auf und das Herz steht still. Es
kômmt jedoch zum Stillstehen immer erst nach Auf-
hebung der Reflexe und nicht immer mit leerem com-
primirten Ventrikel, wie es bei Vergiftung von Frü-
schen mit den sogenannten Herzgiften zu sein pflegt.
Selbst wenn man eine Lüsung von Saponin auf das
Herz giesst, so wird auch in diesem Falle, wenngleich
verhältnissmässig schneller, das Herz paralysirt, aber
es hôrt nicht auf, sich zu bewegen, bevor nicht eine
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 255
=
bedeutende Schwächung des Thieres eingetreten ist,
zuweilen sogar erst nach dem Schwinden der Reflex-
contractionen.
Auf diese Versuche an Früschen fussend, lässt
sich, wie mir scheint, Folgendes behaupten:
1) dass das Saponin und ihm identische Kürper
ersichtlich nicht nur zu den Muskelgiften zu zählen
sind, sondern dass sie zuerst (in erster Linie) Para-
lyse der Muskeln, desgl. der Gefühlsnerven an derje-
nigen Stelle des Kürpers hervorbringen, wo sie ein-
geführt wurden. Das Letztere offenbart sich durch
Abwesenheit der Reflexe nach Reizung des vergifteten
Theiles ;
2) dass die in den Muskeln befindlichen Übertra-
gungs-Organe zwischen Nerv und Muskel erst nach
Lähmung der Muskeln selbst ergriffen werden, was
sich durch die Reizbarkeit kund giebt, welche grüsser
ist an den Stellen des Eintritts der Nerven in die
Muskeln als an anderen. Es ist môglich, dass diese
Übertragungs - Organe sogar nicht ergriffen werden
(wie es Külliker beim Veratrin annimmt), weil näm-
ich, wenn die Muskelsubstanz so verändert worden,
dass sie nicht mehr in Folge von gewülinlichen schwa-
chen Reizungen eine Reaction dureh ihre Contraction
kund giebt, wir weniger Recht haben, diese vermin-
derte Reizbarkeïit der Veränderung normalen Eigen-
schaften dieser Organe, Muskelcontractionen hervor-
zurufen, zuzuschreiben, als vielmehr der vorhandenen
schon sichtlichen Abnahme der Muskelreizbarkeit,
auf welche vollständige Paralyse und Starre der ver-
gifteten Muskeln sich einstellt.
3) Die locale oder begrenzt paralysirende Wirkung
des Saponins kann nicht erklärt werden durch eine
bloss rein physikalische Veränderung des Muskelgewe-
bes an den Intoxicationsstellen, erstens schon deshalb
nicht, weil diese Wirkung auch bei Anwendung ver-
dünnter Lüsungen des Saponins und nicht grosser
Quantität derselben sich einstellt; ferner, weil sein
endosmotisches Âquivalent ein sehr grosses ist, d.
h. es diffundirt durch die thierische Membran in
eine wässrige Lôüsung nur in sehr geringem Grade
und hat durchaus nicht die Eigenschaft dialytischer
Stofle (Graham); endlich auch deshalb nicht, weil
eine derartige paralysirende Wirkung nicht bemerkt
wird bei Anwendung von Giften, welche sichtlich das
Muskelgewebe verändern. Des Vergleichs wegen wur-
17
259
Builetin de l’Académie Empériale
260
den abermals concentrirte Säuren, Alkalien, Salzlü-
sungen, arabisches Gummi, Dextrin ete. angewendet,
jedoch nicht ein einziger dieser Stoffe bewirkte dem
Saponin ähnliche Erschemungen.
Diese local paralysirende Wirkung des Saponins
bietet einiges Analoge mit anderen specifisch wir-
kenden (2. B. die Nervenelemente der Pupille paraly-
sirenden) Kôrpern, wie Atropin, Physostigmin etc.
4) Das Saponin, früher in der Medicin in Gebrauch,
ist berufen, wie es scheint, eine andere Rolle als die-
jenige, welche ïhm bis jetzt zuertheilt worden zu spie-
len und verdient daher eine nähere Beachtung in der
Klinik
Einige von mir bis jetzt an Kaninchen angestellte
Experimente zeigten, dass das Saponin auch bei die-
sen Thieren nach Einspritzung unter die Haut eine
locale Schwächung der Gefühlsnerven hervorruft und
in das Auge gebracht, sehr bemerkbar die Pupille
verengert, wobeï es eine heftige Entzündung der Con-
junctiva bewirkte. Ich halte jedoch diese Experimente
noch für zu unvollständig, um mir zu erlauben, aus
ihnen irgend welche Folgerungen zu ziehen.
Über die Varietäten des Musculus brachialis
internus, von Dr. Wenzel Gruber, Professor
der Anatomie. (Lu le 17 octobre 1867.)
Fremde Beobachtungen,
1. Mehrkôpfiger Brachialis internus.
Der Brachialis internus kann durch tiefe, von dem
obersten Anfange zwischen seinen beiden Zacken be-
ginnende Spaltung in zwei Hälften nach J. Fr. Me-
ckel') u. A. zweikôpfig, oder durch Selbstständig-
werden der zwischen dem Deltoideus und Brachio-ra-
dialis entspringenden Portion nach B. $. Albin”) u.
A. dreikôüpfig werden.
2. Vom Brachialis internus abgelüste Bündel und
Portionen.
1. Von der lateralen Partie abgelüste Bündel.
a. Mit Ansatz an den Radius.
Ein mit dem Brachialis internus gemeinschaftlich
1) Handb. der menschl. Anatomie. Bd. 1. Halle u. Berlin 1816.
S. 505.
2) Hist. musc. hom. Leidae Bat. 1734. 40, p. 438.
entspringender Bauch oder entspringendes Bündel lôst
sich von seiner lateralen Seite ab, welches sich,
wie F. Führer”) beobachtete, an die mediale Seite
des Halses des Radius inserirte, oder, wie Henle‘)
sah, an den Radius unterhalb dem Ansatze des Bi-
ceps brachïi sich anheftete und theilweise in die Un-
terarmaponeurose überging.
b. Mit Ansatz an die Ulna.
Ein von der lateralen Seite des Brachialis inter-
aus abgelüstes Bündel inserirte sich unterhalb sei-
ner Sehne an die Ulna, gekreuzt und verbunden mit
einer Sehne, die von der Ulna kam und in einen lan-
gen, schmalen Kopf des Mittelfingerbeugers vom Fle-
xor digitorum sublimis überging, wie Henle *) beob-
achtete.
c. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.
S. Th. Sümmerring*) führt an, dass bisweilen ein
vom Brachialis internus separirtes Bündel sich sehnig
am Brachio-radialis ausbreite.
2. Von der medialen Partie abgelüste Schich-
ten und Bündel.
a. Mit Endigung in den Brachialis internus selbst.
Rich. Quain ”) hat an einem rechten Arme etwa 2
Z. über dem Epitrochleus eine etwa 2 Z. breite und
an einem linken Arme eines anderen Individuums
gleich über dem Epitrochleus eine etwa 1 Z. breite,
dünne Schicht, eine Strecke weit vom Ursprunge an,
losgelôst gesehen, in welchen beiden Fällen, bei ho-
hem UÜrsprunge der Art. radialis, die Art. ulnaris
communis mit dem Nervus medianus hinter der ab-
gelüsten Schicht ihren Verlauf nahmen.
b. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.
Fr. W. Theile®), J. Henle”), J. Wood ") und wohl
auch A. haben einen im Suleus bicipitalis medialis her-
absteigenden Muskel (M. brachio-fascialis- Wood), der
arr
3) Handb. d. chir. Anatomie. Berlin 1857. $. 526.
4) Handb. d. Muskellehre d. Menschen. Braunschweig, 1858. S.
182.
5) L. c.
6) De corp. hum. fabrica. Tom. IT. Traj. ad M. 1796. p. 239.
7) The anat. of the arteries of the human body. London 1844. 80.
p. 225; Atlas Fol. PI. 37. Fig. 3, 4.
8) Lehre v. d. Muskeln. Leipzig. 1841. S. 240.
9) L. c. S. 178.
10) Variations in human myology. — Proceed. of the royal. soc.
Vol. XV. M: 86. 1866. p. 234.
261
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
26?
RÉ de deal Ne UT
sonst mit dem Biceps brachii, als dessen dritter Kopf, | an beiden Armen eines robusten Mannes, der an bei-
sich vereiniget, in die Unterarmaponeurose, entweder
direct, oder durch den aponeurotischen Fascikel der
Sehne des Biceps brachii indirect, endigen gesehen.
Falls dieser Muskel die Bedeutung eines abgelüsten
Bündels des Brachialis internus hatte, gehüren die
Fälle hierher.
2. Supernumeräre Brachiales interni.
a. Brachialis internus minor lateralis.
Diesen Muskel sah zuerst Hildebrandt!') an bei-
den Armen eines Weibes. Der Muskel entsprang von
der lateralen, vorderen Fläche des Humerus in Ver-
bindung mit dem Anconeus externus, stieg neben dem
gewôhnlichen Brachialis internus herab und heftete
sich an die Ulna neben der Insertion des Brachialis
internus. Denselben Muskel fand auch M. Dawson ”)
am rechten Arme eines Jünglings, an dem zugleich
der Brachio-radialis minor zugegen war. Der Muskel
entsprang an der Aussenseite des Brachialis internus,
lag zwischen diesem und dem Brachio-radialis minor
und inserirte sich sehnig an die Tuberositas ulnae.
b. Brachialis internus minor medialis biceps.
Diesen Muskel sah J. Fr. Meckel"®). Der Muskel
entsprang mit dem oberen Kopfe vom Humerus, 2 Z.
über dem Epitrochleus, mit dem unteren vom Prona-
tor teres bedeckten Kopfe vom Epitrochleus. Nach-
dem beide Küpfe in einer Strecke von 2 Z. sich mit
einander vereinigt hatten, inserirte sich der Muskel
an die Ulna.
Eigene Beobachtungen,
1. Zweikôpfiger Brachialis internus.
Ausser der bekannten, auch von mir in mehre-
ren Fällen beobachteten Art. bei der der Muskel
dureh tiefe Spaltung, welche vom Winkel des Raumes
zwischen seinen beiden Zacken am obersten Anfange
beginnt, zweiküpfig wird, habe ich noch eine andere
Art beobachtet und darüber die Präparate in meiner
Sammlung aufbewahrt. Ich sah nämlich im April 1865
11) Beobachtung einer merkwürdigeu Varietät am Nervo mucsu-
lo-cutaneo, und einiger Muskelvarietäten. — J. Fr. Blumenbach's
medic. Bibliothek. Bd. 3. St. 1. Gôttingen 1788. S. 176.
12) Sketch of two small supernumerary muscles of the arm. —
The Edinburgh med. a. surg. Journ. Vol. 18. 1822. p. 82. A 7.
13) Beschreibung einiger Muskelvarietäten. — Deutsch. Arch. f.
d. Physiologie, Bd. 8. Halle 1823. $. 589.
den Armen einen supernumerären Brachio-radialis
minor und am rechten Arme einen supernumerären
dritten lateralen Kopf des Biceps brachii aufwies,
von der lateralen Partie des Brachialis internus, die
untere, 2 Z. breite Portion als lateralen Kopf durch
eine weite, bis auf den Knochen dringende Lücke,
von der oberen 3°, Z. breiten, vüllig geschieden. In
der Lücke entstand von der vorderen lateralen Flä-
che des Humerus das obere Ende des zugleich vor-
handenen Brachio-radialis minor, der abwärts ne-
ben dem genannten lateralen Kopfe des Brachialis in-
ternus entsprang und vor diesem Kopfe lag.
2. Vom Brachialis internus abgelüste Bündel.
1) Im Sulcus bicipitalis laleralis u. s. w. gela-
gerte Bündel (abgesehen von manchen supernume-
rären Küpfen des Biceps brachii und Brachio-radia-
lis, die als abgelüste Bündel des Brachialis internus
gedeutet werden künnen).
a. Mit Ansatz an den Radius.
1. Fall. Beobachtet am rechten Arme eines ro-
busten Mannes, der an demselben Arme einen vier-
Küpfigen und am Jlinken Arme einen dreikôpfigen Bi-
ceps brachii besass. (Bereits 1848 verôffentlicht) ").
Ein starkes, Ÿ/, Zoll breites und dickes Bündel.
Abgang. Von der lateralen Zacke des Brachialis
internus.
Ansatz. Mit einer rundlichen Sehne an den Ra-
dius,'unterhalb der Insertion des Biceps, und mit ei-
nem von der Sehne kommenden, aponeurotischen Fas-
cikel an die Unterarmaponeurose.
2. Fall. Beobachtet im November 1861 an einem
Arme eines Mannes. Zwei hinter einander gelagerte
sündel.
Abgang. Von der vorderen Seite der lateralen
Häülfte des Brachialis internus unter einander.
Ansatz. Des oberflächlichen, schmäleren Bün-
dels mit einer Sehne an die Tuberositas radii, unter-
halb der Insertion der Sehne des Biceps brachii ; des
tiefen, breiten neben der Tuberositas radii zwischen
dem Supinator und der Bursa mucosa bicipitis brachii.
14) W. Gruber. Seltene Beobachtungen a. d. Gebiete d. menschl.
Anatomie. — Müller’s Arch. f. Anat, u. s. w. Berlin 1848, $. 428,
17%
263
Bulletin de l’Académie Hmpériale
264
3. Fall. Beobachtet 1864 am rechten Arme ei-
nes Mannes.
Ein bandfôrmiges, am Anfange 7 Lin.,
1'/,—2 Lin. breites Bündel.
Abgang. Über der medialen (nicht lateralen) Zacke
des Brachialis internus zwischen dem Deltoideus und
Coraco-brachialis.
Verlauf. Zuerst hinter dem Biceps brachïi,
lateralwärts davon.
Ansatz. Mit einer an der hinteren Fläche und am
lateralen Rande des Fleischkürpers des Muskels noch
1}, Z. hoch aufsteigenden Sehne, an die Tuberositas
radii unter der Insertion der Sehne des Biceps brachui.
am Ende
dann
b. Mit Ansatz an den Radius und an den Pronator teres.
Beobachtet im Januar 1861 an dem rechten Arme
eines Mannes, an dem ein 3 Z. 3 Lin. langes und 1
Lin. dickes Vas aberrans vorkam und die Mediana
profunda den Nervus medianus durchbohrte. Das Vas
aberrans ging 1 Z. 4 Lin. über der Theiïlung der Bra-
chialis in die Radialis und Ulnaris communis ab, ver-
lief mit dem Nervus medianus, an dessen hinterer
Fläche, durch den Pronator teres und mündete in die
Ulnaris communis, knapp über ihrer Theilung in die
Ulnaris propria und Interossea communis. Die Durch-
bohrung des Nervus medianus durch die Mediana
profunda ging 1 Z. unter deren Abgange von der
Ulmaris propria vor sich.
Ein 3 Z. 4 Lin. langes (am Fleischtheile 1 Z. 10
Lin., an der Endsehne 1 Z. 6 Lin.), am Fleischtheile
3 Lin. und an der platt-rundlichen Sehne ‘, Lin. brei-
tes und am Fleischtheile 1—1°, Lin. Riche Bündel.
Abgang. Vom lateralen Theile des Brachialis in-
ternus.
Ansatz. Mit einem Theile Bündeln seiner Sehne
an den Radius, unter dessen Tuberosität; mit dem an-
deren an den Pronator teres bei Übergang in dessen
Sehne.
c. Mit Ansatz an die Ulna u.s. w.
Beobachtet im Februar 1865 an beiden Armen ei-
nes Mannes.
Ein bandfürmiges, an den Enden verschmälertes,
an beiden Armen 6 Z. langes, am rechten Arme 6
Lin., am linken S Lin. breites, an beiden Armen 1%
Lin. dickes Bündel.
Abgang. Jederseits über der medialen Zacke des
Brachialis internus.
Verlauf. Theilweise hinter dem Biceps brachii,
theilweise im Sulcus bicipitalis lateralis u. s. w.
Endigung. Des Bündels am rechten Arme mit ei-
nem kurzen, strangformigen Bündel seiner 6 Lin. lan-
gen und 3—4 Lin. breiten Sehne an der Ulna neben
der Sehne des Brachialis internus, und mit einem an-
deren, 1 Z. 6 Lin. langen Bündel am aponeurotischen
Theile des Supinator; des Bündels am linken Arme
mit 5 L.—1", Z. langen, theilweise wieder getheiïlten
Bündeln seiner 1 Z. langen und 4— 5 Lin. breiten
Sehne: an der Tuberositas ulnae, an beiden Sehnen
des Biceps brachïüi, an der Sehne des Brachialis inter-
nus und am Radialis externus longus.
d. Mit Ansatz an den Pronator teres.
Beobachtet 1858 an einem Arme eines Mannes, an
welchem ausserdem ein dreiküpfiger Biceps brachii
vorkam, dessen supernumerärer Kopf mit einer lan-
gen Sehne vom Tuberculum minus humeri entsprang,
zwischen den normalen Küpfen verlief und sich mit
dem kurzen Kopfe vereinigte.
Ein strangformiges Bündel von 8 Z. Rénsé (5 Z.
6 Lin. am Fleischtheile, 2 Z. 6 Lin. an der Sehne),
2 Lin. Breite am Fleischtheile und ‘, Lin. Breite an
der Sehne und 1 Lin. Dicke am Fleischtheile.
Abgang. Von der medialen Zacke des Brachialis
internus, knapp am Deltoideus.
Endigung. In den sehnigen Theil der hinteren
Fläche des Pronator teres mit einer die Sehne des Bi-
ceps brachii und dessen Bursa mucosa einhüllenden
breiten Membran, in welche seine schmale Sehne en-
digte.
e. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.
(Fasciculus brachio-fascidis lateralis.)
E. A. Lauth ®) hat angegeben, dass vom lateralen
(äusseren) Rande des Brachialis internus eine dünne
Flechsenhaut ausgehe, die sich in der Unterarmapo-
neurose verliere. Ich habe dieses oft, aber nicht immer
beobachtet. Auch sah ich die Aponeurose ausser dem
lateralen Rande der Sehne des Brachialis internus, nur
noch eine Strecke weit (bis 1 Z.) von der Fleischpor-
15) Neues Handb. d. prakt. Anatomie, 2. Auf. Bd. I. Stuttgart u.
s. w. 1835. S. 205.
265
tion dieses Muskels und zwar vom lateralen Rande
der über dem Brachio-radialis gelagerten, dicken Por-
tion desselben abgehen. Die Partie der oberflächli-
chen Schicht des Fleischtheiles, welche jene Aponeu-
rose abschickt, kann sich ganz oder theilweise, neben
dem Biceps brachii und bis zum Anfange der Sehne des
letzteren hinauf, vom Muskel ablüsen und ein bandfür-
miges oder länglich dreiseitiges Bündel von bis 1°, Z.
Länge, bis 6 Lin. und mehr Breite und verschiedener
Dicke bilden, welches mit einer verschieden langen und
breiten Aponeurose in die Unterarmaponeurose sich
verliert. Ich sah diesen Fasciculus brachio-fascialis la-
teralis etwa unter 18 — 20 Leichen einmal an einem
Arme oder beiden Armen vorkommen.
2) Im Sulcus-bicipitalis medialis u. s. w. gelagerte
Bündel (abgesehen von manchen supernumerären
Küpfen des Biceps brachii und des Pronator teres,
die als abgelüste Bündel des Brachialis internus ge-
deutet werden künnen).
a. Mit Ansatz an den Radius, an die Ulna u. s. w.
Beobachtet im November 1856 am linken Arme
eines Jünglings.
Ein spindelfürmig zugespitztes Bündel von 6°, Z.
Länge (4"/,Z. am Fleischtheile, 2 Z. an der Endsehne),
von 4 Lin. (am Anfange), 2 Lin. (am Ende) Breite,
und von 2 Lin. Dicke am Fleischtheile.
Anfang. Unterhalb der untersten Insertion des
Coraco-brachialis.
Ansatz. Mit Bündeln einer Sehne, die an der An-
fangshälfte platt-rundlich und schmal (1 Lin.), an der
Endhälfte ficherfürmig und breit war:
a) an den hinteren Umfang der Tuberositas radii
und an die Bursa mucosa m. bicipitis brachii.
b) an die Ulna, unterhalb der Insertion des Bra-
chialis internus, und an den Pronator teres.
b. Mit Endigung an der Sehne des Brachialis internus
selbst.
Mehrmals und darunter auch über die Art. ulnaris
communis, bei hohem Ursprunge der Art. radialis, ge-
spannt beobachtet, und von mir ‘) bereits beschrieben.
ce. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.
(Fasciculus brachio-fascialis medialis.)
Ich ‘) habe schon 1848 und 1849 mitgetheilt,
16) Neue Anomalien. Berlin 4849. 40. $. 30. |
17) Seltene Beobachtungen. $S, 427, — Neue Anomalien. S. 30.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
266
eine Reïhe Fälle beobachtet zu haben, an welchen
verschieden hoch vom Brachialis internus abgelüste
Bündel, die in anderen Füällen als überzählige Kôüpfe
mit dem Biceps brachii sich vereinigen künnen, an
dem medialen Muskelvorsprung der vorderen Ellen-
bogenregion mit einer sehnigen Membran, wie der
aponeurotische Fascikel der Sehne des Biceps brachii,
in die Unterarmaponeurose endigten.
Ich habe seit jener Zeit wieder mehrere Füälle an-
getroffen, an welchen entweder abgelüste Bündel des
Brachialis internus oder anscheinend wirklich super-
numeräre Muskeln in die Unterarmaponeurose, bald
direct, bald indirect durch den aponeurotischen Fas-
cikel der Sehne des Biceps brachii, übergingen.
Ich sah die Bündel verschieden breit und stark, ja
sogar so breit, dass sie den Nervus medianus und die
Vasa brachialia vôllig bedeckten und den Sulcus cu-
biti anterior medialis fast gänzlich ausfüllen konnten.
3. Zweibäuchiger Brachialis internus.
1. Fall. Beobachtet im Februar 1859 am rechten
Arme eines Mannes.
Die unterste, 1 Z. breite Portion der lateralen
Abtheilung des Brachialis internus trennte sich am
Ende vüllig von letzterem ab und bildete einen su-
pernumerären Bauch. Dieser endigte an einem 1”,
Z. langen Sehnenbogen, welcher mit dem media-
len Schenkel an die Tuberositas major ulnae, mit dem
lateralen Schenkel, der zwischen dem Supinator und
der tiefen Sehne des Biceps brachii über dessen Bursa
mucosa lag, an den unteren Umfang der Tuberositas
radii sich befestigt hatte.
2. u. 3 Fall. Beobachtet im November 1863 an
beiden Armen eines Mannes.
Der Brachialis internus theilte sich vor der Arti-
culatio radio -ulnaris superior in zwei durch einen
Sehnenbogen vereinigte Bäuche. Der stärkere ul-
nare Bauch inserirte sich wie der gewôhnliche Bra-
chialis internus, der schwächere radiale Bauch zog
um die Tuberositas radii und um die tiefe Sehne des
Biceps brachii lateralwärts herum über der Bursa
mucosa m. bicipitis brachii abwärts und befestigte
sich an die laterale vordere Kante des Radius, unter
dessen Tuberosität.
4. Fall. Beobachtet im November 1866 an einem
Arme eines Mannes,
267
Der supernumeräre 1,—°/, Z. breite Bauch in-
serirte sich mit einer ziemlich starken Sehne an die
Tuberositas radi. unterhalb der Insertion der tiefen
Sehne des Biceps brachii.
4. Supernumeräre Brachiales interni.
a. Brachialis internus minor lateralis.
Beobachtet im Februar 1857 am rechten Arme ei-
nes Mannes.
Dreiseitiger, 2 Z. 3 Lin. (1 Z. 6 Lin. am Fleisch-
theile, *, Z. an der Sehne) langer, 6 Lin. am Ur-
sprunge und 2 Lin. am Ansatze breiter Muskel.
Ansatz. An die Ulna neben dem Brachialis inter-
nus normalis.
b. Brachialis internus minor medialis.
Beobachtet am rechten Arme eines Mannes, wel-
cher am Unterarme einen Tensor lig. carpi volaris
proprii besass.
Spindelférmiger Muskel von 6°, Zoll (31, Zoll am
Fleischtheile und 3 Z. an der Sehne) Länge; von 3",
Lin. am Ursprunge, 5 Lin. am Fleischkürper, 1 Lin.
an der Sehne Breite; 1 Lin. am Fleischtheile und *,
Lin. an der Sehne Dicke.
Ursprung. Am Angulus humeri medialis gleich
unterhalb der Insertion des Coraco-brachialis mit ei-
ner 4—6 Lin. langen und 3", Lin. breiten Aponeu-
rose.
Verlauf. Vor dem Brachialis internus, dessen
Bündel kreuzend und allmählich von dem Angulus hu-
meri medialis sich entfernend, bis zur medialen Seite
der Trochlea humeri, 1 Z. vom Epitrochleus lateral-
wärts, abwärts;: am Ende hinter dem Brachialis in-
ternus.
Ansatz. Mit einer starken, dreieckigen, 1 Z. ho-
hen und 10 Lin. breiten, mit der Ellenbogengelenk-
kapsel verwachsenen Ausbreitung seiner Sehne hinter
dem Brachialis internus, über dessen Insertion, quer
an die vordere Fläche des Processus coronoideus der
Ulna.
5.
Ursprung miltelst eines brückenfürmig über Gefässe
und Nerven ausgespannten aponeurotischen Blattes vom
Ligamentum intermusculare mediale.
Beobachtet im September 1867 an beiden Armen
eines Mannes, bei Vorkommen einer anomal hoch ent-
sprungenen Arteria interossea am rechten Arme.
Buïiletin de l’Académie Hmpériale
268
Der Pronator teres entsprang an beiden Armen noch
1’, Z. über dem Epitrochleus von dem Angulus me-
dialis humeri und dem Ligamentum intermusculare
mediale. Der Brachialis internus entsprang nicht nur
wie gewühnlich vom Humerus an den bekannten Stel-
len und darunter von dessen Angulus medialis, son-
dern auch über dem Pronator teres noch mit einem am
rechten Arme 1 Z., am linken Arme 1, Z. hohen, an
beiden Armen ‘, Z. breiten, starken aponeuroti-
schen Blatte vom Ligamentum intermusculare me-
diale. Dadurch entstand zwischen dem letzteren und
dem anomalen aponeurotischen Blatte des Brachialis
internus ein Kanal, in welchem, weit von dem gewühn-
lichen Platze medialwärts gerückt, am rechten Arme
die anomal hoch entsprungene Art. interossea mit den
entsprechenden Venen und dem Nervus medianus,
am linken Arme dieser und die Vasa brachialia Platz
nahmen.
Der Musculus brachialis internus ist somit vielen
Varietäten unterworfen. Er kann zweikôpfig (Me-
ckel, Gruber u. A.), oder dreiküpfig (Albin u. A.),
und zweibäuchig (Gruber) vorkommen. Es künnen
sich von seinen beiden Hälften Bündel, Portionen
und Schichten ablüsen, die bald im Sulcus bici-
pitalis und $. cubiti anterior lateralis, bald im Sul-
eus bicipitalis und $. cubiti anterior medialis Platz
nehmen. Diese Bündel, Portionen und Schichten en-
digen aber auf sehr verschiedene Weise. Die der er-
sten Lagerungsart setzen sich an den Radius
(Gruber, Führer, Henle), oder an den Radius
und Pronator teres (Gruber), oder an die Ulna u.
s. w. (Henle, Gruber), oder an den Pronator teres
allein (Gruber), oder verlieren sich in die Unterarm-
aponeurose — Fasciculus brachio-fascialis lateralis
— (Sômmerring, Gruber). Die der zweiten La-
gerungsart setzen sich an den Radius, Ulna u. s.
w. (Gruber), oder gehen, nach einer Strecke ihres
Verlaufes und nachdem sie in mehreren Fällen ano-
mal weit medialwärts gerückte Vasa ulnaria com-
munia, bei hohem Abgange der Art. radialis, und den
Nervus medianus von vorn bedeckt hatten, wieder in
den Brachialis internus über (Quain, Gruber), oder
verlieren sich in die Unterarmaponeurose — Fasci-
culus brachio-fascialis medialis — (Theile, Gruber,
269
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
270
Henle, Wood). Auch künnen an beiden Seiten des
gewühnlichen Brachialis internus kleinere, ganz selbst-
ständige und wirklich supernumeräre Muskeln
d. i. der B. 1. minor lateralis (Hildebrandt, Daw-
son, Gruber) und der B. i. minor medialis, entwe-
der zweikôpfig (Meckel) oder einküpfig (Gruber)
angetroffen werden. Endlich kann der Brachialis in-
ternus mit einem brückenfürmig ausgespannten apo-
neurotischen Blatte auch vom Ligamentum inter-
musculare mediale entspringen und mit letzterem ei-
nen Kanal zur Aufnahme anomal medialwärts ge-
rückter Gefässe und eines Nerven bilden (Gruber).
=
St. Petersburg, den 16. October 1867.
Einige Worte über die Gestalt des Hirns der
Seekühe (Sirenia), von J. F. Brandt. (Lu le 17
octobre 1867.)
Da die Hirnbildung der Thiere jedenfalls einen
mächtigen Einfluss auf ihre biologischen, besonders
ihre psychischen Eigenschaften ausübt, so musste
bei meinen monographischen Arbeiten über die See-
kühe (wobei namentlich der Bau der von Steller be-
schriebenen, so vielfach besprochenen, Form dersel-
ben, die Æhytina, ganz besonders Berücksichtigung
fand, ja die fraglichen umfassenden Studien veran-
lasste) der Wunsch rege werden, Kenntniss von ihrem
Hirnbau nehmen zu kôünnen.
Vergeblich sah ich mich indessen nach einer Be-
schreibung und Abbildung eines Seekuhhirns um. In
allen bisher über den Bau der Seekühe verüffentlichten
Mittheilungen vermisste ich die Anatomie des Hirns;
ein Umstand, der natürlich darin seine Erklärung fin-
det, dass man zeither meist nur in Weingeist aufbe-
wahrte Exemplare zergliederte.
Um nun aber doch eine, wenn auch nur oberfläch-
liche, Kenntniss über die äusseren Umrisse des Hirns
zu gewinnen, liess ich die Hirnhôhle des Schädels der
Rhytina, des Manatus und der Halicore mit Gyps aus-
füllen. Auf diesem Wege wurden Abgüsse gewonnen,
die wenigstens eine allgemeine Idee von den äusse-
ren Umrissen des Hirns der genannten drei Gattungen
der Sirenen bieten und manche morphologische Kenn-
zeichen wahrnehmen lassen.
Sie zeigen namentlich, dass keines der drei Hirne
sich auf den bei den echten Crtaceen herrschenden
Typus der Hirnbildung zurückführen lässt.
Selbst von einer innigen Annäherung der Gehirne
der Sirenien an die der Pachydermen kann keine Rede
sein, obgleich das grosse Hirn der Halicore in Be-
zug auf seine Form etwas an das der Tapire, das
grosse Hirn der Æhytina aber durch die ansehnliche
Breite seiner hinteren Lappen, im Vergleich mit sei-
nen vorderen, schmäleren, schwach an das Hirn der
Elephanten erinnern dürfte.
Die Gehirnabgüsse der drei Iebend beobachteten Si-
rencugattungen weichen übrigens unter sich so bedeu-
tend ab, dass jeder derselben ein besonders gestaltetes
Hirn zu vindiziren ist, jedoch so, dass die drei, ob-
gleich unter sich verschiedenen Hirnformen in einem
unverkennbaren, verwandtschaftlichen Connexe ste-
hen und sämmtlich im Verhältniss zur Kôrpergrôsse
der Thiere auf ein sehr geringes Volum der Hirne
der stupiden Sirenien hinweisen.
Das grosse Hirn der Halicore zeichnet sich durch
seme Längenentwickelung, die ansehnliche Grüsse des
stark .gewülbten vorderen Lappens der grossen He-
misphären im Vergleich zum hintereu, kleineren der-
selben, so wie durch schmälere processus clavati aus.
Im Gegensatz zu dem von Aalicore erscheint das
grosse Hirn bei Manatus viel kürzer, aber in der
Mitte und hinten viel breiter, während der vordere
und hintere Lappen der Hemisphären gleich gross,
die processus clavati aber ansehnlicher sind.
Das grosse Hirn (cerebrum) der Rhytina lässt sich ge-
wissermaassen, jedoch nicht ganz streng, als Mittelform
zwischen dem von Manatus und Halicore betrachten.
Im Allgemeinen künnte man dasselbe als ein mit
weit schmäleren, kürzeren und weniger convexen
vorderen, aber mit breiteren hinteren Lappen ver-
sehenes, verkürztes Hirn von Æalicore ansehen. Die
geringere Convexität des vorderen, so wie die an-
sehnlichere Grüsse und Breite des hinteren Lap-
pens der Hemisphären erinnern aber offenbar an Ma-
natus, eben so wie ihre Verkürzung und die ansehn-
lichere Grôsse der processus clavali.
Im dritten, fast vollendeten Fascikel meiner Sym-
bolae Sirenologicae sollen die Abgüsse der Sirenen-
Hirne noch näher erläutert und gleichzeitig bildlich
dargestellt werden.
2 —
252
oo
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Zuwachsverzeichniss der k. Universitätsbibliothek zu Tü-
bingen. 1865—66. 4.
Journal de l’école impériale polytechnique. 42° cahier.
Tome XXV. Paris 1867. 4.
Memorie della reale Accademia delle seienze di Torino.
Serie secunda. Tomo XXII. Torino 1865. 4.
Atti della r. Accademia delle scienze di Torino. Vol. I
disp. 3—7. Vol. IT disp. 1—3. Torino 1866—67. 8.
Memorie dell I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed
arti. Vol. XIII, part. 1. 2. Venezia 1866. 4.
Atti del r. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo
XI, disp. 8—10, XII disp. 1—4. Venezia 1865—67. 8.
Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen-
schaften zu Berlin. 1867. März. April, Mai. 8.
Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften
und der Georg-Augusts-Universität aus dem Jahre
1866. Gôttingen 1866. 8.
Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf-
ten zu München. 1866. Il. Heft IT. III. IV. München
1866. 8.
— — — — 1867. IL Heft. I—IIL. München 1867. 8.
Casopis Musea Krälovstvi Ceského. 1866, XL Roënik, sva-
zekIV, 1867, XLI Roënik, svazek [. V Praze. 8.
Sitzungsberichte der kaiserl. Akademie der Wissenschaf-
ten. Philosophisch-historische Classe. Bd. 53, Heft
1—3. Mathematisch - naturwissenschaftliche Classe.
Abth. I. Bd. 54, Heft 2, 3 und Abth. II, Bd. 54, Heft
2— 4. Wien 1866 — 67. 8.
Philosophical transactions of the royal Society of London.
Vol. 156. London 1866. 4.
Proceedings of the royal Society, Vol. XV. À 87—92.
Transactions of the royal Society of Edinburgh. Vol. XXIV,
part. IL. 4.
Proceedings of the royal Society of Edinburgh. Vol. V.
X 68—70. Edinburgh 1866. 8.
The transactions of the r. Irish Academy. Vol. XXIV, Sc.
Part. VIL VIITL. Dublin 1866—67. 4.
Proceedings of the r. Irish Academy. Vol. IX, p. IV. Dub-
lin 1867. 8.
Det kongelige danske Videnskabernes Selskabs Skrifter.
Femte Raekke. Historisk og philosophisk Afdeling. Tre-
die Binds forste Hefte. Kjübenhavn 1866. 4.
Oversigt over det K. Danske Videnskabernes Selskabs
Forhandlinger og dets Medlemmers Arbeider; Aaret
1865. N 1—4, 1866, M 1—6, 1867, M 1—3. Kjôben-
havn.
Biblioteka Ossolinskich. Pismo historyi, literaturze, umie-
jetno$ciom 1 rzeczom narodowym poswiecone. Poczet
nowy. Tom dziewiaty. Lwôw 1866.
Transactions and proceedings of the r. Society of Victoria.
January 1865 to June 1866. Vol. VIT Melbourne
1866. 8.
Tübinger Universitätsschriften aus dem Jahre 1866. Tü-
bingen 1866.
18 scripta academica in Universitate Tubingensi anno 1866
edita.
14 scripta academica Universitatis litterarum Jenensis
anno 1866 edita.
120 scripta academica in Universitate Fridericiana Ha-
lensi anno 1866 edita.
159 scripta academica Universitatis Fridericae Guilelmae
Berolini annis 1866 et 1867 edita.
5 scripta academiae et scholarum Hamburgensium annis
1866 et 1867 edita. 4.
Schriften der Universität zu Kiel aus den Jahren 1865
und 1866. Band XII und XIIL. Kiel 1866—67. 4.
Annuaire de l'Université catholique de Louvain. 1866. 30°
année. Louvain. 12.
Annales academici 1862—63. Lugduni Batavorum 1866. 4.
Acta Universitatis Lundensis. Lunds Universitets Ârsskrift.
1865. Lund 1865—66. 4.
16 scripta academica in Universitate Lundensi anno 1865
—66 edita.
14 scripta academica in Universitate literarum Helsing-
forsensi annis 1866 et 1867 edita.
Géographie de Ptolémée. Reproduction photolithographi-
que du manuscrit grec du monastère de Vatopédi au
mont Athos, précédée par Victor Langlois. Paris
1867. Fol.
Bibliotheca indica M 216, 217, New Series X 88, 93, 96,
97, 98. Calcutta 1866. 8.
Indische Studien. Band 10. Heft 1, 2. Leipzig 1867. 8.
Zeitschrift der deutschen morgenländischen Gesellschaft.
Band 21, Heft 1, 2, 3. Leipzig 1867. 8.
Proceedings of the Asiatic Society of Bengal, 1866. X 4
—19, 1867 X 1. Calcutta 1866. 8.
Walker, G. J. Central Asia. 1866. Fol.
Lassen, Christ. Indische Alterthumskunde. I. Bandes 2.
Hälfte. 2. Auflage. Leipzig 1867, 8.
Revue Africaine. XI° année NX: 63. Alger 1867.
Recalcati, Joseph. Rectification exacte d’un arc circu-
laire quelconque ou quadrature exacte du cercle et
d’un cercolore. Milan 1867.
— Gius. Quadratura lineare esatta del Circolo e de uno
Circolare. Terza edizione. Milano 1867. 6 Ex. 8.
Libros del Saber de Astronomia del Rey D. Alfonso de
Castilla. Tomo IV. Madrid 1866. Fol.
Wolf, Rudolf. Mittheilungen über die Sonnenflecken. X
XVII, XVIIL. 8.
Almanaque näutico para el ano 1866. Cädiz 1864. 8.
Paru le 13 novembre 1867,
TT. XEE, N° 4.
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME AE. |
(Feuilles 18—29.)
CONTENU.
Page.
L, Stephani, Parerga archaeologica. XX VI. (Avec une Planche.)................... 273 — 277
Dr, W. Gruber, Sur les variétés du muscle brachio radialis. (Avec une Planche.)..... 277 — 287
Ph. Owsjannikow, Sur le système central nerveux d’Amphioxus lanceolatus. (Avec une
Fendna) RE ne RCE T SM RRE GDAEOb 0 Lre pie. erelo EME Ro OGC 287 — 302
El. Bor$tow, Action du protoxyde d’azote sur les plantes. ......................,. 303 — 311
Dr. Woronichin, Influence des chlorures de potassium et de sodium sur l'absorption |
du fer métallique par l'organisme animal et sur l'excrétion du fer............ 311 — 313
Dr. A Strauch, Remarques sur le genre Scapteira Fitz. ...........:........... 313 — 328
Dr. W. Gruber, Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo-anconeus des
MO ADN ÉET ES M A PER en en nel ne -tde tes to etats 329 — 335 |
— Sur les variétés du muscule radialis internus brevis. (Avec une Planche.) ... 335 — 346
Dr. J. Knoch, De l'existence du Cysticercus Taeniae mediocanellatae dans les muscles
deSATIMAUITeMAITACE DONNER Me ee Cie rec Je 346 — 359
Dr Strauch ourle senretADIePNaruS ee eee ce Peer de-ester pire 359 — 371 |
G. v. Helmersen, La houille de la Russie centrale; son importance et son avenir...... 372 — 394 |
A. Engelhardt, Composition chimique des bois et des ossements fossiles des terrains
CTAVEUX ITA NAUSSIES nee ce re cles et Eee ere 394 —418
J, Baranetzky, Observations biologiques sur les gonidies des lichens................ 418 — 431
J, Borodin, Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec une Planche.)...... 439 — 447
Dr. W. Gruber, Second supplément au mémoire sur le processus supracondyloideus
(internus) humeri de Yhomme. (Avec une Planche.) ....,.................... 448 — 457
JF, Brandt, Quelques mots concernant une nouvelle représentation figurée de la Rhy-
tina Stelleri..22.:407 NE A TR NL 0 Cue.c OI OIOE DOI EC LE 457 —458
BuleHnADiDOeTAPRIQUE A CE eme: eee OEM AP -Li-ireie 458 — 464
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4
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(Vass.-Ostr., 9€ ligne, X 12.) ®, ()
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Parerga archaeologica, von Ludolf Stephani.
(Lu le 10 octobre 1867.)
XXVI.
(Mit einer Tafel.)
Auf der beigegebenen Kupfertafel theile ich zwei
unedirte Sarkophag-Platten mit, welche in der kai-
serlichen Ermitage aufbewahrt werden. Die Tafel,
welche schon vor einer Reihe von Jahren gestochen
ist, sollte ursprünglich einer grôüsseren Arbeit beige-
geben werden, deren Vollendung jedoch durch an-
dere Arbeiten verhindert worden ist. Da die Verüf-
fentlichung der darauf wiedergegebenen Kunstwerke
auch ohne jene umfassendere Untersuchung von In-
teresse sein wird, so theile ich sie hier mit, indem
ich sie nur mit den nôthigsten Bemerkungen begleite.
Die unter N°: 1 abgebildete Platte wird in der kai-
serlichen Ermitage gegenwärtig unter N 97 aufbe-
wabrt')undist 2 Arschinen 15 Verschok (2,09 Mètres)
lang und 12 Verschok (0,53 Mètre) hoch. Sie stellt
das Leben des Gottes des Weins in drei Acten dar:
sein Knaben-, sein Jünglings- und sein Greisen-Alter.
Die erste Scene führt uns vor, wie der gôüttliche
Knabe von Satyrn und Maenaden erzogen wird *); die
zweite zeigt uns, wie Dionysos als blühender Jüng-
ling sich auf Naxos mit seinem Gefolge der schlafen-
den Ariadne naht°); die dritte endlich, wie er als
bärtiger Greis die ihm dargebrachten Opfer entgegen
nimmt.
In dem ersten Bild sieht man den allerdings fast
ganz auf moderner Restauration beruhenden kleinen
Gott, wie er von einem jugendlichen, mit einem xa«-
yoBohoy ausgestatteten Satyr, dessen Schnurrbart in
der Abbildung etwas zu bestimmt angedeutet ist, nach
einer auch sonst in den Werken der alten Kunst nicht
Sculpt. ant. de l'Ermitage Imp. M 97.
2) Die meisten ähnlichen Kunstdarstellungen habe ich im Compte-
rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1861. p. 11 — 32. behandelt.
3) Die wichtigsten Grabdenkmäler ähnlicher Art hat Jahn: Ar-
chaeol. Beitr. p. 293 zusammengestellt.
Tome XII.
selten hervortretenden Gewohnheit‘) im Triumph auf
der Schulter getragen wird. Voraus schreitet eine die
Doppelflüte blasende Maenade und ein Pan, welcher
in der Linken ebenfalls ein xwyoBoncv, in der Rechten
eine Syrinx hält. Auch zwei Satyr-Knaben, deren
Kôüpfe jedoch modern sind, begleiten den Zug. Hinter
dem Satyr brennt auf einem kleinen, mit einer Guir-
lande geschmückten Altar Feuer. Daneben liegt der
Kopf eines geopferten Ziegenbocks und ein Panther
blickt nach seinem Gebieter empor. Unter den Füssen
des Pan sieht man einen Korb, aus welchem sich eine
nur theilweis erhaltene Schlange erhebt.
Die Mitte des zweiten Bildes nimmt der als Jüng-
ling gebildete Dionysos ein, dessen üppige Formen
nur zum Theïil von einem Obergewand verhüllt wer-
den. In gemächlicher Ruhe hat er das eine Bein über
das andere geschlagen ”), den rechten Arm quer über
das mit einem Kranz geschmückte Haupt gelegt°) und
giebt sich, indem er den linken Arm auf der Schulter
eines mit einem Pantherfell und einem Àxwyoÿcaov aus-
gestatteten Satyrs ruhen lässt’), ganz der Betrach-
tung der Ariadne hin, welche in der gewühnlichen
Stellung vor ihm ruht*). Ein Pan und ein Eros,
welche beide zum grossen Theil auf moderner Restau-
ration beruhen, lüften das Gewand der schünen Schlä-
ferin und lassen uns sehen, dass ihr die Porträt-Züge
der Todten gegeben sind, für welche der Sarkophag
bestimmt war. Auch ein neugieriger Satyr, der ein
AæyoBcroy in der Hand hält, bemüht sich, die schô-
4) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour lann. 1861. p. 24 f.
5) Weiteres über dieses Motiv in meiner Abhandlung: Der aus-
ruhende Herakles p. 173. und im Compte-rendu de la comm. arch.
pour l’ann. 1859. p. 103. 1861. p. 132. 145. 1862. p. 117. 134. 140.
1864. p. 232.
6) Über dieses Motiv siche meine Abhandlung: Der ausruhende
Herakles p. 132. und Compte-rendu de la comm. arch. pour lann.
1862. p. 115. 134. 1864. p. 148.
7) Über diese Haltung habe ich Weiteres im Compte-rendu de
la comm. arch. pour l’ann. 1859. p. 35. 1861. p. 39, 1862. p. 8. 41.
60. 1864. p. 147. zusammengestellt.
8) Siche meine Bemerkungen über diese Stellung in der Ab-
handlung: Der ausruhende Herakles p. 120. und im Compte-rendu
de la comm. arch. pour l’ann. 1865. p. 186.
18
275
uen Kürperformen der güttlichen Schläferin genauer
kennen zu lernen, indem er die Gebärde des ATOTX0-
rev macht”). Zu den Füssen des Dionysos bemerkt
man einen zu ibm aufblickenden Panther, den Kopf
einer Ziege und einen Kantharos. Sein Genuss aber
wird noch erhüht durch die rauschenden Tüne, mit
welchen vier andere Begleiter die Luft erfüllen, in-
dem die eine der beiden Maenaden, denen, wie
den Satyrn, spitze Ohren verliehen sind, die Kym-
bala schlägt, die andere, deren rechter Arm auf
Restauration beruht, die Leier spielt. Beide tragen
Kränze von Weinlaub in den Haaren und in ihren
Nacken sind, wie bei der Flütenspielerin der ersten
Scene, zur Andeutung bakchischer Ekstase die Ge-
wänder bogenformig aufgebauscht. Auch der in reiche
Gewänder gehüllte und mit Weinlaub bekränzte alte
Silen. welchem der Künstler gegen die gewühnliche
Sitte ebenfalls spitze Ohren verliehen hat, schlägt
die Kymbala und dasselbe thut der durch das Lüwen-
fell und die neben ihm angelehnte Keule charakteri-
sirte Herakles ").
In der dritten Scene tritt Dionysos in der Form
eines bärtigen, mit einem Kalathos geschmückten
Cultus-Bildes auf. Das Gesicht ist im Original als
das einer Frau ergänzt. Allein zwei andere Sarko-
phage ‘'), welche wesentlich dieselbe Scene ebenfalls
mit Darstellungen der Ankunft des Dionysos auf Na-
xos verbinden, lassen nicht den geringsten Zweifel an
dem ursprünglich Vorhandenen übrig. In der Rech-
ten scheint der Gott ein Tympanon zu halten: mit
der Linken hatte er ein Skeptron oder einen Thyrsos
erfasst, von welchem der untere Theil noch erhalten
ist. An der Basis der Statue ist eine Fackel ange-
lehnt. Davor steht ein kleiner, grosstentheils ergänz-
ter Altar, auf welchem eine alte Frau *) einen Vogel,
9) Ausführlicher habe ich über diesen Gest im Bull. hist.-phil.
de l’Acad. To. XII. p. 278. — Mél. gréco-rom. To. I. p. 552. und im
Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1860. p.85. 1862, p.88.
135. 1865. p. 111. gehandelt.
10) Zu den von mir in der Abhandlung: Der ausruhende Hera-
kles p. 195 — 199. behandelten Grabdenkmälern, welche den He-
rakles in bakchischer Umgebung darstellen, ist inzwischen noch
der in den Mon. pubbl. dal! Inst. arch. 1856. Tav. 6. verôftentlichte
Sarkophag gekommen. In den Darstellungen des Besuchs, welchen
Dionysos der Ariadne auf Naxos abstattet, tritt Herakles hier zum
ersten Male auf.
11) Sie sind von Jahn: Archaeol. Beitr. p. 293 mit A und B be-
zeichnet
12) Ihr Haupt ist, wie so oft bei alten Krauen, mit einem kleinen
Bulletin de l’Académie Impériale
276
wabrscheinlich eine Gans ), ein bärtiger, mit einem
Fichtenkranz geschmückter Kentaur, zu dessen Füs-
sen eine bärtige Maske liegt, ein Kalb ") opfert. Eine
erwachsene Opferdienerin, deren Kopf modern ist,
leuchtet mit einer Fackel und ein kleines Mädchen,
welchem der Restaurator wohl mit Unrecht ein Tym-
panon in die Hand gegeben hat, ist ebenfalls beim
Opfer behülflich.
Die unter N 2 — 4 abgebildeten Sarkophag-Platten
werden in der kaiserlichen Ermitage unter K 260
aufbewahrt ”). Sie sind 7 Verschok (0,31 Mètre)
hoch und die Haupt-Platte X 2, welche die Vorder-
seite des Sarkophags geschmückt hat, ist 1 Arschin
12 Verschok (1,24 Mètre) lang; die beiden Platten
der Nebenseiten À 3 und 4 haben eine Länge von
8 Verschok (0,36 Mètre). Auf der Vorderseite ist
der Raub der Kore dargestellt ®). Zur Rechten fährt
Pluton, dessen Gewand sich bogenformig über sein
Haupt erhebt, in äusserster Hast mit der geraubten
Jungfrau davon. Schon sinken Wagen und Pferde in
den Erdschlund. Über den letzteren fliegt ein Eros mit
einer zum grossen Theil zerstürten Fackel in den
Händen. Pluton blickt nach Athena zurück, während
Kore in horizontaler Lage mit fliegenden Haaren auf
seinen Armen ruht. Hinter Pluton bemerkt man drei
Okeaniden und Athena, aus deren Mitte er Kore hin-
weg gerissen hat. Ihm zunächst befindet sich die mit
einem langen Untergewand, mit Lanze, Schild, Helm
und Aegis ausgestattete Athena. Sie eilt dem Räuber
nach und sucht ïhn zurückzuhalten, indem sie die
Rechte an sein Gewand legt. Die mittelste der drei
Okeaniden, welche mit einem Untergewand und einem
in ihrem Rücken bôgenfürmig aufgebauschten Ober-
Tuch bedeckt, über welches von Jahn: Archaeol. Beitr. p. 204. 335.
356. Sitz.-Ber. der kôn. sächs. Ges. der Wiss. 1854, p. 166. 1855.
p. 227. 238. Jahrb. der Alt. d. Rheinl. Th. XXXVII. p. 46 und von
mir im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1863. p. 194.
gehandelt worden ist,
13) Siehe Compte-rendu de la comm arch. pour l’ann. 1863. p. 79.
14) Über dieses Opferthier des bakchischen Cultus siehe Compte-
rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1863. p. 127.
15) Stephani: Iponuaeï To. V. p. 266. X 12. Guédéonoff:
Sculpt. ant. de l’Ermitage Imp. 260.
16) Zu den von Gerhard: Bilderkreis von Eleusis Th. III.
p. 395 zusammengestellten Grabdenkmälern will ich hier nur die
Wandgemälde, welche in einem bei Kertsch entdeckten Grabe
(Aschik: Kepuesckis xpesaocrn Taf. 5.) und in einem Grabe bei
Ostia (Mon. pubbl. dall’ Inst. arch. To. VIIT. Tav. 28.) aufsgefunden
worden sind, und das von Helbig: Bull. dell’ Inst. arch. 1864.
p. 255. beschriebene Sarkophag-Relief nachtragen.
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277
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
278
gewand bekleidet ist, beugt sich vorwärts und be
müht sich, die Gôüttin von diesem Versuch zurück-
zuhalten, indem sie den Rand ihres Schilds erfasst,
offenbar weil sie befürchtet, der mächtige Gott der
Unterwelt werde selbst der Athena, wenn sie ïhn mit
Gewalt zurück zu halten suche, Büses zufügen, nicht
aber um dadurch, wie man unbegreiflicher Weise das
Motiv in ähnlichen Darstellungen hat erklären wollen,
zu verhindern, dass Athena das Unternehmen des
Pluton befürdere. Die Haltung der Athena selbst
spricht unzweideutig gerade die entgegengesetzte Ab-
sicht aus. Vor dieser Okeanide steht im Hintergrund
eine zweite, welche, nur mit einem Untergewand be-
kleidet, sich furchtsam nach ihrer Gefährtin hin
drängt, und hinter der letzteren eine dritte, welche
mit einem Chiton und einem bogenférmig emporge-
bauschten Peplos versehen ist und entsetzt über die
unerhôürte Gewaltthat beide Hände zum Himmel em-
por streckt. Am Ende des Bildes sieht man bereits
Demeter auf einem mit zwei beflügelten Schlangen
bespannten Wagen ihrer geraubten Tochter nachei-
len. Bekleidet ist sie mit einem Chiton, der kokett
vou ihrer rechten Schulter herabfällt ), und mit
einem Peplos, welcher sich in Bogenform in ihrem
Nacken erhebt. In der Linken hält sie eine zum Theil
zerstürte Fackel ‘).
Auf jeder Nebenseite des Sarkophags ist ausser
einem Candelaber oder Thymiaterion eine Sphinx
dargestellt, welche sitzend für die Ruhe des in dem
Sarkophag Begrabenen Wache hält und alles Nach-
theilige, welches sich nahen künnte, durch ihre furcht-
bare Kraft zu vernichten droht ”).
Über die Varietäten des Musculus brachio-ra-
dialis, von Dr. Wenzel Gruber, Professor
der Anatomie. (Lu le 17 octobre 1867).
(Mit einer Abbildung.)
Ausser dem constant vorkommenden Brachio-ra-
dialis (major s. longus) existirt auch ein unconstant
vorkommender Brachio-radialis (minor s. brevis).
17) Siche meine Bemerkungen über dieses Motiv in Kôhler’s
Gesamm. Schriften Th. II. p. 315 — 325 und im Compte-rendu de
la comm. arch. pour l’ann. 1860. p. 26. 1865. p. 160.
18) Über die Bedeutung dieses Attributs siehe Compte-rendu de
la comm. arch. pour l’ann. 1859. p. 43
19) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour Pann. 1864, p.139.
Jederderselben ist Varietäten unterworfen. Mir sowohl
als Anderen sind Varietäten derselben ‘und nebst der
Mehrzahl der von Anderen beschriebenen auch neue
zur Beobachtung gekommen. Die von mir beobach-
teten neuen Varietäten veranlassten mich zur Ab-
fassung des vorliegenden Aufsatzes über die Varietä-
ten des Brachio-radialis, in dem nebst Neuem auch
das Bekannte müglichst zusammengestellt ist.
1. Varietäten des Brachio-radialis major s, longus,
A. Fremde Beobachtungen.
Die Môglichkeit des Vorkommens eines doppelten
Brachio-radialis ? (über den aber keine Beschreibung
gegeben wurde) wird vom Recensenten des Hand-
buchs der pathol. Anatomie von F. G. Voigtel er-
wäbhnt'). Ob damit Duplicität des Brachio -radialis
major, oder vielleicht schon das Vorkommen des Bra-
chio-radialis major und minor gemeint war, ist un-
bekannt.
E. A. Lauth”) hat an zwei Leichen einen «Muscle
long supinateur accessoire» gesehen. Derselbe war
schwächer als der gewühnliche, entsprang über letz-
terem am Humerus, war von diesem im ganzen Ver-
laufe geschieden und ging mit ihm in eine Sehne über,
welche sich am Radius, über dessen Processus styloi-
deus inserirte, also ein tief gespaltener Brachio - ra-
dialis major biceps.
Das mit dem Brachio-radialis verschmolzene (an-
geblich äusserste) Bündel des Brachialis internus,
welches Hyrtl”) bei kraftvoller Armmusculatur beob-
achtete, so wie eine verschieden starke, vom Brachia-
lis internus zum Brachio-radialis gehende Portion,
welche John Wood‘) in zwei Fällen sah und als Af-
fenbildung deutete, kônnen wohl als supernume-
räre Kôpfe des Brachio-radialis major genommen
werden.
Bisweilen war seine Sehne gespalten gesehen wor-
den *).
Mangel an beiden Armen kam Henle‘) vor.
1) Hallische allgemeine Literatur-Zeitung, 1808, X 153. S. 204.
2) Variétés dans la distribution des muscles de l’homme. Mém.
de la soc. d'hist. nat. de Strasbourg. Tom. I. Paris 1830. 40. p. 67.
8) Lehrbuch d. Anat. d. Menschen. Wien, 1862. S. 414.
4) Variations in human myology. Proceedings of the Royal Society.
Vol. XV. 1866. \ 86, p. 234.
5) Bei Fr. Arnold. Handb. d. Anat. d. Menschen, Bd. I. Frei-
burg i. B. 1845. $. 677.
6) Handb. d. Muskellehre d. Menschen, Braunschw. 1858. S. 201,
18*
279
Bulletin de l’Académie Impériale
280
0
B. Eigene Beobachtungen.
1. Zweikôpfiger Muskel.
Ein Bündel des Brachialis internus zum Brachio-
radialis, welches als des letzteren supernumerärer
Kopf gelten kann, habe ich üfters gesehen. Dieser su-
pernemeräre Kopf ist etwa unter 25 Leichen einmal
an einem Arme oder beiden Armen zu erwarten. Er
ist verschieden breit und stark, gewôhnlich schmal
und lüst sich in der Regel von der oberflächlichen
Schicht der über dem Brachio-radialis gelagerten, di-
cken Portion des Brachialis internus in verschiedener
Hôühe, selbst 2 Zoll über dem Rande des Brachio-ra-
dialis, und in verschiedener Entfernung vom Biceps
brachii ab. Er geht in verschiedener Entfernung vom
obersten Ursprunge des Brachio-radialis in diesen
über, und zwar bald in dessen Rand, bald in dessen
laterale vordere Fläche, an welcher er bisweïlen gleich-
mässig breit bleibend wie ein langes, schmales Band
weit herab verfolgt werden kann. Ich sah ïhn schon
beim neugeborenen Kinde 4 Lin. lang, 2 Lin. breit
und ‘/ Lin. dick”).
2. Zweibäuchiger Muskel.
1. Fall. Beobachtet 1859 an einem Arme bei ei-
nem Manne. In der Ellenbogenregion zweigte sich
vom Rande des Brachio-radialis major ein Bündel,
welches in eine feine Sehne endigte, als anomaler
Bauch ab. Dasselhe lief in der Tiefe des Sulcus cu-
biti anterior lateralis medialwärts von den Radiales
externi schief ab- und rückwärts. Die Sehne vereinigte
sich mit dem Supinator und inserirte sich *, Z. un-
ter der Tuberositas radii an die laterale vordere
Kante des Radius.
2. Fall. Beobachtet im October 1867 am rechten
Arme eines Weibes.
Von der vorderen Fläche des Brachio-radialis ma-
jor, 3 Z. unter dessen Ursprung vom Humerus, lüste
sich ein in eine feine Sehne endigendes Bündelchen
als anomaler Bauch ab. Dieses war 2 Zoll lang (am
Fleischtheile 1, Z., an der Endsehne ‘/, Z.) und am
Fleischtheile 1 Lin. dick. Es vereinigte sich mit der
Schne des Radialis externus longus.
7) Ich habe bei der Untersuchnng einer Reiïhe Affen das Bün-
del vom Brachialis internus zum Brachio - radialis ebenfalls ange-
troffen. In einem starken Inuus nemestrinus war dasselbe sanz fibrôs.
38. Anomaler Ansatz.
Beobachtet im November 1856 am linken Arme
eines Mannes und in der Sammlung aufbewabrt.
Die Sehne des Brachio-radialis major setzte sich
nicht an den Radius, sondern an das Os naviculare
und Os multangulum majus.
Der Brachio-radialis major s. longus kann somit
verschieden zweikôpfig angedeutet oder wirklich
zWeibäuchig (Gruber) und ganz ungewôhnlich
angeheftet (Gruber) vorkommen, kann aber auch
vüllig fehlen (Henle).
Il, Varietäten des Brachio-radialis minor s. brevis$).
Dieser Muskel besteht aus einer supernumerären
Fleischmasse, hat daher nicht die Bedeutung einer
abgelüsten und selbstständig gewordenen Portion des
Brachio-radialis major oder des Brachialis internus,
wie manche Anatomen meinen.
À. Fremde Beobachtungen.
Michael Dawson ”) scheint diesen Muskel zuerst
beobachtet zu haben. Er fand ihn zugleich mit dem
Brachialis internus minor lateralis (Hildebrandt) am
rechten Arme eines jungen, 20-jährigen Mannes und
hat beide Muskeln abgebildet. Der Muskel entsprang
gemeinschaftlich mit der lateralen Portion des Bra-
chialis internus und vereinigt mit dem Brachio-radialis
major über dem Epicondylus humeri(wo?, wohl ziemlich
weit davon entfernt), lief zwischen dem Brachio-ra-
dialis major und dem Brachialis internus minor late-
ralis vor dem Capitulum radii abwärts und inserirte
sich mit einer dünnen Sehne an den vorderen und un-
teren Rand der Tuberositas radii neben dem Supina-
tor. Der Muskel, welchen Dawson für einen Supina-
tor und Flexor, der Wirkung nach, nahm, war so lang
und halb so dick wie der Pronator.
8) C. Langer. Handbuch d. Anat. d. Menschen. Wien 1865. S.
244. nennt den Supinator (br.) auch «Brachio-radialis brevis». Diese
Benennung ist für den Supinator, der hauptsächlich von der Ulna,
nur in untergeordneter Weise mit dem Lig. cubiti laterale verwach-
sen vom Epicondylus u.s. w., entspringt — W. Gruber. Die ei-
genen Spanner des Ringbandes des Radius. Arch. f. Anat., Phy-
siol. u. wiss. Medicin. Leipzig, 1865, S. 380. —, unpassend.
9) Sketch of two small snpernumerary muscles of the arm. — The
Edingburgh med. a. surg. Journ. Vol.18. Edinburgh 1822, p. 82. M7.
Plate.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
282
J. Fr. Meckel") sah denselben Muskel im Winter
1822—23 an beiden Armen einer männlichen Leiche,
welche ausser anderen Muskelvarietäten, auch Man-
gel des kurzen Kopfes des Biceps brachii am rechten
Arme und einen dreiküpfigen Biceps brachii am linken
Arme aufwies. Der Muskel entsprang 2 Z. über dem
Epicondylus vom Angulus humeri lateralis 1 Z. hoch,
kurzsehnig und inserirte sich kurzsehnig an den Ra-
dius, dicht über der Insertion des Pronator teres.
Der Muskel war 6 Z. lang und 3 Lin. dick.
E. A. Lauth'') sah den Muskel, welchen er «Mus-
cle long supinateur accessoire» nannte, am linken
Arme einer Frau. Er entsprang gemeinschaftlich mit
dem Brachio-radialis major und inserirte sich an die
vordere Fläche des oberen Drittels des Radius.
H. J. Halberstma "”) beschrieb (41 — 42 Jahre
nach Dawson und Meckel, 34 Jahre nach Lauth,
und 16 Jahre nach Verüffentlichung einer meiner
Beobachtungen) unter anderen oft zur Beobachtung
kommenden, längst gekannten und beschriebenen Mus-
keln, denselben Muskel unter dem Namen «Supinator
brevis accessorius». Der Muskel soll aus Fasern des
Brachialis internus, die an der äusseren Seite am
meisten nach unten vom Humerus entspringen, gebil-
det worden sein. Er entsprang über dem Epicondylus
und inserirte sich an die Tuberositas radiüi unterhalb
des Ansatzes des Biceps brachiü. Halberstma hält den
Muskel, seiner Function nach, für einen Unterstützer
des Supinator.
H. Luschka *) hat diesen Muskel, den er «Brachio-
radialis accessorius» nennt, ebenfalls beobachtet. Er
lässt ihn wie Halberstma gebildet werden und an-
setzen. ‘
B. Eigene Beobachtungen.
1. Fall. Beobachtet unter 50 untersuchten Leichen
(100 Armen) an dem rechten Arme eines robusten
Gardesoldaten und schon 1848 beschrieben ).
Ein breites und dickes Muskelbündel.
10) Beschreibung einiger Muskelvarietäten. — Deutsch. Arch. f.
d. Physiologie. Halle 1823. Bd. 8. S. 587.
11) L. c.
12) Anat. Notizen. — Arch. f. d. holländ. Beiträge z. Natur- und
Heilkunde. Bd. 3. Utrecht 1864. S. 236.
13) re:
14) W. Gruber. Seltene Beobachtungen a. d. Gebiete d. menschl.
Anatomie. — Müller’s Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin.
Berlin 1845, S. 429,
Ursprung. Vom unteren Drittel des Angulus hu-
meri lateralis’ über und”neben dem Ursprunge des
Brachio-radialis major.
Verlauf. Zwischen dem Brachio-radialis major und
dem Radialis externus longus lateralwärts und dem
Brachialis internus medialwärts, hinter dem Nervus
radialis, vor und über dem Supinator in der Tiefe des
Sulcus bicipitalis und $S. cubiti anterior lateralis.
Ansatz. Bei theilweiser Fortsetzung in den Supi-
nator, grüsstentheils mit einer stärkeren Sehne an den
adius unterhalb der Sehne des Biceps brachii und
dessen Bursa mucosa.
2. u. 5. Fall. Beobachtet im December 1858 an
beiden Armen eines Jünglings.
Ein dünner, dreiseitiger, in der Gegend der Inser-
tion der Sehne des Biceps brachii an den Radius mit
einer sehnigen Membran endigender Muskel.
Ursprung. Über dem Epicondylus 1 Z. hoch vom
Angulus humeri lateralis.
Verlauf. In der Tiefe des Suleus cubiti anterior
lateralis auf dem Brachialis internus zwischen dem
Radialis externus und Biceps brachii oben, zwischen
dem letzteren und dem Supinator unten, oben vom
Brachio -radialis major und Radialis externus longus
bedeckt; unten zwischen der tiefen Sehne des Biceps
brachii und Supinator über der Bursa mucosa m. bi-
cipitis brachii.
Ansatz. Mit einer sehnigen Membran, welche die
tiefe Sehne des Biceps brachii einhüllt, an den Ra-
dius, unterhalb seiner Tuberosität, und an die Sehne
des Pronator teres, in welche sie theilweise übergeht.
4. Fall. Beobachtet im October 1860 am linken
Arme eines Mannes.
Ursprung. Über dem Epicondylus und daneben
von der vorderen lateralen Fläche des Humerus zwi-
schen dem Radialis externus longus und Brachialis
internus in einer Hühe von 1 Z. 4 Lin.
Verlauf. In der Tiefe des Sulcus cubiti anterior
lateralis zwischen den Radiales externi (oben) und Su-
pinator (unten) lateralwärts, und dem Brachialis inter-
nus unter der tiefen Sehne des Biceps brachii medial-
wärts.
Ansatz. An den oberen und vorderen Umfang der
Tuberositas radii und mittelst eines mit der Capsula
cubiti vereinigten, im Verlaufe einen Bogen beschrei-
283
Bulletin de l'Académie Empériale
284
A ——————
benden Sehnenbündels an die Ulna unter der Cavitas
sigmoidea minor.
5. u. 6. Fall. (Taf.). Beobachtet im April 1865
bei einem robusten Manne an beiden Armen, bei Vor-
kommeneinesstarken, seltenen, lateralen Kopfesdes
Biceps brachii am rechten Arme und bei Vorkom-
men der Spaltung des Ursprunges der lateralen Ab-
theilung des Brachialis internus durch eine Lücke in
eine obere grüssere und untere kleinere Portion (Bra-
chialis internus biceps) an beiden Armen. Die Präpa-
parate sind in meiner Sammlung aufbewabhrt.
Ein starker, dreiseitig pyramidaler Muskel mit la-
teraler, medialer und hinterer Fläche (c). Der Muskel
ist am rechten Arme 4/,Z., am linken 4”, Z. lang: am
Ursprunge am rechten Arme 2°, Z., am linken Arme
2 Z., am Ansatze an beiden Armen 5h Z. breit; und
an beiden Armen 4',— 5 Lin. dick.
Ursprung. Von dem Angulus lateralis und der la-
teralen vorderen Fläche des Humerus, 2°, Z. am
rechten Arme und 2 Zoll am linken Arme hoch vom
Epicondylus aufwärts; unten schmal, nach oben all-
mäblich bis *, Z. breit; unten zwischen dem Brachio-
radialis major und Radialis externus longus lateral-
wärts und zwischen dem Brachialis internus medial-
wärts, oben in eine Lücke zwischen die obere und
untere Portion des Brachialis internus, in welche die
laterale Abtheilung dieses Muskels anomaler Weise
geschieder ist, quer und ”, Z. breit eingeschoben.
Verlauf. Im Sulcus bicipitalis und Suleus cubiti
anterior lateralis hinter dem Nervus radialis neben
und auf dem Brachialis internus und auf der lateralen
Abtheïlung des sehr entwickelten Supinator.
Ansatz. Kurzsehnig und , Z. breit an den oberen
und vorderen Umfang der Tuberositas radii zwischen
dieser und dem Supinator, letzteren von der Begren-
zung der Bursa mucosa m. bicipitis brachäi vüllig aus-
schliesserd.
Anmerkung. Der überzählige laterale dritte
Kopf (y) des Biceps brachii (a) am rechten Arme war
bandfôrmig, 4", Z. lang, 1 Z. gleichmässig breit und 4
Lin. dick. Der Kopf entsprang kurzsehnig zwischen
der Insertion des Deltoideus und der lateralen Zacke
des Brachialis internus. Derselbe stieg im Sulcus bi-
cipitalis lateralis, diesen ganz ausfüllend, am Brachia-
lis internus abwärts. Er wurde erst an der Sehne des
Biceps brachii, 10 Lin. unter ihrem Anfange nnd 2
Z. über ihrer Insertion an der Tuberositas radii, seh-
nig. Die Bündel seiner Sehne stiegen an der vorderen
und theilweise an der hinteren Fläche der Sehne des
Biceps brachii mit dieser vereiniget an deren media-
lem und vorderen Rand abwärts.
7. Fall. Beobachtet im Februar 1866 am rechten
Arme eines Mannes.
Ein 7 Z. langer, am Ursprunge 1 Z. am Ansatze
3 Lin. breiter und bis 1 Lin. dicker Muskel.
Ursprung. 1”, Z. über dem Epicondylus, 1 Z.
hoch,dünn, kurzsehnig vom Angulus humeri lateralis
zwischen dem Brachio-radialis und Brachialis internus.
Verlauf. Wie in anderen Fällen.
Ansatz. An die laterale vordere Kante des Radius
3, Z. unter dessen Tuberosität.
8. Fall. Beobachtet im April 1866 am rechten
Arme einés Weibes.
Der Muskel war ähnlich dem des 7. Falls.
9. Fall. Beobachtet im October 1867 am rechten
Arme eines Weibes, welche an demselben Arme einen
zweibäuchigen Brachio-radialis major, einen dreiküpfi-
gen Biceps brachii und einen supernumerären Kopf
des Abductor digiti minimi, am linken Arme einen su-
pernumerären Kopf des Pronator teres besass. Der
dritte Kopf des Biceps brachii am rechten Arme ent-
stand zwischen dem Coraco-brachialis und der media-
len Zacke des Brachialis internus vom Humerus, war
6 Lin. breit. Er vereinigte sich mit beiden Sehnen
des Biceps brachii, sandte aber ausserdem eine lange
rundliche Sehne zu einem kurzen Nebenküpfchen der
tiefen Schicht des Pronator teres ab, das am Ende
des oberen Drittels der Länge des letzteren sass. Der
supernumeräre Kopf des Pronator teres am linken
Arme enstand mit zwei Sehnenbündeln, zwischen wel-
chen ein Loch zum Durchtritte der Vasa brachialia
und des Nervus medianus sich vorfand, vom Liga-
mentum intermusculare mediale.
Ein länglich dreiseitiger in 2 feine, 1 Z. lange Seh-
nen endigender Muskel, der am Fleischtheile 1 Z. 10
Lio. lang, 7 Lin. am Ursprunge, 3°, Lin. am Ende
breit und 2 Lin. dick war.
Ursprung. Im Sulcus cubiti anterior lateralis vor
dem untersten Theile der lateralen Partie des Bra-
chialis internus, welcher ihn noch 4 Lin. abwärts
überragt.
Ansatz. Mit der lateralen Sehne an den Hals des
285
Radius über und hinter dessen Tuberosität, mit der
medialen Sehne, vereiniget mit der rundlichen über-
zäbhligen Sehne des dritten Kopfes des Biceps brachii,
an das Nebenküpfchen der tiefen Portion des Prona-
tor teres.
Der supernumeräre Brachio-radialis minor ist
nach Obigem von anderen Anatomen als an G Ar-
men von 5 Leichen, von mir als an 9 Armen von 7
Leichen d. i. als an 15 Armen von 12 Leichen, wo-
von 3 Weibern angehürt hatten, meistens gelegent-
lich beobachtet angegeben. Er kam an beiden Armen
eines und desselben Individuums seltener (3 Mal), an
nur einem Arme häufiger (9 Mal); an rechten Armen
ôfterer als an linken; und in *, d. F. (6 Mal) mit ander-
weitigen und darunter selbst sehr seltenen Muskel-
varietäten an denselben Armen vor: mit einem Bra-
chialis internus minor lateralis (Dawson); mit Man-
gel des kurzen Kopfes des Biceps brachii (Meckel):
mit einem dreikôpfigen Biceps brachii, dessen super-
numerärer Kopf im Sulcus bicipitalis entsprang und
lag, und mit einem durch Spaltung der lateralen Ab-
theilung zweiküpfig gewordenen Brachialis internus
u. S. W. (Gruber), Trotz der beträchtlichen Anzahl
bereits gemachter Beobachtungen, welche, wie zu ver-
muthen, durch geflissentlich vorgenommene Unter-
suchungen erheblich hätte gesteigert werden künnen,
halte ich den Muskel dennoch für einen seltenen,
weil ich ihn bei geflissentlich vorgenommenen Unter-
suchungen erst einmal unter 100 Armen angetroffen
habe. (Gruber 1. F.)
Seine (restalt ist bald band- oder strangformig,
bald lang- oder kurz-dreiseitig, bald sogar dreiseitig-
pyramidal. (Gruber 5. u. 6. F.)
Seine Grüsse und Stärke sind sehr variabel. Die
Länge steigt von einigen Zollen bis auf 7 Z. (Gruber
7. F.) Die Breite am Ursprunge von einigen Linien
bis auf 2 — 2/, Z. (Gruber 5. u. 6 F.), am Ansatze
bis auf , Z.; die Dicke von ‘, oder 1 Lin. bis auf
5 Lin. (Gruber 5. u. 6 F.)
Das Ursprungsfeld des Muskels ist der Angulus
lateralis und ein Streifeu der vorderen lateralen Fläche
des Humerus. Dieses Ursprungsfeld erstreckt sich
vom Epicondylus 3 Z. und mebr aufwärts und kann
am oberen Ende bis *, Z. quer breit werden, in wel-
chem Falle der Muskel mit seinem oberen Ursprungs- |
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
EE entre De
26
ende in eine Lücke der anomaler Weise zweiküpfig
gewordenen lateralen Abtheilung des Brachialis inter-
nus sich einschiebt (Gruber 5. u. 6. K.) Der Ur-
sprung findet bald gleich über dem Epicondylus,
bald davon in einem verschieden grossen Abstand, der
aber 2 Z. in der Regel nicht übersteigt, statt und ist
meistens fleischig.
Der Ansatz geht mittelst einer verschieden langen,
breiten und starken (meistentheils kurzen) Sehne oder
sebhnigen Membran am Rande oder Umkreise der Tu-
D
berositas radii in verschieden grossem Umfange oben,
vorn und unten, ausnahmsweise */, Z., darunter an
der lateralen vorderen Kante des Radius (Gruber
7. F.), oder an diesem erst über dem Ansatze des Pro-
nator teres (Meckel) vor sich. Die Sehne kann dabei
auch mit einer Portion in den Supinator, oder in die
Sehne des Pronator teres sich fortsetzen (Gruber
1., 2., 3. F.), oder mit einem bBündel selbst an die
Ulna sich inseriren (Gruber 4. F.) Der Ansatz kann
ganz ausnahmsweise durch zwei vüllig geschiedene
Sehnen am Halse des Radius und an einem Neben-
kôpfchen der tiefen Portion des Pronator teres ge-
schehen (Gruber 9. K.).
Der Brachio-radialis minor ist, seiner Wirkung nach,
Supinator und Flexor; während der Brachio-radialis
major zuerst als Supinator, dann von L. Heister
(1717) als Supinator und Flexor, später von Saba-
tier (1777) als Supinator, Pronator und Flexor, in
der neueren Zeit von J. Henle (1858) als reiner
Flexor und endlich in der neuesten Zeit von H.
Ziemssen (1864) und C. Langer (1865) als Flexor
und Supinator, von G. B. Duchenne (1867) als Fle-
xor und Semipronator anerkannt worden war!!
Erklärung der Abbildung,
Mittelstück des rechten Armes eines robusten Man-
nes.
1. Humerus.
2, Radius.
. Ulna.
a. Dreikôpfiger Musculus biceps brachii.
a. Langer Kopf| (durchgeschnit-
8. Kurzer » jf ten) |
y. Supernumerärer dritter la-f
teraler Kopf. }
D]
)
desselben
287
Bulletin de l’Académie Impériale
2ss
b. M. brachialis internus.
c. M. brachio-radialis minor s. brevis.
d. M. supinator.
St. Petersburg, den 16. October 1867.
Über das Centralnervensystem des Amphioxus
lanceolatus, von Ph. Owsjannikow. (Lu le 12
septembre 1867.)
Es haben sich seit der Entdeckung dieses merk-
würdigen, auf der niedrigsten Stufe der Entwickelung
stehenden Wirbelthieres viele Forscher mit der Ana-
tomie desselben beschäftigt. Die vortrefflichen Unter-
suchungen von H. Rathke'), J. Goodsir”), J. Mül-
ler“), Costa“) und besonders Quatrefages”) haben
uns viele neue Thatsachen gezeigt. Alle genannten
Forscher behandeln das Nervensystem mit besonde-
rem Interesse. Dieses kann uns keineswegs wundern,
wenn wir bedenken, dass das Nervensystem mit der
ganzen Organisation des Thieres Hand in Hand geht.
Überblickt man aber die Resultate, welche durch
die Untersuchung des Nervensystems zu Tage gefür-
dert sind, so muss man gestehen, dass dieselben im
hôchsten Grade dürftig sind.
Selbst die Arbeiten von Quatrefages und Mar-
cusen‘) lassen noch Vieles zu wünschen übrig. Die
Untersuchung des letzteren Forschers gehôrt der jüng-
sten Zeit an. Daher spricht Marcusen von Nervenfa-
sern und Nervenzellen, die Quatrefages nichtgesehen
hat. Dass diese einem so tüchtigen Beobachter ent-
gangen sind, erklärt Marcusen durch die Mangelhaf-
tigkeit der optischen Hülfsmittel, die Quatrefages
zu Gebote standen.
Wenn die Construction des Mikroskops in der letz-
ten Zeit auch grosse Fortschritte gemacht hat und gute
optische Hülfsmittel sehr viel ausmachen, so ist doch
1) Bemerkungen über den Bau des Amphioxus lanceolatus, von
Heinrich Rathke. Künigsberg, 1841.
2) Transactions of the Royal Society of Edinburgh. Vol. XV,
part. I, pag. 247. On the Anatomy of Amphioxus lanceolatus by
Goodsir.
3) Uber den Bau und die Lebenserscheinungen des Branchiosto-
ma lubricum Costa von Joh. Müller (Abhandlungen der Kônigli-
chen Akademie d. Wiss. zu Berlin, 1842).
4) Costa. Frammenti di Anatomia comparata. Storia e Notomia
del Branchiostoma lubrico.
5) Annales des sciences naturelles, 1845, pag. 197. Sur le système
nerveux et sur l’histologie du Branchiostome ou Amphioxus.
6) Comptes rendus de l’Académie des sciences de Paris. 1865.
die Untersuchungsmethode und die Vorbereitung der
Präparate von nicht geringerer Wichtigkeit.
Wir verdanken unsere Resultate der Untersuchungs-
methode, die, ohne dass wir zu unseren stärksten Ob-
jectiven Zuflucht genommen hätten, uns eine ganze
Reihe neuer Thatsachen im Rückenmarke des Am-
phioxus aufgedeckt hat. Deshalb will ich auch eine
kurze Beschreibung der Untersuchungsmethode lie-
fern.
Die Exemplare, welche von mir untersucht sind,
brachte ich im Jahre 1865 aus Neapel mit. Ich habe
die lebendigen Exemplare in ganz starken Spiritus ge-
legt, den ich in kurzer Zeit bis viermal und später
hier in St. Petersburg noch zweimal wechselte. Die
Exemplare haben sich ausgezeichnet gut conservirt;
sie sind fest und hart und die mikroskopische Struk-
tur der einzelnen Gebilde — die Undurchsichtigkeit
nicht gerechnet — hat sich nicht im Mindesten ver-
ändert.
Diese Exemplare wurden entweder ohne Weiteres
zur Untersuchung benutzt, indem man aus ihnen Quer-
schnitte anfertigte, oder sie wurden noch vorher auf
einige Zeit in schwache Chromsäurelôsung gelegt. Wie
man die Schnitte verfertigt, die Präparate färbt, durch-
sichtig macht und aufbewahrt, kann man aus meinen
früheren Arbeiten ersehen.
Wenn diese Methode in gewisser Hinsicht geeig-
netist, uns mit manchen Einzelheiten der Organisation
des Nervensystems vertraut zu machen, so ist sie
doch in vieler Beziehung ganz unzureichend.
Somit war ich genüthigt, eine andere Untersu-
chungsweise einzuschlagen.
Um sich eine Übersicht über die Form und Grüsse
des Centralnervensystems, über die Zahl und das Aus-
sehen der entspringenden Spinalwurzeln zu verschaf-
fen, musste das Rückenmark aus dem Thiere heraus-
präparirt werden, eine Arbeit, die auf gewôhnliche
Weise wegen der Feinheit des Systems ganz unaus-
führbar war. Ich kam daher auf den Gedanken, meine
Zuflucht zu den Säuren zu nehmen, als zu einer Me-
thode, die von Kühne mit grossem Erfolge zur Un-
tersuchung der Nervenendigungen in den quergestreif-
ten Muskeln benutzt worden ist. Ich verfertigte mir
eine Mischung aus Wasser, Spiritus und starker Es-
sigsäure und legte auf ein bis zwei Wochen einige
Amphioxus in dieselbe. Darauf nahm ich sie heraus,
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
290
——————
übertrug sie in ein Probirgläschen, das zu einem
Drittel mit reinem Wasser angefüllt war, und schüt-
telte dieses so lange, bis das ganze Thier vollkommen
zerfallen war. Gelingt dieses nicht, wenn nämlich zu
wenig Säure genommen war, oder das Präparat zu
geringe Zeit in der Lüsung gelegen hat, so kann
durch Erhitzen des Probirgläschens über einer Spi-
rituslampe noch nachgeholfen werden. Ist durch
solche Behandlung das Thier in seine einzelnen his-
tologischen Elemente zerfallen, so giesst man das
Ganze in ein Ubhrgläschen. In der Flüssigkeit be-
merkt man leicht ein weissliches, schmales, haar-
fürmiges Gebilde, das ist das Nervensystem des Am-
phioxus. Man hebt es vorsichtig mit einer Nadel
heraus und trägt es auf das Objectivgläschen über.
Hier kann es entweder in reinem Wasser, in Glycerin,
oder in einer jeden beliebigen Flüssigkeit untersucht
werden. Sehr häufig ist das Centralnervensystem nicht
allein ganz unbeschädigt, sondern es sind auch alle
abgehenden Nerven vollkommen gut erhalten, manch-
mal mit ihren feinsten Verzweigungen.
Will man die feinste Structur des Centralnerven-
systems kennen lernen, so kann man dasselbe ent-
weder mit feinen Nadeln zerfasern und mit Carmin
färben, oder man legt es wieder in ein kleines Probir-
gläschen mit Wasser, dem einige Tropfen Essigsäure
zugefügt sind, und schüttelt so lange, bis es in seine
einzelnen Fasern zerfällt. Auf diese Weise habe ich
zum ersten Male Präparate erhalten, in denen sowohl
die Zellen ausgezeichnet gut zu sehen waren, als auch
ihr Zusammenhang mit den Fasern.
Schliesslich muss ich noch erwähnen, dass zur Er-
forschung einiger Eïinzelheiten, z. B. der Verthei-
lung der Nerven und ihrer Endigungen, die in Owen’-
scher Flüssigkeit aufbewahrten Exemplare sehr geeig-
net sind.
Ueber die grôberen Verhältnisse des Centralnervensystems,
Das Centralnervensystem liegt in einem Canal, ziem-
lich eng von demselben umschlossen. Die häutigen
Wände desselben bestehen hauptsächlich aus elasti-
schen Fasern, denen in geringer Menge Bindegewebs-
elemente beigefügt sind. Von der äusseren Fläche
dieses häutigen Skelets gehen Fasern gerade nach
oben, seitwärts zwischen die Muskeln und nach unten:
Tome XII.
die letzteren gesellen sich zu der Hülle der Chorda
dorsalis.
Die innere Schicht dieser festen Hülle kann als
identisch mit der dura mater betrachtet werden. Sie
umhüllt die abgehenden Nervenwurzeln und schickt
Fortsätze in das Innere des Centralnervensystems.
Ausser dieser Hülle existirt noch eine andere, die auch
Quatrefages gesehen zu haben glaubt. Es ist eine
sehr dünne und feine Haut, welche der pia mater der
anderen Wirbelthiere gleich zu stellen und auf das
Innigste mit dem Rückenmarke verwachsen ist. Nimmt
man das Nervensystem aus dem Wirbelkanal heraus,
so bleibt die harte Haut in dem letzteren zurück,
während die pia mater eng das Nervensystem um-
schliesst. In der pia mater haben wir eine grosse An-
zahl zelliger Klemente gesehen.
Die äussere Form des Centralnervensystems.
Die äussere Form des Centralnervensystems beim
Amphioxus, das Gehirn ausgenommen, hat mehr Âhn-
lichkeit mit der der hôüheren Wirbelthiere, als mit der
der Cyclostomen. Schon frühere Beobachter, wie Rath-
ke, J. Müller, Quatrefages haben diesen Umstand
hervorgehoben. Das Rückenmark hat im Allgemeinen
eine rundlich-viereckige Form. Es ist mehr breit als
dick, am vorderen Ende jedoch dicker, in der Mitte
und am hinteren Ende platt. Nach oben ist es con-
vex, nach unten concav. Das vordere und hintere
Ende erscheinen verjüngt. Das hintere Ende ist beson-
ders dadurch charakteristisch, dass es in einen langen,
sich zuspitzenden Faden ausläuft. Dieser Faden, wie
ich mich durch Anwendung starker Vergrüsserungen
vollkommen überzeugt habe, besteht nicht aus Ner-
venfasern, sondern ist die Fortsetzung des Rücken-
markskanals und besteht aus Cylinderzellen, die eine
dünnwandige, hohle Rühre bilden.
Obgleich das Centralnervensystem nach vorn auch
etwas spitzer zuläuft, so hat dieser Theil mit dem hin-
teren Ende keine Âhnlichkeit; er ist stumpfer und
abgerundeter (Fig. 3). Der Rückenmarkskanal ôffnet
sich nach vorn in eine ovale Grube, die einige Âhn-
lichkeit mit dem vierten Ventrikel anderer Wirbel-
thiere darbietet und mit demselben wohl identisch
ist. Diese Grube, die nach vorn und hinten zugespitzt
ist, ist mit Epithelialzellen ausgelegt (Fig. 3, c.).
19
291
Bulletin de l’Académie Impériale
Wir nehmen durchaus keinen Anstand, das vor-
dere Ende des Rückenmarks, das seitwärts und nach
vorn von der genannten Grube liegt, dem Gehirne
der übrigen Wirbelthiere zu parallelisiren.
Freilich ist es sehr rudimentär und so wenig ent-
wickelt, wie wir es bei keinem Wirbelthiere antreffen,
aber es entspringen aus demselben die Sinnesnerven.
Deshalb glauben wir, dass J. Müller und Quatre-
fages vollkommen Recht hatten, wenn sie diesen Theil
für das Gehirn gehalten haben und Rathke’s Mei-
nung nicht theilten, welcher das ganze Nervensystem
des Amphioxus für das Rückenmark erklärt. Wir
glauben, dass die erste Meinung durch die Entde-
ckung des Ventrikels, den wir oben beschrieben ha-
ben, noch eine wichtige Stütze erhalten hat.
In Betreff der allgemeinen Form des Rückenmarks,
der Art und Weise, wie von demselben die Spinal-
wurzeln entspringen, sind unsere Beobachtungen ganz
im Widerspruche mit denen von Goodsir und Qua-
trefages. Der berühmte Naturforscher Quatrefa-
ges spricht von den Anschwellungen des Rücken-
marks an den Stellen, an welchen von demselben die
Nervenwurzeln abgehen. Marcusen, in seiner in man-
cher Beziehung interessanten Arbeit, nennt die Be-
obachtung von Quatrefages eine wichtige und be-
stätigt sie. Dieser zufällige [rrthum kann nur der
Schwierigkeit der Beobachtung zugeschrieben wer-
den. Wir finden am Rückenmarke des Amphioxus
eben so wenig irgend welche Anschwellung, wie am
Rückenmarke anderer Wirbelthiere. Die Conturen
desselben sind gerade und gleichformig und um dieses
zu zeigen, legen wir unserer Abhandlung eine Zeich-
nung bei (Fig. 1).
Die Ursprungsweise der Spinalwurzeln ist auch
nicht hinlänglich bekannt. Bei Rathke und J. Müller
finden wir fast nichts darüber. Quatrefages sagt, dass
die Spinalwurzeln ganz richtig von Goodsir beschrie-
ben seien. Ein flüchtiger Blick auf die Zeichnung von
Goodsir lehrte mich aber schon, dass der englische
Forscher den Ursprung der Spinalwurzeln beim Am-
phioxus gar nicht gesehen und ein vollkommen fal-
sches Bild von der ganzen Sache gegeben hat. Die
Zeïichnung zeigt, dass die Nervenwurzeln symme-
trisch auf beiden Rückenmarkshälften, wie es ge-
wôübhnlich als Regel angenommen werden kann, ent-
springen, doch ist dieses keineswegs der Fall, denn sie
entspringen abwechselnd und in verschiedener Hôhe.
Ferner ist es hôchst merkwürdig, dass sie bald von
der seitlichen vorderen Partie, bald von der seitlichen
hinteren Partie entspringen.
Diese meine letzte Beobachtung stimmt mit den
Resultaten der früheren Forscher nicht überein, auch
nicht mit den Angaben von Marcusen, der die Spi-
palwurzeln von der vorderen seitlichen Partie ent-
springen lässt. Ich bin aber vollkommen überzeugt,
dass auch Marcusen mir beistimmen wird, wenn er
das, auf die von mir angegebene Weiïise, herausprä-
parirte Rückenmark untersucht. Von den abwech-
selnd verschieden gelagerten Spinalnerven überzeugt
man sich durch die Veränderung des Focus des Mi-
kroskops. Wenn man aber Gelegenheit hat, zu dieser
Untersuchung das binoculare Mikroskop von Nachet
anzuwenden, so ist die Sache noch bedeutend klarer.
Es besteht kein Unterschied zwischen den von der
vorderen und den von der hinteren Partie entsprin-
genden Spinalnerven. Sie haben dasselbe Aussehen und
denselben Verlauf. Die Stämme der Spinalnerven zei-
gen keine Anschwellungen und haben die Gestalt
platter Bünder. Die secundären und tertiären Âste ha-
ben ebenfalls eine platte Form. Die das Rückenmark
umgebende Haut erstreckt sich auch auf die Spinal-
nerven.
Ueber die feine Struktur des Centralnervensystems,
Die Grundsubstanz des Rückenmarks ist beim Am-
phioxus, so wie bei anderen Thieren, das Bindege-
webe. Es erstreckt sich von der äusseren, dünnen
Haut in mebr oder weniger dicken Bündeln hinein.
Besonders bemerkenswerth wegen ihrer Dicke sind
zwei solcher Bündel, die zur Seite der Mittellinie lie-
gen. Ihre Richtung ist von vornu und aussen nach hin-
ten und innen zu dem Centralkanal.
Die Blutgefässe durchziehen das Rückenmark so-
wohl in die Quere als in die Länge. Die dickeren
Gefässe liegen der Mitte des Marks näher und ver-
laufen parallel seiner Länge. Ein solches Gefäss liegt
unterhalb des Rückenmarkskanals, ein paar andere
liegen oberhalb und seitwärts von demselben. Die
Zahl der Blutgefässe ist nicht gross.
Der Rückenmarkskanal ist schon von Rathke und
293
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
294
theilweise auch von Joh. Müller ‘) gesehen, doch
von keinem der beiden Beobachter genau beschrieben
worden. Die Existenz desselben kann auch keines-
wegs Wunder nehmen, da ein solcher bei allen Wir-
belthieren, selbst beim Menschen vorkommt.
Daher ist für uns die Erklärung J.Müller’s, welcher
sagt: «Dieser Kanal entspricht offenbar nicht blos den
Hirnventrikeln, sondern vielmehr dem primitiven Ka-
nal des Rückenmarks bei den Embryonen der übrigen
Thiere zu der Zeit, wo sich die Rückenmarksplatten
zu einem Kanal geschlossen», nicht stichhaltig.
Eben so wenig stimmt unsere Beobachtung, was
die Form des Kanals anbetrifit, mit der Meinung der
beiden berühmten Naturforscher J. Müller und Qua-
trefages*) überein. Sie beschreiben den Rücken-
markskanal als eng zusammengedrückt. Ich habe den-
selben auf gut gelungenen Schnitten fast rund gefun-
den (Fig. 2,e.). Freilich sah es auf einigen anderen
Schnitten so aus, als ob derselbe nach oben sich üffne
und die Form einer langen, mehr oder weniger brei-
ten Spalte habe. Im natürlichen Zustande ist der Ka-
pal nicht offen, die Ränder der beiden oberen Rücken-
markshälften liegen ganz dicht an einander. Dieses
giebt uns Veranlassung, die Spalte mit der fissura
posterior des Rückenmarks anderer Thiere zu verglei-
chen. Der wesentliche Unterschied, der dabei existirt,
ist nämlich der, dass die Wände der Fissur beim Am-
phioxus mit Epithelialzellen ausgelegt sind.
Der Rückenmarkskanal liegt nicht ganz in der
Mitte, sondern etwas nach unten. Seine Form ist, wie
ich oben erwähnte, rundlich. Die Wände sind mit Cy-
linderzellen ausgelegt, die im hôchsten Grade schmal
und zart sind. Obgleich ich die Flimmerung an den-
selben nicht gesehen habe, da ich lebendige Exem-
plare in dieser Hinsicht nicht untersuchte, so glaube
ich doch, die Flimmerhaare an den Zellen in den
Chromsäurepräparaten deutlich erkannt zu haben. Das
dünnere, innere Ende der Zelle läuft in einen langen
Faden aus, der sich in der Grundsubstanz des Rücken-
marks verliert. Die Form, Lage und Grüsse des Rü-
ckenmarkskanals ist in allen Theilen dieses Organs
wenig veränderlich. Nach vorn, im vorderen Theil
des Kopfes, üffnet sich der Rückenmarkskanal in eine
ovale Grube, deren Form uns lebhaft an den vierten
7) Pag. 95.
8) Pag. 215.
Ventrikel des verlängerten Marks aller Wirbelthiere
erinnert.
Diese Grube ist ebenfalls mit Cylinderzellen austa-
peziert. Der Theil, wo sich dieselbe befindet, ent-
spricht also dem verlängerten Marke. Er ist auch
verhältnissmässig dicker als der übrige Theil des Rü-
ckenmarks. Hôchst interessant ist es, dass der Cen-
tralkanal am hinteren Ende des Marks in eine ein-
fache Rôühre ausläuft, die frei endigt und nicht von
Nervengewebe umgeben ist. Auf diese Weise ist die
hinterste Spitze des Rückenmarks nicht ein Nerven-
bündel, sondern eine aus Cylinderzellen bestehende
Rühre. Die Nervenbündel, die den Schwanz versor-
gen, entspringen etwas hôher und büschelfürmig.
DieBetrachtung des herauspräparirten Rückenmarks
zeigt bei mässiger Vergrüsserung zwei schwarze, paral-
lele, der Länge nach liegende Streifen. Die grossen Pig-
mentzellen, die dieselben bilden, liegen nicht in der
oberen Hälfte des Rückenmarks, wie Goo dsir gesehen
zu haben glaubt, sondern in der unteren, wie schonJ.
Müller beobachtet hat. Sie sind gross und sternfôr-
mig. Ein aus feinen, schwarzen Kürnchen bestehender
Inhalt umgiebt einen weissen Kern. Nach dem Tode
des Thieres nehmen die Zellen eine mehr oder weni-
ger runde Form an, indem der Inhalt, welcher Fort-
sätze bildete, eingezogen wird. Hôchst wahrscheinlich
liegen die Pigmentzellen an Blutgefässen.
Die beiden Pigmentstreifen gehen durch das ganze
Rückenmark und hôren kurz vor den beiden Enden
auf (Fig. 1).
Es bleiben noch die Nervenfasern und Nervenzel-
len zu beschreiben. Die Hauptmasse des Rückenmarks
besteht aus Nervenfasern, deren Dicke eine sehr ver-
schiedene ist. Dass es unter Umständen keine leichte
Sache ist, die Fasern zu sehen, beweisen die früheren
Arbeiten. So behauptet Quatrefages”), er habe die pri-
mitiven Fasern nicht sehen künnen. Das ganze Rücken-
mark und auch die Nervenwurzeln scheinen aus einer
fein granulirten, mitunter gestreiften Masse zu beste-
hen. Benutzt man die Untersuchungsmethode, die ich
oben angeführt habe, so überzeugt man sich nicht allein
leicht von der Existenz der Primitivfasern, sondern
auch von ihrer verschiedenen Breite. Auf einem Quer-
schnitte des Rückenmarks sieht man eine Unzahl quer
9) Pag. 227.
19*
295
Bulletin de l’Académie Impériale
————
durchschnittener Fasern aus der Grundmasse hervor-
ragen, Manche von ihnen sind im hôchsten Grade fein,
andere dagegen sehr breit. Der Emdruck, den man
dabei erbält, führt unwilikübrlich zum Vergleich die-
ses Rückenmarks mit dem des Petromyzon. Auch
dort wie hier fallen einzelne Fasern durch ihre ver-
hältnissmässig kolossale Dicke auf. Beim Petromyzon
habe ich diese Fasern die Müller’schen genannt und
genauer beschrieben.
Von den dicken Nervenfasern des Amphioxus lässt
sich kaum etwas Anderes sagen, als was von den Mül-
ler’schen Fasern bereits gesagt worden ist. Die aus dem
Rückenmarke herauspräparirten Fasern haben gerade,
gleichmässige Conturen. Man erkennt an ihnen nichts,
was als Nervenmark aufgefasst werden kôünnte. Dieses
giebt Veranlassung, die Fasern für nackte Axen-Cy-
linder zu halten. Nur ein paar Mal sah ich die der
Länge nach herauspräparirten Fasern von einer weiss-
lichen, kaum messbaren Kante umgeben. Vom Car-
min werden sie stärker gefärbt, als die sie umgebende
Grundsubstanz. Im vorderen Theïl des Rückenmarks
ist die Dicke der genannten Fasern beträchtlicher
als im Schwanzende. In dem Theil, welcher als Ge-
hirn oder verlängertes Mark bezeichnet werden kann,
verschwinden sie ganz.
Die dicksten Fasern, 5—8 an der Zahl, liegen je-
derseits nach aussen und unten von dem Central-
kanal.
Ausserdem finden wir noch jederseits zwei kleine
Gruppen von diesen Fasern, eine an der äusseren,
oberen, die andere an der äusseren, unteren Fläche.
Die Zeichnung zeigt dieses viel deutlicher, als es die
Beschreibung zu thun vermag (Fig. 2, f). Nirgends
im Kürper, weder am Ursprunge der Spinalnerven,
noch an ihren peripherischen ÀÂsten finden wir solche
breite Nervenfasern, wie die, von denen eben die Rede
war. Solche Fasern, die, wie ich in früheren Arbeiten
zu zeigen Gelegenheit hatte, auch im Rückenmarke
der hüheren Wirbelthiere vorkommen, müssen noth-
wendiger Weise im Rückenmarke selbst entstehen. Sie
entstehen hüchst wahrscheinlich durch Zusammen-
schmelzen aus feineren Fasern, wie ich bei Krebsen
beobachtet und beschrieben habe.
Ausser den Längsfasern des Rückenmarks, die ana-
log der weissen Substanz anderer Thiere sind, kom-
men in diesem Organe Nervenfasern vor, die dasselbe
quer durchziehen. Man sieht sie zwar auf Querschnit-
ten, besser sind sie jedoch auf Längsschnitten zu se-
hen. Es sind Fasern, welche von den Spinalwurzeln
zu den im Rückenmarke liegenden Ganglienzellen ge-
hen und sich dort mit ihnen verbinden (Fig. 2, a). Die
Nervenzellen haben meistens eine dreieckige oder
sternfürmige Gestalt und besitzen alle einen deutlichen
Kern. Der Zelleninhalt, der sich in die Fortsätze er-
streckt, geht unmittelbar in die Nerven über. Soll die
Grôsse als ein constantes, bestimmtes Merkmal bei der
Eintheilung der Nervenzellen in verschiedene Arten die-
nen, so unterscheide ich zwei Arten der Nervenzellen,
die ganz grossen und die mittelgrossen. Es ist môglich,
dass man mit der Zeit auch beim Amphioxus noch mebr
Arten wird unterscheiden künnen; ich bin jedoch
nicht im Stande gewesen, selbst bei Anwendung der
besten und neuesten Objective, mehr wahrzunehmen.
Bei einiger Übung erkennt man, dass mehrere Fortsätze
in die Spinalnerven übergehen und einer die Richtung
zum Kopfe nimmt. Die Zeichnung (Fig, 5) zeigt mehrere
multipolare Nervenzellen; die Fasern, die mit ihnen zu-
sammenhängen, sind die Längsfasern des Rückenmarks.
Dieses Präparat ist durch Zerfasern eines in Säure
gelegenen Rückenmarks gewonnen. Der Übergang der
Spinalnerven in die Fortsätze der Nervenzellen ist
gewühnlich bei Fischen und bei anderen Wirbelthie-
ren auf Querschnitten gut zu verfolgen, beim Am-
phioxus sind die Querschnitte dazu weniger geeignet.
Man benutzt zu diesem Zwecke mit grüsserem Erfolg
die Längsschnitte in horizontaler Richtung. Mitunter
gelang es mir, beim Amphioxus den Übergang der
Nervenzellenfortsätze in Spinalnerven durch die ganze
Breite eines gefärbten Rückenmarks zu verfolgen.
Eine so deutliche Commissur, wie man gewühnlich
antrifft, kommt beim Amphioxus nicht vor. Es gelang
mir aber einige Mal, die Fasern von der einen Hälfte
des Rückenmarks zu der anderen zu verfolgen und
dieses nicht allein unterhalb des Centralkanals, son-
dern auch oberhalb desselben.
Die Untersuchung des Rückenmarks des Amphio-
xus bietet so viele Schwierigkeiten dar, dass ich
keine genaue Rechenschaft über das Schicksal aller
Nervenfortsätze abzulegen vermag. Ausser demjeni-
gen, was ich schon angeführt habe, erwähne ich nur
noch, dass es mir schien, als ob mehrere Nervenzel-
len unter einander durch ihre Fortsätze sich verbin-
297
den. Die Zahl der Nervenzellen ist unbedeutend. Sie
liegen theils an der Seite des Rückenmarkskanals,
oder an der Fissur desselben, mehr oder weniger ent-
fernt von den Epithelialzellen. Die grüsseren Nerven-
zellen betragen 0,012—0,015"", die kleineren 0,004
—0,006"".
Ueber das peripherische Nervensystem,
Von den neueren Beobachtern hat dem peripheri-
schen Nervensystem und der Endigungsweise der
Nerven Marcusen die grüsste Aufmerksamkeit ge-
schenkt, von den älteren Beobachtern Quatrefages.
Dieser Forscher, trotzdem dass seine Beobachtungen
in das Jahr 1845 fallen, hat uns einige hôcht wich-
tige Thatsachen überliefert. Er findet unter Anderem,
dass, nachdem die feinen Nervenäste zuletzt in Pri-
mitivfasern zerfallen sind, sie in ovale Kürperchen
endigen, die er an die Seite der Pacinischen Kôr-
perchen stellt. Ich war nicht wenig überrascht, bei
meiner ersten Untersuchung diese Kürperchen nicht
zu finden. Ich wollte um so mehr über diese An-
gelegenheit ins Reine kommen, weil diese Endi-
gungsweise einerseits von Marcusen geleugnet wird,
andererseits von R. Leukart und A. Pagenste-
cher ‘?) an jungen Exemplaren unstreitig gesehen wor-
den ist. Marcusen erklärt die von Quatrefages ge-
sehenen Endorgane erstens für Kerne, die sich an dem
Orte befinden, wo grüssere Zweige sich in kleinere
theilen; zweitens für schraubenformige Windungen,
die von Nervenästchen gebildet werden. Die Beobach-
tung von Marcusen ist keineswegs falsch zu nennen;
ich kann sie bestätigen, indem ich zuweilen solche
schraubenfôrmige Windungen an Nervenzweigen ge-
sehen habe, noch häufiger aber Kerne an den Thei-
lungspunkten derselben. Diejenigen Endkolben jedoch,
von denen Quatrefages spricht, hat Marcusen
nicht gesehen, und zwar aus dem Grunde, weil sie
sich nur an einer bestimmten Stelle des Kürpers be-
finden. Ich fand sie regelmässig an der Spitze der
Ober- und Unterlippe. Diese Endigungsweise ge-
hôrt nur zum Bereiche des Trigeminus. Sie ist, wie
ich mich überzeugt habe, ausserordentlich leicht nach-
zuweisen. Will man die genannten Endkolben sehen,
so nimmt man am besten Exemplare, die in Owen’-
10) Archiv für Anatomie und Physiologie von J. Müller, 1858,
pag. 561 und 562.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
298
scher Flüssigkeit aufbewahrt waren. Man kann auch
die Spirituspräparate benutzen, nur muss man sie auf
einige Zeit in stark verdünnte Essig-, Schwefel- oder
irgend eine andere Säure legen. Die Endkolben wa-
ren auch in dem Falle gut zu sehen, wenn die Spi-
rituspräparate in schwach verdünnter Schwefelsäure
gekocht waren. Schneidet man aber von der äussersten
Spitze des Kopfes eines auf genannte Weiïse präparirten
Amphioxus ein Stück von etwa 2—3"°" Länge ab, legt
es unter das Mikroskop, so wird man die Endkolben
schwerlich übersehen künnen. Das Bild wird zuweilen
durch auf den Oberlippen sitzendes Epithel verdeckt.
Dasselbe ist aber häufig durch Anwendung der Säu-
ren oder durch Präpariren an einzelnen Stellen ver-
loren gegangen. Grerade an diesen Stellen sieht man
mit ausgezeichneter Klarheit die Theilung der Tri-
geminusäste. Sehr bald, schon bei schwacher Ver-
grüsserung, nimmt man wabr, dass an der letzten
Nerventheilung, besonders am Saume der Lippen,
kleine Pünktchen aufsitzen. Hat man sich bei dieser
Vergrüsserung orientirt, oder falls das Präparat un-
günstig ausgefallen, und man durch das Zerzupfen
und Präpariren mit der Nadel nachgeholfen hat, so
nimmt man eine starke Vergrüsserung. Nun zeigt es
sich, dass die Primitivfasern in eine runde oder ovale
Zelle endigen (Fig. 4). Die Zelle hat eine derbe, scharf
conturirte Hülle. Der Zelleninhalt ist feinkürnig, dunkel
gefärbt. Der Kern ist scharf umschrieben, sein Inhalt
etwas grobkürniger als der Zelleninhalt. Mitunter sieht
man auch ein Zellenkürperchen. Die Breite der End-
zellen beträgt 0,0110"", die Länge 0,0143°", der
Zelleninhalt misst 0,0066"", der Kern 0,0033 —
0,0044"".
Nur ein einziges Mal sah ich wirklich, dass die
Faser in eine solche Zelle überging und sich weiter
fortsetzte, häufig hat es aber bloss den Anschein.
Genauere Erforschungen und stärkere Vergrüsse-
rungen zeigten in diesem Falle, dass es nicht eine Fa-
ser war, die zu der Zelle ging, sondern zwei; die eine
endigte in der Zelle, während die andere unter der-
selben weiter ging.
Die Endzellen sind entweder durch verhältnissmäs-
sig gleiche Zwischenräume von einander getrennt,
oder sie sitzen ziemlich dicht neben einander, zu zwei,
drei oder vier. Sie sind äusserlich, wie ich schon oben
erwähnte, von Epithelialzellen bedeckt, so dass, wenn
299
Bulletin de l’Académie Impériale
300
EEE
dieselben intakt sind, man die Endzellen nicht sehen
kann. Die beschriebene Endigungsweise der Nerven
kann nicht als Gesetz angenommen werden, vielmebr
ist sie, wie wir gesehen haben, auf einen bestimmten
Raum beschränkt, wo der Tastsinn wahrscheinlich
mehr ausgebildet ist, als in der übrigen Oberhaut.
Nun fragt es sich aber, wie endigen denn die übri-
gen zu der Haut gehenden Nerven. Man kann auf der
Oberhaut drei. gesonderte Schichten unterscheiden.
Die äusserste Schicht — die Epithelialschicht — be-
steht aus palissadenfürmig geordneten Cylinderzellen;
die zweite nach unten liegende erscheint gleichfürmig
glashell, doch kann man in derselben eine feine, re-
gelmässige Streifung erkennen.
Die dritte Schicht zeigt viele Nervenstämme und ist
reichlich mit Bindegewebskôrperchen versehen. Diese
sind gross, länglich, zuweilen sternfürmig. Ihr Aussehen
erinnert sebr an die Hornhautkürperchen. Die grüsseren
Nervenstämme sieht man in kleinere, diese in feinere
Zweige und endlich in primitive Fasern zerfallen. In
den mit schwacher Essigsäure behandelten Präpara-
ten habe ich die Primitivfasern sich deutlich theilen
sehen. Jede Primitivfaser war mit einer kernhaltigen
Scheide umgeben. Obgleich die letztgenannte Schicht
im hôüchsten Grade reich mit Nervenfasern versehen
war und ibre Ausbreitungen ein vollkommenes Netz
zu bilden schienen, so sah man dennoch, dass die
Endzweige der Nervenfasern eine Richtung zu der
Peripherie, also in die gestreifte Schicht hinein nah-
men. Von der anderen Seite sah man manche Cylin-
derzelle der äusseren Bedeckung so fest mit ihrer un-
teren Spitze in die gestreifte Haut hinein gewachsen,
dass sie in derselben fest sitzen blieb, auch in dem
Falle, wenn ihre obere Partie abgebrochen war.
Zuweilen, freilich sehr selten, sah ich Cylinderzel-
len mit ihrem unteren, zugespitzten Ende in eine Fa-
ser, die alle Charaktere einer Nervenfaser an sich
trug, übergehen. Auf diese Weise habe ich die Über-
zeugung gewonnen, dass die Nerven der äusseren Be-
deckung in Epithelialzellen endigen.
Übrigens ist schon A. Kowalevsky vor mir zu
derselben Ansicht gekommen. In seiner hôchst inte-
ressanten Arbeit über die Entwickelungsgeschichte
des Amphioxus hat er die Abbildung einer solchen
Endigungsweise gegeben. Ich habe damals in Neapel
seine Präparate gesehen und finde, dass sie naturge-
treu wiedergegeben sind. Jetzt fand ich unter meinen
in Spiritus aufbewahrten Präparaten mehrere 10 —
15°" grosse Exemplare des Amphioxus und unter-
suchte ebenfalls die Endigungsweise der Hautnerven
an ihnen, fand aber in den Lippen nicht jene oben be-
schriebenen, ovalen Nerven-Endorgane. An ihrer
Stelle fand ich etwas vergrüsserte, cylinderfürmige
Epithelialzellen. Diese Beobachtung kônnte Veranlas-
sung geben, die genannten Endapparate für die mor-
phologisch veränderten Epithelialzellen zu halten.
Über die Sinneswerkzeuge lässt sich kaum mehr
mittheilen, als die früheren Beobachter schon gesagt
haben.
Das Auge ist im hüchsten Grade rudimentär. Bei
keinem Wirbelthiere steht es auf einer so niedrigen
Stufe der Entwickelung wie beim Amphioxus. Es war
eine Zeit lang streitig, ob der Amphioxus zwei Augen
habe oder nur eins. Die Frageist allem Anschein nach
dadurch beantwortet worden, dass er zuweilen ein, zu-
weilen zwei Augen hat. Ich habe meistens nur eins ange-
troffen. Es erschien mir als ovaler, quer auf der vorde-
ren Schicht des Gehirns gelegener Pigmentfleck. Kô1-
liker hat ganz Recht, wenn er darauf aufmerksam
macht, dass das in diesem Flecke vorhandene Pig-
ment nicht indigoblau wie im Rückenmarke, sondern
braun sei. Ich kann diese Beobachtung bestätigen.
Doch muss ich noch ein Bedenken aussprechen, da ich
die Sinneswerkzeuge nicht an frischen Thieren unter-
sucht habe. Ich habe nie den Opticusnerv so lang
gesehen, wie er von Külliker und Quatrefages ge-
zeichnet wird. Ferner habe ich nichts gesehen, was
für Krystallkürper gehalten werden künnte. Ob der-
selbe nur in frischem Zustande zu sehen ist, oder ob
die Beobachtung von Quatrefages auf irgend einem
Irrthume beruht, mag künftigen Forschungen vorbe-
halten bleiben.
Doch neige ich mich zu der Ansicht, dass die Linse
gar nicht vorkommt, da auch Leukart und Pagen-
stecher, beide sehr genaue Beobachter, sie nicht
finden konnten.
1ch will noch hinzufügen, dass es mir vorkam, als
ob das Auge, wenn es mit einem Deckglächen bedeckt
war und ich auf dasselbe mit einer Nadel drückte,
in zwei Partien zerfiel. Beide Theile waren nicht von
derselben Grüsse.
Das Riechorgan, welches an lebendigen Exemplaren
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301 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 302
gewôübhnlich durch die Flimmerung der in demselben
sich befindenden Cilien erkannt wird, ist in präparir-
ten Exemplaren viel schwerer zu finden. Diese Schwie-
rigkeit war die Ursache, weshalb Max Schultze die-
ses Organ nicht gesehen hat. Ich fand dieses Organ
oberhalb des Auges in einem auf dem Gehirn sitzenden
Grübchen oder Trichter. In diesem Grübchen habe
ich schmale Cylinderzellen gesehen.
Fassen wir schliesslich die Hauptresultate unserer
Untersuchung zusammen, so sind sie folgende:
1) Das Rückenmark des Amphioxus ist im Wesent-
lichen nach demselben Grundprincip gebaut wie
das aller anderen Wirbelthiere.
2) Dasselbe besitzt keine Anschwellungen, wie man
angenommen hat, sondern ist in allen seinen
Theilen gerade und gleichformig.
3) Die Spinalnerven entspringen auf beiden Seiten-
hälften unsymmetrisch.
4) Sie entspringen abwechselnd, bald auf der vor-
deren seitlichen, bald auf der hinteren seitlichen
Fläche des Rückenmarks in verschiedener Hühe.
5) Im Rückenmarke finden sich Fasern von sehr
verschiedener Dicke.
6) Die dort befindlichen Nervenzellen haben eine
rundiiche, drei- oder mehreckige Form.
7) Alle Nervenzellen hängen mit Nervenfasern zu-
sammen.
8) Der Rückenmarkskanal hat eine runde Gestalt
und ist mit Cylinderzellen ausgelegt.
9) Die hinterste Spitze des Rückenmarks ist faden-
formig und hohl.
10) In dem Kopftheil des Rückenmarks ist eine
Stelle, die als verlängertes Mark angesehen wer-
den kann. Dort finden sich die grüssten Nerven-
zellen, in die sich die breiten Fasern endigen,
und der Rückenmarkskanal ôffnet sich in einen
Ventrikel.
11) Als Gehirn kann hôchstens der um und vor dem
Ventrikel liegende Theil betrachtet werden.
12) Das Auge besteht nur aus einem Haufen von
Pigmentkôrnchen.
13) Die peripherischen Nerven endigen zum Theil
in besonderen bläschenfürmigen Organen (am
Kopfe), zum grüsseren Theil aber in Epithelial-
zellen.
Erklärung der Tafel,
Fig. 1 zeigt das Gehirn À, und das Rückenmark B des
Amphioxus, ungefähr bei 70facher Vergrüsserung.
Der schwarze Punkt im Gehirn stellt das rudi-
mentäre Auge dar. Hinter ihm liegt ein Ventrikel.
Die Nerven, die aus dem Gehirne entspringen, künn-
ten der eine als Trigeminus, der andere als Facia-
lis bezeichnet werden. Im Rückenmarke sieht man
die unsymmetrisch abgehenden Spinalnerven. Die
schwarzen Punkte sind Pigmentzellen.
Fig. 2 stellt einen Querschnitt durch das Rückenmark
dar, mehr als 1000 mal vergrüssert.
a) Eine Nervenwurzel, die von der seitlichen, hin-
teren Fläche des Rückenmarks entspringt.
b) Die hintere Spalte des Rückenmarks.
c) Eine mittelgrosse Nervenzelle.
d) Eine grosse Nervenzelle.
e) Der Rückenmarkskanal. Unterhalb der letzten
vordern, grossen Nervenzellen liegen Pigment-
zellen, die hier als ovale, dunkle Flecken bezeich-
net sind. Die grosse Centralüffnung ist ein durch-
schnittenes Blutgefäss.
f) Durchschnitte der breiten Nervenfasern.
Fig. 3. Das Gehirn; ungefähr 506 mal vergrüssert.
a) Der Nervenstamm (Trigeminus).
b) Das Auge.
c) Der Ventrikel, in den sich der Rückenmarks-
kanal ôffnet. Am Grunde sieht man Epithelial-
zellen.
d) Nervenzellen.
Fig. 4. Endorgane des Trigeminus in der Haut der
Lippen, bei mehr als 1000facher Vergrüsserung.
a) Eine Nervenfaser.
b) Eine Zelle mit einer Membran, Protoplasma, Kern
und Kernkürperchen.
eu
Fig. 5. Nervenzellen nebst Nervenfasern aus dem
Rückenmarke des Amphioxus, bei ungefähr 1300-
facher Vergrôüsserung.
Den 5. September 1865.
303
Bulletin de l’Académie Impériale
304
TS
Einige vorläufige Versuche über das Verhalten
der Pflanzen im Stickoxydulgase, von El
Borsezow, Privat-Docenten an der St. Wladi-
mir-Universität in Kiew. (Lu le 17 octobre 1867.)
Bei seinen Versuchen über den Einfluss der Luft-
verdünnuug, so wie der verschiedenen Gasarten auf
die für Erschütterungen empfindlichen Staubfäden
von Mahonia, Helianthemum vulgare und Berberis,
beobachtete Kabsch'), unter Anderem, dass die
Staubfäden der letzteren Pflanze ihre Reizbarkeit im
Stickoxydulgase vollständig behielten. Da nun die
Beweglichkeit und Reizbarkeit gewisser Organe, ab-
gesehen von dem eigenthümlichen Baue derselben,
überhaupt im nächsten Verhältnisse zu den allgemei-
nen vegetativen Functionen im ganzen pflanzlichen
Organismus stehen, so war es von Interesse zu ermit-
teln, ob und welchen Einfluss das Stickoxydulgas so-
wohl auf grüne, assimilirende Organe, als auch auf
die nicht assimilirenden ausübt. Im Folgenden über-
gebe ich einige von mir in dieser Richtung angestellten
Versuche, welche eigentlich nur als einleitende, qua-
litative Vorprüfungen anzusehen sind.
In erster Linie war alle meine Aufmerksamkeit
darauf gerichtet, müglichst reines stickoxydfreies Gas
zu meinen Experimenten zu gewinnen. Das durch
gelindes Schmelzen des salpetersauren Ammoniaks
dargestellte ist am wenigsten zu solchen Versuchen
geeignet, da bei einer etwas stärkeren Erwärmung
ausser dem Stickoxydul sich auch Stickstoff und Stick-
oxyd entwickeln, und im Falle das gebrauchte Salz
kleine Mengen Chlorammonium enthielt, schliesslich
noch eine Verunreinigung durch Chlorgas entsteht.
Aus diesen Gründen hielt ich es für zweckmässiger
mit demjenigen Stickoxydulgase zu experimentiren,
welches durch Auflüsen des chemisch reinen Zinks in
reiner Salpetersäure von 1, 2 spec. Gew., die, gelegent-
lich, noch mit anderthalbfachem Volum Wasser ver-
dünnt worden ist, gewonnen wurde. Um aber von der
totalen Abwesenheit des Stickoxyds eine vüllige Über-
zeugung zu gewinnen, reinigte ich das entweichende
Gas vor dem Eintreten in den Recipienten mittelst
einer concentrirten Eisenvitriollüsung. Die Erfahrung
zeigte *), dass diese Vorsicht eine durchaus nôüthige
1) Kabsch. Botan. Zeitung. 1862, p. 342 sqq-
2) Bei dem ersten Versuche mit Phaseolus multiflorus ist diese
Reinigung des Gases nicht vorgenommen worden und zwar absicht-
war, da auch beim Gebrauche einer sehr verdünnten
Säure sich dennoch kleine Mengen des positiv schäd-
lichen Stickoxydes bilden, welche auf die Schlusser-
gebnisse der Versuche nachtheilig einwirken künnen.
Als Sperrflüssigkeit gebrauchte ich, da mir leider
die nôthige Menge Quecksilber fehlte, reines Fluss-
wasser. Dies hatte einen doppelten Übelstand in sich.
Erstens wurde eine nicht unbedeutende Menge Gas
vom Wasser absorbirt, wodurch das Füllen des Reci-
pienten ziemlich viel Zeit in Anspruch nahm, und
zweitens war unter solchen Bedingungen eine eudio-
metrische Bestimmung des nach Beendigung der Ver-
suche in dem Recipienten befindlichen Gasgemenges
mit der nôthigen Präcision geradezu unausführbar.
Ausserdem will ich nicht absprechen, dass auch eine,
weun auch gewiss sehr geringe Quantität der im
Sperrwasser enthaltenen atmosphärischen Luft sich
dem Stickoxydulgase beigemengt hat.
Sämmtliche Versuche sind im Freien, auf der Nord-
seite eines Gebäudes vorgenommen worden, wodurch
die schnell auf einander folgenden Schwankungen der
Lufttemperatur beseitigt wurden.
Erster Versuch. Am 14. Juli, um 3 Uhr Nachm.
(Lufttemperatur 29° Cels.) wurde der Gipfel einer
im Freien wachsenden kräftigen Pflanze von Phaseolus
multiflorus unter einen Recipienten, enthaltend 1400
Cub. Centim. Stickoxydul, gemengt mit etwas Stick-
oxyd, eingebracht*). Im Gase befanden sich ein beï-
uahe vollkommen entwickeltes und ein junges Blatt,
beide in Tagesstellung, ferner eine ganz junge Blü-
thenähre, deren säimmtliche Blüthen noch im Knospen-
zustande waren und nur die zwei untersten eine
schwache rothe Färbung ihrer Blumenblätter zeigten.
Nach Verlauf einer Stunde erschienen sämmtliche
Blättchen am Rande etwas gekräuselt, behielten aber
ihre Tagesstellung und veränderten nicht im Minde-
sten ihre grüne Farbe. Die Knospen der Blüthenähre
zeigten auch keine wahrnehmbare Veränderung.
lich, um die Einwirkung einer geringen Beimengung des Stickoxy-
des zu verfolgen. Aus dem Folgenden wird man einsehen, dass die Re-
sultate dabei ganz anders ausfallen, als beim Gebrauche des reinen
Stickoxyduls.
3) Da alle Pflanzentheile, wegen der absorbirenden Eigenschaft
ihrer Gewebemassen, an der Oberfläche gewôhnlich von einer sebr
dünnen Lufthülle umgeben sind und diese letztere eine Diffusion des
Gases aus dem Recipienten veranlassen kônnte, so wurde, um diesem
storenden Umstande vorzubeugen, der Gipfel durch langsames Be-
wegen im Wasser von der anhaftenden Luft befreit und darauf in
den Recipieuten eingebracht.
305
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
306
Dieser Zustand dauerte etwa eine halbe Stunde.
Darauf kräuselten sich die Blättchen immer mehr und
mehr und um 5 Uhr 30’ (Temperatur 26° Cels.) wa-
ren sie schon beinahe vôüllig zusammengerollt. Dabei
änderten sie die Farbe in ein schmutziges Grün und
sahen nun wie vertrocknet aus. Vor und während
des Eintretens dieser Veränderungen transpirirten die
Blätter auflallend stark — eine Erscheinung, welche
ich im reinen Stickoxydul niemals in solchem Grade
wahrnehmen konnte. Merkwürdigerweise blieben däbeï
säimmtliche bewegliche Stielpolster ebenso gespannt
wie vorher, wodurch auch in der Stellung der Blätter
keine Veränderung eintrat. Die Blüthenknospen wur-
den zu derselben Zeit ebenfalls missfarbig, das schüne
Roth der Blumenblätter in den beiden unteren Blü-
then bräunlich.
Um 7 Uhr 30° Abends (Temperatur 20° Cels.)
zeigten die Blättchen und Blüthenknospen keine wei-
teren Veränderungen; dagegen verloren jetzt die be-
weglichen Stielpolster ihre frühere Spannung gänzlich
und waren sammt den abgestorbenen Blättern herab-
hängend.
Sämmtliche eben besprochene Erscheinungen wur-
den von einer Verminderung des Gasvolums begleitet.
Diese betrug jedoch in 4°, Stunden, d. h. vom Anfange
des Versuches bis zum vülligen Absterben der Blätter
und der Stielpolster, nur etwa 45 Cub. Cent., oder
3,2%.
Am anderen Morgen (4. 15. Juli) untersuchte ich
näher diejenigen elementaren Veränderungen, welche
im Blattgewebe stattgefunden hatten und welche, wie
aus folgenden Versuchen ersichtlich wird, nur in
der Beimengung des positiv schädlichen Stickoxydes
zum Stickoxydul ihren Grund haben konnten.
Was das Âussere anbelangt, so sahen sowohl die
abgestorbenen Blätter als auch die Stielpolster solchen
äusserst ähnlich, welche durch eine allzu hohe oder
allzu niedrige Temperatur beschädigt worden sind.
Das Gewebe war nämli#h, wenn benetzt, bedeutend
durchscheinender als bei lebenden Organen. Es ver-
trocknete ungemein rasch an der Luft und wurde dann
rauh und dürre. Dabei riss es mit der grüssten Leich-
tigkeit, war aber nicht brücklich. Die vergleichende
mikroskopische Prüfung des Gewebes in einem beschä-
digten und einem ganz frischen Blatte zeigte im erste-
ren eine vollständige Ablüsung des Plasmas von der
Tome XII.
Cellulosewand, ferner eine totale Umwandlung der
Chlorophyllkôürner in eine grünlich-gelbliche wolkige
Masse. Mittelst Jod ist in dem, auf diese Weise ver-
änderten Chlorophyll keine Spur Stärke mehr nachzu-
weisen, wWährend im Chlorophyll frischer Blätter die
blaue Jodreaction deutlich auftritt.
Es frägt sich nun, woher dieses rasche, vüllige Ver-
schwinden der Stärke aus der Chlorophyllsubstanz be-
schädigter Blätter? Meiner Ansicht nach sind hier
zwei Fälle môglich. Entweder konnte, unter angege-
benen Verhältnissen, eine direkte chemische Verände-
rung der vorhandenen Stärke stattfinden und zwar
durch das beigemengte Stickstoffoxyd, welches in Be-
rührung mit dem im Sperrwasser enthaltenen, übri-
geus sehr geringen Quantum atmosphärischer Luft
môglicherweise salpetrige Säure bildete und auf diese
Weise Zersetzung der Stärke herbeiführte; oder aber
es wurde der im Blattparenchym enthaltene Stärkevor-
rath, mit dem raschen Aufhüren des Assimilations-
processes in den Blättern, zu Gunsten der am näch-
sten liegenden Pflanzentheile verbraucht. Das Letztere
wird wohl das Wahrscheinlichere sein. Ich müchte
sogar annehmen, dass die spät auftretende Erschlaffung
der beweglichen Stielpolster, nämlich 3 Stunden nach
dem Eintreten der ersten Symptome der Beschädigung
in den Blättern, nur dadurch bedingt worden ist, dass
sogleichnach dem Aufhüren des Assimilationsprocesses,
das im Blatte vorräthig gewesene Stärkequantum in
diese Theile übertragen wurde. Deswegen widerstan-
den dieselben der Einwirkung des schädlichen Me-
diums länger als die Blätter selbst, welche sowohl das
eigene Gewebe, als auch alle übrigen in der Pflanze
mit dem unenthehrlichen organischen Material verse-
ben. Zwar enthält das Parenchym der Stielpolster
auch Chlorophyll und ist jedenfalls, wie überhaupt
alle grünen Pflanzentheile, assimilationsfähig. Indessen
ist diese Assimilationsfähigkeit im grünen Parenchym
der Stielpolster gewiss eine bedeutend weniger aus-
giebige als in den Blättern, schon aus dem Grunde,
weil in den letzteren das grüne Gewebe das vorwie-
gende ist, während es in den Stielpolstern einen viel
geringeren Theil des gesammten Gewebes ausmacht.
Unter solchen Verhältnissen müssten die Stielpolster,
ceteris paribus, aber ohne Zuthun des aus den Blättern
stammenden Materials, der Einwirkung des schädli-
chen Mediums viel früher unterliegen, als die Blätter
20
307
Bulletin de l’Académie Impériale
308
— ———@—ZZZEEE
selbst, was aber, wie wir gesehen haben, nicht der
Fall ist.
Zweiter Versuch“). Mit Urtica urens.
Am 15. Juli, um 6 Uhr Nachmittags wurde ein
gesunder Zweig von Ürtica urens sammt zwei voll-
kommen entwickelten Blüthen und vielen Blüthen-
knospen in 350 Cub. Cent. reinen Stickoxydulgases
eingebracht.
Nach dreistündigem Aufenhalte im Gase (um 9 Uhr
Abends) konnte ich an der Pflanze durchaus keine
Veränderungen wahrnehmen; sie war ebenso frisch,
9
wie vorher. Der Verbrauch des Gases betrug in 3
Stunden etwa 30 Cub. Cent.
16. Juli, Morgens um 7 Uhr. Keine merkliche
Veränderung weder in der Stellung der Blätter, noch
in ibrer Farbe. Es brechen mehrere neue Blüthen-
knospen auf. Die Verminderung des Gasvolums wäh-
rend der Nacht (von 9 Uhr Abends bis 7 Uhr früh)
beträgt 75 Cub. Cent. Das übriggebliebene Gas ist
mit CO, gemengt.
Nach 8°, Stunden (3 Uhr 30° Nachm.) erscheinen
die am Morgen aufgebrochenen Blüthen vollständig
entwickelt. Dem änsseren Aussehen nach ist die
Pflanze keineswegs von den im Freien wachsenden zu
unterscheiden.
Nun unterwarf ich einer mikroskopischen Prüfung
zunächst die protoplasmareichen Brennhaare und
darauf das grüne Gewebe der Blätter und des Rin-
denparenchyms. In den ersteren zeigte das farblose
Plasma eine sehr lebhafte Bewegung, welche also
selbst durch den 22-stündigen Aufenthalt im Stick-
oxydulgase nicht beeinträchtigt wurde. Was die Chlo-
rophyllkürner der grünen Theiïle anbelangt, so war
weder ihre Form, noch ihre Farbe verändert und
enthielten dieselben deutliche Stärkekôrner.
Dritter Versuch. Blüthen von Phaseolus multi-
florus.
Am 14. Juli, 6 Uhr Nachm. (Temp. 22,5° Cels.)
wurde die Blüthenähre einer im Freien wachsenden
Phaseolus-Pflanze in 1200 Cub. Centim. reinen Stick-
4 Bei diesem und dem nächstfolgenden Versuche wurde ganz
reines Stickoxydulgas angewendet.
oxyduls eingebracht”). Die Blüthenähre hatte zwei
ganz junge Früchte, zwei vollkommen geüffnete Blü-
then, ferner drei solche Blüthen, welche zum Aufbre-
chen am folgenden Tage bereits fertig waren; die
übrigen Blüthen im Zustande mehr oder weniger ent-
wickelter Knospen.
Um 7 Uhr 30° Morgens des anderen Tages konnte
keine Veränderung im Aussehen der Blüthen wahrge-
nommen werden. Sämmtliche Blüthen und Blüthen-
knospen derselben waren ebenso frisch wie die daneben
im Freien sich entwickelnden. Auch üffneten sich die
dreiunteren Blüthen gegen die Mittagsstunde vollstän-
dig und zwar gleichzeitig mit solchen der im Freien
vegetirenden Pflanzen, welche ïhrem Entwickelungs-
stadium nach mit denselben als gleichwerthige angese-
hen werden konnten.
In diesem Zustande blieb die Blüthenähre während
des ganzen Tages, und um 7 Uhr Morgens d. 16. Juli
ôffnete sich noch eine Blüthe, und zwei der vorhande-
nen Blüthenknospen schienen bereits fertig zum Auf-
blühen. Bei weiterer Betrachtung zeigten nun sowohl
die zuletzt entfaltete Blüthe, als auch die beiden Knospen
einen merklichen Unterschied von den im Freien ste-
henden. Alle Theile der im Stickoxydul befindlichen
Organe hatten kleinere Dimensionen. Ausserdem aber
entfalteten sich die beiden erwähnten Blüthenknospen
ungemein langsam, so dass während eben solche im
Freien sich schon gegen Mittag desselben Tages zu
wohlgestaltenen Blüthen vollkommen ausbildeten, die
im Recipienten befindlichen nur eine geringe Diver-
genz ihrer alae zeigten. Die schüne Färbung und das
frische Aussehen blieben dabei ohne Veränderung.
Die Blüthenstiele schienen auch nicht im Mindesten
angegriffen zu sein; sie behielten ihre frühere grüne
Farbe und die ihnen unter normalen Verhältnissen
zukommende Gewebespannung vollständig.
Am 17. Juli, 7 Uhr 30° Morg. blieben alle Blüthen-
organe der Âhre in demselben Stadium wie am vor-
hergehenden Tag und zeigten keine Spur einer weiteren
Entwickelung. Das Überraschendste aber war, dass
sämmtliche Blüthen, so wie auch die jungen Früchte,
bei einer zufälligen, geringen Erschütterung des ge-
5) Das der Blüthenähre zunächst ansitzende Blatt wurde ausser-
halb des Recipienten gelassen, befand sich also, was den Assimila-
tionsvorgang anbetrifit, unter normalen Verhältnissen.
309
meinschaftlichen Blüthenstieles von ihren Blüthen-
stielchen sich loslüsten. Auffallender Weise hatten sie
dabei an ihrem frischen Aussehen und an ihrer Füär-
bung durchaus Nichts eingebüsst.
Während des Versuchs, welcher im Ganzen 61
Stunden dauerte, betrug die Verminderung des Gas-
volums im Recipienten 630 Cub. Cent. Als nun in
das im Recipienten befindliche, zurückgebliebene Gas-
quantum ein kleines Gefäss mit vollständig klarem
Barytwasser cingeführt wurde, so entstand eine Trü-
bung und alsbald auch ein Absatz von kohlensaurem
Baryt, welcher die Anwesenheit einer nicht unbedeu-
tender Menge CO, ankündigte. Die Menge des letz-
teren entsprach übrigens nicht der Menge des ver-
brauchten Stickoxyduls, sondern war viel geringer —
eine Erscheinung, die nicht befremden wird, wenn wir
die seit Saussure schon bekannten Thatsachen be-
rücksichtigen wollen, dass Blüthen und besonders
unterirdische chlorophyllfreie Organe, ferner auch
keimende, insbesondere fettreiche Saamen, in einem
begrenzten Raume mit atmosphärischer Luft einge-
sperrt, derselben eine weit grüssere Menge Sauerstoff
entziehen, als Kohlensäure abgeben. Da aber manche
Eigenschaften des Stickoxyduls denen des Sauerstoffs
nicht unähnlich sind (z. B. Befôrderung der Verbren-
nung glühender Kôürper, Beforderung des Athmungs-
processes der Thiere innerhalb gewisser Grenzen,
Erhaltung lebhafter Protoplasmabewegungen), so ist
es einstweilen denkbar, dass auch das Verhalten der
Blüthenorgane im Stickoxydul dem Verhalten dersel-
ben im atmosphärischen Sauerstoff so ziemlich nahe
steht. Weitere, quantitative Versuche, welche ich
nicht versäumen werde anzustellen, werden die Rich-
tigkeit meiner jetzigen Behauptung entweder unter-
stützen, oder dieselbe als unhaltbar erweisen.
Die Verminderung des Gasvolums im Recipienten
während der täglichen und nächtlichen Perioden
wird aus folgender kleinen Tabelle ersichtlich:
Tagesstun den. Vermind. d.
Gasvolums.
15. Juli. 7% 30‘ Morg. — 3*30° N.M. 75 C.C.
(8 Stunden.)
16. Juli. 7* früh. 3 DEN EM UE 20) 0 »
(8!/, Stunden.)
Im Ganzen in 167, St. 155 C. C.
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
RSR 7 Code ME RR RRRE d ne n n d _ ‘_:iems
310
Vermind. d.
Nachtstunden.
Gasvolums.
14. Juli.,6*—.9" Ab; TOCAC.
(3 Stunden.)
" 9% —_ 7# 30/ früh. 175 »
(10!/, Stunden.)
15. Juli. 3% 30° N. M. — 74 früh. 130 »
(151/, Stunden.)
16. Juli. 3* 30° N. M. — 7* früh. 100 »
(15!/, Stunden.)
Im Ganzen in 44", St. 475 C. C.
Man wird bemerken, dass die absoluten Quanta des
von den Blüthenorganen verbrauchten Gases, sowohl
in den täglichen als auch in den nächtlichen Perioden,
innerhalb eines und desselben Zeitraumes, nahezu die-
selben sind. Denn während die Blüthenorgane im
Verlauf der beiden täglichen Perioden (zusammen
16", Stund.) 155 Cub. Cent. Gas verbrauchten, ver-
brauchten sie etwas mehr als das Dreifache davon,
namentlich 475 Cub. Cent., während des ebenfalls
beinahe dreimal längeren Zeitraumes (44'/, Stunden)
der drei nächtlichen Perioden. Die Beleuchtung und
die Temperatur, welche letztere übrigens auch in der
Nacht nicht unter 18° Cels. war, scheinen also nur
einen sehr geringen Einfluss auf die Aufnahme des
Gases zu haben. — Dagegen ist der bemerkenswerthe
Umstand hervorzuheben, dass die Blüthenorgane in
der ersten nächtlichen Periode, welche nur 13/, Stun-
den dauerte, mehr Gas (245 Cub. Cent.) aufgenommen
haben, als in den beiden nachfolgenden, deren Zeit-
raum Zzusammengenommen über zweimal so lange
dauerte. Wahrscheïnlich liegt der Grund dieser Er-
scheinung, so wie überhaupt der nicht unbedeutenden
Verminderung der Gasaufnahme in der zweiten und
dritten Nacht darin, dass während der ersten Stun-
den des Aufenthaltes im Gase noch sehr wenig CO;
gebildet wurde und die Blüthenorgane sich in einem
gesättigten Gasmedium befanden. Später als das Stick-
oxydul schon mit CO, verdünnt wurde, ging die Auf-
nahme bedeutend langsamer vor sich. De Saussure°)
macht auf dasselbe Verhalten von Blüthen aufmerk-
sam, wenn dieselben in ein begrenztes Volum atmo-
spärischer Luft eingetragen werden. Diese verbrau-
chen im Anfange ebenfalls viel bedeutendere Mengen
6) Ann. de Chimie et de Physique. 1822. T. XXI, p. 279.
20*
BI
Sauerstoff, als zuletzt, wo die Luft mit CO, schon
geschwängert ist.
Die eben mitgetheilten Thatsachen führen mich
einstweilen zu folgenden Schlüssen über das Verhalten
des Stickoxyduls zu den sowohl assimilirenden, als
auch nicht assimilirenden Organen der Pflanzen:
1) Reines Stickoxydul ist an und für sich für die
genannten Organe nicht schädlich.
2) Wenn solche Ercheinungen eintreten, wie das
plützliche Abfallen der dem äusseren Aussehen nach
vollkommen frischen Blüthen und Blüthenknospen
und zwar erst nach dreitägigem Aufenthalte im Gase,
so sind diese Erscheinungen hüchst wahrscheinlich
nur als Folgen seines unverdünnten Zustandes anzu-
sehen und entsprechen ähnlichen, im Sauerstoff ein-
tretenden Erscheinungen (so z. B. den vollkommenen
Starrezuständen der Staubfiden von Berberis, welche
Kabsch bei lingerem Aufenthalte im reinen Sauerstoff
beobachtete).
3) Die Blüthenorgane scheinen eine weit grüssere
Menge Stickoxydul zu verbrauchen, als sie Kohlen-
säure ausgeben. (In einem begrenzten Gasvolum.)
4) Beleuchtung und geringe Schwankungen der
Temperatur scheinen keinen merklichen Einfluss auf
die Menge des innerhalb einer bestimmten Zeit auf-
genommenen (Grases zu haben.
5) In den ersten Stunden nehmen die Blüthenorgane
bedeutend grüssere Mengen des Gases auf, als in den
nachfolgenden.
Kalaidowka, im Juli 1867.
L'influence des chlorures de potassium et de so-
dium sur labsorption du fer métallique par
lorganisme animal et sur l’excrétion du fer.
Par le Dr. Woronichin. (Lu le 3 octobre 1867.)
Les expériences de M. le Prof. Zabeline ayant
démontré que la présence du chlorure de sodium dans
les aliments augmente la quantité de fer métallique
absorbée par l’organisme animal, je me suis proposé
de rechercher, s’il existe sous ce rapport une diffé-
rence entre le chlorure de sodium et le chlorure de
potassium. J’ai fait une série d'expériences sur des
chiens, et je présente ici l’exposé succinct de la méthode
de l’expérimentation et le résultat final auquel je suis
parvenu.
Bulletin de l’Académie Impériale
312
Les chiens out été nourris avec la caséine et l’eau
distillée; ils recevaient en outre chaque jour 0,200
grm. de fer métallique, qui a été administré pendant
un certain nombre de jours avec le chlorure de so-
dium, puis avec le chlorure de potassium, après cela
de nouveau avec le chlorure de sodium et ainsi de
suite périodiquement. Les analyses de matières fécales
et de l’urine excrétées pendant ces périodes ont montré:
1° que la quantité de fer absorbée par l'organisme
sous l’influence de chlorure de sodium était plus grande
que la quantité absorbée sous l'influence de chlorure
de potassium; 2° que la quantité de fer excrétée par
l'organisme était plus grande dans le cas de la pré-
sence de chlorure de potassium dans les aliments, que
dans le cas de la présence de chlorure de sodium.
Pour déterminer si l'augmentation de fer excrété
dépend seulement de la portion du fer introduit dans
l'estomac, qui n’a pas été absorbée, ou qu'il se fait
aussi aux dépens du fer contenu déjà dans l’organisme
animal comme sa partie constituante, nous avons fait
l'expérience suivante. Nous avons pris trois chiens et
nous avons administré à chacun d’eux une même quan-
tité de caséine et d’eau distillée qui ne contenaient pas
de traces de fer; outre cela un des chiens soumis à
l'expérience recevait chaque jour une quantité déter-
minée de chlorure de sodium et les deux autres une
quantité équivalente de chlorure de potassium. Après
un certain temps nous avons trouvé, par l’analyse des
excréments et de l’urine, que la quantité de fer excré-
tée sous l'influence de chlorure de potassium était au
moins deux fois plus grande que la quantité du même
métal excrétée sous l'influence de chlorure de sodium.
Enfin on a pris trois chiens, on a déterminé la qua-
lité de fer contenue dans le sang de chacun d’eux, on
les a privé ensuite de tout aliment, et pendant le temps
de ce jeûne on administrait chaque jour à un des
chiens une quantité déterminée de chlorure de sodium
et aux deux autres une quantité équivalente de chlo-
rure de potassium; au bout de quelques jours on a ana-
lysé le sang de ces chiens, et on a trouvé que le sang
de ceux d’entre eux qui recevaient le chlorure de po-
tassium a perdu plus de fer que le sang du chien qui
recevait le chlorure de sodium. Par conséquent il
nous paraît évident que le chlorure de potassium, en
stimulant l’absorption du fer métallique par l’orga-
nisme, comme le fait le chlorure de sodium, en aug-
313
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
314
—————_—_—_—_—_—___—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_ZUZUZUZUZUZEZEZ
mente, en même temps l’excrétion aux dépens de la
quantité de ce métal contenue dans le sang de la-
nimal.
Les expériences ont été faites dans le laboratoire
pharmacologique de M. le Prof. Zabeline.
Bemerkungen über die Eidechsengattung Scap-
teira Fitz. von Dr. A. Strauch. (Lu le 31 octobre
1867.)
Die Gattung Scapteira, von Fitzinger im Wiener
Museum aufgestellt, von Wiegmann ‘) jedoch zuerst
charakterisirt, gehôrt in die Tribus der coelodonten
Lacertiden und zwar in diejenige Gruppe dieser Tri-
bus, welche Duméril und Bibron”) wegen der an
der Unterseite mit gekielten Schildern besetzten oder
an den Rändern gefranzten Zehen Pristidactylia genannt
haben. In ihren Organisationsverhältnissen stimmt die-
se Gattung vollkommen mit der Gattung Æremias über-
ein und unterscheidet sich von derselben nur durch
die Bildung der Zehen; bei Eremias sind nämlich die
Zehen rund oder leicht comprimirt, am Seitenrande
ganz, d. h. nicht gefranzt, und zeigen an der Unter-
seite gekielte Schildchen, bei Scapteira dagegen er-
scheinen die Zehen breit und flachgedrückt, an den
Seiten gefranzt und besitzen an der Unterseite glatte,
d. h. nicht gekielte Schildchen.
Die typische und lange Zeit hindurch einzige Art
der Gattung Scapteira, die Lacerta grammica Licht.”),
besitzt nun in der That auffallend breite und flachge-
drückte Zehen, die einigermaassen an die Zehen von
Scincus officinalis Laur. erinnern, und es liess sich da-
her gegen die Abtrennung dieser Eidechsenart von
den ihr so nahe verwandten Æremias-Species und ge-
gen ihre Erhebung zum Typus einer besonderen Gat-
tung kaum etwas einwenden.
Ganz neuerdings hat jedoch Hr. Barboza du Bo-
cage‘) eine Eidechse aus Mossamedes in West-Afrika,
1) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 9.
2) Duméril et Bibron. Erpétologie générale V p. 250.
3) Lichtenstein in Eversmann’s Reise von Orenburg nach
Buchara p. 140.
4) Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 225. — Hr. Barboza
schreibt Scapateira, obgleich der Name vom griechischen Worte cxat-
<ne, Gräber, abgeleitet ist; wahrscheinlich wird diese irrige Form
wohl eben s0 auf einem Schreib- oder Druckfehler beruhen, wie
die Form Scrapteira, deren Gray sich mit Consequenz in seinem Ca-
talogue of Lizards bedient.
Scapteira (?) reticulata, beschrieben, die in allen Haupt-
merkmalen zwar vollkommen mit Scapteira überein-
stimmt, deren Zehen aber, besonders an den Vorder-
extremitäten, nicht ganz deutlich flachgedrückt sind,
wesshalb Barboza diese Art auch fraglich zu Scap-
teira rechnet. Mir scheint es nun keineswegs fraglich,
dass die beschriebene Eidechse wirklich zu der in
Rede stehenden Gattung gestellt werden muss, denn
unmôglich kann doch auf einen so geringfügigen Cha-
rakter, wie die weniger deutliche Abflachung der Ze-
hen und den, hier ganz unwesentlichen Mangel des
Occipitalschildes, den Barboza gleichfalls hervor-
hebt, eine besondere Gattung gegründet werden. Ich
werde in meiner Ansicht, dass Scapteira reticulata wirk-
lich zur Gattung Scapteira gehôrt, noch um so mehr
bestärkt, als ich mich an einer noch unbeschriebenen
Eidechsenart unserer akademischen Sammlung, die
ich weiter unten als Scapteira cuncirostris beschreiben
werde, überzeugt habe, dass die Abflachung und Er-
weiterung der Zehen bei Scapteira grammica Licht.
zwar ein sehr werthvolles specifisches Merkmal ab-
giebt, aber keineswegs den Werth eines generischen
Charakters vindicirt erbalten kann. Diese Scapteira
cuneirostris, die dem Museum vom Flügeladjutanten
Seiner Majestät, Hrn. Flott-Capitain von Birilew,
zum Geschenk dargebracht worden ist, gehürt näm-
lich allen ihren Merkmalen nach zur Gattung Scap-
teira, ja stimmt sogar in der Färbung und Zeichnung
auffallend mit Scapteira grammica Licht. überein,
besitzt aber Zehen, die zwar an den Seiten gefranzt
und an der Unterseite mit glatten, nicht gekielten Schil-
dern besetzt sind, die sich aber in der Form absolut
nicht von denen der Æremias-Arten unterscheiden
lassen.
Aus dem eben Gesagten geht nun hervor, dass die
Erweiterung und Abflachung der Zehen nicht mehr
unter die Gattungsmerkmale von Scapteira gezählt
werden kann, und dass sich also diese Gattung von
Lremias nur noch durch die seitliche Befranzung der
Zehen und durch die glatten, ungekielten Scutella hy-
podactylia unterscheidet. Trotz dieser etwas precai-
ren Unterscheidungsmerkmale würde ich doch nicht
anstehen, die generische Selbstständigkeit der Gat-
tung Scapleira anzuerkennen, wenn mir nicht noch
eine andere, gleichfalls neue Eidechsenart vorläge, die
in der Zehenbekleidung absolut die Mitte zwischen der
315
Bulletin de l’Académie Empériale
316
genannten Gattung und Æremias hält. Diese überaus
fein und zierlich gebaute Eidechse, die ich als Scap-
teira scripta beschreiben werde, und von welcher un-
ser akademisches Museum mehrere aus den aralo-cas-
pischen Steppen und aus der Umgegend des Balchasch-
Sees stammende Exemplare besitzt, stimmt hinsicht-
lich der Hypodactyl-Schilder, die deutlich gekielt sind,
mit Æremias überein, zeigt aber zugleich an den Zehen-
rändern deutliche Franzen, die jedoch, besonders an
den Vorderextremitäten, etwas weniger stark entwik-
kelt sind, wie bei den Scapteira-Arten.
Bei so bewandten Umständen giebt es nun nur zwei
Auswege, entweder man erhebt die Scapteira scripta
zum Typus einer besonderen, zwischen Scapteira und
Eremias zu stellenden Gattung, oder aber man verei-
nigt die beiden genannten Gattungen in eine einzige
und legt jeder von ihnen nur den Werth einer Unter-
gattung oder Section bei.
Ich für meine Person wähle entschieden den zwei-
ten Ausweg und schlage, um Missverständnisse zu ver-
meiden, vor, die vereinigten Gattungen Scapteira und
Eremias mit dem alten, im Laufe der Zeit verworfe-
nen Wagler’schen Gattungsnamen Podarces zu be-
legen.
Die Gattung Podarcis (oder richtiger Podarces, von
roÿagxns schnellfüssig) stellte Wagler *) im Jahre
1830 auf und charakterisirte sie folgendermaassen:
«Nares in apice canthi rostralis intra suturas trium scu-
tellorum supra primum scutum labiale; tempora Zo-
otocae, reliqua Lacertae; collare.» Diese Diagnose lehrt
nun auf das Entschiedenste, dass er nur die gegen-
wärtig als Æremias und Scapteira unterschiedenen Ei-
dechsenarten im Auge gehabt hat, und er führt auch
unter den Arten seiner neuen Gattung die Lacerta ve-
lox Pallas und die Lacerta grammica Lichtenst.,
also eine Æyemias und eine Scapteira auf. Ausserdem
zieht er aber auch den Seps muralis Laurenti, der
bekanntlich in die (attung Lacerta gehôrt, und die
Lacerta boskiana Daudin, eine Art der Gattung Acan-
thodactylus dazu, ohne Zweifel weil er diese beiden Ar-
ten, bei denen das Nasenloch nicht die in der Diagnose
angesebene Lage einnimmt, nie gesehen oder auch
verkannt hat: da er aber den Seps muralis Laurenti
an die Spitze seiner Podarces-Arten stellt, so haben
5) Wagler. Natürliches System der Amphibien p. 155.
sich sowohl Wiegmann!), als auch Fitzinger”) ver-
anlasst gesehen, den Namen Podarces nur auf diese
eine, von den übrigen sehr abweichende Art zu be-
ziehen, ein Verfahren, das auf keine Weise gebilligt
werden kann, da bei dem Seps muralis Laurenti das
Nasenloch nur in einem einzigen Schilde und dabeï
unterhalb des Canthus rostralis gelegen ist und folg-
lich diese Art keineswegs die in der Wagler’schen
Gattungsdiagnose angegebenen Merkmale an sich trägt.
Wie dem nun auch sei, gegenwärtig, wo man überein-
gekommen ist, die Podarces muralis mit den Arten
der Gattung Lacerta zu vereinigen oder, wie Gray
es thut, zu der unhaltbaren Gattung Zootoca zu rech-
nen, ist der Name Podarces wieder frei geworden, und
ich sehe daher kein Hinderniss, denselben von Neuem
in Anwendung zu bringen, zumal ich ihn gerade auf
die Gattung beziehe, für welche er laut Charakteristik
auch ursprünglich creirt war.
Es würde somit die Gruppe der Pristidactylia, wie
die beistehende Tabelle lehrt, gegenwärtig in folgende
7 Gattungen getheilt werden müssen:
Das Nasenloch liegt
TI) in einem einzigem Schilde. Psammodromus. Fitz.
Il) zwischen mehreren Schildern und zwar
A) zwischen zwei, die beide Nasorostralia
sind. Die Augenlider
1)ffehlen "APE re
2) sind vorhanden ...
B) zwischen drei. Das Halsband
a) fehlt. Schenkelporen
1) sind vorhanden. Die Zehen ganzran-
dig, aber unten mit gekielten Schil-
dern gedeckt. . . . Ichnotropis. Peters”).
2) fehlen. Die Zehen am Rande gezäh-
nelt, aber unten mit glatten Schil-
dern gedeckt . . Pachyrhynchus. Barb.”).
b) ist vorhanden. Die das Nasenloch um-
gebenden Schilder sind
«) ein Supralabiale, ein Nasofrenale und
ein Nasorostrale.. Acanthodactylus. Fitz.
B)zwei Nasofrenalia und ein Nasoro-
strale Podarces. Wagler.
Ophiops. Ménétr.
Cabrita. Gray.
6) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 9.
7) Fitzinger. Systema Reptilium p. 20.
8) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte. 1855. I. p. 46.
9) Annals and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 226.
317
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
31S
Die letzte der obigen 7 Gattungen, Podarces, kann,
wie schon oben bemerkt, je nachdem die Zehen an den
Seiten gefranzt, oder ganzrandig sind, in zwei Unter-
gattungen, Scapicira und Eremias getheilt werden.
Nach obiger Auseinandersetzung gehe ich zur Be-
sprechung der 4 gegenwärtig bekannten Arten aus
der Untergattung Scapteira über, von denen ich jedoch
hier nur die Scapteira cuneirostris ausführlich beschrei-
ben werde; von den 3 anderen werde ich nur eine
kurze Diagnose geben und behalte mir die ausführli-
che Beschreibung der anderen neuen Art, der Scap-
teira scripta, für eine spätere Abhandlung vor.
Diese 4 Arten unterscheiden sich von einander, wie
folet :
Das mittlere grosse Subocularschild erreicht
1) den freien Lippenrand nicht, sondern stützt
sich auf 2 Oberlippenschilder. Die Schnauze
ist
a) kegelférmig; die Oberlippenschilder säimmt-
HCDEE DEN EEE PEU EL PLS S)e tee grammica.
b) keilfrmig; von den Oberlippenschildern
sind die 5 vordersten dachformig erho-
ben cuneirostris.
2) den freien Lippenrand, indem es zwischen
2 Oberlippenschilder eingeschaltet ist. Die
Bauchschilder sind sowohl in quere, als auch
&) in gerade Reiïhen, d. h. Längsreihen an-
SeGrAne by ELU. UE AM EEE, reticulata.
$) in schräge Reïhen angeordnet. . ..... scripla.
ME CP OMLOT EL 60 FC CC IORES PORC ROC ILE PEON CNET EE
1. Podarces (Scapteira) grammiea Licht.
Lacerta grammica Licht. in Eversmann’s Reise von
Orenburg nach Buchara p. 140.
Lacerta grammica part. Lichtenstein. Verzeichniss
der Doubletten des Berliner Zoologischen Mu-
seums, p. 100.
Scapteira grammica D. et B. Erpétol. génér. V p. 283
pl. LIV f. 1.
Scapteira grammica Gray. Catal. of Lizards p. 39.
Se. rostro conico; scutellis supralabialibus omnibus
planis, scutello suboculari medio supra duo scutella
supralabialia posito; digitis dilatatis deplanatisque,
hypodactyliis ecarinatis ; poris femoralibus utrinque
15— 19.
Habitat in Nubia, in regionibus aralo-caspicis et in
deserto Kirgisorum.
Die Verfasser der Erpétologie générale, welche
diese Art ausführlich beschrieben haben, bemerken,
dass Lichtenstein sie in seinem Doublettenverzeich-
niss mit Acanthodactylus scutellatus Audouin zusam-
mengeworfen babe, da er die Zahl der Bauchschilder,
die in einer Querreihe stehen, auf 14—20 angiebt
uud das Halsband bald als deutlich, bald als obsolet
beschreibt. Ich kann dieser Ansicht nur beistimmen,
da ich an allen mir vorliegenden 9 Exemplaren unse-
rer Sammlung, die zum Theil von Dr. Lehmann aufden
Flugsandhügeln bei Karakuga, zum Theil von Dr. A. v.
Schrenckim Flugsande amIli-Fluss und am Balchasch-
See gesammelt worden sind, stets ein sehr deutliches,
überall freies Halsband gefunden und nie mehr und
nie weniger als 20 Schilder in einer, die Mitte des
Bauches einnehmenden, längsten Querreihe gezählt
habe. Da es somit keinem Zweifel unterliegt, dass die-
jenigen der von Lichtenstein untersuchten Exem-
plare, bei denen das Halsband undeutlich war und die
Zahl der Bauchschilder in einer Querreihe sich auf 14
belief, zu Acanthodactylus scutellatus Audouin gerech-
net werden müssen, und die eben genannte Art in
Aegypten einheimisch ist, so habe ich unter den Fund-
orten nach dem Beispiele von Duméril und Bibron
Aegypten, das von Lichtenstein neben Nubien und
dem etwas vagen Tataria angegeben wird, bis auf Wei-
teres fortgelassen.
2. Podarces (Scapteira) euneirostris n. Sp.
Sc. rostro cuneiformi; scutellis supralabialibus utrin-
que 5 anterioribus acute tectiformibus, reliquis pla-
nis: scutello suboculari medio supra duo scutella su-
pralabialia posito; digitis leviter compressis; hypoda-
ctyliis ecarinatis; poris femoralibus utrinque 19— 21.
Habitat in Africa australi?
Diese neue Art unterscheidet sich von Scapteira
grammica Licht., mit welcher sie hinsichtlich der La-
ge des mittleren Subocularschildes vollkommen über-
einstimmt, hauptsächlich durch die Form der Schnau-
ze, die keilformig ist, und an welcher die 5 vorderen
dachfürmig erhobenen Oberlippenschilder jeder Seite
mit dem gleichfalls zugeschärften Rostralschild einen
scharfen Vorsprung bilden, der, bei Ansicht des Thie-
res von oben, den eigentlichen Mundrand verdeckt.
Ausserdem differirt Scapteira cuneirostris von der vor-
hergehenden Art auch durch die Bildung der Zehen,
319
Bulletin de l’Académie Hmpériale
320
EEE RE
die Lage der Nasorostralschilder, die einander nicht
berühren, durch das aufwärts gerichtete Nasenloch,
durch die grüssere Zahl der Bauchschilder, die in ei-
ner Querreihe stehen, durch die ebenfalls grüssere
Zahl der Schenkelporen, durch die auffallende Länge
der Hinterextremitäten, so wie durch manche andere
Merkmale, die ich in der folgenden Beschreibung ei-
nes Näheren auseinandersetzen werde.
Der Kopf, um ein Drittel länger als breit und ziem-
lich flach gewülbt, hat die Grestalt einer vierseitigen
Pyramide, deren horizontale Flächen um ein Drittel
breiter sind als die verticalen, und läuft in eine abge-
plattete keilférmige Schnauze aus, deren Spitze scharf
gerandet ist, aber, von obenher gesehen, stumpf abge-
rundet erscheint. Der Hals ist eben so dick wie der
Basaltheil des Kopfes, der Rumpf ziemlieh kurz, mäs-
sig breit und leicht abgeflacht; die Extremitäten sind
stark, die vorderen kurz, erreichen, nach vorn ge-
streckt und an den Kürper angedrückt, kaum die
Schnauzenspitze, die hinteren dagegen sehr lang, da
sie bei gleicher Behandlung über den Vorderrand der
Orbita hinausragen. Der Schwanz, an der Basis sebr
dick und ziemlich stark abgeplattet, wird vom Anfange
des zweiten Fünftels seiner Länge an allmählich dün-
ner und drehrund und übertrifit Kopf und Rumpf zu-
sammengenommen fast um das Doppelte an Länge.
Das Rostralschild ist bedeutend breiter als lang und
hat etwa die Gestalt eines Dreiecks, dessen nach vorn
gerichtete Basis leicht zugerundet, dessen nach hin-
ten gerichtete Spitze gerade abgestutzt ist; seine nach
rechts und links gekehrten Seiten, von denen jede mit
dem jederseitigen Nasorostralschilde in Berührung
steht, erscheinen gleichfalls nicht gerade, sondern sind
bogenformig, und zwar richtet sich die Concavität des
Bogens nach Aussen. Das ganze Schild liegt zugleich
nicht in einer Ebene, sondern zeigt zwei Flächen, eme
grosse nach oben gerichtete von der eben beschriebe-
nen Form, und eine schmale nach unten sehende,
die genau der Abrundung der Schnauzenspitze ent-
spricht und also ein schmales bogenfrmig gekrümm-
tes Band darstellt.
Auf das Rostrale folgen jederseits 9 Supralabialia,
die etwa viereckig sind und bis zum 6ten allmählich
an Grüsse zu- und von da gegen das 9te wieder ab-
nehmen. Das 1ste derselben ist am kleinsten, dann
folgen der Grüsse nach das 9te, 7te, Ste, 2te, 3te,
Ate, 5te und 6te; diese allmähliche Ab- und Zunah-
me in der Grüsse lässt sich auch in der Hühe der
Schilder wahrnehmen, nur befindet sich der hüchste
Punkt nicht beim 6ten, sondern an der Vereinigungs-
stelle des 4ten und 5ten Schildes. Das 1ste Suprala-
bialschild grenzt nach oben an das untere Nasofrena-
le, das 2te an eben dasselbe Schild und an einen Theil
des Frenale, das 3te an das Frenale und an einen
kleinen Theil des Frenorbitale, das 4te an das Fre-
norbitale und das Suboculare primum, das te und Gte
an das mittlere grosse Suboculare und die 3 letzten
an die Grauulationen der Temporalgegend. Von die-
sen 9 Schildern sind die 3 letzten plan, das 6te kaum
gewülbt, die 5 ersten dagegen erscheinen der Länge
nach dachfürmig erhoben und zwar so, dass die scharfe
Firste nicht in der Mitte des Schildes liegt, sondern
dem unteren Rande mehr genähert ist als dem obe-
ren; zugleich sind die beiden Flächen des Schildes,
durch deren Vereinigung die Firste entsteht, leicht
concav. Diese dachfürmige Erhebung der Oberlippen-
schilder bringt es auch zu Wege, dass bei Betrachtung
der Schnauze von oben der horizontale Umkreis der-
selben in seinem grüssten, vorderen Theile nicht dem
Mundrande entspricht, und dass folglich die Mund-
spalte eben so, wie bei Pachyrhynchus Anchietae Bar-
boza"), nur von der Unterseite her sichtbar ist.
Die 3 das Nasenloch umgebenden Schilder sind klein
und liegen nach innen vom Canthus rostralis, so dass
also das Nasenloch zwar etwas nach auswärts gerichtet,
aber zugleich auf der oberen Fläche der Schnauze
gelegen ist. Was nun die einzelnen Schilder anbetrifit,
so gleicht das Nasorostrale einem gleichschenkligen
sphärischen Dreieck, dessen Spitze nach innen gekehrt
ist und dessen Basis kaum gebogen erscheint; es grenzt
an das Rostrale, an das Internasale (Internasorostrale
D. et B.) und mit dem Aussenrande an das obere Na-
sofrenale und an das Nasenloch selbst. Das untere Na-
sofrenale ist etwa viereckig, dabei länglich von Ge-
stalt und hinten hüher als vorn; es grenzt vorn an das
Rostrale, aussen an die Supralabialia, hinten an das
Frenale und innen an das obere Nasofrenale und an
das Nasenloch selbst. Das obere Nasofrenale endlich
ist ein schmales, kleines, etwa viereckiges Schildchen,
das zwischen dem hinteren Theile des Nasorostrale
10) Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 227.
321
des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.
32?
ES TT SE PE M CN RUE TE ES EN RENE
und des unteren Nasofrenale liegt und nach vorn an |rührung und von den abgestutzten Winkeln berühbrt
das Nasenloch, nach hinten an das Internasale und das
Frenale grenzt. Alle drei beschriebenen Schilder sind
stark angeschwollen.
Das Internasale (Internasorostrale D. et B.) ist ein
stumpfwinkliges Siebeneck, das etwa eben so breit als
lang erscheint, gleicht aber einem regulären Sechseck,
dessen vordere Ecke gerade abgestutzt ist. Von sei-
nen 3 vorderen Seiten grenzt die mittlere an das Ros-
trale und jede der seitlichen, die leicht bogenformig
verlaufen, an das jederseitige Nasorostrale und das
untere Nasofrenale; die nach aussen gerichteten Sei-
ten stehen in ihrer ganzen Länge mit dem jedersei-
tigen Frenale in Verbindung, und seine beiden im
stumpfen Winkel zusammenstossenden hinteren Sei-
ten, welche die grüsste Länge zeigen, berühren jede
die vordere Seite des jederseitigen Frontonasale. Auf
dieses Schild folgen die beiden Frontonasalia (Fron-
to-inter-naso-rostrales D. et B.), die mit der inneren
Seite an einander grenzen und Sechsecke darstellen,
an denen der nach hinten gerichtete Winkel spitz ist;
von den beiden gleichlangen hinteren Seiten jedes die-
ser Schilder grenzt die innere an das Frontale, die
äussere an das erste Supraorbitale, die der Innenseite
parallele, aber etwas längere Aussenseite steht mit dem
Frenorbitale in Berührung und von den beiden ande-
ren Seiten endlich berührt die auswärts gerichtete
das Frenale, während die nach innen sehende drei-
mal länger ist und mit der Hinterseite des Interna-
sale in Verbindung steht.
Das Frontalschild, mässig gross, vorn dreimal so
breit als hinten, ist ein reguläres Fünfeck, gleicht aber
einem langen schmalen gleichschenkligen Dreieck, des-
sen nach hinten gerichtete Spitze abgestutzt ist und
dessen nach vorn sehende Basis aus zwei, unter stum-
pfem Winkel zusammenstossenden Seiten besteht; es
grenzt vorn an die beiden Frontonasalia, seitlich an
den jederseitigen Orbitaldiscus und hinten an die bei-
den Frontoparietalia. Von diesen beiden letztern ist
jedes etwa um ein Drittel kleiner als das Frontale,
fünfeckig und gleicht ungefähr einem rechtwinkligen
Dreieck, an welchem beide spitzen Winkel abgestutzt
sind; die Hypothenuse dieses Dreiecks entspricht der
inneren Seite, mit welcher beide Schilder an einander
grenzen, die lange Kathete steht mit dem Orbitaldis-
eus, die kurze mit dem jederseitigen Parietale in Be-
Tome XII.
der vordere das Frontale, der hintere das Interpa-
rietale. Dieses ziemlich kleine Interparietale, zwischen
die Frontoparietalia und Parietalia eingekeilt, gleicht
etwa einem Rhombus, nur ist der hintere Theil dieses
Rhombus, der zwischen den Parietalen liegt, bedeu-
tend länger als der vordere. Die Parietalschilder end-
lich, die beiden grüssten unter den Kopfschildern, stel-
len unregelmässige Polygone mit meist abgerundeten
Ecken dar.
Der Orbitaldiseus, von ovaler Gestalt, wird von 3
grossen Schildern gedeckt, von denen die beiden hin-
teren, durch eine gerade Nath verbundenen etwa eine
ovale Figur bilden, während das vordere polygonal
ist, aber die Form eines Dreiecks nachahmt: der hin-
tere Theil des Discus ist mit Granulationen bedeckt,
eben so findet sich eine Reiïhe von Kôrnchen am Aus-
senrande der beiden die ovale Figur bildenden Schil-
der, dagegen fehlen die Granulationen am Innenrande
ganz und sind nur an der Vereinigungsstelle des 1sten
und 2ten Supraorbitalschildes durch zwei sehr kleine
polygonale Schildchen ersetzt; diese beiden Schild-
chen, die auf beiden Seiten vollkommen symmetrisch
sind, liegen zur Seite des Frontale, und das vordere
derselben steht zugleich mit der Hinterecke des Fron-
tonasale in Berührung. Ein Occipitalschild ist nicht
vorhanden, sondern, wie gewühnlich bei den Scaptei-
ren, durch einen Tuberkel ersetzt, der die feinen Gra-
nulationen des Nackens etwa um das Doppelte an
Grôsse übertrifit. Die Schilder der horizontalen Kopf-
fläche sind, mit Ausnahme der 3 das Nasenloch umge-
benden, vollkommen plan und zeigen auch keine Ein-
drücke oder Furchen.
Die beiden Schilder der Frenalregion, das Frenale
(Postnasofrenale D. et B.) und Frenorbitale, werden
vom Canthus rostralis durchschnitten ünd somit jedes
in zwei ungleiche Theile, einen kleineren horizontalen
und einen grüsseren verticalen, getheilt; der horizon-
tale Theil jedes der beiden Schilder ist länglich, schmal
und bildet ein Dreieck mit nach vorn gekehrter abge-
stutzter Spitze und winklig gebogener Basis. Der ver-
ticale Theil des Frenale ist ein schmales rechtwinkli-
ges Dreieck, dessen Spitze nach vorn gekehrt und kaum
gestutzt ist und dessen Hypothenuse dem Canthus
rostralis entspricht. Das Frenorbitale, grüsser und na-
mentlich hôüher als das Frenale, gleicht einem Vier-
21
323
Bulletin de l’Académie Impériale
324
eck, dessen vordere verticale Seite bedeutend niedri-
ger ist als die hintere, ïhr parallele, welche letztere
jedoch nicht ganz gerade verläuft, sondern in der un-
teren Hälfte einen schwachen Ausschnitt für das 1ste
Suboculare besitzt. Das 1ste Suboculare ist klein und
viereckig, das 2te gleichfalls viereckig, aber sehr lang-
gestreckt und nach oben gegen die Orbita kaum bogen-
fürmig gekrümmt; seine hintere Seite verläuft schräge
von oben und hinten nach vorn und unten, und das
ganze Schild zeigt eine leicht concave Oberfläche. Das
3te Suboculare endlich ist so klein, dass es kaum von
den daran stossenden Kornschildern der Schläfe zu
unterscheiden ist. Die Supraciliarschilder, 6 an der
Zahl, sind lang, sehr schmal und nehmen vom vorder-
sten, dem grüssten, allmählich an Grôüsse ab, ohne je-
doch kornfürmig zu werden. Die Schläfengegend, die
von der Parietalen durch eine Längsreihe von 3 klei-
nen, stark geschwollenen Schilder» getrennt erscheint,
ist mit Granulationen bedeckt, die in der oberen Hälfte
äusserst fein, in der unteren dagegen drei- bis vier-
mal grüsser sind.
Die Augenlider, in der gewühnlichen Weise entwik-
kelt, sind überall mit gleichen kornfürmigen, mehr
oder weniger flachen Schüppchen bedeckt. (Gaumen-
zähne fehlen durchaus.
Das Ohr ist eine ovale Üffnung mit tief eingesenk-
tem Trommelfell und wird von einer am Mundwinkel
entspringenden halbovalen kôrnig-beschuppten Haut-
klappe von oben und voru her bis auf das untere Drit-
tel verdeckt, erscheint somit, wenn die Klappe nicht
aufgehoben ist, als schräge Spalte; am oberen Ende
der Hautklappe befindet sich ein stark gewülbtes,
ziemlich grosses Schildchen von ovaler Form.
Das Mentalschild, von bedeutender Grüsse, hat eine
halbkreisformige Gestalt, ist hinten gerade und an den
seitlichen Ecken abgestutzt. Auf dasselbe folgen je-
derseits 9 niedrige vier- oder fünfeckige Infralabial-
schilder, von denen die 3 ersten kurz, die 2 folgenden
lang und die 2 darauf folgenden wieder kurz sind;
das 8te ist nicht allein sehr lang, sondern auch brei-
ter als jedes der übrigen und das letzte endlich ist so
klein, dass man es kaum von den grüsseren seitlichen
Gularschuppen unterscheiden kann. Der Raum zwi-
schen dem Mentale und den Infralabialschildern wird
von 7 symmetrischen Schilderpaaren eingenommen,
von denen die 3 vorderen in der Mittellinie der Kehle
zusammenstossen, während die 3 letzten Paare durch
einen immer breiter werdenden, mit feinen Kornschup-
pen gedeckten Raum von einander getrennt sind. Die
Schilder der beiden ersten Paare sind reguläre Vier-
ecke, an deren jedem die Hinterseite länger ist als die
vordere; das 3te Paar besteht aus 2 eben so gestal-
teten Schildern, an deren jedem aber die Hinterseite
nach aussen hin eine Ausrandung besitzt, zur Auf-
nahme des jederseitigen Schildes des 4ten Paares. Die
Schilder der 3 letzten Paare nehmen nach hinten zu
succesive an Grüsse ab und sind etwa viereckig, nur
ist an jedem derselben der hintere Innenwinkel abge-
rundet.
Die Haut der Kehle und der Unterseite des Halses
ist mit sehr feinen Granulationen bedeckt, die kurz
vor dem Halsbande plôtzlich durch grüssere dachzie-
gelfürmig gelagerte Schuppen ersetzt werden. Die Haut-
falte, welche die Kehlgegend der Quere nach durch-
schneidet, ist sehr undeutlich, das Halsband dagegen
bildet eine fast gerade, überall freie Querfalte, deren
Rand mit grüsseren Schildern besetzt ist. Diese Schil-
der, deren ich 13 zähle, nehmen vom mittleren un-
paaren, das übrigens kleiner als das ihm zunächst lie-
gende ist, nach den Seiten hin allmählich an Grôüsse
ab und lassen sich zuletzt nicht mehr von den Granu-
lationen der Halsseiten unterscheiden. Das Halsband
setzt sich als feine Falte an den Schultern vorbei nach
oben fort, wendet sich nach hinten und verschmilzt
mit einer Längsfalte, die vom hinteren Ohrrande ge-
rade nach hinten zieht, worauf beide Falten bald hin-
ter der Schulter sebr undeutlich werden.
Die Haut des Nackens und des Rückens ist mit
feinen Kornschuppen bedeckt, die nach den Flanken
zu kaum merklich an Grôsse zunehmen und nirgends
gekielt oder dachziegelformig gelagert erscheinen. Die
Brust ist in ihrem vorderen Theiïle mit subrhombi-
schen, imbricaten Schuppen bedeckt, die gegen den
Bauch hin kleiner werden und auf dem Bauche selbst
allmäblich in grüssere, kaum imbricate Schildchen über-
gehen, welche letztere deutliche Querreihen bilden
und zugleich in schräge, von vorn und aussen nach
hinten und innen verlaufende Reïhen angeordnet sind.
Solcher Querreihen zähle ich, die Brust, wo sie un-
deutlich sind, ausgenommen, im Ganzen 26 und in je-
der der die Mitte des Bauches einnehmenden Quer-
reihen 24 — 26 einzelne Schilder. Die Praeanalgegend
325
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
326
———
ist mit flachen polygonalen Schildchen bekleidet, die
in der Mitte etwas grüsser sind als vorn und hinten,
und der Vorderrand der Cloakenspalte zeigt kleine
flache Schüppchen, während der Hinterrand, eben so
wie der vordere Theil der Unterseite der Schwanzba-
sis, mit Granulationen bedeckt ist.
Was die Extremitäten anbetrifft, so bietet ihre Ge-
stalt nichts Besonderes dar, und über ihr Längenver-
hältniss habe ich bereits weiter oben das Nôthige ge-
sagt; es bleibt mir somit nur noch übrig, die Beklei-
dung derselben, so wie das Verhältniss der Zehen zu
einander zu schildern. Der Oberarm ist auf der Ex-
tensorenseite mit dachziegelformig gelagerten, gekiel-
ten rhombischen Schuppen gedeckt, zeigt dagegen auf
der entgegengesetzten Seite Granulationen, die auch
auf die Flexorenseite des Unterarms und auf die Hohl-
hand übergehen. Die Extensorenseite des Unterarmes
zeigt verschiedene Beschilderung: am Innenrande fin-
det sich eine Längsreihe grüsserer, ziemlich breiter,
platter, dachziegelfürmig gelagerter Schilder, die ge-
rade auf den Daumen ausläuft; von 1hr nach aussen
stehen noch ein Paar unregelmässiger Längsreihen
gekielter rhombischer Schilder, und dann folgen unge-
kielte Schildchen, die allmählich in die Granulationen
der Flexorenseite übergehen. Die Zehen, an Länge
sehr ungleich und leicht comprimirt, sind oben und
unten mit queren ungekielten Schildchen besetzt, von
denen das letzte, auf welches die ziemlich lange,
schwach gekrümmte Kralle folgt, die vorhergehenden
kaum an Grôsse übertrifit. Jede Zehe ist an beiden
Seiten gefranzt, doch sind die flachen dreieckigen
Franzen, deren jede gewôhnlich einem Hypodactyl-
Schildchen entspricht, auf der Aussenseite grüsser
und überhaupt deutlicher als auf der Innenseite. Was
das Längenverhältniss der einzelnen Zehen zu einan-
der betrifft, so folgen sie vom Daumen, als dem kür-
zesten, angefangen, der Länge nach, wie folgt, auf ein-
ander: 1, 2, 5, 3, 4; auf der 4ten, der längsten Zehe,
zähle ich oben 12, unten 17 Querschildchen.
Die Hinterschenkel sind auf der Ober- und Unter-
seite in der hinteren Hälfte mit Granulationen, in der
vorderen mit in Längsreihen angeordneten, nicht ge-
kielten imbricaten Schildern bedeckt, welche letz-
tere auf dem Vorderrande des Schenkels am grüssten
sind und sowohl gegen die Granulationen der Ober-
seite, wie gegen die Schenkelporenreihe der Unterseite
allmählich an Grüsse abnehmen. Schenkelporen finden
sich auf der linken Seite 21, auf der rechten 19; beïde
Reihen, die bis an die Kniekehle reichen, stossen in
der Mitte der Praeanalgegend nicht zusammen, son-
dern bleiben durch eine oder zwei Schuppen von ein-
l'ander getrennt. Mit Ausnahme von 4 oder 5 Längs-
reihen grüsserer Schilder an der Flexorenseite der
Unterschenkel ist die ganze übrige Fläche derselben
mit feinen Granulationen gedeckt, die auch auf die
Planta pedis übergehen. Die Bekleidung der Zehen
stimmt vollkommen mit derjenigen der Vorderzehen
überein und weicht nur in der Zahl der Querschilder
auf den einzelnen Zehen ab, denn, so weit ich an den
etwas eingetrockneten Zehen sehen kann, besitzt die
lingste derselben oben etwa 18, unten etwa 22 unge-
kielte Querschilder. Das Längenverhältniss der ein-
zelnen Zehen unter einander lässt sich durch folgende
Reihe ausdrücken: 1, 2, 5, 3, 4.
Der Schwanz, an der Basis sebr dick und sehr deut-
lich flach gedrückt, ist da, wo er dünner wird, leider
abgebrochen, scheint sich aber doch ziemlich allmäh-
lich zu verdünnen und ist in seinem weiteren Ver-
laufe drebrund und scharf zugespitzt. Mit Ausnahme
einer dreieckigen nach hinten sich verschmälernden
Stelle auf der Oberseite seiner Basis und des zunächst
an den hinteren Cloakenrand grenzenden Theiles der
Unterseite, die wie der Rücken granulirt erscheinen,
ist derselbe überall mit rhombischen Schuppen, die weï-
terhin in lävglich-viereckige Schilder übergehen, ge-
deckt: diese Schuppen und Schilder sind in ganz re-
gelmässige Wirtel angeordnet und erscheinen auf der
oberen Schwanzseite gekielt, auf der unteren anfangs
glatt, in der letzten Hälfte aber ebenfalls gekielt; sol-
cher Wirtel sind, so weit ich an dem lädirten Schwanze
sehen kann, im Ganzen 95 vorhanden.
Das Thier bietet auf der Unterseite aller Theile ein
einfarbig weisses Colorit mit leichtem bräunlich-gel-
bem Anfluge dar, besitzt dagegen auf der Oberseite
aller Theile auf bräunlich-grauem Grunde schwarze
Flecken, die auf dem Kopfe wenig zahlreich und un-
regelmässig sind, auf dem Rücken dagegen ein mebr
oder weniger vollkommenes, ziemlich grossmaschiges
Netzwerk darstellen. Auf der Schwanzhasis ordnen
sich die schwarzen Makeln zu nicht ganz regelmässi-
gen Längsreihen, deren 5 vorhanden sind, und auf
den Extremitäten bilden sie der Quere nach verlau-
21*
327
fende Zigzagbänder, die besonders auf den Oberschen-
keln deutlich vortreten und überall eine mehr oder
weniger ausgesprochene Neigung zeigen, ein Netz-
werk zu bilden.
Maasse, Totallänge 16,3 Ctm.; Länge des Kopfes
1,5; des Rumpfes 4,5; des Schwanzes 10,3; der Vor-
derextremitäten 2,3; der Hinterextremitäten 4,4.
Was den Fundort des einzigen mir vorliegenden
Exemplars anbetrifft, so habe ich oben Süd-Africa
angegeben, doch beruht diese Angabe nur auf einer,
allerdings nicht ganz unbegründeten Vermuthung von
meiner Seite. Das Exemplar ist, wie bereits bemerkt,
der Akademie von Hrn. Capitain v. Birilew nebst
vielen anderen, unzweifelhaft japanischen Naturalien
als gleichfalls aus Japan herrührend übergeben wor-
den, und ich würde keïinen Augenblick an der Rich-
tigkeit dieser Fundortsangabe zweifeln, wenn ich nicht
in demselben Fläschchen, in welchem sich diese Scap-
teira cuneirostris befand, auch einen leider schwanzlo-
sen Cordylus polyzonus A. Smith gefunden hätte.
Dass diese letztere Art nicht aus Japan stammen kann,
wie Hr. v. Birilew angiebt, sondern sicher aus Süd-
Afrika herrührt, bedarf wohl kaum einer weiteren Aus-
einandersetzung, und deshalb glaube ich annehmen
zu müssen, dass auch die Scapteira nicht japanischen,
sondern süd-afrikanischen Ursprungs ist.
3. Podarces (Scapteira) reticulata Barboza.
Scapteira reticulata Barboza. Ann. and Mag. Nat. Hist.
3 ser. XX p. 225.
Sc. rostro conico; scutello suboculari medio inter
duo scutella supralabialia posito, marginem oris attin-
gente; digitis parum dilatatis deplanatisque; hypodac-
tyliis ecarinatis; scutellis abdominalibus in series lon-
gitudinales et transversas dispositis; poris femoralibus
utrinque 20— 22,
Habitat ad Mossamedes in Africa occidentali.
4. Podarces (Seapteira) seripta n. sp.
SC. rostro conico; scutello suboculari medio inter
duo scutella supralabialia posito, marginem oris attin-
gente; digitis compressis, hypodactyliis distincte cari-
natis; scutellis abdominalibus in series obliquas ettrans-
versas dispositis; poris femoralibus utrinque 12— 13.
Habitat in regionibus aralo-caspicis, nec non in de-
serto Kirgisorum.
Buïiletin de l’Académie Empériale
32s
Diese sehr zierlich gebaute und durch einen aus-
serordentlich langen Schwanz ausgezeichnete Art un-
terscheidet sich von der Scapteira reticulata Barboza
hauptsächlich durch die deutlich und scharf gekielten
Hypodactyl-Schilder, so wie durch die in schräge, und
nicht in Längsreihen angeordneten Bauchschilder; aus-
serdem bietet sie noch in der Zahl der Schenkelpo-
ren, in der Bildung des vorderen Ohrrandes, der nicht
gezähnelt ist, und in der Färbung und Zeichnung sebr
leicht wahrnehmbare Unterscheidungsmerkmale dar.
Wie schon weiter oben bemerkt, behalte ich mir die
detaillirte Beschreibung dieser Eidechse für eine an-
dere Gelegenheit vor und will hier nur kurz der Fär-
bung und Zeichnung erwähnen.
Die Unterseite aller Theile ist wie bei allen Scap-
teiren einfarbig weiss mit mehr oder weniger deutlich
ausgesprochenem bräunlich-gelbem Anfluge. Die Ober-
seite zeigt auf sandfarbenem, ziemlich hellem Grunde
eine Menge dunkelbrauner Pünktchen und geschlän-
gelter Strichflecken, welche letztere auf dem Rücken
vorherrschen und meist in mehr oder weniger regel-
mässiger Weise zu Längslinien angeordnet sind. An
jeder Seite des Rückens findet sich eine breite Längs-
binde von ebenfalls dunkelbrauner Farbe, die am Na-
senloch entspringt und sich bis auf den Schwanz fort-
setzt, wo sie etwa auf dem Anfange der zweiten Hälfte
undeutlich wird und bald ganz verschwindet. Diese
Binde, nach oben durch eine schmale weissliche Li-
nie begrenzt, ist nach unten durch einen breiten weissen
Raum von einer zweiten, auf der Grenze zwischen den
Flankenschuppen und Bauchschildern gelegenen, viel
schmäleren, ebenfalls dunkelbraunen Binde getrennt,
welche letztere auf den hinteren Supralabialschildern
ibren Ursprung nimmt, die Ohrüffnung durchsetzt und
an der Schulter vorbei bis zum Hinterschenkel zieht,
um in der Inguinalgegend plôtzlich zu enden. Die Ober-
seite der Extremitäten zeigt gleichfalls dunkelbrau-
ne Zeichnungen meist in Form von unregelmässigen
Querbinden, und auf der Oberseite des Schwanzes fin-
det sich, ausser den schon erwähnten seitlichen Längs-
binden, noch ein kürzeres, mehr oder weniger deut-
liches, nach hinten spitz zulaufendes centrales Band.
329
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
330
Nachtrag zur Kenntniss des Musculus epitroch-
leo-anconeus der Säugethiere, von Dr. Wen-
zel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le
31 octobre 1867.)
Im verflossenen Jahre liess ich an der Akademie
der Wissenschaften die Abhandlung: «Über den Muscu-
lus epitrochleo-anconeus des Menschen und der Säu-
gethiere. Mit 3 Taf. — Mém. de l’Acad. Imp. des sc.
de St.-Pétersb. Sér. VII. Tom. X. M 5; besond. Ab-
druck. St.-Petersburg, Riga u. Leipzig 1866. 4°» er-
scheinen.
Ich habe daselbst nicht nur über einen in der Ellen-
bogenregion vorkommenden, bis dahin ganz ungenü-
gend gekannten Muskel des Menschen, welchem ich
den Namen « Musculus epitrochleo-anconeus» gab, auf
Resultate aus Massenuntersuchungen gestützt, eine
vollständige Monographie, sondern auch über den
von mir bei den Säugethieren aufgefundenen
analogen Muskel von 38 Genera aus 7 Ordnungen
derselben Beschreibungen geliefert. Den Muskel
beim Menschen erklärte ich als einen anomalen
Muskel, weil ich ihn in ”, Leichen und ‘/, der Arme
vorkommen sah; den Muskel bei jenen Säugethie-
ren, bei welchen er vorkommt, bestimmt oder doch
hüchstwahrscheinlich als einen fast immer constan-
ten Muskel, weil ich ïhn bei den bis dahin unter-
suchten Genera (nur an einer Species oder an mehre-
ren Species eines Genus, nur an einem Exemplare
oder an mehreren Exemplaren einer Species) an 37
derselben an beiden Vorderfüssen vorfand und nur an
1 Genus (Ursus) an einem Vorderfusse antraf, an dem
anderen vermisste. Ich theilte mit, dass der Muskel
beim Menschen als selbstständiger Muskel oder
als supernumerärer Kopf des Triceps brachiüi; bei
den Säugethieren aber immer als selbstständi-
ger Muskel vorkomme. Ich meldete, dass von den
38 Genera, bei welchen ich den Muskel untersuchen
konnte, an 3 (an Felis domestica als «Anconé interne»,
von Strauss-Dürckheim, an Myrmecophaga taman-
dua als «Anconeus parvus» von W. Rapp, an Phoca
vitulina als «Portio condyloidea interna» des Extensor
cubiti von Duvernoy und an ?h. hispida als «Anco-
neus minimus» von Rosenthal) und ausserdem an
1 Genus — Tarsius —, das mir zur Untersuchung nicht
zur Verfügung stand, als «Anconeus VI.» von H. Bur-
meister vor mir beschrieben, überhaupt an 4 Genera
von Anderen und 35 Genera von mir — 39 Genera
aufgefunden worden war. Als Genera, die den Muskel
besitzen, führte ich an: Cercopithecus, Inuus, Cyno-
cephalus, Cebus, Tarsius: — Galeopithecus; — Eri-
naceus, Sorex, Crocidura, Myogale, Talpa; — Ursus,
Mustela, Herpestes, Felis. — Didelphis, Dasyurus; —
Myoxus, Sciurus, Pteromys, Tamias, Spermophilus,
Arectomys, Cricetus, Mus, Meriones, Hypudaeus, Lem-
mus, Dipus, Spalax, Castor, Lepus, Dasyprocta, Coe-
logenys; — Bradypus, Dasypus, Myrmecophaga, Ma-
nis; — Phoca.
Durch eine dem Archiv für Anatomie u. s. w. von
Reichert und Du Bois-Reymond angeheftete Buch-
händler-Anzeige wurde ich, nach Erscheinen meines
Werkes, auf den seltenen, zum Kaufe angebotenen At-
las: G. Cuvier et Laurillard — Anatomie comparée,
recueil des planches de myologie. Paris 1849. Fol. —
aufmerksam, welcher 1867 für die Bibliothek der med.
chir. Akademie auf meinen Antrag erworben wurde.
In diesem Werke fand ich nun den Musculus epitroch-
leo - anconeus bei 16 Genera: — Inuus nemestrinus
als «Anconé interne» (PI. 31— 35. w'), Cynocephalus
sphinx als «Anconé interne» (PI. 48. w’), Lemur ma-
caco als «Anconé interne» (PI. 68. Fig. 2. w’), Erina-
ceus europaeus als «Anconé interne» (P1.76.Fig.2.w'),
Viverra nasua als «Anconé interne» (PI. 94, Fig. 3.w'),
Lutra vulgaris als «Anconé interne» (PI. 109.Fig. 2.w'),
Viverra genetta als «Anconé interne» (PI. 126. Fig.
2. u'), Felis leo als «Anconé interne» (PI. 145, 146.
Fig. 1. PI. 147. «° — ganz unrichtige Abbildung —),
Felis pardus als «Portion humérale interne du triceps»
(PI. 164. Fig. #‘), Phoca vitulina als «?» (P1.171.Fig.3),
Macropus major wohl als «Anconé interne» (PI. 195.
Fig. 1.u— wohl # —), Arctomys alpina als «Anconé
interne» (PI. 208. Fig. 4.w), Castor fiber als «Portion
humérale accessoire» der Portion humérale interne du
triceps (PI. 218, 223.#), Hystrix cristata als «Portion
der Portion humérale interne du triceps» (PI. 231.
Fig. 1.4”), Coelogenys paca als «?» (PI. 251. Fig. 3),
Orycteropus capensis als «Portion der Portion humé-
rale interne du triceps» (PI. 255, 256, Fig. 5. €), Da-
sypus sexcinctus als «Portion der Portion humérale
interne du triceps» (PI. 260. #), Myrmecophaga taman-
dua als «?» (PI. 263. Fig. 2.) — bald richtig, bald un-
richtig abgebildet, bei einer Reïhe noch anderer Ge-
nera, bei welchen der Muskel jetzt als sicher vorhan-
331 Bulletin de l’Académie Impériale 332
———————
den nachgewiesen ist, aber vernachlässigt. Durch die | weil er bei Æystrix cristata von Cuvier nur abge-
Abbildungen des M. epitrochleo-anconeus unter an- | bildet, bei Meles vulgaris und Phalangista vulpina bis
deren variirenden Namen und auch variirender An-|jetzt ganz unbekannt war:
sicht über dessen Bedeutung in diesem Werke ist be-
wiesen, dass Cuvier den Muskel unter den 4 Genera
(Tarsius, Felis, Myrmecophaga, Phoca), bei welchen
der Muskel von Burmeister, Strauss-Dürckheim,
Rapp,Duvernoy und Rosenthal beschrieben wor-
den war, an 3 (Felis, Myrmecophaga, Phoca) gesehen;
unter den 35 Genera, an welchen ich den Muskel zu-
erst aufsefunden zu haben glaubte, vor mir an 7 Ge-
nera (Inuus, Cynocephalus, Erinaceus, Arctomys, Ca-
stor, Coelogenys, Dasypus) gekannt; und ausserdem
an 6 Genera (Lemur, Lutra, Viverra, Macropus, Hy-
strix, Orycteropus) aufgefunden hatte, an welchen über
das Vorkommen oder Nichtvorkommen des Muskels
von Anderen und von mir (wegen Mangels dieser
Thiere zur augenblicklichen Untersuchung) Aufschlüsse
gegeben werden konnten. Zählt man diese letzteren
Säugethier-Genera zu den oben angegebenen, so war
der M. epitrochleo-anconeus bis 1866 schon an 45
sicher ausgemittelt.
Nach der Verôftentlichung meines Werkes hatte ich
Gelegenheit, folgende Thiere auf das Vorkommen des
M. epitrochleo-anconeus zu untersuchen: Cercopithe-
cus sabaeus, Inuus nemestrinus, Ursus arctos (4 Exem-
plare), Meles vulgaris, Mustela furo, M. erminea, Her-
pestes ichneumon, Canis vulpes, Felis leo, F. lynx,
Phalangista vulpina und Hystrix cristata.
Bei Cercopithecus sabaeus, Inuus nemestrinus, Mu-
stela erminea, Herpestes ichneumon, Felis leo und F.
lynx fand ich den Muskel so oder ähnlich, wie ich ibn
bei diesen Thieren schon früher beschrieben hatte.
Bei Mustela furo fand ich ihn auch so oder ähnlich,
wie ich ihn bei Mustela putorius und M. erminea schon
früber kennen gelernt hatte. Bei Ursus arctos fand
ich den Muskel an 3 Thieren dreiseitig oder viersei-
tig, vermisste ihn aber an 1 Thiere an beiden Vor-
derfüssen, wodurch meine Angabe vom unconstanten
Vorkommen des Muskels bei diesem Thiere bestätigt
wurde. Bei Canis vulpes vermisste ich den Muskel
wie bei C. familiaris, wodurch meine Vermuthung des
Mangels des Muskels beim Genus «Canis» überhaupt
an Wabrheit gewann. Von Hystrix cristata, Meles vul-
garis und Phalangista aber werde ich den Musculus
epitrochleo - anconeus im Nachstehenden beschreiben,
Bei Hystrix cristata.
Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen
und selbstständig.
Bedeckung, Lage. Der Muskel ist grüsstentheils
vom Anconeus internus bedeckt. Er liegt im Sulcus
epitrochleo-anconeus über dem Nervus ulnaris, zwi-
schen dem Anconeus internus und Ulnaris internus,
durch letzteren und eine Portion (Kopf) des Flexor
digitorum profundus von der Ellenbogengelenkkapsel
geschieden.
Gestalt. Spindelférmig.
Grüsse. Bei der Länge des Thieres von 31 Z. von
der Schnauze zur Schwanzspitze, 14 Lin. lang und
5 Lin. breit.
Ursprung. Vom Epitrochleus humeri zwischen
dem Ursprunge des Pronator teres und der Insertion
des Coracobrachialis 2 Lin. breit, sehnig-fleischig.
Insertion. Am medialen Winkel des Olecranon
zwischen dessen oberer, hinterer und innerer Seite;
über und medialwärts vom einküpfigen Ulnaris inter-
nus, lateralwärts vom Anconeus internus und zwischen
beiden, 2 — 3 breit, sehnig-fleischig.
Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris, von dem er
6— 8 Lin. über dem Muskel sich abzweigt.
Bei Meles vulgaris.
Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen und
selbstständig.
Bedeckung, Lage. Der Muskel ist von der Apo-
neurose des mit einem Kopfe von dem Latissimus
dorsi, mit einem anderen Kopfe vom hinteren Winkel
der Scapula entsprungenen Anconeus V. und vom An-
coneus internus bedeckt. Er liegt im Sulcus epitro-
chleo-anconeus über dem Nervus ulnaris.
Gestalt. Bandfôrmig.
Grüsse. Bei dem 36 Z. langen Thiere 1 Z. lang;
am Ursprunge 2 Lin., in der Mitte 3 Lin. und an der
Insertion 2°, Lin. breit; am Ursprunge ganz dünn, an
der Insertion 2!/, Lin. dick.
Ursprung. Vom vorderen Hôücker des Epitro-
chleus, unter dem Canalis supracondyloideus, über
333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 334
dem Ursprunge des Pronator teres und Radialis in- L. Quadrumana:
ternus, sehnig-fleischig, 3 Lin. lang.
Insertion. An den hinteren unteren Rand der in- 2) Inuus (Cuvier, Gruber),
neren Fläche des Olecranon fleischig, zwischen dem 3) Cynocephalus (Cuvier, Gruber),
Ulnarkopfe des zweiküpfigen Ulnaris internus und dem 4) Cebus (Gruber),
Anconeus internus, 3°, — 4 Lin. von der Ellenbogen-
gelenkkapsel entfernt, von letzterer durch ein Bündel
des Ulnarkopfes des Ulnaris internus, durch eine Por-
tion (Kopf) des Flexor digitorum profundus und eine
von Muskelinsertion freie Partie der medialen Seite
1) Cercopithecus (Gruber),
5) Lemur (Cuvier),
6) Tarsius (Burmeister).
I, Chiroptera:
1) Galeopithecus (Gruber).
der Ulna geschieden. III, Ferae:
Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris. a. Ferae Insectivorae:
1) Ærinaceus (Cuvier, Gruber),
Bei Phalangista vulpina. 2) Sorex (Gruber),
3) Crocidura (Gruber),
4) Myogale (Gruber),
Bedeutung, Lage. Der dreieckige oder unregel- ) Foie (Gruhen)
A re à : b. Ferae carnivorae:
mässig vierseitige Muskel ist von der theils an der! ns (Ce nben)
Ulna angehefteten, theils in die Unteraponeurose über- | 9 ne . \ ne: b is
gehenden Aponeurose des vom Latissimus dorsi kom- ne ne
menden Anconeus, auch etwas vom Anconeus longus 9 He er b
bedeckt. Er liegt im Sulcus epitrochleo-anconeus über ) RL \ ve er);
dem Nervus ulnaris und noch etwas aufwärts davon 10) AE (Gapien): " !
über den durch den Canalis supracondyloïideus humeri Loc) false (Cuvier, Strauss DürckheimiÿGru-
tretenden Vasa und dem Nervus medianus. à po Re
Ursprung. Vom Epitrochleus und mit einem ER
Fleischbündelchen auch vom hinteren oberen Rande )
der medialen Wand des Canalis supracondyloideus hu- | IV. Marsupialia:
Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen
und selbstständig.
Q
meri, welcher die Vasa brachialia und den Nervus 1) Didelphis (Gruber),
medianus durchtreten lässt. 2) Dasyurus (Gruber),
Insertion. An den hinteren unteren Rand der in- 3) Phalangista (Gruber),
neren Fläche des Olecranon über dem Ursprunge des 4) Macropus (Cuvier).
Ulnaris internus und unter dem Ansatze des Anconeus | y, Glires:
internus. 1) Myoxus (Gruber),
Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris. 9) Sciurus (Gruber),
3) Pteromys (Gruber),
4) Tamias (Gruber),
Zu den 17 Genera, an welchen Audere, und zu 5) Spermophilus (Gruber),
den 28 Genera, an welchen ich den M. epitrochleo- 6) Arctomys (Cuvier, Gruber),
amconeus nachgewiesen hatte, habe ich daher in letz- 7) Cricetus (Gruber),
terer Zeit noch 2 Genera, Meles und Phalangista, 8) Mus (Gruber),
gefunden, die diesen Muskel besitzen. 9) Meriones (Gruber),
Die 47 Genera aus 7 Ordnungen der Säugethiere, 10) Hypudaeus (Gruber),
bei welchen der M. epitrochleo-anconeus bis jetzt nach- 11) Lemmus (Gruber),
gewiesen ist, heissen: 12) Dipus (Gruber),
335
a. Spalax (Gruber),
4) Castor (Cuvier, Gruber),
Lepus (Gruber),
16) Hystrix (Cuvier, Gruber),
17) Dasyprocta (Gruber),
18) Coelogenys (Cuvier, Gruber).
VI. Edentata:
1) Bradypus (Gruber),
2) Dasypus (Cuvier, Gruber),
3) Orycteropus (Cuvier),
4) Myrmecophaga (Rapp, Gruber),
5) Manis (Gruber).
VII, Pinnipedia:
1) Phoca(Cuvier, Duvernoy, Rosenthal, Gru-
ber).
St. Petersburg, den 30. October 1867.
Über die Varietäten des Musculus radialis inter-
nus brevis (M. radio-carpeus et radio-carpo-
metacarpeus — Gruber 1859 —, M. flexor carpi
radialis brevis — Wood 1866 —), von Dr. Wen-
zel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le
31 octobre 1867.)
(Mit einer Tafel.)
Am Unterarme kommen 3 supernumeräre Muskeln
vor, die dem Ursprunge und Ansatze nach: Radio-car-
peus, Radio-carpometacarpeus und Radio-metacar-
peus zu nennen sind. Da diese Muskeln aber nur 3
dem Ansatze nach verschiedene Hauptvarietäten
eines und desselben Muskels sind, wie jetzt sicher
ausgemittelt ist; da ausserdem John Wood) in dem
von ihm bei Echidna hystrix und Ornithorhynchus
paradoxus aufgefundenen, von J. Fr. Meckel”) un-
erwäbnt gelassenen tiefen Kopf des Radialis internus,
welcher nach Meckel vom Epitrochleus und dem un-
teren Ende des Humerus entspringt und an einen für
ein Sesambein gehaltenen Knochen des Carpus und
an das Os metacarpi IL. sich inserirt, nach Wood aber
vom Epitrochleus mit dem oberflächlichen Kopfe, vom
Radius und dem Ligamentum interosseum mit dem
1) On human muscular variations and their relation to compar-
ative anatomy. — Journ. of anat. a. physiol. X I. London a. Cam-
bridge November 1866 p. 58. Fig. 5.n.
2) Ornithorhynchi paradoxi deser. anat. Lipsiae 1826. Fol. p. 27.
Bulletin de l’Académie Impériale
336
tiefen Kopfe entspringt und mit einer aponeurotischen
Ausbreitung an das Os metacarpi [., IL, III. und an
das O. multangulum majus (trapezium) sich inserirt,
das Analogon des supernumerären Muskels beim Men-
schen erkannt haben will: so gebe ich die von mir
früher für den Muskel überhaupt gewählte Benennung
«Radio-carpeus» auf, verwerfe auch die von Anderen
angenommene und von Luschka mit Recht als un-
passend erklärte Benennung «Flexor carpi radialis
brevis (s. inferior s. profundus)» und nenne den Mus-
kel von nun an: «Radialis internus brevis (s. minor)».
A Geschichtliches,
Fano ) hatte in der Sitzung der anatomischen (Ge-
sellschaft in Paris am 11. November 1851, wie in
den Bulletins der letzteren, welche mir vor 1859
nicht zur Verfügung standen, mitgetheilt wurde, ei-
nen von ihm an einem Arme gefundenen anomalen
Muskel demonstrirt, welcher von dem unteren Drit-
tel des Radius von dessen vorderer Fläche (face an-
térieure) entsprang, mit einer Sehne an das Os mul-
tangulum majus sich inserirte und ein ÀÂstchen vom
Nervus interosseus empfing. — Dass Fano’s Muskel
die Varietät «Radio-carpeus» des Radialis internus
brevis wirklich war, ist aus den unvollständigen An-
gaben darüber nicht sicher ausmittelbar, nach der
Angabe des Ursprunges von der vorderen Fläche des
Radius, die bei den Franzosen — der Beugefläche ist,
zu schliessen, zweifelhaft, weil ich den Muskel in
8 Füällen von da nicht entspringen sah. Fano’s Mus-
kel war vielleicht der Radio-carpeus, musste es aber
nicht sein.
An der Akademie der Wissenschaften in St. Peters-
burg ist ein von mir im Januar 1859 dahin einge-
sandter Aufsatz unter dem Titel: «Über den Muscu-
lus radio - carpeus und M. cubito - carpeus (zwei neue
supernumeräre Armmuskeln) mit 1 Taf. erschienen‘).
Schon in diesem Aufsatze beschrieb ich zwei Va-
rietäten des Radialis internus brevis, d. i. den Radio-
carpeus und Radio-carpometacarpeus.
Über das Vorkommen des Muskels vermeldete
3) Bull. de la soc. anat. de Paris. Ann. 26. 1551. Bull. 11, X 30,
p. 375.
4) Bull. de la CI. phys.-math. de l’Académie Imp. des se. Tom.
XVII. St.-Pétersbourg 1859. 4°, p. 439. Tab. 1. (Fig. 1, 2); Mélang.
biolog. Tom. III. 1859. p. 184.
337
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
338
ich, dass ich denselben 1854 (bei getlissentlich vor-
genommenen Massenuntersuchungen) das erste Mal,
1857 und 1858 (bei den Präparir-Übungen) das zweite
und dritte Mal, somit bis 1859 im Ganzen an 3 Ar-
men (2 rechten und 1 linken) von 3 männlichen In-
dividuen beobachtet hatte. Ich erklärte den Muskel
für einen sehr selten vorkommenden, weil ich ihm
bei geflissentlich vorgenommenen Untersuchungen un-
ter 400 Armen nur an 1 derselben begegnete. Ich
bewies den Muskel dort als einen wirklich super-
pumerären und liess damals seine Deutung als Ra-
dialis internus IT. nicht, oder hôchstens nur wegen
der Art des Ansatzes bei der Varietät «Radio-carpo-
metacarpeus» zu. Als Ort seiner Lage bezeichnete ich
den unteren Theil des Sulcus radialis antibrachii bis
ll, Z. unter die Mitte der Länge des Radius aufwärts
(hinter den Vasa radialia, auf dem Radius, auf der
untersten Ursprungsportion des Flexor pollicis longus
und auf dem Pronator quadratus) und die Scheide für
die Sehne des Radialis internus am Carpus. Seinen
fleischigen und theilweise kurzsehnigen Ursprung sah
ich auf der lateralen Fläche (— vorderen Fläche man-
cher Deutschen, face externe der Franzosen und Eng-
länder) des Radius (in vertikaler Richtung von der In-
sertion des Brachio-radialis bis ‘4 Z. unter die Inser-
tion des Pronator teres aufwärts, und in querer Rich-
tung an der medialen Hälfte oder medialen zwei Drit-
teln derselben), oder am vorderen Rande zwischen der
lateralen und Beugefläche (von einer Stelle ", —*/, Z.
über dem unteren Ende des Radius bis ", — ‘/, Z. un-
ter der Insertion des Pronator teres aufwärts) vor
sich gehen. Über den Verlauf des Muskels sagte ich,
dass er gleich nach seinem Ursprunge auf die Beuge-
seite des Unterarmes sich wende und in schiefer Rich-
tung neben dem radialen Rande des Flexor pollicis
longus abwärts und etwas rückwärts zur fibrüsen
Scheide des Radialis internus und in diese herab-
steige; dass er bei seinem Verlaufe oberhalb dem
Pronator quadratus entweder unmittelbar auf der Beu-
geseite des Radius oder theilweise auf der untersten
Ursprungsportion des Flexor pollicis longus, dann auf
dem Pronator quadratus und endlich auf der Hand-
gelenkkapsel ulnarwärts von der Sehne des Abductor
longus pollicis, davon durch einen dreieckigen Zwi-
schenraum geschieden und volarwärts von der Sehne
des Radialis internus gekreuzt, gelagert sei. Über den
Tome XII.
Ansatz bemerkte ich, dass seine starke, platt-rund-
liche, gegenüber dem Ende des Radius oder erst ge-
gegenüber der Tuberositas 0. navicularis frei gewor-
dene, in der Scheide im Ligamentum carpi volare
proprium für die Sehne des Radialis internus breiter
und dünner gewordene und mit der inneren Wand
dieser Scheide verschmolzene Sehne 1 Mal mit 2 Bün-
deln, welche die Scheide des Radialis internus ver-
stärkten, an die Tuberositas 0. multanguli maj. und
an das Os capitatum (Radio-carpeus), 1 Mal ebenfalls
mit 2 Bündeln an die Tuberositas 0. multanguli maj.
und gemeinschaftlich mit der Sehne des Radialis in-
ternus an die Basis 0. metacarpi IT. (Radio-carpo-
metacarpeus), ulnarwärts von der Sehne des letzteren,
und endlich 1 Mal mit 3 Bündeln an die Tuberositas
0. navicularis, Tuberositas 0. multanguli maj. und an
das Os capitatum (Radio-carpeus) sich inserirte. In
dem Falle, in welchem eines der Bündel an das Os
metacarpi IT. sich heftete, war dieses 7 — 8 Lin. lang,
1 Lin. breit und innerhalb der Scheide des Radialis
internus in einer besonderen Synovialscheide gelagert,
welche von ersterer an deren Anfange auch durch
eine bandfôrmige fibrüse Brücke, als rudimentäres
Septum, geschieden war. Über die Gestalt theilte ich
mit, dass der gefiederte Muskel in einem Falle rhom-
boidal, in den beiden anderen Füällen länglich drei-
eckig war; und über die Grüsse bemerkte ich, dass
ich ihn 2 Z. 8 Lin. bis 4 Z. (davon 8 — 10 Lin. für
die Sehne) lang, in der Mitte seines Fleischtheiles
7 — 9 Lin. breit und bis 3 Lin. dick gefunden hatte.
Seiner Wirkung nach, erklärte ich den Muskel: als
Flexor der Hand gegen den Unterarm und als Supi-
nator carpi s. manus proprius.
Fr. W. Theile”) hat nach mir in seinem Referate
über meinen Radio-carpeus einen dieser Varietät des
Radialis internus brevis analogen Muskel von dem
linken Arme eines Mannes unter dem Namen «Flexor
carpi radialis brevis s. inferior» beschrieben. Der
Muskel entsprang von der Aussenseite des fünften
5) Schmidt’s Jabrb. d. Medicin. Bd. 104. Leipzig 1859. S, 155.
(Der Muskel am rechten Arme, welchen Theile am Lig. carpi vo-
lare proprium anheften sah, gehürt nicht hierher, ist einer der ei-
genthümlichen Spauner dieses Ligamentes, die nicht nur vom Ra-
dius, sondern auch von der Ulna kommen, wie ich weiss, und durch
Präparate, die ich in meiner Sammlung aufbewahrt habe, beweisen
kann und zu seiuer Zeit beweisen werde.
22
339
Bulletin de l’Académie Impériale
340
Sechstels des Radius und inserirte sich an das Os mul-
tangulum majus.
H. Luschka®) hat die Varietät «Radio-carpometa-
carpeus des Radialis internus brevis in 2 Fällen be-
obachtet. Der Muskel inserirte sich an den Carpus
und an die Basis 0. metacarpi Il.
John Wood”) hat vom Radialis internus brevis, den
er unpassend «Flexor carpi radialis brevis s. profun-
dus» nennt, die Varietät «Radio-carpeus» 1 Mal, die
Varietät «Radio-carpometacarpeus» ebenfalls 1 Mal und
die Varietät «Radio-metacarpeus» 2 Mal beobachtet,
und mitgetheilt, dass auch Norton”) bei der Zerglie-
derung eines Subjectes im St. Mary’s Hospitale einen
seinem Falle von «Radio-carpometacarpeus» ähnlichen
Muskel, den Norton «Klexor metacarpi dig. medii
proprius» nannte, angetroffen habe. In dem Falle der
Varietät «Radio - carpeus» entsprang der spindelfôr-
mige Muskel mit einer mondfürmigen Aponeurose vom
Radius unterhalb des Radialkopfes des Flexor digito-
rum sublimis und inserirte sich an die mediale Wand
der Scheide für die Sehne des Radialis internus; in
seinem und Norton’s Falle der Varietät «Radio-car-
pometacarpeus» entsprang der Muskel von der äus-
seren Seite der vorderen Fläche — outer side of the
front surface — (wohl vorderen Rand) — des Radius
über dem Pronator quadratus an der Aussenseite des
Flexor pollicis longus, an und unter diesem, verlief
unter dem Lig. carpi volare proprium neben und aus-
serhalb der Scheide des Radialis internus, und inse-
rirte sich an das Os capitatum und an die Basis o.
metacarpi IIL.; in den zwei Füällen der Varietät «Radio-
metacarpeus» endlich lief die Sehne des Muskels durch
die Scheide des Radialis internus und inserirte sich
ulnarwärts von der Sehne des letzteren an die Basis
o. metacarpi IL”).
Der in der Literatur der Muskelvarietäten genü-
gendunbewanderte Wood hat in seinen beiden Ar-
beiten eine grosse Masse alter Neuigkeiten aufge-
6) Die Anat. des Menschen. Bd. 3. Abth. 1. (Glieder). Tübingen
1865. p. 177.
7) Variations in human myology.-Proceed. of the roy. soc. Vol.
XV.1866. Xe 86 p. 235. N° 14. — On human muscular variations ete,
Journ. of anat. a. physiol. A I. London a. Cambridge. November
1866. p. 55. Fig. 6. a.
8) Bei Wood: Proceed. p. 235; Journ. of anat. a. physiol. p. 57.
9) Der Fall mit Insertion des Muskels an die innere Fläche des
Lig. carpi volare proprium, welchen Wood dazu zählt, gehôrt nicht
hierher.
tischt. Von dem als «Radio -carpeus» und «Radio-
carpometacarpeus» 12 Jahre vor ihm von mir gekann-
ten und 7 Jahre vor ihm von mir beschriebenen,
nach mir von Theïile (1859) und Luschka (1863)
erwähnten Radialis internus brevis behauptete er so-
gar, bei keinem Anatomen aus England, Frankreich
und Deutschland eine Erwähnung gefunden zu haben!!
Mit dem neuen, unpassenden Namen «Flexor carpi
radialis brevis», welcher dem Muskel übrigens auch
schon 7 Jahre vor ihm von Theiïile verlichen war,
dupirte er die Referenten, die daher keinen Anstand
nahmen, nebst anderen alten Neuigkeiten auch den
«Flexor carpi radialis brevis — Wood —» für neu
zu halten. Wood hat eine neue Variante der bekann-
ten Varietät «Radio-carpeus», mit Norton eine neue
Variante der bekannten Varietät «Radio-carpometa-
carpeus» und kurz vor mir (sieh unten) die Varietät
«Radio-metacarpeus» des Radialis internus brevis be-
obachtet; den Muskel selbst hat er nicht entdeckt.
Ich fahre fort, mich als Entdecker des Muskels an-
zusehen, so lange nicht bewiesen ist, dass Fano’s
Muskel wirklich ein «Radio-carpeus» in unserem Sinne
war (was aber nicht zu beweisen ist), und so lange
nicht ein Anderer gefunden wird, der vor mir den
Muskel beschrieben hätte.
B. Eigene neue Beobachtungen,
1. u. 2. (4. u. 5.) Fall. Beobachtet im November
1861 an beiden Armen eines jungen männlichen In-
dividuums.
Am rechten Arme. Ein gefiederter und ausser-
dem noch an seiner Ulnarseite sehniger Muskel von
4h — 4", Z. (Fleischtheil und Sehne) Länge im Gan-
zen, à Lin. Breite und 2 Lin. Dicke am Fleischtheile.
Ursprung. Am gewôhnlichen Orte an einer Stelle,
in der Hôühe der Verbindung des unteren Drittels mit
dem mittleren der Breite des Ansatzes des Pronator
quadratus bis , Z. unter die Mitte der Länge des
Padius aufwärts.
Verlauf des Fleischtheiles wie gewôhnlich; der
langen Sehne aber, welche erst unterhalb des Radius
frei wird, ausserhalb der Scheide für den Radialis in-
ternus, ulnarwärts davon.
Ansatz. Mit der 1 Z. langen, 2 Lin. breiten und
1 Lin. dicken Sebne, welche nur wenige Fasern zur
Tuberositas 0. navicularis sandte und mit dem Liga-
341
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
34?
mentum carpi volare profundum verschmolzen war, an
das Os capitatum.— Varietät «Radio-carpeus».
Am linken Arme. Ein schwacher zweibäuchi-
ger Muskel von 2°, — 2", Z. Länge.
Ursprung. Sehnig-fleischig vom Radius im Berei-
che des oberen Drittels des Ansatzes des Pronator
quadratus.
Verlauf. Mit den Sehnen seiner Bäuche ausser-
halb der Scheide für den Radialis internus.
Ansatz. Mit der Sehne des lateralen Bauches an
den Bänderapparat der Hohlhandseite des Carpus; mit
der Sehne des medialen Bauches, welche die Sehne
des ersteren von vorn kreuzt und darauf radialwärts
lag, an das Os capitatum. — Variante der Varietät
Radio-carpeus — «Radio-carpeus bicaudatus».
3. (6.) Fall. Beobachtet im December 1862 am
rechten Arme eines Mannes.
Ein halbgefiederter Muskel mit einer am Ende
in zwei Bündel getheilten Sehne von 3°, — 3", Z. (am
Kürper 2 Z., an der Sehne 1 Z., an den Endbündeln
der letzteren /;, —‘/, Z.) Länge.
Ursprung. Von der lateralen Fläche des Radius
nahe seinem vorderen Rande breitsehnig, ", Z. hoch
und 4— 5 Lin. breit.
Verlauf. Mit dem Kürper wie gewôhnlich; mit
seiner Sehne ausserhalb der Scheide in einer eigenen
ulnarwärts von letzterer gelagerten besonderen Schei-
de; mit einem Bündel der Sehne in der Scheide des
Radialis internus, nachdem dasselbe letztere durch-
bobrthatte, mit dem anderen ausserhalb dieser Scheide.
. Ansatz. Mit dem stärkeren, 3 Lin. breiten und
langen, innerhalb der Scheide des Radialis internus
gelagerten und die Sehne des letzteren Muskels volar-
wärts kreuzenden radialen Bündels seiner ”, Lin.
dicken Sehne an die Tuberositas 0. multanguli maj.;
mit dem bandfürmigen, 6 Lin. langen und 2 Lin. brei-
ten, mit der Wand der Scheide für den Radialis inter-
nus verwachsenen, ulnaren Bündel an das Os capi-
tatum. — Varietät «Radio-carpeus».
4. u. 5. (7. u. 8.) Fall. Beobachtet im November
1866 an beiden Armen eines Mannes (Fig).
Am rechten Arme. Ein gefiederter, am Fleisch-
theile 3°, Z., an der starken Sehne 1%, Z., also 5 Z.
langer; am Fleischtheile bis 8 Lin., an der Sehne
2 Lin. breiter; am Fleischtheile 2°, Lin. dicker Mus-
kel («.). |
Ursprung. Von der lateralen Fläche und dem vor-
deren Rande des Radius (1.), von einer Stelle 1 Z.
über dem Ende des Radius bis 1 Z. über den Ansatz
des Pronator quadratus (b.) aufwärts, neben dem Flexor
pollicis longus (e.) und Pronator quadratus.
Verlauf. Wie gewühnlich, und in der Scheide für
den Radialis internus gemeinschaftlich mit diesem.
Ansatz. Neben der Sehne des Radialis internus,
von dieser durch Bindegewebe und Fett vüllig geschie-
den, an das Os metacarpi IL. — Varietät «Radio-me-
tacarpeus».
Am linken Arme. Ein um 1 Z. kürzerer und nicht
über den Ansatz des Pronator quadratus aufwärts rei-
chender, sonst wie der am rechten Arme beschaffener
Muskel. — Varietät «Radio-metacarpeus».
Ich habe somit unter den 5 neuen Fällen des Ra-
dialis internus brevis, welche ich sämmtlich in meiner
Sammlung aufbewahrt habe, eine neue Variante der
Varietät «Radio-carpeus», d. i. den Radio-carpeus bi-
caudatus (1 Mal) und die Varietät « Radio-metacarpeus»
angetroffen, die mir früher nicht bekannt waren. Der
Ursprung beschränkte sich, wie bei meinen früheren
Fällen, auf die laterale Fläche und den vorderen Rand
der unteren Hälfte des Radius. Die Lage des Radia-
lis internus brevis der neuen Füälle verhielt sich, ab-
gesehen von ihrer Sehne, so, wie bei den Muskeln der
früheren Fälle. Die Sehne lag nämlich bei 2 Fällen
der Varietät «Radio - carpeus» nicht in der Scheide
des Radialis internus, sondern ausserhalb derselben
und ulnarwärts davon; bei 1 Falle der Varietät «Ra-
dio-carpeus» auch ausserhalb der Scheide des Radia-
lis internus und ulnarwärts von dieser, aber in einer
eigenen Scheide, nur mit einem ihrer Endbündeln in
der Scheide des Radialis internus; bei den 2 Fäl-
len der Varietät «Radio-metacarpeus» endlich in der
Scheide des Radialis internus wie bei den Varietäten
«Radio-carpeus» und «Radio-carpometacarpeus» der
früheren Fälle. Die Sehne war in den 2 Füällen der
Varietät «Radio -metacarpeus» einfach, schickte in
1 Falle der Varietät «Radio-carpeus» ein Nebenbün-
del ab und war in 2 Fällen der Varietät «Radio-car-
peus» in 2 Bündel getheilt, welche in 1 Falle davon
zwei Bäuchen des Muskels angehürten. Der Ansatz
der neuen Füälle variirte sehr, glich nur bei 1 Falle
der Varietät «Radio-carpeus» einem der früheren Fälle
dieser Varietät. Die cinfache Schne setzte sich bei
292*
343
den Fällen der Varietät «Radio-metacarpeus» an das
Os metacarpi Il., in 1 Falle der Varietät «Radio-
carpeus» an das O. capitatum und an die Tuberositas
o. navicularis, in dem Falle der Variante «Radio-car-
peus bicaudatus» mit der Sehne eines Bauches an
das O. capitatum, mit der Sehne des anderen Bau-
ches an den Bänderapparat der Hohlhandseite des
Carpus, und in 1 Falle der Varietät «Radio-carpeus»
an die Tuberositas o. multanguli maj. und an das O.
capitatum. Die Gestalt des Muskels der neuen Füälle
war 4 Mal der der früheren Füälle ähnlich. Die Länge
des Muskels übertraf in 1 Falle der Varietät «Radio-
metacarpeus», die der Varietäten «Radio-carpeus» und
«Radio-carpometacarpeus» der früheren Fälle, betrug
5 Zoll.
€ Resultate,
Nach Allem, was bis jetzt über den Radialis inter-
nus brevis bekannt ist, ergiebt sich folgende Be-
schreibung:
Vorkommen. Bis jetzt 16 Mal und zwar von mir
(8 Mal), von Theile (1 Mal), von Luschka (2 Mal),
von Wood (4 Mal), von Norton (1 Mal) angetroften.
Unter meinen Fällen an einem Arme allein (4 Mal),
an beiden Armen eines und desselben Individuums
(2 Mal), am rechten Arme (6 Mal), am linken (2 Mal),
bei geflissentlich von mir vorgenommenen Untersu-
chungen an 200 Leichen — 400 Armen — (1 Mal) be-
obachtet. Als Varietät «Radio-carpeus» 7 Mal (Gru-
ber — 5 Mal—, darunter 1 Mal die Variante «Radio-
carpeus bicaudatus», Theile — 1 Mal—, Wood—1
Mal —); als Varietät cRadio-carpometacarpeus» 5 Mal
(Gruber—1 Mal—, Luschka— 2 Mal—, Wood
— 1 Mal—, Norton — 1 Mal —); endlich als Varie-
tät «Radio-metacarpeus» 4 Mal (Wood — 2 Mal —,
Gruber— 2 Mal—) gesehen. — Der Radialis inter-
nus brevis ist nach meinen Beobachtungen häufiger an
einem Arme allein als an beiden Armen eines Indivi-
duums, häufiger an rechten Armen als an linken und
überhaupt selten zu erwarten; er tritt nach meinen
und fremden Beobachtungen unter der Varietät «Radio-
carpeus» am häufigsten auf.
Gestalt und Grüsse. Ein gefiederter oder halb-
gefiederter oder nicht gefiederter, spindelfürmiger oder
länglich-dreiseitiger Muskel von 2 — 5 Z. Länge (da-
von 8 Lin. — 1 Z. 9 Lin. auf die Sehne); 6 — 9 Lin.
Bulletin de l’Académie Empériale
344
am Fleischtheile und bis 2 Lin. an der Sehne, und
bis 3 Lin. an deren Bündeln Breite; und bis 3 Lin.
am Fleischtheile Dicke.
Lage. Im Sulcus radialis antibrachü und an der
Hohlhandseite des Carpus; auf dem Radius; vom Ra-
dialis internus longus zuerst lateralwärts, dann rück-
wärts und zuletzt medialwärts von dessen Sehne; auf
der untersten Ursprungsportion des Flexor pollicis
longus, dann lateralwärts, rückwärts und medialwärts
von dessen Sehne; auf dem Insertionstheil des Pro-
nator quadratus hinter den Vasa radialia im Sulcus
radialis antibrachii.
Ursprung. Von der lateralen Fläche — Henle —
(= vorderen Fläche mancher deutschen und — äus-
seren Fläche der franzüsischen und englischen Ana-
tomen) und dem vorderen Rande der unteren Hälfte
des Radius in verschiedener Ausdehnung in verticaler
und transversaler Richtung, zwischen der Insertion
des Brachio-radialis und einer Stelle 4 Lin. unter der
Insertion des Pronator teres aufwärts.
Verlauf. Schräg ab- und medialwärts, mit der Sehne
und deren Bündeln in der Scheide für den Radialis
internus, oder ausserhalb derselben ulnarwärts.
Ansatz. An den Carpus [O. capitatum (häufig), mul-
tangulum maj., naviculare (selten), mediale Wand der
fibrôsen Scheide des Radialis internus, Bänderapparat
der Hohlhandseite des Carpus] an 1 — 3 Stellen, und
an den Metacarpus (O0. metacarpi IT. u. IIL.) an eines
derselben; an den Carpus allein, oder an den Carpus
und Metacarpus zugleich, oder an den Metacarpus
allein.
An Carpus allein :
1) Mit einer einfachen Sehne:
a) An das O. multangulum maj. (Theile).
b) An die fibrüse Scheide des Radialis internus
(Wood).
2) Mit 2—3 Bündeln seiner Sehne, oder mit den Seh-
nen des zweibäuchigen Muskels an 2 — 3 Stellen:
a) An die Tuberositas 0. navicularis und an das ©.
capitatum (Gruber).
b) An die Tuberositas o. multanguli maj. und an
das O. capitatum (Gruber).
c) An das O. capitatum und den Bänderapparat der
Hohlhandseite des Carpus (Gruber).
d) An die Tuberositas o. multanguli maj., an die
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345
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
346
Tuberositas 0. navicularis und an das O. capita-
tum (Gruber) ").
An Carpus und Metacarpus zugleich:
a) An die Tuberositas 0. multanguli maj. und an
die Basis 0. metacarpi II. (Gruber).
b) An den Carpus (wo?) und an die Basis 0. meta-
carpi II. (Luschka).
c) An das O. capitatum und an die Basis 0, meta-
carpi IT, (Wood, Norton).
An Metacarpus allein :
An die Basis 0. metacarpi II. (Wood, Gruber).
Wirkung. Flexor der Hand gegen den Unterarm
und Supinator manus proprius.
Erklärung der Abbildung !!).
Untere Hälfte des Unterarmes mit der Handwurzel
und Mittelhand der rechten Seite eines Mannes. (An-
sicht von der Volarseite.)
1) Radius.
2) Ulna.
3) Handwurzel.
4) Mittelhand.
a) Musculus radialis internus brevis — Varietät «M.
radio-metacarpeus».
b) M. pronator quadratus.
€) M. brachio-radialis (Endstück).
d) M. ulnaris internus (Endstück).
e) M. flexor pollicis longus (Sehne abgeschnitten).
f) M. flexor digitorum sublimis (obere Partie).
9) M. pronator teres (Ende).
h) Sehne des M. radialis internus longus.
i) Sehne des M. radialis externus longus.
k) Sehne des M. radialis externus brevis.
t) Sehnen der Mm. abductor longus und extensor
brevis pollicis.
«) Ligamentum carpi volare proprium (am Fache
für die Mm. flexores digitorum ausgeschnitten,
10) Das Bündel zum O. capitatum war vorher 2 Mal mit dem
Lig. carpi volare profundum und 1 Mal mit der medialen Wand der
fibrôsen Scheide für den Radialis internus verwachsen (Gruber).
11) Zu den 1859 gelieferten Abbildungen der Varietäten «M.
radio-carpeus und M. radio-carpometacarpeus» des M. radialis in-
ternus brevis trage ich die Abbildung der Varietät «M. radio-meta-
carpeus» nach.
und am Fache — Scheide — für die Mm. radia-
les interni durchgeschnitten).
8) Mediale Wand der Scheide für die Mm. radia-
les interni.
St.-Petersburg, den 30. October 1867.
Der Nachweiïis des Cysticercus Taeniae medioca-
nellatae in den quergestreiften Muskeln der
Rinder. Ein Beitrag zur Entwickelungsge-
schichte der Taenia mediocanellata, von Dr.
J. Knoch. (Lu le 3 octobre 1867.)
Wiewohl manche Erfahrungen, und namentlich
die Fütterungsversuche Leuckart’s und Mosler’s
beim Kalbe für die Existenz des Cysticercus Taeniae
mediocanellatae beim Rind sprachen, so blieb dennoch
bis jetzt der Nachweis vom natürlichen Vorkommen
desselben in Bezug auf sein Wohnthier aus. Ja selbst
die von Leuckart und namentlich von Küchen-
meister beim Schwein angestellten Fütterungsver-
suche mit reifen Proglottiden der Taenia inermis (T.
mediocanellata Küchenmeister’s) schienen den ge-
machten Erfahrungen sogar zu widersprechen. Und
wenn es auch das Verdienst des Dr. Weisse in St.
Petersburg war, zuerst darauf aufmerksam gemacht
zu haben, dass bei Kindern, die aus diätetischen Grün-
den mit zerriebenem, rohem Rindfleisch genährt wer-
den, sich nicht selten der gemeine Bandwurm ein-
stellt, so läisst derselbe es ganz unentschieden ‘), ob
es die bewaffnete, oder unbewaffnete Taenia des Men-
schen ist”). Selbst Davaine’s Mittheilung, dass man
in Abyssinien nicht Schweinefleisch, sondern Rind-
und Schaaffleisch roh geniesse, konnte nur wenig zur
Entscheidung dieser wichtigen Frage beitragen, inso-
fern es sich immer noch fragte, welches dieser Thiere
der eigentliche Träger der Jugendzustände dieser
Bandwürmer, d. i. ihrer Cysticerci ist — das Rind
1) Es konnte damals (im Jahre 1851) noch nicht eine Entschei-
dung dieser Frage herbeigeführt werden, da man noch nicht genau
die Existenz zweier Taenien-Species beim Menschen kannte. Wei-
tere Bestätigungen dieser wichtigen Beobachtung Weisse’s sind
ausser mir hier in St. Petersburg auch in Deutschland von Har-
nier in Kassel, besonders aber von Schmidt in Frankfurt a. M.
und zum Theil auch von Leuckart bei einem Judenkinde aus
Würzburg geliefert worden.
2) Die von mir hier in St. Petersburg, besonders aber im Aus-
lande (Wien, München etc.) angestellten Beobachtungen boten mir,
gleichwie die Bandwürmer aus Cairo Gelegenheit, die Taenia medio-
canellata als besondere Species genauer kennen zu lernen.
347
oder das Schaaf? — Von grüsserer Bedeutung ist
ausser Leuckart’s und Mosler’'s Fütterungsver-
suchen am Kalbe noch folgender Bericht von Knox,
dass unter den englischen Soldaten während des
Kaffernkrieges eine Bandwurmepidemie ausgebrochen
sei, unb zwar nach einem längeren Genusse des Flei-
sches abgetriebener, erschüpfter und ungesun-
der Ochsen”). Zugleich ist es Leukart an einem
Exemplar der im südlichen Afrika einheimischen
Bandwürmer, gleich wie mir an vielen von Bilharz
in Aegypten gesammelten Exemplaren gelungen, auf
das Bestimmteste den Beweis zu führen, dass im Sü-
den sowohl, als im Norden Afrikas die Taenia medio-
canellata vertreten ist.
Es erübrigt demnach zufolge des bisher Gesagten
noch, zugleich durch direkte Beobachtung das na-
türliche Vorkommen der unbewaffneten Fin-
nen‘) d. i. der Taenia mediocanellata beim Rind zu
constatiren. In Folgendem beabsichtige ich durch nä-
here Beschreibung des positiven Resultats meiner bis-
herigen Studien den factischen Beweis hievon zu lie-
fern, wobei ich gleichzeitig die Frage, ob beim
Schwein zwei Arten Finnen vorkommen, berücksich-
tigen werde.
Bereits im Jahre 1861 *), also schon vor den Ver-
suchen Leuckart’s am Kalbe, hatte ich in einem der
besten Restaurants St. Petersburgs — auf dem New-
ski-Prospekt, als ich eine Kalbscotelette verlangte, Ge-
legenheit, zahlreiche Finnen in derselben nachzuwei-
sen. Da eine genauere Untersuchung mehrerer Cysti-
cercen jedoch ergab, dass sie mit dem zierlichen Ha-
kenkranz und dem Rostellum ausgerüstet waren, und
diese charakteristischen Merkmale entschieden für
den Cysticercus Taeniae solii sprechen, fühle ich mich
zur Annahme veranlasst, dass man anstatt der Kalbs-
cotelette mir Schweinscotelette gereicht hat. »
Walteten in dem Falle auf dem Newski ) dem-
3) Sieche Leuckarts Parasiten- Werk, p. 292 etc. und Fro-
riep’s Notizen p. 122 vom Jahre 1822.
4) Da ein künstliches Ziehen derselben beim Kalbe durch Füt-
terung mit den Proglottiden Taeniae mediocanellatae ja noch kei-
neswegs als Beweis ihres natürlichen Vorkommens weder beim
Kalbe, noch viel weniger beim Rind dienen kann.
5) Siehe meinen Aufsatz: Studien, betreffend die verschiedenen
Wege, auf denen eine Ubertragung der Halminthen auf den Men-
schen erfolgt, zugleich mit Abbildungen in dem Militär-Medicini-
schen Journal vom Januar 1862.
6) Wie ich später wiederholt, sowobl im frischen Schweinefleisch,
Bulletin de l'Académie Empériale
348
nach noch Zweifel ob, so bot der zweite in der Nähe
der medico-chirurgischen Akademie im Sommer 1864
von mir beobachtete Fall die günstige Gelegenheit
dar, mit aller Bestimmtheit im Rindfleisch den unbe-
waffneten Cysticerceus — d. i. die Finne der Taenia
mediocanellata zu entdecken. Das Fleisch, das aus
der Fleischbude daselbst bezogen war, soll nach der
Versicherung des Verkäufers von dem Polizeiarzt be-
sichtigt worden sein, weshalb ersterer, als ihm spä-
ter die verdächtigen Stellen in den Muskeln gezeigt
wurden, sich zu der Ausserung berechtigt glaubte,
«es sei in ihnen nichts Krankhaftes vorhanden». Mit
dieser so zuversichtlich ausgesprochenen Versiche-
rung mich natürlich nicht begnügend, schritt ich zur
genauen Untersuchung dieser fraglichen, zahlreich in
den Muskeln eingestreuten Kürper von schmutzig
weisser, in’s Gelbliche spielender Färbung. Das Er-
gebniss dieser Untersuchung war folgendes:
Das Fleisch, stammend nach der Aussage des
Fleischers von einer Kuh, wohl aus der Umgegend
St. Petersburgs, hatte — abgesehen von den Kapseln
der Cysticercen — wohl kaum das Aussehen eines
kranken Fleisches, auch nicht das vom abgetriebenen
und erschôüpften Rinde, wie es z. B. Knox ausdrück-
lich von den Ochsen angiebt, deren Genuss zur Band-
wurmepidemie unter den englischen Soldaten im Kaf-
fernkriege Veranlassung gegeben hat. Dass diese Mus-
keln aus der Lendengegend weder in Betreff des Aus-
sehens, noch der Farbe, noch der Consistenz sich we-
sentlich vom gesunden Rindfleich unterschieden, geht
zugleich aus dem Umstande hervor, dass die Käuferin
des Fleisches, die selbst schon über 40 Jabre ihre
Wirthschaft bestreitet, dasselbe als gutes, gesundes
Fleisch für den Hausstand gekauft?) hatte. Das, was
man vielleicht an diesem Rindfleisch ausser den Fin-
nenkapseln aussetzen konnte, war, dass es nicht das
gewübhnliche, lebhaft rothbraune, sondern ein mebr
dunkelbraunes Aussehen zeigte. In den kräftig entwik-
kelten, durchaus nicht schlaff oder welk anzufühlen-
den Muskeln waren die fraglichen Kürper von sebr
als namentlich in dessen gesalzenen und geräucherten Schinken die
Finnen ausser den Psorospermien-Behältern gefunden habe.
7) Und nur das durch meine helminthologischen Studien geübte
Auge meiner Frau war ausser mir im Stande, das an diesem Fleische
Verdächtige wahrzunehmen, so dass ich ihr die so überaus seltene
Gelegenheit zum Nachweis des Cysticercus Taeniae mediocanellatae
verdanke.
349
verschiedener Grôsse und im Ganzen zahlreich, so-
wohl in den peripherischen Schichten, als auch in
der Tiefe derselben anzutreffen. Die kleinsten dieser
in Rede stehenden Kürper waren von der Grüsse ei-
nes Hirsekorns, die den jüngsten oder ersten Ent-
wickelungszuständen des Cysticereus entsprechen und
ihre Cestodennatur nur an den charakteristischen Kalk-
kürperchen erkennen liessen. Die grüssten derselben
erreichten die Grüsse einer kleinen Bohne. Die Form
dieser Cysten näherte sich der einer Ellipse, wie ich
es auch bei den Finnen in den Muskeln des Menschen
und der Schweine beobachtet habe. Im Widerspruch
hierzu steht die Beobachtung Leuckart’s, der bei
den von ihm beim Kalbe künstlich gezogenen Exem-
plaren die runde Form vorwiegen sah, und in der
Zeichnung 123 seines Parasitenwerkes sie jedoch alle
in Form einer Ellipse darstellt. Dabei spricht er °) zu-
gleich von den Polen seiner Finnen, indem er unmit-
telbar darauf sagt, dass der eine derselben konisch
zugespitzt war. Ausser den grossen und kleinsten Cy-
sten gab es verschiedene Mittelstufen, von denen die
meisten etwa der Grüsse einer Erbse oder kleinen
Bohne gleich kamen. Bei Erôffnung dieser Cysten
überzeugte ich mich, dass sie, wie es auch Professor
Mosler bei seinen künstlich gezogenen Kalbsfinnen
fand, nicht vollständig — wie ich es bei den Finnen
der Schweine beobachtet — von dem Cysticercus aus-
gefüllt werden, sondern dass letzterer gleichsam wie
eingebettet in einer feinkôürnigen, brückligen, gelbge-
färbten Masse liegt. Letztere — zum Theil aus ein-
zelnen elliptischen Zellen bestehend %) — fand ich na-
mentlich in den Cysten reichlich angehäuft, in denen
keine Cysticercen nachzuweisen waren — demnach
den Acephalocysten ähnliche Zustände, wie sie bei
dieser Finnengattung ausser mir auch Prof. Mosler
constatiren ") konnte. Dieser Gelehrte hebt in seiner
Schrift: «Helminthologische Studien» ausser der weis-
8) Während Prof, Mosler, der nicht auf eine nähere Beschrei-
bung dieser Cysticercen eingeht, nur von den Cysten im Herzen
sagt, dass sie eine länglich ovale Form haben und die auffallendste
Ahnlichkeit mit den Tuberkeln (?) zeigen.
9) Die jedoch nur den kleinsten Theil, keineswegs aber, wie
Prof. Mosler bei seinen künstlich gezogenen Finnen des Kalbes
beobachtet haben will, die ganze Masse des brückligen Inhalts der
Cysten ausmachen.
10) Und wie ich auch bei den Trichinen eine wurmlose, jedoch
noch nicht ganz geschlossene Kapsel zu beobachten Gelegenheit
hatte.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
350
sen Farbe mit besonderem Nachdruck die grosse Âhn-
lichkeit dieser Wurmeysten mit den Tuberkeln her-
vor, so dass sie seiner Ansicht nach bei oberflächli-
cher Untersuchung ohne Weiteres als gewühnliche
Tuberkeln angesehen werden kônnen. Ich dagegen
muss gestehen, dass ich schon beim ersten Anblick
dieser fraglichen Gebilde überzeugt war, dass wir es
in dem betreffenden Falle nicht mit Tuberkeln, son-
darn mit Wurmeysten zu thun haben, die nicht ganz
weiss waren, wie Mosler an seinen Finnen in den
Muskeln des Kalbes beobachtete, sondern gelblich
aussahen. Nur darin war ich anfangs noch nicht ganz
gewiss, ob in der That die Finnen der Taenia medio-
canellata vorlagen, wie ich zufolge der Experimente
der Professoren Leukart und Mosler glaubte anneh-
men zu müssen, oder müglicherweise andere Cysten-
zustände. Ich sage nicht ganz gewiss, da man bisher
uoch nie im Rindfleich, und beim Kalbe stets nur nach
Fütterungen, den Cysticercus jener Taenia beobach-
tet hat. Dass wir in dem betreffenden Falle nicht auf
den bewaffneten Cysticereus Taeniae sol oder den
Scolex Dibothrii lati stossen würden, davon war ich
a priori überzeugt. Und dass ich mich in dieser Vor-
aussetzung nicht irrte, beweist folgender wikroskopi-
sche Befund der betreffenden Cysticercen "'), deren
Beschreibung ich die Abbildungen beifüge.
Die jüngsten Entwickelungsstadien entsprachen am
meisten dem Entwickelungszustande, den Leuckartim
seiner Abhandlung: «die Blasenbandwürmer und ihre
Entwickelung» in Fig. 3 der Tafel IT vom Cysticer-
cus Taeniae serratae dargestellt hat, d. i. sie waren
noch ohne alle Anlage des Kopfzapfens; jedoch war
es mir môüglich, die Gegenwart der charakteristischen,
concentrisch geschichteten Kalkkürperchen zu con-
statiren. Ein besonderes Canalsystem oder Gefäissma-
schennetz war ich bei diesen Exemplaren nicht im
Stande nachzuweisen.
Ich war schon beim Befunde des ersten Entwicke-
lungsstadiums dieser Wurmeysten, die der concen-
trisch geschichteten Kalkkürper wegen nicht mehr
als Tuberkeln angesehen werden kônnen, überzeugt,
11) Ich glaube wegen der Wichtigkeit des Befundes hier näher
auf die Beschreibung des von mir Beobachteten und der beifolgen-
den Zeichnungen (v. Fig. 1, 2 und 3) eingehen zu müssen, um jedem
môglicher Weise stattfindenden Zweifel oder Bedenken am sicher-
sten vorzubeugen.
351
Bulletin de l’Académie Hmpériale
352
+
dass wir es mit Cestodencysten zu thun haben. Vol-
lends wurde ich namentlich bei den grüsseren Exem-
plaren nicht allein in dieser Ansicht, sondern zugleich
auch darin bestärkt, dass die betreffenden Cestoden-
cysten nicht den Bothriocephalen Scolices, sondern
den Cysticercen, und zwar denen der Taenia medio-
canellata angehüren. Dass es namentlich Cysticercen
sind, dafür sprachen bei den mehr ausgebildeten Exem-
plaren:
1) die Gegenwart der Schwanzblase und
2) die 4 runden Saugnäpfe, während diejenigen der
Bothriocephali länglich oder lineär sind und die Zahl
2 nicht überschreiten.
Es erübrigt noch den Beweis zu führen, dass die
betreffenden Cysticercen nicht die der Taenia solium
sind, sondern in der That der Taenia mediocanellata
angehôüren. Zu diesem Behuf würde es zweckmässig
sein, ausser der Beschreibung des Befundes, zugleich
einige Zeichnungen beizufügen, die ich bei einer Ver-
grôsserung von bb—100 Malen gewonnen habe.
An der Fig. 1, die der Fig. 125 in Leuckart’s
Parasiten-Werke entspricht, nimmt man deutlich 3
grosse, tiefe Saugnäpfe wabr, während der vierte an
der anderen Seite unter dem mittleren Saugnapf durch-
schimmert (vide dieselbe Fig. 1). Es mangelt bei die-
ser Species — was charakteristisch ist — vollständig
der Hakenkranz, und das Rostellum, das für den Cy-
sticercus Taeniae solii so bezeichnend ist. Die Gegen-
wart von Pigment konnte ich ebenso wenig wie Leu-
ckart zwischen den Saugnäpfen erkennen, was übri-
gens, wiewohl Leuckart und Mosler es als sehr
charakteristisch gerade bei der Taenia mediocanellata
bezeichnen, keineswegs weder für diese Species, noch
für Taenia solium spricht. Übrigens gesteht auch Leu-
ckart in jener Schrift ein, dass er bei den von ihm
künstlich gezogenen Cysticercen Taeniae mediocanella-
tae kein dunkles Pigment am sogenannten Kopf dersel-
ben abgelagert gefunden hat. Auch entsinne ich mich
nicht, an den betreffenden von Leuckart an Virchow
gesandten mikroskopischen Präparaten eine Andeu-
tung des Pigments gesehen zu haben, das, wenn es
überhaupt bei diesen Taenien im geschlechtsreifen Zu-
stande auftritt, demnach, wie auch Virchow richtig
voraussetzt, erst in den späteren Lebensperioden die-
ser Parasiten in die Erscheinung tritt. Übrigens muss
ich zufolge meiner Beobachtungen an vielen Taenien-
Exemplaren von Siebold in München, die Bilharz
in Cairo gesammelt hat, gestehen, dass mir keines-
wegs das Pigment bei der Taenia mediocanellata als
für diese Species besonders vorwiegend aufgefallen
ist, während ich dasselbe dagegen auch bei den Cy-
sticercen Taeniae solii *) beobachtet habe. — Im Ein-
klange hiermit besitze ich zugleich noch ein grosses
Exemplar der Taenia mediocanellata aus Tübingen, an
dem bei allem Mangel des Hakenkranzes und des Ro-
stellums keine Spur vom Pigment wahrzunehmen ist.
Dass das Rostellum in der That bei dem Cysticercus
Taeniae mediocanellatae fehlt, davon konnte ich mich
besonders dann überzeugen, als ich dasselbe Exem-
plar von der anderen, der unteren Seite betrachtete
(sieh Fig. 2), wobei zugleich der früher nur schwach
durchimmernde 4. Saugnapf mit seiner inneren, run-
den Grubenüffnung *) hervortrat. Nicht jedoch konnte
ich mich von dem Vorhandensein eines 5., weit klei-
neren Saugnapfes zwischen den 4 anderen Saugnäpfen
überzeugen, den Leuckart als Stirnsaugnapf'*) be-
zeichnet, und dessen Wandungen nach den Beobach-
tungen des letzteren jedoch geringer differenzirt sind,
als die der eigentlichen Saugnäpfe. Letztere, die im
Durchmesser etwa 0,3 Mm. gross sind, erreichen noch
nicht die Grüsse der Saugnäpfe geschlechtsreifer, un-
bewaffneter Taenien (7. mediocanellatae); jedoch sind
sie bedeutend grüsser, als die des Cysticercus Taeniae
solii. Besonders zeichnen sich die Saugnäpfe der Cy-
sticercen vom Rind durch die Stärke ihres Muskelap-
parates aus, dessen Lippen eine becherfôrmige Aus-
hôhlung bilden. Zwischen den Saugnäpfen und selbst
am Rande derselben konnte ich, was Leuckart nicht
gelang, die Gegenwart der Kalkkürperchen nachwei-
sen; mehr aber traten sie an der Übergangsstelle zum
12) Wobei ich jedoch zugleich hervorheben muss, dass dieselben
entweder abgestorben waren und an Stelle des fehlenden Haken-
kranzes einen dunklen Pigmentring zeigten, oder Missbildungen dar-
stellten, insofern der Kopf in der Gegend des Rostellums in zwei
Erhôhungen getheilt erschien, auf denen nur einzelne Häkchen
zum Theil ausgebildet waren.
13) Der in der Fig. 2 um den unteren, inneren Saugnapf führende
Halbkreis ist wohl, gleichwie der oben in der Fig. 1, in die Erschei-
nung tretende Bogen durch Faltenbildung entstanden.
14) Der, wie Leuckart selbst gesteht, von ihm nur bei leben-
den Cysticercen, nicht jedoch bei geschlechtsreifen Spiritus-Exem-
plaren beobachtet werden konnte, an denen auch ich, anstatt des
Rostellums mit dem Hakenkranz, nur eine schwache Vertiefung
wabrzunehmen im Stande war.
353
Halse ) gleich unter den Näpfen auf, um an demselben
bald ungemein zahlreich zu werden; am stärksten sind
sie, wie es die Fig. 1 deutlich zeigt, am Halse na-
mentlich vor dem Übergange desselben zu der Mutter-
blase ausgesprochen, so dass sie dort die Muskulatur
und das übrige Gewebe des Halses ganz verdecken.
Ausserdem konnte man am Halse schon deutlich die
Segmentation erkennen, die gleich hinter dem Kopfe
quer über die ganze Breite des Halses verfolgt wer-
den konnte. Die Segmentbildung deutet auch Leu-
ckart in den Figuren 124 und 125 seines Parasiten-
Werkes an, nur vermisse ich sie auffallender Weise
ebendaselbst ganz in der Figur 126, wo der Kopf-
zapfen gerade stark vergrüssert ©) und der Hals im
Vergleich zu meiner naturgetreuen Zeichnung auffal-
lend kurz dargestellt ist. (Vergleiche seine Zeichnung
mit meiner Figur 1, wobei zugleich ein zweiter Un-
terschied in der Haut sich geltend machen wird; die
Leuckart doppelt contourirt darstellt, während ich
sie einfach contourirt fand). Die Breite des Halses
beträgt etwa soviel, als die Länge des Kopfes, d. i.
8,01 Mm., während die Breite des letzteren sich un-
gefähr auf 10,01 Mm. beläuft.
Die Mutterblase der Cysticercen vom Rind ist ziem-
lich gross, und mehr in dem Längen- als im Brei-
ten-Durchmesser entwickelt"”). Ihr Aussehen ist da-
durch charakterisirt, dass sich zwischen dunklen, un-
regelmässig rundlichen Feldern, die aus kleineren
Punkten gebildet sind und ähnlich einem Pflaster er-
scheinen, sich ein helles Gefässmaschennetz hinzieht;
Kalkkürperchen, wie sie Leuckart hie und da dar-
stellt, habe auch ich in der Wandung der Blase be-
obachtet. Der Inhalt dieser Mutterblasen schien nur
gering zu sein.
Zufolge dieser Beschreibung und der der Natur ge-
treu entlehnten Zeichnungen ist es nicht mehr zwei-
felhaft, dass die von uns im Rindfleisch nachgewiese-
nen Cysticercen die der Taenia mediocanellata sind.
Dem entsprechend konnte ich an dem Bandwurmkopf,
den mir College Büttich von einem S8-jährigen Kinde
zur Untersuchung zustellte, alle charakteristi-
15) D. ï. der Mittelkôrper zwischen dem sogenannten Kopf und
der Mutterblase.
16) Wodurch die Segmente gerade noch stärker, als bei schwa-
cher Vergrüsserung in die Erscheinung treten müssen.
17) Leuckart im Gegentheil stellt sie im Verhältniss zur Breite
sebr kurz dar (s. seine Fig. 125).
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
354
schen Kennzeichen der Taenia mediocanellata con-
statiren, d. i. die auffallende Grüsse und Breite so-
wohl des Kopfes, als auch des Halses, ferner die auf-
fallend grossen, tiefen und muskulüsen Saugnäpfe, so-
wie das gänzliche Fehlen des Rostellums, und anstatt
desselben eine entsprechende Vertiefung, ausser der
starken Pigmentirung des Kopfes.
Durch diese Beobachtungen glaube ich mich zu
folgenden Sätzen berechtigt:
1)In Russland kommen nicht allein im Schwein,
sondern auch im Rind Cysticercen vor, und zwar
wird der Cysticercus cellulosae Ÿ) zufolge meiner
vielfachen Untersuchungen ausser den häufigen
Psorospermien in Cysten und Canälen in Russ-
land beim Schwein nicht selten angetroffen, und
ferner ist:
nur beim Rinde die Gegenwart des Cysticercus
Taeniae mediocanellatae, und zwar ebenso zahl-
reich als die der bewaffneten Finnen beim Schwein
nachzuweisen, und endlich:
3) kommt in Russland beim Menschen ausser dem
am meisten vertretenen Bothriocephalus latus so -
wohl die Taenia mediocanellata, als auch die Tae-
ma solium, sowie der Echinococcus und die 7#ri-
china spiralis vor.
t2
Durch die hier gewonnenen Thatsachen künnen wir
zugleich die im Anfange dieses Artikels gestellte
Frage, betreffend die Species der von Dr. Weisse
etc. bei Kindern nach Genuss des rohen, geschabten
üundfleisches beobachteteten Bandwürmer als erledigt
betrachten, da sowohl mein direkter Nachweis der
Taenia mediocanellata bei einem Kinde aus St. Peters-
burg, als auch der zahlreiche Befund der unbewaff-
neten, rüssellosen Cysticercen im Rindfleisch entschie-
den für die Taenia mediocanellata sprechen.
Ferner lassen meine Beobachtungen und Erfahrun-
gen, gewonnen in Folge zahlreicher Untersuchungen,
sowohl des Schweine- als auch des Rindfleisches kei-
neswegs die Vermuthung Leuckart’s ”) und Kü-
18) Den ich bei meinen Untersuchungen des Schweinefleisches auf
Trichinen zugleich mit den Psorospermien stets berücksichtigt habe,
wozu ich mich als Mitglied einer Commission der allgemeinen Ge-
sundheiïtspflege besonders verpflichtet fühlte.
19) Er sagt nämlich in seinem Parasitenwerke: «er kônne nicht
mit voller Sicherheit behaupten, ob die nach der Fütterung des
Schweines mit den Proglottiden der Taenia mediocanellata von ihm
23
355
chenmeister’s ”) zu, als wenn auch beim Schwein
sich der Cysticercus Taeniae mediocanellatae entwickele.
Die medicinische Bedeutung und das Vorkommen dieses
Parasiten,
Leuckart setzt voraus, dass die Finne der Zaenia
mediocanellata im Menschen nicht zur Entwickelung
komme, verweisend auf die vermeintliche Thatsache,
als wenn bisher noch niemals (?) eine «hakenlose Finne»
beim Menschen gefunden worden sei. Aus Vorsicht
fügt Leuckart in Klammern hinzu («soweit bekannt»).
Ich kann dagegen mittheilen, dass ich bereits 1859
im Gehirne eines Geisteskranken nicht allein einen
hakenlosen, sondern zugleich stark pigmentirten Cys-
ticercus nachzuweisen im Stande war. Jedoch muss
ich hier besonders hervorheben, dass bei der Artbe-
stimmung der Finnen nicht, wie es Leuckart irr-
thümlich gethan, so viel Gewicht auf die Gegenwart
oder Abwesenheit des Hakenkranzes oder des Pig-
ments zu legen ist, als vielmehr auf das Vorkommen
oder Fehlen des Rostellums. Denn ungeachtet dieses
interessanten Befundes einer hakenlosen und zugleich
pigmentirten *') Finne halte ich sie dennoch für einen
Cysticercus Taeniae sol, da ich ausser diesem Exem-
plare in demselben Gehirn noch viele Finnen antraf,
die alle deutlich den Hakenkranz zeigten. Gestützt
auf diesen Befund, glaube ich mich dazu berechtigt,
den Befund Küchenmeister’s ähnlich deuten zu
müssen, wepn er die Finnen der Zaenia mediocanellata
unter den Cysticercis cellulosae des Schweins aufge-
funden haben will. (Sieh Compt. rend. vom Jahre
1860). Um so mehr glaube ich diese vermeinten Cys-
ticercen Taeniae mediocanellatae Küchenmeister”’s
beim Schwein als abgestorbene hakenlose Finnen T4e-
niae solii ansehen zu müssen, als Küchenmeister
ungeachtet der versprochenen Mittheilung über den
Befund seines Fütterungsversuches beim Schwein Spä-
ter nichts mitgetheilt hat, und das Ergebniss dieses
Versuches demnach wohl, gleich wie das Mosler’s
gefundenen 6 Finnen mit dem Hakenkranz und dem Rostellum _von
der Taenia mediocanellata abstammen.
20) Der unter den Cysticercen cellulosae beim Schwein zugleich
die der Taenia mediocanellata gefunden haben will (sieh Compt.
rend. vom Jahre 1860).
21) Das Pigment war nämlich in Form eines Ringes gerade an
der Stelle gruppirt, wo an den anderen Exemplaren der Haken-
kranz sass, ein Umstand, auf den ich bei der Artbestimmung des
Cysticercus ein besonderes Gewicht lege.
Bulletin de l’Académie KHmpériale
356
und zum Theil”) auch Leuckart’s, negativer Natur
war. Ich spreche deshalb, gestützt hé meine Unter-
suchungen und im vollsten Einklange mit dem negati-
ven Resultate Mosler’s (beim Fütterungsversuch am
Schwein), so wie mit den positiven Ergebnissen Leu-
ckart’s und Mosler’s (beim Kalbe) meine Über-
zeugung dahin aus: dass der Cysticercus Taeniae
mediocanellatae nur allein im Fleische der Rin-
der vorkommt, und dass er demnach nicht, wie die
gewôhnlichen Schweinefinnen und der Echinococeus
im Stande ist, beim Menschen ebenso wenig, als die
sogenannten Scolices Dibothrii lati®) besondere, gefähr-
liche Krankheiten des centralen Nervensystems weder
im Seelenleben *), noch in der Sinnessphäre (wie Blind-
heit etc.), oder des Gefässsystems *) hervorzurufen.
Im Einklange mit jenem Satze steht zugleich die in-
teressante Erfahrung, dass der Cysticercus im Auge
des Menschen nur da beobachtet wird, wo die Taenia
sol entweder vorherrscht, oder fast allein vorkommt,
wie in Berlin, Halle und in den nürdlichen Rheinge-
genden, ferner in Paris etc., während in den südlichen
Ländern Deutschlands, wie in Osterreich, selbst in
Bôühmen und Bayern, wo mebr die Taenia medioca-
nellata vorwiegt, der Cysticercus im Auge des Men-
schen meines Wissens bisher noch nicht beobachtet
worden ist.
Da wir die Wege der Übertragung dieses Parasiten
auf den Menschen durch die bereits ermittelten That-
sachen genau kennen gelernt haben, dürfte es jetzt
nicht mehr schwer fallen, zur Verhütung einer An-
steckung die nôthigen, prophylactischen Maassregeln
zu treffen, die aufzustellen und zu befolgen ich desto
mehr für nothwendig erachte, als namentlich die
Taenia mediocanellata beim Abtreiben sich durch
grosse Hartnäckigkeit, ferner durch grüssere Lebens-
22) Ich sage zum Theiïl, insofern Leuckart zufällig 6 Finnen
mit dem Rostellum und dem Hakenkranz fand. Ich halte es für un-
nôthig, seine irrige Ansicht, die er als die wahrscheinlichere aus-
spricht, als ob dieselben nämlich von der verfütterten Taenia medio-
canellata abstammten, hier noch zu widerlegen.
23) Wie ich es in den Arbeiten, betreffend diesen Parasiten und
den Bothriocephalus proboscidens genauer dargethan. Sieh Mémoires
de l’Acad. des sciences de St-Pétersbourg, T. V, Série VII, M5,
1862 und T. V der Mélanges biologiques, 1866.
24) Wie sie etwa durch Gehirn-Cysticercen der Taenia sol zu-
folge der Uutersuchungen Griesinger’s bedingt werden.
25) Ungeachtet sie nach den Beobachtungen Leuckart’s und
besonders Mosler’s beim Kalbe im Ly mphgefässsystem und na-
mentlich im Herzen sich sehr zahlreich entwickeln,
357
zähigkeit, so wie endlich durch allgemeine Fruchtbar-
keit vor der Taenia solium auszeichnet, und deren
Prophylaxis weder Leuckart noch Mosler bisher
berücksichtigt haben. Ferner verdient gerade bei der
Taenia mediocanellata die Prophylaxis schon insofern
eine besondere Würdigung, als die Ârzte namentlich
in Russland den Eltern rathen, ihren schlechtgenähr-
ten Kindern rohes, geschabtes Rindfleisch als stür-
kendes, leicht verdauliches Mittel zu reichen. Da wir
weit entfernt sind, den Rath des Prosectors Dr. Rud-
new zu billigen *), und wegen des Vorkommens der
Finnen im Rindfleisch den Genuss desselben etwa
ganz zu untersagen, wollen wir folgende Frage zu
beantworten versuchen: wie am sichersten einer An-
steckung vermittelst der Cysticercen Tacniae medio-
canellatae vorzubeugen sei? — Es wird das geschabte
Rindfleisch zu den bereits erwähnten diätetischen Zwe-
cken roh genossen, weshalb wir eine sorgfältige Be-
sichtigung ”) jedes geschlachteten Rindes vor dessen
Verkauf nicht genug empfehlen, die, soll sie eine für
alle Fälle ausreichende sein, selbst eine mikrosko-
pische sein muss. Wir dürfen nämlich nicht verges-
sen, dass die ersten Entwickelungsphasen der Finnen
in den Muskeln nur dem Mikroskope zugänglich sind,
selbst wenn es bei den Schweinefinnen und den Tri-
chinen müglich ist, die weiter entwickelten, bereits
eingekapselten Zustände derselben schon mit blossem
Auge aufzufinden. Jedenfalls ist auch in Betreff des
Rindfleisches eine genaue Fleischschau, gleich wie die
des Schweinefleisches auf dessen Trichinen und Cys-
ticercen Taeniae solii von jetzt an namentlich in Russ-
land als ein unerlässliches Erforderniss anzusehen,
und zwar desto nothwendiger, als wir den Genuss
des rohen Rindfleisches aus bereits angeführten Grün-
den noch weniger, als den des rohen Schweineflei-
sches verbieten künnen, und wir kaum zweckmässige,
passende Fleisch-Surrogate anstatt des ersteren em-
pfehlen künnen. Dabei wollen wir uns nicht die Schwie-
rigkeiten verhehlen, die besonders in grossen Städ-
ten eine sorgfältige Fleischschau wegen der grossen
Anzahl des geschlachteten Rindes darbietet. Es kommt
dabei jedoch in Betracht, dass in denselben alles Rind
26) Der darin besteht, das Schweinefleisch wegen des Vorkom-
mens der Trichinen in demselben gar nicht zu geniessen.
27) Deren Nothwendigkeit sich als eine desto dringendere her-
ausstellt, da die Cysticercen, wie wir bereits gesehen, sich ja in sebr
grosser Anzahl im Rindfleisch entwickeln.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
35%
in einem Central. Schlachthause geschlachtet wird,
wie es z. B. in St. Petersburg der Fall ist, wodurch
eine genaue Besichtigung des Rindfleisches jedenfalls
wesentlich erleichtert sein dürfte ”).
Zum Schlusse sei es mir noch erlaubt, einige allge-
meine Bemerkungen in Betreff anderer Fleischsorten
hinzuzufügen, die als Nahrung für Kinder zum Theil
die Stelle des rohen Rindfleisches vertreten kônnten.
Zunächst würde hier wohl das Kalbfleisch zur Sprache
kommen. Natürlich künnen hier nur Kälber in Betracht
kommen, die allein mit Milch genährt worden sind,
durch deren Fleisch also eine Übertragung der Tae-
nien-Keime geradezu unmüglich ist. Und da über-
haupt im Verlaufe der ersten Monate beim Kalbe eine
Ansteckung nicht wahrscheinlich ist, ja kaum anzu-
nehmen sein dürfte, so glauben wir den Genuss des
nicht allzujungen Kalbfleisches, das zugleich nahrhaft
und leicht verdaulich ist, nicht genug empfehlen zu
künnen, wobei (im Hinblick auf die Môglichkeit der
Finnen) ”) eine Besichtigung selbst dieses Fleisches
der Sicherheit wegen immerhin nicht ausbleiben sollte.
Ferner dürfte das Reh- und Rennthierfleisch, das na-
mentlich in Wien, Berlin und London eine besonders
beliebte Speise ausmacht, auch im rohen, geschabten
Zustande besonders als gutes Surrogat des Rindfleisches
anzurathen sein, gleich wie das Fleisch junger Pferde
(Fohlen), wobei das Vorurtheil gegen den Genuss des-
selben nicht in Betracht kommen kann. Es bliebe von
den Säugethieren ausser dem aus vielfachen Gründen
hier wohl kaum zu berücksichtigenden Schweinefleisch
noch das Schaaf zu beachten, bei dem ausser dem
Coenurus cerebralis im Gehirn, noch die Psorosper-
mien von Leuckart in den Muskeln sogar häufig
beobachtet worden sind. Was die Cysticercen Taeniae
mediocanellatae betrifit, so ist der Erfolg des Fütte-
rungsversuchs, den Leuckart beim Schaaf angestellt
hat, ein zweifelhafter geblieben, weshalb es wünschens-
werth wäre, denselben noch zu wiederholen. Jeden-
falls dürfte bis auf Weiteres der Genuss des geschab-
ten Lammfleisches zu gestatten sein, da der Gebrauch
98) Es wäre anzurathen, dass für jeden Stadttheil wenigstens von
einem Rinde das Fleisch mikroskopisch auf die Cysticercen unter-
sucht und gestempelt würde, mit dem sich alsdann die Apotheker
behufs des Verkaufs, oder die Eltern für ihre Kinder zu jeder Zeit
versorgen künnten.
29) Die Leueckart und Mosler beim Kalbe durch Fütterung
gewonnen haben.
23*
359
Bulletin de l’Académie Hmpériale
360
EEE
des die Psorospermien enthaltenden Fleisches bis jetzt
nicht als besonders schädlich dargethan ist.
Erklärung der Figuren,
Figur 1. Der Cysticercus Taeniae mediocanellatae
55mal vergrôssert.
Figur 2. Der sogenannte Kopf mit einem Theile
vom Halse dieses Parasiten, dargestellt von der an-
deren Seite, an der der 4. untere Saugnapf deutlich
hervortritt. Vergrüsserung 90mal.
Figur 3. Der Cysticercus Taeniae mediocanellatae
in natürlicher Grüsse zugleich mit seiner Mutterblase
dargestellt. Das Kanalsystem der letzteren ist zu bei-
den Seiten an dem unteren Theile der Figur 1 deut-
lich ausgesprochen.
Über die Arten der Eidechsengattung Ablepha-
rus Fitz., von Dr. A. Strauch. (Lu le 28 no-
vembre 1867.)
Die wenig zahlreichen Scincoiden-Arten, welche
die Tribus Ophiophthalmia zusammensetzen, bieten
bekanntlich in der Bildung und Entwickelung der
Extremitäten eine verhältnissmässig eben so grosse
Mannichfaltigkeit dar, wie die Repräsentanten der
Tribus Saurophthalmia, und lassen sich hauptsächlich
nach der An- oder Abwesenheit der Gliedmaassen,
so wie nach der Zahl der Zehen in mehrere leicht
und sicher zu unterscheidende Gattungen theilen. Un-
ter diesen Gattungen, deren Zahl sich gegenwärtig
auf 13 beläuft') und von denen mehrere durchaus
1) Die Namen dieser 13 Gattungen sind folgende: Ablepharus
Fitz., Cryptoblepharus Wiegm., Morethia Gray, Menetia Gray,
Gymnophthalmus Merr., Miculia Gray, Blepharactisis Hallow.
(Proc. Acad. Philadelph. XIL. p. 484), Lerista Bell, Pygopus Merr.,
Pletholax Cope (Proc. Acad. Philadelph. XVI. p.229), Dadma Gray,
Liasis Gray, und Aprasia Gray. Die Gattung Teratoscincus, die
ich im Bulletin der Akademie VI p. 480 (Mélanges biol. IV p. 397)
beschrieben und zu den ophiophthalmen Scincoiden gestellt habe,
gehürt, wie ich mich später überzeugt, nicht dahin, sondern in die
Familie der Geckoniden und bildet eine aberrante, der Gattung
Stenodactylus zunächst verwandte Form. Ich schwankte schon da-
mals hinsichtlich der Einreihung dieser Gattung zwischen den Fa-
milien der Geckoniden und Scincoiden, da ich aber die Gattung
Stenodactylus zu jener Zeit nicht in natura kannte, so liess ich mich
durch den Umstand, dass bei Teratoscincus der Kürper sowohl oben,
als auch unten mit gleichartigen, dachziegelformig gelagerten Schup-
pen bekleidet ist, verleiten, diese Gattung zu den Scincoiden zu stel-
unhaltbar sind, interessiren mich hier zunächst die-
jenigen, deren Arten sich durch die Anwesenheiït von
5 Zehen an jedem der vier Füsse auszeichnen, also
die drei Genera Ablepharus, Cryptoblepharus und Mo-
rethia.
Die erste und zugleich älteste von diesen drei Gat-
tungen, Ablepharus, wurde von Fitzinger ”) auf eine
von ihm zuerst beschriebene, aber schon früher von
Schreibers*) mit dem Namen Scincus pannonicus
belegte Eidechse aus Ungarn aufgestellt und zum Un-
terschiede von der zu jener Zeit bereits bekannten
und dieser nahe verwandten Gattung Gymnophthal-
mus Merr.‘), die sich durch vierzehige Vorderfüsse
auszeichnet, durch die Anwesenheit von fünf Zehen
an jedem Fusse bei gleichzeitiger Abwesenheit der
Augenlider charakterisirt.
Der Umstand, dass Fitzinger bei seinem Able-
pharus pannonicus das stets deutlich vorhandene Pal-
pebralrudiment übersehen oder wenigstens desselben
in der Charakteristik nicht Erwähnung gethan hatte,
veranlasste Wiegmann”), der den Ablepharus pan-
nonicus Fitz. nicht gesehen zu haben scheint, für
zwei ihm vorliegende ähnliche Arten, an deren jeder
er aber ein sehr deutliches und dabei ringformiges
Palpebralrudiment vorfand, eine neue Gattung, Cryp-
toblepharus, zu creiren, welcher er jedoch später
selbst®) nur den Werth einer Untergattung beilegen
zu künnen glaubte. Cocteau scheint diese spätere
Ansicht Wiegmann’s nicht getheilt zu haben, denn
in seinen Études sur les Scincoidiens ) fasst er sowohl
len. Später jedoch, als ich unter den herpetologischen Materialien
einen Stenodactylus guttatus Cuv. fand, überzeugte ich mich, dass
der eben genannte Gecko in der Zehenbildung ziemlich mit Tera-
toscincus übereinstimmt, und dass letzterer folglich nicht allein sei-
ner Kopflorm, sondern auch seiner Zehenbildung nach zu den
Geckoniden gehôrt. Die Bedeckung des Kôrpers mit gleichartigen
Schindelschuppen, die ich damals als einen sonst nur den Seincoi-
den zukommenden Charakter hauptsächlich im Auge hatte, steht ge-
genwärtig unter den Geckoniden auch nicht mebr isolirt da, denn
Grandidier hat in Guérin’s Revue et Magasin de Zoologie 2 sér.
XIX p. 233 eine Geckoniden-Gattung aus Madagascar, Geckolepis,
beschrieben, welche bei eben so beschaffener Beschuppung die
Zehenbildung von Platydactylus besitzt.
2) Verhandl. d. Gesellsch. naturf. Freunde zu Berlin. I. p. 298.
3) In der Wiener zoologischen Sammlung.
4) Merrem. Tentamen Syst. Amphibior. p. 74.
5) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 12. Nota 3.
6) Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 203.
7) In diesem Werke hat der Text bei jeder der beschriebenen
Arten seine besondere Pagination, die Tafeln dagegen sind gar nicht
nummerirt.
Bulletin de L'Acad. Jmp d.se. T XI Dr J'Knoch. Nachweis des (ysticercus Taeniae mediocanellatae
op 5
pop. SE
as 2020) DÉRATET ES
2480 222 0000:
Dupont Ses LE 5°
Lith. Anst v. À Munator
361
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
36?
——————
Ablepharus, als auch Cryptoblepharus*) als selbststän-
dige Genera auf; leider ist aber nicht zu eruiren, ob
er diese beiden Gattungen durch die Form des Pal-
pebralrudiments oder durch die Zahl und Form der
Frontoparietalschilder unterschieden wissen wollte,
da ein frühzeitiger Tod ihn leider verhinderte, seine
hinsichtlich der Artbeschreibung wirklich musterhafte
Arbeit über die Scincoiden fortzusetzen und nament-
lich den allgemeinen Theil mit der Übersicht der Gat-
tungen, der später erscheinen sollte, zu geben. Du-
méril und Bibron”) vereinigen die beiden von Coc-
teau adoptirten Gattungen unter dem Namen Abe-
pharus in eine einzige und theilen die Arten, je nach-
dem die beiden Frontoparietalschilder von dem Inter-
parietalen getrennt, oder aber alle drei genannten
Schilder in ein einziges grosses rhombisches Schild ver-
schmolzen sind, in zwei Gruppen, denen sie jedoch keine
besonderen Benennungen beilegen. Fitzinger und
Gray hingegen folgen wieder der Ansicht Cocteau’s,
d. h. stellen Ablepharus und Cryptoblepharus als selbst-
stäindige Genera hin, fassen sie aber jeder in seinem
Sinne auf, Fitzinger "), der hinsichtlich der Namen
die Schreibart Cocteau’s adoptirt hat, unterscheidet
beide Gattungen, die zugleich zwei besondere Fami-
lien bilden, ohne Zweifel nach der Form des Palpe-
bralrudiments, denn er rechnet zu Ablepharis nur sei-
nen Ablepharus pannonicus, die einzige Art, bei wel-
cher das rudimentäre Augenlid bekanntlich keinen
vollständigen Ring bildet, sondern auf einen am Hin-
terrande des Bulbus liegenden Halbring reducirt ist;
8) Cocteau schreibt Ablepharis und Cryptoblepharis, weil er die
Namen fälschlich von % Basozpis, die Augenwimper, ableitet, sie
sind aber aus dem Worte tà Bhépasoy gebildet, und folglich ist die
sowohl von Fitzinger, als auch von Wiegmann angenommene
latinisirte Endung auf us keineswegs unrichtig.
9) Duméril et Bibron. Erpétol.génér. V p. 806.
10) Fitzinger. Systema Reptilium p. 23. Von diesem Werke
ist bekanntlich nur der erste Fascikel erschienen, der die Ambly-
glossae, d. h. die Chamaeleoniden, Iguaniden und Geckoniden der
Erpétologie générale behandelt, zugleich aber auch eine Auseinan-
dersetzung des ganzen Systems der Reptilien und Amphibien ent-
hält. Diese Auseinandersetzung besteht in einem Verzeichniss von
zahllosen, grôsstentheils neuen Familien-, Tribus- und Gattungs-
namen, die sämmtlich ohne Charakteristik in die Welt geschickt
sind und über deren Bedeutung man hôchstens aus der, jeder Gat-
tung oder Untergattung beigefügten typischen Art einigermaassen
in’s Klare kommen kann; die Aufführung dieser typischen Arten
setzt mich denn auch in den Stand, mir einen Begriff in Bezug auf
die Unterschiede der von Fitzinger adoptirten Gattungen Able-
pharis und Cryptoblepharis, so wie der dazu gehôrigen Untergat-
tungen zu bilden.
die Arten mit kreisférmigem Palpebralrudiment stellt
er in seine Gattung Cryptoblepharis und theilt die-
selbe noch in zwei Untergattungen, Microblepharis
und Cryptoblepharis, von denen die erstere die Arten
mit doppeltem, die letztere diejenigen mit einfachem
Frontoparietalschilde umfasst. Gray”) dagegen er-
hebt das bald doppelte, bald einfache Frontoparietal-
schild zum Gattungscharakter und unterscheidet hier-
nach seine Gattungen Ablepharus und Cryptoblepharus,
die somit genau mit den beiden in der Erpétologie
générale angenommenen Gruppen der Gattung Able-
pharus correspondiren, nämlich Ablepharus mit der
ersten und Cryptoblepharus mit der zweiten.
Die dritte Gattung endlich, die unter den fünfzehi-
gen Ophiophthalmiern aufgestellt worden ist, More-
thia, hat Gray") auf eine australische Species be-
gründet, und sie von der Gattung Cryptoblepharus,
mit der sie sonst vollkommen übereinstimmt, durch
die Anwesenheit von kleinen Supranasal- und Naso-
frenalschildern unterschieden.
Über die Genera Ablepharus und Cryptoblepharus
haben nun bereits die Verfasser der Erpétologie gé-
nérale den Stab gebrochen und beide, wie schon wei-
ter oben angegeben, unter dem Namen Ablepharus
in eine einzige Gattung vereinigt, ein Verfahren, des-
sen Richtigkeit eine später entdeckte Art, der süd-
afrikanische Cryptoblepharus Walbergii Smith. ”), auf
das Entschiedenste darthut; diese Eidechse besitzt
nämlich ein einfaches herzfürmiges Frontoparietal-
schild, das aber von dem Interparietale deutlich ge-
trennt ist, und bildet somit eine Mittelform zwischen
den Gattungen Ablepharus und Cryptoblepharus, in-
dem sie mit der ersteren durch das selbstständige In-
terparietal-, mit der letzteren durch das einfache Fron-
toparietalschild übereinstimmt.
Hinsichtlich der dritten Gattung Morethia muss ich
bemerken, dass sie ebenfalls nicht aufrecht erhalten
werden kann, da die Anwesenheit von Supranasal-
und Nasofrenalschildern, durch welche allein sie sich
von Cryptoblepharus unterscheidet, ein viel zu gering-
fügiges und zugleich ganz unwesentliches Merkmal ab-
giebt und keinesfalls zur Aufstellung einer besonde-
11) Gray. Catal. of Lizards p. 62.
12) Gray. Catal. of Lizards p. 65.
13) Smith. Illustr. Zoology of South Africa. Reptiles. Appen-
dix p. 10.
363
ren Gattung genügt; übrigens kommen die sogenann-
ten Nasofrenalschilder auch ab und zu bei den Able-
pharus-Arten vor und entstehen, wie schon Wieg-
mann *) angiebt, und wie ich mich selbst namentlich
an den beiden neuen, weiter unten charakterisirten
Arten überzeugt habe, dadurch, dass die hintere un-
tere Ecke des Nasalschildes durch eine hinter dem
Nasenloch befindliche, senkrecht gegen die Suprala-
bialschilder verlaufende Furche mehr oder weniger
deutlich abgetrennt wird und daher zuweilen als
selbstständiges, nur als Nasofrenale zu deutendes
Schildchen auftritt.
Nach dem bisher Gesagten glaube ich nicht zu weit
zu gehen, wenn ich sämmtliche bisher bekannten
ophiophthalmen Scincoiden, die vier fünfzehige Extre-
mitäten besitzen, unter dem ältesten Namen Abepha-
rus in eine einzige Gattung vereinige und für jetzt
wenigstens, wo die Zahl der in diese Gattung gehü-
rigen Arten noch sehr beschränkt ist, von der Auf-
stellung besonderer, mit Namen versehener Gruppen
oder Untergattungen ganz absehe.
Was nun die Zahl der Arten der Gattung Ablepha-
rus, in dem Sinne, wie ich sie hier gefasst, anbetrift,
so sind zu den 4 in der Erpétologie générale be-
schriebenen Species im Laufe der Zeit noch 4 neue
hinzugefügt worden, nämlich Morethia anomalus Gray,
Ablepharus nigropunctatus Hallow., Cryptoblepharus
Walbergi Smith und Cryptoblepharus eximius Girard,
von denen jedoch die zuletzt genannte auf eine der
zahlreichen Varietäten des Ablepharus Boutonii Des-
jard. begründet zu sein scheint. Zu den 7 Arten, die
nach Ausschluss des Cryptoblepharus eximius Girard
übrig bleiben, kann ich nun noch 2 neue hinzufügen,
so dass sich also die Gesammtzahl der Ablepharus-
Arten gegenwärtig auf 9 beläuft; diese 9 Arten un-
terscheiden sich von einander, wie folgt:
Das Frontoparietalschild ist
1) doppelt. Das Interparietalschild
A) ist vorhanden. Das Palpebralrudiment
bildet Ç
1) einen Halbring pannonicus.
2) einen vollständigen Ring, der mit
Kornschuppen gedeckt ist und in sei-
nem oberen Theile
ee reel lee) leMet e Merle
14) Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 205.
Bulietin de l’Académie Empériale
364
«) drei grüssere flache Schuppen
bivittatus.
6) nur eine einzige sehr grosse flache
Schuppe trägt
Bjsfehlt:dürchaus 24e mes 2
IL. einfach. Das Interparietalschild ist
a) vorhanden und vom Frontoparietalen
getrennt. Das ringformige Palpebralru-
diment
1) überall mit gleichartigen Kornschup-
pen bekleidet Walbergii.
2) besitzt im oberen Theile zwei grôssere
flache Schuppen Brandtii.
b) mit dem Frontoparietalen zu einem ein-
zigen grossen rhombischen Schilde ver-
schmolzen. Supranasalschilder
o) fehlen. Das kreisformige Palpebral-
rudiment
1) zeigt in seinem oberen Theile drei
grôssere flache Schuppen . ... Boutonu.
2) ist überall mit gleichartigen Korn-
schuppen bekleidet lineo-ocellatus.
8) sind in einem Paare vorhanden. . anomalus.
IRON PUR QE: deserti.
nigropunctatus.
Ich lasse nun obige 9 Arten, jede mit einer kurzen
Diagnose versehen und von einer müglichst vollstän-
digen Synonymie begleitet, folgen und will es zu-
gleich versuchen, die geographische Verbreitung je-
der einzelnen Species so vollständig, als es bei dem
gegenwärtigen Stande unserer Kenntnisse môglich ist,
zu erläutern; die Beschreibungen der beiden neuen
Arten behalte ich mir für eine grüssere, simmtliche
Saurier des Russischen Reichs behandelnde Arbeit vor.
1. Ablepharus pannonicus Fitz.
A. scutellis frontoparietalibus duobus, seutello in-
terparietali magno, subtriangulari; annulo palpebrali
incompleto, tantum partem posteriorem bulbi cin-
gente; scutellis frontonasalibus separatis, scutello su-
pralabiali tertio, rarius quarto, sub oculo posito.
Ablepharus pannonicus Fitz. Verhandl. d. Gesellsch.
naturf. Freunde zu Berlin I p. 298 tab. XIV. —
Gray. Catal. of Lizards p. 63.
Ablepharis pannonicus Cocteau. Guérin Mag. de Zool.
1832. Rept. pl. I.
Ablepharis de Kitaibel. Cocteau. Études sur les Scin-
coidiens.
365
Ablepharis Kitaibelii Bory St. Vincent. Expéd. scient.
de Morée. Zool. Rept. p. 69. pl. XI. f. 4.
Ablepharus Kitaibelii D. et B. Erpétol. génér. V p. 809.
— Gravenhorst. Nova Acta Acad. Leop. Carol.
XXIIT pars I p. 358. tab. XXXVII.
Der gestreckte, schleichenfrmige Habitus und das
nur halbkreisfürmige, auf den Hinterrand des Bulbus
beschränkte Palpebralrudiment kennzeichnen diese
Art in Jeder Altersstufe vollkommen.
Habitat. Wie schon die specifische Benennung an-
deutet, findet sich diese Art in Ungarn, und zwar
giebt Fitzinger an, dass sie bei Ofen, am Platten-
see, so wie auch in Syrmien vorkommt: ferner kennt
man sie aus Griechenland, wo sie von den Mitglie-
dern der Expédition scientifique de Morée in den
Ruinen von Pilos und in der Umgegend von Navarin,
von Herrn Erber!”) dagegen in Ionien und auf der
Insel Syra beobachtet worden ist; endlich besitzt das
Pariser Museum ) auch ein oder mehrere Exemplare
aus Persien. Ausser diesen wohlverbürgten Fund-
orten findet man sowohl bei Cocteau, als auch in
der Erpétologie générale noch Buchara und Neu-
Holland aufgeführt, jedoch beruhen beide Angaben
ganz ohne Zweifel auf einem Irrthum. Der Fundort
Buchara, der auf Lichtenstein’s Autorität aufgeführt
wird, muss gestrichen werden, da die von Evers-
mann bei Buchara gesammelten Exemplare nicht zu
dieser Art, sondern zu dem weiter unten besproche-
nen Ablepharus Brandtii m. gehüren, und der Fund-
ort Neu-Holland bedarf, wie man aus folgenden Wor-
ten Cocteau’s ersehen kann, zum Mindesten doch
noch sebr der Bestätigung. Cocteau ‘) schliesst näm-
lich die Auseinandersetzung der geographischen Ver-
breitung dieser Art mit den Worten: «Mais déjà de-
puis long-temps le Muséum d'histoire naturelle de
Paris possédait un individu de cette espèce, rapporté
de la Nouvelle-Hollande par Péron, qui l’avait éti-
queté dans la collection Scincus platycephalus: un T
marqué sur l'étiquette donne à penser qu'il l'avait
trouvé à Timor; mais Péron n’a malheureusement
laissé aucune note sur cet individu.» Ich weiss nun
zwar nicht, woraus die franzôsischen Zoologen schlies-
15) Verhandl. d. zool. botan. Gesellsch. zu Wien X VI p. 825.
16) A. Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 190.
17) Cocteau. Etudes sur les Scincoïdiens. Ablepharis de Ki-
taibel p. 8.
des Sciences de Saint-Pétersbourzg.
365
sen, dass dieses so ungenügend bezeichnete Stück
gerade von Péron selbst mitgebracht worden ist, und
wesshalb sie annehmen, dass es durchaus aus Neu-
Holland stammt, kann aber nicht umhin, die Môg-
lichkeit des Vorkommens einer cireummediterranen
Eidechse in Neu-Holland, bevor der direkte Nach-
weis geliefert ist, geradezu in Abrede zu stellen.
Cocteau deutet das räthselhafte T durch Timor,
sollte eine Interpretation durch Turquie nicht plau-
sibler sein?!
2. Ablepharus bivittatus Ménétr.
A. scutellis frontoparietalibus duobus, scutello
interparietali magno, subtriangulari: annulo palpe-
brali completo et in parte sua superiori tribus squa-
mis magnis, planis, magnitudine aequalibus ornato;
scutellis frontonasalibus toto margine interiori inter
se Junctis, scutello supralabiali quinto sub oculo posito.
Scincus bivittatus Ménétriès.
p. 64 M 218.
Ablepharus Ménétriesii D. et B. Erpétol. génér. V
DAS Une
Ablepharus bivittatus Gray. Catal. of Lizards p. 64.
Catalogue raisonné
Durch das doppelte, von dem Interparietalen ge-
treunte Frontoparietalschild, so wie durch die Anwe-
senheit von 3 grüsseren flachen Schuppen im oberen
Theile des ringfôrmigen Palpebralrudiments lässt sich
diese Art leicht und sicher von allen ihren Gattungs-
genossen unterscheiden.
Habitat, Der verstorbene Ménétriès entdeckte
diese Eidechse auf der russisch-persischen Grenze im
Talyschgebirge, wo sie namentlich bei Perimbal nicht
selten sein soll, Pastor Hohenacker sandte sie un-
serem Museum aus dem Kaukasus ein, wahrschein-
lich aus der Gegend von Lenkoran, und Prof. de
Filippi®) endlich fand sie in Persien, und zwar so-
wohl bei Tabris, als auch bei Kazwin.
3. Ablepharus deserti n. sp.
A. seutellis frontoparietalibus duobus, scutello in-
terparietali magno, subtriangulari; annulo palpebrali
completo et in parte sua superiori singula squama
plana maxima ornato: scutellis frontonasalibus sepa-
ratis; scutello supralabiali quinto sub oculo posito.
18) F. de Filippi. Note di un viaggio in Persia nel 1862 p.355.
367
Diese Art unterscheidet sich von der vorherge-
henden, mit welcher sie die grüsste Übereinstimmung
darbietet, durch die Anwesenheit einer einzigen gros-
sen flachen Schuppe im oberen Theile des Palpebral-
rings, durch die von einander getrennten Frontona-
salschilder und einen im Verhältniss viel längeren
Schwanz.
Habitat, Ablepharus deserti bewohnt die aralo-caspi-
schen Steppen; von den vier mir vorliegenden Exem-
plaren der akademischen Sammlung ist das eine vom
verstorbenen Dr. Basiner auf den Sandhügeln des
Ustjurt, die drei anderen vom Magister Sewerzoff
bei Akmetschet gefangen worden.
4. Ablepharus nigropunctatus Hallow.
A. seutellis frontoparietalibus duobus, scutello in-
terparietali nullo; annulo palpebrali — ?
Ablepharus nigropunctatus Hallow. Proc. Acad. Phil-
adelph. XIT p. 487.
Trotz der wenigen Worte, durch welche Hallo-
well diese nur auf ein einziges Exemplar begründete
Art charakterisirt hat, scheint dieselbe doch selbst-
stindig zu sein, und unterscheidet sich von allen
ihren Gattungsgenossen durch den Mangel des Inter-
parietalschildes bei gieichzeitiger Anwesenheit zweier
Frontoparietalia.
Habitat, Das einzige bisher bekannte Exemplar
stammt von den Bonin-Inseln.
5. Ablepharus Walbergii Smith.
A. scutello frontoparietali simplici, subcordiformi,
a scutello interparietali distincte separato; annulo
palpebrali completo, ubique squamulis granulosis ve-
stito; scutellis frontonasalibus —?
Cryptoblepharus Walbergii Smith. Illustr. Zoology of
South Africa. Reptiles. Append. p. 10.
Wie ich schon weiter oben zu bemerken Gelegen-
heit hatte, zeichnet sich dieser Ablepharus durch ein
einfaches, herzfürmiges, vom Interparietalschilde deut-
lich getrenntes Frontoparietale aus und besitzt zu-
glcich einen überall mit Kornschuppen bekleideten
Palpebralring.
Habitat, Smith, der Entdecker dieser Art, giebt
als Fundort für dieselbe ganz allgemein die Gegen-
Bulletin de l’Académie Impériale
368
den üstlich von der Cap-Kolonie an, Prof. Peters")
fand sie bei Inhambane und Cope ”) erhielt sie aus
Umvoti auf der Natal-Küste, so dass sich also hr
Verbreitungsbezirk von der Ostgrenze des Caplandes
bis zum südlichen Theile der Küste Sofala erstreckt.
6. Ablepharus Brandtii n. sp.
A. scutello frontoparietali simplici, subcordiformi,
a scutello interparietali distincte separato; annulo
palpebrali completo et in parte sua superiori duabus
squamis magnis, planis, magnitudine aequalibus or-
nato; scutellis frontonasalibus separatis, scutello su-
pralabiali quinto, rarius quarto, sub oculo posito.
Scincus pannonicus Lichtenstein in Eversmann’s
Reise von Orenburg nach Buchara p. 145. —
Lichtenstein. Verzeichniss der Doubletten des
Berliner zoologischen Museums p. 103.
Lehmann. Reise nach Buchara und Sa-
markand p. 168.
Ablepharus pannonicus Brandt in Lehmann’s Reise
nach Buchara und Samarkand p. 335.
Diese von Lichtenstein”')und allen späteren Auto-
ren irriger Weise für Ablepharus pannonicus Fitz.
gehaltene Art unterscheidet sich von dem Ablepharus
Walbergii Smith, mit welchem sie in der Form des
Fronto- und Interparietalschildes vollkommen überein-
stimmt, durch die Anwesenheit von zwei grüsseren
flachen Schuppen im oberen Theile des Palpebral-
ringes.
Habitat. So weit sich gegenwärtig schliessen lässt,
ist diese Eidechse in ihrem Vorkommen auf das Bu-
charische Reich beschränkt, denn Eversmann ent-
deckte sie bei der Stadt Buchara und Lehmann fing
seine Exemplare bei dem Dorfe Miran-Kulj unweit
Samarkand.
7. Ablepharus Boutonii Desjard.
A. seutellis frontoparietalibus cum scutello inter-
19) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte 1855. I p. 48.
20) Proc. Acad. Philadelph. XIV p. 339.
91) Ich habe zwar die Eversmanvw’schen Exemplare nicht ge-
schen, halte sie aber dennoch für specifisch identisch mit den mir
vorliegenden Lehmann’schen, und zwar nicht allein desshalb, weil
sie gleichfalls aus der Bucharei stammen, sondern hauptsächlich
desshalb, weil Wiegmann(Herpetologia mexicana p.12 nota 3) ihnen
ein ringfürmiges Palpebralrudiment zuschreibt, sie also keinesfalls
zu Ablepharus pannonicus Kitz. gehôren kônnen.
369
parietali in scutellum maximum rhomboideum coalitis,
annulo palpebrali completo et in parte sua superiori
tribus squamis magnis, planis, magnitudine aequali-
bus ornato; scutellis frontonasalibus inter se junctis;
seutello supralabiali quinto, rarius sexto, sub oculo
posito.
Scincus Boutonii Desjardins. Ann. d. Sciences natur.
1" sér. XXII p. 298.
Ablepharis Leschnault Cocteau.Guérin. Mag.de Zool.
1832. Rept. pl. I.
Ablepharus poecilopleurus Wiegmann. Nova Acta
Acad. Leop. Carol. X VIT pars I p. 202 tab. XVIII
de
Cryptoblepharis de Leschnault Cocteau.
les Scincoidiens.
Cryptoblepharis de Péron Cocteau.
Scincoidiens.
Tiliqua Buchanani Gray. Ann. Nat. Hist. II p. 29
Ablepharus Peronii D. et B. Erpétol. génér. V p.
Cryptoblepharus Boutonii Gray. Catal. of Lizards
p. 64. — Gray. Zool. of the Erebus and Terror
Rept. p. 3.
Cryptoblepharus eximius Girard. Proc. Acad. Phila-
delph. IX p. 195. — Girard in Wilkes U.S.
Expl. Exped. XX p. 222 pl. XXVI f. 25 —32.
Cryptoblepharus plagiocephatus Girard in Wilkes U.
S. Expl. Exped. XX p. 220 pl. XXVI f. 17 —
24%).
Diese durch die zu einem grossen Schilde verei-
nigten Fronto- und Interparietalschilder, so wie durch
die Anwesenheit von drei grossen Schuppen im obe-
ren Theile des Palpebralringes scharf charakterisirte
Art varürt in der Färbung und Zeichnung, so wie
auch in der Zabl der den Kôürper bekleidenden Schup-
penreihen so auffallend, dass schon mehrmals Ver-
suche gemacht worden sind, sie in mehrere Arten zu
theilen. Da jedoch, wie ich mich an zahlreichen
Exemplaren von verschiedenen Fundorten überzeugt
habe, die Zahl der Schuppenreihen, die zwischen 22
bis 28 schwankt, nicht mit der verschicdenen Fär-
bung und Zeichnung Hand in Hand geht, sondern zu-
weilen gleich gefärbte und gezeichnete Exemplare in
der Zahl der Schuppenreihen differiren, oder aber
Études sur
Etudes sur les
22) Diese Tafel kenne ich nicht, da sie nebst mehreren anderen
im akademischen Exemplar des Wilkes’schen Reisewerkes fehlt.
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
370
verschieden gefärbte eine gleiche Schuppenreïhenzahl
zeigen, so habe ich, dem Beispiele der meisten Auto-
ren folgend, alle Ablephariden, welche die in der Dia-
gnose angegebenen Charaktere besitzen, unter dem
ältesten Namen, Ablepharus Boutonii Desj., in eine
Art vereinigt. Die Verfasser der Erpétologie géné-
rale unterscheiden nach der Färbung und Zeichnung
4 Varietäten, die ich jedoch, da sie nicht an be-
stimmte Fundorte gebunden sind, hier nicht weiter
berücksichtigen werde.
Habitat, Ablepharus Boutonii Desj. ist entschieden
die am weitesten verbreitete Eidechsenart, denn sein
Verbreitungsbezirk erstreckt sich von der Ostküste
Afrika’s über die Inseln des Sunda-Moluckischen Ar-
chipels, Australien und die Inseln des stillen Oceans
bis zur Westküste von Amerika. Auf dem afrikani-
schen Continent und den dazu gehürigen Inseln kommt
er bei Mombas*) an der Küste Zanzibar, bei Caba-
ceira”'), auf den Inseln Mossambique”*) ni Comoro”),
so wie auf Isle de France, wo er ursprünglich von
Desjardins im Quartier de Flacq entdeckt worden
ist, vor; alsdann findet er sich auf Java ?), auf Ti-
mor), so wie auf Neu-Guinea”), namentlich bei
Lobo, und bewohnt zugleich Australien, wo er sowohl
auf dem Continent von Neu-Holland, in der Gegend
der Seehundsbai ”) und in der Kolonie Buchsfelde bei
Adelaide *), als auch auf Van-Diemensland””) beob-
achtet worden ist. Ferner kennt man diese Art auch
von mehreren [nseln des stillen Oceans, wie nament-
lich von den Fidjis”), von den Samoa-Inseln”'), von
Tahiti”) und von den Sandwich-Inseln *”), woher na-
mentlich unser Museum zahlreiche von Hrn. Wos-
nessenski bei Honolulu gesammelte Exemplare be-
sitzt, und endlich bewohnt sie auch die Insel Puna )
im Golf von Guayaquil, so wie die Pisacoma-Inseln *)
an der Küste von Peru. Ihr Vorkommen in Morea,
) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte 1855. I p. 48.
) A. Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191.
6) Gray. Catal. of Lizards p. 64.
) Natuurk. Tijdschrift Nederl. Indie XVI p. 421.
8) Berliner Monatsberichte 1863 p. 232.
)) Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191.
) Proc. Acad. Philadelph. IX p. 195.
) Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191.
)
)
)
))
3) Berliner Monatsberichte 1866 p. 888 und 889.
!
5
Proc. Acad. Philadelph. XIT p. 487.
Wilkes. U. S. Expl. Exped. XX p. 221.
Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191.
Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 202.
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Bulletin de l’Académie Hmpériale
372
a —_—_—_—_—
woher das Pariser Museum Exemplare besitzt, be-| Die Steinkohlen des mittleren Russlands, ihre
zweifele ich, zumal diese Exemplare von einem Ma-
trosen gekauft worden sind, der zwar bestimmt die
Expedition nach Griechenland mitgemacht hat, die
fraglichen Eidechsen aber môglicherweise auch auf
einer früheren Expedition in tropischen Meeren ge-
sammelt haben kann.
8. Ablepharus lineo-ocellatus Dum. et Bibr.
A. scutellis frontoparietalibus cum scutello inter-
parietali in scutellum maximum rhomboideum coali-
tis; annulo palpebrali completo, ubique squamulis
granulosis parvis vestito; scutellis frontonasalibus se-
paratis; scutello supralabiali quinto sub oculo posito.
Ablepharus lineo-ocellatus D. et B. Erpétol. génér. V
p. 817.
Cryptoblepharus lineo-ocellatus Gray. Catal. of Lizards
p. 65. — Gray. Zool. of the Erebus and Ter-
ror. Rept. p. 4.
Diese Art unterscheidet sich von der vorhergehen-
den hauptsächlich durch den überall mit gleichen
Kornschuppen bekleideten Palpebralring.
Habitat, Die Verfasser der Erpétologie générale ge-
ben als Fundort für diesen Ablepharus einfach Neu-
Holland an und Gray hat ihn vom Schwanenfluss er-
halten.
9. Ablepharus anomalus Gray.
A. scutellis frontoparietalibus cum scutello inter-
parietali in scutellum maximum rhomboideum coali-
tis; annulo palpebrali completo; utrinque scutello su-
pranasali parvo.
Morethia anomalus Gray. Catal. of Lizards p. 65. —
Gray. Zool. of the Erebus and Terror. Rept. p. 4.
Die Anwesenheit der kleinen Supranasalschilder
unterscheidet diese Art auf den ersten Blick von allen
ihren Gattungsgenossen.
Habitat. Ablepharus anomalus ist eben so wie die
vorhergehende Art auf Neu-Holland beschränkt, fin-
det sich aber sowohl in West-Australien, als auch bei
Adelaide *) in Süd-Australien.
36) Berliner Monatsberichte 1863 p. 233.
Bedeutung und ihre Zukunft, von G. v. Hel-
mersen. (Lu le 31 octobre 1867).
(Bericht an den Finanzminister Hrn. v. Reutern).
Vor 80 Jahren, als Pallas die ersten genaueren
Nachrichten über die Steinkohle des centralen Russ-
lands gab, hatte sie, wegen der grossen Waldbestände
in jener Gegend, gar keinen industriellen Werth und
blieb daher unbenutzt und unbeachtet, während die
Steinkohlen Englands schon lange an die Stelle des
mangelnden Holzes getreten waren. Aber schon in
der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts richtete un-
sere Regierung ernstlich ihre Aufmerksamkeit auf
die Kohlenlager in den Gouvernements Tula und Ka-
luga, in denen die Wälder sich allmählich zu lichten
begannen und in denen unterdessen mehrere neue,
dem Anscheine nach ergiebige Kohlenfelder aufgefun-
den worden waren.
Die Geschichte der vielen, von der Regierung, von
1812 bis 1863, angeordneten und von Bergbeamten
ausgeführten Schürfungen und wissenschaftlichen Un-
tersuchungen der centralrussischen Kohlenformation
hier zu wiederholen, wäre überflüssig. Wir finden sie
môglichst vollständig im Gornoi Journal und neuer-
dings im Journal des Ministeriums der Wegekommu-
nikation aufgezeichnet. Aber den Umstand müchte
ich nochmals hervorheben, dass man nicht nur in
früherer, sondern auch noch in jüngster Zeit, die un-
günstigsten Urtheile über die Qualität der Tula-Kalu-
gaer Kohle gefällt hat. Die Einen behaupteten, sie
enthalte so viel Schwefelkies, dass sie den Dampf-
kesseln gefährlich werden müsse; die Anderen mein-
ten, sie sei zu locker und zu mürbe, um auf weite
Strecken transportirt werden zu künnen; ein Dritter
war der Meinung, man werde bei ihrer Benutzung
für Dampfkessel sich immer der Treppenroste und
weissglühender, durchbrochener Gewülbe über dem
Roste bedienen müssen. Ganz allsemein verbreitet
war aber die Annahme, die Kohle sei zu erdig und
daher zu träge, um jemals auf Lokomotiven in An-
wendung kommen zu künnen. Auch glaubte man einst,
und mein hochverehrter Freund, der nunmehr ver-
storbene Pander, und ich selbst waren früher dieses
Glaubens, man werde in jener Gegend nie Kohlenfel-
der grossen Umfangs auffinder, weil der ganze Bo-
den von unzäbligen Thälern, Schluchten und Wasser-
373
des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.
374
rissen durchfurcht ist, welche die grossen, horizon-
talen Kohlenfelder in eine ebenfalls unzählige Menge
von Parzellen zerlegt haben.
Und jetzt — wie ist es anf einmal anders ge-
worden!
Alle Zweifel, alle Bedenken, man môchte sagen
alle Verleumdungen, schwinden und werden von Tag
zu Tag mehr niedergeschlagen, und die centralrussische
Steinkohle gewinnt die Bedeutung einer Lebensfrage,
nicht nur für die Provinzen, denen sie angehôürt, son-
dern auch für die Nachbargegenden, und ganz insbe-
sondere für die nach dem Süden gehenden Eisenbah-
nen, und für die vielen und grossen, mit Dampfkraft
arbeitenden Fabriken Moskwas. Ich sage die Bedeu-
tung einer Lebensfrage, denn schon die nächste Zu-
kunft wird es lehren, dass weder die Südbahnen Russ-
lands, noch die Industrien der südlichen Residenz,
noch die ärmere Bevülkerung der Städte der trans-
moskwaschen Gegend, ohne Steinkohlen fortbestehen,
viel weniger prosperiren künnen.
Drei Dinge waren es, die mir die Veranlassung ga-
ben, die Kohlenfelder des Tulaer Gouvernements in
diesem Jahre nochmals zu betreten, nachdem ich in
früherer Zeit schon mehrere Sommer ihrer Untersu-
chung gewidmet hatte.
Zunächst wünschte ich, die Dimensionen des dem
Grafen Bobrinsky gehürenden Kohlenfeldes in Ma-
lüwka und Tawarkowa ') an Ort und Stelle kennen
zu lernen und die Quantität Kohle zu bestimmen, die
es liefern kann. Sodann wollte ich auf den Zuckerfa-
briken der Grafen Bobrinsky und auf einigen Fa-
briken Tula’s, welche ebenfalls einheimische Stein-
kohle verwenden, mit der Art dieser Verwendung
und mit der Wirkung des Transports und der Atmo-
sphärilien auf die Kohle bekannt werden. Drittens,
waren an Ort und Stelle genaue Nachrichten darüber
einzusammeln, ob die Tulaer Steinkohle schon jetzt
auf die Moskwa-Kursker Eisenbahn und die Fabri-
ken Moskwas, zu Preisen geliefert werden künne,
die sie fähig macht, nicht nur mit dem Holze zu kon-
kurriren, sondern dieses durch grüssere Billigkeit
zu verdrängen. Träte das Letztere ein, so würde
ein doppelter, für die Ükonomie des Landes bedeu-
tender Vortheil erzielt. Die wenigen, noch bestehen-
1) Beïde Orte liegen südüstlich von der Kreisstadt Bogorodizk,
Gouy. Tula.
den Wälder würden erhalten werden, und die Ver-
waltungen der Eisenbahnen und Fabriken würden
grosse Ersparnisse in ihren Ausgaben machen.
1TÈ
Von der Ausdehnung der Tula-Kalugaer Kohlenformation
überhaupt, und der in Angriff genommenen Kohlenfelder
inshesondere.
Es sind in diesen Gouvernements bisher an 113
verschiedenen, natürlich entblüssten oder durch Schür-
fungen untersuchten Stellen Steinkohlenlager aufge-
funden worden. Diese Stellen befinden sich auf einem
Raume, der, wenn man die äussersten Punkte: Bu-
tschalki im Jepifanschen Kreise des Tulaer Gouver-
nements, und Shisdra und Buda im Gouvernement
Kaluga, als ganz isolirte unberücksichtigt lässt, von
West nach Ost 170 Werst und von Nord nach Süd
120 Werst Erstreckung hat. Die Moskwa - Kursker
Eisenbahn durchschneidet ihn in seiner ôstlichen
Hülfte.
Aber von allen diesen Lagerstätten sind verhält-
nissmässig nur wenige bauwürdig, und, so viel wir
wissen, nur drei wirklich in Angriff genommen: Die
bei dem Gute Abidimo, des Hrn. Chamäkow, 17
Werst nürdlich von Tula, und die Flôtze bei Malüw-
ka und Tawarkowa, das erste 18 Werst, das zweite
10 Werst südüstlich von Bogorodizk, beide den Gra-
fen Bobrinsky gehôrig.
Bekanntlich wird die Steinkohle bei Buda, einem
Besitze des Hrn. Malzow, im Kreise Shisdra des Ka-
lugaer Gouvernements, gleichfalls abgebaut. Von die-
sen vier Kohlenfeldern sind aber nur zwei, das bei
Malüwka und das Tawarkowasche, genau vermessen
worden, so dass man deren Kobhlenvorräthe mit Si-
cherheit angeben kann.
Ich besuchte zunächst Malüwka, wo der Abbau der
Kohle seit 10 Jahren von Emil Leo auf die rationell-
ste Weise geleitet wird. In seiner Gesellschaft besich-
tigte ich die Grube und machte verschiedene Excur-
sionen in die Umgegend und bis Tula, und ihm ver-
danke ich hauptsächlich die werthvollen Angaben,
die ich weiter unten mittheilen werde.
Im Bogorodizker Kreise ist durch Hrn. Leo und
seine Vorgänger im Amte, auf einem Flächenraum von
440 Quadratwerst, durch mehr als 200 Bohrlücher
und Schürfe und ausserdem durch zahlreiche, natür-
24*
375
Bulletin de l’Académie Hmpériale
376
——————————__—_—pZpZEZEZEZE
liche Entblüssungen in Schluchten und Thälern, die
Existenz von Steinkohlenflützen in einer Tiefe von 5
bis 15 und 20 Sashen — 35 bis 105 und 140 Fuss
englisch nachgewiesen. An vielen Orten kann man
die Auflagerung des Productus-gigas Kalkstein auf
der Kohle beobachten. Die mittlere Mächtigkeit der
letzteren hat jedoch noch nicht mit Sicherheit be-
stimmt werden künnen. Jener Raum gehôrt, mit Aus-
nahme eines geringen Antheils, der Gräflich Bobrin-
sky’schen Familie und deren Verwandten, und ist
auf demselben eine 70 Quadratwerst grosse; im süd-
üstlichen Theile belegene Fläche noch genauer un-
tersucht und die Existenz eines grossen, mehr oder
minder mächtigen Flôtzes überall mit voller Sicher-
heit erkannt worden. Nimmt man aber noch die Ge-
gend des Kronsdorfes Nikitskoje, südwestlich von Mo-
lüwka und die Umgebung von Wäsowka (nôrdlich von
Tawarkowa) hinzu, und an beiden Orten ist die Fort-
setzung des Malüwka-Tawarkowaflützes durch Schürfe
nachgewiesen, so erhält man ein Kohlenfeld von 100
Quadratwerst.
Wir wollen jedoch, um noch sicherer zu gehen, uns
vorläufig auf einen, in diesem Felde liegenden Raum
von 40 Quadratwerst beschränken, den Hr. Leo, und
zum Theil vor ihm Hr. Johanson, mit einigen 70
Bohrlôchern abgeschürft haben. Bei Tawarkowa und
Wäsowka allein sind mindestens 30 Bohrlôcher nie-
dergebracht worden.
Auf diesem ganzen Raume erscheint die Kohle als
ein mächtiges Hauptflôtz mit ganz geringen Zwischen-
mitteln von Thon, und hat eine mittlere Mächtigkeit
von 10 Fuss, und horizontale Lage. Der Malüwka-
Fluss theilt dieses Feld in zwei Theile. Auf dem nôrd-
lichen sind für das Grubenland 1197 Dessjätinen ab-
gemessen und von diesen der Grube bei Malüwka,
180 Dessjätinen zugetheilt, in denen der Bau gegen-
wärtig stattfindet. Auf der südlichen, am rechten Ufer
der Malüwka befindlichen Hälfte wird noch gar nicht
gebaut.
Rechnet man von diesen 40 Quadratwerst die Stel-
len ab, wo in Thälern und Schluchten das Flôtz weg-
gespült und wo es verdrückt ist, und man kann diese
Verluste nach Hrn. Leo’s Erfahrung auf 33 Procent
anschlagen, so bleibt noch immer ein Kohienfeld von
27 Quadratwerst übrig, das bei einer mittleren Mäch-
tigkeit von 10 Fuss, 4800 Millionen Pud Steinkoh-
len enthält, wenn man in einem Kubikfaden auch nur
500 Pud Kohle annimmt. Die mittlere Mächtigkeit
bat hier bei der grossen Anzahl der Bohrlücher mit
Genauigkeit bestimmt werden kônnen, und man wird
sie nicht zu hoch finden, wenn man weiss, dass das
Flütz in der Sophiagrube 21 bis 27 Fuss mächtig ist.
Bisher ist aus dieser Grube nur für die, 15 Werst
üstlich von Malôwka liegende Rübenzuckerfabrik des
Grafen Al. Al. Bobrinsky Kohle gefordert worden,
und zwar in sehr verschiedener Menge, je nach der
Menge der Rüben, die zur Verarbeitung zu Gebote
standen *).
Die Grube ist aber durch Hrn. Leo schon jetzt
so hergerichtet, dass sie ausser dem Bedarf für die
Siederei jäbrlich noch 1°, Mill. Pud liefern künnte.
Sollten jedoch für die Tulaer Eisenbahn oder für
andere Industrien, grüssere Mengen verlangt wer-
den, so würde es nur einer grüsseren Anzahl von Koh-
lenwaggons und von Arbeitern in der Grube bedür-
fen, um die jährliche Produktion bis auf 4 Millionen
Pud zu bringen, wovon 1 Million für die Siederei.
Die Einrichtung zu dieser vermehrten Fürderung
würde nur drei Monate Zeit erfordern. Wenn jedoch
noch grüssere Quantitäten gefordert werden sollten,
so wäre die Anlage eines zweiten Füôrderschachtes
nüthig, wozu etwa 4 Monate und eine geringe Aus-
gabe genügen würden, da der Schacht nicht über 14
Sashen — 98 Fuss Tiefe haben und durch weiches
Gestein gehen würde.
Von Malüwka aus besuchte ich Tawarkowo, dem
Grafen Aleksei Pawlowitsch Bobrinsky gehürig.
Diese Grube liefert der Zuckersiederei desselben Be-
sitzers die für die Dampfkessel erforderliche Kohle,
und hat die Fürderung daselbst, nach der Angabe des
Grubenverwalters, Hrn. Braun, betragen:
2) Die Michailowsche Zuckersiederei hat aus Molôwka bezogen:
1858/59 659,015 Pud Steinkohlen
1859/60 363,500 » »
1860/61 470,000 » »
1861/62 656,800 » »
1862/63 172,630 » »
1863/64 675,607 » »
1864/65 1,169,513 » »
1865/66 860,000 » »
1866/67 650,000 » »
5,677,065 Pud Steinkohlen.
377
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
37
In den Jahren
1859/60 208,150 Pud
1860/61 161,250 »
1861/62 420,220 »
1862/63 455,460 »
1863/64 589,915 »
1864/65 576,380 »
1865/66 429,840 »
1866/67 530,720 »
3,371,935 Pud.
Das Flütz von Tawarkowa ist 6 bis 8 Fuss mäch-
tig; dabei sind mehrere Zwischenmittel von eimigen
Zoll Dicke nicht mitgerechnet. Diese theilen das Flütz
in mehrere Abtheilungen, von denen eine sich durch
grüssere Festigkeit der Kohle auszeichnet.
Dass das Kohlenfeld von Tawarkowa mit dem Ma-
lüwkaer zusammenhängt und ein gemeinschaftliches
Ganzes bildet, und dass es überdies nach N. bis Bo-
gorodizk, nach SW. bis Lomowka und nach NW. bis
Jewlewo fortsetzt, unterliegt jetzt gar keinem Zweifel
mehr, da es durch Bohrungen und Schürfungen nach-
gewiesen ist. Ich will nur einige Thatsachen hierüber
mittheilen. Etwa 2 Werst SW. von der Grube hatte
schon Hrn. Leo’s Vorgänger bei der Grubenverwal-
tung, Doroschin, die Fortsetzung des Tawarkowa-
flützes erschürft. Später liess Leo hier bohren und
fand ein 7 Fuss mächtiges Kohlenlager.
In dem Dorfe Wäsowka, das 2 Werst SO. von Bo-
gorodizk, zwischen diesem und Tawarkowa liegt, hat
man vor einigen Jahren einen Prunnen gegraben.
Der Schacht wurde anfangs in Sand und Thon abge-
teuft. Dann folgte ein 3°, F. mächtiges Kohlenflütz;
unter dem Flütz lang eine 3°, Fuss dicke Thonschicht,
unter dieser wieder ein Kohlenflütz von 3'} Fuss
Mächtigkeit. Man bohrte dann von der Sohle des
Brunnenschachtes noch 65 Fuss in braunem Thon,
ohne Kohle zu finden. Auch an anderen Stellen hat
man zwischen Tawarkowa und Bogorodizk, üstlich und
-westlich von dem Wege, gebohrt und in demselben
Horizonte Kohle gefunden. Im Parke des gräflich
Bobrinsky’schen Schlosses zu Bogorodizk geht, nach
Hrn. Leo’s Mittheilung, das Flôtz in einem Stein-
bruche zu Tage und ist hier von dem Productus-Gi-
gas-Kalksein überlagert.
Es ist mithin auch hier ein Kohlenfeld von grosser
Ausdehnung in so geringer Tiefe von der Erdober-
fläche vorhanden, dass sein Abbau überall ohne er-
hebliche Schwierigkeiten und Kosten stattfinden kann.
Es genügt für’s Erste der obenstehenden Angaben
und Berechnungen, um zwei Dinge von Wichtigkeit
darzuthun:
1) Dass das Tulaer Gouvernement Kohlenfelder der
grüssten Dimensionen aufzuweisen hat, und dass
der Abbau derselben, bei der horizontalen Lage
und geringen Tiefe der Flütze, von der Erdober-
fläche, bequem und woblfeil ist.
2) Dass schon in den wenigen, mit Genauigkeit
vermessenen Kohlenfeldern, ein Vorrath enthal-
ten ist, der genügen würde einen jährlichen Be-
darf von 25 Millionen Pud Kohle mindestens
während 150 bis 200 Jahren zu befriedigen.
Wollte man aber alle bauwürdigen Flütze in
Angriff nehmen, so künnten sie ohne Schwierig-
keit noch grüssere Quantitäten liefern. Man wird
diese Angabe nicht für übertrieben halten, wenn
man weiter unten liest, was über die Kohlenla-
ger bei Abidimo, Milenino und andere mitge-
theilt ist.
Als ich Tawarkowa vor 7 Jahren zum ersten Mal
besuchte, sah ich, dass unter dem Kohlenlager die
Kalksteinschicht liegt, welche Ssemenow und Mül-
ler später die Malôwka-Murajewna-Schicht genannt
haben.
In hôherem Niveau als die Kohle fand ich auf ei-
ner der Grube naheliegenden Hühe lose, scharfkantige
Blücke von Kalkstein mit Productus Gigas. Sie lagen
dicht bei einander und konnten für nichts Anderes als
das zerklüftete Ausgehende einer, in der Nähe anste-
henden Schicht genommen werden. Da ich denselben
Kalkstein überdiess im Dorfe Tawarkowa, oben auf
der Hühe, anstehend fand, glaubte ich annehmen zu
dürfen, dass die Kohle auch hier unter dem Gigas-Kalk-
stein liege. Diess hat sich denn auch in dem Schachte
erwiesen, den man hier später, oberhalb des Stollens,
anlegte. Ehe der Schacht die Kohle erreichte, musste
er durch ein 7 Fuss dickes Kalksteinlager gebracht
werden, das jenes für den unteren Bergkalk so cha-
rakteristische Fossil enthält. Ich erkannte es in meh-
reren, aus dem Schachte entnommenen Stücken und
würde dieser neuen Beweise für die Richtigkeit jener
379
Annahme nicht erwähnen, wenn sie nicht für die
Praxis, und diese wird im Tulaer Gouvernement jetzt
grüssere Dimensionen annehmen, von Wichtigkeit
wären.
Es ist noch immer nicht hinlänglich bekannt, dass
man bei Bohrversuchen, oder beim Absenken von
Schürfschachten nicht über dem Gigas-Kalksteine ste-
hen bleiben dürfe, sondern ihn durchsinken müsse, um
zu der Kohle zu gelangen, die man in dem Tula-Kalu-
gaer Steinkohlenbassin sicherlich immer unter ihm
antreffen wird. Auch wird noch oft genug von, in die-
sen Dingen unbewanderten Personen der Gigas-Kalk-
stein, das Dachgestein der Kohle, mit den Kalksteinen
der Malôwka-Murajewna-Schicht, dem Sohlengestein
derselben, verwechselt, wenn nämlich diese Schichten
nicht an ein und demselben Profile, sondern einzeln,
an verschiedenen Orten zu Tage gehen.
Abidimo, 17 Werst nürdlich von Tula, in der
Nähe des Upañlusses, ist der dritte Ort des Tulaer
Gouvernements, an welchem die Steinkohle abge-
baut und verwerthet wird. Die Grube liegt am nürd-
lichen Thalgehänge der Upa und besteht aus zwei pa-
rallelen, durch Strecken mit einander verbundenen
Stollen. Es sind drei Kohlenflôtze da; da jedoch das
obere und untere dünn, erdig und unrein ist, wird
pur das mittlere abgebaut, das 4 Fuss mächtig ist.
Die Kohle ist fest, bricht in grossen Blücken und
eignet sich gut zu weitem Transport.
Die Grüsse des Abidimoschen Kohlenfeldes ist noch
nicht genau bestimmt worden. Es genügt jedoch pur
einen Blick auf die ganze Lokalität zu werfen, um
sich davon sogleich zu überzeugen, dass das Feld
eine Ausdehnung von mindestens 4 bis 5 Quadrat-
werst haben muss. Als ich Abidimo besuchte, beab-
sichtigte man dort die Grüsse des Kohlenfeldes durch
Bohrlücher zu bestimmen.
IL.
Von den Eigenschaften der Tulaer Kohle und der Art ihrer
Verwendung.
Die Kohlen Centralrusslands sind von den Herren
Iljenkow”), Auerbach‘)}, Gilewitsch”) und im La-
3) J. Auerbach und H. Trautschold: Über die Kohlen von
Central-Russland. Moskau, 1860, pag. 30.
4) Ebendaselbst.
5) Gilewitsch: ZKyprars muguereper. uyreñ coo6ienis, 1867,
Bulletin de l’Académie Empériale
380
boratorium des Bergdepartements ) analysirt wor-
den. Man kennt ihre chemische und physikalische Be-
schaffenheit hinlänglich, daher werde ich diese Au-
gaben nicht wiederholen. Es genüge daran zu erinnern,
dass sie weder zusammenbackt, noch sintert, sondern
nach der Verkokung meist nur ganz locker Zusam-
menhält und dann leicht zerstôrbar ist. Sie gehôürt
daher zu der sogenannten Sandkohle. Bei der Fürde-
rung verhält sie sich sehr verschieden. So z. B. er-
hält man in Abidimo und Tawarkowa viele, recht
grosse Stückkohle; man kann daselbst drei Fuss lange,
dicke, rektangulaire Kohlenstücke sehen, die viele
Monate lang unter freiem Himmel liegen künnen, ohne
zu Zerfallen. Freilich erhält man an diesen Orten auch
eine gewisse Menge Kohlenklein und Staubkohle.
In Malôwka wird, weil die Kohle hier weniger fest
als an jenen beiden Orten ist, weniger Stückkohle
und eine ansehnliche Menge von Kohlenklein erhal-
ten, woraus jedoch kein bedeutender Verlust entsteht,
da man hier das Kohlenklein mit Wasser anfeuchtet,
um ihm mebr Konsistenz zu geben. Es fällt in diesem
Zustande nicht durch dem Rost und wird mit dem
besten Erfolge vollständig aufgebraucht.
Die Gerüchte über das schnelle und hôüchst nach-
theilige Zerfallen der Tulaer Kohle, und namentlich
der von Malüwka, wenn sie der Wirkung der Atmo-
sphärilien ausgesetzt bleibt, habe ich sehr übertrieben
gefunden. Man zeigte mir in der Zuckersiederei Mi-
chailowskoje drei grosse Kohlenhaufen. Zwei von ihnen
hatten fünf Monate lang unbedeckt an freier Luft ge-
legen. Nur an der Oberfläche war die Kohle in dünne
Blättchen zerfallen, aber unter dieser Hülle hatte sie
sich gut erhalten.
An dem dritten Haufen, der bereits 1'} Jahre an
freier Luft unbedeckt gelegen hatte, war die Kohle
bis in eine Tiefe von 4 bis 5 Zoll in feinste Blätt-
chen zerfallen und grau geworden, aber unter dieser
Hülle war sie schwarz und frisch und hatte noch viel
Stückkohle aufzuweisen.
Selbstentzündung ist nur ein Mal in einem freilie-
genden Kohlenhaufen in Malôwka, in den Gruben, da
KHBKKa 2, (Journal des Ministeriums der Wegekommunikation, 1867,
Heft. 2).
6) Russisches Bergjournal.
3s1
sie in Malüwka und Tawarkowa äusserst sauber ge-
halten werden, nie vorgekommen. Man ist immer be-
müht, alles Kohlenklein und die Staubkohle sorgfältig
aus den Gruben zu entfernen.
Man hat behauptet, die Tulaer Kohle müsse auf
Treppeurosten verbrannt werden. Auch dieses Vor-
urtheil fand ich unbegründet. Weder in Michailow-
skoje noch in Bogorodizk, noch auf jenen drei Fabri-
ken in Tula, wendet man solche, sondern die gewühn-
lichen Roste an. Die Eisenstäbe derselben sind "/, Wer-
schok breit, 1 Arschin lang und liegen ‘/, Werschok
einer von dem andern. In jedem Rost liegen 2 Stäbe
hinter einander, so dass er zwei Arschin Länge hat.
Unter den kleineren Dampfkesseln in Michailow-
skoje befinden sich zwei, unter den grüsseren drei
Roste, von denen zwei immer in vollem Gange sind,
während man den dritten von der leichten, blasigen,
leicht abzustreifenden Schlacke reinigt. Hr. Klimow,
der Direktor der Zuckersiederei, beabsichtigt das
Kohlenklein versuchsweise mit Syrup zu Ziegeln zu-
sammenzupressen, da ersterer hier unangewendet
bleibt.
Man ist auch eine Zeit lang der Ansicht gewesen,
die Malüwka und Tawarkowaer Kohle künne nicht
ohne Glühgewôlbe über dem Roste verwendet werden.
Man richtete ein solches, nach einem Berliner Muster,
in Michailowskoje aus feuerfesten Ziegeln her. Wenn
es von der ersten Heizung weissglühend geworden
war, und man wieder grosse Mengen Kohle anf den
Rost schüttete, so wurde zwar das Feuer anfangs
schwächer, aber die Entwickelung des brennbaren
Gases begann sofort, und dieses entflammte sich so-
gleich beim Durchgange durch das durchlôcherte Ge-
wôlbe. So gelang es nach langen, erfolglosen Versu-
chen, unter den Kesseln ein gutes, ununterbrochenes
Feuer zu unterhalten. In Michailowskoje sah ich diese
Gewülbe noch in Anwendung; in Bogorodizk hatte
man sie bereits als unnôthig abgeschafft und in Tula
hat man die Abidimo-Kohle von Anfang an ohne diese
Vorrichtung verwendet.
An allen diesen Orten habe ich die Tulacr Kohle
mit langer, gelber Flamme brennen sehen und an
keinem derselben Zweifel darüber gehürt, dass die
Gewülbe entbehrt werden künnen. Und ebenso erweist
sich die Befürchtung, es werde der Schwefelkiesge-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
382
halt der Kohle den Dampfkesseln nachtheilig werden,
als ganz unbegründet. Weder in Michailowskoje, noch
in Bogorodizk und in Malüwka, ebenso wenig in Tula,
habe ich eine Klage über diese Eigenschaft der Kohle
gehôürt, obgleich ich an allen diesen Orten den Gegen-
stand zur Sprache brachte.
Aus der Kohle von Buda, bei Hrn. Malzow hat
man versuchsweise Photogen bereitet, es ist mir Je-
doch unbekannt, ob diese Industrie sich als vortheil-
haft erwiesen hat.
Von der Abidimo-Kohle aber ist noch zu erwäh-
nen, dass sie in Bezug auf die Menge der in ihr ent-
haltenen flüchtigen Theile, den Vorzug vor den an-
deren zu haben scheint, denn sie enthält deren noch
mebr als die von der Leuchtgaskompagnie in Moskau
verwendeten, Newcastler und schottischen Bog-head-
Kohle”).
Ich schliesse diesen Abschnitt mit einer mir vom
Grafen Al. AL. Bobrinsky schriftlich gemachten Mit-
theilung:
Etwa 800 Pud Tawarkowaer Steinkohle wurden
auf Befehl des Grafen A. P. Bobrinsky nach Dres-
den geschickt und auf der Sächsisch-Bayerischen Eï-
senbahn drei Versuche mit ihr angestellt. Sie hat
sich bei denselben auf den Lokomotiven, im minimo
10°/, bis 15°), kräftiger erwiesen als die Braunkoble,
die man auf denselben zum täglichen Betriebe ver-
wendet *).
Wäre auch nichts von der Tulaer Kohle bekannt,
als dieses einzige wichtige Faktum, so würde es ge-
nügen, um alle Zweifel in Bezug auf ihre Tauglich-
keit,. selbst auf Eisenbahnen, niederzuschlagen. Wir
sehen diese Angelegenbeit als eine gewonnene, als ei-
nen Sieg über hartnäckige Vorurtheile an, und zollen
gern der Beharrlichkeit, der Einsicht und der Ener-
gie der Besitzer von Malüwka und Tawarkowa den
aufrichtigsten Dank dafür, dass sie in dem schweren
Kampfe gegen das Vorurtheil nicht ermüdet sind,
und eine Industrie gefordert haben, die, durch die An-
lage einer Eisenbahn mächtig unterstützt, dem cen-
tralen Russland bald eine neue Bedeutung geben wird.
7) Auerbach und Trautschold, I. c. pag. 34 und 88.
8) Originalbrief des Grafen Bobrinsky vom 24. Mai 1865 in St.
Petersburg.
383
IIL.
Von den Preisen der Tulaschen Steinkohlen und des Brenn-
holzes im Tulaschen und in Moskwa, und von der Enutferzung
der in Angriff genommenen Kohlenflütze von den Orten des
Kohlenkonsums,
In Malüwka und Tawarkowa zahlt man gegenwär-
tig schon nicht weniger als 18 Rbl. $S. für eine Ku-
biksashen des schlechtesten, und bis 25 Rbl. für die-
selbe Menge Eichenholz. Die Malüwkaer Kohle kostet
an der Grube 2 Kop. $. das Pud. Der im Winter be-
werkstelligte Transport von der Grube nach dem 15
bis 16 Werst entfernten Michailowskoje wird mit 1
Kop. vom Pud bezahlt, und ein solches kostet also
hier nicht über 3 Kop. Da nan nach Hrn. Leo’s und
nach den in der Zuckersiederei gemachten Erfahrun-
gen, 170 Pud Kohle einen Kubikfaden Holz beim
Feuern vollständig ersetzen, so kann die jährliche
Ersparniss an Ausgaben für Brennmaterial, bei einem
Verbrauche von 700,000 Pud bis 53,060 Rbl. und
darüber steigen. Selbst wenn die Malôwkakohle in
Michailowskoje 5 Kop. S. das Pud zu stehen käme,
würde man 40,000 Rbl. jährlicher Ausgabe ersparen.
Dieselbe Rechnung gilt auch für Tawarkowa und
Bogorodizk.
Hr. Leo hat bereits im Frühling 1867 der Eisen-
bahnverwaltung in Tula die Malôwkakohle zu Versu-
chen angeboten. Nachdem man die ersten Versuche
mit 500 Pud unentgeltlich nach Tula gelieferter Kohle
erfolgreich angestellt hatte, erging von der Bahnver-
waltung am 17. Mai 1867 cine Bestellung auf 2000
Pud. Dieses Quantum wurde sofort gefürdert und auf
Räderfuhrwerk den 74 Werst langen Weg nach Tula
geschickt. Die Transportkosten betrugen 5 Kop. vom
Pud, die Selbstkosten 2 Kop. Der Reingewinn ward
auf 2 Kop. bestimmt, so dass die Bahnverwaltung das
Pud mit 9 Kop. bezahlte. Da bei sehr grossen Be-
stellungen dieser Preis gewiss wird herabgesetzt wer-
den künnen, um so mehr, da man die Kohle künftig
nicht bis Tula, sondern nur bis zu der 51 Werst von
Malüwka entfernten Eisenbahnstation Lapotkowa, zu
transportiren haben wird, und da sie sich, wie wir
oben zeigten, zum Gebrauche auf Lokomotiven voll-
kommen tauglich gezeigt hat, so darf man mit Gewiss-
heit erwarten, sie werde auf der Südbahn bald in Ge-
brauch kommen. |
Bulletin de l'Académie Impériale
384
In Tula wird ein Kubikfaden Birken- oder Eichen-
holz mit 14 bis 16 Rbl. bezahlt. Diesen letzten, sehr
hohen Preis zahlte, wie er mir mittheilte, auch Hr.
Werniking, Besitzer einer Zuckerraffinerie bei Tula;
er sah sich dadurch veranlasst die Steinkohle in
Abidimo versuchsweise auf seiner Fabrik zu verwen-
den. Es stellte sich dabei heraus, dass 170 bis 180
Pud dieser Kohle, bei der Feuerung der Dampfkes-
sel, dasselbe leisteten was 1 Kubikfaden guten Hol-
zes. Die Abidimokohle kostet an der Grube 2 Kop.,
der Transport auf den 16 W. langen Wege bis 3
Kop.
Hrn. Werniking, einem Rheinländer, gehürt das
Verdienst der Erste gewesen zu sein, der in Tula die
einheimische Steiukohle verwerthete, und Hr. Cha-
mäkow, der Besitzer der Grube, liefert sie ihm
(100,060 bis 120,000 Pud jährlich) zu 5 Kop. das
Pud, wobei er selbstverständlich keinen anderen Ge-
winn hat, als dass der Abbau des Flôtzes ohne Zu-
busse unterhalten werden kann.
Eine andere Anstalt in Tula, welche die Abidimo-
kohle verwendet, ist die Maschinenfabrik des Hrn.
Wieber. Er war der erste Privatmann, der hier
(1865) eine, für die Industrie so unentbehrliche An-
stalt anlegte, und man darf erwarten, dass sie, unter
der Leitung dieses intelligenten und energischen Man-
nes, eine gute und bedeutende Entwickelang erfahren
wird. Die Wiebersche Fabrik zahlt für die Abidimo-
kohle 6 Kop. für das Pud. Halten wir nun mit diesen
Zahlen die oben erwähnten Holzpreise zusammen, so
ergiebt sich, bei je 180 Pud Steinkohle, die an die
Stelle eines Kubikfadens Holz treten, eine Ersparniss
von mindestens 5 Rbl.
Eine dritte, die Steinkohle verwendende Anstalt in
Tula ist die Theemaschinenfabrik des Hrn. Tscher-
nikow. Über den Verbrauch und den Preis der Kohle
fehlen mir jedoch die nüthigen Angaben. Die oben
angeführten Thatsachen genügen aber schon vollkom-
men, um der Kohle von Abidimo, Malüwka nnd Ta-
warkowa den Vorzug vor dem Holze zu sichern, und
man begreift nicht warum andere, mit Dampfmaschi-
ven arbeitende Industrien und die Hausbesitzer Tu-
las, nicht alle dem guten Beïspiele der Hrn. Wieber
und Werniking gefolgt sind.
In Serpuchow und Podolsk sind die Holzpreise
noch hüher. Aus zuverlässigster Quelle erfubr ich,
385
dass in Podolsk ein Sashen Birkenholz von 10 bis 12
Werschok Länge, im minimo mit 4 Rbl. bezahlt wird.
Aber man erwartete mit Gewissheit, dass der Preis
des Holzes daselbst bald bis 5 und mehr Rubel stei-
gen werde, wegen der grossen, auf der Eisenbahn ver-
brauchten Quantitäten. Ein Kubikfaden Birkenholz
wird also in nächster Zukunft mit 18 bis 20 Rubeln
bezahlt werden müssen. Da nun 1 Pud Abidimokohle
in Podolsk oder Serpuchow doch wohl nicht mehr als
8 oder 9 Kop. kosten kann, so ist auch hier der Vor-
theil bei ihrer Verwendung klar.
Auch die Kohle von Malôwka, wenn sie mittelst
einer Zweigbahn nach der Eisenbahn transportirt
würde, kôünnte hier mit dem Brennholze siegreich
konkurriren.
Moskwa. Um in Moskwa über die Holzpreise ge-
naue Nachrichten zu erhalten, wandte ich mich an
mehrere Besitzer grosser, mit Dampfkraft arbeiten-
der Fabriken und an die Gaskompagnie, welche zur
Erzeugung des Leuchtgases englische und schottische
Kohle verwendet.
Hr. Butenop gab an, ein Sashen Birkenholz von
11 Werschok Länge werde jetzt in Moskwa minde-
stens mit 9 Rubel bezahlt, ein Kubiksashen also mit
38 Rbl.
In der grossen Zuckerraffinerie des Hrn. Boris-
sowsky (an der Jaüsa) hatte man vom 1. Juli 1866
bis 1. Juli 1867—2564), Sashen Fichten und Tan-
nenholz (Pinus silvestris und P. Abies) von 20 Wer-
schok Länge verbraucht und mit 11 Rbl. 25 Kop.
den Faden bezahlt — 24 Rbl. 30 Kop. für den Ku-
bikfaden. Da aber 180 Pud Abidimokohle 1 Kubik-
faden Holz ersetzen, so würde die Fabrik, wenn sie
die Kohle statt des Holzes anwendete, auf jeden Ku-
bikfaden Holz 2 Rbl. 70 Kop. ersparen, weil Hr.
Chamäkow, wie er mir selber sagte, seine Kohle
auf der Tulaer Eisenbabn transportirt, in Moskwa zu
12 Kop. das Pud verkaufen kann.
Die grosse Zuckerraffinerie des Hrn. Knoop und
Pasburg würde allein jährlich einer Menge von
200,000 Pud Tulaer Steinkohle bedürfen. Sie heizt
jetzt mit Torf und Fichtenholz und bezahlt letzteres
mit 10 Rub. 50 Kop. den Faden von 20 Werschok
Länge. Da nach Hrn. Pasburg’s Erfabrung 1 Ku-
bikfaden guten Torfes, der an der Troizker Eisen-
bahn gestochen wird, 2", Faden jenes Holzes ersetzt
Tome XII.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
386
und 21 Rbl. kostet, so ist der Vortheil auf Seiten des
Torfs, allein man soll nicht sicher darauf rechnen
künnen, ihn stets in der verlangten Quantität zu er-
halten.
Wolite diese Fabrik statt des Holzes Abidimokohle
verwenden, so künnte sie auf jeden Kubikfaden Holz
über 4 Rubel ersparen.
Ich besuchte auch die Hübner’sche Zitzfabrik.
Wenn es richtig ist, dass sie den Faden Holz von 20
Werschok Länge (Fichten, Tannen. Eschen) mit 8 bis
9 Rubel bezahlt, so würde sie bei der Verwerthung
der Steinkohle wenig oder nichts gewinnen. Die Fa-
brik liegt dicht am Moskwaflusse. Das Holz wird auf
diesem bis dicht an die Gebäude geflüsst, erfordert
daher gar keinen Landtransport und kann zu gerin-
gerem Preise verkauft werden.
Hr. Buchtejew, Besitzer der grossen Maschinen-
fabrik vor dem Twerschen Thore, theilte mir mit, dass
zum Heizen der Dampfkessel und der Gebäude die-
ser Anstalt, jährlich ein Quantum von 3000 Faden
(Sashen) Holz verbraucht wird, meist Pinus abies und
ein geringer Theil Pinus silvestris. Der Faden ist 20
Werschok lang und wird mit 9 bis 12 Rbl. bezahlt.
Der Kubikfaden kostet also 24 bis 34 Rubel. Man
würde also hier noch immer nicht im Nachtheiïle sein,
selbst wenn die Tulaer Kohle von Malôwka, Tawar-
kowa oder Abidimo in Moskwa mit 18 Kopeken das
Pud bezahlt werden müsste.
Am günstigsten dürfte sich die Sache für die Mos-
kauer Gaskompagnie stellen. Diese wird jährlich ge-
gen 2,000,000 Pud Newcastler- und Schottischer
Kohle bedürfen, und zahlt in Moskwa 31 Kop. für
jedes Pud derselben. Da nun die Abidimokoble eben
so viel Leuchtgas giebt als die britische, in Moskwa
aber nur 12 bis 15 Kop. kosten würde, so kann die
Kompagnie bei dem Gebrauche dieser Kohle eine
Ersparniss von mehr als 300,000 Rbl. machen.
Gesetzt, es werde sich bei den Versuchen, welche
die Kompagnie auf meinen Rath mit der Abidimo-
kohle anzustellen beabsichtigt, zeigen, dass sie 30°},
weniger Leuchtgas giebt als die Britische, und gesetzt,
der Preis der Kohle werde in Moskwa auf 15 Kop.
steigen, so würde auch unter diesen ungünstigen Um-
stäinden eine Minderausgabe von mehr als 200,000
Rbl. jährlich ermôglicht sein.
t2
ot
387
Wir wollen jetzt versuchen abzuschätzen, welche
Quantitäten Kohle die Industrie in nächster Zukunft
von den Lagerstätten der Tula-Kalugaer Steinkohlen-
formation verlangen künnte.
Die beiden Zuckersiedereien zu
Michailowskojeund Bogorodizk ver-
verwenden schon jetzt alljäbrlich
gegen
Die Eïsenbahn zwischen Mos-
kwa und Kursk dürfte, wenn der
Betrieb auf der ganzen Strecke mit
Kohlen geschieht, eines jährlichen
Quantums bedürfen von .....
Die Gaskompagnie in Moskwa .
Die Fabriken Moskwa’s, Serpu-
chow’s und Tula’s wollen wir sebr
gering anschlagen mit
1,500,000 Pud.
sus te prop lielele cs jee e elles
5,000,000 »
2,000,000 »
6,000,000 »
14,500,000 Pud.
Entschliessen sich die Hausbewohner der Städte
auch zur Verwendung der Kohle, so würde der jähr-
liche Bedarf nach wenigen Jahren bis 20,000,000
Pud wachsen, und es entsteht nun die sehr ernste
Frage, wo die Fürderung so bedeutender Quantitäten
am zweckmässigsten und billigsten herzustellen, und
die Beschaffung der Kohle am sichersten garantirt
wäre. Begreiflicherweise werden die grossen Kohlen-
konsumenten, wie die Eisenbabn, die Gaskompagnie,
die Fabrikanten, sich auf die Verwendung der Kohle
nicht früher einlassen, als bis sie gewiss sind, die ver-
langten und zum Betriebe unumgänglichen Quantitä-
ten ohne Abbruch und zu gehôriger Zeit beziehen zu
künnen.
Da der grôsste Verbrauch der Kobhle auf der Eisen-
bahn und in Moskwa zu erwarten ist, so werden die
der Bahn zunächst gelegenen Lagerstätten immer den
Vorzug vor den entfernteren haben, vorausgesetzt,
dass die Mächtigkeit una die Güte der Koble, so wie
die, einen wohlfeilen Abbau bedingenden, Umstände
dieselben sind.
Die Verwaltung der Eisenbahn verfährt gewiss ganz
richtig, wenn sie, wie in diesem Augenblicke geschieht,
in der nächsten Nähe der Bahn nach Steinkohlen su-
chen lässt. Mansieht daraus, wie sehr sie schon darauf
bedacht ist, den Gebrauch der Steinkohle statt des
Holzes einzuführen, Der Techniker Gilewitsch hat
Bulletin de l’Académie Hmpériale
3ss
in ihrem Auftrage, nahe an der Eisenbahnlinie, meh-
rere Bohrlücher angelegt; eines von ihnen, das ich
mit den Hrn. Leo und Gilewitsch besah, befindet
sich 10 Werst südlich von Tula und 3 Werst üstlich
von der nach Orel führenden Chaussée, auf dem Gute
Karolinowka, des Hrn. Wanykin. Aber das Flôtz,
das man hier in 54 Fuss Tiefe erbohrte, hat nur 1,
Fuss Mächtigkeit, ist also nicht bauwürdig. Eben so
wenig haben früher, von Hrn. Leo und Anderen an-
gestellte Bohrungen, in der Nähe von Tula, z. B.
bei Tschulkowa, bauwürdige Flôtze nachweïisen kün-
nen, Die mächtigsten, nicht weit von der Eisenhahn-
linie aufgefundenen sind die von Abidimo, 12 Werst
westlich von der Bahn, und von Milenino, 12 Werst
üstlich von derselben. Beide sind von guter Beschaf-
fenheit, beide liegen an der Upa und künnten, na-
mentlich Abidimo, ihre Kohle im Frühling vielleicht
auf dem Wasserwege nach Tula stellen. Auch die
Flütze von Lübutskoje, von Kiïjewzy und Selünima,
die alle in der Nähe der Okka liegen, künnten die
Wasserstrasse benutzen.
Aber von ihnen haben nur die beiden unteren Flôtze
in Selünina eine Gesammtmächtigkeit von 12 bis 13
Fuss, an allen übrigen der genannten Orte sind sie
nur 4 bis 5 Fuss mächtig, und an keinem derselben,
Abidimo ausgenommen, findet Fürderung statt. Ja, es
giebt daselbst nicht einmal Grubenanlagen.
Sollten nun die von der Bahnverwaltung und von
einigen Privatpersonen, in der Nähe der Bahnlinie,
unternommenen Nachsuchungen, nicht zur Entde-
ckung bauwürdiger Flôtze führen, und sollte, wie das
sicher zu erwarten steht, nach der Erôffnung der
Moskwa - Kursker Eisenbahn, die Nachfrage nach
grüsseren Quantitäten von Kohle dringend werden, so
künnen diese, unseres Erachtens, nur in Malôwka,
Tawarkowa und Abidimo beschafft werden.
Und da würde Malôwka unstreitig den Vorzug ha-
ben, durch die bedeutende Mächtigkeit seines Koh-
lenlagers und die Grüsse seines Kohlenvorraths.
Freilich liegt der Ort 51 Werst von der Eisen-
bahn, aber die Anlage einer Zweigbahn von Malôwka
bis Lapotkowa, hat keine Schwierigkeit. Offiziere der
Wegekommunikation, nachdem sie die Grube zu Ma-
lüwka besichtigt, haben das Terrain von hier bis zur
Eisenbahn rekognoscirt, und es zur Anlage einer Pfer-
debahn günstig gefunden.
389
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
390
Die Linie dieser Zweigbahn geht über eine hohe,
von wenigen Schluchten und vom Thale der Upa
durchschnittene Ebene.
Erwägt man einerseits, dass, wie die Bohrlücher
bei Serpuchow und Podolsk das gelehrt haben, die
Kohlenlager in der Richtung von Tula nach Moskwa
immer tiefer liegen und geringer Dimensionen und
Güte sind; und erwägt man andererseits, dass die
mächtigsten Lager, Malüwka, Selünino, Tawarkowa,
nahe am Südrande des ganzen Bassins liegen, so künnte
man zu der Annahme veranlasst werden, dass mäch-
tige Kohlenablagerungen sich nur in der Nähe der
sichtbaren Grenze des Devonischen befinden. Hier ist
offenbar der Pflanzenwuchs jener Periode, auf devo-
nischem Untergrunde, da am kräftigsten und üppig-
sten entwickelt gewesen, wo später in weitem Bogen
das Ufer und der Strand des Meeres verlief, das der
Gigant unter den Producten bewohnte.
Die verachtete Kohle des centralen Russlands wird
bald in ihr wohlbegründetes Recht treten, und wird
mit feuriger Zunge die letzten Verdächtigungen zu-
rückweisen, die noch hier oder da gegen sie auftau-
chen künnten.
(Ich kann hier eine Nachricht cinschalten, die ich
nach dem Schlusse meines Berichtes, von Hrn. Gile-
witsch persünlich erhielt. Es ist demselben gelungen,
im Kreise Krapiwna des Tulaer Gouvernements, in
der Umgegend der Eisenbahnstation Lapotkowa, bei
dem, Hrn. v. Lasarew gehürigen Dorfe Krasnije
Cholmi, in geringer Tiefe vom Tage, zwei Kohlen-
flôtze zu erbohren, die eine Gesammtmächtigkeit von
7 Fuss haben und durch ein thoniges Zwischenmittel
getrennt sind.
Eine von Hrn. Gilewitsch angestellte Analyse
derselben ergab:
Flüchtige Bestandtheile 56,00°/
Koblers à srceiie 29310
ASche A nl 30
Die Kohle bricht in grossen Stücken, zerfällt aber
bald an der Luft. (25. October 1867.)
Zum Schlusse habe ich noch einige Nachrichten
über bisher wenig oder gar nicht bekannte Lagerstät-
ten von Steinkohle mitzutheilen.
Bereits im vorigen Jahre theilte mir Hr. Leo brie-
flich mit, es habe im August 1866 der durch Regen-
güsse angeschwollene Malüwkabach, in der Nähe des
alten Stollens, eine unter dem hier anstehenden De-
vonischen(Malüwka— Murajewna) Kalksteine liegende
Schmitze guter, reiner Steinkohle blosgelegt.
Ich besuchte diese Stelle in der Gesellschaft des
Hrn. Leo und konnte am linken Ufer des Baches
folgendes Profil beobachten:
À) Tschornosem.
rungon.
(net
| Diluvium.
Er À Arca Oreliana, Chonetes nana.
ET .
Gelber » —| Cythere Tulensis. Productus fallax, Helodus-Zähne.
Kalkstein —
in Platten. ssmé Kohlenschmitze, 1/3 Zoll dick.
\
Mergeliger (— LARG | Rhynchonella Panderi, Productus fallax, Spirifer inflatus.
Kalkstein, E 1$
Quaderkalkstoin mit wenigen oder gar keïinon Verstoine
il
Niveau des Molôwkabaches.
Wenn man dieses Profil mit dem von Müller, in
den Mélanges physiques et chimiques der St. Peters-
burger Akademie, Tome V. pag. 668 gegebenen ver-
gleicht, so stellt sich der Horizont dieser Kohlen-
schmitze deutlich heraus. Sie liegt in grauem Thone,
der seine Stelle zwischen zwei devonischen Kalkstein-
ablagerungen einnimmt.
Da die Kohle sehr rein ist und die Schmitze sich
ohne Unterbrechung beinahe zwei Werst flussabwärts,
bis zur Kisselewschlucht zieht, sah Hr. Leo sich ver-
anlasst, sie noch an mehreren Stellen aufzuschürfen.
Zu demselben Zwecke hatte er auf dem Boden der
Sophiagrube, in dem devonischen Sohlengesteine des
hier in Abbau stehenden Kohlenflützes, ein Gesenk
anzulegen befohlen, in der Hoffnung die Schmitze, die
weit von ihrem Ausgehenden môüglicherweise dicker
sein kann, aufzufinden. Dieses Gesenk hatte übrigens
noch die Bestimmung das Grubenwasser anfzunehmen,
und in die vielen und breiten Klüfte des devonischen
Kalksteins abzuführen.
In der, in die Malüwka mündenden Kisselew-
schlucht, war in den dort angelegten Schürfen die
nachstehende Schichtenfolge zu beobachten :
Diluvium.
Zerklüfteter, kurzbrüchiger Kalkstein in Platten
von 1 bis 3 Zoll Dicke. Gelblichgrau.
25*
391
Bulletin de l’Académie Impériale
392
Er enthält einige undeutliche Fischreste. Wir fan- | unter 3°, Grad nach Osten. Sie schien sich weiter vom
den auch Bruchstücke kleiner Muscheln, die nicht nä-
her bestimmt werden konnten.
Schwarzgrauer Thon mit Kohlenschmitzen. 3 Wer-
schok dick.
Hellgrauer, in dicken Quadern brechender Kalk-
stein, in welchem wir keine Versteinerungen bemer-
ken konnten.
Über einige, südüstlich von Malüwka, bei Michai-
lowskoje, und im Jepifanschen Kreise des Tulaer Gou-
vernements aufgefundene Kohlenlager, theilte Hr.
Leo mir folgende Nachrichten mit.
In der Schlucht Rostow, bei Michaïilowskoje, ward
ein Kohlenflütz von 3°, Fuss Dicke aufgeschürft und
ebendaselbst in der Schlucht Naboshnoï ein grauer
Thon, in welchem Kohlenstücke, bis 50 Pud an Ge-
wicht, zerstreut lagen. Man beabsichtigte durch diese
Schürfungen in der Nähe der Zuckersiederei bauwür-
dige Flôtze aufzufinden. Da solche Flôtze aber nicht
entdeckt werden konnten, blieb man bei der Fürde-
rung in Malüwka.
Zehn Werst NNO. von Michailowskoje, auf dem
Besitze des Hrn. Olssufjew in Krasnoie und in
Buizy, hat man in zwei daselbst angelesten Bohrlô-
chern, Kohlenlager aufgeschlossen. Diese Orte liegen
im Kreise Jepifan.
Auch 30 bis 40 Werst SO. von Michaïlowskoje hat
Hr. Leo, bei dem Dorfe Chutschova, in ein und dem-
selben Schurfe drei Flütze aufgcefunden. Auffallend
war es, dass sie verstürzt und an einer Stelle antikly-
pal gebrochen waren, unter Fallwinkeln von 80°.
Sogar ôstlich von der Stadt Jepifan, sind bei dem,
dem Fürsten Golizyn gehôrenden Kirchdorfe Bu-
tschalka, Kohlen entdeckt worden. Die Flütze gehen
am ôstlichen Gehänge einer Schlucht zu Tage, an wel-
cher das herrschaftliche Haus liegt. Die Schichten-
folge in absteigender Reihe war diese:
1. Dammerde.
2. Diluvialthon.
3. Kohle, 17, Werschok mächtig; fällt schwach
nach Osten.
4. Bläulichschwarzer, sehr fetter Thon mit vielen
Schwefelkiesknollen, 3 Fuss.
5. Koble, am Ausgehenden 2 Werschok dick, fällt
Ausgehenden zu verstärken.
6. Brauner, sandiger, magerer Thon, undeutlich
geschichtet. Er setzt von der Sohle der Schlucht noch
45Y, Fuss in die Tiefe.
Auf dem 250 Sashen von dieser Stelle entfernten,
westlichen Gehänge der Schlucht, geht auf deren
Sohle devonischer Kalkstein zu Tage, auf welchem
ein dünnes Lager jenes braunen Thones aufliegt. Über
dem Thone folgt ein, am Ausgehenden 9", F. mächti-
ges Kohlenflütz und auf diesem der gewübnliche, das
Dach der Kohle bildende, graue Thon.
Alle diese Schichten haben ein schwaches Fallen
nach W.
Geht man von diesen beiden Stellen, die etwa 1%
Werst thalaufwärts vom herrschaftlichen Hause lie-
gen, noch *, Werst hinauf, so gelangt man an eine
mächtige Ablagerung eines feinen, schneeweissen, in-
nig mit Porzellanerde gemengten Sandes. Hr. Led
hält ihn für ein Glied der Bergkalkformation, und fin-
det, dass er ganz einem Sande gleicht, der in der
Nähe des Flusses Schat unter graublauem Kalksteine
mit Productus Gigas liegt.
Aus diesen Angaben geht deutlich hervor, dass das
oben erwähnte, 440 Quadratwerst grosse, Kohlen-
feld sich weit über Michailowskoje und Jepifan hin-
aus nach Ost erstreckt. Es taucht allmählich im Tula-
Kalugaer Bezirke ein Steinkohlenreichthum auf, der
dem des Donezgebirges müglicherweise nicht nur
gleichkommt, sondern ihn vielleicht noch übertrifit.
Ich besuchte mit Hrn. Leo, von Malüwka aus das
Landgut Riga, des Hrn. Swerbejew. Der Weg da-
hin geht über Bogorodizk, Dedelewo und Maklez.
Man hatte in der Nühe von Riga, in einer Schlucht,
vor einigen Jahren ein Kohlenflütz erschürft. In dem
Schurfe lag unter einem Kalksteine Productus Gigas,
grauer, fetter Thon. Unter diesem eine schiefrige,
gute, aber Schwefelkiesknollen enthaltende Koble 1
Fuss 2 Zoll mächtig.
Dann folgte nach unten wieder grauer Thon.
Da es sich bald erwies, dass man in einer herab-
geglittenen Masse, und nicht im Anstehenden ge-
schürft hatte, sah der Besitzer sich auf Hrn. Leo’s
Rath veranlasst, oben auf der Hühe zu schürfen, wo
folgende Gesteinsreihe gefunden wurde:
393
des Sciences de Sainét- Pétersbourg.
394
Gelber Diluviallehm 2 Arsch. — Wersch.
Weissgelber, sandiger Lehm. 5 « 13 «
Gelher Sand fps. ne dr Ci «
Gelber Sand mit Wasser 6 « 8 «
Rother Sandstein . . . . . . — « 6 «
GelbenSanden tu. TE 4 «
Cane Thon . (2 Eius ie DE — «
D RRRUNMSANd. : eue 1 cute DORE «
Wegen grossen Wasserandranges stellte man die
Arbeit ein und kam daher nicht bis auf den Gigas-
kalkstein. In 38 Arsch. Tiefe, meint Hr. Leo, würde
man hier die Kohle erreichen kônnen.
In dieser Gegend ist begreiflicherweise vom Devo-
nischen nichts mehr zu sehen, da alle Thaleinschnitte
nur bis in den unteren Bergkalk gehen. Weiter im
Süden, wo man sich dem devonischen Landrücken
Centralrusslands nähert, kann man in jedem tiefein-
schneidenden Thale die Malüwka-Murajewka-Schicht
mehr oder minder mächtig entblôsst sehen.
Auf unserer Rückreise von Malüwka nach Tula be-
suchten wir das, Hrn. Wischnewsky gehürende
Landgut Mastowaia. Es liegt 15 bis 18 Werst NW.
von Bogorodizk.
Am nürdlichen AbhangeeinerbenachbartenSchlucht,
in welcher das Flüsschen Belowka fliesst, hatte man
ein 2 Arschin 6 Werschok mächtiges Lager guter,
fester Kohle entdeckt. Sie ward sogar abgebaut; man
fürderte 30,000 Pud für die Dampfkessel der Zucker-
siederei Panino, des Hrn. Glebow, die 15 Werst
NW. von Mastowaia liegt. Wegen mangelnden Be-
triebskapitals ging die Fabrik in Panino ein und da-
mit hôrte auch die Kohlenfürderung in Mastowaia auf.
Wir besuchten auf dieser Fahrt auch Milenino,
dessen bauwürdiges Kohlenflütz so hoch über der
Thalsohle liegt, dass die Grubenwasser leicht zu der-
selben abfliessen würden. Der Besitzer dieses Ortes
würde, wie mir scheint, nicht übel daran thun, die
Lagerstätte genauer untersuchen zu lassen, da er die
Eisenbabn in seiner Nähe hat.
Die Anlage dieser Bahn und die Hoffnung, die Stein-
kohle auf ihr und in den Fabrikeu Moskwa’s verwer-
then zu kônnen, hat die Landbesitzer des Tulaer Gou-
vernement veranlasst, eifrig nach ihr zu suchen. Viele
von ihnen wenden sich nach gutem Rath und richti-
ger Anweisung an Hrn. Leo, der des besten Rufes
geniesst, und erhalten von ihm in liberalster Weise
die gewünschte Auskunft. Auch besuchen sie die
Gruben von Malôwka und Tawarkowa, um den re-
gelrechten Abbau der Kohle kennen zu lernen. So
bringen die Gruben einen doppelten Nutzen. Bohrap-
parate werden in der mechanischen Werkstätte des
Hrn. Wieber zu billigen Preisen, und ihrem Zwecke
entsprechend, angefertigt.
Über die chemische Zusammensetzung der in
der russischen Kreideformation vorkommen-
den versteinerten Hôlzer und Thierknochen,
von A. Engelhardt. (Lu le 31 octobre 1867.)
Im Jahre 1851 wurde von dem Professor Claus
der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften ein
Mémoire vorgestellt: «Über eine merkwürdige Stein-
art des mittleren Russlands», das in dem Bulletin
physico-mathématique Tome X, M 13 und in den Mé-
langes physiques et chimiques I. S. 374— 383 abge-
druckt wurde. In diesem Mémoire theilte Hr. Claus
die Resultate seiner Analyse eines Sandsteins mit,
welcher in Kursk zum Pflastern von Strassen ange-
wendet wurde und welcher dort Ssamorod, auch
schwarzer Stein, genannt wird, zugleich mit der
Analyse eines fossilen Knochens aus dem besagten
Sandstein.
Claus bestimmte den Ssamorod als einen aus Sand
(507) bestehenden Sandstein, dessen Kürner durch
ein Cäment von phosphorsaurem Kalk (29,60), koh-
lensaurem Kalk (7,87) und Fluorcalcium (5,01) ge-
bunden waren. Er wies ferner nach, dass der im
Ssamorod den Sand bindende Cäment und die in
ihm zugleich vorkommenden fossilen Knochen einer-
lei Zusammensetzung besässen.
Hr. Kiprijanow, der zwischen Orel und Kursk
eine Chaussee baute, wobei zur Pflasterung der Kunst-
strasse der nämliche Sandstein diente, untersuchte
umständlich die geognostischen Verhältnisse des Ssa-
morod in dem Gebiete von Kursk und stellte eine
reiche Collection von fossilen Knochen, Conchylien
und versteinerten Hülzern zusammen. Das von Ki-
prijanow Zusammengebrachte wurde zum Theil
durch ihn selbst (hauptsächlich die Fische) näher be-
stimmt, zum Theil durch Hoffmann (die niederen
Thierspecies) und durch Mercklin (die versteinerten
Hülzer).
395
Bulletin de l’Académie Hmpériale
396
Hr. Helmersen fand einen dem Ssamorod ähn-
lichen Sandstein in Knollen unter denselben geogno-
stischen Verhältnissen unweit Brjänsk und an andern
Orten längs der Djesnä.
Hr. Chodnew analysirte einen ähnlichen Sandstein
vom Flusse Weduga in der Nähe von Woronesh, der
von dem Grafen Keyserling geognostisch untersucht
worden war, und fand ïhn in seiner Zusammensetzung
dem durch Claus analysirten nahestehend. Kuli-
bin endlich fand einen ähnlichen Sandstein unweit
Spassk im Tambow’schen Gouvernement auf. Jasy-
kow traf den Woronesh’schen ähnliche Knollen aus
phosphorsaurem Kalk in der Kreideformation des
Ssimbirskischen Gouvernements.
Da dieser Sandstein, welcher in Russland auf dem
ungeheuren Raum zwischen den Flüssen Djesna und
Wolga angetroffen wird, phosphorsauren Kalk führt
und zur Darstellung von phosphorsäurehaltigen Düng-
mitteln angewandt werden kann, deren Gebrauch im
Westen Europas sich mehr und mehr verallgemeinert,
so erliess das Ministerium der Reichsdomainen die
Anordnung, dass ich die im mittleren Russland sich
vorfindenden Lager des Ssamorod, welche ich, nach
dem Vorbilde Naumann's'), Apatitsandstein nen-
nen will, untersuchen müge.
Im Sommer 1866 untersuchte ich die Lager des
Apatitsandsteins in den Gouvernements Smolensk,
Orel, Kursk und Woronesh; mein Freund Jermolow,
welcher mich durch das Kurskische und Woronesh’-
sche Gouvernement begleitete, verfolgte später die
Untersuchung der Apatitsandstein-Lager im Tambow’-
schen Gouvernement und stellte die von ihm gesam-
melten Collectionen zu meiner Verfügung.
Aus all diesen Untersuchungen gewann ich die
Überzeugung:
1) dass der Apatitsandstein im mittlern Russland
nicht in einzelnen Lagern sich zeigt, sondern fast
ununterbrochen durch das ganze nôrdliche Ende
unserer Kreideformation (wie sie auf der Karte von
Helmersen angeführt wird) von dem Fluss Djesna
bis zum Don und weiter ins Tambow’sche und Ssim-
birskische Gouvernement bis zur Wolga sich hinzieht.
2) dass der Apatitsandstein, zum wenigsten an dem
nürdlichen Rande unser Kreideformation, als ein con-
1) EF. Naumannn’s Lebrbuch der Geognosie. 1862. II. 977.
stantes und unausbleibliches Bildungsglied
auftritt und, ähnlich der Kreide, ein determinirtes
Gestein vorstellt. Bei der Betrachtung einer Menge
von Entblüssungen der Gebirgsart an verschiedenen
Orten habe ich keine einzige getroffen, wo etwa die
Kreide, über dem Apatitsandstein lagernd, in unmit-
telbare Berührung mit dem unterhalb des Apatitsand-
steins anstehenden Grünsande gekommen wäre. Zwi-
schen Kreide und Sand habe ich immerdar Apatit-
sandstein in Platten oder in Form von Knollen ange-
troffen.
Ohne hier auf eine detaillirte Beschreibung der
vielen von mir in Augenschein genommenen Entblôs-
sungen und ohne auf die chemische Bestimmung der
Gebirgsarten einzugehen, welche unsere Kreïdeforma-
tion constituiren — was den Gegenstand einer beson-
deren Abhandlung bilden sol”) — will ich nur in
allgemeinen Zügen die Reihenfolge der Lagerung der
Gebirgsarten an dem Nordrande unserer Kreidefor-
mation schildern, da sich dies für eine genauere An-
gabe der Lagerstätten jener fossilen Pflanzen - und
Knochenreste, deren chemische Untersuchung den Ge-
genstand vorliegenden Mémoire’s bildet, als nothwen-
dig herausstellt.
Unsere Kreideformation im nürdlichen Bezirke, den
ich allein nur untersucht habe, besteht aus nachfol-
genden Gliedern in absteigender Reihenfolge:
A, Thonige Kreidemergel,
Diese Thonmergel sind, ihrer Zusammensetzung
nach, sehr verschiedenartig. Bei der Analyse der Thon-
mergel verschiedener Localititen ergaben sich 84,9%,
54,7, 38,62/,, 36,9%, 30,72, 30,09 Glimmerthon
und dem entsprechend 1,45, 34,6%, 50,43%, 53,07,
63,097 und 64,457 kohlensaurer Kalk.
B. Weisse Kreide,
Die Kreide ist ziemlich rein; in Proben von ver-
schiedenen Ortlichkeiten wurde 0,477, 1,519, 2,75%
unlôslichen Thons und dem entsprechend 96,73,
96,987, 96,077, kohlensauren Kalks gefunden.
2) Die Resultate der in dem Laboratorio des landwirthschaftlichen
Instituts ausgeführten chemischen Untersuchung der den Ssamorod
begleitenden Gebirgsarten und des Ssamorod verschiedener Locali-
täten werden demnächst im Journal des Ministeriums der Reichs-
Domainen im Druck erscheinen.
397
C. Sandige Kreidemergel,
Die Zusammensetzung dieser Sandmergel, aus
Quarzsand und Kreide bestehend, ist sehr verschie-
denartig. Die Kreide geht augenscheinlich, in Folge
des Zutritts von Sand, nach und nach in Sandmer-
gel über. In den oberen Schichten stellen diese Mer-
gel eine sandige Kreide vor, welche allmählich, durch
Beimengung von Sand, in Sandmergel und schliesslich
in einen lockeren Kreidesandstein übergeht, der aus,
durch Kreidecäment schwach gebundenem, Sand be-
steht. Die Analysen ergeben in der Sandkreide der
oberen Schichten 14,527 Quarzsand und 83,127, koh-
lensauren Kalk, in dem Kreidesandmergel 31,86,
Sand und 64,657, kohlensauren Kalk, in dem lockeren
Kreidesandstein aus der unteren Schicht 54,67, Sand
und 40,3°, kohlensauren Kalk.
Zugleich mit dem Sande erscheinen in der Kreïide
glänzende, wie mit Glasur überzogene, schwarze, dun-
kelgrüne oder zimmtbreune Apatitsandstein - Knollen
von der Grüsse eines Stecknadelkopfes bis zu der einer
Wallnuss, deren Menge sich, proportional der Quan-
tität Sand in der Kreide, vermehrt, so dass die untern
Schichten des Sandmergels und des Kreidesandsteins,
welche viel Sand enthalten, mit solchen Knollen über-
füllt sind. Mitunter ist die unterste Schicht des Sand-
mergels mit diesen Knollen so angefüllt, dass sie eine
Gesteinsart darstellt, welche aus einem (emenge von
Sand mit rundlichem Apatitsandstein, schwach ge-
bunden durch Kreide, besteht.
Die in dem Sandmergel zerstreuten Knollen des
Apatitsandsteines zeigen sich als schwarze, dunkel-
grüne, zimmtbraune, an ihrer Oberfläche mit Glasur
überzogene Kügelchen. Bezüglich ihrer Zusammen-
setzung sind diese Knollen dem durch Claus analy-
sirten Apatitsandstein in so weit ähnlich, als sie aus
Sand bestehen, welcher durch ein Cäment aus phos-
phorsaurem und kohlensaurem Kalk gebunden wird.
In den Knollen verschiedener Localititen wurde ge-
funden 34,89 und 25,87, Quarzsand und dem ent-
sprechend 17,90 und 22,07, Phosphorsäure (Ph 0°);
diese Knollen unterscheiden sich aber von dem Apa-
titsandstein in Platten darin, dass sie weniger Sand,
dagegen mehr Phosphorsäurecäment enthalten. Mit
diesen Knollen zugleich haben wir in dem Kreide-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
39
sandmergel keinerlei Kuochen oder fossile Pflanzen-
reste wahrgenommen.
D, Apatitsandstein,
Der Apatitsandstein dieser Schicht erscheint ent-
weder in Gestalt von Knollen verschicdener Grôsse,
oder in der Form compacter Platten (Kliesen oder
Quadersteinen). Die Sandsteinplatten, welche eine
namhafte Mächtigkeit (bis zu 8 Zoll) erreichen, be-
stehen aus, mit einander verbundenen nierenférmigen,
stalaktitartigen Tropfsteinen. Die Oberfläche der Plat-
ten ist mit einer glänzenden, wie glasurten, aber une-
benen Rinde bedeckt, mit mehr oder weniger hervor-
ragenden nierenartigen Erhühungen. Die untere Fläche
der Platten ist uneben und schickt in den unter der
Platte lagernden Sand nierenfôrmige (stalaktitartige)
Ausläufer aus. In der Schicht D des Apatitsandsteins,
| . . .
wie in der Platte selber, so auch in dem Sande unter
der Platte, zwischen den sich in den Sand vertiefen-
den Tropfsteinen, kommen in Menge wohl erhaltene
Knochen und versteinertes Holz vor.
Die Fliesen des Apatitsandsteins werden in Kursk
zum Strassenpflaster und zu Bauten verwandt und,
in kleine Stücke gehauen, auch zum Belegen der
Chausseen gebraucht. Zwischen der Stadt Kromy und
Kursk ist der Weg ebenfalls durchgehends mit Apa-
titsandstein gepflastert; gleichermaassen von Brjänsk
nach Rosljawl auf einer Streke von 50 Werst und
eben so auch die Chaussee zwischen der renommir-
ten Malzow’schen Zuckerfabrik Ljubachna und
Djätkowo. Am Nordrande der Kreideformation, wo
es andere feste Gesteine nicht giebt, bildet der Apa-
titsandstein das einzige für Bauten überhaupt taug-
liche Material und findet demgemäss eine ausgedehnte
Anwendung zu diesem Zweck.
E, Grünlichgelber Sand,
vorläufig von mir noch nicht chemisch untersucht.
F, Zweite Schicht Apatitsandstein
als verriebene Knollen, verschieden geformt. Diese
Knollen liegen schichtweise im Sande, ohne mit ein-
ander verbunden zu sein, vielmehr einer von dem an-
dern gesondert. Unter ihnen findeu sich Knochen und
Bruchstücke versteinerten Holzes. Letztere sind bis-
weilen durch Sandsteinmasse verbunden, an ihrer
399
Bulletin de l'Académie Hmpériale
400
Oberfläche mit einer dünnen schwarzen Rinde bedeckt
und wie die Knollen verrieben, so dass man sie nach
dem äusseren Aussehen von diesen letzteren oft nicht
zu unterscheiden vermag.
G. Gelber, grauer, weisser Quarzsand und Sandsteine,
Die Analyse der Apatitsandsteine von verschiede-
pen Localitäten haben erwiesen, dass ihre Zusam-
mensetzung ausserordentlich differirt; hinsichtlich der
Merge von Sand und Cäment weichen sie von der
Constitution des durch Claus analysirten Sandsteins
sehr ab. Im Kursker Sandstein fand Claus 50,07,
Sand und 13,6%, Phosphorsäure. Sehr nahekommend
den Claus’schen Angaben hat mein Assistent Lat-
schinow in einer Kursker Platte von Apatitsandstein
57,0%, und 53,70, Sand und, dem entsprechend,
13,207, und 14,25", Phosphorsäure gefunden. In Knol-
len aus Brjänsk fand Latschinow 48,257, Sand und
15,407 Phosphorsäure; in Knollen aus dem Kreide-
sandstein verschiedener Ortlichkeiten 34,89 und
25,87, Sand, dagegen Phosphorsäure zu 17,90 und
22,07; — aus Ljubachna, der Malzowschen Fabrik,
mit 9,5%, Sand und 28,657, Phosphorsäure. Die an-
geführten Zahlen zeigen, dass der Apatitsandstein
gewisser Orte, insbesondere gilt dies von dem Lju-
bachna’schen, sehr reich an Phosphorsäure ist
und in dieser Beziehung den Pseudokoprolithen, die
man in England findet, nicht nachsteht.
Obgleich indessen der quantitative Gehalt an Phos-
phorsäure in den manichfachen Apatitsandsteinen sehr
verschieden ist, wird diese Verschiedenheit nichts
desto weniger durch den ungleich grossen Gehalt von
Sand in ihnen einzig und allein bedingt. Der den
Sand bindende Cäment hat fastimmer dieselbe
Zusammensetzung, Phosphorsäure gegen 30%
enthaltend.
Da der Werth des Sandsteins für die Düngerberei-
tung von dem Gehalt an Phosphorsäure abhängig ist,
so ist in dem Laboratorium des landwirthschaftlichen
Instituts eine Reihe Untersuchungen von Sandsteinen
aus verschiedenen Orten eingeleitet, deren Resultate
ich in einem besonderen Mémoire auseinander legen
werde.
Der den Sand im Sandsteine bindende Cäment be-
sitzt eine geringere Härte, als der Sand selber; in
Folge dessen wird der Cäment beim Verreiben des
Steines in ein feineres Pulver verwandelt, als der Quarz-
sand, und darauf hin lässt sich aus einem in ein feines
Pulver zerriebenen Apatitsandstein durch Schlämmen
mit Wasser ein Pulver erhalten, welches, wie mich
Versuche gelehrt haben, viel reicher an Phosphor-
säure ist, als ursprünglich der Sandstein.
Fossile Knochen, unter welchen in Menge grosse
Wirbel von Sauriern und Fischen sich finden, sowie
auch fossile Hülzer, kommen, wie bereits früher er-
wähnt, in beiden Schichten, D und F, des Apatit-
sandsteins vor. In der Schicht D liegen die Knochen
und die Stücke Holz entweder gesondert im Sande,
oder verwachsen mit der Masse des Sandsteins. In
der Schicht F treffen wir die Holzstücke gewôhnlich
in der Form von runden Steinen an, die sich äus-
serlich durch Nichts von den Apatitsandstein-Knollen
unterscheiden, ja sehr oft ist in diesen Knollen das
Holz geradezu mit der Sandmasse des Apatitsand-
steins legirt.
Die Trümmer fossiler Hülzer, welche grossentheils
in den Betten der Erdklüfte, ausgewaschen aus ihren
ursprünglichen Lagern, gefunden werden, gehôren
ohne allen Zweifel zu den Schichten D und F des
Apatitsandsteins. Dies geht daraus hervor, dass auf
etlichen Trümmern, die man in den Schluchten bei
den Entblüssungen findet, Ansätze von Apatitsand-
steinen wie dem Holze zugewachsen getroffen werden
(worauf schon Helmersen hinwies), — daraus, dass
man das Holz selbst in den Apatitsandstein hineinge-
wachsen findet, — daraus, dass die ins Holz genagten
Bohrlücher mit der Masse des Apatitsandsteins ange-
füllt sind und — schliesslich durch die chemische
Zusammensetzung der fossilen Hülzer.
Professor Mercklin”), welcher versteinertes Holz
derselben Formation, geliefert durch Hrn. Kiprija-
now, untersucht hat, meinte (zweifelsohne, weil das
Holz mit Säuren schäumt), dass dasselbe durch koh-
lensauren Kalk versteinert set.
In der Voraussetzung, dass dieses Holz sich bereits
in einer Masse von Sand befunden zur Zeit, wo der
Sand, nach der Annahme des Grafen Keyserling und
des Professors Claus, sich mit der Knochenlüsung
tränkte, welche den Sand nach und nach durch ein
Knochencäment zu der dichten Masse des Apatitsand-
3) Mercklin, Palaeodendrologikon Rossicum. S. 69.
460
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
402
steins verband, nahm ich a priori an, dass unser ver-
steinertes Holz phosphorsauren Kalk enthalten müsse.
Und in der That lieferten zahlreiche, von mir ausge-
führte, Analysen fossiler Hülzer unserer Kreideforma-
tion von den verschicdensten Punkten des ungeheu-
ren Terrains zwischen Djesna und Wolga, die positi-
ven Beweise, dass dieses Holz dieselbe Zusam-
mensetzung besitze, wie die gleichzeitig mit
ihnen vorkommenden fossilen Knochen nnd
wie der den Sand im Apatitsandstein bindende
Cäment.
Diese versteinerten Hülzer enthalten phosphorsau-
ren Kalk und Magnesia, kohlensauren Kalk, Fluor-
calcium und eine geringe Beimengung vou schwefel-
saurem Kalk, Eisenoxyd, Alkalien und organischem
Stoff. Bei der Lüsung in Salzsäure scheiden sie, ganz
wie die Knochen und der Apatitsandstein, einen Naph-
thageruch “) aus und hinterlassen eine amorphe harz-
artige organische Substanz.
Die Analysen wurden in folgender Weise ausge-
führt. Stückchen des Holzes wurden in erwärmter ver-
dünnter Salzsäure gelôst und der ungelôst bleibende
Rückstand auf ein gewogenes Filter gebracht. Durch
Glühen ward im Rückstande der Gehalt an Mineral-
stoffen bestimmt, die Quantität organischer Substanz
ergab sich aus der Diflerenz gegen das Trockenge-
wicht. Die salzsaure Lüsung wurde in einer Platin-
schale beinahe zur Trockne gebracht, sodann, nach
Hinzufügung von Wasser und Schwefelsäure, auf dem
Wasserbade verdampft und endlich noch mit Vorsicht
auf einem Sandbade erhitzt bis zur vülligen Entfer-
nung von HCI und HFI. Hierauf wurde mit Wasser
erwärmt und, nachdem die Lôsung erkaltet war, der
Gyps durch Weingeist gefällt. Die spirituüse Lôsung
wurde verdampft, mit etlichen Tropfen Künigswasser
der Rückstand erwärmt und dann durch Ammoniak
und Essigsäure phosphorsaures Eisen gefällt und dar-
nach aus der Lüsung durch Ammoniak — phosphor-
saure Magnesia, und nach dem durch die sogenannte
Fresenius’sche Magnesialmixtur — Phosphorsäure.
Aus dem phosphorsäuren Eisen fällte man die Phos-
phorsäure durch die Magnesialmixtur unter Mitwir-
4) Denselben Gerach nimmt man wabr, wenn man zwei Stücke
Apatitsandstein an einander schlägt; dies kann füglich als ein be-
quemes Erkennungsmittel für die Apatitsandstein- Knollen dienen;
mit ihm kommen keinerlei Gesteine vor, welche dieselbe Eigenthüm-
lichkeit besässen.
Tome XII.
kung von Citronensäure. Das Eisenoxyd berechnete
sich aus der Differenz. In einigen sehr wenig Eiïsen
enthaltenden Proben wurde die Lüsung, nach Füäl-
lung des Gypses, nicht mit Essigsäure behandelt, son-
dern direkt durch Ammoniak gefällt.
Bei einigen Analysen (L. b., VII, IX, X, XV.) wurde
der Kalk direkt in Gegenwart von Essigsäure durch
kleesaures Ammoniak gefällt, in diesen Fällen aber
wurde das phosphorsaure Eisen durch essigsaures
Ammoniak gefällt und phosphorsauren Kalk und Fluor-
calcium enthaltend, wie bei den anderen Analysen,
mit Schwefelsäure behandelt.
Alle Bestimmungen der Kohlensäure wurden durch
den Hrn. Kostytschew nach der Methode von
Kolbe°) ausgeführt, wobei die CO* durch Chlorwas-
serstoffsäure ausgeschieden und direkt durch Absorp-
tion in Âtzkali bestimmt wird.
L Versteinerte Holzstücke aus Brjänsk an der Djesna,
In den ausgezeichneten Entblüssungen der Umge-
bung von Brjänsk und in der Stadt selbst kann man
die ganze Reihenfolge der Glieder unserer Kreidefor-
mation beobachten, mit den Thonmergeln beginnend
und mit der unteren Sandschicht endigend. Ich habe
hier freilich unmittelbar in der Schicht der Apatitsand-
stein-Knollen keine versteinerten Hülzer angetroflen,
gleichwie auch Hr. Helmersen, welcher die Brjänski-
schen Entblüssungen umständlich beschrieben hat,
aber Stücke von Holz, ausgeschwemmt in den Schluch-
ten am Fusse der Entblüssungen des Gebirges, findet
man hier in Menge. Ich habe viele Stücke verstei-
nerten Holzes gesammelt, sie heraussuchend aus den
Haufen der Knollen des Apatitsandsteins, die man
auf dem Stadtplatze, behufs Pflasterung der Strassen
und Wege, angeführt hatte. Das versteinerte Holz
findet sich hier in der Gestalt von verschiedenartig
geformten grünlichschwarzen Knollen, welche, wie
auch die Knollen des Apatitsandsteins, mit dünner
schwarzer Rinde überzogen sind. Nach dem äusseren
Ansehen dieser Knollen zu schliessen, gehürt jenes
Holz der Schicht Fan.
a) 2,266 Grm. fossilen Holzes verloren bei 120°
— 0,01 Grm. oder 0,457, und gaben unlôslicher in
HCI organischer Substanz 0,o112 Grm. oder 0,51/;
5) K. Kolbe. Das chemische Laboratorium der Universität Mar-
burg. S. 241.
26
403
unorganiseher 0; ferner gaben sie 2,866 Grm. Ca.
SO, entsprechend 52,519 CaO, 0,0035 Grm. oder 0,15,
phosphorsaures Eisen, 0,0257 pyrophosphorsaure Mag-
nesia, was — 0,4%, MgO und 0.737, PhO*, und noch
1,13 Grm. pyrophosphorsaure Magnesia, entsprechend
32,1%, PhO°. In Summa Phosphorsäure 32,84%,.
1,3391 Grm. Holz gaben 0,092 CO oder 6,867,
1,0112 0,068 » » 6,737,
8,3395 » » » 0,377 BaO. SO* oder 1,55} S0°.
Das Pulver des Holzes schied, bei der Erwärmung
mit Schwefelsäure, HFI aus.
b) Dasselbe Holz. 1,922 Holz gaben unlôslichen
in À Rücktand 0,2302 Grm. Die Lôsung, gefällt durch
kleesaures Ammoniak u. s. w., gab 2,101 CaO. SO*
oder 45,027, Kalk, 0,02 Grm. pyrophosphorsaure
» » »
Bulletin de l’Académie Impériale
Magnesia oder 0,407, MgO und 0,697, PhO° und noch
O,n1 pyrophosphors Magnesia, entsprechend 30,02
Phosphorsäure.
0,2302 Grm. des in A unlôslichen Rückstandes gaben
bei der Bearbeitung mit Schwefelsäure u. s. w. 0,34
Grm. CaO. SO”, entsprechend 7,287, CaO, 0,0053 Grm.
oder 0,27, phosphorsaures Eisen und noch 0,0697 Grm.
pyrophosphors. Magnesia, entsprechend 2,37, PhO°.
8,5395 Grm. Holz gaben 0,0624 unlôslichen in HCI
Rückstand; beim Glühen desselben hinterblieb 0,0072
Grm. oder 0,087, Mineralsubstanzen und verbrannte
0,0552 Grm. oder 0,66 organischer Substanz.
I.
&. b.
Hygroskopischer Feuchtigkeit 045%. —
Organischer Substanz : 0,51 0,66
Unlôslicher in HCI Mineralsubstanzen — 0,08
Kalk . 592,51 0 52,30
Magnesia 0,42 0,40
Schwefelsäure 1,55 —
Kohlensäure . 6,86 6,73
Phosphorsäure . DSL D D
Phosphorsaures Eisen 0,15 0,27
IL Versteinertes Holz aus Ljubachna am Flusse Bolwa
(Malzow’s Fabriek, im Brjänskischen Kreise).
Hier kommen die oberen Glieder der Kreideforma-
tion nicht vor, an die Erdoberfläche tritt direkt der
Sand mit der unteren Schicht der Knollen des Apa-
titsandsteins aus Z. Die Knollen bilden eine Schicht
im Sande auf unbedeutender Entfernung von der Ober- |
404
———————_—_——p
fäche und werden durch direkten Abbau für die Re-
paratur der Chaussec gewonnen. Die schwarzen Knol-
len sind ihrem Aussehen nach den in England vor-
kommenden Pseudokoprolithen sehr ähnlich und ent-
balten 28,657, PhO°. Baumstücke, Fischzähne, Mu-
schelschalen u. d. gl. kommen gleichzeitig im Sande
mit den Knollen des Apatitsandsteins vor.
1,347 Grm. des versteinerten Holzes verloren bei
schwachem Glühen 0,0423 Grm. oder 2,42 und gaben
0,0042 Grm. oder 0,2% unlôslicher in HCI unorgani-
scher Stoffe. Sodann gaben sie 2,219 Grm. CaO, SO
oder 52,307, CaO, 0,025 Grm. 2 Mg0. PhO* oder 0,58,
MgO und 0,907, PhO° und noch 0,854 Grm. 2 Mg0.
PhO® oder 32,127, PhO°; in Summa PhO° 33,02”.
I. Versteinertes Holz aus Korennaja an dem Flusse Tuskori
in der Nähe von Kursk,
Diese Holzüberbleibsel, nach ihrem äusseren Aus-
sehen den Brjänskischen sebr äbnlich, finden sich in
Menge in Form grünlichschwarzer Knollen in der
zweiten Schicht FÆ der Apatitsandstein-Knollen. Alle
Proben wurden aus Haufen entnommen, welche man
in einem klôsterlichen Steinbruch gewonnen hatte.
Dass dieselben zur Schicht Æ gehôüren, schliesse ich
aus ihrer Âhnlichkeit mit den Apatitsandstein-Knollen
aus F.
1,9316 Grm. des Holzes verloren bei schwachem
Glühen 0,o186 Grm. oder 0,967; und gaben 0,009 oder
0,467, unlôslichen in HCI Rückstand. Nachher gaben
sie 2,466 Grm. CaO. SO* oder 52,577, CaO, 0,009 Grm.
oder 0,167, phosphorsaures Eisen, 0,019 Grm. 2 MgO.
PhO* oder 0,367, MgO und 0,62 PhO° und noch
0,985 Grm. 2 MgO, PhO oder 32,327, PhO”; im Gan-
zen 32,947, PhO°.
1,635 Gr. d. foss. Holzes gaben 0,107 Gr. 0d. 6,557, CO?,
DL DID D EE) » » 0,1527 » » 6,24 »
IV. Versteinertes Holz aus Katowez im Kurskischen Kreise.
Versteinertes Holz und Knochen kommen hier in
Menge vor in der Schicht À) des Apatitsandsteins.
Dieses Holz unterscheidet sich von anderem durch
seine geringe Festigkeit; es ist von hellbrauner Farbe,
in seinem Aussern dem gewühnlichen braunen faulen
Holz durchaus äholich und mit Leichtigkeit in den
Fingern zu einem Pulver zu zerrciben.
405
des Seiences de Saint-Pétersbourg.
406
2,0156 Grm. Holz verloren an Gewicht bei schwa-
chem Glühen 0,054 Grm. oder 2,697, und gaben 0,001
Grm. oder 0,047 unlôslichen in HCI mineralischen
Rückstand. Es wurden ferner erhalten 2,525 Grm.
CaO, SO° oder 51,64°, CaO, 0,056 Grm. phosphorsau-
res Eisen, 0,024 Grm. 2 MgO, PhO° oder 0,467, MgO
und 0,75%, PhO* und noch 0,967 Grm. 2 MgO, PhO°
oder 30,417, PhO°,
0,056 Grm. phosphorsauren Eisens gaben 0,04 Grm.
2 MgO, PhO° oder 1,257, PhO° und als Differenz
0,031 Grm. oder 1,53°/ Fe*O°, Phosphorsäure war so-
mit im Ganzen 32,41°.
2 1038 Holz gaben 0,1%67 Grm. CO oder 6,02”.
1,6295 » » 0,0985 » PAPA 04
Der Procentgehalt der letzten drei Hôülzer ist also:
IL. II. IV.
Verlust beim Glühen 2,2% 0,967 2,697,
In Salzsäure unlôüsl. Rückstand 0,24 0,46 0,04
Kalk 128004425714 01:64
Magnesia . 0,58 0,36 0,46
Phosphorsäure . 33,02 : 32,94 32,41
| 6,55
Kiphlensanre | 0. ue, und 6,02
À 6,24
Bien nel /. Ru — — 1,53
Phosphorsaures Eisenoxyd — 0,46 —
Zum Vergleiche führte ich noch die Analysen ver-
steinerten Holzes aus der Kreideformation anderer
Ortlichkeiten Russlands aus, zumal des Holzes aus
den Gouvernements Tambow und Moscau.
V, Fossiles Holz aus dem Dorf Bytschki an dem Fluss Kersch
im Tambow’sehen Gouvernement,
Dieses Stück versteinertes Holz erhielt ich von
Hrn. Kulibin, der das Tambow’sche Gouvernement
geognostisch untersuchte, Das Holzstück an dem
Fluss Kersch fand sich in dem grünlichgrauen Sand-
steine. Hr. Jermolow traf ebendaselbst Lager von
Knollen des Apatitsandsteins an.
1,469 Grm. des Fossils verloren bei starkem Glü-!
hen 0,0806 Grm. oder 5,487, und gaben 0 unlôslichen
in HCI Mineralstoffs. Ferner wurden erhalten 1,8476
Grm. CaO. S0* oder 51,59, Ca0, 0,086 Grm. phos- |
phorsaures Eisen, 0,015 Grm. 2Mg0. PhO*, was 0,57”
0 !
0,0486 Grm. phosphorsaures Eisen lieferten 0,035
Grm. 2 MgO. PhO*, was 0,024 Grm. oder 1,73,
FeO* und 0,022 Grm, PhO° entspricht. In Summa
Phosphorsäure 0,5148 Grm. oder 36,257. Kohlensäure
wurde erhalten aus 1,671 Grm. Holz 0,0687 Grm. oder
4,11.
VI, Versteinertes Holz aus den Dubassow'sehen kleinen Hôfen
am Flusse Starke unweit Spassk, Gouv, Tambow.
Hr. Jermolow fand dieses Bruchstück in der
Schicht des knolligen Apatitsandsteins, welche sich
in den Quarzsandstein hineinzieht. Dieses Holz ist,
gleich X IV aus Katowez, ausgezeichnet durch seine
geringe Festigkeit und verreibt sich ebenfalls leicht
in den Fingern zu einem Pulver, es ist indessen nicht
von brauner Farbe, sondern von schmutzig weisser.
0,8824 Grm. des Holzes gaben, nach dem Glühen,
mit HCI (wobei sich H°S entwickelte) keinen unlôsli-
chen unorganischen Rückstand: erhalten wurden:
1,122 Grm. CaO. SO* oder 51,907, CaO, 0,0204 Grm.
phosphorsaures Eisen, Spuren von Magnesia und end-
lich O,a742 Grm. 2 Mg0O. PhO”, entsprechend 34,067,
PhO*.
0,0204 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0163 Grm.
2 Me0. PhO*, entsprechend 1,177, PhO° und, nach
der Differenz, O,o101 Grm. oder 1,157, Fe*O*. Phos-
phorsäure im Ganzen 35,23
1,9165 Grm. des Holzes gaben 0,066 Grm. oder
3,47 Kohlensäure.
VIT, Versteinertes Holz aus dem Moskauschen Gouvernement,
Lager von Knollen des Apatitsandsteins hat man
anch im Dmitrow’schen Kreise des Moskauer Gou-
vernements gefunden. Zur Zeit meiner Anwesenheït
in der Petrowsker landwirthschaftlichen Akademie
im Herbst des vorigen Jahres, wies mich Professor
Auerbach auf eine Menge solcher zu Düngungsver-
suchen herbeigeschafften Apatitsandsteine aus dem
Dmitrower Kreise hin.
Diese Dmitrow’schen Knollen sind sehr sandhaltig
und bestehen aus grobkürnigem, durch Phosphorcä-
ment verbundenen, Quarzsande; sie ähneln vollkom-
men den Steinen aus Lagern, welche ich im Orel’schen
und Woronesch’schen Gouvernement besichtigt habe
MgO und 0,0095 Grm. PhO* entspricht, ferner 0,767 | und haben wohl ohne Zweifel denselben Ursprung.
Grm. 2 Mg0. PhO® entsprechend 0,4862 Grm. PhO°.,
In einer von solchen Knollen fand ich, als ich sie
26*
40%
Bulletin de l’Académie Impériale
408
zerhieb, ein Stück, in die Masse des Apatitsandsteins
hineingewachsenen, fossilen Holzes, nach seinem äus-
seren Habitus vollkommen dem vorher beschriebenen
ähnlich.
1,2914 Grm. dieses Holzes verloren, bei schwachem
Glühen desselben, 0,0241 Grm. oder 1,9% und gaben
0,026 Grm. oder 2,017, unlüslichen in HCI Sand. Fer-
ver wurden erhalten 1,57 Grm. CaO. SO* oder 50,06",
CaO, 0,0165 Grm. 2 MgO. PhO oder 0,46, MgO und
0,817, PhO° und noch 0,687 Grm. 2 MgO. Ph0*, welche
33,12%, PhO° entsprechen, so dass im Ganzen der
Phosphorsäuregehalt sich auf 34,537 herausstellte.
Y. VI. VIL.
Glühverlust . . bus — 1,907,
Unlôsliches in Salzsäure — — 2,01
Kalk . . 51,79 51,90 50,06
Magnesia . 0,37 Spuren 0,46
Phosphorsäure . 35,25 35,23 34,53
Kohlensäure 4,11 3,44 —
Eisenoxyd 1,73 1,15 —
Zur Entscheidung, ob irgend welche wesentliche
Differenzen bestehen in der Zusammensetzung der
fossilen Bäume aus den verschiedenen Schichten D
und # und andererseits der Bäume, welche in dem
oberen und unteren Theil einer und derselben Schicht
angetroffen werden, hat, auf meine Bitte, mein Assi-
stent Hr. Latschinow analysirt:
VIII, Ein fossiles Holz aus em Dorf Uschakowka bei Kursk,
Hier befinden sich die hauptsächlichsten Steinbrüche
des plattenfrmigen Apatitsandsteins, welcher nach
Kursk zu Bauten und zur Strassenpflasterung geliefert
wird. Das Holz lag in der Masse des Apatitsandsteins
‘selber und zwar in dem obern Theile der Platte unter
einer Schicht Rinde, womit die Oberfläche der Platte
bedeckt war;
IX. Ein fossiles Holz von demselben Fundorte,
welches in der Masse des Apatitsandsteins selber,
in dem unteren Theile der Platte lag, und
X, Ein fossiles Holz aus Grankino im Orel'schen
Gouvernement,
Dieses versteinerte Holz, vom Apatitsandstein
durchwachsen und äusserlich in Nichts von den Knol-
len des Apatitsandsteins sich unterscheidend, wurde
von mir unmittelbar aus der Schicht der Apatitsand-
steinknollen #, welche in den Sand unterhalb der
Schicht mit den Platten in D hineinragt, aus einer
der Schluchten bei dem Dorfe Grankino hervorgeholt.
Bei der Analyse der letztgenannten drei versteiner-
ten Hülzer erhielt Hr. Latschinow folgende Resul-
tate:
VIII. Xe Xe
Flüchtiger Stofte 3,05 2,70 »
Kalk 52,65 52,80 52,85
Magnesia . 0,40 0,45 0,50
Phosphorsäure 34,90 34,25 30,90
Kohlensäure 3,63 °) — _
Fluor . 4,75 4,75 —
Eisenoxyd. . . . 0,35 0,40 0,60
Professor Mercklin hat die ihm von Hrn. Kipria-
now zugestellten fossilen Bäume aus der Formation
des Apatitsandsteins mikroskopisch untersucht, die-
selben in seinem Palacodendrologikon Rossicum (S. 69.)
unter dem Namen Cupressinoxzylon Kiprianovi beschrie-
ben und unter KV 7 und 8 auf der XIX Tafel der
seinem Werke beigegebenen Abbildungen dargestellt.
Ich wandte mich an den Professor Mercklin mit
der Bitte um Probestücke von jenen Hülzern, die er
beschrieben hatte, zur Analyse derselben, und war so
glücklich das Erbetene zu erhalten. Ich halte es da-
rum für meine Pflicht, Hrn. Professor Mercklin hier-
mit üffentlich meine tiefgefühlteste Dankbarkeiït dar-
zubringen für die mir durch ibn bereitwilligst gege-
bene Môüglichkeit, die von ihm genau bestimmten
Exemplare der fossilen Bäume aus dem Apatitsandstein,
chemisch zu untersuchen. Die von Hrn. Mercklin
erhaltenen erwiesen sich nach ihrem äussern Habitus
den in meiner Collection sich vorfindenden täuschend
äbhnlich.
XI Untersuchung einiger Stückehen Cupressinoxylon Kipria-
novi von dem Exemplar, welches durch Hrn, Mercklin
mikroskopisch bestimmt wurde,
1,458 Grm. gaben 0,007 Grm. oder 0,49", unlôsli-
cher in HCI organischer Substanz, von unorganischen
Stoffen aber Nichts. Ferner wurde erhalten: 1,8196
Grm. CaO. SO* oder 52,627, CaO, 0,16 Grm. 2 MgO.
PhO® oder 0,4%, MgO und 0,1%, PhO° und noch
6) Nach der Bestimmung des Hrn. Kostytschew.
409
0,747 Grm. 2 MgO. PhO* oder 33,25!
zen aber 33,6%, Phosphorsäure.
0,7965 Grm. gaben 0,0548 Grm. od. 6,887 Kohlensäure.
, PhO”, im Gan-
XII, Cupressinoxylon Kiprianovi,
dargestellt auf Tafel XIX des Mercklin’schen Werkes unter X 7.
1,6973 Grm. des Holzes gaben 0,0111 Grm. oder
0,65%, organischer, in HCI unlôslicher Substanz. Fer-
ner wurde erhalten 2,18 Grm. CaO. SO* oder 52,887,
Ca0, 0,015 Grm. 2 MgO, PhO* oder 0,327, MgO und
0,567, PhO° und noch 0,8783 Grm. 2 Mg0O. PhO* oder
392,797, PhO’, im Ganzen 33,357, Phosphorsäure.
1,1418 Grm. des Baumes gaben 0,0742 Grm. oder
6,4 Kohlensäure.
XIII. Cupressinoxylon Kiprianovi,
dargestellt auf Tafel XIX unter À 8.
1,875 Grm. des Holzes verloren bei schwachem
Glühen 0,0518 Grm. oder 2,76°, und gaben 0,0016 Grm.
oder 0,08, organischer und unorganischer Substan-
zen, unlôslich in HCI. Ferner wurde erhalten 2,917
Grm. CaO. SO* oder 52,57%, CaO, 0,0255 Grm. 2 Mg0.
PhO° oder 0,4%, MgO und 0,867, PhO° und noch
0,959 Grm. 2 MgO. PhO* oder 32,44, PhO, im Gan-
zen 33,307, Phosphorsäure.
1,2635 Grm. des Baumes gaben 0,0787 Grm. oder
6,237, Kohlensäure.
Es haben demnach die durch Professor Mercklin
determinirten versteinerten Hülzer die gleiche Zusam-
mensetzung mit den von mir selbst eingesammelten:
XI. XI. XIII.
(6111111 1513 LC] SSSPRRESPENNRRRE — 2,16%,
In Salzsäure unlôslicher }
organischer Substanz . 0,497, 0,65 | .
In Salzsäure unlôslicher ut
anorganischer Substanz — — |
Kalk -. . 52,62 52,88 52,57
Magnesiannhauu) cnstedebt 0,41 0,32 0,49
Phosphorsäure . . . . . . 33,96 33,30 33,30
Kohlensäure . 6,88 6,49 6,23
In dem grüsseren Theil der fossilen Baumstämme
finden sich, wie schon Mercklin beobachtet hatte,
Bohrlücher vor, welche mit einer schwarzen, sandi-
gen, dichten, dem Apatitsandstein ähnlichen Masse
angefüllt sind. Ich habe diese Masse, aus den Bohr-!
lüchern eines Stückes Baumstamm entnommen, der |
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Analyse unterworfen.
410
XIV, Sehwarze Masse aus den Bohrlôchern fossiler
Baumstücke,
Die Masse, welche ich der Analyse unterwarf,
entstammte einem Stück Holz, das in dem Bruch des
Apatitsandsteins bei dem Dorfe Putschino im Kurski-
schen Gouvernement aufgefunden wurde. Aus diesem
Steinbruch wird die Chaussée zwischen Orel und
Kursk remontirt.
Die sandige schwarze Masse lüst sich in Salzsäure
mit Verbreitung eines Naphthageruchs und hinter-
lässt Sand und eine schwarze organische Substanz.
2,529 Grm. der Masse gaben 1,1656 Grm. oder
46,087 Sand; 1,595 Grm. CaO. SO” oder 25,967, CaO.
0,112 Grm. phosphorsaures Eisen; 0,022 Grm. phos-
phorsaure Magnesia, entsprechend 0,27, MgO und
0,0139 Grm. PhO° und noch 0,5324 Grm. phosphor-
saure Magnesia, entsprechend 0,3575 Grm. Ph O*.
Jene 0,112 Grm. phosphorsaures
Eisen gaben 0.0886 Grm. phosphor-
saurer Magnesia, entsprechend . . 0,0561 Grm. PhO”°.
0,4075 G. oder 16,1%.
Auf Eisenoxyd kam 0,0559 Grm. 2,21 pCt.
Zur Vergleichung führe ich an die Analyse (XV)
eines Apatitsandsteins, ausgeführt von Latschinow,
und zwar:
XV, eines Pulvers, welches erhalten wurde durch Zerreiben
einer bedeutenden Menge von Knollen des Apatitsandsteins
aus Brjänsk durch gusseiserne vertikale Läufer,
XIV. XY.
Organische Substanz . — 0,50%,
Sand. #41 46,087, 48,25
Kalle 7 900 25,96 24,35
Magnesia. M0 0,45
Phosphorsäure . . . . 16,11 15,40
Eisenoxyd . . . 2,21 0,65
Lassen wir den Sand weg und berechnen die Haupt-
bestandtheile auf Procente, so erhalten wir als Zu-
sammensetzung acl
während Claus
A. für den
Cäment d. Kurs-
XV. a. des
Cäüments des
Brjänsker
XIV. a. des Cüments
der die Bohrlücher füllenden
Masse: Apatitsand- ker Ssamorod
steins: angiebt:
Kalk 48,15 47,05 49,22
Magnesia . 0,50 0,86 1,30
Phosphorsäure 29,97 29,75 27,20
Eisenoxyd. 4,09 1,25 4,40
AL
Bulletin de l’Académie Empériale
412
0 D 20 0 D 0 D
Von Hrn. Solsky, Secretär des St. Petersburger
Vereins von Landwirthen, erhielt ich eine vortreff-
liche Sammlung von Pseudokoprolithen, Apatiten,
Phosphoriten u. s. w. aus verschiedenen Gegenden,
zur Darstellung von phosphorsäurehaltigen Düngungs-
mitteln gebraucht. Bei Vergleichung unserer Apatit-
sandsteine mit den Exemplaren dieser Collection fand
ich, dass unsere Apatitsandstein-Knollen die meiste
Abnlichkeit mit den «nodules de phosphate de chaux»
aus den Ardennen zeigen. Ich bat deshalb Hrn. J'er-
molow, der die diesjährige Weltausstellung besuchte,
mir franzôsische «nodules» zu verschaffen. Hr. Jer-
molow bereiste die Ardennen und brachte mir von
den dort erhaltenen «nodules» etliche mit. In der
durch Hrn. Jermolow aus den Ardennen gewonnenen
Collection befinden sich auch Stücke versteinerten
Holzes, welches dort mit den «nodules» in Menge
vorkommt. Dieses versteinerte Holz ist seinem äusse-
ren Aussehen nach dem unsrigen vollkommen ähnlich.
Des Vergleiches halber machte ich eine Analyse des
frauzüsischen; aus ihr ging hervor, dass das Arden-
nen - Holz mit dem unsrigen die gleiche Zusammen-
setzung besitzt.
XVI. Versteinertes Holz aus Les Islettes (Dép. de Meuse).
1,5644 Grm. des Holzes verloren bei schwachem
Glühen 0,052 Grm. oder 3,327, und gaben 0,007 Grm.
oder 0,447, unlôslicher in HOI organischer und 0,0016
Grm. oder 0,10° , unorganischer Substanz. Ferner ga-
ben sie 1.9482 Grm. CaO. SO* oder 51,98! Ca O, 0,043
Gr. phosphorsaures Eisen, 0,o188 Gr. 2 MgO. Ph0”,
Roca 0,447, MgO und 0,76” PROS ma noch
0,7263 Grm. 2MgO. Ph0’, entsprechend 29,837, PhO*.
0,0412 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 00284 Grm.
2Mg0.PhO*, entsprechend 1,147, PhO°. Im Ganzen
31,73, Phosphorsäure. Eisenoxyd, aus der Differenz
berechnet, 1,48%. — 2,427 Grm. Holz gaben 0,1484
Grm. oder 6,1%, Kohlensäure. XVI.
Glühverlust : 3,32
organische Substanz, unlôslich i in HCI 0,44
anorganische Substanz 0,10
Kalk . 51,28
Magnesia . 0,44
Eisenoxyd 1,48
Phosphorsäure . 31,73
Kohlensäure . 6,11
Bei der Untersuchung der Lager des Apatitsand-
steins im mittleren Russland habe ich eine grosse Col-
lection”) von Knochen, die zugleich mit versteinerten
7) Die von mir und Hrn. Jermolow zusammengetragencn Samm-
Hülzern sich in diesem Stein vorfanden, zusammen-
gcbracht. Zum Vergleich habe ich Analysen dreier
grosser Wirbel von verschiedenen Orten ausgeführt.
Bei ihrer Auflüsung in HCI entwickelt sich derselbe
Naphthageruch und hinterbleibt ein wenig organische
Substanz, wie wir dies bei der gleichen Behandlung
versteinerter Hülzer angeführt haben. Die Knochen
enthalten, wie die Hülzer, auch FI.
XVI. Ein Wirbel aus Brjänsk,
Dieser Wirbel wurde von mir zugleich mit Stücken
versteinerten Holzes aufgefunden in den Haufen von
Apatitsandstein-Knollen, welche auf dem Stadtplatze
angesammelt waren.
1,66 Grm. des Wirbels verloren bei gelindem Glü-
hen 0,046 Grm. oder 2,567, und gaben 0,0212 Grm
oder 1,27°, unlôslich in HCI Sand und 0,0072 Grm.
oder 0,43”, organischer Substanz; sodann gaben
sie 2,027 Grm. CaO. SO oder 50,227, CaO, 0,024 Gr.
PRSPOMEIUREE disen, 0,019 Grm. 2Mg0. PhO*, ent-
sprechend 0,427, MgO und 0,012 Grm. Ph0”, und noch
0,791 Grm. 2MgO. Ph0”, entsprechend 0,5014 Grm.
PhO°. 0,024 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0178
Grm. 2Mg0O. Ph0”, entsprechend 0,013 Grm. PhO*.
Im Ganzen 0,5247 Grm. oder 31,57%, PhO°. Nach der
Differenz — 0,0127 Grm. oder 0,76, Fe° 0°.
1,4077 Grm. gaben 0,0827 Grm. oder 5,87, CO*.
XVII, Wirbel aus dem Dorfe Grankino des Orelschen Gou-
vernements,
Dieser Wirbel wurde von mir in einer der Schluch-
ten bei Grankino aufgefunden unmittelbar in der Schicht
F der in dem Sande gelagerten Apatitsandstein-Knol-
len. Der Wirbel lag in dem Sande horizontal (in der
Richtung der Längenachse) zwischen den Knollen und
war mit einem der letzteren schwach verbunden, von
dem auf einer der Scheibchen des Wirbels ein wabr-
nehmbarer Eindruck hinterblieben war.
1,6032 Grm. des Wirbels verloren bei schwachem
Glühen 0,01466 Grm. oder 2,90°, und gaben 0,0284 Gr.
oder 1 TT unlüslichen in HCI Sand und 0 unlôslichen
organischen Stoffes; sodann gaben sie 1,9346 Grm.
CaO. S0° oder 49,69, CaO, 0,0647 Grm. phosphor-
saures Eisen, 0,01066 Grm. 2MgO.Ph0°, was 0,24),
MgO und 0,0067 Grm. PhO° entspricht, und noch 0,7844
Grm. 2Mg0. PhO*, entsprechend 0,4972 Grm. PhO'.
lungen von Apatitsandstein und den ibn begleitenden Gebirgsarten,
auch Sammlungen von versteinerten Hülzern, Knochen, Mollusken,
des Chausseestaubes von mit Apatitsandstein gepflasterten Wegen
u. del. werden aufbewahrt im chemischen Laboratorio des St. Pe-
tersburger Landwirthschaftlichen Instituts.
A13
— 0,0647 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0494
Grm. 2Mg0. PhO*, entsprechend 0,313 Grm. PhO*.
Im Ganzen 0,5352 Grm. PhO° oder 33,38°.
Nach der Differenz — 0,0334 oder 2,08, Fe°O*°.
2,2775 Grm. gaben 0,0961 Grm. oder 4,22°4 CO°.
WA)
XIX, Wirbel aus dem Dorfe Uschakovka bei Kursk.
Dieser Wirbel ist von mir aus den Haufen bereits
gebrochener Steine entnommen. Er stammt aus der
Schicht D, was man nach der Farbe und dem äusse-
ren Aussehen des Wirbels schliessen darf, der mit
den in der Masse der Platten der Schicht D selbst
vorkommenden Knochen und dem Apatitsandstein der
Schicht D Âhnlichkeit hat.
1,731 Grm. des Wirbels verloren bei gelindem Glü-
hen 0,057 Grm. oder 3,32°, und gaben 0,0042 Grm.
oder 0,24, organischen, in HCI unlôslichen Stoffes
und 0,0176 Grm. oder 1,01, anorganischen; ferner ga-
ben sie 2,1542 Grm. CaO. SO oder 51,24 CaO, 0,026
Grm. phosphorsaures Eisen, 0,0132 Grm. 2Mg0.PhO”,
entsprechend 0,27, MgO und 0,0084 Grm. PhO° und
noch 0,856 Grm. 2MgO.Ph0Ÿ, entsprechend 0,5550
Grm. PhO*, —- 0,026 Grm. phosphorsaures Eïisen ga-
ben 0,02 Grm. 2Mg0O. PhO*, entsprechend 0,0127 Grm.
PhOÿ. Im Ganzen 0,5761 Grm. oder 33,287, Phosphor-
säure.
Nach der Differenz — 0,013 Grm. oder 0,76%
Fe?0°.
des Sciences de Saint: Pétersbourg.
#81
1,741 Grm. gaben 0,0981 Grm. oder 5,637 CO?.
Zur Vergleichung fübre ich noch unter XX die
von Claus ausgeführte Analyse des versteinerten
Knochens aus Kursk an:
XVII. XV XIE XX:
Glühverlust 012,66. :12:90, 3,320
unlôüsliche organische
Substanz de 10.462 10 0,24
unlôsliche anorganische D
Substanz Por ,77 1,01
Kalk. 50.22 49,69 51,24 50461
Magnesia NO NO 22 027
Kohlensäure . DSL 02 NN D 65 RTE
Phosphorsäure. . . 31,57 133.38 33,28 128,95
Schwefelsäure . . . —- — -- 1,20
Eisenoxyd. . . 0762 08 MO 76 MISES
Natron — —— 1,75
Eluor et — — — 5,99
Vergleichen wir diese Zahleni unter einander, so
ersehen wir, dass die versteinerten Knochen aus ver-
schiedenen Gegenden unserer Kreideformation, in-
gleichen auch aus den verschiedenen Schichten D und
F der Formation, einerlei Zusammensetzung und zwar
gleiche mit den versteinerten Hülzern haben.
Für die bequemere Vergleichung bringen wir die
esultate sämmtlicher im Vorhergchenden abgehan-
delten Analysen in eine einzige Tabelle.
Te
| | | | | | | | | : |
| mL _| ue, | | EV. | V. | NI. | NI. |VOT. | AX. | X. |,XI. |XII. | XII. | XVI. XIV. a.|XV.a) A. [XVII XVIIL| XIX. | XX,
IRauIMEn| | | | | | | | | |
| NN RTÉRS Ste RTE NT IETAICERS HNOoMIE 7 Cäment. Wirbel-Knochen.
A <=! = ST en Es: =| : Ï ] = ns
: = æ .|=—= ln BlE &|> o 2 A = à] EME] BE NE le Re EF
£ à : A = lac lrk SA le Stellsre.s = <|£s22z w 2] © 115 Es UE
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& À 22 5% 26130 5 ol 3° wo vo =) 2 SSsS ZT] C3 2 2 2
| = [8-21 2)<S SOS) MO NES TAON à A|= = EEE
| SIRSIE S
| | Î | | | | | à | Riu c A «
Glühverlust .........| » » | 2,42 0,96! 2,69! 5,48| » | 1,90 | 3,05) 2,70) » » | » | 9,76! 3,32] » | » | » | 2,56! 2,90] 3,52] 3,30
Unlôsl. org. Substanz. ! 0,51| 0,66! » LA? » | » » » » » » 0,49, 0,65 0 os! 0,44 » » | » 0,3 0 0,24 bu 00
Unlésl.anorg.Substanz| — | 0,08 0,2 0.46 0,04, » » 2,01 | » » DE | Otol » » » | 1,27, 1,77] 1.01/f?
Kalk...............152,51/52,30/59,30/52,57,51,64,51,79,51,90! 50.06 152,65,92,80 52,85 52,62,52,88,52,57 51,28] 48,15 |47,05149,22150,22 49,69/51,24,30,61
Magnesia ....... ....| 0,42, 0,60! 0,58! 0,36, 0,46 0,37! Spur.| 0,46 | 0,40! 0,45) 0,50) 0,41) 0,32, 0,49, 0,64) 0,50 ! 0,86) 1,30! 0,42) 0,24! 0,77 1,21
Kohlensäure ........ | 686! 6,7) » | 6,60! 6,02! du 3,4 » | 3,6 » | » | 6,88) 6,49 6,2%) G,1il » » | » | 5,87) 4,22) 5,63, 5,80
Phosphorsäure...... .132,84,33,01 33,02 32,94 32,41 35,25/30,22| 34,50 |34,90,34,25/35,90/53,96/33,35 38,30 31,73] 29,87 29,75 27,2051,57 33,28,33,28/28,25
Schwefelsäure ...,... | LIN ED ODA 0) » » » » » » » » | » » » » » » » 1,20
Hisenoxydiee 2.01. [on 01,53) 1,7) 1,15) » | 0,35) 0,40! 0,60! » | » | » 1,48] 4,09! 1,25! 4,40] 0,76) 2,08| 0,76! 3,43
Phosphorsaures Eisen | 0,15, 0,27 — | 0,46, » | » | » PRES SOUIOES TON PSS M AN PPT » > Laon EDS
Fluor ..............| » » | » 0 | le 255 RE » 4,75 4,75, » » » » » » » » » » » 5,99
Das Zeicheu » zeigt au, dass der betreffende Bestandtheil nicht bestimmt wurde ;
yorhanden war.
Anmerkunw. In dem Aypatitsandstein des Woronesh’schen Gouvernements an dem Flusse Weduga habe
Geologen, welche die Entblôssungen der Gebirgsmassen an dem Dorfe Endowischtscha an dem Flusse We-
, Ielmersen, Pacht), fanden dort durchaus keine Versteinerungen, mir jedoch gelang es, nach
und Muschelschalen im Apatitsandstein aufzufinden.
nerten Hülzer gefunden. )
duga untersuchten (Keyserling ï L
langem Forschen, in Endowischtscha etliche Kuochen (Wirbel)
D
D
das Zeichen ——, dass der Bestandtheil nicht
ich keine verstei-
415
Aus den von mir ausgeführten Untersuchungen |
der versteinerten Hülzer und Knochen, welche in der
Kreideformation gefunden werden, folgt:
1. Die in der Kreideformation vorkommenden ver-
steinerten Hülzer und Knochen aus verschiedenen
Gegenden Russlands, gleichermaassen Frankreichs,
haben eine fast gleiche Zusammensetzung und beste-
hen namentlich aus phosphorsaurem Kalk, kohlen-
saurem Kalk und Fluorcalium. Alle versteinerten
Hülzer der Kreideformation enthalten dieselbe Quan-
tität Kalk. Die Menge der Phosphorsäure in ihnen
variirt ein wenig und dem entsprechend verändert
sich der Gehalt an Kohlensäure; der Fluorealcium-Ge-
halt ist daher wenig veränderlich. Ich glaube daher,
dass man nach der Zusammensetzung des verstei-
nerten Holzes mit grosser Wahrscheinlichkeit auf
die Abstammung schliessen künne; auch kann die
chemische Untersuchung des Holzes aus irgend ei-
ner Lokalität hinweisen auf den Befund in dieser Lo-
kalität von Lagern des Apatitsandsteins.
9, Die Zusammensetzung der Hülzer und Knochen
steht sehr nahe der Zusammensetzung des den Sand
im Apatitsandsteine bindenden Cäments. Auf Grund-
lage dessen halte ich es für môüglich, den Schluss zu
zichen: dass Hülzer, Knochen uud der Sandstein, in
dem sie sich vorfinden, auf dieselbe Weise verstei-
Bulletin de l'Académie Empériale
nerten. Der Sand und die in ihn gerathenen Hülzer
versteinerten zu einer dichten Masse in Folge der Prä-
cipitation in ihnen von phosphorsaurem und kohlensau-
rem Kalk und Fluorcalcium aus der den Sand durch-
sickernden Lüsung.
Die Knochen, welche wie in der Masse des Sand-
steins selber, so auch unter ihm im Sande vorkom-
men, haben dieselbe Zusammensetzung, wie die Hül-
zer und sind vollkommen wohlerhalten; diese Kno-
chen versteinerten (petreficirten) sich auf dieselbe
Weise, wie die Hôülzer.
Es unterliegt keinem Zweifel, dass diese, wie sie
mit Recht Claus bezeichnete, «merkwürdige» Stein-
art, welche auf einer so enormen Ausdehnung abge-
lagert ist und so immense Quantitäten von Phosphor-
säure in sich führt, sich gebildet hat, wie Graf Key-
serling und Claus annehmen, in Folge der Cohäsion
zwischen den Sandkürnern durch Vermittelung des
Cümentes, der aus den durch den Sand durchsickern-
den Lüsungen sich ausgeschieden; aber ich glaube,
416
dass man, auf die Âhnlichkeit hin in der Zusammen-
setzung des Cäments und der im Sandstein vorkom-
menden Knochen nicht präsumiren dürfe, wie Claus
(S. 380 u. 381 seines Mémoire’s), dass namentlich die
Knochen zur Bildung des Cämentes gedient hätten.
Ich denke, dass die Knochen (vollkommen wobler-
haltene), ingleichen die Hülzer sich schon im Sande
befanden, als derselbe sich mit der Lüsung sättigte.
Die Bildung der Apatit-Sandsteinplatten
Schicht D erklärt sich ganz gut daraus, dass dieser
Sandstein in Folge dessen entstand, dass durch den
Sand, in welchem schon Stücke durchbohrten Holzes
und Knochen lagen, eine, phosphorsauren Kalk u. d.
gl. enthaltende, Lüsung hindurchsickerte. Davon über-
zeugt uns das stalaktitenähnliche Aussehen des Sand-
steins, welcher nicht aus einer durchweg, gleichdich-
ten Masse besteht, sondern aus oberhalb zusammen-
gewachsenen, vertikal sich in den Sand hinabsenken-
den Tropfsteinen, zwischen welchen im Sande Kno-
chen und Versteinerungen sich finden. Diese Erklärung
passt indessen ausschliesslich für die Platten-Schicht
D. Auf bedeutender Tiefe unter dieser Schicht tref-
fen wir im Sande eine Zwischenschicht der Knol-
len F, welche hier als ganz gesonderte, unabhän-
gige Schicht sich zeigen. Die Knollen in der Schicht
F sind nach ihrem Aussehen und ihrer Farbe *) ganz
verschieden von den Platten in D, durchaus nicht zu-
sammenhängend unter einander, sondern liegen in
dem Sande getrennt eine neben der anderen und zwi-
schen ihnen, wie verwachsen mit dem Sandstein, lie-
gen Stücke Holz ebenfalls in Form von Knollen, die
äusserlich ganz ähnlich den Apatitsandstein-Knollen
sind, so wie Knochen: z. B. Wirbel. Zur Erklärung
der Bildung dieser Knollen, von denen jede von aus-
sen glatt und nicht verbunden mit einer anderen ist,
lässt sich nicht annehmen, dass sie sich, wie die Plat-
ten in D, an derselben Stelle bildeten, wo sie gegen-
wärtig liegen, zufolge des Eindringens einer Lüsung
in den Sand. Diese Knollen der Schicht Æ waren au-
genscheinlich durch Wasser an den Ort gefübrt, wo
sie sich augenblicklich befinden und setzten sich weït
früher ab als die Schicht D, von der sie durch eine
starke Lage Sand getrennt sind. Das leitet auf die
Idee, die Schicht D schon für eine zweite Bildung zu
8) Die Platten in D sind gewôhnlich zimmetbraun, die Knollen
in F grünlichschwarz.
A1?
halten, d. i., dass anfänglich, an Stelle der Platten in
D, sich eine eben solche Schicht durch Wasser her-
beigeführter Knollen, wie in Æ, abgelagert habe und
alsdann diese Kuollen, in Folge des Eindringens von
Wassers, welches mit Kohlensäure gesättigt war, sich
lüsten und diese Lüsung den Sand verband. Wo Jje-
doch uranfänglich die Knollen F und die Knollen ge-
bildet, welche zur Herstellung der Platten in D dien-
ten, wissen wir nicht; es unterliegt nun keinem Zwei-
fel, dass ursprünglich diese Knollen (die auch einge-
wachsene Stücke Holz enthalten) sich aus der Lô-
sung gebildet haben werden. Künftige chemische Un-
tersuchungen der Knollen von verschiedenen Stellen
werden vielleicht die Data liefern zur Erklärung die-
ser interessanten Fragen.
Endlich, wie ich darüber schon früher bemerkt,
über die Schicht D des Apatitsandsteins lagern sich
Sandmergel C, welche mit nicht grossen Knol-
len des Apatitsandsteins überfüllt sind. Diese
Knollen liegen zerstreut in Mergel umher und tra-
gen keine Anzeichen an sich, dass sie durch Was-
ser übertragen wären. Sie sind nicht an ihrer Ober-
fläche glatt gerieben, wie die Knollen in F, sondern
wie die oberste Schicht der Platten in D, mit einer
Glasur überzogen. In dem Sandmergel C haben wir
weder Knochen noch fossiles Holz gefunden. Die im
Kreide-Sandmergel zerstreut vorkommenden Knollen
fanden sich offenbar erst nach der Bildung der Plat-
ten D ein; sie unterscheiden sich von den Platten
durch ihre Zusammensetzung, indem sie weniger Sand
und mehr Phosphorsäure enthalten. Wahrscheinlich
lagen auch diese Knollen im Sande, mit welchem zu-
gleich sie auch in die Kreide geriethen, zur Zeit ihrer
Ablagerung. Es ist interessant, dass je mehr Sand sich
der Kreide beimengt, desto mehr sich in ibm auch
Knollen finden, und dabei vergrüssert sich die Quan-
titit Sand und Knollen stufenweise von oben herab
nach unten. Zwischen dem Sandmergel und der Plat-
tenschicht D liegt gewühnlich eine dünne (2—3 Zoll
dicke) Schicht gelben Sandes mit kleinen Knollen. Die
obere Rinde der Plattenschicht D trennt sich auch
bisweilen von der Masse der Platten durch eine dün-
ne Zwischenschicht von Sand.
Ich halte für überflüssig, hier noch zu reden von
der ungeheuren ‘konomischen Bedeutung unserer La-
ger von Apatitsandstein, worauf bereits Claus in
TomeïXII. ;
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
418
seinem Mémoire hingewiesen. Diese Lager, welche
sich hunderte von Wersten hinziehen, enthalten in
sich einen unerschüpflichen Vorrath an Phos-
phorsäure, die in gegenwärtiger Zeit eine so aus-
serordentliche Bedeutung in der Landwirthschaft des
westlichen Europas gewonnen. Es unterliegt keinem
Zweifel, dass der mit jedem Jahr mehr und mehr zu-
nehmende Mangel an Düngmitteln, auch bei uns, den
bis zur Stunde einzig und allein zur Pflasterung der
Strassen uud Wege benutzten Apatitsandstein, zum
Gegenstande der Bearbeitung für die Zwecke der Feld-
wirthschaft im Grossen machen wird.
Schliesslich halte ich es für eine angenehme Pficht,
meine tiefste Dankbarkeit auszusprechen gegen die
Herren Latschinow und Kostytschew für ihre
Mitwirkung bei diesen meinen Untersuchungen.
St. Petersburg, im September 1867.
Beitrag zur Kenntniss des selbstständigen Lebens
der Flechtengonidien, von J. Baranetzky.
(Lu le 28 novembre 1867).
Schon seit langer Zeit war von verschiedenen Au-
toren die Meinung ausgesprochen, dass die Flechten-
gonidien unter gewissen Umständen selbstständig, d.h.
getrennt von den Hyphen, frei in der Natur fortvege-
tiren künnen, und dass einige als autonome Algen be-
schriebene Organismen nichts anderes als freivegeti-
rende Flechtengonidien seien. Abgesehen aber von
diesen wiederholten, oft ganz bestimmt ausgesproche-
nen Angaben, blieb diese Frage bis auf unsere Zeit
ganz unentschieden, und wenn de Bary in seiner
«Morphologie der Pilze, Flechten und Myxomyceten»
einen genetischen Zusammenhang zwischen einigen
Nostochineen und den Gallertflechten zuzulassen ge-
neigt ist, so scheint er doch (p. 289) das freie Leben
der Gonidien der heteromeren Flechten und somit
jeden Zusammenhang der einzelligen Algen mit die-
sen Gonidien zu läugnen.
Wenn man nämlich die dazugehôrige Litteratur
durchmustert, so findet man, dass die vorhandenen
Arbeiten zur Entscheidung dieser Frage, der unge-
nauen Methode der Untersuchung wegen, wenig bei-
bringen kônnen; selbst die Arbeiten der neuesten For-
scher sind aus genanntem Grunde unzureichend, um
diese Frage sicher zu beantworten. Ich halte es des-
27
419
Bulletin de l’Académie Hmpériale
420
——
halb für nutzlos, mich in die weitläufige Bearbeitung
der Litteratur dieses Gegenstandes einzulassen und
werde nur zu zeigen versuchen, wie wenig noch, trotz
so zahlreicher Angaben, die Frage über das selbst-
ständige Leben der Gonidien der heteromeren Flech-
ten ausserhalb des Thallus im streng wissenschaftlichen
Sinne fortgeschritten war.
Schon Haller, Gleditsch, Leysser') haben ge-
wisse grüne Anflüge auf feuchten schattigen Stand-
orten, die vor ihnen für Algen gehalten wurden, als
Flechten beschrieben. Sie sahen aber diese Anflüge
nicht als Anhäufungen von freigewordenen Gonidien
gewisser Flechten an, sondern hielten sie für voll-
kommene Flechten, denen sie darum besondere Na-
men beilegten. Auf diese Weise wurde der von Linné
als Alge beschriebene Byssus antiquitatis L., später für
Lichen crustaceus Hall., Lichen antiquitatis Schreb.,
Hag., Lepraria botryoides À ch. ausgegeben.
Wallroth”) und nach ihm Fries”), welche den
Flechtengonidien bestimmt ein selbstständiges Leben
ausserhalb des Thallus zuschreiben, haben schon das
Hervorbrechen der Soredien aus demselben beobach-
tet; die Structur der Soredien aber haben sie noch
gänzlich übersehen, indem sie nur immer von den
hervorbrechenden Gonidien sprechen, welche,
nach ihrer Meinung, nachdem sie in die für Flechten-
entwickelung ungünstigen Umstände gestellt werden,
auf immer im Zustande nackter Zellen als Chloro-
coccum, Protococcus u. s. w. verbleiben. Andererseits
ist bei genannten Autoren der üfters gemeinschaftliche
Standort, oder auch nur die Nachbarschaft der frag-
lichen Organismen mit den Flechten, ein genügender
Grund für die obige Annahme. Bei dem jetzigen Zu-
stande der Wissenschaft, da das Ausstreuen der So-
redien und ihre Natur bekannt geworden ist, kônnen
solche Angaben natürlich nur die Vermuthung erzeu-
gen, dass Wallroth und Fries echte Soredien gese-
hen und sie nur nicht von den (Gronidien unterschie-
den haben. Für einige Fälle steht dies sogar ausser
Zweifel, denn wenn z. B. Wallroth von den gelben
Gonidialanhäufungen spricht"), so konnte er selbst-
1) Wallroth, Nat. d. FI. I. p. 311, 342.
2) Naturgeschichte d. F]. 1825.
3) Lich. Eur. ref. 1831.
4) 1. c. I. p. 304, 320.
verständlich nicht Gonidien, wohl aber Soredien vor
sich gehabt haben.
Ferner lässt Kützing”), der so viel über die Me-
tamorphosen der niederen Cryptogamen (Algen) ge-
schrieben hat, Parmelia parietina aus Protococcus vi-
ridis sich hervorbilden.
Als Beispiel, wie wenig überhaupt die Angaben
über diesen Gegenstand wissenschaftlichen Werth ha-
ben kônnen, führe ich hier eine Stelle von Kützing
an, und um so mehr noch, da diese Stelle Alles ent-
hält, worauf Kützing seine Meinung gründet; er sagt
(1. €. p. 350): «Keinem Beobachter, der nur irgend
etwas Aufmerksamkeit diesem Gegenstande je ge-
schenkt hat, wird entgangen sein, dass sebr häufig auf
den Bäumen, wo dieselbe (Parmelia parietina) sitzt,
sich auch Protococeus viridis befindet. Untersucht
man die Structur dieser Flechten mit dem Mikroskop,
so findet man, dass ganz dieselben Protococcus-Kü-
gelchen mit in die Substanz des Laubes verwebt sind,
und in der That ist auch dieser Protococeus die erste
Veranlassung zur Erzeugung der Parmelia parietina.»
Einige Zeilen weiter giebt aber Kützing doch an,
dass trotz aller Mühe und Sorgfalt ihm keine Über-
gangsstadien zwischen Protococcus viridis und Par-
melia parietina aufzufinden gelungen sei°).
Speerschneider”) ist der einzige Forscher, der
die richtige Methode zur Ergründung der gegenwär-
tigen Frage angewendet hat; die Methode nämlich, bei
der es uns *) geglückt ist, Zoosporenbildung an den
freivegetirenden, chlorophyllhaltigen Gonidien einiger
Flechten zu entdecken. Speerschneider machte
5) Linnaea. 1833. p. 335 ff.
6) De Bary scheint Unrecht zu thun, indem er auch Kôrber in
die Reihe der Autoren stellt, welche das Freiwerden der Gonidien
und ihr selbstständiges Leben behauptet haben (1. c. p. 289). Kür-
ber suchte durch alle seine Schriften über die Natur der Flechten
die Meinung festzustellen, die Gonidien seien nur Ernährungsorgane
der Flechten, die niemals in diesem Zustande frei werden und nur
als Soredien den Thallus der Flechten verlassen kônnen (De goni-
diis Lich. 1839, p. 54 — 55; Flora 1841, Xe 1 u. 2). Er hält somit
für echte Algen die Organismen, welche grüne Anflüge auf
Baumrinden u.s. w. bilden und die von Wallroth (und auch Fries)
als freigewordene Flechtengonidien angesehen wurden (Flora 1841,
N° 2, p. 29) Wenn auch Kôrber angiebt (1. c. p. 28), aus der als
Alge beschriebenen Torula cinnabarina Mart. (Dematium cinnaba-
barinum auct) den jungen Thallus der Parmelia parietina hervor-
wachsen gesehen zu haben, so hält er somit die genannte Alge für
Soredien uud nicht für Gonidien von Parmelia parietina.
7) Bot. Zng. 1853, p. 708.
8) Famintzin u. Baranetzky. Mém. de lAcad. des sc. de St,-
Pétersbourg. T. XI. Xe 9,
A?1
des Sciences de Saiïint-Pétersbourg.
42?
künstliche Aussaaten, indem er dünne Schnitte aus
dem Thallus von Æagenia ciliaris auf feuchten Stücken
des weidenen Mulmes in feuchter Atmosphäre (un-
ter der Glasglocke) kultivirte. Er beobachtete dabei
ganz dieselben Veränderungen, die auch wir immer
bei unseren Aussaaten vorfanden: das farblose Ge-
webe ging bald in Verwesung über, die freigeworde-
nen Gonidien dagegen wuchsen als selbstständige
Organismen fort und theilten sich lebhaft. Speer-
schneider hat auch den anfangs homogenen Inhalt
der so metamorphosirten Gonidien kürnig werden ge-
sehen und beobachtete gleichzeitig auf seinen Aus-
saaten das Erscheinen der kleinen, grünen Kôrper-
chen, die immer zablreicher wurden. Es ist müglich,
dass diese Kürperchen nichts Anderes als zur Rube
gekommene Zoosporen vorstellten, die zu beobachten
es Speerschneider nicht glückte. Wenn ich ihn aber
richtig verstehe, scheint er schon etwas Âhnliches
vermuthet zu haben, indem er sagt: «Die reife goni-
mische Zelle oder Kugel zeigt einen kôürnigen Inhalt.
Später geht in ihr eine Theïilung vor, wobeï sie in
vier Abschnitte zerfällt. Nach diesem Vorgange scheint
sie, indem die Wandung zerstürt wird, den kürnig-
zelligen Inhalt auszustreuen.» Sonderbar ist es
nur, dass Speerschneider’s Beobachtungen, obgleich,
wegen der dazu angewandten Methode, die genauesten
von allen diesen Gegenstand berührenden, fast ganz
unberücksichtigt geblieben sind, indem sogar de Bary
in seiner «Morphol. u. Phys. d. Pilze, FI. u. Myxom.»
von diesem Versuche keine Erwähnung macht.
Die späteren Angaben von Itzigson”), Sachs ")
und Hicks'') über die Gonidienmetamorphosen ver-
schiedener heteromeren Flechten, kônnen zur Ent-
scheidung der Frage ebenso wenig beitragen. 50 z.
B. führt Hicks eine lange Reihe Formen verschiede-
ner einzelliger Algen vor, die nach seinen Beobach-
tungen aus den freigewordenen (ronidien der Cladonia
pyxidata herstammen sollen. Er giebt dabei aber nie-
mals an, künstliche Culturen angestellt zu haben und
hat unzweifelhaft gemeinschaftlicht lebende Organis-
men als verschiedene Entwickelungsstadien eines ein-
zelnen beschrieben. Künstliche Aussaaten sind darum
für derartige Untersuchungen unumgänglich; deBary’s
9) Bot. Zng. 1854, p. 521.
10) Bot. Zng. 1855, p. 6.
11) Journal microscop. sc. New ser. I.
vortreffliche Arbeiten über Pleomorphie einiger Pilze
sprechen am besten für den Werth dieser Untersu-
chungsmethode. Die Wichtigkeit dieser Methode ist
mir ganz klar während meiner ersten Arbeit (1. c.) ge-
worden, die ich in Gemeinschaft und unter Leitung
meines hochgeehrten und theuren Lebrers Prof. Fa-
mintzin ausgeführt habe und wo es uns gelungen ist,
ein selbstständiges Leben der freigewordenen Gonidien
der Physcia, Cladonia und Evernia ausser Zweifel zu
setzen.
So wie das freie Leben der Gonidien der heterome-
ren Flechten, wurde auch mehrmals der genetische
Zusammenhang einiger Gallertflechten und Algen, be-
sonders aus der Gruppe der Nostochineen, behauptet.
Die älteren Angaben aber, wie die von Ventenat und
Cassini ”), wobei der erstere Collema von Nostoc,
der letztere Nostoc von Collema herstammen lässt,
künnen in unserer Zeit gar wenig Vertrauen erwecken,
da die damaligen Autoren noch keine Kenntniss der
inneren Struktur der genannten Organismen besassen,
so dass Cassini den Nostoc als «une variété mon-
strueuse d’une espèce de Collema ou peut-être de
plusieurs espèces de ce genre» hält.
Ebenso wenig sind auch die Angaben von Itzig-
son “) und Hicks “) für diese Frage entscheidend.
Dagegen scheinen die Untersuchungen von Sachs ")
den genetischen Zusammenhang von Nostoc und Col-
lema festzustellen. Er giebt namentlich an, das Aus-
wachsen der Interstitialzellen von Nostoc in Hyphen
unzweifelhaft beobachtet und auf diese Weise die Ver-
wandlung des Nostoc in Collema direct nachgewiesen
zu haben. Sachs weist noch ausserdem darauf hin,
dass auf der Oberfläche des Collemathallus oft kleine
Nostoc-Exemplare vorkommen, welche, seiner Meinung
nach, auf irgend eine Weïise aus den Gonidien der
Collema entstehen müssen. Auf welche Weise aber
diese Metamorphose vor sich gehe, lässt Sachs ganz
unentschieden.
De Bary") ist ebenfalls geneigt, einen genetischen
Zusammenhang zwischen den Gallertflechten (Collema,
Ephebe) und einigen Algen, besonders der Nosto-
chineen, anzunehmen, obgleich er die Angaben von
12) Opusc. phytol. 1817. II. p. 361.
13) Bot. Zng. 1854, p. 521.
14) 1. c. p. 90.
15) Bot. Zng. 1855, p. 1.
16) Morphol. u. Phys. u.8.w. p. 290.
423
Bulletin de l’Académie Empériale
424
Sachs über das Auswachsen der Hyphen aus den
Gonidienzellen bezweifelt. Ausser der Analogie in der
Organisation (wie Collema und Nostoc) führt de Bary
auch das Hervorsprossen junger Nostoc-Exemplare
aus dem Collema - Thallus an, so wie auch das der
Sirosiphon-Fäden aus dem Thallus von Ephebe pu-
bescens, das er direct beobachtet hat.
Aus dem Vorhergehenden ist also zu ersehen, dass
die Frage vom selbstständigen Leben der Gonidien
ausserhalb des Flechtenthallus, trotz so zahlreicher
Angaben für die heteromerischen Flechten, bis auf
unsere oben citirte Arbeit, ganz unentschieden blieb;
dass für Gallertflechten dagegen die Müglichkeit des
Lebens der Gonidien auch ohne Hyphen (Nostoc, Si-
rosiphon) von mehreren Beobachtern nachgewiesen
wurde, wobei aber die Art und Weise, wie diese son-
derbare Metamorphose im Flechtenwesen zu Stande
kommt, ganz unaufgeklärt geblieben ist.
Ich gehe jetzt zur Mittheilung meiner eigenen Be-
obachtungen über, die ich in diesem Sommer an phyco-
chromhaltigen Flechten, nämlich Collema pulposum
und Peltigera canina angestellt habe. Dabei muss ich
bemerken, dass ich ebengenannte Flechten nur aus
dem Grunde wählte, weil ich ihnen häufiger als an-
dere phycochromhaltige Lichenen auf Excursionen be-
gegnete.
Collema pulposum A ch.
Beim Durchmustern der Querschnitte der frisch ge-
holten Collema unter dem Mikroskop wurde ich auf
das Vorkommen besonderer Bildungen im Inneren des
Thallus aufmerksam, welche von Niemandem, Hicks
vielleicht ausgenommen, beobachtet wurden. Das wa-
ren ziemlich kleine, länglich-ovale, manchmal in die
Länge gezogene gallertartige, ganz hyphenlose Schläu-
che, die im Innern gewôhnlich nur eine einfache perl-
schnurartige Reiïhe grüner Zellen enthielten, welche
sich in Nichts von den umgebenden Gonidien der
Cellema unterschieden; auf jedem der beiden Enden
des Schlauches sass eine grünliche Zelle. Selten wa-
ren die Schläuche breiter und enthielten dann im In-
nern die grünen Zellen ohne Ordnung gelagert. Diese
Gebilde waren ganz denjenigen, welche Thuret als
eine Art von Brutknospen des Nostoc vesicarium be-
schrieben "”) und abgebildet (Fig. 8 u. 9) hat, vollkom-
17) Mém. de la soc. nat. Cherbourg. V. p. 19.
men ähnlich, die Endzellen nur ausgenommen, welche
Thuret als farblos angiebt, die aber in den von mir
beobachteten Schläuchen immer grünlich erschienen.
Ich bedauere sehr, dass es mir jetzt nicht môglich
ist, meine Beobachtungen über Collema durch Zeich-
nungen zu veranschaulichen. Da ich aber meine Un-
tersuchungen über diesen Gegenstand fortsetze, so
hoffe ich, mit der Zeit diese Lücke auszufüllen.
Da ich solche Nostoc-artige Bildungen besonders
oft im unteren Theile des Collema-Thallus vorfand,
womit der Thallus sich am Boden anlegte, so glaubte
ich, dass es vielleicht die unmittelbare Berührung des
Collema-Thallus mit dem Boden sei, welche die Bil-
dung des Nostoc aus Collema begünstigt. Um aber
den Sachverhalt dieser Metamorphose môüglichst klar
und sicher beobachten zu künnen, stellte ich künstliche
Aussaaten in folgender Weise an: Ich nahm aus der
Tiefe einiger Zolle einige Stücke Erde, derenOberfläche
ich glatt machte und trug auf die Oberfläche mässig
dünne Querschnitte aus dem Thallus der Collema auf.
Die Schnitte wurden aus einem kräftigen, ganz ent-
wickelten Thallus genommen und vorläufig unter dem
Mikroskop untersucht, um die Abwesenheit aller frem-
den Organismen direct zu constatiren. Auf diese Weise
überzeugte ich mich auch, dass die zur Aussaat ge-
nommenen Schnitte ganz frei von den oben beschrie-
benen Nostoc-artigen Schläuchen waren. Um die Aus-
saaten feucht zu halten, wurden sie wie bei unseren
früheren Untersuchungen über Physeia u. a. (1. c.)
behandelt. Bei solcher Untersuchungsmethode hatte
ich den Vortheil, alle eintretenden Veränderungen
auf denselben Schnitten beobachten zu künnen, indem
ich jedes Mal die Schnitte nach der Beobachtung auf
ihren Platz wieder hinlegte, wobei sie in ihrer Ent-
wickelung nicht merklich beeinträchtigt wurden.
Ich habe Folgendes beobachtet: Nach einigen Ta-
gen wurden die Schnitte, besonders wenn sie nicht zu
dünn waren, immer weniger durchsichtig und von in-
tensiv grüner Farbe, was von der grossen Masse leb-
haft grüner Gonidien herrührte, die nicht mehr wie
im normalen Collema-Thallus in wenig gekrümmte,
sondern jetzt in gedrängte und stark geschlängelte
Reïhen zusammengeballt erschienen. Die Oberfläche
der Schnitte bedeckte sich indessen mit einer Menge
ziemlich kleiner, gallertartiger, (ronidien enthaltender
425
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
426
oo
Kügelchen. Die in die farblose Gallerte der Kügel-
chen eingeschlossenen Gonidien bildeten kleine Con-
volute, so dass diese Gebilde sich in Nichts von sehr
jungen Nostoc unterschieden; einige von ihnen waren
dagegen von grünen Zellen so angefüllt, dass die rei-
henweise Anordnung der letzten nicht mehr zu be-
merken war. Bei weiterem Auswachsen trat aber auch
bei letzteren durch Vermehrung der Gallertmasse und
das Auseinanderrollen der Gonidienreihen ihre ketten-
weise Anordnung unzweifelhaft hervor und es waren
auf diese Weise typische Nostoc-Formen entstanden.
— Die Bildung von Nostoc aus den Schnitten des
Collema - Thallus beobachtete ich unmittelbar. Diese
Bildung kam in zweifacher Weise zu Stande.
Auf den Seitenflichen des Schnittes (der Ober- und
Unterseite des Thallus entsprechend), wo die Gonidien
besonders reichlich sind, bildeten sich kleine aus ganz
farbloser und durchsichtiger Gallerte bestehende War-
zen, die sich ein wenig vergrüsserten, manchmal aber
bis zu einer beträchtlichen Grüsse heranwuchsen und
fast Kugelform annahmen, ohne eine einzige grüne
Zelle in der wasserhellen Gallerte noch zu enthalten.
Gewühnlich traten aber viel früher Gonidienreihen aus
dem darunterliegenden Theile des Schnittes in die gal-
lertartige Ausstülpung em; somit war ein junges Nos-
toc-Kügelchen fertig. Einige Male aber, obgleich sel-
tener, traten in die gallertartige Ausstülpung auch
Hyphen ein, in welchem Falle die letztere, alle Ele-
mente einer Collema besitzend, zu einer wahren Col-
lema-Sprosse sich entwickelte. Ich konnte jedoch nicht
die Bedingungen, bei denen diese oder jene Bildung
Statt hat, genau bestimmen. Doch scheint mir dieses
von der Lichtmenge in hohem Grade abhängig zu sein,
da binnen zwei oder drei regnigten Wochen, bei be-
ständig finsterem (und kaltem) Wetter, ich Nostoc sich
nur spärlich entwickeln sah und fast immer die gal-
lertartigen Ausstülpungen von Hyphen durchwuchert
wurden. — Die auf oben beschriebene Weise gebilde-
ten Nostoc-Kügelchen fuhren jetzt fort sich zu ver-
grüssern; der Zusammenhang mit dem Gewebe des
Schnittes wurde allmählich so aufgelockert, dass bald
schon ein leises Schieben des Deckgläschens genügte,
um sie vom Schnitte zu trennen. Sie erschienen dann
als regelmässige und scharf begränzte Kugeln. Da sie
gewôühulich in grosser Menge sich ausbildeten und die
Oberfläche der Schnitte fast gänzlich verdeckten, war
ich bis jetzt noch nicht im Stande, die Art und Weise
der Lostrennung zu ermitteln.
Die andere Art, wie sich die Nostoc-Kugeln aus
den Schnitten des Collema-Thallus auf meinen Aus-
saaten bildeten, ist in der Hinsicht interessanter, dass
sie eine analoge Erscheinung, entsprechend dem Frei-
werden der Gonidien aus dem thallodischen Gewebe
der heteromeren Flechten, vorstellt. — Ich habe schon
oben erwähnt, dass kurze Zeit nach der Aussaat die
Schnitte, wegen der grossen Masse zusammengedräng-
ter Gonidialzellen, deren reihenweise Anordnung auf
dickeren Stellen des Schnittes jetzt kaum zu bemer-
ken war, dunkelgrün und fast ganz undurchsichtig
wurden. Auf minder dicken Stellen aber sieht man
deutlich, dass die Gonidien nicht mehr, wie früher,
nur wenig gekrümmte, langgezogene Reïhen, sondern
ziemlich gedrängte Convolute bilden, deren Durch-
messer um vieles kürzer als die frühere Länge der
Gonidialschnüre sich zeigt, wovon man auf eine wirk-
liche Ortsveränderung der Gonidien in der gallertigen
Masse schliessen muss. — Die Hyphen bleiben aus die-
sen Convoluten immer ausgeschlossen. Mit der Zeit
besteht die ganze Masse des Schnittes aus solchen
Gonidienconvoluten, die getrennt von einander in der
Gallerte eingebettet liegen. Durch die intensiv grüne
Farbe der zusammengedrängten (Gonidien wird das
Präparat (an dickeren Stellen) ganz undurchsichtig.
Die einzelnen Gonidienconvolute bekommen nach und
nach ganz bestimmte Umrisse, indem sie sich der Ku-
gelform nähern und zuletzt als isolirte, mit Gonidien-
ketten erfüllte Gallertkugeln auftreten. Leider konnte
ich pur dabei die anatomischen Verhältnisse der Er-
scheinung und besonders das Auftreten der scharfen
Umrisse der die Gonidienconvolute einschliessenden
Gallerte nicht genau verfolgen. — Auf diese Weise
zerfällt der Schnitt in seiner ganzen Masse in kleine
Nostoc-Kügelchen. Die Hyphen dagegen gehen all-
mählich in Verwesung über und verschwinden endlich
vollständig. Der Schnitt des Collema - Thallus stellt
sich jetzt als ein Haufen von kleinen Nostocen dar,
wo nichts mehr an eine Collema erinnert. Diese Kü-
gelchen lassen sich leicht durch einen leisen Druck
des Deckgläschens von einander isoliren. — Die auf
diese Weise entstandenen Nostoc-Kügelchen wachsen
jetzt fort und vergrüssern noch bedeutend ihren Um-
fang. Die Bodenstücke, die ich vor einem Monate mit
A27
Schnitten aus dem Collema-Thallus belegte, erschie-
nen jetzt auf diese Weise an den entsprechenden Stel-
len von kleinen dichtgedrängten Nostoc bedeckt.
Auf einer Aussaat habe ich gesehen, dass die Go-
nidienschnüre sich mit der sie umgebenden Gallerte
isolirten, ehe sie sich zu Knäueln zusammenzogen
und auf diese Weise lange, gekrümmte, oft auch viels
fach geschlängelte Schläuche mit einer Reihe Goni-
dienzellen im Innern bildeten. Solche Schläuche wa-
ren denjenigen, die ich im frischen Collemathallus
gesehen (und oben beschrieben) äusserst ähnlich. Da-
zwischen waren auch die in beschriebener Weise ge-
bildeten Nostoc-Kügelchen vorhanden. Obgleich es mir
nicht gelungen ist, die weitere Entwickelung der
Schläuche zu verfolgen, so scheint es mir doch, einer-
seits der Âhnlichkeit dieser Schläuche mit den von
Thuret (1 c.) als Vermehrungsorgane des Nostoc
vesicarium beschriebenen Bildungen und andererseits
der gleichzeitigen Entwickelung der vollkommenen
Nostoc-Kügelchen wegen, fast unzweifelhaft, dass die
Schläuche später die Kugelform annehmen und somit
zu vollständigen Nostoc werden.
Ich habe fünf Aussaaten der Collemaschnitte in
angegebener Weise nach einander angestellt und auf
allen ganz dieselben Resultate erhalten, obgleich
nicht auf allen die Entwickelung des Nostoc gleich
üppig war. Zumal muss ich bemerken, dass die
Schnitte, welche sich bewurzelten, nicht der oben
beschriebenen Metamorphose unterlagen und nur in
echte Collemaläppchen aussprossten. Die Zeit, die
zur Verwandlung der auf den Boden gelegten Col-
lemaschnitte in Nostoc-Kugeln nôthig ist, ist, so viel
ich bemerken konnte, von der Lichtmenge und viel-
leicht auch von der Wärme in hohem Grade abhän-
gig. Beim Anfange meiner Arbeit (im Juni) war das
Wetter heiter und warm und die zu dieser Zeit an-
gestellten Aussaaten gelangten viel rascher zur Ent-
wickelung als alle späteren, bei regnigtem und trü-
bem Wetter, gemachten Aussaaten.
Zum Schlusse muss ich doch zugeben, dass nicht
alle auf die beschriebene Weise aus Collemaschnitten
erhaltenen Nostoc-Kugeln identisch waren. Viele von
ihnen zeigten, besonders in späterem Alter, grosse,
lebhaft grüne Gonidialzellen, deren Reihen durch
typische Interstitialzellen unterbrochen wurden; sie
Bulletin de l’Académie Empériale
42S
wuchsen rasch, waren schon unter der Loupe durch
ihre Grüsse und Farbe zu unterscheiden, indem einige
von ihnen auf meinen Aussaaten fast die Grüsse eines
Stecknadelkôüpfchens erreichten. Solche Exemplare
stellten ganz normal entwickelte Individuen des Nostoc
vesicarium DC. dar. Auf einer Aussaat (vom 12.Juni),
wo bei günstiger Witterung die Entwickelung üppig
war, Zerfielen sämmtliche Schnitte ir so normal aus-
gebildete Nostoc-Kugeln. Auf anderen Aussaaten aber
erreichten bei weitem nicht alle Nostoc-Kugeln eine
so üppige Entwickelung. Sehr viele zeigten nämlich
ebenfalls die in geschlängelte Reihen geordneten,
aber kleine und etwas bräunliche Gonidien Ÿ). Inter-
stitienzellen konnte ich hier nicht deutlich unterschei-
den. Solche Exemplare nahmen verhältnissmässig nur
wenig an Grôsse zu und blieben darum immer viel
kleiner als die vorherbeschriebenen. Sie sind daher
als ein verkümmerter Zustand von Nostoc vesicarium
zu deuten, da sie neben diesen aus einem und dem-
selben Schnitte sich hervorbilden.
Peltigera canina Hffm.
Gleichzeitig mit den oben beschriebenen Versu-
chen mit Collema pulposum, habe ich parallele mit
Peitigera canina Hffm. angestellt. Mittelst eines Ra-
sirmessers schabte ich kleine Stücke der Oberseite
des Thallus einer kräftig vegetirenden Peltigera ab,
die ich auf Erde übertrug und die Aussaaten in früher
angegebener Weise in feuchter Luft kultivirte.
Im Peltigera-Thallus sind die Gonidien, wie be-
kannt, gruppenweise angeordnet und jede Gruppe vom
Schleime umgeben, welcher nach aussen scharf con-
tourirt erscheint. In Gruppen, die nur aus wenigen
Gonidien bestehen (Fig. 1,2) liegen die letzteren ge-
wôhnlich vereinzelt; in zusammengesetzteren erschei-
nen sie dagegen reihenweise angeordnet (Fig. 3, 4, 5b),
wobei, bei weiterer Entwickelung, die Gonidialreïhen
stärker in die Länge wachsend als der sie einschlies-
sende schleimige Sack, in seinem Innern sich auf ver-
schiedene Weise krümmen (Fig. 5b). In grüsseren
18) Die Benennung Gonidie, Gonidialzelle war für die grü-
nen Zellen eines Nostoc, Polycoccus u. dg]. bis jetzt nicht gebräuch-
lich. Jetzt aber, da die Identität dieser Zellen-mit gleichbenannten
Zellen des Flechten-Thallus sich erwiesen hat, scheint mir dieser
Ausdruck passend zu sein.
429
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
430
ë.
_b €
> = æ
OS ( g & ne
AD OR) œ
Go “
Schleimmassen findet man mehrere Gonidienschnüre.
Jedes Gonidienconvolut liegt dann gewühnlich in einer
besonderen Ausbuchtung der allgemeinen Gallertmasse
(Fig.4,5b). Wenn man ein solches Gebilde vorsich-
tig zerdrückt, um die Gonidien frei von der sie um-
gebenden Gallerte zu bekommen, so überzeugt man
sich, dass sie wirklich zusammenhängende Reïhen bil-
den, wobei sie bald alle ziemlich rund und von glei-
cher Grüsse, bald aber unter einander ungleich und
von unregelmässiger eckiger Form (Fig. 5c) sind.
Als ich jetzt die aufeinanderfolgenden Veränderun- |
gen an den auf Boden gelegten Stückchen der Pelti-
. gera verfolgte, fand ich Folgendes:
In den ersten Tagen waren die Gonidien ihrer Form
nach noch unverändert geblieben, dabei aber dunkel-
grün geworden, und zeigten so eine Veränderung, die
auch an den Collema-Gonidien in analogen Umständen
immer auftrat. Bald darauf wurden die Gonidien-
Gruppen immer undurcbsichtiger, indem die Gonidien
sich lebhaft vermehrten und so zablreich wurden,
dass sie die ganze sie umgebende Gallerte jetzt dicht
ausfüllten. Auch zu dieser Zeit befinden sich die Go-
nidien reihenweise angeordnet. Durch das Zerdrücken
des Präparats kann man sich auch hier davon unmit-
telbar überzeugen; sie sind jetzt aber ein wenig klei-
ner als im Peltigera -Thallus selbst, fast immer schon
von regelmässiger runder Form und häufig in Zwei-
theilung begrifien (Fig. 6d), weshalb man sie jetzt
leicht in viel lingeren Ketten erhält (Fig. 6 c), als es
aus dem unveränderten Peltigera-Thallus 1mmer ge-
schieht. Wenn man z. B. Fig.5b mit Fig.6a ver-
gleicht, ersieht man, dass die Formveränderung nur
auf dem Theilungsprocesse der Gonidien beruhen
kann. Die in Fig. 5b noch wenigzelligen und in beson-
deren Ausbuchtungen der allgemeinen Gallertmasse
isolirten Gonidienconvolute sind in Fig. 6 a durch reich-
liche Vermebhrung der Gonidien in dichtgedrängte,
vergrüsserte Gouidienknäuel umgewandelt, welche
ebenso isolirt in der von aussen scharf umschriebe-
nen Gallerte liegen, sich aber dabei schon mehr der
Kugelform annähern. Nach und nach wachsen sie zu
vollkommenen Kugeln heran und isoliren sich voll-
stindig, indem zwischen einzelnen Gonidienknäueln
in der allgemeinen Gallertmasse scharfe Gränzen auf-
treten (Fig. 7 rechts).
Indem die Gonidien diese Veränderung eingchen,
wird das farblose Gewebe der Rindenschicht und des
stellenweise anhängenden Markgeflechts bräunlich und
geht allmählich in Verwesung über. Dasselbe wird zu-
letzt in eine formlose, braune Masse verwandelt, die
| noch häufig hie und da auf der Oberfläche der Goni-
| dien-Kugel haftet (Fig. 64,7), später aber vollständig
| verschwindet.
Die ganz entwickelten Kugeln zeigen, bei grüssten-
theils sehr regelmässiger Form, eine scharfumschrie-
bene, vollkommen durchsichtige Gallerthülle, in wel-
cher die Gonidienmasse eingeschlossen ist. Wenn man
eine erwachsene Kugel mit dem Deckgläschen unter
dem Mikroskope zerdrückt, reisst die Gallerthülle auf
und die hervortretenden Gronidien stellen jetzt sehr
lange, perlschnurartige Reihen dar, und sind dadurch
den Gonidialschnüren einer Collema oder Nostoc äus-
serst ähnlich; nur fehlen ihnen immer die Intersti-
tialzellen (Fig. 8). Die erwachsenen Kugeln betrugen
g L Mill. im Durchmesser. Ihr weiteres Schick-
la0 2 (7
sal habe ich noch nicht verfolgt.
431
Bulletin de l’Académie Hmpériale
432
———————————_—_—__—_—…—"—"—"—…———"—"—"—"—"—"——…—…———
Vor kurzer Zeit haben wir mit Prof. Famintzin
ganz dieselben Kugeln, die ich aus Peltigera canina
bekommen habe, schon fertig in der Natur am Boden
in einem feuchten Walde bei Petersburg gefunden.
Dieser Zustand der Peltigera-Gonidien wurde bisher
als eine Algenform, nämlich als Polycoccus punctifor-
mis Kütz., beschrieben. Die reihenweise Anordnung
der Gonidien findet sich aber von keinem der frühe-
ren Beobachter erwähnt, was wobl dadurch sich jetzt
erklären lässt, dass simmtliche in diesen Kugeln ein-
geschlossenen Gronidien sich mit der Zeit von einan-
der lostrennen und die Gonidialketten schon durch
einen leisen Druck in vereinzelte Zellen verfallen.
Kützing’s Abbildung (Tab. phycol. Band I. Taf. 10)
zeigt jedoch, dass er die reihenweise Anordnung
der die Kugeln ausfüllenden Zellen, nachdem sie da-
raus ausgedrückt wurden gesehen hat, wenn er auch
nicht genug Aufmerksamkeit diesem Gegenstande
schenkte.
Aus dem Mitgetheilten also, wie aus unserer citir-
ten, mit Prof. Famintzin herausgegebenen Arbeit,
scheinen folgende Thatsachen festgestellt werden zu
künnen:
a) Die Gonidien der heteromeren chlorophyllhaltigen
Flechten (Physcia, Evernia, Cladonia), so wie der
heteromeren phycochromhaltigen (Peltigera) und
der Gallertflechten (Collema) sind eines ganz selbst-
ständigen Lebens ausserhalb des Flechten-Thallus
fähig.
b) Mit dem Freiwerden scheinen die Flechtengoni-
dien ihren Lebenscyclus zu erweitern; so bilden
die frei vegetirenden Gonidien der Physcia, Ever-
nia, Cladonia Zoosporen; auch fand ich einstwei-
len, dass sämmtliche Zellen der aus Peltigera-
Gonidien gebildeten Kugeln sich später auf die
Weise verändern, dass sie den Interstitialzellen
eines Nostoc äusserst ähnlich werden und ich
zweifle nicht, dass sie in diesem Stadium Dauer-
zellen vorstellen.
c) Enige, vielleicht auch viele von den bisher äls
Algen beschriebenen Formen sind als selbststän-
dig vegetirende Flechten-Gonidien zu betrachten;
so einstweilen die Formen Cystococeus, Polycoccus
und Nostoc.
St. Petersburg, im November 1867.
Über die Wirkung des Lichtes auf einige hôhere
Kryptogamen, von J. Borodin. (Lu le 28 no-
vembre 1867.)
(Mit einer Tafel.)
[, Die Wirkung des Lichtes auf die Keimung der Farrnsporen,
Alle Untersuchungen über die äusseren Bedingun-
gen des Keimungsprozesses wurden bis jetzt aus-
schliesslich an Phanerogamen-Samen ausgeführt. Die
dabei erhaltenen Resultate übertrug man zuweilen,
ohne weitere Prüfung, auch auf die Sporen der Kryp-
togamen. Dies wird sogleich ersichtlich, wenn man
die verschiedenen, in der botanischen Litteratur vor-
handenen Beschreibungen der Keimung der Farrn-
sporen durchmustert. Obgleich dieser Gegenstand
schon vielfach untersucht wurde (so namentlich
von Kaulfuss'}, Leszezyc-Suminski”), Thuret°),
Mercklin‘), Wigand*), Hofmeister®), findet man
über die Keimungsbedingungen in den einschlägigen
Werken fast gar nichts. Alle Forscher wenden ihr Au-
genmerk hauptsächlich auf die morphologische Seite
des Vorganges und scheinen als selbstverständlich an-
zunehmen, dass die Keimung der Farrnsporen durch
dieselben Umstände, welche Keimung an Samen von
Phanerogamen bedingen, hervorgerufen wird. Für
diese, von Mercklin”) klar ausgesprochene Vermu-
thung scheint die leicht zu beobachtende und daher
von allen Forschern erwähnte Thatsache, dass Feuch-
tigkeit und eine gewisse Temperatur zur Entwicke-
lung des Prothalliums aus der Spore nothwendig sind,
zu sprechen. Die vermuthete Identität des Keimungs-
prozesses der Sporen und Samen wurde aber nie in
einer anderen sehr wichtigen Hinsicht geprüft. Ist
diese Identität wirklich vorhanden, so müssen die
Sporen auch in der Dunkelheit keimen und dabei
etiolirte Prothallien erzeugen.
Da in den meisten Farrnsporen in reichlicher Menge
fettes Ül angetroffen wird, da das letztere bei der
1) Kaulfuss. Das Wesen der Farrnkräuter, 1827, S. 59 u. ff.
2) Leszezyc-Suminski. Zur Entwickelungsgeschichte der
Farrnkräuter. 1848, $. 8.
3) Thuret. Note sur les anthéridies des fougères. Ann. d. sc.
natur. 3 Série. T. XI.
4) Mercklin, Beobachtungen an dem Prothallium der Farrn-
kräuter. 1850. S. 5 u. ff.
5) Wigand. Botanische Untersuchungen. 1854. S. 34.
6) Hofmeister. Vergleichende Untersuchungen. 1851. S. 78
morte
7) 1. c. S. 5.
433
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
434
0
Keimung allmählich verschwindet*), und somit dem
in ôlhaltigen Samen vorhandenen Reservestoff sich
ganz äbhnlich verhält, so schien es vüllig gerechtfer-
tigt zu erwarten, dass auch bei Abschluss des Lichtes
an den Farrnsporen eine, wenn auch nicht normale
Keimung erzielt werden künne. Eine genaue Untersu-
chung führte aber zu entgegengesetzten Resultaten.
Sehr einfache und leicht zu wiederholende Versuche
ergaben, dass die Sporen in der Dunkelheit gar nicht
keimen. Ehe ich aber diese Versuche anführe, will
ich einige Worte über die dabei angewendete Me-
thode vorausschicken. Meistens säete ich die Sporen
auf Wasser aus. Diese, zur Beobachtung der Keiï-
mung und der ersten Entwickelung der Vorkeime
überaus günstige Methode wurde schon von Kaul-
fuss bei seinen ausgezeichneten Untersuchungen über
die Entwickelungsgeschichte der Pteris serrulata an-
gewendet. Er erzog die Prothallien «auf Baumwolle,
auf Glastäfelchen und auf Wasser, worin todte Pflan-
zentheile gelegt waren» ”). Da bei vergleichenden Aus-
saaten auf destillirtem Wasser und auf Wasser, dem
Erde beigefügt wurde, kein merkbarer Unterschied
weder in der Keimungszeit, noch in der ersten Entwi-
ckelung der Vorkeime sich ergab, so wendete ich im-
mer Newa- Wasser an. Jetzt gehe ich zur Beschrei-
bung der Versuche über.
Erster Versuch.
Am 928. März wurden in zwei gleichen Gefässen
Sporen von Aspidium spinulosum Sw. var. foenisecii
auf Wasser ausgesäet. Das eine Gefäss versetzte ich
in die Dunkelheit, das andere blieb am Tageslichte
stehen. Am 15. April hatten sämmtliche dem Lichte
ausgesetzte Sporen gekeimt, während die in die Dun-
kelheit gebrachten keinerlei Veränderungen darboten.
Um weiter zu erfahren, ob die in der Dunkelheïit aus-
gesäeten Sporen überhaupt keimfähig waren, wurde
ein Theil davon in einer kleinen mit Wasser ange-
füllten Porzellanschale dem Tageslichte ausgesetzt.
Schon nach 9 Tagen beobachtete man an ihnen eine
vüllig normale Keimung, während die in der Dunkel-
heit gelassenen Sporen keine Spur davon zeigten. Zu
8) Vergl. Sachs. Über die Stoffe u.s. w. in Pringsheim’s Jahr-
büchern. Bd. III. S. 190.
9) Kaulfuss, 1, c. S. 60.
Tome XII.
demselben Resultate führte eine gleichzeitig mit der
vorigen auf feuchtem Sande unternommene Aussaat,
Zweiter Versuch.
Am 15. Juni säete ich Sporen von Aneimia Phylli-
tides SW. var. longifolia Raddi theils am Lichte, theils
in der Dunkelheit aus. Eine Woche später hatten sie
am Tageslichte gekeimt, in der Dunkelheit dagegen
waren sämmtliche Sporen ganz unverändert geblieben.
Sinen Theil der letzteren versetzte ich dann ins Ta-
geslicht; nach einer Woche schon hatten sie alle ge-
keimt. Am 4. Juli waren schon viele der in der Dun-
kelheit gebliebenen Sporen in Verwesung begriffen,
und als ich sie dann sämmtlich der Wirkung des
Lichtes aussetzte, waren nur wenige noch keimungs-
fäbig, während alle übrigen auch im Lichte zu Grunde
gingen.
Âhnliche Versuche mit Sporen von A/losorus sa-
gittatus, Aspidium molle, Polypodium repens, Phegopte-
ris effusa, Asplenium alatum, Asplenium sp? und 4s-
plenium (Diplazium) lasiopteris führten sämmtlich zu
demselben Resultate.
Somit hat es sich erwiesen, dass die Anwesenheit
des Lichtes eine der nothwendigsten Bedingungen für
die Keimung der Farrnsporen ist. In der Dunkelheit
kommt sogar das Platzen der Exine nicht zu Stande.
Daraus geht deutlich hervor, dass dieser Prozess kei-
neswegs einer blossen Aufsaugung von Wasser zuge-
schrieben werden kann, obgleich dies mehrmals be-
hauptet wurde "”).
Eigentlich findet man schon bei Leszezyc-Suminski
unter anderen der Keimung der Sporen günstigen
Umständen auch das Licht angeführt:; es wird aber
nirgends davon als einer unumgänglichen Bedingung
erwähnt; er drückt sich darüber !') bloss folgender-
maassen aus: «Nur langsam wird bei der Aussaat der
Spore die schlummernde Lebenskraft durch Einwir-
kung der Feuchtigkeit, der Wärme, des Lichtes und
anderer der Lebensthätigkeit günstigen Umstände ge-
weckt». Ebensowenig scheint auch Wigand den Ein-
fluss des Lichtes auf die Keimung richtig gewürdigt
zu haben. In seiner zweiten Abhandlung, die Entwi-
ckelungsgeschichte der Farrnkräuter betreflend, führt
10) Vergl. z. B. Mercklin, 1. ec. S. 6 und Durchartre, Élé-
ments de Botanique. 1867. S. 891.
11) L. c. S. 8.
28
435
er *) nach der Beschreibung des negativen Heliotro-
pismus der Prothallien folgende Bemerkung an: «Ein
anderer Versuch, den Einfluss des Lichtes auf die
Richtung des Vorkeims zu bestimmen, indem einmal
der Zutritt ausschliesslich auf einen durchsichtigen
dem Fenster zugekehrten Streifen eines den Keimbo-
den bedeckenden, übrigens vollkommen verdunkelten
Trinkglases beschränkt, und das andere Mal durch
ein ringsum verklebtes, nur oben durchsichtig gelas-
senes Glas jeder einseitige Lichteinfluss abgehalten
wurde, war wiederholt ohne Erfolg, indem die Kei-
mung wabrscheinlich durch den mangelhaften Zutritt
der Luft verhindert wurde». Ich glaube aber, dass
die wahre Ursache des Misslingens dieses Versuches
in dem mangelbaften Zutritt des Lichtes und nicht
der Luft zu suchen ist, weil die Farrnsporen zur Kei-
mung bloss eine sehr geringe Luftmenge erfordern.
Die Sporen der Aneimia Phyllitides keimen selbst un-
ter Wasser ‘).
Um die Frage, welche Lichtstrahlen die Keimung
hervorrufen, zu lüsen, ersetzte ich das Tageslicht
durch das Lampenlicht mittelst der Laterne des Hrn.
Prof. Famintzin'*) und führte damit folgende Ver-
suche aus.
Erster Versuch.
Am 26. April wurden die Sporen von Aspidium
spinulosum in vier gleiche Gefässe auf Wasser ausge-
säet. Das eine brachte ich unter das volle Lampen-
12) lc. S. 36.
13) Die Vorkeime entwickeln sich im Wasser auf eine schr ei-
genthümliche Weise. Sie theilen sich ausschliesslich durch Quer-
wände und wachsen daher ausserordentlich in die Länge. So be-
merkte ich z. B. bei einer am 15. Juni in einem grossen Wasserge-
fässe ausgeführten Aussaat schon am 1. Juli bei den auf der Ober-
fläche des Wassers vegetirenden Prothallien ein Flächenwachsthum,
wäbrend die unter Wasser gekeimten noch am 15. September sich
als sehr lange, fadenformige und bleiche Gebilde vom Boden des
Gefässes erhoben und dem Ansehen nach eher KFadenalgen als
Farrnprothallien glichen. Sie zeigten alle deutlichen negativen He-
liotropismus: alle waren vom Fenster abgewendet. Die mikrosko-
pische Untersuchung zeigte, dass diese Prothallien bloss aus einer
Zellenreihe, die an einem Ende noch mit der Spore zusammenhing,
bestanden. Die sehr langen, confervenartigen Zellen, deren ich
über 20 in einem Faden zählte, enthielten einen runden Zellkern
und ziemlich kleine Chlorophyllkürner. Die Ansammlung des Chlo-
rophylls in der Scheitelzelle liess auf ein noch immer stattfindendes
Scheitelwachsthum schliessen. Und wirklich konnte man am 29, Oc-
tober schon über 40 Zellen in einem fadenfürmigen Vorkeime zäh-
len, meistentheils waren sie aber fast ganz inhaltsleer.
14) Die Beschreibung des Apparats findet man bei Famintzin,
in den Mém. de l'Acad. Impér. de St.-Pétersbourg. T. VIIL. 15,
S. 13 und in Pringsheim?’s Jahrbüchern, Bd. VI. S. 32.
Bulletin de l’Académie Empériale
436
licht, das andere unter das Licht, das seiner meisten
Wärmestrahlen (durch Eïinschaltung eines mit Was-
ser gefüllten Glasgefässes) beraubt war. In den zwei
anderen Gefäissen wurden die Sporen der Wirkung
des Lichtes, das einerseits durch eine Lüsung von
saurem chromsaurem Kali, andererseits durch eine
Lüsung von Kupferoxydammoniak hindurchgegangen
war, ausgesetzt. Endlich wurde zur Controlle eine
Aussaat am Tageslichte gemacht. Bei diesem Ver-
suche zeigte sich sehr deutlich auch der Einfluss der
Temperatur. Am frühesten fand die Keimung im vol-
len Lampenlichte, das seiner Wärmestrahlen nicht be-
raubt war, statt: am 9. Mai konnte man hier schon
2—3-zellige Prothallien bemerken. Erst am 15. Mai
keimten die Sporen am Tageslichte, im vollen Lam-
penlichte, dessen Wärmestrahlen durch das Wasser
abgehalten wurden, sowie in dem gelben. Im blauen
Lichte war selbst am 19. Mai keine Keimung zu beob-
achten. An demselben Tage brachte ich unter das
blaue Licht neue Sporen, die 4 Tage vorher in der
Dunkelheit ausgesäet waren. Obgleich diese Sporen
bis zum 1.Juni im blauen Lichte und dann bis zum
15. Juni in der Dunkelheit verweilten, keimten sie
nicht; als sie aber dann dem Tageslichte ausgesetzt
wurden, zeigten sie schon eine Woche später eine
normale Keimung.
Zweiter Versuch.
Am 9.Juli wurden Sporen von Aneimia Phylliti-
des und AUosorus sagittalus zusammen in zwei kleinen
Schalen auf Wasser ausgesäet. Die eine setzte ich
dem gelben, die andere dem blauen Lampenlichte aus.
Nach 9 Tagen hatten im gelben Lichte säimmtliche
Sporen, sowohl die von Allosorus, als auch die von
Aneimia gekeimt: die Vorkeime bestanden aus 1—2
sehr langen Zellen. Im blauen Lichte zeigten die Spo-
ren keine Veränderungen, als aber an die Stelle des
Gefässes mit Kupferoxydammoniak ein Gefäss mit Was-
ser gesetzt wurde, keimten sie 6 Tage später sämmt-
lich.
Obgleich diese Versuche nicht eben zahlreich sind,
zeigen sie deutlich genug, dass die Keimung aus-
schliesslich durch die minder brechbaren Strahlen des
Spectrums hervorgerufen wird. Die Strahlen hüherer
Brechbarkeit scheinen sich dabei wie Dunkelheit zu
verhalten; jedenfalls ist ihre Wirkung viel schwächer.
437
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
438
Was die Ursache der Nothwendigkeit des Lichtes
für die Keimung der Farrnsporen betrifft, so scheint
es am einfachsten, das Unterbleiben der Keimung in
der Dunkelheit mit dem Umstande zu verbinden, dass
bei diesen Bedingungen das Chlorophyll nicht erzeugt
werden kann. Nach einer reiferen Überlegung erweist
sich aber diese Erklärung als hôchst unwahrschein-
lich®), denn in der Dunkelheit findet, wie erwähnt,
selbst das Platzen der Exine nicht statt, bei der Kei-
mung geht aber dieser Prozess stets der Chlorophyll-
bildung voran; durch frühzeitige Verdunkelung der
am Lichte keimenden Sporen von Allosorus sagittatus
kann man eine, obwohl schwache und, wie ich bald
zeigen werde, nicht normale Weiterentwickelung her-
vorrufen und kleine, gänzlich chlorophyllfreie Vor-
keime erhalten. Wahrscheinlich wird die Keimung
durch einen vom Lichte abhängigen chemischen Pro-
zess hervorgerufen. Da nun bei der Keimung ohne
Zweifel die wichtigsten Veränderungen in den Reser-
vestoffen zu erwarten sind, so suchte ich zu erfor-
schen, worin das in den Sporen massenhaft vorhan-
dene ÔI bei der Entwickelung der ersten Zelle des
Prothalliums übergehe. In dieser Hinsicht kam ich
aber zu keinem positiven Resultate. Einige Beobach-
tungen sprechen dafür, dass auch hier, wie bei der
Keimung ülhaltiger Samen "), das OI in Stärkemehl
übergehe; aber nimmt man selbst diesen Übergang
als Thatsache an, so kommt man nicht um einen
Schritt weiter, denn in den Samen geht dieser Pro-
zess auch in der Dunkelheit vor, ist also vom Lichte
vollig unabhängig.
Somit ist es bis jetzt noch nicht gelungen, die Ur-
sache des Unterbleibens der Keimung in der Dunkel-
heit zu erklären.
Die oben nachgewiesene Abhängigkeit der Kei-
mung der Farrnsporen vom Lichte lässt sich nicht
auf alle Farrne ohne Ausnahme ausdehnen. Die Ophi-
oglosseen keimen, wie bekannt, unterirdisch. Irmisch
und Hofmeister fanden Prothallien von Botrychium
Lunaria 1 bis 3 Zoll unter der Erdoberfläche "), also
15) Am einfachsten wäre es, solche Sporen, die ausser Ü1 noch
Chlorophyll enthalten, wie z. B. diejenigen der Osmunda regalis
(Fischer v. Waldheim, Pringsheim’'s Jahrb. Bd. 1V, $. 374) zu un-
tersuchen. Leider standen mir solche nicht zu Gebote.
16) Sachs I. e. S. 213 u. f.
17) Hofmeister. Reiträge zur Kenntniss der Gefiss-Kryptoga-
men. II. $. 697.
in voller Finsterniss. Andererseits aber ist nicht bei
den Farrnen allein das Licht als ein nothwendiger
Factor der Vorkeimbildung zu betrachten. Versuche,
die ich mit Sporen von Polytrichum commune anstellte,
zeisten, dass auch diese in der Dunkelheit nicht keiï-
men. Hierher scheint weiter auch eine Beobachtung
Unger’s zu gehôren: nach ihm keimen die Vauche-
ria-Sporen nur am Lichte *). Nach Milde *) keimen
die Equisetaceen-Sporen (namentlich die von Æquise-
tum arvense) auch in der Finsterniss; seine Versuche
bedürfen aber, meiner Meinung nach, noch einer wei-
teren Bestätigung.
Anbhangsweise will ich noch folgende Beobachtun-
gen anführen.
Versetzt man eben am Lichte keimende Sporen
von Allosorus sagittatus in die Dunkelheit, so schlägt
die Entwickelung der Prothallien einen sehr eigen-
thümlichen Weg ein. — Schon längst war es bekannt,
dass die Antheridien nicht bloss erst auf der laubar-
tigen Ausbreitung des Vorkeims, sondern oft schon
in seinem jüngsten Zustande, wenn selbiger, noch mit
der Spore zusammenhängend, erst wenige Zellen be-
sitzt, auftreten. So bildet schon Nägeli ”) einen fa-
denfürmigen, bloss aus 6 Zellen bestehenden und 3
Antheridien tragenden Vorkeim von Aspidium auge-
scens Link. ab. Schacht zeichnet *') noch weniger
entwickelte, gleichfalls antheridiumtragende Vor-
keime der Pteris serrulata. Wigand fand dasselbe bei
Blechnum Spicant Sw.”). Bei Allosorus sagittatus kann
man diese Erscheinung künstlich hervorrufen, na
mentlich durch frühzeitige Versetzung der am Lichte
keimenden Sporen in die Dunkelheit. Dabei bleibt die
Entwickelung gewühnlicher vegetativer Zellen bald
stehen, und es bilden sich Antheridien (Fig. 2). Je
früher man daher die keimenden Sporen dem Ein-
flusse des Lichtes entzieht, desto unentwickelter bleibt
der vegctative Theil des Vorkeims. Säet man Sporen
von Allosorus am Lichte auf Wasser aus und über-
18) Unger. Die Pflanze im Moment der Thierwerdung. 1843.
S. 66.
19) Milde. Zur Entwickelungsgeschichte der Equiseten und Rhi-
zocarpeen. Nova-Acta Acad. L. C. T. XXII. p. II.
20) Nägeli. Bewegliche Spiralfaden an Farren. Zeitschr. f. wiss.
Bot. Heft I, Taf. IV, fig. 2.
21) Schacht. Beitrag zur Entwickelungsgeschichte der Farrn-
kräuter. Linnaea, 1849. Taf. V, Fig. 1 u. 2.
22) 1. CS. 42,
28*
439
trägt sie 5—6 Tage *) später in die Dunkelheit, so
bleibt der meiste Theïl davon ungekeimt. Diejenigen
Sporen aber, deren Exine am Lichte schon zerplatzt
war, entwickeln einzellige, 1—3 Antheridien tragende
Vorkeime. Die vegetative Zelle solcher Vorkeime
bildet die ausgewachsene Sporenzelle selbst. Ihr In-
halt besteht hauptsächlich aus bei der Keimung nicht
verwendetem Ül, das als grüssere und kleinere Trop-
fen im Zellsaft suspendirt erscheint. Ausserdem fin-
det man oft sehr deutliche Amylumkôrnchen. Da nun
in dem ganzen Vorkeime keine Spur von Chlorophyll
zu finden ist, da in den Sporen von Allosorus, sowie
in denjenigen aller von mir untersuchten Farrnspe-
cies, nie Stärke angetroffen wird, so scheint es nicht
übereilt, aus dem gleichzeitigen Vorkommen von Ül
und Stärke in ein und derselben Zelle auf eine Bil-
dung der letzteren aus dem ersteren zu schliessen.
Solche Vorkeime sind zur Untersuchung des Antheri-
dienbaues sehr geeignet. So ist es leicht, an leeren
Antheridien sich von der Richtigkeit der Schacht-
Hofmeister’schen Ansicht über die Structur der
Wand, zu überzeugen; oft sieht man die radialen
Scheidewände mit grüsster Deutlichkeit (Fig. 3). In
der Dunkelheit üffnen sich diese Antheridien sebr
lange nicht: entleert man sie aber künstlich durch
einen mässigen auf das Deckglas ausgeübten Druck,
so entlassen sie rundliche Spiralfadenzellen, aus denen
sich alsbald normal entwickelte und bewegliche Sper-
matozoiden frei machen.
Obgleich die vegetative Zelle der beschriebenen
Vorkeime oft drei Antheridien trägt, ist sie dennoch
einer Weiterentwickelung fähig, dazu müssen aber die
Vorkeime dem Lichte ausgesetzt werden. Dann treibt
die vegetative Zelle, oder eine der vegetativen Zellen,
falls ihrer mehrere vorhanden sind, einen seitlichen
Auswuchs, der sich bald durch eine an seiner Basis
auftretende Scheidewand von seiner Mutterzelle ab-
gliedert und somit in eine selbstständige Zelle ver-
wandelt wird. Diese verhält sich der gewühnlichen
Scheitelzelle des jungen Vorkeims ganz äbnlich:
sie theilt sich zunächst durch Querwände, später
23) Es ist zu bemerken, dass der Zeitraum, in dem die Keimung
zu Stande kommt, selbst für dieselben Sporen nach der Jahreszeit
sebr verschieden ausfällt, was wahrscheinlich hauptsächlich der
verschiedenen Lichtintensität zuzuschreiben ist; Sporen, die im
Sommer in 6—7 Tagen keimen, erfordern dafür im Winter oft über
2 Wochen.
Bulletin de l’Académie Ampériale
440
treten auch Längswände auf (Figur 4). Auf diese
Weise entwickeln sich vüllig normale Prothallien,
die von den ununterbrochen am Tageslichte erzoge-
nen bloss dadurch zu unterscheiden sind, dass sie
an ihrem Basaltheïle seitlich einen oder mehrere mei-
stens schon entleerte Antheridien tragen. Bei an-
deren Farrnspecies gelang es mir nicht, durch früh-
zeitiges Übertragen keimender Sporen in die Dunkel-
heit die, soeben für A/losorus beschriebene Antheri-
dienbildung hervorzurufen. Dabei bemerkte man nur
eine bedeutende Streckung der am Lichte gebildeten
vegetativen Zellen, es trat ein- oder zweimal Quer-
theilung auf, eine weitere Entwickelung fand aber nicht
statt. Gewiss findet sich dieses Verhältniss mit dem
Umstande im Zusammenhange, dass bei Allosorus die
Antheridien überhaupt viel früher, als bei den ande-
ren von mir untersuchten Farrnen auftréten. Wenig-
stens kommen die auf Wasser erzogenen Prothallien
von Aneimia Phyllitides und Aspidium spinulosum nie
zur Antheridienbildung, während diejenigen des Alo-
sorus sagittatus bei denselben Bedingungen schon
ziemlich früh Antheridien besitzen. Ihre frühzeitige
Bildung ist dabei so constant, dass sie selbst an unter
fortwährender Beleuchtung durch Lampenlicht erzo-
genen Vorkeimen gleichfalls stattfindet.
Il, Die Wirkung des Lichtes auf die Lage der Chlorophyli-
kürner.
An einem kleinen, aber schon zweilappigen Vor-
keime von Aspidium spinulosum, der unter vollem
Lampenlichte erzogen war und dann etwa zwei Wo-
chen lang in der Dunkelheit verweilte, bemerkte ich,
dass die Chlorophyllkürner sämmtlich die Seitenwände
der Zellen bekleideten, während die obere und untere
Fläche jeder Zelle chlorophyllfrei erschien. Da diese
Vertheilung der unlängst von Hrn. Professor Fa-
mintzin*) an den Mnium-Blättern entdeckten Lage
der Chlorophyllkôürner ganz ähnlich war, so hoffte
ich auch in den Farrnprothallien dieselbe Abhängig-
keit der Lage der Chlorophyllkôürner vom Licht zu
finden. Und wirklich gelang es mir an vielen auf
Wasser erzogenen Vorkeimen von Aspidium spinulo-
sum, sowie auch an denjenigen des Allosorus sagitta-
24) Famintzin. Die Wirkung des Lichtes und der Dunkelheit
auf die Vertheilung der Chlorophyllkôürner in den Blättern von
Maium sp.? Pringsheim’s Jahrb. Bd. VI. S. 50.
441
tus, mehrmals eine vom Licht abhängige Ortsverände-
rung der Chlorophyllkürner zu beobachten. Eine ge-
nauere Uutersuchung ergab für die Vertheilung der
Chlorophyllkürner folgendes Gesetz: In der Dunkel-
heit bekleiden sie bloss diejenigen Zellwände, die an
die Nachbarzellen grenzen; am Lichte dagegen neh-
men sie die freien Zellfläichen ein. Dieses Gesetz, das
sich auch auf die Mnium-Blätter ausdehnen lässt, tritt
an den F'arrnprothallien mit grüsster Deutlichkeit auf.
So nehmen in den Randzellen die Chlorophyllkür-
ner in der Dunkelheit bloss drei Seitenwände ein
(Fig. 5—7), die vierte freie Seitenwand ist gleich
der oberen und unteren Zellfläche chlorophyllfrei.
Sitzt aber auf der Randzelle ein papillenfürmiges Här-
chen, wie es z. B. bei Aspidium spinulosum der Fall
ist (Fig. 7), so findet man die das Härchen von der
Randzelle trennende Scheidewand gleichfalls mit Chlo-
rophyllkürnern besetzt. In den Zellen des fadenfürmi-
gen Theiles junger Alosorus-Vorkeime (Fig. 5) be-
decken die Chlorophyllkôrner bloss die Querscheide-
wände, während die freien cylindrischen Seitenwände
gänzlich frei davon sind. Dort aber, wo ein Wurzelhaar
sitzt, ist seine Basis gleichfalls mit Chlorophylikür-
nern bedeckt *).
Diese nächtliche Lage des Chlorophylls wurde
schon von Mercklin bemerkt und an Vorkeimen von
Pteris vittata und Pteris vespertilionis sebr richtig ab-
gebildet ); da aber damals keine analogen Thatsachen
bekannt waren, so kann es nicht befremden, dass
diese Erscheinung unerklärt blieb. Bringt man einen
Vorkeim, dessen Chlorophyll in der Dunkelheit die
Nachtstellung angenommen hat, an das Licht, so be-
merkt man bald ein Hervorkriechen der Chlorophyll-
kürner auf die freien Zellenflächen und nach einiger
Zeit bedecken sie die letzteren vollständig, während die
Seitenwände frei davon sind. Diese Ortsveränderung der
Chlorophyllkürner findet nicht nur an ganzen Vorkei-
men, sondern auch an einzelnen Stücken derselben statt.
Als das oben erwähnte Aspidium-Prothallium, an dem
ich zum ersten Male die nächtliche Lage des Chloro-
25) Fast alle Forscher beschreiben die Wurzelhaare als freie
Ausstülpungen der Prothallien-Zelleu. Henfrey z. B. sagt von ih-
nen ausdrücklich: «their tubular cavities are freely open into those
of the cells from which they arise». (Transactions of the Lin. Soc.
Vol. XXI. 1855. P. 119). Oft ist aber die Scheidewand an der Basis
des Wurzelhaares sehr deutlich zu sehen.
26) 1. e. Taf. I, Fig. 4, Taf. IN, Fig. 19, Taf. V, Fig. 1.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
442
phylls bemerkte, der Länge nach in zwei Hälften und
eine von diesen abermals in zwei Theile zerschnitten
wurde, konnte ich in allen drei Stücken dieselben
Ortsveränderungen der Chlorophylkürner durch ab-
wechselnde Verdunkelung und Beleuchtung hervor-
rufen, wie an unverletzten Prothallien.
Um die Wirkung farbigen Lichtes zu erforschen,
brachte ich Aspidium- und Allosorus-V'orkeime in die
Dunkelheit, und als ihre Chlorophyllkôrner die Nacht-
stellung eingenommen hatten, wurden die Prothallien
theils dem vollen Lampenlichte, dessen Wärmestrah-
len aber abgehalten waren (in vollem Lampenlichte
starben die Vorkeime der hohen Temperatur wegen
rasch ab), theils dem gelben, theils endlich dem blauen
ausgesetzt. Die dabei erhaltenen Resultate stimmen
mit denen des Hrn. Famintzin vüllig überein. Im blauen
Lichte ging die nächtliche Lage, ebenso wie im vollen
Lampenlichte, in die Tagesstellung über, während sie
im gelben unverändert blieb.
Weiter suchte ich zu erforschen, welche Rolle die
chemischen Strahlen bei diesen Ortsveränderungen
der Chlorophyllkürner spielen. Es wäre wohl môglich,
dass das gelbe Licht sich bloss deshalb der Dunkel-
heit gleich verhalte, weil es keine chemischen Strah-
len enthält. Übrigens macht schon der Umstand, dass
das an chemischen Strahlen sehr arme Kerasin-Lam-
penlicht noch schneller als das Tageslicht die Nacht-
stellung der Chlorophyllkürner zerstôrt, sehr wahr-
scheinlich, dass auch hier, wie bei so vielen anderen
vom Lichte ahhängigen Lebensprozessen der Pflan-
zen, die chemischen Strahlen keine wichtige Rolle
spielen. Um darüber vüllig ins Klare zu kommen,
suchte ich so viel wie müglich die chemischen Strah-
len des vollen oder des blauen Lampenlichtes abzu-
halten. Zu diesem Zwecke benutzte ich die bekannte
Eigenschaft der schwefelsauren Chininlüsung die mei-
sten chemischen Strahlen zu absorbiren. Die Ver-
suche wurden auf folgende Weise ausgeführt. Ich liess
das Lampenlicht einerseits durch Chininlüsung, an-
dererseits durch ein Gefäss mit Wasser hindurchge-
hen. Die Vorkeime befanden sich in kleinen Porzel-
lanschälchen, die mit Glasplättchen bedeckt wurden.
Am Anfange des Versuches bereitete ich photogra-
phisches Papier und brachte ein Stück davon ans Ta-
geslicht um es auf seine Empfndlichkeit zu prüfen.
Das andere Stück wurde auf die die Schale bedeckende
443
Bulletin de l’Académie KHmpériale
#£4
EEE
Glasplatte gelegt; selbst nach 12-stündiger Beleuch-
tung mittelst des durch die Chininlüsung hindurch-
gegangenen Lichtes war nur eine sehr unbedeutende
Schwärzung zu beobachten Mehrmals wiederholte
vergleichende Versuche zeigten, dass die Wirksam-
keit des Lampenlichtes durch die Beraubung seiner
chemischen Strahlen nicht im mindesten geschwächt
wird.
An auf Wasser erzogenen Prothallien gehen die
Ortsveränderungen der Chlorophytikürner überhaupt
ziemlich Jangsam vor sich. So ist wenigstens eine drei-
stündige Beleuchtuug erforderlich, um das Chlorophyll
aus der Nacht- in die Tagesstellung vollständig über-
züuführen. Die umgekehrte Lageveränderung kommt
oft erst nach 24-stündigem Verweilen in der Dunkel-
heit zu Stande. Diese Langsamkeit glaubte ich der
schwachen Lebensthätigkeit der auf Wasser vegeti-
renden Vorkeime zuschreiben zu müssen. Daher suchte
ich meine Beobachtungen an solchen Vorkeimen, die
sich inmôüglichstnormalen Umständenentwickelthatten,
zu wiederholen. Durch Herrn Rosanoff’s Güte er-
hielt ich aus dem hiesigen botanischen Garten eine be-
deutende Menge verschiedener Farrnprothallien. Bald
bemerkte ich an ihnen dieselben Ortsveränderungen
des Chlorophylls, obgleich sie bei weitem nicht in
allen deutlich genug ausgeprägt waren: nicht selten,
besonders in grossen Vorkeimen, fand diese Ortsver-
änderung bloss in dem jüngsten, unter dem tiefen Ein-
schnitte des Prothalliums befindlichen Theile statt; oft
wanderten in der Dunkelheit nicht alle Chlorophyll-
kôürner auf die Seitenwände über.
Ich will hier bloss eine Reiïhe von Versuchen an-
führen, die ich sämmtlich an ein- und demselben, leider
unbestimmten Vorkeime ausführte, wobei es mir ge-
lang, an ihm während 6 Tagen die Lage der Chloro-
phyllkürner 20 Mal zu verändern. In den nächstfol-
genden Zeilen findet man nur einige von diesen Ver-
suchen angeführt.
Am Morgen, den 23. September, zeigte der Vor-
keim überall deutlich ausgeprägte Nachtstellung der
Chlorophyllkürner (vorher verweilte er ctwa drei
Tage lang in der Dunkelheit). Als er in dem Wasser-
tropfen eines Objectglases ohne Deckgläschen dem
vollen Lampenlichte ausgesetzt wurde, hatten nach
drei Stunden sämmtliche Chlorophyllkürner Tages-
stellung angenommen. Dann wurde er auf demselben
Objectglase in die Dunkelheït versetzt, und am folgen-
den Morgen, den 24. September, war die Nachtstellung
wieder hergestellt. Um 4 Uhr Nachmittags wurde der
Vorkeim auf oben beschriebene Weiïse in einer Por-
zellanschale der Wirkung des seiner chemischen Strah-
len beraubten Lampenlichtes ausgesetzt. Nach 2 Stun-
den war das photographische Papier unverändert, wäh-
rend im Vorkeime sich überall Tagesstellung des Chlo-
rophylls vorfand. Nachher verdunkelte ich ïhn noch-
mals, und Mitternachts wurde wieder Nachtstellung
beobachtet. Dieselbe fand ich auch am Morgen, den
25. September, aber am Tageslichte ging sie schnell
in Tagesstellung über. Eine neue Verdunkelung rief
abermals die Nachtstellung hervor, die am 26. Sep-
tember am Tageslichte abermals in die Tagesstellung
überging. Um 4 Uhr Nachmittags versetzte ich den
Vorkeim wieder in die Dunkelheit, und schon um 6 Uhr
waren alle Chorophyllkürner auf den Seitenwänden vor-
handen. Dann wurde der Vorkeim auf dem Mikroskop-
tische durch ein Stearin-Licht beleuchtet: um 77, Ubr
erhielt ich wieder Tagesstellung. An demselben Abende
gelang es nochmals, Nachtstellung, dann wieder Tages-
und wieder Nachtstellung hervorzurufen. Am27.Sept.,
um 6!, Uhr Nachmittags, wurde der Vorkeim auf
dem Mikroskoptische der Wirkung des gelben Lampen-
lichtes ausgesetzt. Selbst am 28. September, um 6%
Uhr Morgens, also nach 12-stündiger Beleuchtung,
war in dem Vorkeime wie früher Nachtstellung der
Chlorophyllkürner zu beobachten. Als aber das gelbe
Lampenlicht mit dem blauen vertauscht wurde, be-
deckten schon nach einer Stunde sämmtliche Chloro-
phyllkürner die freien Zellwände. Um 9 Uhr ver-
tauschte ich das blaue Licht mit dem gelben und nach
3 Stunden hatten die Chlorophyllkürner die Nacht-
stellung angenommen. Dieser Versuch zeigt deutlich,
dass das gelbe Licht sich wirklich gleich der Dunkel-
heit verhält. Abermalige Beleuchtung durch blaues
Licht brachte wieder Tagesstellung hervor.
Die Abhängigkeit der Lage der Chlorophyllkürner
vom Lichte scheint eine, wenigstens unter den Krypto-
gamen, Weit verbreitete Erscheinung zu sein. Sie
kommt, nach meinen Beobachtungen, in den Blättern
vieler Laubmoose vor; in solchen, die, gleich den
Mnium-Blättern, aus grossen parenchymatischen Zellen
zusammengesetzt sind, als auch in aus langen und engen
Zellen bestehenden. Ebenso verhalten sich die Blätter
445
der beblätterten Jungermannieen, namentlich diejeni-
gen von Alicularia scalaris. — Aber nicht bloss in
solchen Pflanzentheilen, die nur aus einer Zellenschicht
bestehen, sondern auch in mehrschichtigen kann diese
Ortsveränderung der Chlorophylkürner statt finden.
Im letzten Falle ist sie aber auf die oberflächlichste
Zellenschicht beschränkt, obgleich die Vertheilung der
Chlorophyllkürner dasselbe Gesetz befolgt: auch hier
bleiben in der Dunkelheit die Aussenwände der Zellen
chlorophylifrei. Dieses Verhältniss wird auch an Farrn-
prothallien, namentlich in dem mehrschichtigen Ge-
webepolster, auf dem später die Arehegonien sich ent-
wickeln, angetroffen. Ganz dasselbe beobachtet man
noch deutlicher in den Brutknospen der Marchantia
polymorpha. Hier ist der Unterschied zwischen der
Nacht- und Tagesstellung des Chlorophylls sehr augen-
fällig; am Lichte sind die freien Aussenwände der ober-
flächlichen Zellen dicht mit Chlorophyllkürnern be-
deckt, während sie in der Dunkelheit vüllig chloro-
phyllfrei erscheinen, und nur die Seitenwände, sowie
auch die innere Wand, sind mit Chlorophyllkôürnern
ausgekleidet, wodurch die Brutknospe bei schwacher
Vergrüsserung ein schaumiges Ansehen erhält. Selbst
an sehr jungen, einschichtigen und noch am Boden des
Knospenbehälters befestigten Brutknospen bemerkt
man oft die Nachtstellung des Chorophylls, obgleich
einzelne Chorophyllkürner noch nicht zu unterscheiden
sind (Fig. 8). — In dem Thallus der Pellia epiphylla
und in Knospenbehältern tragenden Sprossen der Blasia
pusilla habe ich ganz analoge Ortsveränderungen der
Chlorophyllkürner beobachtet.
Da die Laubmoosse zu solchen Untersuchungen be-
souders geeignet sind, so habe ich einige Versuche
mit den Blättern der Æunaria hygrometrica angestellt,
um die vüllige Abhängigkeit der Lage der Chlorophyll-
kôürner vom Lichte näher zu erforschen. Das Moos
vegetirte üppig und bildete auf der Erde des Tellers
einen dichten Rasen. In den Blättern zeigten die Chlo-
rophyllkôrner täglich eine periodische Wanderung. Im
November war schon um 6 Uhr Nachmittags der Über-
gang der Tages- in die Nachtstellung zu beobachten:
in vielen Blättern waren schon säimmtliche Chlorophyll-
kôürner auf die Seitenwände übergewandert, während
gegen 6—7 Uhr Morgens die Tagesstellung wieder
allmählich auftrat. Da zur Beobachtung dieser Orts-
veränderungen eine schwache Vergrüsserung vüllig
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
446
ausreichte, so legte ich die vorsichtig ausgegrabenen
Pflänzchen, an denen experimentirt wurde, auf den
mit Wasser befeuchteten Boden einer kleinen Por-
zellanschale, die ich dann mit einer Glasplatte bedeckte.
Ich überzeugte mich, dass bei diesen Bedingungen die
Pfänzchen sich lange Zeit den normal vegetirenden
vüllig gleich verhalten, denn lässt man sie am Tages-
lichte stehen, so findet in ihren Blättern die bekannte
periodische Wanderung des Chlorophylls ebenso regel-
mässig statt. Versetzt man sie aber in die Dunkel-
beit, so tritt die Nachtstellang der Chlorophyllkôrner
alsbald ein. Andererseits kann man durch fortwäh-
rende Beleuchtung der Blätter das Chlorophyll so
lange man will in der Tagesstellung erhalten. Wird am
Abend ein frisches Pflänzchen, das bei normalen Ver-
hältnissen die Nachtstellung des Chlorophylls bis zum
Morgen bewahrt, dem vollen, oder dem blauen Lampen-
lichte ausgesetzt, so ist schon nach einstündiger Be-
leuchtung Tagesstellung zu beobachten. Wendet man
aber dabei gelbes Licht an, so ist nicht nur selbst eine
mehr als 24-stündige Beleuchtung unfähig, die Nacht-
stellung des Chlorophylls in die Tagesstellung über-
zuführen, sondern es wird sogar die Tagesstellung in
die Nachtstellung umgeändert. Auf diese Weise ist
es müglich, durch abwechselnde Beleuchtung mittelst
blauen und gelben Lichtes dieselbe periodische Wan-
derung wie durch Abwechselung des Lichtes und der
Dunkelheit hervorzurufen. Somit ist es vüllig erwiesen,
dass das gelbe Licht sich der Dunkelheit gleich verhält.
Die Hauptresultate der vorliegenden Untersuchung
kann man kurz folgendermaassen zusammenfassen :
1) Eine unumgängliche Bedingung für die Keimung
der Farrnsporen ist die Anwesenheïit des Lichtes. In
der Dunkelheit keimen die Farrnsporen nicht.
2) Die Keimung der Farrnsporen wird ausschliess-
lich durch die minder brechbaren Strahlen des Spec-
trums hervorgerufen. Blaues Licht verhält sich der
Dunkelheit gleich.
3) Das Platzen der Exine bei der Keimung kann
nicht einer blossen Aufsaugung von Wasser zugeschrie-
ben werden.
4) Bei der Keimung der Sporen scheint das OI in
Stärke überzugehen.
5) Durch frühzeitige Versetzung keimender Sporen
in die Dunkelheit kann man bei einigen Farrnen (4llo-
sorus Sagittatus) Antheridienbildung hervorrufen.
44%
Bulletin de l’Académie Hmpériale
448
6) Die Abhängigkeit der Lage der Chlorophylikôrner | Zweiter Nachtrag zur Kenntniss des Processus
vom Lichte ist eine unter den hôheren Kryptogamen
weit verbreitete Erscheinung. Sie wird nicht nur in
einschichtigen, sondern auch in mehrschichtigen Pflan-
zentheilen beobachtet.
7) In der Dunkelheïit nehmen die Chlorophyllkôrner
bloss die mit den Nachbarzellen grenzenden Zellwände
ein, am Lichte bedecken sie dagegen die freien Zell-
flächen.
8) Die Tagesstellung der Chlorophyllkürner wird
nur durch die stärker brechbaren Strahlen des Lampen-
lichtes hervorgerufen; gelbes Licht wirkt wie Dunkel-
heit.
9) Die chemischen Strahlen scheinen dabei keine
wichtige Rolle zu spiclen.
Erklärung der Abbildungen,
Fig. 1. Ein normal am Tageslichte auf Wasser sich
entwickelnder Vorkeim von Allosorus sagittatus. Die
Exine ist abgestreift. Die Basalzelle enthäit das bei
der Keimung nicht verwendete OI.
Fig. 2. Ein junger Vorkeim von Alosorus sagittatus,
an dem durch Verdunkeln der keimenden Spore eine
frühzeitige Antheridienbildung hervorgerufen wurde.
Fig. 3. Ein entleertes Antheridium.
Fig. 4. Ein dem in der Fig. 2 abgebildeten ähn-
licher Vorkeim von Allosorus sagittatus, der sich am
Tageslichte weiter entwickelt.
Fig. 5. Ein junger Vorkeim von A{losorus, die Nacht-
stellung der Chlorophyllkürner zeigend. Am oberen
Ende entwickeln sich 2 Antheridien.
Fig. 6 wie Fig. 5, aber der viel grôüssere Vorkeim
ist nur theilweise abgebildet.
Fig. 7. Vorkeim von Aspidium spinulosum mit der
Nachtstellung des Chlorophylls.
Fig. 8. Eine junge, noch am Boden des Knospen-
behälters befestigte Brutknospe der Marchantia poly-
morpha. Nachtstellung des Chlorophylls ; einzelne Chlo-
rophyllkürner sind nicht zu beobachten.
supracondyloideus (internus) humeri des
Menschen, von Dr. Wenzel Gruber, Pro-
fessor der Anatomie. (Lu le 28 novembre 1867.)
(Mit einer Tafel.)
Bis Januar 1865 hatte ich 42 Füälle des Processus
supracondyloideus (internus) humeri beim Menschen
beobachtet '), und von 1849 — 1865 alle diese Fälle
beschrieben *). Dort findet man auch das darüber von
Anderen Beobachtete nach Môglichkeit zusammen-
getragen *).
Seit Januar 1865 sind mir noch 5 Fälle des Pro-
cessus supracondyloideus an 4 Leichen (von 2 Män-
nern und 2 Weibern) vorgekommen, und zwar: im
December 1865 am rechten Arme eines etwa 25jäh-
rigen Mannes, im Januar 1866 an beiden Armen
eines alten Mannes, im Mai 1866 am rechten Arme
eines Weibes und am linken Arme eines anderen
Weibes.
Von der Spitze des Processus supracondyloideus
des 1., 2. und 3. Falles entsprang der anomal hoch
am Humerus u. s. w. entstandene Pronator teres mit
einem fleischig-sehnigen oder aponeurotischen Kôpf-
chen, wodurch zwischen dem Processus, dem von
seiner Spitze kommenden fieischig-sehnigen oder nur
1) Dahin ist meine Angabe von 39 Fällen — Arch.f. Anat., Physiol
u. wiss. Medicin. Leipzig 1865. S. 367 — zu berichtigen.
2) W. Gruber. Neue Anomalien. Mit 7 Taf. Berlin 1849, 4°. S.8.
Taf. IT, IV. Fig. 1 (Processus verdeckt). Taf. VIT. «. — Abhandlungen
aus der menschlichen und vergleichenden Anatomie. Mit 11 Taf.
St. Petersburg 1852. 4°. Abh.8. Art. «Neue, oder doch seltene Ano-
malien» AN 5. S. 132—135. Tab. IT. Fig. L. à — Monographie des
Canalis supracondyloideus humeri und der Processus supracondy-
loidei humeri et femoris der Säugethiere und des Menschen. Mit
3 Taf, — Mém. des sav. étrang. de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pé-
tersbourg. T. VIIT. Besond. Abdr. St. Petersburg u. Leipzig. 1856.
4°. $. (79 — 82) 29 — 32, — Sitzungsprotocoll d. Vereins prakt. Ârzte
in St. Petersburg a. 14. October 1861. St. Petersburger medic. Zeit-
schrift. Bd. I. 1S61. S. 365. Sitzungsprotocoll a. 12. December 1864.
St. Petersburger medie. Zeitschr. Bd. IX. 1865. S. 179, — Ein Nach-
trag zur Kenntniss des Processus supracondyloideus (internus) hu-
meri des Menschen. — Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin von
C. B. Reichert und Du Bois-Reymond. Leipzig 1865. S. 357. Tab.
VIII. C. 1.
3) Dazu gehôren noch 1 Fall von J. Hyrtl — Handb. d. topogr.
Anatomie. 4. Aufl. Bd. II. Wien 1860. S. 336 —, in welchem eine
lange fibrôse Zacke des Coraco — brachialis bis auf die Spitze des
staatlichen Processus herabreichte; 3 als beobachtet gemeldete, aber
nicht beschriebene Fälle von John Wood — On human muscular
variations and their relations to comparative anatomy. The Journ.
of anat. a. physiol. X 1. London. November 1866. p. 47 —; und wohl
auch ein Paar neue Füälle von Patruban, worüber ich gelesen zu
haben glaube, mich aber augenblicklich nicht erinnern kann, wo?
Bulletin de l'Acad. Jmp.d.se TXL. JRORODIN. Ueber d'Wirkuné des Eichts auf eumge hôhere Kry ptoganen
Lith.AMünster S'hé.W 0 2 LinieHousN
We 1”
449
des Sciences de S
aint-Pétersbourg. 450
aponeurotischen Kôpfchen des Pronator teres, der
anomalen Fleischportion des letzteren und dem Liga-
mentum intermusculare internum das Foramen supra-
condyloideum gebildet wurde. Durch letzteres liefen
medialwärts vom Processus, an dem rechten Arme
des jungen Mannes und an dem linken Arme des al-
ten Mannes, mit dem Nervus medianus die Vasa bra-|
chialia; und am rechten Arme desselben alten Man-
nes, an dem die Arteria radialis hoch oben von der
Arteria brachialis abging, mit dem Nervus medianus |
die Vasa ulnaria communia. Im 4. Falle (am rech-
ten Arme eines Weibes) entsprang vom Processus bis
zu seiner Spitze hin nur der Brachialis internus, nicht
mit einem Küpfchen der Pronator teres. Trotz dem
es aber dadurch zur Bildung eines Foramen supra-
condyloideum nicht kommen konnte, krümmten sich
doch die Vasa brachialia und der Nervus medianus
medialwärts um den Processus, wie in den Fällen mit
Ursprung des Pronator teres von demselben, und wa-
ren, wie in diesen Fällen, weit medialwärts gerückt.
In dem 1. Falle (Fig. 1.) mit Stand der Spitze des
Processus 1", Z. über dem grüssten Vorsprunge des
Condylus internus humeri, entstand die Arteria ra-
dialis (c) von der Art. brachialis (a) 9 Lin. unter dem
Durchtritte der ersteren durch das Foramen supra-
condyloideum (*. &) und 1 Z. über dem Rande des
aponeurotischen Fascikels der Sehne des Biceps bra-
chi, also anomaler Weise noch am Oberarme. Die-
selbe war vom Ursprunge angefangen bis zum ge-
nannten aponeurotischen Fascikel der Sehne des Bi-
ceps brachii vom Rande des Pronator teres bedeckt
und lief oberhalb der Art. ulnaris communis. Am
aponeurotischen Fascikel der Sehne des Biceps bra-
chii kam die Arterie auf den Rand des Pronator te-
res, knapp hinter genanntem Fascikel, zu liegen. Sie
zog dann am Rande des letzteren Muskels bis in den
Suleus radialis antibrachü, und stieg wie gewôhnlich
abwärts. Sie war 1}, Lin. (injicirt) dick. Sie gab
dem Pronator teres, Radialis internus, Brachio-radia-
lis u. s. w. Muskeläste, aber nicht die Art. recur- |
rens radialis (e) ab, welche von der Art. ulnaris com-
munis abgeschickt worden war. Ich hatte bis jetzt
nur in einem Falle das Vorkommen des Processus
supracondyloideus die Art. radialis, von der Arteria
brachialis, nachdem letztere das Foramen supracon-
dyloideum passirt hatte, noch am Oberarme, also ano-
Tome XII.
mal hoch, entstehen gesehen, weshalb ich den neuen
| Fall beschrieb und abbildete. Uebrigens kam an die-
sen 4 Fällen nichts mehr vor, was ich nicht schon
beobachtet und beschrieben hätte.
Der 5. Fall von Vorkommen des Processus supra-
condyloideus (am linken Arme eines Weibes) wies aber
merkwürdige Eigenthümlichkeiten auf, wie sie
bis dahin weder von mir noch von Anderen beob-
achtet worden waren. Ich liefere deshalb über diesen
in meiner Sammlung aufbewahrten Fall nachstehende
| Beschreibung mit einer Abbildung (Fig. 2.)
Der Processus supracondyloideus (*) sitzt 11,—-1°/ Z.
über der Spitze des Condylus internus am medialen
Theile der vorderen Fläche des Humerus, 2—2"/ Lin.
lateralwärts vom Angulus internus und mit seiner Spitze
6 Lin. medialwärts vom Biceps brachiüi. Er sitzt mit
einer 1 Z. langen Basis auf, steht 3—4 Lin. über der
Fläche des Humerus schräg medial- und abwärts her-
vor, ist 1! Lin. dick, hat eine angeschwollene nicht
überknorpelte Spitze u.s.w. und die gewühnliche
Gestalt. Er ragt nur mit seiner Spitze über den Bra-
chialis internus hervor, ist an derselben, an seiner me-
dialen (hinteren) Seite und an seinem unteren Rande
bis gegen die Basis von Ursprungsbündeln des Bra-
chialis internus frei. Umseinemediale Seite krümmen
sich die Arteria brachialis und die Venae brachiales
nebst dem Nervus medianus, wovon die Vasa an ihn
sich lehnen, der Nervus medianus aber, knapp neben
letzteren, medialwärts davon seinen Verlauf nimmt.
Der Musculus pronator teres (5) hängt mit dem M.
radialis internus gar nicht zusammen, ist von letzterem
durch einen tiefen anomalen Sulcus (**) vüllig ge-
schieden. Der Muskel hat somit zwischen zwei Fur-
chen, einer lateralen und einer anomalen medialen,
d. i. zwischen dem Suleus cubiti anterior internus nebst
der Fossa cubiti, in welche ersterer und der Sulcus
cubiti anterior externus übergehen, und dem Sulcus
anomalus, welcher wie die Fossa cubiti in den Sulcus
radialis sich fortsetzt, seine Lage. Derselbe war von
beiden Sehnen des Biceps brachi (1) umklammert,
wovon die tiefe durch die Fossa cubiti zum Radius sich
begab, die oberflächliche (aponeurotischer Fascikel der
ersteren) aber über dem medialen anomalen Sulcus mit
der breiten Ursprungsaponeurose des Pronator teres
vor deren Übergange in den Fleischtheil des Muskels
verschmolz. Der Muskel entsteht auch in diesem
29
451
Falle, wie in Fällen mit Vorkommen des Processus
supracondyloideus in der Regel, theils von diesem,
theils, ausser den gewühnlichen Ursprungsstellen, un-
gewôhnlich hoch am Humerus über dem Condylus in-
ternus aufwärts; allein nicht fleischig-sechnig, wie ge-
wôhnlich, sondern vom Processus supracondyloideus
mit einem aponeurotischen Kôpfchen, und vom
Humerus, Lig. laterale internum cubiti und Processus
coronoideus der Ulna, wie noch nie gesehen, mit einer
sehr breiten Aponeurose. Das vom Processus su-
pracondyloideus kommende starke Küpfchen (æ) ent-
springt von dessen Spitze, und daneben von dessen un-
terem Rande, kehrt die eine Seite medial- und vor-
wärts, die andere lateral und rückwärts. Es ist 8—9
Lin. lang, 1/,—3 Lin. breit, —", Lin. dick. Die
starke Aponeurose (6), mit der der Muskel vom
Angulus internus humeri und Lig. intermusculare in-
ternum 1! Z. hoch und bis zur Hühe des Sitzes des
Processus supracondyloideus aufwärts, ferner vom
Condylus internus humeri, Lig. cubiti laterale internum
und dem Processus coronoideus ulnae 1 Z. hoch, also
im Ganzen 2°, Z. hoch, entspringt, ist oben ”, Z.,
unten 1”, Z. breit. An ihren oberen ‘/, stellt dieselbe
ein einfaches Blatt dar, an ihren unteren ?/ gegen den
Übergang in den Fleischtheil des Muskels ist sie in
zwei Blätter, ein vorderes und hinteres, gespalten.
Durch diese Spaltung entsteht ein lateral- und me-
dialwärts geschlossener, 1°, Z. hoher und 1 Z. breiter,
von vorn nach hinten comprimirter fibrüser Kanal(f).
Zwischen ihrem oberen Rande und dem vorderen Rande
des vom Processus supracondyloideus entstandenen
apoueurotischen Kôüpfchens existirt ein tiefer und 4—5
Lin. nach oben weiter Ausschnitt, welcher mit der
Spitze des Processus supracondyloideus und dem Lig.
intermusculare internnm humeri das Foramen supra-
condyloideum darstellt. Diese Aponeurose bedeckt
die Vasa brachialia und den M. brachialis internus; auch
den Nervus medianus (f) oben, wo sie einfach ist,
unten aber, wo sie durch Spaltung in zwei Blätter
einen Kanal (+) bildet, nimmt sie in diesem denselben
auf. Im Foramen supracondyloideum liegen die Art.
brachialis (a) mit den sie begleitenden Venen medial-
wärts vom Processus supracondyloideus an diesen an-
gelehnt, und knapp neben den Gefüissen medialwärts
der N. medianus (f).
Der M. brachialis internus (2) entspringt mit Bün-
Bulletin de l’Académie Hmpériale
45?
| deln von dem oberen Rande, der lateralen vorderen
Seite und der Basis des Processus supracondyloideus,
aber nicht von dessen medialer Seite.
Der M. palmaris longus fehit.
Die Arteria brachialis (a) giebt, sobald sie hinter
die Ursprungsaponeurose des Pronator teres gelangt
war, die Art. collateralis ulnaris inferior (c) ab. Diese
durchbohrt die Aponeurose des Pronator teres fast
gegenüber dem Processus supracondyloideus. Die Art.
brachialis giebt auch 10 Lin. über dem Abgange der
Art. radialis einen Ast ab, welcher dem Ramus ascen-
dens der Art. radialis gewühnlicher Füälle analog ist,
Dieselbe theilt sich erst gegenüber der Tuberositas
radii, und, nachdem sie die Ursprungsaponeurose des
Pronator teres von hinten gekreuzt hatte, also nicht
wie gewühnlich lateralwärts von diesem Muskel, son-
dern medialwärts von ihm, in ihre Aeste: die Art. radia-
lis, ulnaris propria und interossea communis. Die Art.
radialis (e) geht 2 Lin. über den beiden anderen Arte-
rien ab. Sie läuft im anomalen Suleus antibrachii (**),
zwischen dem Pronator teres (5) und Radialis internus
(6), auf dem Radialkopfe des Flexor digitorum sublimis
schräg abwärts, um den Sulcus radialis antibrachïüi zu
erreichen und dann auf gewühnliche Weise ihren Ver-
lauf fortzusetzen. Dieselbe giebt gleich nach ihrem
Ursprunge einen Ast ab, welcher quer hinter dem Pro-
nator teres in die Fossa cubiti verlief und dort abwärts
stieg. Dieser Ast entsprach dem Ramus descendens
der Art. recurrens radialis gewühnlicher Fälle. Die
Art. ulnaris propria und interossea communis und ihre
Âste verhalten sich, abgesehen von der Art. mediana
profunda, normal. Die schwache, aber lange Art. me-
diana profunda, welche von der Art. interossea com-
munis, gleich nach deren Abgange von der Art. bra-
chialis, entspringt, verläuft mit dem Nervus medianus
bis 2 Z. über dem Ende des Radius abwärts. An dieser
Stelle wendet sie sich plôtzlich lateralwärts, krümmt
sich vor dem Flexor pollicis longus unter dem unter-
sten Ursprunge des Radialkopfes des Flexor digitorum
sublimis in den Sulcus radialis antibrachii und mündet
daselbst durch Inoseulation in die Art. radialis. Die
Art. mediana profunda verhält sich somit in diesem
Falle wie eine lange mediale Wurzel der Art. ra-
dialis.
Darnach war der Processus supracondyloideus hu-
meri der neuen 5 Fälle auf gleiche oder ähnliche
453
des Sciemces de Saint-Pétersbourg.
454
Weise wie in den von mir beschriebenen 42 Füällen
angeordnet, War nie mit der Spitze nach aufwärts |
gerichtet und nie an dieser überknorpelt gefunden |
worden. Die mediale (hintere) Seite war ganz oder | brachialis nebst beiden Venae brachiales und den Ner-
grôüsstentheils von Muskelinsertion frei, wie in den
früheren Fällen. Nur in einem Falle, in dem es zur
Bildung eines Foramen supracondyloidéum nicht ge-
kommen war, entsprang der Brachialis internus allein |
von demselben, in den übrigen 4 Fällen aber entstand
nebst diesem Muskel, der von der lateralen (vorderen)
Seite seinen Ursprung nahm, noch der Pronator teres
mit einem Kôpfchen von der Spitze. Um seine me-
und der Nervus medianus, und zwar: in 4 Fällen dieser
und die Vasa brachialia, in einem Falle, in dem die |
Art. radialis hoch oben von der Art. brachialis abging,
derselbe und die Vasa ulnaria communia. In einem
Falle gab die Art. brachialis unterhalb des Processus
supracondyloideus, aber noch am Oberarme, die Art.
radialis ab.
Ich hatte somit den Processus supracondyloideus
(internus) humeri bis November 1867 an der Leiche
in 47 Fällen, bei beiden Geschlechtern und bei Indi-
viduen, vom Knaben- bis in das Greisenalter aufwärts
aus eigener Erfahrung kennen gelernt, also wohl
so oft als alle übrigen Anatomen zusammen beobachtet. |
Auch hatte ich wie Struthers den Processus in man-
chen Füällen durch die Haut an der Leiche durch-
fühlen kônnen, und hatten ich und Ârzte, meine
früheren Schüler, in manchen Fällen an Lebenden
den Processus mit Sicherheit diagnosticirt. Ich
hatte seinen Sitz auf Orte eines bestimmten Raumes
am Humerus beschränkt, gleich oder ähnlich gestaltet,
mit seiner Spitze medial- und vorwärts oder medial-,
vor- und abwärts, nie aufwärts, gerichtet und nie
an seiner Spitze überknorpelt angetroffen. Ich hatte
unter den 41 Fällen, in welchen ich den Processus
zugleich mit den Weichgebilden untersuchen konnte,
von demselben an 38 ein Küpfchen des anomal ver-
grosserten Pronator teres entspringen, an einem
eine Aponeurose zum Ligamentum intermusculare in-
ternum und zum normal entwickelten Pronator teres |
gehen, und nur an 2 nicht den letzteren Muskel, son-
dern den Prachialis internus allein entstehen sehen.
Ich hatte in allen diesen 41 Fällen, darunter auch
in den 2 Füällen, an welchen es zur Bildung eines Fo-
ramen supracondyloideum nicht gekommen war, um
seine mediale Seite immer den Nervus medianus und
nicht immer dieselben Vasa, und zwar: 28 Mal die Art.
vus medianus; 2 Mal die Art. brachialis nebst der
Vena brachialis interna (also mit Ausschluss der
Vena brachialis externa) und dem Nervus medianus;
8 Mal die Vasa ulnaria communia (bei Ursprung der
Art. radialis von der Art. axillaris — 2 Mal —, o der
mehr oder weniger hoch von der Art. brachialis —
5 Mal —, oder von der Art. brachialis knapp über
| dem Processus supracondyloideus — 1 Mal —) und
diale Seite krümmten sich in allen 5 Fällen Gefässe
den Nervus medianus, endlich 3 Mal den Nervus me-
dianus und die Vasa collateralia ulnaria krümmen,
also so oder ähnlich verlaufen sehen, wie Vasa und
der Nervus medianus bei vielen Säugethieren, die am
Humerus zu ihrem Schutze das Foramen supracondy-
| loideum oder den Canalis sapracondyloideus constant
| besitzen, durchsetzen. Ich hatte durch den Processus
die sonst neben dem Biceps brachii gelagerte Art. bra-
chialis in der grüssten Zahl der Fälle von diesem Muskel
anomal und verschieden weit (bis 1 Z.) medialwärts
gerückt angetroffen. Ich hatte dadurch den Processus
eine grosse Wichtigkeit für die operative Chi-
rurgie erlangen sehen und deshalb Tuberculum s.
Processus brachialis genannt. Ich hatte dabei die Art.
radialis nicht nur oberhalb dem Processus supracon-
dyloideus von der Art. axillaris oder Art. brachialis,
sondern unter den 30 Fällen, in welchen die Art. bra-
chialis um den Processus sich gekrümmt hatte, die-
selbe auch 2 Mal unter letzterem von ersterer noch
am Oberarme anomaler Weise abgehen sehen. Ich
hatte an einem der Füälle, in welchen sich der Nervus
medianus mit den Vasa collateralia ulnaria um den
Processus gekrümmt hatten, die Art. ulnaris super-
ficialis von der Art. brachialis in der Plica cubiti hinter
dem aponeurotischen Fascikel der Sehne des Biceps bra-
chii entspringen und unter der Unterarmaponeurose,
vom Palmaris longus gekreuzt, verlaufen sehen. Ich
hatte an den Processus einen anomalen Bauch des
kurzen Kopfes des Biceps brachii ansetzen sehen.
Wie der CoracobrachialisbeimanchenSäugethieren,
welche am Humerus den Canalis supracondyloideus
besitzen, an der Knochenspange, die diesen Kanal
schliesst, endiget, ebenso kann derselbe Muskel
beim Menschen am Processus supracondyloideus hu-
29*
455
Bulletin de l’Académie Hmpériale
456
——_—_—_—_—_———"———
meri, nach Hyrtl’s Beobachtung, endigen. Ich hatte,
wie ich 1856 mittheilte, bei Phoca, welche den Cana-
lis supracondyloideus humeri in der Regel aufweiset,
diesen in einem Falle unvollständig und die sonst
seine mediale Wand bildende Knochenspange auf
zwei Zacken reducirt angetroffen. Andere und ich
haben am unteren Theile der medialen vorderen Fläche
des Humerus noch andere ungewühnliche Zacken,
Hôücker und Fortsätze beobachtet, die theils als
Tubercula und Processus musculares anderer Art
(falsche Processus supracondyloidei), theils wirklich
krankhaften Ursprunges, also Æxostosen, waren, und
zu den Vasa brachialia und dem Nervus medianus ent-
weder in gar keiner Beziehung standen, oder doch
nicht in der Art und Weise wie constant der wahre
Processus supracondyloideus humeri.
Sollte aus diesen Angaben aus Massenuntersuchungen
immer noch nicht gefolgert werden künnen: 1) dass
der wahre Processus supracondyloideus (internus) hu-
meri ein Zuberculum oder Processus muscularis seï,
dessen Vorkommen fast immer durch eine anomale,
fleischige oder sehnige Portion des Pronator teres
und durch den Brachialis internus bedingt werde;
2) dass dieselbe das rudimentäre Analogon der
Knochenspange, welche bei vielen Säugethieren
constant eine Rinne am Humerus zu einem normal
vorkommenden Foramen supracondyloideum oder Ca-
nalis supracondyloideus zur Aufnahme von Vasa und
des Nervus medianus, zu deren Schutze schliesst, also
eine Säugethier-Bildung darstelle, die sich aus
einem früheren Zustande auch beim Menschen hin
und wieder noch rudimentär erhält; 3) dass er so-
mit nicht pathologischen Ursprunges,alsokeine
Exostose sei; und endlich 4) dass seine Kenntniss
auch für den Arzt und den Chirurgen nôthig sei,
damit ersterer, in dem Wabne eine syphilitische Exo-
stose vor sich zu haben, das mit dem Processus supra-
condyloideus zufällig behaftete Individuum durch die
Mercurialeur nicht fast zu Tode curire, und letzterer,
bei der Vornahme der Ligatur der Art. brachialis,
nicht zu lange im Finstern herumtappe, um sie end-
lich zu finden!! Virchow‘) rechnet allerdings den
wahren Processus supracondyloideus (internus) humeri
auch zu den Æxostosen, und hat in der That eine
4) Die krankhaften Geschwülste. Bd. II. H. 1. Berlin 1864. $. 69.
wirkliche Æxostose, die nach aufwärts gerichtet war
und eine überknorpelte Spitze besass, wie niemals
der wahre Processus supracondyloideus humeri nach
eigener und fremder Erfahrung auftritt, mit letz-
terem verwechselt. — Allein wären alle unge-
wôhnlichen Knochenvorsprünge am untern Theiïle
der medialen vorderen Fläche beim Menschen und den
Säugethieren Æxostosen, dann müssten z. B. auch die
von mir in einem Falle bei einer jungen Phoca vitu-
lina beobachteten Zacken, welche bestimmt die
Rudimente der Knochenspange waren, die sonst
eine Rinne am Humerus zum Canalis supracondyloideus
zur Aufnahme von Vasa und des Nervus medianus bei
diesemThiereschliesst, krankhaften Ursprunges,
also Ærostosen sein, die sie eben so wenig seinkün-
inen wie die genannte Knochenspange selbst.
Erklärung der Abbildungen,
Fig. 1.
Vordere Ellenbogenregion des rechten Armes
eines 25jährigen Mannes.
(*) Processus supracondyloideus (internus) humeri.
1) Musculus biceps brachiüi.
2) « brachialis internus (am Processus supra-
condyloideus ausgeschnitten).
3) « pronator teres (anomal vergrüssert, über
dem aponeurotischen Fascikel der Sehne
des M. biceps brachii eingeschnitten).
4) « brachio-radialis.
a. Arteria brachialis.
Si
. Starker, knapp über dem Processus supracondy-
loideus entspringender und quer lateralwärts zum
M. brachialis internus verlaufender Ast derselben.
. Arteria radialis (anomal hoch, aber doch unter
dem Processus supracondyloideus entstanden).
d. Arteria ulnaris communis.
CNE recurrens radialis von der Art. ulnaris
communis.
f. Nervus medianus.
g. « cutaneus brachii externus.
h. Ramus superficialis des Nervus radialis.
a. Starkes, fleischig-sehniges, vom Processus
supracondyloideus entspringendes Küpfchen
des M. pronator teres (umgeschlagen).
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457
Fig. 2.
Mittelstück des linken Armes eines Weibes. |
(*) Spitze des Processus supracondyloideus (internus,
humeri.
(**) Anomaler Suleus zwischen dem M. pronator teres |
und M. radialis internus. |
1) Musculus biceps brachii.
2) » brachialis internus. |
3) » triceps brachii. |
4) » brachio-radialis.
5) » pronator teres (anomal vergrüssert und |
ganz anomal gebildet).
6) » radialis internus.
7) » flexor digitorum sublimis.
8) » Musculus ulnaris internus.
a. Arteria brachialis.
DES collateralis ulnaris superior. |
CNED collateralis ulnaris inferior.
d. Zweig des Ramus ascendens der Art. recurrens
radialis.
Arteria radialis (anomal).
Nervus medianus.
ulnaris (unten am Oberarme eine lange |
Strecke durch eine Schicht des M. anco- |
neus internus und die Armaponeurose
versteckt).
æ. Aponeurotisches, von dem Processus supra-
condyloideus entspringendes Küpfchen des
M. pronator teres.
8. Ganz anomale Ursprungsaponeurose
des M. pronator teres, welche abwärts zwi-
schen ihren beiden Blättern einen Kanal (f)
zur Aufnahme des N. medianus besitzt (über
dem medialen Rande ein langes dreieckiges
Stück beider Blätter ausgeschnitten).
St. Petersburg, den 12. November 1867.
À
»
=)
Einige Worte über eine neue unter meiner Lei-
tung entworfene ideale Abbildung der Stel- |
lerschen Seekuh, von F. Brandt. (Lu le 28]
novembre 1867.)
Wie bekannt existiren zwei mehr oder weniger von
ihren nächsten Verwandten den Manat”s und Du-|
gongs abweichende Original-Abbildungen der Stel-|
des Sciences de Saint-Pétershourg.
45%
ler’schen Seekuh. Die eine erhielt Pallas, der sie
selbst für eine rohe erklärte. Sie ist es, die Herr
v. Baer in den Abbildungen zur Pallas’schen Z00-
graphie verüflentlichte. Eine zweite entdeckte Herr
v.Middendorff auf einer alten Landkarte und theilte
sie in seinem Reisewerke mit. Eine ideale Abbildung,
genau genommen nur eine Verbesserung der Pal-
las’schen Figur, findet man im ersten, bereits 1846
verôffentlichten, Fascicel meiner Symbolae, der zu ei-
ner Zeit erschien, als mir weder ein Skelet der Stel-
ler’schen Seekuh, noch die gute Abbildung eines
Manati zu Gebote stand.
Da die beiden eben genannten Desiderate jetzt
| nicht mehr bestehen, und die vom Hrn. v. Midden-
dorff verüftentlichte Abbildung ebenfalls einzelne An-
haltungspunkte gewährt, so habe ich eine neue ideale
Darstellung des Thieres entwerfen lassen, wobei haupt-
sächlich die Umrisse des Skelets zu Grunde gelegt
| wurden. Gleichzeitig fanden aber auch die genannten
beiden Originalfiguren nebst den guten Abbildungen
des Manati und Dugong, so wie die treffliche Be-
schreibung Steller’s die gebührende Berücksichti-
gung Ich denke, dass die so mit Sorgfalt entworfene
Figur im Allgemeinen eine richtige Vorstellung von
der äusseren Gestalt der berühmten nordischen oder
Steller’schen Seekuh liefern werde. Die Figur selbst
soll in den unter der Presse befindlichen Symbolis
sirenologicis erscheinen.
tot
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Astronomische Beobachtungen auf der k. Universitäts-
; Sternwarte zu Künigsberg. Herausgegeben von Dr.
Ed. Luther. 35. Abtheilung. Künigsberg 1869. Fol.
Annalen der k. k. Sternwarte in Wien, herausgegeben von
C. v. Littrow. 3. Folge, 13. Band. Wien 1866. 8.
Anuario del real Observatorio de Madrid. Ano VIT. 1866.
Madrid 1865. 8.
Hirsch, A. et Plantamour, E. Nivellement de précision
de la Suisse exécuté par la Commission géodésique
fédérale. 1" livraison. Genève et Bâle 1867. 4.
Tables of heights in N. W. Provinces and Bengal deter-
mined by the great trigonometrical survey of India
459
Bulletin de l’Académie Hmpériale
460
by spirit leveling operations, to May 1865. Roorkee
1866. 8.
Atti dell’ Accademia Pontificia de Nuovi Lincei, Anno VII,
sessione VI, anno XIX, sessione I—VIT. Roma 1866
—67. 4.
Relazione dei lavori scientifici trattati nell anno XXXX,
dell Accademia Gioenia di scienze naturali. Catania
1867. 4.
Atti dell” Accademia Gioenia di scienze naturali di Cata-
nia. Serie seconda. Tomo XI—XX. Catania 1855 —
65. 4.
Giornale di scienze naturali ed economiche pubblicato per
cura del consiglio di perfezionamento annesso al R.
Istituto tecnico di Palermo. Vol. II. Palermo 1866. 4.
Abhandlungen herausgegeben vom naturwissenschaftlichen
Vereine zu Bremen. Band I. Heft 2. Bremen 1867. &.
Verhandlungen der k. Leopoldino-Carolinischen deutschen
Akademie der Naturforscher. 32. Band. 2. Abtheil.
Dresden 1867. 4.
Würzhurger Medicinische Zeitschrift 7.
Würzburg 1867. 8.
Verhandlungen des naturhistorisch-medizinischen Vereins
zu Heidelberg. Band IV. M IV.
Jahres-Bericht des physikalischen Vereins zu Frankfurt a.
M. für das Rechnungsjahr 1865—1866. S.
Bulletin de la société Vaudoise des sciences naturelles.
Vol. IX. X 57. Lausanne 1867. 8.
Vierteljahrsschrift der naturforschenden Gesellschaft in
Zürich. Jahrgang 9—11. Zürich 1864—1866. 8.
Band. Heft 4.
Videnskabelige Meddelelser fra den naturhistoriske Fore- |
ning i Kjôbenhavn for Aaret 1864 og 1865. Kjüben-
havn 1865—66. 8.
Verhandlungen des Vereins für Naturkunde zu Presburg.
Jahrgang VIII und IX. Presburg. 8.
Die Fortschritte der Physik im Jahre 1864, dargestellt
von der Physikalischen Gesellschaft zu Berlin. XX.
Jahrgang in 2 Abtheilungen. Berlin 1866—67. 8.
The Journal of the Chemical Society. 1866 October —De-
cember, 1867 January—June. London. 8.
Müller, Alex. Mittheilungen aus der Chromometrie. 8.
Beiträge zur Colorimetrie des Extractbrauns. 8.
Studien am Complementär-Colorimeter. 8.
— Das Complementär-Colorimeter. Chemnitz 1854. 8.
Über die chemische Analyse der Ackererden. 8.
Die chemische Zusammensetzung der gebräuchlichsten
Nabrungsmittel und Futterstoffe, bildlich dargestellt.
Dresden 1864. 4.
Meteorologische Beobachtungen an der k. k. Sternwarte
in Wien von 1775 bis 1855. Herausgegeben von C. v.
Littrow u. Edm. Weiss. 5. Band. Wien 1866. 8.
Plantamour, E. Des anomalies de la température obser-
vées à Genève pendant les années 1826— 1865. Ge-
nève et Bâle 1867. 4.
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Resumen de las observaciones meteorologicas efectuadas
en el Real Observatorio de Madrid. 1864 — 1865.
Madrid 1865. 8.
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Verhandlungen der k. k. Geologischen Reichsanstalt. 1867.
X 6. 8.
Jahrbuch der k. k. Geologischen Reichsanstalt. Jahrgang
1867, XVII. Band X 2. Wien. 8.
Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XIX.
Band, 12. Heft. Berlin 1867. 8.
The quarterly Journal of the Geological Society. Vol.
XXIII, X 91. London 1867. 8.
Memoirs of the geological survey of India Vol. V, p. 2, 3.
8.
Die Fortschritte der berg- und hüttenmännischen Wissen-
schaften in den letzten hundert Jahren. Als zweiter
Theïil der Festschrift zum hundertjährigen Jubiläum
der künigl. Sächsischen Bergakademie zu Freiberg.
Freiberg 1867. 4.
Verhandlungen der russ. k. Mincralogischen Gesellschaft
zu St. Petersburg. Jahrgang 1854 u. 1863. St. Pe-
burg 1854 — 1864. 8.
Saancki luneparoperkaro C.-Herep6yprekaro Mruneparo-
ruueckaro OGmecrBa. Bropaa Cepis. acrs Bropas.
CII6. 1867. 8.
VKasaTeib KB HePBOÏ CEPIT DCPIOANACCKUXB n34aHii lm-
neparopcraro C.-Herep6yprekaro Mnneparornaecxaro
OGnecrBa, nyGImKOBAHHBIXE CB 1830 n0 1863 rOXE.
CII6. 1867. 8.
Côopaurt naxanr Muneparopeknmr C.-Terepôypreknwe
Muneparoruaecknur OGmteCTBOMR BR HAMATE COBEP-
HINBIHATOCA DATHLCCATIHIBTIA CTO CYINCCTBOBAHIA 7-70
flusapa 1867 roxa. CII6. 1867. 8.
Cuucok& urexo8r Muneparopekaro C.-Ierep6yprekaro Mn-
HePAIOTIACCKATO OGuLeCTBA, CO BPEMCHIT TO OCHOBA
Baxia 7-r0 flaBapa 1817 roJa 110 JZenb ero 50-Tn-
aBraaro 10611e4 7-r0 fluBapa 1867 roza. CII6. 1867. 8.
Pose, l'ycraBr. Onncauie mn pasxhzenie Mereoprrogr, 0c-
HOBLIBAACE Ha COGpaniu Munepazornaeckaro Myseyma
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schaft in den Jahren 1865 und 1866. 4.
Neues Lausitzisches Magazin. 43. Band. 12. Doppelheft.
Gürlitz 1867. 8.
Statistische Mittheilungen über den Civilstand der freien
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Beiträge zur Statistik der freien Stadt Frankfurt. Bd. IT,
Heft 1. Frankfurt a. M. 1866.
Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles-
wig, Holstein und Lauenburg. Bd. IX, Heft 1. Kiel
1866. 8.
Wäürttembergische Jahrbücher für Statistik und Landes-
kunde. Jahrgang 1864. Stuttgart 1866. 8.
Archiv für üsterreichische Geschichte. 35ster Band, 2te
Hälfte und 36ster Band, 1ste u. zweite Hälfte. Wien
1866. 8.
—— für Kunde üsterreichischer Geschichts-Quellen. Register.
Wien 1866. 8.
Fontes rerum austriacarum. Erste Abthl. Scriptores. VIT.
Band, Theil INT. Wien 1866. 8.
— — — — Jweite Abtheïlung. Band XXV, XXVI. Wien
1866.
Matkovié, Petar. Statistika Austrijske Carevine za visa
ucilista. U Zagrebu 1866. 8.
Libri quinti confirmationes ad beneficia ecclesiastica Pra-
gensem per archidioecesim nune prima vice divul-
gatae incipiendo ab anno 1393 usque 1399. Opera
Fr. À. Tingl. Pragae 1866. 8.
Pamätky archacologické a mistopisné, vydävané od ar-
chacologického sboru Musea Krälovstvi Ceského. Dil
VIT, Roënik XIII. V Praze 1867. 4.
Déjiny närodu ëeského wyprawuje Fr. Palacky;. Dil V,
éastka IL W Praze 1867. S.
Royaume de Belgique. Documents statistiques publiés par
le Département de l'Intérieur. Tome X. Bruxelles
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Bulletin de la Commission centrale de Statistique. Tome
IX, X. Bruxelles 1866. 4.
Hulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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Mittheilungen aus der livländischen Geschichte. 10ten
Bandes 3tes Heft. Riga 1865. 8.
Baltische Monatsschrift. Band XV, Heft 1. Riga 1867. 8.
Heinrich’s von Lettland Livländische Chronik. Nach Hand-
schriften mit vielfacher Berichtigung des üblichen
Textes aus dem Lateinischen übersetzt und erläutert
von Ed. Pabst. Reval 1867. 8.
Genealogia xiazat i krolôw polskich od roku 880— 1195.
Lwdw 1866. 8.
Description de la Petite et de la Grande Arménie par le
P. Narsés Sargitian Mekhithariste. Venise 1864. 8.
Die zweisprachige Inschrift von Tanis, zum ersten Male
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Revista trimensal do Instituto Historico, Geagraphico e
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del antiguo mundo etc. etc. México 1865. 8.
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Quetelet, Ad. Sur le cinquième congrès de statistique
tenu à Berlin du 4 au 12 septembre 1863. 8.
Libro duodecimo della Politica del Commendatore Salva-
tore Fenicia da Ruvo. Napoli 1866. 8.
Maestri, Pierre. Rapport soumis à la junte organisatrice
sur le programme de la VI° session du congrès inter-
national de Statistique. Florence 1867. 8.
Neunzehnter Jahresbericht der Staats-Ackerbau-Behürde
von Ohio für das Jahr 1864. Columbus, Ohio 1865. 8.
Classified list of photographs. Precious metals and ena-
mels and carvings in ivory and wood. Pottery, Por-
celain and Glass, Embroidery and Bookbinding. Lon-
don. 8.
Nuove Memorie dell’ Instituto di corrispondenza archeo-
logica. Vol. II. Lipsia 1865. 8.
Monumenti inediti pubblicati dell Instituto di corrispon-
za archeologica. Vol. VIII, Tav. 1—36. Fol.
Annali dell Instituto di corrispondenza archeologica. Vol.
XXXVI XXXVII XXXVIII Roma 1864—1866. 8.
Bulletino dell Instituto di corrispondenza archeologica
per l’anno 1864—1866. Roma 1864—-66. 8.
tepertorio universale delle opere del! Instituto archeolo-
gico dal! anno 1857—1863. Roma 1864. 8.
Cista Prenestina della collezione Barberiniana illustrata
da G. C. Conestabile. Roma 1866. 8.
Paru le 13 janvier 1868,
T. XIE, N°5 et dernier.
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BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XI.
(Feuilles 30—37.)
CONTENU:
Page.
G. v, Helmersen, Rapport sur un mémoire de M. Goebel concernant l’industrie mi-
nière qui a existée jadis sur la côte lappone (mer Blanche).................. 465 — 471
_ JF. Brandt, Rapport sur la seconde et la troisième parties des études sirenologiques 471 — 474
H, Gyldén, Sur une formule générale pour le calcul de la réfraction................ 474 — 480
PAlexevef Sur la7obensideee 22 CL eee RE. ..e Re ADO TE OS 480 — 481
LNentk Remarques Critiques Ve ane. leroe DEEE eee 481 — 546
F. Beilstein et A. Kuhlberg, Sur les bi- et trichlortoluols isomères.................. 547 — 563
M. de Jacobi, Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés dans la fabrique
royale néerlandaise d’orfèvrerie de M. van Kempen à Voorschoten, présenté à
la Commission impériale de l'Exposition universelle de 1867 à Paris.......... 563 — 578
Bulletin bibliographique. .................................................. 578 — 580
Ci-joint les titres et les tables des matières du Tome XII.
On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J.Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de
Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurer® Ipasserin Huneparoperkoï Axkaxemiu Hayk®) et chez
M. Léopold Voss, libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
3 thalers de Prusse pour l’étranger. | :
Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. Q ZC/)
Tass.- € ligne. X 12 A
(Vass.-Ostr., 9€ ligne, M 12.) CS (a)
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BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
Bericht über eine Arbeit von Ern. Magister
Goebel: Untersuchungen über den einst an
der lappländischen Küste stattgefundenen
Bergbau, von G. v. Helmersen. (Lu le 12 dé-
cembre 1867.)
Der Conservator des Akademischen Mineralienka- |
binets, Magister Goebel, dem man bereits eine Reïhe |
von gediegenen Arbeiten aus dem Gebiete der chemi-
schen Geologie und der Meteoritenkunde verdankt,
hat sich in jüngster Zeit auch auf dem Gebiete der
und zuverlässige Nachrichten über die Menge des aus
jenen Lagerstätten gefürderten Silbers und Kupfers
eingezogen hatte, machte er sich an das Studium der
in St. Petersburg und Dresden vorhandenen Quellen
über die Geschichte des Berghaues in jenen metall-
reichen Gegenden.
Diese Geschichte ist aber zugleich die Geschichte
des hervorragenden Mannes, den die Kaiïserin Anna
| zum obersten Chef des Russischen Bergwesens machte,
Geschichte und namentlich des Berg- und Hüttenwe- |
sens in Russland versucht, und zwar mit einem Er-
folge, der mir die Verpflichtung auferlegt, die Aka-|
demie auf diese Arbeit aufmerksam zu machen und
über dieselbe eingehend zu referiren.
Ich thue diess um so freudiger, als die mühevollen |
Forschungen des Hrn. Goebel sehr erhebliche prak-|
tische Resultate in Aussicht stellen, und zugleich ei-|
nen tiefen, belehrenden Blick in die Sittengeschichte
des von ihm bearbeiteten Zeitraumes gestatten. Das
Werk erhält dadurch kein geringes kulturhistorisches
Interesse.
Veranlasst durch einige zufällige Gespräche über
das Vorkommen und den im 18. Jahrhundert statt-
gehabten Abbau der Silber- und Kupfererze auf der!
Bären-Insel (mexebxif ocrposr) im Weissen Meere
und auf der Kola-Halbinsel im Russischen Lappland, |
und durch die Durchmusterung der alten, in der!
Akademie befindlichen Kataloge der akademischen
Mineraliensammlungen jener Zeit, in welchen sich!
zahlreiche Proben der genannten Erze müssen befun-
den haben und zum Theil noch befinden, fasste Hr.
Goebel den Gedanken, alle ihm zugänglichen Nach-
richten über jene Erzvorkommnisse und deren Ver-
werthung zu sammeln und zu einem übersichtlichen
Ganzen zu verarbeiten.
Nachdem er zuerst die in verschiedenen Sammlun-
und dem sie ein unumschränktes Vertrauen schenkte,
das der hochgestellte, kenntnissreiche und energisch
thätige Mann unter der Nachfolgerin der Kaiserin leider
verlor. Der Name des Kôüniglich-Sächsischen Ober-
berghauptmanns, Baron Schoenberg, dessen kurze
Laufbahn in Russland ein erschütterndes Ende nahm,
wird sich in der Geschichte unseres Bergbaues für
immer erhalten. Aber es lag und liegt auch noch jetzt
über diesem Namen eine, dunkeln Schatten werfende
Wolke, durch welche Goebel’s anziehende Arbeit
neue, bisher unbekannte Lichtstrahlen dringen lässt,
die das Andenken an den tiefgebeugten Mann in freund-
lichere Farben kleiden und ibn, seinen Anklägern ge-
genüber, zu rechtfertigen geeignet sind. Was Fôrster
in Bezug auf den Herzog von Friedland unternom-
men, der freilich keine untergeordnete, sondern eine
welthistorische Rolle gespielt, das Goebel in Bezug
auf den Baron Schoenberg, der übrigens seiner Zeit
doch so hoch stand, dass der Kôünig August II. von
Sachsen und dessen Minister, sich persünlich und un-
ter Anwendung ihrer vollen Autorität, um die Recht-
fertigung und die Rettung des zur Deportation ver-
urtheilten Baron Schoenberg, bei der erzürnten Kai-
serin Elisabeth von Russland verwendeten.
Die Arbeit zerfällt in zwei Hauptabschnitte:
1) Der erste führt den Titel: «Untersuchungen
über den Erzreichthum der Bäreninsel im
Weissen Meere, nebst der ihr benachbarten
gen St. Petersburgs befindlichen Proben der Erze ge-| lappländischen Wüste, wie über den einst dort
prüft und mit deren Beschreibung in den alten und stattgefundenen Bergbau», und hat den Zweck,
neuen Katalogen sorgfältigst und kritisch verglichen | die Frage zu beantworten, ob und in wiefern es loh-
Tome XII.
30
467
Bulletin de l’Académie Impériale
468
nend sei, Versuche zur Wiederaufnahme der seit mehr
als 120 Jahren ruhenden Bergarbeiten zu unter-
nehmen.
Das Material zur Erürterung dieser wichtigen Frage
entnahm Goebel zum Theil aus Nachrichten in den
Archiven, zum Theil aus den Sammlungen und Kata-
logen der Akademie und des Berginstituts.
Es ergab sich dabei, dass vor dem im Jahre 1747
stattgehabten Brande in den akademischen Gebäuden,
bei welchem viele werthvolle Gegenstände der Samm-
lungen zu Grunde gingen, im Mineralienkabinet der
Akademie 179 Nummern von Silbererz- und Kupfer-
erzproben von der Bäreninsel und aus Lappland vor-
handen gewesen sein müssen. Von diesen enthielten
9 Stücke von der Bäreninsel nicht weniger als 43
Pfund 53 Solotnik Silber. Gegenwärtig befinden sich
in der Akademischen Sammlung nur noch drei Pro-
ben, die zusammen 9 Pfund 4 Solotnik 41 Doli ge-
diegenen Silbers enthalten.
Wenn man diesen ersten Abschnitt und dessen Bei-
lage liest, welche alle zu demselben gehôürenden, aus
dem Reichsarchive entnommenen pièces justificatives
enthält, so gewinnt man die Überzeugung, dass die
Silbererze der Bäreninsel, sowie die silberhaltigen
Kupfererze des Russischen Lapplands, nicht nur bau-
würdig sind, sondern bei den jetzt üblichen, vervoll-
kommneten Methoden und Mitteln des Abbaues und
der metallurgischen Behandlung, verhältnissmässig
mehr Gewinn versprechen als vor 120 Jahren. Auch
weist Hr. Goebel in diesem Abschnitte nach, dass
die Quantität des auf mexsbxiï oCTpoBR gewonnenen
Silbers, das in Kontschesersk geschmolzen wurde,
grôsser gewesen ist, als man bisher angenommen.
Ebenso überzeugend ist der in diesem sowohl, ais im
zweiten Abschnitt gegebene Nachweis, dass der Berg-
bau auf der Insel und in der lappländischen Wüste,
nicht etwa wegen nicht zu überwindenden Wasseran-
dranges in den Gruben, oder wegen Mangels an Arbei-
tern und an Proviant für dieselben aufsgegeben ward,
sondern weil mit Schoenberg’s Arretirung auch plütz-
lich alle von ihm abhängig gewesenen und in jenen
Gegenden beschäftigten Sächsischen Beamten und
Bergleute entfernt und die Gruben dem Verfall und
der Vergessenheit übergeben wurden.
2) Der zweite Abschnitt führt den Titel:
Der Baron Schoenberg und seine Wirksamkeit für
das Bergwesen in Russland. Ein Abschnitt aus der
Bergwerksgeschichte Russlands und eine Episode aus
der Hofs- und Sittengeschichte dieses Reiches. (1735
LhpaA).
Obgleich Hrn. Goebel gestattet war, die Quellen
zu dieser Gsschichte in dem Reichsarchive zu St. Pe-
tersburg zu studiren, so beguügte er sich doch nicht mit
diesen, sondern wandte sich nach Dresden mit der
Bitte, ihm aus dem dortigen Staatsarchive beglaubigte
Copien aller, auf die Schoenberg’sche Angelegenheit
bezüglichen Schriftstücke zu senden. Diese Bitte ward
zuvorkommend erfüllt und Goebel dadurch in den
Stand gesetzt, eine Einsicht in Alles zu erhalten, was
der Küniglich-Sächsische Gesandte am St. Petersbur-
ger Hofe und was Schoenberg selbst dem Sächsischen
Minister des Auswärtigen, Grafen Brühl, so wie dem
Künige August IIT. in dieser Sache berichtet haben.
Die zum zweiten Abschnitte gehôürige Beilage ent-
hält eine grosse Anzahl sorgfältig kopirter oder aus-
gezogener Schriftstücke, sowohl aus dem Russischen,
als aus dem Sächsischen Staatsarchive. Die Lektüre
derselben ist um so interessanter und belehrender, als
viele von ihnen, wie die dem Herzoglich Bironschen
Archive entnommenen, bisher nicht bekannt geworden
sind. Nachdem über Schoenberg’s Abkunft und Geburt
und über seine Jugendjahre referirt worden, geht der
Verfasser zu seiner bergmännischen Karriere und zu
seiner Berufung nach Russland und zu der Veranlassung
derselben über.
Die Kaiserin Anna ersucht den Künig von Sach-
sen, um einen kundigen Bergmann, der im Stande
wäre das Bergwesen in Russland und in Sibirien zu
vervollkommnen, zu heben.
Der Künig erwählt zu dieser wichtigen Mission den
hervorragendsten Bergmann Sachsens, den Oberberg-
hauptmann Baron Schoenberg.
Dieser kommt mit einem Gefolge von Sächsischen
Bergbeamten und Bergleuten in St. Petersburg an und
geht bald darauf nach der Bäreninsel und nach Lapp-
land. Er überzeugt sich daselbst von einem sehr bedeu-
tenden Erzreichthum, und erhält in St. Petersburg
Nachrichten von den unerschôpflichen Vorräthen besten
Eisenerzes im Berge Blagodat am Ural, wird von der
Kaiserin, mit Aufhebung des früheren Bergkollegiums,
zum obersten Chef des gesammten Bergwesens in Russ-
land ernannt und erhält die Erlaubniss, der Kaiserin
469
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
470
00900 © ©
direkt zu berichten und erhält nicht mehr Befehle
vom Senat, sondern ebenfalls unmittelbar von der
Kaiserin.
Mit solchen Rechten ausgestattet, gründet Schoen-
berg in Russland eine Privatgesellschaft für Bergbau
und erhält sowohl die Bäreninsel und die lappländi-
schen Erzgänge, als auch das Bergrevier Goroblago-
dat erb- und eigenthümlich zugesprochen, unter der
Bedingung, der hohen Krone jährlich eine bestimmte
Zahlung in baarem Gelde zu leisten.
Er richtet den Abbau mit Aufwand grosser Kosten
und Mühen ein, legt Bergwerke und Schmelzhütten
an, beschäftigt eine grosse Anzahl von Menschen und
entwickelt eine bewundernswürdige Thätigkeit; die
Angelegenheit nimmt den besten Fortgang, so lange
seine hohe Günnerin, die Kaiserin Anna, lebt und de-
ren Günstling Biron sich des Unternehmens annimmt
und alle Intriguen seiner Feinde, Ostermann, Ta-
tischtschew und Anderer, gegen Schoenberg, un-
schädlich macht.
Die Kaiserin stirbt, Biron wird entfernt; unter der
Regentin Anna Leopoldowna wirkt Schoenberg
erfolgreich fort. Die Kaiserin Elisabeth besteigt den
Thron, begünstigt anfangs den Baron Schoenberg und
zeichnet ihn sogar aus. Später fasst sie einen unver-
sühnlichen Hass gegen ihn, und stürzt den hochste-
henden, allgemein bewunderten Mann in die Tiefe der
zermalmendsten Ungnade.
Durch unvorhergesehene Umstände, vietleicht durch
zu hohe, nicht zu erfüllende Versprechungen Schoen-
berg’s, kann er die der Krone zukommende Zahlung
nicht zu festgesetzter Zeit leisten und wird im Senate
zu Moskwa, auf Befehl der Kaiserin arretirt und unter
Kriminalanklage gestellt, den Staat büswillig um einen
Theil seines Einkommens gebracht, sich selbst aber
dabei gesetzwidrig bereichert zu haben.
Auch ward ihm gründliche Kenntniss im Berg- und
Hüttenwesen abgesprochen und er für einen unwür-
digen Abenteurer erklärt.
Ohne auch nur ein Wort der Vertheidigung durch
Schoenberg selbst, oder einen Anwalt zu gestatten,
wird er zum Verluste seines Vermügens und zur De-
portation nach Sibirien, und sein Compagnon im Ge-
schäfte, der Englische Kaufmann Meyer, zur Knu-
tenstrafe und Deportation verurtheilt.
Nur mit Mühe gelang es der Sächsischen und der
Englischen Regierung eine Milderung dieses Urtheils
zu erlangen, in Folge deren die Verurtheilten das
Land verlassen und in ihre Heimath zurückkehren
durften.
Schoenberg trat nach seiner Heimkehr wieder in
die angesehene Stellung ein, die er früher in seiner
Heimath eingenommen hatte.
Dieser reichhaltige Abschnitt schliesst mit einer
kritischen Analyse der historischen Thatsachen, wel-
cher jeder Unbefangene beistimmen kônnte, wenn al-
les vorhandene Material zu dieser Geschichte benutzt
worden wäre. Das ist aber bis jetzt noch nicht der
Fall. Es ist nämlich in hohem Grade wahrscheinlich,
dass sich in dem Moskwaer Archive manche wichtige,
hierher gehürige Nachrichten befinden. Goebel hat
sie sich aber aus Mangel an Mitteln nicht verschaffen
künnen.
Es wäre daher nicht nur wünschenswerth, sondern
sogar nothwendig, dass er sich selbst nach Moskwa
begebe, wo ihm die Benutzung des Archivs durch den
Geheimrath Kalatschow bereits zugesagt ist. Die
beschränkten Mittel Goebel’s sind zum Theil schon
auf die Copieen aus dem Dresdner Archive verwendet
worden.
Die anziehende Arbeit, über welche ich berichtet
habe, würde auch in ihrer jetzigen Gestalt mit gros-
ser Anerkennung aufgenommen werden, aber schwer-
lich würde deren Verfasser dem Vorwurfe entgehen
einseitig über die Schoenberg’sche Angelegenheit ge-
urtheilt und das alte, gute Sprichwort: audiatur et al-
tera pars, übersehen zu haben.
Was die Herausgabe der Goebel’schen Arbeit an-
belangt, so würde der Verfasser sie am liebsten in
den Schriften der Akademie, oder ganz selbstständig
erscheinen lassen, aber auch zum Letzteren fehlen ihm
die Geldmittel, und seine ükonomische Lage wird ihn
wohl veranlassen, einen Verleger zu suchen, der ihm
eine Vergütung seiner Arbeit sichert.
Ich meinerseits, als Mitglied der Akademie und als
einer der Herausgeber der «Beiträge zur Kenntniss
des Russischen Reiches», kann den Wunsch nicht un-
terdrücken, dass die Arbeit Goebel’s in den Schrif-
ten der Kaiserlichen Akademie erscheine.
Das praktische Resultat von Goebels Nachfor-
schungen scheint mir so beachtenswerth, dass ich es
geradezu für geboten halte, eine geologisch-bergmän-
30*
471
Bulletin de l’Académie Hmpériale
4%?
m0
nische Expedition nach der Bäreninsel und nach Lapp-
land zu entsenden, um an Ort und Stelle die Bedeu-
tung der dortigen Lagerstätten zu konstatiren. Dabei
dürfte es ganz gleichgültig sein, ob diese Expedition
von der Regierung, oder von Privaten ausgerüstet wird.
Jedenfalls wäre es, meines Erachtens, geeignet, dass
die Akademie, falls die Verôffentlichung der Goebel’-
schen Arbeiten in ihren Schriften geschehen sollte,
dem Hrn. Finanzminister Mittheilung von dieser Ar-
beit, namentlich von deren praktischen Resultaten
mache.
12. December 1867.
Bericht über den bereits gedruckten Zweiten und
handschriftlich beendeten Dritten Fascikel der
Symbolae sirenologicae von J.F. Brandt. (Lu
le 12 décembre 1867.)
- Bereits im Jahre 1846 verüffentlichte ich, wie be-
kannt, in den Memoiren der Akademie (Scienc. natur.
T. V.) unter dem Titel Symbolac Sirenologicae eine Na-
turgeschichte der nordischen oder Steller’schen Seekuh,
worin ich eine Beschreibung der meisten Theile ihres
Schädels, so wie eine Histologie ihrer Gaumenplatte
lieferte und ihre Verwandtschaft mit den beiden leben-
den Gattungen der Seekühe (Halicore und Manatus),
nebst ihren Differenzen erürterte, so viel es damals
nach den spärlichen Materialien môglich war.
Ein an das Museum der Akademie gleichzeitig mit
mehreren anderen Knochen gelangter ganzer Schädel
und ein nochspäteracquirirtes, fastvollständiges, Skelet
veranlassten mich, der Akademie schon im Jahre 1861
das Manuscript einer zweiten, umfassendern Arbeit
als zweiten, gleichfalls für die Memoiren bestimmten
Fascikel der Symbolae zu überreichen. (Bull. sc. d.
Acad. Imp. d. sc. 3° Sér. T. IV. p. 304, Mél. biol.
T. IV. p. 75). Der Druck desselben gedieh indessen
nur bis Bogen 23, da ich den Wunsch hegte, nicht
bloss die Skelete der lebenden Pachydermen, sondern
auch der fossilen, in den Kreis meiner Untersuchungen
zu ziehen. Als ich nun im October dieses Jahres die
fraglichen Studien zum Abschluss gebracht, liess ich
den Druck im November von neuem beginnen, so dass
gegenwärtig mit Bogen 28 der fragliche Fascikel be-
endet ist. Er beginnt mit einer Einleitung, worin Nach-
richten über die von mir benutzten, auf die Rhytina
bezüglichen Materialien geliefert werden. Hierauf
folgt im ersten Buche, welches vorzugsweise auf die
nordische Seekuh sich bezieht, eine 34 Seiten ein-
nehmende Beschreibung ihres Schädels. Der Schil-
derung des Schädels schliesst sich die von S. 35 bis
93 fortgesetzte Beschreibung des Rumpfskeletes und
der Extremitäten an. Auf der folgenden Seite beginnt
dann eine ausfühbrliche Schilderung der Zähne und be-
sonders der hornigen Kauplatten der Sirenien, denen
umfassende Untersuchungen über Dimensionen und
Proportionen des Skelets der nordischen Seekuh und
einzelner Theile derselben, so wie über die Grüsse sich
anreihen, welche das Thier gegen die Angabe Steller’s
erreichte.
Das zweite Buch enthältdieallgemeine vergleichende
Osteologie der Manatÿs, des Dugong, der Rhytina und
der Æalitherien.
Im dritten Buche werden die osteologischen Cha-
raktere der vier eben genannten Gattungen aufgestellt.
Im vierten Buche sind die osteologischen gegensei-
tigen Beziehungen der erwähnten Gattungen zu ein-
ander erûürtert.
Das fünfte Buch hat die zwischen den Pachydermen
und Sirenien statt findenden osteologischen Beziehungen
zum Gegenstande, die mit allgemeinen Betrachtungen
beginnen, dann aber auf die Âhnlichkeïiten oder Ab-
weichungen des Skelets der Zapire, Nashürner, Nil-
perde, Elephanten, Mastodonten, Dinotherien, Paläo-
therien, Schweine, Pferde, Anoplotherien, Toxodonten
und Æyracinen ausgedehnt werden. Bei Gelegenheit
der Betrachtung der Skelete der noch lebenden Pachy-
dermen wird gewôhnlich ihre spezielle osteologische
Charakteristik, natürlich nach eigenen Untersuchungen,
mitgetheilt.
Erürterungen über die osteologischen Unterschiede
der Sirenien von den Pachydermen, dann über Affini-
täten der Sirenien mit den Cetaceen, ferner die Cha-
rakteristik der Cetaceen und ihrer beiden Abtheïlungen
(der Delphiniden und Palaeniden) nebst dem Nachweis,
dass Letztere den Sirenien näher stehen als die Erstern,
beschliessen den fraglichen Fascikel, der von acht osteo-
logischen Tafeln begleitet sein wird.
Dem zweiten Fascikel sahe ich mich veranlasst noch
einen Dritten hinzuzufügen, dessen Manuskript ich am
heutigen Tage der Classe vorzulegen die Ehre habe.
Derselbe enthält theils neue Artikel, theils Ergän-
473
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
474
zungen zu den bereits früher, zum Theil sogar im ersten
Fascikel, besprochenen Gegenständen.
Im ersten Buche wird die Literatur, der äussere
und innere Bau, die geographische Verbreitung und
die Lebensweïse der Sirenien im Allgemeinen erûürtert.
Das zweite Buch enthält die Literatur, Charakteri-
stik, Verbreitung und Lebensweise der Gattung Ma-
natus.
Im dritten Buche findet man dieselben Erôrterungen
in Bezug auf den Dugong.
Ergänzungen zu der in den beiden frühern Fasci-
keln mitgetheilten Naturgeschichte der Æhytina bilden
den Gegenstand des vierten Buches. Sie beginnen mit
einer Geschichte der Literatur der fraglichen Gattung,
der Bemerkungen über ihre Abbildungen unter Hinzu-
fügung einer neuen, idealen Figur folgen. Denselben
schliessen sich dann Erläuterungen an, welche sich auf
die Haut, den Bau der Gaumenplatten, das Hirn, das
Gehürorgan, die Art der Verbindung der Schädel-
knochen, die Gestalt der Schädelhühle im Vergleich
mit der der andern Sirenien, die Textur und chemische
Zusamme»setzung der Rippen, die individuellen Ab-
weichungen einzelner Skelettheile und auf die geogra-
phische Verbreitung und Vertilgung beziehen, denen
sich einige muthmaassliche Worte über den Unter-
gang der Halianassa anreihen.— Den Schluss machen
sehr umfassende, literärische, so wie selbständige Mit-
theilungen über die Classification und die Verwandt-
schaften der Sirenien.
Werfen wir nun einen Blick auf den Gesammt-In-
halt des zweiten und dritten Fascikels der Symbolae,
so ergiebt sich, dass dieselben einerseits eine, in müg-
lichst systematischer Form abgefasste, vergleichende
Osteologie der Sirenien, so wie der ihnen verwandten
Pachydermen und Cetaceen enthalten, andererseits aber
eine allgemeine und spezielle Naturgeschichte der
Gattungen der Sirenien bieten, worin ihre Classifica-
tion, so wie ihre Verwandtschaften besonders hervor-
gehoben werden.
Die genauere vergleichende Verwerthung der Reste
der Æhytina, die eine der grüssten Zierden der Samm-
lung der Akademie ausmachen und die Herausgabe der,
einen ansebnlichen Quartband füllenden, Symbolae ver-
anlassten, tritt natürlich darin in den Vordergrund.
Cuvier, der den russischen Naturforschern die Unter-
suchung der Rhytina, welche er noch den lebenden
Thierformen zuzählte, ganz besonders ans Herz legte,
würde hoffentlich das Zeugniss nicht versagen künnen,
man sei in Russland bemüht gewesen, nicht bloss ihre
Vertilgung gründlich nachzuweisen, sondern auch ihre
morphologische Kenntniss mit Hülfe der Reste ihres
Skelets und einer Gaumenplatte durch Wort und Bild
môüglichst zu fordern. Die, wohl noch in Aussicht
stehende, Auffindung der bis jetzt unbekannten Knochen
der Handwurzel, der Mittelhand und der Finger, so wie
einiger Wirbel des Schwanzes, dann des Beckens nebst
der Hornplatte des Unterkiefers wird allerdings noch
einige wünschenswerthe, künftige Ergänzungen zu bie-
ten im Stande sein.
Über eine allgemeine Refractionsformel. von Dr.
H. Gyldén. (Lu le 12 décembre 1867.)
Im Anschlusse an meine frühere Arbeit über die
Theorie der astronomischen Refraction habe ich die-
sen Gegenstand weiter behandelt, und bin gegenwär-
tig bei einem Resultate stehen geblieben, welches mir
nicht uninteressant zu sein scheint. Es besteht dieses
Resultat in einer Auflüsung des gedachten Problems,
indem das Gesetz der Temperaturabnahme unbe-
stimmt gelassen wird, und ist also in so weit allge-
mein, als die Refractionen von den Temperaturen in
der Atmosphäre abhängig sind.
In einer ähnlichen Ausdehnung ist dieses Problem
schon von Plana behandelt worden, allein seine Ent-
wickelungen sind nicht weit genug ausgeführt wor-
den, um eine praktische Anwendung zu erlauben;
auch scheint es mir, dass man auf dem von Plana
betretenen Wege die Endresultate nicht so einfach
und übersichtlich erhält, wie die weiter unten mitge-
theilten. Daher glaubte ich ein anderes Verfahren
wählen zu müssen, ohne die Arbeit von Plana wei-
ter zu berücksichtigen. Das von mir gewählte Ver-
fahren ist mit geringer Abänderung dasselbe, welches
von Ivory, Lubboch und Schmidt angewandt wur-
de, und welches auch bei meinen früheren Untersu-
chungen über die Refraction zur Anwendung kam.
Unter der Voraussetzung, dass die mittlere Tem-
peraturabnahme durch eine Function der Hôhe über
der Erdoberfläiche dargestellt werden kann, welche in-
nerhalb der Grenze der Atmosphäre synectisch bleibt,
kann man derselben die Form einer unendlichen Reïhe
475
geben, welche nach den steigenden Potenzen dieser
Hühe fortschreitet. Zweckmässiger noch wählt man
für die unabhängige Veränderliche das Verhältniss
jener Hühe zum Abstande der betreffenden Luftschicht
vom Mittelpunkte der Erde. Nennen wir dieses Ver-
hältniss s, die Ausdehnungscoefficienten der Luft m,
sowie die Temperaturen in der zu s gehôrigen Luft-
schicht und an der Erdoberfläche £ und #,, so kôünnen
wir also setzen:
= 1— 8,5 +8,58 — 8,5 +
1 + mt
- (1)
wo B,, B,, u. s. w. Coefficienten bedeuten, die durch
Beobachtungen zu ermitteln sind. Für den ersten der-
selben hält es nicht schwer einen ziemlich genäher-
ten Werth zu finden — derselbe beträgt etwa 120 —
die folgenden sind uns aber so gut wie gänzlich un-
bekannt. Nur so viel scheint mit einiger Wahrschein-
lichkeit aus den Thermometerbeobachtungen hervor-
zugehen, dass die Grüsse 6, nicht weit von den Gren-
zen O und 18° fällt. Ausserdem sind Gründe vorhan-
den, welche einen negativen oder selbst einen ver-
schwindenden Werth dieser Grüsse unwahrscheinlich
machen. In Folge des Gesagten nahm ich in meiner
Abhandlung «Untersuchungen über die Constitution
der Atmosphäre etc. St. Petersburg, 1866» an,
Bo = 18°
und vernachlässigte die übrigen Glieder in der Reihe
(1). Die aus dieser Hypothese, oder vielmehr die aus
irgend einer Hypothese über die Abhängigkeit der
späteren Coefficienten der Reïhe (1) von dem ersten
hervorgehenden Refractionen sind aber zur Verglei-
chung mit den Beobachtungen in der Nähe des Hori-
zontes nicht die geeignetsten. Es lässt sich nämlich
dabei der Einfluss der hüheren Glieder schwer über-
sehen, welches doch zur Beurtheilung nothwendig ist,
ob die Refractionen mit anderen Erscheinungen, welche
von der Wärmeabnahme abhängig sind, im Einklange
erscheinen, oder ob uns noch unbekannte Einflüsse
vorhanden sind, welche bei der mathematischen Ver-
bindung der bekannten Thatsachen übergangen wur-
den. Weit vortheilhafter ist es, wenn man solche Re-
fractionen mit den Beobachtungen vergleicht, bei wel-
chen entweder die Coefficienten B,, 8, u. s. w. oder
auch andere Grüssen, die mit jenen durch einfache
Relationen verbunden sind, unbestimmt gelassen wer-
1+nt
dass
Bulletin de l’Académie Empériale
476
den. Dieses war die hauptsächlichste Veranlassung zu
der neuen Ableitung der Refractionsformeln, deren
Endergebniss in gedrängter Form nun folgt. Die Ein-
zelnheiten der Analyse werde ich später mittheilen.
Die Integration der Differentialgleichung der Re-
fraction kann man beliebig weit ausdehnen. Wählt
man eine Luftschicht als obere Grenze, in welcher die
Dichtigkeit der Luft als verschwindend betrachtet
werden darf, so erlangt man den vollständigen Betrag
der Strahlenbrechung. Den Werth von s, welcher die-
ser Schicht entspricht, bezeichne ich mit w und setze
ausserdem
S = OT.
Dem Verhältnisse der Dichtigkeit in der x ent-
sprechenden Luftschicht zur Dichtigkeit der Luft an
der Erdoberfläche kann man nun leicht den folgen-
den Ausdruck geben:
e — T—g,T—ÿ me EI
Po LINE LL Ë “tt (2)
Bezeichnen wir den Erdhalbmesser mit a, und die
barometrische Constante mit /, so sind die Relationen
zwischen den Grüssen g,, g, u.s. w. einerseits und die
Grôssen $,, 8, u. s. w. andererseits die folgenden:
a =(F$—8, 9
= 3 (5—
U: 8. W.
2— 6) 0 + 2 8,8,0°— 8,0
Wenn der Ausdruck (2) in die Differentialgleichung
der Refraction eingeführt wird, so lässt sich diese nicht
direct integriren; man wird daher veranlasst das
Mittel der Reihenentwickelung zu ergreifen. Ich zer-
lege desshalb die Gleichung (2) folgendermaassen:
e
M, —M,—M, —…
wo
PTE
M,= e
0 nee
0} —
M,= (qu — 19 2)e 47
u. S. W.
Durch diese Zerlegung wird bewirkt, dass die Glie-
der in der Refractionsformel, welche von jedem ein-
zelnen M herrühren, in der Hauptsache derselben
477
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
478
Ordnung sind. Somit lässt sich die Convergenz der
verschiedenen Glieder am einfachsten übersehen.
Früher habe ich die Entwickelung der Refraction
durch die Formel
82 ——{R° + aR0 +R? + ….]
dargestellt. Ich bezeichne nun den Theil von R°, wel-
cher aus M, hervorgeht, mit 2°, den aus M, ent-
springenden mit À," u. s. w., so dass
RO—ROE ROSE
À a Len
In ähnlicher Weise setze ich auch
RÔ=RO +R +
Die Integrale, auf welche unsere Aufgabe in ihrer
jetzigen Fassung führt, sind nur von g, abhängiy; sie
künnen daher ein für alle Mal berechnet werden und
bleiben bei jeder Hypothese, die man über die Grôs-
sen B,, 8, u. s. w. oder auch g,, 9, u. s. w. aufstellt,
dieselben. Bei der numerischen Berechnung dieser
Integrale habe ich die nachstehenden Werthe von a,
Lund 8, benutzt, welche auch meinen früheren Re-
fractionstafeln zu Grunde liegen:
a — 3274720
4 =
HD 0
Für © nehme ich _. Werth — 2 oder à ; an, welcher
genügend gross ist, um den Betrag déc Refraction
vollständig zu erhalten. Es wird nun
9, = 10,8856,
womit in Verbindung mit dem Werthe der Refrac-
tionsconstante
a — 0,00027985
sich die D: Formeln ergaben
1 #
—— R9 = 632,50
Ve TEE F
+ 0,096"
+ etc.
1 RO= + 0/09
ve Te —
+ 10,63c
931106
29,17 €
28,39 c“
20,91 c
+ 13,646
7,84c!
4,06c°
1,92c°
0,83c"°
0,340"!
—+- etc.
Um numerische Ausdrücke für die Grissen A,
und À," zu erhalten, nehme ich wieder an, dass
Bo = 18°
und erhalte somit
9, = 11,8856.
Um die Grüssen R,° und À," einer anderen Hy-
pothese entsprechend zu erhalten, hat man bloss die
+++
+++
nachstehenden Ausdrücke mit ce zu multipliziren, wo
(g,) den aus der neuen Hypothese folgenden Werth
von g, bezeichnet. Re Rechnung ergab
L RM — + 23/14c
Ve Te
+ 31,65€
+- 17,516
0,63ct
8,47 c°
8,97.c°
B 15C
2,38 c°
0,90c°
0,34c!°
etc.
— R, M — + 9,02c°
1
Ve
+4,97
+ 4,516
479
Bulletin de l’Académie Hmpériale
480
Zufolge den numerischen Werthen von 5 und ,,
sowie dem muthmaasslichen Betrage von 8, ist der
beträchtlichste Theil der Grüsse g, von $, unabhän-
gig. In den Hypothesen: 8, — 0 und 8, — 18; gestal-
ten sich z. B. die Werthe von 4 folgendermaassen
G = 10,8856
J—12,8856,
woraus zu ersehen ist, dass die Unsicherheït der Glie-
der AR, R,0 u. s. w. nicht sehr erheblich ist.
Bei den folgenden Gliedern 2°, u. s. w. ist der hy-
pothetische Theil von derselben Ordnung wie der mit
Sicherheit erkannte; sie schwanken daher stark, bei
Ânderungen in den Hypothesen. Ich führe die Aus-
drücke an für À, wie sie sich gestalten in 3 Hypo-
thesen:
DRE 0:
RO = —
+ 92,58 c°
+4,98
+- 0,88c*
— 1,716
—— 9,046
—_03c:
—_ 0,046
—etc-
4 B, = 0
RO — —6,55c
+ 0,76
+ 5,946
+ 2,33c"
— 1,15
roc
—1,27c!
— 0,23
— etc.
/ 1 3
Ps 2,3 Pr
1 œ
a/c
FA TE NC
RER PO 080c
VOLE +4 À
— 1,60€
Nr ie
+ 4,216
05c
19/01
— 1,62€
— 0,346
— Ge;
In allen diesen Formeln hängt die Grüsse c mit der
scheinbaren Zenithdistanz des beobachteten Objectes
folgendermaassen zusammen. Bezeichnet man diese
mit z und setzt
so ist
Zur Kenntniss des Azobenzids, von P.Alexeyeff
(aus Kiew). (Lu le 28 novembre 1867.)
Seit einiger Zeit beschäftige ich mich wieder mit
dem Azobenzid. Zu den Resultaten, welche ich schon
früher verôffentlichte (Bull. de la Société Chimique
1864, Zeitschrift f. Chemie 1867), kann ich jetzt
einige neue hinzufügen, welche ich während eines
kurzen Aufenthalts in Berlin, im Laboratorium des
Hrn. Prof. Baeyer, erhalten habe.
Zinkstaub, mit Zusatz einer kleinen Quantität von
Kali oder Natronlauge, wirkt auf einealcoholische Lü-
sung von Nitrobenzol ganz so wie Natriumamalgam
ein, und auf dieselbe Weiïse kann auch am besten und
schnellsten die Verwandlung des Azobenzids in Hy-
droazobenzid bewirkt werden. Wird nämlich eine
alcoholische Lüsung von Azobenzid mit Zinkstaub im
Überschuss und Kalilauge gekocht, so entfärbt sich
die Lüsung bald, und wenn man dann die Flüssigkeit
filtrirt, so erhält man nach dem Erkalten ganz farb-
lose, glänzende Blättchen von Hydroazobenzid.
Das von Swertschewsky entdeckte Dichlorazoxy-
benzid verwandelt sich beim Kochen seiner alkoholi-
schen Lüsung mit Zinkstaub und Kalilauge in eine
schôüne, weisse, nadelfôrmige Substanz, welche wahr-
scheinlich Dichlorhydroazobenzid ist.
Mitscherlich’s Beobachtung zufolge zersetzt sich
Azobenzid, beim Leiten seiner Dämpfe durch ein glü-
hendes Rohr. Bei Wiederholung dieses Versuchs habe
ich eine Quantität brauner Flüssigkeit erhalten, wel-
che sehr stark nach Blausäure roch, und auch wirk-
lich eine sehr grosse Quantität davon enthielt. Zu-
gleich hatte sich im Robre ziemlich viel Kohle abge-
AS1
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
482?
lagert. Die braune Flüssigkeit wurde mit Wasser ge-
waschen, durch Chlorcalcium getrocknet und der
fractionirten Destillationunterworfen, wobeï als Haupt-
produkte Benzol, Anilin und Diphenyl erhalten wur-
den. Folglich entsteht bei der trockenen Destillation
des Azobenzids Blausäure, Anilin, Benzol, Diphe-
nyl und Kohle.
Ich erlaube mir weiter zu bemerken, dass ich bei
der Ausarbeitung des Versuches einer Monographie
der Azoverbindungen, welche ich zu drucken angefan-
gen habe (Nachrichten der Kiewer Universität 1867),
überrascht war zu finden, dass das von Prof. Zinin
entdeckte und von Hrn. Schmidt untersuchte leicht-
lüsliche Reductionsproduct des Nitroazoxybenzids die-
selben Eigenschaften besitze, wie das von A. W. Hof-
mann beschriebene 8 Phenylendiamin. Betrachtet man
die von Hrn. Schmidt erhaltenen analytischen Re-
sultate, so findet man, dass es sehr wahrscheinlich
sei, dass die von ihm untersuchte Base wirklich die
Zusammensetzung C°H°N* habe. Nur die Zahlen,
welche Hr. Schmidt für den Stickstoff erhalten hat,
stimmen nicht gut hierzu.
Nimmt man an, dass die schwerlüsliche Base, welche
zu gleicher Zeit bei der Reaction entsteht, die Zu-
sammensetzung C'?H°(N H*)N°O habe, so wird es
môüglich, bei weiterer Reduction die Zersetzung in
Phenylendiamin und Anilin anzunehmen
C'2H° (NH?) N°0 + 2H° — CSH°N° + C'H'N.
Anilin ist wirklich von Hrn. Schmidt erhalten
und dabei von ihm bemerkt worden, dass bei der
Einwirkung von Zink und Salzsäure (also eines stär-
keren Reductionsmittels auf Nitroazoxvbenzid), nur
ein leichtlüsliches Produkt entsteht.
Wenn die weiteren Untersuchungen von Hrn.
Schmidt meine Vermuthung bestätigen sollten, so
würde sich ergeben, dass das 8 Phenylendiamin schon
vor der Verüffentlichung Hofmann’s entdeckt war.
Kiew. Im August 1867.
Kritische Bemerkungen, von A. Nauck. (Lu le 5
décembre 1867.)
11. A,5. Der Groll des Achilleus stürzte viele Sec-
len der Helden in den Hades hinab,
avTous DE ÉAOEUL TEÛYE KUVEGOLY
clovoïot re nat, Aus à étehelero Bouèn.
Tome XII.
Was in diesem Zusammenhange r&ot bedeuten soll,
ist schlechterdings unverständlich. Düntzer de Ze-
uodoti stud. Hom. p. 111 übersetzt «ef alitibus, quot-
cunque venerunt». Aber r&otv ist etwas anderes als
Goot So, und ein Zusatz wie 8ce: 1ASov wäre hier
müssig oder eigentlich sinnlos. Sollte jemand auf ir-
gend eine andere Weiïise das tract zu erklären versu-
chen, so habe ich nichts dagegen, werde aber gleich-
wohl erst dann das Wort für müglich und zulässig
erachten, wenn es durch entsprechende Parallelstellen
geschützt wird. Hunden und Geiern werden unendlich
oft Leichen preisgegeben, schwerlich aber allen Hun-
den und allen Geïern. Von richtigem Takte wurde
Bentley geleitet, wenn er covoisé te xuow« verlangte
(vel. ILE, 488: pn tros avdoaot Buouevéeoct Ehoo xui
xvopa yévnos. Od. y, 271: xakkmev olovoiot log xai
xvoua yevéoèou. €, 473: dede un Sne:00t op xai
xvopa yévopat). Die ursprüngliche Lesart jedoch, von
der unsere Scholien zur Ilias schweigen, hat Ath. I
p. 12 F erhalten, welcher berichtet, Zenodot habe
otovoict re daita gelesen. Freilich lehren alte Gram-
matiker, vermuthlich nach dem Vorgang des Aristarch,
bei Homer werde ais nur von menschlicher, nie von
thierischer Nahrung gebraucht; aber wenn dies auch
im Allgemeinen richtig ist, wie es nach dem Begriff
des Wortes nicht anders sein kann, so erscheint es
doch als übertrieben pedantisch, die Uebertragung von
dœts auf thierische Kost dem Homer verbieten zu wol-
len. Auch im Lateinischen kommen dapes und epulae,
im Deutschen Begriffe wie «Mah]lzeit, Schmaus» ei-
gentlich und von Rechts wegen nur dem Menschen
zu, ohne dass darum die Uebertragung derartiger
Ausdrücke auf die Nahrung der Vierfüssler und Vôügel
irgend welchem Bedenken unterliegt. Wie bei Aeschy-
lus Prom. 1024 der Adler des Zeus den Prometheus
besucht als Sartansds raviy.so0s, um ihm die Leber
«hinwegzuschmausen» (ras éxSotvasetat), wie Phi-
loktetes bei Sophokles fürchtet, er werde den Vügeln,
seinen bisherigen Ernährern, zum Schmause die-
nen (œirès rahas Savoy ragééo ais Üg ov évee-
8cunv Phil. 957), wie Euripides Hec. 1073 Sctvav
ayotoy Sno6v, 1078 xuot poviav daitæ, Ion 505 Sngot
ocuviav daita zu sagen sich gestattet, so durfte Homer
mit demselben Rechte von der àa{; der Geier reden,
mit dem er Il. B, 383 sagt: e0 3 vis Inroctv Der voy
Sérw wrvrcdecouv. Noch an einer zweiten Stelle der
31
483
Bulletin de l’Académie Fmnpériale
484
ET —_—_—_—_—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—————————
Ilias finden wir dæis von thierischer Nahrung gebraucht, | so kommen musste: Zenodotum, ut locum emendaret,
Q, 43 in der Erwähnung des Lüwen,
Be + émet do peyakn Te Pén mal aynvopt Sup
ciéas*) so’ ént pla Boorôv, {va Jaira hafnouv.
Um hier den vermeintlichen Missbrauch zu beseitigen,
hat man in neuster Zeit nach pqh« interpungirt und
30oTûv Jaira verbunden. Allerdings würde zu pñhæ
niemand die nähere Bestimmung Boorôy vermissen;
aber die Verbindung Boctév {va Sara haBnotv ist ent-
schieden falsch. Oder sollen wir uns die Homerischen
Lüwen so raffinirt vorstellen, dass sie beim Ueberfal-
len der Heerden nicht an die eigene Sättigung den-
ken, sondern an den durch ihren Raub den Menschen
oder vielmehr den «Sterblichen» bereiteten Schaden?
Und gesetzt die heroischen Lüwen wären s0 unedel
und so menschlich boshaîft gewesen, immer würde die
Verbindung Becrôy daîra das directe Gegentheil be-
weisen von dem was man zu beweisen suchte. Denn
wenn Homer das Wort Sas nur von menschlicher
Speise gebrauchen kann, so ist die Verbindung Boc-
<Gv Jairo mit dem nachdrücklich vorangestellten Ge-
netiv in der Homerischen Poesie undenkbar; wer Boo-
r6v das sagt, für den muss es auch eine Snpôv ais
geben. Wie man also auch über das Bootv Il. Q, 45
urtheilen mag”), sicherlich darf es nicht mit ôaita
verbunden werden, und in dem Ausdruck va Gaita
Adgnouw das Wort ôai anders als von der Nabrung
des Lüwen zu verstehen ist absolut unmôüglich. Die
Beobachtung der Alexandriner über den Homerischen
Gebrauch des Wortes das ist also irrig und verkehrt;
sie hat jedoch insofern für uns einigen Werth, als sie
den Grund uns klar macht, durch den man bewogen
wurde die überlieferte Lesart ctwvoîct te daita Il. À,
5 zu verlassen. Man beanstandete diese Lesart gerade
deshalb, weil sie mit der engherzigen Schulweisheit
Alexandrinischer Pedanten sich nicht vertrug. Dün-
tzer freilich erzählt uns, Zenodot habe die Stelle
emendirt, und er weiss genau zu sagen warum dies
1) In diesen Worten liegt ein Fehler, da von èxet unmôglich
das Participium et£ue abhängen kann. Alte Kritiker wollten £têac
in e*En ändern, Lieber würde ich mit Bentley <tëucx, eo èrt pda
schreiben. Doch bleibt auch die Müglichkeïit offen dass te &p eine
falsche Lesart ist, etwa statt clap.
2) Eine befriedigende Erklärung und eine Rechtfertigung durch
analoge Ausdrucksweisen scheint mir unmôglich. Einen passenden
Sinn bekämen wir durch die Aenderung ét piha fôaç %, va
Sutra hdBnouv. Bekanntlich werden bei Homer pnku und ces gern
verbunden.
movit hdotx, quod quum Éhxvopata intelligeret, aliti-
bus, qui cadavera comederent, non aptum hacuit. Hätte
Zenodot rot vorgefunden und gleich Bentley daran
Anstoss genommen, so würde dies ihm zu grüsster
Ehre gereichen. Die Scholien aber berichten, Zenodot
habe Il. A, 4 und 5 für unecht gehalten, und schon
darum ist es nicht eben wahrscheinlich dass er aus
Conjectur Sara für räct gesetzt haben sollte; denn
hielt er ract für unpassend und verkebrt, so war wohl
nichts natürlicher als dass er in dem unpassenden und
verkehrten rüäct die ungeschickte Hand eines Inter-
polator wahrnahm, dem der schlecht gewählte Aus-
druck zugestanden werden konnte. Ein bestimmtes
Zeugniss jedoch dass die Lesung aire um mehrere
Jahrhunderte älter ist als Zenodot, liefert Aeschylus
Suppl. 801, dessen Stelle Imm. Bekker im Anhang zur
Ilias p. 405 zwar in Folge meiner Privatmittheilung
erwähnt, aber nicht nach Gebühr gewürdigt hat:
xuoiy À tetS Éhopa xATI{OpUOLS
dovot SeîTvov cUx dvmivopuat TÉAEL.
Wie dem Homerischen éhogta xivecotw hier xuotv £ko-
ox *) nachgebildet ist, so lehrt der Ausdruck Covtot
Seînvoy ganz unzweideutig dass schon Aeschylus in
der Homerischen Stelle ctovoïof +: daira gelesen hat.
Eben dieser Lesart folgt Manetho IV, 200: ciavôy
xaxa deirva wuvoy © Élxuouata dewa. Das herr-
schende ciovoict te räot, das von Seiten des Sinnes
unpassend ist und wahrscheinlich einer falschen Beob-
achtung und einer verfehlten Conjectur des Aristarch
seinen Ursprung dankt, das mindestens durch die äl-
testen Zeugnisse über den Homerischen Vers entschie-
den widerlegt wird, sollte doch nun endlich aus dem
Texte des Homer verbannt werden und dem in jeder
Hinsicht tadellosen, durch ein Zeugniss aus dem fünf-
ten Jahrhundert v. Chr. gesicherten ctovoîct te duita
Platz machen. Denn nicht den Aristarchischen, son-
dern den voralexandrinischen Homertext herzustellen
ist die Aufgabe und das wenngleich unerreichbare,
doch immer anzustrebende Ziel der Kritik. Statt dies
Ziel zu verfolgen glaubt die Mehrzahl der heutigen
Homeriker, sobald die Aristarchische Lesart einer
Stelle ermittelt ist, in Betreff dieser Stelle das ibrige
3) Die Form £Awpa ist sonst nirgends weiter nachzuweisen.
Darum halte ich es für hôchst wabrscheinlich, dass Aeschylus viel-
mehr xvotv & Elwo terra schrieb.
485
gethan zu haben. Man meint, Aristarch habe durch-
gängig die Lesarten der ältesten und besten Hand-
schriften wiedergegeben, mit anderen Worten die
Handschriften seien so gefällig gewesen die von Ari-
starch gemachten, oft hüchst zweifelhaften, oft durch-
aus unrichtigen Entdeckungen auf dem Gebiete der Ho-
merischen Interpretation glatt zu bestätigen. Ein Wun-
der, das hinter dem der Septuaginta kaum zurückbleibt.
Nur wenn das zu Gunsten des Aristarch herrschende
Vorurtheil aufgegeben wird, ist ein erheblicher Fort-
schritt in der Homerischen Kritik zu hoffen, und wir
müssen es bedauern dass Lehrs auch in der neuen
Auflage seines Meisterwerkes de Aristarchi studiis Ho-
mericis es unterlassen hat auf die grossen und unver-
kennbaren Missgriffe und Verirrungen der Aristarchi-
schen Kritik nachdrücklichst hinzuweisen — Verirrun-
gen, die allerdings, wie ich schon früher hervorgeho-
ben habe, nicht der Person des Aristarch, sondern
seiner Zeit zur Last fallen, die aber gleichwohl dem
Homerischen Texte unsäglich geschadet haben, darum
weil die Aristarchische Festsetzung'des Homerischen
Textes in einem der kritischen Methode ermangelnden
Zeitalter fast kanonisirt wurde und man in blinder
Verehrung für den Meister die von ihm mit Unrecht
geänderten Lesarten vielfach nicht einmal der Erwäh-
nung würdigte. Trotzdem findet sich in den Scholien
zur Ilias und sonst noch mancherlei Material, um nicht
wenige Paradiorthosen des Aristarch auszumerzen:
dies Material zu sammeln und zu verwerthen ist eine
der nächsten und dringendsten Obliegenheiten der Ho-
merkritiker.
Il. F, 160. Die Troischen Greise bewundern die
Schôünheit der Helena, halten aber dennoch die Rück-
kehr derselben für nothwendig:
2)) \ \ de ns 7e À 2 A à CT AL
dhAG Hat &5, Toin Tep ÉCUT , Év vu veéo To
pd muiv Texéecot T Ontocù Tu AT.
Statt vavot dürfte vielleicht richtiger vsvct geschrie-
ben werden, vgl. Thes. Gr. L. vol. 5 p. 1380 C und
Corp. Inser. 6129 b 32 vol. 3 p. 855. Am Schlusse
scheint Arorro, superstes sit, unpassend; es muss wohl
heissen ua yéverre. So lesen wir K, 453: ouxeéT
éreuta où riua rot coca Apyelorotv. X, 421: 65 puev
étuxte xai étocme nue Vevéo To Touor. E, 63: aî räct
xaxov Toweoot yévovre. Od.r, 103: et un yo xetvorot
xaxov ravrecot yevotunv. Il X, 358: un toi rt Seüv
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
a ,
486
nue yévoper, u. ä. Auch sonst werden xr£5%4 und
vevéota! verwechselt, wie Od. 6, 187 oder 223.
IAASHIST7E
w n , CHE , , a cd
Cop av HLÉY xev Co Ayapépvova rouLéve Rav
JVGUT EV TOCHLAOLOLY, ÉVuÉpOVTE GTLYS
TPE AVAYOPEÏTO KTÉ.
y
un
avÈLOY,
Entsprechend später A, 202: pp œv pév xev co&s
Ayapépvova xté. Die Verbindung &op dv év xev findet
sich auch an zwei Stellen der Odyssee, €, 361: 0og
av pév xev Joupar év appowfoty donon, und €, 259:
Chp dv pév x dypcts louev at Éoÿ dvSpcrov. Mag
auch die Partikel &v nicht selten zweimal, zuweilen
sogar dreimal in demselben Satze vorkommen (vgl.
Soph. fr. 669: rôs av oùx dv êv Stern Savour &v; Eur.
Andr. 934: oux av ëv ÿ éuoîs Souors Bhérous’ dv aÿ-
vas Top éxaoproût @v héyn. Tro. 1244: doaveis dv
Gvtes cÙx y dynTmuey 4), so konnte es doch keinem
Griechen in den Sinn kommen etwa ©s &v pèv av San
oder 6rou äv pËv dy ÿs zu sagen; ganz eben so be-
fremdlich aber ist das Homerische 69 dy péy xev.
Thiersch Gr. Gr. $ 346, 18 wollte an den bezeichne-
ten Stellen xev in xat ändern; aber das xai würde
nur ein stôrender Pleonasmus sein. Vermuthlich ha-
ben alte Diorthoten Co av uv des Metrum wegen
statt Éws pév gesetzt: in diesem Falle würde uns ob-
liegen nos pév herzustellen. Fehlerhaft ist auch Il. N,
127: odhayyss xaprepat, Gas oùT dv xev Apns évécouto
peteïov cûts x ASnvain hacoocos, Wo ich vorschla-
gen môüchte &s où toi xev Aons — oÙùdé x’ ASmvain.
Endlich künnen wir auch Od. 1, 334: cî D èhayev,
toÙs Av xe Hal nTehov autos déc, nicht für richtig
halten; dass an dieser Stelle weder &v noch x: noth-
wendig oder wünschenswerth ist, lehrt Il. H, 182:
êr D ESopev xhtoos zuvéns dv de Sehov avroc. Ob da-
nach +oÿs dou xai nSehov œûrès EécSe, ob anders zu
schreiben sei, wage ich nicht zu entscheiden. Im spä-
teren Epos ist die Verbindung @v x (Arat. Phaen.
562) und xev @v natürlich nicht zu beanstanden: vgl.
Hermann Orph. p. 385 f.
Il. A, 413. Nachdem alle Argiver geflohen sind,
sieht sich Odysseus im Kampfe vereinsamt,
roosa à êni Towwv oriyes NAUSOY dorioTawy,
Éhcavy Ô Év ÉGOO!GL LETA GOÛGL TUE
> 2, -
TLJSEVTES.
Nikanor interpungirte nach cofc:, wogegen die neu-
sten Herausgeber BETA colo! TALA TIJÉVTES verbinden.
Le] ] 1
81*
487
Bulletin de l’Académie Impériale
488
Friedländer Nicanoris reliq. p. 92 lässt es ungewiss,
welche Auffassung den Vorzug verdiene: mir scheint
es klar dass Nikanor Recht hatte, da die Troer, wie
es in den Scholien heisst, oùy éautois riua TSéaou
aka +6 OBvocet. Aber damit die durch den Sinn ge-
forderte Verbindung môglich werde, ist die Präposi-
tion év zu tilgen:
>" \ , S 7 = & ?
ÉAGOY dE [LÉGOOIOL [LETO GHUOL, TILL TITÉVTES.
Bedenklich bleibt noch das hüchst unbestimmte rip
ttSévres. Dass Zenodot dafür gelesen habe tua Ôè
hcav, ist kaum zu glauben; vielmehr wird éxca ein
Schreibfehler unserer Scholien sein, der durch das zu
Anfang des Verses stehende éAcav veranlasst wurde,
Il. 3, 1353. Thetis meint, Hektor werde nicht lange
sich brüsten mit den erbeuteten Waffen ihres Sohnes,
da seine Tage gezählt seien:
oudé € CU
dnpov étayhaietoSou, HE DOVOs ÉVYUSEY AUTO.
Hier dürfte ocves schwerlich das rechte Wort sein.
Offenbar will Thetis sagen, dem Hektor sei der Tod
nahe; also fordert der Zusammenbang den Begriff 5a-
varos oder rétuos, wie dieselbe Thetis vorher Z, 96
zu Achilleus sagt: ait yap vor Ereura peS "Extopo
rôtuos éroîuoc. Vel. T, 409: dAG tou Syvo$ey HS
CXéSpuov. X, 300: vov Se Sn ÉYYUI por Savaros HAN
où Et aveuSev. Es wird zu lesen sein émet popos
ÉVYUSEY auto.
Od. &«, 106. Die Ankunft der Güttin Athene in
Ithaka wird in folgenden Versen erzählt:
cri à ISaxns évi Snpo ért nooSvoots Ovoños
cUBoÿ ÊT œuhelcu, RoaA Ô êys NES ÉVX0S"
edge À ox PTTApRe dyTVopas* oÙ pv ÊTELTA
Tecooiot pordpolSe Supawy SUpOY ÉTEPTOY KTÉ.
Worauf sollen wir ëtete beziehen? Da nicht gesagt
ist was die Freier trieben bevor sie mit dem Bret-
spiel sich beschäftigten, so meint man ëretta gehe
auf Athene und deren verschiedene Wahrnehmungen.
Es wird nun geschildert, sagt Ameis, was Athene
sah, nachdem sie die Freier erblickt hatte. Mit an-
deren Worten où pèv émerta — Supôv étepmov soll be-
deuten: Eterta etde pynotious meocciouy Sumôy Téproy-
tas. Zu dieser willkürlichen und leichtfertigen Ver-
drehung der Textesworte künnen wir uns nicht ent-
schliessen, zumal da es immer unpassend bleibt zu
sagen: Athene fand die Freier, darauf sah sie wie
dieselben sich am Bretspiel ergützten. Die beiden
Wahrnehmungen, welche Ameis sondern will, hängen
so genau zusammen, dass die Partikel étetta geradezu
unerträglich ist. Es hat hier wie unendlich oft der
Versausgang gelitten; der Dichter konnte, so viel ich
sehe, nur schreiben: of pév éxeîSt reccoiotv — Supôdv
reomov. Zu éxzit bietet das nachfolgende rocorapcrSe
Suodwvy die nähere Bestimmung in echt Homerischer
Weise. Die Form éxsttt steht ebenfalls zu Ende des
Verses p, 10.
Od. 5, 221. Das œoeuaxey, welches Helena dem
Wein beimischt, um die Betrübniss der Trinkenden
zu verscheuchen, wird genannt
& ? sy. , " » 2 @& L ’
VNTEVSÉS T ŒYONOV TE, XAKOY ÉTLANIES ATAYTOY.
Für értanSes sprechen die meisten Handschriften der
Odyssee wie von jüngeren Schriftstellern welche den
Homerischen Vers anführen oder benutzen, Dio Chry-
sost. 12, 52. Plut. de vita et poesi Hom. c: 211. Iu-
stinus Martyr vol. 1 p. 82. Clemens Alex. Protr. p. 3.
Tzetzes Epist. 8 p. 11. Dagegen lasen Aristarch und
Herodian értnSov, eben so Ptolemaeus Ascal., nur
dass dieser értÿ%0o accentuirte. Der Aristarchischen
Lesart, die in unseren Ausgaben sich eingebürgert
hat, begegner wir in der Mehrzahl der Citate oder
Reminiscenzen bei späteren Autoren; so bieten értAn-
Sov Galenus ed. Kühn vol. IV p. . Aelian. N: A.
4,41. 15,19. Iamblichus de vita Dee S 113. He-
sychius v. 4yohov. Gregorius Naz. vol.2 p. 119B. Theo-
phyl. Simoc. Hist. 2, 11. Epist. 25 (wo sich die Va-
riante érfanotey findet). Anonymus Anth. Pal. 9, 636.
Macrobius Saturn. VII, 1. Suid. v. vnrevSés. Eust.
Opuse. p. 137, 72. Auf eben dieses éttAn%ov ist bei
Psellus'in Westermanns Paradoxogr. p. 143, 9 das
handschriftliche értnomov zurückzuführen. Durch die
Aristarchische Lesart der Homerischen Stelle bedingt
sind auch Wendungen wie apoo àë vécu éréanè méhet
Synes. Hymn. 3 p. 329 D und agua — Booténs étin-
Sov avis Nonn. Dionys. 7,368. Dass die Mehrzahl der
Zeugnisse für értanSov spricht, erklärt sich einfach
aus der Autorität des Aristarch; ihm schlossen die
meisten Späteren sich an, ohne dass die Masse der
Nachbeter für die Richtigkeit seiner Lesart eine Ga-
rantie bietet. Wir werden also kaum entscheiden kôn-
nen, ob értAnSoy oder érAnSes besser bezeugt sei.
PTT.
AS9
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
490
me
Nach inneren Gründen aber zwischen beiden Lesarten
zu wählen ist darum nicht leicht, weil bis jetzt weder
für die eine noch für die andere Form schlagende
Analogien sich gefunden haben. Nitzsch Anmerk. zu
Hom. Od. Bd. I p.253 und Buttmann Ausführl. Griech.
Sprachl. IT p. 233 billigen die Betonung érSov, die
freilich durch Aretaeus, fôcvn ooéas ha£urat érixn-
Sevca rôv ropes (Lob. Ai. p.91), noch nicht hinläng-
lich gesichert zu sein scheint. Bis andere ein leichte-
res Heilmittel nachweïisen, bin ich nicht abgeneigt zu
vermuthen xaxov ha®wndès aravrov. Bei diesem Vor-
schlage lege ich kein Gewicht darauf dass einige By-
zantiner das oéepaxos der Helena haStxmdés nennen‘),
da dieser Ausdruck in ihrem Munde müglicher Weise
nichts weiter ist als eine Abbreviatur des in der Odys-
see gelesenen xaxüv éréAnto arüvrov. Aber AaSxn-
ns ist ein dichterisches, schon IL. X, 83 vorkommen-
des Wort, und mit der Redefülle xaxov hauStmndés las-
sen sich Wendungen vergleichen wie £80av aruoy
cituos Aesch. Eum. 893. haSirovov cBuväy Bécrov Soph.
Trach. 1021. Souhetus tavoirovos Eur. Iph. T. 451.
Od. ©, 201. Odysseus freute sich, als er auf dem
Kampfplatz die Athene erblickte,
Lai vote xouDOTE po WLETEpUVEs Parxeooi HTÉ.
Für das seltsame xovoctsoov geben die Scholien eine
reiche Auswahl von Erklärungen: dhatowxotegev,
SOdGUTEOV, KOULTNIOTEPOV, ÉTPHLÉVOV, T0 9 NT LL TIKO-
ragov, Su200 76 qùo ral Tÿ vén, ferner evSuyéte-
ocv, endlich taxztvotegov n romctepov. Unsere Lexi-
kographen meinen, xovpdrsgey bedeute «mit leichte-
rem Herzen». Sollte dieser Begriff ausgedrückt wer-
den, so müsste statt xoüvos vielmehr Sagauhéos ste-
hen. Wenn xcuvos sineiv, wofür mir kein Beispiel
gegenwärtig ist, überhaupt sich findet, s0 wird es
schwerlich etwas anderes bezeichnen künnen als ein
leichtfertiges Geschwätz: diese Bedeutung muss man
erwarten nach Bildungen wie xeupohcyos, xoupohoyéx,
zovochoysiv. In obigem Verse muss es, denke ich,
vielmehr heissen xoupotépors etepuvse Parnxeootv.
4) Synesius Epist. 145 p. 285 B: SEXEvN pév oûv ro Au SuendëS pAp-
uuxoy Iloxvôapvx népe Owvos rapaxorrts. Argum. Eur. Hel. p. 185, 4:
roy Opnpoy rorobvra ray EXÉVNY TupÉEL TO Treuiye à Oôvoosix
rù AuSLENÔËS Épuuxov, TO OÙ TOPE Ilokvôauva Ocwvos Tapaxottts.
Theophyl. archiepise. Bulg. Epist. 17 p. 25 ed. Meurs.: ëy avi
ydp ovre pot To huSuxnôës ÉEEVO avéyeus piomaxov. Eust. Opusc. p.
137, 72: éÉevpioxeuy td haSixndès Au xuxGY ÉTÉANIOY ATAVTUY PAp—
uaxos. Vel. Hesych.: AaStendéc" AugixUHOY, TAUGÉAUTO.
Dass Odysseus an die jüngeren Phaeaken sich wen-
det ist ganz in der Ordnung und ausdrücklich bezeugt
durch den folgenden Vers, roÿrey vi doixeate, véor.
Od. 5, 429 : Gopa — Bari te TÉprnTat ai dodis
yvoy dxovov. Das Wort ‘yves würde in den jetzigen
Zusammenhang ungefähr passer, wenn es etwa hiesse
SeGv dyvous dxcvov, obgleich auch ein derartiser Be-
griff hier etwas zu speciell wäre, wo lediglich die
Thätigkeit des Sängers bezeichnet werden soll, der
die Thaten der Vorzeit, güttliche wie menschliche,
verherrlicht. Die Verbindung deds dp.ves scheint mir
mit der Bedeutung des Wortes dyves sich nicht zu
vertragen. Nehmen wir hinzu dass die Würter vos
und vyvéo in der Homerischen Poesie nicht weiter
vorkommen, so wird der schon vorhandene Zweifel
an der Richtigkeit der überlieferten Lesart noch ver-
stürkt, zumal da mit ganz leichter Aenderung ein
passender Ausdruck sich herstellen lässt. Den hier
erforderlichen allgemeinen Begriff 4c:ènv axcuoy be-
kommen wir durch die Schreibung xai doudÿs cîp.oy
dxoÿuv. Ganz entsprechend Hymn. Merc. 451: {ct
gogoé rs péhouse mal dyhacc clos aoudfs mai pLoÂTh
reSahute roi ipepcets Becues aurôv. Vel. Pind. OI. 9,
A7: ëyerg êtéoy aœuw cûuoy Myuv. Philetas bei Stob.
Flor. 81, 4: puiSov ravroloy oûyov émuorapeves. Callim.
Hymn. Iov. 78: PofBou dE Avons eu etdores oimous. Das
mit cos eng verwandte cipn wird geradezu vom Ge-
sang gebraucht, wie Od. 5, 481: oùvex don gœËus ci-
vas Mcôc édiSaËs. y, 347: Seds dé quo à) ppeciv clos
ravroias évépuosy. Für unsere Aenderung aoÔTs 0Lov
axcvwy spricht endlich noch der Umstand, dass Hymn.
Merc. 451 am Rande einer Handschrift die Variante
Guves doÿgs angemerkt wird und dass bei Pind. OI.
9,47 ein Scholion üpvov statt ouev bietet: ein Be-
weis wie leicht cûwos in üpves corrumpirt werden
konnte. Wenn aber Nonnus Dionys. 17, 374 rohvw-
VULLOY DpLVOY donc geschrieben hat, so kann dies hüch-
stens beweisen dass er Od. 5, 429 doudÿs vpvoy las,
nicht aber dass der Verfasser von Od. 5 so schrieb.
Den Hüllenhund nennt Sophokles Trach. 1098,
wenn unsere Handschriften Glauben verdienen,
‘Audou tolxpavoy GxUXAX', ATRCGALOY TÉQUL-
Da das nüchterne ärgcouayos in voralexandrinischer
Zeit nirgends weiter vorkommt und der Poesie über-
haupt fast ganz fremd ist, so habe ich im J. 1857
A91
Bulletin de l’Académie Impériale
492
———_—…—…"…"…"…"…"…"…"…"…"…"—"—"—"—"…" —"—"…"…"—"—…"—"—"—"…"…"…"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"…"…"…"…"…"—"—"—"…"…"…"—"—"—…"…"—…" "…"…"—"—…"…"…"…"—"—"…—"….—— .…" —.—— ——
hier ein Wort wiederzufinden geglaubt, das bei Pho-|tern dBocuos und ϙtayes (eigentlich artaycs), s. Bek-
tius Lex. p. 241, 14 ausdrücklich als tragisch bezeich-
net wird: pætmaxov: To {xheTrov xt JUopLAYOV" To&-
yon à XëxT). Dasselbe Wort als Bezeichnung des
nämlichen Ungethüms hat Meineke im J. 1863 an ei-
ner zweiten Sophokleischen Stelle erkannt Oed. C.
568: © {Sdwau Sent côpa T avLxATOU
Snocs, 0V ÉV TUAGIOL HTÉ.
Nach dem strophischen Verse ist hier statt awxartou
eine iambische Dipodie zu erwarten; darum schrieb
G. Hermann côpa + apayavov, Meineke hat dagegen
viel ansprechender coma te auaxov gesetzt mit der
Bemerkung: ab hoc adiectivo non diversum esse videtur
apauaxos, quod superest in paragoga forma ayatya-
xetos, qua plus semel utuntur poctae tragici, ut etiam
lenius corrigi posse videatur copa + apayaxov. Das-
selbe Wort wird denn auch bei Hesiod Theog. 310
herzustellen sein:
DEUTEpOY QÜTLS ÉTLKTEY AUNALVOV, OÙTL HATELOV
K£epsoov OUNGTIY, AtSew UV XAXEGDE VON.
Das Adjectivum aurnyavos bezeichnet denjenigen der
keine wnyavn hat, oder dem gegenüber man ohne pn-
xavn ist. Nur in der zweiten Bedeutung künnte es
vom Cerberus gebraucht sein; aber auch dann ist das
Wort nichtssagend und unpassend. Es wird zu schrei-
ben sein apatyaxoy, um eine angemessene Bezeich-
nung des schreckhaften Ungeheuers zu bekommen ‘).
Ist diese Vermuthung richtig, so wird man nicht wei-
ter zweifeln künnen dass in den Trachin. oxvhax
apatpaxey tépas und im Oed. Col. copé + dpamaxou
Snoos gelesen werden muss. Das verwandte apaa-
xztos ist nicht, wie alte Grammatiker wollten, mit
paysoSat, sondern mit LALAV, LAULAGOEL, LAULAXTNS
zusammenzubringen. Das Alpha in apamaxetos und
> 2 ° Q LA .
auapaxos bezeichnet, wie es scheint, das unerhürte
und ausserordentliche, wie in den Homerischen Wôür-
5) Der neuste Herausgeber des Photius hat diese Stelle in den
Anbang verwiesen und den Homerischen Glossen zugezählt, indem
er meinte patuuxos sei ein vocabulum fictum ad eæplicandum Home-
ricum duauaxetos. Wenn Naber diese Ansicht aussprach, so liess
er die Worte des Photius toaytxn n XéEts ausser Acht, die bei der
Annahme paipaxos sei eine etymologische Fiction unerklärlich
bleiben. Ausserdem übersah er die Stelle des Arcadius p. 51, 12
(Herod. xaSoh. tooo. éntt. p. 57, 10), wo paiuuxos ohne Erklärung
angeführt wird.
6) Echidna, die Mutter des Cerberus, heisst ebenfalls dunyavos
Hes. ,Theog. 295, vermuthlich auch nur in Folge einer Correctur
aus dut HOXxOS.
ker Hom. Blätter p. 136.
Bekannt sind die Adjectiva GRAVES, SGH YAVES,
EOBMALVS, TOÀUENAAVOS, TOLALAYAVOS, XOXOUNLALVSE,
Schounyaves. Durch keine dieser Bildungen wird ge-
rechtfertigt das Wort oder das Unwort éryryaves,
das wir finden in dem Orakel bei Herodot VI, 19:
xat tote On, M'Ante, x4x0Y éruagave ire
TohÀoÎOL
Y BSÈTVCY T TE zou ayha. 009 œ YEY on".
Ÿ 1
Diese bereits von Tzetzes Chil. VIII, 3 a
Lesart dürfte auf einem Fehler beruhen; ich vermuthe
xaxôv (oder vielleicht HA GY) ériNo&VOs Épyov nach
Emped. 416: oÉov TE RLOEGTE
coooy érupavos épyoy, und Ion bei Ath. X p. 447 F:
épre . Vgl. Are-
56: roSapucéacSat à aùTta
xal dost@s érinoavos (so
Schneider statt des handschriftlichen érnputos) yeve-
pevos. In gleicher Weise dürfte Terpander bei Arrian
Tact. 44, 3 geschrieben haben:
Gore TE otOcta etdos TAYT
xaîoc' Sidou à aiova, xaXGv ér'rpave
sas bei Stob. Ecl. phys. p. 8
6 vécs DUvaTat TadEUGLos
ET atyua te véov Sokhet xai LOGa
xai dx Etpuayutu XAAGY ÉTINONVS ÉS YO,
wo jetzt xakôv érirapooScs Épyoy steht.
Aelianus fr. 329 ed. Teubn. bei Suidas v.
führt folgendes Orakel an:
TOYOV
AtaxtÔn, To ecpuñuÉo poneiv Ayepououov
MavSocém ©
V809
! 0 r
, ÊDL TOUL SAVATOS TETOORÉVOS ÉGTL.
An der unerhürten Form rooœuaËc haben Bernhardy,
Bekker und Hercher keinen Anstoss genommen, viel-
leicht weil sie sich einer Stelle in den Homerischen
Hymnen (2, 360) erinnerten, wo vncy è mocouhaye
überliefert ist. Dieses rocouhaySe ist in der neusten
Ausgabe der Homerischen Hymnen beseitigt: wäre es
aber auch richtig, so würde damit rocovhaËc in dem
obigen Orakel noch nicht arr. entschuldigt
sein. Natürlich muss es heissen Alax/ôn, r:ouhaée.
Die Entstehung des Fehlers erklärt sich sehr leicht
aus den vorhergehenden Worten, [u?txèv nv rocua-
TEULE ÉV TOOLS ÉÉALÉTOOLS, OÙTO TOONÉYOY TAV TEAEUT AV.
Ein neues Bruchstück des Aelian glaubten Rasmus
und Hercher (Hermes 1 p. 448) im Etym. Gud. p. 531,
27 zu finden: Tird ompatver toy nuépav xal Yodpetat
dua Toû tôta’ Tapa ap To Terav yivetar Turäves, Tt-
ravi rai Tiravés, val éxsidev droxcptottxov Tire,
493
des Sciences de Saïint- Pétersbourg.
494
’
oorep ‘Yderuin ‘YVo, EtdcSéx Edo rites : doc
regov" ‘Iraxwtepoy Yyao s xai Tept toù Ai-
Auavos Gtéhags. Nach rep vod soll ein Eigenname feh-
len und zwar, wie Rasmus vermuthet, Athavres. Die
Sache verhält sich anders. In den ersten Worten bis
Eïôctés Eïdo wird von der Bedeutung, Schreibung
und Bildung des Nomen To (Lycophr. 941 oder
vielmehr Callim. fr. 206) gehandelt, vgl. Etym. M. p.
760,52. Davon sind abzutrennen die folgenden Worte,
in denen gelchrt wird dass der Name Tittaves in der
ersten und zweiten Silbe mit einfachem ITota (nicht
mit et) geschrieben wird. Bei dieser trivialen Weisheit
handelt es sich weder um eine von Aelian gegebene
Notiz noch überhaupt um den Schriftsteller Aelian,
sondern lediglich um die Schreibung des Namens Aë-
Xtavés und zwar um das lota der zweiten Silbe: es
wird verwiesen auf eine andere Stelle, wo der Gram-
matiker (nämlich Choeroboscus) auch über das Wort
Aëhiavés gehandelt habe. Vor év cs fehlt &s eêrev
oder eine ähnliche Wendung mit einer Angabe der
gemeinten Stelle. Der Compilator aber, dem wir den
Artikel des Etym. Gud. verdanken, scheint was er
vorfand gedankenlos nachgeschrieben zu haben; denn
dieselbe Lücke findet sich schon bei Choerob. Anecd.
Oxon. vol. 2 p. 264, 1. wo statt tiTaves dem ursprüng-
lichen näher Tereaves geschrieben wird und am Schlusse
dzhagopey statt déhaBe.
Sicherlich gehôrt nicht dem Aelian die aus Suidas
v. coBases unter die Fragmente aufgenommene Decla-
mation (Nr. 452 der Didotschen, 325 der Teubner-
schen Ausgabe): roroÿroy avalwyeupo, üs sixès xoûx
dro recncu, Tiv rmupafhora xai piioxspdn ka xEpÔa-
êcTLy ÉY 0
005 mavoheTofay TOY ÉVTUY{AVONTOY ÉXBEBAXYEULLE-
+1 LaMoTL. AAN ÉÉGANns xai TOCOANS TOOTNALXLG-
Sels és xopaxas Oyeto, xaTaXAnha Tarlyeton This Pds-
Avplas Ô dmotoomatcs a oo AToppds GTCITALEVOS,
05 dvdpctu Dixalwy AdxOS TONNODS HUTEdLATEY, OTLV
où dsdotxos, ox dhéyoy AGodoteray oùd Népzoty ép-
raËomevos. dAAG Tata TexueUL ÉVApYŸ TS TAQTA-
oodous xai Tavradetou adrod roplus. 05 ana TON
Éndzoxsv, Os 40x04 OX drotioetar. Formen wie Box-
Séoraros und drorcamevos (statt ofcev Aelian fr. 123
vol. 2 p. 246, 11 ist mit Hercher nSpccey zu schrei-
ben) mussten vor der Aufnahme unter die Aelianschen
Bruchstücke warnen; noch mehr aber der ganze Ton,
der das Non plus ultra Byzantinischer Geschmack-
losigkeit und Verkommenheit darstellt.
Aesch. Prom. 38 sagt, wenn wir der handschrift-
lichen Ueberlieferung trauen, dass Prometheus das
Feuer, yéeas “Hoaoreu, den Sterblichen rocydoxev.
Dies künnte nur bedeuten, Prometheus habe am Feuer
einen Verrath geübt. Da das absurd ist, so werden
wir nicht umhin kôünnen, reou8ox: für verdorben zu
halten. Es muss heissen, wie aus anderen Stellen des
Stückes (V. 8. 30. 252) zu ersehen war,
e \ ‘ = y 4
OCT TO COY SVNTOLoLY OTOGEY EOUS.
Nachdem otac:y mit dx: glossirt war, half man
dem Metrum auf mit dem unpassenden Compositum
TOCVÈOXEY.
Aesch. Prom. 51:
Éyvoxa Toicds xoUdÈv ayTeiT=iv yo.
Mit diesen Worten erklärt Hephaestos seine Zustim-
mung zu der Behauptung des Kratos, dass Zeus allein
frei sei. Die Lesart éyvoxx Tcicôz würde bedeuten
«ich habe es aus dem vorliegenden Fall erkannt». Ob
Hephaestos diese Erfahrung erst jetzt oder, wie Mei-
neke Philol. XIX p. 230 behauptet, schon früher ge-
macht hat, ist ziemlich gleichgiltig; unter allen Um-
ständen verlangt der Zusammenhang dass Hephaestos
sage nicht «ich habe es erfahren», sondern «auch
ich habe es erfahren». Darum sind die mir bekannten
Vermuthungen xat toto und roioù ët und roicèé T
und roïcèé y oudëv in gleicher Weise unstatthaft. Es
muss vielmehr heissen entweder £yvoxx x4yo oder,
was ich vorziehe, éyvoxa xaÿtos xo)dèy avretreiv yo.
Nach éyvoxa fielen die Buchstaben KA aus, daher die
Verderbniss, die man nachher durch eine falsche Aen-
derung verdeckte. Was hier den neueren Kritikern
entgangen ist, haben sie auch verkannt, wo die ur-
sprüngliche Lesart leichter sich herstellen liess, bei
Aesch. Suppl. 417. Der Argivische Künig hat V.
407 ff. gezeigt dass die Aufnahme der Schutzflehen-
den reiflicher Erwägung bedürfe, damit nicht den
Staat oder ihn selbst ein Unheil trefie; darauf richtet
er an den Chor die Frage:
pLôy où doxetv Det poovtidos cuTnpicU;
Statt Soxsiv dei schreibt man seit Turnebus allgemein
und gewiss mit Recht ôoxet deïv, nicht aber hat man
sich über den Anfang des Verses geeinigt. Nachdem
A95
Bulletin de l’Académie Impériale
496
der Künig V. 407 behauptet hat de tot BaSetas poov-
rlôos cotnotou, kann die Frage pôv doxet detv poovrt-
Sos gwtnotcv, Wie G. Hermann richtig bemerkt, nur
den Sinn haben die Zustimmung des Chores für die
aufgestellte Behauptung zu gewinnen. Folglich kann
der Künig nicht fragen pôy oo Ôoxet, wie Hermann
wollte, sondern muss fragen pôv xat ooi Soxet. Darum
ist es auch unstatthaft mit W. Dindorf pôv oùv oder
mit Schwerdt pôv tou zu schreiben. Den hier noth-
wendigen Gedanken bekommen wir durch die Aende-
rung: pov cuyôoxet Jeîv ppovrièos TuTnotou;
Aesch. Choeph. 759: rados orapyavoy outSpuv-
rota. Ohne Zweifel ist o æeSuvrota zu bessern; denn
nur œatdvyrns findet sich auf Inschriften, wogegen
œaSouvrns eine Erfindung der Grammatiker oder Ab-
schreiber ist, die durch œatdocs irre geleitet wurden.
Vel. Dittenberger im Hermes I p. 409.
Soph. EL. 1148: ŒXN ÉYO TOODGS,
&yo © adekpn on Tooonudopny der.
Hier ist «èehon unpassend, sofern es nicht besonders
hervorgehoben zu werden verdient dass Elektra als
Schwester des Orestes bezeichnet wurde, was sie ja
factisch war. Nachdem vorher gesagt ist dass Elektra
den Bruder aufzog, kann hier nichts anderes folgen
als dass sie die fehlende Mutter dem jüngeren Bruder
ersetzte. Der Zusammenhang der Stelle nôthigt mit
anderen Worten zu der Annahme dass yo à aÿs1on
statt des ursprünglichen yo 3 unTne gesetzt worden
ist von einem unverständigen Verbesserer, der sich zur
Unzeit daran erinnerte dass Elektra nicht die Mutter,
sondern eine Schwester des Orestes war. Aber auch
das hüchst nüchterne az scheint mir unrichtig. Ver-
muthlich schrieb der Dichter:
éyo D pnrno on roconudopnv, x&oL.
Statt KACI las man KAEÏ und sah sich nunmehr ge-
müssigt das Kappa zu tilgen.
In ähnlicher Weise verfuhr man Oed. R. 217:
aires" & à aires, Ta éav SéÂQs ÈTN
ts
, f C2 # € _
XAVOV Jéyeo Sat Tÿ Vocw S UTnpETEi,
dhxiy AdBots dv XÉVHXCUDoLY XAXOY.
Statt T9 vdco habe ich im J. 1862 hergestellt to $eô
(s. Eurip. Studien II p. 87). Die nämliche Verbesse-
rung empfahlen neuerdings B. Todt und H. van Her-
werden; beide jedoch irrten darin dass jeder von ih-
nen neben dem richtigen Vorschlag noch einen fal-
schen machte. Den Hergang der stufenweisen Ent-
stellung des Textes habe ich schon früher nachgewie-
sen: statt OEUWI wurde in Folge eines Lesefehlers
OCWI geschrieben, dafür eigenmächtig voco verbessert
und demgemäss der Artikel +6 in die Femininalform
Ti verwandelt.
Soph. Trach. 468 steht in unseren Handschriften:
aXhd tata pèv bslTo xurt oùpcv, gegen den fest ste-
henden Sprachgebrauch, welcher ito xar ovocv for-
dert. Statt ito war nach Byzantinischer Art eïro ge-
schrieben, wofür ein halbgebildeter Corrector das
thürichte éeiro setzte. Aehnliche Verbesserungsver-
suche alter Grammatiker oder Abschreiber tragen die
Schuld, dass race Oed. C. 528 vermittelst des Lese-
fehlers ETTAC(W in ETTANnCW (4. h. éthnco) überging,
dass Trach. 1136 ATTAOYN, wofür man ATTAOYN
las, zu day wurde, dass man Trach. 256 von aÿts-
Xetex (vielleicht durch die Mittelglieder ANTIXEIPA
und ANXITEIPA) sich zu dem unerhürten und sinn-
losen œyxtotioa verirrte, u. del. Derartige Verderb-
nisse sind bei weitem weniger auffallend, als wenn Oed.
R. 1264 aus dem ursprünglichen
TAEXTAÏTLY AOTÉVALGIY ALOEOULÉVNY
zunächst Thsxtaîoty atopgætoty alopscuuéns, dann
rhexraiotv alupacty EuTeT}sypévIv, endlich rhex-
tais évpors Epremheymévnv 0 D gemacht wurde‘
7\
):
Statt des handschriftlichen éoyev Agyela xSovt Eur.
Suppl. 874 lesen wir ëcy év Apyeloy rékez in einem
Citate des Teles bei Stob. Flor. 95, 21 vol. 3 p.202, 21
ed. Mein.; in Eur. Alc. 479 sind unsere Codices zwi-
schen xSova und ré getheilt, und ein ähnliches
Schwanken finden wir anderwärts. Namentlich befleis-
sigten sich die Abschreiber den Gen. r5}c03 da wo er
zWeisilbig gemessen war durch das in metrischer Hin-
sicht ihnen besser zusagende ySovcs zu ersetzen. Se
bei Soph. Ant. 187:
7) Ueber den zuletzt erwähnten Vers und seine wunderlichen
Metamorphosen sagt Meineke Oed. Col. p. 182: in Oed. R. 1264 ve-
ram scripturam Nauckius restituit. Dagegen macht Herwerden Oed.
R. p. 174 gegen die dlegantissima coniectura, wie er sie nennt, die
zu starke Abweichung von den Handsckriften geltend. Vielleicht
würde er anders geurtheilt haben, wenn er gelesen hätte was ich
über die allmähliche Verunstaltung des Verses Eurip. Studien I p.
158 dargelegt habe. In jedem Falle ist Herwerdens Vermuthung
mextaïouy alwparoiv dronenveyuévnv als durchaus misslungen zu
bezeichnen, schon darum weil er von dem heillosen Unsinn der
«geflochtenen Schwebe» sich nicht losgemacht hat.
497
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
498
oùT ay œéhoy tot Gvdpa BUGLEVN HIOVOS
Setuny Épavto.
Der Sinn verlangt Susuevn mohcos, und über ySovos
steht im Laur. À réhcos von erster Hand, d. h. xo-
Xcos ist hinreichend verbürgt, aber gleichwohl haben
fast alle Herausgeber diese allein sinngemässe Lesart
verschmäht. Richtig urtheilte Blaydes: yYSovos was
probably substituted by some one ignorant of the syni-
zesis in rokcos. Eben dahin &ehürt Oed. Col. 926:
oùx oùv ÉyOY av, os éremBaivoy {Sovoc,
oùd eù ta ravtov Elyov ÉVÔLXOTUTE,
aveu VE ToÙ xpæivovtos, Otis NV, LIOVOS
oùS ethxoy oùT &Y Toy,
wo Heimsoeth das zweite x%ovôs mit Recht in rohcos
geändert hat. Ant. 368 bieten unsere Handschriften:
VOHLOUS TAPElQOV ATOVOS
Sedy T Évopxov Okav.
Bekannt sind réhcus veau, wie EXAnvoy vepot u. ähnl.,
schwerlich aber dürfte die Verbindung y3ovos vépuot
sich sonst irgendwo nachweisen lassen. Darum ver-
muthe ich dass der Dichter schrieb végous yepatoov
(so Reiske) tohews. Endlich gehôrt hierher Soph.
EI. 382. Chrysothemis theilt ihrer Schwester mit:
Aegisthus und Klytaemnestra wollen dich einsperren
Sa ELA TOŸ MALOU
péyyos Tooodbe, ÉGou S év xarnpepet
otéyq ASov0s TAOŸ ÉnTÔs DpvnoEts XAXE.
G. Wolff meint, in éxtès Thoôs ySovos liege dass Elektra
von der Erdoberfläche entfernt werden solle; das wäre
ÿTd ySovés, wogegen ySovès Theo éxres nur bezeich-
nen kann «ausserhalb dieses Landes». Soll aber Elektra
eingesperrt werden, so kann dies nur geschehen in-
nerhalb des Landes; eine Deportation über die Grän-
zen wäre für das hier beabsichtigte Verfahren nicht
nur überflüssig, sondern ganz widersinnig. Offenbar
muss es heissen téhcos to éxros, ausserhalb die-
ser Stadt.
Soph. Ai. 1239:
rar oùx axoverv pe ydAG Tpùs Jouhov xx;
Wer den Zusammenhang betrachtet in dem Agamem-
non diese Worte spricht, wird leicht erkennen dass
der Sinn derselben sein muss: «ist es nicht unerhürt
solche Dinge von Sklaven (so wird Teucer hühnisch
genannt als Sohn der kriegsgefangenen Hesione) sich
Tome XII.
sagen zu lassen?» Fordert aber der Zusammenhang
diesen Sinn, so wird jeder Kenner der tragischen Rede-
weise zugeben müssen dass weder peyzha noch xaxaæ
hier angemessen ist. Was Sophokles schrieb, kann
meiner Ansicht nach nicht zweifelhaft sein; nämlich
x
CE | LU S LU
TadT oÙùx dxovsly JELVA TES DoUAGY ÊTN;
Diese Aenderung ist gewaltsam, aber nothwendig. Um
den doppelten Fehler zu begreifen, muss man sich
erinnern dass Seuvos von den Abschreibern gern durch
véyas erläutert wird. So finden wir Ai. 1124:
1 VhGdow ou Toy Supov De JELVOY ToÉpEt,
statt Geuvèv bei Triclinius péyæv, und an zahlreichen
Beispielen ist die nämliche Glossirung nachgewiesen
von F. Heimsoeth, Die indir. Ueberl. des Aeschyl.
Textes p. 32 f. War dies in obigem Verse geschehen,
so konnte man bei der Schreibung
tait oùx dxovetv LE Y&A& Too Jouhov ÈTN
sich unmüglich beruhigen; man corrigirte, wie ge-
wübnlich, an falscher Stelle: das thürichte yyæha blieb
eue das vollkommen richtige £tn wurde ver-
wandelt in xax&. Der doppelte Fehler täuschte die
neueren Kritiker und wird vermuthlich auch ferner-
hin noch viele täuschen.
Statt ravodoyos pflegen die Abschreïber xaxo5-
yes zu setzen. So bei Diphilus Com. 4 p. 385: ava-
reéret Àdyo xaxoipye, wofür ich schon früher tavoupyo
vorgeschlagen habe. Vgl. Soph. EL. 1507: ro ya ra-
voboyov ox dv qv mov, wo Nicephorus Basil, Rhet. 1
p. 461 xaxovpyoy bietet. Wer diese Gewohnheit der
3yzantiner kennt, wird sich nicht wundern, wenn wir
ôfters xaæxoboyos in unseren Texten finden, wo
voÿpyos erwartet werden muss. Dahin rechne ich fol-
gende Stellen. Soph. Oed. R. 705: pavrev pv oùv xa-
xodpyoy etoxéphas. Eur. Orest. 771: deuwvov oi tohof,
X HXOUYOUS OTOLY Éxoot TpOOTATR. Ion 832: our,
HA HOUQYOUS avÿoas 63 del atuy®, où cuvridévres To dx"
eta BnxavaS xogyLobaL. Menander Com. 4 p.253: todo
LAxCUOYOS CAM UTEUTENTOY AVNO HEXQUEEVN HET
rayis vois mhnotov. An diesen vier Stellen ist TAYOVp-
yes entweder durchaus nothwendig oder doch weit
passender als xaxo0pyos.
Soph. Ant. 8:
La voy ti roûr à0 puol ravBquo mohet
xnpUyUA Seivar Tv GTEATNYOY GOTÉS ;
82
TA-
499
Bulletin de l’Académie Impériale
500
Kreon erscheint in der Sophokleischen Antigone nicht
als Heerführer, sondern als Herrscher der Stadt The-
ben. Wie kann er also otoatyyés genannt werden?
Diese Frage wird von den neueren Erklärern sehr
verschieden beantwortet. Nach Schneidewin soll An-
tigone mit einer gewissen Ironie diese Bezeichnung
wählen, sofern Kreon bei der Fortdauer des Kampfes
nach dem Tode des Eteokles und Polyneikes zunächst
als Kriegsführer eintrat. Diese Behauptung gründet
sich nur auf den vorliegenden Vers, d. h. sie ist frei
erfunden, um das unpassende otoatnyos môüglich zu
machen. G. Wolff sagt: «erst 162 ff. erklärt sich Kreon
dem Volke gegenüber als Bæorhsus: daher hier otoa-
tnyos». Natürlich spricht Kreon von seiner neuen
Stellung nicht früher als er überhaupt erscheint; nicht
aber lässt sich behaupten dass er erst mit 162 ff. die
Herrschaft antrete; wie kônnte er sonst über die Lei-
chen der durch Wechselmord gefallenen Brüder ver-
fügt haben noch bevor die Handlung des Stückes be-
ginnt? Auch heisst Kreon schon 155 Künig des Lan-
des (Baotheus yovas), wie Ismene V. 60 ihn als Herr-
scher (Ttupævvos) bezeichnet: und gesetzt diese Be-
nennungen wären verfrüht, so bliebe doch noch immer
die Bezeiéhnung oteutnyes zu erklären: daraus dass
Kreon nicht Bœoteus ist, ergibt sich keineswegs die
Berechtigung ihn otoatnyos zu nennen, wenn er mit
der Führung des Heeres nichts zu thun hat. Darum
künnen wir auch A. Jacob nicht beitreten, welcher
sagt, Antigone nenne den Kreon otpatnyés, weil sie,
in ihrer Erbitterung, ihn nicht als avaË oder Basteus
der Stadt und sein Verbot nicht als ein verpflichten-
des Gesetz anerkennt. Jacob lässt unerklärt, mit wel-
chem Rechte Kreon otoatnyés heisst, und schiebt der
Widersetzlichkeit der Antigone ein durchaus falsches
Motiv unter: Antigone weiss dass Kreon die Macht
hat sie zu tôdten; sie handelt gegen sein Verbot, nicht
weil sie in Kreon einen Usurpator sieht, der sich
Rechte anmasst, die ihm nicht zukommen, sondern
weil das Verbot des Kreon in Widerspruch steht mit
hôheren Satzungen, weil sie die güttlichen Gesetze
hüher achtet als die menschlichen. Bothe und Wun-
der endlich betrachten otoatnyos als gleichbedeutend
mit rex, wofür sie sich darauf berufen dass OTOATCS
zuweilen die Volksmasse bezeichnet. Dagegen müch-
ten wir fragen, wo sonst cteatnyos im Sinne von Ba-
cueus gebraucht werde, und mit welchem Rechte wir
dem Sophokles einen Ausdruck zutrauen dürfen, der
ein Missverständniss hervorrufen musste. Wenn es
fest steht, einerseits dass otoatmycs nur in der Be-
deutung «Heerführer» sich findet, andrerseits dass
Kreon zu Anfang der Antigone nicht Heerführer son-
dern Künig ist, so müssen wir otoatnycv für unpas-
send und somit die jetzige Lesart für unrichtig halten.
Statt otoatmyc aber gibt es nur ein Wort das hier
dem Sinn und dem Metrum in gleicher Weise genügt,
nämlich tüpævvoy. Wie aber war es môüglich dass
tdoavwvev in crearnyé umgewandelt wurde? Auch hier
scheint eine doppelte Entstellung vorzuliegen: ver-
muthlich wurde tigavvoy zunächst durch einen unwill-
kürlichen Fehler in xo{pavov verändert und dann otea-
rnyo statt xofpavey gesetzt von einem Verbesserer,
der das Metrum in Ordnung brachte auf Kosten des
Sinnes. Sollte jemand diese Erklärung für zu künst-
lich erachten, so wird es genügen an Soph. EI. 1 zu
eérinnern, wo die Lesart schwankt zwischen GTRATNYN-
cavros und Tupæwisavtros. Wurden die Verba tupav-
veiv und otoatnyet verwechselt, so wird auch wohl
die Môüglichkeit einzuräumen sein dass die Substantiva
régavvos und otoatnyés mit einander vertauscht wur-
den.
Soph. Trach. 693:
ciow à anootetyouca dépxouat DAT
dooaotoy aEvpBAntoy dVSo0TE pLaSeiv.
Da es sich um eine Wahrnehmung der Deianira han-
delt, nicht um eine Nachricht oder Mittheilung, so ist
œùrts unmôüolich *). Die Scholien erklären oavtaoma,
oavtactav. Dieser wenngleich unpassenden Erklärung
liegt ohne Zweifel die richtige Lesart zu Grunde, na-
türlich nicht oxouv, woran nur Bergk denken konnte,
sondern oacpa, ein Wort das auch im Lexikon des
Hesychius durch œoavraopa erklärt wird. Es ist zu
lesen: eico à aroctelyouon onoua Sépxopat ApomaTo.
Daraus machte ein Abschreiber, indem er das dem
Sinne nach zusammengehôrige zusammenstellte (vgl.
Bulletin IX p. 377 f. oder Mélanges Gréco - Rom. II
p. 705 f.) zunächst Sépxouot oioua dopactoy, und hin-
terher beseitigte man den Choliambus durch Substi-
tution des thürichten dépxomar œarty. Dass jemand
den Ausdruck paca Sépxopat beanstanden sollte glaube
8) Dagegen wird der Begriff utte gefordert Trach. 1157: où ©
oÛy GXOLE ToUpyov, wo ich axoue toù roc für nothwendig halte.
501
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
50?
————
ich nicht befürchten zu müssen; da indess Meineke
Philol. 19 p.231 das Aeschyleische dépxou Séap.æ, Tovd<
toy Aus œthcv (Prom. 304), als «schwerlich unverdor-
ben» bezeichnete, so ist es vielleicht nicht überflüssig,
einige Belege, die sich ohne langes Suchen mir dar-
bieten, beizufügen. Aesch. Pers. 48: déppuuo te xai
rptpoupa TéAn, pofepav oduvy roootdécSar. Suppl. 567:
uv dnSn Boroy écopdvres Suoyepès puÉcuBporov. Soph.
Oed. R. 1295: Séapa D eiocber Taym Toroitoy olov ai
oruyoüvr éraxriour. El. 1466: © Zed, Sédopxa paop
avsv Seoù (so Th. Gomperz statt aveu pSévou) pèv où
rentoxds (vielleicht où menves). ur. Med. 1167:
robvSévèe pévro deuvov nv Séap eiv. Bacch. 760: o0-
rep To Jeuvoy nv déau tdetv. Or. 727: AN eicopo YAp
rôvèe péararoy Bootoy — môctay oduv. Bacch. 1232:
Àeuoco yae aûtiv, Chuv oùx eudatpovæ. Tro. 1157: Av-
roûv Séaua xoù plhoy Asuooetv Auot. Orest. 879: 006
S &ehntov aou, o puror opshov, [IvAOn te kai Gov
auyyovov ateiyov® opLod. Jon 1395: té Site pioua TOv
avekréotov 606; Here. F. 817: otov pic. ürèp Scpov
606.
Soph. Phil. 57. Odysseus ertheilt dem Neoptolemus
Vorschriften über das diplomatische Verfahren, das
dieser dem Philoktet gegenüber einzuhalten habe:
o 313 1 # \ ,, ‘
OTAY G ÉQOTE Ts TE KA HOJEV TAEL,
Aéyetv, AxdéOS Tafs” TOd oùyl xAETTÉOV.
Neoptolemus soll mit anderen Worten kein Geheim-
niss daraus machen dass er des Achilleus Sohn ist.
Statt xhsTtéov wird angemessener sein xpuTTéov, eine
Aenderung die besonders durch den Umstand empfoh-
len wird dass unmittelbar vorher (V. 55) éxxhédets
steht, Aehnliche Verderbnisse habe ich Eurip. Stud.
II p. 152 f. nachgewiesen. Eben dahin gehürt Soph.
EL. 887: &yô — oapn omuei tôo0ca toôd nioreto
Acye. HA. Ti, 6 tohauv,tÜodc a ricriv; Wo das zweite
iSoüoæ offenbar aus éyousæ gemacht ist. Ferner Aï.
296: rôv pe yahov Auvadv ÜTo xANEOUÉVEV, THY O fLÉ-
vas (1. monds) pôSos déése. Trach. 1144: péyyos où-
xér Eore pou. — 19, Ô Téxvoy, Tuto YAp QUXÉT ÉGTL
got (an der ersten Stelle ist oÿxér eîcop zu schrei-
ben). Aus gleichem Anlasse sind augenfälligere Feh-
ler hervorgegangen wie xpatodvrz (statt axovrt)
rayreureis Eous v.l. Aesch. Prom. 389. piévnote où
oSevnoetas (statt où yevnoetat) v.l. Soph. Trach. 1212.
Boÿner Réyauv me xal Aéyoy prdèv Aéyetv (statt pndèy
xhvetv) cod. Laur. Soph. Ant. 757. Dahin dürfte auch
gehüren das Citat bei Boissonade Anecd. 3 p. 472: ©
rôv idtov oÛmov clnovouoy HAS TÔS LV GUGELEY CUTOS
roy é£o tva; Wenigstens lesen wir statt dessen bei
Stob. Flor. 15, 2 (Meineke Com. 4 p. 490) die Verse:
0 yap Tov idtov olxovcuov xax®s Blov
TÔ< oÙTos ay cuoelz TOY ÉËD TV;
Sicher ist dass Soph. Phil. 285:
6 pèv xoovos Ôn DIX KEOVOU TOOUPMIVÉ pue,
an dem gleichen Fehler leidet. Der Ausdruck © ypc-
vos dua yocvou mocBatve erscheint mir nämlich, nach-
dem ich den neusten Commentar von M. Seyfiert ge-
lesen habe, genau so unverständlich wie vorher. Un-
ter Verweisung auf das Horazische fruditur dies die
erklärt Seyffert «éempus per se ipsum (314 yecvou) pro-
cedebat», und fügt hinzu: dass die Zeit durch sich
selbst vorwärts schreitet, empfindet derjenige am mei-
sten qui horas nulla re fallere potest. Das Horazische
truditur dies die bedeutet «ein Tag wird durch den
andern verdrängt», und das ist sofort jedem verständ-
lich. Einen ähnlichen Sinn gäübe der obige Vers, wenn
es etwa hiesse: rap muépav cv npÉpR TOOUPLvE pLor.
Die jetzigen Worte des Phil. dagegen nach Analogie
des truditur dies die zu erklären hindert uns einer-
seits die Praeposition à&&, andrerseits der Umstand
dass das allgemeine ypovos im Texte steht, nicht ein
einzelner Zeitabschnitt (Tag, Monat, Jahr). «Die Zeit
schritt durch sich selbst vorwärts» — was das heisst
môgen andere errathen; ich kann nur sagen dass ich
keinem menschlich redenden Dichter oder Prosaiker
einen solchen Ausdruck zutraue. Aber die Seyflert-
sche Erklärung ist auch aus einem sprachlichen Grunde
unmôglich; yecvos 8t& yecvou kann auf keine Weise
für xp6vos d2 avtoÿ oder {empus per se ipsum gebraucht
werden. Es wird wohl nicht nüthig sein diese Trivia-
lität durch Beispiele zu erhärten, da das Homerische
doniç de aonid épetde, xégus xGpuY, avépæ À ave, ei-
nem jeden gegenwärtig ist. Auch brauchen wir nicht
darauf hinzuweisen dass Philoktet keineswegs ohne
Beschäftigung war: er hatte, wie er im Folgenden
weitläufig entwickelt, sich Speise und Trank, Brenn-
holz und Feuer zu beschaffen: das kostete bei seiner
Krankheit viel Mühe und viel Zeit. Genug und über-
genug von Seyfterts Erklärung des obigen Verses, der
in Ordnung kommt, wenn wir schreiben: 6 pèv yecvos
32*
503
Bulletin de l’Académie Impériale
504
Sn da novou rooufouvé pot, «die Zeit verstrich mir
in Mühsal».
Eur. Alc. 1154— 56. Nachdem Admet sein Weib
Alkestis zurückbekommen hat, gebietet er in dem
ganzen Lande ein Freudenfest zu veranstalten:
aotois dE Tao T ÉVÉTO TETEROKIE
xoooÙc ên éoShaîs ouppopæiotv ioravat
Bopous Ts xuodv BouSuTotot ToootTpotais.
Für tetoapyto Werden in einem Scholion (bei Dindorf
vol. 4 p. 119) zwei Erklärungen gegeben; die einen
dachten absurder Weise an die vier Himmelsgegen-
den, die anderen und unter ihnen Aristarch an die
vier Städte über welche nach Il. B, 711 ff. Eumelos
der Sohn des Admet herrschte, Pepat, BotBn, Dauov-
oar, Toïxcs. Ist diese letztere Erklärung richtig, wie
wir sie nach der Homerischen Stelle für richtig hal-
ten müssen, so künnen wir nicht umhin die Lesart
tetoapyto in Zweifel zu ziehen. Einerseits bezeichnet
dies Wort eine Reiterabtheilung (Arrian Anab. III, 18,
5. Tact. 10, 1 u. a.), andrerseits ist teroapyta oder
teteadapyta ein unter besonderer Verwaltung stehen-
des Viertel einer grüsseren Herrschaft. Für die letz-
tere Bedeutung, die allein hier in Betracht kommt,
ist besonders belehrend Strab. XII p. 567, wo es von
den Galatern heisst: Ttotôy Sè ovruv é5vGv uoylotrov
xat xaTt ahho oudÈv ÉÉnAhaymévoy Éxaotoy Stehovtes ais
TÉTTOQUS MLEDIÔUS TETOMOHUAY ÉKATTNV ÉKAREONV, TE-
TRdo{nv Étouav idtov koi DXAGTNY EVA KA GTPATODU-
Aaxa ÊVa UTO TO TETOAPAN TETAYHLÉVOUS, Ü TO TOATODU-
Aaxas dE Jo. n D Tôv dodexa Tetoupyov BouAn dvdpsc
ACAY ToluxOOtL, cuvmyovto DE eès TOv xahoupevov Apu-
vépetov. Nicht im Widerspruche stehen damit andere
Stellen, wie Demosth. 9, 26: aka Getraia rôs èyet;
oUyt Tas Totelas xal TOS TOÂES AÛTOV TAponTat
XOL TETOMOHULS KHATÉTTNOEV, LV LM) [LOVOY XATA TOdELS
al xat xar ESvn Joukeuootw”); Appian Syr. €. 50:
xaSa xai l'ahatôv Tôv év Acta trois Téconpor Buvdotars
éeBatoce (ourntos) tas Tetoadaoylas cuuuaynooty
où xata MiSpôarou. Vgl. Plut. Anton. c. 36. Cassius
Dio 42, 8. 54, 9. Mit tetoæoytæ, wo es in politischem
Sinne steht, verbindet sich die Vorstellung einer klei-
9) Für die Erklärung dieser von Aristides vol. 1 p. 716 benutz-
ten Stelle kommt am meisten in Betracht die bei Harpocr. p. 175, 6
erhaltene Notiz: Gte Oë Délimnoc x ÉxaOTNv TOUTWY TOY popav
(der vier Theile, in welche Thessalien getheilt war) tpxovræ xat—
Éotnoe, dednawxmoy GAXo: te xat Peorouros ËV Tf LÔ.
nen (nämlich einer Viertel-) Herrschaft, wie denn +e-
toaoyns Zwar nicht dem Wortlaut, aber dem Sinne
nach ungefähr das bezeichnet was wir einen Duodez-
fürsten nennen. Allerdings wird einem terpdoyns un-
ter Umständen der Ehrentitel Baoueus beigelegt, wie
auch ein kleiner Fürst mitunter Kôünig wird oder doch
kôünigliche Hoheït; aber für einen Baoreus wäre es
ein schlechtes Compliment, wenn er tetotpyns genannt
würde. Kehren wir hiernach zu obigem Verse der
Alcestis zurück, so klingt es fast komisch, wenn der
Kôünig Admet «in der ganzen tetoapyto», d. h. in der
ganzen Viertelherrschaft oder dem ganzen Duodez-
fürstenthum zu opfern befiehlt. Offenbar ist es in die-
sem Zusammenhange angemessener, wenn an die Ge-
sammtheit der vier Städte erinnert wird, die nach der
Homerischen Stelle vom Sohne des Admet beherrscht
wurden, d. h. wenn nicht von einer tetoapytx geredet
wird, sondern von einer tetoatohs. Denn tetodmohts
bezeichnet einen Verein von vier Städten, wie in ent-
sprechendem Sinne toiroks, meytaroks und ähnliche
Würter gebraucht werden. Dass Euripides dieses Wort
hier angewendet habe, halte ich auch darum für hôchst
wahrscheinlich, weil wir in Attika eine Tetrapolis ha-
ben, auf welche Eur. Heracl. 80 Bezug nimmt, und
weil die Tragiker bekanntlich Attische Verhältnisse
gern auf die Fremde übertragen. Der Dichter dürfte
somit geschrieben haben:
AUTOS TE TAON T ÉVVÉTO TETOATTONEL
xopoùs èt éoShaîs cuocpaiotv iotava.
Die Lesart tetoaoyta ist müglicher Weïise dadurch ver-
anlasst dass das letzte Wort des Verses in der Quelle
unserer Handschriften undeutlich war ; bei der Art
aber wie die Alexandriner und Byzantiner Kritik
üben, wäre es auch wohl denkbar dass der einfache
Schreibfehler raon + éwéro tetoatohe: (terparokv
bietet statt tetoantokw bei Eur. Heracl. 80 die bes-
sere Handschrift B) irgend einen Grammatiker zu der
gewaltsamen Aenderung tetowoy'« verleitete.
Eur. Med. 527 f. Iason sagt, wenn wir den Hand-
schriften Glauben schenken, wie alle Herausgeber es
gethan haben:
Kümotv vuito Tics émis vauxAnptas
GOTELpAY EÛVOL SEÔV TE XÉVIUOTOV [LOYNY.
Statt vavxknotas cotetouv muss es aber, wie ich Eur.
Stud. I p. 120 gezeigt habe, vielmehr heissen cotr-
505
plus vavxhnocv. Aehnliche Fehler finden wir auch
sonst; wie etwa bei Soph. Oed. R. 1487 die Hand-
schriften schwanken zwischen ra Aotro to mixpon flou
und t@ rtxpù voù Xoëmcù Béov, wie El. 688 überliefert
ist év roloîor radpu statt év mavpotor œoXd«, wie Eur.
Andr. 646 in einigen Codices sich findet doxeïv poo-
vobvras statt poovety DoxoDvTEs. Derartige Verirrun-
gen glaube ich noch an zwei Sophokleischen Stellen
wahrzunehmen. Die erste derselben, fr. 854 bei Stob.
Flor. 54, 3:
2 , oo n n
YVOpaL TAËOV XpATOUTLV N IÉVOS LEpOV,
ist meines Wissens noch von niemand angefochten
worden, und doch kann es keinem Zweifel unterliegen
dass der Dichter sich des bei weitem angemesseneren
Ausdrucks bediente ;
vrêmar Théov aSévouory n xpaTos pepoëv !).
Die andere findet sich Oed. Col. 113, wo Oedipus zur
Antigone spricht:
ovynocuat te xal où n ÉË odoÙ rcèa
xouboy xar œhooç, TO Eos dv éxLado
Tévas Acyous Époiatv.
Das unverständliche é£ 6305 rod hat eine erhebliche
Zahl von Vermuthungen hervorgerufen. Die meisten
Kritiker suchten toôx zu beseitigen, wofür man vor-
geschlagen hat non, todt, mépu, may, méaÇ, To,
taxa, To, Teécw, xcpo und mé rot, endlich sogar in
Folge eines offenbaren Versehens die masculine Form
rouov. G. Hermann schrieb xai ou pou £ 0500 cd,
Blaydes schlug unter andern vor xai où pe ééaycuoa
rot oder xai où y éxredov toëe (oder-raya oder tépa).
Keine dieser Vermuthungen kann auf Wabrscheinlich-
keit einen Anspruch machen. Die handschriftliche Les-
art erklärt sich aber ungezwungen und einfach, wenn
wir annehmen dass der Dichter schrieb xai où y x-
rodov 0905 xguboy xat cos, und von Seiten des
Sinnes ist diese Lesung tadellos: «birg mich im Haine
abseits vom Wege». Ueber die Verbindung éxrcodov 080
genügt es anzuführen Eur. Phoen. 978: omou ySovos
rhoù éxrodoôv pakot ëceu. Iph. T. 1226: éxrodov d
avÿ moMtas Todd Eyeuw puaopartos. Xenoph. Cyri
inst. V, 4, 34: rouÿrov éxmodov muev.
10) Für die überlieferte Lesart lässt sich geltend machen Eur.
fr. 736, 4 bei Stob. Flor. 126, 7: to yde ëxeLv TAÉOV xpaTEt Ts
evosfeias. Aber vermuthlich ist auch hier mhéoy 6 $évet zu lesen.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
506
Soph. fr. 227, 1:
AT
à dès Es De. 1
GOpOs YLO OUÔELS TANV OV AY TULG DEOc.
So Orion Anthol. 5, 10 bei Meineke Stob. Flor. vol.
4 p. 256, 6 und das Florileg. Leid. im Philol. VI p.
587, nur dass an letzterer Stelle tyon statt Ta
sich findet. Der Herausgeber des Flor. Leid., L. R.
Beynen, wollte schreiben
\
copos yo oudels TANV OS Av TL VEOUc.
Dass so gesagt werden konnte lässt sich nicht bestrei-
ten; gleichwohl halte ich diese Conjectur für einen
müssigen Einfall, dem alle Berechtigung und alle Wahr-
scheinlichkeit abgesprochen werden muss. Darum ist
in meiner Bearbeitung der tragischen Fragmente Bey-
nens Vorschlag unerwähnt geblieben. Ohne Beynens
Vermuthung zu kennen, behauptete einige Jahre spä-
ter M. Seyffert Rhein. Mus. M.F.XV p.614, die von
mir geduldete Lesart sei absurd; umgekehrt werde ein
Schuh daraus,
\ ü » \ \ a n s à22
gopos ya oudels TANY OS Av TULG SEOV.
Darauf entgegnete ich zur Rechtfertigung meines Ver-
fahrens — nichts; denn in Seyfferts Augen mich zu
rechtfertigen schien mir kaum môglich, in den Augen
andrer zwar leicht, aber kaum nüthig. Ganz vor kur-
zem aber hat W. Dindorf in der fünften Ausgabe der
Poetae scenici (Soph. fr. 234 a p. 133) Beynens Ver-
muthung zwar nicht aufgenommen, aber doch der Er-
wäbnung werth erachtet. Dieser Umstand bestimmt
mich zur Sicherstellung der handschriftlichen Lesart.
Der Sophokleische Vers besagt: niemand ist weise
ausser Wen eir Gott ebrt (d. h. auszeichnet, begün-
stigt). Wie dies gemeint sei, ist nicht schwer zu er-
rathen. Die Gütter allein verleihen dem Menschen wie
alle übrigen Güter, so auch die Weisheit, deren Be-
sitz ihnen ausschliesslich oftgenug zugesprochen wird.
Ohne die Gunst der Gütter wird die Weisheit des
Menschen zur Thorheit; denn keine Vollkommenheit
nützt dem Menschen, wenn nicht die Gôütter ihn ebren,
deren Gunst allein ihm dazu verhilft dass seine Vor-
züge anerkannt werden. Dass man aber wie Secv ty
aySoonos, so auch Seoç tu avSgonoy sagen kann,
unterliegt keinem Zweifel. Vgl. Il. 1, 110: où à cû
peyañntoo. SuuG sléas avÔoæ pépLoTov, Ov AILVATOL TER
Etioav, gripouus. I, 118: avté vu roÀGv hav éctiy
ave Ov te Zebs xiot oo, we vov toùrov Éric. P, 99:
507
Bulletin de l’Académie Impériale
508
onnor dvno ÉdÉAN Toèc Jatova port payecTa Ov xe | ToUs vdynous (rois vémots Men. monost. 709) Aupavetat,
Seds té, Taxe où éya mue xvhtodn. PE, 788: dIa-
vator TuLÔOL Tahatotépous dvSpurous. Q, 533: oÙùte
Seoïor retyévos oùte Booroîoiv. Theognis 169: dv DÈ
Seot TO, Ov xat popeumevos œivet. — Eins künnte
vielleicht zu Gunsten der Beynenschen Aenderung gel-
tend gemacht werden, nämlich die an den obigen Vers
bei Orion sich anschliessenden Worte,
ahX ets Seoûs cpôvtæ, xav ÉEo dlxnc
xogctv xeheun, xeio Cdormopett ppewv”
aioyeov yüs oùSèv ov vomycüvraz Deck.
Ueber diese Worte zu einer festen Entscheidung zu
gelangen ist mir nicht müglich; für hôchst wahrschein-
lich aber halte ich Meinekes Vermuthung dass sie von
dem vorher besprochenen Verse abzutrennen und als
ein besonderes Bruchstück (ich müchte glauben, des
Euripides) zu betrachten sind. Im Anfang hat Meineke
aAN ets Secv o cpovta vorgeschlagen; da am Schluss
vpnyodvrat Seot steht, so wird AN eis Seous do pvTæ
vorzuziehen sein: denn irrig ist was Seyffert behaup-
tet, auf Secv führe der Singularis xehevn, da uns nichts
hindert xav xekeun im Sinne von efiam si iubearis zu
fassen mit Schneidewin Coni. crit. p. 81.
Eur. fr. 600 bei Stob. Flor. 37, 15:
toomos À ponoTos dopaléotepos vopLou
rov HLEv yo oudeis av daotoébat ToTÈ
ÉnTop Juvarto, Toy À AvO TE XAÙ KATO
Àcyos Tapaosev ToAAdXLS AULaIVETEL.
Im letzten Verse hat Meineke Àcyos geschrieben statt
des handschriftlichen Acyous. Aber der Fehler scheint
tiefer zu liegen. Das voyous AumatweaSat ist Sache der
éntogss: ein Tecros xonotos ist sicher nicht nur gegen-
über den Volksrednern, von denen der Charakter des
Menschen ja überhaupt weniger bedroht wird, son-
dern gegen jede Redegewalt und jede Einflüsterung.
Es scheinen somit hier wie oft (vgl. Eurip. Stud. I p.
47 f.) die Versanfänge ihre Stelle getauscht zu haben;
wir werden schreiben müssen:
Tov puèv yap oùdels dv duuotpébat ToTÈ
Adyous Suvauto, Tov À Ava TE Xal XATO
bnTOE. Tupdoawy Toldxts AuLalvETaL.
Statt des unverständlichen tagdooov erwartet man
ein Adjectivum wie tavodpyos oder tovnecs. Letzteres
bietet Gregorius Naz. vol. 2 p. 154 C: &ntoo tovneoc
durch dessen Worte die hier geforderte Umstellung
eine wesentliche Stütze erhält.
Trag. adesp. 442 bei Stob. Flor. 36, 12:
atoxo0v Y OTav Tu ÊTL YhOGON quels
r , ’
VYhocon pataious ÉÉaxovtiog hoyous.
Dass diese Verse nicht dem Menander gehüren, dem
sie Stobaeus beilegt, sondern aus der Tragoedie stam-
men, hat Valckenaer richtig erkannt. Um den offen
liegenden Schaden des ersten Verses zu heïlen hat
man statt rt Yhooon mancherlei vermuthet: Grotius
schlug vor nrtos YAocon, Bentley vantos yvou.n, Valcke-
naer everns Vhocon. Heringa endlich wollte atoypôv
vaio &0S Gtav mis edyhosaos œuets. Alle diese Vermu-
thungen sind schon deshalb abzuweisen, weil die Form
œuets der voralexandrinischen Zeit fremd ist. Sehr
frei verfährt Cobet mit der Ueberlieferung, wenn er
N. L. p. 85 die zuversichtliche Behauptung hinstellt:
«quum Euripides dixisset:
aioxpoy y OTav Ti alto ÉLOY RLÉYE
Vlocon patatous ÉÉaxovrion ÀCYouÉ,
post lacunam nunc legitur Florit. XXXVI, 12 aicygoy
Y Otav mic éri vhooon œuets.» Dass in unserem Texte
des Stobaeus wie bei anderen Schriftstellern sich nicht
wenige verkehrte Ausfüllungen ursprünglicher Lücken
finden ist eine unbestreitbare Thatsache, und auch die
vorliegende Stelle rechne ich mit Cobet zu denen
welche durch ein ungeschicktes Supplement verfälscht
worden sind. Nicht aber scheint es glaublich dass ein
Abschreiber, wenn er den lückenhaften Text
aiaypôv ÿ OTav Ti * * * # # XX
’ / ’ /
YAocon patalous Éaxovtion hoyous
vor sich hatte, auf den Einfall gerieth am Schlusse
des ersten Verses nach seinem Belieben ét Yxocon
œuets zu suppliren. Eine solche Verkehrtheit bedarf
eines äusseren Anlasses, d. h. in den Worten ét
vVhocon ques kann wohl einiges, unmôglich aber alles
frei erfunden sein. Vielleicht sah der erste Vers ehe-
mals so aus:
atoypôv ÿ OTav Tis.... tt YAWOON P....
Unter dieser Voraussetzung môchte ich ergänzen:
atoyoov y Ctav Ti volv ÉTL YhION popov
VAodon patatous ÉÉaxovrion Adyous.
509
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
510
Mit dem Ausdruck voiv rt ÿhocon oopev, d. h. den
Verstand an falscher Stelle haben, die Zunge, die un-
ter dem Verstande stehen soll, über den Verstand ge-
bieten lassen, sind Wendungen zu vergleichen wie fol-
gende. Demosth. 7, 45: einep duets tov éyxépahov év
Tois xpoTapous ka jun ÉV Tais TTÉOVAIS XATATETATN-
pévoy pogeite. Aristoph. Ran. 485: dcicaca ao (n
xaodta) els Tnv xaTo Lou xothlay xaSeloruoev. Plut.
Mor. p. 334 C: tv buyny év tais ourvas elyev. Ae-
lianus vol. 2 p. 271, 14 ed. Teubn.: êv vos aœtôotous
ëxov toy éyxéoahov l'). Die vorgeschlagene Aenderung
halte ich für wahrscheinlicher als die bisherigen mir
bekannten Besserungsversuche, nicht aber kann ich
sie als unzweifelhaft hinstellen. Mügen andere zusehen
ob sie eine wahrscheinlichere Emendation finden.
Was die eben erwähnten falschen Supplemente be-
trifft, die auf lückenhaft überlieferte Stellen aufgetra-
gen sind, so habe ich Eurip. Stud. II p. 103 f. meh-
rere Beispiele nachgewiesen. Eben dahin dürfte ge-
hôren Trag. adesp. fr. 316 bei Plut. Mor. p. 481 B:
@éhQY JE LÉVTOL LoÛGLS N To0s autos
LOVNn xaxoù béovtos Wpeneiv prhel.
* Eine vollständige Herstellung dieses Bruchstückes ist
mir nicht gelungen; aber in dem sinnlosen xaxoÿ béov-
xos glaube ich die Hand eines Verbesserers wahrzu-
nehmen, der das überlieferte xaxoÿ ..povros in seiner
Weise ergänzte; der, Dichter schrieb doch wohl xaxoÿ
rapovtos. — Sicherer scheint es mir dass falsche Aus-
füllungen vorliegen bei Soph. Trach. 383 f.:
Ghouwto pu TL Tavtes où xaxol, Ta DE
AaSpal ds donesl ph TRÉTONT aÙTG xaxE.
Diese Stelle würde, wenn nicht unbefugte Hände sich
an ibr versucht hätten, in unseren Codices ungefähr
folgendes Aussehen haben:
ta dÈ
. Ô XAXGL.
DhOLTO THVTES OÙ KUHOL....
AaSoaî Ôs doxel lLN TOÉTONT .
11) Noch näher kommt meinem Herstellungsversuche dem Wort-
Jaute nach ein angebliches Dictum des Plato bei Stob. Ec]. eth. p.
98 : iôwv rive Ildtwy œudhu UÈv mpattovra, Olxac 8e (doch wohl
dtxaux SE) dnëp Étépuv Aéyovru, eîmev' oÙros voüv éri yAwGon pépet.
. Plato konnte nur meinen dass der nescio quis seinen Verstand ge-
bieten liess zwar über seine Zunge, nicht aber über seine Handlun-
gen. Somit steht hier das voÿv ëri yAWOON pépety in einem anderen
Sinne als ich ihn bei meiner Vermuthung voraussetze. Indess dürfte
die Môglichkeit einer verschiedenen Anwendung desselben bild-
lichen Ausdruckes nicht zu bestreiten sein.
Es war zu ergänzen:
Chouvro mavres ci xaxot, [ao ro È
AaSpaî 0s donet un roérovr [20S5X]S axe.
Unzweifelhaft richtig scheint mir die Herstellung des
ersten Verses; der Chor kann offenbar nur wünschen
dass alle Schlechten zu Grunde gehen (vgl. Eur. fr.
277: xaxôs Ÿ Ghorvro Tavtes où Tupavyièt yælocuctv),
und + haSpata xaxa mit dem Artikel ist unmôglich.
Weniger sicher ist im zweiten Verse die Aenderung
&o%À6 statt «ùro, die jedoch empfohlen wird durch
Eur. fr. 892, 2:
2 e y SAS" Ys » =
wpethe ÔNIEV, ELREP ÉGT ÉV OUEAVE
1 LU , 1 … U
Zevs, pn Tov auto Svotuyh xaTeoTavat,
wo Heimsoeth sehr ansprechend +ôv 20%20v dvoruyn
vermuthet.
Praesentia auf 4$o mit kurzem Alpha scheinen der
Griechischen Sprache durchaus fremd zu sein. Denn
duuvvdSer, doxaSetwv, elxaSeuw, sipyaie sind, wie
Elmsley Eur. Med. p. 113 gesehen hat, Aoristformen
und müssen daher vielmehr apuvaSeiv, dtwxaSeiv, et-
xaSeiv, etpyaSeiv lauten. Die Ueberlieferung unserer
Handschriften, an welcher Buttmann Ausf. Sprachl.
IT p. 62 seltsamer Weise fest hielt, hat darum nicht
den geringsten Werth, weil sie auf der Voraussetzung
beruht dass dpuvaSo, dtwxaSo, stxd5o, ste yat Prae-
sentia seien; sobald das unrichtige dieser Voraus-
setzung erkannt ist, muss auch die auf den Irrthum
gegründete Accentuation berichtigt werden"). Eben
so ist xa%o als Ind. Praes. lediglich von den Gram-
12) Auch ein Praesens oyéSw fingirten die Grammatiker und ac-
centuirten consequenter Weise oyéSe:v und oxéSwv. Buttmann räumt
ein dass oyeSetv durch das Homerische oyeSéav gesichert sei, will
aber gleichwohl im Participium die falsche Accentuation GLEIwY
aufrecht erhalten. Diese Inconsequenz ist bei einem so einsichtigen
Grammatiker wie Ph. Buttmann es war geradezu unbegreïflich. Wer-
kehrt war es auch, wenn alte Grammatiker ëpeo$a: schreiben woll-
ten, ein Fehler von dein man jetzt ziemlich allgemein unsere Texte
befreit hat, und unglaublich klingt es wenn ein Grammatiker (Schol.
Ar, Nub. 38) erzähit die Attiker hätten nicht xutabapSetv, sondern
xatuSap9e:v accentuirt. Entschieden falsch ist die jetzt beseitigte
Accentuation Sévetv und Sévwv: denn das Praesens lautet Seivo, der
Aorist Seveïv und Sevuv, das Futurum Sevo Sevets. Erst Theokrit 22,
66 scheint ein Praesens Sévw erfunden zu haben. In gleicher Weise
muss es xegvuy heissen, nicht répvwv: denn étegvov ist Aorist; und
wenn Oppian das Praesens répvo gebrauchte (Hal. 2, 133: ohAUUE—
var 8 éléxouor xat oÙs népvouct povñas, und 5, 390: xatatyônv
Eiduvres &e xpordpous mépvouotv), so verfuhr er nicht minder will-
kürlich als jener Orakeldichter, der aus der Form rtéoxero ein Prae-
sens riécxw entnahm, C. I. 3538, 12 vol. 2 p. 855: &E &hAWY r1e0x0—
evo.
511
Bulletin de l’Académie Impériale
51?
2
matikern erschlossen aus dem AoristpetextæSov. Ueber
ahxaSe (Anecd. Bekk. p. 383, 31) hat schon Dindorf
Soph. El. 396 mit vollstem Recht das Verdammungs-
urtheil gesprochen. Somit bleibt nur übrig reka Set,
eine an nicht wenigen Stellen überlieferte Form, die
gleichwohl nur in den Kôüpfen der Grammatiker und
Abschreiber existirt zu haben scheint. Die Belege für
diese Form sind folgende. Aesch. fr. 128 (Ar. Ran.
1265.'1267. 1271. 1275. 1277): Pot Ayued, tt
tot, dvopoddtxToy dxoUoy En XOToY, où TEdIEUS ËT
apoyav; Eur. EI. 1293: 6 raide Aude, Sépuis ec DIoy-
vas Tas duerépas quiv mehadeuw; Rhes. 557: Timor où
rehdSEL cxonds, Ov vadv Extup dtouve xaténtav; Ar.
Thesm. 58: tés aypcuwras rehaSet Soryxoi; Keine die-
ser Stellen dürfte ausreichen um die Form red Set
zu sichern, da überall the môglich ist, das in te-
haSev zu verändern sehr nahe lag für einen jeden,
dem die Wôürter téhaç, m:hGy und mehatery bekannt
waren. Ueber das besonders bei den Tragikern vor-
kommende rhdSet mit langer Wurzelsilbe vgl. Soph.
EL. 220: ta Ôë vois duvartoïis oùx éprota mhaSetv. Phil.
728: {y 6 yahxaomis dnp mhaSet Seoïs. Eur. Alc. 119:
. Bôpos yap arorouos mhaSe. Rhes. 14: tives éx vuxTOY
tas apetéous xoitas rAaSouot; Append. Anth. Palat.
138 (Plut. Arat. c. 14): Boudai pèv xal deSha xal à
mept EAhados dhxa Toùÿ avSoès atahats mhdSetat
“Hgaxkéous. Antipater Anth. Pal. 9, 323, 6: dmrohépov
TOd Écuxev Ev ovoTAREL Tepapyots TANSELN, OÙ SEryxOV
évros Evvañtov.
Eine Activform a&Atoxo ist unseren Grammatikern
und Lexikographen unbekannt; es lassen sich für die-
selbe drei Belege beibringen:
1. Suidas: ahtoxer wx@, xat dhl(axeTar xataho-
Bavetor xpareîrou. Die ersten Worte dhfoxet xt ste-
hen auch bei anderen Grammatikern (Hesych. und
Anecd. Bekk. p. 377,3), wo man zweiïfeln kann ob die
zweite Person von œoxouat oder die dritte Person
von dhioxw gemeint sei. Da Suidas jedoch dhtoxer
und dhéoxetar gegenüberstellt, so ist es hôchst wahr-
scheinlich dass er dhtoxet für activ gehalten hat, wie
denn auch in der Bernhardyschen Ausgabe wx& mit
vincit wiedergegeben wird.
2. Diogenianus Vindob. IT, 66 in den Paroemiogr.
Gott. vol. 2 p. 29, 4: Xéoac pLôv oùy GMioxet: ét rôv
TO EXO Xal pAÜAX ÜTEpOOUYTRY.
Q <- € , »
3. Antiatt. p. 110, 13: oùy otov optéomat, oÙy
otov dhioxo xat Ta Guoux. où DE (AVE) «TO dréyo
toù opiéec dau».
Diese drei Belege für die Form &toxo werden also
von den Grammatikern und Lexikographen schlecht-
hin ignorirt? Meines Wissens allerdings und, wie ich
glaube, mit vollem Recht. Dem nackten Zeugniss des
Suidas ist in einer derartigen Frage kein Gewicht bei-
zulegen. Das von Diogenianus gemeinte Sprichwort
lautet, wie wir aus anderen Stellen wissen, vielmehr
2kéous pv (oder puoc) oùx aheytée. Die dritte Stelle
endlich hat Lobeck Phryn. p. 372 f. besprochen, der
ootéopar mit Recht in épyt£opat ändert, wie bei Phryni-
chus gelesen wird, &\toxo aber als verdorben bezeich-
net, ohne eine Heilung zu versuchen. Statt oùy ofov
| dicxo muss es heissen oùx ofov Badt£w (oder Badt£zt)
nach Alexis Com. 3 p. 476: métetou Yap oùy otoy
Bæœdtter tas odous. Somit zerrinnen die drei Belege
für dAtoxo in ein Nichts; unnütz aber wird die vor-
stehende Erürterung nicht gewesen sein, wofern sie
den Verächtern der Conjecturalkritik zu der Einsicht
verhilft dass keine philologische Forschung gedeihen
kann ohne Kritik.
Aristoph. Nub. 6 f. Der alte Strepsiades verwünscht
den Krieg: |
_ + r. E
amohoto ÊnT, © TOhœUE, TONOY Elvexa,
0T oudÈ xoÂGO ML ÉÉEOTL [LOL TOUS OÙKÉTUS.
Im ersten dieser Verse habe ich etvsxa geschrieben
statt oùvexa, da letztere Form schwerlich jemals bei
den Attikern im Sinne von évexa gebraucht wurde,
während stvexæ für die Attische Poesie und Prosa
sicher bezeugt ist. Nachher bieten statt xohdoo ëëe-
ot die geringeren Handschriften xohao ééeott. Brunck
entschied sich für die vollere Form; die neueren Kri-
tiker haben dagegen eine Elision angenommen, die für
die Tragoedie durchaus unstatthaft, für die Komoedie
sebr zweifelhaft ist, eine Elision die vorauszusetzen
gerade hier aller Grund fehlt, da Vesp. 501 Gt xehn-
ricou éxéhevoy steht, wo xsAntio éxéhsvov gegen das
Metrum streiten würde. Ist also das Verbum xohaéerv
hier überhaupt richtig, so müssen wir die obenein
besser verbürgte Schreibung xokdoo éeort durchaus
in Schutz nehmen. Aber das zahme und farblose xo-
Adour dürfte ein Glossem sein statt eines ungewühn-
licheren und derberen Ausdrucks, der dem Ton der
o13
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
514
Komoedie besser entsprechen würde; ich meine, der
Dichter schrieb:
OT oUdÈ Av ÉÉecti por ToUs clxETU.
Nun beklagt sich Strepsiades dass er sein Gesinde
nicht einmal abprügeln und nach Herzenslust walken
kann. Ueber das Verbum ϝav vel. Ar. Nub. 1376:
xaTeuT Épha Le XAOROdE XATVLYE HATÉS BE.
Ar. Av. 933 f. Kaum ist die Nepshoxoxxuyta gegrün-
det, so erscheint auch ein Dichter, der in hochtünen-
den Phrasen die neue Stadt zu feiern sich anschickt,
bald aber veriäth dass er eine kleine Gabe erhaschen
môüchte. Darauf sich beziehend sagt Peithetaeros V.
931 — 35:
TOUTL TapéEEL TO XOXOV nLÈv TO YLATA,
et pn té Y aût Jovrss amopevÉcupesa.
oitos où pLévrot onclada ai yiTOV Êyel,
amoôud xal os, TO ont} TO copE.
ëye Tv archada: navros dé por BryOy Joxeïs.
Mit den Worten oûtos — xô cooû V. 933 f. soll Pei-
thetaeros einen Sklaven anreden, der bei dem Opfer
behilflich ist. Aber zuvächst ist es nicht ganz passend
dass Peithetaeros die Wünsche des Dichters erräth
und sofort dem Sklaven befiehlt sich seiner Kleider
zu entäussern, bevor noch der Bettelpoet hat merken
lassen was das Ziel seiner Wünsche ist. Sodann wür-
den die Worte où pévrot anchaida xai yuTOY Éxeus uns
anzunehmen nôthigen dass Peithetaeros nicht so voll-
ständig bekleidet war als sein Sklave, was doch kaum
glaublich ist. Endlich ist es ganz unpassend dass Pei-
thetaeros to ronrà To copé sagt von dem nämlichen
Menschen, dem er V. 931 und 956 die im hôchsten
Grade verächtliche Bezeichnung toutt ro xaxov bei-
legt. Allen diesen Uebelständen ist abgeholfen, wenn
wir V.933 und 34 dem Dichter zuertheilen. In glei-
cher Weise gehôrt dem Dichter V. 947, der in den
mir zugänglichen Ausgaben dem Peithetaeros beigelegt
wird; diese zweite Stelle wird so zu schreiben sein:
TTOI. dxhens à Ba omohas aveu HT vos.
Évves G tot XéVO.
TTEIO. Évvñy o71 Bouhet Tov JTovioxov hufeiv.
TTOI. anoduS Dei ydp Toy roumTny opeheiv.
TIEIO. arche rourovi Aufov. TOI. arépyouat xté.
Vielleicht ist es nicht zufällig dass mit den zuletzt an-
geführten Worten ein anderer Aristophanischer Vers,
Tome XII.
bis auf eine unerhebliche Discrepanz, genau überein-
stimmt; Ach. 465 nämlich lesen wir:
EYP. anelïe aura hafuy. AIKAIOTT. drépyouar.
Die betreffende Stelle der Acharner verspottet den
Euripides und ist voll von Parodieen Euripideischer
Verse; vermuthlich benutzt Aristophanes auch hier
einen Vers aus dem Telephus.
Pherekrates Com. 2 p. 287 bei Ath. II p. 75 B:
à amours, TUpETTE LDÈV poovticaz,
xai Toy pBiheov TOÔYE GUxOY TOÙ Jépou,
XATUTAGEVOS HATEUDZ TAS ETES *
xata cpax£hés xal réronco xai Ba.
Der Fieberkranke soll unbeküïmmert um die Folgen
sich gütlich thun und hinterher seine Lust büssen,
indem er Zuckungen hat und glüht und schreit. Diese
Mahnung ist verständlich; ein offenbarer Unsinn aber
liegt in den Worten xeyrrhamevos xaSevde, da das
épriprhacSar und das xaSeudery unmüglich gleichzei-
tig sein künnen. Ohne Zweifel schrieb der Dichter
xaprAnuevos xaSeuds. In Betreff der Form vgl. évé-
rAnto Ar. Vesp. 911. 1304. évérAnvro Lysias 28, 6.
éprhquuy Ar. Ach.236. éprhÿro Lysistr. 235. éurAnco
Vesp. 603. éuramueves Eq. 935. Vesp. 424. Eccl. 51.
Plut. 892.
Dionysius Com. 3 p. 548 bei Ath. IX p. 405 D:
toutovi à GY ApTÉS
Êpns ÉXOYTA Telpav NHELY TOUTE}OY
TOAOY TE JEETVOY.
Es muss heissen éono® ëyovte. Aehnliche Fehler hat
Cobet N. L. p.215 nachgewiesen, vgl. Lobeck Phryn.
p. 256.
Menander Com. 4 p. 202 bei Orion Gnomol. 1, 17:
dpQv Te BoyAEUGA! XATÉ GAUTOY VEVOLEVOS *
? À retis = .
TÔ ouLpÉpCY YA OÙX CpATAt TO Body,
v TO roûs aUTov à avahoYIOUS pulvETe.
«Wenn du etwas siehst, gehe mit dir zu Rathe»: eine
seltsame Forderung. Aus den folgenden Worten, wo
dem œvæhoyiouos das Boäv gegenübergestellt wird,
scheint hervorzugehen dass es heissen muss ég@v
(im Sinne von péhlov tt }é£etv).
Men. monost. 281:
XA1ROÏ TUXOY VAR TTOAÔS LOUVEL LEVEL.
33
515
Um einen angemessenen Sinn zu bekommen, werden
wir xai nroyôs statt yéo mroyos herzustellen haben.
In den Worten des Florilegium Monacense bei Mei-
neke Stob. Flor. vol. 4 p. 277, 23:
Evhagetn xaddv Sos Tois YpopLévots,
vermuthete ich Philol. IX p. 370 einen jambischen
Trimeter, den ich durch den Vorschlag n S edhafetæ
xaXov dos tTois yompévers herzustellen versuchte. Dass
meine Vermuthung berechtigt war lehrt Didymus de
trinit. 1, 27 p. 81, wo der nämliche Vers angeführt
wird: n yap evhaBern xahôv dos, pual, Toi APOMÉVOLS.
Den Verfasser hat auch Didymus verschwiegen; es
liegt nahe an Menander zu denken.
Etym. M. p. 139, 39 las man ehemals: éri dë vo
œutoù dpta da TOÙ !, Xl TApOËUVETEL JEÛTNS TE TEN-
vns dotas moroupeSa yéupous. Ueber diese Stelle sagt
A. Lentz Philol. XXIV p. 542: versus ignoti poetae,
quem Herodianus ad comprobandam scripturam t ap-
posuit, sic fere emendandus videtur yatet Te xpavéns
dptas move yéppous. Wem der citirte Hexameter
gehôürt, konnte Düntzer Fragm. der epischen Poesie
IX p. 122 noch nicht wissen *); A. Lentz aber hätte
es nicht verabsäumen sollen die Gaisfordsche Ausgabe
des Etym. M. einzusehen, welche den fraglichen Vers
dem Komiker Eupolis zuweist. Als Eupolideisch ist
der Vers bereits nachgetragen von H. Jacobi bei Mei-
neke Com. 5 p. XC, wo nach den Handschriften ge-
schrieben wird:
ANTEL TOL TOÛVNS APILS TOLOULE DE YOHLPOUS.
Statt toins, einer sonst nirgends bezeugten Form, ist
vielleicht entweder mit O. Schneider rotvoy oder mit
Lentz xoavéns zu besseru.
ÆE. v. Leutsch bemerkt im Philol. IL p. 573, dass
13) Freilich hat Düntzer auch manches übersehen was er wis-
sen konnte urd als Bearbeiter der epischen Bruchstücke wissen
musste. So sind die unter den ungewissen Fragmenten (II p.116 —
128) aufgeführten Verse:
répuata Jnpelwy pekéwy puxtnpoty épeuvov (XXX), wie
xa xwpoÿ Evvinut xat où Aukéoytos dxoûw (KXXX VII), und
etenine mehéeooty épupyuu tadta hryaivet (XL),
auszuscheiden. Der erste dieser Verse (wo es heissen muss téAuata
Inpetovy meh£wy) hat zum Verfasser den Empedokles; der zweite ist
aus einem bekannten Orakel, das zuerst Herodot erwähnt; der dritte
gehürt dem Johannes Damascenus. Dass fr. X aus Aratus ist, hat
der Herausgeber selbst nachträglich bemerkt. Uebrigens werden in
Betreff der Fragmente der Griechischen Epiker viele mit uns den
Wunsch theilen, dass Düntzers schwacher Versuch bald durch eine
bessere Arbeit ersetzt werden müge.
Bulletin de l’Académie Hmpériale
oo
516
noch mehr als man bis jetzt erkannt habe aus den Grie-
chischen Paroemiographen für die Bereicherung der
Komoedie sich gewinnen lasse. So stehe in der Appen-
dix Prov. 2,15 aus k: sue Yap An èx aÜTOv tôv xodc-
oàva toi xoyov, und der hier zu Grunde liegende Vers
komme zum Vorschein im Gregorius Cyprius (Paroem.
II p. 69), wo es heisse: eûue Yap ÊT auto TÔn Tv xodc-
œovz rod Xéyou: «Es ist nur», meint Leutsch, «eëue
yée in equé Tag zu verwandeln und der tetram. troch.
catal. ist da». Unmittelbar darauf empfiehlt Leutsch
grosse Vorsicht bei der Zurückführung solcher Bruch-
stücke auf die Komoedie. Diese Vorsicht wird in sei-
ner Vermuthung durchaus vermisst; denn der von ihm
gemachte trochaeische Tetrameter,
eue Tap én aUTèv nÔn TOY XOhOPOUX TOÙ ÀCYOU,
leidet an einem metrischen Fehler. Tragici et comici
tetrametri trochaici, sagt Porson Eur. Hec. p. XLV,
commune est, ut neuter usquam dactylum recipiat, nisi
in proprio nomine. Verse wie dieser (Ar. Ach. 318):
UTÈp émiEnvou Selnoco Tv xEpaNy Épov RÉVEU,
sind fast unerhôrt und werden von keinem Kritiker
gegenwärtig für richtig gehalten. Der von Leutsch
durch Conjectur erzielte Fehler liess sich übrigens
sehr leicht vermeiden, wenn man mit H.Jacobi Com. D
p. CCCLXV die Leésart des Gregorius Cyprius unver-
ändert beibehielt und nur die Worte anders abtheilte:
ete yao
ëT aUtev MÔn TOY XCÀoOPOYE TOÙ ÀO YOU.
Aber die fraglichen Worte, deren Rhythmus rein zu-
fällig ist, haben mit der Komoedie überhaupt nichts zu
thun; der vermeintliche Vers ist schlichte Prosa des
Gregorius Naz. Orat. I! p. 5 C: © SÈ reheutaioy xat
petéoy Tôv etpmnévov, eu ao Tr aÜTèv QÔn TÔv xoho-
œGva To Acyou, xai où Veicouat, oUDÈ ydp Suis Tois
Treo TAMHOUTOY Totoupévors Tov ÀCYOY, oÙx Gunv Éoov
etvat, oudÈ v3v oicpat, Touyns oyeiv n Bouxohtou ka
dySowrov étiotareiv buyais. Dass der Kirchenvater
Gregorius Naz. hier eine Stelle der Komoedie benutzt
habe wird niemand zu behaupten wagen.
In den Excerpta Vindob. bei Stob. Flor. vol. 4 p.294
ed. Mein. hat Boissonade vier aus den Briefen des
Theophyl. Simoc. entlehnte Stellen nachgewiesen, näm-
lich Nr. 53. 55.56.57 der Meinekeschen Zählung (vgl.
Theophyl. Sim. Epist. 8.79.83.85). Entgangen ist ihm
wie Ritschl Opusc. philol. I p. 571, dass auch 54: Of
517
vÉot HA GHOLYÔVTES AKCRAOTEL Hi TOUPOUTÉS ELGLWV
Gxoatéoteoc., aus derselben Quelle stammt:s.Epist.77.
So fehlt auch bei Meineke wie bei Ritschl die Nach-
weisung der Quelle bei folgenden aus Isocr. ad Dem.
stammenden Excerpten:
61. Zopéx poyn TOY xTqparoy aSavaroy ($ 19).
66. To axatpev rovrayoù Avrnpcv ($ 31).
67. Apyn qrtus tatvos, ÉxTons dë doyos ($ 33).
69. O0 xaxôs dravontets nept TOY oixetov oùdémote
xaXGs Bouhetoetar rept Tov dAhotetov ($ 35).
70. Oi
du, XX
($ 39).
7). A Aümo! tais nôovais ragarerryoot (S 46).
An der zuletzt erwähnten Stelle habe ich ehemals
(Bulletin T. Il p. 334 oder Mélanges Gréco-Rom. IT
p. 264) raparepuxaot vorgeschlagen. Vielleicht hat
Isokrates dies geschrieben: aber in den'Excerpta
Vindob. muss unter allen Umständen raparennyoct
beibehalten werden, eine Lesart die auch von Eustath.
Macremb. II, 8 p.174, 28 und Gregorius Naz. Orat. XX
p.361 A bestätigt wird. Vel. Sextus Empir. p. 167,17:
Tao YAo NJovf Taparérmyey AY, und andere
Beispiele im Thes. Gr. L. vol. 6 pag. 354 A.
Der von Meletius Anecd. Oxon. vol. 3 p. 118,11
angeführte Hexameter,
Sao. TOY AÔUXOV EÙ RADÈV ŒAXO TAEOVEXTOÙ-
oùv AIO omoudaIas VTEPÉAOUCL TAVTOV
1E106v SA ÉVOY Éppet roAepyos ASrvn,
findet sich, wie Ritschl Opuse. philol. I p. 700 an-
merkt, bei Ilohannes Antiochenus Anecd. Paris. vol. 2
p. 383, 25 in etwas anderer Fassung:
dNupévoy 410 dppet Toute ATV.
Den Orpheus bezeichnet als Verfasser das Etym. Orio-
pis p. 163,25 (Hermann Orphica p. 510). Ausserdem
war zu vergleichen Georg. Syncelli Chronogr. vol. 1
p. 282, 21 und Georg. Cedren. Hist. comp. vol. 1
p. 144, 17 ed. Bonn. nebst Lobeck Aglaoph. p. 951.
Aus den angeführten Stellen ergeben sich folgende
ziemlich gleichgiltige Varianten: y:tg6v 0h\vpévo»]
Shhvpévoy yete6v Ioh. Antioch. éppst] éppev Orion.
mohvepyos] mohucpyos Orion, mouais Ioh. Antioch.
Sync. Cedr.
C. I. 6765 vol. 3 p. 1030 hat Franz folgende me-
trische Inschrift aufgenommen :
Eÿoapeito aiSne xai va
otafrlo révros, craxo à are.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
518
Gegen die Echtheit dieser Inschrift hat bereits Le-
tronne, der lediglich durch paläographische Gründe
bestimmt wurde, Zweifel erhoben. Franz meint, wenn
auch eine Fälschung hier vorliege, so künne doch die
môglicher Weise aus einem Codex geschüpfte In-
schrift ein verloren gegangenes Original wiedergeben,
und zwar scheinen ihm die Worte entlehnt zu sein
ex hymmo quodam vetusto Dorice composito. Er ver-
gleicht Ar. Thesm. 43: éyéro 8è nvcus vnvepos aiSne,
xd dÈ rovrou pn xcha dette Vhovrov, und den Hym-
nus &tç “Hatov oder vielmehr ets Atchovæ (s. Cobet
im Acyus Eous I p. 247) hei Bellermann «Hymnen
des Dionysius und Mesomedes» p. 26: svpayeito täs
aiSne, YA xal rovTos ka TvounÉ, CÙpEG, TÉLTER o1YA-
to. Die von dem Betrüger der die Inschrift unter-
geschoben hat, benutzte Quelle ist vielmehr der dritte
Hymnus des Synesius p. 320 A: svpapetto | ai3ne
xai ya: | otato rovros, | otato à anp' | Anyite rvoat
(L rvctat) | Bakiov avépov, | Anyere rai | yuoov boS toy
XTÉ.
Unter die elegischen Adespota hat Bergk Lyr.
p. 1045 der zweiten Ausgabe den unvollständigen
Pentameter gesetzt:
* Où ravra Geo räocty Édoxav Épetv.
Zur Ergänzung macht er die Vorschlige ©s 20 tavræ
oder où yao aravra, Vorschläge die als ziemlich will-
kürlich erscheinen, weil mit gleichem Rechte sich
nicht wenige ähnliche Flickereien vornehmen liessen,
und als ganz unnütz, weil überhaupt hier nichts zu
ergänzen ist. Die Quelle des vermeintlichen Adespo-
ton ist ein Epigramm der Anthol. Pal. 12, 96:
Y LA & _ LA , …
oùtL poto Svartoior outis Toad: Boite,
OS OÙ TAVTE Ÿ20! TAG ÉdOKAY ÉYELV.
Für jeden Unbefangenen liegt es, denke ich, auf der
Hand dass es dem Verfasser des Epigramms, der eben
als Dichter, nicht als Grammatiker citirt, lediglich
darauf ankommen konnte den Gedanken seines Ge-
wäbhrsmannes wiederzugeben, nicht aber den Wortlaut
seinen Versen einzuverleiben. Wie also aus dem An-
fang der Trachinierinnen kein Verständiger folgern
wird dass vor Sophokles irgend ein Dichter die Worte
gebraucht habe
+ LU n 5 ) 2 UE _ \ n
F cUx av aloy ÉXLUIOL PEOTOY TELY y
SaVn TL, OÙT E KONGTOS OÙT EÙ TO XAXOG,
33*
519
Bulletin de l'Académie Empériale
520
so berechtigt uns nichts den angeführten Pentameter,
wie es Bergk in einer schwachen Stunde that, aus ei-
nem älteren Elegiker abzuleiten. Vielmehr bezieht sich
der Dichter der Anthologie auf denselben Homerischen
Vers, den wir berücksichtigt finden bei Libanius Decl.
vol. 4 p. 86, 1: où räouw aravra dtBoaouw ci Seoi, wie
bei Synesius Epist. 40 p.180 C: o0dè rois {nnotç, oonep
oudè rois dvSporous, ua Tavra SdWoLY © SEC, und
sonst, nämlich auf Il. A, 320: GX où tros dua Tavra
Seot dccay avSporototv. — Dass es nicht minder will-
kürlich war, wenn Bergk meinte, die Worte duyñs
éotiv Epws axévn habe Alpheus Anth. Pal. 12,18 aus
einem älteren elegischen Dichter genommen, bedarf
keiner weiteren Erürterung. Nur dies eine scheint
mir erwähnenswerth dass bei Alpheus nicht der Gott
"Eos, sondern das Appellativum épos als duyns axcvn
bezeichnet wird, vgl. unter andern Cic. Acad. pr. IT, 44,
135: ipsam iracundiam fortitudinis quasi cotem esse
dicebant.
Epigramm des Archelaus (Anthol. append. 12) bei
Antigonus Caryst. 19 p. 66, 21 ed. West.:
cèç UUAÇ Xpoxodethoy dTOpIEVOY dLHhUEL,
cHoQTLL, À TAVTE ÉooSetoÜGE& ŒUoLS.
Dass die alles belebende Natur ÉooSetoüca genannt
werden künne ist schwer zu glauben; angemesse-
ner und durch den Sprachgebrauch gefordert dürfte
sein die Bezeichnung Éooyovodca. Unrichtig scheint
auch die von Bast Epist. crit. p. 82 mitgetheilte
Stelle des Maximus Planudes: Éoyoaoo, Éoyeo, Éov-
vup, Émoyovü, CooSerô, Éuoroto, Éocoruré, wo statt
£aoS%erô vermuthlich ÉooSuto zu lesen ist.
Babrius 95,9. Der kranke Lüwe spricht zum Fuchs:
mich bungert nach der Hirschkuh; sie zu jagen ver-
mag ich nicht; wenn du aber willst, wird sie in meine
Hände kommen
Adyoror Snpevdeion cos pEMYhOGOO.
In diesem Zusammenhang muss man statt SmpsvSetco,
erjagt, den Begriff «gelockt» oder «bethürt» erwarten.
Darum glaube ich dass Babrius Adyotor onhoSeiox
schrieb. Vel. Suidas v. œmrodv: xt prhoSeîca avri
rod éÉararnSeion. y puSots” xépdeor pmhwSeica Ton
XEULOS.
Babrius 115,12:
FL ve vepüy pot xo ris 1» TTELOY xeela
Tû xal yauate Svoxchus recatvoion;
cùy dx SVNOXO
Worte der Schildkrôte, die ihr Gelüst fliegen zu wol-
len mit dem Leben bezahlen muss. Lachmann hat nach
seiner und Meinekes Vermuthung tés yap vepôv —
xocta geschrieben, und Schneidewin ist ihm gefolgt.
Die handschriftliche Lesart ist jedoch für den Sinn
angemessener und von Seiten der Grammatik untadlig,
wie Bernhardy Paral. synt. Gr. p. 67 darthut, indem
er für die elliptische Redeweise t£ vspôy po; zehn
Belegstellen anfühbrt. Nonnus Dionys. 24, 304 (oder
Colluth. 159): té yas caxéoy Aoocdirn; Colluth. 147:
té yap roképov Baouir; Nicetas Eugen, 2, 342: té por
peyéotuv xai Tuyeiv un badtuv; 5, 247: té Aoyov pu
rheucvov; Himerius Orat. I, 11: @h& ti pot puSov
rôy ééwSev; Lucian. de dea Syr. c. 20 vol. 3 p. 467:
ré pot Taurns Tic Térioss TÉ Dé por COoÙ, Ts TÉAOS
An déoxoua!; encom. Demosth. c. 29 vol. 3 p. 511:
ré ydp Tôv Ootôv mat Ts Vôgéas AnmosSéyny oùx
Eyovtz; Theodorus Prodr. in Anecd. Oxon. vol. 3
p. 219, 30: ah té por Toutoy TOY Àcywv; Priscian.
Inst. XVIII, 292 vol. 2 p. 364,17: Atici «té por tou-
tov;» xal «té pot et tourov;» wo Hertz das überlie-
ferte té por tourwy (routoy cod. Monac.) nach Krehls
Vermuthung in té or toùro geändert hat. Zu diesen
von Bernhardy beigebrachten Stellen kann ich eine
zweite Dekade hinzufügen. Il. ®, 360: ré por épdos
xai açowys; Epicurus de natura deorum XX VIII nach
der Herstellung von Th. Gomperz: 4&X\& Yag té Toutoy
qui Toy avSpurov; Himerius Orat. XXII, 5: &hh& té
Je (1. té n) Odvocéws mot, té SE Ournpcu xai Kuxdo-
roc; Dio Chrysost. 47, 17: ti yap mot Tis évade
otods; 47, 19: té yap mot toutov;, Xenoph. Ephes.
2,10: té dë (Cobet té dei) éheuSeptas ot; ré DE Thou-
rov za émupehelns rôv Adiotou yenmatov; Gregorius
Naz. Orat. IV p. 126 A: œXda tt toutov éuot; XXIII
p.416 D: aXka té por tôv ÉéwSev; Epist. 50 p.811 C:
aAha té toutoy émet; Synesius Epist. 128 p. 263 B:
ré oo xai Tÿ yÿ AËyUTTou Toÿ mueiv V0wp led;
Zu der verdienstlichen Abhandlung «de Cercida Me-
galopolitano poeta et legislatore» (Epimetrum XIT in den
Analecta Alexandrina p. 385 — 394) hat A. Meineke
neuerdings eine nicht uninteressante Notiz nachgetra-
gen, die wir einem Gedichte des Gregorius Nazianze-
NUS REQÈ TATELVOPOOCUVNS, CHPPOOUVNS XAL ÉVXPATELRS
oder nach anderen richtiger rept aoerñs V. 594 (595)
ff. verdanken. Die hier in Betracht kommenden Worte
des Gregorius (vol. IT p.213 D ed. Colon. oder IT p.444
521
der Benedictiner Ausgabe, Paris 1840) sind folgende:
AR avTE À ÿ Éomeu els Bus y To. tipo
TOY VATTEMADYOY GÛTA, LMÔË GÛT TI, 595
tÔy euteheotatoy héBnros éé ÉvOS,
ds héyer tou Kepxtdas 0 péAtates,
réhos Toupuvrov «bros ÉcSuY LME,
adtis Touoÿs ÊŸ dALULPÈV XATATTUEV.
«Die letzten drei Verse», sagt Meineke (Jahrb. f. Philol.
1863 p. 387), «stehen auch bei Kosmas in Mais Spicil.
Rom. II $. 254. Wer es unternimmt die verdorbene
Stelle zu emendiren, wird V. 96 ff. herbeiziehen müs-
sen: dotos n xaouxeln épol To ropat £Ë ahGv GTav
Yhuxy, oÙs Tôv Tovowvrov dhpvgèv xarartuwv. Aber
freilich sind auch diese Verse überaus entstellt. Dass
der hier erwähnte Kerkidas der bekannte Dichter und
Staatsmann. ist, über den ich Anal. Alex. $S. 585 ff. ge-
handelt habe, leidet keinen Zweifel. Zugleich geht aus
den Worten des Gregorius hervor, dass sich Kerkidas
zur kynischen Secte bekannte, womit auch das Lob
übereinstimmt, das er in dem a. O. S. 391 von mir
behandelten Fragmente dem Diogenes von Sinope er-
theilt.» So weit reichen die Bemerkungen von Mei-
neke, auf dessen Zustimmung ich rechnen zu künnen
glaube, wenn ich die von ihm hervorgehobenen Schwie-
rigkeiten zu lüsen versuche.
Gleichgiltig ist das Citat aus Kosmas, der einen
sehr dürftigen Commentar zu den Gedichten des Gre-
gorius Naz. verfasst hat (Zuvayoyn xai dÉmyncts ©
épvioSn ioregtôv © Seios l'omyoouos év Tois épyétoos
adtS elpnpévors Êx TE Ts TEORVEUOTOU VpapÂs HU TOY
ÆowSey rorntoy xai ovyyeapéuv). Den Unsinn des jetzi-
gen Textes hat er vorgefunden und getreu fortge-
pflanzt; die einzige Variante welche der von Angelo
Majo gegebeneText aufweist (toupie te T dpvoov statt
rovoñs & dhpvoèv), ist vielleicht nur bedingt durch
ein Versehen des Herausgebers oder des Druckes, je-
denfalls vüllig werthlos. Von wesentlichem Nutzen sind
dagegen die aus Greg. Naz. von Meineke angeführten
Worte, dotos n xuguxeio — xatantiav. Diese Worte
finden sich nicht in dem Gedichte megè apgetis, son-
dern in der ovyxetsts Béov V. 96 — 98 (vol. IT p.221
C ed. Colon. oder II p. 394 ed. Paris. a. 1840) und
lauten in der Külner Ausgabe:
KOZM. êpod ra répyar. TIN. Gptos n xapuxia,
éproi ro répuu LE GG Gray YhUXV,
oÙs TÜV TEUDOVTOY MAUUOOY HATATTUO.
des Sciences de Saïînt-Pétersbourg.
522
Die Benedictiner Ausgabe bietet statt dessen n xæov-
xaiu pot ta nopar 6 &6v, wie Meineke citirte. In
der ouyxpiots Blov wird ein Wettstreit zwischen dem
xcoperos und dem rveupatixos Bios dargestellt. Die
obigen Worte werden mit Beseitigung einiger Verse-
hen so zu schreiben sein:
KOZM. époù ta répyar. TIN.
Éporye TôUA T ÉË GAGY
OZ TOY TEUDUYTOY
GOTOS 1 XAQUXIL
fl s
ŒTAY YAUXY,
ŒRUUOOY HATATTUO.
Der Sinn dieser Verse ist leicht verständlich. Der
xoopix0s Bios behauptet, das feine Backwerk gehôre
ihm; der rvwyarixcs entgegnet, sein Leckerbissen sei
Brot und süss schmecke ihm jeder salzige Trank, wie
er die Schwelgenden salzig bespeie, d. h. mit beissen-
dem Witz verspotte. Müssen wir auch xapuxeto für
die richtige Form halten, so ist doch xægvxta, wofür
hier das Metrum spricht, bei einem Autor wie Gre-
gorius nicht zu beanstanden. Im letzten Verse müchte
ich das überlieferte os nicht unbedingt verwerfen,
doch scheint os den Vorzug zu verdienen. — Mit Hilfe
dieser Worte lässt sich nun die auf Kerkidas bezüg-
liche Stelle des Gregorius ungefähr in Ordnung brin-
gen. Wenigstens glaube ich in der Hauptsache das
Original wiederzugeben mit folgendem Vorschlag:
aravra à Epretv etç BuSoY Ta Tue
rôv yasrepapyoy oîta, ôè oûT Er,
d0SGs Réyez mou KepmdGs © pirates,
aÿrès toupntns, aÛTos ÉcSlov ha
rôy edteheatatov AéBntos £6 év6e,
TÉOS TEUPUOYTHY ŒAUUPOY XATOUTTUWY.
Kerkidas heisst gratos in gleichem Sinne wie nach-
her V. 603 Zrouwôv roy ouirarov gesagt wird, weil
Gregorius für seine eigenen Anschauungen eine Stütze
findet an dem kynischen Philosophen. Als Ansicht des
Kerkidas wird mitgetheilt dass alle Speisen der Schlem-
mer in einen Abgrund gehen, nämlich in den Magen:
denn daran wird zu denken sein, wenn auch bei der
Unbestimmtheit des Wortes 8v%0s eine andere Auffas-
sung nicht ausgeschlossen ist. Zu oîta tritt der Zu-
satz pnôè où x, weil die genossenen Speisen nicht
mehr geniessbar und also keine Speisen mehr sind.
Ueber die persünlichen Verhältnisse des Kerkidas er-
fahren wir aus vorliegender Stelle, dass er zuerst
üppig lebte, dann — vermuthlich weil er sein Vermü-
gen aufgezehrt hatte oder, wie Menander sagt, étou-
523
Bulletin de l’Académie Empériale
524
oncev Gate pi rod Toupav yeovov — sich zur kyni-
schen Philosophie bekehrte und gegen die Schlemme-
rei eiferte.
Thucyd. I,11,8. Nachdem Archidamos gesagt, in |
Feindesland müsse man zwar beherzt und unverzagt
sein, dürfe es aber an Vorsicht nicht fehlen lassen,
erinnert er an die Macht der Athener, von denen zu
erwarten sei dass sie sich zur Webhr setzen würden,
wenn sie sähen dass man ihr Land verwüstete. Denn
alle, meint er, werden, wenn sie sich beeinträchtigt
sehen, von Zorn ergriffen, und die am wenigsten über-
legt handelnden lassen sich durch die Leidenschaft
am meisten zur That treiben, ASnvatous DE at théov
TL TOY AAOY EtXOS ToÙTo Spa, OÙ MOELV TE TOY AÀ-
Aov aËtodot xat émiovtEs Tv TOY Tékas Onouv pLE)oV
n Thv éavr@v cp&v. Die Erklärer dieser Worte ver-
langen dass man zu Goav ergänze Snoupévnv. Dies ist
eine harte Zumuthung, die sich meines Wissens durch
kein Analogon rechtfertigen lässt. Ganz anderer Art
sind die von Classen citirten Stellen, Thuc. I, 78, 4:
nueis dÈ év obDaud To Tout auapTtia ÉvTes oÙT ad-
rot o0> Us coovres Méyouev Univ. II, 86,4: éri oùv |
to ‘Péo ci Ilehomowmotor Gopioavro xat autot vauaiy
érra xai éBounxovra, éretôn xat Toùs ASnvælous et-
ov. VII, 69, 1: ci pv tôv Zvpaxootov oToatryot xai
Tuemnos tout xal auto Tois opetépois oTpatiwTais
TAPUXENEUOALEVEL AYTETANEOUV TAS VaDs EUIUS ÉRELDN
xai toùs ASmvatous noSavoyre. Gesetzt aber wir ver-
stehen uns dazu aus dem Activum Ônosv ein passives
dqoupévny zu entnehmen: was gewinnen wir damit?
Statt des unverständlichen Ausdrucks eine Absurdität:
denn absurd ist es, wenn als Eigenthümlichkeit der
Athener bezeichnet wird dass sie lieber das Land ih-
rer Nachbarn verwüsten als das eigene Land von den
Feinden verwüsten lassen. So haben wohl ziemlich
alle Vôlker der Welt empfunden oder doch sicherlich
die Truppen zu denen Archidamos spricht. Zu op@v
darf also nicht Snoupévnv, darf überhaupt niechts er-
gänzt werden, sondern co@v ist fehlerhaft. Welcher
Begriff statt coGv gefordert wird, kann kaum zweifel-
haft sein. Die Athener wollen lieber das Land ihrer
Nachbarn verwüsten als das eigene Land — man muss
erwarten — zu ihrem Vortheil ausbeuten, still und
friedlich bebauen; es muss also statt 6o&v ein Wort
Stehen wie xaprodoSou, yempyeiv oder Sepameuerv.
Diesen Sinn bekommen wir durch die der überliefer-
ten Lesart nahe liegende Aenderung: tnv tôv réa
8n00v LAN RoY n TAY ÉAUTOY ooÛv.
In demselben Capitel heisst es vorher $ 4: admha
yao TA Tôv Topo xal E Ghéyou T& rot xai à
dois af émiyeronseus yéyvovrau. Dafür sollte man etwa
erwarten: xai £o oyou T& nrolhd, GhUS Te xav DC
pYNS GÉ ÉTELONOSLS YÉYVOVTOL.
Hyperides bei Stob. Flor. 74, 34: Toùs pèv mp0
rôv avÜpa tov éauTis yuvouxi xaNomiomuobs GTS Bou-
Aoëto yon YÉyvs0Sat" Tobs pévrot mept tas éÉcdous oùx-
tt Teùs Tv avôpæ, GANG Topos Tous étépous. Um ein
Verständniss der letzten Worte zu ermüglichen, wollte
Sauppe Orat. Att. II p. 305 nach ouxéxt entweder
teùs où oder oùx cvtos hinzufügen. Auf ein anderes
Heïilmittel führt das bei Stobaeus sich unmittelbar an-
| schliessende Excerpt (74, 35):
Toù œuroë. PofBntéov ox dvdpos Amen, dd
VOHLOU POV v.
Dazu bemerkt Gaisford dass seine beiden Handschrif-
ten nach œovrv hinzufügen:
Toÿ autoi. Kupuuetv et Toôv éAsuSépov.
Meineke hat die letzten Worte unter einer besonderen
Rubrik (74, 35 a) in den Text gesetzt. Damit ist frei-
lich nicht viel gewonnen, da die abgerissenen Worte
xvptevetv dt Toy éAeuSépoy ganz und gar keinen Sinn
geben. Die beiden Citate aus Hyperides, um die es
sich hier handelt (Stob. Flor. 74, 34.35), waren so zu
schreiben:
Tous pèv mods Tèv avÜpa Toy éautis yuvaxl xa)o-
miopous Crus Bouhorro yon Véyvec da” Toùs évror nepi
Tag ÉÉcdous cûméTt Tods Tov avdpæ, GXAG Tp0c TOUS ÉtÉ-
pous (besser rpcc étépous) yryvonévcus ooBntéov.
Toÿ aûtod. OÙx avdpôs arethnv, XX vouou poviv
xupteusty dei TOY éAcUSÉ po.
Die zweite Stelle ist aus dem neuerdings aufgefun-
denen ’Eriraues des Hyperides (V. 140 Cob.) ent-
lebnt, wo es heisst: où yap dvdoos dnethnv, ah vé-
pou poviy xupreuetv dit Tov eudaovoy, où> aitéay @o-
Bsodv etvar vois éhsuSépous, ŒAN Édeyyov.
Plut. Mor. p. 525 D: Buéavricy tva Xéyouauv êti
SvopéepE yuvatxl pouyov etpôvræ eireiv" «Ô TahaltogE,
rés avéyxn; oanroayéox noct£». Die hier erzählte
Auekdote kehrt wieder bei Plut. Apophth. Lacon. 55
p. 235 E: hafov ts poryèv êT aioyo& yuvuxl, ae,
cône, tie tot dvyxa; Vel. Hieroclis et Philagrii Dacy.
p. 323 ed. Boiss.: eûtoadrencc vis (1. eutoanendy ic)
525
éhouddper, Ote Tv yuvaixn Jopeay don elyov. 0 DE ere:
«éproi ÈV dvdyxn Totoutou xaxoÙù avréyeodat (1. œvé-
xeoSau), act Ô tis avayxn;» Aber weder die eine
noch die andere Stelle bietet uns einen Anhalt zur
Emendation der unverständlichen Worte oarpæyco®
roots. Was Wyttenbach über diese Worte faselt, |!
kônnen wir auf sich beruhen lassen, eben so wie
den Versuch von Winckelmann Acta societ. Gr. IT
p.15 f. Zum Theil hat schon Reiske das richtige ge-
sehen, wenn er outea yéo & Toë vorschlug: aber
der Ausdruck caro mocté lässt sich weder belegen
noch verstehen. Wie ot und v in Folge der Byzantini-
schen Aussprache unaufhôrlich vertauscht werden,
so môchte ich schreiben care Yap & tovËé. So sagt
Ar. Plut. 1086 von einem alten Weibe: ax ét
xopiÔ TRUE mahad xai conçu. Ist übrigens à TovË
(oder & tectË) richtig hergestellt, so werden wir kein
Bedenken tragen dvéyxn in dvdyxa zu ändern, zumal
da in den Apophth. Lacon. die Dorische Endung über-
liefert ist.
Aristides vol. 2 p.670 Dind.: où pévoy avti taot-
Sos, dNAG xat moo Ths Tatotèos aycuot Tautnv (die
Stadt Athen), xai Chu xai ravti rocofsvoust To Su-
uG, Os ElXÔS TV HOLVDY ATAVTOY HITÉAV TE HA TROP.
Die Begriffe œtéx und tespos sind zu heterogen um
so wie es hier geschieht verbunden zu werden; und
mit welchem Rechte Athen oder irgend eine andere
Stadt xouwn atévros aitix genannt werden kann, ist
mir unverständlich. Offenbar schrieb Aristides vielmehr
rh xouwvŸy aTavTov ÉGTÉAY Te kw Toopov, Wie er von
demselben Athen an einer andern Stelle vol. 1 p.181
sagt: TO:GBUTOTN TÔV Envie dou TÔ PA
rois TANTAÉSEY — Gorge} Tapis éott Hat ÉOTIA
xouwn, und p. 319: rec JTE RO pÈv oÙY AYÉUNY EKOUHY TO
Tis ous roro) xoi tiv (füge hinzu xetviv) Tis
Edôos éctlav xal To éperopa xal Oo Touuita eis
iv mov ose. Vgl. Aelian V. H. 4, 6: nvixa éfou-
Xovro Auxedampovier Tv ASnvalov dpavioor TX, Np6-
rnoav Toy Jedv* xal amexpivaTo TAY XoUny ÉGTÉAY TÂS
“Ehados pur meveiv.
Ath. IX - 409 A: xai Zopooy êv YUvaIxELOUS" (TO-
Xava Karvca, xara y21006 Bodoa arcèos Tox ui Tav
rodre£avr. Dass statt Kazxca vielmehr Kowxoæ zu
schreiben sei hat man mit Recht aus Ath. IX p.380E
und Etym. M. p. 478, 13 gefolgert. Eine fernere Be-
glaubigung der richtigen Lesart bietet Demetrius 7 reoi
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
526
rospatoy Vol. Herc. 1 p.121 der Oxforder oder Tom.
V fol. 13 der zweiten Neapolitaner Ausgabe.
Clemens Alex. Protr. p. 35:
puôdes rio YÉLo Sat apporte.
raidæ vouïetet. Ueber diese Stelle sagt Cobet im
Ep I p. 244 Folgendes: «O ete mpÉVes T
Siosta! LayBeiou VTcv-
évralSa Ôn 10 Tagot-
L » ,
* TATNE AVOUSÉTTOS
Acytos ‘I
OTA To0s TA [ÉTEQ EVTÉOS aic
tos GAL rapepSagpévou. AtopSuTÉéov
ratio avouSérntos UÉOV vouderei.
x 3;
osdmes Wôn Ta locbuvapa cuyyvtévre
’Ererta Ôè Tôv mods Tu eicl Tatnp xai us, oùyi
rate xai rmais.» Dass in dem Sprichwort des Cle-
mens ein iambischer Trimeter zu suchen ist hat Cobet
nicht zuerst wahrgenommen; ich habe vor zwanzig
Jahren verbessert
AYOUSÉTNTOS RAD VOUŸETEL TATO,
wie Cobet aus Com. Gr. vol. 5 p. CCCLXXI ersehen
konnte. Dass statt vis die Abschreiber taës zu setzen
pflegen halte ich nicht eben für wahrscheinlich; .lei-
der hat Cobet sich die Mühe erspart für die von ibm
vorausgesetzte Vertauschung der Synonyma eine An-
zahl von Belegen beizubringen. Wenn er aber sagt,
dem Worte rartno künne nicht raïs gegenübergestellt
werden, so hat er offenbar gescherzt; denn dass raës
den Sohn (die Tochter) bezeichnet weiss jeder Anfün-
ger. Oder sollten Ausdrücke wie tatdov £r agro
ynoloy, yevéo dat ratépa TAdEY, ThEUCVEY TAUdEY Ta-
re‘) u. dgl. in Holland «ungriechisch» sein ?
Clemens Alex. Paed. IT p.185 eifert gegen den Ge-
uuss verschiedenartiger und fremdländischer Weine:
Ti yao oÙx dnéypn Ô Étipptos dTOTÀTPÔEL Ty ÉT!-
Supiav; ei puy Te xal To Voup Éroicovter, < où Baorheïs
ci dvonror. Xéaonis rorauos coûte heyépevos Tûs Ivb-
QULE où xaXMoTOY VOME Ets néoty To Xoadontov, XA3-
dnsp xal vous pihous, coûte D mai Tè Up ÉTAYE LE
vev, Nach Cobet im Aéytos Eguñs I p. 186 f. hat die
Stelle ehemals folgendes Aussehen gehabt:
Xoxorns oTaoG oùtw Àe—
yéuevos ts Ivdtxñe, où
xalliotoy Uôwp Eic Too
ro Xoacxetov.
= aux
Og où Baarheïis oi avénret
, A “ (14
XOSGTER Xal TOUS QÜAOUS OUTO
!
S xai To UOOp ÉTAYOPLEVOL.
11) Gerade diese Ausdrücke finden sich in den Bruchstücken
des Menander, mit denen Cobet sich bekanntlich oft und gern be-
schäftigt hat. Die Wendung raidwv x dpoto (statt èr apett) yvn-
ciwy habe ich in einem Briefe des Procopius aus Gaza bei Mai Class.
auct. IV p. 266 hergestellt Trag. Gr. fr. p. 708, was R. Hercher im
Hermes I p. 475 entgangen ist.
527
Bulletin de l’Académie Empériale
528
Die über den Choaspes gegebene, den Zusammenhang
der Stelle strende geographische Notiz ist offenbar
eine in den Text eingedrungene Randbemerkung, wo-
nach es denn nicht weiter befremden kann, dass auf
den Indischen Choaspes übertragen wird was von dem
an der Stadt Susa vorbeifliessenden Choaspes zu ver-
stehen war (vgl. Herodot. I, 188, 1: otopateuero dè dn
0 Baotheds 6 péyus mat ouricior eù écxevacpéves éE oi-
xou xal rpoBatoiot, xal Ôn xat VÜop ar0 Toù Xoacreo
roTapoÿ due dyerar Toù rap Zoûca béoytog, Toù pLou-
vou mévet Baotheds xat œAhou oudevos motapod). Wenn
jedoch Cobet auch die Worte tè Xodomewv als inter-
polirt ausscheidet, so hat er, um ein von ihm belieb-
tes Bild zu gebrauchen, mit dem Unkraut auch etwas
Weizen ausgerissen und ist weder dem Clemens noch
seinem Scholiasten gerecht geworden. In der Rand-
glosse nämlich sind die Worte ro Xoaometov, nachdem
voraufgegangen ist où (d. h. Xoxonov) Üdop, zweck-
los und stürend; und hätte Clemens nur gesagt was
Cobet ihm beilegt, ©s ci Baarheic où avénrot xaSanep
xal Tods pihous coût Ôn xa To Udop ÉTaYEVO, S0
würde keiner so leicht die versteckte Beziehung der
letzten Worte errathen haben; am wenigsten dürfen
wir einem halbgebildeten Scholiasten zutrauen dass
er die so allgemein gehaltene Andeutung richtig ver-
standen hätte. Die geographische Notiz über den Choa-
spes verdankt ihr Dasein augenscheinlich nur dem
Umstande dass im Texte von dem Xodomz:tov 08op die
Rede war. Freilich künnen die Worte ro Xcaoraetoy
nicht diejenige Stelle im Texte behaupten, welche
durch die Ueberlieferung ihnen angewiesen ist; wir
müssen daher annehmen dass sie ebenfalls am Rande
gestanden haben, aber lediglich in Folge einer unwill-
kürlichen Auslassung. Die Stelle des Clemens wird
vielmehr so zu schreiben sein: @s cf Buotheïs où avento
xaSadnep xal vols pihouç, obte BÈ xai To UÜmp To
Xodonerov émaæyoueve. Noch muss ich hinzufügen dass
Cobet an der Emendation wie an der Verstûmmelung
der in Rede stehenden Worte vollkommen unschuldig
ist. Bereits Valckenaer hat zu schreiben vorgeschla-
gen: 6$ of Baorhets où avontor xadanep xa ToÛs qÜhous,
ot xat To Uowo éraycuevor. Dass statt des Valcke-
naerschen coûte xat das handschriftliche coûte dE xœi
(wofür Cobet oïto Ôn xai schreibt) beibehalten wer-
den konnte, hat Bast Epist. crit. p. 223 bemerkt.
Beides lehrt die Ausgabe des Clemens von Klotz,
welche Cobet nach seinem eigenen Geständniss be-
outzt hat.
Hippias bei Clemens Alex. Strom. VI p. 745 erklärt
dass er aus älteren Dichtern und Prosaïkern vieles
entlehnt habe und sagt darauf: 2yô SE x ravroy tou-
TOY TA HLÉVIOTE xaÙ Cuopuda GUYIElS ToÛTOY xatVOY x!
novel Tov Àcyoy mounccuat. Cobet meint im Adyos
“Eouis I p. 232, statt ta péyota xal ouépuda sei ta
BéAtiota xai cuoœuia zu bessern. Vielmehr dürfte
Hippias ta padista oucœuda geschrieben haben —falls
pämlich cuéquAc richtig ist, worüber wir bei unserer
Unkenntniss in Betreff der Schriften des Hippias zu
urtheilen nicht vermôgen. War paktota in péyiotæ
übergegangen, so lag die Einschaltung des xai sehr
nahe. Derselben Einschaltung begegnen wir auch sonst,
vel. Eurip. Studien I p. 114. Eben dahin gehôrt He-
rodot. VII, 23, 8: oi dE Poivwxes oopinv Év te Toior &à-
Aotot épyoor arodcixvuyrar xai Ôn xal Ev Éxeo. drc-
Aayovres yap [pLoprov] Ocov autoior ÉtéBadhe, dpuadov ro
Wév avo otopa Tis Gopuyos roueûvres DTAoLo n Coov
de aura Tnv dtopuya yevéo dar, mooBatvoyros DÈ Tod
Épyou ouviyov atel” xato Te Ôn éylvero xai ÉÉtcoûto
toîot œhdoust To épyov. Die letzten Worte, die sich in
der jetzigen Fassung dem Verständniss einziehen,
sind so herzustellen: xato te On éylveto éË iocou voi-
ct æXhctor to Epycv. Statt EZ=ICOYTOICI las man
EZICOYTOTOICI (d. h. éétcodro toto!) und meinte
nun die Verba éytveto und éftooûto durch die Copula
xai verbinden zu müssen,
Procopius Gaz. in Cuiacii Epist. Graecan. p. 443
0Sev 0 pèv Os MAAOTEO KEHOMUEVOS GLATL TAV ÉAEUGÉ-
pay ÉXEVNY POVnv, TTÂGE, RÉVOY, TTNO0E Toy éË
dVApyou TUR&XOV, ŒUÜTOY VAE AVÉÉMEYOV OÙTOTE TTNO-
gets" © D TOV UT Ap{OVTOY ÉxBoANY AU IA ÉpETOV Too LE
vos, Koatns, Epacxs, Koarnta éheuSepot. Es gränzt
an das Unglaubliche, wenn zu den Worten rriocc
— roots bei Cuiacius die Lateinische Uebersetzung
gegeben wird: «venientem &Ë avapyov crumenam. ipsum
enim metue inquiens, metue avéÉaoxoy nunquam me-
tuis». Sicherlich werde ich keinem Leser etwas neues
sagen, wenn ich bemerke dass es heissen muss: trto-
ce, Xéyov, rriooe Tov AvaËapyou SUhaxov' aÿtoy yo
AvaËaoyoy oùnore roots. Die Anekdote auf welche
hier Bezug genommen wird, findet sich oft erwähnt;
vgl. Benseler Würterb. der Griech. Eigenn. p. 84 und
Gregor. Naz. vol. 1 p.822 C. Ueber die nachher ange-
529
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
530
führten Worte gibt weitere Nachweisungen Bergk Lyr.
p. 27 ed. alt., wo die obige Stelle hinzuzufügen ist.
Procopius Caes. de bello Persico IT, 15 vol. 1 p. 222
ed. Dind.: xat aÿroi oohoyour Tis Te 6000 myepnoves | V
xat Toù épyou toutou Ilépoous éceoèar roonovou. Statt
des unverständlichen letzten Wortes hat man ehemals
rooroho vorgeschlagen, eine Vermuthung welche Din-
dorf zu Soph. Ai. 1197 und im Thes. Gr. L. vol. 6 p.
1820 B billigt. Ich halte die Verbindung égyou ivos
recrohos für unmüglich. Ohne Zweifel schrieb Proco-
pius: Toù épyou toutou Ilépouts RE ROCÉEVOL.
Statt anderer Belege vgl. Alciphr. 3, 72, 2: dretérn-
gev êpE Tocéevov elvar Ts XoIvOvES. Et Il. p. 485,
17: xato petaocoav xai Ô xahoù TIvVèS 7 KAXOÏ aiTios
oÿto (nämlich rocËevos) Xéystat, olcv drohelas TpcEs-
Vos 1 DIonds N GoTpias N VYEURS.
Bekanntlich hat Valckenaer hinter dem Ammenius
ein kleines AcËrxov reot rvsupaétoy herausgegeben. Als
Verfasser desselben bezeichnet Boissonade Anecd. II
p. 37 den Iohannes Levita; ich halte es für wabr-
scheinlicher dass die von Valckenaer verôffentlichte
Schrift nichts weiter ist als ein Excerpt aus der von
jenem Johannes verfassten Zusammenstellung. Dies
scheint hervorzugehen aus zwei Stellen des Lexikon
selbst, p. 215: xat 009 ro ÉTISUUMUE&" TOÙTO DE pr
Roÿpevey ebpoy éy vois ‘loawvou, und p. 218: épèo TÔ
TodTTO* ToÛTO Yap Év Toîs ’Luavvoy Sacuvopevoys ebpov.
Denn der hier erwähnte Iohannes wird kein andrer
sein als eben jener Iohannes Levita aus Bithynien,
welchem Boissonade das Opusculum beilegt auf Grund
folgender Verse, die Cramer Anecd. Paris. vol. 1 p.
397 aus der Pariser Handschrift Nr. 1270 herausge-
geben hat: ‘Iodwvev révqua Asvétou téde, où rares À
yh rôv BSvvoy rodsSe à Mupéov ads À yupa p7-
rocèev. Dass hier drei iambische Trimeter vorliegen
ist leicht wahrzunchmen; denn Buvoy rocaSey ist
von Cramer in den Text gebracht statt des richtigen
B'suvoy rarpo%ey bei Boissonade Psell. p. 291. Statt
n Mugéov hat Boissonade "Hyegéov gelesen, was er in
‘uspatoy ändern wollte. Wenn ich nicht irre, ist zu
schreiben:
’odvou rovnua Acvétou tode,
où rartois n Vi TOv BiSuvy tatoo Se),
1 Mocioy adts Oà jopa HnTeoev.
In einer Delphischen Inschrift bei C. Wescher und
Tome XII.
P. Foucart (Nr. 230 p.170) heisst es: AQOVTeS y pv
“Houxhela AproroBcurou Iurowvos Oscdwpou pavos Ho-
du év Aehoots dë apycvres Houos toù IDiséotoves pr-
: Thatou. Aus dieser Stelle hat Benseler in seiner
OH dankenswerthen Bearbeitung des Papeschen
Würterbuchs der Griech. Eigennamen einen Monat
"Haxos aufgenommen und nicht ermangelt den uner-
hürten Namen auf eine unerhürte Weise zu erklären.
Wäre "Hartos ein Monatsname, so würden wir uns
nicht für berechtigt halten die Bedeutung «Blutmonat»
anzunehmen, wie Benseler nach Hesych. v. fo es
thut. Factisch aber ist, wie ich schon früher (Bulletin
T. VIT p. 570 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 630)
gelegentlich bemerkt habe, MHNOZHATOY nichts
weiter als ein Lesefehler statt MHNOZ.NATOY d.h.
unvès évatou. Zur Erledigung etwaiger Zweifel ver-
weisen wir auf Inser. Delph. Nr. 47 p. 52 : TpaTayéev-
ros Tv Poxéov Tyreodvsos Aput[éos] pnvès évateu,
y Ashoots DE apyoyros EÿSopou pavos Paatou, und Nr.
81 p. 73: ortoatayéovres Tôv Poxéov IluSéa E....e0
unvès évatou, év Aehoots dë apyovros Kheudamou toù
Mavtia punvos ’Taaiou.
Aus Hippocr. p. 1127 B gibt Benseler den Männer-
namen AaruTtos, den er — ich weiss nicht mit welchem
kechte oder mit welcher Freïheit — übersetzt «P er-
thus d. i. der glänzende — Aayrutos». Für das mei-
nes Wissens unerhôrte Aaurutos mag Benseler die
Verantwortung übernehmen; statt Aarutos vermu-
thete ich ehemals Aadtuyes, und glaubte denselben
Namen in einer anderen Verunstaltung wiederzufinden
bei Wescher und Foucart Inscr. Delph. Nr. 2, 4 p. 2,
wo Aurruyou steht. Aber statt ox +ô Axayïlo Au-
roro hat Littré bei Hippokrates vol. 5 p.158 aus zwei
Handschriften (CH) cé& +6 AxavSfo hatiro herge-
stellt.
Der Name Metagtorn, den Benseler aus der Inschrift
bei Ross Att. Demen Nr. 186 p. 102 aufgenommen hat,
ist zu tilgen; denn meine am angeführten Orte ausge-
sprochene Vermuthung, dass auf dem Steine vielmehr
Msyasiorn stehe, ist hinterher bestätigt worden durch
die Abschrift von Rangabé Antiq. Hell. IT p. 883.
Befremdlich ist es bei Benseler p. 314 zu lesen:
«Atoynhos, m. falsche Lesart in Schol. Ap. Rh. 1, 105».
Gevwiss ist die Lesart Aloynhces (statt Aîcyvaos) so falsch
und so schlecht verbürgt dass es sich nicht lohnte da-
von irgend welche Notiz zu nehmen. Gar keinen Sinn
34
531
Bulletin de l’Académie Impériale
53?
hat es, wenn durch Theognost. p. 10, 26:ratogucs taoa
’Dietous o ais, der Herausgeber sich bestimmen liess
’D\sios als falsche Lesart statt HAsïos zu verzeichnen.
Eben so wäre p. 296 der vermeintliche Commentator
des Homer AtauSces besser fortgeblieben; denn statt
AtuSos ist mit Bergk zu lesen AgtaSos: über diesen
Schriftsteller vgl. Müller Fragm. Hist. IV p. 318 f.
und Schol. Od. x, 495. — An einer anderen Stelle
heisst es bei Benseler: «Einôoç, m. viell. —’Inÿos, also
Frôhlich, denn émddves =— evppoouvn, yapat, nach
Hesych., Mannsname, Arcad. p. 48, 19.» Es heisst den
Scharfsinn verschwenden, wenn jemand entschieden
fehlerhafte Lesarten zu erklären versucht. — Nur auf
einem Abschreiberversehen beruht der Peripatetiker
"Eérouvns, welchen Benseler aus Bekk. Anecd. p. 729,
23 entlehnt hat: statt rug “Efrodvous hat Classen un-
zweifelhaft richtig HouËétoaveus hergestellt, wonach die
falsche Conjectur AcËtoavns keine Erwähnung ver-
diente. —"Hpcoodos wird von Benseler erklärt «Fruh-
nert (d. h. mit der Frouwa oder Hera tüchtig, vgl.
coÿo Sat — cpuäcSat)». Diese Etymologie klingt aben-
teuerlich, und der Name selbst, der aus C. I. 2056 c
vol. 2 p. 79 aufgenommen ist, scheint fehlerhaft; wir
môüchten dafür Ipocoëes in Vorschlag bringen, zumal
da der erste Buchstabe bei Bückh als undeutlich be-
zeichnet wird. — Nicht minder verdächtig ist der an-
gebliche Name Kovôvos aus Mionnet; es wird Kov-
duuvos heissen müssen. — Die Schreibung Ilagpowôns
ist durch C. I. 165, 24 vol. 1 p. 292 keineswegs ge-
sichert; auf Ilappoviôns weist die von Ross Att. Demen
Nr.16 publicirte Inschrift. — Mehrere falsche Namen
bat Benseler aus dem Katalog der Pythagoreer bei
Tamblichus V. Pyth. $ 267 allzu gläubig entgegenge-
nommen, z. B.'’Agutos, was vermuthlich Evouros heis-
sen sollte, Mekotas, wofür schon Keil Anal. epigraph.
et onomatol. p. 228 Mexnotas hergestellt hat, Kaægo-
oavrtèus, wo ich KAscoavridas vermuthen müchte.
Bedenklich ist auch Tvgtxros (nach Benseler Schim-
mel, indem yAogôs — Bhoscs oder üréAsuxos sei): in
den Worten des Iamblichus, Drogrros, "Edogts, ‘It-
rov, scheint lrogrros nichts weiter zu sein als eine
Dittographie der beiden unmittelbar folgenden Namen.
Zahlreiche onomatologische Irrthümer sind ver-
schuldet worden von den späteren Schriftstellern
selbst, die sich durch falsche Lesarten täuschen lies-
sen oder ältere Texte, die ihnen vorlagen, unrichtig
auffassten. Wenn der Verfasser eines Namenwürter-
buchs derartige [rrthümer registrirt, so überschreitet
er in keiner Weise seine Befugnisse; für durchaus
nothwendig aber halten wir es dass die Irrthümer, so
weit es eben müglich ist, als solche bezeichnet wer-
den. Wenn z. B. Clemens Alex. Strom. I p. 396 einen
Baumeister Yréoov toùveue aus Alexander Polyhistor
erwähnt, so mag der Lexikograph immerhin den ver-
meintlichen Namen ‘Yrégoy aufnehmen, aber zugleich
soll er bemerken, dass dieser Name, wie schon Potter
erkannt hat, lediglich auf einer Uebereïlung des Cle-
mens beruht, der die bei Eusebius P. E. IX p. 449 C
erhaltenen Worte des Alexander, Te Gv dy aÿtoy
épornons, falsch auflasste. Der hier ausgesprochenen
Forderung ist Benseler nicht nachgekommen, wenn
er p. 530 dem Eust. Od. p. 1845, 12 glaubt, ein Sohn
der Lo habe den Namen Iaccs geführt. Allerdings sagt
Eustathius: Aéyer S "Iacov Aoyos nv Ilslomcwmnoov
aro Idocu Bacthéws toù ts ‘Ioës, Gotep To aûto xai
Apyos Bud Toy RolhayeD OnAcumeEvoy TavoTTny Apyov.
Aber der Künig lasos, von dem er redet, ist kein an-
derer als der bekannte Vater der Io. Diesen zum
Sohn der Io zu machen liess er sich verleiten durch
das Schol. B. Q. Od. 6, 246: ’Iacov Apyos] toy Ileho-
rowmoov axo Iaoou.toù tas Lous* mois Tv «ut DÈ
xai Ayaïxov Agyos onct. Er sah nicht, was auch den
neueren Kritikern entgangen ist, dass die sinnlose
Praeposition recs nichts anderes ist als taxocs, was
bekanntlich toos geschrieben wurde, dass es also heis-
sen muss: ty Ilehotéwmocv ano Iooou toù tie ’Loûc
Tatpos' Tv auTiv dE rai Ayaïxov Agyos onot. — Zu
verwundern ist es, wenn wir bei Benseler p. 904 lesen:
«Mécaros, Mittelmann, Mannsname, Eur. ep.» Der
angebliche Tragiker Mesatos ist ein Phantom, veran-
lasst durch Ar. Vesp. 1502: vics Kapxtvou © pécaros,
vel. Meineke Hist. crit. p. 513 f. — Durchaus irrthüm-
lich ist was p. 523 des Würterbuchs der Eigennamen
steht: «@uvov, ovos m. Schmauser, Schriftsteller,
Phot. cod. 167.» Desgleichen was wir p. 1250 lesen:
Ioavotoy, wvos, m. (Billig), Schriftsteller, Phot. cod.
167.» An der bezeichneten Stelle berichtet Photius
über die noch gegenwärtig vorhandenen, freilich nicht
vollständig auf uns gekommenen Sammelwerke des
Iohannes Stobaeus. Die angeblichen Schriftsteller Ov-
voy und Iloavstoy sind von ihm gemacht aus den Na-
men Zweier Vülker, der Thrakischen oder Bithynischen
533
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
534
—_—
@vvot und der Indischen Ioaoter. Dies lehrt die von
Photius benutzte Stelle des Nicolaus Damasc. bei Stob.
Flor. 37, 38: Ioaor (1. Ilodouot) toùs actu yeirevas,
éav MyG rec dÔo!, toéoouo. Guver (L. Ouvsi) TcUs vava-
vods oavSouros dsyopevor éhous roicivrat. Aus dem-
selben Capitel des Photius hat Benseler unter anderen
folgende Artikel aufgenommen:
AvaEëdha, f. Mathilde, Dichterin.» Eine Meta-
morphose des bekannten Komikers Anaxilas, s. Stob.
Flor. 57, 4. Bei Photius steht der Nominativ AvaEl-
Ans, der sich daraus erklärt dass er AvaËtXhou statt
Ava£thaov las. Die Feminalform Avzéthax ist eine mo-
derne Erfindung. :
«@zdBoudos, m. Gotrat, Philosoph.» So steht mehr-
mals bei Stobaeus; dass dafür durchgängig KaAscBouhos
zu lesen ist, habe ich schon früher bemerkt (Bulletin
II p. 338 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 270).
Irrahcs, m'Rüssel, ein Philosoph.» Der Philo-
soph hiess vielmehr ‘Irraces, wofür die Variante IT
rahoz bei Stob. Ecl. I p. 304 angemerkt wird.
dIrroves oder ‘Irrévns, gen. ‘Irrovev, m. Ross-
camp, Philosoph.» Statt ‘Irroves hätte Photius "Ir-
roves schreiben sollen vom Nom. ‘Irrov (Stob. Ecl. I
p. 798).
«@shépowos , od. @sréscoos, m. Wünscher (d. h.
zaubernd, denn Sehepéy — Sehexté und +0 Sékyov Ta
éupara, Hesych.), Dichter.» @eképopos (so hat Pho-
tius geschrieben, nicht @shépepos) ist der corrumpirte
Titel einer Euripideischen Tragoedie, des Bellerophon-
tes. Dies geht hervor aus Gaisfords Bemerkung zu Stob.
Filor. 100, 3: «hic ct seq. locus repetuntur in À [eben
so im codex Escorialiensis des Mendoza] post n. 4 cum
lemmate SeMégopos». Végl. Eur. fr. 294.
Indem ich meine Bemerkungen zu Benselers Namen-
würterbuch hiermit für jetzt abbreche, hebe ich, um
etwaigen Missdeutungen zu begegnen, ausdrücklich
hervor dass das Minimum der hier gemachten Aus-
stellungen den Werth der vortrefflichen Arbeit kei-
neswegs schmälert. Gerade weil Benseler um die Samm-
lung der Griechischen Eigennamen sich sehr verdient
gemacht hat, ist es nothwendig dass die seiner Arbeit
anhaftenden Mängel hervorgehoben werden. Fremder
Lobpreisung bedarf ein Werk nicht, das selbst hin-
länglich für sich spricht, und zahlreiche Irrthümer sind
nach der Natur onomatologischer Arbeiten kaum zu
meiden. Nachträge zu Benselers Würterbuch zu ge-
ben wäre überaus leicht; viel wichtiger aber als die
Vervollständigung ist die Ausmerzung des Falschen.
Darum mag hier noch eine allgemeinere Bemerkung
hinzugefügt werden. Sollte Benseler, was wir wün-
schen und hoffen, zu einer neuen Ausgabe seines Wer-
kes kommen, so wird er im Interesse der Wissenschaft
handeln, wenn er seiner unglücklichen Neigung die
Griechischen Namen mit falschen Etymologieen und
unverständlichen Uebersetzungen auszustatten vüllig
entsagt. Der Wegfall so vieler und so unfruchtbarer
Phantasmagorieen kann dem Lexikon nur zum Gewinn
gereichen.
Bald nach dem Erscheinen des ersten Heftes von
Benselers Namenwôürterbuch schrieb mir mein unver-
gesslicher Lehrer und Freund K. Keil in Schulpforte,
dass er ein dleidliches Convolut» von Nachträgen zu
diesem Hefte zusammengestellt habe. Zur Publication
seiner Nachlese ist er leider nicht gekommen; darum
halte ich es für meine Pflicht die nachfolgenden Be-
merkungen, die er mir bricflich mittheilte, in weiteren
Kreisen bekannt zu machen.
«C. I. G. 2477 c. 2 vol. IT p. 1094
NNORIOEETETES
OEZZAAOZEKDAP..
AOY
schreibt Bückh mit Ross (Arch. Aufs. IT, 525. Rhangab.
n. 938)
AThoysos Z[w]ore[areu
Occcadds êx Pae[ca-
\CU.
Da der Stein deutlich ZIZT hat, so wird ein Verse-
hen des Steinmetzen angenommen, was mir & priore
immer bedenklich ist. Nun gicbt aber Pittakis in der
Eph. arch. n. 485, und das hat man allgemein über-
sehen, vielmehr ANOXOZEIE. Das liest er AXoyss
Zio[voov und findet als blinde Henne wenigstens das
zweite Korn. Denn jener Proxenos der Anaphäer auf
der dem vierten Jahrhundert nach der Schrift angehôri-
gen Anagraphe hiess Aacyos Eovocu und ist hüchst
wahrscheinlich der vom Demosthenes pro coron. 295 Er-
wälhmte. Einen Pharsalier Sisyphos kennen wir glück-
licher Weise aus Theopompos bei Athen. VI, 252 F.
Aus Polybios 40, 1 p. 1164 Bekk. führt Benseler
einen Avaridns, ovs, an: das ist aber der Axactidas
Khcouvdorou Bouwrios der Alt. Inschrift bei Rhang. n.
34*
535
Bulletin de l’Académie Empériale
536
962 (Lebas Attique n. 615), und bei dem Historiker ist
überdiess KAcopévous unrichtig.
Ein drûtes zu berühren, so gedenkt Benseler der
Form Aèystdos (vermuthlich wird er auch ’EgsxSetdos
und Oiveidos erwähnen) und citirt Buttmanns Ausf.
Gramm. Sehen Sie selber zu, wie wunderbar der treff-
liche Grammatiker um diese Unform herumgeht. Seit
Boeckh im C. I. G. verkannt hat, dass AIFEIAOË «.
dal. Ueberbleibsel der alten Orthographie ist (EPMEI,
TEI BOYAEI, AFAQGEI TYXEI «. dgl. Formelhaftes)
und Atyetdos gesetit hat, seitdem figurirt das Curiosum
bei berufenen und unberufenen Herausgebern.»
So weit die Mittheilungen meines Freundes, des
tüchtigsten Onomatologen den die Griechische Philo-
logie bis jetzt geschen hat. Dass ich Keïls Worte un-
verändert wiedergegeben habe, wird man nicht miss-
billigen ; natürlich hätte er für den Druck hie und da
eine andere Form gewählt. Ueber die dritte der oben
behandelten Fragen hat er sich in einer Gratulations-
schrift an C. Fr. A. Nobbe, De inscriptione Attica
comment. p. 12 Anm. ausgesprochen, wo er sagt:
Cumanudis, cum in lapide sit AIFEIAOË, scripsit At-
veidos, ut EpsySeidos locis aliis. Eandem scripturam,
commemoratam a Benselero in Lex. Nomin. Propr. s. v.
Aynis, olim expresserat Boeckhius; verum in ea nilil
reconditi haberi sed superesse vestigium antiquioris scri-
bendi generis, cui E erat pro H, facile est ad demon-
strandum. — Die Hoffnung durch K. Keil einen um-
fassenden Thesaurus der Griechischen Eigennamen zu
bekommen hat sich leider nicht verwirklicht; müchten
wenigstens die unschätzbaren Vorarbeiten dazu, die
er während eines Vierteljahrhunderts rastloser Thä-
tigkeit in einer langen Reïhe von einzelnen Abhand-
lungen an den verschiedensten Orten ausgestreut hat,
baldigst von kundiger Hand vereinigt und durch ge-
genaue Indices nutzbar gemacht werden: damit wäre
nicht nur der Onomatologie, sondern allen Gebieten
der Alterthumskunde ein wesentlicher Dienst geleistet.
Verg. Aen. II, 94 — 96:
nec tacui demens et me, fors si qua tulisset,
si patrios umquam remeassem victor ad Argos,
promisi ullorem et verbis odia aspera movi.
Es erscheint als hôüchst wunderlich, wenn Sinon, der
den Tod des Palamedes zu rächen droht, die Vollzie-
hung der Rache vertagen will bis er als Sieger nach
Argos zurückgekehrt sei. Zunächst ist es unklug dass
er den Trojanern gegenüber hervorhebt, er habe die
Absicht und die Hofinung gehegt das Troische Reich
zu stürzen. Diese Notiz konnte um so eher fortblei-
ben, da nach der folgenden Darstellung des Sinon das
Griechische Heer sich in einer hüchst bedrängten und
vüllig verzweifelten Lage befand, so dass man nicht
mehr an die Eroberung der Stadt Troja, sondern ledig-
lich an das Aufgeben des ermüdenden Krieges und an
schleunige Rückkehr in die Heimath dachte. Sodann
setzt Sinon, indem er die Ermordung des Palamedes
nach der Ueberwindung Trojas rächen will, voraus
dass Troja fallen muss auch ohne den Palamedes; er
betrachtet den Tod des Palamedes als irrelevant für
den Erfolg des ganzen Unternehmens, er verringert
die Schuld des Ulixes und seiner Helfershelfer ohne
allen Zweck und gegen alle psychologische Wahr-
scheinlichkeit. Ferner konnte Sinon*einen unpassen-
deren Augenblick zur Ausführung seiner Rachegedan-
ken nicht wählen als die Zeit nach der Rückkehr in
die Heimath, wo über den Mord schon Gras gewach-
sen war, wo die Siegesfreude die früheren persün-
lichen Kränkungen vergessen liess, wo die Urheber
der That den Augen und der Hand des Rächers ent-
zogen waren. Endlich ist es psychologisch unmüglich
dass der rachedürstende Sinon, der in heïissblütiger
Aufwallung so unklug ist seine büsen Absichten selbst
zu verrathen, die Ausführung des Vorhabens verschie-
ben soll ad Graecas Calendas,nämlich bis nach der glück-
lichen Beendigung eines Krieges, dessen Ende sich
gar nicht absehen liess. In den kurzen Worten fors
si qua tulisset ist genau das enthalten was hier am
Platze ist, dass Sinon bei erster Gelegenheit sich
rächen wollte; der nachhinkende Vers
si patrios umquam remeassem victor ad Argos
ist eine in keiner Hinsicht wünschenswerthe, in mehr
als einer Hinsicht stôrende Specialisirung. Einen so
unpassenden Zusatz müchte ich aber eher einem in-
terpretirenden Corrector oder Grammatiker als dem
Dichter selbst zutrauen; ich halte daher V. 95 für in-
terpolirt. Ausserdem leidet die obige Stelle noch an
einem kleinen Fehler. Der jetzige Text besagt: «nicht
schwieg ich und versprach Rache zu nehmen und er-
reste Hass». Jedenfalls würde der Ausdruck gewin-
nen, wenn es hiesse: «nicht schwieg ich, sondern
537
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
538
——_—
versprach Rache zu nehmen». Diesen Sinn bekommen
wir durch Verdoppelung eines Buchstaben:
mec tacui demens, set me, fors si qua tulisset,
promisi ultorem et verbis odia aspera movi.
Wie leicht demens set in demens et übergchen konnte,
ist klar. — An die eben besprochenen Verse schliessen
sich folgende an:
hinc mihi prima mali labes, hinc semper Ulixes
criminibus terrere novis, hinc spargere voces
in volqum ambiquas et quacrere conscius arma.
Der Dichter dürfte geschrieben haben Laec milà prima
mali labes, wie man im Griechischen lieber sagen wird
1Ÿ doyn por VÉYOY TONY xarov als évSévde doyn
Lot YÉYOVE TOAGY XAXOY.
Aen. VI, 534. Deiphobus richtet an Aeneas die
Frage: welche Schicksale trieben dich das Schatten-
reich zu besuchen? Sed te qui vivom casus, age fare
vicissim, attulerint —
ut tristis sine sole domos, loca turbida adires?
Heyne findet in éwrbida eine Hindeutung-auf das
Chaos, das gern zu der Unterwelt in Beziehung ge-
setzt werde, und erinnert daran dass aer turbidus so
viel sei als aer obscurus. Aber wie man sich auch
winden mag, die Bezeichnung der Unterwelt durch
loca turbida, «verwirrte» oder «stürmische» Gegenden,
ist und bleibt absurd. Der Dichter schrieb ohne Zwei-
fel Zoca lurida. Denn luridus ist die Farbe des Todes;
daher finden wir Ausdrücke wie lurida aconita bei
Ov. Met. 1,147. Mors lurida bei Silius Ital. 13, 560.
Ganz entsprechend der vorliegenden Stelle sagt Hor.
Carm. I, 4, 74: luridum missos ad Orcum. Propert.
IV, 11,8: ubi portitor aera recepit, obserat herbosos
lurida porta rogos. Vgl. auch Lucan. I, 455: acitas
Erebi sedes Ditisque profundi pallida regna, u. ähnl.
Aen. VI, 890 — 899:
eæim bella viro memorat quae deinde gerenda,
Laurentisque docet populos urbemque Latini,
et quo quemque modo fugiatque feratque laborem.
sunt geminae Sommi porltae; quarum altera fertur
cornea, qua veris facilis datur exitus wmbris,
altera candenti perfecta nitens elephanto,
sed falsa ad caelum mittunt insomnia Manes.
his ubi tum natum Anchises unaque Sibyllam
prosequitur dictis portaque emittit eburna,
ille viam secat ad navis sociosque revisit.
Dass vorstehende Stelle an einem Schreibfehler und
an einer durch diesen Schreibfehler hervorgerufenen
Interpolation leide, habe ich im Lexicon Vindob. p.
XL zu erweisen gesucht. Da dort die Stelle nur bei-
läufig erwähnt wurde als Beleg interpolirter Verse
die sich in allen Handschriften des Vergilius finden,
so verfuhr ich summarisch: ich beschränkte mich auf
Andeutungen, um die genauere Begründung meiner
Ansicht an einem anderen Orte zu geben. Dies soll
hier geschehen, auch auf die Gefahr hin dass ich durch
Eimwürfe künftig veranlasst werden künnte abermals
auf denselben Gegenstand zurückzukommen.
Wenn Aeneas durch eins der beiden Traumthore
aus der Unterwelt geht, so stimmt dies durchaus nicht
zu dem was wir sonst von den Traumthoren hôüren.
Die Träume wohnen in der Unterwelt gleich den
nächtlichen Spukgestalten und Gespenstern, die in
der Finsterniss ihr Unwesen treiben, vor der Tages-
helle dagegen verschwinden. Man verlegt ihren Wohn-
sitz in den Vorhof des Erebus, weil sie mit der Ober-
welt unablässig den regsten Verkehr unterhalten, und
gerade in diesem regen Verkehr scheint der Grund
zu liegen, weshalb man ihnen besondere Thore zu-
wies, durch welche sie bequem hin und her gehen.
Geredet wird von den Traumthoren in doppeltem
Sinne. Einmal heisst es von den sanft schlafenden
dass sie in den Traumthoren schlummern; so wird
Penelope Od. 5, 809 bezeichnet als 490 pahz xv6a-
goug” &v ovsrpetnot mukqotv, und ähnlich sagt Babrius
30, 8: 6 dè AMSovoyès eldes Ürvuoæs avrèv Toy Eopiy
y nuhats éverpelors. Sodann wird unterschieden das
hôürnerne Traumthor, durch welches die wahrhaften,
und das elfenbeinerne, durch welches die trügerischen
Träume kommen. Bekannt ist die älteste und wichtig-
ste Stelle wo hiervon geredet wird, Od. +, 562— 67:
Sotal yap Te TÜha duevnvov eloiv CvElpOY”
ai pèv ya epasoot rerevyatar, ai à éhépav.
rov où pév x’ ÉASoot dia rousTod é)ÉpAVTOs,
ct & 2lcouipovrau, Ëre Axpdavra PÉPOVTES"
où SE du Écorôv xcpduv ÉATOO SUpake,
ct érupa xpmévoust, BooTüv Gre xév Tis Tnt.
Auf diesen Homerischen Versen beruhen alle übri-
gen Stellen wo die beiden Traumthore erwähnt wer-
den; durchgängig finden wir sie nur genannt mit Be-
ziehung auf die wahrhaften oder trügerischen Träume.
539
Bulletin de l’Académie Impériale
540
Es wird genügen, wenn wir, ohne Vollständigkeit zu
erstreben, die wichtigsten Zeugnisse anführen. Plat.
Charmid. p. 173 A: æxous Ôn, Éonv, To éuov Gvæo, elte
da xepatoy etre D éAépavros ékmavSey. Lucian. Gall.
c. 6 vol. 2 p. 712: os pado eite dia TOY ÉAcoavtivoy
muXOY cite Dia TOY xEpATIVOV Got © GVELLOS MXE TEUTO-
pevos (wo nachher in scherzhafter Weise gegen die
allgemein herrschende Vorstellung polemisirt wird mit
den Worten: êmo 5 du4 youaüy tvovy ru)Gy 0 NdtoTos
doixeto, JoUooÙs xal autos ka OUT TaAvTu REpuBe-
Blnpévos xai rod érayomevos youctov). Themist. XXI
p. 263 O: et pév auto ypnoTov xai etpnuoy dvap
ÉTIOTUIN TŸ XEDANŸ, AUEVNVOY TE OvtTos éott xat DL
Tv ékcoavtivoy nxet TUAGV, Tois DE houddpors Te xai
Basxavcts avarertapévo etolv ai TUA TOY XEpA TE.
Nonnus Dionys. 34, 89: Moppéa Ÿ Urvoovra Tapnra-
pev oùus ovetpou xAebivouv Aémavtos dvatéaca Tuhdwy.
Colluth. 311: dœuas dë ruhas (n vLË) otÉey ovetpoy, Try
pév aAnSetns, xepdov À arehdureto xdopo, ÉvVSeY ava-
Soocxcuor Sedv vnueptées pat, Tv À EAEDavT my,
xeveov Spérretpav Ovetpwv. Anth. Pal. 7, 42: à péya
Barriadao aopoë repiruotov ovetpoy (so Meineke statt
Gvetap), À © étedv xcpaov oùd éAévavros équs. Propert.
IV, 7, 87: nec tu sperne pis venientia somnia portis.
Hor. Carm. III, 27, 41: émago vana, quae porta fugiens
eburna somnium ducit.
Der Sinn dieser auf die Traumthore bezüglichen
Ueberlieferungen ist leicht verständlich. In den Traum-
thoren schlummern bedeutet ursprünglich ohne Zwei-
fel einem Todten gleich schlafen, so fest als wäre man
in die Unterwelt entrückt. Die Dichtung aber von dem
hôrnernen und elfenbeinernen Traumthore beruht, wie
die Homerische Stelle deutlich zeigt, auf einem ety-
mologischen Spiele: man combinirte cpatpecSat mit
ékéqus und xoatvety mit xépas. Dass dagegen der pus
Aeneas, um aus der Unterwelt zu den Schiffen zurück-
zugelangen, durch ein Traumthor seinen Weg nimmt,
steht in grellstem Widerspruch mit allen sonstigen
Nachrichten des Alterthums über die Traumthore,
und es scheint mir vüllig unmüglich in dieser Fiction
einen vernünftigen Sinn wahrzunehmen oder das poe-
tische Motiv nachzuweisen, das zur Erklärung der
seltsamen Neuerung dienen künnte. Die Herausgeber
des Vergilius lassen uns vüllig im Stich; vor wenigen
Jabren aber hat J. Henry Philol. XVII p. 648 den
Gang des Aeneas durch das Traumthor zu erklären
versucht. Er meint, der Dichter wolle zu verstehen
geben dass Aeneas nicht in Wirklichkeit, sondern nur
im Traume der Unterwelt seinen Besuch abgestattet
habe. Man môchte fast glauben, Herr Henry habe,
als er dies schrieb, seinen Zustand auf Aeneas über-
tragen; er selbst war jedenfalls ein 190 soda xvoccov
év Ovetgelnot TUhNotv, wenn er sich oder anderen ein-
reden wollte, dass Aeneas die Unterwelt nur im Traume
gesehen habe. Die ununterbrochen zusammenhängende
Erzählung welche im sechsten Buch der Aeneis ge-
geben wird, lehrt ganz klar und ganz unzweideutig
dass Aeneas nicht im Traume, sondern in wachem Zu-
stande, wirklich und leibhaftig, wie Odysseus bei Ho-
mer, die Unterwelt betreten hat, und eben dies be-
stätigen die oben angeführten Worte viam secat ad
navis sociosque revisit, die durchaus sinnlos wären,
wenn Aeneas nur geträumt hätte. Will Herr Henry
seine Traumtheorie aufrecht erhalten, so wird er vor
allen Dingen zu zeigen haben, wo der Traum des
Aeneas beginnt, ob bei der Befragung der Sibylla
oder bei der Landung in Cumae oder vielleicht noch
früher. Nebenbei müchten wir gern erfahren, was den
Dichter bewog von dem Traume des Aeneas in so
räthselhaften Andeutungen zu sprechen, die ausser
Ern. Henry niemand verstehen kann, warum Aeneas
weder sich schlafen legt noch aus dem Schlaf erwacht,
und weshalb er durch das Traumthor gehen musste
um zu seinen Schiffen zu gelangen. Endlich scheint
Herr Henry dies ausser Acht gelassen zu haben, dass
es sich hier nicht um eins der beiden Traumthore
schlechthin, sondern speciell um das elfenbeinerne
Thor handelt, d. h. um das Thor der falschen und
lügenbaften Träume. Was wir uns dabei denken sol-
len, lässt Herr Henry ungesagt: vielleicht schien ihm
die Sache zu einfach um einer Erklärung zu bedür-
fen, vielleicht hielt er diesen Umstand für unwesent-
lich. Uns will es bedünken dass die Erwähnung ge-
rade des elfenbeinernen Thores, nach Herrn Henrys
Auffassung ein Fingerzeig des Dichters dass Aeneas
unwahres geträumt habe, hier ganz räthselhaft oder
vielmehr hôchst unpassend sei; aber wir müssen ab-
warten, ob und wie Herr Henry künftig diese Schwie-
rigkeit zu lüsen versucht. Einstweilen halten wir uns
an das was Muret V. L. XI, 7 über den summus Home-
ricarum virtutum imitator Virgilius bemerkt: cum duas,
ex Homero hoc quoque, Somni portas fecisset — Aencan
541
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
54?
spectatis illis inferorum portentis porta eburna egredien-
tem facit, ut sagacibus lectoribus suspicandum relinque-
ret talem esse totam illam regarohoyias, qualia somnia
ex inferis eadem illa porta exire divisset. Wir dürfen
zuversichtlich behaupten dass dem Vergilius nichts
ferner liegen konnte als die lehrhafte Tendenz welche
Muret ihm unterschob. Das gebildete Publicum der
Augusteischen Zeit, für welches er schrieb, war auf-
geklärt genug um die Wunder des Heldenepos und
die Prosa der realen Wirklichkeit selbständig und
ohne besondere Anleitung von einander scheiden zu
künnen: die Aufgabe des Dichters bestand also nicht
darin das Wunder zu kritisiren, es als willkürlich er-
funden und als unmôglich darzustellen, sondern viel-
mehr ihm Leben und poetische Wahrheïit zu verlei-
hen und auf diese Weïise den Leser in eine ideale
Welt zu versetzen, in der sich Wahrheit und Dichtung
uvaufhôrlich begegnen. Wollte und konnte Vergil die
Schrecknisse der Unterwelt nur mit der Clausel er-
wähnen, dass dies Ammenmährchen seien, an die kein
vernünftiger Mensch mehr glaube, so fragen wir, war-
um er an die Darstellung der Unterwelt so viel Zeit
und Mühe nutzlos verschwendete. Man kônnte es nur
als Selbstironie betrachten, wenn er seine eigenen
poetischen Schüpfungen mit der Schlusswendung dass
alles nur erlogen sei wieder zerstürte; eine solche
Selbstironie wäre môglich bei H. Heïne, bei Vergil
ist sie undenkbar. Ausserdem wäre es eine Symbolik
hüchst eigenthümlicher Art, wenn mit dem Gang des
Aeneas durch das elfenbeinerne Traumthor vom Dich-
ter protestirt werden sollte gegen die Wahrheït des-
sen was der Dichter selbst oder was die Muse über
die Dinge der Unterwelt gesungen hat. Gesetzt aber
das elfenbeinerne Thor bedeutete entweder dass Ae-
neas our geträumt habe oder dass der Bericht über
die Unterwelt ein Hirngespinnst sei: in beiden Fällen
ist die Erwähnung des Traumthores mit der patrioti-
schen Tendenz des sechsten Buches der Aeneis un-
vereinbar.
Bekanntlich benutzt Vergilius den Gang des Ae-
neas in die Unterwelt, um den Ruhm des Rômischen
Volks zu verherrlichen und die leuchtenden Namen
zu feiern, die in der Geschichte der ewigen Stadt am
meisten hervorstrahlen. Anknüpfend an die philoso-
phischen Lehren von einer Wanderung und einer Läu-
terung der Seelen, lässt der Dichter die künftig er-
stehenden Geschlechter bereits in der Unterwelt prae-
formirt sein, von wo sie, wenn ihre Zeit gekommen
ist, an das Tageslicht emporsteigen. Auf diese Weise
verschafit er sich die Müglichkeit durch den Mund
des Anchises die Grossthaten des Rümischen Volkes
prophetisch verkünden zu lassen und ein Gemälde zu
entrollen, das die gefeiertsten Helden der Rümischen
Annalen von den Anfängen des Staates bis zur Augu-
steischen Herrschaft in glänzender Folge aufzeigt.
Diese Verherrlichung des Rümischen Volkes und
das dem Augustus überreichlich gespendete Lob würde
sich in ein Nichts auflüsen, der Dichter würde seinen
Patriotismus und seine Verehrung für Augustus ver-
spotten, wenn Aeneas nur geträumt hätte oder wenn
die Wahrheit des Berichtes über die Dinge der Un-
terwelt in Frage gestellt würde. Dass es die Absicht
des Dichters war nicht Träume oder Mährchen, son-
dern überlieferte Thatsachen aus dem Schattenreich
zu berichten, lehren auf das bestimmteste schon die
Worte, mit denen er seinen Bericht anhebt V. 264 ff.:
di quibus imperium est animarum, umbracque silentes
et Chaos et Phlegethon, loca nocte tacentia late,
sit mihi fas audita loqui, sit numine vestro
pandere res alla terra et caligine mersas.
Wir glauben zur Genüge dargethan zu haben dass
der Gang des Aeneas durch das elfenbeinerne Traum-
thor den Traditionen des Alterthums und der gesun-
den Vernunft in gleicher Weise widerspricht, dass die
bisher versuchten Erklärungen dieser Fiction weder
an sich zulässig sind noch mit dem Charakter der
Vergilschen Poesie und dem Zweck des sechsten Bu-
ches der Aeneïis sich vereinigen lassen. Das richtige
Gefühl dass dem elfenbeinernen Traumthore ein ver-
nünftiger oder auch nur erträglicher Sinn hier nicht
abgewonnen werden kann, brachte Heyne zu der Be-
hauptung, man wisse zwar nicht woran Maro, indem
er solches schrieb, gedacht habe; den grüssten Geiï-
stern aber begegne es zuweilen dass sie, einmal in
gewisse Schlingen verstrickt und geistig umnachtet
(interdum Sas xocmivras Xmuäv dixeris cum Comico,
fügt er zur Erläuterung bei) auch ganz einfache und
handgreifliche Dinge nicht sehen (vgl. vol. 2 p. 1043 f.
ed. Wagn.). Zu der Concession dass wie der bonus
Homerus, so auch der bonus Vergilius einmal geschlum-
mert habe, hünnen wir uns hier nicht verstehen, dar-
543
Bulletin de l’Académie Empériale
044
a ——_—_————————…—"—"—"—"…"—"— — —"—"—"—"— …" —"—"—"—"—"—"—"—" —…———————…—"——"—"— —"…————"— ——— —_—
um weil noch andere Gründe gegen die Richtigkeit | citirt werden. Was unsere ältesten Handschriften des
unseres Textes sprechen.
Die vier Verse nämlich in denen die beiden Traum-
thore einander gegenübergestellt werden, sind in der
Form so ungeschickt, dass sie schon aus diesem Grunde
dem Vergilius abgesprochen werden müssen. Unter
Somni portae kônnen nur Thore «des Schlafes» ver-
standen werden, gemeint aber waren die Thore «der
Träume». Albern wird V. 894 geredet von «wahren
Schatten», wo «wahrhafte Träume» bezeichnet sein
sollten. Unpassend ist auch facilis exitus, was nur
dann motivirt wäre, wenn die wahrhaften Träume mit
grüsserer Leichtigkeit als die trügerischen aus der
Unterwelt kämen. Ganz verunglückt ist endlich der
letzte Vers 896, wo es die Manen sein sollen, wel-
che falsche Träume — nicht etwa zur Oberwelt oder
zu den Menschen, sondern — zum Himmel schicken.
Eben diese vier Verse 893 — 896 stüren aber auch
den Zusammenhang; denn V. 897 folgt Lis dictis, was
auf die vor 893 stehenden Worte zurückweist. Da in
893 — 96 eine Localität geschildert wird, so änderte
Perlkamp his in kic; wir würden diese Aenderung bil-
ligen müssen, wie es Haupt gethan hat, wenn wir die
von den Traumthoren handelnden Verse für authen-
tisch hielten; jetzt sehen wir in his dictis einen neuen
Grund gegen die Echtheit der Verse 893 — 896, die
— wie Ladewig richtig bemerkt — lediglich deshalb
hinzugefügt sind um das porta churna V. 898 zu er-
klären, hinzugefügt sind nicht von dem Dichter, son-
dern von einem erklärenden Grammatiker.
Soll die Vergilsche Stelle emendirt werden, so sind
zunächst die Verse 893 — 896 auszuscheiden, und
dann ist statt des «elfenbeinernen» Thores das Thor
«der Unterwelt» zu setzen; statt portaque emattit
eburna wird es heissen müssen portaque emittit averna.
Der überlieferten Lesart eburna käme noch näher die
Form avorna, wofür sich ausser dem Griechischen
&cpvos das Schwanken zwischen vertere und vortere
anführen liesse; aber ein Beleg für avornus ist mir
nicht gegenwärtig.
Durch die vorgeschlagene Aenderung wird Vergi-
lius von einem Unsinn befreit, an dem alle bisherigen
Erklärungskünste gescheitert sind. Voraussichtlich
aber werden viele an der Kühnheit Anstoss nehmen,
mit der wir vier Verse tilgen, die in allen Handschrif-
ten stehen und von mehreren alten Grammatikern
Vergilius betrifft, so wird niemand beweisen künnen
dass sie frei waren von [nterpolationen; wenn also
die triftigsten Gründe zur Annahme einer Interpola-
tion zwingen, so werden wir nicht mit dem Postulat
dass alle in unseren Handschriften stehenden Verse
echt seien, diese Gründe beseitigen künnen. Die alten
Grammatiker aber bezeugen nur den Text der ihnen
vorlag, nicht die ursprüngliche Gestalt der Dichter-
worte. Bisher nachgewiesen sind folgende Zeugnisse
für die von uns angefochtene Ueberlieferung:
893 f. sunt — cornea Nonius p. 316, 20.
895 f. Acron und Porphyrion in Hor. Carm. II,
27:14.
895 [Probus] de ultimis syllabis bei Keil Gramm.
LatAVip-261%29
896 Charis. p. 101, 19. 269, 18. Macrob. somn.
Scip. I, 3 p. 12 ed. Bip. Serv. Aen. IV, 9. V, 840.
898 portaque emittit cburna Serv. Aen. VI, 4295.
Aus diesen Zeugnissen geht hervor dass die Verse
893 — S96G des sechsten Buches der Aeneis bereits
in der ersten Hälfte des zweiten Jahrhunderts unse-
rer Zeitrechnung den Grammatikern bekannt waren,
und ein gleiches ist somit von der Lesart eburna V.
898 anzunehmen: für ursprünglich künnen wir das
churna und die dasselbe erklärenden, in der Form un-
geschickten und den Zusammenhang stürenden vier
Verse nicht erachten.
Dass nicht selten falsche Lesarten für die Kritiker
des Alterthums ein Anlass geworden sind zur Ein-
schiebung ganzer Verse, habe ich an mehreren So-
phokleischen und Euripideischen Stellen früher nach-
gewiesen (Bulletin T. IX p. 350—361 oder Mélanges
Gréco-Rom. II p.665 — 681). Dieselbe doppelte Ent-
stellung liegt vor bei Soph. EI. 540 f., wo Kilytaem-
nestra zeigt dass Agamemnon ein schweres Vergehen
sich zu Schulden kommen liess, indem er seine Toch-
ter opferte. That er dies etwa, meint sie, um der
Argiver willen? Sie hatten kein Recht meine Tochter
zu tüdten. Oder opferte er mein Kind seinem Bruder
Menelaus zu Liebe?
notepov éxstvo Taies oÙx noay Thot;
oÙs THodE pLAN AO ElxÔS Av Ivnoxetv Tatpôs
Xa pMTECS OVTUS, Ms © ThoÛS OÙ Av paptv.
In diesen Worten wird gesagt: statt der Iphigenie
545
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
546
D
mussten billiger Weise vielmehr die Kinder des Me-
nelaus getüdtet werden, denn sie waren Kinder des
Vaters (Menelaus) und der Mutter (Helena), der zu
Gefallen man nach Troja segelte. Unmôglich kann ein
vernünftiger Dichter die Forderung der Billigkeit,
wonach statt der Tochter des Agamemnon vielmehr|
ein Kind des Menelaus geopfert werden musste, da-
mit motiviren,
seien Kinder des Meñnelaus und der Helena gewesen,
um der Helena willen aber habe man die Fahrt un-
ternommen. Sollte die Helena überhaupt hier erwähnt |
werden, so musste dies früher geschehen (rotepov éxetvo |
xai'Exévn oùx nouv raides). Die nachträglicheErwäh-
nupg des Weibes des Menelaus ist widersinnig. Ueber-
haupt aber kommt Helena hier gar nicht in Betracht: |
dass er sagt, die Kinder des Menelaus |
als in Aulis der Groll der Artemis durch ein Men-
schenopfer gesühnt werden sollte,
seine Tochter hin; billiger wäre es gewesen, so be-
hauptet Klytaemnestra, wenn Menelaus eins von seinen
beiden Kindern gegeben hätte. Es ist offenbar dass
in diesem Gedankengang nur Agamemnon und Mene-
laus einander gegenübergestellt werden kônnen, auf
Helena dagegen gar keine Rücksicht genommen wer-
den kann. Verkehrt ist auch der Ausdruck #s 6 rhoûs
6S nv xaetv. Einmal gibt der Relativsatz nur eine
Bestimmung zu pnrecs, während ratocs ohne alle Be-
stimmung bleibt; statt 15 würde ein etwas geschick-
terer Ergänzer Ov geschrieben haben, und wir wür-
den 6» corrigiren müssen, wenn überhaupt der Vers
vom Sophokles herrührte. Sodann ist es mindestens
ungeschickt zu sagen dass die Griechen EXévns aptv
nach Troja fuhren oder vor Troja kämpften; dies ge-
schah zwar à “Ekévn, nicht aber Exévns xaou. Der
Fehler der Stelle liegt in tateos, wofür es ohne
Zweifel ragos heissen muss, und die Worte
xal pnTeos CvTas, Ms © hoûs ED nv ape
sind von einem Interpolator hinzugefügt worden, um
das fehlerhafte rarocs müglich zu machen. Statt der
obigen drei Verse bekommen wir hiernach zwei,
notepov Éxelvo Taies ox nov DTA;
a _ _ 3 à 7 aus ’ s
OUS TNGdE LEA) OV ELXOS NY SYNGXELY TAOOS.
So konnte Sophokles schreiben; vielleicht aber wurde
auch das pœhaoy lediglich dadurch hervorgerufen dass
man, nachdem ragos in rarecs übergegangen war, statt
Tome XII.
|
gab Agamemnon | k L ie , x
à É | Dem pékhew kann ein Begriff wie roxoc:r gegenüber
etxos den Begriff érecrxorepos herzustellen suchte.
Angemessener wäre jedenfalls ein Ausdruck wie
oùs Tiode ratdos ElxèS nv SVNGHELY TAp06.
Aber zu ermitteln was der Dichter statt pæAxcy schrieb,
halte ich gegenwärtig für unmôüglich; sicher scheint
mir nur dass V. 541 von einem Interpolator hinzuge-
fügt ist in Folge einer Corruptel des vorhergehenden
Verses.
Nicht anders verfuhren die täppischen Alexandriner
oder Byzantiner Soph. El. 1337, wo der Paedagog zu
rascher That treibt mit den Worten:
Loi V0v ATANAATÉVTE TOY LAPOY ÀCYOY 1335
ka Tis amAnotou Thoëe oùv yap& Bons
etco TApÉRSES , © TO {LV LÉRAELY XUHOV
Év Toîg TotoUTOLs ÈGT , ATNhAÈ ot À dry.
stehen, unmôglich aber érndySat, und dxyn éar!v
arnaySat ist eben so undenkbar als etwa im Deut-
schen «es ist hohe Zeit fertig zu sein». Nimmt man
dazu das matte xaxcv und die Unbestimmtheit des
Ausdrucks év toîs totoutors, so wird man kaum zwei-
feln künnen dass eine Interpolation hier vorliegt; statt
der beiden letzten Verse stand in derjenigen Hand-
schrift, aus welcher unsere Codices geflossen ist, wie
ich glaube, einer und zwar in folgender Gestalt:
v € F » ,
cioo RagéAŸES", OS TO Lèv pLÉÂRSIY GUN.
Wofür zu schreiben war 65 ro pa péher axur. Die-
selbe Wendung gebraucht Aesch. Agam. 1353: dnot-
£opai ri Soav To un péhder à axur. Vgl. Pers. 407:
xodxér nv péhketv xun. Soph. Ai. 811: OS yes
vôev, oÙx Édous ax”). El. 22: ouxér cxveiv oups,
aùX Epyov dxur. Phil. 12: axun yao où paxpov qui
Xoyov.
15) Danach verbessere man Eur. Or. 1292: Gx£ÿaoSé vuy uervo
oùy Éôpas dywv. Hier scheint dyov aus pyoy gemacht zu sein; der
Dichter schrieb ohne Zweifel oùy Éôoxc axur. Nicht lässt sich
ayov vertheidigen durch Soph. El. 1492: Xcywv yap où vüv éazwv
Gywv, GG ons duxns mé Égt und eben so wenig durch Eur. Phoen.
588: pütep, où Adywv #S aywv, GAX dvdhwrat povog oÙv LÉ EG pi-
rnv. An diesen beiden Stellen ist äyuy vollkommen richtig, da es
sich um einen Kampf handelt.
o2
a
D47
Bulletin de l’Académie Empériale
548
Über isomere Di-und Trichlortoluole von F.Beil-
stein und A.Kuhlberg. (Lu le 12 décembre 1867.)
In einer früheren Abhandlung') wurde die merkwür-
dige Beobachtung mitgetheilt, dass bei der Einwirkung
von Chlor auf Toluol zwei isomere Verbindungen ent-
stehen, insofern bei Siedehitze das Chlor den Wasser-
stoff im Methyl des Toluols ersetzt, in der Kälte, oder
bei Gegenwart von Jod hingegen, das Chlor an die
Stelle des Wasserstoffs im Phenyl des Toluols tritt.
Die Theorie liess demnach drei isomere Formen des
Bichlortoluols und vier Formen für jedes folgende
Substitutionsprodukt voraussehen*). Um die Einzel-
darstellung aller dieser isomeren Modifikationen zu
ermôglichen, war durch den Versuch zu entscheiden,
ob die bei der Darstellung des Monochlor-Toluols ge-
machten Erfahrungen sich auch auf die Darstellung
der hôüher gechlorten Substitutionsprodukte anwenden
lassen würden. Das Experiment hat dieses bestätigt.
Gegen Chlor verhalten sich die Chlorderivate
des Toluols, wie Toluol selber. Gleichgültig wie
viel und wo das Toluol schon Chlor enthält, lässt man
in der Siedehitze Chlor auf das Derivat einwirken, so
findet eine Vertretung des Wasserstoffs im Methyl,
bei Gegenwart von Jod aber im Phenyl des Toluols
statt. Die Reindarstellung aller isomeren Formen des
gechlorten Toluols bietet demnach keine Schwierig-
keiten. Wie man leicht einsieht, kann die Darstellung
mehrerer Isomeren auf zweierlei Weise stattfinden.
Das gechlorte Benzylchlorid C,H,CI.CH, CI z. B.
wird sich, vom Chlorbenzyl ausgehend, durch Be-
handeln mit Chlor bei Gegenwart von Jod, oder aus
Chlortoluol C;H,CI.CH, darstellen lassen, durch
Einwirken von Chlor in der Siedehitze darauf, u.s. w.
Wir wollen hier schondievorläufige Mittheilungmachen,
dass sich das oben Gesagte nicht allein auf Di- und
Trichlortoluole beschränkt. Ganz nach demselben
Schema lassen sich Tetra-Chlortoluol u.s.w. in
allen isomeren Formen darstellen, worüber in einer
besonderen Abhandlung berichtet werden soll.
I. Isomere Dichiortoluole von E. Neuhof,
Von den drei der Theorie nach môglichen Formen
des Dichlortoluols
1) Annal. Chem. Pharm. 139, 322.
2) Daselbst 139, 340.
C, H, (CH CL)
Bittermandelül-Chlorid
CH, CI (CH, C1) Ce H3 Cl, (CH)
Gechlortes Benzylchlorid Dichlortoluol
ist die erste die bekannteste. Sie wurde durch Be-
handeln von Bittermandelül mit Phosphorchlorid er-
halten. Sie entsteht leicht rein, sobald Chlor in sie-
dendes Toluol geleitet wird. — Die zweite Form,
obgleich früher zuweilen beobachtet, konnte bisher
nicht rein erhalten werden. Sie entsteht leicht durch
Behandeln des Chlortoluols mit Chlor in der Siede-
hitze, oder durch Einwirkung von Chlor, bei Gegen-
wart von Jod, auf Chlorbenzyl. Das eigentliche Di-
chlortoluol endlich entsteht durch Einwirken von
Chlor auf Toluol, bei Gegenwart von Jod.
1) Dichlortoluol C,H, CI, . CH.
Dieser Kürper entsteht leicht, sobald in mit etwas
Jod versetztes Toluol die erforderliche Menge Chlor
geleitet wird. Es ist hierbei ganz gleichgültig, ob sich
die Flüssigkeit dabeïi erhitzt oder nicht, das Chlor
vertritt, bei Gegenwart von Jod, selbst in erhühter
Temperatur nur den Wasserstoff des Phenyls. Keine
Spur Chlor gelangt in das Methyl des Toluols. Um
sich von dem Gange der Substitution zu überzeugen und
nicht unnütze Zeit durch Fraktioniren zu verlieren,
giebt man eine gewogene Menge Toluol in einen ta-
rirten Kolben und wägt den Kolben von Zeit zu Zeit.
Um in C,H, CI, überzugehen, müssen 100 Theiïle CH,
um 75 Theïle an Gewicht zunehmen. Man wäscht dann
das Produkt zunächst mit Wasser, dann mit Kalilauge,
entwässert über Chlorcalcium und scheidet das bei
196° siedende Dichlortoluol durch wiederholtes Frak-
tioniren ab.
0,2662 Gr. gaben 0,470 Ag CI.
Berechnet Gefunden
C, Hg 90) 55,9 =
CLS TA 43,7
161
100,0
Das Dichlortoluol ist eine bei 196° vollkommen
unzersetzt siedende Flüssigkeit. Es hat fast denselben
Geruch wie Monochlortoluol und zeichnet sich durch
eine hohe Indifferenz aus. Alkoholische Lüsungen von
Âtzkali oder von Schwefelkalium sind ohne alle Wir-
kung darauf. Von Chromsäure wird das Dichlortoluol
nur sehr langsam angegriffen. Man erhält Para-Di-
chlorbenzoesäure (Dichlordracylsäure)
C, H, CI, . CO, H,
549
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
über welche an einer anderen Stelle berichtet werden
sol.
2) Gechlortes Benzylchlorid C,H, CI.CH, CI.
Das Auftreten dieses Kürpers ist schon früher be-
obachtet, der Kürper selbst aber nie rein dargestellt
worden. Beim Behandeln des früher Dichlortolul ge-
nannten Produktes der Einwirkung von Chlor auf
Toluol mit alkoholischem KHS wurden schüne Kry-
stalle erhalten, welche der Formel
C;H; CIS = C;H, CI. CH, HS
entsprachen*). Ebenso beobachtete Naquet‘) beim
Behandeln seines Dichlortoluols mit alkoholischem Kali
die Bildung einer bei 218° siedenden Flüssigkeit
C; H, CI.CH,C,H,0. Diese Derivate deuten auf das
Vorhandensein der Verbindung C; H, CI. CH, CI im so-
genannten Dichlortoluol, die Verbindung selbst konnte
aber nicht daraus abgeschieden werden.
In reines, bei 176° siedendes Benzylchlorid C,H, CI
— C,H, CH, CI giebt man etwas Jod und leitet die er-
forderliche Menge Chlor ein. Man wäscht dann mit
Kali, entwässert und fraktionnirt. Man erhält sehr bald
ein constant bei 213—214° siedendes Präparat.
Genau derselbe Kürper entsteht, wenn man in zum
Sieden erhitztes Chlortoluol C; H, C1.CH, die erfor-
derliche Menge Chlor einleitet und fraktionirt. Diese
Methode ist entschieden der ersteren vorzuziehen.
Durch die Gegenwart des Jods entstehen fast regel-
mässig geringe Mengen von jodirten Verbindungen,
die dem Präparate äusserst hartnäckig anhängen. So
ist es auch schwer, ein absolut jodfreies Monochlor-
toluol darzustellen. Wir haben unser Präparat meist
so oft in Sonne gestellt, bis dasselbe dadurch sich nicht
mehr rôthete. Wird nun das so gereinigte Chlortoluol
in der Siedehitze mitChlor behandelt, so wird dadurch
die letzte Spur des beigemengten Jodids um so leichter
entfernt. Daher ist das aus Chlortoluol dargestellte
gechlorte Benzylchlorid schneller und leichter rein zu
erhalten, als das aus Chlorbenzyl bereitete. Wir haben
uns übrigens durch ein vergleichendes Studium über-
zeugt, dass die auf beide Arten erhaltenen Kürper
C;H, C1. CH, CI vollkommen identisch sind.
0,2163 Gr. gaben 0,414 CO, und 0,083 H,0.
3) Annal. Chem. Pharm. 116, 346.
4) Daselbst, Suppl. IT, 250.
[l
550
Berechnet Gefunden
C; 84 52,2 52,2
H, 6 8,7 4,2
QUE QUÉAR 1 =
161 100,0
Das gechlorte Benzylchlorid C, siedet unter ge-
ringer Zersetzung bei 213— 214". Sein Dampf reizt
die Augen zu Thränen. Es enthält ein Chloratom fest
gebunden, während das andere so leicht doppelte Zer-
setzungen eingeht, wie das Chlor im Chlorbenzyl.
Man kann diesen Kürper betrachten als den salzsauren
Âther eines gechlorten Alkohols, des Parachlor-
Benzylalkohols, und in der That lässt sich dieser
Alkohol sebr leicht aus dem gechlorten Benzylchlorid
bereiten. Erhitzt man letzteres mit einer alkoholi-
schen Lüsung von Kaliumacetat, so bildet sich leicht
essigsaurer Parachlor-Benzyläther, der, durch
ein Alkali verseift, Parachlor-Benzylalkohol lie-
fert. Durch Oxydation mit Chromsäure geht gechlor-
tes Benzylchlorid leicht in die zugehürige Para-Chlor-
benzoesäure über.
CH, C1. CH, CI + 0, — CÇH,01. COHO + HCI
CH, C1. CH, CI + K.C,H30, = CeH4 C1. CH Co H3 Oo + KO
CH, C1.CH, C,H30, + KHO = CÇH,01.CH,H0 + K. Co HO.
Durch Behandeln des gechlorten Benzylchlorids mit
alkoholischen Lüsungen von KHS oder KCN werden
leicht doppelte Umsetzungen erhalten:
C,H, C1. CH, CI + KHS — C;H, CI.CH,. HS + KCI
CH, C1. CH, CI + KON = CH, CI.CH, CN +- KCI.
Der Kürper C;H, CI.CH,CN ist natürlich das Ni-
tril einer gechlorten Alphatoluylsäure:
C;H, C1. CH, ON + 9H, 0 = CÇH, CI. CH, COHO + NH,
3) Bittermandelül-Chlorid C,H,CHCI..
Dass sich dieser Kürper bei der Einwirkung von
Chlor auf Toluol bildet, ist schon früher”) beobachtet
worden. In letzter Zeit hat Limpricht°)dieselbe That-
sache in eingehender Weise bestätigt. Doch ist es
ihm, so wenig wie seinen Vorgängern”), gelungen, das
Bittermandelül-Chlorid aus dem gechlorten Toluol rein
abzuscheiden. Nichts ist aber einfacher, als sich aus
Toluol chemisch reines Bittermandelül-Chlorid pfund-
weise darzustellen. Man braucht nur in zum Sieden
5) Annal. Chem. Pharm. 116, 338.
6) Daselbst 159, 318.
7) Vgl. Naquet daselbst, Suppl. IT, 250 u. 259.
35*
551
Bulletin de l’Académie EImpériale
55?
erhitztes Toluol so lange Chlor einzuleiten, bis je
100 Theile desselben ein Gewicht von 175 Theiïlen
angenommen haben, und dann zu fraktioniren. Es
gelingt sehr bald, ein Produkt von ganz constantem
Siedepunkt abzuscheïden.
0,2374 Gr. eines bei 206° siedenden Präparates
gaben 0,426 Ag CI.
Berechnet Gefunden
C,H4 90 55,9 =
CR GUN AT 44,5
161 100,0
Die Siedepunktangaben des Bittermandelül-Chlo-
rides schwanken etwas, indessen nicht mehr, als stets
uncorrigirte Siedepunkte bei so hoch siedenden Kür-
pern differiren. Je nach dem Thermometer, den Di-
mensionen der Retorten, ist natürlich der herausra-
gende Quecksilberfaden ein verschiedener. So fanden
wir für aus Bittermandelül dargestelltes Chlorid den
Siedepunkt 202° (in einer kleinen Retorte) und für
aus Toluol dargestelltes Chlorid (in grüsseren Retorten
beobachtet) 204° und 206°. Limpricht giebt den
corrigirten Siedepunkt 207° (aus Bittermandelül be-
reitet).
Natürlich besitzt das aus Toluol dargestellte Bitter-
mandelül-Chlorid alle Eigenschaften des aus Bitter-
mandelôl erhaltenen. Erhitzt man es z. B. mit essig-
saurem Silber, so erhält man den durch seine Krystall-
form so ausgezeichneten essigsauren Benzoläther
Wicke’s*), den Letzterer zuerst aus Bittermandelül
dargestellt hat. Es gelang indessen nur auf Umwegen,
diesen Kürper krystallisirt zu erhalten. Man erinnert
sich, dass auch A. Engelhardt”) das essigsaure Benzol
nur in Form eines Üles erhielt.
Bittermandelül-Chlorid (aus Toluol) wurde mit trock-
nem essigsaurem Silber längere Zeit auf 130 —150°
erhitzt, das Produkt mit Âther ausgezogen, der Âther
verdunstet und das rückständige OI, weil chlorhaltig,
noch ein zweites Mal mit essigsaurem Silber erhitzt.
Das jetzt durch Âther ausgezogene Ôl erstarrte selbst
bei 20° nicht. Als es aber bei dieser Temperatur mit
einem noch von der Arbeit Wicke’s herrührenden
Krystall von essigsaurem Benzoläther in Berührung
gebracht wurde, erstarrte sofort die ganze Flüssigkeit
krystallinisch. Die zwischen Fliesspapier abgepressten
8) Annal. Chem. Pharm. 102, 366.
9) Petersb. Akad. Bull. 16, 49.
Krystalle wurden mehrmals aus Âther umkrystallisirt
und dabei die bekannten ausgezeichneten Schwalben-
schwanzkrystalle erhalten. Durch zu rasches Ver-
dunsten der Lüsungèn werden meist nur kleine Blätt-
chen erhalten. Zuweilen scheiden sich aber aus der
alkoholischen Lüsung noch schünere Krystalle ab, wie
aus der ätherischen.
0,2188 Gr. gaben 0,5078 CO, und 0,1166 H, O.
Berechnet Gefunden
CR 77182 NS 63,3
He, Safe 5,7 5,9
0, 64 30,8 =
208 100,0
0, H
Der essigsaure Benzoläther PLU richti-
ger gesagt das essigsaure Bittermandelül
CL 2GH(C 00):
schmilzt bei 43—44°. Diese Beobachtung wurde an
Präparaten von den verschiedensten Darstellungen be-
stätigt gefunden. Wicke giebt 36° an, Limpricht")
39—45° und circa 48°. Die Behauptung Wicke’s,
essigsaures Bittermandelül sei nicht unzersetzt flüch-
tig, künnen wir nicht vollkommen bestätigen. Unser
Präparat ging bei 220° zum grüssten Theïl unzersetzt
über. Das ôlige Destillat erstarrte nach dem Waschen
mit Sodalüsung, und es konnten leicht die bei 43—44°
schmelzenden Krystalle des essigsauren Bittermandel-
üls daraus gewonnen werden. Wahrscheïnlich wird sich
bei vülligem Abschluss von Feucbtigkeit die Verbin-
dung ganz unzersetzt destilliren lassen.
Mit Wasser im zugeschmolzenen Robr erhitzt, zer-
fäallt bekanntlich das Bittermandelül-Chlorid in Salz-
säure und Bittermandelül. (Cahours, Limpricht)
CH, . CHCI, + H, 0 — C,H, . CHO + 2HCI.
IE, Isomere Trichlortoluole,
Die Theorie deutet 4 Formen eines Trichlortoluolsan:
CL CL CH NICE, CI, -CH, C1 CH; C1-CHCI LLC HE: CCI
Trichlortoluol Bichlorbenzylchlorid Gechlortes Benzotrichlorid.
Bittermandelül-Chlorid
Wie nun leicht begreiflich ist, werden in der ersten
Verbindung alle 3 Chloratome gleich fest gebunden ge-
halten, während in der zweiten nur zwei Chloratome :
der Wirkung der Reagentien Widerstand entgegen
10) Annal. Chem. Pharm. 139, 321.
553
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
554
À
setzen und in der dritten nur eins. In der vierten
Verbindung endlich treten alle 3 Chloratome mit Leich-
tigkeit aus.
Alle vier isomeren Formen lassen sich leicht und
willkübhrlich hervorbringen. Lässt man 6 Atome Chlor
auf ein Molekül Toluol, bei Gegenwart von Jod, ein-
wirken, so entsteht nur Trichlortoluol, ohne jede
Spur einer isomeren Beimengung. Noch leichter rein
erhält man Benzotrichlorid, sobald man das Chlor
auf erhitztes Toluol wirken lässt. — Das Bichlor-
benzylchlorid lässt sich darstellen, indem man in
siedendes Dichlortoluol Chlor einleitet, oder indem man
Chorbenzyl mit Chlor, bei Gegenwart von Jod, behan-
delt. — Das gechlorte Bittermandelül-Chlorid
endlich erhält man durch Chloriren von Bittermandelül-
Chlorid, bei Gegenwart von Jod, oder durch Chloriren
von zum Sieden erhitztem Monochlortoluol.
1) Trichlortoluol C,H, CI, . CH..
Diesen Kürper, den Limpricht'") zuerst rein dar-
gestellt hat, kann man in beliebiger Menge rein er-
halten, sobald man in mit Jod versetztes Toluol so
lange Chlor einleitet, bis je 100 Theile Toluol ein (e-
wicht von 212,5 Theiïlen angenommen haben. Man
schüttelt mit Kali, entwässert und fraktionirt. Sollten
die bei 235—240° siedenden Antheiïle nicht sofort er-
starren, so kühlt man die Flüssigkeit durch Eis ab,
bringt die erstarrende Masse rasch auf ein Filter,
presst kalt ab und krystallisirt aus Alkohol um. Wir
künnen in Betreff dieses Kôrpers alle Angaben Limp-
richt’s bestätigen. |
Trichlortoluol siedet vollkommen unzersetzt bei
5° und schmilzt bei 76°. Es zeichnet sich durch
osse Beständigkeit und hohe Indifferenz aus. Die
gewühnlichen Reagentien wirken auf diesen Kürper
nicht ein. Nach Limpricht wird er durch Wasser
selbst bei 200—220° nicht verändert. NachJanasch")
oxydirt ihn concentrirte Chromsäure zu Trichlor-
dracylsäure C_H, CI, O,
C,H, Cl. CH, + 0; — CH:0l;. COHO + H,0.
Diese Reaktion zeigt deutlich, wie alle drei Chlor-
atome im Trichlortoluol gleichmässig festgehalten
werden.
23
Oo"
gr
11) Annal. Chem. Pharm. 139, 326.
12) Annal. Chem. Pharm. 142, 301.
|
2) Bichlorbenzyl-Chlorid C;H, CL . CH, CI.
Man erhält diesen Kürper, indem man in mit Jod
versetztes Benzylchlorid C;H, . CH, CI Chlor einleitet,
oder zweckmässiger, indem man Dichlortoluol in der
Siedehitze mit Chlor behandelt. Die Reinigung des
Produktes geschieht in der schon mehrfach angedeu-
teten Weise.
0,4248 Gr. gaben 0,683 CO, und 0,1215 H,0.
Berechnet Gefunden
CRIER ATA 43,8
H: 5 2,6 82
Cl, _ 106,5 5 54,5 _
195, 195,5 100, 0
Das zweifach gechlorte Benzylchlorid siedet
ohne Zersetzung bei 241°. Es geht leicht doppelte
Zersetzungen ein und tauscht dabei sein eines im Me-
thyl stehendes Chloratom um. Erhitzt man es z. B.
mit einer alkoholischen Lüsung von Kaliumacetat, so
scheidet sich bald KCI ab und es bildet sich essig-
saurer Paradichlorbenzyl-Âther:
C;H;C1,.CH,C1+ KC,H:0, = CH3Cl:. CH30, + KCI.
3) Gechlortes Bittermandelül-Chlorid
CH, CI. CHCL.
Diese Verbindung entsteht, sobald man in mit Jod
versetztes Bittermandelül-Chlorid Chlor einleitet. Wir
habenzuunseren Versuchen Bittermandelül-Chlorid, aus
Bittermandelül und aus Toluol dargestellt, angewendet
und natürlich vüllig übereinstimmende Resultate er-
halten. Da während der Operation, namentlich auch
beim Fraktioniren, ein Theil des Produktes sich durch
beigemengte Feuchtigkeit nach der Gleichung zersetzt:
C,H, C1. CHCL + H,0 — C;H, CI. CHO + 2HCI,
d. h. in Salzsäure und Parachlor-Benzaldehyd, so
ist das rohe Produkt mit letzterem und mit dessen
Zersetzungsprodukten verunreinigt. Man muss des-
halb die auf einen constanten Siedepunkt gebrachte
Flüssigkeit zunächst mit wässrigem Ammoniak schüt-
teln und dann mit einer Lüsung von Natriumbisulfit,
um den beigemengten Aldehyd zu entfernen. Trotz-
dem ist es uns nicht gelungen, ein vollkommen chemisch
reines Präparat zu erzielen: dasselbe enthielt noch
Spuren einer Beimengung, deren Natur uns fremd ge-
blieben ist.
355
Bulletin de l’Académie Hmpériale
556
1) 0,3425 Gr. gaben 0,515 CO, und 0,090 H, O.
2) 0,350 Gr. gaben 0,5365 CO, und 0,1065 H,0.
Berechnet Gefunden
la 2.
CES: 42,9 41,0 418
H, 5 2,6 2,9 3,4
Cl, 106,5 54,5 == _
195,5 100,0
Das gechlorte Bittermandelôl-Chlorid siedet
unzersetzt und ganz constant bei 234°. Bei unseren
Versuchen wandten wir zuerst aus Bittermandelül be-
reitetes Chlorid an. Da uns deshalb davon jedoch nur
eine verhältnissmässig sehr geringe Menge zu Gebote
stand, die Destillationen ausserdem in kleinen Retorten
vorgenommen wurden, so erklärt es sich, dass wir den
Siedepunkt anfangs erheblich zu niedrig fanden"”). Ein
constanter Siedepunkt konnte überhaupt nicht beob-
achtet werden, wir fanden nur, dass die Fraktion 220
—230 viel erheblicher ausfiel, als die zwischen 210
—220° und 230—240°. Erst beim Operiren mit aus
Toluol dargestelltem Chlorid konnten wir den Kürper
in erheblicher Menge bereiten. Die kleine Menge des
aus Bittermandelül dargestellten Chlorides
CH, CI. CHCL
reichte jedoch vollkommen aus, um seine Identität mit
dem aus Toluol erhaltenem Präparate festzustellen.
Erhitzt man gechlortes Bittermandelül-Chlorid mit
Wasser im zugeschmolzenen Rohr auf 170°, so zer-
fällt es vollständig in Salzsäure und den Aldehyd der
Para-Chlorbenzoesäure:
CH, C1. CHCI, + H,0 — C;H, C1. CHO + 2HCI.
Mit Chromsäurelüsung gekocht, bildet sich leicht
Para-Chlorbenzoesäure:
CH, CL. CHCL + H,0 + O = C;H, CI. CO, H + 2HCI.
Das Produkt der Einwirkung von Chromsäure wurde
filtrirt, das Unlüsliche anhaltend mit Sodalüsung aus-
gekocht, die Sodalôsung mit Salzsäure gefällt und die
gehürig gewaschene Säure in das Calciumsalz verwan-
delt. Es wurde ein Calciumsalz erhalten, das dieselbe
Krystallform, Lüslichkeitund denselben Krystallwasser-
gehalt zeigte, wie parachlorbenzoesauresCalcium.
1) 0,952 Gr. aus Bittermandelôl bereitet, verloren
bei 150° 0,126 H,0 und gaben 0,127 Ca0.
18) Vel. unsere vorläufige Notiz. Zeitschr. f. Chem. 1867, 513.
2) 1,018 Gr. ebenso verloren bei 150° 0,1355 HO.
3) 0,487 Gr., aus Chlortoluol dargestellt, verloren
bei 150° 0,063 H,0 und gaben 0,069 Ca0.
4) 1,455 Gr., mit aus Toluol dargestelltem Bitter-
mandelül-Chlorid bereitet, verloren bei 150° 0,1865
H, O und gaben 0,200 Ca.
Berechnet Gefunden
1 2 21 4
(C,; H,CI0,), Ca 351 86,7 = = _ ==
3H,0 54 13,3 É93, 20185012 0 TDIS
405 100,
Berechnet Gefunden
qe SE 4.
(C;H,CI0,)) 311 88,6 — — —
Ca 40 11.4 11,0 11,6 11,5
351 100,0
Trotz der genauen Übereinstimmung der analysirten
Salze mit parachlorbenzoesaurem Calcium ist die daraus
abgeschiedene Parachlorbenzoesäure doch nicht voll-
kommen rein, da sie einen viel zu niedrigen, meist bei
206” statt bei 236° beobachteten Schmelzpunkt zeigte.
Doch genügte es, die Säure in Ammoniak zu lôsen, die
stark verdünnte Lüsung mit Salzsäure zu fällen und
dieses Reinigungsverfahren einige Male zu wiederholen,
um reine, bei 236° schmelzende Parachlorbenzoe-
säure zu erhalten. Die letzten Mutterlaugen der Cal-
ciumsalze lieferten eine geringe Menge eines viel leich-
ter lüslichen Salzes, dessen Säure einen sehr niederen
Schmelzpunkt zeigte. Diese fremde Säure verdankt
offenbar ihre Entstehung der kleinen Beimengung in
unserem gechlorten Bittermandelül-Chlorid. Nur die
Säure aus mit Chlortoluol bereitetem Chlorid zeigte
sofort den richtigen Schmelzpunkt (s. Analyse 3). Lässt
man nämlich auf Chlortoluol C;H,C1.CH, in der Siede-
hitze Chlor einwirken, so bildet sich natürlich gechlor-
tes Bittermandelül-Chlorid.
Die Thatsache, dass im gechlorten Bittermandelü]l-
Chlorid das Chlor sich an derselben Stelle befindet,
wie in der Parachlorbenzoesäure, erscheint uns sehr
bemerkenswerth. Wie wir nämlich unten Zeigen wer-
den, entsteht beim Nitriren des Bittermandelül-Chlo-
rides ein Kürper CH, (NO,) CL, der mit Chromsäure
oxydirt, nicht Paranitro-Benzoesäure liefert, wie
man nach Obigem vermuthen sollte, sondern gewôhn-
liche Nitrobenzoesäure. Wir haben daher den in-
teressanten Fall vor uns, dass in den Substitutions-
produkten eines und desselben Kürpers das Chlor und
die Nitrogruppe verschiedene Stellen einnehmen. Bis
jetzt galt es als Regel, dass die Substitution stets an
einerlei Stelle erfolgt, d. h., dass also die Nitrobenzoe-
säure die Nitrogruppe genau an derselben Stelle ent-
hält, wie die Chlorbenzoesäure das Chlor u.s.f. Da
nun ferner Bittermandelül durch direkte Reduktion von
Benzoesäure entsteht, so haben wir im vorliegenden
Fall zum ersten Male die Môüglichkeit vor uns, aus
einer Stammsubstanz nicht nur die normale Reïhe von
Substitutionsprodukten darzustellen, sondern auch die
Parallelreihe der Paraderivate. Es ist dieses die
erste Ausnahme einer früher aufgestellten Regel"*), der
zu Folge nämlich aus Benzoesäure oder einem Benzoe-
säure liefernden Kürper stets einerlei Chlorbenzoesäure
entsteht. Einen noch viel einfacheren Weg zur Dar-
stellung der Paraderivate aus einer Stammsubstanz
werden wir in einer späteren Abhandlung bekannt
machen.
4) Benzotrichlorid C,H, CCI.
Dieses ist die einzige, schon früher bekannte Form
des dreifach gechlorten Toluols. Schischkoff und
Roesing"”) stellten dieselbe zuerst dar durch Behan-
deln von Chlorbenzoyl mit Phosphorpentachlorid.
Limpricht") untersuchte diesen Kôrper in der letzten
Zeit genauer und beobachtete die Bildung desselben
bei der Einwirkung von Chlor auf Bittermandelülchlorid
und beim Behandeln des Toluols mit Chlor. Jedoch ge-
lang es ihm nicht, auf letzterem Wege den Kürper rein
zu isoliren. Nichts ist indessen einfacher, als sich pfund-
weise vollkommen reines Benzotrichlorid darzustellen.
Man braucht nur in siedendes Toluol so lange Chlor
einzuleiten..bis der das Toluol enthaltende Kolben nicht
mehr an Gewicht zunimmt. Schon nach kurzem Frak-
tioniren gewinnt man leicht ein constant bei 213 —
214° siedendes Produkt. Dasselbe ist reines Benzo-
trichlorid.
0,487 Gr. gaben 0,7655 CO, und 0,123 H,0.
Berechnet Gefunden
(se 84 42,9 42,8
H, 5 2,6 2,8
Cl, 106,5 54,5 —
195,5 100,0
14) Annal. Chem. Pharm. 133, 252.
15) Jabresb. f. Chem. 1858, 279.
16) Annal. Chem. Pharm. 135, 80 und 139, 325.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
55
Dieser Kürper besitzt alle für das Benzotrichlorid
angegebenen Eigenschaften. Erhitzt man ihn z. B. mit
Wasser im zugeschmolzenen Rohr auf 150°, so zer-
fällt er vollständig in Salzsäure und Benzoesäure:
C;H;. CCI, + 2H,0 = CH. CO, H + 3H0I:
Die abgeschiedene Säure war reine Benzoesäure,
Sie schmolz bei 121°, und das aus derselben darge-
stellte Calciumsalz besass Krystallform, Lüslichkeit und
Zusammensetzung des benzoesauren Calciums.
1,231 Gr. verloren bei 150° 0,1975 H, O und gaben
0,2055 Ca0.
Berechnet Gefunden
(C,H;0:) Ca 282 83,9 —
3H, O 54 16,1 16,0
336 100,0
Berechnet Gefunden
(C,H,0,) 242 858 —
Ca 40 14,2 14,2
282 100,0
Kocht man das Benzotrichlorid mit Chromsäure-
lüsung, so wird ebenfalls sehr bald Benzoesäure ge-
bildet, welche indessen, in Folge der gleichzeitig frei
werdenden Salzsäure, durch Chlorbenzoesäure verun-
reinigt ist.
Es ist sehr bemerkenswerth, dass mit der Bildung
von Benzotrichlorid die Wirkung des Chlors auf sie-
dendes Toluol beendet zu sein scheint. Wir haben
bei weiterem Behandeln des Benzotrichlorids mit Chlor
in der Siedehitze keine Gewichtszunahme mehrbemerkt.
Vielleicht dass bei sehr anhaltender Einwirkung, etwa
unter Beïhülfe des Sonnenlichtes, eine weitere Substi-
tution des Chlors in der Siedehitze ermüglicht werden
kann. Jedenfalls geht sie unter gewühnlichen Umstän-
den nur mit grüsster Schwierigkeit vor sich. Es er-
klärt sich daraus die Leichtigkeit, mit der Benzotri-
chlorid aus Toluol dargestellt werden kann. Es bestä-
tigt dieses ferner die im Eingange aufgestellte Behaup-
tung, dass beim Behandeln von Toluol und gechlortem
Toluol mit Chlor in der Siedehitze das Chlor stets den
Wasserstoff des Methyls im Toluol ersetzt. Da mit der
Bildung des Benzotrichlorids aller Wasserstoff des Me-
thyls ersetzt ist, so kann folglich das Chlor bei Siede-
hitze keine weitere Wirkung ausüben. Man braucht
aber natürlich nur Jod hinzuzufügen, um sofort eine
weitere Substitution zu bewirken. Dieses Mal aber
559
TT —
natürlich im Kern. Die hierbei entstehenden Kürper
sollen später beschrieben werden.
Nach dem Obigen ist es begreiïflich, dass die An-
gaben von Naquet'”) über Trichlortoluol wenig
Werth besitzen. Dieser Chemiker hatte es augenschein-
lich mit Gemengen zu thun.
I, Zur Kenntniss der Nitrobenzoereihe,
Im Monochlortoluol C,H,CI.CH, steht das Chlor
an einer anderen Stelle als in der Chlorbenzoesäure
C,H, C1. CO, H,
insofern Ersteres bei der Oxydation mit Chromsäure
nicht in Chlorbenzoesäure, sondern in die damit iso-
mere Parachlorbenzoesäure übergeht. Da nun
Benzoesäure sich vom Toluol nur dadurch unterscheiï-
det, dass in Ersterer der Wasserstoff im Methyl des
Toluols durch Sauerstoff vertreten ist, so ist es klar,
dass die Natur der diesen Wasserstoff vertretenden
Elemente von wesentlichem Einfluss ist auf die Stel-
lung der substituirenden Elemente oder Gruppen im
Kern des Toluols oder seiner Derivate. Dies veran-
lasste uns, die Substitutionsprodukte einiger anderen
Toluolderivate genauer zu untersuchen.
1) Nitrirtes Benzotrichlorid C,H, (NO,).CCI..
Hôchst concentrirte Salpetersäure wirkt bei gewühn-
licher Temperatur sehr heftig auf Benzotrichlorid ein.
Als das Produkt in Wasser gegossen wurde, schied sich
eine feste Substanz ab, die sich bei näherer Unter-
suchung als Nitrobenzoesäure erwies. Wir hatten
daher nicht das dem Benzotrichlorid entsprechende
Nitroprodukt erhalten, weil dasselbe, vielleicht durch
die Heftigkeit der Reaktion bedingt, offenbar durch
Wasser sofort eine weitere Zersetzung erfahren hatte:
C;H, (N0;)CCL + 2H,0 = C;H,(NO)).COH + 3HCI.
Die abgeschiedene Säure wurde an Baryt gebunden
und das Baryumsalz zweimal umkrystallisirt. Es zeigte
jetzt Krystallform, Lüslichkeit und Wassergehalt des
nitrobenzoesauren Baryums.
1,220 Gr., über Schwefelsäure getrocknet, verloren |
bei 150° 0,1555 H, O.
17) Annal. Chem. Pharm. Suppl. 2, S. 248, 249 u. 258.
Bulletin de l’Académie Empériale
560
Berechnet Gefunden
2(C,H;NO;) 332 61,4 =
Ba 137,2 25,5 2
4H,0 72 3,3 12,8
541.2 100,0
Aus den Mutterlaugen des Baryumsalzes haben wir
eine geringe Menge Parachlorbenzoesäure abschei-
den künnen, deren Bildung durch eine secundäre Wir-
kung der freiwerdenden Salzsäure leicht erklärlich ist.
Wir werden in der That später zeigen, dass beim Chlo-
riren des Benzotrichlorids ein Derivat der Parachlor-
benzoesäure entsteht.
2) Nitrirtes Bittermandelül-Chlorid
C,H, (NO,). CHCL..
Da sich bekanntlich'*) beim Nitriren des Chlor-
benzyls C,H.,.CH, CI ein Derivat der Paranitro-
benzoesäure bildet, Benzotrichlorid aber, wie wir
eben sahen, ein Derivat der gewôhnlichen Nitroben-
zoesäure liefert, so war es interessant, die Wirkung
der Salpetersäure auf das zwischen beiden stehende
Bittermandelôl-Chlorid zu untersuchen. Weil wir beim
Chloriren dieses Kôrpers ein Derivat der Parachlor-
benzoesäure erhalten hatten, erwarteten wir hier eim
Derivat der Paranitrobenzoesäure. Indessen zeigte
der Versuch, dass doch nur ein Abkümmling der ge-
wübhnlichen Nitrobenzoesäure sich gebildet hatte.
Reines, aus Bittermandelül bereitetes Chlorid
CH °CHCL
wurde tropfenweise in hôchst concentrirte Salpeter-
säure eingetragen. Es trat eine lebhafte Reaktion ein,
die durch Abkühlen gemässigt wurde. Nach Beendi-
gung derselben wurde die Flüssigkeit in viel Eiswasser
gegossen, wodurch sich ein schweresÜIabschied. Dieses
ÔL ist offenbar der Nitrokôrper C; H, (NO,) CHI, doch
gelang es uns nicht, denselben vollkommen rein abzu-
gewinnen. Das OI schied nämlich nichts Festes ab und
zersetzte sich bei der Destillation zum grüssten Theile.
Wir haben daher auf eine fernere Reinigung des Üles
verzichtet und dasselbe sofort mit Chromsäurelüsung
behandelt. Die dadurch gewonnene Säure wurde an
Baryt gebunden und das Baryumsalz durch Umkry-
stallisiren gereinigt. Wir erhielten so reines nitro-
benzoesaures Baryum:
CH, (NO;) CHCL, + H,0 +0 =C;H,(N0:)CO,H + 2HCI.
18) Annal. Chem. Pharm. 139, 338.
561
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
56?
—————_——_ "7
0,5155 Gr. lufttrocken verloren bei 170° 0,0655 | in das Amid, indem man Nitrobenzoesäure mit der
H,0 und gaben 0,222 Ba SO,
Beérechnet Gefunden
(C,H,NO,) Ba 4692 86,7 L«
4H,0 72 13.8 12,7
541,2 100,0
2(C,H,NO),) 332 70,8 —
Ba 137,2 29,2 29,0
“469,2 100,0
Dic aus dem Baryumsalze abgeschiedene Säure zeigte
alle Eigenschaften der gewühnlichen Nitrobenzoe-
säure.
3) Nitrobittermandelül C; H, (NO,).COH.
Im Chlorbenzyl übt das Chlor keinen Einfluss aus
auf die Stellung der Nitrogruppe, wohl aber, wie wir
sehen, im Benzotrichlorid und Bittermandelü]l-Chlorid.
Wir haben es aus diesem Grunde nicht für überflüssig
gehalten, das Oxydationsprodukt des nitrirten Bitter-
mandelüles genauer zu untersuchen. Das Nitro-Bitter- |
mandelôl wurde in bekannter Weise durch Chromsäure-
lüsung oxydirt und die erhaltene Säure an Baryt ge- |
bunden. Wir erhielten das Baryumsalz der gewôhn-
lichen Nitrobenzoesäure. Die aus dem Salze ab-
geschiedene Säure zeigte alle Eigenschaften dieser
Säure.
* 1,268 Gr. des Baryumsalzes verloren bei 150° —
0,164 H,0.
Berechnet Gefunden
4H,0 13,30, 13,0.
Es bestätigt dies also vollkommen die Angabe von
. . |
Bertagnini”).
4) Nitririrtes Benzonitril C;H, (NO:). CN.
Nach Gerland”) entsteht beim Lüsen von Benzo-
nitril in rauchender Salpetersäure nitrirtes Benzo-
pitril. Wir haben das so erhaltene Präparat verglichen
mit dem aus Nitrobenzoesäure dargestellten Nitril und
uns überzeugt, dass beide Produkte vollkommen iden-
tisch sind. Das Stickstoffatom im Benzonitril übt da-
her in Bezug auf die Stellung der Nitrogruppe den-
selben Effekt aus wie ein Sauerstoffatom oder zwei
Chloratome.
Um aus Nitrobenzoesäure das correspondirende Ni- |
tril darzustellen, verwandelt man die Säure zunächst
19) Annal. Chem. Pharm. 79, 259.
20) Gerhardt, Traité IT, 130.
Tome XII.
äquivalenten Menge PCI, zusammenbringt und nach
beendeter Envwirkung das gebildete POCI, abdestillirt.
Sobald der Siedepuukt auf 120 —130° gestiegen ist,
lässt man erkalten und giesst den Retorteninhalt tropfen-
weise in gut abgekühltes concentrirtes Ammoniak.
Man filtrirt nach 24 Stunden ab und krystallisirt das
Amid aus Wasser um.
Um das Amid in das Nitril umzuwandeln, erwärmt
man ÉErsteres mit etwas mehr als der äquivalenten
Menge PCI,, destillirt das POCI, ab und reinigt das
Nitril durch Umkrystallisiren aus Wasser. Die erhal-
tenen Krystalle zeigten denselben Schmelzpunkt (117
— 118"), dieselbe Lôüslichkeit und Krystallform, wie
Gerland’s nitrirtes Benzonitril.
In der Hoffnung, das noch unbekannte Nitril der
Amidobenzoesäure zu erhalten, haben wir das Ni-
trobenzonitril der Einwirkung von Reduktionsmitteln
unterworfen, doch ist es uns bis jetzt noch nicht ge-
‘luugen, die Reaktion in der angedeuteten Weise durch-
zuführen.
Erwärm& man Nitrobenzoe-Nitril mit Zinn und con-
centrirter Salzsäure, so lüst es sich, und aus der filtrir-
ten Lüsung krystallisirt das bekannte*') Doppelsaiz
von Zinnchlorür und salzsaurer Amidobenzoe-
säure.
0, 464 Gr. gaben 0,190 SnO,.
Berechnet Gefunden
C,H,NO,.Cl, 244,5 67,8 =
Sn ! 116 32,2 32.4
360,5 100,0
Die mit Schwefelwasserstoff entzinnte Lüsung gab
beim Verdunsten Krystalle von salzsaurer Amido-
benzoesäüure.
0,4495 Gr. gaben 0,365 AgCl.
0,3265 Gr. gaben 0,581 CO, und 0,1325 H, 0.
0,407 Gr. gaben 30,2 CP Stickstoff bei 15,5° und
768,8 Mill.
Berechnet Gefuuden
CAR 48,1 45,5
H, 8 4,6 4,5
N 4:14 8,1 8,8
Cl 35,5 20,5 20,5
Gb 18,4 _
173,5 100,0
21) Annal., Chem. Pharm. 129, 266.
56
563
Bulletin de l’Académie Impériale
564
EE
Aus der salzsauren Verbindung wurde durch Be-
handeln mit concentrirter Schwefelsäure schwefelsaure
Amidobenzoesäure in den bekannten Krystallen er-
halten.
Es folgt aus Obigem, dass Amidobenzonitril ent-
weder nicht existirt, oder doch so wenig beständig ist,
dass es, vielleicht durch die freie Salzsäure, sofort in
Amidobenzoesäure übergeht. Es bildet sich hierbei
nicht einmal als Zwischenprodukt das bekannte Amid
der Amidobenzoesäure. — Als wir, um die Wirkung
der freien Salzsäure zu mässigen, eine alkoholische
Lüsung von Nitrobenzoenitril mit Zinn und Salzsäure
behandelten, trat die Reduktion nur langsam ein. Die
durch Schwefelwasserstoff vom Zinn befreite Lüsung
enthielt Amidobenzoesäure, gab aber mit Ammoniak
einen in Salzsäure lôslichen üligen Niederschlag. Viel-
leicht war dieses ÔÜl das gesuchte Amidobenzoenitril.
Als die Lüsung nach einigen Tagen mit Ammoniak ver-
setzt wurde, entstand kein Niederschlag mehr. Die
Lüsung enthielt nur noch Amidobenzoesäure. — Wir
haben endlich eine alkoholische Lüsung von Nitroben-
zonitril zuerst mit Ammoniakgas und hierauf mit
Schwefelwasserstoff gesättigt. Beim Erwärmen trat
Reduktion ein, welche aber in verschiedener Weise zu
verlaufen scheint. Zuweilen wurde ein Ül erhalten, in
anderen Fällen blieb jedoch die Bildung desselben aus.
Wurde. die Flüssigkeit zur Trockne verdunstet, so
hinterblieb ein in Wasser und Salzsäure vollkommen
lôslicher Rückstand. In der salzsauren Lüsung, die
Amidobenzoesäure enthielt, bewirkte Ammoniak nur
eine Trübung, die durch Schütteln mit Âther ver-
schwand. Die ätherische Lüsung hinterliess beim Ver-
dunsten einen üligen Kürper. Wir haben denselben
einstweilen keiner weiteren Untersuchung unterworfen.
Rapport sur les procédés de Galvanoplastie em-
ployés dans la fabrique Royale Néerlandaise
d’orfèvrerie de M. J. M. van Kempen à Voor-
schoten, présenté à la Commission Impériale
de l'Exposition Universelle de 1867 à Paris,
par M. de Jacobi. (Lu le 9 janvier 1868.)
En suite d’une réclamation élevée contre la décision
du Jury de la 21° classe, et adressée à la Commis-
sion Impériale par M. J. M. van Kempen, Monsieur
Michel Chevalier avait voulu m'inviter d'examiner
les objets en argent massif, exécutés par le même in-
dustriel au moyen de la Galvanoplastie et contenus
dans sa vitrine à l’intérieur du Palais de l'Exposition.
Il s'agissait de savoir, si ces objets dont l’apprécia-
tion n’était pas proprement de la compétence du Jury
mentionné, étaient de nature à pouvoir figurer dans
le rapport spécial que je m'étais engagé à faire sur
la Galvanoplastie de l'Exposition actuelle, et sur les
progrès réalisés dans cette industrie, depuis 1862.
Monsieur van Kempen n’ayant pas été présent à
Paris, je m’adressais à ses représentants, Messieurs
Menard et Saivres, qui m'ouvrirent leur vitrine, en
me donnant quelques explications préalables sur la
fabrication en question. Il ne m'a pas fallu employer
beaucoup de temps, pour entrevoir que les produc-
tions que j'avais devant moi, étaient dignes d’une
attention particulière et remarquables sous le double
point de vue de la science et de l’industrie. Cette
branche de fabrication du reste n’est pas représentée,
autant que je sache, au Palais de l'Exposition; si néan-
moins il s’en trouve quelques échantillons, leur in-
signifiance les a fait échapper à mes investigations.
Les premiers renseignements qui m'avaient été
donnés sur ie procédé employé par M. van Kempen,
ayant été trop vagues, j'en désirais de plus détaillés,
qu’en effet cet industriel me fit parvenir par écrit.
Plus tard il vint lui-même à Paris. Il s’en rapporta
à ma compétence dans cette matière et appuya la
validité des prétentions élevées dans sa réclamation,
en me faisant voir quelques nouveaux échantillons de
son industrie, qui auraient peut-être fait disparaître
toute hésitation et toute méfiance de ma part, s'ils
avaient pu en même temps satisfaire à ma curiosité
légitime de connaître la fabrication en question, dans
tous ses détails.
Monsieur van Kempen, un des industriels les
plus distingués, m’en offrit spontanément l’occasion,
en m'exprimant son désir de me voir visiter son éta-
blissement, pour juger par moi-même des progrès
qu’il croyait avoir réalisés dans les applications de la
Galvanoplastie. Je m’y décidais d’autant plus facile-
ment que je:sentis le besoin de me remettre des fati-
gues occassionnées par les travaux ardus que ma
mission officielle à Paris m'avait imposés.
L'usine de M. van Kempen est établie dans une
charmante contrée à un quart d'heure du grand vil-
565
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
566
lage de Voorschoten, près de Leyde. Elle consiste en
deux parties séparées, dont l’une, la fabrique d’ar-
genterie proprement dite, occupe les deux étages d’un
grand édifice et dont l’autre, la Galvanoplastie, est
installée provisoirement dans une ci-devant serre, où
elle occupe de même deux étages. Parlons d’abord
de la Galvanoplastie, comme elle s'exerce dans cet
établissement.
Ce qui avait frappé d’abord notre attention, la
mienne et celle de M. P. Christoffle, avec qui j'avais
examiné fugitivement et seulement à l'extérieur la vi-
trine de M. van Kempen, c’étaient les animaux en
argent massif, cerfs, chevaux etc. en partie isolés, en
partie appartenant à des pièces de table et d’autres
objets, et qui auraient été faits, d’après la déclaration
des représentants de l’exposant, en deux pièces: c.-à-
d. en deux coquilles soudées soigneusement ensemble
par la soudure d’argent. Dans ces coquilles auraient
été comprises en même temps toutes les extrémités
des animaux, jambes, oreilles, ramures, etc.; aucune
de ces parties n’aurait été faite séparément et rap-
portée après, par la soudure.
Bien qu’à la première vue, la coupe de l'animal en
deux coquilles ouvertes et propres à y déposer le mé-
tal, soit cuivre, soit argent, sans l’application d’un
anode intérieur, ne nous parut pas tout-à-fait impos-
sible, nous pensions cependant qu’il s'agissait ici d’un
de ces tours-de-force, fait une seule fois et d’une va-
leur précaire au point de vue industriel.
Ma visite à cet établissement ne manqua pas de
rectifier cette idée. En effet j'y trouvais une grande
quantité de coquilles en argent, appartenant à di-
vers objets et prêtes à être réunies par la soudure, ou
en voie de préparation et d’ajustage. Ces coquilles
aussi bien que les moûles en gutta-percha, dans les-
quels elles avaient été déposées, offraient, il est vrai,
quelquefois des formes très contournées; mais leur
assemblage était beaucoup plus simple et facile qu’on
ne le supposait au premier abord. La ligne de dé-
coupure d’un quadrupède p. e., une fois trouvée, ce
système s'applique par analogie à un grand nombre
d'objets qui auparavant n'avaient pu être confection-
nés qu’avec beaucoup de pièces rapportées.
Cependant le système à deux coquilles n’est pas
le seul d’après lequel on fait la Galvanoplastie en ar-
gent massif dans l’établissement en question.
Ce système que nous signalons comme un véri-
table progrès, s'applique particulièrement dans les
cas, où la fabrication d'objets en ronde bosse au
moyen d’anodes intérieurs, devient trop difficile et
souvent impossible, à cause de l’exiguité des dimen-
sions de certaines parties: ainsi dans tous les cas où
l’on se serait vu obligé d'exécuter ces parties sépa-
rément, soit par la fonte, soit par la Galvanoplastie,
en rapportant ensuite ces pièces au corps principal
par la soudure.
M. van Kempen exclut de sa fabrication toute
fonte; même en n’exécutant une pièce d’orfèvrerie,
qu’une seule fois, il préfère la Galvanoplastie qui lui
présente plus d’aisance et qui le dispense de toute
ciselure. Il économise de cette manière les frais de
cette opération indispensable pour les objets en fonte,
frais qui deviennent exorbitants, comme tout le monde
le sait, s’il s’agit de rendre tout le fini de l’oeuvre de
l'artiste. La ciselure des produits de cette fabrique se
réduit en effet, à une légère retouche qu’on peut con-
fier aux ouvriers les moins exercés. C’est ainsi que
nous trouvons dans les magasins de cet industriel une
grande variété d'objets, souvent en nombreux exem-
plaires, statuettes et animaux isolés ou réunis en
groupes, surtouts de table, vases, gobelets ete., le
tout exécuté en argent massif par la Galvanoplastie,
enfin tous ces objets fournis par les arts et les métiers
au luxe moderne et dont il se fait un commerce très
étendu, mais pour la confection desquels la fonte avait
encore maintenu jusqu’à présent son privilège.
Si nous ajoutons que le travail de ces objets est ir-
réprochable, qu’ils possèdent une solidité plus que suf-
fisante et que leurs prix, malgré le métal précieux dont
ils consistent, sont très modiques et comparativement
beaucoup au-dessous des objets analogues fondus en
bronze, il faut convenir qu'il revient de droit à M. van
Kempen le titre d’avoir élargi par ses procédés, le
domaine des applications de la Galvanoplastie et d’a-
voir fait faire à cette industrie, un progrès notable.
Comme nous l'avons déjà mentionné plus haut,
M. van Kempen ne se borne pas à la confection
d'objets en deux coquilles. Dès qu’il y a occasion, il
se sert pour la ronde bosse en argent massif des
moûles clos dans lesquels il introduit des anodes so-
lubles, ou des anodes de platine, ou tout récemment
même des anodes de fer.
36*
567
Builetin de l’Académie Empériale
568
Pour la ronde bosse en cuivre il se sert d’anodes
de plomb, employés le premier par Monsieur Henry
Bouilhet et par lesquels cet habile ingénieur a donné
une impulsion inattendue, au développement de la
Galvanoplastie.
Sur ma demande M. van Kempen a voulu an-
nexer à ce rapport!) plusieurs dessins en grandeur
naturelle, d'objets d’orfèvrerie confectionnés sur com-
mande dans ses ateliers et exécutés tous, au moyen
de la Galvanoplastie. Les prix de la façon, indiqués
par lui, me paraissent très modiques. Du reste, d’au-
tres personnes décideront mieux que moi, si des ob-
jets pareils exécutés par la fonte et ciselés artistique-
ment, auraient en verité, exigés même en France, à
ne pas parler de l’orfèvrerie anglaise ou russe, au
moins une triple dépense pour la façon. Quant aux
objets plus simples et plus répandus et dont je suis
plus à même de juger les prix, je me suis déjà pro-
noncé sur leur modicité.
Nous sommes reconnaissants à M. van Kempen
d’avoir voulu nous communiquer en outre la légende
explicative ci-jointe*) qui fera comprendre la solution
du problème difficile, de reproduire par la Galvano-
plastie un vase à anse avec des ornements en relief,
en une seule pièce.
Il convient de mentionner encore l’économie très-
considérable en matière précieuse, que la Galvano-
plastie en argent permet de réaliser, en comparaison
de la fonte du même métal. Les objets que nous avons
eu l’occasion d’examiner, ont en effet une épaisseur
beaucoup au-dessous de celle qu’on aurait été obligé
de leur donner en les exécutant par la fonte. Toute-
fois ils possèdent une résistance suffisante et toute
la solidité requise pour des objets pareils. C’est donc
par l’économie de la façon, aussi bien que par celle de
la matière, que l’acquisition d’objets d’art en argent,
devient accessible à un public qui ne dispose pas de
très-grandes fortunes.
La Galvanoplastie de l’argent n’a pas été sans ren-
contrer de difficultés sérieuses. L’argent déposé par
la pile, en employant les bains faits d’après les pre-
scriptions ordinaires, n’est pas tout-à-fait pur. Les sub-
\
1) L'auteur ayant recueilli un grand nombre de ces dessins, les
ferra voir volontiers aux personnes qui s'intéressent à ce progrès de
la Galvanoplastie.
2) Voir l’annexe.
stances étrangères qu’il contient n’ont pas encore été,
autant que je sache, examinées par l’analyse chimi-
que. L'argent obtenu dans ces bains, est pour la plu-
part cassant et malgré sa blancheur et son beau mat,
loin de présenter une surface aussi lisse et unie que
celle du cuivre galvanique obtenu dans de bonnes
conditions. Dès que le courant n’est pas très faible
et que le dépôt d'argent a acquis quelque épaisseur,
sa surface présente un aspect âpre et mamillaire. En
le soumettant à une température élevée comme celle
de la fonte des soudures fortes (argent et zinc), il re-
çoit des ampoüles, se déjette et se déforme. L'argent
de cette provenance n’a donc pas les propriétés re-
quises pour être employé aux travaux d’orfèvrerie
qui en général ne peuvent pas se passer de soudure
et de l’élévation des objets, à une haute température.
Ces inconvenients avaient donc fait renoncer aux ten-
tatives entreprises de différents côtés, pour faire in-
dustriellement de la Galvanoplastie en argent. En effet
l'emploi d’un argent cassant nécessiterait une trop
grande épaisseur à donner aux objets d’orfèvrerie
et serait incompatible avec la condition importante du
bon-marché.
M. van Kempen s’est rendu maître de toutes ces
difficultés. Il Jui a fallu plusieurs années de travaux et
de sacrifices pécuniaires considérables, avant d’avoir
pu obtenir des résultats satisfaisants. Tout le monde
sait, que dans des circonstances pareilles, où l’état
moléculaire de la matière est en jeu, les vues théori-
ques ne sont qu’un faible appui. On ne parvient pas
à des résultats pratiques sans avoir suivi la voie pé-
nible des tâtonnements et des essais sans fin. Bien
que soutenu par un bon fonds de connaissances et par
des moyens pécuniaires suffisants, ce n’était pas moins
la ténacité propre au caractère de sa nation qui l’a
fait persévérer dans cette entreprise. En voyant au-
jourd’hui la Galvanoplastie de l'argent placée dans
des conditions qui lui assurent une application indus-
trielle des plus étendues, nous devons nous déclarer
satisfaits, même si les procédés employés et les résul-
tats obtenus, ne peuvent pas s'expliquer toujours d’une
manière rigoureusement scientifique.
Avec un désintéressement louable M. van Kempen
nous à fait connaître tous ses procédés en nous per-
mettant d’en parler dans ce rapport.
Il met les soins les plus minutieux à la préparation
569
de son bain argentifère; il ne prend pas le cyanure
de potasse du commerce, mais il le prépare lui-même
en faisant dissoudre et récristalliser le ferro-cyanure
jaune de potasse du commerce et en choisissant les
cristaux les mieux formés, pour les fondre dans un
creuset de fer. C’est ce cyanure de potasse qu'il
emploie pour ses bains, en en faisant dissoudre 9",
parties en 90, parties d’eau distillée. Avec cette
solution, à laquelle il ajoute 5 gr. de pyro-phos-
phate et 2 gr. de bisulfite de soude par litre, il
remplit un bac en fonte de fer verni à l’intérieur,
dans lequel il place un certain nombre de vases po-
reux remplis de la même solution. L’un de ses va-
ses qui se trouve au milieu, contient une plaque de
platine où de fer ou un faisceau de fil de fer, et les
autres, qui l’entourent des anodes d’argent au titre
de 996 *). |
En employant une batterie de Smee de 5 à 6 élé-
ments, les anodes se dissolvent rapidement. On inter-
rompt l’action du courant, dès que le catode de platine
commence à se recouvrir d’une couche d’argent. La
richesse suffisante de la solution du double cyanure
de potasse et d'argent étant ainsi indiquée, on réunit
les solutions contenues dans les vases poreux à celle
contenue dans le bac, et on s’en sert comme bain,
pour les opérations ultérieures de Galvanoplastie.
Cependant M. van Kempen prétend que l’argent
déposé dans ces solutions, bien que parfaitement dense
et malléable, lui paraît trop tendre pour offrir une
résistance suffisante. Afin de donner à cet argent des
qualités supérieures et plus de dureté, il ajoute à son
bain une certaine quantité de double cyanure de po-
tasse et de cuivre, répondant à peu près à 1 partie
de cuivre sur 200 parties de lPargent contenu dans
le bain et dont on conraît le poids en calculant la
perte que les anodes contenus dans les vases poreux
ont éprouvée.
M. van Kempen ne se sert pour sa Galvanoplastie
d'argent que d’un simple élément de Smee à large
surface et d’anodes d’argent au titre de 996 qu’il
emploie pour maintenir son bain toujours au même
degré de saturation, ce qui lui réussit parfaitement.
3) Voir Bulletin de la Classe Physico-Mathématique T. V, X 110,
mon Mémoire «Ueber einige neue Volta’sche Combinationen» p.217
où il est question d’un dépot d’argent excessivement malléable ob-
tenu par moi par un procédé particulier.
des Sciences de Saint-Pétersbour£g.
570
En effet dans une expérience faite par moi-même
dans cet établissement, ils se sont déposés en 24 heu-
res sur une plaque de cuivre de 8 décimètres carrés
301 grammes d'argent, en employant un élément de
Smee présentant une surface d'argent platinisé de
17 décimètres carrés, et chargé de 10 volumes
d'acide sulfurique étendue de 90 volumes d’eau.
L’anode, des mêmes dimensions que le catode, avait
perdu 299 grammes, ainsi à très peu près autant que
le catode avait gagné; résultat aussi avantageux que
possible et qu’on n’obtient pas avec les solutions or-
dinaires. Le bac en fonte de fer dans lequel on travaille
ordinairement a 1 mètre de long sur 0,63 de large
et est rempli à une hauteur de 25 centimètres. Quand
il est entièrement plein de moüles et d’anodes, on
produit en deux jours, en se servant de deux éléments
de Smee présentant ensemble une surface de 34 dé-
cimètres carrés, six kilogrammes d'argent sous
formes de coquilles galvaniques d’une épaisseur par-
faitement suffisante.
M. van Kempen prétend que le succès complet de
ses opérations dépend en grande partie de la condi-
tion: que le circuit une fois fermé, le courant ne soit
jamais interrompu, et que toute agitation du bain soit
soigneusement évitée. Il recouvre son bac d’une table
de verre pour éviter les courants d’air qui pourraient
troubler le bain et les poussières qui y tomberaient;
il craint même les mouvements qui se produisent
spontanément dans les bains, par quelque changement
subit de température; la moindre négligence dans
l’accomplissement de ces conditions se punirait par des
ampoûles et des défectuosités se produisant aux co-
quilles et les rendant impropres à un emploi ultérieur.
Nous n’avons pas pu vérifier par des contre-épreu-
ves, si toutes les précautions recommandées par cet
industriel, sont justifiées par l'expérience, ou si l’on
ne peut pas s’en passer en partie; mais nous avons pu
constater, que parmi les nombreuses coquilles
portées à la température du rouge cerise et à
la soudure desquelles nous avons assisté, il
n’y à pas eu un seul cas où des ampoñûles ou
des déformations quelconques se soient pro-
duites.
Nous avons vu à la vitrine de M. van Kempen
un vase en argent d’un très beau poli, en surface
unie, pesant 1006 grammes et fait avec son anse
571
Bulletin de l’Académie Impériale
57?
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d’une seule pièce. L’excellente qualité du bain men-
tionné a permis d'effectuer ce travail d’une manière
très simple et autrement que celle indiquée dans
lJ’annexe.
On à fait d’abord un vase pareil, d’une feuille de
cuivre poli et très mince, forcée au tour dans la forme
voulue; on y à attaché l’anse faite en cire et puis
métallisée. Sur ce modèle on a précipité l'argent
brillant obtenu par l'addition au bain, d’une minime
quantité de sulfure de carbone. Le tout était entouré
d’un anode d'argent, fixé de même que le vase mo-
dèle, à une espèce de cadre. Dans ce cas exception-
nel, où l’on n'avait pas besoin de soudure, on à cru
pouvoir déroger des conditions susmentionnées en im-
primant au cadre un mouvement vertical régulier de
va-et-vient produit par la machine à vapeur. En efiet,
on a obtenu de cette manière en 4 jours une couche
d'argent d’une épaisseur convenable et. à très peu
près partout égale, se distinguant par une certaine
dureté, et dont la surface fut si parfaitement unie
qu’on a pu se passer d'ajuster ce vase par le tour; il
a pu être achevé immédiatement, en le présentant au
polissoir à rotation rapide dont nous dirons plus tard
quelques mots. Ajoutons, qu'avant l’achèvement de
ce vase on l'avait rempli d’une solution de chlorite
de fer, pour dissoudre le modèle en cuivre resté en-
core à l’intérieur. On emploie la même solution, qui
n’attaque l’argent que fort peu, pour éloigner la
couche très mince de cuivre adhérente aux coquilles
d'argent.
Comme l'argent se précipite au commencement
trop lentement sur le moüle métallisé par le graphite,
on l’a trouvé convenable de déposer d’abord sur le
moûle une très-légère couche de cuivre, qu’on éloigne
après comme nous venons de le dire.
Nous avons parlé plus haut de l’emploi d’un anode
de fer. En effet ce métal acquiert un très haut degré
de passivité dans la solution en question, comme
aussi dans d’autres cyanures. Nous ne pouvons pas
constater dans ce moment, si ce fait est nouveau.
Toute fois nous croyons être sûr, que M. van Kem-
pen est le premier qui s’est servi de cette propriété
du fer pour remplacer les anodes de platine, substitu-
tion qui a à peu près la même signification pour la
Galvanoplastie de l'argent, que le remplacement du
platine par le plomb a pour celle du cuivre. Dans
des cas particuliers on se procure dans cet établisse-
ment des anodes solubles en recouvrant d'argent fin,
des fils ou des feuilles de fer.
Cet argent se dissout jusqu’à la dernière trace, en
ne laissant qu’une quantité minime de ce résidu gri-
sâtre, que nous voyons se produire sur les feuilles
d'argent laminé servant d’anodes.
Nous ne pouvons pas faire passer l’occasion qui
nous a conduit à la fabrique de Voorschoten sans
dire quelques mots sur cet établissement même et
sur son importance industrielle et commerciale.
La fabrique de M. van Kempen fondée à Utrecht
en 1835 fut transportée en 1858 à Voorschoten où
elle occupe la localité dont nous avons parlé plus
haut. Elle est munie d’une machine à vapeur de seize
chevaux et possède un outillage des plus complets
que le propriétaire s’efforce de tenir au niveau des
perfectionnements les plus récents. A cet effet il ne
recule devant aucune dépense, convaincu qu'il est
que ses déboursés lui seront restitués dans un court
délai par une économie de travail et de matériel. Sous
ce rapport, mentionnous avant tout les polissoirs à
rotation faisant 3000 tours par minute, de construc-
tion tant anglaise qu'américaine. On remplace par ces
polissoirs la main d’oeuvre du brunissage, en se pré-
valant du double avantage d’un poli beaucoup plus
brillant qu’on ne l’obtient par la main, et d’une éco-
nomie de travail très considérable.
Il est vrai que le polissage mécanique avait ren-
contré d’abord des difficultés de toute espèce. M. van
Kempen les a surmontées à force de persévérance
et de grands sacrifices pécuniaires.
Aujourd'hui l'utilité de ce polissage étant réconnue,
on l’a étendu à presque toutes les branches de la fa-
brication de l’argenterie.
En dehors du riche outillage que nous nous abste-
nons de décrire plus amplement et qui renferme des
laminoirs de toute espèce, des marteaux à vapeur,
des marteaux-moutons à estamper, des filières, des
tours à forcer etc., M. van Kempen a sa propre
usine à gaz, tant pour l'éclairage de l'établissement
que pour l'alimentation des chalumeaux à souder,
activés par des souflets particuliers.
Il a ses dessinateurs, mouleurs, ciseleurs, des
riches collections de modèles et de gravures d’orne-
573
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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ments de tous les peuples et de tous les temps; il a
enfin sa propre lithographie.
Le principe de la division du travail est employé
dans cette fabrique en toute rigueur. M. van Kem-
pen ne fait pas travailler par pièces ou à forfait, de
crainte de faire tort ou à l'établissement ou à ses ou-
vriers et de donner lieu à des contestations desagréa-
bles. Tous ses ouvriers ont des gages fixes, mais on à
imaginé un moyen très pratique, qui mériterait d’être
introduit dans d’autres fabriques, pour offrir à l’ou-
yrier l’occacasion de se procurer une prime par sa plus
grande diligence, en même temps que ce moyen assure
au patron la faculté de diminuer les frais de fabrication
au profit de l'établissement et des acheteurs. Il dit à
ses ouvriers: par une longue expérience et les notes
prises par moi régulièrement, je connais exactement
le prix de la main-d'oeuvre de telle et telle pièce que
je vous donne à faire. Pour les gages fixes que vous
recevez, vous aurez donc à me fournir par jour tant
et tant de ces pièces. Si vous m’en fournissez moins,
je serai en perte, mais je ne vous ferai pas pour
cela de déduction; si au contraire vous m’en four-
nissez plus, je vous ajouterai la moitié de la plus-
value de votre main-d'oeuvre, l’autre moitié re-
vient à l'établissement et sert en partie pour couvrir
les pertes occasionnées par les ouvriers moins habiles
et moins diligents. Notons du reste que les différences
et les plaintes qni surgissent entre les ouvriers et les
propriétaires, proviennent le plus souvent d’une fausse
appréciation des travaux à forfait.
Les ouvriers de la fabrique se trouvent dans des
conditions les plus désirables; il y en a qui ont leur
propre maison; ils ont une caisse d'épargne et d’as-
surance, une coalition pour la consommation, une
salle de récréation dans laquelle il se font de temps
en temps des lectures populaires, une bibliothèque
ete, enfin tout ce qui peut contribuer à leur bien-être
moral et matériel. Aussi n’y-a-t-il aucun exemple
qu’un ouvrier ait quitté cette fabrique pour s'engager
dans une autre.
On n’admet pas d’apprentis à la fabrique au-des-
sous de l’âge de treize ans, et qui ne sachent pas lire
et écrire. Les apprentis n’ont rien à payer pour l’ap-
prentissage, ils reçoivent au contraire dès leur entrée
quelques appointements et la nourriture, s'ils ne sont
pas du village même. On a soin de leur donner toute
l'instruction qui pourrait leur être utile dans l’exer-
cice de leur métier. Surtout on leur enseigne le des-
sin et on leur apprend un peu de géométrie, de mé-
canique et de physique, et aussi le chant; le tout gra-
tis, comme il s'entend.
La production annuelle de la fabrique se laisse
difficilement évaluer; le fait est qu’elle a augmenté
d'année en année. Sans que le tarif ait été changé,
les droits de contrôle payés au fisc ont doublé depuis
quelques années. En ne pas comptant l’argent em-
ployé pour la Galvanoplastie, l’année 1866 a vu pas-
ser par les laminoirs plus de 5000 kilogr. d'argent
employé à la fabrication de l’argenterie.
M. van Kempen fait un commerce très étendu
même avec l'étranger; il a ses propres magasins riche-
ment dotés à la Haye, à Utrecht et à Rotterdam, et
des dépots en plusieurs villes de l'étranger. Il fait
de grands efforts pour assurer à ses productions un
marché aussi étendu que la capacité de sa fabrique
le permet et il croit ne pouvoir mieux atteindre ce
but qu’en donnant à son orfèvrerie toute la solidité
requise et des formes agréables, non surchargées et
d’un bon-goùt parfait.
Quant au bon-marché dont il ne méconnait pas
l'importance, nous avons déjà observé qu’il cherche
continuellement à perfectionner ses procédés, pour
diminuer autant que possible les frais de fabrication
et de façon.
L'introduction de la Galvanoplastie dans la fabrique
lui a rendu des services signalés sous tous les points-
de-vue: d’abord elle en a agrandi considérablement
le domaine et la capacité, autant par l’augmentation
d'objets de fabrication, que par la facilité de leur pro-
duction; ensuite elle rend l’oeuvre de l'artiste, comme
on sait, avec toute la fidélité possible et dispense de
toute ciselure et de toute main-d'oeuvre dispen-
dieuse; enfin ses procédés sont simples, expéditifs et
peu coûteux. En effet différentes circonstances, dont
l'explication nous mènerait trop loin, contribuent à
pouvoir faire faire à la Galvanoplastie de l'argent,
une économie considérable de temps et de matières
employées dans les batteries, de manière que les frais
de cette fabrication, ne sont que la *, partie des frais
nécessités pour la production d’un poids égal de cuivre
galvanique.
Le succès de cette fabrique est dù, il est vrai, à
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Bulletin de l’Académie EHmpériale
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l'inteiligence, au bon-sens et au juste coup d'oeil de
son auteur; mais nous ne pouvons pas nous dissimu-
ler que le caractère et les habitudes de la nation ré-
clament aussi leur part à ce succès. Les Hollandais
n'aiment pas l’argenterie légère et mal faite d'Alle-
magne, non plus que l’orfèvrerie en cuivre argenté
ou doré, ils n'aiment même pas le vermeil. C’est leur
faiblesse de donner la préférence aux objets qui ont
en même temps quelque valeur intrinsèque convenable.
Conclusion.
En considération:
que l’organisation intérieure de la fabrique Royale
Néerlandaise d’orfèvrerie de Monsieur J. M. van
Kempen est à la hauteur des perfectionnements
les plus récents faits dans cette industrie:
qu’elle occupe une centaine d'ouvriers placés avec
leur familles dans les conditions de bien être mo-
ral et matériel les plus désirables;
que son propriétaire fait présider à ses relations
avec les ouvriers, la pensée humanitaire qui a fait
créer à la Commission Impériale le nouvel ordre
de récompenses;
qu’elle fournit non seulement aux Pays-Bas, mais
de même à l'étranger, une argenterie qui se dis-
tingue par sa solidité, son bon-goût et son bon-
marché ;
que M. J. M. van Kempen a en outre le mérite:
d’avoir élargi le domaine de la Galvanoplastie en
l’étendant, par un mode particulier de moulage,
à la confection d'objets, pour lesquels la fonte
avait gardé jusque-là son privilège: d’avoir créé,
pour ainsi dire, la Galvanoplastie en argent mas-
sif qui auparavant n'avait été employée, ou pas
du tout, ou dans des limites très restreintes;
d’avoir enfin été le premier qui a remplacé le pla-
tine par le fer pour servir d’anodes insolubles,
le Soussigné croit de son devoir de soumettre à
la Commission Impériale la prière etc. etc.
ANNIEX EE.
Reproduction en argent d'un vase à anse, avec ornements en
relief, fait d'une seule pièce sans soudure, au moyen de la
Galvanoplastie, dans la fabrique d'orfêvrerie de J, M. van
Kempen.
Le vase original étant donné, nous en faisons d’a-
bord un moule en gutta-percha, consistant en deux
moitiés dont la ligne de séparation doit être prise au
milieu de l’anse.
L'intérieur de ce moule, après avoir été métallisé
par du graphite, nous en recouvrons Chaque moitié
séparément d’une couche très mince de cuivre, ce qui
se fait au moyen de la pile en moins de dix minutes.
Ensuite nous nous servons d’une composition d’as-
phalte et de gutta-percha pour en faire une ébauche
représentant le vase en dimensions réduites; nous l’en-
tourons d’un réseau de fil de fer mince; nous y attachons
l'anse faite d’une feuille de fer; nous plaçons dans le
plein de cette ébauche une tige de fer, nous metallisons
sa surface au moyen d’une poudre d'argent très-déliée
et nous y déposons une couche d'argent galvanique
qui doit être, autant que possible, partout de la même
épaisseur et d’un poids à peu près égal à celui qu’en
veut donner à la reproduction en argent. Pas besoin
de dire que le réseau, l’anse et la tige en fer doivent
être entre eux en contact metallique parfait.
L’ébauche préparée de cette manière sert d’anode
soluble et forme le noyau du moule composé de deux
moitiés et dont elle ne doit nulle-part toucher les parois,
ce qu'on atteint facilement en interposant de petites
cales en corne. La distance entre le noyau et la sur-
face intérieure du moule ne doit pas dépasser un où
deux centimètres.
Ajoutons que le moule doit avoir une ouverture en
haut et une en bas pour faciliter la circulation du liquide
et que les deux moitiés en doivent être réunies solide-
ment ensemble par des crampons et des boulons à vis
et ajustés de manière à ce que le joint devienne im-
perceptible.
Ces préparatifs faits, on n’a qu'à plonger le moule,
formant corps avec son noyau, dans le bain et réunir
les conducteurs convenablement disposés, avec la pile,
laquelle nous faisons consister de préférence d’un
double élément de Smee, dans lequel la plaque d’ar-
gent platinisé est remplacée par une plaque de char-
bon de cornue.
577
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
57S
oo
On conçoit que, par cette disposition, toute la couche | EF GH. Bac en fonte de fer contenant le bain argentifère,
d'argent, recouvrant le noyau, sera successivement
dissoute et une même quantité d'argent déposée sur
la surface intérieure du moule. On reconnaitra par
une diminution rapide de la déviation de l'aiguille
d’un multiplicateur à fil gros, interposé dans le cir-
cuit, si l’opération est finie, c’est-à-dire si l’argent de
l’anode s’est dissout jusqu’à la dernière trace.
Alors nous faisons sortir le moule de son bain, et
nous le détachons de la reproduction en argent du
vase achevé de cette manière et dont nous n’avons
qu’à éloigner, par une solution de chlorite de fer, la
très légère couche de cuivre adhérent, pour avoir le
vase en toute sa netteté et avec tout le fini de l’ori-
ginal.
Enfin nous avons encore à retirer de l’intérieur
du vase le noyau d’asphalte avec son réseau de fil
de fer.
A cet effet on dissout ce réseau par une faible solu-
tion d’acide sulfurique et on rammolit le noyau en
versant de l’eau froide dans l’intérieure du vase et
en le chauffant peu à peu au bain-marie.
En se tenant aux prescriptions susmentionnées et
en évitant toute agitation du bain, on peut être sûr du
bon succès de l’opération; mais nous n’avons pas en-
core pu constater, si ce n’est pas préférable, sous cer-
tains rapports, de donner au moule avec son noyau
un mouvement rectiligne vertical de va-et-vient, comme
nous l'avons fait en d’autres occasions.
e
Charbon,
Tome XII.
a. Moule consistant en deux moitiés.
B. Ebauche ou noyau entouré d’un reseau de fil de fer re-
couvert d'argent déposé.
C. Tige en fer.
Poids en fer suspendu au moule pour qu’il ne surnage pas
dans le liquide.
Ouvertures pour’ favoriser la circulation du liquide.
Tringle en fer auquel on suspend le moule.
Conducteurs attachés au zinc et au charbon de la batterie.
a, b.
c,
d, e.
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Catalogus der Bibliotheek van het Bataviaasch Genootschap
van Kunsten en Wetenschappen, door J. A. van der
Chijs, Bibliothecaris. Batavia, ’s Hage 1864. 8.
Jagié, V. ŒHistorija knjizevnosti naroda hrvatskoga i
srbskoga. Knjiga I. Staro doba. U Zagrebu 1867. 8.
Inauguration de la statue de Buffon. Discours de MM.
Chevreul, Viard, Duméril etc. Dijon 1865. 8.
Inaugurandosi solennemente nel palazzo del Museo Civico
il busto di Giorgio Jan. Commemorazione letta da
E. Gornalia. Milano 1867. 8.
Schering, Ernst. Bernhard Riemann zum Gedächtniss.
Güttingen 1867. 8. .
Estreicher, K. Günter Zainer i Swietopelk Fiol. War-
szawa 1867. 8.
Verhandlungen der pädagogischen Section der Philologen-
Versammlung zu Heidelberg über Thesen, betreffend
die Einführung der monumentalen, insbesondere der
christlich-monumentalen Studien in den Gymnasial-
unterricht. 4.
Cestari, Tom. Em. Le professioni che possono scegliere
ed à cui avviarsi i giovani studenti. Venezia, Mi-
lano 1865. 8.
Revue des cours scientifiques de la France et de létran-
ger. 4° année X 41 et 43. Paris 1867. 4.
— des cours littéraires de la France et de l'étranger. 4°
année X 41 et 43. Paris 1867. 4.
87 scripta et diplomata Universitatis Rostochiensis annis
1866 et 1867 edita.
20 scripta academica Universitatis Marburgensis annis
1866 — 67 edita.
18 scripta academica Universitatis Jenensis anno 1867
edita.
Programm des k. k. Gymnasiums zu Warasdin am Schlusse
des Schuljahres 1859 u. 1860. Agram 1859 — 60. 4.
21 scripta academica Universitatis Lundensis anno 1866
— 67 edita.
37
579
Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.
530
Det Kongelige Norske Frederiks Universitets Aarsberet- | Geschäfts-Ordnung der k. Akademie der Wissenschaften.
ning for Aaret 1866. Christiania 1867. 8.
Index scholarum in Universitate regia Fredericiana cen-
tesimo octavo et centesimo nono ejus semestribus
habendarum. Christiana 1867. 4.
Norske Universitets- og Skole-Annaler. Tredie Række.
VIIL Hefte 1 — 4. Christiania 1866 — 67. 8.
Bulletin de la Société philomathique de Paris. T. IV. Jan-
vier, Février 1867. Paris 1867. 8.
Mémoires de l’Académie Impériale des sciences, arts et
belles-lettres de Dijon. Années 1833, 1837 — 1838,
1864, 1865. Dijon, Paris 1833, 1839, 1865, 1866. 8.
— de l’Académie Impériale des sciences, belles-lettres et
arts de Lyon. Classe des sciences, Tome 14, 15; —
Classe des lettres, Tome 12. Lyon, Paris 1864—66. 8.
— de l'Académie Impériale des sciences, inscriptions et
belles-lettres de Toulouse. VI série, tome 5°. Tou-
louse 1867. S.
Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti.
Tomo XII, Serie terza, dispensa 5—9. Venezia 1866
— 67. 8.
Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. X.
Fasciculo III. Milano 1866. 4.
———— Classe di lettere e scienze morale e politiche.
Vol. X. Fasciculo III. Milano 1866. 4.
Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. II fase.
9. 10. III fasc. 1 — 9. Milano 1865 — 66. S.
— Classe di lettere e scienze morali e politiche.
Vol. IT fasc. 8—10. fase. 1 — 10. Milano 1865—66. 8.
Annuario del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere
1866. Milano 1866. 16.
Solenni adunanze del r. Istituo Lombardo di scienze e
lettere. Adunanza del 7 Agosto 1866. Milano 1866. 8.
Atti della fondazione scientifica Cagnola negli anni 1862
— 66. Vol. IV parte 1—3. Milano 1866. 8.
Memorie della regia Accademia di scienze, lettere ed arti
in Modena. Tomo VII. Modena 1866. 4.
Società reale di Napoli. Rendiconto delle tornate e dei
lavori dell Accademia di scienze morali e politiche.
Anno sesto. Quaderni di Luglio e Agosto. Quaderno
di Settembre et Ottobre. Napoli 1867. 8.
Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen-
schaften zu Berlin. Juni, Juli, August 1867. Berlin. 8.
Vier und vierzigster Jahresbericht der Schlesischen Ge-
sellschaft für vaterländische Cultur. Breslau 1867. 8.
Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe der
k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. 10ten
Bandes 1ste Abtheilung. München 1866. 4.
— der historischen Classe der k. bayerischen Akademie
der Wissenschaïten. 9ten Bandes 3te Abtheilung. Mün-
chen 1866. 4.
München 1866. 8.
Denkschriften der k. Akademie der Wissenschaften. Ma-
thematisch-naturwissenschaftliche Classe. 26ster Bd.
Wien 1867. 4.
———— Philosophisch-historische Classe. 15ter Band.
Wien 1867. 4.
Sitzungsberichte der k. Akademie der Wissenschaften.
Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Abthl. I,
Band 54, Heft 4, 5; Band 55, Heft 1 —3. Abthl. II,
Bd. 54, Heft 5; Bd. 55, Heft 1—3. Wien 1866—67. 8.
— ——— Philosophisch-historische Classe. Bd. 54, Heft
1—3; Bd. 55, Heft 1— 2. Wien 1866 — 67. S.
Zeitschrift des Ferdinandeums für Tirol und Voralberg. 5te
Folge. 13tes Heft. Innsbruck 1867. 8.
Rad Jugoslavenske Akademije znanosti i umjetnosti. Knji-
ga 1. U Zagrebu 1867. 8.
Mémoires de l’Académie royale des sciences, des lettres
et des beaux-arts de Belgique. T. XXXVI. Bruxelles
1867. 4.
Bulletins de l’Académie royale des sciences, des lettres et
des beaux-arts de Belgique. Année 35°, tome 22 et
année 36"°, tome 23. Bruxelles 1866 — 67. S.
Tables générales et analytiques du recueil des bulletins
de l’Académie royale des sciences, des lettres et des
beaux-arts de Belgique. 2"° Série, Tome I — XX.
Bruxelles 1867. 8.
Annuaire de l’Académie royale des sciences, des lettres et
des beaux-arts de Belgique. 1867. Bruxell es 1867. 24
Processen - verbaal van de gewone vergaderingen der k.
Akademie van Wetenschappen. Afdeeling Natuurkunde
van Mei 1866 tot en met April 1867. S.
Verslagen en mededeelingen der k. Akademie van Weten-
schappen. Afdeeling Letterkunde. Tiende Deel. Am-
sterdam 1866. 8.
Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen, gev2-
stigd te Amsterdam voor 1866. Amsterdam. S.
Philosophical Transactions of the royal Society of London
for the year 1867. Vol. 157, part I. London 1867. 4.
Proceedings of the royal Society. Vol. XV X 93, Vol. XVI
X 94. London 1867. 8.
Kongl. Vitterhets historie och Antiquitets Akademiens
Handlingar. Del. 25. Ny f6ld del 5. Stockholm. 8.
Forhandlinger i Videnskabs - Selskabet i Christiania. Aar
1865, 1866. Christiania 1866 — 1867. S.
Acta Societatis scientiarum Fennicae. Tomus VIII, pars I.
II. Helsingforsiae 1867. 4.
Üfversigt af Finska Vetenskaps-Societetens forhandlingar
1863/64, 1864/65, 1865/66, 1866/67. Helsingfors 1864
— 1867. 8.
Paru le 7 mars 1868,
New York Botanical
Ill
INT
00259 3554
a
ss
EEE
RE
es