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I
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BULLETIN
DE LA
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SOCIETE CHIMIQUE
— XXVI —
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ABRÉVIATIONS ADOPTÉES DANS LE TEXTE DBS EXTRAITS.
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B.-M.
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BULLETIN
DE LA
SOCIÉTÉ CHIMIQUE DE PARIS
(MMPRBNANT
LE PROCèS-VERBAL DES SÉANCES. LES MÉMOIRES
PRÉSENTÉS A LA SOCIÉTÉ
LIIALTSI IBS TIATAUI II CHilil PORE ET APPLIOUÉE
PUBLIÉS EN FRANCE ET A L*ÉTRANGEIt
COMMISSION D'IMPRESSION :
MM, 6. ANDRÉ, A. BÉHAL» O. BERTRAND, ENGEL, A. GAUTIER, M. HANRIOT.
COLLABORATEURS :
MU. P. ADAM, E. BLAISB, L. BOURGEOIS, L. BOUVEAULT, BURCKER,
COPAUX, A. C0RV18T, M. DELACRE, A. DE80RBZ,
JfÇTOn, S, DUPONT, FERNBACH» P. FREUNDLER, O. JAUBERT, UÉBERTf LAIIBLING,
LB0PIBAU, F. RBVERDIN, TH. SCHNEIDER, L. SIMON, A. VALEUR,
VÈZE8, ED. WILLM.
de la Rédaction : M. A. BÊHAL.
ANNEE 1901
TROlSliME SÉRIE. — TOME XXVI
PARIS
MASSON ET C'% ÉDITEURS -
LIBRAIRBS DB l'ACADÉMIE DE MÉDEQINC
130, Boulevard Saint-Uermain.
^ . i9of -
ABRÉVIATIONS ADOPTÉES POUR LES OUVRAGES EXTRAITS
Comptes rendus de l'Académiô des sciences C, li.
Annales de Chimie et de Physique Ana, Chim. Phyn
Journal de Pharmacie et de Chimie Journ.dePh.etdoCh.
Bulletin de la Société française de minéralogie .... BuH. Soc. min.
Annales de rinstitut Pasteur \dd. lastît. P.
Recueil des travaux chimiques dos Pnys-P.as /?. tr. ch. P.-D.
Archives néerlandaises Arcb. néerl.
BuUetinul Socielati de Sciinle Bull, Soc. sci,
Berichte der deulschen chcmischcn Gos« Ihrliiifi. .../>. ch. G.
Annalen der Chemie und Pharmnoic Lieb. Ann. Ch.
Monatahefte fiir Chemie Mon. f. Ch.
Journal fur praktische Chemie Journ. f.prakt. Ch.
Journal de la Société physico-chimiqnr niFsr . . Journ.Soc.phys.cbim.B,
Zeitschrift fiir physiologische Chemie Zeit. pbys, Ch.
Zeitschrift fur physikalische Chemie Zeit, physik. Ch.
Zeitschrift fur analytlsche Chemie Zeit. anal. Ch.
Zeitschrift fur anorganische Chf^mir Zeit. anorg. Ch.
Archiv der Pharmazie Arcb. d. Pharm.
Dinglers polytechnischcs Journal Ding. J.
Groth*s Zeitschrift fiir Krystallographie und Minéralogie. Z. /. Kr.
Neues Jahrbuch fiir Minéralogie, Géologie und Paléon-
tologie N. J. f. Min.
Tschermak*s mineralogische und petrographiscbe Mil-
theilungen Tacb. min. MiU.
Chemischa Industrie Cbew. Ind.
Journal of chemical Society Cbem. Soc.
Chemical News Cbem. News.
Thé journal of the American chcm. Society A m. cbem. Soc.
American chemical Journal Am. ebem. Journ.
American Journal of science Am. J. of se.
Society of chemical Industry Soc. cbem. Ind.
Gazzetta chimica italiana. . Gazt. chim, Hal,
Atti délia reala Academia dei Lincei Lincei.
La riforma chimica Bit. cbïm.
j
c» 2> 4- G 3
BULLETIN
DE LA
SOCIÉTÉ CHIMIQUE
DE PARIS
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
CHIMIE 6ËNËRALE ET MINÉRALE
Sur les conditioiis dans lesquelles Toxygône est rendu actif
ilV, V et VI) ; C. EN6LER (et J. WEISBER6 pour le mémoire V)
D, eh. G., t. 33, p. 1090-1111 ; 10.4.1900). — IV. Auto-oxydation
*h térébenihène et de quelques autres substances non saturées.
— On a a^lé dans un ballon du térébenthène bien pur avec une
^j\, 1 100* normale de sulfindigotate de sodium (1 ce. correspond
.1 0"*,O8 d*oxygène), en présence d'air, jusqu'à parfaite décolo-
ïTîlion. A ce moment, le vol. d'O absorbé était à peu près double de
' Hui qui avait efTeclivement servi à décolorer Tindigo. Ceci confirme
) auteur dans cette vue que, dans une semblable oxydation, Toxy-
^'ène 6*esl d'abord fixé sur le térébenthène pour former des per-
oxydes instables, une portion seulement se porte sur la substance
capable de le ftxer définitivement (accepteur) ^ le reste demeure
vJhérent au térébenthène à l'état de composé stable (2 at. d'O pour
1 moi. de carbure). Mêmes faits en ce qui concerne l'ainylène, le
nméthylélhylène, l'hexylène.
V. Sur Je processus de Tauto-oxydation. — Analysant ce qui
[«•-ul se passer dans des oxydations semblables à celles qu'on vient
> décrire, les auteurs sont conduits à les expliquer ainsi qu'il suit
pour les divers cas :
!• La substance véhicule d'oxygène est un corps non saturé :
a.-^rs l'oxygrène s'y fixe pour engendrer des peroxydes (triéthyl-
;liosphine, térébenthène, hexylène, etc.).
soc iaau.j S* siii., t. xxvi, 1901. ^Trar. etrang. i
^ ANALYSE DES TKAVAUX ETH/VNGERS.
2» La substance renferme des at. d'hydrogène peu solidement
attachés ; l^oxygène s'y unit pour donner HK)*, le résidu de la
substance fixe alors une seconde mol. d'Opour donnerun peroxyde
(aldéhyde benzoïque et probablement hydrure de palladium).
3<* Ce cas ne diftère du précédent qu'en ce que le résidu ne subit
pas d'oxydation (ne prend pas de deuxième mol. d*0) ; il subsiste
isolé ou doublé, soit à l'état de peroxyde (alcalis et terres alcalines),
soit sous d'autres formes (hydroxylamines, phénols, corps hydra-
zoïques).
VI. Démonstration de la formation de Peau oxygénée et d'autres
peroxydes comme produits des oxydations directes. — Une toute
petite flamme d'hydrogène est dirigée sur un morceau de glace de
façon à y creuser un petit trou ; l'eau de fusion renferme alorfi de
notables quantités de H^O* (l'hydrogène avait passé sur de l'iode,
puis sur du KOH liquide et solide, pour enlever toute trace deH^O*
pouvant y préexister). Même résultat dans la combustion du gaz de
l'éclairage, de l'alcool, de l'éther, de CS*, etc., à la condition de
prendre de petites flammes. De même la combustion d'un morceau
de sodium gros comme un pois, sur une lame d'aluminium, fournit
Na*0*, qui, par les acides, donne H*0*. On trouve de même encore
la réaction de H*0* quand on brûle de très petits copeaux de
magnésium, ou lorscju'on plonge brusquement dans l'eau glacée,
des rubans de magnésium enflammé. l. bourgeois.
Sur les terres de la côrite; 0. N. WITT et W. THEEL (D. cIj.
G., t. 33, p. 1315-1324; li.5.1900). — Après avoir discuté les
procédés de séparation du cérium d'avec les métaux qui l'ac-
compagnent dans la monazite, etc., les auteurs recommandent
un procédé fondé sur l'action mutuelle à l'ébullition d'une sol.
d'un sel céreux sur le persulfate d'ammonium. Dans ces conditions,
le cérium passe à l'état de sulfate cérique basique et se précipite ;
la liq. devient acide, et si l'on neutralise exactement cette acidité,
la réaction est quantitative ; les autres tenues rares restent dissoutes.
Cette neutralisation peut se faire par GO^Na*, ajouté seulement
jusqu'à ce que la liq. soit encore un peu acide au tournesol et
neutre au papier congo ; on peut encore saturer les acides par
CO^Ca ppté. Le ppté se lave très bien ; la liq. filtrée ne renferme
pas trace de cérium. l. bourgeois.
. Sur les silicovanadiomolybdates ; C. FRIEOHEIH et C. CAS-
tENDYCK {IJ. cil. a,, t. 33. p. 1611-1629; 11.6.1900). —Prépara-
tion du silicovanadiomolybdate d'ammonium. — On met en
CHIMIE GENEKALE ET MINÉHALE. 8
Mispeusion 800 gr, de silicomolybdate d'ammonium jaune
i.AEH*i*i>.SiO«.12Mo03+HH«0 dans 1»,5 d'eau, on chauffe au
B.-M. bouillant et Ton ajoute par petites portions 180 gr. de vana-r
tlate d*aminonium blanc VO'AzH*, jusqu'à dissolution complète.
La hq. rougf? très foncé est évaporée à tempér. la plus basse
(■cyssible jusqu'au vol. de 1 litre, puis flnalement à froid, dans le
fi<>ssic4;ateur. Il se dépose d*abord des crist. rouges, brillants, très.
3ol. dans Teau, puis des croûtes microcristallines ou masses
itnilrées peu solubles jaunes ou rouge brun. Le premier corps est
lia Hlicovaaadioraolybdate ; comme il ne peut être recristallisé dans
IV;«u sans altération, on doit le séparer mécaniquement des autres
prcxiuits. Les autres sels sont des vanadiomolybdates *.:
î.\2H*W. îV205.5Mo03 - 8H20 jaune ) m -
• AzHSK). VK>^.2Mo03+ 4H20 vert-jaune p'^oûtes micro-
iAïH^^o. 3\'2O5.4MoO3 + ilH20 brun-jaune ) ^***^*«'"û^s. ;
■ AxHM^O. 2V205.2Mo03-f- SH'O brun-rouge . .„ - , . ''
\ AxH*)2O.i2V205.5Mo03-;-24H20 rouge-brun ) «^K""*^^ feutrées.
AoaJjrse du silicovanadiomoîybdate. — Après avoir chauffé très
(cogressivement pour chasser l'eau et l'ammoniaque, on calcine
iLukâ un tube à combustion au sein d'un courant de gaz HCl ; il se
^oialilLse alors des oxychlorures de Va et Mo qu'on recueille dans
im appareil à absorption plein d'eau. Mais, comme cette volatisation
K^i jamais complète, on interrompt l'opération et on poursuit la
-«•-toation celle fois dans un courant d'air, ce qui peroxyde les
i)des inférieurs de Va et Mo qui avaient pu prendre naissance.
*^ r ju reprend ensuite la calcination dans HCl, les métaux sont
«titierement volaliUsés et il reste dans la nacelle de la silice pure.
!>• contenu du tube à absorption est traité par H*S sous pression,
o^qm précipite entièrement MoS^, exempt de Va, et facile à doser
a Tétai de MoO*. Quant au dosage de Va, le mieux est de faire une
.|i^ration sur une seconde prise d'essai et, dans la liq. chlorhydrique
r^-tifermant ainsi Mo, de doser Va parla voie iodométrique (suivant
4 méthode Fxiedheim et Euler (Z>. cb, C, t. 28, p. 2061).
f Composition et propriétés du silicovanadiomoîybdate dammo-
Êuum. — Oo trouve ainsi que sa formule est
3<AzH*)20.Si()2.V2(>MlMo03 + 27H20.
U^ acides SO*H* ou HCl étendus le décomposent parfois avec
it^piit de silice, ou d'autres sels microcristallins; l'ammoniaque
»?it «u>di en déposant delà silice et décolorant la solution. Les sels
•its métaux lourds fournissent des pptés colorés, souvent cristallins^
4 ANALYSE UES THAVAUX ETHANGEH.S.
ceux de Ba donnent au bout de quelque temps des cristaux renfer-
mant AzH* et Ba, avec les trois acides. L'eau pure décompose
aussi le silicovanadiomolybdate d'ammonium. Par évaporation de
la sol., on a obtenu d'autres sels ne différant comme composition
du primitif que par le nombre de mol. de MoO^ et d'eau :
:)« AzH*)20.Si02. V20\ 9Mo03 r 20H2O.
:?(A2H*)2O.SiO2.V2OM0MoO3 î- 21H20,
::^(AzIP)20.Si02.V20M5.Mo03 + 24H20.
Les sels enOMoO^ et en 15MoO^ peuvent recristalliser dans Teau
sans altération ; les autres tendent à se transformer en ces derniers
sous l'action de l'eau. Ils donnent tous des pptés particuliers avec
les sels des métaux lourds (voir le détail dans l'original).
Traités en sol. sat'irée à froid, par une sol. saturée de KCl, ils
donnent des pptés cristallins orangés où les deux tiers de AzW
sont remplacés par K.
(AzIl*)20.2K20.Si02.V20^ 9Mo03-r 20H2O,
(AzH*)2O.2K2O.SiO2.V2OM0MoO^ + 21HaO,
(Azir')20.2K20.Si02.V205.|lMo03-|-i2H20,
(\zn')»0.2K20.Si02.V205.15Mo03+14H20.
L. BOURGEOIS.
•
Sur quelques réactious d'hydratation ; P. ROHLAND [D. ch.
G., t. 33, p. 2831; 29.10.1900). — L'auteur a étudié l'action
retardatrice de quelques sels sur la solidification de la chaux, du
ciment de Fortland et du plâtre. Voici le tableau de ses résultats.
Chaux oa eiment
Portland.
Chlorure de sodium pas d'action
— (le lithium acctMère
— (le calcium accélère
— cl'aluminium accélère
Dichromate de potassium ou
chromatc de calcium retarde
Acide borique ou borax retarde
Carbonate de sodium accélère
Sulfate de potassium relarde
Plilre.
accélère
pas d*aclion
accélère
accélère
retarde
retarde
accélère
L. nOURGEOIS.
Détermiuatiou directe de l'avidité de rammoniaque et des
amiues; D. KONOVALOF (Jour. Soe>'pEys. chim. /?., t. 32,
p. 193 ; 1900, fasc. 3). — La méthode est bosce sur la mesure
CHIMIE ORGANIQUE. 5
de la teosioQ des bases libres en dissolution. Les conditions
sont les plus favorables quand une des bases comparées n'est pas
voUtile à la température de l'expérience (60®). Le calcul est très
simple dans le cas de dissolutions étendues, où la présence des
âels n'a qu'une influence négligeable sur la valeur de la tension,
qui peut être considérée comnie proportionnelle à la concen-
tntîoo. Dans ces conditions, on peut obtenir des ' valeurs exactes
do déplacement réciproque des aminés par la formule
ir.Y + H''(l — jr) = H
ou FT et H", représentant les tensions des deux amioes dans le cas
O'i elles seraient complètement à Tétat libre dans la dissolution,
ci H la tension observée dans le mélange du sel d'une aminé avec
me quantité équivalente de Tautre aminé; .v est la proportion
dé'plactHî de Tune des aminés. Les expériences ont été faites avec
ie> chlorhydrates d'AzW, benzylamine, méthylamine, diméthyla-
■ine, trïméthylamine et triéthylamine. Pour les valeurs relatives
de i*avidité, les nombres correspondent assez bien aux conduc-
libilUés électriques, mais ne leur sont pas rigoureusement propor-
Avec des concentrations 0,5 normales, on a trouvé les valeurs
^vantes :
Ammoniaque 1 ,00
<>H».CH2.AzH2 0,97
CHKKzH^ 4,32
(GH3)2AzH 3,90
(CH3)3Az 2,21
(Cmî^pAz 1,68
Ces nombres n*ont aucun rapport avec les chaleurs de neutra-
lisation ; ainsi (CH'j^Az déplace 70 0/0 de benzylamine de son sel,
tandis que les chaleurs de neutralisation sont 8,9 cal. pour la pre-
mière et 12,9 pour la seconde. a. corvisy.
CHIIIE ORBANIQUE.
Action de la poudre de zinc sur le bromure de triméthyléne ;
k. TOLIOF et B. HEHSCHOUTKINE (Journ. Soc. phys. cbim.
R.^ t. 32, p. 118; 1900, fasc. 2). — Dans un travail précédent, les
ailleurs ont montré que l'action de Zn en poudre sur le bro-
nrare de triméthyléne en sol. alcoolique donne du triméthyléne
6 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
mélanig:é de ppopylène. Si Ton remplacé raicool par l'eau, la réac-
tion se fait à une température voisine de 70"*, le dégagement est
rapide et régulier, et le gaz est exempt de propylène, mais ce n'est
pas du triméihylène pur; il contient du propane. — Il est impos-
sible de résumer les nombreuses expériences faites pour déter-
miner complètement les réactions principales et secondaires qui se
produisent lorsqu'on fait agir Zn sur le bromur9 de triméthylène
et ses homologues dans diverses conditions; j'indiquerai seulement
les conclusions de ce travail : !• L'action de la poudre de Zn et de
l'alcool sur le bromure de triméthylène est analogue à celle de ces
feiibstances sur les bromures de tétraméthylène et de pontaméthy-
lène : elle donne un mélange gazeux formé de triméthylène, de
propylène, de propane et vraisemblablement d'un peu de H. —
fi* La présence du propylène résulte de la formation , par
l'action de ZnO contenu dans la poudre de Zn, d'un éther
CH«Br-CH«-CH«-0-C«H5 qui, par Zn et l'alcool, donne du pro-
pylène. — S*» Le propane est le résultat de l'action de la poudre de
Zn sur le bromure de propyle provenant de la réduction incomplète
du bromure de triméthylène. — 4** L'action de Br sur le gaz obtenu
dans la réaction de la poudre de Zn sur la sol. alcoolique de bro-
mure de triméthylène donne les produits suivants : bromures d(î
propyle et d*isopropyle provenant du propane et se transformant
presque en totalité par Br en bromure de propyle, bromures
de propylène et de triméthylène, provenant du propylène
et du triméthylène. — 5° Les vitesses de réaction de Br
avec le propane, le propylène et le triméthylène sont très difTé-
Tjentes; c'ost pounpioi on peut facilement enlever par Br tout le
propylène ; mais on ne peut séparer de celte façon le triméthylène
et le propane; par action de Br sur ce mélange on obtient de;^
bromures de propylène et de triméthylène; la quantité du, premier
est assez faible pour échapper à l'observation. — On peut dire
qu'on n'a jamais obtenu jusqu'ici de triméthylène pur : par Zn et
l'alcool, on obtient un mélange de triméthylène, de propylène et
de propane; par Zn et l'eau, du triméthylène et du propane: par
Na du triméthylène et du propane. a. «ouvisy.
Sur le carbure C^lPo obtenu de rallyldimôthylcarbinol ; E.
LIODBARSKY (f/o//r/?. Soc. />/ms\ rlunu H., t. 32, p. liO; 1900,
fasc. 2). — L'allyldiméthylcarbinol est saturé à froid de llCl sec; le
lendemain, le chlorure Ibrmé est lavé à Teau glacée, puis on le iail
tomber goutte à goutte dans une sol. alcoolique de KOH contenue
dans un ballon muni d*un réfiigérnnl h relliix; le produit étendu
CHIMIE ORGANIQUE. 7
d'eau es^t distillé ; le distillât étendu donne une couche huileiise
qti'oa^pare, qu'on lave et qu'on sèche sur CaCl*. Le carbure doit
tîre U^ité à plusieurs reprises parNa, d'abord à froid, puis chauflé
40 b.-in. dans un appareil à reflux et dans une atmosphère de CO*.
Un fractionne sur Na dans GO* ; la portion passant à 73-76** est
rnaeiilie et conservée en vase scellé. — Liquide incolore, très
BADèile. doué d'une odeur caractéristique rappelant un peu le
kmte^oe, et d'une faible fluorescence en bleu violet; (/|^=r 0,71415,
1»^— 1,4^40; w^= 1,45430. — Ce carbure absorbe 0 de Tair et se
(ransforine en une huile épaisse, jaunâtre, un j>eu visqueuse. On
1 «-ssayé de déterminer la structure du carbure O^W^ par Tétude
6s chlortiydrines qu'il forme par union à HCIO; les résultats ne
soui pas rigoureusement concluants; toutefois la structure qui
(tarait la plus probable est :
CIP..
^-CH2-CH=CI12.
CIP/ A. GORVISY.
Su* one nouTelle réaction du phosgéne ; B. KUHN (D. ah. G.,
I 33. p. ^00 ; !29. 10. 1900). — L'auteur a trouvé, en collaboration
iTi=r Spindler et P. von Gartzen, qno le phosgéne est capable de
rompre la liaison entre un atome de carbone et Tazote aminique
iirrtiaire; les valences qui deviennent libres sont saturées par >>C0
hQ.CL Ce phénomène paraît avoir une grande ressemblance avec
rhydrolvoe et dépend peut être do la dissolution du phosgéne en
ioQ>. Le» auteurs l'ont étudié sur les dérivés acétylés de l'o.-, de ia
u- et de la p.-amidobenzylpipéridines qui sont scindées par l'action
•lu phosgéne à la température ordinaire de la manière suivante :
2CH3.CO.A2H.C6H'*.CH2.AzC5Hïo + COCP
= iCH3.CO.AzH.C«H*.CH2.CI + CO(AzG5H»o)2.
'^tle décomposition permet de préparer les chlorures des o.-,
m.- et p.-amidobenzyles acétylés, qui sont très susceptibles de
ferlions.
Les dérivés acétylés des amidophénylpipéridines ne réagissent
i*** dans ce sens, ni la benzoyipipéridine, si facile cependant à
li>*iroly5er; pour que cette réaction ait lieu, il semble nécessaire
•lœ Tazote pipéridinique soit lié au carbone méthanique dépourvu
«l'oxyjrène. On trouvera dans la partie expérimentale le détail des
fwcberches exécutées sur ce sujet par Ed. Bry ainsi que la des-
<nption des composés obtenus. f. reverdin.
8 ANALYSE DES TKAVAUX ETRANGERS.
Etudedutrichloromôthylorthomôthoxyphônylcarbinol; S. LÉ'
BtDIF(Jour. Soc, phys. chim, /?., t. 32, p. 197 : 1900, fasc. 8). —
Les principaux résultats ont déjà été donnés d'après une première
communication (BuILy t. 24, p. 634). La préparation est conduite de
la façon suivante : dans un ballon, on met 30 gr. de KOH fondue et
pulvérisée, 50 gr.d'élher sec, 50 gr. de chloroforme et un peu de CaO;
dans le mélange refroidi à 0**, on verse 30 gr. d'aldéhyde o-méthoxy-
benzoïque refroidi ; on agite en refroidissant jusqu'à ce que le tout
soit très épais, puis on abandonne 24 heures à la température
ordinaire. La réaction se fait en deux phases :
/OH
GH30.C«HVCH0 + KOH = CH30.C6H^CH<
NOK
•OH
(:;h3o . c«H* . CH< + chci^ = gh3o . c^h* . ch(oh)Cci3 + koh .
\0K
Après saturation par GO*, le mélange est fractionné sous près
sion réduite. — A 174** sous 12 mm., on obtient un liquide épais,
d'une belle couleur jaune d'or, très sol. dans l'éther, peu sol. dans
la ligroïne ; il absorbe l'humidité et brunit; d^ --- 1,4473. On n'a pas
d'abord réussi à le faire cristalliser; six mois plus tard, un échan-
tillon du même alcool a cristallisé spontanément après la distil-
lation ; recristallisé dans la ligroïne, il fond à 55**. — L'éther acé-
tique, préparé par action du chlorure d'acétyle sur l'alcool, forme
de beaux cristaux de 0,5 cm., dont on a fait l'étude cristallogra-
phique et optique ; ils appartiennent au système monoclinique ;
F. 58^
Vo.'Métboxydicblorostyrolène s'obtient en traitant par des
copeaux de Zn la sol. alcoolique de Téther précédent ; on refroidit
à 0° et on distille sous pression réduite ; le composé
0CH3.G6I1*.CH=GG12,
bout à 123-12o« sous 12 mm.; a/J -^ 1,2899, d^*_^ 1,2701 ; le rende-
ment est 80 0/0 du rendement théori(jue. Il reste dans le ballon
un peu d'acétate de dicblorométbylortbométhoxyphéuylcRrbinol
0CH3.C«H*.HG0(GH3G0)GHC1S F.' 108o. ^^ cohmsy.
Synthèse de l'acide a-méthyl-p-para-isopropylphônylôthy-
lônelactique ; P. GRIGOROVITCH (Journ, Soc. pbys. cbinu /?.,
t. 32, p. 195 ; 1900, fasc. 3i. — Par action d'un mélange de Zn et
d'a-broniopropionale d'élhyle sur le cuminoi, ou a obtenu unalcoo-
CHIMIE OUGANIQUE. 9
\iie (le Zn qui, décomposé par l'eau, a fourni l'éther éthylique de
Tac. a-métliyl-j^)ara-i8opropylphéDyIéthylènelactique
C3H'.G«H'*.CH(OH).GH(CH3).GOOH.
Après saponification de Télherjet purification de l*acide par
triDsformalion en sel de Na, on a un corps fusible à 12S<» ; cet
ïchle est peu sol. dans Teau, plus sol. dans Talcool, Téther, Tac.
«Kique. II existe sous deux formes, Tune gommeuse, Tautre cris-
^»*"^*^- A. CORVISY.
Actioii de l'acide bromhydriqne sur l'acide ricinoléique et
«TMii dérivé acétylé; A. KASANSKT [Journ. Soc phys. cbim.
^ . i- 32. p. 1 49, 1900 ; fasc. 2). — L'ac. ricinoléique traité par HBr
flzaix a donné un bromure dont la composition est sensiblement
t^*HWBKJ«. Ce produit réduit par HCl et Zn a fourni de Tac. stéa-
^ et une quantité moindre d'un corps fusible à 50-53**, se soli-
ï^i^ût à 48*, mais qui ne parait pas être un composé homogène. Le
^lat de la réduction du bromure parait donc indiquer que c'est
««c. dibromostéarique mélangé d'ac. ricinoléique non altéré. En
P»V>ogeant plus longtemps le courant de HBr, le produit obtenu
«rapproche de plus en plus de la composition C*8H3*Br50*, et
^*M« par réduction de Tac. stéarique. Donc, en même temps que,
0^ à la liaison éthylénique, HBr s'unit à Tac. ricinoléique, Br se
* afitetilue à OH alcoolique, ce qui donne Tac. dibromostéarique.
'-^ftiiraoïilre que dans Tac. dibromostéarique obtenu avec Tac.
*»oléique, les deux Br ne sont pas fixés à des G voisins; car on
^^aoail (les faits relatifs aux bromures des acides oléiques et éru-
^pc^qui montrent que, dans les cas où les deux Br sont unis â des
'- *t)fains, ces dibromures perdent les deux Br, sans les remplacer
1* H, lors»^|u'on les soumet à des actions réductrices. — La dis-
"iHKm de ces faits et de ceux observés par Goldsobel indique
'■««De :>(ructure la plus probable de Tac. ricinoléique ;
CH^(CH2pGHOH-GH2-GH=GH-(GH2)iGOOH.
Eii obaufTant Tac. ricinoléique avec de l'anhydride acétique pen-
sai H heures à 103*, en tubes scellés, on remplace H alcoolique
nx C*H*0. Si Ton traite par HBr ce produit acétylé, on trouve
f^ il > a Minplement addition de HBr, mais non substitution; on
•'Uu^ïilG«HWBrO«.0C»H30.Ce composé dissous dans l'alcool a
^njduit par Zn et HCl; on a ensuite traité par KOH pour sapo-
nifier rétb(T qui a pu se former, et le sel de K a été décomposé par
•10 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
HCI. On a obtenu un acide fusible % 78^,5-78*, et qui a la compo-
sition de Tac. oxystéarique G**H^'\OH)0*; mais il se distingue des
ac. stéariques d^autres provenances par une plus grande solubilité
dans Talcool et dans Téther et par quelques autres particularités.
A. COR VIS Y.
Sur rioduration des hydrocarbures mixtes ; A. EDINGER
P. GOLDBERG {D, ch. G., t. 33, p. 2875; 29.10.1900). — En se
basant sur des recherches antérieures les auteurs, ont cherché à
utiliser pour ioder certaines substances, le dédoublement que peut
subir riodure de soufre sous Tinfluence des réactifs ; comme on
sait que Tiodure de soufre est déjà scindé lorsqu'on le chauffe avec
HAzO^ de D ^= 1,2 ils ont cherché à utiliser cette réaction.
Leurs recherches ont eu en premier lieu pour but d'examiner
celte réaction, dans les cas où les méthodes connues d*ioduration
ne sont pas applicables ou donnent de mauvais rendements ; tel est
le cas en particulier des hydrocarbures aromatiques mixtes. Il esl
résulté enti'e autres, des recherches des auteurs sur ce sujet, que
leur méihode permet d'introduire directement l'iode dans le noyau
des composés aromatiques sans attaquer la chaîne latérale, dételle
sorte que Ton obtient des dérivés monoiodés. La méthode a aussi
été appliquée à la préparation de Tiodobenzène, quoique ce composé
ait déjà été obtenu avec un bon rendement par Neumann et Istrali
en iodant en présence de H*SO* conc. :
Pour riodobenzène, par exemple^ on chaulTe au B.-M. au réfri-
gérant ascendant pendant 2 à 3 heures 10 gr. de benzène, 20 gr.
d'iodure de soufre en poudre et 120 ce. de HAzO^ de I) = 1,34.
L*o et le p.-iodololuène ont été préparés d'une manière analogue
en se servant comme dissolvant du benzène ; les o.-iodoxylènes,
le mésitylène, le durol, le pentamétliylbenzène, le cymène et le
naphtalène ont été soumis au même procédé d'ioduration qui a
donné en général de bons résultats. r. reverpin.
Sur la bromuration des hydrocarbures mixtes ; A. ERDINGER
et P. GOLDBERG [D. ch. 6\, t. 33. p. 2883; 29.10.1900). —Les
auteurs ont établi la méthode suivante pour la bromuration des
hydrocarbures mixtes : on ajoute à 100 ce. de IlAzO^ de 0 = l,i
une solution dt? 25 gr. de l'hydrocarbure à bromer dans 100 ce. de
benzène; puis on introduit peu à peu dans c** mélange, dans l'espace
de 2 à 3 heures, du bromure de soufre en excès; lorsque tout le
bromure a été introduit, on décante la solution de benzène et on
CHIMIE ORGANIQUE. li
r»gite avec une solution de potasse cauâtique ; on distille ensuite
le benzène, puis on sépare le dérivé brome en distillant le résidu
ivec de la vapeur d*eau et on fractionne sur la potasse. Cette
ioélh^.Kie fournil, avec un rendement de 85 à 95 0/0 de la théorie,
*les produits mono -substitués dans le noyau, à Texceplion du
durol avec lequel on a toujours obtenu jusqu'ici un dérivé di-
Les auteurs ont préparé de celte manière le bromobenzène (dans
or cas on opère en présence d'un excès de benzène) le bromotor-
lutfne, les bromoxylènes, le bromomésilylène, le broïnopenlamé-
tb^ibenzène ^et le bromonsiphtalèae; ils décrivent auss^i le dibfiQ^
«kodorol qui se forme par exception. f. fieverdin.
I
j Étadcs sur les réactions d*enchainement : XLII. Acides phéno-
xjpropioniqaes et dérivés; XLllI. Acides a-phénoxybutyrique,
I -iMlmtjriqae, -iaovalérique et leurs éthers ; C. A. BISCHOFF
I K eiï. G-, t. 33, p. 924-939 ; 26.3.1900). — L'auteur poursuit Tétude
i^ raction du phénate de sodium sur les éthers d'acides gras
bromes ; voici quelques-uns des produitsxxbtenus. En traitant à 160^
Tâode ar-phénoxypropionique par la p.-phénélidîne, on a une i^phé-
aùiipropioDyl-p.'pbéDétidide C^H^O . CHCH» . COAzHC«H* . OC^H»,
TKl- dans Talcool absolu en petites aiguilles, fus. à H9". Le
p&^noxypropionate d'éthyle fournit lui-même avec C*H'*»ONa im prod.
^addition. Uacide ^'pbénoxypropiooiquii Cm^O,CW,CH^.COm
r^leo crist. chatoyants fus. à 98**. Par nitration, Tacide a-phénoxy-
K^/piunwjue donne un mélange de dérivés nitrés o eip. Cet acide o
•r^uil par le fer et l'acide acétique, engendre une oL-méthylphéno-
yAzH.CO
yÊOorpboloDe C*H% I , crist. fus. à 141-145**, tandis
^ \0 — CH.CH»
-^of facide paranitré donne naissance à un acide aL-p.'aininopJié-
t*ts ypropioaique^ qui crist. dans l'eau en aiguilles fusibles à 219**.
L'éc, %'phénoxybutyrique crist. dans la ligroïne en lamelles
• toscanes fus. à 82-83*, bout sans décomposition à 258**. Ua-phéno^
rriBohatyrale d*étbyle bout à 100-165** sous h = 1 mm. ; Tacide
iiii-iu»^rae <*rist. dans Talcool étendu, en aiguilles fus. à 98**; il
•*'iiuie a la distillation du phénol et de Tacide a-méthylacrylique.
Pir ntlralion et réduction subséquente, il fournit surtout une dlnié-
^ yAzH.CO
thilpbénomorpboloDe C**H*< ; , crist. dans l'éther en
' ^ \0 C(GH»)«
bimeUes incolores, fus. à 161**,5.
LW. ^^pbénoxyisovalérique C«H50.CH.CH(CH«j«.C0«H, crist.
12 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEKS.
dans la ligroïne en longues aiguilles soyeuses, fus. à 82*, dist.
à a50«. L. BOURGEOIS.
Etudes sur les réactions d'enchainement : XLIV. Les trois
crésolates de sodium et ôthers d'acides gras abromôs ; XLV.
Xylénolates de sodium et éthers d'acides gras a-bromés ; XLVl*
Carvacrol, thymol, pseudocumônols sodés et éthers d'acides gras
a-bromés , C. A. BISCHOFF (/?. cA. G. , t. 33. p. 1249-1277 ; 14.5.1900).
— Uo.-crésoxy-a-propjonate (Téthyle OWO . GH(CH3) . GO«C«H»,
est une huile incolore b. à 245-246** {b=zlQO mm. ; Y acide se dépose
dans rélher en'grands crist. fus. à 93**. Uélher meta est de même
une huile b. à 252° ih^=:zlA2 mm.); Vacide crist. en tables ou
aiguilles fus. à IO6-IO80 ; avec AzO^H, coloration violette à chaud.
Etber para, huile b. à 255-256** (A =760 mm.); Vacide est eu
longues aiguilles soyeuses, fus. à 100-101**.
o.'Crésoxy-a-butyvate crélliyle G'îH-ïO.CH(C«H8).CO«C«Hii, huile
incolore, b. à 255-251°; râc/rft* forme des aiguilles peu sol. dans
Feau, fus. à 49 52°. Elher mêla, huile b. à 262-263** {h = 745 mm.) ;
acide, aiguilles fus. à 72-74**. Elber para, b. à 266**,5(A = 745 mm. j ;
acide, aiguilles ou lamelles quadrangulaires, fus. à 63-65**.
Résultats semblables dans les autres séries, voir le mémoire
original. l. bourgeois.
Etudes sur les réactions d'enchainement : XL VII. Napbtols
sodés et éthers d'acides gras a-bromés ; XLVIII. Dérivés du
gaîacol; XLIX. Dérivés des trois oxybenzoates d'éthyle. C. A.
BISCHOFF {D. cb. G., t. 33, p. 1386-1407; 14.5.1900). — Les
naphtols sodés oc et ^ s'obtiennent purs en chauiïantles napbtols avec
la quantité voulue d'étbylate de sodium en sol. dans l'alcool absolu,
«t chassant l'excès de celui-ci par distillation dans le vide. On les
chaulTe ensuite pendant 4 heures à 160** avec les éthers élhyliques
des acides a-bromopropionique, -butyrique, -isobutyrique et -iso-
valérique, on fractionne sous pression ordinaire d'abord, puis
réduite.
o.-Napbtoxypropionale détbyle G<0H»O.GHlGH3).CO«C«II5, huile
jaune pâle, bout à 195** (A = 8 min.) ; Vacide crist. dans le benzène
en petites lamelles incolores, lus. à 153**, peu sol. dans Teau chaude,
aiubi que dons le benzène à froid, ou le pétrole léger. Le p-uapbtoxy-
propionate d'ôthyh crist. clans Talcool en prismes rhombiques et
Vacide en lamelles fus. à 107-108**. Les composés correspondants
des séries butyrique et valèrique oflrent des propriétés analogues.
CHIMIE OHUlJ^iQUE. î.i
z-Uûiêcoxypropionate déthyle CH30.C«H*0.(;H^CH'^;C0*C^H',
ih|. locolore, de forte odeur alliacée, dist. à 272-277° (A = 740 mm.) ;
fac/rfe fond à 8o' et dorme avec HCl ou AzO^H les réactions colo-
râesdutcaïacol.Chauiïéavecla phénélidine, il fournit une graiaco-ir/-
propioaylphénétidide^ aiguilles incolores, fus. à 96*,5 ; peut s'em-
ployer en médecine. Ce même corps se prépare encore par réaction
*in ^«îacol so<ié, sur une sol. alcoo'ique de oL-bromopropionyl-
fkêoétidide^ fus. à 135**. La bromaeétylphénéiidide fond vers 173'*
^ son dérivé gaïacoxylé, à 103**. — Les dérivés butyrique et
•ilérique ressemblent beaucoup aux précédents. Le gaïacoxy-
«tom/e déthyle CH»O.C«H*O.CH.(CO«C«H'i)«, distille à âGo*»
'ii=iZ mm.).
Le x-aaJiryloxypropwnate détbyle
C2H5C02 . C«H*0 . CHCH3 . COC^HS ,
isuae à t{ 1-215*» (A = 55 mm.), et \ acide fond à 138^ Les dérivés
twtyhqiies sont analogues. Le salie yloxyisovalér aie déthyle bout
I \<A^My> . /i = 4 mm.) BiV acide fond à 129-130**. Quand on prépare
''^Jifl*, il se fait toujours beaucoup A' isopropylcétocoumarane-
^boxylête déthyle C«H*<^jJ>C<gJ5^^(j^^\ longues aiguilles
V. 8 77-78\
K\^ rélher paroxybenzoïque sodé, Téther a-bromopropionique
^cme surtout un étber monoéthylique de F acide p.-carboxypbén-
i^vropionique C0«H.C«H*0.CHGH3.C0«H, aiguilles incolores
'b, à 103*, et un étber diétbyliqae sous forme d'huile épaisse,
'*olore, distillant à :2iO-215'* (A = 20 mm.); Tôe/c^e lui-même est
•'» âi^illes fus. à 211-212**. l. bourgeois.
Sv rhydrindéne ^communication préliminaire) ; J. DÛNKELS-
BELER fZ>, cb. C, t. 33, c. 2895; 29.10.1900). — Une communi-
aUoo de Moschner sur le même sujet, engage l'auteur à indiquer
^fielques-unes de ses observations. Il a étudié comme Moschner la
f'isoo alcaline de l'hydrindènesullonate de sodium et préparé
'Oiybydrindène ; il peut ajouter que Ton obtient le meilleur résultat
•inainlenanl la fusion 3/4 d'heure à 290-300**. La nitratîon de
•oxjliydhndène au moyen de HAzO^ étendu, lui a donné le motto-
^iroxybydrindène F. 40**, facilement soluble dans Téther, l'alcool,
'*b«i2ène, la lîgroïne, insoluble dans l'eau. Le mono-amido-oxy-
**îJriodMje qui en dérive fond à 184** en se décomposant partielle-
14 ANALYSE DES TRAVAUX JSTRANGERb.
La nitration de Thydrindène lui-même a été aussi essayée,
Tauteur a obtenu jusqu'ici un produit de nitration renfermant au
moins quatre substances différentes et les recherches à ce sujet no
sont pas encore terminées. p. reverdin.
Sur Tinfluence des dissolvants indifférents sur la vitesse de
réaction des composés aromatiques isomères ; N. HENSCHOUT-
KINE {Jouvn. Soc. phys, chim, R., t. 32, p. 46, 1900, fasc. 1). —
Ce travail fait partie de la série de recherches systématiques sur
les vitesses de réaction que Fauteur poursuit depuis longtennps. On
y trouve les constantes des vitesses de réaction des bromures de
méthyle et d*allyle avec diverses anilines et aminés aromatiques
dans divers dissolvants, les vitesses de réaction de Tac. acétique
avec les trois toluidines et les six xylidines isomères. Les
principales conclusions qui se déduisent de cette étude sont :
1"* Les réactions chimiques des composés organiques dans les
systèmes liquides suivent une marche analogue, soit qu'elles
aient lieu entre les corps liquides eux-mêmes, soit qu'elles se
fassent au sein de liquides organiques chimiquement indifTé-
rents. — 2° Les lois de la répartition des vitesses fournies
par rétude de certaines réactions dans les séries des composés
aromatiques correspondent à la structure de ces composés, c'est-
à-dire à la position du groupe fonctionnel dans Tanneau benzénique
relativement aux chaînes latérales; ces lois s'appliquent en pré-
sence comme en Tabsence de dissolvants. — 3** Pour plus de faci-
lité, on devra déterminer les lois de la variation des constantes de
vitesse avec la structure en opérant dans un dissolvant indifférent.
— 4° Dans les séries de composés aromatiques isomères, diflérant
par la position des chaines latérales, remploi d'un dissolvant indii-
férent peut amener le déplacement du maximum de vitesse et
changer le type de la répartition de la vitesse dans l'anneau benzé-
nique (c'est-à-dire l'isomère qui présentera la vitesse de réaction
la plus grande pourra ne pas être le même dans les divers dissol-
vants). A. CORVISY.
Sur la condensation des benzhydrols avec les composés p. -ozy-
azoîques et sur la constitution de ces derniers ; R. HÔHLAU
etE. KEGEL(Z>. ch. G., t. 33, p. 2859; 29.10.1900). — Après
avoir examiné les diverses opinions qui ont été émises sur la cons-
titution des composés oxyazoïques, les auteurs se sont demanda
si Ton est tonde à considérer tous les composés oxyazoïques comme
(les quinone-hydrazones ou si l'on doit restreindre cette manièro
CHIMIE ORGANIQUE. 15
*k voir skxix dérivés orlho et considérer les dérivés para comme de
ï*»ntables phénols.
U^ avaient montré dans leurs précédentes communications que
trs beozhydrols et les p.-q,uinones se condensent en combi-
Lftisoos^ p.-quinoïdiques ; ils ont pensé que si cette réaction caracté-
oàU-jue pour les composés p.-quinoniques pouvait être appliquée
fii dérivés p.-oxyazoîques, on pourrait en tirer quelques déductions
^ur leur constitution.
Les recherches ont montré que Ton peut remplacer dans les
jfaposés p.-o^azoïques un atome d'hydrogène du noyau par le
•^le du benziiydrol. Au moyen du benzène-azp-a-naphtol par
f^tmple et du tétraméthyldiamidobenzhydrol, il se forme la combi-
•*i5an C«H»*Az*0 ou :
/OH
C«H5.Az:Az.CiOH5<
NCH[C^H*.Az(GH3)2]2
-il r^ isomère comme structure de :
C«H^AzH.Az:GîOH5^
\CH[C8H4.Az(CH3)2p
lé-^ recherches des auteurs prouvent que c'est cette seconde
^jRiiule qui est exacte et que le composé en question doit être
•^.«sidéré comme la phénylhydrazone de Ta-naphtoquinone-tétra-
Vili^ Idiamidodiphénylméthane.
La formation des produits de condensation des benzhydrols et
•y:^ corps |).-oxyazoïques a lieu d'une manière assez nette, en partie
■V;4 a la température ordinaire, en employant le tétraméthyldi-
tffiitj'jben/hydrol de Micbler en solution dans Falcool absolu. Le
r.phénylcarbinol réagit plus lentement et seulement à plus haute
^pi;W:rature en solution acétique. Les nouvelles combinaisons n*ont
>i« 1*^ propriétés des phénols et sont certainement des quinone-
lydrazones. Peut-on d'après ces faits admettre que les corps p-oxy-
u^îque» sont constitués d'une manière analogue ou sont-ils d'abord
:mï»formé3 en leurs isomères les quinone-hydrazones, pour se
oodtfoser ensuite sous cette forme ? Les auteui*s donnent quelques
fûoos qui leur permettent d'admettre comme plus vraisemblable
foe les corps p.-oxyazoïques sont en réalité, à l'état libre, des
>f 'n Dooe-h y d razones .
i*^ nombreuses expériences pour lesquelles nous renvoyons au
ci^iDoire original ont été exécutées par les auteurs.
f. REVERDIN.
16 ANALYSE DES THAVAUX ÉTRANGERS.
Sur le brun Bismarck (III); E. TAUBER et F. WALDER {D. ch
G., t. 33, p. 2897; 29.10.1900. —Voir BuIL, t. 18, p. 1274 e
t. 20, p. 157). — Les auteurs fournissent quelques indications su
la composition quantitative de diverses « Vésuvines jd et sur le
propriétés tinctoriales des parties fractionnées de ces matière
colorantes. Quelques bonnes marques de brun Bismarck leur on
donné sur 100 p. de base brute les proportions ci-dessous de
produits suivants :
Triamidobenzène petite quant. 8.0 petite quantité
Phénjlène disazo-m.-phé-
nylènediamine 70.5 65.3 63.6; 67.1; 68.
Base insoluble dans le ben-
zène 15.4 17.3 19.7; 19. 6; 19.
Parties insolubles dans les
acides et résidus gou-
dronneux petitequant. 7.0 pet. q.; 5.5; 7.
Un € brun Bismarck » préparé par les auteurs en employan
3 mol. de m.-phénylènediamine, 4 mol. HCl et la quantité calculé»
de nitrite pour transformer toute la base en matière colorante leu
a donné 2,5 0/0 de triamidoazobenzène ; 74 0/0 de phénjiène
disazo-m.-phénylènediamine, 10,5 0/0 de base insoluble dans h
benzène et 6,7 0/0 de résidu insoluble dans les acides.
La phénylène disazo-m.-phénylènediamine constitue donc h
partie principale de la base brute.
Lorsqu'on emploie, pour la préparation du brun Bismarck, h
dicblorhydrate de m.-pbénylènediamine, la matière colorante formé*
ne renferme pas de triamidoazobenzène ; dans ces conditions \i
rendement est inférieur et la réaction est accompagnée d'un for
dégagement d'azote. On voit d*après ces faits ainsi que d'après h
communication antérieure des auteurs, sur la nitrosation de l£
m.-pbénylènediamine, qu'une bonne préparation du brun Bismarcl*
dépend beaucoup des conditions observées. Un excès d'HGI, pai
exemple, donne lieu à la formation de produits secondaires el
l'introduction d'un seul coup du nitrite, provoque, toutes autres
conditions égales d'ailleurs, la transformation d'un ipiart de 1é
m.-phénylènediamine en dérivé nitrosé.
Comme produit secondaire on rencontre encore Tazimidobenzènc
qui doit sa formation à une petite quantité d'o.-phénylènediamine
toujours renfermée dans la m.-pbénylènediamine. Pour ce qui
concerne enfin les propriétés tinctoriales, le triamidoazobenzène
ne se fixe presque pas sur le coton non mordancé et teint en jaune
CHIMIE ORGANIQUE. 17
brun Je cotoa mordancé ; les deux autres substances teignent le
coton non mordancé en brun assez foncé et le coton mordancé
ra brun rougeâtre. La phénylènedisazo-m.-phénylènediamine
(loaoe une nuance plus pure que Ja matière colorante qui renferme
U baâe insoluble dans le benzène, mais en résumé les deux ma-
tières colorantes se ressemblent beaucoup.
Il est hors de doute qu*au point de vue de la teinture c*est la
phéaylène-iiisazo-m.-phénylènediamine qui constitue la partie la
i4u5 précieuse du brun Bismarck. f. reverdin.
Sur quelques benzasols et sur les matières colorantes qui
ca dèriTent; 0. KTM {D, ch. G., t. 33, p. 2847; 29.10.1900). —
Ihins le but d'étudier l'influence de la position du groupe azoïque
:ans les benzazols, sur la couleur et raflinité pour le coton des
toalières colorantes dérivées, Tauteur a préparé un certain nombre
l'isonières de cette classe de composés qu'il a déjà décrits (DuIL,
*, 24, p. 257), il a depuis préparé les dérivés suivants :
Ettf*r O'uitropbénylique de Facide p.-nitrobenzoïque
F. 199-1 40^, feuillets brillants; il fournit par réduction Ya-p.-amidO'
pbêajrlhenzoxazo/ F. 173-171** dont les solutions sont douées d*une
llnorescence \iolettc.
p.^NUrobenzoyle-o -nitramline C«H*(AzO«)AzH.CO.C«H*. AzO«,
F- il9-22t)** ; elle donne par réduction Ta-p.-amidophényl-benzimi-
laxol F. 2;i5-236*.
Ces amidobenzazols ont été diazotés et copules soit avec Tacide
s-osiphtoldisulfonique soit avec Ta-naphtol et l'auteur donne dans
'ui tableau la caractéristique des colorants obtenus.
Il résulte de ces recherches que la position du groupe azoïque
ians les benzazols est sans grande influence sur TafAnité pour le
'-otoD des matières colorantes dérivées par copulation ; cependant
les matières colorantes copulées dans le noyau a-phénylique se
Usent sur coton en nuances un peu plus foncées que leurs isomères.
Le groupe azoïque Axé au noyau a-phénylique influence la nuance
Kfk la rendant plus intense et plus bleue que s'il est flxé au noyau
beniazolique.
Lorsque, soit le noyau ««phénylique, soit le noyau benzazolique
renferment un groupe azoïque la nuance devient beaucoup plus
ioocée et Taffinité pour le coton s*accroit dans la même proportion.
F. RfiVERDlN.
CMW., 3« »éR.. T. XXVI, 1901.— TraT. étrang. 2
18 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les dérivés iodés de la quinoléine, de risoquinoléine et
de ro.-toluquinoléine ; A. EDINGER et A. SCHUMACHER (Z>. cL
G,, t. 33, p. 2886; 29.10.1900). — Dans un travail précédent, l'un
des auteurs a montré que risoquinoléine iodée dans le noyau de la
pyridine, abandonne Tiode par oxydation au moyen du permanganate
de potasse tandis que la (Bz) iodisoquinoléine le conserve pour se
transformer en acide a-iodo-o.-phtalique. L'intérêt au point de vue
physiologique que présente la détermination de la stabilité de Tiode
dans les bases aromatiques azotées, a engagé les auteurs à recher-
cher une méthode d'après laquelle on puisse obtenir des produits
homogènes, faciles à séparer, tout en ayant la possibilité de cons-
tater la fin de la réaction. En tenant compte des recherches faites
précédemment sur la sulfonation de laBz-a-iodisoquinoléine et des
faits observés par V. Meyer et Rupp dans la préparation de Tacide
tétraiodophtaHque, les auteurs ont essayé d'ioder là quinoléine,
risoquinoléine et To.-toluquinoléine, en les traitant par Tiode en
présence de H'SO* à 50 0/0 SO^. La quinoléine a fourni dans
ces conditions une tri-iodoquinoléine, F. 189* ; risoquinoléine de la
triiodisoquinoléine F. 253° comme produit principal et comme pro-
duit secondaire une petite quantité de diiodisoquinoléine (F. 151°)
qui est facile à séparer de la combinaison précédente ; To.-toluqui-
noléine a fourni la diiodo-toluquinoléine F. 171*. On trouvera dans
le mémoire original le détail des recherches concernant ces
nouveaux composés et quelques-uns de leurs produits de trans-
formation. F. REVERDIN.
Action de la cytisine, de la carpaïne et de la conhydrine sur
le phénylsénévol ; F. H. LITTERSCHEID {Aroh, d, Pharw.,
t. 238. p. 230-240; 19.4.1900). — La réaction du phénylsénévol et
de AzH^ peut s'écrire :
I +AzH3 = C^S
AzCS \AzH2
Le caractère basique de la cytisine permet, d'une façon analogue,
/Az<G««H«3AzO
c4s
d'obtenir le dérivé C==S ; la carpaïne donne de
\AzHC«H5
/Az<C»*H**0«
même C=S , enfin la conhydrine conduit au com-
\AzHC«H3
^Az<C«H««0
posé C==S . Ces bases sont donc secondaires. L'auteur
\AzHG»H»
CHIMIE ORGANIQUE. 19
rtinlie Ift^ produits de dédoublement de ces dérivés par un certain
nombre de réactifs. L'action de HCl, en particulier, permet de
rr^éoérer la base correspondante. a. de?;grez.
Sût la thymine; H. STENDEL et A. KOSSEL {Zeit. phys, CL,
t 29, p. '10^04 ; 2. i. 1900). — Jones ayant rapproché la thymine
de \ê pjTimidine, les auteurs se sont proposé de passer de la Ihy-
mme a la pjTimidine (ou à un dérivé de cette dernière) par un
fiiemiu analogue à celui qui a conduit Gabriel et Colman du méthyl-
«iracile .1» à la pyriinidine (III) par Tintermcdiaire de la i-niéthyl-
î-^ichloropyriinidine (II) :
AxH Az Az
\zhI]cH AzL IcH Azl JcH
I. H. m.
De U thymine, traitée par Toxychlorure de phosphore au réfri-
r-nnt ascendant, a fourni une dichlorothymine ressemblant à la
m»^lhyldichloropyrimidine, mais non identique avec cette dernière.
*^ile dichlorothymine est en cristaux presqu'insol. dans Teau,
(aeilement sol. dans Talcool, Téther, le benzène, le chloroforme.
I. alcool l'abandonne en tablettes rectangulaires, fusibles à 25-26*»,
Ui2>dw que la méthyldichloropyrimidine fond à 46-47**. Les deux corps
-«ot probablement isomères. e. lambling.
Sv ranagyrine ; H. KLOSTERMANN (Arcb. d, Pharm., t. 238,
p. i27-230; 19.4.1900).— Etude de Taction de Br sur celle base.
L* chlorhydrate, traité en sol. alcool., par Br, donne un dérivé
Vhromé C'^H^Br'Az^O. L'auteur a préparé les bromhydrale, chlor-
hî'h^t^, chloroplatinate et chloraurate correspondants.
A. DESGREZ.
8«r ranagyrine; F. H. LITTERSCHEID {Arch, d. Pharni,,
t. 238, p. 191-239; 19.4.1900). — Méthode de séparation de l'ana-
jrynae C**H**.\zK), et de la cytisine à Taide du phénylsénévol ;
prï-paration des dérivés principaux de Tanag^rine; chloraurate,
rhioroplatinale, chloromercurate, chlorhydrate, bromhydrate, iod-
hjiirate, iodure d'iodhydrate, iodométhylate, sels d'or et de platine
dérivés de ce dernier; iodéthylate. L'auteur n'a pas réussi à acé-
tyier la base; l'oxydation par H^* donne Toxyanagyrine
i>»fl«Az*0*, la cytisine C*'H**Az*0 ne diffère de Tanagyrine que
fof C*H*; la première base semble donc pouvoir donner la seconde
>
>
20 ANALYSE DEiJ TUAVAUX ETUANGEHS.
par butylation. Les divers essais effectués pour réaliser celte syn-
thèse partielle ont bien donné des butylcytisines. La proportion de
dérivés obtenus était trop faible pour permettre une identification.
A. DESGREZ.
Sur les alcaloïdes des semences de Tanagyris fœtida; E.
SCHMIDT (ArcL d, Pharai., t. 238, p, 184-191; 19.4.1900).—
Historique de la question; comparaison de la cytisine et de Tana-
gyrine au point de vue de leur constitution probable; les idées
émises par Tauteur sur ce sujet ont inspiré le travail suivant de
M. Litterscheid. a. desgrez.
Contribution à Tétude de l'essence de bois de santal des
Indes occidentales; E. DEUSSEN (Areh, d. Pbarm,, t. 238.
p. 119-1-56; 20.2.1900). — On constate, dans cette essence, la pré-
sence simultanée d'un sesquiterpène et d'alcool sesquilerpénique.
L'auteur a fait réagir HCI, HBr, HI sur le carbure et obtenu de
dérivés bien cristall. : G«sH242HCl, G«»H2*2HBr, C*5H«*2HI. Ce^
composés sont identiques aux combinaisons analogues du cadinène.
A. DESGREZ.
Sur la répartition de Tazote dans la molécule de Talbu-
mine (II); W. HAUSMANN (Zeit, pbys. CL, t, 29, p. 136-145;
22.2.1900).— L'auteur a montré dansunprécédentmémoireque lors-
qu'on décompose les matières albuminoïdes par HCI bouillant, elles
fournissent, en proportions très variables, trois fractions d'azote :
1*" l'azote ammoniacal {azote amidé); 2** Tazote des bases précipi-
tables par l'acide phosphotungstique (diamiao-azote); 3** Tazote
fortement combiné, non séparable sous la forme de produits basique^
{monamino-azoté). L'auteur a continué ses recherches qui montrent
que l'azote est très diversement fixé dans les molécules dos
diverses albumines. Le tableau suivant donne les diverses fractions
d'azote en centièmes de l'azote total.
Diimino- MoatminA'
Azote amidé. azote. azot«.
Caséine 13.37 1 i .11 75.98
Ovalbumine crislulliséc 8.53 21 .33 67.80
Oxyhémoglobine cristallisée 6.18 23.51 63.26
Sérunaglobuline de cheval 8.90 24.95 68,28
Prolalbumose de la fibrine 7.14 25.42 68.17
Globine de cheval 4.62 29.39 67.08
Albumine des semences de conifères... 10.3 32.8 56.90
Gélatine 1 .01 35.83 62.56
Edesline crislallisôe 10.25 38.15 54.99
Héléro-albumose de la fibrine 6.45 38.93 57,40
E. LAMBUNG.
^>
S
CHIMIE 0HG.\N1QUE. 21
Sw i^exerétion du soufre après extirpation du foie; S. LANG
Zeii. phjrs. CI),, t. 29, p. 305-319; 9.6,1900).— L'extirpation du foie
aété pratiquée sur des oies qui survivent en général à cette opération
plus de 1:^ heures. Chez chaque animal l'urine, séparée des excré-
ments par liltration à travers un linge, a été analysée avant, puis
après ropération. On a dosé le soufre total, le soufre facilement
détaché par les alcalis (soufre de la cystine, etc.), le soufre des
«alfales et celui des éthéro-sulfates. La suppression du foie n*a
nercé sur ces divers matériaux urinaires aucune influence sen-
Hbk*. E. LAMBLING.
Action sur Talbuminine des acides étendus, de Talcool et
<• k chaleur; A. PANORHOF (Jouni, Soc. phys, chim. /?.,
t 9, p. 219 ; 1900, fasc. 3). — D'après les recherches de Tauteur
^ blanc dNi'uf contient deux matières albuminoïdes ; Talbumine et
r^Ukeminine. La formule empirique de Talbumine, l'action de la
•-faaieor, des acides étendus et de l'alcool sur ce corps ont été élu-
*hée& dans divers mémoires précédents. Quant à Talbuminine, sa
frjrmule empirique, déduite de l'analyse de ses combinaisons avec
iU2 obtenues par la dialyse, serait C***H««»05<>Az37S«. Avec les
»*>ie», elle forme des composés contenant des quantités d'acide
^anabies selon la nature de ce dernier; ainsi avec HCl,HBr,POH^,
Hit donne : Alb.3HCl, 2Alb.5ABr, Alb.2P0*H». — Outre cette
réae^on, les acides étendus produisent des phénomènes de poly-
a?nsaiion et de dépolymérisation. Il en est de même des alcools
aéthf iique et étbylique et de la chaleur ; ces agents font varier
U <iolubilite, mais non la composition de Talbuminine.
A. CORVISY.
La lymphe après injection intraveineuse de toxine et d*antL
taxiae tétaniques ; F. RANSOH (ZeiL pbys, Cb., t. 29, p. 349-372 ;
5».6.i900). — La toxine tétanique, introduite dans la circulation
^«iguine du chien, se comporte comme les constituants inorgani-
foe^ normaux du sang et de la lymphe, c'est-à-dire qu'au bout
'lun certain temps elle est également partagée entre les deux
humeurs. L'antitoxine tétanique (sérum de cheval) reste au con-
if»ire en excès dans le sang, c'est-à-dire qu'elle se comporte
fomme les matières protéiques de la circulation lymphatique et
sanguine. e. làmbling.
Produis de décomposition de l*hématine; W. KUSTER (2« mé-
awire. iZeit.pbys. Cb., i. 29, p. 185-192; 28.2.1900). — L'auteur
22 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
a trouvé précédemment parmi les produits d'oxydation de l'hérna-
tine en solution acétique au moyen des chromâtes, deux acides do
formule C8H»AzO* et CSHSO» {Ibid., t. 28, p. l et 34). L'acide azoté
seul est un produit primaire; Tacide non azoté résulte sans doute
secondairement de l'oxydation du premier. Il se produit en niéme
temps de iO à 62,5 0/0 d'un corps insol. dans l'eau et l'éther et
sol. dans les alcalis, et l'auteur expose les différences de rendement
que l'on observe pour ces divers matériaux selon l'espèce sang-iiine
dont provient l'hématine employée. e. lambling.
Sur la formation de bases à partir de Talbumine; R. COHN
(Zeit, pliys, Ch., t. 29, p. 283-802; 3.4.1900). — L'auteur a trouvé^
pai*mi les produits de décomposition de la caséine par l'ac. chlor-
hydrique un corps cristallisé en belles aiguilles fusibles à 295**,
facilement sublimable, difficilement soluble dans l'eau, facilement
soluble dans l'alcool chaud, sol. surtout à chaud dans l'ac. sulfu-
rique concentré, d'où l'eau le reprécipite îeLci\emeni{Zeit, phys. C/i.^
t. 22, p. 158). Un kilogr. de caséine ne fournit que 1 à 2 gr. de
substance pure. Ce corps, qui a d'abord été envisagé comme un
dérivé pyridique, est probablement une leucinimide C*H**AzO. Il
n'est pas identique, mais probablement isomère avec la leucinimide
que l'on obtient en faisant passer un courant d'ac. chlorbydrique
sec sur de la leucine (provenant du dédoublement de la caséine par
le môme acide;, maintenue à 220-230°. Celte leucinimide fond déjà
à 262 et est plus facilement sol. dans l'alcool et dans l'éther et
moins sol. dans l'eau que le corps en question. Tous deux, distillés
avec de la poudre de zinc dans un courant d'hydrogène, ont fourni,
à côté de produits non déterminés, une base bouillant vers 245-250**,
donnant chlorhydrate C*H**^Az.HCl, cristallisé en aiguilles, et un
chloroplatinate (C^H*3Az.HCr)*FtGl*, (|ui est en paillettes micros-
copiques. Une détermination cryoscopique avec le phénol comme
solvant a donné pour la leucinimide un poids moléculaire de 224
(calculé pour (C**H**AzO^)2, 226). Finalement, l'auteur considère
la leucinimide comme une dioxydibutyldiéthvhhie-diamine et lu
base qui en dérive en présence du zinc (*omme une dibutyldiéthy-
U'iie-diamine. k. lambling.
Contribution à l'étude des bases hexoniques ; T. HENDERSON
(Zcit.pliys. Ch.,i. 29, p. 320-328; 9.6.1900^,. — • I. Exhlv-t'il
plusieurs sortes de lysinos. — L'auteur a comparé septéchantilIon>
de lysine, dont (piatre provenaient respectivement de l'action des
acides minéraux étendus sur la deutero-albumosode la peplonede
CHIMIE ORGANIQUE. 28
W'iiU^ sur la s|>ongine, sur la gélatine ordinaire et sur la caséine y
ie<> deux autres étaient d'origine inconnue. Furiliées par cristalli-t
î«tiofK dans de l'eau chlorhydrique, toutes ces lysines fondaient
j» lîtt-ldS» et leur pouvoir rotatoire variait pour le chlorhydrate
t>H*.\z«0*.iHCI, de ra\^= li,03 à 15,29, oscillations qui s'expli-'
'^1^rai par ce fait que sous Taction de la baryte (qui intervient dans
«préparation), le pouvoir rotatoire s'annule lentement à chaud.
U De t notion de la potasse en fusion sur la lysine, — Drechsel
• »ii*isagé la lysine comme un acide caproïque normal avec une
^hsiitution amidée en positions a et t, et Ellinger a réussi à trans-^
'»mer celle substance en pentaméthylène-diamine sous l'action
i*^ Ucléries de la putréfaction (Drechsel, D, cb. G., t. 25, p. 3502 p
QliûtTPr. Ihid., t. 32, p. 3542). L'auteur a fondu la lysine avec di»-
')'s son poids de potasse et un peu d'eau. A 280-300*» toute l'ammo-i
itt-|«*es>>t dégagée et la masse fondue contenait non de Tacide
•*Uanque, comme le faisait prévoir la constitution supposée
'niesàus» mais un mélange d'ac. acétique et d'ac. propionique^
ifcj- ce résultat confirme néanmoins la formule de Drechsel, car
Viande glutarique, fondu avec de la potasse à 280-300° founit
^ aéiDe> acides volatils. On les obtient aussi avec l'arginine, mais
-t proportions tout à fait diflférentes. La formule de la lysine est
•^ très vraisemblablement COOH-GH. AzH«-(CH«j3.CH«. AzH«,
E. LAMBLLNG.
Qulqnas remarques sur Targinine; E. SCHULZE (ZeiV. phys.
'-i , l. 29, p. 829-333 ; 9.6.1900). — W. Gulewitsch a cru trouver
■o^ «lîlTérence considérable entre le pouvoir rotatoire de l'-arginine
■^ffliAleidu sperme de hareng) et celui de l'arginine végétale de
vtiulze et Sleigrer. Cette différence tenait en réalité à une inter-
action inexacte des résultats numériques desdits auteurs (Gule-
«U-rh, Ibid,, t. 27, p. 368). L'auteur montre que les quelques
«tr^ différences signalées par Gulewitsch quant à Teau de cris-
*flisation du chlorhydrate d'arginine et du nitrate d'arginine
■T"vn»|ue ou à la précipitation par le nitrate mercurique ne sont
(•*< fondées ou sont sans importance. e. lambling.
U constitation de romithine et de la lysine. — Contribution
à U chimie de la putréfaction de l'albumine ; A. ELLINGER
^"/Z. pbys, CL., t. 29, p. 334-348; 9.6.1900); — Des trois bases,
û»tidine, arginine et lysine, qui prennent naissance par l'hydrolyse
**** matières albuminoïdes, l'arginine seule est connue dans ses
IfToiltiits de dédoublement. Schultze et Winterstein l'ont en effel
S4 ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTHANUEKS.
dédoublée en ornithine et en urée sous Inaction de Teau de bopjlo
à chaud et ont réalisé sa synthèse partielle par Tachon de la cyan-
amide sur Tornithine fSchuUze et Winterstein, D, ch. G., t. 30,
p. 2879 et Zeit. phys, Ch,y t. 26, p. i). L'auteur a réussi à trans-
former par Taction de la putréfaction Tornithine en putrescine ou
tétraméthylènediamine et la lysine en cadavérine ou pentaméthy-
lènediamine.
Uornithine a été préparée par le procédé de Jaffé en faisant
ingérer à des poules de Tacide benzoïque et extrayant de Turino
l'acide ornithurique ou dibenzoylornithine produit par l'animal. Cet
acide bouilli avec de Tac. chlorhydrique fournit le chlorhydrate
d'ornithine (Jaffé, D. ch. C, t. 10, p. 1925 et t. 11, p. 406). Ce sel
est dissous dans 100 p. d'eau ordinaire préalablement bouillie et
le liquide, rendu alcalin et additionné d'un peu de pancréas en
putréfaction, est abandonné pendant 3 à 4 jours à 30-35**. Les
rendements sont bien meilleurs lorsqu'on opère à l'abri de l'air,
avec une atmosphère d'hydrogène au-dessus du liquide. On traite
ensuite d'après le procédé de Baumann-Scholten par le chlorure
de benzoyle et la soude, et Ton purifie par cristallisation dans
l'alcool la dibenzoyiputrescine qui s'est pptée. L'auteur a aussi
directement isolé la putrescine d'après le procédé de Brieger et l'a
analysé à l'état de chloroplatinate. Le rendement est de 50-60 0/0.
Le chlorhydrate de lysine a donné de même, sous l'influence de
la putréfaction, de la cadavérine, isolée à l'état de dérivé dibenzoyié
et de chloroplatinate.
La transformation peut être représentée par les équations sui-
vantes, pour l'ornithine (1) et pour la lysine (2) :
(1) AzH2.(CH2)3.CH. AzlP.C02H = CO^ + AzH2(GH2)\ AzH^,
(2) AzH2(CH2)* . CH . AzH2 . GO^H = C02 + AzH2(Cn2)5 . AzH^ .
La production de la cadavérine et de la putrescine dans la
putréfaction des mat, alb. s'expli(|ue des lors très simplement.
L'hydrolyse de ces matières donne d'abord la lysine et l'arginine,
puis au dépens de cette dernière rornithine.La lysine et l'ornithine
fournissent ensuite, par perte d'anhydride carbonique, respective-
ment la cadavérine et la putrescine. e. kambling.
Un cas de mèningocèle ; WL GULEWITSCH {Zeit, phys, Cb.,
t. 29, p. 281-282; 3.4.1900).— Mott et Halliburton rapportent que
le liquide cérébrospinal, dans la paralysie progressive, contient de
la choline, tandis que le liquide normal ne renferme pas C4.'tte base
CHIMIE OHGANIQUE. 25
.PAiV. Trans., r>ér. B, t. 19i, p, 218, 1899). L*auteur a cherché
vainemeot celle base dans le liquide fourni par un cas de ménin-
gocéle, chez uo dégénéré de 19 ans, non suspect de paralysie pro-
gressive, E. LAMBLING.
Sur une modification chimique du sang produite par Tinges-
tios de sulfate d'ammonium, Th. RUHPF et 0. SCHUHH [Zt^it,
yhjt,Cb.,L 29, p. 219-255; 3.4.1900).— Lorsqu'on fait ingérer
ptndaat quelque temps à un animal un sel d'ammoniaque à acide
xiûéral,ce sel doit subir la double décomposition dans le sang» Or,
jtmme Télément acide est plus vile éliminé que Télément basique,
«peut prévoir qu*au bout d*un certain temps le sang sera appau-
^ en matériaux alcalins successivement emportés par l'élément
wde.Cesl ce que les auteurs ont vérifié sur une chienne qui pen-
■4»t trois mois avait reçu quotidiennement 6 gr. de sulfate d'am-
aonaque. Au bout de ce temps son saiig était beaucoup plus
ccûcentré que celui d'un animal témoin, nourri delà même manière.
BcoDlenait plus de chlore et beaucoup moins de sodium, ce der-
JttT en quantité bien trop faible pour saturer tout le chlore. La
rMûlité de potassium, était aussi très faible, si bien qu'après satu-
'«wndu chlore par le sodium et le potassium, il ne restait plus
^nponible qu*une faible quantité de ce dernier. La teneur en cal-
'■nm était au contraire doublée. e. lambling.
Be l'action dn chloroforme et de l'hydrate de chloral sur la
■itière colorante du sang; E. FORHANCK (Zeit. phys, Cb.,
L», p. 416-422 ; 9.6.1900). — Une dissolution d'oxyhémoglobine
w de ^obules rouges est ppté lorsqu'on la sature de chloroforme
»^)-55*. Le pplé que Ton peut laver avec de leauest solubledans
f*»a alcalinisée avec du carbonate de soude et est constitué par
^ l'o\yhémoglobine. I^ méthémoglobine se comporte de la même
•*ûirre. Les solutions d'ovalbumine ou le sérum sanguin sont de
•û^** pptées en milieu acide, mieux encore en milieu neutre, mais
*« pas en milieu alcalin. On peut utiliser cette propriété pour
*«T«ivr roxyhémoglobine contenue dans un grand volume d*urine,
'hi i^ie le liquide avec du chloroforme et pour rassembler le ppté
«rajoute un peu de chlorure de calcium et de phosphate de soude.
^ ppté recueilli et lavé à Teau est traité par du carbonate de
w*^ étendu et le filtrat est porté au spectroscope, — L'hydrate
àe chloral et Je broraoforme se comportent à peu près comme le
^Wrofonne, e. lambling.
26 ANALYS12 DES TKAVAUX ÉTRANGERS.
Contribution à Tétude de la substance analogue à la pyroca*
téchine, fournie par les capsules surrénales (3'' mémoire); 0.
von FÛRTH (Zeit. phys. CL, t. 29, p. 105-123; 28.2.1900).— La
substance en question, isolée précédemment par l'auteur, a été
considérée par lui comme dioxypyridine hydrogénée, de formule
C5H"ïAzO« ou C»H»AzO«, la snprarénineiO. von Fûrlh, Ibid,, l. 26,
p. 318). Après lui, Abel a extrait des mêmes organes une substance
augmentant fortement la press. sanguine, Vépinépbrine G^'^'W^AzO*,
de nature alcaloïdique et donnant par fusion avec la potasse du
scatol. De plus, d'après Abel, la suprarénine ne serait que de
l'épinéphrine impure. En réponse à ces critiques, Tautcur montre
que la suprarénine ne donne par fusion avec la potasse ni scatol, ni
iudol et qu'elle n'est pas précipitée par les réaclifs typiques des
alcaloïdes. Abel rapporte en outre que son épinéphrine n'agit sur
la pression sanguine qu'aussi longtemps qu'elle est colorée en rose
par l'eau iodée et l'ammoniaque. Or, cette réactioa appartient à la
suprarénine.
L'auteur décrit ensuite une méthode de dosage colorimétrique
de la suprarénine, d'après le pouvoir colorant de la combinaison
ferrique et en admettant que ce pouvoir est le même que celui do
pyrocatéchine ferrique. En se servant comme colorimètre de la
double pipette de Hoppe-Seyler, on trouve ainsi que dans les cap-
sules surrénales de^bœuf, pour un poids de 12 à 25 gr. de glande^,
0,10 à 0,17 0/0 de suprarénine.
La substance en question n'agit pas sur la pression sanguine
uniquement en injection intra-veineuses, comme on l'admet d'ordi-
naire, mais sussi, à fortes doses, en injections sous-cutanées.
E. LAMBUNG.
Sur la réduction de la cholestérine en coprostérine dans
l'intestin de l'homme; P. MULLER (Ze//. pliys. CIl, t. 29, p. 129-
135 ; 112.2.1900). — Bondzinsky et Humnicki ont isolé des oxcréments
humains un corps analogue à la cholestérine, la coprostérine, et
qu'ils considèrent comme un produit de réduction de la cholestérine^
comme une dihydrochoJestérine iHondzinski, D, cb. G,, t. 29,
p. 478; Hondzinski et Humnicki, Zt'it. pbys. Cb., t. 22, p. 396).
Cette réduction serait TefTet de la putréfaction intestinale. Gomme
la diète lactée réduit celte putréfaction à son minimum, l'auteur A
examiné les excréments d'enfants et d'adultes nourris an lait, et y
a trouvé constammfMil la cholestérine inaltérée, ce (jui confirme la
théorie de Bondzinski et Humnicki. e. lambung
CHIMIE ORGANIQUE. 27
Sur le dosage de Tacide oxalique et sur la présence de l'acide
nalarique dans Tarine; E. SâLKOWSKI {ZeiL phys, Ch„ t. 29,
ju iàM60; 9.0.1900). — Après avoir montré Tincertitude des
îi^^ers procédés actuellement employés pour doser Tac. oxalique
-lâtt? furine. Tauteur démontre qu'on peut mettre à profit la solu-
inliu* df c<*l acide dans Téther el mieux encore dans Téliier addi-
iwat«> dVtIcool. L'ac. oxalique est loin d'être insoluble dans l'éther,
^^Ame on l'admet ^néralemenl, puisque 100 ce. d'éther en
-^veul 1^,61.
^^ roneenlre 500 ce. d'urine au tiers environ, on ajoute au
wle refroidi 20 ce. d'acide chlorhydrique (D= 1,12) et on épuise
">foi> avec âOO ce. chaque fois d'un mélange de 9 à 10 vol.
'Vf el de 1 vof. d'alcool. Les extraits éthérés, réunis et filtrés,
•4t distillées et le liquide alcoolique restant est concentré avec
-ùtioa d'un peu d'eau et on y dose l'acide oxalique à l'état
' -ulaie de calcium avec des précautions particulières pour
^■^lles nous renvoyons le lecteur au mémoire original. Les trois
ïii>menls par Téther suffisent pour enlever tout Tacide oxalique.
I^^ dosages parallèles ont donné des résultats très concordants.
> procédé peut être appliquée l'extraction et au dosage de l'acide
ulique dans les tissus.
Pînrcequi regarde la présence de l'acide oxalurique dans l'urine
^w^e, la question doit être considérée comme encore ouverte.
L'/Nîu'aïirês avoir extrait l'acide oxalique au moyen de l'éther, on
^a.vntre le liquide aqueux après addition d'acide chlorhydrique
- t*'«stale a la vérité que l'éther enlève de nouvelles quantités
V oxalique, lequel provient vraisemblablement de l'acide oxalu-
'ïU* diMoublé j)ar l'acide chlorhydrique. Mais l'expérience montre
"> |ieûdant l'évaporation, surtout lorsque l'acide se concentre
■•Vfuent, une partie de l'acide oxalique préformé passe à l'état
Hw* combinaison analogue à l'acide oxalurique, c'est-à-dire qu'il
•^l ^^lu^ enlevé par l'éther et qu'il faut l'action de l'ac. chlor-
'''InfiK* a chaud pour le remettre en liberté. 11 convient donc dans
^ tio^gc de l'acide oxalique préformé de ne pas faire durer
f^poratjon trop longtemps et comme l'acide oxalique et l'ac.
ttlunque ont la même signification physiologique, il vaut mieux
«on» faire intervenir immédiatement l'acide chlorhydriipie, de
**<* « doser en bloc Tac. oxalique préformé et celui que l'ac.
®M*«-ral met en liberlé. e. lambli.ng.
Im combinaisons organiques du phosphore dans l'urine du
^^vrîMon, leur origine et leur signification dans les échanges
28 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANOEKS.
nutritifs; A. KELLBR (Zeit. phys. CIj., t. 29, p. 140-184; 22.2.
1900). — On a dosé chez un certain nombre de nourrissons bien
portants ou malades, Tazote et le phosphore total dans les aliments
(lait de femme ou de vache, soupes), dans les excréments et dans
Turine. On a déterminé, en outre, dans Turine le phosphore en
combinaison organique (phosphore restant après précipitation des
phosphates). Les résultats sont réunis dans six tableaux qui ne se
prêtent pas à un extrait. On ne citera ici que quelques résultats
d'ensemble. La quantité absolue de Ph organique en six heures a
varié chez Tenfant de 0«',00218 à O^^OIÔT de P^O», tandis qu'elle
est chez l'adulte de 0^'',05 en moyenne. En val. relative, elle repré-
sente de 0,51 à 9,9 0/0 du phosphore total chez Tenfant contre 1,6
à 4,8 0/0 chez Tadulte. La grandeur de la désassimilation azotée
parait être sans influence directe sur la quantité du phosphore
organique. On ne saisit de même aucune relation entre la quantité
de phosphore total retenue par Torganisme et la quantité de phos-
phore organique éliminée par l'urine. L'influence de Talimenta-
tion est au contraire très directe. Le lait de femme qui ne con-
tient guère que du phosphore organique donne une urine plus riche
en phosphore organique que celle que fournit le lait de vache. Mais
une expérience faite sur un enfant soumis à une diète hydrique
absolue, a montré qu'une partie au moins du phosphore organique
de Turine provient des tissus. De même un adulle bien portant a
excrété pendant un jeûne de cinq jours des quantités de phosphore
organique variant de 0«^017 à 08^^057, soit de 0,91 à 2,3 0/0 do
phosphore total. e. lambling.
De raction des solutions d'iode et des solutions alcalines de
caméléon sur Tacide uriqne; A. JOLLES {Zeit, phys, Cb., t. 29.
p. 193-204; 28.2.1900).— 1^ La quantité d'iode consommée par
l'acide urique en solution alcaline, varie avec la durée de Topé-
ration, et cette réaction ni? peut pas servir de point de départ pour
le dosage de cet acide. 2* L.i solution iodée de Hiibl, concentrée ou
étendue, donne é;^nhMn(îMt des résultats variables. 3** L'action du
caméléon e;i milieu alcalin varie avec la quantité du réactif, la durée
de rébullitiori, la nature des ^els (\uo contient le liquide. L'emploi
du permanganate en milieu alcalin pour le dosage de l'acide urique
doit donc être rejeté. e. lambuno.
Sur la recherche des dérivés conjugués de Tacide glycuro-
nique et sur leur présence dans Turine normale ; P. HATER et
C. NEDBERG (Zeit, phys, Cb., t. 29, p. 256-273; 3.4.1900).— a
CHIMIE ORGANIQUE. 29
V»uberg a décrit une combinaison de l'acide glycuronique avec la
p,-brofnuphén\lhydrazine qui fournit un moyen commode de
rechercher cet acide dans 1 urine {D. cb. G., t. 32, p. 2395). Les
ntmrs appliquent ce procédé de la manière suivante à Turine
'Iindividus ayant ingéré de Thydrale de chloral, du menthol ou du
tb}mol. (Juatre litres d'urine sont concentrés à feu nu à 200 ce. et
pptés par 500 ce. de la solution commerciale de sous-acétate de
\Àomb. Le ppté plombique lavé est mis en suspension dans 750 ce.
*l>au et décomposé par H*S. Le filtrat réduit par évaporation à
^«t ce., e»t traité par 4 ce. d'ac. sulfurique concentré, à Tauto-
fare à iOU^ pendant 1 heure. On peut se servir de bouteilles à
Iwre eo grès, avec fermeture caoutchoutée convenable, et que Ton
?iûn^e, enveloppées de linges, dans de Teau bouillante. Le liquide
nrdoil alors fortement la liq. de Fehling. On le neutralise exacre-
sKvt par du carbonate de sodium et on le chauiïe pendant 10 min.
«uB.-M. avec 10 gr. d'acétate de p.-bromophénylhydrazine (chlor-
hydrate de la ba^e -f- acétate de sodium), sans excès d'ac. acétique
et en couvrant le liquide pour empêcher Taccès de Tair. Le filtrat
TïMâlliae abondamment, et les eaux-mères remise au B.-M. four-
ai^setkt de nouvelles cristallisations. La combinaison hydrazinique,
Wrée a Teau cliaude et à Talcool absolu fond à 286**, lorsqu'elle
*>itcrtilà fait [)ure, et ordinairement à 200-216®. Ce produit es tremar-
fjâbl^f par r^oii fort pouvoir rotatoire; 0^,2 de la combinaison
f'jâiM** à 206") dissous dans 4 ce. de pyridine et 2 ce. d'alcool ont
Ajimé a l'appareil à pénombre de Laurent une déviation de — 7*^25'.
Parce procédé, les auteurs ont établi avec certitude la présence
^ Tacide glycuronique dans Turine normale. Cet acide est corn-
ai** f»n grande partie au phénol, et le reste à Tindoxyle et au
î^tajie. E. LAMBUNG.
Sv les condUtions de solubilité des osasones ; C. NEUBERG
l^n.phys. Ch,, L 29, p. 274-280; 3.4.1900).— Lorsqu'on remplace
'eta par l'urint* dans le mode opératoire donné par Maquenne pour
fc'bteûlion des osazones (Maquenne, C. /?., t. 112, p. 799), on
■^'obtini avec le glucose que 43 à 58 0/0, avec le lévulose que 45 à
WOOdela quantité d'osazone prévue d'après Maquenne. L'am-
BOttisque, les aminés et les combinaisons ammoniées dissolvent
H^ d*osazone que i*eau. La solubilité des diverses osazones dans
^e» diseoluUons varie très peu d'une osazone à Tautre pour un
">^ine solvant, mais pour une osazone donnée, elle varie considé-
'*U«mentd*un solvant àrautre.Lesammoniaquessubstituéesont un
P^^QTOir dissolvant beaucoup plus grand que cehii de Tammoniaquo
:ja ANALYSE DES THAVAUX ETRANGERS.
et, dans la série «jurasse, mais non dans la série aromatique, ee pou-
voir s*accroît avec le nombre des substituants. Les aminés cyc-litjuer^,
comme la pipéridine, la pipérazine, le pyrrol, les éthers collidine-<!ar-
boniques, la quinoléine et la pyridine exercent aussi uno aclioji
dissolvante très puissante (voy. C. Neuberj,^ D, ch, 6\, t. 32,
p. 3384). Les acides amidés (gIycocolles,alanine, leucine, tyrosinet,
Tacide hippurique en sol. aq. chaude dissolvent les osozones et i\t*
les abandonnent plus par le refroidissejnent, ni en présence des
acides, ni en présence des alcalis. I^es solutions aqueuses d*ainides
(Ibrmamide, acétamide) dissolvent aussi les osazones, mais les
abandonnent par refroidissement en beaux cristaux. Avec l'urée,
la reprécipilation de Tosazone dissoute n'a lieu qu^après destruction
de Tamide par Tacide nitreux. L'auteur montre l'importance de ce>
faits au point <ie vue de la recherche des hydrates de carbone dm\>
les liquides d'origine animale. e. lambling.
La galàctosamine, un nouveau sucre amidé, produit de
dédoublement du glycoprotéide de la glande de la grenouille ;
Fr. N. SCHULZ el F. DITTHORN [Zeit. phys. Ch., t. 29, p. SIS-
385 ; 9.0.1900). — Ces glandes, qui président à la formation de
l'enveloppe des œufs de la grenouille, fourniisentun glycoprotéide
qui a été étudié par Giacosa et que l'auteur n'a pas réussi à isoler
8 rélat de pureté. Les glandes totales ont donc été bouillies avec
de l'ac. chlorhydrique ousulfurique à 3 0/0 et l'hydrate de carbone
mis en liberté a été précipité à l'aide du chlorure debenzoyle et de
la soude sous la forme d'un dérivé benzoylc, cristallisable, mais
qui n'a pu être purifié. Ce dérivé a iourni par saponification avec-
Tac. chlorhydrique un corps cristallisé en aiguilles, fortement
réducteur, dextrogyre et ayant à peu près la composition du elilor-
hydrate de glycosamine C^H^^AzO^.HCl, mais différent de ce dernicM*
par sa solubiUté dans l'alcool absolu et par ses produits d'oxydation,
la glycosamine donnant, sous l'action de l'ac. azotique, de Tac.
isosaccharique, tandis que le corps en (piestion fournil de l'ae.
nuicique; Les auteurs concluent de ce fait que ce composé est de
la galactosamine, e LÀMBLiN<i.
Sur racétophônone-azobilurubine ; Fr. FROSCHER {ZeiL
pbys. Ch., t. 29, p. ii0-il5; 9.6.1900). — La réaction d'Ehrlich
appliquée à la recherche de la bilirubine est extrêmement sensible.
Le liquide suspect est additionné du tiers de son vol. d'alcool et
fortement acidifié par de l'ac. chlorhydrique concentré. On ajoute
ensuite le réactil diazoïque bien connu d'Ehrlich. En présence d**
CHIMIE ORGANIQUE 31
i^ualilè^ de bilirubine pas trop faibles le liquide devient bleu ; en
prêscoce de traces, il devient plus foncé; si l'on ajoute alors du
^hlorv^foriDe, celui-ci devient bleu ou violet. La réaction est encore
vûsiile a 1 p. 60000.
Sî ioaiail celte réaction en remplaçant le corps amidédu réactif
*rEhfIich i c'est-à-dire Tac. sulfanilique) par de Tamido-acéto-
^ikiOQe, en employant la bilirubine en solution chloroforniique,
-^ i|De Ton jette le produit de la réaction dans de Teau, le chloro
Vjrme ^ ppte coloré en bleu, et abandonne par évaporation,
r«vigpliéaoQe-azobilirubine, cristallisée en aiguilles prismatiques
.^jcroscopiques, ressemblant un peu a la fuchsine. Ils contiennent
i>H**Az*U* et sont formés par l'union d'une molécule de bilirubine
"t^iunp molécule de diazo-acétophénone. La solution alcoolitjue
« »v corps présente une bande d'absorption à bords lavés à
i-ô*i,9. En présence de Tacide chlorhydrique on aperçoit deux
Undes indistinctes à X = 261,4-552,8 et en présence de la potasse
w»r beuJe bande à Â = 643. e. lambling.
Ut snbtiances organiques des coquilles de Hytilus et de
fini; C. WETZEL (ZeiL phys, Cb., t. 29, p. 386-410 ; 9.6.1900;.
~ L*^ recherches ont porté sur des coquilles de mylUus ednlis et
i^puioa Dobilis recueillies dans le golfe de Naples. Celles depinna
^oiJu ont fourni après décalcification, d'une part des peaux
'Oi^râires, correspondant à la partie rouge de la coquille et des
i«oi blanches, moins abondantes, provenant de la partie nacrée.
.\pr>r5 purification toutes deux contenaient la même quantité d'azote,
M iu ioufi-e, mais les premières renfermaient plus de carbone que
^ -^"ccmdes (52,87 conti*e 51,1 0/0). Les coquilles de wytilus
WtAv< ont fourni de même trois couches différentes.
PoîïrIVtude des produits de dédoublement de la conchiolinc,
*Aaa tait aucune séparation de ces peaux, mais on a employé la
■(4i!ilé de la substance organique fournie par la décalcification de
"kilogr. de coquilles de mylilus. Le rendement est après purifi-
ïlifm des peaux décalcifiées, d'environ 1 0/0. Le produit contient :
Côl,S; H, 7,6 ; Az, 16,4; S, 0,65 0/0. Bouilli pendant 24 heuns
*i réfrigérant ascendant avec de Tac. sulfurique au tiers, il a fourni
-lïîifon r» 0/0 de tyrosine, très peu de leucine, environ 4 0/0 de
^cocoUe et une petite quantité d'un corps réducteur. La formation
'lac. pliéaylamidopropionique est peu probable. Il s'est formé en
Aire des bases pptables par Tac. phosphotungslique et dont la
fiMi(é ptace* à ce point de vue, la conchioline entre Tovalbun^ine
^U cftiéioe. On peut donc conclure de là et de Ce fait que la
82 ANALYSE DES TRAVAUX ÈTRANGEHS.
substance donne la réaction de Millon, (jue la conchioline contient
un noyau hexonique. Elle contient également un noyau aromatique,
car elle est colorée en rouge par le réactif de Millon, fournit de la
tyrosine et donne une odeur de scatol par fusion avec la potasse.
— Le travail se termine par quelques indications préliminaires sur
la mat. colorante rouge des coquilles de piiwa nobilis et sur le
pigment noir des coquilles de mytilus eduHs. e. lambling.
L*os de seiche contient-il de la cellulose? Fr. N. SCHULZ
[ZeiL phys, CL, t. 29, p. 124-128; 22.22.1900).— D'après Am-
bronn, Tos de seiche renferme à côté de la chitine, de la cellulose
{MittheiL aus d. zool. Stal, zu NeapeJ^ t. 9, p. 175), mais celte»
assertion a été contredite par Krawkow {Zeit, /. Z/io/., nouv. suite,
t. 11, p. 177) et par Zander {Pflûger'sArch, t. 66, p. 545). L*auleur
montre que l'extrait fait avec la solution ammoniacale d'oxyde de
cuivre donne à la vérité un ppté par neutralisation, mais que la
substance pptée est de l'albumine et non de la cellulose.
E. LAMBLING.
Contribution à l'étude de la diffusion du sucre de canne
dans les plantes ; F. ANDERSEN [Zeit. phys, Cb., t. 29, p. 423-
428; 9.6.1900). — Ces recherches confirment et étendent aux
cryptogrammes les résultats de Schulze et Fankfurt touchant \9
grande diffusion du saccharose dans les tissus végétaux. Le procédé
d'extraction employé était celui de Schulze {Ibid,, t. 20, p. 511 et
t. 27, p. 267). L'auteur constate que les rhizomes d'un grand
nombre de fougères contiennent des quantités souvent considérables
de saccharose. e. lambling.
Titrage iodomôtrique de l'eau oxygénée, des percarbonates
et des persulfates alcalins; E. RUPP {Arcb. d, Pharm,, t. 238,
p. 156-159; 20.3.1900).— Méthode fondée sur l'action oxydanU*
de ces corps sur Kl en milieu acide. Les diverses réactions doivent
s'écrire :
H202 + 2 Kl + S0*H2 = 21 + S0*K2 + H^O,
G03K2 -f- Kl + S0*H2 = I -f- S0^K2 + IPO + GO',
S0*K2 + Kl + S0^H2 = 1 + 2 SO*KH .
I mis en liberté est dosé par Thyposulfite 1/10 N; les résultats
permettent les calculs des teneurs en principes actifs des subs-
tances îuinlvsées. a. desgrez.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. Si
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
■ola mur des solations minérales aqueuses partiellement
BsdblM; G. S. NEWTH (Cbem. Soc, t. 77, p. 775; 7.1900). —
Ea ajoutant une solution aqueuse concentrée d*ammoniaque à une
aolutioa saturée de carbonate de potasse et en agitant, on voit le
Ufjîde se déparer en deux couches. A la température ordinaire, la
reiulioa «le carbonate dissout 37 0/0 de solution ammoniacale et
«tu? demièrc 6 0/0 de la première en volume. Les solubilités
avec la température et deviennent égales à 48*;
de cette température, les deux solutions sont miscibles
» UMki0s proportions. L'addition d*eau augmente également la
fMbIdàié mutuelle ; avec 12,9 0/0 d'eau ajoutée, les phases séparées
^"csufit d'exister au- dessus delO*»; avec 18,1 0/0 d'eau, les liquides
«Mit siiscibles en toutes proportions au-dessus de 0"*. Si Ton
lefrokiit le mélange au-dessus de ces températures critiques, la
*4UitioQ devient trouble et se sépare de nouveau en deux couches.
A. HéBERT.
EitiBation des hypoiodites et des iodates et réaction dn
■MoeUonire d'iode avec les alcalis ; K. J. P. ORTON et W. L.
lUCIXAini {Chem. Soc, t. 77, p. 830 ; 7.1900). — Les auteurs
•^«^Tivent une méthode de dosage des hypoiodites en présence
filiales. Elle est basée sur l'oxydation de Tarsénite de soude par
îe> hypoiodites; on utilise un excès d'arsénite et la partie non
'*E)dée est traitée par l'iode après saturation de l'alcali par l'acide
*a/ioiuque.
Liodate est ensuite déterminé en acidifiant et en titrant l'iode
K£ es liberté.
L'action du monochlorure d'iode sur les alcalis produit des hypo-
i^ies qui se transforment peu à peu en iodates et iodures.
A. fféBERT.
Les MidM pertnlfnriques ; T. Hartin LOWRT et John H.
WBTfCJkem. Soc., t. 77, p. 950; 7.1900). — Les auteurs ont
'*4iié les acides persuHuriques et montrent qu'il existe une série
V ce» oorpa répondant aux formules :
H^O^.SO^ acide persulfurique.
IPO^.iSO' acide perdisulfurique.
H'0*.4S0^ acide pertétrasulfurique.
omc» 8* sia., t. xxvi, 1901. — Trav. êtrang. 3
34 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ces corps prennent naissance en mélangeant des solutions d'acide
sulfurique et d*eau oxygénée en proportions variables. L'acide
persulfurique^ obtenu par Caro en faisant réagir l'acide sulfurique
sur le persulfate de potassium corresp. à la composition H*0*.4 SO^;
celui dont les sels ont été préparés par Marschall est l'acide penli-
sulfurique. a. hébert.
Action de Teau oxygénée sur les hyposulfltes; A. NABL
(Z>. cb. G., t. 33, p. 3093; 12.11.1900). — En ajoutant en proj>or-
lions équimoléculaires, de l'eau oxygénée exempte de SO*H* à une
sol. d'hyposulfîte de sodium, l'auteur n'a pas observé la formation
d'hydrosulftie, comme l'avaient annoncé MM. Bernthsen et Bazlen
(ibid., p. 126), mais il a vu la liq. s'échauffer sensiblement en
prenant une réaction alcaline. Il se fait alors mol. égales de sulfate
et de sulfite de sodium, plus une substance basique, oxydable par
un excès de H^O*, du reste peu stable, car la liq. abandonnée a
elle-même se trouble bientôt en dégageant H*S. On a essayé d'isoler
la base sulfurée formée, en acidulant par HOl après l'action de
H*()*, évaporant à sec au B.-M., reprenant par l'eau, filtrant, el
pptant par HgGl*. Une réduction partielle de ce sel a lieu ; la bas(»
donne un sel double mercuroso-mercurique, qui, après lavage, a
été traité par H*S. La liq. filtrée a été évaporée presque à sec au
B.-M., et par addition d'alcool et de SO*H* étendu, elle a ppté un
sulfate blanc finement floconneux. Ce dernier sel, recueilli sur un
filtre, lavé à l'alcool éthéré, redissous dans l'eau, puis additionna
de CO^Ba, a fourni un liq. incolore, mais à fluorescence verte, h
réaction fortement alcaline ; les rendements sont mauvais. Cetlo
substance ppte les oxydes métalliques de leurs sol. salines, réduit
lentementà chaud la liq. de Fehling, donne avec SnCl*, du sulfure
stanneux;son chloroplatinate se réduit de lui-même lentement à
froid, rapidement à chaud. Il est probable que cette base renferma
le radical SOH et peut être comparée à l'hydrate de triméthylsulfinc
de Cahours, ou encore à Thydroxylamine. l. bourgeois.
Sur un procédé de dosage volumôtrique de l'acide phospho-
reux; 0. KÏÏHUNG (D. cb. C, t. 33, p. 2914; 29.10.1900). — On
oxyde à chaud par le permanganate; la liq. devient alcaline <ît
dépose MnO* :
3P03I13 4- i2MnO*K + IPO = -2PO'qi3 + 2Mu02 -f âROH.
Pour que le dépôt de MnO* se fasse bien, il convient d'ajouter
du sulfate de zinc qui agit sur la potasse. Voici, du reste, le détail
CHIMIE ORGANIQUE. 35
de la méthode : la liq. renfermant 0^,7 à 0»',32 de PO^H^ dans 20
• 40 ce., est versée dans une fiole d'Erlenmeyer de 250 ce, addi-
tionnée de î20 à 40 ce. d'une sol, à 10 0/0 de SO*Zn + 7H«0, puis
d'une quantité pas tout à fait suffisante de MnO^K, chauffée au B.-M.
iusqu*a décoloration, traitée de nouveau par un peu de MnO*K,
chauflee encore, et finalement traitée par la petite quantité stricte-
aent nécessaire de MnO*K, pour que la coloration persiste après
an chaulTage de 15 minutes. On filtre encore, on ajoute d'emblée un
Gceé de MnO*K, on chauffe au B.-M. en remuant fréquemment ;
•près refroidissement, on étend d'un égal volume d'eau, on recueille
MbO* ppié sur un filtre d'amiante, et après l'avoir lavé soigneuse-
fitml, on le porte dans une fiole oii on le traite par une sol. acidulée
•^ Kl. L'oxyde se dissout alors à froid par agitation en mettant en
ubert^ de l'iode qu'on titre par Thyposulfite. Ou bien encore, on
iise directement l'excès de MnO*K, passé dans la liq. filtrée.
L. BOURGEOIS.
Sur les modes de formation da peroxyde de plomb ; G. KAS-
UiArch.d. Pbarm., t. 238, p. 449-459; 31.8.1900).— L'auteur
* dtjà montré que le métaplombate de chaux donne, par l'action de
U chaleur, des composés peroxydes de Pb, dont les sels de Ca sont
'^ Tèritables perplombates. L'orthoplombate contenant H*0 de
«î»UL Ca'PbO*.4HH), conduit au même résultat. La formation
'-* ces comp. peroxydes ne doit pas être attribuée à une fixa-
tion d'O Ubre, mais bien à une oxydation interne, c.-à-d. à une
^tioo sur Pb d'O fourni par la moléc. même du sel chauffé. Le
î«Toxyde de Pb se produit, en effet, en l'absence complète d'O, par
•^v CD présence de gaz indifférents ou même dans le vide. Dans la
ff»^ralion de ce peroxj-de, il faut éviter une action trop prolongée
^•^ U chaleur, sous peine de détruire encore la molécule formée,
"ce mise en liberté d'O inactif. a. desgrez.
CHIIIE 0R6ANIQUE
8flr l'woprèna ; V. HOKIEVSKT (t/owr/2. Soc, phys. cbim. IL,
' îî, p. 207; 1900, fasc. 8). — L'auteur donne avec détails les
l'étions qu'il a effectuées sur l'isoprène et sur le diméthylallène
"^^^ fe but de décider si l'isoprène possède une chaîne ouverte ou
■96 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
fermée. Les principaux résultats ont été indiqués d'après une pre-
mière communication (BulLy t. 24, p. 558); le fait essentiel est que
Tunion d'une mol. de HBr à Tisoprène ou au diméthylallène donne
le même bromure tertiaire, ce qui indique pour Tisoprène une
chaîne ouverte; ce corps serait le p-méthyldivinyle. a. corvisy.
Sar quelques dérivés tertiaires de rheptanaphtène; V. MAR-
KOVNIKOF et V. TCHERDTNTSEF (Journ, Soc. pbys. chim. R.,
t. 32, p. 802; 1900, fasc. 4). — Le nilrobeptanapbtone
CH«-CH«-GAzO«.CH3
tevliaire i j bout à 109-110° sous 40 mm.:
CH«-CH«-CH«
(ij — 1,0367; d^= 1,025; odeur rappelant la térébenthine; se
solidifie en une masse vitreuse fusible à — 71**. — h* aminé tertiaire
bout à 141*» ; elle se solidifie en un verre fusible à — 96*. Ses sels
sont assez sol. ; les moins sol. sont le sulfate (crist. en tablettes) et
Toxalate (crist. en lamelles). — Le chloroplatinate contient 1 Aqet
cristallise en beaux octaèdres et tétraèdres de couleur rouge brique*
— Le chloraurate est moins sol. ; aiguilles jaune d*or. — Le
bromaurate est peu sol. à froid ; aiguilles brun foncé.
, , , . . CH«-CH«-C0H.CH3 ,
Uneptanapûiénol tertiaire i i s obtient par
GH«.CH«-CH«
action de AzO*Na sur un sel pur de Famine ;Eb. 155* sous 742 mm.
avec altération partielle, F. -(- 12* ; rappelle par ses propriétés le
méthylpentaméthylénol. Le chlorure tertiaire bout à 53-55* sous
40 mm., et à 148-151* avec forte décomposition sous la pression
ordinaire.
, CH«.CH«.C.CH3
VoL^napbtylene ^ \\ s'obtient en même temps que
le naphtène correspondant au moyen de Tamîne tertiaire; Eb. 108*
sous- 747 mm. a. corvisy.
Sur quelques dôrivôs secondaires de Theptanaphtône ; V.
HARKOVNIKOF [iourn. Soc. phys. chim. R., t. 32, p. 308 ; 1900,
, , , . . GH«-CHOH.CH«
fasc. 4). — Le ^'methvlnaphténol \ \ obtenu par
CH«.CH«.GH.CH»
réduction de la p-méthylhexanone pure bout sans décomposition à
173%7.174« sous 769mm. ; cÇ^ 0,9286 ; d^ == 0,9158 (Wallach in-
dique : Eb. 175«-176% c/JJ^ 0,914; Zélinsky indique : Eb. 173<»-
174* sous 750mm, (/J* =z 0,9137) ; (a)^ = 3M4',1 ; Hquide épais se
solidifiant en une masse vitreuse fusible à — 47*; sol. dans 97 vol.
CHIMIE ORGANIQUE. 37
â^emn, — Les dérivés halogènes de cet alcool, considérés comme
hcMBOfèoes par Wallach et par Zelinsky, sont en réalité des mé-
bfi^res de deux isomères. On le reconnaît très nettement avec le
cblornre qui distille avec décomposition à i56**-159*; traité par
KOH alcoolique une portion est décomposée, le reste distille sans
<KrofflpositioQ à iôO'-lGl*. Une portion de Tiodure n'est pas non
plas décomposée par KOH alcoolique et elle distille sans dé-
cofBposition appréciable à 200*-205*. Le p-naphtylène 2.8 obtenu
4q chlorure ou de Tiodure par l'action de KOH bout à 108^ sous
788iam; sa structure est probablement
CH«.CH=CH
I . En s'unissant à HL il donne un iodure dont le
CH»-CH«-CH.aP
pi)U2td*éb. indique un sléréo-isomère. a. corvisy.
SynihèBe du trichloromôthylstyrylcarbinol ; transformation
éê Mt alcool par la potasse ; A. DMOGLAV {Journ. Soc. pbys.
rhim. /?., t. M, p. 216-, 1900, fasc. 8). — Le trichlorométhylstyryl-
evbîiiol appartient à la série des a-trichlorocarbinols secondaires
ooQieaaat le groupement -'CH(0H)-GC1^, qu'on obtient par action
àt KOH en poudre sur le mélange de chloroforme et d'un aldé-
tjde:
yOH
R-CHO 4- KHO = R-GH<^ ,
<0H
+ CHCP 5= R-CH(0H>CC13 + KHO.
iMqH*ict cette réaction n'a été réalisée que sur les aldéhydes
atorée; l'auteur Ta essayée sur Taldéhyde cinnamique. Pour que
It ph» grande partie du produit ne se résinifle pas, il faut observer
«riaines précautions : verser l'aldéhyde (dissous dans un peu
félber) en une fois dans le mélange refroidi de KOH pulvérisé et
et HGCI^y agiter pendant une heure ; si le refroidissement n'est pas
aiflbaai, la masse brunit par formation de produits résineux et il
«> dégage des bulles de GO; la présence de l'humidité nuit au
mdeneot ; pour enlever l'eau qui peut prendre naissance dans la
téactioo, OQ ajoute un peu de CaO fraîchement calcinée; au bout
fitae beare, on sature KOH par un courant de CO* sec, puis on
lirei Taide de la trompe. Dans le résidu solide, on trouve des
*te de Tac. cinnamique; le liquide filtré est chauffé au b.-m. pour
natter le chloroforme et l'éther, puis il est fractionné sous pres-
rMuHe. La portion distillant sous 15 mm. entre 170 et 195*
88 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
cristallise spontanément; après plusieurs ciistallisations .dans la
ligroïne, ce corps fond à 67*. Le meilleur rendement a été 21 0/0
du rendement théorique . L'analyse de ce composé et celle de son é t her
acétique concordent avec la formule C«H5-CH=CH-CH(0H)«CG13
(voir Bull, t. 24, p. 635). — Une sol. aq. de KOH à 5 0/0 trans-
forme le trichlorométhylstyrycarbinol en ac. benzoylpropionique
C«H5.C0-CH«-CH«-C00H; Fauteur démontre que cette transfor-
mation se fait selon le schéma suivant, qui s'applique aux a-tri-
chlorocarbinols en général :
0
>G0H-CC13 — HCl = >d— G12=>GCl-G0a ,
>GG1-G0GI + H20 = >CG1-G00H + HGl.
Selon la structure du corps et les conditions de l'expérience, la réac-
tion peut s'arrêter en ce point ou aller plus loin; dans le cas actuel
on a :
C6H5-GH=GH-GHGl-GOOH — HGl = G6H5-GH=G=GH-GOOH,
G«H5-GH=G=:GH.G00H + H20 = G6H5-GO-GH2.GH2-GOOH.
A. CORVISY.
Sur les disulfones et les sulfones des dicétoiies(IY). — Les
mercaptols , Th. POSNER {D, ch. G., t. 33, p. 2988 ; 12.11.1900).
— Les travaux de Baumann et d'Autenrieth, ainsi que ceux de
Tauteur, ont montré que la faculté de réagir du groupe cétonique
avec les mercaptans alcoylés et Toxydabilité des produits dérivés,
sont modifiés lorsqu'un substituant a été introduit dans la cétone
ou qu'il a été changé. 11 a paru intéressant à l'auteur d'examiner
quelle modification pouvait amener, à ce point de vue, la présence
de deux groupes cétoniques, leurs positions relatives ou leui's posi-
tions envers les autres groupes. Il a en conséquence étudié la
réaction d'une série de dicélones sur l'éthylmercaptan ainsi que
l'oxydation des mercaptols qui prennent naissance. On a trouvé que
dans la plupart des cas un des groupes cétoniques seulement réagit
d'une manière normale, tandis que le second reste intact, même en
présence d'un grand excès de mercaptan ou d'un agent de conden-
sation. 11 se forme donc des cétomercaptols et à l'oxydation des
cétodisulfones. Le groupe cétonique non attaqué ne possède plus
le caractère cétonique, il ne fournit ni oxime, ni phénylhydrazone,
ni semicarbazone.
Cependant, toutes les dicétones dans lesquelles les deux groupes
cétoniques sont liés à des groupes méthyliques intacts donnent
CHIMIE OHGANIQUE. 89
Ctnlement des dimercaptols et des tétrasulfones ; elles réagissent
iottc normalement, que ce soit des a, des p ou des y dicétones.
Td e=A le cas pour le diacétyle CH^.CO.CO.CHs, pour Tacé-
t>Ucétone CH3.CO.CH«.CO.CH3 et pour l'acétonylacétone
CH».aj.CH«.CH«.C0.CH3. Mais si dans les a et les p-dicé-
twies^ l'hydrogène d'un des groupes méthyliques placé dans
i' vuisinage de CO est substitué, comme dans Tacétylpro-
^jQyle CH«.C0.C0.CH«.CH3 et dans la méthylacétylacétone
/H.
f3P.CO.C~CO.CH5 ou si l'un des groupes méthyliques est rem-
NCH5
î^r par le groupe phénylique plus négatif comme dans la ben-
iaîiacéloneC«H3.CO.CH«.CO.CH3, Tun des groupes CO (mar-
f> —f devient inactif; il se forme alors des cétomercaptols et
■i*^ céCodisulfones.
L étude de ces divers cas, ainsi que d'autres encore, font le sujet
1) méoioire de l'auteur. f. reverdin.
ConsUntes d'affinité de quelques acides avec anneaux à sept
ttoaes de carbone; W. A. ROTH (D. ch. G,, t. 33, p. 2032;
2STI9<Jjj. — L'auteur a déterminé la valeur du coefficient K,
•fÇ»*l^ conductibilité électrique spécifique^ tel qu'il est défini par
M 'i^iwaid, exprimé en unités absolues et rapporté à la t. de 25**,
^•v les acides suivants :
K.
K ifrf>pbéDylacéliques (cycloheptalriène-carbo- ( a 0,00361
uqw^s «J^m.COaH I P 0,00401
. .. *' u P7uiir-mu ( ^2 0,00255 à 261
\i fjiloheptene-carboniques, Cm"C02H ^^ 0,000928 à 992
L. BOURGEOIS.
Simii nouTeau dérivé du glycocolle;L.BALBIANOetD.TRAS-
OAm D. cb. G'., l. 33,p. 2323-2326; 1.10.1900). — Les auteurs
•e «mt proposé de faire la synthèse des amino-acétines de la gly-
«■mae. Ils ont constaté qu'en chauffant 2 p. de glycocolle et 1 p.
> glycérine commerciale à 150-170** pendant30 heures, on obtient
a& produit insoluble dans l'alcool et dans l'eau qui ressemble beau-
•oop a ta corne et qui répond à la formule C**H3*Az*oO*^. Ce
•ofps fe e»l formé uniquement aux dépens du glycocolle, car en
«foaaai le produit de la réaction par l'alcool on retrouve toute la
^cérine mise en œuvre. Il se fait de plus de l'ammoniaque et
«le matière soloble dans l'eau avec une fiuorescence rouge ver-
W ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGBHS.
dâtre, qui n'a pas encore été étudiée. Les autears représenleot la
formation de la matière cornée par l'équation:
1 1 C?HSAzOï = 9H*0 -H AiH3 + C»H»Aï">0«.
I^e composé en question constitue une poudre jaunâtre insipide,
insoluble dans les solvants usuels ; il se carbonise sans fondre
>■ 250°, ChaufEé à 100' en vase clos avec de l'acide chlorhydrique,
il B6 dédouble quantitative ment en plycocolle et acide gtycoiique (?).
CnHMAi;'0O'» + 9H»0 = JOGîHSAzQî -f C^HtOï.
L'alanine ne semble pas réa^r sur la glycérine dans des condi-
tions analogues. Avec l'asparagine par contre, on obtient un pro-
duit amorphe répondant à la formule C^H<*)Az*0^, soluble dass
l'eau avec une fluorescence intense. 11 se dégage en outre de
l'ammoniaque et un peu de gaz carbonique :
2C'HaAzi03 = C8H"'Az'0« + 2AîHï.
p. rHEUHDLER.
Sar la eompeiition des iioparpnrateB ; W. BORSCHE (D, ch.
G., t. 33, p. 2995; 12.11.1900). — L'auteur rectifle la formule
donnée dans sa précédente communication (/>. cb. G., t. 33, p. 2720,
ligne â, en haut) pour la dicyan-dinitro-oxy-^-phénylhydroxylanune
qu'il faut lire :
(GAzH(AzQî)ï(0H)C6tA«H-0H) .
ayant fait remarquer que les formules qu'il donne
purpurales renferment un atome d'oxygène de plus
ules admises jusqu'ici, il explique ce qui l'a engagé
r ainsi. Hlasiwetz est le seul auteur qui ait donné le
sultats trouvés dans l'analyse des isopurpurates et ces
été confirmés par Hagenbach.
îs de Hlasiwetz correspondent à la formule CWAz*0*K
purate de potassium. Mais, Nietzki et Pétrie ont fait
|ue pour des combinaisons aussi nitrées il n'est pas
e la teneur en H observée puisse correspondre aussi
théorie; il faut plutôt admettre que le chiffre trouvé
é et que l'isopurpurate de K renferrae en réalité moisa
. Il en résulte que la formule C^H'Ax'^O'K correspond
>Uf les autres éléaients, f. hevihdui.
(miMlE ORGANIQUE. 4A
acétylthio-arédB isomères de la série du naphta*
HDGERSHOFF et W. Ch. KÔNIG {D. cb. G,, t. 33,
? *îîd ; 12. il . 1900). — L'un des auteurs a obtenu par Faction de
fanfaydriile acétique sur quelques thio-urées aromatiques mono-
«ofastîtoées, des dérivés acétylés qui se transposent lorsqu'on les
ihoÊoEe aa-des6ii6 de leur point de fusion en composés isomères à
'jttBA àe^ fusion plus éloTé. Cette étude faite en premier lieu dans
«1 âme du benzène a été étendue à celle du naphtalène. Les auteurs
«t préparé VaeétjrU'napbtjrhbiocarbamide CS<^h cOGHs*^ ^"^
«' présente sous la forme de cristaux incolores, F. 146*» et qui
<àn£Ir.-« k son point de fusion se transforme en acétyl'OL-napbtjrl'
'uatikîocarbamide C(SH)<^^*^^p.u3 F. 197*, identique aucomp.
ààsmx par Miquel en partant de l'essence de moutarde acétylique
H <ic l Vnaphtylamine. Uacétjrl-p-napbtyltbiocarbamide cristallise
•^ fcpnlles, F. 145» et fournit Vacéiyl'p-uapbtylisotbiocarbêmide
•j'ii ixi-^iallise dans l'alcool en lon^ prismes, F. 158**.
F. REVERDIN.
Action de la lessive de sonde sur les acétylthio-urôes iso-
Bérag ; A. HUGERSHOFF et W. Ch. KÔNIG (D. cb. G., t. 33,
f-KliiS; 12.11.1900). — L*action de la lessive de soude sur les
KétjHIiio-urées a déjà été étudiée avec quelques dérivés par l'un
te% ftutetirs; cette recherche a été étendue aux acétyl-a et p-naph-
tfHhio-arées et aux acétyl-o et p«tolylthio-urées. La lessive de
màe employée était à 83 0/0.
L*ace<yl-a-naphtylthio-urée digérée 1/2 heure au B.-M. avec la
rs»iTede soude donne de Tacét-a-naphtalide et l'on constate la pré-
9fixe d*uae grande quantité d'acide sulfocyanhydrique, L'acétyl-
s-oiphtyiisothiocarbamide donne de l'a-naphtylthio-urée et pas
soifocyanhydrique. Le dérivé p se comporte différemment,
L
r-
de la p-naphtyllhio-urée et des traces seulement d'acide
ihydrique et l'acétyl-p-uaphtylisothiocarbamide donne éga-
de la thio-urée. L'acétyl-o.-tolylthiocarbamide et l'acétyl-
.«utfeiocarbamide se comportent comme le dérivé a-naphtylique ci-
'-««B» tandis que l'acétyl-p.-tolylthiocarbamide et l'acétyl-tolyl-
«Hhftoearbamide se comportent comme le dérivé p-naphtylique.
F. REVERDIN.
C—etitBtiofl dn sodocyaaacéUte d'èthyle et du sodomèthyl-
cfnaeéltfte d^Mhyle ; JocelynField TEOWL{Cbem. Soc.,i. 77,
I p. 90; 7.1900). — D'après leurs réactions» le sodocyanacétate et
42 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKsi
le sodométhylcyanacélate d'éthyle doivent être représentés par
les formules :
/ONa /ONa
GAz.CH=C< et CAz.C(CH3)=C<
\OG2H5 \OC2H5
En dissolvant le premier dans l'eau, la solution donne par évapo-
ration du cyanacétate de sodium, probablement d'après les trans-
formations suivantes :
yOCms .OH
(Y W^->- GAz.CH2.GeOC2H5
NONa \ONa
GAz.CH2.Cf
NONa
La formation d*éthers éthyliques acides dans la condensation an
cyanacétate d*éthyle avec des éthers éthyliques non saturés
s'explique donc d'une façon analogue.
Le sodiométhylcyanacétate d'éthyle se comporte de la même
manière» a. hébert.
*
Sur la structure des acides oxystéariques ; A. JOUKOF et P.
CHESTAKOF (Jonrn. Soc, phys. chim. R\ t. 32, p. 272; 1900,
fasc. 4). — Des trois acides oxystéariques connus jusqu'à ce jour,
et dont la structure rfest pas encore établie avec certitude, les au-
teurs en ont étudié deux : Tac. p-oxystéarique et la Y-stéarolaclone.
L'acide p, F. 83°, obtenu par action de SO*H* sur Tac. oléique,
donne dans l'oxydation par CrO*H^ uu acide cétone, des ac. séba-
cique et azelaïque, des traces d'ac. subérique et des acides mono-
basiques non encore étudiés. L'acide cétone est l'ac. 10. oclodéca-
nonoïque obtenu par Baruch, ce qui est vérifié par la formation
des ac. sébacique et azelaïque ; les traces d'ac. subérique provien-
nent d'une oxydation ultérieure ou peut-être de la présence d'un
ac. oxystéarique isomère; d'après cela Tac. p.-oxystéainque serait
l'ac. 10 octodécanoloique C**H«'îCH0HC«H*6G00H. —La stéaro-
lactone obtenue en chauffant l'ac. oléique avec ZnCl* donne dans
l'oxydation par CrO*H* un acide cétone (F 98**) dont l'oxime (F 84**)
chaulTée avec SO^H^ fournit l'amide substitué d'un acide bibasique
(F. 123°); chauffé avec llGl, cet amide ce décompose et donne le
tétradécylamine C**H*'^AzH« (F. 37°) et Tac. succinique. Ces faits
confirment l'opinion que la Y.-stéarolactone est le 4. oclodécano-
lide. — Quant à Tac. a-oxystéarique, il faut admettre qu'il est Vslc,
11. octodécanoloique; par conséquent, la liaison éthylénique de
CHIMIE ORGANIQUE. 4^
K- isooléique se trouverait entre le 10*et le 11" at. de C;lastéaro-
hêtiùoe obtenue par Geitel dans l'action de SO^H^surTac. oléique
«emt le 9, octodécanolide. — Les recherches sont continuées.
A. CORVISY.
Ictios de Tean oxygénée sur les hydrates de carbone en
des sels ferreux (II) ; Robert Selby HOUREL et James
CROFTS I CAe/D. soc, t. 77. p. 1219; 10.1900). — Les au-
ivr» ont montré antérieurement (Bull. soc. Chim,, t. 22, 1899,
;v S53 que roxjdation du glucose, du lévulose et de Tarabinose par
B*> en présence de petites quantités de sels ferreux, transforme
<*% «^fccres en osones correspondantes. La même réaction a été
«aeiïipiée par eux au rhamnose ; pour isoler ce produit, on addi-
la solution qui le renferme d'acétate basique de plomb, puis
t«rvie; rhydrate de plomb qui se précipite entraine avec lui
il suffît de traiter le précipité par SO*H* étendu, puis de
->•• u-.r Tacétate de phnéylhydrazine pour isoler le produit à
L> î^coliarose, oxydée par une sol. neutre de H*0' en présence
•'^ tracc'à SO*Fe, s'hydrolyse préalablement et fournil le gluco-
i-r prTsulfate de potassium agit sur le glucose en présence de
^Mt cvmme l'eau oxygénée. a. valeur.
isfaeoce des bromures métalliques sur la vitesse de bromu-
ntiia des carbures aromatiques ; H*^'' L. E. KAUFHANN ; {Jourii.
^^ phvA. cbim, R; t. 32, p. 270 ; 1900, fasc. 4). — La présence
iÉstr.mares métalliques BaBr«, SrBr«, CdBr», GaBr« ralentit Fac-
î AO«*Br sur le benzène; au contraire la présence de HgBr* accé-
te-'Kte sction. Toutefois, si Ton ajoute une plus grande quantité
*^««. >els» de telle sorte que la quantité de Br qui y est contenue
< esnile à la quantité deBr libre employée, on observe une accé-
»it on de la réaction. — Travail non terminé. a. corvisy.
Iv les réactions d'enchaînement : L. Sur les trois nitro-
fkÉBols sodés; LI. Dérivés des phénols chlorés et bromes;
rtcayitalation des doubles décompositions quantitatives entre
te yhénoU monoatomiques sodés et les éthers éthyliques
iacidM gras a-bromés; C. A. BISCHOFF {D. ch. G., t. 33,
^ i;jill-lfK)3; 11.6.1900). — Uéther d'O.'nitropbênoxypropio^
;*9»- A20*.OHK).GHCH3.C0H>H», forme de petites lamelles ou
ifOcUes fus. à 48'', peu sol. dans l'eau, très sol. dans les dissolvants
44 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERE.
organiques;!* acide est en aiguilles un peu jaunâtres, fus. à 151
i59«. Par réduction à Taide du zinc et de HCl, l'acide eng^Ddf
^ /AzH.CO
une méthylphénoDiorpbolone C*H*< i , qui crist. e
• "^ \0 — CHCH3
petites aiguilles, fus. à 143-144*', sol. dans la plupart des clisso
vants organiques et aussi dans les acides forts, d'où le reppte 1
potasse. Véthev méta^ huile lourde et brunâtre, bout à 187*, sot
A = 7 mm., avec décomposition partielle, Vacide est en aigxiilk
jaunes fus. à 107-1 10**, altérables à Tair. Uélher para se dépos
dans l'alcool en petites aiguilles incolores fus. à 59-61*,5, bout
195**,5 sous A = 4 mm. ; son acide est en aiguilles feutrées fui
à 143^
De même Vétber (jL'O.-nitrophénox y butyrique
Az02 . C«H*0 . CHC2H5 . C02C2H5 ,
ressemble au dérivé propionique et fond à 40*; Vacide crist. e
lamelles un peu jaunâtres, fus. à 99-101*». L'action de la poudre d
zinc et de HCl sur l'éther donne lieu à un phénomène de chloru
ration en même temps que de réduction, il se fait une étbylcbJorc
/AzH.CO
pbenomorpbohne C*H*Cl< i , aiguilles incolores fus
^ \0— CHG«H«
à 144-146*. Les autres dérivés ressemblent aux précédents.
Dans le second mémoire sont décrits quelques dérivés des phé
nols di ou trichlorés ou bromes (2.4 et 2.5.6). Ainsi Vétber a-i^A
dicblorophénox y propionique est une huile bouillant à 173-176
(A = 12 mm.) ; Vacide crist. dans l'acétone en grands prismes fus
à i 1 7*,5. Vétber a-^ . 4 . 6'tricbloropbénoxyacétique est en aiguiliei
fus. à 41* ; son acide forme de fines aiguilles fus. à 177*. Ainsi d<
suite. Le mémoire se termine par un résumé des résultats précé'
demment acquis, et par des considérations sur l'influence compa*
rative de la nature des groupes substitués sur l'importance numé-
rique de la réaction entre les deux substances que l'on combine.
L. BOURGEOIS*
Etudes sur les réactions d'enchainement : LU, LUI et LIV
Dérivés de la pyrocttéchine, de la résorcine, de rorcine et éi
l'hydroqmnoae ; C. A. BISCHOFF {D. cb. C, 33, p. 1668-1099!;
11.6.1 900). -^ Pyrocatécbine^bi-d-oxypropioaate diétbyliqué
C58H*(O.CHCH3.CO«C«H»)«, huile jaune, odeur alliacée, b. à 201*
{b=6 mm.) ; lors de sa préparation, il. se fait toujoui*6 la lacions
i
CHIMIE ORGANIQUE. 45
/OGHCH»
âe Pacide correspondant C*H V { , lamelles quadrangulaires
flioalorps, fus. à 51*. Par hydrolyse, ces deux composés donnent
TteÉde^ correspondant, mais sous deux variétés stéréo-isomériques
*{n*oa a séparées par crist. fract. dans Teau : la moins sol. est en
iu»eile^ fus. à 167-168<>, Fautre en agrégats de fines aiguilles fus.
1 14o,o-146*. A la distillation, ces acides régénèrent la lactone et
%a p*^i d*ac. lactique. Avec la p.-phénétidine, ils donnent des
-itrrrré*, la dipbéDetidide en petites aiguilles laineuses, fus. à 186-
î<r*, el la moDopbénétidide en grands prismes fus. à 169-170^.
Ii«a& les eaux-mères se retrouve aussi une phénétidide pyronaté-
rtADe^mono-x-oxypropionique^ en lames quadrangulaires ou grands
"î^- 8iH*0, fus* à 163*,5. Les dérivés des acides butyriques, etc.,
•eot analogues.
IVî même, en ce qui concerne les dérivés correspondants de la
?*^3orcine et de forcine. Ainsi le résorcine-bl'd'Oxypropiouate
%>ntrïique OH*(O.CHCH3.CO«C«H5)« est une huile épaisse et
^rjBwtre, se concrétant par Taction du froid en crist. aciculaires
.'1^ a T3h,5, b. 3 202-204'» {b= 13 mm.) ; l'âCiV/e crist. avec 1,5H«0,
*-> Umelles ou aiguilles incolores, fus. à 226^^, peu sol. à froid, plus
"i- é chaud dans les divers dissolvants. Il est possible qu'on soit
«^ préâeoce d'un mélange de deux isomères stéréochimiques.
h^ même, Vb/droquiûoae-bi'OL'Oxypropionale diétbylique forme
c«x variétés isomériques : Tune est en grands crist. incolores fus.
• VI*, fautre est une huile b. à 187-190* (A = 6 mm.) ; les acides
r*»Te^>OQdants fondent respectivement à 235"» et à 220-224"». Résul-
Wî£ analogues dans les séries butyriques, etc.
En terminant Tauteur revient sur les proportions numériques des
RJtiâtUoces entrées en réaction dans chaque expérience, et conclut
ne le^ diphénols ortho se prêtent le moins aux condensations avec
s étbers d'acides gras bromes, viennent ensuite les diphénols
puis enfin les para qui s'unissent le mieux, l. bourgeois.
ActioB da la formaldéhyda aar les aminés des séries naphta.
léatqaas (2* partie j ; Gilbert Thomas MORGAN (C/?e/z2. Soc, t. 77,
^. fc!4; 7.1900). — L'auteur avait déjà étudié les réactions entre
a fonoaldéhyde et la p-naphtylamine. Il recherche maintenant les
r>Aiiitat£ obleaus en remplaçant ce dernier corps par ses dérivés :
mmk, chloré, méchylé, éthylé, benzylé, etc.
l'Bromo-S'Mmpbt y lamine. — Ce corps était préparé par bromu-
atioo de l'acétô-^naphtylamine en solution dans Tacide acétique
46 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
glacial et hydrolyse chlorhydrique du produit obtenu. On y ajouta
la formaldéhyde en solution acétique ou alcoolique ; après pltisîeiu
purifications, on obtenait une substance en aiguilles incolore
fondant à 145**, rougissant à la chaleur et à la lumière et formée
de méthylène-di-l-bromo-2-naphtylaraine CH«(AzH.C*«H«BrV
hydrolysable en ses composants.
l'Chloro-2-naphtylamine. — Ce corps, préparé d'une Tbço
analogue au dérivé brome, était soumis à Faction de la formaldéhy d
de la même manière. La substance correspondante obtenue éfa
en aiguilles incolores fondant à 179-180**.
Diméthyl-^-naphtylamine, — Préparée par la méthode de Bam
berger. Soumise en solution acétique à l'action delà formald«^hydc
elle donne le 2 : 2'-tétraméthyldiamino-l : l'-dinaphtylraélhanti
CH«[C«oH«.Az(CH8)«]«, soluble dans les alcools méthylique c
éthyhque, formé de prismes transparents, incolores, fondant à 14 i*
Diéihyl^naphtylamine, — On peut la préparer par action <ii
ricdure d'éthyle sur la 6-naphtylamine en présence de soiid^
caustique. La formaldéhyde donne avec cette base un corps cris-
tallisant en tables prismatiques transparentes et incolores, fondan
à 114** et constitué par le 2 : 2'-tétraéthyldiamino-l : l'-dinaphtyt-
méthane CH«[G*oH«Az(C«H»)«]».
Ar. tétraliydrodiéthyl-^-naphtylamine. — Résultat négatif.
Dibenzyl'^-napbtylamine, — Obtenue par action de la p-naph^\ /•
aminé sur le chlorure de benzyle en présence de soude caustique
et lavage du produit obtenu par Teau et Talcool. Le résidu, Xraili^
par la formaldéhyde, donne une substance en tables tranj^-
parentes et incolores, fondant à 164*, solubles dans ralcooJ et
constituées par du 2 : 2'-tétrabenzyldiamino-l : i'-dinaphtylméthane
Dimétbyl'Oi'Uapht y lamine, — Préparée par la méthode de
Hantzsch. Donne avecla formaldéhyde lel : l'-tétraméthyldiarnino-
dinaphtylméthane CH*[C*^H«.Az(CH*)*]* en prismes transparents
et incolores fondant à 177<».
Kthyl'^'Dapht y lamine. — Préparée parla méthode d'Otto Fischer.
Donne avec la formaldéhyde le 2 : 2'-diéthyldiamino-l : l'-dinaphlyi-
méthane.
Chlorure déthyl-p.naphtylamine en solution alcoolique. — Ca?
produit, traité par la formaldéhyde, lavé et bouilli avec la potasse
alcooliciue, donne un précipité, qui, extrait au benzène, se montra
formé de deux bases qu'on sépare par l'acétate d'éthyle ; le premier
dépôt est formé de 2 : 2 -diéthyldiamino-1 : l'-dinaphtylméthane ;
les liqueurs mores renferment une base C*3}ji90Az, soluble dan^
CHIMIE ORGANIQUE. 47
(e ehiororonne, cristallisant en prismes, fondant à 157-158'*, se
déposant dans Talcool en se combinant à 1 molécule de solvant, et
tW^^a^ant de Téthylamine sous l'action des alcalia. A. hébert.
Etrotation directe des aminés aromatiques primaires.
iMtiicatioii ; E. TAÙBER et F. WALDER (/). c/{. G., t. 33, p. 21 16 ;
7.1900). — (Voir BuIL, t. 24, p. 826). — Le compte rendu de
mémoire doit être rectifié en ce sens que : 1^ il faut employer
s la préparation iiidiquée HCI à 33 0/0 et 2* la nitroso-m.-phé-
a^tènediamine est complètement insoluble dans Téther et le benzène.
F. REVERDIN.
Odomres et bromures d'azote substitués dérivés de Tortho-
01 d« U paraacétotoluidide ; F. D. CHATTAWATetK. J. P. ORTON
fJiem. Soc, t. 77, p. 789; 7.1900). —En traitant Tortho et la
>tfacélotoIuidide par les acides hypochloreux et hypobromeux, on
oUieot des chlorures et dos bromures d'azote substitués, lesquels
^ tnmsforment rapidement dans les toluides isomères ; ceux-ci à
•Hsr tour forment des chlorures et des bromures d'azote qui se
'ttaxkf^at en toluides disubstitués, dans lesquels l'hydrogène de
. uBone est encore remplaçable par du chlore ou du brome. Mais
fiaod les positions ortbo et para, relativement au groupe acétamine,
<jQl occupées, les corps formés ne subissent plus de changements
cr Amériques. Les chlorures d'azote obtenus sont des solides inco^
ijCTis les bromures des corps jaune soufre, tous bien cristallisés et
P»»édant les propriétés générales des composés analogues. •
nrilkQ-ëcélylcblorwaiinotolucne (chlorure d'orthotolylacétylazote)
i3l».OH*.AzCl.C0.CH». — Prismes ou tables fondant à 43%
^ÀnïAeh dans le chloroforme, le benzène, le pétrole léger. A 160**,
»• ironsforrae en 5-chloro-orthoacétotoluidide.
Oribo'acétylchloraminO'5'Chlorotoluène (chlorure de 5-chloro-
tioiolylacélylazote CH3.ClC«H3.AzCl.CO.CH3. — Prismes
1 «liant à 66*, solubles dans le chloroforme, le benzène et l'acide
fc^j^e. Dans ce dernier, il se transforme à l'ébullition en 3 : 5-di-
fkfc.ro-ortho-acétotoluidide.
^jrtbo^acétjrlcbloraminO'3 : 5-dichlorotoluène (chlorure de
t : o^Lrhloro-orthotolylacétylazote CH^ - C«H«C1« . AzGI . CO . CH^ .
— Prismes fondant à 78*», très solubles dans le pétrole léger.
Ptrm^cétylcbloraminotoluène (chlorure de paratolylacélylazote)
•:H».<J»H*.Aza.CO.CH*. — Prismes rhombiques, brillants, fondant
■ W'K', très solubles dans le pétrole léger. A l'état pur, on peut
i^diaafier à 175* en atmosphère sèche ; en solution, il se décom-
46 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pose en quelques jours en donnant de la 3-chloropara-acétotolui'
dide, de la para-acétotoluidide et une substance huileuse rou^e.
Para-etcétylcbloramino^'CblorotoluèDe (chlorure de 8-chloro-
paratolylacétyiazote CH3.G«H3C1. AzCl.CO.CH». — Prismes fondan
à 48"", solubles dans les solvants organiques ; en solution acéticiue
il donne le 3 : 5-dichloropara-acétotoluidide.
Parshacétylcbloramino-S : 5-dicblorotoluène (chlorure de 3 : 5>di'
chloroparatolylacétylazote CH3.C6H«C1«. AzClXO.CH^. —Prismes
très longs, fondant à 72*», solubles dans le pétrole léger,
Ortho-acétylbromamiaotoluène (bromure d'orthotolylacétylazotel
CH3.C«H*.AzBr.C0.CH3. — Tables jaunâU^es fondant à i00<',5,
solubles dans le chloroforme, le benzène et le pétrole léger. Main-
tenu fondu ou en solution acétique, il se décompose en 5*broiiio-
ortho-acétyltoluidide.
OrtbO'acétylbromamino^'bromotoluènc (bromure de 5-bromo-
orthotolylacétylazote) CH^.C^H^Br.AzBr.CO.CH». — Tables rectan-
gulaires, jaune brillant, fondant à 91*», solubles dans le chloroforme
et le pétrole léger.
OribO'acétylbromaminO'3 : ô-dibromotoluène (bromure de
3 : 5-dibromo-orthotolylacétylazote) CH3.C«H«Br«.AzBr.C0.GH».
— Tables jaunes brilanltes, fondant à 120*.
Para-acétylbromaminotoluène (bromure de paratolylacétylazote)
CH3.C6H*.AzBr.CO.GH3. — Prismes brillants, jaunes, très insta-
bles ; à la chaleur, il donne de la 3-bromopara-acétotoluidide.
Para-acétylbromaminchS'hromotohiène (bromure de 3-bromo-
paratolylacétylazote) CH^GeH^Br.AzBr.CO.CHa. — Tables jaunâ-
tres, fondant à SV ; à la chaleur, il donne de la 3 : 5-dibromopara-
acétotoluidide.
Para-acélylbromaminO'S : ô-dibromotoluène (bromure de
3 : 5-dibromoparatolylacélylazote) CH3.C«H«Br«,AzBr.C0.CH». —
Prismes jaunes, brillants, fondant à 118**. a. hébert.
Cblorures et bromures d'azote orthosubstitués et intro-
duction de rbalogéne dans la position ortho dans la trans-
formation des chlorures d'azote ; F. D. CHATTAWAT et K. J.
P. ORTON {Cbem. Soc, t. 77, p. 797; 7.1900). — Les auteurs ont
constaté que lorsque le chlorure de phénylacétylazote se transforma*,
il se produit un mélange d'ortho et de parachloracétanilide dans la
proportion de 95 à 96 0 0 du dernier pour 4 à 5 du premier. Ces
composés et leurs dérivés chlorés ou bromes possèdent les propriétés
générales de ces corps.
Acétylcbloramino-^'Cblorobenzrne (chlorure d'orlhochloroplié-
CHIMIE ORGANIQUE. 49
iijtac^> la£ot« C«H*CLAzCl.CO.CH». — Obtenu par Taction de
riijrpoehJoiîta et du bicarbonate de potassium sur Torthochloro-
a^^tanilide. Prismes longs, fondant à dS"".
AeétribromaminO'3'bromobenzène (bromure d'orthobromophé-
3vi»cétylazote C«H*Br.AzBr.C0.CH3. — Préparation analogue
• «a î^récédente. Prismes jaune pâle, fondant à 150-152** avec légère
iKoa^toisitLoa. a. hébert.
CUomret d*azote dérivés de la métachloroacétanilide et leur
tmiforiiiatioii ; F. D. CHATTAWAT, K. J. P. ORTON et W. H.
mTLET iCbem. Soc, t. 77, p. 800; 7.1900. — Poursuivant
Wnrs étude» sur les chlorures d'azote substitués, les auteurs ont
i«vf*ré un certain nombre de corps dont voici les principaux ;
ÀeéijlebloramiiKhmétachlovobettzène (chlorure de métachloro-
it-nylacélylazote) C«H*Cl. AzCl.CO.CH». — On traite la métachloro-
bUniijde par Tacide hypochloreux en présence de bicarbonate de
p«Usàe. Prismes fondant à QS"", solubles dans le pétrole léger. A
rixud, la solution acétique s'hydrolyse ; à froid au bout de
pfoétfnrs jours, on obtient les 3 : 4 et 2 : 5-dichloroacétanilide.
ÀeétjtebloraminO'S : 4'dicblorobenzène (chlorure de 8 : 4-di-
'torsphéoylacétylazole) C«H»CI«.A2C1.C0.CH». — Préparation
satûigue. Aiguilles prismatiques fondant à 92** ; la transformation
■rirtrulaire est très lente.
Ae^tylcbloramiDO'2 : S-dicblorobenzène (chlorure de 2 : 5-di-
dtet^énylacétylazote) C«H»Cl«.AzCl.C0.CH3. — Préparation
Kahpne. Prismes fondant à 73®. Transformation lente.
AfriHcblorannnO't : 4 : 5 - trichlorobenzène (chlorure de
t 4 ; !vtrichlorophénylacétylazote) C«H«Cl».AzCl.C0.CH3. —
f*n6w»?:i fondant à OB'". La transformation moléculaire s'effectue en
MiilkfO aoélique dans un tube scellé chauffé à 150-170** pendant
t» % b»*are3 ; il se produit en même temps une hydrolyse considé-
At^rîchloraminO'2 : 3 : 4'tricblorobeûzène (chlorure de
t S : i^richlorophénylacétylazole) C«H«CP.AzCl.C0.CH3. —
Prum«s fondant à 113-114*. Mêmes observations que ci-dessus
yMT la transformation.
Ac^tr!cbloraminO'2 : S : 6-trieblorobenzène (chlorure de
l $ : ft-thchlorophénylacétylazote) C«H*C13.AzCl.COCH3. —
F'n^nes fondant à li6«. Mêmes observations que ci-dessus pour la
truvfonuattoo.
•oc cxni.. 9* s^a-, t. xxvi, 1901. — Trar. étrang. 4
60 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Acétylcbloramin(h2 : S : 4 ; ô-tétracblorobenzcne (chlorure de
2 : 8 : 4 : 6-tétrachlorophénylacétylazote) G«Ha*.AzCl.CO.GH».
— Prismes fondant à 97®. a. hi^bert.
Sur les dérivés chlorés et bromes de To, de la m et de la p.-
nitro-a-acétanilide substitués à Tazote ; F. D. CHATTAWAT,
K. J. P. ORTON et R. C. T. EVANS {D. cb. G., t. 33, p. 3057;
12.11. 1900} Pour faire suite à leurs travaux préctklenls (FiaU, ,
t. 24, p. 254) les auteurs ont étudié les dérivés chloro et bromo-
aminés, que l'on peut obtenir au moyen des trois nitro-acétanilides,
pour constaler l'influence que pourrait avoir le groupe « nitro » sur
la transposition de Tatooie d'halogène de l'azote, à un des atomes
de carbone nucléaire en o ou p.
Az<x
Az<i^
Il résulte de leurs recherches que la transposition est la plus
nette si on abandonne à la température ordinaire les dérivés
ci-dessus en solution acétique. L'anilide substituée cristallise dans
le véhicule de la réaction et le rondement est quantitatif; cette
méthode est applicable pour tous les dérivés de TacétaniHde étudiés
par les auteurs, lorsque les positions m et p sont occupées et pour
les dérivés bromo-aminés de Tacétanilide lorsque une position o
et la position p sont substituées par l'halogène. Pour ce qui con-
cerne les dérivés chloro-aminés de cette catégorie, il est néces-
saire de les chauffer en tube scellé avec l'acide acétique à 130-
140**. Les dérivés deToet de la p.-acét.-toluide se transposent tous
relativement facilement à la température ordinaire.
Lorsqu'il y a un groupe* nitro » la transposition intramoléculaire
est plus difficile. Les dérivés de la m et de la p.-nitro-acétanilide
se transposent lentement ; les acélylchloramino etacétylbromamino-
o.-nitrobenzènes ne se transposent pas à la température ordinaire
mais en chauffant on peut obtenir la 2-niti'0-4-chloraniline et la
2Hiitro-4-bromaniIine. f. revehdin.
'.
\
CHIMIE OHGANIQUE 51
Svqaêlqnfs nouTeanx dérivés formiques de Thydroxyl-
aine; 6. SCHROETER et M. PESCHKES (D. cb. G., t. 33, p.
iiro-1988; 9.7. 1900). — Schroeter revendique contre Jones la
prionté de la préparation de l'acide formhydroxamique et fixe
if point de fusion exact de cet acide à 80^.
Eo outre, il conclut, avec Peschkes, d'après l'analyse du sel de
'"uvre et les expériences antérieures de Biddie, à la formule
H^XV^jT , généralement admise, mais combattue par Nef et ses
Les éthers de l'acide formhydroxamique s'obtiennent par trans-
^-isttion entre les éthers formiques et les hydroxylamines a-alcoy-
•-^- Avec l'a benzylhydroxylamine et le formiate d'élhyle, on
jienl ainsi, selon la température, deux corps : CIH concentré
<lique l'un à froid, mais non pas l'autre, de point d'ébullition plus
La nature exacte du premier n'est pas encore définie.
Qtunt au second, fusible à 31% c'est une forme cristallisée de
' ^iber benzylique de la benzaldoxime, obtenu déjà par Werner et
Le biinple chauffage à 160°, en l'absence d'éther formique, de
»*t«n2ylhydroxylamiQe, donne naissance à Téther de la benzal-
i'.W.ClP.O.AzH2 = C«H5.CH=Az.O.CH2.C6H5 + AzH3 + H20.
Ea vue d'élucider la réaction avec Téther formique, les auteurs
•11 appliquée à des benzylhydroxylamines substituées dans le
' jwi. Ils ont ainsi préparé les dérivés p.-chloré et p.-bromé, mais
'-'oatpas obtenu le dérivé p.-nitré.
l^*»quon fait agir le chlorure de p.-nitrobenzyle sur l'acétoxime
"^^e en liqueur alcoolique, on obtient le p.-dinitrostilbène ; si Ton
^**place iacétoxime par la benzaldoxime, il se fait de Télher
r- ^itrobenz^iique de la benzaldoxime, substance encore plus stable
\^ Un éthers non substitués.
•-i^ remarque, qui s'applique également aux dérivés chlorés et
'''*'^ûé^, expUque la facilité de formation de ces corps dans les
"^^^t^oofe les plus diverses.
L* p.-bromobenzylhydroxylamine, chauffée avec les éthers for-
**'ï'*eN donne uniquement les éthers p.-bromobenzyliques de la
'"^wmobeuzaldoxime et les auteurs ont poursuivi les conséquences
^«tte indication.
"* ont tenté de reproduire le corps de constitution inconnue.
52 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
obtenu par la benzylhydroxylamine et Tëther formjque, et qu'ils
présumaient être rétherdibenzylique delaformhydroxamoxime. Le
chlohydrate d'éthyformimide, agité, en solution alcoolique, avec
les hydroxylamines a-alcoylées, forme nettement les éthers dialco-
ylés de la formhydroxamoxime :
HO
,f .HCl + 2H2.Az.OR = HCC + AzH*Cl + C2H5.0H
\0C2H5 NAzH.OR
Ces éthers dérivent d'un groupe nouveau de substances
Ar OH
R.G<2 û ojj que les auteurs désignent sous le nom d*hydroxa-
moximes.
Les éthers sont des corps cristallisés, faiblement basiques, for-
ment des chlorhydrates dissociables par Teau, et qui, en présence
d'alcool, à chaud, donnent des chlorhydrates d'hydroxylamines
alcoylées. L'atome d'hydrogène lié à l'azote est remplaçable par
un groupe acétyle. h. copaux.
Condensation de la dichloriminoquinone et de la dichlori-
minonaphtoquinone avec les aminés; V. SCHAPOSCHNIKOF
{Journ, Soc. phys. chiin, /?., t. 32, p. 198; 1900, fasc. 3). — L'au-
teur a réalisé Tunion d© la dichloriminoquinone et de la dichlori-
minonaphtoquinone avec les aminés suivantes : aniline, toluidines
o etpdiméthylanilines, diéthylaniHne, toluylènediamine 1.2.4, ben-
zidine, naphtylamines a et p, méthyl-, éthyl-, phényl-, p.-tolyl-
naphtylamines p, diméthylnaphtylamine a, diphénylamine, di-/>.-
tolylamine, dinaphtylamine aa, dinaphtylamine ap, dinaphtylamine
p p. L'union se fait parfois par simple fusion du mélange, mais en
général, il vaut mieux employer des dissolvants, tels que Talcool
ou Tac. acétique. La nature des dissolvants n'est pas toujours indif-
férente, non plus que la température, pour une bonne marche de la
réaction. — Malgré la similitude des deux dichloriminoquinones,
la seconde est plus apte, dans la plupart des cas, à donner des
matières colorantes que la première. Ainsi la dichloriminoquinone
en réagissant sur l'aniline et la p.-toluidine ne forme pas de pig-
ment, tandis que la dichloriminonaphtoquinone en fournit; par
contre, les dinaphtylamines a a et a p ne donnent des pigments
qu'avec la dichloriminoquinone et la dinaphtylamine pp avec ta
dichlorimiTionaphtoquinone.
Les réactions se font selon le schéma suivant, en prenant comme
CHIMIE ORG.iNIQUE. 53
exemple la dichloriminonaphtoquinone et la p.-tolyl-naphlyla-
mjoe p :
/\ /\
CH3 CH3
TL^efois la marche des réactions dépend beaucoup des quantités
feUlives des deux corps ; le plus souvent, pour obtenir des matières
vlonmles, il est nécessaire ou au moins utile de prendre un excès
J'imine. Jusqu*ici le réndemtmt n'a pas dépassé 40 0/0 de sa valeur
théorique. — Dans un mémoire ultérieur, Fauteur décrira chacune
i« matières colorantes qui se forment dans ces réactions.
A. CORVISY.
Sir quelques nouvelles matières colorantes bleues de la
•Me des thiazines; V. SCHAPOSCHNIKOF (Journ. Soc, phys.
'tim.R.^ t. 32, p. 230 ; 1900, fasc. 8).— L'auteur obtient de nouvelles
•Aitiéres colorantes en appliquant aux thiazines les réactions qu'il
«étudiées précédemment sur les safranines et les indulines, c'est-
Mire les réactions des aminés primaires secondaires et tertiaires.
^ pftpare riminolhiodiphénylimine Az/^ >>S par la méthode
^Bemthsen en partant de la diphénylamine, qu'il transforme en
ihKjdipbéoylamine en la chauffant avec S; ce produit, purifié par
•i^tillttion et cristallisation dans l'jalcool, est traité à froid par
AzO>H de dens. 1,240, et l'on obtient un mélange de sulfoxyde de
«ono- et de dinitrodiphénylamine. Le dérivé mononitré étant
^icoup moins sol. dans Tac. acétique cristallisable et bouillant
V^ k dérivé dinilré et que la Ihiodiphénylamine, l'auteur a pu le
"•l^w à rétat de pureté; cristallisé dans l'ac. acétique il forme de
P**^ écailles jaune gris, fusibles avec décomposition à 259«. En
ftalmsant par Sn et HCl, on obtient Taminothiodiphénylamine qu'il
^ facile d'avoir pure. L'iminothiodiphénylimine se prépare en
'iijiitûl l'aminothiodiphénylamine par FeCl* (Bernthsen), mais
54 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
l'auteur a trouvé un nouveau mode de préparation consistant à
diazoter le violet de Lauth en sol. dans SO*H* à 75 0/0 et à traiter
le produit par Talcool; les réactions s'expriment par les équations
suivantes (en supposant HCl au lieu de SO*H*) :
>?€«H3=AzH-HCl
A< >S +NaAz05 + HCl
\n6H3_AyH2.Hni
OH3-AzH2-HCl
= Az
>5.C6H3oAzH-HGl
C >S +NaCl + 2H20,
NC6H3-AZ : Az-Cl
^«H3=AzH-HCl
Azf >S + Cm^
\C»H3-Az : AzCl
vC»H3=AzH-HCl
= Azf >S + C2H*0. + Az2 + HGl .
Cetre transformation établit un lien entre les pigments de la série
des thiazines et leur chromogène ; on peut passer directement des
premiers (thionine) à ce dernier (riminôthiodiphénylimine). D'autre
part, on peut, à Taide de ce chromogène, obtenir immédiatement
une série de pigments nouveaux, et, sous ce rapport, l'action des
aminés sur riminôthiodiphénylimine présente un caractère général ;
elle se fait souvent à froid selon Téquation suivante, où nous pre-
nons l'aniline comme exemple :
CôH5-AzH'
AfH2
La leucobase qui se forme s'oxyde immédiatement par O de l'air
et régénère l'imine primitive qui réagit de nouveau sur Famine,
et ainsi de suite jusqu'à ce que la transformation soit totale. Au
lieu de riminôthiodiphénylimine, on pourrait employer sa leuco-
base. Les aminés tertiaires réagissent un peu plus difficilement,
sans doute parce qu'il doit y avoir séparation d'un radical.
On a réalisé cette réaction avec les bases suivantes : a) aminés
primaires : méthylamine, éthylamine, benzylamine, aniline, tolui-
CHIMIE ORGANIQUE. 55
m. eip., xylidiiie m., anisidine o., pbénétbidinep., chlorani-
0,^ m, et p. naphtylamines a et p; les bases suivantes réa-
pbAMii examine les aminés primaires : diamidoazobenzène, benzi-
dme, dianisidine, toluidine, amidoacétanilides m. et p,, toluylène
dkmioe ai., métbyl-, étbyl- et benzyltoluylènediamines m.; b)
aokiiies secondaires : dimétbylamine, diétbylamine, pipéridine,
métbyiaiuiine, éthylaniline, étbyltoluidine o., étbyl-a-napbtylamine,
tetuyl-s-naphtylamine; c) aminés tertiaires : trimétbylamine,
dn^flamine, dtmétbyl-o.-toluidine, dimétbyUp.-toluidine.
Tous les pigments ainsi obtenus sont bleus, mais avec des
•unces qui vont presque du vert au violet. Ils sont très stables
^é-à-vis de la lumière, des acides ei du savon.
Lautear décrit avec quelques détails la préparation et les pro-
|<^tês de quelques-uns de ces corps et de leurs sels les plus im-
(«fiants : la phénylthionine, To.-tolylthionine, la diméthylthionine
MO symétrique. Cette dernière est identique au bleu de gentiane
(km la fabrication en partant de la diméthyl-p.-phénylènediamine
M symétrique est brevetée par l'usine Geigy de Baie. Elle a jus-
<p*id été peu étudiée. Une sol. bouillante de NaOH la transforme
« dimétbjilhionoline (CH»)«Az.C«H»<^^C«HM) et en thionol
Le i^emier de ces corps est insol. dans les alcalis et se dépose
A petits cristaux ayant Téclat du cuivre; il est peu sol. dans l'eau
PRf phis sol. dans Falcool avec une teinte rappelant le violet de
iMh, mais avec une fluorescence plus épaisse et rouge foncé. Sa
«ûL daas SCHH* conc. est violette; par addition d'eau elle devient
^^. puis de nouveau violette. — Le thionol reste en sol. dans
fatcaii avec une belle couleur rouge carmin. — Quant à la dimé-
(^iUttOQine, elle se dissout dansSO*H* avec une teinte vert jaune;
f<f «ddition d'eau, la teinte passe au vert bleu puis au bleu.
Tous les pigments décrits par Tauteur ont un pouvoir colorant
I^ utteose que le bleu de méthylène, et ils présentent la même
^^f^^^nce aux acides au savon et à la lumière.
l'êsuliedece travail que : !• l'iminothiodiphénylimine est le
'^^'^le chromogène des matières thiaziniques ; 2* par leurs rela-
ï»'-*» chimiques avec leur chromogène, les couleurs thiaziniques
*^ te» analogues des safranines ; 3* Taction des aminés sur les
'"■tifres contenant un azote azinique tnvalentet une place libre en
P*'*! reiativenient à cet azote paraît être une réaction aussi géné-
^ dans la série des thazines que pour les safranines et les indu-
■**• A. CORVISY.
66 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les cétones de Tanthracéne ; Ed. LIPPUANN et P. KEPPICH
(Z>. cb. G., t. 33, p. 3086 ; 12.11 .1900). — On sait que la faculté
de réagir d'un oxygène quinonique avec le chlorhydrate d'hydro-
xylamine est diminuée lorsque les deux atomes d'hydrogène en
position ortho, sont remplacés par des résidus alcooliques ou par
des halogènes; on sait aussi que la tétra et la pentaméthylphloro-
glucine sont indifférentes vis-à vis la phénylhydrazine et Thydro-
xylamine et que les acides benzoïques et méso-anthracènecarbo-
niques substitués en ortho- ne fournissent, d'après la règle de
Victor Meyer, aucun éther par l'action de l'alcool et de racide
chlorhydrique.
En tenant compte de toutes ces observations on pouvait supposer
que lorsqu'on remplace dans la molécule de l'anthracène un atome
d'hydrogène placé en position méso par un résidu acide, la forma-
tion des hydrazones et des oximes serait entravée par le fait de la
position voisine des deux atomes de carbone du noyau benzénique
latéral. Les recherches des auteurs sur ce sujet ont confirmé
cette supposition. Ils indiquent dans leur mémoire la méthode de
préparation de l'anthraphénone, puis ils décrivent son oxydation et
sa réduction. Ils ont encore préparé la nitro-anlhraphénone, ainsi
que le tribenzoylanthracène et son dérivé tétrahydrogéné.
F. RKVERDIN.
Formes racémiques et optiquement actives de l'amarine ; H.
Lloyd SNAPE (CAe/n. Soc, t. 77, p, 778; 7.1900). —L'auteur a
constaté, conformément à l'hypothèse de Japp et Moir, que Tiso-
amarine est la forme racémique de l'amarine. L'isoamarine, opii-
quement inactive, se résout, au moyen de l'acide tartrique, dans
les tartrates acides des bases droite et gauche, le sel de la dexlro-
base étant le moins soluble. Des tartrates, on précipite les bases
par l'ammoniaque ; elles ont un pouvoir rolatoire de -|- 62**,02 pour
la première et de 61**,30 à 58**,65 pour la seconde qui est difficile
à obtenir à l'état pur. Elles cristallisent dans le système du prisme
orthorhombique, avec hémiédrie sphénoïdale. Le mélange des deux
isomères en solution alcoolique reforme la base racémique.
A. HÉBERT.
Sels isomériques partiellement racémiques contenant de
Tazote pentavalent (parties 1 à 6). Bromocamphorsalfonates,
chlorocamphorsulfonates et cis-Tr-campbanates d'bydrinda-
mine; Frédéric SUnley KIPPING {Chem. Soc, t. 77, p. 861 ;
7.1900). — Ce mémoire, extrêmement étendu renferme les six
parties suivantes :
CHIMIE ORGANIQUE. 57
i* BromocampbosuUbnates d'bydrindamine isomériques ;
^ Rotations spécifique et moléculaire des bromocamphosulfo-
d'hydrindamine ;
3* CSiiorocamphosulfonates d'hydrindamine isomériques ;
I* Rotations spécifique et moléculaire des chlorocamphorsulfo-
laV-s dliydrindamine ;
S* Cis-x-camphanates d^hydrindamine ;
^ Rotations spécifique et moléculaire des eis-^r-camphanates
rhjdnxidamiae.
Nous renvoyons, pour ces études, au mémoire original.
A. HÉBERT.
Costribotioii à la connaissance de la cytisine et de quelques-
éa ses dérivés alcoylés; A. RAUWERDA (Arcb. d. Pharm.,
. p. 477-487; 31.8.1900). — Mode de préparation de la cyti-
*.->*. Se présente en cristaux anhydres, incolores, vitreux, rhom-
i»:ïÉièxDiédnques, très réfringents. Solub. dans H*0=i;i,28;
U!feCHa* = i:2; dans CH»0H.C«H50H.C«H«, etc. P. rot. dans
H«»j = — i±0-; dans C*HH)H = — 100*» ; dans CHC13 = — 65°,2,
»aibres qui varient du reste avec la température et la concentra-
*« c des solutions. L'auteur a soumis à une étude semblable : la
*«th)lcj'tisine solide C"H«3Az«.CH3 + 2 H«0, pour laquelle
t^=— iâO»dansH«0; l'éthylcytisine liquide C«<H«3Az«0.C«H^' la
ttjicjiisine solide f. à 55-56** et donne, dans CHCl^, a^^^-}- 112^
A. DBSGREZ.
Séiivés chlorés de la pyridine (6"" partie). Orientation de
ftanears ehloraminopyridines ; W. J. SELL et F. W. DOOTSON
I CAan. Soe.^i. 77, p. 771 ; 7.1900). — Les auteurs ont poursuivi
I itriTè reebdrches sur les dérivés chlorés de la pyridine. Les deux
! «"noposés qui résultent de Faction de l'ammoniaque sur la penta-
! càioropyridine sont représentés par les formules 1 et II.
CI AzH2
ci/\ci ci/\ci
Cll^AzH» ^\J^
Aa Az
:i
I
I
I 1. ' II.
Ceâ deux composési chauffés avec Tammoniaque à haute tempe-
58 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
rature donnent la môme diaminotrichloropyridine :
AzH2
ci/\ci
GiIJazH2
Az
L'aminotrichloropyridine, obtenue par Taction de Tammoniaqi
sur l*acide tétrachloro-isonicotinique possède la formule :
Enfin l'aminotrichloropyridine provenant de l'action du carbonat
de soude sur un composé contenant deux chaînes pyridiques répon
à la formule :
Cl
Cl/Nci
r>'
Az
Partie expérimentale. — Tétracbloro-S-aminopyridine de /
S : 4 : ô-iricbloro-S-amittopyridine, — Ce dernier composé es
chauffé en tube scellé pendant 4 .heures à 220-225<' avec du per-
chlorure de phosphore. En traitant par Teau et distillant dans ui
courant de vapeur, on a obtenu la tétrachloro-2-aminopyridine.
Conversion de la S : 4 : ô-iricbloro-S^aminopyridine dans h
8:4: 5'lricblorO'2'hydroxypyridine. — Le composé dissous dans
Tacide sulfurique a été additionné de nitrite de potassium et chauffée
au bain-marie; il cristallise de fines aiguilles solubles dans l'alcool»
l'acide acétique et les solvants organiques. Ce composé forme des
sels d'ammonium, de sodium, de potassium et d'argent.
Conversion de la S : 4 : ô'tricbloro-S^bydroxypyridiae dans
la 2 : 3 : 4 : ô-tétracbloropyridine, — Le corps précédent a été
traité parToxychlorure et le perchlorure de phosphore et le mélange
traité par Teau et distillé dans un courant de vapeur. On a obtenu
une huile se prenant en cristaux fondante 21-23S* de 2 : 8 : 4 : 5-tétra-
chloropyridine.
Conversion de la 3:5 :6-trieblorO'S'aminopyridine dans la tétra*
cblorO'2-aminopyridine, ^~ La trichloroaminopyridine mélangée
d*oxychlorure et de pentachlorure de phosphore est chauflée en
CHIMIE ORGANIQUE. 59
icDe seeUê pendant 4 heures à 220-225'' et après traitement par
F MO H distillation dans un courant de vapeur, on obtient des
<ns«inx roodant à 174-175* de tétrachloro-2-aminopyridine.
A. HÉBBHT.
UÊiê da tp«ctr6 d^absorption de rortho-ozycarbanile et de
MéiriTés alcoylès en relation aTecle tautomérisme ; Walter
M liBTLET, James J. DOBBIE et Pbotios 6. PALIATSEAS
a»™. Soe., L 77, p. 839; 7.1900). — On connaît deux dérivés
'^Jïyiupies de l'ortbo-oxycarbanile CH^AzO'. Au premier, qui
'«itieiit directement par Faction de l'iodure d'éthyle surTortho-
c^Fv^ile, on attribue la constitution d^une lactame. Le second,
•Rpvé par raction de l'orthoamidophénol sur Timidocarbonate
'•*^<b)1e est considéré comme une lactime. Pour rechercher laquelle
''':cs structures on doit attribuer à Tortho-oxycarbanile, les auteurs
^ ptetographié les spectres d'absorption des trois composés ;
('itiderortbo-oxycarbanileest presque identique à celui deTélher
^«^tiBique ; celui de Tautre éther a une absorption générale moindi*e
^ oae btnde d'absorption moins persistante. On en conclut que
I«i^(H>xycarbanile et son éther lactamique possèdent en solution
ttstrocture cétonique, ou, si la solution e^tun mélange de modi-
Liuou tautomères, que la structure cétonique y prédomine sur
''aoUjUe. A. HUBERT.
%ctre d'âbtorpiioii ultra Tiolet de plusieiirs composés
<*^éi à chmiiie fermée (2* partie). Diméthylpyraiine, heza-
*>%itea tt iètrâbydrobenséne ; Walter Noël HARTLET et
^"■•i 1. DOBBIE (CheiD. Soc, t. 77, p. 846; 7.1900). — Les
*ste« ont observé que la diméthylpyrazine possède un spectre
' ^"Bée, cette bande d'absorption étant à la fois plus étendue et
'^■^persistante que celle de la pyridine. Cette observation montre
^ ttsde plus la connexion intime entre le phénomène de l'absorp-
^'iiMective et la structure benzénoïde. Elle a un autre intérêt,
•% i« nttaehe à la question de la constitution de Tacide cyanurique.
*^PJTidine contient une fois le groupe -C=Az- dans le noyau
^^'■éaiqiue; la diméthylpyrazine le contient deux fois; la formule
i'^^^in^nicnt proposée pour Tacide cyanurique le renfermerait
^* bis; si cette formule était exacte, le spectre de l'acide cyanu-
^iv devrait posséder une puissante bande d'absorption, plus
*^*« que celle de la pyrazine. Or, les récentes recherches de
***^ oot montré que cet acide n'avait pas de bande d'absorption.
uVoflifthylène et le tétrahydrobenzène purs se sont montrés
60 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
beaucoup plus diactiniques que le benzène et n'ont pas présen
l'absorption sélective. a. hebert.
Sur quelques dérivés de la strychnine; P. J. TROWBRIDG
{Arch. d. Pbarm., t. 238, p. 241-253; 12.6.1900).— Ménétri^
avait entl'epris, à l'aide du bromure d'éthylène, l'étude des dériv<
de la strychnine. L'auteur reprend ce travail et montre que Tactic
du réactif précité conduit à la formation d'un bromure de brome
éthylstrychnium C««H*«AzO«.Az<^^^*^^ 11 passe au chlorui
correspondant et en fait les sels doubles d'or et de mercui'e. Pi
l'action de Ag*0 fraîchement ppté, le bromure précédent donne u
dérivé vinylique dont les dérivés et les principales réactions soi
analogues à celles du corps générateur. Par l'action du bromui
de propylène sur la strychnine, on n'obtient que le bromhydrat
de la base; au contraire, le bromure de triméthylène donne nais
sance à un composé résultant de la combin. de 2 moléc. de bas
avec 1 moléc. de bromure :
G2iH22A£OUz<^j^p
2 G2Ï H32 A£02 A z -}- CH2Br.CH2-CH2Br = CH2 .
I
C'est donc une réaction analogue à celle que donne Az(CH^
avec les mêmes bromures. A. dssgrez.
Remarques sur la recherche quantitative du chloral et di
chloroforme en toxicologie; C. KIPPENBEB6ER {Aich. d
Phartn., t. 238, p. 81-100; 20.3.1900).— L'auteur donne la des-
cription et le mode de fonctionnement d'un appareil qui penne
d'eflectuer la recherche quantitative du chloroforme en mettant i
profit la décomposition de ces substances par les alcalis ave(
production de CO .Ce gaz est recueilli dansune solution de chlorurt
de palladium. Le métal déposé par réduction est pesé : 100 p. de
Pd corresp. à 156,02 d'hydrate de chloral et à 112,6 de chloro-
forme. A. DESGREZ.
Remarques sur le dosage de la santonine; J. KATZ (Arcb. d,
Pharm. t. 238, p. 100-102; 20.3.1900).— Article contenant une
discussion de la méthode de dosage de la santonine pai» le procédé
de M. Thaeter. a. desgrez.
CiilMlË ORGANIQUE. 61
Sftfla présence des coumarones homologues dans le goudron;
1. STOERMER et J. BOES (D. cb. G., t. 33, p. 3013 ; 12.11.1900).
— L'on des auteurs et von Finckh ont observé en 1897 que les
liomArones polymères se décomposaient à la distillation sèche en
l^riAe en régénérant le corps le plus simple, en partie en donnant
MT élimination des phénols ; on pouvait mettre à profit cette
otoTvation pour isoler les homologues de la coumarone. La
lanuere de ces réactions qui se passe d'après l'équation :
C«H«0 = C^HS-OH + 2 G ,
'cnut fournir avec les homologues supérieurs de la coumarone des
s des xylénols, etc., ce qui donnerait des indications sur la
de ces homologues, en supposant toutefois que les groupes
ftr^yiiques ne se trouveraient pas dans le noyau furanique. La
1 *'{ k 2-mélhylcoumaroue par exemple fournissent par élimination
f'% groupe méthylique du phénol pur.
Les reclierches des auteurs ont montré que la décomposition des
'* asurooos polymères ne se passe pas exclusivement d'après les
f^-Mions indiquées ci-dessus, mais qu'il se forme lorsqu'on opère
w* i\f Jurandes quantités, à côté de produits à point d'ébullition
i», de> composés à point d'ébuUition élevé (au-dessus de 300**).
~ Knemer et Spilker ont constaté dans les premiers la présence
tfr<hyibenzène se formant par réduction ; quant aux seconds, ils
•ticTDaenl probablement des produits de condensation de la
L'juoarone avec elle-même.
1rs méthylcoumarones polymères extraites du goudron se com-
;-wteût de la même manière que la coumarone elle-même. Le pro-
<-n qu^ le^ auteurs ont étudié se trouve dans la partie du goudron
•^siiilant de 185-195** ; il renferme outre des hydrocarbures non
jolTiût-nsés, principalement de l'indène et trois ou quatre méthyl-
(W O
cm
I. II. m. IV.
u posiUon du groupe méthylique dans les n*** II et III n'a pas été
<i*Miiimér d'une manière absolument sûre. Le n* I se trouve en
p««» grande quantité, tandis qu'on aurait pu s'attendre à trouver
^les n"^ 11 et III prédomineraient, si l'on suppose que la couma-
62 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
rbne et ses homologues représentent des produits secondaires d
formation du phénol ou des crésols. Il n'est pas invraisemblabli
que la coumarone se forme par condensation du phénol et di
l'acétylène :
G6H5 . OH + C2H2 = C^H»/ "^CH + H» ,
et si l'on tient compte du fait que la 6-méthylcoumarone peut ùin
obtenue synthétiquement et plus facilement que ses isomères ai
moyen du crésoxyacétol correspondant, il paraît compréhensibit
que l'o-crésol se trouve en plus grande quantité que ses isomères
dans les produits de la décomposition pyrogénée.
Les auteurs n'ont pas séparé les diverses méthylcoumarones, maii:
ils se sont contentés de constater dans les produits de décompo^
sition la présence des trois crésols et de les caractériser ; c'est c^
qui fait le sujet de la partie expérimentale de leur mémoire. lis ont
aussi étudié une fraction du goudron distillant de 215-225"^ de
laquelle ils ont isolé une diméthylcoumarone qui leur a donné
comme produit de décomposition entre autres, le m.-xylénoi
asymétrique. f. reverdin.
Nouvelles recherches sar rinvertine ; M. KÔLLE (Zeil. phys.
Cb., t. 29, p. 429-446 ; 9.6.1900). — De l'invertine préparée d'après
le procédé d'Osborne a été décomposée en tube scellé à 100** par
de l'acide chlorhydrique concentré pendant 3-10 heures. Après
élimination des substances humiques et de HCl, on a isolé du
liquide, à l'aide de la p-bromophénylhydrazine et de l'acétate de
soude, la p-bromophénylhydrazone du mannose, cristallisée eu
tablettes soyeuses et fusible (après chauffage rapide) à 208-210°.
Le rendement en mannose a été de "SO 0/0. Avec l'acide sulfurique
étendu l'invertine donne de même du mannose. e. lambung.
Sur l'huile de nôroli ; H. WALBAUM {D. ch. G., t. 33, p. 29U4 ;
12.11.1900). — Réclamation de priorité au sujet delà première
publication scientifique sur la présence de l'éther méthylique de
l'acide anthranilique dans l'huile de néroli, en réponse à un article
publié sur le même sujet et à diverses publications de E. et H.
Erdmann (//w//., t. 24, p. 847). f. reverdin.
Les principes des essais rôAractomôtriques du beurre; A*
PARTHEIL et J. v. VELSEN {ArcL d. Pharni., t. 238, p. 261.299;
12.6.1900). — Historique de ce genre de recherches; les auteurs
CHBOE ORa\NlQUE. 6S
déterminent ensuite les indices réfractométriques de quelques
Hhers neutres de la gtycérine, et, en particulier» de ceux qui
entrent dans la constitution du beurre. Ils sont ainsi ament^ à
donner la préparation et les propriétés caractéristiques des triacé*-
tme, tributyrine, trilaurine, tripalmitine, trisléarine, trioléine; en
terminant, ils établissent une comparaison enti*e les indications
foomies par les indices d'iode et réfractoinélrique. a. desgrez.
Siiai Tolnmétrique du sirop d'iodure de far; E. RUPP(/l/v/i.
IPharm. t. 238, p. 159-160; 20.8.1900).— Pour effectuor col
fssêi, on ajoute à 5 gr. de sirop étendus d*oau acidulée juir
S<>H*, KMnO* à 1/100* jusqu'à coloration persistante; on ajoute
Haobout de 2 à 3 heures. On abandonne de nouveau pendant
wheore et titre 1 par de rhyposulfile à 1/10 N. On a, en oITol :
I* lOFeP + 6MnO*K + -24SOiHa
= iO 1 4- 6 SO*Mn + 5 (S0*)3Fe» 4- 3 S0*K2 + 24 IPO .
? 5(SO*)3Fe2-flOKI = 10I + 10SO*Fe + 5SO*K2.
Ce» équations montrent que lOFel* donnent naissance à 30L —
i ce d'hj'posulfite correspond à 0,2066 0/0 de FeP du sirop.
A. DEBQREZ.
à rétuda du aéné; A. TSCHIRCH et E. HIEPE
ircè. d, Pbfirm., t. 238, p. 427-449; 81.8.1900). — Historifjuo
^ U question. Les auteurs donnent le mode d*extroction el les
pryjciélés de quelques substances extraites des feuilles de n/uié :
f«r leaa on peut séparer une rbamnétine qu'ils n'ont pas réiH^i
« pcmôer, une anthraglucosennine dont on peut séparer une émo-
W, de Tac. chrysophanique et une glucosennine, cristal, en
*«?Tulie3, f. 163* et semblant iHre un glucoside, car elle réduit la
■M- 4e Fehl. après hydrolyse par les acides. Par Tacétone, on f^Mit
'ï^ire une isoémodine présentant la compos. et les propriéf/'s
<^ iVmodine, mais s'en distij^iant par sa solub. dans l'éthf^r rie
P^tfoter; une rbamnétine, sol. dan^ l'acétone mais peu s^^l, i\Hu^
letbpret Talcooi; rautenr propo«« de V^ppeier ■senna-rliamnétine
îiwr la di-stinguer de la rhvuùfr^^z^ proprement dite dont elle e-t
*flw»le. Le mémoire 8e tercb.::^ p^r ht*e étude de Tac. fMUHr-
'«^qae et nae comparaL-oo 'it -a ^4^^ >r* <2.:Térerit-> séné», ha->;e
«'^nrleoeor en corp** d^-.r-i::* ^*. r^ctlo^s de roxjrné'h;!-
64 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur le baama résineux de V « abies pectinata » (térébenthine
de Strasbourg); A. TSCHIRCH et G. WEIGEL {Arch. d. Pbarm, ,
t. 238, p. 411-427; 31.8.1900). — La térébenthine de Strasbourg
renferme une partie résineuse contenant des ac. libres dont l'un
seulement peut cristal. Celui que Ton extrait par Am'CO^, Tac.
abiénique C*^H*<>0*, ne donne pas de cristaux. Celui que Ton
enlève par CO^Na* répond à la form. C*®H*80«; c'est Tac. abiéto-
lique, cristallisable, ressemblant à d'autres produits résineux cris-
tal., en particulier à Tac. laricinolique. Par Taction du même
réactif, on extrait d'autres ac. amorphes, notamment les ac. a et
p-abiétinoliques*, séparables par Tacétate de Pb en sol. alcool.
Tous deux répondent à la form. C*®H**0*. La même portion de
cette essence renferme encore une résine, Tabiétorésène C**H*^ ;
une huile éthérée, séparable par la vapeur d'eau, présentant une
odeur aromatique agréable qui la distingue des autres essences de
conifères. Le baume renferme, en outre, des traces d'ac. succi-
nique, un peu de matière amère et colorante et seulement une
minime fraction d'impuretés. Les proportions de ces divers consti-
tuants de la térébenthine de Strasbourg correspondent à 8-10 O/O
pour Tac. abiénique; 1,5 à 2 0/0 d'ac. abiétolique; 46 à 50 O/O
d'ac. abiétinolique, 24 à 80 0/0 d'huile éthérée, 12 à 16 0/0 d'abift-
torésène. a. desorez.
Sur le baume résineux de Tables canadensis (baume du
Canada); A. TSCHIRCH et E. BRUHING (ArcL d. Pharm., t. 238,
p. 487-505; 26.9.1900). — Le baume du Canada renferme des
acides résineux libres dont la majeure partie sont amorphes, une
minime portion d'entre eux seulement pouvant cristaUiser. Par
agitation avec ^Am)*CO^, on obtient Tac. canadique C'^H^^O*,
précipitable par Pb. Par agitation avec Na*CO*, on peut isoler
trois acides : Tac. cananolique, cristal. C*^H***0* : ce dernier, à
beaucoup d'égards, rappelle lac. abiétique. 11 s'en distingue néan-
moins par son point de fusion et la non précipit. de sa solut. alcool,
par une solut. alcool, d'acétate de plomb; les ac. amorphes a et
p-canadinoliques C*»H^O*. Tous deux présentent de nombreux
points communs et ne peuvent se distinguer que par l'action de
Pb. Les quatre ac. précédents ont une composit. cenlésira. ne dif-
férant que par la teneur en H. — Le baume du Canada renferme
encore une résine C**H*<^0, une huile éthérée, des traces d'ac,
succinique. Les ac. se distinguent de la résine en ce qu'ils donnent
les réactions de la chlolestérine, réactions de Liebermann, SaU
kowski, Macli, Tschugraef. a. desqrbz.
CHIMIB GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 65
CHIMIE 6ÉNÉRALE tT MINÉRALE
Smr roxone (IV); A. LADENBURG {D. cb. G., t. 33, p. 2282;
1,10-1900). — Réponse à certaines critiques de M. Brunck (ii/rf.,
p. 1832) au sujet de la détermination du p. mol. de Tozone, au
moyen de la mise en liberté de Tiode de Kl. L'auteur insiste sur ce
£ut qu'U a opéré en liq. acide et qu'il a trouvé un p. mol. voisin
de O* = 48. L. BOURGEOIS.
Ult le doaaga de roxone; 0. BRUNCK (Z?. cb. G., t. 33, p. 2299;
1111.1900). — Réponse à des critiques faites par M. Ladenburg
^ihêd, , p. 2282) à l'occasion d'un mémoire de l'auteur (/A/rf., p. 1832).
L. BOURGEOIS.
Action du permanganate sur Teau oxygénée et l'acide de
tan; k. BAETER et T. TILLIGER [D, cb. G., t. 33, p. 2488-2497;
IJU.1900). — Expérience do M, Dertbelot. — On ajoute {Ann,
ekim, pbys.^ 5' série, t. 21, p. 176) à de l'eau oxygénée une sol. de
MaOK dans SO*H* étendu, en ayant soin de refroidir à — 12**,
jur^n'â coloration persistante; la liq. ne présente plus de propriétés
rHloctrices ni oxydantes, mais, si on l'agite, elle donne lieu à une
dfcnrescence d'oxygène, surtout si on la laisse se réchauffer.
M. Berthelot admet qu'il a pu s'engendrer un trioxyde d'hydrogène
IPO*. Les auteurs ayant étudié avec soin la vitesse du dégagement
«l'oxygène à diverses températures, font voir que ce gaz est simple-
ttc«t dissous dans une solution sursaturée.
Expérieace de M, Bacb. — Dans la réaction mutuelle du per-
maaganate et de l't acide de Caro », étudiée par M. Bach (D, cb. G.,
L S3, p. 1506), il se dégage plus d'oxygène que n'en pourrait fournir
a lui seul MnOK, ce qui le conduit à admettre l'existence de
fft>. Mais, 60 réalité, M. Bach avait ajouté à son acide de Caro
4^ l'tau oxygénée : celle-ci réduit MnO^K à l'état de SOMn; l'acide
■le Caro oxyde ce dernier pour donner du sulfate manganique, puis
lp rtànii eussitét par catalyse en dégageant de l'oxygène libre. A
féut par, l'acide de Caro n'agit pas sur MnO^K; quant à SO^Mn,
employé en excès, il tend à retarder la réaction.
HypotbèMes de Scbônbein^ de M. Bertbelot, de MM, Weltzien
€f Ti-^ube, — Schônbeio pense que dans là réaction mutuelle de
onv., S* sia., t. xxvi, 1901. — Trar. etrang. 5
66 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
MnO*K et H*0*, chacun de ces corps fournit un at. d*oxygène, les-
quels s'unissent pour donner une mol. 0*; M. Berlhelot admet en
plus la formation transitoire' de ïT*03. Suivant MM. Weltzien et
Traube, le permanganate oxyde l'hydrogène de H^O* et en dégage
0*. Les auteurs discutent ces diverses opinions.
Nouveau mode d'emploi du permanganate comme réactif, — On
broie 2 gr. de persulfate de potassium avec 8 gr. de SO*H* con-
centré; au bout de 10 min. de contact, on verse la liq. sur de la
glace pilée, on ajoute de Teau de façon que la liq. occupe 40-50 ce;
on a ainsi une sol. qui se garde très longtemps inaltérée. Quelques
centimètres cubes de celle-ci sont additionnés goutte à goutte d'une
sol. de MnO*K, jusqu'à coloration violette très accentuée; on
ajoute alors un peu de la substance à essayer, on agite, et on
observe comparativement la vitesse de décoloration. Ainsi, le ben-
zène décolore instantanément, Thexaméthylène un peu moins vite,
la « benzine » de pétrole ou essence de pétrole bien débarrassée
de carbures non saturés, au bout de quelques minutes seulement.
De môme, les acides phtalique et adipique décolorent immédiate-
ment, tandis que les acides succinique et oxalique se montrent bien
plus résistants. l. bourgeois.
Sur des peroxydes d'hydrogène saroxygénés; A. BACH {D,
ch. G., t. 33, p. 3111; 12.11.1900). — Répondant à certaines cri-
tiques de MM. Armstrong (Proc. chem. Soc, août 1900), Baeyer et
Villiger {D. ch. G., t. 33, p. 2941) sur un récent travail de lui-nnême
(ibid.y p. 1506), l'auteur montre que les divergences observées dans
la réaction du permanganate sur l'acide persulfurique, proviennent
de ce qu'il a lui-même opéré en liq. concentrées, tandis que ses
contradicteurs ont travaillé sur des liq. étendues. Dans le premier
cas, l'acide persulfurique ou l'acide de Caro, réduit le permanga-
nate, contrairement à ce qui se passe dans le second. M. Bach se
trouve ainsi conduit, pour opérer à l'abri de l'eau, à étudier l'ac-
tion mutuelle d'une sol. de persulfate d'ammonium dans SO*H*
concentré, sur une sol. de permanganate dans le même acide. Celte
dernière est un liq. vert olive (1 p. de MnO*K dans 100 ce. SO*H*)
renfermant de l'anhydride permanganique Mn*0''; elle est relative-
ment très stable. Si on la verse goutte à goutte dans la sol. sulfu-
rique d'acide persulfurique, elle fournit d'abord une liq. incolore,
jusqu'à une dernière goutte qui produit une coloration passagère
jaune brun, virant aussitôt au violet, c'est à ce moment qu*on a
lu la burette. On a répété ce dosage volumétrique dans un appareil
antérieurement décrit et permettant de mesurer le vol. d'oxygène
I
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 67
dégigé; on a comparé les données ainsi recueillies avec celles que
fournil le dosage de Tozygène actif dans le persulfate effectué en
bq. aqueuse au moyen de permanganate. On a recueilli dans ces
cooditioDs un constant excès d'oxygène; Fauteur discute sa
px)?eQaoce et l'attribue k la formation d*un acide plus oxygéné
que l'acide persulfurique, à molécule condensée, sans doute
'HO'S.O.O.SO^Hp, qui caractériserait l'acide de Caro en liq.
csnceatrée. l. bourgeois.
Ivnodiire d'azote; 0. RUFF {D. cb. G., t. 33, p. 3025; 12.11.
îMi).— Les résultats obtenus par l'auteur dans la réaction de
Hode à très basse température sur l'ammoniaque liquéfiée seule ou
^iitioanée d'amidure de sodium, sont en général d'accord avec
^n auxquels est arrivé M. Ch. Hugot qui avait eu Toccasion de faire
^opérations semblables (i4/2/7. CAi/n.P/r7y.,7*série, t.21,p. 5-87);
H Rtiff a cependant vu se former un plus grand nombre de com-
poife définis. Il opérait dans une sorte d'entonnoir cylindrique très
<^loQfé» eo verre soufflé, placé dans un bain d'air liquide, contenu
ïiHD^ae éêùs un tube de Dewar en forme d'allonge.
Àriho dé tiode sur f ammoniaque liquide. — A — 60*, l'iode se
"^«rlil aussiiôt, lorsqu'on le projette dans AzH*, en une poudre
>cc^qm se redissout graduellement en donnant un liq. jaunâtre. Par
*i4jtioij d'un excès dHode, on voit se déposer des lamelles cristal-
^ brun rouge, à reflets verdâtres qui, bien essorées et lavées à
rjiherâ — 60^, oflrent la composition AzP.12AzH5. Si l'opération
* disait à — 35-40, on aurait des aiguilles olive, AzP.SAzH^;
'As-ci, séchées dans le vide à — 35* deviennent brun verdâtre
^ et perdent de Tanmioniaque, ce qui leur donne la compodition
W.i\iH'. Enfin, si la dessiccation s'effectue à — 25®, on a des
»rtiïles violet rouge de AzP. AzH^, avec la composition de l'iodure
^ «Ole ordinaire; ce composé est seul explosif, les iodures à plu-
**tin mol. d'AzH' ne le sont pas. Il est possible que la poudre
»affç do début soit <AzP)* ou I*Az=AzI* (voyez plus bas).
^Wjon de tiode sur Famidure de sodium au sein de F ammoniaque
'•«urftf. — L'amidure de sodium ne réagit pas sur l'ammoniaque
■•^llêe, mais si Ton ajoute de l'iode, on voit se faire une très vive
'^•^M que l'on modère en refroidissant par l'air liquide ; il s'en-
V^àn «0 produit noir qui offre une composition très voisine de
'^^1*; Tazote y serait pentatomique, ce qui porte à penser que
•■«dsre d*azote ordinaire est PAz=AzH*. La réaction peut être :
SAiH^Na + 41 = AiPNa^ + Nal + 2 AeH^.
68 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Par addition d'un excès d'iode, on retombe sur les composés
AzP. wAzH^ décrits plus haut. l. bourgeois.
Sar le plomb radio -actif et sar les terres rares radio-
actives; K. A. HOFMANN et E. STRAUSS {D, cb. G., t. 33,
p. 3126-3131; 12.11.1900).— Les auteurs ont trouvé dans divers
minéraux des éléments radio-actifs qui conservaient cette propriété
caractéristique, alors même qu'on les avait dépouillés de toute
trace de bismuth, de thorium ou d'uranium. Ainsi, des minéraux
pechblende, uranite, brôggerite, clevéite et samarskite, ils ont
extrait des composés du plomb, possédant, en outre de l'activité
radiante, toutes les propriétés habituelles de ce métal, mais par>
faitement exempts de bismuth, de baryum, de titane, de thorium
et d'uranium. Quant au bismuth radio-actif, ils ont pu le trouver
non seulement dans la pechblende, mais aussi dans l'uranite et la
samarskite, du reste à l'état de traces dans ces deux derniers. La
brôggerite, la clevéite et la samarskite ont fourni des terres rares,
très actives surtout à l'état d'oxalates, mais bien exemptes de tho-
rium et d'uranium. L'oxyde U^O* extrait de la brôggerite, de la
clevéite, de la pechblende, de l'uranite, de la samarskite et de
l'euxénite s*est montré actif. Il en est de même de la thorine pro-
venant de la brôggerite, de la clevéite et de la samarskite, mais
celle de l'euxénite était tout à fait inactive. Le mémoire original
donne ensuite le détail des traitements et séparations eiïectués sur
sur chacun des minéraux étudiés. l. bourgeois.
Sar la séparation des terres de la cérite extraites des sables
à monazite; R. J. MEYER et E. MARCKWALD {D. ch. G,, t. 33,
p. 3003-3013; 12.11.1900). — Les auteurs sont partis de l'oxalate
de cérium « pur » du commerce, produit très bon marché, formant
une poudre cristalline très légèrement colorée en rose, bien exempt
de thorium, mais renfermant une certaine proportion de terres de
l'yttria. Les opérations ont été les suivantes :
Transformation des oxalates en nitrates solubles, — On ajoute
peu à peu l'oxalate au double de son poids d'acide nitrique (D= 1,4)
et l'on porte à l'ébullition en versant de temps en temps quelques
gouttes d'acide fumant, jusqu'à cessation de dégagement gazeux.
On introduit alors dans les liqueurs colorées en brun et renfermant
les azotates, de l'azotate d'ammonium (80 0/0 du p. de l'oxalate),
et l'on concentre de façon à réduire le volume de la soL au tiers
Les crist. de nitrates doubles ammoniacaux formés après refroidis-
sement sont alors essorés.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 69
SépêTêtion du cérium et son obtention à Tétat de pureté. —
L'antate double ammoniacal étant redissous dans Peau, on ajoute
Ai persulfate d'ammonium pour peroxyder le cérium, en ayant soin
de maioteoir constamment la liq. neutre par addition de craie ; le ppté
brmé de sulfate cérique basique, avec SO^Ca et un peu de didyme et
de laalbaiie, est séché à 120'', pulvérisé, redissous à chaud dans
iO fois son poids de AzO'H bouilli (D = 1,4). La sol. rouge foncé
est additionnée de 1,5 fois son poids de nitrate d^ammonium en
ml concentrée ; la cristallisation commence alors aussitôt et est
bientôt finie, et les eaux-mères évaporées donnent une seconde
poitioo. On recueille ainsi du nitrate ammoniaco - cérique
AiO»,*Ce<AzH*)' très légèrement didymifère. On Tobtienl pur par
'.idques recristallisations dans ÂzO^H concentré.
Sépêration des terres de Tyttria. — Les eaux-mères des nitrates
Â>3tbies ammoniacaux sont portées à Tébullition dans ime grande
afKole. la liq. remuée par un courant de vapeur d*eau bouillante,
etFoQ y ajoute par petites portions du sulfate de potassium pulvé-
neé, eo prélevant chaque fois un échantillon de liq. pour examiner
n âpectroscope, sous une épaisseur de 10 centim., son pouvoir
itiecirtMat. On s'arrête lorsque les bandes du didyme sont sur le
pMiidedîsparaitre; dans ces conditions, les terres yttriques restent
Afiolutioo. On dissout à chaud la liq. surnageant le ppté rose des
*lÉii«s doubles, on essore celui-ci et on le lave avec une sol.
fciide de SO*K«.
TrâQsformation en nitrates des sulfates doubles potassiques de
^yme et lantimne. — On fait bouillir pendant peu de temps les
*lfafis doubles avec 5 fois leur poids de AzO'^H concentré, puis,
^*&>ittendre que tout soit dissous, on verse tout dans 15 parties
^fu, la dissolution se fait d*une façon complète. On ajoute
■^deToxalate d'ammonium et de l'ammoniaque concentrée; le
^d'oxalate est essoré, puis bouilli avec AzO^H comme il a été
^ «u début du traitement; la sol. est alors évaporée au B.-M.
iMirchaseer Texcès de AzO'H, jusqu'à consistance sirupeuse, puis
'^^'ttioc d'eau.
^^êpèration du didyme et du lanthane. — La liq. est alors poi tée à
l^htioo, puis additionnée par petites portions de magnésie, en
■^ temps qu'elle est remuée constamment jusqu'à ce qu'une
prue d'essai de la liq. surnageante, examinée sous une épaisseur
fctOceoUn. ne montre plus les raies du didyme. Le ppté renferme
**«ijde de didyme avec un peu de La'O^ et MgO. On recom-
•«•« surlui le même traitement par AzO'H, puis par MgO, s'arré-
^ cette fois de façon à laisser peu de Di'O^ en solution ; il esl facile
70 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
de séparer ensuite Di»0» par MgO, en reprenant par un acide et
pptani à l'état d'oxalate. Quant aux eaux-mères non didymîfères,
OD en ppte aussi le lanthane, par l'oxalate d'ammonium en présence
de A;!H*C1 et à l'ébullitian.
On a trouvé ainsi par des opérations relativement rapides, que
l'oxalate primitif renfermait, pour cent :
Oxalate de cérium 32.5
Oxalale de lanthane 14.0
Oxalate de didyme 21 .5
Eau 25.0
Perles et terres ytlriques. ..' 1.0
100.0
Réponse à des remarques de H. Huthmaon sur les travaux
crïstallographiques de H. Liuck; G. LINCK (D. ch. G., t. 33,
p. 2284; 1.10.1900). — L'auteur, pour répondre aux critiques en
question {ibid., p. 1771), donne des tableaux montrant que les lois
par lui formulées se vériAent d'une façon satisfaisante, la première
relative aux substances eutropiqaes, c'est-à-dire parfaitement iso-
morphes (sulfate de ' potassium, rubidium, césium), la seconde se
rapportant aux substances polymorphes (TiO> sous ses trois formes).
CHIMIE ORBANIOUE.
Sar des comblnaisonfl platino-carbonèaB; W. PRANIITL et
K.-A. HOFHANN (D. ch. G., t. 33, p. 2981; 12.H.1900). — On
abandonne dans le vide au voisinage de NaOH, une sol. d'acide
chloroplati nique dans l'oxyde de mésityle; au bout de qq. jours, il
une bouillie cristalline, noircie par des produits plalioifèrcs,
3st dégagé HCl. On lave les crist. avec un mélange d'acétone
lier, et on fait recristalliser de l'acétone bouillante. Aiguilles
clair, très sol. dans l'acélone, peu sol. dans l'éther, sol. dans
roide; cette dernière sol. s'allère spontanément; décompo-
i 170°. La composition du produit est PlCl*.C«H'<K>; il y a
é avec Vacéclilorplatiiie oblciiu par Zeise ou faisant agir
iur l'acétone [Joarn. {. prakt. Ch., t. 20, p. 193).
CHIMIE ORGANIQUE. 7t
Sî Ton bit bouillir PtCl^H» avec du chloroforme pendant plusieurs
». il se dégage HCl, et Ton a un résidu brun épais, surmonté
' if OD^ liq. jaunâtre. Cette dernière était évaporée, puis reprise par
l'éther, k sol. filtrée, évaporée, le résidu encore repris par Téther,
ooaeo, parévaporation, des aiguilles jaune clair, qu'on a fait recris-
tilii^r dans le toluène chaud. La substance répond à la formule
PlQ^.CH*; elle est non-déliquescente, stable à la lumière; chauf-
fe à 140*, elle commence à se décomposer vers 140**.
L. BOURGEOIS.
b nature des composés ammoniéa des métaux en solution
iquose ^1" partie) ; H. M. DAWSON et J. Me. CRAE (Cliem. Soc.
tT7, p. 1239; 11,1900). — Les auteurs ont, en employant comme
iLifu le chloroforme dans lequel l'ammoniaque est très soluble et
iMB lequel Teau est peu soluble, étudié les solutions ammoniacales
if seis, métalliques en déterminant la quantité d'ammoniaque
(limite d'un volume connu de ces solutions par agitation avec un
^'ohiine connu de chloroforme dans lequel l'ammoniaque est très
fcîiubleet Feau peu soluble. Ils ont étudié successivement le coef-
£oeot de distribution de l'ammoniaque entre L'eau et le chloro-
fcrae et ont porté leurs expériences sur le sulfate de cuivre, le
c^iomre de cuivre, le sulfate de zinc, l'iodure de cadmium et
Tonde de cuivre.
La solaiion contenant le sel et Fammoniaque était agitée dans un
^^ïiOMûir à séparation avec un volume connu de chloroforme. Après
^•^ptntion des deux couches, on y dosait l'ammoniaque. La distri-
^'jQ de ce corps entre ces deux solvants a été déterminée dans
^ii les cas à 20*", sauf dans quelques essais sur le sulfate de zinc
fii M eu lieu à 25 et ^0^
ii^ opérant d'abord avec une solution d'ammoniaque dans l'eau,
M a -i=^ constante = 26,8; c, étant la concentration de l'ammo-
**que dans l'eau et e^ dans le chloroforme. En opérant ensuite
*T*' les solutions ammoniacales des sels indiqués, on trouve une
'•«lÊ^unte beaucoup plus élevée; on en déduit la quantité d'ammo-
lA^tie combinée avec le sel. Le composé avec le sulfate de cuivre
K-î^Je la fonnule Cu(AzH^j*SO* et celui avec l'oxyde de cuivre
''^iAzH^^OH^*. A. HÉBERT.
Va lonveau minéral, la sulvanite; G. A. GOTDER {Cbem,
*'^>-., i. Tl, p. 1094; 9,1900). — Description d'un minéral, trouvé
I diastiae nouyelle mine dans le South Australia et formé princi-
72 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
paiement de sulfovanadate de cuivre âCu*S.V*S*. Il est jaune bronzé,
de structure massive, d'éclat métallique, de dureté égale à 3,5, de
densité 4,0. a. hebert.
Pressions de vapeur, volumes spécifiques et constantes cri*
tiques du diisopropyle et du diisobutyle ; Sydney TOUNG et
Emily C. FORTET (Chem. Soc, t. 77, p. 1126; 9.1900). — Prépa-
ration de ces deux corps et détermination de leurs constantes dans
le but de les comparer avec celles de leurs correspondants normaux.
Les résultats montrent que les iso el les diisoparafflnes sont dans
le même rapport avec les paraffines normales isomères qu'un homo-
logue inférieur à un supérieur. Ainsi les rapports des températures
absolues aux températures critiques absolues, des volumes de
vapeur saturée aux volumes critiques à des pressions correspon-
dantes, des densités trouvées aux densités théoriques aux points
critiques, sont plus hauts pour les paraffines normales, tandis que
les rapports des volumes du liquide aux volumes critiques à des
pressions correspondantes sont plus bas. a. hébert.
Pressions de vapeurs^ volumes spécifiques et constantes cri-
tiques de Foctane normal; Sydney TOUNG (Chem. Soc, t. 77,
p. 1145; 9.1900). — Détermination des constantes de ce corps et
comparaison avec celles des pentane, hexane et heptane normaux.
Cette comparaison montre que les rapports des températures abso-
lues à chaque série de pressions correspondantes aux te.upératures
critiques absolues et ceux des densités trouvées aux densités théo-
riques aux points critiques augmentent légèrement avec le poids
moléculaire, tandis que les rapports des volumes du liquide aux
pressions correspondantes aux volumes critiques diminuent légè-
rement. A. HÉBERT.
Dérivés acétyl-et phénacétylés du d-tartrate diéthylique;
John Mo. CRAE et T. S. PATTERSON {Chem. Soc, l. 77, p, 1096;
9.1900). — Les auteurs ont préparé les monoacétyl, diacétyl, mo-
nophénacétyl- et diphénacétyl-diéthyltartrates. Ils possèdent les
pouvoirs rotaloires spécifiques suivants :
Monoacétyldiéthyltartrate + 9»,03 à 20*
Diacétyldiélhyltartrate + 6«,30 à 100»
Monophénacétyldiétliy Itartrate +30», 38 à 20»
Diphénacétyldiélhyltartrate -j-l'^S^i à 20»
En comparant la série des monoacidyltartrates, on voit que le
I
CHIMIE ORGANIQUE. 73
ndietl pbéoacëtyle exerce une plus grande influence que le radical
woéijk] parmi les diacidyltarlrates, les radicaux acétyle et phéna*
cétjrle 98 comportent d'une façon analogue, mais différemment des
HMiicaax toluyles. D*tutre part, Tintroduction d*un groupe acidyle
logmeote la rotation desdiéthyltartrates; mais le second groupe
«ôdyle diminue la rotation des monoacidyltartrates.
À. HUBERT.
8v les diralfonas. Les disnlfonas de racétophénona et de la
teaophèiioiia (V); Tb. POSNER (Z>. cb. G., t. 33, p. 3165;
9.11.1900). — L'auteur a obtenu la disulfone de Facétophénone
l l.iiAényl-diéthyl-sulfone-éthane) CH3.C(SO«C«H5)«C»H» en
aturtnt par HCl gazeux et sec, un mélange d*acétophénone en
^oiotioo acétique et de mercaptan éthylique, puis en oxydant au
•o)€ii du permanganate de potasse et H'SO^ étendu, Tacétophé-
BODMnercaptol ainsi préparé ; il faut avoir soin de refroidir pendant
roxydaiion. La disulfone en question cristallise bien dans Talcool
«< fond à il9-i20*. Elle a déjà été préparée par Froram par méthy-
iMioodelabenzylidène-diéthylsulfone; cet auteur lui avait attribué
^ point de fusion 100-101'' mais vérification faite, la différence de
oes points de fusion provient de ce que la disulfone préparée d'après
^ laélbode de Fromm est difficile à purifier. La benzophénone
^(ée comme ci-dessus a fourni aussi une disulfone (diphényl-
ttthybulfone.méthane)C«H».C(SO«C«H5)«C«H5 qui cristalUse en
Pte prismes ou en petits cristaux grenus, F. 136-137^ ; elle est
fevsokible dans l'alcool et insoluble dans l'eau.
L'tcélophénone et la benzophénone se transforment donc par le
^uement habituel en disulfones, ce que l'auteur voulait démontrer.
F. REVERDIN.
lotvaao mode de formation de la c canarina » ; B. PAW
ttWn \D. cb. a, t. 33, p. 8164; 26.11.1900). — Lorsqu'on
'/xile peu à peu du persulfate d'ammonium à une solution
^«*Kolréc de suUocyanure d'ammonium, il se forme un précipité
t'aie, Horooneux, qui après avoir été lavé constitue de la canarine
Presque chimiquement pure ; on sait que la canarine préparée par
*^fttres méthodes est assez longue à purifier.
LéquaLîoQ suivante rend compte de sa formation :
3CAX.SH + 0 = C^Az^Sm + H^O.
Oti peut encore produire la canarine sur la fibre en trempant
^ une solution die sulfocyanure d'ammonium de la laine imbibée
^pcrmlGHe. r. revehdin.
n
74 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur l'acide nitrosulfosalicylique ; R. HIRSCH(Z?. cb. G., t. 33,
p. 8238 ; 26. il. 1900). — L'auteur s'est proposé de déterminer la
constitution des acides sulfosalicyliques dont deux isomères ont
été décrits ; comme Ton connaît deux acides nitrosaiicyliques '\>iO'
mères dont la constitution a été établie, si en sulfonant ces derniers
on obtenait les mêmes combinaisons qu'en nitrant les acides sulfo*
salicyliques la question serait résolue. Il a d'abord sulfoné l'acide
salicylique en traitant cet acide par H*SO* conc. à la température
du B.-M. mais il n'a pu décelpr dans le produit de la réaction
qu'un acide sulfonique. Quant aux acides nitrosaiicyliques, il a
modifié leur préparation qui en avait été indiquée par Keibner, et
il a obtenu par sa méthode un rendement à peu près théorique et
une séparation nette des deux isomères. Enfin en chaufTant 1/2 heure
au B.-M. 100 gr. d'acide salicylique avec 500 gr. de H*SO* puis
introduisant par petites portions et à une température de 30^
environ un mélange de 90 gr. HAzO^ et 270 gr. H*SO*, l'auteui*
a obtenu un acide nitrosuliosalicylique dont le sel de Ba
C«H«(OH)(AzO«)<^^?>Ba a été analysé. f. re\'erdin.
Sar l'acide anildiacét-o. -carbonique; D. TORLÀNDER et
E. MUMME {D. ch. G., t. 33, p. 3182; 26.11.1900). — Lorsqu'on
prépare l'acide phénylglycine-o.-carbonique d'après le procédé de
Heumann, il se dépose dans les eaux-mères une petite quantité
d'un nouvel acide, l'acide anildiacét-o. -carbonique ou diacétanthra-
nilique :
yCOOH
\A2CH2.GOOH.
I
GIPGOOH
Cet acide se forme facilement lorsqu'on fait réagir en solution
neutre 2 à 3 mol. d'acide chloracétique sur 1 mol. d'acide anihra-
nilique ou lorsqu'on fait bouillir pendant 2 heui'es les solutions
aqueuses de phénylglycine-carbonate de sodium et de chloracétate
de sodium. L'acide diacéianthranilique est précipité à l'état cris-
tallin par addition d'acide et purifié par cristallisation dans l'eau ;
il est en tables ou en feuillets incolores, fusibles vers 212** en se
décomposant. Il fournit avec l'alcool et H*SO* conc. un éther
trimélhylique neutre, F. 62**. Ku chaufTant l'acide ou son étheravec
une lessive alcaline, il y a formation par condensation d'un dérivé
fndoxyliijue qui se transforme par oxydation en solution forteoiont
acide au moyen de FeCl^ en une matière colorante ressemblanl
CHIMIE ORGANIQUE. 75
à riodigo. Ce colorant n'a pas de valeur car il se décompose. Si
l'oQ modifie les conditions de l'oxydation on obtient des composés
diversement colorés dont l'un teint la laine en violet.
L'éther trimétUylique dont il a été question ci-dessus fournit par
cûodeosation avec Talcoolate de sodium un éther mélbylique do
fêcide indoxjrJacétique, F. 168*. f. reverdin.
Sor lai dthers des acides acylphénylglycine-o.-cairboniques ;
I. TORLÂIIDER et W. MEUSEL (D. ch. G., t. 33, p. 8184;
tt.ll.l900j. — L'un des auteurs et Weissbrenner ont trouvé que
tes dérivés acétylés de l'acide phénylglycine-carbonique et en
?trticalier les éthers dialcoylés, se transforment facilement en indigo
ptr faction de H*SO* fumant, de la lessive alcaline ou de l'alcoolate
k sodium. On pouvait se demander si Téther dialcoylé de l'acide
fcéipbénylglycine-carbonique ou de l'acide benzoylphénylglycine-
cotKMiique pourraient être des dérivés indoxyliques de la forme :
CO.R
I
C«H*/ NcH.COOR,
HO (
»
OR
^ qui expUquerait la formation de l'indigo au moyen de la lessive
«fcatioe.
Les auteurs ont, dans le but de résoudre cette question, préparé
'•-iher diéthylique de l'acide acétphénylglycine-carbonique : 1"* par
«*t»êri8calion de l'acide acétphénylglycine-carbonique ; 2* par
^f^Ution de Téther de l'acide phénylglycine-carbonique; 3** par
'irtion de l'iodure d'éthyle sur le sel d'argent de l'acide acétphényl-
^noe carbonique et ils ont trouvé que les produits obtenus par
'«âditerses méthodes étaient absolument identiques. Ils ont préparé
*ft outre les éthers monoéthyliques de l'acide acétphénylglycine-
^•rtwnique isomères ; ces éthers ne se transforment pas en indigo
FtrébuJUtion avec la lessive alcaline étendue, ils ont la constitution
Wïrnule et ne sont pas des dérivés de Tindoxyle.
Les auteurs ont aussi constaté que l'on peut, au moyen de H*SO*
'«c., différencier mrec quelque exactitude les dérivés des acides
•CTlphéo^-iglycine-carboniques etcemx de l'indoxyle, car les combi-
■•«M» de Tacide phénylglycine-carbonique ne donne pas d'acide
***fWttlfooique lorsqu'on les chauffé avecH'SO*. D'après leurs
76 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
recherches les éthers dialcoylés sont de véritables éthersde Facide
acétphénylglycine-carbonique :
C0.CH3
/Az.CH^.COOR,
C«HK
NCOOR
et la formation d*indigo provient de la condensation de ces éthers
dialcoylés en dérivés indoxyliques. f. reverdin.
Sjrntbése de la coamaranone et de sas homologuas au moyan
des acides phénoxyacétiques ; R. STŒRHER et F. BARTSCH
(D. cb. G., t. 33, p. 3175; 26.11.1900). — L*auteur décrit la
préparation de la coumaranone au moyen de Tacide phénoxyacé-
tique ; ce procédé est le plus avantageux lorsqu'il s'agit de préparer
de petites quantités de coumaranone, et il est pour ainsi dire le
. seul utilisable pour obtenir ses homologues substitués dans le noyau
et ses dérivés.
On ajoute rapidement à 5 gr. d*acide phénoxyacétique en poudre
complètement sèche, et recouverts de 15 gr. de benzène anhydre
8 gr. d*anhydride phosphorique. Le mélange bien agité est en-
suite chaufTé avec précaution, pendant 10 minutes, dans un ballon
muni d'un réfrigérant ascendant jusqu'à ce que le produit coloré au
début en rose soit devenu rouge foncé. Après refroidissement on
ajoute rapidement de Teau et on décante la couche benzënique. La
solution aqueuse est agitée avec de Téther, le résidu de Téther est
réuni au résidu laissé par Tévaporation du benzène, puis distillé
à la vapeur d'eau. Cette disûllation est assez longue, la cétone se
dépose au début en cristaux blancs, tandis qu'à la fin elle reste en
solution et il faut l'extraire en ajoutant du sel et reprenant àl'éther.
La coumaranone ainsi préparée est douée d'une odeur agt*éabie de
jacinthe; elle fond à 101-102*'. Sa semicarhazone cristallise dans
l'alcool et fond à 231* ; son oxime à 159*".
La coumaranone se condense facilement, comme on le sait, avec
les aldéhydes et avec les oxyaldéhydes pour donner dans ce cas
des colorants pour mordants ; les auteurs ont préparé la /-o.-ox/-
benzalcoumaranone et le i •p.^oxybenzalcoumaraaone. Eufln les
méthylconmaranonos ont aussi fait le sujet de leurs recherches.
En faisant avec l'acide o.-crésoxylacétique l'opération décrite plus
haut ilsont obtenu la ^-méthylcoumaranone F. 102* ; ils ont préparé
d'une manière analogue les 5 et d-mélbylcoumaranoues puis la
CHIMIE ORGANIQUE. 77
i^^~iimétbylcoamaranone ^ cette dernière en prenant comme
potnt de départ Tacide as. m.-xylénoxyacétique fusible à 142"*.
Ds se proposent de continuer cette étude avec les acides phénoxy-
icéliqaes, phénoxypropioniques, etc., substitués, f. rbverdin.
Vote Bar la chimie de la chlorophylle ; Léon HARCHLEWSKI
«iC. â. SCHimCK {Chem. Soc, t. 77, p. 1080; 9.1900). — Dans
ft travail, les auteurs montrent que le spectre d'absorption de la
cUorophylle inaltérée est caractérisé par trois bandes entre les
^066 Bel F et trois autres bandes entre F et Kp. Toute solution
9& De montre pas ce spectre ne peut contenir de chlorophylle, quelle
f»t sott la matière qui ait servi à la préparer. La chlorophylle non
Mrée donne, par l'action de Tacide chlorhydrique, de la phyllo-
naihioe et de la phyllocyanine, La < chlorophylle bleue » de
Bartley n*est pas de la chlorophylle inaltérée, mais un dérivé de
rtIkacUorophylle, car son aspect est très différent de celui de là
cUorophylle inaltérée et elle donne avec les acides de la phyilotao-
Bise, mais non de la phylloxanthine ou de la phyllocyanine.
Les auteurs arrivent aussi aux mêmes résultats que Hartley et
âirbr, qui tendent à prouver l'existence d'une matière colorante à
«^ de la chlorophylle propre et des composés du groupe xantho-
I^Uiqye. Ils montrent que la « chlorophylle jaune » d'Hartley est
u mélange de c^tte matière colorante avec des dérivés xantho-
i^Uiques, et qu'en éliminant ces derniers, la couleur devient
mte.
Le» extraits de feuilles bruts contiennent aussi deux matières
«townies vertes : la chlorophylle vraie et une autre substance,
fu se trouve en petite quantité, qui présente une fluorescence
'%fe et qui est caractérisée par une bande d'absorption dans le
'^^i qui est plus réfrangible que celle de la vraie chlorophylle.
b se basant sur les différences de solubilité dans l'alcool et le sul-
^ de carbone de la chlorophylle vraie et de ces diverses subs-
'uees. on peut obtenir une chlorophylle presque complètement
^^^tn^ssée de cette matière colorante verte et des corps xantho-
pfcyiliques.
Enfin, les auteurs ont repris l'étude comparée de la phyllopor-
pfcyrine dérivée de la chlorophylle et de l'hématoporphyrine déri-
^ de rbémoglobine, qui présentent des propriétés chimiques et
^f^ues âîmilaires, et ont examiné sur ces corps Taction du brome.
Ce dernier, employé en excès dans des solutions alcooliques, pro-
éûi dans les substances dénommées des modifications assez sem-
^^■Ufft au point de vue spectroscopique. Des changements iden-
78 ANAUYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
tiques ont lieu quand ruddition de brome a lieu graduellement.
Enfin, Taction du brome en présence d'un léger excès d'acide est
plus énergique que dans le cas des solution neutres.
Cette action ne semble pas être due à une oxydation, car si
Tacide nitrique concentré agissant sur la phyUoporphyrine et Thé-
matoporphyrine donne des réactions colorées analogiiies à celles du
brome, du moins le spectre des solutions obtenues e6l41 entière-
ment différent. a. hébbbt.
Perfectionnement à Tappareil à patasse de Geissler; 1.
WETZEL (D. cA. G., t. 33, p. 3393; 10.12.1900). — Au tube plon-
geur de chacune des trois ampoules est soudée une cloison de
verre soufflé en forme d'abat-jour, ayant pour but de retenir la
bulle de GO* au contact de la lessive de KOH.
Figure dans Toriginal, Warmbrunn, Quilitz et C'% Berlin.
L. BOURGEOIS.
Une nouvelle méthode de dosage du potasBiam; Richard
HALIBURTON ADIE et Thomas BARLOW WOOD (Chem, Soc,
t. 77, p. 1076; 9.1900). — Cette nouvelle méthode consiste : 1** soit
à précipiter le potassium par une solution de cobaltonitrite de sodium
et à peser le précipité ; 2*» soit à précipiter le potassium par un
excès du réactif et à doser volumélriquement ce dernier par une
solution de permanganate de potassium. a. hébert.
Dosage de Tacide carbonique atmosphérique ; James WALKER
{Clwm. Soc. y t. 77, p. 1110; 9.1900). — A cet eflet, Fauteur décrit
une modification de la méthode de Pettenkofer, qui donne des
résultats exacts jusqu'à 0,1 volume d'acide carbonique dans
10.000 volumes d'air en employant une bouteille de 2,6 litres de
capacité. L'erreur usuelle, due à l'absorption d'acide carbonique pen-
dant le titrage, est évitée en filtrant la solution de baryte qui reste
dans une quantité connue d'acide chlorhydrique décinormal et en
titrant de nouveau avec une solution de baryte correspondante.
A. HÉBERT.
Alcaloides toxiques des Boraginées; K. GREIHER {Arcb. d.
Pharm., t. 238, p. 505-531 ; 26.9.1900). —La cynoglosse offic.
l'anchusa ofBc. et l'echium vulg. contiennent un alcaloïde, la cy-
noglossinc, dont le chlorhydrate est cristal, et donne, avec le
sublimé et le chloiiire de platine, des sels doubles cristal, qui
peuvent être utilisés pour sa purification. L'action physiologique
CHIMIE ORGANIQUE. 79
de la cynoglossiae est analogue a celle da curare, en ce qu'elle
ptralyse les extrémilés périphériques des nerfs. — Le syniphylum
ûH reoferine un alcaloïde, la symphyto-cynoglossine, qui ne pré-
sente, au point de vue chimique, aucune différence avec la cyno-
giossioe, mais s'en distingue par son action physiologique, en ce
qi'eUe paralyse le système nerveux central. — A côté des deux
btses précédentes, les plantes précitées renferment encore de la
eboline, qui se rencontre dans leurs racines desséchées. Elles
ooQtieonent, en outre, un glucoside, la consolidine, qui présente
élément les propriétés d'un alcaloïde et se dédouble par les
aodes, eo donnant du glucose et de la consolicine. Ce glucoside
pinlyse le système nerveux central. La consolicine se rencontre
«^liement préformée dans les Boraginées en question. Elle para-
^fse le syst. nerv. central et son action est trois fois plus forte que
celi* de la consolidine. La présence simultanée de ces diverses
iibstaaces dans les Boraginées précédentes explique la diversité
^ opinions émises sur leur composition par différents auteurs,
'«^nos ayant étudié surtout la cynoglossine, les autres, au con-
^rt, la consolidine ou la consolicine qui en dérive.
A. DESGREZ.
tvles fruits du rhamnas cathartica; A. TSCHIRCHetR. PO-
UCCO [Arcb. d. Pbarm.,X. 238, p. 459-477; 31,8.1900. —Ces
^câte reoferment des substances jaunes qui sont le rhamnocitrin,
^ riumaolutine et la rhamnochrysine; ils contiennent en outre,
fénodine, principe purgatif, un sucre amorphe, une pectine ef des
^oistoooes gommeuses ; des substances amères, de la chlorophylle
« «its graisses. Les auteurs étudient la constitution du rhamnoci-
>ftt eT delà rhamnolutine ; la rhamnochrysine leur parait être un
K"^ttil d'oxydation du rhamnocitrin; parTaction de divers réactifs,
'^ ;*Tiicuber de AzH', Témodine et ses dérivés se transforment
*i i^oe C**H**0**. — La formation de p-rhamnocitrin, par hy-
^yie de fextrait aqueux, prouve que les fruits du rhamnus
oturtiea renferment d'autres glucosides que les baies des genres
le riufflous différents de celui-là. a. lesgrez.
8ir la banme résineux du c Larix decidua 2> ; A. TSCHIRCH
HG. WEIGEL (Arch. d. Pbarm.,L 238, p. 390-411; 31.8.1900). —
Ce baume renferme des acides résineux dont une faible partie
'^'ïfeïBenl est cristallisable. Le premier, Tacide laricinolique
C^H^O, est cristallisable et se comporte vis-à-vis des bases
^^^(nae un ac. aïonobasique. Il peut cependant, dans Topération de
80 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
la saponification y fixer un deuxième atome de K, ressemblant ainsi à
d'autres ac. des conifères, en particulier aux ac. abiétique et pima-
rique. L*ac. résineux prédominant dans ce baume fournit, par
Taction de Pb, deux isomères, les ac. a et p-larinoliques, Tun étant
ppté par Tacétate de Pb, en sol. alcool., le second restant dissous,
lis répondent à la form. C*8H*<^0* et présentent, avec Tac. cristal.,
un certain nb. de prop. communes. Le même baume renferme, en
outre, un corps résineux, indifférent à l'action KOH, qu*on ne peut
séparer de Thuile qu'il retient énergiquement; il renferme égale-
ment une huile éthérée composée surtout de polyterpènes, de Tac.
succinique, en partie libre, en partie éthérifié. Pour ces princi-
pales substances, les proportions ont été trouvées de 4 à 5 0/0
d*ac. laricinolique ; 55 à 60 0/0 des ac. larinoliques a et p, 15 à
22 0/0 d'huile éthérée, 14 à 15 0/0 de résine, 0,1 à 0,12 0/0 d'ac.
succinique. a. dbsorez.
Sur la damascônine, extraite des semences du nigella
damascena; H. POHHEREHNE (Arcb. d, Pharm., t. 238, p. 531-
555; 26.9.1900). — Les analyses de l'auteur assignent à la damas*
cénine la form. C^^H^^AzG^. Il a préparé les principaux sels de cet
alcaloïde, notamment les chlorhydrate, bromhydrate, iodhydrate,
nitrate, sulfate acide et neutre, pitrate, chloroplatinate. Par Tactioa
de HI, à temp. élevée, on peut déceler la présence d'un méthoxyle
OCH^ dans la damascénine; par Taction de CHM, on obtient un
iodométhylale C»H««AzOa.CHsi4-2H«0, f. à 143-145»; l'auteur
donne également la préparation et les propriétés des divers sels
dérivant de ce composé : chlorométhylate, nitrométhylate, sels
doubles de Au, Hg, Pt. Par l'action des alcalis et surtout de leurs
carbonates, la damascénine subit une transposition moléculaire se
traduisant par une modification de quelques propriétés, notamment
de sa solubilité dans l'éther. a. desgrbz.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 81
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE
Sur la densité des éléments halogènes; J. DRUGHANN et
W. ILAM8AT (Proc. chem. soc; t. 16, 172). — Les auteurs ont
(ït^erminé la densité et le point d'ébullition à la pression atmo-
*phmque des éléments halogènes suivants.
p. B. D.
y I»>Je *184<»5 3,706
Chiure — 33,6 1,507
Huor —187,0 1 , 108
la densité spécifique du fluoi* a été obtenue en se servant des
^wo«es de MM. Dewar et Moissan, et son point d'ébullition a été
M«l par le celcul; les corrections relatives à la dilatation dufluor
laioide, ont été laites en tenant compte des modifications que
â«b*l Tambre. La densité de Tambre a été trouvée égale à 1,065
» l-V, et 1,10 à — 187". La densité spécifique de l'oxygène et de
rttote est réprésentée par 1,815 pour le premier, et 0,7914 pour
J^ second, H. CAUSSE.
iar un nonvean gaz carboné peu combustible (I) ;
L P. UDOF [Journ. Soc. phys. chim. R., t. 32, p. 273; 1900,
t«K- 4l — Faisant passer sur du Cu chauffé et préalablement
r»*iaii par H les gaz dégagés dans Taction de quantités détermi-
3«s d'AzCH et d'AzO'H sur les matières albuminoïdes, et en
frf-*j'Tilier sur la laine, l'auteur a obtenu des quantités d*azote va-
n*Lé*5, selon les circonstances. Soupçonnant la présence d'un
*«tr(* gaz, il a établi des expériences qui lui ont démontré Faction
^ H et de CO* ou de CO, à la température ordinaire, à une tem-
J^fatnre élevée, à la lumière et à l'obscurité ; il se forme toujours
••a* quantité variant de 0,4 à 5 0/0 de gaz non combustible et non
ftûeorbable par KOH ni par la sol. de Cu*Cl* dans AzW. Les pré-
".^^àucgns les plus minutieuses ont été prises pour empêcher la
;*p-^oce des gaz de l'air dans le mélange. Le nouveau gaz s'ob-
•■•U en quantité notable en décomposant par la chaleur le trioxy-
«iKhjirîie mélangé d'une matière inerte, telle que l'alumine, et
\jr^ iaa» un tube de verre contenant une colonne de Cu réduit
).v H et de CuO. Dans diverses expériences, on a obtenu desquan-
Mc caiM., d* sÉR., T. XXVI, 1901. — TraT. étrang. 6
82 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
tilés de ce gaz variant de 2*®, 4 à 348 ce. par gramme de trioxymé-
Ihylène.
Ce gaz est remarquable par sa stabilité : il n'est pas absorbé par
SO*H* conc, ni par la sol. de MnO*K, ni par les sol. concentrées
de KOH; son volume ne varie que de quantités insignifiantes,
lorsqu'on le fait passer dans un tube chauffé rempli d*amiante pla-
tinée, de pierre ponce ou de CuO ; avec 11 il ne réagit ni à chaud
ni à froid. Sa densité a été déterminée à l'aide de l'appareil de
Schilling; on a trouvé : !• d^^^ = 1,126 ; rf^^^ = 1,138.
On a fait passer ce gaz bien sec dans un tube chauffé rempli de
rubans de magnésium préalablement lavés à l'eau, ralcool el
l'éther et dessèches à 800® dans un courant de H ; le contenu du
tube a noirci et le vol du gaz a augmenté; le gaz sortant contenait
une proportion plus ou moins grande de H, mais une grande quan>
tité du gaz primitif est toujours restée inaltérée. Le magnésium
noirci décompose l'eau en dégageant des gaz, mais il ne donne
pas d'AzH^. Pour s'assurer qu'il contient du G, on l'a chauffé mo-
dérément dans un courant d'O pur et l'on a constaté la formula»
de GO*. Le gaz inerte paraît aussi contenir de l'O, car Mg qui a
été chauffé dans ce gaz dégage moins de H que s'il n'y a pas été
chauffé.
Ges faits semblent donc indiquer que par l'action de GO* ou de
CO sur H, il se forme, soit à chaud, soit à froid, un gaz très stable,
incombustible, contenant G, 0 et H. Il est probable qu'en raison de
son inertie, ce gaz doit être très répandu dans la nature et se»
trouver dans Tatmosphère et dans les gaz sortant des foyers, le
gaz de l'éclairage, le gaz à l'eau, le gaz de pétrole, etc.
A. COR VIS V.
Sur un nouveau gaz carboné peu combustible (II) ;
A. P. LIDOF (Journ. Soc, phys. chim. /?., t. 32, p. 278; 190oi
fasc. 4). — Par la combustion du gaz de houille ordinaire au
moyen de GuO à une température peu élevée, l'auteur a obtenu un
gaz analogue à celui dont il est question dans l'art, précéd., mais
de dens. plus grande égale à 1,366 et voisine de celle de Targ^on
ce gaz résiste à tous les réactifs. Dans une expérience 5700 ce. de
gaz de réclairage, de densité 0,461, chauffés pendant trois heures
ont donné 1570 ce, c'est-à-dire 2774 mgr. de gaz inerte
soit 81,6 0/0 du poids du gaz de l'éclairage.
Si ces gaz inertes appartiennent au groupe de l'argon, il en
résulterait que les moyens qu'on emploie pour les séparer de l'azote
entraînent une perte considérable et que la proportion de ces ^az
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 83
dans l'air devrait dépasser de beaucoup 1 0/0. Quoi qu'il en soit,
les méthodes pratiques actuellement en usage pour l'analyse des
gaz d'éclairage ou de chauffage ne donnent pas de résultats
euctd, puisqu'une partie du C échappe à l'état de composé inerte.
— Ces recherches ne sont pas terminées. a. corvisy.
Sir la nature négative de groupements atomiques non
ntorét; Ferdinand HENRICH (D. cb. G,, t. 33, p. 1435-38;
9.5. 1900 j. — L'auteur constate que les idées émises par lui sur la
uture négative des doubles liaisons, s'accordent parfaitement avec
l<s idées émises par Nef sur le même sujet. v. auger.
Etudes de nombres dans la série napbtalénique ; HERHANN
Itj D. ch. G., l. 33, p. 1910-17; 12.6.1900). — L'auteur a recher-
fbé le nombre d'isomères possibles de dérivés substitués du naphta-
itAe,aous ne pouvons transcrire ici les tableaux qu'il fournit, et
k:« calculs auxquels il se livre. Notons qu'en considérant 8 substi-
ttOAls didérents appliqués au naphtalène on obtient 10.766.601 com-
posée isomériques possibles et qu'actuellement il n'y en a pas
1. 10000» de connus. L'auteur en conclut qu'il y a encore certai-
Dfinenl parmi les nouveaux produits à découvrir, de nombreux
composa qui présenteront un intérêt scientifique ou technique
(fienutgré le travail intense appliqué dans ces dernières années
ftut dérivés naphtaléniques, le sujet est à peine effleuré.
v. AUGBR.
Sor le réactif deCaro; Eug. BAMBERGER(i>. cb. G., t. 33, p. 1959-
IW; 25.6.1900). — L'auteur a remarqué que la solution neutre du
Kseiif de Caro fournit, lorsqu'on la chauffe avec AgAzO^, un dégage-
ment d'oxygène ozonisé. MnO*, Ag*0, PbO*, Pt agissent de même.
AMtiooné d'un sel de cuivre, puis de lessive de soude, ce réactif
^ovnii on précipité brun noir d'un peroxyde de cuivre, qui décom-
pose rapidement le reste de la solution. Le percarbonate de potas-
»uuD réiigit sur l'ac. sulfurique à froid en donnant une solution qui
seiLUe identique avec celle de Caro. v. auger.
84 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
CHIMIE ORGANIQUE.
Nitrotriiodôthylône et dinitrodiiodôthylône ; Heinrich BILTZ
et Erich KEDESDT (D. cà. G., t. 83, p. 2190-96; 9.7.1900)- — Nef
(Ann. der Chem.^ t. 298, p. 346) a obtenu par Taction d'AzO^H sur
C*I* ou C*I* une substance qu*il a considérée comme un triiodovi-
nylnitrate PGICIOAzO» f. à 109*. H. Biltz a obtenu par l'action de
AzO*H sur C*P, en présence d'iode, un produit fus. à 107*,
I*CbGIAzO* nitrotrnodéihylène. L'auteur a voulu voir si ces pro-
duits étaient identiques, et dans ce cas quelle était la vraie formule.
Les composés obtenus par ces 2 méthodes sont identiques. F. 107*
et la formule est C*PAzO'. Le produit est très stable, la potasse
alcoolique diluée ne l'attaque que lentement, et en décomposant
totalement la molécule. Br au b.-m. est sans action. On doit en
conclure la formule d'un nitrodérivé I*CbGIAzO*. Cependant Tamal-
game de Na agit sur la sol. alcoolique en produisant ÂzH^.
Dimtrodnodétbylène G*I*Az*0*. — On ajoute peu à peu 4 gr. de
G*I* à 25 gr. AzO^H fumant, tiède, et laisse 15 min. au b.-m. On
refroidit rapidement, verse dans l'eau froide, traite par une sol. de
SO* jusqu'à décoloration du liquide, filtre, lave, dissout dans peu
de benzène, précipite à la ligroïne. Rendement très faible, pouvant
pai-fois atteindre 25 0/0. Aig. jaune mal, f. à 68-69^ Très instable
à la lumière, projeté dans KOH en sol. concentrée, prend feu et
déflagre; décomposé par une sol. plus diluée, en fournissant une
sol. jaune.
De nombreux essais décrits par l'auteur, pour obtenir plus
facilement ces produit, sont restés sans résultats. v. auger.
Action des sels mercuriques sur les olôfines; K. A. HOFMANN
et Julius SAND [D. ch. G., t. 33, p. 1340-53 ; 28.4.1900). — Seîs
éthanolmercuriques, — G*H* dirigé pendant plusieurs heures dans
une sol. aq. deHgGl« ppte de brillantes lamelles de G«Hg*Gl*0*H«<>.
Après 12 heures de repos apparaissent de gros cristaux aiguillés
très brillants, qui, séparés par débourbage des lamelles et recris-
tallisés dans l'alcool, correspondent à GH«iOH)CH«HgGl,HgCl«;
c'est bien un sel double car la potasse précipite la moitié du Hg en
HgO, le reste, entré en sol. précipite par GO* le composé
CH*(OH)CH*HgGl. Les acides minéraux, le cyanure de potassium
fournissent de l'éthylène.
CHIMIE ORGANIQUE. 85
Si Too précipite du nitrate mercurique par KOH, Téthylène est
absorbé en redis6olvant le ppté ; en additionnant de KOH puis
réintroduisant Téthylène, on parvient à dissoudre tout le Hg dans
UsoL alcaline. De cette solution, KCI précipite un chlorure t.
a 155* CH«(OHiCH«HgCl.KBr fournit un bromure f. à 158*
CH*tOH'CH*HgBr, sa sol. alcoolique fournit avec TAzH^ gaz. un
ppté crist. CH*. OH ,CH«HgBrAzH3 j. à 150^
Le bromure oxydé par Br, puis KOH donne un acide mercuri-
tcfHique hromé HO^C.CH^H^Bt poudre blanche crist. qui, dissoute
«iaosCAzK, soumise à H^S, fournit Tacétate de potassium. HÇl agit
«tr le bromure et le chlorure en donnant quantitativement de
i'-iiàylène. On peut expliquer cette décomposition en admettant que
*f poupe (OH) est facilement élhérifiable, remplacé par Cl, puis
f*5 le mercure se détache en HgCl', laissant Téthylène.
^»xyde CH*-CH*HgO, obtenu sous forme de poudre dense f. à
\ I
ï^eïi traitant le bromure par Téthylate de sodium.
^% éthéaiques, — Si dans la solution alcaline de raercurinitrate
aatur^ d'éthylène, on introduit Kl, on ppte un iodure CH*=CHHgI
a leaiUels argentés f. à 147**. HGl ou CAzK le décomposent en
townl de rélhylcne ; HgO et KOH le transforment en acide
éBereuriàcétique (HOHg)(Hg)C.CO«H.
l'azoUUe CH*=GH.HgAz03 s'obtient en traitant le chlorure de
*sminélhanol par AgAzO^ en sol. méthylique. Feuillets incolores
*» brillants.
Sidfure de inercuriétIjanol[CH\OH)CH*Hg]S. — Poudre crist.
s^teue en traiiant le chlorure correspondant par le sulfure de
*cdiixm.
Sulfbydrale de mercuriétbaaoICU*{0\i). CH^UgSH. — Obtenu,
A ffléme temps que Thydrate correspondant, par ébullition du
*Are précédent, avec de Teau. Brillantes lamelles cristallines.
Merearisels de Foxyde détbyle, — On précipite une solution
'^«ewilrée de sulfate mercurique, aussi peu acide que possible,
pw C«H», OQ obtient un sulfate complexe G«Hg*S«080*H«o qu'on
'l*^BOQi dans KOH à iO 0/0, ajoute le sel halogène correspondant
ai déhré qu'on veut obtenir, et sature de GO*.
CAiware OiGH«CH«HgCl)», crist. blanc f. à 190».
Bromure 0(CH*GH«HgBr)«.
CtriwMl^ 0*'GH«CH«Hgj«G03. — Précipité directement parGO«
^tUsolotioo alcaline du sulfate G«Hg*S«0»0*H«o.
tu» ces seU donnent avec HCl ou GAzK de Téthylène.
86 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGERS.
Uiodare (C^H^Hgl)* s'obtient comme le chlorure. Il (. à 161*.
Le sulfure (C^lVHg)^S est obtenu par addition de KHS à la sol.
alcaline du sulfate complexe. v. augbr.
Combinaisons de Tôthylône et de Talcool allylique avec les
sels mercuriqaes; E. A. HOFHANN et Julius SAND (D, cb, (?.,
t. 33, p. 2692-2700; 10.8.1900). — Ce travail complète celui qu'on
a lu plus haut et répond aux objections posées dans la communi-
cation suivante, de MM. Einar Biilmann.
D'après les auteurs, si ce dernier n'a pas pu obtenir les combi-
naisons éther-oxydes et alléniques, c'est qu'il n*a pas suivi le
procédé décrit. De plus, il a calculé par erreur 69,86 Hg, au lieu de
68,29 pour son soi-disant éthanol-mercuri-sulfate.
Action de Féthylène sur les sels mercuriques, — Nouveaux
détails sur des expériences précédemment décrites et comparées à
celles de Biilmann.
Selspropylène-glycoliquesX.Ug.G^WO'^. — On verse de Talcool
allylique dans une solution d'oxyde jaune de Hg dans Tac. azotique
additionnée de KOH jusqu'à trouble persistant. Ce trouble disparaît
sous rinfluence de l'alcool; on additionne à nouveau de potasse,
puis d'alcool jusqu'à ce qu'un précipité noir indique la fin de la
réaction. La sol. est alors alcaline. Additionnée de Kl puis saturée
de C0«, elle fournit des lames crist. d'iodure f. à80^I.Hg.C»H''O«;
avec KBr on obtient de même le bromure l, à 86*» Br.Hg.C*H"0*.
V. al'geh.
Action de l'alcool allylique et de l'ôthylône sur les sels mer-
curiques ; Einar BIILMANN (Z7. ch. G., t. 33, p. 1641; 26.5.1900).
— AHyloxyde-mercurisulfate (C3H50Hg:)«SO* + 4H«0. — Cris-
taux blancs obtenus par l'action de 30cc. alcool allylique sur une
sol. de 75^HgO dans 800cc.H«O et 180cc. d'un mélange à vol.
égaux d'H^SO* et H*0. Sol. dans l'eau à chaud, perd son eau de
cristallisation dans l'air sec.
A Uyloxyde-mercuriamine-sulfate (C^H^0Hg)*(AzH5}«S0*. - —
obtenu par l'action de rAzH»"* aq. sur le sel précédent, et précipita-
tion de la sol. par 3 vol. d'alcool. Poudre crist. blanche.
Allyloxyde-mercurwUrate C»H5-0-Hg. AzO»+ HK). — Obtenu
avec 20cc. alcool allylique et une sol. de 2o«'^HgOdan885cc.A20«H
à 40 0/0 et 50cc. H«0. Crist. blancs peu sol en H»0 à froid.
Allyloxyde'mercuriamine'nitrateC^W'0'Ug{A'AW)kzO^'{'\z^O
très sol. dans H*0. Ppté par l'alcool.
CHIMIE OKGANIQUE. 87
AUjrlorrde-œercunacétate 2(C8HsOHgC«H30«) + H«0. En opé-
nat arec un sol. acide d'acétate mercurique. Sol. en H*0 à chaud.
Chstalliàe anhydre, de l*eau bouillante.
AUj-IoT/de-mercuribromure C^H^OHgBr, poudre blanche obte-
nue en précipitant par KBr les solutions des sels précédents.
Le cbîorare est obtenu d'une façon analogue.
Ethanolmercurisultale (CH«(OH)CH«Hg)«SO*. Obtenu en satu-
rant 'i ethylène la solution mercurique décrite au commencement
'le cette communication. Ppté blanc, crist. sol. à chaud en H*0.
Les sol. pplenl par KBr.KCAzS.Cr'O^K» et Na«.SiFl«H«. — Bro-
aare CH^OH)CH*HgBr.
"iiir les combinaisons aUéniques de Hofmann et Sand; {D. cb.
C . t. 33, p. 1840). — Cette partie du travail est une critique du
imtii de ces auteurs. M. Biilmann conteste toutes les formules
fowTues par MM. H. et S. et croit que ceux-ci ont eu en mains des
composés impurs; il attend qu'ils fournissent plusde détails sur la
pKTptrttion de leurs produits pour se prononcer sur la cause des
iiffereaces observées entre ses produits et les leurs, v. auger.
Action du peroxyde d*hydrogône sur les hydrocarbures non
satorèf ; C. F. CROSS, E. J. BEVAN et Th. HEIBER6 {D. cL G.,
' 33. p. 2015-18 ; 28.6.1900).— L'action de l'eau oxygénée sur ces
^posés n'a bien lieu qn'en présence d'un sel de fer.
Àcetylt^ue. — On a fait agir le gaz à 50-70* sur 50 ce. de H*0*
-ijc, en présence de 0^,125 de sulfate ferreux. On a obtenu beau-
"'^ d ac. acétique^ en même temps qu*un peu d'alcool et d'aldé-
B^az^ne, — En opérant avec 10 gr. de benzène, 500 ce. H*0*
iiu? H 1»',5 FeSO* . 7H«0 en chauffant à 45** à l'ascendant, il y a une
^tknte réaction avec formation de phénol, de pyrocatéchine et
Hijdroqtiinone ; en même temps, on obtient un composé brun,
*»orphe qui fournit un dérivé brome cristallisé, et dont l'étude
î*ta continuée. v. auger.
9v les produits de nitrosation d'ôthers p-cétocarboniques
cycliques : Ether bis-nitro-^-cétocarbonique et acides a-oxi-
■iMictrboniqnes; W. DIECKMANN (D. cb. G., t. 33, p. 579-95;
112-1900;. — X'-oximid(hadipate d'élbyle
C?H502C-C=( AzOHHCH^3-C02C2H5 .
I — Le ^étopeniaméthylènecarbonale d'éthyle (5 gr.) est mélangé
SB ANALYSE DES TRAVAUX BTRANGERK.
à 0» avec 3 gr. d'azotite d'éthyle et addîUoniié, en refroidissant, de
0«',9 de sodium. La réaction est immédiate :
HsC^.CONa OC^HS _ HïG./^C0'Cm5
H3C ^C-C0=CïH5 "'* Ai^O ~ H'c' Ic-CO^CHs
II
AzONa
après acidulalion sulfonique on obtient l'éther en aiguilles Tusiblcs
à 52-53", peu sol. dans l'eau, sol. en KOH. Les sels de Cu et fe
produisent des pptés vert et brun, h'aoîde libre, obtenu par sapo-
niflcalion alcaline, f. à 151-152°. Sels : K, déliquescent; Ca, vert
Ay C«H80=AzAg, peu sol. dans H*0 ; sUble.
. . ■ ., - CH'.CAz
Acide y-cyanobutynque; pentanenitriloique i
CH*.CH«.CO«H
— L'acide a-oximidoadipique chautTé au-Klessus de son point de
tusion perd CO* et H*0. L'acide obtenu, très déliquescent f. à 45°.
Le sel de Ba estgommeux; A'Ag, ppté blanc; Cu, aig. bleues. L.a
soude saponifie en ac. glularique. L'anh. acétique à douce tempiS-
rature, agit comme le ctiauriage précédemment décrit; H'O à 75"
agit de même.
Elher bis-mtroso-^-cétopenlamvthyU'nccavboniquc
CH» OH»
HïcJ 'c kz>(y c' VMi
I I
CO'CïH» CO'Cms
— L'élher p-cétûcarboni(|ue, traité par l'azotite d'éthyle et qques
gouttes de CH^COCl fournit ce composé après 15 heures de repos.
Aig. peu sol. dans les solvants neutres, f. à 114° en se colorant en
bleu et avec décomposition. Donne la nitrosoréaclion de Lieber-
mann. Les alcalis eu sot. alcool, rournissent l'ac. a-oximidoadi-
pique f. à 151'*. L'alcoolatc de Na fournit l'a-oximideadipalc
d'éthyle. L'HCl saturé à 0* donne un éther mal étudié.
A fii/i< tt-oxiniido-piméliquc; heptaneoxime-2-dioïque
HOïG-C-( AïOH) (CH')»-COïH .
nu en traitant l'éther p-célohexaméthylènccarboDiquc par
« d'éthyle et C*H'ONa, puis saponiRcation de l'oximido-
iiileux obtenu; f. à ii'l" en se décomposant. Sels analogues
piques correspondants.
CHIMIE ORGANIQUE. 89
Chauffé au-dessus du p. de fusion, puis trailé par la soude, cet
aciiie founiit Tac. adipique pur.
Etber bis-nitrosO'^'Céiohexaméthylènecarbomque
CH2 y
'(\Jc'
H2(X JOO—
C02C2H5,
/
Az202
— Obtenu comme le cétopenta dérivé précédemment décrit, f.
T«r& 110* en se décomposant. On obtient par saponification Vétber
^umidopimélique et f acide correspondant. v. auger.
Sir les produits de nitrosation et la constitation de Téther
Bétkjl-^*cétométhylénecarbonique obtenu par condensation
iêl Mier^méthyladipique; W.DIECEHANN et A. GROENEVELD
D,eL C, t. 33. p. 595605; 12.2.1900). — Ether aroximido'^-
néthfbdipique C^H^O^C . C( AzOH) . CH« . GH<^{J' CO«C*H»- ~
L'ciher méihyl-p«céto-pentaméthylènecarbonique (obtenu par con-
«insatioD de Féther p-méthyladipique, par le sodium, et bouillant
1 113" sous 12 mm.) et additionné de nitrite d'éthyle, en sol. alcoo-
^w absol. On introduit Az*0* jusqu'à réaction faiblement ac,
«S^le Talcool et recristallise le produit qui f. à 60*. Les alcalis le
^fonifient en fournissant : V acide libre f. à 162*. Sel dAg, ppté
»asible à la lumière, déc. à ilO*. — Sel acide d*Agt stable, crist.
àasùs H«0. Cet acide chaufîé seul ou avec H*0 ou avec Tanh. acé-
i»^, fournit le mononitrile méthylglutarique huileux qui, sapo-
iiBéfotimil Tac. p-mélhylglutarique f. à 76°.
Eihers métbylique et étbylique de Facide bis-Ditroso-mélbyl-
}<^opentamétbyiènecarbonique. — Obtenu comme les bis-nilroso
*tliers décrits dans la précédente communication. Ils fondent tous
<tett à W*. La cryoscopie a confirmé leur fonnule :
Ci6H»08Az2 et C»8H2608Az2.
L«s ptrcduits de saponification par la soude alcoolique sont : la-
"^iaûth-^méthyladipate f. 65*. L'acide correspond, fond à 163*»
LTiCl alcoolique fournit aussi Toximidoéther, en même temps
1**<m dérivé chloré non étudié. v. auger.
90 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les condensations de dérivés aromatiques nitrosés avec
des dérivés méthyléniques (II); Franz SACHS {D, ch. G., t. 33,
p. 959-66; 26.8.1900). — Ces dérivés sont obtenus par la réaction
de condensation suivante :
(Alcoyl)2= Az-C«H*AzO + GH2<
(R et Ri étant des radicaux électro-négatifs)
= H20 + (Alcoyl)2=: AzC«H'^Az
\Ri
Ces dérivés, traités par les ac. minéraux dilués, donnent par
fixation d*eau :
(Alcoyl)2= Az-C6H4AzH2 + G0< .
\r,
L'ac. chlorhydrique gazeux donne un sel d'addition très ins-
table. Le chlorhydrate d'hydroxylamine scinde le produit suivant :
(Alcoyl)2=Az-G6H*-Az
HC1H2
\r,
AzOH
4diéthylaminophényl'}j.'Cyanazométhiî)ephényle
<GAz
G«H5
— A été décrit précédemment, son produit d'addition avec HCl f.
à 172^ en déc. Par ébuUition avec alcool et HClAzH^OH , fournit
Toxime du cyanure de benzoyle.
4-diéthylaminophényl'}j.'Cyanazométhine'4'mtrophényle
(G2H5)2=Az-G6HUz=G<
yGAz
OH4Az02
— Son HGl sel fond à i93^
4'diméthylaminophényl'\j.'dicyanazométbine
<GAz
GAz
— Obtenu par action directe, en sol. alcool, de la nitrosodiméthyl-
CHIMIE ORGANIQUE. 91
inilioe et da nitrile malonique. Crist. rouge foncé à reflets bronzés
'. à !6>. SO*H* à 20 0/0 et bouillant le décompose en
«HCAz + C02 + AzH2-C«H*Az(GH3)2.
Dériré étbylé (C^H^)* remplace (CH^)», feuillets violet rouge f.
1 114*.
i-dimétbylaminopbényI'\t.'CyaQazométbineamide
(CHî)2= Ae.C«H*-Az=c/
CAz
C0AzH2
-<>bteuu avec le cyanacélamide en présence de Na^CO^ et alcool,
f^mme? rouges f. à 220®.
b:nré étbylé (C«H5j« remplace (CH^j», f. à 165».
Condensation de nitrosodimélbylaniline et sulfone du tétvamé-
tjkbimiBodlpbénylinétbane
Az-G6H*-Az(CH3)2
(CH3)2Az S02 Az(CH3)î
^Obccnu comme les précédents, en présence de soude alcoolique.
f*«idre crist. orangée. Son produit de scission par les acides est la
*^nmètbyldiaminobeuzopbénoDe sul/one
<CH3)2Az â02 ' Àz(CH3)2
■ » 3n»; sublimable, jaune. v. auger.
Action do cyaniire d*ammonium sur racétone ; W. GULE-
WirSGH D. cb. G., t. 33, p. 1900-1; 16.6.1900). — L'auteur a
W^œ 8 l'acétone la réaction que Lubawine (Journ. soc. pbys.
•^. t. 13, et 14} a découverte et appliquée aux aldéhydes. On
<:sse digérer pendant 16 à 20 heures un mélange équimoléculaire
•Ticétooe et de cyanure d'ammonium fraîchement préparé (sol. à
**» t) environ) additionné de 1 vol HCl (D. 1,19), fait bouillir à reflux
* heures, évapore à faible volume, extrait l'acide à l'alcool éthéré.
92 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
L'acide a-amino-isobutyrique obtenu a été séparé à l*état de sel
cuprique, puis isolé. Les rendements varient entre 55 à 72 0/0.
V. AUGBR.
Synthèse de Tacide a-môthyl-p-para-isopropylphônyléthy*
lônelactique ; P. GRIGOROVITCH {Journ. Soc. pbys, Chim. B. ,
t. 32, p. 324; 1900, fasc. 4). — La méthode de synthèse de cet
acide a déjà été indiquée d*après une précédente communication .
Fraîchement préparé, Tacide forme une masse gommeus^ jaune ;
après un long séjour dans Texsiccateur, on voit apparaître des
aiguilles cristallines qui se groupent en rosaces; on sépare ces cris-
taux au moyen de Téther de pétrole, qui dissout la matière gom-
meuse. Après cristallisation dans Talcool, Tacide fond à 123*.
L'analyse de Tacide et de ses sels de K, Na, Ca, Ba, concorde
avec la formule C3H'ï.C«H*.CH(OH).CH(CH3).COOH. La méthode
cryoscopique n'a pas donné de résultats satisfaisants ; le corps
étant insol. dans l'eau el le benzène, on avait employé i'ac. acéti-
que. Les sels retiennent de l'eau de cristallisation : le sel de Na,
2,5 Aq., de Ba, 4 Aq., de Ca, 3,5 Aq. — Traité par SO*H«, l'acide
fournit un carbure huileux, jaunâtre, qui est TaHylpara-isopropyl-
benzène C3H''.C6H*.CH : GH.CH», Eb. 236<» ; avec ce carbure, Br
produit un bromure cristallisé en lamelles fusibles à 57*. — Chauffé
pendant 5 à 6 h. à 100* en tubes scellés, avec HI, l'acide donne
comme produit principal un acide non saturé, i'ac. a-méthyl-fi-
para-isopropylphénylacrylique CSH^C^H^CH : C(CH»)GOOH.
A. COR Vis Y.
Action du zinc sur le mélange d'éthers formique et bromo-
isobutyrique (II) ; L HIKHAÏLENKO et V. lAROVSKT {Journ.
Soc. phys. chim. /?., t. 32, p. 328 ; 1900, fasc. 4). — L'ac. tétra-
méthyl-p-oxyglutarique HOCO . C(CH»j« . GH(OH) . C(GH3)« . COOH
a été obtenu par Mikhaïlenko dans la réaction de Zn sur un mé-
lange d'éthers formique et bromo-isobutyrique {Bull. t. 22, p. 271);
le mémoire actuel contient l'étude de l'action de divers réactifs sur
cet acide.
Action de Fac. iodhydrique. — L'oxyacide chauffé à 130-135® en
tubes scellés avec Hl fumant sfe transforme en partie (environ
25 0/0) en l'acide bibasique saturé correspondant
COOH . C(CH3)2 . CH2 . C(CH3)2 . oqOH .
Get acide tétramélbylglataviquc symétrique est peu sol. dans l'eou
I
^
CHIMIE ORGANIQUE. 93
froide, un peu plus sol. dans Teau chaude, d'où il cristallise en
iaes aiguilles, F. 186^. Cet acide a été analysé ainsi que ses sels
ûwtres de K, Ba, Pb et ses sels acides de K et Ba. — Traité par
le ehlorure d'acétyle, il a donné l'anhydride
CO-C(CH3)2-CH2-C(CH3)2-CO ;
I -0 1
lûDgues aiguilles, F. 86-87* ; par ébuUition avec Teau, ce corps
ffprodoit Tac. tétraméthylglutarique. Par action de la paratolui-
âiae sur l'anhydride, on a obtenu l'acide
COOH.C(CH3)5XH2.C(GH3)^CO(AzH.C«H4.GH3),
cwailisé, F. 157- 158*. — La plus grande partie (75 0/0 j du pro-
tnt de Faction de HI sur l'oxyacide est un mélange d'acides iso~
ao» cristallisés. Par cristallisation fractionnée, on a pu séparer
Dï acide formant de petits cristaux transparents, F. 140-141**. Un
<Btre acide, qui n'a pu être parfaitement purifié, fond vers
iiWSO». L'analyse de ces acides et de leurs sels, l'étude de leurs
îwpriélés chimiques, de leur conductibilité électrique, indique
^eesont des acides laclones, monobasiques et saturés de for-
■nie empirique C»H«*0*.
Aetioa de Tac. sulfurique. — L'oxyacide, chauffé à 135-140* en
lti« «œllés avec SO*H« étendu de son vol. d'eau, a donné le
Orme mélange d'acides lactones. Avec HBr, entre 110 et 160**, on
<^«*«l encore le même résultat. — Par hydratation des acides
^*^tooc3, au moyen d'une sol. alcaline à l'ébullition et en excès, on
■bU'oi des sels neutres correspondant aux oxyacides y ou o ; les
«Twides libres sont instables et se décomposent avec formation
j'todes lactones. — Pour expliquer la production d'acides lactones
* «n dépend de l'ac. tétraméthyl-p-oxyglutarique symétrique, il
fnt admettre la série de transformations suivantes
CH3 GH3
I I
COOH-C-CH(OH)-C-COOH ^->- ( J )
GH3 CH3
CH3 CH3
I I
COOH-C-CH-C-COOH W^- > (-2)
94 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
CH3 CH3
COOH.C(OH)-GHa-GH»-C-COOH (3
CH3
GH3 GH3
et G00H-G-GH2 G-GOOH mh->- (4
GH2-0H GH3
GH3 GH3 GH3
->- COOH-G-GH2-GH2-^GO t r,
l_o_l
GH3 GH3 GH3
I \/
et G00H-G-GH2 G GO (^G
I I
GH2.0 1
Au premier moment l'oxyacide perd de Teau en formant Tacid^
bibasique non saturé (2) (dérivé du triméthylène) ; puis celui-c
s*unit à l'eau dans deux directions et donne les acides (3) et (4)
ces derniers, en perdant de Peau, forment les acides iactones (5
et (6). La difficulté de ce schéma, c'est que Tacide intermédiaire (1]
renferme un anneau triméthylénique, que Ton considère comme
relativement stable. — La structure de l'ac. tétraméthyl-p-oxygluta-
rique est confirmée par l'étude de ses produits d'oxydation ; la sol.
aq. de cet acide traitée par un courant d'oxydes de Tazote a fourni
de l'ac. diméthylmalonique (CH3)«G(C00H)2 et de l'ac. acétique,
A. COR VIS Y.
Action des alcoylates sodés sur Téther phtalylglycocollique
et ses homologues; S. GABRIEL et S. COLMAN (D. ch, (?., t. 33,
p. 980-95; 27.8.1900. —Action de Féthylate et du métbylate de
sodium sur téther phtalylglycocollique : doxylsocarbostyrile^-
métbanoate d'éthyle. — Obtenu par la réaction :
yCOv
G«n4< >Az-CH2-C02C2H5 -{- C^H^ONa + CaH^OH
\co/
/CO AzH
— 2G2H50H + G^IK I ;
\G(ONa)=G-G02C2H5
par l'action des acides (ONa) est remplacé par (OH). On fait agir
les composants à 100', décompose le produit sodé par le chlorure
CHIMIE ORGANIQUE. 95
ruumoiimm et le produit cristallise en aig. f. 190-194'^, sol. en
^uAe dan» les alcalis sauf l'ammoniaque. Uéther métbylique
r 2±2*. Son dérivé sodé est une poudre crist. jaune. L'HBr de
rf= 1,49 le convertit à TébuUition en :
•CO AzH
i-oxY'isoearbostyriîe C^Hv i . — Poudre cristalline
' •" \C(OH)=CH
se colorant vers 200** ; non fondue à 250** ; chauffé à 19Ô« avec HI
/CO-AzH ^
H P, fournit Visoearbostyrile C«H*< i f. à 208'». Ce der-
\CH=CH
ïucr, chauffé à Tébullilion avec POCl', fournit la 1 .-cblorisoguinch
l-ioeC«H*<r^ " I ^ f. à 38" et bouillant à 274^; chauffée à 180*
\CH = GH
Acc HI et P, fournit Tisequinoléine.
/CCl=Az
i-4-^icÈïlorisoquinoléine C®H*^ i . — Obtenu par chauf-
li^à ITO'dcroxjisocarbostyrile avec POCP. Crist. f.89*>,distillables
nec fa Tap. d*eau. 11 se produit en même temps, en plus grande
quantité, un composé non volatil f. à 195**, la 4'1'Oxycblorisoqui^
<CCl=Az
' , faiblement basique. La potasse méthyl-
C(OH) = CH
a^'X^iqne la transforme en dérivé métboxylé : (OCH^) remplace
011. f. kTJ*; THI à Tébullition le ramène au produit hydroxylé
HT démélhylation. L*Hl-}-P à 200*» produit sur Toxychlorisoqui-
aoiêu^e une réduction complète en tétrahydroisoquinoléine.
Ether ^pbtaUmidopropionique C«H*<g2>A2CH(CH3).CO«C«H».
— Cnsl. fuâ. à 61-63% obtenus en chauffante 160* Téther a-bromo-
ffnpioQîque et le potassium-phtalimide. Le méthylate de sodium
(iinni^en opérant comme pour le phtalylglycocollique : leS-d-mé-
/CO AzH
î. lU^yisocnrbostyrilc C«nv l +H«0. f. vers 180-
• ^ ^ \C(0H)=C-CH3
îiO*, perd H«0 et fond anhydre vers 270«. Base faible : HCl sel
En préi^Dce d'alcoolate et ICH*, fournit lemétboxy dérivé{OCW),
remplace ^OH) f. à 193-195». Sous l'action de HI et P à 180% il se
rtdml en S-méibylisocarbostyrile f. à 210*. Le POCP réagit sur
le métfayloxyisocarbostyrile anhydre en fournissant la S-mélbyl-Â-
<CCl==Az ^ ,
I f . à 163% dont le
C(OH)-G-GH*
é-rivé métboxylé f. à 49», bout à 304\ Chauffé à 200* avec HI et
m ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
P. fournit la tétrahydrO'S-métbylisoquinoléine, huile bouillant
/CH«-AzH
à 23T C«HV I . Sa nitrosamine f. à 78«.
\CH«-CH-CH3
yCCl=Az
S'ZnétbyM'd'dicblorO'isoquiDoléineC^H^c i . — Gris-
\CCl=C-CH8
taux f. à 95^ bouillant à 312^, obtenus en très faible quantité dans
la préparation de la méthylchloroxyisoquinoléine ; fournit avec
HI à 240<» ia 3-méthylisoquinoléine ; le CH^ONa remplace Cl
par OCH* et fournit la S'métbyl'l'métboxy'4'Cblorisoqainoléine
^ yC(0GH3)=Az
C«H*< ^ ^1 f. à 57^
\CC1=— C-CH3
oL'pbtalimidobutyrate détbyle C8H*03AzCH(C«H5)CO«C«H«. —
Crist. f. à basse temp., bout à 383-337*, obtenu comme les deux
précédents. Traité comme on Ta vu plus haut, fournit le S'éthyl-^
/GO AzH
oxyisocarbostyrile C«H*< i 4- H«0. HI à 200<> four-
\C(0H)=C-CaH5
nit le S'étbylisocarJbostyrile. v. auger.
Rectification; Emil FISCHER {D. cb. G., t. 33, p. 2790; 4.8.
1900). — La p.-oxydiphénylurée décrite par l'auteur (Z>. cb. G.,
t. 32, p. 1701) a déjà été préparée par Auwers, Traun et Welde
{D. cb. G., t. 33, p. 3308). v. auger.
Sur la nitroso-orcine ; Ferdinand HENRICH {D. cb. G., t. 33,
p. 1433-35; 1.5.1900). — Hantzsch et Fermer ont annoncé que la
p-mononitroso-orcine se transforme en a à 128*. L'auteur a trouvé
que cela a lieu pour les cristaux un peu volumineux de cette subs-
tance, mais que si Ton chauffe la matière pulvérisée, la transformation
avait lieu vers 90-110*'. Que même, à froid, cette transformation
était totale, en pulvérisant longtemps la modification p dans un
mortier. v. auger.
Ethôrification des triphénylcarbinols au moyen des alcools ;
0. FISCHER (D. cb. G., t. 33, p. 3356 ; 10.12.1900). — L'auteur a
observé il y a trente ans déjà {Ann. d. Chem.^ t. 206, p. 132) que
la base du vert de benzaldéhyde s'éthérifie très facilement si Ton
fait bouillir sa solution alcoolique ou même si on Tabandonne
longtemps au repos. Il a fait récemment avec le D' W. Reess
quelques recherches à ce sujet, dans le but d'examiner si d'autres
alcools agiraient de môme et aussi si d'autres bases de triphényl-
CHIMIE ORGANIQUE. 97
etrbiool comme la rosaniline, la base du violet de méthyle etc., se
comporteraient de la même manière. Il décrit à cette occasion
T^kher mëlijrlique de la base du vert malachite C^^H^'Az'O qui a
été préparé comme ci-dessus. Cet éther est en feuillets blancs, se
eolorant faeilement en vert, F. 150-151^. Il se dissout très facilement
dans le benzène, plus difScilement dans la ligroïne et Téther.
L'étber étbylique déjà décrit autrefois se prépare le mieux en
dituflânt la base avec un excès d*alcool à liO-lSO"^ sous pression.
F. l^^.
Véiber benzylique préparé en chauffant une partie de la base
avec 8-4 parties d'alcool benzylique à 140-150* puis à 170*, est en
joiieè aiguilles, blanches et soyeuses, qui se ramollissent vers 195*
pov fondre complètement à 198*. On l'obtient aussi très rapide-
naten chaiifTant, quelques minutes seulement, à Tébullition la base
«î«c de Talcool benz^-lique en excès, jusqu'à ce que le produit de
h réaction devienne brun sale. L'éther benzylique chauffé avec
fl'SO étendu est saponifié. f. keverdin.
Bcuoyl-paroxyde d'hydrogène, et oxydation de Taldéhyde
knsotqaa an présenca da l'air; Adolf. BAETER et Victor VIL-
MSSKD. cb. G. t. 33, p. 1579. 85; 30.5.1900). — Les auteurs
débutent par des considérations théoriques sur la constitution de ce
peroxyde et son mode d'action lorsqu'il oxyde une substance en se
rtdmsant. Us le comparent à H«0«, à AzOOH, à C«H»Az= Az-OH,
• QONa, etc., et l'envisagent comme la combinaison d'un hydro-
Jjie avec l'ion benzoïque O»H5C00j0H.
Le peroxyda de banzoyle qui a été employé est obtenu en agi-
unidii chlorure de Tacide avec H«0> et NaOH. Il fond à 110*. Sa
<J. tibérée agit sur l'alcoolate de Na, en précipitant le sel de Na
*2v benxoylperoxyde d'hydrogène :
*.'niHa).0.0-OOC«H5 + C^H^OXa = C«H5(:0-0-0Na 4- G«H5G02C2H5.
(in dissout le sel de Na dans H^O, extrait le benzoate d*éthyle à
Ttt^r. puis acidulé. Le précipité huileux obtenu est extrait au
«ijinforme, séché sur Na*SO* et le solvant distillé dans le vide
*i»t 00 faible courant de CO*. Rendement 800/0. Le produit n'est
?•$ ilttolument pur. Pour l'avoir tel, on ppte la sol. du sel de Na
par BaCI* lave le ael de Ba et le décompose par SO^H> dans la
pa«. L'aade obtenu est pur et fond à 41-43*». Les cristaux fondent
s« contact de H*0 et l'huile obtenue se dissout assez peu dans
•'<*i Très volatil; distille vers 100* sous 13 mm, en se décompo-
Mc cnM« 9* aiRM *'• xxvi, 1901— -Trav. étrang. 7
98 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sant légèrement. L*odeur de l*acide rappelle celle de ClOH. Sa
vapeur bleuit le papier ioduré-amidoné. La chaleur le lait déflagrer
faiblement. Il ne s'altère pas au contact de MnO'.Ag-.Pt.CrO,
Âc. titanosulfurique. MnO^H Tattaque. Les réducteurs le ramènent
promptement à l*ac. benzoïque; il libère Tiode d'un soL de Kl ed
présence de NaHCO'. Le tournesol est rougi puis décoloré ; Findigc
décoloré; la sol. aq. «l'aniline fournit du nitrosobenzène. Il réagil
rapidement avec l'aldéhyde benzoïque mol. à mol. formant 2 mol.
d'ac. benzoïque.
Sels : Sel deNa C«H»CO»Na, sol. en H«0. très instable; ne s<
conserve que quelques heures. La soude le précipite ; le ppté si
redissout de lui-même au bout de quelques heures avec fonnatior
de benzoate et d'H*0'. — Sel acide de Na. Feuillets crist. obtenus
par introduction de CO* sur la sol. du sel neutre. Se décomposa
rapidement en peroxyde de benzoyle et benzoate de Na.
3G«H5C03H = G«H5.GO*C-G6H5 + GeH^GO^H + 0^ + H^O .
Sel de baryum (C''H503)«Ba + H«0. Feuillets pointus très peu
sol. dans H*0.
Action du C«H»C0C1. — L'acide réagit, en présence de NanCO"
en fournissant du peroxyde de benzoyle.
Action de (CH5C0)*0. — A la temp. ordinaire il y a formation
C«H5G0-0
de peroxyde de benzoyle acétyle A ' ^* ® ^^^*
Oxydation de T aldéhyde benzoïque à Pair, — Il est facile main-
tenant de donner une théorie exacte de cette réaction. Il se forme
d'abord : C«H5C0H+0«=C«H5C03H qui réagit immédiatement sur
C«H5C0H. en formant 2Cm^C0^U.
Les preuves sont nombreuses : Jorissen {Zeitschr, f.phys. Cbem.
t. 22, p. 41) a prouvé que : 1** L'aldéhyde benzoïque absorbe 1 at. 0
par molécule : 2* qu'il absorbe le double d'oxygène par oxydation
en présence de teinture d'indigo, ou d'anhydride acétique. En effet
le peroxyde formé donne son oxygène à l'indigo qui s'oxyde aux
dépens de celui-ci; et en présence d'anh. acétique le peroxyde
fournit un peroxyde stable benzoylacétique, ce qui nécessite 0*.
Une 3* preuve de cette théorie est l'action immédiate du benzoyl-
peroxyde d'hydrogène sur l'aldéhyde benzoïque. v. auoer.
Produits de condensation de l'inddne ; J. THIELB {D. cb. Ci
t. 33, p. 3395; 10.12.1900). — Marckwald a obtenu par condensa-
tion de rindène avec la benzaldéhyde, une combinaison colorée en
CHIMIB ORGANIQUE 99
jatmeinlease à laquelle il a doané la formule d*un produit d'addition
.CH.CH^0H)G6H5
OH*^ ^CH ; cette formule a paru peu vraisemblable
« laoleur car un oxybenzylindène ne devrait pas être, selon lui,
coloré en jaune intense et de fait, de nouvelles analyses lui ont
iS6i^é la formule C'^H^^O au lieu de C*«H**0. On pourrait le
roQsidérer comme un produit d'addition de benzaldéhyde et de
bemylidène-indène et on le désignera provisoirement sous le nom
4*oiybeiizj'lbenzylidène-indène, tout en réservant l'étude plus
ipfprofoQdie de sa constitution. En traitant ce composé par le
cblonire d'acétyle Marckwald a obtenu une nouvelle combinaison
F 110- 111* qui n'est, pas comme il l'a cru, un acétate d'oxy-
tauytiadène mais un chlorbenzyl-benzylidène-indène* Ce composé
éelange facilement son chlore, par exemple contre l'hydroxyle,
«w* Tactioii de l'oxyde d'argent; il donne par réduction, un
nélange de composés non chlorés, duquel on a retiré un hydro-
carbure incolore,' F. 212-213*, C'^H*® qui est peut-être un polymère
lin benzyl-benzylidène-indène.
L*ox>'benzyl-benzylidène-indène dont il a été question ci-dessus
fe forme en condensant la benzaldéhyde avec l'indène en présence
àc »dium en solution alcoolique, mais il se produit en même temps
fo petite quantité, le benzylidène^indène C^H*^ ^^^ ^^®
Toa peut produire en plus grande quantité, en modifiant les condi-
tiûn^^ de la réaction. A cet effet, on mélange 10^,6 de benzaldéhyde
M 18 grammes d'indène (à 65 0/0) en solution dans 200 ce. d'alcool
néihyhque avec 100 ce. de solution de potasse (28 grammes) dans
/«kool ; on retire au bout de 24 heures, environ 5 grammes de
deiayli«1èoe-indène et les eaux-mères en fournissent encore
i grammes. Ce composé cristallise dans l'alcool en feuillets jaunes
ft dasâ la ligTOÏne en mamelons demi-sphériques F. à 88<^. Une
fwne de sa solution additionnée d'une grande quantité de H^SO^
OKkc. doone une coloration jaune, tirant sur le vert, beaucoup plus
«Uhie que la coloration analogue fournie par l'oxybenzyl-benzyli-
•iesoe^adéne.
L auteur a encore condensé l'aldéhyde cinnamique avec l'indène
H il a obtenu la cinnamylidène-indène^ aiguilles rouge jaune,
F. IM*, modérément solubles dans la plupart des dissolvants orga-
aîqBe*; il se forme en môme temps un produit d'addition de
IMébfde eianamique et de cinnamylidène-indèney en aiguilles
100 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
flnes et jaunes, F. 160-161'^, diflicileinent solubles dans le benzène
froid, plus facilement solubles dans Téther.
Il décrit également Vélber de l'acide p.'DitrobenzoyUndètte-
oxalique
qu'il a obtenu en faisant réagir quantités équivalentes d'éther
indène-oxalique et de chlorure de p.-nitrobenzoyle, en solution dans
Tacétone en présence de pyridino. Cet éther cristallise dansFalcool
méthylique en cristaux jaunes, F. 118-114*.
Uacide indène-oxalique que Ton prépare en traitant à froid par
la lessive de soude à 2 0/0 Téther correspondant réduit en poudre
fine, est une poudre cristalline rouge orange qui se décompose très
facilement lorsqu*on veut la faire cristalliser à chaud ; on peut
Tobtenir dans certaines conditions en petits prismes brillants, qui
sont très solubles dans Téther, diflicilement solubles dans le ben-
zène F. 153-154'. F. RBVERDIN.
Sur les résinas d'indône et de coamarone; G. KRJEMERet A.
SPILKER {D. cb. G., t. 33, p. 2257^4; 9.7.1900). — En traitant la
coumarone par Tac. sulfurique. on peut obtenir soit une résine sol.
dans le benzène, soit une résine insoluble. Une sol. benzénique à
2 0/0 fournit avec un acide à 80 0/0 q. th. de résine soluble C8H«0.
Si Tacide est plus concentré, à 95 0/0 c'est la résine insol. qui se
forme. Une solution de coumarone, plus concentrée, ne se trans-
forme que partiellement en résine.
Décomposition de la résine de coumarone, — La résine employée
fondait à ^07^ D = l,25, P. M. 473=4 mol. On a obtenu 67 gr.
de distillât, à la distillation sèche. Il contenait 17 0/0 de phénols
50 0/0 de coumarone, de Téthylbenzène. Parmi les phénols on a
identifié l'o.-éthylphénol et du phénol.
Décomposition de la résine dindène. — La résinification com-
mence avec l'emploi d'un acide à 75 0/0 SO*H^. La résine possède
la formule de Tindène CfiW\ elle est sol. dans le benzène. En opé-
rant avec certaines précautions, on peut obtenir avec Tindène et
SO*H* un étber sulfurique dont le sel de Ba est cristiJlisable
CHOSOî
3
Ba
CHIMIE ORGANIQUE. 101
La résine fond à 210^. Soumise à la distillation sèche, elle a
foonu : on peu de phénol, de Tindène, de Thydrindène.
DécomposilioD de la résine brute, — Celle-ci est obtenue direc-
lemeot par Faction de SO^H^ sur le benzol lourd bouillant de 155
f 185*. On a obtenu les mêmes produits que dans les deux précé-
dentes distillations. v. auger.
Svlatconmarinesbromdas et qaelqaea-una de leurs dérivés
mel fin) H. 8IM0NIS et 6. WENZEL D. cb. G., t, 33, p. 2326-28;
11.7. !900). — Les auteurs ont réussi a obtenir par synthèse la tri-
brofflocoumarine, en faisant réagir la potasse alcoolique froide sur
le<iîbroinure de 3-ô.dibromocoumarine. Un excès d*alcali fournit
le (ribromocoumarate de K. De même le dibromure de p-bromo-
coanarine donne Ta-dibromocoumarine. La ^-bromocûumarine
» été obtenue avec la 5-bromosalicylaldéhyde, Fanh. acétique et
lacêute de Na. Son dibromure, produit d'addition C^H^BrO^Br»
ûUeiïu au moyen Br dissous en CS* f. à 102-105«. La potasse à
fr^ fournit Ta-dibromocoumarine
'co
w
Poor les dérivés coumariques Tauteur propose le numérotage
V. AUGER.
ter les dérivés maloniques de la 2-3-âichloro-a-naphtoqai-
aoM; Fr. MICHEL (Z>. cb. G., t. 33, p. 2402-18; 1.8.1900). — On a
C'pérè, en général, comme suit : on dissout 2 at. Na dans l'alcool
âteohi, ajoole 2 mol. de l'éther malonique employé, puis verse
i mol. dicblorooaphtoquinone en suspension dans l'alcool. On
H^, filtre rapidement, acidulé le filtrat et le précipite par lente
^àà^Mk d*eaii9 puis purifie le composé formé, par cristallisation.
102 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
ChloronaphtoquinoDe-malonatecréthyle C^m*0^ClCH{C0^OW)^.
— Poudre jaune crist. f. à 86*. Se colore en bleu intense par
Talcoolate de Na.
ChIoroa'napbtoquiûone'CyanuredebeDzyleC^^H*O^ClCii<^^^^
— Obtenu avec le cyanure de benzyle sodé. Courtes aig. jaunâtres
f. à i84«.
Cùloro oL-naphtoquinotte-acétylacétate (Tétbyle
yC0GH3
CtoH402Cl-CH<
— On emploie 8 mol. d'éther acétyl-acétique sodé pour 2 mol. de
la quinone. Crist. jaunes t. réfringents f. à 107^. Son sel de Ba est
crist. en aig. violettes.
Acétonyl a-naphtoquinone-acétate d*étbyle
0
/'V^CH2COCH3
IcHaCO^cm»
Vy'
*— Obtenu dans les eaux-mères alcooliques provenant de la prépa-
ration précédente. On Tobtient abondamment par l'emploi de 4 à
5 mol d'éther acétyl-acétique sodé sur 1 mol. de la quinone, et
chauffage à l'ébuUition pendant 10 min. Âig. grenat f. à 155"*.
Cbloro T.'napbtoquinone-benzoylacétate de métbyle
/C0C«H5
C>OH*0»C1-CH<
NGO^CHî
— Obtenu avec le benzoylacétate de méthyle sodé. Crist. jaunes
f. à ns*.
Cbloro oL'iiapbtoquinoDe'acétylacétoae C^m^O^C\.OH<^^^l^
— Feuillets jaunes f. à 132*.
Métbyl-acéiyl-napbtiadènequinone'Carbonale d'étbyle
0 CH-CCPC2H5
0 G.C0CH3
(ou bien la double liaison en ...) — On l'obtient en laissant
CHIMIE ORGANIQUE. 103
U heures en contact 2 mol. acétylacétone sodée avec la quinone.
Aig. grenat f. 177*.
CMûroiï-DapbtoquiDone'l)enzo^IacéioneC^m*OH:iCH<^^^^
- Tables jaunes f. à i09*.
ChJoro Z'BapbtoqaiDone-oxalacétate détbyle
/COCO'C^H*
C«0HK)«C1.CH<
\C03C2H5
— Atcc rétber oxalacétique sodé. Prismes jaunes f. à 118®.
Àahfdro-cbloro oL-naphtoquIûone-dicarbonate détbyle
-* Obtenu en employant 1 mol. 1/2 d'acétone dicarbonate d'éthyle
^sor 1 mol. de la quinone. Feuillets microscopiques jaunes f.
• «W.
Chloro i.'OapbtoquiDone'dibydrorésorcine
yCO-CH\
C>OH*0»C1-CH< >CH^
NCO-CH»/
— Obtenu en employant 1 mol. 1/2 de dihydrorésorcine sodée,
fatales jaunes f. à 258*,
^napbtoquinoDe^bis^pbénylmétbylpyrazoloDe
0-CH2.C=Azv
I ;G«H5
^H-GO^
-CH-COv
I . ;Az-G«H5
.CH2.C = Az/
— Emploi de 2 mol. de phénylméthylpyrazolone sodée. Paillettes
"»«« sang f. 291-293*. v. auger.
)
8v las dériTés maloniques des p-naphtoquinones halogônôes ;
l WanOLiD. eb. G., t. 31, p. 2412-18; 1.8.1900). — En employant
^didiloro ou la dibromo-naphtoquinone on a observé qu*un seul
104 ANALYSE DES TRAVAUX ORANGERS.
halogène est remplacé par le reste malonique, et que c'est Phalo-
gène placé en a qui se détache
La manipulation est la même que celle qui a été décrite en tête
de la précédente communication.
a-bromchP'ChlorO'P'naphtoquinone. — Obtenu en bromant une
sol. acétique de dérivé p-chloré. Feuillets bronzés à reflets dorés
f. à 181%5.
3-chlor(h2'Oxy-oL'napbtoquinone anilide
AzCSHs
— Obtenu en faisant réagir une sol. alcool, d'aniline sur le produit
précédent. Aig. dorées f. à 252*.
Les produits suivants sont obtenus en partant de la dichloro-0-
naphtoquinone :
S'CbhrO'P'napbtoquiûone^'inaloDate d'étbyle
C>0H*O»Cl.CH(CO2G2H5)2.
— Prismes jaune rougeâtre f. à 97®.
Le sel de Ba crist. en aig. bleu noir. Sol. bleue dans Talcool.
Sel de Na (C*7H«*Cl«0«)«Ba. — Poudre chocolat.
S'Cblorch^'napbtoquiDone^acétylcétate détbyle
CioH*0«Cl.CH<
NC02C2H5
— Aig. rouges f. à 175*.
S'Cbloro-^napbtoquinone^'acétylacéioneG^m^O^C\.OU(COCH^)*.
— Aig. rouges f. à 217^. On Ta obtenu aussi avec Ta-bromo-p-
chloro-p-naphtoquinone, et avec la 3-chloro-p-naphtoquinone, en
faisant passer un courant d*air pendant son action sur Tacétyl-
acétone sodée.
CHIMIE ORGANIQUE. 105
S^bbro-^nêpbloqawone^'henzoylacétone
/C0CH3
C^OH*02C1-CH<
NC0C«H5
— Crist. tab. rouge foncé f. à 195*.
S-thlorih^Dêpbtoquinone-4'beBzoylacétate de métbyle
/C0C«H5
CioH402Cl.CH<
\cok:h3
—Poudre crisl. rouge brique f. à 173<>.
S-ciiIor(h^napbtoquinone-4'OxaJacétate détbyle
CiOH*02Cl.CH<
NCOCOîCm»
-Fesilels orangés f. à 127%5.
S^hhnh^Dapbtoquinone-d'desoxybenzolne
C«>H40«C1-CH<
\COC6H5
— Aig. jaune d'or f. à 195%5.
S^romo^napbtoquiDone-4^cé(ylacétoneC^m*0*BTCU{COCW)^.
— OUeau avec la monobromo- et la dibromo-p-naphtoquinone*
Aijr- rouge foncé f. à 21 1*. v. auger.
8ar dt nonTalles combinaisoiia maloniques avec les indones
kabgénéa; Th. LANGER et F. WIEDERHANN (Z>. cb. G., t. 33,
F' iii8-24; 1.8.1900). — Les combinaisons ci-dessous décrites ont
^ préparées en faisant réagir 2 mol. d*alcoolate de sodium sur
l»ol. de dichloro-ou dibromo-indone en présence de 1 mol. de la
^^fflbinaison malonique. On laisse qque temps en repos, précipite
rt Ciit cristalliser dans Tacide acétique. (Voir C. Liebermann, D.
cA C, i. 32, 260 et 916).
Odarthiadone malonitrile C»H*OClCH(CAz)«. Aig. f. à 159% déc.
CUoro-iodone-cyanacétamide C»H*0C1-CH<^q^jj,. — Aig.
Etber bis-cbloro-indone malonique [C»H*0C1-C(C0«C«H»)«]«. —
Leiher chloro-indone malonique, soumis à Taclion de Ag^O
^•■wJe, en présence d*alcool à Tébullition, s'oxyde avec soudure
^î mol. Aig. f. 220* insol. dans Talcoolate de sodium.
106 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Bromo-indone<licarboxyleglutaconate (féthyle
C9H*OBr-C(G02C2H5)2.CH*=C(G02C^H*)2.
— on chauffe les composants 1 h. à i40*. Aig. jaunes f. à ISl®.
Sol. en bleu dans les alcalis par saliScation de VH*,
Combinaison non halogénée C*'H**0* ? — Aig. jaunes f. à 194'*.
obtenues en chauffant à Tascendant Tindone dihalogéné et Téther
malonique sodé (2 mol.). Ce corps est encore à Tétude.
Phénylbydrazone-cbloro-indone malonale délbyle
x.A»-AzHC6H5
cm^cif
\CH(G02CaH5)2
— Aig. brunes f. à 145**.
Etber oxyde bromo-indone-résorcique C*H*OC1-0-C*H*-OH .
Aig. jaunes f. 17i*>. Son dérivé acétylé (OH remplacé par 0*C*H*
f. à 105*.
Elbylaminocblorindone C»H*OCl-AzH.C«H». — On lobtienl en
laissant en contact Téther chloro-indone malonique, avec de Téthy l'-
aminé, en sol. alcool. Il se sépare du malonate d'éthyle avec fixation
de Tamine. Aig. rouges déc. à 188^. En employant la benzylamine,
on obtient la benxylaminocblorindone déc. à 182®.
Condensation du dibromo-indone. — En essayant de remplacer
les deux Br parle reste éthermalonique, en chauffant longtemps ea
.00
tube à 180*, on obtient du Iribemoylène-benzène : C«H*^ >C . Br
^CBr
fournit :
C«H4
C^H*
/
«H*
CO V. AUOER.
Sur la -r-bromo-a-indone et quelques-uns de ses dérivés ; S.
SCHLOSSBERG (D. cb. G., t. 33, p. 2425-32; 1.8.1900).— Ce travail
a été fait dans le but de comparer les produits dérivés de Tindoue
avec ceux qui ont été préparés par Meldola et Hughes. Ces chimistes
ont décrit sous ce nom des produits obtenus avec une substance
qu'ils ont cru être la bromo-indone et qui, en réalité, était une
)
CHIMIE ORGANIQUE. 107
tfomo-s-QAphtoqainoDe (Lâebermann, Schlossberg, J9. ch. G., t. 32,
p. ok6 et 2096].
z^Aromo^-indone, — On a distillé dans le vide, sous 15 mm.,
lies portions de 4 gr. de bromhydrate d'ac. phénylpropiolique avec
.> ^. P^O*. Le distillât crïst. en aig. orangées, f. à 64* extrêmement
aètebles. Rendement 30 0/0.
CO
C«H5-CBr=CH-G0»H — H^O =
Sa constitution est démontrée directement par sa transformation en
uifidb dérivé que HCl transforme en dicétehydriadène :
tautomère
)
Par bromoration dans Tac. acétique on obtient la dibromoindone ;
par oxydation azotique, il fournit le dibromodieétobydrindène.
^^^nilido iodone. — Obtenu par addition d'aniline à la sol. chaude
ia^iénvé brome. Paillettes bronzées f. à 20ô«.
^b^nzjUmino indone C*H»O.AzH.CH*C«H«. — Prismes bruns
f • IM*.
-^^QXjlëmiDO bromindone OH*0Br.AzH-CH*C«H».— Obtenue
«^ec la dibromoindone. Aig. orangées f. à 153^.
.C=AzOH
itoaûbromo-iadoDe-oxime C®H*^^CH . — Obtenue avec
îia.Actl*OH. Aig. jaunâtres f. à 98^
PhéoflhydraziDO'iadone'pbénylbydrazone
y€-Ai-AaH-OH* yC=Az-AzH-C«H5
CHfK >CH ou G»H*< >GH2
M>AxH-A2H-C«H5 nC=Az.AzH-C6H5
.t4«on aroc 0«H»AzH. AzH«. Aig. rouge-brun f. à 142» déc.
108 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Acide diiDdone-acétique C«H»O.CH(CO«H)-C»HîK). — Obter
avec réther malonique sodé et la bromindone. Le sel de Na obten
est acidulé d'acide acétique, Aig. jaunes f. à lOâ"".
Dilndone-acétone C«H»0-CH(C0CH«).C»H50. — Obtenu av<
réther acétylacétique sodé. Aig. f. à 212«.
Dundone-acétopbénoDe C»H»0-CH(C0C«H»).C9H»0. — Avt
réther benzoylacétique sodé. Aig. jaunes f. à 246®.
IndoDe-cyanacétate d'élbyle C»H»0.CH<^|ç,y5. Avec Ta»
cyanacétique sodé, en opérant bien à froid. Aig. brunes f. à 124
Acide diindone-cyanacétique (C»H50)«=C<gQ^jj. — Oblen
comme le précédent, en opérant à chaud. Sel de Na rouge.
DUndone-maloDitrile (C»H»0)M}=(CAz)«.— Aig. brunes f. à 31(
déc.
Diindoae-beDzoylacétone (C»H«0)M3={C0CHa)*. — Obtenu ave
réther benzoylacétique. Aig. jaunes f. à 258. v. auger.
Synthèse de la lutéoline ; St. von KOSTANECKI, A. ROZTCK
et J. TAHBOR (Z?. ch. G., t. 33, p. 8410; 10.12.1900). — U
lutéoline, matière colorante jaune renfermée dans la gaude (resedi
luteola) a été isolée en 1832 par Chevreul et a été Tobjet d<
nombreuses recherches dont les auteurs rendent compte. A la suiU
de travaux récents de Perkin on pouvait hésiter pour la lutéoline
entre deux formules de constitution, mais la synthèse que viennen
d*en opérer les auteurs montre que la formule suivante doit lut étri
attribuée
0
Ho/\^,CC6H3(OH)''
OH CD
Ils sont arrivés à la synthèse de la lutéoline d'une manière
analogue à celle de la chrysine, mais les recherches faites à ce sujet
ont présenté beaucoup de difficultés inattendues.
Ils ont d'abord préparé la 2 ,4.6'irimétboxy'S^ A^^métbylène
dioxybenzoylacétopbénone
Z'k'
«.4.6 1 V yO\
(CH30)3C«H2GO . CH2 . C0C«H3<^ NCH^ ,
en faisant réagir, au bain d'huile à 120^ pendant 10-12 heures,
réther triméthylique de la phloracélophénone sur Téther éthylique
>
CHIMIE ORGANIQUE. 109
deraetdepipéronylique en solution dans le xylène, en présence de
scdiinL La dioétone ainsi obtenue est en aiguilles faiblement
colorées en jaune, F. 115*. En la faisant bouillir avecHI on obtient
uo produit qoi se fixe sur mordant d'alumine en jaune et qui doit
rcalennerla i.â.3'.4'-tétraoxyflavone, mais comme les auteurs
0 oBt pu isoler cette substance d*autres produits secondaires, ils
'fit sap^)osé que la réaction ne se passait pas exactement de la
néflie fflanière que dans les cas analogues étudiés par eux et ils
(uii examinée de plus près. lis ont constaté que la p-dicétone se
ttttsfoane par une courte ébuUition avec HI d*une manière assez
ortte en 1 .S^métboxyS' . i^-méthylènedioxyûavone
1.3 yO\ 3'4'
C«HH)2(OCH3)^ J>CH2,
«^ cmtâllise dans l'alcool en aiguilles blanches et soyeuses,
? . 3î» et qui est colorée en jaune pur par H'SO* conc. En modi-
&iBlLa réaction, les auteurs ont bien obtenu, après plusieurs cristalli-
&4ttooà, tm composé donnant à l'analyse des chiffres correspondant
\ ceu que demande le tétraoxyflavone, mais ce produit n'a pu être
b«fl cristallisé et fondait d'une manière peu nette au-dessous de
•v. Supposant que Tiodure de méthylène qui pourrait se former
^tm la réaction pourrait avoir une action nuisible sur la lutéoline
ftMA étber, les auteurs ont choisi alors comme point de départ
ttr^-èeétone exempte du groupe méthylénique. Ils ont fait réagir
(«toéthylique de l'acide vératrique sur Téther méthylique de la
r^Aaraeétophénone en présence de sodium et ils ont obtenu un
'^npoeé présentant les réactions de la S.4.6.9 .d'-pentamétboxy-
^^^ojJâcétopbéaoae ; cette substance réduite en poudre fine et
^^nAaiie dans HI à chaud, tond en une huile qui après ébullition
^"^nence à laisser déposer un précipité solide ; pour obtenir
^nïtteoieot la lutéoline il faut faire bouillir pendant longtemps; on
^^^roàjÂi ensuite le produit de la réaction dans une solution de
l««iUUc de soude puis le précipité filtré est cristallisé plusieurs
i-u dans Falcool étendu ; on obtient finalement des aiguilles,
^ ^^% possédant les caractères de la lutéoline mais non encore
<>scoalear jaune pur.
J*»» l'obtenir complètement pure elle a été transformée par une
^^t* ébnllition avec l'anhydride acétique et l'acétate de sodium en
^^é tétrêcétyJé qui a été ensuite saponifié.
là tétneéiyllutéoUBe C« 5H«0«(0C0CH3)* est difficilement soluble
^Viiooolet cristallise en aiguilles blanches, F. 222-224\ Elle
110 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
est saponifiée par une courte ébullition avec HI pour fournir
lutéoline C^^H^oO^^ qui cristallise en aiguilles soyeuses, jaune pa
renfermant une molécule d'eau de cristallisation. Elle fond à 3j
329*',5 et possède tous les caractères de la lutéoline naturelle.
F. REVEHDIN.
Sur l'acide euxanthinique ; C. GRAEBE {D, cb. G., t. 33, p. 3Si
10.12.1900). — Pour faire suite à un travail sur le groupe
Teuxanthone^ publié par Tauteur il y a onze ans, il a en collaborati
avec J. Heyer analysé de nouveau ({uelques sels de Tacide euxa
thinique et préparé quelques-uns de ses élhers. Spiegel a monl
que les sels de Tacide euxanthinique dérivent de la formi
Gi»H««0** et noo de la formule C»»H*«0*o, celle-ci représeoti
Tanhydride ou la lactone de Tacide euxanthinique ; les analys
des sels de K et de Ba faites par les auteurs ont confirmé cal
manière de voir.
D'autre part ils ont observé que le sel de potassium C*»H*"'0'^
fournit par précipitation au moyen du nitrate d'argent un g
d'argent C*®H**0*^Ag auquel correspondent les éthers méthyliqi
F. 212* et éthylique F. 198*», tous deux de couleur jaune. (
pouvait supposer que le résidu alcoolique de ces élhers ou Varge
du sel d'Ag, étaient renfermés dans un hydroxyle du noj'au <
l'euxanthone, tandis que le carboxyle et un autre hydroxyle <
l'acide euxanthinique avaient donné lieu à la formation d'ui
lactone par élimination d'eau ; mais les recherches faites dans
but de scinder les éthers au moyen de H*SO* à la terapératui
ordinaire ou d'eau à l'ébullition, pour obtenir des euxanthoa<
alcooylées ne donnèrent que de l'euxanthone. Heyer a obsen
dans la formation des éthers, que lorsqu'on ajoute de Teau a
produit de la réaction de l'iodure alcoolique sur le sel d*Ag,
prend une coloration bleue plus ou moins intense, qui dispara
sous l'action de l'eau à chaud ou sous l'action de l'alcool ou <1
l'acide sulfureux à froid. Cette coloration bleue est due à une cow
binaison de l'éther avec l'iode; l'acide euxanthinique lui-même n
donne pas cette réaction.
L'auteur a repris avec Aders l'étude de ces phénomènes €
désire se la réserver pour quelque temps, c'est ce qui l'engage
à publier les premiers résultats.
11 a donc établi de nouveau qu'en précipitant des solutions froidei
ou chaudes d'euxanthinate de potassium par le nitrate d'argent, 1<
sel formé ne renferme que 10 atomes d'oxygène ; les formules dei
éthers ont aussi été vérifiées. Pour ce qui concerne la combinaisot
CHIMIE ORGANIQUB. 111
à^ec riode, il a constaté que la quantité maximum d*iode entrant
en eombioaisoD, correspond presque à 2 atomes d'iode pour 1 moi.
iltther et il se propose d'examiner s*il s* agit de combinaisons en
rapports fixes ou de phénomènes de dissolution. Les éthers dont
il » été question plus haut donnent des combinaisons acétylée^
arolores qui dérivent de l'anhydride C**H*«0*^ ; Tacide euxanthi-
uque fournit aussi directement par acétylation des dérivés de
.inbfdhde; il est transformé de même par l'action du chlorure de
i^efooyle en solution alcaline en dérivé benzoylé de l'anhydride ;
-^ produit le plus riche en groupes benzoyliques correspond
>U formule C«»H**0'0(C"îH»0)5. Cela s'accorde avec la formule
ioaaêe autrefois par l'auteur pour l'acide euxanthinique
^^^0H\<^^(>W.O.CU{OH)(CH.OH)fiO^H. Le soi-disant
ubyrinile renfermerait en tant que lactone un hydroxyle de moins,
sftiô groupes.
De nouveaux échantillons de Piuri (jaune indien impur) analysés
>« Aders correspondent d'une manière générale à la composition
P« fauteur en avait donnée précédemment. f. reverdin.
ictioa de Tacide hypochloreux sur les aminés tertiaires ;
Ikkard TILLSTiETTER et Fritz IGLAUER [D.ch.G, t. 33, p. 1636-
*l;l.*>.i90UL — L'acide hypochloreux agit sur les bases tertiaires
»^*c Tiolence, en séparant un groupe alcoylé et formant un chlo-
î^e d'azote dialcoylé qui par réduction fournit facilement une
uuae secondaire. On peut formuler la réaction en deux phases :
R. R\ yCl R,.
H )Ai + ClOH = R Aa< = ROH + >Az-CI .
hJ/ H2^ \oh Rj/
• fittdrait admettre que le produit formé avec l'Az pentavalent
•^ trts instable, et cela semble contradictoire avec ce que nous
*'iOû3 sur les chlorhydrates d'aminoxydes. C'est une question à
'todiwde plus près.
AcUoa de ClOH sur la tropidine. — On obtient avec un fort ren-
voi he càloronortropidine,
CW — CH CH
AzCl CH
CH2 — CH GH2
^lUot à 80* sous 15 mm. Huile insol. en H^O, volatile à la
m ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
vap. d*eau, les réducteurs, Zn. Amalgame de Na. bisulfites, la tram
forment en nortropidine (H remplace Cl) sol. en H*0, bouillfimt
160^
Le tropane fournit aussi un imidochlorure qui, par réductio
donne le nortropane dont la nitrosamine f. 135'.
La kz-metbylpiperidine fournit le piperylène-cblorure dazoi
déjà décrit par 0. Bally.
Ce travail sera continué. v. augbr.
Sur le p.-cyano-chlorure de benzyle; Nathan M0SE8 (/
ch. G., t. 33, p. 2623-30; 14.8.1900.— /ÎAoc^«i2a/e de p.-cyam
benzyle AzC.C«H*.CH«SCAz. — On fait bouiUir le chlorure, e
sol. alcoolique, avec du sulfocyanure de potassium. Aig. f. à 85-86^
Chauffé à 180** en tube scellé avec HCl conc, il fournit un produi
qui, cristallisé dans le nitrobenzène, f. au-dessus de 400*. Ces
Y acide : sulfure de benzyle-p.-carbonique S<(CH*C®H*CO*H)*.
P.'Cyano-sulfure de benzyle S=(CH«C«H*CAz)«. — Obtenu pa
Taction de KHS alcoolique sur le chlorure. Lamelles jaunâtrei
f. àll4s5.
P.'CyanO'benzaldébyde. — Ce composé, déjà décrit, est prépan
avec un bon rendement, en soumettant à TébuUition pendant 40 h
25 gr. Cu(Az03)«, 200 H«0, 10 gr. de chlorure. Le produit obtent
est lavé au Na«C03. Rendement 70 0/0. Chauffé 8 h. avec Tanh,
acétique et Tacétate de potasse, fournit Vacide p.-cyan(hcinaa-
mique AzC.C*H*.CHICH.CO*H. Longs prismes groupés en étoiles
f. à 248**. Si Ton emploie dans cette réaction, Tacélate de so-
dium, on obtient des cristaux f. à 165*» et qui sont Vamide p.^ldê-
byd(hbenzoïque H«AzOC.C«H*.CO«H.
L*acide p.-cyanocinnamique, réduit par Tamalgame de Na fournit
Vacide p.-cyano-bydrocinnamique AzC.C«H*-CH«.CH«.CO«H, f. à
135-136°. Prismes à 6 pans, peu sol. en H*0. L*HC1 conc. le sapo-
nifie en acide p.-bydvocinnamique carboxylé
H02C-C6H*.CH2-GH2.COaH ,
Aig. déc. vers 280^
CH3-CO.C-CO«C«H5
Di'p.'Cyanobenzylacétylacétate d'étbyle \\
(ÛH«.C«H*.CAz)«
— Obtenu par Taclion de Téther acétylacétique sodé sur le chlo-
rure. Fines aig. f. à 133*».
u ^j.t. , AzC-C-C0«C«H5
Di'p.'Cyanobenzylcyauacetate détbyle \\ •
(CH«.C«H*.CAz)«
CHIMIE ORGANIQUE. 113
— Obtenu avec Téther cyaoacétique sodé. Masse crist. radiée f. à
liO*,^. Saponifié à 160^ par HCl conc. en fournissant Vacide di-p,-
HC.CO«H
carhoxribenzrlaeétique ti crist. en longs prismes
(CH«.C«H*.CO*H)«
i. « *7I*. Le sel dAg est : C««H"0«Ag3.
Dhp.-eyanobenzylmalonate déthyle
( AzC.C«H*-CH2)2 = C = (C02C2H5)» .
— Obteaa comme les précédents. Aig. f. à 194^. Saponifié par HCl
coae., ii fournit Tac. tricarboxylé décrit plus haut, f. à 271^.
P'X^mtHlJpbénylméthane AzC.C«H*.CH«.C«Hî^.— Obtenu par
Vèn^cm du benzène, dilué de CS*, sur le chlorure, en présence
<f AiCP, Prismes f. à 50*. La* potasse alcoolique le saponifie en
^^^dipbén/lméibane-p.'CarboniqueUO^C.Cm^.CH^Cm^Mmelles
P.-ejmO'pbényltolylmélbaDe AzC . C«H* . CH« . C«H*CH3. — Ob-
lenn par Faction du toluène; huile fluorescente, bouillant à 199"*
&OU9 IS mm. Par saponification par HCl conc. à 150^, on obtient
Tncid» p.'toiylpbénylmétbane carbonique
H02C-G»H*-CH2-C6H5-GH3 ,
Dh-p.^icyaaobenzylamitte (AzC. C^WCW)* : AzH. — Obtenu par
rxXioa k froid de Tammoniaque alcoolique à 10 0/0 sur le chlo-
niv. Prismes tricliniques f. à 106'. Saponifié par HCl conc. au b.-m.
Ujumii le cblorbydrate de /^ di-p.^dicarboxylbenzylamine
Ha.HAz=^CH«.C«H*CO«H)«. Dans les eaux-mères alcooliques de
ÏA préparation de la dicyanobenzylamine, on peut retirer des aig.
i â 200* environ : le cblorbydrate de tri-p.^cyanobenzylamine
fB.Az.GHK?H*CAz)«.
P.^jatHhlnpbénylmétbaoe AzC.C«H*CH(C«H5)«. — Produit déjà
décrit par O. Fischer et obtenu par Taction du benzène et AlCP sur
lp p.-cyano-chlorure de benzylidène. v. auger.
la préparation électrolytique de la benzidine; Walther
kD. cb. G., t. 33, p. 2329^3; 27.7.1900). On a dû renoncer à
neductioa directe du nitrobenzène, en solution acide, par suite
'm: U ioraiation de phénylhydroxylamtne qui fournit ensuite de
I «aaidopfaéaol. L'auteur a donc réduit d*abord le nitrobenzène en
kL akâlioe» obtenant de Tazoxy- ou de Tazcbenzène, puis ceux-ci
MC* cane, 9* sér., t. xxvi, 1901. ^TraT. ètrang. 8
114 ANALY8E DES TRAVAUX ÉTRANGERS
sont réduits en sol. acide ; Thydrazoïque à peine formé se trouvai
en présence de beaucoup d'acide, fournit le sel de benzidine ave
très peu de diphényline.
L'appareil consiste en un vase poreux cathodique, g'ami a
fond, de mercure, fermé en haut et muni d'un agitateur, d*un thei
momètre et d'un réfrigérant ascendant.
Réduction de Tazobenzène en benzidine. — 8 gr. azobenzène
150 ce. alcool absolu, 20 gr. SO*H*, soumis à 30^ à un courant d
densité 3 à 5 amp. pour 100 cq. Emploi de 8 amp.-heures. O
obtient 80 0/0 benzidine, 08^,8 aniline, 0»',26 diphényline.
Réduction du nilrobenzène en azobenzène. — 10»',8 nitrobenzène
100 ce. alcool 2 gr. NaOH. Courant de densité 3 à 5 amp. pK)u
100 cq. Emploi de 9 amp.-heures Le rendement est quantitatif. Oi
emploie une sol. de Na'SO* à l'anode.
Réduction du nitrobenzène en azoxybenzène. — 10 gr. nitro-
benzène, 80 ce. d'une solution aqueuse d'alcali à 3 0/0. Courant d<
densité 5 à 7 amp. aux 100 cq. à la cathode, emploi de 7 amp.
heures. Rendement 90 0/0.
Réduction de F azoxybenzène en benzidine. — On opère comm<
avec i' azobenzène, et obtient 81 0/0 de rendement, v. auger.
Recherches dynamiques sur la formation de coulenn
azoiqnes (IV); Heinrich GOLDSCHHIDT et GusUv KEPPELER
(D. ch. G., t. 33, p. 893-905; 26.3.1900). — Les recherches ont
porté sur les vitesses de réaction du diazobenzène iodé sur le ^-
naphtol sodé, et sur le m.-crésylol sodé ; sur l'action du syn-diazo-
benzène^ulfonate de sodium et le m.-crésylol sodé; sur le rouge
de nitrosamine et le p-naphtol sodé. Nous ne pouvons résumer ici
les nombreux tableaux et les formules obtenus par les auteurs.
V. AUGER.
Sur la constitution des composés oxyazoiques ; K. AUVERS
D. cb. G., t. 33, p. 1802-15; 14.4.1900). — Réfutation des idées
de Hantzsch qui considère les oxyazoiques comme des pseudo-
acides ; c*est-à-dire possédant, à l'état libre la formule quinonique,
et à l'étatde sel, la formule phénolique. L'auteur pense, au contraire,
qu'on doit considérer les p.-oxyazoïques comme exclusivemenl
phénoliquos, et les o. -oxyazoiques comme quinoniques. 11 se base
surtout sur des expériences cryoscopiques ; les nombreux tableaux
fournis, ne peuvent trouver place ici. v. auoir.
CHIMIE ORGANIQUE. 115
Ponutioii de nitrate de diazobenEône avec la nitrosophényl-
k]rdnsi]ie;L.Rn6HEIMER(/7.e/r. 6., t. 33, p. 1718; 9.6.1900).—
ITnesoL éthérée de nitrosophénylhydrazine étant soumise à un cou-
renl de gaz ottreux fournit un ppté cristallin de C*H*Az= Az- AzO^.
Si Too donne à ce dernier la formule adoptée par Blomstrand puis
par Bamberger et Hantzsch« cette formation peut être considérée
ua comine une simple oxydation :
C«a5-A«-A«0 C^HS-Aï-O-AzOî
I +0= II!
AzH' AZ V. AUGER.
lar les réactions de la formation des safranines ; D . KHAR-
JooTD. Soc. pbys. cbim. /?., t. 32, p. 309 ; 1900, fasc. 4).—
a montré que dans Toxydation de 1 mol. de paraphénylène-
4î«mne et de 1 mol. de monamine primaire, il se forme d'abord
vie indamine, qui, par oxydation en présence d*une seconde mol.
ià: monamine, donne une safranine :
i t * C^H*(A«H2)2 + C«H5. AzH2-HGl + 0»
= AaH2-C«H*-Az=C«H*= AzH-HCl + 2IP0,
«^ AzH2-C«H*. Az= C«H*= Az-HCl + C^H^AzH^ + 0>
Az
V
+ 2H20
;,i^i la réaction (1) s'explique facilement, il n'en est pas de
de la réaction (2), d'autant plus que toutes les aminés pri-
maires ne donnent pas des safranines en s'oxydant avec les inda-
noes. Les recherches de l'auteur ont confirmé et complété les
nmltsts de Nietzki; avec les différentes bases employées, on
verrait de la façon suivante : la sol. aq. à 1 0/0 et neutre des
ckiorfijdrates des bases pris en quantité théorique était chauffée
tn b. m. et additionnée d'ac. oxalique ; on y ajoutait sous forme
•le booiUie la quantité nécessaire de MnO*, préparé par réduction
ie MfiOK par l'alcool, et l'on chauffait pendant 4 à 6 h., puis on
iknit è rébollition. La sol. rouge vif ou violette était traitée par
H6 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
la soude aussi longtemps qu'il se formait un précipité, et de la
liqueur filtrée à nouveau, on séparait la safranine sous forme de
chlorhydrate par addition de NaCl. Pour purifier le produit, on le
transformait en azotate qu*on faisait cristalliser à chaud dans Teau
additionnée d'un peu d*AzO'H. Les résultats sont résumés dans le
tableau suivant (AzH* occupe la position 1) :
Aminés formant des safraoines.
Aniline C«H5AzH2
Toluidines C«H*(AzH2)CH3 o. m. et p.
Xylidines G6H3(A«H2)(OH3)2 2.4 et 3.4
Giimidine G«H2(A2Ha)((m3)3 2.4.5
Duridiaes G«H(AzH«)(CH3)4 2.3.4.5 et 2.3.4.6
Peniaméthylaminobenzène C(AzH2XCH3)S
Aminés ne formant pas de safi'anines,
Xylidines G«H3(AzH2)(GH3)2 2.3, 2.5, 2.6 et 3.5
Cumidine» G6H2(AzH2)(GH3)3 2.4.6, 3.4.5, 2.3.5 et 2.3.4 ?
Duridine G6H( AzH2)(GH3)* 2.3.5.6
Relativement à Tinfluence sur la formation des safranines du
nombre et de la position des CH' dans les aminés qu'on oxyde en
présence de la paradiaminodiphénylamine, l'auteur arrive aux
règles suivantes :
Lorsque les monamines ont un groupe CH^, la position de ce
groupe par rapport à AzH' n*a pas dUnfiuence ; lorsque les mona-
mines ont deux ou plusieurs CH^, il faut, pour obtenir des safra-
nines, que Tun d'eux soit en position para relativement à AzH', et
que les autres GH^ soient deux à deux en para si leur nombre est
pair ; si ces autres CH' sont en nombre impair, Tun d'eux peut
occuper n'importe quelle position.
Il résulte de ces règles que les cas de formation des safranines
par Toxydation des monamines en présence de la p.-phénylènedia-
mine sont assez rares ; ainsi avec les xylidines, pour que la seconde
phase de la réaction soit possible, il faut que la position p. dans la
monamine soit occupée par OH', mais cette condition exclut
la formation de l'indamine. Les expériences vérifient cette con-
clusion.
Dans le mode d'obtention des safranines découvert par Barbier
et Vignon et qui consiste à oxyder les monamines par le chlorhy-
drate de nitrosodiphénylaniline, on admettait jusqu'ici qu'il se
forme dans une première phase de la diméthylindamine. S'il eu est
ainsi, les règles précédentes devraient s'appliquer, rexpérience
CHIMIE ORGANIQUE. 117
montre qu'elles ne s'appliquent pas, car en chauffant 1 mol. de
ïCïP)*AzOH*A20.HCl avec une mol. de p.-toluidine en sol. alcoo-
lique pédant 3 h., on n'obtient pas de safranine, tandis qu*on en
obtient dans les mêmes conditions avec la m.-toluidine, les xyli-
âine$il.2.5), (1.2.6), (1.2.8). De la discussion des expériences
de Ftuteur, il résulte que I9 production des safranines par l'oxyda-
bOQ deg monamines avec le chlorhydrate de nitrosodiphénylaniline
ae peut s'expliquer que par la série suivante de réactions :
_ /V'^+CeHS.A.H3= /Vf-Tl
I I Y 1 1 +AzH2.G»H*
C«H5
I
C<H5
+ 2H20
A. CORVIST.
Sir !• 4-0X7i80carb08t7riI«; 8. GABRIEL et J. COLMAN
'i>. cL G., t. 33, p. 996-1000; 27.3.1900). — Carbindigo
*^*^^AzH^^^ ^^^^H ?Ô&^*"*- ~ ^" ^^^^^^'^^ ^® composé
\^ oxydation du 4-oxyisocarbostyrile en sol. alcaline, à l'air, ou en
(ol. acide, par FeCl*. Aig. rouges à peine sol. dans le nitrobenzène
^^<3^ûllaiit ; insol. dans les solv. neutres; f. 400* et sublime en
filets rouges avec légère déc. Sol. en rouge en NaOH, insol. en
AiR*. Le sulfure d'ammonium alcoolique le réduit en fixant H<. On
^fc^ieat une poudre jaune insol. C**H**Az«0*.
118 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L*ac. azotique fumant Toxyde en scindant la molécule
/CO-AzH
Phialonimide C«H*< j . — Crist. de Teau bouillante en
\co-co
ûig- jaunes f. vers 220* en se déc. II se dissout dans la soude ; un
léger excès de HCl ppte V acide phtalonamique C«H*<qq^^^^'^
crist. de Teau avec 1,5H*0 et f. anhydre, à 179* en se décomp. —
Sel d'Aff. La formule de cet amido-acide a été fixée parla réaction
d*HofTmann quia fourni, par départ de CO', de Tisatine. Le composé
isomérique C«H*<^^q^^^^* aurait fourni Tac. phtalamique.
Les auteurs font ressortir Tanalogie du carbindigo avec Tindigo et
de la phtalonimide avec i'isatine. v. auger.
Sur les acides S-oxy-S-alcoyl-triazol-l-propanoiques ; J. R.
BAILEY et S. F. AGREE (Z>. ch. G., t. 33, p. 1520-1537; 2.5.1900).
— Les auteurs ont remplacé TH relié à l'atome d'azote a de l'acide
semicarbazinopropanoïque, par des radicaux acides, au moyen des
chlorures acides correspondants en présence de NaHCO^. Les éthers
obtenus se transforment facilement en triazols ; les acides concentrés
les saponifient facilement ; de même Na^CO^. Les dérivés triazoli-
ques peuvent présenter les formes énolique ou cétonique faciles à
reconnaître l'une de l'autre par FeCl^.
Benzoylcarbazinopropanoate détbyle :
H3Az.CO-A2H-Az(GOG«H5).GH(GH3)G02C2H^
— Obtenu en faisant bouillir la sol. benzénique de l'éther semi-
carbazinopropionique, chlorure de benzoyle et bicarbonate de
sodium, aig. f. à 177**. — Sel dAg*^ ppté blanc. — Acide libre; on
saponifie l'éther avec NaHCO^ bouillant, et acidulé. Aig. f. à 186*
en déc. sol. en H'O. — Sel de iVa, très hygroscopique.
Nitrile benzoylsemicarbazinopropanoîque
H2Az-GO-AzH-Az(GOG6H5)GH(GH3)GAz.
obtenu par benzoylation directe du nitrile avec le chlorure de
benzoyle, crist. f. à 185«.
Acide S-oxy-ô'pbényltriazol' i-propanoïque
Az-GH(CH3)G02H
Az G-G^HS
Il II +H30
HO-G — Az
CHIMIE ORGANIQUE. 119
— On cfaaufie à 50* le beazoylsemicarbazinopropanoate d'éthyle
trec 7 p. de KOH à 10 0/0. Le triazol ppte par acidulation ; perd
HO à HO* f. à 289* en déc. — Sel de Ba, sol., précipite les sels
(Ti/, Zd, Ctt. Pb. — Sel (TAm. Aig, f. 177<» en se déc. — Sel de
Ce -C*«H«*0»Az»)«Ca. — CUorhydrate C««H*803Az»HGl obtenu
itec HQ conc. f. à 102*.
ÀddeS^xpnéib^l^ô'pbényl'S'tnazoloDe^i'propanojque
A£.CH(CH3)C02H
HO-CH>-Az G-C«H5
I II +H20
0=G — Az
-Obteon en traitant le précédent triazolone par une sol. d'aldéhyde
fur&iqtie. Feuillets f. à 242* en régénérant le prod. primitif.
S-ûijr-ô'pbéûjrllriazol-l'propanoate détbyle
(HOXC»H*)G?A«3CH(GH3)C02G»H5 .
— Oo Tobtient en soumettant l'acide triazolique correspondant à
iâmltiiioQ avec HCl alcooUque à 8 0/0, f. à 171-173*. Son sel de
•V«est hygroscopique. — SeldAg^ jaune pâle f. à 198*. — Dérivé
9»ijié, f. à 79*. — Dérivé bcnzoylé, f. à 79*. — Dérivé S-métho-
^/é. obtenu avec CH^I et le sel de Na.
^ij-^pbéoyltriazoM'propaaoate de méthyle et S-phényl^
i^ràiolooe^l-propanoate de métbyle
Ax-CH(CH5).GO»CH3 Az.GH(GH3)G03CH3
Ax C-C«H* HAz G.G«H5
II
-Az
ml-L - oÀ "
•^Cel élher est préparé comme son homologue éthylique ; la modi-
^OD I ou énolique crist. en aig. peu sol. en alcool ; chauffée elle
^ t 171* et se transforme en modiûcation p ou cétonique f. à
1^174*, cette dernière soumise à l'ébuUition avec de Teau fond
• lftW65* et représente la forme mixte céto-énolique.
Amide S'Oxy^S-pbényltriazoM-propanoîque
(HOKG»H*)C2Az3GH(CH3)GOAzH3 .
—Obtenu eo aig. f. à 274* en se décomp. fortement. Se forme par
'•etioo de AiH* sur un éther de Tacide correspondant ou sur le
^'''''Tlsemicarbazinopropanoate d*éthyle.
120 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Cinnamylsemicarbazinopropanoate détbyle
AzH2-COAzH-A2(GOCH=CH-C6H5)CH(CH3)G02C2HS
f. vers ^78^ — Le nittile (CO'C^H'^ remplacé par CAz) 1. à 283*.
Acide S-oxyS'Styryltriazol'l'propanoïque
Az-GH(CH3)G02H
Az G-GH=GH.G«H*
.,^ Il II
HO-G — Az
— Obtenu par l'action de KOH sur Tun des deux précédents dérivés,
Aig. f. à 248«. Son dérivé acétyléî, à 168*. — Chlorhydrate, prismes
perdant facilement HCl. — Sel d^Am^ décomposé vers 135*». —
Ether méthylique mélhoxylé (HO remplacé parOCH* et COH par
CO*CH^)t huile obtenue par l'action du diazométhane sur Tacide.
On a préparé par les mêmes méthodes :
Acétylsemicarbazinopropanoate déthyle, f. à 141*>.
Nitrile semicarbazinopropanoïquej f. à 160-164°,
Acide S'Oxy^ô-méthyHriazoI'i-propaDoiqaey déc. vers 2tO-292* ;
son éther éihylique^ f. à 132 ; éther méthylique^ f. à 155* ; amide,
f. à252«.
Propionylsemicarbazinopropanoate dèthyle, f. à 156*.
Acide S-oxy-^'étbyltriazol'i-propaDoFque^ déc. vers 240-258* .
Butyryl-semicarbazinopropanoate d'éthyle, f. à 148^.
Acide S-oxyS'propyltriazoUl-propanoîque^ déc. vers 240-250*.
Les deux dérivés correspondants isobutyriques fondent à 182*
et à 240<> déc.
Les deux dérivés correspondants isovalériques fondent à 174*
et à 211*.
Chloracétyle semicarbazinopropanoate déthyle, f. à 185*. ^
Benzène sulfosemicarbazinopropanoate d'étbyle, f. à 151*.
Carboxéthylsemicarbazinopropaaoale d'éthyle, f. à 148*.
H2Az-GO-A2H.Az(G02G2H5)GH(GH3)G02GaH*,
S'AminO'6'biazolone'l'propanoate d'éthyle
Az-GH(GH3)G02G3HS
Aï GO
H^Az
«-A
Obtenu en chauffant, en sol. benzénique le semicarbazinopropanoate
d'ôthyle avec du phosgène et NaHGO'. Aig. i. à 57*, bouillant
>
CHUflB ORGANIQUB. 121
i 196*. — Tèiodériré (CS remplace CO) préparé comme le précé-
dent. Aîg. f. à 117',5. V. AuoER.
CMstitntioii de l'acide méUparparique ; Walther BORSCHE
iD.ei. C, t. 33, p. 2718-23; 5.7.1900). — iic/io/i du cyanure de
poUââittm sur le SA-diaitrophénoL — Le produit obtenu est déjà
cQnaoet décrit sous le nom de métapurpurate depotassium. Piaundler
eïOppenheim lui oot donné la formule C8H«KAz*0*.H«0. Somma-
rafa:C^H*KA2»CK;rauteur^lrouvé:C'ïH«AzH)*K.2H«0,cequienfe-
raaon oilrile-mtrosonitrooxybenzoïque (AzO)(AzO*)(HO)C«H«.CAz.
11 1 été JQsqu*ici impossible d'obtenir Tacide libre; à l'oxydation
uotique, on obtient un acide nitrile-dinitrooxybenzoïque.
Méiêparpurate de potassium, — On Tobtient en faisant réagir
^gr. de dinitrophénol sur 30 gr. KCAz pulvérisé et 40 c<5. H«0.
(jQckaaffe au b.-m. La réaction devient très violente; il se dégage
AdP et Ton doit refroidir le vase de temps en temps.
Us cristaux obtenus, essorés, sont recristallisés dans une sol. à
iO Ode KCAz; rendement 20 gr. Il se décompose brusquement,
«s-dessas de 250^. Chauffé lentement au-dessus de IW, il se
décompose peu à peu, et, en masse, peut détoner.
DmHixhoxybenzoaitrile C«H«(AzO«)«(OH)CAz. — On oxyde par
î««»iaft portions le métapurpurate (10 gr.) par 50 ce. AzO^H, D. 1,25.
Oi biâee s'écbaufTer le mélange, dilue à Teau et fait cristalliser le
pndoit dans Tac. azotique de D. 1,1. Larges aiguilles jaunâtres
^ • 125*. Soi. dans HH} en jaune intense. Sol. en rouge dans les
•fcalii eo se déc. parUellement. - Sel de K CtH«Az»05K.2H«0,
^^3kask par Taction de Tac. nitreux sur le métapurpurate. On acidulé
^CAtoneat avec 25 ce. d*ac. acétique à 10 0/0 une sol. de 5 gr. du
«1 nec 2 gr. AzO^Na en 500 gr. d*eau. Longues aig. jaunes,
^^^ooaat par la chaleur. v. auger.
'lits ponTant serrir à caractériser les cétoximes ; P. PB-
noaO-KRITSCHBlfKO et P. KASANETZKT (Joura. Soc. pbys,
fAia. fl.. u 32, p. 278 ; 1900, fasc. 4). — Les auteurs ont obtenu
*3e série de combinaisons des cétoximes et de divers dissolvants.
"* U ^benzyldioxime a fourni les combinaisons suivantes :
4vec le glycol C^^H^Az^oa + 1 ,5C3H«02
- la glycérine C"H"a«202 + 1,5C3H«03
- lebenxène Ci*H»»Aï202 + C6H«
- raniline G>*Hï2A22oa + 2C«HiAz
- lapyridino C»*H"A220a + 2C*H5Az
- r«c. acétique G<*H" AzK)3 +-1,5 0^*0»
- raoétone C"H»Az202 + G3H«0
182 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
De même l'oxime du cétoxytriphényltétrahydrobenzèn^ form<
les combinaisons :
G24H2102AZ + C2H«0 ; G2*H2i02Az + 1 ,5C3H803 ;
G"H^>02Az + 3 C2H*0* ; C^msiO^Ax + âC^H^ Aa ;
C24H2I02AZ + 3C3H«0.
La diacétyldioxime a donné avec la pyridine et le fçlycol lei
combinaisons :
G*H8Az202 + 2C5H5AZ et C^HSAzaO^ + 1 ,5G2H«02.
A. C0KVI5Y.
Sar le mercabide G^Hg^O^H' ; K. A. HOFHANN {D.cb.G., t. 33
p. 1328-39 ; 28. 4 . 1900). — Formation et préparation du mercabùh
G*Hg^*H*. — Cette base a été obtenue avec rendements décroiâ
sants, par Taction de Toxyde jaune de mercure et un alcali aqueux
sur :
GmsOH; GH3CH0; Gm^OH; GH3=GH-GH20H; (CH3)2CH-GH2CH20H
cellulose, amidon, sucre de canne. Avec Talcool éthylique, on obtieni
un rendement de 58 gr. produit pour 100 gr. HgO et 200 alcool
L*alcool est d'abord oxydé en aldéhyde puis transformé en trimer-
ourialdéhyde, enfin en acide trimercuriacétique ; J'alcali agit suï
ce. dernier en séparant le groupe CO*H qui passe à l'état d'acide
oxalique pendant que le reste fournit un groupe éthane hexasubs*
titué par le mercure.
Mercabide. — Ses propriétés caractéristiques sont : une énorme
stabilité vis-à-vis des réactifs en solution aqueuse, un caractère
basique prononcé, et de faire explosion à haute température. Chauflé
avec C*H*I à 90* il fournit un iodure C*Hg«l« jaune rougeâtre,
cristallin. Le mercabide laissé en contact avec des sol. de KCl.KBr.KI
forme un sel en mettant de la potasse en liberté. C10*H fournit un
percblorate C«Hg«0«(ClO*)«, blanc, explosif. Vazotate, le chlorure
sont des précipités pulvérulents.
Cyanure C'Hg*G*Az* (en collaboration avec E. Eichwald). —
Poudre jaune intense obtenue par ébuUiiion du nitrate avec le
cyanure de potassium. Les deuxCAz peuvent être chassés parH*S
avec formation du sullure blanc C«Hg*S«H«. HCl agit de même en
donnant un chlorure C«Hg*Gl*H« fusible à 173° sol. en H«0;
Kl précipite de sa solution un iodure en aiguilles incolores.
V. AUOSR.
CHIMIE ORGANIQUE. 123
8v qiêiqnet ozycellaloses et sur le poids moléculaire de
lâ cdlilose; A. HA8TUK0FF {D. cb. G., t. 33, p. 2237-43; 12.7.
1^ . — La cellulose employée était du papier pur de Schleicher
HSehâU.
L Oxjrdâtioa aa chlorure de chaux. — 30 gr. de papier sont
tesés 24 h. en contact avec 1 lit. de sol. de CaOCI» à 4» Bé. On
«lèwe le papier et le laisse à l'air, puis recommence l'action du
CiOCI*. Enfin, après un lavage à Tac. acétique dilué, on le dissout dans
1 ât de NaOH à 10 0/0, dilue, filtre, précipite Toxycellulose par
HCI. lare à fond. Rendement 45 0/0. On a préparé la combinaison
^^^eq^ydrazinique, par action de ce réactif (8 p.) en sol. alcoo-
JW, au b.-m. — Oxycellulose C, 48,5 0/0; H, 6,1 0/0.— Combi-
^i«^ phéajrlb/drazinique Az, 0,7 0/0.
1 OxvdMtion aa permanganate de potassium, — On a traité
i6 jcr. de papier par 1,100 ce. de sol. à 1 0/0 de KMnO*, le MnOa
*^fcté en chauffant avec SO*H* à 10 0/0. Le résidu est presque
"'ùfremenl soluble dans NaOH. Après précipitation à THCl, etc.
•i»'jWetil400/0 de rendement en produit contenant : 0/0, G, 42,12;
^ ^iAA combinaison phénylbydraz inique Az, 1,2 0/0.
Od voit qu'il y a fixation d*une plus torte quantité d*oxygène par
' a^dstioo au KMnO^, et de même une fraction de phénylhydrazine
!^ importante; près du double.
L'osToelluloee II n*est pas altérée : par Tamalgame de Na agis-
^wrsa sol. alcaline; Teau de Br à 100*; TAzO^H à 1 0/0, en
^ dos à 110*.
^tfioo de la soude alcoolique. — Avec une solution à 5 0/0
'^■OH,! rascendant, on obtient de 70 0/0 à 50 0/0 d*une substance
A«W4e, sans propriétés réductrices, ne formant pas d'hydrazone
'' 1* possède encore la formule d'une oxycellulose, comme le
rî^ primitif (voir Witz, Bull. soc. ind., Rouen, 1888).
^^moléculaire de la cellulose et de F oxycellulose. — On a
•{^ ivee les dérivés triacétylés, par ébuUioscopie avec le nitro-
^**»e. On obtient ainsi pour Iff cellulose 40(C«H«oO»); il en est de
**«poarroxycellulose, ce qui exclut toute idée d'hydrolyse pen-
"•"tTidioii des oxydants. Il est curieux d'observer que la molé-
^deceUulose est plus petite que celle de l'amidon dont le p. m.
**^aé à 3S«400 environ. v. auger.
^ It décomposition de corps visqueux (huiles de graissage)
mfistillâUon Boos pression; 6. KIUEHER et A. SPILKER (D.
^ 0., t. 83, p. 2265-2270 ; 11.6.1900).— Les essais ont porté sur
% ^ i^jlxflyléibane brut, bouUlant vers 270-810^ On a distillé
124 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
d*abord sous 10 atmosphères, tant qu'il se dégageait dés gaz, et
a terminé la distillation dans le vide, pour éviter la formation
coke.
500 gr. d'huile fournissent 155 gr. de distillât liquide, 300 grr.
distillât cristallisable, 20 lit. de gaz et 37 gr. de résidu. L'anal^'
a indiqué la formation de : H . CH*. Toluène, pseudocumène, xylèn^
traces de phénol, beaucoup d*anthracène et de méthylanthracèn
Distillation sous pression de T huile de résine, — L'huile paî
de départ bouillait à 880-355'* C**H*®. La décomposition a lieu so
25 at. à 450"*. Il se fait environ 10 0/0 de coke. On obtient a%r
500 gr. d'huile, 100 lit. gaz, 105 gr. distillât liquide, 50 gr. i
cristallisable et 141 gr. de résidu charbonneux. On a isolé : cymèi
et cymènes méthylés; phénanthrène, méthylphénanthrène. Le ^
était formé de méthane et hydrogène.
Distillation sous pression, de la bakoumine. — L*huile paesd
à 360-420"*. On a surtout obtenu des paraffînes et des naphtèac
mais aucun carbure aromatique. Les gaz étaient formés surtout i
méthane et composés éthyléniques. v. auger.
Sur la carnosine, nouvelle base organique retirée de Te:
trait de viande; Wl.GULEWITSCH et S. AHIRADZIBI (D. ch. C
p. 1902-8; 16.6.1900). — L'extrait employé était l'extrait de Li<
big. La sol. aqueuse a été précipitée exactement par Tac. phosph
tungstique ; l'énorme précipité lavé et décomposé par Ba(OH)*. ]
filtrat traité par GO*, le nouveau filtrat neutralisé par AzO*H. pp
par AgAzO^, et la liqueur filtrée précipitée par AgAzO* et Ba(OFI
Ce précipité, décomposé par H^S fournit une base dont Vaxota
C»H«»Az*0« est bien cristallisé. La sol. dévie à droite [a]J* = -[- 22*
(sol. aq. c = 5,67 0/0); ce sel fond à 211"* en se déc. La base libi
carnosine cristallise en aig. t. sol. dansH^O; C«H**Az*0*, f. à 231
en déc. Fournit une combinaison cuprique C*H*^CuAz*0* déc.
220* v. AUOBR.
Composition chimique du bacille de la tuberculose ; SCEWEl
NITZ et DORSET; (Britiscb. méd. Journ, N» 2057; p. 745). ~ L
bacille de la tuberculose contient de la cellulose, mais les auteui
la considèrent comme accidentelle. Il renferme une forte propor
tion de matière grasse essentiellement constituée par la palmitio^
les autres corps gras sont en quantité beaucoup plus faible, l'ui
d'eux est volatil, possède une odeur repoussante, et contribue trè
certainement à donner aux préparations leur odeur particulière
CHIMIE ORGANIQUE. 125
UseoQStituaats minéraux sont, Na, K.Ca, Mg, unis à Tacide phos-
(4aQ»|U0 sans trace d'autres acides. h. causse.
Sifiifleation de la présence dn bacille coli dans Teau;
?AIIES \ Public Haeîtb.y 1900). — L'auteur a trouvé que l'eau des
pai6 pro((Mids était exempte de B. coli, les eaux des autres ori-
;;:Qes 60 contiennent quelquefois, mais pas toujours. Si l'on trouve
¥' fcactile dans 20 ce. d'eau^ celle-ci doit être rejetée de la consom-
:;4boo, si on le rencontre dans un volume d'eau variant de 20 à 50cc
ifiaest suspecte, dans 100 ce. Teau est probablement potable,
tes S l'are» elle doit être considérée comme pure,
Ea ce qui cooceme le côté chimique Parkes a observé les rela-
cQ» suivantes; une eau qui ne contenait pas de coli dans 50 ce. a
l»é • Tanalyse AzW albuminoîde 0,003, et a absorbé 0,01
^'ssfpftke pour 100,000 parties. La même eau après contamination,
ostettot le bacille dans 5 ce, a foiu'ni les résultats suivants, AzH^
i&oDiooîde 0,004, oxygène absorbé 0,02 ; pour 100,000 parties.
H. CAUSSE.
lAchtrche da B. typhiqne en présence du B. coli; HANKIN
'Ptes. Joarn.^ 8.1900). — On choisit 5 tubes contenant chacun
iMce de bouillon stérilisé et neutre, au premier on ajoute 1 goutte
>Iii{Qeur de Parietti, au second 2, 3 au troisième, 4 au qua-
ineae, le cinquième tube est conservé comme témoin, et ne reçoit
^de solution phéniquée, les tubes sont placés dans l'incubateur
* tf*, pendant 30 heures ; il se développe des colonies qui trou-
^ !e liquide, plus ou moins uniformément ; généralement le
^ D* S, contenant 3 gouttes de solution de Parietti est celui qui
^*^^ les meilleures conditions. On procède alors à un second
"^^enencement, à cet effet, on prépare une série de 4 tubes avec
'* bemUon neutre stérilisé, que l'on additionne de liqueur de
^^'wietKi, comme il suit, si le tube uniiormément trouble, est le
-* ^ (m ajoute au tube n"" 1 de la deuxième série 3 gouttes de
^S«ttr de Parietti, 4 au n* 2, 5 au n* 3, 6 au n» 4, on ensemence
tube avec 3 gouttes de n** 3 de la l'* série, et on les place
incubateur à 37*" pendant 30 heures; on choisit encore un
■«"«•D tube, uniformément trouble, qui servira à ensemencer
*a« troiiieme série de 4 tubes de bouillon stérilisé et neutre, le
P'^ttier recevra un nombre de gouttes de liqueur de Parietti égal
* c^que contenait le tube ensemenceur; enfin on procède de la
"tœ fflaojère à un quatrième ensemencement, en observant les
fêtions indiquées. Le tube le plus uniformément trouble de la
>
126 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
quatrième série, est à son tour employé pour ensemencer Ai
tubes d*agar-^gar que Ton dispose dans Tincubateur à 37** pendai
30 heures. On examine ensuite chaque tube, et ceux qui oi
mauvais aspect c'est-à-dire dont Tagar-agar est plus ou moii
liquifléy servent è un ensemencement définitif; on prépare i
Tagar-agar, (cette préparation doit être récente), on colore avec
tournesol, et on ensemence avec les tubes précédemment choisi
si Tagar-agar tourne au rouge on en conclut à la présence <!
6. typhique. h. causss.
Sur la séparation qualitative dn nickel et du cobalt ; P. 1
BROWNINT et B. HARTWELL (i42». f/02/r72. of. science; 8.190G
^ — Les auteurs ont soumis le procédé de W. Ciarke à une étud
critique, et sont arrivés à la modification suivante qui donne de bor
résultats.
On dissout, 0,10 au plus de chaque sel dans 5 ce. d*eau, on
ajoute quelques gouttes d'une solution saturée d*alun, on neutrah's
Tacidité de la solution par l'ammoniaque étendue, puis on acidifl
avec Tacide acétique ; le mélange est précipité par 0,50 de ferri
cyanure de potassium, ajouté en cristaux, on agite jusqu'à disse
lution complète. Il se forme un précipité mixte de ferricyanures
on verse ensuite 5 ce. d'ammoniaque, et on filtre, le cobalt rest<
sur le filtre. Le liquide filtré qui ne doit pas présenter de colora<
ration rose, est additionné avec précaution de soude ou de potasse
en morceaux, jusqu'à formation d'un précipité vert, on fait bouil
lir; si la liqueur contient du nickel il se forme un précipité noii
de sexquioxyde de nickel, ou bien il se développe une teinte brune
si le nickel est à l'état de traces. h. causse.
Sur la séparation qualitative du nickel et du cobalt ; 0 F<
TOWER (Journ. am. cbem soc; t. 22, 501). — M. Tower a étudié
le procédé de séparation du nickel et du cobalt indiqué par M. Vil-
liers, qui repose sur l'action de l'hydrogène sulfuré sur la solution
des tartrates des deux métaux; cette méthode serait d'une appli-
cation aisée si les sulfures des deux métaux sont dissous dans Teau
régale, et la solution évaporée jusqu'à élimination du chlore; on
dilue convenablement, on ajoute de l'acide tartrique, puis un
excès de lessive de potasse ou de soude et l'on fait passer un cou-
rant de H*S jusqu'à saturation. Le sulfure de colbat se dépose, celui
de nickel reste en solution, donnant à la liqueur une teinte brune,
s'il est en faible de proportion, et une teinte noir de jais s'il est
en quantité notable.
CHIMIE ORGANIQUE. 127
O'aprèd Taateur les difficultés inhérentes à cette méthode seraient
lei soîTantes;
f ' La séparation du soufre qui se produit, peut induire en erreur,
^kaîcàel existe seul en solution, en eflet le soufre se dépose
toprégné d*eau-mère brune, d'où une gène pour reconnaître le
cotah:
i" La présence du chlorure de sodium facilite la séparation du
^nre de cobalt, mais ce sel détermine aussi la séparation d*une
pirtie de soIAire de nickel, et en l'absence de colbat la confusion
L'inieur a également reconnu que les métaux susceptibles de se
ssteîlQer aux atomes d'hydrogène alcoolique de l'acide tartrique
ae »ot pas précipités par l'hydrogène sulfuré. h. causse.
iir ramploi du peroxyde de sodiam en analyse ; S. BARRÉE
Jnra. of, soc* of Chem. Industrie). — On sait, que l'oxyde de
'^nmm est facilement transformé en chromate de sodium par
(aetiofi du peroxyde de ce métal; mais ce qui est moins connu
c«€OQt les conditions dans lesquelles il convient de se placer. Le
^ de chrome est dissous dans l'eau, et si c'est nécessaire avôc
rmerveation de HCl concentré, on ajoute ensuite AzH*Gl et
Aifi*, Le précipité d'oxyde de chrome lavé est déposé dans une
^s^mie et additionné d'un peu d'eau et de peroxyde de sodium.
I'k me effervescence se manifeste, aussitôt qu'elle est calmée on
perte à rébullîtion. La Hqueur filtrée est alors jaune et donne Avec
r«c«tate de plomb ou le chlorure de baryum des précipités de
'^^nmates. Cette réaction est très sensible et n'offre aucune diffi-
!)■» les analyses ordinaires, le chrome est accompagné dans sa
^^vation par le fer et l'aluminium, et éventuellement d'une por-
Sût variable de zinc et de manganèse lorsque ces métaux se trou-
^<^flfi» la solution. L'emploi du peroxyde permet une séparation.
L? précipité complexe contenant les oxydes de Co, Fe, Al, Zn, et
^«t soumis à la réaction précédente. Le liquide filtré contient
-«*«' le chromate le zinc et Talumine, on ajoute AzH*Cl en excès,
AIKI* te dépose, et dans la solution on caractérise Zn par le
^*T'K7«nure, après avoir acidulé avec OH*0*. Le résidu contient
''^J' et MaK)*, on caractérise le premier avec le ferrocyanure,
^f«^ «voir disôous le mélange dans HGI étendu, quant au second,
eidlbouxUir une partie aliquote de la solution avec AzO^H et
■Vj». cm obtient une coloration rouge due à la formation d'acide
.■^nuigtaiqae.
128 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Au collège technique de Glascow on se sert actuelleiAent du pei
oxyde de sodium pour la détermination du chrome dans le fe
chromé, ou du soufre dans les pyrites de fer, dans les deux cas li
mélange du produit et de peroxyde est chauffé au rouge au creus«
de fer. Le chrome est dosé à Tétat de chromate de Ba, et le soufr
sous forme de sulfate de Ba. h. causse.
Dosage du mercure dans les combinaisons ammoniées, e
autres composés du mercure; C. T. BENNET (Pirar/». Journ. il
1900). — On dissout un gr. ou deux du produit, dans une petit
quantité d*eau, s*il est insoluble on le dissout dans HCl étendu
auquel on ajoute une goutte ou deux gouttes d'acide azotique; l
liquide est filtrési c'est nécessaire, versé dans une capsule depoi
celaine tarée, et additionné de 10 ce. d'acide hypophosphoreu
à 30 0/0 ; la réduction s'elTectue aussitôt, du mercure métalliqui
se dépose; on chaufîe sur un bain-marie pour réunir les globule
de mercure métallique, le liquide clair est essayé avec quelque
gouttes d'acide hypophosphoreux et s*il se forme un trouble» oi
ajoute du réactif en quantité nécessaire, pour la précipitation totale
du mercure. Lorsque le mercure est réuni on décante le liquida
.sur un filtre taré, on lave, on sèche sur un bain-marie bouillant
de même celui qui se trouve dans la capsule est séché sur le bail
d'eau, et pesé, au poids obtenu, on ajoute le poids du mercurequ
se trouve sur le filtre. h. causse.
Sur la yaleur en alcaloides dn soopolia et de la belladone ;
J. C. REESE et L. SATRE (Pbarm. Journ., 12.1.1900). — Reess^
et Sayre, ont examiné des échantillons commerciaux de racine de
scopolia (S. Carniolica), et de belladone, et ont comparé le poids àet
extraits fournis par les deux végétaux. Les résultats obtenus soni
les suivants :
Belladone. Scopolia*
Poids d*extrait alcoolique de 30 gr. de racine 4,145 T,00
Poids d'extrait chloroformique de 30 gr. de racine.. . 0,275 0,65
Si l'on établissait l'identité de l'alcaloïde du scopola avec l'atro-
pine, la première plante constituerait une source avantageuse de
l'atropine, étant donnée la différence do prix; dès à présenlPun des
principaux emplois de la racine de scopola est la falsification de
la racine de belladone à laquelle on mêle des proportions variables
de scopolia. h. caussb*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 129
CHIMIE 6ÉNËRALE ET IINÉRALE.
>
Sir iêê corps radio -actifs; J. 6IESEL {D. ch. G., t. 33,
p. 8569; 7.12.1900).— A propos d'un travail de MM. A. Hofmann
et L Sirauss (ibid.^ p. 8126), Tauteur dit que les corps radio*aetifs,
ecnils par ces chimistes ne peuvent pas être réputés obtenus à
r^ de pureté. Il a lui-même observé dans les eaux-mères des
timures de baryum et de radium, débarrassées de la plus grosse
pvt<)ebaryumy un produit pptable par AzH^ ou par H^S, qui n*est
Il 4» f^lombf ni du bismuth. Ensuite, il confirme Tobservation de
ï. Walckhoff (PAo/(>^r. Ruadscbau, octobre 1900), relative à
t'icbOQ physiologique des corps radio-actifs. On a appliqué contre
spetadu bras, O*',^ de BaBr* radifère, enfermé dans une enve-
tcppe de oelluloîde. L'application ayant duré 2 heures, on a vu un
pcode rougeur, mais, au bout de trois semaines, il y avait vive in-
^toMBatiofl el pigmentation, et la guérison a été précédée de desqua-
Mutt. De mémey les feuilles vertes des plantes, sous la même
^^nce, jaunissent, brunissent et meurent à Tendroit touché.
L. BOURGEOIS.
lietilcation; A. HABL (D. cb. G., t. 33, p. 3554; 11.12.1900).
^L'iotcor revient sur Taction de l'eau oxygénée vis-à-vis de Thy-
P^oUte de sodium (ibid., p. 3093; Bull, 3« série, t. 26, p. 34), il
'^vodosne l'opinion qu'il avait émise , savoir qu'il s'engendrerait
ttfroduitS^f.OH à fonction basique; il admet aujourd'hui que
W> fournît d^abord du tétrathionate avec mise en liberté d'alcali
SS^CPNaî -f WO^ = SH)6Na2 + 2NaOH ;
^f m ne neutralise pas, la soude décompose le tétrathionate, et sous
'«iiieace de HH>', il se fait à la fois de Thyposulfite, du sulfite et
^SlUtte. L. BOURGEOIS.
Btoapositioii des hydrozyamidosulfates par le sulfate de
^"mt ; Edward DIVERS et Tamemasa HA6A \cbem. Soc, t. 77,
^y^B; 8.1900). — Les auteurs étudient cette décomposition dans
^nenes conditions en présence du sulfate de cuivre ; bien que ce
^^^ corps ne paraisse pas modifié, il est soumis à une série de
'^^ctions et d'oxydations alternatives, à la façon du chlorure cui-
Mc. eu., 9» sÉii., T. XXVI, 1901 • — TrsT. ètrang. 9
180 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
vrique se transformant on chlorure cuivreux dans certaines réa
tiens. La formule principale de décomposition est la suivante :
2Cu(H2AzSO*)2 = Gu(H2AzS05)2 + Cu(H2AïSOî)2 .
Mais une autre réaction peut avoir lieu, surtout à chaud ;
tiers environ de Thydroxyamidosulfate Be décompose en ses con
tituants suivant Téquation :
8Gu(H2AzSO*)2 = 2Az20 + 4 H^O + 280^ + 2GuS0* + Gu(H»AzS03:
Dans le mémoire original, on trouve les analyses qui vérifie
ces équations. A. hébbrt.
Proportion de chlore dans Teau de plaie recueillie à Cirei
cester; Edward KINCH (Chem. Soc, t. 77, p. 1271; i2.190€
— L'auteur a déterminé la proportion de chlore dans Teau de plu
recueillie à Cirencester depuis 26 ans. La proportion est pit
élevée pendant les mois d*hiver que pendant les mois d'été.
A. HÉBERT.
Dosage de Toxyde ferreax dans les silicates et dans les rochei
influence de la pyrite; L. L. de KONIN(X {ZeJL anorg. Ch., t. 21
p. 123; 5.1.1901). — L'auteur confirme les observations d
MM. Hillebrand et Stokes (ibid.^ t. 25, p. 326), savoir que la pyril
chaufTée en tube scellé à 175-195<* avec une sol. d'un sel ierriqu*
engendre de notables quantités de sels ferreux; il Pavait li^
même du reste déjà signalé (Ann, de la SocgéoL de Belgique, 188
t. 10, p. 51). La réaction est sans doute : i
FeS2 + TFe«Cl» + 8H20=15FcCP + 2SO*H2+12HCl.
L. BOURGEOIS.
Snr la séparation de l'arsenic; M. ROHMER (D. ch. G., t.
p. 33; 28.1.1901). — La méthode consiste dans la distillation de
liqueur arsenicale dans un courant de gaz acides chlorhydrique
sulfureux (ce dernier pour réduire As^O') ; l'arsenic se dé
alors à l'état de AsCl* et se recueille dans un récipient refroî
garni d'eau. Bunsen avait observé {Lieb. Ann, Ch,, t. 192, p.
que la réduction de As«0* n'est jamais parfaite, mais l'aul
opérant en présence d'un peu d'acide bromhydrique est arrivé-
des résultats très satisfaisants. L'*opération se fait dans un balM
de 500 ce. ; on y met laliq. à essayer avec un excèsde HCl funwi^
>
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. Idl
*k fbçoQ a remplir le ballon au tiers, et Ton ajoute 1^%5 de KBr ou
•fOcoK 1 gr. de brome. On distille alors pendant 45 minutes en
fiÙHol arriver à la fois un courant de gaz HCl et SO*, la liq. est
ikxs réduite à 40 ce. environ. Les vapeurs sont condensées dans
iaeilloDge d^abord, puis dans un ballon jaugé de 1 litre, refroidi
i 0*. et garni de 300 gr. d*eau ; finalement on ajoute à cette eau,
r«a de lavage de rallonge. On peut doser Tarsenic, soit en poids à
TéUl de As*S', soit volumétriquement à Taide d'une sol. titrée
4wde. S*il y a de Tantimoine ou de Tétain, ils restent dans le vase
«tsUUaloîre. i . bourobois.
br It séparation da linc d'avec le nickel (oa le cobalt) ;
J. P. TBEAD WELL (Zeit. anorg. CL, t. 26, p. 104: 5.1.1901). —
Uiol. leutre renfermant le zinc et le nickel à l'état de sulfates ou
^ékmires (environ 0,25 0/0 d'oxydes de ces métaux en totalité)
«i^ttUonnée de quelques gouttes de HCl en sol. binormale, et
*leiOOetviron de sulfate (ou de chlorure) d'ammonium, chauffée
>3(>e( trtUée par un excès d*acide sulfhydrique. Le sulfure de
àac se précipite entièrement et à l'état de pureté, on le recueille
«r M ftUre. on le lave à Teau saturée de H*S, et renfermant 2 0/0
^td ammoniacal avec quelques gouttes d*un acide minéral. Dans
«uilj^e, les selfl ammoniacaux usuels donnent d'aussi bons
s que le thiocyanate préconisé par M. Zimmermann (Lieb.
ÀH. CL, 1. 199, p. 20Q et t. 204, p. 226). l. bourgeois.
hr la racherche qaaltUUve da cobalt d'après Vogel ; J. P.
BKIBWEU. {Zeit.anorg. Cà., t. 26, p. 108; 5.1.1901). — M. Vogel
I^rb, G., 1. 12, p. 2184) a observé qu*en sol. concentrée, les sels
^cobalt additionnés de thiocyanate d*ammonium se colorent en
^ bleu, et que la coloration rose reparait par addition d*eau.
•S Tan agile la liqueur bleue avec de l'alcool amylique seul ou
■^'ngé d*éther, ce dissolvant se charge de la couleur bleue, ce
fB pennet de déceler des traces de oobalL Les sol. ainsi colorées
^ Ura fournissent un spectre d'absorption caractéristique. Le
*i^ aa cimlraire, ne donne rien de semblable; quant au fer
■■kfernqties), il engendre un thiocyanate rouge sang bien connu,
T" pisoe, comme celui de cobalt, dans l'alcool amylique et
la coloration due à ce dernier métal. Mais il suffit d*agiter
an peu de CO*Na*, pour détruire le composé fefrique en
**Be«aot la couleur bleue du cobalt. En collaboration avec
^£-Yog(, l'auteur a cherché à isoler le produit bleu; par évapo-
dela sol. dans C*H**.OH, il s'est déposé de belles aiguilles
182 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
l)leues qu'on a fait recristalliser dans Tacétone. Ce sel constitue u
tbiocyanate ammoniacO'Cobaheux GoC^^ .^kzWC^ \ il est déoam
posé par Teau en ses éléments et s* altère rapidement à Tair hunii<li
On obtient de même avec les sels de cobalt, le thiocyanate d
potassium et l'alcool amylique, un sel qui fournit par évaporatio
des croûtes cristallines bleues ; redissous dans l'acétone et ppl
par addition de chloroforme, celui-ci s'est déposé en lamelle
bleues, décomposables par l'eau, de composition GoGy*.2KCy.
L. BOURGEOIS.
CHIMIE ORGANIQUE
Note préliminaire sur une méthode d'obtention de cristao
de snbstances difficilement cristallisables ; A. RUHPLER (£
cb. G., t. 33, p. 3474; 28.11.1900). — Soit une substance solubl
dans l'eau, mais insoluble dans l'alcool ; on ajoute de l'alcool à t^
sol. aqueuse jusqu'à ce qu'elle commence à se troubler et Te
abandonne ensuite la liq. filtrée ou bien encore éclaircie par additto
d'un peu d'eau, sous un dessiccateur garni de chaux vive. Peu à pe
la sol. perd son eausan^ perdre d'alcool, etla substance dissoute ^
dépose lentement à l'état solide. On pourra ainsi obtenir sous torm
cristalline des substances réputées incristallisables. C'est de cetl
façon que l'auteur a préparé en masse de cristaux ressemblât
à de petits cristaux de sucre, la peptone de gélatine (exempte d
gélatine); de même la peptone d*albumine (débarrassée de I
propeptone) ; de même encore, sous forme de masse de cristau
pointus, l'acide arabique de la gomme de Sénégal.
L. BOURGEOIS.
Sur les variations de température lors de la solidiflcatioi
des corps organiques fondas ; Br. PAWLEWSKI(Z>. ch. G., t.Sj
p. S727; 10.11.1900). — L'auteur fond dans un tube à essai quel
ques centimètres cubes d'une substance organique, en y plongeati
un thermomètre, puis, laissant celle-ci se refroidir très leatemeni
il observe le thermomètre de 20 en 20 secondes au voisinage di
p. de solidification et dresse des tableaux et courbes de la t» ei
fonction du temps. Suivant l'allure de la courbe, il est amené ^
ranger en trois classes les substances étudiées. Dans le premier typi
CHIMIE ORGANIQUE. 133
baisse rapidement jusqu'au-dessous du p. normal de
tion s (celui qu*on observerait en tube capillaire), puis reste
% et enfin s'abaisse de nouveau, dételle sorte que les deux
arcft de courbe séparés par le palier, offrent des concavités opposées.
Le deuxième type ne diffère du premier que par la suppression du
% et donne une courbe avec point d'inflexion pour une tempe-
inférieure à s. Dans le troisième type, la température, après
^Ure abaissée notablement au-dessous de 5, remonte très brusque-
flK&t l' point anguleux), puis se maintient constante pendant quelque
(«■{« on peu au-dessous de s, le reste est comme pour le premier
ifpe. L*a)^tation ramène les substances du troisième type au
prenôer, en détruisant la surfusion. Les abaissements au-dessous
àt «sont parfois considérables (41** dans l'acétyldiphénylamine).
Ak corps isomères appartiennent souvent à des types différents.
L. BOURGEOIS.
Bigrmdjition de Taldéhyde § lycolique ; Henry J. Horstmann
mma {CAem. Soc, t. 77, p. 1294; 12.^900). — Cette dégrada-
bco peut se faire par deux procédés : celui de Wohl, traitement
pv rhydroxylamine en solution alcoolique et réaction de Toxime
oUrau sur Fanhydride acétique en présence d*acétate de soude ;
*^ second procédé est basé sur une application de la méthode
^«ydation en présence de fer, due à l'auteur.
Sa appliquant le premier procédé, Fauteur a obtenu, avec Fal-
àtbjde giycolique, un dérivé acétylé du nitrile glycolique, Tacéto-
x3ncétoiutrile, CH».GO.O.CH«.CAz. a. hébert.
Tacide umdécyléniqne ; H. THOMS et 6. FENDLER {Arcb.
tf. Pkâna., i. 238, p. 690-699; 29.12.1900). — Cet ac. se prépare
pÊt disallat. de Thuile de ricin ; f. à 24<» et b. à 165-166^' sous
li HB. L'auteur le soumet à Toxydation par Faction de AzO^H
3oii à basse temp., soit avec le concours de la chaleur, il
toujours de Fac. sébacique. — Si l'oxydation est effectuée
KMnCH, il se forme encore le même acide, comme produit
yrmâpêi ou comme produit secondaire, suivant les conditions de
ttfémtaa. A la temp« ord., et avec un excès de KHnO^, il se
peu d'ac. dioxyundécylénique, à côté de beaucoup d'ac.
, En refroidissant et avec une quantité modérée de
OhCHy il se forme beaucoup d*ac. céto-oxy-undécylénique, un peu
fac aâbaeique et, vraisemblablement, des traces d'ac. dioxyundé-
cjttttqoe. L'ac ozycétonique précédent n'était pas connu. Cristal.
134 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
en feuilles ou en aiguilles de ses solut. aqueuses chaudes, sou
forme d'agrégats sphériques de ses solut. aq. froides. CristalUs
dans H«0. f . à 88% perd H«0 à 100% répond alors à la form. C« «H«0
Chauffe, il fond de nouveau à 90-10d<*. Il est peu sol. dans H*0
plus sol. dans l'alcool, l'éther, le benzène. Réduit énerg^iqueoiei
AzO^Ag amm. et la liq. de Fehling. Par oxydation, il donne toujoui
de Tac. sébacique. a. desgrez.
Recherches sur les acides sncoiniques alcoylsabstitaé
(S'' partie). Constantes de disaociation ; William A. BOHI
et Charles H. 6. SPRANKLIN6 (Cbem. Soc, t. 77, p. 1298
12.1900). — Les auteurs ont préparé et étudié les composé
suivants : !• les acides s-diisobutylsucciniques ; 2* les acide
aa|-méthyIpropylsucciniques ; 3*" les acides ss|-méthyIisobuty)
succiniques ; 4<* les acides aai-méthylisoamylsucciniques ; 5"* enfii
les acides succiniques trialcoylsubstitués : aa-diinéthyl-ac|-éthyl
succinique; aa-diméthyl-a|-propylsuccinique ; aa-diméthyl-a|-iso
propylsuccinique ; aa-diméthyl-a|-isobutylsuccinique ; aa-diméthyl
ai-isoamylsuccinique.
Les déterminations des constantes de dissociation ont montr
que chaque groupe alcoyle exerce, sur la constante, une influence
dépendant de sa masse et de sa structure. Dans le cas de radicaw
normaux, où il n*y a qu'une influence de masse, une augmentatioi
de la masse de Talcoyle est invariablement accompagnée d'une élé
vation correspondante de la constante. Dans le cas des radicaui
iso,onaun effet de structure opposé à celui de masse, excepté- daof
le cas des acides ci&-aa|-substitués. La grandeur de l'effet ai
structure dépend de la proximité de la liaison iso avec l'atome de
carbone auquel le groupe carboxyle est attaché. a. Hébert.
Contribution à l'étade de la ^lactone de l'acide diméthyl-
maliqne dissymétrique; Fr. FICHTER et Sylvain HIRSCH {D.
cb, C, t. 33, p. 3271-8276; 18.11.1900).— Les p-lactones sont des
produits qui sont très peu stables à la chaleur; à la distillatioDi
elles se décomposent en CO' et carbure non-saturé. Il semblait
jusqu'ici que la p-lactone de l'acide malique faisait exception, car
A. V. Baeyer et Villiger (D. ch. C, t. 30, p. 1954) ont constaté
qu'elle distillait sous pression atmosphérique, sans perdre de CO*;
ils n'ont, d'ailleurs, pas examiné le distillât.
Les auteurs ont repris ces expériences : ils ont préparé les pro*
duits à Tétat pur pour la première fois.
CHIMIE ORGANIQUE. 135
Aj^ydride moaobromodimétbylsuccinique (as.),
BrHC-CO/
OU^zni par distillation dans le vide du produit brut de bromura-
tion de l'ac. diméthyisuccinique asymétrique, bout à 121-123* sous
it mm., crist. en ai^. f. à 45''.
Vacide correspondant obtenu par dissolution de Tanhydride dans
ffO f- à ISS*. Crist. en présence de benzène avec 1/2C*H^ de cris-
totteaUoo et f. à 133\
DiatiUation de F acide ^-lactonique, — On constate que le produit
àisiaM possède la même formule que le produit primitif, mais, en
pri«eiiee d*eau, il fournit aussitôt Tacide oxydiméthylsuccinique;
«'«t donc V anhydride de X acide dimétbylmalique ^ formé par
a^gration moléculaire
(CH3)2=C— CO (CH3)2=G-CO ^
CH-O HO-HG-CO/
I
corn
Hboat à 144-150* sous 13 mm. On voit donc que la p-lactone ma-
^«e n'est pas distillée sans altération, bien qu*il n'y ait pas perte
'fcCO*. V. AUOER.
Action da sulfhydrate, du cyanure et du snllocyanare de
foCâftinm sar les chloracétylanilides ; W. 6R0THE [Arcb. d.
Ptmrm., t. 238, p. 600-615; 10.11.1900). — En faisant réagir KSH
ttsol. alcool, sur les chloracétylanilides, il se fait la réaction :
iRAiH-C0-CH2-Cl + 2 KSH = (R-AxH-GO-GH2)2S -f 2KGI -f H'S.
L'auteur décrit toute une série de dérivés obtenus à Taide de
9l2e réaction. Les sulfures ainsi formés s'oxydent, par KMnO^ en
«bu. acétique, en donnant les sulfones (R.AzH.COCH«)«SO«. —
Par Taction de KCAz sur les chloracétylanilides, Tat. de Cl est
Rnplacé par le groupement CAz en donnant R.AzH.CO.GH*.GAz.
G«4 derniers corps ont été soumis à l'action de HCi, en tubes
••^diës, en vue de leur saponification. La réaction s'est passée
Hinai réqaation :
RA2H-C0-GH2-CAZ -f 2HG1 + 3H20
yGOOH
= R- AzH2-Ha + GHK + A2H*G1 .
\COOH
136 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
On obtient donc Tac. malonique et le chlorhydrate de ramine
formée. Il importe de ne pas dépasser 132**, sous peine de détruire
Tac. malonique avec formation de CO* + CH*COOH. L'auteur a
enfin soumis les chloracétylanilides à Taction de KSCAz :
RAzH.C0-CH2Cl + KSCAz =:KC1 + RAzH-CO-CH^SCAz.
La sulfocyanacétanilide f. à 86-87°; la sulfocyanacéto-o-toluide
f. à 102.103° ; la s. c. p.-loluide f. à 125° ; la s. c. o.-xylide f. à lOâ* ;
la s. c. p.-xylide f. à 133°; la s. c. p.-phénétidide f. à 164-165* ; la
s. c. méthylanilide f. à 69°. a. desgrkz.
Sur raction du sulfocyanure de potassium sur les chlora.-^
cétanilides; 6. FRERICHS et H. BECKURTS {ArcL d. Pbarni.,
t. 238, p. 615-617 ; 10.11.1900). — Les auteurs se sont proposé de
déterminer si les dérivés sulfocyanés de la note précédente de
Grothe appartiennent à la série normale ou à la série iso. Ils
démontrent que ce sont des dérivés de Tacide sulfocyanacétiqtie
normal, à l'exception de la sulfocyanacétométhylanihde qui doit
être rangée dans la série iso. D*autres aminés secondaires, l'éthyl-
aniline par exemple, donnent également des dérives de Tac. isosulfo-
cyanacé tique quand on fait réagir leurs dérivés chloracétylés sur
KSCAz. Les comb. des aminés primaires avec Tac. isosulfocyan-
acétique sont très instables ; les auteurs n'ont réussi qu*à obtenir
risosulfocyanacéto-p.-toluide, par réaction de KSCAz sur le chlor-
acéto-p.-toluide en solut. alcool. La réaction doit être de durée trè:^
courte, sous peine de transformer le dérivé iso dans le comp.
normal corresp. — Les auteurs ajoutent qu'ils ont pu également
transformer le sulfocyanacéto-p.-toluide en la p.-tolyllhiohydantoïne
isomérique. a. disgrbz.
Sur les anilides des acides acétoalcoylsalfonés ; W. GROTHE
(Arcb. d. Pharm., t. 238, p. 587-600 ; 10.11.1900). — Les anilides
en question s*obtiennent avec le concours des deux réactions suc-
cessives suivantes :
R-AzH2 + CH2Gl-G()0H — WO := R-AzH-GO-CHîr.l ,
R-AzH-G0-CH2Cl + RSO^Na = R- AzH-CO-CH2.S02R + NaCI .
La première permet d'obtenir les acétanilides chlorés. L'auteur
en décrit un certain nombre dont quelques-uns étaient déjà
connus. La seconde conduit aux dérivés sulfonés correspondants
tels que C«H*,AzH.COCH*SO«G«H», acéUnilide phényisulfoné.
s
CHIMIE ORGANIQUE. 137
f. à 112*, peu soiuble daas H^O chaude, soluble dans alcool,
réiher acétique CH*CO*H et G«H« ; Facétanilide p.-tolylsulfoné
«l»AzH.C0.0H«.S0».C«H4(CH»), f. à 168% insol. dans H«0, peu
aoL dans fétLer et Talcool, très sol. dans l'acide etTéther acétique,
01c. Ces dérivés sulfonés réagissent sur KOH alcool, à 10 0/0, au
fa.'m., en 5 heures, en donnant une réaction générale représentée
far le schéma suivant :
K-.UH-CO-CH2-S02R, + 2K0H = RAzH^ + CH3S02R, + K^COS.
Latateur a ainsi obtenu la méthyl-p.-rtolylsulfone, la méthyl-
pUeylsulfone, etc, ; toutes sulfonés qu'il a nettement caractérisées
ptfteor point de fusion et leur analyse. a. desgrez.
kr 1m èthers acétacétiques alcoylthiosulf onés ; J. TR0E6ER
aLEWERS (ArciL d. Pharm.,i. 238, p. 809-317 ; 12.6.1900).
— Ces composés se forment d'après l'équation :
;v
(CH3C0).
OPOOCH' CI)C02C2Hî + RSO^SK = KCl + >CH-G02C2H5 .
(RSO^S)/
k sont bien cristall. ; leur caractère d'éther cétonique se trouve
trèsafiEftibli par Tintroduction du groupe thiosulfoné. Les auteurs
décrivent quelques-uns de ces dérivés. a. desgrez.
Coatrflmtion à l'étuda das acides sulfocyanacétiques ; G.
PIEBICH8 et H. BECXURTS {Arch. d. Pharm., t. 238, p. 317-321 ;
tl6.1900f. — Le corps antérieurement considéré par ces auteurs
cuame risosuliocyanacétamide doit être régulièrement considéré
nofDnie étant la thiohydantoîne. Cette dernière, en effet, peut être
«teone en partant soit de la thio-urée et de l'acide chloracétique,
iott des cbloracétylurées et de KSCAz. Les combinaisons consi-
dérées par les mêmes auteurs comme appartenant au groupe de
taode suUbcyanacétique normal, les sulfocyanacétyluréthanes et
!ei soUoeyanacétylurées, sont de même des dérivés de la thiohydan-
toÛK. Cest ainsi que le corps obtenu par l'action de H^O sur l'iso-
^HUbqranacétyluréthane et nommé suliocyanacétyluréthane normal,
|«M«ède la constitution :
COOC^H*
•A«-CO
HAzCC I .
^at-i-dire que c'est un éUier éthylique de l'ac. thiohydantoîne-
138 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
carbonique. Les auteurs ont, en pfTet, réussi à préparer ce coq
avec la thiohydantoïne et Téther éthylique de Tacide chlorocarb
nique. — On ne peut pas transformer les éthers de Tac. isosuK
cyanacétîque en ceux de l'ac. normal; il parait, d'ailleurs, tr
vraisemblable que ce dernier n'existe pas plus que ses dérivé
Les amides, les anilides et les comb. analogues de Tac. isosuU
cyanacétique peuvent donc subir une transformât, moléc, <
passant à l'état de thiohydantoînes. C'est ainsi que KSCAz réa|
sur lachloracétanilideen donnant la phénylthiohydantoïne, f. à 178
A. DKSOREZ.
Composés suif ares asymétriques optiquement actifs. Chic
roplatinate de (/-méthylèthylthètino ; William Jackson POP
et Stanley John PEACHT {Cbem. Soc, t. 77, p. 1072; 8.1900
— Les auteurs avaient déjà essayé de préparer un dérivé d
soufre dans lequel celui-ci fût uni à quatre groupes différenl
dans Tespérance d'obtenir un composé doué du pouvoir rotatoir€
Ces tentatives échouèrent en partie, car le corps qu'ils obtinreni
le dextrocamphorsulfonate d'éthylméthylthétine
Cm\ /GH2-CX)2H
>S<
ne présentait d'autre pouvoir rotatoire que celui du radical dextro*
camphorsulfonique.
Leurs nouveaux essais ont complètement réussi. Le bromure d<
méthyléthylthétine, traité par le dextrocamphorsulfonate d*argent,
donne, après évaporation à basse température, un résidu, qui es\
dissous dans l'alcool absolu et reprécipité par Téther anhydre.
Ce traitement, répété quarante ou cinquante lois, fournit une frac*
tion peu soluble qui paraît être le dextrocamphorsulfonate de dex-
trométhyléthyllhétine, fondant à 118-120* et dont le pouvoir
rotatoire [»],> = + 18%6 et [MJ^ = -|-68%0.
Le dextrobromocamphorsulfonate de (/-méthyléthétylthétinë
Cm\ yCH2-G02H
>S< +H20,
GiOHUBiO-SCP/ \CH3
s'obtient d'une façon analogue et constitue des aiguilles fondant
à 16ô-i68<> pour lesquelles, après une série de 30 fractionnements,
on obtient [ot]^ = + 62%5 et [M]^ = + 2SS\
Quand l'un ou l'autre do ces sels est dissous dans l'alcool absolu
et qu'on ajoute un peu d'acide chlorhydrique concentré et nno
CHIMIE ORGANIQUE. 139
soMon alcoolique de chlorure de platine, il se forme un préci-
piiéjMiie, cristallin, de chloroplatinatededextrométhyléthylthétine
CniK yCH2-C0aH
2 >S< ,PtGl*,
nix \CH3
lofldant en se décomposant à 177-180* et donnant pour [a],^ la va-
ieor -^4%5 et pour [MJ^^ la valeur 80*,5. a. hébert.
idditioo de nitriles aux sels chromi-dirhodanatodiôthyléiie
iiauat et chromo-trichloropyridiques (communication préa-
î^';P. PFEIFFER (D. cb. G. t. 33, p. 2686-91. 18.8.1900). —
Trkhhro-tripyridine-cbrome et acétonitrile Cr»Cl»Py5,2CH»CAz.
OfaCeno par addition des 2 substances. — Lamelles microscopi-
fies rbomb. sol. à chaud dans Tacétonitrile.
Avec le propionitrile on obtient un produit contenant de 1 à 1,2
*wL de nitrile. Avec le benzonitrile il y a addition de 1 mol. de
îiinfe.
Hhodsnate de cbromi-dirbodonato-diéibylène diamine.
[/(C2H«Az2)n
\(SCAz)2 J
SGAz,2H20,
A«m en chauffant à 180* le sel Cr(C«H8Az«)«(SCAz)3,H«0 jusqu'à
pwte de OH^Az'.H^O. Le résidu cristallise de Teau, en belles aig.
'^Mgées très longues.
Suîtale acide de cbromi-dirbodanato-diélbylène diamine
[
NsGAz)» J
Cr< SO*H,2H20,
ot^Étto en chauffant le sel précédent avec 50 ce. d'H«SO* à 50 0/0.
— Priâmes orangés.
L*tuleur décrira prochainement le chlorure, bromure, azotate.
V. AUGER.
AéDylecétylchloramine et ses analogues ; Henry E. ARHS-
WMIft \Cbem. Soc, t. 77, p. 1047; 8.1900. — Discussion des
**« tra^-aux qui ont été publiés sur la phénylacétylchloramine.
L'auteur âgnale les difiérences qui existent dans les descriptions
91'oa t données des propriétés de ce corps et conclut qu'il doit
I *^ des modifications isomériques. a. hébert.
140 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Triphenyl-méthyle. Un cas de trÎTalence du carbone (commu-
nication préalable); M. 60MBERG (Z?. cb. G., t. 33, p. 8150-63.
1.10.1900). — En cherchant à préparer Thexaphényléthane, l'au-
teur a fait réagir les métaux sur le bromo-triphénylméthane.
Le produit obtenu, oxygéné. Ta conduit à opérer dans un courant
de gaz carbonique. Il a ainsi obtenu un carbure extrêmement oxy-
dable àTair auquel il attribue la formule (C«Hî*)'=C.
Tripbénylmétbyle (C*H»)3=G. — On l'obtient en faisant réagir
pendant 5 à 6 jours 20 gr. de triphénylchloromèthane, 100 gr. ben-
zène et 25 gr. zinc pulvérisé. L'appareil d'une forme spéciale est
entièrement rodé et permet d'effectuer toutes les opérations à Tabh
de l'air, et dans un courant de GO*. Le départ do Cl est total. Le
solvant évaporé vers 50*" laisse le carbure cristallisé fusible au
dessus de 60'', sol. en CS', moins en CCl^. Il a été impossible de
l'isoler pour en faire l'analyse ou la cryoscopie, car au contact de
l'air il s*oxyde immédiatement en fournissant un peroxyde. Le Cl .
Br.I. agissent en fournissant les dérivés halogènes correspondants.
Les deux premiers donnent en même temps des dérivés de substi-
tution même à — 10"*, L'iode, en sol. en CS^ agit même à 0*, mais
sans substitution.
Tripbénylmétbyle-peroxyde (C«H»)»=C-0-0-C=(C«H»)î^. —
Le carbure précédent, laissé quelques temps à l'air fournit le pero-
xyde insoluble dans le benzène, l'éther, l'alcool, l'eau. 1 gr. se
dissout dans 150 ce. environ de CS* bouillant, d'où il se sépare en
cristaux hexagonaux très réfringents f. à 186*.
On a pu l'obtenir directement en faisant réagir une sol. aq. de
Na'O' sur le chlorotriphénylmélhtne en sol. benzénique. Le poids
mol. du superoxyde pris par ébuUioscopie a été trouvé supérieur
à 400. Calculé à 518. L'ac. sulfurique concentré décompose le
peroxyde, le transformant en grande partie en triphénylcarbinol.
Hexanitrodérivé (AzO«C«H5)» = C - 0 - 0 - C =(C«H»AzO«)» obtenu
par Taction de AzO^H pur. — Poudre presque insoluble, purifiée
par dissolution à 130"* dans le nitro-benzène, et précipitation par
la ligroïne, F. 210\
Tripbényliodoméibane. — Préparé en faisant réagir l'iode sur le
carbure non saturé. Cristaux f. à 135"" déc. se colorant facilement
par le temps. Soumis à l'ébullition avec Talcool, fournit de l'iode
et du triphenylméthane.
L'auteur termine par une série de considérations tendant à
prouver que son nouveau carbure n'est pas de l'hexaphényléthane,
CHIMIE ORGANIQUE. 141
«I fanées sur la grande instabilité du produit. Il se croit en pré-
d'un radicâJ non condensé sur lui-même (1). v. auobr.
Sv la préparation du triphénylchlorométhane ; M. GOKBERG
D,elK C, t. 33. p. 3144-49; 1.10.1900). — L'auteura repris cette
préparation, en iaisant réagir le CCI* sur C^H* en présence de AlCP.
L*Aia^ a été préparé par Faction du chlore sur Taluminium. On
mCroduit dans un ballon muni d'un réf. ascendant, 1 p. CCI* pur
et sec et 8,5 p. C^H« et par portions de 40 gr. 1,25 p. d'AlCl'. La
réaction est très vive, il est inutile de retroidir. On termine par une
«fanilition de 1 b. puis fait couler le liquide en filet mince sur de la
gjbce pilée entourée d*un mél. réf. et on additionne le tout de ben-
ttwponr maintenir le chlorure en dissolution. On lave rapidement
Itfooche benzénique, sèche sur CaCl', distille le benzène, lave à
r«ther froid le chlorure formé; le solvant enlève la mat. colorante
ktmèe et le triphénylcarbinol. On obtient ainsi 70 à 85 0/0 de chlo-
rure et one quantité de carbinol telle que le rendement total atteint
90 à 95 0/0. ;Ex : 129«'Ca* + 500^C«H«+150«f'AlCl» ont fournit
301»'(CW*)^ { CCI et un peu de carbinol. v. augbr.
ictioii da Tacida azoteux snr le phénanthréne (I) ; Julins
KmDT (D.cb. G., t. 33, p. 3251-60. 3.11.1900). — Oxj^de debis-
moonilro dibydrophenanlhrène (C**H«0AzO«)*O. — On l'obtient
«a dirigeant les vapeurs nitreuses provenant de l'attaque de As'O^
pr AzO*H, dans une sol. de 50 gr. de phénanthréne en 150 ce.
beozèoe. Il se sépare des cristaux d'apparence cubique^ incolores,
f. • 155*, peu sol. Le rendement est faible : 4 à 9 gr. Sa sol. en
OW. f. à 184-185». Chauffé vers 160% il se dégage AzO«; SO^H»
ctttc à chaud décompose de même le produit on dégageant AzO^.
AHioa du mélbjrlalcoolate de sodium ; Mononitro phénanthréne.
-* On obtient par une courte ébullition des produits, avec un assez
fort rendement, un nouveau mononitro dérivé; la réaction doit
tvotr lieu avec départ de H^, comme suit :
'Az02
f Je craif ^*il auraU été prudent d'atteodre les résultats de la cryôscopio
iic»Mav«a« etrbore, avant d'admettre une telle formule. v. auger.
14» iHALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ce nouveau démâ lùtté crisl. de l'alcool en aig. jaunâtres f. à
116-117'*. SO^H' cône. le didsaiH en rouge-sang, passant au vert
par chauffage.
Bis-mononitro dibydrophenanthrèoB
Az02 O^Az
— Le benzène iihré dont on a séparé roxydeprécédemme&ldèerit^
abandonné à lui-même pendant Ski semaines laisse cristalliser d»
petites aiguilles jaimes f. à 199-200® (environ 5 à 8 gr.) Ce dérivé
se colore en vert intense par l'action du phénol et ac. sulfurique
conc.
MoaonitrO'biS'pbenanthrane
Az02
/
QUH9=c>'iHio
— Le produit précédent, chaufTé à 205** pendant 10 min, perd
AzO*H (1 mol.) quantitativement :
= AzO^H -t-
Le nouveau produit crist. du benzène en prismes jaunes f. à 210-
212** sol. en vert dans SO*H« conc. chaud.
Dinitro-biS'phenanthrane
Az02 Az02
— L'alcoolate agit sur le bis-mononitro dihydrophenanthrèae
comme oxydant, enlevant les 2 H voisins des AzO* et produisant
une nouvelle liaison entre les groupes phenanthrènes. Le produit
obtenu est une poudre chocolat, insoluble, f. vers 800**.
V. AUGBR.
Action de l'acide azoteux sur l'a et le p naphtol; Juliiis
SCHMIDT (Z>. cb. G, t. 33, p. 3244-6. 8.11.1900). --En faisant réa-
gir sur les solutions éthérées de ces naphtols les vapeurs nilreases
CHIMIE ORGANIQUE. 14S
loi 66 dégagent dans Taltaque de l'ac. arsénieux par Tac. azotique
00 obtient avec un rendement de 50 0/0 environ les dérivés dinitrés
'Je ces naphtols. Avec Ta naphtol on obtient Tacide du jaune de
Mirtias, f. k 19l-135^ Le dinitro p*naphtol obtenu f. à 195^
y. AUGER.
ictioa de Faclde aiotenx sur la qninone ; Jalias SCHMIDT
ft eb. C. l. 33, p. 3246-50. 3.11.1900). — En faisant passer des
\wfems diacide azoteux provenant de t*attaque de As^O^ par
Sjffitt, dans une solution éthérée de quinone (10<^ en 250 ce.) et
A refroidissant à 78"* environ, on obtient un dépôt cristallin de
'panooe-aitranlUque
C-0 0-C
0«Ax-cL loOH HgIJcH
G-0 0-(
Ce iMMiveau composé crist. en prismes jaunes brillants à odeur
(feqoiaoQe, déc. vers 100-160. Sol. dans l'eau, Talcool et éther;
pea toi. en benzène et chloroforme. Les alcalis le décomposent en
Knmlate alcalin et quinone, par scission de la molécule.
L'icide azoteux liquide, 15 gr. mis en tube scellé avec la qui-
ooaeSgr., a réagi violement après 12 h. de contact; Texplosion
ffoduite a brisé en menus fragments le tube de fer forgé envelop-
pai ie tube scellé, et les morceaux ont pénétré de plusieurs centi-
mètres dans les parois et portes du laboratoire. v. auger.
baloitat da sulfoacides par distillation dans le Tide; F,
niFFT^ W. WILKE (D. cb. G., t. 33, p. 8207-9. 18.11.1900),
^Efl opérant dans le vide cathodique, avec des produits bieq
!«t et rigoureusement secs, on peut distiller sans décomposition
In acides aromatiques sulfoconjugués.
AiBsi : Vêcide pbenykulfureuxb. àl85-137%etf. à66». Vacide
P'ckhrO'pbeDylsufareux b. à 147-148*, f. à ^"^.Vacide p.'bromo-
P^rlsofureux, b. à 156*, f. à 102-108*. Uacide p.-toluylsul-
*rwj, b. è UT, f. à 85*. Son saifocblorure, b. à 80*, f. à 69*.
l^êtidt p.- xjrlylsufareuif b. à 149*, f. à 48*. Son sulfocblorure^
^ à7>, L à 24*. . Y.^ AUGER.
Ciatribvtions à la connaissance des composés fluorescents
•l^inrtie). Las dérivé» nitréa de la florescéino ;. John Théo-?
«mIEWITr BRTAI eill.?ZUanS(Cbem.Soc.,i.n,p. 1324;
tt.l9Û0). ^- La non fluorescence des sels alcalins de la tétranitro-
144
ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
fluorescéine a été attribuée à un tautomérisme entre les g^oupei
hydroxyle et nitré, tel que celui des ortho et paranitrophéooiâ
lequel empêcherait le tautomérisme symétrique double qui est
d'après un des auteurs, la caractéristique des substances fluorés
centes. Pour élucider la question, les auteurs ont préparé à Téta
anhydre la dinitroiluorescéine qui n*était connue qu'à Téta
d'hydrate. Elle a été obtenue par hydrolyse et son dérivé diacé
tylé au moyen d'acide sulfurique concentré. Les transformatiom
de la dinitrofluorescéine et de ses dérivés peuvent être résumée)
comme suit :
Anhydride acétique.
>-
DinitroflDoreseéine.
À
O
•V
o
o
SO*H« à 80 ?ù.
Diacéty Idioitroflaoreseéiae .
ON
s
o
o
«»
a
2
Dioîtroflioreteéioe
bydratée.
NaOH.
DiacétyldiiitroflaoreseéiM
bydraUe.
La dinitrofluorescéine se dissout dans la soude avec une colo-
ration brun orange et sans fluorescence. Pour déterminer la posi-
tion des groupes nitro, on fond la dinitrofluorescéine avec la
potasse ; on obtient un corps qui est probablement la nitrorésor-
cineC«H3.(OH)(l).(OH)(3).(AzO«)(4). L'analyse de la tétranitrofluo-
rescéine a indiqué la formule C«<>H*®(A20*)*0*, contenant deux
atomes d'hydrogène de moins que la formule de Baeyer.
Donc les arguments déduits de la non-fluorescence des sels alca-
lins de ce composé ne prouvent rien quant à la question de savoir
si le noyau de la pyrone estfluorophore, car ce noyau n'existe pas
dans le dernier composé. Mais la non-fluorescence des solutions
alcalines de dinitrofluorescéine est significative, car, dans ce com-
posé, le noyau de la pyrone est intact et la fluorescence est empê-
chée par les seuls groupes nitrés. a. hï^bert.
Hexachlorares da banzonitrila,d6 baniamida ai d'acide btn-
zoiqaa ; Francis Edward MATTHEWS (Chem, Soc, t. 77,
p. i273 ; 12.1900). — L'auteur a soumis à Taction de la lumière du
benzonitrile mélangé d'eau et saturé de chlore ; au fur et à masure
CHIMIE ORGANIQUE. 145
de Ift di5f>antion de ce dernier, on sature à nouveau jusqu'à ce
qa il ne sott plus absorbé. Après avoir éliminé par distillation le
befizooitrtle non modifié, il reste une huile épaisse, cristallisant en
cTiâUox blancs» fondant à 157* et se décomposant au-delà de cette
teo^kérature en acide chlorhydrique el trichlorobenzonitrile. Ce
••«rps esl l*hexachlorure de benzonitrile C«H*a«.CAz.
Gbanflé avec Tacide sulfurîque concentré à 170-180*", il est con-
verti es hexachlorure de benzamide, C*H»Cl®.COAzH*, substance
«a prismes incolores, fondant à 187-188*, soluble dans Tacide acé-
tM|iie. Ce corps est» à son tour, transformé en hexachlorure d*acide
teotoîque par Tacide nitrique fumant :
CWPa«-COA2H2 4- H As03 = C«H5C1«-C02H + AzK> + H^O .
Ce dernier est décomposé par l'eau en tétrachlorure de mono-
dyorobeozèoe :
G»H5C1«-C0»H = C«H5CUC1* + HCl -f GO».
A. HÉBERT.
iat U base da rosaniline colorée. Réplique ; Hago WEIL {D.
fl G., u 33, p. 8141-44, 1.11.1900). — Cette communication fait
Mile à la polémique déjà engagée entre l'auteur et V. Georgievics.
O dtnder affirmant avoir obtenu par précipitation ménagée, de la
rosflûiUne colorée en rouge. M. Hugo Weil prouve par de
expériences que : la base précipitée par un léger excès
teftnde, à froid, contient toujours du sel non décomposé; la base
TMilim possède en solution une couleur orangée.
L'Aieor maintient que le carbonate de rosaline en solution, réa-
p^ «ar Boe solution de sel marin en formant du carbonate de sodium
f« rtefit alors alcalin sur le papier tournesol. v. auger.
\
la S*aaûno-p-naphtoqiilnona ai las iso-roslndnlines qui
m dimant; F. KEERHAIIH et A. DEMI (D. cb. 6., t. 33,
^ ttseMOU; 9. 11.1900). — Le point de départ de ce travail a été
c MaÉao-S^oaphlol (1)« qui par acétylation à la température ordi-
idimil le dérivé moaacétylé (II). Celui-ci, traité par Tac. azo-
te transforme en quinone oxime (III), qui» par réduction,
^wait la diaiaînonaphtol acétylé (IV). Ce dernier fournit par oxy-
la 5^acélamino^naphto(piinone (V), et celle-ci condensée
., J» aâm.f T. XXIV, 1901. -—TraT. ètraag. 10
I
V
146 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sur le chlorhydrate d'o.-aminodiphénylamiae fournit les deux aoél
lisorosindulines possibles (YI) et (Vil).
-OH
A«HC0CH3
(H).
AzH3
0
.ZHC0CH3
(IH).
(IV).
(V).
C«H5
CH3C0-Azh/\
nA-o + "^/^ +
HCl
CH3œAzHl
CH^GOAzH
Lo C«H«
GH3.C0AzHl
+ 2Hî»0
C'est le produit (VI) qui se forme en plus forte, quantité; tl.<
CHIMIE ORGANIQUE. 147
nfeaUqne avec la rosinduline n^ 12 décrite dans la précédente
communication.
&^eéUmino-2-napbtol (I), aig. f. à 218-214*. — Dérivé niirosé
•IT), obtenu en acidulant à froid la solution alcaline du naphtol et
de nithte de sodium. Aig. jaunes. Sel de Na vert. On a obtenu ce
àèmè nitrosé, dans des conditions mal déterminées, sous une
oôéiGcMioa rouge.
S-êcéij^l-l .ô'diawÎQO'S'napbtol (lU)f obtenu sous forme de chlor-
hfdmie en solution, par réduction du dérivé hitrôsé, au SnCl* en
aoLHQ.
^•wtmminO'l .S-naphloquinone (IV), obtenu par oxydation de la
»(. précédente au bichromate sulfurique. Aig. rouge brique, sol.
flQ iK>, déc. à 150*. Fournit avec Tc-phénylènediamine une azine
Tut jaone.
Chhrure de J-acéiaminO'phéuylnaphtopbénaionium (V).
Chhrure de S'acétamiûo-phénylnaphtopbénazonium (VI). — La
«oadeosation a lieu en additionnant de qques gouttes d'HGl dilué
\» mèkage des sol. alcooliques. On sépare les produits formés en
«taisant la difTérence de solubilité de ces chlorures en présence de
Nd Le chlorure de 8- est le plus soluble. En chauffant ces dérivés
t*ec 80H» à 50 0/0 au b.-m., on a enlevé le groupe acétylé et
^^eau les isorosindulines pures. La constitution de Tisorosinduline
>*9 étant déjà connue, le n* 12 le devient par le fait même, et fixe
«0 même temps la constitution du produit nitré décrit dans la pré-
oMenie communication. v. auoer.
le 12* isomère de là rosindnline ; F. KEHRHANN et 6.
tniIEa iD. cb. C, t. 33, p. 8276-3279; 10.11.1900). — On fait
^gv à froid sur Tac. azotique conc. du nitrate de phénylisonaphto-
pMatzoaiom et précipite la sol. alcoolique du produit nitré obtenu,
fm plasieurs vol. d*éther. Le pptë obtenu fournit par réduction la
12* ronoduline. La portion du produit nitré, peu soluble dans l'ai-
oool, Cdumit par réduction la rosinduline n* 10 déjà décrite (D. cb.
fi*, t 33, p. 154âj. Pour séparer la rosinduline 12 de la 10* qui se
fanoe eo même temps par suite de la séparation incomplète des
pxodtûts nitréSy on profite de la mpin^e solubilité du bromui'e de
-a Ur dans une soi. de NaBr. Ce bromure C'H^^Az^Br se dissout
^^*tt KK) en bleu-vert sale ; dans l'alcool, en vert, sans fluoresc/once.
^Uebromsie de cette rosinduline cciBtallise en grains vert foncé.
^thhntredu dérivé acétylé crist. en tables rouges très sol. en
148 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
U*0, et fournit un chloroplatiuate rouge foncé crist. La constitatic
de cette 12'' rosinduline est fixée par le travail qui suit. v. auger.
Sur le ^3'' isomère de la rosindaline; F. KEHRMANN et 1
SILBER8TEIN (D. ch. G., t. 33, p. 3300-3307; 9.11.1900). — l
4-aniIlno-6-acétamino-^-naphtoquinone se condense sur la phény
o.-phénylènediamine en donnant les deux azoniums possibles : (
et (U). Le (I) transforme en 8-aminorosindone (III), qu'on acétyl
(IV) et qui donne le dérivé (V) sous l'influence du sulfate de méthyli
Ce dernier, traité par l'ammoniaque alcoolique se transforme aloi
en 8-acétaminorosinduline (VI). Il suffit alors de transformer en j
le groupe AzH^ par diazotation et réduction, puis de désacétyk
TAzH* restant pour obtenir la 18® rosinduline (VII).
ch3.co.azh/\ ^3^^yv
yS=^ + HA.(J +
=0 hfiw
HCI
C«H5Az
CH3-C0AzH,
+ 2H20
C^H^AzH Az
/\
Cl C6HS
CH3G0AzH/N C«H5
\/Vo + "'^f^ +
C«H5AzH
CH3-C0A«H
HCI
C*HSAs
(0).
j
CHIMIE ORGANIQUE. 149
CH3COA2H|^
/
CH^COAzH.-
CH30-S03-(J C«H5
(IV). (V).
CHKjOXzH
AzH^
ff-^étamJDopbényl rosiaduline {T). — La condensation de la qui-
u<fKsarla diamioeest efTectuée en sol. acétique à Tébullltion. La
^UoQ additionnée de HCl, laissée à froid laisse déposer le chlo-
nve d acétaminoprasindone provenant de la scission du groupe
AïHCTl* du produit formé dans Téquation (II). La sol. filtrée, pré-
aî*ée par NaCl fournit le chlorure (I) pur crist. de l'alcool bouil-
^en prismes rouges à reflets mordorés. La base libre crist. en
^wUes rouges à reflets de laiton.
^-imwopbénylrosiDduIiae : Sel de HCly obtenu par ébullition
1« précédent avec HCl. Crist. à reflets verts, sol. en H*0 en rouge
fickiae. Fournit un dichlorbydvate,
f^Umiao-rosiadone (IV), obtenu avec le (I) par Faction de
HW à 10 0/0 à 175-180». Crist. en aig. rouges, de l'anhydride
•»t«iue; non altéré à 310*, insol. en WO.
^brlsalfate du S^acétamino-G-méthoxypbénybiapbtophénazO'
MDi iVi. — On fait réagir à 150» SO«=(OCHa)« sur une sol. nitro-
^«ïèiiique de (TVi. La sol. refroidie précipite parTéther le produit
^iféa poudre crist. orangée. — Cbloroplaiinate.
Bromure de S-acétaminorosinduIine (Vï). — Le produit précé-
'^ mis en suspension dans l'alcool fournit à l'ébuUition avec
^* aq. une sol. rouge que NaBr précipite. Ce bromure est une
f**itt rouge brique. — Biebromate, poudre crist. rouge.
^^hhrare de S'acélamiDopbénybiapbtopbénazomum^ obtenu en
*>ii«nl à froid par AzO*Na la sol. sulfurique du précédent ; on
>tttioflne ensuite 2 vol. d'alcool et décompose le diazo-sel par
^ctttlhtioo. Aig. rouges microscopiques.
i50 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS,
Bromure de S-aminophénylnaphtophénazonium : IsorosinduHà
«• iS (VU).— En chauffant le précédent avec SO*H* à 50 0/0 ]
précipitant par NaBr la sol. diluée. Aig. vertes, sol. en brun di^
H*0; en vert dans Talcool. SO*H* conc. les dissout en rouge ve^
V. AUGBR.
Action dt la bromacétophônone snr la pyridine et la pipéi^
dine ; E. 8CHMIDT et H. van ARK {Arch. d. Pbarm., t. 238, p. Si
335; 25.7.1900). — Les auteurs continuent sur ce sujet les reche
ches de Bamberger. La pyridine et la bromacétophénone se covà
en quantités équiv. en solut. éthérée, à la temp. ordin., en donna
C«H»Az<^|^, J.Q gepj5-f H«0; f. à 198*. Par raction de Ag(
on obtient le dérivé chloré correspondant, f. à 196-1 98*, NaO
dédouble la combin. formée en donnant C^H^GO'H et de la méth]
pyridine; Zn et HCl la transforment en ses constituants, avi
réduction ultérieure du dérivé brome à Tétat d*acétophénone. Av<
yCl AzOH
le dérivé chloré, on peut obtenir Toxime CfiWki/ \\
sol. dans H*0, peu sol. dans Talcool, insol. dans Téther ; f. à SIC
Par l'action de PCI*, il y a transform. de cette oxime :
yCl AzOH /Cl 0
< Il devient C«H5Az< ||
\CH2-C-G«H5 \CH2.C.AzHC«H*
La pipéridine peut donner de même une série de dérivés. U
auteurs ont isolé le corps C»H'0Az.CH«-CO.C«H8, f. à 220*,
préparé ses sels doubles de Pt et Au. Le pipéridoacétophénone :
comporte comme une base tertiaire, se combinant, par exempi
avec les iodures alcoylés, en donnant des dérivés quaternaire
Dans la réaction de la bromacétophénone sur la pipérldio
il se forme, en outre, un bromure de pipéridodiacétophéaoi
C»H«oAz<J^^,^gQ p.^^^.,, f. à 164% à peu près insol. dans H«
à froid, plus sol. à chaud. Ce dérivé donne de même un seldoub
de Pt f. à 205**. Les réactions qui se passent ainsi entre la pip^'
dine et Tacétophénone bromée doivent être représentées par !•
deux équations :
I CSHiOAzH + CHaBr-C0-C«H5 = C5H»0Az-CH2-CO-C»H5HBr,
II (yHWAzH+2CH2Br-CO.C«H*=C*H>0Az/
^CH3.CO-C«H*)2+HBr
CHIBCW ORGANIQUE. 151
Li râictioii principale se fiait suivant Téquation I. HBr séparé,
«Dfutf réquation II» transfonne une partie de G^H^^AzH, en brom-
kifiniiB ecnrespondant ; ce dernier sel reste dans les eaux-mères
éê b cnstallis. des dérivés de Tacétophénone. a. dbsorez.
Action dos alcalis sur les composés niti'és de la série paraf-
Wrtfi (2* partie). Réactions et constitution de l'acide mé-
tkaaaaiqne et mode de formation des isoxasols ; Wyndham
LKIISTAir et Ernest 60ULDIN6 (Cbem. Soc, t. 77, p. 1262;
li.l90Q). -^ En laissant en contact le nitrométhane avec une solu-
lioa aqnauâe concentrée d*ammoniaque pendant plusieurs heures,
le ifôide devient brun et dépose une substance cristalline qui
ciisûtue le sel d'ammonium de Tacide méthazonique de Lecco
CnH)*As*, en tables cristallisées incolores par purification.
ChsoSé avec les acides ou les alcalis, il se décompose en acide
earboaîqae, acide cyanhydrique et hydroxylamine :
Pir oxydation avec le permanganate, l'acide chromîque ou Teau
nygéoée, Tacide méthazonique fournit de l'acide carbonique, de
ttdàe cyanhydrique et de l'acide nitrique; les agents de réduction
teaenl principalement de l'ammoniaque et de l'acide formique.
L'action des iodures alcoylés sur le méthazonate d'argent ne
dooae qu'une très faible quantité de sel alcoylé. Les auteurs
pmeeot que la formule suivante rend le mieux compte de ces
rfsctkms :
H^C — AzH
HO-Az=C — 0 .
Les alcalis n'attaquent que diffic^ement le nitropropane secon-
dât et la réaction doit se faire en tube scellé ; elle fournit de
Tieélone, de Tacide nitreux, de l'hydroxylamine et une petite quan-
Mé d'acide cyanhydrique. Si le liquide est acidifié, on obtient du
propylpaeodonitrol. U ne se forme pas d'isoxazol pendant ces
riactioQS.
Sa l'on considère avec Nef le nitrométhane sodé comme possé-
itBX ta formule
H2C=AiONa
II
o
Psode mélbaxonique en dérive par un processus d*oxydation
152 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
intramoléculaire suivi d'une condensation du résidu du aitromi
thane avec la formaldoxime produite simultanément. C'est par
même processus que le triméthylisoxazol se forme dans r«ct»
des alcalis sur le nitroéthane.
Enfin les dérivés nitrés paraffiniques réduits en solution neuti
ou acide donnent des hydroxylamines et en milieu alcalin fourai
sent des oximes ou leurs produits de réduction, suivant U
équations :
R'-CH2-AzO' + 2H2 = R'-CH2-AzH-0H + H20,
]i-HydrozyltmiD6.
R'-CH=: Az-OM'+ H2= R'-CH= Az-OH + M'OH.
Oxime.
A. HÉBERT.
,5
Dérivés du cyanocamphre et de Tacide homocamphorique
Arthur LAPWORTH {Cbem. Soc, t. 77, p. 1053; 8.1900). -
Dans le but d'éclairer la question de la formule du camphre. Tau
teur a préparé de grandes quantités de cyanocamphre par une ma
dification de la méthode de Bishop, Claisen et Sinclair, pour et
étudier les dérivés. Le chlorocyanocamphre
yCCl-CAz
chauûé avec les alcalis concentrés, régénère du cyanocamphre,
en même temps qu'il se produit de Tacide homocamphoramique,
/GH2-COAzH2
C8H»*<
NG02H
L'acide homocamphorique donne facilement un dérivé mono-
brome ; l'éther diéthylique de ce dernier corps, chaufTé avec la
quinoline, donne naissance à l'acide déhydrohomocamphorique
C0«H.C»H*3.CH.C0«H.
PH pn*H
L'acide homocamphanique C8H**<qq ^ >0 est obtenu
en chauffant une solution aqueuse d'acide bromohomocamphorique
sodé.
Partie expérimentale. — Le cyanocamphre était obtenu de la
façon suivante : on ajoute de rhydroxyméthylènecamphre à une
solution aqueuse de soude et on chaufie au bain-marie. Après re-
CHIMIB ORGANIQUE. , 153
(fndîssenieat, on additionne le liquide de chlorhydrate d*hydroxj'-
kaaioe ; on chauffe au bain-marie au réfrigérant ascendant et on
cslniDe par un courant de vapeur d'eau. Le cyanocamphre obtenu
ejt recristaliisé dans le benzène ; il est dimorphe.
Le cfalorocyaoocamphre est préparé par action de Thypochlorite
'!« sodium sur une dissolution de cyanocamphre dans la soude ; le
précipité blauc obtenu est insoluble dans Teau, peu soluble dans
î" pétrole léger, plus dans le benzène d'où il cristallise en aiguilles
'^ en prismes fondant à QS-lOO"*. Ce composé est insoluble dans
'4$ tlctits dilués chauds ou dans les alcalis concentrés froids ; ces
'Wûers Fattaquent à chaud.
U bromocyanocamphre, déjà obtenu par Haller, a été préparé
pvrtuteur d'une façon analogue au dérivé chloré.
Lbrdrolyse par les alcalis de ces dérivés chlorés et bromes con-
ànttl acide a-homocamphoramique de Minguin.
Ltode homocaraphorique C0«H.C8H»*.CH«.C0«H a été pré-
féré par hydrolyse du cyanocamphre. Cet acide, traité par le pen-
tadilonire de phosphore, puis par un excès d'aniline en solution
''Uoroformique, donne la dianilide homocamphorique
G8H%
Xi
yCH2-CO-AzH-C«H5
C0-AzH-C«H5
L*acuie homocamphorique peut se bromer par le pentachlorure
'■^ pbosphore et le brome ; après chauflage, l'huile obtenue est
{«lifiée par cristallisation. Le produit brome est peu soluble dans
I eau et le pétrole léger, très-soluble dans les autres solvants orga-
=^0»; il se décompose sans fondre à partir de 170^.
Ce dérivé brome en solution sodique, évaporé à sec, acidifié par
' atade chlorbydrique et extrait à Téther lui abandonne de l'acide
Voocamphanique, soluble dans les solvants organiques, fondant
HW-lCfâ*.
L'tctde bromohomocamphorique, transformé en son éther dié-
'^'liiqae, puis cbauflé assez fortement avec la quinoline, donne de
î«*ie dâtydrohomocamphorique C0«H.C8H««.CH.C0«H, inso-
We dans Teau, le benzène, le chloroforme et le pétrole léger,
^Jsdiat à 190-191* en commençant à se décomposer ; le composé
Imfti el la lacione de cet acide n'ont pu être isolés.
Toxydation de l'acide déhydrohomocamphorique par le
eu solution alcaline à la température ordinaire a
Miasapce à un mélange d'acides oxalique et camphono-
A. HÉBERT.
154 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Contribution à Titude de la morphine ; A. PARTHEIL et A
GROHOYER (Arcb. d. Pbarm., t. 238, p. 161-168; 19.4.1900).-
LiSS auteurs établissent que Thydrate de méthylmorphimélme
préparé en partant de la morphine, se dédouble, par KOH alcool,
en donnant de la triméthylamine. a. dbsorez.
Génistéine (2'' partie); Arthur George PERKIN et Loni
Hubert HORSFALL (Cbem. Soc, t. 77, p. 1310 ; 12.1900). — Le
auteurs ont isolé du Genisla tinctoria une substancle spécial)
qu'ils ont appelés génistéine et qu'ils ont déjà commencé
étudier.
En méthylant la génistéine, on obtient d*une part un étbe
diméthylique donnant un dérivé acétylé C**H''0»(OCH»)«.(?HK
et, par décomposition, de Tacide paramé thoxyphénylacé tique et d<
la phlorogluoine monométhylée ; d^autre part, l*éther dimëthyliqu<
de la méthylgénistéine, donnant aussi un dérivé acétyli
CH».C«*H«0»(OCH»)«.C«H»0, et, par décomposition, de Tacid^
méthoxyphénylacétique et de la méthylphloroglucine mono
méthylée.
Ces résultats s*a(*/Cordent avec la constitution d'une trihydroxy*
phénylcétocumarane, primitivement assignée à la génistéine.
A. HÉBBRT.
Lutéoline (3« partie) ; Arthur George PERKIN et Looii
Hubert HORSFALL {Cbem. Soc, t. 77, p. 1314 ; 12.1900). — D<
précédents travaux avaient indiqué pour la lutéoline la formuli
d'une tétrahydroxyflavone ; par leur nouvelle étude, les autean
cherchent à confirmer cette constitution.
En méthylant la lutéoline, on obtient un éther insoluble déji
isolé et qui parait être l'éther triméthylique de la méthyllutéoline
car, par décomposition, il donne de l'acide vératrique et un corp
qui répond à la formule de Téther monométhylique de la méthyl-
phloroglucine.
On obtient aussi, par méthylation de la lutéoline, un second
corps, nouveau, C"H''0*(0CH')5, qui semble constituer le vra
éther triméthylique de la lutéoline, et qui, par décomposition i 1<
potasse alcoolique, donne de l'acide vératrique et Téther moDoai<^
thylique de la phlorogluoine .
Les expériences précédentes ont été faites avec la lutéoline
de la gaude ; celle du Geniata tinctoria se comporte de même.
CHIMIE ORGANIQUE. 1^
Im s«1s de potassium et de sodium de la lutéoline ont été pré-
ptffs cristallisés ; irs possèdeût les formules
C»»H90»K et C»Hi90"Na. a. HéBERT.
Sur la tiliadine, principe de récorce de tilleul ; W. BRAEU-
VÊàMiArcb. d. Pharm., t. 338, p. 355^7 ; 26.9 et 10.11.1900).
— Préparation et purification d'une substance cristallisée, la tilia-
dîM, phoetpe nouveau de Técorce de tilleul. Répond à la form.
OH»0« ; r. à 828-429* b. à 360«. L'auteur a fait réagir sur la
tiBtdiae un certain nombre de corps (Cl, Br, KOH, etc.) qui ne lui
^ ptî permis d'établir sa constitution. Elle présente quelques
NMtioos propres aux substances du groupe de la cholestérine,
■us s'en distingue nettement par une plus grande stabilité. Elle
tt renferme pas d'H^O de cristallis., ne contient pas d'hydroxyle,
voB oe peut ni Tacétyler ni la benzoyler, ne se dissout pas, comme
^ ebûfestérine» dans C^H^O^, n'est attaquée par AzO'H, ni à froid,
ma rébullii. ; bref, la série organique à laquelle appartient la tilia-
liae reste à déterminer. a. dbsgrez.
tarTicide fUicitanûique ; R. KElCE{Arch. d. Pbarm., t. 238,
p.SM^i ; 29.12.1900). — Méthode de préparation de ce tannin
^ s'extrait de l'essence du ûlix mas, très peu sol. dans H^O
• froid, an peu plus à chaud, peu sol. dans la glycérine Tac. et
ïéUier acéUques, insol. dans C<H<, CHa», CS«, se dissout bien
àuts Tacétone et l'alcool méthyl. aqueux. La solut. ne présente
V'one réact. ac. très faible, donne avec Fe*Cl* une belle color.
^>wte, passant au violet puis au rouge par addition de petites quan-
^ de NaOH ; précipite l'albumine et la gélatine, les sels de
^ryctmioe, de quinine et de pyTidine ; réduit lentement AgAzO^
vun. et la liq. de Fehling. AzH', les alcalis et leurs carbonates le
"StfohreDt facilement avec une colorât, brun rougeâtre. Se distingue
W, par ces derniers caractères, du ^tannin ordinaire et des corps
vnsii», tels que l'ac. ta^nique à^YI^m^melis, L'auteur attribue à
i^ic aUcilannique la ^nn. C«H''«A2«05«+ 2H«0 ; il a préparé ses
^ de Ba, de Ca et de Mg. Par Taction de C«H«C0C1, on obtient
«n défivé tribeozoylé C»«H7»Az«0»«(C«H5CO)» ; par l'action de Br
^ 4e Q, tl se forme toute une série de dérivés de substitution ; le
^^ikttbfteiDeol, effectué par les alcalis, donne de la phloroglucine
« de rac protocatéchique, à côté de traces de C>H«0< ; les diffé-
«aais d^oxydayon n'ont donné, au point de vue de la consti-
^56 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
tution du corps initial, que des résultais négatifs. KMnO*, en sol.
alcal., de même que AzO^H, n'ont permis d'isoler queCO*H-CO*H
en proportion importante. a. desgrez.
Sur la composition de l'huile essentielle de cascarille ; G.
FENDLER (Arch, d. Pharm., t. 238, p. 671-690; 29.12.1900). -
Il s'agit de l'essence extraite de Técorcedu CtolonËluleria Bennei
(Euphorbiacées^. Cette essence b. à 160% à la press. ord., D à
15^ = 0,914, à 20^=0,911 ; [a]^ = 4,8l à ih\ L'auteur étudie sa
compos. par distillât, fractionnée ; sépare les ac. à l'état de sels dti
Pb et donne quelques réactions partie, des divers constituants
isolés. 100 p. d'essence renferment: 2,1 d'ac. libres : cascarillique,
2 0/0, C"H«oO«, f. à 268-270*; palmitique C*«H3«0«, 0,08 0/0;
stéarique C^sH^eO», 0,02 0/0; de l'eugénol C*oH«*0«^ 0,80 0/0;
accompagné de traces decrésol ; iO 0/0 de terpène C*®H*«b. à 155-
157*» ; 8,8 0/0 de limonène gauche ; 13,2 0/0 de cymène ; 10,5 0/fi
de sesquiterpène C*5H«*, b, à 255-257'» ; 33 0/0 de sesquiterpène
C«H3*, b. à 260-265<»; il 0/0 d'un alcool C«5H«»0H. On y trouve
enflft 10 0/0 de matières oxygénées, de p. d'ébull. très élevé,
enfin 1,1 0/0 de résine. La recherche des aldéhydes et des acé-
tones n'a donné que des résultats négatifs. a. desgrbz.
Sur le baume résineux du « Picéa Tulgaris » (térébenthine
du Jura) A. TSCHIRCH et E. BRUNING {Avch. d. Pbarm., t. 238,
p. 616-630; 10.11.1900). — Historique de cette résine. Renferme des
acides résineux libres dont un est cristallisable. La majeure parliti
de ces ac. sont amorphes. Par Am^CO^, on isole l'acide picea-
pimarinique C«»H«oO«. Par Na«CO», on isole trois acides dont une
minime partie seulement peut cristalliser. L'ac. picea-pimarique
répond à la form. C'^H^oo» ; est crislallisable. Le résidu amorpht'
comprend deux ac. séparables par leurs sels plombiques : ce sots^
les ac. a et p-picea-pimaroliques, de comp. commune C**H^O^
L'essence renferme également : un résène C**H*^0', insol. danâ
l'alcool ; une huile éthérée analogue à celle fournie par la térében-
thine ordinaire et complètement séparable de la résine par entraî-
nement à la vapeur d'eau ; des traces d'ac. succinique, un peu de
mat. amère et colorante, à côfé de quelques impuretés et d'un peu
d'eau. — 100 p. de térébenthine du Jura renferment 2 à 8 p, d*ao.
picea-pimarinique; 1,5 à 2 p. d'ac. picea-pimarique ; 48 à 50 p.
d'ac. picea-pimaroliques ; 32 à 33 p. d'essence ; 10 à 12 p. de résène,
1 à 2 p. des autres principes réunis. a. desorbz.
CHIMIE ORGANIQUE. 157
Scr 1# bauDe résineux da < Pinus Pinaster » (térébenthine
étlerdMOx); A. TSCHIRCH et E. BRUNING (Arcb. d. Pbarm.,
I Sn, p. 630-648,29.12.1900). — Ces recherches conduisent à fixer
II eomposiL suivante pour la térébenthine de Bordeaux; acide
résineux séparable par Am^CO^, ac. pimarinique amorphe G'^H^^O^.
Ptr raetton de NaKîO*, on isole de Tac. pimarique bien cristall. ;
tes ftc. % et ^pimaroliques; tous deux amorphes, se séparent grâce
• la solubQttë différente de leurs sels plombiques ; ils sont très
^xÀûns l'un de l'autre comme constitution et répondent à la form.
D'IPK)*. Très rapprochés de l'ac. pimarique, ils en sontles homo-
Vnçiies sap. ainsi que de Tac. abiétique. — A côté de ces acides,
essence renferme encore un résène, de réaction indifTé-
TÎa-i-vis de KOH, une huile éthérëe dont la majeure partie
€fll très volatile, des traces d'ac. succinique, de mat. amère, de
■iL ooloraDte, d'eau et quelques impuretés. Pour 100 p. d'essence,
m lraiive44 à 17 p. d*ac. pimarique, 48 à 50 p. d'ac. pimaroliques,
fl^è 9 p. d*buile éthérée, dont S5 p. très volatiles, 5 à 6 p. de
I à 2 p. des autres constituants réunis. a. desgrbz.
tmr iM éeorcas d'angnatura ; C. HARTWICH et H. GÂHPER
Arei. d. Plmrm., t. 238, p. 568-587 ; 10.11.1900).— Ces écorces
ae ioni plus guère employées par la thérapeutique, mais sont de
pÉB eu plus affectées à la préparation des liqueurs amères. C*esi
à ce titre surtout qu'elles doivent être étudiées et bien connues.
Les anteurs font l'historique et la description histologique des
pnadpsux genres de galipea. Ils décrivent ensuite comparativement
\t% fuisses angustures (cortex Cuspariœ^ cortex Esenbeckîœ^
StrjrcbnJ). Oberlin et Schlagdenhauffen ont isolé, du cortex
\ un alcaloïde qu'ils ont nommé évodine. Les auteurs
qo'il s'agit là d'un mélange de cinq alcaloïdes différents
iM lis donnent le mode de séparation et les caractères. Le
■noire se termine par un tableau donnant les divers modes de
mullisstion, à l'état isolé ou sous forme de groupements carac-
hérsiiques, affectés par les oxalates dans les écorces qu'ils ont
rxaiiiAées. a. desgrbz.
ttr Taeide perchlorique ; C. ESUSSERHANN et A. SIE6EL
D. et. G-, t. 33, p. 8598; 15.12.1900).— M. G. Fraude a recom-
maadé l'acide perchlorique comme réactif des alcaloïdes (i/»i(/., 1. 12,
h 1358; ; avec l'aspidospermine ou avec les alcaloïdes des strych-
aée», à chaad, il fournirait une coloration jaune à rouge sang. Eu
ii»taé, eMe réaction est due à du chlore ou d'autres produits oxy-
158 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
dants accompa^ant l'aoide pèrchloi^ue, et l'auteur s*est aseiiré
que C10*H pur, préparé par €lO*Ag el H*S, ne fournit aucune
réaction. l. bourgeois.
Sur le dosage du sucra dans l'urine ; J. TR0E6ER et W. MEINE
(Arcb. d. Pharm., t. 238, p. 305-809; 12.6.1900): — Critique des
divers procédés actuels de dosage. Les auteurs donnent une
formule modifiée delà liq. de JF'ehl jng dans laquelle Us introduisent
de la , glycérine. Le dosage s^effjBctue en recueillant Toxydnle
cuivreux sur un filtre serré et dosant, en liqueur acide, Cu à Télat
de sulfure dans le liquide filtré. L'addition de glycérine à la liq. de
Fehling a pour effet d'empêcher la précipitation d'ac. tartriquti
loi*squ*on acidulé avant de précipiter Gu. Contrôle des résultats
fournis par des liquidas sucrés de compos. connue.
A. DESGREZ.
Réactions quantitatives permettant de distinguer laa braia
de goudrons de pétrole et de lignites, des brais provenant de
la distillation des graiisesD.HOLDEetJ. HARCUSSON (/>. cù. G.,
L 33, p. 3171-75. 29.10.1900). — Les brais mous provenant âeë
graisses sont faciles à distinguer, car ils contiennent beaucoup
d'acides gras. Si la distillation a été poussée plus loin, la distinc-
tion devient beaucoup plus difficile, car ces brais fournissent à la
distillation surtout des paraffines (environ C 85 0/0 et H 14.5 0/0).
Cependant ces paraffines ayant un P. Sp. inférieur à 1 différent
des produits ultimes de la distillation de la bouille qui ont un P.S.p.
supérieuir.
. L'extrait éthéro-alcoolique des brais durs d'acides gras contient
encore suffisamment diacide pour permettre de les distinguer des
brais de pétroles et de lignites. Ainsi on obtient :
Brtis dort Résidyt
de graJitet. de pétrole.
Indice d'acide 9 à 12 0,5 à 3
— d^éiher 9 à 16 8à6
— de saponiflcation 18à28 A k 1
Les résultats sont aus^ très nets et indiquent un fort excès
d'acide, en opérant sur les produits de tête de la distillation sèche,
DU a la vapeur d'eau surchauffée, des brais de graisses. De pln^
ceux-ci, sont toujours cuprifères; le métal provenant des vases qui
ont servi à leur traitement. v. auoir.
CHIMIE ORGANIQUB. 159
mode de formation de dérivés de la chromone ;
SL ▼. EOSTAHECKI et A. ROZTCKI {D. €ib. G., t. 34, p. 102;
!8. 1 . t90i). — Nagai et Tahara ont communiqué en 1802 le résultat
ée leora recher<^es sur des produits de condensation qu'ils avaient
oUemiseo chauffant TéUier monométhylique de larésacétophénone
piéofiol) et la résacétophénone avec de Tanhydride acétique en
présence d'acétate de sodium déshydriaté. Nagai a décrit scus le^
ftofsfi de débj^dtodiacétjrlpéoDol et A*isodébydrodiacétylpéànof\es
iiAix produits de condensation, isomères C'^H^^O^, qui prennent
'nfrifamrp L*attention des auteurs a été attirée sur ces substances
|ict le bit que la S-oxy-^-mélbylcbromone de Bloch et Kostanëcki
fxwéaède exactement les mêmes caractères que la débydroacétyl^
rêaacAopbénoae, combinaison étudiée par Tahara et qui fut obtenue
60 dttoflaxit longtemps la résacétophénone avec Tanhydride acé-
etPacéUite de soude. L'identité des deux combinaisons a été
outre établie par Tétude de leurs dérivés et les auteurs ont pu
à reconnaître la nature des produits de condensation isolés par
Sêfiêà et Tahara.
IFaprès leurs recherches Vacétyle-débydrodiacélylrésacélopbé-
woe de Tahara correspond à la S-acétoxy'ifktyacétyU^'métbyl"
fhromone :
0
CHK»o/N/\|CCH3
isJvJ'cC0-CH3
GO
Oq Fobtient facilement en chauffant peu de temps la 3H)xy-a-acétyl-
Vsi^yichromone avec de Fanhydride acétique et de l'acétate de
«ode, elle cristallise en aiguilles blanches, F. 127.
Li déhydrodiacétylrésacétopbénone de Tahara est la S-oxy-
>^téiyl'^métbylcbromone que Ton obtient en agitant avec de
rmmoniaque aqueuse la 3-acétoxy-a-acétyl-p-méthylchromone.
Qfe cristallise en aiguilles soyeuses, F. 182-184''. Le dérivé métbo-
xjlé correspondant, feuillets F. 160* est identique au débydrodU
*eMylpéooo1àe Nagai obtenu en même temps que Téther méthylique
àe r»acétyiombelliférone en chauffant pendant 16 heures le péonol
tvee de Tanhydride acétique et de l'acétate de sodium. Le dérivé
éiboxylé est en larges feuillets, jaunâtres, F. 180*. La débydro-
feétfb'ésêcéiopbénone de Tahara est la S'Oxy'^-métbylcbromone :
O
.CGH3
160 ANALYSE DER TRAVAUX ÉTRANGERS.
On Tobtient en faisant bouillir pendant environ 15 minutes 1^
3-oxy-a-acélyl-p-méthylchromone avec une solution de carbonate
de soude ; elle cristallise dans l'alcool en prismes épais et bie]
formés, F. 249-250''. Ghaufiée peu de temps avec de Tanhydricii
acétique et de Tacétate de soude déshydraté elle fournit la S-ae^i
oxy-p métbf'lcbromone F. 94-95", Le dérivé éiboxylé correspon-
dant cristallise dans l'alcool étendu en aiguilles soyeuses, F. 123
124''. Dissous dans H^SO^ conc. il donne une solution incolore
douée d*une belle fluorescence bleu violet. Ce produit est absolu
ment identique à la 3-éthoxy-^méthyIchromone préparée par Bloc!
etKostanecki en faisant bouillir la 2 •4-diéthoxy-acétylacétophéaon4
avec HI.
Enfin le débydroacéiylpéonol de Nagai constitue la S-métbox^^*
p-mélbylcbromone :
O
CH3()/\/\,GCH3
On l'obtient d*après cet auteur en faisant bouillir la S-méthox)'-
a-acétyl-p-méthylchromone avec une solution de carbonate de soude
ou en méthylant la S-oxy-p-mëthylchromone préparée d*apràs la
méthode de Bloch et Kostanecki. Le dérivé en question est eu
aiguilles blanches, F. 113", il donne avec H'SO^ conc. une solution
incolore douée d*une jolie fluorescence bleu violet. Ces recherches
seront poursuivies. f. reverdin.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 101
CHlilE GÉNÉRALE ET ilNÉRALE
Svr la théorie de la catalyse chimique ; H. EULER {D, cb. G.,
L JS, p- 3^02; 26.11.1900). — Soit une réaction, par exemple
rû)iIfolyse de Télher acétique ; l'auteur admet qu'un agent cata-
\}iu^ influe sur Tétat de dissociation des substances contenues
'•nfluthrement dans la liqueur. Si k eiJc' sont les constantes d*éthé-
k
rfïcaiioo et de saponification, l'équilibre est donné par K = «p.
LftctioQ catalylique ne modifierait en rien le quotient K, mais
HiifcMenl accroîtrait dans le même rapport les deux termes k et
ii'^b fraction qui Texprime, ces deux termes se trouvant mul-
^:{iMs cbacun par l-j-JtH, où H est la concentration des ions
rijdrofjène cédés par Tagent. L'invariabilité du rapport K entraîne
•1^ •!*» rénergie libre exprimée d'après M. Van't Hoff, par A=RT
ij? nép. K. L. BOURGEOIS.
Scr la chaleur de dissociation de Tiode ; J. SPERBER {Zeit.
iJbrj. C/i., t. 15, p. 281 ; 21.7.97). — M. Boltzmann {Sitzangsber,
d Akad. d. Wiss. Wien, 2« part., t. 88, p. 896) avait trouvé
iijfi'* calories. L'auteur arrive d'après ses propres théories (Zeit,
•/l'^Tî. CL, t. 14, p. 22-26, 164 et 374), au chiffre 13,132 calories.
L. BOURGEOIS.
■omreUes tables des densités des solutions de soufre dans
bnUare de carbone ; 6. J. PFEIFFER {Zeit, anorg. Cb,, 1. 15,
p- î'^4 ; 17.6.97), — On s'est servi du pycnomètre de Sprengel-
'-«wiid (figures dans Toriginal), sorte d'ampoule cylindrique
■ttu/» *ie deux tubes capillaires, de calibre inégal. Après qu'on a
f^piidesoL à 15*» jusqu'au trait marqué sur le plus gros tube,
^Htite À i autre orifice la sol. introduite, à l'aide d'une gouttelette
3«D qui sert d'index. On refroidit alors fortement Tinstrument,
^ ^. ae contracte , on enlève la goutte d'eau avec du papier
tiwd, et Ton pèse. Voici un extrait des tableaux (les densités
"ûot prises à 15'' et rapportées à l'eau à 4*») :
f^tSrt o o. Deniité.
0 1,2708
5 1,2949
10 1,3195
15 1,3450
iO 1,3709
L. BOURGEOIS.
, S« RR.9 T. XXVI, 1901. —Trar. etraiig. 11
m ANALYSE DE8 TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur le poids atomique de raluminium ; J. THOMSON (Zm^
anovg. Ch.j 1. 15, p. 447 ; 6.10.97). — On dissout dans une lessh
de potasse un poids donné d'aluminium et Ton mesure l'hydrogèi
dégagé, soit par perle de poids de rappareil, soit en mesurant 1
vol. d'oxygène nécessaire pour brûler cet hydrogène. Toutes h
corrections étant faites, comme celles dues aux impuretés d
métal et aussi à la diminution de volume qui accompagne la dissf
lution de celui-ci, on a trouvé Al — 26,77 pour H = 1 (ou 26,^
pour 0 =^ 16). L. KOURGEOIS.
Sur les composés d'addition platinosoplatiniques ; H. YÈB
(ZeiL anorg. Ch,, t. 15, p. 278; 25.7.97). — L'auteur contes
que, malgré la couleur rouge cuivre de ses crist. et la coloratic
très faible de ses solutions, le .triplatohexanitrite de potassiu
Pt30(AzO*)^K*H*, qu'il a lui-même obtenu antérieurement (A m
Chim. Phys,, (i* série, t. 29, p. 160), doive se ranger au nombre d<
combinaisons étudiées par M. Werner {Zcit. anorg. Ch.^ l. i\
p. i6), lesquelles, résulteraient de l'union d'un produit d'additio
d*un sel platinique avec un peu de sel platineux correspoudan
D'autre part, il y a lieu de réserver la question de savoir si un 6<
Pt(AzO«)*K«.Az«0*,Pl(AzO*)*K«,HCl obtenu par M. Miolati (Eem
d. R. accad, d. Linc.^ 2* série, 1896, p. 356) serait ou non idée
tique avec le sel de M. Vèzes ; il en est en tout cas très voisin.
L. hour<;eois.
Sur les propriétés de quelques chloroplatinates (au suji
du dosage du potassium sous cette forme) ; P. ROHLAND {Zpî
anorg. Ch,, t. 15, p. il2; 14.9.97). — L*auteuf part de ce que k
chlorures sont en général beaucoup plus solubles dans l'alcoc
méthylique que dans l'alcool élhylique : ainsi BaCl* - 1- 2H*0 «^
dissout à 150*» dans 7000 p. de C^H^OH, et dans 78 p. seulement il
CH^OH. Pour doser le potassium dans certains produits complex*^
renfermant des sulfates et des chlorures divers, comme la kaînit<
il traite d'abord la sol. par un léger excès de BaCl^, filtre, ajoute ri
excès de PlCl*, évapore à sirop, puis épuise par l'alcool méthy
lique. Tous les chlorures se dissolvent ainsi que h»s ehloroplati
nates autres que le sel de potassium (ces chloroplatinates, notam
ment PtCl^Ba, sont dédoublés en leurs composants solubU»s i en sort
qu'il reste en totalité et à Tétat de pureté Pl(U«K« qu'il sufQl d
laver à l'élher. l. houroeois.
Sur les propriété84e quelques chloroplatinates (11); P. ROH*
LAND {Zeii. anorg, CL, t. 16, p. â05 ; i^.1.98). — De même qv<
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 163
;t<r les aicools (voir le mémoire précédent), les chloroplatinates
K«l décomposés par l'eau en PlCl* et chlorure métallique ; cette
îtcomposition a ugmente avec la température et avec la masse de
«isâolvaDl, elle est tout à fait comparable à celle des sulfates
dûQbies. L*auteur revient ensuite sur les conditions dans lesquelles
il convient de se placer pour ppter complètement PtCl^K* (voir
f4ll!^liaut). L. BOURGEOIS.
U séparation du chlore et du brome en présence des
;, des sulfates ou des azotates ; P. JAMNASGH et E. KÔ-
tXR Ztris. aaorg. (Jb., t. 15, p. 66; 28.4.97). — Lorsqu'on sépare
k- hrome du chlore par distillation des liq. additionnées de per*
iiaçanat«^ de potassium et d'un excès d*acide acétique, il importe,
M Li liq. primitive est alcaline, de la neutraliser d*abord par Tacide
^«Ihriqoe ou azotique, et non par l'acide acétique, parce que les
tfiéw^ alcalins empêchent d'une manière notable la mise en
'ahenè do brome ; les sels minéraux n'ont pas cet inconvénient.
L. BOURGEOIS.
Ser la séparation directe et le dosage du chlore, du brome
«tée riode dans les substances organiques; P. JAMNASCH etE.
IBLIR iZeit. mnorg, Cb., t. 15, p, 68 ; 28.4.97). — La substance
i^ioi été traitée, soit par le procédé Carius, soit par calcination
*^rc la chaux pure, et les halogènes étant amenés à l'état de ppté
ttfE^tique, on fond celui-ci au creuset d'argent avec 5-6 gi*. d^
•oode pure «le papier du filtre ne gène pas), on reprend par l'eau,
** îillre, on acidulé par SO*H« ou AzO^H, puis on distille en
ftheBte de permanganate et d'acide acétique (voir la note précé-
^nàtK L. BOUKGEOIS.
tn le dosage iodométrique du molybdène; H. EULER
leu. ^ory. Cb., t. 15, p. 454; 18.10.97). — Suite d'une polé-
■iqoe avec M. Gooch (ibid., t. 14, p. 817 ; Bull, 8« série, t. 20,
?* lil'. L. BOURGEOIS.
Séparation de l'aluminium et du glucinium au moyen de
l'idie cUorhydrique ; Fr. S. HAVENS (Zeit. anorg, CL, t. 16,
V i*. ^.fî.OTi. — L'auteur en collaboration avec M. Gooch a fait
>osfiihid., L 13. p. 435) que le chlorure d'aluminium hydraté est
asctobte dans Féther saturé de HQ, contrairement à Fe«Cl«, ce
?u permet de séparer les deux métaux. On peut de même séparer
raènmiBîom d^avec le glucinium ; les deux métaux étant amenés à
104 ANALYSE DES THAVAUX ÉTHANGERS.
Vétat de chlorures, on ajoute à leur solution aqueuse i/2 voluiiu
d'éther, on sature de HCl gazeux, on ajoute encore 1/2 voluim
d'éther, et Ton sature de nouveau par Tacide chlorhydrique. On t
alors un ppté cristallin de A1*C1*-|^12H*0, qu'on recueille sur iiij
filtre d'amiante et qu'on lave à l'éther saturé de HCl. Ce ppté es
séché alors à 150^, puis calciné progressivement sous une couchi
d'oxyde mercurique pur; on pèse finalement l'alumine. Celle-ci
est exempte de glucine ; quant à cette dernière, on la trouve en-
tièrement dans la liq. éthérée filtrée. Après qu'on a chassé jiai
évaporation tout l'éther et l'acide chlorhydrique libre, on peu
doser la glucine, soit en la pptant par AzH^, soit on évaporant L\
sol. renfermant GlCl* avec de l'acide azotique, puis calcinant k
nitrate formé. l. bouhgeois.
Sur la teneur en fluorure de calcium d'un os d*élèphaiif
fossile de l'époque tertiaire; J. H. VAN BEHHELEN (j^rJf.
anorg. Ch,, t. 15, p. 84 ; 25.5,97). — Pour un os d'éléphant fossiU'
(Stegodon) accompagnant à Java, dans un tuf volcanique pliocèn»/,
les restes du Pithecanthropos evectus, D' E. Dubois, l'auteur h
trouvé en moyenne 0,53 pour îe rapport P*0^ : FI. Ce rapport croit
progressivement du moderne à la base du tertiaire; M. Ad. Garnu»
avait trouvé 0,58 comme caractéristique du pliocène. Du restas
dans un même terrain ce rapport varie légèrement suivant \h
couche considérée, et suivant que le fossile a plus ou moins subi
l'action des eaux. l. bourgeois.
Sur Tabsorption et raccumulation du fluorure de calcium,
de la chaux et des phosphates dans les os fossiles ; J. H. VAN
BEMMELEN et E. A. KLOBBIE {Zvit, anorg, Cb.^ 1. 15. p. 90-lfi.
SD.o.yTj. — Examen microscopique et analyse chimique d'un o>
d'éléphant fossile (voir la note précédente) ; les cavités sont infli-
trées de calcite et aussi de pyrite; la structure est bien conservée.
Les auteurs concluent des analyses que les terrains ambiants ont
apporté non seulement du carbonate de calcium, mais encore du
phosphate de calcium (plus basique que le tribasique) ainsi que
des phosphates de fer et de manganèse. l. uouroeois.
CHIMIE ORGANIQUE. 165
CHlilE ORGANIQUE
Sot la Titesse d^bydratation de Tanhydride acétique;
!■• I. RICHTER (Journ. Soc. phys, chim. /?., t. 32, p. 349;
â&c. .*».. — La réaction de l'anhydride acétique sur Teau était
r-urdëe par l'abaissement de la température au-dessous de 0*. La
-luntité d'acide formé après un temps déterminé était évaluée
\tBa nn** mesure de conductibilité, et la constante de vitesse était
îtM*^ par l'expression - Lg r-^^ — r^, ou Xq^^-^x désignent les con-
lombilités initiales et finales, et X^ la conductibilité à l'époque /.
Ucooslante de vitesse est réellement constante pendant la pre-
41WTÇ partie de la réaction, 30 minutes environ. L'addition d'hy-
■•rale «ie chloral augmente la vitesse ; l'addition d'alcool la diminue.
A. CORVISY.
Action do sodium métallique sur les ôtbers bromes; B. N.
nSCHOUTKUlE (Journ. Soc. phys. chim, /?., t. 32, p. 355 ; 1900,
îtv o-. — L'auteur a étudié l'action de Na métallique sur leséthers
'iWirai«.O.C»H5etCH«Br.CH«.CH«.0.C«H5 préparés parle
rn^Wé qu'il a trouvé en collaboration avec Volkof et qui revient
» Caire agir ZoBr*, ZnO, ou même CaO sur les sol. alcooliques des
.iJmnmres. Ces éthers bromes sont des liquides d'odeur agréable;
r^hi-r brométhylique bout à 127-128% cÇ= 1,3956; pour l'éther
wamopropylique. Eb. 149-150*, (iJJ--= 1,2697. — La réaction de
^» <or ces corps en sol. éthérée commence sans qu'il soit néce-
"■^ire de chauffer : on observe un abondant dégagement de gaz
< ta iem|»érature s'élève; mais ce dégagement cesse au bout de
^ heores. Le mélange abandonné quelques jours à la tempé-
-itun» ordinaire, a été chauffé au B.-M. et les gaz dégagés ont été
^îcoûDUà comme étant l'éthylène ou le propylène, selon l'éther
'TOpioyé. Les produits liquides formés sont principalement les
*^b<*^5 éthyhques des glycols éthylénique et propylénique, mais
•l y a aa«si des portions à point d'éb. plus élevé qui paraissent
•"Oûientr les éthers éthyliques des glycols tétramélhylénique et
'«^uaéthylénique. La réaction principale peut donc s'exprimer
•^nr l'éther brométhylique) par l'équation :
5imif.C}P.O.C2HH2Na=C2H*-}-C2H5.0.CH2.CH2.0.G2H5+2NaBr.
A. CORVISY.
160 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les oxyacides halogènes; P. HÉLIKOF {Journ, Soc, pbjr.^.
chim. /?., t. 32, p. 368; 1900, fasc. 5). — L'auteur vérifie par uii
certain nombre de faits nouveaux les déductions qu'il avait formulées
autrefois concernant les produits de l'union de HCIO ou HBrO
avec les acides non saturés. Dans ces réactions, il se forme, soii
des oxyacides halogènes a, soit des oxyacides halogènes p, soit le>
deux à la fois, sans qu'on puisse invoquer une règle définie. —
Dans l'action de HGIO sur Tac. acrylique, il se forme deux acides :
l'ac. p-chlorolactique et l'ac. chlorhydracrylique, qu'on peut séparer
par leurs sels de Zn. Le produit de la réduction de Tac. chlorhy-
dracrylique traité par HI a fourni l'ac. p-iodopropionique. La dis-
tillation de Tac. chlorhydracrylique avec SO*H' a donné Tac.
a-chloracrylique CH«=ÇC1-C00H, F. 64-65% dont le sel de Ba —
(C"»H«GlOVBa 1 2H«0 — cristallise en lamelles brillantes. —
L'éther éthylique de Tac. chlorhydracylique C3H*(Cni5)C103 s ob-
tient en saturant de HCl la sol. alcoolique de l'acide, Eb. 2(J7-20S'-
(Eb. de l'éther de Tac. p-chlorolactique, 205*»). — Avec l'ac. crolo-
nique cristallisé, HBrO fournit principalement l'ac. a-bromo-p-oxy bu-
tyrique, mais avec une petite quantité d'ac. p-bromo-a-oxybutyriqu<' ,
l'auteur a obtenu ce dernier acide dans l'action de HBr saturé à H-
sur l'ac. p-méthylglycidique; il cristallise en prismes rhombiquo-^.
F. 96-97**; il perd facilement les éléments de l'eau et donne Par.
p-bromocrotonique. — L'ac. isocrotonique avec HCIO et HHrO
donne principalement des a-halo-oxyacides. Distinguant par It»
préfixe iso les dérivés correspondants aux acides isotocronit(lie v\
angélique, nous dirons que HCIO avec l'ac. isocrotonique produit
Hv /COni
l'ac. iso-a-chloroxybytyrique (F. 85«,5) HO^C— C^Cl et Tac.
CHV \h
CWK /CO«H
?-chloroxvb!itvrique (F. 85-86°) C1-->G— Cf-OH . A l'aoid*-
h/ \h
isocrotonique correspon<l aussi l'acide iso-p-chloroxybutyri(|iir
Hx /CO^H
Cl-^C—C^OH (F. lâo-j, obtenu par action de HCl sur l'ac.
0113/ \h •
isoglycidique. — Les acides tiglique et angélique se comportent
d'une façon analogue; le premier fournit les acides p-chloroxy-
CHK /COm
valérique Cl— C— C^OH (F. 75**), et a-chloroxvvaléricnio
w/ \GH3
CWK /GO«H
HO-^— CH^l (F. 111%5); le second donne les acides ir»o-a-
h/ \CH3
CHIMIE ORGANIQUE. 167
IK yCO'H
cWoror^Talérique HO-^C— CH^l (F. 103«), et p-chloroxyvalé-
CH^/ \CH»
noue CJ— ('.--Cf-OH (F. 75<»). L'acide iso.aS-diméthylglyci-
h/ \cw
duju^- >*unit à HCl et donne Tacide iso-p-cliloroxj^alérique
H. /CO«H
a-^C— €M)H (F. 92*»). Les deux ac. ô-chlorox\^alériques
o«irali2ié^ par Na*CO' se décomposent par la chaleur en donnant
rWbyiœéth ylcélone ; par conséquent ces deux acides doivent être
rooèiâérés comme des stéro-isomères, au même litre que les ac.
«g^^ique et ti^^lique dont ils proviennent. De même les deux ac.
»--iiJoroiy\alérique (F. lil",5 et 103**) sont des stéréo-isomères;
U *lructure adoptée fiour ces deux acides ne permet pas Télimi-
talion de H*0; au>si n'obtient-on pas d'acides chlorés non saturés
N 0Qle> chaufle avec SO*H^. a. corvisy.
Action de Toxyde d'argent sur les bromamines;N. M. KIJNER
'i'«rn. Soc\ phys. chim. H., t. 32, p. 381 ; 1899, lasc. 5). — Dans
^•aleluolrt' aottiel, l'auteur décrit les premières expériences qu'il
* faiu*- pour établir Taclion de Ag*0 sur les bromamines dans Ics-
*peik^ le groupe aminogène est en position tertiaire (pour les
iTTimammes avec AzBr' secondaire, voir BuIL, t. 24, p. 590). Il a
'TiÎKMti préparé Taniine du nitrodiisoamyle obtenu par le procédé
^ KoDovalot. L'aminodiisoamyle, Eb. 191-194**, traité par Br en
^^••^tH^e <le KOH et à basse température donne la bromamine
.CH^>2CH.CH2.GH2.CH2.CH2.C(GH3)2AzBr2.
I-»^'>l. étbérée de cette dernière, bien refroidie et additionnée de
^> frairheiuent préparé, a donné comme produit principal un
'♦rfniTP, Eb, 159-102*^ sous 650 mm., c/Jf -^ 0,7475 ; ce corps rcs
-^tûiile au menthène par son odeur; il s'unit énergiquenient à Br;
P«r >on point d'éb. et sa dens. il ressemble beaucoup au décylèno
>L*chovicz; s^a structure est probablement
lCH3)2CH.CH2.CH2.GH2.CH=C(CH3)2.
— Eii même temps que ce carbure, il s'est formé de l'acétate d'Ag.
— <>nob^ne une réaction analogue avec l'aminé préparée au
*>)pn du dérivé nîtré tertiaire obtenu comme produit secondaire
\ ^*nB U aitration de Thexanaphtène des pétroles de Russie. L'aminé
168 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
bout à 122-124^ SOUS 755 mm.; rf^ = 0,7904; la bromamioe coi
respondante produit avec Ag*0 un carbure non saturé et un br^
mure bouillant entre 160-170^. a. corvisy.
Sur le tétranitrobenzéne, le dinitrosodinitrobenzène et I
trinitrophénylhydroxylamine ; R. NIETZKI et DIETSCHT (i
ch, G. y t. 34, p. 55; 28.1.1901). — Les auteurs ont obtenu i
dinitrosodinitrobenzène en chauffant 100 gr. de chlorure de picryl
en solution dans 250"=*^ d'alcool avec une dissolution alcoolique «I
28 gr. de chlorhydrate d*hydroxylamine, puis en ajoutant peu
peu 33 gr. d*acétate de sodium sec, en poudre. Le produit obteni
peu soluble dans Teau froide, facilement soluble dans l'ea
chaude, Talcool, Téther et Tacide acétique fond à 133** et possèd
la formule :
AzO
0^ki/^\i AzO
02Az
Ce composé peut être oxydé en en introduisant peu à peu, pal
exemple 20 gr., dans 50 gr. d'acide nitrique monohydraté, puii
chauffant lentement jusqu'à ébullition lorsque tout est dissous. On
fait bouillir2 h. i/2 à 3 heures, on laisse refroidir et on verse surdfi
la glace; on obtient ainsi du tétranitrobenzéne Y . 116% aiguiller
jaunes, facilement solubles dans Talcool, Téther et Tacide acétique
cristallisable. Ce dérivé fournit par réduction le télramidobenzène
asymétrique dont le dérivé acétylé fond à 245*».
En faisant réagir le chlorure de picryle sur le chlorhydrate
d'hydroxylamine sans acétate de sodium, la réaction est moins nette
et Ton obtient la trinitrophénylhydroxylamine qui se distingue du
dinitrosodinitrobenzène par une moins grande solubilité et qui
cristallise en aiguilles jaunes et fines, F. 174°. Cette trinitrophényl-
hydroxylamine correspond à la formule :
AzH-OH
02Az/\az02
u
Az02
Chauffée en tube scellé avec Tacide nitrique elle se transforme
en tétranitrobenzéne. Lorsqu'on fait réagir une lessive alcoolique
CHIMIE ORGANIQUE. 169
•:e potât>se sur la trinitrophénylhydroxylamine, on obtient une subs-
•àûce cns^tailisanl en aiguilles Jaune brun, F. 117-118% possédant
Il composition d'un trinitrophénol et se distinguant de Tacide
; crique non seulement par son point de fusion niais aussi par ses
Mitres propriétés ; Tauteur la désigne sous je nom d*acide iso-
(uriqoe et, fait remarquer qu'il doit y avoir eu soit dans la forma-
ton de la trinitrophénylhydroxylamine déjà, soit dans le traitement
àW^hn de celle-ci, une transposition. Lorsqu'on oxyde la trinitro-
phénylhydroxylamine en solution acétique par l'acide chromique
*ist ^e transforme en trinitronitrosobenzène de la formule
CMl^^AzO^i^AzO qui cristallise en feuillets vert jaune, F. 198°.
*^ie substance fournit par l'action de HAzO^ concentré, non pas
•ifi Mnnitrobenzène comme on aurait pu l'attendre, mais un dérivé
'Ti-alJi^anl dans l'alcool en aiguilles jaunes, F. 110° et correspon-
uni sdon toutes probabilités à un dinitronitrosophénol ou à une
éâiiroquiBODOxime ;
Az-Oll
AïO II
(PAa/^Az02 02Az/^Aa02
II
0
'> îénvé fera encore Tobjet de recherches subséquentes.
F. HEVERDIN.
btrle nitroanthracéiie ; J. HEISENHEIHER (Z>. ch. G., t. 33,
! ^7, 14.1.1901). — L*auteur a repris l'étude, faite il y a 20 ans
^î^ per Laebermann et Lindemann, de l'action de l'acide nitreux
*tf l'tnthracèoe; d'après ces savants on obtient, suivant les condi-
*** »leux produits différents, le nitrate d*anthracèneC**H*o.AzO'H
'■fl rhjpoiiitrate C**H*<>Az*0* ; les recherches de l'auteur lui font
'^[^^rtiCT que le premier constitue le dihydronitranthranol et le
'^ît&l son éiber nitreux, soit :
OH OH
I II I I '' . ,. ..
ou
/^
Il AzO^ H AzO'
iriiiê* jiar la lessive de soude, ces deux composés fournissent le
170 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
premier en partie seulement, le second exclusivement un compos
C**H*AzO* que les savants nommés ci-dessus considéraient comm
une nitrosoanthrone mais qui est en réalité le nitroanthracone
\C-Az02
Ce composé soumis à la réduction au moyen du chlorure d*étai
et de l'acide chlorhydrique donne, en eflet, une base C**H^. AzH'
qui n'est autre que la mésoanthramine déjà décrite par Goldman
qui l'avait préparée par l'action de l'ammoniaque sur l'anthrano
Cette mésoanthramine qui cristallise en jolis feuillets jauue^
été identifiée plus complètement en la transformant en déri\
monoacétyléy lequel est assez difficilement soluble dans Talcool t
fond après une seule cristallisation dans ce dissolvant à 27î}-!^74
Il se présente sous la forme d'aiguilles faiblement verdàtres qui ^
dissolvent dans l'alcool avec une magnifique fluorescence bleue.
F. REVERDIN.
Action du p-naphtol sur les aldéhydes; M. ROGOW iZ>. «/i
6\, t. 33, p. ?î53r); li. 1.1901). — L'auteur a étudié les produit> d-
condensation qui se forment lorsqu'on chauffe le p-naphtol on lub^
scellé, pendant 10 heures à 11)0-200° avec diverses aldéhydes ^m
présence d'acide acétique cristallisable, en employant comme pro-
portions, 1 partie d'aldéhyde pour 2 de naphtol. La vanillme et \{
p-naplitol fournissent dans ces conditions un produit de conden-^n
tion qui correspond à la formule G***H^<>0^ et «pii a dû se foriiH*
en vertu de l'équation :
(:6H3.0CH3.0H.COH + CioiroH — 21120 ^C2BH2<^()3.
Ce composé facilement soluble dans l'acétone, le chloroforma
l'éther acétique, difficilement soluble dans la ligroïne et l'élho»
cristalUse (i(* raciile acétique chaud ou de l'alcool et fond à 211'
Chauffé avec ll^SO*, il prend une coloration rouge clair avec i»ii'
fluorescence verdûln».
Le produit de condensation du pipcronal avec le ^^-naphtol fon'
à 237**; chauffé avec H^SO*. il se colore en rouge foncé avec lluo
rescence verte; facilement soluble dans l'acétone, le chloi'oform<'
le benzène, il est difficilement soluble dans l'alcool chaud, réll»'*'
et la ligrome.
Le cunn'nol et le ^^-naphtol donnent un produit fusible à 23>*^
qui se dissout dans H'SO* à chaud, avec une coloration rouge cla»'
CHIMIE ORGANIQUE. 171
•' ont fluorescence verdàtre; il en est de même du produit de
(-.odensatioD «le V aldéhyde anisique, avec le p-naphtol lequel fond
Le produit de condensation de Valdéhyde salicylique avec le p-
â^fwWo/se coinf>orle aussi de même avec H*SO* et fond aussi à âOS*".
Lorsqu'on chaufTe pendant 8 heures au réfrigérant ascendant
1 zr. d^aidébyde salicylique avec 7»',5 de p-naphtol, 20 ce. d'acide
l'-tiique crislalltsable et 3 gouttes H'SO* conc, on n'observe pas
'tf«i»ienfiatioii, tandis qu'avec les quatre autres aldéhydes il suf-
IVcbaufler i/2 heure à 2 heures pour obtenir des produits de
' ^ti>4lion, qui sont il est vrai, difficiles à purifier.
F. REVEFU)Iîi.
Ssrltdichloracétopyrocatéchineet sur le dichloracétopyro-
9»M;H. BRUHHS (/>. cb. G., t. 34, p. 91 ; 28.1.1901). — La
^'^liantéiopyrocRt échine C^H^Gl^O** a été obtenue en chauffant
*';T.«if pjToralrchineavec 15gr. d'acide dichloracétique et 15 gr.
^ 'iilonire de zinc dans un ballon bien sec ; la réaction commence
•1^', lepro«luit additionné d'eau a été ensuite extrait avec le
^ 'J«ûe, celuiiM ayant été distillé laisse un résidu sirupeux qui
* •'^ {'«jnlication dépose des cristaux, F. 112°, possédant la
' "xulr n-dessus. La dichloracétopyrocatéchine se dissout facile-
--ti Lins l'eau, dans l'alcool et dans l'éther, moins facilement
-toir K*nzone ; elh* est décomposée parles alcalis en se colorant
UfiiD; le perchlonire de fer colore sa solution en vert passant
•'■''C'^^ par addition de carbonate de soude. Elle se fixe sur le
' ''-^ m'triiancé et teint le mordant d'alumine en jaune clair, celui
* l't »û gris vert. Elle fournit avec la phénylhydrazine une phényl-
JîrizcQt^ p. i;33o et avec la sémicarbazide une sémicarbazone
ilw a î2i-228* en se décomposant. Ces diverses propriétés
l'f^m la nature cétonique de la dichloracétopyrocatéchine.
^ dichionjallficriopbénone (dichlcracétopyrogallol) C**H^CI*0*
•*'• ÎTi^parêe en chauflant 1 p. de pyrogallol avec 1 p. 1/2 d'acide»
■ '^'iyfac^tique et J p. 1/2 de chlorure de zinc jusqu'à ce qu'il ne
*'déça^ plus de gaz ni d'acide chlorhydrique. Le produit de la
''*1joo adiiiiionné d'eau a été extrait avec du benzène ; après
'^nlritioo la dichlorgallacétophénone cristallise dans Teau et dans
^ H fciiul ■^ans décomposition à 165-166^. Elle est facilement
* *s*ll^iJa|j, IVau bouillante, moins soluble dans l'eau froide ; elle
* te^ntii fftcilemeot dans l'éther, Talcool, le benzène et l'alcool
'*!^*t?, difBcilemeot dans le chloroforme. Elle se fixe sur le
I •**» aumltna'* et teint le mordant de fer en gris noir, celui d*alu-
172 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
mine en jaune. Sa solution se colore sous Tinfluence des alcooli
Elle fournit avec la phénylhydrazineune joAéw/yA/rfrazoweF. 2âo
cristallisée en aiguilles.
L'auteur n'a pu obtenir avec la sémicarbazide, Thydrazine i
rhydroxylamine aucune combinaison cristalline. Il décrit i
revanche un acide disuliosiqae de la dicblorgallacélophènot
G8H*Cl«0*(S03Na)^ La solution de la dichlorgallacétophénor
dans H*SO* conc. : additionnée de HAzO^ reste d'abord incoloi
puis prend au bout de quelques minutes une coloration rou|
violet. La dichloracétopyrocatéchine traitée de la même inanièi
ne fournit pas de réaction colorée.
La constitution des deux cétones chlorées ci-dessus décrite
correspond aux formules :
OH
OH
AOH
et
AoH
C0GHC12
C0CHC12
Dicbloracctopyrocatécbine.
DicbloracétopyrogaUol.
F. REVEHDIX.
Action des alcalis sur les oxycétones chlorées ; H. BRUHN
[D. ch. G, y t. 34, p. 97; 28.1.1901).— En décrivant lamonochlo
gallacétophénone, Nencki signale que lorsqu'on fait bouillir ri
solution avec du carbonate de chaux elle se transforme avec élim
nation de HCl en anhydroglycopyrogallol. La monochloracétopyn
catéchine ne fournit point de combinaison de ce genre, probablti
ment parce que dans cette cétone le groupe renfermant du chloi
n'est voisin d'aucun hydroxyle ; d'après un brevet de Cassella U
alcalis étendus transforment la chlorgallacélophénone en alco<
gallacétophénonique tandis que Nencki n'a pas réussi à remplace
au moyen des alcalis le chlore parl'hydroxyle dans les deux mon<
chlorocétones.
L'auteur a dans le but de chercher à expliquer cette conlia
diction étudié de nouveau Taction des alcalis sur les oxycétonfi
chlorées.
Kti chaufTant pendant 1/i d'heure au 13.-M. une solution aqueuâ
do clilorgallacétophénone avec six équivalents dépotasse caustiqu
en solution à 5 0^0, l'auteur a obtenu un produit duquel il a relit
deux composés dont l'un facilement soluble dans l'alcool était d
\a fjallacétophénone F. 1G8* etTautre plus difficilement soluble étal
CHIMIE ORGANIQUE. 178
i*MsiyJroglrcopyro(jaIloI F. 224°. La réaction a été faite en atmo-
^tàrre d'hydrogène.
Comme dans ces recherches le chlore a été complètement éliminé
OMIS DOQ pas remplacé par Thydroxyle, l'auteur a pensé que la
r«9tclion avait ét^ trop énergique à cause de la température à
laquelle elle avait été faite, aussi a-t-il fait un nouvel essai à froid.
Uêits ce ras il n*a retiré que du monochloracétopyrogallol non
lnin>formê et loule> les expériences faites en chauffant plus ou
b* longtemps ont conduit au résultat ci-dessus indiqué en
qiie 1*»5 indications du brevet Cassella n'ont pas été con-
L'ûïyde de plomb employé à la place de potasse caustique a
«iûUk^ de Tanhydroglycopyrogallol seul et la formation de la galla-
c»i:^f*hrtione observée lorsqu'on fait la réaction soit avec la potasse,
Hôi iver la baryte caustique en atmosphère d'hydrogène, doit être
dUrÛMèv a l'action de ce dernier.
Lrs alcalis réagissent sur les dichloracétones en présence d'air
rofoine oxydants, de même que sur les cétones monochlorées.
L'4ui<*ur décrit en terminant une combinaison de la sémicarbazide
-t^-rf. U monochloracétopyrocatéchine. Cette combinaison qui a été
'jid^fiMe en abandonnant pendant 8 jours une solution alcoolique de
vfaucAfbazide et de monochloracétone cristallise en aiguilles F. 187°
<p:^s^o.le la constitution suivante :
CO-CH2-AzH-AzH-CO-AzH2 v. heverdin
Sir la l.a.S^trioxyflavone; St. von KOSTANECKI et J. STEU-
ODUUm •//. cL G., t. 34, p. 109; 28.1.1901). — Les auteurs
Mftl préparé un nouveau dérivé de la flavone, qui constitue un
WMn'^fe dp lapigénine la 1.3.3'-lrioxyflavone. Pour l'obtenir ils
''.cl d'dïpjTii condensé l'élher triméthyhque de la phloracétophénono
«if»' IVther élhylique de l'acide m.-éthoxybenzoïque, en présence
'!*• ^Aiuui^ ce qui leur a fourni la S .4.6'triaiéthoxy'S'^éthoxy'
t^^u^rlafy^iophéfione {CH^O)^Cm^l)G0.CW.C0{i)Cm*^^^
•*> i^.T^ cristallise en feuillets faiblement colorés en jaune, F. 100-
Wl'. M solution alcoolique est colorée par addition de perchlorure
<^ kf ru rouge ioncé. En introduisant cette p-dicétone à chaud
■
174 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
dans HI de D=^ 1,7 il y a fermeture de la chaîna et transformaHc
en 1 .iLdunéthoxy'S^'éthoxyûavone :
i.3 / >,C(l)C^'»(3)OC2Hs
laquelle cristallise dans Falcool en aiguilles fines et soyeuso
F. 151-152*»; H'SO* concentré colore les cristaux de ce compo:
en jaune pur en les dissolvant en jaune vert avec une lég-ère flu(
rescence verdàtre. En faisant bouillir pendant plusieurs lieun^^
dérivé avec HI concentré, on obtient enfin la i.3.8'-trioxyflaxoD
que l'on peut aussi préparer directement au moyen de la^-dicétoi
en la faisant bouillir pendant plusieurs heures avec HI de D = 1 ,i«
Cette trioxyflavone, à l'inverse deTapigénine, est facilement soliibl
dans Taleool ; elle cristallise de Talcool étendu en aiguilles micron
copiques, F. SQQ''. Elle se dissout facilement dans la lessive d
soude avec une coloration jaune pâle; sa solution alcoolique e«
colorée en rouge par addition de perchlorure de fer. Bille ne â
fixe pas sur le coton mordancé.
\ 3. 3*
Son dérivé triacélylé C''''»irO^(OCOCH3)»est en aiguilles blanches
F. l()5-16()^ F. REVERDIIf.
Sur Tacide benzophénone-c-sulfonique et quelques-uns d(
ses homologues; C. KRANNICH {D. ch. G., t. 33, p. d4K:>
p. 14.1.1901). — L'auteur apréparé Tacide benzophénone-o.-suJfo
nique en introduisant dansune solution froide de 10 gr. d'anhydridi
o.-sulfobenzoïque dans 50 gr. de benzène, 20 gr. de chlorure d'aiu
minium puis chauffant au B.-M. pendant une heure. L'acide libn
n*a pu être isolé ([ue sous la forme d'un sirop épais, mais i'au^
teur a préparé divers sels qu'il décrit. Le sel dfimmoniun
C«H5.CO.C«II*.S03.AzH*-f-H«0 perd son eau de cristallisatiof
à 110*» et lond à 202*; il est facilement sohible dans Teau, Talcoo
et l'acétone, insoluble dans Téther. Le sel de potassiam cristallin*
aussi avec 1 aq. et fond à 211** ; le sol de sodium cristallise avt'C
i aq. et lorsqu'il est déshydraté fond à 236° ; lèse/ de baryum criy'
tallise avec 1 aq. qu'il perd à 205° pour fondre à 197-198*.
L'acide p.'métbylbenzoylbeDzène-o.'Sulfonique a été prépara
dans des conditions analogues ; il n'a pos pu être obtenu cristallisa
mais il a pu cependant être isolé do sa solution dans le chloro-
forme à l'état solide et il en a été préparé les sels de cuivre, àt
CHIMIE ORGANIQUE. 175
«ic, de cadmium, d*argent, de bismuth et de mercure qui sont
j-iloWes dans l'eau. La constitution de l'acide a été déterminée en
!t* transformant, par fusion avec la potasse, en acide p.-toiuyiique.
Il correspond donc à la formule :
-N)D se/ itàmmonium cristallise en gi'os feuillets facilement solu-
té?* dans Teau et l'alcool, insolubles dans Téther, le benzène et la
ùmae¥. 104*.
&s sels de potassium^ de sodium et de baryum sont également
'^te.
Xtiie (7 . S) - diméibyl^ (6) - benzoyîbenzène" o. - suJfomque
CHWf>H3.CO.(>H*(S03H)4-2H«0. — Obtenu par Faction du
a-iylène sur l'anhydride o.-sulfobenzoïque en présence de chlorure
'tiliBimnnn, il est en aiguilles blanches F. 80«; cet acide est
^Weraent soluble dans Teau, Talcool, le chloroforme et l'acétone.
flitrf>« probablement la constitution suivante :
CH3
't* 8tl d'ammonium cristallise avec 1/2 aq. ; il est facilement
vtlobledansreau et dans l'alcool, insoluble dans Téther elle benzène,
I perd >0QeaQ de cristallisation lorsqu'on le chauffe et fond ensuite
♦26-286^. L'auteur décrit aussi les sels de potassium, de sodium
L'«e«te [L2.i)' trimélbyl'(ô)^benzoylbenzùne-o.-sulfouique
*»^P'*'.OH«t5j.C0.C«H*S0»H, se forme par Factiondu pseudo-
**k<aie sur l'anhydride o.-sulfobenzoïque en présence de chlorure
i*tliuiiiAmni ; il faut noter que dans cette réaction il ne se dégage
P« de HQ comme dans les cas précédents. L'acide obtenu cris*
*■&« dans CHQ* en petites aiguilles fines et blanches, très solubles
^tofeaa, Talcooi, le chloroforme et l'acétone, F. 169*»
^ tel (fammoaium cristallise en aiguilles incolores, il est très
*t4nUe dans Teau et l'alcool, plus difficilement dans l'acétone et
fcûda&.i56-.
ï^ie/x de potassium^ de sodium et de baryum ont aussi été
Wjure» el aoalydés.
176 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Vacille sMrimétbylhenzoylbenzène'0,'Sulfomque :
(GH3)Jj*-3.5)C6H2.GO.G6H4.S03H + 4H20,
préparé par Taction de l'anhydride o.-sulfobenzoïque sur le mési
tylène en présence de chlorure d'aluminium , cristallise de sa solutio
aqueuse en feuillets brillants qui perdent leur eau de cristalUsatioi
entre 100 et 110° et fondent dans leur eau de cristallisation à OK-'
Tacide déshydraté fond à 184°. Le 5e/ cTammoninm cristallise c\
feuillets nacrés, facilement solublesdans Teau, Tacétone et l'alcool
Il fond à 272*. Les sels de potassium^ de sodium et de baryum
ont aussi été analysés. f. reverdin.
Sur les aminés aromatiques tertiaires ; C. HAEUSSERHAin
{D, cJh G. y 34, p. 38; 28.1.1901). —L'auteur a précédemmen
signalé que lorsqu'on chauffe le m. ou To.-dichlorobenzène avecl<
diphénylamine-potassium, il se forme en même temps que des pro
^uits non encore étudiés, lamémetétraphénylènediamineF. 137**,I>
138^. Ce dérivé qu'il avait d'abord considéré comme appartenant i
la série ortho est en réalité comme il Ta reconnu depuis un^
m.-diamine. La formation d'une m.-diamine au moyen de To.-di
chlorobenzène, liée à une transposition moléculaire peut s'explique»
par des considérations stéréochimiques. Le fait, par contre, quti
le p.-dichlorobenzène chauflé avec le diphénylamine-potassium
fournit deux diamines isomères méCa et para, est encore à
expliquer.
L'observation relative à ro.-dichlorobenzène a engagé l'auteur
à rechercher s'il y aurait aussi dans la réaction du diphénylamin<'-
potassium sur l'o.-chlorotoluène, transposition d'un groupement
atomique. La constitution de la diphényltoluidine, qui prend nais-
sance dans cette réaction, n'a pu être déterminée, mais l'auteur a
fait la même réaction en partant du m.-chlortoluèoe et en compa-
rant la diphényltoluidine ainsi obtenue avec celle qui dérive de
ro.-chlortoluène il a pu constater que les deux bases sont absolu-
ment identiques. La première qui avait été considérée autrefois
comme une diphényl-o.-toluidine est en réalité une diphényl-
m.'toluidine F. 69-70*". Traitée à la température ordinaire |»ar
l'iodure de méthyle ou chauflée sous pression pendant 10 heures
à 100** avec ce réactif, elle ne donne, de même que la triphén>i-
aminé, aucun produit d'addition.
Avec la dianiine tertiaire dont il a été question plus haut, on n'a
CHIMIE ORGANIQUE. 177
jids pQ eoQâtater la formation d'un iodométhylaie, lorsqu'on la
rbaffe pendant quelque temps en tube scellé à 100*.
p. REVERDIN.
de caractériser les aminés primaires et secondaires;
O.HnSBERG \I), ch. G., t. 33. p. 3526; 14.1.1901). — L^auteur
rffmhïiéen 1890 une métiiode pour la séparation des bases pri-
JMî^, secondaires et tertiaires qui permettait aussi de les carac-
*rfWH*, celte méthode était basée sur le fait que lorsqu'on agite une
•aune avec le sulfochlorui>^ de benzène en présence de lessive
itadme. OD obtient avec les aminés primaires, une benzènesulfa-
iii*îe *olable dans les alcalis, avec les* aminés secondaires une
^iiizeoesulfamide insoluble tandis qu^avec les aminés tertiaires il
-î ipats de réaction. Celte méthode ne s'est pas montrée, à la
rfUiquf , utilisable dans tous les cas et Solonina en particulier en a
--■ciré les exceptions; l'auteur a donc cherché à la modifier de
l'-wwïPà la rendre plus générale et il croit avoir trouvé dans le
^tiûchloTure de p-anthraquinone un réactif qui permet de caracté-
r-wf fjjnlement les bases de la série grasse et les bases hydro-
Vjin comment il convient d*opérer ; on mélange 0^,1 de la base
* 'tamifiCT avec 5 ce. de lessive de soude à 5 0/0 ; dans le liquide
^^i ou introduit un poids de sulfochlorure d'anthraquinone en
;■ Aire tine, correspondant à 1,5 molécule, puis après Tavoir
^-iirtiautAut que possible dans la masse au moyen d'une baguette
' ^erre, on agile énergiquement 2 à 3 minutes. On chauffe
"•^-aite avec précaution jusqu'à Tébullition, pour transformer le
^^j'-meetiexcèsen anthraquinonesulfonate de soude, on refroidit,
•' mlare avec HCl étendu et on filtre la sulfamide anthra-
■"0:tique formée. On lave avec de l'eau et on fait cristalliser
■*^* Fâlcool. On en dissout une partie (0,05 par exemple) encore
''■'3Klf d^Qs la quantité voulue d'alcool chaud et l'on obtient une
•ittUoQ incolore ou à peine colorée en jaune paille. Si Ton ajoute
"i aqrmie encore chaud i'*,5 de lessive de potasse à 25 0/0 la
'■fcratifjo oe change pas si Ton a affaire à une aminé secondaire;
"• ïv^dueaDi cl en ajoutant une plus grande quantité de lessive
■'•*Jrtà«>e la sulfamide se dépose en partie à l'état cristallisé.
*• ^» a tltaîre à une aminé primaire, le liquide se colore au
'-ainireiju jaune au rouge jaune intense par suite de la formation
■*^0n peut donc distinguer de cette manière les aminés
'*^^'w àei aminés secondaires ; quant aux aminés tertiaires
'■^t^Tiéigvsôent pas avec le sulfochlorure d'anthraquinone.
•^aniL, 3» siii., t. xxvi, 1901. — TraT. étrang. 12
178 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Cette méthode sera appliquée avec succès dans les cas où I
méthode au sulfochlorure de benzène présente des diffîcullc*î
c'est-à-dire lorsqu'il s'agit des bases de la série grasse ou desba><^
hydrocycliques à partir de celles à 7 atomes de carbone.
L'auteur décrit Vheptylamide de Facide p-anthraquinone-sulU
iiiqrt/e C'^H^O^SO^AzHCJHis qui cristallise dans l'alcool étend
en aiguilles à peine colorées en jaune, F. 160*» et la métbylanilk
du même acide C«*H'î03.S0«.Az(CH3)C«H» qui cristallise dai
l'alcool en aiguilles incolores ou faiblement jaunâtres, F. 182*.
^ F. REVEHDIN.
Sur ro.-o.-dichlorobenzidine; P. COHN [D. ch. G., t. 31
p. 3551; 14.1.1901). — Une dichlorobenzidine a été décrite dat
un brevet et sert de matière pour la fabrication de quelques colc
rants. Elle a été préparée par l'action de l'hypochlorite do souci
sur la diacétobenzidine en solution suljirique, puis saponilicatio
au moyen de HGl conc; elle cristallise dans l'alcool étendu t*
jolies aiguilles brun clair, F. 132-183°. Si Ton admet que le chlor
entre dans les deux noyaux on pouvait supposer, à cause de l
différence qu'il montre dans ses propriétés avec le dérivé dimt*i
connu, que l'on a affaire à un dérivé diortho et que Ton doit, pa
conséquent, pouvoir préparer cette même dichlorobenzidine e
partant de l'o.-nitrochlorobenzène. L'auteur a constaté en elTe
qu'en réduisant l'o.-nitrochlorobenzène en solution alcoolique ai
moyen du zinc en poudre en présence de lessive de soude, il ?^
forme d'abord le dérivé azoïque, puis le dérivé hydrazoïque (ju
Ton transpose ensuite en le faisant bouillir avec HCl concentré f
que l'on obtient ainsi le chlorhydrate de la dichlorohenzidin'
décrite dans le brevet. Cette dichlorobenzidine est donc un déri\<
dioriho de la formule AzH«.C-H^Cl.C«H3.Cl.AzH*.
Son chorhydrate est facilement soluble dans Talcool, diflicil*^
mont soluble dans l'eau, insoluble dans le benzène.
Le sel double de platine est un précipité jaune, le sulfate c^i^
tallise dans l'alcool et se dissout très difficilement dans IVai
chaude. Le nitrate et foxalate se comportent de la même manière
Dérivé dibenzoylé C««H6Gl2,AzH.G0.C6Hs)«. — Il cristallisa
dans le xylène en aifçuilles blanches, fusibles à 265**.
L'auteur a préparé la matière colorante télrazoïque qui se forin*
en copulant le dérivé télrazoïque de la dichlorobenzidine avet
l'acide naphtionique. Il remarque que les nuances obtenues avccr*
colorant ne virent pas sous l'influence de l'acide acétique élemlu,
CHIMIE ORGANIQUE. 179
ce qui les distingue de celles que Ton obtient avec la couleur
correspondante dérivée de la benzidine (rouge-congo); les matières
ralorantes dérivées de la dichlorobenzidine ne se fixent bien qu'en
b*iQ légèrement acide, Undis que comme on le sait, la plupart des
railleurs de ben/.idines se fixent en bain additionné de carl>otiate
dfSOUde. F. REVERDIN.
asoîques dérivées de la m.-toluidine ; S. SA-
BUOir (Z>. cb. 6\ t. 33, p. 3479; 14.1.1901). — L'auteur a
pn^paré qq partant de la diméthyl-m.-toluidine quelques matières
''olorantes qu'il a étudiées et qu'il décrit.
ÏÏimthyl'mMohndine'nzobenzène. — Ce dérivé a été obtenu
•V introduisant une dissolution refroidie de 10 gr. d'aniline et 14,5
•icdinéthyltoluidiDe, avec la quantité théorique de HCl, dans une
HibuoD alcaline de nitrite de soude obtenue en dissolvant 7,4 de
wtntede soude et 4 gr. de soude caustique dans 54 gr. d'eau. Le
pn>duit de la réaction a été transformé, pour le purifier, en chlor-
hî'ifale. puis la base a été obtenue en chauffant modérément le
«^rtiydrate avec de la lessive de soude. Cette base fond à 66**,
^ se/ fJoublt' de platine se présente sous la forme d'une poudre
Wtm foncé .
Aride dimétbyl'tn.'toMdine'azobenzène'Sulfonique. — Poudre
ï'wir brun, fortement hygroscopique ; son 5e/ de Ba est en petits
fmtaax bruns.
Ifuuéibyl'in.'toluidine'azo-p.'toluène, F. 121<*. — Il cristallise
'Iwb.ralcool en johes aiguilles brillantes, rouge clair; son cblor-
^fdrate cristallisé dans l'alcool, fond à 172*, son sel double de
pktui" est un précipité amorphe, rouge foncé, son sulfate cristallisé
^ l'alcool méthylique fond à 201^
Dimi^thyIamid(haz(hin,'toIuène. — Ce composé cristallise dans
i^iix^l en cristaux rouge brique, soluWes dans l'éther, le benzène
^"t'-vione, F. 73-74**. Son sel double de platine est une poudre
^^ftphe, brune, qui se décompose vers 197**.
hïm^thylm.'toluidine'azO'p.'pbénêtoL — Il est en petits cristaux
*ïfwir, K. 136-137**. Son sel double de platine se présente sous
*» forme d'une poudre amorphe, gris bleu, qui se décompose
^^in^tbvl^m.'loluidine'azo-p.-anisoL — Ce dérivé, après plusieurs
"*<*3isatioQs dans l'alcool bouillant, est en jolis cristaux rouge
ï-f-a, insolubles dans l'eau, solubles dans l'alcool, l'éther, laligroïne,
'"^^tooe et le benzène, F. 185-136*». Son chlorhydrate, solublo dans
^*taw-i avec une coloration rouge, se dépose en cristaux bleus.
1
180 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
F. 164*. Son sulfate cristallise dansTalcool méthyliqueen aiguilitfli
bleu foncé, F. vers 198* et son sel double de platine est une poudra
amorphe, gris bleu qui se décompose vers 202<». f. reverdin.
Dérivés soufrés des aminés aromatiques ; A. EDINGER (Z7.
ch. G. y t. 33, p. 3769; 14.1.1901). — La récente communication
de Gutbier sur la thioquinoline et la thiopyridine, engage Tauteuré
faire remarquer qu'il a fait, depuis 1 an 1/2, des recherches ave»^
Arnold sur des combinaisons aromatiques thiocétoniques ; la for-
mation du thioquinanthrène l'avait déjà engagé, il y a longtemps,
à étudier l'action du soufi^ sur la quinoline. 11 a trouvé que déjà
en vase ouvert et à une température de 180* au bain d^huile, il se
forme le thioquinanthrène, F. 805*. Des recherches analogue:^
avec le chlorure de soufre et les dérivés de la quinoline ont montré
que le noyau anthracénique soufré
ne se forme que lorsqu'un véritable noyau benzénique existe dans
une combinaison hétérocyclique. Ceci a engagé Tauteur à étudier
aussi l'action du chlorure de soufre sur l'acridine et ses dérivés; il
a obtenu avec Arnold, une mésothioacridine en grandes aiguilles
rouges, F. 275* qu'il a transformée en divers dérivés qu'il énumère
brièvement et sur lesquels il reviendra dans un prochain mémoire.
F. REVERDfN.
Sur les acides quino-p : a-a-phényl- et quino-p : a-a-méthyl
quinoléine Y-carboniques ; C. WILLGERODT et S. JABLONSKI
{D, ch. G., t. 33, p. 2918-2918; 29-10.00). — En condensant la
p.-aminoquinoléine, la benzaldéhyde et l'acide pyruvique, on obtient
l'acide quino p : a-a-phénylquinoléine Y-carbonique
CH\^
Az
Az .
CHIMIE ORGANIQUE. 181
Poudre cristalline jaune, f. à 290**, soluble dans les alcalis et les
«diles concentrés. Sels de Na, K, Ba, Agr, Cu
Etber métbylique; f. à 158**. — Etber éthylique; f. à 146**; son
lodétbylate fond à 225**. — La nitration fournit un acide orthonitré
qm fond à 310** et dont la réduction conduit à Tacide aminé; celui-
n ioùd k 29^ et, par diazotation, donne un oxyacide. — La méthode
*ie Sftndmeyer appliquée à Tacide aminé conduit encore aux acides :
n.Hilorê, f. à 28y*; o.-bromé; f. à 283* et o.-iodé.
L'oxjdatioii manganique de l'acide primitif fournit l'acide ay-di-
fartwflique correspondant qui fond n 248**; sa fusion avec la soude
*l«nela quino-p : a-a-phénylquinoléine fusible à 183** :
L 1 i4i*. — Cette quinoléine se nitre en ortho et le corps obtenu
fjfldaiHl»: réduit, ce dernier fournit Taminoquinoléine correspon-
•Ittie qui fond à 222** : (C«8H<3Az3)«3PtCl«H«. L'oxyquinoléine qui
?ti*iénve par diazotation fond à 168**.
L'idde quino-p : a-a-mélhylquinoléine ^carbonique s'obtient
'ouûe le dérivé phényle mais en remplaçant la benzaldéhyde par
laptraldéhyde. — Sels de Na, Cu, chlorhydrate :
'>^*HM<)îA22>2ptCl6H2; C»'*H»0Az2O2.PlC16H2; Gï4H10O2Az22SO*H2.
-La quinoléine correspondante fond à 88** : C*8H*oAz«PtCl«H«;
-*:«^H««A2<.2CH3I, f. à 257**; — C«3H«0Az«.2G«ll5I, f. à 239°.
Str lei acides qoino-a : p.-a-phényl et qaino-a : p.-a-méthyl
Itiaoléiiie T-carboniqaes ; C. WILLGERODT et Erwin von
HAIBER (D. ch. G., t. 33, p. 2928-2931 ; 29.10.00). — L'acide
G02H
*♦ hrme en traitant la a.-aminoquinoléine par la benzaldéhyde
182
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
et Tacide pyruvique, f. à 353-355*. — Sels de Na, AzH*, Ag, Gu :
B.AzOSH; B.HGl; B.2S0*H«; B^PiCXm*, — Ether métbyljque,
f. à 158«, dont Tiodométhylate fond à 262^ — Ether élbylique,
f. à 116<*. — Acide o.-nitré^ f. à 285<*. — Acide o.-amiaé, f. à 302-
303°. — Acide o.-chloré, f. à 278°; — o. -brome, f. à 286-288^ —
Acide sulfoné; se décompose vers 310". — oxyacidCy f. à 293**. —
Quinophénylquinoléine, f. à 129<» C««H<«Az«PtCl«^H2; son dérive
o.-nitré f. à 218° et le dérivé aminé correspondant, à 232". Elle
donne de même un dérivé sulfoné qui se décompose vers 250*.
L*acide quino-a : p.-a-méthylquinoléine y-carbonique fond à 809-
310"; on l'obtient comme le précédent, mais en partant do la
paraldéhyde. e. e. blaisk.
Sur la fenchone; H. CZERNY {D. cb. G., t. 33, p. 2287-2294;
1.10.99). — La fenchone est attaquée par le brome avec moins
de facilité que le camphre. Ce réactif, à 100°, en tubes scellés,
fournit la monobromo-fenchone. Celle-ci, traitée par la potasse
alcoolique, se transforme en acide fencholénique ; on aurait ;
CH2.
:n2-
GH
I
C(CH3)2
I
CBr
■CH-CH3
-CO
CH2-
CH2-
CH:
CH2-
CH
I
C(CH3p
-CH-(^JI3
OH
-G H
I
G(G!P)5
I
GH
GH-GIP
G02H
GO
L'auteur en conclut, par comparaison avec les réactions analogues
fournies par le dibromooamphre et le dibromure de pulégone, que
toutes les cyclanones du groupe du camphre qui possèdent un
atome de brome tertiaire au voisinage du carbonyle sont trans-
formées par les alcalis en acides non saturés, la chaîne s'ouvrant
entre le carbonyle et le carbone qui porte Tatome de brome.
Si Ton dissout le fenchone dans le trichlorure de phosphore, et
si Ton ajoute du brome à la solution, on obtient vers 30-40° un
tribromofenchane C'^H'^Br^. Celui-ci, réduit par le zinc et l'acide
acétique, fournit un composé C*^H**Br, qui possède les propriétés
du bromofenchène.
CHIMIE ORGANIQUE. 18S
Bromofeochone. — Liquide, Eb,8=13M34«». D,3 = 1,348;
•^ -1.51013. Dans un tube de 1 dcm., a^=: 11^,6 à droite. Traitée
l^rleiine et J'acide acétique, elle donne de la fenchone. — Ac.
(mbcdéaique. Eb.,» = I5I-153* 0^2 — 1,008. Par dissolution dans
t «il^ sujiuhque concentré, on obtient un isomère qui est neutre,
-mulliie en feuillets et fond à 77". — Tribromofencbane. Se
édifie dans l'air liquide en une masse vitreuse. — Bromofen-
•A-O*. F. 1!5-116\ B. E. BLAISE.
Ssr racide pinoliqne ; F. TIEHANN (D, ch. G., t. 33, p. 2661-
i^. 1.10.1900) (Publié par M. Kerschbaum). — L'auteur donne
» t'ajacide dérivé de l'acide pinonique le nom d'acide pinolique
ur^ennement : acide antioxydihydrocampholénique). Cet acide
M ikilement une molécule d'eau et donne l'acide pinocampholé-
"{Qt eila pinodihydrocampholénolactone identiiiues respectivement
«FKidea-campholénique el à la dihydrocampholénolactone. C'est
i* tiû passage remarquable de la série pinonique à la série campho-
nqv.
LWide pinonique solide donne un acide pinolique inactil; au
f:c(rajre, la réduction de l'acide pinonique liquide conduit à un
^"'àft pinolique actif. L'auteur donne une description détaillée du
&>{»- de préparation des acides pinoniques. L*acide liquide bout
« i^ll<>* sous 21 mm. ; il dévie de + 15 à + 19« (7= 1 déc). —
LdcnV pinolique inactif s'obtient par action de la potasse alcoo-
^M^. i 180-200*» sur l'acide pinonique solide; éb,o = 195-205%
^ ^- Sel de plomb caractéristique. — Oxydé, cet acide régénère
i acide pinonique et ce dernier fournit une semicarbazone fusible
^^tide pinolique «c^//* s'obtient de même, mais à partir de l'acide
KVHbque liquide ; F. 114-115*; éb^ = 198-200* ; la solution alcoo-
^ à S80, 0 dévie de — 7*. L'oxydation régénère l'acide pinonique
^Hii)d« dont la semicarbazone fond à 206-207'».
^ Vcm distille directement le produit de l'action de la potasse
<i<wij^ufi s^lJ. i* acide pinonique solide, on obtient Vacide pino-
^piy>iémifae C««H««0«, par perte d'eau; éb|3=130-141*;
^'n- 0,9925; 71^=1,4670*; cet acide est inactif; ses produits
loïîilatioii sont identiques à ceux que fournit l'acide a-campho-
l^que. L'acide pinocampholénique actif obtenu de même, mais
'J«rtirde l'acide pinonique liquide bout à 136-138" sous 10 mm. ;
K~- O.t^în; n^ ^ 1,47096 ; a^ =— 27M5'. Les deux acides précé-
'^1*, traités par l'acide iodiiydrique à l'ébullition fournissent
184
ANALYSE. DES TRAVAUX ETRANGEHS.
la pinodihydrocampbolènolactone inactive; ébia= 128-130" ;
D,«^ 1,014; i2,^ 1,4640.
(CH3)2C.
GH3-CH-
-CH-
I
CH2
I
-GO
-CH2
(CH3j2G.
CH-
02H
CH3-GH.
Acide pioonique.
(GH3)2(:.
CH3-G:
GH—
I
GH2 G02H
I
:GH
GH2
I
— GHOH
Acide pinoliqoe.
-GE12
GH2
I
G021I
Acide piQOcampholénique.
Il est à remarquer que les faits précédents s'accordent mal avec
la formule pinonique de Bœyer qui explique cependant bien les
relations entre les acides pinonique et pinique. e. e. blaise.
Sur le phénylhexamôthylône ; N. J. KOURSANOF iJouni. Sor.
pbys, chim. /?., t. 32, p. 79, 2« p.; 1900, fasc. 5). — Faisant réagir
sur le benzène, le chlorure d'hexaméthylène en présence de A1*C1*\
Fauteur a obtenu, en même temps que d'autres carbures, le pln*-
nylhexaméthylène
GH2 GH
GH2^^^CH g/NgH
GH2 GhIJgH
GH
GH2lJc
CH2
Eb. 130-132« sous 30mm., et 239° sous 745 mm.; F. -i-7%
c^= 0,94446. Far les oxydants ce corps donne de Tac. benzoïque.
A. CORVISY
Sur la môthode xanthogônique de préparation des carbures
non saturés et son application à la chimie des terpénes ; L. A.
TCHODGAEF (c/owriî. Socphys, chim, /?., t. 32, p. 79, 2* p.; 1900.
fasc. r>j. — Cette métnode est basée sur la décomposition qu'é-
prouvent par la chaleur les éthers (surtout les éthers méthyliques'
des acides xanthogéniques. La réaction s'exprime par Téquation :
G-H»"»^ <0GS.SGH3 = GH3SH + GSO + G«H2".
Jusqu'ici l'auteur a appliqué, cette méthode à la préparation du
menthène au moyen du menthol, du limonène au moyen du dihy-
CHIMIE ORGANIQUE. 185
■irDcârvéol Pt du thuyène au moyen de l'alcool thuylique. La
rrtctiofj -e fait en Tabsence d'agents énergiques et à une tempé-
wun» p^u élevée (160-190**); d'après les résultats obtenus, il
•^rtnble qu'elle ne donne pas lieu à des phénomènes d'isomérisation;
«le ê^l <loDc particulièrement avantageuse pour la préparation et
Pt^uile des terpénes. a. corvisy.
Sot le thnyéae; L. A. TCHOUGAEF (Jourû. Soc, pbys. chim.
ilA. 32, y. :iriS; liHiO, fasc. o). — L'alcool thuylique [préparé par
rwî.'^ion »i'.* la thuyone (»)„ = + 77**,46] dont les constantes sont
'^=0,l*iIO et ia)|^ ^^ -1-69*, 49, a été soumis à la réaction xantho-
?HL4piet*l Iransformé en thuylxanthogénate de ha, qui traité par
*'io«W de méthyle a donné l'éther correspondant, sous forme
«ThaJn jaunâtre incristallisable. Cet éther, soumis à la distillation
3^e. ?e <léooinpose en donnant un terpène C^^H'^, Eb. 151*,r)-
^.^^,'^ f/J* ^13 0,^275. Ce carbure a un faible p. rot. gauche;
o» = l,4ô04i, ce qui donne pour la réfraction moléc. 44,21 (au
Irtm de 43,5 i que donne le calcul pour un carbure bicyclique;.
Lïuleur propose i)our ce nouveau carbure le nom de thuyène; le
<Ȕ^ obtenu par Wallach et Semmler (Eb. 172-175**) au moyen de
r«(UDe correspondant à la thuyone serait un isotbuyène, d'autant
jusqu'il parait être identique à celui que Wallach a préparé avec
ruûChyonamine. — Le thuyène s'oxyde à l'air; avec le chlorure de
ûiir.>-yle, û n'a pas donné de combinaison cristalline; l'union de
^^r ^'accompagne de la séparation de HBr et produit une huile
">«^ brun incristalUsable, soluble en rouge foncé dansTalcool;
f**!!*? réaction peut servir à reconnaître le thuyène. Ce terpène est
*•« de> moins stables et de ceux dont le point d'éb. est le plus
!•*•; il -*• distingue nettement du pinène par ses propriétés. —
ï'*teun travail ultérieur Tauteur essaiera d'établir la structure du
*^«le. A. CORVISY.
>«r le campbène du bornéol; L. A. TCHOUGAEF [Journ, Soc.
Mn. f-him. /?., i. 32, p. 360; 1900, fasc. 5. — L'éther méthylique
•^l'âf-boniylxanthogénique a été préparé parla méthode ordi-
>«»*: c'est un corps cristallisé, F. 55*», (a)^ — — 37«»,84 (en soi.
'^*'l^ toluène). Par la distillation sèche il a fourni un camphène
*-*H**, qui. apn*9 distillation sur Na et cristallisation dans l'alcool
^-•«t. fond à 103-104**; ce coips est très volatil; il bout à 149*
»^745 œin.; eu sol. dans le toluène (a)^ =4- ^3%77. — Ce nou-
^^£ camphène diffère assez du camphène connu (F. 50*, Eb. 100**)
186 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pour qu'on ne puisse le considérer comme un stéréo-isomère de
ce dernier. Comme il est peu probable que la réaction ait donn^
lieu à une isomérisation, le nouveau camphône doit correspondra
au bornéol tandis que le camphène (éb. 160*») paraît correspondra
à Tisobornéol; il semble donc que le bornéol et risoboméol m
sont pas des stéréo-isomères, mais qu'ils possèdent des squelette^
de carbone différents; des recherches non encore terminées con-
firment cette opinion. a. corvisy.
Sur le fenchène de Talcool fenchylique ; L. A. TCHOUGAEF
(Journ. Soc, pbys. chim. /?., t. 32, p. 362; 1900, fasc. 5). —
L'éther méthylique de Tac. fenchylxanthogéniqne est relativemenl
stable et peut être distillé dans le vide presque sans décompo^
sition; cependant l'auteur a pu, de 90 gr. d'éther, obtenir 24 gr,
de carbure assez pur. Par une nouvelle rectilication, on a un
un liquide bouillant à 149-150*» sous 760 mm.; (/f = 0,8622;
77^= 1,46091 ; (a)p = — 15°9; la réfraction moléc. calculée d'après
ces données a presque la valeur théorique et indique un terpène
bicyclique. Le point d'éb. différant notablement de celui qui est
indiqué pour le fenchène, il semble que le corps obtenu est un
terpène nouveau. a. corvisy.
Sur les azines de la menthone ; N. H. KIJNER {Journ. Soc,
pbys. tbirn. /?., t. 32, p. 363; 1900, fasc. 5). — Par action de
Phydrate d'hydrazine sur la menthone gauche on obtient deux
azines C*oH«8= Az-Az^C'^H*», — En chauffant la menthone aveci
avec l'hydrate d'hydrazine à 100** en présence de BaO, il se forme
une azine fusible à 82-84^ (a)j^ = + 64»,89. — Par action de l'hy-
drate d'hydrazine (50 0/0) à la température ordinaire, on a une
azine, F. 50-51% (ol\ = — 96'',84. — Ces deux azines cristallisent
dans les alcools méthylique et éthylique en longues aiguille*
incolores; elles ont des propriétés chimiques identiques; elles >e
distinguent de la menthanementhylhydrazone par leur instabilité^
en présence des acides. Par agitation à la température ordinaire,
HCl transforme rapidement ces deux azines en menthone et
sel d'hydrazine; AzO^H de dcns. 1,4 produit la même hydrata-
tion; la menthanementhylhydrazone donne dans ces conditions
un produit d'oxydation C^^lPsAz'O. — Par réduction au moyen
de l'amalgame d'Al de Tazine gauche en sol. alcoolique, on oblie»*
un mélange de menthylamines droite et gauche. — Dans la
réduction de l'azine droite au moyen de Na et de Talcool, on a
CHLMIE ORGANIQUE. 187
>6tco!i une azine avec le point de fusion de Tazine gauche, et on
I cwsuté la formation d*un mélange de menthylamines. —
El 'iiaaihmt Tazine gauche avec Tiodure de méthyle, on obtient
ua produit d'addition cristallisé, non encore étudié. — Outre les
ma^ cristallisées, il se forme, dans Taction de Thydrate d'hydra-
t:ic SOT lamenthone, un hquide huileux, Eb. 195-197** sous 19 mm.,
lâtalyse indique la composition C*<>H*8=Az-Az-G*<*H*8; par le
w^H, ce liquide cristallise en partie, et les cristaux ont le point
ti**fasjon de l'azine droite. — Les recherches sont continuées.
A. GORVISY.
du percblomre de phosphore sur le produit d'oxy-
^<tioB de la menthanementhylhydrazone ; N. H. KUNER
i*»afa. Soc, pbys, chim. /?., t. 32, p. 364; 1900, fac. 5). — Laréac-
'^ i«tneC«<>H5».Vz*0 et PCI» chauffés au B.-M., commence sans
•i jj^panent de gaz, au bout de quelque temps, il se dégage HC^
i^^^>t^itde la réaction contient un peu de menthène G'^H*®,
•Wi> li majeure partie consiste en chlorure de menthyleC*<>H*^Gl.
'' -'hlonire distille sous la pression ordinaire de 209-215**; il y a
••^'^iJOHiiion partielle (séparation de HGl). La portion 209-212^
*^-i 0,9434 et (ft)^'^ — 24%20; la fraction supérieure a un p.
^< ou |>eu plus grand. a. corvisy.
hilèther méthyliqne de la lutéoline; E. VONGERICHTEN
^ '•A'^'., t. 33, p. 2384-2342; 1.10.99). — L'auteur a trouvé
*» le persil un nouveau glucoside qui n'a pu être isolé à Tétat
\''* mais qui, par hydrolyse, fournit l'éther méthylique de la
^ ynwpement méthyle est fixé au résidu protocatéchique, car
•"'oo des al(^is ne fournit que de la phloroglucine; en outre,
•*-*ji«Hkin alcoolique est colorée en brun noir par FeGP, tandis
'■*• U coloration serait verte si les deux oxhydriles pyrocaté-
'**1^*** étaient libres. La méthyllutéoline est dépourvue de pro-
^■^^^ tmcloriales. Enfin, si l'on traite le méthyllutéoline par les
'"^S ja obtient < outre la phloroglucine) de l'acéto-isovanillone
'^-0.i>HîiOCH3j/OH)i.4.3, ce qui détermine la position du
*^^ a»!ihyle dans le résidu pyrocatéchique.
IHi ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'auteur menlionnc que l'apiine cristallise avec 1 mol. d'eau <|
disparaît à llÈO° et sa formule devient dès lors C»'H'<Ct -f IW
Le nouveau glucoside serait une raélhoxyapiine G**H3*0** . H*0.
La méllioxyapiine s'estraîl de préférence de la partie licrbac
dupersildessetnences fournissent généralement de l'apiine presqi
pure). L'apiine brute extraite de celle partie est liydrolysée p
iOO p. d'acide chlorhydrique (D=::l,Oi) pendant trois heure!^
l'apigénine brute ainsi obtenue est épuisée par l'alcool. La sohilii
alcoolique laisse déposer la inéllijllutéoline, F. 250° ; soluhlf^ dai
SO*H» avec légère fluorescence verte ; soluble dans les alcal
caustiques ou carbonates ainsi que dans l'ammoniaque. FeCI^ colo
ta solution aqueuse en brun noir. — Dériva Iriacétylè, F. l'J.'
■ — Dérivé trihenzoylé, F. 235'. * — La mélhylalion fournit ui
triittélhyllaléoUtie. Sa solution est colorée en Jaune par le mélh yla'
de sodium ; son dérivé acélylé fond à 174" et fournit une solutic
alcoolique douée d'une fluorescence bleue. — La méthyllutéolii
traitée par HI bouillant (D = l,96i lournit la lulroliae, fusib'
à Sàe-SSU", dont la sol. aie, est colorée en vert par FeOl^ et doi
les solutions alcalines se colorent en pourpre par action de HgNi
— Le dérivé létrs-a,étylé fond à saO-ai^â- ise ramollit a 212*) et :
dérivé télrahi^moylé qui fond d'abord à 130-140" se solidifie cnsuil
pour fondre de nouveau à 200°.
h'Bcéloisovaiiillone crîst. en feuillets et fond à 94-95".
E. E. BLAlSE.
Sur l'apiine; E. TÛNGERICHTEN [D. ch. G., t. 33. p. â!«)4-lKl
29.iO.001. — La mélhjlation de l'apiine fournit presque excliip"
vement un étlier uionométhylique C^H^^O^.âH'O, qui crislalli^f
en aieuilles fusibles entre 1^5-200". Ce corps se gélatinise rapidu
ment dans ses solutions; à 120°. il perd ses 2 mol. d'eau. Si \'<>
chauffe l'apiine avec un excès de potasse et d'iodure de mélb;lt
pendant 8 beures, on obtient en outre une petite quantité d*ii
glucoside de l'élher dimélbylique de l'apigénine
i:6H"()i-<)-C6Hi(OCiP)<f \cn-(
\co/
corpd cristallise en aiguilles f. 8 255"; hydrolyse par l'acn''
orhydrique, il donne la dimétliylapigénine (?J qui crislaliist' e'
uilles, fond à 264° et donne un dérivé acétylé fondant à SOi*.
j'hydrolyse de l'étber monoéthylique de l'apiine donne dem^""
her monoiiiétliyiique de l'apigénine; aiguilles fusibles àï^'
}
CHIMIE ORGANIQUE. 18»
fiT'iiur la [K)tasse à 30 0/0 bouillante dédouble en acide anisique
iî*rt^Ui'ine et une huile incolore (p. acétylanisol?).
•>>résullats concordent avec la formule suivante de l'apiine;
•i Mil (fautre part que Tapigénine constitue la 1.3i' trioxyflavone.
'cH
OH 00 K. E. nLAISK.
Sir U pilocarpine ;A. PINNERetE. KOHLHAHMER (/>. ch. G.,
* 31 p. 2^7-2363 ; 1 . 10. 1900). — L'oxydation permanganique de
'■i (axarptue élimine tout l'azote de cette base sous forme d'ammo-
"•^«•el «le méthylamine et fournit un acide C®H**0®, bibasique,
*%>^ i« sels perdent à chaud une mol. d'eau et correspondent alors
J aa v'yie bibasique C*H**0. L'acide C®H**0^ est l'acide pulvique.
L'on oxygénée réagit sur la pilocarpine comme le permanganate.
Lé mélange sulfochromique ne réagit qu'à la température du
ti 5L H fournit l'acide pilocarpéique G^H'^Az^O^.
I»*»prvs les auteurs l'acide pulvique serait identique à l'acide
'rH»0* «le Jowet {Proc. cL Soc, t. 16, p. 124) et à Tacide pyri-
'l'T. lUrtrouique de Hardy et Calmels. L'acide pulvique donne un
-^'^ «V poUssium déliquescent C»H»«0«K* (C^H^oQ^K* à 100») ; —
. «H«^)«.V«, C»H««(J«Ba (perd 1/2 H*0 à 180°) ; — Cm^^O^(Cm^)*]
•-.■^-tAI-lSS*; éb^55^293^— L'ac. pilocarpéique G» * H««Az«05.H*0
'*J rommeux, f . à < 100»; — C»«H»*05Az«Ba. e. e. blaise.
kr U pilocarpine; H. A. D. JOWETT (D. ch. G., t. 33,
f S«-y2; 29.10.00). — L'auteur maintient sa formule G'^H'^O
i*>w l'acide qui résulte de l'oxydation manganique de la pilocar-
->r adde pulvique de Finner et Kohlhammer). e. e. blaise.
Arigintf et rapporte des gincosidee du strophantus ; F. FEIST
b. cL /;.. l. 33, p. 2063-2069; 23.7.99). — D'après l'auteur, les
«ea^eiKes de strophantus du commerce sont constituées par des
wia&ce^ de semences d'origines très diverses. D'autre part, outre
-'•jubwie du Str, glaber, les semences renferment deux glucosides
^iffinnUau point <le vue chimique et physiologique. La strophan-
'-^ <ie Fraser-Fetst qui existe dans les semences vertes du str.
^^oû/t et qu'on n'a pas encore trouvée dans les semences des
Tiriéléâ, répond à la formule C*0H««O«». Quant à la stro-
190 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
phantine d*Arnaud-Rohn-KuIiscb, qui existe dans de nombreu:
variétés de «Irophantus, elle diffère de la précédente par Ir
molécules d*eau en moins et l'auteur la désigne sous le nom
pseudo (^) strophantine. Les deux glucosides renferment
méthoxyle, mais celui-ci reste dans Thydrate de carbone que foi
nit rhydrolyse de la strophantine landis que, par hydrolyse de
iJ/-strophantine, il se retrouve dans la ^-strophantidine. Les de
glucosides se distinguent en outre par leurs points de fusion. Un
pouvoirs rotatoires et les réactions colorées qu'ils fournissent av
l'acide sulfunque conc. Enfin, Thydrolyse delà strophantine sVfT
tue beaucoup plus facilement (HCl à 0,5 0/0 et à 70*) que celle
là pseudostrophantine (HCl à 2,4 0/0 et 100^).
Au point de vue physiologique, la ^-strophantine, en injeclio
sous cutanées, est deux fois plus active que la strophantine.
£. E. BLAISE.
Strophantine et strophantidine ; F. FEIST (D. ch, (;., t. i
p. 2069-2090; ïi3.7.99). — Remarque. Il s'agit ici de la strophai
tine Fraser-Feist du str. Kombe.
La strophantine anhydre a pour formule C^'>H^«0**. Hydrolyst^
elle fournil de la strophantidine et un hydrate de carbone
[pour l'hydrate de carbone C*^H**0*^, voir le mémoire suivani
La strophantine cristallise avec 3 mol. d'eau et peut (railleii
fournir divers hydrates; on ne peut la dessécher complèlenie
sans décomposition, F. 170° (desséchée). a^=^-[-l 0*^12 (soi. a
à 5.432 0/0).
Elle fournit avec Tacide sulfurique concentré une coloration ve
émeraudc et réduit la liqueur de FehUng, même à froid. Hydr<
lysée à 70° au moyen de l'acide chlorhydrique à 0.5 0 0» el
fournit la strophanlicline hydratée C«'IP**0"î.2,5H«0. Celle-ci crii
tallise en prismes monochniques dans l'alcool méthylique; el f
peut être desséchée complètement. Klle fond à 169-170*, se solidit
ensuite, puis fond de nouveau à 232°. Œj^^-]- 45.45 (0,5043 *
substance pour 50 ce. alcool méthyli(iue). Par cristallisations ré|H
téesdans l'alcool méthylique, on obtient le corps C*'H***Oî.CH'H)
fusible à 229,5-230°, qui s'effleurit à l'air et qui, séché à 100% per
CH^OH ; le produit ainsi obtenu fond à 235°. La strophantidine réfi^'
sur le chlorure bt*nzènesulfonique et le dérivé obtenu lond à i^'^
Par ébullilion de la strophantidine avec l'eau de baryte, o
obtient le se d'un acide bibasique,racide strophanlidique 0*'H**(^'
CHIMIE ORGANÏQUB. 191
'«C*»H*K)*; en acidifiant la liqueur, puis la portant à Tébullition,
on transforme cei acide en lactone sti'ophantidique
C27H3807 4-1/2 H20;
rdle-ci fond à 243° et se dissout dans Tacide sulfurique qu'elle
r:>t';reen rouge passant au vert. L'ébullition prolongée de la lac-
tooe avec les alcalis fournit Tanhydrolactone G*'^H3*0'^-|- V«H^O>
qui est amorphe et se décompose vers 345*' (desséchée).
La^tropliantidine réduit MnOK en liqueur alcaline : on obtient
"i«5i l'acide strophantique C^'^HssO», fusible à 260%8. Cet acide
f'/inituo monohydrate fusible à lOO**,? et ses sels correspondent
MJik\-(irateC«"H*«O«*-Ag«G«'ïH*00**-f H«0 (séché dans le vide)
E. E. BIAISE.
Sir le sucre formé dans Thydrolyse de la strophantine ; F.
Tmt,D, rL. G., t. 33, p. 2091-2097; 23.7.99). — L'hydrolyse
i&ûa^ un compoM* C'^H**0*^ non réducteur, non fermentescible,
'''5? comLinanl pas à la phénylhydrazine et fusible à 207*». Distillé
«prince d'aci<ie sulfurique, il fournit un méthylfurfurol el de
lârvlf-Ji^^ulique; oxydé (AzO^H), il donne de l'acide oxalique. On
•TTâa :
(:uH3*Oio + 2 H20 = CH30H + ÇfiW^'^O^ -f C«H"05.
Lbeich>*.> ^rail du mannose (?) et le sucre C^H'^O^ un méthylpen-
'•i*.rhtnuio='e' (?).
L'auteur donne en conséquence au sucre générateur le nom de
^*^lstrophantobioside. e. e. biaise.
fcr quelques ammoniums; H. DECKER (D. cb. G., t. 33,
^2f7S-K74; 1.10.99). — Formule de la cotavnine. Le caractère
ï'rtf'.wleinent basique de la cotarnine ainsi que sa conductibilité
'*î<^f|ue ne concordent pas avec la formule aldéhydique de ce
''fj<^, inaU s'expliquent mieux dans l'hypothèse de la formule
i'A^jliquf
CH2
CHM) CHOH
C**iie<i àerail d'ailleurs susceptible de se transformer par hydra-
192 ANALYSE DES TIUVAUX ETRANGERS,
tmion, puis déshydratation en ud hydrate d
lenaire
CH3 CRI
Sur qaelqafls ammoDiama ; B. DECKER \D. ch. G.,i. 3!
p. 227Ô-2S77; 1.10.99). — A7/ra/iOii des sels de qiiiuolejMcojlm
motiiiiin. Les iodures alcooliques ne réagissant pas sur les o.-nitrt
quinoléines, l'auteur a cherché à nilrer les sels de quinoleylalcoyl
ammonium. En Irailant le nitrate d'é(hyh|iiinoléyIaminonium ps
le mélange sulfonitrique, précipitant par im idcali, puis oxydm
parle ferricyanure de potassium les bases mises en liberté, il
obtenu rana-nitro-élhylquinolone
CH=C(Az02)-C-CH^=CH
I II I .
(IH^CH C-A!;(,Cî|l'')t;0
fusible H 135". Dans les eaus-nières, on trouve tm corps à poir
de fusion moins û-levé qui constitue peut être l'isomère orlho.
ne inactive; A. PICTET et A. RQTSCHT <.D. cb
53-2355; i.lO.yai. — Lorsqu'on diauITe le chlor
ures) ou le sulfate {43 heures > de uiooUne en solulioi
ÎIO", ces sels deviennent ioaclil's. La base inai'tiv
ime ta base active t ; D*''^ = 1 ,OiU'.l. — Diiodhvdraie
icrale, F. 218' (déc). — Chhrophlinale, se àén
liiodométhylate, f. à 220°. e. c. blaiss.
;tion de la nicotyrine en nicotine inactive ; A
G., L 33, p. 2355-56 ; l.i0.9'Ji. — Si l'on traite il
ne par le brome, en solution ucéticpie, on obtient ur
lit par t'étain et l'acide chlorhydrique, fournit mit
ent identique à la nicotine inactive.
K. E. BLAISS.
CHÛilIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 103
CHMIE GÉNÉRALE ET ilNÉRALE
Sir le spectre des gaz les plas volatils de Tair atmosphô-
r^M qui ne sont pas condensés à la température de l'hydro-
|«M liquide; 6. D. LIVEING et James DEWAR {Cbem. News,
>< B, p. 1 et 13; i.i90i). — Dans cette notice préliminaire, les
vAan donnent la description complète des raies du spectre des
fu ki plus volatils de l'atmosphère ; un grand nombre de ces
nittippartiennent à l'hélium et au néon. a. hébert.
tirltpréparationdn phosphore exempt d'arsenic ; E. NOËL-
niS et W. FEUERSTEIH (D. cb. G., t. 33, p. 2684-2685;
t lû.i90U). »* Le phosphore commercial contenant toujours de
sttQic, les auteurs proposent une méthode de purification facile
t t^tquer dans uo laboratoire. Elle consiste à distiller le phos-
(tare dans un courant de vapeur d'eau et à renouveler celte
^^^nuoQ une seconde fois.
^ ua flacon de 3 à 4 litres, on place 100 gr. de phosphore
(*ucHl demi litre d'eau.
L'ippareil est traversé par un courant d'acide carbonique ; on
ifljecte U vapeur d'une chaudière et le produit de la dislillation,
^'«faBé est reçu sous une couche d'eau.
D &ol environ 8 heures pour distiller 50 gr. de phosphore.
l^pbosphore de seconde distillation, oxydé par l'acide nitrique,
•"êvète pas traces d'arsenic.
S. iprès ravoir transformé en phosphore rouge, on le traite par
■* ttlrtte d'ammoniaque, selon le procédé de Fittica, on n'y trouve
f^ davantage d'arsenic. h. copaux.
^■Uocfioores de potassium et de sodium. Sur une couleur
^i«0( particulière produite quand ces sels sont chauffés ;
' B. SUES \Cbem. News, t. 83, p. 61 ; 2.1901). — L'auteur a
''^mqsUs^, est chauffant des sulfocyanures de potassium et de sodium
î***. qu*il se développait une belle couleur bleue finissant par de-
^'^ presque noire, disparaissant à froid et reparaissant par la
^***w. Celle coloration est due à la présence du soufre dans ces
■^' A. HÉBERT.
••t. ami,, s* sin., t. xxvi, 1901. — Trav. étrang. 13
IM ANALY8E DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'or employé par les anciens Égyptiens ; J. H. GLADSTOH
[Chein, News. t. 83, p. 13 ; 1.1901). — L'auleur a analysé dive
échantillons d*or provenant d*antiquités égyptiennes ot compai
leur composition à celle assignée par M. Berthelot auxéchantiiloi
dont il a communiqué l'analyse à V Académie des Sciences (t. 13i
p. 461). Les résultats obtenus par M. Gladstone sont les suivante
■018.
Zct
Nersekha —
Qa
Adu U
Amenhotep H
OTRASTIB.
01.
I
»
»
M
WUI
79.7
84. i
H4.0
77.9
81.7
81.1
83.5
AICESIT.
13. i
14.3
13.0
18.0
16.1
11.4
11.7
6.9
1.5
3.0
4.1
«.«
7.5
i.S
A. HKBBRT.
L*effet de petites quantités d*arsenic snr le caivre ; Emet
A. LEWIS {Cbetn. News, t. 83, p. 3 ; 1.1901). — On a préparé d
cuivre à diverses teneurs d'arsenic et, après laminage, on en a d^
lermiaé les propriétés. On a trouvé les résultats suivants :
NUMERO».
1
i
3
4
5
6
Cuivre
AltENIL
ABSRHIC
ajouté
retrou 1 6
p. 100
p 100
i
1.80
112
1..37
1
0.91
3/4
0.75
1/i
0.53
14
0.44
M
»
LAMINAbC.
Bien lamioé.
Très bien lam.
Id.
Bieo IsmiDé.
Id.
Id.
coBrriaiirr
de
ruplare
en loune*
per ponce
cerrù.
d'élMttcitè
en
tonne»
par ponce
carré.
17.83
18.83
18.02
18.31
18.38
16.9i
13.4
11.59
10.00
y.o«
8.91
9.5i
10.25
7.00
ALLoaca-
■CVT
p. lOO.
20
«
)l
«.S
«7.1
A. HKBEHT.
Sur la constitution des sels d*uranyle ; H. LET (D. ch. (à
t. 33. p. !£6r)8-26«l; 1.10.1900). — Kohlschùtler a réceinmaj
proposé de considérer les sels d'uranyle comme des produits 4
coiidon>a ion de Tacide uranique avec d'autres acides, produi
j
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 19
i»
fiiseepiMes d'éprouver une hydrolyse complète, selon la formule
ttuvsDle :
UI-02X2 + 2 H^O = Ur02(OHj2 + 2 XH .
ijHie hypothèse ne s'accorde pas avec les valeurs de la conduc-
utililif électrique du nitrate d'urane, déterminées antérieurement
jmr l'anteiir.
Ik nouvelles mesures, eiTectuées à diverses concentrations, con-
tnatni les précédentes ; elles montrent que la conductibilité suit
un cours normal et «{u'il existe une faible proportion d'ions libres
«useto de la liqueur.
Le* sels d'urane à acides énergiques sont donc faiblement hydro-
l>*« a température ordinaire et le radical UrO* y joue le môme
rCVr qu'un atome métallique Be ou Al. h. copaux.
Ditaéthode simplifiée pour l'analyse spectrographique des
aaémx; Walter Noël HARTLET tt Hugh RAMAGE (CJiew,
^oc.fin, p. 61 ; 4.1901). — Les auteurs appliquent cette méthode
«n nuDèraux siliceux, aux minéraux métalliques et aux produits
»KtaUurgiques. Les silicates réfractaires en poudre fine sont
'^wnii|M»és à chaud par l'acide sulfurique concentré et le fluorure
limaonium ; après décomposition complète, les sulfates peu
i^ttUfs sont séparés par Rltration sur des filtres sans cendres qui
««m bmlés dans une flamme oxhydrique, le spectre étant photogra-
f^de la manière ordinaire. Lies hydrates des métaux lourds sont
pncipités par l'ammoniaque et brûlés de la même façon. Les
^^c^ en solution aqueuse sont précipités généralement à l'état de
"<ik>roplatinates et brûlés également.
W auteurs donnent le tableau de Fanalyse spectographique du
■<<«l brut avec lec|uel sont chargés les convertisseurs à Middles-
^^ ti un autre tableau renfennant 24 exemples d'analyse
't'^raphique den minéraux réfractaires. a. hebert.
ht tmèUoration pour la consenratioii de la sonde normale ;
Uvi&DOWZARD (Cbem. News, 1. 13, p. 18 ; 2.1901). — L'auteur
'^^Qvnf la solution sous une couche d'huile minérale dans un
^Acna laanî a'un dispositif spécial permettant d'en faire écouler la
^^^AiWk sans lui faire subir le contact de l'air. a. hébeht.
hrltéoeage da manganèse à rètat de pyrophosphate ; W.
•WTBK/?. eb..G., t. 33, p. 1019; 81.8.1900).— La sol. neutre
^ tel de manganèse est additionnée d'un grand excès de AzH^CI
196 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANÔSRS.
(4-10 mol.), portée à rébuilition et additionnée d*un excès dt
PO*Na*H. On ajoute ensuite de Tammoniaque et l'on continue «
chauiïer jusqu'à ce que le ppté de phosphate ammoniaco-manga-
neux prenne un aspect cristallin. Ce ppté est recueilli, lavé à Teai
froide légèrement ammoniacale, finalement calciné et pesé à Téta
de pyrophosphate manganeux P'O'^Mn*. l. bourgeois.
Sur la division de Tazote dans les engrais chimiques com<
posés; J. OSTERSETZER (Chem. News, t. 83, p. 3; 1.1901). -
Uauteur rappelle qu'il a montré en 1884, la solubilité de i'azoti
organique par action de l'acide sulfurique. Un pareil mélange pour
rait être employé à la préparation des superphosphates.
\. HÉBERT.
CHlilE ORGANIQUE
Action de ralcool allylique sur le chloroplatinite de potas*
sium; Einar BIILH ANN (D. ch. G., t. 33. p. 2196-2201 ; 28.7.1900i
— Le chloroplatinite de potassium, dissous dans l'eau et additiono
d'alcool allylique en excès, se combine en quelques minutes. L
réaction s'effectue vraisemblablement de la manière suivante :
G3H50H + PtCl*Ka = Cl(C3H*0H)PtCI=ClK + KCl.
Le sel ainsi formé n'a pu être isolé en nature, pas plus que ^
correspondants avec les métaux ordinaires.
Par contre, l'addition de chlorure de platosammonium donii
naissance à un précipité de cristaux très caractérisés, dont la com
position répond à la formule :
/(AzH3)(AzH3)Cl-Cl.Pt(C3H50H)(;i
\( A2H3)( A2H3)Cl = Cl . Pt(C3H»0H )Cl
Ce corps est assez soluble dans l'eau et peut être recristallisé iv
sein de l'acide ehlorhydrique faible, avec transformation partiell
en sel de Magnus.
Il se décompose dans l'eau bouillante en abandonnant, à YéU
métallique, la moitié du platine qu'il contient.
Far traitement à l'eau ammoniacale, puis sursaturation pu
Tacide ehlorhydrique et addition de chloroplatinite de potassium, i
CUIMIB ORGANIQUE. 197
donne ea même temps du sel de Magnus el un sel rouge sombre
lOMonu.
O composé renferme un atome de carbone asymétrique, mais
^koo tnstabitilé rend peu probable Texistence d'isomères. En fait,
k» essais tentés sur les combinaisons analogues du mercure, en
Tne de la séparation par les tartrates, n'ont donné aucun résultat.
Les travaux de diiïérents auteurs sur les combinaisons oléfi-
Dttfies du platine et du mercure tendent à assimiler ces corps aux
composés ammoniométalliques des mêmes métaux, h. copaux.
far la peroxyde de diéthyle; Adolf BAETER et Victor VILLL
OkiD, ch. C, t. 33, p. BSS1'9S; 2S Ai A900). — Peroxyde de
iM^iàfh C«H*.0-0-G«H*. On agite 210 gr. de sulfate neutre
â'khjie avec 250 gr. de peroxyde d'hydrogène à 12 0/0, en ajou-
ttti par petites portions 360 gr. de KOH à 50 0/0, en ne dépassant
p•^âD'. On opère en vase ouvert, et agite 11 heures environ. La
liqueur acidulée, on fractionne le tout : le peroxyde passe à 55-75''.
Afm puriâcation, il passe à 65^, rendement 50 0/0. Liquide inco-
lore, incongelable, D. 0,8273 à 15* peu sol. en H*0, sol. en alcool.
la YêpeoT détone avec l'air, ce qui rend Tanlyse par combustion
tiTi difficile. Il se comporte très indifféremment vis-à-vis des
f^^ctds : KMnO*.CrO^. Ac. titanosulfurique, sont sans action;
K iindalé agit très lentement, Na est sans action. Na amalgame
a'ifïi pa>, en présence d*eau. L'ac. pyrogallique en sol. alcaline
capi que très lentement.
Kédo^tioa en alcool. — La réduction est quantitative en présence
ie pondre de zinc et ac. acétique avec addition d'ac. sulfurique
• C <J 0 environ.
Ox/y^fle actif. — Il a élé déterminé en attaquant un poids
'^•Bo de Zn par le peroxyde et un acide, et mesurant TH dégagé.
^Combustions vives. — Le peroxyde prend feu au contact d'un
ïfciTanmètre chauffé à 250*. Placé dans une atmosphère de CO*,
•«-foo en approche un fil de cuivre chauffé, le peroxyde disparaît
'OiUiitanément par une surprenante combustion sans violence,
Atts flamme, sans bruit, et sans qu'on remarque d'ébullition. U se
^«ne de l'aldéhyde formique en grande quantité, du GO et du
'^fH. La vapeur mélangée d'air détone violemment; mélangée
i'arfjpîne, la détonation est plus violente que celle du gaz oxy-
^*tnqoe ; le flacon est toujours brisé. Jusqu'ici il a été impossible
^ fare déioflier la substance seule.
Aa poiai de vue de la constitution de ce peroxyde, la transfor-
^tàj^mmneiie en alcool permet d'admettre la formule CH^-O-O-G^H^^
198 ANALYSE DES TRAVAUX ËTRANOERB.
pluldt que celle qui le ferait dériver «l'un oxyffène quadrivalent
'-' \0 ' ^ ^P"^^ "^'^ dernière, en effet, la réduction devrai
fournir O^H qui — H»0=0(C»H'i)*. Or, il ne se forme pa
\0H
d'iilher dans la réduction. v. augeh.
Propriétés de l'acide oxalacétique; Henry G. HORSTMAM'
FENTOH et Homphrey Owen JONES iCfiem. Soc, t. 79, p. 91
1. 1901). — Les auteuriî ont obtenu précédemment l'acide oxala
célique par oxydation de l'acide malique par l'eau ouygéoée ei
présence de sel ferreux; ils étudient actuellement diverses propriété
rie ce corps,
La pliényihydrazine, réagissant sur l'acide oxalacétique donm
unepliényIhydra7.oneCO*H.GH».C|Az«H.C«Hs).C0»Hquichaufté'
avec l'enu pure, perd de l'acide carbonique en se translormant e\
hydrazone de l'acide pyruvique. Celte décomposition n'a pasliei
en présence des acides, si ceux-ci sont sufllsainmenl concentrés
et il se fait alors de l'acide phénylpyrazolone-3-carboxylique.
L'hydrale d'hydrazine donne le se! hjdrazinique de l'hydrazoni
CO»H.CH».C;Az'H«).CO»H.Az«H' et l'acide pyrazolone carboxy
lique de Rotemburg. Le premier de ces corps, chaude avec di
l'eau, forme un composé blanc, cristallin, qui constitue probable-
ment l'hydrazide du dernier acide.
L'hydroxylnmine donne naissance au composé
C0'H.CH'.C{AzOH).C0îH,
paraissant identique à l'acide a-oxîmidosuccinique d'Ebert et noi
, pas à l'acide p, ainsi qu'on aurait pu le penser. Il donne, cependant
un dérivé de ce dernier acide par action de l'anhydride acétiqui
ou du cblornre d'acétyle.
L'ammoniaque et l'urée forment des si'ls normaux; le premifl
de ces sels, cliauiTé avec un excès d'ammoniaque alcoolique, donm
- rps correspondant à l'acide mélhylpyridinecarboxylique 4
ger.
nd l'acide oxalacétique est oxydé par l'eau oxygénée en pi*
de fer, on obtient un produit ressemblant ii l'acide dihydroxy
pie, mais qui n'a pu être isolé. Les auteurs attribuent i
ide la formule taulomérique CO*H.CO.CH(OH).C0*H.0i
traité par la phénylhydrazine, forme une substance rougi
S fondant à iîi-iH', qui répond t> l'Iiydrazide-dihydraz'iH
ride dioxysucc inique. a. hjbsrt.
CHIMIE ORGANIQUE. 199
OériTès de snbstitation a-alcoylés des acides glutariqne,
«dipifoe et piméliqne; J. W. HELLOR (Chem, Soc, t. 79,
p lâfJ; 1.1901). — L'auteur a voulu préparer ces corps pour
rtodier leurs constantes de dissociation.
L*aade adipique a été obtenu par la synthèse suivante : le
oaloQaie dYihyle sodé est traité par le Y-chlorobutyronitrile ; il se
Éni b réaction :
(C02C3H^)»CHNa+GH2Cl.CH2.(:H2.CAz
= Naa +{G02C»H5)2CH.GH2.GH2.CH2.GAz.
Utt-cyanobutane-aa-dicarboxylated'éthyle ainsi obtenu, saponifié
Mf r*cido sulfurtque dilué, laisse dégager de Tacide carbonique
«^whrmation d'acide adipique.
Artdes a-alcoyl-glatariquos. — L'acide «-méthylglularique
^»H.CHiCH»).CH«.GH*.CO«H était préparé par aciion de l'éthylate
^ sodium sur le propanetricarboxylate d'étbyle et Tiodure de
n^yle au bain-marie pendant deux heures. On étend d'eau et
« «trait a l'étlier ; enfin on faisait digérer avec Tacide chlor-
*»^^^ne. Produit cristaUin, fondant à 77-78«.
On préparait aussi les acides a-élhyl, a-propyl, a-isopropyl-gluta-
M(te« adipique et a-alcoyladipiques, — Préparés d'une façon
wtlof^e à celle décrite plus haut pour l'acide adipique.
Àciden %'aleoyIpiméUques. — L'acide méthyl- était préparé déjà
KZdinsky et Generowsow; l'acide éihyl- était obtenu par la
*<*boile de Crossley et Perkin, mais il n'a pu être obtenu cris-
IfS constantes de dissociation, — Ces constantes, déterminées
P*a^ les acides ci-dessus, et comparées à celles des acides succi-
^^pesforreftpondants sont les suivantes :
Acide
^»^aà r-slrtjlé. Mcciiiqne. fluuriqae. adipique. piméliqQe.
0,0068 0,0047 0,0037 0,0035
ïtohyl 0,0085 0,0054 0,0041 0,0031
Ehjl 0,0086 0,0056 0,00415 »
Propyl 0,0089 0,0059 0,00423
^^ro^ 0,0075 0,0055
bobotyl 0,0088
Wljl 0,0109
Bmoyl 0,0091
t%
Il >
U M «
» Il ••
M M «
200 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
On peut voir par ces chiffres et par les courbes qui leur corres
pondent :
1^ Que l'effet de la substitution augmente avec la grandeur d
groupe alcoylé introduit ;
2^ Qu'avec les acides succinique, adipique et pimélique, Teffi
de la substitution est moins marqué avec la distance des groupe
carboxylés ;
8** Que le renversement de la courbe dans le cas deTacide pim«
lique et de son dérivé méthylé indique que dans les séries subériqu*
azélaïque et sébacique on doit observer un plus grand renversemen
A. IléSERT.
Sur l'acide glycuroniqne ; Cari NEUBERG {D. cb. G., t, 32
p. 8815; 26.11.1900). — L'auteur a perfectionné la préparatio
de Tacide glycuronique ou plutôt de sa lactone, la glycuron
CO-(CHOH)«-CH-.GHOH-GOH
Il à partir de Tacide euxanthique, t
diminuantla teneur en acide sulfurique. Il chauffe pendant 8 heun
à Tautoclave sous 8 atmosphères (185®j 50 gr. d'acide euxanthiqi
en suspension dans 500 ce. d'eau additionnée de 25 ce. d*acid
sulfurique demi-normal. Le rendement est de 11 gr.
On a préparé de cet acide un certain nombre de dérivés :
!• Le glyciirone amylmercaptal déjà obtenu par Fischer ;
2* La thiosemicarbazone fondant à 228®, extrêmement peu si
lubie dans les solvants organiques ; elle se prête très bien à isoU
Tacide glycuronique des matières sucrées telles que le rharanos^
e xylose, Tarabinose, les hexoses et les hexobioses ;
3** La diphénylhydrazone et la parabromophénylhydrazoDe ;
4* La glycuronoximc fondant à 151*; elle perd facilement 1é
élément de l'acide cyanhydrique et permettra peut-être de passer
l'homologue inférieur de l'acide glycuronique. Par l'action d
Tonhydride acétique en présence d'acétate de sodium, Toxiin
fournit le dérivé- télracétylé de l'héminitrile saccharique que l'o
a caractérisé en passant à l'acide «-saccharique ;
5° Les glycuronates de cinchonine, quinine, brucine, strychniu
ont été obtenus soit par l'action de la hase libre en solution aqueus
ou alcoolique chaude sur l'acide libre ou sa lactone, ou encore [>a
double décomposition entre le glycuronate de baryum et le sulfai
(le l'alcaloïde.
Le sel de cinchonine, très peu soluble, peut servir à retirer Taciti»
glycuronique d'un mélange où il serait associé avec d'autres ma
CHIMIE ORGANIQUE. SOI
tkT» suerées ; on en a fait Texpérience sur des mélanges avec le
î^nfose on Tarabinose.
L'mteur publiera prochainement un mémoire sur les éthers, les
b^Ulset les glucosides de l'acide glycuronique. l. j. simon.
da brome et du sulfure de carbone sur les combinai-
NBS aéthyléuiqnes sodées; G. WENZEL (D. ch. G,, t. 33,
p. iO(l-i043; 28.7.1900). — On sait que l'iode transforme Téther
otioftique sodé en élher acétylènelélracarbonique, par séparation
d'wdore de sodium et soudure des deux restes d'éther malonique.
U farome, en solution sulfocarbonique, réagit difTéremment sur
^ même corps, Il se fait du bromure de sodium, du bromure de
<»kt et un composé cristallisable en aiguilles jaunes de formule
'.^H«SH>, fusible à 139^
îCH"0*Nh + 2 CS2 + 2 Bi-2 = Ci«H22S308 + 2 BrNa + Br^S .
Le reodement de l'opération n'atteint que 5 à 20 0/0 de la théorie.
Ce corps est soluble dans l'alcool, insoluble dans la soude, à
peto^ attaqué par les acides, à froid. — L'éther cyanacétique sodé
'O^t uoe transformation analogue sous les mêmes influences. On
'jfaiiMl \\n composé C^H^^Az^S^Ô*, fusible à 225% insoluble dans
"0» et la ligroïne, soluble dans l'alcool.
L«s combinaisons sodées de l'acétylacétone, des éthers acétique
'^* pbénylacétique seront étudiées au même point de vue.
H. COPAUX.
«
Sir Taction de rx-chlorhydrine de la glycérine sur quelques
»Bei tertiaires; Alexander BŒNENTHAL (Z>. ch. G,, t. 33,
p 350045; 3.12.1900). — Triétbylamine et cblorhydrine. —
l'prodaii d'addition obtenu en chauffant mol. égales au B.-M.
^ ane huile insol. dans l'éther. Sous l'action de Ag*0, il fournit
«»• btse très instable dont on a préparé le picrate
<CH2-CH(OH)-CH2(OH)
OC«Ha(AzOa)3
'J^ en gros prismes jaunes, de Talcool ou de l'eau, f. à 114°. Le
'^^Tupkiinate crisl. en tables Jaunes f. à 215<*.
^f^iftropyhmine et cblorhydrine. — Obtenu comme le précédent,
'fl citt^/Uui à i lO*. Picrate f. à 80«. Chloraurate f. 94\
^imHbyîpipéridiue et cblorhydrine
C?H>OAz(CH3)Cl-CH3-CH(OH)-CHa(OH).
«02 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
— Le produit d'addition crist. de Talcool en prismes incoloret
à 288*. Cbloropîalinate crist. de l'alcool en prismes jaune-d'o
épais, f. à 207**. Chloromercurate, crist. f. a 170*.
Quhioléine et cblorhydrine C»H- AzCl . CH« . CH(OH) . CH«(OH
— Obtenu par chauffage à 140*, crist. de l'alcool en feuillets
à 170'*. Cbloropîalinate, tables jaunes f. à 283®. Cbloraurate
à 101*. Cbloromercurate aig. f. à 115*. Picrate t, à lîO*.
Strycbnine et cblorbydrine, — Par chauffage à 190*. Frismi
incolores G«<H««Az«0«Cl.CH«.CH(OH).CH*OH, f. au-dessus «.
290». Cbloroplatinate f. à 230^ Cbloraurate f. à 2H». Picra^
déc. 280**. Cbloromercurate f. à 499**. v. augkr.
Action des halogônes sur Tôther cyanacétiqoe sodé (comini
nication préalable); G. ERRERA et F. PERCIABOSCO {IJ. cb. G
t, 33, p. 2976-81; 8.10.1900).— En faisant réagir l'iode ou lebroin
sur une bolution éthérée d'élher cyanacélique sodé, ou bien e
faisant réagir en présence d'éther, Tétlier bromocyanacétique su
l'éther cyanacéticjue sodé, les auteurs ont obtenu de nombreu
produits dont nous ne décrirons pas ici le mode de séparation pam
qu'ils reviendront plus tard sur ce sujet. Ils se bornent à décrir
plus spécialement l'un de ces produits.
Ether triniétbylènc-tricyauO' tricarbonique
AzC C02G2H5
^^ /
G
AzCv /\ yCAz
C2H502C/ \G02C2H5
— Cristallise de l'alcool ou du benzène en aig. ou paillettes K «
119*. 11 est d'une certaine sensibilité vis-à-vis des alcalis qui lui
font perdre AzH** en donnant des sels de Tac. trimétliylènetétracar-
bonique. En employant l'eau de baryte diluée et opérant à froid, on
obtient un produit lusible à 182-184°, probablement le tricyanoaé-
tbylène (CAzCH)^; en mémo temps se forme un composé f. à iOo"
probablement V acide triawtbylène-cyanotricarbonique
AzC G02H
\/
G ,21120,
HO^C-HG — GII-C02I1
dont le sel d argent C^H»AzO«Ag-'».H«() déflogre par la chaleur.
V. AUGKR.
CHIMIE ORGANIQUE. 203
ictîoB des nréthanes sur les aminés benzénoîdes primaires ;
Atfistiis Edward OIXON (Cbem. Soc.,i. 79, p. 102; 1.1901).
— La phényluréthane, réagissaat sur la paratoluidine, à 185^
^««daol 3 heures au réfrigérant ascendant, donne naissance à de
•'«uline et à un mélange dephénylparatolylcarbainide et de dipara-
^y^carbamide. La réaction est probablement la suivante :
I C«H5.AzH.CO.OC2H5-f C^ir.AzH2
= CfiH^AzH.GO. AzH.C^H* + CSH^OH,
'!• C^lPAzH.CO. AzH.CH^ + CH^. AzH»
= C«H5 . AzH2 + G0( AzH . G ' W)^ .
Luiline et la paratolyluréthane fournissent les mômes composés.
L«tWoluidioeei la phényluréthane donnent de la ditolylcarbamide
^àtk phénylorthotolylcarbamide.
U pliéoyluréthane et Ta-naphtylamine produisent de la di-a-
Ufhlytcarbamide et de la phényl-a-naphtylcarbamide.
U phényluréthane, chaufTée avec une proportion équivalente
iortlieoude paratoluidine ou da-naphtylamine, donne dans chaque
f«> ane carbamide disubstituée symétrique contenant un groupe
i^yle et un groupe dérivé de la base employée. Ce produit est
^^^oors accompagné de la carbamide disubstituée correspondante
s^ïatâiaat seulement le radical de la base. a. hébert.
hr Faction de l*acide nitrique sur l' anthracône ; 0. DIHROTH
^cA. C, t. 34, p. 219; 11.2.1901). — Après avoir rendu compte
*1*5 principaux travaux qui ont été faits sur la nilration de l'anthra-
■'ot, Tauteur signale qu'il est arrivé à la même conclusion que
faseaheimer {D. eh. G., t. 34, p. 3547) sur la nature du composé
*'*«foé autrefois par Liebermann comme nitrosoanthrone et qui
'^ «ï réalité le nitroanthracène. Ces travaux l'ont conduit à éla-
^•t une méthode de nitralion de Tanthracène qui lui a donné de
^ résultats. On met en suspension 50 gr. d'anthracène en
P^r« une dans 200 ce. d'acide acétique et on y ajoute 20 ce. de
H-W>» à 6S 0/0 sans laisser monter la température au-dessus de
t*aatiiracéiie se dissout et la solution renferme très probable-
•**4 *iu nitroaoélate d'anthracène qui, chauffé avec de la lessive
* ^<*te étendue se transforme en nitroanthracène. Si l'on ajoute
•* rdhHdissant à la solution nitrique et acétique ci-dessus de
'•c**e chlorfaydriqne fumant et de l'acide acétique on obtient le
'Wwiiv de niiroMmbracène C«*H«»(AzO«).Cl qui digéré avec la
2Ô4 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
lessive de soude étendue fournit également le nitroanthracène. G
obtient ce composé complètement pur, en prismes jaunes, F. 14^
par une seule cristallisation dans Tacide acétique.
Le chlorure ci-dessus est en aiguilles, fusibles vers 168*, si Te
chauffe à la température du bain-marie puis àl'ébullition la solutic
nitrique, il y a dégagement d'oxyde d'azote et formation d'un
substance dépourvue d'azote qui est probablement un dianihraai
>G:G< >GOH,
G«H*/ NC^H*/
ou plutôt une dianthrone.
/G«HV yG6H\
0G< >GH.GH< >G0.
\C6H4/ \C«H*/
Ce composé est identique à un produit obtenu de diverses ma
nières en parlant de Tanthranol par Orndorff et Bliss.
F. REVERDIN.
Sur l'action du ^-naphtol sur les aldéhydes ; I. T. HEWm
et A. I. TURNER (D, ch, (?., t. 34. p. 202 ; 11.2.1901). — En fai
sant réagir la benzaldéhyde sur le ^-naphtol les auteurs ont obtem
CioH« OH(â)
le phényl-di-p-naphtolméthane C^H'^.CH<qioh6'oH(B) substance
fusible à 198° et qui ne se dissout que difflcilement dans les dissol
vants ordinaires à Texception de Tacétone. Ce composé a él^
obtenu en dissolvant ii«^',4 de p-naphtol et 5*f%8 de benzaldéhyd*
dans 80 ce. d*acide acétique cristallisable et ajoutant à froid 2 ce .
HCl fumant. La réaction est terminée au bout de 12 heures
et le produit cristallise dans Tacide acétique. Son acétati
C«H'\CH(C«oH«.O.COGH3)« est en aiguilles incolores, F. 199*.
C*"H^
U anhydride C®H^.GH<qio[^6>0 ^^ forme facilement en chauf
fanl à 200<» pendant 10 heures en tube scellé le phényldinaphtoN
méthane avec de l'acide acétique. 11 cristallise en prismes, F. 191"
et a élé identifié avec le produit décrit précédemment parClaisen
et par Trzcinski. L'auteur se propose d'étudier les produits d'oxy-
dation de cette substance dans l'espoir de la transformer en un
analogue du xanthydrol. f. rbverdin.
Sur le rapport entre la constitution deshydroquinonesetleor
tendance à la formation de quinones ; F. SEHRMAHN (D. cb-
G,, t. 33, p. 3066-7; 19.10.1900). — L'auteur défend la règle qu*ila
CHIMIE ORGANIQUE. 205
\/oiée Jui 61^1 de la puissance d*oxydatioD, des quinones : la puis-
Moce oxydante d*une quinone c'est-à-dire sa tendance à se trans-
bnner en hydroquinone par hydrogénation, est d'autant plus forte
<{iK6eUe quioooe est placée plus bas dans la série homologue, et
qaetie est plus substituée négativement. Or Graebe {Ann, d,
Chmie, t. 236, p. 22) a montré que la tétrachlorohydroquinone
réagit mr la trichloroquinone en donnant du chloranile, ce qui
<fiprès H. Kaufmann {D. cb. D.^ t. 31, p. 979) contredit cette
DaprésF. Kehrmann, la règle n'est nullement infirmée, parce
qvd*uoe part la tétrachlorohydroquinone a un poids mol. plus
fkveque le dérivé trichloré, et d'autre part il est douteux que,
Ttf^visdu groupe quinone, le chlore doive éti*e considéré comme
on âément électronégatif. S'il l'est, c'est dans une très faible
flKsireet l'augmentation de poids de la molécule compense et
ia delà la substitution faiblement négative. v. auger.
hydttioii par roxygéae de l'air; H. BILTZ {D. cb. G,, t. 33,
P-fi85-f299; 1,10.1900). — Les oxydations lentes provoquées par
'«xjjjèoe de l'air, en présence d'eau, sont accompagnées d'une
fcraation secondaire d'eau oxygénée.
Us exemples de ce fait, observé d'abord par Schœnbein, sont
*v>ore peu nombreux en chimie organique ; l'oxydation de la phé-
■ïflÇïirazone de la dibromo-p.-oxybenzaldéhyde en est cependant
«acte très net.
• p. de la pbénylhydrazone sont dissous avec 3 gr. d'hydrate
^ pousse dans 50 gr. d'alcool et 80 gr. d'eau. On fait passer un
'^'viot d'air dans le liquide ; après 4 heures, la solution étendue
^ UU^aent acidifiée par l'acide chlorhydrique est additionnée
*Oûdaouiient d'acétate de soude.
L'osazone ainsi précipitée est une poudre cristalUne, soluble dans
' Aool, fus. à 206% de formule C««H«oAz*Br*0».
ï*»Ds les eaux-mères de la précipitation, étendues à 1 litre, l'eau
**^y?We est décelée par tous ses réactifs ordinaires; elle est titrée
**>» difBcalté par le permanganate de potasse ou l'iodure de
î^t*5^m. On reconnaît ainsi que l'oxygène de l'osazone et celui
4e FetB oxygénée sont égaux en poids.
^> «Taotre part, on mesure la quantité d'oxygène contenu dans
'«» employé, on constate qu'elle est égale à la somme de l'oxygène
^foiaxona el de celui de l'eau oxygénée.
aOd ANALYSE DKS TRAVAUX ÉTHANGEKS.
L*oxydalion est donc exprimée par l'équation suivante :
2Ci3HiiAz2Br20 + 02 = C^eH^^Az^Bi^O^ + HW.
H. COPAtX.
Actions chimiquesde la lumière; 6. CIAHICIAN et P. SILBE
{D. ch. G., t. 33, p. 2911-2913; 29.10.1900). — Les solutioi
alcooliques de quinone, exposées à la lumière solaire, se décomp(
sent avec formation d'aldéhyde et d'hydroquinone.
De même, le nitrobenzène et Talcool donnent de Taldéhyde et*
l'aniline.
Ces faits, observés autrefois par les auteurs, avaient été éludu
presque en même temps par Klinger. Ils les ont récemment repr
et, bien que leur étude ne soit pas encore complète, ils publient I
présent travail en réponse à une note récente d'Œchsner de Co
ninck et Devrien.
Ces derniers ont observé, dans Taclion de la lumière solaire s«i
la benzophénone, la formation de cristaux incolores, Ci''H**0, h
Bibles à 182"" et qu'ils désignent comme un produit de eondensatio
c«H5 . c^= CH.c<^,j^3) . cm\
L'acétophénone donnerait naissance à un composé analogue.
' Selon les auteurs, il y a simplement formation des pinacone
correspondantes et oxydation de l'alcool en aldéhyde.
En renouvelant les expériences citées, ils ont pu îdenliRer lei
produits obtenus avec la benzopinacone (C«H5)«C(0H)C(0H)(C«H*i*
fusible à 185-187« et l'acétophénonepicanone C««H«H)«, fusible i
122®, corps précédemment connus. h. copaux.
Acide 2.3.S-trichIorobenzoîque ; Francis Edward MAT'
THEWS (Cbeui. Soc, t. 79, p. 43; 1.1901). — En traitant Thexa-
chlorure de benzonitrile par la soude alcoolique, on obtient ufl
mélange d'acides trichlorobenzoïques qui, par cristallisation
fractionnée des sels de baryum, donne un nouvel acide trichloro-
beuzoïque. Or, on connaît jusqu'à présent quatre des six acides
trichlorobenzoïques possibles, les deux autres étant :
corn
ci/Nci
cKJ
u.
Comme le nouvel acide donne facilement un éther avec Talcooli
CHIMIE ORGANIQUE. 207
• rqm serait impossible pour un acide ayant ia formule II, les deux
/^dUuûs adjacente:» au carboxyle étant occupées par le chlore, on
liHliii attribuer la formule I. I/action de la quinoléinesurlenitrile
^^^Kfi.CAz, suivie d*une distillation dans la vapeur d'eau, fournit
** ailnJe du nouvel acide. L'auteur a préparé également les sels
•iir baryum, strontium, calcium, argent, le chlorure et Tamide, le
d^tf miré et TéUier élhylique du nouvel acide.
l'iirnE ExmllllK^TAL£. — On chauffait Thexachlorure de benzo-
cimlr avec de la soude alcoolique ; (piand le dégagement d'ammo-
r.iai^ae était lermiué, on traitait par l'acide chlorhydrique et les
lorks précipités, après lavages, étaient convertis en sels de
î^ryuQ par ébuUition avec de Teau renfermant un excès de carbo-
^^ tk baryum. Les cristallisations fractionnées permettaient
^Kfierle sel de barvum d'un acide fondant à 156**.
f'tt meilleur procédé de préparation a été trouvé: Thexachlorure
•ît Umzonilrile est traité par la quinoléine en léger excès, et en
Hilufbnt il se produit un changement de couleur accompagné
1 tmr (l«coroposttion. Le mélange solide obtenu est additionné
>f<fes refroidissennent d'un petit excès d'acide sulfurique dilué et
^o«BU5 à la distillation dans un courant de vapeur entraînant le
tfw'ikjgrobeozonitrile 2:3:5 cristallisant dans l'alcool aqueux en
ijifni^ aiguilles brillantes fondant à 87"*, d'odeur nauséabonde,
«oittbl» dans les solvants organiques et rapidement hydrolysées
(« ki alcalis alcooliques, en formant un sel de l'acide benzoïque
^tnesfMmdant.
Cet acide â,S,5-tricblorobenzoTque s'obtient par précipitation de
*<^ s^l alcalin par un acide minéral. Il est insoluble dans Teau
^ï^, soluble dans l'eau chaude d'où il se dépose en petites
M^uIIes, solubles dans les solvants organiques, fondant à 163*,
^ eotrainables par la vapeur d'eau. Cet acide, chauffé avec la
**)^. produit une réaction violente. En tube scellé à 800® avec
ï»d«; saUurique, on obtient le trichlorobenzène 1,2,4 qu'on
^■ctérise par son dérivé nilré, ce qui fixe la position des atomes
"fecklwe.
U sel de barjnim (C«H«CP.CO«)«Ba, 8H«0 est en tables
^^^^t^Uioes solubles dans l'eau chaude. Le sel de strontium
WWi.COïtSr^ SH^ est en prismes incolores. Le sel de calcium
'OH««:ia.CO«|«Ca, 4H«0 est en belles aiguilles brillantes. Le sel
'*«'8»Ql CTWÎl*.CO*Ag cristallise en aiguilles groupées en ro-
UchlofrureC«H«Cl'.COCl, préparé par l'action du pentachlorure
^ Ito&phore, cristallise du benzène ou de l'acétate d'éthyle et
208 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
fond à 36«. L'amide C«H«CP.COAzH«, préparé par action du cai
bonate d'ammonium sur lo chlorure précédent, se dépose de Taciti
acétique chaud en petites aiguilles, fondant à 204-205^. La ment
substance a été obtenue en faisant agir la quinoléine surThexachl
rure de benzamide.
L*acide trichloronitrobenzoïque AzO*.C<^HCl*.CO*H s*obiient j>i
nitration directe; il fond à 158^. On a fait son sel de baryum, ma
on n*apas pu le transformer en trichloronitrobenzène. On a prépai
par réduction à l'amalgame de sodium le dérivé amidé qui ion
à 228^
Enfin, le trichlorobenzoate d'éthyle était préparé par action, su
l'acide, de l'alcool et de l'acide chlorhydrique. Par addition d'eai
on obtenait une huile, entrainable par la vapeur d'eau et qui, apr^
purification, répondait à la composition de l'éther éthylique.
A. HÉBERT.
Snrnn polymère de l'acide phénylisocrotonique; Rndolpi
FITTIG {D, ch. G., t. 33, p. 3519-21; 1.12.1900). — L'acide phé
nylisocrotonique, soumis à l'action de l'acide chlorhydrique dih
à 8 vol. d'eau et bouillant, fournit environ 65 0/0 dephénylbutyro
lactone; d'ailleurs cette dernière, soumise au même traitement, .^
transforme partiellement en ac. phénylisocrotonique; l'équilibr
s'établit au même po'nt; 65 0/0 de lactone. Avec un ac. formé «ii
1 vol. HCl conc. et 2 vol. d'eau, il se forme en même temps ui
dimère de f acide phénylisocrotonique C*^H*^0*, lactonique ^
monobasique. Les alcalis donnent d'abord ce sel con*espondant i
la monobasicité, puis des sels de l'oxyacide formé par rupture di
la chaîne lactonique. Par oxydation avec CrO^ oh obtient une cétone
acide bibasique crist. de l'ac. acétique en longs prismes f. à i^*
et que l'amalgame de Na ramène à la lactone acide primitive. Ct
travail sera développé dans une prochaine communication.
V. AUOER.
Sur la constitution de l'acide a-bromoallocinnamique ;
W. HANTHET {D, cïl G., t. 33, p. 8080 ; 12.11.1900). — L'aci(l<'
sulfurique concentré transforme l'acide a-bromoallocinnamique t^n
bromolruxone (G»H»BrO)".
Far réduction de celle-ci au moyen de la poudre de zinc et <l<^
l'acide acétique, on obtient un mélange de deux corps : la truxonr
(F. 289**) et la dihydrolruxone, que Leuckarl avait déjà obtenue, <'»•
lui attribuant une formule inexacte.
Ce corps fond à 127*» et est soluble dans Talcool, Facide acéli»!"*'
CHIMIE ORGANIQUE. S!09
et iebeoxéoe, son analx^se et la cr^'oscopie dans le benzène condui-
«ii à la formule C«»H*«0«.
La tmxooe qui en résulte par oxydation a donc la for-
(>H*-CH-CH-CO C6H5-CH-CH-COOH
CH— CH-CH-C^H*' COOH-CH.GH-G^H*
I. II.
TJ! rend compte de la formation de Tacide truxillique (formule II) .
la traxone a été transformée en truxène, celui-ci en tribenzoy-
teiàGaène et celui-ci en acide phénényltribenzoïque que Lauser
Madère eonune Tacide triphényllrimésique.
L'éMlioscopie des éthers de cet acide et l'étude de sa conduc-
i"^ électrique ont conduit à le considérer comme un acide
àfàfayllétrènedicarbonique (C««H«o)(COOK)«.
C«H5-G=C-C00H
l I
œOH-.G=C-C«H5
U formation de triphénylbenzène à partir de cet acide serait due
* a* nouvelle polymérisation.
^«1 ces corps : truxone, dihydrotruxone, truxène, tribenzoy-
*'^**^Huêne, acide triphényllrimésique, auraient donc, d'après ces
>*^^e>tbes, des formules bimoléculaires et non trimoléculaires,
"*»oe oo le supposait.
EbSb, par Faction de Tacide sulfurique sur Tacide a-chloroallo-
'^^"*nique, ou obtient la chlorotruxone, insoluble dans les solvants
**ei>, soloble dans le xylène et fondant à 290* ; tout se passe
^^*"tte pour les dérivés bromes correspondants. l. j. simon.
l>r9**l4Qe8 dériTés de Tc-xylalphtalide ; Paul 60LDBER6
^ c4. G., t. 33, p. 2818-24; 6.10.1900). — Dinitrure do.-xylal
. C(A20«).CH(AzO«)
A^<^OH*< >0 I . — Obtenu en cristaux f. à 159o
N:0 G^H^
P^TadioD de lliypoazotide liquide sur la sol. benzénique ou acé-
*«F>e d'o.-xylalphlalide.
y C=C(AzO«).C7H^
^'^'Urûxylâlpblaljde C«H*^ >0 . — Cristaux jau-
*» t i M7*i69* obCenus en chauffant au b.-m. une sol. amylalcoo-
'^•^«dditioanée de deux gouttes d'eau, du composé précédent,
••c doL, 3« tàsi., T. XXVI, 1901. — TraT. «trang. 14
210 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sel de sodium C*«H"AzNa«0»-l-2H»0, obtenu par l'acUon di
NaOH sur le dinitrure ; crist. incol. ; dissous dans la soude, pui;
sursaturé d'ac. oxalique, le produit fournit deTanh. phtalique et di
ra-tolylnitrométhane. Ce dernier, dissous dans la soude et addi
tienne à froid d'HCl, fournit un ppté cristallin (tolylisonitroso
méthane ?)
o.'Tolyldîcétohydrindène C«H*=(C0)«CH.C''H7. — L'o.-xylal
phtalide soumis à Tébullition avec une sol. de méthylate d
sodium fournit après acidulation un ppté, qui crist. de ralcool ei
aig. jaunes f. à 180*. Dioxime^ f. à 212*. Phénylbydrazone, crisi
jaunes f. à 174*».
Méthyl'O.'tolyldicétobydrindène C«H*=(GO)«C(CH»)C^H^ -
Obtenu en faisant réagir ICH^ sur le sel de sodium de Thydrindèn
précédent. Crist. jaunes f. à 149°.
Ethyl'O.'toIyldicétobydrindène. — Feuillets f. à 179°.
Benzyl-oMolyldicétobydrindène, — Crist. jaunes f. à 179*.
Benzoyl'O.'tolyldicétohydrindène. — Obtenu par le chlorure d
benzoyle. Crist. de l'alcool f. à 181°.
0.- Tolylbromodicétohydrindène C*«H**0*Br. —Obtenu par raclic
du Br sur la sol. chloroformique. Crist. jaunes f. à 172*.
o.'Tolyldicblorodicétohydrindène C*«H«oO«Cl«. — Crist. jaud
ti'es f. à 125° obtenus parle Cl en excès sur la sol. CHCl*.
NitrO'OMolyldicétobydrindène C<«H»*0*Az02. — Crist. f. à 121
obtenus par Taction de Tac. hypoazotique sur la sol. alcoolique.
Dimtro-o.'tolyldicétobydrindène e««H»oO«AzO«. — Obtenu p
raction d'AzO^H. Crist. f. à 160°.
,C=G(CAz).C7H7
CytwO'O.'Xylalphtalide C«H*o >0 . — Obtenu pi
condensation du cyanure o.-tolylacélique et de Tanh. phtaliqt
en présence d'acétate de sodium fondu. Crist. de l'alcool absoli
f. à 192°.
Thiamide o.-tolylacétique C^WOW.CS.KzW. — Obtenu i
chauflanl le cyanure précédent avec le sulfure d'ammonium alcoi
lique à 100° en tube scellé. Crist. de l'eau chaude, f. à 115°.
ui-o..A>/,r///i/flzo/i/2eC«H*<^^>C-C»H». — Obtenu par TaclK
du bromure d'élhylène sur le précédent ; mieux avec le bromhydra
de p-brométhylamine à 150°. Huile. Picrate, f. à 155°. Chlori
pldtinate, crist. jaunes f. à 191°.
CHIMIE ORGANIQUE. 211
Z'Méibvl^iK'O.'Xjrlylihlazoline C»H«<^^>C.C8H». — Huile
Uibiiae avec le bromhydrate de p-bromopropylamine. Picrate,
*. ilî6\ Chloroplatinate, f. à 127*. v. auger.
Sar les coomarines dérivées des phénols et des éthers acé-
tfUcétiqiies substitués par des groupes négatifs ; H. von
FBaiillI et E. HANKE (D. cL G., t. 34, p. 354 ; 11.2.1901). —
Lr} éihers acétylacétiques substitués par des groupes positifs,
'wime par exemple Téther méthylacétylacétique, se condensent
i^« U résorcme et les autres phénols pour donner des a-p-oxy-
?«airuie> substituées ; les éthers acétylacétiques substitués par
tt%p)upes négatifs se comportent en partie de la même manière,
■^ ïwtie différemment. Les dérivés a-halogénés de Téther acétyl-
M^oe rentrent dans le premier cas tandis que les éthers acétyl-
^étMfues substitués en position a par un résidu organique
•Tljqoe ne fournissent pas les coumarines a-acylées correspon-
loies mais bien, par élimination du résidu acylique, les mêmes
couatthnes que fourniraient les éthers cétoniques non substitués.
En Uisant réagir Téther diacétylacétique sur la résorcine à 0** et
^ présence de H*SO* conc. les auteurs ont obtenu la ^-mélhyl'
^^f^Mîiiérone, de même qu'en chauffant pendant 3/4 d'heure i
^Wû» des solutions dans H*SO* de Téther acétylmalonique et de
'^'swane. Us ont obtenu en partant de l'éther benzoylacétique la
'>'P^flumbelliféroDe,
L'«ction de Téther a-chloracétylacétique sur la résorcine leur a
'ijanê la ^'Chlor^^'inétbylumbelljférone
'^ composé cristallise dans Talcool étendu en petits cristaux
^^^^% qui perdent de Teau de cristallisation à 105-110* pour
^ âotations sont douées d'une fluorescence violet bleu.
^ dérivé acétylé est en feuillets brillants, F. loi*», son dérivé
^mjU criiOallise de même et fond à 163».
•^'«rofcineona obtenu la aL'Chlor-^i^fydimétbyloxycoumarine,
••Nï«s feutrées, F. 295*, dont la solution alcaline jaune est
^^^ "le fluorescence; son dérivé acétylé fond à 160* et son
^iré b^ozoylé à i96*.
21» ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Le pyrogallol fournit la d-cblor'^'méihyldapbnéline^ aîguîU^
brillantes, F. 265*, difficilement soluble dans la plupart des disse
vants ; son éther diméthylique est en aiguilles blanches, F. 17S
173* ; son dérivé diacétylé fond à 197* et son dérivé dibenzoylê
166*, mais ne devient complètement translucide qu'à 181-188*.
Dérivés de la coumarone. — En faisant bouillir Ta-chlor-p-m^
thylumbelliférone en solution dans cinq fois son poids de lessii
de soude à 10 0/0, on obtient Tacide -i-oxy'^-mélbylcoumariliqi
GOGH
Y
déjà décrit par Hantzsch et qui fournit par distillation, comme ci
auteur Ta indiqué, la 4-oxy'^-métbylcoumarone.
La coumarine dérivée de Torcine et de Téther a-chloracétylad
tique donne une oxycoumaroney cristallisée en fines aiguille
F. 94*, dont la constitution de même que celle de la coumaril
qui sert de point de départ est indéterminée.
En faisant bouillir pendant 10 à 15 minutes une solution (!
3.4-diméthoxy-a-chlor-p-méthylcoumarinedans la lessive de soud
en excès jusqu'à ce que Taddition de H^SO* donne un précipil
complètement soluble dans le carbonate de soude, on obtiei
V acide 3 . d-dimétboxy-^-mélbylcoumarilique
OOH
lequel cristallise dans Talcool ou dans Tacide acétique en feuillel
brillants, F. 184*. H*SO* le dissout en jaune passant au vert, pui
au bleu sous l'influence de la chaleur. Cet acide donne par dislil
lation la 3 A'dimétboxy'^-métbyîcoumarone^ huile incolore, forte
ment réfringente, qui ne se concrète pas à — 5*. Eb. 142* son
25 mm. et 273* sous 730 mm. Elle est soluble dans les dissoivanl
habituels et volatile avec la vapeur d'eau ; sa solution dans H^SO
colorée en rouge jaune passe au bleu sous l'influence de la chaleui
F. RRVEROIM.
Sur l'addition dedérlTéscétométhaxiiqiiesaaxcombinaitOB
non saturées; D. VORLANDER [D, ch. G,, t. 33, p. 8185
26.11.1900). — Si l'on traite Téther benzalbisbenzoylacétique p«
une solution alcoolique d'éthylate de sodium, on obtient non pas I
forme énoHque, mais l'éther benzalmonobenzoylacétique en mém
CHIMIE ORGANIQUE. 213
lODfsqti^d se sépare Téther benzoylacétique qui colore le chlorure
CO-C^HS
I
/c:h-goor co-g«H5
c»h5^h< =c«h5-ch=c-c00r+ |
M:H-C00R I CH2-C00R
I CO-C6H5
StpoûiÔé par la pelasse alcoolique froide, il fournit le même
WiCT ou plutôt la benzalacétophénone C«H»-CH=CH-CO-C«H».
"^ fondant sur cette expérience, l'auteur s'explique pourquoi
a {wlégone ne s'unit pas à l'éther malonique sodé en solution
»itt»tqtte alors qu'elle s'y unit en présence de benzène et d'éther.
Li nsfibinaison formée alors se scinde en pulégone et éther nia-
J'Sîijne en solution alcoolique. Après quelques remarques gêné-
nies, fauteur termine en comparant ces produits d'addition des
>^w& non saturées aux produits d'addition des combinaisons non
•«turées «vec les acides halogènes que la potasse alcoolique
W«Ne en régénérant la liaison éthylénique. l. i, simon.
hrlis dériyés chloraminés et bromaminés des diacétylphé-
■TiAM^iaiiiiiies ; F. D. CHATTAWAT et K. I. P. ORTON {D. cb,
'^- L M, p. 160; 11.2.1901). — Il résulte des recherches des au-
'^''^ que toutes les diacétylphénylène-diamines traitées par les
•'*^ hypodiloreux ou hypobromeux fournissent des dérivés
"^bomioés et bromaminés qui, laissés longtemps en contact avec
'( facùie acétique cristallisable, se transposent en produits de
*it*aiiiuUon iàomériques. La transposition est quantitative seulement
'^'^ ie dérivé meta ; avec les dérivés orlho et para elle n'est que
W<lJe et accompagnée de la formation de produits foncés, non
^^voflùtbles.
^ éf{uations suivantes rendent compte de ces transpositions
l'-'-fk dérivé para et pour le dérivé meta.
A
V
AiH.DHK)
AzCl.C2H30
Aza.C^HïQ
AzClC2H30
\zQXQ?WO
AzH.C2H30
Cl/S
KJqx
AzH.CaH30
AzH.C2H30
ciA
AZH.C2H30
a
SIt .\NALYSB DES TRAVAUIt ETRANGEHS.
La constitution du produit de substitution de l'o.-phénj'lèiie <1
mine n'est pas définitivement déterminée.
Les auteurs n'ont pu jusqu'à présent préparer par celle méth(
que des dérivés disubstitués. D'une manière générale ces déit
diloraminés et bromaminés ont été obtenus en mettant en siisp"
sion dans le chlorofomie la diacétyldiamine en poudre Bne et a
tant avec une solution d'acide hypochloreux ou hypobron»
additionnée de bicarbonate do potasse. Lorsque tout corps sol
a disparu on concentre le chloroforme et en mélangeant le rés
avec de l'éther de pétrole on obtient les produits cristallisés. '
nouveaux composés ressemblent aux produits analogues déri
de l'aniline ou de la toluidine ; les chloraniines sontincoloreset
bromaminés jaune pâle.
Les dérivés halogènes à l'azote des diacélylphénylènediami
se dissolvent facilenient dans le chloroforme, le benzène et l'ai
acétique cristallisable ; ils sont peu solubles dans l'éther de pétr
L'o.-âiacétyle-dicbloramiaobenzèae est en prismes incolo
il fond à 94°, avec unt^ légère explosion ; il fournit par tran^rasi
très probablement le l.S-diacêtyhoiino-dicbiorheiizèae
cristallise dans l'alcool chaud, dans lequel il est peu soluble
aiguilles fines, fusibles vers 290° en se décomposant.
dibromo-aminé correspondant iond à 76.*)* el do
iition un produit de substitution cristallisant <!
i en aiguilles fines, fusibles à 386°.
C'iyl-dicbhraminobenzi'ne cristallise dans ud méll
ne et d'éther de pétrole en prismes incolore», F, !
nit par transposition son isomère.
:h}oro-m.-diac6lyidicbïoraminobem'ae crislsllisf
ilores, F. 121°, et fournit par hydrolyse lorsque
: de l'acide acétique la 4.6-dichlorodiaoétyI-ro,-i
ne.
dibromé correspondant fond à 1*^1° el se comporl
sre action de l'acide hypobromeus sur In diawtjl-
iamine donne sans doute lieu à la forinalion du Ai
ï, mais celui-ci se transpose si raptilfincnl que \^
pas pu l'isoler à l'état pur. Lorsqu'on employé
c hypobromeux il se forme suivniil !<■? conditi'i
bromaminé ou le dérivé dibromamiiit- de la 4.6-di
m.-ptiénylêne-diamjnc. Le premier esl «lirOeiI
il se décompose entre 60 et 70°, \o <ocod<] crista
CHIMIE ORGANIQUE. 215
« |in$aes el se décompose vers 172*. Il donne par hydrolyse,
ivpcracide acétique la 4.6'dibromodiacétyI'm.'pbényIènediamine.
U diaeétfl-dicbloraminchp.'pbénylènedjamine fond à 301* et
'kiooe par hydrolyse la S, 6- dicbloro-p.-pbénylènediamwe, F. 170*.
La S.GHUcbloro-diacétyl'dicbloramino-p.'pbénylènediamine est
cfi pnsmes incolores, fusibles vers 163* ; chauffée en tube scellé
«ec de Tacide acétique elle régénère le 3.6-dichloro-diacétyl-p.-
piiéiiylèDediaaiine. f. revbrdin.
iKtilcation ; S. V. BRAUN {D. cL G,, t. 33, p. 2965;
il 10.1900). — La méthylallylaniline décrite par l'auteur {D. cb.
''..L 33, p. 2733) a déjà été préparée par Wedekind (D, cb. G.,
t-Hp. 524). V. AUGEH.
hr das dériTés ammoniacaux isomériques de Téther benzy-
Btet bis-acétylacétique ; Paul RABE (D. cL G., t. 33, p. 3808-6 ;
^t.12.1900). — 4-pbényl'2'amiaO'2'beptène'6'One,'3,5-dicarboBate
^fthjk ou bemylidène-acétylacétale délbyle-^'amino-crotonate
CH3.C=C-G02C2H5
HUz CH-C6H5 .
I
CH3-CO-CH-C02C2Hîi
— On Toblient en laissant en contact pendant 48 heures à O^Téthci-
î^«aijiidène-bis-acétylacétique, avec un excès d'ammoniaque
>icoolique. Le produit brul dissous dans Téther et cristallisé au-
*j«w«5 de 0* en présence d'éther de pétrole, fournit une forme %
•»58« en se transformant en forme p. Celle-ci fond à 98*. On
'bieDt directement par cristallisation de la sol. alcoolique du
î'wluiibnit. Hydrate C**H«505Az.H*0. Aig. f. à 72« obtenues
r^'crist. de la sol. alcoolique des formes a ou p additionnée d'eau.
V. ALGER.
kriy*phéiiy-x - stilbazol et ra'-phényl-a-oxystilbazol;
IKHIEL (D. cb, C, t. 33, p. 3494-97; 3.12.1900). — a'-plif^nyl-
»-«ittt2^7C«H*.C*H3Az-CH=CH.C«H5. — On condense l'a'-phé-
î-li^mélhylpyridine avec 1 mol. benzaldéhyde, en tube scellé à
^* Le produit brut transformé en chlorhydrate est puritîé par
'''**lii5aiion« et la base mise en liberté par un alcaU, précipitée
ï^l'em de sa sol. alcoolique. Aig. f. à 79*. CÈilorbydrate, lamelles
^"û*^ dans Teau à chaud, crist. de l'eau acidulée d'HCl, avec
«16 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEKS.
4H*0, perd de THCl par dessication à 100**. Chloraurate^ crisi
rouges f. à 179° peu sol. en H«0. Cbioroplatinate, t à 220«. Cbh
roziDcate jaune.
/>iZ>ro/2i(>-a'v?Ae^^/^-a-s^VAa^oyC«H^C5H3Az.CHBr.CHBr.C«H5.-
Lestilbazol dissous en CS*, mis un contact, avec un excèsdeBr fourni
des crist. roses, tabulaires, f. à 172* contenant 5Br et représentai)
probablement un bromliydrate de perbromure. Soumis à Tébulltio
avec de Talcool, il fournit des lamelles incolores du dibroniure, I
à 190^
J-phényl-oL-stilbazoUne, Chlorhydrate
C«H5-C5H3Az.CH2-CH2-G6H5, HCl .
— Obtenu par réduction du stilbazol en sol. alcoolique, par Na
Aig. sol. en H*0, déc. vers 160-200°. Base sirupeuse. Cbloropla
tiuate rouge, f. à 156°.
a'-pbényl- a-o-oxy stilbazol C^H» . C^H^Az . CH = CH . C«H*(OH) . -
Obtenu comme le stilbazol, en employant l'aldéhyde salicylique
Aig. sol. jaunes f. à 138°. Chlorhydrate crist. avec H*0. Aig
jaunes f. à 127° sol. en alcool. Chloraurate, aig. brun-rouge 1
k 189°. Cbloroplalinate amorphe, f. 190°. v. auger.
Contribution à Tétude du dihydroisoindol (o-xylylôneiminei
Kurt FRiENKEL D. ch. G,, t. 33, p. 2808-18; 6.10.1900). —.4ciû/.
phtalazone-carbonique. — Cet acide, déjà connu, fournit un se
d'ammoniaque C»H»Az«03AzH*, H«0 peu soi, en H«0 à froid. 1
à 237°.
Chlorure de phtalazone-carbonyle C»Hî*0*Az*Cl. — Obtenu ps
Taction de PCP sur Tacide, en présence de POGl^. Crist. du benzèu*
en aig. f. 183-186° déc. par H«0.
Ether élhylique CsH^O^Az^C^H^. — Aig. f. à 169° obtenues pai
l'action de l'alcool sur le chlorure.
4'.\itrodibydrO' iso-in dol
/ \
^AzH
— On dissout le dihydro-iso-indol en H*SO* et nitre à froid; ou
chaude ensuite pendant 5 min. au b.-m. La base isolée est huileuse-
Son chlorhydrate crist. de H*0 en aig. incolores f. à 250° environ.
Le sulfate, peu sol. en H*SO* à 50 0/0. sol. en HH), crist, en aig.
CHIMIE ORGANIQUE. âI7
/. à S*0-2S0«. Uazoiate peu sol. en H«0 insol. en AzO>H dilué,
rnsmeâ 1. à 158* déc. NUrosamine AzO'.C^H'.Az.AzO. Prismes
gtae brun f. à 168-169*». La position du groupe AzO* est fixée
f*r FoxydatioQ qui fournit de Tacide 4-nitrophtalique et du 4-nitro-
(iUalimide.
i'AmmodibjrdrchisO'indol AzH*.G**H"'AzH. — Par réduction du
ikm nitré au SaCl* on obtient un sel stannique dont on isole la
b*âe libre. Le picrate f. vers 204*
B^iQyîdihydro-iso4ndol C8H»Az,C0C«H«. — Obtenu par le
ftiionire de benzoyle, en présence de NaOH. Tablettes rose pâle
o^'XylyJf^ne-hvdraziDe C«H*.(CH«)«.Az-AzH«. — Obtenu par
'lïAictMî du nitrosodihydro-iso-indol avec la poudre de Zn et Tac.
^^ïpo^oe. Huile brune ; absorbe GO*. Chlorhydrate, aig. sol. en
H^U. m-lyi». Picrate (avec 1/2 H«0), crist. de Teau bouillante
^ li^dies jaunes f. à 97*».
Beuul^o.'XylyJènehydrazine C«H«Az« : CH . G«H\ — Obtenu par
1 «nioû de C*H^OH sur le chlorhydrate précédent. Feuillets crist.
^rikvHjL F. I:i7-129«.
0 -Or;ien/a/.o. -xylyîènebydrazine G^H^Az* : GH . C«H*OH, f.
• lar
VMdro-isoindylpbéoyltbiO'Urée G^H^ . AzH . GS . AzO^H». —
''itejupar raction liu phénylsénévol sur le dihydro-iso-indol. Grist.
^ toiueae en lamelles f. à 227\
Mjiro-isoindylallylthio-uréeCm^kzU.Gè.kzCm^. — Obtenu
ivec ^ sénévol allylique, f. à 138*. Ghauffé avec HGl en tube scellé
' 1^>, fournit le cldorhydrate de propylène-dibydro-iso-indyl'
/S.GH.GH»
f*^othi(harée G«H* . (GH«)« : Az-G/ j . — La base libre
^Az-GH«
^ de féther acétique en aig. f. à 80*.
/•rfo/e de dimétbyldibydrchiso'indylium G6H*(GH2)2.Az.(GH3)«L
"^ '>bwiiu par Faction de ICH^ sur le dihydro-iso-indol. Lamelles
ûfolorvî, f. à t45*, distille dans le vide inaltéré. Cbloroplaiinate,
**"ûile» orangées f. à 225**. Picrate, grandes aig. f. à 145*. Cblo-
'*^*'. aig. jaunes f- à 178^
^ ^$«r libre hydroxyîée est liquide et absorbe rapidement GO^.
^''m^byldibydro-iso-indol G«H*(GH«)« : AzGH». — Huile
'î«à«e bouillam vers 205-215* obtenue par distillation de la base
^"Iroïjlée. CtdoropJatinate, prismes brun jaune, f. à 201*.
^'-r^sBéihox}propyl'dibydrO'îsO'iDdol G8H»Az(GH«)30GH3. —
^^^*wa|arlacliooduméthoxychloropropaneGH30.GH«.GH«.GH*Gl
L
218 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
sur le dihydro-iso-indol , au b.-m. Bout vers 269-273^. Chlon\
rate,
Az-^'phénoxypropyl'dihydrO'iso-indol CfiWKziCH^f.OCHV^,
Obtenu comme le précédent. Aiguilles f. à 58**.
Az'^'bromopropyî'dibydro-isO'indol C®H**Az(CH*)3Br. — S
bromhydrate est obtenu en chauflant à 100** en tube scellé
produit précédent avec HBr conc. Aig. f. à 156* La base libre (
huileuse. Picrate^ crist. de Talcool en aig. jaunes, f. à 180**.
O.-Nitrobenzyldibydro'iso'indol C8H»AzCH8.C«H*AzO«.
Obtenu par l'action du chlorure de benzyle o.-nitré sur le dihydr
iso-indol. Crist. de Talcool en aig. jaunes f. à 81®.
o.'AminobenzyldibydrO'iso-indoJ Cm^ : AzCH«C«H*AzH«. '
Obtenu par réduction du dérivé nitré par HI et P. Aig. f. à 100*.
p.'NitrobeDzyldibydro-isO'indoI. — Obtenu comme To.-déri^J
f. à 80°. V. AUOER.
Sur la préparation et les transformations de risophénosi
franine; F. KEHRHANN et Otto KRAHER (/>. cb. G., L 3
p. 3074-81; 19.10.1900). — Cette communication fait suite à cel
(jui a déjà paru (/?. ch. G., t. 32, p. 2608). Les auteurs ont prépa
à rétat pur la picryl-o.'diphénylamine qui crist. de l'alcool boni
lant en lamelles grenat déc. par la chaleur, sans foudre, en pe
dant AzO*H. Par réduction avec la q. th. de SnCl^ en présence i
HClet d'alcool, ce dérivé nitré se transforme en isophénosafranim
Az02 AzH
\ /\/ /\y\ /
Az02 HAz llUz Az
C^HS Cl (>H^
Un excès de SnCl* donne naissance au leuco dérivé qui nr
transforme que partiellement en colorant, par oxydation.
Isoiraninone
ou
C6iP
— On l'obtient en soumettant à Tébullition, à Tascendant, une sol. «I
CHIMIE ORGANIQUE. 219
Fisosafranme dans H^CH dilué. Le chlorure précipite par NaCl et
nîst de sa solution alcoolique, rouge fuchsine, en aig. brunes.
Bichromate, violet, peu sol. en H»0. Azotate, insoL en AzO^H
dàoé, Aig. brunes. Base libre, aig. noires f. à 310-315° peu sol.
eaHH) et alcool, obtenus par précipitation du chlorure par Tam-
moaiaque.
Moaoêcètylisopbénosafranine. — Obtenu par oxydation è l'air
du ael stannique de la leuco-isophénosafranine, traité pai* Tanh.
acétiqtie et racétate de sodium. Le chlorure de ce composé crist.
«» lig. violettes sol. dans Teau. Le chîoroplatinate forme des
cmt rouges, insolubles.
l* chlorure du dérivé diacétylé est obtenu par traitement du
démé monoacétylé par Tanh. acétique etTacétate de sodium. Aig.
5oL dans HK) en rouge sang. Le chîoroplatinate est sol. dans Teau
iwiiillante. Ces dérivés acétylés se saponifient facilement par
IKO dUué.
TnnsformatioD de la leuco-isosafranine en aposafranine. —
B suffit de chauffer ou de laisser quelque temps en contact de
iwctwiérivé avec Na«CO», AzH» ou C«H»AzH« ; il y a départ quan-
wiiif de 1 mol. \zW
KzW A 2
HJAi
(:«H5 Cl
Celle très curieuse réaction doit être considérée comme l'inverse
ie la substitution bien connue de AzH* dans les corps quinoniques
»«s l'aaion de AzH^.
L'auteur a montré (D. ch. Gh., t. 30, p. 1565) que Faposafranine
^ transforme facilement en phénosairanine, de sorte que mainte-
"•ot 00 possède tous les anneaux de la chaine synthétique entre
^cUomre de picryle et ortho-diphény lamine, point de départ, et
^ phéoosafranine. v. auger.
testitation de risorosinduline n» 9; F. KEHRHANN et G.
WBia <D, ch. G., t. 33, p. 3280-84; 9.11.1900. — L'acide
^•?*^*op΀nque de Ekstrand (1) donne par réduction un diamino-
ttfètoqaioone (U) qu'on transforme par oxydation en aminooxy-
220 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
naphtoquinone (III) et celle-ci fournit avec ro.-aminodiphénylaniin
une aminorosindone (IV) identique avec celle qu'on peut obteni
de Tisorosinduline n° 9. On en conclut que • cette rosindulin
possède la formule (V), d'ailleurs la formation de la rosindulin
n* 9 par Faction de la 5-acétamino-p-naphtoquinone sur la phényl
o.-phénylénediamine, amène la même conclusion
02Az
O^Az'
^OH
Az02
H2Az
(I).
AzH2
(IIî).
H2Az^
H2Az
0 Az
(IV).
L'acide naphlopicrique f. à 190** (I) a été purifié en passant par
son sel potassique peu sol. en H*0 à froid. Le chlorhydrate 2.5-dia-
mino-1.4-naphtoquinone-imide (II) s'obtient pur en réduisant
Tacide naphtopicrique, en sol. alcoolique, avec Sn et HCl à 35 0/0,
précipitant à froid Sn par Zn et oxydant la sol. par FeCl^et recris-
tallisation du ppté cristallin en H*0 bouillante. La 5-amino-2-oxy-
1.4-naphtoquinone (III) s obtient facilement en soumettant à l'ébul-
lition avec 3 ce. SO*H* à 10 0/0, une sol. aq. du chlorhydrate pré-
cédent. La quinone cristallise par refroidissement.
J-aminovosindone (IV). — La condensation de la quinone et de
la diamine a lieu en chaufïant au D.-M. une sol. ëquimoléculaire
des composants dans Tacide acétique à 80 0/0. On précipite les
impuretés de la sol. par Féther, puis Tindone par Teau acidulée
d'HCl et on termine en transformant en dérive acétylé f. à 180*,
insol. en H*0, sol. en alcool, crist. en aig. à reflets dorés. L'ac
sulfurique à 50 0/0 enlève le groupe acétique et fournit Tamino-
rosindone pur en lamelles bronzées insol. en H*0, sol. en alcool
f. à 25â\
î-amworosindone obtenue par risorosinduline n^ g. — Cetl^
iuduline étant acétylée, et le produit traité en solution alcoolique
CHIMIE ORGANIQUE. 221
;«r la potasse, à froid, on obtient un précipité de Tacétyl 7-amino-
n»iodoDe facile à identifier avec le produit décrit plus haut.
V. AUOER.
Canstitation de i*acide napbtopicrique fusible à 145''; F.
IDDIiim et G. STEINER {D. cb. 6., t. 33, p. 3285-91 ; 9.1L1900).
— Stiormule doit être exprimée par :
O^A
AZ02
I.
arilbamit par réduction et oxydation un diaminonaphtoquinone-
O
H^A
AzH2
AzH
n.
I^Oipeat transformer facilement en un amino-oxynaphtoquinone
A2H2
^'OQ peut condenser sur To-aminodiphénylamine, en une amino*
<^B>iadofte:
AzH2
222 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Or, cette même rosindone est obtenue en traitant par la soud^
alcoolique le 9-aminophénylnaphtophénazonium, ce qui justifia
ces trois formules» d'ailleurs Timide (II) peut être transformée ei
un diamino-p.naphloquinone :
AzH2
V.
qui se condense sur ro.-aminodiphénylamine, en une aminorosin
duline :
AzHî
H2Az
Or, le 9-aminophénylnaphtophénazoniunî, à l'état de déri^
acétylé, fournit avec AzH^ alcoolique cette même aminorosindulini
ce qui fixe les formules (VI) et (V) et par suite celle de l'acid
naphtopicrique.
Purification du trinitro-a'naphfol /. à 145^ {acide napbk
picrique). Il suffit de le transformer en sel de Na peu sol. en H*(
pour le séparer de Tisomère f. à 145*» dont le sel de K est, pi
contre, peu sol. en H*0.
2 ,7'diaminO'l .4'napbtoquinone'imide (II). — La réduction d
dérivé nitré se fait au moyen de Sn et HCl. On précipite Sn pî
Zn, neutralise presque la solution, fait passer deTair pour l'oxyda
et transforme le sel chlorhydrique précipité, en base libre, pi
AzH3.
4 ,7'DiamiuO'^-napIitoquinone (V). — Obtenue en chauffant av€
de Teau Timide précédent, tant que AzH^ se dégage. Le produ
brut, mélange de p et a-quinone, est traité par la soude à 10 0,^
qui dissout la p-quinone. On la reprécipite par Tac. acétique. Kll
cristallise de sa sol. violette dansTeau bouiIlaute,en petits prism«
violet noir.
CHIMIE ORGANIQUE.
f.l-^iêiuiath-x^naphtoquinoue :
0
223
HU
AzHa
-Psrtioa iu^olubie dans la soude ; cristallise de sa solution brun
Rçe dans l*eau bouillante, en prismes brun chocolat à reflets
fïïlas sublime déc. vers 280**. Ne se condense pas avec les
examines.
'^-miBorosinduIine (VI). — Condensotîon en sol. aq. à chaud,
«tliqmnone 5 avec le chlorhydrate de phényl-o.-phénylènediamine,
rt présence de quelques gouttes HGl. Le chlorure se dissout en
H*0 en violet rouge sale passant au rouge par addition de HCl.
Orrifé acétylê^ aig. rouge foncé à reflets bruns crist. de l'alcool
«oi* eo H*SO* conc. en bleu vert. Bicbromatey poudre rouge
ciMbre. On a constaté, que le chlorure de 9-acétaminophényl-
upfaSDpbéoazonium, fournil avec AzH^ en sol. alcoolique, en
pït^oce de l'air, un produit identique au dérivé acétylé cité plus
Lut.
'-f'Amiaorosindone (IV). — On fait digérer au b.-m. un mélange
> U quinone-p (V) avec Tc-aminodiphénylamine, en sol. dans
'«. icétique à 80 0/0. L*indone brute est purifiée en passant par
^ dériré acétylé lamelles fleur de pécher insol. en H*0 sol. dans
^'aûL acétique bouillant, f. à 325-335**. v. auger.
Iv les matières colorantes du groupe de la thionine ; F.
IDUUni et W. SCHAPOSCHNIEOFF {D. ch. G., t. 33, p. 3291-95 ;
* Il 1900. — Sels de la pbényUbionine {S-aminO'G'aniUdO'pbénazO'
'j«ma/û). — Cbloruret petites aig. briillantes vert et or, obte-
•*s en mélangeant le chlorure d'aminophénazothionium avec de
\z
1 + G«H5A8H2
IPAx
4-
AiH-C«H5 H^Az
,HCl
224 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sol. en bleu vert dans H^O bouillante, crist. avec 1 mol. Hi
Perd à 180« 1/2 mol. H«0. Cbloroplatinate, ppté bleu insol.J
H*0. — Bromure, ressemble au chlorure. — Azotate, crist. avi
1/2 H«0. Bichromate, flocons bleus insol. en H*0.
o^-lolyUbionine, obtenue comme la phénylthionine ; on a prépa
le chlorure et V azotate.
Diméthyltbionine, — Chlorure, obtenu par Taction de la dirai
thylamine. Aig. bleues sol. en H*0 en bleu fluorer^enl rouge,
est identique à la gentianine^ on a préparé le chioroplatinate et
bichromate. v. augbr.
Lanitration de Tacide benzène-azosalicylique;' J. T. HEWH
et J. J. FOX(CAe/M. Soc, t. 79, p. 49 ; 1.1901). — En faisant réaj
l'acide nitrique dilué sur Tacide benzèneazosalicyUque, le gi*ou{
nitro entre dans le résidu salicylique en position ortho par rapp^
à rhydroxyle
COaH
G6H5-AZ : Az — / \oil
Az02
Le mode de formation et les propriétés de cet acide sont 1
suivants : Tacide benzèneazosalicylique est mélangé avec de Tei
et de Tacide nitrique et chauffé à 65-70'' ; il se dégage des vapeu
nitreuses et il reste une masse rouge qu'on étend d'eau et quN
lave; après recristallisation dans l'alcool, ce corps fond à 197*,
présente en petites aiguilles jaune-rougeâtre, solubles dai
l'alcool, l'acétone, l'acide acétique glacial.
L'enlèvement du carboxyle était tenté sans succès; mais on pe
reproduire le même acide benzèneazoorthonitrosalicylique par ai
tion du chlorure de phényldiazonium sur l'acide nitro-salicyliqu
Le sel d'ammonium de l'acide précipite en jaune rougeâtre
nitrate d'argent, l'acétate de plomb, le chlorure mercurique,
chlorure stanneux, le chlorure ferrique, le nitrate de cobalt, le si
fate de nickel, les chlorures de magnésium, de baryum et i
calcium ; précipite en brun chocolat le sulfate ferreux.
L'éther méthylique est en petites aiguilles brunes fondant
132-181*»; rélher éthylique en petites aiguilles jaunes fondant
128-129^
L'acide paranitrobenzèneazosalicylique est obtenu par addili<
de nitrate de potassium à l'acide benzèneazosalicylique dans Taci^
snlfunque concenti'é; on laisse à froid pendant 48 heures, o
étend d'eau et on lave. On peut encore le préparer par la parani
CHIMIE ORGANIQUE. 2S6
laiiBtDe diuEOtée et Tacide salicylique ; il fond alors à 253-254"*.
Laher méthylique fond à 220-225^ a. hbbbrt.
SijdâtioB de la BenxalthioBemicarbazone ; George T0UN6
ei William ETRE (Cbem. Soc, t. 79, p. 54 ; 1.1901). — La ben-
aiUiioseimcarbazone C*H*.CH=Az.Az=C(SH).AzH« oxydée par
^cUomre ferrique donne raminophénylihiodiazol
\— S— ^
f«ii&â6aQ( des dérivés méthylés et acétylés. La beQzal-4-méthyl-
ûawmicarbazone C«H5.CH=Az.Az=C(SH)AzH.CH» est oxydée
<]^liméroe façon en mélhylaminophénylthiodiazol et le benzal-4-
ïAnjlHiiosemiearbazone C«H».-CH=Az.Az=C(SH).AzH.C«H» en
(■^jbmioopbénylthiodiazol.
Pawîe txpÉHiiiKirrALB. — Benzalthïosemicarbazone. — Préparée
*^ «dditionnani de benzaidéhyde une solution alcoolique chaude
'i^ttDOâemicarbazide; on précipite par addition d'eau. Ce corps
'^nâtiUie des tables longues, transparentes, fondant à 159-160^,
<M)e5 dans Teau et l'alcool chauds, dans la soude d*où on les
^«IwcJjMte par Taoide chlorhydriquo.
Ei rhauffant à 80*, dans du chlorure ferrique aqueux pendant
f Wurv {/t au bain-marie, on obtient le chlorhydrate du produit
<^6XfiatioQ en aiguilles blanches, fusibles à 213-214'' et renfermant
'wmoléculed^eaudecristaUisation. En même temps, il se produit
*ï p**i de mercaplotriazol.
ÂmiDopbénvIihiodiazoL — Le chlorhydrate obtenu plus haut
4t précipité par Tammoniaque. La base précipitée et recristallisée
^ Takool à 50 0/0 se dépose en tables hexagonales microsco-
f«pe4, incolores, fusibles à 222-223'^, solubles dans les acides
•^ et répondant k la composition du corps indiqué.
^cHjhmittopbéayUbiodiazoL — Obtenu en traitant la base par
'lobydnde acétique. Se présente en petites aiguilles, fondant à
^. peu soiubles dans Teau et l'alcool, solubles dans les alcalis.
^tpn^Miré les dérivés sodé et argentique.
^tàfUmiDométbylpbéayhbiodiazoline. — Le dérivé argentique
'^•«Ifc ivec de Tiodure de méthyle à 100® en tube scellé pendant
Ibeuff 1^2, dépose des aiguilles prismatiques, fondant à 144°, ré*
f^^iioi 8 la composition du corps indiqué.
i^àoométbylpbéayUbiodiazoline, — L'aminophénylthiodtazot
'^■"R «tec de l'iodure de méthyle et de l'alcool éthylique à 100*,
Mc. cmi., 9* séii., T. xxrv, 1901 . — Trar. ètrang. 15
M ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
en tube scellé pendant 1 heure, donne des prismes fondant à 24*
246* et constituant Tiodhydrate de la base indiquée. Le chlorfa
drate fond à 218-219» et le chloroplatinate à 217-218».
La base, traitée par Tanhydride acétique, redonne de Tacély
iminoraétbylphénylthiodiazoline.
La benzai-4-méthyllhiosemicarbazone, oxydée par le chlorui
ferrique, donne un chlorhydrate dont on isole la base par traiU
ment à la potasse.
MèihyîaminopbényUhiodiazoL — Ce corps est soluble dans
benzène, Teau et Talcool chauds, se dépose en tables ou en a
guilles, fondant à ld3-184\ Le chloroplatinate fond à 208-209*.
MétbylacétylaminophényhhiodiazoL — Obtenu par trailerae
du méthylaminophénylthiodiazol par Tanhydride acétique; aiguiil*
fondant à 195^
La benzal-4-phénylthiosemicarbazone est préparée par action (
la benzaldéhyde sur la i-phénylthiosemiearbazide. On l'oxyde p
le chlorure ferrique en solution alcoolique ; le produit de la réa<
tion, traité par la soude, abandonne la base qui fond à 199-âO(
formant un chlorhydrate insoluble dans Teau, soluble dans Talco
chlorhydrique. Le dérivé acétylé fond à 140°. La base répoï
aux propriétés du phénylaminophénylthiodiazol. a. hébert.
Sur une réaction d'addition dans les nitriles; A. EIBNER
Fr. A. SENF [D, cIl G., t. 33, p. 3549; 10.12.1900). — Les nilrili
de la propylidô.ne-phénylhydrazine traitée on solution alcoolique p
, CH3.CH«.CH.AzH-AzH.C«H5
CAzK fournit un compose i cnsla
0=G.Az=:CH.CH»
lisant de Télher de pétrole en tables rhombiques (. à 123°. On Toi
tient très facilement en traitant ce même nitrile dissous dans Talco
par i mol. d*aldéhyde benzoïque; le rendement est très bon. L<
auteurs se proposent d'étudier si cette réaction peut être appliqu<
à d'autres nitriles d'hydrazones, aux nitriles simples et aux nitril*
dos anilos. v. auger.
Sur les a-phényl-ot'-mèthylpipéridines Btérèoisomôres ; 1
SCHOLTZ et Helmûth HULLER [D. eh. G., t. 33, p. 28iâ
29.10.1900). — M. Schoitz a obtenu, par distillation sèche i
Toxime de lacinnamylidèneacétone, Tat-phényl-a' méthylpyridioo i
par réduction de celle-ci au moyen du sodium et de Talcool la pi
péridine substituée correspondante. La formule de celle-ci renfera
ClllMIE. ORGANIQUE. &!7
ild» atomes de carbone asymétrique. Les auteurs ont réussi à la
dédoubler en deux stéréoisoinères înactifs qui ont été à leur tour
6f1oubtés en leurs composants actifs.
U méthode employée est celle de Levy et Wolffenstein ; elle
consiste à utiliser la différence de solubilité dans Tacétone des
drai chlorhydrates» le mélange des chlorhydrates est obtenu par
fifkîpiliitton au moyen de gaz chlorhydrique de la base en solution
•Hhéfée. Ce mélange de chlorhydrates est lavé à Teau et Iraité par
iKétooe bouillant jusqu'à ce qu'elle n'enlève plus rien.
U p&rtie insoluble est dissoute dans Talcool et précipitée par
tW«r. Le chlorhvdrate ainsi obtenu fournit la base et en consé-
i^aste ses, dérivés : chloroplatinate, chloraurate, bromhydrate,
•«^pirate.
Upirlie soluble dans Tacétone, après répélition du même Irai-
^tsen\, fournit la base isomèi*e, Tiso-a-phényl-a'-méthylpipéridine.
♦>*deux bases ont ensuite été dédoublées au moyen des acides
•'rtriqaes et de Tacide sulfocamphorique.
U modincation lévogyre de la première base a été isolée au
«wjeû d'acide tarlrique dextrogyre; la modification dextrogyre a
^reUrée du mélange au moyen d'acide tar trique lévogyre: l'acide
•"<»*î*amphorique ne donne rien de satisfaisant. Au contraire, il
t^^el de séparer les deux modifications de la base iso en four-
•*i*ol one combinaison peu soluble avec la modification dcx-
^ peut utiliser l'acide sulfocamphorique pour retirer cette der-
**« modification dextrogyre de la base iso, directement^ du
•^ge des deux isomères inactifs.
Voici les tableaux des données numériques relatives aux deux
*•** et à leurs dérivés :
roiirr
d-éballt-
tiom.
POCTOIB
tri agent.
PC
aa.
iiirr OK
HBr.
rt'iioti
HI.
DES »KL
Au.
s.
Pt.
pooroiR
roialoire.
H«n4«:
Ufi-tW
1.5i6
215
il6
180
181
329
230
165
168
208
209
[a]^ = -f44%8
[fi5-«8
1,534
170
17!
183
183
172
173
120
121
195
196
[«]o =+0VJ2
[«]„=-0<»,7i
-
L.
J. SIMON.
»8 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Recherches sur las combinaisons méthényliqnas mixtes (HI
Action de Téthar méthoxyméthyléne-acétylacétiqna sur
cyanacèUmide ; G. ERRERA (D. cb. G., t. 33, p. 2969-71
8.10.1900). — J'Oxy-Çt'CyancHi.'picoline'^'Carbonate d'éthyïe :
A«c/NgO-OG2H5
hoIs>)gh3
Az
— On prépare d*abord le dérivé sodé du cyanacétaraide au moy(
de ralcoolate de sodium ; la réaction sur l'élher indiqué plus hai
a lieu à froid ; on obtient un ppté cristallin du sel de sodium.
CAz GOOG2H5 GAz GO^Gm»
CHNa +G2H50-GH=G =GNa-GH=C + C^H^^OH
G0AzI12 G0GH3 G0AzH2 ioGIP
puis par perte de H«0 entre TAzH* et le GOGH'' :
GH
AzG-G'^G-GQîGîHS
NaOGlJG-GHa
Az
On purifle le produit en le dissolvant dans Talcool et transformât
en sel potassique qui cristallise en feuillets de Talcool. L'étherlibi
cristallise du benzène, en lamelles incolores.
Acide ol'Oxy'^^-carbonamide'Oi'picoUne'^'Carbonique :
H2Az-0c/\c02H
hoIJgh3]
Az
— Obtenu par saponification de l'éther par un alcali, ou pi
11 -SO* à froid. Crist. de Teau bouillante en poudre crist. noircissai
vers 300\
Acide J'Oxy-oi'picoline-^^^'dicarbonique :
H02c/\c02H
HolJcH3
Az
— Obtenu par saponification énergique de Tamide ou du cyan^
OIT ^DI
HolJci
CHIMIE ORGANIQUE. 229
fihar, par HCl à 120*. Crist. avec 1H*0 en longues aig. aplaties
Hol/GH3
Az
— Eo cbaufTant Facide précédent à 120-180' avec HCl, en lube
ic«flc, 00 obtient, avec départ de 2C0* le chlorhydrate de cette
tï»e, qui crist. en aig. de Teau bouillante, avec 4 à 5 mol. UH).
*>5d est très efflorescent. La base libre crist. du benzène en cristaux
f-i'DibromO'a'a'OXfpicoIine
Bi/^Br
Az
— Aj^. peu sol. en H*0, f . à 239^^ obtenues par l'action de Teau
«^hroiae sur la base. v. auger.
Cntauation da cyanacétamida avec la chloroforma; C.
mniitZ). cA. G., t. 33, p. 2973-76; 1.1.1900). —L'auteur a
^écxa dans la Gazzetta^ sous le même titre, deux substances
jetant, Tune de Taction del'éthylate de sodium sur un mélange
^ C^inicétamide et de chloroforme, l'autre, obtenue par Taction
4e H>SO* conc. sur la première. Les formules adoptées par l'au-
CAx CAz CAz C0AzH2
CH— CH=C et GH— CH=C
'I AI
œAzH' COAzHa COAxHa COAzH^
•^«"«nt être changées, par suite du travail de Guthzeit {D, ch, C,
' B» p. 779) et Ton doit adopter les nouvelles constitutions :
A»-c/^Az Az(y^\œAzH2
Aï Az
AiCj^|CA£ Aac/\cOAzHa
0=1 JoAzH* ®^ 0=1 IlOAzH*
Az Az
H H
230 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ce qui fait de la première substance le sel d'ammonium d
VfiaL'dioxy-^^ 'dicyanopyridine ou son tautomère oxycétodicyam
dibydropyridine et de la seconde le sel d ammonium de Va-a'-diox}
fi'P^'Cyanocarbonaminopyridine ou son tautomère oxycéiocyanc
carbonaminodihydropyridine. Ce qui caractérise ces substance*
c'est leur stabilité très grande vis-à-vis des acides forts qui t
les décomposent pas^ bien qu'on doive les considérer comme de
sels ammoniacaux.
La carbonamine soumise à TébuUilion avec KOH perd 2AzH^ <
fournit, après acidulation, un acide amide : monamide de Facia
^'J-dioxy-P'^-pyridinedicàrbonique . ^
H2Az-Oc/Nc02H
HolJoH
Az
Aig. peu sol. en H*0, f. à 213* en perdant CO*. v. auoer.
Synthèses de dérivés aiiniques et oiaxiniques au moyen d
Tacide acétaminonaphtalique; F. KERHHANN et Grégoir
BARCHE(i>. ch. G., t. 33, p. 3067-74; 19.10.1900). — 5-acéU
mino-phénonopbtoxazone
AzHCOCHS
— On Tobtient en chaulTant au B.-M. en présence d'ac. acétique
I mol. d*acide acétylaminonaphtalique surâ mol. d*o-amioophénul
Crist. de Tac. acétique en aig. orangées insol. dans Teau.
5'aminopbvnonaplitoxazone (H remplace COCH'). — Obtenu e
saponifiant le dérivé par H«SO* à 50 0/0 au B.-M, Aig. rouges f.
212*. Identique avec une aminé de constitution inconnue obtenu
par réduction de la nitrophénonaphtoxazone; ceri fixe par le lai
même la position du nitro, dans ce dernier composé.
CHIMIE ORGANIQUE. M
^i-nilrihô^MminopbéBoaapbtoxazone
Az02
— Le dériré acéiyJé est obtenu en opérant comme on l'a vu plus
buA, ea employanl le nitnH>-aminophénoM.S.4. Par saponiflcation,
i finraii la bs^e libre crUt. en lamelles noires sol. dans Tac.
9d^ iûsol. dans H«0, f. à 286».
î.^dkndaopbénonapbloxazoae (AzH* remplace AzO*). —
(>b^a par réduction du dérivé nitré par SnCl* en présence de
HQeid^alcool. Crist. de l'alcool en aig. violettes à reflets cuivrés
<^ i308*. Le dérivé diacélylé crisl. de Tac. acétiq. en aig. rouge-
^^-tmiooS'Oxyaapbtopbénazine
; I 1 )
• • 1 1 .11
HO AxH3 As
^ht dérivé acétylé est obtenu en chauffant au B.-M. mol. égales
'^bqoinone et de chlorhydrate d*o.-phénylènediamine en sol.
*«*iqiieen présence d'acétate de sodium. Aig. brunes f. à 258*,
ottL en HK). Saponitté par H«SO* à 50 0/0, il fournit la base qui
^»w. de Tac. acétique en aig. violet foncé f. à 225*
^'êmiùoroaiadone
■• ' . ; )
C«H*
'"^ dériré aeééylé est obt9au en faisant réagir laquinoneQorres-
•**^e «or To.-aminodiphénylamine, à 110" en sol. acéjiquç.
m ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Aig. rouge grenat f. è 250''. Par saponification, fournit la rosindoDe
qui crist. d'un mélange de benzène et d'alcool en aig. rappelaol
rindigo sublimé f. à 216^
Chlorure de ô-cbloro-S'acétamwihpbénylnaphtophénazomuni
AzH Az
GH^OG dl C«H5
— Obtenu par Taction de PCI* sur une solution de racétylindou^
précédente dans PCP. Poudre orangée crist. Le chloroplatwati
est un ppté rouge vif. Le bromure est peu sol. dans H»0. L'anilim
réagit sur ce chlorure en donnant le chlorure de la ô^acétamino*
pbénylrosinduline
■ G^H^AzH remplace ciL )
celui-ci se transforme rapidement en imidazol avec perte d'eau
rimidazol
\
G»H*-Àz Àz Az
Ch
CH3-G Cl t^n^
crist. de Teau en très longs prismes brun-rouge foncé très brillants
On a analysé ce chlorure et le chloroplaiinate. v. auokr.
Sur les dérivés du triazane ; Hugo TOSWINCKEL (D. cb. ('*
t. 33, p. 2793-98 ; 27.7.1900). — Ce travail fait suite à celui qui <
été déjà publié par l'auteur (D, cb. G., t. 33, p. 2481) et dansleque
il décrit la préparation du phényléthényloxycyclotriazane, obtenu
par condensation de la phénylnitrosohydrazine sur l'aldëhyti^
ammoniaque.
CHIMIE ORGANIQUE. 23â
.Az-OAg
Sdârgeotique C^W.Az^ | >C.GH^ — Obtenu par précipitation
k 9fiJ de Na par AgAzO^. Masse volumineuse, orangée, déflagre
Fa^i 80^ ; sol. dans le benzène.
Elber métbylique. — Obtenu parPaction delCH^ sur le seld'Ag.
bol à 195* sous 14 mm. Huile rougeâtre insol. en H'O.
Ozéête de pbéaYt^métbyl-cyclométbylèBe-iriazane
<AzH
>GH-CH2(C2H20*).
AzU
— Oft réduit Téther méthylique par une sol. alcool, de SnCl*,
oniSnre la sol. par KOH et eitrait le produit à Télher. La sol.
'^^^f^ précipite par Tac. oxalique en petits crist. sol. en H*0,
^-vhKù'û*pbéoylétbyHdène'Oxycyclotri6zane
OHî^-AzH-CO-Az—O
C6H»-Az
\
C-CH3.
/
Az
^OUenu en traitant Tozycyclotriazane par le cyanate de phényle,
*8«i. beazénique. Aig. ou prismes orangé foncé, f. à 127**, insol.
*» JW, sol. en alcool.
Mji-pbénylétbyjidène^ojycyclotriazane (C'H^O remplace
^•.KzHCO). — Obtenu par l'action de Tanh. acétiq. sur le sel
* ^ ou Ag, ou par CH^COCl sur le triazane. Aig. jaune d*or ;
I i(8» peu sol. en H*0. Les alcalis aqueux enlèvent à froid le
^'^ acétyle.
^^r^l-pbénylélbyljdène-ojycycloiriazane (( AzO*)*C*H* remplace
^'''01. — Obtenu par l'action du chlorure de picryle sur le sel de
^*-Aig. orangées déflagrant à 140^ v. auoer.
'f^^f'ion des ac-tétrahydro-p-naphtylamiiiaa optiquement
^'^^ FNparèM à Taida des acides d- et 1-liromocampbo-
^''BBiqaei; William Jackson POPE et Alfred William HARTET
'^W Sqc.x 7«,p. 74 ; 1.1901).— /?eso/ii/iOi2 delà ac-tétrabydrch
ï-r^h I CH.CHIC.CHVCH»
^'^njtèmme racemique ii i i .On mélange
ch.ch:c.gh».ch.azh«
'^«htioas aquenses concentrées et chaudes d'une molécule de
*^^**'<^mi>iOTOlfoBate d^ammoniuBi ei du deux molécules de
284 ANALYSE /DES TRAVAUX ÉTRANGERS
chlorhydrate de tétrahydro-p-naphtylamine racémique; i! se
une séparation du moins soluble des sels obtenus d*apràs Téquaf
rf— B , HCI + /— B , HCl 4- A2H3 . (/— A = AzH*Cl + 7— B , HCl+rf-B,<
et il se dépose du (/-bromocamphosulfoDaie de (f-téirahyd]
naphtylamine qu'on purifie par cinstallisation dans Talcool.
d'DromocampbosulfQnate de d'ac-téirabydrO'^'napbiylai
C*oH**AzH«.C*oH«*BiO.S()»H. — Longues âiguiÛes incoli
fondant en se décomposant à 185.188»;[a]^= + 86«»,5. Soh
dans Talcool chaud, peu dans Tacétate d'éthylé et Feau bouillanb
Les auteurs ont préparé aussi le 7-a-bromocamphre et lel-brood
camphosulfonate d'ammonium'' (]iriU se proposent d*6xamiti
ultérieurement ainsi que le même acide racémique.
l'BromocamphosuI/onate de l-aotétrahydro'^'naphtylamiae. ^
Les eaux-mères provenant du traitement précédent sont add
tionnées de soude et extraites à Téther. On en précipite la base
rétat de carbonate qu*on dissout dans Tacide chlorhydrique
qu'on additionne d'une solution aqueuse chaude de /-bromocan
phosulfonate d'ammonium. Le sel indiqué se dépose en aiguilli
incolores fondant à 185-188°; [a]^== — 86«,2.
Chlorhydrateded-aC'tétrahydro-fi'napbtylawineC^^W^AzWMC
— Le rf-bromocamphosulfonate de </-tétrahydro-p-napIithylarnii
est traité par la soude et extrait à Téther. Celui-ci est distillé apn
addition d'acide chlorhydrique et on obtient une cristallisatic
d'un mélange de chlorhydrates dextro- et racémique. Ce demi*
est le moins soluble et peut être ainsi séparé. Le chlorhydra
dextro- extrait des eaux*^ères est en aiguilles incolores fondai
à *i43'2ib'*y presque insolubles dans les solvants organique
[.]„ = + 7l«,9.
Chlorhydrate de l-ac-tétrahydro-^'naphlylamine. — Préparati(
analogue à la précédente; point de fusion identique; [«],>= — 69*,
d'Camphosulfonale de d'ac'létrahydro-^'naphtylaiuîae
C>0H«».AzlP,C»0H«5O.SO3H.VaH2O.
— La base est séparée du (/-bromocamphosulfonate et la 6oluti<
éthérée est évaporée en présence d'acide cf-camphosulforiqu
Le sel obtenu est en longues aiguilles incolores ou en longs prisme
fondant à 210-211- [^]^ = ^A1\1.
d'Campbosulfonate de l-^c»tétrabydr<h^'aaphtylamine. — Pn
paration analogue à la précédente; cristallise en petits crislai
renfermant 1H«0, fondant à 207-208°; 1*],,=^ — i^,7. Le sel prépt
CHIMIE ORGANIQUE. 295
Bifenne uae petite quantité du produit de racémisation de la
•Mlévogyre.
Àelde l'Cdiaphosulfonique et ses sels avec les iétrahydrO'B-
^hljUmines optiquement actives. — Cet acide était préparé
•f (a méthode de Reychler employée pour l'acide rf-camphosuU
ct»que el od ea a fait le sel d'ammonium. Les deux sels suivants
•té(^ obtenus en traitant les (/- et T-bromocamphosulfonates de
t-ci Aélrahydro-^-aaplitylamine respectivement par Tacide /«cam-
|V/?iilfoaique.
^Umpljosuiroiiate de l'ac'tétrahydro-^'naphlylamine
C«ï>H",A2H2,C»0H»âO.SO3H,V2H2O.
— Uo^ prisme» transparents fondant à 240-214° ;[a]^= — 47*^,4.
t'CêmpbosuUonsle de d-ac- tétrahydro^p-naphtvlamine. —
*JWâiu renremnant 1H*0, fondant à 207-208°; f«]„ = + 13°,3.
^IhhropMinste de d-ac'tétrahydro-^'napbtylamine
2C»«H«».AzH2,H2PlCl6,2H20.
^Wéparé par action du chlorure de platine sur le (/-camphosuU
fiwtede (/-tétrahydro-p-naphtylamine. Cristallise de Tacide chlor-
uiiihifue dilué en cristaux jaune d'or, fondant à 240° en se déconi-
J^'â^nt. insolubles dans l'eau.
U ncémisatioii des d- et l'télrabydro-p-napbtylamines. — On
• ^^i i\iie \e> tétrahydro-^naphtylamines optiquement actives
»'tU«éeQt une racémisation partielle quand on les extrait de leurs
«^feptrla soude, puis qu'on les convertit en autres sels. Les
vuearx ont exécuté un certain nombre d'expériences pour décider
F-^adaût laquelle de ces deux opérations a lieu la racémisation, et
*»«*nl que c'e^t pendant la libération de la base.
^^^iétrabydrO'^aapbt} lamiue* — Préparé en traitant le rf-bro-
3')C«mptiosuiroQate de la base par la soude et extraction à l'éther.
Htule ritiqueuse impure pour laquelle deux échantillons ont donné
Mrlv^les valeurs -}- 8()°,5 et -[-87°,24. On calcule que cedernier
^ûiillon, qui est le plus pur, contient encore 30 0/0 de base
^*^^, ce qui lait que la base droite pure donnerait environ
^mrlidèntHi'BC'tétrabydrO'^'napbtylamineC^m^^.kz \ CH.C«H«.
"•On cteluJfe au bain«marie le carbonate de rf-tétrahydro-p-naptyl-
*■«* avec la benzaldébyde et on fait cristalliser dans l'alcool. Le
**tail 1« BBoiftd soioble est le dérivé benzylidène racémique ; se
l**»»!* ea prismes rbomboîdaux, fondant à 51-52° ejt répond au
236 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
corps extrait de la base inactive de Bamberger et Kiscbelt. l
liqueur mère renferme Tisomère dextrogyre se déposant i
aiguilles incolores, fondant à 58-60*, donnant [a]jj = -j-27*,6. |
Benzo^l'd'ac-tétrahydro^^-naphtylamine C*oH«« . AzH . CO .C*^
— Obtenu par traitement de (/-bromocamphosulfonate de la bas!
droite par le chlorure de benzoyle et de soude; il se fait la benzol
tétrahydro-p-napbtylamine inactive de Bamberger et Mûller i
une petite quantité du dérivé benzoyle dextrogyre. Ce dernrt
est en aiguilles fondant à 155-157*»; [a]|^ = -|-58*.
A cétyUd'ac-tétrahydrO'^'napbtylamiae C*0H« • AzH . GO . CH^. -
On mélange les solutions benzéniques refroidies de la base et d
chlorure d'acétyle; on obtient à la fois la tétrahydro-^acétonaphb
lide racémique et l'isomère dextrogyre qui est plus soluble. C
dernier est en longues aiguilles incolores fondant à 104-106''; e
frottant les cristaux avec une baguette de verre, ils devienne
luminescents; leur pouvoir rotatoire [a]jj = + 36*,9.
U Inversion optique des composés aminés. — Les auteurs oi
donc résolu la tétrahydro-p-naphtylamine racémique en ses coni
posants actifs au moyen des acides d- et /-bromocamphosulfc
niques. Mais en libérant la base de ses sels au moyen de la soud
et en préparant le chlorhydrate, on observe une racémisalio
considérable et les chlorures actifs deviennent difBcilemeni sépa
râbles du mélange des sels.
On a observé aussi la racémisation par benzoylation des coin
posés :
IK yH
><
AzH2
qui se transforment probablement en
R«
">C:
R'/
AzH3.
A. HboenT
Acide infracampholènique, isomère des acides campho
lytiqne et isolaaronoliqne ; Martin Onslo w FORSTER ( Cttrti
Soc, t. 79, p. 108 ;1 . 1901). — L'anhydride dubromonilrocamphan
traité par les alcalis donne un nitrile non saturé dont Thydrolys
fournit Tacide infracampholènique OH**0', optiquement inactif c
se transformant en acide isolauronolique par Tacide sulfùriqu
à chaud. L'amide de Tacide infiracampholénique, traitée pa
rhypobromile de soude, se transforme en amino-infracampholèi)
C«H"AzH«.
CHIMIE ORGANIQUE. 237
Vatm expàuMEXTALB. — Acide infracampbolénique. — L'ainide
^'^'^.CO.AzH* est hydrolysée par la potasse alcoolique pendant
BJJ beureô; le liquide évaporé abandonnait un résidu visqueux
^ déf:omposait l'acide chlorhydrique. L'huile brune ainsi
fnripitée était redissoute dans le carbonate de soude et reprécipiiée
lirTacide sulfurique. On a préparé les sels de mercure» de cuivre,
^f piomb et d*argeot.
Àeide iribromodihydro-wfracampholénique C®H*50*Br^. —
LVideinfracanopholénique dissous dans le sulfure de carbone était
«iiiùûiuié peu à i^eu à une solution sulfocarbonique de brome ; on
•4.^â«itlâ heures à Tobscurité. Il se déposait des cristaux, solubles
Ufcricélate d'éthyle, fusibles vers 182».
L'thbroniure d'acide infracampbolénique en suspension dans
^«it est décomposé par le carbonate de soude en déposant une
baa« iocolore qui laisse échapper par passage d'un courant de
tïî>wun bromure C®H**Br, provenant vraisemblablement d'un
•ktumure OH'*Br', terme de passage.
Acide dibromodihydrO'infracampholênique C®H**0*Br*. —
L*^ infracampholénique et le brome, en solutions chloroformi-
')^ étiteot additionnés goutte à goutte Tun à l'autre en les
^<^*ieQiot dans un mélange réfrigérant. On obtenait pai* évapo-
i^^ du solvant une masse butyreuse blanche fondant à 117%
•^-AAiedans l'alcool et l'acétate d'élhyle, peu dans le pétrole eC
f^ïoodaDt à la composition indiquée.
i^imidedeF acide infracampholénique, — Llnfracampholènamide
(ti solation dans une grande quantité d'eau est refroidie à Ù® et
»i<Uiôimée de permanganate de potasse. On ajoutait ensuite du
uHïOQate de potasse, on faisait bouillir et par évaporation on obtenait
^ huile jaune se solidifiant à froid. L'oxydation dans ces condi-
'*»* donne naissance à un dérivé dihydroxydé C»H«^0»Az,H«0.
V*^ départ de l'eau, la fusion a lieu à 170**.
L'iafracampbolènamide donne, avec l'acide bromhydrique, un
^f«hydrBieC»H«»OAzBr,H«0. insoluble dans le pétrole, soluble
"^ l'acétate d'êthyle bouillant d'où il cristallise en tables trans-
f^f^^les, fondant à 144', en se décomposant.
Eu employant de Tacide plus concentré, on obtient de l'isolau-
^dèromnre d'iofracampholènamide C*H**OAzBr* se prépare
î^'idrfiiioo de brome dans l'amide, les deux corps étant en solu-
-itGhlorofoniiiqae et refroidies par un mélange réfrigérant. On
•■ii«l des cristaux, insolubles dans le pétrole, solubles dans
'"^^'H racélate d'élhyle, fondant à 114^
338 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Amino-inttacampbolène C^H*^. AzH*. — L'infracampholèaaniicj
traitée par l'hypobromite de soude donne une huile qu'on extn^
à réther, d'une odeur spéciale, bouillant à 458-160* sous 754 mm
de densité 0,8770 à 14*. On en a préparé la chlorhydrate, le chic
roplatinate, le picrate, les dérivés benzoylé, carbamidé et phényi
carbamidé. a. hébert.
Sur Tacide euxanthique ; C. GRAEBE {D. ch. G., i. i
p. 3360-2 ; 22.11.1900). — L'auteur a repris, en collaboration s\(
R. H. Aders un travail commencé avec J. Heyer sur les sels et h
étherseuxhanthiques.LesselsontengénérallaformuleG*®H*^0'*M
Cependant, le sel de potassium, précipité par Tazotate d*argei
fournit un sel argentique C**H*50*^Ag. Celui-ci fournit avec ICï
ou 1C«H» des éthers cristallisés jaunes G*»H«»0»<>. Alcoyl. Si W
fait réagir l'iode sur ces derniers, il se produit une combinaisc
bleue correspondant à I* par mol. d'élher. On peut obtenir d<
dérivés acétylés en acétylant ces éthers; mais le groupe alcoy
est éliminé et le dérivé acétylé se fixe sur le reste C**H*«0*o. 1
chlorure de benzoylé réagit sur Tacide euxanthique et fournit di
dérivés benzoylés de l'anhydride. Le plus benzoylé correspond
C<»H>*0*o(C*'H*0)* ce qui concorde avec la formule adopta
jusqu'ici pour l'acide euxanthique ;
C^-H3(0H)/ \c«H3-0-CH(OH)(CHOH)*C02H .
L'anhydride euxanthique serait alors une laetone. v. algch.
Emploi dn p.-nitrophénol comme indicateur; L. SPIEGI
(Z>. cb. G., t. 33, p. 2640-2641; 1.10.1900). — Cette applicatif
du p.-nitrophénol avait été proposée déjà par Winkler, sous
réserve de Tabsence d'acide carbonique. Des expériences présente
il résulte que le p.-nitrophénol permet de doser les alcalis à l'ét
de carbonates, phosphates et borates, au même titre que le méth]
orange et avec l'avantage d'un virage plus tranché.
Il s'emploie en solution alcoolique contenant 2 à 5 0/0 de réacl
et vire au jaune avec les alcalis. . h. copaux.
Sur la phosphorescence de rAz-èthyl-a-quinolona ; G. DECKI
(D. cb. G., t. 33, p. 2277-2278; 1.10.99). — Lorsqu'on triture dai
l'obscurité les cristaux d'Az-élhyl-a-quinolone, on observe la pr
CHIMIE ORGANIQUE. 989
hctioo d'une lumière bleue, analogue à celle des étinoelles élec-
Inqties. Cette propriété n'appartient pas aux autres quinolones; .
E. E. BLAI6E.
Sur iiA« huile d^eacalyptns contenant 60 0/0 d*acétate de
liranjle; Henry 6. SHITH {Cbem. News, t. 83, p. 5; 1.1901). —
Lhuilc de V Eucalyptus macarlburi a été trouvée très riche en
rmoiol ; elle renferme 60 0/0 d*acétate de géranyle et 10,64 0/0
fikool libre, calculé en géraniol. a. hebert.
Stria laudanosine ; A. PICTET et ATHANACESCU (D. cL G.,
: 3Î, p. ^46-2853 ; 1 . 10. 1900). — Les auteurs, ayant transformé
b paptTérine en laudanosine, ont établi la constitution de cette
iftâe. La laudanostne est la tétrahydro-Az-méthylpapavérine :
CH
'W(0CH5)3( I " C«H2(OCH3)2;
CH2-C*H^(OGH3j2 CH2-C6H3(OCH3)2
Ko réduisant le chlorométhylôte de papavérine par Tétam et
''*c*fc chIorhydri(|ue, on obtient la méthyltétrabjdvopapavérine
^^ ktit^Qosine racémiquey F. 115* ; mêmes réactions colorées que
poflf la laudanosioe naturelle. — Chlorhydrate, F. 123°. — Chloro-
pi^tioêie, F. 160* (déc.). — Chîor orner eurate, F. 172«. — Picrate,
T. 174-. ^ lodométhylate, F. 202-203\ La base racémique est
*W«*hlée |iar l'acide quinique.
Lequuiate de la base gauche se dépose le premier, F. 120° et
î» laudanosine-l- fond à 89°; a„^^ = — 105°,42 (alcool à 97°
'''.nc.«r:=3,o96*). Le quinate de la base dextrogyre n*est pas
T^tUi^able : celle-ci fond à 89°;a„^^= -[-98°,71 (conc.» = 2,2644),
"< «on identité avec la laudanosine naturelle n'est pas douteuse,
^•*lgré la difTérence dans le pouvoir rotaloire. e. e. dlaise.
•
L'ilctloide de rHyoscyamns mations et du Datura stramo-
'^u de ItgypU ; Wyndham R. DUNSTAN et Harold BROWN
'>tea. Soc., U 79, p. 71 ; 1.1901). — Hyoscyamus muticus. —
*^«tie ptaaie renferme les proportions suivantes d*hyo5cyamine :
^*« te» graines, 0,87 0/0 de matière sèche ; dans les tiges et
^ proportioa en est beaucoup plus grande que dans la même
240 ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
plante croissant aux Indes et qui ne renfannë que 0,1 0
d*alcaioïde.
Datura stramonium. — Cette plante renferme les proportio
suivantes d'hyoscyamine : dans les graines, 0,âô 0/0 de inatié
sèche ; dans les tiges et feuilles, 0,80 0/0.
L'alcaloïde a été caractérisé par sa cristallisation, son point
fusion et son chloraurate. a. hbbert.
Las alcaloidas dn corydalis cava. — Conversion de la corj
bulbine en corydaline ; James J. DOBBIE, Alexandar LAUDl
et Photios G. PALIATSEAS {Chem. Soc, t. 79, p. 87; l.lOOl
— Les auteurs ont reconnu antérieurement que la corydali
C*®H*5Az(CH5j*, alcaloïde du Corydaîis Cava, diffère de la cor
bulbine C*®H*®AzO(OCH')* par un groupe méthoxyle en plus. 1
corybulbine contient un groupe hydroxyle car elle peut donner i
dérivé monoacétylé. Les deux alcaloïdes sont transformés p
Tacide iodhydrique concentré en C*®H*5Az(0H)*.lH. La corybulbil
est convertie en corydaline par Taction de l'iodure de méthyle
de la potasse.
Partie expérimentale. — Action de F anhydride acétique sur
corylbulbine. — L'alcaloïde est mis à bouillir pendant 4 ou 5 heun
au réfrigérant à reflux avec un excès d*anhydride acétique; pu
le mélange est distillé dans le vide. Le résidu cristallise en aiguilli
fondant à 160*, constituées par de Tacétylcorybulbine
a8H»SAz(OCH3)3.0.C2H30.
Action de r acide iodbydrique sur la corylbulbine, — On fa
bouillir les deux corps au réfrigérant à reflux; après distillation d
l'iodure de raéthyle, le résidu cristallise en aiguilles jaunalrei
fondant à 270"*, solubles dans Teau et Talcool et répondant aux pr<
priétés du corps obtenu de la même façon avec la corydalic
C*»H*»Az(OH)*.lH.
Conversion de la corylbuîbine en corydaline, — La corybulbin
purifiée était chauffée 15 à 20 heures au réfrigérant à reflux ave
la quantité correspondante d'iodure de méthyle et de potasi^
dissoute dans Talcool méthylique. On filtrait après refroidissemeni
le résidu était formé de corybulbine inaltérée. Le filtrat élai
évaporé à sec et dissous dans l'acide chlorhydrique dilué; la corj
daline était précipitée par un excès de potasse. Le rendement étai
de 25 à 30 0/0. On a préparé le chloroplatinate, sulféthytate e
Tiodhydrate de cette corydaline synthétique. Ces sels ont été iden
tiflés avec les correspondants de Falcaloïde naturel* a. miaBat.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 241
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE
inorganiqae et chimie physique ; Cl. WINKLER (D,
ci. G., i. 34, p. 393 ; 25.2.1901 ). — Dans cette note d'une forme
Uiéraire Ires soignée, M. Winkler traite des relations mutuelles de
b chimie physique et de Télectrochimie avec la chimie minérale
fr4»rt?inenl dite, il se plaint avec éloquence que cette dernière soit
«\)iAinl*hui UD peu négligée pour les deux premières et dit que la
ùaflé doit être actuellement envisagée comme comportant non
}«^ifux, mais trois grandes divisions d'importance comparable, la
Mioue physique, la chimie inorganique et la chimie organique.
L. BOURGEOIS»
tar la théorie de la catalyse chimique ; C. ZENGELIS (Z7. cb,
^j,t.34, p, 198 ; 11.2.1901). — A propos d'un récent travail de
M. H Euler iibid., t. 33, p. 3202), Tauteur dit qu'il avait antérieu-
:rneù\ émis des opinions tout à fait semblables sur le mécanisme
>> iriions cataly tiques, dans une brochure en langue grecque sur
i *tïm\ié chimique publiée à Athènes en 1896. Il présente diverses
rnUques sur le mémoire de M. Euler : ainsi l'on ne peut admettre
quelatude acétique en sol. se dédouble en CH^.CO et OH, car les
rentables ions sont CH^.CO.O et H. l. bourgeois.
S«r certaines relations régulières observées dans la distilla-
tioa des solutions aqnenses étendues de phénol; Al. NAUMANN
elW.lDLLER {D. cb, G., t. 34, p. 224 ; 11.2.1901). — On fait
loullir pendant 30 min. 500 ce. d'une sol. aqueuse de phénol d'une
'«niiiie concentration, et l'on a soin de maintenir le volume cons-
Uûien rajoutant de l'eau par un entonnoir à robinet ; on a alors
•îwe le phénol contenu dans 100 ce. de liqueur ayant passé à la
^«iliation pendant ces 30 min. Répétant l'expérience sur des sol.
^ œncentrations variables, l'auteur trouve que 100 ce. du liq.
•ibiiilé renferment constamment 3 fois moins de phénol que
kfSaOO ce. de soi. au début de la distillation, et il calcule d'après
c«tie donnée, que, à 100*, au voisinage de la surface d'ébullition,
■» teneur en phénol de la vapeur doit toujours être le double de
'«Ue du hquide, à vol. égaux. l. bourgeois.
•oc. cKm., 3^ aéii., t. xxvi. 1901. — TraT. étrang. 16
242 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Ifouvelle méthode pour déterminer le poids moléculaire <
rozone ; A. LADENBDRG (/?. cL G., t. 34, p. 681 ; 11.3.1901).
On pèse une ampoule à deuxrobinels, successivement pleine d'os
gène aussi pur que possible, puis pleine d'oxygène ozonisé (prépn
avec le même oxygène et à environ 8 0/0 d'ozone). Toutes \\
opérations se font dans une chambre dont la t. ne varie que <
quelques dixièmes de degrés pendant celles-ci, et la pression f
supposée rester constante. Soit :: la différence des deux pesée
Ensuite, on ouvre un des robinets de l'ampoule sur une cuve <
térébenthène qui absorbe Tozone, on pèse encore, et fmalement c
pèse Tampoule remplie d'essence ; ces deux dernières ppsé
donnent le vol. v de Tozone absorbé. Soient r/, et (/les p. spécii
ques de Tozone pur et de Toxygène par rapport à feau, on
évidemment ^ = vd^ — vd=^ v(rf, — rf). Si Tozone est 0', Toxygèi
étant 0*, on a-i^ = -, par suite 7r=FJ(-— iV d'où x. On
trouvé ainsi dans 5 expériences, des valeurs de x comprises enU
2,83 et 3,1 i, et pour le p. mol. de l'ozone des nombres compri
entre 45,3 et 50,4, moyenne 47,78. l. bourgeois.
Sur Tunion de Thydrogène et du chlore (parties 1 à III) ; J. W
MELLOR (Chem, Soc, t. 79, p. 216 ; 2.1901). — L'auteur a étudi
la combinaison de l'hydrogène avec le chlore et pour interprélt
les expériences antérieures sur la question, il a repris réleclrolys
de Tacide chlorhydrique, la solubilité du chlore dans l'acide chlor
hydrique aqueux, enfin la thermodynamique des solutions dechlor
et d'acide chlorhydrique dans Teau.
En employant des appareils spéciaux décrits dans le mémoir
original, Tauleur a procédé à l'électrolyse de Tacidé chlorhydrit|ui
et a constaté qu'il se dégage toujours des traces appréciable
d'oxygène.
De la courbe de dissolution du chlore dans des solutions aqueux-
d'acide chlorhydrique de concentrations variées, on peut conclnn
à l'existence d'une combinaison du chlore avec Tacide chlor
hydrique HCl^ en solution liquide et en solution gazeuse ; d'autre-
exemples de corps analogues ont, du reste, été déjà cités.
A. HÉBERT.
Le bromure d'ammonium et le poids atomique de l'aiote,
Alexander SCOTT (Chem. Soc, t. 79, p. UT ; 2.1901). — fauleit/
a trouvé pour les bromures et chlorure d'ammonium un équivolenl
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 243
Lïïefeot de celui donné par Stass, ainsi que le montrent les chiffres
Stass. Scott.
Rromare d'ammonium 98,032 97,995
Chlorure d'ammonium 53,582 53,516
Le$ valeurs correspondantes de raramonium seraient :
Stass. Scott.
En partant du bromure 18, 017 18,040
En partant du chlorure 18,075 18,059
'm peut expliquer la différence obtenue dans les bromures parce
({i^ le brome employé par Stass n'était pas pur et contenait du
f*»ïi». A. HÉBERT.
br la nature des polyiodures et leur dissociation en solu-
t«i açocuse ; H. H. DAWSON (Clwm. Soc, t. 79, p. ^238; 2.1901).
-• En ajoutant une quantité connue d'iode dans un mélang-e de
-Qu'ire de carbone et d'une solution d'iodure de potassium et en
'^uA\è répartition de fiode dans les deux couches, Faut ur a
' ojnau que le Iri-iodure de potassium est un sel normal qui, à des
■ ûttfiirations correspondantes, est dissocié électrolytiquement au
ï^ae<ie«^ que les autres sels binaires. De même, le tri-iodure
.'ijdn^eDe est électrolytiquement dissocié comme l'acide iodhy-
*'!'« et appartient au groupe des acides forts. a. hébert.
Ia décomposition des chlorates (3° partie). Chlorate de calcium
«tfctorate d'argent ; WUliam H. SODEAÏÏ {Chem, Soc, t. 79,
• Ul; iiUOi). — Ck>ntinuant ses études, fauteur a constaté que
" 'iilorale de calcium se décompose en perdant 0,6 0/0 de son
î*-»e et i 0 0 lorsqu'il y a explosion.
L'-chlfjrale d'argent, chauffé à 350** détone en perdant 7 0/0 de
•'H chlore et dans la décomposition lente, il peut dégager jusqu'à
*''J Ode chlore si l'on abaisse suffisamment la pression.
Il se produit deux réactions simultanées :
2M(CI03)2 = 2MG12 + 602,
2M(CICP>2 = 2M0 + 2C12 + 50».
^*wr le chlorate de calcium, la première décomposition procède
iH^fott plus vite que la seconde et pour le chlorate d'argent 1 ,8 fois
' ^^ii*. A. HÉBEIlT.
244 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les perborates; S. TANATAR (Zeit. anorg. Cb., t. 36
p. 345 ; 7.1.1901). — Critiques au sujet d'un mémoire de M. E. J
Constam et M"* J. G. Bennett {ibid., t. 25, p. 265); l'auteur main
tient que les perborates se forment par électrolyse d'une sol. d
borates même concentrée, et que Teau ne les décompose pas coin
platement en borates et eau oxygénée. l. bourgeois.
Détermination du poids atomique du calcium ; A. HERZFELl
{D. ch. G,, t. 34, p. 559; 11.3.1901). — L'auteur a décomposé |>«
la chaleur du carbonate de calcium provenant lui-même d'une ^o
de bicarbonate évaporée dans des capsules d'argent, lequel bicar
bonate résultait d'un carbonate tiré de l'oxalate. Voir pour plus d
détails Zeit. Rùbenzuckerind.^ 1897. Il trouve pour 0=^16, e
moyenne Ca= 39,962. l. bourgeois.
Sur la formation d'azoture de magnésium par calcination d
magnésium à l'air ; W. EIDHANNet L. HOESERiZ?. ch. C, t. 3^
p. 390; 25.2.1901). — M. Mallet a signalé (Chem. Aeivs, t. 31
p. 39j la formation en notable proportion d*azoture, dans lacombui
lion incomplète du magnésium, à l'air. L'auteur étudie les condi
tions qui donnent le meilleur rendement, l'influence dessubstanci'
étrangères ajoutées à la poudre de magnésium, celle de la tempi'
rature et de l'accès de l'air rendu plus ou moins facile. Si V<]
chauffe progressivement au bec Bunsen ou mieux encore sur
chalumeau à gaz un creuset de fer rempli de limaille de magnésiuii
portant un couvercle ajusté, mais percé d'un tout petit trou, t
obtient au bout de 15 à 30 minutes de chaude, une masse jaun
verdàtre de Mg^Az* (jusqu'à 80 0/0 du métal employé), surmonte
d'une couche grise de magnésium d'épaisseur variable, recou ver(
elle-même d'une couche de magnésie. l. BOtaoEots.
Sur le plomb radio-actif; K. A. HOFHANN et E. STRAUS
(Z>. cA. G., t. 34, p. 8; 28.1.1901).— Etudiant les métaux conlen*
dans la brôggerite, Turanite, la clévéite. la pechblende, la samar
tite etl'euxénite, les auteurs concluent que le plomb extrait de ci
minéraux par les méthodes analytiques usuelles renferme ui
substance voisine du plomb, donnant un sulfure insoluble dans h
acides étendus et dans les sulfures alcalins, un sulfate insolubl
dans SO*H* étendu, un chlorure un peu plus solubleque PbCl«, u
oxyde hydraté soluble dans la potasse. Le spectre d'étincelU
offre une raie violette cai'actérislique. Sous l'action des rayoi
cathodiques, le chlorure et surtout le sulfate deviennent phosphc
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 245
nesceots (lueur bleue) et de plus fortement radio-actifs. Le nouvel
dément est vraisemblablement bivalent et quadrivalent; son p. at.
M très différent de celui du plomb ; il dépasserait 260.
L. BOURGEOIS.
AetioB des rayons cathodiques sur les substances radio-
ictim; K. A. HOFHANN, A. KORN et E. STRAUSS {D. cb. C,
i. J4, p. 407 ; 25.2,iîX)l). — On a soumis à des rayons cathodiques
trpft iolenses diverses substances, les unes ayant perdu la radio-
inmté par suite d*épuisement, les autres naiurellement dénuées
^ cette propriété. Ces dernières en général n'ont pas acquis
îafunté radiante, mais quelques-unes de celles qui l'avaient perdue
''K neeouvrée, notamment le plomb (surtout à Tétat de sulfate
le» pOTlions les plus solubles de PbCl*) de la pechblende, de la
rffi^g|:erile, de la clevéile, de la samarskite, de Turanile. Le SO*Pb
î? Iménite naturellement inactif est devenu actif. Par contre le
'«iàaalh polonifère ayant perdu son activité ne Ta pas retrouvée.
L. BOURGEOIS.
Sv le thiocyanate de cobalt hydraté ; N. S. KOURNAKOF
*«rfl. Soc. pbys, ehim. /?., t. 32, p. 354 ; 1900, fasc 5). — Evapo-
^l^ntetnent une sol. du mélange en quant, équiv. de CaSO* et
^BftOVzS.*. on obtient Thydrate Co(CAzS)«.3H«0, cristallisé en
P^ks lamelles presque noires appartenant au système rhombique
^ qui, ious une faible épaisseur laissent, passer une lumière rouge
^lotet Cet hydrate s'eflleurit àl'air en donnant le sel anhydre jaune
■ncL Ce dernier s'obtient cristallisé en croûtes granuleuses par
^^^poraUoQ de la sol. au b.-m. On n'obtient pas do teintes comprises
^^w le violet et le jaune, ce qui semble indiquer qu'il n'existe
î*«»'l'hydr»ie intermédiaire. a. corvisy.
tir an nouvel oxyde de molybdène, le semi-pentozyde de
■ri^déat; P. ELASOH iZ>. cb. G., t. 34, p. 148 ; 11.2.1901). —
•^ mémoire est consacré à l'étude des divers composés où le
^ybdèoe est pentatomique, composés en partie déjà signalés par
"*^^t*us el par Debray. L'auteur propose d'appeler molybdéDyle
** ttdical trivaleot MoO et moljrbdone le radical divalent MoO*.
'-^Worore é ammonium et de molybdényle MoOCl»,2 AzH^Q. —
*>» ifawut 200 gr. de molybdate d'ammonium dans 600 ce. de HQ
^■*^ 6t l'oQ ajoute pour chaque aL de Mo, 1 mol. d'iodure
^«ittaoaimo *ou de HI concentré; et 0,1 i ou 1) mol. d'AzH*a ; on
^'"^ alors an bain de sable, il se dégage de l'iode, et lorsque
Î46 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
les vapeurs de ce dernier ont presque cessé do se dégager,
sature de gaz HGl ie résidu refroidi, le contenu vire du br
sombre au vert. Au bout de quelques heures, il se«lépose debe
octaèdres vert d^herbe, qu*on essore après lavage avec HCI ce
Ce corps est soluble dans Feau avec coloration jaune brun,
avec hydrolyse partielle. La sol. est devenue oxydable à Tair a
formation de bleu de molybdène; Faddilion de H(11 ramène
coloration verte. L'alcool agit ço»nme Teau et sépare AzH*Cl.
Hydrate de molybdényle MoO(OH)^. — La sol. du sel précédd
additionnée d'un excès d'AzH^, donne un ppté et la liq. renfena
beaucoup de MoO^ (Debray). Mais si l'on opère à froid, en sd
étendue, et en ajoutant progressivement et avec agitation la quai
tité d'ammoniaque strictement nécessaire, le molybdène se dépo^
intégralement sous forme d'un ppté ressemblant à de l'hydrol
ferrique,mais un peu moins coloré, c'est l'hydrate demolybdényk
assez difficile à recueillir sur un filtre et à essorer ; il est insolubl
ou peu soluble dans les liq. alcalines, mais un excès de cel!es-<
altère le produit en donnant des molybdates solubles. Il n'a pas d
propriétés acides.
Semi'pentoxyde de molybdène Mo*0*. — L'hydrate précéden
desséché avec ménagement dans un courant deCO*, donne Toxyti*
correspondant, poudre noir violet, assez difficilement soluble dan
HCI ou SO*H«.
Chlorure de molybdényle MoCl^. — MM. Blomstrand { Jauni, i
prakl, Ch., t. 71, p. 4C6) et Puttbach {Lieb. Ann, Cb,, t. 201
p. 123), ont obtenu par Faction du chlore sur un mélange de MoO
et de charbon, un oxychlorure qui serait MoOCl*. L'auteur ppnse qu'
ce produit est surtout formé du corps MoOCl^, car redissous daa
HCI concentré et additionné de sel ammoniac, il donne directemen
le sel double décrit au début de ce mémoire. l. bourgeois.
Sur l'acide molybdique ; P. KLASON (D. cL G., t. 34, p. 153
11.2.1901;. — L'auteur ayant refait Fanalysedu molybdatedamnic
fliwûi usuel, et déterminé cryoscopiquement son p. mol., trouv
que sa véritable formule est bien 6.\zH3.6Mo03.r>H*0 ; c^ s*'
peut être regardé comme intermédiaire entre les trimolybdate
tri- et di-ammoniques. Un sel décrit par Rammelsberg est en réalil*
const. parle trimolybdale tri'ammonique{UoO^)^\ AzH*)^H^ -(-4IW
quand au tnmoîybdate di-ammomque (MoO*j^( AzH*)*H* + H*0, t
prend naissance par Faddilion de la quantité calculée de HCI à uni
sol. refroidie de molybdate ordinaire ; au bout de 2i heures, il ^
dépose des croûtes cristallines grenues, peu sol. à froid, très sol
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 247
iàu- leau chaude, mais avec altération. Un molybdate trimono-
êiumnnique prend naissance dans les mêmes conditions, sauf la
u^nliti^ diflcTente de HCl ; on a soin d'agiter sans cesse et de
i?rs»^H II en mince filet ; il s'engendre bientôt une masse feutrée
tt^ (!ii»*s aiguill«*s, du sel iMoO*j*AzH*.H*, ayant des propriétés
yttthUbles à c.»!les du sel précédent. L* c acide molybdique »
roamercial répond à peu près à la formule AzH'.SMoO^, Y,H*0.
Eu (fToc^klant comme pour les sels précédents, par addition de la
fnûiit^ calculée de HCl à une sol. refroidie de molybdate usuel,
î^ii- filtrant après 1:2 heures, pour retenir un léger trouble, on a eu
»i If-ul de plusieurs semaines, de beaux crist. limpides du sel
3AjH».6M^O^oH*0, interm.Miaires entre les trimolybdales, di- et
tJ"îi>«mmonique.
B**marqnant que le phosphomolybdale d'ammonium renferme
i-Vû*j\ Tauteur a cherché de même que pour les sels précédents
«^rtjfe an dodécamolyhdate tri-ammonique. L'addition d'un excès
i'HCl à une sol. de molybdate ordinaire lui a donné un ppté
t'Un-* formé de très petits prismes hexagonaux d'un pentédéca-
i^'i'Uift tri-ammonique SAzH^.lôMoO», 20H«O, sol. dans l'eau
"'wliime; par évaporation à la t. ordinaire, le sel recristallise
laîiâv mais très lentement. Pour dissoudre le sel, il faut le noyer
l^^iâqueraenl dans l'eau bouillante, autrement, si on le chaufTe
tf'^m^veraenl avec l'eau, il se fait un hydrate à 6H*0, tout à
'i'i insoluble ; le même produit prend naissance par dessiccation
•liîel k 20H*O, même à la t. ordinaire. La sol. chaude du sel
l'^édeal, additionnée de sel ammoniac donne par refroidissement
•"'••i^aux prismes brillants, groupés en houppes, du dodécamolyb^
^'^ iri^mmomque 3 AzHMSMoO». 12H«0.
Ltaieur pense que tous les molybdates et sans doute Tacide
Sî-^jWique lui-même renferment le noyau Mo^, c'est pourquoi il
*»!»•» simplifié quelques-unes des formules données plus haut ;
•^ fcl, on a le chlorure Mo'^Cl* et non MoCl*. l. bourgeois.
>» U bleu de molybdène ; P. 'KLAS0N( Z>. ch. G., t. 34, p. 158 ,
Ili.l901i. — Reprenant Tétude de ces produits bleus, l'auteur dit
T3û*ae dérivent pas de MoO', mais que ce sont des molybdates
'^ 1 (mvie M »H)* ivoir plus haut). En abandonnant à l'air pendant
'-«1 un été, une sol. aqueuse à 6 0/0 de chlorure de molyb lényle
^' 4*mmonmm, il a obtenu un ppté bleu presque insoluble, de
^•^ttp<rsiUonMi>*0«.24Mo03,24H«0. Mais l'oxydation à l'air d'une
** P*w étendue du même chlorure double, pendant un temps
*^^ ccpQrt, a donné une liq. bleue qui filtrée, pour séparer un peu
248 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
de bleu insoluble, puis additionnée de AzH*Cl, a donné un ppté
bleu, sol. dans l'eau avec une forte coloration bleue, mais redeve^
nant insoluble par addition de sel ammoniac ; ce bleu soluble esl
Mo«OM8Mo03, 21 H«0. l. bourgeois.
Sur le cérium; G. P. DROSSBACH [D, cL G., t. 33, p. 8r*06;
14.1.1901). — Du carbonate de cérium a été dissous dans SO*H^
étendu, les métaux lourds pptés par K*S, et la licj. additionnée di
chlorure de chaux. Il s'est déposé un oxyde cérique impur qui aétJ
recueilli, pressé, redissous, amené à Tétat de nitrate doubla
ammoniacal, et ce dernier recristallisé a été converti en oxalate
puis, par CO^Na* en excès, en carbonate, finalement ramené à Téta
de nitrate ammoniaco-cérique. Suivant les proportions de nitrate
d'ammonium, le sel double forme tantôt de grosses tables rhom
biques (AzO3)«Ce«.3AzO»AzH*,10H«O, tantôt de longues aiguille
de composition variable en AzO^AzH*, et en eau. Les uns et le
autres sont peu hygroscopiques et cristallisent bien ; le produit e^
exempt de didyme, mais retient encore un peu de lanthane et di
terres de Tyttria, qu'on peut du reste éliminer par quelques cri>
tallisations. L'auteur termine en faisant remarquer que toutes le
terres cériques et ytlriques se dissolvent dans les carbonates aica
lins en sol. concentrées, surtout CO*K*, mais les terres yttrique
sont plus solublesque celles de la cérite, de là, par ppta»ion frac
tionnée au moyen de CO^K*, un moyen de faire des séparations
si l'on a soin de décanter aussitôt après le dépôt des carbonate? d
cérium, etc. l. bourgeois.
Un appareil à point de fusion; F. W. STREATFIELDet J. DATIE
{Chem. Aews, t. 83, p. 121 ; 3.1901». — Appareil formé d'un va^
en verre servant de bain d'acide sulfurique, surmonté d'un couvercl
percé de deux trous : l'un pour le passage du thermomètre auqui
adhère par capillarité le tube renfermant la substance à expéri
monter, l'autre pour le passage d'un agitateur. On évite ainsi I
projection de l'acide et son hydratation. a. hébert.
Houvelle forme de ▼olumônomôtre ; F. W. JONES {Chen
News, t. 83, p. 100; 3.1901). — Modillcalion du voluménomêU
ordinaire pour lequel, faute de figure, nous sommes obligé d
renvoyer au mémoire original. a. hébsrt.
Nouvelle forme d'appareil à décharges ponr observer 1
spectre d'étincelles des solutions ; L. H. DENNIS {Zeii. aaori
Cb.^ t. 16, p. 19; 19.10.97). — La sol. saline occupe un vase e
CHmiS GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 240
vvrre soufflé {flgure dans roriginal) formé de deux branches
l'oauDuoiquant ensemble ; la plus longue est à réservoir et fonctionne
comme an flacon de Mariotte pour amener le liquide à un certain
Qiveau constant dans la courte branche qui est ouverte. Un fil de
plaUoe pouvant se hausser à volonté sert d'électrode ; on peut le
•^)i(rer, si Ton veut, d'un petit cône de graphite. L'autre électrode
'^t en platine ou en graphite à volonté. l. bourgeois.
Svle dosage da magnésium par les bases organiques; W.
etK. DRUCSER [Zeit. anorg. Cb., t. 26, p. 347; 28.1.1901).
-LeiseU de magnésium sont pptés complètement à froid par
036 îol. aqueuse de diméthylamine, ou bien encore de guanidine
i^rptrée en faisant agir Teau de baryte sur le carbonate de cette
I*«. L. BOURGEOIS.
hrlt réaction mutuelle de Tacide arsénieuxet du perman-
îtttU;0. KtTHLIHG (D. cb. G., t. 34, p. 404; 25.2.1901). — Le
■y«?*' de l'acide arsénieux se fait d'une manière très satisfaisante
;« ttoe sol. titrée de permanganate, en procédant comme pour
^«ïi3e l'acide phosphoreux (lA/rf., t.' 33, p. 2914). On peut comme
ï»>jr le dernier employer le sulfate de zinc pour faciliter l'action
îydaote de MnOK, mais il est encore plus simple d'employer
■«^ ^olfurique en sol. à 10-20 0/0. L'opération se fait en liq.
'^ée au voisinage de l'ébullilion, et il convient d'ajouter en
'ûe seule fois la presque totalité du permanganate nécessaire pour
'^•iatiOD. L. BOURGEOIS.
^ le dosage dn chrome et du fer par un mélange d'iodure
«liadâta de potassium ; A. STOCK et C. HASACIU [D. cb. G.,
.îip. 4«7; 25.2.1901). — Le procédé en question a déjà été
*H»*»quéptr M. Stock (ibid., t. 33, p. 548 ; C. i?., t. 130, p. 175)
«dosage de raluminium, et fournit de meilleurs résultats que la
'^•'^wopar Tammoniaque. A la sol. de chrome ou de fer (FeO ou
'l^t légèrement acidulée, on ajoute un excès d'un mélange
^iftioreetd'iodate depotassium, puis au bout de quelques minutes
*T«rsede l'hyposulfite de sodium pour décolorer l'iode mis en
**''*f ou ajoute encore quelques centimètres cubes de la sol. de
^^îi l'on fait bouillir une demi-heure la liq. cenant en suspen-
**feppté. On recueille celui-ci sur un filtre dans un entonnoir
^^'^^^lOo lave, on sèche, etc.). l. bourgeois.
250 ANALYSE DES THAVAUX ETHANGEHS.
La recherche et le dosage de petites quantités de manga-
nèse; Hugh MARSHALL (C^eiTi. News, t. 83, p. 76; 2.1901). ~
Cette recherche se fait par chauffage de la solution renfermant it
manganèse avec du persulfate, en présence d'acide sulfurique ou
nitrique et en ajoutant une goutte d'une solution diluée de nitral*^
d'argent.
L'estimation du manganèse se fait colorimétriquement.
A. HEBERT.
Sur la séparation du chlorure ferrique en solution chlor*
hydrique aqueuse des autres chlorures métalliques par
réther; Franck N. SPELLER {Chem. News^i. 83, p. 124;3.190i!.
— L'auteur a déterminé par des essais méthodiques les volumes et
les concentrations de l'acide chlorhydrique, les volumes d'élher
les plus favorables à employer dans cette séparation et il s'est
arrêté au mode opératoire suivant : la solution des chlorures métalli-
ques est additionnée d'une quantité sultlsante d'acide nitrique
concentré pour oxyder. complètement le fer qui y est contenu ; on
évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on ajoute alors de l'aride
chlorhydrique de densité 1,105. On transvase dans un enlonnotf
à robinet et on ajoute de Téther à raison de 5 ce. pour chaque
décigramme de fer en solution ; on agite 3 ou 4 minutes, on laisse
reposer et au bout de 10 minutes, on décante la solution aqueuse.
A. HÉBERT.
CHIMIE ORGANIQUE.
Action des éthers azoteux sur les alcools et les cétones en
présence de Tacide chlorhydrique ; J. KISSEL [Journ. Soc, ph\'s.
chim. /?., t. 32, p. 390; 1900, fasc. 5). — Dans un travail antérieur
(Bull., t. 18, p. 5i6i, l'auteur a obtenu, comme produit principal «le
l'acion de l'azotite d'isoamyle sur une sol. de HCl dans l'alcool
élhylique,unétherC«î*H30O3,Eb.l65.1t)8«sousl2mm.,rfJ/c=0.9l29:
cet éther élait accompagné de substances à points d'éb. inférieurs.
L'action de HI sur ce composé, à 110-120°, en tubes scellé>, fournit
surtout de l'iodure d'isoamyle et un peu d'iodure d'éthyle, mais
aucune trace d'o.xyaoide, ce qui indiquerait que la structure attiibuée
CHIMIE ORGANIQUE. 251
I C^H^O, n'est p»*s exactement vraie. La présence de C*HM dans
b^ produits de l'action de HI montre que dans la formation de
ijisfpiOJ l'aJcool éthylique ne joue pas le rôle d'un simple dissol-
raot mais prend part à la réaction. Dans ses nouvelles recherches,
fauteor l'a remplacé par Talcool iso-amyliqtie, et, bien que les
|in)Juil5 distillenr entre des limites de température étendues, les
partions à point d'éb. inférieur sont moins abondantes ; il est à
nmarquer aussi que, malgré des différences assez grandes dans
lr> points d'éb., les produits présentent une composition assez
«Ktanie, les différences paraissent résulter de la présence d'une
?e*il*» quantité d*un composé chloré que ni les .alcalis, ni même
i^]W de Na, ne pai^viennent à détruire. — L'oxydation de
r.^W)»par MnO*K fournit un acide C«*H**0*, dont la structure
;*ftî»flre .CH«i*C 0C»H»«)CH(0C«H5)C0«H ; un excès de MnO*K
prjhii de Tac. isovalérique et un corps, Eb. 123-125** sous 40 mm. ,
<^'i ni pas encore été étudié, mais qui paraît être un éther, puis
« aûdfépai^, non volatil, dont on a analysé le sel d'Ag.
l*tns les produits de l'action de Tazolite d'isobutyle sur l'alcool
Wijiiqoe en présence de HCl, l'auteur a séparé deux éthers
*^**H«03 et C«*H«*0*, dont les formules de constitution sont encore
A m mélange équimoléculaire d'acétone et d'azotite d'iso-amyle
'■- 8/>ute par petites portions une sol. saturée de HCl dans l'alcool
^'i»î'i'pe; la réaction se fait avec dégagement de chaleur, mais
"^ refroidit dans la glace, et Ton continue l'addition de HCl alcoo-
■
*'PjU'^a'àce que réchauffement devienne insensible. Le produit
•''^ïitient one proportion notable d'un éther C^H*«0*, Eb. 157^ sous
*• fliŒ.. qui est l'homologue de l'éther obtenu en 1895 par l'auteur
•*i^li réaction de l'acétone avec l'azotite d'éthyle; la structure
••-» composé est CH».CO.CH«.O.C»H»* ; il s'est formé aussi une
; t^'^iiûe quantité d'éther C5H*.0.CH«.C0.CH«.0.C«H».
Ltoleur a traité de même la méthylpropylcétone par l'azotite
• ao-toBjie et HCl en sol. dans l'alcool ; dans ce cas il ne se forme
(*• dV^er ne contenant pas d'azote; le produit principal de la
^'»»iOQest le composé C««H«»Az03, Kh. 105-170<» sous 15 mm,,
:' t**rail se former selon l'équation :
"^K»\iO^CH3.(:O.C3H*(HO)=C5H»>.OAz:CH.CO.C3H«(HO)-J-H20
"•ûs toutes les réactions précitées, il se forme toujours une
"•«tilé plus ou mvins grande de composés azotés basiques.
A. CORVISY.
252 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGER»
Action des zinc-alkyles sur les dthers azoteux et les nitro
paraffines (I); I. BËVAD {Journ. Soc. ph^s. cbim. /?., t. 3S
p. 420-454 ; 1900, fasc. 5). — L'auteur a étudié en premier lieu 1
réaction des zinc-alkyles avec les éthers azoteux. Le compos
zincique, dissous dans de Téther anhydre est introduit dans u
ballon rempli de CO* ; on maintient le ballon dans Teau glacée <
Ton y verse goutte à goutte» en agitant continuellement, l'étl»
azoteux en sol. à 500/0 dansTéther ordinaire ; la réaction s'accoi
pagne d*un dégagement de chaleur sensible. On maintient leball(
plusieurs jours dans la glace et on Tabandonne ensuite à la terop
rature ordinaire pendant un temps assez long, jusqu^à ce que to
le zinc-alkyle ait disparu. Le produit de la réaction est alors trai
par une grande quantité d*eau froide ; il se dégage un gaz combu
tible et Zn(OH)^se dépose. La liqueur étant soumise à la distillati^
dans un courant de vapeur, le distillât est formé de deux couche
Tune aqueuse, l'autre éthérée ; sans séparer ces deux couches, \
ajoute, peu à peu et en agitant HCl conc, aussi longtemps que c
acide produit des fumées ; ensuite on distille à feu nu jusqu'à
que le tiers ou la moitié ait passé; la portion distillée forme enco
deux couches contenant des produits neutres et acides et la pari
qui reste dans le ballon contient des sels qu'on étudie séparémei
— Telle est, dans ses traits généraux, la méthode qui a été appliqu
aux réactions du zinc-éthyle avec les azotites d'isopropyle et d'i;
amyle et du zinc propyle avec Tazotite de propyle. — Dans le
les cas examinés la décomposition par Teau des produits de
réaction a fourni, outre Zn(OH)* et l'hydrocarbure saturé corre
pondant au radical du zinc-alkyle, deux sortes d*alcools satur
correspondant respectivement aux radicaux du composé zinciq
et de i'éther azoteux ; do plus il s*est formé une hydroxylami
disubstiluée, dans laquelle 2 H sont remplacés par deux foi?
radical de zinc-alkyle. — Selon toute probabilité, la réaction
lait selon l'équation :
,OZn.Alk
R.O.AzO + 2Zn(Alk)2 = H.O.Aze-AIk
I \Alk
ZnAIk
et le produit traité par l'eau se décomposerait selon les équatior
/OZnAlk . /OH
R.O.Azf-Alk +4H20 = R.O.Az^Alk-h2Zn(OH)2 + 2Alk.H
I \Alk I \Alk
ZnAlk H
yOH
R.O. Az^Alk = ROII + (Alk^UzOH.
I \Alk
H
CHIMIE ORGANIQUE. 253
QuaxUâ raJcool Alk. OH, qui se forme toujours en petite quantité,
û pamii résulter de l'oxydation de Zn(Alk)* par 0 de Tair ou de
."wber nitreux :
/O.O.Alk
Zn(Alk)a+02=:Zn<
\Alk
<D.OAlk
+ 2 H20 = Zû(0H)3 + 2 Alk . OH .
Alk
Àzotite (fisopropyle et zinc-éthyle. — La réaction n'est complète
çi'iB bout de 4 mois. Les produits de la décomposition par l'eau
«hiiiiês par un courant de vapeur ont été traités par HCl puis
•ii^tdlésen partie : dans le distillât, on a trouvé les alcools éthylique
'î eopropylique ; le résidu, concentré à consistance sirupeuse,
Vest transformé en une masse cristalline incolore. Celle-ci, dissoute
(l^^one petite quantité d'eau et traitée par un excès de KOH, a
fvwmun liquide huileux, dont la composition est C*H**AzO ; le
l^-uk moléc. déterminé par cryoscopie dans le benzène ne corres-
!»Jtui à celle formule que si la sol. est très étendue. On a préparé
*i aoalyâé divers sels de cette base :
WI»»AzO.HCl (F. 72-730); (C*H"AzO)2C2H20* (F. 134-1880);
(OH"A20.HCI)2Pt01*; G*Hi*AzO.HBr (F.216-2n«).
Pir réduction, C*H"AzO donne la diéthylamine. Conservé en
û*tms pleins et bouchés ce corps ne s'altère pas ; mais il brunit
(«raciion de l'air. Il est oxydé par les sels des métaux lourds;
i- rwiaii les sels ferriques en sels ferreux, HgCl* en Hg*Cl* puis
î^Hg, .\20*Ag en Ag (miroir d'argent), SO*Cu en Cu*0. Les
ondADls transforment C*H"AzO* en ammoniaque, aldéhyde acé-
■■-itte, éttiylaminc et diéthylamine. — Ces propriétés et quelques
''iîres indiquent que ce corps est l'hydroxylamine disubstituée
'^^\20H. Liquide incolore, odeur caractéristique, saveur
fJBiiique; Eb. 132-i32%5 sous 757 mm. et 40,5-41^ sous 10 mm. ;
N sol, dans l'eau, sol. en toutes proportions dans les solvants
^»iqiies ; dl =0,8853 et û|J^= 0,867; se soUdifie en une masse
«rjsuUine fusible à — 8*. Le rendement est 78 0/0 du rendement
Àudiie disoêotyle et zinc^élbyle, La réaction exige 6 mois pour
^complète; les produits traités par l'eau fournissent, outre
'û'OHî', de Télhane, des alcools isoamylique et éthylique, et
* '^«froxylamine substituée (C«H5)«AzOH, identique à celle obtenue
i^^'^^aunenl ; il semble qu'il y ait aussi de Téther isoamyléthy-
854 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANiîERP.
liqueC5H".0.G*H» et de rélhylhy(lroxïiamineC*H»AzHOH; muj
cesdeuTc corps o'otil pas été isolés à l'élat de pureté.
A zolite de prop/te et zlnc-propyle. — La réaction csl coin[.>l.'l
au bout de deux mois. Le produit traité par l'eau donne Zn(OH
du propane, de l'alcool propjlique el de la dipropj'lhjdroxylamii:
(C^H";*A7,0H; il est probable qu'il se forme aussi un peu d'oxjil
de propyle (C'H''|*0 et de propylhydroxy lamine C*H''.AzH.Oï
— La dipropylhydroxylamine cristallise en lamelles iniiolore:
F. SS.Ô-SQ'.S; Eb. 157-159° sous 748 mm.; odeur cai-aclérisliqm
saveur caustique, peu sol. dans l'eau, sol. en toutes proporlioi
dans les liquides organiques. Bes propriétés chimiques sont anal'
çues à celles de la diélhylhydroxylamine.
Les ^-dialkylhydroxylamines obtenues dans ces réactions sui
les premiers représentants deshydroxylaminesdisubslituéesconli
nant des radicaux appartenant à la série grasse, a. corvi»y.
Action des zinc-alkyles sur les éthers axoteox et les iiitro
paraffioeB (III; I. BËVAD {Journ. Soc. phys. cliim. lî., t. 31
p. 45b-5i2; 1900, fasc. G). — Dans la seconde partie de soiilruvni
l'auteur étudie la question plus complexe de l'action des zini:
alkyles sur les niiroparafflnes. — Le composé zinco-organique i-.
dans un ballon rempli deCO*, disposé de façon à pouvoir recueili.
les gaz qui se dégageront ; on y vei'se d'abord le dissolvant léllit
ou benzènej, puis, peu à peu, la nilroparafflne ; le ballon est miiu
tenu pendant quelques jours dans l'eau glacée ; quand il ne >
dégage plus de gaz, on laisse revenir à la température ambiRiitt-c
on abandonne pendant plusieurs semaines, ou même plusieui
mois, aussi longtemps qu'il se produildes fumées par agitation d
ballon. Il ne faut pas chaufl'er pour accélérer la réaction, qui pourra
devenir très violente. Quand elle est terminée, on verse très lenli
ment le contenu du ballon dans un ballon plus grand contenant d
la fflnce et un peu d'eau ; si l'on versait autrement que par iré
uanlilés, la matière se carboniserait el il se produirai
;s explosions. Il se forme un dépôt de ZniOHj' et il s
es carbures saturés. Les produits de la décomposition pa
it distillés dans la vapeur, puis traités pur HCl, etc.
ans le cas des éthers azoteux. Pour obtenir le uieilleu
it en produit principal (p-dialkjlhjdroxjlaminej il luu
J mol. de zinc-alkjle pour 1 wol. de dérivé nitré. Lei
de la réaction sont : 1* des hydroxylamines disubstiluéi-^
radicaux étant celui du zinc-alkyle et l'autre un radii'a
secondjiire ou tcrliuire contenant un nombre d'et. de C
CHIMIE URGANIQUE. 205
uii à la somme de ces atomes contenus dans la nitroparaffine et
îiQr le radical du zinc-alkyle ; 2* deux nitroparafflnes, celle qu*on
if u^tlojée et une autre se formant de la précédente par rerapla-
^;Œ*eol de 1 H par le radical du zinc-alkyle ; 3° des alcools saturés
vmfspoûdant à ce radical et qui résultent d'une réaction
-^loHaire. — Grâce à la formation de composés intermédiaires
ïi-iiailiiables et qu*on peut isoler, on peut suivre la marche de la
■^'aciiou et distinguer trois phases :
»■ R'.Ax02-|-Zn(Alk)2=R"=A< +Alk.H.
'^
^OZnAlk
composé zincique s'unit à une seconde moléc. de zinc-alkyle
RiViunant une combinaison moléc. :
R"=A< .Zn(Alk)2,
NOZnAlk
î- eu s'isomérisant donne :
./?
î* Alk.R"-Az^OZnAlk.
\ZnAlK
*^ Douveau composé, par union avec une nouvelle moléc. de
^ Alk *, donne le produit final :
Alk-R"v /Alk
>Ai<^OZnAIk.
ZnAlk/ \OZnAlk
'^ioue dans la plupart des cas on prenait trop peu de Zni^Alk)*,
'^^iTers composés zinciques existaient simultanément dans les
K'Kisde la réaction ; la décomposition par l'eau fournissait, par
^ 5*^Hueat, les substances suivantes : de (1) et (A), il se forme la
'-''jpiralTiDe primitive et un carbure saturé :
-'-^ .Zn(Alkp + 4H20~R'.A«02 + 2Zn(OH)2-f 3Alk.H;
^OZnAIk
•* B une oitroparafllne plus complexe, de l'hydrogène et un
-«n^re saturé :
^ +4H20=Alk.R''.A202+2Zn(OHjH2Alk.H-hH2
iiAik/' \^
ZnAlk
256 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
enfin (C) fournil l'iiydrate l'hydroxylamine disubstituée :
Alk-R'
'\0H
\ /Al
qui, par élimination d'eau, donne l'hydroxylamine disubstituée :
1 formation de peliles quantités d'alcools primaires corre^
lanl au radical de Zn(Alk)*, parait encore due, comme dau^l'
les éthers nitreux, à l'oxydation d'un peu de ZnvAlk)*. — Le
oxylamines disubslituées contenant deux radicaux gras diHi!
i étaient jusqu'ici inconnues. Les réactions indiquées les foui
mt avec un rendement qui n'est jamais moindre que 50 0;0 u
ileur théorique.
est impossible de résumer ce long travail, dans lequel U
eaux composés obtenus ont été éludiés d'une façon corapW
inutieuse ; je me bornerai à indiquer les principaux résullati
Uro-élliane et zinc-étbyle. — Les produits de la réaciio]
mposés par l'eau, ont fournil Zn(OH)*, éthane, nitro-étlifli"
>butane secondaire, alcool élliylique, un bquide neutre •:
tilution inconnue (Eb. tSO-lSl", dj— i,l"I4i, couteitfi
0/0 d'Az), et enfin comme produit principal la p-élliylbulï'
)-hydroxylamine :
C'HK
„„, >AzOH.
[{uide incolore, assez épais; odeur caractéristique, jtavri
tique; peu sol. dans l'eau; sol. en toutes proportions dai
et les solvants organiques ; Eb. 155-158° sous 756 mm.
X" sous 8 mm.; ne se solidifie pas à — 15° mais s'épaissi
= 0.895, d^ = 0,8757. — C'est une base formant des sels bit
rlérisés ; seschloroplalinale et chloraurate ne crislalliscni [M
lite par Sn et HCt ou Zn et SO'H* elle donne l'élltylbutytamii
.AzH.CH<g|;,-
tropropane et tinc-êthvle. —~ Les produils de la réaclio
mposés par l'eau, ont donné, outre Zn(OH)*, l'étbane, l'alcD
CHIMIE ORGANIQUE. 257
étbfiîque, le aitropropane, le nitro-S-peniane et la ^-éthylamyU
'«ec.HiTdroxylamine :
Celte hydroxylamine ressemble à la précédente ; Eb. 167-170*
ious756inai. et 65-67* sous 8 mm. ; e/J =0,8903; c^=0,8744; à
tttse température, elle forme une masse cristalline fusible à — 8o.
Sitro-isopropane et ziaoétbyle. — On obtient ici, outre Zn(OH)*,
réihue, le nilro-isopropane, le méthyl-2-nitro-2-butane, Talcool
étiijiqtieet la ^-éthylamyl-(tert.)-hydroxylamine :
cmK
>AiOH
(GH3)=C<
\G2H*
Q. 156-160* sous 760 mm., et 58,5-60«»,5 sous 12 mm.,
<^i =0,8912 ; ne se solidifie pas à — 80"", mais devient très épais.
SUropentane et zinc-élhyle. — Le nitropentane était :
(CH3)2CH . CH2. CH2Az02 .
Lb produits ont été Zn(OH)*, Téthane, le nitropentane employé,
«e B^thyl-2-nitro-4-bexane et la p-éthylheptyl(-sec)-hydroxylamine:
>AzOH
(CH3)2CH.CH2.CH/^
tt. »l,5.9S»,o sous 12-13 mm. ; rfj=: 0,8797 ; û/J*= 0,8641 ; ne se
*)Mifiepts à — 20* mais devient très épais.
Mtrométbane et zinc-éthyle ont donné Zn(OH)*, éthane,
utrométhane, nitropropane, alcool éthylique, un produit neutre
'Mol dans les alcalis (Eb. 179-182*) et la p-éthylpropylhydroxyla-
liiie :
>AzOH,
CH3.CH2.CH2/
"^inUable a ses homologues, saveur moins caustique ; t/^ =: 0,8778«
Xitro'étbaae et zinc-propyle ont produit Zn(OH)*, propane,
^^^'^►Mane, nitro-2-pentane et p-propylamyl-(sec)-hydroxylaminei
C3H\
>AzOH
CH3.CHC '
X:3H'
Mc canL, 3* 8iB.« t. xxvi, 1901. — Trav. étrang. 11
258 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Eb. 183* soiis la press. ord. et 90,5-92» sous 16 mm. ; rfj =0,88(1
1^**= 0,8664 ; ne se solidifie pas à — 80**, mais s'épaissit fortemei
Nhropropane et zinc-propyle ont fournit : Zn(OH)*, propaii
nilropropane, nitro-3-hexane, et p-propyihéxyl-(sec)-hydroxyl
mine :
C^HV
>AzOH
GH3.CH3.CH<
X;3HT
I
I
Eb. 185'» sous la press. ord. et 95-97<> sous 14 mm. ; rf^ .=^0,881
<^=: 0,8637; devient très épais par refroidissement.
NitrO'isopropane et zinc-propyle ont donné : Zn(OH)*, propao
nitro-isopropane, méthyl-2-nitro-2-pentaneet p-propylhéxyl-(tert
liydroxylamine :
>AzOH
{CH3)2CK
\C3H^
Eb. 74-77** sous 8 mm., moins dense que Teau.
Cbhropicrine et zinc-éthyle. — L*auteur a démontré autrefo
que dans Taction de Zn(C*H*)* sur la chloropicrine les 8 Cl sol
remplacés et qu'il se forme 4-nitroparaffines : éthyl-3nitro-3-pentan<
nitrométhane, nitro-3-heptane et niti*opropane. Par une actio
ultérieure de Zn(C«H»)*, on devra obtenir les produits de la réactio
de Zn(C*Hî^)* sur ces diverses nitroparafflnes ; en réalité, on a isol
la p-heplyl-tert.).-hydroxylamine (C^H^jSC.AzH.OH ; poudre cri^
talline incolore, d*odeur caractéristique ; peu sol. dans Teau, ^
en toutes proportions dans l'éther et le benzène ; F. 68,5-69*,5
Eb. vers 185** sous la press. ord. avec décomposition, en formar
MU liquide aqueux incolore et une huile colorée en vert sombr
ayant Todeur d*alcools tertiaires et paraissant contenir un dériv
nilrosé.
Toutes ces dîalkylhydroxy lamines sont des réducteurs puissante*
en s*oxydant elles donnent des aldéhydes et des cétones correr^
pondant aux radicaux primaires et secondaires unis à Az, dr
cétones avec un nombre de G moindre et des nitrosoparafllnti
correspondant aux radicaux tertiaires, deTammoniaque, des aminci
primaires et secondaires.
Le zinc-méthyle se comporte autrement que ses homolo^uri
avec les éthers azoteux et avec les nitroparafflnes ; il ne donne qu<
CHIMIE ORGANIQUE. 25t)
|tiMioupoiot de produits analogues à ceux que nous avons cités.
Les DitroparafHnes tertiaires se comportent d'une façon difTé-
renie ; elles forment ou les aminés correspondantes ou des hydro-
tjlaimnes monosiibsti tuées. a. corvisy.
l'influence des solTanU sur la rotation des composés optique-
aeit actifs. — L Influence de Tean, de l'alcool méthyliqne, de
Taicoolèthylique, deTalcool propyliqne normal et du glycérol
m la roution du tartrate d'éthyle; T. S. PATTERSON (Cheni.
>*., l79, p. 167; 2.1901). — L'auteur a effectué un nombr-u
'•ncwiênible de déterminations dont on peut tirer les conclusions
HfaAintes : L'eau, les alcools méthylique et éthylique, le glycérol
i-apiMteot le pouvoir rotatoire du tartrate d'éthyle à des degrés
ï**tt%. L'alcool propylique l'abaisse légèrement à la température
jfémre. Pour tous ces corps, la rotation spécifique augmente
*v6e 1 élévation de température, moins rapidement que pourTéther
F«jr en solutions diluées et plus rapidement que pourTéther pur en
'«lôuioas concentrées. Si l'on essaie de comparer le volume molé-
c«ltur« de la solution avec la rotation spécifique, on constate que
^ TariatioDs de pouvoir rotatoire dues aux modifications de
^'•péniure peuvent être expliquées par certaines hypothèses qui
:^l la variation d'asymétrie de la molécule avec sa variation de
^bhiDe. De son eùté la variation de volume semble sous la dépen-
•••Aoede la pression interne. a. hébert.
8v le 3.4.3'.4'tétraméthoxystilbène; W. FEUERSTEIN
^*'Ch,G,x 34, p. 415 ; 25.2.1901). — Elbs a montré qu'en conden-
*«w ITijrlrate de chloral avec les éthers phénoliques on obtient des
^fnh (lu trichlordiphényléthane qui peuvent être réduits par la
màK de zinc et se transposent en même temps en dérivés du
"■ftèoe. L'auteur a préparé d'après cette méthode le S, 4,8^, i'-tétra-
^^iystilbène iusqiïici inconnu. Il a dans ce but introduit peu
• p«i el en refroidissant 60 ce. H'SO* conc. dans un mélange de
^^1 de vératrol, 8^',5 d'hydrate de chloral et 10 gr. d'acide
•>tiquechstallisable. Le produit obtenu constitué par du tétra-
^^^^xY-éiphényUncbloréthane a été réduit en solution alcoolique
'^ pr«i*mce d'ammoniaque par la poudre de zinc introduite très
* ««Deoi dans cette solution portée à l'ébullition. En filtrant à
'**««'l H extrayant à l'alcool on obtient par refroidissement des
**tiiM* qui après avoir été de nouveau cristallisés dans l'acide
*'^**«^ cnstaUtsable et l'alcool, fondent à lôô-iSÔ"* ; ces cristaux
260 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sont doués ainsi que leurs solutions d*une fluorescence violette, i
constituent le téiraméiboxystilbène :
(3)CH3q_ ^^^ ^^,^ _OCH3(3')
.<(3CH.CH<3(
F. nEVERDlN.
Sur la 2-oxybensylacétophénone ; W. FEUERSTEIH et
MUSCULUS (Z>. cIl G., t. 34, p. 409; 25.2.1901). — En chaulTa
pendant 12 heures la 2-oxybenzylacétophénone en présence i
potasse caustique avec Tiodure de méthyle et Talcool méthyiiq*
les auteurs ont obtenu la â-méthoxybenzylacétophéuoae -
sous la forme d'une huile épaisse, Eb. 223<* sous 20 mm., do
la S-aitrophénylbydrazone cristallise en aiguilles rouge orang
F. 120-121*.
La 2-oxybenzylacétophénone réduite par Tamalgame de sodiu
donne une substance qui cristallise en aiguilles facilement solubl
sauf dans Teau et la ligroïne, F. 96-98*, possédant la fomiu
C«5H*«0' et qui a été trouvée identique à V alcool pbényidihydr
coumarique décrit par Harries et Busse.
Dans le but d'identifier d'une manière absolument certaine ce\
combinaison, les auteurs l'ont soumise à l'anhydrisation au moy
de Talcoolméthylique saturé d'acide chlorhydrique comme Tavaie
fait Harries et Busse pour leur produit et ils ont obtenu le mér
anhydride F. 44-45° pour lequel ils proposent le nom de /Tarai
car il est à la flavone dans le même rapport que l'indane à l'indoi
hypothétique :
^ ^rS»
FliTone.
Sur quelques bensalindanonas substitaées ; W. FEUERSTEI
{D. cb, C, t. 34, p. 412; ^25.2.1901). — L'auteur a condea
l'indanone avec quelques aldéhydes substituées en employa
comme moyen de condensation la lessive de soude alcoolique (
CHIMIE OUGANIQUE. 2i31
IWîde chlorhydrique en solution alcoolique. Il décrit les dérivés
>uiTaafô :
:f-Oxj'heazalwdanone Cm^<QQ >C=CH.C«H*(OH), obtenue
«M) Custnt réagir Tâldéhyde salicylique sur l'indanone en présence
•u* lessive de soude ; elle cristallise en aiguilles jaunes, F. 206* en
^ décomposant.
-f-Oijrbensalindanoûe^ prismes jaunes, F. 198-199®.
S-OxybeazaUûdaaonej aiguilles facilement colorées en jaune,
9,4Dioxybenzaïindattone C«H*<QQVc=d¥l.C«H»<{Q{J} j^j
inspirée par Taction de l'aldéhyde protocatéchique sur Tindanone
"j iûlation alcoolique en présence d'acide chlorhydrique gazeux,
•*^ehsUllise dans l'alcool en cristaux jaune foncé, un peu solu-
^fn dans Teau chaude, plus facilement solubles dans l'alcool,
Véiber mélbyliqne de ce composé obtenu en partant de la
^mlioe est en cristaux jaunes et microscopiques assez difficilement
-^hibies dans i*alcool, F. 187*. Son étber méthylénique obtenu
^ partant du pipéronal est en aiguilles brillantes et jaunes.
Enfin la i^imétbylamidobenzaUndanone préparée au moyen de
l>p-dimétliylamidobenzaldéhyde cristallise en feuillets jaune d'or,
**« difficilement solubles dans Talcool. F. 165-166*. Ce composé
^ facilement soiuble dans les acides minéraux et dans l'acide
•rftïque avec lequel il donne des solutions à peu près incolores.
F. REVERDIN.
^ lat acides ozycoumarine-oarboniqaes (VI). Recherches
V tel coamarines ; H. von PECHHANN et E. 6RAE6ER [D. cb.
'' l 34, p. 378 ; 25.2.1901). — Les auteurs s'occupent spéciale-
^^^i dans ce mémoire de Tacide ombelN/érone-^'Carbonique qu^ils
'^i obtenu jiar Taction de Téther acétyloxalique sur la résorcine.
^•ptès de nombreuses observations, on peut établir comme règle
*>ieiactdes ^«céioniques se condensent d'une manière nette pour
'^*wr des coumarines avec les phénols renfermant deux groupes
^itnxyles en position meta, tandis qu'avec les autres phénols il
*• » lonae qae pea ou pas du tout de coumarines. L'éther acétyl-
'*'**^^e forme une exception car il donne très facilement avec
ï^RMiamoDe en présence de H*80* comme moyen de condensa-
*"*! l*aeide 5-oxycoumarine'p-carbonique, comme Ta montré
262 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Biginelli. Les auteurs ont observé qu*il se condense aussi avecU
résorcine non pas en présence de H«SO conc. mais en préseoce
d'alcoolate do sodium "pour donner V acide ombelliférone-^'CarbO'
nique qui d*après leurs recherches a la constkution :
COOH
Cet acide cristallise dans Teau bouillante, tantôt en aiguilles Anes,
tantôt en verrues, qui perdent les premières 1 1/2 aq. et les secoodf^
2 aq. à 110'' ; F. 247-248''. Il est facilement soluble dans Peau chaude
et dans Talcool ; la solution alcoolique est douée d*une faible fluo-
rescence verte. Son étber éihylique est en prismes jaunes à reflet
vert, F. 153-154», son éther métbylique fond à 178*. — Véiber
métbylique de F étber ombelIiférone-mélbyl-^'Carbonique est une
poudre jaune soufre, F. llS**, dont la solution alcoolique est doué^H
d'une fluorescence vert jaune, et les solutions dans Tacétooe ou It*
benzène d'une fluorescence bleue. L'acide de rétherombelliféronei
méthyl-carbonique fond à 219*»; en soumettant son sel d'argent a
la distillation sèche on obtient V étber mêthylique de fombelliféroa*^
F, 117-118**. Les auteurs décrivent encore V acide acétvhmbeUi-
férone-^'carbonique, aiguilles soyeuses, F. 193*, VacétylombelU^
iérone que celui-ci fournit par distillation sèche du sel d'argents
F. .140°, Y étber étbylique de Facide acétylombelliférone-^-carbch
nique^ aiguilles blanches, F. 118-119**, le dérivé benzoylé corres-
pondant, F. 118^
Lorsqu'on chauffe une solution aqueuse de l'acide ombelUférone-
^-carbonique avec de la baryte caustique on obtient le sel de
C«H3(0H)«C.C00H
baryum de V acide J .S.i-résorcylmaléifjue H .
HC . GOOH
L'acide libre cristallise en feuillets jaune d*or F. 187-188% il e^l
facilement soluble dans l'eau bouillante. Le dérivé diacétylé de
ranbydriderésorcylmaléiqueesien aiguilles blanches, F. 121-128*.
il est facilement soluble dans l'alcool chaud. Enfin V acide S-brom-
ombeUiférone-^'carboaique obtenu en saponifiant l'élher qui prend
naissance par l'action du brome sur Tétherde l'acide ombelliférooe-
carbonique en solution dans le chloroforme, est en aiguilles jaune
pâle, F. 260'*; l'éther lui-même cristallise de l'alcool ou deracélone
en aiguilles feutrées, jaune d'or, F. 208**.
CHIMIE ORGANIQUE. S63
Léiher éthyliqae de t acide ombeUitérone^'Oarbonique :
(?H*.
i]ue las auteurs oot préparé d*après la méthode de Knoevenagel am
uoym de Taldéhyde résorcintque et de l'acide malonique en
présence de pipéridine est en aiguilles blanches et brillantes ou en
(■utHeis, qui perdent leur eau de cristallisation à lOO"*, et coinmen-
fniï fondre vers 165" pour fondre complètement à 170*. Il est
ictnUedans i*alcool, Tacide acétique cristallisable, insoluble dans
ii'betiène;Bes solutions étendues ainsi que sa solution dansH*SO*
'!&:. sont douéeft d'une fluorescence bleue intense.
Latide lui-même se présente sous la forme d'une poudre cris-
^Alliae incolore, qui perd son eau de cristallisation à 105® et fond
• ^iTec dégagement gazeux. Ses solutions étendues Sont douées
d'ine fluorescence bleue.
Taudis que I*acide ^-carbonique est stable lorsqu'on le chauffe,
• videa se décompose au-dessus de son point de fusion en acide
'^vbooiqiie et ombelliférone.
U& redierches concernant l'acide a ont été faites avec la colla-
^^'Uiûo de B. von KraDt. f. revbkDin.
Itr la e<mmariii6 da phénol (VII). Recherches sur les coa-
•^riias; H. von PECHMANN et E. von KRAFFT (/>. rb. G., t. 34,
i- i2l; 25.2.1901). — La ^-mélbylcoumarine :
' ^ préparée avec un rendement qui ne dépasse pas 8 0/0 de la
''^^*ci^ en IsH^sant en contact pendant 12 heures, 20 gr. d'éther
'««ïlaeétique et 40 gr. de phénol en solution dans 180 ce. H«SO*
'^"^^et versant le produit de la réaction dans l'eau. On extrait à
^'wr et on débarrasse le produit de substances acides en l'agitant
'^tt de Is lessive de soude étendue. La méthjicoumarine cristallise
'^•kwène en prismes, F. 81-82» (et non 125.126* comme l'un des
**•■» Tt indiqué par erreur dans une précédente communication) ;
^ftiae odeur faible decoumarine et se distingue par ce caractère
!64 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
de ra-méthylcoumarmequî est douée d'une lorte odeur ; sa solutioi
alcaline est incolore et très fluorescente.
Uétber élbyliquede Pacide coumarine-^-carbonique :
COOC'HS
obtenu par condensation de l'éther acétyloxalique et du phénol e
présence de H'SO* conc. cristallise dans l'alcool étendu ou dai|
l'eau en aiguilles incolores, F. 77-78". 11 donne par saponiBcatio
au moyen de la potasse alcoolique Vacide coumariae-^-carboniqt
qui cristallise dans l'eau en aiguilles fusibles à 179-180>, solublf
dans la plupart des dissolvants à l'exception du benzène et del
Ugroïne.
Cet acide est volatil sans décomposition ce qui ledistîn^ed
l'acide coumarine-a-carhonique qui chauITé au-dessus àe son poil
de fusion se décompose en acide carbonique et coumariae. L
groupe carboxyle de l'acide p peut cependant être éliminé t
soumettant à la distillation sèche son sel d'argent, r. hcverdin.
Sar 11 coamarine de rozyfaydroqaiooDe (VIII). Rachsreb
snr Us conmarineB ; H. von PECHMAHK et E. von KRAFT
^D. ch. G., t. 34, p. 428 ; 25.2.1901). — I^ auteurs ont préparé :
^méibylesculétine :
CH'
H0| ^
1 laisant réagir l'éther acétylacétique sur l'oxyhydroquinone «
c sur son dérivé triacétylé en présence de H»SO* conc. o
solution alcoolique de chlorure de zinc. Ce composé cristallij
l'alcool étendu en aiguilles brillantes et jaunâtres qui fonde)
S70° après s'être conLraclées à i5Q' ; il est soluble dans l'ei
anie, dans l'alcool et l'acide acétique cristalliRable ; ses soin
sont douées d'une fluorescence bleue, sa solution alcaline ei
te en jaune.
condensant l'éther acétyloxalique avec l'osyhydroquinon
la forme de son dérivé triacétylé en présence de chlorure d
m solution alcoolique, les auteurs ont obtenu i'étberétbyligu
CHIMIE ORGANIQUE. 965
4it fêeide escutétine^-carbonique qui cristallise dans Talcool en
4i^es jaune d'or, F. 207-208*». Ce composé est soluble dans Teau
f^anée en jaune, ses solutions ne sont pas fluorescentes et sa
«>tatioa alcaline rouge sang au début devient bientôt rouge jaune.
lî doQoe par saponification Vacide esculétine-^-carbonique qui
cristallise dans Teau en aiguilles jaune citron, F. 295'' et dont les
solutions ne sont pas fluorescentes. Uéther dimétbylique est en
tifuilles jaune d'or, qui se contractent à 230® pour fondre à 241-
i^l'saosse décomposer; ses solutions dans l'alcool, Taclde acé-
ttfie glacial et Tacide sulfurique sont jaunes et sans fluorescence
Wb que ses solutions dans l'éther, l'acétone, le benzène et le
ctoofonne sont vertes et fluorescentes. En distillant dans un
<«wint d'hydrogène le sel d'argent de Téther diméthylique on
«htottl réther diméthylique de l'esculétine, F. 141. 142».
Us aoteurs ont encore préparé Vélber étbylique de t acide
^^ai^iwe^'Carbonique en faisant réagir Télher malonique sur
i'ilti&yde oxhydroquinonique en présence de pyridine d'après la
*éÙuAe de Knoevenagel. Cet éther est en cristaux brillants qui
«^nieohssent à Tair et fondent à 244-245'' ; ses solutions dans
r»lcool, réther, le chloroforme, l'acide acétique cristallittable et
'•oHooe ont une fluorescence bleue, sa solution sulfurique une
fiweacence verte ; ses solutions alcalines sont jaunes sans fluo-
"««oce. L'éther en question donne par saponiflcation Vacide
^*f^iine^-carbonique qui cristallise dans l'alcool bouillant en
*?uilles ou en globules jaunes, F. 270* en se décomposant. 11 est
^^i^lement soluble dans la plupart des dissolvants ; ses solutions
i*Bn^ dans l'alcool, l'éther, l'acide acétique cristallisable sont
'^<ï^*ê«R (Tune fluorescence bleue, celle dans H'SO* d'une fluores-
*'■*<» verte. Sa solution alcaline est jaune, sans fluorescence. Cet
"^ donne par distillation sèche Tesculétine. f. reverdin.
L'iction de la phénylcarbimide sur les diphényl-» dialphyl-
«^fiaaphiyl-diamines; Alfred SENIER et William GOODWUf
^ffl. Soe., t. 79 p. 258; 2.1901). — En faisant réagir sur la
(^ylcarbimide les corps indiqués, on obtient des diamines du
'ÏP^C»H*(A2R'.C0.A2HC«H5)«. Ce sont ces corps que les auteurs
•«« étudiés.
mUdodiphénfléibylènediamine {élbylènedicarbanilide)
• ^AïOW.cO.AzHO^H»)*. — La diphényléthylènediamine
*^^^ était chauffée en tube scellé à 120-130'» pendant 8 heures
*^ b phénylcarbimide ; le produit était lavé à l'éther et cris-
266 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
tallisé dans l'alcool absolu. On obtient des aiguilles bleui
fondant à 220^
DioarbaaUidodUotylétbylènediamines
G2H4[Az(C6H*GH3) . GO . AzHG«H5]2.
Préparation analogue à la précédente, mais le dérivé para demaot
une température de 150**. Le dérivé ortho est en cristaux n
fondant à 195-196® ; le dérivé meta est en belles aiguilles incoloi
fondante 181^,5; le dérivé para est en flnes aiguilles inooloi
fondant à 186«.
Dicarbanilidodixylylétbylènediamine
I
G2H»[Az[G«H3(CH3)2j . GO . AzH . G«H5]^
Aiguilles incolores fondant à lÔT"".
DicarbaniUdodi'^'Cumyléibylènediamine
G2H*[ Az[G«H2(GH3)3] . GO . A zH . QflW^ .
Préparation semblable à celle indiquée, mais en portant la tempe*
rature à 190**. Aiguilles incolores fondant à 191».
Monocarbanilidodi'OL^napbtylétbylènediamine
GioH*» . AzH . G2H* . Az(GiOHi) . GO . AzHC^H*.
On chaufîait ensemble en tube scellé la phénylcarbimide el
réthylènedi-a-naphtyldiamine. Après puriflcation, on obtenait i)e
petites aiguilles incolores fondant à 266**, solubles dans le benzène
et le chloroforme, peu dans Talcool et Télher, et répondant h la
composition indiquée, même en variant les conditions de Texpé-
rience. a. hébbrt.
Tnta (1'** partie). Tutine et coriamyrtine ; Thomas Hill
EASTERFIELD et Bernard Cracroft ASTON (Cbem. Soc, t. 79.
p. 120; 1.1901). — Les auteurs ont examiné trois variétés de tului
(Coriaria thymifoUa^ C. ruse ifo lia ^ C, auguslissima) delaNouvelk^
Zélande el en ont isolé un glucoside, la tutine C'^'H^K)', non
identique avec la coriamyrtine C*'*H***0'*. Son action thérapeu-
tique est semblable à celle de la coriamyrtine, mais beaucou}
moins prononcée.
Partie expérimentale. — Les plantes étaient bouillies avec âe
Teau et la solution concentrée était précipitée par Tacool. Lo résidu
restant après distillation de Facool était extrait à Tétlier qui aban-
donnait par évaporation une masse cristalline semi-solide de tutine.
CHIMIE ORGANIQUE. 267
^ Coriâriê ibymifalia renfermait aussi des acides acétique,
illiqae et succinique et de la quercétine; le C. augustissima
fnfennait an acide volatil C®H»0* qu'on obtient en traitant par
^tber Textrait aqueux, et se déposant en aiguilles jaunâtres, se
Bhliffiint à 125* sous pression réduite, très solubles dans Teau
ilcool el réîher, fondant à 130^
ÎMlioe. — Ce corps fond à 208-809*», commence à se sublimer à
SMJO», donne du glucose par son dédoublement, répond comme
wnpottlion el poids moléculaire à la formule C^H^oo*?. H est
Uuble dans l'eau, Talcool, l'éther, l'acétone, peu dans le chloro-
^««, pas dans le benzène el le sulfure de carbone. Son pouvoir
ntttaire à 19*,5 est de + 9*,25.
(^fwajrrtioe. — Reprenant Texamen de ce corps étudié autre-
^>^p^fRiban, les auteurs lui donnent comme point de fusion 225*,
!'«MDe poids moléculaire 250 à 265, comme formule C*»H*80».
Usdiflérences avec la lutine sont les suivantes :
Tutine. Coriamyrtlôe.
>«*iiilédâns lÛOp. d'eiu 1,8 à lO*» 1,44 à 22<»
- d'alcool 8,2 à 16» 2,00 à 22«>
"••rtioûivec Tac. iodhydrique et la potasse. bleue magenta
Au-* ['«dde salfurique concentré rouge sang Jaune sale
T-flférttore de ^sublimation 120«» 150*
A. H^BEHT.
Sv U tUopyrine ; A. MICHAEUS et H. BINDEWALI) (/>. ch.
'-'' ^ 33, p. 2873-2875 ; 29.10.1900). — Par Faction de KSH sur
•"ikmmiélbylate du i-phényl-8-méthyl-5-chloropyrazol, on ob-
>ot une Uiioantipyrine à laquelle les auteurs assignent, par
'^t'Wion, le nom de thiopyrine. Celle substance de form.
'-"H'«Az«S,fte présente en cristaux tabulaires incolores, f. à 166**.
^**t sol. dans H«0 froide, très sol. dans H»0 et C«H«0 chauds.
'*'* pen sol. dan« Téther. Sa solut. aq. se colore en vert avec
**'*• — Silberstein a fait connaître une série de corps obtenus
H^f^tion de Taniline ou de la toluidine sur l'anlipyrine, en pré-
*** de POCl». Ces dérivés présentent une comp. telle que 0 de
^Pyrine est remplacé par le résidu bivalent Az-CW ou le
'•'waAz-Cîtr. Ils se forment vraisemblablement, grâce à ce que
^réagit sur Tantipyrine en faisant d'abord un chlorométhylate
^ '*»gii ensuite sur Taniline :
C»H»Ax>a2 + Aa m . C»H» = C^^H WAz»= A2C«H5 + 2 HCI .
268 ANALYSE DES THAVAUX ÉTHANGER8.
Pour la formation de la thiopyrine, on a de même :
C«0H«Az2C12 + CWH>2Az20 = GJOH'UzaS + 2 HCI .
Chlorooétbyltte Antipyrine. Thiopyrine.
de phénylniéthrl-
chloropyrazol.
Les deux at. de Cl du chlorométhylate peuvent donc être rem
placés par un reste bivalent quelconque. On voit ainsi que Tanti
pyrine peut être considérée comme présentant une forraul
hétaïnique, c'est-à-dire qu'elle résulterait de la réunion de deu
noyaux pyrazolique et isoxazolique, réunion efTecluée par u
Az pentavalent. a. desgrkz.
Sur la compositioii des sels de Tacide isoparpuriqua ; V
BORSCHE {D. cb. C, t. 33, p. 2995; 12.11.1900). — L'aulei
montre qu*il résulte de ses propres expériences et des analyse
d'un certain nombre de chercheurs que Tisopurpurale de potav
doit avoir la form. C^H^Az^O^K, et qu'on ne peut pas admettre I
présence d'une moléc. de H*0, juxtaposée suivant la formul
C8H«Az»0»Me+H«0. Hlasiwetz donne, d'ailleurs, pour l'isopii
purate de Ca, la lorm. (C8H«Az»0«)«Ca + 8H«0, qui indique hi
WO de cristallis., mais sans modification de la form. admise p^
l'auteur pour Tac. isopurpurique. a. dbsgrez.
Sar l'faaile de sabine ; E. FROMM (D. cb. G., t. 33, p. 1191
14.5. 190Q). — Ce travail est divisé en S p. : la première e
consacrée au terpène contenu dans l'huile de sabine ; la seconde
l'essence proprement dite et à ses produits de dédoublement;
troisième aux acides qui accompagnent cette essence. On oblie
25 0/0 de terpène C«oH««, b. à 158^ L'auteur n'a réussi à idéal
fier ce corps avec aucun autre de la même série. L'essence sépar
du corps précédent est constituée par un alcool non sat. C'<>H'H)I
se transformant, par oxyd. avec KMnO\ en un ac. bibasiqu
G^H'^O*, ac. identique avec Tac. a-tanacétogènedicarbonique, p
cédemment obtenu par Semmleren oxydant l'ac. tanacétocarboniq
par Br et NaOH. Comme la format, de l'ac. tanacétogènedicarb
nique est quantitative, l'auteur fait servir sa constitut. à l'étabt
sèment de celle de l'essence de sabine. Il arrive ainsi à représ, c
ac. par la form. :
CH(C1P}»
I
CH
CH2.'^|CH
ch'/>'gooh
COOH
CHIMIE ORGANIQUE. 269
L'esseoee de Sabine, traitée par les déshydratants, perd H*0 et
iocme un carbure C*^H<^ qui n*est autre que le p.-cymène ; on
Mit, en eflet, par KMûO, au b.-m., le transform. en Tac.
h.-oxyisopropylbenzoîque, f. à 155-156^. Administrée à des lapins,
'essaice de sabine s'élimine sous forme de comb. avec Tac.
rlyrsroDîqae. On peut isoler cette comb. et en retirer précisément
>«» par TacUon de HCl à 10 0/0. L'alcool C*oH*»OH a été régé-
Kié de sa comb. avec Tac. glycuronique, dans une première
fkftse; le carbure s'est formé, dans la seconde, par déshydratation
k rikool. — ûuant aux ac. contenus dans Thuile de sabine, ils
wat coostitués par OH^O*, puis par un ac. liq. b. à 255® et un ac.
Mûfe, b. à 260^. L'ac. liq. a été soumis à l'analyse, titré et transf.
« ^ de Mg. 11 est bibas. et répond à la form. C*<>H*«0*. Le sel de
1^ OH**0*Mg est caract. de cet ac. L'ac. solide f. à 181*», il est
frtiitâ.elde fonn. C**H**0^. a. desgrez.
Buts organiques dn pétrole russe ; C. W. CHLOPIN (D. ch. G. y
t 0. p. 2887-2841 ; 29.10.1900). —La proportion des bases brûles
e^ de 0,005 0/0, ces bases appartiennent à la série CH^^-^^Az et
<vs poids moléculaires varient de 104 à S08. La cristallisation
tnrtiocioée des chloroplatinates semble donner un sel défini
''W*A2HCl)*PtCl*. Ces bases sont toxiques pour les poissons.
E. E. BLAISE.
fcrlt gomme adragante; A. HILGERet W. DREYFUS {D, ch.
G.. L 33, p. 1178 ; 14.5.1900). — Les gommes adragantes ont une
'^'^^vposil^on variable avec leur origine. La quantité de produits de
^^'iottWement formés par hydrolyse de ces gommes diffère égale-
i>ttt avec chacune d'elles. La gomme de Bassora renferme un
9<^îsaccfaande, la bassorine, substance totalement insol. dans H^O;
* ne renferme pas d'arabine. Hydrolysée, cette gomme fournit
^ aéluige de sucres, parmi lesquels les auteurs ont pu caracté-
^^^ b galactose et Tarabinose. La bassorine répond à la form.
C<«H«0«V ; sous l'influence de KOH aqueuse à 30-40 0/0, elle
* Ittûsf. en oiybassorine (C"H«<K3*0)«o ; celle-ci est encore sol.
^*>& les Ifôstves alcalines concentrées ; le sel de K sol. présente
^ orwtère d'un sucre simple, dextrogyre et donnant, avec la
^*oî»rt des métaux, des comb. insol. — Par l'action de Tamalg. de
VensoLalealine.roxybassorine est transform. en une substance
^rôdadriee, optiquement inactive. a. desghez.
no ANA.LY8B DES TRAVAUX ÉTRANGEHS. I
Snr l'aotipeptODe; M. SIE6FRIEII {D. cb. G., l. 33, i>. â8Kl {
S9.i0.1900). — On sait que la digestion de l'albumine donne nai&^
sance, d'après les recherches de Kûhne, à de l'anlipepton'j
substance ainsi nommée parce qu'elle résiste à l'action de U
trypsine. L'auteur donne la mélhode de préparation de l'antipeptonri
Celle-ci ne donne plus la réaction de Millon, mais encore nette'
ment, en rose intense, la réaction du biuret. Les analyses et li
détermin. de P. M. fournissent, pour un premier ac. extrait rtJ
cette substance, la form. C"'Az'H'''0*, ne différant que par 2H f<
plus de celle déjà assignée par l'auteur à l'ac. caniiquc O'^.Kz'H^h
L'antipeptone renferme, en outre, l'ac. C"H'*Az*0', c'esl-H-dir<
l'bomol. supr. du précédent. De ces deux ac, le premier se formi
en proportion très sup. au second ; l'auteur a donné à l'un le non
dVantipeptone et au second le nom de ^-antipeptone. LVanlipfi"
tone est donc un ac. monobas., de fonn. C'^H^Az^O^; la p-anlh
peptone un ac. également monobas. de form. CH'^Az^O^. lll'auli
en outre, remarquer que ces faits bien établis doivent déflnilivn
ment dissiper cette erreur propagée par KuLscher, que ranli'
peptone est un mélange de bases et d'ao. aminés, a. dbsgrez.
Sur l'antipeptone et l'amphopeptone ; M. SIEGFRIED {D. cli
a., t. 33, p. 3564; 14.1.1901). — Article de polémique sur d«
laits déjà publiés. \. desorbz.
Recherche simple ponr la démonstration de l'action 17ml'
Biqoe; R. ALHERT [D. cb. G., l. 33, p. 8775 ; 14.1.1901). —L
levure de bière, traitée par un mélange d'alcool absolu et d'éther
se trouve détruite, en quelques minutes, en tant que celinll
vivante, mais conserve des propriétés zymasiques que l'on peu
facilement mettre en évidence. Par dessiccation de la substant'i
obtenue par ce traitement, on peut, k l'aide de l'euu et par flllra<
Hfin «uccessive dans le vide, obtenir une solution très active di
nt soluble. Trailée par un nouveau mélange d'alcool absoli
ther, la solution précédente abandonne un jipté qui préseoii
•opriétés zymasiques très énergiques. a. desurkz.
la constitntion de Tacide hématiqae; W. EUSTER(/'
, t. 33, p. 3021 ; 12.11.1900). — L'hématine <:»«HMAz»FeO'
'^[nc qii<^ son produit de dédoubioment. l'bémaloporphyrim
*.\x*0', dissouti's dans G*H»0', s'oxydent par les cbromnii'i
nnant do l'ac. hématique. Le premiiT produit formé est uni
ince CIPA/O*, présentant les caracl. d'un ac, monoba!'.
CaUMlB ORGANIQUE. 271
mak se transformaol par les alcalis en un ac. tribas. C^H^O^. Ce
tUrmer peut être considéré comme Fanhyâride d'un ac. tricarbo-
aiqae WC^^-^0"'^^ ; cette form. conduit à représenter le premier
^COOH
âi-wie formé, par oxydation de l'hématine, par la formule
!Pt>— CO^ , c'est-à-dire que ce dernier serait Timide de Tac.
ïnb«. L'auteur établit ces form. et montre que Tac. hématique
Imterait ainsi d'un ac. méthyléthylmaléique carboxylé, ce qui
Vwoorde bien avec ce fait que l'on rencontre un ac. éthyltricar-
boihffique parmi les produits de la réduction de Tac. hématique.
A. DESOREZ.
Sirle mode d'élimination de Tantipyrine; 0. LAWROW (D.
L 0., L 33, p. 2344 ; 1.10.1900). — MuUer et Cohn ont montré
fw* r»ntipyrine ne s'élimine pas sans modification par l'urine,
l.iatcur établit qufe ce médicament se combine, dans l'organisme,
•*VB forme d'oxyantipyrine, avec l'ac. glycuronique et s'élimine
*n^ par la voie rénale, à l'état de mol. complexe résultant de
, O y CH
'•«'Ax/ I 4-CH0(CH0H)*C00H — H^O = C"Ht»A2208
AiiCIP)C-CH«OH
^ OQ administre de l'antipyrine à un animal, son urine dévie à
^lodie la lumière polarisée. Après ébullition avec HCl (2 à 5 0/0),
■1 ol>s*Tvo, au contraire, une déviation à droite ; le premier effet
"^produit par la combinaison de Tac. avec Tantipyrine, le second
l«r«c-seul, après dédoublement. a. desorez.
âdiOB de la chaleur, de ralcool et des acides dilués sur la
(«baUiiiiie; A. PANORMOF (Journ. Soc, pbys. ehim, /?., t. 32,
■ •^^ liKX), fasc. 5). — Far une série de dissolutions et de dépôts
f^'-oocentration de la liqueur dans des sol. de SOVAzH*)* alter-
*«»wiiient saturées et saturées aux 2/3, l'auteur a séparé du
^mt «fc Tœuf de pigeon deux substances albuminoïdes, Tune
'T**«lli*éf en petites aiguilles, l'autre qui se dépose en globules ;
ueétodi» plus complète a montré que ces deux corps ont la même
■'•P^bilioa, — La colombinine cristallisée ne se dissout que très
Il dans la sol. de SO*(AzH*)* saturée aux 2 3 ; la colombi-
272 ANALYSE DES TRAVAUX âTRANGERS.
nine cristallisée et la colombinioe amorphe ont à peu près le méin^
p. rot. : («)„ = — 3^^7 et — 80%1. Par dialyse avec HCl à 0,1 0/0^
ces deux corps donnent le même composé ; Tanalyse indique U
composition C***H***Az»«S'.0**.5HCl. Parla chaleur cette comp<^
sition n*est pas modifiée, mais le p. rot. augmente. Avec HBr, U
colombinine donne le composé C*5*H***Az'^S*0'®.4HBr, analogit^
au précédent. — La composition de la colombinine reste la même
qu*on la sépare de ses sol. aqueuses par la chaleur, par l'alcool oi
par la dessiccation dans le vide ; dans ce dernier cas elle reste sol
dans Teau ; dans les deux autres, elle devient insoluble. L*auteu|
considère ces changements comme résultant de polymérisations.
A. CORVISY.
Sur la réaction des protéidea d'AdamkiewicB^ avec contri
bution à la chimie de Tacide glyoxylique ; F. Gowland HOP^
KINS et Sydney W. COLE (Chem. News, t. 83, p. 73 ; 2.1901). -
L'auteur a constaté que la réaction des protéides, décrite par Aûûm
kiewicz (couleur violette par addition d*acide .sulfurique fort a li
solution des protéides dans Tacide acétique glacial), n*est pas uo
réaction du furfurol, mais dépend de la présence de petites quao
tités d'impuretés dans Tacide acétique glacial employé. Plusieur
spécimens d'acide acétique ne donnent pas la réaction et on peu
les priver tous de la propriété chromogénique par distillation.
La substance essentielle à la réaction est Tacide glyoxylique. D
petites quantités d'acide glyoxylique sont produites pendant roxy
dation de l'acide acétique par l'eau oxygénée en présence de fe
ferreux. En distillant et cohobant ensemble ces trois corps poU
efiectuer cette réaction, une partie de l'acide glyoxylique mm
formé est détruit en donnant de la formaldéhyde.
L'acide glyoxylique se forme lentement quand de l'acide acéttqu
est exposé à l'air ; la formation est plus rapide en présence de fei
ferreux et sous l'influence de la lumière solaire directe. Les échaii
tillons d'acide acétique renferment souvent en mélange de petite
quantités d'acide glyoxylique.
Une solution aqueuse diluée d'acide glyoxylique, préparée rapj
dément par réduction de l'acide oxalique par l'amalgame de sodium
permet de reconnaître facilement les protéides en l'employant d
la même façon que l'acide acétique dans la réaction d*Adamkiewic^
A. HKBBRT.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 273
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE
Sv la base des poids atomiques (IVj ; B. BRAUNER (Zeit.
toorg. CL, t. 26, p. 186-202; 18.1.1901). — Plaidoyer en iaveur
'In 5j->lèm6 dans lequel on pose 0= 16, de préférence au système
H = 1,0 = 15,96. L. BOURGEOIS.
Sar les snbsUtiitions d'éléments dans le gronpe soufre-
lèlÉaiam-tellure ; J. KRAFFT et 0. STEINER (D. ch. G., t. 34,
l'.MU; 11.3.1901 ). — Si l'on chauffe en vase ouvert du séléniure
'fepbényle (C*H*j*Se avec la quantité équivalente de soufre, en
iflol presque jusqu^à ébullition, le sélénium est presque entière-
ffitnl déplacé et Ton obtient du sulfure de phényle (C*H»)*S. On
f<al aussi opérer à 300* en tube scellé rempli de CO*, le sélénium
^dépose sous forme métallique et si Ton reprend par l'éther pour
iiâsoudre le suirure formé, on trouve que 95 0/0 du soufre a
itplicé la quantité correspondante du sélénium. On a des
'^^'»ah«ts semblables dans l'action du soufre sur le tellurure de
ià%jle (C«H»)*Te, mais il faut opérer à 280* en tube scellé : après
lObeiiresde chauffe 58 0/0 de tellure ont été déplacés, il se fait
'bUsolfure de phényle (C^H')*S« en outre du monosulfure.
<^ûanl à l'oxygène, il n'agit pas sur le sulfure de phényle, mais
(JTwsement le soufre agit un peu sur l'oxyde de phényle (C«H»)*0,
îîlO*;après 15 heures de chauffe, il s'est fait un peu de sulfure, et
i'^V'ooup de produits d'altération.
Le soufre chauffé vers 110* en tube scellé avec de l'anhydride
*lâiieux donne du sélénium sous la variété noire et de l'anhydride
•<iUiireux qui se liquéfie. Chauffé à 55* avec de l'acide sélénique
"fi^lisé, le soufre s'oxyde à l'état d'acide sulfurique et engendre
•ii séléoiam et de l'acide sélénieux.
Le chlorure de soufre est inversement décomposé par le sélénium
'<p«f le tellure; le chlorure de sélénium SeCl* se dédouble à la
'iis^tion en BeCI* et Se. Dans le cas du tellure, on peut isoler
^diàtillalion sans l'altérer le chlorure formé suivant l'équation :
S^CP + Te = TeCP + 28.
LoRqu^on duiiille le sulfobenzide C«H5.S0«.C«H5 avec du sélé-
'-m ou du tellure on obtient du séléniure ou du tellurure de phé-
^ es même temps que SO'. l. bourgeois.
•oc .3»., a^ séBm t. xxYiy 1901. - TrsT. étrang. 18
274 ANALYSE DES TRAVAUX ftTHANOBRR.
Sur les substitutions d'éléments dans le groupe phosphore
arsenic-antimoine; J. KRAFFT el B. HEUHANN [D. cb. G., t. 34
p. 565; 25.3.1901). — Si l'on chaulTé pendant 6 heures à 250° en tuU
sfellii rempli de GO*, de l'aiiliydride phosphoreux avec un excè
d'ursenic, il se fait de l'anliydride arsénieu.x et du phosphore qu
s'unit nu rastant (farsemtî. Ln rôaction est preague compléli
(97 0/0), De même lorsqu'on. iTflile P^O^ p«r de l'antimoine: d
luêiiie encore à 360', l'nntinïoine déplace l'arsenic de As^O*.
Les cho^ies se passent tout à fait de même dans le cad des sai
fures à 300-325-380°. L'arsenicet l'antimoine déplacent le phosphor
di! P*S3, l'antiinoine chassa l'arsenic de l'oi'piment. Un obliLMi
dus résultats absolument semblables dans le cas des chlorure
(à aoû-^.
.Vu contraire la triphénylnrsine chauffée k SCO* avec Ju phosphop
oiigendre de la U'iphénylphosphine el de l'arsenic, la réaction a
complète. I.'arsenic déplace de inètne k 350* i'anliiaeiae de l
Iriphfluylâtibine. l. bodrokoih.
Sur le tellure-diphényleetsur le poids atomiqne do tellare
0. STEINER ID. ch. G., t. 34, p. 570; il.3.190il. - I/auleur
a d'abord préparé le tellurure de phényle suivant la métho<le d
MM. KralTl el Lyons {jhid., t. 27, p. 177â) en chauffant 15 heure
i-n tube scellé privé d'air à 220-230*,36»'^ de tellure pur en puudr
liés fine avec 50 gr. de mercure-diphényle:
(C«H5)îHg + 2Te = (C«HS)îTe -|- HgTe.
On épuise par l'élherle contenu du lube, on filtre pour sépara
HgTe, on recueille une huile brunequ'on rectifie sous H^^lOOin»
On a ainsi une huile qu'on chauffe encore pendant 3 heures à 20(
Ijr, de tellure eu poudre. On rectifie de nouveau dans I
us une fois encore sur de la tournure de cuivre. On
finalement une huile très réfringente bouillant à l~i
0 mm., et 110-112' dans lo vide. L'analyse di' ce prodis
Te faite sur diverses portions conduit, pour O- 16, nu [
-126,4—126,7. L. BoUHCBoiM.
m de l'acide sutfbydriqae sur le bromare de bore; J
elO. POPreNBERG (D. ch. O., t. 34, p.3£)»; 25.2.1U01i.-
sultliydrique ne réagit pas à froid sur le chlorure de berfl
ne commence sur les vapeurs deBoCI'qu'au-tlessufl de â&QJ
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 275
\i «I rouge sombre il se fait une certaine quarrtitéde sulfure de bore
mpur et âouiOé de chlorure. Les données de la thermochimie
rriMlenl de prévoir un iheilleur résultat avec le bromure dé
«ft, ec Ton trouve qu'en effet la réaction se fait àOoid en donnant'
D lîorps blanc en beaux cristaux. Comme ceux-ci envahissent là*
L»-<^ l»(|uide et gênent la fin de la réaction, il convient de faire
t^rH^S sur une sol. de BoBr^ dans le benzène ou le sulfure de»
arlMHie. Les auteurs opèrent dans un petit baUon avec bouchon
uMi* à l'émeri (fl^re dans Toriginal), les tubes sont soudés
n***mhieet agencés de telle sorte qu^on puisse aisément déboucher
l'itMnité inférieure évasée du tube plongeur s'il s'obtrue parle
^»i de cristaux et aussi, que le bromure de bore et le dissolvant
ï-'iiili^s, puis condensés dans un réfrigérant à reflux retombent
vA^l» ballon sans gêner l'arrivée de H*S; l'extrémité du tube de
^*th*eM;;arnie d'un tube desséchant à CaCl*. On opère sur 50^*
'^flellf* dîssoo» dans son poids de CS* et Ton fait arriver très
iw»tfiv*ul H'S bien sec. H se dégage bientôt des torrents de HBr;
«Unit de 48 heures les fumées ont presque cessé à la sortie.
LalIioo de H*S ayant été prolongée pendant 6 jours et 6 nuits on a»
"T^ ropéralion et évaporé la liqueurdansievide.il s'est fait alors
«■■wfBtres bien oristafhsé qu'on a fait necristalliser dans C®H*
■1 Ce*. Ce corps est un sulfhydrate borique Bo^S^.H^S ou
H)^ï4P GQirespondant à l'ac. métaborique, il' cristallise en
i'^cws aiguilles blanches possédant l'odeur de H*S, violemment
^joipotéespar Teaoen BoO'W etH^S^ sollibfessansdécomposi-
'^-Q rt recrislalUâables dans le benzène et le sulAire <le carbone
1 ;». dans 5 p. de C*H* chaud, 1 p. dans 5 p. environ de CS*; ti^ès
î"*^. dans ce dissolvant à — ^<*). Il réagit aussi sur l'ak^ool en
'^'^ûcâDt H*S, parait se combiner à l'éther, ces réactions seront
^«béf^ plus tard. Far l'action de la chaleur sous la pression
"Juaire. le corps perd H*S, les crist. s'effleurissent et jaunissent
•ïiiKâMi du sulfure de bore; l'action est déjà notable à 100**,
•-Î ^x complète à 300*. Aussi il est préférable d'opérer avec la
t»»jlation de CS* que sur les sol. benzéniques, car celles-ci chauf-
'^«la i. d'ébuUitlon donnent déjà un peu de Bo^S^. Mais en
*»l*'aeeUé,le6ulfbydrate fonda 120** ; à 14û°,.on aun liqukle clair
^-^j^ qui par rel'roidissemeat se. prend en maste cristalline
•■^idke, le corps se retrouve maltéré.
^'>ir .analyse, la substance a été traitée par une lessive de KOH,
•• soffç ilosé souft forme de Ag*S et le bore par polûrimélrie en
''^'wek- de mauBÎte. La cryoscopie des sol. benzéniques donne
« (mnale Bo^H» et non Bo8*H. l. bourgeois.
276 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS.
Sur la préparation du chlore à Taide du chlorate de sodiui
et sur celle du trichlorure de phosphore; C. 6RAEBE (Z>. c\
G., t. 34, p. 645; 25.3.1901). — Pour préparer le chlore, on chatif!
jusqu'à ébullition naissante de Tac. chlorhydrique de D. i
(ou si Ton opère en grand, à 100*», HCl de D. 1,2) et à l*ai<i
d*un entonnoir à robinet ou mieux à tige, et d'un tube ploc
geur, on fait arriver en mince filet une sol. de chlorale de sodiui
commercial à 500 gr. par litre (figure de l'appareil dans rorigiual
Le gaz dégagé ainsi au voisinage de 100** ne renferme que de td
faibles quantités de peroxyde de chlore qui, dans cette proporlioi
est sans inconvénient pour les usages courants du chlore. On pe«
du reste s'en débarrasser à Taide d'un flacon laveur, CIO* élai
plus soluble dans Teau que le chlorure.
Pour la préparation du trichlorure de phosphore, on fait arriva
le chlore dans un ballon renfermant du phosphore rouge sous ufl
couche de PCI' préparé antérieurement. Le tube qui amène I
chlore plonge sous PCI' au voisinage du phosphore et est dispos
(figure dans Toriginal) de telle sorte qu*à l'aide d'un agitateur o
puisse le déboucher s'il s'obstrue par suite de dépôt de PCI*, l
ballon porte une tubulure en relation avec un réfrigérant ascen
dant. A la fin, on chauffe doucement pour que PCI* réagisse su
l'excès de phosphore rouge ; finalement on distille, le produites
exempt de phosphore libre. l. bourgeois.
Etudes sur la solubilité des sels (IV). Sur les chromâtes d
sodium; F. HTLIUS et R. FUNK (D. ch. G., t. 33, p. 3G8<
14.1.1901). — La soude et l'anhydride chromique se combinai
en donnant la série de sels suivante dont on a déterminé la soli]
bilité à 18** (en y joignant les termes extrêmes acide et base) :
Densité Mol. de »d
de poar
la sol. ssturée. 100 mol. d*êa«,
Anhydride chromique, CrO-* 1 , 105 29 . 9 i
Tétrachromate, Na^O . 4 Cr03 + 4 H^O . . . . 1 , 926 1 1 . 21
Trichromate, No^CâCrO^ + H20 2,059 20.56
Dichi-omate, Cr^oiNaî + 10H2O 1 ,115 12. 16
(Chroma te neutre, GrO*Na2 + 10H»O .... 1 ,432 7. 4â
Hemichromate, 2Na20.Cr03 + i3H20. . . 1,426 4.81
Soude, NaOH + H^O 1 ,539 37.80
Le létracbromate do sodium Na«0.4Cr05 4-411*0 est en lam«
minces rouge grenat, déliquescentes, fus. partiellement à 40-50^
avec séparation de CrO^, du reste stables au contact de l'eau con
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 277
tniremeot ans sels correspondant de K et de AzH*. A l'autre bout
•if la série se remarque \ecbromatebasique21^ei^ .CrO^ + 13H'0,
en grand crisl. jaune pâle, très solubles, fus. vers 50**. Le chromate
neutre esisUi avec 10H*O, avec 4H«0 et enfln anhydre; le
second de ces hydrates n'a pas son analogue dans la série des sul-
È*lft5 de sodium, il se forme entre 20 et 65**. l. bourgeois.
Ondes SOT la solubilité des sels (V). Sur les chromâtes de
nlciim; F. MTLIUS et J. yen WROCHEH (D, ch. G., t. 33,
F'. «89; il.1.1901). — Une sol. de GrO* Ca dans CrO» en excès,
fTipofée dans le dessiccateur fournit un télvachromate
Co0.4Cr03 + 6H20,
« emt. rouge ioncé très solubles. Le dicbromate Cr«0*'Ca cristallise
«ttSHK), et aussi avec 4H*0 ; ce dernier hydrate est nouveau et
•^pnéseate en beaux prismes orangés. A l'autre bout de la série
«aoQtre un ebromate basique 2CaO.ÇrO^, déjà décrit par M. von
^o<iUûQ, mais le terme le plus important est le ebromate neutre
OW^ qui peut exister à divers états d'hydratation, dont voici les
s'WMlitésàiS»:
Densité Mol. de sel
des pour
•ol . satarées. 100 mol. d'eia.
Hydritc a 2 H^O, var. «, clinorhombique . 1 , 149 i . 93
- à âH'O, var.p,orlhorhombique. 1,105 1.33
- àH^O, — .1,096 1.22
- à V2H2O, — .1,044 0.51
Sd inhydre 1 ,023 0.27
Llydnte à 2H*0, variété a, est en petits crist. maclés à la
i»;oo du gypse avec lequel il est isomorphe, il est peu stable et
^^ » passer spontanément à la forme p, ou à des hydrates infé-
'*^<W' Lhydrale à V«HK), correspondant à un produit de la
î^WïOn du gypse s'obtient en portant rapidement à 100* des sol-
^ CKj*Ca a 15 0/0 additionnés de CaCl* ou de glycérine, il a
f^«cî de chloroplatinate d'ammonium ; il ne perd son eau qu'à
^M^ solubilité des divers hydrates décroît assez rapidement
■^ôeU température. l. bourgeois.
B^<te sur la solubilité des sels (VI). Sur les «els de sodium
*^ latiqtet acides bibasiques analogues à l'acide sulfurique ;
^nriI<Z>. eb. C, t, 33, p. 8696; 14.1.1901). — Ce mémoire
sA^iosacré à Tétude des solubilités comparées des sulfate, sélé-
«78 ANALYSE .DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
niate, chromata, molybdate et lungalate de sodium neutres, soul
forme de leurs divers hydrates. Tous ces aels peuvent crislalliâe
> l'eau avec lÛH'O, ou anbydres, les molybilate et tung^lali
allisent encore avec S'H^O. Les courbes de solubililé de re
offrent un remarquable paralielisme. Voici un extrait dd
liais obtenue, relatif aux solubilités à IB":
SO^Na» + lOmO 1 ,U0
SeO»Naa + lOa^O 1 .315
TiiO*Na3-(-2HïO 1,573
MoO'NaJ + 2 H'O 1 ,431
CiO'Naî4- iOHsO 1 ,432
nr tes perborates; E. 3. CONSTAH et ]. C. BEHNETT i.Ze\
'■ff. Ch., t. 26, p. 451 ; 21.i.l901}.— Réponse* descritic[ui'3J
Fanatar (iiijc/., p. 3-i5j. l. soubgeois.
ar les cai'bDnates dlcalico-cnlTriques ; S. GKÔGER (D. f.
L 34, p. 429; 23.2.1901). — Une sol. concentrée de bica
bonate de potaessium saturée de GO', étant adililionntv
d progressivement d'une sol. de sulfate de cuivre donne u
leur bleu foncé qui dépose au bout de quelques jours d
uilles soyeuses d'uii bleuverdiitre.décomposahlespar l'eau pu
e en donnant du carbonate basique de cuivre et GO^K'. ('
uilles offrent la composition 2C0»K».8CuO.7C0*.nH«O
03KH.8CuO.r»COM5H*O. Deville avait décrit un carboni
»K».5CuO.-iCO*.10H»O {Ann. Chim. Phjs,, 3* séné, t. !
102). Ce sel était obtenu en présence de CO>K*, et pouvait é
lan^é d'un peu de carbonate basique de cuivre; il est probub
ni identique avec celui de l'auteur.
..eschosoE s<! pa&sent différemment dans le casdubicarbonatt^
ide, on n'obtient de produit délini qu'en présence de cari
e neutre. Si l'on dissout dans 700 gi. «l'eauïOgT. de CO^Na'
gr. de CO'NaH et qu'on ajout© 8 gr. de SO*Cu + 5H«0en t
isïOcc. d'eau, on trouve que la liqueur lUtrée dépose du ji
lendemain dos bouppes bleu clair d'un carbonate ncu
lico^uivrique de formule très simple CO^Nb» . C(l*Gu . 8 H»0.
^t de ae sel, comme du reste celui dea préoédeDls, est acoéli
prÀsenoe de bicarbonate alcalin solide el les cristaux sont id<
lins aiguillée. l. bourokoisi
CHIMIE GÉNÉBALE ET MINÉRALE. 270
Sur toi sala doubles du titane tètralomique ; A. ROSENffillM
^t 0. SŒDTTE (Zeii, aiwrç. CIu, t. 26^ p.239.257; 12.2.1901).—
1. kcnm. ttHLOHOTiTAHiQUE. — Le ehlorurti TiCl* récemment distillé
« dissout dans HCl fumant bien refroidi, en donnant une sol.
jfluoe foncé qui renferme sans doute TiGl'H*, mais on n'a pu iso-
li?T ce produit. Additionnée d'eau froide, la liqueur reste quelque
temps limpide, puis dépose de l'acide titanique gélatineux. De
mâoe pour une soi, de ce dernier dans HCl fumant. On a encore
ajouté Ti'OH)* à une sol. de gaz HCl dans l'alcool absolu ou Téther
^jrteaient refroidis; la réaction est très vive. On a fait ensuite
L-ouilIir au réfri^rant ascendant pendant 2 à 3 h., les liq. filU'ées
tfts tiuniières ont été évaporées sous pression réduite, on a eu un
^^uîd^ buiJeux très réfringent, jaune foncé, renfermant sans doute
TiCi«H«; mais on n'a pu l'isoler, le produit du reste éthylifère se
'Krtomposant quand on essaye de le distiller dans le vide. Dans la
fn-piraiion» il s'était lormé aussi par l'action de Ti (OH)* sur HCl
^3x& réther un ppté blanc jaunâtre qui offre la composition
TiC130H + (G2H»)20.
LhlorotitaîHite d ammonium TiCl«(AzH*)2 4-2H«Q. — On ajoute
^H*a solide à la sol. chlorhydrique de TiCH, on agite vivement
^ refroidissant fortement, et au bout de 12 h. on a un dépôt jaune
^ un peu cristallin, qu on lave à Téther. Le sel est très altéra-
'•ie a iair humide et devient alors blanc. Ou a de même le
^hkrotitanate de pyridine TiCl»H«.2CSHSAz, en petits crist.
jiaaes. en opérant en sol. alcoolique; de même les sels de quino-
itm^ TiCl«H«.2C*'H7Az et d'amilne TiCl»H*,4C«H»AzH^
Tétrachlorure de titane ammoniacal, TiCl*.4AzH3. — Poudre
j««ûe foncé à brun rouge, amorphe, se ppte lorsqu'on fait passer
uû courant de gaz ammoniac dans une sol. concentrée et bien
"efroidie de TiCl* dans l'éther parfaitement anhydre. De môme
*f^ là p}TidÙ2e en sol. éthérée, on a un corps analogue,
TiClS6C5H5Az.
D. Acnnî BROMOTrrAMQUB. — Le bromure de titane donne des
'^^•«Itate semblables à ceux fournis par TiCH ; en réagissant sur une
*^. alcoolique de HBr, la liq. concentrée a laissé déposer une
w«lre blaaohe cristalline de TiBr(0H)3 + l,5H«0. On obtient
^^as les mêmes conditions que le chlorotitanate d'ammonium, un
^mtitamte d ammonium TiBr«(AzH*)«+2H*0,en crist. rouges
P'^^que Doirs. Avec le bromhydrate de pyridine, en présence d'un
WO ANALYSE DES TRAVAUX BTKANGEHfi.
excès de HBr, en sol. alcoolique, on a de même le bromotitamlf
de pyridine en criBt. de même couleur, à éclat mélnlliiiiie. Mais si
l'acide n'est pas en excès, on a par évaporation à froid des ai^uilW
jaunes de TiOBr*.3(C>H=AzHBr). EnHn AzH» gazeux introduit
dans une sol. éUiérée de TiBr* donne un corps brun amorphe nwi |
est sans doute TiBr*.6AzHs. j
m. Thiocyahatb titasique. — Une sol. étliérée de TiCl* aplèo '
avec du thiocyanate de plomb, et filtrée, fournit par évaporation '
d'abord des aiguilles jaunes probablement d'acide persulfocyani-'
que, puis ensuite dos aiguilles rouge brun très foncé, à reflelî
métalliques, on ne peut les redissoudre sans les décomposer avec
formation d'acide persulfocya nique, etc. ; c'est sans doute un polj-
thiocyanate titanique; du reste Ti(OH)* se dissout abondammenl
dans CAzSH aqueux avec coloration rouge.
IV. Sulfates de titane.— L'hydrate lîtanique se dissout à cliaml
dans une sol. alcoolique de SO*H» et la liq. évaporée donne lui
dépôt blanc, amorphe Ae sulfate titanique basiqiie'^O^^'T'iO -|-UH*<'
Une sol. de Ti(OH)* dans SO*H» concentré, étant additionnée avec'
précaution d'une sol. aq, concentrée de SO*K*, fournit uni'^
abondante cristallisation en aiguilles feutrées du sulfate double
potassique 3SO*TiO,2SO*K»-f-10H*O. On a de même un sel
ammoniacal semblable SO»TiO,SO*(AzH*)*-f H»0.
V. OxALATEs DE TiTAKE. — Par évaporatlon d'une sol. de Ti(OU(':
dans une sol. de bioxalate de potassium ou d'ammonium, on obtient
des aiguilles recristallisables dans l'eau de (C»0*K*)«TiO-i-2H*0
et des gros crist. clinorhombiques de [C»0»(A!!H*)'«l»TiO-i-H»0.
Les sol. de ces sels donnent par BaCl* en quantité juste suHnsanlri
un pplé cristallin de (C'0*)-BaTiO -|- 2H»0. L'évaporalion d'uoe
sol. de Ti(OH)* dans une sol. aq. do C»0*H» ne donne pas de
crist., mais en liqueur alcoolique, on peut avoir un produitmicru-
''"'.allin blanc, sol, dans l'eau et dans l'alcool c'est un oxa/a/e
que de litoiic avec alcool de cristallisation C'CiTiO+C^HiK)!!.
liq. chlorhydrique aq., on a eu un produit blanc amoiphe,
l'TiOj'O + i2H*0.
1. Tahtrate de titane. — On a do même par les bitartralen
lins, après évaporation des sol,, des poudres blanches lio
4'0«K» }-C'H*0*lTiO)»0-f GH*0, les t,els do Na et de AiH»
ermant lOH'O. Le tarlrate simple est iG*H«0»)«Ti -^^ iH»0.
se amorphe, sol. dans l'eau; [a|p=-i40'',H. En présence d'al-
, on a eu G^HiD"! TiO)»0 -f 7H*0, insol. dans l'eau, sol, (iaa>
icidesol dans A/H^. l. nouROEois,
CHnilE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 281
Sir lat tbiocyanateB de cuivre et d'argent en analyse ponde
rtle;E. 6. vtn NAME (Zeit. aaorg. Ch., t. 26, p. 230-238; 12.2.
I9ui^ — Le dosage du cuivre à l'état de thiocyanate cuivreux à
[iéjB été recommandé par Rivot (C/?., t. 33, p. 868); Tauteur le
Bûdifie légèrement en ce qui concerne la façon de recueillir le
ppté. La sol. cui\Tique est d'abord additionnée de bisulfite de
Kftiitun, puis d*un excès de sulfocyanate d'ammonium. Le ppté de
fCAzS^'u* est recueilli sur une couche d'amiante dans un creuset
I ïood percé préalablement taré, lavé à l'eau froide, séché à 110**,
ttflnpesé.
Udo6^e de l'argent se fait à peu près de même, sauf qu'on ne
vipes de bisulfite. Le CAzSAzH^ doit être bien exempt de chlo-
'uc, et de plus ne doit pas être employé en excès, car il redis-
MU le ppté. L. BOURGEOIS.
brU dosage ▼olamétriquedu cuivre à l'état d'oxalate et sur
uiaéthode de séparation du cuivre d'avec le cadmium, l'ar-
•ttie, l'étain et le zinc; Ch. A. PETERS (Zeit. anorg. Ch., t. 26,
r lH-iî2; 25.10.1900). — Dans une sol. de sulfate de cuivre
*^*Tipttl 50 ce. et renfermant au moins 0»',0128 de CuO, on peut
f* addition d'ac. oxalique, ppter complètement le cuivre sous
îwïûed'oxalate, surtout en présence d'une quantité moyenne d'ac.
*Q>peipar exemple 5 ce. d'AzO^H concentré). Dans ces condi-
tcft< le cadmium, l'arsenic, le fer et même de petites quantités
"**^t*m, 'mais non le zinc) restent dissous. l. bourgeois.
toifl procédé de dosage volumétrique de l'argent; L. W.
UMEW8 iZeii. anorg. Cb., t. 26, p. 175-185, 18.1.1901). — On
•J"*ile à la sol. renfermant l'argent à doser, légèrement acidulée
?*•' ''«c. azotique, un sel ferreux ainsi qu'un sel ferrique (au
«*ji'fe autant de fer dans chacun de ces derniers sels qu'il y a
'^w^tâ doser). Puis on verse à l'aide d'une burelte graduée,
't»- «ol. titrée d'iode colorée en bleu par de l'empois d'amidon;
* ■'Hivieni de verser celte liqueur graduellement et en remuant.
'^'>il la division au moment où la coloration persiste. La réaction
■i
i,\xCPAg -f 2(AzCP)2Fe + 1^ = -2 Agi + (Az03)3Fe2.
L. BOURGEOIS.
U aétiiode Blondlot-Dueart est-elle applicable aux cas de
^^Ugale;Z. HALASZ {Zeit. anorg. Ch., t. 26, p. 438-450;
-'•* 1901;. — Lorsqu'on recherche le phosphore en cas d'empoi
aSS ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Bonnement, àJ'aide du procédé Blondlof^Dusart, (coloration vf*rl€di
la partie central d'une flamme d'hydrogène, les matières suspecte
étant introduites dans un appareil producteur de ce gaz), il nV
pas à craindre contrairement à ropinion de M. Selmi (Arcb. 4
Pharm.y t. 19, p. 27f)), le phosphore existant nomalemeoi dun
l'organisme, même celui qui s'accumule dans les centres nervem
la réaction n'étant pas assez sensible. L'auteur ne Ta jamais ob^^i
vée sur des cervelles putréfiées d'animaux normaux, mais il ti
constatée sur celles de lapins empoisonnés par le phosphore. L
méthode de Mitscherlich doit du reste être préférée.
L. BOURGBOI6.
Sar rinstallation électrique du laboratoire de chimie d
l'académie d«8 mines de Clausthal; F. W. KÛSTER (Zeit, amrt
Ch., t. 26, p. 167-174; 18.1.1901). — Nous nous bornons à nm
voyer à l'original et aux figures qui l'accompagnent.
h. BOUHOEOIS.
CHIMIE ORGANIQUE
Sur la méthode d'hydrogénation par le sodium et l'alcoo]
A. LADENBDRG (/). cb. G., t. 34, p. 200; 11.2.1901). — Dar
sa conférence « sur l'histoire de la synthèse de l'indigo » von Bae^*
(D. ch. G. 33, fascicule spécial p. LVU) revendique la priorité *J
procédé d'hydrogénation par le sodium et l'alcool. M. LadeuLui
s'élève contre celte manière de voir et justifie son droit à oeti
découverte. l. j. suion.
Action de la poudre de zinc sur les dibromurea C/H^'Br
V. IPATIEF (Journ. Soc, pbys, cbim, /f., t. 32, p. 647. lUO
£asc. 8). — De nouvelles expériences ont démontré que dans l'ai
tion de la poudre de Zn et de l'alcool sur le bromure
(CH3)2GBr-CH2.CH2Br,
le carbure qui se forme en plus grande quantité (30 0 0 enviroi
est l'isopropyléthylène, Eb. 21-2â**. Il se produit en outre une sait
stance qui distille entre des limites étendues, 80-1 80**, et rontie]
environ 8 0/0 de Br ; c'est un mélange d*élher non saturé, de bin:
CHIMIE ORGANIQUE. 283
mure ooo saturé et peut-être de Toxyde du diméthyltriméth^'Jàue-
fiyool. D*apréb cela, daos la formation du carbure a.u m^yeu du
komune de ra-diméthyUnméthylèiie, de la poudre de Zn et de
i'Aioool. une moi. de HBr est enlevée aux dépens iïe Br uni au G
kpbs hydrogéné, et le Br uni au G tertiaire esi. retnplacé par U.
A. COHVISiY.
Bètction du sodinm-malenate d'éthyle sur les dibromures
CWBr*; V. IPATIEF {Journ. Soc. pbys. cbim. /?., t. 32. p. 647;
1900, fasc. 8). — Dans Taction du sodium-malonate d'éthyle sur le
trwDore d'isopropyléthylène (CH3j«GH.GHBr.GH«Br, on a obtenu
rêiherd'un acide non raturé, Eb. i22-182®, sous 18 mm. ; la sapo-
liiestioa fournit un acide bibasique non saturé de composition
^n*KH, soL dans le benzène, le chloroforme, inoii» sol. dans
r*a;F. 7e.78'.
t>i acide décolore KMnO*; sa formule est probablement
•UPi«CH.CH.C:(CO«H)«
\y ; il se distingue de son isomère, Tac.
CH«
•iunéihylallylmalonique (CH3)«G:GH.CH«.CH(G0«H)«, en ce qu'il
^ sol dans le chloroforme, a un sel de Ga sol. et un sel d'Ag
['^sol. dans J*eau. Dans la réaction de Téther sodium-malonique
«rledibromure en question, il ne se forme pas de carbure, mais
î*?fldes traces d'éther acél^yltétracarbonique. Ainsi les dibromures
^i» lesquels les Br sont primaire et secondaire se comportent
Ts-t-vis de réther sodium-malonique autrement que ceux dans les-
'ï«els Tun des Br est tertiaire et Tautre primaire ou secondaire. —
.^ft! le bromure (CH3)^C(CH«Br)«, la réaction se fart d'une façon
'^îflïrente; il faut chauffer longtemps (env. 100 h.); il se forme un
Muil cristallisé, F. 105-105^5, sol. dans les alcalis d'où les acides
l'^trmpitent; ce corps décolore MnO*K; pai'bromuration il donne
*oe matière fusible à 127-128*»; sa composition répond à la formule
*nK)*. 11 n'est pas encore complètement étudié.
A. GORVIST.
Ittiaii dn ludium^inalonate â*éthyle siir le pentane tri-
*f»é; Y. IPâTIEF et 8VIDERSKT {Jouru, Soc. pbys. cbim /?.,
'^33, p. e«8; 1900, fasc. 8). — Le tribromopentane G«H»Br» a été
''U«tm par l'action d'une mol. Br* sur le bromure de triméthyl-
^lèae; les produits de hi réaction de Téther sodium-malonique
*ff ee corps sont racétylènetétracarbonate d'étfayle et un éther
^■«aaé noaaalnré C*«H*>BrO*, .Eb. 155-157'»aousi0ram. Parsapo-
284 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
nification de cet éther, il s*est formé un acide huileux , épais, q
après un long séjour dans le dessiccateur, s'est transformé en
masse semi-solide. Traitant par le benzène, à froid et à chaud
en a extrait trois acides : une très petite quantité d'un acide
saturé C^H'^O*, un acide brome C8H*«BrO*, F. 115.1 17«. (c'est i
plus abondant), et un autre acide de même composition C®H**BrCH
F. 157-158®. Ces deux derniers acides auraient les structures : |
(C02H)2GH-GHa-C=GBr-GH3
GH3
(GH3)2G=CBr-GH2-GH(C02H)2 ,
et correspondraient aux deux isomères contenus dans le tribroino
pentane employé :
GH3v
>GBr-GHBr.GH3,
GH^Bi/
(GH3)2GBr.GHBr-CH2Br.
Ces acides bromes ne sont pas réduits par Tamalgame de Na.
A. CORVISY.
Réaction de la potasse sur le mélange de phénylacétyléni
et d* acétone; E. FAVORSKT et SKOSAREVSKT (Journ. Soc
phys. chim. /?., t. 32, p. 652, 1900, fasc. 8). — La transformatiof
que KOH en poudre produit sur le mélange d*acétone et de phényl-
acétylène est semblable à celle qu'elle produit sur le mélange de
chloroforme avec les aldéhydes ou les célones; il se forme ici ub
alcool tertiaire, analogue à Talcool propargylique :
GH3-GO-GH3 + KOH = CH3-G(OH)(OK)-GH3,
GH3-.G(OH)iOK)-GH3+Gnis-G - GH = (GIPj2rG(0H)-G= G-G«1P + KOli
Cet alcool est une matière cristallisée, d*odeur aromatique agréable,
F. 52^. KOH en sol. aqueuse le décompose en phénylacétylène el
acétone. a. corvisy.
Sur un mode de préparation des hydrocarbures biéthyléai»
ques; C. HARRIES (Z>. c//. G\, t. 34, p. 300; 11.2.1901). — Il con-
eiste à distiller le phosphate des diamines correspondantes.
CHIMIE ORGANIQUE. 285
Le phosphate du raélhyldiaminopenlane
(CH3)2=C(AzH2).CHi-CH(CH3)AzH2,
■one ainsi un méthylpentadiène
<:fP=aCH3)-CH=CH-CH3 ou CH2=C(CH3).CH2.CH=CH2.
La base cjclique
CH3.C-AzH2
H2C/^CH2
CIV
tewnit le d'hydrololuène
CH3.C
H2Gs''CH
GH3
'Joant aux diamiaes elles ont été obtenues par réduction desdio-
^^BiH^ des aminooximes ou des oxaminooximes correspondantes.
L. 4. SIMON.
Actioiu des sinc-alkyles sur les chlonires d'acides à poids
MUcalaires considérables; V. IPATIEF et GRAVÉ (/oura. Soc.
fijs. càifli. R.^ t. 32» p. 649;i900, fasc.8). — Jusqu'ici les auteurs
3 Ml étudié que Faction du zinc-méthyle sur le chlorure de Tac.
î*Wlique; pour 1 mol. de chlorure d'acide on prend 3 mol. de
ZlCH*;«; le produit est une substance de caractère alcoolique,
^•^•,»^% dont la composition et le poids moléc. sont C*®H380.
A. CORVISY.
Saponification de FaioUte d*éthyle par Tean; E. BIRON
^ooTD. Soc. pbys, cbim. /?., t. 32, p. 636 ; 1900, fasc. 8). — Pour
^^rimniner la vitesse de saponification de Tazotate d'éthyle par
fwo, Fauteur maintient à température const. un mélange d'eau et
^rtber; celui^^i est en excès, de sorte que pendant toute la durée
^r<>péraiion la sol aqueuse de Téther reste saturée et que la
''•«^ reste constante; à des intervalles déterminés, on prélève des
"Ualillons de la sol. dans lesquels on litre la quantité d'AzO^H à
'**te de Ba(OH)> en présence de la phtaléine.
-m
m
SSS ANALYSE DEB TRAVAUX OTHANGEHS.
Oq trouve d'abord que la solubilité fie l'azotate d'élhyle dnd
iOO gr, d'eau est (entre 55 et ^5°)
2,239 — 0.03642( + 0,0003l5âR
L'expérience monlre que la vitesse de saponification augmenu
en même temps que la quantité d'AzO^H contenue dans l'eau d
peut s'exprimer par
Ja quantité d'éther décomposé, Ole temps en heures, C la coiu;
4her, k la const. de la réaction par l'eau, k^ la coDst. il!
lération calalytique due à la présence de AzO^H. Ala lemi>j
I de 70"; C = 0,U81; A = 0,0042J6; i, = 0,0185. On voi
* sol. normale d'AzO'H saponifie environ 4,17 fois plus vi(
upure. A. coBvisY,
^on de l'iodure d'éthylesur l'axotats d'argent; E. BlROl
' V «. Soc. phys. cbim. li., I. 32, p. 6G7 ; 1900, lasc. 8). — E
pce de tout dissolvant, l'iodure d'éthyleréagiténerpiqueraer
^AzO^ en donnant C*H5.\zOï en quanlilé presque théoriqu
'||dHléga;reant environ 10,000'". It convient déverser goutte
■* 1 C^H"! sur AgAzO' pulvérisé et mêlé à du sable fia dans u
. refroidi. En présence de dissolvants, les résultats sont ilil
«c l'alcool, comme l'a dùjà montré Nef, on obtient, outi
IzO', i'étlier ordinaire (CH^j'O et AzO'H. En présence i!
^ii se forme C*H5AzO^ CH^OH et AzO'H. Nef expli.|ue I
^ction de (C'H*)*0 par la formation d'un produit de dissocia
|-ansitoire CH^.CH qui s'unit à AzO^H et à CHK)!! poi
r AzO'C'H» et (C*H»)*0; mais cette e.<(plicalion ne peut ttli
\ cor elle suppose une réaction unimoléculaire, tandis que U
?s de vitesse montrent que les actions do AgAzt>> si
- et sur C*H*Br sont de:> réactions bimoléculaires.
■formation de l'élher (C*HS)*0 et des produiU de snponiflet
■e l'azotate d'étliyle en quantité beaucoup plus grande qi
qui résulteraient de la saponification de AzCWH* par iVai
"^tlnbuées par l'autour à l'action de l'alcool et de l'eau sur l'az
'elh\ie à l'étnt naisssDl. a. couvht.
aoe migration intramoldonlaire des groupe» asyléi
'""#' ff», (^ti0lm WISUGENDS cl Heinrich KOHBER {D. eh. (7., t. 3<
^^ 2_ "j; 11.2.15)01), Claisen et Haese ontconstaléquel'étliero.-ac'
GUmi£ ORGANIQUE. 297
)kacètylacéiiqae (éther acétoxycrotonique) se transforma sous
Wium des appâts akatins en sel alcalin da Téther diacétyiacé-
CH3 CH3
I I
CMMXïCîP CO
CH CH-CO-CHî
IC^H^ COOC2H5
CO0(
Lt« auteurs ont observé que soua l'action de la chaleur à 200"" le
pftwer de ces produits se transforme sinon en le second, du
ikMàea acélylacékuie et autres- produits. Ils se réservent celte
ÏÏij»rès une communication particulière de L. Glaison celniKoi
umuttSÊrvé ua fait analogue pour To.-benzoate du dibenzojl-
u-'itâne. L. j. suoOM,
hr Û9B r^gubritéff dans les pointa d^ ftision ; Tb. SALZER
'^wm. Lpr^t. Ch., t. 61, p. 165). — Différentes séries- d'éthers
4«nteço«,ijH>xyb€nizoatte deméthyle, d'éthyle, de propylè), d'ani-
*^ «cHtanilide, ppopionanilide, butyranilide), de sels tchïoracé-
t»'-^ de morphine substituées), etc. montrent des variations ré^-
^■ns ie» points de insion. o. h^wib.
Ikiirie te l'aan da< criataUûatiiQir; TIl SAUER {Joam. f.
/'*A'. CA., i. Mt p. ir>7). — L'auteur étudie la teneur en eau de
Ti^ulltâatioû des sels de chaux de divers acides raalonique& snbs-
%iMi< f|^ ne n^pondent pas à ropinion émise par lui précédem-
n noatre ensuite que le sel de Ba de Tacide propylitaconique et
^ 'ij'lfCa de Tacide diméthylfumarique doivent répondre à una
«îiûle tnmoléculaire d'après leur teneur en eau de cristallisa-
f paiement il fait voir que deux sels signalés comme exceptions
' ^ régies contiennent en réalité le nombre de molécules d'eau
*">sîaiit; pour s'accorder avec elles. Ces sels sont Vo et le p
-'nuibeozoale de Ca. c. marie.
^^nr^inw sur tes considôratton^ de Taniiel sur lès cba-
^ de aratralisation et la dissociation ôleetrolytique ;
ilDELt Aurs. /". pffakt,. Ch.^ t. Si, p, 141). — Etude critique du
le VMbel publié dan» le Cbemikm^ Zeitnng, t. 23, p. 764.
288 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS. !
Contribution à Tétude des relations d'isomérie, des acide^
olôique, ôlaïdique, érucique et brassidiqne ; Alaxins ALBITZKl
(Journ. /. prakt. Ch,, t. 61, p. 65). Préparation des oxyacidei
chlorés. — L*acide est neutralisé à chaud par la potasse faibli
en présence de phtaléine, puis après refroidissement on ajouta
ClOH en excès. Cet acide était préparé en saturant à O* NaOfj
étendu par Cl. L'excès de ClOH était enlevé par SO*. L'oxyacidi
chloré précipite par SO*H* étendu. Les produits brutsobtenus a\e^
les acides oléique et érucique sont liquides, difficiles à débarra-^
ser de Teau qu'ils retiennent; pour les sécher il faut les dissoudrj
dans réther. Avec les acides brassidique et [isoérucique la coni
binaison avec ClOH est plus difficile et il faut purifier par crt^
tallisation les produits obtenus pour qu'ils contiennent le Ci théo
rique.
Les acides purifiés fondent mal, l'acide chloroxysléariqu
entre 44-55**, Tacide préparé par l'acide isooléique entre 38-48*.
Action de KOH sur les oxyacides chlorés. — On chaufle l'acid
avec un poids égal de KOH jusqu'à ce que toute l'eau soit partie
on termine en tube scellé 6-7 heures à 150-160*. Puis on décom
pose par HCl et on purifie l'acide précipité par cristallisation (iao
l'alcool, puis l'éther.
Avec l'acide chloroxystéarique (provenant de l'acide élaîdiqu^
on obtient ainsi l'acide dioxystéarique, F. 127-131% semblable i
celui obtenu par oxydation de Tacide oléique au moyen du perman
ganate.
L'acide chloroxystéarique (provenant de l'acide oléique) dona
de la môme manière un acide dioxystéarique semblable à oelii
obtenu par oxydation de l'acide élaïdique et fondant à 96-99*, ^
l'auteur n'a jamais pu obtenir le produit normal, il y a toujour
isomérisation.
L'acide chloroxybéhénique (provenant de l'acide érucique) doua
avec KOH un acide dioxybéhénique, F. 97-99* et non l'acide rf/oxj
béhénique normal F. 133* qu'on obtient par oxydation de Tacid
érucique par Mn 0*K. L'acide obtenu correspond donc à Tacid
dioxy dérivé de l'acide brassidique.
Inversement l'acide chloroxybéhénique dérivé de Tacide brassi
dique donne par KOH l'acide dioxy F. 128-182* correspondaot i
Tacide érucique.
L'acide chloroxystéarique préparé par l'acide isooléique donn^
par KOH un acide dioxystéarique correspondant à l'acide oléique
CHIMIE ORGANIQUE. 2S9
r-ÀCiàe chioroxybéhériique de Tacido isoérucique ne donne pas de
rr^u)UU sâtisfuisaQts.
L'auteur donne ensuite Tinterprétation stéréochimique de ces
fvacUons.
Transformation de facide élaïdîque en acide oléique. — On
fhauife 1 acide avec une solution saturée de SO* à 200* pendant
* heures. La portion la plus fusible de Tacide obtenu, oxydée par
l t^ermanganate donne l'acide dioxystéarique F. 122-124** carac-
u''ru«at ainsi Tacide oléique formé.
Ctitxe transformation s'explique au point de vue stéréochimique
)itf la formation intermédiaire d'un acide sulfoné.
Poor savoir si Tisoraérisation observée à lieu quand s'effectue
Ufiiabon de ClOH, ou lors de la formation des dioxyacides, ou
foûD si ce sont ces derniers qui la subissent, l'auteur a fait les
'^ipï'henees suivantes : il a fait réagir Ag*0 sur les acides oxystéa-
r. }ue» chlorés et oxystéariques bromes provenant soit de l'acide
(^«pie, soit de l'acide élaïdique et a constaté que dans les deux
far Facide dioxystéarique formé était le même F. 129-130®, mais
Kwmpa^né dans tous les cas d'un acide F. 73-75^ de nature indé-
•nminée. Devant les résultats peu nets obtenus et les mauvais
r^Tniemenls en dioxyacides, l'auteur s'est adressé à une autre
fttetion pour remplacer le chlore ou le brome pai» OH et il a dans
* but préparé les dérivés acétylés.
Préparation et étude des acides dioxystéariques monoacétylés.
— <Ju traite Toxyacide chloré par l'acétate d'argent en quantité
Jif*jn«;ure un peu à la théorie et on chauffe en tube scellé 12 heures
I If^. Le dérivé acétylé, sans autre purification, a été traité par
*o alcali, l'acide mis en liberté par HGl et étudié : on a trouvé ainsi
'•'«' les acides eh loroxystéariques provenant de l'acide oléique ou
''•radde élaïdique donnaient le môme acide dioxystéarique F. 126-
^ mi^îlangé toujours à des produits plus fusibles.
Àetioa delà baryte caustique sur les oxyacides chlorés. — Cette
«-(«de fui Caile pour déterminer la nature d'une substance fondant
« ïï-^ obtenue dans l'action de la baryte sur les oxyacides chlorés.
'^(Toduit analysé a pour formule C'^H^O^; son poids moléculaire
'^''îcspoûd k cette formule, il ne fixe pas d'iode ; traité par la potasse
ifâcidf suUurique étendu en tube scellé à 150** il fixe de l'eau,
tidooof un corps répondante la formule G**H''«0* fondant à 128-
Itr identique par suite avec l'acide dioxystéarique. Le produit
*«€. ans., 3« tBR«, T. XXVI, 1901. — TraT. étrang. 19
290 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
fondant à 57-60** est donc un acide glycide dont la formatiou &V%^
plique par les réactions suivantes :
Cl
I
CH3-(CH2j^.C-H CH3-(CH*)i.C-H
I -HC1= |>0
HG-(CH2)-C00H HC-(GH3)i-GOOH
Ah
celui-ci fixe de l'eau et donne :
OH H
GH3-(CH2)'î-C-H 0H-C-(CH3)^-CH*
A qui devient |
-(CH2)'ï.C00H HC-(CHy.COOH
OH OH
De ce long travail Tauteur tire les conclusions suivantes : Pacid^
chloroxystéarique provenant de Tacide oléique ne s^isomérise qui
sousFinfluence des alcalis. La transformation dans les dioxyacidtx
a lieu immédiatement dans l'action de la potasse et avec un produi
intermédiaire, Tacyde glycide, dans l'action de la baryte. Ave
Toxyde d'argent on obtient un produit normal.
L'acide chloroxystéarique de l'acide élaïdique se comporte autm
ment. Il s'isomérise complètement par les alcalis. En passant pa
le dérivé acétylé on obtient deux acides dioxystéariques.
La non production de dioxyacide normal par Ag*0 s'expliqn
par une isomérisation due à la température, ou la non précipitatio
d'un acide dioxystéarique F. 99*^,5, ceci étant d'autant plus adrnij
sible que le point de fusion 85-103** de la deuxième partie de i'alco<
indique la formation possible de l'acide considéré.
L'acide chloroxystéarique de l'acide élaïdique est donc moin
stable que celui de l'acide oléique, puisque des réactifs même fai
blos le transforment en son stéréoisomère.
La faculté de transformation des produits d'addition deClOH e,i
tîM h(Mis inverse de celle des acides libres. c. mahie.
Sur l'acide stéarique chloré ; Alexius ALBITZKT {Jouru. i
prakt. C7/., t. 61, p. 94). — L'auteur modifie le procédé de prépa
ration de PiotroNvsky (^i^er. t. 23, p. 2532); et chauffe en tub<
scellé à 150** une solution d'acide élaïdique dans l'acide acétique
saturé de HCl. L'acide chloré ainsi obtenu fond à 38-41**. L*acî«l<
•JHIMIE ORGANIQUE. 201
[ift^ré a partir de Tacide oléique fond au même point, mais est
^lu? di/Bcile à cristalliser.
Trailes par KOH à 170* ces deux acides donnent le même acide
aysléarique F. 82-85* ce point de fusion étant celui des acides
aystéariques préparés par SCHH* et les acides oléique ou élaidique.
C. MARIE.
ictton de l'anhydride acétique sur quelques acides gras ;
Ufxiiu ALBITZKT (Journ. /. prakl. Ch,, t. 61, p. 98). — L'auteur
l|)pltque la réactiou :
iR-COOH + (CH3C0)*0 = (HCO^O + 2CH3COOH,
I Hivers acides gras.
liaàe palmitique dans un anhydride F. 55-56«; Tacide oléique
teswuD anhydride cristallisé en petites tables F. 22-24** ; Tanhy-
frvif de Facide érucique fond à 47-50®. c. MAmE.
toraahydride élaidique; Michael EHALJANOFF et Alexis
tOSnt {Jouni. /. prakl. Cb,, t. 61, p. 101). — Préparé par la
"ttibode précédente il fonda 49-51**,5; l'amide correspondante
>«4ad8.94» et se solidifie à 89<»,5- c. marie.
hr II cire da Japon; A. C. GERTEL et G. van der Want.
i^>ra. f.prakt. Ch., t. 61, p. 151). — Les auteurs montrent que
* ï»ro*Jmi n'est pas une cire proprement dite mais un corps gras
L«jnus6anl de la glycérine par saponification. Ils ont constaté la
K^-^iice d'acide gras élevés dus à l'oxydation qui ac<5ompagne le
^«^^ïJmeol, etOQt extrait un acide bibasique saturé C***H*0(GOOH)«,
^•^«^ japaoique appartenant vraisemblablement à la série succi-
•W. cet acide doit se trouver dans la cire à Tétat de glycé-
^ c. MARIE.
OxTditioB de quelques acides non saturés par le mélange
<ttî4t wlfnriqne et de persulfate d'ammonium; A.A. AL-
■nn \JwrD, Soc. phys. cbim, iî., t. 32, p. 640; 1900, fasc. 7).
^ I>ias un travail antérieur (BulL, t. 22, p. 695), Fauteur a montré
?'P«H*aclion successive de HCIO et KOH sur les ac. oléique,
•*«^oe, érucique et brassidique, on obtient des ac. dioxystéari-
f^^ïtdiox^bénique différents de ceux que Ton obtient par Toxyda-
*■•• 'itfecie au moyen de MnO*K en milieu alcalin ou par Taction
'' W <ur l**b dibromures des acides non saturés.
292 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Dans le travail actuel, non encore terminé, il a recherché le
conditions qui influent sur la production de l'un ou de l'autre dé
dioxyacides stéréo-isomères; il a trouvé que les résultats sont dil
férents selon que le milieu oxydant est acide ou alcalin. Employai
un mélange de SO*H' conc. et S*0®(AzH*)* il a obtenu : av^
Tac. oléique, Tac. dioxystéarique, F. 99**,5 ; avec Tac. élaldiqtK
un dioxyacide, F. 136^,5; avec l'ac. érucique, Tac. dioxybéniqui
F. 99-100°; avec Tac. brassidique, un dioxyacide, F. 131-1 38*.
Les recherches sont continuées. a. corvisy.
Sur la réaction du chlorure de nitrosyle snr les compo&
organiques possédant une double liaison ; Wl. IPATIEW {Jour
f. prakt, Ch., t. 61, p. 114). — Les difficultés rencontrées par Ta
teur pour établir la constitution de composés à double liaison U
que l'acide pyrotérébénique
>G=GH-CH2.C00H où >C.CH-CH2GOOH ,
l'ont amené à étudier l'action du chlorure de nitrosyle sur dill
rents composés non saturés.
Le gem-diméthylêlhylène dérivé du bromure d'hexylèu«
donné un composé cristallin incolore fondant à 77-78® ayant
formule C*H**AzOCl et dérivé du carbure incomplet suivant
réaction :
<r.H2CIP
Az(OH)
Ce corps doit être regardé comme l'oxime de la p.-chlorélli
propylcétone,
Le geai'diéthylmétbyléthylène oblenu par l'action de Taci
oxalique sur le triéthylcarbinol donne un composé F. 57-o9** réjj
dant à la formule CH'^AzOGl et ayant la constitution suivante
G2H\ G2H\ I
>G=GH-GH3 + AzOGl = >CGl-C= AzOH .
Cm^/ . C2H5/
Le {jeni-méthyléthylinéthyléthylènu préparé par l'action »îu bix
sur le diélhylméthylcarbinol donne un produit F. 67-67« de foni
CH3v I
G^inUzOCl = >GGI-G=A2(0Hk
GH3/
CHIMIE ORGANIQUE. 293
L'cxieur n a pas pu obtenir de produit cristallisé avec le méthylprch
^yMyl^ne àërwè de Tiodure d*hexyle, ni avec le diamylène pré-
[^ par SO*H* et le diméthyléthylcarbinol. Il en conclut dans ce
fenuercas que le carbure ne doit pas contenir de groupement
>C=C<ou>C=CH-,
léUopropjrlélhylf'ne n'a pas donné non plus de produit cristallisé.
AgUod du chlorure de nitrosylo sur les étbers gem- éthyl^
^Iriiqaes bisubstitués, — Vétber gem-diméibylaHyléthylIque
fiofme UQ produit F. 79*,5«^0«,5, dont la formule est
CH3v /AzCOH)
CîH«*OAzOCl = >CC1-G<
CH3/ NCH20C2H5.
Vétber gem-^iéihylallyléthyUque donne des prismes F. 88-89®
àt formule
C2H\ yAzOH
>CG1-C<:
C»H5/ \CH2-0-C2H5
C?Hi«OAzOCI = >CG1-C<
V:nO!l DU CHLORURE DE NITROSYLE SUR DES ETHERS OEM-ALLYLMALO-
^gMê> wscasTrruÉs . — Etber gem^diméthylallylmalonique . —
(^produit obtenu F. 85-87» a la formule
CH3v ^Az(OH)
r.wH»o*Aioci = >cci-af
CH3/ \GH2-CH(C02C2H5)2
?i*efi feii un dérivé d'un acide cétonique.
l^élher gem-diéthylallylamloDique donne un produit de même
^«BUlution fondant à 94-96'.
Caociusioas. — Seuls les composés contenant le complexe
>^CH- donnent des dérivés cristallisés avec le chlorure de
^«tn^fle. Les radicaux liés à ce complexe n'ont pas d'influence
«celle formation.
Dans la série des terpènes cette réaction a lieu pour tous les
'<ïTs teU que le pinène, le dipentène contenant le groupement
«'•«Hén^iisque >C-CH-. Le camphène, le terpinène, le phel-
***iréiH? ne le contenant pas ne donnent aucun produit cristallisé
'^cesconditions. Le sylvestrène au contraire donnant un composé
^fisUlUndoilavoir une formule contenant le groupement considéré.
Qaaût aux composés contenant C=CH«, CH=CH, CH=CH«, qui
•^donnent pas de composés cristallisés mais des liquides, l'auteur
^ rvsenre leur étude. c. marie.
ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS, \
■ les nitrosates (I); W. IPATIEW (i/oHm. /. prakt. Cb.,\
p. 129). — L'auteur rappelle les propriétés et la préparation i
trosates el des nitrosites puis décrit les composés obteDUsj
iavec les carbures éthyléniques.
qem-dimélhyléthylélbylène donne un nitrosale
OAkO^
CHS.
CeHiaAa'O»
aH\ I yAi;(OH)
CH3/ NCH*-CHJ
it à Sa* en se décomposant.
jem-diét hylmél hyJéthylèn p do n ne
OAbOi
\Az(OH)
SI", avec décomposition. Pour démontrer la constitution dti
ps l'auteur a préparé la nitroanilide
*AzOH
\AiHC«H»
1 chlorhvdrate traité par AzO*Na donne C'H's<^PJ^_ . ,^. ..
' A2(AzO>CH'
démontre que le i^orps précédent est une nitrolamine secori'
■jent'inét hylél hylmél byl'-ne donne
OAiOi
(:H\ I /CHï
, avec une décomposition donnnntavpc l'aniline un Ditrolatn
ions des aldéhydes sur l'acide phénylacétiqae et la cya-
le benzyle et quelques-uiiB de aes dérivés poar obteoii
béne et ses derivéa R. von WALTHER et A. WETZLICG
j. /. praki. Ch., t. 61, p. 169). — Synibèse du stithi-nt
;H = CHC«H». — On chaufifi à 250- en tuba scellé im mé~
CHIMIE ORGANIQUE. «95
iiogedel moi. benzaldéhyde et 1 mol. ac.phénylacétique pendant
h beores. Rendement 20 0/0.
C«H»CH CHC6H»
Dtûitrate dbydrobeuzoïne i l , par le bibro-
OAzO* OAzO«
mure de stilbène et Tazotate d'argent. Poudre cristalline F. 132**.
Aldéhyde aoîsique et acide pnénylacêlique. — On obtient le jo-
MHhoxystilbène CeH*<QQ^^"^^"*, F. 136», son dibromure
fond à 177*.
Camiûol et acide pbénylacélique : donne le p-isopropyhtilbène
^'^*^'ïr^"^*"*' ^- 8Ô% <lïbromure, F. 183^
(hOiybenzaldéàyde et ac, pbénylacélique. — On obtient la joAe-
C«H*CH = CC«H«
tTÎeoamarine l J , F. 140*, 5.
G CO
Beoialdébyde eiac.nitropbénylacétique. — fournissent V acide p-
' G«H*AzO«
mtropliéaylcinBamiqufi Gm^ = <Q^QQ^^ , F. 224°,5; son éther
^hy^ue fond à 86V
Mdéhyde anisique et ac. p-nitropbénylacétique, — Le p-méto-
iJ'^Urostilbène C«H*<qq^3^"^^"*^^°* fond à 133v
Caminol ei ac. p-nitropbénylacétiqne. — donnent le dérivé iso-
Àldt^byde salicyJique et acide p-nitrophénylacélique. On obtient
C«H*CH = CG«H4Az03
* p-nitropbénylcoumarine 1 ' aiguilles jaunes,
Coadeasaiion avec la p-cyanure de cblorobenzyle et l'acide p-
'i^pbéaylacétique. — Le cyanure qui a servi à ces recherches a
''iobteou par faction du chlorure correspondant sur un excès de
^Tuore de potassium en solution dans Falcool à 90"* bouillant.
*^fT- de chlorure donnent 85 gr. de cyanure Eb. 260-270o.
l^«utpurs ont préparé les corps suivants: a\ec\a benzaldéhyde
'^ sitrUe p-rbtoropbénylcinnamique C^H*CH = G<^i^2 , pr^s-
■-**' «ûoolores^ F. 112*,5 ; avec V aldéhyde anisique^ le nitrile p-mé-
^^f'IHihlorophéaylcinnamique, F. 127,5; avuc le lurfarol le •
^^ farfur^p^bJorophénylacrylique C^H^OCH rr C<c?î*^*» ai-
S06 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
giiilles, F. 80"; avec le pipéroiial le nilrile p-Chlorophénytmi-
thylènedioxyeinnamique '
c^mci
5°; avec Vo-nhrobenzaldéhyde, le nitrile pcthrophénvl-o
ciniiamiqiie C«H*( ^Az ^ p_ jg]-. jg dérivé méti
spondant fond à 191° et le para à 166°; avec le cuminol \\
ep-chhropli^nylisopropykiimamiqueC'H*^ ^^-az
!6°; a\ec Valdéliyde anisiqae bromée, le nitrile p-chloroplt*
p-métiioxynwnobromocinnantique C*H*Br^ G,\z
li-.
' pipéromi et le cyanure de benzyle ont donné le nitrile s
y/nicUiyiènp(lioxy(!innan}iqueCH''<:Q>C''H»Cll = G<;pV''
12°; le dérivé obtenu avec le cyanure de beazyle nitr^ fon
7».
is anteui's ont également préparé le dérivé nitrosé du cyniiiii
-cA/oro2ienz//t', fines aiguilles, F. 110", l'ac'ule p-viiloroph
cétiqufi, F. 105°, en chauflant le cyanure avec une solution il
3se concentrée el ses élhers éthyliijue, F, 32°, Kb. 260*, i
lylique bouillant au-dessus de 200°.
1 condensant oet acide p-cbloropliéi>y!,icéliqiieavcc àittèrenu
hydes ils ont obtenu : avec la Lemaldéhyde la paracblon
.èJieC«HsCH^C<H
méthoxY-p-chloro stilbdiie C«H*( " . F. ITô-.l
; l'aldéhyde saliryUque U p. ~ rliloropiiényhoumarii
»GH = CC«H*Ci
I , F. 184°; el enlln en condensant Yaldéhy
iqtie bromt-e avec l'ncide phvnylacétiqne \e p-mélhoxyaion
nwslilbnie C«HMIrGH:-CHG«ll-'
CHIMIE ORGANIQUE. 297
Qselqnes courtes commnnicaticns; T. MERZ et H.STRASSER
Jmrn. f. prakt. (;//., t. 61, p. 103). — Dixényîamine diamidée. —
Lt:> auteurs préparent cette base inconnue par la réaction :
C"H8AzH2
CUH«»<f +C»2Hî«<f .2HGl = AzH.2HCl + AzH3.
Ci2H8AzH2
-WP commence à se dë^gerà 250** et on chauffe plusieurs heures
iJîO-J40*. Le produit est extrait par distillation dans le vide vers
nW90. Rendement environ 32 0/0. On purifie par une seconde
^«bUation dans le vide sous 2°'°*,5 puis par cristallisation dans le
N?3zèoe, il fond alors à 220-221**.
Ses sels paraissent peu solubles dans l'eau. — Le chlorhydrate
préparé en agitant avec HCl, la solution benzénique de la base
coastilue un précipité légèrement jaune.
Aeiioa de la tétraméthyldiamidobenzophénone surP^-dinaphtyl-
i^siidène. — On fait réagir les deux corps dissous dans la naphta-
ïJte« présence de 2 mol. PCI*.
Le corps obtenu a une couleur cuivrée à reflets métalliques, il
e^tpeasoluble dans Teau, abandamment dans Falcool. L'analyse
woireque ce produit contient, le chlore correspondant à la for-
amie C**H*«.\2*C1 et doit avoir la constitution suivante :
C»oHV
>Az-C«2H«-Az=CiOH« = qG«H*Az(CH3)2J2.
h/ /\
Cl H
•W la préparation de Tétber monométbylique de la résorcine,
-On cbauiïe en autoclave à 180**, 2 mol. résorcine, 2 mol, hydro-
•^lede potassium et de l'alcool méthylique. — Suit la descrip-
ij-ïa «iélâîllée de la préparation. Rendement 30,3 0/0 du poids de
'•^^orcioe employée. c. marie.
Sv U iissociation des chlorhydrates d'aminés ; T. KOUR-
UTOP \Jourtt. Soc. pbjrs, cbim. R., t. 32, p. 629; 1900, fasc. 7).
-- Lauieur étudie le chlorhydrate d'aniline (F. 194% Eb. 244^»)
F**w établir dans quelle mesure ce corps se dissocie par Tébulli-
^'»; il fait usage pour cela de la chaleur latente de vaporisation
•* des formules de Clausius-Clapeyron et de Trouton. La chaleur
^ ^rapofisalion observée est 82 c»i,87 (par mol. gr.) tandis que la
aw analykk ues travaux étranoerb.
rorm. de Troulon indiquerait 10C»i,86; la diFférence 22C^. ea
voisine de la chaleur de lorrnalion; par conséquent le clilorhydrat^
d'aniline est presque totalement dissocié dans la vaporisation. ;
Les recherches sont continuées. \. wrvisy.
Sur le boniylôiie ; L. A. TCHOUGAEF (Journ. Soc. phys. chim.
R., t. 32, p. 653; 1900, fasc. 8). — L'auteur reconnail que la canv^
phène qu'il a obtenu du bornéol par la méthode xanlhog^niqutl
(Bail., t. 26, p. 18S) parait être identique à celui que Wa^er el
Brickner ont extrait du mélange decamphènes cristallisés obtenu
par l'action de KOH alcoolique sur l'iodhydrale de pinène {D. cÈl
G., t. 33, p. 2121); ce carbure fond à 98° el bouta H9-iô0» ; oxjdj
par MnO*K, il donne l'ac. camphorique. a. corvisy.
NooTean procédé de purification du bornéol; L. A. TCHOU<
GAEF (Journ. Soc. phys. cbim. H., t. 32, p. 654; 1900, fasc. S},
' ~ procédé employé jusqu'ici pour purifier les bornéols actiû
ite à soumettre leurs éthei's acétiques à la distillation frar^
ie; il est très minutieux et ne conduit pas loujours au but
séparer le bornéol de l'isoliornéol, le mélanf^e ei»t dissoui
le xyléne; on y ajoute Na métallique en quantité théoriqui
utôt un peu moindre) et l'on chauffe pendant 15 à 20 h. (p.«x
. de bornéol, "75 gr. de xylène et 3*%2 de Na); ensuite oi
orme l'alcoolale en éther xanthogénique C"'H'''.OCS».CH'''
is grande partie de l'isobornéoi reste inaltérée: on l'enlt^vs
!|ue le dissolvant, par un courant de vapeur; dans ces cou
s le dérivé xanthogénique de l'isobornéol qui a pu se Former
(Composé; on continue la distillation dans la vapeur jusqu'i
'il ne pas?^e plus que de l'eau pure; on Fait cristalliser po:
dissement la matière huileuse qui reste dans la cornue; le:
ux sont puriHés par une nouvelle cristallisation dans l'alcool
ils fondent à 57° et ont (a)„ — — 38" (en sol. dans le loluênel
réi^énérer le bornéol on chauffe au B,-M. l'éther xanltiogùni-
vec un exi'i's de KOH alcooli(]ue; ensuite on ajoute de l'eari
dule par l'ac. acétique el on sépare le bornéol, qu'on achèvi
rifler par cristallisation dons l'alcoool et par distillation.
A. OTHvrsv.
' les deux formes stéréoisoméres du Citral; Fard
ANN (collabornlioN de KER^cKBAitM) [D. cli. G., l. 33, p. «77
, —Il résulte des recherches anlérieures, qu'il n'existe qui
lemi-carbazones du cilral, l'une fondantà 161*, l'autre à 17t*
CHIMIE ORGANIQUK. 299
Ce* deux ï^ini-carbazones correspondent à deux formes stéréo-
tfoώres du citral. Ces deux formes se transforment partiellement
lune dans fautre, soit lorsqu*OQ décompose par la soude leurs
'iérivês bydrosulfonés, soit lorsqu'on décompose les semi-carba-
iDo«s; dans tous les cas, le mélange régénéré de ci trais a et 7)
loaml une semi-carbazone fondant à 135<^.
Le ri/rfl/ A (sem.-carb. f. à 171^j a été préparé à l'état de pureté
^ profitant de celte circonstance qu'il se combine moins rapide-
Bfteoi à Facide cyanacétique que le citral a,
Eo extrayant à rélher avant que la condensation ne soit achevée
m «lève le citral b. Lac, a,'citralidènecyanacétique f. à 122**;
rr. i f. à 94*.
Le dirai b bout à lOSlOi*» (non corr.) sous 10-12 mm. (citral
« I00-H2*), (/= 0,888 à 19^, son oxime bout à 186-138*» sous
Il vm (oxime a : 14â-145<').
Condensé avec l'acétone, le citral b donne une pseudoionone
«^«t li semi-carbazone fond à 143-144*; un mélange de cette sem.-
«îii. t?ec celle de la pseudoionone du citral a (F. 142) fond è 115-
tSO* La pseudoionone du citral b conduit à une ionone formée
"'înoot d*9-ionone avec un peu de p-ionone. r. marquis.
hr racétal du citronnellal ; C. HARRIES {D. ch. G., t. 33,
t- '67; 1900). — Le citronnellal se laisse acétaliser, soit par la
^*?*^e de Fischer, soit par la méthode de Claisen.
l* 8gr- de citronnellal (purifié par le bisulfite) sont abandonnés
'îwiresensol. mélhyliqueà 1 0/0 de HCl, on obtient 5^,8 d'acétal
*t*t se o;o de la théorie;
2" 26 gr. de citronnellal abandonnés 8 heures avec du chlorhy-
■*^ d'élher imidoformique donnent 27«f',5 d'acétal soit 81 0/0 de
•iWone.
U diméthyiacétal bout à 110-112* sous 12-13 mm. d=0,S8b
■*^Vi. R. MARQUIS.
hr la métb7l-2-bepten-4-one-6 et la synthèse d'un acide
v^^rtmqne alipbatiqne; Ferd. TIEMANN yD. ch. G,, t. 33,
' 'W^ ; 1900). — Ces recherches confirment la formule :
^ ':H-CH2-CH = CH-CO-GH^ ,
'î^iée par Barbier et Bouveault à cette méthylhepténone que
"ter propose de nommer a-isométb/lbepténonp.
300 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Celte cétone a été préparée par le procédé de Léser et puriHif
par transformation en acide hydrosul Tonique, ce dernier étant
mposé par la soude à 30 0/0. Rendement: 50 0/0. Eb. deU
le : 178-180° (corr.) ou 65- sou8 10 mm.
itai-carbazone. — Par le chlorhydrate de semi-carbazide d
tate de Na en so). hydroalcoolique, f. à 1 13' ; elle est unique,
rairement aux Tails observés par Léser qui en a obtenu deul
100*61115").
isemi-carbazone. — 6 gr. de chlorhyd. de semi-carbazidl
rr. acétate Na, 45 gr. H*0, 8 gr. de célone et assez d'alcoo
- éclaircir, on verse dans l'eau après un jour de repos et cris
36 dans l'alcool, F. 182°. Convient mieux que la mobosemi
azone pour caractériser l'a-isométhylhepténone.
xydation de tit-isomélbylbepléaone. — Celte oxydation, déji
iséepar Barbier et Bouveault au moyen du mélange chromiqut
avait fourni de l'acide isovalérique; pour éviter toute possi
é d'isomérisation, l'auteur a d'abord oxydé la cétone "pt
)*K,leglycol obtenu étant ensuite oxydé par l'acide chromiqiu
)roduit d'oxydation fut encore l'acide isovalérique et la consti
)n de Barbier et Bouveault fut ainsi confirmée.
(ber oxydibydroisogéraïUqae. — A un mélange de 31",
isomélhylhepténoue et de 41", 75 d'éther bromacétii|uo u
ite par, portions de 1 gr. : 16«',â5 de zinc en limaille et I'b
jffe au B.-M. Le produit est traité par 250 gr. de SOH«
I/O et entraîné par la vapeur d'eau. On fractionne dans le vid
: 125-136" sous 20 mm. ; rendement ; 50 0/0 de la cétone en
fée; c/=0,y3«ô à 17"; 0^ = 1,45579, réfraction moléc. 01.1
c. 60.83).
(CH3)«=CH-CH*-CH=CH-C=CH.CO«H
cide isogéranique i
^.d'étheroxydihydroisogéranique sont saponifiés à rébullitii
40 gr. KOH à 33 0/0 et 60 gr. alcool. On étend d'eau, enl^
âther le produit non saponiflé et acidulé, l'acide oxydihydro n
liberté est enlevé par l'éther et distillé dans te vide, il p*»
■s de l'eau ot du CO* en donnant l'ac. isogéraoique {15 gr.)
l'isogéraniolcno.
,'acide est liquide, Eb.: 151-154° sous 14 mm.,rf = 0,959è 1
^l,i!)191, réfraction moiéc. 50.81 (cale. 49.05). L'oxydatî
nganique donne de l'acide acétique et de l'acide isovalériquL*.
(CHï)*=GH-CH*-CH=CH-C^CH»
'sogéraniolènc l . — LJqui<
CHIMIE ORGANIQUE. 301
EL U0--142*: rf= 0,761 à 17«; «^ = 1,45409; réfraction raoléc
i4J3(calc. 4^.0â). r. marquis.
Sar It tantcétone et sas dérivés; F. W. SEHMLER(Z>. ch. G.,
t 33, p. 275 ; 1900). — Il résulte de nouvelles recherches que la
fonuuledelatanacétone doit être modifiée dans la forme suivante:
CH2
;H3
Isotbayoae. — LMsothuyone. réduite par Na en solution
»lfoolique donne Valcool tbuyamentbylique G*<*H*<>0, que Toxyda-
Uoo transforme en tbuvamenthone^ laquelle n'est pas identique
«^ecla télrahydrocarvone.
Wâliach (Z>. ch. G., t. 30, p. 247 et Bull (3). t. 18, p. 900]
imdéjà soumis l'isothuyone à Toxydation manganique. L'auteur
* rrfkit cette oxydation et obtient des résultats qui ne concordent
iweotièremenl avec ceux de Wallach.
li 6e forme un corps bouillant à 273° en perdant de Teau et se
ï'uefonnanl en un corps qui cristallise et fond à 43**. Ce corps est
^cétolaclone : C«H<«03 dont Toxime f. à 155«; on l'obtient aussi
^i«» Toxydation chromique de la thuyamenthone. Cette cétolac-
^jw, oxydée de nouveau, donne un acide C®Hi*0^ ; ce dernier
"^-âgil avec Thydroxylamine, mais ne donne pas d'oxime solide ;
ïydé par le broine et la soude, il donne l'acide isopropylsucci-
^^. L'acide C®H**0* est donc Vacide isopropyllévulique,
^ faits permettent d'établir la constitution de Tisothuyone :
CH3 CW CH3 CH3 CH3 CH^
\y \/ \/
GH CH CH
CH» i:n CH3 CH CH3 C
(XK C
'C02H •
:H2 J/NjHa
CO \/^^
CD O C
I I
CH3 CH3
Aci^ iMf r»|ryUévMliqoe. CéloUcione. Uoibayone.
30» ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEKâ.
La thuyamenlhone et la tanacélone auroot les fonnuleb :
vantes :
CH3 CHî CHi CHî
CH
I
(;h3 ch
Hf.l
'\ Jco ch'/ /bo
"X/'"
s riâomérisation de la laoacétone en isothuyone, c'est l'an-
I 3 chaiDong qui est ouvert par tlxatioo d'eau et déshydrata-
msécutive. r. marqlis.
ion de t'iodore d'6thyle sur la caféine; A. I. ROSSOLDIQ
I. -Soc. phys. ciiiin. R., t. 32, p. 727; 1900, fasc. 8). — U
ion et les principales propriétés de l'iodure d'éibylcaféiDO
!jâ été indiquées d'après une commun ii^atlon prélimioairfi
t. '2i, p. 675). Ce corps est très stable à l'air à la lempéra-
■dinaire, mais l'eau le décompose facilement,
■ol. dans ralcool absolu et abandonné à l'air, il se décompoMi
u bout de quelques jours, et la liqueur contient une subs-
fusible à 147° et ne contenant plus d'iode,
lécomposition par l'eau est assez rapide pour qu'on pui^^n
1 par Ag.\zO*, — Chauiïant au B,-M. pcmiant 3 h. l'iodiut;
Icaféiue eu sol. dans l'alcool absolu avec AgCI fraicheinenl
ilé, on obtient le cblorure correspondant
C'H'OAz^Os.GïHiCI.
m incolores, F, IH^-lua" (comme l'iodurei, avec décomposi-
ropriélés analogues à celles de l'iodure. — Le chloropati'
:C8H'0Az*0».C*H»CI)» f PtCl' est une poudi-c oraogéi-.
; de petites aiguilles microscopiques; chautTé au B.-M., il ->f
jiose. — Le cliloraurale C«H'".\z'0».C*H»OI ; AuCI» eM
itblr; petites aiguilk-s jaune clair, F. 18**". a, convisy.
isformations des alcaloïdes du quinquina en dérivés de
léuylqainoléine; Wilhetm KŒNIGS tJourn. r. prakt. Ch..
p. 1). — L'iiulcur étudie les produits intermédiaires entre
nchène et la 7-pL.'-iiolquinoléineC»H«.\zC«H*IOH) ; il cherch.-
lir plus solidement les relations iiidiquée>)i&r lui eniro l'api»
CHIMIE ORGANIQUE. 303
nocLene C«H«»AzO, l'apoquinène C«»H<»AzO* et la «r-phénolqui-
koJéioe. Ij rappelle comment à partir des alcaloïdes des quinquinas
D obtient TapociDchène et Tapoquinène et donne des produits qui
a dérivent par oxydation le tableau suivant
(?H*Ai
I yOH
</H*A2
\:h-c
CH3
éc I ac. e«bjU>iy
C9H«Az
I /OG2H5
6H2f-C0-CH3 (i)
Kéto-étbylapociochèoe.
I yOC>H5
6«HV-C02H (2)
^C02H (1)
\c. quiooléiue piieuolul
diearbooiqae.
C9H6AZ
C6H2^02H (2)
\C2H5 (1)
Ac. ôtbylapocinchènique.
C^H«Az
I yOH
Homo-apociocbèoe.
I .0CIH5
COCIP
C'*H«Az
I /OC2H5
NCO'H
Ac élhylhomo-
aporinchéoiqae.
OH^Az
C«H*0C2H*
C^H^Az
I
C«H*OH
QainoléiDe pbénétol. Qoiooléine pbéool.
t -îf t»jnire ensuite que la phénylquinoléine ainsi obtenue corres-
(^odi U 7. o-oxyphénylquinoléine
f^ui» il donne la relation qui existe entre Tapocinchène et l'apo-
f^^ïWie en montrant que celui-ci, amidé, diazoté, etc., fournit le
>«mier de ces corp> :
C3Hi C2H^
H/^cnï' h/Ng2H5
I ^ I
OH
Apiiininôn'
304
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
Quant au groupe G*^H*5(0H)Az, il le considère comme ne conl
nant pas tout formé le noyau de six carbones; ce noyau prei
drait naissance par fermeture d'une chaîne de six carbon
pendant la formation de Tapocinchène ou de Tapoquinène à par
du cinchène ou du quinène
Ses recherches et celles de Skraup amènent Tauteur à donii
pour formules vraisemblables a tous ces corps les formules de coi
titution qui suivent :
CH GH
H^a/pjal. ^GH-CH=CH2
H2C
H2G
/
/
HO
CH2
H-CH=GH2
S
GH2
/
GH2
\/
Az
GH2
I
G^H^Az
Cinchoniae.
GO'H
GH2
I
GH
/\
H2^/ \cH-GH=GH2
ÏPG
\ /
AzH
GH2
MeruqaiDène.
(*) en
WC i^)^
/
\
\
( : (i)
i
GH2
I
GH2
(1) GH-GH=GH2
iti) GH2
■ ••••••••'^ X X
Az
11
(1)c:h
I
G^H^Az
Ciocbeue.
GO
\ AzH
GH2
G^H^A:
GHa
Ciocholoxine.
H2C
^H-G02H
H2C. XH2
\/
AzH
Ac. cinebolœponlqoe.
G2H5
I
(*)G
HG (3)/' ^G-G'H»
HG (i
\
GOH
V
(1)G
G9H«Az
Apocinchène.
CHIMIE ORGANIQUE. 305
La ligne I dans la formule du cinchène indique la scission d'après
l'tiqiialion
CiîH»Aï2 -}. 2 H^O = GH3C9H6AZ + CH'^AzOa,
Qochèa/t. Lépidioe. Meroquloène.
ri la li^e U réliinination possible d'ammoniaque par hydrala-
ùou,
La réaclion précédente, le caractère très net de base tertiaire,
les expérieocr-s personnelles de l'auteur et d'autres encore l'amè-
teTit à conclure à la préexistence d'un rjsle de pipéridine dans les
u-oiècules du cinchène et des alcaloïdes des quinquinas.
PARTIE KXPKfUMENTALE. — Apociiichone 0*»H*^AzO. — On traite
iw^. de cinchène pendant 40 heures au réfrigérant à reflux par
l'jWcm* d'HBr (D = 1,49). Le bromhydraie obtenu, filtré et lavé
^ïrcde l'acide bromhydrique étendu, est dissous dans Talcool,
pu^flliré. sursaturé chaud par l'ammoniaque et versé dans beau-
'"jptTeau. La poudre cristalline obtenue est recristallisée dans
Tâli^ooi Iwuillant. Elle est incolore et fond à 209-2 10<». Rendement
♦"UOpoiir réqualion.
C13H20A23 + HïO = C»9Hï9AzO -f- AzH3.
UsoluUon séparée du précipité primitif contient le dibydrocin-
•^C«»H*'Az*. Oxydé par l'acide chromique il fournit l'acide cin-
'^ftuaïi\ne i-^-quinoIéJne carbonique) . Les alcalis fondus l'oxydent en
'ippociacbèat* G**H***AzO* qui est vraisemblablement un dérivé
'ttcarboslmle. '.
Dérivés BÎlrés et amidés C'^H'^Az^O^. — Aiguilles incolores,
F. â8»,avec décomposition, obtenues par AzO*Na.
^^oroplalinale [C««H«^Az«03j]*H«PtCl«. - Cristallisé avec une
! i molécule deau qu'il perd à 150'*.
^k de soude et de potassepeusoluble dans l'eau alcalinée, faci-
**Tû^t solubles dans l'alcool.
^midoopociucbène C'*H*«(AzH*)Az0. — Aiguilles à peu près
^ï^^res, F. âSC, obtenues par réduction du nitro par HCl et Sn.
La Qitraiion par AzO^H donne un second dérivé mononitré dont
^ ^ C«»H««Az«0«,HCl + HK) a été analysé.
Telnibjrdroapocincbcne C^m^AzO. — Par Sn et HCl, résine
,*îme clair soluble dans les réactifs organiques neutres donnant un
^m«aiacêlylécristalh3éC«»H*<<^^QVH?0' fines aiguilles, F. 133-
'^'•. Saponifié il fournit la base libre cristallisée. Précipitée de ses
■^^par NaOH elle forme des flocons jaunes, F. iô-oO**
••c oim., 9« MR., T. XXVI, 190i. ^ Tray. étrtng. 20
30Q ANALYSE DES TRAVAUX ÊTHANGEHS.
Prmluits doxydulion de fapocinchènt: — Son allier élbylique
par KiO*ti étendu donne une petite quantité d'une base volatile
itvec la vaiieiii- d'eau crislalir>able iiii^olore, F. 101-102", répondant à
une quinoléine aldéhyde CH^AzCNO. T'ar SO*H» et le hioxyde de
manganèse on obtient un mô\ange de kéloélhylapocincliène, d'acidr
vthyhpocinchomque el de lactone de l'acide éthyloxyapociacbé'
nique.
/OG''H»
KvtoCth vkpovincbàne Cn^k^CfiW^CO - CH^ — Cristallise d'uu
ligro'ine et iféther en mamelons incolores, F. 104-
ne fond k i81-l?4*,
OC»H'
H«Ai:0''H*^CO . — crislaHiso dans l'alcool më
\>0
XH-CH»
12-213", HBr la tronsronne en lactone Ac l'aLide oxy-
on
^CH-CH>
ées, F. 274° »e rarnollis^anl dès 260', et transtorma-
cenicnt pni' Hl et P en bomoapociuclirne
C9||«AzC6H24
jiùiin-phéui-loldicarhomquL' C»H«AzC«H3<*^'^|J* ^. J
iictoiic pri'cédenle par une solution alcaline de brom
. peu soluble dans l'alcool à~0et800/0.ni<'-me H cliiu
à froid en petits cristaux fondant vers 236° avec dé;:!
i. Sels de sou le et de potasse solubles dans l'eau 4
e Kn soliible dans l'trau bouillante. Sel d'iirioïnl ius4
AU. Hoime faeilement par le chlorure d'acét jle l'auli]
1/0* aiguilles feutrées, F. 210-211
'.le rrlliylbfiiuoapociuchvm: — AzO'H étendu (loaoi
âS(>" et en même temps un dérivé uitré. F. Il»
I* ou MnO' donnent nai^^allce à une cétone
\.
CHIMIE ORGANIQUE 307
F. l'JT-lO^ en même temps qu'à l'acide élbylhoraoapocinchénique
C«H«AzC«H5<
K. i')3-2SI* et i l'acide cinchénique.
L*acide éthylbomoapocincbèr,i(fue donne avec HBr Tacide homo-
if^iaebénique (?H«AzC«H*<9qjo qui ne fond pas encore à 290«.
Ct»lftdde chauffé avec du zinc en poudre donne la phénolquino-
tiiïi?C^H«AzG«H*OH, F. 108% et sans doute i^ussi le yphénylqui-
noirine,
QamléiaepbéwUof C*H^AzG«H*OC®H* et qiiinoWnephénoL —
1/ ^ d'Ag de Tacide éthylhoinoapocinchénique à 280-290*' perd
0.*»el donne ta quinoléinepbénétol cristallisée en aiguilles inco-
**e> réunies en houppes, F. 80-81**. — Ce corps traité par HBp
•i-ftoe la quiuoléwepbcnol. F. 207-208*». Son chlorhydrate fond à
W, le tH^aihydrate vers 274*. Distillée avec du zinc en poudre
'iie donne de la quinoléine et peut être aussi de la f-phénylquino-
Àpojtiiaf^ne. — Ou fait bouillir le quinène avec HBr rf=l,49
?^^i 30 ou iO heures. Après purification le produit fond à 246^
•** Rendement 40 0/0 pour l'équation.
'^H«tOCH5)A«» f 3HBi- t-H20=C»9HW(OH)ÂzO. HBr-|-AzH*Br+CH3Br
Queie. ApoquiDène.
lit-^i-Amidoétbylapocincbi'ne AzH«C»H5AzC«oH««OH. — On
'Wfe Tapocinchène avec le chlorure de zinc et d'ammoniaque à
«'^60»; croûtes cristallines, F. 229-230».
tit-^Amidoéibylapocincbène AzH«C»H»AzO«oH<«OC7H«. — On
•Tiwie précédent par C'HM. Petits cristaux incolores, F. Ii8-150*,
«oleinent solubles, solvants organiques, sauf ligroïne.
Tnn.^tormaUon du HzS'Amidoapocincbène en apocincbdae. —
*>«diazole en refroidissant avec de la glace, puis on traite par la
■^Hî de cuivre ; finalement on obtient Tapocinchène qui après
^mficilion fond à 210-21 1», et que Ton caractérise par son dérivé
ftA/rfroc/flcAêiie. — Kaux-mères de l'apocinchène. Base inco-
■'% F. 14,>, chloroplatinate peusoluble fondant au-dessus de 265**.
308 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Le picrate, F. 197®, est très peu soluble dans Talcool. L'ébuUilion
avec P0*H3 à 25 0/0 le scinde suivant l'équation.
Gi9H22Az2 + 2 H20 — G»oH^Az + CnV^XiO^.
DibyJrociDcliëne. Lépidine. CioGbulOBpooe.
C. MARIE.
I
Combinaisons du chlorure de bismuth avec les bases orga*
niques; L. VANINO et 0. HAUSER (D. ch. G., t. 34 p. 4in;
25.2.1901). — Le chlorure de bismutli se dissout sans altéraliun
dans Tacélone et la sol. additionnée de bases organiques fouinlt
des pptés. Dans le cas de Taniline, et autres bases aininobenzt-
niques, on a des dépôts amorphes, peu azotés et mal définis, mai-
avec d'autres bases on obtient des pptés cristallins bien caracléri--
tiques qui peuvent être, suivant les cas, des combinaisons deBiCUv;
soit avec le chlorhydrate de la base, soit avec la base libre.
Chlorure de bismuth et quinoléine BiCl^.C^HC'Az. — Un exi**H
de base versé dans la sol. acétonique de BiCl^ donnne une bouilli I
cristalline épaisse, un peu sol. dansTacétone.Leselest peu altéra-
ble par Teau; si, dans la préparation, BiCP renferme un pcud'acid-l
libre, le sel est souillé de chlorure double BiCia.2(C»H'ïA2.HCl
également peu soluble.
lodure de bismuth et quinoléine BiP.G^H'Az. — Le sel pn'*^
codent ajouté à une sol. aqueuse bouillante d'iodure de potassmu
adonné une liqueur rouge foncé qui, après refroidissement, a déposa
un ppté rouge de Tiodure correspondant.
Chlorure do bismuth et chlorhydrate de quinoléine
BiG13.C9HUz.HGl.
— Le sel BiCP.C^H'^Az sedisssout aisément dans HCI étendu, el \i
liq. donne par évaporation des crist. de chlorure double.
Chlorure de bismuth et pyridine 2BiCl3.3C»H«Az. — Drji
décrit par Montemartini {Gazz. chim.f 1900, p. 493), maiss*oblien
aussi aisément sous forme de poudre blanche par la méthode ^U
l'auteur; non hygroscopique, peu altérable a l'eau; décomposé p;*!
la chaleur en BiCl^ et pyridine.
lodure de bismuth et pyridine BiP.C*H*Az. — Même prépa-
ration que pour la quinoléine. Foudre rouge foncé, llnemen
crlstaUiue, un peu soluble à chaud dans Talcool ou dans une >ol
de Kl; se dépose de cette dernière par refroidissement enpo'.iUN
aiguilles.
CHIMIE , ORGANIQUE. 309
Chlorure de bismuth e( chlorhydrate de pyridine
2BiC|3.3(C5H5Az.HCI).
— La combinaison chlorure de bismuth et pyridine se dissout dans
HQ étendu et la sol. fournil par évaporation de belles aiguilles
(Ju s*^l double; ce sel est décomposé par l'eau avec dépôt deBiOCI.
Chlorure de bismuth et a-naphtylamine 3BiC13.2C«oHUzH«.
— L'riesol. concentrée de a-naphlylamine dans Facétone, versée en
rxccs dans une solution acélonique deBiCl^ fournit un pplé blanc
imuUin un peu sol. dans HCl étendu et dans Tacétone, décom-
tichahle par Peau, et aussi par un excès de HCl ; dans ce dernier
i*, Il >e fait BiCl» et C^oHUzH^HCl.
lodure de bismuth et fi-naphtylamine B\P.20^WA'M^. — On
|4ixMe comme pour la pyridine et la quinoléine ; la liq. rouge
**ag filtrée à chaud pour séparer une résine brun foncé, puis
e^^poree dans le dessiccateur fournit de longues aiguilles rouge
ioocé coupées en faisceaux, ce corps ne peut être lavé sansdécom-
/>»ilioo, le rendement est du reste très faible. l. bourgeois.
Iir rassence de jasmin (IV) ; Albert HESSE (D. ch. G., t. 33,
p. IS8o; 1900). — L'auteur a effectué ses recherches sur du
< jisujiQ pur » obtenu pai* extraction des fleurs fraîches de jasmin
<Q moyen d*un solvant volatil.
W gr. de ce produit distillé avec de la vapeur d'eau fournissent
lOgr. ib 0/0) d'essence de rf = 0,940 à 15*; indice de saponiBca-
Uoo 151 ,i correspondant à 41 0/0 d*acétate de benzyle. La saponi-
âcatioo de Tessenre au moyen de KOH alcoolique donne de Tacide
>^que et de Tacide benzoïque, ainsi qu'un produit neutre qui ne
loûœ pas de précipité rouge par Tac. picrique. La solution
•Icoolique de cette essence ne présente pas de fluorescence.
•* gr. d'essence furent fractionnés, et les premières portions .
"SW»/ ' ox)dés par MnOK en vue de la recherche de Tacétate de
tatzjle, qui ne put être décelé que par son odeur. Dans les por-
u»i îW-160*, Tindol fut recherché san* succès au moyen de Tac.
pcnque. L*e5$ence de jasmin retirée de la pommade de jasmin
'ionoe au contraire la réaction de Tindol.
D rémilte de ces recherches : !• q le l'essence retirée des fleurs
'^ i%imin par extraction ne contient pas d*éther anthranilique ;
^ qu'elle ne contient pas d'indol. L'auteur en conclut que Tindol
Mpreo^l aaissaoce dans les fleurs de jasmin qu'après qu'elles sont
QietUies.
10 ANALYSE DEB TRAVAUX kTRANGERP.
Ces faits esptiquent aussi la qualité supérieure de l'efsenct dt-
n obteiiuA par enfleurnge, à laquelle ta présence <le l'iiitlol
) toute sa valeur. n. M\Kuriâ.
' 1« civette, le jasmia et la rose; Heinrich WALBADM [It.
'., l. 33, p. 1003 ; 1900), — L'es^îonce de JHSinia obtenue it
(le In pommade dejasniiDcotitient un corps, que l'on retrouve
les portions à point d'éliullitiou élevé, et dont l'odeur rapiu^De
du ac.alol ou de l'indol. La cîvetle étant employée dans la
:ation de ces pommades, l'nuleur a songé k rechercher le
et l'indol dans celte sécrétion animale.
I (jr. de civelle provenant de l'espèce Civetta Viverra i-lanl
es avec de l'eau donnèrent environ O.t de scatol f. À !>5*,
pas trace d'indol. Rapprochant ces faits do ceux observi^> par
{, l'auteur admet la conclusion de ce dernier, que l'iuilol
naissance dans les fleurs après la cueillette. Il cite à l'appui
tte conclusion ce fait, observé au laboratoire de Schinimel
', que des fleurs donnaient, au bout d'un certain temps, une
ce contenant des principes que l'on ne pouvait rHlrniivcr
l'état de traces, dans l'huile obtenue avec les fleurs fraîches.
, des feuilles de roses séciiées, on peut extraire, avec un bon
(ment, de VbIcooI phpiiylciliyliquc, alors qu'on n'en trouve
'orl peu dans l'essence de roses préparée avec des Jleur^
leS. R. HAIIlJtJIS.
r la prAsence de l'alcool pbénylétbyliqae dans les roseï ;
rich WALBADH {D. ch. G.. I. 33. p. ^£299 ; 19 0). - 1/au-
montre que le constituant principal de l'huile obleuut^ pur
rtion H l'éther des ieuilles de roses sèches ou fr«iches e^l
ol phénylélhylique. Ce dernier a été caractérisé par son
lilurélhane f. à tiO' et par la lormation d'acide phény lacet ique
l'action du mélange cliromique. r. uahquis.
r l'eBsence de bois de sapin (Pions abiea L.) ; Peter KLASOlt
h. G., t. 33, p. £:H3; IIHJO). — L'auteur a examiné les huiles
e séparent des lessives de bisullltc ayant servi au traitement
isde sapin, et les u trouvées constituées presque enlièremenl
u cymène. n. marquis.
' nae synthèse de i'hydantolne ; C. HARRIES et M. MAUBD8
(.(;.,l.31,p.34I8il0.1i.iyOO).— Leglycocolleesttranstorm*
lorhydraie de son étrier éUiylii|ue HCI.AzH».CH»CO«C*H»;
dlIMIE ;ORGANIQUE. 3il
ce dernier réagit sur le cyanate de potasse, en sol. aq., avec format.
(]*> ielher éihylique de Tac. hydantoïque ; par fusion ou simple
«*%vponition, en présence de HCl, cet élher se transforme en
hjrd^ntoîne
!!O.AtH2.CH'.COX:^lP + K()AzC = A2H2.GO.AzH.GH2.G02C^H5-|-KCI
Cm.AzH^
CO— AzH-
AîlP.œ.AxH.CHî.GOîCaHS^ I >GO + G2H50H;
l^'liverses rêariionss'eiïectuenl facilement et donnent des résul-
UK|tres<|ue quantitatifs. Les auteurs s'occupent de préparer les
'^^vés de rhydantoïne pour généraliser celte méthode. En rem-
H'^nt KOAzC par KSAzC, ils obtiennent l'éther éthylique de
ÏK. liiiohydantoîque, mais n'ont pas encore réussi à transfonmer
«v.*orfis en thiohydantoïne, par le procédé précèdent.
A. DE>GREZ.
Qielqaes remarques relatives à la préparation de Tacide
udécjlénicrae par distillation de Thuile de ricin ; H. THONS
^ 6. FETOLER (./l rcA. d. Pharm. t. 239. p. 1-11; 8.2.1901). —
'Jtttod on distille l'huile de ricin dans le vide, il se forme, vers la
iQ lie Topera tioa, un glycéride del'ac. triundécylénique bibasique.
^ oo chauffe davantage, le corps perd de l'acroléine et H*0, en
•i^^ttûant Tanhydride triundécylénique. Par saponification de ce
'affluer, il se forme vraisemblablement Tac. triundécylénique. Les
*aU»nrs n'ont pas réussi à l'isoler à l'état pur. Dans le mélange
*ri'ie résultant de la distillation avec KOH du résidu d'une pre-
ïwtte distillât, de l'huile de ricin, il se forme un nouveau membre
*V*la àéne de Tac. oléique, renfermant 16 C et fondant à 86*.
A. DBSGREZ.
Obterrations sur les travaux de Bode et Kohi snr la chloro-
FkjUe; HARCELE WSKI {Journ. f, prakL Ch.yi. 61, p. 47). —
^tfle de polémique et discusion des résultats publiés par Bode.
W/i. /. prackt. Cb., i. 60, p. 385 et Dolaniches Centralbl, 70,
t' îfîl. c. MARIE.
Bv rtntipeptone ; Fr. KUTSCHER {D. cb. G., t. 33, p. 3457 ;
lO.lliyoO). — Nouvel article de polémique en réponse à Siegfried ;
^ »iivergenceâ d'opinion de ces deux auteurs, sur la nature d(»
• «niipepiooe, paraissent enfin s'expliquer par c^ fait qu'ils n'effec-
81Î ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
tuent la digestion trypsique ni sur It^ mêmes subtaoces albumi-
iioidcs, ni dans les mêmes condillons flxpérimenlales.
Sar une nonvelle réaction de la cbolestérine L. A. TCHOU-
GAEF {Joiirn. Soc. phys. cliini. R., t, 32, p. 363, 1900, fasc. 5),
— Les clilonires d'acides gras ou aromatiques cliaufTés avec tir
peu de cholestérine en sol. dans le chloroforme, donnent en piv-
sence de ZnCl' des colorations caractéristiques. Dans un but pm-
ti<iue, pour reconnaître la cholestérine, il convient d'opérer df \t
favon suivante : la cholestérine est disi^oule dans de l'ac. ac^tiqui
anhydre; on ajoute à la sol. un excès de chlorure d'acétyle v
quelques morceaux de ZnCI*; la coloration apparaît par la chalciii
et elle atteint son maximum d'intensité aprèsô minutes d'ébullitini
nu; la liqueur devient rouge ou rose, selon la quantité d(
itérine, et elle présente une fluorescence jaune verdàtre
réaction est beaucoup plus sensible que celle de Liebermann
le est encore visible pour une dilution de I p. de cholestérini
X)00 p. do liquide. a. corvisv.
^e sur le dosage de t'aoide hippurique; W. A. GATES
m. A'eivs, t. 83, p. 121 ; 3.1901). — L'auteur indique uni
iication de la méthode de Bunge et Schmiedcberg. Celle-r
ste à évaporer l'urine à sec et à traiter le résidu successive
par l'alcool absolu, l'éther acétique et l'éther de pétrole
ie hippurique ainsi obtenu est dissous dans l'eau chaude
)ré à cristallisation, filtré, séché et pesé.
luteur supprime cette dernière cristallisation et titre directe
ta solution acjueNSc chaude par la soude décinonnale et 1)
alphtaléinc. a. HéaEnT.
ide chimique et pharmacologique du Catha ednlla; A
TER [Arc-h. il. Plmrni., t. 239, p. 17; 8.2.1901). — L'aulcu
.'abord l'historique, puis l'étude botani<|uo de cette plante. I
e ensuite le modo de préparation de la câline, alcaloïde de lorin
able C"'H'^Az*0. Essayée en injections sur dos grenouilles
Bidjslancf' provoque des sympliimes de paralysie, à la dos-
i'.Ol à 0*',0:i. La plante renferme, en outre, des matières rési
es et colorantes, une huile éthérée, fhi tanin et de la mannili'
leur indique les procédés mis en (euvre pour séparer el carao
er ces diverses substances. *. nesoMiz.
CHLMIE ORGANIQUE. 318
Sar la damascémne, principe des semences dn nigella
iiBisoena; H. POHHfiBEHNE (Arcb. d, Pharm,, t. 239, p. 34;
f.lfyul KOH alcool, réagit sur la damaseénine, au b.-m. avec
nfri^-érant « reflux, en donnant naissance à un corps de fonct. ac,
1 après rëquation
l'MPiAilPHCJ-f H20^+2KOH=^KCI + Cî>inoKAz03 + 3H20.
l^rlac. f. à 140-141* et se comb. avec HGl en donnant le chlo-
f\iTf C»H»«A7.0'HCl + H«0, f. à 199-202^ Ce dernier donne un
^Lu)roplatinale(C?H«>Az03HCr)«PtCl*, f. à 202-203^ — L'auteur
oVfr|>n»le ces résultats en admettant que la damascénine subit, de
l»>irt des alcalis, une transposition moléc. quantitative, qui a déjà
!*•! jvec ie> alcalis faibles et leurs carbonates, et donne naissance
lotiaciiie. dont la nature et le dédoublement feront l'objet d'une
:'jt^ ullf-neure. a. desgrez
Svr la corybulbine; J. GADAHER et D. BRUNS {Arch. d.
f'iOrw , i. 239, p. 39; 8.2.1901). — Historique de cet alcaloïde.
ï^-n p. rot. est [a]«=:-i'303*»,3. Par l'action de I, il s'oxyde sui-
'lûii'r.juation
i-i «iêhydrocor\'hulbine ainsi formée se comb. avec AuCl^ en
:'>mni C«H««A20.HAuC13, f. à 19i-195°. Par l'action de Zn
?™njL?. en li<|. sulfurique, cette base se réduit, au b.-m., avec
pr'>fei'tioû de corybulbine inactive. A. desgrez.
8tr une nouTelle combinaison cristallisée dn cbloroforme;
6.U8SHER (.4rcA. d. Pharm., t. 239, p. 44; 8.2.1901). — La
i»çnrinee»i un principe constituant du leprnria lalebranim Acba-
fiSfc, lichen qui en renferme 5 1/2 0/0 environ, à côté de Tac.
r*wiii(|ue. Les recherches antérieures effectuées sur cette subs-
i*ofeluja5>ignaionl la (orm. C*'H*^0*^. L'auteur, s'inspirant des
^liTche» de Schraidt sur une combinaison cristall. de GHCl^ et
'-•'•Wbérine, a obtenu un dérivé analogue de la léprarine. La
fcm de c>^iie combin. C*»H*80«.CHCP, dans laquelle il n'entre
'••j^H*<J «le cristall., permet ainsi de rectifier la précédente form.
^nbîK'e â la léprarine et d'affirmer qu'elle doit bien être G**H**0».
A. DESGREZ.
Coatrilmtion à Téinde du chyle chez rhomme; Th. PANZER
^t. pbys, Cb.^X. 30. p. 113-116; 16.8.1900). — L'auteur a
*^î^, dans l'espace de 13 jours, quatre portions d'un liquide
314 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
chyleiix qui s'écoulait par une plaie c)iinir;;icale, après une e.\t
pation profonde de cancer du sein. Ces unalyseâ rt^vêlent ■
varifllionri étendues ilans la teneur en mat. sol., on mat. org. i-t
seU. Les mot. sol. ont oscilliS entre 9,71 ot r.,i7 0/0. 1
atribntioii A l'étade des prodnits termiaaaz d» la ctigl
pepsique; H. PFAUNDLER (Zeit. pliys. CI,., t. 30, p. dO-lfl
1900). — Vj. /unz a fait cette constatation inattendue que
ition pesptiiqno aboutit trè» rapidement à la roriiiation <
tités considérables de corps ne donnant plus 1» réaction i
!t et précipitabies par l'ac. phosphotungstique (E. Zunz, ihU
, p. I32|. Comme la quantité de peptone Tormée est Ip
iocrciZunz) on peut, après avoirélîminé lesalbnmoscK, prend
te restant comme mesure grossière de la quantité de ces corp
; des solutions de sérum-albumine contenant de0.13 à â..'>U<J
ninine l'auteur a trouvé respectivement apn'-s 7i heures <
Mion à 35 — il', de 0:3,9 à 23 0/0 de l'nzole total priuiilT, soi
rme de composés ne prénonlant plus la réaclion du biuret.
nutcnr se propose d'étu<lier de plus près ces composés, le
i apparaissent dans la dij^estîon de la sérum-Hlbumiue apr
>is d'action. Après élimination des albumoscs, qui sont en tn
e quantité, on précipite par l'iic. phospliotuni^stique le'pi
line 30.7 0/0 de l'a/.ote total dans le pplé <]ieptoneâ, <.■)<■.
is que dans le filtrai, <|ui ne donne plus la réai^tion du biiirc
Hrouve 59.7 0/0 de l'azote. Analysée d'après la mêlliuilt' '
imann (Ze'tt. pliys. Ch., t. 29, p. I9r>i, cette rractiou de l'u/j.
écompose ainsi, en centièmes. Azote amidé et Azll-'< ttl..
lino-azote, 3(.ï!; mono-azote, ôi.i 0/0.
ssant ensuite à l'analyse immiidiato de cetto fraciioD m
t)Ie par l'acide piiospbolungstiquo, l'auteur rapporte qu'il n
'énssi k en isoler des acides amidés lieucine, tyi-o-inc, et^'.} t
itité appréciable, l.es corps azotés en question se placent hui
e entre les peptoncs les plus simplifiées et les acides aiiii.li-
e. I.AVBI.INU.
latribntioD & l'étnde quantitative de la digeitioDpepBÎqoi
MtiTZ {/.l'il.phvs. Ch., t. 30, p. i-U; (6.8.1900). — K. Sd.u
montré en 18^5 que les (juanlités de produits de di(;e>ti<.
ées dans un temps déterminé sont proportionnelles aux rucint
}es des quantités relatives de pepsine. La quanlilé de pi-plou
:uite était appréciée à l'aîile dn pouvoir rotatoire (K. Sultùl^
CHIMIE ORGANIQUE. 'SU*
\bid. i 9. p. 577j. Plus lard Borrissow, se servant de la méthode
'ooDue d<? MeU, vérifia la règle posée par E. Schûtz (Borrisow,
W,«. inaug. Sainl-Pélersbourg, 1891). L*auteur a repris celle étude
fil -« servant de dissolution d'albumine de Tœuf et en comptant
winme albumine digérée, celle qui a cessé d*étre coagulable, et
loat il dosait Fazote d'après Kjeldahl, en tenant compte de la
iHiie quantité d'albumine non coagulable que contient le blanc
Tiptif. Il a véritlé ainsi la règle de Schiitz el il fait remarquer, à la
tote de Hofmeister, Tanalogie qui existe entre cette règle et la loi
le la dis^cialion d*après laquelle la concentration des molécules
tsuciées, daos le cas <l'une faible dissociation est pour une même
rtxferature proportionnel le à la racine carrée de la concentralion
Wal^iNemst, Tbeor. Chein,, p. 367). e. lambllng.
Sot U yalenr alimentaire de rhétéro-albumose de la fibrine
A vu celle de la caséo-protalbumose; L. BLUH [ZeU. phys.
^-,l 30. p. 15-i4; 16.H.1900). — De Thétéro-albumose, extraite
s'ipr^ Piek t/A/V/., t. 24, p. 246 et t. 28, p. 258) de 2 kilogr. de
^^yw de Witte, a été chez un chien substituée, pendant trois
,*MNeQ quantité équivalente, à la viande d'une ration qui laissait
• l'âftimal un bien léger bénéfice d'azote. Le résultat a été aussitôt
w Kkit d'azote. Par contre, des protalbumoses préparées d'après
A>iâi>1er (/A/rf., t. 15, p. 411) en partant de la caséine se sont
«^>alfées, au point de vue alimentaire, équivalentes à l'albumine
*>• ia viande.
L'tuieur examine ensuite à quelles caractéristiques chimiques
*^^^^ï*pond l'aptitude pour une matière albuminoïde à remplacer
•^iiMuaioe ordinaire dans une ration. Il complète d'abord le travail
*^Haussmann (lA/rf., t. 29, p. 143) et celui de Pick {ibid,, t. 28,
f i^i Mjr le mode de liaison de l'azote (azote amidé, monamino-
•*^>î^ diAoïino-azote) dans la molécule de divers albuminoides
*< l«rt la viande, il aboutit à ce résultat inattendu qu'il ne parait
^ïi^^er aucune relation entre l'aptitude alimentaire des albumines
'* « r»ipariiiion de l'azote dans leur molécule. On constate seule-
*«^»|ue les malières protéiques qui peuvent remplacer l'albumine
■ûsone ration sont aussi celles qui renferment les groupements
^•wttttétnt de rindol et surtout de la tyrosine. e. lambling.
te Im premiers produits du dôdonblement de l'albumine
^Ptaence des alcalis; 0. HAAS (ZeiL pbys, Cb., t. 30, p. 61-
* 1^.8.1900). — L'auteur a recherché si dans l'action des alcalis
816 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sur ralbumine il se produit, comme dans la digestion pepsique o
dans rhydrolyse par les acides étendus, une ou plusieurs alUi
moses. Les solutions contenaient 1^,60 à 2»%25 de soufre 0/00 «
étaient maintenues de 1 à 48 heures à 15, 40 et 90'. L'attaque «
très rapide, et lorsqu'on neutralise le liquide, on constate qu*il ^
précipite un mélange d'albuminate (acidalbumine) et d'une nouvel!
albumoseValcali-albuaiose. Le filtrat contient de petites quantité
d'albumose, mais pas de peptone. L'ovalbumine et la sérum*alb^
mine se comportent de la même manière. Le reste du travail e
consacré à la description de la nouvelle albumose.
On Tobtient en chaufTant au B.-M. bouillant, pendant 3-4 heun
40 gr. d*ovalbumine sèche avec 1 lit. de soude normale. Le fillr
est additionné d'ac. acét. aussi longtemps qu'il se produit un prêt
pité, et la masse pptée abandonne à Talcool bouillant lo nouvel
albumose, laquelle se dépose en parlie par refroidissement du h
alcool. Le reste est ppté par addition d*eau ou mieux d*act*lon
Ce corps est insol. dans l'eau froide, peu sol. dans Teau bouillant
assez sol. dans Talcool à 50-60 0/0. Il n'est pas plus sol. danb I
(lissol. salines que dans Teau, mais les alcalis étendus le dissolve
facilement. Un vol. d'une sol. sat. de sulfate d'ammonium le p(
complètement. Il donne nettement la réaction de Millon et celU» i
biurel, celle de Molisch (a-naphtol), celle d'Adamkiewicz, rt
noircit la solution alcaline d'oxyde de plomb. Il renferme : G, bS.h
H, 7.19; Az, 13.62; S, 2.13 0/0. e. lambung.
Sur rhématine et rhémochromogône produites par l'actii
de la pepsine chlorhydrique sur rozyhômoglobine; R. V. ZE
NEK {Zeit. phys. CL, t. 30, 126-134; 16.8.1900). — Des solutin
d'oxyhémoglobine de cheval contenant 5 0/0 de pigment, 0,i
0,3 0 0 de HGl et de la pepsine, abandonnées à iO**, fournissent
bout de quelques jours un dépôt brun d'hématine, que l'on met
suspension dans de l'acétone et que l'on transforme en héminp
ajoutant, par petites portions, un peu plus que la quantité théonq
de HGl. Tout se dissout, et l'hémine se dépose peu après en x\
beaux cristaux, dont l'analyse conduit à la formule C^*H^* Az'FeCK
Dissons dr«ns la soude étendue, puis traités par l'ac. sulfurique dili
ces cristaux fournissent une hématine renfermant C'*H-'^A2*Fr^
Le-i deux produits se dis'ingueni par leur forte teneur en uzn
Vin rédu'snnt cette hémmine d'après un procédé aotérieurenu
décrit par lui [Zeit. phys, (Ih, 25, 49i), l'auteur a obtenu, comi
précédemment, une combinaison ammoniacale de rhémochrou
gène de formule C3*H3«Az«FeO* ou C«»H"«Az«*Fe«0«.
CHIMIE ORGANIQUE. 317
OsQtrâtretneot aux assertions de Kobert, la pyridine est irnpiiis-
afi;<* à réduire à elle seule Thématine à réUil d*hémochromogène,
E. LAMBLING.
Sor le ferment oxydant des aldéhydes contenu dans le foie
i les capsules surrénales; H. JAK0B7 [Zeit. phys. Ch,, t. 30,
. i3>ll«; 16.8.1900). — Du foie de bœuf frais esl trituré »vec
b '<ûl)le et extrait avec de Teau distillée froide en présence de
i»!uol. Le filtrat esl addiiionué d'une solu'iou sit. de sulfate d'am-
umnm de telle façon que le mélange soit à 25 0/0 de la saturation
i.U!e, puis on ajoute un peu de carbonate de soude jusqu'à réac-
trjiégêrement alcaline. On filtre après 2{ h. et le nouveau filtrat
ft* additionné de sulfate d'ammonium de telle façon qu'on soit à
R'^îiiO de la saturation. On filtre encore après 24 h. et on amène
b îeoeur en sel à GO 0/0 de la saturation totale. Cette fois le ppté
f-u^iA renferme le ferment. On lave ce ppté avec une sol. du sel
fc»«'Oi)iie la saturation, puis on le traite pardeTeau, et la solution
rii-mie est filtrée et additionnée d'alcool à 90* jusqu'à ce que
W ;*pié se sépare bien. On lave ce ppté avec de l'eau alcalinisée
K'^ peu de carbonate de soude et cette solution, qui contient
*? «nnenl et un peu d'albumine, est traitée par de Tacé'ate d'ura-
*)l«-Le nouveau ppté, lavé à l'eau alcaline comme le précédent,
* snul enfin une solu.ion limpide, ne donnant aucune des réaciions
^ nit. »lb. ei iransformaut activement l'aldéhyde salicylique en
»t-**ï>»licyUque.
Lefc^rroent est fac. sol. dans l'eau, pptable par le sulfate d'am-
v^aram; il ne dialyse pas ou du moins très lentement, ce qui
•t^ue pourquoi un Uvage actif du foie par les vaisseaux ne
••-altfvepas à l'organe. Il passe à travers le filtre Chamberland et
|*r)l fOQ aciivité à TébuUition, ou en présence de petites qiiami es
"kfîdeou de base libres. Il se comporte comme un ferment en ce
■^•^ qu'âne lois Toxydation de l'aldéhyde opérée, l'agent n'a pas
■•*jvu. Si on ^umet, en effet, le liquide à la dialyse pour élimi-
^•^facide salicylique formé, il reste dans le dialyseur un licfuide
i-ti!.
U buiistanec corticale des capsules surrénales fournit également
•^ ^raii£ très actifs. e. lambling.
^ le dédoublement fermentatif de Talbumine et sur la
^**>^it d'ammoniaque dans le foie ; H. JAC0B7 i^Zeit. pbys,
^•1 ^ 30, p. ii8-i78; 16.8.1900). — Les recherches fout suite
M18 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGERS.
à l'observation de Loewi [Tbid. 25, 511) qui a remarqtié i:
l^enzyme hépatique réagissant sur le glycocolle donne naissanc
une substance sol. dans Talcool élhéré, Inquelle n'es^ pasdeTur
mais contient de Tazote facilement séparable. L*auteur consul
d'abord que des extraits aqueux de foie frais, faits à froid, et se
mis à Tautodigeâlion à 30-40*', s'enrichissent, en ammoniac
déplaçable par la magnésie; cette ammoniaque (ou quelque em
facilement dédoublable) prend naissance probablement aux dépt
de Talbumiae.
Cette action doit être rapprochée des phénomènes d'autodt<|r<
lion du foie qu'a décrits Salkowski {Zeit, klin, med. 1891, supp
et que Tauteur désigne sous le nom d'aulolyse. Parmi les produ
de cène autolyse, il a trouvé, outre la leucine et la lyrosine,
glycocolle. Souvent après 15 jours de digestion, le liquide se col<
en violet par le brome (tryplophane). Dans cette autolyse certaii
mat. alb. disparaissent plus vile que d'autres, notamment les ail
moses.
L'enzyme qui produit ces décompositions n'est pp'ée par le si
fate d'ammonium qu'à saturation, ce qui permet de la séparer
Taldéhydase, laquelle est respectée par Tautolyse.
L'ex'rait aqueux du foie dédouble Tac. hippurique etTurée;
n*a aucune action sur la coagulation du sang. Le phénomène
Tautolyse se produit aussi dans le foie vivant. e. lamblino.
• Sur les relations qai existent entre l'antolyse et les modi
cations du foie et du sang dans rinlozication phosphore
M. JACOBY. {Zeit. phys, CL, t. 30, 174-181; 16.8.1900).
Salkowski a fait remarquer que les produits (leucioe et lyrosin
(jui apparaissent dans le foie, le sang et l'urine dans rutropfe
jaune aiguë du foie sont aussi ceux qui prenneni naissance p
l'auLolytie de l'organe. Le même rapprochement, s'imposait poi
rinloxication phosphorée. L'auteur démontre d^abord que le fo
après intoxication phosphorée coniient de la leucine et de la lyr»
bine, ce qui n'avait pas encore été éiabli avec les pr^^cau'ioi
aseptiques nécessaires. De plus l'ammoniaque déplaçable par
magnésie (voy. le précédent extrait) est également augmenté
Enfin après intoxication par le phosphore, la dissolution du fo
par autolyse est presque complète en 24 heures, c.-à-d. d'ui
surprenante rapidi é. L'enzyme protéolylique du foie normal e
dpnc ici beaucoup plus abondante, ou aidée par d^autresdiastAMi
E. LAMBUNQ.
CIII>n£ OaOANlQUE. 819
J)< 1 action de certaines substances azotées sur la coagula-
1103 dt ralbomine ; K. SPIRO (ZeiL phys. Cb., t. 30, p. 182-199 ;
Iti.M.iî^;, — La solution alburaineuse eroi)loyée était le blanc
lu*uf battu, additionné de phosphate acide de potassium jusqu*à
<%rûm acide au tournesol et flltré, puis étendu de quantités
lar tables d*eau.
ibiuihner avait déjà montré que la choline empêche la coagulation
|r Tovalburoine. La pipéridine exerce la même action. Des bases
kbs que la pjTidine et Taniline, qui sont des pptants de raibumine,
inteot néanmoins soustraire une partie de Talbumine à la coagu-
»if>Q. L*urtbo(oluidine (mais non le dérivé para) et la xylidine
EtM^eut de même. Des substances azotées à caractère non basique,
Ifiiique Turéthane, diverses amides fformamide, urée), les séné-
t r rxertent la même action.
l'fip'ication de cette action doit être cherchée dans le caractère
!-^*<pJe de ces substances, caractère nettement mai'qué pour
'f«''|ues-uQe7-, moins apparent chez d*autres. Mais Cstwald a fait
r*iuift|uer que Ton peut attribuer à Turée en disso]ution une
>iî'.iuileà hvdroxyle telle que CO.AzH^OH.AzH*, et d'autre part,
'lyUnr montre que Talbumine, retenue en dissolution par les
*Jitioo5 concentrées d'urée, a pris tous les caractères d'une
i^vHUiumiQe et que dans la coagulation de l'ovalbumine, l'urée
'-"'iKUement comme un antagoniste de Tac. acétique.
E. LAMBUNG.
far U transformation des matières albuminoides dans la
Jîtttemante (U; ; E. 8CHULZE (ZeiL phys. Ch,, t. 30, p. 241-
llî. èi.9.l900j. — L*auteura montré que lesplanlules dediverses
l'V*** végétales, contiennent, après 2 à â semaines de développe-
l^^à Tobscurité, des quantités très variables des corps azotés qui
*-*«U«fitde la décomposition des réserves albuminoides. Il explique
"^ iJiflerences par l'hypothèse suivante. La simplification des
**-<tT^protéiques donne naissance à un ensemble de corps azotés
*'»teimidésgras et aromatiques, et bases hexoniques) qui sont
^'^flwmes que ceux qui apparaissent dans le dédoublement des
•'•iwaeïi par la trypsine ou par les acides. Si plus tard les propor-
'■>î»de ces corps varient considérablement d'une espèce à l'autre,
"^ lîOêreaces tiennent à ce fait que ces matériaux azotés sont
""^iftpar la plante et servent tantôt à la formation d'asparagine,
^^ a la formation de glutamine dont la proportion augmente
•'^considérablement, tandis que la leucine, la tyrosine, Targi-
I -"«r <liiniûuent plus ou moins.
3
:il8 ANALYSE DES TRAVAUX Kl- -Tj-
à Tobservalion de Loewi (Ihid. 25, oh
Fenzyme hépatique réagi^sarir sur le •
une substance sol. dans l'ak'ool fti i
mais contient de l'azolt* faciitMiu*"' i
d'abord que des extraits a(jiM n\
mis à Tautodigesiion à ï]tj-it' - i
déplaçable par la ma{:rné>i(' ; < " j
facilement dédouhlahh' pn-M i
de ralbumine. j
Celle action doit vWr > i
lion du foie qu*a dôcnt ^ - i
et que Tauteur dési^nn- - i
de cei'e autol\>>o, il ji * i
glycocolle. SouMir ■ i
en violet p^r W l»i • i
mat. alb. di^par.' I
moses.
L*enzynu* ! i
fate d'amiii"!' (
Taldéliydn ' I
L*ex rail
n'a aucuii'
raulolv>r
' Sur le^
cations <
H. JÂCO'
Saikow -
(jui app.i
jaune ai
rauloly.^c '
rinloxicaii
après inltA
sine, ce ipi-
aseptiques n
magnésie ivo
Enfin aprè> n.
par autolyse <
surprenante rai
dpnc ici beauc
':IHM1E ORGANIQUE. 321
t- .- .-.- <pii' If^ acides nucléiques (Kossel,Bchmie-
>'ii! 14 |;|»iafiuii t'uiii[)lèle (les bases puriques par
t 1 nu lliu<l»' à rar(*tate de plomb n*a pas donné de
./' >h r:if i'h' uriffur dans le san*^ peut être faite avec
I' |uv« i-iun d'aj»ivs v. "^chviuler { Beitrage z. PbysioL,
'MW'/m., IHXT, |>. 8*J). Dans les extraits d'org-anes les
'■• u'in- bon^. Voioi comment opère l'auteur. Les
(111- à <li;rérer |»eiidant 12 heures, à une température
t'îii't: i\ celle de i'ébullilion, avec de Teau additionnée
', Mdliir. p. l.UOO. Après 12 heures de repos on filtre,
.rn»ujcM iWn\ fois de suite l'extraction du ppté de la
e. Les lilLrats sont additionnés de la quantité corresp.
bar>te, ce qui introduit dans le liquide un léger excès
.e ï>arlie de Tac. sulfurique ayant été entraîné par le
îrat, qui contient tout Tac. urique, est traité par du
lithium jus<|u'à réaction neutre. Pendant que le ppté
rétablit de temps en temps la neutralité au moyen de
- On cx)ncenlre et on ppte Tac. urique à la manière
r l'argent. e. lambung.
hes sur la matière colorante du sang; H. NENCKI et
î Z(U. phys. Cb,, t. 30, p. 384-435; 22.9.1900). —
estiment que les divergences irréductibles que Ton
:^* les données des chimistes sur la composition de
V iennenl surtout de ce fait que Thémine renferme des
i '{trelle se combine très facilement non seulement avec
.icides ou alcoylés, mais encore avec un grand nombre
ilTérenls. — Après quelques indications sur les diffi-
"ilièros de Tanalyse élémentaire de Thémine, les auteurs
- dérivés suivants.
./V G3»H«0*Az*aFe. — 200 ce. de sang de bœuf ou
rit mtro<luits dans 1 lit. d'ac. acét. glacial, saturé au
• -^^l marin à la temp. ord., puis chauffé au B.-M. à 90-
■iiTe encore au B.-M. jusqu*à ce que la température soit
S5-90*, puis on filtre à travers une mousseline. Il se
tlement parle refroidissement des cristaux rouge violet,
• le Ton lave avec de Teau, puis avec de Talcool à 60-70 0/0.
.»*nl est de ô*',.^ p. lit. de sang. La purification des
*te faite par dissolution soit dans Talcool ammoniacal.
roforme additionné de quinine (Schalfejeff, Le pbysiol.
1. II. lôK
»nL,i^«»a., T. »xvi, !90l. — Trav. étrang. 21
320 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Si cette hypothèse est exacte, la plantule très jeune doit encore
contenir la série complète des premiers produits de dédoublement^
tandis que dans les stades ultérieurs du développement, ce soo^
les produits secondaires (asparagine, glutamine) qui doivent prt'^J
dominer.
L'expérience a nettement vérifié cette hypothèse. Les jeunH
plantules (6 à 7 jours) de Vicia saliva, Pisum sativum, Lupinn\
albus et Lupinus luteus ont lourni à côté de Tasparagine, de 1^
lyrosinCyde la leucine^ et des bases hexoniques [dir^mme^ histidin^
et lysine). Chez Lupinus luteus, ces substances ont pu être caracl
térisées dans les cotylédons, analysés à part, c'est-à-dire là oj
les réserves protéiques subissent le phénomène de régression. Piu|
tard on constate que la quantité d'asparagine augmente, tandt]
que la leucine, la tyrosine et Targinine diminuent. Cette décompc^
sition des réserves albuminoïdes a lieu sous Tinllueucedediastast^^
E. LAMBUNG.
Critique des méthodes de recherche de Tacide uriqae et d«
bases puriqaes dans le sang et les organes; W. HIS jtm. tl
W. HAGEN (ZeiL phys. Ch., t. 30, p. 350-883; 22.9.1900;. ^
L'acide urique et les urates, introduits en nature dans le lui
digestif du lapin, sont absorbés par les phagocytes (Freundweilei
Deutsclws Arch.y t. 63, p. 266 et t. 67, p. 81). Il importerait doii
de pouvoir suivre à Taide d*une bonne méthode, les migrations d
Tac. urique et des corps puriques à travers l'organisme. L'auteii
montre que cette méthode n^existe pas actuellement. Des e>s^\
faits avec de la guanine montrent en effet qu*en présence d^
albumoses la précipitation de cette base parles sol. amm. d'arp»<
est incomplète et peut même faire défaut complètement, et que i\
plus il y a entraînement d'albumoses. Il faut alors une ou plusimii
fois reprendre le ppté, le décomposer par H*S et reppter pari'argH
pour éliminer les albumoses.
L*auteur a essayé aussi d*éliminer d'abord les albumoses par
sulfate d'ammonium et Talun de fer, par Tac. trichloracéli«|tii
par le sulfate de zinc, par le sulfate d*ammonium. Par ce clemii
réactif rëlimination des albumoses est complète, et le ppté arj^c^
tique n'en contient plus, «nais la pptation par l'argent n'est complo
que lorsque le liquide est dilué de manière à ne contenir que:îr>Oj
de pulfale.
En appliquant cette méthode à l'étude d'organes additionnée i
quantités connues de guanine l'auteur a reconnu qu'elle c^ni^Kif^
des pertes considérables sans doute parce que dans les extrai
CHIMIE ORGANIQLE. 321
r./rgaûes, des corps lels que les acides nucléiques (Kossel, Hchmie-
Urixfrgj empêchent la pptation complète des bases puriques par
r^rgeoi. — 1^ méthode à Tacétate de plomb n^a pas donné de
meilleurs résultats.
La recherche de F acide urique dans le sang peut être faite avec
uAetré^ grande précision d'après v. SchTôdev {Beitrage z. PbysioL,
C LudwHjy f,e\yldm,, 1887, p. 89). Dans les extraits d'organes les
rrsiillâls sont moins bons. Voici comment opère Tauteiir. Les
organes sont mis à digérer (tendant 12 heures, à une température
BU peu inférieure à celle de l'ébullition, avec de Teau additionnée
•f'-i \ù\, d'ac. sulfur. p. 1.000. Après 12 heures de repos on filtre,
rlToo recommence deux fois de suite l'extraction du ppté de la
Oi^ manière. Les filtrats sont additionnés de la quantité corresp.
fiiydraie de baryte, ce qui introduit dans le liquide un léger excès
'^Uryie, une partie de Tac. sulfurique ayant été entraîné par le
Jjllot. Le filtrat, qui contient tout Tac. urique, est traité par du
-irtionaie de lithium jusqu'à réaction neutre. Fendant que le ppté
•r-lifpose on rétablit de temps en temps la neutralité au moyen de
<>. acftique. On concentre et on ppte l'ac. urique à la manière
*ib*tneile par l'argent. e. lambung.
lackarches sur la matière colorante du sang ; H. NENCKI et
iUlESKI iZHt, phys. C'A., t. 30, p. 381-435; 22.9.1900). —
l^ toieurs esiimrnt que les divergences irréductibles que l'on
'*,!hUio entre les données des chimistes sur la composition de
'Wiauie proviennent surtout de co fait que l'hémine renferme des
•ttydnleset qu'elle se combine très facilement non seulement avec
■ -radicaux acides ou alcoylés, mais encore avec un grand nombre
' forps iodifTérents. — Après quel(|ues indications sur les diffi-
'•«Mparticulières de Tanalyse élémentaire de l'hémine, les auteurs
'•fntenl les dérivés suK'ants.
^'Hflhémine G**H3«0*Az*ClFe. — 200 ce. de sang de bœuf ou
'>:heval sont introduits dans 1 lit. d'ac. acét. glacial, saturé au
■'^f«lible de sel marin a la temp. ord., puis chauffé au B.-M. à 90-
'''•.*)d rhaufle encore au B.-M. jusqu'à ce que la température soit
**««iée à 85-90*, puis on filtre à travers une mousseline. Il se
^^î«8e rapidement parle refroidissement des cristaux rouge violet,
kfiibols, quel'on lave avec de l'eau, puis avec de l'alcool à 60-70 0/0.
^ rendement est de o*\h p. lit. de sang. La purification des
'^^^uiix a été faite par dissolution soit dans l'alcool ammoniacal,
*** te cbloroforme additionné de quinine (Schalfejeff, Le pbysioL
''•f.Ltp. ir.i.
«ïc ami., s« wtB., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 21
82i ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Ce corps est sol. dans les alcalis étendus, Tammouiaque, le.<i
diâsol. des bases organiques. Sa formule indique que rhémioea
fixé un groupe acétyle, mais cette fixation n'a pas eu lieu pw
rintermédiaire d*un oxhydrile, car racétylhémine peut fournir
encore un élher dimétljylé (voy. plus loin).
Hèmine dimélbyîique C3«H«»(OCH8)«A7>OGlFe. — On dissent a
chaud de Tacétylhémine de sang de cheval dans du chloroforme
additionné de (piinine, et on ajoute au liquide filtré 50 ce. d*alcool
méthylique saturé deHCl, par 10 ce. de filtrat. Par refroidissemenl
il se dépose des cristaux en forme de meules, groupés en éloiU*>,
el qui représentent le dérivé diméthylé deThémine et non pascehi
de l'acétylhémine. Ce corps n'est pas encore fondu à 800* et il i^i
entièrement insol. dans l'ammoniaque aqueuse ou dans la soude
Acétyîhémine monélhylique Ca^Hs^O^A/^ClFe. — Ce dérivt
serait identique avec la p-hémine de Môrner, et on l'obtient le plu
aisément en suivant le procédé donné parle chimiste (K. A. H
Morner, Maly's Jahresb., t. J7, p. 115). Ce corps cristallise ei
aiguilles et en tablettes et est remarquable par sa solubilité dani
les alcalis, propriété qu'explique la présence d'un oxhydrile encon
intact.
/lce////itî/?ii/3er//Vt/i7%/eC3*H3«(C«H»)«0*Az*ClFe. —On ajout*
au mélange bouillant de 350 ce. d'alcool absolu avec 35 ce. d'ar
chlorhydrique(D = l,19), 4gr. d'acétylhémine dissous dans 200 ce
de CHCl^ froid el 4 gr. de quinine. 11 cristallise parrefroidisseinen
des aiguilles étoilées, tout à fait insol. dans l'ammoniaque el fac
sol. dans CHCl^.
AciHyîhcmine monoaivylique C»*H3«(CsH««)Az*FeO*Cl, — Oi
dissout racétylhémine dans de Talcool amylique additionné *l
quinine, el on ajoute de l'ac. chlorhydrique. Ce sont des cristau
rhombiques, fac. sol. dans CHCl^, moins sol. dans l'alcool amyliqm
l'alcool, ditT. sol. dans l'ammoniaqne.
Hémine de C acétone et de l'éther acéiitpie. — Lorsqu'on chaan
au B.-M. une purée de globules frais avec de l'acétone el fkl
presque tout le pigment se dissout et le liq. rouge brun oblen
abandonne par refroidissement des cristaux capillaires, alloogcsc
llexueux, tout à fait caractéristiques, et la tendance de cette couil»
naisonà la cristallisation est si grande que cette réaction peutser\i
à l'examen médico-légal des taches de sang. Ces cristaux soal u
mélange d'hémine libre et d'une combinaison d'hémine el d'ooélooc
— L'emploi de l'éther acétique ne conduit pas à un produit homo
genc.
k
CHIMIE ORGANIQUE. 32S
CamU'itation à féiade de F bématoporpbyriQe. — Les auteurs
oot iBodiûr i\e kà manière suivante leur procédé de préparatiotfi de
llMîiDAioporptqrmie. Sgr. d'héniifie sont dissous par petites portions
du» 7«^ ce. d'ac artétique glacial saturés d'ae. i»*omhydrique à 10"^
'fioL oomrnerciaJe de Kablbauin), et on abaitdoime la liq. pendant
^ joars à la tamp. ord. en agitant de temps en temps. On jette
ensuite dans de l*eau et on Hltre après plusieurs heures. L'opéra-
tion e^l achevée d'après les indications précédentes des auteurs
Èha, L Cb., 1888, p. 82) ; 10 gr. d'hémine donnent ainsi 9^'%S de
itlorhjdrate dliéfuatoporphyrine.
L'héaiatopoipbyruie contient deux oxhydriles éthériAables et
ti«Diie en présence de Talc. méthyUque et de Tacide sulfurique une
ëméibrikémaioporphyrine C*«H**(OCH')*Ar*0. poudre amorphe,
roo^ brique, insoL dans Teau et les alcalis et fac. sc^. dans Talcool,
llâcool mélbylique, Tétiier, Téther acétique, le benzène, les si»i.
aq- d*»c. nÛA. F. 85* avec dég. de gaz. A 100% il y a départ d'alcool
mélbylique. L'éther diâthylique peut être obtenu d'une manière
mlogue. — VëcélylhèÊMaioporphyriae C«*H«*(C«H«0)Az*0* est
•j6tenue en traitant le chlorhydrate d'hématoporphyrine par Tacétate
(ieâodium et Tanhydride acét Peu sol. dans Talcool, insol. dansTeau.
'>iétbersprésenlentle même spectre que Thématoporphyrine.
Le mémoire, très étendu, est accompagné d'une planche repré-
4«iiint les formes cristallines des dérivés «de rhématine.
K. LAHBLDIO.
La compositiom chimique da la graiase du chyle humain ;
F. USSM iZeit. phys, €b,, L 30, p. 436-452 ; 22.9.1900). — Dans
ucas <je rhylffrie où Torigine chyleuse de la graisse urioaire a pu
*tP^ nettement établie, Tauteur a isolé de cette graisse environ
LTj u 0 d'un acide monoxystéarique, fusible à 50**. Il a trouvé en
«tre : grai-»se neutre, 95,987; lécilhine, 0,56 ; cholestérine, 1,715;
jrtycénne, 10.717 ; ensemble des acides gras, 95,578 ; acides gras
«i 0,60; ac. gras iasol. 94,92 0/0. Les acides gras insol. se
4iB|OMîenC de 58,4 0/0 d'ac. oléique, 31 ,3 0/0 d ac. stéahque et
IM 0 û d'ac. palmilÀque. £. lambukg.
•
Scr la diaaeliitîon da Tacidé ariqae par iea acides nucléique
«tkfmiqu; M. 430TO (Zeii. f^ys. C/i., t. 90, p. 478-477; 22.9.
1^ . — Kossel et Neumann ont constaté que les acides nucléique
•H tàyaiHiae dûninaent ou suspendent la précipitation des bases
parque» adénine, bypoxaolhine^ etc.) par certains réactifs. L'au-
constate que oes deux acides exercent la même action vis-à-
824 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
vis de Tacide urique. Peu sensible dans la pptation de l'acide
urique par le sulfate d'ammonium, l'efTet est au contraire considé-
rable dans la pptation par Tac. chlorhydrique (ac. urique) ou par
Tac. carbonique (urate ac. de sodium). La totalité de Tac. peut
êti'e retenue en dissolution. Il est probable que les acides en ques-
tion exercent cette action dissolvante dans les humeurs et les tissus.
E. LAMBLING.
Sur les matières protéiques ; J. HABERHANN et R. EHREH-
FEU) {Zeit. phys, Ch., t. 30, p. 453-472; 22.9.1900). — D'après
Schutzenberger, les mat. alb. fournissent par dédoublement au
moyen de l'hydrate de baryte, de l'acide carbonique et de l'ammo-
niaque dans des proportions qui correspondent à la décomposition
de l'urée. Les auteurs soutiennent au contraire que le rapport de
Tac. carbonique à l'ammoniaque varie dans des limites très éten-
dues (de 0,28 à 9,81 au lieu del,28) et en outre que la quantité d'ac.
oxalique qui se forme est à la fois beaucoup plus faible et plus
variable que ne l'admettait Schutzenberger. e. lambling.
Sur la fermentation des pentoses; E. SALKOWSKI {ZeiL
pbys, ClLy t. 30, p. 478-494; 22.9.1900). — Il est remarquable de
voir que les herbivores qui consomment des quantités si considé-
rables de pentoses (ou de leurs anhydrides) n'en éliminent pas ou
très peu par les urines. Il est probable que ces composés sont
détruits au cours des fermentations intestinales. L*arabinose et la
xylose abandonnées à 40® avec de l'eau et de la viande en putré-
faction disparaissent en effet complètement, avec formation d'al-
cool, mais pour l'arabinose seulement. Il se forme en outre,
pour les deux pentoses, des acides volatils et de l'ac. succinique
(voy. aussi Bendix, Zeit. f.diàt. u, physik, Tberap., t. 3, fasc.Ti.
La richesse du lait en lécithine et les relations de cette
richesse avec le poids dn cerveau chei le nonveaa-nè des
mammifères; R. BÏÏROW (ZeiL phys. Ch,, t. 30, p. 495507;
25.10.1900). — Le lait de femme étant remarquablement plus riche
en lécithine que le lait de vache, l'auteur s'est proposé de vérifier
une hypothèse de Bunge d'après laquelle *la richesse des divers
laits en lécithine varierait dans le même senâ que les poids relaUfi>
du cerveau chez le nouveau-né.
i. Il montre d'abord que la méthode de dosage de la lécithine
d'après Stoklasa (Zeit, phys. Ch,, t. 23, p. 343) est inexacte parc4*
qu'elle dose avec la lécithine une certaine quantité de phosphates
<f onpiie nûntràie. H -à caiaipe caoBesi eette cause (Terreur peut
être éliminée.
2! et 9. II détennÂe ea^^c^ la :eiiear du cerveau en lécithine
telle est de ^£1 0 0 de sobât. fraèche cbez le reau) et la coinpai*e
à celle du tissa nmscmièm I-.596 0 0 de suhsL firaiche). 11 déter-
rauie eo outre le pouk niaLt dm cerreao, c.-è-d. le rapport qui
existe cbes le veau, le cLje^ e: reniaal entre le poids du cerveau
eC le poids du corpsw Ce rapport es! respectivement de 1 : 870,
I : âô et 1 : T.
4. L'analyse niootre que 100 ce de lait de feuune contionnent :
mat. alb. lA». 3,8^i; lécathme B , O^SI. En centièmes de )a quan-
tité d'albumine, la quantité de lécithine tC; est de 1,40. Four le
kii de cfaieniie, A=8,te: B=r 0,17; C = 2,il. Pour le lait do
frmme, A=^ 1,90; B^ 0,058 et C^â,06.
On voit que les poids relaiits du cerveau et les quantités rola-
bveâ de lécithines C varient dans le même sens. e. lamblino.
8ar la chimisma de lafomation de Tarée dans Torganisme
(1* mémoire); WL GUIfWITSCH {ZeiL pbys, Ch., t. 30,
p. 3âSô%: 25.10.1900). Considérations sur les diverses théories
de la production de Turée dans Torganisme, et notamment sur la
Ikéorie hydrolyiique de Drechsel qui s'appuie sur ce fait que la
ifsatimne et Targinine, bases résultant de la décomposition dos
BuL alb. en présence des acides minéraux à chaud, donnent par
hydrolyse de Turée. L auteur expose donc un plan de recherches
un la présence de Targinine dans Torganisme et sur la transfor-
nkatioQ de ce corps en urée dans les tissus. e. lamblino.
8ir le chimisme de la formation de Turèe dans l'organisme
•^ mémoire); Wl. GULEWITSCH et A. JOCHELSOHN {Zelt. phys.
^'A., t. 30, p. 533-538; 25.10.1900). — Les auteurs ont pu extraire
àe huit rates de bœuf 1^,1 de nitrate d'arginine argentique, encore
iMpure, et un peu d'une substance qui est peut élro do la lysine.
E. LAMBLINO.
Kar les matières extractives des muscles ; Wl. GDLE-
WrreCH et s. AimUDZIBI {Zeit. phys. CL, t. 30, p. 565-573 ;
B.10.1900). — Une sol. aq. d'extrait de viande de Liebig est pptée
par Tac. phosphotuugstique; le ppté, débarrassé de Tacide à Taido
àt la baryte fournit un filtrat que Ton neutralise et que Ton traite
par le nitrate d* argent. Le nouveau Altrat, traité d'après la méthode
YSE DSS TRAVAUX ÉTRANUERB.
p. l'79) par le nitrate d'argent et la baryte en
ité contenant le nitrate tt'une nouvelle base, b
traosine, C*H'*.Az*0'A2(WÎ, est en aiguiUcE-
fleors. F — 2H.iil2; [«]*=+2â'.3.
ut être préparée en pplant le nitrate par l'ac.
Elle est en aiguilles microscopiques ftpplaties.
imposition a ââU".
ie carnosine et d argent est en tables rhoinboï-
— La carnosine argentique C»H'»Az*O>,Ag*0
gTie à l'ar^inine argentique, décomposable à la
dans l'eau froide. — La carnosine ciiivriqwe,
I, est en tables hexagonales ayant l'aspect de
colorés en bleu. b. LAunuxs.
la UDcUo-histoa* ; I. BANG (Zeil. pitys. Cli.,
!5. 10.1900). — D'aprèa le schéma de Liîienfeld,
classique, la nucl^o^histone, qoi est le mieux
i les nucMo-protéides, fournit en deux étapes
[)uit3 de dédoublement que voici :
Nucléo-hislone.
I ' 1
tone. LcuL'onucIiSine.
, I ,
Albumine. Ac. nucléique.
nus par une sol. de sel marin à 0,9 0/0. l'auteur
à côté d'autres produits, un nncléo-protéide
é employé par LilienTeld pour l'obtention do su
l passer dans le produit final, mais ne contient
proléide n'est donc pas la nucléo-lii^tone clier-
in subséquente avec de l'eau on enlève ensuift
acide nucléique et du iiucléo-protéide. Si à ce
de l'acide acétique, on obtient un pplé formé par
9t l'acide nucléique et l'histone. C'et^t la 1» pré-
one. Lorsqu'eit suite on extrait ce ppté aveerf'-
à 0,H 0/0, l'hislone passe en dissolution et tu
'est-à-dire le mélaiijfe du nucléo-proléii)*' elde
resto insoluble. — L'nnteur doane eu autre
iments sur la para-hislone. g. uatuy^.
CHIMIE ORGANIQUE. 377
Bamarqnts sur la préoédente eommuiiicatioii de H. I. Bang;
JL lOSSSL {Zeii. ph/s. Ch., t. 30, p. 520-5à2; 25.10.1900.) —
L^aoteur considère comme acquis que la nuctéo-bistone de M. Lilien-
Md est UQ corps défiai^ à composttioa constante. M. Bang a
confondu deux questions celle de Texistence de la nucléo-histone
«m lant qu*iadividu chimique et celle de pré-existence de ce corps
dans Je thymus. En ce qui concerne la première question, les
rrcberthes de M. Bang ne portent aucune atteinte aux résultats de
IL Lîheafeld. Pour ce qui est de la seconde, M. Bang montre que
\ùù peut extraire du thymus 1^ composants de la nucléo-histone,
nuis cela ne prouve pas la non-exiatenoe de la nucléo-histone dans
ie& celiuleti intactes, la solution du sel marin n'étant nullement,
i]#a-vis <ie corps de cette nature, un agent indilTérent.
B. LAMBLINO.
Snr la conatitotion de la thymine ; H. STEUDEL {Zeit. phys.
CL, t. 30, p. 53U-541; 25.10.1900;. — L'auteur a préparé une
«néthylthymine dans l'espoir d'arriTor ainsi au méthyhiracile de
bfhread, mais le produit obtenu est isomère, et non identique
«vec le corps de Behrend (Kossel, Ibid.^ t. 29, p. 508. — Beh-
rmd, Aaa. Cbem. t. 229, p. 23).
Thrmùte polassée G^H^Az'O^K, H«0. — On Tobtient en digsol-
vvaU thymine dans de la potasse concentrée, chaude et évapo-
ntle. Petits cristaux prismatiques se déshydratant à l^O*".
MéthyllLymine OH*<CIP)*Az»Oa. — On chauffé un mol. de Ihy-
Bitte polassée avêe 3 mol. de CHM à 150^ en tube scellé. — Petites
«igoiUes allongées fusibles à 153^.
Par nitration de la thymine et réduction subséquente on obtient
«• corpe donnant la réaction de Weidel avec Teau chlorée et
rfliBMoaiacftie. On pent admettre dès lors que la thymine contient
«a noyau de pyrimidine et qu'elle est une méthyldioxypyrimidine.
'>*«{«i la met en relation étroite avec les corps puriques.
E. LAMBIlNft,
lacharches sur la composition chimique du cerTean; E.
WORIBR et H. THIBRFELDER [Zeit. phys. Cb., t. 30, p. 542-551 ;
i^lO.luOOj. — Des cerveaux humains ont été épuisés à 45** par de
ftlcool contenant 40 0/0 de benzène, ou mieux 50 0/0 de chloro-
f^nne. Par refroidissement du filtrat, il se dép:>se des amas
'&3crQfieopiques» qt^ Ton purifie par plusieurs recristallisations et
^ représentent la cérébrone.
C'e^i on corps blanc, exempt de phosphore, de soufre et de
Sm ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS
cendres, de réaction neutre, insol. dans l'eau et non ^nflé par
tille. Il est sol. dans l'alcool, dans l'alcool métiiylique ou daos ce?
deux véhicules addiUonnés de chloroCorme ou de benzène. L'acétone
contenant 20 0/0 de chloroforme l'abandonne par rerroîdissemeol
en éloUfls formées d'aiguilles ou de pailletics. En tube capillain.-
devient humide à iâO°, jaunit à 200 et fond à 209-212* en
B limpide jaune. Il renferme : C, 69.16; H, 11.54 ; Ai,
Mis en suspension dans de l'alcool à 85 0/0 et chaufTi;>
i petits amas globuleux qui constituent le produit obtenu
orment en très belles paillettes, chatoj'anlas, analogues
istérine. Ce phénomène est très caractérislique.
ie avec de l'acide sulfurique concentré, la cérébrone colore
I jaune et est colorée elle-même en pourpre. Bouillie avec
du, elle donne un sucre réducteur, lequel fournit de l'acidu
et une osazone fusible à 190°, et qui serait donc de la
E. L\MBUNO.
)s destinàes de quelques oxyqninolAines Isomèm
rrile et kyourioe) dans l'organiBine ; BEU ▼. FEHT-
?«ir. pbys. Ch., t. 30, p, 552-664; 25.10.1900). — Chei
le carbostyrile ingéré est éliminé por les urines à l'util
hûslyrile-glycuroniqae, pptable par le sous-acétale du
est un corps blanc, en aiguilles microscop., lusibles a 2:20*,
Jans l'eau froide, fac. sol. dans l'eau chaude, presque insol.
!OoI, l'éther, le chloroforme et le benzène, fac. sol. dani
s d'où HCl lo rpppte en cristaux sol. dans un excès. Il esl
, — Son sel de potassium est en aiguilles jaunes, qui
nt à 270-272".
urine G*H''AzO, 3H*0, préparée en pnrtanide Tac. kynu-
QurnitHprès ingestion une urine déviant à gauche, rédui»anl
r de P'ehling et dont il n'a pas été possible d'isoler un
ycuronique correspondant. e. LAMiiu?m.
rches physico-chimiques sur l'acide urique et se* seli
ion (I et 11) ; W. HIS jun. cl Th. PAUL {Zvtt. pbys, Cli.,
1-42 et (54-78; 27. 11.I9UU). — Les principales conclu&ion-i
iu\ mémoires sont les suivantes :
lans l'eau pure à 18", l'acide urique se dissout à raisun lU'.
iO et non point de 1 p. 10070 (Behrend cl Hooseiil ou ilr
10 (Blarez et Dcnigès). Le refroidissement des dissolutions
à chaud ne permet pas la détermination exacte de b
! ù cause de la facile décomposition de l'acide urique.
CHIMIE ORGANIQUE. 329
La ooiidiii:<ibilité électrique moléculaire de la diss. aq. sai. à 18*
<>l 4e S9^i8 ou de 9t.2i après déduction de la conductibilité
jjfvénliqiie de J*eau.
Im viiesêe de Tion primaire (ion C^WAz^O^) est de 21 dans la
ijtiôoIulioQ aqueuse à iS"", et la conductibilité moléculaire de
r«ride urique en solution aq. infiniment étendue (ilc») est de
Le constante d'aOBoité ou de dissociation de Tacide urique, en
ioiaq.k IS^" est égaie à 0,000229 ou à 0,000151 après déduction
de la conductibililé spécifique de Teai^.
Une dissolution aq. saturée contient 11.6 0/0, ou, après déduction
(W TeiQ 9.5 0/0 de Tac. urique dissocié en ions hydrogène et en
i«K OH*AzH)».
Iktts un litre de sol. aq. sat. à 18"*, la concentration des ions
^drogèoe et des ions uriques est de 0,0000175 mol . ou de 0,0000143
0H)L après déduction de Teau. La concentration des mol. d*ac.
^inqne non dissociées est respectivement de 0,0001331 et de
u.im»8 mol.
U est exact que i*acide urique laissé pendant longtemps au
'intact de Tean se décompose et devient pour cette raison plus sol.
•^Teau. Les électrodes recouvertes de noir de platine activent
I* d^mposition de Tac. urique.
Il — L*acide urique n'est pas plus sol. dans Teau chargée
•fât min. forts que dans l'eau pure. La solubilité de Tac. urique
*to* HCl normal ou dansSO*H* normal est, au contraire, plus faible
*r» poor Teau pure.
*^lte diminution de la solubilité de Tac. urique dans les acides
't^idus est en parfait accord avec la théorie de la dissociation
** elle a pu être calculée à Tavance avec une exactitude trèssalis-
^'•tnedaus Tac. chlortiydrique ou dans Tac. sulfurique six fois
"•niial, la solubilité de Tac. urique n'est pas plus grande que pour
-40 pure. Pour l'acide sulfurique la solubilité tombe même jusqu'à
' J». 5489U. Dans ces mêmes solutions acides, l'ac. urique ne
■•^miii pas d'ion positif, c'est-à-dire ne peut pas fonctionner comme
-**. car s'il en était ainsi, la solubilité devrait être plus forte que
**ir* ieau.
L« «décomposition lente de l'ac. urique au contact de l'eau ne se
■*><iuu l>as ou très peu on présence des acides forts.
La détermination de l'ac. urique par pptation au moyen de l'ac.
^^^**rt»)*<iriqae ou mieux de l'ac. sulfurique donne des résultats
^ï^li» à eondhion que l'on évite les phénomènes de sursaturation
330 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
au moyen d'une agitation soutenue et que Ton fasse interv^entr xmt
correction de â millier, d'ac. unique pour 100 ce. de Uq. à i8».
K. LAMDLDIO.
Contribntioii à la physiologie de la créatiBa(I) ; A. fiUlS&OB
{ZeiL pbys, Cb., t. 31, p. 98-118, 27.11.1900). —L'auteur rnootn
d'abord que le dosage par pesée de la créatinine, d'après le procédv
de Neubauer-Salkowski peut être remplacé avec avauta^ par iii
titrage de la créatinine dans le ppté au chlorure de zinc au moyeil
de la iiq. cuivrique de P^ka et en admettant que le pouviàd
réducteur de la créatinine est égal à celui du glucose muitipbt
par 0,6711. On peut aussi doser l'azote du ppté zincique d'aprêj
Kjeldahl.
Le pouvoir réducteur de l'urine des 24 heures équivaut à pw
près à d<^,3 de glucose, sur lesquels il revient à la créatinine envinii
21.87 0/0. Le pouvoir réducteur de l'urine augmente après ingesiioi]
de boissons alcooliques, mats cette augmentation n'est pas due 4
l'excrétion d'une plus grande quantité de créatinine. Au contraiM
le travail muaoulaire est suivi d*une décharge marquée de créetiiiiiti;
par les urines. b. lamblrvi».
De l'action coagulante et anticoagulante de aasg sur le lail
E. FULD et K. SPIRO (Zeit, pbys. Cb., t. 31, p. 132155 ; 27, Il . IdtX)
— Hammarsten et Rôden ont constaté en 1887 que du lait ou nm
dissolution de caséine additionnés de sérum de sang de cbeva
sont devenus réfractaires à l'action du ferment lab. (Malv s Jabresit\
t. 17, p. 160). D'autre part, le sérum contient aussi un ferment Ub\
mais l'action de ce ferment ne peut être mise en évidence qu'en k
soutenant par une addition de CaCl'. |
Par précipitation fractionnée au moyen de l'acétate de poia^siuiBi
Tacide acétique et la dialyse, on peut isoler du sérum, une içlobui
line, Veujiobuliney laquelle est accompagnée d'une pseiàdo-gloJbuIimi
non pptable par la dialyse et par l'acétate de potassium.
Weuglobuline coagule nettement le lait. Son action est accélérée
par addition de chlorure de calcium et supprimée détinitivemet^
par chauffage à 65-70*. L'addition d'un acide diminue celte acitoal
une quantité correspondante d'alcali l'exalte au contraire uuuui
festement.
La pseudo-globuUue est un « antilab ». Son action est diminue^
4)ar séjour dans des dissolutions acides ou alcalines, supprimt'ii
déllnitivement par chauflage à 70'', enfin suspendue par addition
de chlorure de calcium. Hammarsten a démontré que la caséiScaUoji
CHIMIB ORGANIQUE. SiU
ropeff &i deux phases r ii se produit d'abord de la paracaséine,
m^ œiie-ei se ppie sous la forme d'une combinaison calcique. La
WQdogiobaie n'a^t que daas cette seconde phase, sans doute par
0Q»tnctioii de chaux. Mais les auteurs ne considèrent pas cette
KlioQ comme étant (ie nature diastasique. La pseudo-globuiine
niraderait sùnplement. par elle-même, une combinaison calcique
■iBbleà la réhlé, mais peu dissociable et ne pouvant pas servir
ibeaséification. Cette combinaison se comporterait donc comme
Mtrate de calcium qui reste, lui aussi en dissolution pendant des
PBÛBK, mais est impuissant au point de vue de la formation du
WèffOÙ. B. lambliug.
I Su le phosphore des Babstances nucléiques; A. ASGOLI
\fat ph^. Cb., L 3^ p. i56-160; 27.11.1900). — L'auteur
kttMtre que 1« leuconu^ine et la caséine ne contiennent pas
ttorphû^bore sous la forme d'acide métapbosphorique.
E. lambuhg.
hr u noQTeatt produit de dédoublement de la nucléise de
hvirt;i.AaC0LI(Zei7.jE>/}/s. C/r., t. 31, p. 161-164; 27.11.1900).
— Ed se servant du procédé étudié per W. Jones pour la prépara-
ta de la tbymine au moyen de Taeide nucléique du thymus,
•*>il«r a extrait de la nucléine de levure corps de formule
Wî*Az*0, et qui représente, par conséquent, un uracile. 11 cris-
tfî»ett aiguilles associées en rosacesy peu sol. dans Feau froide,
bc §oL dans Teau chatide^ presque insol. dans Talcool et Téther,
k.sbL dans rammoniaque. L'uracile n*a pas encore été isolé. Le
^vps eo question ne pourra donc être identifié avec Turacile que
^tnislbrmation en méihyhiracile. s. lamblino.
; CMtrihiition à Téinde do la digestion peptique ; H. MALFATTI
'•^Apbys. Ch.^ t. 31, p. 43-48 ; 25.11.1900). — Tandis que Hoppe-
^>ler admet que la digestion peptique prolongée aboutit, comme
lifii^tttion pancréatique, à la production de produits cristallisables,
et Neumeister, au contraire, enseignent que l'action de la
s'arrête à la production des peptones. L* auteur a repris
■^•i» «jueslion en notant l'apparition de la réaction du tryptophane
''.i.rilioo rouge avec Teau bromée ou avec rhypobromite ou
'^Fpacàlonle de sodium).
Iak extrattfï glycérines ou des extraits dialyses de muqueuse
^'^dcale foomiseent des digestions donnant très rapidement la
nactiw en question. De tel» liquides contiennent probablement
832 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
de la trypsine que l*on peut détruire par une digestion proloi
en milieu fortement acide. En prenant cette précaution, on coi
qu^il ne se produit plus de tryptophane si le liquide est faiblei
acide^ mais que la réaction apparaît quand HCl atteint 0,2 0/0.
la production de tryptophane doit donc être attribuée à la digestif
peptique. — L'auteur décrit, en outre, le procédé qui lui sert pli
rechercher, dans la peptone de Witte, les acides amidés et les bis
pptables par Tacide phosphotungstique. e. lambuivu.
Sur le noyau hydrocarboné de rovalbumine crisUllisè
L. LUmSTLIV (Zeit. pbys. Ch., t. 31, p. 49-57; 25.11.1900).
L*ovalbumine crist. a été préparée d'après Hopkins et Piok
(Journ. of. physioL, t. 22, p. 180 et t. 25, p. 306). 5 gr. d'u
crist., préalablement gonflés par contact avec un alcali, oni «
bouillis avec 100 ce. d*HCl à 3 0/0 et ont fourni, après 4 heure*
chaufTe, un maximum de 5 p. de corps réducteur (calculé en gluca
pour 100 d*alb. On a ensuite dédoublé de la même manière, et]
portion de 25 gr., 100 gr. d'ovalbumine cristallisée, et le liqui
neutralisé a été benzoylé d'après Baumann. On obtient ainài
ppté volumineux, dont Fauteur a pu extraire du chlorhydraio
glycosamine. En opérant le dédoublement de Tovalbumine cn$t
Taide de HCl concentré ou de HCl + SnCl*, on n*a pas obU
d*hydrate de carbone. e. lambung*
Sur les conditions d'action de la ptyaline ; T. MASZEWi
(Zeit, phys. Ch., t. 31, p. 58-68 ; 25.11.1900). — En mainleni
constantes les quantités de ptyaline (ou do salive) et en faiî>
croître la concentration en amidon, Tauteur a obtenu des quanti
croissantes de sucre. Toutefois ces augmentations de sucre n'élai
pas proportionnelles aux quantités d*amidon. Inversement pour
mêmes quantités d'amidon et la même concentration en amut
l'addition de quantités croissantes de salive ne produit pas iTaugu
tation de la quantité de sucre, et produit même une diminutior
est donc impossible de conclure de la quantité de sucre produii
la quantité de diastase qui a agi. Ces résultats sont du même ox
que ceux de liiernacki sur le ferment glycolytique du sang.
E. LAMaLtKO.
Sur la diastase protéolytique et sur une diastase coagula
dans le malt; Fr. WEISS [Zeit. phys. Ch., t. 31, p. 1^
25.11.1900;. — I. La diastase protéolytique contenue dans i'<i
germée (non touraiilée) parait exercer sur Talbumine une aci
CHIMIE ORGANIQUE. SSS
hF profoDde que la pepsine, car le produit de di^eslion contient
hi'OQp pliKS de matériaux azotés non pptables par le tannin que
llfclHCJis de la pepsine. L'optimum de température est situé
r^ <7-i!^; h 70* Faction de la diastase est annulée. Le thymol,
diloroforme, le formol, les acides benzoïque et salicylique pro-
it^eot UD ralentissement sensible, les acides minéraux (HCl,
FH* et orgaai^iues (ac. lact. et acét.) accélèrent au contraire la
l^misation. Mais ici encore la diastase se montre très vulnérable,
biu^ime dose de 0,."t 0/00 de SO*H' exerce une action très favo-
Uf, lamiis qu'avec 1 0/00 déjà la diastase est brusquement
wwposée. Les acides lactique et acétique exercent jusqu'à 20-
►V'K) une action d'accélération, mais leur optimum est à 24 0/00
tKauti«;re< alburoinoïdes animales et notamment la caséine sont
L [i«»pionisées. L'orge ayant subi une germination plus pro-
te^ jusqu'à 16 jours) a le même pouvoir peptonisant. Enfin
P* peplase se retrouve dans l'orge touraillée, et des essais
Pwiiff Di que la peptase ^loit exercer son action au cours des
pntions de brasserie.
t — Des extraits de malt coagulent le lait à la manière de la
IfcSûTf. L'ébuUition supprime cette propriété. e. lambling.
i<r n procédé simple permettant de transformer les amino-
>Uh pas en acides chlorés correspondants ; E. JOCHEM
T'3^ l^bys, C/i., t. 31, p. 4S-48). — En traitant par le nitrite de
lûiivfo milieu chlorhydriqueles amino-acides résultant du dédou-
»*^l des mai, alb. en présence de l'acide chlorhydrique,
iti-ura obtenu, non les oxyacides, mais les acides chlorés cor-
l«îrjn<iinu. l..es meilleurs rendements sont obtenus en dissolvant
^yi^pendant Tamino^acide dans 10 p. de HCl concentré, ajoutant
l^mol. de nitrite, puis extrayant le produit chloré à l'aide de
■trT. La réaction réussit bien avec les amino-acides des séries
*î^ et oxalique et avec ceux de la série aromatique ayant leur
W'-iansla rhaine latérale.
L» procédé peut servir à la recherche des produits de dédouble-
rai de l'albumine et notamment de Tac. succinique. On fait
k«uiiir l'albumine pendant 5 heures avec 3 p. de HCl concentré,
>»)oate du nitrite de sodium à la liqueur refroidie et on épuise
■fTètherqui enlève l'acide chloro-succinique. On a obtenu de
Jttiw Tscide moDocbloracétiqae en partant du glycocolle, l'ac.
^Sfkbhncélique en parlant de l'ac. phénylamino-acétique, l'ac.
^^tfiqniarique en partant de Tac. glutamique, l'ac. a-chloro-isch
f}f-^Hitpn: (*n partant de la leucine.
384 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
L'ac. a'ChlopogutarJqae fond à 97-1 00* ; il est très sol dsos Te*
ralcool,rétheretracétone,insol. dans ie benzène, le ohlorolonM^
la ligroïne. L*ac. et ses sels sont décomposables perTeBuà laqud
ils abandonnent facilement HCl. Le sel de baryum G*HHilO*U
se ppte lorsqu'on neutralise une solution de 1 ac. dans Talod
méthylique absolu par une sol. de baryte dans le même alcool. \
sel de cuivre C*H*G10*Cu, se ppte de même quand on neutrah
avec une sol. d'AzH^ dans lalcool méthylique une sol. de Tarn
dans le même aloool et qu'on ajoute ensuite CuCI' en sol. mâïk,
lique. Ijéther diéthyliqae est un liquide à odeur agréable «
D = l,14 à 23°, bouillant à 140-145« à 15 mm. de pression et à J4
à la press. ord.
Ïj acide oi-oxyglutarique se produit au dépens du précédent f
simple action de Teau pendant 48 heures à 40-50*. Cristaux fus
72*. Le sel de zinc C^H^O^Zn, est en tablettes microscopique:^.
Vac. cL-chloro-isobutylaeétique^ obtenu en partant de la leuci
de corne de cerf, est une huile plus lourde que Teau, non misol
à cette dernière, en abandonnant HCl dès 40*, non distillable *ê
décomposition. Son élber étbylique est un liquide de D = l.Ui
23, à odeur d'ananas^ insol. dansTeau, bouillant à 1 90* avec déro
position. Bouilli avec de Teau de baryte, il fournit Tac. a-ox v-/aa
tylacétique fusible à 67-70* et dont le sel de ziac(CfiW^O* )^Zn, 2H«
est en écailles soyeuses. k. lambuag. i
Sur remploi de Tacide phoaphotangstiqae dans la détani
nation quantitative des produite de dédoublement de l'ail
mine; Fr. KUTSCHER [Zeit. phys. Ch., U 34, p. tihë
25.11.1900). — La méthode de Hausmann pour Totude de la rèf
tition de Tazote dans la molécule de Talbumine ne peut oas doui
des résultats exacts (Hausmann, Ihid. t. 27, p. 95 et t. 29, p. M
Les acides diamidés sont en effet partiellement solubles dans
excès d*ac. phosphotunjarstique et dans le liquide de lavage emplo
De [)lus Hausmann ne tient aucun compte de l'azote humîque i
peut s'élever jusqu'à 10 0/0 de Tazote total. Enfin razotemonara
n'est pas à la vérité ppié par Tac. phosphotungstique lors^nt
opère en sol. et., mais dans Tétude des mat. alb., on o]>èrt* cm «
conc. et on ppte avec Tazote des acides diamidés, une partie
Tazote monamidé. s. lambiaq.
Contribution à l'étude des matières aUmaBinoidae ; A. K089
et F. KUTSCHCR {ZeiL phys. Ch,, t. 31, p. 102-214; 27.1 2. tOdOr
Ce mémoire très étendu est consacré à l'étude dos groupenie
CkUMlK ORGANIQUE.
335
lexMU^Bes conteaus dans les diverses matières albuminoïdes, en
OMUMoçAot par les protainines, les plus simples parmi les subs-
Haoes protéiques.
Méthodes de recherches, — La série des opérations est la sui-
^fiV? : !• déeompositton de la matière albuminoïde (de^ à 5t)^.)
^troi^fois son poids de SCHH* oonc. et six fois son poids d'eau
Indfiit !4 heures à Tébullition au réfr. à reflux ; 2^ éliniinatioïi
•efifide sulfurique et des substances humiqnes par pptioii au
Myen de la baryte et dosage de Fazote humique, puis élimination
pt AzH* au moyen de MgO et dosflge ; 8* pptation de l'arginine et de
Ffcîtuime à l'état de corab. ar^entique et détermination quant, de
•t *ieui bexones; 4* dét. quant, de la lysine. Pour le dé^i de ces
^^fitioQS et la discussion des méthodes, voir le raém, orig.
B'-suttats fournis par les diverses matières albuminoïdes, —
LWur décrit ensuite avec détail les opérations relatives aux
prî3 albuminoïdes choisis. On ne donnera ici que les résultats
P'>MW partie du travail. Les quatre premières substances cons-
ent le groupe des protamines, les suivantes celui des mat.
W-")mplexes.
Sar 100 p. d*«»t« total,
on en troure :
dans
oinc.
87,8
83,5
«7,7
63,5
25,17
SS.9
8,7
5,75
5^
5,12
3,76
dniis
U
lysine.
0
0
0
8,4
8,04
^t dét.
4,3
0
0
0
0
dans
AxH».
0
0
•
0
7,4G
8,3
iî,5
18,78
«0,70
19,51
13,53
100 p. de 8ul)8tanco ont fourni :
Histidine
0
0
0
12*9
1.21
2,34
peu
1,16
1,53
0,43
1,20
0,81
Argioioe
84,3
82,2
62,5
58,2
14,36
15,S2
»,3
3,05
3,13
2,75
1,82
Ljsine.
0
0
0
12,0
7J
8,80
5,6
2,15
0
0
0
0
AxH".
0
0
pAi» d06.
0
1,66
0,74
0,3
2,45
3,89
4,33
2,56
£. LA&lfiUNG.
f kr la matière aUmminoîde de Bence-Jones ; A. HAGNUS-
\^^ZeiLphys. CL, 30, p. 200-240; 16.8.1900). — La matière
I ■ïUffliiaoule spéciale trouvée en 1847 par Bence- Jones dans une
I
836 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
urine pathologique est considérée par tous les auteurs comme uiu»
albumose. L*auteur a fait une étude complète de ce corps, qu'il a
trouvé dans la proportion de 18 à 24 0/00 dans Tunne d'une femme
atteinte de gonflements osseux multiples. Ce travail très éteoiiu
comprend les divisions suivantes : 1<* Réactions de la mat. alb. dan*
Turine ; 2** Préparation à Tétatde pureté; obtention du corps à Ti^Ui
cristallisé et propriétés; 3* Résultats delà digestion pepsiqne,
4** Comparaison de ce produit avec ceux des autres auteurs;
S"" Nature du corps en question et sa position dans la famille (t(«
albiiminoïdes ; 6** Remarques sur l'origine et le lieu de productiott
du composé.
La conclusion du travail est que le corps de Bence-Jones o'tsl
pas une albumose, comme on l'admet, c'est-à-dire une albumiix'
déjà simplifiée par dédoublement, mais un corps protéique <|ii**
l'on doit placer plus haut, à côté des véritables albumines. — Lcj
travail est accompagné d'un index bibliogi'aphique complet de W
question. e. lambui«g.
Sur un procédé de détermination de l'azote des acidei
amidés dans l'urine; H. PFAUNDLER (Zeit. phys. Ch,, t. 30,
p. 75-89; 16.8.1900). — SchondorfT a montré que les acide?^ amidè<
de l'urine ne sont pas précipités par l'acide phosphotungsliquo H
que leur azote est fortement fixé dans la molécule. Parlant *ii'
cette donnée, l'auteur a fait sur une série d'urines les détermina-
tions que voici : On dose Tazote total d'après Kjeldahl. On pplf
ensuite l'urine par l'ac. phosphotungstique et Ton dose dans \e
ppté et dans le filtrat l'azote facilement séparable et razole diffi-
cilement séparable, ce qui donne les fractions que voici : 1* Iai
ppté phosphotungstique est chauffé pendant 18 à 2C heures aveii
de Tac. phosphorique cristallisé ou de Tac. métaphosphoriqno ,
puis on neutralise à peu près parla soude et on distille en préseni-tl
d'un excès de magnésie. On a ainsi l'azote facilement séparahl^i
contenu dans le ppté. 2° Le résidu resté dans le ballon à distilltt
est détruit d'après Kjeldahl et fournit l'azote dimcilement sépan
rable contenu dans le précipité phosphotungstique. 8* et 4* On
traite de même le filtrat phosphotungstique qui donne, comme 1*
ppté, une fraction d'azote facilement séparable et une fraction
d'azote difficilement séparable. La somme de ces quatre fraciiond
doit être égale, à 1-2 centième près, à l'azote total, b. LAMBLi?«<i.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 397
OHMIE eCNÉRALE ET ilNÉRALE
Sur la préparaiioii de grandes quantités de tellure; Edward
MàSTBEJ (Cbem, News, t. 83, p. 145; 3.1901). L'auteur a cons-
ulté que les résidus de la préparation du bismuth renfermaient une
ptade proportion de tellure dont le rendement correspond à
t,0(n 0 0 du minerai ori^^inal. k, hbbert.
niiiaurs propriétés physiques des solutions diacide
ilitnqiie; T. H. YELET et J. J. HANLET {Cbem. News, t. 83,
!> iiS; 8.1901). — Les auteurs avaient précédemment déterminé
bcooduclibilité électrique des solutions d'acide nitrique. En étu-
tet ees solutions, ils ont constaté que les densités et les contrac-
I ^ons indiquaient des points bien définis de discontinuité corres-
I loadiot à la composition des hydrates à 14 ; 7 ; 4 ; 3 ; 1,5 et 1 molé-
sksifeau et que les indices de réfraction fournissaient des points
fc«i marqués correspondant h li; 7 et 1,5 molécule» d'eau.
K, HÈBEKV,
U préptratioo de Tacide iodiqne ; Alezander SCOTT et Wil-
htm iRBUCKLE (Cbem, Soc, t. 79, p. 302; 3.1901). — Les
^oietas recommandent Tappareil suivant pour l'obtention deTacide
■«^w: un flacon à fond rond reçoit deux tubes, dont l'un est lié
<v condenseur à reflux, l'autre amène un courant d'oxj^gène qui
^ff^^ne le liquide. De l'iode finement pulvérisé, bouilli avec
fa (dû son poids d'acide nitrique himant, est oxydé complètement
A 81 oa 80 minutes. a. Hubert.
tetnre de fer; Gilbert John FOWLER {Cbem, Soc, t. 79,
P- Î85; 8.1901). — Préparation. — Le corps a été préparé
?ir trois méthodes: action de l'ammoniaque sur les chlorure ou
''^ware ferreux, sur le ter finement divisé, sur l'amalgame de fer.
A bitte température, le chorure ou bromure ferreux absorbe
''■UDomaqueet par la chaleur, la masse formée se transforme en
***^«iire d'ammonium, azoture de fer et azote.
I^ la seconde méthode, le fer divisé était préparé par réduc-
**» <fe l'oxyde précipité. Cette réduction doit être complète; le
P*^>i8B de l'ammoniaque déterminealors la formation de l'azoture ;
•oc au., a« tifi., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 22
m ANALYSE PB8 TRAVAUX «THANOKRS.
sa température de formation dans Tammoniaque et de décomposi*
lion dans Thydrogène est la même et la difficulté de la préparation
s*en trouve augmentée*
La préparation par l'amalgame n'offre aucun avantage sur lai
précédente.
Des tentatives de combinaison directe de fer réduit et d*azot^
en tube scellé à haute température n'ont pas réussi.
Analyse, — Le fer était dosé par solution dans Tacide sulfu-
rique, oxydation par l'acide nitrique et précipitation par Famnio-
niaque à l'état d'oxyde. L'azote était dosé à l'état d'ammoniaque
par distillation avec la soude caustique.
La composition répondait à la formule Fe'Az et les acides pro^
duisaient la réaction suivante :
SFe^Az 4- 6SOH» = 4S04Fe + 2S0*H(AzH^) + H^.
Propriétés physiques et chimiques, — Poudre grise, d'apparence
vitreuse au microscope, manifestant des propriétés magnétique^,
de depsité 6,25.
L'oxydation par l'air ou l'oxygène secs a lieu à 200*', mais le fei
seul s'oxyde; le chlore produit du chlorure ferrique et de l'azote;
le brome et surtout l'iode n'ont que peu ou pas d'action. Les acided
forment des sels ferreux et ammoniacaux avec dégagement d'hy-
drogène; l'action de Tacide nitrique dépend de sa oonoeQtraUoUi
L'acide chlorhydrique gazeux n'attaque l'azoture de fer qu'à parti!
de 220; l'oxyde nitrique produit un dégagement d'azote. UoxfM
de carbone ne détermine la formation d'aucun cyanure, maM
l'acide carbonique à haute température oxyde l'azoture. L'hydre
gène sulfuré provoque la décomposition suivante :
2 Fe^Az + 6 H2S = 4 FeS + 2 AzH^HS + H» .
La vapeur d'eau détermine une légère décomposition de Tazo^
ture; le carbone ne produit pas directement de cyanure, mail
s^ement en présence de sodium*
yio4ure d'éUiyla doaoe pais^Auce à la réaction
2Fe2Az + 10G2HM = 2 AzHM + lOGSH* + 4 FaP + H',
Enfin la température de décomposition de l'azoture de fer asl
supéneufe à ftOQ*. a. "*
CHIlilB GÉNÉRALE ET MINÉRALE. dd9
là chtleor de fonnatioa Bt la constitution de raïqtnrê de
hr; fiilbert John FOWLER et Philip Joseph EkKfOù (Chem.
soc., L 79, p. 299; 3.1901). — La chaleur de formation était
dc^terminée en mettant à profit la réaction :
«Fô^Af + 6 H2S0* aq. = 4 Fe2S0* aq, + % AaH*HSO* aq. +. H^ ,
Elle a été trouvée de 3<^SÛ4.
Les auteurs adoptent comme formule de constitution de Tazoture
■If fer :
Fcv yFe
I )>Az-Az<( I .
Fe/ ^Fe a. Hubert.
8ir la cendnctihilité électrique du chlorure stanneuz et de
Fidde cUorhydrique ; S. W. YODNG (Am, cbem. Sqc] 1.1901).
— O mémoire contient les premiers résultats des recherches
'ooeerDant des solutions aqueuses» acides, des sels stanneux, et
rmllueoce qu'exerce la présence de sels étrangers.
N? ces recherches l'auteur tire les conclusions suivantes :
Le chlorure stanneux et Tacide chlorhydrique forment des asso-
^ntK»5 complexes, la complexité augmente avec la concentration.
Autant que Ton peut en juger par la résistance électrique de
'Aaque association, elles semblent affecter deux formes diffé-
râtes dont Tune est plus sensible à la dilution que l'autre,
I-** chlorure de potassium augmente la faculté de former des
•sîodaiions.
Llodure de potassium semble déterminer la formation de com-
"^isoDs complexes avec le chlorure stanueuxen formant sans doute
i«^ doubles. h. causse.
hr âne méthode de préparation de l'acide sulfnrique nor-
■al, deminormal, décinormal; Richard K. MEADE (Am. cbem.
'^.; 1.1901). — L'auteur décompose par un courant électrique
^ âolmion d*un sulfate métallique, pris sous un poids tel, qu'il
''«me par décomposition une quantité d'acide correspondant à la
^^*l*«sôe de la liqueur à obtenir. Pour obtenir l'acide N/10 on
'j«oal 12»',487 de sulfate de cuivre pur dans 750 ce, d*eau
'^^s^Jlée, La solution est logée dans un vase disposé pour être
'iuuflé, OQ introduit une feuille de cuivre reliée au pôle négatif,
'-* oa inoean de platine en relation avec l'autre pôle, et Ton donne
^OAnaft d*uDe intensité d'un ampère et demi; 8 heures suffisent
ANALYSE DBS TRAVAUX ftTRANGBRS.
iplacer tout le cuivre, on s'assure que la liqueur ne coQtieoi;
métal, par les réactirs ordinaires, on étend ensuite à un litre.!
H. CAU3SK. !
la détermination des pointa de fueian dea asphaltas;
I F. MABERT et Otto i. SIEPLEIN (Am. chem. SoeA
. — Les auteurs ont surlout comparé les points de fosioD
^haltes, à l'aide d'un appareil consistant en un premiei{
glass qui sert de bain de glycérine, on introduit un second
'glass qui plonge dans le bain, et qui est fermé par un bou-|
averse par un thermomètre, et pai- une sorte de cuillei!
lit l'asphalte; les auteurs ont résumé dans un tableau qui
nd 31 déterminations le résultat de leurs recherches.
>oiiail et razamen dea gaz produits par les bactéritt
irtains milieux ; Walter Charlea Croaa PAKES et Waltar
JOLLTMAN {Chem. Soc, t. 79, p. 322; S.1901). — Les
décrivent un nouvel appareil pour recueillir les gaz pro-
ar les bactéries croissant en présence de l'air ou en ton
'.. Le Bacillus pyocyaiieus, considéré comme aérobie, croîl
1 milieu conlenantl 0/0 de nitrate de polassium ou d'ammo-
] l'absence de tout gaz on en présence d'hydrogène seule-
/oxygène doit donc être considéré comme présent lorsqu'il
ïlat de nitrate. Dans ces conditions, le bacille produit â la
l'oxygène et de l'azote libres, le premier en faible quantité,
une iDçon constante. a. hébert.
CHWIE ORBANIOUE.
'éaction antre l'alcool èthylique et Tuoida chlorhr-
; Thomas Slater PRICE (Cbem. Soc, t. 79, p. â03.
. — L'auteur a mesuré cette réaction au point de vue dr
lilibre et de ea vitesse. La constante d'équiltbrea varie avei'
tité d'acide employée; elle est donnée par l'équation :
— A— -vun— Ti
CHIMIE ORGANIQUE. 341
où A,B,G,D sont las concentrations de l'alcool, de Tacide, de l'eau
w de Téther respectivement au commencement de la réaction et
X là qitantité d*éther nouvellement formé quand l'équilibre est
tttemt. Les résultats concordent avec ceux de Zaitschek sur
i'ààde solfurique et l'alcool. Les déterminations ont été faites
à T>, 99» et i2?9*,5; le phénomène peut être représenté par Téqua-
lion
^ = R,(A — .irHB-x)2-R2(G + .Y)(D + ;r)(B-.Y),
M R, et fî, sont les constantes de vitesse des réactions directes et
MTerses, x la quantité d'éther formée au bout du temps 0, et où
AfB.C.D ont la même signification que ci*dessus. Les valeurs de
Rt décroissent quand la concentration de Taeide augmente et aussi
tu présence de Teau. La vitesse de la réaction augmente très
npidement avec la température. a. hébert.
l'action de Tacide bromhydriqne sur les hydrates de car-
koM; Eanry J. Horstman FENTON et Miss Hildred 60STLIN6
ICAe». Soc., t. 79, p. 361 ; 3.1901). — En traitant les sucres
^^uvints: lévulose, sorbose, sucre de canne, inuline, en solution
*Wré€ par l'acide bromhydrique sec, on obtient une couleur
l^^vp^ intense après un certain temps. Le dextrose, maltose,
^*i^ de lait, galactose, et les alcools polyhydriques, ne donnent
ptâime réaction comparable. La matière pourpre produite précé-
^^ouDent, neutralisée par le carbonate de soude et extraite à
fcther, donne des prismes jaunes de (D-bromométhylfurfural :
CH=C-CH2Br
I
0
CH=fC-CHO
Les auteurs ont constaté que Taction de Tacide bromhydrique
w toutes les formes de celluloses donne une grande quantité de
braiométfaylfurfural et ils en ont déterminé la proportion. De cette
^^, ils tirent les conclusions suivantes : Les celluloses doivent
'^^^air Dn ou plusieurs groupes ou noyaux identiques à ceux
^^'ol^us dans le lévulose et ces groupes constituent la partie
W^^fi^k ou essentielle de la molécule. Des groupes similaires
^^ coDiemis dans les amidons et les dextrines, mais la proportion
S4t ANALYSE DBS TRAVAUX ATRANGBRS.
de ces groupes représente irne partie ralatiTement petite de 1
structure totale. a. hAbkrt.
t>a conititution oétoniquo do It oallalou; Charlfls Frâdérii
CROSS et Edward John BEVAN {Chem. Soc, t. 79, p. 36C
3.1901). — Exposaal ta question de la constitution de la cellutoâi
les auteurs constatent les faits suivants : Leurs propres rechercbe
qui les ont conduits au tétracétate C«H*0(OC*H>0)* leur paraisseï
indiquer une constitution cétonique CO=(CHOH)*-CH*.
La règle de Will et Lenze sur la formation des éthers nitriqui
des cétoses se véi-ifle pour la cellulose.
Faber et ToUens, étudiant les produits d'oxydation des osyce
luloses, n'ont jamais trouvé d'acides avec la chaine normale
dix atomes de carbone.
Ces raisons amènent les auteurs à conclure que la cellulose n'e
pas une polyaldose ou anhydride, mais qu'elle possède uoe codi^i
tution cétonique. Les recherches de Fenlon et Gostling, ea transfu
mant les celluloses en méthylfurfural, ouvrent une nouvelle vo
expérimentale et rendent encore plus douteuse la oonstitulid
polyatdosique. Elles montrent que la lévuloae ou une autre céUM
est un produit d'élaboration de lacellnlose et elles expliquent d'ui!
façon simple l'origine des composées non saturés, dérivés du fui
furol, qui sont les constituants des matières du genre de la lig^noni
Elles sont contraires à l'hvpothèse que tous les constituaats de I
'onnant du furfurol sont des pentoses ou des pentosanes.
da, ranilide et las ortho at para-toluididas de l'aeid
[ue; Percy Faraday FRANKLAND, FrèdArick Halcoli
ON etHenry ASTOM (CAezn. Soc, t. 79. p. 2C6;8.1901 1. -
il est la suite de l'étude systématique que les autours oi
se sur les modidcâlions produites sur le pouvoir rotatoii
stilution dans les composés optiquement actifs.
3Uvoirs rotatoires étaient déterminés à l'état liquide (sat
rthotoluidido) et en solution dans l'alcool méth/lique. Le
e l'acido d-glycérîque ont un pouvoir rolatoire beaucou
evé que ces nouveaux composés, pour lesquels on trouve
Glyeérylamidc [M]^= — ^1«98 ù 100»
GljTéij-lanilido — 13.36 à lOO"
Glyn'^rïlponiloluidide —67,65 ù 118'
imposés C9trcâpondaol3 .de l'acide glycérique ioactif on
OHIMIB Ot^QANlQUB. ^
M pnipor^ pour compare!* leurs points de fusion à ceux des
«btûâce» active& :
AAUf. Intctif, ,
Glycérylamide 99,B-100*> 91 ,5-92*
GJycérylanilido 113-113^5 91«
Glycén'lorthotoluidide .... 89-89o, 5 iâ9-129s 5
Olycéi-ylparaloluidide 181-lâlo,5 120-120«,5
PuMn BXFÉimnavTALB. — Qlycérylamide imctive. -^ On fait
puaer de rammoniaque sèclie dans du glycérate d*éUiyle inactif
nlr9idi ; on laisde &4 heures et on chasse l'excès d'ammoniaque et
<ftkx>ol par le vide. Le résidu cristallise.
Glfeér/bimide active. -^ Préparation analogue en opérant avec
àx gtycérale d'éthyle actif.
GlitérylÊmlide iasctire. — On chauffe le glycérate d'éthyle
otctif avec de l'aniline pendant 4 heures à 140'*, puis pendant
i heures à 160. On décolore au noir animal; la solution cristallise)
Glyeérylauilide active. — Préparation analogue.
GIrcéryJortbotoluidide inactive. — Préparation analogue en
<3ipk)yant le glycérate de méthyle inactif et Torthotoluidine ;
feifiès de toluidine est distillé dans le vide. Les cristaux qui se
déposent sont purifiés par le noir animal. Par fusion, ils donnent
■a liquide inodore.
QijvéryloHbotoltddidB active. — Préparation anologue. Par
tnmi, les cristaux donnent un liquide rouge qui ne permet pas
i'ofaMrvition polarimétrique.
Qiyeérylpâratoluidide inâctive. — Préparation par le glycérate
i*^th)'le ioactif et la para toluidine; on enlève l'excès de base par
leboxèoe et on cristallise dans le chloroforme.
Ofyiérjriparatoluidide active. — Préparation analogue.
Ptmrmr rotatoire de la glycérylanilide et des glycétylortbo
f^ pinttoiaidide eo solution métbyliqae. — On trouve :
Olycérylamide [M]^ à 20« = — 65°, 55
Gîycérylamlide —126°, 06
(ilycétylparaloluidide —124°, 57
Giycéry lorthololuidide — 68°, 34
^'olames moléculaires. — On trouve à 15* :
Calculé. Trouvé.
Glycérylamide ^. . . ..^ . , . . 85.1 74.7
Glycérylanilide , 143.7 141.3
Glycérylparaloluidide 159.8 151 .3
A. HÉBERT.
su ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS. |
Sur les dirÎTÔB de lap-iii4thylombellirèrOD«(IX). ReehBxvliwl
sur les conmarineB ; H. Ton PECHHANN et Jalius OBERULLER
(7>. cb. G., t. 34, p. 660; 25.3.1901). — Les recherches doot nous
alloDS rendre compte ont été entreprises dans le but de détermioei
si les oxycoumarines pourraient être successivement nilrées, ami-:
dées, puis hydroxylées, pour être ainsi transformées en nouvelle»
oxycoumarines que l'on ne peut pas préparer par synthèse directe.
Les auteurs sont partis pour cette étude de la p-méUiylombellit^
rone et quoique le résultat n'ait pas étéatteint, ilsouteurocca^oa
j„ *■'"■-» '*'") remarques intéressantes et de préparer un certain
dérivés que nous allons passer en revue en renvoyantle
uémoire original pour ce qui concerne la partie théori-|
Qt la p-méthylombelliférone en solution sulfurique «m
1 mélange d'acide sulfurique et d'acide nitrique à 0*, ita|
la S-nitro-^mélbylombeiïWéroae \
CH» i
D dimorphe qui, cristallisée dans le nitrobenr joe, est'
1 jaune pâle, fusibles à 228-229°, et dans un mélange à» ,
le et d'alcool en prismes jaune citron, fusibles à ^SA'.
tien de ce composé a été établie par le fait que chauflËti
illé, pendant 5 à 6 heures avec de l'ammoniaque conceo-
jumit la 2-nitrorésDrcine.
néthylombelliférone en question réduite par le chlorure ,
t l'acide chlorhydrique en présence d'alcool, donne b i
■nélhylombeUiférone facilement soluble dans l'acide scé- •
lUisable, le nitrobenzène et l'aniline; ellecristallised'un
aniline etd'alcool en aiguilleajaunepaillequisedéconi-
tellement à 2'i0-250» pour fondre complètement à 86fi-
te dissout dans les carbonates alcalins avec une conteur
le fluorescence bleue.
)ar la méthode de diazotation habituelle, elle roumit un
dridc correspondant a la formule
CH»
CHIMIE ORGANIQUE. 345
Cêtompoêé ea aiguilles rouge jaune ou en prismes se décompose
ifM eq)iosioo vers llS-ilh**^ mais on Toblient aussi sous la forme
f OA produit se décomposant à ISS-ISG"". Le picrate de la pre-
Bière modification est en prismes rouges et courts quisedécompo-
îi^at vers 176- ISO*, tandis que celui de la seconde modification est en
Ufivilles rouges qui se décomposent vers 160-165*. Ce diazo-anhy-
Iride est très difficilement soluble dans Teau froide, facilement
iiûlable à châud dans Teau, dans l'alcool, dansTacide acétique etc.
Ses solutions stables dans Tobscurité sont rapidement décom-
|ot^ par la lumière en déposant des flocons rouges; si on les
àmoBe avec du cuivre en poudre il y a régénération de p-méthyl-
aobeliiférone et non pas remplacement du groupe diazoïque par
tlfdroxyle, il se forme en même temps les flocons dont il vient
f toe ptrié.
Lorsqu'on chauffe un tube scellé, pendant 2 heures à 100* la
litro-ombelliféronë avec de Talcool méthylique, du méthylate de
lodmm et de fiodure de méthyle on obtient Vétber méthylique de
'A<9 tùtro^métbylombelliférone petits cristaux jaunes, fusibles à
SKr, dont les solutions sont dépourvues de fluorescence; on
i^ul préparer le même produit en nitrant Téther méthylique de la
^loMiylombelliférone. Le dérivé amidé correspondant cristallise
•buPtlcool étendu en aiguilles jaunâtres, fusiblesà 161*; il donne
(•rriction du nitrite de soude un dérivé diazoïque qui peut être
^^^ et qui est stable.
Eo nitrant Téther méthylique de la ^-méthylombelliférone dans
les sèmes conditions que la ^méthylombellifërone, il se forme
^M dèivés mononitrés, celui qui vient d*être décrit puis un second
(^ lequel le groupe nitro occupe probablement la position 5. La
^^fwnuioa de ces isomères peut être eOectuée au moyen du
"'âttge d*alcool et de nitrobenzène dans lequel le premier est
^^ciKoop plus soluble que le second. Le dérivé 5 est en longues
iifuilles, fusiblesà 281-282*; son produit de réduction fond à
^-&22*; il se dissout dans Talcool avec une fluorescence verte et
^tt rtdde sulfurique avec une fluorescence violet rouge.
U S^tro-^éthylombelliférone bouillie pendant 15 minutes
■^ de l'anhydride acétique et de l'acétate de sodium donne un
^^^^ eristaUisé en feuillets incolores, F. 165-166*, possédant la
bmle
CH3
m ANALYSE DfiS ntAVAlIX ^BANGBRB.
Gélui-cl tountit par réduction au moyen du chlorure stanneux ë
de Tacide chlorhydrique en préseni^e d'acide acétique puis Irattê^
ment du produit de la réaction par Teau la S^^élamido-^^méthrl
ûtÈibelïitérono
aiguilles fusibles à 290*, difficilement solubles dans ralcool, inso^
lubies dans le benzène et le chlorororme, solubles avec fluoré»
cence dans les alcalis ainsi que dans Tacide sulfurique concentra
En réduisant Tacétate de nitro-ombelliférone en suspension dan
l'acide acétique par le chlorure stanneux et l'acide chlorhydriqw
puis en extrayant le produit additionné de lessive de soude par li
chloroforme, on obtient la base anhydre soit Vétbétiyl-S^mido'}
méthylombelUférone
CH3
TYV
:h3.c=az
Cette base anhydre que l'on peut aussi préparer au moyen ai
dérivé diacétylé décrit plus loin, cristallise danale benzène etfbik
à SOS-SOd"* ; elle est insoluble dans l'eau, soluble dans raloool, plu
facilement soluble dans le benzène et le chloroforme. Ses Bdutiott
sont dépourvues de fluorescence.
La 8-amido-p-mélhylombelliférone chauflée avec Tanhjnlndl
acétique en présence d'acétate de sodium fournit la fWacrf/jM^
amido-^méfhylomhelliféronp
GH3
CHHiOO,
(GH3CO)3Az
Ce composé cnstallise. dans l'acide, acétique étendu en aiguillai
blanches, F. 183-184°, facilement solubles; il se dissout dans li
CHIMIB ORGANIQUE. 847
MMe fticooliqoe en Bd saponiflanl eti partie pour dontier là
kÊtélff-^midù^méthylômbelliférone
CH3
H
(CH3CO)'À8
toDl les solutions alcalines sont douées d'une fluorescence bleue»
Beite combinaison cristallisée en aiguilles, F. 261-268'', est diifi-
Edraieot soluble dans Tacide acétique et l'alcool; elle est saponifiée
ks partie par l'acide chlorfaydrique concenU*é et fh)id pour donner
Id dérivé moQoacétylé. Chauflée au-dessus de son point de fusion
lUf se décompose en acide acétique et base éthénylique.
F. REVERDIN.
Trtif formation si déecmposUion de l'acide ooumarilique et
<e m dérivés; R. STOERMER et G. CALOV (D. cb. G., t. 34»
I- TIU; 25.3.1901). — Les auteurs se sont proposé de préparer la
i-*)nwM) coumarone et de l'identifier avec celle qui est déjà connue;
*fr recherches dont il est rendu compte dans le présent mémoire
A'-te^OQt pas conduits au résultat désiré mais elles ont donné
"^ à la préparation de quelques nouveaux dérivés de Tacide cou-
Eu bisant réagir le brome sur le coumarilate de potassium, les
•towi ont obtenu la trtbromocoumarone déjà connue, fusible
•IM5»; eo modifiant les conditions de la réaction il se forme tou-
)*w dei produits renfermant une quantité de brome plus forte que
t^«Q dérivé monobromé. Ils ont aussi essayé, mais sans succès,
^ prc^trer Tamidocoumarone au moyen del'amide de l'acide cou-
^Bfiliqae par la métbode de Hofmann. L'amide en question est en
'•îJJllets blancs, F. i59«; chauffé à 110-120» avec de Tanhydride
^MAoriqae elle fournit le nitrih qui cristallise dans l'alcool
•*'«*i en longues aiguilles soyeuses, K. 36*.
^ ^Uomrt de f acide coamûriliqae C^H'O . COCl préparé en
™«ûnanlauB.-M. l'acide avec du pentachlorurede phosphore, dis-
^ » »4-266* et fond à 52«. il est doué de l'odeur de Tessence
4 «■■adss amères. Ghaufië avec du phénol et de la lessive de
•^ il donna l'éther phénylique, larges aiguilles blanches. F, 101**
^^rilrÊiiie eoamârJUque C«H»0 v GO. AzH.AzH^ cristallise dans
*«l0Qol en itgiulles feutrée»^ F. na».. Elle. se transforme par
'*^4«mtrite de soude en aziV/e C^HsQ.COAz», F. 109% qui,
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
aveo de l'alcool absolu pendant 2 heures puis précipita pa
lonne Varétbane coumarilique C^PI60.AzH.G0.0C*H*
I
|u'on cherche à scinder ce composé, qui est le preuud
ionnu de la l-ainidocoumarone, au moyen de l'acide chlor
e concentré oa obtient un acide fusible à 144*, l'acidt
lénylacétique ; l'uréthane coumarilique traité par la lessivi
tse alcoolique donne lieu à la même réaction quoique d'uu
I moins nette.
uteurs décrivent encore les oximes de la i-aeétyleoaiait
delà dicoumarykétone; la première cristallise dans l'ai'
ndu en aiguilles blanches, F. 150*, la seconde en aiguille^
; qui se décomposent vers 282-2S3*. r. RivEann.
■nr les dérivés bromes de la coomarona; H.
G., t. 34, p. 781 ; 25.3.1901). — L'auteur qui adopte pou
ter les produits de subtitution de ia coumarone le schéma
ueiques dérivés bromes.
S-didromocoumarone déjà décrite par Stoermer a été pré-
ir l'action de ia quantité théorique de brome en solution
sulfure de carbone sur le dérivé moaobromé d'Eberl
d à 25-86', tandis que le dérivé monobromé donne ave<
luIAirique concentré une coloration rouge intense, le dé-
romé ne donne qu'une faible coloration violette sous l'io-
de la chaleur. Par l'action subséquente du brome oo obtieoi
bablement la combinaison l.S.â.
.2.6-tribromocoamaroDe préparée en laissant en ràotacl
. 14 jours la 1.5 dibromocoumarone (F. 78*) avec du bronu
ion dans le sulfure de carbone cristallise dans l'alcool ab-
rond à 115*.
S.S.S-tétrabromocouaiarouo s'obtient en laissant eo conlai:)
tribromocoumarone avec le brome pendant plusieurs moia,
en aiguilles blanches, F. 134*. Elle est encore facilem»ii
dans les dissolvants ordinaires et ne donne pas, d« mèaa
trécédente, de coloration caractéristique avec l'acide sulfu-
r. Mvmon.
CHIMIE ORGANIQUE. S49
Itia tar Toiploi da la pjrridina pour la détarmination du
Mfc molécalaire par la méthoda ébnllioscopiqaa ; William
IM miES {Cbem. Soc., t. 79, p. 261; 2.1901). — Pour cet
mpioî« Fauteur s'est assuré d'abord de la fixité du point d'ébulli-
ioo de k pyridine. Il a déterminé ensuite la constante qui est
le 29,5, Les acides, les alcools et les phénols donnent des poids
wléeulaires normaux. a. Hubert.
CiBpho-s-snlfonataa d'hydrindamine isomèras. — Racémi-
Mtoi da rabromocamphre; Frédéric Stanley KIPPING {Cbem.
&e., t. 79, p. 870; 8.1901). — La séparation du d-catnpho-7c-
Irtfooate d'hydrindamine brut en différentes fractions est due à
Il présence d'une petite quantité d'un sel dérivé d'un isomère de
ttode dextrogyre. Ce nouvel isomère pouvait être énantiomorphe^
Vtiqnemeni différent et identique de constitution, enfin différent
Hpotntdevue optique et constitutionnel. L'expérience montre
1K les deux acides sont énantiomorphes.
PiKm MXféKiMZNTKhE. — Le sel était préparé par neutralisation
i&r<?cte de l'acide campho-?c-sulfonique par l'hydrindamine racé-
ai<pe, et concentration de la solution aqueuse. Après 15 ou 20
fr^>ctk)Qnements, on obtenait les deux portions suivantes :
f* Légèrement soluble ; [«]^ = + 38«,5 dans ralcool ,• + 80» dans l'eau
^ Ripwiemcn t soluble ; [«]^ = + 48«, 8 dans ralcool ; + 40o, 2 dans T eau
U première fond à 201-202'»; la seconde à 197-198^ Les autres
P^ipriétés sont identiques. Les cristaux répondent à la formule
«P«Ax.C«ni«K).S0«H,lV4H«0.
Le fait que le rf-/-camphosulfonate de cf-/-hydrindamine s'aocu-
a&^ dans les portions les moins solubles, tandis qu'un sel prati-
fKaeotpur et partiellement racémique est déposé par les eaux-
aères, quand on fait cristalliser le mélange, tend à montrer que
^•eides d- et /-, quand ils sont combinés avec les bases rf- et A,
haent un composé racémique.
U racémisation partielle du bromocamphre pendant la sulfona- j
^ H la noo-racémisation pendant la réduction du sel d'ammoniun j
^ Facide solfoné est à peu près certaine : 1® parce que le camphre
^^-vtee est racémisé pendant la sulfonation; 2^ parce que les i
'^liitîoQs de l'expérience et les réactifs employés dans la réduc- |
te de Facide brome ne produisent pas d'habitude de changement j
''^^MiûtéciilaiTe : 8* parce que la formule assignée à l'acide bro-
ikxamphoBuUbnique rend cette conclusion probable, a. HisniT.
900 ANALYSE DES TRAVAUX JÎTBANGERS.
Nota inr la téoomiiio, mttiéra colorante tlrét de ravbiar d^
Bignonia Toeoma; Tbéodore^H. LÉB {Chem, Soc., t, 79, p. Ki
285; 8; 1901). — La poudre da bois est traitée par Paloeol qau
concentre et filtre ; le filtrat est évaporé à consistance pAteiiae c
bouilli avec Tammoniaque qui sépare une résine, La liqueur uqw
niaoale fUtrée et traitée par l'acide chlorhydrique, déposa un pr^
cipité qu'on extrait à Talcool. Le rendement en matière ooloranl
est de 5 0/0.
Cette matière colorante, dénommée técomine, est orangée; eilj
devient rose-rouge par les alcalis et jaune-clair par les acides
Elle sert, au Brésil, à la teinture du coton et au. vernissage du boi^
A, HÉBERT.
Sur la nature et les propriétés de Tbuile de blé; HERMAm
T. YULTÉ et Harriet Winfleld GIBSON {Am, chem. Sac; 1.190li
— Outre les constituants ordinaires des huiles les auteurs ofl
trouvé dans l'huile de blé une large proportion d'alcool phylosti-
rique, qui a été déterminé par le procédé de Foster et Reicheli
mann, ils considèrent à cette substance comme l'une des plt^
caractéristiques de l'huile. L'alcool phytostérique est facile 1
reconnaitjre; la solution sulfo-carbonique, additionnée d'une gouU^
d'acide sûlfurique concentré développe une coloration violette.
L'huile de blé contient aussi des lécitbines qui ont été iaoléed m
dosées par la méthode de Benedikt et Lewkowitsch, qui revicQ
à la détermination de l'acide phosphorique.
Les acides gras insolubles ont été obtenus en sapomAanI ThuiK
par ua grand e^ccès de potasse, le savon foimé est décomposé par ui
acide; lesacides gras, misen liberté sontsoumisà l'action d*un oouran
de vapeur d'eau. Le résidu lavé à l'eau bouillante est séehé à 100*
après ce traitement les acides composant le résidu ofTrenl les coav
tantes suivantes : D= 0,8529; F. ^«,4; degré iodique i80,9H
échaulîement par le brome H'^fi. Indice de sapoqiQoaUoo, ^
titration directe 198%29; selon Koettstorfer 200%0.
Les auteurs ont tenté un séparation des acides par préoipitatioi
fractionnée. 40 gr. du mélange sont dissous dans l'alcool coocaitn
et neutre, en quantité suffisante pour obtenir une solution oompltfU
à la température ordinaire, puis on cgouto 1*^,5 d*acétate «fa
^agnésiuin dissous dans l'alcool, on agite et on abandonne iv
repoa pendant 24 heures, on filtre, au Uquide filtré on ajoute uM
aec^de dose d'acétate de magnésium, et l'on continue ainei jusqu i
ce que l'oq n'obtienne plus de précipité. Après quatie préoipi-
tatioiis l'acétate de magnésium ne donne aucun dépAt. on traite Itf
CHIMIB ORGANIQUE. ISil
iBwpiièmfl filtrat par Taminoniaque en excès, et de Teicétate de
ftignésiom, après trois jours on sépare le précipité. Le liquide
ffoveoint de la filtration est additionné d'acétate de plomb, le
récipité plombique est repris par Téther, on sépare la portion
iBoltibie dans oe solvant, on évapore Téther à une douce chaleur.
Ikaque Iraction est lavée à Talcool dilué et décomposée par HGl,
1^ teides gras nÛ8 <^n liberté sont lavés jusqu'à ce que le liquide
\è Itvage soit sans action sur le méthyl-orange, puis soumis à un
fciwnble d'essais qui comprennent, la détermination du point de
bMo, du de^ré iodique, du degré de saponification, du poids
ioleealaire et de Tindice de brome^
Dutt la fraction n* 4, les auteurs ont trouvé un acide particulier
ft fensemble des constantes et l'analyse élémentaire leur a fait
finsifor comme de l'acide hypogéiqueC*®H*oO*,2H*0. Les autres
itidcs sont : les acides stéarique, palmitique, arachidique, oléique,
inléiqae, et ricinoléique ?
L'étude des acides solubles a montré la présence des acides for-
«qoe et acétique, à côté des acides caproïque, caprylique et
Afrique. Une portion du liquide séparé des acides gras insolubles
<M iituré avec le chlorure de calcium, il se sépare un anneau
hitjTeax, composé d'après Rokitiansky des acides caprique,
'■{kTOîque et caprylique. Une autre portion chauffée avec de l'acide
Aifimqoe et de Talcool donne de Téther acétique, enf)n une troi-
tMae partie additionnée de nitrate d'argent et l^èrement chauffée,
<%>o«e de l'argent métallique, et indique la présence de l'acide
hrauqne.
Coi reebercbea igoutent à la liste des constituants connus de
tkude de blé, les acides acétique et hypogéique, et confirment
^ présaoce de l'acide formique considérée comme douteuse.
H. CAUSSB,
hr lit «atiérea colorantaa rouga-bmn résultant de l'action
te P«th)anira de fer cUorhydriqua sur l'indican nrinaira )
tlOnii iZeii. pbys, Ch., t. 30, p. 117-125; 16.8.1900). —
LiuteoT critique le procédé proposé par Wang pour le dosage de
rmdigo urinaire (Wang, Ibid, 28, 576). Il montre qu'il est néces-
wre de ppier au préalable l'urine par le sous-acétate de plomb
H QOQ pas par l'acétate, afin d'éliminer des substances réductrices
^•'^^wes et notamment l'ac. salicylurique provenant de l'ac. sali-
•l^oe ingéré. Il démontre ensuite que les mat. color. rouges et
^^''Ms qui se forment dans le dédoublement de l'indican se confon-
•«oltvecrîndigo bleu et ne doivent pas être éliminées comme le
â5S ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
veut Wang. Il suffit, en pratique, d'employer le sous-acétal^ ^
plomb et de chauffer à 110<* le résidu chloroformique.
Sur la détermination de Taciditè de Tiirine; 0. HACGC
(ZeU.pbys. CA., 30, p. 313-849; 22.9.1900). — L'auteur laoni
que les méthodes de Maly et de Lieblein donnent des résuit^
inexacts et qu'elles doivent être rejetées. U étudie ensuite d*abo|
séparémentetensuiteavecdes mélanges, eten présence d'indicaleU
variés, la titration des divers phosphates de sodium et de calcini
des carbonates, des urates, l'influence des sels ammoniacaux, eri
propose finalement la titration directe de l'acidité urinaire, à Taii
de la soude N/10, en présence de la phénolphtaléine.
B. LAMBLniG.
Sur la réaction d*Umikoff dans le lait de femme ; N. SIEBÏ
{Zeil. phys. Cb., t. 30, 101-112; 16.8.1900). — N. Z. Umikori
décrit une réaction permettant de déterminer approximativemej
l'âge du lait d'une nourrice à partir du début de la lactatioi
Lorsqu'on chauffe au B.-M. à 60® pendant 15 à 20 m. un m^an(
de 5 ce. de lait et de 2 ce. 5 d'ammoniaque aqueuse à 10 0/0, 1
liquide prend une teinte rouge violacée d'autant plus intense qil
le lait est plus âgé. Le lait de vache ne donne dans ces condition
qu'une coloration jaune ou jaune brun. Les matériaux qui donne)
cette réaction passent par la dialyse du lait dans le liquide exti
rieur et l'auteur montre que ces substances sont le lactose et l'acid
citrique. Des solutions à 0,5-8 0/0 de lactose, additionnées d'acid
citrique dans les proportions où cet acide se trouve dans le lait d
femme (de 0,054 à 0,057 0/0), donnent la réaction en question. EU
fait défaut au lait de vache parce que ce lait est six fois plus rich
en chaux que le lait de femme et que l'ammoniaque en ppte Vaàd
citrique à l'état de sel de calcium. La réaction est irrégulière et m
donne plus de sécurité à partir du 8*^ mois. c. lambutig.
L
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 353
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
Comparaison de la conductibilité électrique de quelques
tels doubles avec celle des mélanges de leurs constituants ;
IT UNDSÂT [Aru. Journ., t. 25, p. 62-69; 1.1901). — L'au-
i^»iramve au résiillat suivant qui peut paraître assez singulier^
r»-?lque la soluliun d'un sel double ne possède pas la même con-
IN-Iibilité éipclri<|ue que le mélange des solutions des sels simples
c«»a?tituants. louU*s choses égales d'ailleurs. Ainsi une liqueur ren-
\ îmwil i mol. du sel double (AzH*)«SO*.MgSO* dans 8 lit. d'eau
i'iifuii jour u^ une valeur de 231,5; une liqueur préparée en
iKkngeant 1 mol. du sel (AzH*)*SO* dans 4 lit. d'eau avec 1 mol. du
•iM^rSO* dans 4 Ht. d'eau, fournit pour lu^ le chiffre 237,1. La
Mifnmce n'est pa> très forte, elle diminue à mesure que la dilu-
fcjr. augmente, mais elle est en tout cas supérieure aux erreurs
•fpipt»nence. et elle se trouve toujours du même côté ; le sel double
^■^j^y^e une conductibilité plus faible que le mélange des sels
Us (expériences ont porté sur le chlorure double de potassium
■• 'l' cadmium et les sulfates doubles de nickel et potassium, de
'magnésium et ammonium. Les solutions ont été préparées par
*niih^ et titrées ensuite gravimélriquement. Toutes les mesures
*ï'<'ondurtibîlité ont été effectuées dans le même appareil.
U conclusion qui découle de ces résultats est celle-ci : lorsqu'on
ai*'Ungedr'ssolulions suffisamment concentrées de sels susceptibles
> -î'tiûir pour tonner un sel double, la combinaison ne s'effectue
'^^ imméiliatemenl.
Il t.-sl rc;:i*ettable (jue Tauteur n'ait pas examiné si la conduclibi-
''•^•lu mélange ne vprie pas avec le temps de façon à devenir égale
i •**l|p(i»» la soltilion du sel double. Toutefois M. Lindsay a cons-
tii'' q-iVn évaporant la solution du mélange, il se déposait à la fois
^î'^nblaui (le sel double et des cristaux des sels simples, et qu'en
f*'it^>U an t le résidu dans le volume d'eau primitif on obtenait
'•it^ liqueur dont la conductibilité se rapprochait notablement de
Mie du sel double. Pour le détail des expériences, voir le mémoire
"^'Plial. p. FKEUNDLER.
Action de l'iode et du brome sur Theptoxyde de chlore et
«w l'acide perchlorique ; A. MICHAEL et W. T. CONN (/1/Z2.
''"«rn., 1. 25, p. sd-^M ; 2.1901). — Les auteurs recommandent au
•or. cuiii., 3« »RM., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang.
23
354 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sujet de la préparation de Tanhydride perchlorique de fairt»
mélange d'acide perchlorique et d'anhydride phosphorique k ni
température inférieure à — 10*, de chaufTer ensuite graduelleiw^^j
en enlevant Tanhydride distillé de temps en temps et de n*r-le\i
la température à 85** qu'à la fin de l'opération.
L'iode réagit sur l'heploxyde de chlore avec assez d'énergie i
se transformant en une matière blanche qui est de l'oxyde I*0*,
ne se forme pas d'anhydride périodique. La réaction commence
la lumière diffuse mais ne s'achève qu'au soleil ; si Ton ne refroiil
pas énergiquemenl,lamasse peut détoner.L'anhydrideperchlonqi
est transformé partiellement en sous-oxyde.
Avec l'acide perchlorique anhydre, C10*H, la réaction est moii
énergique. Elle donne naissance à un produit cristallisé en ai^iinj
très hygroscopiques qui perdent de l'iode à l'air en laissant i
résidu d'acide iodique, et qui répondent à peu près à la formu
HrO^. — Si l'on chauffe de l'iode avec une solution aqueuse co^
centrée d'acide perchlorique, on n'obtient que de Tacide iodiqui
Le brome ne réagit pas sur l'acide perchlorique ou sur son anh|
dride.
Dans les réactions précédentes il s'agit d'une oxydation de l'iod
et non d'une substilution de l'iode au chlore comme Tavait sup|>Oî^
M. Kaemmerer. p. freuni>lbr.
Nouvelles recherches sur Taoide azothydrique; Th. CUH
Tins et A. DARAPSKT {Journ. /. prakt. CL, t. 61, p. iiO). -
Az^H précipite complètement Al*0^ de l'alun à Tébullition, d
même Cr^O'*; en dissolvant Cr^(OH)« dans l'acide et précipitant pa
l'alcool on obtient Az'^Cr sel vert insoluble H*0. L'alun de frt
donne d'abord une coloration foncée rouge sang, puis à l'ébulli
tion Fe^O^ précipite totalement. Le zirconium précipite coniplèit^
ment aussi ; le thorium précipite déjà à froid et complètement i
chaud, et cette propriété permet de le séparer des autres terre
rares : Ce, La et Di. L'hydrate d'yttrium se dissout dans Tacide fl
donne un azide non analysé. Le lanthane dans les mêmes comi»
tions donne un sel basique contenant pour La,Az<*. l/hydrate »i^
cérium donne un azide semblable. Le carbonate de didymo se <U^
sont dans l'acide et laisse par évaporation un sel rose conlenaûl
pour Di.Az*.
Le nitrate d'urane donne à Tébullition un précipité d'hydrai*
d'uranyle UO*(pH)*. Le carbonate de Mn dissous dans Tarid*
^ donne par l'alcool et l'éther un précipité contenant Mn(0H)A2* <**
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINERALE. ^,5
i*itï \e sel aormal MnAz^. Le nickel dans les mêmes conditions
lîunt: \l\z*,HH) extrêmement explosif.
Aï el Sb se dissolvent dans l'acide, mais laissent par évapqra-
\oh les acides arsénieux et antimonieux sans trace d'azote. Le
ïih- métallique se dissout dans Tacide à 5 0/0 et la solution traitée
tr.NaOH donne de l'ammoniaque. Cet ammoniaque doit exister
^a> la solution sous forme de composés azotés combinés à
«l'ès d'acide. La réduction par Zn de l'acide très étendu donne
piymt'A lieu à un dégagement d'H et la quantité d'AzH^ formée
y toujours plus petite que celle que Ton devait avoir 100 p. Az^H
in 'ionneni aussi que 8 à 9 parties d'AzH^ au lieu de 9.88 qu'exige
biiiéurie. Les auteurs pensent que la réduction peut donner lieu
L AzHv
imtrumide \ >AzH et se proposent de la rechercher.
AzH/
C. MARIE.
Fomation et constitution de Tiodure d'azote; F. D. CHAT-
flWATet K. J. P. ORTON {Am. Joiirn., t. 24, p. 842-355 ; 10.1900).
- L*KHle réagit sur une solution d'ammoniaque suivant l'équation
P ^ 2 AzH».OH = AzHM + AzH '01 + H20.
l* moitié de l'iode est transformée en hypo-iodite, tandis qu'avec
fce chlorure d'iode, c'est la totalité :
ICI + 2 AxH*OH ^ AzH*Cl + .\zH*OI + HIO .
Lûypo-iodite lui-même, au contact de l'excès d'ammoniaque se
■ia>forme en majeure partie en iodure d'azote :
8 AzHK)I = Az'^H^P + 2 tPO + AzH^OH .
l^ticniges à l'arsénite de soude montrent en effet qu'il ne reste
Piwe plu5 de 4 0/0 d'hypo-iodite d'ammonium dans la solution.
L'ammoniaque réagit sur l'hypo-iodite de potassium ou de
>'i«mi en donnant naissance à de l'iodure d'azote. D'autre part,
I'3<Jflre d'azote est transformé par l'ammoniaque chaude en hypo-
t *lite d'ammonium ; si l'on refroidit rapidement la liqueur, l'iodure
û'uttte ie reforme en partie et se dépose à l'état cristallisé, tandis
'V*e« l'on mamtient une température élevée, l'hypo-iodite se trans-
* •"&* totalement en iodate et iodure d'ammonium.
Ea résumé, dans tous les cas examinés jusqu'ici, on se trouve
"6 présence d états d'équilibres entre l'hypoiodite d'ammonium,
■lunoaiaque el l'iodure d'azote. Cet équilibre reste le même tant
33e ANALYSE DES TRAVAUX KTHANGEHS.
qu'il y a de l'îodure d'azote en excès; il tend à i^lre détruit d'ini
part par suite de la Lransronnation de l'hypo-iodile en iodurv <
iodate et d'autre part par la décomposition de l'iodure d'azote r'
azote et acide iohydrique.
Les auteurs attribuent à l'iodure d'azote la constitutia
H*=Az — Az=I3. Ils se basent sur le fait que lorsqu'on souiu
l'iodure d'anotf à l'action prolongée de l'eau ou de l'acide stilft
rique dilué, on enlève de l'ammoniaque (environ 1 mol.i, et
résidu correspond sensiblement h la formule AkP.
Le mémoire est terminé par la bibliographie complète du sujf
p. CHEL'.MII.KR.
Action des hydrates alcalina, de l'eau et de l'eao oxygène
BUT l'iodure d'afote; F. D. CHATTAWAT et K. J. P. ORTO
{Ain. Jotirn., t. 24, p. 31H-330; 10.1900). — Les lessives «Iciilini
décoinposcQt rupiduinenl l'ioilurc d'aJiole surtout à chaud eu di>i
nant naissance d'une part à de l'azote et à de l'acide Jodhydriqm:
Az^ll^l' — :iHI-[-Az^,
et de l'outre ii de l'ammoniaque et a de l'acide liypo-iodeux :
Az2||3i3 + 3|pO = JAzH3-|-3H10.
Ce dernier se transforme plus ou moins rapidement en iudiire i
en iodate :
aKIO — K1U3 + 2K1.
roduils sont doiie en délhiitive; timmoniaqiie, acidt's iu^lli;
:, iodique lou hypoiodeuxi et azote. Les pi-0|)orUons relaii^>
it Icsipielles s'elTeeluent les i réactions sont très variniile-.
:m réa};it beam-oup plus licitement, surtout à froiil, itiiti- 1<
ils sfjnt les mêmes à cela prés qu'il se forme de l'iodi- Id'
lile de l'action réci]jroqiie de:> acides iodique et iodti}<In<]ii
els et les oxydes neutres favorisent la déeoniponitioit. t
lice d'itxiure de ]ii»l;i7.^iuLu le dénHt;ement d'azol<' dcM'-
nement faillie.
au oxygciice a^it comme l'eau seule, mais les )rn/, qui :
;cnt sunl un mélaujre .i'a/.Dle i:l d'oxytr^"»' i de l'iode i-sl m
t-rlé. Kii si.ihilio][ alcaline ce dernier disparait.
I'. ritEUM'LKh.
,ion de8 acides sur l'iodure d'azote; F. D. CHATTAWl
P. STEVENS i.Wh. Junrit., -t. 24, p. -Sai-aii; iO.I«U(t . ■
ins îicidi's (ac. |iUospliorii|iie, liori<pie, >nirun<pie, HcéH|'i-
CHIMIE GENERALE ET MINÉRALE. 857
in*iH>in[)Oseiit l'iodure d*azote avec une vitesse variable. 11 se forme
^^riocipalement de rammoniaque et de Tacide hypo-iodeux et ce
kmier se transforme ensuile en iode et acide iodique :
Ai'H^P 4. 3H20 = -2 AzH3 + 3HI0,
lôlOH = 6P + 6H20 + 3HI03.
[»«D5 la plupart des cas il se forme également un peu d*a/ote et
facile iodhydrique. L'acide oxalique fournit de Tacide carbonique.
Si Tacide employé est susceptible de réagir sur Tacide hypo-
ftiieui, la réaction principale esl accompagnée d'une réaction
fc'^ûdaire. Ainsi, avec l'acide iodhydrique il se fait de Tiode et de
IOH + HI = I2-f H20,
t'.^ facide chlorhydrique du chlorure d'iode :
10H+Ha = ICl + H20,
H j\ee l'acide cyanbydrique, de l'iodure de cyanogène :
lOH 4- CAzH ^ CAzI + H20 .
l^ décomposition peut même s'effectuer intégralement sans donner
î-sHsince à l'acide iodique :
Az2iPI3 -u âCAzH = -2 AzH3 + 3CAzI.
^ Ion opère avec des acides concentrés, l'iodure d'azote détone.
p. FREUNDLER.
S«r l'acide azoteux; A. BAETER et V. VILLI6ER iD. ch.Ji.,
• 34, p. Torwôâ; 25.3.1901). — I. Ethorification de Facide azoteux,
iiotitede benzyle. — Certains alcools, notamment l'alcool benzy-
■^|ue. éthérifient Tac. azoteux avec une remarquable facilité même
*nliq. étendue, et le Ikj. se trouble aussitôt par suite de l'éther
?ii se dépose en gouttelettes huileuses. Ainsi, on mélangs 10 gr.
fâlcool benzylique avec 60 ce. d'eau et 25 gr. de SO*Ha à 30 0/0,
* refroidit au-dessous de 0** et et l'on ajoute goutte à goutte la
n*ntité voulue de AzO*\a dissous dans 100 ce. d'eau. On agite
•>t*cde Télher pour rassembler l'huile, on neutralise la liq. éthérée
i-*raj»Na*, on la sèche avec CO^K*, on évapore (C3H5)«0, et on
tranioime dans le vide en recueillant ce qui passe à 80-88**
H-1^,S), car l'alcool benzylique passe alors vers 116°. On a ainsi
^'^iotUti (]t* beazyk AzO*.CH*.C^FP, huile légèrement jaunâtre,
'î*^ai*r odeur nilreuse particulière, non irritante, très altérable
358 ANALYSK DES TRAVAUX ETHANOEHS.
spontanément au bout de qq, .jours, en donnant des vapeur
nitreuses et de l'aldéhyde benzylique.
II. SaponiScation des éthi-rs azoteux par les acides minèma.'i
— On sait que cette saponification est 1res aisée, elle est iiit-mj
complète et instantanée si on élimine AzO'H à mesure de sa i>ro!
duction .
III. Action de Feau oxygénée sur ïaeîde azoteux. — La réaclioij
mutuelle de ces deux substnrces est aussi nette à froid que cell(
de MnO*K sur H*0*, on pourrait se servir de AzO*H pour litr'i
H*0';
AïO^H + HîO» = AzO^H + H^O .
IV. Action de l'eau oxygénée sur les élbers azoteux. — On a A
même formation d'acide azotique et de l'alcool correspondant, li
réaction commence à froid et dégage de la chaleur.
V. Hydroperoxyde déthyle et acide azoteux. —On verse froultil
à goutte une sol. de AzO'Na dans une sol. acidulée par SO*H' ei
bien refroidie, de peroxyde déthyle et d'hydrogène (^H^O-OH,
exempte d'alcool, il se dépose aussitôt une huile lourde qui est ai
l'azotate d'élhyle.
VI. Hydroperoxyde déthyle et azotite d'étliyle. — On a de mêm*
de l'azotate d'élhyle.
vdroperoxyde (télliyh et azotite (raii)} 1<\ — En agituril
une demi-heure .\zO*.C^H" avec une sol. refroidie Jw
H. on a obtenu une huile formée d'un mélange de nitrali
ït d'alcool amylique,
leurs présentent ensuite des formules développées pouf
le mécanisme de ces diverses réactions, l. bouroboip
n hydrate du chlorure de suUuryle; A. BAETER •><
6ER (D. ch. G., t. 34, p. 738; 2S.3.ii)0ii. — On vcr^
ivcmcnt du chlorure de siilt'uryle sur de In place pilée, il
es cristaux ressemblant à du camphre, fus. vers -f- '"*•
iaiiB l'eau à 0° et pouvant se conserver quelque temps*"
e celle-ci. Ils sont conslilués piir un hydrate de chloruff
yleSO*Gl« ; 1011*0. \. nounosots.
nature de l'amalgame de plomb ; H. FAT et E. IfORTH
irn. t. 25, p. ^113-^31 ; 3. 1901 1. — Le autours se sont-n
rbe de fusibilité et de l'examen microscopi(|ue desatmil-
; plomb pour établir l'existence du eonqiosé Pli*Hg. '"•'''
0 si>rait insoluble dans le mercure, mais soliible Aanr I''
CHIMIE GENERALE ET MINERALE. 359
twmb et isomorphe avec lui. Tous les amalgames qui renferment
nH-dfîfôO/O de mercure sont constitués par un mélange semi-
btiile, t^emi-hquide, qui pressé à travers une peau de chamois,
t^ndonae un résidu argentin solide, cristallin, à cassure granu-
ii-< et facilement oxydable. L'amalgame à 85 0/0 de mercure est
niuTeueot solide. Au-dessous de cette teneur, on obtient unesolu-
un solide, rauialgaine devient de plus en plus maléable, sa cassure
'i«l plus granuleuse, et son point de fusion inférieur disparait,
in-desàus de 35 0 0 de mercure on obtient 2 points de fusion, l'un
|o» est sensiblement celui du mercure, Tautre celui de l'amalgame
^g, «l85*,2).Ces points de fusion ont été déterminés au moyen
bpjTomètre de M. LeChatelier; le point de solidification coïncide
^fx uae augmentation brusque de la conductibilité. On trouvera
Uu-tk mémoire original la description du mode opératoire et des
kf^iueils.
L'amalgame à 60 0/0 de plomb fond à n^S
— ù 70 — 199,4
— à 15 — 22i,0
— à 80 — 229,0
— a 85 — 263,7
— à 90 — 278,5
— à 95 — 299, i
p. FHEUNDLER.
Hidi moléculaire des composés de l'aluminium; E. P.
ÏOHIER i/l/D. Joarih, l. 24, p. 385-897; il. 1900). — L'auteur a
'^«*«nniné par la méthode ébullioscopique et cryoscopique le poids
•ûiécuUire des composés halogènes et organiques de l'aluminium.
1 'ïcétylacéiouale AliC^H'OV et le dérivé de l'éther acétylacé-
it'i'ie Al OH*0*:* ont été ébullioscopés dans le sulfure de carbone
^mt ^ et 4i7 au lieu de 824 et 414,4 resp.). Le bromure d'alu-
•*^û«"n purifié par plusieurs distillations dans une atmosphère
î hydrogène, a été ébullioscopé dans le sulfure de carbone sec.
ïfuttvê : 540, théorie pour Al«Br*, 534. L'iodure a fourni le chiffre
'^au heu de 8i5 (pour Al«l«).
L« eorabinaison de chlorure d'acide benzène-sulfonique et de
^ure d aluminium s'obtient par union directe en solution sulfo-
farixMiu|ue. Elle cristallise en tables incolores répondant à la for-
^^♦\l^Bf«.2G«H5SO«a (théorie, 887; trouvé 890). — La combi-
■^fcw» de Ditrobenzétw et de bromure (Taluminium est en prismes
*»«fte» de formule Al*Br«.2C«H5AzO«.— Le chlorure d'aluminium
' *èt K(Fal<*meut au nitrobenzène pour donner naissance à la com-
360 ANALYSE DES TKAVAUX ETRANGERS.
binaison Al*Cl«.2C^H»AzO*. — Des déterminatioiis ana)o|fiai
ont été effectuées avec les combinaisons : Al*Br^. 2 OH'KSOtl;
A12Bi6.2C«H5.GO.G«H»; Al«Br«.2P0CP. Elles conduisent toiA
à adopter indirectement les formules moléculaires Al*CI*,Al*Br*.
par contre on fait des déterminations cryoscopiquos sur des sol
tiens de chlorure ou de bromure d*aluminium dons un exc^s
nitrobenzène, on tombe sur la formule simple. L*auteur conclul
là qu'il est impossible de faire des déterminations de poids mole*
culaire, lorsque le dissolvant se combine au corps dissous, b
cryoscopie de la combinaison AlBr^.âC^H^COGl dans le niln)
benzène ne fournit aucun résultat parce que le bromure d*aluini
nium se combine en nitrobenzène.
I/acétophénone, la phényléthylsulfone et le benzoate d'éthyle*
combinent également au chlorure et bromure d'aluminium, b
benzène, le naphtalène et le /).-dibromobenzène sont simplenif*^
résinifiés. La pyridine et la quinoléine forment des combinauMMe
insolubles dans le sulfure de carbone. p. frelndler.
Action des hydrates alcalins et alcaline-terreux sur Tais
minium; E. T. ALLEN et H. F. ROGERS (Am. Jonru., t. 24j
p. 304-318; 10.1900). — Ce mémoire renferme la description *H
aluminatesqui prennent naissance lorsqu'on fait réagir raluminiui^
métallique sur des solutions de potasse, baryte, lilhine, etc. i
Dans tous les cas, il se dégage de Thydrogéne et la liqueuf
s'échauffe; si la dilution est suflisante, Taluminate formé d'abon;
est dissocié, il se dépose de Talumine et la réaction continue ind»^
Animent, quelle que soit la quantité d'alcali mise en présence».
Four obtenir les aluminates, il faut donc opérer en présence ii«
peu d'eau.
Aluminnte de potassium K*AI*0*, 3H'0. — On dissout 2,25 jrr.
de métal dans 70 ce. de potasse à 10 0/0, on llllre et on évaponi
dans le vide sec. Le sel se dépose sous la forme de tables hygro**
copiques et possède toutes les propriétés indiquées par Frémy.
Valuminate de sodium a été obtenu à l'état de masse amoqthe
insoluble dans l'alcool, répondant plus ou moins bien à la forinult^
Na«Al«0*, 4H«0.
Aluminate de lithium. — La dissolution d'aluminium dan^^ia
lithine abandonne rapidement un précipité cristallin, peu sohiW**
dans l'eau froide, de formule LiH(AI0*)*,5n«0. Cet aluminate c^
attaqué par Teau bouillante. Séché à lOO*», 200* et :à75», il pei'l
successivement 1 mol., 4 mol. et 5 mol. d'eau. Dans le vide sec ii
en perd 3 mol.
CHlMiS GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 361
Abtmimle de baryum, — A chaud on obtient le composé
U*AW)*,ôH'0 en tables clinorhombiques, décrit par M. Beckmann.
i (iroid il se forme une poudre amorphe blanche, peu stable, de
ïnmj]eBaiA10*)«,5H»0.
L'àluminête de strontium est le composé normal Sr5(A10^)*,6H*0.
h3 l'oblîent soit par la méthode générale, soit en précipitant à
baitd une solution alcaline d'alumiuate de potassium par du chlo-
Hre de strontium. Il cristallise en dodécaèdres solubles dansTeau.
Xlnmioate de calcium Ca*Al*0^,7H*0. — Ce composé se pré-
cfile sous la forme de lamelles hexagonales microscopiques, très
wn solubles dans Teau qui ne Tattaque que lentement.
p. FREUNDLER.
Actioii de la chaleur sur le permanganate de potassium ;
LKOBQRFF {Zeit. anorg. Cb., t. 27, p. 58; 11.4.1901. —L'auteur
«tene dans un tube à essai en verre vert du MnO*K desséché et
^véhsé; de la perte de poids, du vol. de gaz dégagé, et de Tana-
fysf» du résidu, il conclut que la réaction de décomposition s*ex-
frone par :
10MnO*K = 3MnO*K2 -f TMnO^ + 2K20 + 602.
L. BOURGEOIS.
Sv le Utrabromare de platine ; A. HIOLATTI et I. BELLUCI
Zeù. auorg. CA., t. 26, p. 222-229; 12.2.1901). — Le bromure
platinique PlBr* est peu soL dans Teau en donnant une liq. rouge
ï'vm relaliveraent peu colorée; l'étude de celle-ci au point de vue
^ iV'idimélrie, de la conductibilité électrique et de l'action des
^iâ ^ mêlaux lourds, conduit à regarder PtBr* comme Tanhydride
^^^cidetélrabromoplatimqueï^iBv^OUfW^ bibasique. Les sels
^vanis sont des pptés brun-foncé : sels d argent PtBr*(OHj«Ag«,
'^'thàllmm PtBr*(OH)«TI«. de mercure PtBr^tOHj^Hg, de plomb
l»^ue)l'iBr*(OH)«Pb.Pb(OH)*. l. bourgeois.
>v Tacide pentacbloroplatiniqne ; A. HIOLATTI et I. BEL-
WCaiZe/^. anorg, Ch,, t. 26, p. 209-221; 12.2.1901). — Les
•"'^'ore envisagent les corps qui résulteraient de la substitution de
'• -• 3. etc. hydroxyles a un nombre égal d'at. de chlore dans Tac.
'^^^'^linique (hexachloroplatinique) PtCl«H«, et s'occupent
^2*ïrdTiui du premier terme, Vacide pentachloroplatinique
^**OHiH«,qui n'est autre que le produit PtGl*.HCl.2H«0. pré-
P"fe pir JK. Pigeon (Ann. chim, phys,, 7" série, t. 2, p. 433) en
362 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGSKS.
chauffant de Tac. chloropîatiniqiie à 400** pendant 2 à S jours,
un tube où Ton fait le vide et où Ton a disposé des frayrinenlâ
potasse. Répétant cette préparation plus en grand, dans une ^l
à vide où les surfaces étaient plus étendues et où Ton renouv
KOH pendant l'opération, ils ont bien obtenu le produit
M. Pigeon, sous forme d'une masse rouge brun, fus. au B.ï
extrêmement déliquescente, donnant des sol. jaune brun, un
troubles, à réaction nettement acide. Ces sol. ne ppterit p»?
froid par AzH^, ce qui distingue de PtCl^H*; avec KCI ou AzH
on a les chloroplatinates ordinaires. L'acidimétrie et Tétudede
conductibilité électrique montrent que Ton est en présence d*fin ac,
bibasique dont on a du reste pu préparer quelques n^els. — sA
de baryum PtClî^^OHjBa, 4H*0. On neutralise exactement J'a<^i<»
par la baryte en sol. concentrée, et Ton évapore dans le dessiccaleuf J
longs prismes orangés. — SelcPargent PtCi^(OHjAg*. Par AxO^A^
à froid, ppté jaunâtre, abondant, inaltérable par Teau bouillantCbi
ce qui le distingue du chloroplatinate ordinaire PtCl^Ag"*, en ^
rapprochant du tétrachloroplatinate PtGl*(OH)*Ag*. — Sel de ///«f-
lium PtGlS(OH)Tl«, précipité rose pâle. — Sel de plomb basiq»
PtCl5(0H)Pb.Pb(0Hj«, ppté jaunâtre. l. bourgeois.
Sur le praséodyme ; C. von SCHEELE (Zeit, anorg. Ch., t. 27.
p. 53; 11.4.1901). — L'auteur regarde le praséodyme comme m
élément unique contrairement à Topiniou de M. BettendoHT(/w>i».
Ann, Ch,, t. 256, p. 159). Il trouve comme p. at. du praséodyme»
bien exempt de lanthane, de néodyme et de samarium, la valeur
140,52+0,02, relativement à 0=: 16. l. bourgecus.
Sur les aluns de rhodium et sur la séparation du rboiium
d'avec riridium; A. PICCINI et L. MARINO (Zoit. anoig. Ch,^
t. 27, p. 62-71; 11.4.1901). — M. Leidié {C. /?., t. 107. p. *^
n'avait pu obtenir de suUates doubles de rhodium et d'alcaliij.
M. Seubert (D. ch. G., t. 23, p. 2560) a signalé SO*Na«.(SO^»Wi'
anhydre. Los auteurs ont réussi à obtenir des aluns du rbodtti^
SO*M«.{SO*)3Rh«+2iH«0, en octaèdres réguliers jaunes, {^rfoi^
avec facettes du dodécaèdre rhomboïdal, (et même du cube), il-"^
dissolvent de Thydrate de sesquioxyde de rhodium dans Sl)*W*
étendu, ce qui donne une liq. jaune clair à laquelle ils ajouteol un
sulfate alcalin employé non en excès, car autrement on anm^i
d'autres sulfates doubles; les liq. renfermant une certaine p^opo^
tion de SO*H* libre sont ensuite évaporées dans le dessiccaleï'r<*'
déposent bientôt des cristaux. Le sel de césium est tm des plu-
OHIMIK GI£NËHAL£ ET MINÉRALE. 36:^
ITJtes à obtenir^ car il est le moins soluble, beaucoup plus cepen-
iot que r.ilun alumiao^sique ; il fond à 110-111'' en un lîq.
wogé, chauffe plus fort, il perd une partie de son eau en brunis-
lut. L'aluo de rubidium lui ressemble beaucoup, mais est plus
Hubte, le sel de potassium est encore plus soluble, les crist. sont
ts diHicile 8 obtenir purs. L'alun à'ammonium quoique très solu-
té, peut s'obtenir aisément en crist. octaèdres orangés, dont les
in>5aUei^ent icm*; fus. à lOS-lOâ*», laisse du rhodium mélangé
lun peu de sulfate à la calcination. On obtient aussi un alun de
htilium,
NMil de tous les métaux voisins du platine, le rhodium peut
wmtr des aluD8; si le rhodium est souillé d*iridium, les crist.
Ltltm sont bien exempts de ce métal. De là sans doute une nou-
*tif méthode de séparation du rhodium. l. bouhgeois.
8v VA procédé de recherche du phosphore libre ; P. HUC-
1IEia[Zeit, anorg. Ch., t. 27, p. -72; 11.4.1901). — La substance
BûTcMi recherche le phosphore libre est introduite dans un appa-
«*1 i hydrogène (SC)*H*+2^n) donnant un vif dégagement de gaz
« tïoot la T. s* est élevée à 60-70® ; on place l'appareil dans Tobscu-
tîUfei Ton observe si le jet gazeux (non allumé) émet des lueurs.
Li méthode est au moins aussi sensible que celle de Mitscherlich.
Ia* pho>phite3 et hypophosphites, les phosphures d*hydrogène ne
louent pas de phosphorescence. Les substances qui empêchent la
?iK»pliorescence du phosphore à Tair dans les conditions habi-
îQcllis voient ici leur influence diminuée. Il y a lieu, lorsque
■vprralion est terminée, de déplacer le gaz en remplissant d*eau
l»pptreil pour éviter toute inflammation spontanée.
L. BOURGEOIS.
fciYello méthode de dosage de raluminiam; E. T. ALLEN
"• T. H. 60TTSCHALK {Am. Journ., t. 24, p. 292-801 ; 10.1900). —
U*TOieurs ont constaté que Facide carbonique précipite complè-
^^neni l'alumine d'une dissolution d'hydrate dans un alcali lorsque
'çrteroier D*est pas en excès. Le précipité possède sensiblement
i*cûflipo:silion d'un carbonate basique 4Al«03. C()«.20H«O; il est
*^*<»« et cristallin, se filtre très facilement et se trans^forme par
'•Wïjiaiioii en alumine Al*0'^. Toutefois ce carbonate entraine une
^«te quotité d'alcali, de sorte qu'il ne se preste pas directement
'o«l<H«gederalumine.
L**vq« 00 le chauffe quelques minutes avec de Teau bouillante
^ pf^Kreucc en présence d'un peu de chlorure ou de nitrate
ihH ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
d'ammonium) il se décompose eu se Iransrormant daos l'Iiytlnl
AKOH)^ que l'on ftltre aussi très facilemenl el qui fournit alors n
ealcinalion de l'oxyde AI^U^ parfaitemenl pur. Les auleur^ m
constaté que la précipitation du carbonate basique est praliqni
ment totale (1 lit. d'eau dissout à 20° de 1 à 2 milli};r. lie -^li. I
signalent en passant le fait que l'oxyde calciné à une tempérainl
quelconque est très hygroscopique. I
Voici le mode opératoire définitif : la solution acide i-enl«rmJ
l'aluminium est additionnée de potasse (ou de soude) dtluê<^
façon à redissoudre eiiactement le précipité qui se forme <l'8bord i
liquide peut rester légèrement louche sans que cela ail d'incoiivi
nient). On fait alors passer un courant de gaz carbonique pendai
20-25 minutes. Au bout de ce temps, le précipité qui s'est com)il
temeiit déposé est Hltré et lavé plusieurs fois à l'eau froide. Ou
chasse ensuite dans un bêcher propre au moyen de ta piââelk'. <
le chauffe pendant 2 ou 3 minutes avec 150-200 ce. d'eau conlt^nn
un peu de chlorure d'ammonium pur, on filtre de nouvenii, on If
à fond, on si'iche et on calcine à poids constant.
Les résultats sont esacts à moins de 0,5 0/0, S'il y a -iu fen
de la silice en présence, ces éléments devront être dosés à pari i
retranchés du résultat brut, car ils sont entraînés par le carbot'tj
basique. La méthode est naturellement inapplicable en prése<i<l
de terres alcalines ou de lithine. p. phel'nuleii.
Sur ta prAparation du cobalUnitrite de sodiam et sod appU
catios à la recherche du potassiuin ; Eisar BILLHAHN \/eii
anal. Cli., 1900. t. 39, p. 284--*«y). — Ce réactif, déjii proposé i-i
quelques analystes, permet dans de bonnes conditions, de rocoi
naître le potassium en présence de sodium avec une st^nsibilîtéim
supérieure à celle du spectroscopc. Dans une solulion, à 10 0 Oit
sels, contenant l/tîiOOO' de son poids de shlorure de potassium
on obtient, après 12 heures, un précipité net, même en prés^im
de 4000 parties de sodium pour une de potassium.
La réaction ne se produit qu'eu l'absunce d'acidi^â minéraux ii
ansliques; sa sensibdité diminue en présr-nce des phos
des sels ammoniacaux; par contre, de petites quanlii>i
élique, de carbonates alcalins, île sels de magnésie ou ili
nt pas d'iniluence nuisible.
ition du réactit ; Dissoudre l'iO gr. d'asotite ne sodiuD
ce. d'eau chaitile; après refroidisseinentà 4O-50", ajouiH
niti-flle de cobalt cristallisé el âO ce. d'acide at'étiqui' '
iter et oxyder pendant une demi-heure dans un couniul
UiUMXE GÉNKRALE ET MINÉRALE. 3G5
V.T. La solution HUrée est précipitée par Talcool à 95 0/0 et le
!, hivé à Talcooi et à l'éther. est séché à l'air.
|y» réactif o'est pas stable en solution.
I^n »*n dissout 1/2 gr. dans 2 à 3 ce. d'eau froicje et on Tajoule à
solution Iroide à essayer. h. copaux.
Kacherche de Tacide borique dans les borates ; H. BORNTRÀ-
S iZeiL ênal, Ch., 1900, l. 39, p. 92). — L'acide fluorhydrique,
ru^^ançe des chlorure et nitrate d'ammonium, des acides sulfu-
[le et ehlorhydrique ou nitrique donnent avec les borates, au
rHiinsen, une flamme verte plus intense que le mélange d'alcool
•ï acide sulluri«iue. h. copaux.
^ la recherche microchimique du potassium, du rubi-
kn, du césium, de Tiudium et des hyposullites ; A. G. HUTSSE
l^ît.anal, (Jh,, 1900, t. 39, p. 9-12). — Les précipités bien connus,
ftIl^s par les sels alcalins en présence d'hyposulfite de sodium
t'ic bismuth, poss<"»(lenl des formes microcristallines caractéris-
»]'it^, 11;j:urées en annexe au mémoire.
U* réactil se prépare en dissolvant, sur un verre de montre, un
I '1 i»* sous-nitrate de bismuth dans le moins possible d'acide
:^''rh)«lrique, puis ajoutant de l'eau jusqu'à formation d'un pré-
A'tt • (>ennanent qu'on redissout dans l'hyposulfite de soude. Ce
^"derti additionné d'alcool jusqu'à commencement de trouble
* î )û éclaircit par une goutte d'eau.
l-'«rHautage de et? procédé consiste en ce que les sels ammonia-
'««V ne déterminent aucun précipité avec le réactif.
l'h\^3ulfite de sodium forme, d'autre part, avec le nitrate
■- ••'tix, un précipité inicrocristallin utilisable en l'absence des
-> Italo^'éné^. h. copaux.
lodiflcatioQ du tude à absorption de Péligot et appareil à
*»sige de 1 ammoniaque ; E. PANNERTZ [Zeit, ami. Cb., 1900,
"S. y. .^18-3^0^. — Cette modification consiste à relier par un
'^"J^ !♦* commet de la boule centrale au col de la première boule,
i'"ir «Jituinuer les chances d'absorption.
ï' appareil décrit pour la distillation de l'ammoniaque dans le
^'î*' uofîre pas de dispositif saillant. h. copaux.
^ le dosage de l'ozone ; N. TECLU iZeh. anal. Ch. , 1900, t. 39,
\' l')3-l(X),. — Le gaz ozonisé est introduit, par aspiration ou
'"•Vtç^^ori, dans une pipette à robinets; on fait pénétrer, pdr
ik
366 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
compression, une solution d'iodure de potassium à 2 0/0 et
agite.
Le liquide est acidulé par l'acide acétique pour découi]
riodate, puis titré à Thyposulfite centinormal. a. copaîîx.
Nouveau dosage volumétrique des bromures en présence
chlorures et d'iodures ; von WESZELSZKY {Zeit. anal. Ch. , 1
t. 39, p. 81-91). — L*eau de chlore, eu liqueur acide, transfo
les iodures en iodates et déplace simplement le brome des bro-
mures, quel que soit l'excès de chlore employé. En liqueur alcalinn,
les bromures sont transformés en bromates par un excès ti'eau
chlore.
L'auteur a basé sur ces faits le procédé de dosage suivant : Sj U
matière ne contient pas d'iode, on ajoute à la solution environ
i gr. de carbonate de potasse et la quantité correspondante d'eiu
do chlore; on évapore à sec. Le résidu, dissous dans 100-150 cr*
d'eau, est acidulé ei titré par l'hyposulftte de soude, après additiua
d'iodure de potassium.
Si la solution contient à la fois du brome et de l'iode, on rinlr»-
duit dans un flacon dislillatoire rodé, on l'acidulé et, après addîUoo
d'eau de chlore en quantité suffisante pour oxyder les iodures en
iodates et déplacer le brome des bromures, on distille dans uu
courant d'acide carbonique. Le brome et l'excès de chlore sour
reçus dans la solution aqueuse de 1 gr. dépotasse; après sa luratiOD
complète de la potasse par le gaz carbonique, on évapore à sec, i
reprend par l'eau et l'iodure de potassium pour titrer, à Thypo-
sulfite, l'iode déplacé par le bromate.
Les chlorates en petite quantité n'ont aucune action sur l'iodure
de potassium; i)ar contre, le fer, l'arsenic et l'antimoine doivent
être éliminés au préalable par des moyens appropriés.
Celte méthode, appliquée à des analyses d'eaux minérales,
a donné des chiiïres très concordants. h. copaux.
Recherche du mercure dans Turine; A. JOLLES (Zeit, biimI'
Ch., 1000, t. 39, 230-2^8). — Le mercure, réduit par le chlornre
stanneux, est rassemblé par Tor, selon le princi|)e connu, mai> on
opère avec une feuille de platine dorée électrolytiquenienl. On
redissout en^uite dans l'acide n'tri(jue et le mercure est dosé coU^
rimétriquement, à l'aide d'une solution d'hydrogène sulfuré, par
comparaison avec une liqueur type. h. copalx.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 867
Kedierche et dosage da mercure dans Turine ; SCHUMACHER
JDHG iZejt. anal, CL, 1900, t. 39, p. 12-17). — Le procédé
tt5**mé par les auteurs, de préférence à ceux de xîolles et de Win-
Hjiu, coDâi>te à détruire les matières organiques de Turine par
' aie chlorhydrique et le chlorate de potasse, à précipiter le
rrcure impur par le chlorure stanneux et, après mise en suspen-.
ïïk dans la potasse, à traiter de nouveau par le mélange oxydant,
h nuilières organiques non détruites par le premier traitement
^paraissent dans le second. Le mercure, précipité une seconde
ii par le chlorure stanneux, est retenu par un filtre d'amiante
ir^- *^l garnie, en outre, d'une couche de parcelles d'or.
On i»ese le filtre avant et après l'opération et, de plus, après
tywbion du mercure, par chauffage dans un courant d'air sec.
H. COPAUX.
Bocage du zinc à Tétat de phosphate ; H. D. DAKIN {Zeit.
ml CL, 1900, t. 39, p. 278-284). — La méthode primitive de
taim oflre quelques inconvénients qu'on évite en opérant de la
kwitre suivante :
U -solution acide de chlorure, sulfate ou nitrate de zinc est neu-
nfas^ presque entièrement par l'ammoniaque, diluée à 150 ce, et
ûiuîîèe au bain-marie. On ajoute une solution de phosphate d*am-
■wûBque renfermant environ 10 parties de sel pour 1 partie de
^ 'k une. Après un quart d'heure, le précipité, devenu cristallin,
•^jHésurun creuset-filtre de Gooch, lavé avec une solution de
fUî^jhale à 1 0/0 pour éliminer les chlorures, puis à l'eau froide.
*^ ï«be à 100-105** et pèse le précipité immédiatement sous forme
^ l'O^ZtiAzH* ou, après calcination progressive, à l'état de
Lacouienu du creuset est redissous dans l'acide nitrique pour
xfttUli?r la teneur en chlorure, dont il reste toujours quelques
i^^reb et le creuset calciné est peso de nouveau pour contrôle.
l-a excès de chlorhydrate d'ammoniaque n'influe pas sensible-
**tQl sur l'exactitude du résultat. h. copaux.
te 1 analyse des alliages de molybdène ; H. BORNTRAGER
^ei/. tûa/. CL, 1900, t. 39, p. 91-92). — L'alliage est dissous dans
■ *«« régale et l'acide nitrique, expulsé par évaporation avec l'acide
iitortiyarique. En reprenant par l'alcool à 50 0/0, on laisse dans
'^rhiAik la majeure partie de l'acide molybdique; la solution, éva-
l'yf^e de nouveau à sec, abandonne le reste de l'acide molybdique
868 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
par une reprise semblable. Le métal étranger passe dans la liqutfui
alcoolique acide et peut être dosé selon la méthode approprûV,
H. COPAUX.
Dosage direct de la chaux en présence de fer et d*alamine
L. BLDM (Zeit. anal. CL, 1900. t. 39, p. 152-156). — Daiis l'aiw
lyse des scories et minerais de fer, on sépare ordinairement le
et Talumine par Tammoniaque, avant de précipiter la chaux i
Toxalate.
Le premier précipité retenant toujours de la chaux, Faute
conseille d*opérer en liqueur tartrique pour maintenir le fer
l'alumine en solution, et de précipiter la chaux à rébullition pa
l'oxalale d'ammoniaque. L'oxalate de chaux entraîne du fer et «1^
Talumine et, d'autre part, n'est pas complètement insoluble dan-
Teau-mère; mais les deux erreurs peuvent se compenser. D'ailleiin»
quand la quantité de manganèse atteint 2 0/0, Toxaiate de inanj;»'
nèse précipite avec Toxalate de chaux et le procédé devient inapj
plicable. h. copaix.
Dosage du fer dans les scories de puddlage ; L. BLUH (Zvn
anal. Ch,y 1900, t. 39, p. 156-158). — Les variations de teneurj
en 1er trouvées dans les scories, lorsqu'on opère par voie volume
trique, tiennent à la présence du vanadium dont les scories s'eu-
richissent (0,5 à 1 0/0) et dont les divers degrés d'oxydation soii^
dosés comme ceux du 1er.
Il faut, en ce cas, opérer pondéralement, précipiter deux foisii^J
l'aunnoniaque pour éliminer le manganèse, faire digérer le pnVii
pité avec du sullhydrate d'ammoniaque [)ourëlimmer le vanadiiini
et transformer le sulfure de fer en oxyde. h. copaux.
Notice sur de nouveaux tubes filtrants à amiante; LOHSE «*(
THOMASCHEWSKI (Zeit. anal. Ch., 1900 t. 39, p. 158-I«i!. -
Tubes de verre, entièrement cylindriques, à fonds persillés *Ui
trous, et dans lesquels on introduit une cartouche d*amiaiite.
H. COPAUX.
Sur un nouveau chapiteau distillatoire pour les dosages
d'asote par la méthode de Kjeldahl ; HEHRIN6 (Zett. ami. rb.}
1900, t. 39, p. 162-168). — Col de cygne destiné à analys^^r l-
vapeurs sortant du ballon à distillation. h. copauv.
CHIMIE ORGANIQUE. S6d
nenDorigolatrar simple; Fr. BOhllL(ZeH. anat. Ch., 1900,
1 9t p. 315-118). — Le principe de cet appareil facile à construire
repose sur la dilatation d*un volume gazeux agissant, par Tintièr-
■éditira d'une colonne de mercurei sur l'accès du gaz.
H. >copAinc.
Otaèrataor à gai à fort débit et à courant constant; 6. Al
VaSl6 (Aw. Journ., t. 24, p. 373-877; 10.1900). — Appareil
Ifeex compliqué dont on trouvera la description et la figure dans
boiémoire original. Dans cet appareil qui est destiné à. produire
fclliydrogèney du gaz sulihydrique, du chlore, etc., le liquide est
iiiitenu artificiellenent à la température de SO"".
p. FRSUNDLEH.
CHIMIE 0II6ANIQUE
io les réactions pyrogénées des substances organiques ;
tffàTŒW (D. cb. G., t. 34, p. 596^0; 11.8.1901). — L'au-
to, iprés avoir fait l'historique de la question, rappelle que ces
'^positions dépendent, pour une même substance, à la fois dé
^ tmpirature et de la nature du tube dans lequel s'effectue la
imposition. Dans cette note il indique les résultats qu'il a
^^^etm rtec les alcools primaires, secondaires et tertiaires en se
•'^«nl de tubes de verre et de fer.
Avee les alcools primaires on a l'aldéhyde correspondante
*>Bflie produit principal de la réaction :
R.CHK)H = R-COH + H^ ,
*i^ les alcools secondaires les acétones
R^HOH-Rj =3 R-GO-Ri + H» ,
**tt les ikoola tertiaires des carbures non saturés.
^^/ méthfliqae^ entre 780-750*, avec tube de fer, donne
*vvQa 25 0/0 d'aldéhyde méthylique, S 0/0 de charbon et un
P^nfljTnmsble.
^Jm/ éiiflique absolu^ avec tube de verre entre 660-700*,
'***» dieoiDpoettkm ; avec tube de fer entre 710-750*, on a une
''^^klt qutttiié d'aldéhyde acétique de paraldéhyde avec de l'eau,
*A pt înAanunable et environ S,5 0/0 de charbon.
•«» OBM., > siiL, T. XXVI, 1901. — Trav. étraiig. 24
870 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
Akool isobutylique (Eb. lOT^"), en tube de fer entre IMMSO»,
00 a 40 0/0 d'aldéhyde isobutylique^ du gaz eu partie absorbalft
par le brome, de l*eau, et environ 5 0/0 de chaii)on.
Alcool isoamjrlique (Eb. 1801S2«), à 720-750^ en tube de te
80 à 40 0/0 d'aldéhyde isovalérique, des gaz en partie absorbable
par le brome, de l'eau et 5 à 8 0/0 de charbon.
Avec le métbylisobutylcarbinol (CH»)«CH.CH«.CHOH.CH»o<
a dans les mêmes conditions 30 à 40 0/0 de méthylisobuiylcétoM
un carbure non saturé, des gaz en partie absorbables par le brome
de l'eau et environ 8 0/0 de charbon.
Le dimétbylétbylcarbinol^ entre 750-800* en tube de fer, doua
comme produit principal un carbure éthylénique, de Teau et ila
gaz partiellement absorbés par le brome. a. mounbtrat.
Sur l'importance de la présence de l'aldéhyde fo]
parmi les produits de combustiou incomplète des comp(
organiques; S. P. HULLIKEN, J. W. BROWN et P. R. FBEI
{Am. Journ., t. 25, p. 111-117; 2.1901). — M. Mulliken a si
le fait que certaines substances oxydées par une toile de cuîm
chauffée fournissent une certaine quantité d'aldéhyde formiqu
{Jbid., t. 24, p. 446).
Les auteurs étudientprésentement cette réaction en se servant d^
Tappareil de Loew pour la préparation de l'aldéhyde formiqu
(passage d'un courant d'air chargé des vapeurs à oxyder dans 0
tube de verre renfermant une spirale de toile de cuivre préalable
ment chauffée au rouge sombre). Les produits de la combustion
sont recueillis dans une série de flacons laveurs contenant deTeiii
ils ont été étudiés au point de vue de l'aldéhyde formique selon ^
procédé déjà décrit {loc, cit.), et qui consiste à soumettre leliquidi
à une ébuUition modérée pour chasser l'aldéhyde acétique, et |
doser ensuite l'aldéhyde formique au moyen de la résorcine ou à\
la diméthylaniline (méthode colorimétrique de Triilat).
Voici les résultats obtenus avec divers produits :
Vacétone a fourni 0,22 0/0 d'aldéhyde formique (pas d'atdéhydi
acétique) ; Yalcool étbylique 0,44 0/0 ; la pentaae norm. 0,88 0'(^
l'acide acétique, 0,84 0/0 ; Vétber, 1,86 0/0, Vamylèae. 8.<M 0.0
Yalc. propylique, 2,72 0/0 ; Yalcool butylique tort., 5,17 O/O. L<
benzène exempt de thiophène n'a pas fourni d'aldéhyde formiqui
tandis qu'avec le toluène il s'en est fait des quantités apprédêble»^
p. VRBOIfDLnU
dUMIB ORaANIQUE. 871
tatribotioa à l'étude de Taldéhyde glycérique ; A. WOHL
tf C. nSOBERG (i7. cb. G., U 33, p. 3095-3110; 1.11.1900). -* La
{irépiratioa de Takl. glycérique a été décrite précédemment (Webl,
Ui(/., t 31» p. 1796 et 2S94). Ce corps se rapproche en somme bien
pins des aid. grasses que des sucres par ses propriétés.
Pour préparer Taldéhyde glycérique, on traite 100 gr. d'acétal de
[«aroléine maintenus en suspension dans 900 ce. d*eau, par du per^
poate de potassium à 6 0/0 (1/4 en plus de la quantité théorique),
bmaiotanant la température entre 2 et 3"*. La liqueur est ensuite
fartée à TébuUition, saturée de carbonate de potassium et épuisée
Ibâeurs fois par Téther. Rendement en acétal de Tiddébyde gly-
Mnque : 40 0/0 de la théorie. L'acétal est ensuite dissous à froid
hns 10 part. d'ac. sulfurique décinormal ; au bout de 2 jours, on
pp^pite exactement ce dernier par la baryte, et on évapore la
Ifieur après traitement à Tacide carbonique, dans le vide, à 3540''.
résidu sirupeux cristallise peu à peu et constitue de Taldéhyde
le pure (à Tétatdedimère). Celle-ci crist. dans raie, méthy-
à 40 0/0 en prismes aciculaires, f. à 138"* solubles dans Feau,
solables dans les liquides organiques.Elle précipite par Tacétate
fcpiombet Tammoniaque mais non par Tacétate neutre. Chauffée à
*-8h avec de la méthylphénylhydrazine en solution alcoolique,
* fournit une bydrazoue CH«0H.CH0H.CH=Az.Az(GH3)(C«H»)
fD cristallise dans Talc, faible en paillettes solubles dans les
Bf^ùdes organiques (sauf la ligroine) et Teau à chaud et qui
W à 120» et se décompose à 220*. — La diphénylhydrazone
Q*«CW.CH0H.CH=A2.A2(C«H«)« fonda 188^ — La p^-bromophé-
^fhsazoae, f. à 168**, se prépare en sol. acétique ; elle se dissout
fc» les Kquides organiques sauf la ligi'oïne.
L'iM. glycérique se transforme en acide glycérique
CH^H-GH0H-C02H,
*Rqa*on oxyde sa solution aqueuse par le brome à froid. L'acide,
•Wporiflé par Tintermédiaire du sel de cuivre (cristaux verdâtres,
*o*Qhle9 dans falcool dUué) .
^Méh/de^zy-cbloropropionique GH*OH.GHC\,CUO, a été
***«»e en chaullknl Tacétal corresp. (Wohl, />. cb. G., t. 31,
h IW) avec de Tac. sulfurique décinormal au B.-M., et en épui-
••^kprodail par l'éther. Liquide jaunâtre, sol. dans Talcool, peu
•^^ dtasPeau, bouillant en se décomposant à 1 18* sous 30 mm. ,
«i4fté d'une odeur très irritante. Cette ald. réduit à froid les sels
^^H4e 1^ ea soi. ammoniacale. La p.-bromopbénylbydrazone
*'«l.a*a.CH=Az.A2H.C«H*Br., crist. dans Talc, en aiguilles
378 ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
jaune-rougeâtre, f. à 61 *, solubles dans les solvants usuels saii
Teau et la ligroïne.
Uacétal diétbylique de Tald. glycérique a été reproduit en lai^
sant reposer à 0^ une sol. de 10 part, d'ald. dans 100 part, d'
absolu renfermant 1 0/0 de gaz HGl. Eb. 136<^ sous 27 mm.
L'ald. glycérique (1 mol. dissoute dans 10 part, d'eau) s'unii
la phlorogiucine (2 mol. dissoutes dans 20 part.d'eau tiède) en p
sence de 2 ou 3 gouttes d'ac. sulfurique à froid, en donnant n
sance à la combinaison C«»H««08(C»H«08+2C«H«0»-H«0) ; pa
lettes blanches infusibles à 280®, solubles dans l'eau chaude, I
soude, Talcooly Tacétone, la pyridine, Tac. et Téther acétiques, insj
dans réther et la ligroïne, peu sol. dans le chloroforme, le sulhire <{
carbone et le benzène. Cette combinaison qui se forme en sot. iH
diluée (0,25 0/0), est caractéristique deTald. glycérique, et perra
de distinguer celle-ci de la dioxy-acétone qui ne la donne pas. Kl
a permis aux auteurs de démontrer que la glycérose de MM. Fischi
et Tafel (ibid.y t. 20, p. 3384) ne renferme que de ladioxy-acétoaj
Voxime, CH«OH.CHOH.GH=AzOH, préparée au moyen d'u^
solution aie. d*hydroxylamine libre (débarrassée du chlore par t]
traitement à Toxyde de plomb), s'obtient sous forme d'un s\À
visqueux, soluble dans Teau, l'alcool et la pyridine, insoluble da^
réther ; elle réduit les sels d'argent et de mercure. Traitée p4
l'acétate de plomb ammoniacal, elle fournit un dérivé plombiqt
blanc, pulvérulent, soluble dans les alcalis, qui brûle spontanémei
un peu au-dessus de 100**; ce dérivé possède la formule C^H'^AzO^FU
Cette oxime a pu être dégradée en ald. glycolique : on la chaut
rapidement avec son poids de potasse caustique pulvérisée jusqu
ce que la masse mousse et sente la corne brillée. Le produit «
alors jeté dans l'acide acétique à 50 0/0 refroidi à O"", auquel â
ajoute ensuite de la phénylhydrazine. Vosazone ainsi obtenue fon
bien à 179* comme celle de 1 ald. glycolique. La dipbénylosazoti
fond à 207<* et crist. dans l'alcool en aiguilles jaunes sol. en viob
foncé dans SO*H*, en vert émeraude dans Tac. acétique. — La /ï
nitropbénylosazone de Tald. glycolique cristalise dans la pjTidin
bouillante en aiguilles rouges f. à 311*" solubles dans les liquida
organiques azotés (coloration bleu foncé avec les alcalis alcoolique^
L'ald. glycérique (sol. aqueuse à 10 0/0) additionnée de potas^
(1 0/0 de la masse), à 0"*, se transforme en 9-10 jours en p-ûcrosi^
qu'on précipite à l'état d'osazone f. à 158* par la phénylhydr^
zine en sol. acétique à 40^, et à l'état de p.-bromopbéajrf'P'^crft
saione (aiguilles jaunes f. à 180-182*, sol. dans l'alcool). Cette J^t
CHIMIE ORGANIQUE. 878
oiere a été transformée successivement en acrosone et phénylosa-
isoe.
La dioxy-acétone se condense d*une façon analogue en p-acrose,
ce qui conduirait à admettre que, sous Tinfluence des alcalis, la
iijox)'-acétone se transforme lentement et partiellement -en aldé-
hyde glycénque, celle-ci disparaissant immédiatement sous Tin-
Buence des alcalis.
L'tld. glycérique cristallisée est un dimère auquel les auteurs
mhbueot la constitution
CH^OH-CH GHOH
0< >0
CH0H-CH-GH20H
Ce dimère se dissocie rapidement en solution aqueuse.
Le mémoire original renferme Tesquisse d*une théorie sur la
tcndanre à la lactonisation des sucres. p. freundler.
8ir las méthodes de préparation de l'acide acrylique ; Einar
BULIAinf et Alftred WOHLK {Journ, t. prakL Ch., t. 61, p. 199).
— Les auteurs rappellent quels sont les procèdes de préparation
'^^anns et se proposent de les comparer entre eux. c. marie.
Préparation de Tacide acrylique à partir de la glycérine ;
âUrtd WOHLK {Journ. /. prakt, Cb,, t. 61, p. 200). —
< U préparation de Tacroléine à Taide de ta glycérine et du
ttmibte de potasse donne pour 600 gr. de glycérine 83 à 92 gr.
t'icroléine, puis Toxydation par l'oxyde d'argent donne en acide
«^'rytique S8,13 0/0 du rendement calculé d'après la quantité
•lAg^O employée.
^' En transformant l*Hcroléine en ^-aldéhyde propionique
^hiorée oxydant celui-ci par AzO'H et enlevant HCl par la
V^j^j l'auteur donne les chifbes suivants pour les différentes
^"nfcformalions :
î'usformatioD de Tacroléine en aldéhyde chloré. Rendement. 89 %
Triosibniutioo de Taldéhyde ^-chloré en acide Mhloropropio-
**^. Rendement 50
^'^niormitioa de l'acide ^bloropropionique en ac. acrylique.
R«»<ieiiienl 54.8
^ poor U «éhe complète 24 . 4 0/0 alors que Moureu (1) indique 62 . 84 .
^ BnU. Soc. cbia. iS), t 9, p. 886.
37* ANALYSE DBS TRAVAUX éTRANGERS.
c) En passant par Vacide glycérique et l'acide ^-iodopropiontqitf
celui-ci chauffé avec de ioxyde de plomb donne l'acide acryUq»
avec un rendement de 85 0/0.
Les essais d'oxydation de l'acroléine par le persulfate d'anuDO-
niaque ofi l'eau oxygénée n'ont donné aucun résultat, c. nAirn.
Sur la préparation de l'acide acryliqae an moyen de rftlco4
allylique; Einar BILLHAIfN {Journ. î. prakl. Cb., t. 61, p. 215)^
— L'auteur iransi'orme l'atcool allylique en alcool prop/Uijti,
bibromé (rendement 70 0/Oj, qui oxydé donne l'acide «.^-hibroa^
propioniqae (rendement (85,5 0/0) et celui-ci réduit par le zlnt
donne l'acide acrylique (rendement 91 0/0). — L'auteur décrit
ensuite quelques sels, Vacrylate de cuivre 2(CuCH'C0»;".H«0, mi
acrylale mercuriqoe, HgO,Hg(C*H»C03)» insoluble, H*0, et l'acrji
late mercureux, trop instable pour élre analysé. c. harib.
Sar l'acide acryliqae oohydre ; Einar BILLHAini (Joaro.
prakt. Cb., t. 61, p. 49i. — On distille, à feu nu, un
d'acide dibromo-propionique et de cuivre réduit. La réaction
la suivante : !
CHïBrCHBrCOOH + 8Cu = CH3=CHC00H + Cu»Biï.
foimé est redistillé dans le vide sous 30 à 40 mm.. Ot
ne ensuite et on prend la portion au-dessus de 125°; ol
avec un peu de Cu pour éliminer une trce de Br, on redi»
m prend la portion J39-14S. Le rendement est au plue de
le la théorie en acide anhydre,
cide fond à I0°,l-10°â et bout à 1 J0°,8-14 !'. c. marie.
es dérivés haloïde&deaoxyacidesjF. HEUSOFF {Joaru
', Ch., t. 61, p. 554). — Ac. chlorbydeaerylique. Se (omit
e temps que l'ac. p-eblorolactiqae dans l'action de CIOC
, acrylique; distillé avec SO*H* il donne l'ac. n-cblormcry-
. 64-65". L'éther éthylique de l'ac. chlorhydracrylique di*-
07-208°.
I donne avec l'ac. crotonique, principalement l'ac. m-br^
ityrique. Avec l'ac. p-méthylglycidique et HBr on obtteal
romo-a-oxy butyrique, prismes rhombiques f. à 86-97.
Bur étudie ensuite l'action de HOGl et HOBr sur difTànuiU
incomplets et conclut que dans oea réactions il n'eoisu
GHIMIB ORGANIQUE. S76
KUM régularité observée ; aux acides incomplets stéréo-isomères
tntepomdmki les dérivés halogènes stéréoisomères des oxyacides.
G. MAItlB.
Sir rozydation de quelques acides gras supérieurs uou-
itoréf au moyen de Tacide sulfurique et du persulfate d*am-
wûam;k.àLBrrZKY(I).cb. G., t. 33, p. 2909-2910; 12.10.1900).
>L*taleQr a montré récemment que Toxydation de Vac. oléique
I moyen de Tac. hypochloreux en présence d'alcali fournissait
K. £oxjratéarique f. à 99^,5 que Ton obtient précisément en trai-
tai le dibromvre de lac. élaîdique par Toxyde d'argent ou Vac,
hidique ]ui*méme par le permanganate. Inversement, Tac. élaîdi-
^, oxydé par Tac. hypochloreux, se transforme dans l'ac. dioxy-
Uwiqœ stéréoisomérique, f. à iSô^^fS, et ce dernier prend nais-
■C6 par contre dans l'action du permanganate sur Tac. oléïque.
Unième phénomène se présente dans le cas des ac. érucique
Mtvasfidique. (voy. Journ. /. prakt. CL (2), t. 61, p. 65).
Or il se trouve que le mélange d'acide sulfurique concentré et
hpersaUiite d'ammonium se comporte comme l'ac. hypochloreux.
(testée que montre le schéma suivant :
Ac, érucique
oxydé par
/ \
le persulfate : le permanganate :
^f. dioxybéoiqae, f. à 99-I00* Ac, dioxyténique, f. à 131-là8»
le permanganate : le persulfate :
\ /
Ac. élaîdique
oxydé par
IJ 7 a là un phénomène d'isomérisation très curieux, que l'auteur
i^nplique pas, mais qui rappelle tout à fait l'inversion observée
r^ H. Walden dans le passage de l'asparagine aux ac. maliques
'^ cUorosQcciniques ou bromosucciniques. p. frbundlee.
^^^P^ntion d'èthers au mojen d'autres éthers du même
*^; T. 8. PiTTBRSON et Cyril DICKIN80N {Cbem. Soc, t. 79 :
P &0; 11001). ~ Par l'action de HCl sur un mélange de tartrate
37e ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
de méthyle et d*alcool ëthyli(|ue ou de tartrate d*éthyle el d*i
mélhylique, dans certaines conditionB, lea auteurs ont réatidé
transformation du tartrate roéthylique en éthylique et invi
lis pubiient en un tableau les densités et pouvoirs rotatoîree
tartrate de môthyle à diverses températures. a. valeuh.
Sur quelques dérivés de Taldéhyde app-trli|itropropioiiiqiii
J«.TORREY et 0. F. BLACK (Am. Joarn,, t. 24» p. 452 465
11.1900). — Les auteurs ont repris l'étude du dérivé potaasiq*
orangé obtenu par MM. Hill et Sanger dans Taotion du nHiite
potassium sur l'aoide mucobromique. Ce dérivé répond à
formule K^C^HAz^O'^ ; c'est le dérivé sodé de Taldéhyde inni
propionique CH(A20«)«.CH(A20«).C0H. En effet, U ae traBflfoi
très facilement dans le dérivé phénylamidé de Taldéhyde ni
Ionique lorsqu'on le traite par un excès d'aniline. Comme prod
intermédiaires dans cette réaction, on obtient le sel d*aniline
dérivé phénylamidé de l'aldéhyde dinitropropionique ; traité
la potasse alcoolique, ce damier se transforme dans le sel di;
tas^ique correspondant; enfin, ce sel chauffé avec un excès
potasse alcoolique, régénère le dérivé dipotassique de I*aldéhyi
trinitropropionique. Les auteurs attribuent à ces sels la cooati
tution de sels de nitracides (f^"C=A2<Qj.\
Dans l'action du chlorhydrate d'aniline sur le -sel orangéi il 9
forme du chlorure de diazobenzèneque l'on a caractérisé par copa
lation avec le p*naphtol :
, C(Af02)2k-C(Az02)K-ÇHO + 2C«H5-AzH2,Ha + 2HCI
= GH0-GH-Az02.GH0 -f 2KG1 + 2G«H*-Ai=A«-Cl -f 8HH).
L'aldéhyde trinitropropionique a été isolée en traitant le sel d
potassium par une solution éthérée de gaz chlorhydrique ; c'est
liquide jaunâtre qui se décompose très rapidement.
Pour préparer le dérivé potassique, on dissout 20 gr. d'acide
mucobromique dans 70 ce. d'alcool, et on ajoute 26 gr. de nitriU
de potassium avec assez d'eau pour tout dissoudre. La réaction
s'0ffôctûe de Suite avec dégagement de chaleur. Oh refroidit à 9^
35*' et on laisse cristalliser le sel. Celui-ci se présente sous li
forme de cristaux orangés, très stables, solublés dans l'eau et le^
alcalis, insolubles dans l'alcool.
En traitant 1 mol. de ce sel par 2 mol. d*acétate d'anilioe, on
obtient le sèl dstniline du dérivé phéDylamidé
. / C«H*-Az=CH-CHAiOa-G(A«02)».AiWKyH»,
GHIMIB ORGANIQUE. 877
■ib fome de cristaux jaunâtres qui fondent en déflagrant vers
l-tt*. Ce sel eai insoluble dans Teau et l*étber, peu soluble
Htt Faleool; les acides le décomposent avec formation de dia--
«que. Lorsqu'on le dissout dans de la potasse caustique froide
<)a'oo précipite la liqueur par Talcool, on obtient le sel dipotas^
fae da dérivé pbéajrlamidé
CK( AxO>)«-CK( AaOa)-CH = A»-C«H5 . 3 H^O ,
RIS ta finrme d*uoe poudre cristalline d'un rouge orangé, soluble
IB» i'eao, insoluble dans l'alcool. — Le dérivé pbéDjrlamidé lui-
Éne t'obtient eo décomposant les sels d'aniline ou de potassium
v i'adde chlorbydrique ; il se décompose vers 90"; si l'on emploie
lidde faible (acide acétique) on obtient ce sel monopotassique
VWAzKi* en cristaux jaunâtres moins solubles dans l'eau que
riel dipotassique.
h& tel de baryum BaOH«A2*0*,5H«0 cristallise dans Talcool
Boé tiède» en lamelles rouges peu solubles dans Peau froide.
leh auteurs ont préparé également le sel de pAoluidine du
krm pAoljiamidé^ le dérivé pMolylamidé lui-même, son sel
àpoiiisique (cristaux rouge orangé renfermant 1 mol. d'eau), son
^bèrytique BaC*^H«Az*0«,4H«0 (renfermant 1 mol. d'eau après
feâoeatioD sur l'acide sulfurique concentré), et son sel moDopo-
taisifoe qui est anhydre. Tous ces composés sont absolument
Kmblahles aux dérivés anilidés correspondant.
L« dilorhydrate de méthylamine réagit sur te sel orangé pri-
■lUf en solution anmioniacale, en donnant naissance au sel mono-
Kteiqne du dérivé métbjrlimidét sous forme d'une poudre cris-
Whae jaunâtre soluble dans l'alcool tiède et qui détone à chaud.
M te! dipotassique^ obtenu en traitant le précédent par la potasse
*lp^pitaotpar l'alcool, constitue une poudre cristalline jaune
fc"c*. U reofénne 8 mol. d'eau. — Le dérivé métb^limidélni-méme
®îA20«)>.CH(AzO«).CH=A2CH» est en cristaux blancs nacrés
r« soluble dans Téther.
Ia auteur^ ont constaté que le dérivé sodé du nitréthane, traité
P^'na acide, fournit 69.7 0/0 du rendement théorique en aldéhyde
*^^tte :
^.CHzAaO.ONa + H^SO» = Na^SO + 2CH3.CHO + Az^O + H^O.
U BîifQQiéthtaa sodé, fournit dans les mêmes conditions un peu
^•toaéihaiieetderaldébydeformique. p. raBuimuR.
'AUX ÉTRANGERS.
.. r , _D hydrata ds ctrbone utiiri
inacUf; Cari NEDBERG (D. cb. G., t. 33, p. 2S43; 23.7.1909)
— L'auteur a pu isoler de l'uriDd au moyen de &a diphéaylbjdn'
zone la pentose dont l'existence avait été siKoalée antérieuremM
par Saikowaki. Régénéré de son hydrazone ce pentose a foun
toute la série des dérivés (osazone, p.-bromophénylosazcwe, ma
captai amylique, hydrazones diverses) qui ont permis de l'ideiibll
avec l'arabinose racémique.
C'est la première fois qu'il se rencontre dans la nature un suo
inactif racémique ; ce fait vient à l'appui de cette opinion de Fiscbt
que dans l'organisme comme dans le laboratoire la forme ntivi
que inaclive précède la forme active, l'antipode se troitvani détniil
dans le processus vital. l. j. giiion-
Sar la question de rinTeraion dn lancre da canne; Edmot
von UPPMAMH [D. cb. G., t. 33, p. 3560; 14.1.J901).— L'auW
dans cette note a surtout pour but de demander aux auteurs qi
s'occupent des théories relatives à l'inversion du saccharose d
donner à leur pensée une lorme intelligible et de préciser suffi
samment leurs hypothèses. l. *. simok.
Synthèse de l'acide sorbiqne; 0. DOEBNER (D. eh. G., t. S)
p. 21-10; 23.7.1000). — Ou réalisa commodément ceUe synthèâM
condensant l'aldéhyde crotonique et de l'acide malonique en pi
seoce de pyridine.
CHï-CH=GH-CHO + GHï(GOOH)'
= CO' + HîO + CH3-CH=CH-CH=CH-C0>H .
On chauffe au bain-marie pendant trois heures le mélange à»
déhyde crotonique (4 gr.], d'acide malonique (60 gr.) et de p]T
dine (60 gr.). 11 se dégage du gaz carbonique pendant la durée 4
l'opération. Lorsqu'elle est terminée on refroidit avec de la gl«
et on acidifie avec de l'acide suliurique. Au bout de plusieursbeuri
l'acide sorbique cristallise en longues aiguilles ; des eaux-mètei «
peut en extraire à l'éther une nouvelle portion. Le rendemeol "
de 20 gr. L'acide cristallisé dans l'eau chaude est pur.
L. t. aiMOA.
Sur la tranaformation partielle de l'acide ptaénylozyicT'^
qna en acide pbénylpyruTiqne; E. EHLEiniETER jBM« {D. >*'
et. 33, p. 3001} 12.11.1900). — Zincke a montré que roxfdfd
CHIMIE ORGANIQUE 379
ÉÊfUlhjlèae ebaufTè avec l'acide sulfurique se transforme en
B ôomère Taldéhyde phéayléihylique.
C*H5.CH-CH» WÊh^ C«H5-CH2.CHO.
Y
& se produit une migration analogue avec Tacide phényloxyacri
CW-CH-CH-COaH «h-V C«H5.GH«.CO-C02H .
O
& oa introduit par petites portions dans Tacide chlorhydrique
peeotré et chaud le phényloxyacrylate de sodium il se dégage
I)* et on perçoit l'odeur de l'aldéhyde phényléthylique. Après
tfroidissement on extrait à Téther. L'extrait éthéré donne avec le
iienire ferrique une coloration verte qui disparait par agitation ;
u ciractérisé la présence de l'acide phénylpyruvique au moyen
paon hydrazone caractéristique. l. 4, simon.
fcr raoida dicrotoniqna; H. von PECHMANN (D, cb. 6., t. 33,
^^KS; 26.11.1900). — Sous l'action de l'éthylate de sodium
Ktffipt d'alcool l'éther crotonique se condense pour donner l'éther
tehjiique de l'acide dicrotonique.
B résulte des recherches décrites dans cet important mémoire
^cet aeide est l'acide a éthylidène p méthylglutarique,
C02H-G CH-CH2-C02H
CH3-CH GH3
liOzydatioQ par le permanganate alcalin conduit en effet à l'd-
^^ éthylique ou à l'acide acétique et à un acide cétonique ou
1^1^ à faeide méthylsucoinique.
I^tvoiDe se fixe sur la double liaison ; il s'élimine très vite une
^^^éoaie d'acide bromhydrique en même temps que se forme un
'^iMottique brome; le sel dé sodium de cet acide se décom-
V*^«B bromure de aodium, acide carbonique et lactone
0
UPH^Br CH-CH^-GO^H , C0m-C5 GH-CH^-CO ,
CHMiHBr CH^ GH3-CHBr GH3
I ^
[=C-CH.CH2.C0.
CH3.CH=C-CH.CH2.
è.
L
A l'oxydation cet acide non saturé fournit bien l'acide mélbylei
cintque. Soumis à l'action réductrice de l'amalgame de sodn|
l'acide dicrotonique n'est pas altéré i sou produit d'addition bnril
hydrique est au contraire réduit dans ces conditions en acidr
éth yl-p-raéthylglu tarique
CO'H-C CH-CH'-COîH
CH»-CHï UH'
Il faut avoir soin d'empêcher la solution de devenir alcaline'
faisant passer un courant rapide de gaz carbonique.
L. J. SlllON-
Snr la stèréoisoméria dea deux acidea arotoniqnei ti *<
l'acide m6thyl-4-pyraiol-5-carboniqiie, H. t. PECHHAHR^tl
BURKARD (D. cb. G., t. 33, p. 3590; 14.1.1901). — Le diuoiiK
thane transforme l'éther maléique comme l'éther fumarique (
éther pyrazoline 4-5-dicarbonique; de même le diazoiiiéIb«
transforme les deux acides crotoniques sréréoisomères eo v
même produit l'acide méthylpyrazoline carbonique
GHi-CH— CH<^
CO>H-(
1-CH-AiH/
oxydalton de ce produit qui n'est ni oriatallisable, ni ""^
CHIMIE ORGANIQUE. 881
«Irtient Fscide méihylpyrazolcarbonique qui chauffé avec la
mx sodée donne le méthylpyrazol correspondant
aP-C- A«H^ GH3-G — CH^
qcphJLazh/^ ' GH-Azh/
i-Méthylpymol.
Le méthylpyrazol a été caractérisé, c*est-à-dire distingué de son
Mère le ^méthylpyrazol par sa combinaison argentique qui
A à 142* (pour Tisomère 121®) par son produit nitré qui est
Beox et non cristallisé comme son isomère. Les deux isomères
utent avec l'acide picrique un précipité jaune qui par cristallisa- '
D dans Teau chaude donne des aiguilles jaunes fondant à 142®.
L. 4, SIMON.
ictioa du réactif de Caro sur la furfurol; C. F. CROSS,
J.IBTlHetJ.F.BRI66S(Z).e/i. G,, t. 33, p. 8182^138 ; 12.10.
jK). — L*eau oxygénée réagit sur le furfurol en donnant un
oxyhuforol
hJi Jlc-CHO
|ft donne des réactions colorées caractéristiques avec les phénols ,
piciilement avec la phloroglucine. D'après les auteurs, les ligne-
■t^uloses renfermeraient des composés analogues. Avec le réactif
k Caro 1 10 gr. de persulfate de potassium, 11 gr. d'ac. sulfurique
A % gr.de glace), on obtient, d'une part, des ac. formique et
(?HH)* + 2 mo = C*H«0* -f HCO^H,
•^fwtfe pari un ae. ^oxjr^ furfurol
HO-C'i jlc-GOH
lia emploie pour 1 mol. de fiu*furol, une quantité de réactif corres-
l*<»<i«ûi à 2 at d'oxygène actif, et on opère, d'abord à 15-20^, puis
■ ^. — L'oxj'lurfurol traité par Tacétate de phénylhydrazine,
'^'^^t une bfdrazoae en aiguilles jaunes f. à 155*, solubles dans
•^««0 boaillante. — La méthylpbénylhydrazone fond à 148*.
I^'ox^ffurfùrol donne une coloration rouge avec la phloroglucine
^ présence de HQ, et une coloration pourpre peu intense avec la
382
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
résorcine. Il se transforme assez rapidement à Tair en ac.
romucique, mais ce dernier n'a pu être isolé; sa solution,
par Tamalgame de sodium régénère partiellement raldéhydd
mitive caractérisée par les réactions colorées mentionnées d-df
Les auteurs ont obtenu, par précipitation, des sels de barynfli
de fer qui pourraient dériver de cet ac. S-oxypyromucique.
lis admettent la formation momentanée d*un peroxyde qm
décomposerait ensuite en acides formique et succinique.
p. FRBUNDLn. \
Sur rhydrolyse des amidas; E. REID (Am, Joara.
p. 397-424; 11.1900). — Ce mémoire renferme la suite àà
recherches deTauteur sur l'hydrolyse des amides aromatiques |N
Tacide chlorhydrique ; le but principal était d'étudier rinfluen
des divers groupements rattachés au noyau sur la vitesse d« siJ
nification. La méthode employée a déjà été décrite (//»/(/,, t. «
p. 284).
Les expériences ont porté sur les amides benzoîque^ o.-pbi
noxybenzoïqueyO.-dimétbylaminobenzoïque^p.'métboxybenzoiqti
p.^étboxybeûzoîque, m.-oxybenzoïque, m.^iodobenzoiqae, p^
iodobenzoïque et o.-bromobenzoïque. Si Ton attribue à la beofi
amides seront représentées par les chiffres suivants :
o.-Chlorobemsauiide. . . .
.. 33.3
m.-Bromobenzamide ....
. «18
o.-Oxy
— . . . .
.. 45.4
m.-Amino
— ....
. 185,
o.-Nitro
— . . . .
5.6
m.-Iodo
— ....
. IM
o.-Méthyl
— . . . .
.. 22.1
m.-Méthyl
— . • . •
. W
o.-Bromo
.. n.i
p.-Chloro
— ....
. m
o.-Méthoxy
— . . . .
.. 121.0
p.-Nitro
. *4S.
o.-Amino
— . . . .
.. 17.8
p.-Mélhoxy
. 131
o.-lodo
— . . . .
H.O
p.-Bromo
— ....
. âW
o.-Ethoxy
— . . . .
97.0
p.-Amino
—
19»
o.-Dimélhylamino-
12.0
p.-Ethoxy
— . . . . .
i8S
o.-Phénoxy
^^ ....
.. 56.0
p.-Iodo
—
llM.
m.-Nitix)
^^^ • . • .
.. 245.0
p.-Méthyl
—
18S.
En général les substitutions en position m. ou p. diminuent a
peu la vitesse de saponification, les substitutions en position o. i
diminuent beaucoup. L'iode agit plus que le brome, le brome plu
que le chlore» etc.
D'autres expériences ont été effectuées avec l'hydrate de baryte
elles ont porté sur les amides benzoïques, m. et p.-aminobensoiquei
GHIBflE ORGANIQUE.
888
iiitetp.-toliiique5, o. et p.-chlorobenzoîques, o. et m.-oxyben-
fipies, o. et m.-nitrobenzoïques, p.-aminobenzoïque, o., m.- et
^odobenzoïques, o. et p.-méthoxybenzoïques, o.-éthoxyben-
i)iia, o.^diméthylaminobeozotque, o., m.- etp.-broraobenzoïques,
fiiéooxybenzoîque. L*amide était chauffée dans une fiole munie
D) tabe à boule rempli d'acide chlorhydrique titré de façon à
tenir l'ammoniaque.
Si Too attribue à la benzamidè le coefficient 944, les vitesses de
pooiflcatioa des autres amides seront représentées par les
iflres suivants :
43ilorobensamide
489.0
■womo —
291.0
4odo -.
iSO.O
4hy —
60.0
rMéikoxy *
528.0
rfUkwy —
rPSênoxy —
3G0.0
421.0
f^lhyl —
50.0
rllunéthyUmino-
152.0
L-Hromo —
2820.0
L-Udû —
2450.0
m.- Nitrobenzamide
m. -Ami no —
m.-Mélhyl —
m.-Oxy —
p.-Ghloro —
p.-Bromo —
p.-lodo —
p.-Nitro —
p.-Amino —
p.-Mélhyl —
p.-Méthoxy —
• ■ • • •
• •
• • •
• •
5300.0
885.0
152.0
165.0
1800.0
1800.0
1590.0
6300.0
118.0
623.0
462.0
Le» coQctustoas sont sensiblement du même ordre que dans
•aipoaification par l'acide chlortiydrique.
L'tQteor propose d'utiliser la facile saponification de la p.*nitro-
^ttxtmide pour préparer les liqueurs titrées, p. freundler.
iir la formation des amino-alcools ; L. HENRT {D. cb. G,,
i 0, p. 8169-8111; 9.11.1900). — Valcool nitro - étbylique
^.CH*.CHH)H, obtenu au moyen du niti'ite d'argent et de la
■WHHodhydrine CH«I.CH«OH, est réduit facilement par Tétain et
^- cUorhydrique. On obtient ainsi Véibanol-amine de M. Knorr,
*AxH«.CH«OH (éb. lll»). — L'auteur a préparé d'une façon
■»lo«iie : \à propanol-amine 1-8, CH«AzH«.CH«.GH«OH, liquide
*t deasUé 1,021 à 12«, bouiUant à 181-188« sous 156 mm. ^
^»kLDiUvisopropyUque CH» . CHOH . CH^AzO» (éb. 201») , a fourni
}^fiàwAximVisopropaDolainwe CIP.CHOH.CH^AzH» (éb. 160-
W* «MB 150 mm. ; d^^ = 0,918. Av^c Valc. nitrobulylique bisecon-
4*w«»CH>.CHOH.CHAzO«.CH» (éb. 190.191*»), on aobtenu Yisobn-
''^o^uaine sec. corresp. (liq. de densité 0,9423 à 14«; éb. 159-160<>
^^TWnaa.).
y aifrfle y^xybaiyrique CH«OH.CH«.CH«.CAz a fourni par
i^ateifin ta moyea du sodium et de l'alcooU la butanolamine
4NALY8B DBS TRi
[<OH.CH<.CH«.CI
= 0,967.
bases sont des U
d'odeur désagréable, très by^
très peu solubles ou insolubles d
qui esl assez soluble).
L'fhiteur constate eu passant
produit très stable, tandis que !
même à l'abri dé l'ail*.
Sur l'alcool amino-isopropy
secondaire ; E. STRADSS(/}.cii.
— Ces S amino-alcools ont été f
troso-cétones correspondantes. — L'isonitroso-acétone (10 p«l
est dissoute dans l'eau Troide et additionnée 6 0* d'amalgame i
sodium à 5 0/0 (650 gr.), par portions de 50 gr., en même teJ
qu'on ajoute la quantité d'acide chlorhydrique dilué calculée pol
maintenir constamment une réaction acide. Le liquide qui ne M
plus être réducteur, est évaporé à sec, le résidu repris par iOO <l
d'eau glacée et la solution est distillée plusieurs fois avec de
potasse pour déshydrater la base. On obtient finalement un liqiM
bouillant à 156-158° sous 758 mm., qui renferme encore une M
taine quantité d'eau. Le cbloropïatiaate est en paillettes janni
f. à 200'. La phéayllbio-tirée, CH'O . AzH . CS. AzH . CH», chsU
lise dans le toluène en aiguilles f. a 106° ,5. En chauffant la t»
k 100° en vase clos avec HBr fumant, on obtient du bromh. di
bromopropylamiae (Gabriel et Weiner, D. cb. G., t. 31, p. tfll
L'alcool amino-isopropylique a déjà été obtenu par M. Heury [Bt
Acad. roy. de Belg., 1900, p. 591).
L'ayo. aminobutylique secondaire, CH».CHOH.CH(AzH«).CH'
été préparé de la même façon à partir de l'isonitrosométhylétliTlc
tone. Il bout à 155-158° et n'a pu être complètement désbydni
Le cbloroplatinate est en paillettes orangées t. à 185* ei la pb
ny/tbiO'Urée en aiguilles blanches f. à 76-78*. Si l'on chaul
cette dernière à 100° pendant i heures avec de l'ac. bromhydriqi
saturé à 0°, on obtient la pbénylbulylène-^-lbio-urée eo aiguilli
f. B 114°, solubles dans i'atcoo) :
CHî-GH0H-CH(CH3)-AïH.CS-A«HC«H*
CH>-CH — S,
= HiO+ I >C=Ab-C«H*.
Le picrate crîst. en aiguilles jaunes, f. à 186*, tolublK dans Cm»
CHIMIE ORGANIQUE. 385
Lêc brombydrique fumant réagit à 100*", en vase clos sur Talc.
kmobatylique en donnant la bromo-â-butylamine secondaire
l'-CHBr.CH(AzH*).CH*, dont le brombydrate est visqueux et
al le picrate crïst. dans Teau en aiguilles jaunes f. à 165-166''. Le
Mnbydrate étant chaufTé avec une solution aqueuse de sulfocya-
le de potassium, se transforme en butylène-pseudotbio-^urée
P-CH-AzHx
\C=AzH, base incristallisable dont le /?iV?ra/e crist.
iM>H— S/^
ipnsmes f. à 199-200* et le cbloroplatinate en tables f. à 195*»,
bbles dans l'alcool.
U chlorure de benzoyle réagit sur la bromobutylamine en pré-
pce de potasse aqueuse en donnant naissance à la ^-ydiméthyl'
i CH^-CH— Ov^
fàéDyhxazoIine \ ^C.C^H^sous forme d'un liquide
j CH3-GH.Az/ ^
pfcux; le cbloroplatinate est en paillettes f. à 193**5 et le picrate
i petites aiguilles f. à 133**. De même on obtient la ^-^-diméthyl-^k-
^ . CH3.CH— S\^ ^
kïirUbiazoUne i >C.C«H5 en chauffant à 175* un mé-
Vf» dé brombydrate de bromobutylamine avec de la thiobenza-
iMe; (a base est liquide; soa cbloroplatinate cvisL dans Teau chaude
»«»g- rougeâtres l.avec décomp. vers 179-180** ; le picrate est en
Mllettes jaunes f. à 164-165*. La ^'^'diméthyl'^'mercuptotbiazO'
OP-CH— &v ^
>C.SH se forme lorsqu'on chauffe le même brom-
CH^-CH-Az^
!i<inie avec du sulfure de carbone et de la potasse ; aiguilles blan-
*f^ f. à oH» solubles dans Teau chaude. p. freundler.
Sv la formation d*arôe par oxydation de Tacide hippuri-
m,L JOLLES(iy. ch. G., t. 33. p. 2834-2837; l.lO.lDOOj. —
Mfîiôt|ue le glycocoUe et )*acide benzoïque ne sont sensiblement
^attaifués par le permanganate à 8 0/0 en sol. acide, Tacide
kïW'^lue est transformé dans les mêmes conditions en ac. beu-
t^qu»i et en urée. La stabilité du glycocoUe proviendrait, d'après
'«Uw, (le sa constitution cyclique CH*<^Vf3>0 ; on sait que la
/AzH CO ,
'TïtUmiie .\zH=G< I résiste également au permanga-
\.\z(CH^)-CH2
**^ en àolulion sulfurique. De plus, Téther éthylique du glycocoUe
."J possède une chaîne ouverte est oxydé instantanément.
L**^\u'(m opère avec Ttc. hippurique, l'oxydation s'effectue aussi-
toc, aa»., $• siK.^ T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 25
i«f
)ES TRAVAUX ÉTRANGERS.
ist terminée et peut-éire en même U
i glycocoUe rournhsenlcxacLemeDtl'
l'azote est transformé en urée; c'esilil
X qui exige vraisemblablemenl la Tormation préoUUKi
composés bimoléculaires.
L'oxydation de l'ac. hippurique (0»%5) a été efTectuée à l'ébull*
avec du permanganate à 8 û/0 et en présence d'acide sulfui^
dilué (10 ce. d'ac. eoncenlré dans 400 ce. d'eau), La liqueurs i
ensuite débarrassée des sels minéraux par des évaporations rli
additions successives d'alcool absolu, et l'urée a été isolée à l'i^^
d'oxalate et pesée après dessiccation. p. preunùlu. i
Action des snlfocblorures aromatiques snr l'orée; J. RÏ
SEN et W. W. GARKER {Am. Joiirn., t. 25. p. 173-190; 3.19(1
— M. Ëlander a obtenu, en raisanl agir le eblorure d*acide \j*
zène-sutfonique sur l'urée, un produit répondant à ta fond
G*H"SAz*0*, doHi \\ n'a pas déterminé ta constdution. LesaiilM
démontrent actuellement que ce composé est du bemi'ae-salloa
do guanylurén; ils l'ont identifié avec un produit fait de synihii
Le chlorure agirait comme déshydratant sur 2 mol. d'urée pi
donner 1 mol. de guanyinrée, tandis qu'il passe lui-m^me à Te
d'acide en formant le sel correspondant :
/AiHî /AïH'
( ;6H5-SOïCI + 2C0< = HCI +C6HS-S03H , AzH=C<
\^zH2 Na«H-CO-.W
La réaction s'efTectue au B.-M. ; aussitôt qu'elle s'amorce, oo af
énergiqueinent jusqu'à soliditlcation complète du produit qu
purlHe ensuite par cristallisation dans l'eau bouillante. Le benj.^
sulfonate de guanylurée se présente sous la forme de lam"l
transparentes qui se décomposent vers 160° et sont peu solub
dans l'alcool et dans l'eau froide et insolubles dans l'esuboi
lante. La base a élé mise en liberté en chaufTsnt te liel avec de
soude et du sulfate de cuivre. Il se forme dans ces coudilion^
dérivé cuivreux ou cuivrique de la guanylurée, qu'il ne reste p
qu'à décomposer par l'hydrogène sulfuré. On a préparû etideuL
le bicarbonate, Voxelete neulrc, le nUrate, le sulfate et le ebki
platinate de guanylurée.
L'acide chlorhydrique dilué (1 : 3) réagit à 170-180' en vase c
sur le benKène-âulfonate en le transformant en sel de gaaaià.
C0H=.SO»H,AzH=C(AzH«)«; celui-ci cristallise dans l'eau chat
en lamelles incolores f. à SÛ6*. — L'acide nitrique ruinant ré*f}
CHIMIE ORGANIQUE. 887
DMi (Tune façon analogue avec formation de ntroguamdinei f. à
((^J colora lion verte avec le phénol et Tacide sulfurique, nitrate
à 140*, dér. aminé f. à 144°, etc., voy. Thiele, Ann, Chem.y
273, p. liOi; d*autre part, Tacide benzène-sulfonique est trans-
rnié lui-même en un mélange des 3 isomères mono-nitrés.
L'eau de baryte bouillante décompose le benzène-sulfonate de
iMiyiurée en détruisant complètement le résidu guanylique.
rec ie carbonate de potassium, en solution aqueuse bouillante,
i4)bUent du benzène-sulfonate de guanidine.
Le chlorure d*acide p-toluène-sulfonique réagit d'une façon ana-
§»ù sur Turée en donnant naissance au p-toluène-sulfonate do
^iDvktrée; masse cristalline f. h 224*", soluble dans Teau chaude.
JKide chlorhydrique transforme ce sel en p-toluène-sulfonate de
Ruudine (laioelles incolores f. à 206°); Tacide nitrique fumant
f--l,o) le dédouble en nitroguanidine et ac. m-nitro-p-ioluène"
Éfitnique (sel de baryum en lamelles nacrées renfermant 2H*0).
Si loo fait agir le chlorure d*ac. p-toluène-sulfonique sur Turée
^^laiion alcoolique, on obtient simplement le sel durée corres-
Bftilaot, sous iorme de tables f. à 178°, très peu solubles dans
ftu.
, l^Holaène-sulIonate de guanylurée préparé comme le dérivé
■^ possède les mêmes propriétés ; il fond à 205°.
It^phUtlf^ne^sulfonate f. à 228°, est très peu soluble dans
«w; Tacide chlorhydrique dilué le transforme, à 150° en vase
|kK, en Daphtalène-sulfonale de guanidine^ aiguilles incolores,
fw «olubles dans Teau froide, se décomposant sans fondre >> 150°.
'^l* ^oaphtalène-sulfonale de guanylurée qui se forme plus faci-
'••«tt que Tisomère a, cristallise en paillettes f. à 287°; le sel de
P^dioeesi en aiguilles peu solubles dans Teau, f. à 259°.
p. FREUNDLER.
action des aalfochlomras aromatiques sur la thio-nrée ;
i BOSERetH. J.TURNER {Am. Journ., t. 25, p. 190-202; 8.1901).
"^ Us salfochlorures aromatiques réagissent tout autrement sur
• itwHirée que sur Turée. H se forme du dicblorure de ditbio-
■«^^iCbus, J. prakt. Cbem,, (2j, t. 9, p. 15), de la cyauamide, du
w«fre el de la diphényldiaulfuie CfiW . SO . SO . C«H5, déjà décrite
I^^M. OlU), sous le nom d*éther thiophénylique de Tac. benzène-
«"«BqtieC«H*.SO«.S.C«H«. La réaction est la suivante :
tC41».S02a^4CSAx2H*
=^\CSAtîR4)2Gl2 4- (C^H^-S0)2 + SGAz-AzH^» + 2S + SH^O.
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
s'etTectue brusquement lorsqu'on chauiTe le mélange {
re et de Ihîo-urée à 40°; le produit est alors constila^ |
.. Jle qu'il est impo&stbie de puriilcr et qui est soluble daiwl
liquides organiques et insoluble dans l'eau. Les résultats ao
meilleurs lorsqu'on opère en solution alcoolique sans chauficr;
se dépose d'abord du dichlomre de thio-urée qu'on précipite m
plètement par l'élher. Les eaus-mères sont additionnées d'eas^
sépare la disulfine sous forme d'une huile qui se solidiHepeu itf
et fond à 45° après cristallisation dans l'étber. I^ cyanamide i
pu être caractérisée directement; le résidu des traitemi-ots prêt
dents ne fournit que du soufre et du phénylmercaptan lorsqu'oa
chaufTe.
Le diohlorure de dithio-urée cristallise dans l'ac. clilorhydra]
en aiguilles insolubles dans l'étber, qui se décomposeot versH
L'eau, l'alcool et surtout les alcalis le dédoublent en cyanamii
thio-urée et ac. chlorbydrique. Il réagit en solution alcooFiq
froide sur le benzène-sutflnate de potassium en donnant naissM
à la disulHne mentionnée plus baut et à un produit (-ri<;talliiv
fines aiguilles f. à99°5, non azoté, soluble dans l'alcool et incita
dans l'ctlier. 1
Cette disulfine cristallise dans l'étber en grands priàmL'iïSolun
dans le benzène, insolubles dans l'eau, La potasse la 'df-doubii"
benzène-su I finale de potassium et disulfure de phényle :
3C"H"O.SO! + i KOH = 4 CSHS-SO'K + (C«H*|îS^ + i H'O .
Le chlorure d'acide p. -toluène-sul Ionique réagit irunc fan
analogue aur la thio-urée. La disalUne corresp. cristalh»* i
prismes f. à 78°, solubles dans le benzène, l'éther et l'alcool, in»
lubies dans l'eau. Elle se forme aussi lorsqu'on fait agir le p.-tl
luène-sulRnate (le potassium sur le dicblorure de ditliio-uri'f. I
potasse al('ooli<|ue la déiiouble en ac. p.-tohièii<.'-suIlliiiqu'' •
disulfure de p.-lolyle I. à 41',
Le chlorure d'ac. bcnzène-sulfoniquc réagit sur l'isosulfot)
nale d'ammonium en solution alcoolique en <lonnuTit nnis^^m'"
une poudre jaune f. à 230°, peu soluble dans l'alcool, iiisoliih
dans l'eau, l'élher et le benzène. p. kheimiliii.
ActioD d«s chlorures des acides ortho-salfobeuoiqa* '
paraDitro-orthoBuIfobeaxoïque sur l'urée; W. B. HOLMl
(Am. Jourti., t. 25, p. 202-210; 3.11H)1|. — L'auteur a airtlil
quelque jjcu la prùparalion des chlorures de l'ac. €.-siill'ol)eiiiaii]W
Il prépare d'abord le sel acide de potassium en l'Iiauirani |H?n<lil
CHIMIE ORGANIQUE. 889
lewes à l'ébullition un mélange de 200 gr. de saccharine, 3 lit.
■u et 250 ce. d'ac. chlorhydrique ordinaire, filtrant, évaporant
)tc, Iflvaol le sel d*ammonium avec de Talcool, dissolvant le
ada dans Teau chaude, ajoutant 2 mol. de potasse, et préci-
■ni après refroidissement le sel de potassium par l'acide chlor-
Inque. Ce sel acide est traité ensuite par le perchlorure de
wphore i2,5 mol.), Toxychlorure est chassé par distillation, et le
Wu précipité par Teau glacée. On obtient ainsi un mélange des
tiflorures, f. vers 21*; ce mélange est dissous dans Téther et
tf à ()• avec de Tammoniaque diluée ajoutée jusqu'à odeur per-
teûte. On neutralise alors l'excès d*ammoniaque, on lave la
iitnm éthérée, on la sèche, on Tévapore et on fait cristalliser le
^ dans la iigroîne pure.
U chlorure dissymétrique de même que celui de Tac. p.-nitro-
Mlfobenzoique a été préparé en chaufTant le sel neutre de
pfesium à 135* en vase clos, avec du perchlorure de phosphore
fS mol.,. Le produit est ensuite précipité par l'eau glacée et
twtillisè dans la Iigroîne (Rendement 30 0/0). Le chlorure
*élnque de Tac. o.-sulfobenzoïque (1 mol.) réagit violemment
itfarée (4 mol.) à haute température, avec formation de biuret.
lift)*, on obtient u:i peu de biuret et de chlorure d'ammonium, et
Wtme produit principal le sel d'ammonium de V^lc. benzuvéido-o,-
^mqueÇfiW<^l^^^'^^'^^'^ , ^^ chlorure dissymétrique
réimporte de la même façon. Ce sel cristallise en prismes cUno-
"»®biques f. à 266^, peu solubles dans Teau, insolubles dans
*^^ et dans Féther. L'acide chlorhydrique dilué décompose ce
^eo régénérant Tac. o.-sulfobenzoïque. L'action de la potasse
plieuse diluée bouillante fournit du benzamidosulionate de potas-
N Wl*<:g>AzH« j|,Q (Remsen et Karslake. ibid. 1. 18, p. 826),
"*ii» qu'avec Teau de baryte à froid on obtient du benzuréido-
^'^^onate de barjm m; crislaux efflorescents, peu solubles dans
'•^'^i, quirenlermenl 2H*0. L'acide libre obtenu au moyen du sel
'" ^"um, constitue une masse soyeuse, extrêmement soluble
-*^^ l'eau. Le sel de potassium est anhydre ; prismes clinorhom-
^^^' a ^*, assez solubles dans l'eau ; le sel de sodium (1 mol.
"^* cmullise en prismes rhombiques efûorescenls, très solubles
^^'^ l'eau, celui de plomb (3H«0) en tables très solubles, celui de
*-^Tt i6HH)i en prismes bleus modérément solubles, et celui
'"'i^eiK en pnsmes aciculaii'es anhydres qui noircissent à la
ANALYSE DES TRAVAUX 1
1res de l'ac. p.-nitro-o.-sulfoi
lalogue sur l'urée en donn
te. p.-nitro.-benzuréido-o.
s pâle, f. à 273°, peu solu
;t dans t'élher. L'acide chli I
tique rumant décomposent ce sel à cha I
acide d'ammonium de Fae. p.-iiilro-o.-si
yCO'h
AzOî-C«H3< ,
{tables clinorhombiques solubles dans l'eau*. L'action de la pol»
diluée bouiltaute fournit du p.-nitrobemamidosulfonate de pou
sium AzO'.C*H3<^^j|^^"* (lamelles jaunes très ^olubles di
l'eau).
h'acide p.-nitro-benzuréidO'Sulfoniqae n'a pas été isolé à l'él
de pureté. Le sel de baryum cristallise en prismes jaunes p
solubles, renfermant 2H*0 ; celui de potassîan (IH'O) est é;;al
ment en prismes jaunes peu solubles. Le sel de sodium criâlolii
tantât en aiguilles soyeuses elflorescentes renfermant IHl
tantôt en prismes rhombiques avec 1 H^O. Le set de plomb, v
soluble dans l'eau est en prismes jaune pâle, eiïlorescenls, reni)
mant 5H»0, celui de cuivre (8H»0) est en prismes bleus «s
solubles, et celui d'argent (IH^O) en prismes peu solubles noim
sant à la lumière. p. rHEt'KDLsn.
A propos de l'histoire des dArivAs isonitréB ; A. F. HOUI
HAN {D. ch. G., t. 33, p. 2918-2914 ; 9.10.1900). — ItéclamaU
de priorité au sujet de l'isomérisation des dérivéâ isonilrés. '
leur existence momenlanée en solution aqueuse el de l'applictlt
de la conductibilité électrique à la détermination dt la constiluli
(voy. Hantzsch, D. cb. G. t. 33, p. 2512). p. frei'ndlwi.
TraDBpoBition molAcnlaire dans la série des éthers tbioci
bamiques dlBubstitaés ; sur les dérivés de l'acide pbénf limù
thiocarboniqne et des éthers thiosemicarbanniqnes ; H.
WHEELER el G. K. DDSTIH (-4m. Journ.. t. 24. p. 44*'W
11. 1900), — Les éthers tbiocarbamiques disubstilués
(R.K')Aï-CS-OC>H*,
se transforment dans leurs isomères thiotiques
(Hll'JAï-CO-SU'H*,
CHIMIE ORGANIQUE. 391
rR|u*on les chauffe avec un iodure alcoolique ; la réaction s'ef-
rtoe très facilement. Il résulte de là que la transposition ne se
it p«* par rintermédiaire d'une pseudoforme comme on Ta sup-
li>é dans le cas des éthers mono-substilués. Les thiocarbamates
aubstitués ont été obtenus en général en faisant réagir le thio-
kk^gène sur une aminé secondaire mixte, et en chauffant le chlo-
trf ainsi obtenu avec un alcoolate de sodium :
OTIK C«H\
>A2-CS-<^1 + CH^ONa = NaCl + >Az.CS-0CH3 .
CHî>^ CH3/
\fi pbénylmélbyhbiocarbamale de méthyle est liquide et bout à
ïl-lo2* sous 19 mm. Traité par Toxyde de mercure il fournit le
wlamalp correspondant sous la forme d'un liquide bouillant à
il-U^ sous 16 mm. Chauflé avec de Tiodure de méthyle à 105*»
^iant 3 heures il fournit principalement Visomère thiolique
tW (CH»).\2-CO-SCH« bouillant à 140-142« sous 16 mm. (lamelles
■rolores f. à 46*, solublesdans l'alcool, non attaquables par l'oxyde
k mercure ); il se forme en même temps un peu d'iodure de phényl-
ttméttiylammonium. — Le pbénylméthyltbiocarbamate détbyle
OH^CH»)Az-CS-0G«H» est liquide et bout à 145-150* sous
l*Qun. L'acide chlorhydrique bouillant ne l'attaque pas ; Visomère
lti'ô%e bout à i6a-163« sous 19 mm. et fond h 12-lS^ — Le
fb^njléihyltbiocarhamate de méthyle (C«H5)(CH^)Az.CS.0CH»
TisUIlise dans la ligroïne en tables hexagonales, f. à 41-42'* (éb.
1***'149* aous 18 mm.). — Visomère thiolique est liquide et bout
"T^ 148-149* sous 17 mm. — Le diméthylthiocarbamate d*éthy]e
|KH*f«A2-CS.OC*H5 a été obtenu en traitant par la potasse alcoo-
^iw un mélange de diméthylamine et d'éther xanthogénique
ï^uide bouillant à 205-206". — Avec la diamylamine on n'a obtenu
"^•mme produit défini que du mercaptan.
^pbt^nyUminothiocarbonates G^W.Az-G<?^ se distinguent
•^^tliersacyliminolhiocarboniques ou des éthers phénylhydrazido-
'fiiocarbooiques déjà décrits par leur stabilité vis-à-vis des bases et
^ chlomres d'acides. L'aniline n'agit que vers 200° en donnant
'^ U èphénylurée ; l'acide chlorhydrique seul réagit nettement en
'l'innani un élher Ihiolcarbamique :
CWài=C< + HCl = C«H5AzH.C4 + C^HSCL
ce + HCl = C«H5AzH.C4
\0C2H5 ^O
ANALYSE DES TRAVAUX E
irure de benzoyle, vers liO
zoyié :
ZH^ Oh
+ C1C0-C6H» =
:;h' c*Hî-ct
^^ j,.„^^„.aent n*H*.Az= amoindrïl d
faculté de réaclion de ces corps. Le sel d
•SAg
OCH
<
ne réagit lui-mèmn pas sur le chlorure
chaud OD obtient dit la benzanilide. Le chlorure d'acétyle foun
un dérivé acétyié '''^,^J^Az-CS.OCH'.
Ces élhers phényliminothiocarboniques s'obtiennent en tn
tant les pliënytthiocarbamates par les iodures alcoolique^s i
les alcoolates. L'éllier diméihylique C«HSAz=C<^u' l-)i
à 133° sous 17 mm.; liquide jaunâtre, d'odeur spéciale. 1
gaz chlorhydrique décompose sa solution benzénique en do|
nant du clUorure de méthyle et du phéDyllhiocarbaniate <l
méthyle 1. à 97. La di-isobutylamine ne l'attaque pas. L'aclii
de l'aniline fournir un peu de diphénylurée. Le chlorure (
benzoyie réagit vers 150" en donnant du chlorure de mélh)'
et un àî-rivé hcnioylv (voyez plus haut) qui cristallise dii
la ligroïne en prismes 1'. à 93°. Le chlorure d'acétyle est s*
action. — L'<;//*er diélhylique C«H5.Az=C<:®^***jboul à 15T-ie
sous 2! mm. — L'éther isoamWt-*/(j7fV/ueC"Hs.Az=C<cJ;j;,p; n
\m être obtenu en traitant le iihi'iiylthiocarbamate d'éthyle >u"
par le bromure d'éthyle; on n'obtient que du tliiolcurbamate d'is
îimyle. — Le dérivé argentique du phénylthiocarbainate i
métliyle (préparé au moyen de la soude et di> l'azotate d'argent i
solution alcoolique) constitue une poudre grise; le chlorure d'ai'élj
le transforme dans le dérivé acélylé (CW.C0)[QfiW)h/..Os.Ol'M
en aiguilles incolores, f. à 47-19° solublos dans l'alcool et le liei
zène. L'oxyde de mercure enlève tout son soufre à ce compc»
l'aniline le transforme à chaud en acétanilide et pbényltliiocarlM
mate de métliyle :
hai sulfocyanales d'acétyle et de benzoyle réagissent sur li
CHIMIE ORGANIQUE. 393
i^nytthîocarbazinates en donnant naissance à des composés tria-
liqnes :
C6H5-AzH-AaH C6H5-Az— Az
Il + C-OC2H5=H2S+ S=G G-OC2H5
C«fP-CO-Az (1 \ /
S C«H«-CO-Az
Avec ies isomères thioliques on obtient simplement un produit
iddition :
C«H5-CO-Az=CS + G«H5-AzH-%zH-CO-SC2H5
= C«H5-C0 AzH-CS- Az(C«H5)-AzH-CO-SC2H5 .
Les dérivés thloniques s*unissent d'autre part aux isocyanates
hdoonant naissance aux semicarbazidates correspondants :
C«H5-Az=C0 + C«H^.AzH-AzH-CS-OC2H5
= C6H5-AzH-CO-Az(C«H5)-AzH-CS-OG2H5.
Ko eflel, en traitant ces composés par Tiodure d*éthyle, on obtient
0 mélange de la diphénylsemicarbazone d'un éther thiocarbo-
>>qw(I) et d*un composé cyclique non sulfuré auquel les auteurs
iMment la formule (II). Ce composé s'obtient également au
*'y«i de réthylate de sodium. Enfin, avec le chlorure de benzyle
» obtient un composé cyclique sulfuré d'un autre type (III) :
<OC2H5 G«H5-Az— Az
I II
OCms G«H5-Az=G G.OG2H5
OH^-AeH-GO \ /
O
(I . (II).
C«H5-Az— Az
C«IP-Az=:G G-S-GH2-G«H5
\/
0
(!»/.
l«élhers diphénylthiosemicarbazidiques, traités par l'aniline,
"Wnnjsenl de la diphénylurée. — Les diphénylcarbazones du type (I)
** comporte vis-à-vis de l'acide chlorhydrique comme les phényli-
*»nothiocarbonates (voy. plus haut).
^ pà**nyl'î^étbox}''^'ac0t}^l'4'thio-ô'triazolone {Rciïon du sulfo-
T*»!*» d*acétyle sur le phénylthiocarbazinated'ëthyle), cristallise
^•ipiite* incolores, f.à 93-94'*, solubles dans l'alcool. L'homologue
^m)ï^ est en prismes f. à 136-138». Il n'est attaqué ni par
NAL.YSE DES TRAVAUX B
Irique bouillant ni par les
lui enlève son soufre.
GHs.CO.AzH.CS.A!!(C«
du sulfocyanato d'acélyle
ristallisfl en prismes f. à
perdenll mol. de mercapt
1 148-150°; aiguilles prisr
^„- CBHs.AzH.CO.Az(C«H=)
par combinaison de l'isocyMiate de pliényle et du phényllhiocar
bazinate d'élhyle, cristallise dans i'alcool en prismes (. à f 14-llS*
il réagit sur l'aniline avec formation de diphénylurée, — L'/sontiv
tfiiolique est en lamelles solubtes dans l'alcool, pt qui foadeiili
156*; Véther métbyiique correspondant est en lamelles f. à IW»
il se décompose un peu plus haut en donnant de ''isocyanated
phényle et du mercaptan, mais il se dissout sans altération daa
l'anhydride acétique et dans l'acide anlfurique concentré; IVtid
benzyliqae cristallise en prismes aplatis f. à 150°, solubles dani
le benzène et l'alcoot bouillant, insolubcs daus l'eau.
La diphényhemicarbazone du Ihiolcarhonate de mêthyle-étbp
C«H5.AzH.C0.Az(C«H'')-Az=C<^^y^j (prép. voy. plus liautj
lond à 108-109°; cristaux aciculaires, solubles dans l'alcool el t
benzène, décomposables par l'acide chlorhydrique en chloniil
d'éthyle et en diphénylthiolsemicarbazidate. — La seiuicarbaioo\
de Féther diétbylique cristallise dans l'alcool en aiguilles f. à 11 I'
solubles dans l'alcool et le benzène, peu solubles dans ta ligroîm]
insolubles dans l'eau.
L'i-étboxy-a-phéayliBiino-^'~phényIo.Yybiazoline 'form, II) foiri
à 86°; prismes allongés solubles dans l'alcool.
I^e dérivé Ihiobenzylique (forni. III) est en aiguilles f. ii llO-Hi'
insolubles dans l'eau, l'acide chlorhydrique et la potasse.
e Beuder C»H».OGO.SK réagit sur le chlorocarbona*
n donnant CU*,CUS, du carbonate d'éthyle et du Ihiul
d'éthyle
■'0-co-sK + cico^cm' — c.o< + ku + eu»,
SO-CO-SK + CICOîGiHs ^ CO{OC'Hï)ï + KCll + COS
xanlhate de potassium on obtient du sulfure de carboM
late d'éthyle, du xanthogénate d'éthyle, du ihiocarbonnb
l le composé SiCS.OC'H»)».
CHIMIE ORGANIQUE. 395
tLes aatears ne sont pas arrivés à préparer le sel C^H^.O . CS.ONa.
^te pkéDyMitiUocmrbamaie d ammonium C^H».AzH.CS.SAzH*
Eti^ par le ehioroearbonate d'éthyle fournit de la diphénylthio-
B, de la phényUhio-urée, de Toxysulfure de carbone et de Tiso-
raoate de phényle. — Avec le sel de pbénylbydrazine de r acide di-
iiopbényharbaxiniqne C^H». AzH. AzH.CS.SH,C«H3AzH. AzHS on
trt. do pbénylcarbazinate d'étbyle C«H».AzH.AzH.C0«C«H5,H«0,
à 76-77^ (Widman). p. freundler.
Action de Tacide chloracétiqne et de la chloracétone sur la
kiocariMmilide et la thiosémicarbazide ; R. von WALTHER et
L STEHZ. — La sulfocarbanilide et la p.-toluidine donnent deux
^^itnyl-p'tolyHhiourée^ F. 158** el 14 1"*. La phényl'pMolyïlbiosemi"
yrhêxiâe a également deux formes, F. 166*» et 176*. L'étude de
ys corps et d*autres semblables forment Tobjet de cette commu-
Hcttioo prélimioaire. c. marie.
Sur la réaction de Friedel et Craft ; H. KROHBERG (Journ. f.
ff^L CL, t. 61, p. 494). L'auteur donne rexpiicalion suivante pour
« aode de réaction du chlorure d'aluminium. Celui-ci se combi-
Mnit au chlorure d'acide suivant :
cnpc=oci + AlCP = (;6H5-c=OAici2ci ,
I
Cl
feoorps constituant le soi-disanl produit d'addition des deux chlo-
fti«s. il réagit sur le carbure suivant l'équation :
OHHXIiaOAia^ + C«H5H = CIH -f C«H5-C-C«H5.CI-0A1C12,
(«is cette dernière combinaison avec Teau donne :
>CC10A1CP + HK) = HCl + (C«H^)2C0 + HOAICP,
H ftoalement cet oxychlorure d'aluminium se transforme avec HCl
*•» chlorure AlCl* dissociés plus ou moins suivant la concentration.
c. MARIE.
U configuration des composés gras saturés; P. PETREN»
MDOTSCHEHKO (Journ. f. prakt. Cb,, t. 61, p. 431). — Lau-
^*^ montre que les formules cycliques proposées par Krafft pour
**» composés gras tels que l'hexane sont on contradiction avec les
S9G ANALYSE DES TRAVAUX ETKA.
faits; c'est ainsi que les coQstantes de disaO'
l'acide oxalique à l'acide subèriquo alors qu'e
L'auteur conclut que pour le moment la difféi
admise entre les corps cycliques, et les corp
doit subsister.
Sur la constitution 4n benièaa ; G. M.
Jouni., t. 25. p. 123-144; 2.1901). — L'auteut
que ta formule de Claus
est celle qui représente te mieux les réacti
d'addition du noyau benzénique. Dans cettt
carbone 1 est relié directement aux atomes 2
de là que les dérivés orlho et para bisubstitu
entre eux une analogie plus grande qu'avec les dérivés meta, êl
que dans une certaine mesure, les atomes de carbone 3 et r» som
plus éloignés de l'atome 1 que les atomes S, 4 et 6. Il is'eDSuivrmii
que i
1° Si dans un dérivé monosubstitué du benzène C'H^X, on intiw
duit un 2" (troupemenl X', celui-ci se fixera en position ortho 'lu
para s'il a de l'alflniti; pour le radical X, tandis que s'il n'en a pas
il se fixera en position meta.
2° Dans un dérivé bisubstitué, ortho ou para, chaque ^roupï-
menl intlurrn davantage sur l'autre groupement au point de vue
do la stabilité et des propriétés, que si les doux groupements f^
trouvaient en position meta l'un par rapport à l'autre.
Cette dernière conclusion a été appliquée à l'étude des réduc-
tions et des oxydations d'isomères 1-2, 1-3 et 1-4, à celle de lac
tion de l'ammoniaque sur k-s dérivés ctdoro- et bromonitrés, olr.
On trouvera dans te mémoire original de nombreux t-xenipli-^
cités par l'auteur à l'appui des hypothèses précédentes, mais a>i
dire de M. Ki^'liardson lui-même, on remontre pas mal de Taib
incompatibles avec celle-ci. La formule de Claus, bien que prO>st>D-
tant certains avantages, ne vaut, en somme, pas mieux que lis
autrtts; el la théorie de M. Thielo, avec les saturations puriicllrs
rend également compte des analogies des dérivés ortim t-t par*-
bisubstitu es. i-. pheinuiai.
CHIMIE ORGANIQUE. 'JQ7
8sr imc loi observée dans renlévement des halogènes du
tojan b^tsénique; Avgiiste KLAGES et C. LIECKE {Journ, /.
^nkL CL, t. 61, p. 807). — Le but de cette recherche était de
Merminer Hofluence de la constitution sur la facilité avec laquelle
4dde iodbydhque ramène les composés benzéniques halogènes à
élai de carbures. Les résultats obtenus sont les suivants :
La facilité d'enlèvement croit de Tiode au chlore; c'est ainsi que
B réduit le C«H*I à 218% C«H»Br à 302o, et C«HSC1 à 875«; le
luor est encore plus difficile à enlever du noyau benzénique que
t riilore.
La présence de groupe CH^ facilite l'enlèvement ; c'est ainsi que
fHH ne subit à 140* aucune réduction, celle-ci étant au contraire
lomplète pour le xylène iodé (1.8.4). A 218'* le C^H»! est décom-
fû&é k son tour. L'influence d'un groupe GH* est la même en ortho
^ en para, en meta elle est plus faible; c'est ainsi que le xylène
bdf tl.!2.4) est réduit en 10 heures à Tébullition, le xylène iodé
\lth\ dont les deux GH' sont en meta par rapport à CI étant
A&ble dans ces conditions.
Df même pour l'a iodo-naphtaline et la p cette dernière étant la
|*ttà diffinio a réduire. On ne remarque pas d'influence semblable
*v*^v: par un atome d'halogène sur un autre : les benzènes mo-
MLr^méfp.-dibromé, bibromé symétrique, 1.2.4.5 tétrabromé, et
brtabromés n'ofl'rent aucune notable diff^érence sous le rapport de
^ mhictibilité ; à 800* elle est totale pour tous.
Létude des phénols halogènes montre que l'OH rend la réduction
i^aocoup plus facile; c'est ainsi que l'iodobenzène n'est réduit
^'à m\ le phénol iodé l'est déjà à l'ébullition.
Les auteurs décrivent ensuite un grand nombre de dérivés halo-
p;oé$ du benzène, du toluène, de la naphtaline, du xylène, du
^^ijlènedu butyltoluène etc., et étudient leur réductibilité par
'j'»d<?iodhydrique.
ib donnent finalement un tableau montrant la réductibilité de
'ïKrents dérivés halogènes du phénol et du phénétol.
c. MARIE.
Sarlas composés iodosé, iodo et d'iodinium qui dérivent des
iBMtfièiies iodé et chloré ; C. WILL6ER0DT et Heinrich REG-
^kTl\Joarû. f. prnkt. Ch.^ t. 61, p. 428). — A) Mésityléne iodé
WI*Cll»j>I. — L Action du diazomésitylène sur Kl. — Aiguilles
1 lodoscmésUjrlAne Q^imCW)HO. — Masse amorphe d'odeur
^^^'•^^slique, peu soluble dans les solvants usuels ; il se trans-
898 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGfiRS.
forme à la longue en iodo-mésitylène, puis en méstl;ylène a
Dicblorure C«H«(CH3)»IG1«. Action du chlore sur le mésiiyM^
iodé en solution chloroformique ou acétique maintenue très flnofck
Ce corps est instable surtout quand il est préparé dans CHCP. 1
donne alors le mésitylène chloro-iodé. Acétate de iodosomésilvkt
C«H«(GH3)31(OCH3CO«)«; sel stable obtenu en dissolvant Tiodos»,
mésitylène dans Tacide acétique. Aiguilles blanches f. à 158*. L
nitrate et Le sulfate n'ont pu être purifiés. Le chromate est jaum
il explose avant dessiccation complète.
m. Iodo-mésitylène C«H«(CH»)3I0«. — Aiguilles blanches ex|»l(
sant à 195®, insol. H*0, très peu sol. éther, chloroforme» el C*W
peu sol. ac. acétique et alcool.
IV. Hydrate de dimésityliodinium et sols, — L.a \M
[C«H«(CH3)»]«I0H est très peu stable et connue seulement dans^
solution aqueuse qui est très alcaline. Ses sels se décompose^
facilement et les plus stables jaunissent au bout de peu de temp^
Chlorure [C«H«(CH3)3]«IC1, aiguilles f. à 122% insoluble H«0, sj
alcool, ac. acétique et CHCI'. Bromure^ belles aiguilles jaua^
f. à ISQ'». lodure, corps amorphe jaune f. à 194*. Nitrate^ ciilwj
solubles, eau, alcool, ac, acétique et chloroforme f, à 126*. SidfM
acide, feuillets blancs f. à 167°. CAro/na/e, précipité jaune axnorpb
décomposé à 101**. ChJoroplatinate, poudre jaune peu solubledu
les solvants et décomposée à 15 1**. Cbloromercurate^ rans^
blanche sol., solvants usuels décomposée à 130**.
V. Hydrate de phénylmésityliodinium et sels. — L'hydrai
n*est connu qu*en solution aqueuse. Son chlorure fond à 94*^, so
chloromercurate est en aiguilles blanches décomposables à 247"
Le chloroplatinate est sol. dans le chloroforme, il est jauu*i
amorphe et fond à 173**.
VI. Combinaison du dichloroéthylmésityliodiûium. — L
chlorure [(C«H3G1«)(G«H«(CH3)S)]1CI est obtenu par Inaction du im'»,!
tylène chloro-iodé sur l'acétylo-chlorure d'argent. Il forme d^i
feuillets blancs f. à 149*». Le chloroplatinate fond à 188*
B) Mésitylène chloro-iodé et dérivés. — I. Mésityli^ae cbJorxk
iodé C«HGll(GH»j», aiguilles blanches f. à 180* obtenues par CJ« ^
le mésitylène iodé non refroidi.
II. Composés iodosés du mésitylône chloro-iodé^ CblovoiQda%&
mésitylène G«HCl(GH5)3I0, corps semblable à riodosomésitytènr
— Chlorure, aiguilles jaunes non analysées. Acétate^ sii|^iullA
blanches f. à 169*, sol. ac. acétique, chloroforme et C«H«.
m. lodomésitylène chloré C«HC1(GH«)M0«, préparé au mo)«
du dérivé iodosé, il est amorphe et fond à 222*». c. ma^iûk.
CHIMIE ORGANIQUE. 399
Sor le triphénylcblorométhane ; J. F. NORRIS et W. W. S AN-
BIS *Am. Journ.r l< 25, p. 54-62; 1.1901). — Les auteurs
m obtenu du chlorure de dipbényîiodonium par condensation du
«méoe avec le chioroiodure de phényle en présence du chlorure
ralmniniuin :
C6H5-IC12 -f- C:«H« = HCl + (C«H5)2NGI .
Ia condensation du tétrachlorure de carbone avec 8 mol. deben-
Kie leur a donné pareillement du cblorotriphénylméthaDe,
CCI* + 3C«H« =z CC1(G«H«)3 -f 3HCI .
b* mode opératoire est celui-ci : 35 gr. de tétrachlorure (1 mol.) et
iA ^. de benzène (3 mol.) sont dissous dans 100cc.de sulfure
^ carbone refroidi dans Teau glacée. On abandonne le tout
^daot 2 jours, puis on verse le produit sur la glace, on épuise
pi sulfure de carbone et on fait cristalliser dans Téther de pétrole.
|r rendement moyen est de 80 0/0, mais il peut s'élever au delà
le 95 0/0. Après 2 cristallisations, le chlorotriphénylméthane fond
nn KK-l 1 1* i aiguilles solubles dans les liquides organiques^décom-
IBbibles par Teau avec formation de triphénylcarbinol).
bms ropéralioo précédente on obtient un produit intermédiaire,
icrstaliîsé en grands prismes clinorhombiques f. à 122-125% et
hïwodant à la formule Al*Cl«.2CCl(C«H»)3. Cette combinaison est
(iii^oiabie dans le suilure de carbone, le benzène, le tétrachlorure
«le carbone et la ligroïne; elle est décomposée par Talcool, Téther,
r^oétone et racideacjtique, mais on peut la faire cristalliser dans
If DOrobenzene. Au contact de Teau, elle fournit presque quantita-
tiTiment du chlorotriphénylméthane.
L^ auteurs ont essayé de préparer le tétraphénylméthane en
^usA agir le sodium sur un mélange de benzène brome et de chlo-
^phénylméthane (le sodium n'agit pas sur ce dernier en solution
^tiiéféej. Ils ont obtenu du diphényle et le composé décrit par
« «iomberg iO«H*)H".-0-0-C(C«H5)3 (Am. chem. Soc, t. 22,
P "^i' ; ces recherches sont poursuivies actuellement.
p. FREUNDLER.
Sv la aoii*€xi8teiice du carbone trivalent; J. F. NORRIS
'^^ouTD., t. 25, p. 117-122; 2.1901).— L'auteur discute la côns-
liiotîoQ attribuée par M. Gomberg au produit de l'action du zinc
^>^^ chlorotriphénylméthane, constitution qui serait celle d'un
^*ticil ooD-saturé (C^H*)^. — Ce composé prend naissance égale-
°*^ daû& Faction du sodium sur le chlorotriphénylméthane, en
400 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTKANGERS.
solution dans le benzène ou dans Tacétate d*élhyle. En opéranlJ
présence de ce dernier dissolvant on constate qu*à mesure qur \
solution se colore en jaune, il se dégage de l'hydrogène. U )
donc enlèvement de HCl et non de Cl, et le carbure coloré sim
du diphénylphénylène-méthane :
(G«H5)2.CC1-C6H5 = HCl + (C«HS)2C=C«'H*.
Sa coloration lui ferait attribuer une constitution quinoidique.
A l'appui de cette hypothèse, Tauteur signale les faits suivant
Le chlorotriphénylméthane perd très facilement HCl, par ex, lor
qu'on le dissout dans l'acide sulfurique concentré. La solul*
colorée ne donne pas naissance au peroxyde blanc
(C6H5)3-G-0-0-C(C6H5)3,
lorsqu'on y fait passer un courant d^air sec ; elle se trouble imift
diatement à Tair humide. Le diphénylphylène-méthane exige
efletH*0-j-0 pour donner le peroxyde. Une solution éthérée iïv{
oxygénée produit le même effet en Pabsence de lair.
Lorsqu'on opère en solution benzénique, l'hydrogène ne
dégage pas ; d'après l'auleur il se fixerait sur le benzène ; en eflli
si l'on effectue la réaction en présence d'acétate d élhyle et quV
ajoute du benzène ou du naphtalène en cours de roule, le dégain
ment gazeux se ralentit notablement. L'auteur se propose ^
chercher d'autres arguments en faveur de la formule indiquée!^
dessus. p. FHEUNULEB.
Contribution à l'étude de l'acide pyrocatéchine acètiqne ; i
LUDEWIG (Journ. /. prakt. Cb. t. 61, p. Sib). — Cet acide e?! ^\
acide fort rougissant fortement le tournesol et déplaranl CO* av*|
facilité. Il est légèrement volatil avec la vapeur d'eau ; boliiMe *!ait
alcool, éther, eau chaude, difficilement dans l'eau froide. Il fori'l
lïJi°et cristallise en feuillets rhombiques ou en prismes. Sa soIuIk
alcoolique donne avec Fe*Cl^ une coloration bleu foncé di^f'J
raissant par CO^Na*.
11 n'est pas décomposé par KOH à Tébullition ni IICl à i(H3^ I
faut chauffer à 200° avec KOH pour mettre la pyrocatéchine ri
évidence. Chauffé au-dessus de son point de fusion il perd 'ïl
/0-CIl*
l'eau et donne la îacione C^H*< i insoluble H*0, sol. alavl
NO-CO
éther C«H« bouillant et ligroïne; prismes F. 54*». Eb. 242*. VoUl !l
CHIMIE ORGANIQUE. 401
1HC U vapeur d'eau. Avec les alcalis elle redonne les sels de
uride.
Seis et dérivés de F acide pyrocatécbine acétique
C«H*(OH)OCH2G02K.
rismes groupés en étoiles facilement solubles dans Teau
C«H^(OH)OCH2C02Na + H20.
é iel existe dans le commerce sous le nom de guaiacétine, il es
m sol. H*0 froide et crist. de l'eau bouillante en cristaux quadrati-
Wi^el^o^esc€nts [OH*(0H)0CHaC0«]«Ca, petits prismes incolores
m solubles même eau bouillante ; [C«H\OH)OCH«CO«]«Ba-f H«0
loios soluble encore que le précédent, cristaux quadratiques;
. /0CH«C0O
W*< I précipité blanc obtenu par le sel d*AzH* et
\0 Pb
IvfOate de plomb. Le sel d'AzH* donne avec AgAzO^ un préci-
^ blanc noircissant à la lumière, avec Fe*Cl® on obtient un pré-
^lè bleu noircissant à chaud, avec Cu pas de précipité.
ttter métbyliquo C«H*(OH)OCH«COOCHa huile incolore sol.
^«wlétber benzène ligroïne, insoluble H*0, très hygroscopique
w <loûnant alors un corps solide ndélerminé F. 59*. Ether éthy-
b'/w sol- alcool éther, benzénOv igroïne, insoluble H*0; petites
t*bles F. 53-. — Dérivé «^^V^' C«H*<^g^J5{î^" ^^^- ^' ^^^"
HÀ alcool, élher, benzine insoluble ligroïne et éther de pétrole
riuuffé au^essus de 200® il donne la lactone. Sel d'ammonium
W*îOH^OCH*CO«AzH* fond à 186» en donnant Vamide
C«H*(0H)0CH2C0 AzH2 ,
^«latiux f. à 130* dans Talcool étendu, ils prennent une mol, d'eau
d fondent à 108®. Sel daniliae C«H*(OH)OCH»COOAzH»C«H»
*»ïltets brillants F. 125* sol. eau alcool, peu sol. éther, insolubles
OH«eiligrome. AniVic/e C«H*(0H)0CH«C0AzHC«H5 ; on traite une
«lulion éthérée de la lactone par Taniline. Aiguilles blanches f.
• 161'. Eb. 250* sol. alcool. C«H« bouillant, et aniline, peu sol.
^*W, msol eau ligroïne et éther de pétrole. — Dérivé acéiylé
^^^^^^""^^S^aSw^^ ^°®^ aiguilles f. à 105« sol. alcool, éther
O» imol. H^O. - Dérivé benzoylé C«H*<gggggi^^"C«Hî^
«•c cHw., Y an., T. XXVI, 1901. — Trav. ètrang. 26
ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEBS.
iuii{fut!s uigiiilles blanches (. a lil' sol. alcool, éther, C*H',
ligroïne bouillante, insol. H*0. — Sel de p.-loluidiiie
C«H*{0H)0CHîG0AzHîC6H*CHî,
feuillets f. à 75° perdant par la chaleur de l'eau aa donnant iej
toluide C»H*iOH,OCH»COAzHCBH*CHï feuillets blancs f. à il?
alcool et C^H" ; Vo.-loluide, P. idô". Eh. 2:20", se prépare de mùa
Méthylanilide G«H*(0H;0GH»C0AzGH3C«H= cristnux rhom!.i.|ii
f. à 95° sol. alcool C*H*, peu sol. élher, insol. lig^rome éiberl
pétrole ot H«0. — Pipèriaide G«H*{OH)OCH*COAzC''H"> criîU
tabulaires f. k 98° sol. alcool C'H*. peu sol. étiier insol. ligrol
et H»0. — Phénylhydrazide C«H*(OH lOGH'GO.AjîHAïHOi
feuillets brillanls i. à 191° sol. nicool. G«H«, peu dans UH(
bouillant, insol. H*0 et élher, ligioïne, et ciher de |>élrole. i
Action de F acide azoteux sur ï acide pyrocaléchine acétique-
On obtient en Taisant passer .\zO* dans la solution alcooliaue i
l'acide un corps G<oH«oAz*OB^GeH*(AzO*i*(OH)OCH*COo6H»
à 79° qui prend à l'air humide une mol. d'H*0 et fond alors « S|
La même réaction donne avec l'anilide de l'acide le dinitropyroei
chine acL-tanilide C6H'(A20*)»(0H)0CH*G0AzHG«Hs ai)fuillM;
à 199° sel. alcool bouillant G*H« et élher insol. ligroine et H*U.
Action de l'acide azotique sur Facide pyrocaléchine aceti^
— On obtient deux dérivés nitrés, le
Cf'H3(AïOîKOH)OCHiCOOH,
aiguilles blanches f. à 183°, et le dinitré
C6Hî( AzOî)îiOH )OCHïCOOH ,
f. à 147° ; crislallisé avec une mol. d'H'O il fond à 122*. Cet ad
est facilement sol. alcool élher et eau bouillante, peu sol. ri
(roide et G^H* insol. ligroïne et élher de pétrole. Il donne desrf
crietallisables avecNa, K, AzH», Ca, Ba, etc. !
Action du brome sur f acide pyrooatêciiine acétique. — 'i
obtient suivant les conditions les;;dérivés suivants : a) Acidf nioa
bromopycocatéchiueacélique G'H»Br(0H)0GH«G001 1 aig. blariL-lii
f. k 158», sol. alcool, éther et eau bouillante, peu sol. eau front
insol. ligroïne et éther de pétrole. — ^'iAeref/ijWyue longs pnsini
incolores (. à 48°. b) Acide bibromopyrocatéchiiie acétique H»
aig. blanches f. à 154', sol. alcool, éther eau bouillante, peu «
G^Ii^ et eau froide, presque insol. ligroïne et élher do pétrole ;>'»'
fort déplaçant GO'. — Etlier éthyUque, petites tables f. à 69*. "*
tallisanl dans l'alcool étendu avec ViH*0 et fondant alors i 89*.
CHIMIE ORGANIQUE. 403
/OCH«
hctone OH«BrX i . On chauffe Tacide à 180«. Le produit f.
\0C0
1 106* donne à Tanalyse des chiffres seulement approchés de la
bi»orie. c) Etber étbyhque de t acide tribromopyrocatéebine acé-
f^f, feuillets f. à 118"*; Tacide libre n*a pas été obtenu cristallisé,
OD sel d*Ara fond à 205*. — L'élher éthylique donne un sel d'Ain
>HBf^<j]^^2;^^^*"^ F. 217^ peu sol. H«0 alcool, éther et
W, insoluble ligroïne et éther de pétrole.
</ Acide téirabromopyrocatéchine acétique. — Etber étbyhque
besai^illes f. à 153*, sol. alcool bouillant, éther et C^H^, peu sol.
|p)ol froid, ligroïne et éther de pétrole. — V acide libre est incris-
■liisable il est sol. alcool, éther, C^H^ bouillant etH^O bouillant et
1^ précipite de ces solutions sous la forme d*une masse gélatineuse.
G. MARIE.
Qndqaes dérivés de Toxyde de phényle ; A. N. COOK et H.
I HILLTER {A m. Journ., t. 24, p. 525-529; 12.1900). —
\^ luleurs ont préparé un certain nombre de dérivés de Toxyde
^ phéoyle par la méthode de MM. Haeussermann et Teichmann
'iui consiste a chauffer les phénates ou crésolates alcalins avec des
^*niés nitrohalogénés. Ils préparent les phénates par simple éva-
ptaiion et dessiccation à 100* du mélange de phénol et d'alcali.
l'fjxvde de p.'Crésyle-o.-nitrophényle
(4) CH3-C6H*-0-C«H*-Az02 (2),
• été obtenu en chauffant à 125-130** un mélange de p.- crésolate
1^ potassium (1 p.) et d'o.-nitrobromobenzène (3 p.). Le produit
fei ensuite débarrassé de l'excès de ce dernier par un entraînement
• îa vapeur et purifié par distillation dans le vide. On obtient en
•■.ûer-oxyde le poids du crésol employé. Priâmes clinorhombiqiies
(••49*, solubles dans Talcool chaud et les liquides organiques
Wifféiherde pétrole. Eb. 220* sous 25 mm.
En oxydant ce composé par une solution acétique d'acide chro-
tti^ue, on obtient Yac. carboxylé correspondant
Az02-C«H*-0-C6iI4.C02H (4),
'|ui <Tbtâ)Use dans l*alcool dilué en aiguilles jaunes peu solubles
^t^B* Têtu bomtlante et dans Téther, insolubles dans la ligroïne.
U sel de cadmium et celui d'argent sont cristallins; ce dernier
f««l en se décomposant vers 220** et se dissout dans environ
ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS,
d'eau froide. Le set de baryum crislallise en lameJa
ubies dniw 122 part. dVnu bouillante et dans 948ptft
) ; il renferme 1,5 mol. d'eau.
de p.'Cri}syh-o.-aminopli''iiyle oblenii en n'-duisiiiH
; précèdent par l'ôtain et l'acide clilorliydrique. un
Son chlorhydrate crislallise en aif;uiiles bUnd<t
jles par l'eau. Le clitoroplatinalc renferme 1,5 wi
id en se d/îcomposant vers i50', p. frecmilch.
ion de l'ac. azoteux sur les dérivée chlorés et l'it
lénols; Th. ZINCKElt/ouc/i. /.prflA/. C/;.. t.61, ii.r*!
férenls phénols bromes étudiés roiirni»senl ain>i <U
rés ou broniO[(itrés snivanL le nombre d'atomes <\'\,»\:
!nls dans la inoU'cule Dan» certains cas celle rt'i-;.'
dérivés nilrés cjue l'on ne peut préparer par l'ac. mi
p. ex. le cas dos dicbloro et dihronio|iboiiol3 qui ilol
ce réactif des nilrocétones et non les corps Fiitr]
libromodioxydilolylinélliane le Br est cliasst^ et rfi*
7.0^, il ne se fait pas de bromonilré; la position ort(
étant occupée, le groupe AzO* ne peut s'introduire dans la molJ
Cule. C. MARIE.
Coatribution à l'étude do salol; Georg COHNir/ourn. f.pr»k:
Cil., t. 61, p. -fM). — L'acide sulfurique au B.-M. donne «
mélange d'acides sulfosalicylique et phénol sulfoiiii)ue. t
sol de Na du premier de ces acides se condense fticileiiin
avec les phénols; avec le phénol oi'dinaire ou obtient le t-i>r]
C6n^OH),i000G«HS|,iSO*0(:«H5|t F. 172-173°. On obtient «%.■.•■
najtbtol et le gaïacol les composés correspondante; le sivonfl •!
ces corps fond à 112-113°.
Action du salol sur les bases. — Il y a déplacement du ptn-n
par 1» base et lormatiun de la salicylanilide corresi>ondanle »^'
un rendement théorique. On peut jiréparer la snlicrlainliJi;
salicylpliviiilidiiw V. liO", la salicylanisidîne F. I5!)-160'. I
même la pliénjlhïdrazine donne la snlicylpbètiyltydratii
la monosalylheiiT.idint! (F.>-2ôl>) qui diazolée et copuléf •>'
le p-naphtol donne un colorant violet, avec le salicylate de >i :i
colorant brun. Ces matières sont sans intérêt pratique. !■■ iAm
CHIMIE ORGANIQUE. 405
•rià^Biûiiaf* obtenue avec excès de salol est semblable au corps
ri -cèdent.
ÀcfioD du salol sur les phénols. — Il y a déplacement du phénol
ir le corj>s phénolique employé. Ex. :
yOH yOH
CmvC + C^OH^OH = C«H50H + C6H\
t> phénols suivants ont été employés — m.-crésol, o. et p.-nitro
ttfaul. p.-arnidophénol, p.-acétamidophénol, thymol, carvacrol,
•'l ^naphtoU tçaïacol, pyrocatéchinemono-éthylée,créosol, eugé-
Mi, ré^orcine, pyro^allol, etc.
i r s»lir)ienzinol n'avait pas été décrit ; ce sont de petits pris-
i--- F. 73*, le salicyl'p-act'tamidophénol (salophène) peut être
\p'\i^Té par cette méthode. Le monosalicyl-p-amidophénol cristal-
lr«* de Teau en petits grains, F. 168-16U**. Traité par le salol de
b"'iveau, il donne le disalicvî-painidophénol^F. 137®. Monosalicyl-
tyiroffuiaone^ feuillets f. à 9f)-98°, la disalicylhydroquinone cris-
kû\^ en fers <le lance caractéristiques, F. 150-151". Ces deux
frr^oilâ s'obtiennent en plus ou moins grandes quantités relatives
*'iiMnl les proportions de salol et d'hydroquinone enployées.
U salieylamide donne avec le salol la disalicylamide
^"*<CO-\zH-rO>^^"*' aiguilles jaune clair, f. à 200-203».
-4e, it'crésotiiiique'^' naphtol, feuillets F. 103-104*». Ether
mordne di p-crésotinique, aiguilles f. à 106-107°. FAlwr liydro-
fiiiutne di p^résotiniquey f. à 197-198°. t:. marie.
Action deVacidesalfarique sur le phénôtol ; W. B. SCHOBER
'' H. l. BOWERS i.l/H. Journ., t. 25, p. 69-76; 1.1901). —
LiclioD de Tacide sulfurique sur le phénétol donnerait naissance
* I ou 2 dérivés sulfonés, suivant que Ton se reporte à tel ou tel
o*rtDûire.
l<^ auteurs ont repris l'étude de cette réaction en opérant à
^^iTerses températures et avec des proportions variables. Une fois
'* réaction terminée, le produit était précipité par Teau, on sépa-
^1 le phénétol non transformé, on traitait par le carbonate de
**nf^«». puis la liqueur filtrée était additionnée de carbonate de
*^*u» et fillrée de nouveau. La solution renfermant le ou les sels
^ sodium était évaporée à sec, le résidu transformé en sulfochlo-
^^^^^^ par le perchlorure de phosphore, puis en amides par Tam-
SE DES THAVAU
3 amides ont été
lU ciiBude.
roid l,21°i, soit à
niniiles), et en ei
^lol, on a obtenu
amide f. h H9°), <
a 1/10 de Visoni
auffage à 90° pem
art. d'acide) il ne
;rès petile quantité. D'une façon gûnérak, Ij
l'est pas favorable au rendement en déméi
•squ'on emploie plus de 1 part, d'acide |)oui
En chaufTant le phénétol avec son vuliiuu
imant à 85°, pendant une demi heure, on |
cide p.-sulfoné, un peu du dérivé onho, iri'l
oné (amide f. à 233-) et enfln un acide iloiil
- p. ritEU.M>[.ER I
arbiDol; W. H. PEREIN jan lUheni. t>K.,
Il), — L'auteur a obtenu le ictraméttiylcii*!
en réduisant par le sodium, dans ctTlfint^
1«0H
ire de l'acide télramélhylènecarboxylique. Li
iiio! est un liq., Eb. 143°-144° sous 760 mm.
de l'alcool amylique ; D à 1° -= 0,9162, I
— 0,90!!9; rotation moléculaire ma<;nélit|uei
A. VALELT».
iriTés du cyclopentadîéne ; Friti HOELDIr
33, p. 3348; 10.12.1900). — l,e monochloro
l'CI réagit sur l'aniline et la pyridinp pour'li>ii
ntène et le pipéridylcyclopentène eii incw
ne le chlorhydrate du la base soumise n li
\HVC\ — C6Hï-AzH-C*HT + CSHiAill^-HCl.
:lopentadiène fraîchement distillé lUd^ pr.' t^
s l'uniline en grand excès (777 gr.) de mani'-n
lie s'élève pas au-dessus de 10'. La réactw*
lige se prend en une boudlio cristalline, 'in
CHIMIB ORGANIQUE. 407
prend par l'acide acétique qui enlève Taniline en excès et le chloi-
'trâte; la ba>e reste insoluble. On distille dans la vapeur d*eau,
reprend par le benzène et on distille dans le vide. (Rendement
lUOde la théorie».
L*ajulidocyclopentène est une huile incolore bouillant à 260"^, à
3-133* souf> pression de 25 mm. ; elle a une odeur agréable et
l ftoluble dans les acides minéraux et les solvants usuels; elle
Lim;oluble dans Feau.
bon chlorhydrate est cristallisé et fond à 142-145'*.
Le chloroplatinate [C««H«3AzHCl]»PtCl*+ 1 V^H^O se décom-
»e sans fondre vers 140*. Le picrate fond vers 154-155*». Le sul-
If est peu soluble dans Teau et l'alcool. L'oxalate est au contraire
bsoluble dans l'alcool.
Oo a préparé un certain nombre de dérivés de la base : dérivés
lâylé et benzoylé, diphénylurée, diphénylthiourée, nitrosamine
Ihydrazine.
Le làodium et l'alcool amylique transforment la base en une base
toiênque.
Le pipéridylcyclopentène C*H*oAz Xy^W se prépare d'une façon
ittlûgue.
C'eïiune huile bouillant à 206-207*, d'une odeur rappelant celle
k«^lA pipéridine mais plus agréable. Elle possède des propriétés
taîique». Elle est peu soluble dans Teau, soluble dans l'alcool et
'•ti*er. sinon le brome, s*unit à Tiodure de méthyle mais ne réagit
N sor les chlorures d'acides ni sur le phénylsénévol. On a pré-
rtf son chlorhydrate et son sulfate. l. j. simon.
Action de l'oxyde de môsityle sur le sodomôthylmalonate
'^^tkyle; Arthur William CROSSLET {Chem. Soc. y t. 79, p 138 ;
t\^), — Par Taction de l'oxyde de mésityle sur le sodométhyl-
BaJonate d'éthyle, Fauteur a obtenu le S-G-aicéto-S'é-triméthyl'
^^méibyl^ne-S'Carbosylsite détbyle
XI
C(GH3)(G02C2H5)-COv
>CH2,
T** w dépose d'un mélange de chloroforme et de pétrole léger
(Qi. 40-60») en poudre microcristalline, F. 93^5-9i^5 ; sol. dans
^plflparides solv. org., Eb. 190** sous âl""" ; sa semicarbazone
ï«Qd I 200» gQ p^ décomposant. Cet éther, traité par la potasse
rSE DES TRAV.
mpose en donr
élO'SJA.-triitt
.CI1(CH
CH2—
sol. dans l'eau ,. __ ..„ _ _^
i solv. org. ordinaires, F. GO'.S-IOO". Sa so
:;arbonate3 et donne avec FeCI* une col, d'«
iuuB.--..u.^.. .^» ^.■jximv C*H'*0*Az* crisl. dans l'alcool ûlendi
F. 167° ; elle est insol. dans CHCI^ et CH».
La dioxj'triméthyldiliydrorésorcine fournit un sel d" A g nui, yt
l'action de i'îodure d'étliyle, donne naissance à Vijther ètbyBn^
correspondant
■ /aH(CHï)— C(K
lP-ClOC!H5)/'
huile jaunâtre, Eb. 265' sous 750 mm., insol. dans CO'Na', hjdW
lysé par la potasse alcoolique en régénérant le dic'étotriinéliO'E
hexa méthylène. — Le PCI* transforme la dioxylrimëlhyldihydro
résorcine en S .6-dicb!oro-S.4 A-lriméthyldihydi'obeozi'ae : \
(CH3)îC<^
CIP CCIi
>CH.
C(CH3)=cr.i/
Le brome en sol. chlorof^rmique fournit ud dirivè motiohrom
qui répond à la constitution : |
/CH(CHi)-CO^
{GH^l^GC >CHBr, '
\CH» CO/
car il se transforme en acide a^^<triméthylglutarique par oxydalioi
au moyen de l'hypobromite de sodium; par l'action de HBrW
dérivé fournil le i .6-dibromo-6-oxy-S-céto-3.4 .4(riinvtbylhe^*'
ûiétbylfine, F. 87-88° qu'ont peut obtenir aussi directumeul p«l
l'action du hrome à 0° sur la dioxytriméthyldihydrorésorciQe, M
sol. dans CHCl'. Cette hydrorésorcine, traitée par rhypobromiU
de sodium en quantité iiisufiisanle pour déterminer une oxydation
complète, fournit le 1 .l-dibvomo-H-G-dit-t-ia-S .i .4-lrimétbylbe^*-
métbybhie, crist. dans l'ulcool en a\g., K. Ili°,ô, âc décomjwj*"'
par l'action de ta potasse bouillante en CULfr'' et acide «pb-iniu*-
tbylglularique, F, 87-8ii''. a. valbuk.
CHIMIE ORGANIQUE. 409
SQrracideo.'pbénylsulfoiiebeiizoique et les composés qui en
ment; H. CAHTER (A m, Journ., t. 25, p. 96-111 ; 2.1901). —
ti,-ir>iripbénjrJsulfone CWC^HKSO^.Cm^ qui à servi de base à
^ ws:lierches a été préparée en traitant un mélange de chlorure
»cide o.-lolupnesulfonique (25 gr.) et de benzène (100 gr ) par le
turure d'aluminium (30 gr.). Ce dernier est ajouté en 8 ou 10 fois
II* l'espace de 1 heure, en maintenant une température de 75** au
bmencemenlet de 80-85** à la fin de Topération. On verse ensuite
(iTo^iuit dans Teau tiède, et on décante la solution benzénique
ofif-vapore après deosication. La sulfone cristallise dans l'alcool
paillettes blanches f. à (57,5-68**, solubles dans les liquides orga-
|iKS»^t Tacide nitrique fumant, insolubles dans Teau et l'acide
lorhydrique.
L oxydation de la sulfone au moyen de Tacide chromique en solu-
» =»rétique ne fournit pas de bons résultats. Avec le permanga-
^^^ solution diluée bouillante on obtient Yacide o.'dipbénylsul-
iioue-carbonique ou phénylsuifone-bonzoïque C'H*<;gQaQ6pj5
^'-u purifie par l'intermédiaire du sel de baryum. L'acide cris-
lli^ dans l'alcool en lamelles f. à 267-268°, insolubles dans
*i^ Le sel de baryum est en aiguilles blanches solubles dans
^^ il renferme 3 mol. d'eau qui partent à 160**. — Le sel
rnugjiéaium préparé par double décomposition, cristallise en
^Piillts solubles dans l'eau avec 8H*0 ; il devient anhydre <;160**.
- ^'SpI de calcium f (4,5H*0)est en aiguilles, celui de strontium
^^^ en lamelles et celui de zinc (3H*0) en aiguillej^ ; totis trois
P*t tré> solubles dans l'eau. — Le sel de cuivre préparé au moyen
^loij'de, cristallise en lamelles verdàtres, peu solubles dans
■". qui renferment 2H*0. — Le sel de sodium préparé par dou-
k« décomposition est en aiguilles très solubles dans l'eau.
w chau/ïanl ce sel anhydre ou Tacide lui-même avec un faible
■^"•^ de perchlorure de phosphore au B.-M., on obtient le chlorure
^^^^j»OH^» qu'on débarrasse de l'oxychlorure formé par un
**ûfl«ge à 200°. Le produit qui se sohdifle par refroidissement
^ a^é k l'eau tiède ou froide, puis recristallisé dans l'ac. acétique,
'ï ^ présente sous forme d'aiguilles courtes f. à 262,5-263**5, solu-
"•^ dans le benzène bouillant, très peu solubles dans l'éther et
**"'' l'éiher de pétrole. L'eau froide ne l'attaque que très lente-
^ïil L'ammoniaque concentrée le transforme au B.-M, y dans
»*ûîi* correspondante; lamelles blanches solubles dans l'alcool,
•^?Rî45.2ô5* en se sublimant partiellement. — Vanilide pré-
4LYSE DES TRAVAUX
aqueuse ou benzéniqui
nies f. vers 234-^35".
^cèdent s'unit au benzène en présence de dilorni
température de 65-80' en donnant naissance
lylsuifonû Cfiil*<soîc^H^ ^ lamelles f. à 183-t:*l
:ool et le benzène bouillant ainsi que danslVK
ré qui ne l'attaque pas. La potasse alcc-dl
^L-u ^, , .■i..~^i. vlorliydrique sont sans action sur ce composé. I
potasse fondante le décompose avec mise en liberté d'acide 1*
zoïque. Il est identique au produit obtenu par MM. Heinson
Saunders à partirdu chlorure d'acide o.-sulfobenzoïque (/Aid. l-l
p. 362). , p. FHEUNDLEH.
Sur la p.'DÎtro-o.-tolylphénylsulfone et quelqDsa-Dns de w
dérivés; R. S. NORRIS [Am. Jouni., t. 24, p. 469-491 ; iS.i»H
— L'acide p.-niiro-o.-sulfohenzoïque fournit un nu'lanp' i
deuK chlorures isomériques lorsqu'on le traite par le perchloni
de phosphore. Toutefois, ces deux chlorures, dont l'un «si vw
semblablemenl AzO» . C«H3<^^q^| et l'autre AzO'.OH»^ >*
donnent naissance à un composé unique lorsqu'on les f'
réagir sur le benzène eu présence de chlorure d'aluiniaiuin. C
composé peut avoir l'une des trois lormules :
/CCI(C6H»t yCO-C^tt^
Az03-C6H3< >0 , AïO'-C^HïC
NSO'QfiH»
(Remsen et Gray, ihid., t. 19, p. 496 ; Hollis, ihi<i., t. 23, p. 2«
L'auteur démontre actuellement que le corps en ipienliop i
peut avoir la formule 3, car il est différent du produit synthèliiii
obtenu en sulfonant le p.-niirotoluène et en oxydant le dérivé su
foné ainsi préparé après l'avoir transformé en sulfone.
Le cfihniic de l'acide p.-nilro-o.-toliiènesulfoaique
/Clii
\SOî|:i
est déjà connu. H fond à 44', et cristallise dans l'élher en prisnif
rhouibiques. Four la coodensiilion avec le benzène, ou emp'^'
CHIMIE ORGANIQUE. 411
rtift. ê^les de ce dernier et de chlorure (20 gr.) et on
cwie le chlorure d'aluminium pulvérisé à chaud. La sulfone
c<»*.G*H^gQ!i C^H** cristallise dans Talcool en lamelles argen-
ts f. à ioS"*, solubles dans la plupart des liquides organiques, et
»•> les acides azotique et sulfurique concentrés, presque inso-
\Àts dans Teau. L'acide sulfurique fumant transforme cette
Wbne en un acide sul f on ique dont le sel de baryum répond sensi-
mienl à la formule (C«3H«oO^SUz)«Ba4-6H«0. Les alcalis
«'tiques en solution alcoolique dissolvent la sulfone avec une
teration pourpre qui disparaît par l'addition d*un acide. La
pur alcaline précipitée par Teau, abandonne un précipité rouge
►■•jnueux. très peu soluble dans les liquides organiques, et dont
ironslitution n'a pu être établie.
lia sulfone nilrée a été réduite par le sulfure d'ammonium en
ÉitioQ alcoolique et a fourni ainsi le dérivé amidé correspondant
W'.C«H*<C^Q^Qqi5, qui cristallise en lamelles incolores f. à
^, solubles dans le benzène, l'alcool et Tacélone, peu solubles
■« l'eau.
U sulfone nitrée étant oxydée par une solution d'acide chro-
i*iuf dans l'acide acétique cristallisable ne fournit pas de produit
t'tnj. Le permanganate en solution neutre bouillante à 3 0/0 a
>ïrn» de inf.Mlleurs résultats; il transforme la sulfone dans V acide
GO*H
>^nUrO'0,'phén)Isulfone'benzoïqae AzO*.C^H5<:;v^q4Q6j^5, qui
^llisp en aiguilles blanches f. à 196*, peu solubles dans l'eau,
t*<b(*r et le benzène, plus solubles dans l'acétone. Le sel de baryum
Ki^*HN>,VzSi*Ba,H*0 est en aiguilles blanches peu solubles dans
'**i; eelui de calcium est en cristaux prismatiques incolores
*"*l>ltîs dans l'eau chaude ; il renferme 6,5 mol. d'eau de cristai-
^itiu. Cet acide p.-nitro-o.-phénylsulfonebenzoïque est absolu-
*«il dilTérent de celui qu'on obtient en traitant par l'eau le
eùbrure mentionné plus haut (le sel de calcium de ce dernier
«*af«rme 3 mol. d*eau et celui de baryum de 3 à 7 mol.).
^ chlorure PizO^ .O^H^<,Qjr\±rfiw préparé au moyen d'un mé-
**o^ de pentachlonire et d'oxychlorure de phosphore à 150°,
'•*^lise dans le chloroforme en prismes rhombiques f. à 109°,
•«lubies dans l'éther, le benzène et la ligroïne, insolubles dans
''^ti et le* alcalis qui ne l'attaquent qu'à chaud. — L'ammoniaque
T^***^ diluée transforme le chlorure en amide (prismes clinorhom*
{ils
'Pod
[er
yù également de préparer l'acide p.-rùlro-o -[.
jue en partant deTacicie AzO'.CH'^vy ijii-
ssiam de cet acide cristallise en aiguilles
m. Traité par ie perclilorure de plioâphort- 1
le chlorure d'acide (prismes quadratiques I
ais ce chlorure Ireilé par le benzène t-t
iuin ne fournit pas de produit goudroitneUK.
p. FREUNDLCh.
berches sur te chlorure dissymétrique
o.-8ulfobenzoique; W. E. HENDERSON .1
-2G; i.liWl). — L'auteui' a répété sur le chlor
(pii avaient été efieuiuécs |nir MM. Remscr
Drure impur, c'est-à-dire ini'-langé de l'i^oini
ce corps, on chaufrc à V>li° un nirlangi*
potassium anhydre et de ô5 [larl. de perchiur
on laisse ensuite la réaction se lerutiner dVI
roidissetnent, on lave le produit à l'eau )fi
osphoritgue, on dissout le résidu daus du cblo
la solution chiororonniqueavecdel'ammoiiiaii
utée par petites portions, jusqu'à perïiiârni
de l'odeur. Dans ces conditions, le chlorure dissymétrique
transformé totalement suivant l'équation :
/CClî ,CA7
AzOî-t:«HV >OH-f AzH5=AiOî-C6|lî< -f- 8A«H»a.
NS()3 NSO'AïlP
tandis que la majeure partie de l'isomère n'est pas attaquée. D
forme cependant un peu de sulllmide :
+ 1 AzH' = XiO^-CHW >Ai-A»H* + S A»H'
Far évaporation de la solution chloroforraique oo obtient le r'.>
CHIMIE ORGANIQUE. 413
rr $r manque en prismiîS clinorhombiquesf. à 98**, très stables
nfr 'Voir la description cristallogr. dans le mémoire original). La
wU» des cristaux est de 1,85. — Pendant le traitement à Tam-
nmque, il se forme une petite quantité de V anhydride p.-nitrO'
iuJfobenzoFque décrit par M. Sohon (ihid., t. 20, p. 257).
-e chlorure symétrique réagit sur le benzène en présence de
onire d*alumiaium comme le chlorure dissymétrique, en don-
it naiftsnnre au chhnire d acide p^-nitrodiphénylsulfone-carbo-,
fv^ .VzO«C«H»<:^J3qI f. à 174^ déjà décrit (Hollis, ibid.,
0,]>,t^'. Le sel de baryum de l'acide correspond, cristallise
tm^rues aiguilles renfermant 11 mol. d'eau lorsqu'il est impur;
11^ «Vautres conditions on a obtenu le sel à 7 mol. d'eau de
f bltis.
L'alcool mélhylique réagit sur le chlorure symétrique à chaud
CO^GH*
kdonuant naissance à Vctber niêthylique ac/Je AzO*C^H3<;cq3h
»l \e s^l de baryum cristallise en paillettes micacées jaunâtres,
teftTmanlâ mol. d'eau. — Avec l'alcool éthylique,.méme réac-
Hi. le st*I dtf baryum est en aiguilles incolor'es. Dans aucun cas
h n'a obtenu de chlorure-éther, tandis qu'avec le chlorure dissy-
GO*C*Hî*
i^rque, M. Kaslle a obtenu le composé AzO*C*H3<;gQjQj en
Tft^âux f. à 68* {ibid., l. 11, p. 181).
L<f phénol (2 part.) réagit vers 125" sur le chlorure symétrique
ï [«tri.; en donnant 2 produits : l'un soluble dans l'eau avec une
**oralion pourpre, constituant probablement une sulfone-phtaléine
>w)dpe brunâtre à reflets bronzés) ; l'autre insoluble dans l'eau, et
rn^allisaDl dans l'alcool en aiguilles jaune d'or, f. à 119"; c'est
t':ih^r diphéaylique AzO*C^H3<;gQ3Qgj^jj. La potasse alcoolique
■î-oaifie cet é»her en le transformant en sel acide de potassium.
^vec ro.-crébol, la réaction s'effectue seulement vers 135-145»et
4'tme naissance à une phlaléine^ sous forme d'une poudre rouge à
«^H bronzés, solubîe en violet dans les alcalis et en rose dans les
»'wies. li se forme aussi un peu d'étber dicrésylique en aiguilles
«colores r à 80-90% solubles dans l'alcool et le benzène.
Avec le p^-crésol on obtient l'élher dicrésylique en cristaux brun
'**"•, f. à 117% solubles dans le benzène ; il ne se forme sensible-
^"^1 pas de phtaléine. — Ubydroquinone fournit uniquement une
MiUléioe Boluble en rouge foncé dans les alcalis et en jaune orangé
™slesaades. Celte phtaléine possède vraisemblablement la for-
llyse des travaux
^C[C8H*(0H}>1«
^ >0 .-
^SO|C8H«iOH)*j«
w-ffnoresccine (poufl
légère fluorescence j
> . — Le pyi
3rinanl 6 noyaux gai
en violel pourpre dans les alcalis). — Avec j
Lient pas de produit défini. '
sur le chlorure symétrique en solulîon chlori
anl naissance à un mélanine de Vanilide f . à M
Remseii et Gray, loc. cit.) et de Vanile i
', insolubles dans les'alcalts). Si l'on opi'rt' {■
ann-Schotten, on obtient une aono'atiUidp M
cristallise en aiguilles très sotuhles dans I'pi
1*0. — L'oxycblorure de phosphore réagit .*
1 auiJiuEj H ciiauii en la transformant en dianile :
yCOAïH-C^HS yC=A«-CW
A80î-C«H3< = H^O + AiOï-C«Hï< >As-C»U*.
\S0i-AzH-C«HS NSOî
Celui-ci cristallise en aiguilles jaunes (. à SOS", solubles dan>
plupart des liquides organiques. L'acide chlorhydrîque bouilla
Irunsforme ce dianile dans l'anile f. à 183' La potasse alcooliqut^t
fournit que des produits goudronneux. L'acide acétique bouillu
agit sur le dianile en donnant naissance à une matière blBfn't
amorphe, soluble dans les alcalis, iriFusible à 3{0°. Celle substBW
possède la composilioD de la dianilide. L'auteur lui attribua '
constitution :
NS05
AzO».C6|
Synthèse d'un acide dicarboniqoe bicyclîqae; W. BBAIE
et E. BUCHNER (D. ch. G., t. 33. p. 34*3; 10.1Ï.1900). — LéUa
diazoacétique CH.\z*-CO*H s'unit à l'éther tétrahydrobeiuoiqii
lorri(|u'on chaulTe les deux corps ensemble au bain d'huJet<f
CHIMIE ORGANIQUE. 415
lO-fiO*; il y a dépari d*azote ; l'opération est terminée lorsqu'il
c >c dégage plus de ce gaz
CH.JUÏ-C03R + C«H9-C02R = Az^ + 0^^0(00^)2 .
I>> composé obtenu est Téther d'un acide bibasique qui en résulte
%r saponification ; cet acide soumis à l'action du chlorure d'acétyle
} transforme eu anhydride. Les auteurs attribuent à cet acide la
Roule à deux noyaux
H oom
y
HO G-002H
H2o/ \0H2
WG t;H2
I tai donnent le nom d'acide norcaranedicarbonique, le mot nor-
«TADe >*appliquent à l'association d'un lïoyau triméthylénique et
t'iQ noyau benzénique hydre. l. j. simon.
Synthèse des aminés an moyen des éthers salicyliqpies ;
t TDIGLE {Am. Journ., t. 25, p. 144-155; 2.1901). — L'auteur a
BiTfLtré précédemment (ibid.^ t. 24, p. 52 et 276) que lorsqu'on fait
{Aââer un courant de gaz ammoniac sec dans du salicylate de
ib^le bouillant, il se formait do la diméthylamine. Les autres
i^uils de la réaction sont principalement de l'amide salicylique
c- uoe petite quantité de nitrile polysalii^ylique. Avec les salicy-
btes d'éthyle et d'iso-amyle il ne se forme pas d'aminé grasse.
U benzoate de méthyle étant chauffé à l'ébuliition avec de l'ani-
iûe, se transforme en benzanilide lorsqu'on opère avec des quan-
ti^» éqoimoléculaires de produits, ou encore en présence d'un
nc«« d'aniline. D'autre part, il se fait du benzoate de méthyle
Ivsqu^oQ chauffe un mélange d'acide benzoïque et de diméthyl-
uuime.
L'icuon du salicylate de méthyle en excès sur l'aniline fournit
<iu phénol, de l'acide carbonique et de la diméthylaniline, mais
p*» de monométhylaniline. Avec le m- ox y benzoate de méthyle
'«^^oilles blanches f. à 70^, solubles dans le benzène), on n'obtient
1*6 de méthylanilines ni de phénol, mais seulement de la m-oxy-
^c>2tmlide. Le p^xybenzoate se comporte comme le salicylate.
L'iclion de la benzanilide sur le salicylate de méthyle ne fournit
pttdemètbylbenzanilide; l'action de l'acétaniHde sur le salicylate
d»>«fflyle ne donne pas non plus d'iso-amylacétanilide.
Quant aux autres produits, leur mode do Tormation d'h pu ^ti
établi.
L'oxydation de la benzylhydpoxylamine a été elTecliiée sur .3h
portions de 30 gr. dissoutes dans 1400 ce. d'eau; on a Tait pB>j<4
dans ces solutions un courant d'air lavé àla potASse et an fienn^t
ganale, pendant 5 mois. Au bout de ce temps, la liqueur nVljl
plus réductrice. On trouvera dans le mémoire original le détail 4
la séparation des divers produits.
La Lenzoylbeniylidène-bydrazineCfiW.CO. XzU.Az^CH.CnV
fond à 204-205'' et non à 202' (Curtius et Struve).
CHlMiE ORGANIQUE. 417
Vtmbydride de la benzaldoxime C**H*^Az*0, crisl. dans le ben-
(•iH? ou Talc, amyliquo bouillant en aiguilles blanches f. à 208<» en
ï décomposant, peu solubles dans les liquides organiques chauds,
p corps n'est pas attaqué par Tac. chlorhydrique bouillant; Tac.
iirurif(ue concentré chaud le dédouble en ald.benzoïque et ammo-
ukifue.
La dibenzoylhydrazine symétrique fond à 287* et non à 233*»
!artius). Le corps neutre f. à 212-213°, cristallise en aiguilles
lanches, insolubles dans Talcool froid, solubles dans le benzène
»mllant.
Enfin les auteurs ont obtenu dans la même réaction une certaine
ttnlité de produits huileux non définis. p. freundler.
Sorracideo.-axnidosalicyliqae; Oscar ZAHN {Journ. /. parkt.
't., i. 61, p. 532). — L*acide est préparé par réduction de Tacide
lire au moyen de SnCl*. Après réaction le chlorhydrate se préci-
iU;, on le lave et purifie de Sn par H*S puis on le reprécipite par
ICI. Le sel blanc ainsi obtenu fond à 250^ L* acide libre est pré-
mé par dissolution du chlorhydrate dans un alcali et précipitation
ftr Tac. acétique. Il fond à 285<*, il est presque insoluble dans
^alcool et se colore à la longue en brun par oxydation.
Dérivés de Faclde o.'amidosalicyUque. — Ac. 0,'diazosalicylique
fcriJes aiguilles jaunes obtenues par AzO^Na. Décomposées à 155°.
Ac. 0,-saJicyIique azo résorcine. — On copule le précédent avec
b résorcine ; corps rouge sombre, insoluble dans presque tous les
lolTaats, non fusible à 300''. Son sel anamoniacal est soluble dans
l'can. L*hydrazo correspondant à l'acide o.-diazo salicyhque est
îi^- instable, i! donne avec Tacide CH^-GO-COOH Thydrazone :
COOH
G6HK)H
LH-r^CH3
<ûTp& jaune insoluble H«0, F. 205«.
Àc. formyl^.-aDiido salicylique COOH - C«H3(0H) - AzH . HCO. —
Aiguilles grises décomposables à 215**, difficilement sol. alcool.
Action de T acide monochloracétique sur Tac. o.'amidosalicylique.
— tiu oLUent deux acides, l'un f. à 200° répond à la formule
'^»0H COOH
*>H»OH , l'autre f. à 174.175» à ieH»-0-CO ; ces deux
AiH.OiitXKJH AzH io»
•ic CHHi., 3" sÉR., T. XXVI, 1901. — TraT. étraiig. 27
ANALYSE DES THAVAUX I
OQ alcoolique fournissent p
ue, décomposée à 231'.
ce
■1 o.-amidosalicyhque C*l
Aa
l'ac. oamidosalicylique do
COAzïH5[C»H'(OH)COI
scopiques, F. >■ SOO*. Avi
COOH
it l'éther éthylique QfiW(0
AzH.G
155'. Cet éther traité par NaOH donne le sel i
petits cristaux, F. >- 300*, liés solubles alcool ali
benzolsulfone-o.-amiâosalicylique. — Petits prismes F. 191
H*0, peu BO). éther, acétone, ti'és sol. alcool.
COOH
uramido-o.-salicyliqae C'H*OH . On traite le chlorfaj
AzH.COAzH»
je l'acide par la quantité tliéorique de cyanale de K. Proda
re décomposé à 216», insol. C*H«, étlier et éther de pétrob
cool.
COOH
salicyliqae-aUyHbioarée C<H»(OH) . On traite Tacid
AzHCS-AzHC»H»
llylséaevol. Cristaux F. ibQ". Insol. H*0, sol. alcool absolu
salie yUqae-pbénvHhiourée. — Obtenu avec le phényl sèmi
orps décompo sable à 263°. Ae. benzylidène-o.-*iaido-sëli-
i. — Action de la benzaldiihyde sur l'acide, cristaux jaune»
(00*. Ac. o.-oxyhenzyliaène-o.-amido-saJicyHqne. — Se prA
CHIMIE ORGANIQUE. 419
rwavec Taidéhyde sahcylique, il est insoluble C^H® et ligroïne
foud à 207''. Il donne un sel ammoniacal coloré en jaune.
G. MARIE.
Action du bromure d'éthyléne sur la xylidiue et la 4^-cumi-
le; Alfred SENIER et William GOODWIN (Chem. Soc, t. 79«
5>4; 2.1901). — Par Taction du bromure d^éthylène (1 mol.)
rlaiylidine pure du commerce Eb. 212° (1 mol.), en présence
C<>*Na», les auteurs ont obtenu la dixyiylétbylènediamine
H* [.\zH-C«Ha(CH»)«]« crist. dans l'alcool absolu, F. 74»-75% le
Milrale de celte base crist. dans Talcool étendu, F. 166**; le
iiroplaiiuaie et le chhromercurate ont été préparés.
Par raction de AzO^H concentré sur la base, on obtient,
ivint les conditions, la téiranitro- dixyiylétbylènediamine
W*l.\iH-C«H(AzO«j«(CH3)«]«, F. 220% ou bien un dérivé trinitré,
l «91-192-, ou mononilré, F. 152-154%
U dixylylpipérazine CeH3(CH3)«Az=(C«H*)«=AzG«H3(CH»)« a
^ également obtenue par la condensation du C*H*Br* sur la
fiidme dans des conditions expérimentales différentes ; elle crist.
tel alcool absolu en feuillets, F. loi*.
Vi^fCtimylùlhylènediaminG C«H* [AzH-C«H2{CH3)3]« crist. dans
tU-ttitae en aig., F. 168**, peu sol. dans T alcool et Téther — rfi/îi-
ra^^ aiç., F. 154** — chloromercurate, B.HgCl», F. 150** —
^irédinitré, poudre jaune, F. 97-98*».
Lj dh^-cuœylpipérazine ((?H*)^[AzCm\CH^)^]*, crist. dans
^ereaaig. brillantes, F. 148-150*, sol. dans CHCl^ moins dans
llifroîoe. A. VALEUR.
Action du cyanogène sur les aminés aromatiques ; Wilhem
BIE8ii/oara. f.prakt. Cb,, t. 61, p. 449). — La cyananiline de
*lfintDn fournit avec le chlorure d'acétyîe un composé peu stable,
^^oe, facilement soluble, alcool absolu, éther, C«H«, CHCl»,
f- ««'éiique, acétone, pyridine, et insoluble H*0. Il forme des
""iirtÉs cnstallines f. 205-207*» et a la formule C^oHsoAzSO; sa
•wiilituiion reste a déterminer. Son chlorhydrate correspond à peu
^ a C*H'*Az*0,2HCl et constitue un précipité noir amorphe.
^ chlorure de benzoyle donne des croûtes cristallines ou des
*?^Uea exlrémemenl fines répondant à la formule C**H*«Az*. Ce
'^fbod à 192-193*» et est insoluble H«0, sol. dans les solvants
•'^oiqtes. Quant à sa constitution elle est peut-être celle d'un
•^^dcramido-azol.
Uqifiamline prend en outre naissance, quand on fait réagir
CHIMIE ORGANIQUE. 421
tue. L'anal)*se donne des chiffres conduisant à la formule
'*H*«Az*. Le carbone est toujours faible pour ces produits qui
ml extrêmement difficiles à brûler. c. marie.
Contribation à la connaissance de l'a-méthylkétol ; R . von
TALTHER et J, CLEHEN {Joura, ï. prakt. CA., t. 61. p. 249). —
ts auteurs étudient d*abord la condensation du méthylkétol de
leyer avec les aldéhydes : la fovmaldéhyde donne ainsi le mèthy'
h^^-ornwthv'Ikétol poudre inicrocristalline F. 230-231
CW=(\ I ) :
\C«H^-AzH /
kidêhj-de anisique donne le pavaméthoxybenzylidène'di'fx-mélhyl'
/C=CGH»\2
k/o/C«HOCH5CH( I . I j poudre microcristalline légère-
tenl colorés en rouge, F. 206** ; Taldéhyde salicylique donne Tor-
/C=CCH3\2
^^HixvbenzyUdène-di'^'méthylkétol, C«H*0HCH( L ^ ^ ^ )
^^ blanc, F. 224*; Tisopropylbenzaldéhyde donne Visopropy-
/C==C.CH3\8
MrQ^i.^.métbylkétol C«H*CHfCH3)«GHl A^ ^ ' „ ) coi^ps
UaacmicrocristalUn.F. 220**; la p.-nilrobenzaldéhyde donne le/?.-
/0=C.GH3\«
^r(ibeùzyndène^i'a'mélhyîkétolGm^,kzO^,Cni\ I I
frtudiv cristalline s'électrisant par le frottement et fondant à 236** ;
IV-mlrobenzaldéhydc donne le dérivé correspondant F. 229**.
T'>ua ces corps sont soluhles dans l'alcool, l'acétone, Téther, et
K** «lubies dansTeau, Téther de pétrole et la ligroïne. La conden-
>»tion avec Téther ac^tylacétique donne Vacétylacétique-ester-di-
/C=G-GH3\2
CH3.g( Il ) ,
|\G«H5-AzH /
CHa-COOG2H5
P**^ jaune pâle F. 185* sol. alcool, élher, acétone, presque inso-
'■^l* eau, ligroïne, et éther de pétrole.
^ essais d*oxydatioQ par Tacide azotique étendu ou le ferricya-
""fe û*oirt donné aucun résultat.
ANALYSE DES TH,
AzO
l'acide azotique (100 0/0 d'AzO^H) en présence itd
SO*H» conceniré et AzOWa. Il forme des pristow
jr, F. nO". 1! est insoluble dans l'eau froiJe, k
ler de pétrole, dilUcilemeuL soluble dansH^O boulj
tne et le xylèae, facilement soluble dans l'alcoolj
ne et le chloroforme.
3C l'aldéhyde forraique le méthylène-di-momnHn.
/C G.CHn*
CHW I I I F. 131° et avec la twnJ
\CfiH3(AzO»)-A2H /
enzyUdvne-di-mononitro-a'méthylkétol, V. 291*.
lélhylkétol. — Cristaux brilUants, jaunes-bnua]
s en dissolvant l'a-méthylkétol dans un grand eicd
d'acide azotique concentré (tf=l,38). Ils répondent à la fonniiK
\a/h/
Les essais de préparation de l'azoxy et de razo-a-méthylkéwl
n'ont donné aucun résullat.
Amido-ix-jnétbylkétol. — La réduction par Sn et HCI du monoi
nitré donne la base, poudre blanche légère F. 137' ; peu soluble H^Oi
facilement soluble dans l'alcool, l'éther, le chloroforme, le ben^êoi
et reprécipitée de ces solutions par l'éther de pétrole. Il donne ■'«
le chlorure d'acétyle Vacélylamido-rt.-inélhylkétol, F. 188"; an
phénylsénevol il donne \'a.-)néthy}kèt}lpbényUbioufée
C6HV ^C-CHî.
I NAzU/
AiH-nS-AiH-CTI*
poudre blanche amorphe, F. Iii2° ; avec l'isoeyanate de phényle "O
ob\:\ei\\\'a.-méthylkéty!phéiiyiurccY ^AzH-^ poudretoMt
AzH-CO-AzH-CsH>
phe, F. 191*. c. harue.
Remarque aar la transposition de l'oiyaiobeiuèiie ; E. BiB*
BBRGER(Z>.cA. G., t. 33, p. 3192-3193; 7.11.1900). — On Milq»'
60U9 l'influence de l'ac. sulfurique concentré tiède, l'azoxy boiui*'
ie translorme en p.-oxy-azobenzène. L'auteur a constaté qu'il ^
CHOIIB ORGANIQUE 42S
annc en même temps un peu d'isomère ortho. 25 gr. d'azoxyben-
toe oot donné environ 0, 15 gr. d'o.-oxy-azobenzène.
p. FREUNDLER.
U nitration des trois toluéneazophénols ; John Théodore
IBWITT et James Henry LINDFIELD {Cbem. Soc, t. 79, p. 155;
.1901). — Les auteurs ont nitré au moyen de AzO^H étendu les
rots toluéneazophénols et comparé les produits avec les composés
keaos en copulant les sels de toluènediazonium avec Tc-nitro-
héool; on obtient dans les deux cas des produits identiques, mais
vecde bien meilleurs rendements dans le premier.
Vo.-toIaèneêzo-o.^Ditrophénol
CH3-C«H*. A2>C«H3( A20î)0H[CH3 . Az2 . AzO^ . OH = 2M . 3 . 4],
l 146* (corr.) crist. dans l'acide acétique, peu sol. dans l'alcool
itU li^îne; dérivé acétylé, F. 108** ; dérivé benzoylé se ramollit
il05% F. 118*; Véiber étbylique est obtenu avec de mauvais ren-
iements par l'action du bromure d'éthyle sur le dérivé sodé de
ro.4oiuèaeazo-o.-nitrophénol^ aig. f. à 83"* ; au contraire avec les
IL et p.-toluèneazo-o.-nitrophénol les rendements sont bons.
U m.-toluèaeazo-o.-nitropbéaol [CH^. Az«. AzO«.OH = 3M .3.4]
oisL dans un mélange de ligroïne et d'acétate d'éthyle en aig.
JWû» F. 128*, 5. Il a été impossible d'en préparer les dérivés
•oéiylé et benzoylé. Vétber éibyliquo crist. dans l'alcool, F. 92*.
U pAolaèneazo-o.'nitropbénol [CH3.Az«.AzO«.OH = 4M .3.4],
'. 14>. est très sol. dans CHCP, C«H« et CS« presque insol. dans
^ ligroïne ; dérivé acétylé crist. dans l'acide acétique pnsmes
W, F. 94*. Dérivé benzoylé crist. dans l'alcool, F. 129^ Etber
^jliqœziç. brunâtres, F. 118^
^'étber étbylique du benzèneazo-o ^nitropbénol crist. dans
Talcool en aig. brunâtres, F. 93^ a. valeur.
U bromnrttion des o.-oxyazo-composés. Son rapport avec
^ eoDititution , John Théodore HEWITT et Henry Ablett
Wnjppg (Cbem. Soc, t. 79, p. 160 ; 2,1901). — En faisant agir
"''^^^Moos de 12* le brome en sol. acétique sur le benzèneazo-p,-
*^ en soi. acétique et en présence d'acétate de sodium fondu,
^Wenrs oot obtenu le henzèneazO'O.'bromo-p.'Crésol^F. 123*.
C« ccimp, est identique à celui obtenu en copulant To.-bromo-p.-
^w tvec l'aniline diazotée; le benzèneazo-o.-bromo-p.-crésol est
^ peu sol. dans les alcalis étendus, très sol. dans l'éther. le
VAl
ud;
; R
t, I
iig.
soi
Digi
aies
crii
anz
•ési
le phénol; synthèse de l'oir*
D. cb. G., t. 33, p. 3i88-SH»S.
ts de l'aclion des ulcalis sur li'j
é la présence de roo.vj-»zoAeo-j
. ,'i/rf., t. 33, p. 1939). Ce pro.lNit
prend naissance également, en très petite quantité, dans la copu-
lation du diazobenzène avec le phénol. Dans tontes IcscopulalioDf
du même genre, il se l'ait à côté de l'isomère para, une pelil^
quantité du dérivé orlho.
Pour démontrer ce fait, l'auteur mélange la solution de diazoïque
avec une solution de pliénate alcalin, de Taçxjn à maintenir la réac-'
tion alcaline. On peut opérer également avec une solution alcoolique
de phénol additionnée d'acétate de sodium en e.vcès. La liqueur e^t,
ensuite acidifiée, le précipité lavé à l'eau puis entraîné par un cou-
rant de vapeur jusqu'à ce qu'il ne passe plus rien. La presqiw<
totalité de l'isomère para reste inaltérée, tandis que \e dérivé oribo
est entraîné et se dépose sous forme de flocons orangés qui sont
purifié» par un lavage à l'eau et par transformation en dérivé cah-
vriquc insoluble au moyen d'une solution alcoolique bouillaot»
d'acétate de cuivre. Le sel est ensuite décomposé par l'ac. chlor-
hydrique dilué et l'azoïquc isolé au moyen de l'éther. Celui-ci (bnd
à Bâ'.S-ïlâ" et fournit de l'o-aminophénol et de l'aniline lorsqu'on
le réduit par la poudre de zinc et l'eau bouillante en présence de,
chlorure d'ammonium.
CHIMIE ORGANIQUE. 425
L*cH)zy-azobenzène a été reproduit synlhétiquement : on mélange
* toL acétiques de nitrobenzène et d*o.-anisidine, à froid, et on
Wpite par Teau au bout de 40 heures. Véther méthylique ainsi
Az=Az
CH3-
dépose sous la forme d'un liquide rougeâtre, que Ton purifie par
teotrainement à la vapeur. Il bout à 195-197^ sous 14 mm. et cris-
tLiepar refroidissement en aiguilles orangées f. à 40-41°, solu-
e? dans la plupart des liquides organiques. En mélangeant ce
nposé à froid avec du chlorure d'aluminium (poids égaux), on le
iQâforme en o.-oxy-azobenzène qu'on traite ensuite par le carbo-
tte de sodium et qu'on isole au moyen de Téther. Le produit fond
feï'jô-Sâ' et il est identique au composé obtenu dans la copula-
BQ d-dessos.
Eo combinant le diazo-p. -toluène avec le phénol, les auteurs ont
ktean également, en très petite quantité, AeV o.'oxy-benzène^zch
AQloèue, CHa.C«H*.Az=Az.C«H*.0H(1.2); ce dernier cristal-
BM tianâ Talcool bouillant en tables jaune d'or, solubles dans les
b|u>èH organiques et les alcalis, peu solubles dans l'eau. Il fond
i 10(HÛO«,5. Le sel de cuivre est peu soluble dans l'alcool chaud,
-''nsullise en aiguilles brunâtres à reflet vert. L*o.-o:iybenzène-
ttc^pHoïuène fournit, par rédujîtion, de l'o-aminophénol et de la
f'Wluidine. p. freundler.
ter rtction de l'ôther acétone dicarbonique sur l'aniline;
tïEgTHORH et E. 6ARBEN (J9. ch. G., t. 33, p. 3439; 10.12.
l*Oj. — l«> L'aniline s'unit à froid à l'éther acétone dicarbonique
pour donner avec perte d'une molécule d'eau l'éther phénylamido-
piïlacomque.
û»^R-CH«^X)-CIP.C02R-fC«H\\zH2=H20+C02R-CH2-C=CH-G02R
AzH-CSHS
C« corps est bien cristallisé; suivant le solvant employé le point
*ï* fasion observé varie; cristallisé dans l'alcool méthylique il fond
• ^H-fl^. Sa solution aqueuse alcoolique donne avec le chlorure
femque une coloration brun jaunâtre.
^ L'aniline (60 gr.) et l'éther acétone dicarbonique (100 gr.)
'■««ïlBs en tube scellé au bain-marie fournissent des produits dif-
WtïHï. : le mélange est versé encore chaud dans un excès de ben-
CHIMIE ORGANIQUE.
427
SirracUon de Téther acétone dicarbonique sur lamétaphé-
jlenediamine; E. BESTHORN et E. GARBEN (/?. cb. G., t. 33,
S^i48; 10.12.1900). — Le priacipal produit de la réaction en
ibe s^Ué a 100* de Téther acétone dicarbonique et de la méta-
héoylène-diainine est l'éther Bz amidoquinolone y-acétique, il y a
luuination d'une molécule d'eau et d'une molécule d'alcool. Cet
nde cbauiïé au-delà de son point se transforme en amidolépidone ;
I peut par diazotation de l'acide amidé remplacer le groupe AzH*
pToxydriie et obtenir l'acide oxyquinolone acétique dont la
tcompositioo donne l'oxylépidone correspondante
CH C-CH2-C02H
i!
CH G-CH3
co
CH AzH
le laMoqaiaolone teéiiqic.
CH C-CH2-C0»H
hcj^/Vh
l
CH AzH
Amidolépidone.
CH CH3
CO
HC
/\/\
(OH)C!^^X/CO
CH AzH
Ac. oijqoi 101006 acétiqne.
C
C
CH
(OH)C^ X^CO
CH AzH
Oxylépidone.
L. 4. SIMON.
hr de nonvelles bases de Schiff stéréoisomères ; A. EIBNER
«FnPELTZER (D. cb. G., t. 33. p. 8460; 10.12.1900). — L'o.-
tooidine réagit sur l'aldéhyde éthylique en solution aqueuse en
^^onant un produit de condensation dont la production peut
»Piprimer par l'équation
ÎCH3-CH0 + 2CH3-G«H*-AzH2 = [C9H"Az]2 + 2H20.
Ï-* corps qui se forme au bout de 24 heures fond vers90-92*; main-
^^ dans la liqueur où il se forme il subit une transformation
tt*jmérique en un autre corps fondant à 116**.
Eiade du corps fondant à 116^. — Ce corps peut également
•obtenir en cbaufTant préalablement à 60* la solution aqueuse de
l'O'-tolaidine; il est très soluble dans la plupart des solvants et
«'wnii aisément des solutions sursaturées desquelles on ne peut
' oU«mr bien cristallisé. On utilise dans ce but des solutions alcoo-
**Ti« étendues ou des solutions éthéro-alcooliques.
CHIMIE ORGANIQUE. 429
Pissaffe du second isoiurre au premier, — i*' l'ébullition avec
nau ne produit pas la transformation; 2"* rébuliition avec Talcool
p la produit <]ue partiellement; 3"^ sous l'action des acides, la
i*e 661 transformée en décrive quinaldique ; 4** il ne reste donc
&mme efBcace que Taction très prolongée à froid.
Lorsque la condensation est provoquée en milieu acétique ou
Uorfaydrique le premier isomère se forme seul.
D faut rapprocher toutes ces observations de celles qui ont été
ites aatérieurcinent pour les produits similaires obtenus avec
ilJéhyde et Taniline. On en conclut à l'existence de formes sté-
taiïomères. Les auteurs ne pensent pas que cette stéréoisomérie
otidae à la présence d'un groupe G=Az. l. j. simon.
luT les dérivés pyrazoliques du diazométhane et des éthers
léflnes monocarboniques ; H. v. PECHHANN et Emil BURKARD
D, cL G., t. 33, p. 3594; 14.1.11101). — Dans un mémoire précé-
lenl on a vu que le diazométhane se fixe sur Téther croionique
runesi'ule manière c'est-à-dire de telle sorte que le carbone du
Ittzomèlhane s'unit au carbone de l'acide qui se trouve en position p
■r rapport au carboxyle; il en est de même avec l'acide acrylique
H facide clnnamique c'est-à-dire qu'on obtient les éthers des
Kidrs pjrazoline carbonique suivants :
CH2-AzHv C«H5-CH-AzHv
OPH-CH CH-/' ' C02H-CH— CH^
Az.
L. J. SIMON.
8v raddition du diazométhane aux acides citraconique et
ftèttconiqne; H. ▼. PECHHANN et E. BURKARD (Il cL G., t. 33,
1^ 3597; 14.1.1901). — Comme les acides fumarique et maléique
ïte acides citraconique et mésaconique donnent avec diazométhane
û«5 produits d'addition identiques : l'acide 5-méthylpyrazoline
^^5^iicarbonique
COm-CH-CH^ CH-CHv
I >z. I >Az.
C02H-C - AzH/ CH3-C - AzH/
I
C< composé a bien la formule indiquée ainsi qu'il résulte du
P«**«^au '3f-méthylpyTazol correspondant.
P»r oxydation l'acide méthylpyrazoline-dicarbonique ne peut se
^fWtttormer t»Q lacide pyrazoldicarbonique correspondant puisque
one
qu'
1 pentagonal à liaison diagonale qui aun
n sans disparition d'un groupe carhoxy
L. j. eiMON.
rdrazine sur la phAnanthrëDeqainoDi
)0b GROS iD. ch. G., t. 33, p. r>S3 :>3!
a de la phénylhydraKtne sur la phéniii
•& ont oblcnu, au lieu de la phénanthrèn
posé Lrès slabb répondant à la formute
apsque ce composé il y n dans la réafiio
imoniaque et fonnalion de benzène. P»)
la conslitution de ce corps, ces cliinii>i>
e (provenant de la décomposition coiio'i
azote, benzène et hydrogène) Iransform
m phénantlirènehydroquinone; ce dfriii«
'AzH* fournit l'oxyainidopliénanthrt'rH
vec une molécule de phéiianthrÈnehy>ln
ié C"H"AïO, dont la constitution dm
»-G-AzH-C— C«H*
Il II I .
:4.c— o—c— c«H»
par ce failque l'ammoniaque transform
azine) en pbénanthrazine dont la coii^li
i,^.ii*.G— Az— C— C6H'
C«H*-C— Aï— C-Cni*'
Partie expérimentale. — Pbéiianthroxagiag
C6H»-C-Ain-(M>H»
I II II I •
C6H*-C-0— C-C«H»
CHIMIE ORGANIQUE. 431
Ce composé obtenu en ajoutant goutte à goutte une solution de
3gr. de phéoylhydrazine dans 1 à 2 fois son poids d^élher à une
s^>efi5À0Q de 10 gr. de phénanthrènequinone dans quelques cen-
mètres cubes d'éther se présente sous forme de fines aiguilles à
Aei vert métallique fondant à 350-355** (non corrigé). Ce cumposé
u peu soluble dans les dissolvants usuels. Soluble dans le nitro-
en2«*oe, le xylol. Les alcalis et les acides sont sans action sur lui;
Kide sulfurique le dissout avec une coloration tiolette, Tacide
iBUque fumant en rouge violet. L*anhydride acétique et le chlo-
rv de zinc le transforment en un dérivé acétylé fondant vers 330^.
Daos cette même réaction il se forme du diphényie et une petite
DaQlJté d*un composé que les auteurs croient être du diphénan-
krvaeoximide (C««H«»Az»0).
C«H*-C-Az-C-C«K*
PhéûêBtbrazJDe i il i JJ I • — On conduit pendant
C«H*-G-Az-C-C«H*
i heures, dans une solution saturée de phénanthroxazine dans
W gr. de nitrobenzol maintenue à 130-140^, un courant de gaz
BUDOûiaque.
La pbénanthrazine ainsi obtenue fond à 440-441^ et est identique
tctîUe obtenue déjà par d^autres chercheurs.
Phéùêntbrèûebydroquinone et ammoniaque. — Par l'action du
pa. ammoniaque sec sur une solution dans le cymène, de phé-
UQthrènehydroquinone on a pu isoler la phénanthroxazine et la
F^Anthraztne.
Btièoequiooae et pbéaylbydrazine. — En opérant comme pour
Upréparalion de la phénanthroxazine on obtient ici la rétènequi-
■ooepbénylhydrazone
Cnî^CO G6H4-C=Az3HC«H*
>H2j:=Ax2H-C«HS ou ><!:«H2-C0
A ftnes aiguilles rouges orangées brillantes à éclat métallique
^1^, soluble dans la ligroïne bouillantei le benzène, Tacétone,
fêthcr et londant à 159,5-160»,5. a. mouneyrat.
action de Tiodiire de méthyle sur les disulfures de dithio-
^^loM; scission de la thiobiazolone; £. UNGENBRINK
Joura.prakt. CL, t. 61, p. 830). — L'iodure de méthyle et ledi-
iulftiw à 100* en tube scellé en présence d'alcool méthylique don-
âur l'hydrazone de l'acide dithiocarboniqDe ; M. BOSCH
E. LINGENBRINK [Joarn. t. prakl. Ch., l. 62, p. 336). — rit
ayl bydrazouederétber a.-nitrobcnzyUquedeïàcideméthyldith\
eâi'boaique C«H»AzH-Az=C<|^U^^y4j^Q,. — On fait rémt,
l'éther tntHhylique de l'acide phényldilhiocarbaziniquo sur le chl
nire d'o.-nitrobeiuoyle. Aiguilles orangiJes f. à 60-61", suluM
C^H"', éllier, peu sol. alcool, diricilement dans la t^azoliiie.
Phénylhydruzoïio d» l'élher étliylique de Taeide mélbyldithiorA
bonique ('C6H''AzH-Az-.C<|^^j;J,_(,jj.,y. Par le bromure ilV-Ji
CHIMIE ORGANIQUE. 433
*'w el réther raéthylique de Tacide phényldithiocarbazinique.
bfTuilles limpides cassantes f. à 113-114*'.
p.'Bromopbénylhydrazone de Féther diméthylique de r acide
hlMocêrboaique Br.C6H*AzH-Az=C=(SCH3)2. — Action de
M'I sur rélher méthylique de Tacide bromophényldithiocarba-
mique. Cristaux bnms 1*. à 48-49** sol. éther, benzène, chloro-
prme; peu sol. gazoline.
1 Bromopbénylhydrazone de féther êlhylênique
Bi€«H*AzH-Az:
^ S-CH2
/S-GI
==< I
\s-ni
|i*^lhydrazone de Tacide dilhiocarbonique i
•- Action du sel de K de Tacide p.-bromophényldilliiocarbonique
iwle bromure d'élhylène, aiguilles blanches f. à 141°. Sol. éther
i*H', chloroforme, peu dans Talcool et difflcilement dans la gazo-
, Kiber beazovIphényldUbiocarbaziniqtw i ' ^^H .
^ Feuillets blancs (F. 202*) presque insol. élher et benzène sol.
» mieux dans ac. acétique bouillant, obtenu en benzoylant Télher
■**^7lique de l'acide phényldithiocarbazinique par la méthode
fehotten-Bauraann. Par mélhylation à Taide de CH^I en solution
llcoolique alcaline on obtient Téther diméthylique de la benzoyl-
C«H»Az-AzC=(SCH3j«
;«H»
fnswes limpides à quatre pans f. à 110-111** sol. chloroforme
*^ool élher, benzène, difficilement dans la gazoline. Ce corps
^'teparHClen solution alcoolique donne du méthylmercaptan
^ , , , CeH5Az-AzH«
^- 1'* chlorhydrate de ra-benzovlphénylhydrazine i
C0C«H5
Hniiileà f. à 202« (la base fond à 70«).
FAber benzylique de Facide acétylphénylditbiocarbaz inique
; ^^H ; on traite Téther benzylique par Tanhy-
^'le acétique fines aiguilles f. à 154**. — L'hydrazone obtenue
l*«r mPthjlation est une huile brune visqueuse que THCl alcoolique
•*^™te en a-acélylphénylhydrazine.
SrimoB rfe la phényUiydrazoue de Féther élliylique do Facide
^iittoeêrbonique. — On chauffe avec SO*H« étendu. Lcther
••t opH., 3» s£r., t. XXVI, 1901. — Trflv *trana. 28
;tl01
(1)
ulu^7, I- luu-Ku . — uuiéiiiie. pur la dJ-p-toIylguanUlioe et II
pliénylhydrozine :
C<;HSAiH-AiH= + AzH = C(AzHC'lP|2=r."H"Azt+\ElP.
Elle donne déjà jiar simple rriblHlIi^aliou, t'azodérivô
aiifuilles rouge foncé, f à H5*. l
MQtioHCvtylphonylliydrazone-di-p.-loiylijuau'tdine. — Aclioii S
la monoacétylpliényltiydra?.ine symétrique surlacarbo- di-p.-tolyti
mide. Ai^illes blanches f. à 200", donnant un dérivé bibrom
l. à 215".
PhénytJiydiszonedkarbo-di-p.-tulyhmiae Cfl^H^Xr", louill^l
(. k 170-171'*. Leur poids moléculaire est trop faible dans le Cil
bouillant, trop élevé dans la naphtaline par cryoscopie, et plu
élevé dans CH*. c. haric.
Formation en partant de la qninite d'un cirbnrs d'hydra
gAneC'^H'"; Richard WILSTÀTTER et Radolph LESSIIfO </>. ..|
G., t. 34, p. 50«-r.08; 20.2.1901). —Les auteurs ont fait agir raci.l
sulfurique sur la quinitc dans le but de transformer ce J-4 jjiyr.;
en un oxyde analogue au cinéol. 1)^ n'ont jiaa obtenu cet ox\'J
(I) Adu. Cliaia. t. 136, p. H.\).
CHIMIE ORGANIQUE. 435
«H «0 carbure non saturé C*'H*^ donnant par nitration et rédnc-
>a une amioe aromatique. Ces chimistes pensent avoir ailairo au
•énjicyclohexane non encore décrit :
yCH2-CH\ ^GH - GHv
XgH3-CH2/ \gh=gh/
Quiaite. — Plus facilement que Baeyer ils ont effectué la sépa-
loQ des formes cis et irans de cette substance en utilisant leur
Kreoee de solubilité dans Tacétone. Si en effet on dissout la
telle synthétique dans Tacétone bouillante, par refroidissement
fiiaite trans se sépare dans un état de pureté complet; la forme
^ pitb soluble se dépose ensuite lentement.
fUrbure C*'H*«. — 10 gr. de quinite sont chauffés au réfrigé-
W ascendant une heure à 100** avec 30 gr. d'acide sulfurique
10 '1 0. Par refroidissement on obtient une masse résineuse et
k hatle qu'on enlève à la vapeur d'eau. Pour la purifier on Toxyde
^permanganate de K, Tentraine de nouveau à la vapeur sèche
if (^l'et on la soumet à la distillation sur du sodium. La plus
••o*le partie passe entre 230-233* sous 710 mm. de pression.
We huile n'est pas oxydée à la f* ordinaire par le permangante
tK. le brome en solution acétique Tattaque avec dégagement
w; l'acide azotique pur est sans action mais le mélange sulfo-
^ la transforme en dérivé nitré, lequel hydrogéné par Tétain
I HQ fournit une aminé dont le chlorhydrate est bien cristal-
^ <^n éotilles incolores. En présence de ces faits, qui fendent
liJîemblable dans ce corps la présence d'un noyau benzénique,
* îuicurs pensent que ce carbure corresjiond au phényl-hexa-
*^5l*0e. A. MOUNEYRAT.
looeaclattire des hydrocarbures bicycliques ; Adolf BAETER
••^ G., 1.33, p. 3771; li. 1.1901). — Pour ce mémoire nous
^^wronsàroriginal. l. j. simon.
^ bwnylène, an nouveau terpéne; Georg WAGNER et Wac-
^ niTIIEE {D. cb. C. t. 33, p. 2121 ; 23.7.1900). — En
***^t 4 heures à l'autoclave à 170** Tiodure debornyle avec une
'îwiJoii alcoolique concentrée de potasse on obtient un peu d'élher
wjbque du boméol ou de Tisoboméol et un mélange d'hydrocar-
wesioiideâ : l'un esl le camphène habituel, l'autre un hydrocar-
^ oouveau, le bomylène.
'^ttlws^fççQ chauffant leur mélange pendant 3 heures en
L. J. SIMOK.
r l'alcool iBoIenchylique i J. BERTRAND et J. HEUX i./onr
avkt. (J/i., i. 62, p. 293i. — Les auteurs prépHi-ent l'alri
iylii(iie par réduction 'de la partie de l'iiuile de fenouil ii>-]
nchone, et l'extraient des produits de la rMuction en p%^r4
on élhcr plilalique acide <]ui esl facile à puriller. — Û'aIx
lu bout a âOl-aoS" el fond à 45' ; (a]„ — — 10",9.
rmiale de ftmehyle HGO*C"*H". — Li.juidu, Kb. H5- ^
m., 84-85' sous 13 rara.; (/,a^0,y88; a„-^ — 73%H. i
■ôMe de fonchyle CH'CO'C'oiI". — Liquide. Eb. 87* «(
m.;(/,B — 0,U72;«„ = --63%2L
■épnralion cl propriétés du foachi-ne. — L'alcool ft!nc)iyli<|
)lution dans l'êtlier de pétrole est trailô par PCI*, el le i-Jil
obtenu, traité par la quinoléine perd HCIel donne le feiicini
l5i-156;rf,B:^0,866àO,8065;Hi'— -1,4B733 à 1,46832. >
oir rolatoire parait dépendre de la tcmpéralure it taquelle aj
]u le chlorure de fenchyle.
cool isofcnc/i/Iique et dérivés. — On traite n 50-60* le l*
u>nc I5U gr.) par un mélange de 125 gr. d'acide acùUquc et i
de SO'H* à 50 U/0. Un agite fréquemmânt pendoDl ileui i
CHIMIE ORGANIQUE. 437
Oiâ heures puis oo précipite par Peau Tacétate d'isofenchyle Tormé.
rilicr sapooillé fournit i*alcool qu*on puriRe en passant par son
bf»r phtalique acide. Il bout alors à 97-98** sous 13 inin.;
15
1^0,9618; £i"= 1,48005.
D
La réfraction moléculaire 45,51, ses propriétés cryoscopiques et
non fixation de brome montrent que cet alcool est saturé.
Les auteurs ont préparé quelques uns de ces éthers et donnent
tihleau suivant où leurs propriétés sont reprochées de celles
k f»roduiLs correspondants de Talcool normal.
Aivof)! rencby ligne. Alcool isofonchy ligue.
Solide, F. 45«. Solide, F, 61,5-62^
Acétate.
liquide, Kb. 88 sous lO»"*. Liquide, Éb. 89-90* sous S"»"*.
Phlalnte acide,
S*iUd^ F. ii5-l45%5. Solide, F. i49-150«.
Plwnyluréthane,
Solide, F. 8i-82«,5. Solide, F. 106-1 0"^
Fennhine. Carbure C«OH««.
Uquido, Éb. 154-156». Liquide, Éb. 155-156^
Fcuchone. Cétone G^OH^^O.
F. + 0% Éb. i92-193^ Liquide, Éb. 193-194».
J)xime.
Solide, F. iG4-i65». Solide, F. 82».
C. MA.RIE.
i^Btkéte dans la série du terpéne ; J. KONDAKOW et J. SCHIN-
IHn?T8ER {Joura. f. prakt. Ch., t. 61, p. 477). — Les auteurs
piipréparé la méthyl-l-cyclobexanoDe^ au moyen de la pulé-
we et donnent ses constantes Eb. 168»,5-169» sous 759 mm*
J--Û.9Î29, el* = 0,8961, fl„^ 1,44777, réfraction moléculaire
t.— 3i,44, 1»]^^= -p 12»24. Par réduction cette cétone donne le /ne-
h^UyelobexanoIS. Eb. 174sou8 764, d^ = 0M^,d'^ = 0,9lSb,
t 1,45809, R^ = 33,9«, [*]„ z=^ — 4»76'. Le bromure correspon-
^b(wlà60*sous 1 1 mm. r/J] -^1,2684, (/^=1,2595, [a]^= f 1*23',
V--l,4\fT94, H^-:=:r 41,04; traité par KOH ce bromure donne le
^^nhjérotoluol U4|. mobile, Eb. 103*^5 à 103^5 sous 752 mm.
C 0,WI3. R^ = 31,73, (aj^ = 4- 80*46 . Les constantes physi-
l*^<fe tous ces produits sont comparées dans difTérents tableaux
l'acidt campholytiqoe cis trans; W. A. NOTES et E. P. PHI
LIPS (Am. Journ., t. 24, p. 285-291 ; 10.1900). — Les aukHj
tlisculcnt la Tonnule de constitution attribuée à l'acide camphol
tique trans par MM. Ulanc et Bouveault (1) et ils proposent ■!«
remplacer par la formule (II) :
CH'— C(CH3j\ CH>-C(CH')i
I >C^CH', I >t;-(:H'.
CH>-CH{C05HK GHï-CiCO'in
II). (II).
Les raisons qui Tont rejeter la premiôre constitution sont hasi
sur l'iilenlité des acides bromodihydrocampholyliqiies obifn
d'une part au moyen de l'acide campliolytiqiie trans et d'au
part au moyen de l'acide camphorique. Ces raisons n'ont qu't
valeur très disculabic. Par contre, il n'est pas possible d'a<linr*t
qu'un composé ayant la formule (II) puisse posséder le pouv
rotatoire et donner naissance à un corps actif par fixation d'aci
bromhydrique, quelle que soit la forme disloquée que les aatvi
puissent attribuer à la molécule. La formult^ ^11) est dune ÎdcouiI
lihle avec les notions sléréochimiques actuelles.
ha Eoliibililé de Vac. diiiydro-aniiuoCMiapbolyfiqu» dan* IV
e^t de 7,6 Û/0 k SO". La solution saturée donna pour ui^ \~ I»**
CHIMIE ORGANIQUE. 439
Tfïil^ par lac. azoteux, l'acide précédent se transforme en ac.
OH
utrdihfdroeampholytùjue C*H**<pî?,tj et en ac. campholylique
tnas. La solubilité du 1" est de 1,97 à 2,14 0/0 à 20'» et son pou-
mirrolaloire est de -[- 7l'*,55 à 72**,0r>. L'acide campholylique trans
présente les constantes suivantes: (/|3 = 1,0166, d^t = 1,0107 ;
ii^=— 60",4 à 13%2el — 58%0à 27^ Il se racémise partielle-
Bftpnt lorsqu'on le distille sous pression réduite, et fixe Tacide
kromhydri(|ue en présence de ligroïne à froid en donnant
btsàaoce à l'acide p - broraodihydrocampholytique ordinaire.
», -4-^^»^ — 9P,5 en solution benzénique à 10 0/0.
p. FREUNDLER.
Acide aantalénique ; Alfred C. CHAPMAN (Cbem, Soc, t. 97,
p.l3<; 2.1901». — L'auteur a repris l'étude de Pacide santalénique
*f**ou antérieurement par Chapman et Burgess. Cet acide a été
>r^ptré en oxydant l'essence de bois de santal par MnOK à 5 0/0
rt purifié pmr crist. dans Talcool étendu. Il répond à la formule
DH1*0 ; il est monobasique ; il crist. en plaques brillantes insol.
^^âosTeau, sol. dans les solv. org., F. 76*»; Eb. 189* (corr.) sous
|i*^*;ii est entrainable par la vapeur; [a]^ = + 18°,05. Les sels
* .Va. K, Azifl, Ag, Ca, Ba, Sr, Ou, Pb ont été préparés et
«•«Ifsés. — Uélber métbylique C«»H*»0«CH3 bout à 232-23i'>
icflsâ5~* ; D = 1,0132 à 15715% il a une rotation de — 18%13' à
^ dans un tube de lOO""". Par l'action du brome en sol. chloro-
ï^que sur l'acide santalénique, l'auteur a obtenu un acide
^t}>romosanlalénique impur, F. 114-115** et contenant Br 40,8 0/0
•« heu de 13,7). a. valeur.
Cmpotition d'nne halle de bois ; 6. S. FRAPS {Am, Joiirn,,
' 25. p. 26-53; 1.1901). — L'auteur a déterminé la composi-
I *ion d'une huile de bois en soumettant celle-ci à des fractionne-
' laenis serrés suivis de traitements au bisulfite, aux alcalis etc.
J*ouT le détail, voir le mémoire original.
Eo résumé, la partie bouillant au-dessous de 140** renferme les
î^oduils suivants:
Aldéhyde valérique normale; acétone, méthyléthylcétone, mélhyl-
W<>vyl«tone. méthylbutylcétone, célopentaméthylène, diéthylcé-
'ûoe, alcool méthylique (traces), acétate, propionate, butyrate nor-
"wl cl valérale normal de méthyle (avec des éthers d'acides non-
'•^itffe qui n'ont pu être identifiés) ; sylvane, diméthylfurfurane,
^"«Wijlfurfurane ; toluène et m.-xylène. La partie bouillant au-
UJALYSE DES TRAVAUX
1-enfermede la créosote,
alérate et caproate) du c
t du cumèiie et du cymèiK
distillation de bois durs
u uxjuc uc mésitylo ni de méthylcyc
thylique, de bases pyi'idiques ni d'alci
présence du furfurol, de l'heptylate de
do mélhyle, sans élre absolument dém
probable.
Contribatioo à l'étude du rouge
{Jauni, f. prakt. CL, t. 61, p. Si»). -
moniaque rournisseiit un acidu aaiidi
lique à l'acide i-5 naplilylaniinosalfi
La réduction par BnCl* et HCI donm
ainido naphtol caractérisé comme Van
l'auteur à syntbétiquement reproduit li
/.otantl'acide 1-5 naphtylsminosuironiqi
toi. Les propriétés tîuctoriates du prod
que celles du produit commercial. c. marie
I
Action de l'air Bur les parfuma ; H. ERDMANN [Journ. t.pr.tkr
Oh., t. 61, p. 225). — L'air !i<|uidc dissout notablement C4-rtain«i
matières odorantes telle que le citral, l'iononc et malgré ta lenif.ii-
raUire extrêmement basse à laquelle ces solutions s'évaporen
— 100° environ — l'odeur du parfum se manifcsle très lorleiiiî'n
pendant cette évaporation. L'auteur suppose que le corps volati
odorant se trouve dans l'air vaporisé non à l'état gazeux ordiuai^
mais dans uu état s|)écinl dû à une solubilité spécillque soinbliibli
à celle admise pour In naphtaline contenue dons le gaz d'éclnimpv
Analyse de carbure de calcium ; H. ERDMANN H H. toi
UNRUH. — Les méthodes ^azométriques conduisent à de tortr
erreurs dues surtout à CH* et H ; ces enL'urs sont considéntU<:
ment diminuées en opérant par perle de poids sur une cerUiiu
(piantilé de carbure traité par l'air dans un petit appareil iloui •
dessin figure au mémoire original. c. m^hie.
CHIMIE ORGANIQUE. 441
Bieli«rcli6 de l'alcool méthylique dans les mélanges ; S. P.
IBLUKEIetH. SCUDDER {Am. Journ., t. 24, p. 444-452 ; 11.1900).
-b?«auleurs on t décrit (iAi(/., 1.21, p. 266) un procédé de recherche
t Taoool méthylique au moyen de la résorcine, après oxydation
tf une spirale de cuivre chauffée. Ce procédé a été critiqué par
L Jandrier qui propose de remplacer la résorcine par- l'acide
BliH|ue. Toutefois la coloration bleue qui se produit est tellement
Bi^tblequ*onroblient avec tous lesalcools,glycols,glycérines,etc.,
M <]ue ces composés renferment de Talcool méthylique, soit qu*ils
^nmiâseot de l'aldéhyde formique par oxydation. La réaction à la
tsoaioeest bien moins sensible et ne réussit qu*avec des quantités
ftMéhyde formique telles que celles qui proviennent de l'oxydation
!•* Takool méthylique. Cette réaction est gênée il est vrai par la
rvr>eQce de furfurol, d'aldéhyde acétique, de phénols, etc. Aussi
es auteurs recommandent-ils :
1" De D'employer que des portions du liquide suspect totalement
UMe^ dans Teau et bouillant de 50 à lOO^";
T De se débarrasser au préalable des phénols, alcaloïdes et bases
)«¥?ioiqiies ;
3* Dans le cas où il y aurait d'autres aldéhydes en présence,
niai d'effectuer l'oxydation, on chauffera le liquide avec de la
Pî*orcine et de l'acide sulfurique concentré et on distillera les
(«'ftons les plus volatiles ainsi débarrassées des aldéhydes;
**S'il y a beaucoup d'alcool éthylique, après avoir oxydé, on
Pliera la moitié du liquide dans le vide, et on se débarrassera
*uiài de la totalité de l'aldéhyde acétique, tandis que la majeure
\*rue de l'aldéhyde formique restera à l'étal de paraformaldéhyde
<«K te résidu.
yuiQiau reste, on opérera comme il a été dit (loc. cit.). Celte
^tion pennet de reconnaître 1/2000* d'alcool méthylique. Elle
•ït fournie également par tous les éthers méthyliques, les formais,
ï^ »l<^ls secondaires et l'alcool butylique. L'acétone et le dimé-
^Iclhylcarbiool fournissent une coloration rouge mais pas de pré-
cité floconneux, p. FREUNDLER.
Remanpiea sur la communicatioii de W. Fresenius et L.
l'^vikat : Recherches critiques sur les méthodes de déter-
■iAttioa qaantiutiire de l'acide salicylique ; Josef. MESSIN-
ttai/(Hirfl. f,pt^kt. CL, t. 61, p. 237). — L'auteur montre que
^^n^hode iodométrique proposée par lui et O. Vortmann il y a
443 ANALYSE DES THAVA:
quelques années, donne de bons rés
lieu suivanl l'équation :
/OH
CBH»< + 3NaOH + 6 1 = C^H
ncoONh
et que les résultats variables obtenue
nhul étaient dus aux proportions de
Irent que leur méthode s'applique :
bismuth et de mercure et à celle du
Le mode opératoire ésl ie suivanl
la quantité nécessaire d'alcali puis o
en agitant de l'iode N/10 jusqu'à col
tion doit être parfaitement claire, sa
ron 35', on porte de nouveau a 60-6i
au moins 5 minutes ; il se fait un pn
liqueur doit être claire, on laisse refroidir, on (litre après svoir »f\
diflé avec SO*H' a travers un liltre iiplis, on lave et on titre l'ioil
restant par l'hyposuinte.
La même méthode s'applique au phénol, ihjmol el {J-nuplilol. i
C. MARIS.
Sur les propriétés de la glycérine; H. STRDTE (Zeir, «nti
cil., 1900. t. 39. p.95-99).— L'élude de la dessiccation delà pljcj
rine conduit aux conclusions suivantes ;
1° La glycérine commerciale lHpluspurecontienlôàH0''Od'eBi{
â° Elle n'abandonne pas dans le vide la totalité de son eau. mal
en retient 1,5 0/0;
3* La glycérine à peu près anhydre est extrêmement hypro^c-j
pique et reprend à l'air 17 0/0 d'eau.
4° 1^ distillation de la glycérine aqueuse entraine une lé^i
perte en glycérine, h. copadx.
Sur le dosage des acides formiqne, acétique, propioni<|a« i
butyrique par la méthode d'Haberland (/W/. anal, i'h,, \\Ki
t. 39, p. 17-1!)). — Haberland a proposé de séparer les acide-: pr
cédenls, en se basant sur les solubilités diverses dans IVnii ^
l'ulcuol de leurs sels de plomb el de zinc. Le mélange noide, i'\ \
[loré en présence d'un excès d'oxyde de plocnb, puis repris jn
l'eau, doit abandonner du propionale basique de plomb ; les autn
acides contenus dans la solution sont transformés en sels de ziiii
par évaporaliou avec l'oxyde.
CHIMIE ORGANIQUE 44«
Laolair a constaté directement que la dissociation de ces sels
mi stables entraine une perte par volatilisation B*élevant de
1>* pour Tacide butyrique à 90 0/0 pour Tacide formique.
Le procédé est donc inapplicable sous celte forme, h. copaux.
Dosage de Tacide formique en présence d'acide acétique;
Pin 8PARRE {Zeif, anal. Ch,, 1900, t. 39, p. 105-106). — La
Séihode rectifiée de Portes et Ruyssen (C. /?., t. 82, p. 1504) est,
srion l'auteur, préférable à celle de Leys {Zeit. anal. CIl^ t. 38,
?• 677).
A % ce. de la solution acide à 1 0/0 environ, on ajoute 5 gr.
licétaie de soude et 200 ce. d'une solution de sublimé à 4,5 0/0.
On ^liauOe une heure au bain-marie, puis on étend à 500 ce. On
(têuvimne alors le nombre de centimèfres cubes de la liqueur filtrée
^îwâsaire» pour amener 1 gr. d'iodure de potassium à coloration
^>oge, et Ton en déduit l'acide formique. h. copaux.
Coitribntion à la chimie analytique des alcaloïdes. — I.
lotagas des alcaloïdes végétaux par neutralisation à l'aide
iH acides titrés; C. KIPPENBER6ER (Zeit. anal Ch., 1900,
i 39, p. i01-2S0). — Documents ne pouvant se résumer sur la
uiralion de alcaloïdes, au point de vue du choix, de l'influence et
'î'' remploi des différents indicateurs. h. copaux.
CoBtrilmtion à la chimie analjrtique des alcaloïdes. — II.
£3ttraction systématique des sels d'alcaloïdes en solntion
Mwtue; C. KIPPENBER6ER {Zeit, anal Ch,, 1900, t. 39 p. 290-
î*li>>. — Série d'observations et de tableaux à consulter pour Tex-
l'fcHon des alcaloïdes par les solvants. h. copaux.
Bar m nonirel indicateur ; J. FORMANEK (Zeit. anal. Ch.,
IHUO, t 39, p. 99-103). — L'auteur recommande le vert d'aliza-
'«ï* B. de Dabi et C", à Barmen. Ce corps, soluble dans l'alcool et
'«rtoai «ians Feau, présente un virage très net. Sa solution aqueuse,
*^ saie à l'état concentré, devient rouge par dilution et cette
otorttion est stable à l'ébullition. Lorsqu'on neutralise par un
***»li, le point de neutralisation est indiqué par une variation nette
•^ l« Idiote rouge qui passe ensuite au vert quand l'alcali est en
U v^^ 4^ vfrtiffe q'a élé sigp^lé JHsqii^jci puqr aucun Qutre
ittdiatair.
444 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTR.VNGER8.
Le vert d'alizariae B peut être employé à la lumière artiflcieik/
mais il ne réussit pas en présence des carbonates et des .-«ell
ammoniacaux. h. copacx.
Séparation de Tindigo et des autres matières coloranUl
bleues sur les fibres textiles ; van LEENT {Zeii, anal. Ch. , i9M^
t. 39, p. 92-95). — L'indigo est soluble dans le phénol à 100*, H
peut être séparé ainsi des autres matières colorantes, è rexceptioo
de l'indophénol. Le procédé réussit particulièrement bien avec U
laine; dans la teinture sur coton, il est moins avantageux, Pindoîiir
se dissolvant aussi. h. copal'x.
Sur rimportance de la réaction de Florence; H. STRITII
{Zeit. anal, Cb,, 1900, t. 39, p. 1-9). — Le D' Florence, de Lyon, a
proposé, en 1895, d'identifier les taches de sperme, dans !«**
recherches médico-légales, à l'aide d'une réaction microcristHlIm*.
basée sur l'emploi de l'iode. On a reconnu depuis que celle réar-
lion n'était pas spécifique du liquide séminal, mais s'appliquait n
toutes les matières du groupe de la choline.
L'extrait aqueux de la substance, évaporé à 100" sur un porte-
objet, est additionné d'une solution d'iode dans l'iodure de pota^*
sium, puis examiné au microscope. On observe ainsi des cristaux
brun foncé, qui n'apparaissent parfois qu'après addition d'acide^
chlorhydrique. Ils disparaissent promptement et leur composition
n'a pu être déterminée.
Ce procédé a néanmoins permis à l'auteur de reconnaître que les
substances choliniques sont très solubles dans l'eau, stables a Tair
à 100**, non décomposées par les acides étendus.
Elles sont présentes dans la plupart des organes végétaux et des
sécrétions animales — et cela sous deux formes. Tune sinipK*.
l'autre dédoublable sous l'action de l'acide chlorhydrique, (M^nimt'
la léfithine, en particulier. h. copaux.
Détails techniques sur l'analyse de Tarine; A. JOLLK (Xerf,
anal. CA., 1900, t. 39, p. 137-146). — I. Dosage do turée. — I^-
dosage de l'urée, par précipitation sous forme d'oxalate insoluble
dans l'étheret détermination ultérieure de Tazote, peut être abrégé**
en substituant à la méthode de Kjeldahl la mesure de l'azote en
volume.
Le précipité d'oxalate, lavé à l'éther et séché à 70-80*, est dis-
sous dans l'eau et la solution, placée dans un appareil spécial, e«t
décomposée par l'hypobromite.
CHIMIE ORGANIQUE. 445
Oile méthode fournil dôs chifTres comparables à ceux donnés
iir If Kjeldahl ou par le procédé à Tacide phosphotungstique. Ce
cmter est d'ailleurs susceptible aussi d'amélioration en précipi-
ml, ooa plus à froid pendant 24 heures, mais au bain-marie pen-
Aot uo quart d*heure, puis 4 heures d'abandon. Dans le précipite
I) dose également Tazote en volume.
IL Recherche de raibamiae, — Réactif :
Sublimé , 10
Acide suecinique 20
Chlorure de sodium 20
Ëaa 509
A 4*0 ce. d'urine flltrée» acidulée par 1 ce. d'acide acétique
I % 0,0, on ajoute 4 ce. du réactif et i*on agite quelques instants ;
I prédpitalion est immédiate et se reconnaît plus facilement par
mnparaison avec un tube témoin contenant la même quantité
fonoe étendue. h. copaux.
Sur la lipase et sur la réveraibilité de son action; J. H.
lASTLE et A. 8. LOEVENHART {Am. Journ., t. 24, p. 491-525 ;
i^.lMO). — Les auteurs ont étudié Taction de la lipase extraite
^ dnrers organes et de divers animaux sur le butyrate et Tacé-
ui^ d*élhyle, ainsi que Tinfluence de divers facteurs sur cette
vtioo qui consiste en somme en une hydrolyse. Ils démontrent
'l'une façon à peu près certaine que cette action est réversible.
U mode opératoire est en principe le suivant : une quantité
l*<CTininée de butyrate d'éthyle est chauffée à une température
noyenoe (40*) avec de l'extrait de pancréas, de foie, etc., pendant
^ temps déterminé. On dose ensuite l'acide mis en liberté en
lTt^ï>«ice de tournesol.
L«dauteurs ont employé dans ces recherches le butyrate d'élhyle
' « l'acétale) parce que cet élher est saponillé beaucoup plus faci-
^'^^œni par la lipase que les glycérides neutres. lis ont introduit
'^ chaque essai une trace de toluène ou de thymol afin d'empé-
fW toute fermentation accessoire.
\oiC4 en résumé les résultats auxquels ils sont arrivés :
L'extrait le plus actif est celui du foie, puis viennent ceux du
t'^'^créag {^ fois moins actif), du rein et de la glande lymphatique.
'^ extraits ont été préparés en broyant l'organe frais avec du
»*Me pour en faire une pète et épuisant par l'eau ou pai* la glycé-
^^' Four un même organe, c'est le porc qui fournit l'extrait le
V^ttanche, puis viennent le mouton et le canard et enfin le bœuf et
446 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
le poulet. Chez ie porc on trouve de la lipase dans Testoiiuc^^
dans l'intestin grêle ; toutefois, l'action de cette lipase doit èirea
peu près nulle, car le suc gastrique renferme une quantité d*ackh
chlorhydrique suffisante pour annihiler définitivement celle acÔMi.
Des flltrations répétées de Textrait lipolytique détruisent éf^ale-
ment les propriétés de celui-ci, probablement parce que la Up«M
ne peut passer à travers les pores. De même, si Ton provoque mur
coagulation des protéides de l'extrait, la liqueur claire n^est pliii
capable de produire une saponification, landis que ie coagulun
est au contraire très actif.
La lipase est assez instable. Toutefois, on peut conserver dc^
organes pendant un certain temps à basse température et ea pré-
sence d'antiseptiques et en retirer ensuite un liquide relalivema»
actif. Bien plus, l'activité de certains extraits a paru qiielquefou
augmenter avec le temps, probablement par suite du dédouliie-
ment d'un zymogène.
Ainsi que Ta montré M. Hanriot, une température de 65-70* «^-^
suffisante pour détruire définitivement le pouvoir lipolytique.
La température la plus favorable à l'action de la lipase est «k
30^ pour l'extrait pancréatique et de AO" pour l'extrait tiépatique
Les auteurs ont étudié l'action de la lipase sur divers éthei^
(formiate, acétate, propionate et butyrate d'éthyle). Plus ]*acide
un poids moléculaire élevé, et plus la saponification s*eflecl
rapidement. C'est exactement Tinverse de ce qui se passe dans
cas de l'acide chlorhydrique normal qui saponifie dix fois pJ
rapidement l'acétate d'éthyle que le butyrate.
Les antiseptiques ont une action assez variable sur les It|iflsf4
de diverses provenances. Cette action est sensiblement proportion^
nelle à la quantité d'antiseptique employée. Les substances qu^
ont le plus d'action (action destructive) sont le fluorure de aodiuu^
et l'acide fluorhydrique, l'acide osmique, l'acide salicylique et l»i
cyanure de potassium. Au contraire, l'acide cyanhydrique, le chJi'^
reforme, le toluène, Taldéhyde formique et le thymol ont très peM
d'action (pour le détail, voir le mémoire original, p. 506 à 508).
La vitesse de saponification est sensiblement proportionnellr «1
la concentration do la lipase. On remarquera toutefois, quelonquo
la quantité d'acide mise en liberté dépasse une certaine limile^dlri
a pour efibi do coaguler les protéides et précipiter la subslanct*
active.
I
Par contre, la ([uantité d'éther saponifié dans un temps dona«'
est sensiblement indépendante de la quantité totale d'éther en pr*^
sence. De plus» la saponification u*est jamais totale. Ces dtJiixÀiitP
CHIMIE ORGANIQUE. M7
KiJuiseui les auteurs à admettre que raction de la lipase est
mrsible, c'esl-a-dire que ce ferment est capable d'éthérifier
CM bien que de saponifier. II en résulterait un état d*équilibre
-namiqiie grâce auquel on pourrait expliquer le passage des ma-
rres grasses dans les cellules des organismes et la formation
«élfaers dans les plantes.
Pour démontrer celte réversibilité du phénomène, les auteurs
i t*bauffé à 40* des tubes renfermant de Talcool et de Tacide
Ryriqtie très dilués ; dans la moitié de ces tubes on a ajouté de
strait pancréatique actif, dans les autres de l'extrait bouilli et
V conséquent inactif. Les premiers tubes ont fourni des quantités
vntUrables de butyrate d'éthyle, tandis que les autres n'en ont
icaiblenient pas donné. p. freundler.
ter réliminatioii par les arines du soufre faiblement
ttbiné; E. PETRT {Zeii.phys. Ch,, t. 30, p. 45-60; 16.8.1900).
'-Les recherches portant sur les variations physiologiques du
vMifre neutre > contenu dans les urines n'ont conduit jusqu'à
risent à aucune conclusion d*ensemble, par la raison que les
ulériâux sulfurés confondus dans cette fraction du soufre urinaire
Mil âont à la fois de constitution chimique et d'origine physio-
^Pqne des plus différentes. L'auteur s'est attaché à l'étude d'une
>wtiebten caractérisée du c soufre neutre », à savoir celle qui se
>?«re facilement par l'ébullition de l'urine avec une solution alca-
^ d'oiyde de plomb en présence du zinc. C'est le soufre « facile-
ment sëparable «déjà étudié par Schulz (//)/(/., t. 25, p. 16).
L'ariae du chien contient en soufre facilement séparable, de 1 à
tOUdu soufre total, tant avec alimentation carnée pure qu'avec le
''régime mixte. Lorsqu'on ne donne que des aliments non azotés,
^ ^oofire facilement séparable n'est point touché, mais comme le
Mfre total est considérablement diminué, le premier apparaît
Kas fort en valeur relative. 11 faut donc dans ces recherches éviter
^tpports azotés insufllsants.
Eq fusant ingérer à des chiens de la caséine, de la sérum albu-
o»neoude l'éthéro-albumose, l'auteur a constaté que la quantité
^ soofpc facilement séparable que contient l'urine ne présente
*»'^)D rapport avec celle que contient la matière protéique ingérée.
Hodneistera montré que l'extrait aqueux d'asperge contient des
IMotiiés considérables de soufre facilement séparable (Arcb. /.
**h Parà», t. 33, p. 205). L'auteur a trouvé que l'ingestion dun
H ntrait augmente chez le chien à la fois la quantité du soufre
'-•«'iteineui séparable et celle du soufre total, si bien que leur valeur
THAV
U. L'8
r relal
'6 ne <
sépar
saisit
jfre fï
. L'ur
1.22; <
1 ëoufi
Contribution à l'ètiide du pa
(Zeil. anal. Cli., 1900, t. 39, p. 7
parrois une altération rapide et de
maladie, étudiée par plusieurs obs
de certains organismes, en partîcu
de terre et du bacille mésentériqui
Les bacilles de la pomme de t
seigle normales et sont aptes à f
une farine convenablement conser
normale ne subit pas d'altération
fabriqué avec une farine humide
parfois après un seul jour — les cb
D'ailleurs, le bacille mésentériq
four.
Quant aux accidents produits c
absorption du pain filant, ils sor
position du gluten. h. copal'x.
Sur la réaction colorée da Halphen et snr son application \
la racberche de l'huile de coton; R. D. OILAR iAm. Jours]
t. 24, p. 355-373; 10.1900). — L'auleur a appliqué la réaclioa4
Halphen (coloration avec le sulfure de carbone sulfuré!
recherche de l'huite <le cotou dans une s<iriu de mélangea, ut i
confirme la valeur de cette réaction comparativement aux réartivir
analogues. p. FHKu.*tDL>u.
CHIMIE GENERALE ET MINERALE. 440
CHIME fiÉNÉRALE ET IINÉRALE
Sur ranité des poids atomiqQes ; H. ERDMANN (Zeit. anovg.
l,(.27,p. 127-138; 2.5.1901). — L'auteur développe les raisons
K lui font recommander la base H = 1 . l. bourgeois.
8ar rèlectro-afBnité des métaax ; H. F. DAWSON et J. Me
UE (ZeiL anorg. Ch,,i. 26, p. 94-103; 5.1.1901). — Les auteurs
•cutent une loi formulée par MM. Abegg et Bodlander (/A/rf.,
SO, p. 45S), au sujet de la formation facile d'un ion complexe
ir rtioioD d'un ion simple doué d'une faible affinité électroly tique
^ Qoe substance neutre à ce point de vue. Ils trouvent qu'elle
^ ea défaut relativement à Télectrolyse des combinaisons ammo-
ncalesdes sels de cuivre, nickel, cadmium et zinc; de même, en
k qui concerne les métaux alcalins. Ils s'occupent aussi de la
Bmbinaison ammoniacale de chlorure d'argent en présence de
Imu, et ayant agité une semblable solution avec du chloroforme,
^ ilèduisent du coefBcient de partage de l'ammoniaque que la
oiflrion doit renfermer âAgCl.SAzH^. l. bouhgeois.
Sv la dMamiinaiion du poids moléculaire de Tozone à
^deltbalance; H. OTTO (Z7.C/}. G.,t. 34, p. 1118; 11.5.1901).
" Kédamation de priorité vis-à-vis d'un travail récent de M. La-
lpoburgû7>/V/., p. 631); l'auteur avait antérieurement fait usage
hf procédés semblables et était arrrivé aux mêmes résultats (6'.
1 1, 125, p. 78 et thèse, Paris, 1897). l. bouhgeois.
ttadês sur la polarisation et la dépolarisation cathodiques;
t Muer {Zeii. anorg. CL, t. 26, p. 1-89; 5.1.1901). — Ce
™»we est consacré à la mesure des forces électromolrices
^^'«asaires pour obtenir une formation visible de bulles d'hydro-
l*!»^ sur la cathode dans l'électrolyse de l'eau, la cathode étant
'''ïDée de divers métaux à des degrés différents de poli. Il traite
*Q£6i au même point de vue de l'influence des substances oxydantes
M^ï'rtées tu liquide, notamment de Cr*0"^K*. l. bourgeois.
OntaonvêUe méthode pour la mesure des vitesses ioniques
•a tohtion aqueuse; B. D. STEBLE {Chem. Soc, t. 79, p. 414 ;
*^^l- — CeUe méthode repose sur le même principe que celle
••c. cm»,, s» 9in.. r. xxvi, i90i . — Trav. ètrang. 29
450 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
de Masson, dans laquelle la vitesse du mouvement entre dMi
solutions est mesurée, Tion mesuré étant accompagné dans tous
les cas d'un ion indicateur de légère vitesse spécifique. C*e5i uai
méthode de comparaison; dans une expérience donnée, la vilesn
des limites finales à Tanodo et à la cathode d'une solution homih
gène sont comparées, les deux étant conduites à la même choftR
de potentiel par centimètre.
La méthode diffère de celle de Masson par deux points esâfloi*
tiels : les mesures sont faites dans Teau et non dans la gélatine; il
remploi des ions colorés comme indicateur n*est pas nécessaire.
La solution aqueuse devant être mesurée est contenue entre deol
séparations de gélatine, renfermant les ions indicateurs en solutioi
de façon à prévenir le déplacement du liquide pendant la durée de
Texpérience.
Cette nouvelle méthode est mise en pratique au moyen d'«
appareil spécial pour le dessin et Texplication duquel nous reih|
voyons au mémoire original. a. hkbert.
Sur la façon dont se comportent les sels de plomb dans leon
solutions; C. L. von ENDE (Zeit. anorg, Ch,, t. 26» p. 129-16tS
18.1.1901). — L'auteur formule et applique une théorie de la dw
sociation électroly tique des solutions mixtes de deux sub&tanc«4
possédant un ion commun, et de l'inHuence de cette dissociation
sur les solubilités. Ainsi le chlorure de plomb en solution aqueuse
est partiellement électrolysé à raison de 50,1 0/0 en PbCI-|-CI e
à raison de 43, 7 0/0 en Pb + Cl«; les 6,2 0/0 resUnt demeurea
inaltérés. Une telle sol. saturée à 25",2 contient par litre 0«0S8^
mol.-grammes de sel, la sol. étant faite dans Peau pure. Mât
l'addition d'acide chlorhydrique diminue d'abord la solubilité, |m
par addition de nouvelles quantités de HCl, celle-ci se relève apnci
avoir passé par un minimum; de même avec KCl. Les aolubilitél
de PbBr* et de Pbl* sont respeclivement]dans Teau pure de 0,0i^
et 0,00158 mol. -grammes par litre. L'addition d'acide nitrique cH
de AzO^K accroît la solubilité de tous ces sels. l. bourobo!».
Une forme de tantomèrie présentés par les thiooyanataa é
radicaux électronégatifs; Angnstns Edward DDLOH (flbet^
Sor., t. 79, p. Ml ; 4.1901). — L'auteur avait déjà remarqué q^i
le irithiocyanate de phosphore P(SCAz)5 semble posséder éel
propriétés thiocarbimidiques aussi bien que thiocyaniquai»; v^\
nouvelles recherches lui ont montré que le pouvoir de fonctioiioti
des deux manières esi également manifesté par le^s produite qil
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 451
rfénveot des ihiooyanaies métalliques et des chlorures d'éléments
Ml de radiciox électrcniégatifs. CSes produits, traités par une base
iVMni&e ra&iline, donnent des précipités qui présentent Tépreuve
Ar la désulftiralion, caractéristique des thiocarbamides et qui sont
^éoéralemeot hydrolyses par l'eau en donnant dés tliiourées
rabsiitnées correspondant aux bases employées.
Ainsi» le trithiocyanate de phosphore P(SCAz)3 donne avec Tani-
hse on corps jaune, décomposé par Teau chaude en donnant la
fbosphotripbènylihthiourée P( AzH . CS . AzH . CfiW)^.
\^ trithiocyanaie de phosphoryle PO(SCAz)'« obtenu par Taction
k roiyclilorure de phosphore sur le thiocyanate de plomb, pré-
HDle les réacUons thiocarbimidiques et s'unit avec l'aniline, Tor-
HMtoloidine et Taminoniac sec.
Le dérivé de l'aniline se dissout dans l'eau chaude et laisse
lépoeer de la phénylthiourée, qui provient probablement de l'hy-
drolyae de la {rfiospboryltriphényltrithiocarbamide
PO(AzH.CS-A«H-C«H5)3. a. hébert.
Sar on minerai de fer titanifére de Norwège ; Nicholas J.
nOlAI {Cbem. News., t. 83, p. 181 ; 4.1901). — L'auteur a
Uouré • ce minerai la composition suivante :
Oxyde ferreux 40.01 (31 .1 7o ^r)
Acide titanique 43.75
Magnésie 3.11
Oxyde de manganèse 0.23 j
Alumine 4.00 ( Guangue
Silice 8.90 1
100.00
Cemtoerai contient des cristaux réunis en rosettes; sa cassure
«t ooachoidale, sa dureté est de 6, sa densité 5,163; il est veiné
^ aoir ei légèrement magnétique. a . hbbert.
Iir la aireone dans l'enxénite de Brevig ; K. A. HOFHAHN et
V. nUkIDTL (D, eb. G., i. 34, p. 1064; 20.4.1901). — La zircone
'ïSnite de l'enxénite de Brevig, déjà débarrassée d'aluminium,
■l'tddes titanique, niobique, par des traitements alcalins, étant
'^'«fioule dans HCl et la liq. neutralisée par AzH^ on a additionné
««ttfrci d'tm excès de carbonate d'ammonium (10 mol. pour i mol. de
'^)' La sîrcone au lieu de se dissoudre entièrement a laissé un
^^^^^ ^*il y a lieu peut-être d'attribuer à la présence d'une nouvelle
452 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
terre Yeuxéniae. La séparation n*étant pas complète, oa a
le même traitement sur la zircone dissoute et sur reuxéaioe indi**
soute. Après trois opérations, on a eu un produit présentant m
général les propriétés de la zircone sauf les suivantes : insotubiliiè
dans le carbonate d'ammonium, pas de coloration orangée 8D
présence de HCl et de la teinture de curcuma; lorsqu'on fond avec
CO^Na^, on n'obtient pas de produit soluble dans Teau, mais si oa
reprend par HGl étendu, on dissout plus de matière que dans l£
cas de ZrO^. Enfin Téquivalent de la nouvelle terre est environ le
double de celui de la zircone; si l'euxénium est comme le zirco*
nium tétratomique, on aurait pour son p. at. des valeurs comprises
entre 137 et 178, tandis que Zr = 90,6. L'euxénine forme enviroa
la moitié de la zircone dans Teuxénite deBrevig (1,970/0 en tout .
Suivent des analyses des euxénites d'Arendal et de Brevig.
L. BOUROEOlT^.
Sur racide mètathorique et sur roxychlorure m<
H. P. STEVENS (ZeiL anorg. Ch., t. 27, p. 4152 ; 11.4.1iK)l). -.
La thorine obtenue par calcination de Toxalate et traitée par HCl
ou AzO^H forts, ne semble pas s'attaquer, mais si Ton étend d'eau,
on a une liqueur laiteuse qui passe à travers les filtres sans résidu;
ces fails ont été notamment étudiés par Bahr (Licb. A nu. Cb.,
t. 132t p. 227) et par Clcve (BulL, 2« série, t. 21, p. 11 7); quelques-
uns ont admis la formation d*un oxyde ThH)^. L'auteur reprenant
la question, part de Toxalate de thorium, le calcine modérément
au bec Bunsen, puis le chaufie dans un courant de gaz HCl bieo
desséché. Il obtient une poudre blanche aisément et complètement
sol. dans l'eau, en donnant une liq. opaline qui donne un précipiLi^
par addition d*ammoniaque, d'acides minéraux ou de sels. Dem^
cette calcination de Toxyde avec HCl, on observe toujours la
formation d'un peu d'eau malgré la dessiccation de HCl, de
même le produit final renferme des quantités variables de chlore
(jusqu'à 5 0/0 environ); l'eau formée est toujours plus abondante
que celle qui correspond au chlore fixé ; cela provient de ce qpie
l'oxyde traité par HCl et calciné modérément retient toujours un
peu d'eau. Si l'on répète l'expérience sur une thorine très forte*
ment et longtemps calcinée, l'action d'HCl est nulle. L'auteur
admet que la thorine de Toxaiate calciné est un oxyde mêla, anh)-
dride partiel analo^ne à l'acide métastannique» formé de thorine
anhydre unie à un peu de thorine hydratée, dans l'action d*H<Ii,
cette dernière seule donne du ThCI* qui reste combiné avec ThO*,
pour donner un oxychlorure meta. On obtient un oxyelilorure
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 453
blable, mats tenant jusqu^à 10 0/0 de chlore, en calcinant direc-
ii*rocQl à T aussi basse que possible, (C*0*)*Th dans un courant
tJe HCI mélangé d*un peu d'air pour brûler le charbon; les sol.
âonl alors tout à fait limpides, mais oflrent encore le caractère des
^À, colloïdales. L*auteur s'est assuré par des analyses quantitatives
que dans ces réactions dUCl gazeux, le chlore remplace toujours
<1es quantités équivalentes de 0 ou d*OH, autrement dit que les
produits procèdent toujours de la thorine et non d*un autre oxyde.
Eo somme, l'oxychlorure mélathorique est une poudre blanche,
eitrémement avide d*eau, se dissolvant dans celle-ci avec vif dé-
tra^ment de chaleur, et formation d'une liqueur opaline (limpide
«Â la substance est riche en chlore), à réaction acide. Par évapora-
tioD ménagée il reste une masse vitreuse qui est encore soluble ;
\^ l'oo chaufTe à Tair^ on a un résidu insol. dans Teau, mais sol.
dAQs HCI. L*aicool donne aussi avec Toxychlorure métathorique
«les liq. opalines, qui s*éclaircissent si Ton chauffe et reprennent à
froid leur aspect primitif. Les sol. aqueuses d*oxychlorure sont
précipitées par Taddition de sels neutres ou d*acides minéraux en
petite quantité, ou même d*eau en excès, il se fait un dépôt si fin
*}uil passe à travers tous les filtres de papier. L'ammoniaque
<1oQne un précipité floconneux (hydrate ou acide métathorique),
facile â laver, ressemblant à la thorine ordinaire, mais moins
basique et non avide de CO*. Ce précipité est soluble dans les
A^Mes en donnant des liq. opalines qui renferment sans doute des
^lâ métathoriques ; plus Toxychlorure primitif renfermait de
chlore, plus il faut d'acide pour dissoudre l'hydrate, et aussi d'autre
P«rt, plus il faut d'acide pour précipiter complètement les liqueurs
opalines. Cn autre fait très curieux est que les sol. aqueuses
«l'oxychlorure métathorique ne précipitent pas par l'azotate d'ar-
i^*nl. Il y a lieu de rapprocher jusqu'à un certain point les com-
|»o>ésqu*on vient d'étudier, des composés métastanniques.
L. BOURGEOIS.
Ua eomposés ammoniés des métanx en solution aqueuse
1^ partie). Les pcavoirs absorbants des solutions diluées de
Mb dis méUnx alcalins ; H. H. DAWSON et J. Mo CRAE (Chem.
^oe., X, 79, p 498; 4.190!). — Cette étude comprend l'examen de
''«nlittence exercée par l'addition de sels des métaux alcalins sur
ï* «fistribution de l'ammoniaque entre l'eau et le chloroforme à 20*».
L'iûfluence des sels suivants a été étudiée :
PoUasiam : iodure, bromure, nitrate, chlorure, chlorate, oxalale,
à^ate. carbonate, hydrate.
454 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sodiuoi : iodure, bromure, nitrate, chlorure, chlorate, salUlei
carbonate, hydrate.
Lithium : chlorure, sulfate.
Ammonium : bromure, nitrate, chlorure, sulfate.
Aussi longtemps que la concentration de Tammoniaque dans b
phase aqueuse est moindre que 0,5 normal, l'altération du ooeM*
cient de distribution est proportionnelle à la ooncentration du id
K-K'
et est constant: K représentant le coefHcient de distribution
n
avec Teau pure, K' le coefHcient de distribution pour une solutîoa
de sel de normalité n.
Pour une concentration de Tammoniaque plus grande que 0,6
K-K'
normal, la valeur de diminue avec une concentration crois-
n
santé du sel et constante de Tammoniaque, tandis qu*elle au^moDl^
pour une concentration constante du sel et croissante de l'anuiio*
niaque. a. hébert.
Note sur la rechercha et le dosage de Tacide nitrique
combinaison avec les métaux alcalins ; E. P. PERHAH (Cbem.
News^ t. 83, p. 193; 4.1901). — Cette recherche est basée sur le
fait que les nitrates alcalins sont décomposés à chaud par les sul-
fates des autres métaux avec dégagement de vapeurs rutilantes.
C'est ainsi que ces nitrates chauffés avec du sulfate de plomb ou
de l'alun anhydre dégagent du peroxyde d'azote.
La même réaction peut être appliquée quantitativement en déier*
minant simplement la perte de poids subie par le mélan^ d<»
nitrate et d'clun après dégagement des gaz. Il est important de lu*
pas trop chauffer pour ne pas décomposer le sulfate. Enfin cette
méthode n'est pas applicable en présence de chlorures qui fonae-
raiônt du chlorure d'aluminium volatil. a. hkbbht.
Sur le dosage de l'ozone ; A. LADENBURO et R. QUA8I6 1 Z>. cà.
G., t. 30, p. 1184; 11.5.1901). — Ledosage de l'ozone par mise en
liberté d'iode de Kl ne se fait pas bien en liq. acide, celle-ci ay«at
tendance à redevenir bleue après coup, lorsqu'elle a été exactennem
décolorée par l'hyposulflte (peut^tre se fait-il un peu de HK>*k
Au contraire, si Ton fait agir l'ozone sur une sol. bien neutre de Kl,
puis, qu'on ajoute alors la quantité voulue de SOH^ et qu'en
termine le dosage à la façon usuelle, les résultats sont très
faisante et bien d'accord avec le dosage d'osone efleotué en
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 455
r«ugnieQi8tion de poids que subit une ampoule lorsqu'on
pèse successivement pleine d'oxygène pur, puis d'oxygène ozo-
usé. L. BOURGEOIS.
AfltlTM dn phosphore de cuivre; H. BORNTRÂOER (Zeit.
l CL, t. 39, p. 860^1 ; 1900). — Dissoudre 0«%5 de la matière
ins 10 ce. d'acide nitrique (</= 1,4), alcaliser fortement par l'am*
% filtrer le carbone accompagné de silice et d'oxyde de fer,
>iter le cuivre parlesulfhydrate d'ammoniaque et peser Cu*S.
Le filtrat, concentré, est précipité par la mixture magnésienne
le dosage du phosphore. Exemple d'analyse d'un phosphui*e
caivre.
Silice, oxyde de fer, carbone 0.50
Coivre 86.50
Phosphore 12.90
99.90
H. COPAUX.
action de l*hypo8nlflte de soude sur quelques sels métal-
fiqies et son emploi en analyse qaantitative ; F. FAKTÛR (Zeit.
«m/. Ci., t. 39, p. 345-855; 1900). — L'hyposulflle de soude
nerçe une action réductrice sur les chromâtes et tranforine plus
ou moins facilement en sulfures les sels de plomb, de nickel et
cobalt, de mercure et d'argent. Ces faits, déjà connus pour la
pliqMrt, n'ont d'application avantageuse au point de vue du dosage
qoe pour les deux derniers métaux. u. gopaux.
Emi rapide du tungstène et analyse des minerais et
réiidna de tungstène ; H. BORNTRAOER (Zeit. anal. CL, t. 39,
P 8614M; 1900). — Les impuretés du wolfram naturel (tungstate
de fer et de manganèse) consistent eu silice, chaux, magnésie,
intinioiiie, arsenic, étain^ plomb, nickel, cobalt, cuivi*e et traces
d'or.
On peut déterminer approximativement la proportion d'acide
^QSfrtîqne en opérant ainsi :
Foodre 1 gr. de rainerai finement pulvérisé avec 10 gr. de
<*Aottate de soude, lessiver après une heure de chauffe, filtrer et
^"Iciner le rétsidu. Jusqu'à une teneur de 5 0/0 en acide tungstique,
^ <^ifliAfeno0 entre la matière primitive et le résidu correspond à
'•ifstaaisiiqtte.
456 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Analyse exacte* — Même fusion et lessivage à chaud. Porlâr]^,
liquide à 250 ce-, filtrer, prélever 100 ce. de la liqueur et les vi
dans un mélange de 15 ce. diacide nitrique et 45 ce. d'acide cl
hydrique concentrés. On évapore à sec, reprend par une soUi
100 gr. de sel ammoniac et 100 gr. d*acide chlorhydrique conceaMS
dans un litre d*eau. Après filtration, le résidu, formé d'i
tungstique avec de la silice et de Toxyde d*étaia, est dissous di
l'ammoniaque chaude et le liquide est versé à nouveau dans IM
mélange des acides. »|
Une nouvelle évaporation à sec donne Tacide tungstique pur.
S*il s'agit du tungstène métallique, on calcinera le métal pendaoC
1/2 heure et on ajoutera un peu de salpêtre au carbonate de soudi»
du bain de fusion.
Le tungstène du commerce contient ordinairement 95 à 97,5 Oft
de métal.
La méthode indiquée est plus pratique que la précipitation pcr
le nitrate de mercure, à cause de la fillration difficile du tungMab»
mercureux. h. copaitx.
Sur ractiou des ammoniaques substitaées vis-à-vis des
lutions de sels de zinc et sur une nouvelle méthode de dosage
du zinc; W. HERZ (Zeil. anovg. Ch., t.26, p. 90; 5.1.1901). —
L'auteur étudie les précipitations des sol. des sels de zinc par la
méthylamine et la diméthylamine. Dans le cas de la première dm
ces bases, le précipité se redissout dans un excès de réactif, maiâ
avec la diméthylamine, ce phénomène n'a pas lieu, la réaction est
quantitative et Zn(OH)* précipité à froid par un excès de base peut,
être recueilli et pesé à Télai de ZuO. l. bourgkois.
Sur rinfluence de la pyrite et autres snlfucee à Tégard du
dosage du fer bivalent; W. F. HILLEBRAND et H. N. STOKES
{ZeiL anopg, Ch., t. 27, p. 223; 2.5.1901). — Réponse de cour-
toisie à une noie sur ce sujet de M. de Koninck {ibid.^ t. 28,
p. 125). L. BOunoBOis.
Dosage du mercure dans Turine ; J. WERDER {Zeit. Html. Cb,.
t. 39, p. 358-359; 1900). — Simple contrôle de la méthode^ de
Schumacher et Jung, extraite au Bulletin. Le mercure, reoueiUîsur i
un filtre d'amiante aurée, puis expulsé par la chaleur, est à qoq-
voau condensé dans un tube à boule et identifié par Tiode*
H. C0PAI1X.
CHIMIE ORGANIQUE. 457
Sir là précipitation de Tacide nrique par le chlorure de
inraii; A. J0LLE8 (ZeiL anal. CL, t. 39, p. 355-357; 1900). —
I prMpilation de l'acide urique par le chlorure de baryum, prê-
tée per Geelmuyden, s'applique assez exactement au dosage de
kcide ariqne pur; elle doit être rejetée au contraire, pour Tacide
^que de l'urioe.
te précipité, formé par le chlorure de baryum dans Turine, ne
Étiail qu'une partie de l'acide urique présent et entruine des
itiéres azotées étrangères.
Aossi obttent-on un chifTre d'azote trop faible, par oxydation et
tmre en volume, trop fort, par la méthode de Kjeldahl.
H. COPAUX.
bdiflcation à l'appareil de Landsberger pour déterminer
BéTttion des points d'ébnlliUon; C. N. RnBER (D. ch. (?.,
34, p. 1060; 20.4.1901). — M. W. Landsberger avait décnt
1^.« t. 31, p. 458), un appareil pour mesurer le p. mol. d'une
^ance par l'élévation des p. d'éb. de son dissolvant. L'auteur
t apporté quelques modifications, notamment en ce que, dans
n modèle (Agure dans l'original), la vapeur du dissolvant reflue
^ condensation dans le ballon distillaloii*e lui-même.
L. BOURGEOIS.
SBaonvel appareil d'extraction des graisses; W. JERWITZ
^^hm, Sews, t. 83. p. 229; 5.1901). — Modification des appareils
Ki^nls, dans lequel ne figure aucun bouchon de liège, fonction-
■01 avec de l'éther anhydre et dont le condenseur est terminé
M UQ orifice à deux branches terminées par deux tubes en U,
w»i Tun renferme du mercure formant soupape de sûreté et l'autre
^«•hlorure de calcium pour retenir au passage l'humidité.
A. HKBERT.
CHIIIE ORGANIQUE
'l^ctrelyse des sels dans les dissolvants organiques; A. V.
•rtWitlT et E. G. GOLDBERO (Journ. Soc. pbys. chim. A.,
^ W. p. T97; 1900, fasc. 9). — Le but principal de ce travail était
fe venfef la loi de Faraday pour des dissolvants ne contenant pas
''««L Oo t étudié les sol. de CuCl^ et de CoCl> dans l'acétone et
458 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS.
dans l'alcool méthylique; mais les expériences les plus
tantes ont été exécutées sur la sol. de AssO^Ag dans la p;
Le même courant passant dans une sol. de AzO'Ag dans W
dans une sol. du même sel dans lapyridine, la quant. d*A^d<
sur la cathode de la seconde sol. est un plus 'grande que
sol. aqueuse, ce qui doit tenir à une action réductrice de la
dine. L'éleclrolyse des sol. de AzCPAg dans la pyridine
d'obtenir Ag pur en employant comme anode un alliage de
Ag, car (AzO')^Cu qui se forme à l'anode est insol. dans la _
dine. On peut aussi séparer Ag de Pb, grâce à la faible coQ<taiii
bilité de (AzO')*Pb. a. gorvibt. ■
Sur la triboluminescence des composés chimiques; L.
TCHOUGAEF (Journ. Soc, phys, chim, /?., t. 32, p. 887, Ml
fasc. 9). — L'auteur a entrepris une série de recherchée sur
triboluminescence y c'est-à-dire sur le dégagement de lumière f
produisent certains corps sous l'influence d'actions mécankie
pression, frottement^ etc.
Les composés minéraux présentent rarement ce phénoinl
(6 seulement sur 100 corps examinés : SO*K«, AzH*F, Hg(CAi
Ba(AzO^)^, acétate et azotate d'uranium); les composés alipl
tiques le présentent beaucoup moins souvent que les compui
cycliques; il semble que la triboluminescence soit en relation a^
la structure cyclique ; toutefois il est le plus souvent n^
que la moléc. renferme un groupe luminophore^ qui est W
dryle, le carbonyle, l'azote en position secondaire ou tertii
dans quelques cas, la présence de plusieurs OH dans la m^
suffit : saccharose, lactose, rhamnose, sorbite, galactose*
tartrique et malique.
Outré les précédents, les corps triboluminescents obstfr
Jusqu'ici sont :
l"" Composés aromatiques : résorcine, hydroquinone» mcn
métaoxybenzoïque, salicylique et paraoxybenzoïque, vamllîj
p-naphtol, coumarine, benzoyl-^-naphtol, anhydride phtaliql
anthraquinone, pentadécylphénylcétone, pentadécylparatolytcétc
chloralide de l'ac. mandélique actif, ac. hippurique, benzanili
acridine, phénylacridine, benzoïnoximes a et p, a-Az-éthylqxii^
lone, acétanilide, ac. sulfanilique, o-naphtonitrile, fiaochsT'l
éther diuaphtylique p, sulfocarbanilide, sulfobenzide, ohlorhydd
d'aniline, mercure-diphényle. métadinitrobenzène; i
8^ Composés hydroaromatiques : menthol ; élhem du menib^
•téariqufi succiniqut, etrboaiqua, ^oaphtolqut, fbànylpr^
CHIMIE ORGANIQUE. 459
IfW, métaoxybeozoïque ; benzoylmenthylamine gauche, a-naph-
jfbrflthylamine, camphre monobromé, camphoroxime (droite et
■Mbe), ciluuimate de bornyle (gauche), benzoylbornylamine,
Mhooe, thuyonoxime, menthonoxime (gauche), hydrate de ter-
Jêb^ querelle, ac quinique, choiestérine, amarine.
fl* Alcêhîdes : Brucine, strychnine, sulfate de strychnine* cin-
IMôse, oblorbydraia et sulfate de cinchonine, sulfate decupréine,
priMuiidioe; chlorhydrate, dichlorhydrate, sulfate, bromhydrate,
jjhfdnte, azotate, benzoate, cinnamate et valérate de quinine;
iMBtiae, chlorhydrate de thébaïne, codéine, papavérine, cocaïne,
(Wfimioe, atropine, sulfate d'atropine, chlorhydrate de pilo-
«pioe;
i4' Lee dérivés de la santonine.
ifie plus les oxalate et formiate d'ammonium, le tartrate acide de
llMntiiii.
{ToQs ces corps ne présentent pas la triboluminescence au même
Ipé; pour l'apprécier d'une façon approximative l'auteur emploie
tB kbelle de quatre termes ; les corps les plus luminescents
hilegré) sont peu nombreux : azotate d'uranium, coumarine, iso-
tttnUe de quinine. Pour deux corps, l'acétanilide et Tac. sulfani-
i|i^, la hunière persiste un certain temps après l'action méca-
lipe^ — Ce travail est continué. a. cohvisy.
■
listtfiu optique de certains éthers; Philippe A. GUTB
Otti. Soc., t. 79, p. 475; 4.1901. — L'auteur a confirmé les
t^àiêU de Tschugaeff d*après lesquels la rotation optique de
M>posés contenant le grou}>e phénacétyle est plus proche de
^ des composés renfermant les groupes acétyle ou chloracétyle
^ celle des dérivés contenant le groupe tolyle, bien que la
^s^ du groupe phénacétyle se rapproche plus de celle du
f^npe tolyie que de celle d'aucun des autres groupes. La même
^vque a été faite avec le groupe amyle, dont l'auteur a examiné
fc*é4her5 C41".0.R où R représente les radicaux phényle ou
'^fltel les éthers R.CO.O.CaH" où R représente les radicaux
ll^le de Tadde benzoïque, tolyle des acides toluiques, ben-
i%it defacide phéoyiacétique ou phényléthényle de l'acide phényl-
l^apidoiiiae.
I "^cesmesures, on peut conclure que. lorsque des substitutions
m dtalBea ou de groupes d'éléments sont effectuées, dans un
^^'^Çûsé possédant un carbone asymétrique, suffisamment loin de
*^»ï«i« asymétrique, la rotation n'est que légèrement affectéei
Al HiaSHTi
400 ANALYSE DES THAVAUX ÉTRANGERS.
L'influence des solvants snria rotation des composés o
ment actifs (2^ partie). Influence de Talcool isobntyliqnt
Talcool octyliqne secondaire (méthylhexylcarbinol)
tartrate d'éthyle; T. S. PATTERSON (Cbem. Soc, t. 79, p.
i.i901). — Les nombreuses déterminations efTectuées ont
aux conclusions suivantes : l'alcool isobutylique etralcoolocl;
secondaire abaissent la rotation spécifique de la substance
dissoute, le second plus que le premier. 11 y a une rotation
mum distincte pour certaines concentrations. Le tartrate d'
a dans Talcool isobutylique un volume de solution moléculaire |it
grand que dans l'alcool propylique normal et plus (aible que à
Talcool octylique. A. Héenr.
Inflaence d'nn groape hétérocycliqne sur le pouvoir n^
toire ; les éthers éthylique et méthyliqne de Tacide di
mucyltartriqne ; Percy F. FRANKLAND et Franoia W
(Cheni. Soc.^i. 79, p. 511; 4.1901). — L'influence du
hétérocycliqne du furfurane sur le pouvoir rotatoire a été è
en préparant le dipyromucyltartrate diméthylique et diéth
en déterminant leur rotation. L'efTet produit par riniroductioa
radical pyromucique est semblable à celle des acides aromatiql
mais, à l'inverse des radicaux d'acides gras, les dérivé» du lartf
d'éthyle avec ceux du premier sont plus fortement lévogTf
tandis que ceux des secondes sont plus fortement dextrog]^
que le tartrate d*éthyle lui-même. Les dérivés pyromuciques f
semblent aussi aux dérivés aromatiques correspondants en ce i
leur lëvorotation est diminuée par élévation de la teropératii
tandis que les dérivés correspondants des acides gras ont I
dextrorotation diminuée dans les mêmes circonstances. Au cû
de leur étude, les auteurs ont imaginé une nouvelle métli<
automatique de préparation des éthers de Tacide tartrique et <
autres acides non volatils, méthode mise en œuvre au moyen i
appareil dessiné et décrit dans le mémoire original, a. hcbsbi
Sur les produits de l'anion de l'acide hypochloreuz «Ttc
carbures éthyléniqnes ; K. A. KRASSOUSKT (Joura, Soc. fJ
cbim. /?., t. 33, p. 1; 1901, fasc. 1). — L*auteur étudie la sU
ture des produits de Tunion de HCIO avec les carburet éth;
niques appartenant aux trois types :
(1) CIPrCHR; (2) CHa=CR>; (3) RCH=CR»;
(R. étant un radical hydrocarboné univalent). H fait un résu
GHIMIB ORGANIQUE. 461
MfdB des travaux qui ont été faits sur ce sujet et ont donné des
ihals parfois contradictoires et établis souvent d'une façon peu
mreuse.
oinme carbure du 2* type, il a choisi Tisobutylène (CH3)«C : GH* ;
Kie eo a d^à été résumée (Bull., t. 24, p, 869).
inif le propylène (1" type), les travaux de Markownikof,
Bnnis par ceux de plusieurs autres chimistes, ont démontré
runioo avec HCIO se fait en très grande proportion selon
lalioa :
CiP-CH =CW + HCIO = GH3-CHOH-CH2CI .
ùWM cart>ure du 3* type, l'auteur a pris le triméthyléthylène,
I a traité par HCIO à 1 0/0; la chlorhydrine formée, extraite par
br et Gractionnée, bout à 140-142^ ; le rendement est 60 0/0 de
ttiear théorique* Traitée par PK)', cette chlorhydnne a fourni
Nylèw chloré C^WCl (rend, plus de 50 0/0 de la valeur théor.)
k 97-90*, d^ = 0,9395) qui s'unit à Br en donnant le composé
ite&HKîlBr», F. 197^avec décomposition partielle, sol. dans
^ohnats organiques; dans l'alcool il se dépose en cristaux plu-
kx ne présentant pas trace de double réfraction dans la lumière
limée; la formule C^H'CIBr* a été établie par l'analyse et pur
Eryoêoopie dans le benzène. Lie chloramylène C^H^Cl ne réagit
>«c IW), ni avec la sol. aq. de CO^K*, ni avec Ag*0 humide;
ifrvinre ne peut être que (CH<)*C : GCl.CH^ et celle du produit
HçtCH»)«GBr.CBr.Cl.CH». D'autre part, le produit de l'action
iro* sur la méthylisopropylécétone, traité par un alcali en sol.
•oiH{oe, donne un mélange de chloramylènes qui forme avec
^tne certaine quant, du corps solide C*HH31Br« :
(ghjpch-c0-ch3 + pci5 = (ch3)50h-ccp.ch3 -|- fogp,
(Chî)m:h-cci2-ch» — hgi = (CH3)3c= cci-ch^
(CH3)2CH-C(:i=GH».
La chlorhydrine résultant de l'union de HCIO avec la triméthy-
^î^éoe De peut par perte de H*0 former que le premier de ces
■'ftaylènes :
(CHVC0H^Ha-CH3 — H^O = (CH3)2C=CCI-CH3,
•f Vurtrç formule de la chlorhydrine, (CH»j«CCI .CHOH. CH», ne
mt donner on chloramylène identique au second de la métliyliso-
''PïWiofte.
L
m ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
En résumé : la chlorhydrine formée par uoion de HCIO à
butylène renferme au moins 78 0/0 de Tisomère (CH*)«COH(
La chlorhydrine formée avec le propylène contient au moins t
de r isomère CH3.CH0H.CH«Cl. Celle du Iriméthyléthylène
tient l'isomère (CH3)«C0H.CHC1.CH» en proportion notai
supérieure à 25 0/0. — Si la réaction de HCIO sur les
éthylëniques n'est pas conduite avec de grandes précautions,
forme une grande quantité de produits secondaires, par 1*^
H^O, de CI et de HCl sur la chlorhydrine et le carbure. Néi
on peut conclure qu'aux températures inférieures à O*. daafli
combinaison de ClOH aux carbures éthyléniques, le groupe Û
s*unit principalement au C le moins hydrogéné. a. oorvi>t.
Sur les dérivés du tètradècylacètylène ; F.
G. HEIZHANN (D. cb. G., t. 33, p. 8586-90; 14.12.1900; — TéU^
bromure C*«H^Br*. — Obtenu par l'action du brome, à 60», dai
Tobscurité, sur le carbure acétylénique. Huile indistillable.
Dérivé cuprique C**H«»G-C.CuOH. — Masse veri-jau«i|
obtenue par le procédé habituel.
Cbloro-mercuridérivé C^*H^G^CMçfil —Solide blanc po^
Nitro-mercurodérivé C«*H«»C=C.Hg«AzO». — Solide blaH
noircissant à la lumière.
Dérivé sodé C**H*»C^C.Na. — Obtenu en chauffanl le carix^
à 120*" avec du sodium. Masse jaune ne fondant pas encore à 2^à
Nitro-tétradécylacétylène Ç*«H*«AzO*. — Composé solide obln
par nitration à froid. — Aminodérivé C'*H«*C=G.AzH*, p
réduction du nitrodérivé au moyen de poudre de zinc et d'ac, m
tique, f. à 42'', bouta IQô"" sous 15 mm. — Cbloroplatinau? Qooa
neux, jaune.
Acide sulfO'tétradécyléniqueC^^W»C=:C,m^ïi. — Far sul^
nation à froid du carbure, au moyen de H*SO*. Le sel //e sodù
sol. en H*0 se décompose déjà vers 25* en régénérant le earbJ
On a analysé le sel de Ba insoluble*
Acide télradécylvne^ carbonique ou ; télradécylpropioIS^
C«*H««.C=C.CO»H. — Obtenu en chauffant à 1«0« le carbure.
présence de Na et de CO*. Crist. en lamelles f. à 45% sol, tlf
l'alcool. Se décompose, dans le vide, à chaud, en (X)* et cariJ
primitif. Son sel d\Kg crist. f. à 67®, se colore lentement m
lumière. On a préparé les sels de Ba et Ca, Vamide iéirmde*^
propiolique C* ♦?!*•. C.C.COAzH* crist. en lamelles f. m T7*^
son dérivé bemovlé G«*H«9.CsC.C0AbHCUO»H* U à !I6*.
CHIMIE ORGANIQUE. 46à
Tétndécylbenzoylacétylène C«*H«»C =C.COC«H». — Obtenu par
elion de AlCI* et OH* sur le chlorure tétradécyl-propiolique,
a< 8 145^ daoâ le vide absolu. Masse cireuse. v. auger.
inr rallylméthylisopropylcarbinol ; E. E. WAGNER jun.
wrfl. Soc. pbys. cbim. /?., 32, p. 794; 1900, fasc. 9). — Un
Sange de 1 mol. de méthylisopropylcëtone (Éb. 93-95'') et
iiooi. dUodure d*isopropyle est versé goutte à goutte sur de la
toaiUe de Zn bien refroidie ; le lendemain le produit est traité
rTeau et soumis à la distillation. L'huile distillée est desséchée
fractionnée; on en sépare un liquide incolore, insol. dans Teau,
>. loo*,6, (/J" = 0,85059, qui est Talcool j!^^>COH-C»H».
cydé par MnOK, ce corps donne la glycérine
>C0H-CH''-CH0H.CH20H ,
CH3/
H^^rapeux, sol. dans Teau et l'alcool, moins sol. dans Téther.
'^r triacétique de cette glycérine se prépare en traitant par
bfafdhde acétique ; le mélange est chauffé pendant 24 h. à lOO"*,
I tubes scellé. L'éther acétique est sol. dans l'alcool, Téther; il
^ moins sol. dans l'eau. — On connait actuellement trois alcools
MMturés C*H**OH contenant le radical allyle :
Allylmélhylisopropylcarbinol ¥Jû, 155" o
AUyldiëlhylcarbinoI ISl^â
AUyhnéthylpropylcarbinol 160«2
A. COR VIS Y.
ictioa d« Tacide snlfurique sur la glycérine obtenue au
■07«i de rallylméthyltertiobutylcarbinol ; A. PETCHNIKOF
'*«fD. Soc. pbys. chim. /?., t. 32, p. 780 ; 1900, fasc. 9). — La
irt^'-mne en question ^p,f "j^>COH-CHa.CHOH-CH«OH estoble-
ane par oxydation de l'alcool .gy5)îc>C0H.CH«-GH=GH« à l'aide
<* MiiO*K. DtsUllant un mélange de glycérine, d'eau et de SOH«,
«nliUenl ime huile insoluble et un liquide sol. dans l'eau et qu'on
l^^ii enlever parTéther; dans un cas où la glycérine employée
4^iii fié incomplètement puriHée, l'auteur a obtenu un peu d'un
Inn&ièiae produit cristallisable dans la sol. éthérée de la matière,
""U liquide sol» dans l'eau a une consistance un peu épaisse» une
ANALYSE DES TRAVA
odeur iSiDfe rappelant le camphre
d5"= 0,9699; composition C»H'bO»
fonné par perle de 1 H»0. Théoriqu
un oxyde-alcool (S isomères) ou un
dont deux doivent se transformer
nétone). Les propriétés optiques et 1
l'absence de double liaison ; il n'y a
cétonc, el )a composition de l'éthe
qu'un OH alcoolique.
La substance est donc un oxyde
alcool T. car elle ne régénère pas la
sa structure serait oinsi :
CH\ I
Oxydé par le mélange chromiqi
cristallisé signalé plus haut, el qui i
glycérine d'uu peu d'ac. p-méthylh
acide, traité par SO*H^ ioumit,
F. 96-08", lequel saturé par Ba{OH
(CH«0»)»Ba et (CH'i'O^j'Co ; ce corps cristallisé doit ^ire i
v-lactone.
C'est pourquoi l'auteur considère comme la formule Ih plus iiro
bable de l'oxyde alcool, non celle qui est donnée plus haut, m«B
l'une ou l'autre des deux suivantes :
\:H-Clii-OH-CH:
\;h-chï-choii-cip.
(Ull'pc/ [CH^)K/
Le liquide huileux insol. dans l'uau bouta £00-^29*; il parait An
un mélange de deux éthers oxydes, l'un résultant de réliininatjoi
de 3H*0, aux dépens de deux moléc. de glycérine, l'autre de 1*^
mination de 2 H>0, aux dépens de deux mot. de glycérine. OryUê
par le mélange chromiquo, il fournil la lactone cristallisée,
A. convi^T.
CHIMIE ORGANIQUE. 4t35
Sar riodnration par le chlorure et le bromure diode;
'. ZEBHOF [Joarn. Soc. pbys, ohim. R,, t. 32, p. 804; 1900,
tir. 9u — L*auteur a préparé i*ac. iodoacétique en traitant au
L-M. Tac. acétlipie cristallisable par un mélange de I et de Br en
rfeence de P rouge; le produit, d'abord lavé à Teau froide, est
wisé par rétlier; par évaporation de Péther, on obtient Tac.
doacélique. La réaction s'exprime par l'équation :
3CHÏ-CCPH + P + 8Br + 31 = 3GH2I-COBr + P03H + 5HBr.
L'ac. iodoacétique cristallise dans Téther de pétrole en minces
Belles caractéristiques, F. 83*; AzO^H conc. le décompose en
ilkifeanl beaucoup de I. — Pour iodurer Tac. isovalérique, on
jofile au mélange d'acide et de PCI', ICI dilué dans le chloro-
irme; od chaude vers 65' pendant 5 à 6 heures; à la fin de Topé-
^OQ la liqueur a pris une teinte violette :
(?n»<»02 + PC1*+ ICI = C5H8IOC1 + POGP + HCl,
iftui un léger excès de PCP (10 à 15 0/0), sans quoi on aurait
C»H«I0C1 -f ICI = C*H8CI0C1 + 12.
Le produit est agité longtemps avec de Teau froide, et la couche
hlofoformique, séparée et évaporée, dépose Tac. iodo-isovalé-
Ique; prismes assez gros, F. 52** ; la sol. du sel de Na chauflée au
1*-VL se transforme en a-oxyisovalérate; par ébuUition avec un
ik*licoflc«, elle se transforme en diméthylacrylate. L'ac. iodo-iso-
**fnque chauffé avec ICI en sol. chloroformique donne Tac. chlo-
feovalérique et I se sépare ; mais il se forme en même temps de
^tes quantités d'acide non saturé. — Par une réaction analogue,
tais moins nette et en employant un excès de PCI*, l'auteur a
Npw^ aussi Tac. 1-iodo-isobutyrique, gros prismes, F. 73**,5,
^iniliques à ceux qu'il avait obtenus précédemment en chauffant
l^^hlorore d'isobutyrylo avec I et S*Cl*. Cet acide est peu stable :
* h lomière il brunit; en sol. il dépose de grandes quantités de I
■û^ l'influence de la lumière ; il brunit aussi lorsqu'on le chaufTe
■ipea au-dessus du point de fusion; la sol. de son sel de Na
fcwrmi i'oxyacide dès la température ordinaire. — L'ioduration de
fïtcide butyrique normal se fait aussi d'une façon analogue; le
P*^t, ne renfermant pas I en position tertiaire, est assez stable;
P^'èèes aiguilles, F. 41- i2*, — Ces expériences montrent que
^^^ w présence d'un composé halogène de P, peut donner des
•tftclicMïi, régulières de substitution, par lesquelles, dans les
*^^. I se place en position « par rapport au groupe CO*H.
A. CORVISY.
»c an»., » gé»^ T. XXVI, 1901. — Trar. «trang. 30
fuinarique est isolé à l'élat de sel de plomb. r. MAfiQcis.
Sur un produit de polymérisation deVacids acrrliqae.l'u!
a-mMbylèDeglutariqae. III' commnaication sor las prodi
de polymérisation des acides non saturés ; H. T. PECHHiin
Otto ROHM (D. ch. G., t. 34, p. iâ7-9; 7.2.1901). — Acide x-i
thy-.ènegbuacique HO»C . C-(CH») .CH» . CH» . CO»H. — Oo l'obu
avec un laible remlemeiil, en laissant 21 heures en coiil
k froid, une sol. ^thérée d'acrylale de mélhyle ou d'éth]
Il méthylate de sodium sec suspendu dans l'élher. .Kf
ent par la ^lace, actdiilation, et dislillalion. on prend
.se à 120-150*. on le saponille par HCI à 20 0/0 et évapc
îâl. obtenus sont précipités par la ligroïoe, de leur i
'. Prismes T. à 129-130° sol. en aq. L'ac. azotique dil. l'ox]
juccitiique.
e-tt-métliylglutariquc. — Obtenu en laissant 2 heure*
: l'ac. précédent avec une sol. de HBr en ac. acéttq. 0
d'abord un broinliydrate f. à 112° qui, réduit par l'»
le Na à 4 0/0 Tournit l'ac. cherché ; prismes f. à 77".
V. Kcat».
isformation de l'acide nndécyléniqn* m acids I>-t»
que, et en acide braasyliqoe; T. KRAFFT et R. SDl
G., t. 33, p. ar,7i-75; 11.12.1900). — j4c/iio/i(feffBr.
undécolique. Acidf awnobromo-undècylêniqae C<'H'*l*''
;ide undécoliinie, dissous en CS» est Balur4 à Troid p»r H
n rectifie le produit dans le vide; il distille è202*sou3 IS"
CHIMIE ORGANIQUE. 467
Acide li-UDdécylénique CH3.GH = CH.(CHaj''.C0«H. — On
?flJève le brome de l'acide précédent, en le dissolvant dans Talcool,
•( le réduisant par addition de sodium, fondu au préalable, sous le
lyJèoe, en présence d'un peu de Fe, Al ou Hg. L'acide obtenu
[mille sous 10 mm. à 165^; il fond à 19°. On a analysé s s sels
le B9 et é'Aff,
D roarail, par oxydation au CiO^, en sol. acétique, exclusivement
è f'acide azélaïque. Son acide f. à SI"".
Acide brassylique, — On fait réagir léther x-bromo-undécylé-
ique sur Péllier malonique sodé, ce qui fournit Véthev undécane-
ricêrboniqae :
CH2Br.(CH2)9-C02CH3 + NaCH(G03C2H5)2
= (G2H502C)2=GH-GH2-(CH2)9-C02CH3 .
I bout sous 10 mm. à 233''. La saponification, elTectuée avec KOH
icoolique^ fournit Vacide undécane-tricarbonique solide, décom-
psible par la chaleur, déjà vers 60° en perdant iCO* et fournis-
pal Ttcide brassylique f. à 113-114'' et bouillant à 261*^ sous 25 mm.
4 diamide brassylique obtenu par Taction de AzH^ sur le chlo-
ttre, f. à 1T7*. v. auger.
M^ation des anhydrides purs, des acides gras à poids
■olécaUire élevé; F. KRAFFT et W. ROSINY (D. cb. G., t. 33,
p.S57ft-79; 11.12.1900). — On a obtenu ces pi*oduits en faisant
!^ir les chlorures d'acides sur les sels sodiques secs.
Àëbjdride beptylique (C^H**0)« : 0, f. à 170% bout à 164,5
Mtt iS mm.
Anbjdride octylique (&H*H)*) : 0, f. à — 1% bout à 186» sous
S mm.
Àûbjdride nçaylique (C'Hf^O)» : 0, f. à +16% bout à 207<» sous
i^mm.
Anhydride laarique (C"H«0)« : 0, f. à 41% bout à 166» dans le
Tide.
*^jdride myristique (C«*H«''0)« : 0, f. à 51% bout à 198«» dans
ieTuJe.
Aobydride palmitiqae (C*«H«K))« : 0, f. à 61% se décompose
%*^'^nieQt par distillation dans le vide.
acide pbéaylheptadicyléniqae C«H».C*«H3o.GO«H. — Obtenu
P^ Taction de Fanhydride palmitique et du palmitate de sodium
**»' ftldéhyde benzoîque, à 170'. Aig. f. à 88*». On a analysé son
^^dAg. v. AuoER.
»•. î-
468 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les dérivés d'acides carboxyliques non saturés •^^'^ '^
poids moléculaire; F. KRAFFT et F. TRITSCHLER {D.
t. 33, p. 3580.85; 11.12.1900). — Chlorure (Pundé^
C*oHt»COCl. — Obtenu par raclion de PCI» sur i*acide
bouillant à 129^ sous 14 mm.
Anhydride undécyîênique (C"H*90)» : 0. — Obtenu % . ^, ,
tion du chlorure sur le sel sodique, f. à 18%5, bout à 179» ^, , ,
vide. Il fournit avec le brome un létrabromure f. à 36*,5. , ^
Nitrile C*®H*»CAz. — Obtenu par Taction de PCI* sur l ,
bout à 257% et à 129* sous U mm.
Undécylènamine C*«H«*AzH«. — Obtenue par racHon
sur la sol. alcoolique du nitrile, f. au-dessous de 0% bout « « ^.
et à 123« sous 16 mm. Son dérivé henzoylé C*«H««AzH.OC^^*^
crist. en lamelles f. à 41^ i ,
Pbénylundécényl'tbio-urée C»*H«*AzH.CS.AzH.C«H^ ^^^^
nue avec le phécylsenévol ; lamelles f. à 48«.
Diundécénylihio-arée (C**H«AzH)«CS. — Obtenue avec r
et CS«, f. à 50%5. /:
Undécénylamidoxime C«oH«».C(AzOH)(AzH«). — Obtenu!
rhydroxylamine, f. à 69<> ; lamelles brillantes.
Chlorure délaïdyle C^'^H^^COCl. — Cristallise au-dessous »
bout à 216* sous 13 mm. avec légère décomp. — Amide f. I
— Nitrile f. à 1% bout à 214» sous 16 mm. — Aminé C*«H«I
f à 25*» bout à 388-340*» et à 195^ sous 13 mm. — Cblorbfk
écailles f. à 185^ - Diélaïdine-ihio-urée (C*8HWAzH)«CS
melles f. kl^^-^Phénylélaïdinetbio-urée C*8Ha«AzH.CSAzH.C
1. à 65*. _
Chlorure oléique C^^H^^COCl, bout à 213» sous 13"«,5. 9
cherche à en préparer le nitrile par la méthode ordinaire, on obi
le nitrile élaïdique.
Dérivés de Pacide brassidique G^m^^CO^W.—Amde, î.hW
Nitrile, f. à 22% bout à 257*» sous 17 mm. — Aminé C*«H**AI
\, à 46% bout à 250*» sous 11 mm, son chlorhydrate t à lâO* av.d
— Chloroplatinate\ dérivé benzoylé, feuillets f. à 75%
Amide érucique, f. à 79% se transforme, sous l'action de K
en nitrile brassidique. ^•- ^row.
Sur la préparation de Tacrylate de méthyle; Otto RO^
(/>. cA.G.,t.34,p.573.4; 16.2.1901). — En partant de prodniteH
500 gr alcool allylique fournissent par la méthode de Billiiul
(Journ, f.prakt. ChenuX 61, p. 220), 1500 gr. d'alcool propyliqn*!
brome et par oxydation 1300 gr. acide dibromopropionique : éiWnl
CHIUIE ORGANIQUE. 469
C«spar)el Tollens (Ann. d, Cbem,^ t. 167, p. f47j, fournit
\fX' â'éiher méthylique. Celui-ci est transformé en acrylate
smi : 200 gr. feuille Ue Zn coupé +200 gr. CH^OH en un
de i,000 ce. avec ascendant; on verse par Tentonnoir à
ei peu à peu, 500 gr. d*élher méthylique, décante la sol.
ijjoate 30D vol. de NaCl à 15 0/0 et distille jusqu'à ce que
\t doit insoluble à la sol. de NaCl. Rendement avec 500 gr.
aJJyiique 340 gr. d*élher méthylique, soit 46 0/0 de la
V. AUGER.
mtion à Tétnde de la sjmthése de Téther acétylacé-
lé, et fiir la formation d'une chaîne fermée à quatre
de carbone, au moyen de l'éthylate de sodium; Arthur
D, cL C, t. 33, p. 3731-69; iO.8.1900). — Penlane-
inearbonate déthyle
fobtient facilement par l'action de l'alcoolate de sodium sur
^nale d'éthyle et le fumarate d'éthyle. 11 bout à 197»
',5. Il se laisse saponifier par THCl conc. et fournit F acide
^rbaUylique qui crist. de Tac. acétiq. en prismes f. à 155-
t$ la préparation de l'éther tétracarbonique, on obtient un
_ «
'jui est soluble dans Na*CO^ et qui a été séparé de l'huile
Ce composé acide, chauffé, perd CO^ puis distille à 169^
!l mm. C'est du peDtaae-aPytricarbonate d'éthyle obtenu
tpoDîOcation puis départ de CO^, de l'éther tétracarboxylique
if.
^Mt^thyhpentaae'Ct^XI'tétracarbonate détbyle. — Obtenu en
■iol agir le sodium sur la sol. éthérée de Téther tétracarboxy-
■«. puis ICH* sur le dérivé sodé sec en présence d'éther.
I bout à 201-202** sous 12 mm. Saponifié par HCI il fournit par
mébiage diacides éibylméthyUricarbaUyUques stéréoisomé-
ttes f. à 188-146*.
)q a pu. quoique avec difficulté, obtenu un dérivé sodé de
i»r mélhyltétracarbonique, mais celui-ci ne réagit que diflicile-
nl *ar ICH* sans donner de produits saisissables.
PréfmratioQ et méthylation du ^-méthylbutane^^ytricarbonate
ibyle GH».C(GO«C«H5)«.CH(CH3) . CH« . CO^G^H». — Obtenu par
ii«n du carbonate d'éthyle sur le mélhylmalonate d'éthyle sodé,
«te bouillant k 161* sous 10 mm. Son dérivé sodé sec, mis en
^oce dlCH* en sol. éthérée fournit le dérivé métbylé bouillant
161-162* sous 9 mm.
i
470 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
P'Môthylpropane'OLYf'tncarbonate dêibyle C*5H**0*. — 0»
Tobtient, sous forme d*huile bouillant à 166"* sous 11 min.,ptf
Taction du malonate d'éthyîe sodé sur le crolonate d'éthyle. li «
forme en même temps une huile bouillant avec décomposition!
204-207*' sous 9 mm. probablement du ^^'diméthylpentane-or^
léiracarbonate cTétbyle,
Métbylation de Fétber bouillant a 166"*. — Le dérivé sodé M
cet éther, traité par IGH^ fournit un mélange de méihylroalonin
d'éthyle et de diméthylmalonate d'éthyle, Il doit y avoir, au momen
de Faction de sodium sur Téther, décomposition de la moléculi
complexe.
Métbylation du propane ap^-tricarbonate d'éthyle. — On
obtenu un produit complexe duquel il a été possible d*isoler,
saponification, de Tacide diméthylsuccinique symétrique. L'acti
du sodium sur le propane-tricarbonate d'éthyle n'est donc pas
nette et celui-ci est moins bien fixé sur le carbone que dans Vé
raéthylbutane «YY-tricarbonique.
Métbyl'étbyl'CétO'tétramétbylène'lricarbonate détbyle (I). -
Ea faisant réagir le citraconate d*éthyle sur l'éthyl-malonalJ
d'éthyle sodé on n'a pas pu obtenir le produit de l'action nonnatt
mais il s'est formé une forte portion de composé acide qui, sépan
par CO* de sa solution alcaline, distille dans le vide à 208-21*r
sous 17 mm. et 205*» sous 13 mm. On en a préparé Vhydrazonet^
la semicarbazone^ tous deux huileux. Par saponification chlorhy^
drique, Téther tricarbonique perd 2C0' et fournit deux acides iso-
Bttériques méthyl'étbyl-cétO'tétramétbylène-carbonique (II). Voio
les réactions de formation de ces produits :
G2H5-CH=(C02C2H*)2+ >C=GH-G03C2H»
CH\
C2H502(
C2H5-C=(Ç02C2H*)2
V >C-CH2.C02C2HS
XQîG^HS
C2H5.G<'
C2H50H4- p„3 7^ .».
CH3>
■C02C2H5
C2H!i02C>
\c— CH-(
G3H*.CH-G0
CH\ I I
saponifié = 2G02 + 3G21POH + >G— CH'
CHLMIE ORGANIQUE, 471
Acide m^tbyt^lbyUcéto-tétramètbylène carbonique. — On traite
produit brat de saponification par un peu d'eau bouillante et par
Sroidissement cristallise Tacide pur f. à 72-74'». Gros crist. rhom-
[ues. Sel dAg^ aig. assez sol. en H*0. Ilydrazone crist. peu
L Semicarbazonej aig. prism. f. à 194**.
Alh-aeide isomérique. — Se sépare des eaux-mères refroidies
'* Cnst. f. à 37-39*; bout à 182*» sous 15 mm. en se transformant
rtiellement en isomère.
dim ^ibyl-et^to-télramélbylène-tricarbonale déthyle
(:2HS02C-GH.C<1^ÎÎ2,
G02G2FP
Obtenu au moyen du sodo-méthyl-malonale d'éthyle et citraco-
le d^éthyle. Huile bouillant à 207-208* sous 20 mm. La saponi-
•Uon chlorhydrique fournit V acide diiuf^ibyl-cétotétramélbylène-
CO_CH-CH«
tbom^ae I I pTt3 • Crist. de Teau en gros prismes très
CH«-G<QQî^
Miles f. à 56-59*, bout à 187* sous 25 mm. La semicarbazone
t Î^196-.
a^thyl^éfo- tétraaiètbylène-tvicavbonale détliyle
GO-CH-CO-^C2H5
C2HWC-CH-G<
•Obtenu comme les précédents; au moyen du sodo-malonate
félhyle. Huile bouillant à 217-219* sous 20 mm. Son produit de
•ponification , V acide métbyJ^céto-tétramélhylène carbonique
1 I puj forme de gros cristaux f. à 62-61*. Sa semicarba-
Moe f. lv«*.
f-yéthylpropaoe-^^yy-téiracarbonate déthyle. — Se forme dans
^*» préparation de Téther précédent. Huile neutre, incolore, bouil-
li • 199* sous 11 mm. Par saponification il fournit de V acide
y^^thyltrkêrballyUque f. à 158-173*.
hMf^tbylpentane'afix7'tétracarbonate d'étbyle. — Obtenu par
ï'»eUoa de OHM sur le dérivé sodé de Téther précédent. Huile
*'**'*^l à 2U0^sous 10 mm. Il fournit un dérivé sodé qui décom-
î«î^ par l'eau et par CO* laisse une huile bouillant à 216-219* sous
472 ANALYSE DES TRAVAUX EÏKANGER8.
25 mm. et fournissant par saponification chlorhydrique de VààM
méthyl-éthyl-cétotétramélhylène carbonique f. à 72 décrit plus ba4J
Butane-a^-xy-tétracarJbonate déthyle. — Obtenu avec le sod»
méthylmalonate d*éthyle et le fumarate d*éthyle. Huile bouillantl
207* sous 20 mm. La saponification chlorhydrique fournit Vècm
p-méthyUricariaUylique f. à 143-146*». Prismes incolores assez sûk
en H*0. Ces résultats ne concordent pas avec ceux de Auwers lA
ch. G., t. 24, p. 2890).
^'inéthylbutane^aPy^'tétracarbonale d'élbyle. — Obtenu pal
l'action de ICH^ sur le dérivé sodé de Téther précédent. Hml*
bouillant à 199<» sous 18 mm.
^'Mctbylbutaner^^^'tétracarbonato (Tétbyle. — Obtenu par !'«>
tion de IGH^ sur le sodo-p-méthylpropane-apYY-tétracarbonâii
d'éthyle. Huile bouillant à 203* sous 13 mm.
Acide^'métf^yfbutane-a^XX'tricarbonique. — Obtenu par sapo
nificaction à THCl de Téther-a-tétracarbonique. Prismes f. à 190-
198\
Acide P'métbylbutane'a^y'lricarboniquey f. à 196- 198*.
Action du sodium sur le cinnamate dtétbyle, — Le sodium
dissout lentement à froid, sans dégagement d'hydrogène; il ne
forme pas de produit homogène etla réaction n'est pas nette. On
constaté que, dans la synthèse de Claisen, formation de cinaamab
d'éthyle par l'action du Na sur l'éther acétique et l'aldéhydi
benzoïque, il ne se forme à aucun moment de la réaction de l'élhe
phénylacétique, contrairement aux affirmations de ce dernier.
Action du sodium sur le crotonate dfétbyle. — Cet éther boul
à 139*» sous 771 mm.; le sodium s'y dissout lentement; le produit,
décomposé par l'eau fournit une huile bouillant à 126"» sous 9 mm. 04
258"» sous 773 mm. Son poids moléculaire 228 et sa compositiofl
centésimale en font un crotonate d*étbyle polyméri$(\ Par sapo^
nificauon, on obtient un acide C*H**0* peu sol. en H'O à froidî
crist. en prismes, f. à 129«. Sel à^Ag ppté blanc. Sel de Ba-fHH]
moins sol. dans H*0 à chaud qu*à froid.
Ce long travail est accompagné d'une partie théorique twi
développée d'où nous extrayons les affirmations suivantes : Dad
les composes oxygénés qui fixent le sodium, ce métal n'est jamaii
directement lié au carbone mais à l'oxygène. Ce qu'on nomme «ï
hydrogène acide, c'est une mol. d'H qui est fixée moins solidemoul
au C, par suite de TinHuence des groupe oxygénés voisins; ell^
permet alors la formation d'un hydroxyle, et l'H se trouve aïor^
remplacé par Na. Au sujet des explications fournies par Claisen H
relatives à la synthèse acétylacétique : l'hypothèse de la formaliofl
CHIMIE ORGANIQUE. 47c)
me combinaison par addition de l'éthylate de sodium et éther
^le, manque absolument de base expérimentale. En effet, on
t jamais isolé cette combinaison, et Téthylate de sodium ne réagit
r lëlher acétique qu'à 130*, température bien supérieure à celle
la synthèse acétylacétique. De plus, dans la synthèse du cinna-
ik* d'éihyle il est nécessaire de n'employer que de l'éther acé-
me exempt d'arcool, ce qui est justement contraire à l'hypothèse
riaisen. L'auteur propose, pour expliquer la synthèse acétyl-
hjque, les formules suivantes :
H'CNa-GO^Cms
<Na X)Na
+ H3C-C02C2H5 = H3C.CeCH2-G02C2H5
C?W \OG2H5
<ONa
CH-G02C2H5 V. AUGBR.
Coiitrilrationàrétiidederaaparagine et de l'acide aspartique ;
Mf lOLLES (D. cb. C, t. 34,p. 386-90 ; 30.1.1901). — 0»',5d'as-
tngioe ou d'ac. aspartique, additionnés de 400 ce. aq. et 10 ce.
l'S^J* conc. sont additionnés peu à peu d'une sol. de KMnO* a
'^lulit. jusqu'à coloration persistante à Téb. On trouve que la
iwtié de l'azote du produit est transformé en AzW, l'autre en
^ On peut se faire une idée du mécanisme de cette réaction,
wwme suit:
HiOH
RiGAzH^
R-a)AzH2 R-GAzH'
= H20 + Il _
K-C0AzH2 RCO-Az RGO!
OHîAz
'H
OHv /AzH2
>G. AzH2 = H^O + G0<
oh/ I NAzH2
AzH2 V. AUOER.
;oH /
des aminés primaires sur les acides mucobromique
«i McocUoriqne et lears éthers (I); H. SIMONIS (/>. ch. G,,
LÎ4, p. 509; 25.2.1901). — D'après les recherches de l'auteur,
f«Jd«» mucobromique (ou mucochlorique) possède bien la formule
, toutefois les éthers de cet acide correspondent à la
Br-C-CO
i-^ûeUolomère |l >0 .
Br-C-CH-OH
474 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Les bases primaires aromatiques agissent, en effet, sur TadÉ
en trois phases; et Ton a avec Taniline, par exemple : l'r««4
ûnilmucobromiQue \\ ; 2'' Vaclde anilmucoanilid^
Br-C-CH=Az-C«H5
bromique \\ • 3** le sel d aaïune de «i
Br-C.CH=Az.C«H5'
dernier acide. Sur les éthcrs, au contraire, une seule molécui
de base réagit, en donnant Téther mucoanilidobroDniqdj
C«H5.AzH.C-C0
Il >0.
Br-C-GH-OH
Acide anilmucobromique. — l'^'jS d'acide mucobromique i
0<^,4 d*aniiine sont dissous séparément dans Talcool absolu; )À
deux solutions sont refroidies (dans un mélange de glace et de m
et mélangées peu à peu. Il se forme des cristaux que l'on puni
par cristallisation dans Téther; ils sont incolores, f. à 126*, soi
dans Téther, l'alcool et le benzène.
Acide anilmucocblorique se prépare comme le précéder
Prismes incolores, f. à 132°.
Acide anilmucoanilidobromique, — l*^3 diacide mucobr»
mique et 0^,95 d'aniline en sol. alcoolique sont mélangés a
refroidissant. Cristaux ja'jnes brunissant et se décomposant verj
135-140*». Sol, dans les alcalis.
Cet acide perd de Tacide carbonique par la chaleur en donnad
Vanilide de Pa'bromO'^'anilidoacroléine
G«H5- AzH-GH = CBr:.GH = Az-C^H^ ,
cristallisant de Téther en prismes jaune brun et se décomposaol
14i.l46\
Il donne un dérivé benzoyléy .f. à 103-105* préparé par 1<
méthode de Schotten et Baumann.
Sel d aniline. — Aiguilles jaune brun.
Acide anilmucoanilidochlorique. — Aiguilles jaune pâle ^
décomposant à 150*.
Ac. p.'Tolilmuco-p.'loluidobromique, — Fines aiguilles jaunes
se décomposant à 165-168°.
Miicoanilidobroniate détbyle. — Se prépare par réaction, ea
sol. alcoolique refroidie, de 2 molécules d'aniline sur une mol^"
cule d*élher éthylique mucobromique, f. à 114*.
Mucoanilidobromate de méthyle^ f. à 117*.
CHIMIE ORGANIQUE. 479
facobtomale de propyle. — Ebullition d'une sol. alcoolique
c quelques gouttes d*acide sulfurique, f. 81*,5. Dérivé anilidé^
foêo-p.'tobïidocbhrste de méthyle, — Aiguilles incolores, f.
18*.
tscthm.'iylidoeblorale détbyle. — Prismes, f. à 114*».
'auteur a préparé en oulre différents éthers de Tacide muco-
Mique, ils sont liquides; le mucobromate dallyle^ f. à ii"*,
R. MARQUIS.
Itr quelques dériTés de Téther phénylique; C. HAEUSSER-
Met Ang. MÛLLER (Z>. ch. C, t. 34, p. 1069; 20.4.1901). —
s auteurs ont préparé Yétber hydroquinone'p.'nitrodiphény'
w C**H>K>*Az en introduisant peu à peu 8 p. de potassium
te 60 p. d'éther p.-oxyphénylique chauffé à 140** puis en ajoutant
Mte solution en présence d*un excès de l'éther ci-dessus, 18 gr.
p.-cblorodinitrobenzène et chauffant le mélange pendant quel*
K heures à 155-165', dans une atmosphère d'hydrogène. Le
»4mt de la réaction cristallise après purification en feuillets
îfiiiitâ, F. 9U92'',5, très facilement solubles dans le benzène et
kBètoDe, un peu moins facilement dans l'alcool et l'acide acétique,
Kique insolubles dans la benzine.
Ce composé fournit par réduction le dérivé ani/rfe correspondant
h ^(mA à 88-8i*,5, se dissout très facilement dans le benzène, plus
Vilement dans 1 alcool froid, il est à peine soluble dans le
^tok^ ou dans l'eau chaude; son chlorhydrate cristallise en aig.
'IP^lées, F. 210»; son sulïale est complètement insoluble dans
»« bouillante.
L« chlorhydrate traité par la méthode habituelle au moyen du
^te de soude en présence d'alcool fournit Véther diphénylique
* fhfdroquinoae qui cristallise dans le benzène en aiguilles
^ches, F. 74-75'. 11 se dissout facilement dans le benzène et
'*«^iie, moins facilement dans l'alcool et le benzène.
F. REVERDIN.
hx les deux dibensoyléthylènes sjrniétriques stéréoisomé-
'WM;C.PAALetHeiiirich SCHULZE {D. cb. G., t. 33, p. 3795-800;
^...^ C«H5.C0.CH
- Ï2-IW0), — Thajcs. dibeazoyiéthylène il .—
'J* foUieni en chauffant très rapidement l'acide dibenzoylmalique
• *W*;ilperdHH) et C0«. Le produit restant cristallise de l'alcool en
476 ANALYSE DES TKAVAUX ÉTRANGERS.
grosses aig. longues, d'un jafine intense f. à 111*', peu sol. dtn:
cool, très sol. en CHCP. Rendement 50 à 60 0/0. La poudre de Zn,
présence d'ac. acétique, le réduit en dibenzoyléthane symélr^
ou diphénacyle. L'hydrate d*hydrazine, donne la 8.6-diphém^
ridazine (voir la comm. suivante). Le brome, en sol. acéti^
lournit le dibenzoyldibromoétbane C«H»COCHBr.CHBr.(
Petits prismes f. à HS**. L'aniline agit au B.-M. et fournit le
zoylnnilidoétbane C«H5CO.CH(AzHC8H5).CH«COC«H*. Crisl.
Talcool en minces prismes jaune-soufre f. à 138**. L'ac. acél
bouillant régénère le trans. dibenzoyléthylène.
H.C.COC«H» , ,
Gis.dibenzoylétbylene u . — Se trouve dans
H.G.GOC«H» *
eaux-mères alcooliques de purification du trans. Aig. f. à
plus solubles que le produit isomérique. Rendement 7 0/0. Ll
Une agit comme sur Tisomère, en donnant le même dibenzoyl
lidoélhane. On possède ainsi le moyen de passer du cJs au U
V, AUGCB.
Sur les ôthers dibenzoyl-fumarique ou maléique ; C. VU
et Heinrich SCHDLZE (D. cL G., t. 33, p. 8784-95; 27.12.i9i^
— Dibenzoylmaléate d'étbyle (cis'dibenzoylétbylène dicarbom
_, , C«H»-CO.C.CO«G«Hî* ^, >
detbyle) \\ . — Décrit, a tort, comme oibe
C6H»-C0.C.C0«C«H»
zoylfumarate d'éthyle, par Hàrtel et Paal [D. cb. G., t. 30, p. i^^l
11 faut éviter de le chaufTer, en solution, à plus de 70* sinon, il
transforme partiellement en isomère trans. H*SO* le colore <
jaune orangé, passant à chaud, au vert, bleu foncé, et finaleroe
rouge cerise.
d .G'dipbénylpyvidazine-4 . ô-dicarbonate (Téthyle
C-C6H5
Azj^\c-C02Cm*
Azl ]lc-C02C2H*
— En chauffant Téther cis avec l'hydrate d'hydrazii;e, on obUai
ce composé en longues aig. plates f. à 127-128*. Vacide corrc
pondant, obtenu par saponification, crist. de l'alcool aqueux, «^«
2 mol. alcool de cristallisation, en longues aig. f. à 202* dècooj
peu sol. en H*0. Sel de K, longues aig. SeldAg, aig. très peu^J
en H«0.
CHIMIE ORGANIQUE. 477
'J S'dipbéoflpyridazine
Az/NcH
Azv ^^W
Obtenu en chauDaat Facide précédent, avec HCl à 5 0/0 en
e scellé. Gros feuillets f. à 221'' insol. en H'O, peu sol. en
Dol; subliraables. Les sels sont facilement dissociés par H^O.
hrhfdrate, fines aig. jaunâtres. Chloraurate, Cbloroplatinate,
A méthylphénylhydrazine réduit le dibenzoylmaléate d*éthyle
le tram;rorme en p-dibenzoyisuccinate d'éthyle.
SâponiBcatwn de Féther cis, — On l'effectue à froid, avec la
tisse alcoolique : il se précipite un se/ Je /f en lamelles. Celui-ci
I on mélange de dibenzoylmaléate presque pur, avec un peu de
ieozoyirumarale. Si on acidulé la sol. du sel, il se précipite une
lie qui est probablement Tacide correspondant, mais s*hydrolyse
t^que aussit<M ea fournissant Tacide dibenzoyluialique.
bihemoylfumarate détbyle^ trans, dibenzoylétbylène-dicarbo^
C«H*.C0.C.C0«C«H5 ^ ,, , .
U aétbyle II . — On l obtient quantilative-
G«H*0«C.C.C0C«H5
«ni par migration de Tétber c/s, chauffé à 100"* avec 4 p. d'aniline,
Tibri de Tair. Gros prismes f. à 88**. Crist. du benzène avec du
Wdecrisl. Il se colore, par H'SO* en jaune, puis en violet.
•"bydrate d*hydrazine donne, avec difficulté, le même produit que
Merc/s. La méthylphénylhydrazine agit aussi comme réduc-
m.
Sêponiûcatioii de Fétber trans. — On obtient du dibenzoylfu-
^rate de potassiam pur, crist. en longues aig. aplaties. Par
icidulition des sels, il y a hydrolyse et formation d*acide dibenzoyl-
>ili*{ue; inversement c!et acide fournit, neutralisé par un alcali,
a dibenzoylfumaraie. v. auger.
8ar les deux diphényldinitroèthylène symétriqaes stérèo-
iMBértt; Julius SCHHIDT (Z>. cb. G., t. 34, p. 619; 11.3.1901).
— Par racUon des vapeurs nitreuses sur le tolane, Tauteur a
^^i^em deux diphényldinitroèthylène isomères.
oip^ c«h5m:.az02 g6hs-g-az02
I Hh->- Il et II
CW-C C«H*-C;-Az02 Az02.C-C6H5
478 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ce sont les premiers représentants de la série des dinilrool«i
de la formule générale R-(AzO«)C=C(AzO«)R.
Le dérivé a fond à 186-187'', il est plus difRcilemeotsoluble'
les différents solvants que le dérivé p, f. è 105-107*. Ce dei
est plus facilement décomposable que le dérivé a.
La réduction de ces deux dérivés conduit à Va-p-'x^télni
nylpipérazine.
Partie expérimentale. — 3 gr. de tolane sont dissous dans i
d*éther; dans cette solution, on dirige un courant modéré «iu
obtenu par Taction de AzO'H sur As*0*. La température ne
pas s'élever au-dessus de 20^. L'absorption du gaz lermioà
liquide est refroidi par un courant d*eau, ra-diphényldim
éthylène se sépare. Les eaux-méres fortement refroidies lais
déposer le dérivé p. — L*a dérivé^ f. à 186-187*, est en aig. j«
brillantes diff. sol. dans Talcool et réther^ plus facilement du
benzène, Tacétone et CHCP, non volatil avec la vapeur d*<
ne fixe pas le brome en sol. chloroformique.
Le p dérivé f. à 105-107*» est en pyramides jaunes, se déc^
posant à 150^ avec dégagement de gaz. Ne se combine ^
brome. r. marquis.
Sur l'action de Tacide aioteux sur le stilbène et sur la dip
nyldinitroéthane symétrique; Julius SCHMIDT (Z>. ch. G., t.
p. 623; 11.3.1901).— L'action du gaz nitreux (AzO«H+.\â<
sur le stilbène en sol. éthérée donne un corps blanc, f. à f
197® qui doit être considéré comme le nilrosite de Atilbèaet \
quel convient une des formules suivantes :
C6H«-CH.Ae=0 C»H*.CH.Aa — O
I >0 , l >^ 1 •
C«H5.CH-A«=0 C6H»-CH-Ae — 0
1. 11.
La formule II est la plus probable.
Ce nitrosite est décomposé par ébuUition avec l'acide acétique
C«H»-CH-.^
acide azoteux et diphényldimtroèth&ne symétrique i
C*H*-CH-Ax(
Nitrosite de stilbèae. — 5 gr. de stilbène sont dissous di
150 ce. d'éther et saturés par le gaz nitreux, en refroidifsaot. I
nitrosite se sépare en cristaux blancs, diff. sol & froid dans l'étbi
l'alcool et Tac. acétique, un peu plus sol. dans C^H* et CHCl**
donne la réaction de Liebermann.
Diphcnyidinitroétbane sym. — 2«',7 de nilrosite de slill*
CHIMIE ORGANIQUE. 479
»ut chaufTés avec 00 ce. ac. acétique; par refroidissement on
Uieat des aig. blanches, f. à 235-236^ en se décomposant.
U se fait en même temps de la benzaldéhyde et un autre corps
ft 145-146^. R. MARQUIS.
Sur quelques dèriTés de rhélicine; Emil FISCHER (Z>. ch. G.,
., u 34, p. 629-81; 25.2.1901). — Cyanhydrine de rhélicine
•H*<|^^^,*^^. — On agite pendant 1 à 2 jours de rhélicine en
n^sence d'eau et d'HCAz. Le produit isolé après évaporalion de
isol. à 85% crist. de Feau en tab. f. à 176* déc. fournit par éb.
wc H«0 de rhélicine et HCAz.
Mtrile ^rpbénvl^o-glucocoumarique C®Hv *^^^-
^0C«H««05
Jbtena par condensation de rhélicine avec C®H»CH*CAz, en pré-
lence d'alcoolate de sod. Crist. aig. peu sol. à réb. en H*0 f. à
lî6*(corr.). v. auoer.
Sur U Qitration de Tacide mésityléniqiie ; Eug. BAHBERGER
«Ed. DEMUTH (/>. cb. G., t. 34, p. 27-83; 28.12.1900). — Acides
■ et ^aitromésilylénique, — Ces acides ont été décrits par
Scbmitz pais par Jacobsen. Le mode de préparation ayant été
iBi%ué un peu vaguement par ces auteurs, voici comment on doit
•pêrer : 5 gr. d'acide pulv. sont projetés dans l'espace de 15 min.
« 1 1 gr. AzO^H ((/. = 1 ,52) refroidi à 0*». On verse après nîtration,
daitttSO ce. H*0 et lave. Pour le reste on opère comme Schmitz
\À0D. d. Cbem., 1. 193, p. 162).
Acides dinitromésityléniques, — Préparés déjà à l'état impur,
p«r Kooowalow {D. cb. C, t. 29, p. 2208). On nitre, sans refroidir
iOgr d'acide par 85 ce. AzO*H(rf. = 1,52). La temp. monte vers 50°.
Oq transforme le produit nitré en sel de Ba qu'on sépare par éva-
lontion fractionnée. Le sel « est le plus soluble et (orme la plus
'«te portion du mélange.
Atidt trdiûUromésiiyléttJque
H5c/\CH3
0»AiIJa«02
com
- Pmmes déliés, peu sol. en H«0 bouillante 1. à 216* (corr.).
Dkaânthm.-xylène. — Obtenu de ce dérivé par la méthode
480 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
ordinaire, Sn et HCl. Aig. f. à 105**. Dérivé dibenzoylé, K\^A
à 259®. Cette diamine est identique à celle que Grevingk a oblefli
par réduction de la nitroxylidine (CH^jJ^ ; C«H«.^AzO«)6lA2a^
[D. cb. G., t. 27, p. 2426).
Acide nitroaminomésytilénique
H3c/\CH3
H>AzIJaz02
C02H
— Obtenu par Faction de H*S sur l'acide a-dinitré, en présett
d'AzH-'*. Longues aig. soufre, f. à 190* sol. en H*0 éb. Par év»)
de la sol. alcool, épaisses tables à 6 pans.
Acide ^'dinitromésyiilénique
H3g/\ch3
AzO^
— Fines aig. f. à 211® (corr.) sol. en H*0 ou xylène, éb*.
Diamino-m.'Xylène
AzH2
H3C(^^GH3
'azH>
V'
— Obtenu pai* réduction du f-dinitroacide. Son dérivé dibeniojii
Crist. de Talcool en aig. f. à 237* (corr.).
Acide nitroaminomésytilénique
Az02
AzH2
H3G
/\CH3
vJazH2
ou
H3C
1 r"'
V^'azO'
CO^H
— Obtenu comme le dérivé nitroaminé précédent. Lamelle? jaum^
f. à 277®,5 déc. Les eaux-mères alcooliques de cet acide seinbleni
contenir une petite quantité d'un isomrrCy f. à 175*. v. alger.
Sur les dérivés chloro-aiDinés de Turée diphényliqae 9jmé'
trique et sur leurs produits de transformation;? D.CHATTA-
WAT et K. J. P. ORTON {D, ch. G., t. 34, p. 1073; 20.i.l90J). -
Lorsqu'on traite l'urée diphénylique symétrique par l'acide hypo-
CHIMIE ORGANIQUE. 481
hloreax, l'hydrogène iroinique est substitué par le chlore et l'on
blwtiX un diebloro-amido-dipbénylurée ; cette substance est trans-
osée par Tacide acétique à chaud en donnant principalement la
hp.<bloropbénylurée qui peut être ensuite transformée en de-
tte dicbloro-aminé, ce dernier fournit la di-S-d'àlchloro-phényl-
rte s^Tiï. isomère qui donne également un dérivé dichloroaminé;
fefaii-ci se transforme de son côté en di'S-dS'trlchlorophénylurée
fm. dans laquelle Thydrogène iminique peut encore être subs-
Iu4^ par le chlore.
Les schémas suivants rendent compte de ces diverses transfor-
tttions
2
C0(a«h/^ \y «►->- CoCkzQx/ \^
Cl Cl
cor
('azh/ y^^O* ^^-^ CO('azCi/ ^^^
Le dicbloramino-dipbénylurée sym, CO(AzCl.C«H*)* cristallise
fttn mélange d'éther de pétrole et de chloroforme en prismes
arobres, F. 101-102*. Sa solution acétique chauffée au B.-M.
I»ne le produit de transposition, la dicblorophénylurée sym.
Û[>AzH-OH*Clj* qui est facile à isoler et qui a déjà été obtenue
lAt^fotâ par Beilstein et Kurbatow ; lorsqu*on met ce dérivé en
tt^pendîon dans Talcool et qu'on le traite à froid par un mélange de
Ari)nirede chaux et de bicarbonate de potasse il se forme prin-
■!»bijeal la moaocbloramiao-di-p.'Cbloropbénylurée sym.
Wl*.a,AzH.CO.AzClC«H*Cl qui cristallise dans un mélange de
*ïw)forme et d'ëlher de pétrole en aiguilles incolores ou en feuil-
^ fusibles vers 1 82*.
l* dirÈilorO'êmiuo-^hp.'Cblorophénylurée sym. préparée de la
■«w» manière, cristallise dans le mélange de chloroforme et de
Içfomeeo prismes courts fusibles à i71-i73« en se décomposant
* ï«rt»e. Chauffée sous pression à iOO*» avec de l'acide acétique
**l* ^ transforme en di-S-Â-dichlorophénylavée sym.
CO(AzH.C«H3Cl2)2,
V* CTtMailise dans l'acide acétique ou l'alcool. Ce composé peut
•oc. am., 3« sêh., t. xxvi, 1901.— Trar. étrang. 31
482 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
aussi être oblenu en chauffant pendant plusieurs heures desqtiÉ
(iiés équivalentes d'urée et de dichloroaniline à 100-200*. I
cristallise en aiguilles incolores fusibles à 273^ en se décorap.^
partiellement. Lorsqu'on met en suspension la di-2^-dichloro
phénylurée dans Tacide acétique renfermant un excès d*acéM
de potassium et qu'on fait passer dans ce mélange un coum
de chlore sec il se forme la dichloraminO'di'S-d'dichloropàéÊfi
urée sym, GO(AzCL C^H^Cl*)* prismes ou feuillets, fusibles à il
en se décomposant partiellement. Cette substance chauffée i
tube scellé, à iOO'', avec Tacide acétique, se transpose parlieOi
ment en la di-S'i-ô-trichlorophénylurée sym. CO(AzH.C*H*.(J^
tandis qu'il se forme aussi comme produit secondaire de la àU
4-dichlorophénylurée sym. et que le reste du produit mis en r^
tion se décompose plus profondément. La di-2-4-6-trichloro(4i
nylurée s'obtient plus facilement en faisant passer un couraolJ
chlore sec dans une suspension de diphényhirée sym. dans Tacii
acétique en présence d'un excès d'acétate de soude. Elle peutéd
cristallisée dans le nitrobenzène, en aiguilles incolores qui toinàâ
à 320-325*' en se décomposant. La constitution de ce dérivé a ^
établie par le fait que chauffé pendant plusieurs heures sous pr^
sion avec de Tammoniaque alcoolique à 140-145^, il a fourni i|
l'urée et de la 2-4-6-trichloraniline.
La di-2-4-6>trichlorophénylurée est si peu soluble que sa mm
formation en dérivé dichloraminé présente certaines difflcukiJ
on y arrive cependant en employant une grande quantité d'aci^
acétique et d'acétate de soude et en faisant passer le chlore tk^
cette suspension jusqu'à ce que le tout soit transformé en uoepâl
que l'on étend ensuite avec de l'eau; il se sépare un corps soli^
que l'on extrait à chaud avec du chloroforme. La dicbtorêtaîù\
di'S'd'O'trichlorophénylurée sym. ainsi obtenue se présente *w
la forme d'une masse blanche cristalline que l'on fait encore crÉ
taUiserdans un mélange de chloroforme et d'éther de pétrole; ff
fond vers 190*» en se décomposant. r. rbvirdik.
Bromuration de la diphènyluréa 8ymétriqii6;F.D.CHi*
WAT et K. J. P. ORTON (D, ch. G., t. 34, p, 1078; 2O.4.1901).
Les auteurs ont constaté que le brome réagissait sur la pbenyli
symétrique de la même manière que le chlore (voir la commi
cation précédente); il se forme indubitablement comme prodi
intermédiaires des dérivés dibromaminés, mais la faible solul
de la diphénylurée et l'instabilité des produitH bromes i f<
CHIMIE ORGANIQUE. 483
i*û présence de Tacide acétique n'ont pas permis de les isoler. Les
îcuémas suivants rendent compte de ces transformations :
co(^A£h/ N^ «i^-> go('azh/ \bA
Br Br
Ç^m/ y^^y wm->' go('azh/ ^^^Y
Les auteurs décrivent les produits suivants qui ont été préparés
tmie manière analogue aux dérivés chlorés correspondants, dont
9 a été question dans la précédente communication :
Di'p.'bromophénylurée sym, CO(AzH.G«H*Br)«. — Elle .est
dis peu soluble dans les véhicules usuels sauf dans le nitroben-
bêne bouillant dans lequel elle cristallise; elle fond à 330*» envi-
ron en se décomposant; chauffée pendant plusieurs heures en
lube scellé à 145* avec de l'ammoniaque alcoolique en excès, elle
roiimil de l'urée et de la p.-bromaniline.
La di'2-i'dihromophéDylurée sym, C0(AzH.C*H3Br*)* quoique
ditïïcilement soluble, peut être cristallisée dans Tacide acétique
louillaDt ou dans Talcoolain^i que dans le nitrobenzène; elle fond
ài81* en se décomposant partiellement. Chauffée pendant plusieurs
heures en tube scellé avec de Tammoniaque alcoolique à 145150''
Hle donne la 2-4-dibromaniline et de l'urée.
La di'2-4'6'tribromopbéayluré€ sym. CO(AzHC«H«Bi »)« ne se
'^onne pas très facilement; on l'obtient cependant en chauffant
500S pression à 130-135^ le dérivé télrabromé avec une petite
«{tuntilé d'acide acétique et les quantités calculées d'acétate de
«xiiom et de brome; une partie du produit échappe toutefois
A U réaction tandis qu'une autre partie se décompose. Le produit
^ la réaction, traité plusieurs fois par l'acide acétique et par le nitro-
t'^asèoe laisse un résidu qui cristallise dans le nitrobenzène en
aiguilles incolores, constituées par l'hexabromo-diphénylurée. Ce
<^l^é fond à SSO" en se décomposant ; chauffé pendant plusieurs
ttcures à 145-150* avec de l'ammoniaque alcoolique il donne de
l 'irte et de la 2-4-6-tribromaniline. f. revehdin.
Aciioa d#a nitroso-acTUminas sur las bases primaires ;
ILiFmSCH (D. eb. G., t. 33, p. 3521-25; 3.12,1900). — Nitro-
vikntyibeagylamJae et aailine. — On a obtenu, en faisant réagir
iT^ précaution 2 mol. d'aniline, de la benzylaniline en même
484 ANALYSE DES TRAVAUX ETBANGERS.
temps qu^uir peu d*acide benzoïque et une forte quantité de
zanilide.
Paratoluidine. — En opérant comme plus haut, on obtî<
de la benzyl-p-toluidine. Celte base a été obtenue pure
avoir été transformée en benzyltolyl" benzène 'Sulfone-
^^^p^JJ*>Az-SO«C«H» qui crist. de Falcool, en longues
i. à 123". La base en a été régénérée par Taction de HCl coi
à 15Û^
Pbényihydrazine. — En faisant réagir sur cette base la nitroM-
benzoylbenzylamine on n'a pas pu obtenir de benzylphéDylhydr»;
zine. V. augbr.
Sur la condensation de combinaisons aromatiques nitroséti
avec des dérivas méthylôniques ; Frans SACHS et Edaard BBI
(D, cb. G., t. 34, p. 118-23 ; 16.1.1901). — 4'étbylamiQopbéoji^
ycyanazométbine-pbényle C'H» . AzH . C«H* . Az=C(CAz) .C«H*. —
On maintient à Tébullition, pendant 1/2 heure environ, une sol
alcoolique de 4 gr. nitrosoéthylaniline et 3 gr. cyanure de benx^ifw
additionnée de 3 ce. de sol. aq. saturée de Na*CO*. Le prodiul
crist. par refroidissement. Aig. rouges insoU en aq. f. à il2«, 1^
ac. min. dilués à chaud, le scindent en cyanure de benzoyie ei
monéthylphénylènediamine.
4'Étbylaminopbényl'y'Cyanazoniéthine'4'nilropbényIe
G2H5.AzH-C«H*-Az=qGA«)-C«H*.Az02.
— Obtenu comme le précédent, aveclejo.-nitrocyanure de benzyle.
Aig. rouges à reflets verts f. à 164**.
i'MéUiylaminopbényl'^'Cyanazométbine'pbênyïe
GHi-AzH-C^H*-Az=C(GAz).C«H5.
— Aig. rouge carmin f. à 126**.
. . . p.-nilvopbényh. — Aig. rouges reflet violet, f. à 188*.
i'Métbylaminopbényl'^'eyanazoniétblne'Carbonatc détbyle
GH3- AzH-G«H^- Az=G(GAz)G02G«H5 .
— Obtenu avec réther cyanacétique. Crist. cub. rouges a refliîl
bleu, f. à 136«.
Cblorbydrate du 4-dwtbylaminopbényl-cyanazométbine-4'mtr^**
/>/ic'/î//eC*®H*^0*Az*HGl. — Poudre jaune-citron, amorphe obtenu*
par Taction de HGl gaz sur la sol. éihérée du produit basique. Sol..
en CHCP-
CHIMIE ORGANIQUE. 485
C«Hs.C-CAz.
PhéDylbydrazone du cyanure de beuzoyle II
Az-AzH-CW*
- Aig. jaune-soufre f. à 152* obtenue comme produit de scission
Ar ébulliUon d'une sol. alcoolique du produit de cond. de nitroso-
lêtbylaailine et cyaniu'e de benzyle, sur HCl phénylhydrazine. —
la employant Taniline au lieu de phénylhydrazine^ on obtient de
I diphénylbenzénylamidine.
Diphéoyl-p-Ditrobenzénylamidine O'Az-C^H^.C^^^HC^H'^* —
totcnu par l'action de C*H»AzH*,HCl sur le prod. de cond. de
âroso-diéthylaniline et p.-nitrocyanure de benzyle. Son chlorby-
^(e seul a été isolé. Crist. f. à 298« de l'alcool à 50 0/0.
V. ÀUGER.
Préparation d'oxyamino- et oxyaminochlorocôtones ; Franz
OmCKELL (Z>. ch. G., t. 34. p. 124-29; 17.1.1901). — Acétyla-
ïïioo-oxyacéiophéaoûe CH» . CO . C«H3(0H) . AzH . COCHs. — 1 0 gr .
àênicétine dissous en CS*, additionnés de 20 gr. bromure d*acé-
jiepuisSOgr. AlCl* pulv. au soleil. Le prod. crist. de Talcool.
M^. cub. jaunes f. à 165* sol dans les alcalis. Hydrazone^ aig.
jwinesf. à 207" très instable. — Sel de Na, lamelles jaunes pptées
larmél. de sol. alcooliq. de Na et du produit, f. à 225'' sol. en aq.
fwinjii par éb. avec IC'H* uu éther éthyliquej aig. incol. f. 155**
QâoL en alcalis.
ÀMo-fHamwopbénol ou oxyaminoacétopbénoue
CH3.CO-G«H3-(OH)(AzH2) .
— Obtenu en faisant bouillir le prod. précédent avec HCl conc.
ï^is d<^r. le chlorhydrate par AzH^. Crist. sol. en alcool jaune-serin,
' a lOTi*. — Cblorbydrate lamelles f. 155« déc. — Etberétbylique
«tlenu par éb. de Téther précédent avec HCl conc, aig. jaunes f.
* W*, son cblorbydrate f. 215*. — Pbénylbydrazone, aig. brun-
>*une f. 180*.
^^Urthozyac^itylawmoacélopbénone
« PAz-(:fiH2(OH)(AzCOCH3)(COCI13).
"* Aig. jaunes f. à i70* obtenues par nitration du primitif avec
A2'i*H en sol. acélicf.
^iirthétboxyacétylamiaoacétopbéuone
02Az-C«H»-(OC2H5)(AzHCOCH3)(COCI|3).
-- Otrtfintj comme le précédent f. 125^
486 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS
OjyacélylamincHa-cbloracétophénone
(HO)-(GH3GOAzH)G«H3-COCH2Gl.
— Obtenue par Faction du chlorure de chloracétyle, sur la phén*
cétine, en sol. OS*, avec AlCl*. Aig. jaunes, f. à 190*'; par éb. ave
HCI, conc. fournit V oxyamincHa-chloracétophénone^ aijj. jaune-vei
f. à 135*». V. AUGER.
Transformatioii de combinaisons anilôes de risovalértlj
dôhyde en leurs basas alooylées correspondantes, ou basai
étbyléniques de A. W. Hofmann; A. EIBNER et Georg PUR0CI]^
(Z>. ch. G., t. 33, p. 8678-64; 17.12.1900). — Ce travail fait suiri
a celui qui a paru en 1892 (Z). ch. G., t. 25, p. 2041). En réduisatj
l'isovaléraldéhyde-aniline dimoléculaire, par le sodium, en sol
arnylique, les auteurs ont obtenu une base huileuso bouillant i
C*H».CH.AzHC«H5
800-318^ Sa constitution doit être : j , ce qui
C*H».GH-AzHC«H»
fait une disobutyléthylène-aniline. Elle se combine avec le bromui
d'éthylène en donnant une diphényl-dibutyl-pipérazine
Az-G«Hi
G^H^-HÇ '^'NgHs
C'iH»-HGlJcH2
A2-G6H5
Aig. soyeuses 1. à 121* peu sol. dans Téther. Fournit la réactioi
pipérazique avec Tiodure de potassium et de bismutli, une ^
color. jaune avec le diazoïque sulfanilique, et un vert avec le pbé
nylchloroforme et ZnCl*.
C*H».CH-Az-C«H»
Base glyoxalique J >CH-.C«H«. — Obtenue par TacUoi
C*H».CH.Az-C6H»
de Taldéhyde benzoïque sur la diisobutyléthylène aniline. Crisii
tab. f. à 109* déc. par les acides dil.
Les auteurs ont préparé aussi par les mêmes procédés lesdérivft
de la p.-toluidine.
Dlisobutyiétbylène-p.' toluidine C«*H3«A2«. Huile bouilUoI i
270*. HCI sel feuillets blancs. ~ Dénvé diacétylé grands en^^
tabul. (de Téther) f. à 138*. — Dérivé monobenioylé f. à l^'i
feuillets minces. — iJinitrosamine, Aig. jaunâtres f. à W*. "^
Base glyoxalique, Crist. tabul. f. à 154*. v. al'gbs.
CHIMIE ORGANIQUE. 487
8ar U préparation des aniles des cyanures diacides ; Frans
iAOS (D. ch. G„ t. 34, 474-503; 11.2.1901). — hauteur a déjà
léchi un mode de préparation de ces substances par condensation
le certains dérivés nitrosés avec des dérivés méthyléuiques coate-
ani le reste — CWCAz. (D. ch. G., t. 32, p. 2341 ; t. 33, p. 959» ;
. 34» p. 120). Il a remarqué aussi qu'on pouvait oxyder par KMnO^
e« cytnhydrines d'aldéhydes condensées avec des aminés aroma-
'u\ues. Ex. :
CW-CH-(CAx)(OH) + H»Aa-C«H5 Wh*- CMl!^-CH(GA2)-AaH.C«H^
C«H5.qCAz)=Ai.C«HS.
i>Ue oxydation ne se produit bien qu'avec les substances dans
lesquelles les 2H à oxyder sont voisins de radicaux fortemeal
aé^tifâ. Cette oxydation a lieu avec une sol. acétonique deKMnO*»
1. Condensation du cyanure de benzyle avec des nitroso aryles.
'^ PhènYl'^'cyanaxoméihine-phényle C*H5.C(CAz)=Az.C®H*^* —
Od diaufle légèrement une sol. de cyanure de benzyle avee du
ttlrosobenzène, en présence d'un peu de Na*CO*. On obtient pair
f^efroidissemeni des aig. jaune-pâle f. à 135^ insol. dans aq. sol»
dus les solvants neutres. H^O* conc. transforme la substance-,,
jw hydrolyse» en anile de Famide benzo} Iformique
C«H>-C(=AxC^H5)COAïH2, f. à 141*.
^Mkbylpbéuyl'^'Cyaaaxoméibine'pbéDyle
C«H*C(CA2)=Az.C«H*-CH3.
^Produit de condensation du p.-nitrosotoluène sur le cyanure- die*
^«ozyle. Longues aig. jaunes f. à 96*.
^'Méthylpbéayl-ik-cyaaBxométbine'phényle. — Obtenu avee To^
nrtrofiotoluène. Aig. jaunes f. à 85^,
Pbéayly.-^yaaaiométbine^^'mtropbényle
02Ax-C«H*-C(CA«)= Az-C«H5 .
^ Obtenu avec le nitrobenzène et le p.-nitrocyanure de benzyle.
^Swmb. Jaune f. à 180*.
U iériré obtenu avec ro.-nitrosotoluène f . à 122* et avec le pw-
^troBototuènef. à 122*.
(^fdatioa du phéoylanilido-acétonUrile et de ses bomologue»,
^0» opère avec du KMnO^ dissous dans l'acétone: ce solvant
PWeo dissoudre 4«',4 0/0 à 20* 4 gr. à 40», sans s'altérer.
488 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Anile du cyanure de benzoyle C*H*.0(CAz)=Az.C*H'. — l
phénylaniUdoacéionitrile est oxydé par une sol. bouillante, à i 0
deKMnO^ dansFacétone. Crist. de l'alcool en lamelles jaunes f. â7i
Nitrile Phényl-oAoluidoacétique C«H».CH(CAz)AzH.C»H*.Cfl
— Crist. f. à 71** obtenus en chauffant à lOO* la cyanhydrine bd
zoïque avec To.-toluidine. Oxydé, fournit VoMolyle du cyênart i
benzoyle C«H».C{CAz)=Az.C«H*.CH». Aig. jaunes f. à 85».
Nitrile Phényl-p,'diméthyIaminoaniUdoacétique
G»H5-GH(CAz)-AzH-C«H*- Az(CH3)2 •
— Obtenu par chauffage de la cyanhydrine benzoïqueavecladinj
Ihyl-p.-phénylènediamine. Crist. rouges f. à KM*". Oxydé, fourt
le dérivé avec 2 H en moins. Un simple courant d'air surtit poi
oxyder le produit à rébullilion. v. auger.
Sur la condensation de la cyanhydrine benzoiqua avec Yut\
thane ; FriU LEHMANN (J9. cb. G., t. 34, p. 366-77; 22.1.1901
— En chauffant au B.-M. les deux produits, on observe un /o
dégagement de CAzH, et il se forme principalement de la beoxyl
dène-diuréthane.
Urétbanopbénylacétonitrilc C«H».CH(CAz)AzH .CO«C«H*. — 0
ajoute à un mélange de 21 gr. uréthane et 80 gr. cyanhydrîiM
43 gr. ZnCl' pulv. L*action terminée, on chauffe 2 h. au B.-M. L
produit cristallise par addition d'éther de pétrole à sa sol. chlore
Aig. f. à 83**. HCI ou SO*H* conc. le transforment en amide. H<
gaz, à chaud, dans la sol alcoolique, fournit le phényluréthane acé
tate d^élhyle C«H».CH(C0«C«H5) . AzH . CO«C«H».
Uréthanophénylacétamide G«H»CH(COAzH«)AznCO«C«H». -
Petits prismes à 4 pans f. à 207* (^corr.) sol. à froid dans les acide
sans déc. Chauffé au B.-M. avec la potasse à 33 0/0, se transfow
en oL'pbénylbydantoïne ; on peut expliquer cette réaction par un<
condensation interne de Tamide, avec départ d*alcool, sous J'ifl'
fluence de Talcali.
Urétbanophénylavéloxnmidine
C6IP-(:iî(Az.llC02C2H5)-C-(=AzH)AzHOH,
— Obtenue par aciiDU du chlorhydrate d'hydroxylamine sur umi
sol. alcoolique de rurélhano-phénylacétronitrile. Prismes f. à 1^^
\corr). — Cblorbydrate, aig. très sol. dans aq. On a préparé aus?*
le browbydralOf oxalate^ picrate, cbloraurate^ cbloroplatiusU- —
Dérivé acétylé obtenu avec l'anh, acétique ; crist. (. 165* (corr).
CHIMIE ORGANIQUE. \99
L oxamidine fouroit avec l'ac. cyanique un dérivé C*'H**Az*0*
t IW* (corr.). On a préparé son nitrate, chlorhydrate. Le cyanale
f phéoyle donne aussi, avec l*oxamidine un dérivé C**H*oAz*0*.
jf. f. à i8S* neutre. v. auoer.
Appel à U prudence dans remploi de Tacide diazobensène-
Ifoniqae; H. WICHELHAUS (D. ch. G., t. 34, p. 11; 7.1.1901).
Un échantillon de 25-80 gr. de ce produit préparé déjà depuis
asfeurs années, a fait explosion au moment où Ton voulait en
«ierer un échantillon au moyen d'une spatule de porcelaine,
«pérateur a été grièvement blessé et des vases en verre épais
•eési proximité ont été troués. v. auger.
CoBtribution à Tétade des combinaisons de Tacétone-dicar-
natê d'éthyle avec les diazoiques, et remarques sur les pro-
lita de scission de ces combinaisons ; Cari BULO W et Wilhelm
DniER (D. rA. G., l. 34, p. 71-90; 4.1.1901). — [p,-nitraniliae
lOY^céione-dicarbonate déthyle
CP A«-C«H*- Az - Az — C<
\COCH«-C02C2H5
H
-*>o Toblient en traitant une sol. alcoolique d'acùtone-dicarbo-
*îe d'élhyle, par Na*CO^ puis par une sol. aq. de y;.-niLiophényl-
hîrot«tQine sodée. Le produit formé crist. en aig. jaunes sol. en
k^oool f. a 110». Sol. en rouge en Na'CO^ ou NaOH dilués ppté
f^fCO*. On obtient ainsi ce produit en opérant avec les deux
apostats en sol. légèrement sodique, ou en traitant un sel de
h«t>-p.-DiiraniUne par l'acétone-dicarbonate d*éthyle et Tacétate de
!*U. U sol. alcaline du diazo-éther se saponifle après 2 heures de
^\»cK\ CO* ppte le mono sel de Aa de t acide (p^-nitroaniline-azo)
^"^one-dicarbonique^ blanc jaunâtre. L'eau à Tébullition, après
^joufs de chauffe, lui fait perdre le GO* le plus éloigné du groupe
^ ivec formaUon de l'éther 0«Az . C«H * . A z^ Az . CH<^^*^*^3*'
■^i* oUemi par Fauteur avec Tétlier acétylacétique copule avec le
'^denilrosamine. HCl à 100/0 à rébullition, pendant 4 jours,
î'^^rfonae Téther en l-p.-nitrophényl-3-méthyl-4-{p.-nilranilinazo)-
^IT'wlooe avec un peu d'acide /?,-nitranilinazo-acétyiacétique.
*^ «ternier est très sol. dans Tac. acétique; le précédent à peine.
^ nruolooe a été identifiée avec celle que Bijlow avait déjà ob-
i^ttoe pv saponification du (/>.-nitranilinazoj acétylacétate d'élhyle.
CPAz-C«H'-A< I
eO ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
Anhrdro-acidep.-nUfaniHnazo-acétone-dicarbomqae \
î=G-COïH '
-c=ch-coîh'
— En trailant l'azo-éther précédent par la potasse Blcooliqi»,
froid pendani quelques heures, on obtient, après solution préalabl
uD pptë d'aig. jaunes sol. en HH), qui est ud sel de polassiui
celui-ci dissous puis ppté HCl, rournil ua ppté d'aig. incolores»
en H«0 bouillante de l'anhydro-acide f. à 251-. Sol. en H«9
conc. sans coloration. Sai dam. acide, crist blancs, f. à 275' s
en H'O. Sel de phénylbydraxîne C'H'^O'Az'', aig. réunie»
mamelons f, à 210°. Sel acide dAg, aig. peu aol. en H*0. Eh,
colorant à l'air. Ether moiio-éthyUque, aig. i. à 180".
Piiénylhydrazone du diazo'étber
XO'C»HS
0»A.-C«H*-A^^=A^. ,.A,HC«HS.
— Crisl. rouges, f. 160*, obtenus par un contact de 48 heures en'
le diazo-éther et la phéuylhydrazine en sol. alcoolique. Se dis«
dans H'SO* conc, en bleu pur.
i'phényl-S-acétated'étbyle-4-(p.-nitranilinazo)-5-pyratolooê
,CO-A«-G«H*
0»Aï-C«H»-Ai-Ai-CH/ ^ t
— Beaux cristaux rouges obtenus par ébuUition de la sol. alco
tique de phénylhydrazine et de diazo-éther. On filtre à chaud; p
i-e froid isseinent se sépare un isomère crist. jaune. Le comp. nmi
f. à 189", peu sol. en alcool, sol. en C"H* et CHGl* d'où le ppw
ligroïne. H*SO* conc. le dissout en orangé. NaOH le dissout et CI
l'en précipite. Avec NaOH à l'ébullition, en sol. alcoolique, pei
G*!!".©!! et fournit Vacidc pyrazotoae acétique aig. jaune-roug*
à 1S>6°, et perdant au-dessus de cette temp, CO* avec formation i
iyI-S-méthyl-4-(p.-nilranilinazo)-5-pyra£olone.
liéiiyl-S-(nilranilinazo)-aci-lale détliyie pyrazoloao
/CO»C>H*
0»Aï-C«l 1»-Aa— Aii^C<
a vu plus haut la formation de cet isomère qu'on peut *o^
CHIMIB ORGANIQUE. 491
rair en opérant en sol. acétique. On le sépare mécaniquement
débourbage, de l'isomère précédent, rouge; il est plus léger
\ ce dernier. Aig. jaunes, f. à 2â4<* déc. Les alcalis alcool, le
onifient. Uaeide crist. de Tac. acétique en aig. vertes i. à 205"^
. ; sd. en H*SO* conc. jaune.
-rêrbêmino^S-ip.'miraniUuazoyacétate dt étbyle-ô^pyraxolone
.0
0»Ax-C«H*-A2= A«-CH ^
/CH2-C02C2H5
/^Aaz
\cO-A2-GOAzH2
Obtenu par Inaction du chlorhydrate de semic/arbazide sur le
a>éiher, en sol. alcoolique. Lamelles jaunes f. à 215*. On n'a
fr(d)«effvé la formation d'isomère rouge.
Dx/oe du diazo-étber C**H*H)^Az*. — Obtenu en laissant on
tticl vers 60* les sol. de HCl hydroxylamine et diazo-éther. Au
W de 1/2 heure se précipitent de fines aig. jaunes f. à 160*.
^ pjUtraailiaazoyacétate (TétbyJe'ô'isoxazoIoDe
02 Aa-C^H*- Az — kz-rr rX
H H«C I
0=C— 0
CX)2C2H5
j\az
G
"OlKenu comme le précédent, en opérant à l'ébullition. Aig. f.
iW». Sol. en vert dang H«80* cono. ; sap. par NaOH.
•* p 'Bitrâûilinazoj'X'CétO'gluianmido
0»Az-C6H*-Az - Az-:r.C — C(
.zH.
:Az-nr.C — COv
H CD JJAj
I
CH3.
•^OUeou en ajoutant une sol. conc. d'AzH* à une sol. alcoolique
•^^Uzo-éther. Aig. orangées, sol. en alcalis, ppté par les acides.
^ pàéoylbydrazone. Crist. bruns, f. à ^75^
^'^tropbéD)rI^'inéibyI'4'(anWne'azo)'6'pyrazoloi2e
H3C-C==Az
C*H*-A«=Az.CH
ot
Az.C6H*Az02
-OaVotaienl en faisant bouillir è Pnscendanl, une sol. acétique
492 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGER».
de 1 mol. p.-nitrophényl-hydrazîne et mol. d'aniline-azo-avi
acétate d'éthyle. Aig. jaunes, sol. en C«H5AzO«, et CH»COJ
à 249*». V. AUGML
Caractéristique des combinaisons amidcasoiqnes; R. HOi
et M. HEINZE {D, ch. G., t. 34, p. 881 ; 20.4.1901). — Dans M
de caractériser les combinaisons p.-amido-azoTques et o.-ai^
azoïques pour lesquelles on a admis, vu les différences qui
présentent, des constitutions dissemblables, les auteurs, ej
basant sur les considérations théoriques qu*ils émettent au d
de leur mémoire, ont étudié la condensation des dites col
naisons avec le tétraméthylbenzhydrol.
La condensation de quantités équivalentes d*un composé {i
amidoazoïque et de Thydrol de Michler s'effectue à la tempéra
ordinaire dans l'espace de 12 heures et au B.-M. beaucoup]
rapidement. En chauffant au B.-M. le p.-amidoazobenzène \
rhydrol en solution alcoolique, les auteurs ont obtenu la benÉ\
azo-phényl'leucauramine
C6H5 . Az2 . C«H* . AzH . CH [C^H* . Az(CH3)«p .
qui cristallise en prismes bruns, F. 156°,5. Ce composé, diffli^
ment soluble dans Talcool et Télher, facilement soluble dani
benzène et l'acétone, se dissout dans les acides avec dive^
colorations; laissé longtemps en contact avec HCl ou H'SCHétd
ou plus rapidement à chaud, il se décompose en sel d'amidod
benzène et en télraméthyldiamidobenzhydrol ce qui le caraclèï
comme benzèneazo-phényl-leucauramine. Il fournit par acélylat
Tacétyl-p.-amido-azo-benzène.
La condensation <ie la benzène-azo-a-naphtylamine avec l'hy^i
de Michler a conduit à un résultat analogue; la beaidae^i
mphtylleucauramine qui s'est formée cristallise en prismes jôU
brun, K. 23i-235«.
Uuant aux combinaisons o.-amidoazoïques elles se disting"^
dans cette réaction des composés p.-amidoazoïques en ce ^
qu'elles ne fournissent les leucauramines qu'à une tempén»W
maniérée tandis qu'à celle du B.-M. elles donnent des auraniin*
En abandonnant pendant 12 heures à la température ordin»*
et en aj^Mlant de temps en temps, les solutions alcooliques dV*3
p.-amidololuène et d'hydrol, on a obtenu la leucauramine correl
pondante qui cristallise dans le benzène par addition delig^"
en aiguilles rouge rubis. F. J74*»,5. Celte pAoluène-azo-p'^^^^
leucauraïuine chauffée, en solution alcoolique, se tranéfornw 1
CHIMIE ORGANIQUE. 493
'wmitw correspondanle, feuiilets orange F. 190*», que l'on oblien
jement eo chaulTanl directement les solutions alcooliques de
>azo-p.-amidotoluène et de Fhydrol de Michler. Cçtle auramine
Kiadée par les acides minéraux en o -azo-p.-amidotoluène et
mnétliyldiamidobenzophénone.
«c» auteurs ont opéré aussi la condensation de la benzène-azo>
iaphtylamine avec Fhydrol et ont obtenu à la température ordi-
reou à 40*, la benzène-azo-^-napbthylleucauraûiine qui cristal-
f dans l'acétone en aiguilles rouge écarlate,F.184'». Ce composé
scindé par les acides minéraux étendus en tétraméthyldiamido-
Mhydroi et benzène-azo-p-naphtylamine. Il est transformé par
uilition avec de l'alcool jusqu'à dissolution en combinaison
Éb riche en hydrogène C^^H^'Az*, mais il reste à déterminer
t«iLe substance constitue la benzène-azo-p-naphtylauramine
C«H5, Az2.C«0H«. Az : CfC«H*. Az(CH3)2]2,
I U télramélhyldiamidotnphényldibydponapbtO'OL'triazine
.Az.AzC«H5
i|C6H4.Az(CH3)2]2 tr. REVERDIX.
<AZ. AZ^^'n*»
I
-Az.CICfiH».
Syiihèee des pyridinas aromatiques ; A. E. TCHITIHIBABINE
bru. Soc. pbys. ebim, 7?., t. 32, p. 146, 2" p.; 1900, fasc. 8).—
Wjôur a employé le procédé de Ladenburg pour préparer des
Nnolngues de la pyridine contenant un noyau benzénique. Chauf-
•l en tubes scellés, vers 260-280^, de Tiodobenzylate de pyridine
1>^n par l'auteur dans l'action de Tiodure de benzyle sur la py-
é.n*. cristaux, F. 97**), on a obtenu une base ayant la composition
kbbcazylpiridineCW^.CH*-C*H*Az. Par oxydation au moyen do
Ûfcn> en milieu neutre, cette base donne de Tac. benzoïque ;
*<ny'iaUon en milieu acide a donné avec certitude Tac. isonicotique
Khc. picoUque. Une étude plus complète a prouvé la présence de
li3ymeres. L'isomère (I) a un chloroplatinale (C**H«*Az,HCl)*PtCl*
ftcnMaux orangés, F. 183*, et un picrate C««H««Az,C«H«(AzO«j30H
* crfâiâox prismatiques, F. 140^. L'isomère (II) forme un chloro-
[<«i»ale cristallisé en lamelles dorées, F. 207'», et un picrate cris-
'*lit^ en peUles aiguilles, F. 136-138^ C'est de ces sels qu'on a
oirtil les bases; la base (I) bout à 276% ûI*^= 1,054 ; la base (II) bout
i!^,<]f=|,06i. Par oxydation en milieu acide, la première
4ûwt Fac. pîcolique, et la seconde l'ac. isonicotique; par consé-
f^ttldf a la structure de Va-benzylpiridine et (II) celle de la y-ben-
Op^liae. Par oxydation ménagée, (II) a fourni une substance de
494 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
caractère cétonique, donnant une hydrazone cristallisée el ^
encore étudiée, a. coavisi.
Contribution à Tètude de la synthèse (de Hantzsch) deV
dihydrocoUidine-dicarbonique; PaulRABE et Adolf B
(D, cb. G., t. 33, p. 8806-40; 31. 12. 1900). — Elher 4-/»
2'aminO'2'heptène' ô^one-S .ô-dicarbonique
CH3-C=C-GO»C2H5
I I
H^Az GH-CH3
I
CH3GO-CH-G02G2H5
— Obtenu en faisant passer, à 0'', un courant d'AzH* sec dans
sol. alcoolique d'éther a ou ^-éthylidène-bisacétylacétique.
crist. f. à UO"". Il se dissout dans les ac. dilués froids et se
cipite non altéré, par neutralisation immédiate. Soumis plus 1
temps à Taction de Tacide, il fournit Téther primitif par d
d'AzH^. Les alcalis sont sans action.
Pbénylhydrazone (C*H»AzH.Az= remplace AzH«). — On Fi
tient en traitant Téther aminé précédent, ou celui qui lui a ri
naissance, par la phénylhydrazine. Aig. f. à 203*; Knœve
Klages {Ann, rf. cbem,^ t. 281, p. 105) disent avoir obtenu,
Taction de AzH* sur Téther éthylènebisacélylacéiique, de T
dihydrocoUidine-dicarbonique; les auteurs n'ont pu en obsene
formation en aucun cas. v. auge».
Sur les nitrostilbazols ; K. FEIST(Z>. cL G., t. 34, p. 4&(
6.2.1901). — En chauffant 6 heures en tubes scellés à 2ib' ù
mél.équimol. de o.-m.-ou-p.-nitrobenzaldéhyde et de a-picoline,
traitant leprod. brut par HCl aq., on obtient des sol. qui précipif<
par HgCl*. Les sels deHg obtenus et purifiés sont ensuite déc.fi
H*S, ce qui fournit les chlorhydrates purs,
0'NilrofitilbazolCm^.\zCH=CH,C^H*AzO*, crist. de l'alcfl
aq. en fines aig. incol. f. à 96^ HCI se/, aig. f. à 210-21^ M
Cbloraurate. Chloroplatinate f. 220-254» déc. — Dibromare
C^HïOAz^O^Bra,
I
obtenu par simple addition de Br. prismes incol. f. à 168^
m-NUrostilbazol lamelles jaunes f. 127». HCl sel^ aig. ja»o^
déc. à 200». Cblorauratet 187*. Chloroplatinate L 240*déc.<6AH
mure prismes aig. I. à 153*.
CHIMIE ORGANIQUE. 495
X'^itrosUlbêxol crist. mamelonnés f. 126"*. HCI sa/, aig. f.
i0.i80*déc.— Cbloromercurate (C«»H*0Az«O«HCl)«HgCl«,H«O.
% jauoe-rouge peu sol. aq. f. i95«. — Chloraurate f. à 205" déc.
éfroplâiiuaie f. 206* dëc, dibromure crist. jaune-clair f. à 173*
V. AUGBR.
lonrelle méthode de préparation d'imidazols substitués;
uuKOHCKELL (/?. cb. G., t. 34. (VII). p. 637-42; 28.2.1901).
Les amidines réagissent sur les cétones halogénées; une mol.
0 et IHDr sont éliminés avec formation d*un imidazol. Ex :
<A2// 0C-G«H5 ^Az— C-C^H5
4-0. I =C6H5-Gf II +H20+HBr
AzH// "^p>C-n NAzH-CH
L'HBr formé s'empare d*ailleurs d*une autre mol. d*amidine en
Runt un bromhydrate. Une autre réaction serait possible :
v^AiH Br-CH^ >^Az-CH2
CHlMif + I =G«H5-CC I +H20 + HBr.
\AiHî 0C-C«H5 \Az=C-C«Hi
*Ais, !• le produit de la réaction donne un sel d*Ag, ce qui indique
H relié à TAz, et 2* la réaction n*a pas lieu de la même façon avec
tt cétones qui ne contiennent pas au moins IH fixé sur le même C
^ rhalogène. Ex. :
^AzH OC-G«H* ^AzH
1*1 CHIi-Cf 4- I =G«H*C +HBr.
NazH// BrC=(CH3)« \\zH-C=(GH3)a
OC-C«H*
1 y^ràiphéaylimidazol (l'* réaction). — On chauffe 6 h. à Fascen-
^1, aoe sol. CHCl* de benzamidine, avec la bromo-acétophénone.
Oo énpore CHa«, lave à Teau chaude, lave le résidu sec au C^H* ;
«^ de Talcool, aig. f. à 198*. — Chlorhydrate, f. à 264*. — Sel
^•^9« ppté blanc instable, obtenu par précipitation de la sol. alcoo-
fiqaederimidazol par AgAzO^Am.— ICH3,IC«H»,CH«Br^0-C«H»
i<ooniig6eiit avec Fimidazol, un sel d*ammonium; celui-ci traité par
"^ alcili perd Tbalogène pendant que le reste organique émigré sur
«irVwtreAz. Ef. :
CH3 I
.Az— C-C«H» >^Az.C-C«H*
C»Hi-Cf II WÊh^ C«H5.CC II
\AzH-CH NAz-CH
i
H3
496 ANALYSE DES TRAVAUX BTHANGBHS.
^L-pbényUoL'p-tolyl'imidazol obtenu avec la chloro-inéthyl-p4dl
cétone, f. à 138*».
)i.-7.'diphényl'^'méthyUnndazoî C*H*.C^ n obt^i
xAzH* Cl . CH^
avec ra-bromopropiophénone f. à 213% son chlorhydrate f. à dM
^'fhtolyl'ti'phényUmidazol CH3.C«H».C^ n obM
avec la p-toluylamidine et la bromacétophénone.
BenzamidinO'iaobutyrophénone [voir plus haut, réact. (2)], crrt
f. à 175*. Sa phénylhydrazone crist. de Talcool en aig*. jauaJ
f. à 110\
Phénacalbenzamidine C^H^X^v^^pu p^ r^u^ ®^' ^^^
par Taction de la benzamidine sur la dibromacétophénuo
Br«CH-CO-C«H», par départ de 2HBr. Aig. f . à 224^ v. aucer.
Synthèse de ra-p-r-Môtraphônylpipérazine; Julius SCHMIB
(D. cb. G., t. 34, 627; H.3.1901). —Le diphényldinilroélhane <#
les diphényldinitroéthylènes décrits dans les notes précédente
conduisent par réduction à lap-Y-ô-tétraphénylpipérazine ;
C«H5-C-Az02 C«H5-CH-AzH3
Il WIH>- 2 I
C6H5-C-Az02 C6H!i-Cn-AzH2
AzH
C«H5-CH.^^CH-C«H5
2AzH3+ j I
C«H5-CH\X:H-C«H5
AzH
5 gr. de ,Q-diphényldinitroéthylène sont dissous dans 200 ce. dV
acétique à 70 0/0 bouillant, on introduit en 5 heures 15 gr. à^
poudre de zinc. La solution filtrée est sursaturée par NaOH et la
base extraite à Téther. L'élher évaporé, laisse une huile jaupe.;
qui se solidifie en partie. '
Le chlorhydrate est en aig. blanches, f. à 251-256*'. Le chlor^^
pîatinate, f. à 201° en se décomposant. Le picrate^ i. à 18o-!87*. '
R. MARQUIS. I
I
Combinaisons de T aniline et de la qninoléine avec les tridilo-
rures métalliques; Hugo SCHIFF {D, cb. G., t. 34, p. 804; 20.1
1901). — Des communications récentes de Vanino et Hauser sur
ce sujet, engagent Fauteur à réfuter quelques unes de leurs asser-
CHIMIE ORGANIQUE. 497
Ds eo doonaot les indications suivantes sur quelques combinai-
» de ranilioe et de la quinoléine avec les trichlorures métal-
Le chlorure de bismuth cristallisé n'est pas sensiblement attaqué
iroid par Taniline, même après quelques heures; la combinaison
[3H.3CWAZ a été obtenue autrefois en opérant à chaud et celte
bstaoce se transforme par dissolution dans HGl en sel double
B>.a(?FrAz.HC1.3H«0, qui cristallise dans Tacide étendu en
igues aiguilles, perdant leur eau de cristallisation à 100^; le sel
hydre a été décrit par Vanino et Hauser.
Le trichlorure et le triiodure d*antimoine se comportent envers
Dihiie de la même manière que le trichlorure de bismuth ; on
ire aussi avec les solutions dans le benzène anhydre
SbC13.3C«H''Az,
istallise en aiguilles incolores F. vers 80*, 8bP.8C*H"'Az ne se
pDe qu'au-dessus de 100* et cristallise en petites aiguilles jaunes.
Le sel double SbCl*.3C«H'îAzHC1.3H«0 ressemble beaucoup au
M correspondant de bismuth ; il cristallise de sa solution alcoo-
que acide en longues aiguilles. La quinoléine se combine de même
*^le chlorure de bismuth à une température élevée et la substance
blrnne se transforme lorsqu'on la chaude avec HCl en sel double.
A^ec les deux combinaisons récemment décrites par Vanino et
baser, on connaît maintenant la série
lfc:P.C»H^Ai . Ha, BiQa . âC^HUz . HQ, BiCP . aC^H^Az . HCl.
I Celte dernière substance peut aussi être obtenue par la réunion
h^^ de ses composants; elle cristallise de l'acide chlorhydrique
tleodu eo prismes rhombiques. f. revbrdin.
ÎUosiBtmiiieB halogénées Bubstitaôea; Augustus Edward
■HOKCAexD. Soc, t. 79, p. 553; 4.1901). — p-Cbloroally/thio-
"^rbimide CH«=CGl-CH«.AzCS et ses dérivés. — Ce corps a été
V'^ptré en mélangeant Ta-épidichlorhydrine avec un excès de
^^*<^oate de potassium alcoolique chaud; c*est une huile inco-
^t bouillant à ISS**, soluble dans Talcool, peu dans l'eau. Cette
^^'Stance réagit sur l'ammoniaque alcoolique en donnant la
***toroallylihio-urée de Henry. Celle-ci, chauffée avec l'acide
■****^nicétique, fournit le chlorhydrate de la p-chloroallylthip-
"î'iaalQiiie
<S — CH2
I ,HC1,
AzH-CO
••c «wi,, )• g^^ T. XXVI, 1901 . - Tf av. étrang. 32
498 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
formant une niasse blaache cristalline peu soluble dans Talcooil
fondant à 185-186*. Par traitement à l*eau, on obtient da la ttfl
hydantoïne.
La chlorhydrate, cité plus haut, additionnée de potasse, lai«
déposer la base en précipité cristallin, soluble dans Talcool, moi
dans Teau chaude, peu dans le benzène.
Le chloroallylthiocarbimide mélangé à Taniline, dépose i
solide jaunâtre, cristallisant en tables fondant à 91-92% peu soIoU
dans Teau et Téther de pétrole, très solubles dans l'alcooU i
alcalis et les acides sulfurique et chlorhydrique concentré* J
corps est rab-p-chloroallylphénylthiocarbamide. En remplar^
Taniline par Tortho ou la paratoluidine, on a les chloroaliyllhiod
bamides correspondantes. L*isomère ortho est en prismes viirw
fondant à 84-85*, insolubles dans l'eau et le pétrole léger, solul^
dans le benzène et Talcool ; Tisomère para est en tables tricliniq^
insolubles dans l'eau, peu dans l'alcool, fondant à 127-1 28*.
La benzylaniline dans les mêmes conditions fournit de fin
aiguilles, fondant à 77-78*. insolubles dans l'eau et les alcalis, f
solubles dans le pétrole léger, solubles dans l'alcool, le benzcnr
le chloroforme.
La pipéridine donne des tables quadrangulaires, brillantes, tm
parentes, fondant à 146*5-147*,5, insolubles dans l'eau, soluhl
dans l'alcool.
La benzylamine dépose, dans les mêmes conditions, des pritiffl
réunis en rosettes brillantes, fondant a 69*, presque insolubles dd
l'eau et le pétrole léger, solubles dans les autres solvants or^i
niques.
La phénylhydrazine dépose des prismes blancs d'a-chlorj
allylp-phénylthiosemicarbazide C'^H^Cl.AzH.CS. AzH. AzH.OH
insolubles dans l'eau, solubles dans l'alcool.
Tous ces corps obtenus ne sont pas désulfurés par ébullitj<i
avec le tartrate de plomb en solution alcaline.
P'CblorO'^-f'dibromopropylthiocarbiiaide
CH2Bi-CClBr.CH2-AzCS,
et ses dérivés, — La p-chloroallylthiocarbimide réagit sur le broiiu
en opérant en solutions chloroformiques refroidies à -^ 10* «
donne le corps ci-dessus. Cette substance avec raniline, donni* n
dérivé cyclique
/CH^—Sv CH2Br-CCl — Sv
CClBi< V.-AzH-C6H5 ou | >C-A«H.C*II*
CHIMIE ORGANIQUE. 499
Me cristallin jaune fondant à 112-113'', peu soluble dans l'eau, le
Irote léger, Talcool, soluble dans les autres solvants organiques.
La benzylamine donne un dérivé analogue
<3— Sv CH2Br-CCl— Sv
>C-A2H-C^H^ ou I y>AzU-Qm\
^Plz^ GH2-Az^
i, après purification, se présente en prismes brillants, fondant à
[•108*, solubles dans Talcool.
Auteur tire de son travail les conclusions suivantes :
[• La J-chloroallylthiocarbiraide s'unit directement à Tainmo-
ffue et aux bases primaires et secondaires en donnant les thio-
ies ou thiocarbamides chlorées substituées correspondantes;
I mbstances possèdent les propriétés similaires de celles de
tis analogues non chlorés ;
fe* la ^hloroallylthiocarbimide absorbe le brome en formant la
^ro-^v.dibromo{)ropylthiocarbimide qui s'unit aussi aux bases
pniques, mais avec élimination d'une moitié du bromure sous
me diacide bromhydrique et formation de composés analogues
teux obtenus par les autres bases grasses halogénées et les thio-
pbioiides ou par les thiocarbimides grasses halogénées et les
•ts azotées. a. hébert.
^li isomériqnes contenant l'azote pentavalent {!" partie).
fiiMcamphoBalfonatee de benzylhydrindamine ; Frédéric
Nej nPPIHG elHarold HALL (Chem. Soc, t. 79, p. 430;
1901). — En traitant la benzylhydrindamine par l'acide a-bromo-
Viibosalfonique, on obtient, par cristallisation fractionnée, deux
fc isomères. Décomposés par la baryte, ils donnent une base
Hiquemenl inactive. Comme ils contiennent à la fois un atome
p carlMoe asymétrique et un atome d'azote pentavalent, ils
toveoi être considérés comme les sels de deux bases racéraiques
îff^ales.
Les sels obtenus avec les acides d.-camphosulfonique et d.-hy-
TOy-cisr^r-camphanique ne sont pas résolubles en deux isomères
w cristallisation.
^^otj^lbfdrindamine, — Préparée en chauffant au bain-marie
tt mélange de chlorure de benzyle et d'une solution éthérée d'hy-
™damiûe. Le chlorhydrate obtenu cristallise en petits prismes,
'*<^t vers 180-181*, solubles dans l'eau chaude et l'alcool. La
"*^ K présente sous forme d'huile incolore, insoluble dans l'eau
'^«i*, peu distillable avec la vapeur d'eau.
500 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERb.
Bromocampbosulfonates de benzylbydrindamine. — La h
est traitée par un faible excès d'acide d.-bromocamphosulfoQÎ^
en solution alcoolique ; les cristaux qui se déposent peuvent *
fractionnés en deux sels : i"" le sel a, moins soluble, formani
tables brillantes et transparentes, fondant vers 210-21 !•, insoli
dans réther, peu soluble dans l'acétate d'éthyle et l'eau hv
soluble dans Talcool et le chloroforme. [(x]jj = -(-50*» dans Pal*
et -|- 40° environ dans le chloroforme. La base qu'on en tirait t
inactive; S"" le sel p, plus soluble, en prismes microscopiques,
dant à 192-194°; [a]^ = 4-51°,5 dans l'alcool et + 44° environ d
le chloroforme. La base qu'on en tire est la même que ci-dess
Picrate de benzylbydrindamine, — Le bromocaraphosulfoi
de la base en solution méthylique diluée était précipita par ra(
picrique ; le picrate se présente en prismes jaunes, transpare
fondant vers 162-163°. Les bases obtenues en partant des
a et p étaient bien les mêmes.
Campbo^'SuIfonate de dl.'bydrindamine. — En neutralti
Tacide par une solution aqueuse alcoolique d'hydrindamine etj
fractionnant au sein d'un mélange d'alcool et d'acétate d'éih]
on obtient deux portions extrêmes identiques, en prismes tranii
rents fondant à 167-168°, solubles dans les solvants organiqu
sauf dans l'éther; [a]j^ = -f 13°,8 environ dans l'eau et +2^
dans l'alcool.
d.'bydroxy-cis-^'Camphanale de dL-bydrindamine. — L'atj
saturé par la base en solution aqueuse fournit un sel qu'on ir\
tienne et dont les portions extrêmes sont identiques. Ce sont i
prismes fondant à 206-207°, solubles dans l'alcool froid et 1'^
chaude. Les cristaux hydratés sont insolubles dans le ehloroforï
l'éther et l'acétate d'éthyle.
BromocampbosuUonate dbydvindamine. — Les déterminati^
exécutées sur ce sel ont montré que le sel p ne renferme {
d'acide l.-bromo, et que sa faible rotation moléculaire est due il
présence d'hydrindamine. a. hébert.
Handélates d'hydrindamine isomères et phénylchloracétli
drindamides ; Frédéric Stanley KIPPING et Harold HALL {Cbe\
Soc, t. 79, p. 442; 4.1901). — En cherchant à séparer en M
parties la d.-l.-hydrindamine par l'acide dl.-inandélique, on n'o
tient, par fractionnement, que des portions identiques. Ave»'
chlorure de d.-l.-phénylchloracétyle, on obtient deux dérives Jâi
mères, ce qui montre que la base est racémique. Le d.-mand<fl^
de d.-l.-hydrindamine n'est pas résoluble en plusieurs fraftn»i
CHIMIE ORGANIQUE. 501
r cnstalliâation; c*est donc un sel partiellement racémique
IB. dAdB, Les sels d'hydrindamine dérivés de Tacide mandé-
tk^ racémique et de Tacide d.-mandélique ne dilTèrent que
r l<^r pouvoir rotaloire et ont leurs autres propriétés sembla-
it. On en conclut que les trois composés optiques différents
JH, dATB, /A/B forment des mélanges isomorphes.
Le dl.-mandélate de d-l.-hydrindam,ine est soluble dans Teau
lude et ralcool, peu dans le chloroforme et Tacétate d*éthyle et
ioluble dans Téther; ses solutions aqueuses sont légèrement
nomposées par Tébullition.
te phénylchloracéthydrindamide A, moins soluble, fond à 149-
|l*; se présente en tables transparentes non solubles dans Teau,
■ dans réther; elle est soluble dans Talcool et l'acide acétique;
b Q*est pas hydrolysable par l'eau, mais seulement par Tacide
Ihuique étendu. Le dérivé B est en longs prismes transparents
klofl^rés et fondant à 123-124''. Les deux isomères sont inactifs.
L'icide d.-mandélique, neutralisé en solution alcoolique par
tfdrindamine, donne un sel qu'on fractionne et dont les fractions
(traînes fournissent dans Teau les pouvoirs rotatoires suivants :
Première fracUon [«]^ = + 64M; [M]^ = + 183»
Dcrnièi-e fraction =4-62«5; =+118'»
Wlacide mandélique, la rotation moléculaire = + 228®; il y a
^ eu dissociation incomplète et racémisation partielle.
Lt^ auteurs ont attentivement vérifié les points de fusion des
lindélates d'hydrindamine complètement et partiellement racé-
«ques et les ont trouvés être respectivement de 140-1 41®,5 et de
W*. A. HÉBERT.
Sv les dériYés du cyclopentadiéne ; Johannes THIELE (D.
^ C., i. 34, p. 68-71 ; 16.1.1901). — Cyclopenladiène-potassium,
r Ou opère au réfrigérant ascendant, en refroidissant bien le
^oQ;le potassium, finement granulé dans le benzène, attaque
Violemment le cyclopentadiéne en sol. benzénique. Le produit
*naé est blanc, insoluble en C«H«.
.<drfe hiê-cyclopentadiène'carboaique (C*H*.CO'H)*. — On
'ï^'^t le sel de potassium brut, en dirigeant un courant de CO*
■*»«» le sel potassique, décrit plus haut, et en suspension dans
CHlV U sol. aqueuse pptée par SO*H* dilué fournit l'acide brut
<iu'<m porifie pup transformation en éther méthylique, puis sapo
"^ûcalîon. Crist. tab. ou prismes, f. à 210*, peu sol. en H«0
**^ l. sol. en alcool, peu en éther.
502 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ether méthylique (C»H»C0«CH«)2. — Crist. de la li^lofr
aig. f. à 85**, bout à 220*, se transformant en éther mon'
laire huileux ?
Tétrabvomure C«*H«60*Br*. — Obtenu par raction de Br
lumière, en sol.CHCl^sur Téther méthylique. Crist. déc. versl
f. à 180-185*» fortement déc.
Le cyclopentadiène réagit avec une sol. amm. d*Ag. en fourni:
un ppté blanc noircissant rapidement. De même la sol. alcaliQ<>
Cu = ppté jaune HgGl« + CH«CO«Na, en sol. alcoool =
incristallisable C*H*(HgCI)*. Ce travail sera continué, v. auokb^
Sar la découverte d^un alcool aromatique dans Tessenos^
rose allemande ; H. v. SODEN et W. ROJAHN {D. ch. G., 1. 1
p. 1720; 1900). — Les auteurs ont trouvé Talcool phényléthyliq«
dans le résidu aqueux d'une seconde distillation de Teau de roâ^
800 kilogr. de ce résidu ont donné environ 200 gr. d'alcool. *1
dernier a été caractérisé en le transformant, par oxydation, «
acide phénylacétique, et identifié à Talcool préparé syothéiiqw
ment. L'eau de rose et Tessence de rose contiennent aussi q
petites quantités de cet alcool. r. marquis.
Sur la présence de Talcool phônyléthylique dans Tesseiu
de rose ; H. v. SODEN et W. ROJAHN (/>. cli. G., t. 33, p. 3064
1900). — Suite du travail précédent, réclamation de priori!
contre H. Walbaum. Les auteurs ont recherché Talcool pliénjl
éthylique dans la pommade à la rose et dans une essence de ros
pure française, ainsi que dans une essence de rose de Bulgarie, fl
ont pu en caractériser dans tous les cas. r. marquis.
Sur le thuyône, un nouveau terpéne bicyclique ; L. T8CE0
GAEFF {D. ch. G„ l. 33. p. 3118: 1900). — L'auteur considèn» \
tanacétène (thuyène) obtenu par Semmler dans la dislillalic*
sèche du chlorhydrate de tanacétylamine (thuylaminei conun
un dérivé de Tisothuyone, et lui donne le nom d'isothuyène.
11 a appliqué à la préparation du vrai thuyène (c'esl-à-dire à\
carbure possédant le squelette bicyclique de la thuyone) sa raélhoi*
de préparation des carbures éthyléniques au moyen des composai
xanthogéniques.
Valcool thuyiique, préparé par réduction de la thuyone f
moyen de Na, est transformé en tbuylxanthogénale de méthr^*
(50 gr. alcool thuylique sont chauffés 20 heures à Téb. avec 8 p
Na et 100-160 gr. de toluène ou de xylène, la solution est tniil^
ensuite par CS* et CH*I). Ce dernier, soumis à la dislilialioDsècb*'
CHIMIE ORGANIQUE. 503
ime uo carbure C*^W^ que Fauteur considère comme le thuyène,
»alà 151-152-,5; Df = 8,8275; N^ = 1.4504:2 à 20»; réfraction
liée. 44,21. Ce nouveau terpène est fort instable, oxydable par
ir, attaquable par les acides en se colorant en brun ; il ne donne
» de citrosochlorure cristallisé ; agité avec une sol. conc. bouil*
ite et acétique d'acétate de Hg, il donne naissance à une subs-
ice cristallisée insoluble dans la plupart des solvants. L'auteur
ppuie sur les propriétés physiques de son carbure pour montrer
il appartient à la série de la thuyone. II possède un incrément
réfraction de 0,67, comme tous les corps de cette série; son
tnme moléculaire 164,2 et son point d'ëbullition conduisent
là à cette conclusion, filn admettant la formule de Wagner pour
âiuyone :
.CH GH-CH3
XiH CH3
thuyèoe ne peut avoir qu'une des deux formules suivantes .
.CH C-CH3 r.n CH-GH3
a< G<^"3 IIh , CH\''^i<^|Î3 Ah
\l^ . \ . CH3 ,1
^GH CH2 \GH CH
1. U.
Or selon toutes probalités, d'après G. Wagner et A. v. Baeyer, la
^n&ule 1 appartient au pinène. D'autre part la formule II parait
'^'^nùssible, à cause des différences de prop. physiques entre le
loèoe et le thuyène, qu'un simple déplacement de la double liaison
>nit impuissant à expliquer. L'auteur admet donc dans le thuyène
^ QOfiu triméthylénique, et montre qu'un certain nombre de
^■^raséa iriméthyléniques possèdent un incrément de réfraction
'^ de 0,67. La formule de Semmler pour la thuyone (tana-
e«tQiie)
GH3
I
GH
ch/
GH^'
CW CH3
"'^^■ïiiUplus convenable pour expliquer les faits observés.
R. MARQUIS.
50i ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGEKS.
Bromuration à fond de la menthone ; Adolf BABTER al
SEÏÏFFERT {D. ch. G., t, 84, p. 40-53; 7.1.1901). — Br(m
ration, — On opère dans un mélange réfrigérant; après introduit
lion de 400 gr. Br pour 50 gr. menthone, on laisse 10 jours <
contact à froid. Le produit brut débarrassé du brome par é
tion à froid en capsule plate, contient surtout : G*®H*Bï*0
CH^Br^O. Pour isoler CH^Br^O on traite le produit brul ptf
potasse alcoolique; le C^^H^Br^O perd 2HBr et se transforma
G*^H«Br*0, ou tétrabromo-dimélhylooumaroDe insoL La sol.
cipitée par HCl fournit C^H^Bi'^O tétrabrom(hm.-crésylolLk\
Si on le traite, en sol. alcoolique, par Na, il fournit du m.
Bylol pur.
Composé C«oH8Br«0. — On Tisole difftcilement de /a
brute, par Téther dans lequel il est peu soluble. On termine
plusieurs crist. au CHGl^. F. 149* en déc. Peu sol. en
Très décomposable, même par Talcool, en perdant 2HBr. L*
et surtout la potasse provoquent immédiatement le départ de
comme on Ta vu plus haut.
Dérivé acétylè C'^mBrcOCOGH». — Obtenu par contact m
avec Tanh. acétique additionnée de quelques gouttes d*H*SO^
Petits crist. f. à 182* déc. insol. en H«0 sol. en CHa», peu sol.a
CH»OH.
Pentabromodébydrotbymol
CH3
H3G-G=GBr2
Obtenu en agitant avec une sol. diluée de NaHGf)*, une sol. élhérf»
de G«0H8Br«O. Précipité de sa sol. dans les alcalis, puis s'inso)"-
bilise avec formation de tétrabromodiméthylcoumarone. Traité ptf
la poudre de Zn et HGl alcolique, fournit par réduction du /A/w^
Dérivé acétylé G«0H«Br5OGOGH». — Obtenu par Taction ^
Tanh. acétique à l'ébullition sur le composé précédent on siw
G«oH«Br«0. Grist. 'tab. f. à 104*. Perd, par KOH, IHBr. AzO*^
alcoolique remplace IBr par OAzO*en donnant un composé f.à*^
CH3
BiY^^Br
BrlJoGOCHS
"'^-^=^<OA«Ol
CHIMIE OftGANIQUB.
TUnhromodimêthylcoumMroue
,=C-Bp'
CH»-C;
Oondéjà vu plus haut sa préparation en partant d
m brome. Cristallise du CHCl^ en aig. l. à 178°. La p
elHCI alcool, eolève en Br qui, remplacé par H don:
nmodimélb/Icouiuaroûe. Crisl. en fines aig. de l'ac.
1 156-H7' (1).
bi lu lieu de Zn, on emploie le Na réagissant seul s
Bolique, on obtient un inélanga de diméthylcoumarone
fUiydrocoumarone : par réduction totale au Na et alcoc
usfomie eo diméthylhydrocoumarone.
Truttformtttion de Fbydrocoamarone en o.-étbylpt
Bl d. i,7 à l'ébullition ouvre la chaîne de l'hydrocoumi
léDol obtenu bout à 198' sous 7S0 mm. HBr agit de mé
Bins aettement. v. ai
Sot le cUomr» de menthyle sscondairs ; N. I. KOI
fcuTD. Soc. pbys. ciiim. R., t. 32, p. 147, 2* p.; 1900, fi
V èbullilion prolongée du chlorure de nienthyle a*
'coolique, une partie du chlorure n'est pas décomposée
iwreslanleaun p. rot. gauche; pour 20 cm., 8^ — 96-6',
' ^a métallique sur ce corps fournit un seul dimenthy
KnoD UQ méUiage d'isomères, comme cela a lieu avec le
» menthyle primitif. La structure secondaire du chlo
fcmpoaé par KOH aie. est prouvée par ce fait que le di
Kt optiquement actif. — Par action de Zq(C'H>)» sur ce
de mentliyie, on a obtenu l'éthylmenthane
<CHï-CH\
>CH-C3Hi,
CîH*
Eb. HW^Q»- BOUS 757 mm. ; pour 10 cm. , «„ = — 10*.
A. COR'
V D I • ia w« emar d'impresaion, lire : 146-147' ou 15tJ-15ï*.
BOB ANALYSE DBS TRAVAUX ^n.\MGERS. |
Action de l'anhydride uotiqoe sar le camphèiM; K. I. îà
MIAllOr IJoiirn. Soc. pbj's. cbim. R., t. 32, p. 162, S* p.; 1«
fasc. 9). — Par l'action d'ua excès de Az*0' sur le campbfewi
sol. dans le chlorororme et rerroidi, on a obtenu un compo
CioM^AzO', qui est un acide éther C»Hi*OAzO«.GOaH ; sutetai
bien cristallisée, insol. dans l'eau, sol. dans les liquides organiqt
F, liO-Hl*, se décompose vers 165-170". Ayant réduit ce coi
par Sn et MCI, on a trouvé dans tes produits entraînés pir
vapeur d'eau un acide fusible à 148*, dont la composition <
C"'H'*0', et qui cristallise dans l'éther sous forme de bel
lamelles rhombiques. On obtient plus facilement cet acide
chaufiant le substance primitive avec KOH aq. Par ses proprié
il ressemble à l'ac. déhydrocamphénjlique, [.es faits obser?éss>
pliquent facilement si l'on accepte pour le camphène la fonoule
Wagner C*H'*>C=CH» et si l'on admet que le premier produit
la réaction de Az^O" est l'éther azotique du camphèneglyc
lequel , par oxydation spontanée , se transforme en l'aô
C">H»AzOï. A. coRvisv.
Sur les composas de la série du cyclocitral ; F. TIEMAl
(D. eh. G., l. 33, p. 3708; 1900) (Publication de R. Scmmidji.
S'appuyant sur l'ensemble de ses travaux antérieurs, l'aute
établit définitivement l'existence de deux séries île compo^
cycliques dérivés du citral. Ces deux séries prennent nais^an
simultanément par l'action des acides sur les dérivée du citn
d'après le schéma suivant :
CH\
V.:.CH-CH'-GH'-C(CHï)=CH-R
CIP/
CH\
m-*- >C-Cllï-CHï-CH2-C(CHS)-CH»-R
CHî/ 1 I
OH OH
CHî CH'
\/
U
CH3 ^'' CH=^jCH-H
Y // CH<>.
CH^
>-*- CHï/\cH-H
UH'
CH'li'c-l
CH*
CHIMIE ORGANIQUE. 507
Lu fonniile I convient à la série a, la formule II à la série ^. La
ice de la double liaison a été démontrée par Toxydation systé-
lûqne qui conduit, pour Vacide-ft-cyclogéranique, par exemple,
\êtide isogéronique^ puis à Vacide ^^-diméthyladipique, et pour
cide ^yelo-géranique^ à Vacide géronique et à Vacide aa-dimé-
viêdipjque
Y
lP.'^,CH-CO»H
Jc-<
H\ JC-CH'
Si
y a-ejdofèraaîqoe.
Y
a^^|C-com
CHî
CH3 CH3
Y
CH2.^^GH2
GH^l 'cO-CH3
C02H
Ae. isoféroniqoe.
CH3 CH3
\y
G
CH^v^GO-GHa
Ac. {^éroniqae.
GH3 GH3
Y
GH^/^GHî
GH2I 'g02H
G02H
Ae. ^))-diméttiyladipiqae.
GH3 CH3
\y
G
GH^^'^GO'H
GH2I.GO2H
CH2
Ac. ««-dimétbyladipiqae.
L*i-ionone, privée de loule trace de p-ionone, donne par oxyda-
tOQ, uniquement Tacide isogéronique, elle appartient donc à la
*ne de r*-cyclocitral et doit être représentée par la formule
«i^^le (1)
CH3 CH3
Y
CHî^GH.
CH>
CH.GH=GH-G0-GH3
\yC-CH3
CH
GH3 GH3
Y
GH2^^|G-GH = GH-G0-CH3
GH2
1.
II.
R. MARQUIS.
U fanaule II appartenant à la p-ionone.
tv liatersion des composés de la série du citral ; F. TIE»
**Wi!).cA.C., t. 33, p. 8710; 1900). (Publication deR. Schiiidt).
^Ucyc/ogréran/o/é/ie, obtenu avec un rendement de 60 0/0 en
*«^Um durant 3 jours le géraniolène avec SO»H« à 65 0/0, est un
"^***^ des deux isomères a et p. En effet, l'oxydation, faite à la
^^' oniioaire avec MnO*K à 3 0/0, donne un mélange d'acide
^'^îw^jgue (provenant deTa-cyclo-géraniolène) et d'acide géro-
508 ANALYSE DE8 TRAVAUX ÉTRANGERS.
nique (provenant du p-cyclo-géraniolène); ces deux acides sa
isolés à rétat de semicarbazoDeSy celle de Tac. géronique F. 16
et est insol. dans ce solvant. r. marouis.
Sur la constitution de racidea-cyclogéranique; F. TIEHAl
(D. ch. C, t. 33, p. 8718; 1900) (Publication de H. Tigoes).]
L'acide a-cyclogéranique (antérieurement dénommé par Tiemal
et Semmler ac, isogéranique) préparé par Faction de SO*H* ^
Tac. géranjque, avait d'abord reçu de Tiemann et Schmidl
formule de constitution suivante :
C(GH3)2
CHa.'^lG-GOaH
chJvI'g-ch^
qui en faisait un acide a-p non saturé. Un tel acide devait donner {]
oxydation un acide dicétonique C*<>H**0*; on trouve bien dansj
produits d'oxydation un acide de cette formule brute, mais seu^
ment monocétonique. D'autre part, en oxydant avec précautîj
rélher de Vacide dioxydibydrocyclogéranique (produit immédi
de l'oxydation de l'ac. cyclogéranique), on obtient un élher ^-eéi
nique qui, saponifié, perd GO* et donne Vacide isogéronitfue*
résulte de ces faits que l'acide a-cyclogéranique ne peut éW
qu'un acide p-y non saturé et doit posséder la formule suivante :
G(CH3)a
GH2/^|GH-G02H
Le processus de l'oxydation peut être représenté comme il suit
G(GH3)2 G(CH3)a C(CH3)î
GH»/NgH-G02H GHa/NGH-GO^H GHY'''\cH-CO«l
GH2lJc-GH3 ^"\/^^H^ ^"\/^^^<m/
CH CH^OH GO
Ae. o-eyelogénoiqie. Ae. dioijdibydro- Ae. céto-oijrdikfir»-
cydofértni^ie. fértii^M-
G(GH3)2 C(GH3)2
GH2/\gH-G02G2H5 GH2/\gH2
GH2I 'go-gh3 ghJv •go-ch»
GO>H GO*H
Éther dUDéthjUeétyUdipiqoe. Ae. iMgéraiifM.
CHIMIE ORGANIQUE. &09
L*oxydaiion de Tac. géranique doit être faite en solution neutre
l en refroidissant, avec une sol. de MnO^K à 2 0/0 en qqté suffi-
inte pour fournir un atome d*0.
Ar. dioxjrdlbydrocyclogéraniquey f. 198-200*. Ac. cétooxydi-
firoercîogéranique^ f. à 145*, sa semi-carbazone^ f. à 216**.
^hifdihydrocyclogéraniaie élhylique, préparé par C*H*I et le
î! de sodium, f. à 92*, sol. alcool et éther acétique, difl. sol.
ins H*0 et ligroïne. Diméibylacétyladipate détbyle, oxydation
p réther précédent par CrO^ à 1 0/0 à Tébullition, isolé à Tétat
B seûii-cêrhazoDe, f. à 157**. La saponification de cet éther donne
te. isogérooique avec un rendement de 90 0/0.
Uâuteur fait remarquer encore, en terminant, que Tac. obtenu
Dlérieurement par lui et R. Schmidt comme produit d'oxydation
le Tac. a-cyclogéranique, et décrit comme ac. aa-diméthyladipique,
«t comme il Ta reconnu depuis, Tac. p^-diméthyladipique.
R. MARQUIS.
Sur le cydo-citral ; F. TIEMANN {D, cb. G., t. 33, p. 8719;
IWOt (Publication R. Schmidt). — Sous l'action des acides, les
nmposés do citral :
CH\
>C=CH-CH2-CH3-C(CH3)=CHR ,
CH^/ 1 i 3 4 5 6
Icnnent leur chaîne entre les atomes de carbone 2 et 6. Toutefois
kt dirai lui-mônoe :
CH\
>C=CH-CH2-CH2-C(CH3)=CH-COH,
tenue sa chaîne entre 2 et 7 en donnant du ^cymène. Cette réac-
twD, qui est due au groupe aldéhydique, ne se produit plus lors-
que celui-ci est bloqué; V acide cilralidènecyanacétiquey par
aempje, subit la première réaction en donnant les acides cyclo-
^îinbdrni^cyanacétique a et P; de ces derniers on peut retirer les
fycJcHâirals correspondants; toutefois le cyclocitral p a seul été
<Alttm k rétat de pureté, par l'intermédiaire de sa semi-carbazone.
CfcIthcitraL — Uacide citralidènecyanacétique {a ou A, les
•few conduisent aux mêmes résultats) est soumis à Tébullition
«et SO*H* a 25 0/0. Le cyclo-acide obtenu est décomposé par
KOH âîO Oi'O k rébuliition; après entraînement à la vap. d'eau,
llmile obtenu est lavée à la soude et fractionnée; le cyclo-citral
^««tfonné des portions passant à 80-110** sous 11 mm.
510 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
Semicarbazone du ^-cyclo-eitraL — 50 gr. de oyclo-citral bn
sont dissous dans 300 gr. d*ac. acétique et additionnés de 40 gr. i
chlorhyd. de semi-carbazide dissous dans 200 gr. d*H*0. La deia
carbazone se sépare au bout de 12 à 20 heures. Cristallise de TuL
méthyiique en grands prismes transparents, f. à 16r>-i66''.
^'CyclchcitraL — Parties égaies de semi-carb. et d*anhydni!
phtalique sont distillés dans un courant de vap. d'eau. L.e distiU
huileux constitue le p-cyclo-citral. E=: 88-91* (non corr.) s^
10 mm. et 95-100* (non corr.) sous 15 mm.; D,, = 0,i*^
Djo = 0,957; /2^= 1.49715 à 15* réfraction moléc. 46,39 (cal
45,82;. Le p-cyclo-citral se condense avec Tacétone en préseui
de réthylate de sodium en donnant presque quantitativemeot J
^•ionone. L*oxydation manganique fournit Tac. p<yclo^géramqt
F. 93-94* et Vacidegéronique. r. marquis.
Sur la constitution de ra-ionone; F. TIEMAHN (Z?. cb. O
t. 33, p. 3726; 1900) (Publication de R. ScHHmi). — L'oxime d
Tx-ionone pure, oxydée avec précaution par MnOK, fournit m
petite quantité d'acide isogéranique (semi-carbazone, f. à 498*1
Ce résultat établit nettement qua Ta-ionone appartient à la série d|
Ta-cyclo-citral. r. mahquis. I
Sur une réaction du fer et de l'hydroxylamine; L. A. TCHOQ
GAEF {Journ, Soc. phys, cbim. /?., t. 32, p. 754; 1900. fasc. 91
— Si un mélange de CAzK et d*hydroxylamine (cette dernière étani
en excès) on ajoute un peu d'une sol. conc. de FeCl*, et qu'oi
chauffe, il se produit une vive réaction, la liqueur s'échauOe ei
prend une coloration rouge cramoisi. On n'a pas encore réussi î
isoler le produit formé. a. corvisy.
Action de l*acide azoteux sur la laine; A. UDOF {Jour a. So^.
phys. chim. /?., t. 32, p. 766; 1900, fasc. 9;. — La réaction d»i
AzO*H ou de AzO*H sur les matières albuminoldes consistt'
évidemmentenunenitration, c'est-à-dire en Tintroduetion dai)> h
moléc. de groupes AzO* ou AzO, mais il se produit en xnémt-
temps une modification plus compliquée, ce que démontre le déga-
gement d'une quantité de gaz plus ou moins grande, parmi les-
quels domine l'azote. Ceci tend à prouver l'existence dans \v^
matières albuminoïdes de groupes amidés, que AzO*H transfor-
merait en groupes COOH, suivant une réaction analogue a
CH3-C0Azll^ + AzO^H = CH^-GOGH -f H^ + Ax^
CUIMIK UHUANHiUK. 511
Dâflâ le but d*élucider la réaction xanthoproétique, l*auteur a
erthé par l'expérience à résoudre les questions suivantes : 1^ La
loraiioD des matières albuminoïdes en Jaune par AzO^H et AzO'H
l-dle accompagnée d'une variation de poids? 2^ Si c'est une
Dple combinaison, quelles sont ses limites? 3" Cette réaction
fxiuit-eUe une variation de la quantité d*Az contenue dans les
ilières albuminoïdes ? — Les expériences les plus nombreuses ont
\ faites sur la laine, qu'il est facile d'avoir à un état relativement
r» La matière a été soumise à l'action de AzO^H ou de AzO*H à
rers degrés de concentration, à froid, à une température plus ou
mis élevée. Bien que les colorations obtenues par AzO^H et par
fini soient les mêmes, la stabilité est différente ; la teinte four-
t par AzO^H 8*altère à la lumière solaire.
Dans presque toutes les expériences, la laine a éprouvée une
rt£ de poids atteignant une fois 21,9 0/0 (laine chauffée au B.-M.
Bdaat 1 heure avec AzO*H de densité 1,1). La laine nitrée pré-
ate certaines propriétés intéressantes : elle est plus rude au tou-
Iftr; elle réagit à froid avec les réducteurs (Mg et G*H*0*, SnCl* et
1)1 (aible, Zn et SO^H^, etc.) et prend une teinte cannelle claire ;
ifiique parfaitement lavée, elle est acide au tournesol, et vers
h elle décompose les carbonates en dégageant GO* ; elle brunit
krlacbaleur,.soit à l'ébullition, soit dans l'exsiccateur; à 120"* elle
^ carbonise et noircit ; elle se colore mieux par les pigments, ce que
it aussi la laine nitrée puis réduite (amidée) ; à la lumière elle dé-
mpose la sol. de Kl avec dépôt de I sur la fibre et dans la liqueur.
Parlanitration, le coefficient d'acidité de la laine (quant, en
liliffr. de KOH que peut fixer 1 gr. de laine en 12 heures dans
ae sol. alcoolique demi-normale de KOHj passe de 88 à 169. La
Bat' nitrée n'est plus hygroscopique. La nitration s'accompagne
hjours d'une perte d'Az,bien qu'il s'introduise dans la moléc. une
tttaine quantité d'Az sous forme de AzO ou AzO^, ce qui est
nélé par la diminution de l'indice d'iode. La détermination directe
fe quantités d'Az dégagées dans l'action de AzO^H ou AzO*H
^ U laine a*donné des résultats très variables.
l'iprès ces expériences, on peut admettre que la réaction xan-
'boprotéique comprend la saturation par des groupes AzO* ou AzO
'^ ifflnités libres des matières albuminoïdes, ainsi que la trans-
*«mation des groupes COAzH* en groupes CO*H, d'où résulte
'•'Imtion de la fonction acide. a. corvisy.
^ lat conaerres de poiasons; A. RÔSSING {Zeit. anal. Ch.,
^W), t. 39, p. 147.152), — On a constaté, dans certaines boîtes de
512 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
poissons conservés, la disparition de Téiamage et la décompositi
partielle du contenu, avec formation d'un dépôt blanc, conieûi
de l'acide phosphorique et des oxydes de fer et d*étain.
Les solutions phosphatées et ammoniacales pures attaqu
directement Tétain du fer blanc, avec une intensité proporiiona^
au temps et non à la composition du liquide.
Il ne peut résulter de ce fait aucun danger, le métal étant si
forme insoluble dans Teau et presque inattaquable par le suc p
trique.
D'autre part, la mauvaise conservation est due, non pas
matériel des boites, mais à une préparation insuffisamment wbh
tique et, avec des précautions convenables, la viande n*est jaq
altérée. h. copaux.
La chimie de la chlorophylle : sur la phyllorabine ; L. M
CHLEWSKI (Journ. /. prakL CL, t. 61, p. 289). — Cette nouv»
matière colorante résulte de l'action de KOH sur la phyllocjranà
elle donne avec les solvants neutres des solutions rouges, et ai
THCl concentré une solution d'un vert magnifique. Elle donne
spectre de six bandes dont le dessin se trouve dans le mémoire.
C. MARIS.
Discours prononcé à la mémoire de R. W. Bantan
11 novembre 1899; Théodor CURTIUS iJourn. f. praàL C
t. 61, p. 881).
Recherches étymologiques sur les noms d'éléments chin
ques, origines de leurs Sjrmboles nationaux et international
en considérant plus particulièrement lenrs dénominstia
allemandes; Paul DUGARTI (Journ. f. parkt, Ch,, t. 61, p. 49 >.
Quelques questions scientifiques et morales de la choa
biologique; J. L. F. THUDICHUN (Journ. f. prakt. Cb,, t. 1
p. 568). — Article de polémique impossible à résumer.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 513
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE
blntions isohydriques; W. D. BANCROFT {Phys. Chem.,
i, p. â74 ; iOOOj. — Arrhenius a montré que si les solutions de
a acides ont la même concentration en ions hydrogène, ces
ttiooâ peuvent être mélangées en toutes proportions sans
Kigfr le degré de dissociation de chaque acide ; il a étendu cette
lie 4 toutes les autres solutions isohydriques ayant un ion com-
D. U. Baocrofl reprend Tétude de quelques expériences (disso-
bon de PCI*, de HI ; éihérification, etc.), et conclut : 1* que si
«kiulions isohydriques de forts électrolytes sont mélangées,
aooductibiUté résultante est plus grande que celle donnée par la
*ne ; ^ que les expériences de solubilité d' Arrhenius conduisent
Ite dissociation croissante. o. boudouard.
lalatioiu entre les tensions dé vapeur dans les mélanges de
n liquides (I); A. E. TATLOR [Pbys. Cbem,, t. 4, p. 2C0;
Qth. — L*auteur se propose d'étudier le système eau-acétone en
bwil tarier les conditions de température et de pression et déter-
>UQt U composition des vapeurs provenant des mélanges de ces
ux bquides.
C« premier mémoire contient la description des méthodes em-
^T^ et des précautions nécessaires si Ton veut obtenir des
uitad'ébuUition exacts. Il est très difficile d*éviter les surchaufl'es,
^ ToQ ne varie pas les conditions des expériences, on peut ne
H voir les effets de la surchauffe. Si Ton ajoute des substances
*>géres pour prévenir la surchauffe, elles doivent être mises
i gnode quantité (leur volume doit être au moins la moitié du
pide employé) ; les mélanges de platine et de grenats, d'urgent
l<^ grenats donnent de très bons résultats. o. boudouard.
liUtiont entre les tensions de vapeur dans des mélanges
•4«a liquidée (U) ; 1. E. TATLOR {Pbys. Chem., t. 4, p. 255;
*Wj- — Nombreux tableaux dans lesquels sont consignés les
**<»lut» numériques obtenus à différentes températures avec des
^«l»om aqueuses d'acétone. Dans un prochain mémoire, Fauteur
^*****<« les considérations théoriques résultant de ses recherches.
0. BOUDOUAHD.
•ûc. on»,, $• UtL^ T. XXVI, 1901. — Trav. ètrang. 3:J
514 ANALYSE DBS TRAVAUX ETRANGERS.
Relations entre les tensions de vapeurs dans les mélai
de deux liquides (III); A. E. TATLOR iPbys. Chetn.^ t. 4, p. (
1900). — L'auteur cherche quel intérêt théorique peuvent pré«e
les résultats expérimentaux qu*il a obtenus [ihid., p. 255); dan
but, il leur ap()lique la loi d^Henry et la formule de Vaa'i \
RaouU.
Le lecteur trouvera au mémoire original de nombreux tabk
qui montrent que la formule de VanH Hoff-Raoult, quand l
est le solvant, donne dans les limites des erreurs expérimenu
la composition de la vapeur émanant des mélanges conlenaa
plus fortes proportions d'acétone. La loi d'Henrj' ne convient
si Ton suppose une structure moléculaire complexe pour Te*
l'acétone en solution. o. BOuoouAao.
•
Action dissolvante des vapeurs ; A. T. LINCOLN {Phys. Cht
t. 4, p. 715; 1900). — Après avoir exposé le côté théorique J
question, l'auteur donne les résultats numériques qu'il a obte
avec l'acide salicylique, l'acide benzoïque en solution aqueuse
benzénique, avec le camphre et le naphtalène en solution alcoolitj
Théoriquement, la vapeur a une action dissolvante: pratiquent
celle action est difficile à mettre en évidence.
Le distillât provenant des solutions aqueuses, benzéoiqur
acétoniques des acides salicylique et bensoïque, contient une i
laine quantité de ces acides; mais la quantité présente exerce^
pression partielle sensiblement égale à la tension de vapeur
solvant pur : la différence est de l'ordre des erreurs expéniui
taies. Ces conclusions sont également vraies pour le camphre i?
naphtalène dans les vapeurs d'alcool éthylique.
On trouvera au mémoire les tensions de vapeurs entre TOet^
pour les acides salicylique et benzoïque. o. boudolard.
Réactions physiques et la loi des masses ; A. T. LIH
{Phys.^ Cbeni.y t. 4, p. 161 ; 1900). — Discussion théorique
loi d'action de masse qui régit l'état d'équilibre d'une réaction
sique. Cette loi a été appliquée aux classes suivantes de réadi
1^ deux liquides non miscibles entre eux et' un liquide miscible
deux autres; 2"^ deux liquides partiellement miscibles et un li
miscible aux deux autres ; 3^ un des liquides non miscibles
a été remplacé par une phase solide (précipitation d'un sei
liquide); 4^ les deux liquides non miscibles de l'ontélérewi
j)ar une phase solide (précipitation d'un sel par un auin'i; ^*
GUmiE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 515
iÉpitatioD iFun liquide par un sel. L'accord entre les nombres cal-
«lés et ceux trouvés dans le cas de mélanges de H*0, C«H« et
!4fH) est très satisfaisant. o. boudouard.
Sur deux théorèmes de Gibbs ; P. SAUREL {Pbys. Chenu, t. 4,
». !98 ; 1900). — Mémoire d'ordre mathémathique dans lequel
'auteur montre que Téquation de Gibbs pour un système univariant
1^ équivalente à la formule de Clapeyron-ClausiuS) dans le cas
[éséral de n composants. o. boudouard.
fonde prèUminaire des conditions qui déterminent la sta-
kiliU des hydrogeU irréversibles ; W.B. HARDT(PZ//^. Cbem.,
L 4, p. 235; 1900). — L'auteur donne de nombreux résultats
lumériques sur la coagulation des solutions colloïdales et conclut
linài : les bydrogels irréversibles examinés sont des systèmes
composés de particules solides dispersées à travers la solution
■q'teuse. La stabilité du système est reliée à la difTérence de
potentiel de contact qui existe entre les phases solide et liquide,
fi qui forme autour de chaque particule une double couche élec-
trique.
Celte stabilité peut être détruite en changeant la différence de
poieotielf ou bien par induction, les agents actifs étant des ions
Mife» portant une charge statique. De ces considérations, il résulte
que chaque particule d'un hydrogel est entourée par une zone dans
Quelle les composants sont dans des conditions d'instabilité
chimique.
D'après Ra^'leigh, une telle zone est d*épaisseur finie et assez
|*olbode pour contenir plusieurs molécules. On a alors dans ces
bydrogeU deux phases séparées par une couche possédant une
•TWgie chimique considérable. L'auteur croit pouvoir expliquer le
P^voir cauly tique que possèdent les hydrogels.
0. BOUDOUARD.
Exposition de la théorie de Tentropie; J. E. TREVOR (Pbys.
Oitm,, l. 4, p. 514; 1900j. — Mémoire théorique d'ordre didac-
^^ 0. BOUDOUARD.
btropie et capacité calorifique;!. E. TREVOR (Phys. Cbem.,
^ ^» p. oîi9; 1900). — L'auteur cherche quelle relation existe entre
î*«itn>pie d'un système de corps et sa capacité caloriflque pour un
^^te réversible thermodynamique. Dans le cas des courbes adia-
**^ue*, Teatropie 'peut être considérée comme une sorte de
616 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTKANGERS.
capacité calorifique. Dans le cas général, la somme de reotropteeï
de la capacité calorifique par rapport à un cycle donné est égale an
changement, par degré, de la quantité de chaleur du système sur
le même cycle. o. boudouard.
Vitesse de réaction et éqailibre; W. D. BANCROFF (P/^/v
Chem.y t. 4, p. 705; 1900). — Mémoire d'ordre didactique. M. Banc-
rofl s*élève contre Thabitude de traiter d'abord les vitesses àt
réaction, et d'en déduire les relations d'équilibre.
Les phénomènes d^équilibre sont fondamentaux, et seuls ils sûdI
basés sur des déterminations analytiques. Si nous connaissons U
forme de l'équation d'équilibre, nous pouvons prédire la fonne d«î
l'équation de vitesse de réaction de la connaissance des conccD-
trations initiale et finale. La seule méthode d'enseignement coosiâb'
à exposer les phénomènes d'équilibre comme basés sur les rela-
tions stœchiométriques, et considérer les vitesses de réaction
comme conséquences. o. boudouard.
Catalyse et énergie chimique; 0. LŒW. (Ph^^s Cbem., iK
p. 657; 1900). — Quelques remarques à propos du mémoire âf
MM. Bredig et Millier de Berneck relative aux diverses hy|>othèâ6?
qui ont été faites pour expliquer les phénomènes catalytiques.
0. B0UD0U\RD.
%
Mécanisme de la congélation dans les systèmes coUoidtvx
réversibles ; W. B. HARDT (Pbys. Chem., t. 4, p. 254 ; 1900j.-
L'auteur étudie spécialement le système ternaire : gélatine, eau,
alcool. 0. BOUDOUARD.
Émission et absoption de la vapeur d*eau par la matièrt
colloïdale; P. DOHEM(f/ivs. Chem., t. 4, p. 65; 1900).— Mémoin?
très long, d'ordre mathémathique, dont la conclusion est la suivante.
Tous les phénomènes observés par van Bemmolen dans l'étude de
rhydratation des substances colloïdales sont facilement inte(préte>
et classés au moyen des principes établis par l'auteur et relatifs
aux systèmes soumis à Thystérésis.
Ces données théoriques avaient d'ailleurs été appliquées déj^ *
l'étude des phénomènes de récalescence, et avaient fourni Tinler-
prétation des propriétés des aciers au nickel irréversibles (C. K*
Guillaume), et des observations de Max Wien sur la viscosité «w-
gnétique. De même elles ont été utilisées par Marchis pour expii-
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. M7
(|oer Tensemble complexe des faits relatifs au déplacement du zéro
des Uiermomètres à mercure*. o. boudouard.
BeUtion entre le goût des sels acides et leur degré de dis-
socUtion; L. KAHLENBER6 {Phys. Cbem., t. 4, p. 33 et 533;
1900'. — L'auteur a étudié le goût d'un certain nombre de sels de
âodium dérivés des acides organiques bibasiques, et celui des sels
acides de Tacide citrique, dans le but d'apporter quelque lumière
dans la théorie de la dissociation électrolytique. On sait, en effet,
qu'on attribue le goût acide aux ions hydrogène, et que son inten-
Mté varie avec la concentration des ions hydrogène dans la solution.
o. BOUPOUARD.
Helation entre le goût des acides et leur degré de dissocia-
tion; T. W. RICHARDS {Pbys, Cbem., t. 4, p. 207 ; 1900). —
Discussion relative aux hypothèses que l'on peut faire sur cette
question de chimie physiologique. o. boudouard.
L'équiTalent électrochimique du carbone ; H. C. PEASE
Pbys, Cbem., t. 4, p. 38 ; 1900). — Les 'expériences ont été faites
ra élpctrolysant de la potasse fondue. En faisant varier l'intensité
<lu courant et le temps, les valeurs obtenues se sont trouvées
«oraprises entre 3,14 et 3,66. Cohen a trouvé le nombre 3 avec
Ticifie sulfurique. o. boudouard.
Détermination des températures de transformation ; H. H.
BiWSOH et P. YILUAM8 (Pbys. Cbem., t. 4, p. 370; 1900). —
be Dombreuses méthodes ont été proposées (dilatomètre, thermo-
niètre, cristallisation isotherme). Les auteurs décrivent la méthode
^ densités et celle des conductibilités électriques, qu'ils ont
appliquées à l'étude de certains hydrates. Par la première, ils ont
«btenu 3t»,38 pour le sulfate de soude (32*,379 d'après Richards et
Chorchilh, 59* pour le chlorure de manganèse (57'»,9 par le dilato-
oeire . Par la seconde, ils ont obtenu 82*,5 pour le sulfate de
îoude, W» pour le sulfate de thorium (43* d'après Roozeboom).
MM. Dawàon et Williams qui n'ont appliqué leurs méthodes qu*à
<k« cas simples pensent qu'elles seraient d'un usage plus rapide
^ les autres procédés pour les systèmes complexes.
0. BOUDOUARD.
Hétction physico^chimiqne, coefScient de température ;
T.W.BICBABDS (Pbys. Cbem., t. 4, p. 883; 1900). — Mémoire
tordre théorique ei mathématique, dans lequel la question est sur-
518 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
tout envisagée au point de vue pression, La nouvelle ii)étho(ie
proposée serait plus directe pour suivre les progrès d'une réactioa
que celles fondées sur le volume, la concentration ou l'entropie. III
est donné Une expression appelée la réaction mélatberme (\m\ four-J
nit, en fonction de la pression, le coefficient de température M
rapport d'équilibre de la réaction physico-chimique; cette équation
est Pexpression mathématique du théorème de Maupertuts oi<
Le Chàtelier. Elle montre que le rôle joué par chaque substance
dans une réaction peut être considéré comme le logarithme du pro
duit de son potentiel physico-chimique par sa pression actuelle;
La réaction métatherme peut être simplifiée en une réaction iso^
bare ou isochore, selon que la pression ou le volume est considér<l
<x)mme constant pendant la réaction. o. boubouard.
Les formes allotropiques du sélénium; A. P. SAUHDEHJ
{Phys. Chem., t. *. p. 428; 1900). — Très important mémoirt
•dans lequel l'auteur s'est proposé d'établir les relations ^énéraleâ
entre les formes allotropiques du sélénium et de détenuiner leurt
limites de stabilité. Après avoir donné la bibliographie de tous le^
mémoires ayant trait au sélénium envisagé comme élément, il
-décrit la méthode de puriHcation employée pour avoir un corjri
pur, et discute les résultats obtenus antérieurement à ses reche^
•ches. Les expériences de M. Saunders sont relatives à des déter-
minations de poids spécifiques^ à des mesures dilatométriques, l
âa solubilité du sélénium, à la chaleur de transformation, à la cJia-
ieur spécifique, à la conductibilité. Un chapitre est consacré i
i'étude des propriétés physiques générales du sélénium: poids
«tomique, point d'ébuUition, densité de vapeur, fpectre, specUe
•d'absorption, constante capillaire. Les conclusions générales du
mémoire sont les suivantes :
I^ sélénium existe sous trois formes distinctes : !• liquide f com-
prenant les formes vitreuse, amorphe, soluble) ; 2* cristalline rouge;
■d<> cristalline grise ou métallique.
Le sélénium liquide a les propriétés ordinaires d'un liquide ai>
dessus de 220*»; il est mou à 60*, devient dur et cassant à SO-lil*.
•et constitue le sélénium vitreux à cassure conchotdale et brilianU**
»Le sélénium amorphe est obtenu par réduction des solution^
•d'acide sélénieux; il ne diffère du précédent que par un état parl>
culier d'agrégation. Le sélénium liquide est soluble danslesulfurv
de carbone. Le sélénium amorphe, fraîchement précipité, et dan^
•certaines conditions, est soluble dans l'eau.
Le sélénium cristallisé iH>uge se sépare des solutions de s^i^-
CHLMIB GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 519
[um <iao$ \e sulfure de carbone; il est très probable qu'il est
>n£tiiué par deux espèces de cristaux : Texpérience indique un
>tDl de fusion instable vers iTO**.
Le sélénium cristallisé gris ou sélénium métallique est la forme
abie du sélénium à toutes les températures, depuis la tempéra-
nt ordinaire jusqu*au point de fusion âlT"". Les deux autres formes
mi instables, la forme cristalline rouge représentant un état inter-
éi?iaire entre les séléniums Hquideet métallique, o. boudouard.
S«r réleclrolysd de l'acide azothydrique ; A. PERATONER et
. ODDO {Gazz. chim. Haï. (2), t. 30, 95-6; 6.5.1900]. — Apropos
une communication de Szarvasy (Journ. ot' the cbem. Soc, t. 77,
V f»*J7" qui, en électolysant Az'H ou des sol. d'Az^Na a obtenu un
ol. d\\z moindre que la théorie ne Texige, les auteurs font
Msarquer qu'ils ont efrcctué ces électolyses en 1895 [Gazz. chim,
^9l. âi, t. 35 p. 13] et démontré qu*il se (orme, en sol. acide
^lAiH* avec l'Az et en sol. alcaline AzO*Na, ce qui explique la
itfptrition d'une partie de Tazote. v. augeh.
Sur Ticide nitrohydrozylamique ; Angelo AN6ELI et Fran-
McoAXQELICO {Gazz. chim, ital. (1), t. 30, p. 593-5; — Les
kb* de eet acide ont été obtenus en partant du sel sodique. K sel\
li*Ai*0»; Ca sel CaAz«0», ViH«0 (séché à 125*»); Sr sel avec 1H«0
**^'hé à 1 10*) ; Pb sel anhydre.
Mssioa en bioxyde dazote et eau. — Les acides décomposent
f»** sels quantitativement suivant : H«Az«03=2AzO-[-H«0.
Scission en acide azoteux et protoxyde d'azote. — Il suffit de
fii'fe bouillir la sol. aq. du sel de Na.
t NaUx^CM = 2 .XzO^Na + Az^O + Na^O .
fission en aride bypoazoteux et acide azoteux. — Il suffit de
Mre le >el de so<Hum 2AzK)»Na«=2NaAzO* + Az«0»Na«. Si Ton
tr>iie une sol. aq. du sel de sodium par un aldéhyde V acide bypo^
*^*ieui monomolécalaire HOAz qui se forme alors, se î\xe sur 1 al-
'Wiyde en donnant un acide hydroxylamique. Ex. :
^AzOH
CH^COH -h AzOH = ClP-r^
\0H ' V.
AUr.ER.
CoUribation à retude de la dissociation dans les solutions
««n«iW#f; H. G. LBTI [Gazz. cbim. ital. (2), t. 30, p. 64-70]. —
^^ a déjà trouvé que la vitesse de réaction d'un acide (HCl) est la
r)20 ANALYSB DES TRAVAUX ÉTRANGERS. !
même dans Teau que dans une substance possédant un fort oocw
cient de viscosité. Ex. : Tagar-agar à 1,25 0/0; on sait aussi m
la vitesse de diffusion des cristalioïdes dans les colloïdes est!
même que dans Teau. L'auteur a fait des expériences panillè^
sur rabaissement du point de congélation, la conductibilité tH^i
trique et le pouvoir inversif d'acides dans Teau ou les colloiii'a
gélatine» agar-agar, acide silicique bydraté. Les résultats obtn^
montrent que la dissociation en solution colloïdale est la m^^
qu'en solution aqueuse. v. aucer.
Sur r énergie de quelques hydrates métalliques, dèdoita i
l'hydrolyse des sels; G. CARRARA et G. B. TESPIGNAHI [G^ji
cbim. ital. (2), t. 30, p. 35-68], — Les auteurs ont mesuré c*l
hydrolyse au moyen de la conductibilité électrique d'une j«f
d'autre part, au moyen de la catalyse de l'acétate de inélhyle et d
l'inversion du sucre. Suivent les tables donnant les résultais *1<
expériences.
Conclusions. — (I) L'énergie basique des hydrates métalliqui
est d'accord avec la position que ces éléments occupent dafl> 1
système périodique; cette énergie diminuant suivant Tordre
Mg — Cu — Zn — Cd — Al.Fe. — (II) L'hydrate d'alumine est id
base plus énergique que l'hydrate ferrique. — (III) Le chlorui
terrique basique est toujours beaucoup plus hydrolyse que le ffl
fate, et celui-ci plus que le sulfate basique d'alumine. — (IV) M^ï
en présence d'un excès notable de potasse, l'alumine hydntj
ne fournit que l'aluminate monopotassique. Les aluminates di^
tri-potassiques sont, aux dilutions des expériences, hydrolys**?^
1/2 à 2/8. — (V) L'hydrate d'alumine est plus base qu'acide, i
sulfate d'alumine s'hydrolyse 14 fois moins que l'aluminate. ^
(VI) Les oxydes de plomb et de zinc, dissous dans un excèî* i
potasse à la dilution r = 5 forment le plombite monopotassique i
le zincate dipotassique. v, auger.
Contribution à Tétade du nithénium et de ses composés <1Q
U. ANTONY et A. LUCCHESI [Gazz, chim. ital. (2), t. 30, p. 71-7^
— Sur r obtention du dithionate rutliéneux, par F action de S^
sur nu\S(J*)^; sulfite rutlwnique bleu /?w«(6'0»)» (Voir Col
chim, itaLy 1898, p. U). — Les auteurs ont précipité par l'âl
la liqueur bleue obtenue tout d'abord par SO*, et ont obtenu
beau ppté bleu. On peut le sécher à 80«. Vers i00-150«il y a H
de SO*. Sa composition est celle d'un sulfite ruthénique Ru*(S<
C'est le produit intermédiaire de la formation du dithionate ru
neux. V. AiT.m*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 521
lliiTertioo des hepta- et hexâhydrates de sulfate de sine
laai la pile L. Clarke; H. T. BARNES [Phys, Chem. (1), t. 4, p. 1 ;
iMJOj. — Le changement d'hydratation du sulfate de zinc
ZnSOS7H20 :^ ZnSOS6H20 + n20,
[UJ âe produit aux environs de 39°, a été l'objet de beaucoup de
ecberches. Dans une première série d'expériences, l'auteur a
mployé la méthode électrique (détermination des forces électro-
ftotrices d'une pile L. Clakke) et fait des déterminations entre les
rnipêralures limites de 15' et oO*.
M. Barnes donne pour la force électromolrice en millivolts de la
^1»* -blutée avec l'heptahydrale
^U — E3î> = — i ,635 (/ — 390) — 0,0140 (l — 39o)2.
1/expression relative à l'hexahydrate est
E,— Ejg = — 1 ,000 (/ — 39*) —0,001 (/ — 39o)2.
U point de rencontre des deux branches de la courbe de variation
fc* forces électromotrices correspond à la température de 38o,78.
Daù5 une deuxième série d'expériences, le point d'inversion a
*t^ déterminé par la mesure de solubilité des hydrates ; il corres-
pondrait à la température de 89*,95 avec une solubilité de 41.35.
l'M formale représentant le changement de solubilité entre 0 et 39^
^, eo appelant p le poids de sel anhydre 0/0 de la solution :
p = 29,5 + 0,270^ + 0,00068/2.
Au-dessus de 40«, l'expression relative à l'hexahydrate est la
p = 41,35 + 0,210^ + 0,00070^2.
0. BOUDOUARD.
Solubilité do sulfate de manganèse; F. 6. COTTRELL (Ph}s.
'-AeiD.,1.4, p. 687; 1900). — L'auteur adéterminé, pour des tempéra-
^ïw comprises entre — 10» et-flOO^C, la solubilité des hydrates
wniUiiiede manganèse avec 1, 4, 5 et 7 molécules d'eau. Con-
^'Wment aux résultats de Linebarger, il n'y a rien de particulier
P**®' les trois derniers, mais les systèmes contenant le mono-
"îrtute comme phase solide atteignent plus lentement l'état d'équi-
^' Hft Cbem., abréviation pour Physical Cbcinistry.
522
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
libre, cet effet étant d'autant plus important que la tempérai
est plus basse. La température de ITO** n'est pas sufflsanlt'
chasser la dernière molécule d'eau ; à 250", on peut déshydri
complètement, et il n'y a pas de décomposition appréciable du
anhydre au-dessous de 800**. Si l'on emploie l'un des trois hydr»
supérieurs pour faire une solution, il n'y a aucune diffère
dans le résultat final ; à une température donnée, si une solu
est finalement saturée avec l'un des hydrates, sa concentratioo
dépend que de la nature de cet hydrate.
On trouve de plus au mémoire original la description de qu«
ques procédés simples qui ont été employés pour la déterminati^
des solubilités. o. boudocard.
Différences de potentiel entre les métaux et les splntitf
non aqueuses de leurs sels ; L. KAHLENBBRG {Pbys. Cbeâ
t. 4, p. 709; 1900). — Expériences relatives aux chaînes gal?J
nique suivantes :
+
2* Ag
3- Ag
+
4* Ag
-F
5- Cd
n : 10 \iO*A% dans pyridine.
»: 10 —
w: 10 ~
MiSAxCAfT dans acétonitrile,
Cdf dans aeétonitrile
(1 gr. mol. dans 48,9 lit.).
n : lOOAzœAg daDi pyridioe.
»:500
«:1000 —
M : ii8AzO*Ag dans acéiooitrile.
Cdl* dans acétonitrile
(1 gr. moL de 214,7 Ut.).
Af 0,035 «4
Âf 0,061 U
Af 0,076 *i
Ag 0,046 to
C4 0,0» M
Les résultats obtenus montrent qu'en général on ne peut H
appliquer la formule de Nernst au calcul des forces éleclromc
trices des chaînes de concentration, dans le cas des solutions n<j
aqueuses. L'auteur pense de plus qu'il serait nécessaire de ^i
mettre cette formule à une vérification plus rigoureuse, même i
présence de solutions aqueuses. o. BOtDOu.iRu.
Expériences quantitatives en électrochimie; W. L. MIUXl
et F. B. KENRICK (Pbys. Chenu, l. 4, p. 599; 1900). — Mémoij
d'ordre didactique, au cours duquel il est décrit un appareil «^
mesure permettant de montrer à un auditoire des expénenoij
quantitatives relatives à l'électrochimie (éleclrolyse, conduclibiM
force électromotrice, polarisation, etc.) Cet instrument pennel «Ij
lire directement des ohms, des volts et des ampères, leurs idûIi
tiples et sous-multiples, et il peut être instantanément traft^
formé pour tel usage que l'on veut. o. B0L'tK)UAiu».
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 523
ftpét éUctroIjTtique des métaux de leurs solutions non
Miat ; II. KAHLEHBERO {PA/5. Cbem., t. 4, p. 349 ; 1900). —
((uantité connue de sel anhydre étant dissoute dans une quan-
ieûote de solvant anhydre, on électrolyse avec une cathode en
ne et une anode de même métal que le sel. La quantité de
û déposé est comparée à la quantité d'argent déposé dans un
unètre à argent placé dans le même circuit. Les expériences
ké faites avec le nitrate d'argent et divers solvants : pyridine,
ae, benzonitrile, quinoléine, acétone ; d'autres essais ont eu
•vec le nitrate de plomb dans la pyridine, le chlorure d'anti-
le dans Talcool méthylique. La nature du dépôt métallique
p avec la force électromotrice et l'intensité du courant. On
vtra au mémoire original des résultats numériques. Par
■pk, 00 peut obtenir un dépôt blanc et compact d'argent, en
lrDl)*sant une solution de nitrate d'argent dans la pyridine avec
force éieclromotrice de 1,24 à 2,16 volts et une densité de
mot de 0,17 à 0,25 ampère par 100 cmq. d'aire de cathode.
0. BOUDOUARD.
ItctrolTse du chlorure de aodlum ; C. 6. L. WOLF (Phys.
».. L 4, p. 200 ; 1900). — Description d'un appareil de démons-
ioo permettant d*avoir une température constante et donnant la
M de mettre des thermomètres près des deux électrodes ; de
^ Il mesure des gaz dégagés se fait sans appareil spécial et on
t introduire des substances dans la solution pendant l'électro-
t, sus déranger l'appareil. o. boudouard.
^ fûê Weaton comme élément transitoire et comme étalon
bree électromotrice ; détermination du rapport à la pile
LOarke; H. T. BARHES (Phys. Cbem., t. 4, p. 339; 1900).
L'étude a été faite comme celle relative à la pile de Clarke ; la
^lioa de force éieclromotrice est une fonction linéaire de la
■Ptfilwe :
E,= E,5 — 0,086(^—150).
L* température d'inversion du sulfate de cadmium, antérieure-
au déterminée par Kohnstamm et Cohen au moyen de méthodes
^^«'sairla solubilité, l'emploi du dilalomètre, est très voisine
' l**' '. Tëtude de la variation de la force électromotriee en fonction
* *• toopéfiiure conduit au même résultat.
*^ '•Çpocl entre les forces électro motrices des éléments Clarke
'"«••«, d'après les expériences de M. Bames, est égale à la
»f*ri»tre de 15» à 1,106U. o. boudouard.
aS4 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Courbe des points de solidification de l'ean contsau
l'acide chlorhydriqae et do phénol ; J. A. EKERT et F. t
HEROH [Pbys. Cbem., t. 4, p. 130 ; 1900). — Le point des
Hcation de l'eau saturée de phénol eât— 1M79. La court
points de solidification des solutions aqueuses d'aeides chl
drique est une li^ne droite; celle des solutions aqueuses <1
chlorhydrique saturées de phénol est aussi une ligne droib
courbes sont parallèles, c'est-à-dire que l'abaissement du jm
congélation de l'eau, par addition d'acide chlorhydrique
phénol, dans les conditions indiquées dans le mémoire, est ui
additif, o. boudouari
Systàme ean, phAnol, acide chlorhydrique; W. H. XB
F. K. CAMERON (PA/^. C/iem., l. 4, p. 188; 1900). — Lésai
ont employé la méthode cryoscopique et étudié la loi de var
du point de con^lation des solutions aqueuses de i*héool
lesquelles on ajoute des proportions croissantes d'acide ctil
drique. o. boudoiari
Hôte sur le oalorimAtre à glace de Bansen ; J. W. HE
(P/jjs. Cbem., t. 4, p. 135 ; 1900). — On sait que la séjui
complète de l'air dissous dans l'eau est très diffîcile. L'afi
proposé par l'auteur comprend un ballon à distiller <lo
tubulure communique avec on réfrigérant Liebig et une ir
à eau ; le calorimètre est relié à ce ballon à l'aide d'un tubf \
géant au fond de l'eau qui y est contenue. On fait bouillir l'eau
pression réduite, et si l'on a eu la précaution de cbaufTer légi're
le catorimèlre, par refroidissement, il se remplit complète
d'eau purgée d'air. o. noiuoitHn
Action toxique des sels acides de sodium snr le lupin bl
L. KAHLENBERG et R. H. ADSTIH {Pbys. Cbem.. t. 4. p-
1900). — On a opéré par comparaison avec l'acide chlorlir'l'
el les sels suivants ont élé étudiés ; oxalale acide, tarirais *
mainte acide, succinale acide, citrates acides. Il ressort d» ■
résultats expérimentaux que le lecteur trouvera au cm^
il que la théorie de la dissociation éleclroly tique est ii*i
i>our expliquer l'action toxique de ces sels acides.
o. BOUI>OUlHI>
la variatioD de la conductibiliti thoriniqno desTipi
ntes, i des pressions et températnres variablet; 6.
INI el V. ZUNINO \Gnzz, cbim. ilitl. (t), t. 30, p. tO.VI
yOOi. — l.,es résultats ob'enus par les auteurs, el doon»-
CHIMIE GÊNÉHALE ET MINÉRALE. 526
ombreux tableaux, confinnent exactement les valeurs de dis-
UiOQ de la molécule d'hypoazotide obtenues par d'autres
Iodes. V. AUGER.
ishydraUtion de la sélénite et hydratation de Tanhydrite;
DHHO \Gr£z. cbim. ital, (1), t. 30, p. 383-39; 27.1.1900]. —
véraot avec du ^pse artificiel, fauteur a trouvé que la déshy-
UioD est complète à 188^. Après chaufîage à 230*^, le produit
M toute son eau de cristallisation en présence de vapeur
i; chauffé a 280*, il n*en reprend plus. En fondant ensemble,
tiDt quelques heures, un mélange de CaSO^ et NaCl, et lais-
refroidir lentement, on obtient, après lévigation, des cristaux
Icnques d'anhydrite. On peut encore en obtenir, en petite
itité, par ébulltlion, pendant 6 heures environ, de gypse avec
^1, saturée de NaCl. Cet anhydrite réabsorbe de l'eau et se
rforme en gypse après un contact prolongé avec H*0.
V. ALGER.
palyte chimique des eaux des salines et bains de Salso-
ITiori; R. NASINI etF. ANDERUNI [Gazz. chim. ital, (1), t. 30,
)iJC>-33â; 23.2, 1900]. — Les résultats de l'analyse conduisent à
Mdérer ces eaux comme très riches en brome et iode ; aucune
i mmérale ne contient autant de lithium et strontium (0^,1 Li
••^38 Sr. au litre). v. auger.
Intreil industriel pour la détermination du pouvoir calo-
i|u des combustibles fossiles; G. MAGNANINI etV.ZnNINO
m.cUm. ital. (1), t. 30, p. 895-401]. — Appareil de L. Thompson
>^ par suppression du mélange oxydant destiné à brûler la
^*««e, et remplacé par un courant régulier d'oxygène. Les
^ donoaot des tableaux de comparaison des résultats obtenus
Meur appareil et celui de Thompson. v. auger.
^nûaation de la valeur d'un carbure de Calcium commer-
^;6. liGHAIIHI et F. VANHIHI [Gazz, chim. ital. (1), t. 30,
•'^■^l- — Appareil servant à mesurer le volume de l'acétylène
Ne*?^ pw l'attaque du carbure par l'eau salée. v. aug ii-.
^ ponnolanes artificielles; G. REBUFFAT [Gazz. chim.
^ ^Nl-30, p. 182-90; 9.6. 1900]. — Voici les conclusions des
^*^**"*« dàîrites par l'auteur : 1** Le silicate d'alumine
•^J*^AI*0»,2H«0, chaufTé à 700^00» perd H»0 et acquiert les pro-
526 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
priélés d'une pouzzolane ; 2* les argiles qui, chaufTés à celte
pérature, deviennent pouzzolane, contiennent ce silicate d alun
il serait cependant utile de voir, si d'autres silicates <f ahimioe
séderaient la luéme propriété ; 3" après chaufTage à 800*^ te sil
cité ne peut reprendre directement son eau d'hydratation , il de
plus facilement attaquable par l'HCI et se dissout plus facito
dans les sol. dilués d*hydrates alcalins ; 4* le silicate 2SiO^A
se combine à la chaux, en présence d'eau, en foumissu
composé 2SiO«.Al«O«.8CaO.10HH) qui détermine la prise dedj
zolanes de kaolin ou à base d'argile. Ce sihcate est factl«
décomposé par les acides et les sels d'ammonium ou <ie nu
sium; ces sels enlèvent la chaux, laissant un silicate d'alu
hydraté 2SiO'.Al*0«.4H*0 qui possède les propriétés chiml
de l'halloysile. v. auoer
PonzzoUanes naturelles et artificiellea ; 0. GIORd
V. ALVISI [Gazz. chim. ital. (1), t. 30, p. 436^508; 19.3.190Û
Suite et fin de l'étude sur les pouzzollanes [Gazz. cbim. ital. A
fasc. 9). A la fin de ce mémoire se trouve une bibUograplii^
développée du sujet. v. augih.
Action de l'eau de mer sur les bétons de poussolanes; 0.
BDFFAT [Gazz, chim. ital (2), t. 30, p. 157-190; 5.5.1900
L'auteur a constaté que l'eau de la mer transformait le cimeol
bétons de pouzzolanes, en un silicate d'alumine hydraté coûte
une petite quantité de chaux et de magnésie, et une qai)
non insignifiante d'alcali. Le silicate ainsi formé est absolufl
indifférent de l'action des sels de l'eau de mer; un béton daltfl
20 ans possède une composition analogue à un béton dataul
2,000 ans. L'emploi d'un béton mixte de ciment et pouzzoK
proposé par Michaelis ne peut avoir pour but de fixer la chaux il
du ciment, puisque celle-ci disparait toujours après rimmerj
dans l'eau de mer. v. augw.
Sur la constitution des ciments hydrauliques ; 0. REBOFf
[Gazz, chim. ital (2), t. 30, p. 177-82; 5.7.1900]. — ArtioH
polémique au sujet du travail de P. Rohland, (UebereiaigeR*
tionen dus Portlands Céments [Thoo, Ind. Zeituag, 1900, p. <**
V. AOGW
CHIMIE ORGANIQUE. 517
CHIMIE 0R6ANIQUE.
Sir las propriétés de rhypoaiotide comme solvant; G. BRUNI
IP.BERTI [Gazz. cbim. ital. (1), t. 30, p. 151-7; 4.6.1900]. —
es auteurs ont exécuté quelques mesures cryoscopiques dans ce
btraot. En voici les résultats, en abrégé : NUrométbane (P. M. 61)
DDoe 65 à 72. yUroéibane (P. M. 75) donne 75,2 à 76,6. Ac. acé-
i^ \\\ M. 60) donne 194 à 178. Ac. trichloracétique (P. M.
«S.5 fournit 260 à 277. Ac, butyrique (P. M. 88) donne 208
tîlT. Ae, pierique iP. M. 229) fournit 220 à 287. Ac. azotique
P. U. 63) fournit 88 à 90. On voit que, vis-à-vis des acides,
"hjpoazotide est non seulement privé de tout pouvoir dissociant,
kità encore laisse fortement associés les acides faibles. En ce qui
nnœrae les nombreuses interprétations possibles de ces faits, ils
KHit en tous cas directement en contradiction avec la théorie de
Brûhl iZeit. pbysik. Cb,y 1. 18, p. 514) d*après laquelle un solvant
Ewiieoant beaucoup d'oxygène, ou des doubles liaisons, serait un
4t>c90eiaDt. V. AUOER.
8v nu phtaoména observé pendant le refroidissement des
«bittncas surf ondnes ; R. MORJSSCHINI [Gazz. cbim. ital (1),
t 30, p. 8â9-44; 18.2.1900].— En soumettant à un lent refroi-
'<it«4>emeot des substances diverses cristallisables, l'auteur a observé
que la marche d'un thermomètre placé dans le liquide, n'était pas
''^lière; arrivé à la température à laquelle la substance devrait
^nsiallîser, celui-ci ralentit sa marche descendante pour la repren-
^ régulièrement au-dessous de ce point. 11 y a donc à ce moment^
^i^ le liquide, un travail moléculaire inconnu dégageant de la
tbateur.
Eo opérant avec des mélanges d'acides gras, Tauteur a observé
^u« ie point de ralentissement était à 0^,15 au-dessus du point
'^'îl de cristallisation ; avec le thymol, Tanéthol, Tac. acétique, les
«JfKreoces observées ne dépassent pas 0*,05. v. auoer.
AtymAtrie et viUlUma ; C. ULPIANI et S. CONDELLI [Gazz.
ftiim. iuL il), t. 30, p. 344-82; 27.2.19001. — Intéressante compi-
totion lies discussions relatives à Torigine de Tasymélrie. Nous
ttntrayons de ce mémoire que la paiiie relative aux travaux ori-
P***!^ «les auteurs.
528 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
On a fait réagir des micro-organismes (environ 40» sur
composés racémiques, tartrate de sod., iactate de aod., ali
dans le but de voir si, parmi ces organismes, il n'y eu aumit
qui se nouriraient aux dépens tanlôt de l'un, tantôt de Tautre
mère stéréochimique. Les recherches ^ sont concentrées
spécialement sur Tétude des produits détruits par le microbe 'W
choléra des poules. Celui-ci détruit plus rapidement Tacide lactiqu*
dextrogyre, tandis que le pénicillium glaucum attaque plutél k
forme gauche. L'inverse a lieu pour l'alanine; enfin c'est la foraa
droite tartrique qui est détruite par ces deux microorganismes.
V. AUGER.
Marche de la scisBion d'un corps racéniiqiie an moyen im
moisissures; C. ULPIANI et S. CONDELLI \Gazz. cbim. ital, d .
t. 30, p. 382-95; 27.2.1900]. — Les expériences ont porté at4
l'acide tartrique racémique.
Influence de Toy^gène. — Le pénicillium glaucum ne se dév*i
loppe pas dans le vide. L'excès d'oxygène favorise l'attaque àei
substances contenues dans le liquide. I
L'aspergilius niger détruit plus rapidement un composé ni(%^
mique en présence d^une quantité iusuflisante d'oxygène, et doa
pouvoir de scission est aussi plus grand. — Le coefficient écono-
mique, c'est-à-dire le rapport entre le produit consommé et W
corps formé, est plus élevé en présence de peu d'oxygène.
Influence de la lumière. — Le soleil empêche absolument H
développement du pénicillium glaucum. La quantité de substamv
détruite augmente à mesure que l'intensité lumineuse diminue.
Influence de la température. — La rapidité de la destruction iU
racémique croit avec la température ; l'isomère gauche est détruit
en plus forte proportion à une température élevée.
Concentration et acidité. — Le pénicillium préfère une acitltU^
faible et une concentration forte; l'inverse a lieu pour le sif^
rigmalocystis niger.
Sels nutritifs. — Tableau impossible à résumer. v. Aticn.
Cryoscopie de dérivés nitrôs, dans Tacide formique ; 6. BBUIl
et P. BERTI [Gazz. cliim. ital. (2), t. 30, p. 76-83}. — Lesdém^
nitrés aromatiques sont tous plus ou moins dissociés, en solulico
formique. Au contraire, ceux de la série grasse donnent dt*«
chilTres normaux et ne montrent aucun indice de dissociation, b*^
expériences ont porté sur : nitrobenzène; I .S^diaitrobenzène;
{ À.h-trinitrobenzéne ; à.4.0'trinilrololuène; I.S.ô^trinitroSH'^hlo-
CHIMIB ORGANIQUE. 529
jib^ùièoe; 2.4.6'iriDUrchî'pbéaol ; 2.4.6'tnnUroanisol; chlorure
fp.HùtrobeDMoyk; uitrométhane ; nitroétbane; tricbloronUromé-
mot \têble9ux), L*auteur examine successivement les hypothèses
fisibles pour expliquer ces faits et penche pour admettre la for-
iboo possible d*un dérivé d'addition tel que :
R-Az-OH ou R-Az-OH .
"^OGHO ^œOH V. ADGXR.
Bétction entra la chloroforma et Thydroxyde de potaBsium ;
. E SAUHDERS (Phys. Cbem., t. 4. p. 660; 1900). — Cette
ictioQ est représentée par l'équation
GHG13^ 4K0H = 3KG1 + 2H^ + CHO-K.
L'auteur s'est proposé de déterminer le mécanisme de la réac-
Oû; mais il y a complication par suite de l'instabilité du formiate
p potassium et de sa décomposition en oxyde de carbone et po-
ttse. Trois hypothèses peuvent être laites : !• action d'une mole-
nie GHCi* sur 8 molécules KOH, la quatrième molécule de potasse
iturant l'acide formique formé; 2"" action pentamoléculaire dès
^(iétrat; 3* action par stades successifs, chacun d'eux étant bimo-
kulatre, les atomes de chlore étant successivement remplacés
bn$ la molécule CHCl^.
U résulte des nombreux résultats expérimentaux de l'auteur
pw u^ probablement la réaction entre le chloroforme et l'hydro-
Kfiede potassium procède par stades, dans chacun desquels deux
Aolécoles seulement réa^ssent ensemble. o. bouoouaro
Action de l'acide asotique sur les alcools; M. KONOVALOF
(Awra. Soc. pbys, cbim. /?., t. 33, p. 48; 1901, fasc. 1). —
t*«fHÙ8 longtemps déjà Tauteur étudie l'action nitrante de AzO^H
MT les alcools; bien que dans plusieurs cas il ait obtenu des
^tés oitrés (avec le menthol, les alcools isobutylique, isoamy-
^w, etc.), il n'a pu jusqu'ici séparer ces dérivés nitrés dans un
<<u de pureté sulÛsanle.
b modifiant son procédé, il a pu obtenir et séparer un dérivé
"^ de l'hydrate d'amylène (CH5)*C0H.CH».CH». A la sol. de
cet alcool dans Tac. acétique, on ajoute peu à peu AzO^H conc. ;
^^'^■«pic goutte produit une coloration bleue qui disparaît rapide-
*«t. Apfès addition d'eau et neutralisation, il se forme deux
•'-«ekes. Tune huileuse, l'autre aqueuse. La première consiste
^^■c^'feoienl en hydrate d'amylène qui n'a pas réagi ; mais après
'''^Pwiik» de cet alcool, il reste une huile insol. dans l'eau, sol.
•oc OBM., 3* 8BR,, T. XXVI, 1901. — TraT. étrang. 34
580 ANALYSE DE8 TRAVAUX ÉTHANGBRS.
dans les alcalis; la sol. alcaline donne avec FeCP la réacUoûi
dérivés nitrés; l'analyse indique une composition très voisn
C*H*^(OH)AzO*. Dans une expérience, on a trouvé, après éi
ration de Talcool, une matière cristallisée, F. OÔ-QT", qui
être le nilrosate d'amylène de Wallach (CH3)«C(.AzO»)C AzOHt(
De la couche aqueuse on enlève par Féther une autre mal
cristallisée, F. 82-84», de composition iCH3)«C(0H).C(A20H)J
c'est évidemment Toxime d'une oxycétone; par éb. avecHClJ
se décompose en donnant de l'hydroxylamine et une subst
odorante, probablement une oxycétone. Sa sol. aie. est réduil^
Na et fournit une base sol. dans l'eau, qui forme un chlorhydi
et un chloroplatinate cristallisés. — Ces recherches sont c(
nuées. a. corvisy.
Sur rhydroperozyde d'ôthyle; Adolf BAETER et Tict«
VILLIGER (D. cb. G., t. 34, p. 788-49; 9.3.1901). — Hydn
peroxyde déthyle C'H^.OH. — On agite 100 gr. de sulfate <1*^
thylique avec 340 gr. d'H«0« à 10,8 0/0 et 845 gr. de potasè*
42 0/0, jusqu'à ce qu'un essai n'abandonne plus à Téther de '«j
fate diéthylique ; il faut environ 10 h. d'agitation à 20* environ L
sol. acidulée est distillée au b. d'huile tant que le (iistillat r^sji^
sur IK acidulé; on alcalinise le distillât et évapore au 1/8 daii>l
vide; le peroxyde hydnilé reste combiné à l'alcali. On acidulé, p*fl
fractionne et sature les premiers distillats au sulfate d'ammoDiui
qui sépare le produit impur sous forme d'huile légère. La Gracti^
bouillant à 47-49° sous 100 mm. contient 81,7 0/0 de produit p»i
On n'a pu l'obtenir à 100 0/0, car il est difficile à manier en grao*!
quantité, élant très explosif, et l'eau, l'alcool et le peu d'ac. b^m
tique qu'il contient alors sont presque impossibles à éloigner.
Propriétés, — Le produit bout probablement vers 95*, il ■>
dissout dans les mômes solvants que l'alcool. Il possède une odrti
de chlorure de chaux et d'aldéhyde acétique. Il se conserve asa<
bien; surchauiïé, il détone modérément; absorbé par de Vtr^
en poudre, il détone violemment après quelques secondes. D p«
sède une fonction acide rappelant celle du phénol; il agit pre«I*
toujours comme oxydant, rarement comme réducteur.
Sels. — Obtenus au moyen des alcalis. Les sels de Na, K,
cristallisent pas. MgO est sans action, les hydrates lourds perv^J
dables sont transformés en peroxydes, excepté Pb(OHj* qm do<
un sel.
Sel de Va iC»H'iO«)«Ba,2H»0. — Gros prismes sol. en aq.
par CO*, explosifs par la chaleur. L'alcool le précipite de sa
I
UUIMIE -ORGANKiUE. a '4SÏ
^ La sol. flq. se comporte vis-^-vis de la plupart des sol. métal'-
li<]Yie$ exactement comine une sol. alcal. dWO*.
Aeiion de Ag^ Pt^ Hg et autres. *— L'argent moléculaire réagit
sur ooe sol. du peroxyde hydraté en fournissant : une petite quan-
tité d'Ag*0, de Talcool, aldéhyde et ac. acétique. L'Ag*0 agit
«jrle peroxyde, passant à Tétat d'Ag et d'acétate d'Ag. Le plntinb
i l'état de noir ou de mousse agit à peine. Le mercure agit très
rnergiquement, de même la poudre de zinc en présence d'ac. acé"-
lique. Zn, Al, Mg n'ont pas d*action sensible. KMnO* acide se
décolore lentement en dégageant 0. CrO*, MoO^, TiO* n'Agissent
pAS. HI conc. agit avec explosion. Une sol. d'H*S dépose S. SO^
fournit immédiatement de i'ac. sulfovinique. AzO^H iournit ()u
oïLrale d'éthyle. La sol. aq. à 5 0/0 colore le sang en brun noir
^•n$ presque dégager de gaz.
Dérivés acfJés de f hydroperoxyde déthyîe, Acétoperoxydç
idhjk CH»C000C«H5. — Huile obtenue par l'action de l'auhy;
dnde acétique sur des sol. même asdez diluées.
TêrépbtaJodiperoxyde d'éthyle C«H* : (COOOC^H»)». — Obtenu
jarlaction de la sol. aq. du sel de Ba de Thydroperoxyde sur le
chlorure de léréphtalyle en sol. benzénique. . Grandes lamelles
t»^* explos. par la chaleur ou le choc, insol. dans l'eau* Une
»À' aqueuse-alcoolique s'échaufTe rapidement et se décompose
ïioiemmenl en ac. léréphtalique et hydroperoxyde d'éthyle.
Action sur les hases, — UéthyJpipéridine fournit Toxydc*
«i'éthylpipéridine. Vanilinef la diméth y lamine^ la pipéridina
'Woneot des produits non encore étudiés.
Hydroperoxyde de méthyle. — Obtenu comme le dérivé élhylé r
i^lé à l'état de sel barytique, il fournit de belles aiguilles qui
<iploseal très violemment par le simple contact, aussi cette étude
û a pu être continuée. v. AtoER.
Sir tof aUylméthylbutylcarbinoIs ; K. TAUEF (Journ. Soc.
t^p. ûbim. H., t. 33, p. 26; 1901, fasc. 1). — Des quatre allyl-
•Wijlbulylcarbinols prévus par la théorie, un èeul a été obtenu
l«î Gnédine (BuiL^ t. 30, p. 843); Tauteur vient de faire la syn-
l*»«ôe de deux bu très.
^^Uyiméibyhiormahhulylcarbinol CH3.CH«.CH«.CH«.C0H a
'^obtenu enUaitanl la méthylbutylcétohe
CH3-CO-CH2.CH2-CH2-CIP ,
582, ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGBH8.
par riodure d'allyle en présence de la grenaille de Zn ; au bout ^
24 h. le produit est décomposé par Teau; on distille, on dèclie <
on fractionne par distillation. Une partie notable de la c^lon
échappe à la réaction; on peut la traiter de nouveau par C^H^I. -
L*alcool est un liquide incolore, d'une odeur caractéristique rap
pelant un peu la térébenthine; ilestinsol. dansTeau; (i^=0,84ili
Eb. 179**,!. Son éther acétique est un liq. insol. dans Peau^ d'iin
odeur agréable; Eb. 196-201^
Vailylmétbylsecondobutylcarbinol CH».CH«.CH.COH s'obtit'i
comme le précédent, mais en employant la méthylbulylcc'lon
CH«.CO.C<:;qu, nug; cette dernière a été préparée en découj
posant par BaO Téther méthyléthylacétacétique. L*alcool est u
liquide incolore, insol. dans Teau, d*une odeur faible ressembif/
à celle du précédent; Eb. 174%9; dj* = 0,85488.
Ces deux alcools oxydés par MnOK ont fourni les f;\ycérint
correspondantes; ce sont des liquides épais, sol. dans l'ea>i ^
l'alcool, moins sol. dans i'éther. Dans les produits d'oxydation, d
trouve aussi les acides méthylbutyléthylènelactiques; ce sont <!«
liquides sirupeux, incristallisables, même après un long séjofj
dans le dessiccateur; leurs sels s'obtiennent en les saturant par «li
carbonates métalliques. a. corvist.
Sur rallylmôthylphônylcarbinol ; A. ARBOUSOF (Joura. Soi
pbys, chim. /?., t. 33, p. 88; 1901, fasc. 1). — Cet alcool a d'abon
été préparé en versant un mélange équimoiéculaire d*iodure d'aJ
lyle et d'acétophénone sur de la grenaille de Zn et en traitant pi
l'eau le produit de la réaction; mais dans ces conditions le ren
dément est très faible. Pour obtenir un bon résultat (81.5 0/0 di
rend, théor.), il convient de verser le mélange d'iodure d'aJI,»!'
et d'acétophénone sur Mg mélangé de copeaux de Zn et hèxp^
dans de Téther anhydre, autrement la réaction est trop énei^ti^
et il ne se forme que des produits résineux. Ou abandonne à il
température ordinaire pendant quelques jours en agitant de \emp\
en temps; ensuite on traite par l'eau et on sépare par distiliali"^
fractionnée rallylméthylphénylcarbinol. — Ce corps est un YiqwM
assez mobile, très réfringent, insol. dans l'eau; il bout entre ill
et223«, mais avec décomposition partielle; dy* = 0,9984. L'anal*:^
concorde bien avec la formule q^u3>C0H.C^H'. — Oxydé jJ"
CHIMIE ORGANIQUE. ÔSS
il!»0*K en sol. aq. à 1 0/0, cet alcool a fourni la glycérine
,Î^P>COH.CH^CHOH.CH«OH, sirop épais, sol. dans Teau, Tal-
rool el l'éther. ChaulTée en tubes scellés avec de l'anhydride acé-
tique, cette glycérine a donné un mélange d'éthers triacétique et
^ucétique et d'élher diacétique d'un glycol non saturé. — Par une
oiydalioD plus énergique (sol. de MnO*K à 4 0/0), rallylméthyl-
phéoylcarbinoi se transforme en Tacide p-méthylphényléthylène-
lêctiqu^; aiguilles cristallines réunies en masses présentant une
àlructiire radiée; F. 50-58*. Plusieurs de ses sels ont été étudiés.
A. COR VIS Y.
Alcool peniatomique obtenu en partant dn diallylpropyl-
ctrbinol; 0. MARKO {Journ, Soc. pbys. chim, /?., t. 33, p. 36;
1901. fuse, iy — Cet alcool a été préparé en traitant le diallylpro-
Wlcvbinol (1 4 gr. et 500 gr. d'eau) par MnO^K (20 gr. dans 1500 gr.
d*(»uj; le mélange est maintenu à 0°, et, lorsque la réaction est
tirmiaée, on distille dans un courant de vapeur aussi longtemps
({a'il passe des gouttelettes huileuses; celles-ci sont formées prin-
cipalement de diallylpropylcarbinol qui n'a pas réagi; la liqueur
•gueuse restant dans l'appareil est filtrée, neutralisée par SO*H«,
(«nceatrée et épuisée par l'alcool; l'alcool étant évaporé, on
RT»reDd le résidu par l'eau et on épuise par l'éther; on évapore
l'i^lher, et on recommence de la même façon plusieurs fois, pour
^|Mirer l'alcool pentatomique des sels organiques qui Taccompa-
^Bl. La purification complète est difficile de cette façon ; on y
^ve plus facilement en transformant le composé en éther acé-
hqoe; pour cela on le chauffe à 100^ en tubes scellés avec de
fiiiljydride acétique; l'analyse montre que l'on obtient ainsi un
oh^lange d'éther pentacétique avec des éthers tétracétiques de
l«lcool pentatomique et d'un alcool létratomique non saturé: la
*ponjfication donnera l'alcool pentatomique qu'on reprendra par
l«l<X)ol et qu'on séparera des sels organiques en traitant par l'éthei*.
L^malyse indique bien la composition C*^H*''(OH)». D'après le
"»e<le de formation, la formule de structure doit être , .
CHa-CH2.CH«-COH(CH2-CHOH-GH20H)2.
^ Les propriétés physiques et chimiques de cet alcool ne sont t)a8
*<^t»te8. À. CORVISY.
^^^tiii mode d'obtention des aldéhydes an moyen des
"•«•oU primairei; V. IPATIEF {Journ, Soc, pbys, cbim. R.,
^' ^* p. 85; 1901, fasc. 1). — Faisant passer des vapeurs d'alcool
L
5S4, ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
isoàraylique dans un tube de fer chauffé au rouge ceri&e, I*aiiteur
a obtenu des gaz et un liquide. Les gaz étaient formés de carburai
saturés et non saturés; le liquide était constitué en majeure partr
(80 0/0) par Taldéhyde isovalérique ; il contenait en outre une
autre substance, Eb. 127-131**. — Dans les mêmes conditioof,
l'alcool isobutylique se comporte de la même façon et fouruii
l'aldéhyde isobutyrique. — Dans les deux cas, il se forme un
dépôt de charbon dans le tube-; le rendement en aldéhydes e*l
environ 40 0/0 de Talcool employé. — Avec Talcool élhyliqi
:i 96 0/0, il se forme de même de l'aldéhyde acétique, mais il
produit en même temps une notable quantité d'un liquide bouillan^
(le 80 à 95'', qui réduit la sol. ammoniacale d'Ag*0 et qui est pe\i
sol. dans Teau. a. corvisy.
Points d'ébullition des mélanges de chloral et d'eau ; J. Ci
CHRISTENSEN {Phys, Chem., t. 4, p. 585; 1900). — Des expé-!
riences antérieures n'avaient pas donné de résultats coacordank^
pai* suite des difficultés de lectures sur le thermomètre. Comro«
moyen de chauffage dans ses nouveaux essais, l'auteur a utiliiïé le
courant électrique avec une intensité de 2,25 amp. environ. L/i
point d'ébullition des mélanges de chloral et d'eau passe par uo
minimum correspondant à la proportion de 5 0/0 d'eau, puis il
croit d'une fiiçon continue. o. boldouard.
Point de fusion de Thydrate de chloral ; C. G. L. WOLF
[Pbys. Chenu, t. 4, p. 21; 1900). — A l'étal fondu, l'hydrate de
chloral n'existe que sous une seule forme^ et les différences obte-
nues dans les points de fusion observés sont dues à un phénomèoei
de dissociation. Le point de fusion de l'hydrate de chloral Douj
dissocié est 72"*. Les deux formes décrites par Pope se comportenli
semblablement par la chaleur. La tension de sublimation pour!
l'hydrate de chloral non dissocié à 72"" est de 22 mm. Le point
triple relatif à l'hydrate de chloral et à ses produits de dissociatioo
est environ 47**. o. boudouaro. |
Point de fnsion de l'éther formylphénylacétique ; C. 0. L-
WOLF {Phys, Chem,, t. 4, p. 123 ; 1900). — Cetéther peut exister
sous deux formes tautomères, comme l'a montré Wislicenus, avec
uo point triple voisin de 50*". Le mémoire a pour but l'étude de U
transformation de ces deux formes l'une dans l'autre, et il ressort
des considérations théoriques exposées qu'on pourrait détermina
la température de transformation à l'aide de la chaleur spécifique
apparente. o. boudovahd.
CHIMIE ORGANIQUE.
icéuto d« bromal; ehlamre et bromure d'dc<
milio GABDTTI [Gazz. cbiiii. ilul. (â), l. 30, p. 191-6
- Aeélâle •fe bromal. ■ — Oblenu par chaulTage de me
ramai anti. et anh. acélique. Lamelles losangées f
iihet)
/OC-GHî
Br3C-CH0 Jr<K = Bi-îC-CH=(OCOCH
\0C-CHî
j(i alcalis le décomposenl en 1 mol. GHBi^ 1 mol
mol. CH»CO«Na.
Chlorure (Tacéljlbromal Br'C-CH<^'jj, j^,. —
■ciioQ (lu chlorure d'acétyle 5ur le bromal. Huile
Istille â i5* en se décomposant parliellement, m^me s
Bromure dacély/broma! Bi-^G . CH<^^j, ^^^. — Hi
iVdéc. V.
Action do bromure do gem-diméthyltrimithyl
iiidiiuii-ac4tat« d'éthyle; V. IPATŒF (Journ. Soc.
It. t. 33. p. 83 ; 1901, fasc. 1). — Le produit principa
■lu ïodium-scétate d'éthyle sur le bromure (CHMCBr.
«li■élhe^iGH«)«C=CH-CH»-CH<:^^^^y^ Eb. il
10-11 miD. En décomposant cet éllier par BaO, on
«Klone C*H'»0, identique à la méthylhepténone qui
ï-îrtaines huiles essentielles. — Un produit secondaire
tjon précitée est une subâtance d'odeur agi-éable, l
■oia 10 ram., non encore étudiée. a. i
KéaeUon do sodium-malonate d'4thyle sur les
C"H»-iBr'; V. IFATIEF iJourn. Soc. phys. chim
9 W; 1901, fasc. 1). — Mokievski, qui a obtenu k
*fiimufe d'isoprène, attribue à ce corps l'une des forni
CHï-
''*prtïThiele la formule serait :
CH».
CHBr-CHîBr ou " NgBi-HH^
>=CH-Ca=Br.
536 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGBB8. !
Pour décider entre ces struelures, l'auteur a eu recours • la rw
lion du sodium -malona le d'éthyle. Le produit principal est q
élher, Eb. iiS-lïS* sous 10-11 mm., qui s'unit a Br et s'oxyde y^
MnO*K. Le saponification de cet éther fournit un acide que l'êttM
enlève facilement de sa sol. aq. et qui, après évaporation i
l'éther, se solidité en une masse colloïde, presque insol. dansj
chloroforme et l'éther, sol. dans l'eau et l'ac. acétique; F. »*j
llS"; composition C^H'^O*; la détermination du poids motel
indique une polymérisation; cet acide s'oxyde par MnCHK, ^'ui
à Br et à HBr, mais les produits sont amorphes; ses sets 8<^
également amorphes. Les propriétés de cet ac. hoprénique et N
mode de formation indiquent la structure
"V
'<Lco:
Ac. IsoprénjllrlDtlhjlèac digarkoniiiic.
car la tendance à-la polymérisation s'observe dans les combinaiso^
contenant le complexe ptj^C-; d'autre part, la réaction J
l'éther sodium-malonique conduit à la formation i)e l'anneau Irinij
thylénique lorsque dans le dibromure les Br sont unis aux C iH
maire et secondaire. C'est pourquoi la formule (2) est peu probat>U
car, si elle était vraie, on devrait par l'éther sodium-maloniq'^
obtenir le bromure non salure CH'Br el le carbure C»H'. ce q<
n'a pas lieu. — L'étude est continuée. A. convrsv.
TransformatiOD des dérivée 0. acylés de l'éther acétylacèi
tique en dérivés C. acylés isomères ; L. CLAISEN et E. HAAS|
(D. ch. G., t. 33, p. 3778-84; SI. 12.1900). — L'o.-acélyl-acéi)l-
aiétale d'élhyie a été obtenu par l'action du chlorure d'acétjle su|
l'élher-acétyl-acétique, en présence de pyridine; il se transfonnOi
en solution dans l'éther acétique, sous l'inAuence de KKX)' e\
d'une petile quantité irélher arélvlacétique, au B.-M., en éthel
tylacélylacélii|ue,oudiucétjlacétique(GHaCO)>GH.CO*CTf'.
-acétyl-HCvtylocvlale de lUiUhyïe préparé comme le pré<y-
bout a 95" sous 17 inm ; D. 1,1006. Il se transforme en diêtr-
taltt de mélbyh {CH^COjïCH .C0»CH'.
mtifrations s'expliquent par l'aclion d'une irare d'acétylwr-
l'éthyle potassique qui réagil sur l'O. acétate en donnso'
CHIMIE ORGANIQUE. 5S7
W diacétylacétique potassique et de nouvel éther acétyiacé-
tio f{ui rentre eo réactiou :
HM:X)-C0-CH3 CH3-C-0K CH3-G-0K CH^-CO
[ Il II I
OP -|. CH + t:-COCH3 4. CH^
! III
iX)îC2H5 G0*C2H^ CO^C^H* CO^CîH^
r syDlhèse qui se rapproche de celle-ci est la formation d'ac.
»c)')iquc par le pliénate de sodium et le phénolcarbonate de
luim :
/ONa
0*HS-O-CO2Na + C«HH)Na = C«H»< + C^HSQH .
^C02Na
V. AUGER.
transfonnatioii des cétones en «-dicôtones (V) ; Isopropyli-
tetylcétona; 0. PONZIO [Gazz. chim. iial. (2), t. 30, p. 23-27].
hopropyhsobutylcélone (CH»)«=CH-CO-CH«.CH(CH»)«. —
tte céione a été obtenue en faisant réagir le zinc-isobu-
b sur le chlorure d'isobutjryle. Liquide à odeur agréable,
\^ camphrée, b. 147-148** sous 744 mm. Oxime liquide,
ttilUot à 201-203''. Après oxydation azotique [Gazz. chim.
i^ . 'it t. 25, p. 237], on retire le produit cétonique par transfor-
ttÎGa eo dioxime ; on obtient ainsi la dioxime du diisobutyryle
»'^>CH.C(AzOH^-C(AzOH)-CH=(CH3)« lamelles incolores f.
tt>. Le dialtro-isobuiaae formé dans la réaction est extrait à
^tbtr et transformé en sel potassique (CH3)«=CH.CKAz«0*
»<*ile$ jaunes fort belles. v. augbr.
Acétjldioximei d'a-dicétones; G. PONZIO [Gazz. cbim.
«' il. l. 30, p. 27-85]. — Diacétyl'dioxime du diacétyle
H».Cr(AzO.C«H»0)C=rAzOC«H»0).CH», obtenu par Faction de
wh acétique â rébullition, sur la dioxime. Aig. f. al 12**. On a pré-
"^deinéaieles(//VîctVWiV>xi7uesde : CH».C0.C0.CH«.CH3, f. à
t^W.C0.CO.CH«.CH«.CH».liq.;CH3.CO.CO-CH«.CH:.(CHV,
'^■Hiiesf. â42*; CH».GO.CO-(CHV.CH», huileux. L'auteur a
»T«ré aussi : CH».C.(AzOCH«C«H»)G(AzOCH«C«H»)CH«.CH», f.
' ^^^. V. AUGER.
^ Ui synthèse simple des acides a-c6toniques; Hans
'WnE/^O. cL G., l. 34, p. 653-6; 25.3.1901). Acide ^-phényl
''^fU9)rlbutyriqae. — L*auteur a étudié l'action des cétones pos-
^^tmiTOttperoélhyle, sur les éthers-acides non saturés, en
538 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
présence d*éthylate de Na. lia pri^ comme exemple TacélopM
et Téther cinnamique ; la réaction se passe suivant :
CH15.CH CH2-CO-C6H5 CôH^-CH-GH^-i
L*acide n*a pu être obtenu directement à l*état pur; il était
mélangé d'acide cinnamique et f. à 118-182**. Sa semicêr
C«H»-C(:Az.AzH.C0.AzH«).CH«.CH.(C«H»).CH«.CO»H.f.àl
i58%5. Celle-ci étant pure, a été déc. par H«SO*à SOO/0 et fo
l'acide pur crist. de Teau en aig. plates etf. à 152-158*,5. Vos
{. à 145**. L'auteur se propose d'appliquer sa méthode à d'au
produits. V. aucbh.
1
Action de riodesur Tacide maloniqiie, en solntion pyridin
G. ORTOLEVA [Gazz. chim, ital, (1), t. 30, p. 509-11]. — lodl^
drate basique de pyridine-bétaïne
C^W^KZ'OW-COm G«H5Az-CH2-CO
I , I
I 0
— Si l'on fait réagir peu à peu, et à froid, 1 mol. d'iode sur 1 iw
d'acide malonique dissous en 8 fois son poids environ de pyri
on obserye un dégagement régulier de gaz CO* et la masse c
tallise. Après lavage à l'éther acétique, et d'alcool, on oblieut
composé fusible à 250-252**, après noircissement prt^alable \t
l'25** environ. Les propriétés chimiques de ce produit indiqudj
nettement sa constitution; on l'a d'ailleurs préparé d'autre pari ^
partant de la pyridine bétaïne. L'auteur admet la formation trao?]
toire d'acide iodomalonique très instable qui se décompose en 01
et acide iodacétique qui réagit alors sur la pyridine. v. algct.
Snrnn aminomercaptan halogène; A. EIBNER {D, cL ^«
t. 34, p. 657-CO; 5.3.11301). — Acétylpht'nyl'OL'amino-tncblm
thylmercaptan Cl»C-GH<f ^^GOCH». Si l'on ajoute de Tac. ihic
Az<QeH5
acétique à de la trichloréthylidène-diphénylamine, il se produit u
fort dégagement de chaleur, avec dégagement de H*S; la réaclw
est :
CGlî GGP
GH . HS-CO-GIP GHSH
CGll^-AzIl Az<îi*"^ "^ Gf^H^-Ai-G0GH3
-fHS-G0-GH3 +G«ll>AiHG0CH5
CHIMIE ORGANIQUE. ' ' 539
iDuveau e<mi{k>sé ctist: de Talcool chaud en belles aig. f. à dd"".
M. mioéraux, à chaud, le déc. en H«S, chloral et acélanilide.
r Ihhaeétiqae et bemylidène-anilinei — On obtient, pal* lé
tn^ des produits, de petits cristaux prismatijquës f. à 75"^,
Kn{<^^^^^^^^ '^^^"^ . Ce composé d'addition, très insta-
•«e dissocie ]enteq[ient, en s )K
duteur se propose de continuer ce travail par l'éfude de l'ac-
dt* Tac. thioacétique sur les combinaisons aniiéçs et diphényl-^
ïr'es des aldéhydes. v. auger.
■tériaiix pour senrir & Tétude da oapbte de Grosuyi;
UWOYALOF et M"»-» A. PIOTNIKOF {Journ^ Soc, phys, .cbim.
U 33, p. 50; 1901^ fasc. 1). — La fraciion du naphte de
^^\ distillaiU entre 160 et 165'' a été traitée par SO^H^ dana
toi d'y retrouver des carbures aroinatiques; le mélange de
iDU*et de SO*H* était soumis à une agitation continue et 4e
i* à autre (4 fois en i heure) on remplaçait Tacide par une
telle quaatité d'acide frais, jusqu'à ce (|ue le volume du pétrole
cessé de diminuer. L*acide étendu d'eau a abandoimé une
t bruQ noir, qui traitée par BaCO^ a donné un mélange de
^*jne Ton a décomposé par SO*H*; dans le produii on a trouvé
^ode quantité Tac. mésilylènesulfonique, F. 7B*, et une
ti«^ cristallisée, F. 210**, non encore étudiée. — Ainsi la frac-
liieoaphte bouillant vei's 160-165* contient une notable pro-
ftiuD de roéàitylène. a. corvisy.
br on ■oneflu mode de préparation des combinaisona
(Moti iodilo-aromatiques ; Giovanni ORTOLEVA [Gazz.
*« if*/. (2», t 30, p. l-lô]. — La méthode consiste à dissoudre
fc KMiochiorures aromatiques dans la pyridine, et d'ajouter de
■tt * U dissolution ; on obtient ainsi les dérivés iodosés; en pre-
W les composés iodo-substilués on obtient de même les dérivés
^ombeazèoe. — 1 gr. de C«H»1C1* est dissous dans 3 gr. de
Nu»; on additionne peu à peu de 50 ce. H*0 en agitant forte-
^^ On obtient nne huile qui se concrète rapidement et qu^on
^* » l'eau, à l'alcool et au chloroforme. 1 gr. d'iodochlorure
™»lûi»,6d'iodosobenzène. On a préparé de même Vo.'iodoso-
*"^n<, ^ m.'iodosotoluèae non encore obtenu; amorphe, déc. à
■^1*% icéMe crisl., f. à 1 49-.
*-* tbbro-iodo-m.-xylène n'a pu fournir le dérivé iodosé corres-
L
540 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pondant, mais il s'est toujours formé le dérivé iodilé «•/«
naphlalène, Willgerodt ne Ta pas obtenu pur; préparé comme i
été dit, il fond en se décomposant à 135-145'*; son acétate
à 170-175«> (W. indique 192»). le d-iodiloaapbtalène est obi
dissolvant le composé précédent (1 gr.)t dans la pyridioe \k
ajoutant une petite quantité d*e^u, refroidissant, puis li
passer CI avec léger échauiïement final. On additionne dV
trouble, puis fait passer Cl jusqu'à clarification de la Uqueur.
le repos le produit se dépose. Amorphe, explosible vers 155'.
y. ACGSIt.
Nouyelle synthèse de sulfones aromatiqaes; F.
et 6. PASDERHADJIAN (Z>. ch. G., t. 34, p. 1150; 11.5.190IK]
Les auteurs ont trouvé que le chlorure de picryle réa^t facilei
en solution alcoolique sur Tacide benzène-sulfloique avec
mation de SAS-trinUrodipbényhulfoDe ; ils ont constaté d<
que cette réaction peut être généralisée en employant d'aul
dérivés nilro-halogénés à la place du chlorure de picrjie et <
acides sulfiniques autres que 1 acide benzène-sulfinique.
Les auteurs ont donc préparé par ce procédé les sulfoneft »
vantes :
La 2A.6'tnnitrodiphétiyhulfone C«Hk.SO«.G«H«(AzO«)*, \
soluble dans Talcool et Téther, facilement soluble dans Tici
acétique bouillant et le benzène, F. 23S^.
La SÂ-dinitrodiphénylsulfone G«H*.SO«.C«H»<^^^ cnslaU
en jolies aiguilles incolores, F. lô?"". Son produit de rédudi
cristallise dans Falcool en longues aiguilles hexagonales iocokiH
F. 188*.
Les mononitrodiphénylsulfones se forment moins facilement 14
les dérivés polynitrés; il faut dans pe cas opérer sous pressi
à 140.160\
La â'Uitrodiphénylsulfone C«H» . S0« . C«H» AzO« est en cri*JJ
incolores, F. Ii7*',5, insolubles dans Teau. Son produit de redi
tion cristallise en feuillets brillants et incolores; dérire êcet}
F. 132^
La 2'OxydiphénylsuUone C«H5.S0«.C«H*0H obtenue par •!
composition du dérivé azoïque correspondant fond à 8:^.
I^ p.^nitrodipliénylsulfoiw préparée en partant du p.-dil^
nitrobeozène est en aiguilles incolores, F. 148*. Son prodou
réduction cristallise dans Talcool en aiguilles incoIore&, F. I'
et son dérivé acétylé en prismes incolores, F. 195*.
CHIMIB ORGANIQUE^ 541
*êc»4e i.B^hiHrodipbénylsalfone^carbomque
ou avec l'acide 4-chloro-3.5-diniti»obenzoïqfie cristallise en
fues aiguilles incolores qui brunissent vers 220* et se décom-
rtil à Î40*.
**c/rfe î-nitrodiphénylsulfone-i^cai^bonique est en cristaux
rés en jaune» fusibles entre 255 à 260*; son dérivé acétylé
I à 270-275*. F. HEVERDIN.
fitliésa de l'oxyméthyl'benzoylsulfimide ; C. HASELLI
itt. etim. Ual, (2), t. 30, p. 31-35] — 5 gr. de saccharine
u)Tés avec 50 ce. d*aldéhyde formique à 10 0/0 se dissolvent
bipeu. Par refroidissement cristallise le produit de conden-
ioo, oxyméthylbeDzoylsulfimide formé par la réaction :
IK >AzH + H0-CH2-0H = C«H*< NAzCR^OH + H^O .
\SOV \S02/
cn»U de ralcool en prismes f. à 225**, insol. en C«H^.
V. AUGER.
de Tacide p.* toluène sulfinique sur le nitrobenzéne ;
i|. BAUEBGER et Adolf RISING (D. cb. G., t. 34, p. 228-41;
L1.1901). — En faisant réagir ces substances à froid, en présence
1^1, d*ac. acétique ou de chloroforme, on obtient : du p.-ami-
ïpbéiiolaniline; p-tolylsulfonyl; p-phénylhydroxylamine; p.-tolyl-
tt&Qitedep.-amidophényle; acide p.-tolylsulfonique (à Fétat de
lidesbaaes); iolyl-disulfoxyde; cristaux jaune-paille, f. à 162*,
tno^ probablement d*un azoxydérivé.
P'Toluènesalfonate de p.-amidopbénol
C»H*(AzH2)(OH),C'lP-S05H.
^«^ts argentés, f. à 220-245^ sol. en aq. et alcool.
P'ToluèaesulÉonate de p.^toluènesulfonate-p-ammophényUque
'»*<Q^§Jj^y,.CiH-'.SO»H. - Aig. incol., f. à 243% très -ol.
■^CHCl^etac. acétique. Se scinde par éb. à Teau ou les alcalis,
'^à^mêDiie p.^toluènesulfonate de p.^aminopbényle, crist. de
^•Ittttl en grands pnsmes f. à 142*,5, t. peu sol. en aq., t. slable
•*** «c. et alcal. Le sel chlorbydrique, crist. en aig. oxalale^ sul-
*''*i aig. Ces sels sont facilement dissociés par Teau. L*anh. acé-
542 ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTHANGEKi^.
tique fournit à l'éb. un dérivé monacélylé ^^^*<^^^^ty
en aig. plates, du benzène, f. à 146». Le dérivé diêcétyfé,
aig,, de l'alcoQl, f. à 101*.
Le p.-toluène sulfonate de p.-aminophényle, diazoté et
sur p-naphtol fournit Vazoïque correspondant f. à 157*,5, criiL
aig- rouges.
^'TolyîsulConyl-^-pbétiYJbydroxylamine C*W»Az<::^q^,.j..
Obtenu surtout dans Inaction en sol. alcoolique. Lamelle? i
143%5.
p.'TolylsuUonale de p.-nitropbényle C^W ,QO^O .CfiH^kà
— Obtenu avec le p.-nitrophénol sodé et le chlorure sulfoDi^
Tablettes micacées f. à 97", sol. en alcool, élher; peu sol.
Hgroïne, fournit par réduction, le p.-tolylsulfonate de p,Htmi
pbényle CH^SO^O.C^H^AzH» déjà décrit.
p.'Tolylsulfonate d o.-nitropbényle, — Obtenu commaledM
para, avec To.-nitrophénol. Prismes f. à 81*,5, son dérivé «oj
crist. en aig. f. à 101*, 5. v. algbji.
Sur raction de Tacide p.-tolyUulfinique sur la p-phén;
droxylamine ; Eug. BAHBER6ER et Adolf RISINO {D, ch
U 34, p. 24i-53; 28.1.1901). — On obUent comme produit de
tion : trois produits déjà observés par Bretschneider [Joa
prakt, Cb. (2), t. 55, p. 301] et de plus quatre autres p
qu*il n'£^ pas isolés: p. -aminophénol; p.rtolylsulfoo^te de p.-i
jîophényle ; p.-p.-tolyldisulfoxyde; aminophényte-p.-lolytsaifo
On voit que les produits obtenus sont les mêmes que ceux qui
été décrits dans la précédente communication, sauf Je demierJ
encore observé. Nous ne pouvons résumer ici les diagrammej
formules fournis pour expliquer la formation de ces substaad
nous y renvoyons le lecteur.
p, . Tolyl- aminophnéyh - ulfone CfiW . (GH-^) . SO«C«H*AiJf'.
Obtenue aussi en chauffant à 160* CeH»,HCl avec GH».CW.i?d
et P*Oî*. Aig. crist. de Talcool, f. à 181*»,5. Ses sels sont facilen^
hydrôlysables. Dérivé acétylé^ aig. f. à 198*.
^-pMolylsulfonyl^pbénylbydroxylamine
C«H5-Aï<
— Obtenu quantitativement par Taction du chlorure sulfoni«i«f ^
la phényihydroxylamine. v. awo*
CHIMIE OHGANIQUB: diâ
Ssr tes acides 2-chloro-3-oxybenzoîque et2.6dichloro-3o3rx-
Buiqne; G. MAZZARA et V. BERTOZZI [Gazz. ebim. ilal. (2),
30,*^94; 21.5.1900]. — Dérivé acélylé de tétber diloroxy-
uzoique obtenu par Taction de GH^COCl sur l'acide. Aig bril-
(tes f. à 49*. :
C02G»H5
CI
0G0GH3
Azide 2.6'dichlorO'3-oxybenzoIque
GO*H
ci/\gi
IsJoH
* Od traite à froid Télher ôhloroxybenzoïque par SO'GI*, puis
tttioe à chaud; le produit brut, huileux, saponiHé par KOH
«mit Vacide dicbloré bydratè crist. de Teau en prismes bi-réfrin-
«ilsf. i 122-124»; il possède 1H«0 qu'il perd vei-s 120^ Etber
imêtbylique obtenu en traitant Tacide par KOH et IGH'. Crist. de
I lifToîne en gros prismes bi-réfrigents f. à 57*>. La position des
L de Cl est fixée par ce fait que l'acide ne peut être élhérifié par '
IQ et un alcool, les Cl s'y opposant. De même ses éthers sont
Rrâ difficilement saponifiés, ce qui ne s'explique bien qu'in
fcfaieitant que les Cl entourent le carboxyle.
Kq admettant que S0*C1* réagit comme Cl, ce qui est générale-
Brtit admis, le produit de chloruration de C«H*<Ç^*|^.^*^ est
^ /Q (6)
C*H*~CO*H (i) or : son isomère monochloré f. à 157* fournissant
/^\ (6)
par chloruration le C«H«<^2*" f q. doit avoir la constitution
Cl (2)
**^C<J*H(1}. V. AUGER.
OH i3)
^ kt peracides et les peroxyde-acides organiques biba-
s^qvM; Adolf BAETER et Victor TILLI6ER {D, cb, G., t. 34,
; 'fâ-T; 9.3.1901). — Monoperacide pbtalique C«H*<^^i2'^".
- «-hi tgîie 50 ce. HK)« à 2,3 0/0 (5 mol.) avec 8*^,7 NaOH è 20 0/0
544 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
(8 mol.) et 1 gr. anh. phlaliqiie, en refroidissunt aveu de b ga
On acidulé, extrail à l'éther la sol. filirée, enlève H>0* par itpi
tion avec une sol. conc. de Bulfate d'ammoniaque, évapore dut
vide en courant de GO». Petites aig. sol. en aq. déc. vers ItO"
l'obtient aussi par ia méthode de Pechmann et Vanino, en iêf
liant l'acide peroxyde-phtalique parla Q. calculée de NaOKi
A cide peroxyde-phtalique C«H»<ggig ■ ^oJc^f^"*- - ^^^
comme le précédent, en employant 60 ce. H'O», 80 ce. ,N»OH
9 gr. d'anhydride phtalique. Poudre crist. f. à 165' el délot
au-dessus. Êlber diéthyliqae obtenu au moyen du chlorure éil
phtalique, feuillets T. è 59°.
Diperocide-léréphtalique C*H*=(CO.O.UH}». — Obtenu
l'action de 2 gr. du chlorure acide sur il ce. H*0* s S,â 01
8",5 NaOH à 15 0/0. On sature de GO* qui précipite uo ael ma
sodé t. ppu sol, explosif par le choc. Sa sol. précipite les sels
Ba, Ca, Pb, Cu, Mn. L'aeide libre crist. en aig. capillaires. I p.
dissout en 18,000 p. d'eau v. augek.
Sur r4th4riflcatioD de l'acide S-oitrophUliqite; Rnd. WI
SCHEIDER [D. ch. G., t. 34, p. 680-1 ; 8.3.1901). — Reinarqu.-*
sujet d'un travail de Marckwald et Me Ken&ie [D. cb. G- l.
p. 48?) ; ces derniers ont remarqué la formalion d'une petite ij'i
tité d'éther neutre dans l'élhériilcatioii avec un acide minéral ot
alcool. Si Wegscheider et Lipschilz ne l'ont pas remarqué, c
provient de ce qu'ils ont travaillé sur une quantité 60 fois mo
forte de produit. v. auccr.
Action de ta chlorhydrina mèthyléniqne mr !•■ iBii
aromatiqoeB; 0. GRASSI et F. SCHIAVO-LEHI [Gats. fin
ital (1), t. 30, p. 112-22; 9.5,1900].— Composé GWH«A2*. -
chlorhydrine dissoute dans le benzène est additionnée d'une -
benzénique d'aniline. 11 se forme un pptë rouge amorphe; oii
puriRe ))ar dissolution en HCl et re-précipitatioa aux carbonii
alcalins. Chloroplatinale G»'H'*Az*H*PtCI* jaune amorjjhe itenti
" 1 HO" et perdant 4HG1 par traitements répétësà l'eau bo'i
L'o.'loluidiiie fournit, comme l'aniline, un romj»
<he et jouissant des intimes propriétés que le préc^lc
T. .\[n}Ei>-
ion de rhypoasotîde sur les quinoneKlioximea ; B- 01
TORTORICI [G.7ZZ. chim. ital. (i), t. 33, p. 526*tl. -1"
ions ont été faites avec les produits dissous dans l't^'i
CHIMIE ORGANIQUE. 545
ihaolu : l*bypoazotide pur était en sol. éthérée à 20 0/0 environ,
i a tâllu i mol. d'hj'poazotide pour 1 mol. de dioxime.
(JuiBooe^ioxime. — La sol. éthérée se résiniAe avec rapidité,
4Aim évaporant dans un courant de H.CO^, etc., soit en la projetant
ttû» Teau, ou une sol. de SnCl^ et HCl. On n*a pu isoler de la
t«etioa qu*un produit secondaire de réaction, ou provenant d*une
*é«ction ultérieure : le p.-dinitrobenzène.
Toluquinoae-dioxime, — Mêmes observations que précédera -
Beat; obtention d*un peu de p.-dinitrotoluène f. à 48''.
TbymoquiQone^ioxime, — La dioxime a été préparée par la
Bctbode de Kehrmann et Messinger [D, ch, C, t. 23, p. 3558); on
[kHJt avantageusement et avec fort rendement remplacer le
btrosothymol par le nitrosocarvacrol. L*hypoazotide fournit, cette
lois, on ppté jaune, résineux, qui, lavé rapidement avec Téther
anhydre refroidi par la glace et le sel, et mis au dessiccateur, se
conserve quelques jours sans altération sensible. Il est très insta-
ble à la chaleur, se décompose vers 56-60'', détone à plus haute
u*aip. ou sous rinfluence du choc. Les ac. dilués dégagent Az; il
tournit la nilroso-réaction de Liebermann; avec le naphtol, ou la
Tf^rciup, il fournit des mat.colorantes rouges, de nature azoïque.
Sa composition étant C*<^H**Az*0* on peut conclure à la formule :
A£=Az-Az03
AzO
CH3.C
ou
AzO
Az=Az-AzO^
La aaphtoquiiwne dioxime 1.4 fournit des résines.
Le dinilrosocymène produit d'oxydation de la thymoquinone
iioxiine, fournit le même produit que la dioxime, ce qui prouve
4ue. daus un 1*' temps, le peroxyde d*azole agit comme oxydant.
i^BDhyiiride azoteux réagit comme Az*0*. v. auoer.
IMrivés chlorés des matières colorantes asoniams (I);
P. KHRMAHH et fflBY [D, eb. G., t. 34, p. 1085; 11.5.1901).
^ Leê auteurs ont utilisé la 5-chloro-2-aminodiphénylamine pour
|*«parer un certain nombre de dérivés chlorés des matières colo-
™ale* azoniums, ce qui leur a permis d'élucider quelques questions
'le coDsiitution et d'étudier Tinfluence du chlore sur la nuance de
tt'ici'iues matières colorantes. Ils ont pu constater p. ex. que la
duDHihjrl-idorosinduline préparée par Taction de la diméthylamine
^rUchloropbénylisonaphtophénazonium est identique à la matière
»c. cMiM., 3* sin., T. XXVI, 1901. - TraT. étrang. 35
640 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
colorante obtenue au moyen du phënylisonaphtophéiiazoniuiâ
de l'aminé ci-dessus. On a pu aussi transformer des rosîad
chlorées en remplaçant le chlore par un résidu aminique en
rivés de la naphtophénosafranine. Au point de vue des ouau
tl a été constaté que les dérivés chlorés du phénylisonaphlo
nazonium et de la flavinduline sont des colorants rou^ cran
que les rosindulines chlorées fournissent des nuances plus h\
que les rosindulines non chlorées.
Les auteurs décrivent en premier lieu les sels de la S-chlm
Ûavinduline obtenue elle-même en condensant le chlorhydrate
5-chloro-2-aminodiphénylamine avec la phénanthrène-quioone
présence d*acide acétique cristallisable. Le chlorhydrate se |i
sente sous la forme d'aiguilles fines rouge-jaune, solubles di
Teau et dans Talcool en rouge-orange, le nitrate est en prisi^
rouge sang. En faisant réagir Taniline sur la 3-chloroflavindul|
on obtient Tanilideflavinduline de la formule suivante :
AïH.C«H5
Ce produit qui cristallise en aiguilles cuivrées est presque i
soluble dans Teau et diflléilement soluble dans Talcool bouilN
et dans Tacide acétique en bleu foncé. Les auteurs ont fait ré«^
l'acide p.-aminosalicylique sur le chlorure de la chloro-flaviodull
en présence d*acétate de sodium, ils ont obtenu Tanhydride l
produit de substitution dont le chlorure a été préparé en traiU
ce dernier en suspension alcoolique par Tacide chlorhydrique
filtrant rapidement. Ce dérivé fournit par sulfonation un colorq
bleu verdàtre qui teint les mordants d*alumine et de fer.
L'action de la p-naphtoquinone sur la base 5-chloro-2-ammi
diphénylamine donne lieu à la formation du S-chloro-phéiiyiidj
naphtophénazonium qui fournit par Taction des aminés les mM
dérivés que ceux qu'on obtient en partant du phénylisonaf^t^
phénazonium. Les auteurs décrivent les dérivés de la dimétbj
aminé et de Tacide p.-aminosalicylique.
Sur les S'Chloro-rosindulines, — Ces colorants se formenl |*
ou moins facilement par condensation de la S-chloro-3-aau^
dipliénylamine avec des composés du type de la 4-aDiUno-|^ba{)'^l*
CHIMIE ORGANIQUE. 5i7
lUDone. — Le chlorure de la S'Cbloro-pbénylrosinduUne obtenu
u (ai^amt réagir le chlorhydrate de 5-chlor-2-aminodiphénylamine
iT la 4-aniliDO-^-oaphtoquinone cristallise en aiguilles brillantes,
re/let métallique, qui se dissolvent dans l'eau bouillante ou plus
niement dans l'alcool et facide acétique cristallisable en rouge
[clisiDe. Les auteurs ont préparé les dérivés correspondants de
I p.-toluido-^aphtoquinone et de la ^-naphtylamino-p-naphto-
unooe. — Le chlorhydrate du chlorure de la S'chloro'm.'amiuo-
MolyîrosinduUne est, contrairement aux dérivés des rosindulines
dorées décrits jusqu'ici, facilement soluble dans l'eau, c'est une
itliêre colorante rouge-violet»
En faisant réagir Taniline sur la dchlorophénylrosinduline, les
bleurs ont obtenu le chlorure de la diphénylnaphto-phénosafra-
ûe qui se dépose de l'alcool en cristaux cuivrés, à peine solubles
^ leau, plus facilement solubles dans l'alcool bouillant et mieux
Dcore dans l'acide acétique cristallisable en bleu-violet. Le dérivé
orrespondant de la chloro-p.-tolylrosinduline et de la p.-toluidine
«1 un peu plus facilement soluble dans l'eau, l'alcool et l'acide
lœtique que le dérivé phénylique. La base cristallise dans l'alcool
!t le benzène en cristaux à reflet métallique, elle est constituée
Ktome la base du dérivé précédent par un anhydride interne.
F. REVEBDIN.
PfeJTéi cUoréa des matières colorantes azoniums (II);
r DDUUni et H. MULLER (D. cb. G., t. 34, p. 1095;
I1-D.1901). — La 5-chloro-2-aminométhyIaniline se prête bien à
■ préparation de combinaisons azoniums chlorées dans lesquelles
•ûméthyle est substitué au phényle lié à l'azote de Tazonium.
Là S-chlor-Samiaoroélhylaniline a été obtenue elle-même en
*Msformant le S.4-dinitro«chlorobenzène au moyen de la méthyl-
*iuiie d'abord en 5-chlor 8-nitrométhylaniline puis en réduisant
<***e^ enchlororaéthyl-o.-phénylènediamine (5-chloro-2-amino-
"**thTUmlioe).
Bo coadeasant ce dérivé avec les quinones du type de la 4-oxy-
^toquinone et de la 4-amino-^-naphtoquinone on a obtenu une
•^ de matières colorantes appartenant au groupe des rosindu-
*««. Le remplacement du phényle par le méthyle à l'azote de
liwmmii rend plus difficile la substitution du chlore par les
'•*«1«« aiDiniques; s'il se trouve en même temps plusieurs groupes
''**»*uqttes dans la molécule le remplacement n'est pour ainsi dire
P'wpwiibie.
L« ^Unro-Î-Ditrométhylattiline est en aiguilles rouge orange,
L
548 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
F. 104-105^, à peine solubles dans Teau, facilement solubles dd
I*alcool et I*éther et assez volatiles avec la vapeur d'eau.
La chloro-méthylo.'phényîènediamine (ou â-cbloro^S'êma
mélhyîaniline) se présente sous la forme d'une huile, son cl»
hydrate est en feuillets incolores; il fournit par condensation m
la 4-amino-1.2-naphtoquinone le chlorure du S cbloro-Ô^amk
méthyl-naphtophénazonium^ avec la 4-anilino-p-naphtoquiciO(if
chlorure du S'Cblor-ô-anilino-méthylnaphtophénaionium et *\
le 4.6-p-naphtoquinone-disulfonate de potassium V acide S-chli
ô'SulfamUnO'métbylnaphtopbénazonium'S-suUonique.
Les auteurs ont étudié encore les produits de oondensatiou
chlorhydrate de Tamine ci-dessus avec Tacide 4-p.-acélainii
anilino-p-naphtoquinone-6-sulfonique ainsi qu'avec la 4-oxy'
naphtoquinone et ils décrivent à cette occasion V acide S-cblorù-
p. - acétamino - anilino - méthylnapbtophénazonium - ^ - sulfoai/a
7'Sulfonique ainsi que la S'Chloro-méibylrosindoDe et la S-cbla
niHtbyJprasindone, f, REVKiimN.
Dérivés chlorés des matières colorantes asoniams U
F. KEHRHANN et S. KRAZLER {D. ch. G., t. 34, p. IK
11.5. 1901). — Les auteurs rendent compte dans ce mémoire
leurs recherches sur les dérivés de la rosinduline préparés
partant de la chloro-p.-tolyl-o.-phénylènediamine et de la chlcH
diamino-diphénylamine
I
La chloraminorosinduline préparée en condensant cette dertiJ^
diamine avec la 4-amino-p-naphtoquinone peut être facileani
transformée par l'intermédiaire de son dérivé acëtylé en drn|
chloré d'une isorosinduline inconnue jusqu'ici, soit la i4'.
La 5'chloro-S'nitrophényl'pMolylamine préparée par l'actioD |
la p.-toluidine sur le dinitrochlorobenzène de Laubenheimer, \
présence d'acétate de soude est en aiguilles rouge brique, F. !2^
— La 5'ch]or'2-nitrO'4^'acétaminO''diphénylamine obtenni* i
fnisant réagir le dinitrochlorobenzène sur la p.-aminoacétaDiliil
en présence d'acétate de sodium cristallise dans l'alcool en aiguilh
rouge-jaune, F. 221*.
Les auteurs ont réduit les deux composés ci-dessus par le chl-j
rure d'étain et l'acide chlorhydrique en solution alcoolique ci *l
GHUIIE ORGANIQUE 549
i Utilisé les chlorhydrates pour les condensations qu*iis ont
Mitées. Nous sommes obligés de renvoyer le lecteur de même
p pour les deux communications précédentes au mémoire ori-
ttl pour tout ce qui concerne les détails de ces condensations
les nombreuses formules développées qu'elles renferment. Nous
oos seulement que dans ce 3* mémoire sur les dérivés chlorés
s malières colorantes azoniums, on trouvera la description des
nposés suivants : S'Cbloro-rosinduUne^ chlorure de S-cbloro-ô^
40laido^p,^totylDûpbiopbénazomum^ cblorure de S.ô-di-p.-
uido'p.'tolflnapbtopbénazoniam^ chlorure de S-cbloro-ô.JS^
miBopbéuyJnapbiopbéaaxomum et son dérivé mono-acétylé
éoro-isorosinduline), bromure de S-chlorO'î3''aminophényl''
^blopbénazonium. f. revbrdin.
boBéres instables entre les dérivés asoîques du p-naphtol ;
trio BETTI [Gazz. chim, iiaL (2), t. 30, p. 164-77; 2.7.1900]. —
rozètte^zo^aapbtol C«H5Az=Az-C«oH«.OH, f. à 138^ — Ce
oduii obtenu avec le chlorure de diazobenzène et une sol. alca-
li de napfatol, est, on le sait, insoluble dans les alcalis, aussi lui
Kïo donné de nombreuses formules de constitution destinées à
iKire compte de cette propriété. Ex. : c<0H«^^2-AzHC«H» ^^
^ yÀz.AzHC«H»
■nV ' . L*auteur a trouvé que la sol. benzénique du
^iuil 5e colore en rouge-violet intense par Taclion de FeCl^ dis-
»^» en élher absolu ; ceci semble montrer que les sol. benzéniques
5*6édeniient la forme phénolique.
l' Ifodihcation, f. à ISO-lSô". — Si Ton chaufle quelque temps
«oique avec de la potasse bouillante à 50 0/0 les aiguilles rouges
ttnnsforment en masses cristallines noires comme du charbon;
ff^ lavage à (ond et refroidissement, la substance esl brun-
w»|e et fusible à 18C-185«.
ï* Moditication, /". à 137"*. — La modiUcation 1 se modifie lente.
^'^^ • froid et au bout de quelques semaines f. à 130. ,.175**.
^***«>êe au microscope, on voit qu'il s* est formé à nouveau des
H rouges semblables au prod. primitif. La ligroïne légère (b. à
•fr^t dissout exclusivement ces aig. qui fondent alors à 137*.
^«laae résiduelle continue alors à se transformer spontanément,
'^ iprès quelques extractions on peut la transformer entièrement
■* «i^ç. rouges. Ceci n*a pas lieu, même après un irès long temps, si
•^ D enlève tes aig. au furet à mesure de leur formation. Il semble
"^ «Noir la uo état d'équilibre de transformation. La masse noire se
550 ANALYSE DES TRAVAUX CTRANGERS.
diâsout entièrement dans l'alcool, benzène, chloroforme, elceU
transforme direclemenl en aig. rougas f. à 137°. Cette inod. 2 pi
sède toutes les prop. physiques du composé primitif, sauf le [«ii
de fusion.
Action de AzO^H. — Les composés 133etlâ7nitrés, fouraissn
le même dînilronaphtol 2AzO* . 1 • 4 . OH^. Le brome réagit, i
excès, en sol. acétique, sur le 133 en fournissant un dérivé btft
brome C"H»Br''Az»0 ci-ist. f. à 210 215». Dans les méioe» coud
lions, le 137 donneun dérivé peatabromé C'*H"Br>Az»0, f. «i4j
Cette diflérence d'action du Br pourrait élre expliquée pur L&>Ii
mule.
H Az=Ai-C6HS Az=Az-C«ll»
çù-
O.-lolaène-azo-p-nsphlol. ^— Le primilif [. k 132". Après tni'i
inenl à la potasse il f. à 1 1 5°, el au boui de quelques heures!, à fi
122°. Les solvants en extraient alors le primitif 132' : res'e imli
sous la mod. 120°.
p.-Toliièae-axQ-^-mpbiol. — Le primitif f, à 13»'. Ajirès IVW
des alcalis, f. à 122°; la ligroïne le ramène au p. primiiil. i
V. Avasti.
Recherches dans le groape de la pyrone (VI). Coostitetii
des acides méconiqne, comâDÏqafl et pyromiconiqoe; A. PESi
TONER et G. LEONARDI [Gazz. chim. ils!. (1), t. 30, p. 53^
16.5.I900|. — Le méconale triéthylique a été préparé parlVii*
de IC'H= sur le sel d'Ag sec. Le rendement n'est guère que '
15 p. d'élher pour 100 d'acide. Saponilication. Il fournit, aver •
l'hydrate de barjle : do l'alcool éthylique, <ie l'élher éthyl-aeéw
liqueCH\CO.CH*OC*H», et de l'acide oxalique; les détemim
lions quantitatives ont montré qu'il se forme 2 mol. alcool- 1 uio
acétolique et 1 mol. ac. oxalique.
ion de Bn(OH)* sur les acides niéootiiifae.coméaiqw et pyr"
ùqiiit. — Avec le 1" de ces acides on obtient comme =«>
its bien saisissables 1° de l'acide oxalique, 2* une snisiM*
{rice qui passe dans le distillât du produit de la réactioa.t'
slormé ce composé en osazoïie (C*H*Az;' qui crisl. parpf*
Lion de la sol. benzéni(|ue par l'étlier de pétrole. Piw*
crist. f. à 230° très altérable. Un n'a pu la trsnafomKT ^
CHIMIE ORGANIQUE. 5M
me suivant la méthode de Fischer. L'HGl à 0^ la décompose
rtieilement en donnant des résines.
ffiêzoDe bibromé Br«C«H«(Az«HC«H»j3. — Obtenu par addition
brome à l*osazone qui possède donc une double liaison. Aig.
rroscop. f. à 258-160» (?). Des recherches exposées dans la com-
mication suivante, on doit conclure que l'alcool acétolique, qui
vrait normalement se produire dans la sap. des 3 acides, étant
•table, se transforme immédiatement en un produit do conden-
\ion C«H«0«.2C»H«0«=H«0 -f C«H«0« et c'est ce produit, réduc-
ir, qui fournit Tosazone décrite.
L*acide coméoique fournit avec Ba(OH)* : ac. oxalique, ac. for-
ique et alcool acétolique à mol. égales. L'acide pyroméconique
> 1 mol. 1/2 ac. formique avec un peu d*alcool méthylique et d)e
ilcool acétolique. On doit en tirer : pour la scission de Tacidô
pconique ou de son éther la formule :
C?HH)2G-C— 0-|-G-CO*C2H5
HG-CO-COC2H5
= 2(CO>H)2 + 2GaHK)H + GHKiOGH'OCîHs.
Lac. méconique est donc V acide SS-dicarbonyl-S-oxy-l A-py-
laïque ou r acide S-oxychélidonique ; on se rappellera que le
kriidooium majus et le papaver appartiennent à la même famille
1» pôpavéracées.
L'«c/(/e coméniquej d*après Tétude quantitative des produits de
«i^oD donne la formule :
~fl--"— I + 3H20 = C0aH-C02H + HCO^H + GH3C0CHH)H
HC— CO— COH
Vêcide pyroméconique doit fournir en adoptant une formule
tealûgue:
+ H-OH
0 H(>^.i-CH2 OH
1 + —II- M + I = HGO^H + GH2(0H)a + CH^GO-GCH ,.
»tof«ltemenl le glycol méthylénique fournit de Taldéhyde lot-
"^*i quant à Taldéhyde pyruvique, il est très admissible qu'en
'^'^^'w» de falcali, elle fournisse de Tacide pyruvique qui fournit
l'H produits de condensation gommeux, et de Talcool pyruvique
^ Hétolique qui a été observé sous forme de son produit de coa-
552 ANALYSE DES TRAVAUX ETKANGEKS.
densation. La formation de Talcool méthylique observé doit ind
eu lieu aux dépens de l'aldéhyde formique qui s*est aussi tiw
formée en acide et alcool sous Tinfluence de Talcali. v. acgis.
Recherches dans le groupe des pyrones (VII). Saran prodnl
de condensation de Talcool acétoliqne; A. PERATONER et C.
LÉONARD! [Gazz. chim. itai (1), t. 30, p. 565-76; 9.6.19001,-
Ce travail fait suite aux précédents, il a pour but de déterminer II
formule de la substance réductrice obtenue par condensation d|
Talcool acétolique.
Osazone obtenu en parlant de F acétate acétolique C**H**A2*. H
L'acétate a été préparé en partant de l'acétone monochlorée (Per-
kin). On Ta saponifié à Teau de baryte et distillé. Le distillât con-
tenant des gouttes d'huile, et fortement réducteur fournit uar
osazone f. à 238-240'' identique à celle que fournissent Tac. méc<H
nique et ses dérivés à la saponification. Le dibromure G**H**Az*Bif*
de l'osazone fond à i58-160« (?).
Produit de condensation de facétoL — On Ta extrait par l'élhrfi
des premières fractions du distillât de Tacétol saponifié. Huiki
bouillant à 100-105» sous 20 mm. et 185.190*» à 760 mm. Son odrnr
rappelle un peu celle de Tacétophénone; elle réduii à froid la hq*
de Fehling et la sol. am. d'AzO^Ag. Sa formule brute est C«H*<>*-
Semicarbazone C«I180Az3H3CO. — Grist. blancs f. à 190* in>'i
dans Teau, très altérable à Tair. Par simple crist. de l'alcool Wte
absorbe l'oxygène et donne un composé C'H*0^Az'H*CO, f. a23i*
Le brome agit sur le produit de condensation de Tacétol, «i
formant par addition le dérivé C^H^Br'O' (?) huileux. Les chlorure* |
acides ne fournissent pas de dérivé acylés. i
La formule de constitution la plus vraisemblable des produit»
serait :
CH^-G0-CH20H CH3-C-CH2-0
= 2H20+ Il ; ,
CIPCO-CIPOH Hci-CO-ClP
et rhydrazone serait :
CH3.C-CH=Az2HC^H*
II
CH-C-CH=Az2H(:«IP,
Az2HC«H*
obtenue par rupture de la chaîne à l'oxygène. v. aughu
CHIMIE ORGANIQUB 553
Ucharohêê rarie groupe des pyrones (VIII). Sur le coménate
itbyUqiie ; R. OUveri TORTORICI [Gazz. chiin. ItaJ. (2), t. 30,
16-2^1. — Coménate diélbyliqm C»H«0«(CO«C«H»xOC«H»),H«0.
Obieou par action de IC^H^ sur le sel argentique du coménate
oëibyMqiic. Aig. incol. f. a 79-80*» sol. en aq. t. sol. en alcool,
lïèoe etc. perd très lentement H«0 sur H«SO*.
\ride àbyhcoménique G5H*0«(0C«H5)(C0«H). — Obtenu par
ilhtioo de la sol. aqueuse de Téther précédent ; lamelles f.
lO*. La scission à l'hydrate de baryte (voy. comm. préc.) fournit
rtement * 1 mol. éther acétolique, 1 mol. ac. oxalique et 1 mol.
formique. v. auger.
lotes relatiTes à l'éther dimèthylpyrone-dicarbonique ;
OUTeri TORTORICI [Gazz. chim. itaL (1;, l. 30, p. 514-25;
.1 1900,. — Réduction de T éther dimélbylpyrone-dicarbonique.
l'û essai, en sol. alcoolique, avec ramalgame d'aluminium, n'a
«fourni de résultat. Par contre, avec la poudre de zinc et HCl,
la 5ol. alcoolique de la pyrone, ou bien avec l'amalgame de Na,
^ "îOl. acétique, on obtient un produit huileux insol. en aq.
*H<H)* sol. en alcool, coloré en rouge par FeCl*. La plupai't
^ réactifs sont sans action ou fournissent des produits résineux;
iH* fournil un composé fusible à 180**. Far distillation dans le
*^t on a obtenu : des gaz, CO* et un peu de GO, un liquide
toplexe renfermant probablement de lalcool et beaucoup d'éther
cvtylaeétique et un résidu charbonneux assez abondant. On
f peut rien conclure de celte formation d*éther acétylacétique,
•ffe que Téther dimèthylpyrone-dicarbonique, distillé dans les
^«îs conditions, a fourni ce produit en abondance.
Stmicêrbaioae dimèthylpyrone-dicarbonique C**H**O^Az''. —
^ produit, préparé en présence d'acétate de sodium en sol. alcoo-
^«t?, crist. en aig. blanches peu sol. dans l'eau même à chaud ;
'. «iiO'en déc. Les acides dilués sont sans action; ce produit
•^«^'edoDcun peu des semicarbazones ; l'auteur lui attribue la
'«ï'ifiule développée:
Az-C0Â2H-Azîî2
CH3.C|^|C-CH3
C3HS02C.c"^'c-C02C2H5
CO V. AUtiKlt.
554 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGERS.
Une noayelle condensation de Tèther diasoacètiqve; B.
CHNER et C. von der HEIDE {D. cJi, G,, t. 34, p. 845^; 18.1.11
— Pyrazoline'SA.ô'iricarbonate (Téthyle C?Wkz\COK?\
Les auteurs, espérant obtenir un produit de côndeosalion eotrt
p-diméthylacrylate d'éthyle et Téiher diazoacétique, ont chat
ces doux subst. pendant 2 h. au b.-m. Le diinéthylacrylale est
inaltéré, le diazoacétate se condensant seul, d*après la réaclioa
I i II
H-G=A22 C-H HG G
+ |>Az =2Az2+ J >\«
H-G=Az2 Az HG AaH
I
iO^Gms G02G2H5
i
Fines aig. sol. dans Téther, peu sol. en aq. crist. de ralcool, f. à W,
Pyrazol'SA.Ô'lricarbomte d'éthyle C3HAz«(CO«G«H5;»,îH«Ui
— On l'obtient en faisant réagir le brome en sol. chlorof. sur M
pyrazoline précédente. Crist. d. Teau bouillante en t. longs pn.--
mes f. à 71% perdant dans le vide 2 aq. et f. à 91**.
L'acide tncarbonique correspondant, obtenu par saponiflcaljot
avec Tac. suif, dilué se décompose à 238*, en donnant CO* et ti
pyrazol C^H^Az*. En partant de 100 gr. d*éther diazoïque on oblieal
100 gr. de pyrazol. v. augkr.
Relations générales de condensations entre le p-naphtol, Iti
aldéhydes et les aminés; Mario BETTI [Gazz, cbim, ital.d,
t. 30, p. 81046; 1.8.1900). — En faisant réagir t aldéhyde bta-
zoique et l'ammoniaque sur le ^-naphlol, la réaction se passe sui-
vant: C'^H^O t 2C«H»CH0+AzH»=C«*H«»0Az-f 2HK). Les amJ
nés secondaires (|*une part, et les cétones d'autre part, ne foumissetri
pas celte réaction. Le dérivé obtenu C**H*'OAz crist. de Talcool
bouillant en aig. blanches f. à 150*, sol. en C<*H«. Sa sol. heiw^
nique se colore en rouge-violet avec FeCP éthéré. L'anh. acétiqu**
à réb. fournit un dérivé acétylé C««H««0«Az, f. à 189».
p-naphtoly aldéhyde benzoïque et aniline, — On obtient ici •*'
composé C30H«30Az, aig. incol. jaunissant à 160^, f. à 200* L'ânh
acétique ne donne pas de dérivé acétylé.
p-naphtol^ fur fur ol et ammoniaque. — Composé G*^H^*0*Ai
crist. en long, aig., f. à 115**. '
^-naphtol, aldéhyde valérique et ammoniaque. — CoiapOit
C«0H8iOAz, aig. f. à 92\
CHIMIE ORGANIQUE.
i/i>nt«iir présente comme interprétalion possible
yCO +H»A«-R
+ t:0H-H = Hï0 4-
;r'
CH-H
V
'AzR
i|ui en Terait des dérivés oxaitiniques.
Trauformation de l'anbydride pyrocinchoni
rrocinehotiiqae fumaroîde; Ettore HOLINARI
If. 1.., l. 30. p. 577-92; 30.4.1900]. — Elhers dii
jil'yrocincboaifue. — Le premier bout à 219"; rf
inlre bout à 237».
liiiuétbylautiDosuccinimide
CH'-CH-COv
I >A«H.
1
AxHi
-'-hichaolle en lube scellé l'éther méthylique |
M sol. méthylalooolique ri'AzH'. Longues aig. tré
r^n, j. à lOô-lSS". Daos l'alcool provenaat de 11
h |>roduit, on trouve la diamide pyrocinchanique
■nrtaui blancs f. 4 205-215°.
SapouiSfBtioD de ramiiioimide. — Kn opérant ai
'>' ttar)iim, pui^ Deulralia&nt la liq. avec H*SO^ or
^1* aw inodiûtét/iyis iirt- inique
CH'-CH-CO,^
GH'-(
'-CH-CO,
ï-C— GO^'
'••I6&> très sol. en aq.SoumÎBeà une longue et
*1- Itiiàe déposer de petits crisl. blancs inaol. en i
» de 880°, probablement Yacide dimél
556 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
On a préparé avec l'anhydride précédent, un sel acide de Imrr^
C"H«80''Ba.
CH3-C-C0A2H«
Diamide pyvocincbonique maîéinoide il . — M»
CH^-C-COAzH*
Ions crist. f. à 155-161°, obtenus par concentration des demu
eaux-mères provenant de la préparation du diaiéthylainino$uî>
nimide. Enfin lorsque les eaux-mères ne laissent plus rien dt^po^
on les traite à Téther, et extrait Vimide pyrocinchonique
CH3-G-C0v
Il >AzH.
GH3-C-C0/
crist. en lamelles f. à li9^ Lorsqu'on saponifle cet imide à Ba^OK
il ne s'échappe que 1/2 mol. d'AzH^. Après avoir enlevé la bar>l
par H*SO*, on obtient des prismes incol. f. à 152**^ c'est Vacide /aj
H0«C-C-CH3
pyrocinchonique fumaroîde ii . Les eaux-mères ('*>'
CH»-C-CO«H
tiennent un produit azoté non étudié. v. algbr.
Sur quelques oximes et leur réduction en aminés ; M. KO
NOVALOF {Jouvn. Soc. phys. chinu /?., t. 33, p. 45; 1901, fas«-. I|
— Campbovoxime, — Pour comparer les propriétés du corfl
C*^H*î*AzO obtenu par action de AzO'^H sur le camphène (Ml
t. 24, p. 38 j, l'auteur a préparé la camphoroxime par le proct*^!
d'Auwers et il a pu rectifier quelques données relatives à ce corp^
La camphoroxime fond à 119'^,5; la détermination de son poid
moléc. par cryoscopie dans le benzène a fourni, au lieu du noinbr
167, les nombres : 202,1; 232,5; 253,8; 279,7, pour des conc. va
riant de 3 0/0 à 0.07 0/0. Chauffée à 120» pendant 1 b. avec W
conc, elle se transforme en ac. campholénique liquide. Eh. iw)
261*». D'après Bach et Leuckart la camphoroxime n'est que diW
cilement réduite en bornylamine par Na et l'alcool; au contraïf*
l'auteur a pu la réduire très facilement et obtenir un rendemen
de 55 0/0 de la valeur théorique ; les proportions à employer mjb
de 10 gr. de camphoroxime, 40 gi\ d'alcool et 8 gr. de Na «joutf
peu à peu.
Denzhydî ylamine (C^H^j^CH AzH*. — A été préparée par réàuc
tion du diphénylnilromélhane au moyen de Sn et HCl et par actiui
de Na sur une sol. aie. de benzophénone-oxime ; ces deux procêtit?^
ont fourni un produit identique, mais qui diffère par son poiu
d'éb. de celui de Leuckart et Bach; il bout à 301-502* (au M
CHIMIE ORGANIQUE 557
ei88.«89»( sous 746 mm.; (i2^'**= 1.0635; w^»^ = 1,59631 ;
»— 1 M
——^ . -sr-r = 58,57. — Outre les carbonate, chlorhydrate, sul-
1-1- J |fl1«5
1^ et chloroplatînate déjà connus, Tauteur a préparé et étudié
»el<|ues autres sels : L*azotate, peu sol. dans Teau froide, sol.
«b» l'eau chauiie, cristallise en fines aiguilles soyeuses; F. vers
Xf*, pais se décompose. L^oxalate, peu sol. dans Teau froide;
. 185-I88', Le chloraurale se sépare d'abord sous forme d'un
i|utde brun, lourd, quand on ajoute AuCl à la sol. bouillante de
Uorhydrate; il cristallise par refroidissement ; F. 152-154''; peu
»l- dans l'eau. — La benzhydrylamine forme directement des
sk sohdes avec quelques dérivés nitrés. a. corvisy.
Sur lldstoira des quinols; Th. ZINCKE (Z>. ch. (?., t. 34,
u 2r>S-7; âLl.1901). — Réclamation de priorité au sujet delà
iec^uverie de cette classe de corps. Bamberger a étudié [D. ch, G.,
. 33, p. 3600) des produits analogues-, Zincke fait remarquer que
^ produits chlorés et bromes décrits par lui (D, ch. G., t. 28,
>. ;Jlil» et en collaboration avec Auwers, ont des réactions compa-
«bles aux produits de Bamberger. 11 fait une description sommaire
r^io certain nombre de ces composés; comme ils ont été déjà en
l^ie publiés et que les autres seront décrits plus à fond dans
uit' prochaine communication, nous croyons inutile de les citer ici.
V. AUGER.
Ricberches sur les oxycelluloses ; A. NASTUKOFF [D, ch, C,
t.34, p. 719-28; 15.3.1901). — Si Ton prend une oxycellulose
(ff»^p«rée au chlorure de chaux, puis au permanganate, [D. ch. G.,
1^38, p. 2i87u et qu'on la traite au B.-M. d'abord avec 10 p.
^*nc. Miirurique à 5 0/0, puis, après lavage, avec 10 p. de Na^CÔ^
• 100 0, et qu'on lave à nouveau avec un peu d'eau, puis de l'al-
W'Ieide l'éther, on obtient 80 0/0 d'une oxycellulose entièrement
*>*wble dans Teau; la sol. est opalescente; facilement filtrable, d'un
**P^ct laiteux si elle est concentrée, d'une consistance glycéri-
**<is« « la conc. de 10 0/0; elle laisse déposer, par évaporation,
'^ pellicules incolores ou des plaques vitreuses, suivant la concen-
^^«Hi- La plupart des sels, les acides, l'alcool, précipitent la
*'>latJotL Le produit ppté par un ac. est encore sol. dans l'eau, à
''<al tmmide; il perd sa sol. par dessiccation. L'hydrazone de l'oxy-
i^M)6e soluble est soluble; celle du produit insolubilisé est inso-
'uMe. L'auteur pense avoir affaire à un sel de sodium, qui fournit,
I
558 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
par traitement aux acides, un oxyacide lequel, par desdiccatidft.|
transforme en lactone insol. qui ne redevient sol. que par un a
veau traitement au carbonate de Na. Les analyses du prodmi
diffèrent pas des analyses obtenues avec roxycellulose primitif
L'iode ne le colore pas ; la phloroglucine + HCl ne donne fw*
réaction des penioses. I
Les p-oxycelluloses de Cross et Bevan {Journ. chem. Soc. i^
p. 22) ont des propriétés analogues au produit étudié ici, elles r
diiïérencient par Taspect de leur produit de dessiccation qm
forme pas de plaques vitreuses non adhérentes au verre. L'aati
propose de désigner ses produits sous le nom de Y-oxycellulwi
y. auokh.
Sur la constitution de Tacide usnique; E. PATERNO \Gê
cbim. ital. (2), p. 97-112]. — Critique du travail de O. WidiW
{Liebig's Ann,, t. 310, p. 236 et 365). Nous en extrayons
composés nouveaux obtenus, et les conclusions :
Dérivé benzoylé de tac. usnique C«8H"0«(C'ïHM))«. —Ce^
duit que Widmann n*a pu obtenir, se prépare par Inaction
C^H'COCl sur la sol. potassique de Tacide. Crist. jaune omi^
f. à 218-220».
Oxime usnique C««H«»AzO«. — Crist. f. à 226-228*, quelqud
f. à 2i5-220^
Acétyl décarbo-usnéine par acétylation de la décarbo-usnéine
moyen de Tanh. acétique. Crist. du benzène en petits prismes I
130'', identique au produit d'acétylation de Tacide décarbo-usoiqi
La formule de Widmann pour Tac. usnique :
0 GO
(:h3-co-c=c-c=och.c«h7,
l < >
00— 0 coo»
représente une bi-lactone d'acide tricarboxylé ; elle devrait, perdi
CO^, fournir un oxyacide dont les caractères seraient autres que ce
de la décarbo-usnéine. La potasse devrait fournir un acide moi
CHa-CH-C«HT
basique i ou un bibasique CO«H-CH«.CH(GO«H)0«1
tandis qu*il se forme un acide pyro-usnique monobasique i^
deux hydroxyles à propriétés voisines d*un OH phénolique.
v. Auon.
CHIMIE ORGANIQUE. 559
Sur la constitation des aoides santonique et métasànto-
liiat, et de la métaaantonine ; L. FRAVCESCOM [Gazz. chem.
^i .ij, U 29, p. 181-257 ; 29.7.99]. — Ce long mémoii-e, impossible à
sfuner, est une moaographie complète de ces substances ; nous
t extrayons seulement les produits nouveaux obtenus par Tau-
ur et non publiés encore.
Dioxime de F acide santonique C**H**Az*0*. — Obtenue en fai-
Bt réagir au D.-M. 20 à 30 mol. de chlorhydrate d'hydroxylamine
r i mol. d*acide dissous dans un alcali. Après acidification, le
Dduit est lavé et crist. d*un mélange d'élher et ligroïne, f. à
k>-12S*, peu sol. en H^ froide. Elle est acide monobasique.
SV/ <fc Ba (C«aH««OA2«)«Ba.
Phénylbydrazoae C**H*«O^Az'. — Obtenue avec Tacide et
(crtate de phényihydrazine, f. à 174''.
Pbénylbjrdrazoue de la phénylbydrazide de f acide santonique
'H*K>*Az*. — Obtenue en chauffant à 180** Tacide avec un excès
\ phèoylhydrazine. Poudre jaune orangé, f. à 95**.
Dioxime de t acide aiétasan tonique C^^n^^O^kz^, f. à 115-120*'.
Acide tricétosantonique
oc/
CH3
I
c co
I
^^ /H\ /^'^^<œ^\\
G co
CH'
- Obtenu en faisant réagir dans Tobscurité, le brome sur une
wtQUoo chloroformique, d*acide santonique additionnée de quel-
V»e* ce d*eau.
L'acide, cristallisé d*un mélange d'acétate d*éthyle, d'eau et
^^Uier crist. en aig. jaunâtres, f. à 234% peu sol. en H«0 à froid,
■» ttn jaune intense. Pouvoir rotatoire de la sol. alcoolique :
tS=-458-.7. Sel de Ba C«H««0'ïBa,2H«0, crist. jaune d'or.
^ther monoétbylique C«*H«30«.C0«C«H». Grandes aig. jaunes,
' • i» (ii,=— 893*,1. Dioxime C«H«*0»(AzOH)« obtenu avec
« fort excès de HQ.AzHH). Jaune, amorphe, sol. en H«0.
^^fdridede la dioxime C*m^*(fi<^>0 en opérant à chaud en
«il- »lcooUque. Incristallisable, f. à 130-1 40«.
560 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Trîhromo-d'Santonine C**H**0*Bi'*. — Obtenu par TaciioB
Br en excès, sur une sol. chloroformique d*ac. santonique. ûi
d'un mélange d'acétate d*éthyle et d*éther, f. à ISS». v. Acoci
Sur risocamphre ; Enrico RIMINI (Gazz, cbim. iuL, tî
p. 596-600; 9.4.1900), — Après des tentatives infructueuses p
faire réagir Taldéhyde benzoïque sur l'isocamphre, fauteur a esb
son action sur le dihydro-isocaniphre.
Benzylidène'dihydro'isocampbve C«oH««0.tCH.C«H5). -
opère avec mol. ég. des produits en sol. alcool, en présenc*
1 mol. d*alcoolate de Na. Aig. f. à 217* crisl. de Talcool bouiH
Ceci démonire que le dihydro-isocamphre possède le gro
-CO-CH»-. V. AfCKR.
Nouvelles recherches dans le groupe du camphre; Eu
RIMINI [Gazz, cbim. ital ^1), t. 30, p. 600-4; 9.4.1900). — L'ad
a fait réagir Toxime de la tanacétone sur Facide azoteux, et obi
un dérivé pernitrosé. L'oxime, en sol. éthérée, traitée par Vàzi
d'amyle, fournit de superbes cristaux, probablement de Vm7cI\
de tanacétylimine,
Pernitvosolaimcétone, — Liquide rougeâtre possédant tou.^
caractères des pernitrosodérivés. La semicarbazide fournil h^
carbazone de la tanacétone, f. à 178°. v. acgeh
Rectification; H. NENCKI [D. ch. G., t. 34,p.201.2; l.U^
— A propos d'une monographie des albuminoïdes parue a H
delberg et publiée par 0. Cohnheim, l'auteur fait remarquer i
Ton attribue faussement à'd'autres la priorité de la découverUi
méthylmercaplan parmi les produits de décomposition des *^
minoides; c'est en réalité Nencki et Siober qui, en 1889 i U>|
monatsbeite fur cbemie^ t. 10, p. 5261, ont fait culte découv*
V. ACGBB.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 5Cl
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
Sur Fanalogie de 0, Az et C dans des combinaisons ana-
ignes; Emil ERLENHETER jun. (Jour il /'. prakt. Ch., t. 62,
liolôo). — Dans ce mémoire impossible à résumer l'auteur
Mdie et compare entre eux, principalement au point de vue de
ur décomposition plus ou moins facile, des corps contenant les
Mupes OH, AzH*, AzH.CH, CH*CH, et montre les analogies qui
iLStent entre eux sous ce rapport quand on provoque dans les
loléciiles auxquelles ils appartiennent des changements de consti-
lUoQ de même nature. c. maiue.
Sur raction mutuelle de Teau oxygénée et de Toxyde d*ar-
ut; A. BAETER et V. VILLIGER (D, cb. G., t. 34, p. 749-755;
M.iyOi). — Les auteurs ont vérifié expérimentalement que cette
^tion bVfîectue bien suivant les conditions formulées par
bêoard Aon. Chiai. Pbys., t. 9, p. 96, 1818), à savoir que Teau
«îgénée dégage au contact de l'oxyde d'argent plus d'oxygène
pi'ao contact d'un catalyseur comme la mousse de platine, et que
I Wt^ est en excès et qu'il n'y ait pas d'obstacle mécanique, tout
•jxyde d'argent est réduit à l'état métallique :
H202 + Ag20 = Ag2 + 02 -H H20.
Il- n'ont pas pu obser\'er les faits annoncés par M. Berthelot (C.
^' 1.90, p. 572», le sesquioxyde d'argent Ag*0^ ne s'engendre que
ifcla lii|. e^i alcaline. l. bourgeois.
Sar l'acide monoxysulfurique (acide de Caro); A. BAETER et
» ÎILUGBR (D. ch. G., t. 34, p. 853; 20.4.1901). — L'acide per-
Hilhim^uo résulte de l'union par l'intermédiaire de deux oxygènes
• id fa<M)n de HO. OH) de 2 restes OSO^H d'ac. sulfurique ; ct sait
•f^'tl s'eajrendn* par voie d'éleclrolyse. Au contact d'ac. sulfuriquG
îtu-^ou moins concentré, il subit une véritable hydrolyse qui est la
OSO^H 0S03H
I 4-H20= I -i-HSOMI.
0S03H OH
Acide Acide Acide
pcrsoJfariqae. monoxrsul- sulfurique.
furiqae.
•OC CMM., 3« séiu, T. xxvi, 1901. — Trav. ëtrang. 36
56È ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Enfin Tac. monoxysulfurique (1) ou acide de Caro subit ptfsi
peu au contact de Tac. sulfurique une hydrolyse coiiiplHt
engendre par un mécanisme semblable H*0* et SO*Il*,
Pour vérifier expérimentalement ces vues sur la com{>ositioiij
l'acide de Caro, ils triturent 10 gr. de persulfale de poU
avec 20 gr. de SO*H* concentré et au bout de 1 h. de rej
jettent le mélange sur de la glace ; puis ils additionnent le Uqi
d'une sol. de phosphate monobarylique, et filtrent à travers
bougie de porcelaine poreuse. La liq. ainsi obtenue est très sUl^
à froid; on y a dosé Toxygène actif par Kl et d'autre pari, ayil
action de Kl, un ppté de SO*Ba (souillé de phosphate) s'élant m
posé, on a dosé SO*H* dans ce ppté en fondant avec GO^Na*, et
On a trouvé ainsi qu'il y a à peu près 1 mol. de SO^ t l**'.!l
moyenne) pour 1 at. d'oxygène actif. Les auteurs étudient eusiil
la manière dont se comporte une sol. d ac. persulfurique préjAii
par Ta^nion de SO*H^ étendu sur une sol. de persulfale de baniu,
cristallisé. Celte sol. d'acide libre est relativement stable^ U4
plus stable que le sel de Ba, mais cependant l'ac. persiilfuritiq
subit spontanément en quelques jours le dédoublement hydrolj
tique indiqué plus haut. Les choses se passent d'une fa(,*on anaio}?t;
en présence d'ac. sulfurique moyennement concentré. Ces f»i1
expliquent la nature des produits qui prennent naissance dans IVU i
trolyse de SO*H*; les liq. de plus de 50 0/0 fournissent d'aboni •!
l'acide persulfurique, lequel ne tarde pas à donner de l'acide »!
Caro, par décomposition spontanée. Le mémoire se termine |»-
une analyse des travaux antérieurs sur ce sujet, ceux de MM. l**-
thelol, Marshall et J. Traube. l. bourgeois.
Relation entre le pouvoir rôactionnel de Tacide snlfariqi
et sa concentration ; Wilhelm VAUBEL {Journ, f. prakL f i;
t. 62, p. li 1-144). — L'auteur étudie Taction sulfurique à divers
concentrations sur des matières colorantes comme la roslndithb
\di phènosatranine et sur VhyposuUite de soude; il montre que l«
réactions de coloration observées pour les deux premiers cort
varient avec la teneur en eau de l'acide employé ; cVst ainsi pi
exemple que la phénylrosinduline se colore en brun par un mai
à pluïJ de 95.2 0/0 et en vert avec un acide moins concentra I
(1) Nous avons un p«^u modifié la nomenclature particulière de» autour» {
semble difûcile à présenter en franyai»; ils appellent ac. pentxviJe-^uIAr ç\
Tac. persulfurique, sitlfnmonnpnracido Tac, monoxysulfurique. hjrdroff^sr- s* \
l'eau o.'.>>r<'nèe. (AT. </<» U B
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE 563
liot de pas6age est assez net et Tacide correspond àlSH^SOS
Avec rhyposulfite, Tacide étendu ne donne que SO^ et S, alors
{m acide à 84, 1 = SO»H«,H«0 donne nettement H«S. — L*au-
nr coaclat de ces expériences que non seulement la concentration
s ions, mais aussi la formation d*hydrates a une influence sur le
ovoir réaetionnel. c. marie.
Ictûm de réthylate de sodium et des alcalis sur le penta«
Ihre d'arsenic ; R. F. WEnfLAND et P. LEHHANN {ZeiL anorg.
L, t 26, p. 322-341; 9.3.1901). — Voici les principales conclu-
106 de ce travail. Le pentasulfure d'arsenic en se dissolvant à
ttd dans les lessives de potasse ou soude, dans Tammoniaque,
m l'eau de baryte, engendre des sulfarséniates et des sulfoxy-
sémales imais pas d'arséniates) ; le mélange As*S3-l-2S réagit
hune As*S*. Le disulfoxyarséniale domine dans ces réactions,
it< il se fait aussi du monosulfoxyarséniate; on a par exemple :
•A«>5* + i*K0H = 3A8S*K3 + 3A8S202K3 + 2 A8S03K3+ lâH^O,
tqm est en désaccord avec les résultats de M. Mac Cay (/A/rf.,
S. p. 459». L'évaporalion faite à froid d'une sol. de As*S3-|-2S
ttA une lessive de soude à 10 0/0 (6 mol. de NaOH) fournit
piine premier produit de beaux crisl. purs de disulfoxyarséniate.
bddiiioD d*un acide aux sol. alcalines de As'S^ ne reprécipite pas
Itntitativement ce sulfure, parce qu'il s'est fait surtout à chaud,
h* certaine quantité de As*0'. Quant à l'orpiment seul, en se
Kéohaat dans la soude, il donne les mêmes produits, mais il se
Kt de plus de Tarsenic libre. Les sol. alcooliques de soude
Wneal des sulfoxyarséniates et de Tarséniate (au lieu de sulfarsé-
*^f . Eofln reddition à une sol. de sulfarséniate d'un mélange
Wtique et de sel de Seignette engendre un ppté orangé de
AsS*Na3 + Sba03 = AsCPxNaî ^ sb^S* ,
■KtioD quantitative; pas de réaction sur les sulfoxyarséniates, ni
V rarséniate. l. bourgeois.
Sv It tous-oxyde de plomb; S. TANATAR {ZeiL anorg. CL,
►B, p. 80i-307 ; 21.5.1901). — L'auteur a repris Télude du sous-
S)vle de plomb de Boussingault obtenu par calcination de Toxa-
tl^de ploiab. Le produit qui prend ainsi naissance renferme tou-
'Kn plus 4le plomb qu'il n'en faut pour la formule Pb*0, sans
56* ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
doute en rnison de Taction réductrice de Tatinosphère cToxj
de carbone. Mais si l'on opère au sein d'un courant de GO", k \
température aussi basse que possible et bien réglée, on reçue
une poudre fine d*un noir grisâtre, inaltérable à l'air sec, insotii
dans Teau, inattaquable par celle-ci, mais se dédoublant par
chaleur, ou encore par les alcalis ou les acides en plomb libre
PbO. La substance donne à l'analyse 47,72-48,90 0/0 de plo
(calculé pour Pb*0, 48,14 0/0). L'étude calorimétrique de Tatlai
par Tacide acétique, et celle de la densité, 8,34â, montrent qo
est bien en présence d'un vrai sous-oxyde de plomb Pb'O et i
d*un mélange de Pb avec PbO. Si dans la préparation on âépu
un peu la T. voulue, on recueille une poudre vert grisâtre f
agrégée qui est Pb + PbO. l. bourgeois.
Sur le poids spécifique de Tiodure cuivreux; W. SPBI
(Zeil. anorg, Cb,, l. 27, p. 308; 21.5.1901).— H. Schiff a\
indiqué (Lieb, Ann, Ch., t. 108, p. 2i), le chiffre 4, il, valeur j
vraisemblable, car la combinaison du cuivre avec l'iode s'acoo
pagnerait d'une forte dilatation. Ayant repris les mesures, TauU
trouve pour diverses variétés de Cu*I*, en moyenne, D, 5=5,6!
la combinaison s'effectue avec contraction. l. bolhgeois.
De riuflueuce du sélénium sur certains essais de TarMiu
Otto ROSENHEIH (Clwm. News, t. 83, p. 277; 6.1901). — (
divers essais effectués par Fauteur Pont conduit aux conclu>j<
suivantes :
1** Les essais de Marsh ne donnent aucune indication de la }<
sence du sélénium, s'il est accompagné par l'arsenic;
2** La grandeur du miroir arsenical est influencée parla pn^-**»!
du si'lénium. Dans certaines conditions, sa formation est eomf|
lemoiit empêchée;
3** La réaction de Reinsch (coloration noire de l'acide sélér
sur une feuille de cuivre pur), comme elle est ordinairement
tuée, est applicable i)Our la recherche du sélénium et \>en{
employée pour sa séparation de l'arsenic en substituant uati U
d'ar^^eul à la feuille de cuivre;
i** Aucune de ces niélîiodes n'est applicable pour lestim
quantitative de petites quantités de sélénium mélangées a Tiir?
dans des licjuides organiques complexes, tels que la bière.
A. tt^Binr
I
CHIMIE ORGANIQUE. 565
Sir las précipitations quantitatives des métaux par les bases
rgtaiqnas; W. HERZ {Zeit. anorg, Ch., t. 27, p. 310; 21.5.1901).
auteur a obtenu de bons résultats quantitatifs dans la précipita-
m des oxydes métalliques par des bases organiques, dont la
inâlaote de dissociation est élevée; notamment cuivre par la
anidine, magnésium, cuivre et zinc par la pipéridine.
L. BOURGEOIS.
CHIMIE' ORBANIQUE
'fcr la configuration et le classement systématique des
Mposés alipbatiqnes ; F. KRAFFT (Journ. f, prakL Cb,, i, 62,
. To-SS». — L*auteur passe en revue les différents points com-
mis à la série cyclique et non cyclique, et rappelle les princi-
hl^ réactions i^ermettant de passer de TuneàTautre; il discute
«idées de Petrenko-Kritschenko sur ce sujet et conclut à Vin-
wse de celui-ci à Timpossibilité actuelle d'admettre des diffé-
Bût-es brus<|ues entre les diverses combinaisons carbonées.
C. MARIE.
Sir l'action anormale de la potasse alcoolique sur les com-
iMét polybalogénés; Iwan KONDAKOW {Journ, /. prakt, Ch.,
. O, p. 166-188). — Le tétramétbyléthylèae dicblové a été pré-
*r»^par l'action de HCl sur la pinacone à — 10**; il fond à 159*»;
i fournil avec la potasse alcoolique un carbure le diisopropényle et
m «^ther non déterminé.
^ bromure de télraniétbylêtbylène fournil outre ces deux
^uiudu tétvnmétbylétbylène qui ne prend d*ailleurs naissance
K«*D très faible quantité si au lieu du bromure on prend le chlo-
f*^- C, MARIE.
Mccmposition bactérienne de l'acide formique en acide
^•rboaiqat et hydrogène ; * Walter Charles Cross PAKES et
•tltar Henry JOLLTHAN [Cbem. Soc, t. 79, p. 386-391 ;
1-HW). — Les auteurs ont trouvé que certaines bactéries telles
SW: B. coii communia y B. enter idis de Gartner , Paeumobacillus
^ FriedUeDder, B. lactis aerogenes^ B. oloacœ, B. cbolerœ gaili^
56Ô ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
narunif Proteus vulgarisy B. prodigiosus et B. rouge de
décomposent le formiale de sodium suivant l'équation
HGO^Na H- H20 = NaHCO^ + H2,
soit pour Tacide formique :
HC02H = H2 + G02.
Au contraire, toute une série d'autres bactéries sontsansai
A. VALEUR.
Synthèse da diaminopropane 1.6 et du diaminohexane
en partant des acides glutariqae et subérique ; Tbeodor
TroS etHans CLEHH [Journ. f. prakt, Ch, t. 62, p. 189-216;.
La suite des réactions appliquées est la suivante :
/GOOH /COAzHAzHî ^COAi>
(Gii2)6/ , m^ (GH2)6/ , m^ {CW'K
NGOOR NGOAzHAzHa NCOAr»
Éiner tabérlqae. Hydrazide. Asiée.
/AzHG02R /AzH2
\AzHG02R \AzH2
Iréthaoe. l.O-bitoiiaohexane.
La même série de réactions a été d*abord appliquée à Pacii^
glntarique pour arriver au diaminopropane. Avec Tacide subénqi^
outre l'urt thane normal on en obtient un autre
yAzH-(GHa)^-AzHGOOG2H5
G0<
\AzH-(GH2)6-AzHCOOG2Hi
qui résulte vraisemblablement de Taction simultanée de Teau
de Talcool sur Tazide; on a ainsi :
/G0Az3 C2HH)H /AzHC0OG»H5
(GHW 4- =(GH2)6< +2Ax»,
\G0Az3 H20 \AzHCOOH
ce corps se décompose ensuite suivant :
yAzHG0()G»H5 /AzH-a:H^«-AaH(XXH:3
2(GH2K =G02+H20+eo<
\AzHCOOH \azH.iGH2)«.AïIIC001:^
qui par l'hydrolyse fournit 8 C0«, 2 C«H»OH et 2.C<H«X*^
diamino-hexane. Au point de vue général les propriétés de c«i
1
CHIMIE ORGANIQUE. 567
amioe ^ool voisines de celles de \^ penlaméthylène diamine; les
'1* ont la même constitution de même que les composés diacé-
iér el benzoyiés.
L'bexaméthylène-diamine obtenue paraît être un isomère de
nielure d'une diamine ayant même constitution et extraite par
tfvria de la viande putriRée.
P.iHTiE EXPÉRIMENTALE. — Dévivés de Facide ghitarique : Diby-
%£idf. — On traite Téther par Fhydrate d'hydrazine à rébulli-
>n. Rendement 94 0/0; grandes lames brillantes, F. 167*. Soi.
ile. eau, un peu alcool, CHCP, à peine CH® et acétone, insol.
{Pline et élher. HCl donne le chlorhydrate cristallisable dans
bibydtazide dibenzalglularique, — Petites aiguilles obtenues
ilraïUnt Thydrazide par la benzaldéhyde, F. 231-232*». Décom-
Oisé à froid par les acides concentrés, à chaud par les acides
lentiuà ou les alcalis.
Ihêzide glntariqne. — On traite la combinaison d'hydrazide et
iH«'J par AzO^Na; on extrait à Téther Tazide qui constitue une
uile explosant par échauffement même sous Peau et non congé-
die à — 15*.
Tviméthyh'*nediêthylméthane,~^ On chauffe la solution alcoolique
t-l'azide au B.-M.; il reste une huile solidiflable dans un mélange
f<n|rêrant ; Turëe ( CH«)3<^^J|>C0 (?) est cristallisée et fond à
IhUnzoyldiauiiuopropaiïe. — L'uréthane chauffé en tube scellé
1^' HCl concentré à 100-1 10* donne le chlorhydrate du diamino-
>foj»<me. — Celui-ci donne avec le chlorure de benzoyle le dérivé
^Tiioylê déjà décrit par Stroche et fondant à 147-148°.
Dérivé df* Facide snbèrique : Dihydrazidey feuillets incolores
ftLnilanls (. à 185-186». Rendement 80 0/0. — Ce corps est sol.
"' acétique ou alcool chaud, plus encore dans Teau bouillante,
''•a** ces solvants froids il est peu sol. de mênie dans l'acétone,
fHher, le benzène, le chloroforme. Réduit la sol, ammoniacale
*'.4rjrent à froid, et le Fehlingà chaud.
Dihvdrazlde dibenzaisubérique. — Aiguilles blanches f . à 197*
•^ 4ol. alcool benzène et acétone, facilement acide acétique
^»ll»iil, iûsol. éther et ligroïne.
Dkzkie subérique. — Précipité microcristallin blanc, très
■^'tofflposable par la chaleur el fondant à 25^ Insol. H«0, sol.
^^l élher et acétone.
5G8 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTR.VNGERS.
Amide suLérique. — Action de AzH* alcoolique sur Vtaé
corpvS blanc f. à 216*.
DiaiiilidoIwxamélhyIène'dicarban2iqiwiCM^)^<^^^
— Action de Taniline sur Tazide; longs prismes incolores f. à tS^
HCl en tube scellé le décompose en aniline, CO* etdiaminohexts.'.
Hexstméthylène'diélhyluréthane. — Décomposition de ï^\èà
par la chaleur en solution alcoolique; aiguilles brillantes, F. xU
sol. chloroforme, acétone, benzène, un peu éther et ligroîne i4
presque en toutes proportions dans Talcool. Insol. H*0 et alcaii**
Hexaméthylénurédy masse visqueuse, presque insoluble 11*0,
ac. acétique alcool et nitrobenzène. Purifiée elle fond à 290*.
Dïhexamétbylène'diétbyldiuvéthanurée symétrique
C.0(
/AzH(CH2)eAzHC02C2Hîi
AzH(CC2)^AzHC02G2HS
me [^
— se forme quand on traite Tazide humide par l'alcool, oriàtatii
f. à 13^** un peu sol. H*0 bouillant. En sol. dans Tac. ac^ii'ioi
donne un P. M. 142,6 au lieu de 420, cette valeur anormale ^
due sans doute à la formation d'un sel avec deux mol. d*acide.
Chlorhydrate du diamiuohexane. — On traite Turéthane
HGl concentré au réfrigérant R. on recrislallise dans
aqueux le sel brut coloré en rose. — Rendement quanlitatif. Ai^
incolores f. à 248°, sol. H*0, peu alcool, abs. insol. éther. Don.n
avec riodure de Bi et K un ppté d'aiguilles rouges, et avec V»*
phosphomolybdique un ppté d'abord amorphe cristallin ensuite
Diaminohexane. — On traite le chlorhydrate par KOii en pn.*^
sence de CHCP pour dissoudre la base libérée. Celle-ci forme iic
feuillets brillants f. à 42% Eb. 200° sous 20 mm. Elle absorbe C<»
avec énergie. Elle est toxique pour les animaux ainsi qu'il résult
d'expériences faites sur des lapins et des chiens. — Le chhnr
mercurate est en feuilles lancéolées f. à 228-230**. — Le ptcra:
forme des prismes jaunes fusibles un peu au-dessus de 200* -
Ij oxalate constitue des aiguilles f. à 168". — Cblorophtinêt
feuillets brillants oranges f. à 222-224*. — Chlorauraie prisnio
durs, hydratés, et perdant leur eau dans l'air sec. — Dêrir
diacétylèy on traite la base par l'anhydride acétique, aigtitllt»
i. à 126**. — Dérivé dibenzoylé, obtenu par NaOH et le chlonin
de benzoyle; cristaux tabulaires f. à 157-158" peu sol. éther, âss^J
sol. CHCP et acétone, très sol. alcool. c. M^uiit.
CHIMIE ORGANIQUE. 509
BTiithèM da triaminopropane 1.2.3 en partant de Vacide
icâitallyliqae ; Th. CURTIUS et A. HBSSE {Journ. f.prakt. Cb.,
Il p, 282-2 i6). — La série des réactions est la suivante :
CHOOm
I
CH2C03R
Étker
CH2COA2HAzH2
CHGOAZHA2H2
I
CH2GOAzHAzH2
GH2COAz3
CHG0Az3
I
GHaC0Az3
Hydrazide.
Aiide.
GH«AzHG02R
I
GHAzHCOm
GH2A2HG02R
tritliane.
GH2AzH2
I
GHAzH2
I
GH»AzH2
Triamiou-
prop«ae-1.2.3.
Partie EXPÉRtMCNTALE. — Hydrazide Iricarballyliqiie. — L*acide
ticarballylique provenait de ia réduction de l'acide aconilique.
!eliji-ci se prépare le mieux en traitant Tacide citrique par SO*H'
ivuru, f.prakt. Ch. [2], t. 35, p. 205), puis cet acide est réduit
«rHgNa, suivant la méthode de Dessaignes (Ann. Chem. suppL^
• Ip. 188). On traite Féther tricarballylique par Thydrale d'hy-
truioe. Lliydrazide obtenu est purifié par Taicool absolu, puis
^stallisé dans Talcool étendu (pour atteindre la dilution conve-
xe» le mieux est de faire passer un courant de vapeur dans
'fclrool abs. contenant l'hydrazide en suspension).
t> corps fond à i95-196*». 11 est sol. H*0 froide, et plus encore à
ci^od; très peu sol. alcool abs. même bouillant, insol. éther.
IWaltle Fehiing ei l'Ag ammoniacal môme à froid.
Chlorbydraie de fhydrazide carballylique
G3HHGOAzHAzH2,HGI)3.
— *)n traite Thydrazide dissous H*0 par HCl conc. Le rendement
^ quaoUtatif. Ce corps est insol. alcool et éther, mais extrême-
«entsol.HH); ilfondàl48».
U pkrête correspondant est en tables jaunes f. à 173°, il est
^^- HK), peu sol. alcool. Chauffé au-dessus de son point de fusion,
•* nplose fortement.
^tnuUricarballylîque hydrazine C»H5=(C0AzHAz=GHCeH»)3.
^Oo traita rhydrazide par la quantité calculée d'aldéhyde ben-
»*qoe, PcUt8 prismes f. à 218% insol. H«0, sol. alcool. Le dérivé
570 ANALYSE DES THAVAUX ÉTRANGERS
correspoodaDt à l'aldéhyde ealieyliqae se ffféparo de même
conslilae des flocons cristallins f. à 205-208', insoL H«0, i
alcool.
Azide tricarballyUque. — On traite ie chlorhydrate de l'hydr»-
zide par l'azotîte de soude en refroidissant à 0°. L'azide se pféii
pile à l'état d'huile qui se dissout dans l'élher surna^ant la solu-
tion aqueuse d'hydrazide. Après distillation de l'Other à fnxdi
l'azide reste; c'est une huile même à 0", insol. H*0, sol. éllier rt'
très explosive.
Glycévyl-méthyUn-étbane C3Hs(AzHC0»C*Hs)s. — On chauffe II
solution éthéi'ée de l'azide avec de l'alcool. Le produit rec^ristalliâ^
dans C*^H«, fond à 91-92°; il est insol. ligroine sol. H*0 et alcool.
IjJglycérylui-ée C'H'^ÂzH^*^*^ *^'^*=^HA^C>Hs. — 0«
\AzH CO AzH/
aulion au B.-M. la solution éthérée de l'aii')*
jO-SO". — La masse supérieure oblcnue trailtv*
le produit qui n'a pas été obtenu anhydre.
lu Iriaminopropatie C'HS(AzHniCl)'-^ H«0. -i
é avec HCI conc. doni:e le produit qui cristallisJ
s dures; le point de fusion n'est pas net d t-<l
ne. — On traite le chlorhydrate par KOH el ■■n
— La base bout à la pression ordinaire avrf
ilion el à 92-93° sous 9 mm. — Elle forme hm
de la glycérine. — Le Cbovaurate fond à *iiH
lalinale est en aiguilles se décomposant saii-
est en longues aiguilles sol. H>0 et non fondue*
lopro/iane. — Obtenu par le clilomre de bec-
ristallisé dans l'alcool il est microcnslallin et fon I
insol. eau froide, un peu sol. H'O bouillanUl
dcOOl. C. MARIE.
diamino-octane t. 8 an moyen de l'atid* di
le; Wilhelm STELLER [Journ. f. prakt. Ch.,
i). — La série des réactions ost la même <|ud
tr^le du mémoire précédent. Les propriétés de Ii
s sont voisines de celles des corps précédenU.
ENTALE. — Dibydrazide sébat^ique. — On Irajl*
par l'hydrate d'hydrazine. Lamelles rhoinfaiquM
CHIMIE ORGANIQUE. 571
râUnkes f. à 184-i85<' ; soL H^O bouillante, dans Talcool et Tacé-
loe aqueuse. Tac. acétique et les acides minéraux étendus ; peu
>I. chloroforme, Talcool absolu froid, Tacétone çèche et le ben-
Mie ; insol. eau froide et éther. HCl., conc. à TébuUition redonne
Bcide sébacique et le sel d*hydrazine.
La combinaison de ce corps avec 2HC1 fond à 250® avec décom-
hiilioD.
Dibeazal-dibydrazide sébacique (CH«)8=(C0AzHAz=CHC«H«)«.
-On traite le précédent par Taldéhyde benzoïque. Cristaux f. à
««.159-.
Dibjrdrajide sébacique télrabenzoylé. — Cristaux f. à 250**.
»bteuu en traitant Thydrazide par NaOH et 4 mol. chlorure de
enzoyle ; il est sol. H*0 et ac. acétique chaud ; très peu alcool^
Iker, C«H« et CHa«.
/COAzH
Hydrazide sébacique secondaire symétrique (CH*)*^ I .
- On traite le dihydrazide (5 mol.) par Tiode en sol. alcoolique
tmol.). On obtient un produit jaune contenant le corps cherché
Briânpé d'iodhydrate d'hydrazine ; on élimine celui-ci par Taldé-
Ijde benzoïque. Le produit restant, cristallisé dans Talcool étendu
kmiilant est en flocons incolores f. à 142®. Il est insol. H*0 ligroïne,
feu SOL alcool bouillant, benzène ou acétone.
DiMmlide-octométhylènedicarbamique. — Action de l'aniline sur
ie diazide, aiguilles f. à 206-207*. Insol. alcool, éther et solvants
■wis. Sol. aniline bouillante. La réaction qui donne naissance à
» corps est la suivante :
/( X> Az3 yAzHCO AzHC6H5
'(:HW -f 2A2H2G«H5 = (CH2)8< +2Az2.
^iX)Az3 \AzHCOAzHC6H5
Octoméihylênurée (CH«)3<^^||>C0. — Action de la chaleur
«w Tazide en présence d'eau. Poudre insol. solvants usuels^
à^ompo^ée sans fondre à 216*.
^ioctométbylène-diètbyluvétbanurée symétrique
yAzHCOOC^H^
«CH2)8<
\AzH
>C0
/AzH
<CH3)8<
NAzHCOOC2H5
-^ On traite l'azide humide par l'alcool au B.-M. Masse gélatineuse
572 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
qui, séchée dans le vide, fond à 182-183". Elle est sol. alcool, befc
zène, acétone, ac, acétique, insol. H*0. En tube scellé avec HGI,
donne le chlorhydrate de la diamine.
OctomélhyJène'diéthyluréthane (CH«)8( AzHCOOCM I»^». — Actn*
du diazide sec sur Talcool abs. au B.-M. ; agré^ts cristallins L
à 78-80*»; sol. alcool, G«H«, CHCl^, acétone, ac. acétique ; peus(i
ligroïne, insol. eau et éther.
OctomélbyîèiïBrdimétbyluvétbane, — Agrégats cristallins f. à illr
^l5^
Chlorhydrate d octomélhylènedïamine, — a) On traite la dioo
tométhylène-diéthylméthanurée par HCl à rébullition d'abord, potf
en tube scellé ; aiguilles brillaates f. à 272-274*. Rendement presqui
<}uaatitatir.
b) On traite Toctométhylènurée de la même manière ; rende-
ment mauvais.
lie sel est facilement sol. H*0, alcool étendu, peu alcool abs.,
insol. éther.
Octomélhylènedïamine, — On traite le chlorhydrate par KOli
en présence de GHCl* qui dissout la base. On distille le chloroforiw
et on obtient la base. Rendement 75 0/0.
Elle fond à 50-5^ ; éb. 225-226* sous 760 mm. et 180-140- souj
20 mm. N'attire GO* qu'à Tétat humide. Elle est facilement sol
eau, alcool, éther, acétone, chloroforme, peu dans C^H*.
Dibenzoyloctométhylènediamine. — On traite la base par NaOU
et le chlorure de benzoyle. Gristallise en fils soyeux f. à 140*. Soti
alcool, ac. acétique bouillant, un peu sol. acétone, et CHCJ'I
insol. H*0 et éther.
Pic-rate. — Filaments f. à 182-183* ; sol. acétone, moins sol
C®H«, difficilement sol. eau et alcool froid, plus facilement à chauil,
presque insol. G®H®, insol. éther.
0A7ï/â/eG«0*H«.(GH4;8.(AzH«)«. — Écailles brillantes f. à «â-Vj
sol. eau et alcool étendu, peu sol. alcool abs., insol. éther.
Chloromercurate (GH«;»{AzH«)3iHgGl«. — Ce sel cristallise e^
feuilles de fougère faiblement colorées en rose. Il fond à l8»-iîH'
en brunissant. Peu sol. eau froide, facilement eau bouillnnle, in^
facilement eau acidulée par HGl.
Cbloraurate (GH«)8(AzH«)«.2HGl,2AuGl». — Prismes quadr»^
gulaires jaune d'or 1. à 188-189** en brunissant.
Le chlorure double doctométbylènediamine et de cadmium «^
un précipité blanc, un peu sol. à chaud, cristallisant par refroidis^
sèment et ne fondant pas encore à 800*.
CHIMIE ORGANIQUE. * 67^
OcioaiétbylèneglycoL — On ajoute AzO*Na(2*/« niol.) à la base
I mol/; dissoute à l'état de chlorhydrate. On fait bouillir au réfri*
éraût à reflux en ajoutant HCl g. à g. Par Téther on extrait ensuite
ne huiJe colorée en vert ayant l'odeur de Talcool octylique et
on étudiée de plus près. c. marie.
Préparaiioxi des amides substitués au moyen des sodamides
orrespladaiits ; Arthur Walsh TITHERLET {Cbem. Soc, t. 79,
u 89i.411 ; 3.1901).— L'auteur a étudié l'action do différents
orps sur les amides sodés. Les iodures alcooliques sont sans
cUûD sur ces composés en milieu benzénique ; mais, en présence
l'alcool, il y a régénération de Tamide et formation d*un éther
ix)'<ie mixte :
3P-CX3 AzHNo + CHM + CmK>H = CH3-COAzH2+ Nal -f CH3-0-C2H5
Avec le bromure d*éthylène, la réaction est représentée par
['ê^juatioQ suivante :
CHa-COAzHNa + C2H*Br2 = CHSQOAzH^ + xXaBr -f CH2z:CHBr.
Si Von chauffe en tube scellé à 140-150* les sodamides avec les
bdures alcooliques en l'absence d'alcool, on obtient des résultats
différents avec les amides gras et aromatiques. Les premiers four-
nissent des amides substitués, mais difficilement et avec de faibles
ftndements
CH?COAzHXa + IC^IP = Nal + CHS-CO-AzHC^HS.
Avec les seconds, au contraire, la réaction est normale et les
ri^dements satisfaisants.
Les chlorures d'acides donnent également la réaction attendue ;
cependant, l'action du chlorure de benzoyle sur Tacétamidure de
«icxhuni, en présence du benzène, est très complexe fournissant
(cmci paiement de la dibenzamide et accessoirement les composés
»<ùvaoU> : benzamide et tribenzamide, benzonitrile, mono-, di-,
tn-acélamide et acétonitrile.
Les dérivés bromes des éthers sels réagissent sur les sodamides,
mais les rendements sont pauvres. Le bromacétate d'éthyle et le
lienzAuudure de sodium fournissent ainsi Thippurate d'éthyle.
L'action des bromamides du type R — COAzHBr sur les soda-
taide?» R — CUAzIINa ne donne pas les dérivés hydraziniques
Ayff R
Attendus, mais des urées du type C0< . uIpq.r.
I
674 • ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTR.VNGERS.
L'auteur indique une réaction générale permettant d'obtenir difc^
aminés grasses et qui consiste dans Faction à 180-200^ des suUala^
doubles d'alcoyles et de K sur la sodamide AzH*Na
AzH2Na + KC2H5SO* = NaKSO* + C^HUzH-'.
Cette réaction appliquée aux amides sodées, fournit une métbodt
générale de synthèse des amides substitués. On prépare l'amidi
sodé par l'action de Téthylate de Na sur Tamide en sol. alcoolique
on ajoute du sulfate d'alcoyle et de potassium, on distille l'alcool
et on chauffe le résidu jusqu'à distillation, ou bien on porte pendant
20 minutes à 180-200*» au réfrigérant ascendant et Ton é[>uise su
benzène. Ainsi ont été préparés les comp. nouveaux suivants :
Isobatylacétainide CH^-CO-AzHC^H» liq., Éb. 225-227* ; cblor-
hydrate t F. 107<», obtenu par HCI sur sol. éthérée de raniide.
Pvopvlbenzamide C^HsCOAzHC^H^ F. 84^5, tb, 294.29o» soa»
750 mm. avec légère décomp. ; son chlorhydrate se dissocie k
chaud ou dans le vide, ton dérivé sodé est une poudre granuleuse
que Ton obtient par Faction de Tamidure de sodium sur la base.
Isobutylbenzamide C«H»COAzHC*H», prismes, F. 57», Éb. r^
296** sous 760 mm. avec faible décomp. ; le chlorhydrate est un,
liq. visqueux, le dérivé sodé une poudre presque blanche.
Méthyléthylacétamide CH3'C0-Az<^^jj. — Obtenu par ractioft
du sulfate de méthyle et de potassium sur Téthylacétainide li^l
incolore, Éb. 180**, miscible à Teau.
Méthylétlïylbenzamide CfiWC0\7.<^^^, Éb. 280*.
Suivent quelques considérations sur les formes tautomérique^
des amides sodées. a. vaxevr.
Nouvelle méthode de préparation de la diacétamide ; Artlnir
Walsh TITHERLEY {Chem. Soc, t. 79, p. 41i-il3; 3,1901). -
Cette méthode consiste dans l'action du chlorure d'acétyle >uf
Tacétamide :
3Cn3.COAzH2+ CIPCOGl = (GH3-C0;UzH + (CIP-COAzH^^.^IU:!,
La réaction se fait en milieu benzénique; on la complète en
chauffant pendant 8 h. au B.-M. Rendement 30 à 40 0/0.
Aucune réaction ne se produit entre le chlorure d'acélyle et t^
benzamide ni entre le chlorure de benzoyle et la benzainide, saii«
doute à cause de la nature peu basique de la benzamide. l/acticm
CHIMIE ORGANIQUE. 575
u chlorure de benzoyle sur Tacétamide serait représentée par
eqfialion :
i:»P-(:OAzH2 -f 2C«H5C0C1 = CH^CAz + (C«H^CO)26 + 2HC1.
A. VALEUR.
HoU sur dêox combinaisons moléculaires de Tacétamide ;
trthnr Walsh TITHERLET (Chem. Soc, t. 79, p. 418-414 ;
.lUOit. — L'auteur a obtenu deux combinaisons moléculaires de
Acélamide avec le bromure et Tiodure de sodium.
L'acétawiJe bromure de sodium 2CH3.CO.AzH*.NaBr se prê-
tre en iaisant bouillir NaBr (1 mol.) et acétamide (2 mol.) dans
luis leur |>oids d*alcool absolu ; on filtre à chaud et on évapore
u l'on ajoute du benzène. Aig. très déliquescentes, F. 144-145®
i%pc séparation de NaBr) ; il commence à se dissocier à 100°.
Lacet fimide iodure de sodium 2CH3COAzH«.NaI, F. 110<» avec
éparatiOD de Nal.
Ces combinaisons sont comparables au chlorhydrate
(CH3.GOAzH2)2HCI. a. valeur.
Contribntion à Tétade des bases de la série de la purine;
UoU JOLLES (Journ. f. prakL Ch„ t. 62, p. 61-75). — L'auteur
^dte quantitativement Toxydation des bases de cette série par le
^mtnganate. Il dose TAz dans les solutions, l*azote en volume
par rhypobroinite ; sur une autre portion il traite par BrONa,
jHiih par Tacide phosphotungstique et dose TAz dans le précipité ;
plis dans une troisième portion il isole Turée à Tétat d*oxalate
H dose TAz par la méthode de Kjeldahl. La première détermi-
uiioo donne Tazote de Turée et de Tammoniaque; la deuxième,
Tuote du glycocolle, de l'ammoniaque, de la méthylamine et eu
««Itttioo très concentrée de l'urée.
Rf'sultats. — La xantbine donne seulement de Turée :
\xH-C-Az
Il >CH /AZH2
C-AzH +40-f 2H20 = 2CO< +3C02.
\ I NazHî
^AzH-CO
a/
Vêdéaine donne un mélange d'urée et de glycocolle :
/AiH-C-AzH
/ I /AzH2 yCOm
\ »i >CH ^AzlP \AzH2
^Ai-C-Ai
576 ANALYSE DES TRAVAUX KTR.VNGEKS.
La guanine donne 4 mol. d'urée, 1 deglycocolleel de racideci
bonique.
Vhétéroxantbine s'oxyde suivant Téquation :
y
ÂzH-CO
C-AzCH3 +4H30 4-40 = 8AzH3 + CH3AxH2 + 5CO».
, Il >GH
AzH-C-Az
La tbéophylUne donne :
.ÂZCH3-C0
/ I
C0( C- AzH + 3H20 + 40 = C0( AzH2)2 -f 2Cn3AzH3 + 40*
\ Il >CH
\AzGa3-C-Az
La paraxanthine donne seulement de la inéthylamine et m
Tammoniaque; la caféine (1,3,7 triméthylxanthine) donne 7,15 0
d'Az à rélat d'urée; le reste de Tazote est précipitable par J'acid^
phosphotungstique.
H^GAz—CO
OG C-.
V hydrocaféine OG C-AzGH^ se comporte de même
I II >G()
H^GAz— G-AzH c. marie.
Dérivés organiques du silicium. Triphénylsilicol et cfalo
rares d'alcoyloxysilicium ; F. Stanley KIPPING et Lorem
L. LLOTD (Cheni. Soc, t. 79, p. 449-459; 4.1901). — Les auleu;
ont isolé du tripliénylsilicol (C^H^j^SiOM, F. 148^ des sous-pro
duits de la préparation du tétraphénylsilicium par le sodium,
tétrachlorure de silicium et le chlorobenzène ; ce comp. a fit**jà é'
obtenu par Polis par l'action de PCl^^ sur SiiC^H"^)*, F. lâU^lli*
Vacctate de triphénylsilicyle (G«H5|3SiOG()GH3 a été obtei.
en faisant bouillir le triphénylsilicol avec le chlorure d'arélvie jii-
qu'à dissolution ; cet acét. crist. dans le pétrole léger, Eb. 6(>-Si'^
K. Ol'*,»"); il est sol. dans la plupart des solv. org. ; il se décoinn.H
lentement à l'air; il est rapidement hydrolyse par ralcool éu*n«!i
et bouillant.
Voxyde de tripbcnylsilicyle [Si(G^H^)^]0 a été prépar^*^ en ai«^
tant goutte à goutte AzO^H à une sol. acétique bouillante de Irj
phénylsilicol, jusqu'à ce que le mélange devienne Irouble; le5 crxs^\
qui se déposent sont ensuite recrisl. dans l'acide acétique. Ptaqu«i
CHIMIE ORGANIQUE. 577
iJIaotas, F. 2ÈÈ^, inso\. dans Talcool méthylique et Tacide acë-
{ue, très sol. dans rétber et le benzène. On peut obtenir aussi
^yde de iriphénylsilicyle en chauffant longtemps une solution
^thylique de triphénylsilîcol avec HGl concentré.
Vn composé répondant à la composition de la diphénylsilicone
IP^O-C^H* a été isolé des produits accessoires de la préparation
I télraphénylsiticium, mais ce produit fondant à environ 109^
I pas été obtenu par crist. ; il est insol. dans Pacide acétique,
kool, la ligroïne, soluble dans CHC1«,CS«,C«H«.
Les auteurs ont obtenu le tétraéthylsilicium Si(C*Hî*)* en chauf-
icauB.-M. le tétrachlorure de sihcium et le bromure d'éthyle
Wi' da sodium en présence d*éther sec auquel on ajoute un peu
■célate d éthyle, Éb. 154-155».
Le dicblorométhoxypbénoxysiUcane SiCl*(OCH3)(OC«H5) a été
i*p«ré en faisant réagir en sol. élhérée le chlorure de silicium
iHî*, le phénol et Talcool méthylique liq., Éb. 216* sous 752 mm.,
bili^ment décomposé par Teau en silice, acide chlorhydrique,
kénol et alcool méthylique.
h^ehlorométboxyphéaoxysilicane ç,,r^^ est obtenu
lajoutaut lentement une sol. éthérëe d'alcool éthylique à une
i. éthérée du composé dont il vient d'être question, évaporant
Hher et fractionnant sous pression réduite. Liq. huileux, Éb.
U\ déeomp. par Feau, mais assez lentement. Les essais pour
UcMibler ce composé en corps optiquement actifs ont été infruc-
MX.
'DichloroméUioxyétboxysilicane SiCl«(OGH3)(OC«H5). — Obtenu
I traitant SiCl^ successivement par les alcools méthylique et
A>iique en sol. éthérée. Liq., Éb. 128» ; ce composé, traité dans
n toémes conditions par Talcool isobutylique, fournit le chloro^
^Imy-étboxy-iaobutyloxysilicane SiCl(OCH3)(OC«H5)(OC*H»).
«l^ Eb. 159-160^, qui n*a pas pu être dédoublé. L'action de Tani-
Jie wr ce dernier dérivé fournit le pbénoxyméthoxy'étboxy'anili''
•»u7ic«iieSi(0CH»)(0C*H»)(0C«H»j(AzHC«H«), comp. très instable.
htpbénoxy'étboxyméiboxywentboxysiljcane
Si(OCH3)(OC2H5)(OC«H5)(OC*0Hï^j,
I M obtenu par l'action du menthol en sol. éthérée sur le chloro-
*«^<boxy-éthoxyphénoxysilicane.
^Qcim composé optiquement actit n'a pu être jusqu'ici obtenu*
A« VALEUR.
•Ac. cma., a* sxR.. t. xxvi, lOOL — TraT. étrang. SI
57« ANAI-YSE DES TRAVAUX ÉTRANGEH8.
Sar les ortho-acides des a et p-hydronaphtoquinones m
quelques-uns de leurs dérivés; Friedrich RUSSIG (Journ. fl
prakt. Ch., t. 62, p. 30-60). — I. a-Hydronaphloquînooe. — (m
prépare d'abord par raction de Sn et HCl sur Torangé I le chlorfcf
drate a-amido d*a-naphtol C*^H6<^^^ ^ |||, puis par le bidu^
mate la quinone C«<>H«^^ |J' f. à 425«. Rendement 14 gr. pc^B
âO gr. de chlorhydrate. On réduit ensuite par SnCl* et HGl {9t^
quinone, 50 gr. SnCl« dans 500 ce. H«O + 200HCl. Rendeml^
25 0/0 de Torangé employé).
L'hydronaphtoquinone ainsi obtenu, F. 176**, est soluble en >ii
let rouge dans SO*H' concentré.
Les sels alcalins ont été préparés par NaOH et KOH en solutws
alcoolique.
/OH i
Acide oL'hydronaphtoquinone monocarbonique O^W~GiJOH ^
\OH ( I ^
On traite en autoclave par CO* le sel disodique de la quinone |>f
cédente. On chauffe environ 20 à 80 heures à 170**. Hendemi*
presque quantitatif pour l'équation
Ci0H6O2Na2 + CO» = CîOH5(OH}(ONH)C03Na .
L'acide purifié cristallise en aiguilles monocliniques f. à iH
Sol. alcool, éther, éther acétique, insoluble CS*, élher de pétrole
ligroïne. Dans CH^GO^H il cristallise avec une molécule d^aci*!*-
lond alors à 105°.
Dérives acélylés, — Avec le chlorure d'acélyle ou obUeni
dérivé mono, feuillets brillants ou aiguilles f. à IQS**. Avec lanl
dride acétique on obtient le même dérivé ou un coq)s déjà cotnj
l'a diacétyl d-hydronaphloquinone G*«H6<^^^^^3, F. 125. |
I
dérivé diacétylé de l'acide ne paraît pa^ stable dans ces condili..^
. Eibers. — CH^OH et HGl donnent deux produits : u) tm util
/OGH»
monomélhvlique G*oH»^GOOH, aiguilles f. à 178*» en àétsnsx\
\0H
GO' et donnant alors la monométhyl-a.^ bydrotmpbtcnfun%^
CiOH6<OCH3. ^^ Y éther métbyliqiie de F acide bydronaphtoqnm^\
/OGH«
dkrbonique monométbylé Ç*<»II»^C00CH5, aiguilles f. à 13|\
» \0H
CHIMIE ORGANIQUE. 579
X)CH3
Dérivé acétylé de r acide métbyléCAm^^COOU . — Obtenu
\0C0CH8
rCH«COa, aiguilles incolores, f. à 172» en perdant C0«.
Eihers éthyUques, — Par HCl et l'alcool, on obtient Télher
/0C*H5
ide C'*H5--C00H, prismes ou aiguilles f. à 170**, en donnant
\0H
W<xh " , f. à 90, et réther C^oRs^COOC^H», prismes hexa-
^" \0H
ttfox, 1. à 98'', sans décomposition et volatils un peu au-dessus.
ConstituUoD de ces corps. — Par analogie avec les synthèses
tméme genre, le carboxyle de l'acide a-hydronaphtoquinone car-
Mique doit être en p^ ou en ^^ ce qui revient au même. On en a
» preuve directe en remplaçant le carboxyle par Cl au moyen de
<i* ; ou oblient la p-chloro-a-naphtoquinone C*®H^^Gi, aiguilles
%0
•ne», f. à 112*, qui prend naissance d'après l'équation :
/OH ^O
Om^-COOH + 2SnC|4 = CiOHS-Cl + CO2 -|- 3HC1 + ÎSnCP.
^OH ^0
Bleaété identiRée d'ailleurs en faisant son anilide, aiguilles
■ces, f. à 202-203*».
Puur le dérivé méthylé, l'auteur montre qu'il répond à la
«.sutulion
OH
Il iff
ocn3
l^rivé acélylé est :
OH
•lêrivé f. à 172*»
COOH
OCOCHî
OCOCÏP
rYV"
580 ANA^LYSE DES TRAVAUX ETKANGBHS.
Rufïcondensation de r acide d-hydronaphtoquinone carbonitjk
— L'oxydation de Tacide à Tair ou en solution alcaline foizn
après purification, un corps en aiguilles jaunes, f. à <C350^, <ra
Fauteur explique la formation par une oxydation de l'acide, ira
formation en acide a-naphtoquinone carbonique et condensttr
avec une seconde molécule de l*acide primitif.
0 COiOH
H
OH O CO OH
0 i HOiCO OK 0 CO OU
:... ;
OnWQk ^ C»H«0* = 2H20 + CMH>0O«
L'analyse répond en eflet à cette formule et un essai d*ac%^ty
tion indique deux OH seulement dans le corps.
Avec SO*H* conc, Tacide a-hydronaphtoquinone carbonî^
fournit un produit de condensation C**H^O* en aiguilles jaune>
Le produit de condensation jaune, distillé avec la poudra'
zinc, fournit un carbure qui doit correspondre au dinaphtanit^
cène C««H«*.
I
Monométhyl'OL'hydronaphtoquinone C*<>H«<J^u ; — OhltM
par fusion de Tacide correspondant qui perd CO*; ai^illes ioj
lores f. à 125"*, fondant cependant dans l'eau bouillante. '
Dimétbyl-7.'h}dronaphtoquinone C*oH«(OCH*)« on métih
Ta-hydronaphtoquinone par CH^I-j-NaOH. — La partie insolu
dans l'alcool froid constitue le dérivé dimélhylé, aiguilles nif^
cliniques blanches, f. à 85®.
Monoéthyl'Oi'bydronaphtoqunwne C*^H<*<c}^u • — On t^
l'acide éthylé qui perd CO*, aiguilles f. à 90*.
Oxydation de la méthyl-oL-hydronaphloquinone Fe*Cl*, O, «H
donnent une matière bleue cristallisée en prismes à reflets cuisi
F. 26i*,5 (corr.) fournissant un leucodérivé par les réducteur^-.
corps répond à la formule C**H*«0*.
L'oxydation de l'éthyl a-hydronaphtoquinone donne l'homoJoi
supérieur C«*H«oO*. "
Acide a'hydronaplUoquinoue'0'dicarboaiqueO^H^<!^:^^^^^.
Obtenu dans certaines préparations de l'acide monocarboniquti
forme des aiguilles noircissant vers 220* et fondant à I80*.
CHIMIE ORGANIQUE. 5Bi
U. ^Hfdroaspbloquiaone. — On prépare d'abord le p-naphtol-
ooeozolsulfooate de Na, puis oo le réduit par SnCl^ et on obtient
chlorhydrate d'o-amido-^naphtol avec un rendement quantitatif.
Oxydé par le bichromate, ce corps fournit, avec un rendement
70 0/0, la quinone pure, celle-ci réduite par SO* donne la
^ydroquinone, f. à 60*, dont on prépare les sels alcalins en àjou-
it à la solution alcoolique la quantité d*alcali théorique, puis on
ipore dans un courant d*H pour avoir le sel sec.
Acide ^bydronapbtoqaiaone- monocarbonique C'^H^^^OH
\COOH
Oo traite le sel de Na, G*oH«(ONa)« par C0« à 150^ L'acide libre
rme des cristaux jaunes f. à 215** en perdant CO*.
brriré acétylé. — L'anhydride acétique et l'acétate de Na
tto«ot le dérivé diacétylé, aiguilles fines perdant GO* vei*s 185*
libodant ensuite.
L*acide monocarboxylé possède la constitution
t^aoî la préparation de cet acide, Tauteur admet qu'il se forme
toiedicarboxyléC«0H*^(^^^*y^5. mais il ne l'a pas isolé.
C. MARIE.
^èpiration de racètylchloraminobenzéne et de quelques
inipotés Toisins ; F. D. CHATTAWAT et K. J. P. ORTON [Cbem.
S*e., i. 79. p. 274-280; 3.4901). — Les auteurs, en réponse à
i Annstrong, ont repris l'étude de l'acétylchloraminobenzène. Ils
haïrent que le procédé de préparation indiqué par eux : action
font* solution étendue d'hypochlorile de potassium additionnée de
'*<Arbooate de potassium sur Tacétanilide à froid transforme en
w»^ demi-heure plus de 25 0/0 du produit en acétylchloraminoben-
^ auteurs confirment également, leurs résultats pour le ben-
^JjWUoraminobenzène.
^'^tyIebJoraminO'2'4'dicbJorobenzène peut être obtenu par
**eUoo directe du chlore sur Tacétanilide en sol. acétique et en
î^^^^ww^ d*ftcétale de sodium. a. valeur.
58i ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Réduction des aldazines aromatiques (synthèse des benzy)
hydrazines R . CH« . AzHAzH») ; Theodor CURTIUS, Joarn,
prakL Cb., t. 62, p. 83-126). — Propfe et Haager ont étenda k
recherches de Quedenfeldh [Ibid. (2), t. 58, p. .%9-385] a ia i-rn
thylbenzaldazine et à la 2.4-diinéthylbeozaldazine; ils ont moat
que :
Par réduction en solution acide (Zn en poudre et ac. acéiii|«i
on a :
H-CH=Az RCH2v
I +3H2= >AzH + AïH3
H-CH=Az RGH^/
Aldazioe. Dialtylamioe.
en même temps que Tamine primaire RCH^AzH*.
Far réduction en solution alcaline (amalgame de Na) on obtj'!
suivant les conditions l'hydrazine RCH'AzH. Az=CH.R ou la du
kylhydrazine symétrique RCH«AzH.AzHCH«R.
Les benzylamines secondaires (RCH*)*AzH sont peu connu
encore. Elles sont solides, fusibles à basse température et dounn
des sels peu solubles H*0 avec AzO^H et AzO*H. Ces deroi^
fournissent par ébullition avec Talcool la nitrosamine correspo
dante (RCH2)«Az(AzO).
Les benzalbenzylhydrazines R.CH'.AzH.Az=CH.R sont -
lides, bien cristallisées, très sensibles aux oxydants et donnent li
picrates caractéristiques. Les sels minéraux ne peuvent élre p
parés; TH du groupe imide peut facilement être remplacé pari
groupes acétyl, benzoyl ou AzO. l-.es nitrosobydrazines ainsi wb
nues sont de beaux corps cristallisés décomposés facilemeui pari
acides minéraux; on n*a pu jusqu'à présent les réduire en dém
aminés.
L'hydrazine se scinde par les acides minéraux étendus quanlii
tivement :
*
RCH2AzH-Az^CHR + H20 -^ UCIPAzH-AzH^ + RCHO .
Ces benzylbydrazines primaires RGH'AzH.AzH* fondent \m
distillent dans le vide et sont extrêmement sensibles à Toxydatio
A l'air elles perdent peu à peu de Tazote; elles fixent de Tean (i
ébullition avec l(3s acides minéraux étendus et donnent :
RCH2AzH-AzH2 + IPO = RCH^OH + AiH^AiH^
elles donnent des sels bien cristallisés stables à Tair. Les bai
libres donnent avec Télher acétique lès benzylmétbylpyr^zahm
CHIMIB ORGANIQUE. 56^
u^i ^ K ^ ^ /RCH«AzAz=CHR\ ,
HgO les oxyde en Bydrotetrazones l I | quune
\RCH«AzAz=CHR/
xydation ultérieure transforme en aldazines RCH=Az-Az=CHR.
Les diùlkylhydrazines symétriques sont des composés cris-
klilâés altérables par Toxygène, fondant bas et formant des sels
tn solubles H*0 et à points de fusion élevés. Elles donnent des
ttrosodérivés cristallisés R.CH«Az(AzO)-Az(AzO)-CH«R qui
erdent facilement un groupe AzO en donnant une nUrosobydrB"
DiM?RCH*Az(AzO)=Az=CHR. Ces dialkylbydrazines donnent par
s* acides minéraux la réaction
RCH2A2HAzHCH2H + -21P0 = 2RGH20H + Az2H\
Partw expérime?<tale. — ' Benzalbeuzylhydrazone. — On réduit
xbenzaldazine par l'amalgame de Na ; le chlorhydrate, F. i53®,
* scinde par ébullition avec l'eau en benzaldéhyde et benzylhy-
Suivent les analyses du chlorhydrate, du picrate, des dérivés
Huoylés, acétylés, nitrosés, et de la dibenzaldihenzylhydrazo-
C«H5.CH«AzAz^CHC«H»
ttrêzone I
OH5 . CH«AzAz^CHC«H5
ïiiheiaylbydrazine symétrique. — S'obtient en même temps
^ la benzalbenzylhydrazine. Le chlorhydrate est en feuillets
knliants f. à 225**. La base libre est extrêmement soluble alcool et
Wïer, pi fond à i7*. Le dérivé diacétylé
(:«hh:h^Az(Coch3)-az(COGH3)ch2C6H5,
frten prismes f. à 117-118'*. Le benzoylc en aiguilles f. à 164*». Le
Krivé dinilrosé fond à 35-40** ; dissous dans l'alcool, il donne à
cfiaud la nitrosobenzalbenzylbydrazine, F. 89**.
IhnzyUiydrazine. — Le cblorhydrate est en lames brillantes
•''^sol. dans Teau, sol. alcool bouillant, insol. éther, fond à 111*.
U base est un peu sol. H*0, c'est une huile incolore. Avec la
lï'nztldëhyde on obtient la benzalbenzylhydrazine^ F. 65®. Avec
**o.-oxybenzaUléhyde on obtient V o.-oxybenzalbenzyîhydrazone^
"^nllete un peu jaunes f. à 90^
-ir. pyruvique-benzylhydrazone C«H»CH2AzH.Az=C<q2?^'
pf**«esdurs f. à 104** obtenus en agitant une sol. aqueuse de Tacide
•*« une solution de beuzylhydrazine dans Tac. acétique,
Beoiylsemicarbazide, fond vers 135° C^H^CH^AzH.AzHCOAzH*.
6i4 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
BenzylphényUhiosemicavbazide C«H»CH«A2H . AzHCS AzHOHl
feuillets f . à 1 i6o.
Dibenzoylbenzylbydrazine^ prismes f. à 148*,
RÉDUCTION DE hK BENZALDAZINE EN SOLUTION ACIDE. DlbeUIf^
mine; on traite la benzaldazine par ac. acétique et Zn en qua&til
calculée. On n'obtient que le chlorhydrate qui fond è 255*,5.
Recherches sur la 4-méthylbeiizaldaziiie
CUK >CH = Az-Az=CH< NCH^
o
(en collaboration avec A. PROPFE). — I. Réduction bn :>oLUTioi
ACIDE. — 4'mélbyldibenzylamine puapempH»^^^'^' cristwu
tabulaires durs, F. 32%5, éb. IGâ-lOS*» sous 13 mm.; le chlorhy-
drate est en feuillets peu sol. H*0, F. 272®, on Tobtient par rédiw-
tion de la 4-méthylbenzaldazine au moyen de Zn et ac. aeotj({iK
Rendement 40 0/0; le nitrate f . à 21 3«, petites tables peu ^ni
H*0;le siiUate est facilement sol. H*0, aig^uilles f. à 199»* 1^
picrate est en tables dures f. à 153*; le cbhroplaiinaie est ei^
feuillets jaunes ronges f. à 188**; le chloronicrcurate f. à liî*; l
nitrite est un précipité floconneux cristallisant dans ralcool chau4
feuillets brillants f. à 145'; il fournit par digestion au D.-M. Il
Ditrosamine (CH3C«H*CH«)«AzAzO, F. 52% insol. eau froide, -^1
alcool, éther, CS*, acétone et benzène.
II. RÉDUCTION EN SOLUTION ALCALINE. — 4'métbyIbenzaI'i^oit*tL*i
benzylhydrazone^ grandes tables f. à 101**, très instables vis-i-\«
des acides et des oxydants, solubles dans Téther, C*H* et TalciHÙ
picrate, aiguilles jaunes d*or f. à 132**; dérivé acétylé^ feuille>l
à 95*»; dérivé benzoylé, aiguilles fines f. à 130**,5; dérivé oitrv>é
aiguilles jaunes f. à 111**; 4'mètbyldibenzal-4'méthyldibeazyiht
drotétrazone ; on traite Thydrazine par HgO, aiguilles f. à 1M% tA|
excès d'HgO fournit la A-niéthylbenzaldazine.
Â-méthyldibenzylhydrazine. — S'obtient quantitalivemenl f^i
réduction de la 4-inéthylbenzal-4-méthylbenzylhydrazine au mo>t!
de HgNa. Le chlorhydrate est presque totalement insoluble H^
froide, il fond à 236**; la base libre est en cristaux un peu jau»*:
f. à 67*, elle est instable; dérivé diacétylé^ aiguilles incolores f- ^
il2».
AzO'Na donne avec la base en solution acétique le d^«^
nitrosé de la 4-méthylbenzal'4-méthy]benzylhydraziDe, F. 111*.
CHIMIE ORGANIQUE. 585
ifgO doone seulement la 4-niéthyIbenzaldazine.
Le picrate de la base est en aiguilles jaunes f. à 130^
Chlorhydrate de Ja d-métbylbenzylhydrazine. — On traite par
iii courant de vapeur d*eau la é'méthyJbenzal'd-ûiétbylbenzylh}'
tr^tine^ on sépare ainsi la p. totyialdéhyde et on obtient le sel,
r. à ihfy en feuillets brillants.
Recherches sur la 2.4-diméthylben8aldaziiie
cw/ \ch=az-A2=ch/ \ch3
O'
|en collaboration avec E. HAAGER). — On traite la diméthylben-
taldéh}de 2.4 parle sulfate d'hydrazine, cristaux durs f. à 118**;
If chlorhydrate est en aiguilles f. à 178-179**.
Hédiiction en solution acide. — On obtient 25 à 30 0/0 de chlo-
rbjdrate de dJwélhyldibenzylamine, aiguilles f. à 226-227*', et
M) 0/0 de chlorhydrate de S ,4'diméthylbenzylamiae^ feuillets f. à
itli*; le chloroplatinate, f. à 226-227°.
S.é-dimétbyldibenzylamine [(CH3)«C«H3CH«]9AzH fond à28%5,
»L H«0, éb. 2i7-218'> sous ii mm.; le nitrate est en tables
btancheâ f. à 211** avec décomposition, extrêmement peu soluble
H*0 même bouillante; le picrate est en cristaux jaune soufre f. à
14i-i4â»; chloroplatinate, cristaux rouge brun f. à 88°; cbloro-
m^rcurate^ cristaux magniOques f. à 157°. Azolite, aiguilles f. à
Ml* donnant déjà à froid avec phénol et SO*H* la réaction de
Ltebennann.
?. 4'Dimétbyldibenzal 2 . 4'dimétbyldibenzylhydrotétrazone
(CH3)2C6H3GH2A2Az^CH-C6H3(CH3)2
I
(CHVC«H3CH2AzAz=:CH-C«H3(CH3)2
— Od chauffe Thydrazone avecHgO; grains jaunes brillants f. à
U7 138% que l'HCl en solution alcoolique transforme en 2.4-dimé-
likjibenzaldazioe, F. 118°, et en une résine non étudiée.
i.4-Dituéthyldibenzylbydrazine symétrique, — Réduction par
HgN« de la 2.4-diméthylbenzal-2.4-diméthylbenzylhydrazone,
^^guilles blanches f. à 58**,5; le chlorhydrate^ aiguilles brillantes
^- îûir peu sol. H*0 même bouillante. Dérivé diacétylé^ petits
^Uets f. à 125*. L'acide azoteux donne avec la base en solution
•flaque le dérivé nitrosé de l'hydrazone; l'oxydation par HgO
•loRoe le corps décrit plus haut la 2 ,4-diméthyldibenzal'2 ,4-dimé-
58t5 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGERS.
thyldibeazylhydrototrazone, F. 138*, et une certaine quantité i
S .-i'dimétbylAenzaldaziney F. 118°.
Chlorhydr,atede SA'diméthylbeuzylhydrazine, longues aiguitin
brillantes f. à 170-171*', obtenues en traitant par la vapeur dVauv
mélange d* acide chlorhydrique étendu et de 2.4-diméihylbei)ii«^
2 . 4-diméthyIbenzylhydrazone.
Benzal'S.Â-diméthylbenzylhydrazine^ belles aiguilles f. àU-M*,
Recherches sur la 2.4.5-triméthylbeiizaldaziiie ^en coUsb^
ration avec E. HARDING). — 2.4,5triniétbyIbenzal'â.4.5-triuP'
tbylbenzylbydrazone (CH3)3.C«H9CH«AzH. Az=CH.C«H«. (CH V; «
réduit par HgNa la 2.4.5-iriméthylbenzaldazine; aiguilles f»ai
stables f. à 134°.
Picrate de 2.4. 5'trimétbylbenzal-2 . 4 . o- trimétby/benzylhy
drazone, aiguilles jaunes f. à 169°; dérivé acétyté^ loogw*
aiguilles blanches f. à 184°; dérivé beozoyléj aiguilles f. à 187";
dérivé nitroséy aiguilles jaunes brillantes f. à 118°,
(CH3j3C«H«CH«AzH
2.i.5-trimétbyldibenzylbydrazine \ , crisUtiî
(CH3j3C0H«CH«AzH
rhombiques très instables f. à 128°; le chlorhydrate Q%i en aiguilli*'^
f. à 170-171°.
2.4.5'triméthylbenzylhydraziiw (GH3)3C«H«CH«AzH«, mas^
cristalline perdant de Tazote facilement; le chlorhydrate est ^i
aiguilles f. à 239-240°.
Benzal'2 ,4 .5'triméthyîbenzylhydrazine^ tables peu stables ( i
89-90°. Trimétbylbenzylsemiearhazidey aiguilles f. à 174-i7.>
2.4. ô'triméthylbenzylphénylthiosemicarbuzide^ fines aiguill*^
soyeuses f. à 167°. Hyruvnie de 2 .4 .0'IriméthylbenzylbydrBzitje
aiguilles soyeuses f. à 91-02°. Picrate, aiguilles monocliniqu'*-
jaunes f. à 163** avec décomposition.
Recherches sur la 4-méthylbenzylhydrazine
(on collaboration avec G. SPRENGER). — 4'méihylbeazylbyîr.\
zine. — Masse rayonnée, F. 40-41°, éb. 135° sous 18 mm. ; ei»
réduit la liqueur de Fehling à froid et est 1res instable. Picrul^
aiguilles jaunes f. à 144° avec décomposition. o,-OxybeaxMf-i
méthylhenzylhydrazine, flocons blancs cristallisants dans TaliN.»
en feuillets un peu jaunâtres f. à 105°. Dérivé para, F. 112* environ
Cbloral'i'méthylbenzylhydraziiK^ aiguilles micro-crislallines f. i
88°.
CHIMIE ORGANIQUE. 587
Ae, prrurique-é-mélbjrlbenzylbydrazone
CH\
>G ^ Az- AzH -CH2C«H*CH3 ,
COOH/
irges feuillets brillants f. à 77-78**. 4-métbylbenzyhemicarbazide^
iroes blanches f. à 142* environ, i-mélbyîbenzylphényltbiosemi-
sriwziV/eCHaC«H^CH«AzH.AzHGSAzHC«H« cristallise dans Tal-
v\ étendu en lames brillantes f. à 132-183''.
l-fhmf^tbylbeDzylS'mélhyl'ô'pyrazolone
GH2-C0v
I >AzrCH2-G«H*GH3,
CH3C=Az/
|nanti»és équivalentes d'éther acétylacétique et d'hydrazine
louneot celle pyrazolone, F. 15i-155°.
Dibeazoyl-d-métbyibenzylbydrazinej belles aiguilles f. à 165°.
AcUoD des acides à chaud, — La 4-wétbylbenzylhydrazine est
s^iiidée en hydrazine et alcool, d-métbylbenzyliqae. — Avec HGI
» obtient le chlorure de l'alcool, éb. 90** sous 20 mm.; il fournit
ivei' la phlalimide potassée la 4'inétkylbenzylpbtalimidey longues
Utnûlles blanches f. à Ilô-IH'* semblable à celle obtenue avec le
r'.ilorare synthétique obtenu par une autre voie. c. marie.
Sar la constitutioQ de la pyridone, de la quinolone et autres
kasts semblables; HermanQ DECKER {Journ. /. prak. Ch,, t. 62,
^. ifiô-iTO». — Note purement théorique impossible à résumer.
L isomérisation dans la série du menthol (111; ;I.KONDAKOW
« L LUTSCHIinN {Journ. /". prakl. Ch,, t. 62, p. 1-30). — Les
f^-ïwrches des auteurs les amènent aux conclusions suivantes :
• l* L'alcool fenchylique, comme le menthomenthol et le carvo-
tt«olhol, donne avec PCl^, HCl ou HBr des composés tertiaires au
b^i de?> composés secondaires correspondants. Cette isomérisation
'^' lîmilée par les conditions expérimentales;
• 2* Les fenchènes qui s'obtiennent en enlevant les hydracides
-••il anhydrides halogènes des alcools fenchyliques et aussi par
Wrte dVau des alcools sont constitués au moins par deux isomères
'*»>miques *en dehors des isomères optiques) de constitution encore
■'ï^omplètement connue. La résolution do cette question nous
l>^nnettniit d'en conclure la position des atomes d'halogène aussi
588 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
bien dans les anhydrides halogènes de i'aicool fenchylique qu^
dans les coniposés du fenchène avec les hydracides;
c d"* Les anhydrides halogènes de Talcool fenchylique, obteaib
par addition des hydracides au fenchène et aussi par risoinén>a-
tion de Talcool, correspondent sans aucun doute à Talcool tertiain
dénommé alcool isofenchylique de Bertram et Helle;
« 4'' Comme le bromure de fenchyle donne le fenchène a poioi
d*èbuIlition le plus faible en plus grande quantité que le chlorure
on doit prévoir que Tiodure en donnera encore plus;
« 5** Le D. 1. -alcool fenchylique donne par les hydracides dansrer
taines conditions, outre des dérivés mono, des dérivés dibalogénr'*
Ces derniers prennent naissance par rupture des liens en dia^-o
nale; comme nous Tavons déjà mentionné précédemment, ils cor
respondent à Torlho et au méta-hexahydrocymène;
< 6"* L'action isomérisante des alcalis, principalement de la potasse
alcoolique n'a pu être constatée avec certitude; aussi, ne pouvon-s-
nous l'admettre que par analogie avec des cas semblables de h
série grasse ou hydroaromatique.
« Ces faits vérifient les propositions formulées par nous pn^
cédemment sur la transformation isomérique dans la série *h
fenchène.
« Les dérivés du bornéol et de Tisobornéol vérifient la générali>a
tion suivante : les alcools de la série hydroaromatique non saturd
qui contiennent le groupement -CHR-CHOH) sont soumis aui
mêmes lois que les alcools saturés.
« Le camphène doit avoir au moins deux isomères de slructim
et nous nous proposons de le vérifier. »
Au cours de ce travail, les auteurs ont préparé un certain noinbn
de corps dont ils comparent les constantes à celles obtenues (>&]
d'autres auteurs.
d,'Fenchone. — Eb. 194*» sous 762 mm., et 77-79« sous 15 mm.
point de congélation +6«; 77^ = 1,46237; ^yj* = 0,9449. Réfr
moléc, 44,17; calculée pour C«0H*«O, 44,11; [a|^:.^-|-68*.47.
Une autre préparation donna des résultats un peu difTérenl*
Alcool fenchylique. — Préparé par la cétone précédente, il foD<l
à 45*»; éb. 201-201»,5 sous 764 mm.; [a]^ = — 13%50; une aulrt
préparation donna [aJo^^ — 7®, 59; celte différence dépendant d'uiw
racémisation plus ou moins avancée.
Chlorure de fenchyle, — Préparé par l'alcool et HGl; éb. 1^
sous 15 mm.; c/f ^0,9835; «^=1,47566. Réfr. moléc pott^
J
CHIMIE ORGANIQUE. 589
C«H<TJ, 48,87; Irouvé, 49,85; [«]„ jo/4 = — ^^•»2^- ^ *^0' *»
ra^.iie préparation fournit un mélange de dérivés chlorés, dont le
tiifhloré C<0H««CI«.
fencbène, — Parla potasse alcoolique et le chlorure. La l** por-
uoû 1Ô4-158* sous 767 mm., contient le carbure dj*^ = 0,8654;
ti„^4— " 25*3; /if = 1,4689. Réfr. molëc, 43% 74 {^); calculé,
i3,54. Le chlorure de fenchyle préparé à 150® donne par KOH
alcoolique à 150* un fenchène un peu différent par ses constantes.
J** -- 0.8188; /ij, = 1,45809; [a]^ — 8%18 (\^. Réfr. moléc, 43,71.
Chlorhydrate de fencbène. — Eb. 79-82; /?^ = 1,47478;
<^=:0,9921. Réfr. moléc. pour G^OH^^CI, 48,87; obtenu, 48,89;
Bromure de fenchyle. — Action de HBr sur l'alcool. Eb. 92-96
«mi 11 mm. df'^= 1,2314; «^^ = 1,4488. Réfr. moléc. pour
<:'W-Br,51.8;trouvé,51,44;[a]„,^5 =— 48«,17. On obtient, en
uulre, un peu de dibromure, F. 49*.
Une autre préparation donna un bromure. Eb. lOl-lOl^'fô ayant
\^ consUntes suivanles : df=\ ,217 ; n^ = 1,49768. Réfr. moléc,
lie fenchène obtenu en enlevant HBr à ce bromure a les cens-
'anles suivantes: Eb. U2%5.144%5; df = 0,8394; 77^ = 1,45129;
a^^.—— 490^59 ; pour une fraction 144%5-155% c^ = 0,8478;
»^=Mo699; Wd«;4=— ^*^^^•
Bromhydrale de fenchène. — c/J'^= 1,217; 77^^ = 1,49665;
i^{i*/;=27%16.
iMos des tableaux qui terminent ce mémoire, ont été réunies les
Mérenles constantes de ces produits suivant les auteurs et les
toodes de préparation. c. marie.
Action du cblomre d'aluminimii ur Tanhydride campho-
riqne; P. H. LESS et W. H. PERKIN (Chenu Soc, t. 79, p. 332-
W ; S.lttM). — Les auteurs ont repris l'étude de cette réaction.
U produit qui se forme à côté de Tacide isolauronolique de Blanc
*-^ qui avait été considéré antérieurement (Froc, 1899, t. 15,
p- 123) par les auteurs comme un composé délini et appelé
î^<*ropholactone est en réalité un mélange de deux lactones iso-
aimques OH"*0*. Ce mélange, hydrolyse par Teau de baryte au
B-M. fournit par décomposition des sels de Ba, deux oxyacides
<?H*«0* que Ton sépare en utilisant leurs solubilités différentes
Ô90 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
dans réther pur. Ces comp. sont des acides oxyhexahydrosyl
liques stéréo-isomères :
CHY NgH2
CH2lJcH-CH3
CH
A
que les auteurs distinguent par les lettres A et B.
V acide A'Oxybexahydroxylylique, F. 160*»; il est peu sol. daj
l'eau et Téther, sel dAg précipité gélatineux; par distillatit^
cet acide perd de Teau et fournit la lactone correspona»n
C«H«*<' I huile, Eb. 261-262« sous 748 mm., ne crist. pas daï
un mélange réfrigérant et régénérant par hydrolyse au moyen i
Teau de baryte, l'acide, F. 160°.
V acide D-oxyhexahydroxylylique fond à llS**; il est beaucou
plus sol. dans Teau que Tacide A. Comme pour Tacide A, sa >o
aq.^ soumise à l'action d'un courant de vapeur ne fournit pas J
lactone ; mais, par distillation de Tacide lui-même, on obtient I
lactone correspondante, F. 44°, cette olide, hydrolysée par Teau (1|
baryte, reproduit l'acide générateur.
Le mélange des lactones obtenu par l'action de AICI^ sur Tanhy
dride camphorique se transforme par Taclion de SO*H* à la tem
pérature de 80-85° en acide xylylique C«H3(CH3j(CH3j(CO*H»i.a.i
L'action de HI fumant (0^:^1,96) sur les lactones, en tub»^
scellés à 180° pendant 3 heures, a fourni de rhexahydro-m-xyléih
déjà obtenu par Wreden (Annalen, 1877, t, 187, p. 175) en chau^
faut l'acide camphorique à 280° avec HI, un dérivé iodé^ Kb. 113-
115** sous 32 mm. et qui est probablement r/Wo-/ie.r aA/f/ro-ifl.-
A'Wè/7e 1-1-3, et un mélange à" acides bexahydrox ylyliques stén'i-
isomères.
Quand le mélange des lactones est traité par PBr^ et le pro<iua
versé dans Talcool méthyliquc, il so forme une huile qui se séjmn'
par fraclionnemenl en hromoiiexahydroxylylale de met h rie
CH-CH3
I
CO^GIP
CHIMIE ORGANIQUE. 591
Kb. I65» SOUS 30 mm. et en tétrabydroxylylate de métbyle, Eb. 210**
iwà 7SS mm. Ce dernier corps peut être obtenu presque quantita-
ivemeot au moyen du premier par Taction de la diéthylaniline.
*ir Faction du brome en sol. dans CHCl*, le tétrabydroxylylate
Ir métbyle fournit le dibromohexabydroxylylale de métbyle
>H«Br*C0«CH5 huile jaunâtre instable perdant HBr à la tempé-
iture ordinaire.
Par hydrolyse du tétrabydroxylylate de métbyle ou encore en
iteant bouillir pendant 6 heures le bromobexabydroxylylate de
ftéihyle avec la diéthylaniline et saponification du tétrabydroxy-
jlale de métbyle ainsi produit, on obtient un acide huileux qui est
n réalité un mélange et laisse crist. à la longue et en refroidissant,
*ac. A'tétrabydroxy/ylique, F. 12'\ presque insol. dans l'eau,
ttlrainable par la vapeur d'eau et présentant dans toutes ses pro-
ffiéiés une grande analogie avec l'acide lauronolique. A côté de
rt acide, F. 72*, se lorme un aulre acide D-télrabydroxylylique
(ni n'a pu élre obtenu à Tétat pur.
Par Taction de SO*H* concentré, vers 80**, l'acide A-télrabydroxy-
ïliqoe se transforme en acide xylylique. Le mélange d'acides
létrahfdroxylyliques, réduit par l3 sodium et l'alcool amylique,
burnil un mélange d'acides bexabydroxylyliques stéréo- isomères
jui D'onl pu être séparés.
BId laissant en contact AlCP pendant plusieurs semaines avec
ow' soL chloroformique d'anhydride camphorique, la quantité de
Ui'tones produite ne varie guère, mais l'acide isolauronolique
Sabord formé est presque complètement transformé en acide
^rtos-hexahydroxylylique, F. 75**, identique au produit obtenu par
réduction directe de l'acide xylyliqne par Bentley et Perkin, et en
•nde m-hexahydroxylylique.
Nous renvoyons au mémoire pour le mécanisme de ces transfor-
matioas dont quelques unes ont déjà été expliquées par M. Blanc.
\BnIL soc. Chim. (3), i. 23, p. 693]. a. valeur.
Acide aa-ozycamphocarboiiique ; Arthur LAPWORTH et
Edwin H. CHAPMAN (Cbem, Soc, t. 79, p. 377-386 ; 3.1901. —
l» auteurs ont préparé différents corps en partant de la caniplio-
S'imone.
^ '^amphoquiaone-p. -broniopb énylbydrazone
C«0H»*O=Az-AzH-G6H*Br,
f 2l5-2if/, peu sol. dans la plupart des solv. org., notamment
lUûs CHQJ et C*H«, presque insoluble dans la ligroïne ; elle ne
592 ANALYSE DES TRAVAUX ETBANGEHS.
donne point de coloration avec FeCl^. — Campboquinonesemittf^
bazone C'®H**0=Az-A2H-C0AzH*, plaques orthorhombiques i»-
colores, jaunissant à 210% F. 228-229» (décomp.).
/C(OH).CAz
h\'Ox ycyanocamphve C®H**<r 1 a été obtenu p«
l'action de GAzH sur la camphoquinone ; il cristallise en plaquirs
F. 197-198*, probablement après décomposition [>réa}able en caa-
/C(0H).COAzH«
phoquinone; Vamide correspondant CfiW^C I $'ob-
tient en dissolvant Ta-oxycyanocamphe dans son poids de S0*1P
et versant cetle sol. dans 2 vol. de SO*H* contenant 20 Oi^
d'anhydride, puis versant le tout dans un grand volume d'eau. Ol
amide est faiblement sol. dans CfiW et CHCl^ à chaud, sol. daiA
l'alcool chaud ; il crist. de l'acétone en prismes transparenU <^
subUmant lentement, F. 285-240''. Il n'a pu être transformé m
acide par Taction de AzO*H.
/C(OH).CO«H
h' acide d'Oxycamphocarbonique C®H**<f I a éU"
obtenu en chauffant pendant plusieurs jours le nitrile correspon-
dant avec HCl et aussi en chauffant l'amide avec HBr concenln*.
Il crist. dans un mélange d'éther acétique et de pétrole en aig. u'J
prismes brillants, F. 207-208** (décomp.). Bien que possédant ua
groupe GO, il ne réagit pas sur Thydrazine, l'acétate do semicar*
bazide, ni Thydroxylamine. Il est facilement oxydé par PbO' en
donnant de la camphoquinone. Par l'action de la chaleur, il peni
GO* et fournit l'a-oxycamphre, F.. 205-206% identique au produit
obtenu par Manasse en réduisant la camphoquinone par la poudjv
de zinc et l'acide acétique (Ber., 1897, t. 30, p. 659).
Soumis à l'action du chlorure d'acétyle, l'acide a-oxycani-
phocarbonique fournit VoL-acétoxycampbocarbonique
/C(0C0CH3).C02II
GO
Aig. F. 85-86*», peu sol. à froid dans la ligi'oïne et le benzènt»,
sol. dans la plupart des autres solv. org. H perd CO* par l'actiofi
de la chaleur en donnant Tacétyl a-oxycamphro. A. valiur.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 593
CHWIE 6ÉNËRALE ET IINËRALE
Eqvilibre des systèmes chimiques; P. SAUREL {Phys. Chem.j
»5, p. 21; 1901). — Mémoire d'ordre purement théorique relatif
■ théorème de Gibbs généralement connu sous le nom de loi des
àweç; t*auteur s'est proposé de mettre la théorie de l'équilibre
u $\'stèmes hétérogènes sous une forme aussi simple que pos-
We. Voici les principales divisions du travail : exposé des prin-
ipes fondameniaux de la thermodynamique et du critérium
'équilibre (potentiel thermodynamique de M. Duhem) ; démons-
eibon de la loi des phases ; conditions pour l'existence du point
biiflereot dans un système bivariant et dans un système pluriva-
BMl, qui permettent de démontrer le théorème de Clapeyron et
î> théorèmes de Gibbs et Konowalow; théorème de Maxwell relatif
laire comprise entre les isothermes pratique et théorique, et
ftjpositions analogues; théorèmes relatifs au déplacement de
Hjuilibre 'Clapeyron, Gibbs et Konowalow, Le Chatelier et van
Ce roéinoire forme d'ailleurs la partie la plus importante d'une
ke^ présentée à la Faculté des sciences de Bordeaux, en avril
W). 0. BOUDOUARD.
Sv nu théorème de van der Waals ; P. SAUREL {Phys.
'^m., t. 5, p. 137; 1901). — Mémoire théorique dans lequel
•mair montre que les théorèmes de van der Waals relatifs aux
i|5l«Des UDivariants formés de deux composants peuvent être
fctO'ius aux systèmes univariants formés de plus de deux con^po-
ti^ 0. BOUDOUARD.
^vttion fondamentale d'nn point multiple; P. SAUREL
'Va. CLem.j t. 5, p. 170 ; 1901). — Mémoire d'ordre théorique.
An (loini tnpie formé par l'intersection des trois courbes qui repré-
•^ï'-ol dans le plan pression-température l'équilibre de trois
•jîU'm*^ univariants d*un composant, il existe une relation bien
f'ioiu^ entre les inchnaisons des trois courbes. L'auteur se
ï^^V*>îe (Je montrer qu'à chaque point multiple, il existe une rela-
* ' 1 ^aloguf' entre les incUnaisons des trois courbes d'intersection.
0. BOUDOUARD.
*«c- aim., 8^ sÉR., T XXVI 1901. —Trav. étrang. 38
594 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
Équations fondamentales des points multiples; J. E. TRETd
{Pbys. Chem,, t. 5, p. 259; 1901). — Mémoires d'ordre théornf
et mathématique impossibles à résumer. o. boudouàiu).
Propriété de la courbe pression-volume ; P. SAUREL \Ph]
Cbem.y t. 5, p. 179; 1901). — A propos du mémoire sui^i
de M. Duhem relatif à la liquéfaction d'un mélange de àt
gaz, M. Saurai montre qu*à Taide de la courbe pression-voluc
on peut déterminer les concentrations des deux phases, vapeur
liquide, ainsi que les volumes spécifiques des deux phases, vap<
et liquide, et le rapport des masses de ces deux phases.
0. BOUDOUARD.
I
Liquéfaction d'un mélange de deux gaz ; composition
liquide et de la vapeur; P. DUHEH [Pbys. Cbem,y t. S, p
1901). — Etant donné un mélange de deux gaz liquéfiables, s<)»i
à une pression à température constante T, si T est inférieur
une certaine température qui dépend de la concentration
mélange, on peut établir la proposition suivante. U existe (1<
pressions-limites Pq et Pj, dépendant de la température!, Fi«^
en général plus grand que Pq; ces pressions sont telles qu';
pressions inférieures à P© ou supérieures à P|, le mélange j
homogène, et qu'aux pressions comprises entre P,, et P,, len
lange est en partie liquide, en partie vapeur. Les deux presî^i
Pq et Pj, pour la température T, ne sont égales que dans uu(
exceptionnel : c'est lorsque le point [T, Pq) du plan TOP (OTèt|
Taxe des températures et OP celui des pressions) est sur lacou^
de Gibbs-Konowralow.
Si le mélange passe de Tétat hétérogène à Tétat homopH
Tune des deux phases, liquide et vapeur, disparait. Si c'est la pb|
liquide, le point de passage est un point de condensation ; si c\
la phase vapeur, on a à faire à un point de vaporisation,
courbe limite peut être divisée en deux branches : courbe de ci
densation et courbe de vaporisation^ et le point de séparation i
le point critique.
Pour une série de concentrations, ce point décrit la coùi\
critique. L'ordonnée correspondant à la température cnU(\
rencontre la courbe limite en deux points, dont Tun est le ^
critique. M. Duhem étudie les deux cas possibles: le point cnUi^
est le plus haut des deux points d'intersection (condensation reli
grade) ; il est le plus bas (vaporisation rétrograde).
0. BOODOUARP*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 505
I Classe de relations entre les coefficients thermiqnes et dy-
BtmiqQes; 6. H. BURROWS {Phys. Chem., t. 5, p. 233; 1901).
— Mémoire d'ordre théorique relatif au théorème de Reech.
0. BOUDOUARD.
Sur Tèquation de Clapeyron ; P. Sanrel [Pbys. Chem,, t. 5,
1'. ^.6, 1901).
Relations entre les fonctions thermodynamiques fondamen-
tales. J. E. TREVOR (P/i/s. Cheni,, t. 4, p. 570 ; 1900). —Mémoire
«1 onlre mathématique. o. boudouard.
Deux modes de circulation des liquides pour obtenir une
température constante; I. H. DERBT (Pbys, Chem,, t. 5, p. 17;
tWl). — On sait qu'un thermostat doit répondre aux conditions
suivantes: circulation rapide du liquide, construction facile, opé-
ration économique, obtention rapide de la température qui doit
*lre constante, faculté de pouvoir obtenir diverses températures.
Le lecteur trouvera au mémoire original la description avec figures
<Je deux appareils construits d'après les données précédentes.
0. BOUDOUARD.
Points d'ébullition minime et composition de la vapeur;
1 S.EBER80LE (Phya. Cbem,, t. 5, p. 289; 1901). — Pettit a
. DoDlré que dans le cas où les courbes de tension de vapeur des
frfâtèmes à deux composants se coupaient, on observait un point
d'ébullition minimum.
L'acétone et le benzène sont miscibles, ne forment pas de com-
posés, et leurs courbes de tension de vapeur ne se coupent pas :
l objet du travail est de déterminer les compositions des phases
«oexislantes, liquide et vapeur, des mélanges d*acétone et de ben-
2«^ne, et de voir s'il y a quelque chose non conforme à la théorie
•iaos les cas des pomts d'ébullition minima trouvés par Ryland. La
tourbe de variation des points d'ébullition ne présente aucune
perucularité expliquant les faits observés par Ryland; elle appar-
ent au type normal. La courbe de la composition de la phase
**peur a également été déterminée.
L'auteur a ensuite examiné les courbes de tension de vapeur de
tf'at les liquides organiques ordinaires, en utilisant les nombres
àannèè dans les tables de Landolt et Bôrnstein. Sur les 126 cas
^ttmmés au point de vue de la forme des courbes des points
d'éboiUtion, 70 présentent des maxima ou minima et 56 ont la
fcnne normale. o. boudouard.
596 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les états correspondants de la matière ; Kr. METER, oH
BJERRUM (Zeit. pbys. CL, t. 32, p. 1-88 ; 6.2.1900). — Mémoiit
de physique pure ; se reporter à l'original. m.
Snr la catalyse par les sels neutres ; H. EITLER (Zeit pbp,
CL, t. 32, p. 348-359; 20.2.1900). — L'auteur étudie Tinflueicri
des sels neutres sur l'inversion du sucre de canne par HCI, et m
la saponification et la formation des éthers. Il parvient à la conclu^
sion suivante : dans tous les cas, l'addition d'un sel neutre a pour
efîet d'augmenter le nombre des ions réagissants. m. vèzES.
Equation générale de l'énergie libre et de l'éqniUbre pkj^
sicochimique ; G. N. LEWIS (Zeit, phys. Cb., t. 32, p. S64-40U{
20.2.1900). — Mémoire de théorie pure, qui ne saurait être résumée
M. vèZES.
La cryoscopie en solutions étendues et la théorie des sola^
tions ; Heyer WILOERHANN (Zeit, phys. CL, t. 32, p. 288-;^
20.2.1900). — Discussion avec Dieterici relativement à la cryo>-
copie des non électrolytes en solutions étendues. Voir l'original.
M. VéZES.
Le volume des molécules ; C. M. GULDBERG [Zeit, pbys, Ch.,
t. 32, p. 116-126; 6.2.1900). — La composition des volumes mol^
culaires de corps différents doit être faite dans des condition
telles, que ces volumes soient indépendants de la température fi
de la pression : il convient donc de prendre comme volume molé-
culaire réel le volume minimum que chaque corps est suscepuMï
d'occuper. On le définira de deux façons : par des me6ure> ^
compressibilité, en prenant la valeur limite du volume moléculam
sous une pression infinie ; et par des mesures de dilatabilité, oc
prenant la valeur limite du volume moléculaire au zéro absolu
L'auteur calcule les volumes moléculaires limites d'un certata
•
nombre de liquides, au moyen des recherches d*Amagat i-lw"
Chim. Phys., 1893) sur la compressibilité, et de ses propre^
recherches [Christiania Viddenskabsselskabs forhandlinger, IBfiy
sur la dilatabilité. Les résultats obtenus sont suffisamment concor-
dants. M. VÈZBS.
Sur les solutions colloïdales ; G. BRE0I6 et A. COEHHiZeiV
phys, Ch„ t. 32, p. 129-132 ; 6.2.1900). — ArUcle de poléraifi'
sur le même sujet, en réponse à des observations de Sloeokl ***
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 597
Tanino tZeit. pb/s. Cb., t. 30, p. 98) et Stark (Wiedemann^s
\jm,, t. 68, p. 117 et 618). ii. vèzes.
Sur le cadmium coUoidal ; 6. BREDIG {Zeit, pbys, CL, t. 32,
1. 127-128; 6.2.1900). — L'application des méthodes déjà décrites
oar d'autres métaux {Zeii. an. Cb., 1898, p. 951) permet d'ob-
enir aussi le cadmium à l'état colloïdal sous forme d'une solution
ima foncé, pouvant se conserver assez longtemps à Tabri de Tair.
M. vèzEs.
Rtlatioii entre la constante de dissociation des acides faibles
ït lliydrolTse de leurs sels alcalins ; J. WALKER {Zeit. pbys.
24., t 32, p. 137-141 ; 6.2.1900). — La mesure de la conductibilité
iiectrique de divers acides faibles donne pour leur constante de
lisBociation les valeurs :
CHî.CO«H 180000X 10-»o
CXPW 3040 X 10-^0
H^ 570 X 1 0-«®
B05H3 17X10-*»
CAxH 13 X 10-<o
C«HH)H 1,3X10-^^
Od peut déduire de ces nombres le degré d'hydrolyse, en solution
«Ucinormale à 25*, des sels alcalins de ces acides, et le comparer
•0 résultat des mesures directes de Shields {Zeit. pbys, Cb., 1. 12,
p. 167) :
CalcDlé. Mesaré (Shields).
CHKX)3Na 0.008 % 0.008
CCPHNa 0.06
HSNa 0.14
BO*Na 0.84
CAzNa 0.96 1 . 1
C«HH)Na 3.0 3.0
»
M. VEZES.
la point de congélation des dissolutions aqueuses de non-
*«!trolyUi; E. H. LOOMIS (Zeit. pbys. Cb„ t. 32, p. 578-^06;
ftî.1900). — La méthode indiquée par l'auteur dès 1893, pour la
^tenninatton du point de congélation des dissolutions étendues^
'^plit la condition essentielle que doit remplir toute bonne
■Wiodc cryoscopique : il y a identité entre la température conver-
tie de l'appareil et le point de congélation qu'il s'agit de mesurer.
■*» eBc comporte encore une cause d'erreur, si l'on ne prend pas
598 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
la précaution d'immerger complètement le thermomètre dans (le
la glace fondante pendant tout le temps qui s'écoule entre deux,
mesures. Si Ton se borne, comme on le fait en général, à immerger
dans la glace le réservoir du thermomètre, il en résulte une cer-
taine déviation pour la courbe des points de congélation.
La méthode ainsi modifiée a été appliquée à la mesure di
l'abaissement moléculaire d'un grand nombre de non-électrolytet» :
alcools méthylique, éthylique, propylique, butylique (normaI\
amylique; glycérine, glucose, saccharose, mannite, acétone,
hydrate de chloral, aniline, éther. Presque tous ces corps ont
fourni, pour de grandes dilutions, le même abaissement molécu-
laire, dont la valeur 1.86 est conforme à celle qui se déduit de II
formule de Van t'Hoff. Il n'y a d'exception que pour l'alcool
méthylique (ab. mol. 1,82), l'alcool éthylique (1,84), Téther (1,50 .
M. V^BS.
Sur le point de décomposition des solutions aquenses,
A. GOCKEL {Zeit. phys. CL, t. 32, p. 607-624; 20.3.i900V-
Mémoire de physique pure. m. vèzes.
Réponse à M. Bakbuis Roozeboom ; R. SCHENGK (Zeit. pbp.
CL, t. 32, p. 564-565; 20.3.1900). — Article de polémique relatii
à la théorie de points de transformation des cristaux mixtes.
M. VÈZES.
Équilibres avec deux phases liquides dans les systèmes sti
alcalin-ean-alcool ; B. R. de BRUTN {Zeit. phys. Ch., t. S2.
p. 63-115 ; 6.2. 1900). — Les systèmes étudiés par Tauteur ont été
les suivants : sulfate d'ammonium, alcool éthylique et eau ; carlxh
nale de potassium, alcool méthylique et eau ; carbonate de potas-
sium, alcool éthylique et eau ; sulfate de sodium, alcool éthylique
et eau. Chacun de ces systèmes fournit, dans des conditions con-
venables de température, deux couches liquides non miscible> <?d
équilibre avec un excès de sel solide.
Dans le premier de ces systèmes, qui a été étudié de -f 9*8
-|- 50*>, ces deux couches ont des compositions d'autant plus voi-
sines que la température est plus basse. Elles se confondent à '♦'
environ ; la solution critique qui en résulte contient environ 60 0 •
d'eau, 20 0/0 d'alcool et 20 0/0 de sulfate d'ammonium.
Le système carbonate de potassium-eau-alcool méthyliqot»,
étudié de +35* à — 30°, donne lieu à des phénomènes analogue?
le point critique où les deux phases liquides en équilibre avec If ^^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 599
:Àide atteignent la môme composition est situé ici à — 35^ environ ;
I composition de la phase critique correspond à 40 0/0 d'eau,
U 0/0 d'aicooi méthylique et 30 0/0 de carbonate de potassium
jdnité.
Dans rétude du système carbonate de po.tassium-eau-alcooi éthy-
^(U6, la composition des deux phases liquides varie beaucoup
4*iï^ lentement avec la température. Aussi n'a-t-il pas été possible
'atteindre le point critique, bien que les expériences aient été
nies entre d'assez larges limites de température (de — 18** à
L'étude du système sulfate de sodium-eau-alcool élhylique est
«oà compliquée, par suite de la possibilité de deux phases solides
Ih4iactes, le sulfate de sodium anhydre et son hydrate à 10 mol.
f <»ftu. L'addition d'alcool abaisse le point de transformation du sel
aliydre en hydrate : il est à 32*,5 en solution aqueuse pure, et
^ibaisse à 10* en présence d'une phase liquide contenant 76 0/0
ftlcool, 24 0/0 d'eau et 0,02 0/0 de sel anhydre. La formation
ie deux phases liquides distinctes ne peut être observée ici que
frice à des phénomènes de faux équilibres : elles sont sursaturées
par rapport au sel anhydre si la température est élevée, par rap-
p»rt au sel hydraté si la température est basse. Il n'a pas été pos-
sible de les suivre au-dessous de 20*. m. vèzes.
Sur lliydrolyse des solutions salines ; L. BRUNER (Zeit.
phy$. Ch.^ t. 32, p. 133-186; 6.2.1900). — A propos de recherches
rtcenies de H. Ley {Zeit, pbys. Ch,, t. 30, p. 193), l'auteur indique
1? résultat de recherches personnelles datant de 1893, et qui ont
î*mé sur 28 chlorures, 10 nitrates et 3 sulfates. La mesure de leur
drfoinposition hydrolytique a été faite par voie optique (méthode
<lr rini*»rversion du sucre).
Les s^ls les plus fortement hydrolyses sont les chlorures de
ûi»*laiix quadrivalents (SnCl*, ZrCl*). Puis viennent les sels de fer,
uranmm. aluminium et glucinium. Les autres sels étudiés ne sont
<^if tfvr. faiblement hydrolyses. D'une façon générale, les chlorures
sTiydrolysent plus que les nitrates, et ceux-ci plus que les sulfates.
M. VÈZES.
Poltrisation des gas dans les accumulateurs au plomb;
C. J. REED \Pbrs, Chem,, t. 5, p. 1 ; 1901). — D'après Nernst et
Weztlek, l'éleclrolyse de l'acide sulfurique avec des électrodes
4» plomb exige une force électromotrice supérieure à 2 volts, les
P'wittîis de rélectrolyse ne sont pas de l'hydrogène et de l'oxygène,
600 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
mais du plomb et de Toxyde de plomb, il n*y a dégagement de
que si la force électromotrice atteint 2,8 volts. Il résulte de
que la formation de plomb et peroxyde de plomb à partir du
fate, dans un accumulateur au plomb, exige une force électro
trice moindre que celle nécessaire pour décomposer l'eau, et q«
y a production, non pas de la réaction absorbant la moiadi
énergie, mais de celle absorbant une quantité d'énergie cods
rable. A Tappui de ces conclusions, les auteurs donnent
explication de cette soi-disant anomalie.
M. Reed a repris la question, et réfutant les résultats auxq
sont arrivés Nernst et Dolezalek, il donne les conclusions suivao
susceptibles de vérification expérimentale : 1* l'hydrogène
dégagé électrolytiquement en quantités illimitées de Tacide
furique dilué, avec des électrodes en plomb pur, si, en mè
temps qu'il se forme du sulfate de plomb, la force élec
motrice est plus petite que 0,5 volt; 2* la force électromot
nécessaire pour maintenir un courant régulier entre des él
de plomb métallique est plus petite que 0,01 volt ; 3* pour ob<
ces résultats, il n'est pas nécessaire qu'il y ait du sulfate de pi
dans la solution ou sur la cathode ; 4** la force électroraoln
requise pour charger un accumulateur ne dépend aucunement c
dégagement d'hydrogène ou d'oxygène sur une électrode en ploiul
ni de la capacité d'occlusion du plomb. o. boudouard.
Constantes diélectriques des nitriles; H. SCHLUNDT {Pbf
Cbem.^ t. 5, p. 157; 1901). — La méthode de mesure emplo)^
est celle de Drude {ZeiL pbysik. Cb., t. 13, p. 531 ; 1893).
Voici les résultats obtenus à la température d'environ 20*, \
constante diélectrique de l'air étant prise égale à l'unité : acitj
cyanhydrique, 95 ; acétonitrile, 36,4 ; propionitrile, 26,5 ; butyro
nitrile, 20,8 ; cyanure d'isopropyle, 20,4 ; valéronitrile, 17,4; cy
nure d'isobutyle, 17,95; capronitrile, 15,5; benzonitrile, 26,
cyanure de benzyle, 14,9 ; orthotoluonitrile, 18,4 ; pyridine, ilÀ
quinoléine, 8,8.
Les constantes diélectriques des nitriles sont plus élevées qol
celles des alcools et des acides correspondants. Il ressort de ce
résultats que la règle de Nernst-Thomson (le pouvoir dissocaaû
d'un électrolyte est d'autant plus grand que sa constante diélec^
trique est plus élevée) ne se trouve pas toujours confirmée, et qim
la constante diélectrique d'un dissolvant n'est pas le seul facleoi
qui détermine si des solutions dans ce dissolvant conduisent oA
non l'électricité. o. boudouàiu).
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 601
Ibides de dissociation (II); W. H. BANCROFT (Phys. Chem,,
,5, p. 182; 1901). — Roozeboom a discuté le cas général des
ysièmes dans lesquels il y a deux modifications liquides, en tenant
umpte des effets dus aux résistances passives et appelés faux-
qmlifares. On sait qu'il existe trois zones de température : l'ocelle
i«i$ lequelle il D*y a aucun changement d'une modification dans
«utre {résistance passive); 2"* celle dans laquelle il y a conversion
tsrtielle, mais Téquilibre final n'est pas indépendant de la concen-
nuon initiale (faux équilibre ou équilibre bilatéral) ; 3^ celle dans
•fœUe l'équilibre final est indépendant de la concentration initiale
♦qmhbre réversible). Si les températures de fusion pour les mé-
iB^«s des deux modifications tombent dans la première ou la
aeonde zone, il doit être possible d'atteindre la zone de Téquilibre
évereible en élevant la température.
Pratiquement, il est difficile d'élever suffisamment la tempéra-
■re; on peut cependant arriver au résultat cherché en déplaçant
M limites de température par l'emploi d'agents catalytiques.
«tuteur a étudié les différentes modifications de l'aldéhyde éthy-
■foe : aeétaldéhyde, paraldéhyde et métaldéhyde.
Cette étude a permis à M. Bancroft d'établir les points princi-
Max suivants : déplacement des zones d'équilibre par les agents
JMaljiiques, discussion générale des systèmes dans lesquels il y a
«ou» modifications, application de la théorie de Duhem à l'éthylal-
léftyde, effets d'accélération variant avec les divers agents cata-
lltiques.
On pourrait de même étudier la transformation réversible du
Alonl en métachloral en présence d'acide sulfurique, l'équilibre
•■tre la fonnaldéhyde et l'oxy méthylène. o. boudouard.
Propriétés élactrochimiqnes dn flnomre d'argent et dn flnor ;
1. UE66 et Cl. IHHERWAHR {ZeiLpbys. Cb., t. 32, p. 142-144 ,
ltl90U». — La mesure de la conductibilité électrique des solu-
l^Mts aqueuses de fluorure d'argent montre que ce sel est fortement
*»»ocié. Sa solution neutre, additionnée d'oxyde d'argent, présente
<** réaction nettement alcaline, ce que les auteurs expliquent par
*• formation d'un ion complexe Ag*AgOH. m. \^zes.
fcy^U rédaction électrique de la nitrobenzine ; F. HABER et
C KBUDT (Zeii. pbys. Cb., t. 32, p. 271-287 ; 20.2.1900. — La
•^Aichoo électrolytique de la nitrobenzine en solution alcoolique
•■swûiacale, en présence de chlorure d'ammonium, fournit de la
r*«iylbydroxylamine, dont la formation en liqueur acide a déjà
L
602 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
été observée par Gattermann (D. cb. G., t. 29, p. 3040). Ulo
mation d'azobenzine dans les mêmes conditions résulte de Tui;
dation de rhydrazobenzine par la nitrobenzine, réaclioD quisi^
fectue même en l'absence de tout courant. m. \*4ze>.
Sur la conductibilité électrique des vapeurs salines chand
A. SHITHELLS, H. H. DAWSON et H. A. WILSON iZeif, phx
Ch., t. 32, p. 303-320; 20.2.1900). — Les auteurs ont me^n
entre deux cylindres concentriques de platine iridié, la oonduei
bilité électrique de flammes dans lesquelles étaient pulvén?^
des solutions aqueuses étendues de divers sels métalliques. Ati
des solutions très étendues (une mol. dans 100 litres dVau
moins), on vérifie les lois déjà établies par Arrhenius : à con<r
tration égale, tous les sels d*un même métal ont la même comld
tibilité ; leur conductibilité varie comme la racine carrée «Je
concentration. Mais il n*en est plus de même pour des solutio
moins étendues ; les sels oxygénés possèdent en général une ni
ductibilité trop forte, et Técart observé augmente avec la conc
tration. — La conductibilité moléculaire varie en sens inversa*
la concentration ; à concentration égale, elle est la même pour i*
les oxysels d'un même métal alcalin ; les sels binaires donnent
résultats moins concordants.
La conductibilité d'une flamme croit rapidement avec sa tenif
rature. Les vapeurs chlorhydriques ou sulfuriques, celles de?<
ammoniacaux, ont sur cette conductibilité une influence comp
rable à celle de la vapeur d*eau, et bien inférieure à celle de>H
métalliques. La flamme rouge du chlorure de lithium peut H
décolorée par des vapeurs de chloroforme, sans que sa conducl
bilité soit sensiblement modifiée. Il en est de même si l'on irfl
place, pour la production des flammes, le gaz d'éclairage par
cyanogène, ce qui diminue pourtant d'une façon notable la qoinU
de vapeur d'eau qu'elles contiennent.
Les auteurs concluent de leurs expériences que les flamiti^
conduisent l'électricité à la manière des éleclrolytes. u. siasè
Contribution à la théorie de la tension de dissolution élM
trolytique; R. A. LEHFELDT [ZeiL phys. Ch,, t. 32, p. Sbd-m
20.2.1900). — Mémoire de physique (voir Toriginal). m. vfes
I
Sur la nature des phénomènes électrocapillaires (I). l^
relation avec la différence de potentiel entre deux solotioai
S. W. J. SVUTE (ZeiL phys, Cb., t. 32, p. 483476; 20.8-iW
— Mémoire de physique pure. m- >'to*-
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. C03
Kfféreiices de potentiel fournies par des électrodes en
myde de manganèse ; 0. F. TOWER {Zeit. pbys. CL, t. 32,
566-ST7 ; 20.8.1900), — Mémoire de physique pure.
M. VÈZES.
L'èqoifalent électrocbimique dn enivre et de l'argent ;
L W. RICHARDS, E. COLLINS et 6. W. HEIHROD {ZeiL phys.
l, l. 32, p. 321-847 ; 20.2.1900). — La détermination de Téqui-
tenl électrochimique du cuivre, par rapport à celui de l'argent,
lute pour ce métal un nombre peu concordant avec son poids
jmique mesuré par voie chimique. Les auteurs ont trouvé Téx-
ttiljoa de ces discordances dans les imperfections que présente
rolumélre k cuivre. En particulier, cet instrument peut fournir
I peu d'oxyde cuivreux, qui se redissout en partie et conduit à
)BYer, pour l'équivalent électrochimique, un nombre trop faible.
I nMuira cette cause d'erreur au minimum en employant une
Itttion froide et diluée, et en opérant à Tabri de Toxygène de
•r. Il faut d*autre part que la solution ne soit pas trop diluée et
•i légèrement acide. Le voltamètre à argent présente aussi une
«e d'erreur : c'est la formation, à Tanode, d'une substance acide
fc joue un rôle réducteur et fait déposer trop d'argent sur la
Aot\e. On évite cet inconvénient par l'emploi d'un diaphragme.
•s* ces conditions, on trouve les équivalents électrochimiques
iÎTintà: argent, 0^,0011172 par ampère-seconde; cuivre, de
^JjUîfâ915 à 0»',00032925. Ces nombres concordent bien avec
f npport des poids atomiques déterminé par voie chimique.
M. VÈZES.
Actien toziqne des électrolytes sur les poissons ; L. KAH-
•WES6 et H. F. HEHL (Pbys. Cbem,, t. 5, p. 113; 1901). —
*fa de déterminer leur degré de dissociation, les auteurs ont
*»«paré la conductibilité électrique de divers électrolytes en
B^r\'tni comment de petits poissons pouvaient y vivre. De
**^*«« essais ont été faits, dont on trouvera les résultats
***fttés au mémoire origical : le temps nécessaire pour amener
■ morl du poisson a été mesuré dans chaque cas particulier.
*^ expériences ont porté sur des solutions plus ou moins
•*«otTées de Ha, AzO^H, SO*H«, KOH, NaCl, KCl, AzO^Ag,
^•Aj». (?HH>», HF, CO^Na», B*O^Na«, ClO^K, CAzK, CaCl«,
*>M^. SO«Zo, SOKM, SO*Ni, SO*Cu, HgCl«, atropine et stry-
™*W, 0. BOUDOUARD.
L
604 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTEtANGBRS.
Héthodfl psrfectionnés d« dAterminatioii de la chtk
lateDte de vaporisation ; chaleur latente de vaporisatiOD fc
pjridiDS, de l'acètonitrile et do benaonitrile ; L. KIHU
BERG (Pays. Cbem., t. 5, p. 215 ; 1901). — En emplosMl
méthode de M. Berthelot et l'appliquant i l'eau, l'auteur Ironr
nombre donné par Regnault (536''»',6) ; mais avec l'alcool éthjli
et te benzène, il eut des valeurs trop élevées, ce qui est du
surchaufïe des vapeurs.
H. Kahlenberg a modifie l'appareil de M. Berthelot dans If
d'éviter cette surchauffe; cette modification porte surtout ai
cornue contenant le liquide à évaporer ; la chaleur néces^aii
l'ébullition est produite par le passage d'un courant de 8 à loi
pères sous S4 volts. Pour les détails de construction, je reor^
au mémoire original.
Après avoir fait des expériences sur des composés dont les <
leurs latentes d'évaporation sont connues, et vérifié qu'il obte
des valeurs concordant avec celtes déjà trouvées, M. Kahlenba
étudié la pyridine, l'acétonitrile et le benzonitrile. Voici les ré
tats obtenus :
Pointa CtiUgri Chtlnn U*
d'tbnlIiUaB, «péeilqaci. d'èrironu
Pyridine 114» 0,4813 lOt.O'
AcéloDitre 80,5 0,5338 VAfi
Bensoailrile 189 0,4369 V\.'
Si de plus, on détermine la constante du point d'ébulliltoD
la loi de Trouton-SchitT ou ta formule d'Arrheaius-Beckni)
l'accord est assez satisfaisant. L'auteur se propose de revenir
quelques anomalies qu'il a constatées avec l'acétonitrile.
O. BOUDOUIBD.
Réponse à H. E. Cohen ; K. SCHAUH (Zeit. pbys. CL, i.
" '^0-152; 6.2.1900J. — Article de polémique relatif aux i-h^^i
es d'allotropie présentés par l'étain. m. viiti-
kpouse i H. Wedell-Wedellsborg ; A. SCHETE iZeii. M
t. 32, p. 145-149 ; 6.2.1900). — Article de polémique reli
équations de Maxwell sur les diélectriques. tt. \im-
ir la détermioatioa de ta deasité de vapeur uni fTtoi
lite ; C. SCHALL (Joarn. f. prakt. C/i., t. 62, p. bS^^i-
e la discussion des formules expérimentales employa ^
r déterminelion, ce travail renferme des tableaux de r^^ull*
CHIMIB GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 605
m modèle d'appareil pour lesquels nous ne pouvons que ren-
er au mémoire original. c. marie.
ttr la décomposition de Thyposulfite dd sodium par les
les; H, V. ŒTTINGEN (Zeit. pbys. Ch,, t. 33, p. 1-38;
J900). — On sait que l'addition d'un acide à une solution d'hy-
olflte de sodium ne provoque un précipité de soufre qu'au bout
quelques instants. L*auteur a combiné un appareil permettant
déterminer avec précision le temps qui s'écoule entre le
l«Qge des deux liqueurs et l'apparition du précipité : il a pu
tsuter ainsi que ce temps y dépend de la concentration x des
I hydrogène dans la liqueur acide employée, la loi de cette
|i!odanee étant représentée par l'équation
1
Al0g(l+i)-Y)'
k tX b représentent deux constantes. Ce temps est donv^ le
tee pour des solutions acides isohydriques. L'addition d'une
otioo de sulfite de sodium retarde l'apparition du précipité de
i*Te; la relation entre x et y conserve la même forme logarith-
kfue. mais les valeurs des constantes A et j& dépendent de la
uuié et de la concentration du sulfite ajouté. Les réactions
benèe» par Colefax {Cbem, Soc, t. 61, p. 176 et 199; 1892)
tpe Thyposulfile et le sulfite de sodium n'ont pas permis d'élu-
fr l'êlat d'équilibre auquel peut donner lieu la réaction
Hyposulfite = Sulfite + Soufre.
Eoûn rinfluence de la concentration des ions hydrogène dans la
|itcur acide se fait sentir non seulement sur le temps écoulé jus-
ft l'apparilion du premier trouble, mais aussi sur la vitesse avec
^Ile le précipité continue à se former : des mesures de conduc-
fciiuî^ ont permis de constater en effet que cette vitesse est la
^ffit- pour des solutions acides isohydriques. m. vèzes.
Sir one combinaison du bromure d'aluminium avec le
romt et le fulfnre de carbone; V. A. PLOTNIKOF {Journ. Soc,
•V*- Chim. /?., t. 33, p. 91 ; 1901, fasc.2). —Si à une sol. de AlBr^
•■«HiIS^on ajoute peu à peu du Br ou une sol. de Br dans CS*,
•^ forme d'abord un liquide huileux, de couleur rouge sombre,
i'». 4 meàure qu'on ajoute une plus grande quantité de Br, se
['•Worme en un corps solide jaune rouge. Lavée à CS* pur et
L
606 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
desséchée dans le vide, cette substance est une poudre
jaune avec un reflet verdàtre; elle devient rapidement rougfl
lumière solaire directe; une trace d'humidité produit le
efTet; elle se conserve longtemps sans altération à Tabri
lumière en tubes scellés; elle fond à 86-90* en se décom]
laissant AlBr^; elle est sol. dans Téther, CS*» le bromure d'<
le bromure d'éthylène, le benzène. L'analyse indique la coi
sition AlBr^.Br*.CS** — L*eau décompose ce corps avec déj
ment de chaleur et formation d'une grande quantité de gaz;
produit une huile rouge foncé qui se transforme facilemeal
trithiobromure C'S^Br^ cristallisé. a. corvist.
Sur la formation et la transformation des cristaux
de bromure et d'iodure mercuriques ; W. REINDERS {Zeil.
Ch,, t. 32, p. 494-536; 20.3.1900). — L'auteur étudie les
d'équilibre qui s'établissent entre un mélange fondu de bw<
et d'iodure mercuriques et les cristaux mixtes qui se dép
d'un pareil mélange. Ce système bivariant constitue un raél
double du type de ceux dont Bakhuis Roozeboom a réc^i
donné la théorie (Zeit. pbys. G*., t. 30, p. 385 et 413; 1899)
Sous une pression constante, abaissons progressivement 1«
if
pérature d'un mélange en proportions définies S= , ,
deux sels fondus : pour une certaine valeur T, de la lempértiunf j
mélange commence à se solidifier, donnant des cristaux de comf
sition & généralement différente de S; la compositions^'
liquide résiduel se modifiera donc en sens inverse, la compoadi
moyenne du mélange double conservant sa valeur initiales,
température continuant à s'abaisser, la masse des cristaux fl
mente, celle du liquide diminue, la composition de Tune et ï»^
phase continuant à varier. Enfin, à une certaine températurr
inférieure à Tf, la solidification s'achève et la totalité du mélfl
prend l'état solide, la masse obtenue possédant la compositi
initiale S. Faisant varier S de zéro (HgBr* à l'état de pureté- 1
(Hgl* à rétat de pureté), on a pour T^ Tg deux courbes C| C^
général distinctes, partant du point de fusion de HgBr* f
(+236*», 5) pour aboutir au point de fusion de Hgl* pur (-fiSô*.
L'une et l'autre passent par un minimum pour une même Tsk
de la concentration S (0,59 mol. de HgBr* pour 0,41 mol. deHjt^
elles se confondent en ce point et y possèdent une même taagv
horizontale (T = 216%1).
La composition & des cristaux qui se déposent en chaque y^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 607
ç la courbe C| n'a pu être déterminée avec une entière précision,
cause des difficultés matérielles que présente leur isolement;
iai5 l'auteur a pu constater que cette composition varie d'une
içon continue entre HgBr* pur et Hgl* pur, et qu'elle est repré-
sntée, d'une façon très suftisamment exacte, par Tabscisse du
omt de la courbe C^ ayant même ordonnée que le point considéré
« la courbe Cf. Ces cristaux mixtes sont rhombiques et isomor-
bf A de riodure jaune de mercure, ainsi que du bromure HgBr*.
rêsolte de c-es faits que, contrairement à Taffirmation d'Oppen-
(«nm {D. ch. G., t. 2, p. 571), il n'existe pas de bromoiodure mer-
unque défini correspondant à la formule HgBrl.
Si l'on refroidit au-dessous de 255^,4 des cristaux de Hgl*
lanété jaune;, ils se transforment en Hgl* rouge, quadratique, à
Uketemp. de 127". L'addition de HgBr^ abaisse ce point de trans-
««rmation : on a, ici encore, un mélange double, constitué par
t phases «solides; il donne lieu à deux courbes de transformation
fi 'j, analofcues aux courbes Cj C^, et entre lesquelles s'effectue
i transforma lioa des cristaux mixtes Jaunes, rhombiques, en cris-
iux mixtes rouges, quadratiques, isomorphes de HgP rouge. Ces
ieux courbes, partant du point de transformation de Hgl* pur,
k'abaiàseni rapidement lorsqu'on fait croître la quantité de HgBr'.
Blés ont été suivies jusque vers la température de 0*.
M. VKZES.
Sur la formation et la transformation de cristaux mixtes
diiu les tysièmes asotate de sodium-azotate de potassium et
ooUte de sodimn-aiotate d'argent; D. J. HISSINK {Zeit, phys.
Cb,, t. 32, p. 587^8; 20.3.1900). — Un mélange d'azotate de so-
4ttim et d'azotate de potassium fondus fournit, par refroidissement,
ét!% cristaux mixtes de deux sortes : les mélanges riches en AzO^Na
iiKiaent des cristaux mixtes hexagonaux, isomorphes de AzO^Na
ifnr. les mélanges riches en AzO^K donnent des cristaux mixtes
•vtborfaombiques, isomorphes de AzO^K pur. Le refroidissement
ajotinuant, la composition de la partie restée liquide se rapproche
4'viie composition limite comportant, pour 100 mol. du mélange,
^,7 mol. de AzO^K et 49,3 mol. de AzO^Na. Cette composition
Imite est atteinte à une température de 218"*, alors que AzO^K
|wr fond à 887* et AzO^Na pur à 308*. A ce moment, la partie
f^stfe liquide se prend en masse, donnant un mélange de cristaux
«thorhombiques contenant 24 mol. 0/0 de AzO'K et 76 mol. 0/0
40 AzO*Na, et de cristaux mixtes hexagonaux contenant 85 mol. 0/0
^ AxO*K, 15 mol. 0/0 de AzO^Na. On a donc dans ce cas un
608 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
mélange eutectique de deux sortes de cristaux mixtes de compp
sition bien définie.
Au lieu d'un point d'eutexie, c*est un point de transition (jd
fournit le système AzO^Na-AzO^Ag. L'addition à AzONa, fonda
à 308°, de quantités croissantes de A&O^Ag, abaisse progressite
ment son point de solidification; le dépôt solide obtenu est fo
de cristaux mixtes hexagonaux isomorphes de AzO'Na pur.
revanche, Taddition à AzO^Ag, fondant à 208°,6, de quanlii
croissantes de AzO^Na, élève progressivement son point de sol
dification; le dépôt solide obtenu est formé de cristaux mit
appartenant aussi au système hexagonal, mais non isomorphes d
précédents, et isomorphes de AzO^Ag pur. Ces deux courbes
coupent en un point de transition correspondante une tempérât
de 217*,5 : à cette température, le mélange fondu cesse de donn
des cristaux mixtes de la première espèce pour donner des
taux mixtes de la deuxième espèce. Cette température est a
celle où les deux sortes de cristaux mixtes peuvent demeurer
équilibre au contact l'un de Tautre, en présence d'une pha
hquide : cette phase liquide contient 19,5 mol. 0/0 de AzO^Na,
les deux sortes de cristaux mixtes en équilibre avec elle contiefl
neni respectivement 26 mol. 0/0 et 38 mol. 0/0 de AzO*Na.
En outre, les cristaux hexagonaux de AzO'Ag se transformeof
a 159°, 8, en cristaux orthorhombiques. L'addition de AxO^S
abaisse ce point de transformation jusqu'à une température «i
138** (correspondant à 4,5 mol. 0/0 de AzO'Na), fournissantu
point d'eutexie doué de propriétés analogues à celles signalé*
plus haut pour le mélange AzO^Na-AzO^K. m. vèzks.
Sur le dosage du mercure dans le salicylate de rnarcm
officinal; E. RDPP [Arch. d. PAar/?;., t. 239, p. ilMi8;in.3
1901). — L'auteur montre que le titrage de ce sel avec H*Spe«l
donner des résultats différents, selon que Ton opère en liquc«i
neutre ou acide, la première de ces deux réactions fourniK^a
d'ailleurs des résultats moins erronés. Pour faire un titrage pi
exact, on traite le salicylate, additionné d'un peu d'eau, par
sol. d'iode 1/10* norm.; on laisse en contact une heure, en vaj|
fermé, et on titre ensuite l'iode en excès par Thyposulllie.
A. OESGRCZ.
Perfectionnement de l'appareil à hydrogène salforé dl
Kùster; G. FRERICHS iArcb, d, Pharm,, t. 239, p. llH-121; io.^
1901). — Description simple de Tapp. à H^S, permettant \f^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 609
ïQomie notable de FeS et de Tacide et pouvant fooctionner
aotà sanâ reiiplacement de ces substances. à. desgrez.
kpfiareil de laboratoire pour les forces électromotrioes de
Dompotition; W. D. BâNCROFT (Pbys. Chem., t. 5, p. 183 ;
SI K — Description d'un appai*eil devant permettre à Fétudiant
ippreodre, dans un temps relativement court, à déterminer les
éditions dans lesquelles deux métaux peuvent être séparés,
Bet prodoit par reddition d*un acide, l'existence ou la non-
uteoce d'un ion complexe, les conditions pour avoir un dépôt
iMallin, etc. Cet appareil peut également être employé pour les
|)ériences de cours : Télectrolyse du sulfate de zinc en présence
ictde nitrique et les phénomènes qui se produisent simultané-
&nt réussissent particulièrement bien. o. boudouahd.
Botage des phosphatea dans Teau potable ; A. 6. WOODHAN et
CATVAH (Am, cbom, Journ., 2.1901). — Les auteurs ont fai
M* étude critique des méthodes proposées pour le dosage de
"C dans Peau, et se sont arrêtés à un procédé colorimétrique,
u est une légère modiOcation de la méthode de M. Lepierre
hîL Soc. cbim.y 1896).
Etant donné un volume d*eau constant, l'intensité de la colora-
» jaune donnée par le phosphomolybdato d'AzH^, est fonction
tdeax facteurs; la température et la proportion de phosphates.
fe proportion de phosphates restant constante, l'intensité croit
Itportionnellenaent à la température, et à 60^ : la quantité de
"0* déduite de la comparaison de la teinte est sensiblement le
F«ble de celle que Ton obtiendrait à 25*» ; de ces recherches les
irors concluent que la température la plus convenable est com-
ft«r entre 25 et 80«.
L étude de l'influence de la silice, et des erreurs que peut causer
^ dicomoly bdale d* AzH^, dont la solution est jaune, forme uncha-
lirt particulier, auquel il a été ajouté d'autres composés tels que
^Tânadates etlitanates; l'aspect de la solution molybdiquede ces
^i^kUnces ctant semblable à celle des phosphates. Les vanadates
Mpas été trouvés dans les eaux, mais les titanates peuvent s'y
ttkxœirer, lorsque Peau traverse des régions titanifères. Enfin le
«« de littbilité des solutions titrées de phosphomolybdates d'AzH^,
ffipioyéus sous forme d'échelle de comparaison a conduit les
■*«» à rechercher des solutions jaunes plus stables, les recher-
^ 40Qt restées sans résultats, il a été remarqué que les solutions
I«cuk (ùerique, variaient d'intensité, par suite de la précipitation
vu:. cHw., 8» RÉR., T. XXVI, 1901. — Trav. ètrang. 39
Ô40 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERH.
de picrate de potasse, l'alcali étant emprunté au verre. La itiéUnA
de dosage consiste à évaporer 50 ce. d'eau après addition de 3 ta
d*Az*0», on réprend par 50 ce. d'eau distillée, on ajoute -4 ce. '
réactif molybdique et 2 ce. d'Az«0», le mélange est versé dans
tube de Nessler, et Ton compare ensuite la teinte obtenue, dï
celle qui est contenue dans une série de tubes constituants Téchel
graduée. **• causse.
CHIMIE ORGANIQUE
Sur la configuration des combinaisons de la série gras
P. PETRENKO-KRITSCHENKO (Journ. f. prakt. Ch., t.
p. 815-320). — Réponse à la critique de Krafft [Ibid., t. 62, p. Tî
concernant la publication de Fauteur sur le même sujet [Ihii
t. 61, p. 431). C. MARIE.
Observations cryoscopiques ; K. AUWERS {Zeit. phys. Ck
t. 32, p. 39-62; 6.2.1900). — Nombreuses déterminations cryji
copiques d'oxycétones, de dérivés de Tac. p.-oxybenzoïque, d'o3q|
aldéhydes, de diphénols et de leurs éthers, de nitrosamiDri
Dissolvants employés : la naphtaline, l'oxalate de raélhyle,
p.-oxyanisol. Pour le détail des résultats obtenus, voir le mémo»
original. m. vèzbs.
Conductibilité de quelques nitroparaffines sodées; 0. SOI
{Zeit, phys. CL, t. 32, p. 626-629; 20.3.1900). — Les nitroparti
fines fournissent des dérivés sodés par Faction de la soude akoJ
lique ou de l'éthylate de sodium. Les corps ainsi obtenus sw
facilement solubles dans Teau et bons conducteurs de réleetricilj
L'auteur a mesuré les conductibilités de cinq de ces corps : l<|
dérivés sodés du nitrométhane (CH*Na.AzO«), du nitréliian
(GH3 . CHiNa . AzO«), du nitropropane (CH^ . CH« . CHNa . AzO*
du nitro-isopropane ^Çu3>CHNa.AzO«\ et du nitro-isobuUfl
^g}jp>GH.CHNa.AzO«\ m. vir'ts.
Sur le Carbure C«H«o dérivant de rallyldiméthylcarbtooi
Eugen UUBARSKT (Journ. /. praki. CL., t. 62, p, 567-577/. i
Le carbure a été puriflé par des distillations répétées sur Na |)U>i
CHIMIE ORGANIQUE. 611
àcUoooé sur ce métal. La majeure partie bout entre 78-76®. Cette
rtioQ répond à la formule C«H*o ; rf*^= 0,71615. Ce carbure
«orbe éoergiquement Toxygène de l'air en donnant un liquide
liJeux coloré en jaune. Il fixe ClOH en donnant un produit qui,
lil^parBa(OH)* fournit après diverses purifications un corps re-
ndant à peu près 8 C*H*®0(OH)* de constitution encore inconnue,
ta peut en effet du carbure (CH8)«C=CH^H=CH« dériver un oxyde
H'i«C-CH(OH)-CH(OH)-CH« cw
I I et du carbure q{5«>C-CH«CH=CH«
)«5 oxydes différents. La première formule de Toxyde est peu
»i5eml)lable ; parmi les trois dérivées du second carbure on ae
ttl encore décider quelle est la véritable, mais on peut néanmoins
i conclure que le carbure initial doit être envisagé comme un
Wiylallyléthylène non symétrique. c. marie.
iéaciioiis pyrogénées des substances organiques ; V. IPATIEF;
wirD. Soc, pbys, cbinu iî., t. 33, p. 143; 1901, fasc. 2). — Dans
s recherches, qui ne sont que commencées, l'auteur se propose
Hudier l'action de la chaleur sur les matières organiques, au
fot de vue des produits analytiques ou synthétiques qui résultent
f celte action. — Les premières expériences ont porté sur les
nools primaires, dont on faisait passer les vapeui*s dans des
^ chauffés au moyen d'une grille à analyse. Ces tubes étaient,
» Terre ou en fer; les premiers étaient portés à 660-700° (tempé-
Bure mesurée au pyromètre Le Chatelier), les seconds étaient
«vint le cas, chauffés au rouge moyen, à 720-750**, ou au rouge
b» vif, 750-680*. Comme il a été dit dans une récente communi-
KlioQ, les alcools primaires dont les vapeurs passent dans le tube
p ter chauffé au rouge fournissent des aldéhydes ; la réaction
^l être générale et conforme à l'équation :
R-CH20H — H2 = R-CHO.
1^ rendement varie avec la nature de l'alcool et avec la tempe-
•tare.
'^■nm les alcools secondaires, l'auteur n'a étudié jusqu'ici que
t lûéihylisobttlylcarbinol (CH»)«CH.CH«.CHOH.CH», qui par son
l**^ge dans le tube de fer chauffé au rouge, fournit 80 à 40 0/0
^métfaylisobutylcétone, un peu d'un carbure non saturé à point,
^* peu éievé, des gaz en parties absorbables par Br, de l'eau e
***ïnto 8 0/0 de charbon.
'-omme exemple d'alcools tertiaires on a pris le diméthyléthyl-
612 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
carbinol; quand on fait passer les vapeurs de ce corps dans le tok
de fer chauffé à 660-700**, on trouve, contre toute attente, que
majeure partie de Talcool reste inaltérée. Si Ton porte la tempér
ture à 750-800'*, il se forme principalement un carbure éthyléniqc
de l'eau et des gaz partiellement absorbables par Br, mais il ne
forme que des traces de charbon, beaucoup moins qu*avec 1
alcools primaires et secondaires. Le carbure produit est un mélafi
de triméthyléthylène et de méthyléthyléthylène. La réaction pr
cipale est :
(CH3)2.GOH-CH2-CH3 — H20 = (CH3)2G=CH-CHa
ou = >C=CH2.
n2HSX
C2H5>
Il semblerait, d'après cette expérience, que la molécule (J
alcools tertaires est plus stable que celle des alcools primaires
secondaires. a. oorvist.
Décomposition par la chaleur de quelques alcools et éthe
oxydes; A. 6RI60RIEF {Journ. Soc. phj^s. cbim. /?., t. î
p. 173; 1901 ; fasc. 2). — Ce travail est la continuation de rech^
ches entreprises pour étudier les réactions de décompositioD d
alcoolates d'Al par la chaleur. — Les oxydes d'éthyle et de pï
pyle, chauffés en présence de Al^O^ par la vapeur de diphén;
aminé, se décomposent en donnant très peu d'aldéhyde, maisbeJ
coup d'éthylène ou de propylène (environ 90 0/0). Lesoxydesd'is
butyle et d'isopropyle, dans les mêmes conditions, se décomposé
simplement en eau et isobutylène ou isopropylène; on ne peut dn
expliquer par la décomposition de l'oxyde d'isobutyle la fonnatJ
d'aldéhyde par la distillation sèche de l'isobutylate d'Al ; c'est pot
quoi l'auteur a étudié l'action de la chaleur sur les alcools et
mômes. L'alcool éthylique et l'alcool isobutylique, chaulTé< I
présence de A1*0^, le premier par la vapeur de diphénylaininej
second par la vapeur d'anthracène, se décomposent presque exd
sivement en carbure éthylénique et eau ; il ne se forme que W
peu d'aldéhydes. La vapeur d'alcool éthyhque passant dans i
tube de verre chauffé au rouge faible et contenant du verre c«
cassé, se décompose en formant des aldéhydes acétique et n
mique et un mélange gazeux contenant plus de 50 0/0 de I
l'alcool méthylique, à une température un peu plus élevée, do^
de l'aldéhyde formique et un mélange gazeux contenant plus 4
70 0/0 de H. a. corv»t.
i
CHIMIE OHGANIQUE. 618
Action du brome sur le triméthyléne dans différentes condi-
ni; 6. GU8TAVS0N (Journ /. prakt. Cb., t. 62, p. 273-295). —
étude de la bromuration du triméthyléne dans différentes condi-
ms montre que : 1^ pour obtenir le meilleur rendement en bro-
■re U faut ajouter au brome (12 gr.) 0»',8HBr(HBr+5H«O);
Taction du brome diminue quand l'acide à volume égal est
ûuis concentré ; 3* un volume égal d'eau rend la réaction encore
uA lente; 4* en l'absence d'eau cependant le ralentissement est
loore plus considérable.
L'ftttteur rapproche ces résultats de ceux obtenus par K. Auwers
0. Anselmino (Ber.^ t. 32, p. 3587) qui ont montré que le
élioge Br-|-HBr provoquait l'enlèvement du gi*oupe CH* des
ïmologues bromes du phénol ; il rapporte ces propriétés à la for-
•tîoQ des combinaisons (HBr^, HBr^, etc.) dont l'existence est
raisemblable dans les solutions de Br dans HBr.
Action da brome sur le irimétbylène. — a) A 15-18* dans l'obs-
mfcé en présence d'un léger excès de brome on obtient après
^h.aa mélange de bromures dans lequel on peut constater la
frsence de 10 0/0 de bromure de propylène, quoique le triméthy-
De employé ait été soigneusement débarrassé du propylène (par
i^age dans une solution de Br dans NaBr).
h) A li-18* dans Tobscurité après 24 h. en présence d'un large
Kés de brome contenant de l'eau, on obtient la même proportion
t propylène (dosé dans les gaz par oxydation au moyen de
Ib<»*K humide^
Cl La même expérience avec du brome sec donne aussi la même
n>portion de propylène brome.
4; Le bromure obtenu par le triméthyléne et Br en présence
^HHf contient i^^^'i de propylène.
Eu dehors du bromure de propylène on constate également la
ïfr^'^tice de bromure de propyle résultant de raction de HBr
*f le tnmétbylène.
La: bromure d*aluminium accélère fortement les combinaisons
te brome et du triméthyléne, et dans les bromures obtenus on
••i^e environ 53 0/0 de bromure de propylène.
A te lumière solaire on n'obtient que du bromure de triméthy-
**(« um» que l'on puisse constater la formation de bromure de
P'Pîle ou de propylène. c. marie.
hr racUon da brome sur le diméthyl-l.l-triméthyléne;
6. OT8TAT80II {Joma. /. prakL Cb,, t. 62, p. 270 272). —
^^^^ t trouvé que le bromure (GH3)«CBrCHaCH«Br donne par
614 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Zn et l'alcool Visopropyléthylène, l'auteur montre qu'il fournit^
réalité le triméthyléthylène et que les portions de la prépar
tion bouillant bas contiennent le produit de raclion de HBr %
le diméthyltriméthylène (CH3)«CBrCH«CH^, bromure obtenu f
Wyschnegradsky et bouillant à 108-1 09**. Le bronze agit \
substitution sur le carbure et si on prend pour 1 mol. dim
thyltrimétbylène 1 mol. Br, on obtient finalement un méUa
contenant (CH*)*CBr.CH*GH3 en même temps que le prod
de l'action du Br sur ce bromure, c'est-à-dire le dibronw
(CH3)«CBrCH2GH«Br. c. mabiï.
Sur an alcool pentatomiqne dérivé du méthyldiallylcarbin
Stefan MAKSIMOWITSCH [Jounu /. prakt. Cb., t. 62, p. 29M0
— L'alcool s'oxyde d'après la réaction suivante :
CH2=CH-CH2-C-CH2-CH=CH2 + 02 + ^WO
ÔH
I
= GH2— CH-CH2-G-CH2-CH— CH2.
OH OH OH OH OH
L'oxydant employé est le permanganate en solution à 1 0/U.
Après purification des produits obtenus on retire pour 18 1
d'alcool environ, 8 gr. d'alcool pentavalent contenant encore pi
de 2 0/0 de matières minérales : il est complètement incrii^
lisable, de saveur sucrée, soluble facilement dans l'eau et I alco
presque insoluble dans l'éther.
Traité par l'anhydride acétique il fournit un sirop é|)ai5 cou
titué par un dérivé titré et penta-acétylé; ce dérivé est solul
H*0, alcool, et élher. c. marie.
Nçuvelle synthèse de la métbylhepténone ; V. IPATd
{Journ, Soc.phys. cbim. /?., t. 33, p. 149; 1901 fasc. 2». —20^
de Na sont dissous dans 250 gr. d'alcool absolu; aprt^s relroidi?*^
ment on ajoute 56 gr. d'éther acétylacétique et 100 gr. de broniu
de gem-diméthyltriméthylène, et on chaufi'e au B.-M. pcml*
4 heures. On évapore ensuite l'excès d'alcool, on étend d*eiiu
on épuise à l'éther; le produit enlevé par Téther est desôéche ^
GaGl* et fractionné sous une pression de 10 à 12 mm. La p^*^
CHIMIE ORGANIQUE. 615
fraiide partie passe à 120-122'', mais une certaine quantité distille
i I4o-i50*; celte dernière portion n'a pas encore été étudiée; la
tfemière est Télher d*un acide cétonique dont la formation s'ex-
mme par les équations :
(CH3)2CBr-CH3-CH2Br — HBr r=: (GII3)2C=CH-CH2Br,
(CH^pC^CH-GH^Br + CH3-CO-CHNa-GOOC2H5
yGOOG2H5
^ NaBr + (GH3)2G=GH-GH2-CH<
\G0GH3
Chauffant cet éther avec Ba(0H)2 ou avec une sol. étendue de
tOH, on obtient la méthylhepténone, identique à celle qu'on
wuvedans les huiles essentielles. a. corvisy.
Électroiyse des sels alcalins des acides organiques; J. PE-
EERSEI iZeit. phys. Ch., t. 33, p. 99-120; 3.4.1900). — L'élec-
Irolyse a été (aile à 0**, sur des solutions faiblement acides des sels
lie potassium des acides étudiés. Dans ces conditions, le formiate
ie potaâsium donne des volumes à peu près égaux d*hydrogène et
de CO* (résultant d'une oxydation à Tanode), avec un peu de 0.
Eu solution étendue, la quantité de CO* obtenue croît avec la den-
wié du courant; en solution concentrée, le dégagement d'oxygène
• raaode est presque nul. — L'acétate de potassium donne de
Télhane et de Thydrogène dans un rapport qui varie dans le même
••^nsqué* la densité du courant; il se dégage aussi du gaz carbo-
nique à Tanoile; on n'a pas observé qu'il se formât d'éthylène, ni
^4cè\A\e de méthyle. — Le propionate de potassium donne à
•'«ode du butane, du propionate d'éthyle, de Téthylène et du gaz
•vbonique, tandis qu'il se dégage de l'hydrogène à la cathode. —
^ butyrale de potassium donne de l'alcool isopropylique, du
^il)Tate d'isopropyle, de l'hexane et vraisemblablement du butyrate
'^ propyle ; en même temps, le mélange gazeux obtenu contient,
(••ur i vol. de H, 1 vol. de propylène. — Enfin l'isobutyrate de
►'.Ustsiuin donne de l'isobutyrate d'isopropyle, de l'alcool isopro-
ï^*»4ae, et un peu de diisopropyle, en même temps que de l'hy-
•Irojjèae et du propylène. m. vèzes.
S«r la Tiiesse de formation des ôthers acétiques de quelques
^'«WJU cydiqnes ; K. PANOF (Journ. Soc. pbys, cÈiim. /?., t. 33,
P ITO; 1901, fasc. t). — L'éthérification était produite au moyen
•îel'anhydhde acétique, à 100**, en présencede 15vol. de benzène. On
616 ANALYSE DES THAVAUX ÊTHANGER8.
a déterminé à nouveau la const. d'éthérification pour qoetq
phénols :
Phénol k = 0,0Î4S
Orthoci ésol O,»!^!
Métacrésol O^OÎ"*; '
Paracrésol 0,0W4
L'influence de la chaîne latérale dans les crésols se raaoife^
de la même façon que dans les expériences de MenschoulM
relatives à Taction du bromure d'allyle sur les toluidioes : c'est I
dérivé meta qui présente le maximum de vitesse, et le déni
ortho qui présente le minimum. Parmi les alcools polymétli)!*
niques, on a étudié le méthylhexanol 1.3, pour lequel /r=0,Ul4S
Parmi les alcools terpéniques, le bornéol droit [a]^ =^ -f â6*,5, i
lebornéol gauche [a]^^ — 36**, 4, ont fourni, le premier lr=0,Olii
le second /: = 0,01111; ainsi les antipodes optiques ont la ru^a
const. de vitesse. L'isobornéol donne A^^:: 0,00.773 valeur bu
différente de celle du bornéol; les structures doivent aussi «Hl
différentes. Les const. de vitesse de formation des éthers d'alcwi
cycliques sont toujours plus grandes que celles des éthers d'tlcoo
à chaîne ouverte ayant le même nombre de G. a. corvist.
Sur les modifications actives de Tacide a-bromopropioBiqii<
L. RANBERG {D. ch. G., t. 33, p. 8354^356; 19.11.1900,. ^
L'ac. a-bromopropionique a été dédoublé avec la plus grande f*'
lilé au moyen de la cinchonine : on dissout 20 gr. d'ac. da
500 ce. d'eau à 50*, et on ajoute par petites portions 20 gr. «
cinchonine. La liqueur filtrée, évaporée à basse température, atxu
donne des tables prismatiques du sel de Tac. A répondant
la formule C«»H«*Az«0, 2GH3.CHBr.GO«H. Le sel est eam
décomposé par le carbonate de soude, la cinchonine enlevét» p
réther et l'ac. est mis en liberté par SO*H* et isolé parunéput^
ment à l'éther. On obtient ainsi un liquide de densité 1,687, eK
pouvoir (a)j,-— — 7", 55, qui constitue l'isomèro / à peu près j>u
L'acide d a été retiré par le même procédé des eaux-mères «
sol (le cinchonine [(/J^^ 1,081; (a)^=7%44 à 20").
L'ac. gauche a conservé son pouvoir pendant plus de 3 moi
traité par le thiophénol potassé, il a fourni un ac, pbéuyltbiolê
tique dextrogyre. Celle étude e^t poursuivie actuellement.
Transformation de Tacide maléique en acide fomariqM
J. SCHMIDT (Z>. cIl g., t. 33, p. 3241^243; 3.11.1900). — L>
teur a réussi à transformer partiellement ^700/0) Tac. maléique t'
CHIMIE ORGANIQUE. 617
c. rumarique, en faisant agir l'anhydride azoteux sur une solution
iqueuse du premier. La réaction s'effectue mieuie^à chaud qu'à
noid;eUe n*e8t pas activée par la lumière solaire. En solution
Ihérée, risoniérïsation ne se produit pas. L'auteur admet la forma-
Boo tniermédiaira d'un produit d'addition. p. freundler.
8ir Taction de l'acide bromhydriqiie sur l'acide ricinoléiqne
% set dériTés acétylés ; Alexander KASATISKT (Joupd. f.prakt.
^K t. 62, p. 863-868). — L'acide ricinoléique traité par HBr
loaneun dérivé monobroraé C**H^BrO* qui réduit par HCl et Zn
boûe de l'acide stéarique C*®H*«0' ; l'acide brome est donc l'acide
ifomostéariquo. Comme l'acide ricinoléique bibromé ne donne par
Muction que de l'acide stéarique, la formule la plus vraisem-
blable pour l'acide ricinoléique est
CH3(CH2)*GHOH-GH2-CH ~ GH(GH2)iC02H .
LVtioQ de l'anhydride acétique et de l'acide acétique donne un
iérivë acétylé qui après fixation d'HBr est réduit par Sn et HCl et
foamil ainsi un acide f. à 81-82* répondant à la formule d'un acide
"lioi) stéarique différent des acides déjà connus. c marie.
far les acides p-méthyléthylène-lactique et p-méthyléthyla-
«ryliqne; iriaUrch. POCREWSKT {Journ. f. prakt, Ch., t. 62,
>. '101-306». — On oxyde 20 gr. d'allylméthyléthylcarbinol par
fc'>*K. On obtient un mélange de glycérine et du sel de K de
fande cherché ; on sépare par l'éther la glycérine et on purifie
firide d'une petite quantité d'acide oxalique qu'il contient en
K^paraDt le >e\ de chaux.
i-e sel de Ga soluble traité par SOH* donne enfin l'acide (8 gr.)
<ui forme un sirop incolore incristallisable.
*>n a préparé son sel de Ca iG«Hî>>^^GH«-COol ^^' ^^"
•^l de B« ; celui de Zn est moinb sol. que les précédents et forme
^ peliU cristaux longs prismatiques. Le sel d'Ag est encore
"*^te boluble, ceux de Pb et de Cr sont plus solubles.
•^fnk ^mélhylélbylucrylique. — On distille une solution aqueuse
*' * gr. d'acide méthyléthyléthylène- lactique contenant 1 gr.
*^>*H», Le distillât épuisé à Télher cède l'acide qui forme un
"T^ iacrisiallisable.
^ * préparé son sel d'argent qui se dépose de ses solutions
018 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
bouillantes saturées SOUS la forme d'une masse floconneuse. S«l
il correspond à p^jj>C=CH-COOAg. En même temps qnf <
acide que l'on obtient en très faible quantité, il est vraihemhUJ
que Tacide p-méthyléthyléthylène-lactique fournil Tune des k
lactones :
CH3 CH2-
I T I
GH3GH-CH-CH2-COO ou GÏPGH2-CH-CH2.COO.
I I
Fauteur se réserve de vérifier cette hypothèse. c. u ahiu.
Sur Tacide méthylbutylôthylône-lactique tertiaire ; Sinori
TALANZEFF (Jouru f, prakl. Ch., t. 62, p. 306-809).— On ox)
Vallylméthylbiitylcarbinol par MnO*K ; après purification on obti<
Tacide cristallisé F. 72-73*» sol. alcool et éther, plus diflicilen*
sol H«0.
On a préparé ses sels de Na, Cr, Mg et Ag; ils correspondtr
Tacide p4LJ9>C<puâ pooH* ^^ ^^* ^® ^" ^ donné des résuU
inattendus (10 0/0 Zn environ au lieu de 17^05) et raut<*ur
réserve de revenir sur ce point. c. maru.
Synthèse et propriés de Tacide a-dimôthyl-p-éthyléthylèE
lactique; B. SCHISCHKOVSKY et S. RÉFORMATSKT (Jour. S
phys, chim, /?., t. 33, p. 158; 1901, fasc. 2). — Le mélanp»
quantités équival. d'aldéhyde propionique eld'éther a-bromo-isol'
tyrique réagit énergiqueinent avec la grenaille de Zn ; la teinf
rature s'élève, on refroidit avec de Teau glacée et lu réaction i
terminée au bout de quelques heures; après deux ou trois j"*
de repos, on traite par SO*H* étendu; Thuile incolore ou jaunsi
qui se forme est enlevée par de Téther. Ce produit, qui est coîh
tué principalement par Téther d'un oxyacide, ne peut être coioi'
tement purilié par distillation; la portion bouillant au-dessu><le I*
a été saponiliée par Ba(OII)*, et le sel formé, décomposé par H(^
fourni Toxyucide, qu'on a extrait au moyen d'élher ; on a obtenu
liquide huileux qui n'a pas tardé à cris'.alUser. Le rendement en aci
pur est environ 7 0/0. (>et acide cristallise dans l'éther et dans l'aci
acétitpie en tables hexagonales brillantes; les cristaux Ibnu
dans l'eau sont prismatiques; F. 103**; n'est pas volatil sansdtM:o(
position, même dans la vapeur d'eau. L'analyse et la cryo^op
concordent avec la formule G*''H**0^; la cond. électr. (K --O.OOlïJ
CHIMIE ORGANIQUE. 619
►araîl indiquer un p-oxyacide secondaire. Les réactions qui
loaneot naissance à cet acide se représentent par les équations :
CH3.CH2-COH + Zn + (CH3)2GBr-COOC2H5
= GH3-CH2-CH(OZnBr)-C(GH3)2-COOC2H5,
CH3.CH2-CH(OZnBr).C(CH3)2-COOG2H* -f H20
= GHM:H2.CH(0H)-G(GH3)2-G00G2H5 -f ZnBr(OH).
La structure de Tacide serait
CH3-GH2-GH(OH)-G(GH3)2-GOOH .
Par la chaleur, cet acide se décompose en dégageant de Taldé-
çde propionlque.
L'action de SCHH* ou de HI transforme Tac. a-diméthyl-p-éthyl-
l'ibylénelactique en la lactone
CH3-CH-CH2-G(CH3)2-GO
! 0 I •
r. 50-of*, obtenue auparavant par Anschiitz. a. corvisy.
Sur les disulfones (VI). Dérivés sulfonals des cétones non
«tarées; Th. POSHER [D, ch. G., t. 34, p. 1395; 8.6.1901). —
l>^ recherches antérieures de Fauteur sur les disulfones ont
fcootfp quelle est Tinfluence de certains groupes voisins sur la
UrxiWé des groupes cétoniques de former des disulfones; il lui a
piT^i intéressant de rechercher si la présence d*une ou de plusieurs
doubles liaisons dans la molécule influence la faculté de réagir
fe groupes cétoniques. Il résulte des recherches de Tauteur que
k voisinage des groupes sulfones n'annihile pas la faculté d'addi-
Vm des doubles liaisons, mais TafTaiblit seulement jusqu'à un
t^rtarn degré. L'annihilation complète ne s'observe que lorsque
1«D des atomes de carbone à double liaison est lié à un groupe
■«ifone.
Itos la partie expérimentale on trouvera la description et le
••^ de préparation d'un grand nombre de composés qui ont
î*r?i à C4*» recherches.
L'oxyde de mésityle se condense avec le mercaptan éthylique
*** rinAuence de l'acide chlorhydrique gazeux et sec, pour donner
>*^ 4.4-iriihioétbyle'S'méibylpeDt^ue (sesquimercaptol de Toxyde
*^ mésiiyle) CH3C(SC«H5)«CH(SC«H5)CH<gJj3 ijui, par oxyda-
tKn 80 moyen du permanganate de potasse, donne la trlsulfone
620 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
correspondaate. Celle-ci cristallise en tables hexagonales, ftsâa
facilement solubles dans Talcool, peu solubles dans l'eau froide.
La phorone fournit dans les mêmes conditions le phorone-mer^
captol puis, par oxydation la phorone-disulfone
CH3v yCH3
>C : GH . C(S02C2H5)2GH : G<
GH3/ \GH3
qui se dépose dans Talcool en gros cristaux, F. i(M*, facilemeol
solubles dans Talcool bouillant, peu solubles dans Teau. En faisto
réagir le brome sur les sulfones ci-dessus, Tauteur a observé quj
la trisulfone de Toxyde de mésityle n'est pas attaquée, même apr^
plusieurs semaines, tandis que la phorone-disulfone fournit, ai
bout de 5 à 6 jours, un dérivé dibromé. En partant de la mooo
benzylidène-acétone, l'auteur a préparé le sesquimercaptol corw«
pondant qui, par oxydation lui a donné avec un très bon rendement
la bemylidène-acélone- trisulfone
GH3 , G(S02 . G2H5)2GH(SO«C3H5)GH2 . QfiW^ ,
laquelle cristallise dans l'alcool en jolies aiguilles peu solublti
dans l'alcool froid, F. 154**. La dibenzylidène-acétone lui a fow^
dans les mêmes conditions la dibemylidène-acétODe-diRulfoo^
poudre microcristalline, F. 142**, très facilement soluble dans l'ai
cool bouillant.
On a constaté de nouveau que le brome ne réagit pas suri
trisulfone, tandis qu^il fournit avec la disulfone ci-dessus un déni^
brome, monosubstitué seulement, la monobvomodibenzylidène^^'i
tone-disulÉone.
Avec la benzylidène-acétophénone, l'auteur a préparé le sesqu^
mercaptol correspondant qu'il a soumis à l'oxydation; il l'a. àc<|
effet, dissous dans le tétrachlorure de carbone et traité f»ar unj
solution de permanganate en excès. On obtient dans ce c^
principalement la bemylidène-acétopLénone" CfUoniouosulfoii\
G6H».CH«.CH(S0«C«H»jC0,C6H5 qui prend sans doute naissan-i
pendant l'oxydation par une scission de la molécule avec régénr
ration de combinaison cétonique et oxydation du résidu du mer
captan ; mais on a pu isoler en outre du produit de la réaction li
bemylidène-acélophénone-tvisultotie
C^H^GH^ . GH(S02 . C2H*) .G(S02G2H5)aC«H*,
qui cristallise en longues aiguilles, F. 125°.
Enfin l'auteur décrit encore les dérivés correspondants di» Il
CHIMIE ORGANIQUE 621
fpoone 3oil le sesquimercaptol de dypDODe ainsi que son produit
'oxydation la djrpaone-tnsuIfoDe
>CH . CH(S02C2H5)C(S02C2H5)2C«H5 ,
m se présente sous la forme d*aiguilles incolores, peu solubles à
roid dans Falcool, insolubles dans Teau froide et fusibles à 120-
20*5. r. REVIKDIN.
Iir la décomposition par le sodinm des composés halogènes
fganiqnes en solution dans Talcool amyliqne ; R. LOWENHERZ
teit.pbys. Ch., l. 32, p. 477493; 20.3.1900). — L'auteur étudie
I rédocUon par le sodium, en solution dans Talcool amylîque, de
I rhlorobenzine, de Fiodobeozine, du chlorure de benzyle, du
voiDure et de Fiodure d'isobutyle. Il établit une relation entre le
loids de chacun de ces corps que peut réduire une quantité donnée
le sodium, et la concentration initiale de la solution employée.
M« vEZEo*
8ar r-o-^-dichlorostyroléne et sur quelques carbures acé-
^èniqaes; F. KUHCKELLetF. 60TSCH {D, ch. G,, t. 33, p. 2654-
8657; 14.8.1900) — Les auteurs préparent les phénylacélylènes
■Utitnés en traitant par le sodium une solution éthérée des
bchlorostyrolènes correspondants :
CH3.C«H*.CCl=CHCl + Na3=r2NaCl + CH3.C«H*.CsCH.
Le p.'mélbyldicblorostyrolène s'obtient en chauffant 1 part,
fc p.-lolyhnéthylcétone avec 2 part, de PCI* au b.-m., et en main-
imaat ensuite le produit distillé (à 182'' sous 75 mm.) à une tem-
pérature de i50*. Il bout à 245.250*»; sa densité à 20» est de 1,2156
ST' gr. de cétone fournissent 15 gr. de produit). Ce p.-méthyl-
^«hlorostyrolène chauffé avec un excès de KOH alcool, au B.-M.,
*« Imsforme en pMolylcbloracélylène CH3.C«H*.C=CC1 ; li-
q«t4e bouillant à 145-150* sous 55 mm., doué d'une odeur aro-
ïMtiqoe; (/„= 1,1142. Ce corps ne bout pas sans décomposition
-'jtt* U pression normale.
Le p.-mélhyldichlorostyrolène a été transformé en p.-lolylacé^
'.•1«e par le procédé indiqué ci-dessus. Ce carbure bout à 60-70»
*û«s3S40 mm. et à 168-170» sous la pression normale; il possède
l^odeur d*anid et de fenouil ; il se solidifie par refroidissement et
•rm. en grands prismes f. à 23*; (/,g =0,912.
G22 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Le métbyl'i'cbloro'2'dichlorostyrolène CH3.C«H^1 . CCUCHO
obtenu de môme au moyen de la chlorométhyl-o-chloro-tolsl
cétone, bout à 270-2750; liquide incolore de densité i,S808 à 20-.
Le dimétbyl'l,S'dichlorostyrolène (GH»)* . QfiW . CCI=CHa. bout
à 248-2490 (rf49=l,1648) et Visomève diméthylé lA^tiim'
(rf,8= 1,1782); traité parla potasse alcoolique, ce dernier se trtus^
forme en p^-diméthylchloraoétylène (CH3)« . CfiW . C= CCI (Eb. ISS-
140° sous 27 mm. ; rfi9=l,074è). p. freuwdlbr.
Sur les a-^-dichlorostyroIônes et sur quelques carbures acé<
tyléniques; F. KUNCKELL et R. KORITZKT {D, cb. G., t. 3»
p. 3261-3264 ; ib.iiAWOj.'-Leip.'étbylcbJêracétopbéuone prëpanJ(
au moyen du chlorure de chloracétyle, del'élhylbenzène et de AIQ*
crist. dans Talcool en aiguilles blanches f. à 37-39«. Chaufe
avec PCI* au B.-M., elle se transforme en p^-éthyl-^L-p-dJcblû
rostyrolène , C«H».C«H*.CCl=CHCl, liquide bouillant à Wf
de densité 1,2565 à 17°. La potasse alcoolique bouillante réa^
sur ce dernier en donnant du p.'étbylpbénylchloracétylf-t»
C»H».G«H*.C=CGl (liquide jaune; éb. 160-170° sous 35 nuan
(/,,= 1,0871), tandis qu'avec le sodium et Téther ou obtient di
p,'étbylpbényIacétylène,Cm^,Cm*,C=Cti (liquide à odeur d'anis
éb. 110° sous 10 mm. ; di8=0,9086).
Les dérivés correspondants ont été préparés au moyeo <k
cumène et du mésitylène. La p.^isopropylcbloracétopbénom
(CH3)«CH.C«H*.G0.CH«a crist. dans Talcool en aiguilles blancha
f. à 55-56°. Le p.-isopropyl'OL-P'dicblorostyroIrne bout à 190-200
sous 23 mm. (rfj7 = 1,2736); Xe p.-isopropylpbénylcbloracétylt'D^
distille vers 170-180° sous 30 mm.; rfn = l,08r)2), et le p.-isopro
pylphénylacétylùne à 110-120» sous 10 mm. (rf„ = 0,9124).
' Le trimétbyU'^'dicblorostyrolène sym.(CH3)3.C«H«.Ca =^CHa
bout à 285-289° (rfi7:^l,1998'), le tvimétbylpbénylcbloracélylèoei
180-190° sous 20 mm. (rfjg^ 1,0349) et le irimêthylpbénylacéiy
lène à 168-175° sous 20 mm. (d^^^Q,SlSi).
La p.'isopropylmétbylchloracétopbénone
I - (CH3)2GH.C6H3(CH3).GO.CH2Cl,
préparée au moyen du cymène, fond à 18-20*; aiguilles soluble^
[ dans l'alcool. L'isopropylmélbyJ-a-^'dîcblorostyroiène bout i 26**
I (rf^: 1,1296), Visopropylmétbylpbényhbloracétylène à 215* sou:
' 40 mm. ((/,7=: 1,0512) et le mélbylisopropylpbénylaeétylèùf *
128-180° sous 50 mm. (rf,, =0,8882).
CHIMIE ORGANIQUE. 623
Tous ces corps possèdent une odeur éthérée. Les carbures acé-
i^niques fournissent directement des dérivés sodés décompo-
hk-s par Peau et par le frottement. p. freundler.
Sitr quelques méthoxychlorostyrolénes ; F. KUNCKELL et
ERIS (D, ch. G., t. 33, p. 3264-3265; 15.11.1900). — Le
rLhrucétylmésitylène (GH«C1.C0)«.C«H(CH3)3, traité par le
Tïhlorure de phosphore a fourni du bis-dichloréthénylaiésity-
M(CHC1=CCI)«C«H(CH3)», sous la forme d*un liquide visqueux
«iiUanl à 200-210*» sous 14 mm. D,g = i,350.
Dt^ même, en traitant Isip.'ûiétJioxycbloraeélophénone par PCI*,
i a obleou le p.'métboxy-ai-^'dicblorostyrolèney
CHH).C«H*.GC1=CHCI,
|iude bouillant à 15;V sous 12 mm. et à 268^ à la pression ordi-
tue (avec une légère décomposition) ; ce corps se solidifie à basse
œpérature, sa densité est de 1,291 à 18*.
Avec le dichloracétylanisol, on a obtenu le bis-dicblorélbényî-
tt*oy(CHCI=CCl)«.C«H3.0CH3; liquide jaunâtre bouillant à 160-
10* sous 17 mm ; rf|j = 1 ,460.
Les composés -précédents no sont attaqués à froid ni par le
Aum en présence d'éther, ni par la potasse alcoolique ; celle-ci
^l qu'à 120* en vase clos. p. freundler.
Synthèse des aldéhydes aromatiques; A. RÉFORNATSKT
^^*'im. Soc. phys. cbim. R., t. 33, p. 154; 1901, fasc. 2). —
•tUrmann a préparé des aldéhydes aromatiques en faisant passer
ttujeian^ de CO et de HCl dans un carbure aromatique auquel
lavait ajouté AlCl^ et Cu*Cl*. H n'a pu obtenir de cette leçon
•i-tt^hyde benzolque. L'auteur a réussi à l'obtenir avec un bon
Mement (85 à 90 0/0 du rendement théorique) en remplaçant
l^ i* par AlBr*. a. corvisy.
Sar It rédaction électrique des non électrolytes ; F. HABER
fcj/. phya, Ch., t. 32, p. 193-270 ; 20.2.1900). — Dans une
"^i'jctionélectrolytique, comme celle de la nitrobenzine en liqueur
r*aluteà rétat de nitrosobenzine, il existe entre l'intensité I du
^^■'VU, M force électromotrice c et la concentration C du corps à
'^î'utç, une relation qui, établie sous forme générale par Nernst,
^^^ deux formes dilTérentes suivant que Ton suppose que l'hy-
-•^«ene réducteur forme sur la cathode une couche superficielle,
6Î4 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
OU qu'il y pénètre jusqu'à une profondeur très petite, mais ftûie*
Dans le premier cas, on doit avoir
e = 0 , 0290 log 77 — consl. ;
Vi
dans le second, au contraire
c = 0,0436 log g — consl. ;
De très nombreuses expériences, effectuées avec des densil^i
de courant très variées, mais toujours assez faibles pour ne donuf^
lieu à aucun dégagement d*hydrogène gazeux, ont conduit Fautea
à constater l'exactitude de la deuxième de ces relations. On doi
donc considérer la cathode comme contenant Thydrogène réducteu
à l'état de solution solide. m. vkzes.
Contribution à l'étude des aôides o. et p.-chlorophényltcè
tiques ; H. NEHNER {Journ. /. prakL CL, t. 62, p. 554-566i. -
La préparation de V acide o.-cbloropbénylacétique se fait en parlai^
de To.-toluidine qu'on transforme en o,^cblorotoluol par la mé*
thode de Sandmeyer, puis par Cl en chlorure d^o.'CbIorobeQi}îé
Ce dernier corps est transformé en cyanure puis en acide. Pou
compléter l'étude du cyanure on a préparé les corps suivants :
0. - cblorobenzylpbénylamidÎDe GlC«H*CH«C^^p|Q^u5, ai|
brunes f. à ii7*, obtenues en chauffant le cyanure avec TaniliiM
O.'Cblorophényhbioacétamide C1C«H*CH«CS. AzH«. On traite 1
cyanure par le sulfhydrate d'am. sous pression à lOO*. Feuille!
blancs f. à 137**, sol. eau bouillante, peu sol. à froid.
O.'Chloropbénylacélamide. On dissous le cyanure dans SO*f^
puis on traite par l'eau. Feuillets blancs f. à 175", sol. alcool
C«H« et H«0 bouillants, peu sol. à froid.
Acide 0,'chlorophénylacétique, On traite Tamide par AzO*ll
belles aiguilles blanches f. à 95**. Ses sels de Ba, Mg, Ca, Zn, Hj
sont des précipités blancs; celui de cuivre est vert-bleu, celui d
Fe'" est isabelle, celui de Fe" est blanc et s'oxyde rapidemt*o
a lair.
L'ai2i7/V/e fond à 188%5, VoMoluido à 174% le pAoluide à i69*.5
Vbydrazide est en feuillets blancs f. à 175«, Vétber étbyliffaeti
liquide et bout à 134*^ sous 23 mm., Vélber métbyliquv bout à iâS
128* sous la même pression.
On a préparé les dérivés suivants de l'acide p,-chloroph**nYkcf\
CHIMIE ORGANIQUE. 625
pyBf : Vinilide f, à i69»,5, VoMolaide f. à 179% \e pAoMde f. à
ftf.S, VbydrBxide f. à 166«.
Par nitratioQ cet acide donne un dinîtré f. à 167<^. La réaction
le fiatsen appliquée à Télher p.-chlorophénylacétique n'a donné
siatn résultat net. c. marie.
Action dn iétroxyde d'azote sur la benzylmonoxime ;
BacofflO POHZIO (Journ. f. prakt. Ch., t. 62, p. 543-544). —
ycxime dissoute dans Téther absolu traitée par le tétroxyde
P«ole donne un mélange de benzile f. à 98**, eidep^-nitrobenzile
I lj)8-i89*, que Ton sépare par Tac. acétique froid, qui dissout
«olement le benzile* c. marie.
iction des acétylchloro- et acétylbromo-aminobenzénes sur
M aminés et la phéaylhydrazine ; F. D. CHATTAWAT et K.
. P. ORTOH {Cbem, Soc, t. 79, p. 461-469; 4.1901. — Les acé-
{Ichloro- et acétylbromo-aminobenzènes réagissent facilement sur
fit» aminés. La prenïière réaction est exprimée par la réaction
fttanle (X = Cl ou Br) :
CWAxXG0CH3+ R-AzH2= RAzHX + C«H5AzHCOGH3.
Uansle cas des aminés grasses, les chloro-amines peuvent être
v>lees mais non les bromo-amines. Avec les anilines, la réaction
f continue par la fixation de Thalogène sur le noyau en o. ou en
i par rapport à AzU* et formation d'azoïques par élimination de
rj ou HBr :
2C»H5AzHX = C«H5Az= AZ-C6H5 + 2HX.
LfS opérations ont été effectuées au moyen d'acétylchlorainino-
fchlorobenzène. Ce chlorure d'azote réagit en milieu chlorolbr-
tojye sur Taniline, eu donnant, suivant les proportions relatives,
te mélange de dichloracétanilide, de chlorhydrate d'aniline et
fizofceozene ou bien en quantités presque égales l'o.- et la p.-
•braûiline. Avec la méihylaniline, on a obtenu la 4'Chlorométhyl'
<fc/we, Eb. 240» {dérivé acétylé, F. 92°), et ïo.-chhrométhyU
^rttr, Eb. 95-96* sous 12 mm. et 218*» sous 760 mm. Avec les trois
W^ïoes, il se forme 30 à 40 0/0 des azotoluènes correspondants
4 «itphis, pour Po.-toluidine, la ô-cbloro-oAoluidiDey F. 30°; pour
ka^-loluidine, X^tB-cbloro-mAoluidine, F. 83°; et pour la p.-tolui-
^M S-cbloro-p.-toluidiae dont le dérivé acétylé, F. 118°. L'o.-
'^^^'wuUne foamit la 2.4-dichloraniline. La m.-bromaniline donne
• nèbnge de i-ch!oro-5-bromo-aniline, F. 45° {dérivé acétylé,
toc cHm., d* MR., T. XXVI, 1901. — Trar. ètrang. 10
G26 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
F. 141''), et de 3-bromo-i-chloro-aniline, F. 78* (dérivé acéijl*,
F, ISO**). Los anilines parasubstituées donnent des dérivés mon*
halogènes on ortho par rapport à AzH*, en même temps qu'un pp<
de dérivés azoïques. La 2.4-dichloraniline donne la 2.4.6-trichlo^
aniline. La s.-trichloraniline a fourni le 2.4,6,2'.4Kff'bexêtUoft
azobenzène qui crist. dans un mél. d'alcool et de chloroformée
aig. rouges, F. 188*, insol. dans Talcool, très sol. dans CHC
ou C«H«.
Les chioro-, bromo- et iodo-amines réagissent très facilemei
sur la phényihydrazine ; la réaction est différente suivant que T
ou l'autre des réagissants se trouve en excès. Ainsi, quand la pli
nylhydi^azine est ajoutée à un excès d'acétylchloro-amioo-l
dichlorobenzène, la réaction suivante se produit avec grand dé
gement de chaleur :
<G0CH3
Cl
= G6H5GI + Az2 -)- 012 4. 3G6H3G12AzH-GOCH3.
Dans le cas où la phényihydrazine est en excès, le dégageme
de chaleur est beaucoup moindre et la réaction est représeoU
par l'équation :
/Gl
4C6H5AzH-AzH2+ 2G6H3GPAz<
\G0GH3
=G«H5Az3-}-,G«H5AzH2+2G«H3G12AzHGOGH3+2G6H5AeH-AxH-'H
A. VALBUR.
Préparation de ro.-chloraniline; F. D. CHATTAWAT
K. J. P. ORTON (CA<9in. Soc, t. 79, p. 469-470; 4.1901). -
méthode consiste à faire réagir une solution de chlorure de tbi
sur Tacétanilide en sol. acétique, il se forme d'abord un dênj
chloré à l'azote qui se transforme en un mélange d'o.- el de |
chloracétanilide. Bien que ce mélange ne renferme que 5 à 8 (1
de dérivé ortho, il peut servir avec avantage à l'obtention de 1
composé (voir le mémoire original). a. valeck.
Sur deux dinitromôthyl-p.-toluidines; Joh. PINHOWiVottii
f.pvakt. Ch., t. 62, p. 505-522). — La p.-diméthyltoluidinei83srl
est nitrée à 0^ au moyen d'un mélange de SO*H* el d'AjtO^
\d=^ 1,4 j. Puis on verse dans l'eau et on ajoute peu à peu 99 cij
AzO^H (rf=l,4) et quelques cristaux de AzO*Na qui laciliteul 1
CHIMIE ORGANIQUE. 627
"vaftion. Après â jours on filtre le mélange de dinitrotolylméthyl-
litramines, on sèche et on chautTe le produit (9b*',!) avec un mé-
lûge de phénol (60 gr.), d'alcool amylique (400 ce.) auquel on
goûte à rébuUitîon 10 ce. SOH' additionné de 30 ce. alcool
UDTlique. Après 6 heures, on filtre et on sépare les dinitrométhyl-
^'iidines par cristallisation. On obtient ainsi deux produits, Tun
ê^inilroméibyltoluidine, F. 182*, 5-183% 5 ; Tautre la ^'dinitro-
tiélh/ltolaidine^ F. 158**, 5-159*, 5. Pour 100 gv. de p.-toluidine on
Alwnt 53»', 2 de p et 29«%6 de f.
Ld réduction du produit p par le sulfhydrate donne une base
>H"A2X)* I. à 168*, en feuillets bronzés sol. acétone, éther
weiique, ac. acétique, alcool, CHCl^ et CW« bouillant, peu sol.
bas C<H* froid et la ligroïne. Cette nilrométhyl'mAoluylènedia-
uine donne un dérivé mono-acétylé f. à 205*, 5-207*, sol. ac. acé-
lK|ue bouillant et CHCl^, peu sol. dans les solvants usuels à froid
rt insoluble presque eau froide et ligroïne. Traitée par le nitrite
tunyle en présence de pyridine, la base fournit un dinitrodimé-
^rldiâmidodiêzo-amidotoluol C**H**Az^O* en tables jaunes cris-
lilisanl avec de la pyridine.
Ce dlazo-amido dérivé réduit par Zn donne la p.'diamidomélbyl-
^-tolaiaine qui fournit après traitement par HGl, puis par la soude
rt lacétate, un dérivé acétylé caractéristique, Tor-^-ZW/ne/A/l-S-
Héiylmidobenzimidazol f. à 235-236*.
':'Dkmidométbyl'pMolaidine. — La réduction par Zn de la f-
htotfoniéthyltoluidine donne un mélange de corps qu*on sépare à
léui de dérivés aeélylés. On obtient ainsi la triacétyldiamidomé-
^hyl'pAoluiditte C**H<^Az30», tables rhomboidales f. à 257-258*.
^ U réduction s'est effectuée à chaud, on obtient en même temps
lî Unes aiguilles i. à 151-152* constituées par le dérivé acétylé
I un méthyldiatmdocrésoJ C<«H<«Az«03 + H«0.
Mlroméibylloluidine.— On oxyde la m.'iiUrodimétbyhoIuidine-
M' rac.chroraique. Pour 20 gr. du produit initial on obtient 14*f%2
fc mlrométbyltoluidine.
Dkv*ftylïaétbyJtoIuylèiiediamiae. — On traite la méthyltoluylène-
i**'iuie par l'anhydride acétique. Tables hexagonales f. à 183-184*.
^DiaitromélbyJacétotoIuide, — Aiguilles jaunes f. à 151* obtenues
^ partant de la dinitrométbyltoluidine dissoute dans Tanhydride
■c*-t-que bouillant et additionné d'une goutte SO*H*.
^SUroamidométbyltoIuidine. — Tables hexagonales brillantes,
►^•N^ nôtres, f. à 127-128*, obtenues par réduction ménagée de
■* T-Jimtroniétliyltoluidine.
628 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
f-Diamidométbyholaidine {chlorhydrate), — Cristaux f. à 161*
ili'* obtenus dans la rédaction de la base dinitrée. Traité pff
l'acétate de soude et Tanhydride acétique^ ce sel donne la diacéty^
diamidométhyltoluidine , aiguilles brillantes f. à 198-198*, 5, C*^
corps traité : l"" par Tac. acétique bouillant perd HH) et donne Itj
n.'OL'S'trùnèthyl'l-acétylamidobenzimidûzol^ aiguilles f.à 217-21«*
2* traité par AzO^Na et HCl, il donne le méthyldiacétylazimidoêzoi
f. à 169^
f'Dinitrométhylbenzotoluide. — Prismes hexagonaux ou \Mt
f. à 110% 5, obtenus par C«H»C0G1.
-f-Dinitrométhylacétotoluide. — Aiguilles jaunes f. à 90*,5, obtaïUi
par l'anhydride acétique additionné de quelques gouttes SOH*
La réduction de ce corps mène à un produit f. à 222®, 5 de con>ti|
tution inconnue. c. marib.
Formation des amides au moyen des aldéhydes; Roberl
Howson PICKARD et William CARTER (Chem. Soc, t. 79, p. :^^
522; 4.1901). — La méthode consiste à traiter les aldéhydes \à
un oxydant en présence de Tammoniaque. Le meilleur procédé ^
le suivant :
L'aldéhyde dissous ou en suspension dans Teau est traité pi
un faible excès de persulfate d'ammonium et la quantité de cliau
nécessaire pour neutraliser Tacide formé et mettre en liberté AxH
des sels ammoniacaux ; on chauiTe exactement à 70^ pendant un
demi-heure, on filtre, on lave à l'ammoniaque étendue, on acidul
pai* HGl et on épuise à Téther. Le rendement peut atteindre i
à 70 0/0. Cette méthode a été appliquée avec succès a toute ufl
série d'alcools et d'aldéhydes; les résultats ont cependant é^
négatifs avec les aldéhydes suivants : o.- et p.-oxybenzaldéhyik
furfurol, aldéhyde cinnamique. En remplaçant l'ammoniaque pi
une amine^ on peut obtenir un amide substitué : ainsi la henzal
déhyde oxydée par le persulfate de potassium, en présence »J
chaux et de méthylamine ou éthylamine, donne avec de bons reni
déments la benzoylméthylamiae et la benzoyléthylamine.
A. vauscr.
Composés d'addition de l'a et de la p-naphtylamine aTec M
dérivés trinitrés du benzène; John J. SUDROROUGH {CbeM
Soc, t. 79, p. 522-533; 4.1901). — L'auteur a obtenu Va-aêpùtfi
amine-trinilrobenzène C*H3(AzO*)^,C*^H'ïAzH* en faisant bouiU
une sol. alcoolique de 2.4.6trinitrobenzoated'a-naphtylammofuuiO
il s'élimme CO*; on obtient encore ce comp. soit par union directe
CHIMIE ORGANIQUE. 629
ie {ie$ coraposanis en sol. benzénique, soit en chauffant à 145-150*
Il bain d'huile le trinitrobenzoate d*a-naphtylammonium, ou enfin
D faisant bouillir avec de Teau, le chlorhydrate dV-naphtylamine
i le trinitrobenzène. LVnaphlylamine-trinitrobenzène crist. en
rsraes rouges, F. 214®; il crist. inaltéré dans Tacétone, le ben-
eoe, le chloroforme ; il est insol. dans l'eau et GS*; sa sol. acé-
ique étendue laisse précipiter par addition d'eau le composé inal-
tré; les addes minéraux le décomposent lentement à froid et
ipidement à chaud. Chaufié pendant une minute ou deux avec de
anhydride acétique, il fournit un dérivé acétylé qui crist. dans
alcool ou Tac. acétique, F. 140*,5; ce même dérivé acétylé est
iHenu quand on fait crist. dans l'alcool un mélange de trinitro-
rimue et d'a-acëtonaphtalide. Bouilli avec un excès d'anhydride
crlique pendant une heure, le trinitrobenzène-a-naphtylamine
Miroit du trinitrobenzène et de la diacétylnaphty lamine.
L« trinitrobenzène^^-naphtylamine obtenu par des* procédés
Mlogues crist. en aig. prismatiques rouges, F. 162*», il est plus
rilemenl sol. que son isomère dans la plupart des solv. org. —
%rivé acétylé criftl. dans l'alcool en aig. jaunes, F. 142°; ce dérivé
e produit également parla combinaison du trinitrobenzène avec
'«^lyl-?-naphtalide.
TnDUroioluèae-oL'napbtylannne^ aig. F. 141 %5. — Trinitroto-
^ue^iwphtylamine, aig. prismatiques, F. 113®, 5; dérivé acétyJé,
f. i06'.
Trinitrobenzoate d étbyle^-napbtylamine
C02C2H5-C6H2( AzO2)3C<0HUzH2 ,
f^. l-IS-136*; il est facilement décomposé par les acides minéraux
w l'acide acétique, et par simple ébuUition avec Talcool. Le /r/-
itiirobenzoate d*étbyle-^-napblylaminej F. 127*».
/'i<rn ai(/e^a-i2a!p/////»iï2i/2e AzH«.C«H«(AzO«)3C*»H'ïAzH«, F.203*.
-^Picrêmide-^-napblylamine, F. 161^,5.
Picrate détbyle^-napbtylamine C«H«(OC«H»)(AzO«)3,C<oHUzH«
^*^«nu par mélange des constituants en sol. benzénique, aig.
•''•^ F. Td*,o, crist, dans la ligroïne mais est décomp. par
r«WM)|. «. Picrate de métbyle-a-napblylamine, aig. rouges F. 75*».
^composés obtenus au moyen de l'a et de la p-naphtylamine
•^ <fe8 dérivés du trinitrobenzène sont moins stables que ceux
'''*P*'fe en combinant les mômes bases avec le trinitrobenzène
^i»-IDème. A. VALEUR.
630 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Acétylation des arylamines ; John J. SUDEOROUGS i Ck^bi
Soc, t. 79, p. 533-541; 4.1901). — L'auteur a étudié Tactiou û
Tanhydride acétique sur Taniline, To.-, la p.-toluidine et la ^^tuni
dine, et sur les dérivés mono-acétylés de ces bases. Ces amuii
(1 mol.) furent soumises à rébullition avec de Tanhydride acétiqi
(4 mol.) les résultats obtenus en partant des aminés ou des dérivi
acétylés montrent qu'une base possédant un CH^ en position orti
comme To.-toluidine et la ^^-cumidine donne un meilleur recul*
ment en dérivé diacétylé qu'une base non substituée en orth
Ainsi, Taniline donne, dans les conditions indiquées 53 0/0 <
dérivé di-acétylé, To.-toluidine 81, la p.-toluidine 60, la ^uin
dine 85, Ta-naphtylamine 75 et la p-naphlylamine 48,5.
Diacélyl'^'Cumidide C«H«(CH3)3Az(C0CHa)«, crisU dans lal
groïne en prismes F. 59*,5sol. dans les solv. org., insol. dansTei
Diacétyl-a-naphtalide C'^H'^AzlCOCH»)», F. 130*» crist. daiiJ
plupart des solv. org.; par ébuUition avec les sol. alcalines aq. i
seul acétyle est éliminé.
Diacétyl-p-naphlalide C«»HUz(COCH3)2, crist. dans la ligroii
ou dans Talcool étendu en plaques, F. 66*',5.
Diacétyl'SM-dibrowanUine C6H3Br«Az(C0CH»)«, crist. dao^
ligroïne en prismes, F. 100-101** facilement sol. dans les solv. oti
A. VALEUR.
I
Sur les acides p.- et o.-toluido-ac6tique et a-p.- et ^•^
tolnidopropionique ; Frederick STEPPES (Journ. f. praki. Ci
t. 62, p. 481504). —I. p.'ToluJdo-acétique. — Par Faction de II
monochloracétique sur la p.-toluidinc il se forme principalenK^
non Tacide toluido-acétique (p.-tolylglycocoUe on p.'tolyltjlycita
mais un sel de toluidine f. à 174® d'un acide indéterminé. En ouH
on obtient, mais en plus faible quantité, la glycine identique à c^l
obtenue par saponification de Téther éthylique de Tacide tolui*
acétique préparé au moyen de la p.-toluidine et de i'éther mm
chloracélique. On obtient également le même produit (. à i^i*
au moyen du nitrile de Vanhydroformaldéhyde-pMoIuidiae pr^
parée en faisant réagir la formaldéhyde sur la p.-toluidine en pnl
sence de CAzH.
II. 0,'ToIuido-acétique. — La condensation de Tacide mow
chloracélique et de To.-toluidine est presque quantitative et doW
Tac. 0. -toluido-acétique f. à 149-150**. On obtient le même produ
en préparant le nitrile CH»C«H*AzH-CH«CAz par ro.4oluitliû<
Taldéhyde formique et CAzH, puis Tamide L à 140» et Ûnti&ota
Tacide.
CHIMIE ORGANIQUE. 631
Àeide 9-p.^roJaidopropionique. — Ce corps a été préparé par
ftcîde at-bromopropionique et la p.-toluidine. Il fond à 158*" et
t rorme presque quantitativement. Il est sol. alcool, benzène et
MU bouillante, presque insol. eau froide. On obtient ce même
CH«C«H*-AzH
ictde en passant par le nitrile Artr^iA ^- ^ ^^° (p.-to-
CH^CHCAz
tudine, CAzH et acétaldéhyde), Tamide f. à li4*», puis Tacide
ÏPOH^AzH
ai*(î:HCOOH'
Acide vrOMoluidopropionique. — Cet acide a été préparé d*abord
wr ro.*toIuidine et Tac. a-bromopropionique. Le rendement est
Muvais par rapport à celui obtenu avec la p.-toluidine. L*acide
brme des aiguilles f. à 118**, sol. acides étendus, alcool, éther et
MU bouillante.
Cet acide a été également préparé en passant par le nitrile
i)tenu au moyen de CAzH, de To.-toluidine et de Facétaldéhyde.
lie nilnle fond à 81*. En même temps se forme un corps de nature
«M»Diuie. Ce nitrile saponifié donne Vamide f. à 125<>, puis l'acide
tberché f. à 118'. c. marie.
lourelle méthode de ssrnthèse des aminocètones aromati-
liet.F. KimCKELL(Z?. cb. G., f. 33, p. 2641-2644; 14.8.1900).
^L^p.-ëiûino^cétophéuone AzH^.G^H^.CO.CH^t s'obtient facile-
ment en ajoutant rapidement 70 gr. de chlorure d'aluminium pul-
•^sé à un mélange de 20 gr. d'acétanilide; 50 gr. de sulfure de
Cirbone et 50 gr. de bromure d'acétyle. On termine la réaction en
diauffant une demi-heure au B.-M. et on précipite le produit par
*f l'eau glacée. Rendement 15,5 gr. en dérivé acétylé (aiguilles
la 166-167% solubles dans Talcool, peu solubles dans Teau). La
Apoaiûcation de ce dernier s'effectue au moyen de l'ac. chlorhy-
^f\x^ à 15 0/0 bouillant. On précipite ensuite par le carbonate de
wode. L'amino-acétophénone crist. en aiguilles jaunes, f. à 104-
Un*, assez solubles dans l'eau.
Vo procédé analogue a fourni la p.-aminopropiopbénone
AiH«.C«««.CO.C«H*, en aiguilles jaunes, f. à 140% solubles dans
falecpol ei Teau. (Employer 10 gr. d'acétanilide, 15 gr. de chlorure
^ propionyle, 30 gr. de sulfure de carbone et 25-30 gr. de chlo-
w*d*tluminîum1. Le chlorhydrate est en aiguilles blanches, f. à
***"♦ solubles dans l'eau, insolubles dans le benzène; le sulfate est
« paillettes blanches, f. à 225*. Le dérivé acétylé, f. à 161% crist.
^ aiSttilles jaunâtres sol. dans J'eau, l'alcool et l'éther.
632 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
La p.-aminO'ii.'butyropbénoDe (10 gr. d'acétanilide, 20 gr. d#
chlorure de butyryle normal, 40 gr. de sulfure de carbone et 80 gr
de chlorure d*aluminium) fond à 84^; elle est soluble dans l'alooq
et Teau; le chlorhydrate est en aiguilles blanches, f. àlTS*; li
sulfate fond à 216*; le dérivé acétylé cristallise dans l'eau b
aiguilles blanches, f. à 142*.
Vaminopropiophénone s*unit à Téther chlorocarbooique d
sol. aqueuse en donnant le propionylphénylcarbamate détbji
C«H5.C0.C«H*.AzH.C0«G«H», aiguilles blanches i. à 154'. ^u
blés dans Talcool et Teau. Vurée C«H».CO.C«H*.AzH.COAzlî
préparée au moyen de Tisocyanate de K, fond à 218**. La diun
(C2H5.CO.C«H*.AzH)«CO a été obtenue de même avec roxychk
rure de carbone. » p. fbeundler.
Sur quelques aminocétones aromatiques halogénées ; F. VJt
CKELL (D. ch. G., t. 33, p. 2644-2654; 14.8.1900). — La mélhod
décrite dans le mémoire précédent a été appliquée au cas àé
chlorures d'acides gras halogènes. On a préparé ainsi :
La p.-anuno-chloracétophénoDe AzH«.C«H*.CO.CH«Cl 70 (fl
es*, 10 gr. d'acétanilide, 15 gr. de chlorure de chloracétyle, 3r)g
AlCP), crist. dans l'alcool ou le benzène en paillettes jaunâli«
f. à 147°; ses vapeurs attaquent les muqueuses. Le dérivé acelvi
est en aiguilles blanches, f. à 212"", solubles dans le chlorofonix
peu solubles dans Talcool et Teau. Oxydé par KMnO*, il fournil «1
Tac. p.-acétaminobenzoïque, f. à 250®. ChaufTé avec une solulio
alcoolique d'acétate de potassium, il se transforme dans le dérh
CH3.CO«.CH«.C0.C«H*.AzH.CO.CHa (aiguilles blanches, f.
162*», solubles dans Teau). Le dérivé benzoyié, obtenu de méiw
fond à 2C0-201* (aiguilles blanches solubles dans Talcool, peu solo
blés dans lether. Le composé GH».CO«.CHVCO.C«H*AzH«aél
obtenu en chauffant la chloramino-acétophénone elle-même bu
de Tacétate de potassium et de Talcool; aiguilles blanches f. à lîï»'
solubles dans Teau, les acides et les solvants usuels. Le p.-êc^f^
mino'benzoylcarbinol ohietiu en chauffant le rfér/re (//«?<?///«* a^'
du carbonate de soude à 15 0/0, crist. en paillettes blanches (
176-177% solubles dans Talcool et le chloroforme, presque ini«
dans réther et le benzène. Vhydrazorie (ou rosazone ?l est <
aiguilles jaunes f. à 223*», solubles dans Talcool. En effectuant I
saponification avec du carbonate de soude à 20 0/0, on obtient'
p.'aminohenzoylcarbinol AzH«.C«H*.CO.CH«OH, en aiguill«
jaunes, f. à 165*», solubles dans Talcool, le benzène et les ac«i^
peu solubles dans l'eau. Le chlorhydrate fond > 250*, floco»
CHIMIE ORGANIQUE. 6SS
)«UQes, solubles dans Talcool et Teau, insol. dansTéther. Vliydra-
iùoeesien ai^illes jaunes, f. à 199^.
Le chionire de chloracétyle (20 gr.) réagit sur Tacétyl-p.-lolui-
dme (15 gr.) en présence de CS* (40 gr.) et AlCl* (40 gr.) en don-
oaat on mélange d*o.- et de w.-acétamidchp.'méthyl'CbloracélO'
^aoa€sCHK:\.CO.CfiW<^'^^'^^^ ^^^. Visomère ortbo
ifioins soluble dans Talcool, se dépose d*abord sous la forme d'ai-
cmUes f. à i80-i81^, solubles dans les liquides organiques, inso-
«Wes dans Teau. La potasse bouillante le transforme en p.'dimé-
'hfliadjgo :
/AzH.CO.CH^
i(m^O . c:H«C1 + 4 KOH + O^ = 4 H20 + 2 CH3C02K
\CH3
<A2Hv /AzHv
>C=C< >C6H3.GH3.
CO / \ CO /
ï^ons bleus à reflets cuivrés, solubles dans Taniline, la paraffine
st le chloroforme. Ce corps se sublime assez facilement et fournit
in dérivé monosulfoné. Vo.'Bmino-p.-métbylchloracétopbénone
ibleoue par saponification du dérivé acétylé au moyen de l'ac.
Alortiydrique, f. à 136\
L'/somére meta fond à 75* et se dissout dans Talcool et Téther.
U dérivé acétylé fond à 120**; prismes jaunes peu solubles dans
r^hcrel la ligroïne, solubles dans les autres liquides organiques.
Vêcétamido-iaétbylcbloracétopbénone
/CH3 (1)
CH2CI.CO.C«H3<
\AzH.C0GH3 (2)
P»T>arée de même avec To.-acétyltoluidine, crist. dans l'alcool en
*fl« aiguilles f. à 160*; chauffée avec la potasse elle ne fournit
pis d'indigo, ce qui prouve queje groupement CH*Cl. GO n*est pas
^ position ^3) ; oxydée par KMnO* en sol. alcaline, elle fournit un
•™ie bibaslque f . > 270*, non caractérisé. En chauffant ce dérivé
**<c de Pacétate de K et de l'alcool, on obtient le composé
CH* G0«.CH«.CO.C«H3(CH«).AzH.CO.CH3 (aiguilles jaunâtres,
'• i W», solubles dans Talcobl). Le dérivé benzoylé fond à 130*
'-•i^illes blanches sol. dans Talcool). Le dérivé nitré fond à 205<>;
** «t ftoluble dans Talcool, insoluble dans Téther. Vacétamino-
^hylebloracétophénone CH»Cl.CO.C«H»<^^^,, crist. dans l'ai-
L
634 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
cool en paillettes blanches f. à 75**, son chlorhydrate se décomffl»
vers 170*».
La m.-acétylxylidine asym. s'unit également au chlorure ^
chloracétyle pour donner Vamino - dimétbylcbloracéiopbémê»
(CH3)«C«H«<^^Û?^*^^ f- à 126% dont le chlorhydrate se décom-
pose sans fondre à 150*" et crist. en longues aiguilles blanche?, e^j
dont le dérivé acétylé fond à 150** (aig. blanches sol. dans Talcodu^
Le dérivé nitré du dérivé acétylé fond à 202*». Le dérivé diacilyH\
(CH3)^C6Ha<2^J^^^Q•gpJJ^•^^ crist. en paillettes jaunâtrK
f. à 109**; le dér. benzoylé f- à 118-1 19** (aiguilles). Avecla psemh^
cumidine, on a obtenu la triméthyl-aminochloracétophéDonç,
(CH3)3.C«H<^^j^^^^*^*, en paillettes nacrées, f. à 70% sol. (ian^i
l'eau, l'alcool et Téther. Le dérivé acétylé est en aiguilles blâa-
ches, f. à 189*>, sol. dans les solvants usuels; il ne fournit p«9j
d'hexaméthylindigo. Le chlorhydrate de la base est en aiguillM
blanches, f. à 245**. Le dérivé nitré f. à 200** (aiguilles soluWrt
dans l'alcool et l'éther).
Le bromure d'd-bromopropionyle a été condensé avec l'ac^ijt
o.-toluidine. On a obtenu un mélange de dewxmétbylficétatnido'bnh
mopropiopbénones CW.Gm^<^^^'^J}^; Tune fond k i>*
l'autre à 138° (aiguilles blanches). Ces deux corps n*ont pas (w
être saponifiés.
La diméthyl-acétamido-bromopropiophénono, obtenue de mi^nn
avec la m.-xylidine asym., crist. en paillettes blanches f. à 1 !5.| l»v|
solubles dans Talcool. La triméthylacétamidobromopropiopbéMtà
dérivée de la pseudocumidine, fond à liO»; elle est sol. dansl'al^
cool. . p. FRELNDLER.
Sur les diazosels des acides arylthiosulfoniques et arylnli
finiques; I. TRAEGER et E. EWERS {Journ, /. prakt. CL, t. fll]
p. 369-430). — A. Bisdiazodiphénylchlorure et sels tbiosalfooi-
qiies, — Les sels thiosulflniques de la série aromatique ctânl
décomposés par les acides minéraux libres, on faisait réagir dw
quantités correspondantes de bisdiazodiphényl- chlorure par-
faitement neutre, sm* le sel thiosulfonique. — Dithiophénylsalff^
bisdiazodiphéijylc
CGH5S02SAzrA2C«HK:6H^Az=AzSS02C«H5.
pplé jaune d'or, déc. à 129-130^ DHhiO'pMolylsulf<hbisdiuoêh
CHIMIE ORGANIQUE. 635
Sénjrle, ppté jaune d'or, déc. à 147*; dérivé o.- se décom-
>èe à 140* eoviroD. — Ditln(h^naptbylsulfo-bisdiazodipbényle
»WS0«SA2=AzC«H*C«H*Az=AzSS0«a<>H^ ppté jaune, déc. à
B. Bisdiazodiiol/IchJorure et sels tbiosulfoniques. — Ditbio-
^eDYkulto-bisdiazoditolyle C**H«*Az*S*0*, ppté jaune niicro-
%iaUio, déc. à 182*. Ditbio^p.'tolylsulfO'bisdiazoditolyle
•H**Az*S*0*, ppté orange, décomp. à 135-186*. Dérivé orthoy
frfé jaune orange. — DitbiO'd'naplhylsulfo-'bJsdiazoditolyle
••H«*Az*S«0*, ppté orange, déc. à iOS\ — DitbiO'^'napbtylsuIf(h
wiiazoditolyle, déc. à 112*.
C Di'pbénylsulfo-bisdiazodipbényle
C»H*S02Az=A2-C«H*-C«H*-Az=AzS02C«H5,
p*ê amorphe jaune d*or donné par Faction du chlorure de bis-
huodiphényle sur un sel de Tac. benzolsulftnique. — Di-o et
^fAolylsuUO'bisdiazodipbényie C*«H**Az*S*0*, précipités jaune
For amorphes. — Z>i-a et di'^'nûphtylsuIfo-bisdiazodipbényJey
lécipiiés amorphes solubles élher acétique. — Bi-bromopbényl-
^o-bisdiazodipbényle C**H*®Bi*Az*S'0*, ppté amorphe jaune
lor.
D. Chlorure de bisdiazoditolyle et sels diacides sul/iniques. —
^^tQjhulfo-bisdiazoditolyle C««H««Br^S*0*, pplé amorphe, déc.
i iV^.'-Di'p.-tolylsulfone-bisdiazoditolyle, C««H««Az*S«0*, ppté
ttfcwphe. déc. B 128®. le dérivé ortbo se décompose à 119**. —
Bm e( dh^oapbtbylsulfO'bisdJazoditolylej ppté amorphe, déc. à
Ift-180. — Di^bromopbénylsulfo-bisdiazoditolylc, déc. à 128*.
l)srxiiiiE PARTIE. Sur Faction des sels des acides aryllbiosul-
**!i7ue« sur les diazosels des aminés primaires. — Les sels
^ruresou nitrates) des diazoïques des différentes aminés étaient
(^'r«rés en diazotant Tamine soit en solution aqueuse azotique,
*^t eu solution alcoolique; le sel du diazo était ensuite précipité
iou par Talcool et Téther, soit par Téther seul, puis lavé jusqu'à
•laparition de la réaction acide. Sur la solution aqueuse neutre des
«iioeels ainsi obtenus on faisait réagir les sels tbiosulfoniques.
*>n t aingi préparé les corps suivants ;
l^ozoUbiosallO'diazobenzol C«H»Az=Az.SS0«C«H5, ppté cris-
•^. sol. es», sol. incomplètement alcool, éther. CHCP, déc.
636 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
p-ToIuolthiosuIfo-diazobenzoI C*»H*»Az»S»0«, ppté crisUHft
déc. à 88-89^
oL'Napbtalène'thiosulfO'diazobcnzol C*«H"Az*S»0*, pplé crisi
lallin, sol. CS*, f. à 95-96* en se décomposant. Le dérivé ^cowsi
pondant se décompose à 79-80°, il est jaune pâle.
Dérivés du p-diazotoluol Ont été préparés : le benjfolthiostdi
p.'diazotoluolf déc. à 80**; le p.-toluohbiosulfo-p.^diaioiokf^
ppté cristallin jaune, déc. à 93°; Va'napbtaIèae'tbiosulf(hp'din\
toluolf déc. à 115°; le dérivé ^ correspondant fond à 92* en
décomposant.
Dérivés de l'o.'diazotoluoL Ils sont moins stables que les pr
cédents et n'ont pu être analysés, sauf ceux correspondant «^
acides a et p-naphtalènethiosulfoniques, qui donnent des pnxiuj
cristallins, déc. à 86°5 et à 92°,5.
Avec le chlorure de m.-diazoxylène on a préparé les produi
correspondants aux acides a et p-naphtalènethiosulfoniques; <
sont des poudres cristallines fondant en se décomposant à 98-91
et 87-88°.
Les dérivés préparés avec le clilorure de diazopseudoea^
et les acides benzolthiosulfoniques, p.-toluolthiosulfoniques, 3 {
P-naphtalènethiosulfoniques, ont des propriétés semblables à celij
des corps précédents. Il en est de même pour les dérivés de l'a |
du ^-diazonaphtalène avec les mêmes amdes thiosulfomque|
Les auteurs ont préparé en outre les dérivés correspondants dj
diazocblorobenzènes o. m, et />. ; des diazobromobenzènes p. el
des diazonitrobenzènes o. p, et m.; des diazoanisol o. et p.;
p,'diazophénétoI et enfin du p.-diazo-azobenzène. Les produij
ainsi obtenus ont des propriétés plus ou moins semblables à ceili
des corps décrits plus haut. Ce sont des corps tantôt amorphe!
tantôt cristallins, plus ou moins stables et plus ou moins solnbk
dans les solutions qui leur donnent naissance. Quelques-uii
{^-naphtalènethiosuUo'Prdiazotoluol p. ex.) semblent avoir àer\
modifications, l'une cristalline, Tautre amorphe. La stabilité ej
augmentée par la présence de groupes Cl, Br, AzO*, en positifl
para, el diminuée en meta et en ortho ; quelques-uns de ces coo
posés cristallins lors de leur précipitation se transforment en rè
sines pendant leur dessiccation. c. marie.
Sur les combinaisons aiozoniums (communication préhmi
naire); F. KEHRHANN (D. cL G.; t. 34, p. 1623; 8.6.19011. -i
L'homopyrocatéchine se condense avec l'o.-aminométacrésol 1
CHIMIE ORGANIQUE. 637
O'WO^ avec élimiaation d*eau et formation de deux diméthyl*
léDoxazioes isomères, F. 119'' et 204-205<'
AzH ÂzH
Ces deux composés et spécialement le second, se transforment
àoe manière nette par Faction de divers oxydants comme le
irchlorure de fer ou le brome en solution alcoolique ou behzé-
ique en sels de diméthyîpbénazoxonium comme p. ex. en bro-
Wre
Âz
Parmi ces sels 4e picrate symétrique cristallise spécialement
Ma et a pu être analysé. L'auteur a obtenu aussi d'une manière
nalogue le picrate très instable du phénazoxoDium en partant de
Iphénoxazine la plus simple. Cette substance en vertu des deux
*r*rogènes qu'elle renferme en position para relativement à
^te réagit très bien à Tétat naissant avec les aminés les plus
onées pour donner des matières colorantes oxaziniques. Ces
fcrnières peuveot être considérées comme des composés azoxo-
iÎBins amidés. Avec Taniline p. ex. on obtient, suivant qu'un
inl oa que les deux atomes d'hydrogène sont substitués, une
(*ulear rouge fuehsine ou un vert bleu, analogue au bleu de
Cipri.
D résulte de ces observations, dont l'étude sera poursuivie, que
irt composés azoxoniums non substitués par des résidus d'aminés
A^iennent stables, aussitôt que les deux atomes d'hydrogène en
W^itîon partfrelativement à Tazote, sont remplacés par des résidus
tf^»ols ou d'aminés. f. reverdin.
(^<HKtrUmtion à l'étade des acides ph^ylméthylpyraioldi-
<»A«Wqiies; C. BULOW {D. cb. G., .t. 33, p. 3266-3270; 5.11.
lîWi.— L'auteur reconnaît que le dérivé pyrazoliqae qui résulte
traction de l'eau sur Téther benzène-azodiacétylsuccinique pos-
688 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sède la constitution d'un dérivé pyrazolique et non d'un dériii
isopyrazolique ; la réaction est celle-ci :
CH3 CH3
I CH3.C— CCOm
C(OH) G6H5.Az< I
= Az=C +GH3.(>02H
io
C«H5.Az=Az.C G I
C02R C02R
I I com
En effet, cet éther dicarbonique peut être transformé directr»
ment dans V acide phényUl-méthyl'^'pyrazolcarbomque de cons-
titution bien déterminée. Il résulte de là que MM. Knorr et Liub-
mann ont attribué à tort la constitution ci-dessus à leur ic.
phénylméthylpyrazoldicarbonique f. à 198* dont les propriéA
sont absolument différentes.
L'erreur provient du fait suivant : Tac. de Knorr et Laubmaim
a été obtenu en oxydant par le permanganate Tac. monocarbo-
nique :
/qGH3)=G.C02H
G^HS-Az/ 5 4)
i^Az C.GH3
2 3
Cet acide perd sous Faction de la chaleur 2G0* et fournit uft
phénylméthylpyrazol liquide à — 20"; le phényl-l-méthyl-^pyrwol
étant cristallisé, on en a conclu que le produit était l*i»omèf«
méthylé-5, et que, par conséquent, c'était le groupe méthyleeft
position 3 qui avait été oxydé.
M. Biilow démontre actuellement que l'oxydation de l'acide
monocarbonique fournit un mélange des 2 isomères dicarboi^iê*
3-4 et 4-5, et de l'ac. primitif; ce mélange fond aux environs à9
198*», et fournit naturellement par perte totale des CO* un
mélange incristallisable de trois pyrazols.
Les acides d'oxydation peuvent être séparés de la façon sui-
vante : racide monocarbonique est précipité de ses sel» \^
l'ac. acétique ; les ac. dicarboniques ne le sont pas. Ces t df r*
• nières sont séparées ensuite par des précipitations fractionat^^îi
par HCl à chaud; Tisomère 3-4 (f. à 247") est moins soluble. U-
plus, lorsqu'on effectue l'oxydation d'une façon brusque, on oblit»Ji«
beaucoup plus de Tisomère 4-5 (f. à 202-204").
L'acide obtenu par Knorr et qui fond en réalité à SOS-âOd* *<
donc l'isomère 4.5; il fournit par distillation un ac. monocarinv
nique-4 f. à lU-2%5-193°; et du phénylméthyl-8-pjTazol solide. Ou
CHIMIE ORGANIQUE. 6S9
voit que le carboxyle rattaché au carbone-3 est plus stable que
vt\ix qui sont fixés aux carbones voisins. Pour le détail, voir le
inémoire original. p. freundler.
Production de beniylpyridines et de benzoylpyridines iso-
Bères: A. TCHTTCHIBABINE (Journ. Soc, pbys, chim, R., t. 33,
\K 21, f part.; 1901, (asc. 2). — Quand on chaude la pyridine en
tubes scellés avec le chlorure de benzyle, la réaction ne se fait
|as de la même façon qu'avec Tiodure de benzyle. Dans le pre-
mier cas, on obtient principalement l'a benzylpyridine, et dans le
ircood, la v-benzylpyridine. — Pour obtenir la f-benzylpyridine
pure, le produit brut fractionné est précipité de Talcool par Tac.
pBcnque et le picrate est recristallisé dans l'acétone. — Pour
séparer la ^-benzylpyridine pure, le produit brut de Faction àe
Tiodare de benzyle est soumis dans Talcool à la précipitation frac-
bonnée, et la première portion déposée est recristallisée dans le
beMêne. En chaufîant le chlorure de benzyle avec la pyridine dans
an vase ouvert muni d'un réfrigérant à reflux, on obtient aussi une
petite quantité d'une substance basique formée en majeure partie
IMrla^-benzylpyridine. L'oxydation de ces deux benzylpyridines
P«r une sol. neutre de caméléon les transforme en des quantités
Ifwque théoriques de cétones (a et f-benzoylpyridines). L'a-ben-
lojlpyridine est liquide; Eb. 317** sous 768 mm., c/J^= 1,5117;
uû eo a préparé une hydrazone, F. 136-137" et une oxime cristal-
lin. La v-benzoylpyridine est cristallisée; F. 67**; Eb. 315*» sous
*i2 mm.; elle fournit une hvdrazone cristallisée; F. 181-182*» et
■Inaoximes stéréo-isomères, F. 167" et 179". a. corvisy.
Sur la condensation de l'acide a-benzylcinnamiqne (ben-
>ylidène - hydrocinnamiqne) en a-benzylidène - hydrindone ;
^Bistian SCHHIDT (Journ. f, prakt. Cb., t. 62, p. 545-553). —
Pf opération de Fâc. a-benz^lcinnamique. — 246 gr. de benzal-
Hiyde et 377 gr. d'hydrocinnamate de Na sont chauffés à 160",
*' bifore^î avec 1 mol. 3/4 d'anhydride acétique. L'acide brut
'îMenu en versant dans l'eau est purifié par ébuUition avec de
•»'»i; il devient peu à peu solide, on le recristallise dans l'alcool
-'•thyliqnr ; il fond à 158-159".
^^jodensatioa. — On dissout l'acide dans 15 fois son poids de
^>*H* pur, puis on précipite par l'eau. Le produit est recristal-
ii< daoft l'alcool méthylique et répond à la formule C*«H*«0.
640 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGER8.
Ce composé fond à 113-114®. Sa formule de constitution e&t y
suivante :
v/G=GHG«HS
GO
Il fournit, en effet, une oxime C'^AzH'^O f. à 190° et une hydn
zone qui n'a malheureusement pu être analysée.
CH«C«H»
Uacide oi'benzylbydrocinnamique i , F. ^
C«H5CH«CH-C00H
dissous dans SO*H* ne donne pas un produit de condeoH
tion isolable facilement car il ne précipite rien quand on trait
ensuite par Feau. L'auteur s'est contenté de démontrer Fideniil
du produit de condensation de l'acide fi-benzylcwnamique a\i*
celui préparé par Kipping {Joarn, cbem. Soc.y t. 1, p. 480-5<Ji
1894) en condensant l'a-hydrindone et la benzaldéhyde. L'ideoiiï
des produits obtenus et de leurs oximes montre que la conden-i
tion interne de l'acide benzylcinnamique a lieu suivant le schéii
admis par W. v. Miller et Rohde pour les acides hydrocinna
miques a substitués. c. marie.
Condensation des phénols avec les éthers de la série tcé
tylénique (4^ partie). Benzo-r-pyrone et ses homologues; Sief
fried RUHEMANN et Harold W. BAUSOR {Cbem. Soc, t. 71
p. 470-475; 4.1901). — Les auteurs ont repris l'étude de Vacià
benzo-f-pyronecarboxylique obtenu par Ruhemann et Staplelo^
{IJiiU. Soc, cbim.y t. 24, p. 984) par l'action de SO*H« sur \'anè\
phénoxyfumarique. Cet acide fournit un sel d argent anhydrf.^
se combine à AzH^ en donnant un produit de constitution probal/Ii
C02li.G=:CH>v /OH
I >G<
0-G6H*/ \AzH2
qui se dissocie par ébuUition avec l'eau en perdant AzH* et r^t*^
nérant l'acide benzo-f-pyronecarboxylique.
CO«C«H»-C=CH ,,^,
DenzO'^'pyronecarboxylate dcthyle \ >^' •
orist. dans l'alcool étendu en aig. soyeuses, F. 69-70*; se trtfl^
forme. par racliou de AzH^ en Vamide correspondant ^ F. 25^.
CHIMIE ORGANIQUE. 641
L'êdde oMoIuo-y-pyronecarboxylique
K •
^ 2S5-256» fdécomp.) se prépare en déshydratant par SO*H«,
kiïie o.-crësoxyfumarique, sel dAg anhydre; cet acide perd CO*
*r raction de la chaleur en donnant Vo,'tolu(h'(^pyrone aig.
Kolores, odeur aromatique, F. 84-85'', très sol. dans Talcooi
rfçeDlant une fluorescence bleue en sol. sulfurique*
Laeide mMolao-^-pyronecarboxylique obtenu de la même ma-
ître en partant de Tacide m.-crésoxyfumarique, crist. en plaques
n)Jores se ramollissant à 222<> et F. 233-234» (décomp.); cet
Mde perdant CO^ par Taclion de la chaleur fournit la m^-toluo-^-
frooe crist. dans Feau en aig. incolores, d*odeur agréable,
*. ?i-78*, sol. dans la plupart des solv. org.
V!mdep.'tolao"t'Pyronecarboxylique^ F. 258* (décomp.) fournit
•CO-CH
•r perte de C0« la p. -toluo-^-pyrone CH^-C^H^/ m , F. 88-89^
»èctde p.^résoxyfumarique nécessaire pour la préparation de
loie p.-loluo--r-pyronecarboxylique a été obtenu par hydrolyse
e *#>« élher éthylique. Il forme des plaques jaunâtres, F. 197**
Ifamip.). A. VALEUR.
Sur la synthëse de la latéoline ; E. DILLER et St. v. KOSTA-
Vm[D. cb. G., t. 34, p. 1449; 8.6.1901). — Dans une récente
annunicatlon, Tun des auteurs, et Rozycki et Tambor ont parlé
tmie acétone qu'ils avaient considérée comme étant la 2.4.6.8'.4'-
^iotêmélhoxy-benzoylacétopbénoney mais qu'ils n'avaient pu obte-
fr cristallisa. En modifiant légèrement la méthode de prépara-
to de ce produit, ils sont arrivés à l'obtenir sous forme cristalline
**ve an point de fusion de 112-113<^,5; à cet effet, ils chauffent
lia}" le mélange d'éther éthylique de Tacide vératrique et l'éther
*«aéthylique de la phloracétophénone en présence de sodium
l*So*à ce que celui-ci ait disparu. Avec Téther éthylique de l'acide
"««ainiqiie ils ont obtenu dans les mêmes conditions la 3.4,6.3'-
Hnsûéthoxy-4'éiboxybenzoylacélopbénone
'• l%-l(n*. Celte dicétone traitée en solution dans le chloroforme
f«r te oUrite d'amyle en présence d'acide chlorhydrique donne une
»c caw., a» sBn., T. XXVI, 1901. — Trtr. ètrang. 41
:642 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
combinaison isonitrosée qui cristallise dans un mélange d'ad
acétique et d'alcool en aiguilles jaunes, fusibles vers 170*.
Lorsqu'on introduit la dicétone ci-dessus dans de l'acide iodh
drique chaud de D = l,7 elle se transforme en i.S.S^-triméthai
4^'éthoxyfîavone qui, cristallisée dans le[xylène, se présente son-
forme d'aiguilles blanches, fusibles à 222-222<»,5, et dont la sol
tion alcoolique chaude est douée d'une faible fluorescence bits
Il faut fau*e bouillir à plusieurs reprises ce dérivé avec de Tac
iodhydrique de D = 1.9 pour le transformer en lutéoline. U
forme ihtermédiairement un étber métbylique de la Jutéolwf i
les auteurs ont cherché à faciliter la formation pour Tisoler;
jont, à cet effet, en chauffant la trimélhoxy-éthoxyflavone «^
parties égales d'acide acétique et d'acide iodhydrique obteou
produit identique à celui qu'ils avaient observé comme pnxi
secondaire de la préparation de la lutéoline, produit crisUill
en feuillets F. 270** et dont l'analyse correspond à celle d'un èl\
monométhylique de la lutéoline. D'après ses propriétés linclonj
les auteurs sont conduits à admettre qu'il constitue la S-métho}
1 ,-3\4^'irioxyilavone. p. revshdl\.
Sur un isomère de Tapigénine; St. v. KOSTANECII
F. WEBEL (Z?. ch, C, t. 34, p. 1454; 8.6.1901). — Les aule
ont condensé l'éther éthylique de l'acide éthylsalicylique il
l'éther triméthylique de la phloracétophénone en présence
sodium métallique en chauffant le mélange à 120^ jusqu'à dH}4
tion du sodium et ils ont ainsi obtenu \ei2.4,6'lriméfhoxy'^'étbai
benzoylacétophénone (CH30)3C«H».CO.CH«CO.C«H*.OCW \
cristallise en longs prismes, F. 112*', dont la solution alcooli<{
est colorée en rouge par le perchlorure de fer. Celte cétone i»oi
rait donner par fermeture de la chaîne deux trioxyflavones i^
mères, soit la 1.3.2' et la 2'.4'.6' trioxyflavone. En réalitr
auteurs en la chauffant pendant plusieurs heures à l'ébullil
avec de l'acide iodhydrique n'ont pu retirer des produits (ie
réaction que la i,^,2!^trioxyflavone
Ce dérivé facilement soluble dans l'alcool, moins facilemeot t'^
Tacide acétique cristallise en aiguilles faiblement coloré^*!»
CHIMIE ORGANIQUE. 648
jâune, F. 281**. Il esl facilement soluble dans les alcalis avec une
•.'oolenr jaune verdâtre et se colore en jaune lorsqu'on Thumecte
»?ec de Tacide suHurique concentré. Son dérivé triacétylé est en
ailles soyeuses, F. 178*.
!in chaufTant la trioxyflavone en solution alcoolique avec de la
potasse caustique ei de Fiodure de méthyle on obtient la 8.2^-
éiaétboxjr-i'Oxj^/lavone C«5H'ïO«(OCH3)20H, F. 154-156% dont le
àéhvé acétylè esl en aiguilles blanches, F. 96-97®.
VjàSJf-'diéthoxy'l'OxyûaYone préparée d'une manière analogie
Cfcl plus facilement soluble dans Talcool que le dérivé méthoxy-
lM|iie et cristallise en aiguilles jaune pâle, F. 108-110**. Son dérivé
•céiylé est en aiguilles blanches. F. 120-122*.
Lorsqu'on chauffe avec précaution la SA.ô'triméthoxy'S^-éthoxy-
heDzoyiacétopbénono avec l'acide iodhydrique, la fermeture de la
tbaloepeut avoir lieu sans que Téther neutre de la 1.3.2' trioxy-
tUrone soit décomposé; on obtient donc dans ce cas la LS-diiné-
iboxy^S^tboxyflavone C«5H"ïO«(OCH3)«(OC«H») qui cristallise dans
falcool en aiguilles blanches, fusibles à 164-165**. f. heverdin.
STiithése de racétopipérone ; W. FEUERSTEIN et M. HEIMANN
•/). cb. C, t. 34, p. 1468; 8.6.1901). — Les auteurs se sont pro-
Y^ de faire la synthèse de Vacétopipérone
(3)
<:>
CHK >C6H3.CO.CH3.
(1)
ti ils y sont arrivés en partant de V acide pipéronylacrylique ; cet
•nde décrit par Lorenz fournit des éthers bien cristallisés qui
«wrtrairement à ceux de l'acide cinnamique ne possèdent qu'une
*tetir très faible. Véther méthylique cristallise dans Talcool
"tiéthylique en gros feuillets, F. 68-69*», Véther étbylique en
ïûngues aiguilles, F. 67-68**. L'acide pipéronylacrylique a été
ïaûâfonné en dibrowure par l'action du brome sur sa solution
'tlorolormique et ce dibromure chauffé au B.-M. avec une solution
•le carbonate de soude a donné du méthylène-dioxy-bromstyrol
*T^*<Q>C«H*.CH:CHBr qui cristallise en aiguilles blanches,
*'- 59». Celle substance est facilement soluble dans l'alcool et
fetber, elle est volatile avec la vapeur d'eau et possède une
<*fciir d*anis; l'acide sulfurique concentré la dissout en rouge
*>)H. Chauffée a 125-180** avec de la potasse humectée d'alcool
644 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
elle fournit le pipéronylacélylène qui a été isolé sous la forme <k
sa combinaison avec Targenl.
La combinaison de pipéronylacélylène et d'argent, encore huroid<
additionnée d*une petite quantité d*alcool, traitée par un lép
excès d'acide chlorhydrique, puis chauffée peu de temps au B.-i
donne Vacétopipérone ou éthar méthylénique de racétoppvcêk
chine qui cristallise dans l'alcool étendu en feuillets blancs, F. >fî
88*. L'acétopipérone est difficilement soluble dans l'eau, trèsf«cil<
ment soluble dans l'alcool et possède une odeur agréable. DJ
donne uno phénylhydrazone, F. H3*.
L'acétopipérone peut être combinée aux aldéhydes ; les auteai
décrivent la combinaison qui résulte de sa condensation avt
l'aldéhyde salicylique, soit la â-oxytenzal-acétopipirone
(2) (40
C6H*< ^CH . CO . C«HK >CH2 .
\GH'^ (10 \0/
(1) (30
Cette substance cristallise dans l'alcool en aiguilles jaune
F. 162-163®. L'acide sulfurique concentré la colore en rou^j
orangé. f. revcudcv.
Sur la théobromine, la caféine et leurs sels ; Th. PAUI
[Areb. d. Pharm., t. 239, p. i8-91 ; 8.2 et 25.3.1901). — La thf^
bromine et la caféine qui se comportent, en solution aqueuH
comme des bases faibles vis-à-vis des acides forts et, vis-à-vis M
bases fortes, comme des acides faibles, apparti('unent à la clas^
des électrolytes amphotères ; c'est à ce titre que, dans la th^ri
de la dissociation électrolytique, elles peuvent donner naissancf
des ions oxhydrile négatit (ions OH), tout aussi bien qu'à des ion
hydrogène positif (ions H). Il se peut en outre, que ces deux m
dérivent simultanément d'une même molécule, qu'il en résulte u
milieu à double charge, positive et négative à la fois. Dans wi
quantité donr.ée de HCl aqueux, la théobromine sohde se dissoi
jusqu'à ce que la proportion des ions positifs théobromine i
hydrogène atteigne une valeur déterminée, dépendant du volun
de la solution, mais indépendante de la concentration de Tacid*
Dans une quantité donnée de lessive de soude aqueuse, il ^
dissout de la théobromine solide jusqu'à ce que la proportion da
ions négatifs théobromine et oxhydrile atteigne une valeur dépefl
dant seulement du vol. de la solut., mais indépendante de lacoo
centration de la lessive alcaline. La théobromine se dissout dtfj
CHIMIE ORGANIQUE. 6i5
H*Q, à iS», dans le rapport 1:3282; 1 lit. Se sol. sat. renferme
!K,3047^= 0,00169 mol.; une raoléc. est donc contenue dans
â<H'**,4. L*duteur donne également les proportions molécul. de
bmte reofermées dans HCl et NaOH aqueux à différents titres. La
MiiducliLiUlé électrique molécul. des sol. aq. sat. de théobromine
aaeîat 0,9 à 18% déduction faite de la conductibilitespecif.de H^O
employée pour la solut. Cette conductibilité n'est limitée que par
hi dissociation acide de théobromine. La constante de cette disso-
ciation correspond à peu près à celle des crésols; elle est environ
100 f#is plus faible que celle de l'ac. urique. La dissociation
htsique du chlorhydrate de théobromine donne une constante
ladiquanl que cette hase est 40.000 fois plus faible que Taniline*
40 fois plus faible que la bétaîne qui appartient également au
içroupe des électrolytes amphotères. — La constante de dissocia-
tion des solut. acides est environ 1 million de fois plus grande que
<^e de la dissociation basique. La diminut. de conductibilité en
aolut. alcaline s'explique par la stabilité relative des sels. La théo-
kromine possède donc des propriétés basiques plus faibles que la
fttoine, mais des propriétés acides plus fortes que cette base.
*- D'une façoo générale* les déterminations de solubilité des
sobstances peu sol. seront avantageusement utilisées pour la
Mesure de l'hydrolyse de leurs sels et le calcul de leurs cons-
lûtes de dissociation. à. desgrsz.
Une noQTella réaction colorée de ramygdaline ; E. R. DEA-
OiMiChem. News, t. 83, p. 271; 6.1901).— -L'amygdaline, traitée
f*r quc'lques gouttes d'acide sulfurique concentré, donne nais-
(■i^ à une brillante coloration carminée qui se détruit par addi-
b^d'etU. À. HÉBERT.
Botage de U cocaïne; W. GARSED et N. COLLIE (Proced.
fUm, Soc., t. 17, p. 89). — Cette méthode consiste à précipiter
ta cocaïne sous forme d'iodhydrate de biiodococaïne, elle s'ap-
Mm*»^ a la cocaïne libre, mélangée d*ecgonine et de benzoyl-
«^oûiûe. La solution de cocaïne, ou de Tun des sels au 1/10® est
alitée par un excès de solution N/10* d'iode, il se forme un pré-
npiif d'iodhydrate de biiodococaïne, répondant à la formule
•'''T1**A20*.HL1*, ce précipité peut être séparé, lavé, séché et
P*»é. nuûâ il est plus simple, de déterminer la quantité d'iode non
•^Mfbé au moyen de la solution N/IO* d'hyposulfite, la différence
♦•»<« le volume d'ode introduit, et celui de l'hyposulfite donne la
^••Btilé d'iode absorbée, d'où l'on déduit la teneur en cocaïne,
L
646 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
sachant que 2 atomes 1 correspondent à une molécule de cocàiflf,
La présence de la benzoyl-ecgonine et de Tccgonine, rendent 1<:
dosage peu exact, mais on les élimine facilement, en profitant de
rinsolubilité de ces deux bases, dans Téther de pétrole qui dissoul
au contraire facilement la cocaïne. Cependant les auteurs n'onl pas
appliqué la méthode, au cas d'un mélange, de cinnamylcocaîuf,
isatropylcocaïne et autres combinaisons, qui se trouvent dans it>
feuilles de coca. a. causse.
Sur la présence de Tôther méthylique de Tacide métbjl-
anthranilique dans ressence de mandarine ; Heinrich WAL-
BAUH {Journ. f. prakt. Cb., t. 62, p. 135-141). — L'essence df
mandarine (5 kilogr ) par agitation avec SO*H* à 20 0/0 cède n^
corps basique qui mis en liberté par un alcali bouta 130-181* <H
se solidifie à 18**,5-19°,6 ; son analyse et celle de l'acide qui ffl
dérive, F. 178-179" coïncident avec celle de Téther méthyliquJ
d'un acide méthylanthranilique.
Traité en tube scellé par HCl i'acide perd C0« à IBO-nC vi
fournit la monométhylaniline, Eb. 192* donnant avec le chlorof^
d'acétyle la méthylacétanilide, F. 101*. L'acide est donc un acid^
méthylamidobenzoïque contenant CH' dans le groupe AzH*. U
point de fusion 127** du dérivé nitrosé, celui du dérivé acélylé lâil
montrent que cet acide est identique avec l'acide
/AzH-CH3(l)
G«HV
\C00CH3 (2)
de Fortmann {Ibid, t. 62, p. 123). c. marie.
Sur l'essence d'oranges douces ; Karl STÉPHAN (Joura. ^
prakt, Ch., t. 62, p. 523-535). — Cette essence se compose M
point de vue quantitatif de 96 0/0 de terpène, 1 0/0 de composd
oxygénés et 3 0/0 d'un résidu cireux constitué vraiseaiblableïneo|
par un mélange d'éthers. Par saponification, on en peut extraire a<
acide f. à 77-78** correspondant à peu près à l'acide cèrotiqat ej
un corps C«8H*»0« f. à 138*> donnant la réaction de Lieberman^
et voisin sans doute des phytostérines.
La partie oxygénée 1 0/0 a été analysée et se compose de :
/?-AI(léhydc décylique 5.7 %
/ï-Élher caprylique (G»0H"OOC«U»5j 8.5
w-Alcool nonylique 7.0
f/-Tei-pinéol S9. 4
(/-Linalol (cariandrol) 39. \
CHIMIE ORGANIQUE. 647
Las quatre premiers de ces corps sont signalés ici pour la pre-
Qière fois comme faisant partie de l'essence étudiée, à laquelle
•^ donnent son odeur caractéristique. c. marie.
Contribation à la connaissance dn lichen et de ses consti-
Atnts caractériatiqnes ; 0. HESSE (Journ, /. prakt. Ch,, t. 62,
'. Sii-863). — I. L'auteur donne pour V acide d.-usmque le point
te fusion 196*; il décrit les sels de potassium des acides d.^ 1, et i.
isaïques et indique ce dernier sel comme permettant de carac-
mser facilement l'acide dans la nature. Il ne contient que une
iiolécule d'eau (C««H«0''K+H*0) alors que les sels d. et /.
^ntieoneut 3H*0.
Les sels de sodium A, d, et /. contiennent tous 2H*0.
L'acide d. usniqne donne avec l'anhydride acétique un anhy-
•ride CWH«0" F. 189.19i».
L'étude d'un grand nombre de lichens a montré à l'auteur qu'ils
« contenaient pas d'acide L-usnique^ mais seulement l'acide d,
i dans quelques cas l'acide A
U. L'auteur passe en revue différent lichens au point de vue
V^ corps qu'ils renferment; le candelaria concolor contient outre
tohydride de Yacide pulvinique une certaine quantité de caly-
^f*; le candelaria vitellina fournit de la calycine et de l'acide
itbripulf inique; le siicta aurata contient un corps décrit déjà par
ïopf, la sticlaurine^ F. 2ii-212®, et en outre de la calycine et de
l'tade éthylpulvintque; le siicta desfontainii munda donne une
*ibstance rouge cristallisant dans l'acide acétique bouillant, fon-
-^t à 232* et donnant par ébuUition avec Talcool de la calycine et
fc facide éthylpulvinique.
Le cëljreium cblorellum ou cblorinum contient de grandes
'faolités A* acide vulpinique et des traces de léprarine ; le calycium
hytm contient de la calycine et Facide cbripocétrarique C*^H**0* ;
*^f^tîum tigillare contient V acide rhizocarpique déjà signalé et
•n «lire un acide nouveau Yacide acolique^ acide soluble dans
*^er, cristallisable en aiguilles à 6 pans. Il fond à 176"* et se
*^^\A dans C«H«, ou CHCl^ bouillant, mais peu à froid. Sa solu-
>m akoolique rougit le tournesol, se colore par Fe'Cl^ en rouge
!^*T»re. mais non par le chlorure de chaux. Sa solution dans
*^0H est incolore, par CO'K', elle précipite le sel de K peu
^''^ble HK). Le sel ammoniacal est également peu sol. à froid
*ueiqtte celui de Ba. Le manque de matière a empêché une élude
t'î* complète.
648 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
III. Les difTérentes variétés de ce tr aria islandica cooiieo&at
un acide, V acide ptotocétrarique qui sous l'influence d'alcalis oa
de carbonates alcalins se dédouble suivant Téquation :
C30H220Ï5 ^ H20 = G26H2oo»2 + C*H*0^
Acide Acide Acida
protoeétrariqae. cétrarique. famariqoe.
Outre cet acide, ces lichens donnent un acide licbeslénniia
brut dont on peut retirer trois acides différents :
Acide a-Iiobestérinique. — Son extraction est fondée sur Tin*^
lubililé de son sel ammoniacal; il forme de petits prismes bland
en cristallisant de l'acide acétique bouillant; dans l'acide acéiiqu
étendu il donne de belles ieuilles brillantes f. à 122*1^^
(a)|^=-j-27^,9. Il ne contient pas de groupe OH phénoliquc* i
répond à la formule C^^H^^O* ainsi que le montre l'analyse de «*
sels de K, d'AzH*» de Ba et d'Ag. On a obtenu son étber mëi^
Jique; aiguilles incolores, sol. éther (F. 50*»,5) et élhyliqa
(F. 29-30*).
Lichestroae. — L'acide a-lichestérinique bouilli avec Ba^OU
perd 00* et donne la lactone, feuillels gras f. à 83-84*, solubl
dans les solvants usuels et inaclive. Elle se forme d'après Téqui
tion
Ct8H30O5 = C"H^03 + C02.
Ac. licbestronique. — Prend naissance en même temps quel
corps précédent et reste combiné à la baryte employée; cet acjd
forme des prismes, sol. alcool, étber, benzine, chloroforme;
fond à 80* et est inactif. C'est un acide monobasique : il se foim
d'après la réaction
CnH30O3 + H20 = C"H320^
Le sel de Ba est un précipité cristallin ré[)ondant à la formule
(G"H«0*)2Ba + 4H20.
Ac. P'Iicbestérinique. — Il reste en solution quand on préci|ut
le sel d'am. de l'acide a, il forme des agrégats cristallins ou ik
feuillets f. à 121*; (a)^=-f-27*,9. Il répond à la formule C«*H»CH
et fournit par la baryte les mêmes produits que Tac. a.
Ac. y-licbeslérinique, — Il se distingue du précédent p«r soi
sel de Ba qui est insoluble et répond à peu près à la fonnoi<
C«»H««0»Ba.
CHIMIE OHGANIQUE. 649
Ac. para-licbetiér inique. — Provient du lichens de Brocken et
•/astitue presque entièreraent Tacide du sel de Am insoluble
tjt«au dans la préparation. Il fond à iSS"" et répond à la formule
En outre on retire de ces lichens encore deux acides, moins
âen étudiés, Tun C**H'<>0 est sans doute un polymère de Tun des
«ides précédents, il fond à 152^ ; l'autre acide est Vacide dilicbes^
triniquCy il s'exlrait de Tacide lichestérinique brut par Taction
ie Ttcide acétique dans lequel il est à peu près insoluble. Il fonda
f7l*, répond à la formule C*«H^O*o et en solution chlorolormique
on pouvoir rolatoire (a)^ =-j- 15*,2. Ses sels de Na , AzH* et Ba sont
ftfOlubleS H*0, G. MARIE.
Contribation à la connaissance des lichens et de leurs prin-
ttptnx constitnants ; 0. HESSE (Journ. /. prakt, Cb., t. 62,
|. 480-480). — Dans les différentes espèces d*Usnea Tauleur a
trouvé les acides usnarique et plicatique. Le premier de ces acides
»e fournit avec HI, suivant la méthode de Zeisel, aucun iodure
kk-oolique; avec les alcalis il perd de Tacide carbonique et donne
SIes corps bruns amorphes. Avec Tanhydride acétique on obtient
u dérivé acétylé mais dont Tanalyse ne permet pas de fixer la
IbnDule. Quant aux sels ils sont instables ou gélatineux et ne se
prêtent pas à la détermination analytique.
Vacide plicatique recristallisé dans Talcool bouillant, forme des
leuilleti» f. à 133", sol. alcool, acétone et éther, insol. ligroïne
ci eau. L'analyse et la détermination de Tacidité mènent à
OHmO»OCH». L'acide est sol. facilement dans AzH», il donne
4^ec BêCl* un sel de Ba, C"H»*0»Ba.
Oe Vusnea barbata var. dasypoga ont été extraits les acides
^--uMainiqoe^ usnarique et un acide nouveau, Tacide alectorique
fcooootré surtout dans Y Alectoria jubaia. Cet acide forme de fines
•tailles incolores, f. à 186^, peu sol. dans les solvants usuels. Il
a* doane aucun iodure avec HI ; l'analyse du sel de Ba conduit à
•>H»0«!^Ba.
^s le Ramalina cuspidata on trouve un acide nouveau
***WH)»^, Tacide cuspidatique, aiguilles f. à 218<>, sol. éther, acé-
*»eel alcool, et contenant une mol. H*0.
U Tbamaolia vermieularis fournit Tacide thamnolique
G'WiQtVOCH» déjà connu, f. à 213% donnant avec Ba(OH)« Vac.
^^oliaique C^^H^K)*», longues aiguilles f. à 163% sol. alcool.
*"**»«'. «c. acétique.
650 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
Dans le Stereocaulon coralloïdes on a Irouvé de VêtroDonm
f. à 187®, et un acide non déterminé encore mais différent delVi^J*
parellique ivon\é par Zopf dans ce lichen.
Du Stereocaulon salazinum a été extrait Yacide salaziniqui
agrégats cristallins noircissant à 260-262"^ sans fondre.
Le Cladonia Floerkeana donne un peu d'ac. tbamnoUque et !*•
Coccelîique déjà connu, donnant par Ba(OH)* Yac. coccelUnifn
CloHiSQ*, f. à 176-177*» en même temps que Yac, rhizoninique.ù
dernier, avec HI, fournit C0«, CH»1 et CsH^^O», le Bétoreiool i
à 162«.
Dans le Cladonia ïimbriata on a retrouvé Yac. protoeétrariqw
La variété iincinata contient un nouvel acide, Yac, uDcinatifi
G«3H«80», f. à 212. ,
La variété synamosa contient Yac, synamaiique^ f. à 215*, so|
ac. acétique.
Dans les espèces et variétés ParmeRa^ fuliginosa, sorediii
perfoUata, perrata^ on trouve principalement Yac. lécanorique: ij
variété tinctorum eu contient même 28«',58 0/0.
Les variétés panniiormis et sulcata, du parmelia suscaiili
contiennent (ie Yac. protocétarique C3<>H**0**.
Acide usnctinique. La nouvelle formule de cet acide e«
C«4H*«0® au lieu de C*H*<>0^ proposée antérieurement; cet aciti
est le même que Yacide sléréocaulique de Zopf; il donne avej
Ba(OH)«, CO* et C«H«80T Yusnéiol aiguilles f, à 166».
Conformément aux indications de Zopf [Ann. Chem.y t. 30É
p. 846), le Parmelia acetabulum renferme de Yatranorine et I «
salazinique.
Ac. Gyropborique. — Cet acide se rencontre dans Vumbilicàrt
pustulata; il répond à la formule C*«H**0"' qui en fait un isomèrt
de l'ac. lécanorique. Il ne contient pas de radical alcoolique; J
fond à 200-202*», il se dissout dans Talcool et surtout dans Pacélooe
il est inactif.
Bouilli avec ac. acétique il fixe H*0 et donne Yac. orseUiniqo\
C^H^O*. Suivant Tauteur sa constitution doit correspondre à Tuni
des deux formules suivantes :
OH OH CH3 CH3
go2h/ \o-co/ \o\\ ou C02h/ \o-co<([^"^otl
L'acide lécanorique aurait également Tune de ces deux fonnH
sans que Ton puisse décider laquelle de ces deux formules xesiM
CHIMIE ORGANIQUE. 651
rliaciui de ces deux acides. Dans les Placodium gypsaceum et
freimium, on trouve seulement Vac, parelUque f. à 262-264*».
Lebbstenia areaaria renferme seulement Y acide gyropborique,
\ 100-10! •.
Vbàmalanima venlosum contient Vac. d.-usninique et Vac. diva-
iBUiqae, F. iâO*.
Vûspicilia calcarea renferme un corps neutre f. à 178*, 5, Vaapi-
iffficsoL alcool, ac. acétique, CHCl^ et C^H® et deux acides, Vac.
ryîhrmique C'^H^'O*^^ et Yac, oxalique^ celui-ci combiné en
iftjeure partie à la chaux.
Le keidea grisella contient de V acide gyropborique et le grapbis
trifia une quantité importante d'ac. aalaziniqae C^oH^^O*^.
C. MARIE.
«
Coatribotion à la connaissance des Simaroubôes. I. Sama-
«raiadica; J. L. B. Tan der HARCK [Arcb. d. Pbarm,, t. 239,
-.96-114; 25.3.1901). — Etude botanique de la plante (systéma-
ique et htstologique). — Les semences renferment une huile
issse; une subst. album, sol. dans H*0 et C*H«0; du sucre do
lane; un sucre réduisant directement la liq. de Fehling; de
'oosite; une substance amère cristalline, de formule probable
?W*0««, se colorant en violet par SO*H*, substance plus toxique
leur les animaux à sang froid que pour les animaux à sang chaud.
L'^orce contient également cette dernière substance, et, de plus,
«dérivé de Tanthraquinone; différents tanins et une forte pro-
lOrtion de sels minéraux. Le bois renferme un corps de saveur
ttwre, cristal, en prismes jaunes rhomboéd. et une deuxième
wtelince amère, présentant les plus grandes analogies avec la
^aaasine. a. desgrez
Sv la composition etla Talenr des vins de raisin sec; A.
KIIEE6AHS {Arcb, d. Pbarm^A. 23«, p. 91-96; 25.3.1901). —
l*"auleur commence par quelques considérations générales sur la
i^tparation des vins de raisin sec. Leur compos. varie, pour
"ïloooK de 5.89 à 11.42 0/0 en poids, soit de 7.42 à 14.39 en vol. ;
^ aolres mat. constituantes sont Textrait, 2.21 à 8.18 0/û; les
c»ï. mioér., 0.24 à 0.30 0/0; les acides libres, 0.64 à 0.78 0/0
**t addes volai., 0.12 à 0.15 et non volât., 0.38 à 0.67); la crème
•^ tartre, 0.17 à 0.49 0/0; la glycérine, 0.50 à 0.86 0/0; PO^H»,
"1^ a 0.44 0/0; enfin SO*H«, 0.13 à 0.027 0/0. Le rapport do
'ft^oolàla glycérine oscille entre 100:7.53 et 100111.88 (moy.
1*^19.38). La teneur en extrait, après séparation des acides non
L
«H ANALYSE DBS TRAVAUX ETHANGEHS.
volât, atteint, au minimum, 1.53 et, au maximum, S.6^(iaoj-.l.t4
après sépation de tous les ac. libres, le même extrait varie de IJ
à 2.47 (moy. 1.85). Le rapport de l'extrait aux cendres vaneA
100:7. 85 à 100;il.92(moy. 100:i0.21). Celui des cendres iiPtX
varie de 100:7.69 à 100:i8.80 (moy. 100:11.29). L'ac. lartri^
libre n'a été trouvé que dans deux des vins analysés, à l'état 4
traces seulement. — On sait que les vins de raisin sec oe j/i
sentent pas de bouquet en frénéral. Ce fait tieni à ce que les alori
supérieurs et les acides qui engendrent ces bouquets ne se fonsM
plus dans la fermentation des raisins secs. D'accord avec Schaâ
deberg, l'auteur considère l'absence de bouquet comme ta
qualité avantageuse du vin, au poinLde vue de l'hygiène.
A. DB&GRKZ.
CoDtriliution à l'étude de la chlorophylle ; I>. HARCBLEW81
et C. A. SCHUNCK (Journ. i. prakt. Ch., t. 62, p. 847-265.-
a) Les auteurs discutent les résultats publiés par HarUey (Cia*
Soc, t. 59, p. 106) et pensent que son mode de préparalil
altère le produit; la chlorophylle ■ bleue • de cet auteur ne iien
donc pas la chlorophylle mais V alkachloi'ophylle.
b) La méthode de Hurtley permet de montrer qu'il existe à eût
de la chlorophylle ordinaire une chlorophylle dont le spectre d'^
sorption correspond bien pour les parties réfrangibles au speca
décrit par Hartiey pour sa chlorophylle c yau/te » maïs en diO^
pour les parties réfrangibles.
c) Les auteurs donnent un essai de préparation de chloroph>'tt
pure et décrivent le spectre fourni par le produit obtenu.
d) Action du brome sur la phylloporpbyriae et Ibématopoî
pliyrine. — Ces deux corps en sol. alcoolique sont traités par l'ei
de brome, on obtient ainsi des solutions vert olive presque &cm
blables qui fournissent des spectres d'absorption (voir les dessiaj
eu mémoire original) difTérenls de celui de la phylloporphyTine. '
L'action de l'eau de Br sur les solutions alcooliques de c«& pn/
Hiiiisi «tst graduelle el les auteurs étudient les changements saf,
apportés aux spectres par l'adjonction de quantités croi'l
le réactif; quant à la nature même de la réaction toxydaU'H
îlitution) elle encore indéterminée. c. maiub.
•.ian chimique dn bacillos coli commanis et des orgi>
I Bimilairea sar les hydrates de carbooe et leurs coni
Arthur HARDEN [Clwm. Soc, t. 79, p. 610; &. ttWli. -
ir a constaté que le baciltuseoli commanis fait fenneDter H
CHIMIE ORGANIQUE. 65^
en produisant environ la moitié diacide lactique, de Talcool
M acides acétique et carbonique, de l'hydrogène et de petites
osntités d*acides succinique et formique. L'acide lactique obtenu
9t 110 mélaoge d'acide inaclif et d'acide gauche.
Les produits de fermentation du glucose par le b, typhosus sont
nilalres à ceux produits par le b. coli communis^ mais l'acide
irmique y remplace le mélange d'acide carbonique et d'hydro-
toe.
Le rf.-fnictose enprésence du b. coli communis donne les mêmes
foduits de fermentation que le glucose ; le /.-arabinose et le (/.-
ilactose produisent également de l'acide lactique gauche.
Le roannitoL dans les mêmes conditions, donne une plus grande
Oiintité d'alcool (28 0/0) et moins d'acide lactique et acétique que
laa la fermentation du glucose. La production d'alcool semble
♦pendre de la présence du groupe CH*OH.CHOH.
Ed présence d'acide aspartique comme aliment azoté, la iermen-
tfion a lieu de même, mais la majeure partie de l'hydrogène pro-
uii est employée à réduire Tacide aspartique en succinate d'am-
lUQlUin. A. HÉBERT.
Oxydation bactérienne des formiates par les nitrates ; Walter
ftirlet Cross. PAKES et Walter Henry JOLLTHAN {Cbem. Soc,
-W, p. 159-461; 4.1901). — En cultivant le B, coli communis
\u^ un milieu renfermant : extrait de viande peptone (1 0/0), sel
*uiD f0,5 0/0), fcrmiate de sodium (1 0/0) et nitrate de polas-
Bamd 0.0), les auteurs ont observé qu'il ne se produit aucun
lé»/«gement de gaz, mais ils ont constaté la production de bicar-
toute et de nilrite de sodium, ces résultats peuvent être repré-
«niés par réquatton :
HCO^Na + AzO^Na = CO^NaH + AzQSNa.
!** ^'expliquent par la propriété que possèdent ces micro-orga-
>Hoieâ de décomposer l'acide formique (formiate de sodium) en
ÛO*-i-H* et d'autre part de réduire les nitrates avec mise en
uberté d*oxygcne; ces réactions se superposent dans l'exemple
«< |>h» haut.
Eq opérant non plus en présence d'un excès de nitrate, mais de
tvmtaitf de sodium, il y a production de CO* et Az; le rempla-
cement du formiate par le d.-glucose donne heu aux mêmes phé-
u<>mtae$. Le B. enteridiiis de Gartner et le pneumobacillus de
L
654 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEIlb.
Friedlander se comportent comme le B. coli communis.ht
pyocyaneus au contraire décompose le nitrate mais non le fc
A. VALClli.
La matière colorante de la betterave rouge et son 8|
d'absorption; J. FORHANEK (Jouru. f. prakt. Ch., t. 62, p.tl
314). — Description du spectre d'absorption et de sa vai
sous rinfluence de difTérents réaclifs; l'auteur n'a pu parv<
isoler la matière colorante rouge à cause de sa grande altéi
C. MARO.
Sur la chaleur de combustion de quelques huiles comiDi
ciales; H. C. SHERHANN et J. F. SNELL (Am. eh. Sor.^ù
1901). — Les chaleurs de combustion ont été déterminées
une bombe calorimétrique du type Atwater-Blakeslée, les cti
tantes ont été calculées en fonction du poids et de la chaleur
cifique des matériaux composant l'appareil, et vérifiées par la
bustion de composés connus. 1 gr. de sucre de canne dégageai
brûlant, 3959 calories, trois déterminations faites sur Tacide
zoique ont également donné 6.322 calories pour 1 gr. de c^l a(
Ces déterminations s'accordent avec celles de M. Louguinine.
Les chaleurs de combustion représentent la moyenne de
déterminations et parfois de trois, les écarts observés ont éi
4^0,12 0/0 soit 11 calories, dans trois cas cependant lesdifTérei
ont été plus élevées et ont dépassé + 0,25 0/0; l'huile de h
donné une différence de + 0,39 0/0 dans une première expérù
et — 0,31 0/0 dans une seconde, également l'huile de colza,
pétrole.
Les résulats obtenus représentent les chaleurs de combuslioa
à volume constant, pour les transformer en chaleur de combu?li4)
à pression constante, on doit ajouter pour les corps solide? t^
liquides composés de C. H. O, le nombre de calories déduit de i
formule ( Va/^ — îin calories par gramme ; dans laquelle p— P
q=Of M = poids molécaire de la substance, T :^ tempéralur
absolue du calorimètre. Les facteurs de transformation cooct*!
nant les principaux constituants des huiles à 20® ont i*té déiiuii
de la composition élémentaire; d'où les auteurs ont tiré les corps
tiens suivantes, pour les huiles analysées. Pétroles américaii^
22 calories, blanc de baleine 18 calories, huile de ricin et de tèfis^
14 calories, huiles cons-stant essentiellement en glycérideâ ii^
acides gras monocarboxylés 15 calories.
CHIMIE ORGANIQUE. 655
Suit un tableau qui comprend l'analyse de 40 échantillons
bulles diverses.
Pour effecUier la prise de Féchantillon les auteurs lonl absorber
liuile par de l*amiante, qui est ensuite placée dans une nacelle de
Uiioe, et enflammée directement dans le calorimètre.
Outre les chaleurs de combustions à volume constant et pres-
kin coQslaate, ils ont joint, la densité à -[- 15'', le dosage des
L-jdes libres exprimés en acide oléique, et Tindice d*iode.
De leurs recherches sur Faction de la lumière et de Tair sur les
'itles il résulte que la densité est particulièrement affectée,
lodisque la chaleur de combustion ne varie pas sensiblement.
H. CAUSSE.
Adolf Clans ^notice nécrologique) ; G. N. VIS {Journ. /. prakt,
:A.,t. 62. p. 127.134.
Réactions colorées des aloés; E. HIRCHSOHN (Pbarm. Zeit.,
. 46, p. 117). — L'auteur a fait une étude critique des nombreuses
^u^tions qui ont été proposées pour rechercher et caractériser les
èoes, et donne la préférence aux essais suivants :
10 ce. d'une solution aqueuse d'aloès au 1/1000* est successive-
aenl additionnée d'une goutte de CuSO* au 1/10* et 1 goutte de
HH)*, puis chauffée, il se développe une coloration rouge groseille
iftteDse dans le cas de Faloès du Cap et de Taloès hépatique, et de
ipelques autres variétés, la présence de l'alcool, des acides orga-
tiiques, des alcalis gène la réaction; toutefois Tacide acétique est
Mins action. Si Ton remplace H*0' par 1 goutte de ferricyanure de
K au 1/15*, on obtient une coloration rouge brun, ou rouge gro-
•^ille; par ébullition du mélange il se forme généralement un pré-
Hfiité, el le liquide qui le surnage est jaunâtre; avec les aloès de
*^iiraço, des Barbades, de Zanzibar, et du Natal, il est rosé. Si Ton
Mibslitue au ferricyanure, le sulfocyanate de K, au 1/15'; ou le
tJttroprussiate de Na; les aloès de Curaço, et des Barbades donnent
« froid une coloration rouge, qui augmente d'intensité en chauffant.
l 'aloès du Natal, se colore en rouge par ébullition avec le borax.
*>s réactions ne s'obtiennent pas avec les solutions anciennes
'f ilûès, non plus qu'avec la teinture ancienne de la môme drogue.
H. CAUSSE.
Composition de gelées et confitures; H. TOLHAN, S. HUNSON
hD. BIGELOW (Am, cbeoi. Journ., 5.1901;. — Les auteurs ont
'*»b(mi préparé eux-mêmes des gelées et confitures, avec des
îniite se rapprochant autant que possible de ceux dont se sert
056 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
l'industrie, et chauffant à rébullilion pendant 30', parties éga^
de jus de fruits et de sucre de canne. Ces préparations ont
analysées, et les résultats obtenus comparés avec ceux que doon
les produits commerciaux, forment un long tableau.
La méthode d'analyse consiste à dissoudre 50 grammes de pm
duit dans Teau distillée, on amène ensuite au volume de 500 <q
Cette solution sert à la détermination de Textrait, des cenlres, ■
l'azote total, du sucre de canne et du sucre réducteur.
H. CAUSSE. I
Dosage de Tazote organique fertilisant, dans les enfiil
commerciaux; John Ph. STREET {Am, cbem. Journ,^ 5.1901).-
L'usage de plus en plus répandu des engrais org'anique^ |
conduit les fabricants à employer des substances très variées poo
la fabrication des engrais, telles que sang et poisson dessécha
débris de laine, rognures de cornes et de cuir, tourteau de cola|
et de lin.
Pour déterminer la quantité d'azote fertilisant qu'ils renfermrni
on suit divers procédés, l'un deux ou méthode à la pepsine c4ilo^
hydrique, consiste à chercher la quantité de matières albuminoidd
solubilisées par digestion pepsique. Des essais comparatifs eUtc
tués dans des terres amendées par divers engrais organiques, <i
la digestion pepsique, ont donné des résultats satisfaisants pou
le sang, la viande de poisson, la poudre d'os, la laine, mais tra|
faibles pour la corne.
Le second procédé généralement employé dans les slatioa
agronomiques, et dû à T. Hayes comprend un traitement à Tandi
sulfufique, suivi d'une digestion dans l'eau de baryte, et de Tac
tion de K'Mn*0® en solution neutre, alcaline et acide, et que Van
teur a modifié comme il suit :
Un poids de matière représentant à peu près 0,075 d'azote t^
versée dans une fiole d'Erlenmayer, avec 100 ce. d'une solutioi
de K*M*0® à 1,6 0/0; le mélange fréquemment agité est chauffi
sur un B.M. bouillant pendant 30'^ puis on filtre, on lave aMS
1:25-150 ce. d'eau. Le résidu est séché, et on dose l'azote lot*
selon Kjeldahl.
Les résultats obtenus sont variables pour la corne et trop faibl<fi
pour le cuir; mais il résulte du tableau dressé par l'auteur, que 1j
méthode permet de classer les divers engrais azotés. Le procéda
est également applicable aux engrais complets, mais à la cooditioc
d'éliminer préalablement les sels solubles par des lavages.
H. CAUSEE.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 657
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE
la loi de dilatioa; Wilder D. BAXCROTT (Zeil. pbys. Cb.y
H, p. 188-196; 1.1900). —Aux formules
q Gj
K = jv (OstM-ald) et K = ttI (van rHolT),
D représentent, Tune, la loi de dilution des électrolytes faibles,
lutre^ la loi de dilution des électrolytes forts, Tauteur propose de
kbstituer une formule unique
bns laquelle n sera égal à 2 pour les électrolytes faibles, et aura
lotir les électrolytes forts une valeur plus faible, variable avec
'Ueclrolyte choisi. Au moyen des données expérimentales qui
ipirent dans Touvrage de Kohlrausch sur la condu(-\ibililé des
ieetrolytes, Tauteur calcule les valeurs suivantes :
KO. NaO. IJQ. AiRHIl. Kl. KAzO*. IftAsO*. AfAzO*. HCI. KOH.
t.. i,36 1,48 i,45 1,48 i,3é 1,47 1,44 1,55 l,i 1,4
M. VÈZES.
Les écarta de la loi de Boyle dans les mélanges d*eau et da
ftt carfooniqae ; J. E. VERSCHAFFELT {Zeit. phys. CL, t. 31,
p. ÎTI-lOâ; 1.1900). — Mémoire de physique pure. m. vkzes.
U pression osmotique des solutions concentrées ; Thomas
IWO (Zeit, phys. CL, t. 31, p. 22-84; 1.1900). — Le calcul de
b pression osmotique d*une solution exige que Ton connaisse :
1* le point de congélation de cette solution ; 2^ sa chaleur de dilu-
ten; a* le coefficient de température de cette chaleur de dilution;
L** le changement de volume qui accompagne cette dilution. En
!. il faut connaître le point de congélation du dissolvant, sa
ileur de fusion et sa chaleur spécifique â Tétat solide et à Fétat
iide.
LsQteur a déterminé ces diverses quantités pour des dissolu-
IWQS de sucre de canne dans Peau, contenant 1 f^r. de sucre pour
quantités d'eau variables de 1«^,.1«5!2 à 8»',3o35. Il en a déduit
loi de variation de la pression osmotique avec la température.
M. VKZES.
•oc aux., 5* SBR., T. XXVI. 1901. —TraT. êtrang. 4â
«58 ANALYSE DEb TKAVAUX KTRANGBHb.
Recherches sur rabsorption ; J. G. C. VRIENS {ZeiL ph^
CIu, t. 31, p. 280-234; 1.1900).— L'auteur a mesuré, par J
déterminations de conductibilité électrique, la perte de \\
qu'éprouve une solution centinormale d'acide azotique, après avi
été filtrée à travers un certain nombre de filtres en papier. 1
observé que cette perte est proportionnelle au nombre de ûiu
employés. m. vkzi».
Sur rassociation partielle des molécules liquides ; J. J. n
LAAR {Zeii, phys, Cb,, t. 31, p. I-IH; 1.1900). — Mémoire
théorie pure, qui ne saurait faire l'objet d'un résumé, m. \Lu.^
Sur la nature des émulsious de savon; F. 6. DONNAK Zi
phys. Ch. t. 31, p. 42-49; 1.1900). — Si l'on fait couler, goult
goutte, une huile déterminée dans une lessive da soude,
observe que le nombre des gouttes fournies par un poids doa
d'huile est d'autant plus grand que la lessive est plus concenlrJ
Par ex., une huile donnant 68 gouUes dans l'eau pure en dos
806 dans une lessive de soude à 1 millième de mol. par litre. T
solution de carbonate de sodium donne des résultats analoj^
L'alcalinité de la liqueur aqueuse atténue donc notablement
tension superficielle due à son contact avec l'huile. Ce résul
s'explique par la formation d'un'sayon par l'action des alcalis i
les acides de l'huile : de l'huile pure et neutre ne donne lieu,
effet, à aucun phénomène de ce genre. Au contraire, une solui
à 0,3 0/0 de stéarine dans la paraffine liquide donne lieu a t^
diminution semblable de la tension superficielle. m. \kzks.
Sur la solubilité daûs Teau des anhydrides diacides or^
niques; E, van de STADT {ZeU. phys. Cb., t. 31, p. :ir>0-àâ
1.1900). -T,On a souvent émis l'opinion que les anhydrides d'acu^
organiques ne se dissolvent dans l'eau qu'après avoir préalablj
ment passé, par hydratation, à l'état d'acides. Contrairement à cH
opinion, l'auteur montre que l'anhydride phtalique, longnemel
agité avec de l'eau, fournit une solution dont la neuirBlisaU^
exige plus d'alcali qu'une solution saturée d'acide phtalique. On^
peut expliquer ce résultat qu'en admettant que celte soiutiii
contient, avec de l'acide phtalique, de l'anhydride inaltéré, i
l'on agite avec de l'eau un mélange d'acide et d'anhydride phl«
lique, l'acidité de la solution obtenue dépasse celle d'une solulic^
saturée d'acide phtalique, et n'y revient qu'après une agttntiontj^
prolongée. L'acide et l'anhydride succinique présentent des pl»»i
nonièues analogues. m. vîuuc>.
CIIIMIB GÊNEKALE ED MINKRAllE,». 609
Sur !•& Titasses. dé réaction ; Alexandre de HEIIPTINNE
r«/r. pbys, Gh., U31, p. 35^1; 1.1900). — L'auieur étudie k
îeàse de saponificatioa de racéiate deméthyle en présenoe d'ac^-
oe el en présence de glycérine; dans les deux cas, la saponifl-
ition est retardée. m. vèzes.
LaTiiasse de réactioQ dans les systèmes hétérogènes; H.
OLDSCHHIDT (expériences>de A. Messerschmitt) (ZeiLphys.Ch.^
31. p. 233-249; l'l900). — Dans Tétude des systèmes hétéro-
!^es formés de deux liquide^ peu solubles l'un dans Tautre, il
Tive souvent une Ton rie puisse observer la vitesse réelle de la
Action qui s'eftectue entre ces liquides, rétablissement de r4(|u^-
tire exigeant un temps considérable. C'est ce qui se passe, pc^r
temple, lorsqu'on fait réagir un alcali en solution aqueuse sur un
i>er peu solub|e dans Teau.
Dans ce cas et dans les cas analogues, l'auteur propose d'ajouter
ui mélange une certaine quantité d'un autre liquide, insoluble dans
irau, mais capable de dissoudre Téther, comme le benzène; et
'agiter la solution benzénique d'éthei* avec la solution aqueuse
rTâlcali. Il devient alors possible de mesurer la vitesse de la
Saclion en s'aidant du coefficient de partage de Téthèr entre ies
ftux couches liquides, sans que Ton soit gêné par la difficulté
gnaléeplus haut, car le partage d'un corps entre deux dissolvants
effectue généi'âlemènt en un temps assez court.
L'auteur a appliqué cette méthode à une réaction monomolé-
alaire, ia saponification de l'acétate d'éthyle par l'acide chlor-
Xdnque étendu, et à une réaction bimoléculaire, la saponification
e facétate d'éthyle par la baryte. m. vêzbs.
8v rinflnenca des catalysateurs dans Toxydation des solu-
kaas oxaliques; W. P. JORISSEN et L. Th. REICHER {Zeù.
àys, Cb.. l. 31, p. 142-163; 1.1900).— Après un exposé très
noplel des travaux antérieurs sur le même sujet, les auteurs
Mbeni f*actioo des divers catalysateurs sur la vitesse d'oxydation
Ufs» solutions oxaliques. A la lumière diffuse, cette vitesse est
iDi^nie par les substances suivantes : acide sulfuriqne, acide
kinqiic. sulfates de manganèse, fer, chrome, cérium, thorium,
irtriuiu, fluorure de sodium, acétate, butyrale, benzoaté et oxalate
1^ maagaiièse. Les sulfates de potassium, magnésium, y ttrium n'ont
^ d'influence sensible.
Au soleil, Toxalate, le sulfate, l'acétate, le butyrate elle benzoalo
ie t&aagaicse ont une action marquée.
680 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
A la lumière difTuse ou dans l'obscurité, la vitesse d'oxydai»<
augmente avec la quantité de catalysateur mise en œuvre; il i
parait pas en être de même à la lumière solaire directe.
La dissociatioii ôlectrol]rtiqae de certaiiis sels dans Ttlco
môthylique ou éthyllque, mesurée par la méthode ébuUiotei
pique ;Harry C.JONES {Zeit, pbys.Ch., i.3i, p. 114-141 ; 1.19»
— L'auteur modifie Tappareil généralement employé pour )
déterminations ébullioscopiques par Tadjonction, autour du réei
voir du thermomètre, d*un cylindre de platine qui le prou^preconi
le refroidissement par rayonnement. En outre, c*est à l*extént
de ce cylindre que retombe le liquide condensé dans le réfrigèn
ascendant, ce qui évite qu'il ne tombe sur le réservoir du thenn
mètre et contribue ainsi à le refroidir (voir la figure dans Vq\
ginal).
C'est avec l'appareil ainsi modifié que l'auteur a étudié ébullt^
copiquement la dissociation éiectrolytique que subissent, fil
l'alcool méthylique ou éthylique, les iodures de potassium, sodim
ammonium, les bromures de potassium, sodium, ammonium, I
acétates de potassium et de sodium et l'azotate de calcium. L
constantes des deux dissolvants ont été déterminées par ébulho
copie de l'acétaniiide, de Tacétamide, de la diphénylamineet de
Iriphénylamine; l'auteur a adopté les valeurs moyennes 8,4 po
l'alcool méthylique, 11,5 pour l'alcool éthylique.
Les résultats se trouvent résumés dans le tableau suivant, di
lequel l'auteur fait figurer aussi la dissociation en solution aqueux
telle qu'elle résulte de mesures de conductibilité électrique. To
les nombres ci-dessous sont rapportés à une dilution de 0,1 rn^
par litre, sauf ceux relatifs à AzH*Br, qui sont rapportés à 0,2 mi
par litre.
Oittoei«||os Oift«an«ti«i
Distociation dans ^m
dans reau. ra'cool ■ét^jrUfte. l'ftlro*! àikj^
Kl 880/, 520/^ ^o;
Nal 84 60 3S
AzHM • 60 •
KBr 86 50
NuBr 86 60 tÂ
AzH*Br n 49 ^|
CH3-C0UK 83 36 16
CH3-C00Na « 38 ||
Cu(AzU3)2 \ i5 ^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉHALE. 661
L^s constantes diélectriques des trois dissolvants possédant les
UH) 75,5 à 78,0
M.i:H20H 32,0 à 34,05
CH^-CH^OH 25,7 à 26,0
voit f|u*elles varient à peu près comme les dissociations. Ces
[•énonces seront poursuivies avec des dissolvants possédant
-v^^i une forte constante diélectrique : Tacide fonnique (62,0),
Irool allylique (21,6), Tacétone (21,8), le nitrobenzène (81,2),
rtfjonitrotoluène (26,6). m. vèzes.
Força électromotrice et équilibre chimique; V. ROTHHUND
ttt. pbys. ch., t. 3^, p. 69-78; 1.1900). — Mémoire théorique,
ir roriginal. ii. yèzbs.
Vue nouTelle méthode pour la détermination de la dissocia-
Mi hydrolytique ; Robert Crosbie FARMER (Cbeni. Soc,
79, p. 868; 7.1901). — L*auteur propose une nouvelle méthode
née >ijr ta distribution de l'acide ou de la base libre entre deux
étants. Une solution aqueuse du sel est agitée avec une quantité
naue de benzène ou d'un autre dissolvant qui extrait seulement
m des composants. De la quantité extraite, on peut calculer le
p^ d'hydnjlyse du sel en ayant eu soin de déterminer aupara-
int le coeflicient de partage de la substance entre lesdeux solvants,
e» résultais obtenus dans plusieurs cas concordent assez bien
ree la loi de dilution d'Arrhénius. a. hébert.
louTelle méthode pour la détermination des points de
rtasformation ; application à Tétude du couple Daniell ; Ernst
HEEM Zeii, phys. CL, t. 31, p. 164-175; 1.1900). —Deux sub-
iwices, qui se transforment Tune dans l'autre à une certaine tem-
*ratttre, ont à celte température la même solubilité. Si donc on
iK^rmine les conductibilités des solutions saturées des deux subs-
«irnes de part et d'autre du point de transformation, ce point sera
défini avec précision par la rencontre des deux courbes ainsi
iiiti^oues.
L'auteur applique cette méthode à l'étude du point de transfor-
mation des deux hydrates du sulfate de zinc ZnS0*,6H*0 et
ïaS0*,7H'0. On trouvera dans le mémoire original la description
«tec figure) de l'appareil employé, qui est disposé de manière
V»* Ton poisse y faire une solution saturée et en mesurer aussitôt
«62 ANALYSE DE? TRAVAUX ETRANGERE.
la conductibilité électrique (méthode de Kohlrausch\ Lp point *fa
transformation trouvé a été de 39**.
La même méthode a été appliquée à Tétude de la solubilité dvi
sulfate de cuivre, et a permis à l'auteur de conflnner l'exislenc-.
dans la CQurbe qui la représente, d*un point anxieux correspon-
dant à la température de 56®. Ce résultat, associé à celui que fourni
la mesure de la conductibilité d'une solution de sulfate de zinc i
5 0/0, explique la forme particulière, observée par Carhart, de M
courbe représentant, en fonction de la température, la résislanc*
intérieure d'un élément Daniell. m. n^èzes.
Sur les ferments inorganiques (I). Sur Taction catalytiqE^
du platine et la dynamique chimique de Tenu oxygénée ; G
BREDIG et R. HULLER von BERNECK (Zeit, pbrs. Cb,, U 31
p. 258^53; IMQOO). — La notion de catalyse, due à Berzelius, i
été précisée en 1893 par W. Ostwald, qui a désigné sous ce noxj
c Taccélération que subit une réaction chimique lente par le Ui
de la présence d'une substance élrangère (catalysateur) ». Geli
définition expérimentale doit être complétée par les deux indicé
tiens suivantes : 1^ la quantité de catalysateur nécessaire pou
que la catalyse ait lieu est très faible par rapport à celle de l
substance catalysée; â"" le catalysateur ne parait pas prendre par
à la réaction, et se retrouve inaltéré quand celle-ci est terniiuée.
L'analogie très remarquable que présentent ces phénomène
avec les fermentations a été mise en évidence, depuis long-temps
par Berzelius et par Schônbein; depuis lors, on a signalé de non»'
breuses réactions dont la vitesse peut se trouver accrue, soit {>a:
la présence de ferments organiques organisés ou non org-anisé^
soit par le contact de métaux, d'oxydes et d'autres corps minéraw
très finement divisés. L'un des exemples les plus nets que Im
en puisse citer est la décomposition de l'eau oxygénée en eau e
oxygène. Pour étudier l'influence exercée sur celte réactîoD pti
un catalysateur minéral, les auteurs ont fait choix du platine, ei
l'employant sous une forme qui permit d'en faire aisément le do*
sage : celle d'une solution colloïdale, obtenue, sous forme d*ui
liquide très fortement coloré, lorsqu'on fait éclater l'arc électrique
dans de l'eau distillée entre deux fils de platine.
Les auteurs ont d'abord vérifié que les solutions de platine col-
loïdal exercent, soit sur la synthèse de l'eau» soit sur la décompo*
sition de l'eau oxygénée, une action qualitativement semblable à
celle de la mousse de platine. Ils ont ensuite procédé à de trt*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINERALE. Vm
abretises déterminations quantitatives dont nous nous bornerons
ttiiquer ici les résultats. '
■ action c«talytique du platine colloïdal sur la décomposition
Veéa oxygénée s'eterce encore d'une façon notable à la dilution*
! atome-gr. de Pt dans environ 70 millions de litres- d*eau.
liqueur alcaline, MnO* ii*a^t qu*à la dilution de 1 moL-gr. dans
Dullioo^ de litres, Co*0' à celle de 1 mol. dans 2 millions de
66, CuO à celle de 1 mol. dans 1 million de litres, PbO* à celle
i mol. dans 1000 litres; Fe(0H)3 n*a pas d'action notable. En
leur acide, l'action de toutes ces substances est plus faible :
M ici le fer qui exerce l'action la plus marquée, puis viennent
ïobalt, le cuivre, le manganèse, le nickel et le plomb. A quantité
lie, lliydrate ferrique colloïdal agit beaucoup plus lentement
i le sulfate ferreux, qui donne vraisemblablement lieu à la pré-
ilation d*un sulfate ferrique basique. Un excès diacide exerce
i influence considérable sur la réaction, vraisemblablement
*e qu'il modifie les conditions de Thydrolyse.
L*élude delà vitesse de décomposition de H*0* en liqueur neutre
vide, en présence d'une quantité constante de platine colloïdal
s ^us un état constant, a montré que cette réaction est mono-
lï^ulaire : on doit donc l'écrire
HW^H»0 + 0; et non 2H202 = âH20 + 0^.
Eq liqueur alcaline, au contraire, H*0* se comporte comme un
^ : il est notablement dissocié, sans qu'il soit possible de dé-
miner le degré d'hydrolyse de ses sels. On ne peut donc appli-
er ici les équations de la cinétique chimique. La vitesse de
composition catalytique de H*0* croît rapidement par une addi-
* progressive d'alcali, passe par un maximum, puis décroît
**^menl. Il est à remarquer que la courbe ainsi obtenue est tout
^' aoalogue à celle que Jacobson a observée pour le catalyse
m<0* parles ferments organiques (émulsine) en liqueur alcaline,
• » relie obtenue par O'Sullivan et Thompson pour l'interversion
^«cchârose par l'invertine en liqueur acide.
«-action catalytique du platine colloïdal augmente rapidement
**^ la concentration de la solution de platine employée, mais
^ Itti être proportionnelle : en diluant une solution mère avec
fléau pure, on obtient pour la vitesse de décomposition de H«0*
**<? fonction exponentielle de la concentration,
'wt que l'altéra lion spontanée de la solution de platine est lente
'•r rapport à la catalyse elle-même, l'influence de la température
® c^lê dernière peut s'exprimer par l'équation d*Arrhenius. Un
664 ANALYSE DKS THAVAUX ETHANGEHS.
séjour prolongé. à température élevée (85<*) Bnbiblit Tactioa oalH
ly tique du platine colloïdal; il n*est pas invraisemblable qu'fliJ
possède UQ optimum de température analogue à celui qui corrcfr
pond aux ferments organiques. La lumière n*a pas d'iniluesa
sensible.
Enfin Taction catalytique du platine colloïdal peut être parai;
par des traces de certaines substances déterminées : par exemj
une sol. de HCAz à 1 mol. dans 1 million de litres exerce
action notablement retardatrice; le sublimé corrosif a^t de
à une dilution au&si grande; H^S également, à une dilution
inférieure. Ces substances paraissent donc « empoisonner »
platine colloïdal comme elles empoisonnent les ferments
niques. Il ne faut pas cependant pousser trop loin ce rapproche
ment nouveau, car il y a des substances toxiques pour les ferment
qui n'agissent pas sur le platine, et inversement. m. v
Les rapports de solubilité de TArgon et de l'Hôliam daa
reau;Tadeu8z ESTREICHER {Zeit. phys, Ch., t. 31, p. 176-187
1.1900). — Au moyen d'un appareil dont on trouvera la descriptio
(avec figure) dans le mémoire original, Tauteur a mesuré compa
rativement les volumes d'argon et d*hélium absorbés, a diverse
températures et à une pression de 760 mm. de mercure, par 1 vo
d*eau. Il a obtenu les valeurs suivantes : 1
O». iO». 20*. 30-. 4<h. 5(K j
Argon 0,05780 0,04525 0,03790 0,03256 0,02865 O,OÎ0fl
Hélium 0,01500 0,01442 0,01886 0,01382 0,01387 0,OI<d
On voit que la solubilité de Targon varie très notablement avt^
la température. Au contraire, celle de l'hélium varie peu ; elli
présente un minimum aux environs de 25". m. vèaucs. I
Sur les acides hydroxamiques inorganiques ; A. P. 8ABA
NÉJEF {jQurn. Soc. pLys, chim. R. , t. 33, p. 55, 2* p.; 1901, fasc. 4.
— Les acides hydroxamiques (oximes acides) sont encore pei
connus; l'auteur fait connaître quelques résultats obtenus à ri'n#^
versité de Moscou dans Tétude de ces composés. Faisaot agit
Thydroxy lamine sur le phosphate d*élhylel*0(OC*H^j'et chaulTao^
pendant 2 à 8 h. à 85"^, Ivanof a obtenu un sel bien cnstalli5tti
P(AzOH)(OC«H»)«(OH.AzH30j facilement sol. dans Teau, très soJ ,
dans Talcool, F. avec décomposition vers60-70" ; ce corps est à l*i
CHIMŒ OËNlilKALE ET MINËKALE. G65
I oiime, élher et phosphate d'hydroxylamine ; sa composition
ui structure sont établies ; 1* par Tanalyse; 2^ par ce faît que
^tbers Imités de celle façon donnent toujours des oximes et
I rie^ hydroxylarnines substituées ; S"" parce que, même avec un
inii excès d*hydroxyIamme, on obtient toujours le même com-
éel que les deux derniers groupes (OC'H*) ne réagissent pas
!c AzHMi; 4* par la difHculté que présente la détermination de
dans cette substance. Les analyses donnent poiM* G, H et P des
abres satisfaisants, tandis que les résultats de la détermination
Az î par la méthode de Dumas) sont très variables. Ceci s*ex-
que parce que, des deux at. d'Az contenus dans la moléc, Tun
hij de l'hydroxylamine) se dégage facilement, tandis que Tautre
tlui du groupe oxime), lié à P, se dégage très difficilement.
A. COUVISY.
tension de Tapeur de la solution d'ammoniaque aqueuse
•panier, Edgar Philip PERMAN {Cbem, Soc, t. 79, p. 718;
|901'. — La détermination de ces tensions a éié efïectuée au
ïyen d'un appareil spécial décrit dans le mémoire original; la
IntioD d'ammoniaque pure Remployée a été préparé par deux
hhodes données parStass : 1** chauffage de sulfate d'ammoniaque
*c defacidesulfuriquefort et addition de petites quantités d'acide
Inque; f^ chaufTage de chlorure d*ammonium avec de l'acide
tnque fort.
hes séries d'expériences étaient faites à 0; 20; 34,4; 46,4 et 61%3
»«c «les solutions ammoniacales variant de 0 à 35 0/0. Les
mrhes de variation de la tension en fonction de la concentration"
»ur chaque température ont été construites.
ÏHîs essais ont été faits pour trouver une relation simple entre
Hensiou de vapeur et la concentration et entre la tension de
*î^irel la température de la solution, mais sans succès.
A. HÉBERT.
Mience du sulfate de soude sur la tension de vapeur de la
ihxtton d'ammoniaque aqueuse ; Edgar Philip PERHAN iChem.
^•« t. 79, p. 725; 6.1901). — Par une modification de Tappareii
^il avait employé précédemment pour la détermination de la
'fts^on de vapeur de la solution d'ammoniaque aqueuse, l'auteur
'Trf«il ces expériences avec des solutions ammoniacales contenant
<iJsoWaie de soude, entre 26 et 47*. Les courbes ne sont pas très
'ISJreni^, ce qui prouve que le sulfate de soude n'existe pas à
^•^ata'hjdrale dans la solution. a. hébert.
GOG ANALYSK DES TUA VAUX ÉTRANGERS.
Sur raction de Tacide azotique très dilué; A. Ton B1
{Zeit, phys. CL, t. 31, p. 103-113; 1.1900). — L'auleur et
la dissolution du zinc dans l'acide azotique très étendu, et iw-
le rapport du poids d^ammoniaque formée au poids de zinc dis*
Ce Rapport qui, d'après la réaction généralement admise
4Zn -f 10 AzO^H == 4(Az03)«Zn + AzO^AzH* + 3 H20,
â
devrait être égal à 1/15 ou 1/16, n'est en réalité que 'Je 1
Cette différence doit être attribuée à la formation de proJi
intermédiaires, notamment l'acide azoteux. L'auteur n'a
observé qu'il se formât d'hydroxylamine. m. vKze».
Réduction des nitrates métalliques par l'acide lactit
L. VANINO et 0. HAUSER {Zeil. anal. Clu, t. 39, p. 506-V)K.
L'acide lactique réduit, à lOO* ou à température plus élevéej
nitrates de Bi, Hg; Cd, Ag, Pb, Co, Ni. Il se forme des vaj
nitreuses et du métal plus ou moins pur.
Les chlorures et sulfates métalliques ne sont pas réduits
les mêmes conditions, non plus que les nitrates alcalins, alcalii
terreux et d'aluminium, h. copalx.
Sur le déplacement du point de transformation du nitral^
d'ammonium à 32"" par addition de nitrate de potassinA
W. MULLER {ZeiL phys. Ch., t. 31, p. 854^59; 1.1900» — L'a»
leur a mesuré rabaissement que subit le point de transformalioi
du nitrale d'ammonium, lorsqu'on ajoute à ce sel du nitrate di
potassium et de l'eau. Du résultat de ces mesures, il a déàixti
au moyen de la formule de Rothmund» le rapport des grandeun
moléculaires du nitrale de potassium en solution solide dansii
nitrate d'ammonium au-dessus et au-dessous de 82*. Ce rappof
est de 4/3, Comme, d'après Van t'Hoff, les substances isomorphe!
possèdent, dans les cristaux mixtes qu'elles peuvent former, li
même complexité moléculaire, il en résulte que la tran&formatioi
que subit le nitrate d'ammonium à 3â^ est le passage de (AzQ^.AzH*''
à (AzO'*AzH*)3. M. VKZKS.
Sur l'action de l'acide hypochloreux sur les chlorures mè*
talliques ; W. v. TIESENHOLT {Journ. /. prakt. Ch. (2;. t. «S,
p. 30-10; 15.2.11)01). — L'auteur indique quelques expëriencr^
qui permettent de mettre en évidence la production d'alcah Ubn*
CHiMlË GÉNÉRALE ET MINÉRALE. ' «07
la décompoHÎtion des chlorures alcalins par l'acide hypochlo^.
dans le sens de Téquation :
KCI + CIOH = KOH + 2GI,
}n le voit, n'est autre que l'inverse de l'équation de formation
i)'pocblorites.
* expériences ont porté également sur d'autres chlorures et
orliculier sur les chlorures alcalinoterreux ; l'auteur lire de
expériences quelques conséquences relatives à la formule du
ore de chaux et à quelques-unes de ses réactions.
L.-J. SIMON.
ntrine et pseadosulfare de cyanogène; A. GOLBBERG
pfl. f. prakL Cb. (2j, t. 63, p. 41-48; 15.1.1901). — Par trai-
nt du sultocyanure de potassium par différentes substances
tintes (chlore, chlorate de potassium et acide chlorhydrique,
le, acide azotique fumant, persulfatç d'ammonium), on obtient
produits pseudosulfocyanés et par précipitation gous forme
Mmbinatson alcaline, une matière colorante jaune^ la cana-
. I>*aprè6 Gerfaardt et Laurent, le pseudosulfure de cyanogène
ut la formule H.C'Az^H*. D*après l'auteur, la canarineetle
luit sulfocyané seraient tous deux oxygénés. Pour la canarine
moatioD serait due à l'ensemble des deux réactions : •
a . KSC A2 + DC\ = n KCI + (G AzS)« ,
UiS)» + 6 H20 = H«G8A£8S^O + H^CP Az^S^O + COS + S^Om^ .
Canarise. Corps jaane.
<^ jaune qui accompagne la canarine n*étant pas colorant,
niérieurement Fozysulfure de carbone et l'acide hyposullureux
Ps^ent pour donner du soufre et du gaz carbonique»
L.-J. smoN.
^ 1« persélôniate de poUssiam ; L. DENNIS et W. BROWN
^cbem, Soc.f 5.1901). — Ce sel a été obtenu par électrolyse
'•^ solution de séléniate contenant de l'acide sélénique libre. La
■*^D saturée de séléniate de K. est placée dans un beacher
**^' et reçoit Tanode formée d'une leuille de platine. La cathode
î*^'''*^ représentée par une lame de platine est logée dans un
^ poreux rempli d*une solution d'acide sélénique ; le tout plonge
•fe 00 mélange réfrigérant, et Ton donne le courant de 2,5 à
*•?*»€«. Au bout de quelques heures apparaît siur l'anode un
6C8 ANALYSK hKS TMAVAUX EriRANGERS).
dépôt blanc qui augmente et devient considérable. Le dép6li
séparé, séché sur plaque poreuse, puis sur P* O^, dans un d^siJ
teur entouré de glace.
L*ana!yse complète de ce produit n'est pas terminée, les auiâJ
se sont d*abord occupés de déterminer l'oxygène disponible, |^
combustion de Tacide oxalique, ou oxydation des sels ferreux.U
deux procédés ont donné des résultats concordants ; un échan
soumis à l'essai oxalique a donné 2,41 0/0 de KSO^ et le
de Fe et d'AzH*, 2,42. Le perséléniale n*a pu être débarrasst^
séléniate, 100 parties renferment 74.4 de perséléniale et 25.6
séléniate. h. caussk
La décomposition des chlorates (4* partie). Le méctniii
supposé facilitant la décomposition du chlorate de potassiu
William H. SODEAU {Chem, Soc, t. 79, p. 939; 7.1901). — lJ
logie supposée entre la décomposition du chlorate de polassiuM
rébullition de Teau, basée sur Taction « facilitante » de cerna
poudres, est renversée par ce fait que la première n'est pas al
siblement facilitée par réduction de la pression à 1 mm. Il secni
qu'il y ait là une action chimique avec les substances cooM
pour produire un efTet marqué sur le degré de décomi>osition<
chlorate de potassium.
En additionnant ce corps de 1 0/0 de sulfate de l>aryum, \>^
avait constaté une augmentation de 500 0/0 de la décom^KhuUl
observée et avait conclu que des poudres chimiquement ioert
facilitent celle décomposition.
L'auteur, répétant cette expérience, trouve seulement une a»i|
mentation de 10 0/0; il doit se former un peu de chlorate deU
ryum par double décomposition, et cette formation doit enuien
ligne de compte dans la facilité de décomposition observée.
On peut conclure que la facilité supposée des particules solifi
chimiquement inertes à favoriser la décomposition du chlorate*
potassium ne supporte pas l'expérience, est inÀufllsantc à expliq»n
TefTet d'une petite quantité des oxydes de manganèse, 1er, cobal
nickel et cuivre. L'action de ces dernières substances serait
devoir être entièrement chimique. - a. HacButr.
L'influence du sucre de canne snr la conductibilité ii
solutions de chlorure de potassium, d'acide ehlorhjrdriqnt i
de potasse, avec éyidence de formation de sel dana la denù«
cas ; C.-J. MARTIN et Orme HASSON((;//eiii. Soc, t. 79, p. 707
6.1901). — Les auteurs ont déterminé les conduclibtlilés desolu
CHIMIE GÉNÉIULE ET MINÉRALE 069
S <le chlorure de potassium et d*acide chlorhydrique contenant
quantités variables de sucre et ont trouvé que la conductibilité
lilTère guère de celles des solutions aqueuses, en tenant compte
I Yiscosité des solutioni^ sucrées. Par contre, si Ton ajoute de
K>tas6e à des solutions sucrées de différentes concentrations,
constate que le sucre influe sur la conductibilité, fait attribuahle
formation de saccharate de potasse, qui est fortement ionisé
folation diluée. a. hébbrt.
«r les hydrates de chlorure manganeiix stables au-dessus
0*; H. H. DAWSON et P. WILLIAMS (Zeit. phya. Ch. t. 31,
59-68; 1.1900). — Il résulte des déterminations de Brandes
iff. Aun.^ t. 22, p. 263) que le chlorure de manganèse ordinaire
CP,4H*0 (variété «) éprouve vers 60* un changement brusque
IB Tallure de sa courbe de solubilité. L'auteur a examiné si ce
B^efflent correspond à la formation d'un autre hydrate : il a
tstaté que le sel normal se transforme, en effet, à bT'fiô, en un
ivel hydrate MnCI*,2H*0. Ce dernier peut d'ailleurs être obtenu
I température ordinaire, en faisant passer un courant de gaz
brhydrique dans la solution alcoolique du sel normal; il est
1rs cristallisé en aiguilles de couleur rouge, plus foncées que
les du sel normal.
U n'existe pas d*hydrate intermédiaire entre les der.x précédents,
ï^l bihydraté, porté à 198^, se transforme à son tour en
I ftahydre.
Uuant à l'hydrate MnCl«,4H«0 (variété p), découvert par Mari-
)êc en 1857, on l'obtiendra en ensemençant, au moyen d'un
Wtal isomorphe de FeCI*,4H«0, une solution sursaturée de l'hy-
Wea. M. VKZER.
Ut silicates de plomb et leur emploi dans l'industrie des
HUriec; T. E. THORPE et Charles SIMHONDS {Chem. Soc,
• 79, p. 791 ; 7.1901). — Les auteurs étudient l'emploi du plomb
1*1» les couvertes de poteries; en Angleterre, on se sert générale-
•fttàcelte effet d'oxydes et de carbonates basiques de |»lomb,
^•«"iisque, sur le continent^ ces corps ont été remplacés par des
>ilKates ou des borosilicates de plomb ou des silicates complexes
k plomb ei d'autres métaux. L'emploi des premiers composés
** un ifrand danger pour les ouvriers à cause de la solubilité
'^ c<ï9 composés dans les acides de l'organisme; dans les autres
'^''ittpwéà, au contraire, le plomb est pres(|ue insoluble.
l>peodant, en examinant certains silicates proposés pour l'ciiî-
070 ANALYSE DE« TRAVAUX ÉTHANGEHS.
ploi en poteries, les, auteurs ont constaté que la plus <rraQde|fl
du plomb était soluble dans Tacide chlorhydrique ou dans !•<
gastrique, tandis que d'autres échantillons étaient très résisd
Cette difTérence de solubilité dépend de l'existence d*un <vf
rapport entre les bases et les acides. Si le rapport du Qombn
molécules acides au nombre de molécules basiques tombe «i
certaines limites, tout la plonlb est pratiquement insoluble, qfl
que soit sa proportion dans le silicate, jusqu'à.50 ou 55 0,0.
Les analyses et les formules d'un certain nombre de m1i1
sont données dans le mémoire, avec des tables indiquant la ^
bilité.du plomb dès silicates, suivant le rapport indiqué plos)
Dans les expériences, on employait toujours un excès tf a<i
afin d*éviter la formation d'oxychlorure insoluble et de \m
neutraliser les bases qui accompagnent le plomb. L'ou
d'autres solvants acides organiques donne des résultats nnnlo|
à ceux obtenus avec l'acide chlorhydrique. a. hkbert.
Recherche des dulfocyanates dans le bromure de pot&Bsi
Upsher SMITH (Pbarm, Journ., 4, 1901). — Cette recht^
s'effectue en ajoutant du Fe*Gl« à la solution de bromure, i
forme une coloration rouge en présence dessulfocyanates. L'aiil
a trouvé que cette coloration était fonction de la quantité
Fe*Cl® employé plutôt que du sulfocyanate.
10 ce. d*une solution de KBr pur au 5/100^ traités par 1 g^
de Fe^Cl® donne une coloration rouge, tandis que 2 gouttes j
duisent une coloration jaune.
11 résulte de cette observation que Fe*Cl* doit être employée
précaution, Taûteur indique le procédé suivant. On dissout
de bromurç dans 10 ce. d'eau distillée, on ajoute 2 goutte^
Fe*Cl^ ; en l'absence d'une quantité de sulfocyanate égale ou it
rieure à 0,01 0/0, il se forme une coloration jaune; elle est ro<
plus ou moins foncée, si la proportion de sulfocyanate est âU
rieure. , h. caus5B-
Une modification de l'essai de Gutzeit pour Tarsenic; U%
DOWZARD {Chem. Soc, t. 79, p. 715 ; 6.1901). — L*auteu«
reconnu qu'une solution d'acétate de plomb absorbe seulero^
l'hydrogène sulfuré h l'exclusion de l'hydrogène arsénié; «
solution à 15 0/0 de chlorure cuivreux dans l'aiside chlorhy<lri|
absorbe les hydrogènes sulfuré, phosphore et antimonié, mais fl
l'arsenic. Après séparation des premiers composés, Thydroj:^
arsénié peut alors être décelé par un papier au chlorure nien^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 071
le, préparé par trempage dans une solution à 5 0/0 et qui prend
couleur jaune en présence des p^az arséniés. L'auteur a iraa-
^ à cet effet un appareil composé d'une sorte de liole conique
noatée de plusieurs boules à barbottage. a, hébebt.
^cherche des sels métalliques à Taide des spectres d*ab-
ption obtenus en présence d*orcanette; J. FORMANEK {Zeit.
I Ch , t. 39, p. 409-434 ; 1900). — La racine d'orcanelte
rérisée, mise en digestion dans Talcool à 95"*, donne une
ear jaune rouge, dont le spectre d'absorption est caractéris-
er souâ une dilution suffisante. Ce spectre, inaltéré par les
les étendus, est modifié par l'ammoniaque en même temps que
ûloratioD du liquide vire au bleu.
.'addition de sels métalliques dans la solution alcoolique neutre
Hf* nai^sanc^ ou non à des modifications du spectre, §elon que
Délai esc capable ou non de former une laque avec la matière
ïranle. La présence d'ammoniaque vient apporter encore
itres variations dans la situation et la valeur des bandes, et les
cires ainsi obtenus sont constants pour un même métal. Ln
Uure d'orcanette doit être diluée de telle sorte, qu'en l'obser-
U dans une éprouvette de 10 à 12 mm. de diamètre, éôlairée
' une forte lampe, les bandes spectrales soient nettement sépa-
».
\ ce. de cette solution, placés dans une éprouvette semblable,
II additionnés de 2 gouttes de la solution des chlorures ou des
raies métalliques. On examine d'abord s'il ne se produit aucun
M^ement, puis on verse une fine goutte d'ammoniaque étendue
1 3 et l'on observe de nouveau.
L'auteur a relevé en longueurs d'onde la situation de la bande
IBcipale et celles des bandes secondaires, pour les métaux aux-
*k s'applique de préférence le procédé, c'est-à-dire les métaux
■tais, âicalino-terreux et ceux du groupe du. fer.
^ outre^ toui métal non ^susceptible de former une laque avec
^caoette 06 gène ordinairement pas l'observation d'un autre
'**L C'est aiobi que Ton peut reconnaître deux métaux mélangés,
^ que le magnésium avec les alcalins et les alcalino-terreux, Zn
^^Co et Ni, etc. h. copaux.
KosTêUa méthode pour la détermination des nitrates;
^ I. Toa DEVEMTER (Zei7. /?V«- CA., t. 31, p. 50-58; 1.1900).
*^te méthode est basée sur la coloration brune que prennent
* ululions de nitrates additionnées de sulfate ferreux en présence
672 ANALYSE DES TRAVAUX ETUANGEHS.
d'un excès d*acide sulfurique. Cette coloration, due à la dissolu^
de hioxyde d'azote dans le sel ferreux, disparait par rafiti|
tant que la liqueur contient assez d'acide azotique pour trami
mer tout le sel ferreux en sel ferrique ; elle subsiste nu oontm
dès que la liqueur contient un excès de sel ferreux. L*open4
s'effectue à l'abri de l'air, dans un appareil dont on trouven
description (avec figure) dans le mémoire original. Lt? calcul M
quantité de nitrates contenue dans Téchantillon analysé se ftA
moyen du volume (d'une liqueur titrée de sulfate ferreux) qaïAj
nécessaire pour obtenir une coloration brune permanente : il ref
sur ce principe, que 2 mol. d'acide azotique oxydent 6 mol. d^
ferreux. * r. vÈze^.
Hôthode abrégée dci dosage du potassium dans les tdi
potasse; H. NEUBAUER (Zeit. anal Ch., t. 39, p. 481-502 ; \i
— Cette méthode est un perfectionnement de celle de Fink-^
Elle permet, comme celle-ci, de doser le potassium sous fonn^
chloroplatinate dans les sulfates de potasse impurs, contenad
la soude, de la magnésie et même du gypse.
Pour opérer avec succès, l'auteur recommande d'observer e:^
tement les détails qu'il indique et dont il donne la jusUHcal
expérimentale.
. La solution aqueuse de 0ff%5 de substance, étendue à 25 ce.,
évaporée au B.-M. avec quelques gouttes d'acide chlorhydhqtM
un petit excès de chlorure de platine. Lorsque la concentratioa
ralentit, on laisse refroidir. La masse, humectée avec i ce. d'à
est soigneusement triturée avec un agitateur, puis additionna,
trois fois, de 30 ce. d'alcool à OB'". Le magma salin ayant pns. |
la trituration, une consistance cristalline, on abandonne une dej
heure, puis on décante sur un creuset-filtre de Gooch et on lave
résidu à l'alcool concentré. Le tout est réuni sur filtre, Talcool »
pincé par l'éther et le précipité essoré à la trompe. On le rt^l
dans une atmosphère de gaz d'éclairage en chauffant très progr
sivement jusqu'au rouge naissant.
Après 20 minutes de refroidissement dans le gaz, le contenu
creuset est humecté d*eau, puis lavé quinze fois à Teau rhau
pour expulser les sels solubles. On remplit le creuset dV^
nitrique à 5 0/0, on laisse en contact une demi-heure en aspira
de temps en temps pour ajouter à nouveau de Tacide uitriqo
doat le volume total employé doit être environ deux fois celui ^
creuset.
CHIMIB ORGANIQUE.
rès un dernier lavage à l'eau chaude et calcinatioa d
>oduit, par 0,48108, du poids de métal obtenu i
ie K»0. H. co
r la d«*«iocitios d«t gaz ; A. P. LIDOF {Journ. i
. B.. t.a33, p. 190 ; 1901, fasc. 3). — L'ac. aulfuri
^e parlailement les gaz, mais il exige un temps ai
le de Nordhausen dessèche plus rapidement, mai
ger des vapeurs de SO*. Après avoir essayé divei
», Tauteur emploie un mélange de SO^H* ordin;
'. qui agit aussi bien que l'acide de Nordhausen et i
le SO' . En dissolvant P<0> (SO à 40 0/0) dans SO*H
écheat excellent et parfaitement liquide. Il absorbe
ores d'hydrogène (au moins l'éthylène et l'acétylèi
il SO*H* fumant. a. coi
ppareil à dégagament donnant nn conrant gai
■ttBt avac une dèpanse mîniina ; A. KOHIfi yZeit.
%. p. 508-511). — Voir la description originale.
H. CO
«clierehas «nr 1m «aux d« Hoorland (S' partie). Sdi
chtors eombini; William ACKROTD (Cbem. S
TO;6.1901). — Poursuivant l'étude de ces eaux, l'au^
' les dosages du chlore, aux conclusions suivantes :
* Le chlore combiné contenu dans l'eau du réservoi
irreiaent de l'eau de pluie ;
^La présence de ce chlore s'explique facilement pari
cblonire de sodium existant dans l'eau de pluie, s
1m mèthoda d« laboratoire pour la préparation i
'"i;6. 3 lIEWTH(CAeni. Soc. t. 79, p. 915; 7.190:
MiUiam l'acide phosphorique tribasique à l'acide
^ le [irocédé ordinaire de préparation de l'élhylùnf
tùa ce gaz dans un grand état de pureté. L'acide phc
^Veisest chauITé à 200° et on fait arriver l'alcool
•oc.aiui.,3*un., T. XXVI, 1901 — Trar. étrang.
674 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEBS.
goutte à goutte dans le fond du liquide bouillant ; si la tempérab
est maintenue autour de 220'', on observe un abondant déga^m
de gaz. Le liquide ne charbonne, ni ne mousse en sorte que foi
ration peut être conduite dans un vase de petites dimen&ionà;
gaz ne contenant ni acide carbonique, ni acide sulfureux n'a i
besoin d'être lavé. Les produits condensables de la réaction; ei
éther, alcool inaltéré et une petite quantité d*un liquide huik
sont condensés dans un vase refroidi avec de la glace ; rétbyU
passant est pratiquement pur.
En opérant de la même manière avec Talcool méthylique, \e{
dégagé est de Téther méthylique pur; avec Talcool propylique,
obtient du propylène. Avec Talcool normal, on peut chaufTer )
qu*à 250% tandis que Talcool secondaire se décompose à 210*.
, A. HKBERT.
Sur la solubilité de racétate d'éthyle dans les solntic
salines; H. EULER (Zeit. pbys. Cb., t. 31, p. 360-369; 1.1900*.
L'auteur a constaté que la solubilité de Tacétate d'éthyte ai
Teau est diminuée par la présence de sels dissous. La diminiiti
provoquée par un équivalent en grammes de divers sels dcpe
de la nature de ces sels; mais ils se rangent à ce point de ^
dans le même ordre que celui que Ton observe en étudiant de
même façon la solubilité des gaz.
Cette diminution (pour un équivalent-gramme) croît avec
dilution du sel; elle augmente avec sa solubilité. Elle parait sV
pliquer par la contraction que subit le dissolvant par le fait «iti
dissolution. m. v^es.
Note sur la préparation du sulfate diméthylique ; Beam
BLACKLER (Chem. News, t. 83, p. 308; 6.1901). — La mt^lli<:
ayant donné les meilleurs résultats consiste à préparer Ictl
dans l'acide sulfurique, à maintenir le mélange à 160* sur un 1
de sable chauffé et à distiller. a. HiEBEKr
Combinaisons du sulfure de méthyle avec les haloides
talliques; F. C. PHILLIPS (Am, chem. Soc., 4. lOOlj. —
qu'on ajoute du sulfure do méthyle à une solution de chlon
palladium, on obtient un précipité volumineux, qui parait amol
au premier abord, mais qui au microscope est constitué p
fins cristaux : ce précipité se dissout à chaud, et se sépai
refroidissement en aiguilles rouge orangé, stables à Tair f*
lumière, solubles dans l'eau bouillante, insolubles dans l'eau U
CHIMIE ORGANIQUE. G75
& dosage du soufre dans cette substance a présenté des diffi-
^; en appliquant les procédés ordinaires d*oxydation, Tauteur
[jjours constaté une perte de soufre par volatilisation, et Toxy-
»n en tube scellé est pour le cas présent dangereuse. Le dosage
é réalisé par combustion de la matière dans Toxygène. Les
Jtats analytiques du soufre, du chlore et du palladium, con-
hitsenl à la formule PdCl*.2(CH5)*.S, qui est analogue à la
hioaison platinique de Enebuske.
'ombinaîson du sulfure de métbyle avec le chlorure mercu-
re, — On l'obtient comme la précédente en ajoutant dn sulfure
néthyle, à une solution de sublimé. Précipitéblanc floconneux
hstallin, fusible à 150-151**, altérable, peu soluble dans Teau,
s dans ralcool. Il répond à la formule 3HgCl«.2(CH3)«.S. Le
iposé décrit par Loir (C. /?., 1853) a une formule différente
a«.(CH»)«.s.
Zombinaison de sulfure de méthyle et de chlorure cuivreux
Q>CH*;«S. — Se forme par l'action de (CH')*.S sur une solution
icentrée de chlorure de cuivre. Masse cristalline incolore au
Boeat de la préparation, mais qui se transforme en une substance
me, à l'air, ou par les lavages.
^Combinaison du sulfure de métbyle et de chlorure dor
fil
1^^ (HH» «• — ^ s'obtient par un procédé analogue au précé-
nt Précipité blanc floconneux, instable, se dédoublant facile-
wit en Q. Au et (CH^j'S. h. caussb.
Sur le monoaalicylate de glycérine; E. TAUBER {D. ch. G.,
M, p. 1709; 22.6.1901). — Gottig a décrit en 1877 comme
«Bosalicylate de glycérine une substance qu'il obtenait en faisant
HQ gazeux à lOO* dans une solution saturée d'acide salicy*
dans la glycérine; il a décrit plus tard de nouveau cette
substance comme étant une dichlorhydrine salicylique;
n dernière manière de voir est exacte, mais l'auteur a constaté
si par Faction de Vacide chlorhydrique en excès on obtient
Ijours celle dichlorhydrine il suffit pour préparer le monosali-
lie de glycérine de faire réagir une petite quantité d'acide
sur le mélange d'acide salicylique et de glycérine en excès,
chauflant 100 gr. d'acide salicylique, 300 gr. de glycérine et
lirr. de H*SO étendu à 600/0 environ d'acide, pendant 40 heures
B. -M. l'auteur a obtenu Téther en question, qui à l'état pur se
îDle sous la forme de cristaux blancs, microscopiques, F. 76®.
éiber dificilemeol soluble dans l'eau froide, se dissout très
ANALYSE DES TRAVAUX ORANGERS,
eau chaude ou dans l'alcool ; il est très facilemcd
■ les alcalis et leurs carbonates; il suffit de le laisM
sn solution éthérée avec du carbonate anhydre ili
e potassiuui pour le saponilier. r. hbvkbdui.
tioo des cètones avec l'éther cyaoacétiqne; G,
'. cb. G., t. 33, p. 3530-3534; 5.12.1900). — L'aoéUM
facilement avec le nitrile malonique en préseace<le
î. Le produit n'a pas été étudié. Avec l'élher cyaci-
iol.)> le condensation s'efTectue suivant les deux Aqna-
yC\Z yC\z
<ueit /U
= CCH3)2-C=C<
/CAï
MA*
-0-1- (CH')'G<f *^(>'C»Hs _j_ ^^^^■
s'efTectue en mélangeant à 0°, 36 gr. d'acétone tècbe
her cyanacétique -eL 15 gouttes de diélhylamine. U
3r un mois à la température ordinaire, i*uis on cbiuB
lures au b.-m., on décante l'eau formée et on frid
le vide.
1 100-1SO* (sous 10 mm.) renferme le premier coni'
■ dimétbylméthySène-cyanacélique qui crist. par refroi
n aiguilles blanches, 1. à SS", sol. dans tous les lîqujda
peu sol. dans l'eau. Ce corps bout k 108* sous 10 ma
InO* à froid, mais ne fixe pas le brome. On n'a [xili
en ac. diméthylacrylique par saponification (rend»
I).
Uiuéthylmétbyli-ne-dicyanacétique renfermé dans II
188° sous 10 mm., se solidifie peu à peu et crisl. »
bi", solubles dans les liquides organiques sauf 11
ide et dans les alcalis, insol. dans l'eau. Traité p*
I sodium, il fouruîl un dérivé sodé jaune. ChauITé avti
0/0, il est saponifié et transforme dans Vac. p^-diuir-
vc déjà connu (aiguilles f. à 100°) el dont VaiiùydriA
-C-( Ch/' ' V + 6H'0
\ Xcoïcmv
JOiii-f/ -l-2(:''H»-OH + 2AiH>4-iOO'.
NCH»-COïH
p. rneuNDUH-
C1IIH1B ORGANIQUE.
OériTét broméa d« la diithylcôtoae; H. PAULT (
.34, ITTI; £â.6.i901). — Le brome ne réagit que
i froid sur la diélbylcélone, mais bien à la tempéralure
narie; en employant une molécule de brome on obtient
noDobromé, avec deux molécules le dérivé dibromé.
Le mombromdiéthylcétone GH3.CHBr.C0.CH».Cl
iquide à odeur très pénétrante, Eb. I&T-ISS* sous
Q = !.87à 15".
La dibrotodiéihylcélone sym. GH».CHBr.CO.CHB
niâsi une huile incolore, à odeur très pénétrante. Eb. 8
li mm. 193-195- sous 782 mm. D = l,77l n l«". Elle
bmucoup à la dicbloracélone sym.; elle se dissout facile
Tenu de baryte; la dissolution renferme une substance
U liqueur de Fehling probablement une dioxydiéthylcé
9. IIEV
Snr l'iction do sodiam sar les ithers des acides orj
8 BEFORIEATSET {Joani. Soc. phys. cliim. H., l. a
1901, lasc. 3). — L'auteur rappelle la théorie de Claiseï
boa de Na sur l'acétate d'élhyle et ta production de l'ac
lique; il Tait ressortir les faits quir appuient cette th<
montre que les objections qu'on lui a opposées sont sa
Lt théorie donnée récemment par Mîchael [Dull,. t. 3
o'eipltque pas la formalion du sodium-acétncétate d'^
Mlion de l'élhylale sur l'acétate d'éthyle, non plus que I
«le l'éthylste de Na sur l'éther benzoique ; ce dernier, ne
ft^ H en position a, ne devrait pas fournir d'éttier so
niique, et cependant le produit de l'action de l'éthylate i
Imizoîque, traité par l'acétate d'éthyle, donne le sodiun
»cétite d'étityle, ce que la théorie de Claisen explique d
Simple :
,ONa
OHi-COOCTHS 4- CmONn -^ OHi-C^OC^H- ,
\0(;3H5
,ONa
Cf 0(
\0(
= SCH^OH + C6H'-C(0Na)^CH-C00CîH*.
A. COI
Bir l'action des tbiocyanates et isothiocyanates
tv ta« ttaiotcides; H. L. WHEELER et H. HERRIAH i/
■■«-.p. â83-299; 5.1901). — pREHiÈnE Partie. Le fai
'l^ ditbiocarboniques, se forment dans l'action des thi
G78 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
alkylés sur H»S, a conduit Chanlaroff (Z?. cL G,, 1882) k éta^lifi
Taction du thiocyanate d'éthyle sur l'acide Ihioacétique, son anhf
dride, et Tacide benzoïque. 11 se forme dans tous les cas des co»
posés cristallisés, cependant ChanlarofT n*a décrit que la combiiui
son CH3COAzHCS.SG«H5, qui résulte de Tunion de Facide ihii
acétique avec G2H5.SH.
D'autres dilhiocarbamates de cette classe ont été obtenus pi
T. B. Johnson. Le plus souvent l'union du thiocyanate avec i
thioacide a lieu selon l'équation de ChanlarofT, d'où résulte a
produit d'addition
02H5.SGAz+HSGO.C6H5 = C2H5S.CSHAzGOC«H5.
On a obtenu ainsi les dérivés des monothyocyanates primaires qi
se forment comme ceux de la série benzylique.
Avec certains thiocyanates, lorsque pour modérer la réaction d
ajoute du benzène, il se forme de l'acide sulfocyanique, et un ihîi
éther |
G6H5.SGÂZ + HS.GOG6H5 = GeHSS.GOG^HS + HAzCS,
tandis que dans d'autres cas il prend naissance de la benzamidel
du es*, cette réaction se passe dans Taction de Tacide sulfoc^l
nique, sur l'acide thiobenzoïque
H AzGS + HS . CO . G6H5 = AzH2 . CO . G6H5 + CS2 .
Les isothiocyanates R.AzCS, ou essences de moutarde, réagisse*!
avec plus d'énergie que les thiocyanates normaux selon Téqualiûl
R.AzGS + HS.GO.C6H5=RAzH.CO.G6H5 4.CS2,
cette réaction rappelle la précédente et confirme un obser\'alion'
Kay {D. ch. G., 1893); il en est de même pour l'action des rlioili
nates sur les thioacides. Le rhodanate de benzyle en agissant >*
l'acide thiobenzoïque donne du CS* et de la dibenzamide.
En étudiant le mécanisme de la réaction les auteurs pensent q«
ces combinaisons s'effectuent en plusieurs phases. Tout d'nbol
lorsqu'un éther halogène réagit sur le thiocyanate de potaàsium,
se forme l'éther Ihiocyanique normal R-SCAz, qui ultérieurenie»
est transformé en isodérivé RAzC.S. Les groupements peuaclil
comme les dérivés alkylés, permettent d'isoler le premier lenn
de la réaction, il se forme d'abord le thiodérivé normal, et pi
ébullition on le transforme en essence de moutarde. I^es haloM*l
répondant à formule -CH*X, donnent au contraire des Ihiocjanât*
très stables.
CHIMIE ORGANIQUE. 079
D^âprès Beckurts (Arcb, d. Pharm,, 1899) et Frerichs (ibid,)
1 <ye formerait une essence de moutarde lorsqu'on traite la chlora-
"icljluréibaDe par le cyanate de potassium, mais les auteurs
[jrooTeat que les réactions sur lesquelles se sont basés Beckurts
H Frerichs ne s'appliquent pas aux isothiocyanates. En réalité il
« produirait des dithio-urétbanes.
Dbuxièmb Partie. Les combinaisons citées ont été obtenues
tantôt en chauffant légèrement la solution benzénique, de thioacide
H de thiocyanate, tantôt, en abandonnant le mélange à la tempé-
rature ordinaire. Le précipité qui se sépare est dissous dans un
ilcali, et précipité par CO». Traité par la soude à 10 0/0, il s*yunit
H Ton obtient une combinaison saline en cristaux incolores,
lolubles dans beaucoup d'eau ; il se produit en même temps une
il^omp>osiiion plus ou moins profonde d'où résulte un rhodanate,
et du mercaptan, du thiobenzoate, et du cyanate de Na.
AcéljrJdilhiocarbamate de métbyle CH^ . GOAzHCS . SCH». — Se
df^pose de la solution benzénique des constituants, ou par simple
mt^lange des deux substances en quantités équimoléculaires. Prismes
jaunes fusibles à 119*.
Acétyldithiocarbamato délbyle, — S'obtient en chauffant à
lOU» un mélange sec des constituants. Prismes jaunes fusibles
Acétyïdithiocarbamate de diétbyle CH3.C0Az=Ck;|-^*U5. —
On traite 22 gr. de carbamate par 3»',1 deNa, dissous dans 125 ce.
d'alcool. On ajoute 20 gr. de C'H^'Br; lorsque la réaction est ter-
minée on sépare NaBr. On sèche et on distille sous 14 mm. de
pression. Huile incolore, F. 142*.
Acétyïdithiocarbamate de propyle normal. — Liquide bouillant
à 164*, P = 761.
Tbiocyanûte de célyle. — Forme un liquide incolore, F. 242-249*»,
^us 30 mra. de P.
Acétyïdithiocarbamate de cétyle CH8.COAzHCS.SC*«H»3. _
Corps solide cristallisé, F. 89-90\
Benzoyiditbiocarbamate de métbyle. — Aiguilles, F. 135*.
Bf^nzùylditbiocarbamate déthyle. — Prismes jaunes, F. 84*».
BeDzoylpaeudométbylthiO'UréeCfiW.CO'Xz=C<^^^. — Se
forme lorsque Ton abandonne à elle-même, pendant 2 jours, une
^hitioo de benzoyiditbiocarbamate de diméthyle, dans AzH' alcoo-
lique et purifiant le produit par cristallisation dans le benzène,
wp8 solide, F. 11M12«,
680 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
BenzoyldUbiocarbamale debenzyle C«H5.C0AzHCS.SGH*.C«H
— S'obtient en chaufîant là solution benzénique des coastitiuu»
Aiguilles jaunes, F. 108*.
Benzoyldithiocarbamate dacétyléthylurélbane. — S'obtient )i
Faction de la rhodanacétyléthylurétbane sur Facide lhiobenzoi«
en solution benzénique: 5,7 de rhodanate préparés selon les ind
cations de Frerisch, et fusible à 86^ ont été dissous dans 45 r
de benzène et additionnés de 4,2 d'acide tbiobenzoïque. Le méUn
est chaufTé ensuite sur un B.-M. Il ne se forme pas de CS',
HCy. Cependant si le rhodanate avait la constitution d*un i&oéi
cyanique, CS* aurait du se produire, en même temps il se $*^i
formé de Thyppuryluréthane. Ces faits n'ayant pas été confii
l'auteur conclut que la rhodanacéthyléthyluréthane a la constitutii
d'un éther normal. La benzoyldithiocarbamate d'acétyléthylur
thane fond à 159% et répond à la formule C«»H*«0*. Az«S*.
oL'Isocyanate de cblorallyle CH«=CCl-CH«AzCS. — Pris»
fusibles 8 95**.
Séléniocyanate détbyle. — S'obtient par l'action de C^H^Ï
sur SeCyK. Ce composé qui parait nouveau est une huile légi'n
ment colorée en jaune, d'odeur désagréable, bouillant à 172* m
741 mm. de P. h. causse.
Synthèse de l'acide a-méthyl-p-éthyléthyléne lactiqm
A. ASTAKHOF et S. RËFORHATSKT {Jour. Soc. pbys. chim. H
t. 33, p. 239 ; 1901, fasc. 3). — L'éther de l'a-méthyl-p-éthylewi
lactique s'obtient par l'action de Zn sur le mélange d'a-bromo|ïd
pionate d'éthyle et d'aldéhyde propionique, suivant les équalioïW
GH3-GH Br-COOG2H5 + Zn + GH3-GH2-COH
:=GH3-GH2-GH(OZnBr)-GH(GH3)-GOOC2HS
GlP-GH3-GH(OZnBr)-GH(GH3)-COOGaH5 + H20
= GH3-GH2.GH(OH)-GH(GH3)-GOOG2H5 + ZniOH}Br.
Le mélange en proportions moléc. est versé par portions sur d
la grenaille deZn contenue dans un ballon refroidi par de la ç:l^^
lorsque la réaction est terminée, on abandonne pendant quelque
jours à la température ordinaire; ensuite on chaufte peadwl
6 heures vers 50 ou 60**, puis on décompose par de l'eau Sildi
tionnée de SO*H* ; le liquide huileux qui se forme est enlevé p«i
l'éther ; c'est un liquide épais, jaunâtre, d'odeur piquante agr^
able; il est sol. dans Talcool et l'éther. Éb. vers îÈl8'2io*; lewo^
dément est environ 1/3 de la valeur théorique. L'oxyacide s'obtient
CHIMIE ORGANIQUE. C81
sapooiflant Télfaer par Ba(OH)* et décomposant par HCl le sel
Ba ; on l*ex trait par l'élher.
Test uo liquide sirupeux, jaune-brun, d'odeui* piquante ; no
»ullise pas, soluble dans Téther et Talcool, peu sol. dans Teau.
sel de Ba forme une masse gommeuse, transparente, incris-
lisable. Le sel de Na cristallise en très petites lamelles.
A. COR VIS Y.
(ynthèse et propriétés de Tacide a-isopropyl-p-isobatyl-
tylénelactiqne ; D. PROTOPOPOF et S. RÉFORHATSKT {Jotirn.
c. pbys, rhim. R., t. 33, p. 242; 1901, fasc. 3). — L'éther do Tac.
sopropyl-^isobutyléthylènelactique se prépare en faisant réagir
r Zq un mélange en quantités équimoléculaires d*a-bromo-isova-
ite d'étbyle et d'aldéhyde isovalérique ; le produit, décomposé
fSO*H« étendu, fournit une huile jaune, épaisse. Eb. 188-190*
K 140-150 mm. L'oxyacide s'obtient par saponiRcation de cet
t^r. Il cristallise sous forme de longues aiguilles soyeuses et
061 en formant de petits grains. F. 120-121** ; presque insol. dans
ttu froide, un peu sol. dans Teau chaude, sol. dans l'alcool et
Hher. La plupart des sels de cet acide sont incristallisables. La
«duclibilité électrique (K = 0,00199) indique un oxyacide p.
Wlyse et le mode de formation indiquent la formule :
(CH3)aCH-CH2.CH(OH)-CH-COOH
CH(GH3)3 *
^ propriétés de cet acide sont identiques à celles de Facide
fï^nsé par Wohlbrûck dans les produits de l'action de Na sur
Waiérale d elhyle, ce qui montre que Taction de Na, ou plus
ïAciement de Téthylate de Na, sur cet éther se fait normalement,
^a-d. avec formation d'un éther cétono, de la même façon que
•r l'élher acétique, ce qui confirme la théorie de Claisen. SO*H«
rtosforme Toxyacide en une lactone qui, par analogie avec des
*U éladiés autrefois par Réformatsky, doit correspondre a un
^yicidex; la formation de celle lactone s'exprime par les réac-
(CH3)3CH-CH2-CH(OH)-GH(C3H'')-COOH — H^O
- (CH^)ïGH-CH = CH-CH(G3H^)-C00H ,
(Cn3)2GH-GH=GH-GH(G3H')-GOOH + IPO
~ ^GH?)2GH.GH(OH)-GH»-GH(G3H'')-GOOH ,
tCH3^(;H-GH(OH)-CH2-GH(G3H').GOOH — H^O
~ (GH3)2GH-GH-CH2-CH(C3Hi)-CO.
I 0 1
L
682 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
La laclone C*^H*80* est un liquide neutre, incolore, m
d*odeur camphrée, peu sol. dans Teau. Eb. 241-243**, inchsi^
sable même par refroidissement. A. oorvisy.
Sur Tactivité de Tacide oxypyravique ; J. H. ABEU
{Zeit. phys. CL, t. 31. p. 17-21 ; 1.1900). — Will (D. cb. G., Ll
p. 400; 1891) a décrit Tacide oxypyruvique comme un acide câ
nique répondant à la formule CH*OH.CO.COOH, et m
tourner à gauche le plan de polarisation de la lumière. Gea t
sont en contradiction avec la théorie du carbone asymétrique*
la formule de Will ne comporte aucun atome de carbone asyi
trique.
L'auteur montre que l'activité optique attribuée par Wil
l'acide oxypyruvique ne subsiste pas si ce corps est soigneuseo
purifié, et notamment débarrassé de tout composé azoté. U
tation observée par Will tenait donc aux impuretés du pro
étudié.
L'auteur confirme d'ailleurs la formule cétonique de Wi
préparant, à partir de l'acide oxypyruvique, un nitrile don
par saponification l'acide isotartrique : ce dernier» dont le s
baryum a été préparé et analysé, fournit, à l'ébuUition, de T
glycérique avec perte de CO*. On a donc la série des transfort
tions suivantes :
CH20H GH20H CmOH OWÀ
io »-^ (Ug;^ 1»^ U'^^^y, m^ Lob
COOH COOH COOH C'X)»
Si l'on admettait au contraire pour l'acide oxypyruviqwc
formule aldéhydique CHO.CHOH.COOH, qui comporte un t
bone asymétrique, la saponification de son nitrile devrait doo
de l'acide tarlrique, qui ne perd pas de CO* par ébuUition
formule de Will est donc confirmée. m. athks.
■
Acide diméthozysaccinique optiquement actif et tes <
rivés; Thomas PURDIE et James C. IRVINE (Cbem. Soe., i
p. 957; 7.1901). — Le présent mémoire porte sur l'acide d»
thoxysuccinique, ses éthers méthylique, éthylique, propyli'P
ses sels métalliques.
L'éther méthylique a été obtenu par action de Toxyde d'arjfl
sur une solution de tartrate de méthyle dans Tiodure de nx^Ui]
CHIMIE ORGANIQUE. 683
II» flisliUation dans le vide. Ce composé fond à 51*, est soluble
ms l*eau et les solvants organiques.
L*élher éthylique, préparé d'une façon analogue, est moins so-
bif dans feau et constitue une huile jaunâtre.
L^aetde (/.•diméthoxysuccinique était obtenu par hydrolyse de
n èther méthyltque par la potasse ou mieux par la baryte. Le sel
(bar^-um cristallisé obtenu était décomposé par la quantité cal-
ih d*acide sulfurique et l'acide était extrait à Téther ; il se pre-
nne en petits prismes quand il cristallise dans l'eau, en tables
buid il cristallise dans l'acétone; il fond à 151** avec une légère
!romf)Osilion.
La ^.-diméthoxysuccinamide a été préparée par action de Tam-
9Diaque sur Téther méthylique en solution dans l'alcool méthy-
foe; elle se présente en aiguilles solubles dans l'eau chaude,
ftolubles dans les solvants organiques. On n'a pu en obtenir
iude.
Enfin, on a préparé les sels neutre et acide de sodium, les sels
a baryum, calcium et zinc.
Le pouvoir rotatoire de tous ces composés a été déterminé.
tt«ib«xT«wd..ies. Wf. [M]^. [a]f. [Mf.
Demélhyle • • 82,5 110,0
D'elhyle 90,0 210,6 85,4 199,8
Depropyle 84,9 222,4 81,1 212,5
Quant aux sels métalliques, les rotations ont été examinées à
WîtîreDies concentrations; nous renvoyons pour le tableau de leurs
«tleurs au mémoire original. De l'examen de ces chiffres et de
Ofoi obtenus dans des travaux précédents, les auteurs tirent les
tOQclu5îons suivantes :
f U existe une relation générale entre les hydroxyacides et les
^oyloxyacides correspondants. Les rotations moléculaires des
•ôluuons aqueuses diluées des (/.-malates, (/.-lactales et A-lartrates
fcormaux sont beaucoup plus fortes dans le sens dextrogyre que
uHl« des acides libres correspondants; dans le cas des dérivés
*^ié?, d'autre part, les rotations des sels alcalins normaux sont
*«ucoup plus faibles, ou, au plus, très légèrement plus fortes
Tttî celles des acides libres. L'augmentation de rotation produite
l"«r falcoylation est beaucoup plus marquée sur les hydroxyacides
S-^ «ir leurs sels. L'influence marquée des groupes hydroxylés
''ir les propriétés physiques des composés et l'influence de la va-
^Uoû de concentration des solutions aqueuses des hydroxyacides
L
684 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS
tend à indiquer que la cause de la relation générale indliiué«i
être cherchée dans plusieurs singularités de ces derniers $m
qui ont pour elTet de diminuer leur activité optique, a. héu^
L'influence des solvants sar les pouvoirs rotatoircs
éthers des acides diméthozysuccinique et tartriqae;
PURDIE et William BARBODR (Cbem. Soc, t. 79, p. 971 ; T.l
— Pour comparer les rotations des éthers lartriques et dwln
oxysucciniques, pour déterminer s'il y avait un changement o
par alcoylation des éthers tartriques avec Toxytio d'argent c
iodure alcoylé, les auteurs ont cherché à reproduire l'acide
trique en partant de Tacide diméthoxysuccinique en cbauiïi
dernier avec de Tacide iodhydrique en tube scellé à 100* \)e
8 heures; ils ont bien régénéré Tacide tartrique.
Les pouvoirs rotatoires des diméthoxysuccinates de mèlli
d*éthyle et de propyle en solutions de concentrations variées <
l'eau, Talcool mélhylique et le benzène ont été détermioêa
comparées avec des solutions des tartrates correspondants,
général, les rotations des premiers éthers sont moins influe»
par les solvants que les rotations des derniers et dans la pio
des cas, l'action est directement opposée.
L'effet d'un solvant sur les pouvoirs rotatoires des mem]
d'une série homologue est souvent renversé en montant dai^
série.
Les déterminations des poids moléculaires des éthers dans 1]
et le benzène, et plus particulièrement les résultats obtenus a
les solutions benzéniques de tartrates, montrent que rajfi*éjra'
de molécules dissymétriques n'est pas un facteur prédominaûl
l'influence des solvants sur la rotation. a. HicBEnr.
Sur la dialdéhyde succinique; C. HARRIES {D. cIl G., t.
p. 1488-1498; 15.5.1901). — L'auteur a pu préparer VMéhi
succinique au moyen de la dioxime que Ciamician et DenD?ti
avaient obtenue jadis par l'action de l'hydroxylamine sur le pyr^
5 gr. d'oxime étant mis en suspension dans 20 ce. d'eau refronj
on y dirij^e un fort courant d'acide azoteux, l'oxime entre en so|
tion et au bout de 5 minutes on neutralise par CO*Ca et on lill^
la solution est concentrée dans le vide à basse température ju*î1
consistance de sirop, puis distillée au bain d'huile; il pa^i^ed'dl'^i
une solution concentrée de l'aldéhyde, puis l'aldéhyde eile-mfl
qui se soHdilie en une masse blanche vitreuse (rendement: Û.ôg^
CHIMIE ORGANIQUE. 685
ildéhyde succiaique devient visqueuse à Sô"" et est complète-
i liquide à 70*, elle distille à 65-66* sous 11 mm. et à 160-1 70*
la pression ordinaire, c/=l,23 à IQ""; elle est peu sol. dans
, éther, benzène, soluble dans l'alcool ; son odeur est piquante,
Qti elle rappelle Fodeur de Taldéhyde formique et de Tœnan-
ht forme un hydrate, probablement un monohydrate, soluble
; Teau et volatil avec la vapeur d*eau, distillant vers 55* sous
ua. 11 perd son eau par distillation à basse temp. dans le vide
âous 10 mm.) et devient ensuite difficilement entrainable par
ipeur d*eau.
ftldéhyde succinique se transforme en furfurane par Taction de
là 180*; en pyrrol par Taction de Tammoniaque en sol. acé-
e et en tbiophène par Taction de P*S^.
féibyhcéial, — S'obtient par l'action du chlorhydrate d'éther
lo lormique sur l'aldéhyde; ou par l'action de l'alcool méthy-
ic a 8 ou 4 0/0 de HCl sur Toxime. Liquide, Eb. : 87-89* sous
W mm, 201-202* sous 772 mm. rf= 0,9897 à 19*. Dans la der-
re métliode de préparation, un des groupements oxime est
ih>dralé et le nitrile résultant transformé ultérieurement en
do élher :
aiM:H=AïOH CH2-CAZ GH2.C<?^,?^
liiM:H= AïOH i ;H2-CH(0GH3)2 CH2-CH(0GH3)2
Dérifé dibenzoylé de Poxime. — Obtenu par la méthode de
ibollen-Baumann, F. 152*. — Dérivé diméthylé de Foxime. :
fenvé sodé de l'oxime ••[- ^Gd^ huile indistillable, se décompose
kTiIcooI mélhylique chlorhydrique en ^-mélhylhydroxy lamine
CH«-CH^0CH3^»
i M moaoacétal de la monomélhoxyloxime \
CH«-CH = AzOCH»
^^•b. 84-85* sous 15 mm. ou 180-200* à la pression ordinaire;
'tWmier corps traité par 3 volumes d'HCl ^ donne la monomé-
. , . CH».CHO .. ,^ ^.^
myioxme I , liq. éb. 67* sous 10 mm.
CH^-CH^AzOCH»
^oftobromopbéuylhydrazone. — Obtenue en présence d'un excès
^•Wéfcyde, F. 135.1:^6*.
^ibtomodipbéDylbydrazono. Obtenue en présence d'un excès de
W-tewaophénylbydrazine, F. 140-145*.,
<I8G ANALYSE DES TRAVAUX BTHANGEH&.
L'aldéhyde Buccinique se condense avec l'o.-phénjiène <bu
pour donner :
Az=CH-CH3
{F. I-IÔ-I-T)
Àit=CH-CH'
inant, l'auteur entrevoit la possibilité de prépanfl
'umarique, malique et tarlrique en partant du diiol
brome. n. M.utQi'iï.
déhyde acide ^mâthyladipiqae ; C. BARHIES
VECEER (D. ch. G., t. 34, p. 1498-1501 ; 9.Ô. 1901k ■
ce corps est obtenu par oxydation de l'acétal du nW
CH»
CH\ I
>G=GH-CHî-CHi-CH-CHî-CH(OCH ')2
H\
>C0 + COïH-CH'-CHi-UH-CHî-CHiOCHî)».
H'/ 1
CH' I
:étal sont oxydés par 20 gr. de MnO*K dissous du
). La solution filtrée, neutralisée par CO* est évgponj
e résidu est extrait à l'éther, puis acidulé SO'H' \
louveau, ce deuxième extrait évaporé, abandonnerai
brut que l'on fractionne. Liquide jaunâtre, éb. 1 Vi-^'^
m., <f= 1.1356 à 10°, sol. H»0, alcool et éther.
de-acide s'obtient par sa ponifl cation de l'acétai, liiiuid
lantà 153-155° sous 12 mm., (/^1,0959 à 10°, \^
ropriétés réductrices des aldéhydes. Semi-carbatffA
«•hydrate de semi-carbazide et l'acétate de potaai*
'. H. Marqua-
tien de gluco8ld«8 STnthèUqaes (2° partie»; HagI
1. Sloan MILLS [Cliem. Soc, t. 79, p. 704 ; e.i'JOI'-
e d'acélyle réagit sur le galactose sec d'une îavonioi
le dont il agit sur le glucose, en donnant l'acél^'lcblorw
sirupeux. Ce corps a depuis été obtenu parFiâcbcrd
à l'état crislallin.
;lilorogalaclose, en solu^on dans l'alcool ab$(du, agi)*
CHIMIE ORGANIQUE,
sur une solution d'à -naphlol et de potasse dans l'alcoo
onj au sein d'un mélange réfrigérant, puis à 1» lera
mire pendant plusieurs jours, enRn au réfrigérant m
Dit une solution qui, évaporée au bain-marie, devi
ie, puis cristallise. La substance est purillt'e par
ler et recristallisation dans l'alooot ; elle est constilu<
aphlylgalactoside C«H'<05.C'OH\ fondant à 202.203°
it en tables rectangulaires, solubles dans leou el
ids, insolubles dans les autres dissolvants organic
e réduit la liqueur de Fehlîng aprës hydrolyse.
û B obtenu d'une façon analogue le m.-crésylglucosidt
C6HH0î.C«H*.CHi,
c l'acétylchloroglucofie, le m.-crésol et la potasse. Ce
{» fond à I67'>,5-I68',5 ; il cristallise en longues aigu
ifs dans l'eau et l'alcool, peu dans les autres sotv,
leur de Fehliog est réduite après hydrolyse par le
lès.
£s dérivés acétylbromés peuvent Aire également emplo
gvnredet'ynlhèse; les auteurs s'en sont servis pour
Mrvacrylglucoside, soluble dans les alcalis d'où il est
i par les acides et le carbonate d'ammonium.
Mâenâam. — L'action du chlorure d'acétyle sur l's
:be en vase ouvert ou terme donne naissance au li-iacét;
ibiaose :
0CiHK).CHi.CH.CH(bGîH30) . CH(0C'H'0).C11CI,
I o I
D'iiutà 150-iri2*, peu soluble dans l'eau chaude, soli
' solvants organiques. Celto substance réduit la lit
thliog et cristallise en prismes présentant la double ré
>Ic<mI ffléthylique chaud le transforme en arabinoside c
IttUque à celui obtenu par la méthode de Fischer.
^u uta réaction apactroacopique du méthylfurfui
«raOSinUetB. TOLLEKS(McA G., l. 34, p. 1125; 24
- 1 w ululioa de méthyllurfurol, additionnée d'HCi c
"'^uopeude phloroglucine, présente, si on l'examine i
"^^^i?*, une bande obscure au commencement- du bk
ANALYSE DES TRAVAUX ËTRANUEftS.
S sensible, permet de rechercher le méthyiriirfut|
luits de la distillation des glucosides naturels avec HQ
R. HAlUlLlB,
le coadensatioa da farforol et de l'acide tnd
riCHTER et Beda SCHEDERMAinf {D. cb. G., L 31
; 21.5.1901). — La condensation de l'éther succtoiqa
roi en présence d'élhylate de sodium sec, en aoluu
froid, donne lieu à la formation de l'éther di/arfu
C»HïO-CH=:C C=CH-G»HïO
cbïCîH* co'cms '
/u rIaritBconique
C*HH)-CH=C CH»
liers étant saponifiés, on sépare les acides au movi
illante, dans laquelle l'acide iurfuritacoDique est
On les puriAe par cristallisation des sels de barjui
ïujours une plus grande quantité d'ac. dirurfuralsw
l'ac. furfuritacODique, même en employant un gru
succinique.
I ri laconique cri st. de H*0 bouillante en longiu
lâtres, f. à S05-215* en se décomposant, sol. alcool*
, dilT. sol. éther, peu sol. GHCI>. Sel de barm
H»0; sel de calcium C^HoOCa + 4H«0 ; le seN'A
La réduction de cet acide conduit a l'ac. far/arflsm
mdelin, f. à U)-142° {D. cb. G., t. 33. p. 489).
lural&uccinique cristallise en prismes t. peu sol. K*fl
ant entre 217° et 225'", sol. alcool, peu sol. éther*
Sel de calcium C'*H*08G8 +H«0; le sel d'Ag. a
tnsible à la lumière. La réduction de cet acide conilsi
C*H>0-CH»-CH-CO»H
rfuryisocciniqae i . f . â 178*.
C*HS0-CH«-CH-C0»H
condense le furrurol avec le succinate de sodium «
ihydride acétique, à105-110°, on obtient l'acide (yj/ur
C»H30-CH=CH-C-C0»H . .
ique i[ cristallisant de Ucc-
CH-C*H'0
ttesjaunes fondant à 195-107'' et possédanldespropn^
ment acides. — Sel de baryum {C**H»0*i^Ba,-î-6H*0i
CHIMIE ohganioue:.
de Mg IC"HK>*)*Mg + 8H*0. La réduction de cet acide con
Kiile a-furfuryl-rurlurisocrotoiiiquc :
liguitles blanches fondant à 66-67° n. marquis.
chpo-ch^ch-ch/
lir l'acide bis-aioxy'acétiqne, le bis-aioxymèthatK
ait hydraxo-acAtiqne ; A. HANTZSCH et H. LEHHANH
G., t. 33, p. S668-3Ô85 ; 22Jâ.l901). — M. Curtius a «1%
rmi les produits de transformation de l'ac. bis-diazo-acél
n. In azo -acétique), un acide tri-azoïy- acétique qui constitu
ilitérac. A/s-«zo j^-o ce //i/ue G* H* A z*0' [Curtius, Journ. f. pi
L i2). t, 38, p. 5ô7; Hnnlzsch et Silberrad, B. cb. G., t
Â8]. Cet se. bis-azoxy-acétique résulte de l'oxydation de
»'diBzo-acétique qu'il ré^aère par réduction :
0
/\
wi-gh/ ' NcH-co'H + 0» = co'h-gh/ \ch-i
U roumit par décomposition par l'eau l'ac. hydrazo-acé
>CH.GO*H dont les éthers donnent naissance aux é
*>■"
■i'>->cétiquea lorsqu'on les traite par HgO. La constîtutio
■ composés est donc bien déterminée.
Pour préparer l'ac. bis-azoxy-acélique, on Tait passer un coi
Ifperoiyde d'azote (provenant de AzO'H et As*0'} sur l'ac.
taiMcétique rerroidi à 0°. Le produit devient pourpre et se
wi en rouge dans l'eau sans laisser de résidu ; cette sol. se r
** peu à peu. 20 gr. de matière première fournissent le n
Mi de produit. Le bromo agit de môme. L'ac. bis-azoxy-
^f, séché dans le vide, constitue une poudre rouge crista
*« stable, qui se décompose vers 148° en se transformant
rtemeni en bis-azoxjmctbane
O
/\
<Ab-Ai>
>GH';
'\?
O
•"^ oaa., 5» «in., T. xxvi, 1901 — TraT. «rang.
090 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGEKS.
cet ac. est sol. dans Teau et i*alcool (décomposition à chstidtj
presque insol. dans les autres liq. organiques. Les sol. aleaiM
ne sont stables que si elles renferment 2 mol. de base (sel neutifl
dans tous les autres cas, elles se décomposent rapidement. Le «
de Na C*H*Az*0*Na* crist. par évapora tion en paillettes rou^
hygroscopiques ; celai de Ba constitue un pplé orangé cri&uUi
très peu soluble. Le sel d'argent est vert foncé (violet au prenu
moment), assez stable à la lumière et sol. dans AzH^. Il déta
vers 210® et se colore en violet par addition de AzO^H fumant. L
sels de Ca, Pb, Hg et AzH* sont peu stables. Les éthers intHb
Jique et éthylique, préparés avec le sel d'Ag, constituent des liquid
visqueux.
La réduction d'une émulsion aqueuse d*ac. bis-azoxy-acéli'{
par H^S fournit de Tac. bis-diazo-acétique f. à 152^. La pyroji
nation à basse température du même acide fournit entre autr
produits 1 à 2 0/0 de bis-azoxyméthane (voy. plus haut), sou-;
lorme d'aiguilles pourpres f. à 75* (sublimables déjà vers 80*41^
solubles dans Teau et les liquides organiques en rouge. Ce eut]
ne forme pas de sels ; il réduit peu à peu le nitrate d'argent ei
chlorure mercurique ; H*S réagit sur les sol. aqueuse ou alcooliq)
en donnant du bis-diazomélbane
cm* Az*02 + 2 H2S = C2H* Az* + â S + 2 H^O .
La transformation inverse ne réussit pas : on obtient du triti
lorsqu'on fait réagir le peroxyde d'azote sur le bis-diazométhaoj
Les sol. aqueuses ou incomplètement neutralisées d'ac. bi
azoxy-acétique se décomposent à chaud en donnant de Vac. hydrn
acétique :
O
/\
<Az*~AZv /AzH
>CH-G02H = C02H.CH< | + 2C0ï + Ai»
Az-Az/ NazH
\/
0
Si Ton opère > 40**, on obtient des quantités notables d*ac.
lique. Uuand la liqueur est complètement décolorée, on refr
et on essore le produit cristallin qui se dépose. L'ac. hydi
acétique est en aiguilles microscopiques qui se décomposent
190* et sont très peu sol. dans H*0. C'est un ac. fort (uj, — "î
qui forme des sels neutres bien déflnis ; celui de Ga est un pré^^j
blanc sol. dans AzH^, AzH*Cl, Tac. acétique et les ac. minéi
Le sel de Da est analogue ; ceux de Fb et de Hg sont hh
CHIMIE ORGANIQUE. C9l
. réduit les sels de Pi, Au, la liqueur de Fehling et Tazotate
rent aimnoniacal. Le sel dAg, préparé en solution faiblement
p, constitue un ppté blanc, assez stable à la lumière, sol. dans
»H et AzH*, et qui se décompose brusquement à chaud. Traité
fiodure de mélhyle en sol. benzénique, il se transforme dans
AzHv
tr mélhyUque I J>CH.CO«CH», aiguilles blanches, f. à 102%
Ues dans Teau, Falcool, le benzène ; la soude saponifie facile-
l cet élher ; HgO fraîchement précipité le ti'ansforme en diazo-
fcte de méthyle.
H sol. aqueuses d'ac. hydrazo-acétique se transforment rapi-
l à chaud ou même à froid en présence diacide) en hydrazine
n ac. oxalique. L*ac. libre ne réagit pas avec les aldéhydes
oa tiques en sol. neutre ; en sol. acide il donne une azine (ben-
lèiie*8zine). On n*a pas pu l'obtenir synthétiquement au moyen
Tiydrazine et de Tac. glyoxylique. Il se forme facilement (ren-
ient quantitatif) lorsqu'on fait agir Tamalgame de Na à 1 0/0
Tac. bis-azoxy-acétique ou sur i*ac. bis-diazo-acétique en sol.
Ire ou faiblement ammoniacale :
OH* Az*0« + 8H = 2C2H*Az202 H- 2H20,
C*H* Ax*0* + 4 H = 2 cm* Az202 . p. freundler.
é ipectre d'absorption des composés du cyanogône ; Walter
QHARTLET, James J. DOBBIE et Alexander LAUOER {Cbem,
f ,t. 79, p. 848; 7.1901). — Les auteurs décrivent les résultats
l'examen du spectre d'absorption des composé du cyanogène, et
• particulièrement de Tacide cyanurique, de la mélamine et de
n élliers respectifs.
L'idde cyanurique et le cyanurate de mélhyle, dont le point de
tiûu est de 135*, sont communément représentés comme des
opoaés à chaîne fermée dans lesquels la chaîne est formée
(tomes alternatifs de carbone et d'azote alternativement double-
nt et simplement liés, tandis que Tisocyanurate de méthyle, de
ttl de fusion 175*> est représenté comme un dérivé de l'acide iso-
vuirique contenant trois groupes cétoniques et ayant des atomes
F carbone et d'azote seulement simplement liés.
^ bu que la pyridine, la diméthylpyrazine et les substances
^'^^xt^ dans lesquels les atomes de carbone et d'azote sont unis
^ '1«^ liaisons alternativement doubles et simples, possèdent de
Viei tiaodes d'absorption, on peut penser que l'acide cyanurique
A^ALySB DES TRAVAUX ÉTRANCEHS. '
i présentent aussi une absorption marquée. U'un atu
ihers de l'acide isocyaDurique doivent se compoA^
lipéridine el les autres substances composées d'«
ée d'atomes de carbone et d'azote simplement liés,
rs ne trouvent, cependant pas trace d'absorpiioaséla
icune des substances examinées; il semble doue ifurl
constitution généralement adoptée pour l'aciileryuu
)eul être pas exacte.
spectrograptiique confirme la similitude de roo^UB
de cyanurique et du cyanurate de méthyle el l'eud
mules actuelles de la mélamine et de la triri bylintl
, thio-arées, correction leB concernant ; H.WHEEU
Journ., 4.1901). — H. Wheeler et Santiers onlpuW
moire antérieur, un article sur les éthers do l'uniit
liio-imido-urée, et les urées imidées. Un examen apfl
'éaction des éthers de l'imido-urée sur les base» orj
Qontré qu'elle avait lieu selon l'équation suivante,!
l'action du benzoale d'imidopliénylisobutylurét.',
Aii.CO.AzH.CW
C«Hs.Cf +
\0C»H9 C6H'
+ C'H9.0H. I
on est normale, il se forme l'amidine corresponiiaoi
mtrôlée par l'analyse, et la préparation do l'imi'iid
mt de l'action de la beazénylphénylimidine et de \'n
phényle. i
I Iraita les étiiers de l'imidotliio-urée par raoilinc,
Une, la p.-anisidine, etc., les produits obtenus ïun
• analogie, comme des amidines de thio-urées.<'D
e dosage d'azote ; mais on a reconnu depuis qui- c
ient inexacts, ce qui tient à la dilllculté de bn'ilir
, après correction il se trouve que les pourceotsf;
avec des dérivés de la Ihio-urée, bien mieux qu'av
:e de la même urée sulTurée. Dès lors les prnJui
. tes noms de benzényUhio-uréo p.-antsylamidiae, tiM
thio-uréepliénylamidine, deviennent la phényl -p.-ii))
, et la diphényllhio-uréc, etc.
CHIMIE ORGANIQUE
BeniénylphényluréephéiiylaniidiiieC'h
ïblienl par l'action de la benzénylphéoy
pl)>';>i}le : aiguilles fusibles à 1794S0%
uitif du dérivé prépaie par l'aclion du l
Iimiilo-urée.
Bmièuyiphényltbio-urêepbénylamidiih
me par l'action de la benzénylphényla
Nlarde phénylique. Cristaux fusibles
pport avec le composé antérieurement d
lleazoale de pltéiiyUsobalylimiJotbio-
'01 substances donnent par réaction
siible il I&I-152'. Il doit êtra ilésormais (
H'iizoale de pliény}tttéthy)imidotbio-u
ristaiii fusibles à 180°, de la phényl-p.-ai
fienzoale de phéiiylisobiilylitnidolhio-u
-Cnsiaux fusibles à IHâ-lSS", qui dévie
llhio-urée.
Sar U méttayl-l-xanthine ; M. ERO
.»"A-,;20.12.1900). — Les produits de
Ijl-t-iantlnne sont constitués par de la c
t)1ia[iihine qui n'avait pas pu être cara<
nia ihéophylline fdimétbyl-l.S-xanlhine'
O* auteurs ont isolé ce produit en che
KAOule dans 1 mol. de soude alcooliqi
l'iodure de méthyle à 100» en vase clos,
le «tilde à 10 0/0, et faisant cristalliser i
lUiràphylline qui est peu soluble.
La inélhyl'l-xanthine crist. dans l'a
•ii-jDiijinueâ à fi pans.
SuUnètitjl-3-di80X7zanthiDe at la
1- TAFEL et A. WEINSCHENK {D. cb.
an. 1900). — u méthyI-8-xanihine fou
•"ilïlinuels mèthylS-ilésoxyxantbine anal
AiH-CO
1 J
'» f,-AïH\
UiydsiioD de ce produit conduit à U
694 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
Avec rhétéroxanthine, on obtient, par un processus analogue i
désoxyhétéroxanthine puis la raéthyl-7-oxy-2-pui*ine déjà ooad
(Fischer), de sorte que la constitution des produits iniermédicv
est démontrée. '
La réduction a été effectuée en sol. dans l*ac. sulfurique à 50*1
(100 part.) à 12® environ (concentration de courant : 120 amp-î- i
sulfate de méthyldésoxyxautbine qui se dépose est lavé a l'al«t
et décomposé par la baryte. La base crist. dans l'eau bouîllanU'i
prismes ou en aiguilles renfermant 1 mol. H*0 qui part à ICW*^
dans le vide ; le produit anhydre se décompose sans fondre v<
210-220^ Solubilité : 10 0/0 dans Teau bouillante, 7 0/00 dans Ta
froide. La méthyldésoxyxanthine est sol. dans les acides et !
alcalis, peu sol. dans Talcool, insol. dans le chlorofonne. B
réduit le permanganate, fournit un dérivé argentique en pailleil
décomposables par Teau bouillante et donne des précipités av
HgCl* (ppté blanc crist. sol. dans l'eau chaude et l'ac. chlort
drique), avec CuSO* (poudre crist. jaune-rougeâlre), avec Vioé
bismutbate de potassium (ppté amorphe rougeàtre). Le sulh
(C«H80Az*)SS0*H« est sol. dans l'eau et Talc, faible; le picrate \
décompose vers 200® (prismes jaunes sol. dans 100 part, d'tl
bouillante) ; le cbloroplatinate crist. en cubes.
La base dissoute dans Tac. acétique a été oxydée par le brom
à 0*»; on a ainsi obtenu le brombydrate de métbyl^S'Oxy-^'poHi
sous forme d'une masse crist.; le sulfate est peu sol uble dans T*^
et insol. dans l'alcool (10 0/0 à chaud); il a fourni après traitpro«j
à la baryte la base libre (aiguilles blanches sol. dans Teau, trj
peu sol. dans l'alcool). Le picrate se dissout dans 90 part, d'eé
La désoxybétéroxantbiney préparée par un procédé analo^
(rendement 66 0/0), crist. dans l'eau bouillante en prismes tai*
laires peu sol. dans l'alcool et l'eau froide (1 : 257 à \^l in»
dans réther, le benzène, le chloroforme, la ligroïne et ha ^^*^
sol. dans les ac. minéraux. Elle se décompose sans fondre vei
260-264®. Le dérivé argentique est en petites aiguilles soi. «^«j
AzO^H et qui se transforment à chaud, en présence d*un ex«J
d'azotnte d*argent, dans le dérivé correspondant de la mt'tàp,
7'0xy'2'purine, On obtient de même avec HgCl* un grénp^
a'aiguilles blanches sol. dans HCl, peu sol. dans l'eau bouiilifl|j
et avec l'iodo-bismuthate un précipité floconneux rouge brun, sif
à chaud.
Le cblorbydratey C^H^OAz*.HCl, crist. en prismes sol.
l'eau, insol. dans l'alcool. Le sulfate est en petites alguilies
dans l'eau, et le picrate en aiguilles jaunes prismatiques sol
i
CHIUIB ORGANIQUE,
jiart, d'eau bouillante. La inéthyl-7-oxy-2-pi
X'* en Hol. acétique k r>0° a fourni la métJij
H'OAjt*.H»0 déjà connue; on peut aussi en
lur elTecluer l'oxydation. i
lUdnctioa élsctrolTtiqne du méthrlaracil
mmSCHEHK {D. cb. G., t. 33, p. 3378-338S
I réduction étectrolytique du méthyluracile fou
iioéthylène-urée et les produits de décompositi
itj-lèQe-diamioe-l.S et CQ) :
UH-C-OHï AïH-nH-CH3
I l| Il
Cl ua 4-3Hï=HaO + CO VAV =00»
Aill-CO AiH-CH=
Les conditions de la réduction sont : concentra
Diritrique à 50 0/0, température 7 à 9" ; concent
m amp. à 150 amp. On doit opérer dans des vf
produit débarrassé de l'excès de l'ac. sulfurique
(résidu est épuité par le cldoroforme qui dissoi
liylf-ne-arve et laisse non dissous le sulfate de
L'urée crist. dans l'alcool en prismes f. à S00-2G
Kilde et les acides, peu sol. dans l'éther. Elle s
^r el n'est pas attaquée par les alcalis boui
cnM. en paillettes Jaunes peu sol. dans l'eau cb
hvilrique coDcenlré fen vase clos à 200°) dédoub
(faj'IèDe-urée en CO* et diaminobutane. L'ac. sut
emporte de même.
La bulylène-diam'me'î .8 s'obtient plus facilei
^ produit brut de la réduction électrolytique à
»w clos. (Rendement 300/0 du méthyluracile).
UI'.âsous788 mm. el fume à l'air; rf=0,86.
i>H".\i».2HCI, fond vers 170-172'; aiguilles Ir.
Fu sol. dans l'alcool. Le chloroplalinale crist.
f'vtfeeaprismes jaune d'or sol. dans 65 part.
'.r«i (leu sol. dans l'eau froide, qui détonent à cl
"niAgCJ; elle donne un précipité amorphe ave
BWactioD éUetrolytiqne de l'acide barbiti
«tlWEUSCHENE {D. eb. G., t. 33, p. 338â-£
~ Li réduction électrolytique de l'ac. barbituri'
L
696 ANALYSE DES TRAVAUX ÈTRANGERB.
conduit à un mélange de triméthylène-uvée (E. Fischer ei Kod
et àHiydro-uracile :
AzH-CO AzH-CH2 AzH-CH^
Il II II
co CH2 »►->- co (:h2 WÊ-y co (;h2.
Il II II
AzH-CO AzH-CO AzH-CH^
L'ac. barbiturique a été préparé en chauffant assez longleinp^
rébullition une sol. alcoolique d'urée et d*éther malonique m
(rendement 45 0/0). La réduction a été opérée en sol. dans F
sulfurique à 50 0/0 et à 18-20« environ. On a précipité l'ac. sulfunfl
par la baryte, et la liqueur filtrée a été évaporée à sec. Le réd
est épuisé par Teau froide qui laisse l'hydro-uracile non dissoj
Celui-ci cri»t. dans l'eau chaude (5 part.) en lamelles f . à 2^
se sublimant à haute température, peu sol. dans les liquides on
niques, très sol. dans les alcalis fixes. L*hydro-uracile n'est allaij
ni parKMnO* en sol. sulfurique, ni par HCl bouillant. I^s soluli^
cuproammoniacales Toxydent à chaud. Le dérivé mercuri^
obtenu au moyen de HgCl* en sol. alcaline est cristallin el sui
Le dérivé argentique (préparé également en présence de barj
est en prismes microscopiques décomposables par l'eau chauài
la lumière. L'hydro-uracile paraît être quelque peu décomposé ]
la baryte bouillante.
La triméthylène-urée restée dans Teau-mère peut être p
pitée à rétat de picrate (aiguilles jaunes sol. dans 35 part. à\
chaude); le sulfate est en cristaux cubiques. p. freundlkr.
Formation de la pyrimidine à partir de Tacide barbitariq^
S. GABRIEL (Z>. ch. G., t. 33, p. 3666-3668; 24.12.1900). -
même que le méthyluracile, Tac. barbiturique peut être transfor
n pyrimidine par Tintermédiaire du dérivé Irichloré :
V
AzH-CO Az — C-Cl Az — CH
I I . Il II . Il . Il,
CO cH» !»->- CCI cH mt->- en en.
' J II I '.1
AzH-CO Az=C-Cl Az = CH
L*oxychlorure de phosphore ne réagit à rébullition ni sur N
barbiturique, ni sur le nilro-uracile ou le nitromélhyluracilp I
vase clos, à 130-140**, la réaction s'effectue facilement. I^an^
premier cas, on obtient la trichIorO'S.4M'pp'iDiidinei\\i^^?^
cipite par la glace et qu'on isole par Téther; huile lourde bouilw
à 213" sous 755 mm., se solidifiant à froid pour fondre a 21*. l'*
sol. dans Teau, sol. dans les liquides organiques. Ce composa ^
CHIMIE ORGANIQUE. 697
lalil avec les vapeurs d'eau ; ses vapeurs sont très irritantes.
rtuflé avec de Teau et de ia poudre de zinc, il se transforme en
rimidine qu'on a caractérisée par son picrate et son chloro-
"^rcarale (/?. c/r. C, t. 32, p. 1525 et 2924). Le rendement est
f th 0/0 de la théorie. p. freundler.
Sur l*o.-i80propyltoluàiiB; H. SPRINKHETER (/?. ch. G., t. 34,
1950, ±2.6.1901). — Après avoir essayé en vain de préparer
L-lsopropyl toluène par introduction de l*isopropyle dans le
Inène, Tauleur y est parvenu par un moyen indirect, soit en
Iroduisaot le méthyle dans le cumène. Il a fait dans ce but réagir
?o<iïum sur To.-bromocumène et Tiodure de méthyle à une tem-
fcalure élevée. Vo.-isopropyHoluène ainsi préparé C'^H** distille
I57», il se présente sous la forme d'un liquide incolore, fortement
ifriDgent de D = 0,8582, son indice de réfraction avec le réfrac-
inélred\\bbe= 1,495.
Hel hydrocarbure soumis à Toxydation avec le permanganate
> potasse donne en même temps qu'une forte quantité d'acide
taliqne, un composé qui est très probablement la dimétbyJpbta-
^e C^H*<r^ ^^^ ^*:>Q . soit la Jactone de Pacidc o.-oxyisopropyl-
^molqoe. Chauffé avec H*SO* fumant à 50* Tisopropyltoluène se
i£6out facilement pour donner un mélange d'acides sulfoniques
liiquel Tauteur a pu en isoler deux (la théorie en prévoit quatre),
^1 ont été caractérisés par leurs sels de Ba, Pb, Cu, K ainsi que
»r leurs amides. Ua-o-^isopropylloluène-sulfonate de Ba cristal-
^ avec une molécule d'eau, sous la forme d'aiguilles, il est très
lifficiiement soluble dans Teau froide, plus facilement dans Teau
wuillanle. Le ^-sulfonale est plus soluble. VoL-sulfonate de Pb cris-
Wiise en feuillets brillants avec 2 aq., Va-sulfonale de Cu est en
lî^llets brillants, vert clair, renfermant 8 aq. , Va-sulfonate de K
M en ^ros feuillets brillants, facilement solubles, il renferme 2 aq.
Eafiû W^o.-isopropyltoluène sulfamide C^«(CH«){C»Hi)SO«AzH«
rt le dérivé ^ cristallisent, la première en aiguilles, F.90*>, le second
Wi ^ros feuillets brillante, F. 105®. p. reveruin.
8w le ilaoréae; 0. DIELS (/?. ch. G,, t. 34, p. 1758; 22.6.1901).
— L'tuteur a étudié le ï-nitroliiorvue
CH2
J>Az02
W Ion obtient par Taclion de HAzG^ de D = l,4 sur le fluorène
698 ANALYSB DES TRAVAUX ËTRANGBRS.
en solution acétique. Ce produit après avoir été desséché i
divisé aussi llnemenl que possible et mis eu suspcnsioD i
l'alcool avec une solution aqueuse de chlorure de calcium é
itinc en poudre; ce mélange bouilli pendant S heures fn
VaminolIuorùDe qui après cristallisation dans l'alcool étendu »
aiguilles, fusibles à 129*. L'aminofluorène donne par diazuu
le chlorure de diazoRuorène en aiguilles jaune foncé, 'pi
décomposent vers 118-li9", ChaufTé au B.-M- avec de IVi
chlorure de diazofluorène se décompose en déga^ant de II
et en fournissanl un phénol, le S-oxyOuorme qui fond à 16
se dissout dans les alcalis étendus.
L'auteur a également transformé le chlorure de diazoflui
en S'tluoryihydrazine dont les sels sont difilcilement toV.
dans l'eau et qui lui a fourni par condensation avec ler' alili'h
et les célones des hydrazones telles que la benzaldi'-hyde B<h
hydrazoae, la furfurol-Ûuoiylbydrazoue, l'acétone- Ûaorr
drazone et Vétber acélacélique de la fluorythydrazonp.
On n'a pu obtenir jusqu'ici d'une manière nette la iiilrùSa
none par nitration de la diphénylène-cétone ; l'auteur a eoa
que l'on pouvait la préparer d'une manière quantitative par
dation du nitrofluoiène. En oxydant le nitroduorène en soU
acétique par le bichromate de sodium à chaud, il se forn
3-nUrofluorénone qui se présente sous la forme de cristaux ji
soufre, F. 218-S19°. Réduite par H^S en solution alcoolique ifl
niacale, elle donne la 2-aminoOaorénone, hase faible qui crisU
en prismes violet rouge foncé d'une grande beauté et dont les
sont tous colorés en jaune clair. Sa phéoylhydrazoae fond
vers 146'.
Tandis que Graebe a obtenu d'une manière nette par fu^io
la J-aminofluoréuone avec la potasse, la phénanlhridone, rim
a constaté dans cette même réaction avec la â-amiuofluon'noi
1 d'un acide aminobipliénylcarbonique qui ne fond
vers 215°.
îparé aussi en partant de la 2-aminotluorénonelec/'foi
fluorénone qui fond en se décomposant vers !&*• l'i'ii!
on de l'eau à la température du bain-marie la à-ox;t
:orres])ondante, phénol se sublimant vers £00*, &oA
de son point de fusion qui est à âUtl-SOT*.
ctlant en suspension la S-nitrolluorénone dans ^
y ajoutant une solution aqueuse de chlorure de r^l"
c en poudre, puis faisant bouillir ce mélange, il ^ ''*''
sn rouge foncé (par suite db le formation d'aaiiDoUui
OimiB ORGANIQUi:,
ie\ pois il se décrolore complètement après 15 i
ient alors nu composé cristallisé en magnifiques ai,
ea et irisées, F. vers 196*. Ce produit constitue l'a
laoréaique dont l'auteur décrit le nitrate et le
ool se dissout dans H*SO* conc. avec une couleui
une petite quantité d'eau transforme en vert émei
» gnaàe décolore complètement en fournissant i
se amorphe constitué probablement par l'éther r
BTèoe, r. RI
Sur nne combinaison dn potassiam et dn fi
EISSBERGER (D. cb. G., t. 34, p. 1659; 22.6.1901)
f travaux de Thiele et de Wislicenus, on ne peut
C<H*-,
edanslefluorène 1 ^CH* les atomes d hydrogèn
1^ ne possèdent, par suite de l'arraDgement des dou
i caractère acide. L'auteur fournit une nouvelle
icnvant la préparation d'un sel de potassium '
NCH.K qui permet aussi de séparer cet hydro
fn^ hydrocarbures qui l'accompagnent dans le
Mulle et de l'obtenir à l'état pur. Ce composé pren
■*|ii'on chauffe à une température de 270-290», p
loléculaires de fluorène et d'hydrate de potasse;
Mi£6é est très susceptible de réactions, il réagi!
»ee l'eau en fournissant du Huorène pur, Eb. 290-21
m\ qu'avec les dérivés chlorés pour donner de non
AuisoDs. Avec le chlorure de benzyle p. ez. on obtiei
^}i«wphènyléthane \ \CH.CH».C«H5 et en mon
C«H»/ \C«H*
Su l'oiyde de bipfaénylène dn gondron de houille et snr le
^>)>^ol; 6. KRAEKER et R. WEI8SBERGER [D. cit. G., t. 34,
hl6te;*2.6.1901). — Spilkeraisolé du goudron de houille un
*™P(»é cri^llisë correspondant à la formule C'*H"*0*. Les
'"'^''s en appliquant ia méthode de purification du lluorène basée
<Vm tnmfomiation en sel de potassium ont pu isoler facilement
^■tiDe composé à l'état pur des eaux mères alcalines du traite-
700 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
ment du fluorène impur. Ce composé qui constitue Vo.-o.-hip
cristallise en prismes blancs, F. 109**; il est soluble dans Ti
et rétiier, difficilement dans Teau et les hydrocarbures de la
du benzène. Fondu avec le chlorure de zinc, il fournit ifi
manière nette V oxyde de biphénylène qui distille sans Aim
sition à 275%5-276<> et fond à 86-87^ L'oxyde de biphénylène
trouve du reste dans les fractions du goudron de houille qui fl
ferment le fluorène brut; quoiqu'il n'ait pas pu jusqu'ici en \
isolé à l'état complètement pur, les auteurs ont pu montrer i
sa proportion correspond à celle du biphénol que l'on peut ret
du fluorène brut dans les conditions ci-dessus indiquées
fluorène commercial a donné par traitement à la potasse cau^i^
jusqu'à 12 0/0 de biphénol; cette constatation ainsi que la msni
de débarrasser le fluorène des impuretés qu'il renferme pré^
un intér(^t technique et un intérêt théorique que les auteurs d^
loppent dans leur intéressant mémoire. f. REVERoni.
Sur quelques dérivés du p-chloronaphtalône; K. SCHEID
cb. G., t. 34, p. 1818; 22.6,1901). —On sait que dans le l.i-ni
chloronaphtalène le chlore est facilement substituable. L'aut
s'est proposé d'examiner à ce point de vue les dérivés nitré^
p-chloronaphtalène. Il a préparé ce dernier par décomposilioi^
dérivé diazoïque de la p-naphtylaraine au moyen du chlorurd
cuivre. Lorsqu'on dissout le ô-chloronaphtalène dans l'acide 9
tique et qu'on y ajoute à froid 1 mol. de HAzO^ conc, on obli
d'après Armstrong et Wynne principalement le 2-8-chloronitro|
phtalène. En opérant avec le double ou le ti^iple de la quantité il>
rique, l'auteur a obtenu un dinitrocbloronapûtalène qui cnàUij
dans l'alcool en aiguilles, jaune clair, F. 174*. Dans ce dé^
l'atome de chlore est très facilement substituable; chauffé
tube scellé à 140** avec de l'ammoniaque ce composé donne qH
titativement une dinitronapbf y lamine F. 218*, qui se dissout »1|
l'alcool bouillant en jaune foncé. Avec l'aniline on a obtenu i|
pbényl-dinitronapbthylamine. Comme les dérivés dinitrés «iu
chloronaphthalène n'ont pas été décrits jusqu'ici, l'auteur a chenl
à établir la constitution de ce nouveau dérivé. Il a essayé de trai|
former la dinitronaphtylamine correspondante en dinilronapthaW
mais il n'a pu obtenir qu'un diazo-oxyde de nitronaphtalène exp
sant à 157* et présentant les propriétés du composé analo^
obtenu par Gnss en partant de la 1-6-dinitronaphlylamine I
formation de ce diazo-oxyde ne peut avoir lieu que lorsqy^
groupe nitro se trouve en position ortho relativement au grw|
CHIMIE OilGANlQUE.
ilo. Quant au secoDd groupe oitro il doit se trouverdun^
au (»r le diaitrocbloronsphtalène a donné par oxy
le nilrophlalique dépourvu de chlore.
a modifiant les conditions de nitration, c'est-à-dire (
firêseace de H*SO* et à la lempéralure du hain-marii
iteDu un autre diaitrocbloronaphlalènc un peu pli
iSOD isomère et qui cristallise en aiguilles, F. 175°. '
mil aussi par l'action de l'ammoniaque une dinitr
ioe laquelle fond à 2S2* et donne par élimination r
ido, le i-ff-tiiuilronaphlalèiw, F. 168°. Il se forme en c
1-actioD ci-deâsus un dérivé trhiitré que l'on retire
cristallisation du dérivé dinitrù. Ce produit dilficile
^ lood après un grand nombre de cristallisations à 1^5
ae manière peu nette. 11 constitue sans doute le 1
n-i-ebhroiiaj)blalèjie mais il faudra cependant
Kiver esactemenl. L'atome de chlore de ce produit
s facile' à substituer, soit par le résidu de l'ammontaqi
ni des aminés. r. revi
But lat acides phoapbiniqnaB da dibeBzylmétha
symitlirUne-cainphre; A. MICHAELIS et A. H. F
I. tb. G., t. 34, p. 1201-1300 ; 22.4.1901). — Dans la ré^
<libenz)'lcétone par HJ et le phosphore rouge, C. Graeb
1 icide phosphore C'*H"PO^, dont les auteurs reprenne
(Tistallise en grandes aiguilles fondant à 142°, sol. dai
il'vlher chaud, peu sol. H*0 froide. Il ne réduit pas Hj
F ilérivc pas de l'acide phosphoreux; chaufTé avec HCI
miée. il d'j- a pas i>éparation de P*0^, ce qui prouve qi
bore doit élre lié au carbone.
U distillation sèche de cet acide donne un peu de toli
vbure bouillant à 290-300° qui a été identillé avec le
Béthine par la comparaison des dérivés nitrés.
Tsinoitrodibeaij'ltaétliane. — Dibenzylmélhane intr
^H fumant. Aiguilles blaociies f. à 162-164°.
i'iaitndibeuzylmétbane. — AzO^H fumant dans li
«*ltqnedu carbure. Aiguilles blanches f. à 139°.
1^ formation de l'acide phosphore a lieu selon l'équal:
lC»HiCH')'CO -h 2H'0 H- P -H I ={C»HSCHî)ïCHP03Hï
^liargeut. ppté blanc anhydre.
^flfuilioe, aiguilles soyeuses (de l'alcojl), f. à 126°
ANALYSE DES THAVAUX ETRANGERS.
nylhydraziae, aiguilles blanches i. à i48-Ha*. {
e(Aflnoj/c/(/oj'o/)Aos;)/n"«etC«HBCH*)»CHPOCl*iliJ
mol. PCI»), huile bouillant à 2â8< sous iH m.
dibeazyimétbanephospbinique (C»H»CH«)»CHf^
9 molécules égales de l'acide et du chlorure ci-dcïS
Dnzénique. Tables fondant à 151°.
- 1 mol, de chlorure -j-^ mol. aniline. .\ipiiil(
96°, sol, dans l'alcool, le chloroforme et le beoidi
^aCH«)»CHPO<^^jj,. feuillets brillants f. à U\:
'razide, aiguilles blanches (de l'alcocl) f. à 164*.
bylique (C''Hi>CH»}'CHPO{OG»H«)«. — Action du ohl
ool. Liquide épais bouillant à HQ' sous SO mm.
\éiiyhqae, prismes blancs (de l'alcool) f. a 130°.
isphinique de roxyméthylène-camphre a été obM
n traitant ce dernier corps (3 mol.) par PCl^ '2 mul
■115°. Sa formule est C*'H<'PO*. Il est stable vis-à-v
orhydrique conc. et chaud el ne réduit pas HgCl' ■
il probablement C"'H**0=CH-PO(OH») et sa forau
présentée par la suite d'équations suivantes :
/O
*0=CH-CHO + PCI' = C»H'*O^CH-CII< l ,
/O /OU
;H-CH< I +3HîO = C»H>tO=CH-CH<
\PCP \P0(0H)'
;K-CH< =H'0 4-C:«H»'0-C=CH-P0(0H)i.
\P0(0H)3
eC'OH'*O^CH-PO<2"^jjaQ6m,. fond à 195-|9(i*.
:toHitO=CH-POGI» (1 mol. d'acide -1- 2 mol. ^^'^
laires blancs f. à 61°.
»H'*0-CH-PO(AzHC«H'>)«, aiguilles jaunes f. i if-
/i(//rfeC«»H<*0-CH-P0(AzH-(J«H*-0C*H>)»,8igu(li**
J7°.
lyhqae, liquide épais éb. 199-205' sous 20 mm. àécouf
eau, n. maiuiis-
CHIMIE ORGANIQUE. 708
ormatioa directe des aminés aromatiques au moyen des
Irocarbaraa ; C. GRAEBE {D. cb. G., t. 34, p. 1778;2â.6.190i).
L»*autear a réussi à obtenir de Taniline en partant du benzène,
ihauffaot le chiorhydrate d'hydroxylamine en poudre fine avec
benzène et du chlorure d'aluminium
fooique le rendement obtenu soit faible il a étudié cette réaction
c d'autres hydrocarbures, en particulier avec le toluène, les
»es, le naphtalène, le mésitylène.
A partant de 10 gr. de chlorhydrate d'hydroxylamine il a obtenu
c le toluène !»',! de base renfermant environ 90 0/0 de p.-tolui-
»el 10 0/0 d'o.-tjluidine; Fo.-xylène lui a donné S»*, 5 d'une
e renfermant comme produit principal le 4-amino-1.2-xylène;
&.-xylene fournit un rendement plus faible et le p.-xyl6ne un
I faible rendement. Le mésitylène a donné aussi un faible
ilement en mésidine. Il semble résulter de ces recherches que
nnicUon est favorisée par la présence des groupes c méthyle ;»
l la molécule et en outre que le groupe amido remplace moins
ilement un atome d'hydrogène voisin d'un groupe méthyle
W atome d'hydrogène voisin d'un autre atome d'hydrogène, la
Rieûce d'un second groupe méthyle augmente cependant l'action
t premier.
Avec le naphtalène, l'auteur a obtenu un mélange d'à et de p-
flbyiamines.
Dans Tespoir de généraliser cette synthèse il a fait réagir sur le
JBzèae en présence de chlorure d'aluminium la phénylhydroxy-
■ûoe et la p.-tolylydroxylamine. Il ne s'est formé dans le premier
ft, qu'âne petite quantité de diphénylamine et la phénylhydro-
fltmiae s'est transformée, pour la plus grande partie, en azoben-
fep: avec la p.-tolylhydroxylamine on n'a pas pu isoler de tolyl-
i^ylamme et il s*est formé de l'azotoluène.
Enfin on a fait réagir la beuzophénone-oxime avec le benzène
M le chlorure d'aluminium dans l'espoir d'obtenir la phénylimide
fc la beazopliénone (C«H5)jC=Az-C«H* mais le résultat a été
^tii et Toxime a subi la transposition de Beckmann en benza-
■'Me. F. RBVERDIN.
tv la tnuuformation des aminés aromatiques en isodia-
*I^M; E. BAMBERGER et E. RUST (D, cb. G., t. 33, p. 3511-
^12; SO.ii.i900). — La diazotation des aminés aromatiques
^uii eo premier lieu aux isodiazoïques lorsqu'on Teffectue au
704 ANALYSE DKS TRAVAUX ÉTK ANGERS,
moyen des nitrites alcooliques et de l*élhylate de eodiuuu U aà
de chaufTer 1 heure 1/2 à Tascendant un mélange d*aoilioe(iOq
de nitrite d'amyle (12»',5) et d'élhylate de sodium (2»%ri de smù
dans 42 gr. d'alcool), pour obtenir une liqueur qui ne rentt>h
que de risodiazobenzène, et pas de diazoïque normal. Le pn4
a été caractérisé à Tétat de sel de potassium.
La p.-toluidine, la p.-chloraniline, la p.-bromaniline et ro.-loli
dine se comportent de même. Par contre, la mésidine ne («i
pas pouvoir être transformée en isodiazoîque, peut être à c«
de sa configuration. p. rasuNOLEh.
Les compo&és de l'azote optiquement actifs et leur rapp
avec la valence de Tazote, Sels de d- et /-a-benzylphéByltil;
méthylammonium ; William Jackson POPE et Alfred Willi
HARVET (Cbem, Soc, t. 79, p. 828; 7.1901). — Les auteur.-. \
préparé à l'état de pureté un certain nombre de substances \
doivent leur activité optique à la présence d'un atome d*azole a
métrique pentavalent.
L'iodure d'a-benzylphénylallylméthylammonium racémique
Wedekind traité par le rf-campliosulfonate d'argent, donne le
camphosulfonale de rf-benzylphénylallylméthylamraonium, (
fond à 171-178* et possède une rotation moléculaire [M]^ = 4-2lli
en solution aqueuse contenant 1/5*' de molécule-grammes par ii
d'où la valeur pour l'ion (/-benzylphén^lallylmélhylammonium
de [M]^=-f 166«4.
Le résidu de la préparation de ce sel, traité par une solul
aqueuse d'iodure de potassium, donne l'iodure de /-beuzylphcc^
allylméthylammonium, lequel après traitement par le /-camp)
sulfonate d'argent, fournit le nouveau sel de y-camphosulfoa
de Abenzylphénylallylmélhyiammonium.
Ce composé fond à 171-173® et possède une rotation raolécu^
[M]j, = — 210'*,6 en solution aqueuse contenant 1/4 de molé^ ui
grammes par litre. L'ion de la base lévogyre possède, par dédt
lion, une rotation moléculaire [M]jj de — 159^,0.
Ces sels, quand ils sont traités par l'iodure de potassium
solution aqueuse, donnent des précipités cristallins d'iodui
correspondants qui peuvent être cristallisés dans Talcool •*
subir d'interversion; ils sont solubles à froid dans le chlon
forme et, dans ce solvant, ils possèdent des rotations spéciliq^
[a]jjdo +53°, 2 et — 53**,4 respectivement. En cbauflant les ï-'îi
lions chloroformiques, la rotation est rapidement détruite ei ^
résultat similaire est obtenu en maintenant les solutions chloii
CHIMIE ORGANIQUE. 705
iques froides pendant 3 jours. Par évaporation, ces solutions
tàeni riodureracémiquepur etl'interversion peut être attribuée
e dissociation entre la base tertiaire et l'iodure de benzyle.
>s bromares sont préparés d*une manière similaire et ont
me rotations spécifiques [a]j^=: + 64*,l et — 65%0 respective-
1, en solution dans le chloroforme à froid. Les sels subissent
"ersion dans le chloroforme, comme les iodures, mais avec
ts de rapidité.
e nitrate de rf-benzylphénylallylméthylammonium
(T H^ . A2(C«H5)(G3H'i)(GH ') A sO^ ,
tme ftubstance cristalline, incolore, fondant à 164-165'* et dont
otation moléculaire en solution aqueuse [M]^ = -}- 165^,3, ce
donne pour Fion do la base dextrogyre une valeur semblable
lUe déduite de Texamen du (/-camphosulfonate.
/iodomercurate de (/«benzylphénylallylméthylammonium
C^Hi . Az(C6H5)(G3H5)(CH3)I . HgP ,
iobtenu sous forme d'un corps cristallin, jaunâtre, en chaufiTant
4ure dextrogyre pur avec un équivalent d*iodure de mercure en
MioD dans Tacétate d'éthyle. Ce composé fond à 1S5-127'' et
kente une rotation spécifique [a]^ = 4-24'',4 en solution dans
céiale d*éthyle. Le sel énantiomorphe fond aussi à 125-127*" et
iftède une rotation [a]^ = — 23»,0 dans l'acétate d'éthyle. On en
iriut que ces iodomercurates contiennent de l'azote pentava-
it.
Gps composés se distinguent de ceux qui renferment un carbone
pnéthque en ce que ce sont des électrolytes qui doivent proba-
BBieni être décomposés en solution aqueuse en donnant un ion
ftiquemcot actif dont la valence libre est attachée à l'atome asy-
^ue, sans qu'il se produise cependant d'interversion. Le nou-
liu priocipe qu'on a cherché à mettre en lumière, que pendant
►rtaDgement de valence d'un atome les directions des valences
^eot aussi changer, est applicable quand un atome de soufre
|vi télravalent devient tétra ou hexavalent, ou quand un atome
oip peotavalent devient heptavalent; mais il n'est pas néces-
ni applicable au cas où un atome d'azote trivalent devient
vaifffU, car les deux nouveaux groupes peuvent se relier à
\^ dans une direction perpendiculaire au plnn contenant les
premiers goupes. a. hébert.
«c <ami., s» gi^^ T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 45
706 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
Sur quelques étiiers du p.-aminophénol «t sur leurs
de Turée; L. SPIEGEL et S. SABBATH (D. cb. G,, 34, p. i
22.6.1901). — L'auteur décrit un grand nombre de dérivés
Pi-amidophénol qu'il a préparés dans le bat de faire examiner
propriétés physiologiques. Il a préparé Vétber propyliqfK
p,'aminophénol AzW.C^H*,OCmi par réduction du dérivé
correspondant en solution alcoolique au moyen de Pétain n
l'acide chlorhydrique; ce composé se présente sous la forme d'i
huile qui distille avec la vapeur d'eau et se colore en
l'air; son chlorhydrate fond à 171" et son picrate à 162*. Lechi
hydrate chauffé avec de l'urée et de l'eau au bain-marie donn
carbamide'p,'propyloxyphénylique F. 147*» et chaude au
d'huile à 120 125*», la carhamide-di'p.'-propyhx'ydipbénylh
laquelle cristallise en jolies aiguilles soyeuses, F. 201*, insol
dans l'eau. En évaporant une solution aqueuse du chlorhydri
ci-dessus avec du rhodanate d'ammonium on obtient la (bwcari
I
mide-p.'propy/oxyphénylique qui cristallise en aiguilles incoloH
F. 158^
Les composés analogues ont été préparés en partant de IVfi
allylique du p,-mtropbénoL
Uéiher allylique du p,-aminoplwnol est une huile coloive |
rouge jaune dont le chlorhydrate, le chloroplatinate et le pini
sont décrits. La carbamide p.'allyloxypbényliqae et la carbatm
di'p.-allyloxyphénylique fondent la première à 154', la senm^
à 211*»; les tbiocarbamides correspondantes à 148 et 161*
Les auteurs ont encore préparé les dérivés analogues obtenus
TpQT{Q,ni de Vétber amylique du p.'Ditropbénol, de Vétber ben^
lique du p.-nitropbénol ainsi que de Vétber isobutylique; no
renvoyons le lecteur au mémoire original pour la description eil
préparation de tous ces composés analogues; nous dirons m*\A
ment que les éthers qui ont servi dépeint de dé[>art ont été obtei^
d'après une méthode indiquée par Riess, c'est-4i-dire en chauffât
à 180° environ le nitrophénol-polassium sec avec les dérivés hall
gênés des alcools en solution dans l'alcool ordinaire ou dans Yi
cool correspondant. Quant aux urées, elles ont été prépara
chauffant les chlorhydrates de l'éther du p.-aminophénol en «
tion aqueuse avec Turée; à la température du bain-marie on obv
presque exclusivement le produit monosubstitué, tandis qu'à ti
il se forme le déri\r disubstitué.
Les auteurs ont essayé, en outre, mais sans succès jusqu*irï,«l
préparer les éthers avec les dérivés halogènes des alcools lertiân^j
p. HEVBRUIt.
cIII.MIL: onUAMULE. 707
dioa da nitrosobenzène sur les hydrasines aromatiques ;
tAMBER6ER(/V. ch. G., 1.33. p. 8508-3510; 80.11.1900). —
ilniretnent à ce qu'indique M. Spitzer [Centralblatfy 1900, t. 2,
11)8), le nitrosobenzène réagit en solution alcoolique bouillante
rnydrazobenzène en donnant de l'azobenzène et de la phényl-
hroxylamine (et non pas seulement de Tazobenzène) :
^\*H-A*H-(:«H»+C6HS-AzO--rC«HS-Az=Az-C6H5 + C6HS-AzHOH
f forme également une très petite quantité d*azoxybenzène.
r^près M. Spitzer, le nitrosobenzène réagirait sur la phényl-
Irazine en donnant du benzène, de l'azobenzène et de Tazote.
Qteur a montré qu'il se formait dans certaines conditions de la
ioylazohydroxyanilide et de la phénylhydroxylamine :
i(:«HS-AzO + C«HS.A2H.AzH2
= C6H5-A2= Az-A2(0H)C^H* + C«»5.AzH0H.
b réactions analogues ont fourni la p.-tolylazobydroxyanilide,
#.OH*. Az=Az(0H)G«H5, f. à 180-131» et la pbénylazobydroxy-
lÊlaide, C«H5.Az=Az.(0H).C«H*.CH3, f. à i28^5^124^
p. FRBUNDLER.
Iv les dèriTés de Téther phényihydraxone cyanacétique ;
»UX ^Jourii. f.prakt, Ch. (2), t. 63, p. 1 à 29; 15.1.1901). —
toWur a étudié Taction d'un certain nombre de chlorures dia-
ll«es substitués sur Téther cyanacétique.
L'aminé en solution chlorhydrique est diazotée par le nitrite de
ium, puis on ajoute l'éther cyanacétique et la quantité théo-
|DP 'facétalt* de sodium.
te obtient des combinaisons du type suivant :
CA2-C-C()2C2Hs
II
Az-AzH-C6H*-R
ïrt combinaisons se présentent sous deux formes sléréoisomé-
w^* pour les avoir isolément, on dissout dans un alcali le pro-
venu obtenu et on précipite, soit par l'anhydride carbonique,
^Çsr Tacide chlorhydrique, quelquefois par Tacide acétique.
^l'iade carbonique on obtient la modification stable (3) ; par
««chlorhydrique, la modification labile (aj ; cette dernière-
^Bùie i plusieurs cristallisations ou à plusieurs fusions succès-
■^«Iransfomae en modification p.
L
ANALY»!:: DES TKAVAUX ETKANUEKS.
périenceR ont porté sur Vorllio, et la parB-anisiiiiin;l
'étidiae, l'acide antLianilique, la benzidine, la io/M«n,j
ne, Vacide para-amidosalicylique et entin, la p.-Dilnjfm
lamine potassée.
osamine potassée traitée par l'élher cyanacétiqne (mni
it deux isomères, dout l'un est ideDtii|ue à l'acide mtr
drazone cyanacétique obtenu par Uhlmana en in'ti
^anacétique par le chlorure de diazoparanitrobeniÀ
ntité coDstitue une présomption de plus pour adopter)
lydrazinique pour ces combinaisons et non une romi
e cas des diamines (benzidine, toluidioe, etc.)< o^P"
fir sur les deux groupes diazo successivement une idd
ler cyanacétique et une molécule phénolique. Onoblii
matières colorantes qui sont citées dans le mémoire,
elativemenl à la saponification du groupe «Uioxyté q*»
le mémoire renfenne quelques indications intéressa
uelles noue renverrons à l'original. l.-j. siiio>.
mécanisme de la transformation des hydroxylamil
(ues en aminophénols ; E. BÂMBERGER {D. cb. i
622; 20.11.1900). —L'auteur a montré que les liji
s aromatiques s'isomérisenl sous l'influence de lie. s
}u de certains suirales, en se transformant en moii
t;6H5-AzH-OH = AiH'-G«!l*-OH.
. du présent mémoire est d'élucider le mérnni^medi
el de démontrer l'existence de produits intenoédiii
^_Qjj>CHOH. De plus, suivant la constitution de 11
line on peut obtenir d'auti-es produits que des smit
Nous résumons brièvement les faits renfennés dans
^•hydroxylamines non substituées en para «ex. : o.M
nmine), se transforment en p.-aminophénols; l'eau ai
slquefois à provoquer la ti-an6|io.silion. 11 se forme souvi
o.-aminupliénol.
Iiydroxyluinini's ayant un atome halogène en para, Tu*
n o.-aininopbénot substitué (ex. : la p.-chloroiihénylfa}'<li
se tranïlormc en cbloro-S-amino-S-phéaolj.
CHIMIE ORGANIQUE,
in. L'uc. sulftinque concentré transforme ce
nines en dérivés sulfonés des p.-aminoiihéDo
fi)roxylaiQine-1.8.2).
IV. L'ac. suirurique en sol. alcoolique (méthylji
uniit des anisidines ou des phênétidines orlho i
V. L'ac. sulfurique dilué el l'alun transfomienl
.'lamines en dérivés de la p.-amînodiptiénylan
phénylaiDine, ou de la benzîdine.
VI. \ côté des p.-aminophénols, on obtiens
idroquinones correspondantes ou encore des et
lia et enfin des benzylène-imîdes ou leurs hydri
Ml. I.es hydroxylamines sont quelquefois Ire
fUage de dérivé nilrosé, d'aminé primaire (et
nani de l'action du nitrosé sur l'excès d'hydro)
Les réactions I à V s'elTeclueraient d'après le p
cem-AzH-OH = HïO + C«HS-Aî<
^CH::CH/
L'iminoquinol se transformerait ensuite soit
■1 en qainol :
II, -^H-(
... >C=AîH = (OH)-Cf
Nch=ch/ \gh-(
<CH=CIk
>C=AilI + HîO
GH=CH/
= AïH3 + (OH)CH< >C0 (q»
\CH^CH/
Ces quinols s'isomériaent eux-mêmes en donm
loues. Si l'on part d'une hydroxylamine p.-subsi
ta ijuinol tertiaire et une hydroquinone dans laq
■«Il p.-9ubslitué s'est soudé au carbone voisin :
H, /CH=CHx
fHî-Ax<-l-HiO= >C< >C=
OH/ \CH::CH/
(0H)-(
>CH-CH^
>C-AïH0H + H>O=AzH3-f >
-^ oh/
"* imiooquiDoU tertiaires et les quinols cor
'«'■liïeroent stables et quelques-uns d'entre eux i
710 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Les premiers fournissent par un mécanisme analogue au prérélj
une petite quantité du p.-aminophénol correspondant
/C(CH3)=:CH\
C(OH)/ >C-AzH2.
>>CH CH^
Les iminoquinols scîcondaires^ par contre, sont si peu slahi
qu'ils s'isomérisent avant que Thydrolyse du groupement ArH
pu se produire, ce qui explique qu'ils donnent naissance à
près exclusivement aux aminophénols.
La tendance que possèdent les quinols à revenir au type het
nique explique également la formation des éthers résorcinif]
dans Faction de Tac. sulfurique alcoolique :
CH\ yGH=C(GH3)
>G< >C=0 + 2C2H50H
oh/ \GH=GH
/GH==G(GH3)
= GH3-G/ >G(ÔC2H5) + 2 H20 .
^G(OG2H5)-GH
La formation des anisidines et phénétidines (V) ne peui
expliquée ni par une éthérification subséquente des aminopliên
ni par la formation intermédiaire d'ac. phénolsulfoniques. L'A
rience a montré que ces hypothèses étaient inacTeplables. l!
teur admet par contre Téthérification des iminoquinols ou
quinols :
oh/ \=/ G^H^O/ \=/
cette éthérification étant suivie d'une isomérisation en p.-plu
tidine.
La formation des o. -aminophénols (II) s'explique comme o
des dérivés para.
Les p.-oxydiphénylamines et p.-aminodiphénylamines rk
teraient d*une condensation de phénols et d'aminés avec l'eï
d'hydroxylamine, les premiers prenant naissance dans l'action
l'acide sulfurique sur les secondes. De même, la benzidine prt
naissance par condensation de l'aminé avec l'hydroxylamine, W
que cela sera démontré plus tard.
Les quinols seuls sont assez stables pour être isolés et étuiiij
La constitution du p.-diméthylquinol c|{t>C<CH ^^^'^^^
peut être démontrée de la façon suivante :
Ce composé renferme un groupe OH, cor il est faiblenieal ^
CHIMIE OKGANIQUK.
(uurnit un dérive benzoylé. Les groupami
m iA par rapport au groupe CO, car par
i-liméth]rl-2.4-phénol; or l'actioa de l'ac.
ilimétbflquinol en xylobydroquinone
-O'
) a donc ea migration d'un groupemenl
«wa, el dans le cas où l'on emploie de l'ac
t^i le groupement C»H*0 qui migre, pour
irihyliuue
CÎH50
1»/ \0C!
' position du groupe OH n'a pu être d
irii-te. Par contre, l'existence du groupe
*i'li;nle par le fnit que les quinols donnent
emicarbazones, celles-ci sont peu stables el
b-mtrnl par déshyrlraliition en noyaux compi
tsiuémoires suivants).
Lus quinols et leurs dérivés présentent
Kti- le» bromures du phénols (Auwers).
Sur la mésitylhydrozylamine et le
L BUDERGER et A. RISING (D. cb. G.
tI2.190Ui. — La mésilylhydroxy lamine se
^. d'autres hydroxylamines, en dérivé nitn
MU sous l'influence d'agents faibles tels que
bi alcalis ou les acides dilués. Dans la plup
en même temps de l'aminé et du dérivé
•Wilii que le dérivé niiroeé réagit sur l'i
{"ur donner un azoxyque. Dans ie cas de la
kutrosomésilylène peut être isolé fa cil emi
^ (ue«(r/^iflo/ résultant li'une Iransposiil
CH' OH CH3
r, ™\
AiH
712 ANALYSE OES THAVAUX El'HANGEHS.
Le nitromésitylène nécessaire à ces recherches a été pré»
en mélangeant d*un seul coup 100 gr. d'ac. azotique {d=z^\À
avec 100 gr. de mésitylène dissous dans 400 ce. d'ac. ae^(ii(i
La réaction une fois calmée, on précipite par Teau, od épuise f
rélher, on agile la sol. éthérëe avec K*CO* puis avec KOH dila
pour enlever Tacide mésitylénique et le xylylnitrouiélhane
dernier est ensuite précipité par CO* et purifié par un eotraio
ment à la vapeur) ; le résidu éthéré est alors fractionné pour ^
parer le mésitylène. Le dérivé nitré cristallise par refroidissenif'^
Ce procédé fournit pour 100 p. de carbure, 84 p. de nilré, 9,6 p.
xylylnitroniéthane, 18 p. d'acide mésitylénique.
La réduction du nitré s'effectue en ajoutant 15 gr. de poudre
zinc (en 5-6 min.) à une sol. bouillante de 10 gr. de nitré el
1 gr. de chlorure d'ammonium dans 50 ce. d'alcool et 10 ce. «iVa
on agite constamment et on maintient une légère ébullition.
liqueur filtrée est précipitée par l'eau glacée, et le ppté crisul
essoré rapidement. Rendement en hydroxylamine, 500/0 du niU
Les eaux-mères renferment un peu de nilré, d'azomésilylène
de mésidine. La mésitylhydroxylaminecnsi. en aiguilles soyeus
f. à llô'*, sol. dans les solvants usuels sauf la ligroïne el le
froide. Les solutions organiques se décomposent k chaud, de \nh
les dissolutions dans les ac. minéraux (il se forme de la omo
hydroquinone). La mésitylhydroxylamine pure se décompose H
à peu en nitrosomésitylène, nitromésitylène, mésidine el azomj
sitylène (soit à froid, soit à chaud en sol. benzénique). L'eau boni
lante agit de même et fournit en outre du mésilylquinol. La ^<n«
diluée transforme lentement rhydroxylamino à froid en «lénvl
nitré et nitrosé et en mésidine. L'ac. sulfurique dilué liUOl
fournit à froid du nitrosomésitylène, de la mésidine et du mésiljl
quinol ; à chaud ce dernier est transformé partiellement en r\mi
hydroquinone.
La mésitylhydroxylamine s'unit à Tisocyanate de phényle poi
donner Vurée ^^<^zH^O^W^^^ (aiguilles blanches, sol. dat
l'alcool, l'éther et l'acétone, f. à 116* avec décomp.j. Avec k
aldéhydes en sol. alcoolique, on obtient les éthers mésiljliq"'
des iso-aldoximes correspondantes.
C«H».CH-Az.C»Hn ,
Le dérivé de Pisobenzaldoxime, \y , crist. «n
aiguilles réfringentes, f. à 101,5-102**, sol. dans les solvants us»* *1
(sauf la ligroïne), dédoublables par les uc. minéraux bouilift»'*J
CHIMIE ORGANIQUE. 713
0dérsré de la p.'nitro-isobenzaldoxiine fond a 156,5-157"; aiguilles
Iknàtres, sol. dans Talcool et le benzène, peu sol. dans la ligroïne.
Ommire m.-nitré est en aiguilles jaunâtres, f. à 140,5-141*». Le
fer/re de Tamsaldoxime fond à 152-1 52*,5; aiguilles soyeuses sol.
kos Talcool. le chloroforme et le bonzène bouillant, peu sol. dans
ifij^roïDe froide.
Le chlorure de diazobenzène ne réagit pas sur la mésitylhy-
roiylamioe. Le chlomre ferrique transforme cette dernière en
>l. alcoolique faible en nitrosomésitylène. L*air agit de même,
«rtoui en présence d'une lessive alcaline.
I^our préparer le nitrosomésitylène, il est préférable d'oxyder
inésidine par le réactif de Caro (40 gr. de persulfate de K, 45 gr.
0*H«. 100 gr. de glace, 100 ce. de sol. de K^CO^ à 50 0/0). Pour
ç. de base, on emploie 90 ce. de réactif et 250 ce. d'eau, et on
pie à froid. Le nitrosomésitylène crist. en tables rhombiques
icrées f. è 122* en un liquide vert, sol. dans les dissolvants orga-
iques uHuels, peu sol. dans la ligroïne. presque insol. dans Teau.
Psl volatil avec la vapeur d'eau; son odeur est presque nulle de
lêmeque celle du nitroso-m.-xylène-l .3.2. Les sol. benzéniques
^ides sont presque incolores et renferment des molécules doubles
t triples (déterra, cryoscopiques) ; les sol. acétiques bouillantes
OQt vertes et renferment surtout des molécules simples.
L'eau bouillante décompose peu à peu le nitrosomésitylène en
fcbidine, mésitylquinol (traces), nitromésitylène et ammoniaque,
^eoitrosomésitylène et la mésitylbydroxylamine ne réagissent pas
on sur l'autre. Le premier ne réduit pas la liqueur de Fehling,
kéaie à lebuUition. p. freundler.
8v le mèsitylqninol ; E. BAMBERGER et A. RISING {D. cb.
U, 1.33. p. 3636-3642; 20.12.1900).— Le mésitylquinol prend
>*>N»ice dans faction de SO*H' dilué ou même de Teau sur la
■»*ilylhjdroxylamine. On fait passer pendant 80 heures un courant
'•ir lavé au permanganate dans une émulsion de 20 gr. d'hy-
*f*ïiylainine dans 400 ce. d'eau. La solution ne doit plus réduire
*
*médiaiement la liqueur de Fehling. 11 se forme en même temps
^t ûilromésitylène, de Tazomésitylène et de la mésidine (dont le
^^ liemoylé crist. en paillettes argentées f. à 200**, 5, peu sol.
^ Talcool froid), qui restent à peu près insolubles, tandis que
^ I^uetir filtrée renferme du mésitylquinol, un peu de mésidine,
^ rtmœooiaque (0«',952) et H«0« (i^.018).
^our extraire le mésitylquinol, on acidulé par SO*H* dilué, et
**f«ise fjtrrétheri30fois). Si Ton effectue l'oxydation en sol.
714 ANALYSE DES TKAVAUX ETHANGEKS.
alcaline, oa obtient à peu près exclusivement du nitrosoniésiljij
et des traces de mésidine.
Le mésilyîquinol crist. dans Téther de pétrole en prismes
culaires f. à 45,5-46^, sol. dans les solvants usuels, dans les a
et Teau. Il est un peu volatil avec la vapeur d'eau, réduit la liq
de Fehling à chaud et décolore le permanganate. L*ac. sulfi
concentré le dissout avec une coloration rouge cerise. Le rhJ
ferrique le transforme en cumoquinone ; la soude diluée booill
agit de même (coloration violette, formation d*hydroquinone».
sol. benzéniques de ce composé renferment des molécules c;:
plexes.
Le dér, benzoylé, préparé par la méthode Baumann-Schotj
crist. en prismes clinorhombiques f. à 128*',5, sol. dans Talcool
ligroïne bouillante et SO*H* concentré (coloration rouge), iŒ
dans Teau.
En chauffant au B.-M., dans une atmosphère d*hydrogène. |
sol. de mésitylquinol dans de la soude normale, on transfo^
celui-ci en cumohydroquinone f. à 168* (Noelting et Bauma^
L'ac. sulfurique dilué agit de mémo en donnant en même (efl
des résines et un peu de mésitol. Ce dernier prend naissance \
facilement lorsqu*on réduit le mésitylquinol par la poudre de ^
en présence de chlorure d'ammonium ou par SO*, ou par F^
en présence de Na^CO^. p. rREUHDUOi
Sur la diméth7l-2.4-phôn7lh7drox7lamine et sur le dii
th7l-2.4-qainol ; E. BAHBERGER et F. BRADT (Z>. cb. C, t
p. 8642-8658; 22.12.1900). — Pour préparer la diméthylph»'
hydroxylamine
CH^/ \azH-OH
on ajoute, en agitant énergiquement, 16 gr. de poudre de ^
en 7 ou 8 fois (14 min.), à une sol. de m.-nitroxylène asym. \10 i
dans 25 ce. d'alc, additionnée de 10 ce. d'une soL bi-noniwlf
chlorure d'ammonium, et chauflée au préalable à 65-70*. L*addiii
de poudre de zinc est réglée de façon à maintenir la leropëratfl
constante. La liqueur est ensuite Ûltrée et précipitée dân*f^
glacée. Le produit essoré et lavé à l'éther de pétrole est cristâli^
dans un mélange de benzène et de ligroïne (rendement 3 à 4 ^
Il se forme en même temps un peu de xylidine et d'azoxytpe.
La xylylbydroxylamine crist. en paillettes blanches f. à64*,i> ^
CHIMIE ORGANIQUE. 715
mss» les solvants usuels sauf Téther de pétrole. Si on oxyde par un
"iranl d'air une émulsion aqueuse de ce produit, on obtient
êtnxy'œ.'Xj'Iène [i.CH3)^.C«H5]*Az*0, qui se forme aussi par
ombinaison de l'bydroxylamine et du nitroso-m.-xylène en sol.
ïroolique; aiguilles ou lamelles jaunes, f. à 7Ô-76'*,5, sol. dans
n liquides organiques usuels et dans SO*H* concentré en rouge-
run (la couleur vire au violet par addition d*eau).
L'ac. sulfurique dilué bouillant transforme rapidement Thydro-
^lamine en xylohydroquinone, xyloquinone, m.-xylidine, azoxy-
(yif^ne, aminoxylénol et diméthyl 2.4-quinol. Ce dernier constitue
Tïisemblablement le premier produit de la réaction :
CH3 OH
/\ . ...^ ./\. CH3
AfH-OH
1 JCH. + »■» = nu + *'»• = UcH. + **
l« xylohydroquinone f. à 212* est déjà connue ainsi que les autres
irodaits.
Le dimétbylqmDol s'obtient plus facilement (en même temps
fi'un peu d* aminoxylénol, do xylohydroquinone et de xyloquinone)
'•squ'oo fait agir Tar. sulfurique dilué eu les solutions d'alun
jBf rhydroxylamine, à 22-25®, pendant 8-10 jours dans une atmos-
ft^^re de CO*. Le produit soluble est épuisé par Télher et recris-
Wlisé dans l'eau bouillante. On obtient ainsi rA/c^rn/e (iH*0) sous
fcrme de prismes rhombiques incolores, f. à 53-54*, solubles dans
î<*au et dans Tétber, qui perdent leur eau à Tair sec. Le diméthyl-
fomo/crist. dans la ligroïne en prismes hygroscopiques, f. à 73-
^fô, solubles dans les solvants usuels et les alcalis ; il est volatil
iv<»c 11 vapeur d*eau. Les sol. alcalines se colorent en brun puis
*■* violet par suite de la formation de xylohydroquinone; pour
•fcctoer cette réaction, on se placera dans une atmosphère d'hy-
P***; si Ton réduit une sol. aqueuse très diluée de quinol par Zn
• « AxH*Cl, il se forme du xylénol dont l'odeur est facilement
r^ccwuissable. SOH« dissout le quinol en brun. FeCl* l'oxyde en
n^^^VÛDOoe. Le permanganate est décoloré instantanément.
Li p.'Xyhbydroquiaone préparée comme il est dit plus haut,
'^. en ttguiUes blanches, f. à 212-2i3% solubles dans l'eau
"*''J«» bellement transformables en quinone. L'ac. sulfurique
^^ foomit également de la xylohydroquinone avec un peu de
710 ANALYSE DEb TRAVAUX ÉTRANGERS.
quinone. La lumière même provoque lentement la même trann
matîon sur les cristaux (formation d*un peu de xylénol).
Le diméthylquinol a été transformé en xylénol-1.3.4 par divfl
agents de réduction (bisulfite de Na, sulfate ferreux etc.).
Le dérivé benzoylé du diméthylquinol (préparé par la méil.oi
Baumann-Schotten) crist. dans la ligroïne en prismes réfrin)Ki«
f. à 72*»,5-73°,5, solubles dans Talcool, insol. dans l'eau. Ce (^oij
n*a pu être réduit sans décomposition.
Le diméthylquinol s'unitàlap.-nitrophénylhydrazine en donM
naissance à un composé crist. en aiguilles orangées, f. à 1^\
127% sol. dans les» liquides organiques, insol. dans les alcalis. |
corps serait un anhydride de la p.-nitrohydrazoae {l) :
CH3 Az-G^H*. Az02 CH^ Az-CO- AxH»
CH
HC'l''C-CH3
/\
"^11 II
HG
HC'LJ'C-GH3
Az C — Aa
(I). (II).
De même, avec la semicarbazide, en sol. acétique, on obtient
composé (II) en paillettes orangées, f. à 134-185*, très sol. tU
les liquides organiques sauf Téther de pétrole.
L'isocyanate de phényle ne réagit pas sur le diméthylquinol.
Lorsqu'on fait agir pendant un temps très court Tac. sulfunt}
ou l'alun sur la xylylhydroxylamine, on peut isoler un liqu*
huileux qui constitue vraisemblablement V iminodiméthylqint
(CH»)«C«H3^^^, car il se dédouble facilement au contact de Ih
bouillante en ammoniaque et diméthylquinol. p. friunolsh.
Rectiacation ; R. SCHOLL et W. NORR {D. ch. C, t. 34, p. l^i
22.3.1901). — La méthylphénylcyanamidepvèparéepBTlesmXeM
en faisant agir le GAzBr sur lamonométhylaniline(Z>. ch. ^.,1-3
p. 1552), avait déjà été obtenue par Wallach de la même fa^on
par Stieglitz et Mac Ree, en traitant la thiourée correspon<iai*
par une solution alcaline d'oxyde de plomb. a. iiaruui>'
Sur la nitration de l'acide bensoîque et de ses èthers métk]
lique et éthylique ; A. F. HOLLEMANN (Zeit. pbys. Ch.. t i^
p. 79-96; 1.1900). — L'auteur cherche dans quelle proportion ^
forment les produits nitrés ortho, meta et para, dans l'acUon •(
l'acide azotique sur Tacide benzoïque et ses éthers. On Irou^eî
CHIMIE OHtiANlQUB. 717
JL~ l'original le détail de ta métliode analytique employée. Les
Mliats obtenus su trouvent i'éâu[né:t dans le tableau suivant :
i mitaniti-é 100,0 100
vIp bentDique...| orthonitré 16,9 23
[ pamnilrii 0,7 1
Imélanilré 100,0 100
orthoniti-é 31, 7 28
paraoilré 2,7 7
l mélaniiré 100,0 100
bir éllijlique.. . . J oilhoniliiî 31,8 41
( paranilré 1,8 4
On voit que le dérivé métaaitré est d'aulaat plus
V la température est plus basse. i
Action da l'aldéhyde formiqn» sur le menl
TEDBKDn) {D. cb. G., t. 34, p. 818-817; 80.4.1901). •
A [iflsser un courant de gaz chloriiydrique dans ui
OTlhol fondu (800 gr.) et de formol à 400/0 (50 gp.),
ne réaction ; ou constate la formation de deux eoui
■V^rpoàées : la couche inférieure est constituée par
^euse d'acide chloriiydrique; la couche supérieui
■r da sulfate de sodium et fractionnée dans le vide,
I* L'n peu de menthol inaltéré ;
S* \]a éther chlorométhylîque de menthol U">Hi*.0.
kii 160-162* sous la pression de 16 mm. el à 230° sou
rïiQiiK en se décomposant partiellement ; son poii
« 0,9821 ; le pouvoir rolatoire moléculaire [a]*'* = -
fr l'n méthylaldimenthylique C"»H".O.CH»-0-C"
* iiO* sous la pression de 13 mm. Il lond à 50* ,5 (1
l^'wlekinil), («]J** = — 77» ,94. Le premier produit se I
r^iuaiion ■
t:"'H».OH+HCI + H.GO.H = C'0H».O.CHiCH
iMCTïement il est décomposé assez rapidement par
''f'iuâiion inverse; cette décomposition est cependa
«"-«i minùdiaie qu'avec les élhers monochlorés rie la
"S alcalis accélèrent celte décomposition. Avec le p
*'onne un élher mixte :
IJ*ili».O.CH»Cl + C»HSONa = N(iCI f C<oH'».O.CH^
718 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
C*est à une réaction similaire qu'est due la formation du
produit obtenu dans la réaction :
Cï0Hi»0.GHaCl + Gi0H»90H = Ha + Gï0H«.O.CH2.O.Ci«>H».
Ce dernier produit est un corps indifférent, très stable, ait
par les acides concentrés à température élevée. l.-j. simon.
Sur les acôtals du paTadicétohéxamèthylène ; R. STOLLÉdI
cIlG.. t. 34, p. 1344-1345 ; 30.4. 1901). — En chauffant rélhersocJ
nyl-succinique (3 gr.)avec de Talcool absolu (50 gr.) à 200* en tube
scellés on obtient Vncétal éthylique du paradicétohexamêthylèai
en cristaux tabulaires fondant à 89*». — Lorsqu*on reraplacJ
Talcool éthylique par l'alcool méthylique on obtient Vacétaî màhf
liqiie f. à SO-Sl'*. r. marquis.
Phéno-a-cétoheptaméthyléne et ses dérivés; Frédéric Stinli]
KIPPING et Albert E. HONTER {Chem, Soc, 79, p. 602-610
5.1901). — Continuant les recherches entreprises par KippiDi
{BuIL Soc.cbim,, t. 12, p. 1314; 1894), KippingetHill {.Bail Sod
chim,^ t. 22, p. 510; 1899), les auteurs ont fait agir AlCl^ sur k
chlorure de phénylvaléryle. Ils ont ainsi obtenu le phéno-«-ceU)-
heptaniéthylène
CH-
CO
dont la constitution est établie en ce qu'il donne une oxime et ium
semi-carbazone et fournit de Tacide o.-phtalique quand on Voxy^
par AzO^H.
Le phéncHi'Cêtoheptaméthylène est un liq. incolore ne se soli-
difiant pas à 0°, insol. dans l'eau, sol. dans les solv. org., volatil
avec la vapeur d'eau. Eb. 270® (faible décomp.) odeur forte ti*
menthe poivrée. — Semi-carbazone C**H*>=:Az-AzH-CO.\iH*
crist. dans Talcool en plaques soyeuses, F. 206-207* (décorap.)>i
on chauffe lentement à partir de 200°; si on chauffe rapidement, 1*
substance peut ne pas fondre jusqu'à 219-220* (corr.). Cetl»
seml-carbazone est insol. dans leau, sol. dans CHQ^ bouillanl,
CH^OH, C«H»OH et la plupart des solv. org. ; elle est décomp.
facilement à chaud par SO*H* ou HCl étendus avec régénéra litoi
/^n
«JIUMIE OHGANlUfE 719
b cétooe. Oxime, elle cristallise dans l*aIcool raéthylique ou la
Toioe en longues aig. F. 108-109®, elle est sol. dans les solvants
r. Par réduction de i'oxime, en sol. alcoolique au moyen de
Balçame de sodium, la liq. étant maintenue faiblement acide
rl'ftcide acétique, on obtient Famine correspondante ou phénch-
munoheptaméthyJèiie huile incolore, peu sol. dans Teau, sol.
^ kfs solv. org. usuels, absobant GO^ en donnant un produit
il Chlorhydrate crist. dans Teau chaude, ne fond pas à 250"".
Cbioroplatinale (C>«H<*Az)«H«PtCl« crist. dans Teau en aig.
îtremenl orangé. Sulfate F. 2i7-229« (décomp.). Dérivé heu-
fié, crist. dans Talcool étendu en aig. f. ài71-172*.
A. VALEUR.
S«r U a'-oxyflaTone ; St. Ton KOSTANECKI et J. TAHBOR
KrL G., L 34, p. 1690; 22.6.1901). — Les auteurs ont obtenu
J-oxyÛavone
O
C(1)C«H*(3)0H
ichauiTant avec l'acide iodhydrique la 2-méthoxy-8'-éthoxy-beu-
iflacélophéaone préparée elle-même par condensation de i ether
■iylique de l'acide méthylsalicylique avec la 3-éthoxyacélo-
Iroone.
Luther étbylique de la m.^oxyacétophénone s'obtient en faisant
BBiUir une solution alcoolique de m.-oxyacélophénone avec de la
otssse caustique et de Tiodure d'éthyle et se présente sous la
arme d'une huile incolore, Eb. 2o5<». En chauffant ce produit avec
«tber étbylique de Tacide méthylsalicylique à llô** avec du sodium
Wqu*â disparition de celui-ci on obtient la S-métboxy-S'-ctboxy-
^toylacétopbénone qui cristallise dans l'alcool étendu en aiguilles
Hwrhes, F. 68*; de composé introduit dans Tacide iodhydrique
*wl se transforme en S'-éiboxyûavpne qui cristallise dans
l"*lcool étendu en aiguilles blanches, F. 118", tandis que chauffé
^ttsieurs heures avec de Tacide iodhydrique fort, il se transforme
*a ^-oxyOavone cristallisant dans Talcool étendu en prismes
•*wc8, F. 208*. La â'-oxyflavone est difficilement soluble à froid
'*H It lessive de soude, mais elle s*y dissout à chaud en jaune,
^dotoe uD sel de sodium cristallisé, en aiguilles jaune pâle.
^ dériré acélylé est en aiguilles blanches ou en prismes
f • 3T\ F. REVERDIN.
L
7i0 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTKANGKRS
Synthèses dans le gronpe de la chromone ; St. Ton K08I
NECKI et J. TAMBOR(Z?. cb. G,, t. 34, p. 1693; 22.6.1901.,
L*un des auteurs et Bioch et Crivelli ont montré qu*eu faii
réagir Téther éthylique de Tacide acétique en présence de
métallique sur les éthers diéthyliques de la résacétophénune ei
la quinacétophènone on obtenait des p-dicétones que Tacide io
drique bouillant transforme en dérivés de la chromone. Dâos
but de généraliser cette synthèse, les auteurs du présent mèma
ont remplacé Téther éthylique de Tacide acétique par celui
l'acide propionique et ils ont obtenu sans difficulté des dérivés
la chromone.
Avec réther diéthylique de la quinacétophènone, ils ont préçi
la 2 . ô-diétboxy-propionylacétophénone
(C2H50)2C«H3-GO-GH2-CO-G2H»,
qui cristallise en feuillets incolores et dont la solution alcoolid
est colorée en rouge par le perchlorure de fer.
Cette dicétone chauffée pendant 2 heures avecHIdeD^l,
se transforme par fermeture de la chaîne en S-ox^'-p-éibylcm
mone laquelle cristallise sous la forme de longues aiguilM
F. 165*», solubles dans H*SO* cohc. avec une fluorescence v«
bleu. Son dérivé acétylé est en aiguilles blanches, F. GS-Gd*;^
dérivé métbylé en feuillets rhombiques, F. 87-88* et son dm
étbylé en cristaux F. ôô-ôô*».
La 2-éthoxy-p-éthylchromone chauffée pendant quelques heui
en solution alcoolique avec du sodium métallique se scinde
éther éthylique de la quinacétophènone et acide propionique.
Les recherches faites avec Téther diéthylique de la résacéW
phénone et Téther éthylpropionique ou Téther éthylbutyrique a
donné des résultats analogues.
Dans le premier cas on a obtenu la S'étboxy-p-élbylehromoi^
et la S-oxy-pétbylcbromone. La première de ces combinais^*
cristallise dans l'alcool éiendu en aiguilles F. 88-84*, solubles àsi
H*SO* conc. avec une fluorescence bleue, la seconde est «i
prismes courts, F. 186** qui se comportent de même envers H'>'
conc. Le dérivé acétylé fond à 67-68**.
Dans le second cas on a obtenu la S-oxy-p-propylcbrooionf f
cristallise en aiguilles épaisses et incolores fusibles à i^*- ^'
dérivé acétylé cristallise dans Talcool étendu en feuillels W*«*
et fond à 6i-65°. k. RB>'WiW3f.
CHIMIE ORGANIQUE. 7-21
Action du chlorure et de Tiodure de benzyle sur la pyri-
Bl; A. E. TCHITCHIBABINE {Journ. Soc. pbys. chim, R., t. 33,
2i9; 1901, fasc. 3). — Liodure de benzyle s*unit à la pyridine
k «légagement de chaleur; le produit est une huile épaisse qui
fc»talli$e par un long séjour dans Texsiccateur; il est sol. dans
lu et dans Talcool, presque insol. dans Téther; les cristaux
rmés dans ralcool à 95 0/0 sont un peu jaunâtres. F. 97* ; leur
topoâition est C^Hs.CHMCSHaAz -f H«0. Pour obtenir la benzyl-
Tiflme. fauteur prenait d'abord le composé précédent, mais il a
connu depuis qu'il est plus avantageux de chauiïer en tubes
elles à 250-270*» pendant 1 h. 1/2 un mélange dans la proport.
W gr. d'iodure de benzyle et de 12 gr. de pyridine ; le produit
U réaction est une masse épaisse, brun foncé ; on le décompose
rKOHet il se forme une matière huileuse, qu'on enlève par
Hier et qu*0Q purifie ensuite; c'est la benzylpyridine
C«H5-Cn2-G5H*Az.
Ox)dée par KMnO* en milieu neutre, elle ne donne que de Tac.
luoîque. Oxydée par KMnO* en présence d'un excès de SO^H^,
luioune Tac. isonicolique (y-pyridinecarbonique) et l'ac. pico-
(ne (s'pyhdinecarbonique) en quantité moindre.
la benzylpyridine distille entre 275 et 290"*, ce qui indique un
éiange d'isomères. Préparée comme il vient d'être indiqué, c'est
:-benzylpyridine (à éb. élevé) qui prédomine. En remplaçant
W» la préparation l'iodure par le chlorure de benzyle, on obtient
I mélange dans lequel c'est, au contraire, l'a-benzylpyridine (à
^ inférieur) qui prédomine.
Avec l'iodure, le rendement est environ 40 0/0 de la théorie;
*« le chlorure il est moindre.
On dépare les deux isomères par précipitation fractionnée à
«*4l de cbloroplatinate en sol.aq. ou de picrate en sol. alcoolique ;
iftst toujours le sel de y-benzylpyridine qui se dépose le premier.
^BeaijripjrridiDe. — Liquide d'odeur caractéristique, différente
■ celle de la pyridine, rappelant un peu celle du citron et nulle-
■»ni désagréable. Eb. 276^ sous 742 mm. ; ne cristallise pas mais
*'T»4i5sil par le refroidissement; insol. dans l'eau, sol. dans l'alcool
^^'^her; (^ = 1,0756, d**-^ 1,0330. Celle baso se dissout dans
*5 acides minéraux avec dégagement de chaleur, mais les sels
*^ en partie dissociés par l'eau; ils sont généralement sol. et
•'^wilement cristallisables ; le ferrocyanure est insol., il se préci-
K-* quand on traite par le prussiate jaune la base en sol. dansHCl.
wc, cmii., 3» sÉH., T. XXVI, 1901. — Trar. étrang. 16
7i« ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
La structure de cette base est indiquée par i*oxydatioQ en miH
acide, qui la transforme en ac. picolique.
y-Benzylpyndine. — Ressemble beaucoup à la précAlfDl
l'odeur quoique analogue est désagréable. Eb. 287* sous 742 nm
cÇ = 1,0756; rfj* = 1,0614. Oxydée en milieu acide, elle four
Tac. isonicotique, ce qui fait connaître sa structure. La plupart
ses sels sont sol., le ferrocyanure est insol.
Dans les produits de la réaction qui fournit les benzylpyridm
on trouve encore d'autres composés; une base à éb. élevé, formi
un chloroplatinate dont la composition indique une dibenzylp^
dine et des corps neutres non encore étudiés. a. corvisy.
Sur la formation de produits intermédiaires dans la sj
thèse des pyrrols au moyen des dicétone8-1.4; L. KNORB
P. RABE (J9. ch. G., t. 33, p. 3801-3803 ; 31.12.i901). — Le
ammoniac réagit à 0** sur Téther p-diacétylsuccinique en prt'soi
d'éther anhydre, en donnant naissance à Véther aminchS-bexém
S-dicarbonique-S A :
CH3.C = C-C02C2Hi
CH3.GO-CH-C02C2H5 |
I +AzH3=:H20+ AzH2
GH3.CO-CH-C02C2H5
CH3-CO-ÛH-C(PC2H^
Go composé crist. en prismes durs qui perdent lentement â T
plus rapidement à chaud (ou en présence d'alcool chaud ou d*aci
minéraux), 1 mol. d'eau en se transformant en éther dimélh\
2 ,5'pyrroldicarbonique^ .4 :
GH3-G == G-G02G2H» GH^-G = G-CO^C^H^
I I
AzH2 = H20 + AzH
GH3-GO-GH-G02G2H» GH3-G == C-CO^CH*
Traité par la soude, le même corps perd AzH* en régénên
'élher diacétylsuccinique, tandis qu'avec l'hydrate d'hydrazjm
chaud, il se transforme en bis-méthyl^S-pyrazolone :
AkH AzH
AZ||^\gO Go/\|Az
CIP-G" IgI 1 GH' "G-CHa
p. FREUNDU»
Sur l'acide phénacyllévulique et sur un nonTel icij
CisHisQSAz du groupe du pyrrol; 6. A. KEHRER (D. ri <^
t. 34„ p. i263-i268; 15.4.1001). — L'acide phénacylléviilitH
CHIMIE ORGANIQUE. 723
P-CO-CH«-CH«-CO-CH«-CH«-CO«H a été obtenu par hydro-
e de la furfuralacétophénone
CH— CH
Il II
CH C-CH=GH-C0-C«H5
\/
0
façon à provoquer l'ouverture du noyau furfuranique. 60 gr.
eétone sont traités 5 heures à Tébullition par 220 ce. d'alcool
55 ce. Ha (rf= 1.165). L'alcool étant distillé, le résidu est traité
'^bullition par HCl dilué (1 vol. HCl, 2 vol. H«0).
L'acide cristallise par refroidissement; le rendement est de
gr. d'acide fondant à 115-116*».
La dioxime s'obtient en traitant le sel de sodium (1 mol.) par le
lorhydrate d'hydroxylamine (1 mol. 1/2). Elle fond à 144*», est
D soi. dans H*0 froide, soluble dans l'eau bouillante, de même
Dâ lalcooly soluble dans le chloroforme. En employant seule-
rat i mol. d'hydroxylamine on obtient un second produit f. à
m'.
Acide pbénylpyrrytpropionique. — Prend naissance quand
i traite le précédent par l'ammoniaque en solution acétique, il a
or constitution :
CH— CH
il l>
C«H5-C C-CH2-CH2-C02H
\/
AzH
est en paillettes incolores fondant à 140-141*» (non corr.) ;
^ue insolubles dans l'eau froide, plus sol. à chaud; sol. dans
kher, Tacétone, Téther acétique et l'alcool, insoluble dans CS* et
W froid. Le nouvel acide donne des réactions colorées avec
fccide sulfurique et l'isatine (vert sale) avec la solution aqueuse
f quinone (violette). Le sel d argent peu soluble fond au-dessous
' 100*. R. MARQUIS.
^paration de dérivés pyrazoliques à partir des azoïques
h 1 Hker diacétylsQCciniqne ; C. BULOW et A. SCHLESINGER
*.cA. «., t. 33, p. 3362-8369; 22.11.1900). - La condensation
t l'élher diacétylsuccinique (modif. dicétonique, f. è 90*») avec le
Worure de p.-diazotoluène en présence d'acétate de soude, donne
fc*«6aace à Tétber p-^toluène-azo-diacétylsuccinique (cristaux
fwaes. f. à 119-120*, sol. dans les liquides organiques sauf la
^«croioe et dans Tac. sulfurique concentré); cetéther se transforme
724 ANALYSE DE8 TRAVAUX ÉTRANGERS.
en éther pAolyM-méthyl-S-pyrazoîdicarboûique^^A^ lorsqi
le chaufle avec un excès d'eau pendant 10 heures :
CH3-C0 C(0H)-CH3
CH3-G6H*- Az = Aï-G G
GO«C2H5 C02G2H5
yG(GH3)=G-COK?H«
NAx=
= CH3-G02H + GH3-G6H*-A2< I
A
cristaux jaunâtres, f. à 50^, solubles dans les liquides organitf
cet éther est saponifié facilement par ébullition avec les ac. m
raux dilués ou par les alcalis, h' acide libre crisl. en fines aigu
f. à 246®, sol. dans Talcool, peu sol. dans les autres dissolv
organiques; le sel ammoniacal est très sol. dans Teau, celui c
(jent (sel acide) constitue un précipité blanc peu altérable
lumière. L*acide perd 2 GO* au-dessus de son point de fusioi
donnant le p.-tolylméthyl'5'pyvazoly liquide jaunâtre, volatil)
la vapeur d'eau. Eb. 270-280''; le chloroplaUnate hnd kîik
se décomposant (poudre crist. jaune, soluble dans HCI dilué.
La décomposition par la chaleur de Tac. dicarbonique fou
également une petite quantité d'ac. p.-toIyl-l-oiétbyUô-pyn
carbonique-d, f. à 190-200®, soluble dans les liquides organiij
çt les carbonates alcalins, peu sol. dans la ligroïne et Peau;
acide est précipité de ses sels par Tac. carbonique lui-même.
On a obtenu par un procédé analogue Vétber ^-imphtalènei
diacétylsuccinique, en cristaux rougeâlres, f. à 108% sol. t^**
plupart des liquides organiques et dans SOH*. (Les auteurs rec'
mandent d'opérer en sol. fortement acidulée lorsqu'on prépar»
diazoïque). L'é/Aer ^'naphtalène-azo-mélbyl-ô-pyrazoldicarbom
crist. en paillettes brillantes, f. à 82®, sol. dans les liquides oïl
/C(CH3).:G.C0«H ^^
ni<iues. Vacide correspondant C*^H*'.Az< i
vers 250®; il est relativement peu soluble dans les liquides or\
niques; son i>e/ acide d'argent est assez stable. Le p-Dêpl'^
méthyl'5'pyrazol bout vers 320-830® et fond à 65®; son cbloroj
tinate est bien cristallisé et fond vers 217®. p. nucuNPUii
Sur quelques phénylalcoyl-S-pyrasole halogènes ; A. UCHJ
LIS, n. VOSS et H. GREISS {D, cb. G., t. 32, p. 1300- 1308; î^
1901). — Les auteurs continuent les recherches entreprise? «
Taction de POCl^ sur les phénylpyrazols.
CHIMIE ORGANIQUE.
-Pbényl-S,4-dimétbyt-5-cbloropyrazol. — Liquide inc
liilant A S87* soua la pression atmosphérique et à 147*
mm. CristalliRe par rerroidissement et fond à Sô", — Le i
'lëtinate cristallise avec 2H*0 et iond à 176'*. — h'iodométh
H"AzCI,CH>I fond à 835« il est peu sol. H*0 ; sol. dans l'ai
lié par KOH alcoolique, cet iodométhylate donne la 4-mé
ipyrine ou i-pbényl-S-S-4-lrimétbylpyrazolone,CT\s,la\\ï&a
lêoe en cristaux incolores f. à 82°.
^ monuiiilrophi-nyldiméthykbhropyrazol :
/Ai=C-CH'
AtOi-C6H*-Az< I
NC=C-CHï
iDt le groupe AzO* en para fond à 140°, sol. dans l'alcflol, V^
benzène, insol. H*0; par réduction à l'étain et HCl il doni
rivé Boiidé 1. à 7<>-78'>, en feuillets blancs peu solubles
Bi et l'élher.
Le dérivé dioilré fond à IH*.
L* t-phrnyi-S-mélliyl-5-earboJtyI-5-cblorpyrazol
/At=C-CHî
C^H'-AK I
^■C=t'--CO>H
i,
itxient par oxydation du précédent par GrO* en solution s
que à Iroid. — Criâtaux feuilletés f. à 2S8-2â9<> insol. H^
M. étfaer; sol. alcool et ac. acétique. ChaufTé en tubes scel
W-240*, il perd CC et donne te i-pbéiiyl-3-ttiélbyl-5-cbloroj
^. — Ia! chlorure de cet acide fond à 85*, L'amide fond à
Rc est sol. alc-ool; peu sol. éther.
L? l-phi-nyj^ .4-diaiélbyl-6-broroopyrBzoi s'ohlienl en trt
tctiloropyrazol correspondant par le bromure d'élhyle a 21)
«t" scellés. Crislaux fondant à M", bouillant à 210-220°
"mm. e[ à 21*5' sous la pression ordinaire. Le bromnmélh
"Tl.) » ÎSO".
U i'pbényi-S.i-dinwlbyl^-iodopyrazol prend naissance di
^llatioD sèche de son chloréthylate; il est en crii^lauxjaun
'■'18*, wl. élher etalcool. L'joJoé/i(Wfl(<? se forme en cliai
If chloropjTizol (lu gr.) avec CH^l (8 gr.) en tubes scellé:^ à
P«itant 4 heures. Feuillets nacrés!, à 222-223° en se di'-co
720 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sant. Le cbloroéthylale se forme en agitant une solution aqi
bouillante de Tiodoélhylate avec du chlorure d'argent. Pri^
blancs f. à 85<» et contenant 4H'0, anhydre il fond à 190*.
l'Phényl-S'métbyl'Â'éthyl-ô'Cbloropyrazol
/A«=G-GH3
C«H5.Az< J
\G=C.C2H5
cristaux blancs f. à 40'' bouillant à ilb'' sous 50 mm. et à 285^ i
la pression ordinaire. Le cbloroplatiaale cristallise avec HK)
grands cristaux rouges fondant à ITS"*. V iodoméibylate f. à 176*^
bromoméibylate f. à i97'. et le cblorométbylate à 162*. — Le dét
mononitré f. à 71^ et donne par réduction un dérivé amidr I
107®. — Le dérivé diniiré f. à 138*. — Par oxydation du ciila
pyrazol par CrO* sulfurique, le groupe éthyle est seul oxydé e^
obtient le même acide que ci^dessus. — La réduction du chlo
A2=C-CH
pyrazol par Na donne la pyrazoline : C*H*-Az<; i
liquide faiblement jaune éb. 294® donnant un dérivé monooitr
à 121«.
i'Pbényl3'mélbyl-4'bentyl-6'Cbloropyrazoly prismes (de X^
de pétrole) f. à SO"" sol. dans tous les solvants organiques. — L
dométbylate f. à 167**, et donne par KOH alcoolique la beniylm
pyrine cristallisant de Teau en aiguilles f. à 70®, et donnant
cblorbydrate f. à 167*. r. MARgn^.
Sur le bromure d'éthylcafôine ; A. I. ROSSOUHO \Jom
Soc. pbys, cbim. R., t. 33, p. 247; 1901, lasc. 3). — L'aut
obtient le bromure d'éthylcaféine C«H«oAz*0«.(?H*Br en trait
par AgBr Tiodure d*éthylcaféine en sol. dans Talcool absolu; <i
l*alcool aqueux, le rendement est moindre, le bromure d'élhyl^
féine, moins stable que le chlorure, se décomposant en partie:
réaction est moins énergique que celle de AgCl.
La purification du produit est difficile, principalement h w
de Favidité pour l'eau. Dans Talcool absolu, le bromure d'élh;
caféine cristallise en petits prismes maclés incolores. F. i70-f
avec dégagement de bulles gazeuses ; il est très stable, tnsi^
sol. dans l'eau il se décompose en partie; sa stabilité dans Ta
est intermédiaire entre celle du chlorure et celle de rjodure.
A. 00R\1ST.
CHIMIE ORGANIQUE. 727
lecherches sar la morphine (2'> partie) ; SCHRTVER et Fre-
rie H. LEES {Chem. Soc, t. 79, p. 563 580; 5.1901). — Les
if*ur6 oai trouvé que faction de Teau sur la bromomorphide
tenue par eux antérieurement {Bull. Soc. cbiw.f t. 24, p. 845;
>Jj donne, outre le bromhydrate d*isomorphine, le bromhydrate
toe autre base îsomérique, la ^-isomorpbine. Cette base crist.
îc \;i mol. d*alcool éthylique qu'elle perd par chauiïe prolongée
iO", elle est sol. dans Teau froide, peu sol à froid dans l'alcool,
is sol. a chaud, presque insol. dans Téther et la ligroïne; sa sol.
. réduit les sels d*Ag. La base contenant 1/2 mol. d*alcool donne
sol. mélhylique à 170* [a]p = — 216*»,2; le chlorhydrate de
(50/norpZufle C**'H*»0'Az.HCl crist. dans Teau en aig. prisma-
iies, sa sol. alcoolique donne à 17" [ajp=: — 196*,4 (on trouve
UT les seLs d*isomorphine et de morphine respectivement à 20®
150* et — 1H«,5 V iodométhylate crist. dans Teau, F. 250* avec
ible décomposition [a]^ = — 146",1 en sol. aq. à 23".
L'isomorphioe fournit, par Taction de l*anhydride acétique, un
irivé diacétylé qui a été isolé à l'état d* iodométhylate de diacé^
Ihomorpbiae C«'ïH*'ï03Az(C0.CH»)«CH3I, crist. dans CH^OH en
g. soyeuses, F. 241-242" (décomp.).
Le tribromure de phosphore ou Tacide bromhydrique réagissent
|r Tisomorphine en la retransformant en bromomorphide, il n'en
U pas de même de PCP avec lequel il a été impossible d'obtenir
kcfaloromorphide. L'iodométhylate d*isomorphine, traité succes-
rtemenl par SOAg* et Ba(OH)* donne un produit que les auteurs
Bl coQsidéré antérieurement comme possédant la constitution
Puae phénol-bétaïne C*«H«50«/ | , cette constitution est
\Az(CH»)»
feûOûlrée par ce fait que ce composé, traité par CHM, fournit
r»doiDélhylate d'isocodéine C*«H<»0«<2^2H3)«r ^^' l'iodomé-
k|laie d'isocodéine peut encore être obtenu soit par l'action de
fuyliire de méttiyle en excès sur une solution alcoolique du dérivé
KfJé de Tisomorphine, soit par la méthode suivante : on fait agir
Plir* sur la codéine, on obtient ainsi la bromocodéide C*®H«oO'AzBr,
^ cTisi. dans l'alcool éthylique chaud et fond à 162", sa rotation
*»*oU alcoolique est à 20" [a]^ = -f56",5; cette bromocodéide,
^^ par Teau, fournit Visocodéine, base crist. dans l'éther en
^5- prismatiques, F. 144", très sol. dans les alcools méthyhque et
*^ylique. [a]^ = — 169",1 en sol. méthylique à 13", dont on pré-
W^ ^'iodométhylate..
ANALYSE DES TRAVAUX ÊTR,\NGERS. I
tylale disocodéine C"H'!>0*<JJ"J^ , est sol. À
il oi'ist. dans CH'OH chaud en crisl. brilianls. Fa
i]p = — gg'.S en sol. aq. à 17». Cet iodométliilj
! sol. aq. de soude bouillante, fournit la métbm
ne C'8H«>0»Az(0CH'), base qui se sépare de l'aW
tables F. 167' [aj^ — -|-61%6 en sol. chloroformid
V iodomélfiylate Torme des aiguilles blanches F, ij
,.) [«)„ = + 3i",7ensol. aq. àl7°. ,
correspondant à l'iodomélhylale de tnëlhyl-isoiiU
)urmt, par l'action de la chaleur, l'éther mélhyliqu?:
65° identique au produit obtenu par Knorr en an
)rphine une série analogue de réactions,
it la formule de Knorr pour la morphine, les relalii|
ise et l'isomorphine seraient ainsi représentées : '
rtH-Az-CHî
Hor|)lilDC.
-mule de la cotarnine ; A. BANTZSCH {D-ch-d
r.-â(i8fi; 22.1-2.1901). — Réclamation de prioni. i
Smoire de M. Decker sur le même sujet (voy. Ha^lz*'^
32, p. S130 ; Decker, ibid., u 33, p. S273j.
p. FUEUMBl.™-
on de la pilocarpine |â° partie); Hooper il^
aWETT [Cliem. Soc, t. 79, p. 580-603; 5.1MI .-
Linuant ses reclierches sur ce sujet (voir Ju//- ■'"*''
io, t. 34, p. 543 et 799) a eiïoctué différentes rf*-
CHIMIE ORGANIQUE. 729
si avec Tisopilocarpine. L'acide obtenu par Toxydation de celte
} au moyen de MnO^K, et auquel la constitution suivante
(CH3)2CH-GH.GH-C02H
A-èo
é attribuée, a reçu le nom d'acide pilopique. L'action du brome
riÀOpilocarpine en sol. acétique fournit principalement de la
romo-isopilocarpine, une petite quantité de monobromo-isopilo-
^ine et d'acide isopilocarpinique. En chauffant à 90-140** en
PS scellés Tisopilocarpine avec Br en sol. aq. on obtient les
les mono et dibromo-isopilocarpiniques et en même temps les
les bromopilopinique et bromopilopique.
)ibroaj(yisopilocarpine C**H**0*Az*Br* crist. dans l'alcool
prismes anhydres F. 185* (corr.) presque insol. dans l'eau,
cool ou réther, plus sol. dans l'alcool chaud, l'acétone ou les
des forts; elle est très faiblement basique et ne réagit pas sur
M, son perbromure C**H**0'Az*Br*HBr*, obtenu par l'action
Br sur une sol. de cette substance dans HBr fort, crist. en aig.
B jaune brunâtre F. 1G5® (corr.); il fournil la dibromo-isopilo-
rpioe par l'action de rhyposullite de sodium.
Par réduction soit par Na en sol. amylique, soit par le zinc et
Cille acétique, la dibromo-isopilocarpine fournit quantitativement
risopilocarpine.
Uuand la dibromo-isopilocarpine est oxydée par une quantité
Mlée de MnOK elle fournit de l'acide pilopique C^H*®0 et un
ttvel acide, l'acide pilopinique C®H**0*Az, en même temps que
tla méthylamine et de l'ammoniaque.
V acide pilopinique C®H**AzO* crist. en plaques, F. 98**; il est
i <iaûs la plupart des solv. org. excepté laligroïne; en sol. dans
i^^jol dilué il donne à i6® [a]„ = — i3**,6, son élher éthyïique
«itâ262^ sous iO mm. L'oxydation de l'acide pilopinique par
l»*>K fournil de l'acide pilopique, CO* et AzH^.
L>/</e (libromO'isopilocarpinitjue C*nn*0*Az*Br' crist. en
ttimes F. 2^* (corr.) en se décomp. il est presque insol. dans
«uou lether, sol. dans Talcool surtout à chaud; il donne en sol.
"^^iique à 16* [a]p= + 24®,4, il est monobasique. Réduit par
•owigaœe de sodium en sol. alcoolique, cet acide fournit l'acide
f^^pique C'H'OQ* qui a été obtenu, crist. F. 104° (corr.).
L'acjrfe monohromO'isopilocarpinique C**H*^0*Az*Br a été
'^t'^tia sous forme d'huile impure.
^ réduction des acides mono- et dibromo-isopilocarpiniques
730 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
par le zinc et Tacide acétique fournît F iso-pilocarpînolëek
C**H**0*Az*,H*0 qui crist. dans Teau en prismes perdant B
vers 60-70**, se ramollissant vers 80* et 1. à 83® (corr.), sol. dl
Teau chaude et la plupart des solv. org., presque insol. daa
ligroïne; [a]^=== — 51 «,9 en sol. alcoolique à 16*; par ébuUd
avec l'eau de baryte cet olide fournit le sel de Ba de f acide a
isopilocarpinique [C«<H«*(0H)0*Az«]«Ba,4H«0. L'isopilocarpi
lactone n*est point basique et ne se combine pas à CHM.
La dibromopilooarpine G**H**0*Az*Br* fond à 95* (corr.)eii
à 79® (Pinner et Kohlhammer) et donne en sol. alcoolique à I
[a]|^r=-|-43**,6; elle est très faiblement basique et régénèr*
pilocarpine par réduction au moyen du zinc et de Tacide acé(ii{
Les essais tentés en vue d'obtenir des produits d'addition de i*
pilocarpine sont restés infructueux. L*auteur discute ces ré:
tats au point de vue de la constitution de Tisopilocarpine.
A. VALSCIU
Contribution à la chimie analytique des alcaloïdes il
Action de Tiode sur Taconitine et la caféine ; C. KIPPEHBl
GER {Zeit. anal Ch., t. 39, p. 435-450; 1900). — On admel
autrefois que la solution.d'iode dans Tiodure de potassium foru
avec les sels d'alcaloïdes un periodure de composition constai
selon réquation :
AIc.ClH + Kl + I2=r Alc.lH.P + CIK.
Les expériences passées de l'auteur ont montré que cett«) éq^
tion est généralement inexacte et les essais analytiques pr黫
le confirment.
Il est impossible de résumer le tableau de ces essais avec
commentaires détaillés qui raccompagnent, mais lesconséquea
pratiques qui en résultent se ramènent à ceci :
1° L'aconitine ei la caféine ne ppuvent être dosées exacteiiW
en liqueur aqueuse avec la liqueur d'iode, qu'en titrant celle^i |
comparaison avec des solutions aqueuses de ces alcaloïdes.
Pour la caféine, il faut observer en outre qu'une proportion i
table de la base reste en solution, à moins d'ajouter un grand esc
d'iode, ce qui ramène à des traces la quantité de base dissoute.
2° L'emploi de la solution d'iodure d'argent dans l'iodure
potassium conduit à la formation d'un periodure d*aconitine po«
dant presque exactement la composition C5*H*"AzO'«»HI.l*.
S"" Le dosage volumétrique de l'aconitine, par saturation à Tti^
CHIMIE ORGANIQUE. 781
m acide titré, en présence d'azolithmine, d'iodéosine, d*héma-
rjtine ou de cochenille, donne des résultats plus exacts que le
•âge à riode. h. copaux.
U forme colloidale de la pipérine et détermination de
I poiiToirs réftactif et dispersif ; Henry G. HADAN {Chem.
t.. t 79, p. 922; 7.i90i). — La pipérine cristallisée, chauffée
-dessus de son point de fusion (132^) se solidifie par refroidis-
Dent en une substance résineuse transparente, qui est une ino-
kâtioa allotropique colloïdale.
Cette dernière forme n*e&t pas permanente, car elle retourne
uitanément à la forme cristalloïde au bout d*un temps limité à
température ordinaire et très rapidement si on le maintient
I0(}*. Mais si la pipérine a été chauffée pendant 1 heure à ISO,
produit colloïde résultant est plus stable, car il n*a pas varié au
Qt de 2 ans 1/2.
La pipérine colloïde a une réfraction élevée (|Xjj = 1,684) et un
eiBctent de dispersion remarquable {\t.„ — îAg^ = 0,142).
A. HÉBERT.
f
Sur le Hori du Japon; Kintaro OSHIMA et B. TOLLENS {D.
J. (;.,t. 34, p. 1422; 24.4.1901). — Le Nori, préparé au Japon
I moyen des algues marines (Porphyra laciniata) se présente en
bques minces, verdâtres, sans saveur, semblables à du papier.
Les auteurs ont reconnu dans ce produit la présence d'un cev-
liii nombre d'hydrates de carbone : !• pentosanes et méthylpen-
^nes: le produit, distillé avec HCl, donne du furiurol et du
léthylfurfurol, la précipitation du distillât par la phloroglucine
Mme 2.15 0/0 du nori en phloroglucides ; 2** hydrates de carbone
tonnant de Tacide mucique (galactose...), Toxydation nitrique
lQQQe6,73 0/0 du nori en acide mucique; 3*" hydrates de carbone
donnant de Tacide saccharique (glucose...); 4® fructose et autres
L'hydrolyse du nori au moyen d'acide sulfurique à 5 0/0 au bain-
Bvie conduit à un sirop d'où la phénylhydrazine précipite deux
çdrazones, l'une i. à 159-160*, Tautre f. à 195-196*. La première
M celle du i.-galactose, la seconde celle du d.-mannose.
R. MARQUIS.
Co&tribntion à l'étude de Thnile de Hacassar; J. J. A. WTS
telUphys. Cb., t. 31, p. 255-257; 1.1900). — Cette huile a été
minute des semences de Schleichera trijuga Willd., de Célèbes
'Indes hollandaises), par l'action du benzène. Elle a la couleur
732 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
et la consistance du beurre. L*auteur en a déterminé les princîpi
constantes physiques et chimiques. ' m. >'kzks.
Sur le résultat de la recherche des sucres antres q«*
zylose et le dextrose dans les produits d'hydrolyse da I
des troncs d'arbres; F. H. STORER (Cbem, News., t. 83, p i
256, 270, 282 et 292; 5 et 6.1901). — Très long mémoire à
lequel sont successivement décrits Texamen des produits deThyd
lyse acide du bois et des racines d'érable sucré (Acer saccbarm
du bois de bouleau {Betula populifolia), du coton, et enfin Tao^
de Tacide sulfurique fort sur le dextrose pur. L'auteur est ar^
aux conclusions suivantes :
1^ Si l'on fait agir sur la cellulose l'acide sulfurique concefll
puis si le produit obtenu est mis à bouillir avec l'acide dilue
totalité de la cellulose n'est pas rapidement transformée
dextrose;
2'' On sait que l'acide sulfurique concentré, agissant sur
hydrates de carbone, forme avec eux des composés qu*on a <W
gnés sous les noms d'acides végëto-sulfurique, sulfoligniq^
sulfoglucique, dextrose-sulfuricfue, cellulose-sulfurique, etc.»'
se décomposent ensuite par l'hydrolyse acide; mais l'auleui
constaté qu'une partie de ces substances ne se transformaienl i
ainsi en dextrose et qu'elles souillaient le dextrose finalemj
obtenu ;
. 3** De même les sels des acides précédemment cités ne sont J
entièrement décomposables. Il se forme vraisemblablement i
composés sulfonés qui, dédoublés ensuite, donnent naissance
des sulfates minéraux;
4^*00 fait explique l'ancienne expérience de M. Béchampq»'.*
faisant cristalliser du glucose provenant de l'hydrolyse du cotfl
obtenait deux sortes de cristaux. L'auteur , répétant ceiw^i,
trouvé ces cristaux constitués, les uns par du glucose, les eutr
par une matière minérale;
5*^ Môme remarque à propos du mémoire de M. Bertheloti^n
Chim, Phys., 1859, 8« série, t. 55, p. 293) qui faisait observer f
le glucose de ligneux n'était pas constitué par un produit pur;
6° On admettait que l'hydrolyse de la cellulose du boisdum:'»
naissance seulement à du xylose et à du dextrose dont l'évalustii
était faite par réduction de la liqueur de Fehling. Cette évalueii'''
était certainement exagérée, puisque le dextrose se trouve aof^
pagné de matières étrangères qui peuvent aussi réagir 5"^"
liqueur ('iJ|>ro-|)olassi(jiie ;
CHIMIB ORGANIQUE.
* 1^ matière insoluble dans l'alcool, obtenue
■èacUt le produit de l'hydrolyse de la ceilutos
IrioD plu3 ou moins impure résullaiit de la <
les sulfonés cités plus haut; mais cette c
ompagnée, à cause de son f^rand pouvoir réd
>rphe BDalogue à i'isomallose;
* La difAculté de la question étudiée est oug
lia formation de dextrine résulte, non sculei
itioD des acides sulfonés formés par l'acide si
Htes de carbone, mai^ aussi par la transforn
lextrioe par action des acides dilués.
Esatrilintiaii i ranalyse d« la gatta-percb
K Zeil. anal. Ch., t. 39, p. 502-504). — Les
itcur portert sur les points suivants :
1* Eaa. — Dessiccation à lOO" de 2 gr. de ma
[• Impuretés. — Traiter 1 gr. de gutta bnite
M à l'ébullilion pendant 12 heures. Jeler sur
ttsidu, séché à ilO".
l" GuUa pure. — La solution benzénique, re
fluavile el l'albane, est concentrée à 50 ce, ^
B ce. d'alcool absolu. Après 2 heures d'ébul
w le résidu, séché à 100°.
t* .Mbaae. — I.e dosage séparé de ce corps
nsnce technique, on détermine ordinairement
•nf par différence.
On peut néanmoins séparer ces deux corps
lulioo b^nzénique, contenant un excès d'alcc
■Itiaoe, insoluble dans l'alcool, précipite par n
fKur, décanté?, renferme la fluavile. Après é'
wiion à 80", on pèse chacun des composés.
i-altmae est formée, selon l'auteur, de trois |
!»l«, dont les deux premières distillent à 200 y
Exemple d'analyse d'une gatta bn
Eau
Impuretés
'inlti pure
VluBvilc
Albanc a,
- »3
734 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Analyse simplifiée du suint; H. BORNTRAGER {Zeit. «
Ch., t. 39| p. 505-506). — Le suint, produit du traitemenl
Tacide sulfurique, des eaux de lavage des laines^ est constitué
des acides gras libres.
L*auteur y dose Teau à 110°, les impuretés, par insolubilité^* (
l*aIcool chaud, les acides gras solides, par refroidisseiucoi
l'acide oléique, par différence. Exemple :
Eau 3,0
Impuretés 1,5
Graisses solides 33 ,î
Acide oléique 6S,3
H. COPAlX.
Orozyline; William Arthur Harrison NATLOR et Oui
Stanley DYER (Cbem. Soc, t. 79; p. 954; 7.1901. — Uèc<
d'oroxylum indicum^ déjà examinée en 1890 par Naylor et Chaj
était traitée delà façon suivante : la poudre était épuisée à Talc
le dissolvant évaporé et le liquide résultant était précipité d
Teau. Ce précipité, formé d'oroxyline, de cires, de graisses «I
matières résineuses, était lavé à Teau et séché, puis épuisé p^
chloroforme laissant Toroxyline qu'on dissolvait alors dans Télt
enfin on la purifiait par ti'aitement à l'éther de pétrole et cristJ
sation dans Talcool.
Cette substance, dont le rendement est de 2 p. 1000 so présÉ
en aiguilles jaune d*or, solubles dans Talcool et Tacide aréti<
glacial chaud, moins dans Téther, très peu dans le chlorofor^
insolubles dans Teau, fondant à 225°, répondant à la fonu
C*®H**0®. Ce corps réduit les sels d'ai^ent et donne avec Ysck
de plomb en solution alcoolique un précipité rouge.
Dérivés de Poroxyline. — La triacétyloroxyline C**H* «0*(C*WH
était obtenue par l'action de l'anhydride acétique et de Tacétate
soude sec; elle se présente en cristaux aciculaires, blaiir:>, A
dant à 150152° en se décomposant partiellement.
La dibromoroxyline C*'H*'0«Br* était obtenue par Vêddilioo
brome à une solution acétique d'oroxyline. Elle se présente
aiguilles jaunâtres, solubles dans l'alcool et l'éther, fondant à IT>
Produits de décomposition. — L'oroxyline, bouillie avec l« }'
tasse à 50 0/0, se décompose en donnant de la phloroglucine f' i
l'acide benzoïque et phtalique. Fondue avec la potasse, elle ilooi
surtout de l'acide benzoïque. Enfin, avec la potasse s hOOé
température ordinaire, elle donne de la benzaldéhyde.
CHIMIE ORGANIQUE. 735
« pennanganate est décoloré par l'oroxyline et cette substance
roQtient pas de groupes inéthoxyl- ou cétoniques.
A. HÉBERT.
A nnirition de la leTare (3« partie); Arthur L. 8TEKS {Chenu
.. l. 79, p. 941 ; 7.1901). — Poursuivant ses recherches sur la
ntion de la levure, Tauteur examine, en opérant dans des con-
OQà semblables à celles qu*il a déjà décrites, successivement
Suence de la concentration, de la température, de la variation
la quantité de levure ensemencée, Teflet du temps. Le sucre
ployé était le dextrose; la substance azotée, Tasparagine; les
iîères minérales, le phosphate de potassium, le sulfate de ma-
isium et le sulfate de calcium.
)es poids de levure recueillie, d*azote renfermé dans cette
ure, de sucre non transformé, on peut tirer les conclusions sui-
ites : l" toute augmentation de nourriture azotée et minérale
dpià d*une certaine limite n'accroît pas la quantité d*azote assi-
se par la levure ou le poids de celle-ci ; 2*» toute augmentation
sucre est accompagnée d'un accroissement du poids de Tazote
ntnilé et du poids de la levure et cela jusqu'aux plus grandes
K^Qtrations dans lesquelles la fermentation puisse être com-
*e; 3» entre 12 et 25**, le poids d'azote assimilé et celui de la
^re ne varient presque pas, ils diminuent au contraire à une
Bpérature plus élevée ; 4** le poids total et l'azote contenu dans
r^olte de levure obtenue à la fin de la fermentation dépendent
olement du poids et de la quantité d'azote contenu dans la levure
ditioanée pour déterminer la fermentation, et de la composition
U^lution fermentescible; 5« l'accroissement de la levure est,
odant une partie de la fermentation, proportionnel à la quantité
t «ucre fermenté, il se poursuit aussi longtemps qu'il reste du
Kre non fermenté.
0 y a une différence essentielle entre les fonctions des aliments
Wfrs et minéraux, d'une part, et celles du sucre, d'autre part.
^ premiers fournissent seulement des matériaux, tandis que le
^od fournit des matériaux et de l'énergie. a. hébert.
Hydrolyse de polysaccharides et saponification d'éthers sons
itlntnce catal]rtiqiie de certains métaux; 0. SULC (Zcit.
*7*. a., t. 33, p. 47-56; 8.14.1900). — L'inversion du saccha-
^ ptr HCl étendu est retardée par le contact de palladium fine-
*ût divisé, n en est de même de l'hydrolyse du maltose par l'eau
«Qïltaate. — L'influence du palladium est plus faible avec le raf-
730 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEKS.
ftnose, qui n'est que peu hydrolyse par l'eau botiillanle. —
saponification des acétates d'amyle et d'isobutyle par Teau
lanle est relardée par le contact de Pd, Os, Rh, Ir, Cu, Ag. L'i
tion du mercure est beaucoup plus faible. a. \àxs.
Ëtats d'équilibre du système eau-phènol-acide tartriqnt
racémique; F. A. H. SCHREINEHAKERS (Zeil. phys. CL. t.
p. 74-77; 3.4.1900). — L'auteur a étudié l'influence d'une arIJil
d'acide tartrique ou d'acide racémique sur le mélange doutile
forment le phénol et l'eau ; elle déplace dans le sens des ti-m
ratures croissantes la courbe de solubilili; de ces deux corp'^ '
dans l'autre. Le déplacement est sensiblement le même pour
deux acides considérés. La température maxima au-dessus
laquelle le mélange cesse d'être double s'élève de 68' â 71',-')
une addition de 10 0/0 d'acide tartrique, à 97' par une addition
41 0/0. H. VKÏEs. '
États d'équilibre du systôme eeu-phéDol-acétooe ; F. A.
SCHREINEMAKERS {Zeil. pljys. Cb.. t. 33, p. 7fr98; 3.4.i'.Wi
L'addition d'acétone au mélange double que forment le pliéno!
l'eau a d'abord pour effet de déplacer dans le sens des temi-J
lures croissanles la courbe de solubilité de ces deux i-orp> I
dans l'autre. La température maxima à laquelle le syslcinc l""
nporter deux couches liquides, qui est de C8* pour le plu'-i-O
lu seuls, s'élève à 76" par une addition de 1,H8 0/0 d'aciHo
O'.S par une addition de 7,94 0/0, Cette variation de la tcni)
ure maxima avec la proportion d'acétone donne lieu à un ma
m à 91°, 5 (15,6 0/0 d'acétone) ; elle diminue ensuilc, de "
te que pour une addition de 64,9 0/0 d'acétone, la lempérsU
xiina n'est plus que de 3S°, le mélange devenant tiomotrénc i
ï la température dépasse celte valeur. Entre 68" et i'l',-'',i
is syslèmes binaires eau-phénolj eau-acétone, phénol-»''''"
ment chacun un liquide homogène, ipielles que soient les ff
■Cions des deux corps mélangés; au conlrairp, dans le au-i
ervalle de tenipéralure, il résulte des faits ({ui |)réfédenl ip
lange ternaire eau-acètone-phénol sera toujours divisé en <k'
ichcs. M. »WÏJ-
CHIMIE ORGANIQUE. 787
CHIMIE ORGANIQUE.
lu rèthériflcation et la saponification fractionnées des
réo-isoméres ; W. HARCKWALD et A. HACKENZIE (D. ch. G.,
*, p. 469-478; 28.1.1901). — Les auteurs ont montré précé-
meni {ibid,, t. 32, p. 2130), qu'en chaufîant Tac. phénylglyco-
leracémique avec du menthol, Tac. d était éthériflé plus rapi-
Mot que Tac. 7, de sorte que Ton pouvait séparer partiellement
lieux inverses par ce procédé. La saponification fractionnée
kduit au résultat inverse. Si a ei b représentent les quantités
produits mises en réaction et ar et 7 les quantités tranformées
bout d'un certain temps, on peut représenter la réaction par
|oatîon
, fi — X
"* =G.
»6t égal n 0,897-0,910 dans le cas précédent.
\jts auteurs ont constaté ({ue la saponification du phénylglycolato
meothyle formé fournil un acide inactif et même légèrement
fOjD're; d'autre part, Tac. non éthérifié renferme un excès d'ac. /.
^résultat, en apparence anormal, est du à ce que rèthériflcation
hne de Tacide provoque une racémisation assez rapide; de pins,
iK'^Dce de menthol. Tac. rfest racémisé plus rapidement que
(c- /; c'est ce qui explique pourquoi le produit de la saponification
l faiblement lévogyre. Cette racémisation pendant rèthériflcation
ê<r vérifiée sur les ac. phénylglycoliques rfet7 et sur Vac. éthoxy-
^tïjUcéiique C»H5.CH(OC«H5)CO«H. Dans le premier cas, il
*ftl d'une heure de chauffe à 155* pour transformer les 2/8 de
**- actif. On a vérifié que Tac. non éthérifié consei'vait son pou-
»r primitif.
^àt, «-élhoxypropionique a pu être dédoublé partiellement j)ar
t ivmc procédé.
L* méthode a été appliquée également avec succès au cas (U^
^■' octvlique secondaire provenant de Thuile de ricin. Cet alcool
*t faiblement actif; (>)p = — lO' pour /=:2. Chauffé avec de Tac.
"^que, cet alcool a pu être dédoublé en deux portions, Tuno
"^^Wre, l'autre dexlrogyre. Dans ce cas, les vitesses d'éthérifî-
*Uoo des deux inverses sont très voisines, tandis que la vitesse do
•oc. auM., 8« sin., T. XXVI, 1901. — TraT. étrang. 47
788 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEBS.
saponification de l'éther de Talcool d est beaucoup plus faible^
celle de l'inverse.
L'alcool octylique en question parait renfermer un peu à\
heptylique normal. Il donne en effet par oxydation un peu i?
heptylique. p. freu-noler.
Sur la séparation des alcools amyliques du fusel-oel «li;
MARCKWALD {D. cb. G,, t. 34, p. 479-484; 28.1.1901). — L^auJ
examine successivement en les critiquant les divei*s procédés 4
ployés actuellement pour séparer les deux alcools iso-am\liq
actifs et inactifs. p. freundler.
Sur la séparation des alcools amyliques du fusel-oel (H';
HARCKWALD et A. HACKENZIE (I). ch. G,, t. 34, p. 4KVi
28.1.1901). — Les éthers de Talc, iso-amylique et de Talc. «
avec les ac. phtaliques chlorés et nitrés sont tous isomorphes 4
à deux. Néanmoins Talc, actif a pu être isolé à Tétat de pureté «
que son isomère au moyen de Vac, m,'mtrO'0,'phtaliquc.
L'éthériflcation a été faite en chauffant 3 p. d*aIcool avec |
d'acide et 0,3 p. d*ac. sulfurique au B.-M. pendant 7 heures-
produit lavé à l'eau et débarrassé de l'excès d'alcool par <ii;*ti|
tion dans le vide au B.-M., a été purifié par une série de cn>u
sations dans le tétrachlorure de cai*bone et le benzène. L'él
ainsi obtenu a la formule
yC02H (2)
(1) Az02-C6H*<
NCO^C^H» (3)
11 est absolument inactif et fond nettement à 95**.
Pour préparer l'aie, actif, les auteurs sont partis de Talc, oo
mercial enrichi par le procédé Le Bel légèrement modifié clii
fage à 100° en vase clos pendant 3 heures de Talc, satun* d(' (
HGl). Le produit ainsi préparé donnait (a)^^^ — 6* (pour/ =
En éthérifiant l'ac. nitrophtalique avec cet alcool (2 p. 1/4) en p(|
d'ac. sulfurique (0,35 p.), et en soumettant l'éther à des rnslj
lisations fractionnées, on a obtenu finalement une portion i<
113,5-li4'*,5, en grands cristaux vitreux, sol. dans ralcooK l'w
tone et le benzène chaud. (a)|j =^ + ^''»^ ^"^ ^o^* acétonique. L*l
correspondant bouillait à 128°: (/^ = 0,816; (a)^ = — 5',9. Di
persion rotutoire : rouge, a— — 4,42; jaune, — 5,9; vert, — "'i
bleu clair, —8,03; bleu foncé, —11,76. L'aie, amylique %M
une odeur moins irritante mais plus soporifique que Talc, oc^
naire. i*. rREimUER*
CHIMIE ORGANIQUE. 739
*
ntribution à l'étude de Taldéhyde formique ; C. HARRIES
:b. C, t. 34, p. 685-637; 28.2.1901). — L'auteur prépare
raient Tald. formique liquide CH*0 de Kékulé en chauflant du
ymélhylène et en condensant les vapeurs dans Tair liquide.
aas5e cristalline qui se forme fond à — 92*» et le liquide ainsi
nu peut être filtré. Il est soluble en toutes proportions dans
er et se combine dans ces conditions à Téther acéty lacé tique
* donner un produit liquide, peu sol. dans Teau et CS*, décom-
kble par la soude.
es vapeurs de Tald. formique réagissent sur P'O** en donnant
Carbon. CaCl* anhydre les absorbe en partie et les polymérise
ieliement. Le polymère qui se forme dans ces conditions
>De lors(iu*on surchauffe ses vapeurs dans un tube.
p. FREUNDLER.
Iir Taction des solutions aqueuses d'aldéhyde formique
rie coton-poudre; L. VANINO [D. cb. G., t. 34, p. 1128;
5.1901 1. — En traitant le coton-poudre par de la formaldéhyde
n U 0, on arrive à lui enlever complètement ou à peu près la
ipriété de détoner par le choc. Il suffit ensuite de chauffer le
Niuit avec de Teau ou de le secouer longtemps pour lui enlever
tnoxyméthylène et lui rendre ses propriétés primitives.
p. FREUNDLER.
«
lote sur racétonylacétone ; Thomas GRAT (Chem. Soc.^
». p. rxi.682; 6.1901). — L'acétonylacétone, régénérée de sa
m^maison bisulfitique et soigneusement fractionnée, possède les
t-Unies suivantes
D«' = 0,913, /2»= 1,4232.
WrsiUon moléculaire 29.86 (calculé pour la formule dicétonîque
>!'» et pour la formule diénolique 31.98). De nombreuses expé-
■rir*^ conduisent l'auteur à conclure que ce composé se prèle
1*1 a i& production de corps synthétiques. a. valeur.
Coadeasaiion de racétonylacétone avec Thydrate d'hydra-
iM: Thoiaas GRAT {Chew, Soc, t. 79, p. 682-686 ; 6.1901). _
* ffcisam réagir ces deux composés en proportions moléculaires,
««•nir a obtenu un corps basique G**H«OAz* crist. en rhom-
"'ires.Éb.l57-158« sous 18 mm., sol. dans l'eau, Talcool, Téther
**«• benzène, noircissant à Tair, réduisant le nitrate d'argent et ia
^ur de Febling. Ce comp. réagit sur HCl en sol. éthérée en
740 ANALYSE DES TRAVAUX ÊTRANGEHS.
donnant un chlorhydrate C**H'^Az*2HCl qui fournit un chk
platinale C**H*^Az*H«PtCl*, précipité jaune se décomposanî i
à 110-120».
En faisant réagir au contraire un excès d'hydrate d'h\dr«
sur Tacétonylacétone, on obtient un produit C^*I !*♦ Az* qui <i
dans l'alcool méthylique en prismes, F. 130-182*, sol. dans Vnk
peu sol. dans l'eau, le benzène ou Téther. Réducteur puissant,
acides, même faibles, le décomposent avec formation de >eU d
drazine. L'auteur suggère pour ces deux comp. des formult'^ )
bables de constitution. a. yalgik.
Sur les èthers oxaldialkylacétylacétiqiies; M. COHBAD
ch. G.y^ t. 33, p. 343; 10.12.1900).— Véther dlœétbyh'fu
r acide oxaldiméthylacètylacétique
CH3-OOC-GO-CH3-CO-C(CH3)2.COOCH5,
prend naissance quand on chauffe doucement en solut. éib*
5 gr. d'oxalate de mélhyle, 72 gr. d'élher méthylique de !'*
diméthylacétique et 11 gr. de sodium. Au bout de 2 heures
solution colorée en jaune est versée dans une solution aquetiî^
60 gr. d'acétate de cuivre. L'éther évaporé laisse un résidu ^
sel de cuivre 120 ce. qu'on fait recristalliser dans le benzène
sel mis en suspension dans l'éther est décomposé par HCI. Liqt
jaunâU'e à réaction acide; D<^:î= 1,193; F. 270-278* avec M
gementdeCO; le FeCP colore sa solution alcoolique en rû
intense. Sel de calcium (C<«H<30«)«Ca, F. 125» sel de co
(CiOHi»0«)«Co en prismes jaunes orangés, F. 98-iOO» sol. d
l'éther, le benzène, le chloroforme, Talcool. l'eau chaude. ï^l
nickel en aiguilles vertes solubles dans Téther, le benzène, 1^
chaude, l'alcool méthylique. Sel de cuivre (C*oH*»0«Wu, F. I
114®. Avec l'AzH*, Téther oxaldiméthylacétique donne un prcH
d'addition C«<>H«"îO»Az. F. 1I0^
Avec Taniline prend naissance, au contraire avec sop^r.»!
d'eau, réther diméthyHque de l'acide aniloloxaldiméthylatv
acétique CH3-C00-C(AzH-C«H»)=CH-C0.C(CH»)C0(XIH> m^
lise en prismes jaune de soufre, F. 81* sol. dans le benzène b*
lant, le chloroforme.
Oxime de l'éther oxaldiméthylacètylacétique C*®H«'H)*Ar. K
soluble dans l'éther, l'éther acétique, ralcool.
Dans la saponification de l'éther on peut éviter le départ de '
ou de CO en opérant de la façon suivante :
Dans une solution fortement refroidie de 4 gr. de soude hydr»'
CHIMIE ORGANIQUE.
A ii ce. (l'eau et 50 ce. d'alcool on fait toin
gr. d'éUier oxaldiméthylacétylacétique ; a
Wi au repos à basse température, laisse
lum qu'on lave ii l'alcool, l'élher et déco
\jiilissant.
Uili- oxa Idiiii et hylacétyJa c étiqu e
H0OG-CO-GH*-CO-G(CHî)ï-CO(
S'ititient par précipitation au moyen de l'ét!
Hli>ii chloroformiqua, fond à ISO" avec peri
m-'ine loritju'on le chauffe à 70-80" avec de
.«Lide (CHi')«=CH-CO-CH*-CO-COOH qu
u.'" cât un sirop soluble dans l'alcool et dans
:a<' solution de cet éther dans CCI* du bro
tdeHBr l'éther diméthylique de l'acide
iliykeéiyhcétique; huile jaunàlrc piquant I
fcl de cuivre VL-rt {C"'H"BrO»)»Cu. Chauffé
o-urée en solution dans l'alcool mélhylique
Vurt', F. 138° auquel l'auteur attribue l'une
TunstiiuliDn suivantes :
CH^'C-CO-CH— C-C(CHï)î-COï
I II
CHîQïC-C — CH-C0-C<CH3)ï-C0
Il I
fU>er bromooxaldimétylacélylacétique.chauffi
■''^l métbylique et une solution d'acétate
tripiiaiion par l'eau une huile. Celle-ci distîll
î'-de l'oialatedeméthyle. entre Sag-SJS" de 1'
«le dimélhylacélique. Celte réaction f^'accon
ihi suivante :
*W-Û0i-CO-CH(O-COCH3>-CO-C(CH3)'-CO'-
=CHK)»C-COïCHi-hCHî-CO-0-CH»-CO-l.
l'élher diméLbylique de l'acide oxaldiméthylac
(?H*-OiC-CO-CHi-C0-C(CH3)î-C0
* clé obtenu comme l'éther mélhylique c'est
742 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
FeCP donne avec sa solut. alcoolique une coloration rouge ; pli
distillation il y a perte de CO. L*éther diélhylique de raculeJ
diéthylacétoinedicarbonique C«H5-C0«-CH«-C0-C(G«H5)«-C0*-d
passe à la distillation vers 280** et se colore aussi en rougi;
FeCl*. A. MOUNEYRAT.
Sur les èthers des amino-acides ; E. FISCHER (V, cL
t. 34, p. 438-454; 12.2.1901). — L'auteur prépare les élliers
amino-acides par le procédé Curtius (alcool et gaz HCl-; i
isoler le produit, il substitue la poudre concentrée froide et le
bonate de potasse à Toxyde d'argent, et il épuise la solution
l'éther. Le mémoire renferme la description d'un certain oo^
de ces amino-éthers.
GlycocoUate (Fétbyle AzH«.CH«.CO«C«H». — Le chlorhjii
(50 gr.) est humecté d'eau (25 ce.) puis recouvert d'élher (1(K)
additionné de 40 ce. NaOH à 33 0/0 en refroidissant ënerp<)
ment et le tout, saturé de K*CO*, est épuisé 2 ou 3 fois. La
éthérée est séchée sur K'CO''* et CaO, puis distillée, et le r^
fractionné dans le vide. Rendement 70 0/0 à partir du chlorhydr
Eb. 48-44® sous M mm. Le picrate crist. dans l'eau chaude
prismes quadratiques f. à 157*» (corr.). — L'amino-éther >'
directement à Vétber acétylacétique pour donner la combinai
^^^'^<^^^^^^Q^çy,^^) aiguillés f. à 53% sol. dans
liquides organiques et Teau chaude, et dans les alcalis diluée
saponifient le produit. — La combinaison avec Vact'tylaai
CH3.C<^j^^^j^^^Q,g,j^5, crist. dans la ligroïne en pns»
incolores, f. à 68*», solubles dans l'eau et les liquides organiqt
distillant avec décomposition partielle sous la pression non»
Les ac. et les alcalis détruisent cette combinaison. — Avec \\
tylacétone, on obtient un produit liquide qui colore en roug«
fragment de sapin imbibé de HCl et qui fournit par saponifira]
de l'ac. d'J'dimétbylpyrrolacétique
CH«-GH2 CH— CH
Il = M II +iHK»
CH3-C0 G0-CH3 CH3-C C-CH^
\/
AzH2.CH2-C02C3Hs A«.CH«-G0K:2H*
L'ac. crist. dans la ligroïne en longues aiguilles inoolor*'*
à 130-131°, sol. dans l'eau chaude et les liquides organique»; »'
résmifie facilement à l'air et réduit le nitrate d'Ag ammoniactl
CHIMIE ORGANIQUE. 743
isosuliocyanate de phényle s'unit à froid au glycocollale d'éthyle
présence d*éther en donnant le tbio-uréibane
C6H5-AzH-CS-AzH-CH2-G03C2H5,
blés rhombiques f. à 85®, sol. dans Teau chaude et Talcool. Les
cools dissolvent ce corps en le transformant en un composé crist.
I paillettes jaunes, sol. dans Tac. acétique et qui se forme aussi
ir condensation directe de Tisosulfocyanate et du glycocoUate
Bs dissolvant. — Le glycocoUate se combine à COCl* en sol.
luéûique pour donner l'wre'e C0<^^|; pu, pS^^ prismes
lûogés f- à 146* (corr.), sol. dans Teau et l'alcool bouillant, sapo-
iBables par les alcalis. L'ac. correspondant est en petites paillettes.
-Avec es*, on obtient le composé
C2H5-.CO'-CH2- AzH-CS-SH , AzH2-CH2-G02G2n5 .
fismes aciculaires f. à 79**, sol. dans les solvants organiques; ce
•rps donne avec les sels de Hg et Ag des pptés bleus qui se ré-
visent à chaud avec fonnation de sénévol. L'iode en sol. alcoo-
^up transforme le sulfocarbamate en une sorte de disultuve
Wl5.C0«.AzH.CS.S-]«; aiguilles f. à 84% peu sol. dans la li-
pwoe, décomposables par Teau bouillante.
^'Amiiiopropiotwle déthyle (Ether de ValaDÎne), Préparation
tamne le précédent. Eb. 48* sous 1 1 mm. D^g jj = 0,9846. — L'éther
iquide se transforme très lentement à froid, rapidement à 180* en
^f^ clos en lactimide, prismes f. à 280** (corr.); l'eau bouillante
It saponifie rapidement. Le picrate crist. en aiguilles jaunes f.
• l"l*, sol. dans Teau chaude.
^'Awiaobutyrate d'éthyle. — L'ac. a été dissous dans 5 p. d'al-
^ et la sol. saturée de gaz HGl. Le chlorhydrate ppté a été dé-
composé comme précédemment. L*éther bout à 61°,5 sous H mm.
nu=0,96oo; il est sol. dans Teau et les liquides organiques. Le
ii'V'*/pfondài27*; prismes sol. dans l'eau. — En chaufîant l'éiher
*»'0»eD vase clos, on le transforme en diéthylS.O'diaci-^.ô'pipé'
GO-GH-GH2-GH3
AzH< >AzH
GH3-GH2-GH-GO
J*^ttes brillantes f. à26r>o, sol. dans HCl concentré, peu sol. dans
^^^ bouillante et l'alcool.
Hminohutyrate détbyle. Même préparation. Eb. 59-60° sous
744 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGERS.
•^'Aminohutyrale (fétbyle, — Le chlorhydrate crist. en fine^a
quilles. Décomposé par KOH, il se transforme eo pyrroliih^
I ' \AzH (Eb. 138o sous 12 mm.).
Ether de la leucJne. Même préparation. Eb. 83*, 5 sous 14
88» sous 18 mm. et 196° sous 761 mm. 0,7 = 0,929. — L'élher
sol. dans Teau (i 123), les ac. minéraux et les liquides or^niqii
Le picrate crist. en aiguilles jaunes f. à 136° (corr.), peu sol.
Teau bouillante. Le tartrate droit neutre fond à 145** (corr.»; \>
lettes brillantes sol. dans Teau et Talcool bouillant. L'élht*r
facilement saponifié par Peau. — L'isomère 1 a fourni pour «.a),
chiffre + ^^'^t^ (^^ ^^ leucine régénérée de cet élher -f- 17*,86 i
lieu de -|- 17^,5). Le picrate actif crist. dans Teau en aiguille?
à 129",5 (corr.). — Ce procédé a permis à l'auteur d*isoler m
facilement la leucine des rognures de corne; 1 kilogr. de rognui^
a fourni ainsi 35 gr. d'éther à peu près pur, renfermant probable
ment une trace d*ac. aminovalérianique et de glycocoUe. La cast^itj
a fourni entre autres ac. la phénylalanine et Tac. a-pj-rrolidiD^
carbonique et la flbroïne (de la soie), la phénylalanine et un 8^
nouveau dont Téther éthyhque bout vers 130-140® sous 10 tnd
L*éther de la leucine (actif ou inaclif), chauffé à 180-190* en vas
clos, a fourni de la leucinimide (diisobutyldiacipipéraxine): cru
taux f. à 271° (corr.), sol. dans Falcool. La même traosformatia
s'effectue lentement à froid ou encore à chaud en présence d*élhy
late de Na. — Le dérivé benzène-suUoné de la leucine active criil
dans Teau bouillante en aiguilles f. à 119-120** (con\), sol. dan»l
benzène. (a)^== — 39°,0 en sol. alcaline. — Uacélylleuciae intr-
tive, prép. en saponifiant le dérivé acétylé de Téther, crist. dao
Teau en aiguilles f. à 161** (con\), peu sol. dans Téther. Les î^'li
alcalins sont sol. dans Teau.
H'Aminocaproate d'étbyîe inactii, Eb. 90-91** sous H no'"
D,7 = 0,9335. — Le picrate crist. en prismes f. à 124*, sol. danj
l'eau chaude. — La dibutyldiacipipérazine fond à 268* (corr.';
paillettes incolores, peu sol. dans l'alcool.
Ktlwr de la pbénylaianine inactive, Eb. 143** sous 10 m'"
D|gr=: 1,065. — Liquide d'odeur faible, peu sol. dans l'eHU. ^^
picrate crist. en prismes f. à lo6**,5. — La dibemyldiacipipérBiW^
fond à 300'^ (corr).
Ether de la tyrosine L — Prismes incolores f. à 1O8-109*, K'^
sol. dans l'éther et l'eau froide, sol. dans les alcalis, insol ^^^
les carbonates. (a)jj = 20'*,4 en sol. alcoolique. — La pipinv^
corresp. constitue une masse jaune peu sol.
CHIMIE ORGA
tlber de la saicosioe. Eb. 43' s
tpienle crist. en aiguilles f. à 141
Mpartale tfèlhyle actif. Eb. iâô",
n =1,0811. — Liquide incolore, i
fuiiques. L'eau bouillante le déco
j-ie; la baryte le sapoaiile facitei
uii aiguilles.
Gklamaledéthyle actif. Eb. 139-]
. ^ +"°.34. — Cet élher est trèt
Synthèse de l'acide o-i-diamin
*-C.,l. 3*. p. 451-461ii2.2.i901
^ préparé en parlant de l'éther
ilirie!. Ce dernier, traité par Br i
fourni Vèlber phiallmidopropytbr
C«H*/ \a>-CH»-CH*-
^1 rrist. dans la lîgroTne en tables
'ikool cl l'éther, décomposables
■acenlrée aqueuse ou alcoolique i
It la pbtalimide et un produit I
I lOO* en vase clos, a fourni de
H'-CH»
>.\zH , masse cristalline f.
':H»-CH-CO«H
f ' ii cuivre G<oH*«0*.\z«Cu + 2H'
■dl dans l'eau froide. L'ac. donn
l^hoiungstique; il s'unit à l'i
CI
•Icaline pour donner Vurêthane |
CI
*« r. vers no» en se transformai
■«0, sol. dans l'alcool et l'acétone
CH\
>Az
••Àùn\ aussi ea traitant l'urélhani
746 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Talcool en prismes incolores f. à 118**, sol. clans l'alcooK i>
chaude, les alcalis (avec hydratation), peu sol. dans Téther.
L'acide pbtalimidobromopropylmaloniqiie s'obtient en chêt
réther avec HBr (c/= 1,78), en vase clos à 50*». Il cnst. dans l
en paillettes renfermant 2H*0, sol. dans Talcool et Tacétooe,
sol. dans le benzène, Tétber et la ligroïne. Chauffé à 140-14i*i
perd 2H*0 et CO* en donnant Vac, pht^limidO'VL'bromovalérÀ
C«H*<gg>Az.GH«.CH«.ÇH».GHBr.CO«H, cristaux f. àliT-lj
(corr.), sol. dans Talcool, Téther et l'eau chaude, peu sol. daa«
ligroïne.
L'ammoniaque concentrée réagit sur cet acide à 50-55* en vï
clos en donnant de Tac. phlalimido-a-aminovalérique, qui chatj
à 100** avec HGl (rf=l,19), se dédouble en ac. tx-o-diaminov^
rique et ac. phtalique. Le premier n'a pas été compîètemeat étudj
il est fortement alcalin, précipite en blanc par HgCl* et en jaa
(aiguilles sol. à chaud) par Tac. phosphotungstique. Il est ideotiq^
au pouvoir rotatoire près, à Tornithine. Le dérivé dibenzoylt^^n
en aiguilles f. à 187-188** (corr.), et possède les mêmes propricl
que Tac. ornithurique. Le sei de Ca est un ppté crist. qui se *!
pose à chaud. Le dérive monobenzoylé obtenu en traitant le f*
cèdent par HCl concentré, crist. en paillettes rhombiques f. \\
238** avec décomposition. p. prbundlcr.
Sur rozime de la diacétonamine ; H. KOHN {D. cb, G., (.1
p. 792-794; 20.4.1901). — Voxime de la diacétonamine (préper^
à froid en sol. aqueuse) bout à 120-122** sous 12 mm. et à 18^1^
sous 17 mm.; elle crist. dans la ligroïne en aiguilles f. à 58*, a^oj
sol. dans Teau. Cette oxime réduit faiblement à chaud la liquti
de Fehling et le nitrate d'argent; elle donne une liqueur bleu foo^
avec CuSO*, un précipité gélatineux sol. dans un excès de n'ati
avec HgCl*. Le picrate crist. en tables jaune citron très pe" '^
dans Teau froide. Voxalate est une poudre cristalline blanfll
insoluble dans l'éther. Le dérivé benzoylé crist. dans Talc, ho^
lant en fines aiguilles f. à 121-123** ; il répond à la formule :
<AzH-C0-C«H5
GH2-C(=: Az-0-.G(X>H5)-GH5
L'auteur se réserve l'étude des produits de réduction de r*tw
oxime. p. rasimBLEB.
CHIMIE ORGANIQUE
IcUoD d«t alcoyl«s halogénéa sur las aldozim
ûmet (S* partie). OximeB alcoylées et îBO->oxi
ion des oximes gruBes; WyDdham R. DDNST
DLDIHG [Citeni. Soc, l. 79, p. 628-641 ; 6.1901).
igir les iodures alcooliquee sur les aldoximes et
présence du méthylate de sodium, les auteurs oi
i <les dérivés normaux
R'-C-R"
R'-GH=AbOH ou il
Az-OR
deâ composés alcoylés à l'azote qu'ils considèrent i
Dt aux formules
>C_A
AteaTli*o)Moilin». Aleoj'lieaeéloiimc
Cette formalion simultanée démontre que les oxin
nuformesisomériquesou taulomériques. La forme
ni.'^ffiblablemenl la configuration normale des o;
bi\é5 kso sont obtenus par l'action directe des iodui
«ries oximes en l'absence d'alcali.
Les alcoyliso-oximes fournissent, par hydrolyse,
I cétOQP correspondante el une hydroxylamine p-si
Wuction, ils donnent l'aldéhyde ou l'acétone et 1'
■ODiliuil au {groupement alcoyle ; cependant, en rédu
)rtcaulions spéciales, on peut obtenir les aminés se<
''^pondanles. Ces compo^s alcoylés à l'azote sont
H sont généralement isolés à l'état de combinaison
** ^odiam qui cet hydrolysée dès qu'on essaie de séj
"%■ du sel minéral. Les éthers à l'oxygène donnent i
Mlement par hydrolyse à une a-hydroxylamine.
Us auteurs ont ainsi étudié l'action des iodure
^Wiyle el de propyle sur l'acéloxime, l'acétaldoxim
Kiiaxime.
l'action de CHM en présence de CH'ONa sur l'acétoxime fournit
«ilrtVé/Aer mélhylique de Facétoxime (CH3)»G=A2-OCHa, Éb.
^^,5, le méthfi'isoacétoxime'iodure de sodium
(CHS)aC — Az-CH3,NaI
0
t^ji. dus l'eau et les alcools mélhylique et éthylique, insol. dans
ANALYSE DES THAVAUX ETRANGERS.
6''(décoijrip.); traité par une sol. d'I dans Hl, il lonra
t(CH3)ïC— Az-CHs.Hn»
\/ I 1 déjà obtenu par m<a
1*1 sur l'acétoxime.
B C*H'I dans les mêmes conditions Tournit Vétk
/acelo-rime (CHa)»C=AzOC*Hs, Eb. à ei'.ô-Stt.Jj
le [{CH>)»C = AzOG»H»l'H»PtCl* crisl. en pri^iU
dans l'eau et l'alcool, insol. dans l'éther cl Vélbji-iA
(CHS)»C— AzC'Hs.Nal
idure de sodium \y ijui doni
1 par Zn + HGl de l'éthylamine.
o propyle fournit de même la prop/Iacétoxime. El
forme également l'iso-oxime correspondante. L'iol
'aitée par CHM en présence de GH*ONa fournil
foxiaie CH»-CH =: AzOCH*, Éb. 47°,5, sol. dans ïm
her elie Btétiiyl-iso-ecélaldoxinie iodure de stflim
j Nal, comp. déliquescent, très instable. U
fie et de propyle, dans les mêmes conditions, fourni!
vemeni Yétbylacétaldoxime , iiq. d'odeur agréiilili
sol. dans l'alcool et l'éther et la propylacétaldoiim
presque insol. dans l'eau, sol. dans l'alcool et l'élliei
sons des isoximes correspondantes sont trop |>«i
souvoir élre isolées.
C*H!S-C-CH>
cétophénonoxime II „_„ est une Iiq. A'oàn
214-216" (faible décomp.), ^ol. dans l'alcool et l'élhet
îau ; le méUiyl-isQscétophéaonoxime iodure de so
— Az-CH>,NaI est crist. en aig.
s/
O
C«H'-C-GH>
sbenoBoxiaie n , Eb. 2*0-225*: l'e/i''-
AzOG»H»
onoxime iodure de sodium est facilement hydrolji^'
>ne et p-éthylhydroxy lamine.
mt les combinaisons iodurées des iso-oxime» pu
s Na en présence d'alcool anhydre et en maiotenu»
^. acide par l'acide acétique, les auteurs ont obt^ou
tcond aires.
CHIMIE ORGANIQUE,
j Bi(!thyl-iso-acétoxime fournit dans ces con
propylamine :
fCHI)ïC — Aï-CHï
\ / + 2 RIO =^ HïO + (CHï)ï-C
ji ebloroplalinate de métliyl-iso-propjhmwe
(C*HiA«HGH')'HapiCI«,
si. dans l'eau en aig. prismatiques, F. 184-
st. en cubes, F. 96-97*; picrate crist. dans
r. jaunes, F. i33-13i°.
Existanec supposée de dans triéthyloxamii
ruUum R. DUNSTAN et Ernest GOULDIHG (
6il-6{4 ; 6.1901). — Les auteurs ont obtenu
Abyloxamine (C»H''i=».\7.0 par les deux voies
! i'iodure d'éthylc sur unj sol. éthérée d'hydr
ilioQ de la triéthylamine par l'eau oxygénée. L
Rvad avait attribué la même constitution et qu'
idioa du zinc éthyle sur le nitroéthane a et
Dteur comme la ^•éthylisobulylhydrosylamini;
Snr l'hydro-nracile ; J. TAFEL (D. ch. G
H-1.1901), — L'hydro-uracile décrit par l'ai
t- SSK|, est identique a la p-iactylurée de MM. \
Hoo.lur. CAem., t. 17, p. 175).
Produits de rédaction de l'acide urique ; J.
i-M,p.858-278; 80.1.1901). — La réduction
Tk. Dnque fournil principalement le composé C
'luleur assigne le nom de ptirone et ta constitui
AaH-CH'
CO CH-AzHv
I I >t:o
AzH-CH-AiH/
''*5t en effet le groupement GO en position 6
■"'Jilré !e plus facilement réductible. Toutefois
750 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
priétés basiques ne s*explique pas très bien si Ton admet la fomii
ci-dessus. Cette purone s'isomérise très facilement en se tranfiM
mant en une isopiirone qui est à la lois basique et acide et dooiU
constitution n'est pas établie. L'isopurone se forme également dM
la réduction de Tac. urique ainsi qu'un acide C*H»0*Az*, qui ^
peut-être Vac, désoxypseudo-urique :
/AzH-CH\
G0< >GH- AzH- GO- AzH2 .
\AzH— GO/
L'ac. unique crist. se dissout facilement dans 10 vol- d'ac. suIîu
rique à 80 0/0 à 120** ; à froid 1 part. d*ac. est soluble dans 15,
part. d'ac. à 72.5 0/0, dans 26 part. d'ac. à 70.5 0/0, daa
62.5 part. d'ac. à 68 0/0, dans 156 part. d*ac. à 66.5 00, dmi
286 part. d'ac. à 62.5 0/0 et dans 820 part. d'ac. à 59.5 0/0.
La réduction électrolytique doit être effectuée à basse texnjMTa
turc «15°), pour éviter la destruction des produits de réducUM
par l'ac. sulfurique concentré (75 0/0), et aussi rapidemeot </oj
possible (voir le détail de l'opération dans le mémoire originaM
Le produit est ensuite versé sur de la glace, saturé par BaCr^^
puis par Ba(OH)*, pour précipiter exactement tout Tac. sulfuriquej
et la liqueur filtrée est évaporée à sec au B.-M. On obtient ainsi uij
mélange de purone et d'isopurone qu'on sépare par des cristallin
sations dans l'eau bouillante.
La purone se forme presque exclusivement quand on opère ver^
5-8** avec une concentration de courant de 120 ampères. Elle cri*t|
en aiguilles très peu solubles dans l'eau et les alcalis, qui brunis^o^
et se décomposent >>250**. Chauffée avec un alcali elle se tmn*-
forme en isopurone ; la purone ne se combine pas aux acides puuf
former des sels ; elle ne donne pas de coloration avec FeCI*. ^'
décolore pas KMnO*, ni l'eau de brome à froid et ne réduit Cut'*'*
qu'à chaud. H^SO* à 50 0/0 l'isomérise d'abord, puis la décomposa
en donnant une coloration rouge cerise. L'anhydride acétique
bouillant fournit un mélange de produits sirupeux et de dérivé? */*"
risopurone. L'eau de baryte bouillante décompose la purone «vi9f
élimination d'ammoniaque et de 00* (2 mol.). L'oxydation delà
purone par AzO^H ou par KCIO^ et HCl n'a conduit à aucun p"»*
duit défini.
U isopurone se forme surtout vers 12-1 5** dans la réduction J"
l'ac. urique. On l'obtient plus facilement en chaufîanl auB-J^
1 part, de purone avec 5 part, de NaOH à 10 0/0 ijendant IObuû.
CHIMIE ORGANIQUE. 751
neutralise ensuite parHCletoQ fait crist. dans l'eau bouillante.
lOpurone se décompose vers 240°; elle se présente en grains ou
miles, celles-ci plus solubles dans Teau bouillante (1 : 6,5) que
premiers (1 : 11) ; elle est sensiblement insoluble dans les sol-
lis organiques, mais elle se dissout facilement dans les alcalis
s et la baryte (mais non dans AzH^ et les carbonates alcalins),
supurone réduil immédiatement KMnO* et Teau de brome, les
i il'argent et de cuivre (ppté brun) ; H*SO* à 50 0/0 la colore en
\p* cerise et le chlorure ferrique en brun-violet. Elle forme un
ntte criât, en aiguilles peu stables, peu solubles dans Talcool
l'eau. Le picrate crist. en aiguilles jaunes peu sol. dans l'eau
iinle. Le sulfate et le chlorhydrate sont décomposés par Teau.
L'anhydride acétique bouillant décompose partiellement Tisopu-
h" en donnant en même temps un dér, triacétylé (aiguilles
mches, f. à 197**, peu solubles dans Teau chaude) ainsi qu'un
oiiiil répondant à la formule C*®H**0''Az*, f. à 159* (prismes peu
1. dans l'eau chaude, Talcool, les acides et les alcaUs). Ce corps
entrait naissance suivant l'équation :
CniBO^Az* + 8C*H«03 = Ci«H«0''Az* + GO^ + 2H20.
fl est décomposé complètement par HCl dilué à 120" en vase
L'«c. désoxypseudO'Urique ou ae. tétrahydro-urique se forme
tf^îu on réduit Tac. urique par un courant peu intense et en pré-
mrc de SOH* assez concentré (800/0). Il crist. dans l'eau bouil-
fcle en petites lamelles f. à 212-218* (avec décomp.), sol. dans
.âpart. d'eau chaude. Cet ac. rougit faiblement le tournesol, il
"^*i«^colo^e pas KMnO*, n'est pas altéré ni dissous par les acides
nnmux dilués et ne fournit pas la réaction de la murexide. Il
^^*ûDe avec AzO^Ag ammoniacal un ppté blanc sol. dans un excès
I^AzH*. L'eau de baryte bouillante le décompose avec formation
*^C(>, AzH^ et de produits amorphes. AzO^H ne donne que de
l«ode oxalique. AzO*H (en sol. sulfurique) fournit une base
W()«A2*, dont le nitrate est en crist. blancs, sol. dans l'eau
Plante (1 : l,7j, très peu sol. dans l'alcool; le sulfate est en
*«Ues solubles dans l'eau, ainsi que VoxaIate^\e picrate crist. en
l'Hues jaunes, le chloroplatinate ( crist. jaunes) renferme 2H*0
^' ^ dissout dans 3 part, d'eau chaude. L'action prolongée de
AzO*H sur le nitrate de la base fournit un mélange de 2 produits
"^' qui fondent l'un vers 170-180*, l'autre vers 238*, mais qui
uoïjt pas éiê étudiés. p. freundler.
752 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Produits de rédaction des acides méthyloriques ; J. T
(/>. cb. G., t. 34, p. 279-291 ; 80.1.1901). — Les ac. raom>,
tri- et iétraméthyluriques ont été réduits éiectrolytiquemeot en
sulfurique et ont fourni les purones et isopurones méthylées co
pondantes (mais pas d'ac. tétrahydro-uriques) ; toutefois, ks
méthyl-7- et diméthyl-3.7-uriques se sont montrés réfractairef.l
tétraméthylpurone seule n'a pu être isomérisée.
Uac. h'méthyl'{^yurique a été réduit en sol.dansSCKH*à7û
La méthyl'3'purone se décompose un peu au-dessus de
aiguilles peu sol. dans Teau, les acides et les alcalis (i pari,
dissout dans 116 part, d'eau froide). La mélbyl-S-purone ^
nant de Tac. X>'inétbyl-{S)'Urique présente les mêmes propriéi
sauf la solubilité dans l'eau froide qui est un peu moindre (i : /
de sorte que l'isomérie des 2 corps n'est pas démontrée. —
métbylS'isopurone est plus soluble et crist. en aiguilles dexa^
répondant à la formule C«H*^0*Az*.2H*0 ; elle est colorét* *
brun-violet par FeCl'.
La dimétbyl'i.S'purone est en grains cristallins, f. vers il
avec décomposition, sol. dans l'alcool méthylique. Mêmes f»«
priétés que les homologues inférieurs. Uisomère^,9 est en crt
sol. dans l'alcool, l'eau, Tacétone et Téther acétique. La soade
10 0/0 l'isomérise facilement.
Uisomère-l-Q est eu prismes brillants.
La trimétbylA.SJ'purone obtenue au moyen de Thydrox)
caféine, fond à 209'' et crist. en aiguilles sol. dans moins de i p^
d'eau chaude, dans 9.5 part, de chloroforme bouillant, sol. dtf
l'alcool, Tac. acétique, presque insol. dans l'clher, CS* et le /<
zène. Celle purone ne forme pas de sels et s'isomérise facilemeri
elle ne réduit pas immédiatement KMnO*, ni l'eau de bnirae;
précipite en brun par Tac. iodhydrique ioduré, en jaune par
réactif de Nessler. L'eau de baryte bouillante la dédouble «v
élimination de CO*.
La triméthylpurone forme un picrate (crist. jaunes, f. à l:?tM
sol. dans Teau chaude avec décomposition, dans l'alcool, le chloro
forme, etc.).
Chauffée avec de l'anhydride acétique, elle fournit un d^rir*
mono-acétylé (lamelles blanches, f. à 184*, sol. dans Vemetàên\
réther acétique). La soude à 10 0/0 isomérise la purone à cli8«*1
en donnant de la trimétbylisopuvone qu*on purifie par un Is^^lP^
au chloroforme froid. L'isopurone crist. dans le chloroforme bouii^
lant en paillettes f. à 211-212% elle décolore KxMnO* et dofl»^*""'
coloration violette avec FeCl'.
CHIMIE ORGANIQUE,
a tétramétbylparone tooà k 170* et distille eo se
liellement. Cristaux sol. dans l'acétone, ineoi. dai
■ate cristallise difficilement. L'eau de baryte 1
•ve SCO*, en mettant en liberté probablement un
lamine. Cette purone n'a pu être isomérisée. p.
TDthéM de l'acide oriqaa, de la zaQtbina, da
la, da la théophyllina at da la caféina i l'ait
laacMiqae; Wilhalm TRAUBE (D. ch. 6., t. :
11.1900f. — Partie THÉoRrQUE. — Ainsi que l'a m
at l'auteur, la cyanacétylgusnidine
A«Hi-Cf
AzH
A«H-aO-CHï-CAz'
leoue à l'aide de la ^anidine et de l'éther
is-CH'-CO^CH'', se transforme sous l'influence d
isomère, la S.4-<liamiao^oxypyrimidine
A«=C-OH
AiHï-C
:-A«Hi
Le dérivé ïsoniirosé de ce composé
=C-OH
I
C=AiOH.
Uuitpar le sulfure d'ammonium, se transforme en 2.'
-omrimidine
Az^=C-OH
C-AïH'.
A«Hï
-L
^K ébulUtîoa avec l'acide formique, cette base
tnnsfonne en un dérivé formique
Aï=C-OH
AiH'-C G-AzH-CHO,
Il II
Ax C-AiH^
Mccmi., VaiR., t. zzvi, 1901, — Trar, ètrang.
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
line
A8^=C-0H
I I
AïHï-C G-AzH
II l >CH
Az C-A2
ne manière, le cyanacétylurée
AaH»-C0-AzH-G0-CH»-CA8, '
I
DC6 des alcalis, se transforme en 4-amino-â.6^ioij
Aï=^C-OH
HO-C CH
L— IIa.„.
nitrosé du corps
Aa^=G-OH
HO-C G=AbOH. '
A« C=AbH
èduction la '4.5-diamino-2.6-dioxypyrimidiDe
Ae=C-OH
HO-C C-A»Hï,
>l Jt
Az G-AiH=
^bullition avec l'acide formique fournit le dériva !■
lerle d'une molécule d'eau. Ce composé, dont le grcn
a position (5), ne se laisse pas transformer en xaalk
HAz CO
OC C-A«H
I II >CH
HAz C-Az
lurait pu, a priori, s'y atlendre.
it, cette transformation s'efTectue très bien si on chwi
[ de sodium du dérivé formique. L'auteur fait œoi
itle synihèse est beaucoup moins pratique que celk '
scher.
1 de faire agir sur la 4.5.4iamiDO-2.6^iox}-pynimdii
CHIMIE ORGANIQUE. 755
cide formique, on emploie l'éther chlorocarbonique, on obtient
réthane
AaH 00
CO C-AiH-CO>-C2H5,
I II
AzH C-AiH2
Qt le sel de sodium chaufTé à 180-190° perd une molécule d'alcool
ur donner le sel de sodium de l'acide urique
AzH CO
I 1
CO C-AzH
I iJ >
AzH C-AzH
En remplaçant Turée par ses dérivés alcoylés on arrive, de la
âme façon, à la synthèse des alcoylxanthine et acide alcoylurique.
L'auteur ajoute goutte à goutte du POCl^ à un mélange d*acide
paoacétique, méthylurée et pyridiue (pour retenir l'acide chlorhy-
nque), il obtient ainsi le cyanacétylméthylurée
CH3-AzH-CO-AzH-CO-GH2-CAz,
ail transforme en opérant comme pour les dérivés non méthylés
D ï)-métbylxanthine et acide 3- (l ou C) méthylurique.
En partant de la diméthylurée symétrique on arrive de la même
»Çon à la 1.4-diméthylxanthine (théophylline) et à Tacide 1.3-di-
méthylurique. On arrive en outre à une synthèse commode de la
•< 7-irimélhylxanthine (caféine) par ébullition du dérivé formylé
bla l.^iinéthyl4.5-diamino-2.6-dioxypyrimidine avec de Tio-
ïûre de mélhyle et de Téthylate de sodium.
^4tte réaction dans laquelle on obtient de la caféine et non son
•omère, la i.S.^-triméthylxanthine est la preuve que le reste for-
fti'îoe (CHO) de la 1.3.diméthyl-4.5t-diamino-2.6.diopyrimidine
^ 'ies dérivés analogues, se trouve bien fixé sur le groupe aminé
^ position 5.
Pawu xxp^RiiiEirrALK. — Pour la préparation du cyanacétylurée
* hit tomber goutte à goutte, en remuant constamment et en
•^fr^idissant, 1 mol. de P0C1« dans un mélange de 6 mol. d'urée
^*ieimol. d'acide cyanacétique. Le dérivé uréique (5 0/0) purifié
I*^ cristallisation dans l'eau est transformé en son isomère à l'aide
* W ce. de soude à 40 0/0. La pyrimidine mise en liberté à
^^ de l'acide acétique est dissoute dans Teau chaude contenant
^ 'î'^Ulé de nitrite nécessaire ; en acidifiant de nouveau par
756 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
Tacide acétique on obtient sous forme d'aiguilles microscopiqi^
colorées en rose sombre, le sel sodé du dérivé isonitrosé. Ce dà
nier corps réduit par le sulfure d*ammonium fournit la 4.5-diaakiii
2.6-dioxypyrimidine qu'on isole à l'état de sulfate. Chauffée pk
sieurs heures avec la quantité équivalente de formiate de sodn
et 10 à 20 fois son poids d'acide formique à 20 0/0, cette diarao
fournit le 5-formyldérivé dont le sel de sodium s'obtient en prêt
pilant sa solution, dans une lessive de soude, par Talcoo) 1
solution aqueuse de ce dérivé donne avec le nitrate d'argeat i
précipité jaune devenant cristallin àl'ébuUition; son sel de sodia
d'abord séché à 100", puis chauffé à 220" jusqu'à ce qu'il ne per
plus de poids, se transforme en xanthine sodée d'où Ton p<
isoler la xanthine avec 60-70 0/0 de rendement par rapport au dm
formylé. Dans le but de s'assurer de sa constitution, l'auteur
transformé d'après le procédé de E. Fischer (Z>. cb. G., t. 3
p. 2563) en bromocaféine, F. 206».
De réther chlorocarbonique ajouté à une solution alcaline
4.5-diamino-2.6-dioxypyrimidine fournit, sous forme d'un précip
cristallin, l'uréthane dont le sel de sodium d'abord chauffé a H
puis à 180-190" se transforme en urate de sodium avec un rend
ment de 40 à 50 0/0 par rapport à l'uréthane.
Pour obtenir la cyanacétylmétbylurée on chauffe un mélange
10 gr. d'acide cyanacétique, de 10 gr. de méthylurée et 20 gr.
pyridine jusqu'à dissolution et en refroidissant on ajoute Itml
ment goutte à goutte 10 gr. de POCl'. Recristallisé dans l'eau
dissout dans une lessive de soude à 20 0/0 il se précipite bientôt s«
forme de sel de sodium, mais ce précipité ne tarde pas à se red*
soudre, et la solution s'échauffant tout à coup se transforme i
une bouillie de cristaux constitués par la S'méthyl-4-amino*i\
dioxypyrimidine. Ce dernier composé est facilement soluble d«
les alcalis, entre difRcilement en dissolution dans les acides.
Le dérivé isonitrosé C^H^O^Az* en cristaux rouge pourpre <
peu soluble dans l'eau froide, très soluble dans les alcalis av
coloration rouge jaune. Par réduction avec le sulfure d'anunomu
il fournit la S'métIiyl'4'5-diaminO'2,G'dioxypyrimidiae
AzH — CO
I I
CO r^AiH2,
I 1!
CH3-AZ G-AiHa
que l'on sépare du soufre en même temps précipité par dissolutio
dans l'acide chlorhydrique. Par recristallisation dans l'eau elle i
UHIMIE ORGANIQUE,
«eate sous Torme de petits prismes solubles
Bcidps, elle réduit la solution ammoniacale
K formation d'un miroir.
Of^riré formiqae OH'O^Az* s'obtient en cliai
base avec i fois son poids d'acide formique è
nsleau il se présente sous forme d'aiguilles bril
K l'eau chaude, presque insolubles dans l'alcc
orme, facilement soluble, dans les acides <
ination île sel. La mélhylxanlhine
AiH — CO
>-AiH
CHî-
L—l, =»™
tatique à celle de E. Fischer et F, Asch (
rJ80| que l'auteur obtient en portant à 220° U
Bposé précédent se transforme lorsqu'on la
K de l'iodure de méthyle et de la lessive (
bts scellés, en tbéobromiiie
AzH — CO
CO C-Ai-CHî.
I M >CH
CHî-Az C-Az
Si à une solution de 3-méthyl-4.IJ-diamino-2,
*os l'acide chlorhydrique étendu additionné
Mi^r chl orocarbonique, on ajoute par petit
mulot continuellement 2 molécules de lessive (
K sépare sous forme d'une masse cristalline
AiH — tO
CO c-Aïii-coi-cins,
■wi ^luble dans l'alcool, l'éther; facilement S'
•^^, les alcalis et les acides minéraux. Cbaufl
ifiO-ïiO- cet uréthane se transforme en acide 3
C-AzH
J! >
CH^Az C-AzH
I II >co
C-A!"
758 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
On sait que cet acide existe sous trois formes isomériques rautev
n'a pas identifié son produit avec ceux déjà connus.
ThéophylUne. — A un mélange de 5 gi\ de diméthylurée sjtœ^
trique, 5 gr. d'acide cyanacétique, 10 gr. de pyridine on ajoun
goutte à goutte et en remuant continuellement 5 gr. de POCP.
produit de la réaction d'aspect sirupeux étant additionné d*am
niaque jusqu'à ce que l'odeur de pyridine ait disparu on obt
sous forme d'une masse cristalline fortement colorée la l.S-dimé-
thyl-4-amino-2.6-dioxypyrimidine
CH3-AZ CO
CO GH
1 II
CH3-AZ C-AzH»
en aiguilles brillantes assez solubles dans l'eau chaude, plusfort^
ment basique que le dérivé monométhylé correspondant.
Le dérivé nitrosé C^H^O^Az* + H*0 est soluble dans l'ea
chaude, presque insoluble dans l'alcool, Téther; avec la lessiv^
de soude il donne un sel rouge.
La / . S'diméthyl'4 . ô-diamino-S . B'dioxYpyrimidine *
ft I
CH3-AZ CO
CO G-AzH^.
GH3-AZ C-AzH2
obtenue par réduction du corps précédent à l'aide du sulfure d'aïQj
monium se dépose de sa solution alcoolique sous forme de petiteJ
aiguilles fondant à 209*»; par ébullition avec l'acide formique elw
donne naissance au dérivé formique; petites aiguilles hrillantc^
facilement solubles dans l'eau chaude, fondant à 252* avec perW
d'une molécule d'eau pour donner la théophylline F. 264*
CH3-AZ CO
I
CO C-AzH
i
CH3.AZ C-Az
Il >CH
C-.
On peut également obtenir directement ce corps en chaufTanl U
1.8-diméthyl-4.5-diamino-2.6-dioxypyrimidine avec de racidf
formique, évaporant au bain-marie, fondant la masse et faisaDt
cristalliser plusieurs fois dans l'eau. Pour obtenir la c^féioe on
fait bouillir pendant plusieurs heures le dérivé formique vi^
CHIMIE ORGANIQUE. 759
i riodure de méthyle et de l'éthylate de sodium F. 328-229<'
CH2-A2 GO
I
io
C-AZ-CH3,
I II >GH
CH3-AZ C-Az
rafèioe.
iréthane de la i .S-diinéthyl-4 . 5-diamino-2 .ô-dioxypyrîmî-
«e OH**0*A2* F. 2O6-2070 donne Tacide 1.8-diméthyIurique
CH3-AZ GO
CH3-Az cLazH
I
CO C-AzH
I II >co
G-.
Cet acide cristallise avec une molécule d'eau et donne ainsi que
M montré E. Fischer et Asch {D. eh. C, t. 31, p. 2421) un sel
oimonîacal que ces deux chimistes ont déjà décrit.
Si à une solution de 1.8 diméthyl-4.5-diamino-2.6-dioxypyrimi-
me dans 1 molécule d'acide chlorhydi*ique on ajoute 1 molécule
e nitrite de sodium la masse se colore en brun et il se sépare
êximide
CH3-AZ GO
I I
CO G-AzH ,
, I II >Az
CH^-Az G-Az
iQîpë se séparant sous forme de prismes de sa solution aqueuse,
m soluble dans Talcool, et assez difficilement dans Teau.
A. MOUNEYRAT,
Recherches rar la système cyclique du benzène ; H. KAUFF-
■lini(Z>. eb. G., t. 34, p. 682-696; 25.3.1901). —L'auteur a
■ootré [ibid., t. 33, p. 1725) que les composés à noyau benzénique
fû possèdent une tendance à se transformer dans la modification
fâooidique, sont doués d'une propriété spéciale (X) ; leurs vapeurs
^f»Mfonnent les ondes de Tesla en ondes lumineuses violettes. Or
i« trouve que les mêmes composés présentent des anomalies au
f*»ût de vue du pouvoir rotatoire magnétique. Ainsi, la diméthyl-
•^oe possède un pouvoir magnétique moléculaire qui est très
^iSèrenl de la somme des pouvoirs magnétiques des éléments qui
UeottUtuent (atomes et liaisons). L'auteur désigne par la lettre A
>» difTéreoce entre le chiflre trouvé et le chiffre calculé diminué du
L
760 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pouvoirmagnétique du benzène. On trouve qu'un corps quise
dans rétat X fournit une valeur de A très élevée.
On trouvera dans le mémoire original une série de tabl<
renfermant les valeurs de A pour une série de carbures, d'am»
de phénols, etc. Il semble y avoir égalemenl des aDomalie>
dispersion correspondant à Tétat X. p. fheundler.
Préparation et propriétéB du 2.6-dibromo»4-iiitro8oph
Martin Onslow FORSTER et William ROBERTSOH (Cbem.
t. 79, p. 686-690 ; 6.1901). — Les auteurs ont fait réagir Vh
bromite de potassium ^ur le p.-nitrosophénol en sol. potassiqo^
ils ont ainsi obtenu le S.ô-dibromchd'mtrosopbéaol qui crisl. dâf
Talcool et l'acide acétique en aig. prismatiques à reflet violet
cissant vers 160* et détonant entre 168 et 175®. — Dérivé pots^
crist. en feuillets verts sol. dans Teau. — Dérivé acétylé^ F.
(décomp.). — Dérivé benzoylé, crist. dans Tacétate d'éthyle i
aig. jaunes, F. 197° (191* d'après Bridge).
L'oxydation du 2.6-dibromo-4-nitrosophénol en dérivé nitréc^
respondant ne se fait bien qu'au moyen de Tacide azotique diN
A. VALEUR.
Préparation de Po.-diméthoxybensoinê et nouTella métko^
de préparation de l'éther mèthyliqne de l'aldéhyde salîcyliqv^
James C. IRVINE {Cbem. Soc, t. 79, p. 668-678; 6.190^. i
L'éther méthylique de l'aldéhyde salicylique a été préparé de
manière suivante : on mélange l'aldéhyde salicylique (i
avec CH^I (8 mol.) et on ajoute peu a peu de Toxyde d'argent
on refroidit par Teau, et pour terminer la réaction on chauffe
B.-M. pendant 1 heure, on extrait ensuite a Téther. La sol. éibè
est débarrassée des traces d'aldéhyde salicylique par agitatiH
avec une sol. étendue de soude, puis l'éther est distillé. Rende
ment : 90 0/0 d*éther, F. 89-iO*. Cet aldéhyde-élher se condewj
sous l'influence de KCAz en donnant Vo.'dimétboxyieatoâ\
CH30.C«H*.CHOH-CO.C«H*OGH3, F. 10l%5 qui. oxydée p^
MnO^K en présence de SO^H*, fournit de l'acide o.-mëlhox]M
zoïque, F. 97.98^
Par Tactien de CHM et de Ag«0 sec sur la diméthoxybeiaoîDri
l'auteur a obtenu Vétber métbylique de la dimétboxjbemwà
C*''H*®0* crist. dans l'alcool, l'éther ou le sulfure de carbone <e
prismes, F. 59-60^. a. VAinm.
CHIMIE ORGANIQUE. 761
ticUorobromoaniliiies symétriques et chloro- et bromo-
înodteiTés des chlorobromoacdtanilides ; F. D. CHATTAWAT
L J. P, ORTON (Cbem. Soc, l. 79, p. 816-822 ; 7.1901). — Les
•ors ont préparé une série de dérivés de l'aniline. — 4-cA/oro-
dibromoaniline C*HK3lBr*AzH*, obtenue par addition de brome
quantité calculée à la p.-chloraniline en milieu acétique, crist.
s Palcool chaud, F. 97", Éb. SOI" sous 760 mm., sol. dans
ide acétique, le benzène, le chloroforme, Tacétone. — d-Cbloro-
Viibromoacétamlide C«H«ClBr«AzHC0CH3, crist. dans Tacide
lique ou Talcool en prismes ou aig., F. 226-227*. — Apétyl-
9ràmino^eblorO'2 . Ô-dibromobenzène C«H»ClBr«AzCl-COCH»,
A. dans le pétrole en larges plaques, F. 110-111*'. ChaufTé en
t scellé à 160* pendant peu de temps avec de Tacide acétique,
fe décompose en régénérant le 4-chloro-2.6-dibromacétanilide.
^^loro-4.6*dibromanilineaété préparée en bromant To.-chlor-
ine. — 3'Cbhro 4 . 6'dibromoacétanUide C«H«ClBr« AzH-COCH»,
■mes ou aig., F. 227*. — Acétylcbloramino-2'Cbloro-4,6'
iromobenzène C«H«aBr«AzClCOCH«, crist. en plaques, F. 99-
ft*. 11 se décompose quand on le chaufTe en tube scellé à 160* avec
Ticide acétique en régénérant la 2-chloro-4.6-dibromacétanilide.
\Î^Micblor(h4'bromoaniliDe C*H'Cl'BrAzH* a été préparée en
brant à froid la p.-bromaniline en sol. chloroformique, F. 92*
etlig et Buchner donnent 93**, 5). — S .d-dicbloro-d-bromoacéia^
i* (W«a«BrAzHCOCH», aig. ou prismes, F. 214*. — AcétyJ"
1ùrmanO'2.6^icbloro-4'bromoben2ène C«H*Cl«BrAzClCOCH»,
»!•. La 2,4^icbloro-6-bromanUine C«H«Cl«BrAzH« a été pré-
rte en bromant la 2.4-dichloraniHne, aig., F. 83*,5. Éb. vers
i^. — S.4^icblor(h6'broinoacétaDilide C«H«Cl«BrAzH-CO-CH»,
f., tl8*. — AeétylcblorawinO'2.4'dicblorO'6'bromobenzène
W«a«BrA2ClC0CH», prismes, F. 9192*. La 2 .Ô-dibromacéiani'
fc 0*H»Br*AzHCOCH* crisl. dans l'alcool en prismes blancs, F.
•^iOQ*. — AeétylchloramiDO'2,6^dibromobenzène
C«H3Br>AaClGOCH3,
'ïrt. dans le pétrole en prismes, F. 88*. Ce comp., chauffé à 140-
^ ivee de l'acide acétique, est simplement hydrolyse. — L'ac^-
jihrmêuino^chlorobeDzène C«H*ClAzBrCOCH« crist. dans un
•^Ittige de chioroiorme et de pétrole en plaques jauneSi F. 91* ;
' ^ tiBosfonné quantitativement en le 4-chloro-2-bromo-acétani-
^ Komérique, F. 137*, en laissant reposer 12 heures une sol.
itas un mélange de chloroforme et d*acide acétique.
762 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
VacétylchloraminO'4' bromobenzèoe C«H*BrAzGlGOCH»
dans le pétrole, F. 108-109° ; laissé en sol. acétique, il se
forme quantitativement en 2-chloro4-bromoacétanilide, F. 151*.
A cétyIbroamittO'2 . 4- dicblorobenzène C«H3Cl«AzBrCOCH»,
dans un mél. de chloroforme et de pétrole en plaques jauoes,
95-96° ; il se transforme en 2.i-dichloro-6-bromoacétamIide quand
le chauffe avec précaution à 130° pendant 45 minutes. — A
cbioramin(h4-cblorO'2'bromobettzène C^H'ClBrAzClCOGH*,
dans le pétrole en prismes, F. 74-75° ; chauffé en tube scellé a
de l'acide acétique à 150°, il est en partie transformé en S
chloro-6-bromoacétanilide et partiellement hydrolyse. — Acéî}
bromoaminO'4'CbIorO'S-bromobenzèae C^H^ClBrAzBrCOCH*.
85-86° ; chauffé à 180° pendant peu de temps, il se transforme
4-chloro-2.6-dibromoacétaniHde, F. 227°. — AcéiylcbloramiD
cbloro'4-bromobenzène C«H3ClBrAzClC0GH», F. 88-89*. - Aa
tyIbromaminO'2'CblorO'4'bromobenzène C^H'ClBrAzBrOOCM
prismes jaunes, F. 110-111°; chauffé à 130°, il se transforme «
2-chloro-4 . 6-dibromoacétanilide.
A cétylcbloramino -2.4- dibromobenzène C^H^Br» AzCICOCffl
plaques, F. 56-57° ; il est transformé quand on le chauffe à 100* fl
tube scellé avec de l'acide acétique en un mélange de deux chlon
dibromoacétanilides. — AcétylcbloraminO'2,4,6'tribromobeni^à
C«H«Br3AzClC0CH«, F. 109-110°; Jie subit pas d'autre transfoi
mation que Thydrolyse quand on le chauffe à 160° avec de facid
acétique. a. valech.
Contribution à l'étude des produits de oondensatioii du
aldéhydes avec les aminés; A. HANTZSCH et 0. SCHWAB ^D
ch. G., t. 34, p. 822-839 ; 20.4.1901). — Les auteurs ont cherché ii
les anilines (bases de Schiff) existaient sous 2 formes stéréo-i^o-
mériques comme les hydrazones, les oximes, etc.
R-OH R-C-H
Il et [1
Az-G«H5 G«H5-Ax
Dans un cas seulement ils ont obtenu 2 produits préseniaot ^
différence de quelques degrés dans le point de fusion : la Aeiuy'''
drne-p.-toluidine C6H».GH=Az.C«H*.GH3^ obtenue par cond«n**-
tion directe, se présente tantôt sous la forme de cristaux jaunàuv»
f. à 35°, tantôt sous la forme d'un liquide huileux qui ne eiistii^l
pas lorsqu'on Tamorce avec un cristal f. à 85°, mais qui, refipoi^i*
CHIMIE ORGANIQUE. 76S
'giquement, se soli(|ifle et fond alors vers 12,''5 ; de plus ce
lier produit se transforme spontanément et lentement à la
^rature ordinaire dans le premier. Un chauffage prolongé à
5"* n*abaisse sensiblement pas le point de fusion des cristaux
3t>. Oa se trouve donc là peut-être en présence de 2 modifl-
juér l*une stable, l'autre instable. — Parmi les autres bases de
Lit, seules la benzylidène-aniline et la benzylidène-p.-xylidine
uisent présenter le même phénomène et encore à un moindre
ré.
a beniylidène-p.'CldoramUne C®H5.CH=Az.C^H*Cl cristallise
s Talcool en paillettes blanchâtres f. à 62'»; le chlorhydrate
F*(iré en sol. benzénique constitue une poudre cristalline f. à
* avec décomposition, qui se dédouble déjà à Tair humide en
r et aldéhyde. Lorsqu'on introduit ce sel par très petites por-
I* <lans une sol. de Na'CO* refroidie à 0", on obtient un produit
on^lanl à la formule C«H».CH<:^^"-^*^*^*, qui fond vers 120*
fce décomposant, et qui perd très rapidement H*0 en régénérant
iftse anhydre primitive.
ji beBzylidène-p.'bromaniUne C*H*.CH=Az.C*H*Br, cristallise
fo Talcool en paillettes blanches f. à 67® ; le chlorhydrate fond
B5*'eu se décomposant et fournit pareillement lorsqu'on le traite
r Na^CO» un aldéhydate C«H5.CH0H.AzH.C«H*Br f. vers 120%
h instable.
La IriméthylbenzyUdène'aniUne, sym. (CH3)3CeH«CH=Az.C6H»
kl a 56*. La triméthylbenzylidène'pseudocumîdine fond à 82* ;
'-i/orArrfra/e fond > 212*. La triméthylbenzylidène-p.'Chlor'
tliae crist. en longues aiguilles f. à 74*, sol. dans Talcool ; le
hrbydrate se décompose vers 188* (poudre cristalline jaunâtre).
\ p.^hlorobettzylidèDe'aniline est en paillettes blanches f. à 66*
hrme un cblor hydrate blanc. — La p.^chlorobenzylidène-p.'
hranUioe fond à 111* (aiguilles blanches, chlorhydrate blanc) ;
i-^bhrobeDzylJdène-p.'Cbloraniline, à 68* (cristaux blancs, chlor-
^nle jaune), la m.'nitrobenzylidène'p.-chhraniline, à 81*
risUux jaunâtres, chlorhydrate jaunâtre f. à 185*j, la p.-nitrO'
^iylidène-p.'Chloraniline à 128* (aiguilles jaunes, chlorhydrate
"»e), la benzylldène-p.-anisidine à 142* (paillettes blanches,
^rhydraie jaune I, la salicylidène-p.'bromaniline hii2''(ipai\\eiies
^oa^, chlorhydrate jaune), Xa p,-mêthoxybenzylidène'p.'anisi'
râf • lis* paillettes blanches, chlorhydrate jaune) et la salicy^
^oe-êniiwe à 51* (cristaux jaunea sol. dans Talcool, chlorhy-
^«ï jaune t.
764 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
La salicylidène'O.-toIuidine crisi. dans la ligroîne en
à 47-48**; elle fixe Tiode en sol. benzénique pour donner le
posé C**H*5AzO-f-H en aiguilles violettes; la EaUcylidt
bromaniline fond à 85-86* (prismes jaunes) ; la benz^Udm^
pbénétidine est liquide et bout à 215-216'' sous 20 mm. et t« «
cyîidène-o.'phénétidine^ également liquide, bout à 228-229'
17 mm.
L'ald. benzoïque s'unit à la p.-nitraniline à 120"* pour donn^
1** la benzyUdène'p.'nilraniUnej f. à 118*, et 2" la benzylidk
bis'p.'njtraniliney C«Hî*.CH(AzH.C«H»AzO*)', en cristaux jaui
f. à 85** ; cette dernière se forme plus facilement à froid en soIqIi
alcoolique éthérée; elle est peu stable et se dédouble lorsqu^on
chauffe avec de l'eau ou du benzène en p.-nitraniline et benzyliiw
nitraniline.
L'aldéhyde benzoïque et Taminothiazol (2 mol.) se combift
à froid en donnant naissance au benzylidène-bis'amiaothk
C«H».CH(Az*C3H3S)«, masse cristalline jaunâtre f. vers 188-13
peu soluble dans les solvants usuels (0,2 0/0 dans l'éther, O^i \
dans le benzène vers 17-18**). Si l'on chauffe ce produit pemii
quelque temps, on obtient un liquide incristallisable, très solut)
qui est constitué par un mélange de benzylidène-annidothiazol
d'amidothiazol, et qui par refroidissement se transforme de D<i
veau en benzylidène-bis-amidothiazol.
Les iodures alcooliques réagissent sur les bases de Schlfl
donnant des iodoalcoylates qui sont décomposés par l'eau et [>arl
alcalis avec la plus grande facilité, suivant les équations :
R-CH=Aze-C2HS + 2H20 = R-CHO + C6H*-AzH' + C2H*.0H + "ï
\l
H-CH= Az^Cm* -h KOH = R-GHr Az-C^H^ + Kl + CaH^OH.
Viodométhyïate de benzyUdèue-pAoluidine préparé parunm
directe, à l'abri de Thumidité de l'air, fond à 147-148*; poudi
cristalline blanche, insol. dans le benzène et l'éther de pétro/<
très instable. Il est à remarquer que dans la décomposition pi
Teau ou les alcalis, le radical alcoolique ne reste pas fixé à r<2u<
pour donner une aminé secondaire, mais qu'il est éliminé t>o<i
forme d'alcool. — Uiodétbylate est en aiguilles jaunes» f. à'^
avec décomposition. — Viodométbylale de benzylid^iè'9^^
CHIMIE ORGANIQUE. 765
9se criâtâlline jaune très instable) est décomposé par la soude
ild. beozolque, aniline et en une base verte, sol. dans les dis-
ants organiques, sauf Téther et la ligroïne, dérivant vraisem-
tlemeat du diphénylméthane. — h'iodoéibylate est en cristaux
les peu stables qui se transforment peu à peu en une masse
ae f. vers 75', insoluble dans le benzène.
'îodomélhylale d étbyUdène'benzylamine est incris tallisable.
bemylidèoe-élbylamine est liquide et bout vers 187-188».
p. FRBUNDLER.
mr la condensation de ro.-ozybenzylidône-aniline ; 0.
IWAB (Z>. cb. C, t. 34, p. 839-840; 20.4.1901).— La conden-
ion de Tald. salicylique avec la benzylidène-aniline au moyen
CAzK, fournit une très petite quantité du produit qui résulte
la coodeusation analogue de Tald. benzoïque avec la salicyli-
le-aniline. I-a réaction s'effectue d'une façon beaucoup moins
lie dans le premier cas.
Ualdohsation des bases de Schifl s'effectue mieux à froid qu'à
lad. Ainsi, on obtient un bon rendement en bis-salicylidène-
iline en mélangeant des sol. froides de CAzK (dans Teau) et de
IkyUdène-aniline (dans Talcool) :
yOH H0-G«H*-CH-AzH-C«H5
NCH = Az-C«H^ HO-C«H*-C= Az-C«H5
Après 1 jours de repos on essore et on lave à Teau bouillante,
iillettes jaunâtres f. à 155®, sol. dans Talcool bouillant.
p. FREUNDLER.
Contribation à Tètnde de l'oxyde de dimètbylanillne ; E.
iUDERGER et P. LEYDEll(iD. cb. C, t. 34. p. 12.27; 28.12.1900).
^ Us auteurs ont étudié tes produits de décomposition de Toxyde
^ diffléthylaniline sous l'influence de la chaleur et de divers
^ts. La réaction fondamentale est celle-ci :
C^H5-Az(CH5)«=0 = 0 + C«H5-Az(GH3)2.
^ rox)*gène se porte soit sur le groupement fonctionnel, soit
^v te Qoyau pour donner naissance à des produits d'oxydation et
^ oondensation (en particulier, l'un des CH^ est transformé en
766 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
CH*0 et il se forme des dérivés du diphénylméthane). C^s pn>l
sont :
La dimétbylaniline ei son dimère [OH*.Az(CH*)*l*, Voxvi
dimétbylaminopbényle fC«H*.Az(CH»)«]«0, la métbyJêtniline, U
Une, Vald. et Vac, fonniques^ le tétramétbyldiamidodipbéBp
tbanej la tétraméthylbenzidine^ Vo, et le p.'diaiéthylsminopàt
OH.C«H*.Az(CH*)», le p.-aDjinopbénoI^ Vbydroqaiaone, i
composés, f. à 135 et à 157^, des résines et des matières c
rantes. La formation de Thydroquinone et celle des compi
phénoliques est peut-être à rapprocher de risomérisation
hydroxylamines. La première peut être obtenue en très i>^
quantité en chauffant le diméthyl-p.-aminophénol avec de l|
chlorhydrique.
Pour préparer Toxyde de diméthylaniline, les auteurs reci
mandent d'employer de Teau oxygénée préalablement neulrall
par de la magnésie. L'opération marche plus vite et foumj^
rendement de 98 0/0 de la théorie. Il se forme en même temps
petite quantité de nitrobenzène. La base a été précipitée à Têts
picrate, celui-ci décomposé par HCl concentré et la solution c^
hydrique évaporée au B.-M. dans le vide à 60-80*.
Le chlorhydrate sec, recristallisé dans l'alcool, a été chai
vers 75-80**, dans une atmosphère de CO*, pendant 150 heures,
produit a été soumis à des épuisements fractionnés qui sont dtV:
dans le mémoire original.
La biS'dimétbylaniline crist. en aiguilles aplaties, f. à ilt^
colorant en bleu à Tair, solubles dans la ligroïne, peu solui]
dans Talcool. La sol. chlorhydrique est colorée en vert éinenij
par FeCP, en vert jaunâtre par AzO'Na, en vert (avec fluoresc<?i
bleue) par K^Cr'O"^ (à chaud, pplé rougeàtre), en vert jatmi
(ppté blanc s'il y a excès de réactif) par rhypoclilorile, eo rt
violet par PbO^ et Tac. acétique.
Le p,'dimétbylaminopbénol crisL en aiguilles aplaties, f. à 76-?
volatiles avec la vapeur d*eau, solubles dans les solvants usut^
les acides minéraux et les alcalis.
La décomposition de la solution aqueuse du chlorhydrate d oi){
de diméthylaniline par Tébullition prolongée a fourni des risulU
analogues. En chauffant l'oxyde seul, à sec, on obtient princijwH
ment de la diméthylaniline et de la monométhylaniline.
Les diméthylaminophénols prennent naissance surtout lon><iu''l
chauffe le chlorhydrate avec SO*H* concentré vers 65-75'.
p. FRBUXDLW
CHIMIE ORGANIQUE. 767
or le mécanisme de la transformation des bydroxylamines
matiqnes en aminopbènols ; E. BAHBERGER (D. cb. C,
4, p. 61-68; SO.11.1901). — Le terme de passage hypothétique
ne les bydroxylamines et les aminophénols ^ x^x ^®^ ^^P
able pour pouvoir être décelé sous une forme quelconque. Son
)lence peut toutefois être confirmée par certaines réactions. Un
eil composé peut fixer un corps HX de deux façons :
A«H = X< VzH»
Exemples de la réaction L — La phénylhydroxylamine s*unit
'aniline à chaud pour donner un mélange de p. et o^-aminodi-
inylamioes
Cf^W-Ks/ 4- H-C«H*- AiH2 = G«H»- Aï/
m::«h*-azH3
La p.-tolylhydroxylamine s*unit de même au phénol pour donner
H
5 k p.-oxyphényl-p.-toly lamine CH5.C®H*.Az<QeTT^ qo.
Exemples de la réaction IL — La phénylhydroxylamine s'unit
\ phénol pour donner du p.-oxy-p.-aminodipbényle :
H C«H4-0H
\/
U+ H-C«H*.OH = Il I =
\/
Al I
/\ AzH
I)e même, avec la phénylhydroxylamine et TaniHue, on obtient
^ la benzidine. D'autres exemples sont cités dans le mémoire
wigmaL
La constitution des matières premières influe naturellement sur
w sens de la réaction.
U oitrosophénylhydroxylamine se transforme spontanément en
AïO
768 ANALYSE DES THAVAUX STRANIjKRS.
solution beDzënique en p.-p.-dinitrodiphénytamioe. Le tùéeuû
de la réactioo est le suivant :
AïO AzO
0..-0 -0-~
Az<5^ AzH-Oil
AzO AïO
Âz A^^
AzO AïO
0 „-0 -Q
AzH-C«H*-Az<3^ /^.zH-C«H*-AiO «H-0>H»-J
La formation de la p.-nitrodiphénylamine et de son dérivé niU
s'explique facilement si l'on admet une décomposition partielle
la nitrosophénylhydroxylamine en hydroxylamine et AzO'H,
p. rREU.tDLCR.
SarlsB dictrbrlamÎDesaramatiqaeB; F.KAUFLER (I).rh.
t. 34, p. 1577; 8.6.1901). — En modillant la réaction de Holioi
(chloroforme i!t potasse sur les diamines) l'auteur a obtenu i
dicarbylamines que l'on n'avait pas pu préparer Jusqu'ici. Il etopl
à cet eitet, au lieu de potasse alcoolique une solution concenl
de potasse à laquelle il ajoute 10 à 20 0/0 d'alcool el un gn
excès de chloroforme; de cette manière la carbylamine foni
est dissoute par le chloroforme el garantie contre la décom]
l'alcali. L'auteur a ainsi préparé la p.-phénylèoe-<Iifl
et la m.-phényiène-dicarbylamine.
>hênyU-ae-dicarbyhmine C*H*<^^p ''* est eo aift
possédant une odeur repoussante ; chaulTée à SSO-i'
t et se transpose partiellement en nitrile.
ibénytène-dicarbyiaatiae est en aiguilles blanrbe». <]
rment à Tnir en un jour en une masse amorphe d«
à 00-95* en un liquide noir. L'odeur est la mênK f
érivé para.
ClilMlK OH(iANlQU£. 769
B LransformatloQ de ces deux composés en nitriles correspon-
ts el en produits d'addition bromes justiiie les formules
uses. F. REVEROIN.
ar les dérivés azoîques de la m.-tolaidine; S. SAMELSON
cL G,, t. 33, p. 3479; 14.1.1901). — L'auteur a transformé la
loluidine préparée par le procédé de Monnet-Reverdin et
?lling (IJ. cb. G., t. 9, p. 2280), en diméthyl-m.-toluidine-azo-
izol, acide diméthyl-m.-toluidine-azobenzolsulfonique, diméthyl-
loluidiDe-azo-p.-toluol, diméthylamidoazo-m.-toluol, diméthyl-m.-
lidine-azo-p.-phénétol, diméthyl-m.-toluidineazo-p.-anisol de la
oa suivante :
^iméthfl-m.'tolaidiue-^zobenzol
yGH3
(CH3)2::iA2-G6H3<
\Az= Az-C«H3
A une solution bien refroidie, de 7^,4 de AzO^Na et 4 gr. NaOH
ûs 54 gr. d'eau, on ajoute une solution de 10 gr. d'aniline et de
gr. de diméthyl-m.-toluidine dans la quantité théorique d'acide
lorhydrique. Le corps azoïque se précipite sous forme d'une
iile rouge qu'on purifie à l'état de chlorhydrate. Ce sel se pré-
oie sous forme de longues aiguilles brillantes d'un rouge clair
iiible dans l'alcool, Télher, le benzène, l'acélone F. 66*». Sel de
iUdc (C*^H*''Az-^.HCl)'PtCl*, poudre d'un brun sombre commen-
tai à suinter à 200' et non encore fondue à 280°.
Aâde dimétbyl-m.'toluidine'azobenzol'p.'Sulfonique
I ...
/CH3
(CH3)2:zAz-C6H3<
\A2=Az-C6H*-S03H
-^ obtient en partant de l'acide sulfanilique ; poudre d'un rouge
Ww charbonnant à 225", très hygroscopique.
iHmétbyl-m.'toluidine'azO'P'tolaol
yClP
(GH3)2=Az-C6H3<
\Az=Az-C«Hï-CH3
■* >'ohlient à l'aide de la paratoluidine. Aiguille rouge clair
^' i*l', soluble dans l'alcool, l'éther, l'acétone, le benzène, chlo-
*><iraie F. 172», soluble dans l'alcool, l'éther, le benzène, sel
*fcpUliûe (C«»H*«Az3.HCl)«PtCl*, aiguilles d'un rouge sombre
"«wlable dans l'eau, soluble dans l'alcool chaud. Sulfate
soc ami., 3« sBiu, T txvi 190i . — Trav. étrang, 49
770 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
C*«H*»Az«.H«SO*, aiguilles vertes de Talcool méthylique F. 2lMJ
BimétbylaminoazO'ia. 'toluène C*®H**Az*. — Obtenu à Yèm
de la diméthyl-m.-toluidine et la m.-toluidine, cristaux rouges i
l'alcool, F. 73-74*, soluble dans Téther, le benzène, Tacélone. Sj
de platine (G*«H*»Az».HCl)«PtClS poudre brune amorphe se caj
bonisant à 107''.
Dimétbyl'm,'tolaidine'azO'p,-phénétol
(GH3)2=:AZ-C6H3<
\Az=:Az-C»H*.OG2H5
cristaux bruns, F. 136-187*. Sel de platine (C*'ïH«iOAz.«Ha)«Pld
poudre amorphe bleuâtre se carbonisant à IQ!**.
Dimétbyl-m . ^toluidine- azo-p .-anisol
(CH3)2=Az.C6H3<
\Az=Az-C«H*-0CH3
cristaux d*un rouge brun de l'alcool F. 185-136", insolubles dâi
Teau. Soluble dans Talcool, l'éther, l'acétone, le benzène. CM
rhydrate en cristaux bleus F. 164% solubles dans ralcool. SixJf«|
en aiguilles d*un bleu sombre de Talcool méthylique F. IIM^. d
de platine (C«»H*»0Az.3HCl)«PtCl*, poudre se décomposant à ii'j
A. MOUNEYRAT.
Notes de laboratoire; sur les groupements osmophom ^
sur quelques diazo-imides ; H. RUPE et K. von MAJEWS^
(Z>. cb. G., t. 33, p. 3401-3410; 22.11.1900). — Les auteurs o^
cherché à établir une relation entre la constitution chimique^
ro9eur. Les groupements osmopbores sont principalement : -OH
-0-, -CHO, -C0.CH3, -0.CH3, -AzO«, -GAz, -Az». mais Tinilm'iKj
de ces radicaux peut être souvent annihilée par la présence d*autnt
groupements. Il est à remarquer que Ton peut dans un mi)a\
noyau, substituer ces groupements les uns aux autres sans (fi^
Todeur subisse de variations appréciables (ald. benzoïque, nitrvj
benzène, benzonitrile, diazobenzène-imide). Les auteurs noij
encore pu déterminer, ni Tinfluence de la position dans le noyat^
ni Taction des groupements les uns s.ur les autres. Us dêcnvt»)
un certain nombre de composés nouveaux préparés dans le but ô\
comparer leurs odeurs.
Le DÎttiîe pipéronylique déjà connu, possède une odeur vob**Jï^
de celle du pipéronal. Chauffé avec KOH et H«0« à 3 0/0, iJ (bumil
avec un bon rendement Vamide CH*0'.C*H^.CO.AzH« ipriaort
CHIMIE ORGANIQUE. 771
icieulaires, (. à 169*» sol. dans Teau chaude et l*alcooI). Cette
imide, traitée par le brome et KOH, se transforme dans Téther
ne(bylénitjue de Yaminopyrocatéchine CH«<y>C«H3 . AzH* qu'on
soie par un épuisement à Téther et qui fond à 44-46'' (cristaux
iIéocs, éb. 144* sous 16 mm.) ; le chlorhydrate crist. en tables, et
e dérivé acétylé en aiguilles incolores, f. à 185®, sol. dans l'alcool,
fther, le benzène et Teau chaude. En diazotant le chlorhydrate
((f, précipitant le diazoïque par le brome à l'état de perbromure,
i décomposant ce dernier par l'ammoniaque, on obtient la diazo^
»irfeAz^.C*H*<Q>GH*, sous forme de paillettes jaunâtres, f. à
^130*, solubles dans les solvants usuels ; ce corps est volatil
itec la vapeur d'ecu et possède à la fois l'odeur d'anis et celle du
dpéfonal.
U p.-amiiiobenzoate de mélbyle AzHKG^H^.CO^CH^, a été traité
Tuae façon analogue, et a fourni la diazo-imide en grandes pail-
Mes jaunâtres, f. à 39-40'', volatiles avec la vapeur d'eau, solubles
iÉat> Talcool et douées d'une odeur mixte d'anis et de pomme. —
# p.-cyanobenzoate de méthyîe CAz.G®H*.C0*CH5 (méthode de
luidineyer), crist. en paillettes incolores, f. àôS"", sol. dans l'alcool,
««ktiles avec la vapeur d'eau ; son odeur rappelle celle de la diazo-
oiîda correspondante.
Le m.^aminobenzoate de méthyîe (réduct. du dér. nitré par
liH^.SH) est liquide ainsi que la diazo-imide dont l'odeur est un
M plus faible que celle de l'isomère para. — Visomère ortho
«ol encore moins fortement.
l» p.-triazo-anisol Az*.OH*.0CH* obtenu par la méthode gêné-
aie, crist. dans Talcool en paillettes blanchâtres, f. à 36^ douées
fane odeur d'anis. — U isomère ortho est liquide.
L«/rf. p.'triazobenzoique Az^.C^H^.CHO (liquide volatil avec la
ipeur d'eau, se colorant rapidement à Tair) possède une odeur
^ilïL anisique (aubépine). — La p.-triazoacétanilidey préparée à
jfcrtir de la mono-acétyl-p.-phénylène-diamine, est en cristaux
Met» peu stables, f. à 124'', sol. dans l'eau bouillante ; on n'a pu la
*4pomfier par les acides ou les alcalis.
U réduction par AzH^.SH de la p.-nitrodiazobenzène-imide
t*« fourni que de la nitraniline. Le nitrile p.-aminobenzoïque
.UH«.OH*.CAz(i.4), a été obtenu en traitant le dér. nitré corres-
I>jndant à 40-50* par Tac. acétique à 10 0/0 et la limaille de fer. —
Lï (isazo-imide A2^.C*H*.GAz, crist. dans l'alcool en aiguilles
»î*colores f. à 70*, sol. dans Téther et le benzène (odeur faible).
m ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS.
La m.-oxy-acétophénone CH*.CO.C®H^.OH, préparée au moj«
du dérivé m.-aminé, crist. dans l'eau bouillante en paillettes inn
lores, sol. dans Talcool, Téther, etc., f. à Dô*». Chaulïée avec KOI
et riodure de méthyle à 100® en vase clos, elle fournit Vélber me
thylique CW. GO. C^H^,OCW sous forme d'un liquide incoloir*
presque inodore (éb. 128-129*» sous 12 mm.). — La ai.-cyanac^h
pbénone (méthode Sandmeyer) est volatile avec la vapeur d*ea«
aiguilles blanches, f. à 98-99®, presque inodores, sol. dans Talcoo
— Vbo. acétophénone-m, -carbonique CH*.C0.C^H*.CO*H (sap*
niflcation du nitrile par KOH à 20 0/0), crist. en aiguilles blanche!
f. à 172®, sol. dans Teau bouillante, l'éther et Talcool, peu sol. du
le benzène et le chloroforme. — L'éiher méthylique est liquide y
inodore, de même que la m.'triazo-acétopbénone.
Les auteurs emploient pour préparer les diazo-imides, le mélaD^
d'hydroxylamine-sulfonate et d'hydroxylamine-disulfonate do I
décrit par M. Raschig (Ann, Cbem., t. 241, p. 183). Exemple
2 gr. de p.-nitraniline sont diazotés (4 mol. HCl) puis versés d»
une sol. de 8 gr. (2,5 mol.) de sulfonate dans 820 ce. d*eau. l
diazo-imide se précipite bientôt sous la forme de flocons jftun<*i
f. à 72® (rendement théorique). L'expérience a été répétée avec I
m.-nitraniline, le p.-aminobenzoate de méthyle et la p.-hroroaniiifl
{diazO'imide, f. à 20®, possédant une odeur agréable). La réactiO
marche plus vite que lorsqu'on emploie l'hydroxylamine. Elle o
va pas par contre dans le cas de l'aniline et, d'une façon général
lorsqu'il n'y a pas de substituants électronégatifs dans le noyau.
p. FREirNDLER.
Sur la formation des hydrazides secondaires symétriqnii
R. STOLLÉ [D. ch. G., t. 34, p. 081-682; 25.3.1901). ~ Rêclafli4
tion de priorité au sujet de la préparation des hydrazides syuic
triques. — La dihutyryîbydrazine fond à 167® et fond à 21 i** sin
24 mm.; elle est peu sol. dans l'éther. — La dibenioylhydraivi
fond à 238®; on la prépare par la méthode Baumann-Schotten.
W FREU^DLKK.
Préparation des bensylbydrazines secondaires disijml
triqnes à partir des benzylidône-azines ; T. CURTIUS et 11
FRANZEN (D, ch. G., t. 34, p. 552-559; 11.2.1901). — La rédacUa
de la pseudocumylidène-aldazine au moyen de la poudre de liw i
de l'ac. acétique en présence d'alcool, a fourni la dipseadocumji^
aminé avec un rendement de 90 0/0.
(CIP)3Cqp.CH = Az-Az=CH-C«Ha(CH5)3 -f ^H^
= [(CH3)3-G6H2-CH2]«AzH + kzW^.
CHIMIE ORGANIQUE. 773
La base crist. dans Talcool en aiguilles blanches f. à 78"*, insoL
ans l'eau. Le suUate acide est en petites aiguilles f. à ISQ"*, peu
!>l. a froid dans Teau, Talcool et le benzène. Le chlorhydrate fond
2â6* ; aiguilles blanches sol. dans l'alcool et le benzène, peu sol.
ans Teau froide. Le nitrate est en aiguilles f. à 208-204*», sol. dans
aieool, le chJoropIatiaate en paillettes brunâtres peu sol. dans
akooi et le nitrite en aiguilles blanches insol. dans Teau, peu sol.
tiiis Faicool ; ce dernier sel fond à 148* en se décomposant. Chauffé
ivec de l'alcool absolu, il se transforme peu à peu en nitrosamine.
>lle-ci crist. dans l'alcool en aiguilles jaunâtres f. à 85% sol. dans
'èlber, idsol. dans Teau.
La réduction de cette nitrosamine par la poudre de zinc, Talcool
ït Tac, acétique (entre 10 et 15°), a fourni la dipseudocamylliy-
irazine ((GH3)3.C«H«.CH«]«Az.AzH«, qu^on sépare de Texcès de
utrosamine et de Tamine formée en la combinant à Tald. benzoïque.
La combinaison benzylidénique crist. dans Talcool en aiguilles
itunàtres f. à 119"», sol. dans Talc, chaud, décomposables par HCl
dilué. Uhydrazine elle-même forme un chlorhydrate en aiguilles
t à 208*, peu sol. dans Talcool, le benzène et Teau à froid. Le
nitrate est très peu soluble.
La réduction de la benzylidène-azine par la poudre de zinc,
i*alcool et Tac. acétique à chaud, a fourni de la dihenzylamine dont
k chlorhydrate f- à 254» et le nitrite à 130* (paillettes blanches
sol. dans Talcool). Ce nitrite, chauffé avec de l'alcool à l'ascendant,
te transforme en nitrosamine (paillettes jaunâtres, f. à 61°). La
nitrosamine, réduite à froid (15-17*) par la poudre de zinc, Talcool
H Tac. acétique, a fourni de la dibenzylhydiazine (C'^H'^)*Az.AzH*
•iont la combinaison benzylidénique crist. en aiguilles jaunâtres f,
* H5», soi. dans l'alcool (voy. aussi Busch et Weiss, D. ch. G,,
t33, p. 2701).
HgO réagit sur une sol. chloroformique de dibenzylhydrazine en
donnant de la dibenzyltétrazone
(C«H5-CH2j2- Az- Az= Az- Az(CH2-C«H5)2 ,
«i^illes blanches f. à 97*, sol. dans Talcool. p. freundlkr.
Oxydation daa baniylbydrazines sacondairas symétriques
H.GHVAzH.AzH.CH'R an hydraaonaa R.CH=Az.AzH.CH«.R;
TltCOHTIDS et H. PADU {D. ch. G., t. 34, p. 847-853 ; 20.4.1901).
- Vo'Cblorobenzyiidrne-^zine Cl-C«H*-CH=Az-Az=:CH-C«H*Cl
cristallige dans l'alcool en aiguilles jaunes f. à 113**, 5, très peu
774 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sol. dans l'alcool. Traitée par Tamalgame de Na à 4 0/0 en soluti
alcoolique, elle se transforme en di'O.'CblorobenMjrtbjrdrmii
Cl-C«H*-CH3AzH-AzH-CH»-C«H*Cl, aiguilles incolores f.à
sol. dans Talcool, Téther et le benzène, insol. dans Peau, se rt»
niftant à Tair; le chlorhydrate C**H**Az«Cl«.HCl crist. en aigîûJ
blanches f. à 169*", sol. dans l'alcool et Teau à chaud ; le pîa
fond à 144*" en se décomposant (aiguilles jaunes sol. dans Talci
peu sol. dans Téther). — Le dérivé diacétylé symétrique cri
lise dans Talcool en prismes durs f. à 102"^, sol. dans l'alcool, i
le benzène et Téther. Le dérivé dihenzoylé fond à 118* icristau
durs sol. dans l'alcool).
Le dérivé dinitrosé CIC«H*.CH«.Az(AzO;.Az(A20)CH«.CWH:
constitue une masse cristalline jaune f. à 50-51^, sol. i^à
l'alcool ; chauffé avec de l'alcool il se décompose suivaol Téqua
tion :
2 GIG6H4-CH2- Az(AzO)- Az( AzO)-GH2-G6H*Cl
=. Az20 4- H20 4- 2GIG6H*-CH2.Az(AzO).Az=CH.C*^HH:i .
Uo.'Chlorobenzylidène'nitrosO'O.'Chlorobenzylhydraxine ami
obtenue cristallise en prismes jaunes f. à 100-iOl® avec décompo
sition, sol. dans les liquides organiques chauds. — L'ac. chlorh\
drique dilué bouillant dédouble l'hydrazone précédente en aid
chlorobenzoïque et o.-chlorobenzylhydrazine :
ClG«H*-GH2-AzlAzO)-Az=GH-G»iH*Gl + HGl + âH^O
= GlCGH*-GIP-.AzH- AzH2 , HCl + G1G«H*-GH0 + AzO^H .
Uo.'ChJorobenzyIhydraiioe est solide et très oxydable; so»
chlorhydrate crist. en prismes brillants f. à 146**, sol. dansTeni
et l'alcool, insol. dans'l'élher. La combinaison cblorobenzylidf*^
nique crist. dans l'alcool en aiguilles jaunâtres f. à HîJ-*<4» ; ellee?
dédoublée par HCl dilué bouillant; l'amalgame de sodium à 4 0 I
la transforme en sol. alcoolique en hydrazine symétrique, et U
nitrite d'amyle en dérivé nitrosé, f. à 101®.
La nitroso-o.'ChioroJjenzylhydrazine préparée directement
cristallise en paillettes brillantes, f. à 57**, sol. dans l'éther, Talcool
peu sol. dans Teau ; elle est colorée en bleu par FeCl* et s'uml i
l'ald. benzoïque en présence de SO^H'en donnant la bensylidên^
nitroso' o.'ChioroJ)enzyJhydrazine :
ClC6H*-GH2-Az(AzO).Az=CH-C«H»,
CHIMIE ORGANIQUE. 775
»Q paillettes jaunes, sol. dans l'alcool, l'éther et le benzène, f. vers
)i5-86* avec décomposition. Le dérivé acétyîé :
ClC6H*-GH2-Az(GOCH3)-Az=GH-C«H4Cl,
fond à 110''; tables incolores sol. dans l'alcool et le benzène, peu
«oL dans Téther. p. freundlbr.
Sur l'acétylamidrazone ; E. BAHBERGER et J. GROB (Z>. cb.
G., t. 34, p. 539-548; 14.2.1901). — Vacétylamidrazone ou me-
thjlbydtazidine se forme par hydrogénation de la formazylmé-
Ihyicétone :
<Az=Az-C6H5
+ 4H
Az-AaH-C«H5
^Az-AzH-C«H5
= CH3-G0-Cf^ + G«H5. AzH2 .
NAzH2
La constitution de cette acétylhydrazidine est actuellement
démontrée :
L*ac. azoteux la transforme en effet dans le dérivé nitrosé de
tbydrazide pyruvique ou du tautomère :
/AzH*
.1) CH3.G0-GC +Az02H
^^Az-AzH-G6H5
= CH3-G0-C/ +AzH3.
%Az.AzrAzOWG«H5
En effet, le produit est acide, il possède les réactions des dérivés
nitrosés ; sous l'influence des ac. minéraux, il fournit du nitroso-
boizène (^avec un peu de phénol, de diazobenzène, d'aniline et de
dkzobenzène-imide), et de Thydrazone pyruvique :
y\
OH CH3-G-G02H
CH^-CO-CC + H20 = Az02H +
^=^A«-A«-G^H5 Az.AzH-G«H5
I
AzO
De plus, le composé en question s'unit aux hydrazines pour
donner des hydrazones, et par réduction par l'amalgame de Na, il
bnmit de l'ammoniaque, de l'aniline et de la phénylhydrazine.
Eoôa, on a vérifié que la quantité d'ammoniaque éliminée dans la
rétction I était bien égale à 1 mol.
L*acétylhydrazidine s'unit à Tald. benzoïque au B.-M. pour donner
716 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
un dérivé benzvlidénique CH3.C0.C<^^''^^'J!ÎJJ, en j.risii
rouge orangé f. à ISQ-ISO'.S (corr.), peu soi. dans les diasolvai
organiques froids. Ce corps esl dédoublé à chaud par les ac. n>:i
raux. — Avec l'ald. formique on obtient de même le dérivé nm
7eHigueCH'*.CO.G<^^=^*j.Bjj5; aiguilles orangées f. à lai
136°, 5, assez sol. dans les liq. organiques, peu sol. dans r>i
■ chaude. L'aie, bouillant le décompose.
La préparation de U uUrosophényUiydrazide pyruviqae >'»-|
feclue à 0", en sol. chlorhydrique ; le produit, dissous dans IVllJ
et précipité parla ligroïne, se présente sous la forme d'sipiiil
blanchâtres, f. avec décomposition vers t^5-8&°,5, peu boI. iIJ
l'eau, sol. dans les liquides or^niques, dans 80*11* avec ui
coloration violacée. Ce dérivé nitrosé se résinitle spontanéind
peu à peu. Il réduit la liqueur de F'ehting, KMnO*, etc., po»-«(
une réaction acide, et précipite les sot. faiblement ammoniamU
des sels de Hg et Pb {pptés volumineux se décomposant à chaud
h'bydrazone préparée en sol. alcoolique, crist. en aîgiiillj
soyeuses f. à 128-129* en se décomposant, peu sol. dans l'eati {
la ligroïne, sol. dans l'alcool, le chloroforme et les alcalis. — G
p.-nitrophénylliydrBzone criai, en paillettes jaunes f. à 147-11^
avec décomposition, sol. en rouge dans les alcalis, peu soi. dail
le chloroforme et le benzène.
La décomposition du dérivé nitrosé par HCt (entraioenKl
simultané par un courant de vapeur) a été mentionnée plus hani
Elle donne naissance en outre à un composé acide crist. en aiguilld
Jaune d'or, f. à 130°, sot. en rouge foncé dans les alcalis cau^iti'H
et carbonates. p. meu;4DLEii. '
Sur la phéoylbydrasonfl de l'aldéhyde nitroformiqna ; E. BAI
BERGER et 0. SCHHIDT {I). ch. G., t. 34, p. 574-594 ; SS.S.lUOIf
— Les phénylhydrazones des ald. nitrées qui résultent de l'aftiu^
des isoniirés sur te diazobenzcne, possèdent vraisemblablement U
nérale C8H5.AzH.Az:zCR.AzO«. En effet, elles four]
réaction de Diilow caractéristique des hydrazones ; >U
peuvent être transformées facilement en acétyli^hûnït
CHIMIE ORGANIQUE. 777
Eofin^ le dérivé de Tald. pbéDylnitroformique a pu être obtenu
«r nitration directe de Thydrazone correspondante.
h^bjrdrazone de laid, nitroformique GH^v^ . „ peHs'^^P^^'
raie sous deux modifications a et ^ susceptibles d'être trans-
onnées Tune dans Fautre, et qui constituent probablement 2 iso-
•cres stéréochimiques (elles sont toutes deux neutres et possèdent
?H m^mes constantes spectrales). Les dérivés sodés correspon-
tuits soDt au contraire très peu hydrolyses, de sorte qu'on se
rouve ici en présence de pseudo-acides ; ces sels auraient la for-
taie C*H'.Az=Az.CH=AzO.ONa (par raison d'analogie avec les
^Knologues supérieurs). Il existe deux séries d*éthers dérivant des
o
^drazones nitroformiques : les uns C®H^.Az<;? _pii 4 Qti se
réparent au moyen des dérivés sodés a ou p et des iodures alcoo-
ffues ; ils fournissent par réduction soit de la méthylamine et
ne alcoylphénylhydrazine dissymétrique, soit une. alcoylaniline
I une hydrazine substituée C®H*.Az<V pu . j,j. Enfin, on
iiUaot ces mêmes étliers en faisant agir le dibromonitrométhane
ur raleoylphénylbydrazine correspondante :
A
/CH3
+ Br2CH-Az02 = C6H5.Az< + 2 HBr .
AzH3 \Az=CH-Az02
L'autre série d*éthers répond à la formule
C«H5- Az= Az-CH = AzO-OCH3 .
On les obtient en faisant agir le diazométhane sur les nitrohydra-*
■toM libres. Os ne présentent pas la réaction de Biilow et se
licamposent lorsqu'on les chauffe, en aldéhyde et phénylazofor-
•oxime OH*.A2=Az.CH=Az.0H.
Le diazobenzène réagit sur les nitrohydrazones en donnant du
iitrofonnazyle et un peu de phénylformazyle
Les acides forts ou faibles décomposent les nitrohydrazones en
l
778 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
donnant par suite d'un mécanisme analogue du nitroformaqt
puis du phénol, CO* et AzH^.
CeHS-AzH-Az=GH-Az02 + H^O = G6H5-AzH-AzH2 + Ai OMIHO.
C6H5-AzH-AzH2 + Az02-GH0 = GO^ + AzH^ + C«H5-Az=Ai-0^
/AzO' >?Az-AxH-i"?
G6H5- Az^z Az-OH 4- GH/ = H^O + AzO^-Cf
^Az-AzH-G«H5 \Az=Ai-Ci
G6H5-Az=Az-.OH = G^HS-OH + Az».
Les auteurs ont vérifié que le dibromonitrométhane qai pi
être comparé au composé AzO*.COH, réagit d'une façon aoaloj
sur la phénylhydrazine. La même décomposition s'efTeciue spoa
némenl.
La préparation des 2 modifications d'hydrazone nitroformiq^
été décrite {D. cb. G., t. 27, p. 159, t. 33, p. 2060). La modià
tion a crist. dans la ligroïne, le chloroforme ou le benièn«
prismes orangés f. à 74**,5-75**,5 du système clinorhombique. L'i
iH ère p crist. dans l'alcool en petites aiguilles jaune d'or,f. à8i
85^,5, moins solubles que le précédent. Les dérivés sodés corr
pondants préparés en sol. acétonique se présentent sous la foi
d'aiguilles bronzées ; ils sont sensiblement identiques l'un à Paul
Traités par un acide, ils régénèrent tantôt l'hydrazone « t
l'hydrazone p, tantôt un 3* isomère (?) fondant plus haut,
tous les cas l'isomérisation de la forme pseudo-acide en M
acide paraît être extrêmement rapide et ne peut être suivie
des mesures de conductibilité électrique (voy. le tableau dan
mémoire original).
Véther méthylique (a l'oxygène), préparé arec les nitrobyj
zones libres et le diazométhane en sol. éthérée, crist. en aiguil
orangées f. à 54'',5, sol. dans les liquides organiques, iosol. ^
l'eau et les alcalis, sol. en ronge dans SO*H« concentré. L'ac. i
furique dilué dédouble cet éther en ald. formique, dtA2oi«|
phénol et hydroxylamine. La soude le saponifie rapidement
Véther méthylique à l'azote obtenu avec le dérivé sod^
l'iodure de méthyle à chaud, crist. dans la ligroïne en pailM
dorées f. à 91-92**, sol. dans l'alcool et le benzène et dans SO
avec une coloration brune qui vire au violet par addition
K'Cr^O"'. En même temps que cet éther se forme un compi
crist. en aiguilles brunes f. à 114-116'*, qui n'a pas été étudia*.
La réduction de cet éther effectuée avec la poudre de i\^^
l'ac. acétique, a fourni de la méthylamine et de la mélh^iph^JA
CHIMIE ORGANIQUE. 77»
Irazioe dissymétrique. Si l*oa emploie SnCl^ il se forme en même
xAzH»
ips de la métbylpbénylbydrazidine H.C/^ npja ; aiguilles
^Az.Az<c6H5
Bches f. à iOi*', sol. dans les solvants organiques, Teau chaude
les ac. minéraux. La solution aqueuse est colorée en vert par
Q' ou par AzO'H (dans ce dernier cas il se ppte des aiguilles
Baes).
u êther azoté précédent a été obtenu également en chaufTant au
tM. une sol. alcoolique de dibromonitrométhane et de phényl-
kfaylhydrazine
W'Ki/ + Br«CH-A202 = 2 HBr + G«H5-Az<
NA«H2 \Az=:CH-Az03
H se forme en même temps un produit bromé^ probablement
H^Az<V u puo A o*' ^"^ crist. en paillettes bronzées f.
ts 98-100* (la sol. dans SCHH* est rouge et vire au violet par
Cr^O'^), et un 2* produit crist. en paillettes jaune pâle f. à 216-
***, non étudié. p. freundler.
Iir la formation des ammoniums quaternaires aroma-
|aa$: J. PINHOW {D. cb. G., t. 34, p. 1129-1138; 11.5.1901).
L'auteur a étudié Tinfluence de la constitution, de la tempéra-
rv, etc., sur la formation des ammoniums quaternaires aroma-
pes; il a trouvé un certain nombre d'exceptions à la règle de
Fischer à savoir, que lorsque les positions 2 et 6 sont substituées,
fixation d*un iodure alcoolique ne peut s*eiïectuer. Ainsi, la
^o^dimétbyl'pMoluidioe ne donne pas d'iodométhylate, tandis
*e le lnméthyl-2-acétamido-l-benzimidazol fixe quantitativement
adure de méihyle :
CH3.AZ— CH3 CH'-Az— G.CH3
■Il > Il
VJaiH-GOGIP IvJAzH-C0GH3
U présence de groupements AzO* dans le noyau ne parait pas
t^àier dans tous les cas la formation des ammoniums.
780 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
\JacétamïdO'2'nitr€h6'diméthyl'p,'tolmdiue
(1) iMK yAzO^ (5)
(2) CH3-C0-AzH/ \Az(GH3)2 (4)
s'est montrée également réfractaire; on l'obtient en nitrant Tm
tamidodiméthyl-p.-toluidine à 0** par un mélange de SO*H*
AzO^H (d=l,4); elle cristallise en tables rhombiques jaune f-
f. à 142*», 5-148®, peu sol. dans Teau, Télher et la ligroïne, sol. <
les autres liquides organiques. L'essai de méthylation a été fai<
vase clos, vers 100**, en présence de benzène. — En réduisaol
dérivé nitré précédent par la poudre de Zn et Tac. acétique en \
alcoolique, et traitant le produit successivement par l'anhy»li
acétique et l'ammoniaque, on obtient la y-diacélvldiamidodimcti
loluidine déjà connue, f. à 234-285° (tables rhombiques).
L'az. al'OL'trimélhyl'S'acélamidO'l'benzimidazoI (voy, plushnl
a été obtenu en chauffant avec de l'ac. acétique la f-diacélarai!
méthyltoluidine; il est très sol. dans l'eau et l'alcool, peu sol. i}
les autres solvants organiques et possède la réaction des cart»^
mines. Le tartraie cristallise dans l'eau en petites aiguilles %i
oxydables répondante la formule C*<>H*''Az5,C*H«0^ (après d
cation dans le vide). Le chlorhydrate C«oH<aAz3,2HCI,H«0
prismes tabulaires rhombiques inf. à 270*», insol. dans Tacétoop^
La base peut être diazotée et copulée avec la p-naphtylad
(prismes rouges à reflets verts sol. dans l'aniline à chaud).
Dans la condensation précédente il se forme également ua i
mère, le triniéthyI'a.'i.i-acctamino-l'benz2midazoI
CH3 G0CH3 CH3 C0CH3
Az Az
/\-AzlK /\, Az^
l \z^ l/L-AzH/
CH3 cip
qui est sol. dans NaOH et insol. dans les carbonates alcaiio^.
composé crist. dans l'eau chaude en fines aiguilles f. à6l-65V r«
fermant 3H«0; anhydre il fond vers 198-19H%5; les solvants oti
niques le dissolvent assez facilement.
Le triméthylacétaminobenzimidazol et la f^ditcétyidtanîiHiai
thyltoluidine s'unissent en vase clos à 100* à l'iodure de mèih]
CHIMIE ORGANIQUE. 781
ur donner naissance au même iodométhylate (voy. la formule
is haut); cristaux f. à 282**, renfermant 1H«0. Ce sel ne perd pas
odure de méthyle quand on le chauffe à 140® avec AzH^; traité
r KOH, il fournil une pseudo-base (carbinol) sol. lentement dans
c acétique. L'acétate correspondant se forme lorsqu'on traite
rfomiHhylate par Tacétate de Pb; oxydé par KMnO* il fournit de
e. dimétbylHcétamid(hî'beuzimidazolotte-carboDique'2
CH3- Az - CO
1^ \— AZ-CH3
CO^H
umsl. dans Tac. acétique en prismes inf. à 270**, peu sol. à froid
Bâ Talcool et Teau, insol. dans Télher. Il se forme en même
apîi un peu de trimétbyl'AZ'Az'Sacétamido-S'benzimidazolone
*l. dans AzH'.
L» mémoire orij^inal renferme la description d*une série d'essais
•lés dans le but d'obtenir des ammoniums quaternaires (dimé-
|l'(>.-toiuidine, HDr et aie. méthylique; sels de toluidine et aie.
Mylique; o.-nitrodiméthyltoluidine, HBr ou HCl et aie. méthy-
<tu?, acétamidodimélhyltoluidine et bromure d'élhyle ou iodure
imélhyle^ etc.).
U bromure (fo.^nitro-p.'tolyltrimétbylammonium crist. dans
•icool en prismes jaunâti^es f. à 182*», sol. dans Teau. Le bromure
^ scétamido-p.'toîyldimétbylétbylammomum fond à 187**,5 ; masse
felalline sol. dans Teau et Talcool faible. V iodure de m.-acéta-
^do-p.'tolylinmétbylammonium crist. en aiguilles rhombiques
.»193*,5, sol. dans Teau et Talcool chaud, insol. dans Téther.
i*' hromure de dimétbyléthyl'p.^lolylammonium est très hygros-
U température la plus favorable à la formation de Tammonium
wne dans chaque cas. L'eau a une action retardatrice très mar-
!0f«. Les groupements nitrés, môme éloignés, ont la même in-
«We. p. FREUNDLER.
hr raction de l'aniliae et de l'ammoniaque sur le chlore-
BMiyUte du phénylméthylchloropyrazol ; A. HICHAEUS et
yWSSIL(D. cb. G., t. 34, p. 723-727; 25.3.1901). — L'aniline
''w^l à 2oO» sur le chlorométhylate de phénylméthylchloropyrazol
782 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
en donnant naissance à V anilo-antipyrine ou anilopyrine
yAz-C6H5
CH3-Az< >C
\Az
i
CH3-C CH
qui se forme également en chaufTant un mélange d*antipyrine
de chlorhydrate d*aniline avec P^O» ou POCl' (Silbei*stein, D. B. I
n*» 118384). Ce composé crist. en paillettes blanches f. à 120
n'est pas dédoublé par HCl en vase clos à ISO"", ni par KOII alcu
L'ac. azotique concentré dissout Tanilopyrine à froid ; par addili
d*eau, on obtient 2 produits bien déflnis : Tun crist. dans V\
acétique en aiguilles rouges f. à 196*", répondant à ia formi
C**H8Az*0*; il détone lorsqu'on le surchauffe mais on peut
sublimer en opérant avec précaution. Réduit par Sn et HCl il
transforme en un dérivé aminé C^^H^Az^.AzH*, en paill^tl
rouge foncé f. à 215®, sol. dans l'alcool chaud.
La 2* substance crist. en paillettes jaune citron, f. à i64*, .s
en rouge fuschine dans les alcalis. Elle répond à la ionoJ
C**H*<>Az*0*. L'anilopyrine s'unit à l'iodure de méthyle à J^
pour donner un iodométhylate C*''H*"^Az5.CHM, en prismes dui
jaunâtres, f. à 174*», sol. dans l'eau.
L'ammoniaque aqueuse ou alcolique réagit dirOcilement sur
chlorométhylate primitif. Avec le carbonate d'ammonium^ à fO(
en vase clos, il y a réaction, et on obtient une iminopyrine
HAz< >C
Il \AzH
HG CH
Celle-ci crist. dans le toluène bouillant en aiguilles blaoclie^
à 116*», sol. dans l'alcool et l'élher. Elle distille sans décompo5it;<
et ne donne pas de coloration avec FeÇl*. p. frbundler.
Contribution à la chimie des triazoU-l-méthyl-S-ozytriaio
George TOUNG et William Henry OATES (Chem. Soc, t. 7!
p. 659-669; 6.1901). — Les auteurs, contrairement à leur attanti
ont obtenu le môme phénylméthyloxytriazol en oxydant par Veù
en sol. alcoolique soit la benzal-2-méthylsemicarbazone
C61P-CH=Az.A2(CH3)-GO.AxHa,
CHIMIE ORGANIQUE. 783
it lin mélange de benzaldéhyde et de la méthylsemicarbazide de
iining CH*-A2H-AzH*-C0-AzH*. Ils montrent que ce résultat
■nt à ce que le composé de Brûning, préparé par l'action du cya-
i\e de potassium et de la potasse sur le sulfate de méthylhydra-
œ est en réalité la 2-méthylsemicarbazide
AxH»- AzH(CH3).G0- AzH2 ,
non la I -méthylsemicarbazide.
Le S'pbényl'l-métbyloxytriazol
Az-Az(CH3)v
C6H5-C Az/^
OH,
"éparé par les méthodes indiquées plus haut, crist. dans Talcool
»flu eu longues aig., F. 218-219'*, sol. dans Teau et Talcool,
oins dans le benzène ou Téther bouillant, sol. dans les alcalis et
T^fécipité par les acides. — Dérivé acétylé, crist. dans la ligroïne,
, 72», 5-7d** ; il est hydrolyse par Teau bouillante.
Le 3-phényl-l-méthyloxytriazol, chaulTé pendant 6 heures à
I0-26O» avec P^S^*, fournit par perte de CH* et réduction le c-
ï^yHriazoI
AzH-Az^
C«H5-C==Az/ '
tti crist. dans un mélange de benzène et de ligroïne, F. 118**, 5-
IS»* et dont le cbloroplatinate (C8H'îAz«)«H«PtCl« forme des crist.
iMgés.
Eo faisant agir Taldéhyde cinnamique sur le produit de réduction
^ la nitrosométhylurée, les auteurs ont obtenu la cinnamal'2'
Mbjhemicarbazone C«H5-CH = CH-CH = Az.Az(CH3).C0-AzH«
pi crist. dans l'eau et l'alcool en aig., F. 155°. Par oxydation au
»fen de FeCP en sol. alcoolique à 100° cette semicarbazone
fcomit le S^tyrényl'l'méibyloxytriazol
Az.Az(GH3K
Il >COH,
C«H5-GaH2-C Az^
T« crist. dans l'alcool à 70 0/0 en aig., F. 204-205% et dont le
^émré acétylé soL dans la plupart des solv. org., F. 88-89°.
^m.'nitrobenzal'S'métbylsemicarbazone
AiO»-G6H*-CH=Az-Az(CH3)-CO-AzH2,
784 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
crist. dans Talcool bouillant en aig. jaunes, F. 207-208* et foua
par oxydation au moyen de FeCl^ le S'm'ttUropbéayl-l-méthr
oxvtriazol
Az-Az(GH3k
Il >GOH.
qui crist. dans Talcool à 70 0/0 en aig. blanches, F. 285-285^,5.
La benzoyl~4~métbyîthiosemicavbazide
C6H5-CO-AzH-Az=C(SH)-AzH-CH3,
a été obtenue par Faction du chlorure debenzoylesur la 4-méth2
thiosemicarbazide de Pulvermacher (Ber.y 1894, t. 27, p. 622î |
milieu chloroformiquo ; elle crist. dans Talcool en aig^., F. ini
Chauffée au voisinage de son point de fusion, elle perd de Feau
fournit le S'pbényl-l'métbylmércaptotriazol
Az Az<^^
Il 7C(SH),
G6H5.C-Az(GH3)/
qui crist. dans l'alcool à 70 0/0 bouillant, F. 163-164*, soL da
les alcalis et reprécipité par les acides. En évaporant ce com
plusieurs fois avec H*0* étendue, on obtient le S'pbényl'î-iaétbl
triazol
Az Az^
Il 7CH.
G6H5-G-Az(GH3)/
qui crist. dans Tëlher en aig., F. 112-118*».
Le phénylméthyltriazol est sol. dans Falcool, Peau chaude i
réther bouillant ; sol. dans les acides étendus et reprécipiu^ pj
CO^Na^. A. VALEIR.
I
Sur Faction des sénévoU sur les acides diihiocarbasiniqtit^
M. BUSCH et E. WOLPERT {D.cL G., t. 34, p.804-320 ; 30.1.1001
— L'ac. phényldithiocarbazinique s*unit aux sénévols de d**U
façons différentes suivant que Fon opèi'e à froid ou à chaud :
froid, on obtient un Ibio-triazolyle-mercaptan :
G«H5-AzH-AzH G«H5.Az— Az
(I) I +GS-AzG6H5=: I II 4.H2S
GS-SH se G-SH
\/
Ai-C^H^
CHIMIE ORGANIQUE. 785
à chandy un Ibiobiazolyl'mercaptaa :
C^H^-AzH-AzH C^HS-Az— Az
ri I +CS-AzG«H5= I II +WS
CS-SH C^HS-Az^G G-SH
V
Le premier produit peut, en effet, être facilement désulfuré par
]^), tandis que HCl bouillant ne lui enlève pas d'aniline. Le
euxième présente les réactions contraires. Il y a là un phénomène
talogue 8 la transformation de la benzoylphénylthiosemicarbazide
D thiobiazoline ou en biazolylmercaptan, suivant que Ton emploie
Qinme agent de condensation le chlorure d'acétyle ou celui de
anzoyle.
Pour préparer le dipMéoyl-l.d^thiO'ô'triazolylmercapiaihS, on
bandonoe 15 heures à froid une ëolution alcoolique (à 50 0/0)
quiinol. de phényldilhiocarbazinate de K et d*isosulfocyanate de
èéayle fortement alcalinisée. On chauffe ensuite à 80° jusqu'à ce
u'urie prise d'essai, additionnée de HCl et de FeCl^, doime un
récipilé jaune franc de disulfure. Le produit est ensuite ppté par
Ici, lavé à l'alcool et crisl. dans Tac. acétique. Aiguilles jaunes f.
i 177-178", douées de propriétés acides. Traité par Tiodure de mé-
kyle et KOH, ce mercaptan fournit ïéther méthylique en aiguilles
ïbnches, sol. dans les solvants usuels, f. vers 124-125*. En chauf-
knt cet éther en sol. benzénique à 150°, en vase clos, on le trans-
bruie en éther méthylique du diphényl'lA-tria/.olonyUmercap-
G«Hî^-Az— Az
oi
G-SGH3
Az-G^H»
l^riâmes cubiques f. à 103°, sol. dans les liquides organiques.
Mol. dans Teau. Ce composé est différent de celui que M. Marck-
>i4ld a obtenu au moyen de ra-diphénylthiosemicarbazide et de
UXH*. On Toblient également en traitant le triazolyl-mercaplan
fruaitil par HgO» ce qui donne le disulfure :
[/Az^G-S- l'
G«H5-Az( I
\go-az-g«hsJ
l-a2fî\ transformant ce dernier en mercaptan (F. 135°) au moyen
tk falcool ei de Tamalgame de Na, et méthylant ensuite le mer-
soc cani., 8* BÉa., t. xxvi, 1901. •» Trav. ètrang 50
L
786 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
captan comme il a été dit plus haut. L'élher méthjiique n'est p
altéré par HGl concentré à 200° en vase clos.
L'oxydation du triazolylmercaptan au moyen de KMnO* (à i «J
en présence de KOH fournit Vacide sulfouique correspondjc
C«*HioAz3S.SO»H (fmes aiguilles blanches f. à 343^). Avec Vm
(ou FeCl»), on obtient le disulfure (C^^H'^Az^S*)» en vâ^vXk
jaunes f. à 147-148°, sol. dans le chloroforme, insol. dans IV«i
Traité par AzH^ alcool., ce disulfure se transforme en thichsnm
C**H*<^Az3S.SAzH* et mercaplide d'ammonium ; la première i-n?
dans la ligroïne en aiguilles blanchâtres, f. à 130°, insol. dai
Teau, sol. dans les Hquides organiques; elle régénère facileue!
le mercaptan à chaud. Avec Taniline, on obtiendrait le coniptM
G6H»-Az--Az
I II (V
se C-S-G6H*-AzH2
\ /
Az-C«H5
aiguilles f. à 175°, peu sol. dans l'éther et Talcool, douées de pn]
priétés basiques. Le chlorhydrate est en aiguilles blanches, vj
dans Talcool, décomposables par l'eau. La base se laisse diazo
et copuler avec le p-naphtol (aiguilles orangées, f. à 2iS*, soi.
rouge cramoisi dans SO*H* concentré;. Avec Télhylaniline «J
obtient de même le composé C**H»oAz3S.SC6H*..\zHC*H5eu cni-
durs, f. à 182°, peu sol. dans Talcool et Téther; la aJtrosaniii\
corresp. est en aiguilles jaunes f. à 127°, sol. dans Télher, le beij
zone et le chloroforme.
Le phénylphényliminothiobiazolylmercaplan (voy. réquationll
s'obtient en ''haufl'ant à 115° des quantités équimol. de phén\M
thiocarbama»e deK et d*isosulfocyanate de phényle. Il se forme tj
même temps de la diphénylthio-urée qu'on élimine par addition «i
Na*C03, puis le mercaplan est ppté par HCl et cristallistî dM
Talcool chaud. Paillettes blanches f. à 171-172°, peu sol. daa
réther et le benzène, très oxydables. Le disulfure coiTOspoiultJi
est en aiguillas jaunes, f. à 106-107°, sol. dans les acides (^pru|»4
basiques), le chloroforme, etc. Vélher wêlhylique^ obtenu furiifl
ment en chauffant un mélange de phényldithiocarbazinate de lorl
thyle et d'isosulfocyanate de phényle à 120°, crisl. dans TalcoC
éthéré en tables prismatiques, f. à 67°, insol. dans l'eau, sol. dAoi
HGl concentré (formation de sel dissociable par l'eau ). Le chlon*^
platinate est en paillettes brunes.
La réduction de l'éther méthyliuue par Tamalgame (oumit dr J
thiocarbanilide ; HgO n'agit pas; HCl conc. à 180*, en \ai** clo.-,
CHIMIE ORGANIQUE 787
fouratt de Taniline et l'éther méthylique du phényltbiobiazolonyl"
mercaptatà :
G«H5-Az— Az
J Jl
OC C-SGH3
\/
S
eo aiguilles f. à 40-41% sol. |dans les liq. organiques, insol. dans
le^ ac. minéraux et les alca^s. Ce corps a pu être reproduit en
chaufTant à iOU* en vase clos une sol. toluénique de COGl* et de
phéayUlithiocarba/inate de méthyle.
Avec Tac. p.-tolyldithiocarbazinique, on a obtenu de même le
^tMoljrl'ï-pliényl'4 thiotriazolylmercaptan (aiguilles jaunâtres, f. à
162-163**, sol. dans le benzène et le chloroforme, peu sol. dans
Talcool et Féther) ; le sel de Na, C**H**Az3S*Na est en prismes
hrillants, sol. dans Talcool et Teau, insol. dans NaOH concentrée.
Le disulfure est en aiguilles jaunes, f. à 205**, sol. dans le chloro-
forme ; VtUher méthylique en aiguilles aplaties f. à 158*, sol. dans
l'alcool. Il se forme dans la même réaction un peu du tolyl-phényU
miDù-ihiobiazolylmercaptan qu'on obtient plus facilement en
eliauiïant les deux composants à sec vers 120<*; paillettes blan-
châtres, f. à 162-163*, presque insol. dans Téther et le benzène.
Le disulfure crisl. en aiguilles jaunâtres f. à 130*», sol. dans le
cliloroforme, il forme un chlorhydrate huileux. Uéther mélhylique
f>\ en prismes aciculaires f. à 68-69*», peu sol. dans Talcool, sol.
daos rêlher et le benzène ; il s obtient aussi directement à partir
du tolyldithiocarbazinate de méthyle et de Tisosulfocyanate de
phéoyle à 130^. Traité par HCl à 180% il se dédouble en aniline et
/AZ--C.SGH3
vAolyUhiobiazolonvl'mèthvlsuUine G'^H"^.Az< | (pail-
• ' ' \go-s ^^
lettes blanches f. à 52*, sol. dans Talcool) ; celle-ci s'obtient
également en chauffant une sol. benzénique de GOGl* avec du
p.Holyldithiocarbazinate de méthyle.
Les auteurs décrivent les composés suivants :
Pbényl-i'tolyl'4'ibiotriazolylmercaptan (obtenu en partant du
(AényUiilhiocarbaziuate de K et de Tisosulfocyanate de p.-tolyle, à
froid»; aiguilles jaunes f. à 178*. Vétber métbylique fond à 152*
'paillettes brillantes sol. dans Talcool).
La pbrnyl'i'p.'toIylimin(h5-lbiO'biazoylmélbyIsuI/Ine (phényldi-
tbiocarbazinate de méthyle et isosulfocyanale de tolyle à 130*),
*:rist. dans Taicool en paillettes incolores f. à 101*.
Liaosulfocyanate d*allyle ne réagit que très difficilement. Avec
L
788 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
réther phényidithiocarbazinique à 145*, on oblient une trëspeiiti
quantité de cristaux f. à 183°, sol. dans Tac. acétique ^probabk»'
ment Téther du phénylallyliminothiobiazolylmercaplan).
V9.'napbtyl-i'pbényl'44hiotriazolylmercaptau fond à 120* ^raasai
crist. sol. dans Falcool). Véthev métbylique crist. en petites aig
f. à 197-198°, peu sol. dans Talcool). L'isomère obtenu avec F»
napiityldithiocarbazinate de méthyle fond à 148-145°.
I/isocyanate de phényle ne réagit pas sur Tac. phényldithiocar
l)azinique ou sur son sel de K. Avec l'éther méthylique en solutioi
benzénique, on obtient Turéthane C®H5Az<^q^J^^^*^^|;J5 en ai^i
blanches f. à 186°, presque insol. dans Téther et la ligroïne; n
composé se dédouble suivant Téquation :
yAzH-CS-SGH3
G«Hîi.Az< + G^HS-OH
XGO-AzH-G^HS
= C6HS-AzH-AzH-GS-SGH3 + GôHS-AzH-COîC^US,
lorsqu'on chauffe sa sol. alcoolique à 120° en vase clos.
p. FBEUNDLSR. 1
Sur les thiosemicarbazides isomériques ; M. BUSCH et 1
HOLZMANN (D, cb. G., t. 34, p. 820-345; 80.1.1901). — M. Mardi
wald a montré que les dialcoyllhioseraicarbazides se présenleo
sous 2 modifications, Tune stable, l'autre instable. Il consitièn
cette isomérie comme étant d'ordre stéréochimiqne, en cela il ^
base principalement sur Faction de COCl* (D. rb. G., t. 25|
p. 8098). Les auteurs démontrent actuellement que ces isomôi^
répondent aux formules :
R-Az-AzH2 R-AzH-AzH
I . I ,
CS-ÂzII-H C^S-AzlI-H
ou aux formules tautomériques. Voici les preuves fournies à raj»p»«
de cette manière de voir :
L'ac. azoteux dédouble la diphénylthiosemicarbazide a en dipbt*-
nylurée
/AzH2
C6H5. Az< + AzO^H
\CS-AzH-(:«H5
= Az20 + G6H5-AzH-CS-AzH.C«n* + \VO,
avec risomère ? on obtient un nitroso-azoïque :
C^H^-AzH-AzH G6H5-Az= Az
I +Az02H= I +51130+. S,
<;6H5-Az = i>SH C«H5.Az:iC-AzO
CHIMIE ORGANIQUE. 789
l/ald. benzoïque fournit avec Tisoraèrea un dérivé benzylidénique
*|ue Foxydation transforme en diphényl-phénylimino-thiobiazo-
\one :
/Az=CH-C«H5 /Az=C-C«H5
C«H5-Aa< + O = H20 + C«H5-Az< |
NCS-AzH-C6H5 \C— S
II
AzC^HS
L'isomère p ne réagit qu'à haute température avec formation d'un
corps complexe {D. cb. C, t. 30, p. 853).
C6H5-AZ Az
C«H5-C-AzC6H5.C
S
Avec COCl* Tisomére a réagit suivant l'équation :
C6H*-Az-AzH2 C6H5-Az.Az=CO
I +C0C12=:2HC1+ I
HS-C=Az.r/H* HS-C=Az.G6H5
C^U^'kz Az
HS-CK >c
La formule cyclique de Marckwald serait à rejeter).
L'isomère p fournit de la phénylanilidothiobiazolone (Freund,
D, cb. G., t. 23, p. 2821).
Le ihiophosgène s'unit à Tisomère a pour donner \e pbényl-l'
phéajrli'mwo'ô-tbiobiazolylmercaptan (l) (voy. le mémoire précé-
*lent) et à Tisomère p pour donner la pbényl'l-pbéDyliminO'3-
ditbiobiazoloae (II).
C^H^-Az— Az C6H5-AZ— Az
C«H*-Az=C C-$H se G-AzH-C«H5
\/ \/
S S
(I). (H).
Les éthers méthyliques des2diphénylthiosemicarbazides consti-
tuent des bases fortes. Tandis que l'isomère a s'isomérise très
fidlement, son éther méthylique est absolument stable.
Là liqueur de Fehiing est réduite à froid par l'éther p, et à chaud
«eolement par l'éther a ; HgO n'agit sensiblement pas sur le premier,
tiodis qu*il transh)rme le deuxième en un azoïque :
C*H»-AzH-AzH.C(SCH3)=Az-C6H5-l-!2HgO
= Hg20 + H^O + C«H5-Az= Az-C(SGH3)^AzCPHS.
lALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
lème sur l'isomère ?, tandis qu'avec l'èthera'a
hyliso-thio-urée CH>S-G<^^[J:^S'^
'ac. benzcnesiilfonique, le sulfure de carboae
fournissenl respectivement les réactions caracli
,'drazines primaires (a) et secondaires ift). A\e
et l'éther fl, on obtient k chaud l'étlier du tripii*
jlylmercaptBii j
C«HS-Az— Ab '
CSHï-CH C-SCH» (
Aï-C«HS I
CSCI>, les éthers x et p donnent respecliveniesl
ithers méthyliques des mercaptans décrits [riui
le mémoire précédent).
icétique donne avec l'éther p un ilêrivé mou»
rétlier a du méthylmercaplan et du f/wiiyJphéiiyt
P-Az-AzH'
CHi-Az— Al
JS-CO'H + CH3-SH + I II
C^HS-Az-C C-CHi
.anate de phényle, les réaclions s'erTecluenl conua
c, cit,) :
Cll^-Az-AzH»
I +CS-AtH-C*Hs
lS-A»=C-SCHï
C«H»-Az— Az
= GH'-SH + I 1
G6H*-Az=C C-Az[l-r.«[li
?>HS-Az[I-A
CHJS-C-AzH-i:«H*
Il +as-AzHc«m
CHIMIE ORGANIQUE. 79t
La raélhyl-l-phényl-4-thiosemicarbazide ne parait pas exister
uus 4 iormes isomériques. Il en est de même des tri-alcoylthio-
fmicarbazides R*Az.AzH.CS.AzH.R; mais ce dernier fait est
xpliqué fort bien par Thypothèse développée ci-dessus.
L** mémoire original renferme la description des composés
CKiveaux mentionnés ci-dessus.
La combinaison benzylidéiiique de la dipliénvltliiosemicarba-
iie a crist. en aiguilles incolores f. à 167-168°, peu sol. dans
ilcool et la ligroïne; elle se décompose à 220°, se dissout dans
.OH alcoolique en formant un sel en fines aiguilles blanches
lt^>ciables par Teau; Véthev méthylique crist. en aiguilles
linches f. à 127-128°. La combinaison benzylidénique traitée par
^2* en sol. alcoolique se transforme en diphénylphénylimino-
khhidzoloiw (voy. plus haut); aiguilles soyeuses, f. à 184-185°,
eti sol. dans Talcool.
Avec risomère p, Tald. benzoïque ne réagit que vers 140-160°
lef formation du corps complexe C^H^^Az^S; prismes jaunes f.
814-315" avec décomposition, très peu sol. dans les liquides
ri^niques» formant des sels dissociables par Teau. L'iodomélby-
Uf sol. dans l'alcool fournit après décomposition par KOH alcool.
ùf base en paillettes blanches f. à 152°.
Le mercaptan résultant de la condensation de COCl* avec Tiso-
lèrea a été décrit (Marckwald, loc. cit.). Il n'a pu être transformé
• ilisulfure.
La phénvlaailidoditbiobiazolone obtenue avec CSCl* et Tiso-
Ihe p ivoy. plus haut), crist. dans le benzène en aiguilles f. à
>^l8d* très peu sol. dans Tétlier de pétrole. Le nblorbydrate
CQrîtilue une poudre cristalline.
L'étbt*r métbyliqae de la diphénylthiosemicarbazide a, préparé
b^xtement à froid, crist. dans Talcool en aiguilles blanches f. à
M-T8*, il réduit la liqueur de Fehiing à chaud et forme un acétate
■al>le; le cblorbydrateQi le sulfate sont huileux, le chloroplatinate
•ifil. en paillettes hexagonales, peu sol. dans Teau et Talcool, qui
fcft'lent vers 155° en se décomposant.
Vétber ? crist. dans l'alcool en prismes f. à 11°; il réduit PlÇl*
•< w forme pas de sels stables. Traité par HgO à froid ou par
A/* W en soi. diluée, il se transforme dans Vazoïque
C«H5.Az=Az-C(SCIP)=Az-C«H5,
■^nulles rouge foncé, f. è 66°, sol. dans les liquides organiques et
<îaû5 U^ ac. minéraux, facilement réductibles par H*S.
792 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
Viodbydrate de méthyUisothio-urée crist. en paillettes blancèn
f. à 157-1 58®, sol. dans Talcool.
Le dérivé benzène-sulfoné a crist. en rhomboèdres f. àil6-lfffS
sol. dans Talcool chaud et les alcalis, peu sol. dans Téther ei m
ac. minéraux. Le dérivé? C«H5.Az<^^^Jj^f^*)=^*-*^'^«î
insol. dans les alcalis et les acides ; paillettes f. à 146-147% p^i
sol. dans Télher.
L'éther à s*unit à CS* pour donner le sel de Tac. dithiocarbazi'
nique avec la base elle-même (poudre crist. jaune, f . à 174*. «i
dans Talcool et le chloroforme, insol. dans Téther et le benzène!
Avec Tald. benzoïque on obtient le dérivé benzylidénique «
aiguilles f. à 127-128'', sol. dans l'alcool, le benzène et Téther. iJ
Morhydrate est en rosettes hygroscopiques.
L'éther p et Tald. benzoïque s'unissent vers 110* pour donoerli
tripiïényl'l . 4 . ô-dihydrotriazolylmercaptan (voy . plus haut i ; laWe
f. à 108-109° très sol. dans le benzène et le chloroforme.
L'éther a réagit avec COCl* en donnant naissance au compoâ
f. à 183-1840
C6H5Az Az C^HS-Az Az
\yO lyO 1
CH3-S-C< >C HO.C< >C
\Az-G6H5 NAz-C«H*
(I). (II).
«
décrit par M. Marckwald (I). Traité par KOH diluée au B.-ll. œ
éther se dédouble en mercaptan et en un produit acide ^11). qtj
crist. dans l'alcool en aiguilles f. à 161-162'', insol. dans l'eau froidj
et la ligroïne, sol. dans Na'CO^ et AzH*. — Le dérivé sut/un
correspondant obtenu avec CSCl^, crist. dans l'alcool en aigtaillâl
f. à 156-157**, sol. dans le chloroforme, presque insol. dans rélbtfj
et le benzène.
Le dérivé acélylé de Téther p crist. dans l'alcool en aiguitl«^
blanches f. à 139- 140*, sol. dans le chloroforme et Talcool; KOl|
alcool, bouillante enlève du mercaptan à ce composé.
La pliényl'l'-pbénylimino-anilidothiobiazoloae obtenue «vrt
l'éther a et Tisosulfocyanate de phényle (voy. plus haut), fourni!
un éllier mélhylique (à l'azote) en aiguilles f. à 148-141% sol. das^
l'alcool chaud, l'éther et le benzène.
Le dipbényl'anilido-tbiotriazoî obtenu avec Téther p, cns*
dans Talc, dilué en aiguilles soyeuses f. à 179^, peu sol. dfto^U
ligroïne; HgO lui enlève facilement son soufre. VéihernéîbyU^
est en paillettes f. à 112-113'', sol. dans l'alcool, p. rHnmmjBik.
CHIMIE ORGANIQUE. 798
Sur raction dn méthylate de sodium sur la phénylhydrazone
I Taldéhyde phénylnitroformique ; E. BAHBER6ER et J.
lOB {D. cb. G., t. 34, p. 523-532; 14.2.1901). — L'action du
léthylate de Na sur la phénylhydrazone de Tald. phénylnitrofor-
ûque donne naissance principalement à un composé
(C«H5)2G»Az*(C6H5)2,
m est la tétraphényltétrazoUne :
.r.. c >;^A2-AiH-C«H5 CCHS-C^ Naz-C6H5
^\z02 C'HS-AzL Jc-C«H5
11 se forme en même temps de Tac. benzoïque, du benzoate de
létfayle» de la benzanilide, une base f. à 109^ et un peu de forma-
^.benzène C«H^C<^:^^CW^.
, La constitution de la dipbényltétrazoline est basée sur les faits
luvants :
Distillée sur de la poudre de Zn, elle fournit de Taniline et du
Rtrile benzoïque.
On l'obtient en oxydant la déhydrobenzylidène-phénylhydrazine
|ir 1 en présence d'éthylate de Na :
Az Az
Cni5.C^\AzH-C<»I15 C6H*-Cî^NAz-C6Hîi
C«H5-A2'v^H-C«H5 C^H^-Azl^ Jg-C«H5
Az Az
Enfin elle se forme dans l'action de I sur le dérivé sodé de la
keûrylidène-phénylhydrazine.
Là réaction entre le méthylate et Thydrazone s'effectue a froid.
Le tétrazoline crist. en aiguilles brillantes, jaune d'or, f. à 203-204^,
p«n sol. dans l'alcool, sol. dans les autres solvants organiques. La
»!. dans SCHH« conc. vire au violet par addition de K*Cr*0"' ;
«eBe dans l'acétone est colorée en brun violet par AzO*H.
La distillation sur la poudre de zinc qui fournit de l'aniline et du
«rtrile, benzoïque s'effectue très nettement au-dessous du rouge.
L'oxydation de la benzylidènephénylbydrazine par I donne
naissance, en plus de la tétrazoline, à un mélange dedibenzylidène-
*pWoylhydrotétrazone et d'osazone a du benzile, f. à 218» (l'iso-
nxïre ? fond à 235.286*).
L'bydrazone du benzile qui fond à 134<», s'obtient en chauffant
794 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
une sol. alcoolique de benzile avec 2 mol. de chlorhydrate de \M
nylhydrazine pendant 1/2 heure seulement.
En traitant la tétraphényltétrazoline par un mélan^ d'ac.
tique et d*ac. acétique, ou en la chauffant avec du nitrtte d'aio\ij
et de Tac. acétique, on obtient un dérivé diuitré qui crist. dan< )|
xylène bouillant en aiguilles brun rouge f. à 310^, peu soi. dafl
les solvants organiques usuels. La sol. dans SO*H* est oolorée ^
vert par K«Cr«0^
La p,- nitropbènylhydrazone de Fald, phénylnitroformiqu^
traitée par le méthylate de Na, a fourni pareillement une dJ-p.-it
nitrotètraphényUétrazoUne :
Az
C«H5-c/\az-C6H*-Az03
Az()2-C6H*-aJv Jc-C6H5
Az
aiguilles rouges f. > 300*», peu sol. dans les liquides organique
sol. dans SO*H* avec une coloration jaune qui \ire au vert s«l
par addition de K^Cr^O"^.
Dans la même réaction il se forme de Téther benzoïque et un
poudre violette à reflet vert qui est vraisemblablement le dinitni
diphénylformazylbenzène. p. freundler.
Des éthylpipéridiiies droites et gauches; Ham FRESJ
(Z). e/i. G. y t. 33, p. 3483; 14.1.1901). — L'auteur a repris avt^
une grande quantité de produits la séparation optique de l'x-élhj!
pipéridine, séparation déjà exécutée d'une façon partielle pi
Ladenburg (Liebig*s, Ann.f 247-71). Un mélange d'acide tartrtqu
droit et de base se prend au bout de 8 jours en une l>oui]lii
de cristaux. Le tartrate droit ainsi obtenu décomposé i^
les alcalis donne la d.-a-éthylpipéridine, liquide Eb. 142*1 43*, i
(D* = 0,0868 [a]„^ + 17o).
Les eaux-mères débarrassées du sel droit sont saturées im\
la KOH et le précipité est combiné avec de Tacide tartrtqiM
gauche. Le composé gauche n'ayant pu être obtenu eu quantité
suffisante, Tauteur a trouvé pour son point d'ébuUilion 138-1 4±"
la]j^=r= — 14**, 55. Celte dernière forme n'était pas dans un état *U
pureté suffisant. a. mou.sktrat.
Action du brome sur la p-picoline; E. DEHNEL {B. eà. G ,
t. 33, p. 3198, 14.1.1901). — On sait qu*à haute tempéraUifv U
substitution du brome se fait dans le noyau pyridîque, tandtc
CHIMIE ORGANIQUE. 795
rà uoe température modérée cette substitution ne se fait que dans
chaîne latérale. La p-picoline Cî*H*AzCH^ chauffée en solution
torfaydrique 10 h. à 150® avec du brome fournit un liquide rouge
^el Feau sépare une huile lourde. Cette huile décolorée par
P fournit un liquide clair qu'on disLille dans le vide. Entre
"W» on recueille une huile très mobile, entre 90-100"* un corps
i cristallise. On purifie ce dernier par neutralisation dans Talcool.
•corps correspond à C**H*Az*Br^.
Le produit de la réaction du brome sur la p-picoline débarrassé
ton huile lourde contient à côté de la p-picoline, de riA-bromo-
picoUne G*H*Az- CH*Br. Cetle base qui excite fortement les
laes ne peut pas être isolée à Tétat libre à cause de son peu de
èiht*. On la sépare à Tétat de picrate C«H«AzBr-C«H30Uz3.
fuilles peu solubles dans le benzène, l'acétone F. 114®. Par ébul-
Krti avec beaucoup d'eau il se transforme en picrate du p-pyri-
Wbinol Cî^H»Az-CH«-0H.C«H»0'ïAz3, aiguilles jaunes F. 128%
tez solubles dans Teau bouillante et Tacétone. L'auteur n'a pu
aiLer Tatcool libre à cause du manque de produit. Le sel d'or
W'OAz-HAuCl*, aiguilles jaunes F. 136-137®; sel de platine
WOAz.HGli^PtCHF. 193-195®, tables romboèdriques d'un rouge
•ttn. A. MOUNEYRAT.
Bn propriétés de réthylpipéridine et sur un nouveau mode
Ibrmationde ce corps; A. UPP [D. ch. G,, t. 33, p. 3513;
I.Î.IIX)!;. — Ainsi que l'a montré précédemment l'auteur (Ann,
GH-CH=GH
*ing, L 294, p. 135), par réduction de |i j ,
^ ^ ^ CH-Az-C-CH«.GH*0H
»« le sodium et en solut. alcoolique, prend naissance à côté de
8*-CH«-CH«
I ; un liquide très solublo qui possède les
B*-AtH-CH.CH« . CH«OH
•jpriétés de réthylpipéridine, mais dont le point de fusion du sel
fcphitine est différent de celui du sel de platipe de l'a-éthylpipé-
Mme de Ladeuburg. L'auteur montre que malgré cela sa base est
heo celle obtenue par LadCàiburg et que le point de fusion donnée
i» ce chimiste doit être corrigé. Ce point de fusion est compris
'««(iOK-glO®).
^-^ihylpipéridine C^W^\z. Eb,,,^ 112-143® (corrigé). —
1^-0.8651, Soiuble dans 20 fois son volume d'eau. Chlorhydrate
PH«\zHCl F. 181.182®. Sel de platine (C-H«5Az.H(:i)*FtGl*
^ iOB-210» avec dégagement de gaz, peu soiuble dans l'eau et
<ilcool Iroîd. Sel d'or G^H*»Az.HGl, AuGl» F. 129-130« se décom-
796 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pose à 155-1 60^ Picrate C^W^Az.CfiWO^Az^ F. 188» facOeM
soluble dans l'eau chaude et Talcoo).
NitrosoétbylpipéridÎDe C^W^\z,AzO, huile jaune Eb7^=^fl
232*», soluble dans Téther.
Benzolsulfone-oL'étbyipipéridine CH^^Az.SO^-C^H» F. 64-fil
soluble dans Téther, chauffé avec HCl concentré à 150-i60*, h
se décompose en acide benzènesulfonique et éthylpipéridine.
Az-méthyU-élbylpipéridine CH^Uz-CH», Eb73o= ^ 58*^*51'
(corr.), D»=:0.854i se dissout dans environ 100 fois <
volume d'eau. Chlorhydrate en aiguilles F. 158-154*. Sel <ï
C«H"Az.HCl-AuCl» F. 118-119% soluble dans ralcool et Pe
chaude. Sel de platine (C«H*'îAz.HCI)«PtCl*. Sel de raerLU
CSH^-ïAz.HCl.HgCl» F. 202«205*. Picrate C^H^^Az.G^H^O-J
F. 175-176%
Le cbhrométhylate de la N. métbyl'a-étbylpipéridine forme il
aiguilles très hygroscopiques lesquelles chauffées à SOO*
décomposent en chlorure de méthyle et éthylpipéridine. Sou i
d'or est presque insoluble dans l'eau froide C^H**Az(GH*)*ClAtH
F. 245% Sel de platine [C'^H«*Az(CH«)«Cl]«PtCl* décomposilioo
240-245<'. A. MOUNBYRAT.
Dérivés du méthylfarfural ; Henry J. Horstmann l'KHTUM
Hi88 Mildred GOSTLIHG {Cbem, Soc, t. 79, p. 807-816; 7.«9oi
— Les auteurs en faisant réagir HCl sur le lévulose ou la ci'itulo
en présence d'éther sec ont obtenu le cblorométbylfurfural
CH— CH
GH2C1.C CH-CHO
Y
comp. analogue au bromométhylfurfural obtenu antérieiireiiii^
{BuIL Soc, cbim,, t. 55, p. 777). Il est sol. dans la plupart à
solv. org., F. 87-88« ; AzO^Ag en précipite directement CI à frd
en sol. alcoolique.
AcéloxymétbymirfuralO:zC\\-C^WO'CYi^OQOCW, prépara J
l'action de l'acétate d'argent sur le bromométliyfurfbral en m
acétique, crist. dans l'éther sec et le pétrole en prismes Iranspi
rents, F. 55«. — DenzoxymétbyifurfurallK^M^'O-GOC^W, phsiai
incolores, F. 56-57**.
Les chloro et bromométhylfurfurals sont fticilement rédnils pi
le chlorure slanneux en sol. acide, en S-méthylfurfural, Éb. \m^
CHIMIE ORGANIQUE. 7U7
*, îdeaiique au produit obtenu par raclion des acides dilués sui*
tiainnose.
Hfurfurylétlmuedialdéhyde
CHa i-CH2 — CH2-J, JCHO
lolv ]-CH2 — CH2-J le
o o
l> composé a été obtenu en faisant agir l'argent métallique
•ment divisé, obtenu par réduction de AgCl au moyen du zinc,
le bromométhyirurfural en milieu benzénique bouillant
le subst. erist. dans Teau bouillante en prismes presque inco-
r, elle est sol. dans le chloroforme et l'acide acétique, mais se
•out très peu dans la plupart des autres solv. froids, F. 119-120''.
f fournit une dihydrazone qui crist. dans un mélange froid
kool absolu et d'éther en plaques, F. 179-181'' et une dioximc
I crist. dans un mélange chaud d*alcool absolu et de cliloroforme
prismes, F. 182*. Oxydée par Ag*0, elle se transforme en acide
'urfuryléihauedicavboxylique
C02H-C*H20-GH3.CH2.C*H20-C02H ,
I eriàt. dans Talcool étendu et dans un mélange d'alcool absolu
At toluène en prismes, F. 267-269** (décomp.). a. valeur.
But les aniles dérivés de Taldéhyde thiophénique ; A.
UrrZSCH et R. WITZ (D. ch. 6\, t. 34, p. 841-847 ; 20.4.1901).
Laid. Uiiophénique ne forme qu'une seule combinaison avec
Ailine, la p.-toluidine, etc.; par contre, avec Taminothiazol les
Ueurs ont obtenu en plus du Ihiophénal-bis-aminolhiazol, deux
kopbéDal-iminothiazols qui se transforment lacilement Tua dans
Wre et qui constituent vraisemblablement un cas de stéréo-
taérie. Ce> dérivés de Pald. thiophénique diffèrent de ceux de
M. benzoîque parle fait qu^ils donnent des chlorhydrates stables,
^Béilant par conséquent la configuration anti :
C*H3S-C-H
H-Ai-Cl.
I
H
Ld combitiêJsou dald, tbiophéinque et dauiline est liquide et se
^tfte h basse température. La combinaison avec la p.-toluidiiw
798 ANALYSE DES TKAVAUX ÉTRANGERS.
C*H3S.CH=Az.C«H*.CHa obtenue à chaud, cristallise dansVatu
en prismes jaunâtres f. à 62"; celle avec \ei p.-bromanilwee^i
paillettes jaune pâle, f. à 90", peu sol. dans Talcool, sol. da»
benzène et Téther. i
Les chlorhydrates correspondants se préparent en sol. éthénj
ils constituent des poudres jaunâtres stables, solubles dans TalH
peu sol. dans Teau qui les décomposent à chaud.
Le thiophénalaminothlazol-oL C*H3S.CH=(Az»C»H«Si p^«
directement, cristallise dans Talcool en paillettes jaune pàlp, |
409" ; chauffé vers 140" dans un courant d'azote, il se Iransl'o^
dans la modifîcatioa p qui fond vers 47-48", qui est beaiW
plus soluble que la première dans l'alcool, Télher et le benzéa
qui régénère l'isomère a lorsqu'on la fait cristalliser dans TaM
la môme transformation s'effectue spontanément et lenleino^
froid. Si on chauffe la solution alcoolique, on obtient du thiopbè
/;is-a/ï2i/io/A/azo/C*H3S.CH(Az«C3H3S)»qui se forme aussi .lii
tement lorsqu'on emploi un excès d'aminothiazol.
Ce composé se présente sous la forme d'une poudre jaun^
très peu sol. dans les liquides organiques; il fond vers 417' ti
décomposant en aminothiazol et thiophénal-aminothiazol.
p. rREUNDun.
Sur raction des halogènes et du sulfure de carbone bui
dérivés méthyléniques sodés; 6. WENZEL (Z>. cb. G., t
p. 1043-1050; 20.4.1901). — L'auteur a décrit prérédemmeu
produits de l'action du brome sur un mélange de CS* et <i'<!
malonique ou d'éther cyanacétique (ibid., t, 33, p. 2()42i. H
attribue actuellement les formules suivantes qui renfermeul
pectivement 2 atomes d'hydrogène en moins :
(C2H'>02C)2.G — C(co2c^n5)2 ^^"^■?!}t>c — (>CÎ^?^'^
I I A2L» I j L*AZ
se es se c:s
\/ \y
s s
Ces deux formules correspondent mieux aux résultats analjti
et aux propriétés chimiques (insolubilité dans les alcalis . -
formation de ces composés ne peut guère s'expliquer que y
formation préalable d'une sorte de xanthogénate
NûS.SG-CH(C02C2H5)2 ;
2 mol. de ce dernier s'uniraient ensuite sous l'action du brc
CHIMIE ORGANIQUE. 19^
fl effet, si Ton se contente d'ajouter du brome ou de Tiode à une
nubien d'éther cyanacétique sodé dans CS*, on obtient exclusi-
wnenl l'élher tricyanotrimélhylènetricarbonique t. à419*»»5, décrit
ïT Krrera; tandis que si Ton chauffe au préalable le dérivé sodé-
nîc es*, le premier se dissout peu à peu en formant une solution
»^ qui fournit alors le dérivé thiophénique ci-dessus par addi-
on de Br.
La condensation de CS* avec Téther malonique sodé donne éga-
lent naissance à un produit sulfuré qui cristallise en aiguilles
colores f. à 179-180**^ sol. dans Tac. acétique et le toluène, insol.
fti l'eau et les alcalis, peu sol. dans l'alcool froid. L'auteur as-
ime à ce composé la formule :
C2H5.GO\ /C02C2H=i
>C— G<
C2H5-C02/ I I \G02C2Hs
se — es
M. Bergreen parait l'avoir déjà obtenu mais il lui donne une
liv constitution (avec 2 doubles liaisons) qui ne correspondrait
B, «l'après l'auteur, aux propriétés du corps.
Var. ditlnotétramélhylène-tétracarbottique lui-même, obtenu en
lénifiant Télher par NaOH à froid, crist. en aiguilles qui se dé-
iD|)osenl au-dessus de 301**; il prend naissance également par
pijnifîcation de Vélber dUhiolétvahydrolhiopbdne-tétracarbonique
fotionné plus haut. Le sel neutre de Na est insoluble dans Tal-
W. Le sel acide C«H*S«0»Xa« + 4,5H«0, crist. dans Teau bouil-
ttv eu longues aiguilles; celui de potassium renferme 1H*0
l5>*. Le sel neutre d'ammonium également insoluble dans Tal-
W, se transforme par dessiccation dans le sel acide (aiguilles
Wores»; les sels de Ba et Ca sont cristallins.
Ea chauffant l'éther pendant plusieurs heures avec de la poudre
iZri et de l'ac. acétique, on obtient Vétber ditbiobutane-tétracar-
^iqae iC*H5.0«C)«CH.CS.GS.GH(C0«C«H5)« (aiguilles incolores,
■ 103*, soL dans Tacétone et les alcalis alcooliques).
feu chauffant Vétber ditbiodicyanotélrabydrotbiopbène'dicarbo-
iu*' avec Br et H^O au B.-M., on le transforme dans le dérivé
^^*^^CBr.CS.S.CS.CBr<^^^g,jj5 qui cristallise dans Tal-
ol en aiguilles prismatiques jaunes f. à 95-96"; ce corps ne perd
b (le Br lorsqu'on le chauffe vers 250" avec de l'argent molé-
Éire.
80U ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
La phénylhydrazine réagit sur une sol. alcoolique d*ét!ier diibw
tétramélhylène-tétracarbooique à chaud; il se dégage H*S, €^t^
obtient le sel de phénylhydrstziae de Tac. sous forme de pailIeOi
blanches.
Avec le cyanure de benzyle îK)dé, GS* et Br, Fauteur a obtfli
le dithiodicyanodiphényliétrêméihylènei}) crist. en aiguilles jauM
f. à 174", sol. dans Tacétone; avec Vacélylacétone sodée il se fony
du dUhiotétracétyltétraméthylèue (II), prismes jaunes f. à 3*'
sol. dans la plupart des solvants organiques.
>C — C/ (GH3CO)2-C — C-<COCH3j2
GAz^l I \CAe I I
se — C8 SU — c:s
I. II.
Le deuxième composé s'obtient aussi à partir de Tacétylacétui
sodée et de GSCl*. p. frelxdle».
Rectification; W. HARCKWALD kD. cb. G., t. 34, p. 7^1
25.3.1901). — Gette rectification porte sur la plusse : rhypolbrl
do Le Bel serait représentée par Téquation :
(Ix r. h — V
^.^ «^
dy r' a — x'
celte phrase doit être supprimée [ihid., t. 34, p. 481 1.
p. FRCrXDlXR.
Études dans la série ducamphane [2" partie. Hitrocamphéi
aminocamphône et oxycamphône; Martin OnsloiNr FORSÎl
iChem. Soc, t. 79, p. 614-653; 6.1901). — En Iraiianl le I
bromonitrocamphane par AzO^Ag, Tauteur a obtenu le nirnKm
/GH
phène G^'H'^^ \[ , ^ ; ce comp. crist. dans Talcool chau.l en lo^
prismes striés, F. 06*» ; il est insol. dans Teau, >oL djn> !e^ ^i|
org. [a]^—— 112** en sol. dans l'alcool absolu à 2!\ •a"^=r— 13^^
en sol. benzénique à 21*. 11 fixe HBr en donnant le 2?-/raafl^
yGHBr
aiirocamphane G**H**<f l ^ crisl. dans Talcoc»! en «ig-., F. fi
\GHAzO*
tdécomp. j \i\^^^ -r 3*»" ^^ sol. benzénique à 21*, si. iAa3^>4 »M{
d*où Teau le reprécipile. Le nitrocamphène et le à-lcrfn-A-l-wui
CHIMIE ORGANIQUE. 801
caiaphane donnent tous deux la réaction de Liebermann. Le nitro-
ramphène fournit, par l'action du brome en sol. chloroformique, un
4ibromonitrocamphaiie orist. dans Talcool en aig., F. 195* (dé-
-omp.), sol. dans les solv. org., peu sol. dans le pétrole chaud ou
'tkool froid, donnant, mais avec difficulté, la réaction de Lieber-
mnn [a]^ = -f'4*,2 en sol. benzénique à 19°. Par fixation de HI,
p DÎtrocamphène se transforme en S-Jodo-l-nitrocamphane
/CHI
>H«*< ' , plaques, F. IIS^» [al^:::^ — 85%1 dans Talcool ab-
«>ln à 20" et [«1^ = — 29*, 4 en sol. benzénique à 18*».
/CH
Le i-aminocampbone C®H**^ U a été obtenu par réduction
u aitrocampbène au moyen du zinc et de Tacide acétique ; solide
f»a>Iucide, F. 46«. Éb. 191-1 92<» sous 758 mm. [a]„r=-f 59%7
iDs Talcool absolu à 22** et [a]p= 4-43**, 4 en sol. benzénique à
i*. Celte base est fortement alcaline envers le tournesol. —
'^aie crist. en feuillets, F. 256*» (décomp.). — Cbloroplatinale
:«*H«*Az)«.H«PlCl« + H«0 très sol. dans l'alcool, F. 243*» (dé-
omp.j. — Dérivé benzoylé crist. dans le pétrole en aig. soyeuses,
. 157*; [a]B = 30*»,9 dans l'alcool absolu à 18*». — Dérivé benzylh
inique^ crist. dans Talcool chaud en plaques, F. 63°. — Picrate^
ig. jaunes, F. 231* (décomp.). — Pbéuylcarbamide, crist. dons
tkoool bouillant en aig., F. 213°. Le 1-aminocamphène est tout à
ut distinct de la camphène-amine (2-amino-camphène) de Duden
I Macinlyre iAnnalen, 1900, t. 313, p. 59^. Quand on le chaufTe
rtv l*anhydride acétique, il y a production de camphre ordinaire.
railé par Tacide azoteux, il fournit un isomère du camphre, le
/CH
Hurycamphène C^H**^ \\ , subst. crist. en longues aig., F. 71*».
1» 2I2» sous 750 mm., odeur faiblement camphrée [a]j^^^3i°,l
■fis Taicool absolu à 19*» [otJ^ = 29*»,5 en sol. benzénique à 20°,
j- l-cxycamphène ne réagit pas sur Thydroxylamine et la semi-
arbazide; à Tinverse des composés analogues, il ne donne aucune
•loratîon avec FeCl*. Il est très stable vis-à-vis des alcalis, mais
«ft acides minéraux étendus le transforment immédiatement on
«luphre ordinaire. a. valeur.
tlQde« dans la série du camphane (3*" partie). Action de
kydrozylamine snr les anhydrides dn bromonitrocamphane ;
lartin Onslow F0R8TER {Cbom. Soc, t. 79, p. 653-659; 6.1901).
- l/auteur a fait réagir Thydroxylamine sur le produit obtenu par
«oc OHM., 3« «a., t. xxvi, 1901 — Tro* Atrang. 51
802 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Taction de SO*H* sur le 1 . l-bromonitrocamphane; il a ainsi obMi
un dérivé hydroxylaminé de r anhydride du bromonitrocëmphLy
GioHno«Az*Br qui crist. dans Talcool en plaques reclangulaim,
F. 197**; crist. également dans Teau et l'élher acétique. L'hydroijV
aminé transforme d'abord Tanhydride du bromonitrocarapham> fl
un isomère, F. 210"*, car cet isomère fournit, par Faction uUérieufl
de rhydroxylamine, le même dérivé hydroxylaminé.
Le chlorhydrate du dérivé hydroxylaminé crist. dans \e*
chaude en aig. noircissant à 280° et fondant à 2i5*» (décomp. -
Sulfate crist. dans Teau bouillante en feuillets se ramoilissaoi
180**, F. {96"" (décomp.). — Chloroplatinate, aig. d'un rouge |m!<
F. 225' (décomp.). — Picrate^ rhomboèdres jaunes, F. vers IIPl
(décomp.). — Carbamide, crist. dans Teau bouillante en aijr-, i
139** (décomp.). — Dérivé henzoyié, crist. dans Talcool, brunii \
fond à 180** (décomp.). — Anhydride du dérivé diacrir
C**H**0*Az*Br, crist. dans Talcool en prismes hexagonaux, F. 1*1
L'action de Tacide azoteux sur le dérivé hydroxylaminé, régt-wi
l'anhydride, F. 240«
CioHno2Az2Br + AzO^H == C»0Hi*OAzBr + Aï^O -;- 2 H^O.
Par l'action de la soude caustiijue, le dérivé hydroxylaminé |»^
les éléments de HBr, en donnant un nouveau dérivé hvdroxylêim
Cioi|ieo«Az^ crist. dans l'eau et l'alcool, se ramollit vers 170*.
208**, réduit on sol. aq. le lerricyanure de potassium et le niln
d'argent auunoniacal. — Chloroplatinate, crist. dans Teau en li
jaunes se décomposant à 150**.. — Picrate^ F. 148* idécomp. ».
A. VAUnTR.
Sur les deux acides campholytiqnes et sar Tacide laoro^
lique; Ferd. TŒMANN {D, eh. G., t. 33, p. 2î)Sr> ; 29. 10. 190»
L'auteur désigne sous le nom d'acide a-eampholyUque Tafi
liquide C^H'^O'* préparé par Noyés à Faide de Tacnle 5-campti
ramique, sous le nom d'acide ^ampholy tique celui fondant
133*», 5 et obtenu en traitant le précédent par les acides; ce demi
corps a jusqu'ici porté les noms d'acide camphothélîque, d'à:*
cis-campholytique et d'acide isolauronolique.
I. Acide oL'CampJio/ytique. — Cet acitle a été prépara pur
procédé do Noyés {Am, cheni. Joura.^ l. 16, p. â07-r»0:î) en tr»î(
formanl l'acide p-camphoramique en acide aminodihydrocanif4i
lylique d); ce dernier, traité par l'acide azoteux, donne F*^?
oxjdihydrocampholytique (11) et l'acide campholytique (lU». IN
CHIMIE 0HGAN1QU£. 80S
xpltquer ces transformations. Noyés a donné les formules sult-
antes :
(CH3)2=C CH» (CH3}2=C CH2
I >CH2 m-^ I >CH2
CH3-C( A2H2) - CH-G02H CH3.C(0H)-GH-G0»H
(I). (H).
(CH3)2:=G GH2
»^ I >GH2 .
GH3.C=G-G02H
rui).
Noyés, appuyant sa façon de voir, sur la ditflculté d*oxydation
ie Tacide oxydibydrocampholytique et sur la non-possibilité pour
let acide k se transformer en lactone, en concluait que Toxydrile
OH) devait se trouver en position (p) par rapport au carboxyle
Gette conception s'écroule devant les observations de Tauteur
|U] a trouvé que, sous Tinfluence de Tacide azoteux, l'acide ami-
lodiiiydrocampbolytique donne, à côté des acides campholytiques
txy et non saturés avec de bons rendements, une lactone qui cor-
nspond i roxyacide et aussi devant les liens qui rattachent l'acide
lunéthyltricarballylique et l'acide campholytique. L'auteur conclut
le là que r (OH) se trouve en position (y) par rapport au carboxyle
rt «ionne pour l'acide a-campholytique la formule de constitution
fuirante :
(CH3)«=G GH-G02H
I >GH2 .
GH3-U==CH
Acide oxydihydrchoL-campbolytique C»H««0«, F. 132-1 33«. — Cet
iciiie distille dans le vide sans décomposition. Une solution alcoo-
U}Tje à 83 0/0 dans un tube de 1 dcm. tourne de -f- 19',20'. La
Milution traitée par l'acide SO*H* étendu se transforme en acide
Kampholytique*
I^srtooe campholytique, — Masse analogue à du camphre, F.
livllC*; Éb. 228-230*» à 760 mm.; Eb. lOS-iOS* sous 8 mm. Par
Hutlliuoo avec une lessive de soude, cette lactone se transforme en
m acide oxydihydroc^mpholytique qui, sauf le point de fusion, a les
n^ïsïê% propriétés que celui obtenu plus haut par diazotation : ces
GHia acides traités par l'acide sulfurique ne donnent aucune lactone,
ba» Tacide non satiu*é p-campholytique. La différence du point de
tiMOo tieol peui-<^tre à une isomérie stéréochimique.
L'acide %'campholylique C»H*^0« est une liuile claire, Éb. 235-
804 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
2S&' à 760 mm. ; Éb. 139-140'' sous 15 mm. se résiDifiaiU en graHlfl
partie par oxydation au moyen du permanganate. Des prodib|
d'oxydation, l'auteur a cependant pu isoler un acide cétonique
(GH3)2r:C CH-C02H
I >GH3 ,
CH3-C(0H)-C0
en aiguilles prismatiques fondant sans décomposition à 19^* ; p^
soluble dans l'eau froide et Téther acétique et de Tacide <îioxyi!.
hydrocampholytique
(CH3)2=:C GH-C02H
I >CH2 ,
CH3-C(0H)-CH(0H)
en octaèdres, F. 158*. |
Par oxydation de l'acide a-campholytique avec l'acide azotiquJ
il prend naissance de l'anhydride de l'acide diméthyltricarhalh
lique C«H«oO» et à côté, de l'acide diméthylglutarique C"^**0. (i
dernier prend naissance également, ainsi que Ta établi Tautt-nt
par oxydation de l'acide p-campholytique dans lequel se transfore^
une partie de Tacide a-campholylique avant d'avoir subi ïox^
dation.
n. Acide ^-campholylique. — L'auteur confirme pour cet nci.]
la formule de constitution '
(GH3)2=G GH2 I
I >GH2 ,
CH3-C==C-C02H '
I
donnée par M. .Blanc [Ann. Cbim, Phys. (7), t. 18, p. 181-^
explique la transformation de l'acide a-campholytique en acii^
p-campholy tique par la migration du groupe carboxyle (CO*H». i
m. Acide lauronolique. — Dans la préparation de cet bc'hU' {ù
le procédé de Noyés, par décomposition de l'acide aminotiihrdft^
lauronolique au moyen de l'acide azoteux, l'auteur a obtenu coiiun
produit accessoire un acide solide C^H^^O^, F. 105*, un carbur
d'hydrogène, le laurolène C^H»* (Éb. 121-122^; D''^-*. 0.8008
/2p = 1,44376, pouvoir rotatoire d'un tube de 10 cm. -f 1^,9; tt l
campholaclone C*H**0*.
L'acide lauronolique de l'acide aminodihydrolauronolique qi^
Noyés désigne sous le nom d'acide f-lauronolique, forme une huiii
jaune claire, Ebi,. 130-132'', ne distillant pas sans décompoâtlm^
à la pression ordinaire. D*o, 1,0177; ii^ = 1,47155 [af^osciiJe eotr^
CHIMIE ORGANIQUE. 805
H-146*. Ce qui correspond pour cet acide à un mélange de divers
)mère€ optiques. Le pouvoir rotatoire de l'acide lauronolique prô-
nant de 1 acide camphanique oscille entre 110-188°, tandis que
cide lauronolique de Tanhydride de Tacide bromocamphorique a
\ pouvoir rotatoire constant (a]^^^^+ ^^°-
*>s deux derniers acides ont la même densité et le même indice
f réfraction que Tacide ^-lauronolique, mais ils distillent à 240*
i^ue sans décomposition.
Par cristallisation fractionnée du sel de calcium brut de Tacide
lauronolique, l'auteur est arrivé à isoler un beau sel
(C9Hi30î)2Ca + 3H20,
n est identique à celui de Tacide lauronolique provenant de l'acide
mphauîque. Far l'action du brome, aussi bien sur l'acide y-lau-
nulique, que sur Tacide lauronolique provenant de l'acide cam-
taoique, l'auteur a obtenu non seulement la bromolactone déjà
i^>arée par Aschan, fondant à 187*, mais encore un acide dibro-
Ddihydrolauronolique, F. 185°, qui peut être transfoimé en iso-
mnocampholactone, F. 94°:
bans la bromuration de l'acide Y'iauronolique, cet acide forme
principal produit.
Tous les acides lauronoliques chauffés avec de l'acide azotique
irmis^ent à côté de l'acide oxalique la nitrocampholactone ,
JTl* iProcedings chem. Soc, y 1898, p. 111). L'oxydation de
Q^ les aciiles lauronoliques par le pennanganate de potassium
Khliiit à une cétone C^H*H) nommée laurénone, et à l'acide
otydîhydrolauronolique C'H*«0*. La laurénone des divers acides
im}Doljques possède toiyours les mêmes propriétés; c'est un
lui^ie Éb,g. 92-95°; D««-s, 0,9572; /7^ = 1,48535, inactif sur la
iniNTe polarisée. Elle donne naissance à une oxime C*Hi*.AzOH
fiftiallisée en prismes, F. 105-107® et à une oxaminoxime
^H«^(=AzOH)-AzH-OH. Ce dernier corps est transformable en
envé nitrosé, il s'en suit que le groupement AzH. OH doit être
i*- à un atome de carbone tertiaire. La constitution de la lauré-
une doit donc correspondre à la formule de constitution suivante:
(CH3)2^C CH2
1 >
GH3-6=GH
L'fcAfe dioxydihydrolauronolique C*H*^0* de l'acide y-isolau-
cmolique est huileux, au contraire, les deux autres acides laurono-
iques foomisseni le même dioxyacide solide, F. 158-154°. L'oxy-
806 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
dation des dioxyacides poussée plus loin ne donne aucun résuli
net ; Tacide camphoronique ne peut dans aucun cas être renconifll
Tous les acides lauronoliques par ébullition avec les acid'-^*
50 0/0 fournissent la même campholactone C*H'*0*, F. 50*, qu. ^
produit également comme produit accessoire dans la préparaliâ
de Tacide Y-lauronolique. Far hydrotation à Taide des alcalis, Hl
se transforme en acide oxydihydrolauronolique
(GH3)2=G GH-OH
. I >GH2 , F. 144-145%
GH3-GH — GH-C02H
qui, contrairement aux indications de Fillig et Woringer, eslth
stable. Cet acide forme un sel de cuivre peu soluble ; par ébullitir
avec un peu d'acide chlorhydrique, Tacide se transforme de qûï
veau en lactone. a. mouxeyrat.
Sur une décomposition particulière dn noyau du camplm
Ferd. TIEMANN (D. ch. G., t. 33, p. 2953; 29.10.1900). —L'antej
a soumis à la distillation sèche les deux sels de chaux des «Uh
acides nitriles de Hoogewerff et Van Dorp {R. tr. ch. P.-B.^ 1. 1
p. 262) et contrairement, à ce qu'on devait s'attendre, il n*a pj
obtenu le nitrile de Tacide a-campholytique ou de l'acide lauroai
lique, mais il a obtenu avec ces deux corps le même nitrile OH**.V
Celui-ci fournit par oxydation avec le permanganate et sapoati
cation successive de l'acétone, de l'acide a-méthylglutarique el^
l'acide méthylsuccinique, d'où il résulte que ce nitrile doit êtiv
diméthylheptènenitnle
(GH3)2=G3GH-CH2-GH2-GH-GAï
GH3
Acide a-nitrile campborique C®H**(CAz)CO*H, se prépare im
lement en chauffant des quantités égales d*isonitrosocampbone
d'anhydride acétique sur le B.-M., F. 151-152*. Son sel de calcini
est aussi difftcilement soluble dans l'eau froide que chaude.
Acide p-nitri/e campborique C»H<*(CA2jC0«H, F. 109.1 lUV
2 .S-dimétbylheptèue'S'nitrile CH'^Az, liquide à odeur {)oi\T*i
Ebi6. 92-95*> ; D*"^ 0,8563 ; n^^ 1,44859, décolore de suite le \^\
manganate.
Vacide S.G-dimétbylbeplène^^ G»H**0* prend naissanc4« e
chauffant 8 heures le nitrile avec de la potasse alcoolique à ft»*
huile Ebg. 140-141" ; distille à la pression ordinaire à 286-âlO* avu
une faible décomposition. L'amide de cet acide fond à 8i*.
A. MOrXB\lUT.
CHIMIE ORGANIQUE. 807
Bu camphéne; F. W. SEHMLER {D, ch. G,, t. 33, p. 3420;
LlâLi9U0). — Par inaction de l'acide chlorhydrique sur le pinène
road naissance le camphre artificiel
GH2-
.CH2
I.
— CH
I
ch3-c-(:h3
CH QCH3) = CH
Pinènt.
GH2
II.
-GH
-CH2
I
CH3-C-CH3
CHCl — C(GH3)-CH*
Ctmpbre artiflcieU
e dernier corps perd avec difflculté une molécule d'HGl pour
tonner le camphéne C*®H<« qui selon Bredt (Ann. Liebig., t. 310,
». 31ii réprond à la constitution suivante :
Cil-
GH-
GH2
l
GH3-G-GH3
CH G(GH3)-GH2
f après celle formule par oxydation du camphéne on devrait arriver
a lacide camphorique. L'auteur n'avait jamais obtenu dans ces
roQditioa& cet acide et se basant sur la présence d'une double
baiàoo, indiquée par la réfraction moléculaire, dans le camphéne
eo conclut que le carbure répond à la constitution suivante :
CH2
m.
GH-
/
GH3-G-CH3
.CH2
/
y
.G(CH3) — GH2
L'auteur pense que le pinène, le camphre et le camphéne sont
tle» types de différents groupements atomiques et que dans les
diverses réactionB il y a passage du type pinène au type camphre
el du type camphre au type camphéne et réciproquement.
Cette manière de voir est appuyre par les réactions suivantes.
bibromure de pinène C*®H**Br*. — Par réduction de ce dibro-
mure à l'aide du sodium en solution alcoolique, l'auteur a obtenu
le même hydrocamphène C*<>H** inactif que par réduction du
nunphre artificiel C*®H*''C1. Il conclut de là que le dibromure de
eamphèoe n'a pas la constitution du pinène mais bien celle à
laquelle se rattache le camphre artificiel, voir formule (II). F'our
SOS ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
expliquer celle Iranslormation, Semmler suppose que par l'a
du brome sur le pinènc et sons l'influence de (HBr) naissant S«
forme un produit intermédiaire, te bromhydrate du dibromui«4l
pinène lequel par perle d'une molécule d'uoide bromliydnqH
donne le dibromure de pinène. Voici du reste les formules de p»-
titution qui expliquent cette transformation :
I
CH'^lir C.Ri-(CHï)— CHlir
CHi-
-CH-
I
-c:hî
CHBr C((
[CU^) CHBr
DibraniBre de yia^ve
Bromocamphoiie C^H'^Br. — Ainsi que l'a montré WalUri
(Anii. l.iehig-, t. 230, p. tZl) te brome donne avec le camplit>m
un produit de substitution C^M'OBr. Le bromocampbène pœsnli
le même squelette carboné que le camphène, car réduit en solutioi
alcoolique par le sodium il redonne le camphène. Il ea résulta qu
le carbure possède une double liaison dillicile à faire disparaîm
par les halogènes et contient en outre un atome d'hydrogitx
remplaçable par le brome. De ces considérations l'auteur attrihw
au camphène la formule (III) ci-dessus.
DibrOBiure de camphène C^'^H^Br», F. 90", se produit à côté <i uij
dibromure liquide de constitution inconnue, par l'aclioii du bromi{
sur une solution de camphène dans l'acide acétique. Go dibromui^
de camphène (F. 90") se produit aussi par l'action de HBr sur k|
monobromocamphcne. Or par réduction à l'aide du sodium t^l tta
solut. alcoolique de ce dibromure, on a le même dihydrocamph''n4
que par réduction du camphre artificiel. , I
Par consé(iuenl le dibromocamphène a le même squelelle rar-l
boné que le camphre artificiel soit : l
CIP
GBr-
/\
-CHî
CW-
-Clti —
3-C-CH
/ CH^-U-GHî
I ,
CCCH'i— (::Hï CHDr — CCIPt-
■nphidc mDaobraiDt, Dibronurt it ttmt^hut.
Irate et bromhydrate de c«jn/jAènrC'»H'"CI ; C"H"Br.
ion du gax HCI sur une solut. alcoolique de campliivc
iincc le ciilorliydrale de camphène le<|ucl rt'duil en
CHIMIE ORGANIQUE. 809
ul. alcoolique parNa fournit un mélange de carbures : de cam-
t*ne et de dihydrocamphène que Ton trouve dans la réduction du
npbre artificiel. En présence de ces faits l'auteur admet comme
ssible les deux formules de constitution suivante :
CH^
CH-
GH
GH2 GGl-
.GH2
/
/
/ ^
X CH3.G-GH3
CCI
et
C(CH3)— GH2
GH3-G-GH3
GH2 G(GH3) — GH2
bromhydrate de camphène se prépare de la même façon, il
ml a i38*. Par la potasse alcoolique et par réduction il redonne
rainphèiie.
Eibox ycatnphèiw C*®H*''OC'H' du camphène en solution alcoo-
|ue chaufTé plusieurs heures avecSO*H*au réfrigérant ascendant
jnne le in^me éther que celui obtenu par Besham et Walbaum
oaru. /. prakt. Cb,^ t. 49, p. 1) à Taide de Tisobornéol et du
afale acide dMthyle, huile, F. environ 200'» ; D= 0,895;
^ - 1,45X9. L*auteur pense que cette réaction prouve une nou-
îlle relation entre le type camphre et le type camphène. Il fournît
ir ce point de nouvelles recherches. a. mouneyrat.
Be ]*acid6 cinéoliqne et de sa séparation en ses compo-
ibU actifs; Hans RUPE et Max RONUS {D. ch. G., t. 33, p. 3541;
Ll.i90i). — La séparation de l'acide R. cinéolique en ses com-
Daanls actifs, s'effectue à Taide de la strychnine. On évapore le
d d'abord sur le bain-marie et on achève la concentration dans
\ vtde sur l'acide sulfurique. Il se sépare ainsi le sel de strychnine
b- f acide d.-cinéolique C»«H»«0«Az« en prismes F. 196-197^ Le
tï «le slrj'chnine correspondant à Tacide gauche se retire des
■ux- mères d'où cristaUise le sel de l'acide droit. Ces sels
\iromposés par la quantité théorique d'acide chlorhydrique four-
Orient les acides droit et gauche sous forme cristalline avec une
liolécule d'eau, soit C«oH««05-f H«0.
Ces deux formes fondent à 79^*. Mais si on les expose à Tair sec
Htr des plaques de porcelaine elles perdent facilement leur eau de
eristaliisation et fondent alors à 138-139^, tandis que l'acide racé-
t&u|ue fond à â04-206^
[«]« = + 18«, 50 et (— 19% 10) ,
Une partie d'acide cinéolique actif se dissout dans 11.2 parties
810 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
d*eau, tandis qu'une partie d'acide racémique exige à celle
température 133,8 parties d'eau.
Ces deux formes actives maintenues pendant quelquos ifad
dans l'eau se tranforment en la forme racémique.
Les auteurs ont observé que ces formes actives, exempte à'm
chauffées au voisinage de leur point de fusion lôO-llO* tout «
subissant une décomposition partielle donnent de la inéthyUifi
ténone et leurs anhydrides.
Pour la préparation de ces anhydrides les acides sont cbauH
quelques minutes avec de l'anhydride acétique; par distillation i
l'anhydride acétique, de l'acide acétique formé sous presnu
réduite, Ton obtient un résidu qu'on fait cristalliser dans le 1^
zène. L'anhydride d. correspond à C«0H«*O* F. lOX*.
[«]*>= + 45*», 37. A, MOUXEYRAI.
Des alcaloïdes du quinquina ; W. v. MILLER et G. ROHl
{D. ch. G,, t. 33, p. 3214; 26.11.1900). — La transformation iW.
cinchonine en cinchotoxine précédemment découverte par 1
auteurs peut s'expliquer par les formules suivantes :
I. n.
OH2 G(GH3)-GH-GH=GH2 GH^ C((:H3)-CH-Ui
I
G9H6AZ-GH2-CO
GH2 Àz CH2 CH2 AïH GH^
Gincboniae. GaehotoxiBe.
la. U«.
GH2 GH GH-GH:::GH2 GH2 GH CH-ii^
GH2 àH»
G9H6AZ-GH2-G-OH
Gî>H6Az-GH2-G-(OH)
G9H6AZ-GU2.CO
GH2 Az GH2 CH2 AïH GH-
Cinchonine. Cmebotoiii»«.
Dans l'action d'un excès de nitrite d'amyle en présence liVti
late de sodium sur la cinchotoxine les auteurs ont trouvé un anj
ment en faveur de la formule (I) et (D).
H ne prend pas ainsi naissance de dérivé diisoDitrosé cominti
laisse prévoir la formule (II a) mais un dérivé nitroisaaitri
comme le veut la formule (II).
Par l'action de 1 molécule de nitrite d'amyle prend natssvO
l'isonitrosocinchotoxine laquelle sous l'influence de Taeide «AOtfi
CHIMIE ORGANIQUE. 811
nne la mc^me nitro-îsonitrosocinhotoxine que celle mentionnée
j«îsu5 et qui provient de Taction d'un excès de nitrile d'amylo
r la cinchotoxine.
Leà auteurs pensent que Tiodométhylate, qui résulte de Taction
TicMiure de méthyle sur Tisonitrosocinchotoxine et qui ne peut
s Atre décomposé par les alcalis caustiques, mais auquel on
al enlever HI à Taide de Téthylate de sodium donne la même
mitrosométhylcinobonine que celle obtenue par l'introduction
a grouperaont isonitrosé dans la méthylcinchonine de Claus;
lonttroso-cinchotoxine serait mn composé tautomère se com-
rtsnt tantôt comme une base secondaire, tantôt comme une base
rtiaire. La transformation de la quinine en chinotoxine s'explique
) la même façon.
Les auteurs montrent en outre que la cinchonicine et la cincho-
xioe sont des corps identiques. Si en eflet à une dissolution
h^rée de cinchonicine on ajoute un cristal de cinchotoxine on
Jlienl df»s cristaux identiques à ceux de ce dernier corps.
A. MOUNEYRAT.
Sur rononina; Frauzer HEMHELHATR iD. ch. G., t. 33,
.3r>â8; 14.1.1901). — Le glucoside retiré des racines d'ononis
^Dosa, se décompose d'après Hlasiwetz(ï/otfr/2. dePh, et de Ch.,
B5, p. 415) par ébuUition avec Venu de baryte en acide formique
\oaospine. L'auteur a trouvé pour ce dernier corps la formule
^H**0** F. 172% tandis que Hlasiwetz lui attribue la formule
^H**0«« F. 162*. D'après Hlasiwetz, l'onospine par ébuUition
»ec Tacide sulfurique étendu doit se décomposer en sucre et
^aetine F. 120*. L'auteur dans cette décomposition n'a pas
bWnu un seul produit, mais un mélange de divers produits qui
•raissent se transformer les uns dans les autres; par cristallisa-
iun dans Teau il obtient des aiguilles F. 122*», des feuilles F. 158-
*^, des aiguilles longues F. 155-157®. Ces produits corres-
toodenl à la formule (C^^W^O^)^ et proviennent probablement de
i^tion suivante :
G28H320Ï2 = G22H20O6 -f G^Hï^Q*.
A. MOUNEYRAT.
8u l'oxydation de Taloîna avac le peraulfate da potassium
•tracido da Caro; Engèna SEEL (D. ch. G., t. 33, p. 3212;
IB.11.1900K — L'aloïneC"«H<^^ ou C««H<«0" oxydée parle mélange
"*ï^>Œique ou le permanganate ne donne aucun produit défini. Par
81S ANALYSE DES TKAVAUX ÉTRANUERS.
l'emploi du persulfate ou du percarbonate de pota^ium ci jmr
l'oxydation électrolytique en solution sulfurique 1res étendue l't»-
teur a obtenu un corps rouge clair qui selon toutes les appanw»
est un produit d'addition instable d'oxyi^ène et d'aloîne et pré^nir
la plus grande analogie avec le rouge d'aloïne de Schaer lArrk
d. Pbarm., t. 238, p. A'â-t19). — L'oxydation effectuée m».!
l'acide de Caro donne une poudre bruno, de l'aquelle on relâ*<
à l'aide du chloroforme un corps rouge qui recristallisé dans n
mélange d'acide acétique et de benzène en CCI* se montre iAH
une tétraoxYntéthyhiilhra(iuinone*GW-G^*ï{iÇï*QQH^'). '
A. MOL'NEYIur.
Contribution A l'étude des oxydassB végétales; B. SLOWT<
ZOFF {Zeit. pbys. Ch., t. 31, p. 227-234; 3I.12.i900|. — L'ault-uj
a préparé la laccase de la pomme de terre el celle du cbou i«i
le procédé suivant. Les tubercules écrasés sont additionnes ■»
0.5 à 1 0/0 d'acide acétique et passés après 24 h. a travers ui
linge. Le filtrat est saturi! de sulfate d'ammonium, et le ppté, Isti
par une solution saturée du sulfate, est re.lissous dans l'eau ei
soucnis à 8 ou 4 repptalions successives. Finalement la soIuIlm
aqueuse du pplé est dialysée dans de l'eau distillée et pplêe |mi
4-5 vol. d'alcool à 95 0/0, et le ppté, lavé à l'alcoot et k i'é\hiv
est desséché pendant plusieurs semaines sur S0*I1*. On eiiw
ensuite la laccase avec de l'eau et on la ppte par l'alcool. Le kh-
dément est très faible, surtout avec le chou. Le produit obt«-ai
contient 12.8 0/0 d'azote, 0..53 0/0 do soufre, et il donne toutes IH
réactions des matières albuminoïdes. j
Celte laccase est une diastase, parce qu'elle est détruite n chau>li
que son action est proportionnelle à la racine carrée de sa ousïr.
et que la masse du produit formé est fonction de celle du fermenl
et non pas de celte du réactif oxydant (réactif de Rohnianm, U
réaction alcaline favorise l'action de la laccat^e; ni les aciilr^
étendue, ni la digestion pepsique ou pancréatique ne l'Atleigneiil-
Sa teneur en cendres est très faible, et celles-ci sont sans arU'W
sur le processus d'oxydation. e. lambloc.
agents anticoagnlants dans l'organisme doa verti'
leurs; E. P. PICK et K. SPJRO {Zeit. pbys. Ch., I. »■
31.12.1900). — Les auteurs montrent par un expoer
très étendu que l'action anticoagulante de la ' pqrioo' '
i encore être rapporléo avec sécurité à des produit» it"
CHIMIE ORGANIQUE. 813
digestion el qu'elle est peut-être due à des substances étran-
ges adhérentes à ces produits.
Les auteurs établissent d'abord que Faction anticoagulante des
biimoses est indépendante de l'intervention de la pepsine, car
llbrtne traitée par HCl donne des albumoses qui sont anticoagu-
Qtes chez le chien. Au contraire les albumoses préparées à Taide
r la Irypsine en milieu faiblement alcalin, ou obtenues par auto-
re de la fibrine dans Teau salée à 1 0/0 en présence du toluène,
»at sans action. Mais si Ton interrompt Tautolyse à un moment
I le liquide contient encore des substances coagulables, celles-ci
litéeô par un acide donnent un produit qui agit chez le chien
imxne anticoagulant. Enfin les produits de la dissolution de la
Mine dans les solutions de carbonate de sodium à 0.3 0/0 sont
iTj^ action.
Lorr^u'on remplace la fibrine, matière première nécessairement
apure, par de Tédestine et de la caséine pures, les albumoses
^tenues par l'action de HCl et pptées par demi-saturation au
loyen du sulfate d'ammonium cessent d'être anticoagulantes,
^aulre part, la protalbumose et l'hétéro-albumose séparées de
I peptone de Witte par précipitation saline fractionnée sont au
>ntraire anticoagulantes, mais elles cessent de l'être si on les
[vpare en se servant de la méthode décrite par E. P. Pick (Zeit.
brs, Ch.t t. 28, p. 219} et dans laquelle intervient l'alcool à 95 0/0
> uiltaot. I^ milieu doit être légèrement alcalin; s'il est acide, les
n^iuîts obtenus conservent le pouvoir anticoagulant. En outre,
i/'me un traitement prolongé de la fibrine brute par Talcool bouil-
int n'enlève pas ou ne détruit pas l'agent anticoagulant, car la
Ibrîne ainsi traitée, puis soumise à l'action des acides, donne des
midulLs à pouvoir anticoagulant.
Le testicule, le thymus, les capsules surrénales, la glande sous-
Daxillaire, les ganglions lymphatiques, la muqueuse de l'œsophage,
le l'estomac, de l'intestin grêle, du gros intestin, le pancréas,
Ivaoent, par digestion avec les acides, des substances à pouvoir
iDticoagulant prononcé, bien que plusieurs des liquides ainsi
>bteaus soient pauvres en albumoses ou même n'en contiennent
|iie des traces.
On voit donc qu'on peut obtenir des albumoses dépourvues de
pouvoir anticoagulant et inversement des liquides à pouvoir anti-
roagulnnt net et qui sont dépourvus d'albumoses.
Les auteurs concluent que la fibrine contient un peptozymogt'ue^
uibâiance mère du corps à pouvoir anticoagulant, le peptozyme.
E. LAMBLING.
814 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L*injection de toxine tétanique et d'antitoxine dans reeiw
sous-arachnoîdien ; F. RANSOH {Zeii. phys, Cb,, t. 31, p.d4
304; 31.12.1900). — Mémoire ti*ès spécial dont nous nextn^vi
que les conclusions qui suivent : la toxine ou Tanlitoxine télaaifV
injectées dans Tespace sous-arachnoïdien, passent rapidement ù$
le sang et dans la lymphe. Une partie considérable de là iùxM
ne peut plus être retrouvée et est probablement fixée par le ^i
tème nerveux central. Après injection sous-cutanée ou mtnw
neuse, on ne trouve pas de poison (ou des traces seulement) d^
le liquide cérébro-spinal, même quand la dose injectée estplu>iei
fois mortelle. e. lamuurc.
Sur les matières albuminoïdes des muscles chex les ta
maux à sang froid et sur les relations de cas corps arec I
phénomène de la rigidité de chalenr; 0. von FURTH Z*\
pbys. Ch„ t. 31, p. 338-352; 31.12.1900). — Mémoire doDt
nature ne se prête pas à un extrait. r. lambun*;.
Sur les échanges nutritifs chez les céphalopodes; 0. t^
FÛRTH {Zeil. phys. CL, t. 31, p. 353-380; 31.12.1900). — L urJ
d'octopuSf recueillie à Tétat frais grâce à un artifice oporaloir
est un liquide limpide, jaunâtre, un peu visqueux, francheme
acide. Elle renferme d'une manière constante de ralbumim- .(
0.07 à 0.12 0/Oj et abandonne un sédiment d*acide urique. Fi
contient de Thypcxanthine, mais pas de .\antbine, d'adénine. ■
créatinine ou d'acide hippurique. Le mémoire contient un tabi*-)
étendu donnant la composition de deux échantillons d*unne <r i
topus. On ne donnera ici que les résultats relatifs à la répartit j
de Tazote. Sur 100 p. d'azote total, défalcation faite de Tazoï.' I
l'albumine, on en trouve dans l'ammoniaque 18,6 p. et dans VtM
(d'après Morner et Sjôqvist) 45,9 p. L'auteur a en outre élu*!**'
répartition de l'azote suivant Pfaundler (/AiJ., t. 30, p. 75 , l
ppté phosphotungstique contient 61.8 0/0 de l'azote total et ietll
trat 38.2 0/0, avec la répartition suivante : Az du ppté facilemrt
sùparable 35.0 0/0 et difficilement séparable 2G.H0, 0; Az du Hli-i
facilement séparable 12.4 0/0 et difficilement séparable 25.80 t'.
E. LAMI1U.N«;.
Sur le dosage de Turôe dans Furine; A. BRAUNSTEOI iZail
phys. CL, t. 31, p. 381-388; 81.12.1900). — Salaskin et ZaJitel
ont montré que le procédé de Morner et Sjôqvist donne des résttl
tats trop élevés, parce qu'il dose, en même temps que l'urée, Tacui
hippurique, qui n'est pas éliminé par le réactif barytique en mil.» i
CHIMIE ORGANIQUE. 815
Icoolique (ibid,^ t. 28« p. 73). L'auteur confirme ce résultat
propose la modiiicalion suivante du procédé de Môrner et Sjôq-
L. o ce. «rurine sont traités par 5 ce. du mélange barytique et
) cc^ du mélange d*alcool et d*éther (211). On filtre le lendemain,
love tî-T lois avec environ 50 ce. d^alcool éthéré, et on évapore
me lem(>érature ne dépassant pas SS"". Après le départ de l'ai-
ïl «éthéré» on ajoute une pointe de couteau de magnésie et on
slinue Tévaporation jusqu'à ce que les vapeurs ne donnent plus
réaction alcaline. Le liquide restant (10 à 15 ce.) est inti*oduit
r>r. une iiole d'Erlenmayer contenant 10 gr. d'ac. phosphorique
L?«taUise, et on chaufTe pendant 4 h. 1/2 dans une étuve à 140-
rr. Après refroidissement, on dose Tazote restant d'après Kjeldahl
on transforme par le calcul en urée. Les résultats concordent
ec ceux que donne le procédé beaucoup moins commode de
ila>kin et Zaleski. e. lambling.
Sur T' inTertine > de la levure; E. SALKOWSEI {Zeit. phys.
h., l. 31, p. 805-328; 31.12.1900). — Après avoir démontré que
. levure contient de la gomme, Tauteur est revenu à des prépa-
ktiunï» d'invertine faites sous sa direction par Barth (D. oh. G.,
31, p. 474) et a constaté dans ces produits la présence de la
omme. Il suit de là que les invertines, préparées d'après des pro-
wiés analogues par Osborne (Zeit. phys. Cb., t. 28, p. 399) et
«r Kùlle [ibid.y t. 29, p. 428) renferment probablement cette
m'aie impureté, et que la formation de mannose par l'action des
odes sur Tinvertine ne peut plus être invoquée comme preuve
k la nature hydrocarbonée de cette diastase. La même critique
rapplique au travail de Wrobleski [D, ch. G., t. 31, p. 1134). Le
\-)te de l'article est une réclamation de priorité contre Kutscher,
ttlaiive à Tétude de Tautodigestion de la levure en présence de
eau cbloroformée. e. lambling.
Se raction de précipitation du chloroforme sur les matières
ftlbuminoidea ; E. SALKOWSKI (Zeit. phys. Ch., t. 31, p. 329-
337; âl. 1^.1900). — Une solution aqueuse d'albumoses, obtenue
jrtr digestion pepsique de la sérumalbumine, et conservée en pré-
Hroce du chloroforme pendant des mois, s est transformée en une
;-oive, puis en une masse compacte, sous-jacente à un sérum jau-
nâtre. De plus le chloroforme parait avoir transformé Thétéro-
aKmmose primitivement existante en dysalbumose. — La caséine
«s4 également coagulée à la longue par Teau chloroformée.
E. LAMBLLXO.
816 ANALYSE DES T RAVAUX ETRANGERS-
Note sur le glycocoUe; A. JOLLES (Zeit, pb^. Ch.^ t
p. 389-394; 31.12.1900). — En solution acide le glycocoUe
énergiquement à Taction du permanganate de potasse, ce qne H
teur explique par la structure en chaîne fermée du conipa««
solution acide, le groupement acide ayant réagi sur la fooi
aminé. Au contraire le glycocollate d'éthyle décolore rapideny^
caméléon. La soude concentrée à TébuUition ne sépare du 0,
colle que de très petites quantités d'ammoniaque et d'acide
tique. En présence de Thypobromite, le glycocoUe ne perd qiu*
traces d'azote et se transforme en un corps précipitable par W
phosphotungstique et donnant en présence de la potasse à ck
de Tac. formique et de Tammoniaque. b. lambu^g.
Sur la bilifuscine; L. von ZUMBUSCH (Zeit, phys. Ch,, t i
p. 446-459; 21.2.1901). — 4 kilogr. de calculs biliaii*es huiiiii
sont concassés et soigneusement débarrassés de graisse fi
cholestérine au moyen de Téther. On épuise ensuite par de IVi
puis par HGl à 5 0/0 et, après avoir lavé à Teau et desstvUt'
masse obtenue (environ 800 gr.), on Tépuise par le chiorofonï
Les liquides chloroformiques sont distillés et le résidu est é|mt
à froid par l'alcool. On épuise de même par Talcool la maa
demeurée insol. dans le chloroforme, et les liquides alcooliqu
réunis sont évaporés. Le résidu, lavé à Teau chaude* est di>K^
dans le chloroforme et ppté par 20 fois son vol. d'éther.
On obtient ainsi 12 gr. d'une poudre noire, amorphe, insol. «Ia
Teau, les acides, CS*, Télher de pétrole, Téther, le benzène,
nitrobenzène, peu sol. dans le chloroforme, Talcool mélhjl.
amyl. et Tacélone, un peu plus sol. dans Talcool éthyl. et as*
sol. dans Tac. acét. glac, la naphtaline, la diméthylanilim»,
mieux encore dans la pyridine. Les alcalis la dissolvent »*« '
colorant en brun foncé et les acides le repptent en flocons bnin
La solution pyridique ou amm. est colorée en Jaune d*or \>
l'hydrate d'hydrazine. Le corps fond à 183* et no donne ])&^
réaction de Gmelin.
Il contient C«*H»«Az''0«*. Chauffé en tube scellé à 14*V pemU
9 h., il a fourni, à Tétat de chloroplatinate, une base qui i^n
être de la triméthylamine. L'azote est très fortement combmé, oj
le pigment traité d'après Kjeldahl n'a pas donné d'ammoniaque.
Contribution à Tôtude de la composition élémentaire et i
chaleur de combustion du mnscle de diTors animaoz; i
KÔHLER (Zeit.phys, CL, t. 31, p. 479-519; 21.2.190! i. — L'a»i
CHIMIE ORGANIQUE.
817
ur vêrifte d'abord ce fait avancé par Dormeyer [P/Iùger's Arcb.,
SI, p, 341 et t. 65, p. 90) à savoir qu'une extraction à Féther
os Tappareil de Soxhiet même prolongée pendant 480 heures
enlève pas toute la graisse. Il faut soumettre la viande à l'action
^ ferments digestifs pour achever l'extraction de la graisse et
air compte ensuite par le calcul de cette graisse résiduelle. Les
iitarmi nations calorimétriques ont été faites à Taide de Tobus
«hler« Voici la moyenne des résultats obtenus, rapportée à la
tlfstance sèche, et supposée privée de graisse et de cendres.
Nrc
Ckcral
i:.
5S,53
5S,36
5i,64
H.
7,14
7,17
7.19
7,10
7,10
Al.
16,67
16,60
16,64
16,90
16,88
15,55
0,52
0,59
0,69
9
0,50
0,64
0.
33,12
«,96
»
33,38
31,08
cRALems
de
combutttion.
5677,6
5675,8
5638,7
5616,6
5617,3
5599,0
E. LAMBLING.
CoBtribiition à Tétade de la réaction d*Ehrlich avec la di-
léthylamidobenzaldéhyde ; F. PRÔSCHER (Zeit. pbys. Ch,,
31, p. 520-026; 21.2.5901). — Ehrlich a montré que lorsqu'on
joute à riirine normale et mieux encore à certaines urines palho-
kgiques (lièvre typhoïde, phtisie, etc.) qq. gouttes d'une dissolu-
bn de diméthylamidobenzaldéhyde (aldéhyde 20 gr., HCl conc.
WJ ce. et eau dist. 500 ce.), il se produit une coloration rouge,
ii Ton lyoute à l'urine de la formaldéhyde, la réaction ne se pro-
lait plus.
L'auteur a isolé la mat. col. formée. 3 litres d'urine sont traités
mr 20-iO ce. d'une sol. chlorhydrique de diméthylamidobenzal-
l^liyde à 40 0/0 et 100 ce. de HCl conc. On sature le liquide de
wlfote d*amm. et on extrait la mat. color. par CHCl^. La purifica-
kon du produit est laborieuse et le rendement d'environ 1 gr. pour
100 litres d'urine pathologique.
Ceîst une poudre rouge, fac. sol. dans l'alcool, CHCl^, l'ac. acét.,
t«^t- et la dichlorhydrine, peu sol. dans l'eau, insol. dans la ben-
u?oe, le toluène, la ligroïne et l'éther; KOH et AzH» le dissolvent
iree ool. jaune passant au rouge par add. d'acide. L'ac. pi-
Tique en sol. alcool, le ppte en brun rouge. Le corps reiifernje
C^H^^O^-Al*. Dans cette molécule le reste aldéhydique fourni par
ftoc. CHJH., 3* s<R., T. xxvt, 1901. — Trav. étrang. 5^2
818 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
le réactif employé est uni au corps inconnu cherché, lequel
d'après Tauteur, une formylglucosamîne ou une acétylpentosai&M
Le travail se tennine pai* la description du spectre du pigroem.
E. LAMBLCIG.
Détermination de Tazote des acides amidès dans Tmii»
M. KRUaER et J. SCHMID {Zeit. phys, Cb., t. 31, p. 55&0Ri
21.2.1901). — Ce procédé est analogue à celui de Pfaundler Àhu
t. 30, p. 75). Il repose sur la propriété qu*ont les acides anuil
de n'être point pplés par Tac. phosphotungstique et de rési>tfi
Taction des acides.
On détermine d'abord sur 100 ce. d'urine -f-1 ce. de HCl à lUU
le nombre de ce. de sol. d'ac. phosphotungstique à 10 0/0 néc«
saires pour que le liquide, filtré après 2 m., ne donne plus de ;{
par une nouvelle addition de réactif phosphotungstique, put^
eftectue cette pptation sur 30 ce. d*urine. Sur 10 ce. du filtrai
détermine ensuite d'après Kjeldahl l'azote total, lequel représa
l'azote de l'urée et celui des acides amidés. Dans 10 autres» c» .
détermine l'urée en les chaufi'ant en tube scellé avec i/âvoLi
SO*H« concentré pendant 3-4 h. à 160 et 180* et on distille j
présence d'un excès de soude AzH^ formée. Le travail se terraj
par qq. expériences de contrôle par voie biologique sur rhoau
et le chien. e. LAMmJwti.
Sur les réactions colorées des sucres; C. NEUBER6 t2>
phys. Ch., t. 31, p. 564-573; 21.2.1901). — L'auteur a étudié a*
les aldéhydes glycolique et glycérique, la glycérose, la Aérythro^
l'i-tétrose, la d-lyxose, l'ac. d-oxygluconique, Tac. aldéhyti
mucique et la formose, les réactions à IVnaphtol de Moli^
Udransky, à la résorcine de SelivVànon*, à la phloroglucine e^
l'orcine de ToUens.
1. La réaction à IVnaphtol a été constamment positive. — I
Celle de la résorcine a été positive avec la glycérose, IV-tétrp^
la formose et l'ac. (/-oxygluconique et apparaît donc bien comi
étant une réaction cétonique. — 111. La réaction à la phlorofcliit^l
a réussi plus ou moins netteinent avec tous les corps étudiés, t^
avec la glycolaldéhyde. — IV. La réaction à l'orcine est tout *ft
négative avec la glycolaldéhyde et les tétroses.
On voit donc que les deux réactions pentosiques III et 1\\ [hM
tives pour les ac. c^oxygluconique et aldéhydo-muciquet indiqwi
qu'on doit considérer ces corps comme des acides penlose-caris^
niques. Ces mêmes réactions positives aussi pour la formose e^
CHIMIE ORGANIQUE. m9
«nt que ce corps est mélangé d'hydrates de carbone, dont une
£•01096. Enfin comme en dehors des pentoses, les trioses donnent
?tiles la réaction de Torcine» cette réaction doit être considérée
anime plus précise que la réaction à la phloroglucine.
Er LAMBUNG.
Sur la recherche de Tacide succinique; C. NEUBERO (ZeiL
hrs. Ch.y t. 31, p. 574-578; 21.2.1901(. — Le succinate d'amm.
onne, comme la succinimide, de Tindol lorsqu'on le distille avec
«* la poutire de zinc et l'indol formé peut être caractérisé par la
oloralioa rouge du copeau de bois de pin humecté de HCl. La
ractioD est encore obtenue nettement avec 1 ce. d'une sol. N/lOO
*.' Tacide, soit donc avec CK'jOOOÔ de substance. La même réactioa
si donnée par les groupes de corps que voici : 1** le pyrrol et ses
«ïnvés ândol, carbazol, etc.) et les mal. alb., lesquels contiennent
û groupe d'indol; 2** les T-dicétones et le furfurane, lesquels four-
ia^sent par chauffage avec AzH^ des dérivés pyrroliques; 3** les
pis aintn. des ac. mucique et saccharique, Tac. glutamique qui
haufTés donnent du pyrrol; 4* les sels amm., les amides et les-
inides de beaucoup d'ac. bibasiques (ac. succinique, malique, tar-
nque, asparlique, etc.) qui chauffés en présence d'un réducteur
handonnent aussi du pyrrol; 5*» Thémine.
De tous ces corps, les seuls qui entrent en ligne de compte en
liimie biologique sont l'albumine, l'hémine et les dérivés de
tadol. L'ac. succinique peut être séparé de l'albumine par enlè-
lement à l'aide de l'éther; de l'hémine en évaporant l'élher, puis
«prenant le résidu par de l'éther tout à fait anhydre, lequel ue
Itadout pas l'hémine; des bases de l'indol enfin, en distillant avec
le la vapeur d'eau le liquide alcalinisé avec de la potasse, ce qui
^tinune led l>ases en question. e. lambling^
Sur la chimie des ntncines; P. A. LETENE {Zeit. phys. CH.,
l M, p. S95-406; 21.2.1901). — Cette étude porte sur la copule
bcide des mucines. De la mucine de tendons est mise à digérer
hi B.-M. pendant i h. avec une sol. de NaCl à 10 0/0. On pple
hTLsuite par l'alcool et on traite le ppté pendant 24-48 h. par de
l# ooade û 2 0/0. La solution oblenue est traitée par de l'ac. acé-
l'iîue jusqu'à réaction alcaline faible, puis par un excès d'ac. pi-
Tique et enfin par de Tac. acétique jusqu'à forte réaction acide.
Ij* filtrai additionné de 3 à 4 vol. d'alcool fournit un ppté blanc,
tuî lavé à l'alcool et à l'éther ne donne plus d'ordinaire la réaction
820 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGElUs.
du biuret. On peut d'ailleurs achever de le purifier en le dissoliM
a plusieurs reprises dans de la soude et repptani par ralcooi.
L*acide ainsi obtenu est sol. dans l'eau avec réaclion acn^
insoi. dans Talcool et Téther. Sa solution ppte les albumoses,
donne pas la réaction de Facide sulfurique, ni les réactions
, de Talbumine. Bouillie avec HCl, elle ppte le chlorure de ban
et réduit la liq. de Fehling. Bouillie avec AzO^H ou SO*H«,
'sol. à 3 0/0, la substance n'est plus pptée par Talcool, mais 1*
éthéré donne un ppté que Teau de baryte à chaud colore en on
(réaction de Vac. glycuronique). L*ébuHition avec rac. suifuri
étendu donne en outre de Tac. acétique. L'analyse des sels de *
Ba et Cu donne des résultats variables, mais l'ensemble des
lions est caractéristique de rac. chondroîtine-sulfuriqne,
en proportions variables à la gîycosamine. Cet acide n'est
mêlé à la mucine, mais fait partie intégrante de la molécule,
de la mucine, dissoute dans du carbonate de sodium à i 0/0,
non traitée au préalable par un alcali, ne fournit que des traces
cet acide.
La mucine de la glande sous-maxillaire et un mucoîde de en
cinome ont fourni des résultats analogues. b. lambli?(g.
Réplique ; Ivar BANG {ZeiL pbys. CL, t. 31, p. 407*4i(|
21.2.1901). — Polémique contre Kossel au sujet des nucléo-histoQJ
[lbl(I,y t. 30, p. 508). E. LAMBLHfG.
Recherches chimiques et physiologiqnes sur l'acide gvrnqj
lique ; Ivar BANG {Zeit. phys. C//.. t. 31, p. 411-427 ; 21.2.iaa
— Kossel a rangé les acides nucléiques en trois groupes : !• il
acides thymonucléiques ; 2° les acides inosique et guauviitfoJ
3** l'acide plasmique. L'auteur s'élève contre la réunion d^ ^
inosique et gùanylique en un seul groupe. Il a démontré antéri
rement [ibid.y t. 26, p. 133) que Tac. gùanylique fournit par d
position de la guanine, de l'ammoniaque et une pentose. Il m\
dans ce mémoire que de la composition moyenne du sel d'i
(âo.61 0/0 de Ag) et de celle de Tac. gùanylique (7.640/0 de Ht
peut déduire un poids moléculaire de 1845 et il adopte pour V$\
gùanylique la formule C**H««Az»»P*0**, le sel d'argent «^ui
C**He*Ag»Az«op*0«*.
Cet acide fournit par dédoublement 85 0/0 de guanioe, UaA
que le calcul en prévoit 39.29 0/0. Mais Tauteur montre qtae i
guanine bouillie avec Tacide suHurique à 5 0/0 subit une perle t|
2.23 0/0. La correction que Ton peut calculer avec cette <Ioirii{
CHIMIE ORGANIQUE. 821
•orle donc le taux de la guanine à 36.55 0/0. L'ammoniaque, que
'auteur avait primitivement considérée comme un produit direct
iu dédoublement, provient en réalité de la guanine. On peut donc
idnieltre finalement que la mol. de Tac. guanylique cx)ntient 4 mol.
le iruanine.
D*aulre part, les déterminations précédentes de Fauteur permet*
nul de calculer que pour 4 mol. de guanine, il vient S mol. de
«ntose, ce qui fait en tout 35 C et 20 Az. Il reste donc 9 G que
'Mfceur compte comme glycérine. En effet, si Ton évapore le
i|uide de dédoublement de Tacide guanylique avec de la magnésie,
i^ Ton épuise le résidu par de Talcool, on peut démontrer dans
•t extrait, d'après la méthode de Kœnig, la présence de la glycé-
lie (environ 12 0/0). La fraction des produits de dédoublement
pt reste indéterminée s*élève à 15 0/0.
ft Fioalement Tauteur conclut que Tac. guanylique est un ac. pen-
iba&i(iue, contenant 4 mol. de guanine, 3 mol. de pentose, 3 mol.
Il glycérine et 4 mol. d*ac. phosphorique (voy. le mém. orig. pour
a formule de constitution très complexe proposée par Tau^ur).
E. LAMBLING.
Béplique; A. KOSSEL (Zeit. pbys. Ch., t. 31, p. 428-431;
S^190i). — Polémique contre Bang au sujet de Tac. guanylique.
I E. LAMBUNG.
tar raogmentation de la dépensa d*albnmina sons rinfluenca
Ip faisons protoplaamiqnes ai spécialemant sons celle du
MOToforme chai les harblToras ; 0. ROSTOSKI (Zeit, phys, CL,
fc M, P' 432-445; 21.2.1901). — Le chloroforme agit comme
Raison proloplasmique en Tabsence de toute action narcotique,
|Bisqoe Feau chloroformée suffit pour produire chez le chien une.
antmentation considérable de Tazote urinaire (Saikowski, V7r*
||èir'« Arcb.j 1. 115, p. 339). 1/auteur a constaté que Feau chlo-
Irtnrniée produit les mêmes effets chez le lapin ; cette augmen-
felioa des déchets porte sur Turée. L'étude de l'excrétion des
fMcipeti snlfurés n*a pas donné. de résultats nets.
B. LAMBUNG.
Smr las comblnaisona daa aldéhydes avec les matièras albn-
:MMddaa; L. SCHWARTZ {Zeit. pbys. Cb„ t. 31, p. 460-478;
il.2.190U). — Par addition de formaldéhyde, les sol. d'albumine
4u9éffum ou de Tœuf cessent d'être coagulables à chaud (Blum,
«Wrf.» t 22, p. 12 ; Benedicenti, Arcb. f. PbysioL, 1897, p. 219).
89S ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'auteur a constaté le même phénomène avec la séranhalbamm
cri&t. et il décrit les réactions de pptation et de coloration de k
mat. protéique ainsi modifiée.
On obtient la nouv. combinaison en traitant le mélange de k
sol. d'alb. avec Taldéhyde par de Talcool éthéré, soit immédiate-
ment, soit après un contact de plusieurs mois. Le ppté est Itvé i
Teau, puis à Talcool éthéré et séché à Tair, car à 100'', il perd4i
Taldéhyde, mais cette dessiccation incomplète oblige à ne ooo^
dérer dans l'analyse que le rapport Az I G. Ce rapport, qui «s»
pour la sérum-albumine de 100 l 338, devient pour la oombinaiaûa
formaldéhydique 100 : 362-359-381, pour la comb. acétaldéfa}
dique 100 I 413-431 et pour la comb. benzaldéhydique 100 I â6i,
La propionaldéhyde se comporte comme Tacétaldéhyde et la for-
maldéhyde. L'ald. œnanthique ne suspend qu^incomplètemeot 11
coagulation. Les aldéhydes isobutyrique et isovalériqiie sont ^m
action, tandis que les ald. benzoïque et salicylique supprimeoi l|
coagulation.
L'auteur a étudié de même les combinaisons aldéhydiques
Vovalbumine cristallisée, de Védestine^ de Vbétéro^lbumose^ et
calcule d'après les variations du rapport Az I C le nombre de
lécnles d*aldéhyde entrées en comninaison. Ce nombre varie a
la mat alb. et la durée de Faction. Vovalbumine iodée ne d
pas de combinaison (rapport Az l C=100 I 336 avant et 100 1 3f
après l'action de l'aldéhyde).
Les comb. de la sérum-albumine avec la formaldéhyde et Tace^
tiddéhyde sont digérées par la pepsine, mais non par la
BBss et Novy ont d'ailleurs montré que la formaldéhyde
fadlement la trypsine, tandis que la pepsine en supporte peadati
des semaines des doses de 5 0/0 (CentralbL f. Pbysioi., t.
p^ 144). E. LAMBUKG,
Snr le dèrlTè iodé de roxyhémoglobina ; D. KURAJEFF {Zêd
pbys. Cb., t. 31, p. 527-542; 21.2.1901). — S'inspirant des travam
sœr les produits d'addition iodée des mat. alb. , Tauteur a fkit a^
sur 50 gr. d'oxyhémoglobine crist. de cheval en sol. 15 à fO gr
d'iode et 28 à 30 gr. de IK en présence de CO^NaH (prëp. I ei IB
ou de lO^K (prép. II). Il se produit un ppté brun noir qoe To^
recueille après 14 à 28 jours de repos et que Ton lave k Veau; I H
U sont ensuite dissous dans de la soude à 1-3 0/0 dans laqttdkl
est dilT. sol. et II fac. sol. On ppte par C^H^O^ et on lare le ppN
par l'eau, l'alcool et l'éther. Le produit III n'a pas été redisâoii^
dans la soude, mais simplement piu*iflé par lavage.
CHIMIB ORGANIQUE* 8iâ
L' iod{hhéak>globine est une poudre brune, très peu soi. dans la
ide quand elle n'a pas. été purifiée par les alcalis, à peu près
5oU dans AzH^, CO»Na«, COWaH et les ac. et. Puriaée par les
nJtd, elle est au contraire fac. sol. dans les mêmes véhicules.
klcooi acidifié par SO^H* en dissout un peu et se colore forte-
*nt. Les diss. alcal. ou acides du nouveau pigment présentent le
hne spectre que les sol. corr. d'hématine.
Lliématine en sol. alcal. traitée par I-f-^KI donne également
le iodo^hématiae^ qui ne se ppte que par addition d*ac. acétique,
r pigment est fac. sol. dans les alcalis, sol. dans Falcool sulfur.
ces deux sol. présentent le spectre des sol. corr. d*hématine.
I sol. aie. est précipitée par le sulfate d'amm. à demi-saturation,
Ddis que la pptation de Tiodo-hémoglobine est déjà achevée pour
ks quantités de sel beaucoup moindres, ce qui permet de séparer
etiement les deux corps et d'affirmer que Tiodo-hémoglobine
hrrile plus haut ne contenait pas d'iodo-hématine.
Traitée par la pepsine chlorhydrique, Tiodo-hémoglobine est
MottUée en albumoses et en hématine ou iodo-hématine. La
jpsine fournit de même un mélange d*albumoses et de mat.
)lor.
La composition moyenne des produits I, II et m a été la suivante :
» 48.48; H, 6.04; I, 11.02; Az, 14.81; S, 0.49; Fe, 0.81 0/0.
riodo-hématine renfermait : I, 14.31 ; Az, 12.93; Fe, 12.21 0/0.
B. LAMBUNG.
GoBtrilmtion i la chimie de l'acide paranucléique ; P. A. LE-
rSHEetC. ALSBERG(Zei/./7Vs. CL, t. 31, p.543-555; 21.2.1901).
- Les jaunes d'œufs mélangés d'un égal vol. d'une sol. de NaCl
1 10 0/0 sont épuisés par l'éther jusqu'à ce que la sol. salée soit
■Bpide et que l'éther n'enlève plus de pigment. On ppte ensuite la
itelline par add. de 20 vol. d'eau. Ce produit est dissous dans de
'eta (400^ pour la vitelline de 100 œufs) et on ajoute un 1/2 vol.
lum. aq. à 25 0/0. Après 2 heures on neutralise lentement par
^. acét. en présence d'un peu de glace, puis on ajoute 100 ce.
fune sol. sat. d'ac. picrique, puis de l'ac. acét. jusqu'à réaction
Mement acide. On filtre et on ppte Tac. nucléique par l'alcool.
Ceppiéest sol. dans l'eau, et cette dissol., add. d'ac. acét., ppte
«e sol. acéL d'albumose, c'est-à-dire que le corps se comporte
Wb eonmie un acide nucléique. On redissout donc dans de l'eau
^ P(<é foumi par l'alcool, on acidifie par l'ac. acét., et on ajoute
*t Talcool chlorhydrique (0.5 0/0 deHCl) qui ppte l'acide nucléique.
Ce corps, que l'auteur appelle ac. aviviteUique, renferme 9.69 0/0
884 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
de P. Il est insol. dans Teau, dans les acides taibles, TabuL
réther, sol. dans les acétates alcalins. Il donne la réactiofi èi
biuret et Fauteur expose un ensemble de réaction tendant à 4i-
montrer que ce composé est une combinaison d*ac. métaphosphw
rique et d'une mat. alb. L'acide, analysé sous la forme dusd4i
Ca, contient : G. 32.81 ; H, 5.58; Az, 18.18; P. 9.88; S, O.ST.
Fe, 0.57 0/0. Il n'a pas été possible de séparer la copule albun
noïde de l'acide, mais des essais de dédoublement ont foomi 4
Targinine et de Thistidine. Le travail se termine par qq. essais sa
le mode de liaison du fer dans la molécule. b. lambu?(g.
Snr la présence et sur raction d*an« diastase protéolytiqi
dans les graines en germination; Wl. BULKBWITSCH {Zn
phys. Cb., t. 32, p. 1-58 ; 16.8.1901).— Les plantules de Lapis^
angustifoleus^ L, luleus, Vicia faba, Riciaus nuy'or contieniHi
une diastase protéolytique, dédoublant les mat. alb. en produ^
qui ne sont qu'en partie pptables par l'ac. pbosphoiungstiquj
Parmi les produits non pptés, il se trouve des corps qui conUenmi
de l'azote facilement séparable sous l'action de l'ac. chlorhydn
(méthode de Sacchse). La diastase agit faiblement en présence
carbonate de sodium à 0.1 0/0 ou de HCl à 0.2 0/0 et produit
tout en présence de HCl des mat. pptées par l'ac. pbosphoiuDt:
tique. CAzH favorise l'action à 0.1 0/0 et plus encore à 1 0/0, mi
alors il se produit surtout, comme avec HCl, des mat. pptables h
l'ac. phosphotungstique. Les produits formés sont la leucine,
tyrosine, et sans doute des bases hexoniques, mais on n*a ^
trouvé d'asparagine. a. lambumg
Détermination quantitatiTe des bases haxoniqnas ità
rhétéro-albumose et la peptona ; H. G. HA8LAM {Zeit. pt}\
Ch., t. 32, p. 54-58; 16.8.1901). — L'hétéro-albumose a été pnl
parée par le procédé de FoUn {ibid., t. 25, p. 152) à l'aide de |
peptone de Witte, et comme peptone (dans l'ancien sens du md
l'auteur a pris de la deutéro-albumose extraite aussi de la peptoii
de Witte par pptation au moyen de la dialyse. Ces deux albumo»
ont été étudiées d'après la méthode de Kessel et Kutscher. TiOifi
que d'après Pick [ibid,, t. 28, p. 219) l'hétéro-albumose trailée|^
HCl conc. et bouill. fournit 39 0/0 et la protalbumose t5 0 0 4
son azote total sous la forme d'azote basique, l'auteur trouvi* «1
contraire que la deutéro-albumose en donne 31.4 0/0 et Théi^
albumose 23.9 0/0. Cet azote basique se répartit ainsi. Foor k
deutéro-albumose, on trouve dans A2H^,5,4; dans rhisUdiae. •"
CHIMIE ORGANIQUE. 825
«IIS Targinine, 14.8 et dans la lysine, 8,6 0/0 et pour Thétéro-
'bumose dans AzH^, 4.4 ; dans Thistidine, 4.0; dans Targinine,
}M ei dans la lysine, 4.6 0/0 d'azote total. e. lambling.
Recherches chimiques sur rauto-digestion de la levure ;
r. KHTSCHER iZeit. phys, CL, t. 32, p. 59; 16.3.1901). —
^hûtzenberger a montré que la levure de bière abandonnée à
lk»-inéme continue non seulement à produire de Talcool, mais
aune encore naissance à des produits de régression azotés (tyro-
me, leucine, butalanine, camine, hypoxanthine, xanthine et gua-
me». Après un historique étendu Fauteur étudie cette seconde
•nie du phénomène. Trois litres de levure basse lavée à Teau
anl abandonnés à 38** avec 5 lit. d'eau add. de toluène. Lorsque
î le liquide ni le dépôt ne donnent plus la réaction du biurel (15 j.
nvîront, on ppte par Teau de baryte le liq. décanté, on débarrasse
?• filtrat de la baryte par SOH*, on acidifie faiblement par Tac.
irét- et on concentre. Il se ppte de la tyrosine.
I^ nouveau filtrat traité par un peu d*AzO^H est add. de nitrate
fArgeot jusqu'à cessation du ppté. On obtient ainsi un ppté I et
m filtrat I. Le ppté I contenait de la guanine, de Vadénine et un
■orps neutre de formule C*H*Az*0*, entraîné dans la pptation
trgeotique. Le filtrat I add. encore de nitrate d'argent, puis d'eau
le baryte concentrée donne un filtrat II et un ppté II. Du ppté II on
\ isolé un peu d'adénine, de Vhistidine et de Y acide aspartique. Le
Utrat n, add. encore de nitrate d'argent est saturé de baryte, il
ionoe un ppté III et un filtrat III. Le ppté III contenait de Varginine
H te filtrat lU de la lysine.
Ces corps ne se produisent que dans la levure à l'état d'inanition.
Dd ne les trouve ni dans la levure bien alimentée, ni dans la bière.
L auteur pense que dans le cas de la levure alimentée, la diastase
frotéolyiique de la levure agit sur les éléments azotés fournis à la
r«iiule et les simplifie de telle manière que les produits formés
fuideent servir à l'édification du protoplasme, c'est-à-dire que la
diastase est ic4 un agent de construction. Au contraire, dans la
levure en inanition^ la diastase s*attaque aux tissus mêmes de la
levure ei la dédouble profondément. Slle est alors un agent de
éestruction. k. lambling.
Remarque à propos du travail de Kossel et Kutscber sur les
aatiérea albuminoidea ; I. BAN6 {Zeit. phys. Ch., t. 32, p. 79-
HO ; i6.S.100i). — Réclamation de priorité. e. lamblinû.
8^ ANALYSE DE6 TRAVAUX ÉTRANGBSR.
Réplique ; A. KOSSEL {Zeit. pbys. Ch., t. 32, p. 81 ; l6.S.l«i
— Polémique contre I. Bang. e. l^mbluig.
Sur la détermination de Tindican urinaire à Tétat de roip
d'indigo à Taide de Tisatine en solution chlorhydriqit ; t
BOUHA (Zeit. pbys. Cb., t. 32, p. 82-93; 16.S.1901). — L'«u«
a démontré que loi*squ'on oxyde Tindoxyle urinaire au moyen di
la sol. chlorhydr. de perchlorure de fer, il se forme à côté de Ti»
digo bleu, des quantités variables de rouge et de brun d'indM
qu'on ne peut pas éliminer comme représentant des impureté
sous peine d'obtenir des résultats trop faibles. 11 propose en
séquence d'appliquer à l'urine le procédé employé par B
pour, la recherche de l'indican dans les plantes et qui coosiste
transformer en totalité l'indoxyle en rouge d'indigo par TacUoD
Tisatine en sol. chlorhydrique (J. Bouma, iA/rf., t. 30, p. 117.
Beyerink, VersL kon. Akad. v, Wetenscb. Amsterdam, 1
p. 579). On obtient ainsi une quantité d*indigo rouge double é
celle qui correspond à Tindoxyle à titrer, puisque la moitié dj
chaque molécule de rouge d'indigo formé est fournie par I^isatii»
Dix vol. d'urine sont traités par 1 vol. de sous acétate de plomb, î
le filtrat, add. d'un égal vol. de la sol. d'isatine (20 milligr. d'isa
p. 1000 ce. de HCl concentré, exempt de fer) est chauffé peo
15 m. au B.-M. On agite ensuite avec CHCP, on évapore CHO'
le résidu, séché h 110®, est lavé avec de l'eau pour éliminer 1'
d'isatine. On ajoute ensuite SO^H* et on titre au caméléoo.
caméléon doit être titré à l'aide de rouge d'indigo synthétique.
procédé donne, bien entendu, des résultats beaucoup plus élev
que celui de Wang-Obermayer qui ne dose que Tiudigo bleu. -
Le travail se termine par la description d'un procédé colonmA
trique pour la clinique, avec appareil (indicanuromètre).
E. LAMBLUTG.
Sur la recherche de la cystine et de la cystéine dans Uà
produits de dédoublement des matières albuminoidee ; fij
EMBDEN [ZeiL pbys. Cb., t. 32, p. 94-108; 16.3.1901). — Oil
sait que K. A. H. Môrner a réussi à isoler la cystine des prodmtil
de rhydrolyse des mat. cornées en présence de HQ i dMiufl
L'auteur communique d'abord quelques modifications introdoiM
par Môrner (communie, personnelle) dans sa méthode et direi^
résultats nouveaux. La corne fournit 6.8, la membrane co<|ttiHMt>^
de Tœuf, 6.0, les cheveux, 12.6, la sérum-albumine plus de 1 0^'
de cystine.
OHIMIB OROANIQUK. 827
•*aul6ur a modifié le procédé de Môrner en ce sens qu*il ne fait
uilir la substance avec HCl que pendant quelques heures, au
L lie plusieurs semaines. Le liquide est ensuite neutralisé direc-
liQSsI par la soude, sans évaporation dans le vide, filtré, décoloré
ronoeniré, et les dépôts cristallins obtenus sont lavés à l'eau qui
Mïut NaCl et la leucine, puis à Tacide azotique et., qui dissout
b facilement la tyrosine. La cystine restante est recristallisée
Feau ammoniacale. Un autre procédé a consisté à isoler la
tine sous la forme de sa combinaison cuivrique, par addition
xy<ie de cuivre hydraté.
l'ar ce procédé, l'auteur n*a pas pu extraire de Talbumine de
Fof de la cystine, mais de la cystéine, qu'il a pptée du liquide
lydrolyse, préalablement neutralisé, au moyen de HgCl*et NaOH.
sérum-alburainc et l'édestine se comportent de même.
L'aateur conclut que les mat. alb. riches en soufre (kératine)
Bli^^ineat de la cystine et que celles qui sont pauvres en soufre
mme Tovalbumine fournissent au contraire de la cystéine comme
emier produit de l'hydrolyse. e. lambung.
De l^influêBoe da la caféine ai de la théobromine sur Tezcré-
en d#s corps puriques par l'arine; H. KRÙ6ER et J. SCHMID
t0U. pbys. Cb., t. 82, p. 104-110; 16.8.1901). — Un jeune
irçoa de 16 ans, atteint de distrophie musculaire, a reçu quoti-
icottement, avec une alimentation constante, 0'%05 de caféine
mdant 4 jours, puis 0<^,1 pendant 6 jours et 0^%2 pendant
. La quantité d'ac. urique ne fut pas modifiée, mais celle
puriques fut augmentée, et soit, avec 0^%05 de caféine,
a m 0/0, avec 0»',1 de caféine, de 28 0/0, avec 0«',2 de caféine
I* 19.3 0/0 d'azote caféinique ingéré. L'auteur rapproche ces
koltats de ceux de Burian et Schur {Arcb, de POùger^ t. 80,
I. 921) et d'Albanese {Arcb, f, exp. Patb,^ t. 35, p. 449). Le
»éme patient ayant reçu pendant 2 j. 0<%4 de théobromine par
eur, on retrouva 47 0/0 de l'azote ingéré sous la forme de théo-
krMnioe, à Tétat de bases puriques. e. lambldig.
Bar rezcrMiea de l'antipyrine par rorganiame animal;
J. LâWROR {ZeiL pbys, Cb., t. 32, p. 111-120; 16.3.1901).— Un
rlueo de 85^,5 reçoit pendant deux périodes de 2 à 2 semaines et
draiie de 4 à 10 gr. d'anlipyrine par jour avec 2 kgr. de viande de
i^ieval et 1000 à 1500 ce. d'eau. L'urine corresp. ne renfermait que
trê« pea d'antipyrine en nature. Elle déviait à gauche et réduisait
d'une manière constante la Hq. de Fehling après ébuilition avec
828
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS^.
HCl OU SO^H^ à 2,5 0/0. Elle contenait donc probablemem u
dérivé glycuronique de l'antipyrine, lequel fut isolé de la manuni
suivante.
L*urine, concentrée à 60-65'', est traitée par Tacétale de plomk^
puis filtrée, et le filtrat est ppté jusqu'à refus par le sous «cétâfa
de plomb. Ce nouveau ppté est lavé à Teau froide, puis décompoil
par Tac. sulfurique en léger excès, et le liquide filtré, neutralisa
par la baryte et chauffé au B.-M. à 55-60*, est refîltré. On sursatzifj
ensuite par la baryte et on ppte par Talcool éthéré. Le ppté «j
agité avec de Teau et add. de SO*H* jusqu'à réaction neutre <4
amphotère. Enfin le nouveau filtrat, décoloré, abandonne, pj
concentration, de fines aiguilles groupées en faisceaux. Lee réaail
tats d'analyse correspondent à un sel double formé par runioo à
sel de Ba d'un ac. glycuronique conjugué et de chlorure de baryal
(C«"ïH*»Az«08)Ba + BaCl« + H«0. e. u^mbuhg.
Contribution à l'étude de la tbyréoglobuline ; A. OSWAU
{Zeit. phys, Ch., t. 32, p. 121-144; 16.3.1901). — L'auteur
démontré que l'on peut extraire de la gl. thyroïde du porc une on
tière alb. non iodée, mais phosphorée et une globuline iodée, cett
dernière guérissant les accidents dumyxœdèmeet augmentant V&
crétion de l'azote. Cette thyréofflobine fournit, par dédoublemeol
Yiodothyrine de Baumann et possède Taction particulière de cvxi
dernière substance sur la pression sanguine et le pouk (OswakI
//>/</., t. 27, p. 15, et E. de Cyon et Oswald, Arcb. de Pâàger
t. 83, p. 199).
L*auteur a préparé et analysé les thyréoglobulinea de glaoda
saines et malades chez diverses espèces animales et chez rhomme
Les résultats sont rapportés à la substance exempte de cendres.
c.
H.
Ai
!..
S..
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POICS.
■OCTTOHt.
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KoitretiK.
4 (iMik
53,il
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5<,45
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•
6,83
7,0»
6,93
7,04
•
16,59
15,00
15,9t
15,99
•
0,46
0,39
0,86
0
os
1,86
1,95
1,83
2.00
•
On voit que la tbyréoglobuline du porc se retrouve chac le»
autres espèces animales avec une composition constante sauf pour
riode. Les veaux groilreux (de Zurich) avaient tous une glande
CHIMIE ORGANIQUE. 819
lypertrophiée, mais sans colloïde, tandis que les veaux à glandes
monnaies (de Paris) montraient au microscope, comme il arrive
fortlûiaire pour les glandes normales, des amas colloïdes très
ipts. Cette constatation est en accord avec ce fait déjà antérieure-
&«nt établi par Fauteur, à savoir que la teneur en iode dépend
ortoul de la teneur en mat. colloïde {Zelt. phys. Ch., t. 23,
w ±65». — L'auteur rectifie ce qu'il avait dit antérieurement relali-
/pmeot à la teneur en iode de la thyréoglobuline de porc.
L'analyse des thyréoglobulines de glandes humaines ont donné
e? réï^ultats suivants :
8.
Al
l..
5.
CoItBU COLLUÏOBt
de
BAle.
52,03
6,91
15,32
0,07
1,«3
de
Zurich.
51,77
6,71
15.09
0,19
1,93
COtTBB
dans un ca»
de
maladie
de
Basedow.
0,07
CLAUDE»
riches
en colloïde
de
Hambourg.
51,82
7,05
15,46
0,19
1,63
CLA^DB8
nonnales
de
Hambunrg.
51,85
6,8S
15,i9
0,31
1,87
GOITIB
colloïde
de Zurich
après
admi-
nistration
de IK.
»
0,51
On voit que, sauf pour l'iode, la composition de thyréoglobuline
<«l constante chez l'homme comme chez les animaux. De plus la
Ihyréoglobuline des glandes colloïdes est moins riche en iode que
edie des glandes normales, et cependant l'auteur a démontré que
ks glandes colloïdes sont, au total, plus riches en iode que les
guides normales, il faut donc qu'elles contiennent une grande
quantité de cette thyréoglobuline pauvre en iode. L'action de IK
for la richesse en iode de la thyréoglobuline est visible.
E. LAMBLINO.
Sur les matières albnminoides du thymus; W. HUISKAMP
\ZtiLpbys. Cb., t. 32, p. 145-196; 16.3.1901). — Ce mémoire,
Irè* étendu, et dont Tanalyse ne peut être que très incomplète,
comprend à l*étude : 1^ de la nucléohistone du thymus; 2*" du
ftudéoprotéide du thymus; 3<> de Taction de ces deux substances
^D tant que ferments de la fibrine.
L Lorsqu'on additionne l'extrait aqueux de la glande de 0,1 0/0
•îe CaCl*, on obtient un ppté qui contient la nucléohistone, car
traité par HCI à 0,8 0/0, il fournit un ppté de nucléine (mêlé de
b80 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
bases puriques et surtout d'adénine) et une solution chlorhy^nfi
d'histone. Ce ppté par CaCl* représente une combinaison caks^
de la nucléohistone, car l'ac. acétique à 5-10 0/0 ou Poxalateér
lui enlèvent Ca. Un grand nombre d'autres sels (BaCl*. SOm
NaCl, etc.,) pptent aussi la nucléohistone. L*auteur détenmwi
même les conditions de solubilité des comb. salines de la wk^
histone avec les métaux alcalins, Ba, Mg et les métaux lourds m
à-vis de Teau et des diss. salines. A propos du dédoublemeot àc
nucléohistone avec formation ifhistone, il fait la critique des ré^
tats de Bang {Zeit. pbys, Ch., t. 27, p. 468 et t. 30, p. 508).
II. Le nucléoprotéide, bien moins pptable par GaCl* que
nucléohistone, peut être facilement séparé de cette dernière |
deux pptations successives par ce sel, puis ppté de la dissoluti
par Tac. acët. Il donne la réaction dWdamkiewicz et celle de Milli
et, comme la nucléohistone, il donne, par dédoublement, de Wi
nine, mais pas d'histone. Le nucléoprotéide contient 0,95 0/0 *Jt*
tandis que la nucléohistone en renferme 8,75 0/0. L'eitf
aqueux du thymus contient encore une globuline pptable ]
SO*Mg et une albumine.
La nucléohistone calcique contient i2(C***H*«*A2"*P"SCa*0*''^
le nucléoprotéide i2(C*«*H««'ïA23*PSCaO**).
III. La nucléohistone calcique provoque à elle seule la coa^i
tion des dissolutions de flbrinogène, mais le phénomène est |d
complet en présence de 0,1 0/0 de CaCl*. Au contraire les cou
avec Mg ou Na sont sans action à elles seules et n'agissent qu i
présence de CaCl^. Le nucléoprotéide se comporte comme
nucléohistone ; les autres mat. prot. du thymus sont sans tciM
L'auteur rapproche Faction de la nucléohistone de ceUe do nurlii
protéide ppté du sérum de sang de bœuf par Pekelharing (r/aitf/i
ueber dus Fibrinferment^ Amsterdam, 1892) et que cet lulfi
considère comme le zymogène du ferment de la fibrine.
B. LaMBLIHG.
Sur la protamine des spermatoioides d'Acipansar BttUi
tus; D. KURAJEFF {Zeit. pbys. CL, t. 32, p. 197-200; 16.3.190!
— Traités d'après le procédé de Kossel, les spermatozoïdes d'j<i
penser stellatus fournissent, à l'état de sulfate, une protamiQ
donnant toutes les réactions typiques du groupe : elle pnfefo^
nettement la réaction du biuret, mais non celle de Millon et (^V
la peptone de Witte en milieu faiblement ammoniacal. Ce solftt*
beaucoup plus sol. dans l'eau que ceux du groupe de la àalintiH'
CHIMIE ORGANIQUE. 831
>M*iealC**H"'*A2*«0*.4SO*H«. L'auteur rapproche celte nouvelle
'^oUmiae, Vacipensérine, de la sturine.
spermatozoïdes de silurus ylanis ont fourni de même un sui-
de silurine beaucoup moins sol. et dont Tétude n'est pas
iievée. E. LAMBUNO.
R«ch6rch«8 chimiques et physiologiques sur Tacide guany-
4n«; h BANG (Zeit. phys. Cb., t. 32, p. 201-213; 27.4.1901).—
auteur étudie dans cette deuxième p. de son travail (Ibid,^ t. 31,
. iil) l'action physiol. de Tac. guanylique et du p-nucléoprotéide
Lirait du pancréas d'après Hammarsten. Injecté dans les veines^
ttc. ipianylique produit des phénom. d'excitation, puis de la nar-
r«âe, de la diminution de la pression sanguine et des ti*oubles
espiratoires. De plus la coagulation du sang est retardée, Turine
«Tient alcaline et contient de 1 à 3/1000 d'albumine.
Le nuciéoprotéide produit les mêmes eflets sur le syst. nerv., le
mi\^ et la respiration, mais Turine ne devient pas alcaline. Elle
«^fenne du glucose, du nuciéoprotéide et très peu d'albumine.
E. LAMBLING.
Coatribotion à l'étude de la production d'acide lactique
lans rorgaaisme aaimal asphyxié ; S. SAITO et K. KATSUTAHA
Ztit, phys, Cb., t. 32, p. 214-230; 27.4.1901). — Le sang de
^oule contient, à Tétat normal, de 0,0245 à 0,0284 0/0 d'ac. lac-
^ue; chez le même animal, plus ou moins intoxiqué par CO, od
Hi trouve de 0,0405 à 0,2424 0/0. De même Turine normale est
dépourvue irac. lactique tandis qu'après l'action de CO, elle en
Dootient de 0,0541 à 0,2283 pour des quantités variant de 10 à
ITi ce. et recueillies en liant le rectum au-dessus du cloaque avant
Ir commencement de l'intoxication. Celle-ci durait de 2 h. 1/2 à
1 h. L*ac. isolé à l'état de sel de zinc, était de Tac. paralactique.
E. LAMBLING.
Bar le sucre du saag normal de la poule ; S. SAITO et K. KAT-
nTAMA {Zeit. phys. Ch., t. 32, p. 231-234; 27.4.1901). — A
l'aide du polarimètre et par titration par la liq. de Fehling, les
auteurs ont dosé dans le sang de poule de 0,192 à 0,250 0/0 de
ffaicose (beaucoup plus par conséquent que chez le chien et le
W^fia). L'o6azone de ce sucre a été isolée et on a déterminé son point
•Ift fusion. Enfin le sucre fermente avec la levure de bière. Les
Auteurs concluent que la substance réductrice du sang de poule
*^ bien du dextrose. e. lambling.
^
838 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
De rinfluence de quelques diurétiques sur Texcrètioa
alcalis par r urine; K. KATSUTAHA {ZeiL pbys. Cb,, l
p. 235-240; 27.4.1901). —Complétant un précédent travaîh/J
t. 28, p. 587), Tauteur montre que l'urée et la diurétine se
tent chez le lapin comme la théine, c'est-à-dire augmentent Yi
tion des alcalis et surtout celle de la soude. e. LxMBuse.
La constitution de la tbymine ; H. STEUDEL {ZeiL pbys, i
t. 32, p. 241-244; 27.4.1901). — Dans un précédent travail |/
t. 30, p. 539), Tauteur a montré que par l'action du mt^langre
nitrique sur la thymine on obtient un corps donnant avec le ch
et l'ammoniaque la réaction de Weidel, c'est-à-dire se comportai
comme une pyrimidine. Il revient avec plus de détail sur la pr^
ration de ce corps qui contient C*H*Az*0* et que la réduction pi
Sn-}-HCi transforme en une base cristallisée en aiguilles et «lot
nanl par Gl -|- AzH^ une belle réaclion d'alloxane. D'autre part, <
môme que Talloxane donne de l'urée par oxydation, de même
thymine, oxydée par le permanganate de Ba, fournit également i
Turée. L'auteur rapproche ces résultats de données fournies p|
les travaux de Kossel et les siens, et attribue flnaleinent à la ih^
mine la formule que voici, c'est-à-dire en fait une à-tnétàx
2. G-dioxypyvimidiue,
HAz-CO
I I
OC (J-CH3
I II
HAZ— CH E. LAMBLI.XU.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 883
CHIMIE SÉNÉRALE ET MINÉRALE
La dynamique chimique de la condensation de l'acétone ;
KOEUCHEN (ZeiL physik, CL, t. 33, p. 129-177 ; 17.4.1900). —
^ alcalis font subir à racélone une condensation qui la Iransforme
I alcool diacétonique, par une sorte d*aldolisation :
2CH3.CO.CH3 = GH3.CO.GH2.C(CH3)2.0H.
Cette réaction a pu être étudiée par voie dilatométrique, l*acé-
ne et son produit de condensation ayant des densités fort diffé-
otes (0,7863 et 0,9306 à 25*»). Cette étude a conduit aux conclu-
oos suivantes : 1* La condensation de Tacétone et le dédouble-
ent de l'alcool diacétonique sont des réactions réversibles entre
S4|ueUes s'établit un état d'équilibre ; — 2® Ces deux réactions
mi accélérées par la présence d'ions hydroxyle ; — 3* Pour une
lution suffisante (iO 0/0), l'équilibre est régi par l'équation :
~ = constante,
i C et C représentent les concentrations de Talcool et de l'acé-
n*' ; — 4" Il est indépendant de la masse de l'alcali employé ;
- > Il dépend notablement de la température : une température
fcsse favorise la formation de l'alcool diacétonique ; — 6** La
liesse des deux réactions dépend de la concentration des ions
filroxyle et leur est sensiblement proportionnelle. Les écarts
t>ovés dans le cas des bases faibles doivent être attribués à dés
tactions secondaires, comme l'auteur a pu le constater par des
mesures de conductibilité; — 7** La mesure de la vitesse de
édociblement de l'alcool diacétonique pourrait peut-être être
nployée pour mesurer le dédoublement hydrolytique des sels
^acides faibles; — 8*» Les sels neutres ont une influence notable
UT la vitesse des réactions étudiées ; il n'a pas été possible de
tpréseoter cette influence par une loi générale. m. vèzes.
£tadaa sur la théorie des tensions de vapeur; R. 6AHL
ZeiLpbysik. CL, t. 33, p. 178-214 ; 17.4.1900). — Mémoire de
ifay$ique pure. m, vèzes.
MO. cnv., 3* séR., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 53
834 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
La densité de vapeur du brome aux températures èleflai
E. P. PERMAN et G. A. S. ATKINSON (Zeit. physik. Ch., i S
p. 215-222 ; 17.4.1900). — Les auteurs ont déterminé ladensil^u
vapeur du brome par la méthode de Dumas, au moyen d*un ap)«
reil assez compliqué dont on trouvera la description (avec fi^îiir^
dans le mémoire original. Il ont fait une première série de meMi:t
sous la pression atmosphérique, à des températures variant ^1
650** à 1050**, et ont constaté que la densité de vapeur du broa
(rapportée à Thydrogène) possède jusque vers 750* sa valeur m
maie 80; elle commence alors à diminuer, et décroit de plus*
plus à mesure que la température s'élève : elle n'est plus que (
75 environ à 1050**.
Des expériences faites à température constante (1040*i et
pression variable (de 755 à 47 mm.) ont montré, d'autre pari, qt
la densité diminue aussi avec la pression, d'autant plus rapide uuf
que la pression devient plus faible : elle est de 76 à lUiO*
755 mm. et tombe au-dessous de 72 à 1040** et 47 mm.
M. VÈTXâ.
Sur la généralisation de la loi périodique des élémM
chimiques; Karl SCHIRHEISEN [ZeiL physik, CL, t. 33, p. ii
236; 17.4.1900). — L'auteur propose de disposer les élémei
d'une même période sur une même circonférence en des pou
séparés par des distances correspondant à la différence de iev
poids atomiques. Dans ce système, les grandes périodes serait
figurées par des courbes en forme de 8. Cette disposition pomu
trait de mieux mettre en évidence la périodicité de Tactivilé d
mique des éléments. m. vkzs».
Sur le calibrage d'un tube de verre et sur quelques coifl
cients de compressibilité ; 6. A. HULETT {Zeit. physik. Cb.,i.\
p. 237-244 ; 17.4.1900). — L'auteur indique, avec figures à Tappi
une méthode nouvelle pour le calibrage des tubes de verre,
emploie les tubes ainsi calibrés à des mesures de compressihtU
Le coefficient de compressibilité de Teau est de 45,3 1(H
4-9% de 44,6X10-« à 17% de 41,9>'10-« a 50*. Celui de
p.-toluidine est de 51,2 •';^iO— * à 45**. m. vtzt>.
Sur l'action bydrolysante du tempa et de la lumière m
quelques combinaisons chlorées de platine, d*or et d*éUi
F. KOHLRAUSCH {Zeit. pbysik. CL, t. 33, p. 257-279 ; 2.5.!W(>H
Le chlorure platinique PtCl^ forme avec l'eau une combiiuiii
CHIMIE GENERALE ET MINEiîALE. 835
cristallisée PtCI*.5H'0, découverte eu 1870 par Norton; ce corps
>erd aisément i mol. d'eau, mais il ne peut perdre la dernière
rans subir une décomposition profonde. En outre, Télectrolyse de
t^n dissolution par des courants faibles ne donne aucun dépôt de
[itatine à la cathode. Ces faits ont conduit Tauteur à admettre que
•»»lle solution contient en réalité un acide oxygéné, de formule
[*lCl*OH* (Wiedemanns, Ann,, t. 63, p. 423; 1897); celte concep-
tion, déjà envisagée comme possible par Jorgensen (Journ. i\
prakt. CA., 1. 16, p. 845 ; 1877), a été confirmée parles expériences
fie Hillorf et Salkowsky (ZeiL pbysik, CA., t. 28, p. 546; 1899) et
par colles de Dittenberger et Dietz (Wiedemanns, Ann,^ t. 68,
p. 853; 1899).
Au cours de ces recherches, Dittenberger et Dietz ont observé
i^ue la conductibilité électrique d'une dissolution de cet acide va
én\ croissant avec le temps. L'auteur a entrepris Télude de ce
phénomène.
Il a obser\'é que la lumière accélère fortement cet accroissement
île conductibilité ; à Tabri de tout rayon lumineux (de la partie
mvisible comme de la partie visible du spectre), la conductibilité
Vati^^ente que très lentement avec le temps. L'accroissement
ohser>ê dépend de la couleur de la lumière employée; s*il est de
iOO B\ec la lumière blanche, il n'atteint que 50 en lumière bleue,
18 en lumière jaune, 11 en lumière rouge. Cet accroissement étant
dû à rhydrolyse de l'acide PtCl*OH*, on peut conclure que la
lumière facilite notablement cette hydrolyse.
L'acide chloroplatinique PlGl^H*, en solution très étendue,
donne lieu à un phénomène analogue. A la dilution de 1 mol. dans
100 litres, il fournit, au soleil, un faible accroissement de conduc-
iibdité (de 351 à 365) ; à la dilution de 1 mol. dans 5000 litres, au
''onlraire, ba conductibilité croît de 382 à 1050.
Le chlorure d'or AuCl^ (qui, d'après Hiltorf et Salkowsky,
devrait aussi être envisagé comme un acide AuGl^OH*), donne
lt**u à une faible hydrolyse sous l'influence du temps et dans l'obs-
<riiriié, mais la lumière n'a pas d'action appréciable sur cette
hydrolyse, (|ue Ton pourrait attribuer également à l'action cataly-
tii^iie des électrodes platinées ou dorées. L'hydrolyse de l'acide
i-hloraurique AuCl*H est assez notable; mais elle ne paraît pas être
aecnie sensiblement par l'influence du temps ou par celle de la
lumière.
Le chlorure stannique SnCl* donne des solutions aqueuses qui,
a «les concentrations comprises entre 1/100 et 12 mol. par litre,
se troublent par Teflet du temps; il en résulte un accroissement de
836 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
conductibilité que la chaleur accélère, mais sur lequel la Inmut
ne paraît pas avoir d'influence. m. vêze>.
Démonstration élémentaire de la loi de Van t*Hoff sur 1
pression osmotique; K. IKEDA {ZeiL pbysik. Ch., t. 33, p.t^-
286; 2.5.1900). — L'auteur décrit une expérience de cours j-i
mettant de mettre en évidence la pression osmotique, envisa^^
comme une pression partielle dans un mélange gazeux. 1m i
point de départ, il déduit la loi de Van i'Hoff, la loi de Henrj- et '
loi de partage d'un corps dissous entre deux dissolvanis.
M. VKZSd.
Détermination des isothermes et des isochores dans h
phénomènes de dissociation ; K. IKEDA (Zeit, pbysik. Ch.Jl
p. 287-294 ; 2.5.1900). — Mémoire essentiellement théorique, f
ue saurait faire l'objet d'un résumé. m. \kzf>.
Les déformations permanentes et la thermodynamique \
Etude des systèmes dépendant de deux variables dont ù
n'est point affectée d'hystérésis ; P. DUHEH (Zeil. y hysik. Ci
t. 33, p. 641-697; 15.6.1900). — Mémoire purement théorique, i^
ne saurait être résumé. m. \kzEi>.
Sur le mécanisme de la congélation des mélangea colloidai
réversibles; W. B. HARDT {Zeit. physik. CL, t. 33, p. îJi^Jlii
2.5.1900). — D'une façon générale, les mélanges coUoïdaux peu\H
se présenter sous trois états distincts : 1** mélanges llquide^ <
solutions colloïdales, désignés par Graham par le terme « S-l
2"^ mélanges solides de substances solides et de subslani-<
liquides, dénommés « Gel » ; 3^ matières solides, comme \i
exemple la silice sèche.
Tous les mélanges dits coUoïdaux ne sont pas susceptible^ i
former un gel : quelques-uns donnent une matière gommeuse qn
même après dessiccation, reste capable de se liquéiier k nouvcai
c'est le cas pour les mélanges d'albumine et d*eau.
Les colloïdes capables de former un gel se divisent en den
classes bien distinctes, suivant que le passage du sol au gel et*t «^
non réversible : les mélanges de gélatine et d'eau constituent ti
exemple du premier cas, ceux de silice et d*eau un exemple «il
second. Quand un hydrosol de silice forme un hydrogel, celut-^'
est insoluble; au contraire un hydrosol de gélatine se transfon*
en hydrogel par refroidissement, et reprend l'état liquide quaml li
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 837
mpôralure s'élève. L'auteur propose d'appeler « coagulation » la
rmatîon d'un hydrogel insoluble, et « congélation », celle d'un
idro|?el Roluble.
L'auleiir étudie d'abord le système ternaire réversible : gélatine-
m-akool, qui, homogène à chaud, donne par refroidissement
îux phases liquides dont les indices de réfraction sont très diffé-
fttl> : circonstance qui facilite beaucoup Tétude microscopique
^ ce système. La température à laquelle se produit cette sépara-
tiu ta deux phases dépend de la proportion des composants dans
ini'lange : elle est d'autant plus haute que la proportion de géla-
UH ou d'alcool est plus forte. Elle s'abaisse au contraire quand on
lu^menle la proportion d'eau. — Les deux phases sont d'abord
mules; quand la température continue à baisser, l'une d'elles
pTH'ïit solide. — Leur surface de séparation est siqueuse et dis-
wiuiiue; dans quelques cas, comme par suite d'une transforma-
un -t^condaire, on voit se rassembler les masses discontinues de
i \^\n>(* intérieure. — Phis les deux phases se sont formées len-
rtnnil, moins leur surface de séparation est sinueuse. — La
ba>e solide se forme j)arfois du côté concave, parfois du côté
Ofivexe de la surface de séparation : du côté concave quand le
lélaii^jre contient peu de gélatine, du côté convexe quand il en
onlienl beaucoup. — 11 résulte de là que Thydrogel peut avoir
leux constitutions bien distinctes. Il peut être formé par une
■Éàse solide contenant de petites gouttes liquides, ou par de
^iies masses solides formant un assemblage dont le liquide
toiiplit les interstices. Dans le premier cas, H est solide et élas-
Mjué, et >a structure n'est pas modifiée par de fortes pressions;
i*ns le second, il est plus dur, et a une tendance à se rétrécir
^tanément, par suite de la réunion des masses solides dont il
BM composé.
Le mélange binaire agar-eau donne lieu à une étude moins
kisée, les deux phases qu'il fournit par refroidissement ayant des
iodices de réfraction presque identiques. Il a fallu séparer ces
il^ox phases par compression dans un canevas de coton : on a
o^^teou de la sorte un liquide qui est une solution d'agar dans
fttu, et un résidu solide qui est une solution d'eau dans l'agar. —
l^ proportion d'agar existant dans chacune de ces deux phases
^ttpiente avec la proportion d'agar dans le mélange total. — La
^*iûposiiion des deux phases dépend de la température ; à une
Dïf*ioe température, la composition d'une même phase diffère,
Miivtitt que cette température est atteinte par des valeurs cens-
l^mment croissantes ou constamment décroissantes : dans les
838 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
courbes qui représentent cette variation, les lignes ascendante* ti
descendantes sont distinctes. Le système n*atleinl donc <îue pn-
gressivement son état final d'équilibre : il parait y avoir là u>
phénomène d'hystérésis analogue à ceux que présentent, i»*
exemple, les métaux. — De la forme observée pour ces courbt^
on peut, en appliquant le théorème de Le Chàlelier, déduin*
les conclusions suivantes : entre 5 et 20', la liquéfaction de Fby
drogel (passage du système : solution d'eau dans Tagar-vapenr
au système : solution d'eau dan§ Tagar-solution d'agar dans Teiiii-
vapeur) est accompagnée d'un dégagement de chaleur; elle s'eî-
fectue au contraire avec absorption de chaleur entre 20 el ivj
tandis que la congélation de l'hydrosol (passage du syslèmt
solution d'agar dans l'eau-vapeur; au système : solution d*a|w
dans l'eau-solution d'eau dans l'agar-vapeur) s'effectue toujoun
avec absorption de chaleur. L'expérience confirme ces p^évi^lOû^
M. VKZES.
La disBOciation des solutions étendues au point de conft
lation; W. C. D. WHETHAH {ZeiL physik, Ch,, t. 33, p. 344-3âf
2.5.1900). — On sait que rabaissement du point de coDgélation (!<
l'eau, résultant de la dissolution de quantités équimoléculaires il\
divers électrolytes, est sensiblement proportionnel au nombre ôe\
ions que fournissent ces électrolytes par le fait de leurdissolutio^
Ce nombre se déduit de la mesure de la conductibilité étectriqoj
de la dissolution ; mais ces mesures ont été faites presque to<^
jours à des températures beaucoup trop élevées au-dessus di
point de congélation, pour que l'on puisse en déduire des résulutj
vraiment comparables quand il s'agit de vérifier la relation imiil
quée plus haut.
L'auteur a combiné un appareil, dont on trouvera la descripti'^
(avec figures) dans le mémoire original, dans lequel on peuidëi^^
miner à la fois le point de congélation et la conductibilité éietî
trique d'une dissolution étendue. Il s'en est servi pour mesurerj
0®, les coefficients de dissociation des chlorures de potassium t\
de baryum, de l'acide sulfurique, du sulfate de cuivre, du pemwi'
ganate, du ferricyanure et du bichromate de potassium, à àei
dilutions atteignant jusqu'à un cent millième de molécule \t^
litre. M. %-Kifc».
La dureté des corps simples; J. R. RTDBERG {Zeit. ferai
Cb.y t. 33, p. 353-359; 2.5.1900). — Au moyen des donnéo,
d'ailleurs généralement peu précises, que lui fournit In linératun'
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINERALE. 839
imique, l*autcur rapporte à l*échelle usuelle de Mohs la dureté
s corps simples. Les nombres ainsi obtenus, considérés comme
kction des poids atomiques correspondants» lui fournissent une
arl^e semblable à celles qui représentent, dans la classification
i* éléments, les variations périodiques de la densité, du coeilH-
mt de dilatation, de la chaleur atomique, du point de fusion, de
chaleur de fusion, du point d*ébu11ition et de la plupart des
opriétés élastiques. Les maxima de cette courbe sont occupés
irles éléments les plus réfractaires (0=1C, Si=:7, Cr = 9 ),
s minime par les métaux alcahns (Li = 0,6, Na = 0,4, K = 0,5
b^0,3, C8 = 0,2). M. vÈzES.
fitude préliminaire des conditions dont dépend la stabilité
M mélanges colloldanx non réversibles; W. B. HARDT {Zeit.
br$ik. Cb., i. 33, p. 385-400; 18.5.1900). — On a remarqué depuis
«gtempe qu*un grand nombre de solutions colloïdales sont ana-
)gues ou identiques à des liquides tenant en .suspension des
litières solides, celles-ci se trouvant sous forme de particules
itTvmement petites, de telle sorte qu'elles ne se déposent point,
K^uie après un repos très prolongé. A ce type appartiennent les
blutions colloïdales de métaux et de sulfures (notamment, de
ulfures de Sb, As, Cd). De telles solutions appartiennent à la
tefôe des mélanges colloïdaux irréversibles : une élévation de
lempératore facilite leur coagulation (ou précipitation); mais ni un
«{roidissement, ni une nouvelle élévation de température ne
^vent reconstituer la solution primitive. A la même classe appar-
lieniient les solutions colloïdales de silice, d'hydrate fcrrique,
l'alumine, ainsi que celle que donne, par ébullition avec de l'eau,
Talbomine du blanc d'œuf. 11 laul y joindre également, comme il
fhalie des faits observés par l'auteur, Thydrosol de mastic obtenu
(^ versant dans de l'eau une solution alcoolique étendue de cette
matière.
Od sait que les particules solides contenues dans ces solutions
colloïdales se déplacent sous l'intluence d'un champ électrique,
ïtogmondy {Ann, de Liebig, t. 301, p. 29) a observé que l'or, en
MlutioQ colloïdale, est déplacé par un courant électrique dans
on sens inverse de celui du courant. Picton el Linder (Chem, Soc,
L 70, p. 568 ; 18U7) ont remarqué que le sens de ce déplacement
dépend de la nature chimique du mélange : il varie, en particulier,
lorsque le mélange, d'abord acide, est rendu alcalin; ou, plus
r^néralement, quand on fait varier son acidité ou son alcalinité.
Chaque mélange présente donc un point pour lequel la phase
L
*
840 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
solide et la phase liquide sont c isoéleclriques • : en ce poinU i
stabilité du mélange colloïdal disparait, et la coagulation (ou pi*
cipitation) se produit.
L'auteur a étudié à ce point de vue Finfluence des sels soir
coagulation des hydrosols irréversibles. Il a constaté que IVik*
coagulante des sels dépend d'un seul de leurs ions : Tion ui^
ou positif, suivant que les particules colloïdales se déplacent ilm
le sens de la chute de potentiel ou en sens contraire. L'ion coè*;r
lant a donc toujours un signe électrique opposé à celui de k
particules.
Les acides coagulent les particules colloïdales électroaégaliv
et les alcalis coagulent les particules colloïdales éleciroposilivfj
dans un cas comme dans Tautre, la concentration de la liqvtfj
acide ou alcaline nécessaire pour la coagulation est définie j>ar 1|
lois habituelles de l'équilibre chimique. m. \kzes.
Les variations de solubilité par les sels; V. ROTHlin^
(ZeiL physik. Ch., t. 33, p. 401-414 ; 18.5.1900). — Il arrive asâj
fréquemment que la solubilité dans Tcau d'un non-éleclrolyle s^
diminuée par l'addition d'un sel. Pour étudier ce phénomèuc, i a|
teur s'adresse à la phénylthiocarbamide, matière qui préseii
l'avantage d'être chimiquement indifTérente, assez peu solufa
dans l'eau pour que l'on soit à Tabri des erreurs que pourri
entraîner l'emploi de solutions concentrées, facile à titrer a^i
précision ; en outre, le coefficient de température de sa soliil>i^il
est très élevé (environ 4 0/0 pour 1**). Les résultats obton^
peuvent être résumés ainsi qu'il suit :
l"" La solubiUté de la phénylthiocarbamide est fortement abai&x
par l'addition de sels. Ce sont les sulfates et carbonate» q\
exercent à ce point de vue l'action la plus notable; les nilrai^
sont les moins actifs. Les nitrates de lithium et de baryum m>^
sans action, celui d'ammonium produit au contraire un relèveme^
de la solubilité;
2"" L'ordre dans lequel se rangent les sels étudiés au point i
vue de l'intensité de leur action est le môme que celui déjà obseti
au point de vue de leur influence sur la solubilité du gaz carixj
nique, de l'hydrogène, du protoxyde d'azote et de Vàcètst
d'éthyle ;
3*» L'abaissement relatif de solubilité -^Ç^ (7© étant la soJubilill
dans l'eau, 7 la solubilité dans la solution saline) est indèpeod^
de la température. Il en résulte que la chaleur de dissolution de il
L
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 841
'nyllluocarbamide est la même dans les solutions salines et
15 l'eau pure. m. vèzks.
linétiqae chimique et énergie libre de la réaction :
l -2AK:i^2AgH-H«; H. DANNEEL (Zeit. physik. Ch., t. 33,
415-444 ; 18.5.1900). — On agite une solution iodhydrique avec
l'argent finement divisé et de la mousse de platine (qui accé-
e notablement la réaction), dans une atmosphère d'hydrogène;
•e produit de Tiodure d'argent, et la mesure de la conductibilité
mélange permet de connaître la vitesse de la réaction. Inverse-
nt, on a<;ite, dans une atmosphère d'hydrogène, de Tjodure
tr^nt avec de l'argent divisé, de la mousse de platine et de
lu; une partie de l'iodure d'argent est réduit, et il se produit de
ride iodhydrique. Les deux réactions aboutissent au même état
îmiilibre entre Tacide iodhydrique et l'hydrogène, en présence
odure d'argpul et d'argent solides : cet élal d'équilibre est défini
rla concenlration Cq^— 0,Oiti (en mol. par litre) de la solution
ihjdrique. Pour une concentration supérieure à celle limite,
îgenl déplace Thydrogène; il est déplacé par lui pour une
nceutratiou inférieure. L'étude de la marche des deux réactions
verses montre qu'elles doivent s'écrire
Ill + Ag ->: Agl + H,
non
2H1 + Ag2 -^ -2Agl4-H2.
L'énergie libre de ces réactions a été déterminée par la mesure
t la force électro motrice E du couple
Ag|(ABl + HI)-HI|H2.
Oïite mesure a donné, pour des concentrations C variant de
fOlii à 0,167 len mol. par Utre), des résultats concordant sufli-
tanmeot avec la formule
E = 0,02 + 2RTy/2 .^. M. vÈzEs.
Ttiéoria de la capillarité; G. BAKKER (Zeit. pbysik. CL,
• 33, p. 477-499; 18.5.1900). — Mémoire de physique pure.
M. VÈZES.
tor une méthode de détermination dn point de transfor-
■ition des corps dimorphes monotropes; Rndolf SCHENK
1^". pbysik. Ch., t. 33, p. 445-452 ; 18.5.1900;. — Les corps
■Jjtnorphes peuvent, d'après 0. Lehmann, être classés en deux
842 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
groupes : les dimorphes énantiotropes, dont les deux modificalinfl
peuvent être transformées Tune dans l'autre (tel le soufre «»■
tallisé, pour lequel on observe à froid le passage de la forme A*
norhombique à la forme orthorhombique, le passage inverse ^J
produisant à 100°; à une température intermédiaire, que r«
nomme point de transformation, ces deux formes restent en équi-
libre Tune en présence de l'autre, sans donner lieu à aucune tra»
formation), et les dimorphes monotropes, pour lesquels une seuli
des deux transformations inverses est possible (exemple : la
zophénone ou Tacide monochloracétique).Dans ce dernier cas,
est très fréquent, à toutes les températures où le corps peut exis
a rétat cristallisé, l'une des deux formes est stable, Tautre touj
instable; à plus haute température, le corps fond, chac4iue(l^
deux formes ayant un point de fusion distinct ; la forme stable «
celle dont le point de fusion est le plus élevé.
La distinction de ces deux classes de corps dimorphes dé
du reste de la position relative du point de transformation et
points de fusion des deux formes : si les points de fbsion
supérieurs au point de transformation, le corps est énanliotro
il est monotrope dans le cas contraire : le point de transformati*
se trouvant supérieur aux points de fusion, échappe h Vo\ïser\ê
directe.
Dans ce dernier cas, on peut déterminer le point de transfi
mation par extrapolation, en construisant les courbes de tensio
de vapeur des deux sortes de cristaux, et les prolongeant a
de la fusion jusqu'à ce qu'elles se coupent. On petit employer êv
lement les courbes de solubilité des deux formes cristallines : \h
point de rencontre correspondra également au point de transfoi
mation.
L'auteur propose de substituer à ces méthodes un procédé oi«|
veau basé sur les faits suivants. On peut déplacer les points *<
fusion des deux formes cristallines par des additions conveutblfl
d'une substance étrangère, et ces points de fusion varient d'in
façon linéaire avec la concentration de cette substance, poun
qu'elle soit choisie de telle sorte qu'elle ne forme pas de solut J
solide avec les cristaux. Les droites représentant la variation *v\
points de fusion se coupent en un point qui est le point de tnse\
formation. II suffira donc, pour le déterminer, de mesurer lt*s pomi
de fusion des deux formes cristallines pour deux valeurs difTérenlil
de la concentration de la substance ajoutée. Il sera plus sim|^
encore de mesurer les points de fusion SS' des deux sortes «I
cristaux h l'état de pureté, et de déterminer crj'oscopiqiiemaol Ui
CHIMIE GÉNÉKALE ET MINÉRALE. 8i3
issements moléculaires A et A' résultant de la dissolution de la
âlance étrangrère. Ces abaissements sont en général difTérents,
orme stable donnant rabaissement le plus faible. Le point de
isfonnation U est alors fourni par la relation
.r- S _ A
U — S' ^ A*
^'auteur a appliqué cette méthode au m.-nitro-p.-acétotoluide,
loant deux sortes de cristaux fondant à 98*, 32 et 91**, 58. En
Bolvant, dans les deux variétés fondues, de Toxalate de méthyle,
détermine les abaissements moléculaires A=87,08 et A'=99,0ri.
I eu déduit U — 105**, 9. m. vbzes.
Solidification et transformations* d'antipodes optiques ; J.
IDRIANI (Zeit.physik.'Cb,. t. 33, p. 453-476; 18.5.1900). —
lozeboom {Zeit. physik, (7/., t. 28, p: 494 ; 1899) a montré com-
ml, dans un système de deux antipodes optiques (corps droit D,
q)5 gauche <f), l'étude des courbes de fusion, des isothermes de
bbilité, ou des transformations qui peuvent se produire dans les
tjaoges solides, permet de décider avec certitude si ces deux
rps donnent lieu à une combinaison racémique, ou à un conglo-
rrat inactif par compensation extramoléculaire, ou à des cristaux
ixtes pseudoracémiques. Il ne suftlt pas, comme l'ont fait Wal-
thiAnn. de Liebig, t. 286, p. 134 ; 1895), Walden {D, ch. G.,
M, p. 1692 ; 1896), Landoll {Das optiscbe Drehungsvermôgen.,.,
*éd., p. 48-118; 1898), Kipping et Pope iCbem. Soc, t. 71,
/.*8D; 1897», de comparer les propriétés des corps I) et G avec
BiK de leur mélange inactif : il est nécessaire de faire l'étude
M&|»lète des mélanges des deux antipodes optiques variant de
DU 0 0 de D à 100 0/0 de G.
Après avoir discuté les résultats de ses devanciers. Fauteur
Implique ces principes à divers antipodes optiques, en mesurant
^ points de fusion de leurs mélanges (le point de fusion étant
Moi comme la température à laquelle disparait la dernière trace
fci corps solide). Les courbes obtenues sont parfaitement symé-
fc^ues par rapport au mélange inactif 50 0/0 D, 50 0/0 G; leur
'ïnie permet de décider quelle est la nature de ce mélange.
U benzoyllétrahydroquinaldine fournit deux courbes descen-
•^tes, le long desquelles se déposent D et G à l'état de pureté,
'•ï qui sont réunies par une courbe présentant un maximum. Cette
'>wrbe correspond au dépôt d'une combinaison racémique, dont le
f<^iQlde fusion est représenté par l'ordonnée maxima.
844 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'acide phénylglycolique présente une disposition aDalo}:i«
mais la courbe le long de laquelle se dépose la combinaison n».-»
mique est très réduite, et se termine à peu de distance de par*, f
d'autre de Tordonnée maxima. Le racémiquo ne peut être ol\>:*
par fusion que dans des mélanges contenant de 40 à 00 0/0 tl^ i':
des antipodes optiques. L'élher diraéthylique de Tacide diantM
tartrique donne lieu à une courbe centrale encore plus resscrr«
le racémique ne peut être obtenu par fusion que dans des mélatt^^
contenant de 45 à 55 0/0 de Tun des antipodes obtiques.
L'éther diméthylique de Tacide tartrique donne, lui aus?i. u
racémique ; mais la courbe le long duquel il se dépose e>l in]
étendue, et occupe presque tout le champ. Il ne se dépose <1
cristaux D que dans des mélanges ne contenant pas plus de l,r> ttl
de cristaux G, et réciproquement.
Dans tons les cas qui précèdent, la fusion ou la solidifient* j
s'effectue à température constante pour chaque compor^ilion !
mélange. Pour la carvoxime au contraire, la température xnnc *\
commencement à la fin de la fusion ou de la solidification. On \m^
donc construire deux courbes, correspondant, Tune au point 1
fusion (point où la fusion s'achève), Tautre au point de solidiâcatid
(point où la fusion commence). Ces courbes sont distinctes dail
tout le champ, sauf sur les ordonnées terminales correspondant
D pur et à G pur, et sur l'ordonnée centrale correspondant à IcJ
mélange en parties égales. Ce dernier point correspond à un masi
mum de la température, et les deux courbes y possèdent nti
même tangente horizontale. Il est donc vraisemblable que la solj
dification des mélanges de D et G ne fournit jamais que des cnn
taux mixtes de composition variable, ceux fournis k tenipératuii
maxima par un mélange à parties égales constituant un mac^j
pseudoracémique.
La camphoroxime présente ce cas remarquable, que des mt
langes en toute proportion de ses deux variétés ont le mt^me j*oifl
de fusion (il8*>,8) ; sa courbe de fusion est une droite horizontAlti
en tous les points de laquelle se déposent des cristaux mîxlt^ tl
même composition que le mélange qui les fournit. Soumis %i
refroidissement, ces cristaux subissent une transformation, pasï>â!^
de la forme cubique (variété a) è une forme anisolrope (varitHé J
la courbe des points de transformation est presque horîzootat*?
elle part de il2%6 pour les corps D et G purs, et passe par un mi-
nimum à 109**, 4 pour le mélange inactif pseudoracémique. Ilj
fortement refroidis, les cristaux mixtes anisotropes (varitSté p» {pa-
raissent subir une nouvelle transformation donnant naissance à un
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 845
itable racérnique : la courbe des points de transformation semble
vilei de toul point semblable à celle que donne la benzoyltétra-
firoquinaldine ; son point maximum, point de transformation du
êinitiue pur, correspond à une température de 103*.
M. VÈZES.
But la décomposition spontanée de Tacide hyposnlfureuz ;
F. HOLLEMAN {ZeiLphysik, Clu, t. 33, p. 500-501; 18.5.1900).
L'auteur, dans cette courte note, rappelle que, dans un travail
teneur {Hec. ir, cb, P.-B,^ t. 14, p. 71), il a cité des faits qui
•onent à Tappui de certaines conclusions d'un mémoire récent
H. V. Œttingen (BulL, t. 26, p. 605). m. vèzes.
Sur Télectrolyse à travers des membranes semi-perméables;
MORITZ iZeit, physik, Cb,, t. 33, p. 513-528; 1.6.1900). —
auteur étudie les phénomènes de polarisation auxquels donne
w remploi, comme diaphragme, d'une membrane de ferrocyanure
» cuivre, ainsi que la façon dont se comporte celte membrane
>QS laclion de courants de durée variable. Il observe que la
tembrane se comporte tout d'abord comme une solution sursa-
irée, ne possédant que la conductibilité électrolytique, et qu'il
f» commence à se séparer de métal que lorsqu'il a commencé à se
tire UQ précipité dans la membrane. m. vèzes.
Sar la détermination de la dissociation dans des solutions
omposées de composition donnée, et sur le problème inverse;
.6. Mac GREGOR iZeit. physik. CL, t. 33. p. 529-539; 1.6.1900).
• Mémoire théorique ; voir l'original. m. vèzes.
La chalenr spécifique de Tamidon en fonction de sa teneur
■i ean et de la température ; H. RODEWALD et A. KATTEIN
Z^H, physik, CL, t. 33, p. 540-544; 1 •6.1900).— Voir l'original.
M. VÈZES.
Sir les grains d*amidon naturel et artificiel ; H. RODEWALD
K 4. KATTEIN {Zeit. physik. Cb., t. 33, p. 579-592; 1.6.1900).
— Voir lori^jinal. m. vèzes.
Rtoiarqaes sur une méthode d'étalonnage des poids ; Théo-
dore William RICHARDS {Zeit. physik. CL, t. 33, p. 605-610;
1.6.1900). — Voir rong:inal. m. vèzes.
846 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
Sur le degré de dissociation et Féquilibre de dissoduii
des électrolytes fortement dissociés (I); Hans JAHN m
physik. Ch., t. 33, p. 545-576 ; 1.6.1900). — Quand on calroî*]
degré de dissociation d'un électrolyte par le rapport do sa r-omte
tibilité moléculaire sous sa dilution actuelle à sa conducUtrJ
moléculaire sous une dilution infinie, on trouve des nombre^ J
ne concordent avec la loi de dilution d*Ostwald que dans Ir i^
des électrolytes faibles. Pour les acides forts, les bases forv-f.
presque tous les sels, la dissociation varie avec la dilution tf'^
façon non conforme à la théorie. Cette discordance }>arait leiu^
ce que, dans le calcul du degré de dissociation, on suppose qn-
conductibilité varie seulement par le fait de la variation de coi>^
tration des ions ; tandis qu'il est possible que la mobilité dts n
libres dépende de la concentration de Télectrolyte, ce qm «iq
aussi pour résultat de faire varier la conductibilité moléculaire*.
Dans le but de vérifier cette hypothèse, Tauteur détormitri
mobilité U|, Uj . . . U^ des ions à diverses concentrations de IV4
trolyte. Pour cela, il mesure, dans chaque cas, le nombre
transport et la conductibilité, et déduit de ces mesures le^ p\
duits UjCi, UjCj ... U^C^des mobilités par les concentmlii
Cl, (^ ... C^ des ions. Ces dernières quantités étant détermui
directement par la mesure de la force électromolrice de pile^l
concentration construites au moyen de Télectrolyte coosidij
C C
mesure qui fournit les rapports jr* ^t . . . , on en déduit le^^ n
ports correspondants des mobilités — * , pp . . .
Les expériences faites sur des solutions de KCl, HCl, Na(^I, *
conduit à cette conclusion que les mobilités U croissent a\t^
concentration de Téleclrolyte. Par exemple, si Ton appelle \\, 1
U3, les mobilités de Tion sodium dans trois solutions do N«
contenant environ 1/30* mol., 1/120* mol., et 1/600' mol, }>ar lit
Texpérience fournit les rapports
[!^ =1,084, 1^2 = i, 026.
Si Ton admet que, à cette dernière dilution de 1 '600* mol (
litre, la mobilité de Tion sodium a atteint la valeur limite qui a
respondrail à une dilution infinie, on peut calculer la inobil
pour des concentrations quelconques, et en déduire le degn^ r
de dissociation. Les nombres ainsi obtenus concordent d'une fai'
suffisante avec la loi de dilution d'Ostwald. Celle-ci est donc \
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 847
ble même pour les électrolytes forts, à la condition que Ton fasse
tervenir dans ie calcul la variation de mobilité des ions qui vient
être mise en évidence. m. vèzes.
Sht le degré de dissociation et l'équilibre de dissociation
Bs électroljTtes fortement dissociés (II) ; Hans JAHN (Zeit.
bysik. Ch,^ t. 35, p. i-iO ; 5. 10. 1900). — L'auteur réfute diverses
t^ectionft qui ont été faites à son premier mémoire, et maintient
^ conclusions primitives. m. vkzes.
La distillation des amalgames et la purification dn mercnre;
éorge A. HULETT (Zeii.pbysik. Cb., t. 33, p. 611-621 ; 1.6.i900j.
" L'auteur recherche si le mercure peut être complètement purifié
ir distillation lorsqu'il contient des métaux relativement assez
olatils, comme le zinc ou le cadmium. Pour reconnaître la pré-
eoce de métaux étrangers dans le mercure distillé, il profite de
e fait que, dans une pile Zn | électrolyte | Hg, lorsque la force
lectroniolrice est devenue constante, il suffit d'une trace d*amal-
^me ajoutée au mercure pour la faire baisser notablement : p. ex.
«w addition d*amalgame de zinc en proportion telle, que Télec-
fode contienne 1 panie de zinc pour 108 parties de mercure,
•baisse la force électromotrice de 1,445 volts à 1,439 volts.
En étudiant par ce procédé les produits de la distillation du
ttercure dans le vide, l'auteur a constaté qu'ils sont parfaitement
*\empls de métaux éti'angers, pourvu que la distillation ait éU*
«mlmie avec lenteur et régularité, sans donner lieu à aucune pro-
l**cUon. On arrive à ce résultat en faisant arriver dans le mercure
kouillant, par un tube capillaire, une petite quantité d'un gaz
ioerle.
A 210*, la tension de vapeur du mercure est au moins 3X^0"
tot> plus forte que celle du zinc.
Par voie humide, la purification du mercure peut être avanta-
peusement effectuée par agitation avec une solution acide d'azotalo
ûe mercure. m. vkzes.
L'influence de la pression snr le point critique de disso-
tation; M. J. Tan der LEE (Zeit, physik, CL, t. 33, p. 622-630;
i'Ô.lUOOj. — Les expériences de fauteur ont porté sur des
mélanges de phénol et d'eau, qui, divisés en deux couches à la
*«npérature ordinaire, deviennent homogènes à une température
<*pierminée. Il a étudié Tinfluence de la pression sur cette tempé-
falure ipoinl critique de dissolution) jusqu'à 180 atmosphères. 11 a
848 ANALYSE DES THAVAUX ÉTRANGEKS.
observé que la pression élève le point critique : sa variatioo e&iâ
reste faible et n'atteint pas 1 degré pour 180 atmosphères. Ql
résultat est conforme à la théorie de Van der Waals.
La courbe représentant la tension de vapeur du mélange,
fonction de la composition de la phase vapeur, présenli* u
maximum, ce qui est également conforme à la théorie.
M. VBZES.
Réfutation d*une loi très générale et très importante
rélectricité moderne; P. S. WEDELL-WEDELLSB0R6 Zeli^
physik. Ch., t. 33, p. 631-635; 1.6.1900). — Mémoire de physiqtt
pure. M. xkijtè.
Sur rabsorption d*azote et d'hydrogène par les aolotiov
aqueuses de diverses matières dissociées; Léonb. BRlUl
(Zeit. physik. Ch„ t. 33, p. 721-739; 15.6.1900). — L'auteur
mesuré les solubilités de Tazole et de Thydrogène, à diver^
températures, dans des dissolutions diversement concentnl^'i
d*urée, d'acide propionique, de chlorure de sodium, de cliloniJ
de baryum. Les résultats de ces mesures vérifient les lois anl^
rieurement établies par Jahn, et déjà confirmées par Tétude dcl
solubilité de l'oxyde azoteux dans les solutions d'acide phosf»l»i
rique et de sel marin, faite par Roth en 1897. m. %*kzss.
Sur les relations pbysico-cbimiques de l'aragonite avec \
calcite; H. W. FOOTE {Zeit. physik. Ch. , t. 33, p. 740-759; i:..6. liK«
— L'auteur s*est proposé de rechercher, par Temploi de mëlhoii
physicochimiques, quelle est, parmi les deux formes du cari»n«l
de calcium, la plus stable dans les conditions normales; et si ItHi
point de transformation est situé au-dessus ou au-dessous de 1
température ordinaire. 11 a étudié dans ce but, à diverses tempe
ratures, les équilibres auxquels donne lieu la décomposition (k
deux variétés par une solution d'oxalate de potassium; il a au?d
mesuré les conductibilités électriques des solutions satun'^es d'm
gonite ou de calcite dans l'eau chargée de gaz carbonique al
pression atmosphérique.
L'une et l'autre méthode l'ont conduit à cette conclusion, que I
calcite est, à la température ordinaire, plus stable que raragoniti
Leurs courbes de solubilité se rapprochent quand la tempèratar
s'élève, de telle sorte que leur point de transformation est supf
rieur aux températures étudiées. Jusqu'à son point de fusioo« 2
calcite est toujours la plus stable des deux formes, sous la pre56ii;i
atmosphérique. Le carbonate de calcium est donc une $uh6tâi>o
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 84»
Fiffiorphe monotrope. La transformation de l*aragoni(e en calcite
légage une faible quantité de chaleur : son calcul au moyen des
oorbes de solubilité et de la formule de van t'Hoff fournit la
«leur 0^,89, m. vèzbs.
Sur les relations entre la constitntion et la Inorescence de
•rtaines snbetances ; John Théodore HEWITT {Zeit. pbysîk.
%, t. 34, p. M9; 3.7.1900). — L'auteur établit par de nombreux
ivmples que les substances fluorescentes sont en général celles
loi donnent lieu à des phénomènes de tautomérie; les substances
)ftement fluorescentes possèdent une tautomérie doublement,
ymétrique, les substances faiblement fluorescentes ne possèdent
pe la tautomérie simple., m. vèzis.
Sur la rotation électromagnétique du plan de polarisation
^ les solutions salines et acides; J. FORCHEIMER \,ZeU.
)ifsik. Cb. , t. 34, p. 20-30', 3.7. 1900). — Les expériences de l'auteur
vX porté sur les corps suivants : sulfate d'ammonium, sulfate de
ttJiuin, sulfate de magnésium, sulfate de lithium, chlorure de
Ihiuro, acide sulfurique, acide chlorhydrique, bromure et iodure
ë cadmium. Les résultats obtenus sont résumés dans les tableaux ^
Qivants, où D représente la concentration de la solution (en molé-
v\ns par litre) et m sa rotation moléculaire.
SO»(AiB»)*.
4.98
4.flr7
4.»
5.01
S0»?la«.
0,97
0,48
M.
!l.935
S0*Mf.
4,73
1.86
0,934
m.
3.03
i,09
S,Oi
.so*y«
N.
S,60
1,96
1.708
1,.3i0
0,747
M.
2,.38
3,80
2,64
2,67
3»11
LiCl.
».
10.35
7,17
5,57
2,98
1,06
4,506
4,732
4,767
4,983
4.892
SO*B«.
ll.SS
•.01
•.«
•-77
2,072
2,072
1,99t
1,960
2.030
i.t96
HCI.
M.
8,42
5,784
3.77
2,031
1.S88
1.138
0,52a
m.
4.476
4.559
4.757
4.830
4,931
4,831
4,746
CdBr*.
».
2,774
1.997
0,973
0,5138
M.
20,18
20,07
19,95
20,17
Cdl«.
«I.
1,924
o,:oi
0,U7
0.211
m.
43,86
42,70
42,54
42.37
Od voit que pour de fortes variations de la concentration, la
Dtatioa moléculaire varie généralement assez peu. m. vezes.
soc. cfsm.^ S* siii., t. xxvi, 4901 . -^ Trav. étrang. 54
Ô50 ANALYSE 0B8 TRAVAUX ÉTRANGBR&
Sur les transformations tautomèriqnes en solmtki; 1
BRnHL(Zei7. pbysik. Cb., t. 34, p. 31-61 ; 3.7.1900). — L'an
cherche tout d'abord si le corps obtenu par Ciaisen, à partir dai
phre, par Tactioa de Téther forinîque et du sodium, et qui, pt{
réactions chimiques, se rapproche aussi bien des alcools (fut^
aldéhydes, possède à Pétat homogène une formule alcooliqH
une formule aldéhydique. Dans le premier cas, ce corps d^vit
très stable; dans le second, il aura une tendance très
subir une transformation tautomérique (énolisation). Son
optique a montré que conformément a l'opinion de
corps est un énol correspondant à la formule
yC=CHOH
C8HX I
et non une aldéhyde
CO
Oxymétbylène-eamphre.
yCH-CHO
C8Hï*< I
Formylcamphre.
Qn n'a observé dans aucun cas de passage tautomérique ik» \
première de €es formules à la seconde : Toxj'méthylènecampfaÉ
est donc un énol très stable.
Ce corps fournit un dérivé brome de substitution, que (H
recherches chimiques antérieures de Briihl et Aschan avaiH
conduit à envisager comme dérivant du formylcamphre et conw
pondant à la formule
/CBr-CHO
C8H>
"<èo
Son étude optique a confirmé cette conception.
L*auteur a soumis enfin à une étude analogue les deux isomèn
découverts par W. Wislicenus dans Taction de Téther formiquf ^
du sodium sur l'éther phénylacétique, et montre que la vanéi
liquide (variété a) de ce corps, aussi bien à Tétat homogène qn
rétat de dissolution dans le chloroforme, constitue un énol corre
pondant à la formule
C6H*-C=CH0H
GO-OG^Hs*
En solution alcoolique, au contraire, ce corps se transforme en i
composé aldéhydique, de formule
G6H5-GH-GHO
i
O-OG^H^
CHIMIE GâNÉRALE ET MINÉRALE. 851
M également liquide.En outre, une solution récente de la variété
lalltsée pdans le méthylal, le chloroforme ou le benzène, ne con-
taucune des deux formes tautoraériques de la variété a. La variété
tallisée p et la variété a (forifie énolique) sont isomères, sans
Ton puisse décider de quelle nature est cette isomérie. Ce
t que par une action prolongée que les dissolvants indiqués
ihaut transforment la variété solide p en une variété liquide,
parait identique ou stéréoisomère avec la variété liquide a
me énolique). Au contraire, en solution alcoolique, la variété p
imaiédiàtement transformée en variété liquide correspondant à
annule aldéhydique de Téther formylphénylacétique.
M. VÂZIS.
Ihermodynamique de rélémant normal (I); Ernat COHEN
*. pbjrsik. Ch., t. 34, p. 62-68 ; 8.7.1900). — Lorsqu'on applique
élément normal de Clark l'équation de Gibbs et Helmholtz
parvient à des résultats tout à fait discordants si, dans le calcul
1, tu moyen des données calorimétriques, on suppose que la
Mi<tt dont l'élément est le siège s'exprime par l'équation
Zn + Hg^SO* ^ 2Hg + ZnSO,
encore, puisque au-dessous de 39^ le sulfate de zinc est hydraté
Zn + Hg>SO*+Aq ^ 2Hg + ZnSO*,7H20-
L*aitteur, par une étude plus attentive de cette réaction, montre
i^ but la représentefi suivant le cas, par l'une des deux équa-
Qos:
*+jf::j(ZaSO*,AHH))-f HgïSO* i^^ «Hg.j-^^(Zn8O,7H30),
îi+r^(ZiiSCH,aH20)+HgïS0* :± 2HgH — ^(ZnS0*,6HH)),
luti lesquelles A et a représentent le nombre de molécules d'eau
^ • la température de l'élément, contiennent une molécule de
''^ à rétat de solution saturée de l'un ou de l'autre de ses
^fdratea.
'appliquant aa calcul de E^ les donnôee calorimétriques qui
852 ANALYSE DES -TRAVAUX ËTRANGERH.
ôoffespoùdônt à ces deux équations, et détetininant d'^autre par
E^ au moyen de Téquation de Gibbs et Helmholtz par la mesun
directe de E et de -= »on trouve une concordance sulBsanlc
comme le montre le tableau suivant :
Hydrate forné. E^. ■ «, f E — T -|^ J.
ZnSOSIH^O SWrt^ 8Î490^
ZnSO\6H20 15169 756TI
M. vèZES.
Théorie des éléments de transformation de troisièa
espèce (I); Ernst COHEN {Zeit. physik, Chim., t. 34, p. i79-i8fi
17.7.1900). — Si Ton accouple, en les opposant l'un à Tautn
deux éléments de Clark contenant, Tun 1 hydrate ZnSO,7}l4
Tautre l'hydrate ZnS0*,6H*(), on observe, aux températures inft
Heures au point de transformation des deux hydrates, que Thf
drate instable à 6H*0 se transforme en hydrate stable à 7H*0e
donnant lieu à une certaihe force électromotrice E. Si celle-ci es
exprimée en calories, si q représente la chaleur de transforma!!"^
de Thydrale instable en hydrate stable et P leur teinpératun» \
transformation, on aura, T étant la température
L*auteur a complété, par des mesures de solubilité éteodoe&4
— 5* à + 39*, Tensemble des données numériques nécessaire
pour la vériRcation de cette relation. De ces mesures et M
mesures calorimétriques de Thomsen, il a déduit par extrapolati^^
ç=: — 3609 col., à 39*,
tandis que rexpérience directe donne, à la même températun^
^ = — 3752 cal.
De là se déduit, pour le coefficient de température, la valeur
tandis que les mesures directes de Jaeger donnent pour la roéa
quantité la valeur :
.... ( T^j = — 0,50miUivoU. m. \m».
CHIMIE GËNËRALB ET MINÉRALE. B5S
Thermodynamique de rélément normal (H) ; Ernst COHEN
Zmt. pbvsik. CL, t. 34, p. 612-620 ; 7.9.1900). — Comme complé-
leni à son premier mémoire, Tauteur fait remarquer que la
beorie qu*il a donnée de Télément normal de Clark suppose que
el élément est représenté par le schéma
Hg — Hg^sO* - sol. saturée de ZnSO* — Zn,
andis que les mesures qu*il a faites ont porté en réalité sur un
élément
Ug — Hg^SO* — sol. saturée de ZnSO* — amalgame de Zn,
'H amalgame correspondant à la composition en poids
Zn_l
Hg"^9'
I^s nombres déduits de ces mesures sont néammoins valables
pour la théorie, car il résulte des recherches de Litxàeck IWiedem.
Aua., t. 35, p. 311 ; 1888), comme de celles de Hockin et Taylor
yJouru. Soc. télégr, EagineerSy t. 7, p. 282; 1879), que les amal-
games de zinc contenant plus de 2 0/0 de ce métal donnent, au
coalact d*une solution de SO^Zn, la même différence de potentiel
i|ue le zinc pur.
L élément normal de Weston est constitué de même par
Hg — Hg2S0^ — sol. saturée de CdSO* — amalgame de Cd à 14.30/0.
«
U résulte des recherches de Jaeger {Wiedem. Ann.y t. 65, p. 106;
i898;que Tamalgame de cadmium n*est pas équivalent au cadmium
pur au point de vue des forces électromotrices auxquelles donne
lieu son contact avec une solution deCdSO*; on ne peut donc
•P[X)rler à la théorie de l'élément Weston la même simplification
que plus haut.
La transformation dont cet élément est le siège doit être repré-
^otée par les deux relations
Amalgame de Cd 2^ Cd 4- Hg,
^Tj~^(CdSO*,A.H20)+Hg2SO^ ^ 2Hg+^A_(CdSOS8/3H20j
Liquide. Solide.
A étant le nombre de molécules d*eau contenant, à la température
« laquelle fonctionne l'élément, une molécule de CdSO^ à Tétat de
wluiion saturée.
L*auteur. détermine les djonnées numériques nëcessdires pour
854 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
Tapplication à Télément Weston de réquatiou de Gibbs et Helm-
holtz, notamment les quantités de chaleur mise en jeu par ie^
deux réactions précédentes. Il en déduit, pour Ténergie chimiquif
E^ de cet élément à 18**, la valeur -j- 47,286 cal., tandis que la
valeur de E^, déduite des mesures électriques de Jaegeret Wacfc^
mulh {Wiedem. Ann., t. 59, p. 575; 1896), est de + 47,880 cal.
M. vèZES.
L'instabilité de rélément Weston au cadmium et l'impôt-
sibilité de son emploi comme élément normal ; Ernet COHDI
(ZeiL pbysik. Ch., t. 34, p. 621-681; 7.9.1900). — L^élémenl
normal de Clark présente, pour des mesures précises, rinconvê-
nient de posséder un coefficient de température relativement con-
sidérable (1 millivolt par degré). C'est pour cette raison que Jarçcr
et Wachsmuth ont proposé de le remplacer par Télément WesloD
dont le coefficient de température est 25 fois plus faible (0,04 milln
volt par degré).
L*étude de la solubilité du sulfate de cadmium CdSO^,8/âHK^
montre que la courbe qui la représente subit, vers 15^, un bnisquf
changement de direction. Au-dessous de cette température, c«<
hydrate parait constituer une phase instable, à laquelle correspond,
pour l'élément qui le contient, une force électromotrice j>lus faible.
Cet élément ne peut donc être employé au-dessous de 15*.
D'autre part, l'auteur a constaté que des éléments semblables^
construits sur le type :
Cd -~ sol. étendue de CdSO — amalgame de Cd à 14.3 0/0,
I
I
qui donnent à 25® des forces électromotrices identiques, dooneot
au contraire à 0® des forces électromotrices différentes, la difFé-
rence pouvant atteindre 5 millivolts. L*explication de cette ao«)*
malie réside dans ce fait^ que l'amalgame de Cd à 14, S 0/0 pnf-
sente deux variétés (a, p), dont l'une (p) est instable au-dessous
de 28^
La comparaison des résultats obtenus avec ceux de Jaegerel
Wachsmuth montre que les éléments étudiés par ces auteurs cœ-
tenaient précisément la variété p de cet amalgame. Par soile, U
formule qu'ils ont donnée, comme représentant la force électro*
motrice de l'élément Weston à diverses températures, ne pMl
être admise comme exacte qu'à des températures supéheons h
23«. Au-dessous de cette température, l'élément Weston ne p«t
être employé comme élément normal. u. vvœ.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
855
Sur rMément aa cadmium de Weston ; réponse à M. Cohen ;
W. JAE6ER et St. LINDECK (Zeit. physik. CL, t. 35, p. 98-99;
5-10.1900). — En réponse au mémoire qui précède, les auteurs
soutiennent que les transformations dont l'élément Weston est le
âiège (traof formations dont ils poursuivent l'étude depuis plusieurs
années) n*empéchent pas cet élément de fournir des nombres qui,
jusqu*aux environs de 10^, concordent, d'une façon suffisamment
taucte pour la pratique, avec ceux que donne la formule antérieu-
rement établie. D'ailleurs, ils ont, depuis quelques temps, abaissé
A 13 0/0 la proportion de cadmium contenue dans les amalgames
qu'ils emploient pour la construction de ces éléments : les conclu-
ssions de M. Cohen, dont les recherches n'ont porté. que sur Tamal-
game à 14.8 0/0, ne sont donc pas applicables à ces éléments
nouveaux.
M* Vi!«ZEd«
La prétendue identité des oxydes rouge et janne de mer-
cure; Ernst COHEN {Zvit. physik. Cb., t. 34, p. 69-79 ; 3.7.1900).
— W. Oslwald a émis en 1895 Topinion que les deux variétés
rtmge et jaune de Toxyde de mercure ne diffèrent que par leur
état de division mécanique ; qu'elles ne sont point isomères, mais
chimiquement identiques, et qu'elles ne diffèrent pas plus Tune de
l'autre que le bichromate de potassium cristallisé et le bichromate
lit* potassium pulvérisé, qui présentent une différence de coloration
analogue. L'auteur, mesurant la force électromotrice d'un couple :
Mercure.
Oxyde rouge
et
lessive de potasse.
Oxyde jaune
et
lessive de potasse.
Mercure,
montre, au contraire, qu'il existe entre ces deux variétés une diffé-
rence d'énergie libre atteignant 0,685 millivolt à 25''. Ces deux
variétés ne sont donc point identiques, mais isomères*
M. VÈZKS.
Ht la phosphorescence de l'anhydride phosphoriqne ;
lentnn EBERT et Berthold HOFFMANN (Zeit. pbysik. Cb.,
L34, p. 80-86; 8.7.1900). — L'anhydride phosphorique est à un
bot degré susceptible de phosphorescence. Comme il est généra-
t^Btent mélangé de produits inférieurs d'oxydation du phosphore,
<loQt l'oxydation lente est accompagnée d'une lumière blanchâtre
longtemps persistante, il peut arriver que celte lumière masque la
phosphorescence propre de l'anhydride ; mais celle-ci est aisément
856 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTH ANGERS.
visible si Ton emploie, au lieu d'anhydride commercial, Tanhydride
chimiquement pur. La lumière qu'il émet est verdâtre.
M. VKZB^i,
Influence de la température sur la rotation spécifique du
sucre ; Dr. Otto SCHOENROCK (Zeit. physik. CL, t. 34, p, 87-l<r::
8.7.1900). — D'une longue série de mesures, l'auteur déduit U
formule suivante, représentant, entre 10 et 82*, rinfluence de bi
température sur la rotation spécifique {par rapport à la raie Di dtj
sucre, en solution aqueuse de concentration normale, c'est-à-dtn*
iroisine de 260 grammes par litre :
[«]y = [a]j,[l— 0,000il7(^ — 20)). m. vkzw.
Sur la prétendue isomérie des oxydes ronge et janne de
mercure, et sur la tension superficielle des corps solides.
W. OSTWÀLD (Zeit. pbysik. Ch., t. 34, p. 495-508; 7.9.1900). -En
réponse a un récent mémoire d'Ernst Cohen (Zeit. pbysik. CL,
t. 34, p. 69; 3.7.1900), l'auteur fait remarquer que la différeore
de solubilité des deux variétés d'oxyde de mercure ne prouve
aucunement qu'elles ne soient pas chimiquement identiques ; car
la théorie enseigne et l'expérience vérifie que la solubilité d'un
corps solide dépend de son état de division mécanique. En em-
ployant comme dissolvant une solution normale de bromure <\t
potassium, et en répétant les n^esures de solubilité une fois pur
vingt-quatre heures pendant six jours consécutifs^ de manière ■
atteindre certainement l'équilibre, l'auteur a eonslaté que, tachii>
que l'oxyde rouge (en grçs grains, les portions les plus fines ayant
été éliminées au moyen d'un tamis), possède une solubilité d**
7.18 0/0, l'oxyde jaune (qui est en grains beaucoup plus fiiiàs
possède une solubiUlé de 7.68 0/0 ; mais si Ton pulvérise tri^
finement l'oxyde rouge employé, on trouve des nombres qui
s'élèvent progressivement de 7.18 à 7.68 et même au delà (jusqu si
8.10 0/0), suivant la durée de la pulvérisation.
, Ces résultats fournissent des données quantitatives sur rinfluence
de l'énergie superficielle sur l'équilibre chimique. L'auteur établit
une relation théorique entre la tension superficielle au coolect
d'un solide et d'un liquide, et les coefficients de solubihté d#
ce solide, à deux degrés différents de division mécanique, daas le
môme liquide. Il exposera dans un prochain mémoire le détail de»
expériences qui vérifient cette relation. m. v
CHIMIE aÉNÉRALE ET MINÉaAJLE. 857
Un exemple pour le théorème de Posmting; Oustav MIE
Teit. pbjrsik. Cb., L 34, p. 522-528; 7.9.1900). — Mémoire de
bysique pure. m. vèzes.
Sur la eolabilité des cristaax mixtes hydratés (III) ; W.
TORTEHBECKER (Zeit. pbysik, Cb., i. 34, p. 108-123 ; 3.7.1900).
- Les sulfates de fer et de cadmium donnent lieu à deux sortes
il? cristaux mixtes hydratés : des cristaux clinorhombiques
orrespondant à la formule (CdFe)S0*,V3H*0, isomorphes du
iiifale de cadmium hydraté, et des crisiaux également clino-
hombiques, mais isomorphes du sulfate ferreux hydraté et corres-
kondani à la formule (Cd Fe)S0*,7H«0. Les premiers se forment
Uns des dissolutions aqueuses contenant de IQO à 79,8 mol. 0/0
te àullate de cadmium, et les cristaux obtenus contiennent de 100
i*.*9.1 mol. 0/0 du même sulfate. Les cristaux à 7 mol. d'eau
rohtienoent dans des solutions aqueuses contenant de 79.8 à
) mol. 0/0 de CdSO*, et les cristaux obtenus contiennent de 86.6
1 0 mol. 0/0 du m^me sulfate.
Les sulfates de manganèse et de cuivre donnent de même :
h des cristaux tricliniques de formule (CuMn)S0*,5H«0 ; 2® des
rn->taux clinorliombiques de formule (CuMn)S0*,7H*0. A la tempé-
rature de 18*, la formation de ces cristaux présente ce phénomène
pêrliculier, que la série des dissolutions dans lesquelles prennent
B&issance les crisiaux clinorhombiques, vient sMutercaler entre
lieux séries correspondant aux cristaux tricliniques. Si Ton fait
vtner, ea effet, à cette température la composition de la dissolu-
faoa Bqueuse, en partant d*une solution de CuSO^ pour aboutir à
WK* solution de MnSO*, on peut distinguer successivement les
trots cas suivants: 1^ Dans des dissolutions contenant de 100 à
i'*M mol. 0/0 de SO^Cu, il se dépose des cristaux mixtes tricli-
ftiqucs 'à 5H«0u contenant de 100 à 22,9 mol. 0/0 de SO*Cu;
î* dans des dissolutions contenant de 15,9 à 10,27 mol. 0/0 de
î^)*Cu, il se dépose des cristaux mixtes clinorhombiques (à 7H*0),
-VQtenant de 28,5 à 16 mol. 0/0deSO*Cu ; S^dans des dissolutions
«tmtenant de 10,27 à 0 mol. 0/0 de SO*Cu, iJ se dépose des cris-
taux mixtes tricliniques (à 5H30), contenant de 10,5 à 0 0/0 de
A plus basse température (vers 10*»), le phénomène se modifie,
te «ilfale de manganèse à 7H«0 devenant le plus stable et le
aoms soluble des deux variétés de ce sel. Par conséquent, la
première des trois régions signalées dans le cas précédent doit
*i»i5p*raUre ; on aura de^ cristpux mixtes cUnorhombiques (à7H*0)
858 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
dans les dissotutions riches en manganèse, et des cristaux onxld
Iricliniques (à 5H*0) dans les dissolutions riches en cuivre. A
contraire, à température plus élevée (vers 23*), la deuxième régio
disparait, de telle sorte qu'il ne se forme plus que des crisiaq
Iricliniques (à 5H^0), quelle que soit la composition de la dissolu
tion. Dans ce dernier cas, les cristaux mixtes à 7H'0 ne peu^éi
plus être observés que grâce à des phénomènes de faux équitiiiR
11. VÀZSS.
Sur la vitesse de formation des oléfines à partir des iodon
aliphatiquôs ; S. BRUS80FF (en commun avec N. MENSCHLl
KIN) {Zèit. physik, CL, t. 34, p. 129-148; 17.7.1900). — L'auto
étudie la vitesse de réaction de la potasse alcoolique sur les iodut^
aliphatiques, donnant des oiéflnes conformément à réquation :
CnHi^ + iI +. KOH = G*H2« + Kl + H20.
Il emploie dans ce but des iodures fournissant des olé&iui
gazeuses, de telle manière que la mesure du gaz déga^ à cbaqci
instant lui permette de suivre la marche de la réaction : iodun
d'isobutyle, d'éthyle, de propyle, d'isopropyle, de butyle, de buiji
secondaire, de butyle tertiaire. Il opère également sur quelque
chlorures et bromures aliphatiques. Les résultats sont figurés dai
des courbes construites en prenant pourabscisse le volume totjil
d*oléflne dégagé depuis Torigine de la réaction, et pour ordon/iti
la vitesse de la réaction, c'est-à-dire le volume v d*oléflne dégaf
par seconde à chaque instant. Conformément à la loi des masc»^
les courbes obtenues sont des droites descendantes, v diminua^
linéairement lorsque V augmente; il ne se manifeste d*irrégulan4
qu'au début de la réaction (pendant les 2 premières minutes Ui^
au plus), les valeurs trouvées pour v étant d'abord trop faible^
puis trop fortes ; les courbes sont d'abord situées au-dessous d^
droites théoriques, puis les coupent et passent au-dessus, enfij
reviennent se confondre avec elles. Ces irrégularités sont dud
évidemment à ce que la température de l'appareil oe devient tvtH
lement constante que quelques instants après le début de l{
réaction. I
La quantité d'olëfine obtenue, et la vitesse de la réactiou qui t
fournit, paraissent dépendre moins de la structure primant
secondaire ou tertiaire de l'iodure employé, que du nombre de ^
chaînes latérales et de leur proximité de l'atome d'iode. i
Les vitesses de réaction vont en déoroiseanlt toutes cJiomH
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 859
igaleft d*ftilleurs, quand on remplace un iodure aliphatique par le
iromure, ou celui-ci par le chlorure correspondant.
Tous les résultats précédents ont été obtenus avec de la potasse
m solution dans Talcool éthylique. La substitution de la soude à
I potasse, ou de Talcool méthylique à Talcool éthylique, a peu
rinfluence sur la vitesse de réaction, qui parait ainsi dépendre
miquement de la structure de la chaîne carbonée de Tiodure
tfiphatique employé. m. vkzes.
Sar les oonstantea de vitesse de la formation des èthers
impies ; Wladimir SA6REBIN(^ei7./>/}/si^. Cb.,[. 34, p. 149-156;
7 7,1900). — L'auteur étudie la vitesse de formation des éthers
amples, par la réaction de Krafft (action des éthers de Tacide
kbéoylsuifonique sur les alcools).
CfiH^ . SCP . OC2H5 + R . OH = ROG^H» + C^HS . SO^ . OH .
Les réactions ont été eflectuées à une température uniforme de
80*, dans un thermostat à glycérine ; dans chaque cas la quantité
le matière transformée a été évaluée par la mesure de l'acidité
be à Pacide phénylsulfonique mis en liberté. Le phénylsulfonate
rétbyle étant dissous dans un excès de Talcool étudié (15 moL
ralcool pour 1 mol. de phénylsulfonate), l'expérience montre que
I marche de la réaction est celle d'une réaction monomoléculaire,
^est-à-dire que sa constante de vitesse k s'exprime par l'équation
rétinl la quantité de la molécule A qui est tranlormée au bout du
■nps /. Dans tous les cas, quatre heures suffisent pour que la
éietioo soit complète.
Dot été étudiés : l"" des alcools primaires saturés : méthylique,
khylique, propylique, isobutylique, isoamylique, octylique; 2'' des
ikooU primaires non saturés : allylique, benzylique; 3"^ des alcools
twoodaires et tertiaires : isopropylique, caprylique (méthylhexyl-
iirbinol), iriméthylcarbinol, diméthyléthylcarbinol. Les cons-
■oies t observées sont plus grandes pour les alcools primaires
Mtarës que pour les alcools non saturés et les alcools secondaires;
éas faibles encore pour les alcools tertiaires. C'est l'alcool méthy-
^ue qui donne pour i la valeur la plus forte ; i diminue lorsque
é chaîne carbonée s'allonge, ou se charge de chaînes latérales.
860 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sa valeur ne dépend pas seulement de la structure dô Vatco
employé, mais aussi du râle de dissolvant qu*il joue dans o
réactions. m. vèzes.
Remarques sur la « théorie thermodynamiqae de la ctpi
larité » de Van der Waals; 6. BAKKER (Zeil. pliysik. CL, t. 3
p. 168178; 17.7.1900). — Mémoire purement théorique.
M. VKZtS.
Sur rinflaence des dissolvants chimiquement indifféra
sur la vitesse de réaction; N. HENSCHUTKIN {Zeil. pbysik. fli
t. 34, p. 157-167; 17.7.1900). — On n'a pas éclairci jusquàpn
sent rinfluence que peuvent exercer les dissolvants indiffères
(benzène, acétone, etc.) sur la vitesse des réactions qui s'elTeclw
entre les corps qu'ils tiennent en dissolution. On aurait pu peiH
que ces dissolvants entrent en jeu par leur pouvoir dissoritn
mais, s'il en était ainsi, des réactions différentes, effectuées d«
une série de dissolvants donnés, y donneraient lieu à une lurt
échelle de vitesses : or l'expérience montre que Tacétone, qui t
un des dissolvants les plus actifs pour la réaction de la tnéihi
aminc sur Tiodure d'éthyle, est au contraire un des dissoK'antsf
moins avantageux pour la réaction de Tiodure d'éthyle surlesulfu
d'élhyle.
Four étudier celle influence, l'auteur prend une série de r^
lions connues, dont les vitesses soient, dans un dissolvant dooa
reliées par une loi simple, et il recherche si la même loi est op(i(
cable lorsqu'on change de dissolvant. Il s'adresse, par exemple si
réactions qu'exercent les bromures d'allyle et de mélhyle^u^l
aminés aromatiques, dans 15 mol. de benzène à 100*. Si U
désigne par K^ et K^, les constantes de vitesse des réarii«
obtenues avec le bromure d'ullyle et le bromure de méthyle, ()■
pour les aminés aromatiques dans lesquelles le groupe .V^H* iT
contenu dans une chaîne latérale, et
K^<K^ et môme le plus souvent iK <K.
pour celles dans lesquelles ce groupe est directement tiié 5itf
noyau benzénique. Si l'on fait les mémes^ssais en prenant coiaÉ
dissolvant l'acétone, ces régularités disparaissent. Purtiii m
aminés aromatiques du second groupe (anilinesj, les uaesiioaiii
j
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 861
K,<K^, les autres sensiblement K^ = K^Je3 autres K^,>K^.
Avec d'autres dissolvants au contraire (xylène, bromonaphtalène;
•cétopbénone, alcool propylique, alcool mélhylique), Torthotolui-
dioe donne toujours comme la benzine K^>>K^, tandis qu'elle
doonail dans l'acétone la relation inverse.
De ces observations et de quelques autres analogues, l'auteur
déduit les conclusions suivantes : 1® Les réactions étudiées s'eiïec*
tuent d*une façon analogue, soit que les deux liquides réagissent
firectement Tun sur l'autre, soit que Ton fasse usage d'un dissol-
PMit; ^ les relations observées entre les vitesses de réaction ne
Ifepeodent que de la structure des corps réagissants, et subsistent
Wéme en l'absence de dissolvant; 3"* il y aura donc intérêt à étudier
le» relalioas en faisant usage d'un dissolvant indiiïérent; 4^ dans
h cas des composés aromatiques donnant lieu à des isomères de
p9»Uon, quelques dissolvants indifférents donnent de mauvais
pfeoltals ; il sera donc bon de contrôler le résultat fourni par iin
frefflier dissolvant en faisant usage d'un deuxième dissolvant.
M. VÈZBS.
Smr la murche de la rédaction électrol]rtique des substances
lUBcilament rèdnctibles en solution sulfnrique; Jnlins TAFEL
IZe//. physik. CL, t. 34, p.187.228; 17.7.1900). — L'auteur a
éltidir In réduction «'leclrolyliqup do la caftMne en solution sulfu-
oqoe étendue. Cette réduction n'est possible que si l'on emploie
iBe cathode possédant une forte tension cathodique (plomb- ou
■ercure). Les irrégularités que l'on y a observées antérieurement
peuvent être expliquées par la présence, dans la surface catho-
&]ue« de quantités minimes de métaux étrangers. Elles sont évitées
«i Ion emploie des cathodes de plomb recouverts superficiellement,
ftr voie électrolytique, d'un dépôt de plomb pulvérulent et pur.
L'influence des métaux étrangers s'accompagne d'une diminution de
tacbute de potentiel à la cathode, de sorte qu'il est très vraisem-
blable que la marche de la réaction avec le temps dépend princi-
(«lement, sinon uniquement, de la grandeur de cette chute de
potentiel. Toutes choses égales d'ailleurs, une élévation de tem-
pérature facilite la réduction, et la rend un peu plus rapide. Le
rendement du courant est approximativement proportionnel à son
ioteosilé. La densité du courant pour une même concentration de
U caféine et une môme intensité de courant par litre de liquide
cathodique (autrement dit la c concentration du courant, ») n'a,
entre d'aasez larges limrtes, que peu d'influence sur la marche de
ta rfcctm.: celle-ci .est d'autant plu^ rapide que la densité de
862 AltALYSB DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
courant est plus faible^ et que la cathode est plus grande
rapport au volume du liquide cathodique. Dans des appareils
même forme, mais de dimensions différentes, la marche de
réaction reste à peu près la même, si Ton conserve les
valeurs pour la concentration initiale de la caféine, la coi
tration du courant, et le rapport de la surface de la calfaode
volume du liquide cathodique. m.
Sur rinfluence da milieu sur la vitesse de réâetioii ; Guitivi
BUCHBOCK {Zeit. pbysik. Cb., t. 34, p. 229-247; 17.7.t«(»), -
Pour pouvoir comparer entre elles les constantes de vitesse d*uM
même réaction dans des milieux différents,. l'auteur substtlae^
l'équation
qui définit la constante k d'une réaction monomoléculaire ra faoe-
tion de la concentration C et du temps 4, l'équation
_dC_ C
dans laquelle S représente la solubilité du corps réagissant datt
le milieu employé comme dissolvant. On aura évidemment entrt
la constante k et la constante x la relation
jr=/rS.
L'auteur applique ce principe à l'étude de l'hydrolyse du sulAire
de carbonyle
en employant comme dissolvants des solutions aqueuses îBohy-
driques de divers sels ou acides (acide chlorhydrique, bromh}<
drique, sulfurique, formique, acétique, mono-, di- et tri-chlorac*j
tique ; chlorures de potassium, sodium, lithium, baryum, strontium^
calcium, magnésium; iodure de potassium; azotates de sodiimu
potassium). Il mesure, pour ces diverses solutions, le coeflktein
de vitesse de la réaction de l'eau sur le sulfure de carbon>i^
(représenté par lO^Mk, M étant le module des logarithmes ^iiH
gaires), le coefflcient d'absorption a du sulfure de carbonyle, 1^
coefficient y\ de frottement interne, enfin le poids réel p de re«H
contenue dans un litre de solution. Il conclut enfin de ses mesure»
que le produit lO^Mkav) n'est pas constant, mais est une fonctioa
linéaire de la teneur en eau de la solution :
106MirAi)=: 18,6— 0,0667p. m.
CHIMIE gANÉRALB et MINÉRALE. 86S
Bar 1m oxydations an moyen da Toxygène libre; W. OST-
lALD (ZeiLphysik. Cb., l. 34, p. 248-252; 17.7.1900^ - Dans les
tydatioQs produites au moyen de I*oxygène libre, celui-ci passe
B partie à Tétat de produits intermédiaires riches en oxygène,
omme le peroxyde d*hydrogène ou Tozone, qui ont un potentiel
r^iydation plus élevé que Toxygène gazeux qui a servi à les
vmer. D*aprà8 le second principe de Ténergétique, ceci n*est
oâfiible que si Ténergie libre nécessaire est fournie par une chute
e potentiel égale ou supérieure, c*estrà-dire si le reste de Toxy*
ne employé sert à former un oxyde stable (à potentiel inférieur,
ir conséquent) de la matière oxydable mise en expérience. Ce
insport de Ténergie chimique n'est possible que si les deux
tectiotts, celle qui fournit de Ténergie et celle qui en absorbe,
QDt reliées par une équation stœchiomëtrique unique, à coefR-
ieatâ entiers; on nommera de telles réactions des c réactions
eeooplées. »
Considérons p. ex. la formation d'ozone qui accompagne l'oxy-
sliondu phosphore; Ténergie nécessaire pour la transformation
t Foxygène en ozone est fournie par la transformation du phos-
kore en oxyde ; les deux réactions doivent être accouplées, et l'on
Iprîmera ainsi le lien qui les unit : l'oxydation du phosphore
inniit une combinaison, qui se dédouble en ozone et en oxyde
iftneur du phosphore. m. vkzes.
Sar lea tanaions de Tapeur d'une série de corps benzèniques;
iMiedikt W0RIN6ER {Zeit. physik. Cb., t. 34, p. 257-289;
H.T.iOOG). — L'auteur a déterminé, de 5 en 5 degrés entre 0* et
s point d*ébuIlition, les tensions de vapeur des carbures d*hydro-
{<»e suivants : benzène, hexylène, hexane, toluène, octane, éthyl-
«Bzéoe, paraxylène, métaxylène, orthoxylène, isopropyibenzène,
iropf Ibenzène, décane (diamyle), isobutyibenzène, pseudocumène,
emèDe, mésitylène. Des nombres obtenus se déduisent les con-
(tvHons qui suivent :
L'élévation du point d'ébuUition résultant de Tintroduction d'un
pQQpe méthyle est plus grande aux fortes pressions qu'aux près-
•w» faibles. — Les différences auxquelles donnent lieu, pour
fo accroissements égaux de pression, les élévations du point
^^buliition de deux substances homologues, peuvent être repré-
•wtées par une hyperbole équilatère. — Plus la pression est
^<«Yée, plus les homologues se rapprochent de la loi de Dalton,
'après laquelle la différence des points d'ébuUition de deux
feau>iogues doit être la même à toute pression. — Les différences
i
h
^
8B4 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTB ANGEHS.
entre les élévations du point d'ébullition, résultant, pour deui
homologues,. de l'introduction d*un groupe mélhyle, fonneni de
séries arithmétiques, qui croissent ou décroissent avec la preàsioc
— Les termes élevés d'une série homologue sont ceux qui véiitt«]
le mieux la loi de Dalton. m. vèzes.
Observations sur lé mémoire précédent; A. WIHKELIUI
{Zeit. physik, CL, t. 35, p. 480-482; 20.11.1900).
, Réponse à M. A. Winkelmann; B. W0RIN6ÈR {ZeiLphrsà
Cil. ri. 35, p. 723-724;31. 12.1900). — Articlesdepolémiquereliiil
au mémoire précédent. m. vkzes.
• Snr les solntions métalliques colloïdales; K. STOEdLi
L. VANINO {Zoit. physik. Cb., t. 34. p. 878-379; 81.7.1900).-
Article de polémique relatif à un mémoire antérieur des méw
auteurs [Zeit. physik. Ch., t. 30, p'. 98; 1899). et à un travail i
Zsigmondy « sUr les solutions aqueuses d*or métallique. »
M. VÉZES.
Sur la tranformation de la cinchonine ; contribntion à 1
théorie de l'action catal]rtiqne; Rud. WE6SCHEIDER ^Z4
physik. Ch., t. 34, p. 290^11 ; 31.7.1900). -:• Skraup (Moo. /. (J\
t. 20, p. 585; 1899j a montré qu'une solution concentrée de chioi
hydrate de cinchonine, traitée à froid par HGl, passe en partie
l'état de produit d'addition çhlorhydrique, en partie à l'état d'u
produit de transformation isomérique, le chlorhydrate dVi.-cm
clionine. On obtient des résultats analogues avec le bromhydnl
de cinchonine et HBr, avec l'iodhydrate et Hl. Si I'od désigne i
cinchonine par Ci = C**H**Az^O, et ra-i.-cinchonînepar Ci\ o|
aurait
iw(Ci,2HX) + /2HX = n(C«»1123XAz20,2HX)-f (i/i — n) (Ci', SHX.
en supposant que l'addition et la transformation so produiâni
dans une même réaction. Les quantités obtenues du produit i^
transformation et du produit d'addition sont dans un rapport mol^
culaire représenté par ; l'expérience a montré que ce r»fi
port est indépendant du teinps, de la concentration de l'actdf . *h
la température; il ne dépend que de la nature de l'acide HX : il d
1
de TTz pour HGl, de 1/3 pour HBr, .de 1/8 pour HI. Comme m *H
0,0
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINEhALE. b65
ï doivent être des nombres entiers, on en di^duit : pour HCI,
ti=9, a=4; pour HBr, m = A^ n=S; pour HI, /»=:9, n = H.
'W équations aussi différentes les unes des autres, et comportant
\f^ coeflîcients aussi élevés, sont tout à fait invraisemblables. On
'st donc conduit à rejeter l'hypothèse faite plus haut, et à
idmetlre que l'addition et la transformation sont deux réactions
Iv^tincles, se produisant simultanément :
Ci + HX = Cï9HMXAz20 et Ci = Ci'.
Les rapports moléculaires obtenus expérimentalement sont alors
?miplement les rapports suivant lesquels la cinchonine se partage
r*ûtre ces deux réactions. On peut admettre que Thydracide HX se
ftte sur la cinchonine à l'état non dissocié, et que la transforma-
tion est accélérée par l'action catalytique de Thydracide non dis-
socié. Cette accélération catalytique en solution homogène peut
l'expliquer par cette hypothèse : t que toute réaction chimique
présente une suite continue d'états intermédiaires, et que le cata-
fysaleur, par ses échanges avec le corps réagissant, modille ces
états intermédiaires de manière à faciliter ou à accélérer la réac-
tion ». M. VÈZES.
Théorie de la précipitation fractionnée des sels neutres, et
ion emploi en chimie analjTtiqae ; Alexander FINDL/IY {ZoU,
fhfsik. CA., t. 34, p. 409436, 17.8.1900). — Après une introduc-
tion historique et théorique pour laquelle nous renverrons au
mémoire original, l'auteur expose ses propres recherches, qui ont
porté sur la précipitation d'un sel de plomb soluble par un
mélange d'iodure et de sulfate de sodium, et sur les transformations
^ue bubissent, sous l'influence de ces deux sels, le sulfate ou
fiodure de plomb. Elles ont conduit aux conclusions suivantes :
!• La réaction de Nal sur PbSO*, et celle de Na«SO* sur PbP,
'Cni réversibles, et la valeur de la constante d'équilibre K--™, , Ci
*lant la concentration des ions I et C^ celle des ions SO*, est, à
2>, comprise entre 0,25 et 0,30;
t* Une séparation des deux sels par précipitation fractionnée ne
peut être poussée que jusqu'au point déterminé par la constante
•l'équilibre;
â* Dans un mélange de Na*SO* et Nal en solution, un sel soluble
àt plomb donne seulement un précipité de Pbl*, plus soluble que
G *
PbSO*, dans tous les cas où le rapport de -pf- est supérieur à la
soc. GMiM., 3« sÉR., T. XXVI, 1901. — TraT. étrang* 55
866 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
constante d'équilibre. S'il lui est égal, il se précipite à la fois
Pbl*, et PbSO*. S*il lui est inférieur, il se précipite seulemeni
PbSO*;
4* La vitesse de précipitation de Pbl* est plus grande que cellf
de PbSO* ;
5<» La constante d'équilibre de la réaction de Nal sur PbSf**
peut être déterminée, non seulement par voie analytique, ma»
encore par des mesures de force électromotrice. Les deu\
méthodes donnent des résultats concordants. m. vèzks.
Sur les propriétés èlectromotrices des matières 8U8C€f»
tibias de plusieurs degrés d'oxydation ; R. LUTHER (en oom-
mun avec D. R. WILSON) {Zeit. pbysik. CL, t. 34, p. 48S-iW
17.8.1900). — L'énergétique fournit une relation quantitaln^
entre les « potentiels d*oxydation » pour les différentes transfor-
mations possibles d'un système hylotrope à plusieurs degtvs
d'oxydation : la force électromotrice nécessaire pour le passa^;**
du terme inférieur au terme supérieur de la série doit être li
moyenne de celles que nécessite le passage du terme inférieur m
terme moyen, et celui du terme moyen au terme supérieur.
Cette relation peut être soumise à une vérification expérimei»-
tale : l'auteur l'a effectuée sur les systèmes Cu — CuCI — GuS^i*
et Cu — CuBr — CuSO*; la moyenne des forces électroraotricr^
nécessaires pour les deux transformations partielles est 0,56â2 Tui]
dans le premier cas, 0,5640 volt dans le second ; la force élecir^
motrice mesurée dans le cas de la transformation totale esi t\t\
0,5640 volt, ce qui vérifie la relation proposée. m. vkzks.
Le fer et l'acier au point de vue de la régie des phtsM.
H. W. Bakhuis ROOZEBOOM {Zeit. pbysik. Cb., t. 34. p. 437-i^î:j
17.8. 1900). — L'étude des états sous lesquels sont unis le fer H
le carbone dans la fonte et dans l'acier n*a pas seulement un intèr \
industriel de premier ordre ; elle présente aussi une îroportiinH
considérable au point de vue do la science pure. Elle a été rt>ljj«'ïj
depuis une trentaine d'années, d'un très grand non)bre de lrav«ii^
qui ont fait de cette question un véritable chaor> : Ça*, n'est *^1^^
dep'iis trois ans qu'il a commencé à s'y faire un peu de liunitr^j
grâce aux bases scientifiques nouvelles qui y ont été afr|>orlco> y^i
H. V. Jiiptner (Chemiscb-tecbniscbe Vortràge^ 1. 1, p. 45;J; l«.^î ^
Le Glmlelier [Revue générale des Sciences, 15 janvier lï<*.^" ^
Roberls-Auslen (Proceedings of tbe Institution of mt^clwnt •
KnginecrSy 4 février 1897), H. v. Jiiptner (Siahl anJ Kisân, 1^^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 867
«"H, 12, lâet 2â), Roberts-Austen {Proceedings of tbe Insti-
lutlon ofmecbéioicnl Enrfineers^ 9 février 1899), Stansfield [Jour-
nal of tbe Institution of mecbanical Engineers^ 1899, p. 169).
Hesumant les résultats de tous ces travaux, Fauteur propose la
théorie suivante, basée sur des principes antérieurement établis
ï«r lui-m^me {Zeit. pbysik, Cb., t. 28, p. 494, et t. 30, p. 885 et
490; 1899), et dont ses élèves ont déjà fait de nombreuses appli-
cations (voir par exemple : W. Reinders {Bull. Soc, Cb., t. 26,
p. 606) et D. J. Hissink iBuH. Soc. CL, t. 26, p. 607).
Soit une fonte, possédant une teneur en carbone de x 0/0.
prise à Tètat liquide et homogène; et supposons que nous la
refroidissions avec une lenteur infinie, de manière à n'observer
qoe des phénomènes d'équilibre véritable. Arrivée à une tempé-
ralure T suffisamment basse, elle commencera à fournir un dépôt
M>lide : la nature de ce dépôt dépendra de la valeur de x. Pour
i>4,S ce sera du graphite pur, et la variation de T en fonction
Ac X sera figurée par une courbe unique C^, représentant la solu-
bilité du graphite dans la fonte. Cette courbe, qui n'a été suivie
que jusqu'à jr=5,5, est fortement ascendante, car il résulte des
recherches de Moissan que, pour T=3500*', jr=40. — Pouf
j<4,8, le dépôt solide est constitué par des cristaux mixtes de
fer et de carbone, connus sous le nom de martensite, et dont la
formation donne lieu à deux courbes analogues à celles observées
tians les travaux de Reinders et Hissink cités plus haut : courbe
•le congélation r, partant du point de fusion du fer pur (F, = 1600*»)
ftouraboutirau point de départEde la courbe Cj(T=cH30«,jr=4,3);
rourbe de fusion C| partant du même point Fi pour aboutir sur
l'horizontale T=:1130*» en un point A d'abscisse jr = 2 environ,
f'oe fonte liquide définie pjir un point de la courbe q laissera
•lonc déposer des cristaux de martensite dont la composition sera
^lèflnie par le point de mt^me ordonnée de la courbe C,. — Pour
A = 4,3 la fonte liquide se prendra en masse à 1130<>, donnant un
onglomérat eutectique, mélange de graphite et de cristaux de
martensite à t 0/0 de carbone. Ce conglomérat n'est autre que la
fonl^ grise.
Tels sont les phénomènes auxquels donne lieu la solidification
<!e la foute liquide. Examinons maintenant les transformations
^ue f>euvent subir, à des températures inférieures à 1130°, les
|»ro*luits solides ainsi obtenus.
A partir de lOOU», il peut prendre naissance une combinaison
'léflnie, non cristallisée, la cémentite Fe'^C. Le système est alors
fiwlagéen trois phases solides (graphite, marlensile, cémentitej;
■
868 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
il est donc univariant, de sorte qu*il fournit, sous la pression
atmosphérique, une seule température d'équilibre, en laquelle \€^
trois phases doivent avoir des compositions déterminées. Ce point
triple B correspond à x= 1,8, T= 1000®; il se raccorde au point A
par une courbe séparant la région de gauche (martensiteî de U
région de droite fmartensite-j- graphite).
Au-dessous de 1000*, on peut observer : — 1* des équilibr^v
entre le graphite et la cémentite : ils no pourront avoir lieu qui
droite de Tordonnée ,v=6,6, cette valeur étant celle qui reprt-
sente la teneur en carbone de la cémentite; — 2** des écpiilibm-
entre la martensite et la cémentite, pour ^<6,6. Une courbe, pâ^
tant du point triple B et descendant de droite à gauche jusq«*«
un point D qui sera défini plus bas, représente, à chaque leinp#^-
rature, la composition de la martensite qui peut demeurer en équt-
libre avec la cémentite.
D'autre part, d'un point T=890* de Taxe des lempéralores s*
détache une courbe descendant de gauche à droite, cl représ^û^
tant la solubilité du fer dans la martensite, c'est-à-diro les «H«li
d'équilibre de la martensite avec le fer pur. Cette courbe se comi
pose de deux parties distinctes séparées par un point de Iran^i^
tion; la première, qui va de 890** à 770**, corres[)ond au fer pul
sous sa forme peu magnétique (ferrite p); la seconde, qui va di
770® à 690°, correspond au fer pur sous sa forme très ina^^tiqu
(ferrite a). Celte dernière se termine en un point D (T— 690*
A-z^OjSr)) on lequel la martensite se transforme en un uiélan^
eutectique de cémentite et de ferrite a, depuis longtemps conni
sous le nom de Perlite. Au-dessous de 690**, on aura donc, pou)
jr<;0,85, de la perlite mélangée d'un excès de fer a; [>our x com^
pris entre 0,85 et 6,6, do la perlite mélangée d'un exc<'s de céme»
tite.
Tel est le schéma assez compliqué par lequel l'auteur résumée
représente les résultats actuellement acquis dans rétudo de
fontes. Ce schéma constitue une image probablement simphtiiN
de la réalité, car il a été décrit d'autres constituants de la foDU
que ceux dont il tient compte (par exemple la sorbite» la troo6titr
l'auslenite). L*auteur ne considère pas leur existence comme siifli
samment établie pour pouvoir les faire entrer actuellement daos^j
théorie. m. vi
Sur les relations entre la polarisation et la densité de co««
rant dans les sels solides et fondns; A. 60CKEL iZrti. phf\ià
Ch., t. 34, p. 529-558; 7.9.1900). — L'auteur a appliqué la mi-
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 869
tbode «Jéjà employée par Le Blanc (Zeit. physik. CIl^ t. 5, p. 467 ;
1890^ à rélude de Tiodure do plomb (à 406* et 380°), de l'iodure
do cadmium (h 300^ 308% 320% 325«), du bromure de plomb
ià364«» et 478*), du chlorure de plomb (à 420% 433% 436*»), du
bromure de bismuth (à 234% 242% 252% 262% 295% 302°), de Tio-
dure rie mercure (à 229**, 234", 250*»), et comparé les résultats
obtenus avec les deux formules proposées; celle de Wiedeburg :
Pi
i-i-K'
jûp rej>résente la polarisation actuelle, P la polarisation maxima,
j Tmlensitë du courant et K une constante; et celle qui se déduit
'W é<]uatioDs de IManck dans Thypothèse où la loi de Jahn (Zeit.
pbrsik. (Jh,, 1. 16, p. 60; 1895), établie pour les solutions étendues,
^applique encore aux sels solides et fondus :
ter 7 étant deux constantes. Ni Tune ni l'autre des deux formules
ne concorde pleinement avec les résultats expérimentaux; en
tiçéoéral, la formule logarithmique est celle qui s'en écarte le
moins. Les écarts observés doivent probablement être attribués à
l'absorption des gaz par les électrodes, à leur dissolution et à leur
<hSiision dans Télectrolyte. m. vèzes.
■odèle pour le transport des ions; F. KOHLRAUSCH (Zeit.
pbysik. Cb., t. 34, p. 559-560; 7.9.1900). — Description d'un appa-
reil dans lequel, par TelTet d'une roue motrice portant des gorges
de diamètre différent, on voit se déplacer, les uns vers le bas
cathode), les autres vers le haut (anode), de petits cylindres
métalliques figurant les principaux cathions (H, Ag, K, Na, Li)
et aniOQs (CHHX)*, Cl, F, OH). Les masses de ces cylindres et
leurs vitesses respectives de déplacement sont proportionnelles
>az masses de ces ions et à leurs mobilités. m. vèzbs.
Modèle pour le transport des ions; W. Lash MILLER et
Frtnek B. KEHRICK (Zeit. pbysik. CL, t. 35, p. 440-442;
M.ll.iOOOj. — Api>areil analogue au précédent, mais dans lequel
W déplacement des pièces figurant les ions s'effectue dans le sens
horizontal. m. vèzbs.
870 ANALYSE DES TRAVAUX ETHANGEHS.
Sur raction du brome sur Tacide phénylsulfonetcitifiae tt
Tacide a-phônylsalfonepropioniqueen solution aqueuse; étude
de cinétique chimique; Ludwig KAMBERG (Zeit, pbysik, Ch.,
t. 34, p. 561-592 ; 7.9.1900). — L'action d'un excès de brome ^^m
une solution aqueuse d'acido phùnylsulfonacétique fournil uniqih>-
ment, avec du gaz carbonique et de Tacide bromhydrique, de U
dibromométhylphénylsulfone. Sa formation peut s'expliquer, s»^i!
par une réaction trimoléculaire
(I) G6H5.S02.GH2.GOOH + 2Br2=C02 f2HBr-hC.6H5.S02.CHBr2,
soit par Tensemble de trois réactions consécutives
i06H^S02.CH2.GOOH + Br2=HBr-t-CfM5.S()2.CHUr.C:OOH, (i
G«IP.S02.GHBr.COOH+rîr2=HBr ; r/ir'.S02.GBi^.COOH, i
Cm^ . S02 . (^.Br2 . COOH = CO^ + CM V . S02 . G» Br» . ■ t
soit, enfin, par les deux réactions
( G^H5.S()2.GH2.GOOH = G02-f G«n^S02.GlP,
(111;
( G6M^S02.ClP-f2Br2 = 2HBr + G6H5.S02.(:HH^^.
Dans le but de faire un choix entre ces trois explications, lautenr
a entrepris Tétude de la vitesse de cette réaction : il a coostâi''
qu'elle devait être représentée par le schéma (II). La formation
successive des acides mono- et dibromophénylsulfonacétique cod»-
titue deux réactions distinctes, dont les vitesses sont entre allai
dans le rapport de 1,6 à 1. En présence d'une grande quantité <W
brome, de telle sorte que sa concentration initiale soit peu rédujbe
par le fait de la réaction, la vitesse est sensiblement proportion-
nelle au produit de la concentration de Tacide réagissant par la
racine carrée de la concentration du brome. Au contraire, dans h*
cas d'une faible concentration du brome, la vitesse est pix»porUuo«
nelle au produit des concentrations du brome et de racide.
L'action du brome sur l'acide a-phénylsulfonepropioniqtie est pht»
simple : elle fournit seulement un dérivé a-monosubstitué
C«H5.S02XH.GOOll G«H5.S02.GBr.GOOH
I +Br2=HBr+ 1
GH3 ÛH'
mais les relations de la vitesse avec les concentrations présentent
les mêmes particularités que dans le cas ci-dessus, m. v
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE, 871
Études sur les réductions ôlectrolytiques ; Walther LOEB
Zeit. pbysik. CL, t. 34, p. 641-668; 18.9.1900).— L'auteur emploie
dan» ses recherches des cellules éleclrolytiques de forme nouvelle,
dont on trouvera In description (avec figures) dans le mémoire
origrinaK et qui permettent de mesurer à la fois Tliydrogène dégagé
a la cattiode icelle-ri étant constituée par du mercure), et la quan-
lilé <l*amalgame alcalin résultant de Télectrolyse (effectuée en
liqueur alcaline). Ces mesures permettent de déterminer le ren-
dement <lu e4)urant dans la cellule électrolytique. En outre, un
dispositif ingénieux permet d'agiter constamment le liquide catho-
tjique au sein de l'appareil, sans que celui-ci cesse d*être clos. Un
nppareil iinalogue permet d'employer comme cathodes des lames
oa toiles iiiétiilliques, animées elles-mêmes d'un mouvement cons-
tant de rotation.
Appli«|nant ces diverses formes d'appareils, avec des cathodes
fonnées <ie métaux variés, à la réduction électrolytique de Tazo-
btMizol. avec des courants de densité moyenne de 0,4 amp. pour
i<X) cent, carrés, Tauteur a obsei'vé que les cathodes en mercure
sonlcelle> qui fournissent les meilleurs rendements; puis viennent
celles en plomb, nickel, cuivre, zinc, fer et laiton. Il a étudié
«isuile, en variant les conditions de Texpérience (notamment au
point de vue de l'agitation du liquide cathodique), la réduction du
mtroben;-ol à Tétat de benzidine, ainsi que les passages intermé-
méiliaires du nitrobenzol à l'azohenzol et à razoxyhenzol, et de ce
tU»mirr à la beiïzidine. Le mémou'e se termine par une réponse à
fvrlaines observations de Haber relatives à la théorie de ces réac-
tifs. M. VKZES.
Recherches sur ractivité électromotrice des gaz élémen-
taires ( 1" partie) ; Emil BOSE (Zeii. pbysik . Cli,, t. 34, p. 701-760;
1H.9.1900L — Les recherches entreprises par l'auteur sur les piles
à gaz ont }irincipalement pour but de fournir une réponse aux
questions suivantes : 1° sous quel état se trouvent les gaz dans les
électrodes? 2* quel rôle joue le métal des électrodes? 3^ de quelle
façon les électrodes métalliques mettent-elles en jeu l'activité
électromotrice des gaz? 4* jusqu'à quel point peut-on obtenir des
rh>ultats concordants en employant, avec le même gaz et le même
♦Hectrolyte, des électrodes différentes?
Sur le premier point, l'étude des travaux antérieurs, et notam-
laent des recherches récentes de Hoitsema (occlusion de H dans
VA\, de Mond, Ramsay et Shields (occlusion de 0 dans Pt), conduit
â cette conclusion que les gaz se trouvent dans les électrodes
872 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
métalliques à l*état de solutions solides. Vu le pouvoir dissociant
très considérable des métaux employés comme dissolvants, il esl
très vraisemblable que les gaz dissous dans les métaux s'y trouvent
totalement ou partiellement dissociés à Tétat d'atomes élémentaires.
Les ions de la substance douée d'activité électromotrice doivent
être considérés comme existant déjà tout formés dans les éle>
trodes. La tension de dissolution électrolytique est alors le pnxiu.i
de la pression osmotique de ces ions par un facteur constant pour
chaque dissolvant (coefficient de partage électrolytique). I^ satu-
ration des électrodes par les gaz résulte de leur diffusion dans l'^l
métal et se produit d^une façon extrêmement lente. La pile à ça/
de Grove fonctionne d'une façon réversible, mais sa force électn»-
motrice, lorsqu'on emploie des gaz à la pression atmospliériqur.
est un peu plus haute que celle antérieurement indiquée par Smalt*.
Les piles à gaz oxygène-hydrogène-liqueur acide et oxygi*ne-hy iiri^-
gène-Uqueur alcaline diffèrent l'une de l'autre par le point où l'eau
prend naissance : celle-ci se forme sur l'électrode oxygène daj>
la pile acide, sur Télectrode hydrogène dans la pile alcaline. Lr
deuxième point de décomposition de Teau correspond à un pliéncK
mène irréversible. m. ykzks.
Les relations entre la chaleur de dissolution et la solubilité
dans les électrol]rtes ; J. J. van LAAR (Zcit. physik. Ch.^ t. 35.
p. ii-17; 5.10.1900). — L'auteur propose, pour représenter U
relation existant entre la chaleur de dissolution et la solubilité d'ua
électrolyte, la formule
A-»- — *» * 1 * 2 ?f T^ »
Ij — I]
OÙ L^ représente la chaleur de dissolution d'une molôcule à U
concentration de saturation s, ^i et 5^ les solubilités aux temp^*
ratures T, et T^, a, et a^ les degrés de dissociation éleclrolyUqu*'
à ï| et T,, et H la constante des gaz parfaits.
Cette formule concorde mieux que celle de Van t'Hofl*, ou quf
celle proposée antérieurement par l'auteur, avec les mt^snn.**
faites par va»i Marseveen sur l'acétate et le propionale d*argeut.
u. VKzes*
Sur la solubilité des carbonates alcalinoterreiux dans Teat
chargée de gaz carbonique ; G. BODLAENDER {Zeit. pbysik, , Cit..
t. 35, p. 23-32; 5.10.1900). — Partant de la loi des masses, fauteur
établit une relation permettant de calculer la solubilité d'un carbo*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 873
oMic alcalinoleiTeux dans de Teau saturée de GO^ sous une près-
ikiuQ donnée, connaissant la solubilité de GO^ dans l'eau, laconduc-
abitîlé des solutions ainsi obtenues, le degré de dissociation de
l'eau, et la solubilité du cai'bonate dans Teau pure. Si Ton prend
pour les trois premières de ces grandeurs les valeurs fournies par
les travaux de Walker et Cormack (conductibilité des solutions
d«' GO*», Kohlrausch et Heydweiler (dissociation de l'eau) et Shields
(âapoDiiication par les carbonates alcalins), cette relation prend la
Corme
7 représentant la concentration des ions HCO^ (en grammes par
litre), F^ la prtvssion de GO* en atmosphères, et k une constante ne
dépendant que du métal du carbonate.
L'auteur a vérifié l'exactitude de cette relation au moyen des
•tonnées numériques fournies par les expériences de Schlœsing
puiir les carbonates de calcium et de baryum à 16", par celles de
Engel pour celui de magnésium à 12**. Dans le premier cas (cal-
num), P variant de 0,0005 à 0,98, y^î varie de 0,00139 à 0,00143 ;
dans le second (baryum), P variant entre les mêmes limites, y /:
nne de 0,00113 à 0,00124; dans le troisième (magnésium), P
manant de 0,5 à 6, y/k varie de 0,0295 à 0,0262. m. vèzes.
Sur la composition des couches superficielles des solutions
ftquenses; Jan von ZAWIDZKI {Zeil. physik, Ch,, t. 35, p. 77-80;
klO.iyOO). — L'auteur étudie expérimentalement le partage d'un
torps dissous entre Tintérieur d'un liquide et sa couche superfi-
cielle, qui a fait Tobjet des recherches théoriques de W. Gibbs,
i. J. Thomson et W. Ostwald. Dans ce but, il emploie des solutions
•queutes d'acide acétique et d'acide chlorhydrique, et leur ajoute
«ssez de snponine pour obtenir par l'agitation une mousse durable :
il recueille et condense cette mousse, et en dose l'acidité compa-
rttivemenl avec celle du liquide résiduel. Il constate ainsi que la
OKHisse est un peu plus concentrée que le liquide, la différence
ftwit de 0.3 0/0 pour Tacide acétique, de 0.8 0/0 pour Tacide
dilorhydrique. m. vèzes,
Permation de sels en solution alcoolique ; S. TANATAR et
h lUMEKKO (Zeit. physik. CA., t. 35, p. 94-95; 5.10.1900). —
iJomme suite à un travail antérieur (Zeit. pbysik. CA., t. 27), les
«ateurs ont mesuré les chaleurs de neutralisation, entre 16'',5 et
I
L
«74 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
19"*, 5, de divers acides organiques par la potasse et raininoniaquv|
en solution alcoolique :
Potasse. Am»«m»H^'
cal r»l
Acide propionique 8,174 M, 763
— caprylique 8,937 il, 580
— hippurique 8,134 11,641
— acétique 7,41:2 12,5:26
— chloracélique (mono :') . . 7,971 M,4:i7
M. VUES.
Phénomènes périodiques dans la dissolution du chrome du
les acides (I) ; W. OSTWALD {ZeiL physik\ Ch.y t. 35, p. âS-7ii
5.10.1900). — Les recherches récentes de Hiltorf iZeit. pbrsi
Ch,j t. 25, p. 729; 1898), sur le chrome pur préparé par le prooé*
Goldschmidt, ont montré que ce métal peut se comporter, au pi>i
(le vue électrochimique, de deux, peut être même de trois ra<,v
très différentes. Dans certaines circonstances, c'est un métal U
lement oxydable, prenant place entre le zinc et le cadmium, sol
dans les acides avec un vif dégagement d'hydrogène, en doaitii
un sel du chrome bivalent. Dans d'autres circonstances, il se rajj
proche du mercure, est inattaquable par les acides, et, emplojt
comme anode dans un circuit fermé, fournit, sous une tenfi<^
suffisante, de Tacide chromique. Il parait en outre y avoir dt|
conditions dans lesquelles il donnerait un sel chromique. Eln chd
chant à élucider la cause de ces variations, l'auteur a observé q*J
la dissolution du chrome actif (bivalent) dans les acides présent
un caractère périodique ; le dégagement d'hydrogène, d';iiwf|
lent, augmente de vitesse, passe par un maximum, puis se raien'ij
s'accélère de nouveau, et ainsi de suite. Ces variations ont pu <*'in
enregistrées, par l'inscription, sur un papier se déroulant a ui<
vitesse d'environ 12°", 8 par heure, des variations de pres*ii«»i
produites dans le vase où le chrome se dissout, ce vase commuini
quant avec l'atmosphère par un long tube capillaire. Les graphiqu*!
ainsi obtenus présentent un aspect tout à fait analo^e à cH
qu'obtiennent les physiologistes par l'enregistrement de la pres^l^^
du sang dans les artères : la durée de chaque période est de qut'i
({ues minutes.
Grâce à l'emploi de cette méthode graphique, Tauteur a \i
constater que la cause du phénomène étudié réside dans le aU^
et non dans le liquide. En effet, si l'on met un même appervj
inscripteur en communication avec deux vases semblables eoii*^^
nant chacun un morceau de chrome en voie de dissolution, -1
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 875
lient une courbe qui est là somme de celles que fourniraient
[larémenl ces deux vases; on obtient encore une courbe analogue
moyen d*uo seul vase contenant deux morceaux de métal
parés ; mais^ si ces deux masses métalliques viennent au contact
iit^ de l'autre, on obtient une courbe simple, semblable à celle
Vûl fournie une masse métallique unique : le contact métallique
s deux masses est ainsi la condition nécessaire et suffisante pour
e c^s deux niasses acquièrent la même périodicité. Il faut ajouter
e la période commune ainsi obtenue est égale à la plus petite
s deux périodes correspondant aux deux masses séparées.
La durée des périodes dépend d'une foule de conditions dont
lude n'est point encore achevée : nature du métal, de Tacide,
Dpèralure, concentration, surface de la masse métallique, etc.
ur forme en dépend également : par exemple, une addition
l'aide neuf dans un appareil fonctionnant depuis quelques heures
amit des périodes en forme de « guirlandes » très différentes
s périodes primitives. On obtient également des formes diffé-
Dtes quand on emploie des blocs métalliques préalablement
indus passifs par immersion dans des liqueurs oxydantes (FeCl^
bOK, etc.).
Tous les échantillons de chrome ne sont pas également propres à
nmir c^s phénomènes périodiques : du chrome pur, préparé par
fproo^dé Goldschmidt perfectionné, se dissout dans les acides
one façon tout à lait normale ; Tauteur n'a pu retrouver de pério-
idté que dans les échantillons de chrome impur obtenus par
oldsclimidt dans ses premiers essais, sans qu'il lui ait été possible
ttqu'à présent de se rendre compte de la nature des impuretés
Bxquelles seraient dues ces propriétés spéciales.
La durée des périodes augmente quand la concentration de l'acide
iminue ou quand sa température s'abaisse. Elle est fortement
ifinencée par une addition de substances étrangères à l'acide ; en
ttticulier, une addition d'iodure de potassium, même à faible
^, allonge notablement les périodes ; à dose suffisante, elle
Wil toute périodicité. Le sulfocyanure de potassium exerce une
>^tH>D encore bien plus vive : même à dose minime, il supprime
Bstintanément les périodes. Enfin, le formol paraît être le corps
^plus actif à ce point de vue : une dose de un millionième suffit
Nr abolir tout phénomène périodique. D'autre part, il existe des
'•''SUnces dont l'addition a au contraire pour effet de rendre les
P^f^es plus courtes et le phénomène plus marqué : tels sont les
Bt?defi d'azote (acide azotique, nitrites, etc.), les chlorates, bro-
"••le*. Ces accélérateurs sont ainsi capables d'annuler l'action des
870 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
retardateurs cités plus haut. Il est à remarquer que les premienj
sont des corps oxydants, les seconds étant des corps réducteurs j
Des mesures de tension électrique ont montré que c^lle-ci vand
pendant la dissolution du chrome dans les acides, eu même teinf!
que la vitesse de dissolution : on obtient une courbe péhodiq*
analogue à celles signalées plus haut, Tamplitude de la variatioi
étant d'environ 0,1 volt. C'est au moment où le métal se dissolu 1^
plus vite qu'il possède une tension maxima. m. vkx£».
Phénomènes périodiques dans la dissolution da chroa^
dans les acides (II) ; W. OSTWALD {Zeit. pbysik, Ch,, t. 3S
p. 204-856 ; 16.10.1900j. — Des phénomènes de dissolution péno
dique, analogues à ceux étudiés par l'auteur dans sou premw
mémoire, ont déjà étt^ obsei'vés dans le cas du fer par Fechœi
Herrschel, Schônbein, et Joule. Après une étude de leurs travaui
Taùteur indique par quelles expériences de cours on peut mellfl
en évidence la dissolution périodique du chrome, et quels sont la
perfectionnements qu'il a apportés à son appareil d'enregistremffl
en vue des recherches nouvelles qui vont être décrites.
Les échantillons de chrome ayant servi à l'auteur pour ses prp
mières recherches avaient été obtenus par (loldschmidt dans <i«
opérations faites avec un peu de gypse : elles contenaient donc *ij
soufre. L*auteur, tout en cherchant systématiquement a reprodwij
des échantillons analogues jouissant des mêmes propriétés pén<^
diques, a obtenu les résultats qui suivent avec un reste de TéchM
tillon primitif (échantillon à 0.18 0/0 de soufre désigné par Cr i^i
De petites masses de l'échantillon Cr 13, après avoir dooii^
dans un premier échantillon d'acide, des oscillations très régulièrd
donnent, lorsqu'on les transporte dans un échantillon d'acide frad
des phénomènes tout à fait inattendus : après quelques pèriodej
à grande amplitude, on voit la périodicité cesser tout à coup; ^
métal « s'endort ». Il « se réveille » dans Tacide primitif. Il semWj
donc qu'un échantillon d'acide ne puisse donner lieu à un pbèo^]
mène périodique que si on a commencé à y dissoudre un morce^i
de métal frais.
Après quelques tâtonnements, l'auteur a trouvé l'explicaUoo «
ces anomalies dans le petit sac de tulle dans lequel est eùfeTtt,\
chaque échantillon de Cr 13. Ce tulle contient quelque dàose q^
se dissout dans Tacide et lui donne la propriété d'enlrvteoir IJ
périodicité de ces échantillons : un acide donné ne sera actif qu^
s'il y a été immergé un fragment de tulle frais.
L'expérience a montré que le principe actif du tulle blanc empl*^^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINERALE. 877
U constitué par la dextrine ou ramidon que ce tulle contient par
nie de l'apprêt qu'il a subi. Même à la dose minime de un cent-
lillième, la dextrine communique en efTet à Tacide chlorhydrique
t propnété de dissoudre le Cr 13 d'une façon régulièrement pério-
iqiie.
D'autres hydrates de carbone agissent comme la dextrine. Leur
irlioo est d'autant plus marquée, que leur poids moléculaire est
»lu5 élevé. La dose jusqu'à laquelle ils donnent lieu à des phéno-
sèmes périodiques peut, dans une certaine mesure/ servir à les
araclériser, et il ne parait pas impossible de déduire de ces phé-
lomènes une méthode d'analyse nouvelle des matières sucrées.
Chose surprenante, tandis que la dextrine exerce une influence
leureuse sur la dissolution périodique du Cr 13, elle empêche au
lonlraire la périodicité de se produire avec le métal CrA qui a
«rvi aux premières expériences de l'auteur : elle donne lieu à un
légagement gazeux d'autant plus irrégulier que sa dose est plus
bne.
Des mesures quantitatives de longueur d'onde ont été faites
rvec un autre échantillon CrD du métal primitif, donnant lui aussi
le« ondes régulières en l'absence de dextrine. Avec ce métal,
facide chlorhydrique donne des ondes régulières à des concentra-
iioos de 3/2 à 3 mol. par litre ; l'acide sulfnrique exige des concen-
trations plus élevées. m. vèzes.
Remarques sur remploi graphique des courbes expéri-
matales; R. A. LEHFELDT (Zeil, physik. Ch., t. 35, p. 96-97;
9.10.1500). — Mémoire purement théorique. Voir l'original.
M. VKZES.
Sur les teusious de vapeur des mélanges liquides binaires ;
ItnYon ZAWÏDZKI {ZeiLpbysik. Ch., t.35,p. 129-203; 16.10.1900).
— Mémoire de physique pure. Voir l'original. m. vèzes.
Remarques sur un travail de H. J. v. Zawidzki. « Sur les
ttuions de vapeur des mélanges liquides binaires » ; P.
DOHEM kZ^îL physik. CL., t. 35, 483; 20.11. lOOOj.
Hectiftcation ; Jan von ZAWIDZKI (Zeit. pbysik, CL, t. 35,
p. "îti; 31.12.1900). — Echange d'observations relatives au Mé-
nioire précédent. m. vèzes.
878 ANALYSE DES THAVAUX ËTHANGEH6
Force ôlectromotrice et pression osmotiqne ; R. A. LEHFELD
(Zeit. pbysik. CL, t. 35, p. 257-282 ; 2.11.1900). — L'auteur éltW
une relation thermodynamique entre les pressions osmotiques di
solutions aqueuses d*un sel et la iorce éleclromotrice d*uiie (u
de concentration construite au moyen de ce sel. Il f applique au
cas de ZnCl' et de ZnSO^, et s'en sert pour calculer les pressîM
osmotiques de leurs dissolutions jusqu'à la saturation. La bfji
dont elles varient avec la concentration rappelle de très prèb k
variations du produit PV dans une masse gazeuse fortemeoi coa
primée. m. vi
Sur la vitesse de dissolution des corps solides ; L. BRUII
et St. TOLLOCZKO (ZeiLpbysik. Cb., t. 35, p. 283-290 ; 2.il.l«0a
— Comme A. Noyés et W. Withney, qui ont étudié avant eox I
môme question, les auteurs supposent que lorsqu'un corps soliii
se dissout, il se trouve constamment en contact avec une concL
infiniment mince de sa solution saturée. Par suite, la marche d
la dissolution devra être figurée par la relation :
où F représente la surface totale des plaques du corps solidf
dissoudre, C la concentration de sa solution saturée, .r la ronft?É
tration de sa solution au temps /, et D la constante de vitesse j)4
centimètre carré de surface. L'application de cett<» formule «^
résultats des mesures faites avec des plaques d'acide befaoiqm
d'acide phénylacétique, d'acide phénylpropionique, d'acélaDilnl
et de gypse, donne pour D des valeurs présentant une coostaiM
puffisante. Ces valeurs croissent rapidement avec la tem{)ér«tuit
M. VKZKS.
Sur les potentiels d'électrodes ; N. T. H. WILSHORE [Z^a
pbysik, Cb., t. 35, p. 291-332; 2.11.1900). — Dans la premier
partie de ce travail, Tauteur détermine, en combinant ses profw
mesures avccles résultats des travaux antérieurs, les polenti'l
ëlectrolytiques relatifs des éléments, c'est-à-dire les différencf * «^
potentiel existant entre les éléments et les solutions qui <ini
normales par rapport à l'ion correspondant. Dans une *erofht
partie, il détermine de même les potentiels d'un eertam nombre
(rélectrodos « normales » employées dans la pratique. Dan^ '•"!
deux cas, il prend comme potentiel zéro le potentiel de l'hydrogi'i»!
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 879
I9US la pression atmosphérique vis-à-vis des ions hydrogène à la
wicentrallon normale.
Il observe, au cours de ces recherches, que la force électro-
Dothce d'une pile à gaz tonnant monte lentement et ne devient
ienâblement constante qu'après 4 à 6 jours ; sa valeur est alors
L4 19 volt. — Le potentiel de l'électrode normale au calomel a
pour valeur — 0,283 volt. m. vezes.
Sur las potentiels absolus des métaux, avec quelques re •
Btrqnas sur les électrodes normales; W. OSTWALD (Zeit.
évsik. Cb., t. 35, p. 333-339; 2.11.1900). — Contrairement au
dioix fait dans le Mémoire précédent, Tauteur préfère rapporter
^ potentiels absolus des métaux à Télectrode normale au calomel,
joi est facile à reproduire, très constante et qui possède un faible
•oeJBcient de température avec un coellicient de pression presque
niL 11 transforme en conséquence les nombres calculés par Wils-
•wre, en se servant de la valeur 0,283 volt trouvée par ce dernier
pour la difTérence de potentiel entre l'électrode à hydrogène et
'rlectrode au calomel. h. vèzes.
La combustion des gaz; S. TANATAR {Zeit. physik. Ch., t. 35,
\ 340-442; 2.11.1900). — Une addition de 11 à 12 0/0 de propy-
iene à du gaz tonnant électrolytique suffit pour lui ôter son inflam-
«abUité. Il faut 22 à 24 0/0 de méthane, ou 50 0/0 d'acétylène,
l^ïur arriver au même résultat.
Quand on enflamme un mélange de gaz tonnant avec 8 à 10 0/0
Vî propylène, le propylène seul est brûlé, ce qui est contraire au
(ffincipe du travail maximum; l'auteur explique ce résultat en
«•ipposant que la vitesse de réaction est beaucoup plus grande
ftiOâ la combustion des carbures que dans celle de l'hydrogène.
M. VÈZES.
Une nouvelle expression de la pression thermique et une
tkéorie des solutions; G. N. LEWIS {Zeit, pbysik. Ch., t. 35,
1». ^14.1-168 ; 2.11.1900). — Mémoire purement tliéorique. Voir
"original. m. vèzes.
Upoase à quelques remarques de H. Lehfeldt sur la tension
de dissolution électrolytique; F. KRUGER (Zeit, pbysik. Ch,,
t 35, p. 18-22; 5.10.1900i.
880 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Tension de dissolution électrolytiqae; réponse à la critiqvi
de H. Krûger ; R. A. LEHFELDT (Zeit. pbysik. Cb., t. 35, p. Mil
2.11.1900). — Articles de polémique, relatifs à un Mémoire <■
Lehfeldt déjà signalé iBulL, t. 26, p. 602). n. vtow.
Sur la constante diélectrique des liquides purs ; B^ Botb»
TURNER [Zeit. physik. CL, t. 35, p. 384-480; 20.11.1900} -
L'auteur a mesuré, par une méthode dont on trouvera la deacn^
tion dans le Mémoire original, les constantes diélectriques da
liquides suivants : benzène, éther, aniline, orthonitrotoluène. tm
nitrobenzène, métaxylène, et 16 autres liquides organiques de pa
reté beaucoup moins certaine. m. vkzxs.
Recherches sur la sensibilité à la lumière du peroiyÉ
d*hydrogène en solution aqueuse par addition de pruuialfl
de potassium; Wl. KISTIAKOWSKT {Zeit, pbysik. Cb.^tA
p. 481-439; 20.11.1900). — Si l'on fait passer un courant d'iil
dans une solution de prussiate jaune éclairée par la lumière soUtrt
directe, elle devient faiblement alcaline. Le m^me résulta t. Vobln*à
d'une façon beaucoup plus marquée si Ton ajoute un ptni tl'ioi
oxygénée à une solution isolée de prussiate jaune ; on peut obteni
des épreuves photographiques rongea en sensibilisant du pa]iter4
filtrer avec un mélange de prussiate jaune, de phtaléine et «^
quelques gouttes d'eau oxygénée neutre. Inversement, un mélanf
de prussiate rouge et d'eau oxygénée, primitivement alcalin
devient neutre au soleil.
L'auteur a entrepris l'étude systématique de ces phénomèni^
Il a constaté qu'une courte insolation suffit pour que la r«^aci)04
se continue dans l'obscurité avec sa vitesse maxima. La mxtie tV
ces phénomènes parait résider dans la formation, 8uxdé()eo}<l
Fun ou de l'autre des deux prussiates et sous Taction de la lumierr
d'un catalysateur (peut-être colloïdal) qui continue ensuite a a^ir
môme dans l'obscurité, sur le peroxyde d'hydrogène.
M. VKZKS.
Tension de vapeur de mélanges binaires et temairts
F. A. H. SCHREINE MAKERS (Zeit, pbysik. CA., t. 35, p. iMUiTV
20.11.1900). — Les recherches de l'auteur ont porté sur le> mi^
langes suivants : eau-phénol, eau-aniline, eau-phénoNatulioe
Dans chaque cas, il a déterminé, outre la tension de vapeur J i
mélange à diverses températures, les compositions curreôpo»*
danles des diverses phases en présence.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 881
Ijb fiyslème eau-phénol, au-dessous de la température critique de
s*, comporte 3 phases, 2 phases liquides (dont les compositions à
[verses températures ont été déterminées antérieurement par
lexejeff et par Rothmund), et une phase vapeur. A toute tempé-
ilure, cette dernière est plus pauvre en phénol que la plus pauvre
es deux couches liquides. La distillation d'un pareil mélange, à
ne terapérature inférieure à 68"*, par exemple à SB^^^B, aura lieu
otfs une pression constante (126 mm.), et fournira un produit
iistiUé de composition constante (7,83 0/0 de phénol), tant qu'il
ubsîstera deux couches liquides distinctes (comportant. Tune
4,5 0/0, l'autre 60 0/0 de phénol). Cette distillation s'effectuera
u^ dépens de la couche pauvre en phénol, qui se dédouble en
»peur (plus pauvre) et en couche riche en phénol. La couche
idie en phénol ira donc en augmentant, tandis que la couche
«uvre disparaîtra peu à peu.
Lorsque le mélange aura ainsi été réduit à deux phases (couche
iquide riche, couche vapeur), le phénomène changera : la distilla-
k>a continuant, on verra varier à la fois la pression et la composi-
ion de la vapeur, la température restant constante. Il résulte des
lombres obtenus par l'auteur qu'à cette température de 56^5, un
oéiange à 5,5 0/0 de phénol passera en entier à la distillation,
Dmme le ferait une combinaison définie.
L'auteur a étudié également le mélange bivariant (phase liquide,
ibas*» vapeur) aux températures de 75 et 90°, supérieures au point
ntique. Dans chacun de ces .deux cas, on a encore un mélange
«rticulier d'eau et de phénol (7,2 0/0 de phénol à 75° ; 8,3 de
»bèool à 90°) passant en entier à la distillation à cette température :
m mélange plus pauvre en phénol fournira un produit distillé plus
iche en phénol que lui, et la distillation aura pour effet de l'ap-
patmir encore plus ; un mélange plus riche en phénol s'enrichira
u contraire, de sorte que l'état d*équilibre défini par les nombres
cités plus haut est un équilibre instable.
Le système eau-anihne donne des résultats analogues ; au-
i^dous de la température critique de 167°, il comporte aussi trois
pbases : mais la composition de la phase vapeur est, à toute tem-
pénilure, intermédiaire entre celles des deux phases liquides.
Le système eau-phénol-aniline n'a été étudié par l'auteur qu'à
h température de 56°,3. Les trois courbes représentant la compo-
^îtion des trois phases (deux phases liquides, une phase vapeur)
oQi été déterminées à cette température, mais non la loi suivant
Joëlle se correspondent trois à trois les points de ces trois
«^ûuibes. M. vèzES.
soc. GBiM., 8* siR., T. XXVI, 1901. -- Trav. étrang, 56
882 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERf^.
Sur la forme la plus générale des lois de la cinétique cbj
miqne des systèmes homogènes; Rud. WE6SCHEIDEE (Zeii
physik. Cb., t. 35, p. 518-587; 7.12.1900). — Mémoire puremeij
théorique. Voir roriginal. m.
Etudes physicochimiqnes sur Tétain (m); Emst
{ieiLpbysik. Cb., t. 35, p. 588-597 ; 7.12.1900). —Dans ce tr8%
qui fait suite à un mémoire déjà signalé ici même {Bull,^ L
p. 884), Tauteur montre que l*opinion ancienne de Lewald, d*a
laquelle la désagrégation de l'étain à basse température dépeo
de la forme et de la dimension des échantillons étudiés, dV
nullement fondée. II constate qu'une série très prolongée de ch
ne provoque pas la transformation de l'étain blanc en étain gjih^
Le contact d'une solution de chlorure stanneux exerce u4
influence sensible sur la vitesse de la transformation
étain gris Z/l. étain blanc,
ainsi que sur la température à laquelle cette vitesse est maxiiti
La suite des états antérieurs de l'étain (son « histoire aatérieurr
a une grande influence sur sa vitesse de transformation; i
retrouve ici dés phénomènes analogues à ceux que Uemez a cooj
tatés pour le soufre. L'étain étant un corps bien défini au point \
vue électrique, il est vraisemblable que ces phénomènes sont d]
à des variations de l'énergie libre. On n'obtient de résultats col
parables qu'en employant des échantillons d'étain ayant la tné^
histoire antérieure. m.
Théorie de la couche capillaire entre les phases homogéaj
dn liquide et de la vapenr ; 6. BAKKER {ZeiL pbysik. Ch.,t%^
p. 593-608 ; 7.12.1900).
Sur le théorème de Poynting ; F. S. WEDELL-WEDELLSBOI
(ZeiL pbysik. CL, t. 35, p. 604-607 ; 7.12.1900). — Mémoires \
physique. m.
Concordance des formules chimiques avec la théorie di
invariants ; P. GORDAN et W. ALEZEJEFF {ZeiL physik. rj
t. 35, p. 610-6S3; 7.12.1900). — Mémoire purement Ihéoriqu
Voir roriginal. m.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 883
Sur la concantration au voisinage des électrodes et le déga-
gement d'hydrogène dans l'électrolyse d'nn mélange de sul-
fate de enivre et d'acide snlfuriqne ; Henry J. S. SAND {Zeit.
pbjrsik. Ch,, l. 3S, p. 641-651 ; 81.12.1900). —L'auteur établit une
équation permettant de calculer la concentration au voisinage des
électrodes dans l'électrolyse d'un sel unique dont le métal est
précipité à la cathode, en supposant : l"" que la solution est con-
tenue dans un vase cylindrique, fermé par les deux électrodes ;
S* qu'il ne s'y produit aucun courant liquide; 3* que la diiïusion du
sel obéit à la loi de Fick, et que les coefficients de transport de ses
kms sont constants.
Cette équation peut former la base d'une méthode de détermina-
tion de certains coefficients de diQîision.
Dans le cas de l'électrolyse de mélanges, on peut déterminer les
limitas inférieure et supérieure delà concentration aux électrodes;
on a constaté expérimentalement que l'hydrogène n'apparaît à la
cathode d'une solution acide de sulfate de cuivre (non agitée par
lies courants liquides) qu'au bout d'un certain temps, compris
entre les durées limites nécessaires pour que la concentration du
cuivre à la cathode tombe à zéro. L'agitation du liquide influe très
Aotabiement sur la quantité d'hydrogène obtenue, avec de fortes
densités de courant, dans une solution acide de sulfate de cuivre.
8nr la birotation du d.-glncose ; Tnkichi OSAKA (Zeit. pbysik,
CA., t. 35, p. 660-706; 31.12.1900). — Comme l'a déjà fait
observer E. Cohen, le d.-glucose doit être envisagé comme un
icàde très faible. La vitesse de variation de son pouvoir rotatoire
«st à peu près proportionnelle à la concentration des ions hydro-
xyle. Elle est aussi à peu près proportionnelle à la racine carrée
de la concentration des ions hydrogène. L'action catalytique des
ions hydrogène est beaucoup plus faible que celle des ions hydro-
xfle. En ce qui concerne cette dernière, les sels neutres parais-
4Col exercer une action accélératrice ; leur influence est au con-
traire très faible, sinon nulle, sur l'action catalytique des ions
hydrogène. a. vkzes.
La relation exacte entre la pression osmotiqne et la tension
de ftpenr ; Arthur A. NOTES {Zeit. pbysik. Cb., t. 35, p. 707-^721 •
91.12.1900). — Mémoire purement théorique. Voir l'original..
M. VÈZBS.
884 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRAN0BH8.
Sur un manosUt; A. SHITS {Zeit. pbysik. Cb., t. 33, p.3SM6;
S.4.1900). — Dispositif permettant d'obtenir une pression cons-
tante dans une série d*appareilSy applicable à des essais ébuUio$^
copiques, ou à d'autres expériences analogues. Pour la descripUos
détaillée, avec figures, voir le mémoire original. m. vms.
Etudes physico-chimiques sur l'ôtain ; E. fiOlSm (Zeit, pbysik
Cb., t. 33, p. 57-62; 3.4.1900). — La transformation de Vé\m
gris en étain blanc se fait d'autant plus vite que la teropéraiutr
s'élève davantage au-dessus de -f-^O". Dès 40*, elle est trof
rapide pour pouvoir être mesurée. m. vkzes.
Remarques au sujet d'un mémoire c sur la nature des solit-
tions métalliques dites colloïdales » ; R. ZSI6M0N0T (Zeit.
pbysik, Cb,, t. 33, p. 63-73; 3.4.1900). — Article de polémique en
réponse à un mémoire de Stoeckl et Vanino (Zeii. pbysik, CA.,
t,30, p. 98). M. vizis.
Réactions catalytiques (I). Chlorure d'aluminium; 0. RDF^
{D. cb. G., t. 34, p. 1749-1758; 22.6.1901). — Le chlorure d'alu.
minium peut être employé en chimie minérale aussi bien quei|
chimie organique pour provoquer certaines réactions. Ainsi, M
soufre ne réagit sur S0*C1' qu'en tube scellé à 200* pour donaef
un peu de S*C1* et SO*. Si l'on opère en présence de AIQ*. h
réaction s'effectue à froid et quantitativement suivant Téqualioa !
S02GP + 2 S = S^CP + SO» .
(On emploiera 50 part. SO«Cl«, 24 part. S et 0.5 part. AIQ»; U
réaction sera terminée à 70*). — Si l'on emploie 1 al. S par molj
SO'Cl*, et si Ton maintient la température à 40^, on obtient k
chlorure SCI' qui se décompose partiellement avec dégagemeoi
de chlore :
SO^CP + S = SO» + SCP .
Il ne se forme jamais de chlorure de thionyle conune produit
intermédiaire.
Certains sulfures minéraux réagissent également sur SO^Cl* aj
présence de AlCP; ainsi, HgS se transforme en HgCl», Sb*S»^
Sb*3*, SnS, SnS* se transforment respectivement en chlorures* M
souire restant non dissous ou étant transformé en SCI*. Sb(^J*
forme avec SCP une combinaison moléculaire caractérislique, tn^
peu sol. dans S0«C1«.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE 885
L*iode et les iodures réagissent sur SO*Cl' en présence de
\1CP en donnant ICI ou ICP et S0« :
S05C12 + 2I = 2ICI + S02,
^SOïCP + 2l=:2ICP + 3S02.
Avec AlCl*, la réaction est encore plus énergique.
Le chlorure noir de molybdène se dissout dans SO'Cl*; cette
sol. traitée par S donne du chlorure de soufre et MoGl*; si à cette
iol. on ajoute AlCl', il se dégage SO' et par refroidissement on
obtient une combinaison de pentachlorure de molybdène et de chlo-
rure de soufre. — Le chlorure de thionyle (éb. 75*^,8) n'est pas
attaqué par S en présence de AlCl'; ce dernier accélère par contre
ta réaction avec H«S :
2S0C12 + 2H2S = 4HC1 + S02 + 3S.
Le soufre se dissout sans altération dans une sol. de PCI' dans
POCI*; si Ton ajoute AlCI*, il se transforme en chlorure.
.\sCl* et H'S réagissent énergiquement en présence de AlCl^ en
donnant As*S^ et HCl. — P et AsCP réagissent en donnant un
composé phospho-arsénié qui forme avec AlCl' une combinaison
roii{çc brique insol. dans AsCl', décomposable par Teau en AlCl',
.VsCP, PCI* et en une poudre violet noir, insol. dans l'eau et CS*,
répondant à la formule PAs*0*; ce corps se décompose >300*;
chauffé avec NaOH il dégage PH'.
P et SbCl^ réagissent d'une façon analogue en donnant des pro-
duits mal déflnis.
L*auleur attribue cette réaction à la propriété que possède AlCl'
des^unir à AzOCl, PCl^ etc., pour former des combinaisons molé-
ealaires. Ainsi, lorsqu'on verse goutte à goutte SCI* dans une sol.
de AlCl' dans SO^l^, on obtient une combinaison cristallisée en
ftnes aiguilles, répondant à la formule AlCl^.SCl^, très hygros-
épiques et dont l'analyse n*a pu être effectuée qu'avec beaucoup
de précautions (voir le mémoire original). Ce composé perd Cl à
U température ordinaire (25''), puis S'Cl* (vers Gô"") et finalement
OD obtient un résidu de AlCl'.
D'autres composés semblent être doués de propriétés analogues.
p. FREUNDLER.
886
ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
CHlilE ORGANfOUE.
Sur les composés stéréo-isomôriques du cobalt; A. WERHEB
{D. ch. G., t. 34, p. 1705-1719; 22.6.1901). — Mémoire rempli
de considérations théoriques qu'il est impossible de reproduire la
On connaît 2 séries de sels de cobaft-éthylone-diamine répondant
à la formule générale {Co<^^^ ^ \X, X représentant un atomp
de Cl, Br, I, un résidu AzO«, AzO», SO*, PtCl«, etc., et E li
molécule d'éthylène-diamine. La préparation de ces sels sert
décrite dans les mémoires suivants. Leur isomérie est du même
ordre que celle des sels de cobaltamines, d'ordre stéréochimi«iue
par conséquent, suivant les idées de l'auteur :
AzO^
Az03
AïO*
\
AzIP
I
AaH^— C«H* /
(1.4).
P. FREL'NDLBR.
Sur les sels dinitrito-di-éthyléne-diamino-cobaltiqoes stérèo-
isomériques ; A. WERNER et E. HUMPHRET {D, cb. G., t. 34.
p. 1719-1732; 22.6.1901). — Le meilleur procédé de préparsUota
de ces sels consiste à faire réagir l'hexanitrito-cobaltate de K ea
sol. aqueuse à 60® sur l'éthylène-diamine :
GH2-AzH2 / /(Az03)2 \
Co( Az02)6K3 + 2 I - 3 Az02K + I Co< 1 AxO^,
GH2-AzH2 \ \(C2AzaH8>V
Vers 66*^ le sel se dissout, et la liqueur flltrée abandonne par
évaporation un mélange des 2 isomères qu'on trie aussi bien qu«
possible et qu'on transforme ensuite en nitrates pour effectuer
complètement la séparation.
Sériel. S (flavosels). Le nitrite cristallise en prismes rliom-
biques anhydres ou en aiguilles brunâtres (dimorphîsme) âUivvHt
la température à laquelle il se dépose; il est peu sol. dâos Têtu,
CHIMIB OROANIQUE. 887
ailé par AzO^H, il se transforme en nitrate (Co<é^^^^^^^\Kz(P\
rismes brun jaune, dichroïques, sol. dans 100 part, environ d'eau
oide, plus sol. dans l'eau chaude. A 200^, le sel défla^e; éva-
xé avec AzO^H, il se transforme en mélange des 2 sels
(yAzO*\
Co^AzO» J AzO». Les sol. aqueuses du
iliBle donnent avec K'Or'O'' et K'CrO* un ppté de paillettes bru-
Itm, avec i'oxalate d*ammonium des cristaux bruns prisma-
qoes, avec Na*S*0* des aiguilles jaunes d'or, avec CAzSK des
ùÀes brunâtres rhombiques, avec Kl ioduré une poudre rougeâtre
rrsL (periodure), avec l'ac. fluoborique des aiguilles jaunes, avec
ic. flaosilicique une poudre jaunâtre cristalline, avecHgGl*.2NaGl
^ paillettes jaune clair, avec SbCl' et HCl des aiguilles bru-
Urcs. — Le chlorure ( Co<^ ^ )C1 ne peut s'obtenir en
litant le nitrite par HCl (formation de nitrate); on le prépare en
utaat le nitrite en sol. aqueuse par l'urée, ajoutant HCl à la sol.
froidie, chauffant à 40-50'' et précipitant par l'alcool. Tables
noes striées plus sol. dans Teau que le nitrate. — Le bromure
MeoQ en traitant le chlorure par AgOH« filtrant et saturant par
Br, cristallise en tables brunâtres peu sol. dans l'eau. — Uiodure
A en prismes rouge brun peu sol. dans Teau qui le décompose à
Hmd au bout d'un certain temps. — Le sulfate crist. dans l'eau
fciUâDle en aiguilles jaune pâle, de formule (CtO<j^ ^ j«SO.
^ht cbloropIatiuHte est en fines aiguilles prismatiques très peu
1 dans Teau froide. — Le cbloroplatinite est en paillettes
iHigées hexagonales sol. dans l'eau chaude (décomposition lente).
* Le cbloraurate (Co<^^^*)'^AuGl* cristallise dans l'eau
luiiante (décomposition partielle) en aiguilles brunâtres.
S^ie 1.6 (crocéosels). Les sels de cette série sont beaucoup
k soL que les précédents; ils se décomposent avec la plus
p/^t facilité en sol. acide en échangeant un des radicaux AzO*.
^Uiai/ri/e (Co<^^^*^*)AzO« + 2H«0 est en prismes rhom-
ffus ou en pyramides jaune brun qui s'effleurissent à l'air en
bDi jaune citron. Traité par Kl, ce sel se transforme en
peu soluble. — Le nitrate est anhydre ; tables hexagonales
tsoL dans Teau froide, sol. dans 25 part, d'eau chaude. Les
«queuses à 10 0/0 de ce sel donnent les précipités sui*
888 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
vants : K«Cr«0'', aiguilles limû foncé; CAzSK, tables prisma-
tiques jaune clair; ac. fluoborique, cristaux prismatiques brun
clair; ac. fluosilicique, prismes bruns assez solubles; Fe(CAï**K*J
tables rhombiques ou prismes triangulaires jaune bron
Fe(CAz)6K3 aiguilles prismatiques; HgCl«,2Naa, paUfeUw
jaune citron; Bi(Az03)S-|-AzO^H, aiguilles jaune clair, ellloj
rescentes; Kl ioduré, perioduro rougeâlre; Kl, ppté jaune <îVf|
dure; SnCl«+HCl et SbC13+HCi, cristaux rouges de la sfei
des chloronitrito-sels. Pas do pptés avec K*CrO, Na*SKP «
roxalate d'ammonium. — Le chlorure (Co<^^^*^^\Ci, 2H*0
préparé au moyen de Tiodure et AgCl, cristallise avec un peu ^i
Tisomère 1.2 en prismes quadratiques jaune clair, efllorescent^
dans Talcool on obtient des aiguilles anhy-dres. — Le bromnr\
(2H^0) est analogue au chlorure, et se transforme facilement d
bromonitrito-sel. — Viodurc est anhydre ; on le prépare en Irtj
tant le nitrate par Kl; cristaux bruns, tabulaires, peu sol. da^
Teau et dans les sol. de KL — Le sulfate n'a pu être obtenu q*|
mélangé avec une grande quantité de flavosel. — Le ebloropi\
iinate est en aiguilles prismatiques jaune clair et le chloroplatiu'^
en tables brunes anhydres. p. frku?cdleb.
Sur les sels 1.6- chloroDitritodiéthylène-diainiiiocobii
tiques; A. WERNER {D. ch. G., t. 34, p. 1788-1738; M.6.!i»^
/ /Cl \
— Ces sels répondent à la formule générale ( Co^.\zO* X. l
chlorure 1.2 s'obtient en oxydant par un courant d'air une sûIuIj^
d'éthylène-diamine et de CoCl* cristallisé dans Teau. On ajou
ensuite HCl concentré, on évapore au B.-M. ; le chlorure »cu!
dichlorodiéthylènediaminocobaltique qui se dépose est eosuil
transformé en sel neutre (Joergensen, J. pr, Cbem, A\i.t
p. 16) et ce dernier additionné de nitrite de Na jusqu'à précipit^
tion du chlorure cherché (cristaux rougeatres). Pour purifler \
dernier on le transforme en nitrate par AzO'H. Ce nitrate 1 j
chauffé plusieurs fois avec de 1 eau jusqu'à commencemeni 'I
cristallisation, s'isomérise complètement on donnan t du i7fVr«/r-/ \
en cristaux quadratiques rouge grenat, sol. dans l'eau chaude, il
sel, dissous dans HCl concentré et précipité par AzOH, se irau^
forme en nitrate acide (lAzO'H) poudre rouge brillante, devDrt
posable par l'eau, s'effleurissant dans le vide. — Les soi. aqueu*^
du nitrate neutre donnent avec CAzSK un pplé très peu aUui
CHIMIE ORGANIQUE. 8»9
dani ; pas de pptés avec HBr, Na^S'O^, etc. — Viodure préparé
au moyen du nitrate et de Kl, est en petits cristaux orangés peu
sol. dans Teau ; le periodure est violet foncé. — Le chlorure
il mol. HK>) cristallise en paillettes rouges irisées, efflores-
ceoles; le sel anhydre est hygroscopiaue. — Le sulfocyanale
/ /Cl \
■ Co^AzO* iSCAz, est en aiguilles anhydres, peu sol. dans Teau
f ySCAz\
qui le transforme lentement à chaud dans le sel ( Co^AzO* ICI.
V \e« y
Le cyanure, le bromure et le sulfate n*ont pas été obtenus à Tétat
pur. — Le DÎlrite constitue un ppté cristallin rouge brique.
p. FREUNDLER.
Snr les dérivés 1.2chloronitritodiéthylène-diaminocobal-
tiques; A. WERNER et L. GERB (D, ch. (?., t. 34, p. 17391745;
*î.6.1901). — La préparation de ces sels a été décrite dans le
mémoire précédent; ils ne précipitent pas par AgAzO^. — Le
chlorure brut obtenu comme il a été dit, est purifié par cristallisa-
lion dans l'eau tiède (40**) acidulée par HCl ; aiguilles rouges sol.
dans 20 part, d'eau à 12® et dans 10 part, d'eau à 40<». — Les sol.
aqueuses précipitent par AzO^H et SO*H*; elles se décomposent à
chaud (formation de prismes rouge foncé). HCl concentré réagit
suivant l'équation :
/^Co^zOM C1 + HC1 = AzOm + ( Co/ j CL
Avec ÂzH' on obtient une poudre jaune non caractérisée.
Le nitrate, obtenu en traitant le chlorure par AzO^H, cristallise
en paillettes rouge pâle, peu sol. dans l'eau, encore moins sol.
dans AzO^H. Les sol. de ce sel ne précipitent qu'à chaud par
AzO^Aç; elles prennent une teinte jaune pâle à chaud. — Le
ialfate acide préparé en partant du chlorure, constitue une poudre
cristalline rouge brique presque insol. dans Teau froide, sol. avec
décomposition dans Teau chaude.
Le nitrite s'obtient en traitant le chlorure en sol. acétique par
.\zO»Na; prismes rouges sol. dans l'eau froide, se transformant en
chk)nire (Co<™^ ^ ^Cl sous l'action de Teau chaude. — L'io-
tare se présente sous la forme d'une poudre rouge presque insol.
dans Teau froide, décomposable par Peau chaude. — Le bromure
890 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
est analogue à Tiodure. — Le sulfooyanate est isomérisé très belle-
ment par l'eau chaude ; prismes microscopiques rouge brique, peu
sol. dans Teau froide.
AgAzO^ réagit à chaud sur le chlorure (2 heures au B.4I.)
en éliminant tout Cl et en donnant un précipité jaune cristallin du
/ /AzO«\
sel ( Co^AzO^ lAzO*. — Le nitrite de Na réagit sur le nitrate
décrit plus haut, en sol. aqueuse bouillante en donnant du nitrate
de dinitritosel-1 .6 :
/ /Cl \ / y(AzCP)3\
I Co^Az02 j Az03 + Na AzO^ = I Co<' j AzO» + NaO .
Avec AzO^Ag on arrive au même résultat. Jamais il ne s*esi
formé de sel-1.2. p. freundler.
Action de Tacide sulfurique sur le diméthylpropanediol ,
Aloïs FISCHER et Berthold WINTER (Mon. t Cb., t. 21, p. 30,
1900). — MM. Apel et Tollens ont eflectué il y a quelques années
le condensation, de Taldéhyde isobutylique avec la formaldéhyde
au moyen de la chaux. Le produit de condensation :
(CH3)3=G=(GHaOH)2,
auquel ils ont donné le nom de pentaglycol fut obtenu à peu près
à la même époque par Just (1) en condensant les deux aldéhydes
sous rinfluence de potasse alcoolique.
L'auteur a étudié Taction de Tacide sulfurique sur ce pentajgiycol.
L'acide sulfurique à 20 0/0 ne réagit pas à froid et très peu à
rébullition. En tube scellé à iSO"" pendant une vingtaine d^heures,
il se forme une huile qui fournit à la distillation trois fractioos
passant respectivement entre 85-100, 100-160 et 160-190»; ceUe
dernière portion est la plus importante et après une rectification
elle donne un produit passant à 180^. Ce produit constitue un
liquide incolore, réfringent, à odeur plutôt agréable, le brome oe
réagit pas avec lui, ce qui indiquerait que c*est un composé saturé.
L*analyse et le poids moléculaire conduisent à la formule C**H*0*.
L*anhydride acétique lîe fournit pas de dérivé acétylé, preuve qu'il
(1) Just, Mon, f. Cb., 189G.
r
CHIMIE ORGANIQUE. 891
biste pas de groupe hydroxyles dans la molécule. Il est probable
p ToQ a affaire à un anhydride :
CH\ /CH2-0.CH\ /CH3
CI13/ V:ii2-o-cii2/ XGiP
Ce composé, oxydé par le permanganate de potassium à chaud
ta solution alcaline fournit un acide fondant à 185<>, qui ainsi
le le montre l'analyse est Tacide diraéthylmalonique.
L'auteur a ensuite étudié Faction des divers agents chimiques
ir le produit C«oH«oO«.
L'eau en tube scellé à 200® ne réagit pas; Tacide sulfurique
lue fournit très peu d'un liquide bouillant en dessous de 400®, et
ifflinoniaque alcoolique en tube scellé est sans action.
L'acide bromhydrique réagit à 150® en donnant un mélange de
noduits liquides renfermant du brome. Ces produits n'ont pas pu
iTt» purifiés, mais ils renferment sans doute le dérivé brome du
enlaglycol car par ébuUition avec Teau on en régénère ce dernier.
Les portions bouillant en dessous de 100® qui se forment dans
iclioo de Tacide suliurique sur le pentaglycol ont également été
todiées.
t^ portions renferment une aldéhyde, car elles réduisent le
itrate d'argent ammoniacal. On sépare cette aldéhyde en agitant
boile avec du bisulfite de sodium; la masse ne tarde pas à se
>lidiûer par suite d'une cristallisation abondante, on ajoute de
eaa qui dissout les cristaux et laisse une partie huileuse bouillant
W-93*, dont la composition correspond à G^H^^O.
Pour déterminer la constitution de ce produit il fut soumis à
oxydation par le permanganate de potassium qui donne de Tacide
ttiique, ce qui doit écarter la formule d'un anhydride :
CH3. .GH2>
>G< >0.
Jx \(:h2/
ttquel on devait s'attendre.
Son oiieur et aussi la réaction de l'iodoforme indiqueraient un
imposé cétonique, or la méthylisopropylcétone possède la même
araposilion C^H'^O et le même point d ebuUition, 92-93®. Pour
'faclériser son produit, l'auteur en a préparé Toxime qui bout à
''T-158* qui est le point d'ébullition de Toxime de la méthyliso-
ft*pylcétone.
Uuant à la solution aqueuse de la combinaison bisulfitique, elle
892 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGBR5%
donne par décomposition par le carbonate de soude, un liquidai
bouillant à 92", qui a été caractérisé comme étant l'aldéhyde iswj
valérianique ; chauffé avec de Toxyde d'argent humide« il donue
en effet, le sel d*arp^ent de Tacide isovalérianique. a. wahl.
Sur raction du brome sur les polymères des aldébyda;
Adolphe FRANKE {Mon. t Ch., t. 21, p. 205; 1900). — Ito
toutes les tentatives faites jusqu'à ce jour, les aldéhydes polf
mérisées n'entraient jamais en réaction comme telles; ou bv^
elles ne réagissaient pas ou bien elles réagissaient à l'état d'aldi^
hydes monomoléculairçs. L'auteur est arrivé à transformer faal^
ment les paraldéhydes en dérivés bromes, en opérant dans d«*
conditions bien déterminées.
Le brome réagit très vivement sur la para-isobutylaldéhytli
même quand on opère en solution dans le sulfure de carboof
pour arriver à obtenir un produit pur, il faut opérer entre — iâl
et — 5", et ajouter le brome lentement. Après évaporation d
sulfure de carbone dans le vide il reste une masse cristalline qu
essore, et qu'on puriOe par recristallisation dans l'alcooi étend
La parabromoisobulylaldéhyde constitue des aiguilles blaoc
brillantes fondant à 129®; son poids moléculaire a été trouvé 45i
la théorie pour (C*H''BrO)3 est de 453, à des températures voisinr
de 200<», le poids moléculaire indique une molécule simple C*H*HKl
il y a dépolymérisation et formation de a-monobromoisobutylaidr^
hyde. Si Ton admet la formule de constitution donnée par KéktH
et Zincke, pour la para-isobutylaldéhyde, celle du dérivé broml
sera :
CH3v AZW
>CBr-CH — 0 — CH-CBr<
GH3/ \ / NCÏP
0 0
(JiH-GBr^pi|j
Il n'a pas été possible jusqu'ici de remplacer le brome par <ki
radicaux alcooliques. a. \v.iML.
Sur le 2-mèthyl-2-bromopropanal ; A. FRAHKE {Mon, /|
C/i., t. 21, p. 210; 1900). — Gomme l'auteur l'a indiqué dans U
précédente communication, la parabromoisobutylaldéhydd,chaulTt'^
au-dessus de son point de fusion se dédouble intégralemeoi efl
a-monobromoisobutylaldéhyde (2-méthyl-2-bromopropaûal). Ctvi
constitue un moyen commode de se procurer ce composé.
CHIMIE ORGANIQUE. S9S
U sufDt de cbaufler la parabromoisobutylaldéhyde pendant une
htfure à 160* au réfrigérant ascendant et de distiller. L*a-bromoiso-
batylaldébyde distille dans un courant d*acide carbonique à llS**
smis 750 mm.
Un produit ayant la composition de Ta-bromoisobutylaldéhyde a
«léjà été obtenu par M. Btard (1) dans Taction du brome sur Talcool
i5obutylique; mais son point d*ébullition 197*" diffère notablement
de celui de M. Franke.
Le 2-méthyl-2-bromopropanal constitue un liquide incolore
mobile, fumant à Pair humide, et attaquant les muqueuses; sa
densité est! ,555 (/ = ?).
On peut le conserver en tube scellé pendant des semaines, mais
aoe trace d*acide ou d*humi(lité le polymériee intégralement. Sa
sonstitulion est démontrée par le fait de sa transformation en
•ride a-oxy-îsobutyrique, F. 79* par oxydation.
L'ébullition avec Teau donne Y aldéhyde (x-oxy-isobutylique avec
M rendement presque quantitatif, cette oxyaldéhyde bout à ld7<*
tt est identique avec le produit préparé par Gorbow et Kessler (2)
lanâ l'action de Tiode sur Talcool isobutylique, La monobromoiso-
^tylaidéhyde réagit avec le chlorhydrate d^hydroxylnmine pour
ioimer Toxime de Taldéhyde a-oxy-isobutylique qui eonslilue un
Bqaide épais incolore bouillant à 140^ sous 19 mm.
Celte oxime traité par l'anhydride acétique donne un nilriie très
astable que le carbonate de sodium décompose en acétone et
•drfe cyanhydrique
>COH-GAz = CAzH + \cO . a. waul.
CH3/ GH3/
Sur mi aldol résultant de la condensation de Taldéhyde
faolratyliqne avec Taldéhyde formique; Léo WESSELT (Mon. /.
CA., L 21, p. 216; 1900). — Just (3) a obtenu, en 1895, le penta-
giycol par la condensation de Taldéhyde isobutylique avec Taldé-
h)de fortnique en présence de potasse alcoolique; presqu'en
nème temps, Apel et ToUens (4) obtenaient le mémo composé en
effectuant la condensation au moyen de chaux vive. On pourrait
l. C. B., ». lUi p. 75.^; ^w//. ^oc. cA/m., 189:i, l. 9, p. 879.
'iv D. cb. G., l. 23. p. 828; BuH. Soc, chim., 1890, t. 4. p. 647.
:4; Mou, f. Cb., 1896, p. 76; Bult. Soc. cbim., 1896, l. 16, p. 1627.
.1. AmBêlen, L 289, p. 96; Bull. Soc. cbim., 1896, t. 16, p. 449.
894 ANALYSE DES tRAVAUX ÉTRANGERS.
supposer que dans cette réaction il se forme un aldol comme prd
duit intermédiaire, et il était intéressant d'essayer de Tisoler.
En condensant un mélange en proportions moléculaires d*al
hyde isobutylique et de formaldéhyde au moyen de carbonate
potassium, on constate un échauffement considérable; l'odeur d'
déhyde disparait et il se sépare une huile épaisse laquelle, a
environ 4/2 h. à 3/4 d'heure, se solidifie brusquement.
Le produit est repris par l'éther et la solution élhérée évapoï*
abandonne le nouveau composé sous forme d'une masse 5oLI
blanche fondant entre 72-80** que Ton purifie en le faisant recn^
talliser dans l'eau à 60« C. Il fond alors i 89-90^
L'analyse correspond à l'aldol C»H»oO«, il distUle à 67-69* ^
14 mm. et à 172-173*» sous 767 mm. en se décomposant légèremen
Son poids moléculaire déterminé par la méthode de Koho.î
dans la vapeur de xylène, est de 106,4, à 100* il est de 204.9,
méthode cryoscopiqne et la méthode ébullioscopique indiqm^
également un poids moléculaire voisin de 204 qui est celai i\e
molécule double. Il résulte qu'à des températures pas trop élevr
sa molécule est double et qu'elle se dissocie à haute température (
molécules simples; mài^ tous les dérivés auxquels cet aldol dom
naissance proviennent de la modification monomoléculaire dont
constitution est exprimée par :
(GH3)2=C<^
•GH20H
HO
Cette constitution est prouvée d'une part par les expérienc*^ i
réduction faites avec l'amalgame d'aluminium et le fer et Vécii
acétique qui ont fourni le glycol (CH3)«=C=(CH«OH)« fondaoJ
127* et bouillant à 203-204* sous 788 mm. D'autre part l'oxytialH
par le permanganate donne un mélange d'acides dimétbybnal^
nique et d'un acide p-oxy-isovalérianique fondant à 1Î3*. Q
acide qui était inconnu jusqu'ici, a reçu de l'auteur le nom d V;^
oxypivalique.
Il possède la constitution :
CH3v yCH^OH
>C<
CH3/ \G00H
car, par oxydation, au moyen du permanganate de potassium.
(1) Mon, /. Cb., 1900; BulL Soc. cA/œ., 1900, l. 24, p. 862.
CHIMIE ORGANIQUE. 805
iomie de l'acide diméthylmalonique (CH3)<=G=(C00H)> fondant
k 184*. Ces oxydations successives sont représentées par :
CHaOH CH20H GOOH
{CH3p=C mih-^ (GH3)2=(!î mih->' (CH3)2=C
I i I
CHO COOH GOOH
L'aidol réagit avec le chlorure d*acétyle, mais donne des pro-
duits chlorés mal définis. Au contraire, la méthode d'acétylation
•amoyea d*anhydride acétique et d*acide sulfurique, recommandée
par Skraup (1) fournit un produit bouillant à 136-137<* sous 12 mm.
dont Tanalyse et le poids moléculaire correspond à C**H**0«. Ce
composé résulte de la fixation de Tanhydride acétique, à la fois
sur la fonction alcool, et sur la fonction aldéhyde.
Le dosage des acétyles confirme également la formule :
CH2-0(GOCH3)
(CH3p=C =G"Hi«06.
X„^0G0GH3
^"*^0C0GH3
L*aldol se combine au chlorhydrate d'hydroxylamine et donne
tme oxime bouillant à 129<' sous 18 mm. et fondant à — 29''.5, le
poids moléculaire de cette oxime déterminé par la méthode de
Kohn dans la vapeur d'aniline est de 115,9 la théorie pour la
molécule simple étant 117; dans la vapeur de toluène, il est de
232,5, la théorie pour la molécule double étant 234.
Suivent quelques condsiérations sur la formation des aldols.
L. WAHL.
à rétude des a-dicétones ; P. PETRENKO-
niTSGHEHKO et E. ELTSCHANINOFF {D. cb. G., t. 34, p. 1699-
1702; 22.6.1901). — Les a-dicétones sont intermédiaires au point
de vue de certaines propriétés entre les aldéhydes et les mono-
cétones. Le diacétyle se combine par exemple au chlorhydrate de
pfaénylhydrazine à froid pour donner une monobydrazone f. à 135",
tandis qu'à chaud, au B.-M., il donne une dibydrazone f. à 239''.
L'acëtyïpropionyle se comporte d'une façon analogue.
Les auteurs ont déterminé les vitesses de réaction de la phényl-
bfdrazine sur diverses cétones et dicétoues; des quantités corrcs-
(1) Hou. /. C2r., 1898, p. 458; BulL Soc. chim., 1898, t. 20, p. 898.
896 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
pondantes de substances ont été dissoutes dans Talcool à 1S-I>
au bout d'une heure on a titré par Tiode la phéoyUiydrazioc ooi
combinée. Voici les résultats obtenus :
Pbénrlbydraxioe
employée.
Acétone li.0%'
Acétonylacétone 80.6 . .^ , ..
...... oa n l Solutions
Acetyipropionyle 82.9 > ..
Benzile 18.4
Désoxybenzoïnc • 8.8
Benzile 18.0 ] ^ , ..
.,.,,. * ic o / Solutions
Acenaphtène-quinone 46.3 f
Phénanthrène-quinone 86.8 ( ,. *.
Ghrysoquinone 31.8 /
La vitesse de combinaison du benzile (qui ne se combine pa$«
bisulfite) est bien inférieure à celle des dicétones cycliques (q«
donnent facilement des bisulRtiques). p. rRBDKOLBR.
Contribution à Tétude des cétones cycliqnes ; P. PETREHKfl
KRITSCHENKO et S. LORDKIPANIDZE (/^. ch, C, t. 34, p. im
1705; 22,0.1901). — Les auteurs ont déterminé les vitesses «1^
réactions de plusieurs cétones et dicétones avec la phénylhydn
zine (voy. le mémoire précédent) et avec rhydroxylamine, en ^
alcoolique à 50 0/0 et à lo-n**. L'excès d'hydroxj lamine a élé litn
volumétriquement en présence d'héliantine. Voici en 0/0 les quao
tités de réactifs combinées au bout d'une heure :
PhénylhyJrtziae. HydrotylaBiK
Acétone 70.0 82.0
Méthyléthylcétone 49.1 75.0
Méthylpropylcétone 4i.O 7t. 4
Méthyl-/2.butylcétone 45.0 70.0
Méthyl-n-hexylcétone 39.0 70.0
Diélhylcétone 84.0 69.0
Cyclohexanone 58.0 86.0
Cyolohexanodionc 68.0 tS.O
Acélonylacétone 22.0 60.0
Avec rhydrazine on obtient des résultats du même ordre quoiqtM
moins précis.
On voit que dans les chaînes ouvertes, Taccroissement des gruu-
pements hydrocarbonés ralentit la combinaison» tandis qne Ifts
composés cycliques réagissent respectivement plus vite que lai
composés aliphatiques correspondants. p. mitmoLBR*
CHIMIE ORGANIQUE. 807
Electrolyse des sels alcalins des acides organiques (II),
laliiis PETERSEN (Zeit. physik. Ch., t. 33, p. 295-825 ; 2.5.1900).
— La méthode employée est celle déjà décrite dans un premier
mémoire {BulL Soc, cbim,, t. 26, p. 615). — L*acide isovaléria-
aique fournit par electrolyse de son sel de potassium : 1® un
Bquide huileux contenant du diisobutyle, de Téther isovaléria-
oique, du triméihylcarbinol (et de Talcool isobutylique), et un peu
d aldéhyde isobutyrique ; 2** un mélange gazeux, formé d'hydro-
fene, d'isobutylène, de p-butylène et d'un peu d'oxygène. L'acide
ulérianique normal donne de même : l"" une huile formée d'oc-
tAoe normal, valérianate de butyle, alcool butylique et aldéhyde
tulyrique ; 2* un mélange gazeux d'hydrogène, de butylène et
l'un peu d'oxygène. L'acide triméthylacétique donne une huile
•iniquement formée de paraffines (hexaméthyléthane et divers
eoméres), du triméthylcarbinol et de Thydrogène mélangé d'iso-
tetytène avec un peu de p- butylène. L'acide caproïque donne
oiriout du décane normal avec du caproate d'amyle, de Talcool
unylique, de Tamylène (vraisemblablement normal ; son bromure
V>alà 185*, D=l,65), des tracesd'une aldéhyde (vraisemblable-
ûPQt CH».CH«.CH«.CH«.CHO), enfin de l'hydrogène mélangé
l'un peu d'amylènes (l'amylène normal donnant par HI un iodure
ïonillant a 144*, et Tisopropyléthylène donnant un bromure bouil-
iOlà 180*). M. VKZES.
Qactrolyse des sels alcalins des acides organiques (III). La
lérie oxaliqne; Jnlins PETERSEN (ZeiL pbysik, CL, t. 33, p. 698-
ari; 15.6.1900). — L'éleclrolyse de l'acide oxalique (à l'état de
iel de potassium en liqueur faiblement acide) ne donne que de
rhydrogène et du gaz carbonique, avec un peu d'oxygène, dont la
ipBDtiti^ est indépendante de la densité du courant, mais croît avec
Il dilution. L'acide malonique donne surtout de l'hydrogène et de
Toiygène, avec un peu d'oxyde de carbone et de gaz carbonique,
caot la quantité croit avec la densité de courant et la concentra-
kon * il ne se produit pas d'éthylène. L'acide succinique donne de
rb\(irogène, de l'oxygène, du gaz carbonique et de Téthylène, dont
^quantité augmente avec la concentration et la densité du cou-
inl. U ne se forme ni oxyde de carbone, ni acétylène. L'acide
*^rf)5uccinique donne de Thydrogène et de l'oxygène, avec très
peu d'éthylène, d'oxyde de carbone et de gaz carbonique, dont
'* quantité augmente peu avec la concentration. L'acide pyrotar-
»nque donne de l'hydrogène, de l'oxygène, du gaz carbonique, du
î'opylène ^formant de 9 a^l5 0/0 du volume de l'hydrogène), de
«oc cHni., »• •âa,, t. xxvî, 1901. — TraT. étrang. 51
898 ANALYSE. DBS TRAVAUX ETRANGERS.
l'alcool propylique, de Talcool isopropylique et de raM^yd(!
propionique. L'acide éthylmalonique donne aussi de Thydro^f
de Toxygène, les deux alcools propyliques, et du propylène dont 1;
quantité croît avec la concentration et la densité de courant
L'acide sébacique ne fournit que de l'hydrogène et de roxygèw-
En résumé, l'électrolyse des acides de la série oxalique peu
être représentée en général par les équations ;
C'»H2»(COOH)2 = C«H2»(COO)2 + 112,
C»»H2»(COO)2 + H20 = G»H2»(G00H)« + O,
G»H2»(C00)à = C»H2« -f 2C02, m. vme5.
Formules de constitution des acides ; D. VORLAENDER /'
ch. G., t. 34, p. 1632-1637; 8.6.1901). — L'auteur appUque «
théorie de l'acidité à la détermination de la constitution de diw
composés fac. mucobromique, hydrate de chloral, ac. chU>ri*ji«
aldéhydes, guanidine, ac. hydroxamiques, triphénylcarbinoi, ne
hypochloreux, eau oxygénée, peroxyde de benzoyle, etc.).
p. FREUX DLCH.
Sur la constitution des dérivés halogènes des amides;^
STIECfLITZ et E. E. SLOSSON (/>. ch. G,, t. 34, p. 1613-161»^
8.6.1901). — On attribue généralement la constitution K.GO.AzHl
aux dérivés halogènes des amides; cette constitution n*a jainAJ
été démontrée direclemenl, et elle pourrait parailre douieiiM» i-mI
trois raisons : ces dérivés ne subissent pas la migration de l^»-^
mann comme le font les dérivés du type R.CO.AzHX ; àe\H
le cyanure de K les réduit au lieu de donner des cyanami«i^
H.CO.Az(CAz)R' comme le font certains dérivés halogènes
l'azote (chloropipéridine, etc.); enOn, le zinc-éthyle agit épil<»ni»*i
comme réducteur au lieu de donner un produit de subsliUUi |
comme dans le cas de la dichloréthylamine
C2H5AzC12 -i. Zu(C2H*)2 = (C2H5)3Az + ZnC|2.
L'action du diazométhane sur les aminés primaires halogit^n«*|
R.CO.AzHX a fourni, non pas Famide R.CO.Az^GH^jX, m*|
l'isomère R.C(0CH3):::AzX.
La question a été résolue cependant en faveur de la formul
R.CO.AzXR'.
En traitant l'acétylamylamine par ClOH, on obtient Ysctlvlcul^-^
amylamine :
GH3-CO-AzH-C5H»* + ClOH = CH3-G0-AiClC*H«« f H^i».
CHIMIE ORGANIQUE. 899
(lelle-ci est identique au produit obtenu en traitant la chloramyl-
4fnin€ par Fanhydride acétique :
U^HUAzHGl + (CH^GOPO = CH^-CO-AzCl-GSH" -f CHSGOm.
Cette acélylchloramylamino constitue un liquide d'odeur péné-
trante non volatil sans décomposition (sous 18 mm.) ; elle est dé-
truite avec violence par l'eau bouillante, mais non par l'eau froide
ou Tac. acétique. p. freundler.
Sot roxydation de dérivés azotés; D. VORLAENDER {D. ch.
G,, l. 34, p. 1637-1642; 8.6.1901). — Certains composés azotés
(ropidiue, glycocolie, etc.), sont oxydés facilement par KMnO* en
^1. neutre ou alcahne, bien qu'ils soient absolument saturés.
L'auteur essaye de donner une explication de ce fait en admettant
^fie dans ces composés à l'état libre, il y a une sorte de saturation
iocoraplèto qui disparait dans les sels, quand l'azote devient pen-
tavalent et qui rend les composés en question analogues en quelque
sorte aux dérivés éthyléniques. Cette théorie est ensuite appliquée
t l'aniline, aux a et p hydroxylamines, aux méthyl- et diméthyl-
«aihnes, aux acides anilido-acétique, anilidodiacéti(|ue et pliényl-
iTiutarique, à la phénylhydrazine et à certains composés inorga-
niques, p. FKEUNDLKR.
Oxydation de l'acide azoteux et des nitrosamines ; D. VOR-
UEHDER (D. ch. G., t. 34, p. 1642-1646 ; 8.6.1901). — La théorie
reposée dans les mémoires précédents est utilisée pour expliquer
4ue AzO'Na en sol. neutre n'est pas oxydé par KMnO*, tandis que
\rs sulfites alcalins le sont. L'azotite ne serait pas dissocié et ne
ftmfermerait par conséquent pas d'hydrogène, ce qui, d'après
l'auteur, est une des conditions nécessaires pour qu'un corps soit
nfducleur. Comme preuve à l'appui de cette manière de voir,
(«nleur rappelle que l'oxydation des sulfites et hydrosulfites et de
iindoxyle est retardée par la présence d'un excès d'alcali qui
iliminue la dissociation hydrolytique.
Le uitrite d'éthyle n'est pas attaqué par KMnO* en présence de
K*CO* h O*. Les nitrosamines se comportent de môme (nitrosomé-
ib}taniliae, ac. nitrosophénylglycine-carnonique). Les nilrosoalcoyl-
loluidines sont transformées en acides. Ainsi, en oxydant par
KMnO* à chaud la nitrosométhyl-o.-toluidine en présence de
Nh*CO*, on obtient de l'flc. nitrosométhylanthranilique
AzO- Az(GIP)-CCH*-C02H ,
900 ANALYSE liES TRAVAUX ETRANGERS.
f. h 126-127'', qui se forme aussi par nitrosation de Tac. méth\l-
anthranilique. Le mélbylanibranilate déthyle fond à 39^ el bout a
172-175* sous 45 mm. ; il est peu odorant.
La nitrosO'élhyl'O.'toluidine oxydée de même a fourni de Xse.,
nUrosO'éthylanlbr&mUqne ; aiguilles incolores f. à 90-91*, se «i**-
composant un peu plus haut. V élbylantbranUaie de mèlbyle j*o^
sède une odeur agréable ; liquide bouillant à 148-150* sous 45 nini.
L'oxydation de la nitroso-éthyl-m.-toluidine a fourni pareiltem<'(d
Yac. nitrosû'éthyJ'm.'aminobenzoïque f. vers 133-135*. Enfin li
nitroso-oAolylglycine f. à 44-45* a été transformée dans les raêmrs
conditions en ac. nitrosopbénylglycine-carbonique
/G02H
C«HK
\Az(AzO)GH2-C02H
Toxydation terminée, on filtre, on refroidit à 0*, on acidulé par HO
dilué et on sature la liqueur par NaCl ; Tac. se précipite en petii*^
paillettes f . vers 120* avec décomposition ; traité par SO* en >ol
alcaline, il se transforme en ac. phénylglycine-carbonique.
p. FRKCXDLSR.
Oxydation dés acides arylamina-diacétiqaes ; D. VORLAEI^
DER etE. HOMME [D. cL G., t. 34, p. 1647-1649; 8.6.1901 . -
Uac. amUdo-diacétique C*W^^'<ch«CO«H ^'^^^*®"* ®" chaulTiuil
au B.-M. un mélange de phénylglycine, de Na*CO*, et d'ac. chlore
acétique. On précipite ensuite par HCl. L'ac. est cristallisé ei é(^\
dans l'eau et Talcool ; il donne avec FeCl' une coloration brni
rouge, puis un ppté brun. Il est bibasique. Vac. anilidO'O.'Carboiy
diacétique CO«H . C«H* . Az(CH«CO«H)« ne donne pas de colortiii^
avec FeCl* et ne peut être titré en sol. aqueuse comme ac. tnb»^
sique.
L'ac. anilidodiacétique dissous dans Tacétone, fixe HCl sec pou]
donner un cblorbydrate insol. dans l'acétone et Téther, diîi-*ociabM
par Teau. Oxydé par KMnO* en présence de Na^CO^, k froitl, il -4
dédouble en ac. oxalique, CO* et formylpbénylglycine
CHP-AE<r
yCHO
CHaCO'H
aiguilles blanches f. à 125*, sol. dans l'eau el l'alcool, p^u m
dans le benzène.
L'ac. o.'lolaidodiacétique se comporte comme \v pr^wl*^
i
CHIMIE ORGANIQUE. 901
lehlorhydrale, coloration avec FeCl', basicité, oxydation). La /or-
mvl-o,'tolylfflycine cristallise dans Teau bouillante en prismes f. à
li5*. On peut l'obtenir (comme l'homologue inférieur) en chauffant
(a tolylglycine avec de l'ac. formique anhydre au bain de sel. On
précipite ensuite par l'eau, on lave avec HCl dilué et on fait cris-
lalfiser dans l'eau bouillante. Ces composés ne sont pas attaqués
par KMnO* à froid en sol. alcaline. Fondus avec KOH, ils donnent
00 peu d'indigo. p. freundleh.
Rédaction élactrolytiqae de la xanthine ; J. TAFEL etB. ACH
iZ>. cb. G., t. 34, p. 1165-1169; 11.5.1901). — La réduction élec-
Iroly tique de la xanthine (F; fournit de la désoxyx&nibîne (II) par
an processus analogue à ceux qui ont été décrits précédemment :
AzH-CO AzH-CH2
Il II
CO G-AxHv +4H = H20-l-CO C-AzHv
I II >GH I II >GH.
AzH-C— Ai^ AzH-G— Az^
L'opération s'effectue en sol. dans SO*H« à 75 0/0 et <12«. La
fifueur de réduction est neutralisée par AzH^ après dilution par
ie Teau glacée, et la désoxyxanthino se précipite sous forme d'ai-
gnilles blanches (C*H«OAz*+H*0), qui deviennent anhydres à
Vn* et se décomposent sans fondre >250*; le produit se dissout
dans 245 part, d'alcool bouillant et dans 7-10 part, d'eau chaude.
Les sol. aqueuses sursaturées fournissent par agitation un préci-
pité de composé anhydre qui s'hydrate peu à peu au contact de
Teau. La désoxyxanthino (en sol. aqueuse) donne avec HgCl^ un
pplé blanc amorphe, peu sol. dans l'eau chaude, sol. dans HCl
chst. en aiguilles); avec AgAzO', un pplé cristaUin noircissant à
(biud; traité par AzO'H, ce ppté se dissout en se décomposant
(•ftiellement et en se transformant dans le dérivé correspondant
Ae roxy-2*purine (voy. le mémoire suivant). Avec l'ac. phospho-
toBgstique, on obtient un ppté blanc amorphe décomposable par
AiO*H; avec l'ac. phosphomolybdique, ppté jaunâtre, amorphe,
verdissant à chaud; avec CuSO*, pplé gélatineux sol. dans un
excès de réactif.
La désoxyxanthino en sol. aqueuse, est à peine alcaline au tour-
nesol ; elle se disssout dans HCl et SO^H^ dilués en formant des
!«lequi se décomposent lorsqu'on chauffe la liqueur; elle se dis-
wul aussi dans NaOH, Ba(OH)« et Na'CO^ en brunissant peu à
peu; un excès de CO' reprécipite le produit. — Le suliate est en
902 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
aiguilles incolores insol. dans Talcool; le nitrate crislallise efl
prismes microscopiques, sol. dans AzO^H très dilué, tiède. M
picrate est en aiguilles jaunes sol. dans 160 part. d*eau boutllantii
(avec décomposition partielle).
La base décolore à froid KMnO* et réduit AzO^Ag ammooia<^
et PbO' en sol. acétique; elle fixe le brome en sol. étbérée H
donnant naissance à un dérivé brome résineux. p. PHEUNDtct.
Sur les produits de réduction de la guanine; J. TATEL <^
B. AGH {D, ch. G., t. 34, p. 1170-1181; 11.5.1901). — La gua
nine a été réduite électrolyliqueraent en sol. dans S(>*H* à 60 U *'
et a fourni la désoxyguanine :
AzH-CO AzH-CH2
AzH2-C G-AzHv +2H2 = AzH2-G G-AzHv + H^.
Il II >CH II II >CH
Az — G— Az^ Az— G— Az^
La température doit être maintenue entre 16 et 20*. On pr«^**i
pite ensuite par Teau, on salure par BaCO^, on filtre, on neulr»
lise par Ba(OH)* et on filtre bouillant. Par refroidissement r^
concentration on obtient le sulfate de désoxyguanine avec un r^^
dément de 75 0/0. Pour isoler la base, on traite ce sulfate \*À
l'acétate de baryte pour le transformer en acétate, et on décom
pose exactement ce dernier par NaOH à 20 0/0 tiède. La désotyi
guanine se précipite sous forme de petites aiguilles anhydres, i
vers 201° avec décomposition, sol. dans l'eau, peu sol. dans PakiW
(réaction alcaline au curcuma). Elle fixe GO' de Tair, précipil»* À
jaune clair par CuSO* et donne une coloration brun rouge ain
FeGl-^. Elle forme des sels acides et neutres.
Le sulfate neutre (CsHUz»)*, SO*H«, H«0, crist. dans 1V«1
bouillante en paillettes blanchâtres qui deviennent anhydn*?. daui
le vide ou à 100°; le sel anhydre fond vers 267* en ?e décoinp.l
sant. Le sel hydraté est presque insol. dans l'alcool bouillant H
sol. dans 15-16 part, d'eau chaude. — Le sulfate acide se iorso^
quand on dissout le précédent dans 1 mol. de SO*H* dilui
bouillant ; prismes anhydres de formule C^H ^\2* , S(J*H*
très sol. dans l'eau, insol. dans l'alcool. — Le chlorbydm^i
neutre, préparé par double décomposition, crist. eu laLJd
presque insol. dans l'alcool, sol. dans 1,5 part. d*eau bouilUot^
et dans 16,9 part, d'eau à 0°; il donne avec Hg<li« un prt**'^
pité blanc cristallin très peu sol. dans l'eau bouillante, avec l'icwlo-
CHIMIE ORGANIQUE. 903
iiercurate de K un pplé d'aiguilles sol. à chaud ; pptés floconneux
vee Tâc. phosphotungstique. Tac. phosphomolybdique et le réactif
le Nessler; avec l'acétate de Cu, sol. verte qui donne un ppté
v>Tiille à chaud; ppté jaune avec CuSO*. — Le chlorhydrate déco-
cire immédiatement KMnO* et Teau de Br à froid. — Le chlorhy-
fraie acide n'a pu être isolé à l'état de pureté. — Le chloropla-
ioMie est en aiguilles microscopiques peu sol. dans l'eau chaude
Itii le décompose. — Viodocadmiate cristallise en prismes inco-
lores. — Uacétaie neutre, O^H'^Az*, C'H^O', cristallise dans l'eau
bouillante en tables f. vers 222*» avec décomposition, sol. dans
kur poids d'eau chaude. — Le picrate acide est en rhomboèdres
orangés sol. dans 200-250 part, d'eau bouillante.
La désoxyguanine est oxydée par PbO* en sol. acétique et par
.\>^SO*, mais les produits de la réaction n'ont pu être isolés. Avec
le brome en sol. acétique on obtient un bromhydrate jaunâtre
iC*H<Az5Br), qui a été traité par AgSO*; la liqueur filtrée a fourni
par refroidissement un sulfate en flocons blancs peu solubles,
tandis (jue les eaux-mères contenaient du sulfate d^amino-S-purine
aiguilles) qu'on a décomposé ensuite par Ba(OH)*. La base libre
•Tîstallise en aiguilles prismatiques de formule C*H*Az5-|-H*0;
elle est beaucoup plus sol. dans l'eau que l'adénine (113 à chaud
nu lieu de 1140 et 11 120 à 18<» au lieu de 111086), plus sol. aussi
tLans l'alcool.
La sol. aqueuse est insensiblement alcaline au tournesol et
donne des pptés caractéristiques (HgCl*, ppté floconneux devenant
Tistallin à chaud, sol. dans HCl dilué; ac. phosphomolybdique,
uylé cristallin jaune insol. à chaud et dans AzO^H dilué ; AgAzO^,
ppté gélatineux blanc peu altérable, insol. dans AzH^, sol. dans
AzO^H chaud et cristallisant par refroidissement en prismes;
CiQî en sol. concentrée, ppté gélatineux, sol. dans un excès d'eau
«tiaude et dans AzH^j. L'amino-2-purine ne réduit pas immédiate-
ment KMnO;chaunée avec Zn et HCl, elle ne présente aucune
wloralion caractéristique; elle se dissout dans les acides, les
iilcaiis et les carbonates alcalins (un excès de CO* la reprécipite
partiellement).
Le su/Zâ/e est sol. dans l'eau froide; le nitrate est en flocons
p<*tt sol. ; le chJoroplatinate constitue un ppté jaune pâle très peu
fcoL dans l'eau ou dans HCl, sol. dans PtCl*; Voxalaie est en
jfraîns cristallins peu sol. — Le picrate cristallise en aiguilles
i^uoes soi. dans 230 part. d*eau bouillante.
Le sulfate peu soluble (1 1 160 part, d'eau bouillante) mentionné
plus haut, fournit une base assez sol. qui n'a pas été étudiée.
904 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
En traitant une sol. d*aminopurine dans AzO*H par AzO^Na, ou
obtient Voxy-2'purine :
Az=CH Ax=:CH
Il II.
H^Az-C C- AzHv + AzOm = H^O + Az^ HO-G G-A»H\
Il II >CH II || VJI
Az— C— Az<^ Az— C— A*^
Le nitrate se dépose sous forme d*aiguilles qu'on décomposa*
par NaOH.
L'oxypurine cristallise dans Teau bouillante (1120 à 24''; en
aiguilles renfermant 1H*0, qui deviennent anhydres vers itt,
sont sol. dans les alcalis et les carbonates alcalins et sont peu
sol. dans Talcool bouillant. En chauffant Toxypurine avec Zu ei
HCl au B.-M., filtrant, sursaturant par NaOH et agitant la liqueur
à Tair, on observe une coloration rouge comme dans le cas dé
l'hypoxanthine. Avec la baryte, on obtient un dérivé barytique eo
aiguilles sol. dans Teau chaude ; avec AgAzO', ppté gélatineui,
insol. dans AzH^ et AzO^H, devenant cristallin par ébuUitioD pro^
longée avec H*0. Le nitrate doxypurine est en aiguilles peu sol
dans Teau. p. frklndler.
Sur l'acide tôtrahydro-uriqua ; J. TAFEL (Z?. cb. G., t. 34.
p. 1181-1184; 11.5.1901). — L'ac. tétrahydro-urique (l'un des pro-
duits de réduction électrolytique de Tac. urique) possède l'une o»
l'autre des constitutions suivantes :
AzH-GH2 H^Az-GO-AiH-CHî
CO CH-AzH-G0-AzH2 ou GH-AeH>.
I I I ■yo
AzH-GO G0-A«1K
En effet, lorsqu'on le chauffe avec de l'eau de baryte, à 150*,
en vase clos, on le dédouble en ac. Qc-p-diaminoprof>ioniqu«,
AzH«CH«.CH(AzH«).CO«H, en C0« (2 mol.) et en AzH» (2 mol.
L'ac. diaminopropionique a été décrit en partie par M. Klebs. L*
nitvatG C^H^O^Az». AzO^H crist. eu aiguilles f. vers 191-1 W avrt*
décomposition, peu sol. dans l'alcool; le sulfate se décompo**»
vers 233-234* (paillettes hexagonales sol. dans 31 part, d'eau Iroid^,
très peu sol. dans Talcool. Le dérivé dihenxoylé cristallise dân»
l'alcool en aiguilles f. à 188-189^. p. FRROiiwjtii.
Synthèses dans la séria da la purina ; S. GABRIEL et J. COL-
HAN [D, cb. G., t. 34, p. 1234-1257; 11.5.1901). — Les aateorn
se sont proposé de préparer la méthyl-6*purine en parlaol du
CHIMIE ORGANIQUE. 905
oélliyluracile et en passant par la mélhyU6-diamino-4.5-pyrimi-
llae, laquelle aurait eosuite été condensée avec Tac. formique :
AïH-C-CH3
Az— C-CH3
1 1
1
CO CH »
-► CH OAzH2
i 1
1 1
AxH-CO
Az=(:-AzH2
AZ--C-CH3
I " ^
:H C— Azv ^"
I I >GH
Az=C-AzH^
i!
Diverses méthodes ont été essayées successivement pour préparer
b mélbyl-diamino-pyrimidine, la plupart du temps sans succès.
I. JSssai au moyen de la métbyî'6'aminO'4'pyrimidine
Ka C-GH3
CH (2) (5) CH
I
Az===C-AzH2
(3v (4)
— Cette base peut être obtenue en partant de la métliyl-6-
dichloro-2.4-pyrimidine (Z). cb. C, t. 32, p. 2928) ou en chauf-
Unt la métbyl'64od(h4'pyrimidine {ibid., t. 32, p. 2934), à
loO* avec AzW alcoolique (rendement 4,2 gr. en parlant de 40 gr.).
Ole tixe Cl en sol. chlorhydrique en donnant le dérivé chloré (5) ;
pnsmes f. à 197-198*, sol. dans l'eau chaude, les acides, l'alcool
ci réther bouillants, sublimables déjà à 100''. — Le brome réagit
de même en sol. bromhydrique ; le dérivé brome (5) cristallise en
ai{^illes f. à 197®, sol. dans Teau bouillante, sublimables vers
tOO*; il forme un cbloroplatinate en aiguilles orangées. Ces
t dérivés ne perdent pas leur halogène lorsqu'on les chauffe avec
de Taniline ou de Téthylate de Na à rébuHition, avec de l'urée à
Î80», avec de Tammoniaque aqueuse à 160®, ou de l'ammoniaque
alcoolique à 250* (vers 280-300*, cette dernière les transforme en
on mélange de poudre noire et d'huiles basiques). AzO^H fumant
réagit à froid sur la base en la transformant en nilramine
Az^v~ ^"Vy^C.AzH^AzO^; prismes incolores devenant
*»rtiigés à Tair, f. vers 190-200* avec décomposition, sol. dans
AiH* et les alcalis; la sol. ammoniacale chauffée avec FeSO et
AxH"» se colore en violet, puis en bleu et en rouge par addition de
HQ. Ce corps régénère la méthylaminopyrimidine quand on le
traite par Sn et HCl ou Zn en poudre et AzH»; traité par Zn et
ï'tc. acétique à O, il fournit Vbydrazine correspondante en
•iguilles incolores, f. vers 188-140*»,5, sol. dans l'eau, l'éther, etc.,
réduisant la liqueur de Fehiing et PtCl*, et distillant sans
900 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
décomposition ; le chlorhydrate est peu sol. dans HCl concenlrr
et Talcool (cristaux aciculaires).
II. Essai au moyen de la B2éthj^J'6'amwO'4-chloiHh2-pyrimi*
dine, — En traitant cette base par AzO'H concentré, puis pai
SO^H'*, on obtient la /2y/ra/n/?ie correspondante; aiguilles soyeustîs.
sol. dans AzH^ et dans HCl concentré, insol. dans Teau, détonant
par échauflement brusque et se sublimant lentement vers lOU*. ''
et HI réduisent ce composé en méthylaminopyrimidine.
III. Essai au moyen de la méthyI-6'dichIorO'S,4'nilro^''prrinL-
dine
Az—G-(ÎH3
H II
I I
Az=C-Gl
— La méthyl-6-dichloropyrimidine n*est pas nilrée par AïO"!!
fumant. Pour préparer le dérivé nitré-o, on dissout le méthyl'/-
racile à 30** dans un mélange de AzO'H(>/^l,5) et de SOH*, «oj
précipite le dérivé nitré par Teau, on essore ce dernier et on M
chauffe en vase clos à IbB-lôO** avec POCl* en agitant constani-
ment jusqu'à dissolution presque complète. Le produit est eobUitij
précipité sur de la glace et isolé par Téther de pétrole qui laiss*
non dissoute une poudre brune. La méthyldichloronitropvTimidiiK
ainsi obtenue, bout à 240**; elle cristallise en prismes f. à 53-o4*..y
sol. dans l'alcool et rélher; ses vapeurs attaquent fortement Its
yeux. Traitée par AzH^ alcoolique à froid, elle se transforme ea
méthyl-amino-i-nitro-ô-chioro-S-pyrimidine; aiguilles rougeitrvi
f. à i70-i71*, sol. dans les solvants organiques et dans HCl dilml
tiède, insol. dans Teau. Cette base, réduite par SnCl* et HCl, --i
transforme en méthyl-G-diamino-â.o-chloro-^-pyrimidiDe; aiguillon
f. vers 250®, peu sol. dans Feau, sol. dans HCl dilué; le càhro*
plaiinate est en rhomboèdres peu solubles. Cette diamiue, IrtiU^^
par Tac. formique n'a pas fourni de produit bien défini; le zinc «i
l'eau bouillante sont sans action sur elle; Tac. iodhydrique fumtitt
et FH*I la transforment en méthyldiamino'i.o^pyrimidiuc^ i-«
môme base prend naissance lorsqu'on réduit la méthylaminochh'-
ronitropyrimidine décrite plus haut par HI et par PH*1; elle cris-
tallise dans l'acétone en prismes durs, f. à 208-209**, sol. dan> Toa:"
et les acides, peu sol. dans Téther; elle bout vers 825-530* ei n»^
réduit pas la liqueur de Fehling ; le chlorhydrate est en pniinr-
courts, le cliloroplatinate en tables (|uadratiqueâ cl ViodbjdrM
en prismes incolores sol. dans l'eau. Chauffée avec de Tac. f v-
CHIMIE ORGANIQUE. 907
mique, celte base se transforme dans le dérivé monoformylé
lai^illes sol. dans Talcool et Teau avec réaction alcaline, insol.
liaos rélher) ; ce dernier fond > 200** en perdant H*0 et en se
(ransformant en méthyl-ô-purine ; on obtient aussi celle-ci en
iitiaufiboi le mélange de diamine et d'ac. formique dans un cou-
rant de CO*, vers 210*, jusqu'à solidification complète; le produit
•*^t purifié par sublimation ou cristallisation dans le toluène;
aiguilles f. à 285-236'*, sol. dans Teau (réaction neutre), Talcool
chaud, etc., insol. dans Téther; le dérivé potassique est en fines
aijniilies; le dérivé argenlique constitue une poudre cristalline
lit^lonant à chaud, sol. dans AzO^H dilué, chaud. La base donne
avec HgCI* un ppté blanc sol. dans Teau chaude et avec Teau de
brome une émulsion jaunâtre, sol. dans HCl. Le ciilorhydrate est
en priâmes très solubles ; le cbloraurate et le picrate constituent
des poudres jaunes très peu solubles ; le cbloroplatinate, C^H^Az*,
2HCi, PtCl*4-H«0, cristallise en aiguilles jaunes.
La diamine réagit avec l'urée à 170® en donnant de la méthyl-B
oxy-H-purine :
Az— C-CH3 Az — G-CH3
CH C-AzH2 AzH\ =2AzH3+CH C-AzH\ .
I I + >co I I >C0
Az=C-AzHa XzW/ Az=C-AzH/
Aiguilles blanches sol. dans Talcool, Teau à chaud, insol. dans les
alcalis. Le chlorhydrate cristallise en aiguilles peu sol. dans HCl,
jubliroables asse;? facilement, f. vers 345** avec décomposition. Le
chhrauraie C«H«Az*O.HCl,AuCl^ est en aiguilles jaune d'or,
«kvomposables vers 260**, peu sol. dans l'eau froide.
Avec la Ihio-urée à 230-235®, on obtient pareillement la méthyl^
*UbiO'S'pnriDe (poudre cristalline peu sol. dans l'eau chaude,
laicool el rétlier, sol. dans AzH^ et les alcalis, se décomposant
»tDs fondre vers 340*).
L'acide azoteux réagit sur la même diamine en donnant de
Az-C(^GH3)=C-AzH
CH Az=i-Az
[uicroscopiques f. avec décomposition vers 174®, sol. dans l'eau
'haude, l'alcool el l'éther acétique.
La diamine et le benzile se condensent vers 170® dans une
Az-CiCH3j=C-Az=G.C«H5
atmosphère de CO* en donnant Vazine \\ I I ;
CH Az=C-Az=C.C«H5
\^ métbyluziminopyrimidine \\^^ j ^Az ; aiguilles
i — C— i
908 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
grains cristallins jaunes, f. vers 184*, peu sol. 'dans Talcooj
bouillant etTéther, insol. dans Teau.
La raéthyl-6-dichloro-2.4-nitropyrimidine n'est pas réduite d'anfl
façon nette par P rouge, et HI; chauffée avec Zn en poudre ej
H*0, elle se Iranforme en méthyl'S'amiD(h5'CblorO'2'pynmidim:
aiguilles blanches f. à 92®, sol. dans Peau et Téther, non voUul
sans décomposition. Cette base, chauffée à 100* avec du inéthy
de Na, se transforme dans le dérivé méthoxylé correspondant f.
88-89^,5 (éb. 285** avec décomposition), sol. dans Teau et rélbrt
réduite par HI fumant et PH*I, elle se transforme en periodure ^
métbyl'6'aminO'ô'pyrimidiae (poudre d*un bleu noirâtre); la bêM
libre cristallise dans le benzène, en paillettes f. à i52-158*, >ol
dans Teau, Talcool et Téther, à peine sol. dans la ligroïne bouillant'*
le cblovbydrate (prismes), le cbloroplatinate (prismes) et le chlfh
raurate (aiguilles aplaties) sontassez sol. dans Teau. La base bouj
vers 260®; AzH'^ alcoolique réagit vers 200-215® sur la méthjl^
aminochloropyrimidine en la transformant en mélbylS-diamin^''
S.ô'pyrimidine; prismes f. à 188-18i®, sol. dans Teau froide réacj
tion faiblement alcaline), distillant sans décomposition.
Parmi les produits de l'action de AzH^ à 100® (ou mieux a ^6^r\
sur la méthyl-6-dichloro-2.4-pyrimidine, on trouve une pelJUi
quantité de méibyl-ô-diamino-S A-pyrimidine (\\x\ reste dans H
eaux-mères; aiguilles renfermant H*0, sol. dans Teau (réacto^
alcaline) et dans Tacétone, peu sol. dans Téther. La base Aencti
anhydre à 100®, fond à 183-185® et bout vers 305-308®; elle M
réduit pas la liqueur de Fehling. On l'obtient encore en chauŒin^
à 160® avec AzH* alcoolique la métbyl-G-aminO'S'ChloroÀpyriB.i^
dine résultant de l'action de POCP sur riminométhyluracile. Ltf
cbloroplatinate est orangé ; le cbloraurate est en aiguilles jâum*
citron; le bichromate en prismes orangés; le picrate constitue une
poudre cristalline jaune et le ferrooyanure une poudre verdàtnî.—
AzO^H réagit sur cette diamine, en présence de SO*H',en domuni
un dérivé nitré-ô (prismes jaune citron insol. dans les alcalis, f. «
232-233® avec décomposition, sol. dans l'alcool, l'ac, acétique t<
l'eau à chaud). Ce dérivé se forme ausssi en traitant la méth)M)'
dichIoro-2.6-nitro-5-pyrimidine décrite plus haut par AiWalco^*-
lique à 100®. La réduction de ce composé par SnCl* et HCl fournit
le dérivé triamidé
Prismes f. à 243® avec décomposition, sol. dans l'eau chaude f
l'alcool (réaction alcaline). La base réduit la liqueur de Fehlmg.
Le chlorhydrate est en aiguilles déliquescentes, le cbloroplitif^^'
CHIMIE ORGANIQUE.
en prismes jauno cîtroa; \e picrate constitue
lioe. I/ac. formique s'unità la hase à chaud po
aïoooformylé (aiguilles sol. dans l'eau, peu s
ilécomposant saos fondre vers 300*; le chlorh]
'-•! eàhroplatinate se présente sous forme de
phraie est en aiguilles et le cbioraucale ci
ndiée). Chauflé à 300», ce corps se transforme
i-parine :
As— C-CHJ
Il I
AzHî-C I^AiH^ + HCOïH = 2H>0 + AzHî-
As=U-A«Hî
Aiguilles blanches sol. dans l'eau chaude, pe
sublimables facilement, f. > 300*. Le chlorbyi
Uaoches, le ckloroplalinate en aiguilles jaune
raie en aiguilles jaune citron, le bichromate
tiiques jaune citron, le ferrocyanure en petits
)* picrate en aiguilles jaunes.
Sur l'acidfl mAtbylTiolariqae et l'acide i
Kadoir AHDREASCH [Mon. f. Ch., t. 31, p. 28
méthylviolurique ou mélhylisonitrosomalonylui
GO;
.Ai{CH')-CO
MïH 00
■'obtient en faisant agir le chlorhydrate d'hy
methylalloxaae d'après le même procédé qui
(orer l'acide violurique et l'acide diméthyb
('. eb. G„ t. 27, p. 30-82 et Andreasch, Moa. .
UdifRculté réside dans la préparation du n
'raiûs de se procurer ce produit en partant de
(«T oxydation donne un mélange de métiiylallo
'lée n'ont donné (jue de mauvais rendements.
■ obtenir le méihylalloxane en oxydant l'acide i
{i^r la maison Boehringer de Waldhof, près M.
\ renlermait surtout de l'acide S-méthyluriqui
9^0 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
petites quantités d'acides 8.9-dimélhylurique et 3.7.9-thaiéU!)^
urique (1) qui ne gênent pas.
L'oxydation s'effectue au moyen du chlorate de potasse el d'acitk
chlorhydrique et la combinaison du méthylalloxane avec le chlor-
hydrate d'hydroxylamine se fait au bain-marie en solution pas trifj
concentrée ; l'acide méthylviolurique se dépose peu à peu, on k
purifie par recristallisation dans l'eau. Il constitue de Anesaiguili^
blanches ou légèrement jaunâtres, solubles dans l'alcool froid ti
l'acétone, peu solubles dans l'éther.
Les solutions aqueuses de l'acide sont légèrement colorées ^
violet, et l'intensité de la coloration augmente lorsqu'on élève
température.
L'acide méthylviolurique cristallise avec 1 mol. d'eau qu'il pH
D'après les travaux de Hanlzsch (D, ch. G., t. 32, p. 57r> el G"d
et de J. Guinchard, D. ch. G., t. 32, p. 1723-1741), il résulte qw,
la formule qui fait de l'acide violurique une isonitrosomalon^lunH
ne convient qu'à cet acide à l'état solide et incolore ; dans les solm
lions violettes, au contraire l'acide possède une constitution diiï^
rente. On peut raisonner par analogie et étendre aux acides mélhyl
et dimêthylvioluriques les formules adoptées pour les deux inotli-
fications de l'acide violurique.
A l'état solide et non dissocié ces acides auront pour formule
.Az(CH3)-C0 yKz(CH^)'CO
COC C=AzOH et CO; C = Ai.()H,
\ I \ '
\AzH CO ^Az(GH3)-CO
tandis qu'à l'état dissous et ionisé leur constitution sera :
AzH CO .Az(CH3>-C()
y I y ^
\(X C=Az el CDf C=A2.
Az(CH3)-C— 0 \az(CH3).(:~0
I I
OH OH
L'acide méthylviolurique est un acide relativement fort qm
^1) La notation aaopté par M. Fischer pour l'acide urique est :
(1) AzH CO («)
I I (7^
(2) CO (5) C AiH
(4) (»)
CHIMIE ORGANIQUE. 911
4l4^<compos6 les carbonates et les acétates ; les solutions aqueuses
de œs sels sont violet foncé.
Le 5e/ de potassium C*H*K Az^O* s*obtient en neutralisant l'acide
lîlire par la potasse caustique, et précipitant par l'alcool la solu-
tion concentrée. Il forme des aiguilles couleur fleur de pécher qui
flleriennent bleu pur après dessiccation.
Le seJ de sodium Cî^H^NaAz^O* + 17*^*0 est en cristaux
rouge-brun. Il forme également un sel ammoniacal :
G^H4(AzH4)Az30S
lU-s sels de calcium (Cî^H*A230*)*Ca, de baryum, de plomb, de
dniium, de cuivre, de zinc.
U acide mélbyldililuvique ou méthylnitromalonylurée :
Az(CH3).C0
CH-AZO2 + IV2H20.
AzH GO
î^ prépare facilement en oxydant l'acide méthylviolurique par
l'acide nitrique concentré. On le purifie par recrislalîisalion dans
Teau ; chauffé à 60-80<», il perd 1 V^H^O et fond alors à i43^
Les solutions aqueuses ont une colorai ion qui rappelle celle de
l'acide picrique, leur réaction est nettement acide. Les sels de
l'acide mélhyldiliturique ne dérivent pas de l'acide nitré, mais bien
•le la modification isomérique ; l'acide isonitré (1) :
y
Az(CH3)-C0
I
à^AzO-OH
AzH }\0
Le sel de potassium C^H^KAz^Qî^ est insoluble dans l'eau froide
et se forme en ajoutant l'acide libre aux solutions des sels de
{lOtassium.
Il forme également un sel de sodium, d'ammonium, de baryum,
de strontium, de plomb, de cadmium.
L'auteur a montré précédemment [Mon, /. CA., t. 16, p. 651)
que l'acide diméthyldiliturique ou nitrobarbiturique est décomposé
souft rinfluence des bases en acide carbonique et diméthylnitro-
malonamide, il a essayé la même réaction sur l'acide monométhyl-
li IIamtzhch, D, cb. G., l. 32, p. 575 el 607. — Hollemann, /?. tr. cb, P.-B.,
l 16, p. lt>2.
912 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
diliturique, mais elle ne se fait pas. On retrouve presque ton
Tacide inaltéré.
U acide méthylbromodilitu tique :
yAz(CH3)-C0
\ I
AzH CO
s*obtiect en ajoutant goutte à goutte de Teau de brome à une soJd
tion aqueuse d'acide méthyldiliturîque jusqu'à ce qu*il y ait tu
excès de brome.
Il se forme un précipité blanc cristallin qui après essorage H
sufRsamment pur pour Tanalyse, il fond à 138-189* en dégageani
des gaz.
Vacide métbylcbiorodiliiuriqae se prépare en faisant passer m
courant de chlore dans une solution aqueuse de Tacide ; dès qw
la couleur jaune de Tacide méthyldiliturîque a disparu on ces<e
l'arrivée du chlore et on agite à Téther. La solution éthérée» é\*a-
porée abandonne l'acide chloré qui fond à 121"*. a. wahi..
Sur roxy~4-hydrindén6 et sur quelques noayeaux dérifi^
du xyléne et de réthylbanzéna ; J. MOSCHNER {D. ch. G., t. 34.
p. 1257-1262; li.5.1901). — Les eaux-mères de Tac. pseudoctt-
mène-sulfonique renferment, outre l'ac. mésitylène-sulfonique e«
Tac. hydrindène-sulfonique-5, une petite quantité d'ac. hydrindèo^
sulfonique-4. Pour caractériser ce dernier, on a évaporé à sec le*
eaux-mères, on a oxydé le résidu par KMnO*» et Tac. m.-sul(o<».*
phtalique ainsi formé a été fondu avec KOH, ce qui n donné di^
l*ac. m.-oxy-o-phtalique facilement reconnai^sable (colorattot
rougeàtre avec FeCl^) ainsi qu'un peu d'ac. salicyiique.
La fusion avec KOH de Fhydrindène-sulfonate (4) de Na a fourm
Yo.\y-4'bydrindène sous forme d'un liquide à odeur phénoUque,
bouillant à 244-246^ (corr.), sol. dans SO*H« concentré; celle soin*
tion devient rouge cochenille à chaud en dégageant SO^.AzCHH
dilué détruit complètement Toxhydrindène. — Lemètboxy-i-hy
drindène est liquide et bout à 225-227* (corr.) ; il donne avec SO*H«
les mômes colorations que l'oxyhydrindène. Ce dernier n'est con-
tenu qu'en très petite quantité dans les résidus meniionnés plu>
haut.
Le cumol brut renferme une grande quantité de mésitjlenc;
pour retirer ce dernier^ on traite le curaol par SO*H* concenliv à
chaud pour enlever la majeure partie de la coumarone et de J'indènf,
I
' CHIMIE OHGANIQUE. 918
pots OQ chauffe doucement le résidu avec un mélange de SCHH'
concentré (50 part.) et de SO*H* fumant (50 part.). L'ac. mésity-
lèoe-siilfonique se solidifie par refroidissehient; son solde Na cris-
Ullise en tables répondant à la formule C«H«(CH«)»S03Na + 2H«0.
DérivfKs du xylène. Vac. m.'Xylène^suWniqae-S a été préparé
en diazotant la m.-xylidine sym., saturant la liqueur de SO* à — 5®,
et traitant ensuite par la poudre de cuivre. La réaction terminée,
00 épuise par Téther. Masse cristalline f. à 75-76, peu sol. dans
reau. — Cet acide a été oxydé par KMnCH en sol. alcaline, Tac.
ailfoDÎque qui prend naissance^ transformé en chlorure (cristaux
f. vers 89-90, soi. dans Téther), puis en amide; celle-ci cristallise
dffiis Teau bouillante en aiguilles f. à ISô"".
Les mêmes opérations ont été eflectuées sur ro.-xylidine-1.2.3.
Lac. c-xylène-sulânique-^ est cristallisé, soluble dans l'éther et
tosoL dans Teau ; il fond à 105*. Le chlorure d'acide o^^xylène-
Mtfoaique fond à 47®; Vamide cristallise en aiguilles f. à 167®, peu
soi. dans Teau ciiaude.
Dérivés de Péthylbenzène, Le xylène du goudron renferme une
certaine quantité d'étbylhenzène que le traitement par SCHH*
transforme en ae. élhylbenzène-p.-sulfonique ; le sel de Na cris-
UUise en tables avec 0,5H*0 et Vamide en paillettes f. à 110*, sol.
daos l*eau chaude. Le p.-éthylphénol bout à 219® et se solidifie par
refroidissement. Le p.'éthylanisol bout vers 199-200® (corr.);
ItqQÎde à odeur d*anis, fournissant de Tac. anisique par oxydation
lu moyen de KMnO*. Le p.-éthylpbénétol bout à 21 1® (corr.).
p. FHEUNDLBR.
ippUcation da fulminate df mercure aux synthèses chi-
■iqiiat. Synthèse de phènola-aldoximes ; R. SCHOLL et E.
BEHTSCH (D. ch. G., i. 34, p. 144M446; 8.6.1901). — La con-
deosation du fulminate de Hg avec les carbures aromatiques, en
présence de AlCl', donne naissance a des aldoximes. Les phénols
ne se prêtent pas à une réaction analogue.
Si Ton traite le fulminate en suspension dans l'éther par le gaz
HCI, on le transforme en un produit très instable, la chloroformal-
«ioxiine CHCl=AzOH, qui se fixe, non pas sur les monophénols,
mais sur les polyphénols ayant 20H en meta et une position para
lilire, en donnant naissance aux chlorhydrates d'aldoximes :
OH OH
+ CiCH=AEOH =
H Vy^"
CH=Az-OH,Ha ;
MO. CHiif.: 3®séR., T. XXVI, 1901. — TraT. ètrang, 58
914 ANALYSE DES THAVAUX ÉTBANGEHS.
Les aminés aromatiques ne se prt^Umtpas à ce genre d«} conden-
sation ; dans le cas de la dimétliylaniline, le fulminate a^il connut*
oxydant en donnant du tétraméthyldiamido-diphénylmélhane et un*»
base jaune C*^H**0*Az*, de constitution non déterminée.
Ainsi, on obtient Voxime de Tald. ^-résorcvlique M. 8. 4) ♦•n
saturant de gaz HCl une sol. de 10 gr. de résorcine dans 80 rr.
d'éther anhydre renfermant en suspension 21 gr. de fulmiiuir
(l fois 1/2 la quantité théorique i. Le chlorhydrate de roxîme ?c
dépose avec un peu de HgCl* ; on précipite par Teau glacée ei «i
épuise Toxime par Téther; Toxime cristallise en aiguilles blaocb>>^
(dans Teau chaude), f. à 197® avec décomposition. On Ta déconi-
posée ensuite par SO*H* dilué bouillant.,
Le même procédé appliqué à Torcine a fourni Voxime rA» faW
orc//iyHeC«H«rCH3)(OH)«(CH=AzOHj(1.8.5.G) en aiguilles im-o-
lores, f. à 200®, sol. dans Téther, Talcool, Tacétone, peu sol. dan*
CS*,CHG1^ et la iigroïne ; il se forme en môme temps un peu d*unt
matière colorante cristallisée eh aiguilles brunes insoL dans Teto^
sol. dans NaOH avec une fluorescence verte. Uald. orcylique fowi
à 181.182^
Le pyrogallol a fourni de même Voxime
C6H2(OH)3(CHrAzOH)(1.2.3.4),
en aiguilles brillantes sol. dans l'eau chaude et les solvants or^^
niques, sauf le benzène, la Iigroïne, CHCP et CS* ; cetie oxime ^
décompose vers 204*. L'ald. libre fond à 161-i62*.
Avec la pbloroglucine, on a obtenu Voxime
C«H2(OH)3(CH= Az-OH) (1.8.5.2).
avec un rendement presque quantitatif; cristaux blancs renfernuat
1 H^O, se décomposant vers 195'', présentant la même solubilité qti«
fisomère 1.2.3.4. p. mEUDLER.
Sar la chloromôtaphénylônediainine ; C. COHH et AnûA
FISCHER {Mon, /. Ch,, t. 21, p. 267; 1900). — Le seul dérive
chloré de la métaphénylènediamine, qui se trouve dans la lilten*
ture est la 4-chloro-métaphénylènediamine F, 86* que Beilsteia <■!
Kurbatow ont obtenue par réduction du 4-chlorodinitroben2èac.
Les auteurs se proposaient d'en étudier les propriétés d'une ftron
plus complète lorsqu'ils ont appris (|ue rAktiengesellschah fiir
Anilinfabrikation de Berlin avait fait breveter(l) unechloroiaéta(ihi^
(1) Brevet français n* 286888, 16 mars m^.
CHIMIE ORGANIQUE. 915
nylènediamine symétrique fondant à 103** mise dans le commerce
doiis le nom de « Nérogène Z? » et employée en teinture comme
tléveloppaleur du Noir Zambèse D. L*étude de ce nérogène D a
néanmoins montré qu*il ne possédait nullement la constitution
indiquée dans le brevet, mais que ce n^était autre chose que la
i-ch!oro-métaphénylènediamine. Celle-ci devait s'obtenir — d'après
le brevet — en réduisant le dinitrochlorobenzène 1.3.5 déjà décrit
par Bader (1) mais qui se préparait facilement en faisant agir le
chlore sur le dinilrobenzène en présence de chlorure de fer. Les
auteurs ont essayé de préparer le dérivé chloré en opérant dans
les' conditions indiquées, mais n'y sont pas parvenus.
La 4'Cliloroméiapbénjrlènediamine se prépare en réduisant le
i-chlorodinilrobenzène 1.3 par le chlorure stanneux. Elle cris-
tallise en beaux cristaux appartenant au système rhombique et
fondant à 91^ Son chlorhydrate C«H3<^2H*)'"C^ forme de
fines aiguilles blanches solubles dans Teau, et se décomposant
a SUS».
Le cbloroplatinate 2[C«H»(A7H«)«Cl.HCI]4-PtCl* s'obtient en
ajoutant une solution de chlorure de platine à une solution de
chlorhydrate de la base: il constitue de petits cristaux jaunes
brillants.
Le sulfate C«H«(AzH«)«Cl.SO*H« est facilement soluble dans
Feau. il se décompose à 155», Voxalaie C«H3(AzH«;«CLC«H«0* se
décompose à 185».
La monoacétyl'4'Cblorométaphénylènediannne
/AzH-C0CH3
\ci
s'obtient par la méthode de Hinsberg en traitant une dissolution
aqueusede chlorométaphénylènediaminepar Tanhydride acétique en
présence de soude. Le dérivé monoacétylé, recristallisé dans Teau
bouillante fond à 170<>.
La dibnîzoyl'4'Chloromélaphényîènediainine se prépare par
la méthode de Schotten-Baumann. Fines aiguilles, F. 178**.
La chlorophénylénediamine peut se copuler aux diazoîqucs pour
dooner des matières colorantes.
1) D. eb. G,, t. 24, p. 1G65; Buil. Soc. chitn,, 1891, t. 6, p. 689.
916 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGER».
Le mélaxylène-azo'4-chlovométapbénylènediaminc
/CH3 (2) /AzH2 (2)
C«H3^Az=Az-C«H2^AzH2 (4).
\(m3 (i) \Gl (5)
s*obtient en copulant en solution acétique. Ce son l des aiguilk»
jaune rouge fondant à 150**.
Le diazobenzène donne le benzène'azchd-cblorophénylèaediaioiBf
fondant à .151^, et le produit obtenu avec le diazotoluène (pan.
fond h ^72^
La base chlorée jouit aussi de la propriété commune aux roéu-
diamines de se condenser avec les dérivés nitrosés des bas^
tertiaires, pour fournir des eurhodines. Aussi avec la nitrosodime*
thylaniline on obtient la dimélhyldiamidochloropliénazine
ou
Les auteurs ont aussi appliqué à la base chlorée, la n-action dd
Sandmeyer qui fournit le trichlorobenzène C*H*— CI (2i d<^j«
obtenu par d'autres méthodes (1).
Le trichlorobenzène 1.2.4 constitue une huile faiblement jtuM
dont l'odeur rappelle celle de la pyridine. Elle se solidifle vers if>*
IS^" et bout à 207-208'' (213 corr.) ce qui correspond aux constantes
physiques que Ton trouve dans la littérature. AÂnde le canictén7«f
mieux il a été transformé en dérivé nitré le 1 nitro-2.4.5-tncblorc^
benzène, F, 55*. a. waru
Action de racida azoteux sur Tacida o.-toluidina-dû
tiqua ; D. VORLAENDER et R. ¥on SCHILLING (Z>. cA. G.. L 34.
p. 1639-1651 ; 8.6.1901). — Lac. azoteux réagit sur Tacide lolui-
(1) JuNGFLEiscii, Ann. Cbim. Pays, (4), i. 15, p. 2Gi. — Bsu.»mN H Km-
BATOW, Anu.^ t. 192, p. 229.
CHIMIE ORGANIQUE. 917
ilîiie-diacélique en donnant de la nitrosotoJylglycine, de Tald. for-
inique et CO* suivant Téquation :
yCH2-G0m
CH3-C«H*- Az< + 8 AzO^H
\CH2-C02H
yKzO
= CH3^6H»-A2< + C02 + CH20 + 2H20 + 2 AzO.
NCH2.C02H
La réaction s*eiTectue en introduisant le mélangée d*ac. toluidine-
«Itacélîque, de ÂzO'Na et de Na^CO' dans HCl dilué. La sol. rougit
fortement, laisse dégager CO* et des vapeurs nitreuses et fournit
bientôt un précipité huileux de nitrosotolylglycine. Il ne se forme
ni ac. oxalique ni ac. glyoxylique.
Les auteurs ont vérifié que Tac. azoteux ne réagit pas à froid
:>ur Tac. glyoxylique. Celui-ci s'unit à la diméthylhydrorésorcine
pour donner la combinaison (C®H"0*)*CH.CO*H qui, cristallisée
dans Teau et Talcool, fond à 210-212'' en se déshydratant et se soli-
difie ensuite pour fondre de nouveau à 230*. FeCl' colore en brun
la sol. alcoolique de celle combinaison. p. freundler.
Sur raction de Tacida chlorhydriqua sur la nitroso-o.-
tolylglycina ; D. VORLAENDER et H. SCHROEDTER (Z?. cb. G.,
t. 34, p. 16ol-16ô3 ; 8.6.1091). — Lorsqu'on mélange des solutions
de gaz HCl sec dans Talcool absolu et dans Téther, on obtient une
masse cristalline rouge qui constitue le chlorhydrate dune chloro-
p.'toluylènediamine :
AzH?
[:H3
,2 HCl
À2H2
• la position du Cl n'étant pas déterminé). Ce sel est sol. dans Teau
ei Talcool, insoluble dans Féther.
Le sullate correspondant est en petits cristaux peu soL dans
Peau.
La base mise en liberté par \zW ou Na^CO', cristallise dans
Talcool ou Teau bouillanle en paillettes blanches qui se colorent
rapidement en violet.
EUle fond à 146*, réduit AzO'Ag ammoniacal et fournit la réac-
uoo de Lauth. FeCl', Teau de chlore, etc., colorent ses solutions
eo vert. Le dérivé diacétyjé cristallise dans Talcool bouillant en
fioes aiguilles, f. > 300^
918 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
En traitant la base par SO'H* dilué et lC«Cr*0' ou MnO*. on
obtient une cblorololuquînotie en aiguilles orangées, sol. dans
l'eau bouillante, f. à 102° ; celte quinone, réduite par SO* au b&in-
marie, se transforme en cblorotoliihydroquinone.ai^iWes blanche-.
(. à 175", sol. dans l'eau chaude. f. rnEisiiinR.
Sur la sen&îbilitâ A la lumière de cert&inB diazDÎqnes. u i
particulier du diazo-3-carbazol et sur quelques nouveaui 1
dérivés du carbazol ; 0. RDFF et V. STEIK {D. cb. O., i. 34.
p. 1668-1681 ; 22.6.1901). — Le diazo-S-corbazoi : \
: n '
Aï=.\z-OH
est tellement altér.ible à la lumière que les auteurs proposeol 'le
l'employer pour sensibiliser les papiers photographiques ; on peii! ,
imprégner dans l'obscurité un papier d'une sol. de chlorure lii^ ,
diazocarbazol.le recouvrir d'un cliché, exposer le tout à la lumiérr
et plonger ensuite le papier dans une sol. alcaline d'un napbtol- ,
Aux endroits exposés, le diazoïque est détruit et ne se copule pa-.
tandis qu'aux endroits non exposés il est plus ou moins intégnlr-
ment conservé et forme un azoïque de teinte variable l brun ou bnm-
violel). On peut aussi imprégner le papier dans l'obscuriléd'im'' '
solution renfermant un mélange de diazoïque et d'aminé ou >1«
phénate et exposer ensuite après dessiccation. Les diazoïques oni
déjà été appliqués à la photographie, mais ils présentent le défsul
d'être peu stables. Au lieu du diazocarbazol, on peut employer son
chlorozincate ou bien le carbazoldiazosulfonate de Na qui ne [iri-
sentent pas le même inconvénient.
Les auteurs ont fait une série d'expériences comparatives pour
déterminer la sensibilité des différents diazoîques et surtout l'io-
fluence des substitutions sur cette sensibilité. Voici les principtui
de ces recherches :
sition meta, l'influence est moins grande qu'en ptfifi
n ortho. Les groupements négatifs (AzO'l augmenlenl 'u
é, les groupements positifs (CH'.Cl) la diminuent. L'all^-
tugmente avec le nombre d'atomes renfermés >laii* '<■
'il y a plusieurs groupements diazo placés symélriqui-
ix-ci sont détruits simultanémçnts avec la même tiUs^
en avait un seul.
CHIMIE ORGANIQUE. 919
Les expiériences ont porté sur les diazoïques dérivés du p.-ami-
nphéQol^ des o.-, m.- et p.-nitranilines, de Tac. p.-aminobenzoïque,
tr* fa p.-chloraniline, des o.-, m.- et p.-toluidines, de raminofluo-
ff^oe, de l'amino-S-carbazol, de la ^-naphtylamine, du diamino-
'arbazoi, du p.-aminodiphényle, de la benzidine.
Préparation du papier pour positifs, — Du papier gélatine et
iurci par fald. forraique est imprégné d'un côté d*une sol. à 2 0/0
le chlorozincate de diazocarbazol, puis séché et exposé sous un
rlirhé positif jusqu'à teinte bleuâtre dans les parties foncées ; on
[i^onge ensuite répreuve dans une sol. alcaline à 1 0/0 d'a-naphtol,
liais on lave à Teau ou avec une sol. concentrée de NaCl, et on
fui virer au brun Tiraage orangée dans un bain d*ac. acétique
diiué. L'a-naphlol peut être remplacé par le p-naphtol (ton rouge
bncé), la phloroglucine, la résorcine^ la m.-toluylènediamine (tous
bnntsou brun-violet). On peut aussi se servir d'une sol. à 2 0/0
lU' carbasoldiazosulfonate de Na et de 2 gr. dVnaphtol avec un
l'Wi de soude. Dans ce cas, après exposition (teinte brun-rouge),
nn lave à Teau chaude, à la soude très diluée, à Teau froide et à
Tac. acétique, puis à Teau. L a-naphtol ne peut être remplacé par
un phénol ou une aminé quelconque. Dans ces conditions, on
obtient des images ti'ès stables.
Le nitro^'Carl)azoI a été obtenu en saturant de vapeurs nitreuses
one émulsion de 100 gr. du carbazol dans 500 gr. d*ac. acétique
>^o maintenant la température vers 55-60*), essorant et lavant à
lac. acétique le nitrosonitrocarbazol qui se précipite et le<;haufTant
Hisuite à rébullition avec de Talc, amylique pour enlever le grou-
p^'ment AzO. La sol. évaporée abandonne le nitrocarbazol à peu
prés pur r cristaux brillants rouge brun, f. à 208*»,5 (corr.), sol.
dwifi Talcool et Tac. acétique. — Le nitroso-O-nitrocarbazol cris-
tallise dans Talcool en aiguilles jaunes f. à 166^,5 (corr.) avec
<lêcomposition, peu sol. dans la ligroïne, sol. dans les autres
fitàsolvanls organiques et dans SO*H* avec une coloration rouge,
fiuis verte. La réduction de ce composé par SnCl* et HCl à chaud
fournit Vamino-S-carbazol (après décomposition des sels d*étain
par H'S) sous forme d'aiguilles blanches f. à 259* avec décompo-
MlioD, soL dans TamUne. — Le cblorliydrate est sol. dans l'alcool
K Teau, insol. dans HCl concentré ; poudre blanche altérable à la
himière, dont la sol. teint le bois (lignine) en rouge. Le diazocar-
l«zol se prépare par les procédés usuels. Les sol. sont brunes et
a.saez stables à l'abri de la lumière qui agit comme la chaleur, —
Le ehloromercurate C**H*îA2H.Azr: AzCl,HgCl*, préparé par union
directe, constitue une poudre cristalline très sensible à la lumière.
3
920 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
peu sol. dans Teau froide et dans HCl. — Le cbloronneaià eA
analogue. Le diazo-amiDOcarbazol est rouge foncé et ic^ol. àMtà
les solvants usuels. — L'acétate de carbazolTazo-m-tolttylène^
mine cristallise dans l'alcool en grains a reflets verts ; il teint \â
laine en violet. Les azoïques obtenus avec les naphtols sont broo-
violet et insol. dans Teau, ceux du m.-crésol et de la résorcine soci
orangés et solubles. La soude concentrée décompose peu à pet
les sol. de diazocarbazol en donnant un précipité d^aiguilles roiig?»«
très instables, détonant par le choc et ne renfermant pas de résHt»
fixe. — Le cbromate de diazocarbazol est orangé, insotuble H
s'enflamme par le frottement. — Le carbazoldiazosuJfonate de Ni
AzH.C**H''.Az=Az.SO*Na s'obtient en mélangeant à O* une sol
de chlorure de diazocarbazol avec une sol. de Na^SO saturée
Na^CO'; précipité orange (modif. syn.) qui se liquéfie à chaud
dissout et cristallise par refroidissement en paillettes jaunes «sar^
stables (modif. anti). — Le sel d*AzH* est encore moins soluble.
La réduction du sel de Na par Tamalgame de Na à 3 0/0, efTectr*
à 80**, fournit le carbazolbydrazinosulfonate de Na :
AzH-C^H^- AzH- AzH-SCPNa ,
sous forme d'une poudre cristalline jaunâtre, peu sol. danâTesa,
insol. dans Talcool, qui réduit la liqueur de Febling* i chaud
L'hydrazine n'a pu être isolée ; lorsqu'on traite le sel précédent
par un acide, on obtient des résines et un peu de diamino-^fW
carbazol.
La décomposition des sol. de diazocarbazol parla chaleur founul
surtout des produits amorphes qui réduits par Sn et HCl téf^
nèrent partiellement l'aminocarbazol. U se forme aussi un pe«
d'oxy-carbazol; aiguilles blanches, f. à SCO-SOl*", peu sol. dansTeau
et la ligroïne, sol. dans les autres solvants organiques et les alcalt^^
Les solutions alcalines sont réductrices. — Le dériré diacét)lr
fond à ilS-lH*" ; aiguilles incolores, sol. dans Talcool.
Le iriacétylaminocarbazol s'obtient en chauffant ramino-ctr-
bazol avec de l'anhydride acétique à 180"* ; le produit est criâtallîâc
dans l'éther pour séparer le dérivé diacétylé formé en mémf
temps et qui est plus soluble ; il cristallise en aiguilles f. A 174%^
(corr.), sol. dans l'alcool. Le dérivé diacétylé est en petites aiguilla
f. à 199^,5 (s:rr.). Traité par AzO*H, il fournit une aiiramisê ^^mc
amorphe qui se décompose déjà è 50"*.
l^a nitration du dérivé triacétylé en sol. acétique fournit os
mtrodiacétylaminocarbazol en aiguilles jaunes, f. à 199" .5, soluble
dans l'alcool. p. rnsuHDijai
CHIMIE ORGANIQUE. 921
Comdensations de Tacide barbiturique avec les aldéhydes ;
■. CONRAD et H. REIHBACH (V. cL G., t. 34, p. 1339-1344;
11.5.1901). — L*ac. barbiturique (en sol. aqueuse bouillante) s'unit
directement à Tald. benzoïque en vase clos en donnant Vac, ben^
lyUdène-barbiturique C0<^^[J^ç^>C=CH.C«H5; prismes inco-
lores, f. h 256% sol. dans Tac. acétique bouillant, insoL dans
rélher, Talcool et Teau. AzH^ ou NaOH dédoublent ce composé
déjà à froid. L*ac. acétique et la poudre de zinc le transforment
dans Vac. benzylbarbiturique f. à 206^, déjà décrit. L «c. o.-nitro-
beazflidèae-barbiiurique^ préparé de même, fond à 250-252"* avec
liécomposition ; cristaux brunâtres sol. dans Tac. acétique bouil-
lant, s'unissant à chaud à AzH^ aqueuse en donnant un produit
dêddition jaune C**H*<>0*Az* f. à 244* avec décomposition. La
condensation de Tac. barbiturique avec Tald. o.-aminobenzoïque
s'efliectue suivant Téqualion
.CHO yCO-AzHv yCH=C-CO-AzH
CfHVC -fCHK >CO=2H20 + C«H*< | |
NAzH2 XCO-AzH/ \Az=OAzH-C0
Ce composé se décompose sans fondre > 280», sublime difïlcile-
meut et se combine aux acides et aux alcalis pour former des sels ;
il cristallise en paillettes blanches insol. dans Teau et l'alcool, sol.
dans Tac. acétique bouillant. Le chlorhydrate est peu soluble. Le
dérivé sodé se présente sous la forme de flocons jaunes répondant
• la formule C"H«Az»0«Na -[- 2H«0. En chauffant le produit pré-
cédent en vase clos avec NaOH, à 200**, on le dédouble en CO', AzH*
rt en ac. ^carbostyrile-carbooique suivant l'équation :
GH CO Cli
CH AzH Az
Vac. ciaaamylidène-barbituriquti
<CO.AzHv
>C0.
CO-AzH/
cnslallise en prismes jaune citron, f. à 226-228"* avec décompo-
xtKm, sol. dans l'ac. acétique bouillant, peu sol. dans l'alcool et
Téiher,
922 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Uac. furfurylidène-barbiturique se décompose > 280* : poudre
jaune insol. dans Teau, Talcool, Téther et Tac. acétique bouillant
L'flc. salicylidène-barbiturique constitue une masse cristalliirf
blanche, peu sol. dans Téiher, Talcool et Teau, sol. dans Tac ac<?-
tique bouillant ; il fond en se décomposant vers 2G0*.
Sur les produits de condensation de Tacide barbitnriqni
avec les aldéhydes aromatiques ; A. WEINSCHENE (!) cb. <»..
t. 34, p. 1685-1687; 22.6.1901). — Uac. barbiturique s'unil am
ald. aromatiques pour donner des combinaisons incolores ; mais^
le noyau aldéhydique renferme en position para un groupem^^n*
salifiable, le produit de condensation est coloré en jaune ou oranp»'.
Le groupement éthylénique est donc en quelques sorte un rhro-
mophore.
lé'ac, p.'Oxy-ben zyHdène'barbiturique
/AzH-GOv
C0< >C=CH.C«H*-OH (4).
\AzH-no/
obtenu en chauffant quelques heures à l'ascendant une sol. alc<K>-
lique d'ac. barbiturique et d'ald. p.-oxybenzoïque, cristallise ft\
prismes jaune canari, sol. dans Talc, chaud, peu sol. dans rélh^r
et insol. dans Teau. Il ne fond pas à 300^ et se dissout dans KOH
sans excès avec une coloration jaune intense et formation d'un s»".
de K (poudre rougeàtre) ; un excès d'alcali dédouble la oomi •
naison; HCl est sans action.
\S ac. p.'diméthylaminobenzyUdhie'bavbïtnriqne :
C3Az2n202=GH-C6H*-Az(CH3)2,
obtenu de même avec l'ald. p.-dimélhylaminobenzoïque, conslilui*
une poudre cristalline orangée, f. avec décomposition vers 2^'.
11 est peu sol. dans Talcool et Tacétone, insol. dans Ve^n, et -^
dissout à chaud dans HCl dilué en formant un cA/orAji-rfra/tf «•
guilles orangées) ; la soude chaude et Tac. chlorhydrique roa-
centré dédoublent ce composé. p. raBCNDtcii.
Etudes sur las banzaldoximas o-aminées ; E. BAIIBER6D
et E. DEHUTH (Z>. cb. G., t. 34, p. 1809-iM9; 11.5.190^. -
MM. Bamberger et Weiler ont décrit autrefois sous le nom dVaifch
CHIMIE ORGANIQUE. 9^
fMioxîmes, le produit de la diazotation des oximes des o.-amino-
Idchydes :
CIP CH3 Az
Ils étudient actuellement les produits de Taction des alcalis ou
r Teau bouillante sur ces indiazonoximes (voy. /. pr. (.hem, (II),
S8, p. 333). Ces produits qui sont des isomères des précédentes
i*nl des c-aziào-aldéhydes :
CH3/ ^ iC=AzOH CHY ^— CHO
CH3 Az CH3
En effet, i* la soude bouillante les dédouble en azote et ac.
othranilique substitué :
CH3/\-CH0 ..,^ , CH^/N— COm
I + H20 = Az2 +
<:H3 CH3
2* Les azido-aldéhydes se combinent à la phénylhydrazine ;
3* L'oxydation des mêmes produits conduit aux azido-acides
"rrespondants qui peuvent être préparés synthétiquement en
[ÎHzotant les amino-acides, formant les perbromures et transfor-
tiaot ces derniers en dérivé azo-imidés par iAzH^ concentrée,
vivant la mélhode générale. Les azido-aldéhydes n'ont pu élre
irêparées par un procédé analogue ou en traitant par Thydroxyl-
unine les diazoïques des o-amino-aldéhydes. Le mécanisme de
'i^^omérisation en question n'a pu être établi.
Les auteurs proposent de se servir de ces réactions pour carac-
^riser les o.-amino-aldéhydes.
Pour préparer la dimélhyl-4.6-amino-l-benzaldoxime (formule
^-dessus), ou part de Vaîd, niiromésitylénique (CH3)«C«H*<;pîjQ
j*réparation loc. ciL); en même temps que celle-ci se forme Vald,
iinitrée en aiguilles blanches f. à 101-102^. L'ald. nitrée (par por-
tions de ©''jâ) est réduite par FeSO* et AzH* en sol. aqueuse
Itjuillante; le produit brut entraîné par la vapeur est traité direc-
tement par rhydroxylaminie à 60**, et Toxime est ensuite précipitée
924 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
par Tacide acétique sous forme d*aigui]les blauches t. à ITU-
171*»,5 (rendement 81 0/0), qu'on transforme ensuite en iûdazo-
noxime comme il a été dit (loc. cit.). Cette indiazonoxime v^
ensuite agitée avec de la soude normale et le produit entraîné yé*
un courant de vapeur.
Vald. diméthylazidobenzoïque se précipite par refroidissem^rt
du liquide entraîné; elle cristallise dans la ligroîne en aiguilla
soyeuses i. à 33'',5-34*, peu sol. dans Teau, sol. dans la («lopurt
des liquides organiques et dans NaHSO*, douées d'une odeur p<t»r'
trante, très volatiles avec la vapeur d'eau. Dans cette deniifn
réaction il se forme un peu (['aîd, diméthyl-c-ammobeuioi^
également entraînée, tandis que le résidu renferme un peu dV
diméthylazidobenzoïque et peut être de Tac. aminomésit^léniqur
La p.-nitrophényihydrazonede l'ald. crist. en aiguilles oran^
à reflets bleus vers 158®5-156*,5 avec décomposilion, sol. danslr
liquides organiques sauf l'étiier de pétrole et la ligroîn^, prcsqw
insol. dans Teau. L*oxydation de laid, par KMnO^ (Hloé foun><
Vacide correspondant en aiguilles soyeuses f. à 156* avec décoo
position, peu sol. dans l'eau, sol. dans le benzène et ralooo). L
synthèse de cet acide a été eflectuée comme il a été dit plus haut
le perbromure dac. diazomésityléuique constitue une masse cus^
talline orangée. La soude normale bouillante réagit sur l*aldéh\i^
en donnant un peu d'ald. diméthyl-o.-aminobenzoîque (la p.-aitit
phénylhydrazone crist. dans l'alcool en aiguilles écarlates ï rf(li4
bleus f.'à 223-224°)' et de l'ac. a-aminoiuésityléaique f. i 19!^
peu sol. dans l'eau et les liquides organiques, sol. dans les ac
minéraux et les alcalis.
Les mêmes réactions ont été eflectuées avec d'autres aldéhyde^
Aid. dichloro-S .ô-amino-ô-btinzoîque. — On la prépare pa
réduction de l'ald* nitrée au moyen de FeSCH et AzH'; aigmlUt
jaunes f. à 84-85'' sol. dans l'alcool, volatiles avec la vapeur d'etut
p.-aitropbénylhydrazone crist. dans un mélange de pyridioe ei é^
xylène en aiguilles brun rouge, f. à 298'', presi|ue insoî. dans i
ligroïne. La dicbloraminobenzaldoxime est en aiguilles blancU
i. à 175-176*, précipitables par l'acide acétique. La dicbhrindtêzi
noxime
Cl
— .CrAlOH
(X
(Ji AZ
Az
préparée en traitant l'oxime précédente par AzO^Na en &oL éiii^rti
CHIMIE ORGANIQUE. 925
a^Uque à 0"*, cristallise dans le xylène bouillant en aiguilles
ironxées f. à lôS'^yS avec décomposition, sol. à chaud dans Teau,
;« alcalis usouiérisalion) et les liquides organiques sauf la ligroïne,
:i>ol. duos les ac. minéraux qui la décomposent; la sol. acétique
hâuffee avec de Ta-naphtylamine se colore en rouge. Il se forme
n même temps un peu d'ald. dichloraminobenzoïque.
La potasse et même Teau bouillante transforment Tindiazono-
urne à froid en ald. dichlovazidobenzoïque qu'on entraine par un
courant de vapeur; aiguilles soyeuses très volatiles, f. à SB-SÔ^^yS,
»eu soi. dans Teau et Talcool, sol. dans le benzène.
Là p.-nitropbéDylhydrazone se décompose vers 155"; aiguilles
^mngées sol. dans la pyridine, Talc, et le xylène bouillant, la
fOUiie alcoolique (en violet), insol. dans Teau et la ligroïne. ChaufTée
I 70* (avec la glycérine), Thydrazone perd Az* et se transforme
fo dieblorchp.-DiirO'phénylpbènetriazine
Cl CI OH
0-CU=Az-A»H.C«H*-AzO2 _ ^ /\/^Az
\z^ "" * 1^vJaz-C«H*.Az02
U Cl AzH
Atguilleà jaune d*or f. à â3â-2!34'', sol. dans Talcool, insol. dans
nu. La soude normale bouillante transforme Tazido-aldéhyde en
fcc, dIcbIoro'2.5'antbraniIique; aiguilles blanches f. à 154-155"
rorr.j, soi. dans Talc, Teau bouillante, le benzène et la ligroïne à
chaud.
Aid. dibrooKhO.-amidobeazoïque. — Celte ald. a été obtenue en
hazolaot une sol. acétochlorhydrique d*ald. o.-aminobenzoïque,
ijoutaul à la sol. une sol. de Br dans KBr et traitant le perbro-
Bore C*H*<Pliq ainsi obtenu (masse cristalline jaune peu sol.
laos l'eau froide), par AzH^ concentrée et refroidie. Le produit
^ eostiita entraîné par un courant de vapeur d*eau et recristallisé
ilaos Talcool; prismes jaunes f. à 137-ld7",5, peu sol. dans l'eau
cl la ligroïne. La p.^Ditropbéaylbydrazone est en cristaux orangés.
— L*oxi/ue crist. en aiguilles soyeuses I'. à 189" (corr.), sol. dans
les solvants organiques bouillants, peu sol. dans Teau. — La dibro-
miodiazoDOxime fond à 182" en déflagrant ; aiguilles jaune d*or
peu sol. dans les liquides organiques froids, presque insol. dans
l'eau qui isomérise le produit à rébullition. La solution acétique
rhaufTée avec de Ta-naphtylamine se colore en rouge. — Vald.
dibromo-o.-azidobenzoiqae crist. dans la ligroïne en aiguilles
926 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
blanches L klb^'^b-lù" (corr.), se décomposant à 100*, peu sol
dans Teau, sol. dans Tnlcool et le benzène à chaud. La potax^
concentrée transforme cette aldéhyde en ac. dibronianthraniUqav
aiguilles blanches f. à 235-286*' avec décomposition^ très peu ?o!
dans Teau et la ligroïne, sol. dans Talc, et le xylène bouillant*
le sel de K est en paillettes nacrées sol. dans l'eau, peu sol. d«^•
KOH.
Aîd. 0,-aminobenzoîque. — On la prépare en réduisant Tau*
nitrée par FeSO*, AzH*Cl et AzH» à 90» (rendement 75 0/0); pel-
lettes nacrées i. à 39-40**. Uoxime cristallise en aiguilles soyeu'#H
f. à 134-135®, sol. dans la soude et l'éther. L'indiazonoxjwe
Ibnd à 160-160**, 5 en se décomposant; aiguilles jaunes d'or hJ
dans Teau chaude et les alcalis qui provoquent risomérisatioa, ààu
Talcool et le benzène, donnant la réaction colorée avec Ta-naphty
aminé. L'action du nitrite sur i*o-aminobenzaldoxime en sol. pre^aju
neutre, donne naissance à une sorte de diazo-amidé
Az^Az-AzH
H=AzOH HOAz=CH
précipité jaunâtre amorphe se décomposant vers 7^74*, losoi
dans HGl dilué qui le décompose peu à peu, dans l'eau et la ligroî
sol. dans le chloroforme et Tacélone. -r- L'a/rf. o.-azidohenzok
qui peut être obtenue ausai en traitant par NaOH le diaz<
précédent, cristallise en lamelles f. à 37**, 5, sol. dans ral<
réther de pétrole, etc., peu sol. dans Teau; elle se sublim»^ facile
ment et possède une odeur à la fois douce et piquante. La pb^û}!
bydrazone fond à 101*, 5-102* ; prismes jaunes soL à chaud dw
l'alcool, la ligroïne et l'éther de pétrole. La p,-uUropbéaj'lbrir*
zone crist. en aiguilles orangées f. avec décomposition vers lut
192*", peu sol. dans Teau, Talcool, le benzène et la ligroïne à ir^M
Uoxime fond à 103-103*'y5 ; aiguilles blanches sol. dans le benxorij
et la ligroïne bouillants et dans les alcalis, peu sol. dans t'eau.
La p.^nitropbénylbydrazoDe de Pald. antbraaUiqae cristallH
en aiguiller ou paillettes rouges f. à 218**, sol. dans les liqut^itH
organiques chauds, sauf dans la ligroïne.
CHIMIE ORGANIQUE. 927
Vac. o.'azidobenzoïque est en aiguilles incolores f. à 144**, 5,
iol. dans Feau, le benzène et la ligroïne à chaud. On Ta obtenu
aussi en partant de Tac. anthranilique [perbromure en cristaux
oraugés peu sol. dans Teau froide). p. preundler.
Sur la tétrabromophénolphtaléine ; Hans METER [Mon, /.
CL, t. 21, p. 263; 1900). — Friedlànder et Stange (i) ontobtenu,
•lans Taction du chlorhydrate d'hydroxylamine, sur une solution
alcaline de télrabromophénolphtaléine un corps floconneux jaune
qu'ilsonl décrit comme étant Toximede la tétrabromophénolphta-
léine par suite de sa facile transformation en acide dibromoparaoxy.
beozoylbenzoïque et dibromoamidophénol. En répétant cette réac-
tion, Fauteur a trouvé qu'il se fait aussi un composé cristallisé en
aiguilles incolores insolubles dans l'alcool; on peut obtenir ce
produit en plus grande quantité en prenant un excès d'hydroxyl-
aminé (9 mol. de chlorhydrate pour i de phénolphtaléine. L'analyse
montre que ce corps possède la composition C^^H'^O^AzBr*; il
cristallise dans Talcool, le chloroforme ou l'acide acétique en fines
aiguilles incolores insolubles dans l'eau, solubles dans les alcalis.
Il constitue le dibromoparaoxyphlalanile
OH
•'-Q
exr, de même quele paraoxyphtalanile est décomposé par ébuUition
avec facide chlorhydrique (2), ce composé fournit par ébullition
avec HCi concentré, de l'anhydride phtaliqiie et du dibromo-p.^
taitdopbénol.
La synthèse du dibromoparaoxyphlalanile a été efl'ectuée en
'Ofldensant d'après Piutti (8) le p.-amidophénol avec l'anhydride
[•htalique et traitant le produit dissous dans l'acide acétique par
i atomed de brome.
Le produit obtenu est identique à celui dérivé de la tétrabromo-
phénolphtaléine.
1 D. ch. G.n t. 26, p. 2260; Bull, Soc, chim., t. 10, p. 1150.
t H^Ns Mktir, Moa, f, Cb,, U 20, p. 319; Bull. Soc. chim,, 1899, t. 22,
.3) Gmjz. cbim. ItsJ., t. il, p. 252.
938 ANALYSE DES TRAVAUX âTRANGERS.
La formation de dibromoparaoxyphtalanile 8*6xplique en •dmeU
tant, pour la tétrabromophénolphtaléinoxime, la formule
CO-C«H2-Br2-OH
(
C-C«H2.Br2-OH
II
AzOH
indiquée par Fauteur. Cosntr (i) a montré en effet que la beniai-
doxinie orthocyanée se transforme en amide sous Tinfluence à'ui
excès d*hydroxyIamine et que cette amide cyanée donne la phu-
limide par saponification
CAz CAz CO
>
AiH
Cn=\zOH C0AzH2 CD
A. WAflL.
Sur las transformations des trois arabinoses dans rorgi-
Disma animal; C. NEUBERG et J. WOHLGEHUTH (D, eb, G,,\
t. 34, p. 1745-1749; 22.6.1901). — Les auteurs ont étudié la façw
dont se comportent les 3 arabinoses d, 1 ei r dans Toi^Disme do
lapin ; le sucre a été, ou absorbé comme aliment, ou introduit \>v
injections veineuses ou sous-cutanées. Les expériences ont eu
etîectuées comparativement sur desanimaux de même poids. L*tn*
binose non absorbée étant éliminée par l'urine, on Ta dosée en ta
précipitant à Tëtat de diphénylhydrazone. Les proportions relativiv
des 3 isomères n*ont pu être évaluées qu*à Taide du pouvoir rou-
4oire. Enfin, les lapins ont été nourris de lait pour diabétique>
afin d'éviter l'introduction d'autres sucres dans Toi^nisme. --
Voici les principaux résultats obtenus dans ces recherches :
En moyenne, 5 à 10 0/0 d'arabinose se retrouvent dans Tuniir.
L'injection veineuse a donné une absorption à peu près égaie do
3 isomères (28 à 31 0/0). Dans les 2 autres cas, au contraire, on j
constaté des diflérences très sensibles :
AtoorpcioB b^Êtam
(loBicale. MBS-
Arabinose / 85.50/0 9i.9 • ,
— d 68.8 54.0
— r Cl. 5 68.S
(Il D, cb. C, l. 20, p. 1693.
CHIMIB ORGANIQUE. 929
Oe plus, Tarabiaose r est dédoublée partiellement dans Torga-
Disme, car Turine a renfermé constamment un excès de Piso-
mère rf, l'isomère / étant absorbé plus rapidement. — En second
lieu, les arabinoses ^ et r sont incapables de se transformer en
^ycogène, ce que fait facilement Tarabinose /.
Les ac. araboniques (/, 1 et /* sont aussi absorbés d*une façon
ifiégole ; ils ne sont pas ti*ansformés en pentoses ou en ac. trioxy-
^utariques.
Enfla, Varabite d a été réduite partiellement en arabinose
d et en une cétopentose inconnue (osazone f. à 160®).
p. PREUNDLER.
Sur la triboluminascenca ; L. TSCHUGAEFF (D. cb. G., t. 34,
p, 1820-1825; 22.6.1901). Les corps triboluminescents sont ceux
qni émettent de la lumière lorsqu*on les frotte ou qu'on les broie.
Vnn des corps les plus actifs est le nitrate d'urane (1" degré) ;
ensuite on rencontre Tac. tartrique (2'' degré) et enfin Toxalate
d'ammonium (d** degré).
Sur 510 substances examinées par Fauteur au point de vue de la
ttiminescence, 127 se sont montrées actives (121 organiques,
0 minérales). La plupart sont des composés cycliques; certains
groupements OH, CO*H, Az(R)', AzHR paraissent particulière-
ment actifs. Beaucoup d*alcaloïdes sont triboluminescents. Parmi
}f*s corps de la 1'* catégorie on trouvé le valérianate de quinine, la
coumarine (blanc), le chlorhydrate d'aniline (violet), le salicylate
•ie cocaïne, etc. Dans quelques cas la luminescence dure encore
i<>rsque l'action mécanique ne se fait plus sentir (acétanilide,
•r. sulCanilique, etc.). A noter encore que certains isomères actifs
présentent le phénomène de triboluminescence, tandis que les
rtcémiques ne le présentent pas. C'est le cas de la camphoroxine,
à'i sulfhydrate de car\'one, des ac. tartrique et malique et du
ehloralide phénylglycolique.
On trouvera dans le mémoire original la liste des composés
examinés qui se sont montrés actifs. p. freundler.
Fermentation par les schizomycètas ; 0. EHMERLING {D,
ch. G., t. 33, p. 2477; 1.10.1900). — Contrairement aux assertions
'le Baginsky, l'auteur, en faisant fermenter du sucre de lait par
k Daci/lus lacUs ûérogenes, n'a pas trouvé d'acide lactique dans
us produits de la fermentation. Comme Baginski, il trouve de
i acide acétique, et, en outre, de l'acide succinique en quantité
:io(able, un peu plus du tiers de l'acide acétique. La nature de
%oK cmM., 3« sÉn., t. xxvi, 1901. — Trav. étrang. 59
930 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
raliment azoté, sel ammoniacal ou pepione, n'a pas dHaflueoci*
sur la marche de la fermentation. — Les produits de la fermen-
tation du glucose sont différents : il ne se forme pas d'acide succi-
nique, mais beaucoup d'acide acétique et de l'acide lactique inactit.
La fermentation se fait aussi bien en Tabseoce qu'en présence d'air.
— La mannite fournit desacides volatils en petite quantitéet de l'acide
succinique; mais tandis, que la fermentation du laotose et du glu-
cose ne fournit que des traces d'alcool, la mannite en donne 150,0.
Ces fermentations ne vont jamais jusqu'à la disparition complet**
de l'hydrate de carbone qui fermente. — Dans la fermeotaiion do
lactose en présence des sels nutritifs et de craie, il se formé uni*
masse mucilagineuse et le liquide devient visqueux et filant si l'air
n'est pas absent. Par précipitation à l'acool du liquide, débarrasst*
de chaux par l'acide oxalique, l'auteur a isolé une gomme rëpou*
dant à la formule C^H^^O^, qui donne de l'acide mucique lorsqu^oo
la traite par l'acide azotique, et répond aux propriétés d'un gtûm"
tane. — Le bacillus aérogène rend également visqueuses les solu-
tons de galactose mais non les solutions de glucose. Il semble qu H
puisse jouer un rôle dans la viscosité du lait, maladie étudiée imr
divers auteurs et rapportée le plus généralement à des fennenu
de la caséine. a. reiecBACH.
Sur le plasma obtenu par pression de la cellule de l«T«n
(zymase de Buchner); A. HACFADTEN, G. H. MORRIS et S.
ROWLAND (D. ch. G., t. 33, p. 2764-2790; 10.1.1900), — L»
auteurs se sont proposé de rechercher si, avec les levures de fer-
mentation haute on retrouverait les résultats des expériences àe
Buchner, qui n'a étudié que la zymase des levures basses. D'uri^
manière générale les expériences ont été conduites comme celles
de Buchner; la méthode de préparation de la zymase a été C4»jhb*
dant un peu modifiée.
La levure arrivant de la brasserie est mélangée avec son poui»
d'eau et centrifugée. On décante le liquide qui la surmonte^ et ob
recommence l'opération jusqu'à ce que l'eau enlevée* soil lunpKir
et incolore. On enveloppe ensuite la pâte de levure daus un \iiy^^\
et on la soumet à une pression de 70 à 100 atmosphères. On obtu-ui
ainsi la levure sous forme (fune poudre blanche.
Le broyujje de la levure s'opùre à l'aide d'une machine, dont Its
auteurs nous promettent une description ultérieure, qui maintitrit
la masse, mélangée à du sable fin, dans un état d'agitation cons-
tante. Pendant l'opération, on empêche l'élévation de la lemp«*r4-
ture résultant du froltoinent par une circulation du hipiido m£>.»n-
CHIMIE ORGANIQUE. dSl
gelable, de manière à ne pas dépasser 5® C. On ajoute ensuite de
iâ terre d'infusoires (Kieselguhr) et on soumet la masse à une pres-
sion de 200 à 350 atmosphères. On obtient ainsi, avec 100 gT.
de levure, une quantité de suc qui varie considérablement et est
comprise entre 0 et 87 ce. Le poids spécifique du liquide varie aussi
beaucoup, et ne semble pas présenter de relation avec le rende-
ment. D*une manière générale, les levures qui ont donné le
meilleur rendement sont celles qui ont été écumées à la surface
des cuves de fermentation deux ou trois jours avant leur traitement,
période qui semble aussi être celle pour laquelle on a un maximum
d'activité du suc obtenu.
Voici les chiffres moyens fournis par quelques opérations bien
conduites : 100 gr. de levure sèche donnent de 30 à 35 ce. de suc,
PO employant 100 gr. de sable pour le broyage et 100 gr. de kie-
î^lguhr pour soumettre la masse a l'action de la presse. Le poids
spécifique du suc est compris entre 1,050 et 1.060. 11 faut environ
Irois heures et demie pour chaque opération complète.
Les propriétés physiques observées par les auteurs pour le suc
de levure concordent avec celles qui ont été signalées par Buchner.
Le kieselguhr arrête au passage un certain nombre de substances
albuminoîdes, ce qui donne lieu de penser que le suc obtenu est
bien différent de Tétat dans lequel il se trouve dans l'intérieur de
la •,*8Uule de levure. MM. Macfadyen, Morris et Rowland pensent
oéamnoios qu'il se rapproche plus du suc vivant que celui obtenu
{«r Buchner, parce qu'ils n'ont pas employé d'eau pour son
**xiraction.
La levure employée provenait de cinq brasseries différentes :
A, B, C, brasseries de Londres; D, brasserie du sud de TAngle-
lerre; E, brasserie à fermentation basse. Dans presque tous les
*^&. le suc donnait lieu à un dégagement de gaz aboodanl, soit
*fa*il fui abandonné à lui-même, soit qu'il fût additionné de sucre,
et les résultats, dans le second cas, ont été les mêmes, et, dans
•(ïielques cas, plus satisfaisants que ceux de Buchner. Par auto-
fermentation, on a, dans plusieurs cas, obtenu un volume de gaz
supérieur à celui que donnait le même volume du suc addi ionné
'le sucre. Il semble que Timportance de cette autofermentation ait
♦•lé méconnue de Buchner, car il n'en parle qu'incidemment dans
un de ses mémoires, et il n(» parait pas qu'il ait corrigé les rcsul-
laU de ses expériences de la quantité de gaz dégaî^é ayant cette
r.^ne. Voici, cejiendant, un exemple (|ui montre rimpor.ance de
faulofermenlalion : dans une observation, 100 ce. de suc ont
(i^^agé 2*%98 d'acide cnriionique, c'c>t-à-dire 1.500 ce. Ce déga-
93t ANALYSE DES TKAVAUX CrKANGEHS.
gement spontané de gaz se produit même lorsque le suc eat placé
à une tempéralure assez basse pour qu'il se maintienne à l'étal
solide.
Les auteurs en concluent que, selon toute probabilité, le gsz
dégagé, que Bucbner attribue à l'action de lu zymase, provleot de
rautofermentation.
La détermination de la quantité d'acide carbonique dégagé a été
laite par la méthode de double litration de Hart modifiée, en
absorbant le gaz par une solution de soude caustique. Lorsqu'il
s'est agi de rechercher le rapport entre l'acide carbonique dégagé
et l'alcool formé, on a absorbé l'acide carbonique par uoe solution
de potasse à SS 0/0, placée dans des tubes à boules de Mohr. en
séchant le gaz au préalable par passage sur du chlorure de calcium.
L'alcool a été déterminé par distillation.
Dans les expériences où il fallait déterminer le pouvoir réduc-
teur du suc mélangé de sucre avant et après Termentation, on a
employé la méthode de Favy, l'alcali concentré de la liqueur de
Fehiing ayant l'inconvénient de dégager do grandes quantités
d'ammoniaque en agissant sur les matières azotées du suc.
Pour éviter l'ingérence possible de cellules de levure ou de
microbes, on a employé des antiseptiques, principalement de l'arsé-
nite de sodium, du toluène, du thymol, toujaurs àladosede 1 0/0.
Dans leurs premières expériences, les auteurs ont employé
40 0/0 (le saccharose, cette concentration étant celle que Buchner
considère comme la plus favorable; mais ils l'ontréduite plus tard
à 10 0/0, après avoir observé que l'on obtient ainsi une action plus
marquée.
Dans presque tous les cas, on a obtenu un dégagement de gaz
plus abondant par auto fermenta lion qu'en présence de sucre. Oo
a généralement observé celaitavecles levures A, C et D; mais les
auteurs ne peuvent donner de ce fait une explication satisfaisanw,
e savent s'il faut l'attribuer à la dilTérence des levures ou à la
îentration du sucre. Un autre point à noter, c'est la grande
alion d'activité du suc provenant de divers échantillons de
ire, variation qui ne semble pas présenter de relation défloie
: les propriétés physiijues du suc. La fermentation .produite
toujours, en majeure partie, terminée au bout de ii heures.
es auteurs ont examiné aussi l'activité du suc provenant dfl
isions successives exercées sur la leTure ) mais ils n'ont pu
;rver de relation entre la quantité de gaz dégagée et l'ordre
i luquel ne rangeaient les échantillons obtenus.
sà indications qu'ils donnent sur I âge de la levure sont rela-
CHIMIE ORGANIQUE. 933
lives au temps écoulé entre le moment où la levure est recueillie
dans la brasserie et celui où on la presse. Les résultats sont très
variables ; mais leur marche générale est de manifester une
augmentation d*activité pendant trois ou quatre jours, puis une
décroissance rapide. La variation dans Tactivité de i*autofermenta-
lion est dans le même sens, mais moins considérable.
L'augmentation de Taclivité du suc, qu'on observe avec l'âge de
la levure, est Tinverse de ce qui se produit pour les levures de
fermentation basse.
En conservant le suc, même à la température de congélation ou
au-dessous, Tautofermentation et la fermentation du sucre dimi-
nuent rapidement d'activité.
Une concentration du sucre de 5 à 10 0/0 est celle qui donne
les résultats les plus favorables, des quantités supérieures retar-
dant sensiblement l'action ; en d'autres termes, on obtient moins
de gaz avec le suc additionné de sucre qu'avec le suc tout seul.
Si Ton compare les résultats obtenus avec divers sucres, on
constate que c'est avec le sucre de canne qu'on obtient le dégage-
ment de gaz le plus abondant. Des expériences faites en faisant
varier la température entre 0 et 37®, ont montré que la quantité de
gaz dégagé s'élève avec la température.
Lorsqu'on filtre le suc de levure au travers d'un flltre Chamber-
land ou d'un flltre Berkefeld, on diminue considérablement son
activité, sans cependant la faire disparaître complètement. En
même temps le poids spécifique diminue. Ces résultats sont d'ac-
cord avec ceux de Buchner.
Le point sur lequel les auteurs s*appuient surtout pour se refuser
i admettre la théorie de Buchner, c'est que la dilution du suc de
levure paralyse son activité, et que ce résultat est tout à fait en
désaccord avec ce qu'on observe pour les autres diastases.
Si Ton tient compte des quantités d'alcool et d'acide carbonique
produites pendant Tautofermentation, pour les soustraire de ce qui
se forme dans la fermentation du sucre, on arrive, pour le rapport
entre l'alcool et l'acide carbonique, à des chiffres très variables, et
ce n'est qu'en employant un suc très actif que le rapport se rap-
proche des nombres de Pasteur. Dans le cas où on a afTaire à un
suc de faible activité, on trouve, en général, plus d'alcool que
d'acide carbonique. La quantité de sucre disparue est en excès
considérable sur celle qui a fermenté ; cet excès est, toutefois,
d'autant plus faible que la quantité d'alcool se rapproche davantage
de celle de l'acide carbonique. Les auteurs ont constaté que le suc
ne renferme aucun produit capable de gêner la détermination du
984 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
pouvoir réducteur, et que le sucre en excès disparait à l'étal de
sucre sans donner lieu à la formation de produits hydrolysables.
Les auteurs expliquent ces observations par une hypothèse dont
on trouvera le développement dans le mémoire original. — Voici
comment ils résument les résultats auxquels ils sont arrivés.
!• La levure haute anglaise peut fournir un suc qui préseuie la
propriété passagère de décomposer le sucre en alcool et acide
carbonique ;
2'' La quantité de gaz dégagée par un suc actif est égale et
supérieure à celle qu'a obtenue Buchner ;
8* Le suc de la levure subit une autofermentation considérable,
qui peut dépasser celle produite par le mélange du même suc avec
du sucre ;
4*" Une dilution modérée, dans le rapport 1 à 2, du suc avec de
l'eau, ou une solution physiologique de sel, arrête toute action
fermentative ;
5** Ce n'est qu'avec un suc très actif que le rapport de ralcool à
l'acide carbonique est voisin de celui qu'on observe dans une fer-
mentation alcoolique ;
6** Lorsque le suc agit sur du saccharose, ou sur du dextrose, la
quantité de sucre qui disparaît est en excès considérable sur celle
qui correspond à l'acide carbonique et à l'alcool produits.
A. FERNBACH.
Sur les destinées des dérivés pyrimidiques de l'organisme ;
H. STEUDEL {ZeiL pbys. Ch., t. 32, p. 285-290). — Depuis que
les travaux de Kossel ont montré les relations qui existent entre
l'acide urique et les ac. nucléiques, substances mères des corps
puriques, l'origine de l'acide urique a été ^cherchée surtout dans
ces purines. Mais à côté des composés puriques se placent aussi
comme produit d'origine nucléique, des corps pyrimidiques (voy.
la précédente analyse), qui par adjonction d'un reste d'urée pou-
vaient aussi engendrer de l'acide urique. En eiïet dans la synthèse
de Tac. urique de Behrend et Roosen, par condensation de l'urée
avec Tac. isodialurique, ce dernier corps représente le terme de
passage de la série pyrimidique à la série purique (Behrend et
Roosen, Z/i^A/gr's Ann,^ t. 251, p. 185).
L'auteur a donc administré à un chien du mélhyluracile et du
nitro-uracile, qui passent inaltéré dans les urines, tandis que les
ac. nitro-uracile-carbonique, isobarbiturique, isodialurique» la
thymine, la 2.6-dioxypyrimidine n'ont pu être retrouvés diins les
urines. La 2.4-di8mino-6-oxypirimidine et la 2. i.5-tnamino-6-
CHIMIE ORGANIQUE d35
oxypyrimidine sont toxiques. Cette dernière se retrouve dans les
urines et provoque dans les reins la formation de concrétions
rappelant celles que Minkowski observe chez les chiens intoxiqués
par Tadénine. Mais on n*a trouvé dans Turine aucune substance
purique provenant d'une condensation de Tin-ée avec un corps
pyriinidique. b. lambling.
Sut Tacide paranucléique de la caséine (I); E. SALKOWSKI
iZeJt.pbys, Ch., t. 32» p. 245-267; 27.4.1901). — On admet en
général, d'une manière tacite et par analogie avec la nucléine, que
la paranucléine provenant de la caséine est une combinaison d'al-
bumine avec un ac. paranucléique, bien que cet ac. n'ait pas été
isolé jusqu'à présent. L'auteur a démontré que contrairement à la
doctrine classique, la pepsine chlorhydrique fait passer en disso-
lution la majeure partie du P de la caséine sans formation d'ac.
phosphorique (Salkowski, Ceiitralhl. f. d. nied. Wissench, 1893,
n*** 23 et 28, et Pflufjer's Arch., t. 63, p. 405) et dans le présent
travail il établit que ce liq. contient Tac. paranucléique cherché,
pplable sous la forme d'une combinaison ferrique.
80 gr. de caséine sont mis à digérer pendant 18 heures à 40''
avec 2 lit, d'une sol. chlorhydr. de pepsine. On sépare par le filtre
le résidu de paranucléine, on émousse la réact. ac, on concentre à
1 l. et on traite par 200 ce. d'une sol. à 5 0/0 de
(SO*)2FeAzHi' + 12H20.
A 1 ebullition il se fait un précipité contenant en moyenne : C,
31.90; H, 4.48; Az, 9.72; P, 2.55; Fe, 21.87 0/0. Cette combinai-
son ferrug. de Tac. paranucléique est absorbable. Des lapins à
à 4[ui on fait ingérer ce composé présentent un foie bien plus
riche en Fe que des animaux témoins.
Pour isoler l'ae. paranucléiquoy on délaye dans 100 ce. d'eau la
comb. ferr. encore humide, fournie par 30 gr. de caséine, et on
ajoute 80-90 ce. d'une sol. N/2 de NaOH. La diss. obt. est chauffée
jusqu'à formation du ppté d'oxyde ferrique, puis rapidement filtrée
dans la quantité d'ac. acét. nécessaire à la neutralisation. On ppte
ensuite par l'acétate de Cu à 5 0/0 et le ppté, lavé par décantation,
est décomposé par H*S. Le filtrat débarrassé de H*S par un courant
d'air est concentré au B.-M. à 60**, puis ppté par l'alcool absolu.
Le ppté obtenu, lavé à l'alcool et à l'éther contient : C, 42.96; H,
7 -09; Az, 13.55; P, 4.05 0/0. L'ac. est plus sol. dans l'eau chaude
que dans l'eau froide; cette sol. est acide, fait eff. avec CO^Ca et
S3S ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS,
est ppté par l'alcool, («lo^ — 46". ChaufTë avec NaOH l'ac. perd
de l'ac ■ phosphorique. Le travail se termine par le description des
réactions de pplation et de coloration du composé.
E. LAMBLUfG.
Sur la marche ds TncrAtioii de l'acide pboBpboriqae pen-
dant l'inaDitîoD; Fr. M. SCHULZ etJ. UAITXZER {Zeil. phys.,
Ch., t. 32. p. 268-277; 27.4.1901). — On sait que dans riaanition
totale, on constate peu avant la mort une augmentation subile et
considérablu de l'excrétion azotée, que l'on explique généralement
par l'épuisement des réserves non azotées de l'organisme. ScliuU
au contraire admet que la débâcle azotée n'est pas liée à cet
épuisement et qu'elle est due à une fonte rapide du' protoplasma
cellulaire {Mi'inch. med. Wocbensch., 1899). S'il en est vraiment
ainsi le rapport Az : \"*0^ doit varier au moment de la débâcle
azotée, par suite de l'augmentation de P'O' liée à la fonte de
protoplasmes riches en P. Des expériences sur des chiens el des
lapins n'ont pas vériSé celte vue théorique. e. lambung.
Sur les produits d'oxydation de rargiDine;E. BÉNECH et
Fr. KUTSCHER {Zeil. phys. Ch., t. 32, p. 278-280; 27.4.1901). —
Bénech a montré que l'oxydation de la gélatine par MnO*K, ne
donne pas de bases hexoniques et notamment pas d'argînîne, con-
trairement à l'assertion de Bernert, ce qu'il explique par la facile
oxydation de l'erginine elle-même. Reprenant cette question les
auteurs montrent que l'oxydation de l'arginine par le perman-
ganate de Ba à 30-60* donne naissance à la guaiiidiae, et cette
constatation apporte un nouvel appui a l'hypothèse qui fait de
l'arginine un acide guaniditie-a-aiaidovaJérisnique.
Sur l'ichtuline da cabillaud; P. A. LEVEHE (Zeit. phys. Ch..
t. 32, p. 280-284; 27.4.1901). — Desœufs de cabillaud sont triturés
avec du sable, bien exprimés dans une presse, puis délayés dans
— Mil. de ClAzH* à 5 0/0. On épuise le tout par de l'éther, on
3 déposer et le liquide aqueux décanté et filtré, est ppté par
si. d'eau. On recommence plusieurs fois la niéme procédure
le précipité qu'on lave finalement avec de l'alcool bouillant,
froid et enlln avec de l'alcool absolu et de l'étlier.
I composé contient : C, 52.44; H, 7.45; Az, 15.0<j;S, 0.98; P,
0/0. Il a donc la composition de l'ichtuline de carpe de Walter
'., 1. 15, p. 477), mais en diffère par ce fait que le produit de
CHIMIE ORGANIQUE. 937
Walter donne par hydrolyse une substance réductrice, mais ne
fournit pas en présence des alcalis d'ac. paranucléique, tandis que
ricbtuline du cabillaud ne donne pas de substance réductrice,
mais fournit un ac. icbtulique^ semblable à Vac, avivitellique pré-
cédemment décrit par Hauteur {Ibid,^ t. 31, p. 543). Cet acide
contient : C, Sâ,56; H, 6.00; Az, 14.03; S, 0.146; P, 10.84 0/0.
E. LAMBUNG.
Contribution à l'étude du suc gastrique et de la composition
chimique des diastases; M. NENCKI et N. SIEBER {ZeiL phys.
(Ch., t. 32, p. 291-819; 27.4.1901). — En refroidissant à 0^ du suc
gastrique fourni par des chiens à fistule oesophago-gastrique,
Schoumow-Simanowski a obtenu un ppté amorphe de c pepsine
en grains », substance albuminoïde chlorée, doué d*un pouvoir
digestif considérable (Arcb. /. exp. Path., t. 33, p. 886). D*autre
part Pekelharing, en soumettant à ta dialyse un extrait de
muqueuse gastrique, a obtenu un ppté également très actif et
qu*il considère comme identique avec la pepsine en gi*ains de
Schoumow-Simanowski (Zeit. phys. Cb.y t. 22, p. 288).
Les auteurs confirment cette conclusion. En dialysant du suc
gastrique de chiens à fistule œsophago-gastrique, on obtient, lors-
que Tacidité est tombé à 0.025-0.080 0/0 de HCl, un ppté qui
dissous dans HCl à 0,5 0/0, fournit à chaud un ppté de nucléopro-
téide, dédoublable lui-même par SOH* et. avec formation de
bases xânthiques et de pentose. Le filtrat contient un albumose
donnant la réaction du biuret et pptable par le sulfate d'amm.
Enfin le nucléo-protéide contient une substance soluble dans
Talcool. Ces coastatations confirment et étendent celles de
Pekelharing.
Le suc primitif renferme environ 0.58 0/0 de HQ et 0.806 0/0
de résidu fixe. Dans ce résidu on a trouvé 0.41 0/0 de P et 0.42 0/0
de Fe. Quant à la pepsine pptée par dialyse, elle contient avant
lavage par l'alcool 0.475 0/Ode Cl, 0.104 0/0 de P etO.16 0/0 de Fe,
et après lavage à l'alcool, 0. 188 0/0 de Cl, 0.059 0/0 de P et 0. 115 0/0
de Fe. On voit donc que la dialyse, puis le lavage à Talcool
enlèvent successivement du phosphore, du chlore et du fer. Après
épuisement de la pepsine par l'alcool, la composition de la masse
restante est la suivante : C, 51.26; H, 6.74; Az, 14.33; S, 1.50/0.
La substance que dissout l'alcool est la lécithine; enfin le liquide
de dialyse, qui renferme aussi de la licithine, contient en outre de
l'ac. sulfocyanique, du fer et de Tac. phosphorique.
Les auteurs concluent que la mol. de pepsine est à la fois très
988 ANALYSE DES THAVAUX ÉTHANGERS.
complexe, très instable et se dédouble facilement, sous raction de
réactifs, en apparence très bénins, en molécules- iilles de premier
ordre, nucléo-protéide, lécilhine, albumose, et en molécules de
2*» ordre (albumine, penlose, bases xanthiques, acides gras, gly-
cérine, ac. phosphorique, etc.). Cette pepsine agit à des dose?'
extrêmement faibles. Une sol. contenant au plus par ce. 0^,00001 r»
de pepsine avait vis-à-vis de Faibumine cuite du procédé de Mette
une force digestive de 1"'"',2. e. lambling.
Sur rexcrétion azotée après extirpation du foie ; S. LANG
{ZeiL phys. Ch., t. 32, p. 320-340; 27.4.1901). — Tandis que chez
les oies normales 60à 70 0/0 de Tazote total de Turine sont r l'état
d*ac. urique, Minkowski a montré que chez les oies après extirpa-
tion du foin Tac. urique ne représente plus que 3 à 6 0/0 de l'azote
et que 50 à 60 0/0 sont excrétés à l'état de AzH^. Il y a donc \Q à
50 0/0 de l'azote sur l'élat duquel on n'est pas renseigné et dont
l'auteur s'est proposé d'étudier la répartition à l'aide de la mé-
thode de Pfaundier (Minkowski, Arch. /. cxp, Path,, t. 2i, p. 41 ;
Pfaundler, Zeit. phys. CL, t. 30, p. 75).
L'auteur désigne par azote ammoniacal l'azote déplaçable par
MgO, par azote des bases nriques, celui qui est ppté par Tac.
phosphotungstique (ac. urique, corps purique et ac. diaminés) par
azote des acides monamidés^ Tazote non ppté par l'ac. phospho-
tungstique (ac. monamidés, urée créatine).
Chez les oies normales 53-66 0/0 de l'azote total ont été trouvés
à l'état d'ôzote des bases uriqucs, 21-28 0/0 à l'état d'azote ammo-
niac, et 12.5 à 18.6 0/0 à l'état d'az. monamidé. Après extirpation
du foie et avec une survie suffisante, la répartition a été la sui-
vante : azote des bases uriques, 5,3 à 10 0/0; azote amm. 65.5 a
73 0/0; azote des ac. monamidés 18.5 à 29 0/0. Si l'on fait ingérer
aux animaux opérés des ac. amidés (glycocolle, asparagine), cet
azote n'augmente pas celui de Tac. urique comme chez les animaux
normaux, mais s'ajoute au contraire à l'ammoniaque. Si l'on donne
aux animaux opérés CO^NaH, afin d'empêcher Tac. lactique, qui
se produit après extirpation du foie, de provoquer la production
d'un surplus d'AzH^, on observe la répartition que voici : azote des
bases uriques 13 a 23.6 0/0; azote amm. 85.2 à 56.5 0/0; azote
des ac. monamidés 30.4 à 43 0/0. Des dosages directs d'ac. urique
montrent que cette augmentation de l'az. des bases uriques n'et^l
pas due à Tac. urique, mais sans doute à celle des ac. diamidés.
Pour Ifcs considérations physiologiques que l'auteur déduit de co:^
exp., voy. le mémoire original. e. lambling.
CHIMIE ORGANIQUE. 939
Sar une 6iii3rme protéolytiqae dans la rate ; S. G. HEDIN et
ROWLAND {Zeit. phys, Ch., t. 32, 341849; 27.4.1901). — Des
les de cheval, de bœuf, de mouton et de porc sont transformées
eu purée, mêlées à de la silice d*infusoire et exprimées dans une
presse hydraulique. Le suc acide obtenu abandonné à lui-même
à 87* avec addition de toluène, digère non seulement ses propres
mat. alb. mais de la fibrine ajoutée au liquide, et cette action est
plufi marquée après addition d'ac. acétique (0.25 0/Oj, d*ac. lac-
tique (0.25 O/Oi ou de HCl (0.1 0/0). Elle est faible au contraire
quand la réaction est neutre, nulle quand le liq. est bicalin, et
cléfinitivement supprimé quand le suc a été bouilli. La rate contient
iloiic une diastase protéoiy tique, différente de la trypsine.
E. LAMBLING.
8ar une nouTelle histone da sperme de poisson ; R. EHRS-
TRÔM (Zeit.phys. CL, t. 3Q. p. 350-854; 27.4.1901). — La masse
spermatique de Lota vw/^ar/s, préparée d'après Kossel(/A/rf., t. 22,
p. 170) est triturée avec HGl concentré, puis additionnée, après
1 lieure, de 3-4 vol. d*eau. Leppté formé par des corps nucléiques,
est séparé par le filtre et le filtrat neutralisé et add. de 5 vol. d'eau
abandonne un dépôt abondant que l'on recueille et que Ton
redissout au B. M. dans HCl à 0.5 0/0. De cette sol. AzH* ppte
rhistone cherchée.
Ce corps est înHol. dans Teau, dans la sol. aq. des sels neutres^
soL dans les ac. et les alcalis. Les dissol. dans les uc. peuvent
ôtre neutralisés sans qu'il y ait ppté; cette sol. est ppté parles
alcalis et AzH' et elle est coagulée à chaud, tandis que la sol.
acide n'est pas coagulée. La réaction du biuret et la réaction xan-
tho-protéique sont positives, celle de Millon faible, mais positive,
celle de Moslisch nettement positive et celle d'Adamkievicz faible.
Ce composé s'éloigne donc par quelques réactions des histones
connues, mais ses réactions franchement basiques et la nature de
àes produits de décomposition le rangent néanmoins très nettement
, parmi les histones. Gomme les histones de thymus et de la morue
elle donne par hydrolyse de Thistidine, de Targinine et de la
lyrine, et la répartion de Tazote dans la molécule est bien celle que
l'on observe chez les autres histones. e. lambling.
Sar la cire de Psylla et sur ralcool et Tacide psyllostéary-
lique; E. E. SUNDWIK {ZeiL phys, Ch., t. 32, p. 355860; 27.4.
1901). — La cire sécrétée par Psylla aliii n*est pas comme Tauteur
Fa précédemment admis {ibid,, t. 25, p. 116) un éther oxyde
940 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
C83H6«=o«=C33Ho«, mais un éther-sel que HBr dédouble en un
alcool et un acide.
L'acide C3«H«».C0.0H, cristallise du benzène, du CHCIî» et de
réther de pétrole en losanges d'un angle de 74-106**, fus. à 94-95*.
L'alcool C*'H«'^.OH cristallise du benzène, de l'éther de pétrole
et du chlorof. en écailles soyeuses, fus. à 68-70'*. Son éther ben-
zoïque C^H^'^.O.CH^O crisl. du benzène en aiguilles feutrée6«
f. à 68-69**. E. LAMBLING.
Contribution à Tétude des matières albnminoides; A. JOLLES
(Zeit. phys. Ch., t. 32, p. 361-891 ; 4.6.1901). — L'auteur résume
ainsi qu'il suit les résultats de son travail : 1** L'oxydation des mat.
alb. par le caméléon en sol. ac. détache Tazote sous la forme d*urée,
de corps pptables par Tac. phosphotungstique (méthylamine, bases
hexoniques. ac. diamidés, glycocolle), etde corps nonprécipitables
par cet acide. AzH^ ne se produit qu'à l'état de traces. L'urée ne
provient pas des bases hexoniques; 2<* les diverses matières alb.
se comportent très différemment vis-à-vis de MnO*K : L'oxyhémo-
globine cède 90 0/0 de son azote à l'état d'urée, tandis que l'oval-
bumine, la sérumalbumine et la sérum-globuline cristallisées, la
caséine et l'ovovitelline en donnent 70 à 81 0/0 et la fibrine et la
vitelline végét. 40-50 0/0, et 80 0/0 environ dans le filtrat phospho-
tungstique. Le reste de l'az. se trouve dans le ppté phosphostungs-
tique et appartient principalement aux bases hexoniques; S* cette
production de bases hexoniques et d'urée est une prop. génér. des
mat. alb., et contrairement aux assertions de Hofmeister (i4rcA.
/. exp. Patb.y t. 37, p. 426) la formation d'urée est indépendante
de la présence d'autres matériaux azotés (AzH'). Les autres con-
clusions de l'auteur sont des considérations physiologiques, qui ne
se prêtent pas à un extrait. b. lambung.
Les produits d'oxydation de l'arginine ; Fr. KUTSCHER (Zeit.
phys, Cb., t. 32, p. 418-418; 4.6.1901). — L'arginine est oxydée
par le permanganate de baryum, en sol. neutre à 25-87"*. Après
élimination de la baryte on ppte par l'ac. phosphotungstique. Ce
ppté fournit à côté d'une substance organique non définie : l"" de la
guanidine isolée à l'état de picrate (Emich» i/bi2. /. Ci., t. 12);
2^ de l'ac. ^•guanidine-butyrique^ inconnu jusqu'à présent et qui
se dépose dans l'eau chaude en choux-fleurs blancs brillants, difl.
sol. dans l'eau froide, insol. dans l'alcool et se ternissant rapide-
ment à l'air. Ce corps dont la réaction est alcaline a été analj'sé
à l'état de chlorhydrate C»H««Az>0«.HCl, lequel se dépose de sa
CHIMIE ORGANIQUE. 941
sol. dans HCl concentré en cristaux f. à 184* (non corr.) et non
décomposables à 130^. Quant au filtrat phosphotungstique, il a
fournit de Tac. succinique.
Ces résultats complètent des travaux de Schulze, Winterstein
et EUinger (ZeiL phys. Ch., t. 26, p. 1 et t. 29, p. 882; D. ch. G.,
t. 30, p. 2879; t. 31, p. 8188 et t. 32. p. 8191 et 8542) sur la cons-
titution de Targinine dont la formule devient dès lors :
AzH AzH
AzH-CH3-CH3-GH3-ÔH-COOh'
e. lamdung.
(AzH)C<(
Sar les destinées des pentoses et notamment de la /-arabi-
nose dans Torganisme animal; E. SALKOWSKI {Zeii. phys,
Cb., t. 32, p. 398-412; 4.6.1901). — L'auteur résume de la
manière suivante les résultats de son travail : 1** La /-arabinose, à
la dose de 10 à 15 gr. en 24 heures, est bien absorbée chez le
lapin, mais 18.4 0/0 de cette quantité passent inaltérés par les
urines. Cette expérience et surtout celles qui ont été faites sur
rhomme montrent que Tarabinose fait partie des substances hété-
rogènes, c'est-à-dire de celles pour lesquelles il n'existe pas de
limite d'assimilation (Hofmeister), c'est-à-dire pour lesquelles de ,
très petites doses passent dans les urines; 2® Tarabinose provoque
chez le lapin une accumulation plus on mofns grande de glycogène
dans le foie. Le produit ainsi accumulé est le glycogène ordinaire,
mais rien ne permet d'affirmer que ce glycogène provient directe-
ment de Tarabinose ; 3*" Tarabinose apparaît donc chez le lapin
comme un aliment. On ne saurait dire si elle produit en outre une
éppargne des graisses ou des hydrates de carbone; 4** l'action
d'épargne de Tarabinose vis-à-vis de l'albumine reste douteuse;
5* après ingestion d'arabinose, les muscles contiennent une subs-
tance lévogyre, dont la nature n'est pas encore établie.
E. LAMBLINO.
Sur la trypsine de la leviire ; Fr. KUTSCHLER [Zeit. phys.
Cb., t. 32, p. 419-424; 4.6.1901). — Polémique contre Saikowski
{Zeit. phys. Ch,, t. 31, p. 323) au sujet de l'autodigestion de la
levure et des travaux de Béchamp et Schiitzenberger sur cette
question.
Note snr le sacre extrait de la côrébrine; F. N. SCHULTZ et
Fr. DITTHORN {Zeit. phys. Ch., t. 32, p. 425-142; 4.6.1901). —
Tandis que les hydrates de carboqe emmagasinés comme réserves
942 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
donnent par hydrolyse un véritable sucre, au contraire ceux qui
font partie de molécules plus complexes et jouant un rôle plas-
tique, se détachent de ces molécules sous la forme de sucres
amidés (glycosamine de la chitine, chondrine, mucine, albumine).
Les auteurs ont donc repris l'étude de la galactose extraite par
Thierfelder de la cérébrine, et ils ont constaté qu'elle ne conlienl
pas d'azote. Ce n'est donc pas une galactosamine. Il est vrai que
la cérébrine elle-même provient du protagon par ébullition avec le
baryte. c lambling.
Sur la galactosamine ; F. N. SCHITLTZ et Fr. DITTHORN (Zeit.
pbys.Cb,, t. 32, p. 428-484; 4.6.1901). — Par hydrolyse d'un
giycoprotéide extrait par eux de la glande à albumine de la gre-
nouille (glande qui préside à la formation de Tenveloppe de&
œufs), les auteurs ont obtenu un sucre amidé qu'ils ont considéré
comme étant la galactosamine. Pour vérifier ce résultat ils ont
essayé de préparer ce corps en réduisant par Zn-f-C*H*0* la
galactosazone. Le produit obtenu peut être pptéde sa sol. aqueuse
par l'alcool à l'état d'oxalate crist., mais l'analyse indique un
mélange d'oxalate d'AzH^ et do galactosamine qui n'a pas pu être
purifié davantage, et qui ressemble beaucoup à l'oxalate du sucre
amidé provenant du giycoprotéide de grenouille, e. lambung.
Recherches sur la bile de quelques animaux polaires;
0. HAMMARSTEN {ZeiL phys. CL, t. 32, p. 435-466; 4.6.1901). —
Sur la bile de Fours polaire. Ces biles (de vésicules) ont élé
recueillies dans 4-5 vol. d'alcool et souvent davantage. Comme
pigments cet alcool renfermait très peu de bilirubine, de Vurobi-
Une ou stercobiline et un pigment brun ne donnant pas la réaction
de Gmelin et que contenaient également les calculs biliaires. Lors-
qu'on évapore ce liq. à sec et qu'on reprend le résidu par de
l'alcool absolu, il reste insol. une substance sol. dans l'eau, con-
tenant environ 1.41 0/0 de S et 1,04 de P et qui appartient peut-
être au groupe du protagon ou de la jécorine.
La solution alcoolique (débarrassée de cette substance insol.
dans l'alcool abs.) a été ensuite pptée par Téther et a donné
pour 100 p. de subst. solides : insol. dans Tétlier 53,12 et 52,600,0;
sol. dans Télher 46,28 et 47,40 0/0. La partie non pptable par l'élher
peut donc être presque aussi considérable que la partie pptable
(sels biliaires et savon), rapport qui est tout à fait exceptionnel
pour la bile humaine et les autres biles jusqu'à présent étudiées.
CHIMIE ORGANIQUE. 048
De plus le mélange des sels biliaires a fourni de la taurine, mais
pas de glycocolle.
La bile d'ours est en outre très riche en P organique, et à ce
propos l'auteur montre que la bile humaine aussi est souvent
beaucoup plus riche en P organique qu'on ne l'admet générale-
ment. E. LAHDLING.
Sar les matières albuminoîdes. Action du chlore naissant
sar la caséine; J. HABERHANN et R. EHRENFELD {ZeiL phys,
Ch., t. 32, p. 467-475; 4.6.1901). — 100 gr. de caséine sont dis-
sous à froid dans 700 ce. de KOH à 5 0/0, et addit. de 50 gr. de
CIO'K. On fait passer dans la sol. limpide un courant de Cl jus-
qu'à dissolution complète du ppté de caséine qui se forme d'abord,
puis la liqueur obtenue est étendue d'eau. Le ppté blanc» flocon-
neux et très volumineux qui se forme a été recueilli et analysé. Il
renferme de 42,92 à 64,02 0/0 de C, de 12,16 à 12,64 0/0 d'Az et
do 13,28 à li,04 0/0 de Cl et il donne la réaction dubiuret. Hydro-
lyse par Sn I HCl, il fournit de l'ac. glutamique; par Br-j-H*0 il
donne du bromanile et CHBr^ ; enOn la fusion avec la potasse en
détache du phénol. On voit donc que l'action d'un réactif aussi
énergique que le chlore a laissé subsister (après un contact qui a
duré 48 h.), une fraction de la molécule primitive, donnant les
mêmes produits de dédoublement que l'albumine intacte. S'il est
vrai de dire que les alb. sont des mat. très instables, cela n'est
exact, en queUiue sorte que pour la périphérie de la molécule. Au
centre se trouve un noyau très résistant. e. lambling.
Sur la transformation de Targinine dextrogyre en une
modification optiquement inactive; Fr.KUTSCHER {Zeit.phys.
Cb., t. 32, p. 476-478; 4.6.1901). — L'arginine ordinaire dextro-
g^yTe se transforme en son racémique par une ébullition très courte
avec 5 p. d'acide sulfurique concentré. On obtient le même résultat
en débarrassant le nitrate d'arginine dextrogyre de son eau de
crist. par dessication à 60**, puis le chauiïant à Tétuve à 210-220<»
pendant IT) à 20 minutes. e. lambi.ing.
Sur la production physiologique de sucre après l'ingestion
d'albnmine; E. BENDIX {Zeit. phys. Ch,, t. 32, p. 479-503;
0.7. 1901 j. — Il est démontré aujourd'hui qu'un certain nombre de
mat. alb. alim., Tovalbumine par ex., contiennent un t;roupement
liydrocarboné, tandis que d'autres (caséine) n'en fournissent pas.
L'auteur s'est proi>osé de comparer ces deux sortes d'alb. au
'Jii ANALYSE DES TRAVAUX ETHANCEHS.
point de vue de leur aptitude à produire du glycogène ou du sucre
dans l'organisme.
Deux procédés ont été employés. Le premier consiste, à débar-
rasser des chiens de leur réserve de glycogène, par une aliments-
lion dépourvue d'Iiydrates de carbone (alb. et graisse), suivie d'un
jeûne prolongé, puis d'un travail mécanique intense. Les animaux
recevaient ensuite soit de l'ovalbumine, soit de la caséine, en
même temps qu'on provoquait, par une Injection sous-cutanée de
phlorhidzine, le passage dans l'urine du sucre formé, durant une
période de 20 h. environ. En même temps on dosait dans l'urine
l'azote total et le sucre et on établissait le rapport : sucre : Az, que
devait donner la mesure de la quantité de sucre fournie par l'albu-
mine. Le résultat a été que le rapport en question n'a pas été
saisiblement influencé par la substitution de la caséine (ou de la
gélatine) à l'albumine.
Un autre procédé a consisté à déterminer directement, chez des
animaux traités comme précédemment, la quantité de glycogène
enmagastné par l'animal. On a trouvé ainsi que les réserves de
glycogène étaient constamment très abondantes et paraissaient
même plus abondantes avec les albumines sans groupement
hydrocarboné. e. lahbuno.
Sur UD procédé permettant de doser facilemeat l'amtno-
oiaqoe de l'urinei 0. FOLIN {Zeit. pbys. Ch., t. 32, p. 516-517;
6.7.1901). — Lorsqu'on distille pendant 45 m., 10 ce. d'urine
étendue à 450 ce. et additionnés de MgO, il passe à la distillation :
1" AzH' préformée; 2" une petite quantité d'AzH' due à la décom-
position de l'urée par la magnésie. Mois l'expérience montre que
cette seconde portion est constante, car si l'on rajoute de l'eau au
résidu de la distillation de façon à compléter chaque fois au vol.
primitif, on constate qu'en recommençant la distillation une
deuxième et une troisième fois, pendant 45 m. chaque fois, il passe
à chaque fois une quantité sensiblement constante d'AzH^ (Ber-
3t et André, Anii. Cliim. Phys. [6), t. 14, p. 819). Si donc on
mclie cette quantité de celle qu'a fournie la i" distill., on a
différence AzH* préformée. Des expériences du contrôle avec
dissol. d'urée -|-.\zH*CI, et avec de l'urine dans laquelle AzH»
, dosé d'après Schlosing démontrent l'exactitude de In méthode.
B. LAHBUMU.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 945
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
Sur on théorème de Le Chatelier; P. SAUREL (Pbys. Cbem.,
t. 5, p. 277; 1901). — En considérant un cycle élémentaire,
Le Chatelier a récemment établi (C. /?.. 1. 130, p. 1606) une rela-
tion entre les tangentes des courbes de concentration de deux
systèmes binaires bivariants sous pression constante, à leur point
d'intersection. M. Saurel se propose de montrer que cette relation
peut être déduite de formules bien connues. Mémoire d'ordre
purement théorique. o. boudouard.
Sur un théorème de Roozeboom; P. SAUREL {Pbys, Cbem.,
t. 5, p. 281; 1901). — B. Roozeboom a donné une très simple
démonstration du théorème suivant (Zoit. pbys. Cb,, t. 30,
p. 889). Considérons au système binaire bivariant formé de deux
phases : une solution liquide et une solution solide, et supposons
que l'addition d'une petite quantité de Tun des composants de la
phase liquide abaisse la température de solidification; la concen-
tration de ce composant est alors plus grande dans la phase
liquide que dans la phase solide. L'objet du présent mémoire est
de montrer que ce théorème et une conséquence immédiate de
réquation bien connue de van der Waals. o. boudouard.
Chaleurs latentes d'évaporation de quelques composés orga-
niques azotés; L. KAHLENBERG (Pbys. Cbem,, t. 5, p. 284;
1901). — L'auteur a étudié les corps suivants : amylamine, dipro-
pylamine, diisobutylamine, valéronitrile, a-picoline. Les chaleurs
spécifiques ont été déterminées par la méthode de Berthelot ; les
nombres suivants ont été trouvés :
Sabsuaces. Chtleors spéclllqaes.
Amylamine 0,6136
Dipropylamine 0,5972
Diisobutylamine 0,5706
Valéronitrile 0,5199
«-Pieoline 0,4312
soc. Ginif., S* séR., T. XXVI, 1901. — Tra?. étrang. 60
946 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Les chaleurs latentes d*évaporation ont été déterminées par la
méthode précédemment décrite (voir ce Recueil^ p. 604).
Chalears laleates
d*évaporatioa
SubitaDcet. de 1 ^mme.
Amylamine 98.75
Dipropylamine 75.69
Diisobutylamine 65.85
Valéronitrile 95.95
a-Picoline 90.75
D'après l'auteur, 1** la constante de Trouton serait proportion-
nelle à la chaleur latente de vaporisation; 2'' la chaleur latente de
vaporisation, dans le cas des liquides associés, représente, non
seulement le travail de changement à Tétat gazeux des molécules
liquides du liquide, mais aussi le travail de séparation des molé-
cules polymérisées en molécules simples.
Enfin les résultats obtenus par M. Kahlenberg permettent de
calculer Télévation moléculaire du point d*ébullition à Taide de la
formule d'Arrhenius-Beckmann. o. boudouard.
Valeur toxique du chlorure mercuriqne et de ses seU
doubles; Judson F. CLARK [Pbys. Cbem,, t. S, p. 289; 1901). —
Beaucoup de savants ont déjà étudié TefTet dû à l*addition de
diverses substances à une solution pure de bichlorure de mercure.
Les substances les plus fréquemment ajoutées sont les chlorures,
bromures, iodures alcalins et d'autres métaux, les cyanure et
sulfocyanure de potassium, le nitrate de sodium, etc., les acides
chlorhydrique et tartrique. 11 en résultait les avantages suivants :
diminution de la précipitation de HgCl' par les albuminoïdes
présents, plus grande solubilité de HgCl*, diminution de la valeur
toxique de HgCl*. L*auteur donne dans ce mémoire les résultats
qu*il a obtenus avec certaines moisissures (aspergillus flaMis
sterigmatocyslis nigra, œdocephalum albidium, botrj'tis vulgaris,
pénicillium glaucum, rhizopus nigricans, etc.), avec certaines
phanérogames (grains de froment, pois, lupins, etc.), avec des
bactéries (bacillus colon du poulet).
Krônig et Paul ont conclu que la diminution de la valeur toxique
de HgCl^ par addition de chlorures était due à la suppression delà
dissociation de HgCl*. Diaprés M. Clark, par Taddition de chlo-
rures métalliques à HgCi^, il se forme des sels doubles dans
lesquels HgCl' forme une partie d*une molécule plus complexe;
ces sels se dissocient facilement, ou au moins d'une manière rets-
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 947
livement facile en leurs ions. A Tappui de cette conclusion,
Fiiuteur discute les nombreux résultats numériques qu'il a obtenus
et que le lecteur trouvera au mémoire original, o. boudouard.
Généralisation de Téquation da Clapeyron; P. SAXSKEL(PIj}'s.
Clnm,^ t. 5, p. 393; 1901). — Mémoire d'ordre théorique dans
lequel Tauteur donne une démonstration simple de Texlension de
l'équation de Clapeyron aux points indifférents des systèmes
bivariants et multivariants. o. boudouard.
La loi des phases; P. SAUREL [Phys. Chenu, t. 5, p. 401;
1901). — Wind a donné une démonstration très simple de la loi
des phases (Zei7. pbysik. Cb., t. 31, p. 890) basée sur un théorème
pouvant être ainsi énoncé : si un système de phases peut être en
équilibre à une température donnée et sous une pression donnée,
à chacun des changements virtuels indépendants que le système
peut subir à cette température et sous cette pression, correspond
une relation entre les variables suivantes : les concentrations des
phases, la température et la pression.
L'auteur se propose de montrer que ce théorème peut être
considéré comme permettant d'établir les conditions d*équilibre
qui ont été données dans un mémoire précédent (PA/s. Chem.,
t. 5, p. 31; 1901). o. BOUDOUARD.
Théorie de la dissociation électrolytiqne d'après de non-
veanx faits axpérimentanx ; L. KAHLENBERG (avec la collabo-
ration de A. A. KOCH et R. D. HALL) {Phys. Cbem., t. 5, p. 339;
1901). — La théorie de la dissociation électrolytique» proposée par
Arrbenius en 1887, est basée sur les faits suivants : la conduc-
libilitë moléculaire des solutions augmente avec la dilution; les
substances qui ainsi dissoutes conduisent l'électricité, ont anor-
malement de faibles poids moléculaires dans de telles solutions,
s'ils sont déterminés par les méthodes osmotique, cryoscopique ou
ébullioscopique; le degré de dissociation peut être calculé à Taide
de la conductibilité électrique ou des résultats relatifs aux poids
moléculaires. De plus, au point de vue thermodynamique, le phé-
nomène d'électrolyse entraine la présence d'ions libres.
Cette théorie, loin d'être universellement adoptée, a été le point
de départ de recherches expérimentales intéressantes sur les pro-
priétés physiques, chimiques et physiolo^^iques des solutions.
Ce|>endant, pour pouvoir appliquer aux solutions une équation
analogue à celle des gaz, il fallut faire intervenir un facteur
étranger /; de plus, les solutions électrolytiques avec lesquelles
948 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Arrhenius vëriQa sa théorie étaient sans exception des solutions
aqueuses.
M. Kahlenberg rappelle aloi's toutes les expériences faites
depuis 1899 sur les solutions électrolytiques non aqueuses qui ont
conduit à des résultats d'ensem])le tout à fait discordants : la
théorie de la dissociation électroly tique ne serait donc pas appli-
cable à ces cas, et M. Kahlenberg, trouvant que c dans le royaume
des solutions aqueuses la théorie concorde si bien avec les faits »,
a repris Tétude des solutions aqueuses.
Dans la partie expérimentale du mémo re, on trouvera de
nombreux tableaux de résultats numériques se rapportant, d'une
part à la détermination des points d'ébullition de solalions
aqueuses de composés chimiques types afin de voir comment le
poids moléculaire varie avec la concentration, d'autre part, à la
mesure de la conductibilité électrique de ces solutions à leurs
points d'ébullition, ou près de ces points. Les déterminations de
conductibilité ont été faites par la méthode Kohlrausch; les points
de congélation ou d'ébullition des solutions ont été mesurés à
Taide des appareils Beckmann. Une série de déterminations a
également été faite avec un non-électrolyte (sucre de canne) : le
poids moléculaire diminue comme la concentration augmente.
Avec l'acide borique, le poids moléculaire reste pratiquement
constant pour des variations considérables de concentration.
M. Kahlenberg discute ensuite les résultats obtenus et aflQrme
d'abord que les difficultés rencontrées par la théorie de la disso-
ciation électrolytique pour expliquer les phénomènes en solutions
aqueuses sont réellement insurmontables. Des faits relatés dans
ce mémoire concernant les solutions aqueuses, et de ceux se rap-
portant aux solutions non aqueuses, il ressort qu'il n'y a aucune
relation entre les points de congélation et d'ébulUtion des solutions
d'une part, et leur conductibilité électrique d'autre part, comme
cela devrait élre d'après la théorie de la dissociation électrolytique
d'Arrhenius.
M. Kahlenberg examine ensuite tous les arguments qui ont été
donnés en faveur de la théorie de la dissociation électrolytique
([)ropriétés additives des solutions salines, chaleurs de neutra-
lisation des acides et des bases, loi d'action de masse, pouvoir
dissociant, constantes diélectriques, phénomènes d'électrolyse,
introduction du facteur / dans l'équation des gaz), et montre qu'ils
ne résistent pas à une discussion rationnelle.
Enfin, a|>rès avoir pleinement reconnu que la théorie de la dis*
sociation électrolytique, comme toutes les théories d'ailleurs, a
CHIMIE GÉNÉR>ILE ET MINÉRALE. 949
suscité nombre de travaux intéressants, et ceci proportionnel-
lement à la part de vérité qu^elle contient, Tauteur proclame
qu'elle restera une belle page dans l'histoire du développement de
la chimie et de la science en général. Mais il espère que les cri-
tiques contenues dans son mémoire seront la cause d*une nouvelle
activité expérimentale; la nature de la conductibilité éiecti*ique
dans les électrolytes et dans les métaux ne doit pas être si radica-
lement différente qu'on le suppose, et des recherches dans ce sens
donneront peut être la clef du problème. o. boudouard.
Sur la diminution da preision osmotiqne qui résulte des
changements de charge des ions; Te. v. TURIN {Zeit, pbysik.
Cb., t. 34, p. 403408; 17.8.1900). —Mémoire purement théorique,
voir Toriginal. u. vezes.
Sur la solubilité des gaz dans Teau (III); L. W. WINKLER
(D. cb. G., t. 34, p. 1408-1422; 8.6.1901). — L'auteur s'occupe
cette fois des gaz air, azote, oxyde de carbone, métliane et éthane;
pour l'air, il détermine de degré en degré la composition de Pair
dissous, de 0 à 100*" et montre que la teneur 0/0 en oxygène a, est
sensiblement réprésentée par
/2 = 85, 47 — 0,0338 ^
Pour les autres gaz, il dresse le tableau des coefRcients de solu-
bilité p et p' de degré en degré, entre 0 et 100* et représente les
résultats obtenus en exprimant p par des formules paraboliques
d'interpolation à 3 termes, appliquables dans des intervalles
de 20». Pour toutes ces données numériques, nous renverrons à
Toriginal. l. bourgeois.
Sur l'iodhydrate d'hydroxylamine ; R. WOLFFENSTEIN et
F. 6R0LL (D. cb. G., t. 34, p. 2417-2420; 20.7.1901). — L'iodhy-
drate d'hydroxylamine AzH'.OH.HI, qui n'était pas encore connu,
a été obtenu parles auteurs en évaporant un mélange de sol. exac-
tement équimoléculaires des 2 composants, dans le vide, sur P^O^.
On obtient ainsi des aiguilles aplaties, très hygroscopiques, qui
possèdent la composition voulue et qui se décomposent brusque-
ment vers 83-84*. Le sel cristallise facilement dans Talc, mélhy-
lique. p. FREUNDLER.
Sur la réaction de l'arséniura d'hydrogène Yis-à-Yis du bro-
mure da bora; A. STOCK (D. cb. G., t. 34, p. 949-956; 20.4.1901).
^- M. Beseoo a décrit les combinaisons équimoléculaires des
951 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEH8.
fluorure, chlorure et bromure de bore avec PH' (C. iî., l. ItO,
p. 81 et 516 et t. 113, p. 78). L'auteur a de même cherché à com-
biner le bromure de bore avec AsH*; à la température ordinaire,
la réaction est nulle, soit à sec, soit en présence de CS^. Mais oc
arrive au résultat cherché en opérant à très basse température,
surtout dans les conditions suivantes. La réaction ee fait dans une
sorte de tube à essai tubulé (figure dans Toriginalj, qu'on plonge
dans ua bain d'alcool refroidi à — 80-100*; on y liquéfie de l'hy-
drogène arsénié de façon à recueillir 10-15 ce. de ce liquide, et
l'on continue à faire passer pendant tout le cours de l'expérience
un courant d'hydrogène, en ayant bien soin d'exclure toule trace
d'humidité. On fait alors tomber goutte a goutte et d'une façon
continue du bromure de bore de telle sorte que AslP soit en
excès. On laisse alors le vase se réchauffer et l'excès de AsH' se
volatilise. L'appareil est disposé de façon qu'on puisse, la prépa-
ration faite, introduire, sans déboucher, la substance qu'on veut
faire réagir sur le produit formé.
On obtient ainsi une substance blanche amorphe, très altérable,
non fusible sans décomposition, cependant sublimable en tube
scellé, si l'on opère avec précaution, en petits cristaux d'aspect
hexagonal; un peu sol. dans l'un ou l'autre de ses constituants,
insoluble dans CS*, qui la décompose à la longue en BBr* et
AsH3. L'analyse conduit à la formule BBi^^-AsH^. On ne peut
conserver le produit, car il se décompose spontanément même
à 0*", d'une façon lente en bromure de bore, arsenic et hydrogène;
la vitesse de décomposition croît rapidement avec la T. L'oxygène
agit très vivement sur la substance; à Tair il y a échauffemeni
spontané et souvent même inflammation. Ce phénomène se mani-
feste dès — 30**. En présence d'un excès d'oxygène, oh obtient
B^O^, As*03 et HBr; autrement, on a aussi de l'arsenic libre,
d'abord rouge -brun, puis devenant noir. Il se fait aussi do
notables proportions de bromure d'arsenic. L'eau donne des
acides borique, chlorhydrique, de l'arséniure d'hydrogène et un
peu d'arsenic. L'acide nitrique oxyde très vivement; de même
dans le chlore sec, la substance brûle avec une flamme bleuâtre.
Le chlorure d'arsenic réagit dès — 50* en donnant BCl', HGl
et de l'arsenic Ubre. L'ammoniaque fournit un corps blanc
BBr3,VaAzH3. l. bourgeois.
Action de l'acide salfuriqae exempt d'eau sar le persalfate
de potassium sec; A. BACH [D. ch. G., t. 34, p. 2S1; 8.6.190n. J
— L'auteur a répété ses expériences antérieures {ibid,^ l. Î2t
. CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 951
p. 3111) sur l'actiOQ mutuelle de SO^H' et du persulfate de potas-
sium en prenant cette fois des précautions toutes particulières
aHn d'exclure toute trace d'eau; les résultats ont été toute fait
semblables. Il y a lieu de noter ce fait curieux que, dans ces réac*
lions en liq. sulfurique, il s*engendre un produit qui, trituré avec
de Tacide titanique, donne une coloration jaunâtre; donc dans
cette réaction sur TiO^H*, comme sur MnO*H, l'ac. oxysulfurique
qui s'est formé réagit à la façon de H^O* en liq. aqueuse; mais si
l'on étend d'eau les liq. sulfuriques, ces réactions cessent de se
manifester. l. bourgeois.
Sur la plomb radio-actif (II); K. A. HOFHANN et E. STRAUSS
(Z>. cb. G., t. 34, p. 907-913; 20.4.1901). — Les auteurs revien-
nent sur les propriétés du SO*Pb radio-actif retiré par eux de la
pechblende, de la samarskite, etc. {ibid.^ t. 33, p. 8126 et t. 34,
p. 8 et 407), Ayant transformé ce sulfate en chlorure par Tinter-
médiaire d'une fusion avec CO^Na*, ils ont évaporé la sol. chlor-
hydrique de PbCl* et fractionné les produits. Si Ton est parti de
la pechblende, on trouve que les parties les plus solubles d'un
PbCl* ainsi préparé donnent des sol. chlorhydriques jaunâtres; la
potasse y donne un ppté jaune brunâtre qui se dissout d'abord à
chaud, puis dépose de nouveau des flocons brun-violet; Tiodure
est rouge foncé. Le produit se rapproche un peu du ruthénium
par quelques caractères. L'équivalent est très inférieur à celui du
plomb; si le métal nouveau est supposé bivalent, son p. at.
est 100,92 (famille du manganèse?). Ce corps ne parait pas avoir
d'influence sur l'activité radiante du SO*Pb. Le produit paraissant
conférer Tactivilé s'extrait surtout de la brôggerite où il est plus
abondant que dans la pechblende; il est plus voisin du Pb que le
corps précédent, ses solutions sont incolores. On a trouvé pour le
p. at., en supposant le métal tétratomique, la valeur 171,96
(famille de l'étain). En tous cas, le sulfate ainsi retiré des parties
les plus solubles de PbCl*, se montre fortement radio-actif; mais
si l'on convertit ce sulfate en d'autres sels, l'activité passe à l'état
latent, pour réapparaître lorsqu'on régénère le sulfate.
L. BOURGEOIS.
Racherchei spectroscopiqnes sur les flammes qui prennent
naisiance dans les procédés du puddlage et du Bessemer
basique; W. N. HARTLET et H. RAMAGE (Z>. cb, G., t. 34,
p. 799-801; 20.4.1901). — Voici quelques-uns des résultats
obtenus. Dans le puddlage, on n'observe pas de raies dans le
d58 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Spectre. Dans le procédé Bessemer basique, les apparences sont
tout autres que dans le procédé acide. La flamme est visible dès
le début, aussitôt que le nuage de fumée calcaire a disparu; les
fumées reparaissent vers la fin de la deuxième phase (combusUoa
du phosphore). L'afRnage proprement dit se traduit par une vive
flamme jaune avec fumées produites par la combustion des métaux;
le spectre est alors continu. Quant à la première phase, elle donne
lieu à une lumière non identique à celle de la phase correspon-
dante du procédé acide ; les raies du Mn y sont relativement peu
marquées, de même que celles des métaux alcalins; on remarque
encore celles de Ca, Cu, Ag, Ga. On a noté une raie nouvelle du
potassium (X = 4642^. l. bourgeois.
Analyse de brôggerite ; K. A. HOFHANN et W. HEIDEPRIEH
(D. cb. G., t. 34, p. 914; 20.4.1901). — Le minéral provenant de
Raade près Moss, Norvège, a donné pour deux échantillons bien
cristallisés et purs les résultats suivants 0/0 :
I. u.
Bioxyde d'uranium 50.10 49.30
Trioxyde d'uranium . . 27.28 28.38
Thorine 4.66 5.27
Terres yUriques 4.27 4.85
Oxydes de fer 0.40 0.53
Oxyde de bismuth 0.84 0.87
Oxyde de plomb 9.28 9.15
D|5 = 9,06. Dureté = 5 Vs.
L'oxyde de plomb renferme environ 1 0/0 d'oxyde radio-actif.
L. BOURGEOIS.
Observations sur la marche systématiqne d*Abegg*H6n
poar reconnaître et rechercher les acides; W. FRESENIUS
(Zeit. anal. Ch., t. 39, p. 566-574; 1900). — Abegg et Herz ont
proposé un système méthodique de recherche des acides, analogue
à celui qu'on emploie pour les bases et dont le principe est d'ordre
physico-chimique.
Par additions successives de chlorures de calcium, de baryum
et de zinc, en liqueurs acétique, chlorhydrique, etc., on précipite
les acides les uns après les autres.
Non seulement cette méthode n'est pas nouvelle, mais elle ren-
ferme, en outre, des erreurs matérielles manifestes, telles que
la précipitation du cyanure de potassium et de l'acide arsénieux
. CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 05S
par le chlorure de calcium ammoniacal ou la stabilité de la colo-
ration du brome, en présence d*un excès d^eau de chlore.
L*allure théorique du système perd ainsi beaucoup de son im-
portance. H. COPAUX.
Recharche des sels métalliques à Taide des spectres d'ab-
sorption obtenus en présence d'orcanette (II); J. FORHANEK
{Zeit. anal CL, t. 39, p. 673-694; 1900). — Il existe peu de solu-
tions salines capables d'absorber directement certaines radiations
du spectre, mais leur nombre s'accroit considérablement par addi-
tion d'orcanelte et davantage encore, si on alcalinise par Tammo-
niaque.
L'application de ce procédé aux sels métalliques communs a
foit l'objet de la première partie de ce travail [Zeit. anal CJl,
t. 39, p. 409); cette seconde partie est relative aux métaux rares
les plus divers.
Les spectres des nombreux métaux étudiés sont examinés sépa-
rément ; leurs flgures schématiques sont rassemblées en un tableau.
En pratique, cette méthode rendra de faibles services pour la
recherche des métaux mélangés, les bandes principales étant très
voisines et leurs positions, variables avec la concentration.
Pour le cérium, lanthane, néodyme, etc., on observe, en effet,
le phénomène suivant : Si la solution ne contient que des traces
de métal, le spectre est dévié à gauche de sa position normale et,
de phis, les intensités des bandes sont interverties.
Lorsque la quantité de métal est suffisante pour former avec
Torcanelte une laque définie, le spectre devient normal.
L'auteur cherche enfin à établir une relation entre la valence,
le poids atomique des éléments et la longueur d'onde de leurs
raies d'absorption.
En dressant une table périodique des éléments, rangés par
ordre de poids atomiques, et affectant chacun d'eux du nombre
atomique et de la longueur d'onde principale, il constate une pro-
gression parallèle et signale certains rapprochements plus ou
moins inédits. h. copaux.
Sur le dosage dn manganèse et du cobalt à l'état de phos-
phates; H. D. DAEIN (ZelL anal CL, t. 39, p. 784-790; 1900). —
Le phosphate trimanganeux n'est transformé en phosphate ammo-
niaco-manganeux défini qu'en présence d'un grand excès de sels
ammoniacaux. Cette condition défavorable au dosage est évitée,
en opérant comme l'a déjà fait l'auteur, pour le dosage du zinc.
954 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
La solution de sulfate de manganèse est additionnée de phos-
phate neutre d'ammonium, dans la proportion de 10 à 20 parties
de sel pour 1 de métal. Par digestion au B.-M., le précipité
amorphe de phosphate tribasique se transforme complètement en
phosphate ammoniaco-manganeux cristallin, sans addition de
chlorhydrate d'ammoniaque.
Après un quart d'heure, on refroidit et jette sur un creuset-
filtre de Gooch. Le sel est lavé complètement avec une solution
chaude de phosphate d'ammoniaque à 1 0/0, puis à Talcool étendu,
séché, calciné à l'air, et pesé sous forme de P'O'^Mn*.
Le précipité ayant à 100** une composition constante, il est plus
simple de le peser, après dessiccation, à l'état dePO*MnAzH*-|-H«0.
Le cobalt se dose exactement de même, avec une égale pré-
cision, li. COPAUX.
Méthode rapide et exacte de dosage du cuivre dans les
scories par précipitation avec l'aluminium, puis électrolyse;
HEIDENREICH {Zeit. anal CL, t. 40, p. 15-17; 1901). — L'élec-
trolyse directe du cuivre dans les scories ferrugineuses est troublée
par Taclion dissolvante du sulfate ferrique sur le cuivre. Aussi, en
présence d'un excès de fer, a-t-on coutume de séparer d*abord le
cuivre par Thydrogène sulfuré ou l'hyposulfile de soude.
Il est plus simple d'employer Taluminium en liqueur légèrement
chlorhydrique, puis d*électrolyser la solution nitrique du précipité
lavé et séché. h. copaux.
Dosage des cyanures et cyanates dans leurs mélanges;
HELLOR (Zei/. aaaL CL, t. 40, p. 17-21; 1901). — Le cyanure
de potassium commercial est mélangé de cyanate.
Pour doser chacun de ces sels, l'auteur combine le procédé de
Denigès et celui d'AUen-Wôhler.
Cyanure. — La solution, alcalinisée par l'ammoniaque, est ad-
ditionnée de quelques gouttes d^iodure de potassium indicateur,
puis de nitrate d*argent titré.
Dès que le cyanure de potassium est entièrement transformé en
cyanure d'argent soluble dans l'ammoniaque, l'iodure d'argent in-
soluble commence à précipiter.
Cyanate. — D'autre part, l'acide nitrique étendu décompose le
cyanate d'argent selon l'équation suivante, due à Wôhler :
AgOCAz 4- 2 AzO^H + H*0 = AgAzO^ + AzH^AaO^ + CO^.
En employant un excès d'acide, le dosage de l'acidité non dis*
pai*ue permettra de calculer la proportion de cyanate.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 95»
On précipitera donc le mélange de cyanure et cyanate par le
nitrate d'argent; le précipité, lavé, sera décomposé à 50" par 5 ce.
d'acide nitrique normal et le flltrat titré par une solutioade soude.
Il est à noter que la présence de cyanure de sodium entraîne,
dans le calcul de la teneur pour cent, une erreur considérable.
H. COPAUX.
Bosage du calcium et du magnésium dans les eaux natu-^
rellea; L. WINKLER {Zeit, anal. Ch., t. 40, p. 82-92; 1901). —
ModHication du procédé hydrolimétrique basée sur le principe-
suivant. — L'oléate de potassium précipite uniquement les sels
de calcium dans une eau naturelle, additionnée de sel de Seignette
et de potasse caustique.
Si Ton ajoute, non pas du sel de Seignette, mais du chlorhydrate
d*ammoniaque et de Tammoniaque, la chaux et la magnésie préci-
pitent ensemble sous forme d'oléates.
La formation de l'oléate de magnésie n'étant pas immédiate, la
saturation n'est atteinte que lorsque la mousse persiste au moin&
5 minutes.
La composition des liqueurs, les chiffres des expériences préli-
minaires et ceux des analyses sont indiqués avec des détails qui ne^
peuvent trouver place ici. h. copaux.
Dosage gazométrique de la formaldéhyde ; E. REIGLER (Zei/.
anal Ch., t. 40, p. 92-94; 1901). —Le sulfate d'hydrazine est
oxydé immédiatement par l'acide iodique, avec dégagement d'azote :
5(AzîH*.SOni2) + 4ICPH = 5Az2+12H20 + 5SO*H2 + 4I.
En présence de formaldéhyde, l'hydrazine forme une hydrazone
qui n'est décomposée par l'acide iodique qu'au bout de quelques
minutes
La différence des volumes dégagés dans les deux cas permet de^
déterminer la proportion de formaldéhyde.
On emploie le sulfate d'hydrazine à la concentration de 1 0/0 et
l'acide iodique à 10 0/0 ; l'opération s'effectue dans un uréomètre^
et ne doit pas durer plus de 2 minutes.
Une molécule de sulfate d'hydrazine se combinant à 2 molécules
He formaldéhyde, 1 ce. d'azote, à 0» et 760 mm., équivaut à 2»»',7
«L» formaldéhyde. h. copaux.
Contribution à la chimie analytique des alcaloïdes : IV.
Action du brome sur la strychnine et la brucine; V. Emploi
du tannin pour la purification des résidus alcaloidiquas, dans
956 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
les analyses chimico-légales ; C. KIPPENBERGER (ZeiL anal
Cb.y t. 39, p. 699-633; 1900). — Les résultats obtenus par i*action
du brome sur la strychnine et la brucine n*ontpas de conséquences
analytiques, mais ils complètent ou rectifient des observations
anciennes.
I. Action du brome dissous dans Teau pure : a) Sur la strych-
nine. — Formation immédiate de strychnine monobromée
G«H2»BrAz202,
puis de di et tribromostrychnines
C2iH20Br2Az2O2 et C2iH»»Br3Az202.
La substitution ultérieure des atomes d*hydrogène ne se fait
plus qu'avec difficulté, mais la présence d'un excès de sel marin
l'accélère considérablement.
b) Sur la brucine, — Le brome déplace Thydrogène dans le
noyau, jusqu'à une limite encore inconnue, en donnant naissance
à des solutions roses, d'autant plus colorées que la quantité de
brome est plus abondanle.
U. Action du brome en présence de bromure de potassium :
a) Sur la strychnine, — Le sulfate de strychnine en présence
d'eau de brome et de bromure de potassium à 50 gr. par litre,
donne un bromhydrate de perbromure de strychnine monobromée
C2iH««BrAz«0«.HBr.Br«, corps jaune difficilement soluble. Il se
fait en même temps une petite quantité du composé dibromé cor-
respondant : C««H«0Br«Az«O«.HBr.Br«.
Si la quantité de bromure est considérable, la substitution dans
le noyau est enrayée et c'est le bromhydrate de perbromure de
strychnine qui prend naissance : C'*H**Az'0'.HBr.Br*.
La formation de ce sel est favorisée par la présence de sel marin»
au détriment de celle du perbromure de strychnine monobromée.
On n'observe, en aucun cas, de combinaisons renfermant plus
de 2 atomes Br pour 1 mol. de sel de strychnine.
Le dosage du brome additif contenu dans ces composés se fait
par dissolution des précipités dans l'iodure de potassium et titrage
de l'iode déplacé.
b) Sur la brucine. — Les phénomènes observés sont analogues,
mais les corps formés sont plus solubles dans l'eau que les dérivés
de la strychnine.
La présence d'acide accélère la transposition entre le sulfate de
brucine et le bromure de potassium.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 957
On n'obtient pas non plus de perbromures contenant plus de
2 atomes Br pour 1 mol. de sel de brucine.
Emploi du tannin pour la purification des résidus alcaloïdiques.
-^ L*auteur a déjà proposé de purifier les tannâtes d'alcaloïdes
par dissolution de ces sels dans la glycérine.
A cette méthode, von Senkowski objecte que la glycérine dis-
sout partiellement les albuminoïdes qui composent ordinaii^ment
rimpureté.
Aussi opère-t-il d*une manière différente, en traitant la matière
suspecte par une solution d'acide tartrique et précipitant ensuite
les impuretés par une solution de tannin à 10 0/0. On élimine le
tannin avec de la peau en poudre et, dans la liqueur, on retrouve
Talcaloïde purifié.
Il est exact, en effet, que la peptone de Witte, par exemple, est
soluble dans la glycérine; par contre, des débris de cadavres,
traités à 40"* selon le procédé de l'auteur, ne laissent dans le filtrat
aucune matière albuminoïde.
En outre, la méthode préconisée par von Senkowski n'est appli
cable qu'à des alcaloïdes à tannâtes difficilement solubles (brucine,
strychnine) ; elle ne Test pas pour l'atropine.
Une modification avantageuse du procédé de l'auteur consiste
à traiter le précipité tannique par l'acétone, qui ne dissout prati-
quement aucun albuminoïde. Le tannate d'alcaloïde, passé en so-
lution, est additionné d'un peu de glycérine et d'acide chlorhydrique
et la solution, débarrassée d'acétone par évaporation, est agitée
avec du chloroforme.
Cette manière d'opérer offre, sur le traitement direct au tannin-
glycérine, l'avantage de séparer plus nettement les protéines et de
faciliter fextraction finale, par suite de la moindre quantité de
glycérine employée.
Détail opératoire, — Traiter la matière suspecte par l'alcool
acidulé. Evaporer l'alcool, délayer le résidu avec un peu d'eau et
d*acétone, puis ajouter le tannin avec une nouvelle quantité d'acé-
tone. Aciduler légèrement par l'acide chlorhydrique et laisser
digérer à une douce chaleur. Le filtrat, additionné de 10 à 20 ce.
de glycérine, d'eau et de 1 à 2 ce. d'acide chlorhydrique, est con-
centré au B.-M. Après expulsion de l'acétone, diluer, agiter avec
le chloroforme.
L'ancienne méthode pourra s'appliquer sans changement à cer-
tains cas particuliers, notamment ceux où il s'agit d'opérer avee
une i)etite quantité de matière ou sur des alcaloïdes facilement
ejotrainables par la vapeur d'eau.
«58 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGEaS.
Le choix de la mélhode d'isctlemeat des poisons dans une exper-
tise légale doit être approprié à la nature de la matière suspecte.
H. COÏ-AtJX.
Recherches critiques snr la valeur quantitative des réactifs
protéiqnes; H. SCHJERNIHG {Zeit. anal. Cb., t. 39, p. 545-566;
1900). — Un bon réactif des matières albumiaoldes doit précipiter
toutes les protéines et rien que les protéines. L'auteur a examiné
sous ce rapport divers réactifs déjà proposés par lui ou par d'autres
chercheurs : SnCl*, HgCI*, acétates de plomb, de fer, d'uranium,
SO'.Mg, eau de bromt>, acide tannique, réactif de Stulzer et ncide
phosphotungstique.
Ces corps ont été mis en présence de substances azotées non
proLéiques — amino-amides, ieucomaïnes, etc. — d'une teneur
connue en azote et l'on a dressé un tnbleau donnant, en centièmes
de cette teneur primitive, les quantités d'azote contenues dans les
précipités.
De cet ensemble, il résulte que chacun des réactifs cités est
capable de précipiter, de préférence et plus ou moins complète-
ment, certaines de ces matières non protéiques.
SnCl» précipite parlielleinent l'alloxane; HgCl', l'ammoniaque
dans l'acétate d'ammonium; SU*Mg à saturation précipite l'acide
hippurique, la caféine, la brucine, etc.
L'acétate d'uranium, en présence d'acide phosphonque, précipite
un grand nombre de matières azotées. S'il existe de l'acide phos-
phorique dans la liqueur, on le séparera d'abord par l'acétate de
plomb et, dans le liquide liilré, on ajoutera l'acétate d'urane.
L'eau de brome agit à peu près comme le sulfate de magnésie,
et le réactif de Stutzer comme l'acétate ferrique.
Quant à l'acide phosphotungstique, il précipite un si grand
nombre de matières azotées non protéiques que son emploi doit
être prohibé.
' -- réactifs auxquels on doit accorder la préférence, lorsqu'il
d'obtenir un précipité ne renfermant que des matières pro-
s, sont SnC)^ et les acétates de plomb, de fer et d'uranium,
iteur a fait l'étude critique inverse de l'action des mêmes
s sur les matières purement protéiques.
ableau des résultats montre qu'aucun réactif ne mérite, sous
port, une préférence absolue, mais que le choix doit varier
les applications qu'on se propose,
procédé de Laszczynski — digestion dans l'eau pealanl
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 959
1 heure sous une pression de 1,5 atmosphère — aboutit à la pep-
ionisation et non à la précipitation des albuminoïdes.
L*eau de brome et le tannin ne sont pas plus avantageux.
Le réactif de Stutzer a le double inconvénient de précipiter les
amino^mides et de laisser à Tétat dissous une partie des peptones
réelles.
Il faut observer enfin que s*il existe dans la liqueur des sels de
métaux légers, la plupart des réactifs perdent leur valeur, parce
qu'il se forme, par transposition, des combinaisons protéo-métal-
liques solubles de métaux légers.
SO^Mg à saturation, SnCl^ et le réactif de Stutzer font exception
k cett€ règle. h. copaux.
Sur le dosage des matiôrei albnminoides dans les tour-
teaux; H. SCHJERNING {Zeit. anal Cb., t. 39, p. 633-689; 1900).
— A l'occasion d*une loi danoise récente, concernant les tour-
teaux, la question suivante a été soumise à l'auteur : Peut-on
employer l'acétate d'urane à la précipitation des matières pro-
téiques dans les tourteaux ?
On a jusqu'ici appliqué, en pareil cas, Toxyde de cuivre hydraté :
réactif de Stutzer et ses variantes.
Ce réactif précipite peu ou pas les peptones, défaut peu impor-
tant dans l'application présente, les divers tourteaux examinés
étant exempts de peptones. Mais par contie, il précipite un certain
nombre de matières azotées non protéiques, en particulier les
amino-amides, qui semblent exister dans les tourteaux de tour-
nesol et de graines de coton.
D'autre part, l'acétate d'urane, en présence de phosphates, pré-
cipite la piperazine, l'arginine, l'asparagine, mais l'auteur^ se
basant sur des résultats de dosages comparatifs, ne croit pas à la
présence de ces corps dans les tourteaux.
Il donne donc la préférence à l'acélate d'urane, et l'emploie de
la manière suivante :
Faire digérer 1/2 gr. à 1 gr. de matière dans 100 ce. d'eau dis-
tillée, à température ordinaire, pendant 20 heures. Chauffer
ensuite à 50^, ajouter 20 à 40 ce. d'acétate d'urane à saturation et
maintenir à Tabri de la lumière pendant une demi-heure. Le pré-
cipité, jeté sur filtre, est lavé S ou 3 fois avec une solution d'acé-
tate d'urane à 2 0/0.
Placer le précipité avec le filtre dans une fiole de 250 ce,
verser 50 ce. de lait de magnésie (11 gr. MgO calcinée dans
2 litres d*eau) faire bouillir à flamme légère jusqu'à presque des-
960 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGEHS.
siccation. L'ammoniaque étant ainsi éliminée, doser l'azote dans
le résidu par la méthode de Kjeldahl. h. copaux.
Sur une nouvelle modification de la méthode de Hûbl pour
la détermination des indices d'acidité et de saponiflcatioB
des cires; Otto EICHHORN {Zeit. anal Cb,, t. 39, p. 640-645;
1900). — La saponification d*une cire par la potasse alcoolique
n'est pas toujours terminée au bout d'une heure, temps prescrit
par Hûbl, surtout en présence de cérésine et de paraffine. On
s'expose ainsi à déclarer falsifiées des cires vraies difflcilement
saponiflables, telles que les cires russes.
La saponification est, au contraire, rapide en liqueur amylique,
et le chiffre d'acidité se détermine aussi plus rapidement.
Indice dacidité. — Dissoudre 6 gr. de cire dans 60 ce. d'alcool
amylique, faire bouillir, titrer avec la potasse alcoolique N/iO ea
présence de phlaléine, vers 60**.
Les chiffres obtenus sont toujours inférieurs à ceux qu'on a
adoptés jusqu'ici, sauf en ce qui concerne la cire de Camauba.
Indice de saponiûcalion. — Placer 5 gr. de cire dans une fiole
de 300 ce, puis 60 ce. d'alcool amylique et 25 ce. de potasse
alcoolique normale, obtenue en dissolvant 50 à 60 gr. de potasse
dans 150 ce. d'eau et complétant à 1 litre avec de l'alcool à 95*.
Dans un second flacon, on verse 60 ce. d'alcool amylique et
25 ce. de potasse alcoolique normale, mélange qu'on titre après
Topération pour constater la diminution d'acidité résultant de la
formation d'amylate.
Les deux flacons sont chauffés ensemble à 100*, pendant une
demi-heure, et le contenu, titré par l'acide chlorhydrique N/2
avec 1 ce. de phlaléine à 1 0/0. Quand le liquide est devenu inco-
lore, reporter au B.-M. jusqu'à séparation des deux couches et
terminer l'addition d'acide quand la couche inférieure aqueuse
devient jaune pur par repos à chaud.
Ce mode opératoire donne des chiflres très supérieurs aux
indices de Hûbl.
Les constantes rectifiées d'un grand nombre de cires seront
présentées dans un autre mémoire, mais on peut dire en général
que tout indice de saponification inférieur à 90* révèle une cire
falsifiée. h. copavx.
Dosage simple et rapide de l'acide humiqne; H. BORRTRA-
GER (Zeit. anal. Cl},, t. 39, p. 790-791 ; 1900). — L'acide humique,
régénéré de ses solutions alcalines par l'acide chlorhydrique, est
ClilMUS GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 9Bl
difliciie à flltrer et laver; on le dose plus commodément à Taide
d'un procédé volumétrique qui s'inspire de celui de G. Messou
pour le titrage de la cochenille.
On prépare une solution alcaline type de terre de Cassel la,
dont la teneur en acide humique est constante et, d'autre part,
une liqueur de chlorure de chaux ou de soude. Celle-ci est titrée
en fonction de la première, en présence d'une quantité toujours
égale d'acide chlorhydrique, et par décoloration.
La solution alcaline de la matière à essayer : sol, tourbe, lignite,
est traitée exactement comme la liqueur type; le volume d'hypo-
chlorite employé permet de calculer la quantité d'acide humique
présent. h. copaux.
Sur l'analyse de la tourbe; H. B0RNTRA6ER (Zeil. anal. Ch.,
t. 39, p. 694-698; 1900). — Il existe deux sortes de tourbes; l'une,
claire et légère, l'autre, sombre et dense, d'origine plus ancienne.
Toutes deux contiennent eau, acide humique, ammoniaque, cellu-
lose, matières protéiques, résines, gypse et matières minérales.
Elles difTérent par la teneur en fibre, en acide humique et en azote.
La première sorte est très hygroscopique, la seconde ne Test pas.
DÉTERMINATIONS ANALYTIQUES : i"* Kau. — Dossiccation à 100'
jusqu'à poids constant.
2* Résines, — Extraction de la matière sèche par l'éther an-
hydre.
3* Azole, — Procédé de Kjeldahl.
Si l'on veut doser à part l'ammoniaque contenue sous forme
d'bumate, on la déplace par la soude et la recueille dans un acide
titré.
4* Acide bnmique ei fibre, — L'auteur attribue à l'acide humique
un rôle particulièrement important, au point de vue agricole, non
seulement comme aliment des plantes, mais aussi comme agent
de transformation de la cellulose en sucres et gommes végétales.
On traite 1 à 2 gr. de tourbe par 5 gr. de carbonate de soude
el 200 gr. d'eau pendant une heure. Après trois épuisements,
jeter le liquide sur filtre taré; le résidu, lavé et séché à 105',
représente la fibre. La solution brune d'humate de soude est
acidulée par l'acide chlorhydrique, portée à Tébullition et le pré-
cipité d'acide humique est jeté sur filtre taré, séché à 105**, et pesé.
L'acide humique peut être dosé plus rapidement par ébullition
de la tourbe avec un lait de craie précipitée et mesure de l'acide
carbonique dégagé.
ttoc cHm., 3* sKiw, T. xwx 1901. ^Trav. étrang. 01
Baa ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANUERS.
5° Cendres. — Humecter i gr. de tourbe avec du nitrate d'am-
moniaque et calciner dans une capsule de platine.
Exemples d'analyses :
TûOtbc Tourbe
de HaioTra. d'OldcDÏnir;,
Eau 30 20
Cendres 3 3
Fibre 55 47
Acide liumiquo 1â 'M
Azole total 1,1 S
Azote flmmoniutal 0,3 0,T
Les ligniles et le brun de Cassel s'analysent de même. Une
terre de Cassel pure et sèche doit contenir au moins 95 0/0 d'avide
humique. ». copau\.
Statistique aunusU* des vias alltmands pour 1898 [Heil.
anal. Cb., t. 39, p. 737-783; lUOOl. — Celte publication est due
à la commission allemande de statistique vinicolo, siégeant à
Munich.
Elle se compose d'une importante série de tableaux détaillés,
donnant, avec la désignation des crûs, la nature des sols et la
variété des fruits, l'analyse des moûts et des vins correspondants.
Etade des boues de tonrbières de Bad Sûlze et Goldanits
avec tables de compositions comparatives de quelques tonrbn ;
HOFFMANN {Zeit. aimi. Cb., t. 40, p. 22-33; 1901) — L'examen
de ces boues avait pour objet do déterminer leurs qualités théra-
peutiques.
L'analyse a montré, dans la première^ la présence de fer, alu-
minium, calcium, magnésium, potassium, sodium, ammoniaque,
acides sulfurique, sulfhydriipie, chlorbydrique, phosphorique, sili-
cique, nitri<|uc et nitreux. Il y existe, &a outre, du tannin, do l'acide
formique, de l'acide humique, do l'humine et de la cellulose.
L'auteur publie un certain nombre de chifTrea relatifs aux deux
«=...\..ng étudiées, sans en faire rcssor^r une conclusion nette.
âsemble, en un tableau bibliographique, les analyses soté-
î conciiroanl les tourbes. h, coraux.
ige du lactose dans le lait par polarisation et par rèdnc-
A. SCHElfiE iZcit. anal. Cb., t. 40, p. 1-15; 1901). —U {
i pola ri métrique du lactose dans le lait donne couramment
CHIMIE GÉNÉRALE Et MINÉRALE. 9B8
dert résultats plus forts que le dosage gravimétrique, selon le
procédé de Soxhlet. La plupart de ceux qui ont observé cette
différence Tont attribuée à la présence, dans le lait, d'un hydrate
de carbone dextrogyre et non réducteur, alors qu'elle n'est due,
suivant l'auteur, qu'à des erreurs systématiques de dosages.
Le procédé de Fehling, modifié par Soxhlet, ne donne en effet,
des résultats acceptables, qu'après élimination des sels de chaux.
D'autre part, le procédé optique comporte trois causes d'erreur
importantes : influence de l'acétate de plomb sur le pouvoir rola-
toire et du volume de précipité sur le calcul flnal, entraînement du
lactose dans le précipité plorobique.
Des solutions identiques de lactose pur, additionnées de 5 à
20 volumes 0/0 d'acétate de plomb, accusent, en effet, au polari-
nnètre, des variations en teneur de 100 à 87.
A ce réactif, on substituera Tiodomercurale de potassium de
Briicke, dont l'influence sur le pouvoir rotatoire est presque nulle.
l^ volume du précipité formé avec les albuminoïdes étant alors
très notable, on le détermine empiriquement, en mélangeant des
solutions de lactose pur et de lait, de titres polarimélriques sépa-
rément connus. Avec le titre du mélange, on établit une équation
d'où l'on déduit la grandeur du volume de précipité.
Voici, modifiés par l'auteur, les modes opératoires :
Dosage gravimétrique par la liqueur de Fehling. — Etendre
âTi ce. de lait avec 400 ce. d'eau, ajouter 10 ce. de sulfate de
cuivre à 69^',28 par litre, puis 3*'*',5 à 4 ce. de soude normale
et 20 ce. d'une solution saturée à froid de NaF, destinée à préci-
piter la chaux.
Etendue à 500 ce. après une demi-heure et filtrer.
Faire bouillir pendant 6 minutes 100 ce. du filtrat avec 50 ce.
de liqueur de Fehling. Rassembler l'oxydule, le réduire dans
l'hydrogène et calculer selon les tables de Soxhlet la quantité de
lactose correspondante. La forte dilution du liquide rend inutile
la correction due au volume du précipité.
Dosage polar imétrique, — Additionner 75 ce. de lait de 7*%o
SO*H' à 2i0 0/0 et 7^*,5 d'une solution d'iodomercurate de potas-
sium contenant, par litre, 80 gr. IK et 110 gr. Hgl*. Amener
à 100 ce. et examiner le liquide filtré, dans un tube de 10 cm.
On tiendra compte de la correction due au volume de précipité
en multipliant le résultat par 0,94 pour le lait entier, par 0,97 pour
le loît écrémé.
Kn procédant ainsi, les différences entre les deux modes de
dosage se réduisent aux erreurs d'expérience, ce qui élimine l'hy-
964 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
pothèse de la présence dans le lait d'un hydrate de carbone
dextrogyre et non réducteur.
Des analyses semblables, exécutées sur le colostrum, aboutissent
aux mêmes conclusions. h. copaux.
Dosage du fer dans l'urine humaine normale ou patholo-
gique; HOFFMANN (Zeit, anal, Ch., t. 40, p. 78-82; 1901). -
Historique des recherches antérieures et description des procédés
suivis par Tauteur lui-même.
La destruction des matières organiques s* opère par calcination
ou par les oxydants humides, sans variation dans les chiffres
obtenus.
/" méthode. — Evaporer au B.-M. 500 ce. d'urine, calciner le
résidu, le reprendre par l'acide nitrique et calciner de nouveau.
Si la combustion n*est pas complète, épuiser par Teau et calciner
encore.
Le résidu et le liquide sont traités par Tacide chlorhydriquo
bouillant; on précipite par le sulfhydrate alcalin.
Brûler jle précipité avec le filtre, fondre avec du bisulfate et
titrer au permanganate, après réduction, dans Facide carbonique,
par du zinc de teneur connue en fer.
^ méthode. — Concentrer à petit volume 500 ce. d'urine addi-
tionnée de 30 ce. d'acide nitrique concentré. Ajouter en plusieurs
fractions, 50 ce. d'acide nitrique, 10 gr. d'azotate d'ammoniaque
et iO ce. d'acide sulfurique concentré. Quand Toxydalion est jugée
complète, on termine comme précédemment.
Résultais moyens :
mgr
Urine normale 1 ,09 de fer par jour.
— de leucémique 1,31 —
— de diabétique 3,70 —
— de diabétique (cas exceptionnel). 22,02 —
H. COPAUX.
Thermorégnlateur simple; von KALECSINSZET (Zeii. ami*
Ch., t. 39, p. 698-699; 1900). — Réclamation de priorité au sujet
d'un appareil proposé par Bolm (Zeit, anal, Ch., t. 39, p. 315).
H. COPAUX,
Nouveaux appareils de laboratoire ; P. METZGER (ZoH. anal-
Ch., t. 39, p. 791-794; 1900). — Description de sondes et flacons m
d'échantillonage et d'un support à burettes sans nouveauté. "
H. COPAUX.
CHIMIE ORGANIQUE. 9<i5
CHIIIE ORGANIQUE
Contribution à la connaissance des processus d'oxydation ;
G. Ton GE0R6IEVICS et L. SPRIN6ER {Mon. f. Ch., t. 21, p. 413).
— 1. Oxydation de Findigo par f acide cbromique en présence
fstcide oxalique, — Dans l'impression du calicot, on obtient des
décharges ou des rongeages sur indigo en imprimant sur le tissu
teint, un chromale ou un bichromate de potassium ou de sodium
et passant ensuite le tissu dans un bain d*acide sulfurique étendu
renfermant de Tacide oxalique.
L'oxydation de l'indigo par l'acide cbromique ou le bichromate
et Tacide sulfurique seuls, sans acide oxalique se fait bien plus
lentement. Le rôle de Facide oxalique dans cette réaction est
jusqu'ici inexpliqué.
J. Mullerus et J. Margulies [Fàrberzeitung, 1892-1893, p. 284)
avaient admis qu'il se forme un oxyde de chrome (CrO*) pouvant
oxyder plus facilement l'indigo, mais ceci fut combattu par Scha-
poschnikofT.
Les auteurs arrivent à la conclusion suivante : Le fait caracté-
ristique c'est que Taugmentation de la vitesse d*oxydation est
proportionnelle à la quantité d'acide oxalique présente : son action
est donc catalytique.
n. Oxydation de T acide oxalique par le permanganate de potas^
siam. — Quand on titre du permanganate au moyen d'une liqueur
d'acide oxalique, on constate que les premières gouttes de camé-
léon se décolorent lentement tandis que les suivantes sont décolo-
rées instantanément.
Ceci montre que l'oxydation de l'acide oxalique par le perman-
ganate est lente, et qu'elle ne devient rapide qu'en présence d'un
composé qui ne se trouvait pas dans la solution au début. Il était
légitime d'admettre que ce produit est du sulfate de man^^anèse ;
en effet, une trace de ce composé ajouté à une solution d'acide
03calique, suffit pour que l'oxydation soit instantané(\ Dés lors le
processus d'oxydation se fera de la manière suivante, le perman-
ganate réagira sur le sulfate de manganèse pour doruu^r du bioxyde
de manganèse, letjuel oxyde l'acide oxalique. Cependant la réao
tion n'est pas simplement :
90G ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
car on constate toujours dans la solution la présence d'un compose
aj'anl les propriétés des superoxydes ; il décompose Tiodure de
potassium et colore les solutions de titane.
Les auteurs ont fait des essais qualitatifs et ont trouvé que la
quantité de ce produit n*est que de quelques millig^rammes dans
500 ce. (calculé en peroxyde d'hydrogène). Ils supposent que ce
composé constitue un peroxyde de Tacide oxalique, mais ils ne
sont pas parvenus à l'isoler. a. wahl.
Action de l'acide azoteux sur lo propylône. Nitrosite de
propyMne; N. DÉHIÂNOF {Jcurn. Soc. phys. chim. /?., t. 33,
p. 275 ; 1901, fasc. 4). — Dans un flacon contenant de Télher on a
fait arriver, d'une part, du propylène produit par l'action de la
poudre de Znet de l'alcool sur le bromyre de propylène, et, d'autre
part, des vapeurs nitreuses provenant de l'action de AzO^H sur
As'O^. Bientôt l'éther a pris une teinte bleu verdâtre et a laissé
déposer une matière cristalline, peu sol. dans l'alcool et l'éther
bouillants, peu sol. dans l'éther acétique froid, mais assez sol. dans
le même éther bouillant; par refroidissement de la sol. dans
l'éther acétique, on obtient des cristaux prismatiques, brillants;
F, 119-120** avec dégagement de gaz; l'analyse indique la formule
C^H^Az^O^ ; le poids moléc. n'a pas été déterminé, à cause de la
faible solubilité de ce corps dans les solvants organiques. La ré-
duction par Sn et HCl fournit la propylènediamine C®H%\zH*)*,
caractérisée par son chlorhydrate et son chloroplatinate.
Ainsi le propylène forme un nitrosite C^H^Az'O^, comme Téthy-
lène, le propyléthylène et le diméthyléthylène symétrique; les
nitrosites de ces carbures sont les premiers obtenus dans la série
grasse ; d'autres carbures éthyléniques, p. ex. l'isobutylène, le
triméthyléthylène et autres éthylènes trisubstitués, et eiàfia le
tétraméthyléthylène, donnent des combinaisons du type nitrosale,
c.-à-d. dont la formule générale est C*H«"Az*0*. — D'après les
résultats obtenus jusqu'ici, l'auteur arrive à cette conclusion» que
les carbures contenant les groupes R-CH=CH* et R-CH=CHH
forment des nitrositesy et que les carbures coatenam les groupes
R«>C=CH«, R«>C=CHR et R*>C=C<R* forment des aitrosates.
Cette règle parait aussi s'appliquer au cas où R est un radical
aromatique. a. corvisy.
Condensation des aldéhydes sous l'influence des aloooUtes À
d*aluminium ; V. E. TISTCHENKO (Journ. Soc. phys. cbim. Il, "
t. 33, p. 260 ; 1901, fasc. 4). — En i8il9 l'auteur avait reconnu
CHIMIE ORGANIQUE. 967
que Taldéhyde acétique, sous l'influence de l'éthylale d'Al, se
transforme en élher acétique; de nouvelles recherches ont montré
que, dans les mêmes conditions, d'autres aldéhydes éprouvent des
transformations analogues : Taldéhyde formique produit du for-
miate de méthyle ; l'aldéhyde isobutyrique produit de Tisobutyrate
d'isobutyle ; l'aldéhyde benzoïque produit du benzoate de benzyle,
le chloral fournit du trichloracétate de l'alcool trichloréthylique
(expériences de Grigorief). La réaction s'exprime par l'équation :
RCHO HGH»
(I) = >0.
RCHO HCO
Si l'alcool de Talcoolate employé comme agent de condensation
n'est pas celui auquel correspond Taldéhyde, mais un alcool quel-
conque R'OH, rëthor (I) est mélangé de l'éther R'-O-COR, dont la
formation s'explique par une double décomposition entre l'alcoo-
late et l'éther (1) :
3HCH20GOR + (R'0)3A1 = 3R'0G0R + (RCH20)3A1.
Ces transformations des aldéhydes par les alcoolates d'Al, ainsi
que la transformation, découverte par Claisen, de l'aldéhyde
benzoïque sous l'influence de l'alcoolate de Na, sont analogues à
la formation du glycolide du glyoxal, de la iactone de l'ac. y-oxy-
biilyrique, de la phlalide des aldéhydes succinique et phtaliquO;
de la dichlorophtalide du chlorure de phlalyle :
yCHO /CH2
'/ = R"< >0
On a ici une transformation des aldéhydes en acides et alcools
semblable à celle qu'éprouvent sous l'influence des alcalis les
aldéhydes benzoïque, oxy-isobutyrique, 2-diméthyl-8-oxypropio-
nique, le furfurol ; la seule différence c'f.st que, dans la condensa-
lion des aldéhydes sous l'influence des alcoolates d'Al, l'éther se
formant en l'absence de l'eau n'éprouve pas de saponification;
l'absence d'alcalis fait aussi que la réaction se continue normale-
môme avec les aldéhydes qui, comme l'ai, acétique, se résinifient
par les alcahs. a. corvisv.
Snr une condensation de Tacétone avec l'urée , A. WEIN-
SGHEHK (D. cL C, t. 34, p. 2185-2187; 20.7.1901). L'urée ne
s*unit pas directement à l'acétone, mais si l'on sature de gaz HGl
une émulsion d'urée dans l'acétone, la première disparaît peu à
968 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
peu (par suite de la formation de chlorhydrate d'urée soluble) ; on
chauffe ensuite à l'ascendant pendant 7 heures, et par refroidisse-
ment on obtient des cristaux de triacétone-di-urée
GH3 GH3 GH3
I - - ' l
>-Az=C ,
G=Az-CO-AzH-(>AzH-GO.
I I
H3 GH3 GH3
A
qu'on purifie par un lavage à l'alcool et une cristallisation dans
l'eau bouillante; paillettes blanches renfermants mol. d'eau qui
partent à 120-125*», peu sol. dans l'aie, froid, insol. dans Télher,
f. avec décomposition vers 265-268*. Ce corps se dissout facile-
ment dans les acides; l'eau le dédouble à 140-150** en vase clos en
AzH^, GO* et acétone ; les acides et les alcalis agissent de même
à des températures plus basses; avec AzO^H on obtient du nitrate
d'urée et de l'acétone. p. freundler.
Action du peroxyde d'azote sur les étbers des acides non
saturés; V. E60R0F {Journ. Soc. phys. chim. /?., t. 33, p. 57,
2" p.; 1901, fasc. 4). — En saturant de Az'O* une sol. élhérée
d'acrylate de méthyle refroidie dans un mélange de glace et de
sel, on a obtenu une combinaison des deux corps; liquide, Eb.
vers 110** sous 10 mm., contenant 11,37 0/0 d'Az. — Dans les
mêmes conditions, le crotonate d'éthyle donne une combinaison
analogue contenant de 8,14 à 8,88 0/0 d'Az et bouillant de 107 à
133** sous 4 mm. — Az*0* s'unit aussi à l'ac. crotonique et au fuma-
rate d'éthyle; dans ce dernier cas, le produit est cristallisable. —
L'ac. isocrotonique en sol. élhérée est transformé par Az*0* en
ac. crotonique,
La réduction par Sn et HCl du produit de l'union de Az*0* avec
l'éthcr acrylique a fourni un ac. amidooxypropionique, matièn»
cristallisée donnant un chlorhydrate et un chloroplatinate cristal-
lisés. La réduction des produits de l'union de Az*0* avec le croto-
nate d'éthyle, l'ac. crotonique et l'ac. isocrotonique, a donné \o
même ac. amidouxybutyrique. — Etude non terminée.
A. C0RVI8Y.
Préparation des anhydrides d'acides au moyen d'aminés
tertiaires; E. WEDEKIND {D. cb. G., t. 34, p. 2070-2077;
6.7.1901). — La formation des anhydrides d'acides au moyen des
chlorures et des bases tertiaires a été expliquée par la formation
I
CHIMIE ORGANIQUE. 969
PI
momentanée de produits d*addition intermédiaires R5Az<;p^ ^^ ;
de tels corps n*ont cependant Jamais été isolés. L'auteur admet
que le chlorure d'acide perd HCl, tandis qu'il se forme du chlor-
liydrate de base tertiaire (l'existence de ceux-ci a été démontrée),
le résidu R.CH-CO se soudant à lui-même pour donner un produit
de polymérisation, à moins qu'il ne se trouve en présence d'eau
(i/â mol.)} auquel cas il se fait un anhydride d'acide :
2R-GH-C0 + H^O = (R-CH2-CO)20.
I I
Ce dernier point est en effet confirmé par l'expérience. La réac-
tion devient alors comparable à celle de Baumann-Schotten.
Uanhydride isobutyrique a été obtenu en mélangeant le chlo-
rure (12 gr.) avec de la pyridine (9 gr.) en sol. élhérée. On laisse
reposer à l'air humide tant qu'il se dépose un ppté blanc de chlor-
hydrate. La sol. éthérée, filtrée, lavée à l'eau glacée, puis avec
Na'CO' et enfin à l'eau, est séchée sur Na*SO* et rectifiée. Rende-
ment en produit brut 6 gr. — Vanhydride isovalérlqiie (Eb. 200-
210*) a été préparé d'une façon analogue en employant la tripro-
pylamine. — Vauhydride a-broûiopropionique bout à 123-124**
sous 10 mm. ; chauffé avec de Teau et de l'aniline il a fourni de
Vac, oL-anilidopropionique f. à 162-162'*,5. — Vanhydride oL-brom^
isobutyrique n'a pu être obtenu à l'état de pureté. — L'aahydride
cianamique préparé avec la pyridine, sans dissolvant, fond à 136°
(aiguilles sol. dans l'alcool) ; traité par la phénylhydrazine, il fournit
Vbydrazide en aiguilles prismatiques f . à 187<», sol. dans l'alcool.
— Uanbydride piiénylacétique n'a été obtenu qu'en quantité va-
riable (60 0/0 au maximum) ; il se forme en même temps un peu
de dibenzylcétone dont Voxime fond à 121-122°, et la semicarba-
zone à 145-146° (paillettes nacrées sol. dans l'alcool). Dans cette
dernière réaction on peut remplacer la base tertiaire par FeCl^
anhyJre; les rendements en anhydride sont améliorés de ce fait.
De l'action du chlorure de p.-nitrobenzoyle sur la pyridine, on n'a
pu retirer que Tac. correspondant. p. FnEuxn.ER.
Action des bases tertiaires sur le bromomalonate de
méthyle; E. WEDEKIND {D. ch. G., t. 34, p. 2077-2081 ; 6.7.1901).
— Tandis que les éthers gras halogènes s'unissent aux bases?
tertiaires pour donner des produits d'addition du type
R*Az<qÙ4qq^5U5, les dérivés correspondants des acides biba-
i
^M
970 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
siques se comportent d'une façon tout à fait différente. Ainsi la
benzylpipéridine réagit à froid sur le bromomalonate de mélhyle
pour donner de Véther éthylène-tétracarbonique f. à 121*.
/C02GH3 CH3.02Gv /C02CH3
< =2HBr+ >Gr(X
\C02CH3 GH3-02C/ \C0aGH3
Cet éther cristallise en prismes clinorhombiques, tandis que
Téther éthylique cristallise dans le système triclinique. On trouvera
dans le mémoire original la description cristallographique de ceb
deux corps.
L*éther bromomalonique réagit également surlatripropylamine.
p. FREUNDLER.
Sur le nitrile de Tacide nitroso-isobutyrique et ses dérivés;
0. PILOTT et B. GRAF SCHWERIN {D. cL G., t. 34, 1868-1870;
22.6.1901 ). — Le nitrile nitroso-isobutyi'ique s'obtient en saturant
de chlore à 0** une solution aqueuse de nitrile hydroxylamino-iso-
butyrique {CW)^C<^^^ ; il se précipite à l'état huileux (liquide
bleu) et se solidifie ensuite par agitation. Cristaux f. à 53**, très
volatils, peu sol. dans l'alcool, insol. dans jl'eau, se décomposant
peu à peu et spontanément en nitrile nitro-isobutyrique, vapeurs
nitreuses et en un composé cristallin C^^H^^Az^O dont la nature n'a
pas été déterminée. AzO^H concentré donne naissance aux mt^mes
produits; HCl saturé à 0"* saponifie le nitrile nitrosé à froid en
donnant Vamide (CH3)*C<p^ . „, . celle-ci s'obtient aussi en
saturant à 0** de gaz HCl une sol. aqueuse de nitrile hydroxylami-
no-isobutyrique; le chlorhydrate de Tamide qui se précipite fond
à 210** (von Miller); on le dissout dans l'eau, et on salure de chlore
à 0**. L'amide nitroso-isobutyrique cristallise en prismes f. à 158*,
peu sol. dans l'alcool et l'éther, sol. dans l'ac. acétique chaud en
se décomposant légèrement.
Vamide nitro-isobutyrique (CH3)aC<pîM „,, s'obtient en trai-
tant le nitrile correspondant par HCl saturé à 0®. Paillettes nacrées
f. à 117.118*» sol. dans l'alcool et l'eau, peu sol. dans l'éther. SCHH«
dilué décompose cette amide en acétone, GO*, etc., suivant l'équa-
tion :
2(CH3)2C(Az02)G02H = 2(CH3)2GO + 200^ + H^O -f Kt^O.
Le nitrile hydroxylamino- isobutyrique saturé de gaz HCl sec en
CHIMIE ORGANIQUE. 971
&ol. dans l'alcool absolu, fournit Vimino-éther correspondant dont
!o fi icblor hydrate (CH'»)«C(AzH.0H).C(=AzH)0C*H».2HCl, fond à
108^ en se décomposant et se dissout dans Teau en se transformant
en bydroxylaminO'isobulyrate d*éthyle (huile verdàtre sol. dans
l^'eau, bleuissant à Tair en s'oxydant) ; le chlorhydrate est décomposé
par l'alcool chaud et insol. dans l'éther.
L'oxydation de Thydroxylamino-isobutyrate d'élhyle par Cl à 0*
en sol. aqueuse fournit l'éther nitrosé correspondant
<AzO
G02G2H5
en cristaux blancs, peu sol. dans l'eau f. à 89<» en un liquide bleu
qui se décompose quelques degrés plus haut. — En saturant de
^Bz AzH^ sec le chlorhydrate d'imino-éther décrit plus haut, main-
tenu en suspension dans l'alcool, on obtient le chlorhydrate dhy-
droxyJamino-isobulyramidine (CH3j«G(AzH.0H).C<^^|;{, ^^^,
poudre cristalline blanche, f. à 154° avec décomposition, sol. dans
Veau, peu sol. dans l'alcool, insol. dans l'éther. Il se forme en
même temps que ce sel une combinaison f. à 221*» avec décompo-
sition, sol. dans l'eau qui la dédouble en AzH^ et en un nouveau
composé f. à 245**. Le chlore transforme le chlorhydrate d'isobu-
lyraraidine dans le dérivé nitrosé correspondant; les oxydants
tels que KMnO* donnent avec lui un produit violet foncé; FeSO* et
AzH^ ou PbO* et NaOH le colorent en bleu foncé.
Le chlorhydrate de nitroso-isobutyramidine
C^H^AzSO.HCa + HîO,
cristallise en prismes (dans l'eau), peu sol. dans l'alcool, insol.
dans l'éther. Il se déshydrate vers 110° et fond vers 161° en se
décomposant; ses sol. présentent les mêmes réactions colorées
que celles du dérivé hydroxylaminé. Le sul/ate est très peu sol.
dans l'eau. p. freundler.
Sur l'existence de dérivés de Tazote tétravalent; 0. PILOTT
et B. GRAF SCHWERIH (D. ch. 6'., t. 34, p. 1870-1887 ; 22.6.2901).
— Le nitrile nitroso-isobutyrique traité par l'aniline en sol. acétique,
donne naissance, non pas à un azoïque comme le ferait un nitrosé
aromatique, mais simplement à de l'amino-azobenzcne, le j,^roii|)e-
raeui AzO du nitrile servante diazoter l'aniline.
972 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
En traitant par CAzK en sol. aqueuse, à 50», le chlorhydrate de
nitroso-isobutyramidine, on obtient un produit r5H*^Az*O,3H*0
dont les auteurs représentent la formation par Téquation ;
yAzO ykzO ^Ai-OH
(CH3)2C< /AzII2 + GAzH = (CH3)>G< /AzH2=(GH3)2.C< >AiH
\C/ \ceCAz \C-CAi
^^AzH \AzH2 I
Azm
Cristaux prismatiques sol. dans Feau, peu sol. dans raloool.
devenant anhydres vers 180** et fondant avec décomposition vers
248-250*». La substance crist. dansTalcool avec 1 mol. de ce dissol-
vant; elle est sensiblement insol. dans les autres liquides oi^-
niques, brunit faiblement le curcuma et forme des sels cristallisés.
Le chlorhydrate C*H*®Az*O.HCl, cristallise en tables rhombîqups
f. à 272*» avec décomposition, sol. dans l'eau, peu sol. dans Talcool.
Voxalate neutre est en aiguilles prismatiques (rhombiques), f. à
254*» avec décomposition, sol. dans l'eau, peu sol. dans l'alcool,
insol. dans l'éther; il renferme 2 mol. d'eau. Le sulfate neutre
fond à 289*». — Le groupement CAz dans ce composé n'a pu élre
transformé en groupement imino-éther. Si l'on chauffe la base
avec HCl concentré à 100*» en vase clos, on obtient \e chlorhydrate
dun dilactame auquel les auteurs assignent la formule
(CH3)2c/ ;
Az-OH /Az-OH
>AzH AzHC >C(GH3)2,2HCI
^ GO-AzH ^C
AzH-GO-
Cristaux prismatiques, f. vers 192*», sol. clans l'eau et l'alcool,
insol. dans Téther. Le dilactame forme un dérivé argentique
amorphe, très altérable à la lumière, sol. dans AzH^ et AzO^H. —
En traitant la base en sol. alcoolique par H*S, on obtient d'abord
le sulfhydrate bien cristallisé; si Ton chauffe le tout à 80* en vase
clos, ce sel se transforme en un composé sulfuré C'^^H'^Az^O'S', en
prismes rhombiques jaunes, f. à 231*» en se décomposant, peu sol.
dans l'eau et l'alcool, sol. dans les autres liquides organiques. Ce
composé ne perd pas son soufre quand on le traite parHgO, HgOl*
ou l'acétate de Pb ; traité par AgAzO^ il donne un dérivé argen-
tique peu stable qui noircit rapidement. Le chlore colore en brun
les sol. alcalines. — Zn ou Sn et HCl sont sans action sur la base
C*H'<>Az*0; l'amalgame de Na à 2,5 0/0 réduit celle-ci en donnant
de l'ammoniaque et une base forte incristallisable. — PCI* n'agit
CHIMIE ORGANIQUE. 97;}
pas sur la base anhydre. — Le permanganate en sol. concentrée
l'oxyde suivant l'équation :
0
<A2-0H y\z
>AzH + 0 = H20 + 2(CH3)2-C< >AzH .
G-AzH2 \G-AzH2
CAz GAz
Ce composé (qui renfermerait un azote tétravalent), s'obtient plus
facilement au moyen du ferricyanure en sol. alcaline; il cristallise
en tables prismatiques rouge brique f. ibl'* avec décomposition,
très peu sol. dans Teau et les dissolvants organiques sauf dans
l'alcool bouillant, qui le détruit peu à peu. C'est un oxydant éner-
^que, qui décompose H*S, SO* et Kl, en régénérant la base
i7H*^Az*0 ou ses sels, et qui est à la fois acide et basique. Le
nitrate s'obtient facilement en broyant la base C*^H*oAz*0 avec
AzO'H concentré jusqu'à coloration jaune citron; il cristallise dans
Teau en paillettes f. à 127<^ (aveô décomposition), peu sol. dans
l'alcool. — Le sel do Na constitue une masse cristalline violette
(paillettes hexagonales), sol. dans Talcooi et l'eau, insol. dans
l'éther, décomposable par CO*. Il fond vers 100"* en se décom-
posant et répond à la formule C'H^Az^ONa+H^O.
Le mémoire original renferme une discussion des formules
inscrites ci-dessus. Les auteurs désignent la base C*H*®Az*0
sous le nom de porphyrexine et son produit d'oxydation sous
celui de propbyrexide, p. freundler.
Snr rezistence de dérivés de l'azote tétravalent; 0. PILOTT
et B. Graf SCHWERIN [D. ch. G., t. 34, p. 2354-2357; 20.7.1901j.
— Le chlore (ou l'ac. hypochloreux) réagit sur la porphyrexine et
la porphyrexide (voy. D. ch. G., t. 34, p. 1884; en donnant nais-
sance à un dérivé monochloré et à un dérivé dichloré de celle
dernière, C^H^Az^OCl et C»H^Az*OCl«.
Pour obtenir le dérivé monochloré, on verse peu à peu une sol.
filtrée de chlorure de chaux dans une émulsion de porphyrexide
jusqu'à ce que la coloration rouge cerise tende à passer au violet
d*une façon permanente. On acidulé ensuite par Tac. acétique et
on lait cristalliser le produit dans l'aie, méthylique; tables rhom-
biques rouges f. à 152** avec décomposition, peu sol. dans l'eau
(décomposition à chaud), Téther et CCI*, sol. dans l'alcool, CHCP
et dans les alcaUs (en rouge cerise). Ce dérivé monochloré n'est
974 ANALYSE DES THAVAUX ÊTHANGEKS.
presque plus acide. Toutefois il s'unit à AzO^H concentré poui*
former un nitrate Janine,
Le dérive argentique préparé au moyen de la soK ammoniaeale
du dérivé et de AzO^Ag, se présente sous la forme d'une poudre
cramoisie détonant sans fondre vers 170°, insol. dans Teau et
AzH3, sol. dans AzO'H.
Le dérivé dicliloré C*H''OAz*GP se prépare le mieux en saturant
de chlore à 0** une émulsion de porphyrexide jusqu'à coloration
rouge foncé. On essore snsuite le précipité carmin dans une
atmosphère de Cl, on lave à l'eau de chlore glacée et on sèche
rapidement pour éviter une formation de dérivé raonochloré. Le
produit fond à 117-118° en se décomposant; il est sol. dans Télher,
CHCP, l'alcool et CCI*, peu sol. dans l'eau et perd très £acilenu?nt
la moitié de son chlore. Les sol. alcalines sgnt violet foncé. La
substance se décompose brusquement en présence de AzH^^ con-
centrée. Le sel de Na cristallise dans l'eau en tables rhombiques
sol. dans Teau, l'aie, Téther bouillant et l'éther acétique; il fond
vers 145° en déflagrant. Le "sel d'ammonium est en ai^iUes
violettes peu sol. dans l'eau etAzH-^; il se décompose spontané-
ment à froid et déflagre à 96°. Le 5e/ d argent déflagre vers 150°;
poudre violet foncé, sol. dans AzW et AzO^H avec décomposition.
Les 2 dérivés chlorés sont des oxydants qui décomposent ill el
H^S en régénérant la porphyrexine ; avec H*0* il y a mise en
liberté d'oxygène : 1 mol. de porphyrexide réagissant sur Kl en sol.
acide, met en liberté 1 at. d*iode; 1 mol. de dérivé raonochloré
libère 3 at. d'iode et 1 mol. de dérivé dichloré, 5 at. d'iode. Les
auteurs admettent que ces 2 dérivés sont des chlorimides.
La fin du mémoire consiste en une discussion théorique qui a
pour objet de démontrer que la porphyrexide renferme un atome
d'azote tétravalent. p. fheundleh
Sur les amino-acétals et les aminé-aldéhydes ; A. WOHL
{D. ch. G., t. 34, p. 1914-1924; 22.6.1901). — L'acétal p-chloro-
propioniquo chauffé à 115-118° en vase clos avec AzH^ alcoolique,
se transforme en acétal de l'ald. p-aminopropionique qu'on isole
par un épuisement à l'éther et par distillation dans le vide. 11 se
forme en même temps un peu de base secondaire :
AzH[GH2.CII2-CH(OC2H5)2|.
Vacnlal ^-aminopropioniqne AzH«.OH«.CHa.CH(OC«H->)* se pré-
sente sons la forme d'un liquide basique, visqueux, de densité
0,9359 à 17°, sol. dans l'eau et les liquides organiques. Eh. 80*
CHIMIE ORGANIQUE. 975
SOUS 18 mm. L'ac. oxalique saponiOe à froid cet acétal en donnant
Voxalate dald, aminopropionique
AzH2-GlP-CH2-GHO,C20*H2 + H20;
paillettes blanches, sol. dans l'eau, insol. dans Talcool et l'éther,
se déshydratant dans le vide sur P*0*. Le sel anhydre fond à 98* ;
Bes sol. réduisent AzO'^Ag ammoniacal, mais non la liqueur de
"Fehiing; elles se décomposent facilement par la chaleur ou NaOH
en perdant AzH* et donnant des produits de condensation. La base
n'a pu être mise en liberté. Si Ton traite Tacétal parHCI concentré
<//= 1,19) à 40% on obtient le chlorhydrate sous la forme d'un
sirop réducteur, qui, additionné de PtCl* fournil le chloroplatinato
(?H'ïAz0.2HCI.PlCl*, en cristaux jaunes, sol. dans Teau, insol.
dans l'alcool, se décomposant sans fondre à haute température.
L'isosulfocyanate de phényle s'unit à Tacétal en sol. éthérée
pour donner la phénylthio-urée :
G^>H5-AzH-CS-AzH-CH2-CHM:H(OC2ns)2;
cristaux blancs f. à 85*", sol. dans les solvants organiques, sauf
réther de pétrole, peu sol. dans leau. — Traitée à froid par HGl
concentré ((/=1,19), cette thio-urée se Iransf. on phényldihydro-
pyritnidyloiercaptan CfiW, Az<y 1 j ^ ~ç, ^^CH* ; cristaux blancs,
f. à 151*, sol. dans l'eau, les alcalis et les solvants organiques, sauf
réther de pétrole et le benzène ; ce composé est fortement acide,
mais il fournit un chlovoplalinate anhydre, sol. dans Tcau chaude.
Vurée AzH9.C0.AzH.CH«.CH«.CH(0C«H»)«, obtenue au moyen
de l'isocyanate de K, cristallise dans Talcooi en paillettes f. à 61°,
sol. dans Teau et les liquides organiques, sauf le benzène et l'acé-
tone. La saponification de ce composé par Tac. oxalique fournil un
composé cristallisé, déliquescent, non réducteur, qui sera décrit
plus tard. — Le dérivé bonzoylé de Tacélal aminopropionique
(préparation par la méthode Baumann-Schotlen) est sirupeux, sol.
dans Talcool et l'éther, insol. dans l'eau. Traité par SO*H* dilué,
il fournit de Tac. benzoHjue, tandis qu'avec l'ac. oxalique en sol.
aqueuse froide, on obtient la phénylûiétoxazine :
Az-GH2>
G^lP-cf VjI;
^ cristaux f. à 171*, sol. dans les liquides organiques, insol. dans
l'eau, non réducteurs. — Le dérivé acétylé de Tamino-acétal
976 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
(anhydride acétique et Na^CO^) est également liquide et se décom-
pose à la distillation ; (/= 0,9937 à 17°; il est soluble dans l'eau et
les liquides organiques sauf Téther de pétrole. — La combinaison
benzylidénique C«H5.CH=:Az.CH«.CH«.GH(OCm5)« bout à 157«
sous 11 mm; liquide incolore d'odeur aromatique, peu sol.
dans les liquides organiques; rf|7 = 0,9878. La réduction de
ce composé par Na et Talcool fournit de Vacétal bemylamino-
propionique C«H».CH«.AzH.CH«.CH«.CH(OC«Hs)« sous la forme
d'un liquide inodore, insol. dans Teau, sol. dans les liquides orga-
niques. Eb. ISO'» sous 14 mm.; (7,7=0,9799. Si l'on introduit cet
acétal dans HCl fumant refroidi, on le transforme en chlorhydrate
de phényidibydropyrvol C«Hs.CH<^'2jf^CH.HCl; cristaux
f. à 240*, sol. dans l'alcool dilué.
En chauffant à 115-120° en vase clos une sol. de CAzK dans un
mélange d'alcool et de glycérine avec Tacétal p-chloropropionique,
on ohiïeni Vacétal p-cyanopropionique CAz.CH9.CH«.CH(OC*H5)«,
sous la forme d'un liquide bouillant à 106* sous 45 mm., pres(|ue
insol. dans Teau, sol. dans l'alcool et l'élher. La réduction de ce
dérivé cyané par Na et l'alcool absolu, fournit Vacétal y-amlno-
butyrique AzH«.CH«.CH«.CH«.CH(0C«H5)a ; liquide basique sol.
dans Teau, l'alcool et Téther, bouillant à 196* sous la pression
normale et à 96° sous 21 mm. p. freundlbr.
Action de rozychlonire de phosphore sur l'éther amino-
crotonique; A. HICHAELIS et K. von AREND (D. cb. G., t. U,
p. 2283-2287; 20.7.1901). — POCP réagit (déjà à froid) sur l'éther
aminocrotonique en sol. benzénique en donnant une cMorélhoxylu-
tidine :
âC^in Az02 + P0C13 = C9H»2AzOCl + C^H^Cl + GO + AzH*Cl -f- PO^f
On termine en chauffant au b.-m., puis on précipite par l'eau, on
lave et on sèche la sol. benzénique. Le produit est ensuite rectifia
dans le vide et purifié par l'intermédiaire du cbloromercurate, q\^^
cristallise dans l'alcool en tables blanches f. à 112-113^, répondant
à la formule C»H*«OAzCl,HCl,HgCl«. La base constitue un liquide
limpide, d'odeur poivrée, bouillant à 132*» sous 12 mm. et à î»")'-
260* sous la pression atmosphérique, avec une légère décomposi-
tion, peu sol. dans l'eau, sol. dans les liquides organiques.
D,7 = l,155; /2„=:=1,5098 à 17o. Le chlorhydrate (?W^O\zC\MO
fond vers 134*, masse cristalline blanche, très déliquescente, sol.
dans l'eau et l'alcool, insol. dans l'élher. Le cbloroplaiioite
i
CHIMIE ORGANIQUE <J77
C«H«<0«Az9PlCl*4-4H«0, est en cristaux rouges f. à i96-198«,
sol. dans Talcool et Teau bouillante. Le cblorauraie est cristallisé.
Kn distillant la base dans un courant d*hydrogène sur de la poudre
de zinc, on obtient une lutidine 2.6 (chloroplatinate f. à 208**,
bromhydrale f. à 209.210*), le chloraurale fond à 122-123'» après
dessiccation; il est sol. dans Teau bouillante acidulée par HCl.
HCl concentré transforme la chloréthoxylutidine à 180* en un
dérivé pbénolique bien cristallisé ; la potasse fournit un dérivé
potassé C*H**AzO*K. Les auteurs attribuent à cette chlorétho-
xylutidine la constitution :
Cl
OC2H5
H3
AZ p. FREUNDLER.
Présence de glycérides mixtes dans les graisses naturelles;
D. HOLDE et M. STANGE (D. cb. G., t. 34, p. 2402-2408; 20.7.1901).
— La présence de glycérides mixtes dans les graisses naturelles a
été signalée dans quelques cas. Les auteurs ont étudié sous ce
rapport la partie solide de Thuile d'olive qu'il ont isolée par des
cristallisations fractionnées dans Téther, la solution étant refroidie
au moyen d'un mélange d'alcool et de neige carbonique. Ceglycéride
cristallise dans l'alcool on aiguilles f. vers 30°. On en a déterminé
les chiffres d'iode (29,8), de saponification (196,6), le poids molécu-
laire (857), la teneur en acides (95,82 0/0), la densité (0,9948), etc.
Tous ces chiffres correspondent assez bien à une oléodimargarine
C^H'^JQ,SI33Q,^, ; celle-ci serait renfermée à raison de 1 à 2 0/0
dans l'huile d'olive. — L'huile d'os et le suif ne paraissent pas
renfermer de glycérides mixtes. p. freundler.
Préparation des imino-étbers aliphatiqnes an moyen des
amides; G. DmceLANDER {Cbem. Soc, t. 79, p. 701-704; 6.1901).
— L'auteur prépare ces iraino-éthers en faisant réagir les iodures
alcooliques et l'oxyde d'argent sec sur les amides. Cette méthode
a été appliquée à l'oxamate d'éthyle, à Turéthane.
Quand on traite Toxamate d'éthyle, par C^H^I et Ag«0, une vive
réaction se déclare que l'on termine en diluant avec de Téther et
en chauffant une heure au B.-M., on obtient Véther-semi-iminO'
oxaldiélhylique CO*G«H5-C(OG«H5)AzH, Éb. 75-77« sous 25 mm.,
déjà obtenu par ^eî{Annaîen, 1895, t. 287, p. 288).
En faisant réagir sur Turéthane l'iodure d'éthyle et l'oxyde d'ar-
soG. CHiM., S* 8BR., T. XXVI, 1901. — TraT. ètrang. 0-2
978 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEHS.
genl au B.-M., il se produit divers comp. parmi lesquels a été
caractérisé Tisocyanurate d'éthyle, F. 93-94"; IMmioo-éther attendu
peut-être obtenu en effectuant la même réaction à froid en pré-
sence d'éther sec. Les expériences exécutées avec l'acélanilide
n'ont pas permis de démontrer la présence d'imino-étlier dans les
produits de la réaction. à. valscr.
Sur une aminé obtenue en partant de Tacide triméthyléne-
carbonique; N. KIJNER (f/o//r/i. Soc. pliys. chim, R,, t. 33, p. 37"/;
1901, fasc. 5f). L*ac. triméthylènecarbonique, préparé par le pro-
cédé de Fitlig, fut d'abord transformé en sel d'Ag; ce sel, traité
par riodure d'éthyle en sol. éthérée fournit facilement Téther
éthylique, Eb. 134° sous 745 mm. rfî^= 0,9681 ; n^ = 1,4217 à 15»;
réfrâc. moléc. M=29,90 (valeur théor. =29,47). — Ciomine \zW
en sol. aq. réagit très difficilement, même à 100*", surTéther éthy-
lique, on a employé le procédé suivant pour obtenir Tamide : cei
éther fut chauffé pendant 2 h. avec une sol. de NaOH dans l'al-
cool aqueux; l'excès de NaOH fut saturé par CO*; le tout évaporé
à siccilé fut repris par Talcool absolu pour séparer letriméthylène-
carbonate de Na du carbonate; le sel organique, traité par POCP
en présence du chloroforme, a été converti en chlorure d'iicide et
ce dernier, traité par une sol. éthérée d'AzH^ puis par un courant
d*AzH3 gec, est transformé en amide. L'amide cristallise dans le
benzène bouillant en longues aiguilles; dans Talcool, et dans l'eau
il cristallise en grandes lamelles rectangulaires, F. 124-124*, 5. —
Pour obtenir Tamine, on a dû, afin d'éviter la rupture de l'anneau
trimétylénique par Br, employer la modification apportée par
van Dorp au procédé de Hofniann : l'amide est dissous dans une
sol. aq. de KBrO; dans la liqueur on fait passer un courant de
vapeur d'eau, puis on distille rapidement dansHCi; le chlorhy-
drate de la base et AzH^Cl sont séparés par cristallisation dans
l'alcool absolu. Le chlorhydrate de l'aminé en question est sol.
dans l'alcool absolu, d'où il cristallise en grandes tables incolores,
F. 100-101**; il se décompose vers 195-200"*; l'analyse indiqiie la
composition C3H»AzH3Cl. Le chloroplatinate (C3H<^AzH3Cn«PlCI*
est très sol. dans l'eau d'où il se dépose en gros cristaux contenant de
l'eau de cristallasition. — Pour obtenir l'aminé, on a mis le chlor-
hydrate sec dans l'une des branches du tube de Faraday et
au-dessus une* colonne de KOH sèche pulvérisée; l'autre branche
fermée à la lampe et portant un étranglement est plong^^e dans un
mélange réfrigérant, tandis que la première est chauffée a I:f0*
au bain d'huile; la base se condense dans la branche refroidie; od
CHIMIB OHUANIQUE. 9/9
la dessèche sur BaO. L'aminé i >CHAzH2 bouta il)*»; elle a
une forte odeur ammoniacale rappelant aussi la propylamine;
^ = 0,8240; /?^=1,421 à 20»; M = i7,7 (valeur calculée 17,32) ;
elle est très sol. dans l'eau ; elle absorbe CO* de Tair et forme un
carbonate solide. Si à la sol. d'aminé dans le benzène on ajoute du
phényl-sénévol, il se forme des cristaux de sulfophényltriméthy-
lènurée CS<^ ^jj^^ ; cette matière cristallise dans l'alcool en
belles tablettes, F. 123-123*»,5; dans le benzène, où elle est peu
soi., les cristaux sont en forme d'aiguilles. Il parait très probable
que l'aminé en question renferme l'anneau triméthylénique et que
CH«
sa formule est i >CHAzH': toutefois Tétude de ce corps a
CH«
besoin d'être complétée. a. couvisy.
Action de l'acide azoteux sur la tétraméthylénylmétbyl-
amine. Bromure de métbylénotétramétbylène ; N. DÉHIANOF
et M. LOUSCHNIKOF (Journ. Soc. pbys. cbim. /?., t. 33, p. 279 ;
1901, fasc. 4). — Les auteurs ont d'abord préparé le chlorhy-
CH«-CH-CH«.AzH«
drate de l'amine i i obtenue par Freund et Hude-
CH«-CH«
mann en 1888. Ce sel en sol. aqueuse est additionné de AzO^Na et
cbauffé au B.-M. dans un ballon muni d'un réfrigérant a reflux en
communication avec un flacon contenant Br pour retenir le carbure
formé; pour terminer la réaction, on ajoute SO*H* étendu. Le
contenu du ballon, épuisé par de l'élher, abandonne à ce solvant
un liquide incolore, épais, d'odeur analogue à celle de l'alcool
amylique. Éb. 132-136** sous 737 mm. La petite quantité dont on
disposait n'a pas permis une étude complète, mais diverses réac-
tions montrent que ce liquide contient un alcool primaire, proba-
blement identique à celui que Perkin vient d'obtenir en réduisant le
chlorure de l'ac. tétraméthylènecarboxylique {Bail, y t. 26, p. 406).
— Pendant la réaction, il se dégage un carbure qui, dans un tube
entouré d'un mélange réfrigérant, se condense en un liquide inco-
lore, très mobile, d'une odeur particulière ; ce corps s'unit énergi-
quement à Br ; le bromure résultant est un liquide incolore, d'odeur
caractéristique rappelant celle du bromure d'éthylène. Eb. 191-192**
sous 750 mm. L'analyse du bromure indique la composition
C^H^Br». — L'étude se continue. a. couvisy.
980 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
Sur quelques dérivés du pbénylbezaméthyléne ; N. KOURSA-
NOr (Journ, Soc, phys, ehim. /?., t. 33, p. 56, 2« p. ; 1901, fasc. i).
— Le phénylhexaméthylène C®H*C®H** donne des dérivés de
caractère aromatique. Il se dissout dans Tacide de Nordhausen en
formant un acide sulfonique C«H««C6H*S03H. — Par la sol. du
carbure dans AzO^H de dens. 1,52, à froid, il se forme uu dérive
mononitré, Eb. 200-210° sous 26 mm. ; en réalité, c'est un mélange
de dérivé para, cristallisé, et de dérivé orlho, liquide. Le cyclo-
hexylparanitrobenzène/?.C®H**.C^H*.AzO* fond à 57'»,5-58**,5; par
AzO^H faible, il s'oxyde en ac. p.-nitrobenzoïque. Par réduc-
tion du dérivé nitré para, on a obtenu raniline/?.C*H**.C®H^AzH*,
F. 54-56**. Ses sels sont fusibles avec décomposition, le chlorhydrate
à 261-262°; le sulfate à 290°; le bromhydrate à 282-284°; l'azotate
à 225-230°. L'aniline a été transformée, en passant par le composé
diazoïque, en le phénol /?.G^H**.C®H*.OH, qui cristallise dans le
benzène ou dans Téther de pétrole en aiguilles fusibles à 131-133°.
A. COR vis Y,
Sur les dérivés du 2-méthyl-1.3.4.S-phénetétrol ; Karl
KONTA {Mon. /. CA., t. 21, p. 422). — L'auteur expose les résul-
tats qu'il a obtenus dans l'action de Tacide nitreux sur Téther
monométhylique de la mélhylphloroglucine. Cette réaction a per-
mis de déterminer la position du groupe méthoxyle dans la molé-
cule. Car suivant que la formule de cet éther est exprimée par le
schéma I ou II :
Ho/NoGIP Ho/NoH
u
0CH3
I).
il devra donner d'après les travaux de Kostanecki (/>. ch. G.,
t. 22, p. 3133) un dérivé dinitrosé ou un mononilrosé dont la coos
tilution serait exprimée par les symboles III ou IV ;
CH3 CIP
0 =/NoCH3 O =/\0H
llUAz^J= AzOH \)-^ -^^^^'^
Il OGH3
O
m. IV.
L'ex[>érience montre qu'il ne se forme qu'un seul produit doul
(
CHIMIE ORGANIQUE. 981
toutes les propriétés correspondent à celles d'un nitrosophénol de
la formule IV. Il s*en suit que la constitution de l'éther monomé-
thylique de la mélhylphloroglucine est exprimée par la formule H.
Le dérivé isonitrosé qui est par conséquent la â-méthyl-S-oxy-
5-inéiboxy'p.-quinone'4'nionoxime fournit par réduction le chlor-
hydrate du 2^méibyUS'Oxy'6'métboxy-4'an}idopbénol :
GH3
HO'Î^^^OH
\5/AzH2
0CH3
Comme tous les para-amidophénol8,il est transformé en quinone
par les agents oxydants ; et la quinone soumise à Taction des
réducteurs donne la S-niétbyl'S-'Oxy'ô-Diéiboxybydroquinone :
CH3
CH
3
0 —
^OH
0CH3
m^y-
H0|^
\/
OC
OH
OH
H3
La méthylphloroglucine a été préparée par la méthode de
Weidel (Mon, f. Cb., t. 19, p. 228); Téthérification fournit un
mélange de deux éthers dont la partie principale est constituée
par le dérivé monométhylique. On les sépare par cristallisation
dans le xylène.
Le S-mélbyl-S'Oxy- ô'métboxy'p.'quinone'd'inonoxime se
présente sous forme de feuillets cristallins violets qui se décom-
posent B <94".
Le S'mélbyl'3-oxy'ô'm(Hboxy-4-amïdopbénol qui s'obtient par
réduction du précédent au moyen du protochîorure d'étain est très
oxydable. Son chlorhydrate cristallise en fines aiguilles groupées
en étoiles.
ChaufTé avec de Tanhydride acétique, il donne un dérivé tétra-
céiyJé fondant à 178*» dont la composition répond à la formule :
GqiGH3(OGH3)(0-COCH3)2Az(COGH3)2.
La 2'métbyI'3-oxy'5'métboxy'p,'quinone s'obtient en oxydant
le dérivé amidé précédent par le perchlorure de fer, elle fond
a 186*.
Ce produit traité par une solution de protochlorure d'étain donne
Thydroquinone correspondante qui cristallise dans un mélange
982 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
d'éther et de ligroïne en fines aiguilles blanches groupées eu
étoiles et devenant rapidement brunes au contact de Tair humide.
Son dérivé acétylé fond à 174**, sa composition répond à la
formule d'un dérivé triacétylé de la 2-méthyl-3-oxy-5-mélhoxy-
hydroquinone. a. wahl.
Etude des dérivés halogènes des phloroglucines. ; HERZIG
et POLLACK. — II. Sur les dérivés bromes des bomologiies de
la pbloroglncine ; R. ROHM {Mon. f. Cb,^ t. 21, p. 498). —
L'action du brome sur la phloroglucine et ses dérivés en milieu
acétique donne des composés tribromés qui dérivent de la phloro-
glucine envisagée comme trioxybenzène. Bôhm {Ann., t. 302,
p. 171 ; BnlL 1899, t. 22, p, 157) obtient avec la monométhyl-
phloroglucine un produit dibromé, et, fait très curieux, avec la
triméthylphloroglucine un produit tribromé C*H"O^Br^ résultant
à la fois d'une substitution et d'une addition. L'auteur a repris
l'étude des dérivés bromes des méthylphloroglucines ; voici les
résultats auxquels il arrive : l'action du brome sur la mono et la
diméthylphloroglucine en miliei^ acétique donne des dérivés bro-
mes normaux; la triméthylphloroglucine donne selon toute vrai-
semblance un tribromotrimétbyliricétobexamétbylène.
La dibromomonométbylpblorQglucine cristallise dans la ben/ène
en aiguilles brun clair, F. 132-134% dans l'eau elle cristallise avec
SH^Oetfondà H0-112\
Le dérivé ncétylé C«Br«CH«(OG«H»0)!* cristallisé dans l'alcool,
fond à 166\
Le dérivé dibromé traité par les alcalis perd une partie de son
brome, les réducteurs comme SnCl* ne l'altèrent pas.
La diméthylphloroglucine donne un dérivé monohromé dif/l-
cile à purifier, son dérivé acétylé C«Br(CH3)«(0C«H»0)» fond à
168« (ralcool).
La triméthylphloroglucine traitée par 8 mol. de Br donne un
produit qui cristallisé dans Talcool absolu fond à 88o, sa composi-
tion répond à C^H^Br^O». Bœhm avait trouvé C»H««BrK)s. Ce
produit a toutes les propriétés d'un iribromotrimélbylcétobexa-
métbylrne. Réduit p»r SnCl*il régénère la triméthylphloroglucine,
les alcalis lui enlèvent complètement le brome déjà à froid. La
forme cétonique ne permet pas l'existence de dérivés acétylés, en
effet, à froid, l'anhydride acétique n'agit pas, à chaud il y a départ
de Br et formation de triacétyltriméthylphlorog'ucine. L'élher
monométhylique de la triméthylphloroglucine se conduit à la
CHIMIE ORGANIQUE. mS
bromuration d'une manière inattendue; le groupe mélhoxyle est
saponiAé et il se forme le même dérivé brome qu'avec la trimé-
thylphloroglucine. a. wahl.
Sar les éthers monoalcoylés de la pbloroglucine ; F. AIGNER
(Mon. f. Ch.^ t. 21, p. 433). — Tous les dérivés triamidés symé-
triques du benzène étudiés jusqu'ici échangent faci'ement les
groupes amidés contre des groupes hydroxyles quand on les fait
bouillir avec de l'eau.
De la même manière Kohner (Mon, f, Ch., t. 20, p. 926; DulL
1900, t. 24, p. 590) en soumettant à l'hydrolyse le triamidoanisol
résultant de la réduction de l'éther méthylique de l'acide picrique,
obtint l'éther méthylique du phènetétrol-1. 2.3.5.
U semblerait résulter de ces travaux que la présence de trois
groupes amidés symétriques soit absolument nécessaire pour que
l'hydrolyse puisse avoir lieu. Cependant PoUack a montré (Mon.
f. CL, t. 14, p. il 4 ; BuIJ. 1894, t. 12, p. 708) que l'hydrolyse du
diamidophénol symétrique fournit la pbloroglucine.
Si Ton fait un rapprochement entre cette expérience et celle de
Kohner, il semble que l'on puisse /irriver aux éthers monoalcoylés
de la pbloroglucine en partant des éthers du diamidophénol symé-
trique.
Jusqu'ici ces éthers monoalkylés ne s'obtenaient qu'en petite
quantité comme produits secondaires de la préparation des éthers
dialcoylés.
L'auteur a entrepris l'élude de la réduction du dinitroanisol et
du diniirophénétol et do l'hydrolyse de ces dérivés amidés. Cette
étude l'a conduit effectivement aux éthers monoalcoylés de la pblo-
roglucine qui s'obliennent ainsi très facilement à l'état de pureté.
Le dinitroanisol préparé par la méthode de Lobry de Bruyn
(/?. tr. ch. P,'B.f t. 9, p. 208) en partant du trinitrobenzène est
réduit au moyen d'étain et d'acide chlorhydrique ; on obtient le
chlorhydrate du diamidoanisol sous foi me d'une masse cristalline
blanche devenant rouge au contact de l'air. L'hydrolyse doit
s'effectuer en solution très étendue (10 gr. dans 4 à 5 litres d'eau)
et pendant Tébuliition il faut faire passer un courant d'acide car-
bonique. Après 8 à 10 heures, le liquide est évaporé dans le vide
jusqu'à un volume de 1 litre puis épuisé 3 ou 4 fois à l'éther,
réther distillé et le résidu distilé dans le vide tout en faisant
passer un courant d*acide carbonique.
Véiber monométbylique de la pbloroglucine bout à 188-189*
984 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
SOUS 12 mm. et cristallise par refroidissement, F. 75^ I.e rende-
est de 70-80 0/0 de la théorie.
Le dérivé tvibromé C«Br3(OCH3)(OH)«, très sol. dans l'eau,
Talcool, le chloroforme, F. 123°, bouilli avec Tanhydride acétique
en présence d'acétate de soude il donne le diacétylé correspondant
C«Br*(0CH»)(0C0CH3)«, crist, dans Falcool en aiguilles blanches,
F. 112-114°.
Uétber monométbyldihenzoylé de la phloroglucine crist, dans
Talcool en aiguilles incolores, F. 96**.
Dérivé diacétylé de Péther monométbylique^ fond à 74*.
A. WAJIL.
Sur les dérivés amidés de la méthylphloroglucine ; Arthur
FRIEDL [Mon. f, Ch., t. 21, p. 483). — Les travaux de HlasiweU
(Ann., t. 119, p. 202) et de Pollack {Mon, /. Cb,, t. 14, p. 401 ;
Bull,, t. 12, p. 708) sur la phloramine montrent que AzH^ et
réthylamine réagissent très facilement sur la phloroglucine déjà à
la température ordinaire. Ce foit doit surprendre si Ton se rappelfe
que le phénol ne réagit avec Tammoniaque qu*à 300*". Pollack
explique la réaction de la phloroglucine en admettant qu'elle
réagit sous une forme tautomèrique :
H(Xi!lJG-AzH-C2H*
(M
L'auteur a étudié Taction de Tammoniaque sur la méthylphloi*o-
glucine et aussi Taction de la diéthylamine. La diéthylamine ne
peut pas réagir avec les groupes carbonyles, donc si la phloroglu-
cine entre en réaction sous la forme cétonique, il ne pourra pas se
former de dérivé diéthylamine. En effet, il ne se forme qu'une
combinaison moléculaire, un sel d'ammonium.
La métbylpbloramine se prépare en faisant agir l'ammoniaque
aqueuse sur la méthylphloroglucine à froid et à l'abri de l'air; la
solution évaporée dans le vide abandonne des cristaux qui sont
purifiés par recristallisalion dans l'éther acétique, F. 149-150°.
Cblorhydrate C^H^AzO^HCl + H^O, prismes légèrement jaunâtres
fondant à 202o; le dérivé tviacétylé cristallise dans l'alcool en
aiguilles incolores, F. 165-166°, solubles dans l'éther acétique à
froid et dans l'eau, le benzène à chaud. I^ formation d'un dérivé
GO
C=A2-C2H!i
ap/\cH2
H2(Y^NCH2
coLjco
OcIJg=A2-C2H5
i:h2
CH2
CHIMIE ORGANIQUE. 985
triacétylé montre que la méthylphloramine est une amidométhyl-
résorcine de la forme :
CH3 CH3
AzHî/'SoH Ho/NoH
I «"
V \^
OH AzH2
La constitution n'a pu être établie jusqu'ici. Par l'action plus
prolongée de l'ammoniaque on n'a pas pu isoler de dérivé diamidé,
mais, par contre, l'action de l'éthylamine en solution aqueuse à
180" donne le bisétbylamidocrésol, F. 124-130*». Cristaux très ins-
tables à l'air. Le chlorhydrate fond à 226-228°.
L'action de la diéthylamine fournit un sel de diéihylammoniuoi,
F. 86-87*». Cristaux solubles dans l'eau, Falcool, Téther, l'élher
acétique : l'acide chlorhydrique le décompose presque quantitati-
vement en diéthylamine et méthylphloroglucine. a. wahl.
Sar un carbure benzénique trlacidylé symétrique et sur
quelques combinaisons du di-cbloracétylmésitylène ; F.KUNC-
KELL et A HELDEBRANDT (D. ch. G., t. 34, p. 1826-1829;
22.6.1901). — Il n*est possible d'introduire 2 radicaux acides dans
le noyau benzénique par la réaction Friedel-Crafts, que lorsqu'il
existe une position libre entre 2 méthyles situés en position 1.3.
Théoriquement on pourrait fixer sur le mésitylène 3 radicaux
acides, mais l'expérience a montré que cela n'était possible
que si les 3 radicaux n'étaient pas identiques.
Ainsi, le diacétylmésitylène ne réagit pas avec le chlorure
d'acétyle. Par contre, l'acétylmésitylène se combiue au chlorure
de chloracétyle en sol. dans CS*, en présence de AlCP et à la
lumière solaire, pour donner du di'Chloracétylacétylmésityîène
C0-CH2C1
CHy^CH3
CÏI2Cl-ColJcO-CIP
Cristaux durs, f. à 130° sol. dans l'alcool.
En introduisant peu à peu le dichloracétylmésitylène (5 part.)
dans un mélange refroidi d'ac. azotique (rf = 1,53 ; 50 part.) et de
SO*H* (25 part.) et en chauffant ensuite après 12 heures, on
obtient Vac. triméthyUi.S.ô-dinitrobenzoïqiw] aiguilles blanches
f. à 280-231*, sol. dans l'alcool, peu sol. dans l'eau. Le chlorure
98a ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Tond à 154-155°; aiguilles blanches sol. dans le benzène. L'anilide
fond vers 300-310°; aiguilles blanches sol. dans l'alcool, ta pbê-
nylhydrazide est également en aiguilles f. > 300".
Le brome réagit à froid sur le dichloracétylmésjtylène en
donnant un dérivé pentabromé C»sH»0»CI»Br' (aiguilles f. à 162-
163°, sol. dans l'élher, peu sol. dans l'alcool, insol. dans l'eau)-, la
phénylhydraiïine attaque énergiquement ce dérivé brome en sol.
benzénique; on constate un dégagement régulier d'azote, et la
liqueur abandonne par évaporalion du dichhracétyl-bromomési-
tyléne C'^H'aBrO'C!' (pailleltes blanches f. à 113" sol. dans
l'alcool). p. PREUNDLEtl.
Action du bromure de p.-zylyléne sur quelques aminés pri-
maires, secondaires et tertiaires et sur quelques alcaloïdes;
W. MANOtJKIAN {B. ch. G., l. 34, p. !!0«2-2092; 6.7.1901). — Le
bromure dep.-xylylène réagit sur les aminés d'une façon difTérenle
du bromure d'o.-xylylène. Avec l'aniline le produit de la réaction est
sirupeux. Avec les aminés primaires orlhosubstituées on obtient
simplement des dérivés de la xylylène-diamine C*H*<!<|;,"^^no:
les aminés secondaires se comportent d'une façon analogue; enfin,
les aminés tertiaires et certains alcaloïdes fournissent des bro-
mures d'ammonium quaternaires.
Le bromure de p.-xylylène et l'a-naphty lamine s'unissent en sol.
chloroformique à froid en donnant du bromhydrate de naphtylamine
et de la di-a-iwpbtylxylylène-diamiae C»H*<§h!"azh'c'w-
poudre cristalline blanche f. à 165°, sol. dans le benzène, insol.
dans l'eau, l'alcool et l'éther.
La combinaison avec la di-isobutylamines'eiTectue d'une laçon ana-
logue; la bisdi-isobaiyhylylène-diamine C*H*<^[|*'^^({^J|j*'*
cristallise dans l'alcool en grands prismes f. à 65°, sol. dans l'eau
chaude et dans l'éther. Le chloroplatinate fond à 220°; prismes
3 sol. dans l'eau, peu sol. dans l'alcool. Le chloraurale cris-
en aiguilles jaunes f. à 205°, sol. dans l'alcool et l'eau. Le
e G"H"Az«,2CBH»(AzO*)'0H fond a 171°, aiguilles jaunes,
ïns l'alcool bouillant.
'>is-diphényI-xylylèoe-difimine C'H*<g{]J-^^jgJj*jJ obtenue
ud avec la diphénylamine, fond k 186* (aiguilles vert clair,
6°, sol. dans l'acétone et l'ac. acétique, peu sol. dons l'alcool).
»
CHIMIE ORGANIQUE. 987
La p.'Xylylène'di'pipéridino C^W^^pua 'nsmoA ^"s^®^*^^®
dans ralcool en paillettes f . à 86^, sol. dans l'eau et HCl dilué ;
le cbloroplatmate est en aiguilles orangées, peu sol. dans l'eau et
Taicool, se décomposant vers 250""; le cbloraurate est sol. dans
Teau chaude et Talcool (grandes aiguilles jaunes f. à 215*'). Le
picrate fond à 221"* (aiguilles jaunes sol. dans Talcool).
Le bromure de p.-xylylène et la triéthylamine s'unissent à froid
en sol. chloroformique pour donner du bromure de p.-xylylène-
biS'triélhylammomumCm*<^^'^^^^^ aiguilles blan-
ches f. à 230*, sol. dans l'eau, le chloroforme et l'alcool bouil-
lant. L'eau de brome transforme ce bromure en perbroniure
C«H*[CH«Az(C»H»)8(Br3)]9, précipité orangé f. à 164% peu sol. dans
l'eau et l'alcool. Le cbloroplatinate cristallise dans l'eau chaude en
prismes orangés f. à 238**, peu sol. dans l'alcool. Le cbloraurate
fond à 242"* (aiguilles jaunes peu sol. dans l'alcool et l'eau).
Le bromure de p.'Xylylène-bis-tripropylaminoniuni préparé de
même avec la tripropylamine, cristallise en aiguilles f. à 223°, sol.
dans l'eau, le chloroforme et Talc, bouillant, insol. dans l'éther.
Le perbromnre C«H*[CH«Az(C3H-ïj3Br3]« fond à 181-182° (aiguilles
orangées sol. dans l'alcool). Le cbloroplatinate cristallise dans
l'eau en aiguilles orangées f. à 235°, peu sol. dans l'alcool. Le
cbloraurate fond à 214° (aiguilles jaunes peu sol. dans l'eau et
l'alcool).
Le bromure de p,-xy1 ylène-bis-p vridinium est en aiguilles
blanches f. à 260°, sol. dans l'eau, peu sol. dans l'alcool et le chlo-
roforme, insol. dans l'éther. Le perbromure C®H*(CH*AzC^Hî^Br3)*
cristallise dans l'alcool en aiguilles orangées f. n 149°. Le cbloro-
platinate fond à 253» (aiguilles orangées peu sol. dans l'eau et
l'alcool) et le cbloraurate k2i6'* (prismes microscopiques sol. dans
Teau et l'alcool bouillant).
Le bromure de xylylène-diquinoléinium est en aiguilles vio-
lettes f. à 30(>°, peu sol dans l'alcool, sol. dans le chloroforme. Le
perbromure fond à 206° (aiguilles orangées sol. dans l'alcool), le
cbloroplatinate f. à 257° (poudre orang(^e peu sol. dans l'alcool et
l'eau) et le cbloraurate à 242° (poudre jaune foncé, sol. dans Pal-
cool, peu sol. dans l'eau).
Le bromure de p,-xylylène distrychninUim
C«H*(CH' , G2^ H22A z202 , Bi )2 ,
préparé à chaud, en sol. chloroformique, cristallise dans l'eau
18S ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
l)onillanle en aiguilles microscopiques, f. à 291**, très peu sol. dans
l'alcool, insol. dans Télher. Le perbromure fond à 195* fpetiles
aiguilles jaunes peu sol. dans Talcool), le chloropîatinate à 247-
249** (poudre orangée insol. dans Peau et l'alcool) et le cblorauraie
à 210** (précipité jaune foncé insol. dans Teau, peu sol. dans
TalcOOl). p. FREUNDLKR.
Alcoylation des acylarylamines ; 6. Druce LANDER {Chem.
Soc. y t. 79, p. 690-701; 6.1901). — L'auteur ayant montré anté-
rieurement que réthylisoacétanilide CH-^-C(0C«H5)=AzC«H» peut
être préparée par l'action de Tiodure d'élhyle et de l'oxyde d'ar-
gent sec sur l'acélanilide {Bull. Soc. ehim.^ t. 24, p. 740) a
appliqué cette méthode à la préparation d'une série de composés
analogues.
L'acélanilide, traité par CH^I et Ag^O, en milieu benzénique
bouillant, fournit, en quantités presque égales, les deux isomères
avec CH^ à Tazote et à l'oxygène.
L'acéto-o.-toluidide, traitée, dans les mêmes conditionspar Vïo-
dure d'éthyle et Toxyde d'argent sec, fournit exclusivement 1*^2-
tolylacétimino'éthyl'éther CH3-C«H*Az=C(OC«H5)CH3, Eb. 2i2**
sous 740 mm. La solution de cet imino-éther dans la
ligroïne, traitée par HCl en sol. éthérée fournit un chlorhydrate^
F. 90-91*, avec dégagement de chlorure d'éthyle. — Chloropîatinate
(Gi«H*»0Az)«H2PtCl«, F. 171°(décomp.). La méthylation deTacélo-
o.-toluidide par la même méthode fournit au contraire un mélange
des deux isomères : la méthylacéio-o.'toluidide et le Az-oMolyl-
acétiniino-méthyl'éther^ Éb. 210-214**.
L'éthylalion de l'acélo-p.-toluidide fournit exclusivement le ^.-/^
lylacétimino'élhyl-éther, Éb. 232** et 125-180** (sous 12 mm.). Son
chlorhydrate est moins stable que celui de l'isomère ortho.
La méthylation a fournit au contraire seulement V Az-mélhyl-
acéto-pAoluidide^ F. 64-66**, au lieu de 83** (Thomsen).
Avec les a et p-acétonaphtalides, on a seulement obtenu les
imino-éthers correspondants à l'iodure d'éthyle, seul expérimenlé.
— VAz-oi naphlylacétimino'éthyl'éther C'OHUz^CiOCaH'ijCH'
bout à 175° sous 12 mm. — Chlorhydrate, F. 111** (décomp.). —
VAZ'P'imphtylacMiminO'éthyléibev^ Éb. 176*,5 sous 12 mm. Ces
deux imino-éthers sont très facilement hydrolyses.
L'éthylalion de la benzanilide fournit uniquement le Az-pht^nyl-
imino'élhyl-éthcr C«H»Az:=C(OC2H»)C«H5; ce composé, hydro-
lyse par HCl assez fort, fournit du benzoate d'éthyle et du chlor-
hydrate d'aniline.
CHIMIE ORGANIQUE. U89
En faisant réagir l'oxyde d'argent sec et Tiodure d'éthyle sur
Toxanilate d'éthyle, Tauteur a obtenu le semi-Az-phén^'UminO'
oxaliquediéthyléthcp C6H»Az=C(OG«H5)-CO«G«H5, liq., Eb. 152-
15.> sous 12 mm. ; d'abord incolore, il acquiert rapidement une
teinte jaune.
L'action de l'aniline sur ce composé fournit Véther diphényl-
umidinO'Oxalique G*«H*<^O^Az*, crist. en aig., F. 73-74**, puis la
dipliàuyîamidinO'Oxalanilidc de Anschùtz et Stiepel.
Avec l'oxanilidcC^H^IetAg^Oen présence de benzène, on obtient
le di'Az'pbényliminO'Oxaldiélhyléther [C«HS-Az=G(0C«H5)]2, liq.,
fci). vers 205'» sous 12 mm., facilement hydrolyse par HGl.
A. VALEUK.
Sur les acétophénone-ozimes w-halogénées ; H. KORTEN et
R. SCHOLL (D. ch. G., t. 34, p. 1901-1910; 22.6.1901).— Les
cétones w-halogénées aromatiques réagissent avec Vhydroxyl-
amine en sol. alcaline pour donner une dioxime, suivant une
équation analogue à celle qui représente la formation des osazones.
Toutefois, on peut en opérant à la température ordinaire, arrêter
la réaction à la formation des monoximes halogénées, (modifica-
tion syn,en sol. acide, anii en sol. alcaline). Ges monoximes halo-
génées traitées par AzH^, fournissant des aminés tertiaires.
Lw-chloracétophénone a été préparée par le procédé de M. Gau-
tier légèrement modifié (f. = 58-59°) ; traitée par le chlorhydrate
d'hydroxylamine (3 mol.) en sol. dans l'aie, méthylique et Teau,
elle fournit Voxime syn. qu'on précipite par l'eau et qui cristallise
dans GS* en paillettes f. à 88**,5-89<*; cette oxime émet des vapeurs
très irritantes. Traitée par PCl^ en sol. dans l'éther anhydre, elle
se transforme en chloracétanilide :
GH2GI-C-C«H5 CH2C1-C0
il = I
A2-0H AzH-C*5H5
La même oxime s'unit à l'isocyanate de phényle en sol. benzé-
nique pour donner l'Mre^Aa/ie C^H^^.G:^. qpq » „ pen»' ^*''*
incolores, f. k 118-120**, sol. dans la ligroïne. Le dérivé acétylé
fond à 67-68* ; aiguilles sol. dans la ligroïne. — Traitée par AzH»
en sol. aqueuse ou éthérée, l'oxime se transforme en tvioximido-
triphénacylamwe [G«H5.G(:=Az.0H).GH«]3Az; paillettes f. à 222°
avec décomposition, sol. dans NaOH, Tac. acétique et le nitroben-
zêne, insol. dans Teau et les autres liquides organiques. HGl
alcoolique réagit sur ce composé en donnant un mélange de
r'U') AXALYSB D&5 TRAVAUX ETRANGERS.
2 chlorhydrates, l'un blanc (G»*H«K)*Az«Cl«), l'autre jaune
(O*H**0*Az*Cli; (on chaufTe Famine dissoute dans Talcool avec
HCl au B.-M.i; par refroidissement, le sel blanc cristallise en
paillettes brillantes f. à 242*, sol. dans Tac. acétique bouillant; sa
sol. dans SCHH* concentré devient bleu foncé à chaud, puis violette,
rose et incolore après dilution et abandonne finalement des aiguilles
blanches. La hase correspondante cristallise dans l'alcool ea
aiguilles jaunâtres f. à 92*. — Le deuxième sel qui reste dans les
eaux-mères est isolé par des épuisements au chloroforme; paillettes
jaunes f. à 208*, sol. dans les liquides organiques saufl'éther et la
ligroîne; la sol. dans SO^H^ est rougeâtre à chaud. La base libre
cristallise en paillettes f. à 191*, sol. dans Talcool et le benzène
(fluorescence rougeâtre); elle teint la laine en rouge jaunâtre.
Voxime de Fu-bromêcétopbéaoae préparée comme le dérivé
chloré cristallise dans CS^ en cubes f. à 92*; elle constitue un
mélange de modification syn. avec une très petite quantité de
l'isomère anti qu'on sépare par des précipitations fractionnées. La
l** fond à 89*,5 et se dissout dans les liquides organiques sauf la
ligroîne. Elle se transforme en bromacétanilide sous l'influence de
PCi^ en sol. éthérée. Uurt^ihane correspondant
/OH^Br
\x-0-G0-AxH-C«H5
cristallise dans un mélange de benzène et de ligroîne en aiguilles
soyeuses, f. à 120-121*. Le dérivé acétjrlé fond, à 74-75*. AzH'
transforme Toxime sjti. en trioximidotriphénacylaraine f. à 222*.
— Visomèro anti moins sol., fond à 96* ,5-97* (aiguillesi; il se
forme plus facilement en soi. alcaline, en même temps qu'un peu de
glyoxime et de phéuyloximinobenzylisonazolonoxime C*^H^iPAz*
■Scholl, D, ch. G., \\ 30, p. 1287'.
Dans la préparation de la bromacétophénone, il se fait un peu
d'un coinj^osé G'^H'Br'. en prismes jaunes, f. à 1S4*, sol. dans
Tac. at?éUque, peu sol. dans Palcool dilué.
I>a m.'UÎtro-W'broiuact'lopliéaone a été préparée en bromaut la
m.-nilro-arélopliénone. Uoxime syn. préparéo en soK neutre cri»-
talHse en aijjriiilles jaunâtres f. à 126*,5-127* sol. dans le benzène
et ralcool, insol. dans Teau et la ligroîne bouillante. Traitée par
PCP, elle se trau>fonne en m .-nitrobrouiacéianHide
AzO--eii*-AiH-CO-AxH-CH2Br,
paillettes jaunes, f. à 118-119*, sol. dans Teau bouillante. —
i
CHIMIE ORGANIQUE. 901
Uuréthane correspondant f. à 145-146® (aiguilles jaunâtres insol.
dans la ligroïne). Le dérivé acélyîé f. à 64-65** (aiguilles jaunâtres).
p. FREUNDLER.
Sur Toxydation de la benzylamine ; E. BAHBERGER et TH.
SCHEUTZ {D. ch. G., t. 34, p. 2262-2272; 20.7.1901). — Los
auteurs ont étudié les produits d'oxydation de la benzylamine par
le réactif de Garo; la base s'oxyde assez difficilement, tandis que
ses produits d'oxydation sont transformés presque immédiatement
en ac. benzoïque; toutefois ces réactions secondaires ont pu être
restreintes par l'addition de NaHCO^.
Le produit primaire qui n'a pu être isolé est vraisemblablement
la benzylbydroxy lamine qui s'oxyde de suite en donnant de la
benzaldoximey du nitrile benzoïque^ de la benzumide^ de l'ac.
benzbydroxamique^ du pbénylnitrométhane^ de l'ac. et de Yald.
benzoïques^ de l'ac. phénylnitrolique C*H*.C5^~y,j (aiguilles
blanches sol. en rouge vineux dans les alcalis), un composé neutre,
f. a 205"*, cristallisé en aiguilles très peu sol. (sauf dans le toluène
bouillant), un composé neutre f. à 110'', sol. dans l'eau chaude, un
8* composé neutre en aiguilles f. vers 100-103**, peu sol. dans
l'eau et enfln une base sol. avec une coloration jaune dans les ac.
minéraux. On trouvera dans le mémoire original le détail des
opérations et de la séparation de ces divers produits.
p. FREUNDLER.
Sur l'oxydation des aldoximes aromatiques et grasses;
E. BAHBERGER et T. SCHEUTZ {D. cb. G., t. 34, p. 2023-2033 ;
6.7.1901). — L'oxydation de la benzaldoxime par le réactif de
Caro fournit de l'ac. henzhydroxamique, du phénylnitrométhane
iihid.y t. 33, p. 1781) et dans certaines conditions de la dibenzényl-
azoxime, du nitrile benzoïque, de l'ac. et de Tald. benzoïque et de
l'ac. phénylnitrolique. Cette réaction est générale et s'applique aux
ald. grasses et aromatiques.
Oxydation de Vanisaîdoxime. — Cette oxime préparée en sol.
alcaline, à froid est précipitée par CO* ; paillettes blanches f. à
62-64*, sol. dans l'éther. On trouvera dans le mémoire original le
détail de l'oxydation. Celle-ci a fourni des ac. anisique et anishy-
droxamique, de l'ald. anisique, du nitrile anisique, une substance
insol. dans l'eau, non volatile, cristallisant dans Tac. acétique en
aiguilles blanc rosé, f. à 133°, de Yanisybutromélliane :
CH30-C«[l*-CH2Az02,
Wi ANALYSE DES TRAVAUX ËTRANGERB.
(liquide volalil avec la vapeur d'eau, donnant avec FeCl^ un préci-
pité violet brun peu sol. dans l'iilher). Ce dernier s'unit en sol.
alcaline à l'acétate de diazobenzène pour donner Vbydratone nitro-
anisique '^H3O.0fiHt.C<^^9' „ pj„^; aiguilles rouge rubis, f.
à 114°, avec décoinposilion, sol. dans les liquides organiques, dans
NaOH (en rouge orangé, sel de Na en aiguilles bronzées) et dans
SO'H* concentré (en rouge violet).
Oxydation de la m.-nitrobenzaldoxime. — Les produits sont
l'ac. m.-nitrobenzhydroxamique, l'ac. ni.-nitrobenzoîque, la di-m.-
AzO«.C«H*C Az
nitrodibeiizénylazoxinie \\ ii (aiguilles
Az-0-C.C«H».AzO*
jaunâtres, f. à i47'',5-149'',5, sol. dans l'acétone, peu sol. dans les
autres liquides organiques.
L'oxydation de la p.-nilrohenzaldoxime a fourni principalement
de l'ac. p.-uitfohenzhydroxamique.
Oxydation de Facélaldoxime. — On obtient de l'ac. acélby-
droxamique (coloration violette avecFeC!*, virant au brun par HCI
et reiiaraissant par dilution) ; du nitro-élbane, de l'ac. acétique et
un dérivé nitrosé bleu, sol. dans l'élber, peu stable.
La propionaitloxime a fourni du nitropropane et de l'ac. propio-
bydroxainique, Visovidéraldoximc du nitropeniane et de l'ac. iso-
valérhydvoxamique (GHVCH.GH'.G^^"" (aiguilles blanches
r. à 73*,5-76°, sol. dans l'eau et les liquides organiques, saui
l'éther de pétrole ; le sel de cuivre est vert).
L'isobalyraldoximo a fourni de l'oc. isobutyrhydroxamique et
du nilro-isobutane. p. freiinulkb.
Synthèse de l'aldéhyde ortho-azidobenzoïqiie ; E. BAMBER-
GER et E. DEMUTH (O. ch. G., t. 34. p. 229â-22'Jd; 20.7.1901. —
Celte aldéhyde a été obtenue indirectement en j)artant de l'indiii-
zoiioxjme (voy. l'un des mémoires précédents; I). cb. C, t. 34,
D. 1309). Les auteurs en ont fait la synthèse directe en faisant agir
azolhydrique sur l'ald. o-diazobenzoïque en sol. acétique :
iCllO XNcHO
V'
^l
endeinenl est de 93 0/0 de la théorie. Four effectuer ct'Iti;
ition, on mélange la sol. du diazoïquo additionnée do NaCl
CHIMIE ORGANIQUE. 903
avec une sol. concenlree et refroidie ( — b**) de Az'^Na, puis on
verse peu à peu une sol. concentrée d*acétate de K jusqu'à cessa-
tion de reffervescenee. On laisse ensuite reposer et on épuise par
rôther. La constitution des azido-aldéhydes est ainsi démontrée
d'une façon directe. p. frelndler.
Sur quelques hydrazoues isomériques ; E. BAHBERGER et
O.SCHMIDT (D. ch, C, t. 34, p. 2001-2017; 6.7.1901). —Un cer-
tain nombre de phénylhydrazones existent sous 2 modifications
a et 6 qui se transforment Tun et dans Tautre sous les influences
les plus faibles (solvants, etc.).
I. Hydrazone nitroformique AzO^.CH=Az.AzH.C^H5. — La
modification a cristallise dans le benzène et la ligroïne en prismes
orangés f. à 74*,5-75^,5 (chaufFage brusque); si on la chauffe
lentement, elle se transforme dans l'isomère p (aiguilles jaune
d'or, f. à 84*,5-85**,8, lentement solubles dans le benzène et la
ligroïne). Aucun des 2 isomères n'est conducteur de Télectricité.
La forme a se transforme en p : i** Par chauffage ; 2** par dissolu-
tion dans les alcalis et reprécipitation par les acides ; S"" cristalli-
sation dans l'alcool (le benzène, Téther, CHCP et la ligroïne sont
sans action). La transformation inverse s'effectue seulement par
cristallisation dans le benzène, le chloroforme et la ligroïne. Il
s'agit probablement d'isomères stéréochimiques syn. (a) etanli(p),
car les constantes de réfraction sont les mêmes.
II. Hydrazone de Fald. niirovalériqae C*H».C<^^^*^^ ç.^^^-
— Cette hydrazone obtenue par condensation du nitropenlane et
du diazobenzèno, se présente également sous deux formes
a (f. =51%5-52«) et p (f . = 92%5-9â*») qui sont absolument ana-
logues aux hydrazones nitroformiques.
III. Ubydrazone phénylnitroformique G^W,G^^^. j, p^rt».
n'existe que sous une seule modification f. à i01**,5-102^,5.
IV. Hydrazone benzoyltormique C6H5.C0.CH^Az.AzH.G«H5. —
Elle s'obtient (la forme P) au moyen de l'éther benzoylacétique et
du diazobenzène en même temps qu'un peu de formazylphényl-
cétone. La modification a fond à 114° et cristallise en prismes
rhombiques orangés, sol. dans le benzène et la ligroïne, et la
forme p cristallise en paillettes jaune d'or, f. à 138*. La chaleur
transforme les deux isomères en un mélange f. vei's 126-128'*; la
ligroïne favorise la modification a, et l'alcool et l'acétone la forme p.
Le benzène est neutre. Les deux isomères se dissolvent dans
soc. cuiii., 3* SKR., T. xxvi, 1901. — Tta?. ètrang. 63
994 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
l'éthylate de Na (ou la soude alcoolique) en formant un dérivé
sodé en aiguilles rouges décomposables par Teau et par CO*; ce
dérivé sodé, traité par HCl, régénère un mélange des deux formes.
V. 0,-NUrophényîhydrazone'benzoylformique :
C6H5-GO-CH = Az-AzH-G6H*- Az02 .
Préparation analogue à la précédente ; on verse peu à peu de
Tacétale d*o.-nitrodiazobenzène dans une sol. d*éther benzoylacé-
tique saponifié à froid par KOH ; le précipité est ensuite recristal-
lisé dans un mélange d'alcool et d'acétone. La Forme p ainsi obtenue
est en aiguilles jaune d'or, f. à 145*»,5-146®,5 (chauffage brusque),
sol. dans SO*H* en rouge orangé, dans NaOH en rouge clair.
La forme a cristallise en aiguilles orangées plus solubles que la
précédente, f. vers 113-117*». L'alcool et Tacétone risomérisenl
complètement, de même que la chaleur; le benzène, le xylèneel
la ligroïne fournissent un mélange ainsi que le passage par le
dérivé sodé.
VI. ni'Nitvophénylhydrazone benzoyUormique. — On obtient
en même temps de la di'm.'nitrophényUfornmzylpbéiiylcétoae
C6H^C0X<^^;^^^^^^ sous forme d'une poudre cris-
talline rouge foncé, f. avec décomposition vers 210**, sol, dans le
xylène bouillant, peu sol. dans l'alcool, sol. dans SCHH* en violet.
— Uliydrazone a cristallise dans le benzène et la ligroïne en
aiguilles orangées à reflets violets, f. vers 140". L'isomère p (cris-
tallisation dans l'alcool) est en aiguilles brun orangé, f. vers 149-
152° ; il est accompagné quelquefois d'une troisième modiflcation
(y) en paillettes blanc jaunâtre. — La chaleur transforme p et y
dans a.
VII. p.'Nitrophénylhydrazone benzoylformique, — Cette hydra-
zone n'existe que sous une seule forme qui cristallise dans le xylène
bouillant en paillettes jaunes à reflets violets, sol. en rouge orangé
dans SO*H* concentré, f. à 199-200*. r, freundlbr. *
Contribution à l'étude de la benzylidéne-phénylhydraiine;
E. BAMBERGER et J. GROB [D. ch. G., t. 34, p. 2017-2023;
6.7.1901). — Les produits de condensation des diazoïques avec
les carbures gras nitros, sont des hydrazones d'ald. nitrées
^•^^AzÎazH.C«Hk i'*^^'^'^- 3*, p. 2626). On obtient directement
CHIMIE ORGANIQUE. 995
ces composés en traitant les hydrazones R.GH-Az.AzH.C^H' par
les vapeurs nitreuses :
K!
<Az02
Az-AzH-C6H5
+ Az203 = AzO^H + R-C/
Cette reaction donne naissance à un produit intermédiaire qui
est rhydrazone nitrosée correspondante R-^^^^ a h r«H5
De plus, il y a nitration partielle dans le noyau aromatique et
formation du dérivé R-G<AzAzH.C«H*.Az02 (4)" ^^^^' ^®^
diverses hydrazones peuvent être hydrolysées et donner de Tald.
R.CHO et des hydraziues ou plutôt les diazoïques correspondants,
diazobenzène et p.-nitrodiazobenzène.
La réaction s'eiïectue en faisant passer un courant de vapeurs
nitreuses (AzO^^H et As'O^) dans une émulsion refroidie à 0^ de
benzylidènephénylhydrazine dans Tacide acétique. Il se forme
d*nbord des cristaux prismatiques verts idérivé nitrosé», puis tout
se dissout; on précipite ensuite par Teau et on sépare les divers
produits par cristallisations fractionnées dans Talcool. — Uliydra-
zone phénylnitvoformique C^H*.C^ . ^^ „ ç>^iv^ cristallise en
ai^. orangées, f. à lOl'^j.^-lOl^^ô, identiques au produit de Taction
du diazobenzène sur le phénylnitromélhane. — Le dér. p.-iiUré
C*H*.C^?^^ u p6H* A 0«' "^o*"s sol. dans Talcool, cristallise
en aiguilles rouge orangé, f. à 140^,5 (chauffage brusque), peu sol.
dans réther et la ligroine, sol. dans les autres liquides organiques
et les alcalis (soi. peu stables). Ce composé u été préparé synlhé-
tiquement au moyen du phénylisonilrométhane sodé et du nitrate
de p.-nitrodiazobenzène. Le diazobenzène et le p.-nitrodiazoben-
zène ont été caractérisés par leurs produits de copulation avec
le p-naphtol.
Dans la réaction précédente il se forme une petite quantité de
flocons jaunes, f. vers 98-99**, sol. en rouge dans les alcalis. —
Chauffé avec de la ligroïne, ce produit se décompose (dégagement
de vapeurs nitreuses) en se transformant en une matière cristal-
lisée, f. à 185*» . p. FREUNDLER.
Sur la base colorée de la rosaniline ; G. von GEORGIEVICS
(Jlon. /. CA., t. 21, p. 407). — L'auteur a montré il y a quelques
années (Mon. f. Cb,, t. 17, p. 4 ; Bull., t. 16, p. 1691) Texislenco
996 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
de bases colorées de la fuchsine et de la pararosaniltne qu il a
considérées comme étant des bases de la forme ammonium. Ces
considérations ont été l'objet de critiques de la part de H. Weil
(D.ch.G, 1896, t. 29, p. 1541 ; BalL 1896, 1. 16, p. 1576) ; pour lui
elles consistent en un mélange de base carbinol incolore et de
matière cîolorante mécaniquement entraînée dans la précipitation.
Cependant, récemment Hanlzsch et Osswald {D, ch. G, lyOO,
t. 33, p. 285 ; Bull. 1900, t. 24, p. 757) ont démontré par Télude
de la conductibilité des solutions de fuchsine et de matières colo-
rantes analogues que les bases correspondantes peuvent exister
sous deux formes tautomères; la forme ammonium colorée qui se
transforme en la base carbinol incolore.
Dans le présent mémoire l'auteur apporte quelques nouveaux
faits à Tappui de sa première hyi»othèse; mais ces faits ne peuvent
pas se résumer. Consulter le mémoire original. a. wahl.
Condensation des phénols avec les éthers de la série acé-
tylénique (5'' partie). Homologues de la hemo-ypjTone ;
Siegfried RÏÏHEMANN {Chem. soc, t. 79, p. 918-922; 7.1901). —
L*auteur a étendu au thymol et au carvacrol la condensation
étudiée antérieurement avec d'autres phénols (Z?w//, Soc. cbim.^
t. 24, p. 817 et 982).
Le ^"thymoxycinnamate d'éthyle
G6H5-C=CH-G02C2HS
I
0-G6H5(CH^)(C3H*»)
(I) (ii) m
formé par la condensation du phénylpropionate d'éthyle avec le
thymol bout à 218-219'* sous 12 mm. et fournit par hydrolyse
Vacide ^4hymox ycinnamique qui crist. dans l'alcool dilué en
prismes, se décomp. à 130° et f. à 138° avec dégagement de GO* et
c«h5~c-0-c6h3(ch3)((:^h")
:h«
liq. d'odeur agréable D à 14° -=. 0,9925. F. 26°. Eb. 177-178° sous
10 mm. sol. dans l'alcool et Télher. L'acide p-thymoxycinnamiquc
ne se condense point par SO*H* en dérivé de la ben^sopyroue.
La réaction du clilorofumarale d'éthyle sur le thymol sod«!^
donne naissance au Ihymoxyfumarate d'éthylo
CH-G02C2H5
Jl
(G1P)(C31P)G6H20-G-G02C2H^
formation de ^-thyaioxystyrolène n
CHIMIE ORGANIQUE. 997
huile Jaunâtre. Eb. 194'' sous 10 mm. D à 14'' = 1,0493 donuant
par hydrolyse Vacide thymoxyfumnriquey aig. F. 215** (décomp.).
Cet acide, traite à froid par SO*H*, fournit l'acide ô-méibyl-H-
MsopvopyUl . i'benzopyrone-S-carboxyUque
C3H1 0
l'^.C-COîH
•CH
qui crist. dans Talcool dilué en plaques, F. 245" (décomp.). Car-
voxyfamarale (Téihyle. Eb. 206*» sous 14 mm. D à 14^» = 1,0445.
Acide carvoxyfumarique crist. dans Talcool dilué en plaques jau-
nâtres, F. 175** (décomp.) et se condense par Faction de SO*H*
en acide ô'isopropylS'nuHbyl'iA^benzopyrone-S'CarboxyUque
CH3 0
;-C02H
Q?W GO
qui crist. dans Falcool étendu en prismes, F. 237-238<» en perdant
CO* et fournissant la ô-isopropylS'inétbyUiA'benzopyrone^
crist. en prismes, F. 59-60** insol. dans Teau, sol., dans SO*H«
avec fluorescence verdâtre. a. valeur.
Sur les aminopyrrolidines ; H. PAULT et A. SCHAUM [D.
ch. C, t. 34, p. 2287-2289; 20.7.1901). — La ^-amino-aal-tétramé-
thylpyrroUdine qui a été obtenue en appliquant la réaction d'Hof-
mann à Tamide correspondante [ibid.y t. 32, p. 2000), présente la
plus grande analogie avec la p.-aminotriméthylpipéridine de
H. Harries (U) :
GH» — GH-AzUa CHa-CH( AzH2)-G112
Il I I •
(CH3)2-C-AzH-G(GlP)2 GH3-HG AzH G(GH3)
(I) lEb. 174*). (U).
Les deux bases s'unissent à CO* pour former un carbamate ; elles
ne donnent pas de carbylamine ni de diazoïque. L'action de
AzO*H est toutefois différente; avec la base II on obtient le dérivé
hydroxylé correspondant et avec la base I un composé non saturé,
VoL.oL'tétramétbyJpyrroline^ liiiuide bouillant à lil-lK)*» :
GH==GH
I l
(GH3)2-C-AzH-G-(GH3)2
tt»tl ANALYSE DES TRAVAUX ETHANOEMf*.
La base 1 s'unit à CS* pour donner 2 Ibiocarbamates isomèri^ues,
i. l'un à ii2-Ui- el l'autre à 170".
La ^■amiiio-Az-iiiéHiyl-^.a'télrainétliylpyrrolùUiie
CH= CH-AzH=
(CH3)ïC-Ai(CHî)-C(GH3p
obtenue d'une façon analogue, fond à 40* et boul à 190' ; elle rorme
également 2 Ihioearbamates qui tondent, l'un à lOS', l'autre à 17S*.
p. FRKUNDLEh.
Sur la ^-cétotètraméthylpyiTolidine; H. PAlHiT et C. BOEHk
{D. ch. G., l. 34, p. 2289-2291; 20.7.1901). — L'aclion de KOBr
surl'amide létrarnéthylpyrroline-carboniquerourntt, noiipasTHinine
iiifôrieure, mais une tétraméth/1-fi-pyrrolidoae :
AiH
^-COAzH*
!a,CH3)î +KOBr + HiO
0 |C0
a -lc(CH
= C0= + KBr + (GHîpd lc(CHî|ï + A«H3
AzH
Ce dérivé constitue un liquide mobile, volatilavee ta vapeur d'eau,
bouillant à 173°; ces propriétés se rapproctient de celles de la
triacétonamine. Il forme des sels solubles dans l'eau. La aîtrosa-
/ii/ue cristallise en aiguilles jaune pâle f. à 75°,5-76'*. La C}aabyilviae
fond à 138* (petites tables presque insol. dans l'eau). L'oxïme e^l
va tables ou en prismes f. à 172% que la réduction par Na el
""' — ' '-ansforment en ^-aminotétraméthylpyrrolidine (voy. le
arécédent).
olidone réduite par l'amalgame do Na fournit un mélange
OH» — CHOH
tutramethyipyrrohdine \ \ , (tables
lCH')*U-.\zH-aCH»)»
ues f. à 71"; éb. 90-9I'' sous il""' ,5; dérivé beiixor/t"
ropriétés anesthésiques) et d'une base plus hydrogt'iiée,
<, qui cristallise en prismes f, à 26°, bouillant à 87',8-)Wt"
,5. p. rREUNDLER.
e DouTslIe mètbade de prAparation d« l'acide T>pyri-
iDique ; étude ae quelques dérivés ; L. TERNAJGO
Cb., t. 21, p. 446). — Désirant faire l'élude de quelques
t cet acide, l'auteur a examiné les difléreiltea méthodes
CHIMIE ORGANIQUE. 999
qui permettent de Tobtenir; les rendements sont mauvais. Il
emploie comme matière première l*acide cinchoméronique ou
mieux son éther monométhylique ; le sel d'urfrenl de cet éther
soumis à la distillation sèche fournit Téther méthylique de Tacide
isonicotique avec de bons rendements. L*acide cinchoméronique
se prépare ainsi : dans un récipient tubulé d'une capacité de
10 litres, on place 250 gr. de quinine dissoute dans 6 k. d'acide
azotique (r/^=:l,4), 1500 gr. d'acide nitrique fumant et on chaufle
à Fébullition, Tattaque est très vive mais se calme peu à peu.
Après 15 heures Topération est terminée, on distille Tacide azo-
tique et le résidu est évaporé à sec, repris par Teau chaude et
abandonné à la cristallisation, le produit purifié par une nouvelle
cristallisation fond à 246*». Rendement 42 0/0 du poids de quinine
employée.
Cet acide est transformé en anhydride, puis en éther monomé-
thylique.
Le seicPAg de Pétber méthylique constitue une poudre micro-
cristalline blanche. Soumis à la distillation sèche dans un courant
d*hydrogène, il perd de l'acide carbonique et donne Véther isoni-
colique ou ^^-pyridinecarbonique :
C;-G00CH3 G-G00GH3
^ r ^-t-H2 = 2G02 4.Ag2-f2
hgLJgh 1 o i hgLJgh
Az Az
Cet éther purifié par plusieurs distillations dans le vide constitue
un liquide incolore très mobile et réfringent, bouillant à 104*» sous
21 mm. Rendement 58 0/0. L'éther y-pyridinecarbonique se soli-
difie à 1^5 et la masse consistant en longues aiguilles fond alors
à 8*,5, il est soluble dansTeau, Téther, Falcool, le benzène. Sapo-
nifié par les alcalis caustiques il donne l'acide ^-pyridinecarlioniquef
F. SIO**, caractérisé par son sel de platine :
(G^H^A z02) 2 HGl . PtGl* + 2 1120 .
L'élher Y-pyridinecarbonique forme un chlorliydrate blanc, dé-
composé à 257" et un cliloroplatinale :
2(G5ir«AzGOOGH3) . 2HGI + PtGl*.
aiguilles rouge orangé, F. 174-175». Traité par l'iodure de méthyle,
réther donne un iodomcthylate C5H«AzC00GH3.lCH3, beaux
prismes rouge écarlate, F. 183-184**.
1000 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
La bêlaïne qui s'obtient en traitant l'iocIoméUiytale par l'oxyde
d'argent, cristallise avec 1 moi. d'H'O.longues aiguiller brillanles,
F. 264»; son cliloroplalinate (CiH-'AzO*HCI)».PtCI» + H«0 consti-
tue de belles tablettes orangé-rouge.
Visonicotamide CH'AzCOAzH» se lorme par l'aclion de l'ain-
moRiaque alcoolique soue pression à 140-150° sur l'élher mélhy-
)i(|ue. L'amide crist. dans CH^ en rcuillets, F, 155'',5 à 156°.
Sor les ,u-a-Ai-imidasols substitués: F. KDHCKELL et P.
DONATH (D. ch. G., t. 34, p. 1829-1838; 22.6.1801). — Le r*-»-
diphénylimidazol, chaufTé à l'ascendant avec de l'alcool et de l'io-
dure d'éthyle, forme un ioàétbylate
I C3HS
*Az— C-G6H5
OHS-Cf II
XAzH-CH
Aiguilles blanches, f. â 162° sol. dans l'alcool, peu sol. dans l'eau.
Ed traitant ce composé par AgOH, on obtient le ^L-^Mphényi-Ai-
éthylimidazoi ; aiguilles blanches T. à 192°, peu sol. dans le ben-
zène, très sol. dans l'alcool. Si on chauffe ce dernier pendanl. 3 b.
â l'ascendant, avec un excès d'alcool et d'iodure d'éthyle, on
obtient de nouveau un iodélhyîale f. à 154'. — Le u.-a-dipliényl-
imidazol s'unit également à chaud aux élhers chloracétique et
bromacétique pour donner naissance aux produits d'addition
correspondants, qui fondent respectivement à 260 et 286" Pt qui
cristallisent dans l'eau en aiguilles blanches sol. dans l'acool, insol.
dans l'éthep.
Avec le bromure de pbénacyle, on obtient de même le composé
Rr CO-Cnï-C<H»
*Az— C-C6Hi
G«H5-cf II
\AzH-CH
'■ — ■"-■ f. à 222°, sol. dans l'alcool, peu sol. dans l'eau bouillante;
louilianle diluée enlève HËr à ce composé en donnant du
\y}-Az-phcnaeyhmidazo}, en i>aillettes f, à 14iï-!43*, sol.
lol chaud. L'/o(/c7Aj7a/e se tormu à 120° en tube srdlé;
ilanches f. à 202°, sol. dans l'alcool, insol. dans l'étlier.
imidazol ne peut fixer une deuxième molécule de bromure
:yte. Traité par le brome en sol. chloroformique. il se
CHIMIE ORGANIQUE. 1001
transforme en un dérivé monobr orné &^il*'^Az'^OBr f. à 176*>, insol.
dans réther, sol. dans ralcool ; ce dérivé n'a pu être obtenu au
moyen du diphénylimidazol et de la dibromacétophénone. NaOH
alcoolique ne lui enlève pas de brome. p. freundler.
Constitution des urazines; H. BUSCH {D. eh. G., t. 34, p. 2311-
2320; 20.7.1901). — Les urazines résultant de la condensation de
la phénylsemicarbazide, des phénylsemicarbazinates, etc., ont été
considérées pendant longtemps comme dérivant du noyau
CO<:;y^{j"v^'u>C0 ; toutefois cette hypothèse conduit dans cer-
tains cas à des résultats contradictoires en ce qui concerne la cons-
titution de divers corps. L'auteur a montré que les anomalies dis-
paraissaient si Ton remplaçait le noyau urazinique par le noyau
triazolonique, et il apporte actuellement la preuve directe de cette
constitution : la condensation interne du phényl-phénylméthylcar-
bazidocarbonate d'éthyle fournit un phénylméthyl-anilido-m'azol :
C«H5-Az— AzH G«H5-Az— Az
Il I II
GO C02C2H5 = OC G-OH +G2H5-OH.
AzH-Az<^5j^5 Az-Az<^6j^5
Cet urazol, traité par HI, perd CH^ en donnant le phénylanilido-
urazol :
G6H5-AZ— Az CnP-Az— AzH
CMJ G-OH OG GO
\/ \ I
Az-AzH-C«H5 HAz— Az-CqP
I) (II).
En second lieu Téther pbényldibenzylcavbazidocarbonique
/AzH-G02C2H5
G6Hi-A
\GO.Az^^"'-^'"*
^^^<AzH -GH2.G«H5
qui théoriquement ne peut donner naissance à un dérivé triazolo-
nique, s*est montré en effet très résistant à l'action des alcalis.
Uéiber phènyî'S'phénylmétbyl'6'Carbsizidoearbonique (voy. la
formule ci-dessus) s'obtient en traitant par la phénylméthylhydra-
zine diss^m. une sol. alcoolique du chlorure
y.VzH-GO'G^HS
C»H5-Az<
\G0G1
1002 ANALYSE DES TRAVAUX ETKANGEHS.
on précipite ensuite par Teau et on fait cristalliser dans Talcool;
aiguilles blanches f. à 164-165®, sol. dans le chloroforme et le bi»Q-
zène bouillant, peu sol. dans Téther, insol. dans Téther de pétrole.
— (Dans cette préparation, on a obtenu accidentellement, par suite
de la présence d'un peu de méthylaniline de Vétber phénylS-pbénj'l'
méthyl'i'semicarbazidocarbonique G^W . Az<p^ 1^^
prismes f. à 117® peu sol. dans Téther et la ligroïne, sol. dans
Talcool et le benzène, non attaquables par la soude alcoolique.
Les alcalis dilués chauds (70-80*) dissolvent i'éther carbazidique
précédent; en acidulant, on précipite le pbényl'l-pbénylmétbyU
amino^'UrazoI (yoy- plus haut), sous forme de paillettes incolores
f. à 167-168% sol. dans AzH», Na'CO» et la plupart des solvants
organiques. Le dérivé métboxylé obtenu avec KOH et Tiodure de
méthyle, cristallise en aiguilles f. à 103** sol. dans l'alcool et le
benzène, insol. dans les ac. et les alcalis. — L'urazol précédent
est doué de propriétés acides. Chauffé avec HI au bain d'huile, à
240®, il se transforme en phénylanilido-urazol (ou diphénylurazine,
voy. plus haut).
Le phényl-l-diéthylamino-4-urazol décrit antérieurement (C. Blatt,
1. 1, p. 936, 1901) traité de la même façon, a fourni du pbénylami-
no'd-urazol
C^H^-Az( >Az-AzH2,
^^ CO
f. à 244", identique à la pbénylurazine.
Vétber étbylique du pbényM'pbénylamino^urazol cristallise
en paillettes nacrées f. à 156*", sol. dans le benzène.
En traitant le chlorure Cm^.I^<^^'^^^^^^^ par une solution
éthérée de dibenzylhydrazine symétrique on obtient le phênyl-S-
dibeazyl'i'ô'carbazidocarbonate détbyle (voy. la formule plus
haut), sous forine de prismes quadratiques, f. à 105*», sol. dans
l'alcool, non attaquables par la soude aqueuse diluée. Chauffé vers
240-250'», ce composé se transforme partiellement en un produit
CMf|40Az*0*, que Tauteur considère comme étant la phényldiben-
.AzH-CO
zylurazine C®H*. Az/^ >Az.CH'C*H*; ce corps se forme en
^CO— Az(CH«.C«H»)
petite quantité quand on chauffe Téther primitif avec KOH alcoo-
Hque; il cristalUse en paillettes incolores f. à 180*, sol, dans les
dissolvants organiques, insol. à froid dans AzH^ et Na*CO*.
p. rRBUMDLKR.
i
CHIMIE ORGANIQUE. Um
Sjrnthése dans la série des urazols; M. BOSCH et A. GROH-
MANN (/A ch. C, t. 34, p, 2820-2381 ; 20.7.1901). — Ce mémoire
renferme la description d'un certain nombre d*urazols obtenus par
un procédé analogue à ceux qui viennent d'être décrits. Ces syn-
Ihèses constituent une confirmation de la constitution démontrée
précédemment.
XJéiber ph^nyl-^-Hnisyl-ô- carbazidocarbonique
C»H5-Az-AzH-C02Gni»
I
CO-AzH-AzH-C6Il*OCH3
(voy. le mémoire précédent) obtenu au moyen du même chlorure
et de la p.-méthoxybenzylhydrazine, cristallise dans l'alcool en
aiguilles f. i 161-162**, presque insol. dans l'éther et le benzène.
NaOH le dissout en le transformant en phényUl-anisido-Â-urazol
KA2=C.0H
>Az.AzH.C«H*.0CH3; aiguilles blanches f. à
CO
205**,5y sol. dans l'alcool, insol. dans l'éther et le benzène.
Vanisylcarbazinate déthyle CH30.C«H*.AzH-AzH.C0«C«H»,
obtenu par condensation de l'éther chlorocarbonique avec la
p.-anisylhydrazine en sol. éthérée, en présence de pyridine, crist.
en aiguilles jaunâtres f. à Si"*, sol. dans le benzène. Cet éther
réagit avec COCl* en solution benxénique en donnant le chlorure
CH«O.C«H♦.Az<^^^J^^'^*^^ sous forme d'aiguilles f. à 124%
sol. dans l'éther de pétrole; le chlorure réagit sur la phénylhydra*
zine en donnant Vanisyl'S'phénylcarbazidO'ô-carbonale détbyle-l
CHK) . C«H*Az<:^j"^g*5*jH C«H5' ^" a^^^^^es incolores f. à 1 84%
peu sol. dans l'alcool, l'éther et le benzène. La soude transforme
ce dérivé en anisyl-î-anUido-d-urazoIy isomère du composé décrit
plus haut (aiguilles soyeuses f. à 242'', peu sol. dans l'alcool.
Vétber anaphtylcarbaziniqueC^^W.AzH.AzH.CO^Gm^ (naph-
lylhydrazine et chlorocarbonate d'élhyle), crislallibe en paillettes
blanches f. à 107-108**, insol. dans l'éther de pétrole. Le chlorure
C«oH'ï.Az<^^^j^*^'^' fond vers 115»; traité successivement
par l'hydrate d'hydrazine puis par la soude, il se transforme en
.Az^C.OH
a-Dapthyl'l-amino-i'Urazol C^^H'^-Az^ >Az.AzH* qui cris-
\ CO
talhse dans l'eau en paillettes f. à 201*, sol. dans Tac. acétique,
lOOi ANALYSE DES TRAVAUX ËTitANOERS.
les alcalis et l'alcool, insol. dans l'éther et le benzène. Le dérive
sodé est cristallin et peu sol. dans NaOH conœntr^e. L'action de
AzO'H sur ce dérivé aminé conduit au noplitylorazol
^ — co
aiguilles blanches (dans l'eau bouillante), f. à 2S3-iSi', sol. dans
l'alcool bouillant et l'ac. acétique, très peu sol. dans l'éiher, le
benzène et le chloroforme.
On a préparé de même Véther-^-naphtylcarbazinique (aig^uilles
f. à lOS^jS, sol. dans i'aleool, le benzène et l'éther); le chlorure
C"'H^Az{COCI).AzH.€0»C«IP (fines aifc'uillesf. à 139", sol. dans
les liquides organiques usuels); le p-iiop/ityI-i-swino~i-uraiol
(paillettes ou aiguilles blanches f. à 265°, sol. dans l'alcool et l'ac.
acétique, insol. dans l'éther et le benzène) et le ^-naphl ylarazol
(aiguilles blanches T. à 38°, peu sol. dans l'eau chaude, sol. dans
les alcalis et dans les liquides organiques sauf l'éther, te benzène
et le chloroforme).
Le lliioclihrare C^H^-Az^V Jj p(-)ipmii obtenu en faifinnl
couler une sol. de phénylcarbazinate dilué de ligroïne dans CSGP
bouillant (à froid on obtient de \& phényiéthoxydiazolone
XS-O
C6HS-Az<,
i-OC^HS
XS-O
fond vers 115-115°. Traité par l'aniline en sol. alcoolique, il fournit
de l'éther dipliéayl^.4-tbioseinicarbazidocarhoniijue-l
/AïH-CO'G'Hi
\CS-AzH-C»Hi
sous forme d'aiguilles f. à 145°, sol. dans l'alcool et le chloro-
ionne- Cet éther se décompose partiellement en phénylsénévol el
iiiiÂTivii^arl)Uzînale lorsqu'on soumet sa sol. alcoolique n une ébul-
"olongée. La condensation inverse n'a pu ('-trc ufloutuée. —
,Az=(;.OH
■ényl-J.4-lliio ô-iirazoiCfiH'^ . \7.\K >Az.U''ll'', obtenu
^ US
nnt par la soude l'éiher précèdent, cristallise dans l'alcool
9 aiguilles f. à 214-215°, sol. dans les liquides organiques
ther (le pétrole, peu sol. dans l'eau.
CHIMIE ORGANIQUE. 1005
LephéayI'2'lhiocarhazidO'Carboûate déthyle-1 (hydrale d'hydra-
isiac et Ihiochlorure précédent) n'a pas été isolé, mais transformé
directement en phén/l-l -amino-d^thio-ô-urazol
/Az=C-OH
G«H5-Az>; >Az-AzH2,
\ — es
(aiguilles f. à 191-192° avec décomposition, sol. dans Peau chaude,
les alcalis et Talcool, presque insol. dans Téther et le benzène). —
L#e phényl'1'thiO'O'Urazol cristallise en paillettes incolores f. à
229-280", sol. dans Teau et Talcool chaud et dans les alcalis, insol.
dans réther et le benzène. Le disuUure constitue une poudre cris-
talline jaune, f. à220^
Le (Uphênyl-2 . ô-thiocarhazido-carbonale d^éthyle-l (phényl-
hydrazine et thiochlorure) cristallise en paillettes blanches f. à 188*»,
peu sol. dans Téther et le benzène. — ha phényl-l'anUido-4'tbiO'
arazol fond à 184° (cristaux sol. dans Talcool bouillant, insol. dans
Peau). — Le phényl'S-pAoIyl-^'thiocnrbazidocarbonate d'étbyle
(thiochlorure et p.-tolylhydrazine), fond à 183° (aiguilles sol. dans
ralcool) et \e phényl'l-p.'toluido'4-urazol Si 190° (aiguilles).
Le cblorure p. CH3.C«H*.Az<^^jT'^^,^,u^ cristallise en
aiguilles jaunâtres f, à 109-110°; Vétber phênyl-5'p.'toIyl'2'Carba-
ziâo-carbonique-i fond à 125° (cristaux durs sol. dans Talcool,
peu sol. dans Téther et le benzène), et le pAoîyl'l-aniîidotbiO'
.Az^C.OH
urazol C"ïH'AzH< >Az.AzH.C«H», à 219° (fines aiguilles
^^ — es
sol. dans l'alcool chaud, peu sol. dans Téther et le benzène).
p. PRBUNDLER.
Sur les di-aIcoylnrazol8-1.4; H. BUSCH et C. HEINRICHS [D,
ch, G„ t. 34, p. 2331-2339; 20.7.1901). — Les chlorures d'ac.
carbazido-carbonicjiios réagissent sur AzH^ en donnant, non pas
ramide correspondante, mais une éthoxybiazolone :
C^HS-Az— Az
(:6H5_Az Azll I II
I I -fAzH3^AzH''Gi+ GO C-0G2H*
GOGl G02G2H5 \/
0
Left aminés primaires se comportent par contre comme les
1006 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
hydrazines; elles donnent naissance à des semicarbazides que la
soude tiède condense en urazols :
CeRS-Az— Az
C6H5-Az-A2H-COaC2H5 | l|
I = CO G-0H + C2HH)H
CO-AzHH \ /
Az-R
ces urazols sont des acides monobasiques forts qui décomposent
les carbonates alcalins. La réaction précédente s'effectue sponta*
nément en sol. alcoolique.
Avec la méthyiamine on obtient le phényl-H-niéthyl^semicBr'
hazidO'Carbonate (Téthyle en aiguilles blanches f. à 131*, sol. dans
Teau chaude et les solvants organiques sauf Téther de pétrole. —
Le phônyl'{-métbyl-4'urazol fond à 224<» (aiguilles sol. dans les
alcalis, Feau chaude, Talcool et Tac. acétique, presque insol. dans
l'éther et la ligroïne); le dérivé sodé est en aiguilles peu sol. dans
NaOH concentrée. Le dérivé acélylé cristallise en aiguilles f. à
129'*, sol. dans Talcool, saponifiables à chnud par les alcalis.
Le phényli^'éthyl'4'SemicarbazidO'Carbonate d^étbyle fond à
113*» (aiguilles sol. dans l'eau chaude et les liquides organiques
sauf la ligroïne), et le pbényhi'étbyUé-urazol à 174* (paillettes
sol. dans Talcool).
Le pbényl'2'benzyl'4-semicarbnzidocarbonate détbyle cris-
tallise dans le benzène en aiguilles f. à 143-144^ sol. dans Talcool,
presque insol. dans l'eau et la ligroïne. Le pbénylbenzylurazol
fond à 282° (tables insol. dans Teau, peu sol. dans l'alcool el Tac.
acétique).
L'étber dipbényl-2.4'Semicarbazidocarbomqae (aniline et chlo-
rure) cristallise dans l'alcool en prismes f. à 123*, de formule
Gi6Hn03Az3 + V2G2H60;
le sel sec fond à 131**; on Tohlient aussi en condensant Tisocyanale
de phényle avec lephénylcarbazinateensol. benzénique.Le dipbé-
nyl'1 ,4'Urazol cr'isisWise en paillettes f. à 163**, très peu sol. dans
Teau, la ligroïne et Pélher, sol. dans les autres liquides organiques
et les alcalis. Le sel de K et celui de Na (4H*0) sont en aiguilles
insol. dans les alcalis concentrés, celui de Ca est en petites pail-
lettes. Le diphénylurazol bout en se décomposant partiellement;
HGl concentré ne l'attaque que > 130°. Le dérivé acélylé fond à
166° (aiguilles sol. dans l'alcool et Tac. acétique, insol. dans l'eau
et la ligroïnej. L'éther niéthylirjue est en aiguilles I. k 184*, peu
sol. dans l'éther et le benzène.
CHIMIE OKGANIQUË. 1007
Le phéayl'l-pMolyl'4'Semicarbazidocarbonate détbyle cristal-
lise cians Talcool en paillettes f. à 134»; le phénylpAolyl-urazol
fond à 189-190**, aiguilles sol. dans Tac. acétique, presque insol.
dans réther et le benzène.
Wéther pMolyl'Carbazinique cristallise dans la ligi*oTne en
ron
aiguilles jaunâtres f. à89-90*. Le oblorureOW.PiZ<Ciry^ç,ç.^ç,^yr^
fond à 94"* (aiguilles blanches sol. dans la ligroïne), Vétber p.'tolyl-
S^pbényl'4hsemicarbazidocarbonique à 96-97* (aiguilles sol. dans
les liquides organiques sauf la ligroïne) et le p,'tolyl'I'pbényl-4'
urazol à 201"* (paillettes peu sol. dans Tac. acétique et Talcool
bouillant). p. freundler.
Sur la constitation de la p-isocinchonine ; SKRAUP, COPONT
et MEDANICH {Mon. f. Cb,, t. 21, p. 512). — Ce mémoire pure-
ment expérimental a pour but de rechercher les relations qui .
existent entre la p-isocinchonine et la cinchonine ordinaire.
La meilleure méthode de préparation de la p-isocinchonine est
celle de Hesse {Ùeb. Ann Cb., t. 260, p. 213; Bull., t. 5, p. 916,
1891), qui consiste à traiter la cinchonine par Tacide sulfurique
soit à chaud soit à froid. La solution sulfurique est versée sur de
la glace et suivant que Ton est parti du sulfate neutre ou du
bisulfate de cinchonine on modifie le mode opératoire car le
sulfate noutre peut renfermer jusqu^à 10 0/0 de cincbotine. Si Ton
8 opéré avec le bisulfate on neutralise par AzH»"*. ajoute de Tétlier
puis un grand excès d'AzH* et extrait plusieurs fois à Téther. La
solution éthérée est distillée et le résidu repris par HCl étendu
et chaud jusqu'à réaction acide; par refroidissement la majeure
partie du chlorhydrate de p-isocinchonine cristallise.
Il vaut mieux dans le cas où Ton est parti du sulfate neutre
(C«»H«Az«0)«H«S0* + 2Aq se dispenser des extractions à l'éther.
Le produit versé sur la glace est rendu fortement alcalin par AzH»;
les grumeaux qui se précipitent sont dissous dans leur poids
d'alcool, on y ajoute la moitié du poids d'eau, et autant d'AzH'*,
ce qui précipite la cinchotine sous forme de poudre cristalline
qu'on essore après refroidissement. La solution filtrée est évaporée
et quand Talcoola été chassé il se précipite une huile qui se dissout
quand on ajoute de Téther et de Tammoniaque, le résidu est
ensuite traité comme précédemment. Le rendement en p-isocincho-
nine est de 43 0/0 aii maximum et de 26 0/0 au minimum, du
poids de cinchonine employé.
Le pouvoir rotatoire pour / = 20, p^ 1,02 est (a^— — 54,02.
1008 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Les caux-mères du chlorhydrate de p-isocinchonine ne con-
tiennent que ra-isocinchonine.
Le p-isocinchonine additionne HI comme le fait la oiiichonine
et les deux produits sont identiques; de même avec HBr fumant
il se forme un bromhydrale C**H*3AzK)Br(HBr)* cristallisant
dans l'alcool en prismes fondant à 242^. Traité par AzH^ il donne un
A/rfroAro//2MreC*»H*^BrAz*0 cristallisant dans Talcool, il fonda
174®. L'hydrobromocinchonine fond à 175® et le mélange des deux
à 174®, 3 ces deux produits sont donc identiques.
Viodométhylate de ^-isocincbonine C**H^Az«OCHM a déjà été
préparé par Jungfleisch et Léger (C. iî., 1. 106, p. 357); il fond à
232^,5. Cet iodométhylate est un composé quaternaire du même
genre que les composés analogues dérivés de la cinchonine. Traité
par la quantité équivalente de Na^CO^ à chaud il n*est pas altéré.
On obtient un composé isomère quand on fait réagir Tiodure de
méthyle sur Tiodhydrate.
\:iodhydrate C*»H"Az*OHl -}- H«0 s'obtient en ajouUnt de
riodure de potassium à une solution chaude ^du chlorhydrate
F. 217®. L'iodure de méthyle agissant sur Tiodhydrate en milieu
chloroforme-alcoolique donne un composé C**H**Az*OHI.CH*I
fondant à 190-196®.
Traité par Na*GO^ il fournit une huile jaune soluble dans Talcool
et Teau déjà à froid mais qui se dépose amorphe. Cette huile lavée
au carbonate de sodium dans lequel elle est insoluble renferme de
riode. Ceci montre qu'il existe deux dérivés iodés quaternaires de
la p-isocinchonine comme dans le cas de la cinchonine. Donc le
groupement atomique en ce qui concerne l'azote est le même dans la
cinchonine et la p-isocinchonine. La p-isocinchonine no réagit pas
avec la phénylhydrazine. J^e sulfate de cinchonine C«*H**Az*OH'SOf
chauffé à 140® donne la cinchonicine qui réagit comme une célone
avec la phénylhydrazine; il était intéressant de voir si la p-isocin-
chonine réagirait de la même manière.
Le sulfate acide a déjà été préparé par Hesse, il cristallise avec
4 VfH^O chauft'é à 1 10® d'abord, puis à 140® il se colore en jaune vert
et se vitrifie. Le produit est dissous dans Teau, la base mise en
liberté par AzH^ est extraite à l'éiher; le résidu de la solution
élhérée évaporée est neutralisé par HCI et concentré et laisse
dépo^er des gros cristaux de chlorhydrate d*une nouvelle base
isomère C<»ll«Uz«O.HCI ]- 3A(i.
Ce sel est diflérenl du chlorhydrate de ^isocinchonine par sa
forme crist. par sa teneur en eau de cristallisation et par sa solu-
bilité. Hesse (Lieb, Ami, CL, t. 260, p. 219; ÙulL, t. 5, p. 916;
(
CHIMIE ORGANIQUE. 1000
1891), s'est donc trompé en disant que le sulfate d*isocinchonine
n'est pas altéré par le chauffage. La nouvelle base n'a pas pu être
obtenue cristallisée, elle ne réagit pas avec la phénylhydrazine
comme la cinchonicine, aussi doit-on l'appeler p-isopseudocincho-
Dicine. Elle donne deux iodhydrates, l'un C*»H«Az«0(lH)2-)-3HsO,
l'autre, le sel neutre C«9H«Uz«0(IH) -1-2H«0. L'acide iodhydrique
concentré réagit sur l'isopseudocinchonicine en donnant un com-
posé amorphe trèssoluble, très instable, tandis qu'avec la p-isocin-
chonine il se forme un produit d'addition cristallisé et identique en
tous points avec le produit d'addition fourni par la cinchonine. La
p-isocinchonine oxydée par le bichromate de potassium donne de
Tacide cinchonique caractérisé par son sel de cuivre (C'^H^^AzO VCu, '
et un autre produit qui donne un sel d'or C*H*«AzO*AuCl*. Cette
composition indique un sel d'or d'un produit basique ayant la même
formule que le méroquinène de K()nigs(Z>. cb. G.,t.21,p.904; ^«//A,
t. 27, p. 1189, 189 i) mais qui en diffère par toutes ses propriétés.
Ceci montre que lors de la transformation de la cinchonine en
p-isocinchonine la seconde moitié de la molécule a dû subir une
transformation moléculaire dont la nature n'est pas encore déter-
minée mais la première moitié de la molécule est restée intacte
car l'acide cinchonique est également un produit d'oxydation de la
cinchonine. a. wahl.
Sur l'a et la p-isocinchonine; SKRAUP et ZWER6ER [Mon.
f. Ch.y 35, p. 5^5). — Etude comparée des propriétés de Ta et de
la f^isocinchonine.
L'acide iodhydrique réagissant sur la p-isocinchonine donne un
iodhydrate C***H**Az^O(lHj* assez soluble dans l'eau et qui avec
AxH^ régénère la p-isocinchonine. LVisocinchonine donne avec IH
un produit qui est identique avec la trihydroiodocincbonineyxX fond
à :^29-23U'^ sa composition répond à C<î*H»*Az«0(IHj3. Ce sel traité
par AzH^ fournit une base cristallisée fondant à 162-163*' et qui
est V bydroiodocinchonine» Pour transformer la p-isocinchonine en
produit d'addition iodé on décompose son chlorhydrate par AzH',
extrait à l'éther et traite le résidu de la solution éthérée par 10 fois
son poids d'Hl; il se précipite des cristaux identiques à la trihydro-
iodocinchonine, ils fondent à 229-230** et la base qu'on en relire
par un traitement a AzlP est identique à celle obtenue avec le
dérivé triode provenant de IVisocinchonine. Ces deux produits
se montrent encore identiques vi-à-vis de la potasse alcoolique,
ils donnent tous deux de Ta-isocinchonine.
Four voir si dans les deux isocinchonines l'oxygène existe à
ftoc. cniM., 3* séa., t. xxvi, 190L — Trar. étrang. 01
1010 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
l'étal de groupe hydroxyle comme dans la cinchonine, les auteurs
étudient Faction du pentachlorure de phosphore. Pour étudier les
conditions les plus favorables, la réaction de PCl^ a d'abord été
essayée sur la cinchonine ordinaire en suivant les indications de
Kônigs {D, ch. G., t, 25, p. 1545).
Le chlorhydrate neutre du chlorure de cinchonine qui n'est pas
encore décrit cristallise dans Taleool en fines aiguilles feutrées
F. 213-214° leur composition répond à C*»H«*Az«Cl.HCl. Décom-
posé par AzH* il fournit la base; cristallisée dans Talcool ou
dans un mélange de benzène et de ligroïne elle fond à 82* Konigs
indique 72°; celte différence provient de Teau de cristallisation.
Le produit séché dans Tair correspond à C*»H«*Az«Cl + 2H«0-
Le PGl^, dans ces conditions ne réagit ni avec Va ni avec la p-
isocinchonine les deux bases restent inaltérées. De même Tanhy-
dride acétique est sans action sur elles, tandis qu'avec la cincho-
nine il donne un dérivé acétylé avec la plus grande facilité. Le
chlorure de benzoyle ne réagit pas nettement il se forme dans les
deux cas une petite quantité d'un produit benzoyle provenant sans
doute d'une décomposition profonde de la molécule.
Enfin, une autre réaction qui permet de déceler la présence
d'un groupa hydroxyle est celle de Tisocyanale de phényle qui
fournit des uréthanes.
La cinchonine donne avec Tisocyanate de phényle en milieu
benzénique un uréthane G'^H^'^Az^O* cristallisé en tables cassantes,
insolubles dans Teau facilement solubles dans l'alcool el le benzène
à chaud. L'a-isocinchonine soumise à la même réaction demeure
inaltérée, ainsi que la p-isocinchonine, mais dans ce dernier cas
on constate la formation d'un composé (CH^AzO)*^, triphényliso-
cyanurate provenant de la polymérisation de l'isocyanate de phé-
nyle. Ces essais montrent que ni l'a ni la p-isocinchonine ne ren-
ferment de groupe hydroxyle. Leur atome d'oxygène n'est pas non
plus célonique car la phényihydrazine est sans action.
Quand on chauffe le sulfate acide de cinchonine à 140°, il se
forme la cinchonicino qui est probablement identique avec Ifi
cinchotoxine de Miller et Rohde, obtenue en chauffant longtemps
la cinchonine en solution acétique diluée. Ni la cinchonicino ni te
cinchotoxine ne renferment le groupe hydroxyle, elles sont toutes
deux des composés cétoniques. Il était intéressant de voir commeflt
se comporteraient l'a et la p-isocinchonine dans les uunnes con-
ditions.
Lesulfateacided'a'isocinchonine C<»H««Az«0. H*S0*+3 V,H«()
s'obtient en neutralisant la base par de l'acide sulfurique titrât
CHIMIE ORGANIQUE. 1011
puis ajoutant une nouvelle quantité d*acide sulfurique égale à la
première, évaporant et précipitant par l*alcool et Téther. On purifie
le sel par recristallisation dans Talcool. Pour étudier l'aclion de la
chaleur sur le sulfate acide on le chaufTe à Téluve à 140** jusqu'à
ce qu'un essai ajouté à une solution concentrée de Kl ne donne
plus de précipité, ce qui demande environ une heure. On dissoutla
masse brune dans Teau chaude, ajoute de l'ammoniaque et extrait
à réther la base qui se précipite. L'éther est alors chassé, le résidu
repris par Talcool et neutralisé par l'acide oxalique; en concen-
trant, Toxalate deMa base se précipite. La composition de Toxalate
répond à la formule (C«»HmO«)«C«H*0*+6H*0. Quand on le
décompose par l'ammoniaque on obtient la base qui, traitée par
Tacide chlorhydrique et Tiodure de potassium donne Viodhydrate
neutre peu soluble dans l'eau froide, facilement soluble dans l'eau
chaude d'où il cristallise en tables prismatiques fondant (anhydre)
à 2â5-286«. Sa composition répond à C«»H««Az«0(IH) + H«0. La
base libre n'a pas pu être obtenue à l'état cristallisé, elle ne réagit
pas avec la phényihydrazine. Pour indiquer que cett'3 base se
forme dans les mêmes conditions que la cinchonicine, mais qu'elle
en diffère par ses propriétés négatives vis-à-vis de la phényihydra-
zine, les auteurs proposent de la désigner sous le non de d'a-i.-
pseudocwchonicine. Le rendement en base calculé d'après le poids
d*oxalate recueilli n'est que de 40 0/0; il resle donc 00 0/0 du
produit dans la partie aqueuse. Pour isoler cette seconde portion
la partie aqueuse est concentrée jusqu'à consistance sirupeuse, le
sulfate d'ammoniaque précipité par Talcool absolu, et la liqueur
tîllrée saturée de carbonate de baryte pour enlever toute trace
(l'acide sulfurique. La solution filtrée est évaporée et laisse un
résidu sirupeux qui ne cristallise pas et dont on n'a pas pu
préparer de sels cristallisés ; on s'est contenté d'essayer la
réaction de la phényihydrazine dans les mêmes conditions que
pour la cinchotoxine. Il se forme un composé jaune amorphe
fondant h 108-109° en se décomposant. L'analyse correspond à
peu près à C*»H**Az*H.C®H*, c'est-à-dire à la formule d'une
àydrazone.
H se forme donc deux bases lorsqu'on chauffe le sulfate acide
dVisocinchonine ; IVi.-pseudocinchonicine et l'a-isocinchonicine,
celte dernière réagissant avec la phényihydrazine. Des e^^sais
parallèles ont montré que ces deux bases se forment simultané-
ment et qu'elles ne se transforment pas l'une dans Tautre.
Uuant a la transformation du sulfate acide de la p-^isocinchonine
elle a fait l'objet d'un mémoire précédent. a. wahl.
1012 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Action de Tacide azotiqne snr le camphône ; N. DÉMIAHOF
(Journ. Soc, phys. chim. /?., t. 33, p. 283 ; 1901, faso. 4). — Les
résultats principaux ont déjà été résumés d'après une première
communication (£?/;//., t. 26, p. 506) ; le mémoire actuel contient,
outre le détail des expériences, une discussion toute en faveur de
la formule du camphène adoptée par Wagner :
(CH^pG CH CH2
I I
I I
(:H2^C eu CH2 A. CORVISY.
Sur les dérivés halogènes du menthol et snr qnelques
hydrocarbures obtenus en partant de ces dérivés ; N. KOUR-
SANOF {Journ. Soc, phys. chim, /?,, t. 33, p. 289; 1901, fasc. 4).
— Les recherches de Berkenheim, de Slavinsky et de Kondakof
ont montré que le chlorure de menthyle formé par action de PCI*
sur le menthol n'est pas un corps homogène ; il serait, d'après
Slavinsky, un mélange de deux isomères : Tun, de p. rot. droit,
facilement décomposable ; l'autre, de p. rot. gauche, plus stable.
Le chlorure de menthyle préparé au moyen de PCI* et du men-
thol en sol. dans Féther de pétrole, peut ordinairement être frac-
tionné en plusieurs portions de p. rot. gauches différents; mais si
Ton a soin de ne laisser le chlorure de menthyle formé que très
peu de temps en contact avec PCI*, le produit n*a qu'un p. rot.
très faible. — Pour obtenir le dimenthyle (C***H'*j*, on a pris le
chlorure de menthyle (Eb. 110-111'» sous 30 mm., [«]p~ — 30')
qu'on a dissous dans de l'élher anhydre, et la sol. additionnée de
Na a été chaulYée au B.-M. pendant 12 heures. Le produit de la
réaction a été soumis à la distillation fractionnée : la portion qui
distille entre 167 et 170° sous 752 mm. est formée de menthène
C^^ll*^ mélangé de menthane C*^H'^. La portion qui distille au-
dessus de 200° a été traitée par le mélange nitrant, puis dissout<*
dans l'éther de pétrole, lavée à KOH, puis desséchée et bouillie
pondant 4 heures en présence de Na ; après évaporation de l'éther
de pétrole, le produit distille tout entier à 195-197° sous 30 mm. ;
il lorme un mélanj^o de cristaux et d'un liquide huileux; l(»s deux
corps ont la même composition O^H^**. On obtient donc deux
(limenthyles isomères. •
Le dimenthyle cristallisé fonda 105^,5-106°, il bout en se décom-
posant en partie à 185-186° sous 21 mm. ; il est sol. dans l'éther, le
benzène, moins sol. dans l'alcool; l'aspect des cristaux varie avec
4
CHIMIE ORGANIQUE. 1013
le liquide d'où ils se déposent ; dans l'alcool froid ont obtient des
polyèdres très bien formés ; de menu? dans le benzène froid.
Le dimenthyle est déjà volatil à 100°. Le p. rot. en sol. ben-
zénique est [aJu = — 51^,18. — L'auteur a aussi préparé le dimen-
thyle à l'aide du chlorure et de l'iodure produits par action de HCl
et de HI sur le menthol. Le dimenthyle provenant de l'iodure est
un liquide épais, (^= 0,8911 ; [aj^ = — 30°,42. Eb. 195-197° sous
30 mm. Au bout de quelques jours il se dépose du dimenthyle
cristallisé, identique au précédent, et le p. rot. du liquide est
devenu [a]p = — 28°,1 ; la quantité de dimenthyle crist. est beau-
coup moindre que celle du dimentyle liquide. — Le chlorure de
inenthyle résultant de l'action de HGl sur le menthol avait les
eonst. Eb. 107-111° sous 80 mm., (/}^=0,943; [a]^, == — 24°,57'.
Traité par Na, il fournit, outre le menthène et le menlhane, les
deux dimenthyles en quantité à peu près égales.
Ces faits démontrent Tinhomogénité des dérivés halogènes em-
ployés. Pour obtenir un chlorure de menthyle homogène, l'auteur
traite le chlorure brut par KOH aie; à mesure que Tébullition se
prolonge, le p. rot. augmente et devient constant au bout de
60 heures ; l'un des isomères a été décomposé et a formé du men-
thène et du menlhane, et il reste un chlorure pur. Ce chlorure pur
peut aussi s'obtenir en traitant le mélange par de Taniline. Quel
que soit son mode de préparation, les const. de ce prodwt sont :
tyj = 0,9555, (if = 0,9411. Eb.ll3°,5.114°,5 sous 738 millimètres;
[a]jj = — 50°56'. Le dimenthyle qu'on en obtient est exclusivent la
variété cristalline, ce qui atteste Thomogénéilé du chlorure, qui
doit être un chlorure secondaire, car le chlorure tertiaire, n'ayant
pas de C asymétrique, doit être dénué de p. rot. La struclure du
dimenthyle cristallisé ne peut donc être que :
CH3 CAP
I
CH CH
H2C/
(1)
H2c/%:h2 h2(>/\gh2
H2clJciI ChIJcH2
CH CH
CHV C^IP
Quant au dimenthyle liquide, on pourrait supposer qu'il provient
de la liaison <le deux moléc. de chlorure tertiaire (dans ce cas il
serait dépourvu de p. rot.) ou d'une moléc. de chlorure tertiaire
et d'une moléc. de chlorure secondaire. L'expérience a montré que
1014 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTiiANGERS.
les dérivés lialogénés tertiaires du menthol (obtenus par union du
menthène avec l'hydracide),- traités par Na, ne donnent que du
menlhène et du menlhane et pas du tout de dimenthyle. Celte
incapacité des dérivés tertiaires d'éprouver la réaction de conden-
sation, montre qu'ils ne participent pas à la formation du dimenthyle
liquide. Comme ce dernier a le même point d'éb. queledinaenthyle
cristallisé, l'auteur pense que ces deux composés sont des stéréo-
isomères. — Pour caractériser plus complètement le chlorure de
menthyle non décomposé par KOH aie, l'auteur l'a traité par le
zinc-éthyle ; le produit de la réaction, décomposé par Teau glacée
et par HCl étendu, a fourni de l'éthylène, du menthène, du men-
thane et de réthylmenthane (i.3.4-méthyl-éthyl-isopropylhexamé-
thylène). Les const. de ce dernier carbure sont d^ = 0,8275 ;
rfj^ = 0,8146; Eb. 209-210« sous 760 mm.; (ot)^=— 12%15'.
A. CORVISY.
La formation synthétique des anneaux avec ponts (1^ partie).
Quelques dérivés du dicyclopentane ; W. H. PERKIN jun. et
J. F. THORPE (Chem. Soc, t. 79, p. 729-791; 6.1901).— Les
auteurs ont effectué la synthèse d'une série de composés dérivés
de l'h; drocarbure dicyclique :
(1)
(5) CH2-CH\
(4) CH2-CH2/
(3)
soit le (0.1.2) dicyclopentane d'après la nomenclature de von
Bœeyer {Ber,, t. 33, p. 3771; 1901) et préparé au cours de ces
recherches de nombreux composés.
Première partie ; Dérivés de Taeide p^imétbylglutarique
Formation du diméthyltrimétbylèneinalonate d^étbyle et ses dé-
rivés; W. H. PERKIN jun. et J. F. THORPE. — L'action du
brome et de PBr* et Taction ultérieure de l'alcool sur Tanhydride
pp-diméthylglutarique fournit à la fois VacLi'dibrojnodiméthylglula-
raie déthyle CO«C«H5-CHBr-C(CH3)«-CHBr-CO«C«H5, Éb. 194*
sous 30 mm. et VdOL-dihroitto-^^-dimétbylglutarate monoétbylique,
huile ne distillant pas sans décomp.
V acide oLXi'dibromo-^^-dimétbylglutarique
G02H-CHBr-C(GH3)2.CHBr-G02H,
crist- dans Tacide fbfmique glabial on pHsmos, ¥. 187-i89*5 bouilli
I
CHIMIE ORGANIQUE. 1015
avec l'eau ou la pyridine, il se transforme en lactone de f acide
oL-bromo^^'Oxy'^^'diméthyîglutarique
<CHnr CO
I ,
CH(G02H)-0
F. 169-170*, très stable, inaltérée par ébullition avec l'acide
nitrique fumant et dont Véthor élhylîque distille à 201" sous
45 mm. Par ébullition avec la potasse aq., cette lactone se trans-
forme en VoUde de T acide aaL^-dioxy-^^-diméthylfflularique
/GHOH GO
(GH3)2C< I ,
\GH(G02n)-0
qui crist. dans Téther sec, en aig^., F. 140-142**. •
\J acide ad-dioxy-Qp-diméthylglutarique
C02H-G(OH)2-G(GH3}2-CH2-G02H ,
est obtenu en faisant bouillir l'aa-dibromodiméthylglutarate
d*éthyle avec CO^Na* en sol. aq.; il crist. dans CHCP en aig.,
F. 84", son sel dAg a la formule cétonique :
G02Ag-CO-G(GH3)2-GHa-G02Ag,
il fait explosion quand on le chauffe. Il fournit un produit de
condensation avec lo.-tolylènediawine. Dissous dans CO^Na* et
réduit par HgfNa, il se transforme en lactone de tacide a-o-r^-p-p-
dimétbylglutarique
GH2-G(GH3)2-GH-G02II
GO O
qui crist. avec 1H*0 et fond entre 50 et 80" ; et à 112" (anhydre).
En chauffant Taai-dibromo-pp-diméthylglutarate d'éthyle avec la
potasse en sol. éthylique, les auteurs ont obtenu Vacide étboxy-
caronique
<G(OG2H5).C02H
I
GH.G02H
crist. dans Feau ou le benzène en aig., F. 138" et fournissant par
Taction de la chaleur ou d(i (CH3-C0)*0, V anhydride étîioxycaro-
niqaey liq. incolore, Éb. 160-105" sous 50 mm. L'acide éthoxyca-
iOlO ANALYSE DES THAVAUX ÉTRANGERS.
Tonique dans la réaction citée plus haut, prend naissance par
fixation d*alcool sur Téther non saturé
y(:-C02C2H5
(GIi3)2C< Il
\C-C02G2H5
qui se forme préalablement comme le démontre la production
d'élhoxycaronate déthyle, Eb. 160* sous 35 mm. par raction de
réthylate de sodium sur l'aai-dibromo-pp-diméthylglutarale
d'éthyle.
V acide méthoxycarouique, F. 148**, prend naissance dans des
conditions analogues, son anhydride est un liq. incolore, Éb. 169*
sous 33 mnv. Les acides mélhoxy-et éthoxycaroniques, chauffés à
100** avec SO*H* concentré, donnent naissance avec perle de CO et
d'alcool à Tacide aa-diméthylsuccinique; le même résultat est
obtenu en chauffant ces deux acides avec HBr concentré en tube
scellé pendant 5 heures; la transformation est quantitative.
Si l'on fait au contraire agir HBr à froid pendant 12 heures,
j)uis, que Ton évapore au B.-M., il se forme V acide addibromodi-
métbylglatarique instable, que Teau bouillante convertit quanti-
tativement en acide aa-dioxydiméthylglutarique. F. 84**.
Par Faction du malonate d'éthyle sodé sur le aa|-dibrorao-^3-
diméthylglutarate d'éthyle, les auteurs ont obtenu le dicarboxy-
diméthyltrimétbylonemalonate détbyle
yG(G(
(GlP)2C/[
G(G02C2H5)-CH(C02C2H5):
G02G2H5
Éb. 222° sous 30 mm. Par hydrolyse au moyen de la potasse
mélhylique, cet éther fournit la lactoue de F acide A. oxydimélbyl-
butanetricarboxylique
(GlP)2r.
y G(G02H)-CH2-G02H
\cn2-GO2
F. vers 158** (décomp.) et la lactoue de Facide /?. oxydimétbyl-
butanetricarboxylique
yGH(GH2-C02HK
(GH3)2G< >G0,
F. 188-190** (décomp.), beaucoup moins sol. dans Toau que la
précédente. Chauffées à 200**, ces laetones perdent CO* en don-
nant respectivement les laetones des acides A. et D.-oxydiwétby/'
(
CHIMIE ORGANIQUE. 1017
butanedicarboxyliquesy lactone A., F. 154-156®; lactone B., F.
107-108*», beaucoup plus sol. dans Teau que A.
L«*action de l'éthylale de sodium sur le dicarboxydiméthyltrim-
éthylènemalonate d'élhyle a fourni le diméthylcétodicyclopen^
tauelricarboxylate cPétbyle sodé
<G(G0202H5).GNa.C02G2H5
1 l
C(G02G2H5).CO
Ce comp. sodé est jaune, il donne, en sol. méthylique, une colora-
lion rouge intense avec FeCP.
Le dicarboxydimétbyUviméthylènebvomomalonale délhyle
/^
, -G(G02G2H5)-CBr,G02G2H5)2
(GH3)2G< J
NCH-G02G2H5
a été obtenu par Taction du brome sur le dicarboxydiméthyltrimé-
thylènemalonate d*éthyle. Le produit d'hydrolyse de ce bromo-
élher, chauffé à î200** perd GO* et fournit Vacide anbydrodiméthyU
tétramétbyîènelt'icarboxyUque
.GH(G02H).GH-G0v
(GH3)2G< I >0, F. 207-210^
\ GH-GO/
Le dicarboxydiméthyhriméthylène'éthylmalonate détbylc
<G(G02G2H5)-G(G2H5)(G02Gm5)
I
GH-G02G2HS
Eb. 230-232® sous 30 mm. a été préparé par Faction de C^H»! sur
le dicarboxyldiméthyltriméthylènemalonate d'éthyie sodé. Par
hydrolyse au moyen de la potasse méthylique, cet éther fournit
Vacide diméthylétbylétboxycétopentamélbylènedicarboxylique
G(OG2H5)(G02H).G(G2H5)(G02H)
I
CH2 CO
F. 175* et en même temps deux acides lactoniques dont Tun est
la lactone de F acide oxydimétbylétbylbatanetétracarboxylique
(GH3)2G G(G02H)-G(G02H)2
GH2-G00 G2H5
101 g ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
F. 193<* ; l'autre, F. 213* est la lactone de f acide trans^oxjdimé-
thylélbylbulanelvicarboxylique
(GH3)2G C(C02H)CH(G2H5)(G02H)
CH2-C00
La lactone de Facide cis a été préparée par l'hydrolyse au
moyen de HCi de Tacide diméthyléthyléthoxycétopentainéthylène-
dicarboxylique ; elle crist. en prismes ou en aig. qui se décompo-
sent vers 144** et 153** respectivement ; chauffée à 160-164" elle se
transforme en anhydride^ F. 168**.
Deuxième partie : Acides obtenus en partant du composé sodé
du ô.ô-dimétbyl'3'cétodicyclopentane-i . 2 . d-lricarboxylate
détbyle;Yf.'E. PERKINjun., J. F. THORPE et C. WALKER. — Le
composé sodé jaune dont ila déjà été question plus haut, peut être
préparé avec de bons rendements (60 à 65 0/0) en faisant réagir
en sol. alcoolique sur le aa-dibromo-pp-diméthylglutarate d'éthyle
(1 mol.), le malonate d'éthyle (2 mol.) et Téthylate de Na (i mol.).
Quand ce dérivé sodé est mis en contact avec la potasse en sol.
méthylique froide, il se transforme en dérivé potassé du dimé-
thylcéiodicyclopentanecarboxylate de potassium dicarboxylate
d'étbyle
/C(G02C2H5)-CK(C02C2H5)
(GH3)2G<;i I
\G(G02K) GO
qui, par acidification, fournit Vétber-acide correspondant^ F. 75*,
et donnant avec FeCl^ en sol. alcoolique une coloration poufjire.
Quand cet éther-acide est chauffé sous 80 mm. il perd CO* et
fournit le diméthylcétodicyclopentanedicarboxylate d*éthyle
yG(G02G2H5)-GH-G02G2HS
NCH
(GH3)2G<[_ _^^
E. 210« sous 30 mm. (coloration pourpre avec FeCP), qui, par
hydrolyse, produit Tacide B-diméthylcétodicyclopentanedicar-
boxylique ; cet acide crist. dans HCI en aig. F. 180*; sa sol. aq.
donne une coloration rouge avec FeCl'"* ; son anhydride crist en
aig., F. 152**; chauffé à 180** en sol. aq. il perd GO* et se traas-
iorme en acide dimétbylcétodic y clopentanecar boxylique, F. 180^
<G(G02H)-Gn2
i I '
GH GO
CHIMIE ORGANIQUE. 1019
\iï& l'on obtient également soit par l'action de SO*H* sur le comp.
sodé jaune, soit par l'action de la chaleur sur la modiRcation A. de
l'acide diméthylcétodicyclopentanedicarboxylique. Cet acide est
peu sol. dans Teau et ne donne pas de coloration avec FeCl^.
<Jtjand le composé sodé jaune est traité par la potasse alcoolique
il fournit deux acides bibasiques, Tun F. 155"* donnant avec FeCl^
une coloration rouge-violette, l'autre, F. 180** donnant avec FeCl^
une coloration bleue.
Ces acides répondraient à la formule
ils seraient stéréoisomères et sont désignés sous les noms de A et
I^ dîméthylcétodicyclopentanedicarboxylique.
L* acide A, F. 155^, par Taction de la chaleur ou par ébullition
avec SOH* dilué; perd CO* en donnant naissance à l'acide
diméthylcétodicyclopentanecarboxylique, F. 180®.
L*acide B n'est pas modifié par ébullition avec SO^H^ dilué.
L*acide diraéthylcétocyclopentanecarboxylique, F. 180®, fournit
une semicarbazone CH^^^O'C^Az'HGOAzH* crist. dans Tacide
acétique en aig., F. 225® (décomp.), une bydrazone aig. jaunes se
décorop. à 217®. Ses produits d'oxydation par MnO^K sont laa-
diméthylsuccinique et Tacide oa-dioxy-p-p-diraéthylglutarique,
F. 84®; réduit par l'amalgame de sodium dans un courant de CO^,
il se transforme en acide diméthylcétopentaméthflènecarboxylique
/GH(G02H).GH2
\GH2
"="■'<- _io
F. 103® facilement sol. dans l'eau et dont Voxime, F. 188-190®
(décomp.) et la semicarbazone^ F. 215® (décomp.). Par réduction
plus avancée au moyen de Hg*Na, Tacide diméthylcétodicyclopen-
tanecarboxylique fournit Vacide dimétbyloxypentamétliylènecar'
boxyliqae
<GH(G02H)-GH2
I
GH2 — : — CHOH
qui crist. dans le benzène en aig., F. 115®, très sol. dans Teau, et
en même temps un produit résultant de la condensation de 2 mol.
d'acide diméthylcétopentaméthylènecarboxylique. Par oxydation
au ttioyen de AzO^H dilué, il donne les acides «i-diméthylsucci-
Dique et p^iméthylglutarique, F. 101-102®.
iOa) ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'action de CH^I sur le composé sodé jaune fournit le iriméihjh
cétodicyclopentaneiricarboxylate d éthyle
/G(C02(:2H5)-G( GH3)(G02G«H5)
(GH3)2G< I r
\G(G02G2H5)-GO
Eb. 219** sous 20 mm. (pas de col. avec FeCP) qui, par saponiQca-
tion au moyen de la potasse méthylique et acidiilcation, donne, par
perte de 00*, Vacide trimétbylcétodicyclopenianedicarboxyliqux*
yG(G02H)-G(GH3)(GO»H)
(GH3)2G< I I
\GH GO
qui crist. dans le benzène en plaques, F. 70-80^, qui après pert*»
du dissolvant fondent à 146**. Chauffé avec un peu d'eau en lulx^
scellé pendant 6 heures, il perd 00* et fournit Vacide trimétbyk^
todicyclopentanecarboxylique
\
<G(G02H)-GH-GH3
I
GH
(G113)2G<^ I I
plaques, F. 134** — dont la semicarhazone, F. vers 230* (décomp.).
L'action de la potasse en sol. éthylique sur le trimélhylcétodicy-
clopentanetricarboxylate d*éthyle rompt le noyau du dicyclopentane,
tandis que la potasse méthylique est sans action sur ce noyau ; il
se forme dans ces conditions la lactonc de tacide trans^trimélhyl-
oxybutanetricarboxylique
GO»H
I
(eH3)2G G — GH-GH3 ,
I > j
GH2-G0-0 G02H
qui crist. dans Teau en prismes, F. 237* (décomp.) et fournit p*r
Faction du chlorure d'acétyle un anhydride, F. 74-96». En traitant
cette lactone successivement par PCI* et Talcool, on obtient le
triméthylchîorohutanelricarboxylale d'élhyle
G02G2H5-GH2-G(GH3)2-GG1(G02G2H5)GH(GH3).G02G2H^
liq. se décomposant par dist. même sous pression réduite.
La lactone de tacide cis'trimétbyhxybutanetricarboxyliquo
s'obtient en distillant sous 30 mm. la lactone trans.; elle fond à
181°, se décomp. à 200**, est beaucoup plus sol. dans l'eau que la
i
CHIMIE ORGANIQUE. 1021
aclone trans. et fournit un anhydride qui crist. dans le benzène
*n plaques, F. 131**, et régénère l*acide-lactone-cis par action de
'eau. A. VALEUR.
Sur une nouvelle méthode de détermination de Turée dans
rnrine; 0. FOLIN {Zeil. phys, Ch,, t. 32, p. 504-514; 6.7.1901).
— Li*auteur rend compte de diverses opérations de vérification
portant sur les procédés classiques de Môrner et Sjôqvist, de
IMliig^er et Gumlich, et dont on retiendra ici deux points, il est
difticile lorsqu'on emploie diaprés PIliiger Tac. phosphotungstique,
d'éviter la pplation (et par suite la perte) d'un peu d*urée par ce
réactif. D'autre part Thydrolyse complète de Turée en AzH' et GO*
par FhO*H3, SO*H« ou KOH est beaucoup moins facile qu'on ne
l'admet généralement et exige un chauffage prolongé.
L'auteur a remarqué que le chlorure de Mgcristall., MgCl*4"^H*0
bout dans son eau de cristallisation à lOO"* et que dans ce liquide
l'urée est dédoublée totalement en 80 m. Ce procédé d'hydrolyse
peut donc être appliqué aux métliodes classiques (Môrner et
Pflûger) pour terminer l'opération, ou même directement à l'urine
< procédé clinique). Dans ce dernier cas on opère de la façon sui-
vante :
3 ce. d'urine, 20 gr. de MgCl» f-6H«0 et 2 ce. HCl concentré
tce dernier pour empêcher la décomposition du chlorure) sont
chauffés dans une liole d'Ërlenmayer de 200 ce, munie d'un
tube condenseur (200 mm. sur 10 mm.) jusqu'à ce que les gouttes
qui refluent tombent dans le liquide avec un sifflement particulier.
On continue alors la chauffe plus doucement pendant 30 m., puis
on étend d'eau avec précaution, on fait passer dans un ballon à
«Hstillation, on ajoute 7 ce. de NaOH à 20 0/0 et on distille 350 ce.
(1 heure) en recueillant et dosant AzH^ à la manière ordinaire.
Comme il passe beaucoup de CO^, il faut faire bouillir avant de
titrer. La comparaison avec Môrner et Sjôqvist ou Pflùger montre
que les erreurs sont très médiocres, à condition que Ton titre à
part l'ammoniaque préformée, qui doit être défalquée bien entendu
du résultat obtenu. £. lambling.
Sur one nouvelle substance réductrice du sang ; P. MAYER
'^Zeil.phys. Ch., t. 32, p. 518-530; t>.7.11K)l). — On sait qu'il
existe dans le sang, à coté du glucose, une substance réductrice,
mais non lennentescible, que Ton a souvent considérée comme
étant de la jéconine. L'auteur montre combien la démonstration de
ce fait est iusufllsante. Le même reproche s'apphque à la théorie
1022 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
de Pavy et Siau (Thejourn. of Physiol.^ t. 26, fasc. 8 et 4) qui
ont conclu à la présence de Tisomaltose dans le sang.
La substance en question est probablement un dérivé glycuro-
nique. L'auteur a pu retirer, en efîet, du sang de bœuf, et en sui-
vant les indications d'Abeles {Zeii, pbys. Cb,, t. 15, p. 495) et de
Neuberg (D, cb. G., t. 32, p. 2395 et t. 33, p. 8328), la combi-
naison de Tac. glycuronique avec la parabromophénylhydrazine.
B. LAMBLING.
Recherches sur la présence de diastases protéolytiqiies dans
r organisme animal; S. 6. HEDIN et ROWLAND (Zeit. pbjrs
Cb.) t. 32, p. 531 ; 6.7.1901). — Chez le bœuf, le veau, le cheval.
le porc, le mouton et le chien, on trouve d'une manière constanlf
dans la rate, les glandes lymphatiques, le rein et le foie, des dias-
tases protéolytiques, ayant leur maximum d'action en boL acide.
Les muscles du squelette renferment aussi une diastase prol^
ly tique, mais à action relativement faible, et qui se comporte de la
même façon, que le milieu soit acide, neutre ou alcalin. Au
contraire, la diastase extraite du cœur se rapproche par ses pro-
priétés des diastases d'organes. e. lamblino.
Préparation et analyse de quelques acides nuoléiqnee;
P. A. LEVEVL {Zeit. pbys. Cb., t. 32, p. 541-551; 6.7.1901).-
Comme suite à ses recherches sur les acides vitellique et icttu-
Uque {Ibid., t. 31, p. 543 et t. 32, p. 280) Tautour décrit des ac.
nucléiques retirés du pancréas, de la rate, du sperme de cabillaud
et de la levure. Ces acides contiennent de 34,76 à 86,67 0/0 de G;
de 4,57 à 5,24 0/0 de H; de 16,70 à 17,89 0/0 de Az et de 8,65 à
9,03 0/0 de P. k. lambuno.
Sur le dosage de Tacide nrique dans Turine; 0. FOLIN et
A. SCHAFFER {Ze'iL pbys. Cb., t. 32, p. 552-572; 6.7.1901). -
Les auteurs apportent d'abord quelques modifications de détail aux
procédés classiques de Salkowski, de Salkowski-Ludwig et de
Hopkins qui leur ont servi à contrôler les résultats de leur propre
méthode. Celle-ci est une modification du procédé primitif de Fo/in
(ïbid., t. 24, p. 224). Ce procédé consistait à ppter Tac. uriqueà
rétat d*urate d'amm. à Taide du sulfate d'amm. et à titrer directe-
ment Tacide urique dans ce ppté à l'aide du caméléon.
Les auteurs montrent maintenant que les résultats un peu trop
élevés que donne celte méthode par rapport à celle do Salkowi*ki
sont dus à ce fait que le sulfate d'ainui. ppte avec Tac. urique une
i
CHIMIE ORGANIQUE. 102S
substance réduisant aussi le caméléon et qui est sans doute le corps
mucoïde de Morner. L'élimination préalable de ce corps améliore
beaucoup les résultats. Voici comment les auteure opèrent finale-
ment.
5O0 gr. de sulfate d*amm., 5 gr. d'acétate d'urane et 60 ce. d'ac.
acét. à 10 0/0 sont dissous dans 650 ce. d'eau. Le vol. de cette
dissol. est d'environ 1 litre. 75 ce. de cette dissol. sont mêlés dans
un flacon à 800 ce. d'urine. On attend 5 m., puis on filtre dans
deux filtres, et on reçoit dans deux vases à ppté chaque fois
125 ce. du filtrat pour deux dosages parallèles. On ajoute à chacun
d*eux 5 ce. d'amm. concentrée, et après avoir mélangé, on laisse
reposer jusqu'au lendemain. Au bout de ce temps la pptation de
Tac. urique par cette dose de sulfate d'ammoniaque (10 0/0) est
complète. On décante le liquide sur un filtre (Schleicher et Schull,
n* 597), puis on y fait passer le ppté à l'aide d'une dissol. de sul-
fate d*amm. à 10 0/0 et on le lave plusieurs fois avec la même
diss. On étale ensuite le filtre et par un jet d'eau on fait repasser
le ppté dans le vase à ppté. On atteint ainsi un vol. d'environ
100 ce. On ajoute alors 15 ce. d'ac. sulfurique concentré et on
titre au caméléon. Chaque ce. de caméléon N/20 indique
3,75 miligr. d'ac. urique. La concordance avec les résultats d'après
Salkowski est très satisfaisante. e. lambling.
Sur la neutralisation des toxines par les peroxydes et par
les oxydases animales et végétales; N. SIEBER (Zeit. phys.
Cb,, t. 32, p. 573-591; 6.7.1901). — 1» Le peroxyde de calcium
et l'eaii oxygénée neutralisent les toxines de la diphtérie du
tétanos et Tabrine. Ces mornes toxines, sauf l'abrine sont anni-
hilées par les oxydases végétales et animales ;
2* Celte action a lieu non seulement in vitrOy mais encore dans
l'organisme, la toxine et l'oxydase étant injectées séparément et
en des points diflérenls;
3"* Les solutions de nitrate de potassium enlèvent une oxydase
à la fibrine du sang chez le cheval immunisé contre la diphtérie,
mais non chez le cheval normal ;
4® Les oxydases qui bleuissent la teinture de gaïac sont les
seules qui soient capables de neutraliser les toxines.
E. LAMBUNG.
Sur la formation de la leuoinimide dans la digestion pep-
sique et trypsique de l'ozyhémoglobine et de la globine;
8. SALASKIN (Zeit, phys, Ch., 1.32, p. 592-597; 6.7.1901). —
De l'oxyhémoglobine de cheval a été soumise pendant 8 à 30 jours
i024 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
à Taction de 10 à 20 fois son poids de suc gastrique de chien ou
de suc pancréatique obtenus d'après la méthode do Faulow. Du
liquide obtenu, l'auteur a isolé une leucinimide, C^H^'AzO, que
Talcool abandonne en crist. fus. à 273-274, très semblable à la
leucinimide de synthèse, et probablement identique au composé
que Cohn à obtenu dans Thydrolyse de la caséine par HCl bouil-
lant. E. LAMBLINC.
Sur la conduite de rozyhémoglobine^ de rhémoglobinê
oxyoarbonée, de la méthémoglobine, et de certains de leors
dérivés, dans le champ magnétique, avec une note prélimi-
naire sur Télectrolyse des composés de l'hémoglobine ; Arthur
6AH6EE (Chem, News,, t. 84, p. 85 ; 8.1901). — Les essais
effectués ont conduit aux conclusions générales suivantes :
1** La matière colorante du sang, Toxyhémoglobine, Thérooglo-
bine oxycàrbonée et la méthémoglobine sont des corps diamagné-
tiques ;
2° Les dérivés ferrugineux, hématine et acéthémine sont forte-
ment magnétiques. La différence, ainsi manifestée avec les corps
précédents, provient de la profonde transformation subie par la
molécule d'hémoglobine quand elle est décomposée en présence
d'oxygène ;
3® L'étude préliminaire de Télectrolyse de Toxyhémoglobine, et
de l'hémoglobine oxycàrbonée semble montrer que, dans la matière
colorante du sang, le groupe renfermant le fer, et duquel dépendent
les propriétés physiologiques, constitue un radical électro-nt^galif
ou est contenu dans ce radical. a. hébert.
L'humus et le résidu irréductible du traitement bactérien
des immondices ; Samuel RIDEAL (Cbern. News., t. 84, p. ii^.
y.lOOi). — Les examens et les études chimiques et microscopique?
do ces deux sortes de matières ont montré que, si les immondice*?
subissent une fermentation bactérienne propre, la petite quantité
de dépôt bourbeux désigné par certains auteurs sous le nom (i^
€ résidu irréductible » est de la nature de l'humus et pratiquement
inoffensif; il possède aussi la même valeur agrieulturale.
A. HKUEKT.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE.
1025
CHIMIE fitNÉRALE ET MINÉRALE
Catalyse en solutions concentrées; J. M. CRAFTS {D. cb. G,,
t. 34, p. 1350-1361; 8.6.1901). — L'auteur chaulTe en tube scellé
à 100* de Tacide métaxyiène-sulfonique (1.8.4) avec des sol.
d'acide chlorhydrique contenant de 18 à 48 0/0 de HCl; Tanalyse
des produits de réaction faite après des temps de chauffe variables
et pour des concentrations variables (voir les tableaux dans Tori-
ginal), montre que la proportion de substance hydrolysée croit
beaucoup plus rapidement que celle de HCl, toutes choses égales
d'ailleurs. L'action de présence exercée par les acides concentrés,
ne satisfait pas aux lois posées par Ostwald pour les actions dites
catalytiques. l. bourgeois.
Actions chimiques produites par la lumière; C. CIAMICIAN
et P. SILBER [D, ch. C, t. 34, p. 1580-1543; 8.6.1901). —
Mémoire consacré à l'étude des réactions qui prennent naissance
lorsqu'on expose à l'influence prolongée de la lumière solaire, un
mélange d'un alcool et d'une substance carbonylée, quinone, aldé-
hyde, acétone. Voici un tableau résumant les résultats :
WB«TA1ICS BVDBOXTLéB.
1
SOBSTAIfCIt CABBOMYLÉB.
noouiTs.
Alcool étbylique
Alcool Uopropyliqae..
GlTCèrine ....•
Ouinone
Tbymoi|uioone
Beozopbénoae
AcétODbcnone .........
Aldébyde et bydroqainone.
— el bydrotbymoquioone.
— et bydropinarooe.
— et aeétopbénone-piitacone.
— bydro- et isobydrobenzoTne
avec beauconp de résine.
— bydro- et isobydrobeniolne
avec pea de réftioe.
— bydro-anisoTne et résine.
Aeélone et bydroqoinone.
Qainbydrone et glycérose.
— et érytbrose.
— et mannose.
— et dulcitose.
— et flucosone.
HydroqolAoae et anbydride carbonique.
BenzoToe
Aldébyde benzoTque...
Aldfbyde anisique
Quinone
Emhrite
Mannitê
Ihiieite
GllCOM
Acide formiqoe
L. BOURGEOIS.
SOC* GUiM., 8* sén., T. XXVI, 1901.-^ TraT. étrang. 65
10i6 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
Sar le système périodique et les propriétés des composés
minéraux; variation graduelle des propriétés des aluns; J.
LOCKE (Am. Journ., t. 26, p. 166-185; 7. 1901). — L'auleur a
déterminé les solubilités dans Teau des aluns de Al» Vd, Cr,
Fe, In et de K, Na, AzH*, Tl, Rb et Cs (voy. le mémoire original);
il arrive à la conclusion que Tinfluence des métaux ou radicaux
monovalents est une action spécifique et que les solubilités ne
sont pas une fonction des poids atomiques. Les solubilités ont
également été déterminées à différentes températures ; celle de
l'alun de fer croit très rapidement. Enfin, l'auteur a déterminé
également les points de fusion des mêmes aluns ainsi que ceux des
sulfates doubles de Co et Rb, Co et Cs (RbCoiSO*)«.12H«0, etc.
(poudres cristallines). Ces constantes sont résumées dans le tableau
suivant :
Al. Vd. Cr. Fe. In. Co.
Na 630 90
I» •
K 91 20 890 28»
Tl 91 48 92 31 » •
AzH* 95 45 94 40 SB»
Rb 109 64 107 53 42 47*
Cs 122 82 116 71 « 63
p. FREUNDLER.
Application de la photomicrographie instantanée à l^étnde
de raccroissement des cristaux ; T. W. RICHARDS et E. H.
ARCHIBALD {Am. Journ., t. 26, p. 61-74; 7.1901). — Les auleui>
ont étudié la cristallisation de divers sels en effectuant des micro-
photographies à des intervalles de temps très rapprochés. On
trouvera dans le mémoire original la description du disposilil*
adopté par eux. Leurs expériences ont porté principalement sur le
chlorure de baryum, le nitrate de sodium, le sulfate de cuivre ei
riodure de potassium.
Il résulte de ces recherches, qu'à aucun moment il n'existe àe
particule solide dépourvue de structure cristalline. La croissance
des cribtaux est si rapide, qu*avec une pose de i/b* de seconde,
les bords des plages sontindintincts, surtout pendantia 1" seconde.
Des mesures approximatives semblent indiquer que Taugmenta-
tion de volume (et non de surface) est proportionnelle au temps.
p. PREUNOLER.
Préparation des membranes semiperméables par électro*
lyse; H. N. MORSE et D. W. HORN (Am. Journ., t. 26, p. 80^;
7.1901) — Les auteurs préparent des membranes semiperméables
CHIMIE GENÉHALE ET MINERALE. 1027
résistant à une pression de 4,5 atmosphères en plongeant un vase
poreux rempli d*une soi. de ferrocyanure de K (décin.) dans une
sol. de CuSO* (décin.) et en faisant passer ie courant électrique
dans l'appareil. L'anode est en cuivre et la cathode en platine.
Dans ces conditions les 2 sol. pénètrent dans la paroi du vase par
endosmose et il se forme une membrane semiperinéable de ferro-
cyanure de Cu.
Il faut auparavant soumettre le vase poreux à un traitement
anaiogue (élcctrolyse d'une sol. de K«SO*) afin de chasser com-
plètement les bulles d'air qui se trouvent dans la paroi.
F. FREUNDLER.
Sur les lampes spectrales (I); Ernst BECKHANN {Zeit.
pbysik, CL, t. 34, p. 593-611 ; 7.9. 1900). — Les méthodes habi-
tuellement employées pour obtenir des flammes colorées donnent
des résultats trop peu réguliers ou trop peu durables pour pouvoir
être commodément employées dans un cours. L'auteur obtient des
résultats bien meilleurs en pulvérisant des solutions salines dans
la flamme d'un bec Bunsen. Il emploie dans ce but un tube à pul-
vérisation en porcelaine poreuse, que l'on immerge horizontale-
ment dans une solution saline disposée au-dessous de la flamme
et que l'on met en communication avec un réservoir à air comprimé.
La pression nécessaire pour que l'air traverse les pores de la por-
celaine atteint, soit de 1,6 à 2 atmosphères (tubes à forte pression),
soit de 0,6 à 1 atmosphère (tubes à faible pression;. Ce passage,
qui est ralenti quand on plonge le tube dans l'eau, se trouve rendu
plus facile si le tube est mouillé préalablement par des liquides à
faible tension superficielle (alcools, éther, acétone, acide acétique,
benzène). Le benzène et l'éther sont peu avantageux, à cause de
leur faible solubilité dans l'eau, qui fait mousser le liquide. La
substitution à l'air de divers autres gaz ne modifie pas sensible-
ment les résultats obtenus.
On trouvera dans le mémoire original la description (avec
figures) de l'appareil employé. m. vèzes.
Sur les lampes spectrales (U); Ernst BECKMANN (Zeit.
physik, C//., t. 35, p. 443-458; 20.11.1900). — L'auteur apporte
diverses modifications de détail à l'appareil décrit dans le mémoire
ci-dessus. U décrit, en outre, un autre procédé pour produire, au
sein de la solution saline, une pulvérisation de gaz : il consiste
simplement à produire, au moyen de deux fils de platine immergés
horizontalement au voisinage de la surface de la solution, l'élec-
trolyse de cette solution. m. vèzes.
1088 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEK.-,
Sur les lampes spectrales (III); Ernst BECEHANH [Zeit,
physik, Ch,, t. 35, p. 652-660; 3i. 12. 1900). —Comme application
des appareils indiqués plus haut, Tauleur décrit, avec figures
à Tappui : une lampe spectrale universelle, pour observation dans
la flamme du gaz, de Thydrogène ou du gaz tonnant; une lampe
spectrale pour observation en lumière homogène (lampe sodiquei,
avec dispositif de réfrigération; une lampe analogue avec pulvéri-
sation électrolytique. ii. vèzes.
Sur une méthode de cristallisation permettant d'ôTiter la
formation de croûtes à la surface de la dissolution; A. WBO-
BLEWSKI {ZeiL pbysik, Cb., t. 36, p. 84; 22.1.1901). — CeiU^
méthode consiste à produire Tévaporation de la dissolution par le
fond du vase qui la contient, ce fond étant constitué par ui)f
membrane de parchemin au-dessous de laquelle l'atmosphère e^t
desséchée par du chlorure de calcium concassé. La partie supé-
rieure du vase communique avec Tatmosphère par rintermédiain*
d'un barboleur à eau, de telle sorte que l'air qui surinoule b
dissolution soit constamment saturé. Voir la figure dans l'original
M. VÈZBS.
Sur le pouvoir rotatoire moléculaire des éthers du malate
d'éthyle; Hans REITTER {Zeit. physik. Ch., t. 36, p. 129-167.
8.2.1901). — Les recherches de l'auteur ont porté sur Téther act-
tique du malate d'éthyle
C2H5-C02-CH2
C2H5.C02-CHO-(CO-CH3) '
et sur ses homologues propionique, butyrique normal, valérianiqne
normal, caproïque normal, œnanthylique, caprylique, pelargonique
et caprique. Ces éthers ont été obtenus par l'action des chlorure?
d'acides correspondants sur le malate d'éthyle ; ce sont des liquide?
incolores, presque inodores, qui, sous pression réduite (18mm.de
mereure) entrent en ébullition à des températures régulièrement
croissantes (141<* pour l'éther acétique, 217* pour Téther capri-
que). Leur densité, mesurée à 20* par rapport à l'eau à i%
décroît régulièrement du premier (1,1169) au dernier (1,0011).
Au contraire, leur pouvoir rotatoire moléculaire, croissant de
réther acétique ( — 52,43) à l'éther butyrique normal ( — 59,15),
décroît ensuite régulièrement jusqu'à l'éther caprique ( — 57,H<.
La comparaison de ces résultats avec la théorie de Ph. A. Go)t}
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1029
[ A.22n, chim, Phys., 6* série, t. 25, p. 45), d'après laquelle le pou-
voir rotaloire moléculaire doit varier dans le même sens que le
produit d'asymétrie, montre une discordance complète; le produit
d* asymétrie de ces composés est en effet égal à zéro pour Téther
propionique et Téther butyrique normal, et va en croissant régu-
lièrement à partir de Téther valérianique normal. m. vezes.
Courbes eateotiques dans un système de trois corps dont
deux sont des antipodes optiques; J. H. ADRIANI {Zeil,physik,
Ch,y t. 36, p. 168-172; 8.2.1901). —L'auteur a montré, dans un
travail antérieur (Bail. Soc. Ch., t. 26, p. 843) comment Tétude
systématique des points de fusion d*un mélange en diverses
proportions de deux antipodes optiques permet de décider si le
corps inactif qu'ils peuvent former est, au voisinage de son point
de fusion, un racémique, ou bien un conglomérat inactif par
compensation extramoiéculaire, ou encore un cristal mixte pseudo-
racémique. Bruni [Rendic. dei Linci, 9 avril 1899, p. 332) a
employé dans le même but une méthode analogue, en déterminant
la courbe des températures cryohydratiques des mélanges en
diverses proportions des deux antipodes. Généralisant cette
méthode, Fauteur propose d'adjoindre aux mélanges des deux
antipodes une troisième substance, remplaçant le dissolvant
employé dans les expériences de Bruni, et de déterminer de même
la courbe des points d'eutexie que Ton obtient en faisant varier les
proportions relatives des deux antipodes. L*emploi de diverses
substances, à point de fusion plus ou moins élevé* permettra de
déterminer, à diverses températures, la nature du corps inactif.
Une application de cette méthode a été faite à la camphoroxime,
dont Tinactil est un racémique au-dessous de 103^, un cristal
mixte au-dessus de 103*; comme substance auxiliaire, on a employé
successivement le naphtalène, le phénanthrène, la benzoïne et
Tanthracène, corps incapables de réagir chimiquement sur la
camphoroxime, et dont les points de fusion vont en croissant
(81%4, 99*,4, 137% 218*). La naphtaline donne avec l'antipode D
ou G à rétatde pureté un point d'eutexie à 61 "^,0; la courbe eutec-
tique fournie par des mélanges de D et G descend jusqu'à 59*,*
pour des mélanges à 20 0/0, puis remonte jusqu'à 61'',9 pour le
mélange à 50 0/0 : ce mélange est donc un racémique dont le
point d'eiitexie est plus élevé que celui des antipodes purs. Avec le
phénanthrène, on observe une courbe analogue ; le point d'eutexie
du racémique est le même que celui des antipodes purs (76*,2).
Avec la benzoïne, la courbe eutectique s'élève encore, mais la
1030 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
portion de courbe qui oaractérise le racémique devient très res-
treinte; son point d'eutoxie (97<*,2) devient très inférieur à celui
des antipodes purs (100*,2). Enfin, avec le phénanthrène, cette
portion de courbe a complètement disparu; la courbe eutectique
est continue, partant des points d*eutexie des antipodes purs ( 109»,2)
pour aboutir à un minimum (105**,6) : la camphoroxime ne fournit
donc plus de racémique à cette température de 105*,6, ce qui est
bien conforme aux résultats antérieurement obtenus, m. vèzes.
Sur la combustion des gaz; S. TANATAR {Zeit. pbysik, CL,
t. 36, p. 225; 8.2.1901. Observations relatives à la combustion
d'un mélange de propylène et de gaz tonnant, faisant suite à celles
exposées antérieurement [Bull. Soc, Ch,^ t. 26, p. 879).
Sur la vaporisation d'un mélange de deux substances vola-
tiles, dans le cas où Tune des vapeurs peut se dissocier;
P. DUHEM (Zeit. physik, Ch., t. 36, p. 227-231 ; 8.2.1901). -
Démonstration nouvelle d'une formule employée par J. von
Zawidzki dans un travail récent {BiiIL Soc. Ch., t. 26, p. 877).
M. VÈZE5i.
Emploi de la méthode réfractométrique pour déterminer la
composition des phases coexistantes vapeur et liquide;
E.H. J. CDNAEUS (Zeit. physik. Ch., t. 36, p. 232-288; 8.2.1901 .
— L'indice de réfraction d'un mélange de deux gaz ne concorda*
qu'approximativement avec la valeur que l'on peut calcuItT
au moyen des indices des deux gaz et de leur proportion dansl^
mélange. Les différences observées s'expliquent suffisamment par
les écarts que présente la densité du mélange par rapport a h
règle d'Amagat.
L'indice d'un mélange de vapeurs fournit donc approximative-
ment la composition de ce mélange.
Dans le cas, étudié par l'auteur, de mélanges d'acétone e\
d'éther, la formule de Van der Waals :
1 dp X — ,v
p' dx A(i — xy
(p représentant la pression, x et y les compositions de la phase
vapeur et de la phase liquide), ne concorde avec les compositions
ainsi déterminées que pour des mélanges en proportions très
inégales, contenant peu d'acétone dans beaucoup d'éther, et inv^^
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1031
sèment. La discordance observée pour d'autres mélanges peut
probablement être attribuée à la présence de couches liquides très
minces sur les plaques de verre de l'appareil. u, vèzes.
Disposition pour l'observation des phénomènes de fluores-
cence et d'opalescence; H. TSWETT (Zeit. pbysik. Cb., t. 36,
p. 450; 12.8.1901). — Voir dans Toriginal la description (avec
ligrure) de l'appareil employé. m. vèzes.
Snr deux cas de catalyse en système non homogène ; Karl
DRUCKER (Zeit. pbysik. CL, t. 36, p. 173-215; 8.2.1901). —
Peligot a montré depuis longtemps que le chlorure chromique
anhydre est sensiblement insoluble dans l'eau, mais que, mis en
présence d'une trace de chlorure chromeux CrCl*, il s*y dissout
rapidement en fournissant une solution verte du chlorure chro-
mique hydraté. L'auteur interprèle ces phénomènes en admettant
que le chlorure anhydre ne se dissout dans l'eau, à la température
ordinaire, qu'avec une extrême lenteur, et que sa vitesse de disso-
lution se trouve fortement accélérée par le contact du chlorure
chromeux qui joue dans la circonstance un rôle catalysateur. Un
grand nombre d'autres catalysateurs sont, à des degrés divers,
capables d'accélérer aussi la dissolution du chlorure anhydre : ce
sont des corps ou des mélanges réducteurs, tels que ZnSO*-|-Zn,
H«0 + Al, CuSO* + Cu, Sna^ CuCl, FeSO* + C«0*K«, H, etc.
L'étude méthodique de ces phénomènes a conduit l'auteur aux
conclusions suivantes : L'accélération subie par la dissolution du
chlorure chrornique anhydre, par suite de la présence de corps
réducteurs, dépend : 1** de la nature du réducteur employé;
influence très notable et qui ne paraît obéir à aucune loi simple;
2* à son potentiel de réduction; elle varie dans le même sens que
lui; 3*" à sa concentration absolue, avec laquelle elle croît ou
décroit. Si le catalysateur est peu soluble, et doit par suite être
employé à l'état solide, l'accélération dépend essentiellement de
sa surface et du contact des deux phases solides. La marche de la
réaction est bien celle prévue par No^es et WhiineY {Zeit. pbysik,
Ch.^ t. 23, p. 689, 1897) : la vitesse est constante au début. Dans
les réactions lentes ou très rapides, elle est sensiblement propor-
tionnelle au potentiel de réduction; elle ne l'est plus dans les réac-
tions de rapidité moyenne. L'ensemble de ces résultats est incom-
patible avec l'hypothèse d'une influence catalytique simple, et ne
peut s'expliquer que par la superposition de plusieurs catalyses
distinctes, dont la vitesse observée représente la moyenne.
i
1082 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
L'auteur a étudié de même la dissolution dans l'eau de Tanh;-
dride arsénieux, laquelle est accélérée catalytiqucment par la
présence de petites quantités de divers acides solubles. L'accélé-
ration parait due ici principalement aux ions hydrogène; elle est
encore régie par la loi de Noyés et Whitney. La même catalyse
peut être produite par des ions hydroxyle; Tacétate de sodium non
dissocié parait produire une action analogue, car une solution
décinormale de CH3.C00H et de CH^.COONa, qui ne conUent
que peu d'ions H et OH, provoque une forte accélération, sans
paraître donner lieu à un accroissement de la solubilité. Au
contraire, l'alcool amylique exerce une action légèrement retar-
datrice. H. VÈZES.
Sur la vitesse et la catalyse en système non homogène ;
K. DRUCKER (ZeiL physik. Cb., l. 36, p. 693-709; 19.4.1901). —
Reprenant, avec des procédés expérimentaux plus perfectionnés,
l'étude de la vitesse de dissolution de l'anhydride arsénieux en
présence de divers catalysateurs, Fauteur conslale les faits sui-
vants : La solubilité de l'anhydride arsénieux dans différents
milieux doués d'activité catalytique est à peu près la même que
dans l'eau. Des acides distincts donnent des vitesses de dissolution
peu différentes; les légères différences observées peuvent tenir
en partie à ce que les dilutions employées ne sont pas parfaitement
comparables au point de vue des constantes de dissociation. C'est
ainsi que, sous des concentrations croissantes, HCl agit un peu
plus vivement que H*SO*. A une dilution de 100 litres, NaOH ne
donne pas d'accroissement sensible de solubilité. La vitesse de
dissolution est accrue par les ions OH plus encore que par les
ions H. La façon dont elle varie avec la concentration de ces ions
dépend de l'ion employé; ni pour l'un ni pour l'autre, l'accroisse-
ment de vitesse n'est proportionnel à la concentration du cataly-
sateur, mais elle est approximativement proportionnelle à la racine
carrée de cette concentration. m. vèzbs.
Recherches expérimentales sur la constante dièlectriqna de
quelques gaz et vapeurs, et sur sa variation avec la tempéra-
ture; Karl BAEDEKER {Zeit. pbysik. Ch., t. 36^ p. S05-Sd5;
22.2.1901). — Recherches de physique pure, qui ont porté sur tes
gaz et vapeurs ci après : sulfure de carbone, gaz sulfureux, gaz
ammoniac, eau, alcool méthylique, alcool éthylique, peroxyde
d'azote. , m. vàsis«
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1133
Sur la dispersion rotatoire de l'acide malique; Benedict
W0RIN6ER (ZeiL physik. Ch., t. 36, p. 8.%-857; 22.2.1901). —
3lémoire de physique pure. m. yèzes.
Nouvelle définition de la capacité calorifique; Th. W.
RICHARDS {ZeiL physik. Ch., t. 36, p. 858; 22.2.1901). — L'au-
teur propose d*adopter comme unité de capacité calorifique une
capacité telle, qu'il faille dépenser 1 joule pour l'échauffer de
i deg^ré (la température étant définie par Téchelle cenlésimale
usuelle et mesurée au moyen d'un thermomètre à hydrogène ou à
hélium). Cette unité, à laquelle il donne le nom de Mayer, sera
représentée pratiquement par la capacité de 1 gr. de magnésium
à — 50*. La capacité calorifique d'un gramme d'eau à 20** est alors
de 4,18 Mayer; la constante de la loi de Dulong et Petit devient
égale à 26,5 Mayer. Une unité pratique 1000 fois plus forte, le
Kilomayer, sera employée avec avantage dans les calculs thermo-
chimiques. M. VÈZES.
Sur les propriétés électromotrices des matières snscepti*
blés de plusieurs degrés d*oxydation (II) ; R. LUTHER {Zeil.
pbysik, Cb., t. 36, p. 885-404; 12.3.1901). — Dans ce travail, qui
fait suite à un mémoire analysé ici même (Bull. Soc. Cb.^ t. 26.
p. 866), l'auteur détermine, en s'aidant des résultats antérieurs de
Hittorf, Bancroft, etc., les forces électromotrices correspondant
aux transformations du chrome et de ses. composés. Suivant la
nature de la transformation effectuée, il obtient les résultats sui-
vants :
0
Cr métal ->- Cr" +0,3 volt
Cr métal ->- Cr»" -f 0,2
Cr métal ->- [CrO*J»' —0,9
Cr»" ->- [CrO*]»» —1,8
Cl-" ->■ Cr'» +0, 1 »
Cr»« -> [CrO*]»» —1,4 «
Il étudie également l'équilibre qui s'établit, en présence de
cuivre métallique, entre les cuproions et les cupriions :
Cu métal + Ga»» ^ 2CuS
et trouve, pour la constante d'équilibre, la valeur
1034 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTR.VNGERS.
Il détermine enfin la force éleclromotrice relative à la translor-
mation
Hg métal -V HgCP ^50 lit.), KCl (40 lit.),
et obtient la valeur — 0,750 volt. La mesure, par deux méthodes
distinctes, de la constante de dissociation électrolytique de HgCI*
en Hg" -f- 2Cl> lui donne les deux valeurs assez peu concordantes
4,5. iO-** et 0,18.10-";
il admet, comme représentant approximativement cette constante,
la valeur intermédiaire
0,5 . 10—**. M. VÈZBS.
Remarque sur le travail de R. Luther < Sur les propriétés
électromotrices des matières susceptibles de plusieurs degrés
d^oxydation ï> ; E. ABEL (Zeit.physik. C/ï.,37, p. 628; 28.6.1901).
— Discussion relative à quelques unes des conclusions du mémoire
précédent. m. vèzes.
Tension de vapeur des mélanges ternaires (1). Partie théo-
rique : les mélanges homogènes ; F. A. H. SCHREINEHAKER8
{Zeit. physik. Ch., t. 36, p. 257-289; 22.2.1901). — Dans ce pre-
mier mémoire, l'auteur expose la représentation par une surface,
qu'il appelle surface Ç, des potentiels thermodynamiques des
phases coexistantes dans un mélange de trois composants ; ij
définit les courbes de vaporisation et de condensation, et étudie
Tinfluence exercée sur ces courbes par les variations de pression
à température constante. m. \'tzES.
Tension de vapeur des mélanges ternaires (II). Partie théo-
rique: les mélanges homogènes {SuUe);T. k.E, SCHREINE-
MAKERS (Zeit, physik., Ch., t. 36, p. 413-449; 12.3.1901). —
Comme consé(iuences des principes posés dans le mémoire pré-
cédent, l'auteur fait la théorie de la distillation d'un mélange do
trois composants volatils, et étudie les états d'équilibre correspon-
dant à des mélanges dans lesquels la concentration d'un ou de
deux composants est très petite. m. vbzes.
Tension de vapeur des mélanges ternaires (111). Partie théo-
rique : les mélanges hétérogènes; F. A. H. SCHREINEMAKERS
(Zeit, physik. Ch,, 36, p. 710-740; 19.4.1901). — L'auteur définit
de même les courbes de vaporisation et de condensation dans le
cas d'un mélange ternaire hétérogène, et étudie Tinfluence exercée
sur la disposition de ces courbes par les variations de pression i
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. d035
température constante et par les variations de température à
pression constante. m. vèzes.
Tension de vapeur des mélanges ternaires (IV). Partie
théorique : les mélanges hétérogènes (Suite) ; F. A. H. 8CHRCI-
NEMAKERS {Zeit, pbysik. CL, t. 37. p. 129-156; 17.5.1901). —
L'auteur étudie le cas où le mélange étudié est divisé en trois
phases, deux phases liquides et une phase vapeur, et en déduit
la théorie de la distillation d'un mélange de trois composants
volatils, dans le cas où ce mélange comporte deux couches liquides
distinctes. m. vèzbs.
Etude physicochimique sur Tétain (IV); Ernst COHEN (Ze/7.
pbysik. Ch,, t. 36, p. 515-516; 2.4.1901). — Etudes historiques et
critiques, desquelles il paraît résulter que les transformations que
subit rétain à basse température ont été observées jadis par
Aristole. m. vèzes.
Addition à mon mémoire « Sur la diminution de pression
osmotique qui résulte des changements de charge des ions » ;
H.v. TURIN (Zeit.physik. Ch., 36, p. 524-528; 2.4.1901). — Com-
plément à un travail déjà signalé (Bu//. Soc, chim,, t. 26. p. 949).
M. VÈZES.
L^état solide comporte-t-il une régie analogue à la régie
d'Avogadro pour les gaz? Quelques remarques sur la dureté
des méUux et alliages; Cari BENEDICKS(Ze/7./7V5i/r. 6Vi..i.36,
p. 529-538; 2.4.1901;. — L'auteur clierche à établir une relation
entre la dureté des métaux et alliages et leur concentration
atomique, c'est-à-dire le nombre d'atomes contenu dans un espace
donné (défini par le quotient du poids spécifique par le poids ato-
mique). Utilisant les résultats numériques anlérieuremeut obtenus
par Bottone ^1873), ainsi que ceux contenus dans un travail récent
de Rydberg \Dull, Soc, cïl, t. 26. p. 838), il conclut que la durelé
des corps simples est proportionnelle à leur concentration
atomique, et que celle des solutions solides (alliages) va en crois-
sant avec la pression osmotique de ces solutions. m. vèzes.
Relation entre la constante de dissociation et le degré de
dissociation d'un électrolyte en présence d'autres électrolytes;
T. OSAKA iZiiit, pliysik, Ch,, t. 36, p. 539-542; 2.4.1901). —
Démonstration nouvelle de la relation
i(m ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
établie par Arrhenius en 1894 pour les électrolytes 1res faibles,
dans laquelle (/représente le degré de dissociation de réleclrolj-le,
K sa constante de dissociation et T la concentration totale de tous
les ions existant dans la solution. L'auteur fait remarquer que, eu
ce qui concerne cette concentration totale, il faut taire entrer ea
compte tous les anions, ou tous les cathions existant dans la solu-
tion, mais non Tensemble de ces deux catégories d'ions.
M. VÈZES.
Sur la ddcomposition du nitrite d'ammonium; Rad. WEGS-
CHEIDER {ZeiLphysik, Ch., t. 36, p. 543-545; 2.4.1901). — A.
Angeli et G. Boeris {Gazz, Ch. ital, t. 22, 2« part., p. 849; 1892)
ont observé que la décomposition des solutions aqueuses de nitrite
d'ammonium, avec dégagement d'azote, est accélérée par l'addi-
tion de sels ayant un ion commun avec le sel décomposé. Pour
expliquer ce fait, ils admettent que la décomposition porte sur les
molécules non dissociées du sel, et que les ions AzH* et AzO*
sont sans action l'un sur l'autre : Faddition d'un sel ammoniacal
ou d'un nitrite a en effet pour résultat de diminuer le degré de
dissociation du nitrite d'ammonium.
S'appuyant sur des considérations théoriques exposées dans un
mémoire antérieur (Bull, Soc. chim., t. 26, p. 882), l'auteur montre
que le fait observé peut s'expliquer également par une réaction
entre les ions AzH* et AzO'; l'accélération serait due en ce cas à
l'accroissement de concentration de l'un des ions, dont TelTet ferait
plus que compenser l'action retardatrice due à la diminution du
degré de dissociation. m. vèzes.
Sur les électrolytes ampbotdres et les sels internes; K.
WINKELBLECH [ZeiL physik. Cb., t. 36, p. 546-595; 2.4.1901).—
Il existe des électrolytes faibles, qui sont capables de donner des
sels aussi bien avec les acides qu'avec les bases. Tels sont l'alumine
hydratée, l'anhydride arsénieux, les oximes, Thydrate de diazonium
et ses dérivés, les acides amidés. Bredig a donné à ces corps le
nom d'électrolytes amphotères : ils sont caractérisés par la pro-
priété de donner indifléremment, par dissociation électrolytique,
des ions hydrogène et des ions oxyhydrile.
L'auteur a étudié à ce point de vue les acides amidés, qui ont
l'avantage de fournir une importante série de composés analogues.
Il a opéré sur leurs sels de sodium et sur leurs chlorhydrates, et
mesuré l'hydrolyse de ces sels par des déterminations de conducti-
bihté (méthode de WalkeretBredig)ou de saponification (méthode
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1087
de Walker et Shields). Les résultats obtenus, en ce qui concerne
le rapport des constantes d*af&nité relatives à la fonction acide et
à la fonction basique de chacun des amphotères étudiés, sont
résumés dans le tableau suivant :
Acide aspartique 53000000
— méta-amidobenzoïque
— para-amidobenzoïque
— ortho-amidobenzoïque
Aspara^ine
Alanine
Glycocolle
Leucine
Sarcosine
3000000:
500000:
2600000:
4000000
3000:
240:
120:
115:
72:
M. VÈZES
Sur l'équilibre des systèmes étber-eau-acide-alcool ; Hans
EDLER {Zeit. pbysik. Cb., t. 36, p. 405412 ; 12.3.1901). — L'auteur
reprend, après Berlhelot et Péan de Saint-Gilles, Télude d'un tel
système, en se plaçant au point de vue de la théorie des ions. Il
constate que dans des solutions moyennement diluées, Téquilibre
varie fortement avec la nature de lacide et celle de l'alcool;
l'hydrolyse d'un éther est d'autant plus notable que son acide est
plus fort; les éthers méthyliques sont moins hydrolyses que les
étherspropyliques, et ces derniers moins que les éthers éthyliques.
M. VÈZES.
Sur la théorie des réactions catalytique8;Han8 EULER(Ze/7.
pbysik. Cb,y t. 36, p. 641-643; 19.4.1901). —Après avoir montré
que l'accélération dont diverses réactions chimiques peuvent être
le sièfje dérive toujours d'une même cause, l'accroissement du
nombre des ions prenant part à la réaction, l'auteur recherche quelle
est l'expression énergétique de l'action d'un catalysateur. Un système
réel ne peut jamais fournir le t travail maximum » répondant à sa
définition, une partie de ce travail étant toujours perdue, dans
l'intérieur de la machine ou de l'élément considéré, sous forme de
frottement, polarisation, etc., de manière à se retrouver finalement
sous forme de chaleur. Le rôle du catalysateur consiste à accroître,
pendant un certain temps, la fraction de ce travail maximum utili-
sable à l'extérieur du système sous forme d'énergie libre.
L'hypothèse que toutes les réactions se produisent par le fait
des ions libres, est d'accord avec la loi des masses, avec la théorie
de la dissociation et avec les lois expérimentales de la cinétique
1038 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
chimique, notamment celles relatives à Tinfluence du dissolvant
et de la température. m. vèzes.
Sur les phénomènes electrocapillaires ; Wilb. PALMAER
(Zeii. physik, Ch,, t. 36, p. 664-680; 19.4.1901). — Mémoire de
physique. m. vèzes.
Sur la théorie de la capillarité (III); G. BAKKER (Zeit.physik.
Ch., t. 36, p. 681-692; 19.4,1901). — Mémoire de physique.
M. VÈZES.
Sur le sens de la théorie des invariants en chimie; W.
ALEXEJEFF (Zeit. physik, Ch., t. 36, p. 741 ; 19.4.1901).
Le prétendu sens de la théorie des invariants en chimie;
E. STUDY [Zeit, physik. Ch,, t. 37, p. 546-550; 28.6.1901). —
Articles de polémique relatifs à un mémoire de P. Gordan et W.
Alexejefî antérieurement signalé [Bull. Soc. clnm.y t. 26, p. 882).
Sur les ferments inorganiques (II). L'action paralysante des
poisons sur Tactivité catalytique du platine colloïdal; 6.
BREDIG et R. IKEDA [Zeit. pliysik. Ch., t. 37, p. 1-68; 3.5.1901).
— Dans un mémoire antérieur [BuIL, t. 26, p. 662), G. Bredig et
R. Millier von Berneck ont montré que les solutions colloïdales de
platine exercent sur la décomposition de Teau oxygénée une action
catalytique qui présente de grandes analogies avec l'action des
ferments coUoïdaux organiques. En particulier Tune et l'autre
action peuvent être notablement affaiblies par une trace de certains
poisons tels que HCAz, H*S, etc. Ces poisons sont précisément
ceux qui agissent le plus vivement sur les globules rouges du sang,
comme Ta montré Schœnbein. Les auteurs ont donc étudié l'action
des poisons du sang sur l'action catalytique du platine colloïdal.
Pour pouvoir comparer entre eux, à ce point de vue, les divers
poisons étudiés, ils désignent parle nom de toxicité et représentent
par la lettre G la dilution (en litres pour une mol.-gr.) du poison
pour laquolle la vitesse de décomposition de H*0- (en présence de
10 millionièmes d'at.-gr. de Pt colloïdal) est réduite à la moitié de
sa valeur. Ajoutons que quelques poisons, employés à faible
dose, n'agissent que pendant un temps assez court, l'activité cata-
lytique du plaline se rétablissant ensuite; nous signalerons les
poisons présentant cette particularité par la mention : action tem-
poraire.
CHIMIE GÉNÉKALE ET MINÉRALE. 1099
Cela étant, voici le résumé des résultats obtenus :
!• Poisons très actifs : acide cyanhydrique (G == 21000000,
action temporaire); iodure de cyanojçène (6=^12800000); iode
r G — 7000000); chlorure raercurique (G = 2500000), hydrogène
sulfuré, hyposulflte de sodium, oxyde de carbone faction tempo-
raire), phosphore (idem), hydrogène phosphore (idem), hydrogène
arsénié, cyanure mercurique, sulfure de carbone;
2** Poisons moyennement actifs : aniline (G=:30000), hydroxyl-
amine (G = 18000), action temporaire), brome (G = 23000), ac.
chlorhydrique (G = 3100), ac. oxalique (G=1260), nilrite d*amyle
acide arsénieux, sulfite de sodium (action temporaire), chlorure
d'ammonium;
8** Poisons faibles : acide phosphoreux (G=:900), nitrite de
sodium (G= 280), acide azoteux, pyrogallol, nitrobenzène, acide
fluorhydrique, fluorure d*ammonium;
4* Quelques substances, au lieu de paralyser l'action catalytique
du platine colloïdal, l'accélèrent, par un phénomène très inattendu
et encore inexpliqué : ce sont Tacide formique, Thydrazine, Tacide
azotique étendu ;
5* Enfin quelques-unes des substances étudiées, quoique ayant
été décrites comme des poisons du sang, sont sans action sur
Tactivité du platine colloïdal : ce sont le chlorate de potassium
(très dilué), les alcools éthylique et amylique, Téther, la glycérine,
Tessence de térébenthine, le chloroforme. m. vèzes.
Ferments inorganiques (III). L'action catalytiqne de Tor
sur le peroxyde d'hydrogène; G. BREDIG et W. REINDERS
{Zeil. pbysik, Cb,, t. 37, p. .S23-341; 31.5.1901). — Les solutions
colloïdales d'or exercent, en liqueur alcaline, sur le peroxyde
d'hydrogène une action catalytique analogue à celle des solutions
colloïdales de platine. Cette action a été étudiée par les mémespro-
cédés. Tandis qu'en liqueur neutre ou acide l'action de For est
presque négligeable vis-à-vis de celle du platine, elle est consi-
dérablement accrue par une addition d'alcali. Comme dans le cas
du platine et des ferments organiques, elle passe par un maximum
quand on fait croître progressivement la concentration de l'alcali
employé, et diminue ensuite quand on emploie des alcalis plus
concentrés : la dilution optima correspond à 1/64 NaOH par litre.
Acett« dilution, l'action catalytique de l'or s'exerce encore d'une
façon sensible quand on emploie une solution colloïdale de 1 atome-
gramme de ce métal dans 640000 litres. Elle croît avec la concen-
tration de la solution d'or, mais plus rapidement qu'elle. Des élec-
1040 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
trolytes (P0*Na2H,KCl), atténuent un peu Tactivité calalylique de
Vov. 11 en est de même, mais à un degré beaucoup plus marqué,
avec certains c( poisons»; 1 mol. de NaSH en solution dans
10 millions de litres, 1 mol. de KCÂz en solution dans 60 millions
de litres exercent une action retardatrice manifeste. Au contraire,
le sublimé exerce une action accélératrice, vraisemblablement
parce qu'il est réduit dans les conditions de l'expérience en
donnant naissance à un catalysateur très actif, vraisemblablement
le mercure métallique colloïdal. Les auteurs poursuivent actuel-
lement rétude de ce nouveau catalysateur. m. \'èzES.
Solubilité des gaz dans les dissolvants organiques ; Gerhard
JUST (Zeit, physik. Ch,, t. 37, p. 842-367; 31.5.1901).— L'auteur
a mesuré, à diverses températures, la solubilité du gaz carbonique
dans 44 dissolvanis organiques, et celle de Toxyde de carbone, de
Tazote et de Thydrogène dans 17 dissolvants organiques; il a
employé aussi quelques mélanges de dissolvants. De ses résultais
numériques, il a pu déduire quelques relations qualitatives entre
la constitution des liquides organiques et leurs propriétés dissol-
vantes, vis-à-vis du gaz carbonique. L'oxyde de carbone, Tazote
ont des solubilités sensiblement proportionnelles dans les dissol-
vants étudiés. Pour ces deux gaz et Thydrogène, la solubilité croit
avec la température entre 20** et 260''. Pour le gaz carbonique, elle
varie dans le sens opposé. m. vèzes.
Sur la catalyse du gai tonnant par le platine coUoidal ; Cari
ERNST (Zeit. physik. Ch., t. 37, p. 448-484; 18.6.1901). — Si l'on
sature de gaz tonnant une solution colloïdale de platine obtenue par
le procédé de Bredig (voir Bail, Soc. cbim., t. 26. p. 662), l'action
catalytique du métal provoque rapidement l'union des composants
de ce mélange gazeux, et fournit de Teau; on n*a pas observé la
formation d'ozone ou de peroxyde d'hydrogène. Les propriétés
catalytiques de la solution colloïdale employée ne paraissent pas
affaiblies, même après avoir provoqué la combinaison d'une
quantité de gaz tonnant un million de fois plus grande (en molé-
cules). La quantité de gaz tonnant combinée par unité de temps est
proportionnelle à la quantité absolue de platine contenu dans la
solution colloïdale.
Si le gaz tonnant est pur, c'est-à-dire s'il n'est pas mélangé d'un
excès de Tun des composants, la vitesse de la réaction est propor-
tionnelle à la concentration du gaz. Si au contraire le mélange
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1041
d'hydrogène et d'oxygène est fait en proportion quelconque, ce
gaz qui se trouve en excès retarde la réaction par Tefiet de la
dilution qu'il procure au mélange actif.
Le coefficient de température est très faible et devient négatif à
température élevée. L'action des retardateurs ou des accélérateurs
sur la catalyse du gaz tonnant est la même que celle qui a été
observée sur la catalyse de Teau oxygénée par Bredig et Mùller
von Berneck {loc. cit,), m. \'èzes.
Conductibilité électrique dans les gaz traversés par des
rayons cathodiques; J. C. Me LENNAN {Zelt. phys. Ch,, t. 37,
p. 513-515; 28.6.1901). — Mémoire de physique. m. vèzes.
L'action paralysante des poisons sur l'activité catalytique
du platine colloïdal; R. W. RAUDNITZ (Zeit. physik. Ch., t. 37,
p. 551 ; 28.6.1901). — Bredig el Ikeda (Zeit. pbysik. Ch. t. 37, p. 1)
ont rapproché Faction paralysante qu'exercent certains poisons,
comme l'acide cyanhydrique, sur l'activité catalytique du platine
colloïdal, de celle qu'ils exercent sur les cellules vivantes, et qui
parait consister en une transformation subie par certains groupes
du protoplasme. L'auteur fait remarquer que cette explication ne
saurait être admise, car les catalysateurs organiques, le sang ou
le lait par exemple, après avoir été empoisonnés par Tacide cyan-
hydrique, reprennent exactement leur activité primitive lorsque le
poison a été éUminé par un courant d'air prolongé. Ce n'est donc
pas sur le catalysaleur qu'agit le poison. ir. vèzes.
Études sur l'inversion; E. COHEN [Zeit. physik, Cb., t. 37,
p. 69-83; 8.5.1901 ). — Rayman et Suie ont montré, en 1896, que
du sucre de canne, chauffé à 80**, dans un vase en platine, avec de
l'eau très pure (conductibilité 0,7 + 10— ^ à 25°), subit une inver-
sion notable, dont la vitesse va en croissant avec le temps. Ce
résultat s'expHque aisément si l'on admet que le sucre de canne
et les produits de cette inversion (rZ-glucose, (/-fructose) sont des
acides, et que le sucre interverti formé est un acide plus fort que
le sucre de canne primitif.
Pour justifier cette hypothèse, Pauteur étudie la saponification
de l'acétate d'éthyle par la soude en présence de sucre de canne,
de sucre interverti, de rf-glucose, de rf-fructose et de mannite. Si
ces matières jouissent de propriétés acides, elles neutraliseront
partiellement Talcaii, et abaisseront la vitesse de saponification,
soc. GHiM., 3* 8ÉR., T. XXVI, 1901. — Tiav. ètroAg* 66
1042 ANAIiYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
rabaissement étant d'autant plus marqué que Tacidité du sucre
employé est plus forte.
Les abaissements observés, en produisant la saponification en
présence de solutions diversement concentrées des sucres cités
plus haut, montrent que, tandis que la mannite ne possède qu'une
acidité presque négligeable, les autres sucres étudiés se com-
portent comme des acides. Le (/-fructose est plus acide que le
(/-glucose, et le sucre interverti plus acide que le sucre de canne.
L'bypothèse énoncée plus haut se trouve donc vérifiée.
M. \iZES.
La liquéfaction de l'hydrogène; Morris W. TRAVERS (ZeîL
pbysik, CL, t. 37, p. 100-114; 8.5.1901). — L'auteur décrit en
détail, avec figures à l'appui, l'appareil qu'il a employé pour pro*
duire les quantités notables d'hydrogène liquide nécessaires pour
séparer, par distillation fractionnée, le néon et l'hélium (Recherches
de Ramsay et Travers). m. vèzbs.
Sur la volatilité de l'ac. boriqne avec la vapenr d'eaa ; F. W.
SKIRROW {Zeit. physik, CA., t. 37, p. 84-90; 3.5.1901). — On
sait depuis deux siècles (Homberg, 170â) que l'acide borique est
facilement entraîné par la vapeur d'eau. D'autre part, Wœhler et
Deville, Ebelmen ont constaté que l'anhydride borique ne com-
mence à devenir notablement volatil qu'aux températures les plus
élevées des fours à porcelaine. Il y a donc lieu de se demander
sous quelle forme se trouve l'acide borique dans ses solutions et
dans la vapeur d'eau : c'est dans ce but que l'auteur a recherché
comment varient, l'une par rapport è l'autre, les concentrations de
l'acide borique dans la phase liquide et dans la phase vapeur. Il a
constaté que, si l'on fait croître la concentration de la dissolution
soumise à l'ébuUition, celle du produit distillé (et par conséquent
de la vapeur) croît aussi, mais d'une façon de plus en plus lente.
D'autre part, la mesure des tensions de vapeur des solutions
aqueuses d'acide borique à la température de 92«,8 donne des
abaissements inférieurs à ceux que fournit le calcul, en supposant
que ces solutions contiennent l'acide borique à l'état de molécules
simples BO^H' ; l'écart va en augmentant avec la concennration.
L'auteur conclut de ces résultats que la vapeur contient vraisem*
blablement des molécules BO^H^ tandis que les solutions con-
tiennent des molécules plus condensées, B*0*H* ou B*0''H«. L'en-
traînement de l'acide borique par la vapeiïr d'eau serait ainsi le
résultat d'une dépolymérisation. m. \kxËS.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1043
lies déformations permanentes et la thermodynamique (VIII) ;
rinëgalité de Claosins et rhystérésis ; P. DUHEM {Zeil. pbysik.
iZb., t. 37, p. 91-100; 3.5.1901). — Mémoire purement théorique,
qui ne saurait être résumé. m. vèzes.
Sar la sensibilité à la lumière de la fluorescéine, de ses
dérivés substitués et de leurs leucobases ; Oscar GROS {Zeii,
pbysik. Cb., 1.37, p. 157-192; 17.5.1901). — Le but des recherches
entreprises par l'auteur peut être résumé ainsi : 1® Rechercher
expérimentalement si le blanchiment des matières colorantes à la
lumière résulte de leur oxydation ou de leur réduction ; 2^ com-
parer à ce point de vue des matières colorantes appartenant à des
coupes variés, de manière à étudier le degré de sensibilité de
chaque groupe et Tinfluence qu'ont les substitutions sur cette sen-
sibilité; 3"* trouver des«cataly8ateurs qui accroissent autant que
possible cette sensibilité.
L'auteur définit la sensibilité à la lumière d'une substance colo-
rante donnée par la différence k — A' des constantes de vitesse de
sa réaction de décoloration, effectuée à la lumière {k) et dans
Tobscurité (A'j. Dans cette première partie de son travail, il a
étudié seulement des colorants du groupe de la fluorescéine :
fluorescéine, et ses dérivés dibromé, tétrabromé, tribromomo*
noniiré, tétrabromodichloré, tétrabromotétracbloré, tétrabro-
modichloromononitré, tétraiodé, tétraiododichloré, tétraiodotétrà-
chloré. Les résultats ont été les suivants :
Les leucobases des colorants du triphénylméthane sont très
sensibles à la lumière. — Dans le groupe de la fluorescéine, l'in-
troduction d'une substitution nitrée augmente très notablement la
vitesse avec laquelle les leucobases s'oxydent dans l'obscurité en
fournissant les colorants. — Le blanchiment des colorants du
triphénylméthane résulte de leur oxydation. — Il est très vraisem-
blable que, dans les réactions subies à la lumière par les leuco-
bases ou colorants, leurs ions jouent un rôle prépondérant. —
L'oxydation des leucobases est accélérée par la présence de la
matière colorante produite, tant que la concentration de cette der-
nière ne dépasse pas une certaine limite. — Des colorants
étrangers accroissent notablement la sensibilité à la lumière des
leucobases et des colorants; ils facilitent et accélèrent également
la réaction qui se produit» sous l'intluence de la lumière, entre le
chlorure mercurique et Toxalate d'ammonium. — Cette activité
catalytique des colorants s'exerce déjà à des concentrations extra-
ordinairement faibles, et passe par un maximum quand on fait
1044 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
croître progressivement leur concentration. — Il est très vraisem-
blable que la faculté des colorants d'exercer celte action cata-
lytique est excitée par une absorption de lumière. Par suite, la
sensibilité des leucobases à la lumière- s'étend non seulement aux
radiations absorbables par ces leucobases, mais encore à celles
qui sont absorbables par les colorants formés. m. vèzss.
Sur les tensions de vapeur des cristaux mixtes de quelques
• hydrates salins isomorphes; Reinhard HOLLMANN {2eii
physik. CL, t. 37, p. 198-213; 17.5.1901). — Les recherches do
» Tauteur ont été effectuées à 20** par la méthode de Tammann ; elle?
ont porté sur les mélanges suivants : aluns de fer et d'aluminium,
aluns de chrome et d'aluminium, sulfates de zinc et de magné-
sium (à 7H*0), sulfates de cuivre et de manganèse yk 5H*0), sul-
fates de zinc et de cuivre, sulfates de rtiaguésium et de cuivre,
I sulfates de zinc et de manganèse. Les cristaux mixtes que fournit
chacun de ces mélanges ont réellement des tensions de vapeur,
indépendantes (entre certaines limites) de leur état de déshydrata-
tion plus ou moins avancée. Quand on fait varier progressivement
la composition des cristaux mixtes fournis par deux sels Sj, Sj, on
obtient pour les tensions de vapeur une courbe qui part du point
correspondant au sel Sj à l'état de pureté, et va d'abord en descen-
dant (l'addition à Sj d'une petite quantité de Sj diminue donc sa
tension de vapeur) ; cette courbe aboutit au point correspondani
au sel Sj à l'état de pureté, et l'atteint en montant (Kaddition à
Sj d'une petite quantité de S| diminue donc aussi sa tension <le
vapeur).
Entre ces deux points extrêmes, si la courbe des tensions de
vapeur présente des points maxima de rebroussement, de part et
d'autre desquels elle s'abaisse rapidement, ces points indiqueront
l'existence de sels doubles de composition définie. C'est ainsi que
l'auteur a pu constater l'existence de sels doubles formés par
2 mol. alun de fer .'. -f- 1 "^oh ûlun d'aluminium.
2 mol. alun de chrome +1 —
2 mol. sulfate de magnésium ... -j- 1 mol. sulfate de zinc.
1 mol. sulfate de magnésium . . . + 1 —
Pour les quatre autres mélanges, la formation de pareils sels
doubles n'a pu être observée. Il résulte en effet des recherches de
Retgers et de Stortenbecker (voir BalL, t. 26, p. 857) que ces
mélanges ne donnent de cristaux mixtes de même espèce qu'eolre
certaines limites de composition; on n'a donc point ici une courbe
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1045
continue allant du point correspondant à S( au point correspoi^.
dant à Sj, mais seulement une série de courbes partielles, corres-
pondant chacune à des cristaux mixtes d'une certaine espèce, et
g^énéralement séparées par des lacunes. m. vèzES.
Sur les relations entre le paramètre de viscosité et qnel-
qnes antres constantes physiques; A. BATCHINSKI [Zeit.
physik, CL, t. 37, p. 214-216; 17.5.1901). — Mémoire de phy-
sique pure. m. vèzes.
Séparation de sels par évaporation de solutions étendues ;
F. W. SKIRROW et H. T. CALVERT (ZeiL pbysik. CL, t. 37,
p. 217; 7.5J901). — La possibilité d'obtenir un sel à l'état solide,
par ébullition de ses solutions étendues, dépend des trois para-
mètres : température, concentration et tension de vapeur de la
solution, cette dernière étant égale à la pression atmosphérique si
l'on opère à l'ébullition en vase ouvert. Si l'on prend pour abcisses
les températures, pour ordonnées les concentrations en molécules
par litre du dissolvant, on pourra tracer la courbe des points
d'ébullition (sous la pression atmosphérique) de solutions diverse-
ment concentrées du sel considéré. Comme Ta montré W. Gibbs,
celte courbe est une droite : il suffira donc, pour la tracer, de
connaître le point d'ébullition du dissolvant pur et l'élévation
moléculaire de ce point d'ébullition fournie par le sel considéré.
Que l'on trace d'autre part la courbe de solubilité du sel, le point
P où les deux courbes se coupent indiquera le moment où le sel
commencera à se déposer (les phénomènes de sursaturation étant
exclus).
Si les doux courbes ne se coupent pas, la droite des points
d'ébullition restant constamment au delà (dans le sens des tempé-
ratures croissantes) de la courbe de solubilité, l'ébullition ne
pourra fournir de dépôt salin, car elle ne conduira jamais à la
saturation ; en la prolongeant, on finira par éliminer tout le dissol-
vant et l'on aboutira au point de fusion du sel, sans avoir obtenu
aucun dépôt cristallin : c'est le cas que présentent les solutions
aqueuses de potasse ou de soude caustique.
Mais, dans ce cas, on pourra obtenir un dépôt en produisant
.rébuUilion sous une pression inférieure à la pression atmosphé-
rique : cela reviendra à substituer à la droite des points d'ébulli-
tion une droite parallèle, mais plus rapprochée de Torigine des
coordonnées; si la pression choisie est suffisamment faible, cette
1046 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
droite coupera la courbe de solubilité et Ton sera ramené au cas
précédent.
Il peut arriver enfin que la courbe de solubilité ail avec la droite
des points d'ébullition deux points communs, P, P', le premier
étant celui qui correspond à la concentration la plus faible. Dans
ce cas, le point P ne pourra être atteint que grâce à des phéno-
mènes de sursaturation. Il se distinguera de P par ce fait que,
l'un et Tautre correspondant à des étals d'équilibre entre la disso-
lution et le sel solide, une prolongation de Tébullition aura pour
eflet de redissoudre une partie du sel si Ton est au point P, d'ac-
croître au contraire la quantité du dépôt si Ton est au point P.
M. VèZKS.
Sur les relations entre la pression osmotiqne et le travail
osmotique; C. DIETERICI {ZeiL physik. Ch., t. 37, p. 220;
7.5.1901). — Discussion avec A. Noyes,à propos d'un mémoire de
ce dernier signalé ici même (Bull., t. 26, p. 888). m. vèzes.
Catalyse dans la réaction de l'eau oxygénée snr l'acide
iodhydrique ; Johannes BRODE [Zeii. physik. Ch„ t. 37, p. 257-
307; 31.5.1901). — L'oxydation de Tacide iodhydrique par Teaa
oxygénée s'efTectue d'une façon graduelle, et sa vitesse peut être
accrue par le contact de certains catalysateurs. L'action exercée à
ce point de vue par les sels de fer proprement dits (sulfate
ferreux, sulfate ferrique) est particulièrement vive. Au contraire,
les sels de fer complexes sont sans action, ce qui explique que
Faction du sulfate ferrique disparaisse en liqueur oxalique. Le sul-
fate de cuivre est peu actif; mais, en présence d'un sel de fer. il
accroît Tactivilé de ce dernier. Les corps capables de fournir par
l'eau oxygénée des acides peroxygénés, notamment l'acide molyb-
dique et l'acide tungstique, exercent une action calalytique très
marquée : à la concentration de 1 mol. dans 1 million de litres,
Tac. molybdique double, et au delà, la vitesse de la réaction.
L'action de l'acide tungstique est du même ordre de grandeur.
Les dilutions limites au delà desquelles l'action catalytique de ces
catalysateurs ne se fait plus sentir sont résumées dans le tableau
suivant :
1 mol. FeSO* dans 10*5 ijires
1 mol. CuSO* — 10«'5 —
1 mol. MoO*H2 -. 10'.» —
Imol. TqO'*H2 — 10' —
1 mol. (GuSO* et FeSO*) — 10* —
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1047
Des mélanges de catalysateurs exercent une action, tantôt égale
à la somme des actions propres des catalysateurs mélangés (c*est
le caspour Mo-f-Fe, Mo+Cu, Mo-f-Tu, Tu-[-Cu), tantôt supé-
rieure (Fe-f-Cu), tantôt inférieure (Tu-f-Fe).
On voit par là que l'influence des catalysateurs est loin de
s^ exercer d'une façon identique dans cette réaction et dans celles
qui paraissent à priori devoir en être rapprochées, notamment les
oxydations de l'acide iodhydrique par l'acide bromique ou par
Tacide persulfurique. m. vèzes.
Relations entre la tension superficielle et la solubilité;
George A. HULETT {Zeit, physik, CL, t. 37, p. 385-406; 18.6.
1901). — Comme l'a déjà montré W. Ostwald dans un mémoire
récent qui a été analysé ici même {Bull. Soc. Cb., t. 26, p. 856),
la solubilité d'un corps solide dépend, dans une certaine mesure,
de son état plus ou moins grand de division mécanique, ou, ce qui
revient au même, de la tension superficielle de ses fragments au
contact du dissolvant. Si l'on appelle solution saturée normale
celle qui est capable de rester en équilibre, à une température
donnée, avec une surface plane du corps solide, et solution saturée
limite celle qui, à la même température, reste en équilibre avec
des fragments infiniment petits du même corps, on observe entre
les concentrations de ces deux solutions une différence qui n'est
généralement pas, négligeable.
Les expériences entreprises par l'auteur sur ce sujet ont porté
sur le gypse, le sulfate de baryum et l'oxyde rouge de mercure ;
dans chaque cas, les variations de concentration que subit la disso-
lution ont été mises en évidence par la mesure de sa conductibilité
électrique. Dans la pratique, on obtient une solution différant peu
de la solution saturée normale, lorsqu'on sature le dissolvant au
moyen d'un excès du corps solide en gros grains, les particules
très fines ayant été éliminées par des lavages préalables; on pré-
pare, d'autre part une solution différant peu de la solution saturée
limite, en agitant la solution saturée normale avec un excès du
corps solide en poudre extrêmement fine, obtenue par une por-
phyrisation prolongée au mortier d'agate.
A une température de 25**, la solution saturée normale de gypse,
capable de rester en équilibre avec des fragments de 2 microns de
diamètre au moins, contient 0,01533 mol. par litre; la solution
saturée limite, fournie par des fragments de 0,3 microns de dia-
mètre, contient 0,01820 mol. par litre. Cette dernière solution
revient lentement à la concentration de la solution normale, les
1048 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
particules de gypse au contact desquelles elle reste s'aggloméranl
jusqu'à ce que leur diamètre atteigne 2 microns. Inversement^ si
Ton agite une solution normale avec du gypse en gros grains, on
peut observer un certain accroissement de la solubilité ^5 1/2 0/0
environ) résultant de la division mécanique de ces fragments.
A la même température, le sulfate de baryum précipité artiâciel
fournit une solution saturée normale contenant 0,00229 mol.
par litre, avec des fragments de 1,8 microns de diamètre; la
concentration s*élève à 0,00415 mol. avec du sulfate de baryum
finement pulvérisé, en fragments de 0,1 micron de diamètre; elle
s'élève encore de 20 0/0 si l'on emploie la poudre, encore plus
fine, obtenue par agitation avec des fragments de quartz.
L'oxyde de mercure n'a pu être étudié par le même procédé,
car, mis au contact de l'eau, il n'en modifie pas la conductibilité
électrique. On l'a donc dosé dans ses solutions en mesurant colo-
rimétriquement l'intensité de la coloration bmne qu'elles donnent
par H*S. La solution saturée normale contient 0,000281 mol. par
litre, tandis que la solution obtenue avec l'oxyde finement porphy-
risé contient 0,000694 mol. par litre. m. vèzes.
Sur l'action des non dlectrolytes sur la saponification de
l'acéUte d'éthyle; Cari KULLGREN (Zeit. pbysik. Cb:, t. 37.
p. 618-622; 28.6.1901). — La vitesse de saponification de Tacëtate
d'éthyle par la soude en solution aqueuse est diminuée par l'addi-
tion de non électrolytes. On a étudié à ce point de vue l'action du
sucre de canne, de la glycérine, des alcools mélhylique et élhy-
lique et de l'acétone. Le ralentissement est maximum dans le cas
du sucre de canne ; les autres retardateurs étudiés se rangent dans
l'ordre qui vient d'être indiqué.
L'action énergique qu'exerce à ce point de vue le sucre de canne,
même à dose relativement faible, dérive de ce fait que le sucre
forme avec la soude du saccharate de sodium. Il est vraisemblable
que la glycérine donne lieu à une réaction analogue; mais^ dans
le cas des fortes concentrations, le ralentissement observé dépend
aussi d'une autre cause, la modification subie par le dissolvant.
Pour les trois derniers non électrolytes, il n'y a \Taisemblablemenl
pas de réaction chimique accessoire, de sorte que le ralentisse-
ment est simplement dû aux modifications subies par le dissolvaoL
On a déterminé le changement que l'addition de ces non élec*
trolytes fait subir à la conductibilité électrique de la solution
alcaline. Si l'on admet que le sucre de canne fournit du saccharate
de sodium, on peut calculer la conductibilité des mélanges oonte*
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1G4Ô
liant une quantité donnée de sucre; les nombres ainsi calculés
concordent bien avec ceux qu'a fournis l'expérience.
Si Ton compare les variations subies par la vitesse de saponifi-
cation et par la conductibilité par suite de Taddilion d'alcool
xnéthylique, d'alcool éthylique ou d'acétone, on constate que le
ralentissement de la saponification ne résulte que partiellement de
la diminution du pouvoir dissociant de la base employée. A cette
première cause de ralentissement, il faut en adjoindre une
seconde : on peut admettre qu' t une partie seulement du non-
électrolyte joue un rôle actif, et que le nombre des molécules
actives diminue, quand l'eau est remplacée par un autre dissol-
vant. » H. VÈZBS.
Essai de théorie de la dissolution colloïdale ; F. 6. DONNAN
{ZelL pbysik. CL., t. 37, p. 735-743; 12.7.1901). — Mémoire
purement théorique. Voir l'original. h. vèzes.
Recherches sur les éléments normaux, et particulièrement
BUT l'élément au cadmium de Weston; W. JAE6ER et St. LIN-
DECK {Zeit. pbysik. Ch., t. 37, p. 641-664; 12.7.1901). — Les
données contenues dans ce mémoire fournissent une réponse aux
objections opposées récemment par E. Cohen (voir BuIL Soc.
Chim.y t. 26, p. 854) à l'emploi de l'élément Weston comme élé-
ment normal. Elles sont relatives à : 1"* la préparation d'éléments
au cadmium (avec un amalgame à 13 0/0) et d'éléments Clarke,
effectuée en 1899, et la comparaison de ces éléments avec des élé-
ments plus anciens; 2** une nouvelle série de mesures analogues
effectuées en 1900, et étendues à un plus vaste intervalle de tem-
pérature (0** — 30**); 8** la préparation d'éléments au cadmium
(avec des amalgames à 13 0/0 et 12 0/0), à la fin de 1900, et leur
comparaison à 0* et à la température ordinaire. Les résultats de
ces travaux peuvent être résumés ainsi qu'il suit.
La comparaison des forces éleclromotrices de l'élémentClarke et
de l'élément au cadmium, faite en mars 1896, janvier 1897,
novembre 1897, octobre 1899, décembre 1900, a fourni des résul-
tats concordants à un dix-millième près avec les valeurs moyennes
ClarkeO» ^,,2280 ^.''":''" 'L= 1,40669.
cadmium 20* ' " cadmium ±0^
Les coefficients de température déterminés autrefois pour l'élé-
ment Clarke et pour l'élément Weston (à amalgame à 14,3 0/0
! 1050 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
1
\ et solution saturée) se trouvent confirmés par les expériences
actuelles.
Ces éléments au cadmium (à amalgame à 14,3 0/0) qui, au voi-
\ sinage de 0°, s'écartent assez notablement de la valeur normale,
i peuvent, au contraire, êlre utilisés comme éléments normaux à
! partir de 10°.
[ Les éléments à 13 0/0 et à 12 0/0, même après une semaine
entière de séjour à 0°. ne montrent plus aucune irrégularité. Ce
point capital a été vérifié sur près de 80 éléments différents.
On voit donc par là que les irrégularités observées au voisinage
' de 0<» pour l'élément à 14,3 0/0 ne tenaient pas à des transforma-
tions subies par le sulfate de cadmium, et ne doivent pas être
rapprochées des transformations que Ton observe dans Télémeot
de Clarke; elles résultent, comme Ta montré E. Cohen (loc. cit.),
de phénomènes encore mal connus que présente Tamalgame à
14,3 0/0 de cadmium.
Les auteurs concluent enfin que sous sa forme nouvelle, Télé-
ment au cadmium de Weston peut parfaitement être employé
comme élément normal. m. vèzes.
Sur la densité de rozone; A. LADENBUR6 (J9. cL G., t. 34,
p. 1834; 22.6.1901). — Polémique vis-à-vis de M. Otlo(C. /?., 1. 124.
p. 78 et D, ch. G., t. 34, p. 1118. l. bourgeois.
Sur le tellure (I); A. GUTBIER {D. cb. G., t. 34, p. 2114;
6.7.1901). — A l'annonce d'un prochain mémoire de M. F. Mylius
sur les ac. tellurique et allotellurique, l'auteur désirant so réserver
pour quelque temps l'étude du tellure, publie dans cette note pré-
liminaire les conclusions de ses observations à ce sujet. L'ac. tel-
lurique TeO*H*+2H*0 cristallise non en prismes clinorhombiques,
mais dans le système hexagonal ou rhomboédrique; il existe aussi
une variété cubique. C'est un ac. excessivement faible, peu dis-
socié en sol., comparable à H*S et CAzH; on ne peut le doser à
l'aide d'un indicateur. Pas plus que l'ac. tellureux, il ne peut
former d'éthers. Les 2 mol. d'eau en plus de TeO*H* ne sont pas
de l'eau de cristallisation, mais d'après l'action de la chaleur et la
cryoscopie, on doit les regarder comme de constitution et écrire
TeO^H^. Les acides tellureux et tellurique, ainsi que leurs sels,
sont réduits à l'état de tellure quantitativement par Thydrate d'hy-
drazine, en sol. ac, neutre ou alcaline. Le tellurate de potassium
forme deux hydrates : TeO*K« + 5H«0 et TeO*K«-f 2H*0; ce
dernier isomorphe avec Tosmiate OsO^K* -|- 2H^0. Les sels
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1051
doubles avec les nitratçs de plomb ou d'argent décrits par
^M. Oppenheim (Journ, f. prakt, Cb.^ t. 71, p. 270) n'existent pas.
X^es tellurates terreux ne sont pas cristallisables. Fondus, les
telforaies se réduisent à l'état de tellurites. Le tellurate d'ammo-
Tiium permet de distinguer qualitativement les- sels de potassium
en présence de ceux de sodium. L'ac. tellurique s'unit à l'aniline,
mais est réduit par les diamines. l. bourgeois.
Sur un sel de l'antimoine quadri valent ; H. L. WELLS et
r. J. HETZGER [Am, Journ,, t. 26, p. 268-271; 9.1901). — Les
auteurs confirment les indications de M. Setterberg au sujet du
sel Cs*Ci^feb qu'ils ont obtenu de diverses façons, entre autres
dans la purification des sels de césium (voy. un des mémoires
suivants). Ce sel cristallise en rhomboèdres noirs, isomorphes du
sel de Pb, Cs*PbCl®. — Les auteurs ont préparé sans l'avoir tout-
à-fait pur, le bromure double correspondant. p. freundler.
Hoiivel hydrate de chromate neutre de sodium; H. SAL-
KOWSKI (J9. ch. G., t. 34, p. 1947-1950; 22.6.1901). — Cet hydrate
a pour formule CrO*Na* + CH*0 ; il a pris naissance d'abord dans
une cristallisalion par refroidissement des eaux-mères d'une sol.
de sel à 4H*0; ensuite on a opéré en amorçant les cristallisations
avec une parcelle de sel déjà obtenu. La T. la plus favorable est
18-20*. Crist. en général tabulaires (prismes anoithiques). jaune
foncé, groupés en beaux agrégats ; se décompose avec fus. partielle
et dépôt d'hydrate à 4H«0, vers 26-27°. La sol. saturée à 17^7
renferme 43,65 0^ 0 de CrO*Na« et à 26%6 elle en renferme 46,28
(diagrammes dans l'original). l. bourgeois.
Sur les nitrates acides; H. L. WELLS et F. J. HETZGER (Am.
Journ,, t. 26, p. 271-275; 9.1901). — Les auteurs ont préparé un
certain nombre de nitrates acides dont quelques-uns déjà connus.
RbAz03.Az03H (F. 62») et CsAzO'.AzOMl (F. lOO*»), s'obtien-
nent en saturant à chaud l'ac. azotique de densité 1,42 par les
nitrates neutres correspondants; lamelles octaèdriques incolores.
KAzO».2Az03H, Rb AzO^ . 2 AzO»H (F. 39-46°), CsAz08.2AzO«H
(F. 82-36«) et TlAzO».2Az03H se préparent de même, mais avec
de l'acide de densité 1,50; on fait cristalliser au-dessous de 0*».
I^es sels de Rb et Tl cristallisent en aiguilles, celui de Cs en
lamelles. Ces derniers sels perdent facilement AzO^H; les premiers
sont plus stables. Celui de Tl se décompose en fondant <;0*.
L'analyse de ces composés a été faite par calcination à poids
constant et titrage acidimétrique, p. freundler.
1052 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS.
Recherches sur les nitrates doiible^; H. L. WELLS et H. P.
BEARDSLET {Am, Journ., t. 26, p. 275-278; 9.1901). — Leà
nitrates doubles de Cs et de Go, Pb et Hg" n'ont pu être obtenus.
Le sel CsAz03.Fe(AzO^)3.7H«0 se forme en sol. concentrée
froide, par union directe des composants en présence de AzCPH.
Prismes jaunâtres déliquescents, f . vers 83-36**.
Le sel 2CsAzO«.Bi(Az03)» a été obtenu d'une façon analo^e
en cristaux prismatiques incolores, f. à 102<».
Le sel 2TlAz03.Tl(Az03)3 s'obtient en dissolvant TlAzO» dans
AzO^H ((/=1,50) à chaud, par suite d'une oxydation partielle. 11
cristallise en prismes incolores, f. à 150°, stables à l'air sec.
p. FREUNDLER.
Solubilité du sulfate manganeux; T. W. RICHARBS et F. B.
FRAPRIE (Ani. Journ,, t. 26, p. 75-80; 7.1901). — Le sulfate de
Mn ne perd la totalité de son eau de cristallisation que > 850*;
on peut le chaufler à 450** sans qu'il se décompose sensiblemeoL
— 100 part, d'eau à 25° dissolvent 65,19 part, du sel MnSO*.5HH);
100 part, d'eau dissolvent 66,88 part, du sel MnS0*.4H*0 à Sa',15
et 68,22 part, à 35°. Le sulfate double de K et Mn se dissout Abus
l'eau à 25° à raison de 40,1 0/0 (sel anhydre). p. freuxdlkr.
Contribution à l'étude des solutions aqueuses des sels
doubles; H. C. JONES et B. P. CALDWELL [Am. Journ., t. 25.
p. 349-890; 5.1901). — L'un des auteurs a montré précédemment
qu'en sol. concentrée certains sels doubles, possédaient de suite
après leur dissolution, une conductibilité électrique inférieure à
celle que possède un mélange des sol. préparées isolément des
2 sels simples constituants. Il en résultait que ces sels doubles
n'étaient pas dissociés au même degré que les sels simples.
Au delà d'une dilution plus grande, la différence disparaissait.
Les auteurs ont examiné au même point de vue un certain
nombre de sels doubles et de mélanges dont on trouvera les
conductibilités dans le mémoire original. Ces sels sont :
lodures doubles de Cd et K, de Sr et Cd (Sri*, Cdl«, 8H«0;
prép. par union directe des composants).
Cyanures doubles de K et Hg (2KCAz, Hg[CAz]«; cristaux
hygroscopiques).
Nitrates doubles de praséodyme et AzH*, de néodyme et AzH*
(cristaux sol. dans l'eau, hygroscopiques; les nitrates de Pr el ée
Nd possèdent des conductibilités très différentes;.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 105S
Sulfates doubles de Mg et AzH*, de Cu et AzH* et Fe« et AzH*,
de Gd et AzH*, de Ni et AzH*, de Ni et K.
Chlorure double de K et Cd.
L.a méthode cryoscopique a été appliquée à un certain nombre
de ces sels avec le même résultat. Certains sels présentent un
minimum de dépression moléculaire, d'autres n'en présentent pas.
Les iodures et cyanures doubles présentent à un haut degré le
phénomène mentionné plus haut; la différence est encore sensible
pour;x = 200Û; dans le cas des nitrates elle disparait beaucoup
plus rapidement. Les sulfates ne sont complètement dissociés à
aucune dilution. p. freundler.
Sur les nitrates basiques de bismuth; F. B. ALLAN (Am,
Journ., t. 25, p. ^107-315; 4.1901). — 11 résulte des expériences
efTecluées par Tauteur, que :
1** La précipitation par Teau froide de sol. acides de niti*ate de
bismuth, fournit uniquement un précipité de formule BiOAzO^,
H«0;
2° A 21% le sel Bi<»0*3(Az03j«o, 9H«0 est stable en présence de
sol. d'ac. azoti<|ue renfermant de 0,03 à 0,82 mol. par htre, tandis
qu'avec une concentration de 0,425 à 0,72 mol., c'est le sel
BiOAzO», H«0 qui est stable;
3* A 50% le sel Bi^O^AzO»)*, H«0 est stable vis-à-vis de Tac.
azotique de concentration 0,057 a 0,285 mol. par litre; si la con-
centration est de 0,285 à 0,4G6 mol., c'est le sel Bi««0*3^^Az03)*o,
9H*0 qui est stable. Aucun autre sel n'existe à celte température;
4* A 75% le sei Bi*05(Az03)% H«0 est stable lorsqu'il y a de
0,109 à 0,814 mol. AzO'H par litre;
5* L'action de AzO^H dilué sur les nitrates basiques n*est pas
instantanée. p. freundler.
Sur la cristallisation du sulfate de cuivre; A. J. HOPKINS
(Am. Joura,, t. 25, p. 413-419; 5.1901). — Mémoire consacré
entièrement à la description des procédés employés par Tauteur
pour obtenir des cristaux de sulfate de cuivre. On trouvera dans
l'original, entre autres détails, les dimensions des cristallisoirs dont
M. Hopkins s'est servi avec succès. p. freundler.
Sur la formation du chlorure de platine par oxydation par
Tair d'une solution aqueuse d'acide chlorhydrique au contact
de noir de platine; J. W. HALLET (A m. Journ., i. 25, p. 430;
5.1901). — En lavant du noir de platine (préparé avec de Tald.
1064 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS
formique) avec une sol. diluée d*ac. chlorhydrique, Tauteur a
constaté la transformation d'une partiedu premier en tétrachlorure.
Il attribue ce fait à la présence d'oxygène occlus dans le noir Ae
platine. p. freundler.
Sur la purification du césium; H. L. WELLS {A m. Journ.,
t. 26, p. 265-268; 9.1901). — La méthode qui consiste à précipiter
le césium à l'état de chlorure double de Pb, au moyen de nilrale
de Pb, présente deux inconvénients : elle ne permet pas la sépa-
ration de Rb et de K, et de plus elle exige un grand excès de sel
dePb.
L'auteur préfère précipiter la majeure partie du césium à J'étal
de chlorure double d'antimoine Gs*Cl^Sb (les eaux mères sont
additionnées ensuite de Pb(A20*)* et saturées de Cl pour achever
la précipitation du chlorure PbCs*Cl^. Le chlorure double de Sb
est chauffé ensuite avec de l'ammoniaque diluée qui précipite
l'oxyde d'antimoine (les dernières traces, sont éliminées par H*S
en sol. acide), sa liqueur filtrée est fortement concentrée et addi-
tionnée de AzO^H concentré jusqu'à cessation de l'eflervescence.
Les sels ammoniacaux sont ainsi détruits, et il ne reste plus qu'à
évaporer et à fondre le résidu de nitrate de césium. Ce dernier sel
cristallise en gros prismes. On le transformera en carbonate en te
broyant avec un peu d'acide .oxalique et d'eau, évaporant et
calcinant.
Le sel CsClM s'obtient en dissolvant 1 mol. de nitrate avec
1 atome d'iode dans 5 p. d'HCl concentré et 5 p. d'eau. La disso-
lution s'effectue à l'ébulUtion, et pai* refroidissement on obtient
des tables jaunes du sel en question. Ce dernier peut être purifié
très facilement par des cristallisations dans HCl dilué (111^;
chauffé au rouge sombre, il se transforme en chlorure pur.
p. PHEUNOLKR.
Sur un periodate et un iodoperiodate de césiam; H. L.
WELLS (Am. Joura., i. 26, p. 278-281; 9.1901). — L'auteur a
perfectionné quelque peu la préparation de l'acide périodique
(voy. le mémoire original). Cet acide dissout Cs^CO' en fonnaotle
periodate CslO* (lamelles blanches peu sol. dans l'eau froide).
Dans certaines conditions, les sol. de CcIO* dans 10*H se rédui-
sant partiellement et elles abandonnent par évaporation spootaoée
des prismes brillants répondant à lajormule GsIO3.1O*H.2H*0.
p. raCUNDLER.
_J
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE 1055
Action des molybdates et des tungstates sur la rotation
spécifique des tartrates; H. ITZI6 (J9. eh. (?., t. 34, p. 1372-
\ 380; 8.6.1001). — L'auteur a poursuivi l'étude du sujet commencée
par Gernez (C. /?., t. 104, 105, 106, 108), puis par lui-même avec
M. Rosenheim (D. cb. G., t. 33, p. 707-718). Il s'occupe des
mélanges molybdate neutre de Na, paramolybdate de AzH*,
trungstate neutre et paratungstate de Na, avec bilartrate de sodium,
molybdate neutre de Na, molybdate ordinaire de AzH*, paratungs-
tate de Na avec sol. de Seignette, molybdate d'ammonium avec
émétique et avec tartrate de Ca, acide molybdique hydraté avec
bitartrate de Na ou sel de Seignette. On observe toujours un
accroissement de pouvoir rotatoire droit, et celui-ci est maximum
lorsqu'une mol. d'ac. tarlrique est en présence de 2 at. d'alcalis,
à rétat d'ions dans la sol. l. bourgeois.
Sor le semipentoxyde de molybdène; I. NOROENSKJOLD
{£). cL (?., t. 34, p. 1572-1577; 8.6.1901). — Voir Klason {ibid.y
p. 148). L'auteur prépare d'abord de l'acide MoOCl'.2HCl, en
dissolvant MoO* dans HCl fumant et réduisant par la quantité
voulue de HI; on enlève l'iode, on concentre fortement et l'on
sature de gaz HCl. — Chlorure de molybdényle et de potassium
MoOa8.2Ka + 2H«0. A la sol. d'acide ainsi préparée, on ajoute
la quantité voulue de KCl et l'on concentre fortement dans un
courant de gaz HCl. Par refroidissement, on a de beaux prismes
rhombiques vert foncé, assez stables à l'air. — Sels de rubidium
et de césium, MoOCl».2RbCl et MoOCl3.2CsCl. Se préparent de
môme, cristaux rhombiques ressemblant à des octaèdres réguliers,
anhydres comme le sel d'ammonium, moins sol. que le sel de
potassium; le sel de césium est presque insoluble. Les sels de
lithium et de sodium n'ont pu être préparés. — Sels d'ammo-
niaques composées, MoOC13.2AzX*Cl. S'obtiennent de même et
ressemblent ou sel d'ammonium. On a préparé ceux de mélhyl-
amine, diméthylamine, triméthylamine, tétraméthylammonium,
éthylamine, diméthylamine et triméthylamine. •
Chlorure de molybdényle, — D'après Klason, ce serait la subs-
tance MoOCl', et il y aurait identité avec « l'oxychlorure vert » de
Blomstrand {Lieb. Ann. Ch., t. 201, p. 126). L'auteur n'a pu
isoler cet oxychlorure MoOCl^, par décomposition pyrogénée dans
le vide ou dans HCl, soit de MoOCl«.2RbCl, soit de MoOCP.HCl.
Oxychlorure vert de Blomstrand. — Ce n'est pas un produit
défini, mais un mélange en proportions très variables, de MoCl*
avecMoO«Cl«. l. bourgeois.
i(m ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les urano-oxalates ; V. KOHLSCHUTTER et H. R08SI
{D. ch. G., t. 34, p. 1472-1479; 8.6.1901). — On comnoeaoc
d^abord par préparer une sol. impure de chlorure uraneux, en
réduisant une sol. chlorhydrique de carbonate uranico-ammonique
soit par le cuivre à chaud, ajoutant de Teau, puis traitant par WS
et concentrant, soit encore par Thydrosulfile de sodium. L'addition
d*acide oxalique à chaud dans les liqueurs vert foncé ainsi pré-
parées, fait naître un ppté gris abondant qui devient bientôt verl
sombre microcristallin, formé de très petits cubes. Ce sel est trè?
stable, insol. dans Teau ou les acides étendus, sol. dans HO
concentré et reprécipitable par Teau; il perd à 200*» son eau «it
cristallisation en devenant violet pâle. C'est Voxalate uraneui
(C«0*)2U -r H«0, déjà signalé par Seekarap (Lieh. Ann. CL,
t. 122, p. 115), comparable à celui de thorium. Ce sel se dissout
dans une sol. concentrée d'un oxalate alcalin en fournissant une
liq. vert mousse, paraissant rougeâtre en couche mince ; cette
Jiqueur peu oxydable à Tair, donne par évaporation de beaux crist
rhombiques très dichroïques; comme les crist. ainsi obtenu.-^
étaient souillés d'un peu de sel uranique en poussière jaune, on
les a obtenus purs en pptant par Talcool une liq. préparée gaa-»
excès d'oxalale alcalin. Le sel de potassium est
2 C20*K2 . (C20*)2U 4- 5 H^O .
Par addition de BaCl*, on a un ppté blanc floconneux qui î>t
change bientôt en un sel violet clair, bien cristallisé,
-2C20*Ba.(G20*)2U + 9HK).
de même pour les sels de strontium et calcium. Il y a lieu de
penser que ces sels dérivent d*un acide urano-oxalique qui serait
U(C*0*H)*. Les sol. d*oxalates uranoso-alcalins donnent par HQ,
un ppté vert pâle cristallin qui est formé non par l'acide libre,
mais par un produit intermédiaire, ainsi le sel obtenu avec Toxalale
uranoso-ammonique, est C«0*H(AzH*).2(C»0*)«U — 8H«0.
L'obtention très facile de Toxalate uraneux peut s'appliquer avec
avantage au dosage de l'urane; on réduit la sol. uranique chlorhy-
drique par le zinc, on ppte par Tac. oxalique ; le ppté recueilli et
lavé Cï^t calciné et pesé à l'état de U^O»; résultats satisfaisants.
On peut procéder d'une manière semblable, en se servant comme
réducteur de Thydrosulfite, pour régénérer les résidus d'urane.
L. BOURGEOIS.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. lOS-^
Nouvelle réaction pyrognostiqne pour la recherche du
chlore; H. W- NICHOLS {Am. Journ,, t. 25, p. 815-817; 4.1901).
— Cette méthode s'applique à la recherche du chlore, du brome
et de riode dans les minéraux qui en renferment plus de 0,5 0/0.
La substance broyée est mélangée avec 8 ou 4 parties de bisulfate
de potasse et le tout est chauffé dans un petit tube fermé. A Tori-
Qce du tube on place un fragment de papier imbibé de nitrate de
cobalt. S'il y a du chlore, le papier bleuit; s'il y a du brome ou de
riode, il verdit. En présence de chlore et du brome, le papier'
bleuit d'abord puis devient bleu-verdâtre. p. freundler.
Sur le dosage iodométrique de l'acide antimonique et sur
le dosage pondéral de l'antimoine en prismes du zinc; H.
ROHMER (D. ch. C, t. 34, p. 1565-1568; 8.6.1901). — La présence
de HBr facilite beaucoup la réduction de Sb*0* par SO^; pour
faire le dosage de l'antimoine préalablement peroxyde par éb.
avec HCl et CIO'K, l'auteur procède comme il suit. On fait bouillir
la sol. chlorhydrique avec 1 gr. de KBr, on ajoute de la sol. de
SO* et l'on fait encore bouillir pour chasser ce dernier; après
refroidissement on ajouté de l'acide tartrique, puis on neutralise
par du bicarbonate de sodium, et enfin on titre par la sol. d'iode.
On emploie alors une sol. l/:20' normale d'iode, dont on ajoute un
léger excès (1 ce.) à la sol de Sb^O^ neutralisée par CO^NaH. Après
addition d'empois d'amidon, on verse goutte à goutte S^O^Na*,
jusqu'à disparition de la coloration violet-rose.
Cette oxydation de l'antimoine par Tiode est gênée par la pré-
sence de l'étain, à moins qu'on n'ait mis un grand excès d'acide
tartrique. Pour faire l'analyse d'un alliage d'élain et d'antimoine,
on dissoudra dans HCl en présence de ClO^K; après ébullition,
poiu* chasser le chlore, on ajoute .KBr puis SO* et l'on fait encore
bouillir; après refroidissement, on ajoute lÛ-20 gr. d'acide tar-
trique, et l'on procède par l'iode ainsi qu'il a été dit. Si l'alliage
renferme en plus de l'arsenic; il faudra, après avoir chassé l'excès
de chlore, et ajouté KBr, distiller dans un courant de HCl et SO*»
de telle sorte que AsCl^ passe seul. l. bourgeois.
Hotice sur la précipitation de quelques sulfures métalliques
par l'hyposulfite de soude; Ed. DONATH {Zeit. anal. Ch., t. 40,
p. 141-143; 1901). — A noter, parmi des faits déjà connus, l'emploi
de l'hyposulfite pour la recherche qualitative simple du nickel en
présence d'un grand excès de cobalt.
soc. CHiM., îJ* 8BR., T. XXVI, 1901. — TraT. étrang. 6"
iOô» ANALYSE DBS THAVAUX ETRANGERS.
Eu liqueur acétique, l'addition d'hyposulfite et rébuIHtion préci-
pitent le sulfure de nickel, entraînant un peu de sulfure de cobalt.
H. COPAtIX.
Sur la recherche du potassium par le picrate de soude ainsi
que des autres métaux alcalins, du tballium et de rammo-
niaque; {Zcit, anal. CL, t. 40, p. 877-385; 1901). — Dans les
sels de potassium, où la proportion de métal ne dépasse pas5O0/0.
le picrate de sodium ne donne pas de précipité, sous une conceu-
tration inférieure à 2 0/0. La limite tombe à 1 0/0 pour les selï^,
tels que le chlorure, renfermant plus de 500/0 de métal-
Les solutions de sels ammoniacaux à 2 0/0 étant précipitées par
le picrate de soude, la recherche de potassium ne doit pas être
exécutée en présence de sels ammoniacaux.
Par contre, le lithium est sans influence.
Les picrates de césium et rubidium sont encore moins solubles
que le picrate de potassium et peuvent être confondus avec
celui-ci .
Enfin, le nitrate de thallium est précipité par le picrate de sodium
jusqu'à la concentration limite de i/2 0/0. h. copaux.
Contribution au dosage du potassium; 0. SCHUMM (Zeii
anal. Cb., t. 40, p. 385-389; 1901). — Application, à de petile^
quantités de matière, de la méthode de Classen. Cette inéttiode
consiste à électrolyser le chloroplatinate de potassium précipilé,
puis redissous dans Tacidé sulfurrque étendu. Les chifTres de
contrôle sont d*une grande précision, h. copaux.
Sur quelques réactions du cobalt; Ed. JiOVATE{Zeil. anal.Cb.,
t. 40, p. 137-141 ; 1901). — Si Ton verse, dans une lessive concenln^*
de potasse (30 0/0), quelques gouttes d'un sel de cobalt, on obtienl
une liqueur bleue qui représente une simple solution d'hydrate de
proloxyde dans Talcali et non pas, comme on Ta prétendu, le sel
d*un acide cobaltique.
Ce fait, déjà connu, peut être utilisé en certains cas pour l«
recherche du cobalt; c*est ainsi que les minerais de cobalt, pul-
vérisés et grillés, donnent une solution bleue avec la potasse con-
centrée bouillante^ alors que la coloration de la perle de borax est
altérée par la présence des autres oxydes métalliques.
Les composés du cuivre possèdent la même propriété, ooais
reddition de sel de Seignette augmente Tintensiié des soluiioos
alcalines de cuivre et décolore celles de cobalt. Le cyanure da
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1069
fx>tassium décolore les solutions de cuivre et de cobalt, mais celles^
ci brunissent à Tair par oxydation.
On peut ainsi faire la distinction entre les deux métaux.
L'auteur admet que la solution alcaline de cobalt renferme une
oombinaison de protoxyde
yOH /OK
o< +2KOH = Co< +2H20.
^OH \0K u. coPAtx.
Méthoda ponr la séparation quantitative du nickel et du
Gobalt; A. ROSENHEIH et E. HULDSCHINSKT {D. ch. G., t. 34,
p. 2050-2057; 6.7.1901). — Les auteurs ont perfectionné le procédé
proposé par M. H. Vogel [ibid,, t. 12, p. 2314) et fondé sur la solu-
bilité du thiocyanate de cobalt dans un mélange d^alcool amylique
et d'élher. Ils opèrent Tagitation des liqueurs avec ce mélange, non
pas dans une allonge à robinet ordinaire, mais dans le petit appa-
reil à deux boules de Rothe {Mittb, d. k. techn, Versuchsanst.
Berlin, t. 10, p. 132-142). La sol. où Ton veut doser le nickel et
le cobalt est additionnée d'une quantité suffisante de thiocyanate
d'ammonium, concentrée à 15-20 ce. (pour 0»%3-0»',5 de métaux);
La liq. bleue est versée dans Tappareil à épuisement, additionnée
des eaux de lavage, de façon à ce qu'on n*ait pas plus de 50 ce. de
liquide. On agite alors avec le dissolvant éthéro-alcoolique, 75 ce.
pour le premier épuisement et 80-40 ce. pour le second. Ce liquide
se fait avec 25 vol. d'éther et 1 vol. d'alcool amylique. La sol.
aqueuse séparée est évaporée à sec, le résidu calciné d'abord avec
précaution, puis grillé fortement, repris par AzO^H étendu à chaud
(10 ce.) et la liq. filtrée, neutralisée par AzH* et additionnée d'oxa-
late d'ammonium est soumise à l'électrolyse. Quant au dissolvant
organique chargé de cobalt, on l'agile dans l'appareil à épuise-
ment, avec 15-20 ce. deSO*H* à 10 0/0; le sulfocyanate est détruit,
la couche éthérée se décolore, et tout le cobalt repasse dans la
couche aqueuse qu'elle colore en rose; on sépare celle-ci, et Ton
procède par électrolyse comme plus haut pour le nickel.
L. BOURGEOIS.
Sur le dosage volumétriqna du fer et de Tétain au moyen
du oblorure stanneux; C. ZENGELIS (D. cb, 6., t. 34, p. 2046-
2050; 6.7.1901). -f La méthode s'appuie sur la réduction de l'aride
molybdique par SnCl* à l'état de bleu de molybdène. On emploie :
!• une sol. de SnCl', dissoudre 11-12 gr. d'étain dans 250 ce. de
HCl(D = l,i2) et étendre à 1 lit.; 2« une sol. très acide de Fe«GI«,
lOÔO ANALYSE DES TRAVAUX ETRANOEas.
dissoudre 10»%04 de fll de clavecin dans HCl, peroxyder parClO^K,
et étendre à 1 lit.; 3° une sol. de.molybdate de sodium, dissoudre
MoO^ dans NaOH étendue, ajouter un léger excès de HCl, et
étendre à 200 ce.
Pour les dosages de fer, on fait bouillir doucement 20 ce. de
liqueur ferrique et Ton ajoute peu à peu de la liq. stanneuse jus-
qu'à dissolution presque parfaite. Alors on n'aurait plus que quel*
ques ce. à rajouter pour arriver au point final. Pour apprécier
celui-ci, on met dans une petite capsule une goutte de liq. inolyb-
dique, et Ton y verse quelques gouttes de sol. bouillante ; s'il y a
coloration bleu-clair, c'est que la réaction n'est pas finie ; elle eàl
terminée, si le mélange demeure incolore. Trois ou quatre essais
de ce genre suffisent.
Pour faire un essai d'étain, on dissout 0,8-1 gr. de ce métal
dans 20 ce. de HCl concentré, en chauffant doucement, opérant au
contact d'une lame de platine et dans un courant de CO^. On
ajoute 80-100 ce. de liqueur ferrique type, et il ne reste plus qu'à
doser l'excès de fer, en procédant comme plus haut.
L. BOURGEOIS.
Les essais des minerais d'or complexes; Ernest SMITB
(Cbem. News., t. 84, p. 62, 74, 89, 98, 134 ; 8.1901). — Les expé-
riences effectuées par l'auteur, pour déterminer les meilleurs
modes analytiques des minerais d'or, l'ont conduit aux cooclusious
suivantes :
Minerais oxydés basiques. — Fusion directe avec une propor-
tion déterminée de charbon en poudre et addition de fer métal-
lique pour les minerais contenant une faible proportion de matières
pyriteuses.
Minerais pyrileux (principalement terrugineux). — Grillage
préalable, puis traitement analogue au précédent. La fusion directe
avec addition de fer métallique peut être appliquée aux minerais
contenant 30 0/0 au moins de matières pyriteuses. L'oxydation par
le nitre n'est applicable que dans les cas où il n'existe que de
petitçs quantités de matières pyriteuses.
Minerais arsenicaux. — Grillage préliminaire, suivi de la fusion
comme pour les minerais basiques.
. Minerais anlimonieux. — Oxydation générale par le nitre,
. Minerais cuprifères. — Pour les minerais riches on cuivre, on
pombine les jnéthodes par voie sèche et humide. Les minerais
relativement pauvres peuvent être fondus directement, ou après
un grillage préalable, avec addition do flux convenable, en sur-
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1061
veillant la proportion d'oxyde de plomb ajouté. Le procédé de
scorification peut s'appliquer dans le cas où les minerais sont
suffisamment riches en métal précieux.
Minerais renfermant de la galène. — Fusion directe avec
addition de fer métallique. Le grillage ne doit pas être pratiqué
s'il y a une grande proportion de galène.
Minerais renfermant de la blende. — Grillage soigné et fusion
subséquente comme pour les minerais basiques, mais avec addi-
tion de grandes quantités de flux, variables avec la proportion de
zinc.
Minerais tellureux. — Fusion directe avec de grandes propor-
tions d'oxyde de plomb et de flux ordinaire.
Minerais renfermant du bismuth. — Fusion directe comme
pour les minerais basiques. La scoriflcation ne réussit pas si là
({uantité de bismuth est considérable. a. hébeht.
Sur le dosage des pentosanes; G. S. FRAPS {Am, Journ.,
l- 25, p. 501-508; 6.1901). — L'auteur a remarqué qu'en distillant
les pentosanes avec HCI, on obtient, outre le furfurol, des subs-
tances également précipitables par la phloroglucine et auxquelles
il donne le nom de iuraloîdes. Ces furaloïdes, distillées de nouveau
avec HCI, fournissent une certaine quantité de furfurol.
p. FREUNDLER.
Sur le dosage de très petites quantités de sucre dans l'urine ;
E. RAIHANN (Zeit. anal. CL, t. 40, p. 390-403; 1901). — La pré-
cipitation du glucose par la phénylhydrazine a été proposée par
Laves pour le dosage de petites quantités de sucres et appliquée
parBreul à l'étude de la glycosurie physiologique.
Les résultats concordants obtenus par Breul avaient engagé
Tauteur à suivre une voie analogue dans l'étude de la glycosurie
alimentaire.
L'urine à essayer étant divisée en deux parties, on additionné
l'une d'un poids connu de dextrose pur et l'on précipite les deux
portions par la phénylhydrazine. Or, le poids d'osazone trouvé
dans la partie sucrée artificiellement est inférieur à celui qui
correspond simplement au dextrose ajouté. Aucune correction n'a
permis d'interpréter ce résultat inadmissible.
On a donc repris en détail Texamen des différentes phases du
procédé Laves et Breul.
Si Ton traite par la phénylhydrazine des solutions de dextrose
1082 ANALYSE DES THAVAUX ETRANGERS.
pur, la proportion de sucre précipité varie entre 62 et 75 0/0, selon
la coloration et la pureté du réactif.
En Tabsence de sucre, la phénylhydrazine, soumise à rébulUlion
avec Tacide acétique étendu, abandonne un précipité amorphe,
dont la niasse augmente avec la coloration primitive, la dorée
de rébullition, le temps écoulé entre Tébullition et la fiUration,etc.
La présence d'urine non sucrée exagère ce fait; il précipite eo
même temps des acides glucuroniques, des pentoses, de Tiso-
maltose.
Le procédé primitif présente donc deux causes générales d'erreur
oxydation variable de la phénylhydrazine et précipitation des
corps non sucrés.
Ces erreurs seront éliminées en dosant, comme à Tordinaire,
une partie de Turine sucrée, puis l'autre, débarassée de sucre par
fermentation. La différence entre les précipités donnera rosazoDt:
correspondant au glucose.
1/2 litre d'urine est mis en fermentation pendant 24 heures, ■
84®, avec de la leviire fraîche et précipité par 100 ce. de solution
à 25 0/0 d'acétate de plomb. Le plomb est éliminé par rhydrogène
sulfuré; on filtre à nouveau.
Concentrer au bain-mario450cc. du liquide filtré, jusqu'à 100 cf.
environ, amener à 120 ce, filtrer. Chauffer 100 ce. du filtrat avec
5 ce. d'acide acétique et 3 ce. de phénylhydrazine, pendant
1 heure 1/2 au bain-marie. Après 12 heures, jeter sur filtre (are,
sécher à 110% peser.
La même opération étant faite sur un demi-litre d'urine non
fermentée, on multipliera la différence des poids de précipités par
0,329 pour obtenir directement la teneur de sucre en centièmes.
Ce facteur, déterminé empiriquement sur une urine artificiel-
lement sucrée, représente la proportion vraie de dextrose précipita',
dans les conditions expérimentales choisies.
La pureté de la phénylhydrazine n'exerce pas d'influence
absolue, en opérant ainsi par différence. h. copaux.
Dosage gazométrique de racétone dans rurine; E. RIEGLEB
{Zcit. ami C//., t. 40, p. 94-97; 1901). — Le principe du procédé
a été apj)liqué déjà par Strache au dosage des groupes CO d8D>
les aldéhydes et les cétones et par Jolies, au dosage de racétone
dans Turine.
La phénylhydrazine est décomposée par la liqueur de Fehliog
chaude, avec formation de benzène et phénol et dégagement d'axote.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1068
Bn présence d*acétone, il se fait une hydrazone que la liqueur
de Fehling déshydrate simplement :
/GIPv \
GH3-CO-CH3 + C«H5-AzH-AzH2= ( >C=Az-AeH.C«H5 I + H^O.
\CH3/ /
Parlant d'une liqueur lilrée de phénylhydrazine, on pourra
déterminer la quantité d'acétone, par la différence des volumes
d*azote dégagé, avant et après la réaction.
Béaotifs.
Chlorhydnite de pbénylhydrazine en solution aqueuse à 2 0/0.
Sulfato de cuivre à 15 0/0.
Soude caustique à 15 0/0.
10 ce. de pbénylhydrazine sont versés dans le flacon à dégage-
ment d'un azotomètre, additionnés de 40 ce. d'eau, puis de 10 ce.
de soude.
Dans le vase intérieur, verser 10 ce. de sulfate de cuivre, déter-
miner !a réaction en renversant le flacon et mesurer le volume
d'azote dégagé. La même opération étant répétée en présence
d'acétone, la différence des volumesde gaz ramenésàO** et 760mm.,
multipliée par 2,6, donne la quantité d'acétone à doser.
Pour doser l'acétone dons l'urine, on prélève un échantillon de
50 oc, on ajoute 1 ce. d'acide acétique et 1 on distille 40 à 45 ce.
Le distillât est recueilli dans un petit flacon renfermant 10 ce. de
solution de pbénylhydrazine et environ 1 gr. d'acétate de soude
cristallisé.
Ce mélange, maintenu au bain-marie pendant un quart d'heure,
puis refroidi, est introduit dans Tazotomètre et traité comme pré-
cédemment. H. COPAUX.
Dosage du saccharose et du lactose dans le lait condensé ;
H. R. RÙBER et C. N. RÛBER [ZciL anal CL, t. 40, p. 97-110;
190!). — Le dosage d'un mélange de saccharose et de lactose se
fait généralement par examen polarimétrique de la liqueur, avant et
après inversion, puis calcul suivant la loi de Kjeldahl. Cette opé-
ration, suifisamment exacte en pratique, comporte certaines causes
d'erreur dues à la loi elle-même, qui ne tient pas compte de la ra-
pidité spécifique de réduction des sucres.
Pour déterminer empiriquement ces causes d'erreur, les auteurs
ont analysé des mélanges synthétiques de saccharose et lactose
purs. Le coefficient déduit des chiffres trouvés sert de facteur de
correction dans les dosages de laits condensés. h. copaux.
4064 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGEHS.
Remarques sur le mémoire de H. Borntrâger : analyse de la
tourbe; Br. TACHE {Zeit. aimL CIl, t. 4k), p. 110-111 ; 1901): —
L'auteur signale une confusion de Borntrâger entre les acides
humiques liés et les acides libres qui» eeuis, sont capable de dé-
composer à froid les carbonates.
Il fait observer en outre que le dosage de Tammoniaque dans la
tourbe, par déplacement à Taide de la soude bcuillante, est
inexact en ce que Tazote des matières humiques se dégage par-
tiellement à l'état d'ammoniaque. h. copaux.
Détermination de la valeur de gommes arabiques; 0. FROHll
(Zcit, anal, CL, t. 40, p. 143-168; 1901). — Ce travail, entrepris
au laboratoire de l'Imprimerie impériale, avait pour but d'instituer
une méthode d'essai de la force adhésive des gommes et de diffé-
rencier les sortes commerciales à l'aide de leurs propriétés phy-
sico-chimiques : viscosité, acidité, pouvoir rotaloire, action des
réactifs.
Les échantillons sont dissous à la concentration moyenne de 10 0/0,
sous laquelle les différences se laissent percevoir le mieux. En
pratique, afin d'éviter Terreur due aux variations delà teneur en
eau, on prépare une solution de densité 1^035 à 15^ L'expérience
a montré, en effet, que des solutions de gomme, de même densité,
renferment sensiblement la même quantité de matière sèche (8^,5
dans 100 ce. pour d=^ 1,035).
50 gr. de gomme sont mis en digestion avec 200 gr. d*eau, puis
dilués à 500 ce. On filtre sur mousseline, dans un entonnoir muni
d'un tampon d'ouate; on note la couleur de la dissolution, ainsi que
sa tendance à mousser; on l'amène à la densité de 1,035. Les
parties insolubles, restées sur filtre, sont détachées par un jet de
pissette et rassemblées dans un vase gradué où l'on détermine
leur volume, après 24 heures de repos.
Détermination des propriétés physiques et chimiques de Ib
solution : (a) viscosité, — La viscosité ne donne pas une mesure
exacte de la force adhésive, la première étant relative à un liquide
homogène et la seconde à un corps sec, placé au contact d*une
matièi e étrangère. Il y a cependant une relation entre ces deux
valeurs et Ton déterminera la viscosité à 20**, à l'aide des appareils
connus. Les nombres obtenus au viscosimètre d*Engler varient
de 1,3 à 2,6.
(b). Acidité. — La gomme ét^nt considérée comme le sel acide
de chaux, magnésie et potasse d'un acide arabique, on en titre
l'acidité à l'aide de soude N/20 en présence de phtaléine.
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. 1065
Li* acidité des diverses gommes varie dans les mêmes limites
que la viscosité. Le vieillissement d*un échantillon déterminé,
provoque un faible accroissement d*acidité et une légère diminu-
tion de viscosité.
(c) Pouvoir rotatoire, — Observer directement la solution dans
un tube de 1 dcm.
La plupart des gommes sont lévogyres; leur pouvoir rotatoire
oscille entre — 23 et — 34*.
{d) Action des réactifs, — On admet généralement que Tacétate
de plomb forme un précipité volumineux, même dans les solutions
de gomme étendues et que la liqueur de Fehiing n'est pas réduite.
Le premier point se confirme» mais, par contre, il existe toujours un
faible pouvoir réducteur, dû à la petite quantité de sucres contenus
dans les gommes.
(e) Force aJhésive. — La méthode adoptée est celle employée
par Dalèn pour la mesure de la résistance de la colle.
On imprègne des bandes de papier à filtrer de surface, de poids
et de résistance connus, avec la solution de gomme, on sèche dans
une étuve réglée par un psychromètre, jusqu'à un état hygromé-
trique déterminé et Ton mesure à nouveau la charge de rupture et
le poids moyen.
La relation entre le poids de gomme absorbé par le papier et
Faugmentation de résistance s'établit par un calcul spécial.
On déduit, par proportion, la longueur d'une bande de gomme
pure, ayant un poids égal à Tacroissement de charge de rupture,
renfermant par unité de surface, le même poids de gomme que la
bande de papier essayée et d'une largeur égale à celle-ci.
Les nombres ainsi calculés, variant entre 9 et 15 kilom., ont
l'avnntage ue réunir en facteurs la cohésion de la gomme et son
adhérence à la matière à coller.
Valeur des gommes. — La réunion de tous les chiffres précédents
applicjués à de nombreux échantillons connus de gommes a permis
de tirer quelques conclusions générales.
Les gommes à haute résistance ont plus de viscosité, d'acidité
et de pouvoir rotatoire.
Les valeurs éloignées de la moyenne sont l'indice d'une ({ualité
moindre.
En pratique, la viscosité et la force adhésive sont proportion-
nelles entre elles, à la condition que l'acidité et le pouvoir rotatoire
soient égaux.
Enfin, les déterminations physico-chimiques ne permettent pas
de différencier les marques commerciales, ni même de les iden-
1066 ANALYSE DES TRAVAUX ÉmANGEHS.
tifier avec des échantillons types. Les différences observées sur
les mêmes échantillons d'âges différents, sont telles, qu^il faut les
attribuer à une <r rétrogradation }» des gommes. h. copadx.
Sur la détermination de la valeur des gommes arabiques;
K. DIETERICH {Zeit. anal. Ch,, t. 40, p. 408-410 iiOOl). — A pro-
pos du récent travail de Fromm sur le même objet, Fauteur rap-
pelle qu'il a déterminé antérieurement le titre acide des gommes
par une méthode différente de celle de Fromm.
Elle consiste à traiter la gomme pulvérisée par un excès
d'alcali N/2 et titrer en retour avec Tacide sulfurique N/2. Le
déplacement des sels de chaux constituant la gomme est ainsi
complet.
Le titre acide des échantillons naturels parait plus faible quf
celui des échantillons falsifiés.
D'ailleurs, Tacidité, pas plus que le dosage des cendres, ne fou^
nit un critérium pour Tidentiflcation des produits. h. copaux.
Sur la valeur de correction du ménisque de mercure; L. W.
WINKLER [Zeit. anal. CL, t. 40, p. 403-404; 1901). — Reprise
des déterminations exécutées autrefois par Bunsen sur la valeur
des corrections de ménisques, en fonction du diamètre des tubes.
Les valeurs obtenues pour les tubes larges sont beaucoup plus
élevées que celles de Bunsen. h. copalx.
Nouvel appareil à chlorure de calcium; G. HENNIN G (J?e/l.
anal. Ch.^ t. 40, p. 168; 1901). — Voir la description originale.
Tables des coefficients d'analyse quantitative calculés
d'après les poids atomiques pratiques de Landolt, Ostwald et
Seubert; A. SARTORI [Zeit. anal. Ch., t. 40; 1901). — Ce>
tables, très complètes, sont éditées en un numéro spécial.
H. COPAUX.
Nouvelle forme de burette ;E. THIELE {Zeit. anal. Ch., t. 40,
p. 405-406; 1901). — Déposilif d'écoulement, desliné à remplacer
le robinet, et consistant en une coiffe de verre tournanle, analogue
au bouchon comple-goultes des pharmaciens. h. copaux.
Nouvel appareil à extraction; H. SINNHOLD (Zeit. anul. Ch.,
t. 40, p. 407; 1901). — Modification de l'appareil Soxhlel.
H. COPACX.
CHIMIE ORGANIQUE. 4067
Sur an noaveau baromètre de construction facile ; G. W.
RU8SEL {Aa2, Joarn., t. 25, p. 508-510; 6.1901). — Cet appareil
est constitué essentiellement de deux parties : un tube baromé-
trique de O^^^jô de diamètre et un système assez compliqué destiné
à permettre la vidange complète du tube barométrique et son
remplissage par le haut ; les deux parties sont en communication
pendant cette dernière opération. On étire ensuite à la lampe le
haut du tube barométrique en le séparant ainsi du reste de Tappa-
reil. Pour les détails, voir le mémoire original {figuré),
p. FRBUNDLER.
CHIMIE ORGANIQUE.
Snr le carbone trivalent; réponse à H.Norris; H. 60HBER6
{Am. Journ.y t. 25, p. 317-335; 4.1901). — L'auteur répond aux
critiques formulées par M. Norris {ibid,^ t. 25, p. 54) au sujet du
carbure résultant de l'action du zinc sur le triphénylchloromé-
thane. Il a vérifié qu'il ne se dégage pas d'hydrogène dans celte
dernière réaction, à moins que Ton n'opère avec un dissolvant
renfermant un peu d'eau ou d'alcool. Dans ce cas, le rendement
en carbure non saturé diminue notablement.
On trouvera dans le mémoire original la description des expé-
riences qui ont été instituées pour démontrer que dans l'action des
métaux sur le triphénylchloromélhane, il y a élimination d'un
atome de chlore seulement et non pas de 1 mol. HQ, et que par
conséquent, le produit ne peut avoir la formule que lui a assignée
M. Noms.
Contrairement aux assertions de ce dernier, la transformation
du carbure non saturé en peroxyde peut s'effectuer sous l'influence
de Fair sec; elle ne nécessite pas la présence de l'eau.
p. FREUNDLER.
Emploi de l'acétonitrile comme agent catalytiqne; critique
des opinions de H. J. U. Nef sur les réactions de Wùrtz, Fran-
kland et Conrad; A. MIGHAEL (Am. Jour n, y t. 25, p. 419-430;
5.1901). — L'acétonitrile joue le rôle d'agent catalytique dans un
certain nombre de réactions. Ainsi, une goutte de ce réactif a pour
eflet de provoquer immédiatement une réaction énergique entre
1063 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
les iodures alcooliques (éthyle, propyle, isopropyle, allyle), le
bromure Je Unméthylène, le chlorure de benzyle, etc., et le sodium.
Les cyanures d*éthyle et de propyle se comportent de m^me,
quoique d'une façon moins énergique. Les nitriles benzoïque ei
phénylacétique sont inactifs.
L'éther oxalique favorise également Faction du zinc-sodium sur
le bromure d*éihylène (formation du bromure d'élhyle). L"étber
ordinaire joue un rôle analogue dans la préparation deriodozincate
d'éthyle. Ce dernier remplace avantageusement le zinc-éthyle
dans la préparation de Téthylphénylcétone au moyen du chlorure
de benzoyle; il réagit avec l'éther malonique en donnant de
réthane, et un peu d'éthers éthyl- et diélhylmaloniques. L'auteur
admet la formation d'un produit d*addilion intermédiaire :
A
/CeOZnC2H5
(C2H5)ac< \0C2H5 .
L'auteur ne paraît pas être au courant des dernières synlhèses
effectuées au moyen des dérivés organomélalliques.
Le mémoire se termine par une critique acerbe des théories de
M. Nef sur la dissociation éthylidénique. p. freundlsk.
Action du chlorure de benzoyle sur réther éthyliqne ; E*
WEDEKIND et J. HAEDSSERMANN (D. ch. G.» t. 34, p. 2081;
6.7.1901). — Dans une série d'essais ayant pour but d'éliminer
Tacide chlorhydrique des chlorures acides, les auteurs ont re-
marqué que lorsqu'on emploie Télher comme moyen de dilution,
ce dernier prend plus ou moins part à la réaction lorsqu'elle est
faite en présence de FeCP anhydre ; il se forme Téther éthylique
de Tacide d'après l'équation :
R-COGl + Cm^-O-Cms = R-C02C2H5 -f- C^Rî^Cl.
H se forme par «îxemple au moyen de l'éther et du chlorure de
phénylacétyle, l'éther éthylique de l'acide phénylacétique, au
moyen du chlorure d'isovaléryle et de l'éther, l'éther isovalëria-
nique.
Dans ces deux cas le rendement est faible, mais lorsqu'on opère
avec le chlorure de benzoyle, par exemple, il s'élève jusqu*à 500/0
de la théorie.
Les chlorures acides fournissent aussi en présence des bases
CHIMIE ORGANIQUE. 1069
t^ertiaires en solution dans Téther des éihers ëthyliques; quoique
les rendements soient en général faibles, il n*en est pas moins
^ rai que dans ce cas, c'est-à-dire en présence des chlc.rures d*alu-
xTiînium, de fer ou de zinc ainsi qu'en présence des aminés ter-
tiaires, réther ne saurait être considéré comme un moyen de dilu-
tion indiflérent.
Ceci est d'accord avec les recherches de Jannasch concernant
l*éthylation des phénols. f. revbhdin.
Action des phénols sur Téther oxalique ; I. B. TIN6LE et L.
0*BTRNE (.4m. Journ., t. 25, p. 496-501 ; 6.1901). — Lorsqu'on
chauffe une sol. d'éther oxalique et de résorcine dans la ligroïne
avec du sodium, on obtient après traitement par l'eau et décompo-
sition du dérivé sodé formé par l'eau, un produit cristallisé, jau-
nâtre, f. à 257-258** avec décomposition, qui donne avec FeCl^ une
coloration rouge. Avec le carvol et Tanisol, on obtient des combi-
naisons analogues mais qui sont huileuses ; la phloroglucine et
rhydroquinone ne fournissent que des produits d'oxydation non
définis. La pyrocatéchine» le carvacrol, Tac. picrique, le p-naphtol,
le salicylate d'éthyle, la quinone et le gayacol n'ont conduit à
aucun résultat. p. freundler.
Le tartrate ôthyloctylique secondaire et ses dérivés dibenzoyl
et diacétylés ; John Mo CXihL(Cbem. Soc, t. 79, p. 1103; 9.1901).
— L'auteur a préparé le tartrate élhyloctylique, le dibenzoyltar-
trale et le diacétyllartrate élhyloctylique et il en a étudié les pro-
priétés et les pouvoirs rotatoires. Tous ces corps sont des liquides
huileux et visqueux. L*étude de leurs rotations a conduit aux con-
clusions suivantes :
Pour le tartrate éthyloctylique, le pouvoir rotatoire augmente
avec l'élévation de la température, de môme que pour le tartrate
diéthylique :
[»].. [«]
100
Tartrate diéthylique >G6 13<»£9
— éthyloctylique 7,18 12,15
En comparant les rotations du tartrate éthyloctylique et de ses
dérivés avec celles du larlrate diéthylique, on trouve une simili-
tude frappante, en accord avec la loi de Guye.
En prenant les composés diélhyliques comme point de départ,
on constate que le remplacement d'un alome d'hydrogène raélhylé-
nique d'un des grou[>e5 élhyliques par un groupe hexyliqne nor-
1070 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
mal ne donne qu'une augmentation relativement faible de la rota-
tion moléculaire :
Tartrate diélhylique + 15«78 + â^SÔ
— éthyloclylique +22,55 + 31, 11
Diacétyltartrate diélhylique -f- 9,9 + 18,26
— éthyloclylique +15,8 +21,04
Dibenzoyllarlrale diélhylique — 241,1 — 251 ,6
— éthyloclylique.... —245,8 —222,8
L'influence de la température sur le pouvoir rotatoire de tous
ces composés est la même ; avec l'élévation de la température, la
dextrorotation augmente et la lévulorotation diminue.
A. HEBERT.
Oxyoxamides; Robert Howson PICKARD et William CARTER
[Cbem, Soc, t. 79, p. 841-847; 7.1901). — Les oxyoxamides
R-AzH-CO-CO-AzHOH sont obtenus en hydrolysant les oxamales
d*éthyle R-AzH-CO -CO^C^H» par une sol. alcoolique anhydre
d'hydroxylamine; ils donnent avec FeCi^ une coloration rouge
cerise; leurs sels de Cu sont verts et insolubles. Ils fournissent
des dérivés acétylés RAzH-CO-C(OH)=AzOCOCH3 crisl. dont les
sels se décomposent par action de Teau, en donnant des comp. du
type de la carbonyl-dicarbamide CO(AzH-CO-AzH*)*; par ébulli-
tion avec de Teau ammoniacale, avec formation de biurets mono-
substitués R-AzH-CO- AzH-CO-AzH' ; par action de Talcool bouiilanl,
avec production d*allophananates d'éthyle
R-AzH-GO-AzH-C02G3H5.
Par ces réactions, les auteurs ont obtenu un certain nombre de
composés.
Le biuret a été préparé avec un rendement théorique en partant
de Tacétyloxyoxamide.
Lu carbouyldiphénylcarbamide CO(AzH-COAzHC^IP)' obtenue
par action de Teau au B.-M. sur le sel de sodium de la phényl-
acétoxyoxamide crist. dans Talcool en aig. prismatiques, P. 140*.
Le monophénylbiuret C^HSAzH-CO- AzH-COAzH« résultant de
l'action de l'ammoniaque diluée et chaude sur la phénylacétyloxy*
oxamide; crist. dans l'eau en aig. F. 150® (décomp.); crisl, dans
CHCl', il fond à 154° et se décompose à 156°; chauffé avec Tani-
Une, il donne AzH^ et le s-diphénylbiuret.
La pMolyloxyoxamide CH3-C«H*-AzH.CO-CX)-AzOH, crist.
dans Tacide acétique et F. 155° (décomp.); son dérivé aeétflé
aiIMIE ORGANIQUE. ^ 1071
F. 178** (décomp.) fournit un 5e/ dammonium F. 137^,5 (décomp.)
un sel de sodium sol. dans Feau, au moyen duquel ont été préparés :
la carboxydi'pAolykarbamideOOikzll'CO'kzn'CfiWCW)^ crist.
daas Talcool étendu en aig. prismatiques F. 170^ le pAoly!-
allopbanate détbyle CH3-C«H*-AzH-C0-AzH-C0«C«H5 aiguilles
F. 145« et le pMolylbiuret CH3.C«H*.AzH-C0-AzH-C0-AzH«
crist. dans l'alcool en aig. F. i9i» insol. dans Téther, ne donnant
pas la réaction du biuret.
UoL-naphlyîoxyoxamide C^oH^-AzH-CO-CO-AzHOH crist. dans
l'acide acétique en aig. F. 172**; son sel dhydroxylamine F. 152*
(décomp.) son dérivé acétylé, F. 170**, fournit un sel de sodium,
F. 140-141* et un solde Na au moyen duquel ont été préparés : la
carbonyldi-a-napldylcarbamide CO(AzH-CO-AzH-C«oH'')« crist.
dans l'alcool dilué en aig. F. 202-203* se solidifiant ensuite et ne
fondant plus à 290*», ra-naphtylallophattate détbyle
G^OH*»- AzH-CO- AzH-C02C2H5 ,
crist. dans Téther, la ligroïne ou le benzène en aig. prismatiques
F. i70-170^5 et VoL-naphtyllnureù C*oHUzH-CO-AzH-CO-AzH»
cnst. dans Taicool en aig. F. 210-21 !• que Ton peut également
préparer au moyen de l'a-naphtylallophanate d'éthyle
La ^napbtyloxyoxamide C*0H''-AzH-CO CO-AzHOH crist. dans
l'acide acétique dilué F. 174** (décomp.) son dérivé acélylé F. 172*
(décomp.) fournit un sel dammonium F. 140* (décomp.) et un sel
de sodium poudre microcristalline ayant servi à préparer : la
carbonyldinaphtylcarbamide C0( AzH - CO - AzH - C»0H"ï)» crist .
dans Falcool dilué en aig. se ramollissant à 213* et se décomposant
vers 290*, le ^napbiylallopbanate détbyle
C»oirA2H-GO-AzH-G02C3H5,
crist. dans Talcool en aig. prismatiques F. 140* et le ^-napbtyl-
biuret C40H''AzH-CO-AzH-COAzH« crist. dans Talcool en prismes
F. SM)3* (décomp.).
Le ^'Oapbtyloxamate détbyle F. 121* et la s.'di-^-napbtyloxa-
mide F. 275-275* ont été préparés en chauffant Toxalate d'éthyle
avec la p.- naphty lamine; on sépare ces deux produits par Talcool
dans lequel l'oxamide est insoluble et l'on fait crist. l'oxamate
dans l'alcool et l'oxamide dans le toluène. a. valeur.
Snr les éthers oxygénés des urées; méthyliso-urée et
ètfayl-iso-iirée ; R. MAC KEE {Am. Jouni., t. 26, p. 209-264;
9.1901). — La pbénylétbyliso-urée G*H5.0.C<^^*^j^5 n'a pu être
1072 Ai5aLYSE des travaux ÉTIlANt-EHS.
obtenue en traitant la phénylcyanamide par l'alcool absolu ea vase
olos, à 200°, ou par l'éthylnle de sodium à froid ou à chaud. Oo l'a
préparée en saturant de gaz HCl une sol. du même composé dan&
l'alcool absolu, et précipitant ensuite par un alcali :
/AzHï-HCl
C'HSAzH-CAz + C1H50H + HCl = C^H^O-C/
^Aï-G6HS
Le produit est ensuiteisolé par un épuisement à l'élher et recliflé
(rendement 77,5 0/0 de la tliéoiie) ; il constitue un Hijuide incolore
d'odeur basique, peu sol. dans l'eau, sol. dans les liquides orga-
niques; u^=t, 5575 à 15°. HCl gazeux se (Ixe sur le composé ea
formant un chlorhydrate (en sol, éthérée); poudre cristalline,
neutre ou aiguilles sol. dans l'eau, l'alcool, CHCI' et insol. dans le
benzène et la Ijgroïne. ChauiTé àllO°,ce sel fond et se décompose
en chlorure d'éthyle et phénylupée :
/AzH'
C«HS-Az-C(AzHï)OCiH*-HCI = CH^CI + C0<
\AiH-C6IP
Le chhroplalwale (C«H'*Az*0)'H»PtCl« est ea lamelles jaune
foncé, f. à 160° avec décomposition, insol. dans-l'eau et rétlier,peu
sol. dans l'alcool. La phényléthyl-iso-urée est très stable vis-à-vis
de l'air ou de l'eau même bouillante. HCl dilué ne l'attaque quf?
vers 100° en vase clos avec formation de phénylurée et de chlorure
d'éthyle. L'ammoniaque aqueuse ou alcoolique ne l'attaque pas.
Avec l'aniline, à 175°, on obtient une certaine quantité de phényl-
urée, d'éthylamine et d'éthylaniline, la plus grande partie de l'iso-
urée restant inaltérée; môme résultat avec le chlorhydrate d'ani-
line à 50°.
Le chlorure de benzoyie réagit à froid en sol. éthérée en donnant
naissance au dérivé boiiiO)-lé correspondant ;
/AzH-C0-C6Hs
G«Hî-Ai=G< ,
NOCïHS
olore se décomposant à la distillation dans le vide,
e par HCl sec ou dilué (à 100°) en chlorure d'éthyle el
nylurce.
a préparé la phénylguanidine C»H'.AzH.C<^''!i, en
n vase clos à 100° une solution alcoolique de cyanamide
lorhydrate d'aniline. On met ensuite la hase en liberté
li. La ptiénylguauidinc lond vers G6° et se dissout dans
CHIMIE ORGANIQUE. 107S
feau et les liquides organiques ; elle est hygroscopique, attire CO*
et ne distille pas sans décomposition. Le chloroplatinale fond en
se décomposant vers 197-198'' (cristaux sol. dans Feau et Talcool
chaud). — La dibenzoylpbénylguanidine (méthode Baumann-
Schotten) cristallise en aiguilles f. ISS^'iB, sol. dans l'alcool bouil-
lant; le picrate fond à 221^'.
PbéttylmétbylisO'Urée C«H*. Az=C<^pu3- — Même préparation
que pour le dérivé éthylique. Masse cristalline f. à 46*',5, d'odeur
basique et de saveur amère, distillant à 124"* sous 10 mm, à 133*
sous 15 mm. et à 140^ sous 23 mm.
Le cblorbydrate^ préparé en solution éthérée, est soluble dans
Teau, Talcool et Facétone; il se décompose vers 90'' en chlorure de
méthyle et phénylurée. HCl dilué réagit sur la base vers 100® en
donnant naissance aux mêmes produits. Le si///a/e(C®H**Az*0)*SO*
cristallise dans Tacétone en lamelles f. à 139®.
L'action du chlorure de benzoy'e en solution éthérée fournit un
mélange de deux dérivés benzoylés qu'on sépare par des cristalli-
tions dans Télher de pétrole léger. La benzoylpbénylmétbyl-iso-
urée symétrique est huileuse. Chauffée à 35® dans un courant de
gaz HCI, elle se décompose suivant l'équation *
C«H»-CO-AzH-G(= AzC«H5)OGH3 + HCl
= CH3C1 + C«H5-GO-AbH-GO.AzH-G«H5.
La formation de benzoylphénylurée symétrique sufdt à Qxer la
constitution du produit. — Le dérivé benzoylé dissymétrique
cristallise en prismes f. à 64-65® ; chauffé dans un courant de HCl,
il fournit de la benzoylpbéaylurée dissymétrique. Celle-ci fond
à 146®.
C«H5-G0v ^AzH C^HS-COv
>Az.Cf + HCl = CH3CI + >Az-GO- AzH^ .
C«H»/ \0CH3 G6H5/
I>a phénylméthyliso-urëe s'unit à l'isocyanate de phényle en
sol. éthérée, en donnant du métbyldipbénylisobiuret
G«H5-AzH-C(OGH3)=Az.GO-AzH-C«H*;
poudre cristalline, f. à 111®, sol. dans CHCl», l'éther et l'alcool,
insol. dans la ligroïne. Ce composé fixe HCl en sol. éthéro-
alcoolique, mais le chlorhydrate insol. perd déjà du chlorure de
méthylt dans le vide sec en se transformant en diphénylbiuret
(C«H*.AzH.CO)»AzH, f. à 210®.
soc. GiOM., 9* SKR., T. XX vi, 1901. — TraT. ètrang. 68
1074 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
o-TolylétbyUs(hurée AzH«.C(=AzC''H'ï)OC*H». Mdme prépara-
tion que précédemment. Liquide incolore bouillant à 144"* aous
19 mm., se décomposant vers 56® en présence de gaz HQ ou
à 100* avec HCl dilué pour donner du chlorure d*éthyle et de
To-tolylurée, f. à IGO"". Le chloropJatinate est en prismes orangés
f. avec décomposition à 177*.
La méibylpbéDyléibYlisO'Urée C»H»(CH»)A2.C<g^ïy5, pré-
parée en partant de la méthylphénylcyanamide f. à 30*,5, bout
à 137"^ sous 21 mm.; HGl la dédouble en chlorure d'éthyte et
méthylphénylurée dis<%ymé trique; il se forme en même temps un
peu de méthylaniline. Le cbloroplaUnale fond vers 160*" en se
décomposant : cristaux brunâtres peu sol. dans Talcool. ^- Uéibyl-
méibyldipbényiisobiuret C«H«Az^CH»)C<J^JJ ^^^ ^^^^ (iso-
urée et isocyanate de phényle), fond à 115-116'' (cristaux sol. dans
Talcool). HCl sec le dédouble en chlorure d'éthyle, méthyldipbé-
nylbiuret, aniline et méthyléthylaniline.
Métbylpbéttylmélbyli8(hurée C«H».Az(CH3)C^^3. Liquide
bouillant à 120® sous 11 mm. Le cbloroplatinate a pour formule
(C»H«»Az«0)«PtCl».
Etbylpbénylmétbyliso-urée CfiW.Az{(^\^)C<^^^. Ce com-
posé a été obtenu en traitant la méthylphénylcyanamide (Bb. 153*
sous 19 mm.) par le méthylate de sodium en présence d*alcool
méthylique ; il bout à 126^ sous 15 mm. de pression. Le cblor-
bydrate est sol. dans Teau et les liquides organiques sauf Téther,
le benzène et la ligroïne; il fond à 107"* en se décomposant en
chlorure de méthyle et phényléthylurée dissymétnque. HCJ dilué
décompose la base à 100° en donnant en plus des produits pré-
cédents, un peu d'éthylaniline et de méthyléthylaniline.
Métbyïiso-urée AzH«.C(=AzH)OCH». Le chlorhydrate a été
obtenu en faisant réagir une sol. de HCl dans Talc, méthylique
soit sur la cyanamide, soit sur son dérivé argentique; le produit
est recristallisé dans Talcool tiède; il fond à 132-1 SS"" en se dédou-
blant en urée et chlorure de méthyle
^AeH
AzRa-Cf . HGl = AeR^-CO-AbH» + CH^C! .
\0CH3
Il existe vraisemblablement un chlorhydrate acide. Le céhrth
plaiinate (G*H''Az'0)'PtCl«, cristallise en aiguilles jaune citron
GHIMIB ORGANIQUE. 1075
sol. dans Feau, l'alcool et racétone; il fond vers ITS"" en se décom-
posant. — Pour mettre la base en liberté, on traite le chlorhydrate
par KOH en présence d*éther ; par évaporation on obtient une
poadre cristalline hygroscopique, f. à 44-45'', bouillant à 82"*
sous 9 mm., douée d^une odeur basique. — En chauffant le chlor-
hydrate avec HGl très dilué à 100'', en vase clos, on le dédouble
en chlorure de méthyle, urée, méthyluréthane et chlorure d'am-
monium. — Le dérivé benzoylé CfiW . CO . AzH . G<^p^3 (méthode
Baumann-Schotten), cristallise dans l'alcool dilué en prismes
clinorhombiques, f. à 76'', 5, sol. dans l'éther, les acides et les
alcalis; il forme un dérivé argentique. — HCl dilué (à 100" en
vase clos) le dédouble en chlorure de méthyle, benzoylurée, ac.
benzoïque et méthy lamine.
Le pbénylmétbYlisobiaret C«H5.AzH.CO.Az=C<2^^,^ (isocya-
nate de phényle et méthyliso-urée) cristallise dans l'éther en
prismes f. à 89^,5-90'» ; il forme un cbhrbydrate (en sol. éthérée),
qui fond à 133'' en se décomposant. HCl dilué chaud le «dédouble
en chlorure de méthyle et en pbéûylbiuret
G«H5.AaH-GO-A«H-GO.A2H2 ,
(cristaux f. à 156'',S, sol. dans l'alcool et l'eau bouillante, presque
iosol. dans l'éther).
EthylisO'Urée AzH*. C^yi^y.y — Même préparation que pré-
cédemment. Le cbhrbydrate est en lamelles rhombiques sol.
dans Teau et l'alcool, f. à 123-124" avec décomposition. Le cbloro-
platinate cristallise en lamelles orangées sol. dans l'eau, Talcool et
CHQ', insol. dans l'élher; il fond en se décomposant vers 178*',5.
— La base libre est assez sol. dans Téther; elle bout à 89" c»ous
15 mm. ; elle donne avec les sels de Ou et de Al des précipités sol.
dans un excès de base et dissout AgCl. — HCl dilué la dédouble
en chlorure d'éthyle, urée et uréthane. Le pbénylétbylisobiuret
C«H«AzH.CO.AzH.C(OC«H«)=AzH, fond à 85s5-86"; prismes sol.
dans l'aie, dilué; le cblorbydrate fond vers 141" en se décom-
posant en chlorure d'éthyle, phénylbiuret, aniline et AzH^.
L'auteur a effectué un certain nombre d'expériences destinées à
prouver que les sels d'imino-éthers sont fortement hydrolyses,
tandis que les sels des iso-urées sont dissociés électrolytiquement,
p. FRKUNDLER.
1076 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Le couple aluminium-mercure (3°** partie). Chlomratioii des
hydrocarbures aromatiques en présence du couple. La consti-
tution des dichlorotoluénes ; Julîus B. COHEN et Henry D.
DAKIN {Cbem, Soc, t. 79. p. 1111 ; 9.1901). — La rapidité avec
laquelle les hydrocarbures aromatiques fixeht le brome en pré*
sence du couple aluminium-mercure a déterminé les auteurs a
effectuer une série d'expériences sur la chloruration de ces hydro-
carbures dans les mêmes conditions. Ils ont ainsi établi la pré-
sence des composés 2:3 — , 2:4 — , 2:6 — et 8 : 4 et l'existence
probable de petites quantités d'un composé 2 : 5 qui se iormcnt
aussi en employant le molybdène ou le chlorure ferrique comme
intermédiaire. Quatre, et probablement cinq, des six isonaères
possibles sont produits ; le seul manquant étant l'isomère 3 : 5.
Partie expérimentale : Chloruration du benzène, — Le chlore,
lavé puis séché, était dirigé dans du benzène renfermant le couple
aluminium-mercure et refroidi extérieurement par de la glace . On
obtenait ainsi 70 0/0 de la théorie en monochlorobenzène. Le para-
dichlorobenzène était renfermé dans la portion suivante (187-160*).
Le chlorobenzène, chloruré par le tétrachlorure de carbone et le
chlore en présence du couple, donne un mélange de trichloroben-
zène 1:2:4 et de tétrachlorobenzène 1:2:4:5. Ce dernier» sou-
mis au même mode de chloruration que ci-dessous, fournit Thexa*
chlorobenzène.
Chloruration du toluène, — Cette opération, effectuée comme
pour le benzène, donne 65 0/0 d'ortho et 35 0/0 de parachloroto-
luène. En poussant plus loin la chloruration, on obtient les com-
posés di et irichlorés.
Dichlorotoluène et ses dérivés du paracblorotoluène, — Du
parachlorotoluène était chloruré par le couple et fractionné. La
nitration, l'oxydation et la sulfonation montrent qu'on a aflaire aux
dérivés 2 : 4 et 8 : 4.
Avec l'orthochlorotoluène, on a les dériv.és 2:6; 2:8; 2:4 et
2 : 5 et avec le métachlorotoluène, on obtient les composés 2 : 5
et 8:4.
Préparation des six dichlorotoluénes et leurs dérivés, — Les
auteurs, préparant ces six isomères à l'état pur, en déterminent
les propriétés ainsi que celles de leurs composés de passage, et
leur constitution. a. uébirt.
S]mthése8 dans la série du biphônyle ; F. ULLKAIIN et
h BIELECKI (D. ch. G., t. 34, p. 2174 ; 20.7.1901). — Les auteurs
ont remarqué qu'en chauffant Tc-bromouitrobenzène avec du
CHIMIE ORGANIQUE. 1077
suivre en poudre il se formait du 2.2'-dlnitrobiphényle. En étu-
pliant de plus près cette réaction, les auteurs ont vu qu*on
pouvait l'appliquer non seulement aux dérivés halogéno-nitrés qui
ont un atome d'halogène peu stable, mais aussi aux dérivés
halogènes qui ne renferment pas de groupe négatif en position
ortho relativement à l'atome d'halogène, lorsqu'il s'agit de dérivés
îodonitrés. La réaction s'accomplit en général entre 180 et 260"",
elle est souvent assez violente spécialement avec les composés
polynitrehalogénés et il faut la modérer par adjonction d*un
diluant tel que le nitrobenzène ou le sable. Les auteurs ont préparé
par cette méthode les dérivés suivants :
Diniirobiphéayle^S . 2f
AzO» AeO»
soit au moyen dero.-bromonitrobenzène.soitaumoyendel'o.-chlo-
ronitrobenzène. Ce composé déjà décrit par Taùber fond à 124*.
Diniirobiphényle S.S^ au moyen du m.-iodonitrobenzène. 11 a
déjà été décrit par Brunner et par Witt.
Diniirobipbényle 4.4* en partant du p.-iodonitrobenzène.
Tétranitrobiphényle S.2',4,4* au moyen du 4-chloro ou du
4-bromo-l .3-dinitrobenzène.
Tétranitrobipbényle S. 3^.4,4' au moyen du 4-iodo-1.2-dinitro-
benzène. Les composés précédents ont déjà été préparés par
d*autres méthodes et sont connus. En opérant avec le chlorure de
picryle les auteurs ont obtenu ïbexanitrobipbényle 2.2 .4,4K6.6^
AzO» Az03
AzO^/ \ C >Az02
qui 'cristallise dans le toluène en long cristaux épais renfermant
1/2 mol. de toluène de cristallisation et fond à 288°.
4.4*'DicblorO'2.^*dinHrobipbényle, préparé en partant du
1.4-dichloro-2-nitrobenzène, cristallisa dans l'alcool en jolis cris-
taux jaunes, F. 136°.
4A*-Dibrom(h2.2*'diniirobipbényle, aiguilles jaunes, F. 188*.
Ether diméthylique de l'acide 4.4''dinilro-2.2*'biphé'îyldIcarb(h
niquCf préparé au moyen de l'élher méthylique de l'acide 2-bromo-
5-nitrobenzoïque, il est en jolies aiguilles blanches et brillantes,
F. 82", L'acide correspondant cristallise en aiguilles fines, faible-
ment colorées en jaune, F. 248''*
1078 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Ether dimétbyUque de Tacide S.S^-dinitrO'ÂA^-bipbénylâicnr-
tonique, petits cristaux jaunes, F. 159-160*.
Etber diméthylique de Faeide 2,SI S.(f'tétranHr(h4 d^-biptényl-
dicarbonique, aiguilles presque incolores, F. 178*, peu solubles
dans l'alcool, facilement solubles dans le benzène à chaud, presque
insolubles dans la ligroïne.
Enfin, les auteurs ont encore préparé le l.V-bioapbtyle en
chauffant Ta-iodonaphtalène avec du cuivre à 286*. Cet hydrocar-
bure déjà décrit par Lossen fond à 155». f. rbvrrdii«.
Sur le dibenzyldinitrile (communication préliminaire); P.
KATTWINKEL et R. WOLFFENSTEIN (D. cA. G., t. 34, p. 24fô;
20.7.1901). — Moritz et Wolffenstein ont montré que le» dérivés
alcoylés du benzène pouvaient être condensés par Faction du par-
suUate de potassium en hydrocarbures de la série du dibenzyle.
Les auteurs ont essayé d'appliquer cette réaction aux cyanure^
alcoylés pour obtenir des dibenzylnitriles inconnus jusqu'ici et ils
ont en effet réussi à condenser par exemple le p.-tolunitrïle eo
1 ,4'dibenzyldinitvile
CAz<f >GH2.CHa<: >CAz
o
La condensation a été opérée en chauffant 5 à 6 heures au B.>H
du p.-tolunitrile avec une solution de persulfate de potassium neu*
traiisée avec du carbonate de soude ; on trouve dans le produit de
la réaction du nitrile non transformé, puis le 1.4-dibenzyldinitrile
ainsi que de Tacide p.-cyanobenzoïque. Le dibenzyldinitrile, F. 198*,
a été transformé par l'action de Tacide sulfurique concentré en
acide dibenzyle'p.'Carboniqae, non encore décrit, lequel n'es»!
pas encore fondu à 320°. Quant à Tacide p.-cyanobenzoîque
CAz.C^H^.COOH, il se présente sous la lorme de feuillets micros-
copiques, F. 219°. Chauffé avec de la lessive de potasse, il se
transforme avec dégagement d'ammoniaque en acide téréphtalique.
L'auteur réfute à cette occasion une observation de Sandmeyer
qui a cru que Tacide p.-cyanobenzoïque se transformait par cristal*
lisation dans Teau en acide téréphtalimique AzH'.CO.CW.GOOH.
Cette observation doit être erronée. f. rbvsrdin.
Reoherohes sur la composition du pétrole de Californie;
C. F. MABERT et E. J. MDDSON {Am. Journ., t. 25, p. 253-284;
4.1901). — Les pétroles californiens se distinguent spécialemeni
par leur altérabilité. La chaleur et l'air les décomposent rapide-
GHIMIR OnGAiNiQUE. 1079
ment, de sorte qu'ils n*ont pu être fractionnés que sous pression
xéduite. Divers échantillons de provenances variées ont été exa-
:inîné8.
Le pétrole de Fresno renferme principalement de Thexaméthy-
lène, de l'heptanaphtène, du benzène, du toluène, de Toctonaph-
tène, du nononaphtène, du m.-xylène, du nonane normal, du
décanaphtène, de l'undécanaphtène et du dodécanaphtène. — Le
pétrole de la Puente Oil Company, celui de Bardsdale» etc., pos-
sèdent une composition voisine. Celui de Scott's hill renferme
également du tridëcanaphtène> du tétradécanaphtène et du penta-
décanaphtène. On trouvera dans le mémoire original la descrip-
tion des méthodes employées pour déterminer la constitution de
ces pétroles.
En résumé, le pétrole de Californie parait différer des pétroles
de rOhio, du Canada et de la Pensylvanie, par Tabsence à peu
près complète d'hydrocarbures forméniques. p. frbundler.
Snr les dôriTés chlorés des hydrocarbures renfermés dans
le pétrole de Californie; C. F. MABERT et 0. J. SIEPLEIN {Am.
Journ,, t. 25, p. 284-297; 4.1901). — Les dérivés chlorés des car-
bures des pétroles de Californie ont été préparés en faisant agir le
chlore sur le carbure en présence d'eau, à la lumière du jour.
La fraction 68-70* a fourni ainsi du cblorohexamétbylène
C«H"C1 (éb. i25«.5-126o; d^ = 0,9255; /2^=i,416 à 20*); la frac-
tion 89-90* (densité 0,7295 à 20*; i2^ = 1,411) a fourni du cA/o-
roheptanapbtène C^H^^Cl (éb. 147*; rf^ = 0,9882; i2^ = 1,441), qui
s'est montré identique au chlorométhylcyclohexane préparé syn-
thétiquement. Le nitrile correspondant CH'^CAz, préparé en
chauffant le dérivé chloré avec une sol. alcoolique do CAzK, est
liquide (rf3Q = 0,9253; 12^^ = 1,45). Le sodium réagit violemment sur
le même dér. chloré en sol. éthérée en donnant un mélange de
2 carbures, Tun non saturé, bouillant vers 97* (^50 = 0,7472;
iij^ = 1,416) et formant un AAroini/re (rf^^ = 1 ,648) , l'autre bouil-
lant vers 220-230*, possédant une densité de 0,8872 à 20*.
La fraction 118-120* frf= 0,7615 à 20*) a fourni du cblorodimé-
tbylcyelobexane C^H^Cl (éb. 168-170*; f/jo = 0,9858; /2^ = 1,455
à 20*) qu'on a transformé en nitrile. — La fraction 184-185*
({/= 0,8175) a donné du cbïoroirimélbylcydobexane C^H^^Cl
(éb. 186-188*; rf^ = 0,938; 72^=^1,462). L'action du sodium sur ce
composé fournit un mélange d'un carbure non saturé C*H*«, bouil-
lant vers 135-140* (rf^ = 0,7762; /2„ = 1,431) et d'une huile lourde
non étudiée.
1080 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Le chlorodécanaphtène préparé avec la fractiOD 160-i61*
(d^ = 0,8272), bout vers 105-110* sous 50 mm. D^=x 0,9470;
/ip = 1,468. Il se forme en même temps un peu d*un dér, dicbloré
bouillant vers 140-145^ sous 50 mm.
l/uiidecflflajD/ï^éiîe bouillant à 190-192»(i2„ = 1,4408; c/jQ=0,80t)
a fourni un dér. chloré bouillant vers 125-130** sous 85 mm.
(d^ = 0,9583 ; w„ = 1 ,476).
Le dodécanapbtène (éb. 208-210»; «„— 1,4649) fournit un dtér.
chloré bouillant à 130-135«sousl7 mm. (d^ = 0,96^6\ n^ = 1,480).
Le chlorotridécanaphtène préparé avec la fraction 280-292*"
(d^ = 0,8184; fl^ = 1,4745); bout vers 140-145» sous 17 mm.;
d^ = 0,9747.
Le chloroiétradécanaphtène (fraction 144-146*» sous 50 mm.;
d2^=0,8154; /2^==1,4423) bout à 150-155» sous 18 mm.;
ûf^=: 0,9748; /?j^=: 1,498). et le chloropentadécanaphtène (fraction
160-162» sous 50 mm.; d^ = 0,Sili) distille vers 170-175*» sous
14 mm.; £^ = 0,9771 ; 77^^ = 1,498. p. freundlbr.
Sur la composition du pétrole du Japon ; C. F. HABERT et
S. TAKANO {Am, Journ., t. 25, p. 297-307; 4.1901). — L'étude
de ces pétroles n'a pas été faite d'une façon absolument complète.
Toutefois on peut poser les conclusions suivantes :
Les pétroles japonais renferment principalement des naphtènes
C"H*» (méthylcyclohexane, diméthylcyclohexane, triméthylcyclo-
hexane, etc.), ainsi que des carbures à plusieurs noyaux naphtë-
niques CH'^'^-^ eiG^H^'^—^. Ils contiennent relativement peu de
carbures benzéniques. Plusieurs d'entre eux renferment, principale-
ment dans les parties légères et dans les pai*ties lourdes, des propor-
tions variables de carbures forméniques (C'^H*^ par exemple, éb.
250-260» pour 30 mm. ; f. > 60»). p. rRKUifDLiH.
Sur le propylhexaméthylène ; N. KURSANOFF(/).eA. G., t. 34,
p. 2035 ; 6.7.1901). — L'auteur a déjà décrit brièvement le propyl-
hexaméthylène ; il revient aujourd'hui sur sa préparation. Le
propylhexaméthylène a été obtenu en faisant réagir l'iodure de
zinc-propyle C^H'^Znl sur le chlorure d'hexaméthylène C^H**C1;
la réaction s'accomplit à 50-60» en introduisant le chlorure peu a
peu dans l'iodure ; lorsque tout le chlorure a été introduit on
chauffe à 80» tant qu'il y a un dégagement gazeux.
Après puriHcation et distillation on obtient le propylhexamé-
thylène sous la forme d'une huile. Eb. 155-156» sous 730 mnu
CHIMIE ORGANIQUE. 108f
= 0,7996 à 0», 0,7865 à 20». Cet hydrocarbure possède la for-
mule*:
CH2.GH2.CH2.CH3.GH2CH.CH2.GH2.GH3.
I I
On obtient aussi dans cette réaction outre l'hexanaphiylène une
assez grande proportion d'hydrocarbure, bouillant à haute tempé-
rature. Les gaz qui s'échappent pendant la réaction ne sont pas
absorbés pat* le brome, ils ne renferment donc pas d'hydrocar-
bures gazeux non saturés. . f. reverdin.
Sur quelques dèriYôs du m.-dibromodinitrobenséne; C. L.
JACKSON et W. P. COHOE (A m. Journ., t. 26, p. 1-9; 7.1901). —
Le m.-dibromodinitrobenzène C«H*Br*(AzO*)* (1.3.4.6) a été pré-
paré par le procédé suivant :
On fait passer un courant d'air chargé de vapeurs de brome
dans une émulsion d'àcétanilide (50 gr.) dans 5 litres d'eau,
jusqu'à coloration jaune du liquide. La bromacétanilide ainsi
obtenue est filtrée, séchée et traitée par le brome (2 at.) en sol. chlo-
roformique ou acétique (en sol. aqueuse, on obtient surtout de la
tribromaniline syin.). La dibromacétanilide est saponifiée par
SCHH« dilué (d = l,44) bouillant (dissol. complète). On traite
ensuite la dibromaniline (précipitée par l'eau) en sol. dans un
mélange d'alcool et de benzène par AzOWa etSO*H* au B.-M.;
on obtient ainsi du m.-dibromobenzène (éb. 210-225'') avec un peu
de tribromobenzène. Le dibromobenzène est enfin chauffé avec un
mélange de AzO*H (rf=i,52j et SO*H* concentré jusqu'à disso-
lution complète. On précipite ensuite par l'eau et on fait cristal-
liser le dibromodinitrobenzène dans l'alcool (f. à lll"*).
Chauffé au B.-M. avec de l'aniline, ce dérivé se transforme en
dianilidodinitrobenzène f. à 185-186^, de constitution connue. A
froid on obtient du bromanUidodiaitrobenzèney f. à 157*, ce com-
posé cristallise tantôt en prismes jaunes, tantôt en tables rouges;
les deux modifications se transforment Tune dans l'autre, soit par
cristallisation soit par chauffage à 135®; elles sont sol. dans le
chloroforme, peu sol. dans Téther, l'acétone et l'alcool.
L'éthylate de sodium réagit h froid sur le dibromodinitrobenzène
en donnant naissance à Vétber diéthylique de la dinitrorésorcine
G«H*(OC«H*)«(AzO«)« (1.3.4.6) déjà connu; avec le phénate de
sodium, à froid, on obtient de même le diphénoxydinitrobenzène
G«H«(OC«H»)«(AzO«^« (1.3.4.6); prismes blancs, f. à 129% sol. dans
le benzène, le chloroforme, Talc, chaud, peu sol. dans l'éther et
Talc, amylique. L'éther malonique sodé réagit sui* ce composé en
1082 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
sol. alcoolique en donnant naissance au dinitrophénoxjrpbéafl-
malonate cT^/A/Ze (AzO«)«(OC«H»)C«H«.CHCO«(C«H»)»; liquidé jau-
nâtre formant un dérivé sodé rouge brique.
La réduction du dibromodinitrobenzène au moyen de In poudre
de zinc et de Tac. acétique a fourni de la dibromo m.'pbéaylèoe'
diamine C«H«Br«(AzH«)« (1.8.4.6), f. à 134-i85«. p. freundubi.
Action du sulfite de sodium sur le tribromodinitrobemône
et sur le tribromonitrobenzéne ; C. L. JACKSON et R. B. EARI£
(i4/M. Journ,, t. 26, p. 46-55; 7.1901). — Le sulfite de Na ne réagit
pas sur ces 2 dérivés en sol. aqueuse pour donner naissance à des
dér. sulfonés selon la réaction de Strecker. En solution alcoolique
il y a simplement réduction et enlèvement d'une atome de Br.
Ainsi en chauffant le tribromodinitrobenzène
C6HBr3(Az02)2 (1.3.4.5),
dissous dans un mélange d'alcool et de benzène, avec Na*SO*,
on obtient du dibromodinitrobenzène C«H«Br*(AzO*)* (1,3.4.6),
f. à 117** (Koerner); ce dernier, traité par Taniline à froid, fournit
en effet du bromanilidodinitrobenzéne f. à 157*. Dans la réaction
précédente, il se forme en même temps un produit jaune, sol.
dans Teau, qui n'a pas été isolé.
Avec le tribromotrinitrobenzène sym., on obtient d'une façon
analogue du dibromotrinitrobenzène C«HBr'(AzO*)* (1 .8.2.4.6);
prismes jaune pâle, f. à 135**. sol. dans les liquides organiques,
insol. dans l'eau, sol. dans les alcalis bouillants et Az()*H à chaud.
Ce composé a été obtenu en petite quantité en chauffant à rébol-
lition le dibromodinitrobenzène f. à 117* avec un mélange de
SO*H* et AzO'^H; mais il se forme en même temps une grande
quantité de Iribromodinitrobenzpne C*HBr^(AzO*)* (1.8.8.4.6);
tables rectangulaires jaunâtres, f. à 150® sol. dans les solvants
organiques sauf la ligroïne froide et dans AzO'H bouillant, insol.
dans l'eau.
L'éthylate de sodium réagit à froid sur le dibromotrinitrobenzène
symétrique en le transformant en éther diéthylique de la trinilro-
résorcine (an. styphnique) C«H(OC«H5)«(AzO«j3 (1.3.2.4.6). Avec
le tribromodinitrobenzène f. à 150**, on obtient : 1* un prodoi^
cri-itallisé en ai^^uilles blanchâtres, f. à 58<», sol. dans l'alcooL, insol.
dans Tenu; 2** Tétlier mono-élhylitiue d'une dibromodinitrorésor-
ci/ïeG«HBr(AzO«)«(OC«H»)OH, aiguilles blanches L à 78», dont le
sel de Ba crist. en aiguilles jaunes, sol. dans l'alcool, insul. àAVS
l*eau, et détone à une température assez élevée, p. nucimoLiR
CHIMIE ORGANIQUE. 108S
Sur le triiodobenzène symétrique; C. L. JACKSON et 6. E.
SEHR(i4m. tfourn., t. 26, p. 55-61; 7.i901). — Les auteurs ont
préparé synthëtiquement le triiodobenzène 1.8.5, f. à 182*184o,
déjà obtenu par MM. Istrati et Georgesco en chauffant le benzène
avec de l'iode et SOH* concentré ; ces auteurs avaient attribué à
leur produit la constitution 1.2.3. — Le procédé employé est le
suivant :
On fait passer un courant d'air chargé de vapeurs de ICI ibar-
bottage dans un bain à 60") dans une sol. aqueuse de chlorhydrate
d^aniline (10 gr. de base dans 7 lit. d'eau). La liqueur filtrée aban-
donne peu à peu de la triiodaniline presque pure. Celle-ci est ensuite
traitée par AzO*Na et SO*H« en présence de benzène et d'alcool.
On purifie le triiodobenzène formé par sublimation et cristallisation
dans l'alcool; prismes blancs f. à 181<^, sol. dans les liquides orga-
niques, insol. dans l'eau. Ce composé est difficilement attaquable
par les acides ou les alcalis; traité par AzO^H fumant, il se trans-
forme en triiododinitrobenzène f. à 210-2tl2** (Istrati). Ce dernier
réagit avec l'aniline à chaud en donnant du trianilidodinitrobenzène
C«H(AzH.C«H»)»(AzO«)« (1.3.5.2.4) f. à 181% identique au produit
obtenu en partant du tribromodinitrobenzène de constitution
connue. Lesauteurs ont ainsi déterminé la constitution du triiodo-
benzène de MM. Istrati et Georgesco. p. freundler.
Sur la dioxyfluorescôine ; C. LIEBERHANN (D. cb. G., t. 34,
p. 2299; 20.7.1901). — Ou sait que la fluorescéine et Téosine
absolument pures ne se fixent pas sur les mordants d'alumine, de
fer, etc. L'auteur s'est proposé de préparer une fluorescéine ren-
fermant deux hydroxyles en position ortho pour examiner ses pro-
priétés tinctoriales. Il a préparé, il y a plusieurs années des fluo-
rescéines avec les acides hémipiniqne et norhémipinique et il a
constaté que la dioxyfluorescéine obtenue avec ce dernier acide
et dont la constitution doit être
se fixe en effet sur mordants. Mais il est plus facile de préparer
une dioxyfluorescéine isomère renferma»' t également deux hydro-
xyles en position ortho, en faisant réagir l'anhydride phtalique
seul ou en présence d'acide sulfurique concentré sur Toxyhydro-
quinone C:«H3vOH)» 1.2.4.
1084 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
Cette nouvelle dioxyûaorescéine C'<>H**0'' dont le tétraeéUle
C«oH8(OC«H^O)*03, cristallise en prismes jaunes microscopiques,
F. 264**, se dissout dans les alcalis avec une magnifique couleur
rouge cerise, sans fluorescence et n*est précipitée qu'imparfai*
tement de ses solutions par les acides.
La dioxyfluorescéine se fixesur laine et soie en nuance orange
et se comporte avec le coton comme une matière colorante pour
mordants, remarquable par la vivacité et la solidité de ses nuances.
Elle se fixe sur alumine en orange, sur fer en violet et sur
chrome en rouge rose. Les teintures résistent bien au savonnage
et si Toxyhydroquinone était meilleur marché, on trouverait certai-
ne nent avantage à préparer ce nouveau colorant.
L'afîlnité de la dioxyfluorescéine pour les mordants est si
grande qu'elle se fixe déjà à froid ; si Ton teint à une température
supérieure à 50-60*, elle se fixe même sur le fond blanc du tissu.
L'auteur a préparé un dérivé brome de la dioxyfluorescéine soit
une dioxyéosine; il a obtenu jusqu'ici le dérivé dibromé seulement,
dont la solution alcaline ressemble à celle de la dioxyfluorescéine
et qui teint les mordants en nuance un peu plus rouge. Il se pro-
pose du roFte de poursuivre ses recherches sur la dioxyfluores-
céine. F. REVERDITf.
Constitution de la galléine et de la côrulôine ; W. B.
CRNDORFF et C. E. BREWER (Am, Jouvn., t. 26, p. 97-158;
8.1901). — Les auteurs out repris Tétude de la galléine, de la
céruléine et de quelques-uns de leurs dérivés dans le but d'en
élucider la constitution et de vérifier les résultats obtenus précé-
demment par MM. Baeyer, Buchka et Herzig.
La galléine n'est pas réduite par SO* ou (AzH*)*S, Elle pple eo
bleu foncé par l'acétate de Pb et s'oxyde facilement en sol. alca-
line. Le tétvacétate fond à 241* (et non 237 ou 247) et cristallise en
aiguilles tricliniques(voir les mesures cristallogr. dans le mémoire
original) ; SO*H* le saponifie à froid. Sa composition a été déter-
minée d'une façon rigoureuse. Le tétrabenzoate fond à 226** (et non
à 2310).
Le létracétrale (T hydrogalléiDe f. à 216*», est identique au létra-
cétate de galline et au soi-disant pentacétate de gallol de Buchka;
ce dernier n'existerait donc pas. Pour préparer ce composé^ oo
chaufle à l'ascendant 5 part, de galléine, 5 part. d*Heétate de Na
fondu, 20 part, d'anhydride acétique et 2 part, de poudre de zinc.
L'acétate de galline C«oHt»>0^(GOGH3)* se dissout dans Na*(:03; û
CHIMIE ORGANIQUE. 1065
forme un sel (Fargent C«0H»O'ï Agi GOGH»)*, poudre blanche insol.
«-lans l*alcool, brunissant à l'air.
L'éther méthy tique de la y«//ei/ieG*»H«0«(OH)3CO«CH3, préparé
siu moyen de SO^H* et de Talc, méthylique, se présente sous la
rorme de masses granuleuses rougeâtres, sol. dans les alcalis
^^avec décomposition), Talcool, Tacétone, GHGl* et Téther, presque
insol. dans le benzène. Il ne fond pas à 280''. — L'éther éthylique
est analogue au précédent. — La galléine s*unit à chaud à
l'isoeyanate de phényle pour donner un triphénylcarbamate
C«H«0^(G0.AzH.C«H»)3, poudre jaune, sol. dans Talcool et l'acé-
tone, dans Na*GO* en rouge pourpre, dans NaOH en bleu (sapo-
nification). — Le sel de Pb de la galléine, préparé en sol. neutre,
constitue une poudre bleue insol. dans Teau et répoud à la formule
G«>H80"(PbOH)*. — Véther Iriméthyliqae (kOH méthylique et
iodure de méthyîe), cristallise en prismes triciiniques incolores,
r. à 229^, sol. dans Tacétone, Talcool et le benzène et dans les
alcalis en rouge. Ghauffé avec de Tanhydride acétique et de
Tacétate de sodium, il se transforme en dérive mono-acétylé
CWH80*(OGH3)3iGOCH3) ; aiguilles incolores, f. à 197», insol dans
les alcalis, sol. dans Talc, Tacéloneet GHGP. — Véther létramé-
tbylique qui se forme en même temps que l'éther triméthyliquCi
peut en être séparé grâce à son insolubilité dans KOH. Il se pré-
sente sous deux formes : !• Prismes rouge foncé, f. à 199», sol.
dans les liquides organiques ; les alcalis le transforment à chaud
en éther triméthylique ; 2'^ Aiguilles incolores, f.à 195», insol. dans
les alcalis qui ne l'attaquent pas à chaud. Il existe également
deux éthers tétrétbyliques (cristaux clinorhombiques, rouge foncé,
f. à 155», saponifiables à chaud par les alcalis ; aiguilles incolores,
f. à 144», non attaquables par les alcalis bouillants). — L*éther
triéthylique provenant de la saponification de Téther tétréthylique
coloré, est en cristaux incolores sol. dans les alcalis en rouge
foncé.
Véiber pentaméibylique de la galline C«>H»0«(0GH3)», obtenu
en traitant par Tiodure de méthyle et KOH le produit de réduction
de la galléine, cristnllise dans 1 alcool en paillettes incolores, f. à
127», soi. dans les liquides organiques, insol. à froid dans les alcalis
qui le saponifient à chaud (coloration rouge).
La céruléine se dissout dans une sol. aqueuse de SO^ et dads
Taniline (en bleu foncéj, la pyridine (coloration bleu verdâtre,
virant au pourpre par addition d'ac. acétique) et la quinoléine
(coloration bleu verdâtre à froid et pourpre à chaud) ; elle ne se
dissout pas dans Na*CO^. — Le triacéiale (Huchka) constitue une
108B ANALYSE DSti TRAVAUX ÉTRANGERS,
poudre brunâtre. — Le pentscélate de céruléiiie (B) a été obtenu
en aiguilles jaunâtres, sol. dans les liquides organiqueë iHuoree-
cence vei'dàtre), non Tusibleti sans décomposition. — L'élbtr
monoaiêthyJique de la céraléJiw (KOH et iodure de méthylei m
présente sous forme de cristaux bronzés, se décomposant aan^
fondre, sol. dans KOH et les lii^uides organiques, dans la pyrïdiiK
(en pourpre) et dans l'aniline (en bleu). Il dill'ère de l'élher uiélh}-
lique déjà décrit. — Vétber Iriméthylique cristallise en aiguilles
rouges, sol. dans l'alcool et SO*H*en rouge, insol. dans les alcalis.
— L'éther mono-éthyiiqae est cristallisé et analogue au précédent
Il résulte de ce qui précède, que la galléine renferme ud groupe-
ment CO*H et trois groupements phénoliques. Les auteura lui
attribuent la constitution (1) :
L
■0
m-
Les éthers tétrasubstitués colorés auraient la même structure,
de même que le sel de Pb, tandis que les éthers incolores dérive-
raient du schéma (II), de même que les dérivés acétylés et ben-
zoylés. La formule de la galline serait :
/C«H»(OH)\
C0îH-G6H»-CH< >0i
\C*Hi(OH)î/
quant à celles de la céruléine et de ta céruline, elles n'ont pas été
établies d'une façon certaine. p. preundlbr.
Inflnenoe du méthoxyle bqf l'orisntation des groapM dut
KAUFLER et P. WENZEL (/>. cb. G., t. 34,
11). — On sait que lorsqu'on introduit un secoof'
s un dérivé mononitré du benzène ce second
presque exclusivement en position mêla, \es
•ara ne se formant que d'une manière secondaire,
de renferme en même t<>mps le groupe hydrox]^
ces deux groupes dans les dérivés ortho et para.
CHIMIE ORGANIQUE. 10^7
exercent chacun leur influence en Tadditiounant sur la position
du groupe nouveau, tandis que dans les dérivés inéta ils agissent
€3n sens inverse; cependant Tinfluence du groupe hydroxyie est
l^répondéranle. Le groupe méthoxyie parait se comporter de la
même manière que Thydroxyle à ce point de vue ; les auteurs ont
en efTet, constaté que dans la nitration des élliers des nilrocrésols
c|ui renferment le groupe nitro en position meta relativement au
méihoxyle
GH3 CH3
0OCH3
Az02
il se forme presque quantitativement leis dérivés nitrés dans les-
quels le nouveau groupe nitro entre en position ortho relativement
au groupe déjà renfermé dans la molécule.
En nitrant le premier des éthers ci-dessus, Téther méthylique
de To.-nitro-p.-crésol, en solution acétique avec de Tacide nitrique
fumant en présence d*acide sulfurique, les auteurs ont obtenu
Vétber méthylique du dinitrocrésol
CH3
.z02
P. 126-i28% dont la constitution a été établie par Texamen de son
produit de réduction Yéther méthylique du diamido-para-crésolf
F. 72-78*. Ce dérivé aniidé a été identifié comme étant une o.-dia-
luine par sa transformation en p.-méthoxyloluphénanthvazine^
F. 265-268^, en le chauiïant en solution alcoolique avec de la
phénanthrène-quinone en solution acétique et en oL-^diméthyl"
p.-mélhoxytoluquinoxaline en le traitant en solution alcoolique
par le diacétyle.
Le second éther, soit l'éther méthylique du p.-nitro-o.-crésol
résiste à Taction de Tacide nitrique concentré et chaud, mais il se
transforme immédiatement par Taction du mélange d'acides suJfu-
rique et nitrique en dérivé trinitvé, lequel cristallise dans Talcool
étendu en longues aiguilles blanches, F. 111-112^. Ce dérivé
constitue Téthor méthylique du trinitro-o.-crésol, déjà décrit par
Nôlting, dans lequel deux groupes nitro au moins doivent se
trouver en position ortho, relativement Tun à Tauire.
F. RlVBiU>m.
1Q88 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Produits de condensation dn 2-4-dinitrotoln6n6 ; J. TUuM
et R. ESCALES {D. ch. G., l. 34, p. 2842; 28.9.1901). — Lore-
qu'on fait réagir la benzaldéhyde sur le dinilrotoluèue, même eu
présence d'un faible moyen de condensation, comme la pipéridine.
il y a formation du SA-dinitrostilbène. Les auteurs ont chauilé
ensemble 27 gr. de dinitrotoluèue, 18 gr. de benzaldéhyde et
30 gouttes de pipéridine au bain d'huile à 160-170^ el ils ont
obtenu 90-95 0/0 de dinitrostilbèoe sous la forme de cristaux
jaune pâle, F. 139-i40«.
Ce composé additionne difficilement le brome à froid, mais faci-
lement à chaud. On obtient un dibromure en prismes hiancs, F.
185-186**. En réduisant le dinitrostilbène par le chlorure d'étain en
solution chlorhydnque et acétique, les auteurs ont préparé le
diamidostlJbène, aiguilles brillantes, F. 119-120*, dont le diclilor-
hydrate cristallise avec 2 aq. La réduction partielle au moyen de
la quantité calculée, pour un seul groupe nitro, de chlorure d'étain,
lui a fourni le 4-nHr(h2'aiuidostUbène, qui cristallise dans Talcool
en cristaux rouge brique, F. 142-148* et dont le chlorhydrate fond
à 218-219* et le dérivé acélylé à 220*. Lorsqu'on opère la réduc-
tion partielle au moyen de Thydrogène sulfuré en solution ammo-
niacale et alcoolique, on obtient le ^•nitrchi-amidostilbène qui est
en cristaux rouge grenat, F. 110-111*, dont le chlorhydrate fond
à 223* el le dérivé acétylé à 192-198*.
En condensant dans les mêmes conditions le dinitrotoluèue avec
la p.-nitrobenzaldéhyde, les auteurs ont obtenu le 2A.V'trinitrû'
stilbène, aiguilles jaune citron, F. 240*, très difRcilement solubles;
le triamidostilbène correspondent est en cristaux jaunes, F. 176-
177*.
Avec la m.-nitrobenzaldéhyde, ils ont préparé le 2.L9-trinitra-
stilbène, aiguilles jaunes, F. 183-184*, dont le produit de réduction
est en cristaux jaunes, F. 112-113* et avec ro.-nitrobenzaldéhyder
le 2A,2^-trinitrostilbèney cristaux jaune verdâtre, F. 194-195*,
dont le produit de réduction cristallise dans le toluène en cristaux
jaunes et brillants, F, 156-157*^ f. revbrdim.
Préparation de Tanthraphônone ; E. LIPPMANN et I. POLLAK
(D. cL G., t. 34, p. 2766; 28.9.1901). — On obtient ranlhrapbé-
none pure de la manière suivante. On met en suspension 190 gr-
d*anthracène pur dans 1900 gr. de sulfure de carbone et oo y
ajoute 200 gr. de chlorure de benzoyle. Ce mélange additionné de
5 gr. de pou Ire de zinc est ensuite modérément chauffé au B.4f.
dans un ballon à fond rond, muni d'un réfrigérant ascendant, peo*
CHIMIE ORGANIQUE. 10g9
dant 480 heures environ, soit jusqu'à ce qu'il ne se dégage plu&
d'acide chlorhydrique. Après avoir distillé le sulfure de carbone
et éliminé le chlorure de benzoyle, en traitant le résidu par la
lessive de soude à chaud, on sèche et on fait cristalliser dans le
xylène. On obtient ainsi avec un rendement de 78 0/0 de la théorie
Vanthrapbénone, F, 148*», tandis que par le procédé précédemment
décrit au chlorure d'aluminium, on avait obtenu que 28 0/0.
F. REVERDIN.
Action du chlorure de soufre sur ranthracène ; E. LIPPMANN
et L POLLAK (D. cb. G., t. 34. p. 2767; 28.9.1901). - Le chlo-
rure de soufre réagit très énergiquement sur l'anthracène ; pour
modérer la réaction, on est obhgé de mettre l'hydrocarbure en
suspension dans le benzène, et d'ajouter peu à peu le chlorure de
soufre également étendu avec du benzène, la réaction peut donner
lieu à la formation de plusieurs produits, suivant que l'on chauffe
plus ou moins longtemps. En chauffant \ ar exemple jusqu'à ce
que l'anthracène soit dissous, on obtient après élimination du
benzène un mélange de résine et de cristaux que Ton purifie par
cristallisation dans la pyridine. Le produit constitue le dithiocblô-
rure (Tanibracène C**H«S*Cl, qui est peu soluble dans la plupart
des dissolvants à l'exception du nitrobenzène et de la pyridine et
qui n'est pas attaqué par une solution alcoolique et bouillante de
potasse, il fond à 212**. Si l'on poursuit l'action du chlorure de
soufre jusqu'à ce qu'il ne se dégage plus d'acide chlorhydrique,
ce qui dure environ 200 heures avec 50 gr. d'anthracène, on
obtient le ^-dicblorantbracène, F. 209* déjà décrit par Graebe et
Liebermann. '
Lorsqu'on traite le dithiochlorure d'anthracène en suspension
dans l'acide acétique cristallisable, par du zinc en poudre, il y a
très probablement réduction ; comme dans ces conditions l'anthra-
cène lui-même n'est pas attaqué, il est probable que l'hydrogène
s'additionne au soufre avec rupture de la double liaison.
F. HEVERDIN.
Dérivés de l'oxyhydroquinone ; J. THI£LE et K, JAE6ER
{D. cb. G„ t. 34, p. 2837 ; 28.9.1901). — Le triheuzonte doxyby-
droqaiuone préparé par l'action du chlorui'e de benzoyle en pré-
sence de carbonate de soude, de soude caustique ou de pyridine,
cristallise dans l'alcool en feuillets brillants, F. 120*».
Nitraiion de F oxybydroquinone. — L'acide nitrique concentré
oxyde facilement l'oxyhydroquinone .en acide oxalique ; eu opérant
soc. cHiM., 3« 6KR., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 69
1090 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
•
avec le triacétate d*oxyhydroquinone on arrive facilemeat jusqu'à
la formation de Tacide nitranilique ; pour nitrer simplement Tox)*
droquinone, il faut opérer avec le ti'iacélate en présence d*uDe
grande quantité d*anhydride acétique ; le nitrotriacéMe est en
longues aiguilles, F. 107-108'*, il est facilement BaponiQé par k^
acides ou par les alcalis ; la nitro-oxybydroquinoae cristallise ea
cristaux jaune rouge qui commencent à se décomposer vers 200".
Elle se dissout dans Teau en jaune et dans les alcalis en rou^"
foncé. Mise en suspension dans le sulfure de carbone et abandonnée
pendant deux jours avec du brome en excès, elle fournit un dérht
Mibroméy F. 164® qui cristallise dans le benzène en aiguilles mi-
croscopiques, jaune citron. En faisant passer de Tacide sulfureui
dans une solution de tribromoxyquinone, déjà connue, dans U
benzène, additionné d*une petite quantité d*eau, on obtient la
tribrom-oxy-hydroquinone ^ aiguilles rougeâtres, qui se coïoreni
vers HO"" et se décomposent complètement à ISO"". Son irJacétêh
cristallise dans Talcool en aiguilles blanches, F. ISQ"".
En traitant dans certaines conditions une solution d*oxyhydro-
quinone par Tacide carbonique en présence de bicarbonate tic
soude, les auteurs ont obtenu Tacide oxy-hydroquiaoDe'CarhO'
aique, qui, après purification, est en aiguilles, F. 217-2i8« el qui
cristallise dans Teau avec 1/2 molécule d'eau. Son triacétate cris-
tallise dans le benzène ou le toluène en feuillets fins ou en aiguiiie^
F. 162-163'', facilement solubles dans Tacétone, Téther acétique et
le chloroforme. Par réduction de Toxyhydroquinone au moyeo de
Tamalgame de sodium, il y a formation de dibydrorésorcioe,
F. lOi"", que Ton obtient aussi en partant de Tacide oxy-hydroqiii-
quinone-carbonique. Cette formation est analogue à celle de la
phloroglucine au moyen de Tirétol :
formation observée par Tiemann et G. de Laire. Des recherches
de réduction faites avec le pyrogallol au moyen de Tamalgame ie
sodium ont montré qu*il restait inattaqué. p. revshooi.
Sur les phônanthrylaminea ; A. WERNER et J. KUNZ (D. cb.
G., i. 34, p. 2524 ; 28.9.1901). — Les auteurs déoriveni deux pb^
aanthrylamines qu'ils ont préparées en chauffant bous pression i
CHIMIE ORGANIQUE. 1091
200-220* les phénanthrols correspondants avec un mélange d'am-
moniaque aqueuse et de chlorhydrate d'ammoniaque.
La S'phénanti hylamino ainsi obtenue se présente sous la forme
de feuillets nacrés, F. 143*», elle est soluble dans HCl étendu et
son chlorhydrate cristallise en petits cristaux feuilletés. Ce com-
posé constitue une modification que les auteurs désignent par la
lettre a. Chose remarquable, si Ton saponifie par Tacide chlor-
hydrique en solution alcoolique ou par l'acide acétique cristal-
lisable le dérivé acétylé, on obtient une seconde modification p,
qui cristallise dans la ligroïne en feuillets, F. 87*»,5 très facilement
solubles dans l'alcool, moins facilement dans le xylène. Le dérivé
acétylé lui-même a été obtenu en chauffant en tube scellé pendant
9 heures à 280-300**, le 3-phénanthrol avec un mélange d'acétate de
sodium, de chlorhydrate d'ammoniaque et d'acide acétique cristal-
lisable. Il fond à 200-201*" et cristallise en feuillets blancs. En
acétylant les deux modifications a et p de la 3-phénanthrylamine
on obtient le même dérivé et en saponifiant le dérivé acétylé pré-
paré avec la modification a il se forme la base p. La seconde
phénanthr^iamine préparée par les auteurs est la S-phénanthryl-
amJne. Son chlorhydrate, poudre cristalline, a été obtenu par sapo-
nification chlorhydrique du dérivé acétylé. La base elle-même qui
est en cristaux jaunâtres, fond à 85*. Quant au dérivé acétylé qui
a servi de point de départ, il a été préparé par la même méthode
que celui de la 8-phénanthrylamine en partant de Toxyphénanthrène
F. 169*».
Il cristallise dans le xylène en feuillets blancs et brillants,
F. 225-226*", facilement solubles dans Tacide acétique cristallisable.
l'alcool et le xylène, peu solubles dans la ligroïne. f. reverdin.
Action de Tacide amidosnlfoniqne snr la p.-chloraniline;
C. PAAL [D. ch. C, t. 34, p. 2748; 28.9.1901). — En étudiant
l'action de l'acide aroidosulfonique sur la p.-chloraniline, Tauteur
a remarqué antérieurement avec Ruppert, qu'en chauffant modéré-
menii on obtenait principalement le p.-chlorophénylsulfaminate
d*ammonium Cl.C*H*.AzH.SCP.AzH*, tandis qu en chauffant long-
temps, ce sel disparait peu à peu pour être remplacé par le sel
d'ammonium de Tacide p.-chloranilinesulfonique. L'auteur a étudié
de plus près cette réaction avecCassel, en modifiant les conditions
et a pu constater des phénomènes de transposition intéressants.
En diauffant peu de temps à feu nu l'acide amidosulfonîque avec
5 fois son poids de p.-chloraniline, on obtient un mélange de p.-
cUoropbénykulfaminate d'ammonium Cl.C^H^.AzH.SO'AzH* et
1092 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
de p.'Chlorphénylsulfaminale de p. -chlor aniline que Ton sépare
Tun de l'autre par une manipulation appropriée. Le premier de
ces sels est difficile à isoler complètement pur; il crislalUse
cependant en feuillets incolores, fusibles au-dessus de 200*. Le
second, que Ton prépare aussi en chauffant pendant 10 minutes au
bain d'huile à 160®, Tamidosullonate de p.-chloraniline est en
aiguilles blanches, qui se décomposent vers 190®.
Le cbloropbénylsulfaminate de baryum (C®H*.0*. AzCISj'Ba
est en aiguilles blanches, peu solubles dans Teau froide et dans
'alcool étendu, facilement solubles dans Teau chaude.
L'acide p.-chloropbényîsulfaminique lui-même
C1-C«H*- AzH-SO^H ,
cristallise en aiguilles blanches, qui se décomposent vei*8 âOO*.
On peut le transformer en sulfate de p.-cbloraniline en abandoo-
nant pendant longtemps sa solution aqueuse ou plus rapidement
en la chauffant.
Lorsqu'on chauffe au bain d'huile à 250® pendant peu de temp^,
l'amidosullonate de p.-chloraniline, il se forme l'acide Â-cbloro-l-
awidobenzène-S'Sulfonique que l'on peut aussi préparer avec un
meilleur rendement en chauffant quelque temps à 230*, ud
mélange d'acide amidosulfonique en poudre fine et de p.-chlora-
niline en excès. Cet acide est déjà connu, il a été obtenu comme
produit secondaire par Claus et Mann dans la sulfonation de la
p.-chloraniUne avec l'acide sulfurique fumant.
L'auteur en a déterminé la constitution en le diazotant, puis en
décomposant le dérivé diazoïque par l'alcool absolu, ce qui lui $
fourni un acide chlorobenzènesulfonique, qu'il a pu identifier
comme étant le dérivé meta. L'auteur a fait avec quelques-uns àe
ses élèves des recherches analogues avec d'autres bases, tellt»8
que To.- et le m.-chloraniline, les bromanilines, toluidines, etc.
F. nEVERDUy.
Action de l'acide amidosulfonique sur la pipéridine; C. PAAL
et M. HDBALECK {D. cL G., t. 34, p. 2757; 28.9.1901). — On
n'a pas réussi à transformer la pipéridine en acide sulfonique par
raction de l'acide sulfurique concentré ; un acide pipéridine-sulfo-
nique a a été obtenu, il y a quelques années par Wolflenstein, par
une méthode indirecte. Les auteurs ont essayé pour obtenir uo
acide sulfonique de la pipéridine de mettre à profit la réaction de
l'acide amidosulfonique, dont il est question dans le précédeût
mémoire.
CHIMIE ORGANIQUE. 1093
En chauflaot Tamidosulfonate de pipéridine avec la base en
excès, ils ont observé qu'au-dessous de 150*, il n'y avait pas de
réaction ; entre 150 et 200'', il y a formation probable d*un acide
intermédiaire, sulfoné à Tazote qui se transpose en acide pipé-
ridine-sulfonique, sulfoné au carbone. Les auteurs ont cherché à
préparer l'acide sulfonique, sulfoné à Tazote par l'action de l'anhy-
dride sulfurique sur une solution de pipéridine dans Téther et ils
ont constaté que cet acide n'est susceptible d'exister que sous la
forme de ses sels; à l'état libre, il est immédiatement en présence
de l'eau ou saponifié ou transposé en acide sulfonique sulfoné au
carbone.
La position du groupe sulfo- dans l'acide pipéridine'C-sulfo-
nique, n'a pas pu être déterminée avec exactitude.
Uamidosalfonale de pipéridine C*H* • Az . HSO' . AzH* se présente
sous la forme de feuillets très hygroscopiques, F. 62*.
Lorsqu'on chauffe en tube scellé à 180*, pendant 4 à 5 heures,
l'amidosulfonate de pipéridine avec son poids de pipéridine, qu'on
étend avec de l'eau le produit de la réaction et qu'après avoir
saturé avec de l'hydrate de baryte, on distille avec la vapeur d'eau
l'excès de pipéridine, on obtient le pipéridine-sulfonate de baryum.
L'acide libre, Vacide pipéridine-C-sulfonique C*H*(SO*H)AzH,
fond à 187-188*»; les auteurs en décrivent les sels de potassium,
de baryum et d'argent. En soumettant cet acide à l'oxydation au
moyen du permanganate de baryum, on n'a pu isoler du produit
de la réaction ni pyridine, ni acide pyridine-suUonique; en opérant
avec un oxydant moins énergique, l'acétate d'argent, l'acide pipé-
ridine-sulfonique a été transformé en pyridine et acide sulfurique.
Lorsqu'on chauffe un sel de l'acide pipéridine-C-sulfonique avec
d^ la potasse caustique en excès, il se dégage une base volatile qui
a été recueillie et qui a été reconnue pour être de la tétrabydro-
pyridine C^H^Az, sa formation peut s'expliquer en supposant que
la réaction de la potasse caustique donne d'abord naissance à
une oxypipéridine qui élimine ensuite une molécule d'eau :
C*H>o(S03K) Az + KOH = K^SO^ + C5HiO(OH) Az = C^H^Az -|- H'O
Les auteurs ont préparé le dérivé benzoylé de cette base ainsi
que son sel double avec le chlorure dor^ qui fond à 141-142** en
se décomposant et qui a servi à isoler la tëtrahydropyridine.
Ils décrivent encore la préparation de l'acide pipéridine-Az-
milfonique OH*<> ; Az.SO^H, qu'ils ont obtenu en introduisant peu
à peu de l'anhydride sulfurique dans une solution de pipéridine
dans réther absolu; ils l'ont isolé sous la forme de son sel de
1094 ANALYSE DES TRAVAUX ETKANGEIIS.
baryum, mais Tacide libre, comme il a été dit plus haut, se trans-
forme en acide pipéridine-C-sulfonique. La solution aqueuse liu
sel de baryum de Tacide Az chauffée avecHCl, dépose immédia-
tement du sulfate de baryum, ce qui le distingue nettement du sel
de baryum de Tacide C. f. reverdin.
Sur les dérivés nitrés et bromes des xyiidines; E. NÔLTIHG,
A. BRAUN et G. THESMAR {D, ch. G., t. 34, p. 2242; 20.7.1901).
— Les auteurs ont constaté que dans la nitration des xyiidines
il ne se forme pas seulement deux dérivés mononitrés isomères,
mais bien les trois isomères théoriquement possibles; ils ont aussi
étendu leurs recherches aux dérivés bromes. La place nous
manque pour entrer dans le détail de ces intéressantes recherches
pour lequel nous renvoyons au mémoire original, nous nous
contenterons d'indiquer quels sont les produits qui ont été obtenu»
et qui sont décrits.
Dérivés mononitrés de Yo-xylidine voisine : r) La niiralion de
Tacét-o.-xylide voisine a fourni le d-nUro-S-amidû'i .S-xylèn**^
feuillets rouges, F. 118-119^, le ô-nitro-S-nmido-l .S-xylène,
aiguilles jaune pâle, F. 111-112* ainsi ({ue le G-nitro-S-amido-
1 .2-xylèney prismes jaune brun, F. 114°. b) La nitration do
To.-xylidine voisine opérée en solution sulfiuMque, a fourni les
mêmes trois isomères dont les dérivés act^tylés et henzoylés ont
été préparés ; voici leurs points de fusion dans Tordre indiqué
ci-dessus; dérivés acétyJés, F. 160°, 230-231°, 119-150°; dérivés
henzoylés, F. 177-178°, 227-228°, 208-209° Les dérivés para sont
jaunes, les autres sont blancs.
Dérivés mononitrés de Fo.-xylidine asyméiritfue, La nitration
au moyen d'un mélange d'acide nitrique à 64 0/0 et «Tacide sul-
furique a fourni le 5'nitro-4-amidO'î .2'Xyît}ne^ prismes bruns.
F. 139-140°; dérivé acétylé, aiguilles jaune pâle, F. 107°; dérivé
henzoyiéy idem, F. Ii9-iri0°; le 3'nitrO'4'amido"l .S-xylène,
prismes rouge écarlate, F. 65-66°; dérivé acétylé^ aiguille»
blanches, F. 115-116°; dérivé benzoylé, aiguilles blanches F. 199-
200°; le 6-nitro-4amidO'ï .S-xylène^ feuillets oranges, brillants,
F. 74-75°; dérivé acétylé, aiguilles blanches, F. 209-210»; dérivé
henzoylé, idem, F. 223-224°. La réduction des 4-mononitro-o.-
xylidines au moyen de l'étain et de l'acide chlorhydrique a donné
les 4 -o.-xylylène-diamines suivantes : 3.4'diamido-I .S-xyl^nt't
feuillets blancs, F. 89°; 4 ,5-diamido 1 .:2-xyîène, idem, F. 1^^
126°: S .5'diamidO'l .2-xylène, petites aiguilles branches, F. 6647*;
3.6 diamido-I .S-xjiène, prismes brunâtres, F. 116^
CHIMIE ORGANIQUE. 1095
Dérivés monobromés de la m.'Xylidine as. Une monobromo-m.-
xylidine de constitution indéterminée, décrite par Genz a été
identifiée comme étant le ô-bromo-d-anudo-l .S-xylène, feuillets
blancs, F. 99-100<»; dérivé acétylé, idem, F. 168-169^ dérive
niirobenzylidéniquey aiguilles jaunes, F. 139°. — 2'bronO'4^
amidol .S'Xylène^ longues aiguilles soyeuses, blanches, F. 47-48*,
dérivé acétylé^ aiguilles blanches, F. 151-152*»; dérivé nitrobeii'
zylidénique^ aiguilles jaunes, F. iS^-iSS''; ô-bromo-i-amido-l ,3-
xylène^ longues aiguilles, blanches et soyeuses, F. 47-48<*; dérivé
acéiylé, aiguilles blanches, F. 196-197°; dérivé nitrobenzylidé-
nique, aiguilles jaunes, F. 130°. Ce dernier dérivé brome a été
préparé par bromuration directe de la m.-xylidine as., tandis que
les deux précédents ont été préparés en partant des bases nitrées
correspondantes dans lesquelles on a d'abord remplacé le groupe
AzH* par Br, puis réduit.
Les bromoxylénols C^H*(CH^)*Br . OH correspondants aux dérivés
monobromés ci-dessus fondent respectivement à 72°, 68° et 72°.
Dérivés monobromés de la m.-xylidine voisine. — Les auteurs
ont Rxé la conslitution du produit que Ton obtient par bromuration
directe de la m.-xylidine voisine et qui avait déjà été préparé par
Fischer et Windaus.
Ce produit dont le dérivé acétylo est en petites aiguilles blanches
constitue le 5-bromO'2'âniido-I 3-xyIène, cristallisant en longues
aiguilles blanches, F. 50-51 <>, facilement solubles. Le i-bromo-S-
amidol S-xy/ène, se présente sous la forme d^in liquide très
mobile, Eb. 146-147° sous 15 mm. qui sous Tinfluence du froid se
concrète en aiguilles blanches, F. 21°, 5, son dérivé acétylé fond
à 136°. F. REVERDIN.
Action oxydante du fulminate de mercure sur la diméthyl-
aniline; Roland SCHOLL {D, cli. G., t. 34, p. 2036 ; 6.7.1901).
— Lorsqu'on fait réagir a 160-170° le fulminate de mercure sur
la diméthylaniline, il se forme une base jaune d*une constitution
encore indéterminée et possédant la formule C-®H**0*Az* ainsi que
du tétraméthyldiamidodiphénylmélhane ^^^<c.^\i% X^iCW]"^-
La base jaune qui a été du reste obtenue en petite (juantité par
Buite des pertes subies à la purification, fond à 208°, elle est diffi-
cilement soluble dans l'alcool et dans Télher, assez facilement dans
le benzène et le sulfure de carbone, ainsi que dans le chloroforme
et l'acétone. L'auteur en décrit le cblorhydrale, le picrate, les
sets doubles de platine et de mercure. La base ne réagit ni avec
1096 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
la phénylhydrazine, ni avec Thydroxylamine ou Tanhydride acé-
tique. Elle fournit par Faction de Tacide nitreux deux dérivés
dinitrés dont le plus facilement soluble a, fond à 201-202* et le
second p,à 225"*. r. rbverdih.
Sur la réduction de l'essence de moutarde phônylique;
A. 6UTBIER {D. ch. G, À. 34, p. 2033; 6.7.1901). — On sait qu^
les essences de moutarde sont réduites par Thydrogrèue naissant
en solution acide, en aminés primaires et thioformaldéhyde:
l'auteur a trouvé que l'essence de moutarde phénylique est rédui»e
en solution neutre en diphéDyle-sulto-urée tandis qu'il se dégage
un gaz constitué probablement par du méthylmercaptan. I-a ré-
action s'accomplit en deux phases ; il se forme vraisemblablement
en premier lieu de la sulfocarbanilide et de la thioformaldéhyde
2G«HS. Az=CS + 2H2 = (C6H5AzH)2GS + CSH^,
ol cette dernière est par une action subséquente du réducteur
transformée en méthylmercaptan.
L'auteur a employé comme réducteur l'amalgame d*aluminiuin
et a opéré en présence d'éther absolu.
Il se réserve d'étudier de plus près celte réaction et de l'étendre
à d'autres essences de moutarde. f. revrrdin.
Sur les éthers acétyl- et benzoyliminodithiocarboDiques;
H. L. WHEELER et T. B. JOHNSON (Am, Journ., t. 26, p. 185-
200; 7.1901). — Les auteurs ont recherché si les éthers RCY^i-
minodithiocarboniques se présentaient sous deux formes stéréo-
isomériques suivant la façon dont dont on les prépare :
/SNa vSR"
R-C0-A2=G< +R''I = R.C0-A2=C< +Nû1,
/SNa /SR'
R-CO-Az=C< + R'I = R.CO-Az=C< +Nal.
\SR" \SR"
Les résultats ont été négatiis. Ces éthers acyliminodithiocarbo-
niques se transforment en acyliminopseudothio-urées quand on les
traite par une aminé (les éthers mixtes donnent deux urées) :
/SCH3 SCH3
R.CO-Az=C< + R'AzH^ = R-C0-A2=:C< + CH^-SH.
\SGH3 NAïH-R'
CHIMIE ORGANIQUE. 1097
L'action des acides minéraux donne naissance à un ou deux
èUiers thiocarbamiques :
/SCH3
R-C0-A2=C< +H20=R-CO-AzH.CO-SGH5 + CH3.SH.
\SGH3
H*S réagit à chaud d'une façon analogue en donnant du mercaptan
et de racyldithiocarbamate.
La préparation des élhers acyliminodithiocarboniques a été effec-
tuée en sol. alcoolique, à froid, ou à défaut de réaction, en sol.
alcaline (dans ce dernier cas il y a décoraposilion partielle en sel
du Ihio-acide R.CO.SNa et isosulfocyanale).
L0*acét}UminodUhiocarbamaie de méthyle est liquide et bout à
142-144<» sous 20 mm. ; Vétber iso^myUque bout à 198-200* sous
20 mm.
UacétyldUbiocarbamale d'amyle CH^.CO. AzH.CS.SC»H«« cris-
tallise en lamelles f. à 84", sol. dans Talcool. — Le benzoyl^
iminoditbiocarbonate de métbyle a été décrit; Vétber métbyl-
éthylique C«H5.C0Az=G<|^JJ^5, est liquide et bout vers 224-
225^,5 sous 20 mm.; Vétber propylique norm. bout à 2â8-239»
sous 20 mm.; Vétber étbyl-henzylique est huileux ; Vétber diberi'
zylique cristallise en aiguilles soyeuses, f. à 97", sol. dans l'alcool.
Le benzoylditbiocarbamate d iso-amyle obtenu en chauffant Tac.
thiobenzoïque avec le sulfocyanate d'amyle, fond à 48-49"; prismes
jaunes sol. dans Talcool. — XJétber p.-nitrobenzylique cristallise
dans Talc, en aiguilles jaunes f. à 155-156"; Vétber p^-bromoben-
zylique fond à 126" (poudre crist. sol. dans Talcool).
Le benzoyliminoditbiocarbonaie de beuzyh'p.-nitrobenzyle
cristallise dans Talcool en aiguilles f. « 84-85".
Le sulfocyanacétale d'éthyle réagit sur Tac. thiobenzoïque en
donnant naissance au composé C«H5.C0.AzH.CS.S.CH«.C0«C«H»
(lamelles jaunes f. à 128", sol. dans Falcoolj; traité par le chlor-
acétate d'éthyle et Téthylate de Na, ce dernier se transforme en
benzoylthioglycolEte d'éthyle C«H5.CO.S.CH».CO«C«H5 (éb. 185-
187» sous 15 mm.). Le chloracélate d'éthyle s'unit au benzoyldi-
tbiocarbamate de benzyle pour former le composé :
ySCH2-C03C2H*
C«H5-C0-Az=C< ,
(prismes blancs f. à 79", sol. dans Talcoolj.
Si Ton agite avec du chlorure de benzyle une sol. alcaline du
1098 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
dérivé C«H5.CO.AzH.CS.SGH«.CO«C*H5, on obtient un produit
jaune, cristallisé, sol. dans Talcool, qui fond > 100* en se décom-
posant ; traité par CO^ en présence d*eau, ce produit qui répond à
la formule C*^H*^03AzS*Na, se transforme dans Téther :
/CH2CH15
C6H5-CO-AzH-CS-SCH<
prismes jaunes, f. à 79°.
Le sulfocyanacétate de phényle AzCS.CH^.CO^C^H*, obtenu au
moyen du chloracétate (éb. 123-128° sous 13 mm.) et de GAzSK,
cristallise dans Talcool en tables incolores, f. à 31-32' ; il s'unit à
chaud à Tac. thiobenzoïque pour donner naissance au compoM^
C«H5.CO.AzH.CS.SGH«C02C«H» (aiguilles jaunes, f. 127-129°, sol.
dans ralcool. — Le dérivé C«H5.CO.AzH.CS.SCH<J^^^^^j,5
crist. en prismos jaunes, f. à 141-145°, sol. dans Talcool et 1«
benzène. Le composé C^H^ GO. Az-G<|^{J;^jî^JJ5^^^
à 73-74° (prismes incolores). — Le dérivé pbtalique :
/GO.
\co/
est en aiguilles jaunes, peu sol. dans l'alcool, f. à 178-182°; Véther
C«H».CO.Az.G<g^[]:;fjy,;^^^(.0,,C,H, .ond à 119-120. («i-
gui lies).
Le bromo-éthylbenzène traité par GAzSK, fournit du sulfocyano-
éthylbenzone G6H^GHvS0Az)GH3, liquide bouillant à 157-?M)*
sous 36 mm.; ce dernier s'unit à Tac. thiobenzoïque pour iXouna^
un composé en prismes incolores, f. à 136-137°, insol. dans KOH,
et qui n'est pas un dithiocarbamate. — Le siiUocyanate de dèsylti
G6H5G0.GlbSGAziG«H- (désoxybenzoïne brouu^e et CAzSK), fond
à 110-111° iprismes sol. dans l'alcool); il s'unit à Taoido ihiob^-n-
zoïque pour donner un produit f. à 137° ii)rismes solubles dans
l'alcool, insol. dans les alcalis). — Le siilfocyanaie de m.-xylyl^
GH3.G«H^GII«SGAz est li(iuide et (ond à 147° sous 12 mm.; le
benzoyldithiocarbanmte de m.'Xylyle fond à 93-04° (prismes ari-
culaires jaunes, sol. dans Talc, chaud). — Lf^ bemyliminodithio-
carbonate de benzyle-m^-xylyle fond à 97-98°. — Le m.-xylyl'
mercaptan bout à 215-217° (H-^760 mm.) et le sulfure de benzyl^
m.'Xylyle, h 193-196' sous 15 mm. — Le disulâire de m.-xyly^^
est liquide. — Le hcnzoyliniiuodithiocarbonate de m, -xyly le cri>'
GHIMIB ORGANIQUE. 1099
talHse dans l'alcool en prismes f. à89*,5-90*». — Lisosulfocyanate
de métbyle (CH3)«C«H3.CH«.SCAz fond à 58<» (lamelles sol. dans
l'alcool), le henzoylditbîocarbamate de méthyle, 114*, 5 (lamelles
jaunes sol. dans Talcool) et le benzoyliminodithiocarbonate de
bonzyTemésUyle à 117<»,5 (prismes sol. dans Talcool).
p. FREUNDLER.
Action de Tacide hypochloreux sur Tacide diazobenzôiie-
salfonique; Th. ZINCKE [D. ch. G., t. 34, p. 2853; 28.9.1901).
— Le chlorure de chaux réagit sur l'acide diazobenzène-sulfonique,
comme Ta précédemment montré l'auteur, d'après l'équation :
yAz2v OH /Az203H
C^HV > + 2 =C«H*< +H20,
^803/ OH \S03II
mais la constitution de Tacide formé était restée indéterminée. Il
résulte des recherches nouvelles faites par l'auteur, que cet acide
est en réalité un acide dinitroazobenzène-sulfonique de la for-
mule :
Az02 Az02
S03h/ \az= Az/ \s03H
i<(3az=az^:
et (ïue l'équation ci-dessus doit être remplacée par celle-ci :
/Az2v OH S03H
G^H*< > + 2 = C6H3 A z02 + -2 H20 .
\S03/ OH Az=
Le processus de la réaction n'a cependant pas pu encore être
expliqué ; il est compliqué^ et le fait que l'on retrouve parmi les
produits secondaires de la dichloro-o.-nitraniline, l'indique. 11
est possible que cette base se forme par l'intermédiaire de l'acide
isodiazobenzène sulfonique, (jui prendrait naissance et qui par
addition de chlore et élimination du groupe sulfo, subirait une
transposition.
L'acide drnitroazobenzène-disulfonique se comporte, comme les
recherches de Kuchenbecker l'ont montré, d'une manière toute
particulière envers l'acide chlorhydrique et l'acide bromhydrique.
Chauiïé à 160® avec HCl concentré, il élimine les groupes sulfo
et nitro qui sont remplacés par du chlore pour donner le létra-
cbloroazobenzène de la formule :
lin ANALYSE DES TRAVAUX tTHANGERS.
Celte corobinaisoo qui fournit par réduction la â. J-dichloraniline
eU en aiguilles fines, F. 16M6â'. Avec l'acide bromhydrique on
obtient dans les mêmes conditions le tétrabromaxobenièae,
F. 98».
Les combinaisons isodiazoïques réagissent aussi énergtquemenl
avec l'acitie hypochloreux ; les auteurs ont fait des recherches à
ce sujet avec le chlorure de p.-oitroisodiazobenzène et avec l'acide
isodiazobenzène-sulfonique. r. heverdik.
Action du brome sur les trois toinônas-asopbénols ; J. T.
HEWITT et John N. TERVET [Chem. Soc, t. 79, p. 1090-1093;
8.1901). — Poursuivant leurs reclierclies {Bull. Soc. cbim. 1900,
t. 24, p. 7H), les auteurs ont lait réagir Br sur rc-toluène-azo-
pbéool en sol. acétique à 10° en présence d'acéUite de sodium, et
ont obtenu Vo.-lolaène-azodibromopbénol C'H'ooAz'Br» qui crist.
dans l'acide acétique en aig. jaunes, F. 121° (corr.), peu sol. dans
CHCI' et es*, sol. dans les solv. org., presque insoluble dans la
ligroïne. Les deux Br sont enlevés par réduction au moyen de
Sn + HGI. — L'éther éthyUque C"H'*0.\z»Br* crist. dans l'alcool
en plaques jaunes, F. 95°, sol. dans la p'upart des solv. org., saul
dans l'alcool froid et l'acide acétique qui le dissolvent peu, — Le
dérivé acétylé crist. dans l'acide acétique, V. 158°. — Le dérivé
benzoyié crist. en prismes orangé, F, 168° ,5.
La bromuraiion du m.- toi uène-azo phénol opérée à 0° avec pré-
caution fournit le ot.-lolaèiie-aiodibromopbénol qui cri:>t. dans
l'acide acétique glacial en aig. jaunes, F. 129°. — L'éUieréthyliqae
crist. dans l'alcool en feuillets jaunes, F, 8S°, — Le dérivé acéiylé
crist. dans l'ucide acétique glacial en aig. orangé, F. US". — Le
dérivé benzoyié crist. dans l'alcool chaud en aig. jaune pâle,
F. UK
Le p.-tolucne-azodibromophéno} crist. dans l'acide acétique en
aig. jaunes, F. 137", — L'éiber élbylique se dépose de l'alcool en
aig, jaune-brun, F. 95°, — Le dérivé acétylé, aig. orangé, F. 148*.
— Le dérivé benzoyié crisl. dans l'alcool bouillant en prismes
nrnntri' F. 114°. A, VALEUR.
aelques dérirés de rortho-beazoqaiDOne; C. L. JACKSON
OCS(Abi. Jouni., t. 26, p. 10-46; 7.1901). — L'orthobea-
C=>
CHIMIE ORGANIQUE. 1101
n'a pu être isolée; les auteurs estiment en avoir obtenu une sol.
chloroformique, et ils ont étudié les produits de décomposition
ainsi que quelques dérivés. Us traitent le sel de Pb de la pyroca-
téchine par Tiode en sol. chloroformique bouillante; la sol. filtrée
est rouge grenat; elle se décompose peu à peu sans qu*ou puisse
isoler la quinone, en donnant naissance à 2 produits, Tun brun,
sol. dans CHCl^, non étudié, Tautre noir et insol. dans CHCP. Ce
dernier se sépare lorsqu*on conserve plusieurs jours à la tempérât,
ordinaire la sol. chloroformique de quinone. On le purifie par des
lavages au benzène bouillant; il répond à la formule C**H*0*(0H)3
et parait être identique au produit obtenu par M. Torrey en oxy-
dant électrolytiquement la pyrocatéchine. Ce corps auquel les
auteurs assignent la constitution 0«(0H)C«H«.C«H3(0H)« (sans
apporter de preuves bien décisives en faveur de celle-ci), constitue
une poudre noire amorphe, sol. dans l'alcool, réther,rac. acétique
et les alcalis à froid; il se décompose sans fondre au-dessus de
i70. Réduit par l'amalgame de Na et Teau, il se transforme en
une substance noire également amorphe. Avec le chlorure de
benzoyle et KOH on obtient un dérivé tribenzoylé
Cim502(OCOG«H5)3,
sous forme d'une poudre jaunâtre, amorphe, sol. dans CJHCP,
insol. dans l'alcool, l'eau et les alcalis. La phénylhydrazine réagit
sur la substance noire ainsi quebur son dérivé benzoyle en donnant
naissance à des produits jaunes de constitution non déterminée.
Le gaz HCl sec réagit sur la sol. chloroformique d'o.-quinone en
donnant de la chloropyrocatéchine et des produits goudronneux.
En agitant la même sol. avec du &ulfure d'ammonium, on obtient
la pyrocatéchine. Même résultat par saturation par SO*. Le brome
donne naissance à de la tétrabromopyrocatéchine f. à 192-193®. En
versant peu à peu une sol. chloroformique de quinone dans une
sol. d'ac. benzène-sulfinique dans CHCP, on obtient le dérivé
G«H3(ÔH)«S0*C«H5 ; aiguilles prismatiques f. à 153% sol. dans les
liquides organiques sauf la ligroïne et dans les alcalis en jaune; ce
dérivé donne avec FeCl^ une coloration bleu-verdâtre qui vire au
rouge par addition de Na^CO^; sa sol. aqueuse précipite par
l'acétate de Pb.
La quinone précipite également en noir par l'acétate de Pb; le
sel ainsi formé a la composition C««H«0«(OH)0«Pb. Elle s'unit à
l'aniline pour donner de la pyrocatéchine et un anile de la diani^
lidO'p. -quinone C«H*(AzH.C«H5)«.AzC6H5.0, par suite d'une trans-
position moléculaire. Cet anile a déjà été décrit. — Avec l'o.r
1102 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
phéoylènediamine, on n'obtient pas de produit déBais^ à part
une petitequantité de pyrocatéchine. — Le phénol se comporte
d*une façon analogue. La soude colore la quinone en vert.
Le& auteurs ont étudié également quelques dérivés de la tétra-
bFomo-o.-benzoquinone (préparée en oxydant la tétrabromopyro-
catéchine par AzO^H en sol. acétique). Cette tétrabromoquinone,
chaufTée avec de Tac. acétique, se décompose partiellement en
donnant naissance à 2 produits, Tun blanc, Tautre rouge. Ce
dernier est un éther oxyde mixte C**Br^O*, qui se forme lorsqu'oB
chauffe un mélange de tétrabromoquinone et de tétrabromopyro-
catéchine en sol. acétique, et qui crist. dans le nilrobenzèae en
prismes rouge-cinabre non fusibles sans décomposition» insol
dans les solvants usuels, décomposables par les alcalis et par
ÂzO^H fumant. La combinaison précédente ne se forme pas en sol
éthérée. Traitée par Tamalgame de Na à 8 0/0, elle fournit m
mélange de pyrocatéchine et de Thydroquinone C**Br«(OH)*0* qui
cristallise dans le nitrobenzène en aiguilles brunos inf. b 30O,
insol. dans les solvants usuels. AzO^H oxyde ce corps en régéné-
rant le composé rouge primitif, de sorte qu'il est possîbie de
dédoubler ce dernier intégralement en pyrocatéchine par des
réductions et oxydations successives. HCl concentré réag^it surle
corps C**Br^CH à 160**, en vase clos, en donnant un peu de Thydro-
quinone correspondante.
La tétrabromoquinone réagit sur la tétrabromo-p.-hydroqui-
none en donnant du bromanile et de la tétrabromopyrocatéchia^.
Le tribromopyrogallol agit seulement comme réducteur. Avec la
tribromorésorcine, en sol. acétique, on a obtenu le composé
(C6Bi^H.OH.O)2C«Br»02,
BOUS forme de prismes jaune citron f. à 817% sol. dans les solvants
organiques chauds, insol. dans la soude.
L'ac. acétique décompose lentement la téti'abromo-orthoquinone
en donnant un mélange du composé rouge C^'Br^O, et à'uB
composé C**H*Br80* (analyses médiocres), qui crist. en lamelles
rhombiques f. à 230*, sol. dans les liquides organiques chauds
sauf la ligroïne, insol. dans Teau. Cette substance n*est pas
attaquée ni par Tamalgame de Na, ni par AzO'H fumant en sol
acétique, ni par le brome, KMnO*, SO*H« dilué et HCl à 150«. EUe
ne réagit pas avec Taniline et la phénylhydrazine. HCl fumant la
détruit complètement à 250* en vase clos.
L'éther acétique transforme la tétrabromoquinone en tétrabro'
mopyrocatéchine. Le chloral est sans action. p. FRitmDLBii.
CHIMIE ORGANIQUE. 1103
Constitution des dérivés oxy-azoîques ; W. Mac PHERSON
et H. C. GORE {Am, Journ., X. 25, p. 485-496; 6.1901). — Tandis
que les o.-oxy-azoïques se comportent comme des quinones-
>iydrazones, les dérivés acidylés des isomères para sont de véri-
tables azoïques. Ce dernier point est confirmé par les recherches
décrites dans le présent mémoire.
La p-acélyl-naphtylhydrazine réagit avec le chlorure de benzoyle
en sol. benzénique en donnant de Vd'benzoyî'^'acétylDBphtylby-
lirazine C*oH''.Az(COC«H»)AzH.COCH3 (aiguilles f. à 184% sol.
dans Talc, chaud) ; celle-ci, chauffée avec SO*H* dilué, se trans-
forme en a-benzoyinaphtylbydrazine (pyramides f. à lïO^'.ô, peu
sol. dans l'alcool et le benzène).
Celte hydrazine se combine aux p,-quinones en donnant des
hydrazones benzoylées, lesquelles fournissent par saponification
des p.-azophénols identiques à ceux que Ton obtient par copula-
tion directe du diazoïque et du phénol correspondant.
La benzoylnapbtylbydraxone de la quinone :
yCH=CHv /COC6H5
C0< >C=Az-Az< ,
nch=gh/ \C'oH7
est un isomère du dérivé benzoyle du naphtalène-azo-phénol ; la
molles f. à 113*',5, peu sol. dans les liquides organiques.
La napbtalène-azopbénol est en aiguilles jaunâtres f. à 136**, sol.
dans le benzène ; son dérivé benzoyle fond à 120** (aiguilles sol.
dans les liquides organiques).
La benzoylnapbtylbydrazone de la toluquinone cristallise dans
l'alcool en tables quadratiques f. à 166**. — Le Dapbtalène'azo-o.^
crésol obtenu par saponification du précédent, fond à 154'*,5
(aiguilles rougeâtres peu sol. dans Talcool et le benzène) ; son
dérivé benzoyle fond à 120° (aiguilles sol. dans la ligroïne).
La benzoylbydrazone de la tbymoquinone fond à 15l^,5 et cris-
tallise en rhomboèdres sol. dans Taicool. — Le napblalène-azo-
ibymol îond à li7*,5 (prismes clinorhombiques sol. dans Talcool,
peu sol. dans Téther et le benzène) ; son dérivé benzoyle cristal-
lise en aiguilles f. à 173°,5, sol. dans Téiher, le benzène et la
ligroïne. p. frbundlkr.
Snr les denx modifications de la benzéne-4-azorésorcine et
la constitution des oxy-tsoiques ; W. R. ORHDOFF et E. B.
TSSMk\ni(Am. Journ., t. 26, p. 159-166; 7.1901). — La beû-
«« ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKS.
zène-azorésorcine se présenle sous deux modifications auxquelles
OD attribue généralement les constitutions :
C»H5-Aï=Az<^^ NOH et C<H*-AzH-Az=<f ^^O
ou C«H»-AzH-Az:
La phénylhydrazine réagit à chaud sur le dérivé diméthjl^
unique qui provient des deux modiilcations en donnant naissance
au dérivé diacélylé d'une dihydrazone :
C6H\ y=\
>Az-Az=< >OC0CHï
CRSCO/ \r~
Ai-AïH-G6HS
cristaux rouge Tonci^, f. Ji 163°, sol. dans le benzène. La dihydrê-
zozie elle-même, obtenue par saponification du précédent, fonda
leO* (aiguilles rouges, sol, dans l'ac. acétique, dans KOH, HCf.
l'éther, le benzène, CHCl», SO*H« en brun) ; réduite par Zn et l'ac
acétique, elle se dédouble en aniline et en un produit très oxydaiile
qui n'a pu être identifié. — Vèiber mêlbylique de la benzëne-azo-
résorcine :
C»H»- AzH-A z^/^^OCH'
fond à 123' et non à 114" (Will).
L'action du chlorure de diazobenzène à froid stêf l'élher mono-
mélhylique de la résorcine a conduit à l'éther mûlliyliqtie ('u
résorcine-his-azobenzèiie {C^H'Az^ A^-)'C''H»<^^' ; aiguillt?*
rouges, f. à 180-190', sol. dans CHCl' el l'alcool.
p. rREUNDLER.
Sur l'acide trichioroplitaiique 3.4.6; C. GRAEBE et 5. ROS-
W(/J. ch. Z^., t.34, p. iiO7;G.7.190i).— Le-;auleursonl
l'acide ilLcliioroplitalique-3.6 du commerce, l'acide Irichlo-
que-3.i.6 en transformant le mélange en étluT élhjliqtie f l
crislallistT dans le tétrachlorure de carbone; l'éther du
richloré rcbte dans les eaux-mères mélan^^é encore avec
"taine quantitc d'cllier monoéthylique de l'acitle dichloro-
le, on les Si^pare l'un de i'auU'C^Q chauffant, à :âiO>290'
GHIMIB ORGANIQUE. 1105
aussi longtemps qu'il dégage de Taicool, le résidu laissé par Téva-
pora lion du tétrachlorure. L'anhydride ainsi obtenu est ensuite
chauffé avec de Teau, débarrassé de produits huileux, puis trans-
formé en sel de Ba, qui après quelques purifications fournit par dé-
composition Y anhydride trichlorophlalique, F. 148*, qui se sublime
en aiguilles. L'acide lui-même cristallise dans l'eau» dans laquelle
il est facilement soluble ainsi que dans l'alcool, l'éther, le chloro-
forme et le benzène bouillant. Il se transforme déjà à 130-140^ en
anhydride. Son éther métbylique acido C*HCP<qqjjI se pré-
sente d'abord sous la forme d'une huile qui ne prend une texture
cristalline qu'après 2 ou 8 mois de séjour sous un dessiccateur;
il fond à 84-86'' et se transforme complètement lorsqu'on le chauffe
à 220-230'^ en anhydride trichlorophtalique.
Uétber élbylique neutre préparé au moyen du sel d'argent est
une huile qui ne se concrète pas à — 18*.
En dissolvant l'acide trichlorophtalique ou son anhydride dans
l'ammoniaque concentrée, évaporant et chauffant le résidu à240-250®
GO
les auteurs ont obtenu la tricbloropbtalimide C^HC13<pq>AzH
qui cristallise dans l'alcool en aiguilles, F. 236*.
Lorsqu'on traite cette imide {lar l'hypochlorite de soude on
obtient Y acide tricbloranthranilique C^H.COOHAzH'.a» 3.5.6 qui.
chauffé à son point de fusion 180**, se transforme quantitativement
en iricbloraniline et acide carbonique. Cette trichloraniline a été
identifiée par les auteurs comme correspondant à une trichlorani-
line C«H«. AzH*Cl*.2.4.5 d'où il résulte que la constitution indiquée
pour l'acide tricbloranthranilique ci-dessus est prouvée ainsi que
celle de l'acide trichlorophtalique ; l'acide tricbloranthranilique
qui fond à 180"* n'était du reste pas encore décrit. Il est facilement
soluble dans les dissolvants organiques, difficilement soluble dans
l'eau chaude et très difficilement dans l'eau froide; il se dissout
facilement dans les alcalis et ne se combine pas avec l'acide
chlorhydrique.
Quant à la Iricbloraniline correspondante, elle cristallise en
aiguilles incolores, F. 96* et son dérivé acétylé fond à 185-i85*»,5.
L'anhydride trichlorophtalique chauffé pendant 2 heures au B.-M.
avec du benzène et du chlorure d'aluminium a fourni Vacide
iricblorobenzoylbenzoïque C^HCl'<QQtj| qui cristallise dans le
chloroforme et fond à 177**; il doit correspondre à l'une des deux
formules C«H.C0G«H».C00H.C1» 1.2.8.5.6 ou 2.1.3.5.6. Chauffé
800. CHui., 8* MR., T. XXVI, 1901. — Thit. ètraiig. ■ 70
IKW ANALYSE. DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
peu de temps à 200*' avec H^SO* cono. cet acide se iransfonne ea
PO
1.2.4-trichloroanthraquinone C«H*<qq>C«HC1« qui crisUUise
dans l'alcool ou le chloroforme et fond à iSS^^yS. Cette combinaison
m fournit par fusion avec la potasse que de Tacide phtalique.
p. REYBaDlX.
Sur la coustitution de Tacide dibromophtaliqua ; 0 BRDCI
(JO. cb. ff., t. 34, p. 2741; 28.9.1901). — Diaprés un brevei
allemand (D. R. P. n« 50177, Kl. 22.1889) Juvalta a obtenu par
l'action du brome sur Tanhydride phtalique en présence d'acide
sulfurique fumant à 50-60 0/0, un acide dibromophlal/ç^ue identique
à celui que Blùmlein avait préparé par Toxydation du pentabromo-
a-naphtol au moyen de l'acide nitrique étendu. L'auteur a déte^
miné la constitution de cet acide qui correspond à la formule
COOH
U a pu par la fusion avec la potasse caustique le transformer
en acide 4.5-dioxyphtalique et d'autre part par une série de
réactions, en acide 4.5-dibromotoluylique. Il a préparé quelques
éthers de l'acide dibromophtalique ; ïélber dimétbylique obtenu
soit en chauffant le sel d'argent avec l'iodure de méthyle soit en
faisant réagir Tacide chiorhydrique gazeux sur la solution dans
l'alcool méthylique, cristallise en jolies aiguilles F. 81-83*, Vélber
diétbyUque est aussi en aiguilles, F. 63-65**, Véiber monoétbyliq^^
en longues aiguilles, F. 147-149<*.
Pour transformer l'acide dibromophtalique en acide 4.5-dibro-
motoluylique l'auteur l'a soumis aux réactions suivantes : il ^
d'abord obtenu la 4,5'dibromopbiahmide en chauffant le sel d'am-
monium de réther monoéthylique ou en faisant passer de l'amiD^'
niaque gazeuse sur l'anhydride en fusion. Cette imide cristallise
dans l'alcool en fines aiguilles blanches, F, 242-241''. La solution
alcoolique concentrée de ce composé, chauffée avec de l'étain et de
l'acide chiorhydrique concentré, jusqu'à dissolution complète, à
fourni la phtaUmidine correspondante qui cristallise en aiguilles
brillantes à reflet verdâtre F. 279-280^ Elle donne par raclion de
l'acide nitreux un dérivé nitrosé qui se dépose de aa solulioQ
CHIMIE ORGANIQUE. 1107
alcoolique en jolies aiguilles jaunes, F. 183-185*. Ce dérivé nitrosé
chauffé avec une lessive étendue de soude se dissout en dégageant
de l'azote pour fonrier le dibromo-oxyméthylbenzoate de sodium.
Kn ajoutant à sa solution alcaline verdâtre ou souvent jaune, de
l*acide chlorhydrique étendu à chaud, jusqu'à réaction acide on
précipité la dibvomopbtalide que Ton purifie le mieux par subli-
mation entre 140 et 200«; elle fond à 225.227». Traitée en solution
dans Tacide acétique cristallisable par un excès de phosphore
rouge et d'acide iodhydrique de D = l,96 elle se transforme enfin
en acide dibromotoluylique^ F. 210* qui a été i«1entifié avec 1 acide
4*5-dibromotoluylique décrit par Claus et Beck. p. reverdin. '
Sur Tacide dôhydromucique (farfuranedicarboiiique) ; H. B.
HILL [Am. xJourn., t. 25, p. 439449; 6. 1901). — Le meilleur pro-
cédé de préparation de Tacide furfurane^a-dicarbonique consiste à
chauffer à Tébullition du saccharate de K avec HBr concentré. Le
rendement est proportionnel à la durée du chauffage ; au bout de
16 heures, on obtient 28-35 0/0 du poids de sacchai'ate en acide
déhydromucique.
La réduction de ce dernier fournit un acide dihydrofurfurane
dicarbonique (a), qui constitue la modification cis (I) el qui s'iso-
merise facilement en donnant naissance à la forme Irans, de sorte
que parmi les produits de la réduction précédente on rencontre
une certaine quantité d'un acide p qui est une combinaison molé-
culaire des acides cis et trans. Enfin l'acide p chauffé avec une
sol. alcaline se transforme en un troisième acide isomérique (y)
auquel Fauteur attribue la constitution (11) :
CH-CH-G02H CH2-GH
Il >0 , I >0 .
CH-CH-COm CH = C-COm
(1). (II).
P* PRBUNOLER.
Sur Tacide dôhydromacique et sur quelques-ans de ses
dérivôB ; L. K. PHELPS et W. J. HALE (A m, Journ,, t. 25, p. 449-
485; 6. 1901 j. — L*ac. déhydromucique se prépare en chauffant à
l'ascendant pendant 16 heures 1 part, de saccharate acide de K
avec HBr concentré {d^^ 1,50). Le produit brut est bouilli avec de
Teau et CaGO^, et le sel de Ga décomposé par un acide minéral.
L*ac. saccharique fournit un rendement moins bon.
Vac. déhydromucique se dissout dans 1000 part, d'eau à 18» ;
1108 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGEU».
son 5e/ de K, C«H«0»K«,H«0 cristallise en sigillés sol. dans l'eau
et dans Talc, chaud ; les sel de Ba et de Ca sont peu sol. dans Teau
(0,91 et 8,93 0/0 à 18^). Les éthers acides s'obtiennent en sapoûî-
fiant les éthers neutres par KOH en sol. dans Talcool correspon-
danl; Véther méthylique fond à 20i-202« (paillettes sol. dans l'eau,
Talcool et Téther, insol. dans le benzène); Véther éibyliquectH"
tallise en aiguilles f. à 148-149*, sol. dans Talcool, peu sol. dan?
CHCl», insol. dans le benzène. La monamide fond à 280-Î81' ;
aiguilles sol. dans Teau, peu sol. ou insol. dans la plupart àe^
liquides organiques. La dianilide (chlorure et aniline en solution
éthérée) fond à 227-428* (aiguilles sol. dans Teau, Péther. etc. .
Uanbydride mixte acétique s'obtient en chaufTant Tacide avec de
l'anhydride acétique; paillettes blanches assez peu sol. dans las
liquides organiques, se décomposant sans fondre vers 150* en se
transformant en anhydride double C*®H*'0® (substance amorphe,
jaunâtre, insol. dans les dissolvants usuels, se sublimant difficile-
ment dans le vide).
Le brome sec ne réagit dans aucune condition sur Tac. déhydro-
mucique ; avec l'eau de brome et les hypobromites, on obtient du
tétrabromure de dibromofurfurane ; l'action de l'iode sur le sel
de K fournit de VftcL^'diiodofurturane C*H*I*0 (paillettes blanches,
f. à 47<», sol. dans les solvants organiques).
Le chlorure d'ac. furfurane-dicarbonique réagit sur le henzètïe
en présence de AlCl^ en donnant de Va^di-dibemoyl/urfurêDe
Ci8Hi«0^ (aiguilles f. à 107*, sol. dans la plupart des solvants or-
ganiques, se sublimant sans décomposition); ce composé traité par
le brome sec, fournit un dérivé brome, tandis qu'avec l'eau de Br
en tube scellé, à 140"^, on obtient de Tac. dibromomaléique et de
l'ac. bromobenzoïque. AzO^H concentré réagit sur la dicétone eo
la dédoublant en ac. o-, m- et p-nitrobenzoïques, en un dériva
nitréL a 130-131*», sol. dans les liquides organiques, sauf CS*e<
en un produit non défini, f. à 191-195*. — La dihydrazone fond i
155-156*" (aiguilles jaunes sol. dans l'ac. acétique, le benzène et
CHCl^, peu sol. dans l'aie, et l'éther). — La dioxime se présente
sous deux modifications : la ïorme a cristallise en aiguilles f. 2iB'
214** (en s'isomérisant partiellement), et la dioxime p en tables f. à
243-245° (avec décomposition) ; les deux isomères sont sol. dans
l'acétone et l'acétate d'éthyle, peu sol. dans les autres solvants
organiques.
Le mucale de K ne renferme pas 2 mol. d'eau de cristallisaiioa
(Schmidt et Cobenzl) ; chauffé dans une atmosphère de H, il ne
fournit pas d'ac. déhydromucique. p. niKUiiDLCR.
CHIMIE ORGANIQUE. 1109
Sar la rédaction de Tacide dé^ydromucique ; A. S. WHEELER
(Am.Journ,^ t. 25, p. 480-485; 6.19Ûlj. — La réduction a élé
eCTactuée au moyen de l*amalgame de Na à 0*. Si 1 on neutralise
constamment l'alcali libre par un courant de CO', on obtient
presque exclusivement Tac. dihydrofurfuranedicarbonique a (voy.
les mémoires précédents) ; dans le cas contraire, c'est Tac. p qui
constitue le produit principal.
Vac. a, décrit par M. Seelig, se sublime à 190** dans un courant
de H; trailé par AzO^H ou KMnO*, il fournit de Tac. oxalique et de
Tac. déhydromucique ; le sel de Ba se dissout dans 500 part, d'eau
à 18» ; celui de Ca (C«H*0»Ca + i,5H«0) et celui de Pb (aiguilles
renfermant 2H*0), sont peu sol. dans Teau. — L'eau de brome
réagit sur Tac, en donnant un dibromure C*H6Br*0*,H*0 (prismes
quadratiques, sol. dans l'eau et les dissolvants organiques, sauf
la ligroïne, f. à 112-113* et à 147-148* après déshydratation) ; les
alcalis transforment ce dibromure en ac. pyromucique. Le chlore
transforme l'acide dihydrofurfuranedicarbonique en un composé
C^H'^CIO® (prismes quadratiques, f. vers 209-210° avec di^compo-
sition, sol. dans Talcool et l'éther, insoluble dans le benzène, la
ligroïne et CHCI»).
L'ac, p obleiju en chauffant l'isomère «avec une lessive alcaline,
fond à 178-179° ; le sel do Ba se dissout dans l'eau à 20° à raison
de 14 gr. au litre. Le sel de Ca renferme 2,5H*0 et celui de Pb
(paillettes rhombiques) 1H*0, dont il perd la moitié à 195*. — Le
dibromure C*H«Br*0^,2H*0 fond à 218-214° (prismes quadratiques
sol. dans l'eau, l'alcool et l'éther, insol. dans la ligroïne). — L'ac.
^'Cbloroxytétrahydrotarfaranedicarbooique C^H'^GIO* obtenu par
l'action du chlore, fond à 95° (prismes sol. dans l'eau, renfermant
i,5H«0).
Vac, Y (voy, les mémoires précédents) résulte du chauffage pro-
longé de l'ac. p avec un alcali ; il crislallise en paillettes sol. dans
l'eau et l'alcool, insol. dans le benzène et CHCP; il se décompose
sans fondre vers 194° et fournit par réduction au moyen de l'amal-
game de Na un mélange des deux ac. létrahydrofurfuranedicarbo-
niques stéréo-isomériques. Le dibromure, préparé en sol. chloro-
lormique est peu stable, et cristallise en prismes sol. dans l'eau et
l'alcool, insol. dans CHCl^, le benzène et la ligroïne.
p. FHEUNDLER.
8ar Tanhydride de l'acide pyromuciqae ; Erich BADH(Z>. cb,
G., t. 34, p. 2505; 28.9.1901). — En faisant réagir le chlorure
de l'acide pyromucique sur une solution aqueuse de méthylamine
1110 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGEKSS.
en présence de carbonate de soude, l'auteur a obfervé la formation
de V anhydride de Facide pyromucique. Celte réaction est analogue
à celle qui a été décrite récemment par Wedekind et qui consiste
à préparer les anhydrides en partant de leurs chlorures et en opé-
rant en solution aqueuse en présence d*amines tertiaires. L'au^
teur a donc préparé l'anhydride en question en mélangeant les
solutions éthérées de 2 gr. de pyridine et de 3 gr. de chlorure de
l'acide pyromucique, puis traitant le produit de la réaction avec de
l'eau. Cet anhydride se forme cependant avec un meilleur rende-
ment par Taction du chlorure sur les sels de sodium ou d'argent
de l'acide pyromucique. Il cristallise dans l'alcool en aigruilles fines
et blanches, F. 73<» et Kb. 825*». En le dissolvant à chaud dans la
phénylhydrazine, on obtient la phénylbydrazide de Facide pyny-
mucique qui cristallise dans l'alcool en prismes incolores, F. 1 42*.
F. REVER DIN.
Note sur l'acide pyromucylhydroxamique ; Robert Howscn
PICKARD et Allen NEVILLE {Chem. Soc, t. 79, p. 847-848;
7.1901). — Vacide pyromucylhydroxamique C*H30-CO-AzH0H
a été préparé par Taction d'une sol. de AzH*OH dans l'alcool
anhydre, précipitation à l'état de sel de Cu par l'acétate de cuivre
et décomp. par H*S. Cet acide crist. dans l'eau en aig. F. 124*;
donne une coloration rouge cerise avec FeCl^.
L'acide benzoylpyromucylhydroxamique
G*H30-C(0H) = AzO-CO-Cnis ,
est obtenu par l'action de C^H*COCl, en présence d'acétate de
sodium sur le corps précédent. Il crist. dans l'alcool en aig. F. 134';
ses se/5 de sodium et d'ammonium sont précipités par addition
d'éther à leur sol. alcoolique. a. valeur.
Synthèse de la 3-oxychromone; St. yen KOSTANECKI, L
PADLet J. TAMBOR {D, ch. G, t.34, p. 2475; 28.9.1901). -
Schall et Dralle ont reconnu qu'un produit d'oxydation de la bré-
siline était constitué par le 3-oxychromonol; il était donc intéres-
sant en vue d'une future synthèse de la brésiline et de l'hématho-
xyline d'étendre le champ de nos connaissances dans le groupe d^
de la chromone. Les auteurs se sont proposé en particulier de
préparer la 3-oxychromone. En condensant Téther monoétbyliquff
de la résacétophénone en présence de sodium métallique avec
GinMIB ORGANIQUE. 1111
l'éther diétbylique de l'acide oxalique, ils ont obtenu Vétber étby^
Uqae de f acide 4^thoxy'8'Oxy'benzoyIpyrotarlriqiie
(G2H50)(OH)C6H3-CO-GH2-CO-COOC2H5,
(*) (t) (t)
qui cristallise en prismes, F. 99-100'' et dont la solution alcoolique
ost colorée par FeCl* en rouge sale. Cet éther bouilli avec HCl se
transforme en acide S'éthoxycbromone-^-cavbonique
0
C^H50r^^^|G-C00H
'cH
GO
qui cristallise dans Talcool en aiguilles prismatiques, F. 234®*
Chauffé à son point de fusion, Tacide ainsi obtenu dégage de
l'acide carbonique pour se transformer en S-étboxychromoae
0
G^KV^^V^iGH
'gh
GO
w
uj'
Ce composé, qui cristallise dans l'alcool étendu en longues
aiguilles, F. 120-i21^ perd son groupe éthyle par l'action pro-
longée de HI, de D = 1.9,à chaud, pour donner la S-oxychromone
Le produit ainsi obtenu cristallise dans l'eau en aiguilles blanches
F. 218% il est facilement soluble dans la lessive de soude.
En faisant réagir i'éther diéthylique de l'acide oxalique sur les
éthers diéthyliques de la résacétophénone et de la quinacétophé-
Done, les auteurs avaient obtenu Vétber étbylique de Pacide 2,4-
diélboxybenzoyl-pyrotaNrique aiguilles jaunes, F. 152® et le
dérivé correspondant 2.5 , prismes jaunes, F. 90°, mais les p-dicé-
iones ne se laissent pas transformer aussi facilement que les autres
en dérivés de la chromone. p. rcverdin.
Recherches dans le groupe de la chromone ; St. yen KOS-
TARECKI et L. LLOTD {D. cb. G., t. 34, p. 2942 ; 28.9.1901). —
Kosianecki et Rozjxki ont montré récemment que les produits de
lut ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
condensation obtenus par Nagaï et Tahara, en faisant bouillir le
phénol ou la résacétophénone avec de Tanhydride acétique et de
l'acétate de sodium anhydre étaient des dérivés de la chromone.
Ce fait étant acquis pour les produits principaux qui avaient été
isolés, il s'agissait de vérifier aussi la constitution des produits
secondaires, tels que Thydroxyacétylpéonol et le dihydromélhyl-
acétylpéonol que Nagaï avait obtenus au moyen du dihydrodiacétyl-
péonol. Les auteurs ont montré que les propriétés de l'hydroxy-
acétylpionol correspondaient avec la supposition qu'il ^constituait
la 4-méthoxy-2-oxy-benzoylacétone et que le dihydroraéthylacé-
tylpéonol constituait la 3-méthoxy-a-p-diméthylchromone. Ils dé-
crivent dans le mémoire en question comment ils ont fait la
synthèse de cette dernière qu'ils ont identifiée avec le composé de
Nagaï et Tahara.
Ils ont préparé les éthers monoéthylique et diéthylique de h
propionylrésorcine ; ils ont fait réagir sur le premier de ceô éthers
Tanhydride acétique en présence d*acétate de sodium. Dans ce
cas ils ont obtenu la S-étboxy-oL-^diméthylchromone qui fonda
124** et se dissout dans Tacide sulfurique concentré avec une
fluorescence violet-bleu. Ce composé bouilli pendant quelque
temps avec de Tacide iodhydrique concentré, se transforme en une
combinaison soluble dans les alcalis, la S-oxy-ct-p-dimélbylchrch
money qui cristallise dans l'alcool en jolis prismes rhombique»,
F. 262*, solubles dans H*SO* conc. avec une fluorescence bleu-
violet et dont le dérivé acétylé est en longues aiguilles, F. iiô*.
En chaufi'ant avec Tiodure de méthyle en présence de potasse
caustique la solution alcoolique de Toxydiméthylchromone, on
obtient son éther méthylique, la 3-mélhoxy»oL-p'dimélhylcbr(h
mone :
0
GH3o/\>^GGH3
"^J^JGCH3
co
qui est en aiguilles, fusibles à 126-127<» et est identique au dihy-
drométhylacétylpéonol de Nagaï,
On peut aussi facilement préparer ce composé en méthylaat Is
propionylrésorcine et chauffant pendant trois heures avec de
l'anhydride acétique et de l'acétate de sodium déshydraté Yéiher
-ainsi obtenu.
Les auteurs ont, en outre, étudié l'action de l'éther éthylaeéliqu^
sur l'éther diéthylique de la propionylrésorcine. En faisant celle
CHIMIE ORGANIQUE. 1113
réaction en présence de sodium granulé, ils ont obtenu la 2A'dié-
tbcxy-benzoyUmétbylacétone :
(C2HK))a-.C6H3-CO-.CH-CO-CH3
«•* I
qui se présente sous forme de feuillets blancs fusibles à lâ'^yB et
dont la solution alcoolique n'est pas colorée par FeCl*.
Celte p-dicétone bouillie pendant une heure avec de l'acide
iodhydrique fournit la S-étboxy-or-p-diméthylchromone identique au
composé dont il a été question plus haut et bouillie plus longtemps
la 8-oxy-a-p-diméthylchromone.
Enfin les auteurs ont examiné comment se comportait à la mé-
thylation la 2.4-diéthoxybenzoyl-acétone et ils ont trouvé que le
produit obtenu, la ^Â'diéthoxybenzoylmétbyhcélone, F. 72<»,5,
était identique à celui qui se forme lorsqu'on fait réagir Téther
éthylacétique sur Téther diéthylique^de la propionylrésorcine.
F. RBVBRDIN.
Rédaction de ra-Y-dibenzoylpropane et du dibenzoyldiphé-
nylbutadiéne ; Francis R. JÂPP et ArtharC.MICHIE [Cbem, Soc,
t. 79, p.lOlO; 8.1901).— J.Wisliscenus et C. K. Kuhn (Lieb. Ann.
Cb,, t. 302| p. 191-244 ; 1898) ont obtenu par la réduction de
la-T-dibenzoylpropane C«H»-CO •CH«-CH«-CH«-.CO-C«H» au moyen
de Na en liq. éthérée, une huile jaune pâle qu'ils ont considérée
comme étant le 1.2-diphényl-1.2-dioxycyclopentane :
C«H5-CiOH)-CH\
I >CH2.
G6H5-G(OH)-GH2/
Les auteurs montrent que cette huile est en réalité un mélange
complexe, d'où ils ont isolé cinq substances : 1** La pinacone
cyclique dont il est question ci-dessus, F. 108-101^,5, qui crist.
dans l'acide acétique en retenant 1 mol. de ce solvant: cette pina-
cone constitue environ 50 0/0 de l'huile et peut être obtenue
beaucoup plus facilement par l'action de l'amalgame d'aluminium
sur la sol. alcoolique bouillante du dibenzoylpropane ; 2* Une
petite quantité de a-t'dipbényî'a-t-dioxypentane :
C6H5-.CHOH-CH5-CH2-CH2-CHOH.C«H5,
F. 84-88**, que l'on obtient en plus grrande quantité, en effectuant la
réduction par addition de Na à la sol. du dibenzoylpropane dans
l'alcool absolu bouillant; d*" De l'a-Y-dibenzoylpropane inaltéré;
1114 ANALYSE DES TRAVAUX ËTRANGEHS.
4* Une huile incolore soluble dans la ligroïne ; 5* Une résine jaiuiH
insoluble dans la ligroîne.
L'oxydation de la pinacone cyclique par CrCP en sol. acéliifue,
régénère le dibenzoyipropane.
Le diphénylcyclopentane, F. 108°, obtenu par Wisliceaus el
Kuhn, dians la réduction de l'huile jaune pâle par l'aclioa d« HI,
serait d'après les auteurs une substance hauteineotpolyméri&ée;
en effet ce comp. ae bout pas à 340* sous 12 mm., tandis que le
1-2-diphényIcyclopentane, F. 47*, de Japp et Burtoo bout à 189*
BOUS 12 rom.
Par réduction du diphényldibenzoylbutadiène par Hl en liq.
acétique, les auteurs ont obtenu de l'acétophénone et du S.S-à-
triphénylfavfarene, P. 92-94" :
C«Hï-C — CH
C«H5-C C-C«HS
Y
que Wisliceuus et Lehmann avaient considéré comme étant unt?
substance de constilutioa indélerminée répondant k la composi-
tion C»<»H'*0. A, VALEUR.
Homologaes de l'anhydracétonebeDÙle ; Francis R. JAPPAI
Andrew N. HELDRDH (Chem. Soc, t. 79, p. iO2i-104<; 8.1901).
— Japp et Lander {BalL Soc. chiai. 1897, t. 18, p. 700) ont dé-
montré que l'anhydracétonebenzile est une diphénylcyclopenténo-
lone :
ÇSH'-C CH (a)
I >co.
G6HS-C(0H)-CH> (?)
Les auteurs ont préparé des homologues de ce composé.
La condensation du benzîle avec la méthyléthylcétone fournit
presque exclusivement l'isomère a quand la potasse alcoolique est
employée; avec la potasse aq, l'isomère p est en léger excès. —
■lenhj'dracéloiiebemile crist. dans l'alcool chaud, F. 118*.
ylanhydracétone-benzile, F, 180°, a été décrite par Japp
{Chem. Soc. 1887, 1. 1, p. 181) ; chauffée avec de l'acide
elle se transforme en désyli-ne-mélhyl-éibylcUone :
C«H'-G=CH-CO-G3H5
Ce comp. se Terme encore dans la préparation de la
CHIMIE OHOANIQUE. 1115
p-méthylanhydracétonebenzile; il se transforme en . celle-ci par
chauffe à 830*.
Bettzylidène-aL-méthylanhydvacétonebenzile :
C«H5.G=C(CH3)
I >co
G«H!i-C(0H).C=CH-.C«H5
fourni par condensation de la benzaldéhyde avec Ta-méthylanhy-
dracétonebenzile, en présence de potasse alcoolique, crist. dans
l'acide acétique en prismes rectangulaires, F. 225*. Déshydratés
par chauffe avec les acides acétique (a) formique (p), Ta et le p-mé-
thylanhydracétonebenzile fournissent un même composé C^^H^^O*,
F. 230* (décomp.). L'acide acétique transforme simplement le p en
désylèneméthylélhylcétone. Réduits par HI fumant, ils donnent
tous deux naissance à la méibyhUpbénylcyclopenténone :
Il >co,
C6H5.G GH2/
qui crist. dans la ligroïne en prismes ou plaques, F. 77-88*, dont
la phénylhydrazoae, crist. en prismes jaunes se décomp. à 145-
152«.
Par réduction plus complète au moyen de Ph-j-HI, Ta-méthyl-
anhydracétonebenzile a été transformé en l-mélhyl-2.3-diphényl-
cyclopentane déjà obtenu par Japp et Murray {BulL Soc. chim.
1897, 1. 18, p. 702), par réduction de l'acide a-anhydrobenzillévu-
Uque.
L Vméthylanhydracétonebenzile se condense avec le benzile, en
présence de potasse alcoolique, pour former Vx-méthylanhydracé-
tônedibenzile C'H^^O*, qui crist. en aig. soyeuses, F. 185<» et en
crist. verruqueux.
Ce comp. est ainsi obtenu sous forme de sel de K complexe
C»tHt50*K, C3«H2«0*, 4C«H50H qu'on décompose par l'acide acé-
tique .
Par ébullilion avec de l'alcool contenant quelques gouttes de
SO*H*, la-méthylanhydracétonedibenzile est éthérifié et fournit
le composé G3»H«»(0C«H«)03, F. 250\
La condensation du benzile avec la diéthylcétone, en présence de
potasse aq. ou alcoolique, fournit : Va-désylène-éthyl-éthylcétone
G«H5-G=C(GH3)-CO-C2H5
G«H5-C0
crist. dans l'alcool en prismes, F. 128«, beaucoup plus facilement
Iil6 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTHANGERS.
attaqué par MnO*K que le suivant et VoL.^-dimétbylaiibydracéione'
benzile :
ÇeRS-C C(CH3).
I >G0,
qui crist. dans l'alcool en prismes, F. 150**. L'a-désylène-éthyl-
éthylcétone se transforme en a.p-diméthylanhydracétonebenzile
par action de la chaleur.
Avec la méthylisopropylcétono et le benzile, les auteurs ont
obtenu le p^^-diméthylanhydracétonebenzile qui crist. dans l'alcool
en plaques, F. 181° ; la méthyl-4-propylcétone fournil Va^éthyl-
anhydracétonebenzile, F. 114**, et l'isomère p, F. 156**, déjà pré-
paré par Japp et Burton.
Le benzylidène'Oi-éthylanhydracétonebenzyle :
G6H5-C=C(G2H5)
C6H5-C(OH)-.C=CH-C6H5
commence à fondre à 162-166*, F. 178*». — L'éthylisopropylcétooe
donne VcL^^-triméibylanhydracétonebenzile . aig. prismatiques,
F. 13^.
La condensation du benzile et de la méthyle-n.-butylcétone a
fourni VoL-ih-propylanhydracétonebenzile, crist. dans rah?ool en
plaques, F. 89° et la p-n.'propylanhydracétonebeDzile en prismes
F. 152°. — Le benzylidène-a-n.'propylanbydracétonebenzile :
G6H5.C=C(GH3)
I >G0
G«H5-G(OH)-G=GH-G«H5
crist. dans l'alcool chaud en lames, F. 166°. — Uft^-diéthylanhy-
, , C«H5-C==C(C«H»)v^^
dracetonebonzile i >C0 résultant de la con-
C«H5-C{0H)-CH(C«H5)/
densation du benzile avec la dipropylcétone, crist. dans l'alcool,
F. 113-114°. La même condensation effectuée avec la mélhyl-D.-
hexylcétone fournit, dans certaines conditions, à la fois l'a-n.-
amylanhydracétonebenzile, F. 57°, et la p-n.-amyïanhydracétone'
benzile^ F. 150°,5. — Le benzyIidène-oL'n,-amylanb}dracétooe'
benzile crist. dans l'alcool bouillant en aig. incolores, F. 156°.
A. VALEUR.
Etudes dans la série camphanique (4° partie). Isomérie de
l'a-benzoylcamphre ; Martin Onslow FORSTER (Cbem. Soc,
t. 79, p. 987-1003; 8.1901).— L'auteur a fait connaître antérieure-
CHIMIE ORGANIQUE. 1117
ment (Bull. soc. Cbim., t. 25, p. 800-801; 1901) une modification
ënolique du camphre, le 1-oxycamphène C®H*V m . Ce composé
ne possède aucune des propriétés des dérivés énoliques; cette
anomalie tiendrait à ce (ait que aucun groupe acidique n*est Axé
à l'atome voisin du carbone portant TOH. Pour le démontrer
yCC0C«H5
Tauteur a préparé Toxybenzoylcamphène C®H* V n dont le
caractère énolique a été trouvé très marqué.
En faisant agir le chlorure de benzoyle sur le camphre sodé de
<C-C0-C«H5
II
(>0-C0C«H5
qui crist. dans Talcool chaud en prismes F. 144* insol. dans l'eau
peu sol. dans Talcool froid, sol. dans la plupart des solvants org.
[a]j^ = + 189*,7 en sol. chloroformique à 22- et [a]„ = + 187*,3
dans l'alcool absolu à 27"".
Il est volatil avec la vapeur d'eau. Chauffé avec de l'aniline ou
de la phénylhydrazine, il fournit le l-oxy-2-benzoylcamphène.
L'action de SO*H* à 0* produit un mélange de forme énolique et
cétonique de Tx-benzoylcamphre.
/CC0C«H5
Le l'Oxy'2'benzoykampbène C®H*V n s'obtient le
mieux en chauffant pendant 2 heures le dérivé dibenzoylé avec de
la potasse en milieu alcoolique. Il crist. dans l'alcool absolu en
octaèdres aplatis F. 89* et donnant en sol. chloroformique à 21*
[a]^=:-f 281*,1 et en sol. alcoolique [a]^=4-262*,2; après quel-
ques heures d'exposition à la lumière, les pouvoirs rotatoires
deviennent respectivement [fli]jj = + 216* et [a]^ = -{-208* par
transformation partielle en forme cétonique. Le l-oxy-2-benzoyU
camphène est insol. dans Teau, sol. dans les sol. org.; sa sol.
alcoolique donne immédiatement une col. pourpre avec FeCi'. Il
fournit un dérivé sodé C*''H**0*Na sol. dans l'eau et l'alcool en se
dissociant, un sel de cuivre (C^H^^O^j^Cu insol. dans Teau, sol.
en vert brunâtre dans le benzène, le chloroforme, le nitrobenzène
et en vert dans l'acétone et l'alcool. Il crist. en aig. dans Talcool
méthylique bouillant; se/ /err/yue (C**'H**0';^Fe formé parTaction
de FeCl^ en sol. alcoolique sur une sol. éthérée d'oxybenzoylcam-
phène, en présence d'une sol. aqueuse d'acétate de sodium, insol.
dans l'eau sol. dans les solv. org.
Par Taction du chlorure de benzoyle à 0*, en présence de pyri-
1118 ANALYSE. UBS TRAVAUX ETKANGEKï:.
dioe, le l-oxy-2-beiizoylcamphàne régénère le beozoxybeozoyl-
camphène. L'action de la chaleur ou de l'acide suiruritjue à froid
le transforme partiellemenl en forme cétonique.
<CH-CO-C«H''
i a été obtenu en cbaul-
faot à l'ébullition pendant 4 heures le l-oxy-S-benzoylcamphèiu
avec de l'acide formlque. 1! crisl. dans l'alcool en priâmes ortlio-
rhombiques F. 87-88° et ne donnant pas immédiatement de colo-
ration avec FeCl^ mais après quelques instants.
A 21° on trouve, en sol. chlorolormique \a]^ = -\~ 125° et en boL
dans l'alcool absolu [ajo— + 137'',5. Il est peu sol. dans lesalcooli
méthylique et étbybque, sol. dans les eolv. org. usuels, peu sol.
dans le pétrole bouillant, qui dissout 1res facilement la modillct-
tion énolique. Chauffé à 100" pendant 4 heures, ra-benzojlcainplire
se tranforme en l-oxy-2-benzoylcamphène.
Une sol. chloroformique de l'un ou l'autre iKomère se trans-
forme surtout en présence de pipéridine en un mélange de rotation
[«)„^-|-216' correspondant approximativement à 3 mol. de célooe
pour j de dérivé énolique.
Le l-oxy-2-benzoylcamphène s'unit avec la phénylcarbimide en
en donnant le phénylurélhane du i -ox y-3-bemoylcamphèae
<C-C0-C6H»
Il qui crisl. dans l'alcool bouillant F. 111*
t-O-CO-AzH-CflH»
[a]p^ + 190'',8 dans le chloroforme à 21"', ne donne pas de colo-
ration par FeCl'.
Le i-acétoxy-S-bemoylcamphène C*H**< ii a été
XG-O-GO-CHa
préparé par l'action de l'anhydride acétique sur le 1 -oxy-X-beazoyl-
camphène; il crist. dans l'alcool en plaques rectangulaires F. 10~*
[«]„ = I93=,6 en sol. dans CHGl» à 21° et [«|„=i88',3 dans l'alcool
absolu à SI"; il se dissout dans SO*H* en donnant un mélange d«s
deux benzoyl camp lires où prédomine la modification énolique.
A. VALEUH.
iB dans la série camphaniqne (5* partie). Dérivés ba)o-
11 p.-cyméne obtenas an moyen das nitrocamphaiiM
lès; Martin OdsIow FORSTER et William ROBERTSOff
Soc, t. 79, p. 1003-1010; 8.(901). — Les auteurs ont
n sous-produit obtenu, à côté de l'anhydride C'*'H'*OAzBr
a traite le l.l-bromonitrocampbaoe par l'acide sulfVirique
CHIMIE ORGANIQUE. 1U9
concentré. Cette substance est formée pour la plus grande fuirtie
de bromo-p.-cymène C«H3(CH3)(Br)(C3Hi) 1.2.4.
U anhydride du cbloroaUrocampbane C*®H**0A2C1 a été obtenu
par Faction de SO*H* à 0* sur le chloronitrocamphane ; il crist.
dans l'alcool chaud en prismes, noircissant vers 200"", F. 230''
(décorop.) sol. dans le benzène et Tacétate d*éthyle; il se forme à
côté de ce composé, le chlorocymène C«H«(CH3)(C1)(C3H"') 1.2.4,
Kb. 211-212<» sous 768 mm., D = 1,0122 à 16^ L'anhydride du
chloronitrocamphane, chauffé en sol. alcoolique avec HCl, se trans-
forme en un isomère F. 248* et dont le dérivé benzoyié crist. dans
l*alcool en feuillets blancs F, lOÔ"".
Chauffé pendant quelques minutes avec AzO^H (D = l,52), cet
isomère fournit un dérivé C^^H^^O^Az^Br crist. dans Talcool en
prismes F. 103"" et donnant la réaction des dérivés nitrosés de
Liebermann.
Traité par Thydroxylamine en milieu alcoohque, l'anhydride du
chloronitrocamphane fournit un dérivé hydroxylaminé F. 187®
(décomp.) réduisant AzO^Ag ammoniacal et dont le dérivé benzoyié
crist. en aig. blanches F. 164* sans action sur le nitrate d'argent
ammoniacal.
L'isomère F. 248* du 1 . 1-chloronitrocamphane, chauffé pendant
une minute avec de l'acide nitrique fumant, fournit un dérivé
GtoH«H)'Az*Cl qui crist. dans l'alcool en prismes F. 71-72* sol.
dans le benzène, l'acide et Téther acétiques.
Par l'action de la soude caustique, il fournit, comme le dérivé
brome correspondant, l'infracampholénonitrile ; il donne également
la réaction de Liebermann. a. valeur.
Sur l'acide camphorique; acide campholjrtique racémique
et acide dihydro-oxycampholjrtiquo racémiqne; W. A. NOTES
etW. M. BLANCHARD {Am. Journ., t. 26, p. 281-292; 9.1901).
' — L'ac. a-campholytique racémique préparé par la méthode de
Walker et Cormuk, bout à 127* sous 14 mm.; il fond à 31* et n'a
pu être dédoublé d'une façon bien nette.
PO* H
L'ac. dihydro-oxy-campholy tique C«H«*<qjj , qui se forme
dans la même réaction, cristallise dans l'eau ou l'éther acétique en
aiguilles f. à 176*. KMnO* ne l'attaque pas. SO*H« dilué chaud le
transforme en ac. p-campholytique. — Cet ac. a pu être dédoublé
au moyen de la str^xhnine; les ac. actifs fondent à 132*;
(a)^ = ±62*,3 — 64.3.
Vac. dibydro-a'Campbolytique racémique a été obtenu en
1120 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
réduisant par .la poudre de Za et d*alcool l'iodhydrale de Tac.
a-campholytique (Blanc) ; il bout à 245-247*» et est entraîné par les
vapeurs d'eau. L*amide cristallise en aiguilles f. à lOd-lOi*;
KMnO* ne Tattaque pas non plus que Tacide. Le brome réagit sur
le chlorure en tube scellé en donnant (après décomposition par
Teau glacée), Vac,'(X'bromO'dibydr(Hk<ampbolytique racémique;
aiguilles (de Tac. formique), f. à 148*.
Traité par KOH alcool., ce composé se transforme en ae. A*-
campbolytique (aiguilles f. à 90-91*, sol. dans la ligroîne, déco-
lorant KMnO* en sol. alcaline). Uatnide fond à 90* (lamelles sol.
dans la ligi'oïne). L'ac. précédent n*est pas transformé en ac.
p-campholy tique par SO*H« dilué; on l'obtient aussi en Iraitant
l*éther a-bromodihydrocampholy tique par Teau de baryte; il se
forme en même temps de Tac. a-hydroxylé huileux.
p. FRBUNDLER.
Sur la bilirubine, la matière colorante de la bile ; W. R.
ORNDORFF et J. E. TEEPLE {Am. Journ,, t. 26, p.86-92; 7.i901).
— La bilirubine a été purifiée par dissolution dans CHCl^, préci-
pitation par Talcool et cristallisation dans la diméthylaniliae. Elle
se présente sous forme d'aiguilles jaune rougeâtre de formule
probable C3*H3«Az*0^ (et non G*«H«8A2«0»). Elle ne renferme pas
de groupement alcoyloxylé mais par contre un groupement alcoylé
rattaché à l'azote. p. frbundlbr.
Sur la chimie de la chlorophylle. Passage de la phyllocya*
nine à l'hémopyrrol ; M. NENEI et L. MARCHLEWSEI (Z>. cb. C*
t. 34, p. 1687; 6. 1901). — Si l'on soumet la phyllocyanine, sous
forme d'un sel double avec l'acétate de cuivre, à l'action réduc-
trice de l'acide iodhydrique et de i'iodure de phosphonium, on
obtient de l'hémopyrrol qui peut être isolé sous forme de combi-
naison avec le bichlorure de mercure. Ce fait confirme les rapports
de l'hématoporphyrine et de la phylloporphyrine. a. héb£rt.
Sur la présence du maltol dans les aiguilles de rAhiat
alba ; W. FEUERSTEIN {D. cb. G., t. 34, p. 1804 ; 6.1901). — Le
maltol C^H^O', peut être extrait des aiguilles du sapin argenté
(Abies alba) par macération avec l'eau et est identique avec celui
préparé à partir du malt par Brand et par Kiliani et Bazlen ; il
cristallise de l'alcool dilué en aiguilles longues et soyeuses, et fond
à 159<». A. HlbERT.
CHIMIE OËNËRALB ET MINÉRALE. 1121
CHIMIE GÉNÉRALE ET IINÉRALE.
Nitrilosttlf aies : Edward DIVERS et Tamemasa HA6A (Chenu
Soc, t. 79, p. 1093; 8.1901). — Les sels d'ammonium et de potas-
sium ont été obtenus par Frémy (1845) et un sel double de potas-
sium et de sodium S03Na.Az(S03K)« par Raschig (1887). Le sel
d'ammonium, de composition Az(S0'AzH*)3 est l'un des plus inté-
ressants. Le nitrilosulfate de sodium est très soluble et n'avait pu
être encore isolé; on peut l'obtenir en faisant passer un courant
d'acide sulfureux dans la solution la plus concentrée possible de
nilrite et de carbonate de soude, dans le rapport de deux molé-
cules du premier pour trois du second jusqu'à ce que le nouveau
sel commence à cristalliser. Il forme des prismes renfermant 5H*0
et très instables; il est neutre au tournesol. En traitant sa dissolu-
tion concentrée par une solution de chlonire de baryum faiblement
alcaline, il se forme un précipité floconneux, qui devient cristallin,
de nitrilosulfate de barj'um ou de baryum et de sodium.
A. VALEUR.
Imidosnlfites d'ammoninm et antres; Edward DIVERS et
Hasataka OGAWA fCAeœ. Soc, t. 79, p. 1099; 8.1901). — Les
auteurs avaient obtenu Timidosulfite d'ammonium par décomposi-
tion de Tamidosulfite; ils le séparent par dissolution à cbaud dans
Talcool à 90 0/0, après avoir employé l'alcool à 95 0/0 h extraire
une autre matière cristalline et une substance rouge.
L'imidosulflte est constitué par de petits prismes, durs et bril-
lants, un peu déliquescents, neutres au tournesol, de saveur sulfu-
reuse. Ce corps se décompose par la chaleur en se sublimant
partiellement; le résidu restant après 150* est formé de soufre,
sulfate et imidosulfate. Le sel est très soluble dans l'eau et se
décompose légèrement en solution; par ébullition avec l'acide
chlorhydrique, il donne du soufre, de l'acide sulfureux et de l'acide
amidosulfurique, le soufre et l'acide sulfureux représentant, vrai-
semblablement, du thiosulfate décomposé :
2 AiH(S02AzH^)2 + WO = 2 AzH^SO^AzH* + S203(AzHi)2.
L'imidosulflte d'ammonium donne un sel de baryum soluble dans
l'acide chlorhydrique. Les imidosulfites de potassium et de baryum
et ammonium ont aussi été préparés et sont des sels cristallins
SOlubleS. A. HÉBEHT.
800. GHiM., 3* SRR., T. XXVI, 1901.— TraT. ètrang. 71
1122 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS-
Sur la préparation de roxychlomre du phosphore; J. ULU
MANN et A. FORNARO (/>. et. G., t. 34, p. 2172; 20.7.1901). -
L'auteur applique à la méthode de M. Dervin (C. /?., t. 97, p. olf)»
pour la préparation de POGl* un dispositif calqué sur celle de
M. Graebe (/>. cb. C, t. 34, p. 650) pour celle de PCP et recom-
mande de faire toujours usage d*un appareil et de réactifs par-
faitement desséchés. Dans un ballon de 100-150 ce. on met 16 gr.
de chlorate de potassium (ou de sodium) en poudre et 20 gr. à*o\y
chlorure de phosphore destiné à modérer la réaction, on surmook
Tappareil d'un large récipient à boules, et par le tube de celui-a,
on fait couler par petites portions, d'un entonnoir à robinet, 50 gr.
de trichlorure de phosphore. Les premières gouttes réag'isseat très
vivement, mais à la fin la réaction se calme. Finalement, ou dis-
tille dans un bain d'huile chauffé à 130"^; rendement presque théo-
rique. L. BOURGEOIS.
Préparation de rantimoniura d'hydrogène à l'état de pureté.
A. STOCK et W. DOHT (/>. cA. G., t. 34, p. 2339-2344; 20.7.11101 .
— Après un résumé avec bibliographie de tous les travaux fait-
sur SbH^, et notamment du dernier d'entre eux, celui de M. Olszewski
{ibid. t. 21, p. 2546 et t. 22, p. 3202) les auteurs exposent qu'ope-
rant dans des conditions analogues à celles de M. Olszewski, il^
ont pour la première fois réussi à isoler ce gaz, qui offre aïor^
encore une certaine stabilité relative. Par l'attaque d'un alliage de
25 p. de Sb avec 75 p. de Zn, à l'aide de HCl étendu en pr^
sence d'un peu d'ac. tartrique, attaque qui se fait dans des tubes à
essai sur de petites portions, on a obtenu de Tantimoniure d'hydro-
gène, toujours dilué dans un grand excès d'hydrogène libre. Ce
mélange gazeux lavé dans des flacons garnis d'eau à 0**, puî^
desséché par P*0*, est dirigé dans un tube en U refroidi par de
l'air liquide. On voit aussitôt se déposer aux points les plus froici^
un anneau formé d'un enduit solide blanc, parfois de petits cris-
taux; ce corps est SbH^ pur. Si l'on sort le tube deTair liquide, le
corps fond en une goutte limpide, puis s'évapore sans résida et
donne du gaz SbH^ p«r qu'on peut recueillir sur le mercure;*
l'abri de l'air et si l'éprou vette est bien propre, on peut le conserver
inaltéré pendant quelques heures, même à la lumière. Maitf '<
moindre trace d'air (à l'état dç gaz ou même de dissolution dao?
l'eau) décompose instantanément le gaz avec dépôt d'antimoiflo.
Le gaz se détruit encore intégralement par la chaleur (un tube à |
essai chauffé au bec Bunsen donne un beau miroir d'antimoine/,
ou encore dans l'eudiomètre, par une seule étincelle électrique; d
CHIMIE GÉNÉRALE ET MINÉRALE. Ii2$
y a alors explosion, et dépôt d'un nuage gris d'antimoine qui finit
par s'amalgamer. Le vol. gazeux passe alors de 1 à 1,5, ce qui
confirme la formule SbH*. La présence d'hydrogène en excès
ralentit ou arrête même cette décomposition explosive. La densité
gazeuse est 61,65-61,83 par rapport à H (cale, pour SbH^, 61,5) et
4^291-4,303 par rapport h l'air. L'odeur est méphitique, très carac-
téristique, rappelant un peu celle de H*S, mais très différente de
celles de PH* et AsH^. l. bourgeois.
Sur la décompcaition de l'acide carbonique soumis aux
décharges électriques à basse pression; J. Norman COLLIE
[Cbem. Soc, t. 79, p. 1063; 8.1901). — Pour cette étude, l'auteur
s'est servi d'un appareil spécial dont la description et le dessin se
trouvent dans le mémoire original. Une série d'expériences a donné
les résultats ci-dessous : l'anhydride carbonique étant soumis sous
une pression de 5 mm. dans un tube à vide, à l'action de l'étincelle
électrique, 63 0/0 du gaz sont décomposés au bout de 10. minutes
en oxyde de carbone et oxygène. En 15 secondes, la décomposition
est déjà de 48 0/0 et quand le gaz est soumis à l'étincelle pendant
10 secondes à 10, 8 et 1 mm. de pression, 32,55 et 65 0/0 en sont
respectivement décomposés.
La plupart de ces expériences étaient faites avec des électrodes
en platine; celles en aluminium donnent une décomposition plus
élevée. Si les électrodes de platine rougissent, la recombinaison
se produit.
Quand un mélange d'acide carbonique et d'hydrogène est soumis
à l'étincelle sous pression réduite, il se forme de petites quantités
d'un gaz qui parait être du méthane, et aucunement de la formai-
déhyde. Il est probable que le méthane est formé par l'action de
l'hydrogène sur l'oxyde de carbone. a, hébert.
Sur le sulfocyanogéne, le pseudosulfocyanogène et les ma-
tières colorantes jannes obtenues à partir des snlfocyanures;
A. G0LDBER6 {Journ. /. prakt, Ch,, t. 63, p. 465-495). — Long
mémoire non résumable. r. marquis.
Composés métalliques ammoniacaux en solutions aqueuses
(3* partie). Sels des métaux alcalino-terreux; H. M. DAWSON
et J. Mo. CRAE (Chem, Soc, t. 79, p. 1069; 8.1901). — Continuant
leurs expériences sur les combinaisons ammoniacales des sels
métalliques par la méthode indiquée dans de {)récédenls mémoires,
les auteurs ont constaté que, si l'on ajoute de l'ammoniaque à des
solutions aqueuses de sels alcalino-terreux à 20°, les ions calcium
sont ceux qui forment le plus facilement, quoiqu'à un faible degré,
1124 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
des ions complexes avec Tammoniaque, tandis que les ions stron-
tium, et surtout baryum les forment le plus difficilement.
A. HÉBERT.
Composés métalliques ammoniacaux en solutions aqueuseï
(i'' partie). Influence de la température sur la dissociation dn
sulfate de cuivre ammoniacal; H. M. DAWSON et J. Mo CRIE
(Chem. Soc, t. 79, p. 1072; 8.1901). —Dans ce mémoire, lei-
auteurs étudient la distribution de l'ammoniaque entre Teau et le
chloroforme à des températures variées, puis ils font des expé-
riences à 10 et à 30* avec des solutions de sulfate de cuivre; il>
arrivent à la conclusion que le sulfate de cuivre ftxe plus d'ammo-
niaque à basse qu*à haute température. a. hkbkrt.
Sur les hydrates du chlorure chromique; A. WERHER et
Al. GOBSER {IJ. ch. G., t. 34, p. 1579-1604; 8.6.1901). — Repre-
nant rétude de ces sels, les auteurs distinguent quatre hydrate-
définis du sesquichlorure de chrome : les deux premiers sont iso-
mères, de formule CrKîl«+12H*0, ce sont le chlorure bleu-gri^
(de la série des sels violets) isolé par M. Recoura (C -W., t. iOU,
p. 515 et 542) et le chlorure vert ordinaire de Péligot, fee dernier
pouvant encore former deux autres hydrates décrits par M. Goàe-
froy (G. /?., 1. 100, p. 105) avec 20H«O et 8H«0.
Chlorure bleu-gris, Cr«Cl« + 12H«0. — SUsole à l'état de puretf.
lorsqu*on sursature de gaz HCl une sol. concentrée de chlorure
vert maintenue constamment à 0**; les crist. qui se déposent sont
essorés et lavés rapidement à l'acétone, pour enlever toute trace
de chlorure vert, remis en sol. dans Feau, traités de nouveau p*/"
HGl, etc. Sel encore plus déliquescent que le chlorure vert, les soi.
aqueuses sont bleues tirant un peu sur le violet, stables à froiA
n'offrant pas de variation dans leur conductibilité électrique avec
le temps; par la chaleur elles deviennent vertes. Correspond »
Talun de chrome cristallisé; très sol. dans Talcool, infoî. dan?
l'acétone. Tout le chlore du sel en sol. aqueuse estppté par les se\B
d'argent; les auteurs comparent ce sel au chlorure purpuréo-chro-
mique hexammonié Cr^(AzH3)>«Cl®, aussi lui donnent-ils le nom àe
chlorure hexaquochromique et la formule (dédoublée) [Cr(OH«)«lCl'.
Chlorure vert, Cr«Gl«+ 12H«0. — On prépare sa sol. soit <*»
dissolvant dans Teau Cr«Cl« anhydre, soit par CrO^ et HCl; la liq-
concentrée est sursaturée par HCl gazeux, d'abord h chaud, pui*
à la T. ordinaire, sans refroidir; on termine comme dans le cas du i
chlorure violet. Sel vert clair, déliquescent, très sol. dans l'eau eï ]
dans l'alcool, peu sol. dans l'acétone, insoK dans Téther. La sol.
CHIMIE ORGANIQUE. 1125
aqueuse froide, devient, comme on sait, spontanément bleue; lors
de cette transformation, la conductibilité électrique passe du
simple au triple environ. Dans la sol. fraîche du sel vert, le tiers
seulement du chlore est précipitable par AzO^Ag. Formule pro-
posée : [Cr(OH«j*Cl^]Cl 4- 2H«0. Par l'addition à sa sol. tiède
d^une sol. de tétranitrito-diamine-cobaltammonium de Jôrgensen,
Co(AzO')*(AzH5)'AzH*, on obtient un ppté de belles lamelles vert-
jaunâtre, à éclat métallique, du sel
Cr(OH2^^C12.Go(Az02)*(AzH3)2 + 2H»0.
Le chlorure violet ne fournit rien de semblable. Quant à Thydrate
Cr*Cl* 4~ S^ï*0» c'est tout simplement le sel vert ordinaire ayant
perdu ses 2 mol. d'eau de cristallisation, soit [Cr(OH*)^Cl']Cl.
Enfin, par action du gaz HCl sur le mélange des sol. concentrées
de leurs composants, on a obtenu les trois sels doubles suivants,
dont les deux premiers déjà connus : sel vert [Cr(0H)*Cl*]C1.2CsCl;
sels rouges Cr(0H«)Cl5Rb« et Cr(OH«)Cl»Li« + 2H«0.
L. BOURGEOIS.
Sur les cyanures d'argent et de cuivre en analyse pondé-
rale; 0. BRUNCK (D. ch. G., t. 34, p. 1604-1609; 8.6.1901). —
Le cyanure d'argent est insol. dans AzO^H étendu et froid, un peu
sol- à l'ébullition ; par refroidissement il se reprécipite en partie.
Quant au cyanure cuivreux, il est comparativement bien plus sol.
que AgCy dans Tac. azotique à 5 0/0, bouillant; mais on ne peut
nettement séparer par cette méthode les deux métaux. En l'absence
de cuivre, l'argent peut être ppté quantitativement à l'état de cya-
nure, en liq. faiblement acide et au plus tiède.
On peut séparer le cuivre de l'argent par voie électrolytique en
présence d'un excès de cyanure alcahn, et avec un courant conve-
nable. On a de bons résultats avec 2 gr. de KCy pour 100 ce. de
liq., et un courant de 4 volts et 5 amp., qu'on continue à faire
passer même pendant le lavage, de l'argent déposé. Il est bon
d'ajouter un peu de KOH, pour empêcher un dépôt de paracyano-
gène. Ensuite on pourra déposer le cuivre par un courant plus
fort. L. BOURGEOIS.
CHIMIE ORGANIQUE
L'union directe du carbone et de rhydrogône (2*' partie);
William A.BONE et David S. JERDAN (Cheni, Soc, t. 79, p. 1042;
8.1901). — Les auteurs ont étudié successivement :
M26 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
1** Les gaz obtenus par l'action de l'hydrogène sur le carbone
solide dans un tube porté à 1200°;
2° Les gaz obtenus dans l'expérience de l'arc ;
8° Les expériences de diffusion avec les gaz résiduels de l'expé-
rience de l'arc;
4° La liquéfaction et la distillation fractionnée des hydrocarbures
dans les gaz de l'arc.
Les auteurs avaient déjà montré que le carbone et l'hydrogène
se combinent à 1200**, en formant un hydrocarbure saturé et que
quand l'arc électrique passe entre des charbons terminaux dans
une atmosphère d'hydrogène, il se produisait un hydrocarbure
saturé en plus de Tacétylène. Il s'établissait un équilibre défini
entre l'acétylène, l'hydrocarbure saturé, l'hydrogène et la vapeur
de carbone; on avait constaté provisoirement que l'hydrocarbure
saturé était constitué par du méthane.
Les expériences effectuées ont permis de séparer cet hydrocar-
bure de l'hydrogène en excès par le palladium, et de l'acétylène
simultanément produit dans le cas de l'arc. Les analyses des hydro-
carbures saturés résiduels ont montré qu'ils étaient formés seule-
ment de méthane dans le cas de l'action de l'hydrogène sur le
carbone à 1200° et d'un mélange de méthane et d'éthane dans le
cas de l'arc. L'état d'équilibre est caractérisé par les proportions
suivantes :
Hydrogène 90-91 %
Acétylène 7-8
Méthane i .25
Ethane 0.75
A. HUBERT.
Sur les x-dicétones symétriques de la série aliphatiqna ;
G. PONZIO {Journ. t. prakt. Ch., t. 63, p. 864-369). — I/auteur
rappelle les essais tentés par différents expérimentateurs pour
obtenir les homologues supérieurs symétriques du biacétyle. 11 les
prépare par oxydation des céiones alcools R.CO.CHOH.R.
Dipropionyle. — Le chlorure de propionyle est traité par Na
en sol. éthérée, on obtient ainsi le dipvopionate du diétbylacétylène'
C«H5-C-0-C0C«H5
qiycol u , ce dernier saponifié par KOH aqueuse
donne la propioîne C*H»-CaCHOH-C«H« laquelle est enfin oxydée
par Az05H(d= 1.37), le dipropionyle est entraîné à la vapeur, sa
dioxime fond à 185**. — La dibulyryldioxime forme des aiguilles
brillantes f. à 175*». — La dibulyryhsazone f. à 137*. — La diiso^
CHIMIE ORGANIQUE. 1127
Jbutyrjrldîoxime f. à 163-164**. — La diisovaléryldioxime i. à 195*
et la diisovalérjrlosaxone f. à 163-164*. L'auteur décrira complète-
ment ces diacétones dans un mémoire prochain, a. marquis.
Sur les acides aminés; H. METER (Mon. f. Ch., t. 21, p. 913).
— L'auteur a fait Tétude comparative des acides aminés au point
de vue de leur acidité. Long mémoire impossible à résumer.
A. WAHL.
Action du sulfocyanate de plomb sur les chlorocarbonates
(2* partie). Carboxyméthyl- et carboxyamylthiocarbimides et
leurs dérivés; Robert Elliott DORAN (Chem. Soc, t. 79, p. 906-
915; 7.1901). — L'auteur continuant ses recherches {BuH. Soc.
chim,, t. 16, p. 1430; 1896) a préparé des dérivés des carboxy-
méthyl et carboxyamylthiocarbimides, eux-mêmes obtenus par
l'action des chlorocarbonates de méthyle et d'amyle sur le sulfo-
cyanate de plomb.
ab'CarboxYméthylpbénylthiocarbamide :
CH30-C0- AzH-CS- AzH -C^HS ,
préparée au moyen de Taniline et de la carboxyméthylthiocarbi-
mide, crist. dans Talcool en aig. F. IGS"", peu sol. à froid, sol. à
chaud dans l'alcool et le benzène.
ab-Carboxjrmétbylbenzyltbîocarbamide :
CH30-CO-AzH-CS-AzH-CH3-C«H5,
crist. dans Talcool aq. en aig. F. 134'', sol. à chaud dans l'alcool
et le benzène, insol. dans l'eau.
ab' Carboxymélhyl-o.'tolyltbiocarbamide :
CH30-CO-AzH-CS-AzH-C«H*-CH3,
F. 172*>, assez sol. à chaud dans le benzène et l'alcool.
ah-Carboxymâthyl'p.-tolylthiocarbamide :
CH30-GO-AzH-CS-AzH-C6H*-GH3,
F. 158*. Mêmes propriétés que pour l'ortho.
ab-Carboxymétbyl-Qrnaphtyltbiocarbamide :
CH30-CO-AzH-GS-AzH-C»om ,
crist. dans l'alcool en aig. F. 193*» (décomp.), assez sol. à chaud
dans le benzène.
ab-Carboxymétbyh^'naphtylthiocarbamide. :
CH30-C0- AzH-GS-AzH-G'OH'' ,
crist. dans un mélange d'alcool et de benzène en aig. microsco-
piques F. 184^
1130 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
I. — L'auteur examine Taction de la formaldéhyde sur
Tacide p.-toluèaesulflnique conduisant au p.-tolylsulfonecarbinol
C«H*(CH3)S0«CH«0H :
CH20 + G«H*(CH3)S02H = C«H*(GH3)S02GH20H .
Pour obtenir ce corps, on dissout 30 gr. de Tacide sulfinique dans
20 gr. de formaldéhyde à 40 0/0, Taddition de HCI active la réac-
tion; la masse cristallisée par refroidissement est purifiée par
crist. dans le benzène. Larges aiguilles f. à 90*, sol. dans ralcool.
réther, le chloroforme; la soude froide sépare ce corps en ses
composants. Létber acétique du p.-tolylsuUone carbinol obtenu
par l'action de l'anhydride acétique fond à 78". Le chlorure
C«H*(GH3)S0«GH«C1 peut s'obtenir par l'action de HGl ou à l'aide
de FGl*, toutefois ce dernier réactif donne surtout naissance au
phosphate [G«H*(CH3)SO«GH«0]3PO fondant à 146*. L'action de
l'ammoniaque aqueuse sur le carbinol donne naissance à la di-
tolylsulfoneméthylamine [G«H*(GH3)S0«GH«]«AzH fondant à 158-
160**. Si l'on emploie le gaz ammoniac sec il se fait du p.-toluène-
sulfinate d'ammoniaque et de la formaldéhyde; de même l'aniline
sèche donne ranilide de facide p^-toIuènesuIHniqueiondanih 137*.
L'oxydation manganique du carbinol conduit à la dhp.'tolyldisul-
fone se décomposant sans fondre à 210<*.
II. — Action de F acide azoteux sur f acide pMoluène sulfinique.
Di'p.'tolylsulfonehydroxylamine [G«H*(GH»)SO«]«AzOH, 2 mol.
d'ac. sulfinique sont dissoutes dans NaOH, on ajoute 1 mol.
AzO^Na et on introduit lentement dans HCI dilué en évitant tout
échauffement, le ppté est recristallisé dans l'alcool» aiguilles blan-
ches fondant à 125** avec décomposition; la soude décompose ce
corps en 2 mol. d'acide sulfinique et 1 mol d'ac. azoteux. Dérivé
benzoylé par la méthode de Schotten Baumann, crist. de ralcool
en rhomboèdres fondant à 186**. En faisant agir de nouveau l'acide
azoteux sur la di-p.-tolylsulfonehydroxylamine en sol. alcoolique
ou acétique, on obtient la trilolylsuîfonamide [C«H*(CH')SO'PAz
qui se présente on lamelles rhombiques fondant à 184*.
pMolylsulfonehydrox y lamine C«H*(GH»)SO«AzHOH. — 110 gr.
de chlorure p.toluènesulfinique dissous dans l'alcool sont introduits
dans une sol. alcoolique d'hydroxylamine (préparée à partir de
130 gr. de chlorhydrate) l'alcool est évaporé, le résidu extrait à
réther, ce dernier distillé abandonne le produit qui est recrist.
dans un mélange de chloroforme et d'éther de pétrole, f. à 148*.
Dérivé di benzoylé f. à 120°.
III. — L'action de la chaleur sur le p.-toluènesulfinale d'aniline
CHIMIE ORGANIQUE. 1181
donne plusieurs produits, entre autres du p.-toluène sulfonate
d'aniline, une base cristallisée C**H*3AzS fondant à 72* qui est la
p.'tÈiotolylamliae C^H\GW).S,Cm*.AzW, et une matière colo-
rante bleue.
rV. — Le p.'toluènesuIÛnate de tétramétbylammonium se décom-
pose quantitativement sous l'action de la chaleur en triméthyla-
mine et métbyl-p.-tolylsuUone. r. marquis.
Sur raction de Tacide asotique sur les dérivés [halogènes du
paracrésol; Th. ZINCKE {Journ. f. prakt. CL, t. 63, p. 183-187).
— L'auteur a mentionné, il y a quelque temps, que 1 acide azotique
concentré donnait, avec le bromo et le chloro paracrésol, les com-
posés suivants :
OH CH3 OH GH3
X
Az02'<;'ci
o
Les recherches du D' Emmerich ont montré que ces corps contien-
nent 2 atomes d'H de moins, ce sont alors des dérivés quinoniques
ayant une des formules suivantes :
0
V/\|CH3
'Br(Gl)
II y a déplacement d'un groupe méthyle qui vient en ortho d'un
oxygène; ces mêmes dérivés quinoniques se forment en traitant
un paracrésol nitrohalogéné par AzO'H. Le dibromonilro-p.-crésol
donne aussi une dibromonitro-p.'toluquinone, mais la réaction se
fait moins bien qu'avec le nitroparacrésol monobromé.
L'auteur explique la réaction en admettant la formation d'une
oxycétone qui s'isomériserait en hydroquinone et serait ensuite
oxydée :
CH3
OH 0
}C\r
113:2 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Il est possible aussi que roxycétone se transforme en un composé
tel que :
OH CH3
X
Br'l i AzO^
qui prendrait aussitôt la forme stable quinonique.
Quand le phénol halogène ne peut pas être nitré, la réaction
marche dans un autre sens, ainsi le tribromoparacrésol ne donne
pas de nitrobromotoluquinone.
Nilrocbloro-pMoluquinone^ crist. du benzène en aiguilles jaune
d*or f. à 128'^ en se décomposant.
Amidocbloro-p,*tolubydroquinone, réduction du coprs précé-
dent par Zn et HCl, f. à 160-162^ avec décomp. Le dérivé (riêet-
tylé est en aiguilles f. à 198*.
NitrobroTïKhp.'ioluquinone f. à 135-186** avec décomposition.
Nltrobromo-p.'toluhydroquinone, réduction du précédent par
Hl ou SnCl^ en sol. acétique à froid; longues aiguilles jaunes f. a
175«. Dérivé diacétylé, f. à 118^
Aminobromo-pMoluhydroquinoney aiguilles argentées f. à 14^
149^ en brunissant. Dérivé triacétylé f. 208-204^.
NitrodibromO'p.'toluquinonef feuillets jaune d'or (benzène) fa
175-180* avec brunissement et dégagement gazeux, se décomposa
déjà à 165^
NitrodihromO'pMoIubydroquinone, f. à 157-158*.
H. MAHQUIâ.
Sur quelques dérivés de la pyrocatéchine ; Oscar WISIH6EB
(Mon, /. Ch., t. 21, p. 1007). — L'auteur part de l'éther méUiyl-
élhylique et de Télher diéthylique de la pyrocatéchnie. L'étlier
diéthylique traité par 1 mol. d*acide nitrique, en milieu acéticfu»
donné un dérivé mononitré C«H*(OC*H»j*AzO*, cristallisé en
aiguilles jaunes, F. 78-75*, le rendement est de 92 0/0 de l«
théorie.
L'éther méthyléthylique traité dans les mêmes conditions donn?
un mélange de deux isomères qu'on sépare par cristallisation frac-
tionnée, le dérivé p, qui cristallise le premier forme de lon^f^
aiguilles jaunes fondant à 100-102*.
La majeure partie du produit est constitué par V isomère «♦ P^"^
soluble et fondant à 65-67*. Ils possèdent tous deux la coropoftil^'
CHIMIE ORGANIQUE. 11S3
C»H«AzO«.OCH«.OC«H*. Ces nitrés réduits par l'étain .et HCl
fournissent les dérivés amidés correspondants que Ton isole à
rétat de chlorhydrates, les acétylés se forment en traitant ces
chlorhydrates par l'anhydride acétique; les dérivés acétylés sont
purinés en les faisant recristalliser dans un mélange de benzène et
lie ligroïne. En essayant de les faire recristalliser dans Teau
chaude, un groupe acétyle pe trouve saponiné, c*est donc un
moyen de préparer les monoacétylés.
Le dérivé àiacétylé de Féther a-anudopyrocatéobine-mélbyl-
étbylique C«HK)CH»OC«H5Az(CH3-CO)«, fond à 117-119% par
ébuUition avec de Teau, il se dépose par refroidissement des petits
feuillets blancs, h)ndant à Idd-ldS*^, qui constituent le dérivé
monoacétylé.
Le dérivé acétylé de Tamidé p fond à 142-148*, Téther diacéiyl-
amidopyrocaléchine-diéthylique cristallise en feuillets transpa-
rents, brillants, fondant à 120-121®, le monoacétylé correspondant
fond à 125-126*.
Afin d*établir la constitution de ces dérivés nitrés, Tauteur a
cherché à remplacer le groupe amidé par le groupe hydroxyle
afin de voir si le produit ainsi obtenu dérive du pyrogallol ou de
ToxyhydrOquinone. La diazolation de Téther amidopyrocatéchine-
diôthylique faite dans les mômes conditions que celles qui per-
mettent la transformation de Torthoanisidine en gayacol (D. R. P.
Kalle et C**, Friedîander Fortschritte der Tbeerfarbenfabrikation,
t. 15, p. 124) donne une huile distillant à 203-220*' sous 15 mm. et
cristallisant en aiguilles blanches fondant à 65-67'' et dont Tanalyse
indique la composition C«H3(0C«H5)«0H. C'est donc l'éther dié-
thylique d'un trioxybenzène. L*éther diéthylique du pyrogallol est
connu, mais ses propriétés ne répondent pas au produit obtenu par
l'auteur qui ne peut être, par suite, que Téther diéthylique de
Toxyhydroquinone dont Téther triéthylique est connu et fond à 84*.
En éthéritiant le produit fondant à 65-67'', Fauteur a, en effet,
obtenu Téther triéthylique de Toxhydroquinone qu'il a caractérisé
par son dérivé brome C«H«Br(OC«H5)3, fondant à 50-52% décrit
par Brezina.
11 s*en suit que le produit nitré de Téther diéthylique possède la
constitution
/\oG»H5
AzO^
4184 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
et par analogie les deux dérivés nitrés de Téther mélhyléttyli|oe :
0CH3 0CH3
AzO^ AzO' A. WAHL.
Sur rinfluence des radicaux substitués sur la tautomérie de
la phloroglucine ; Félix KAUFLER {Mou. f. Ch,, t. 21, p. 993). —
La phloroglucine réagit tantôt comme un composé phénolique, ei
tantôt comme une cétone. L'auteur a recherché quelles étaient le*
conditions de cette tauton^érie en faisant agir les dérivés halo-
gènes sur la phloroglucine en présence d*alcali.
On doit considérer comme appartenant à la forme phénolique
les dérivés du furane obtenus avec l'éther chloracétique, la Iria-
cétylphloroglucine, îa tribenzoylphloroglucine, tandis que Thexa,
la penta, la tétraméthylphloroglucine, les éthers monométhyliquis
et monoéthyliques des penta et tétraméthylphloroglucines que Ton
obtient par l'action des alcoylhalogènes en présence d'alcali,
dérivent de la forme cétonique. Ces derniers dérivés sont de»
pseadO'éiherSy Lang {Mon, f. Cb.^ t. 19» p. 2984) avait indique
qu'en ajoutant 3 at. de sodium à une solution de 1 mol. de phlo-
roglucine dans l'alcool absolu il se forme un mélange de sels di ei
trisodiques; l'auteur en faisant agir l'iodure de mélhyle sur ce
composé n'a obtenu qu'un pseudo-éther, rhexaméthylphloroglu-
cine mélangée à un peu d'éther monométhylique de la pentam^thyl*
phloroglucine; l'existence d'un sel di ou trisodique est donc pro-
blématique. Cette exp. montre de plus que la quantité d*alcali
est sans influence sur l'endroit où se fait la substitution; en éva-
porant à sec dans le vide des solutions de phloroglucine et d*al-
coolate de sodium, on constate que le résidu ne réagit pas avec
l'iodure de méthyle, on retrouve la phloroglucine inaltérée : il
semble donc peu probable que lors de l'alcoylation le radical se
substitue au métal.
Le chlorure de benzyle réagit avec une solution alcaline de
phloroglucine en donnant un mélange d'éther dibeDMylitpf
C^HaOHfOCH-ï)», poudre jaune, F. 62-64% et d'un étber tribêih
zyWjiie C«H3(OC''H'ï)3, F. 39-4^^ Quanà on remplace la phloro-
glucine par la diméthylphoroglucine il se forme Véiber dibea-
zylique et V étber tribenzylique de la dimétbyïpbloroglacine, le
premier fond à 60®, le second est liquide. Celte réaction fournit
donc uniquement des éthers véritables contrairement aux iodures
CHIMIE ORGANIQUE. ilS5
de méthyle et d'éthyle qui donnneat naissance aux pseudo-éthers.
L.*auleur pensant que cette différence tient à la grandeur molécu-
laire du groupe substituant a fait réagir dans les mêmes condi-
tions les iodures de propyle et d'isopropyle, et a examiné les
produits de la réaction insolubles dans les alcalis.
Lies analyses montrent que dans le cas de Tiodure normal il se
forme eu majeure partie Téther monoalcoylé, d*un dérivé substitué
dans le noyau, tandis que dans le cas de Tiodure d'isopropyle il se
forme surtout du Iriéther véritable.
Le radical propyle se comporte donc comme le radical méthyle
ou éihyle qui donnent parmi les produits de la réaction insolubles
dans les alcalis, les éthera monométhyliques de la penta et de la
tétra méthylphloroglucine.
Mais le nombre des groupes alcoylés qui se fixent sur la phioro-
glucine est variable avec la nature de Tiodure alcoolique employé,
et la manière suivant laquelle ces iodures réagissent dépend de la
grandeur et de la configuration de ces radicaux dans l'espace.
A. WAHL.
Éludas sur les éthers des phloroglucines (II). Sur les ôthers
de la monométhylphloroglncine ; J. HERZIG et Franz THENER
Mon. f, Cb.y t. 21, p. 852). — Les auteurs se sont proposé de
répéter les expériences de Reisch {Mon. f. CA., t. 20, p. 488) sur
Talcoylation des éthers des mono, di et triméthylphloroglucines.
Les résultats obtenus par Reisch ne s'accordent pas complètement
avec ceux d*autres observateurs. On sait qu'en éthérifiant 2 groupes
hydroxyles de la phloroglucine le troisième se laisse à son tour
éthérifier d'une manière très complète au moyen d'un iodure
alcoolique et de potasse. En traitant de cette façon Téther dimé-
thylique de la monométhylphloroglucine, Reisch obtint un éther
qu'il considère comme étant un mélange des deux produits
GH3 CH3
C-GH3 C
G11>0C;'^\C0GH3 0G/^,G0GH3
GH HG!^ ^'GGH3
0GH3
Les auteurs en opérant avec Téther diméthylique de la méthyl-
phloroglucine dans les mêmes conditions que Reisch obtiennent
une huile insoluble dans la potasse, bouillant à 140-142° sous
18 mm. dont l'analyse répond assez bien à la composition d'un
1136 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
éther irimétbylique de la métbjrlpblorofflacine C«H*(CH»)(OCH*^.
C'est un liquide mobile à faible odeur de fruits se solidifiant dans
un mélange réfrigérant» mais fondant déjà à -\- 10*. Dans le but
d'obtenir un produit à point de fusion plus élevé on a fait agir
riodure d'éthyle sur Télher diméthylique. Il se forme dans ces
conditions Vétber mottoétbyldimétbylique de la métbylpbloroglu"
ciae C«H«(CH3)(OCH3)«(OC«H5) qui constitue de petits cristaux
feutrés fondant à dS"" et bouillant à 149-15i<» sous 16 mm. Il semble
donc que la méthylphloroglucine se conduise exactement comme
la phloroglucine elle-même. Le dérivé brome de Téther dimè>
thylique de la monométhylphloroglucine traité par les iodures
alcooliques se comporte d'une manière analogue. On obtient le
dérivé brome en faisant agir le brome sur Téther dimétbylique dis-
sous dans Tacide acétique. Vétber dimétbylique de la bromomch
uométbylpbloroglucine forme des cristaux fondant à 73-74*, et
dont la composition répond à C«OH(CH»){OCH»)«Br«. Soumis à
Faction de la potasse alcoolique ils ne perdent pas leur brome.
Dans le travail de Reisch se trouve un autre point assez obscur.
Dans deux cas il dit avoir obtenu un produit huileux constitué par
un mélange d^éther monométhylique de la penta et de la tétramé-
thylphloroglucine, quoique par saponification on n'en puisse régé-
nérer que la tétra et Thexaméthylphloroglucine. Reisch admet
qu'il y a eu transposition sous Tinfluence de l'acide iodhydrique
de réther méthylique de la pentaméthylphloroglucine en dérivé
hexaméthylé.
Les auteurs voulant soumettre ce pi'oduit huileux à une investi-
gation plus complète ont pensé que cette étude serait simplifiée si
l'on pouvait arrivera des corps cristallisés; les dérivés bromes
qui sont caractérisés par la facilité avec laquelle ils cristatliseot
semblent convenir parfaitement. Le produit liquide de Reisch
accompagne toujours Téther monométhylique de la tétraméthyl*
phloroglucine qui cristallise et duquel on le sépare par filtration;
il parait probable que le hquide renferme encore en dissolution
une certaine quantité de cet éther. Il était donc nécessaire d'étudier
auparavant l'action de Br sur Téther méthylique de la tétraméthyl-
phloroglucine.
Le brome agissant sur cet éther en solution acétique donne un
produit cristallisé fondant à 95^ et dont l'analyse montre qu'il ne
renferme plus de groupe méthoxyle; sa composition est repré-
sentée par C*0^(CH3)*Br*. Un fait analogue a déjà été constate
par Rohm {Mon. f, Cb.y t. 21, p. 498) dans le cas de l'éther mono-
méthylique de la phloroglucine. Il semble donc que les deux pro-
CHIMIE ORGANIQUE. 11S7
duils possèdent une constitution analogue. Il était aussi intéres-
sant d^étudier l'action de Tanhydride acétique sur le produit brome,
car Herzig et Zeisel {Mon, /. Cb., t. 10, p. 744) ont montré que
dans Faction de Tanhydride acétique sm* la dibromotétraéthyl-
phloroglucine il y a départ de 1 at. de Br, de même que Rohm
[Mon. /. Cb., t. 21, p. 498) a constaté Télimination totale du
brome dans le cas de Tacétylation de la tribromotriméthylphloro-
glucine.
La dibromotétraméthylphloroglucine en effet, perd 1 at. de Br
sous riniluence de Tanhydride acétique en donnant la monoacétyl-
monobromotétramétbylphloroglucine, F. 185*». Après avoir étudié
Taction du brome sur la tétraméthylphloroglucine les auteurs
passent à Télude de Faction du brome sur le produit huileux de
Reisch. Contrairement à leur attente ils n*ont pu obtenir que très
peu de dibromotétraméthylphloroglucine. Il se forme un composé
très bien cristallisé tondant à 129-131*», très soluble dans l'alcool
chaud, réther et le chloroforme dont l'analyse correspond à la
monobromotriméthylphlorogluciqe C*H*O^Br(CH^)*. Mais ils ne
donnent ces derniers résultats que sous toutes réserves.
A. WAHL.
Études sur les éthers des phloroglucines (III). Sur les éthers
de la diméthylphloroglucine ; J. HERZIG et M. HAUSER [Mon,
f, Cb., t. 21, p. 866). — Tandis que la phloroglucine et la mono-
mélhylphloroglucine donnent un mono et un diéther par éthérifi-
cation avec HCl, on n'a pas pu jusqu^ici obtenir des diéthers avec
les homologues supérieurs.
Les auteurs sont parvenus à combler cette lacune en préparant
un éther diéthylique de la diméthylphloroglucine. Cet éther traité
par la potasse et un iodure alcoolique fournit Téther triéthylique.
La trimélhylphloroglucine soumise à une alcoylation énergique
donne un résultat tout différent; il ne se forme qu*un monoéther
et il reste toujours une certaine quantité de trimélhylphloroglu-
cine non altérée (voir la communication suivante).
En résumé, on ne peut plus admettre dans la phloroglucine une
différence fonctionnelle entre les 3 groupes hydroxyles. On peut
cependant constater que rétliérification se fait de plus en plus
difficilement suivant que le nombre de groupes hydroxyles
éthériflés va en croissant. Chez les homologues de la phloroglu-
cine, TéthériAcation se fait aussi plus difficilement suivant que le
nombre des groupes substitués augmente : ainsi la monométhyl-
phloroglucine donne encore facilement un diéther, la diméthyl*
soc. cHiif., S* SBR., T. xxvi, 1901. — TraT. éirang. 1^
1138 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
phloroglucine ne donne que très difficilement un diélher el le
dérivé triméthylé n'a donné jusqu'ici qu'un inonoéther.
Partie expérimentale. — L*éthérification de la dimélhylphloro
glucine par Talcool et HCl donne un mélange d'éther mono et dié-
thylique. Uéther monoéthylique cristallisé dans le chlorofonne se
présente sous forme d'une poudre cristalline fondant à 134**, son
point d'ébullition est 280^ sous 30 mm., 193« sous 18 mm. et 18o»
sous 18 mm., Véther diélbyUqne C«H.0H(0C«H»)«.(CH3)« fonda
lOQo.
Ces deux éthers possèdent l'une ou l'autre des constitutions
suivantes :
GH3 GH3
Ho/\oG2H5 Oh/\oH
hIJghî hIs^CH3
OH 0C2H'^
I. n.
Éthef mono-étiiylique.
CH3 GH3
Oh/No(>'H5 OGms/NoH
hIJgh3 hIJgh3
OG2H5 0G2H^
I. U.
Éther diétbylique.
Les auteurs n'ont pas pu élucider la question, mais ils consi-
dèrent les formules I comme étant les plus probables. Ils cul
également essayé de déterminer si le 3* atome d'oxygène était de
nature cétonique en faisant agir l'hydroxylamine sur l'éther ilié-
thylé ; il ne se forme pas d'oxime. L'éther diéthylique, traité par
l'iodure d'éthyle fournit Véêher triétbyhque fondant à 59*.
La trimétliylphloroglucine éthérifiée par l'alcool et HCl no donne
qu'un éther monoéthylique, mais une partie de la trimétliylphlo-
roglucine reste inaltérée.
Uélber monoélbylique, cristallise dans le chloroforme en pelil*
cristaux blancs fondant à lïlO*, traité par Br, il perd son groupe
méthoxyle comme le fait l'éther méthylique. a. wahl.
Études sur les éthers des phlorogluoines (IV). Sur réthar
triméthylique de la phloroglucine; J. HERZI6 et H. KASERER
{Mon. f. Cb.y t. 21, p. 875). — Jusqu'ici l'on n'était parvenu à
préparer que des diéthers par éthérification directe de la phloro-
CHIMIE ORGANIQUE. 1139
^iucine; et il semblait que le troisième OH de la phloroglucine
jouisse de propriétés spéciales. Des anomalies ont déjà été cons-
tatées dans l'étude des chaleurs de neutralisation.
Les auteurs ont trouvé que dans certaines conditions, la phlo-
roglucine donne par éthérification directe avec Talcool méthylique
et HGl un éther trimétbjrlique insoluble dans les alcalis, et soluble
dans réther d*où il se dépose en cristaux fondant à 50-52'' : les ren-
dements sont faibles. a. wahu
Sur la constitation de Téther monométhyliqne de la dimé-
thylphloroglucine ; Cari BOSSE {Mon f. CL, t. 21, p. 1021). —
Cet éther monométhylique possède Tune ou Tautre des constitu-
tions suivantes :
OH 0GH3
CH3j/^jCH3 CH3/^|CH3
Hol ]'0CH3 *^" HoL loH
(I). (II).
Pour décider entre les deux formules, Tauteur a fait réagir sur
réther le nitrite d'amyle, il se forme un dérivé nilrosé. qui aura
pour constitution suivant qu'il dérive de la formule I ou II :
O
A
CHV >.CH3
A,
OU
H0'^«^'0CH3
II
AzOH AzOH
Mais la quinone* que l'auteur prépare en partant du dérivé
nitrosé, se forme sans qu'il y ait saponification d'un groupe
méthoxyle, il faut donc que le groupe hydroxyle phicé entre les
deux méthyles ne soit pas éthérifié, c'est-à-dire que Téther mono-
méthylique de la diméthylphloroglucine possède la constitution I,
d*un 2 .è-diméthyl'S'méthoxy'l ,5'dioxybenzèn(\
La 3'méthoxy'5'Oxy'p,'Xyloquiuone'4'Oxime, se prépare en
faisant agir le uitrite d'amyle sur l'éther de la diméthylphloroglu-
cine en solution dans l'alcool absolu et en présence de potasse, le
sel de potassium de l'oxime se précipite sous forme de magma
cristallin, décomposé par H*SO dilué, il fournit l'oxime avec un
rendement de 90 0/0. Elle cristallise en feuillets solubles dans
réther, l'alcool, le benzène, iH fondant à 166**, 5.
1140 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Par réduction au moyen de chlorure d*étain en solution alcoo-
lique^ l'oxime donne le dérivé ainidé correspondant, qu'on isole
sous forme de chlorhydrate.
Le chlorhydrate de S-métboxy-l .ô-dioxy-Â^imidfhxylène, forme
de fines aiguilles soyeuses répondant à la formule C*H**0*AzCl.
Le dérivé tétracétylé s'obtient en faisant bouillir le chlorhydrate
avec Tanhydride acétique, feuillets blancs fondant à 187*. Oxydé
par FeCP, Famine est transformée en S'métboxy-^'Oxy'p.-xylO'
quinonSf C®H*®0*, qui constitue de fines aiguilles orangées sol.
dans Talc, Téther, le benzène, le chloroforme, fondante 116%5.
Le S'ttiéthoxy^S.d'diméthyl'pbénetriol, s'obtient par réduction
du précédent au moyen de SnCl*. Tablettes bien définies, fondant
à 125®, il donne un dérivé tviacétyléy F. 76*.
Le S-méthoxy-l .ô-dioxy-4'amidoxyJène est à la fois un p. et un
0. amidophénol, aussi en cette dernière qualité il donne quand on
le chauffe avec de Turée le l-oxy-8'méthoxy'Carboiiyle'4-4imido-
xylénol :
OH
CH^^^CH3
^ ;i0CH3
CÔ-Az
feuillets couleur chair, F. 253\
Pour préparer les élhers de Toxime, on a d*abord préparé ses
sels. Le sel de sodimn C*H*<>AzO*Na, s'obtient en ajoutant de
réthylate de sodium à une solution alcoolique de Toxiine.
Le sel de sodium se dépose en fines aiguilles rouge rubis.
Le sel dargent C®H**>AzO*Ag, s'obtient en ajoutant du nitrate
d'argent à une solution du sel sodique. Précipité brun-rouge cris-
tallin, ne noircissant pas à la lumière.
Le sel sodique éthériûé par CH^I donne naissance à deux pro-
duits qu'on sépare par cristallisations fractionnées, l'un fond k
189®, 5 et possède la composition d'un dérivé méthylénique
C6(CH3j«(OCH3)«OH.\z=CH.O, l'autre fondant à liO® et qui est
probablement l'éther méthylique de l'oxime.
Ce dernier s'obtient facilement eu remplaçant dans cette réac-
tion le sel de Na par le sel d'Ag. L'éther méthylique de rorîme
constitue de fines aiguilles jaune paille, fondant à 140*'. Cet étlier
réduit par SnCI* fournit le produit amidé dont le chlorhydrate
C«(GH3)4(OCH3)*(OH)«AzH*HCl est identique avec celui provenaDl
du produit de réduction de l'oxime elle-même. a. wahl.
CHIMIE ORGANIQUE. 1141
Dérivés du biphényle; St. von NIEIIENTOWSKI [D. cb. G,,
t. 34, p. 8825; 26. 10 J 901). — En transformant To.-nitraniline
d'après la méthode de Sandmeyer en o.-chloronitrobenzène, l'au-
teur a observé qu*il se formait, en même temps que ce composé,
une substance fondant à une température plus élevée, 128®, et
qu'il a identifiée comme étant le dinitrobiphényie. Un travail récent
d'Ullmann etBielecki sur les synthèses dans la série du biphényle,
l'en^ge à publier le résultat de ses recherches commencées en
1896.
L'auteur a étudié quelles sont les meilleures conditions dans
lesquelles se forme le 2.2' dinitrobiphényie, et il indique le détail
de la préparation qui consiste à décomposer le dérivé diazoïque de
To.-nitraniline par le cuivre fraîchement précipité, il a obtenu
jusqu'à 60 0/0 du poids de To-nitraniline employée. Ses recherches
ont montré que le dinitrobiphényie se forme directement au moyen
du chlorure d'o-nitrodiazobenzène. En réduisant le dinitrobiphé-
nyie par rétain et Tacide chlorhydrique, il a obtenu le dérivé dia-
miné correspondant, qu*il a caractérisé par la préparation de quel-
ques dérivés, l^e S.S^-ditorwylaminobipbényle (COH . AzH . C*H*)*
très difficilement soluble dans l'eau bouillante, facilement soluble
dans les véhicules organiques, fond à 137* ; le S.^'dibenzoylami-
nobiphényk fond à 184" et le carboByle-S.S^'diamiDobipkényle
obtenu en chauffant ensemble la base et Turée est en cristaux bril-
lants, F. SIO"*, il est soluble dans les solvants organiques à l'excep-
tion de l'acide acétique.
Formation nouvelle du carbazol. — L'auteur a observé que
lorsqu'on diazote le 2.2'-diaminobiphényle en solution fortement
acide, à une température de — 5** et qu'on traite la solution dia-
zoïque par le cuivre fraîchement précipité, en maintenant la tem-
pérature à -T 2", il y a un fort dégagement d'azote et l'on retrouve
dans le produit de la réaction du carbazol. Cette formation nouvelle
du carbazol qui présente un certain intérêt, sera étudiée d'une
manière plus approfondie.
La facilité avec laquelle se forme le dinitrobiphényie en partant
de l'o.-nitraniUne a engagé l'auteur à étudier au même point de vue
la transformation de la m.-nitro-p.-toluidine. Il a obtenu de cette
manière le S,2''dinitrO'4.4''din2étbylbipbény]e F. 140» (1) décrit
dans un brevet récent d'Ullman. Le dérivé diaminé cori'espondant
(1) La formation d'un produit de propriétés identiques, mais dont la consli-
tnhon n'a pas été déterminée par l'analyse, a déjà été signalée par MM. Be-
verdin et Crépieux [D. cb. 6'., t. 33, p. 2500) qui s'étaient proposé d'en pour-
•uiTre l*ètodo. f. r.
1142 .WaLYSE des travaux ÉTRANGERS*
cristallise dans Talcool en aiguilles, F. 120» et a été caractérisé
par la préparation des composés suivants : dérivé diformylique
F. 187% dérivé diacétylé, F. 189, dérivé dibenzoylé, F. IIO*,
carbonyI'2.S''diaminO'4.4'-dimélbylbipbényle F. 839«.
En faisant réagir le benzile sur le 2.2'-diamino-4.4'-diméthylbi-
phényle il se forme un produit de condensation analogue à celui que
E. Taiiber a observé en traitant de la même manière le 2.2'-diami-
nobiphényle. Ce composé qui constitue le benzyle-S.S'diaminO'
4A^'dimétbylbipbényle s'obtient en chauffant 1/2 heure à feu du
à 220"" les deux composants. Il cristallise en aiguilles janne pâle,
F. 242"», il est insoluble dans les acides étendus et dans les alcalis,
soluble en jaune dans H'SO* concentré.
L'auteur décrit encore les recherches qu*il a faites, en vue d'ob-
tenir le 4,4^'diméthyIcarbazoL E. Taiiber a décrit autrefois uw
nouvelle synthèse du carbazol consistant à traiter le dérivé dit-
zoïque du diaminobiphényle par le sulfhydrate de potassium;
dans Tespoir d'obtenir un nouveau dimétbylcarbazol, Fauteur f
opéré de même avec le 2.2'-diamino-4.4'-diméthylbiphényle. E
a, en effet, pu isoler du produit de la réaction le 4.4'-diméthylcar-
bazol, mais il s*est en même temps formé, par suite peut-être df
légères modifications apportées à la méthode primitive, des pro-
duits secondaires à point de fusion moins élevé. Le nouveau dimé
thylcarbazol, ainsi obtenu, cristallise dans Talcool et fond à 2^'
il est en belles aiguilles blanches.
Enfin Tauteur signale qu'en cherchant à préparer le dimétbji-
biphénylène il a observé la formation de Voxyde de dimétbjl-
bipbénylène
i\W
Taiiber et Halberstadt ont préparé autrefois Toxyde de bipi
nylène par décomposition de la solution du dérivé diazoîque
diaminobiphényle à la température du bain-marie; cette réac
se passe de la même luaniere avec le dérivé diméthylé mais h
teur a aussi obtenu Toxyde de diméthylbiphénylène en décomi
sant le dérivé diazoîque par le cuivre fraîchement précipité
distillant à la vapeur d'eau après avoir abandonné le tout pem
quelque temps à la température ambiante. Le composé en q
tion cristallise dans Talcool en feuillets brillants, F. 82*, il
neutre et se dissout facilement dans les solvants organiqi
p. RJBVSBDIK
It
CHIMIE ORGANIQUE. 114.S
Les produits de rédaction de To* et du p.-nitrobiphényla et
les produits de transposition de rhyârazobiphényle ; Georg.
FRIEBEL et Barthold RA8S0W {Jauni, /. prakL CL, t. 63,
p. 444-465). — J. Zimmermann en 1880 avait préparé, par réduc-
tion du p.-nitrobiphényle un composé hydrazoïque, mais avait
essayé en vain de le transformer en benzidine correspondante. Ce
résultat étant en désaccord avec ce que Ton sait de la transposition
(les hydrazoïques, les auteurs ont repris cette étude. Ils ont re-
connu que le composé de J. Zimmermann n* était pas un p.-hydra-
zobiphényle, mais un p.-azobijihényle (f. à 249®). Le véritable
p.-hydrazobiphényle fonda 167-169" ; il est extrêmement oxydable
en donnant de l'azo dérivé. Par HCl, il ne subit pas, toutefois, de
transposition benzidinique, mais se sépare en p.-aminobiphényle
et p.-azobiphényle.
L'o.-nitrobiphényle fournit, par réduction alcaline un o.-azoxy-
biphényle, f. à 157-158» et un o.-hydrazobiphényle f. à 182*, très
stable à Tair et donnant, sous l'action de HCl, de la diphénylben-
zidine, f. à 15M52* :
C«H5 (:6H5
AzHV ^^) C >AzH2
Partie expérimentale. — Para et orlbo nitro bipbényle. — Le
biphényle est nitré en solution acétique, par refroidissement le
paradérivé cristallise, Tortho plus soluble se retrouve dans les
eaux-mères. Parabydrazobiphényle ; réduction du paranitré par
Za en poudre et KOH alcoolique» précautions minutieuses pour
éviter l'accès de Tair; cristaux incolores f. à 167-169*. /?.-i4i»ii20-
bipbényle; décomposition du p.-hydrazo par HCl concentré au
B.-M., ou réduction du p.-azobiphényle par SnCl* et HCl; 80 gr.
d'azo donnent 25 gr. de base f. à 58* (Hiibner adonné 49®). p.-Oxy-
bipbényle; diazotation de Tamidobiphényle et décomposition du
diazo ; aiguilles blanches (par sublimation) f. à 164-165*. Le ben--
zoate de ce phénol forme des aiguilles blanches f. 147-148*.
-. Diacéiylamino bipbényle; acétylation du dérivé aminé par Tanhy-
„ <Jride acétique, f. à 120*, soluble dans la ligroïne. Monoacéiylami-
dobipbényle; se forme en même temps que le précédent, f. à 170-
j| 171*., insol. dans la ligroïne. Dibipbényletbiourée; amidohiphé-
^^ nyle et CS« en sol. alcoolique à l'ébuUition, f. à 227-228*, insol.
rsdans Peau, le benzène, le chloroforme, sol. dans Tac. acétique,
^ ^Tacétone, le toluène, Talcooi amylique. Ortboazoxybipbényle ;
/réduction de To. -nitro par la potasse alcoolique f. à 157-158*, cris-
IIM jetALTS ces TRATAIIX CnUNGBtS.
taSSâse par érapontioo de sa sohdM» acéftooîqiie, soL dans Féther,
Fae. acaétîqiie, le cMoroforme* le beBsène* FakooL Téther de
pétroie. o.'HrirMsohifbénTie: 5 fr. d'azoxf sooi rhanffips. 5-6 h.
à 110-tSS* arec m excès de snlffaydiate «faïaionîaqoa aleooliqoe.
Cn^aJtiâe de fakod en ai^mUes neoftores L à 183-. mu-Dipàtorl^
h^Biidioe: hydraxo cfaaiiâ^ 3 heures arec HQ tomc^niré^ grande^
paillettes brillantes f. à 151-lâ^, s*oè6em as^cà par rMadioB (if
ra2ûx\ par TjàQ* en s«:'L aîoc<:Lque tofrilianle- DiattirkfipJbûpi ^
l^aiîfh'aei prépaive âu moyen d*** raL\de tliKttc??iM|iBe, ai^uilit-^
inc:loresf. à i4ô-±4^*. o^Ai'^1 ^p^^rh: ox^-iatûja de lliydrui
par FeCH en >i>l. ak-ocl rie, a-^.. I-^ roci^e poorpee f. à 144* .5.
àstàûm im ntriu àm wmmim wmr IVAutracklanbanÉM it
la cUwa àm picryla: 0. KTH Z>. e&. C u 34, p, ââli
±6.10.1^ l . — L'auteur a :r-^rfé qrae 9ors«{ii\« fait ré^ir I*
nitrîte -ie so;ie en 5cI-î::q »ri?^i=e scr oae ^îvliott alcooliqor
de iiiîii»rochl:r:b^ïL?rce 1.3.4 :i se tzrx ia diaarx^âol conr^
(^:-ciant. Il a ajruié à »i:>e scl*:;:s -ie ± fr. ie «i.=.troclkM>robcii-
lèce 'i^as ral.^oc; -ice scl-t.:- a::>e535e très cGc->rcarve de i pr, lie
nitnte «ie îci. ie. {^ui^ chaulé ^pei^ie :e=if-> ai R-M. D a urttf-
•i-i p-njduit de 1^ rea.'t;:!! i,S ^r. de d-^trrrùeE.:^ acsass to^es le-
reoherc-hes u.:es f •: J* v"^->ti!er La poesecot î-ii ;r*>i-àd latemr-
■I
:âire de la fcniiu'e
scM restées sans r^il:*:. S. Tes :ç*rre a 5r:ji et es ^ol■t^^ï
j j> i- !^*::-:s.
-— r :i.>:i.rre -':lî ;.ft^ rt^c. r.-::i.r' *;.res m»e es:»— i»« Jf I:
S«r las acides amida
pkêaoU alcoojlés : E. ftT.HB ^
CHIMIE ORGANIQUE. 1145
des dérivés alcoylés de Tacide métanilique C*H*<^Uj|i| et de
les transformer en métamidophénols correspondants.
I. Il ont essayé en vain d'alcoyler soit Tacide métanilique lui-
même, soit son dérivé acétylé.
II. SulfonatioD des monoalcoyianilines. Acide monométhyl-
métanilique. — La inonométhylaniline est introduite en refroidis-
sant dans le double de son poids d*aeide sulfurique à 25 0/0
(Tanhydride, on introduit ensuite 3 p. d'acide à 75 0/0 d'anhydride
en ayant soin que la température ne s'élève pas au-dessus de 50*.
Après 2 ou S Jours de repos on étend d'eau glacée, on en enlève
l'excès de SO*H* par CO^Ba. La solution de l'acide sulfoné est
évaporée à cristallisation. Aiguilles blanches, anhydres, se décom-
posant sans fondre à 285-290**, insol. dans l'alcool et l'éther ; sol.
dans l'eau : 100 part, de sol. saturée à 15"* contiennent 7,63 part,
d'acide.
Ac. monoétbylmétanilique. — Se prépare d'une manière ana-
logue au précédent, est moins soluble dans l'eau : 100 p. d'eau
dissolvent à 17* 2,15 p. d'acide et h 13* 2,03 p., setiécompose sans
londre à 294*. — Constante d'affinité : /r = 0.01585. Dans la pré-
paration de cet acide on obtient en même temps Vacide élbylsul-
fanilique cristallisant en tables, se décomposant sans fondre à 258''.
— Solubilité : 100 p. H«0 à 13* dissolvent 10.53 p. d'acide. —
Constante dafiinité : k ^^ 0.0125. On peut remarquer que la
substitution provoque un abaissement de la constante d'affinité
des acides amidobenzènesulfoniques, ainsi :
Ac. métanilique K=0,0185 Dérivé éthylé K=0,01585
Ac. sulfanilique 0,0581 — 0,0125
Ac. oilho-amidosulfoné 0,330 Dérivé mélhylé 6,0665
III. A vides aîcoylbenzylmétaniliqucs, — Ces acides sont préparés
par l'action du chlorure de benzyle sur les acides mëtaniliques
alcoylés en présence de baryte ou de soude. — Acide niélbyl-
benzylmêtanilique C«H* ^ ^H«C«H5 -f H«0. Aiguilles blanches
^ ^ \S03H
moins solubles dans l'eau que dans l'ac. méthylmétanilique,
100 p. d'eau à 98*,5 dissolvent 32.55 p. d'acide.
IV. Métamidopbénols alcoylés. — Se préparent par fusion alca-
lines des acides métaniliques alcoylés. L'introduction d'un groupe
alcoyle ralentit la réaction, qui est d'ailleurs plus rapide avec la
potasse qu'avec la soude.
1
1148 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS,
Monométbylméiamidopbénol. — 150 gr. KOH sont fondus avec
15 ce. H'O dans un vase de fer ou de cuivre, vers 200« on intro-
duit par petites portions, en agitant 50 gr. d'acide méthylmétani-
lique sec, on ferme la marmite avec un couvercle portant un agita-
teur mécanique et on chauffe 8 heures à 200-220"*. La masse
refroidie est dissoute dans 500 ce. H*0, acidulée par HCl el
chauffée pour éloigner SO'; puis la solution, sursaturée de
CO^NaH est extraite à Téther. L'extrait éthérée est distillé, le
produit passe à 170^ sous 12 mm. Il est soluble dans Teau bouil-
lante, Talcool, réther, le benzène et Téther acétique; il donne
avec l'anhydride phtalique une rhodamine rouge jaunâtre.
MonoéibylméiamidopbénoL — Fond à 62* ; bout à 176» soug
12 mm.
EtbylbenzylmétamidopbénoL — La temp. de fusion alcaline est
de 240-260*.
V. Ethyl et éthylbenzylrbodamines. — Condensation de l'an-
hydride phtalique avec les éthyl et éthylbenzylmétamidophénol^.
R. MARQUIS.
Transformation de la p.-nitranilina an triiodo, tétraiodo
et pentaiodobenzène et étude des produits intermédiairai;
C. WILLGERODT et E. ARNOLD (/>. ch. G., t. 34, p. 3843; 26.10.
1901). — Les auteurs ont obtenu Vo.'iodo-p.-nitranUtne en mélan-
geant des solutions de chlorure d'iode et de p.-nitraniline dans
l'acide acétique cristallisable, puis versant le produit de la réaction
dans de l'eau bouillante, faisant bouillir et filtrant. L'o.-iodo-p.-
nitraniline se dépose en aiguilles jaunes, F. 105*. La SM-diiodo-
p. -ni tr aniline prend naissance en mélangeant à chaud les solutions
renfermant les quantités voulues des composants ; elle cristallise en
aiguilles jaune citron, F. 243-244" et a déjà été décrite par Michael
et Norton.
Dans une première partie, les auteurs parlent de la préparation
des triiodobenzènes el décrivent les produits intermédiaires qui
résultent des diverses étapes de la transformation de la 2.6-dini-
tro-p.-iodaniline. Pour ce qui concerne le triiodobenzèae symé-
trique cette transformation consiste à remplacer d'abord dans la
2.6-diiodo-p.-nitraniline le groupe AzH* par l'hydrogène pour
obtenir le diiodonitrobenzène symétrique C«H^l*)(1.8)(AzO'^
F. 95-96*, celui-ci est ensuite réduit par le chlorure stanneux el
l'acide chlorhydrique. La diiodnniline symétrique^ ainsi préparée,
est en aiguilles, F. 105<», les auteurs en décrivent le snliate, \e
cblorbydrate, le cbloropJatiaate et le dérivé acétylé; ce dernier
CHIMIE ORGANIQUE. 1147
cristallise en petites aiguilles blaaches, F. 101-102''. En rempla-
çant par la méthode connue dans cette diiodaniline le groupe
AzH* parTiode, on obtient finalement le diiodobenzène symétrique
qui fond à 180°: il est assez difficilement soluble dans Talcool
froid, dans Téther, le chloroforme, le sulfure de carbone et le ben-
zène, plus facilement dans l'alcool bouillant ainsi que dans Tacide
acétique cristallisable.
Triiodobenzène voisin, — Les auteurs ont d'abord transformé
la 2.ô-diiod(>-p.-nitraniline en triiodonilrohenzène
G«H2(P)-2.1.6-(AiO^S
lequel crislallise en aiguilles jaunes, F. 105® et, fournit par réduc-
tion la triiodaniJine correspondante. Cette base dont les auteurs
décrivent les sels et le dérivé acétylé (F. 135°) se présente elle-
même sous la forme d'aiguilles blanches, F. 78°, elle distille avec
la vapeur d*eau. La diiodaniline symétrique ainsi que la triiodani-
Une asymétrique voisine, soumises à la réaction de Skraup, se
transforment facilement en quinoléines correspondantes. La pre-
mière fournit la m.'OL'diiodoqainoléine^ aiguilles blanches, F. 182°,
et la seconde la m.'p.-a'lriiodoquinoléine qui cristallise dans l'alcool
en jolies aiguilles blanches, F. 102°.
En remplaçant dans la triiodaniline ci-dessus le groupe AzH-
par l'hydrogène, on obtient enfin le triiodobenzène voisin
C«H*(P)1.2.8. Comme on sait que la diiodaniline ainsi que la télra-
iodaniline sont très influencées par H*SO* conc. : il est recom-
mandable d'employer pour la diazotation au lieu d'acide sulfurique
concentré, un mélange constitué de parties égales d'acide sulfu-
rique concentré et d'alcool absolu. Le triiodobenzène voisin cris-
tallise en aiguilles, F. 86°.
Télraioâobenzènes. — Les auteurs ont préparé le tétraiodoben-
zène asymétrique en prenant comme produit de départ la triioda-
niline asym. voisine, dans laquelle ils ont remplacé le groupe
AzH* par de l'iode. Ce composé obtenu pur par sublimation, fond
à 148'; il est difficilement soluble dans l'alcool, Téther et le chlo
roforme, facilement soluble dans l'acide acétique bouillant.
Pour préparer le tétraiodobenzène symétrique on a réduit en
premier lieu la 2.6-diiodO'p.-nitraniline par le chlorure stanneux
et l'acide chlorhydrique en 2 M-diiodO' 1 Â-diamidobenzène ; ce
produit cristallise dans Teau en aiguilles blanches, F. 108°, faci-
lement solubles dans Talcool et Téther.
Quoique cette base renferme deux groupes AzH*, on n'a pu en
4148 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
obtenir ni sels, ni dérivé acétylé par ébullition avec Tacide acé-
tique cristallisable.
Sa constitution a été établie par sa transformation par oxydation
en 2.6-diiodoquinone.
La 2,6-diiodo-p.-phényIènediamine traitée par le chlorure d*iodf
en solution acétique et à chaud fournit la tétraiodO'p,-phény]h)^^
diamine C®(I*)-2.8.5.6-(AzH*)* 1.4 base très instable à la lumièn»
et qui n'a pu être obtenue que sous la forme de ciûstaux foncés,
F. io2«.
On peut dans une seule opération, diazoter tes deux groupes
AzH« et les remplacer par de l'iode, de manière à obtenir le tétn-
iodobenzène sym, qui purifié par sublimation est en aiguille^
blanches, F. 165^, il est difficilement soluble dans l'alcool et dârb
réther.
La triiodoaniline asym. voisine, décrite précédemment a servi de
produit de départ pour la préparation du tétraiodobenzène voisin.
Elle a d'abord fourni par l'action du chlorure d'iode en solution
acétique \9i2.3,4,ô'tétraiodoaniUne qui cristallise dans Talcool en
jolies aiguilles, F. 92», se colorant rapidement à la lumière en
violet. En remplaçant dans cette base le groupe AzH* par l'hydro-
gène, on a obtenu le tétraiodobenzène voisin, qui après subli-
mation fond à 114® et qui est facilement soluble dans l'alcool,
réther et le chloroforme. Istrati a décrit deux tétraiodobenzène>
préparés par sa méthode et fondant à 220 et 247*, comme le?
tétraiodobenzènes décrits par les auteurs, fondent à 148, 165 et
114® et qu'il ne peut en exister que trois, il sera bon de répéter
ces travaux pour chercher d'où provient l'erreur.
Pentaiodobenzène, — Ce produit a été préparé en remplaçant
dans la 2.3.4.5-tétraiodoaniIine le groupe AzH* par de Tiode.
Purifié par cristallisation et sublimation, il est en aiguilles
blanches, F. 172®; il est difficilement soluble dans Talcool et
réther à froid, plus facilement dans le chloroforme, ainsi que dan»
l'acide acétique cristallisable bouillant. f. rcverdik.
Sur les dérivés du diiodonitrobaiiBène symétrique avec l*iode
polyvalent; C. WILLGERODT et Waldemar ERHSTfA eb. G,,
t. 34, p. 3406; 26.10.1901), — Combinaisons iodosées. — I. lodo-
chlorure de nwnoiodonitrophényle symétrique C'H*L( AzO').(ICl'l.
— On obtient ce produit, avec un rendement de 50 0/0 en faisant
passer du chlore dans une solution de diiodonitrobenzène symé-
trique dans l'acide acétique cristallisable additionné de 1/4 de &oo
volume de chloroforme. En ti*aitant le composé ci-dessus par de U
CHIMIE ORGANIQUE. ' 1149
lessive de soude à 2 0/0 ou par une solution de carbonate de soude
on obtient le monoiodoniiroiodosobenzène C*H3I(AzO')(IO) qui se
présente sous la forme d'une poudre jaune pâle, insoluble dans
les dissolvants neutres et fusible à 118"* en se décomposant. Son
acétate cristallise en feuillets incolores, F. {12"*; les auteurs ont
préparé et décrivent en outre le sulfate basique^ le nitrate basique,
et deux chromâtes basiques correspondants aux deux formules
G^H3I(Az02)I(OH) CrO* (HO-I)(02A£)IH3G«
I Il I
et CfiH3I(AaO»)I— GrO— I(02A2)IH3C«.
•
IL Monoiodonitroiodobenzène C«HM(AzO*)IO*. — On prépare ce
composé en introduisant Tiodochlorure précédent, fraîchement
préparé, dans une solution d'hypochlorite de soude additionnée
de quelques gouttes d*acide acétique. L*iodonitroiodobenzène
symétrique se présente sous la forme d'une poudre jaune pâle,
difficilement soluble dans Teau et l'acide acétique cristalli-
sable, insoluble dans les autres dissolvants et faisant explosion
à 187-.
Combinaisons iodiniums, — Hydroxyde de monoiodonitrophé-
nyle^phényliodinium sym. C«H3I(AzO«).C«HM.OH. —Ce com-
posé n'a été obtenu qu'en solution en décomposant le chlorhydrate
ou Tiodhydrate par Toxyde d'argent. Le chlorure correspondant à
été préparé soit en traitant Tiodochlorure d'iodonitrophényle sym.
par le mercure diphényle et l'eau, soit en neutralisant la solution
de la base avec HCI et évaporant au B.-M. Le chlorhydrate se
sépare sous la forme de flocons que l'on peut faire cristalliser
dans l'eau en longues aiguilles blanches, F. 181°. Le bromure
correspondant obtenu par addition de bromure de potassium à la
solution de la base cristallise eu aiguilles blanches, F. 211°, faci-
lement solubles dans le chloroforme; Viodure se présente sous la
lorme d'une poudre amorphe, blanche, qui se colore à 120° et
tond à 152°. Lorsqu'on broyé Tiodure avec une solution alcoolique
d'iode et qu'on chauffe, la combinaison entre en dissolution et il se
M'pare du produit filtré \xn periodurc eu cristaux rouges, brillants,
qui se décomposent à 160° avec un fort dégagement de vapeur
k d'iode. En ajoutant à la solution de l'iodate d'iodinium une solution
f de bichromate de potassium on détermine la formation d'un pyro-
thromate de la formule [C«H31(AzO«)(C«H)l]«Cr•0^ ce sel est en
1150 ANALYSE DES TRAVAUX ETRANGERS.
aiguilles oi'anges, facilement solubles dans le chloroforme et
réther. Le nitrate cristallise dans Talcool en aiguilles feutrées,
F. 138®, le chloroplatinate est une poudre rouge jaune, très diffi-
cilement soluble dans les véhicules organiques, F. 197*; le cbloro-
mvrcurate fond à 198**.
Hydroxyde cTa - naphlyl - sym - monoiodonitropbényUodioium
[C«H31(AzO«)][C«oH'î[I.OH. — On n'a pas pu obtenir jusqu'ici
avec Ta-ioduaphtalène une combinaison c iodo », aussi les auteuiv
ont-ils fait réagir, pour obtenir la base mixte ci-dessus* Toxyde
d'argent humide sur les quantités équimoléculaires d'ot-iodoso-
naphtalène et d'iodonitroiodobenzène sym. La base n'a pu élrt
obtenue qu'en solution aqueuse et elle parait plus sensible a
l'action de la lumière que celle qui a été précédemment décrite.
Le chlorure est un précipité blanc, soluble dans Talcool ; le chlo-
roplatinate fond à 178°; le bromure à 168*, Viodure à 89* en se
décomposant et le pyrochromate explose à 154*.
Hydroxyde de monoiodo - di - sym - iodonitropbényliodiûiim
[C«H«I«(AzO«)][G«H3I(AzO«)]IOH. — Pour obtenir cette base, il
faut passer par Tintermédiaire de son sulfate. On introduit dan^
ce but le composé iodosé en remuant constamment dans H*SO
concentré et bien refroidi. On étend ensuite peu à peu avec àe
la glace, on filtre la solution qui renferme le sulfate et on pn^
cipite l'iodure par addition d'iodure de potassium. Après avoir
éliminé l'excès d'iode par l'acide sulfureux, on traite l'iodur»'
d'iodinium par l'oxyde d'argent et l'on obtient une solution de
la base. Le chlorure fond à 85°, le bromure précipité jaune,
fond à 101°, Viodure commence à se décomposer à 66* et fond
à 98°, le pyrochromate est de couleur orange et explose à 72*.
le chloroplatinate se décompose à 115° et le cbloromereanif
à 113°.
Hydroxyde de dichloréthyle-sym-monoiodonitrophényliodimum
[C«H3Cl«][C«H3I(AzO«)]I.OH. — On prépare la base en soIuUod
aqueuse par décomposition de son chlorure au moyen de Toxjd»*
d'argent et de l'eau et le chlorure lui-môme en broyant ensemble
de l'iodochlorure de monoiodonitrophéuyle sym. avec du chlorure
d'argent et d'acétylène et de l'eau. On obtient ainsi une solution
qui concentrée au B.-M., laisse déposer le chlorure sous forme
d'une poudre blanche, qui fond à 170° et se colore sous l'io*
fluence de la lumière. Le bromure correspondant, précipité jaone,
fond à 159°, Viodure à 108°, le nitrate est en aiguaies. F. 148*. If
pyrochromate est une poudre rouge-jaune, amorphe, F. 107% It'
CHIMIE ORGANIQUE. 1151
cbloroplalinale fond à 162* en se décomposant el le cbloromer^
curaie à 160*, c'est un précipité blanc et amorphe.
F. REVERDIN.
Remplacement du brome par le chlore dans les anilines ;
F. D. CHATTAWAT et K. J. P. ORTON {Chenu Soc, t. 79, p. 822-
828 ; 7.1901). — L'acétylchloramino-2.4-dichlorobenzène réagit
sur la s.-tribromaniline en sol. chloroformique ; il y a mise en
liberté de brome et formation de 4-chloro-2.6-dibromaniiine à côté
d'azodérivé et d'une matière colorante non étudiée. De même la
2-chloi'o4.6-dibromaniline, traitée par Tacétylchloraminobenzène,
échange son Br en para contre un Ci et fournit le 2.4-dichloro-6-
bromaniline ; au contraire, avec la 4-chloro-2.6-dibromaniline qui
n'a point de Br en para, il n*y a point déplacement seAsible de Br.
Même résultat avec les s.-dichlorobromanilines, la 2.4-dichloro-
6-bromaniline reste inaltérée, tandis que la 2.6-dichloro-4-broma-
niline fournit la s.-trichloraniline.
Enfln, avec la 2.6-dibromaniline et la 8.4-dibromaniline, on
obtient respectivement la 4-chloro-2-6-dibromaniline et la 2-chloro-
4.6-(libromaniline.
Le remplacement de H ou de Br par Cl dans cette réaction ne
se fait que dans les positions 2.4 ou 6 ; il est beaucoup plus rapide
pour H que pourBr. a. valeur.
Sur quelques dérivés azoîques de la métanitro-p.-toluidine;
R. ELBS et B. SCHWARZ {Journ. f.prakt, Ch., t. 63, p. 562-568).
— Par réduction éleclrolytique de la m.-nitro-p.-toluidine en sol.
faiblement alcaline, on obtient principalement, d'après des recher-
ches déjà publiées, un mélange de p.-diamino-o.-azoxytoluène et de
p.-diamino-o.-azotoluène, la séparation de ces deux corps par
cristallisations fractionnées est impossible ; on y arrive au moyen
de leurs chlorhydrates.
p.'diamino-o.-azoxytoluène, cristallise par refroidissement de
sa solution dans Teau bouillante en aiguilles jaune d*or fondant à
148-I48%5, sol. dans Talcool bouillant, assez sol. à froid; assez
sol. dans H*0 bouillante, peu sol. à froid, sol. dans le benzène,
Tacélone et le tétrachlorure de carbone; dérivé diacétylé très fins
cristaux, très peu sol. dans les dissolvants usuels, fondant à 280-
281*. p.-diamino-o.-aiotoluène, aiguilles rouge bnm ou paillettes
bronzées fondant à 158-159*, très peu sol. dans Teau froide, assez
' sol. à chaud, de même dans Talcool, sol. dans le benzène, Tacé-
lone et CCI*.
415Î ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
DiaminO'Oxyazotoluène
CH3 GH3
AzH2 AzH2
Produit de transposition du p.-diamino-o.-azoxytoluène sous l'in-
fluence de SO*H* conc, aiguilles rouge foncé à reflets bleu vert
fondant à 176-178*, avec décomposition.
p,'diamino-o,'hydraxotoluène, La réduction de la m.-nitro-p.-
toluidine ne fournit ce corps qu'avec un rendement de 40 0/0. Au
contraire, la réduction du dérivé azoïque ou de Tazoxy donne un
rendement de 80 0/0. r. marquis.
Formation d'ana-nitroquinolèina à partir de la métanitra-
niline; Hermann DECKER (Journ. f, prakL Ch., t. 63, p. 578-
576). — D'après la Coste, la métanitraniline avec la glycérine,
l'ac. sulfurique et le nitrobenzène, fournit uniquement de la phé-
nanthroline; d'après Clauss et Stiebel, en remplaçant le nitroben-
zène par Tac. picrique, on obtient 10 0/0 de métanitroquinoléine;
d'après Knuepel, l'emploi de Tac. arsénique améliore le rendement
en métanitroquinoléine. L'auteur, ayant voulu préparer ce dernier
corps par la méthode de Knuepel, a obtenu un rendement de 75
à 85 0/0 en ananitroquinoléine et 15 à 25 0/0 en métanitroquino-
léine; la réaction est donc normale et conforme à celle que donnent
toutes les anilines métasubstituées. r. marquis.
Sur les dérivés de Tacide anthraniliqua ; Hans MEHNEB
[Journ. /. prakt, CL, t. 63, p, 241-312). — Etber méthylique de
Tac. diphénylméthylènediaminedicarbonique
GH2/
\AzH-C«H«-G00Cn3
on mélange une solution alcoolique d'antliranilate du métliyle
avec un excès de sol. d'aldéhyde iormique à 40 0/0; il se sépara
un mélange d'aiguilles et de cristaux compacts, ayant même
composition et même point de fusion: 119-120*. Ce corps se
décompose facilement en ses deux constituants : par la chaleur,
par l'ammoniaque alcoolique à lOO"" qui donne de l'hexaméthylène-
<
CHIMIE ORGANIQUE. Il5â
tétramine et de l*éther anthranilique, par HCl en sol. éthérée; il
ne donne pas de dérivé benzoylé ni acélylé. Par l*acide azoteux il
donne le dérivé diazoïque de Téther antbranilique.
Elber métbylique de F acide p.-diaminodipbénylméthane'm,"
dicarbottique
yC00GH3
/ \AzH2
(I) \ /AzH2
\C00CH3
(3)
— S'obtient en dissolvant le précédent dans HCl à 10 0/0 chaud o*
pptant par Tammoniaque. Puriflé par crist. dans Taicool aqueux,
r. à 147*. sol. alcool avec fluorescence bleue. Dérivé diacétyléy
par Tanhydride acétique et l'acétate de Na 3/4 d'heure au reflux,
lamelles brillantes fondant à 161-163*. Dérivé dibenzoylé^ aiguilles
brunâtres fondant à 221*. 5. Le dérivé tétrazoïque de cet éther,
copule avec le p-naphtol, donne des matières colorantes rouge
foncé.
L'acide p.-diaininodipbéDylmétbane'in.-dicarboniquef obtenu
par saponification de l'éther par NaOH alcoolique, puriflé par dis-
solution dans Tammoniaque étendue et pption par Tac. acétique
fonne de longues aiguilles se décomposant sans fondre à 239*. Il
présente des propriétés acides bien marquées. Son étber mono^
niéthylique, produit dans la saponification incomplète du diéther,
a les propriétés d'un aminoacide, il fond à 178-179°.
Ether métbylique de F acide dipbénylélbylènediaminedicarbo-
nique GHaCH<^^[}2^*JJ|2^^^^3, produit par condensation de
l'aldéhyde acétique avec Tanthranilate de méthyle en sol. éthérée,
iond à 130-131°, se décompose facilement en ses constituants.
Si la condensation est effectuée en solution chlorhydrique
aqueuse, il se produit un corps blanc, cristallisable dans l'alcool
ou la ligroïne bouillants, fondant à 146°, de formule C*<>H**0*Az*,
l'auteur admet une formation préliminaire d'aldol et condensation
ultérieure ainsi qu'il suit :
2CH3-GHO = GH3.CHOH-GH2-GHO,
CH3-CHOH-GH2-CHO + 2 AzH2-G6H*-GOOGH3
GH3-GH.GH2-GH=Az-G6H''GOOGH^
= 2H30+ I
AzH-G«H*G0OGl|3
soc. CMIM., 3* siR., T. XXVI, 1901. — Trav. étrang. 7'^
1154 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Eiber métbylique diazoaminobenzène-o.-carbonique. — Diaxo-
tation de Téther anthranilique et condensation avec raniline,
aiguilles jaunes (alcool) fondant à li"". sol. dans Téther, le benzène,
Talcool et la ligroïne bouillants. Ce corps chaufté avec de Talcool
aqueux se transforme burusquement en n.'Pbénylpbène^trmom
^'^^^^Âz^^Az^^^"^*"* fondant à 151», HCl fumant à 180-140'
transforme ce dernier composé en ac. o.-chlorobenzoïque et ani-
line, les alcalis aqueux provoquent Touverture du noyau azou*
avec formation du selde Vacidediazoaminobenzène'O.^arboDiquf
cet acide fort instable fond à 121° en détonant. La réduction de U
n.-phénylphène-p-triazone par SnCl* donne de Tac. anthranilique
et de la phénylhydrazine.
Produits de copulation de Fétbar antbranilique diazoié. — Ave-
roAoluidiney aiguilles jaunes f. à ÔQ^^^ô. Avec la p.-toJuidm
aiguilles jaune paille f. à li5<*,5. Avec la mAoIuidine^ aiguille?
jaune clair f. à 87*,5, au cours de la préparation se forme en méro''
temps le composé azoïque isomère en aiguilles rouges f. à 93*
Avec la m.-xylidine, aiguilles jaunes f. à 85°. Avec la m.-Bitnnt
Une, f. à 167*. Avec la p.-nitr aniline, aiguilles jaune d'or f. à i84'
Avec V acide knthranilique, aiguilles microscopiques f. à 127* avec
décomposition.
Tous les dérivés précédents donnent par l'action de l'alcoo
aqueux les dérivés correspondants de la phène p-triazone. L*aut^>ir
a encore préparé les acides correspondants aux dérivés ci-des»u\
en copulant Tacide anthranilique avec les différentes aminés di^
zotées, nous renvoyons au mémoire original pour les propriété^ h
les points de fusion de ces nombreux produits. On trouvera eneorv
dans ce mémoire la description d*un appareil pour la détermina-
tion de l'azote diazoïque dans les corps diazoamidés.
R. MARQUIS
Etudes sur le passage des dérivés de Tacida anthranilique t
rindigo; H. ERDHANN [Journ. /. prakt, Ch., t. 63, p. 885/,-
Ether métbylique de Tac, o.-amidobenzoylformique :
\CO-G02C2H5 ,
15 ce. d'éther méthylanthranilique fondus sont mélangés avec
CHIMIE ORGANIQUE. 1155
50 ce . de formiate d'éthyle, le mélange refroidi avec de la glace
e&t additionné de 2.3 gr. de Na en tranches minces. La réaction
très vive est complétée par 1/2 heure de chauffe au B.-M. L*excès
d'éther formique est distillé, le résidu dissous dans 50 ce. d*eau
g;lacée et additionné de 8 ce. d*ac. acétique, la couche huileuse est
aéchée et distillée, ce qui passe entre 150 et 180® cristallise en
aiguilles fondant à 49**. La saponification de cet éther régénère
Tacide anthranilique.
Etber métbylique de F acide mélbylène-anthranilique :
/Az=CH2
C«HK ,
\C00CH3
A 25 ce. d'éther anthranilique fondu on ajoute 25 ce. de solution
commerciale d'aldéhyde formique, la température monte en une
1/2 heure à 50* et le tout se prend en masse par refroidissement.
La masse lavée à Teau, essorée et séchée sur porcelaine est cris-
tallisée dans le chloroforme. L'éther méthylène anthranilique fond
à li6%5, il est sol. dans Téther acétique, CS< et CHCl^ bouillants,
peu sol. dans l'alcool et H*0. Son dibromure fond à 184*" en bouil-
lonnant et en donnant un liquide violet; il se dégage CO*; la
matière colorante formée est sol. dans l'alcool et l'eau bouillante,
mais se sépare à l'état résineux par refroidissement ; elle appar-
tient à la série de l'acridine.
L*action de l'acide cyanhydrique sur l'éther mélhylène-anthra-
nilique est très lente et incomplète ; Vétber de Tanlbranilido'
acétouitrile Cm^<^QQ^^l'^^^' a été préparé par E. Kohner
(voy. le mémoire suivant), il se transforme en indigo pai* fusion
alcaline. Les dérivés de cet éther qui donnent le meilleur rendement
en indigo, et à plus basse température, sont ceux dans lesquels
rhydrogène du groupe AzH est remplacé par un reste acide, par
ex. le dérivé acétylé G«H* ^ ^CH«-CAz ; il convient, d'ailleurs,
•!*■ réaliser l'ciction de l'alcali caustique au t»ein du naphialèno
•ondu. Par ex. 1 gr. de dérivé acétylé est chauffé à 150* avec
i lu gr. de naphtalène, on mtroduit2 gr. de potasse pulvérisée, on
I agite et on chauffe 1 h. 1/2 jusqu'à 170<*. On épuise la masse à l'eau
chaude et on insuffle de l'air dans la sol. aqueuse de façon à ppter
Hadigo. R, MARQUIS.
11^ ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Action de la formaldéhyde et de l'acide cyanhydrique naie-
sant sur Tacide anthranilique ; E. KOHNER (Journ. f. prakL
CL, t. 63, p. 892-404). — Antbranilidoacétonitnle :
yAzH-CH^-CAz
\g02H
140 gr. d*acide anthranilique dissous dans 120 ce. d*acide acé-
tique sont additionnés en refroidissant de 100 gr. de cyanure d?
potassium et de 100 ce. d'aldéhyde formique, en faisant des addi-
tions successives de cyanure et d'aldéhyde. On chaufîe ensuite à
80-90*. La masse refroidie est reprise par Teau, essoréCt dissoubf
dans un faihle excès de soude et pptée par HCl à 25 0/0. Le ppt^
est filtré et lavé à l'eau, et cristallisé dans 3 fois son poids d'alcool
à 96 0/0 bouillant. On obtient des cristaux jaunâtres fondant à 181*
en se décomposant. Ce nitrile se comporte comme un acide fort
donnant des sels bien déflnis. Far saponiRcation il donne raciHt
phénylglycocolle-o.-carbonique ; iondu avec KOH à 220-230», u
donne de l'indigo.
Ether méihylique, — Préparé au moyen du sulfate diméthylique.
f. à 106%5.
Dérivé acélylé de Félher méthylique. — C*H*'^ ^iH*CAz,
^ ^ ^ \COOCH»
f. à 82-83°, sol. dans l'alcool et le benzène, peu sol. dans Tëther,
insol, dans Teau. Tacide azoteux réagit sur ranthranilidoacétonh
trile en donnant un dérivé nilrosé fondant à 113-114** en se décom-
posant; le brome en sol. chloroformique donne un dérivé brom^
f. à 206-207°. R. MARQUIS.
Notice sur l'action de la formaldéhyde sur l'éther métbj-
lique de l'acide anthranilique ; H. ERDHANN (c/ourc. f. prakt.
Ch,, t. 63, p. 569-572). — Après avoir pris connaissance du mé-
moire de M. Hans Mehner sur ce sujet, l'auteur a répété d'an-
ciennes expériences. La condensation de l'aldéhyde formique â\e*:
l'éther anthranilique lui a donné un corps fondant vers il*'-
M. Mehner avait obtenu un corps fondant à 118-120° et lui avait
attribué la formule C^'^H'^Az^O* d'un produit de condensation
de 1 mol. d'aldéhyde avec 2 mol. d'éther. L'auteur trouve qu»-
les analyses s'accordent mieux avec une formule C*''H**A2*0 j
contenant H*0 en plus, le corps qu'il a préparé est plus stable
que celui de M. Mehner et ne perd pas, ou très peu, d'aldéhydo
CHIMIE ORGANIQUE. 1157
formique par la chaleur. En conclusion, il croit que Faction de
CH*0 sur réther anthraniliquese passe en trois phases: 1® unemol.
de chacun des corps réagit en donnant Téther mélhylèneanthra-
nilique; 2"" deux mol. d'éther méthylèneanthranilique réagissent
avec â mol. d*eau, en éliminant 1 mol. d'aldéhyde formique et
en donnant le corps C*''H*^Az'0*-l-H*0; S'» ce dernier corps peut,
dans des circonstances non exactement connues, perdre de Teau
et donner le corps C*"H*®Az*0* de M. Mehner. Les trois produits
ainsi possibles auraient des solubihtés analogues et donneraient
des mélanges en apparence homogènes, ce qui expliquerait les
chiffres peu concordants des analyses. r. marquis.
Comment peut-on éviter la formation de bases chlorées
dans la réduction des dérivés nitrés au moyen de Tétain et de
Tacide chlorhydrique'; Joh. PINNOW {Journ. /. pvakt, Cb,,
t. 63, p. 352-363). — On peut remarquer que dans les cas où Ton
obtient une base chlorée dans la réduction d'un nitré par Sn et
HCl, le groupe nitro est voisin d*un groupe amino tertiaire
(Az(CH3)«] ou d'un groupe éther-oxyde (OCH^) où d'un alcoyle.
D'autre part la production de ces bases chlorées est toujours liée
à une élévation de température au cours de la réduction. Four
éviter cette élévation de température, l'auteur a songé à diminuer
la tension de dégagement de l'hydrogène en créant un couple
étain platine, ce dernier pouvant être remplacé par du graphite,
l^s recherches ont porté sur la réduction de la m.-nitrodimélbyl-
p.'toluidine et du nitromélbylazimidotoluoi
20 gr. de m,-nitrodiméthyltoluidine sont dissous dans 84 ce. HCl
elliOcc. H*0, on ajoute une pincée de graphite, on refroidit et
on ajoute peu à peu 36 gr. Sn en agitant. On obtient ainsi avec
^^igr. de nitré, 21«%5 de base bouillant à 235%5-236« et 4 gr.
bouillant à 236-239''; par la méthode ordinaire on obtient avec
60 gr. de nitré 25»',4 de ba«^e bouillant jusqu'à 240% 2r,h jusqu'à
250», 2i^,l jusqu'à 265o et 2«f',5 jusqu'à 265».
Sitrométbyltoluylènediamine. — 63»f',5de dinitromélhyltoluidine
sont délayés dans 630 ce. d'alcool, additionnés de 150 ce. d'ammo-
1158 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
niaque (D :0.91) et soumis à un courant de H%. La diamine brute
pptée est dissoute dans 20 p. HGl è 5,5 0/0 bouillant et repptée
par AzH^. On cristallise dans le benzène, prismes f. à lSl*,î>-
182»,5, sol. dans l'acétone bouillante, CHCl», C*H*0«, CW el
Talcool bouillant, peu sol. dans Téther froid et la ligroïne.
NitroméibylazimidotoluoL — 20 gr. de nitrométhylloluylène-
diamine sont dissous dans un mélange bouillant de 467 ce. H^O et
36 ce. AzO^H de rf: 1.4, on refroidit à 20-22« et on introduit S»*,»
AzO^Na; le ppté est essoré, lavé à Teau et à Talcool et cristallin
dans réther acétique. Fines aiguilles brun clair, f. à 174,5-i75*,5,
fac. sol. dans Tac. acétique bouillant et CHCl^, sol. dans TacétODe,
le benzène et Téther acétique bouillants, peu sol. à froid. Rendeinfitt
12'%2. La réduction du nitrométhylazimidotoluol par Sn et HClen
présence de graphite donne Famido mélangé d'une base chlorée.
R. MARQUIS.
De remploi d'une méthode de détermination quantitative des
groupes AzO^ par Yoie Yolumétrique ; Paul ALTMAHN {Jonn.
f, prakt. Ch,, t. 63, p. 370-880). — L'auteur examine la métbodt
basée sur la réduction du groupe AzO* par SnCl* et titralion î
riode du réactif en excès :
— Az02 + 3SnC12 + 6HCI = — AzH2 + 3SnCI* + 2H20,
2 SnCl» + 21» = SnCl* + Snl* .
On peut d'ailleurs titrer Texcès de SnCl* au moyen de pemMO-
ganate, soit directement, soit par l'intermédiaire du chlorure lor-
rique d'après la méthode de Rieth.
Les nombreuses applications que l'auteur a faites de ce proc<^<*
montre qu'il n'est pas général et ne convient pas à tous les dérivé»
nitrés. r. marquis.
Sur plnsieurs relations entre les constantes physiques st It
constitution des aminés benzénoides (2* partie); Paul 60B0AI
et Leon>ard LIHPACH (Chem. Soc, t. 79, p. 1080; 8.1901)-
Par la subslilution de l'hydrogène benzénique dans les lormyl-H
ncétylaniiides par des groupes méthyle, on peut obtenir 88 compo-
sés. Ceux-ci peuvent être classés par rapport au nombre p de leurs
groupes substituants et à leurs positions relatives. Le rapport de
leurs points de fusion est montré par leurs valeurs délerminé^i
expérimentalement. La moyenne D des points de fusion d*uoe
série isomérique peut être calculée d'après p. Dans chaque série,
CHIMIE ORGANIQUE. il&9
I*un des points de fasion est identique à cette valeur moyenne et
les autres en difTèrent en plus ou en moins de quantités égales.
Par exemple, dans la série de Tacéto-toluide , la moyenne
D = i06*,S; c'est pratiquement le point de fusion de 1*1 I2-acéto-
toluide (107*»). Le composé 1 1 3 fond à 65*,5 et le composé 114 à
147*. le dernier composé fondant 40*, 5 plus haut et le premier,
41"* plus bas que la moyenne D.
Les points de fusion sont plus hauts quand deux positions ortho
sont occupés, et plus bas quand les positions meta ou meta et para
sont occupées. Les points de fusion semblent être principalement
déterminées par les positions ortho ou par les voisines. Ces idées
sont appuyées par la théorie des invariants. a. hébert.
Notes additionnelles sur la dinitro-ortho-apisidine. Une
réaction chimique dans laquelle un des produits continue la
même réaction; Raphaël HELDOLAet John Targas ETRE (CÂe/u.
Soc, t. 79, p. 1076; 8.1901). — Il a été montré que la dinilro-
anisidine possédait la constitution d'une 4:5-dinitro-2-amino-
anisole; les auteurs reviennent sur ce point et constatent l'action
remarquable de Tacide nitreux sur ce composé.
Les diphénylaziues de la triaminoanisole et ses dérivés acé-
tylés. — La dinitroacétanisidide est réduite en solution dans
Pacide acétique glacial par la poudre A^ zinc et Tacide chlorhy-
drique; la solution contenant l'acëlyUriaminoanisole est mélangée
avec une solution acétique de benzile et chauffée au bain-marie.
En diluant et neutralisant par l'ammoniaque, on obtient Tazine en
poudre ocreuse soluble en brun dans Talcool bouillant avec une
légère fluorescence à froid ; Tazine se sépare en aiguilles fondant
à 228-224^
Le dinitroanisidine, par un traitement similaire, donne une azine
en aiguilles brunes à bords dentelés, fondont à 194-195*. La solu-
tion alcoolique possède une fluorescence verte à froid; le composé
est basique, soluble dans Tacide chlorhydrique en prenant une
couleur ronge disparaissant par dilution.
La constitution de ces composés est montrée par les formules :
Cail^O-AzH/NAz r G-C«H5 AzHa/^Azr C-G«H*
CH3oi > Az = C-C«H^ CH3ol Jaz = G-C«H5
I Diaxotatiou quantitative de la dinitro-oanisidine. — On a
montré que ce composé perd, par diazotation, un groupe nitré
il60 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
occupant la position para par rapport au groupe aminé, le composé \
résultant étant un diazoxyde. ^élimination se ferait de la façon
suivante :
/Az2-0iH' yAx^
Az02-C6H2(OGH3)< 9^ Az02-C«H2(OCH3)< | .
\iAz02 \0
11 y aurait là un cas remarquable d'une réaction chimique dans
laquelle un des produits, l'acide nitreux, est le même corps que le
réactif ajouté. Il en est bien ainsi, car les auteurs se sont assurés
par des expériences directes que, tandis que la limite théorique de
diazotation n'est pas atteinte en 5 jours, le rendement réel de
diazoxyde formé est en très grand excès sur celui capable d'être
produit par le poids de nitrite ajouté. Le groupe nilro éliminé
ainsi continue donc la diazotation. a. hébbrt.
Contribution à la connaissance dti chlorure de m.-cyaBO-
benzyle; F. EHRLICH (D. ch. G., t. 34, p. 3366; 26.10.1901). -
Tandis que les chlorures de la série orlho et de la série para ont
été bien étudiés, le chlorure de m.-cyanobenzyle est moins connu,
Tauteur en a préparé un certain nombre de dérivés qu*il décrit
dans le présent mémoire.
1 -m.'CyaDobenzylamwe. — Lorsqu'on chauffe au réfrigéram
ascendant pendant 20 minutes, la m.-cyanobenzylphtalimide avec
une solution alcoolique étendue de potasse caustique, on obtient
après neutralisation par l'acide chlorhydrique, Vacide m.-cyano-
benzylphtalaminique CO«H . C^H* . CO . AzH . CH« . C«H* . CAz, qui se
dissout facilement dans l'ammoniaque et fond à 175* en régénérant
la phtalimide. Si l'on évapore sa solution aqueuse au B.-H.
presque jusqu'à siccité et que l'on reprenne le résidu avec de Teau
froide, on obtient une certaine quantité de phtalimide qui reste
insoluble, tandis que la m.'Cyanobenzylamine formée, passe dans la
solution d'oili on la retire par extraction à l'éther après avoir rendu
alcalin. Le chlorhydrate de cette base fond à 221-222®, son picrate
à 217*» en se décomposant, son chloroplatinate à 240*, son oxalale
à 196»,5.
Di'UU'Cyanobenzylamine. — On obtient cette base en laissant
longtemps en contact le chlorure de m.-cyanbenzyle avec une
solution alcoolique d'ammoniaque ou plus rapidement en chaut- .
fant sous pression pendant 10 heures à 100®, 2 gr. de É
chlorure avec 10 ce. d'une solution alcoolique d*ammoniaque ^
à 10 0/0. La base libre se présente sous la forme d'une huile qui
CHIMIE ORGANIQUE. 1161
se concrète sous l'exsiccateur et cristallise de l'alcool étendu d'eau
en aiguilles feutrées, F. 54*. Son chlorhydrate fond à 234-235%
son chloroplatinate est en aiguilles jaunes, F. 231, son chloraurate
en aiguilles jaune d'or, F. 209*», son picrate en prismes rhom-
biques et brillants, F. 170*», son chromaie en aiguilles jaunes,
qui se colorent en brun sous l'action de la lumière.
La tri-ûï.^cyanobeazylamine (CAzC*H*.CH*)*Az se forme en
^^>6tite quantité dans la préparation précédente et s'obtient le
mieux en chauffant en tube scellé à 100^ pendant 5 heures la m.-
dicyanobenzylamine avec le chlorure de m.-cyanobenzyle. Elle cris-
tallise en feuillets rhombiques, F. 118-1 19"*.
Les groupes GAz peuvent être saponifiés par l'action de l'acide
chlorhydrique fumant sous pression et l'on obtient Yacide triben-
zylamine-m.'lricarboDique.
Le rbodanure de m,-cyanobenzyle^ tables rhombiques, fusibles
à 55'', fournit par saponification au moyen de l'acide chlorhydrique
fumant, au réfrigérant ascendant, un acide bemylsulfure-m,"
dicarbonique qui se forme en vertu de l'équation :
2COOH-G«H*-CH2.SH = (GOOH-C6H*.GH2)2S + H^S.
Si l'on chauffe par contre pendant 3 heures à 170* en. tube
scellé, il se forme un acide bénzyidisulfure- m.- dicarbonique
(COOH.C«H*.CH«)«S«. Lorsqu'on fait passer pendant 1 heure de
rhydrogène sulfuré dans une solution froide de rbodanure de
m.-cyanobenzyle dans l'ammoniaque alcoolique, on obtient le disul-
iure de m.-cyanobenzyle en aiguilles qui se colorent peu à peu en
jaune à l'air et qui fondent à 116-117**. Ce composé chauffé avec
HCl fumant donne l'acide benzyldisulfure-m. -dicarbonique corres-
pondant à celui dont il vient d'être question.
L'auteur a préparé encore, pour compléter la série des dérivés
soufrés du m.-cyanobenzyle, le sulfure de m.-cyanobenzyle
(GAz-G«H*-GlP)»S,
prismes ou bâtonnets, F. 99°,5 et le mercaptan de m.-cyanobenzyle
GAz. C*H*.CH'.SH qui se concrète dans un mélange réfrigérant,
pour fondre à 24-25° et se décompose vers 180°.
Enfin en nitrant le chlorure de m.-cyanobenzyle dissous dans
H^SCH concentré au moyen du nitrate de potassium, l'auteur a
obtenu le chlorure de p.'niiro-m.-cyanobenzyle
GAz-G6H3(Az02)CH2CI,
ii^ ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS
qui cristallise dans Talcool en feuillets ou en aiguilles brunes,
F. 59-60*.
La constitution de ce produit a été établie en examinant son
produit de rédiiction qui correspond au p.-amino-mMolunilrile
C«H3(CH3)(CAz)rAzH«). Ce dérivé qui cristallise dans la ligroïne
1 3 4
en aiguilles blanches et brillantes, fusibles à 60-61*' fournit par
saponification lorsqu*on le chauffe en tube scellé pendant 10 heures
à lOO"", avec de Tacide chlorhydrique fumant, un acide aminotoluy-
lique, F. i72**,5, qui a été identifié avec Vacide p.'amino-mMoluy-
Uque (p.-méthylanthranilique) déjà décrit par Jacobsen et Panao-
tovic, toutefois le point de fusion de son chlorhydrate (200-201*) ne
correspond pas exactement avec celui indiqué par le second de
ces auteurs (207*'). Cet acide chauffé à 120-iâO* avec la formiamide
fournit un produit de condensation qui constitue la d'OxyS-méthyl'
quinazoUne
CH3/^,-C(0H) = Az
I *
Az CH
UL
ce qui est conforme à sa nature d'acide o.-aminé. La base en
question est en petites aiguilles feutrées et blanches, F. 251"*; elle
se dissout facilement dans Tacide acétique cristallisable, Tacétone,
Talcool et Teau bouillante, ainsi que dans les acides et les alcalis.
Son chloroplatinate obtenu sous la forme d'un précipité cristallin,
fond à 290** en se décomposant. r. reveadin.
Sur la préparation des hydrasines alcoylées; R. STOLLË
{D, CÎ2. G., t, 34, p. 8268; 26.10.1901). — La méthode employée
par Ladenburg pour alcoyler les bases, consistant à les chaufler
avec des sulfates alcooliques en solution aqueuse, a été essayée
par Tauteur pour alcoyler Thydrazine. On obtient dans ce cas
des hydrazines monoalcoylées qu'on débarrasse de Thydrawne
non transformée en agitant le produit de la réaction avec de la
henzaldéhyde ; en le traitant ensuite parle chlorure de benzoyle
en présence de carbonate de soude on obtient la rf/Ae/izo^/e'/AWA/-
drazine qui cristallise avec ou sans eau de cristallisation et fond,
anhydre, à 132-133*. Elle est à peine soluble dans Téther.
La dibenzoylpropylhydrazine cristallise dans Talcool étendu en
aiguilles, F. 131"*, difficilement solubles dans Téther; la diben-
zoylbuiylbydrazine est une poudre cristalline blanche, F. 167*;
la dibenzoylamylhydrazine fond à 133®. f. HKX'CRDUf.
CHIMIE ORGANIQUE. 1163
Sur la benséne-azo-p-naphtylauramine ; R. HÔHLAU et K. P.
GRAELERT(Z7. cb. G., t. 34, p. 3384; 26.10.1901). — L'un des
auteurs et Heinze ont fait récemment une communication sur
Taction du tétraméthyldiamidobenzhydrol sur les composés para
et ortho-amidobenzoVques. Avec les dérivés ortho ils avaient
obtenu des combinaisons renfermant les chromophores Az I Az et
Az I G et constituant des azoauramines; ces colorants prennent
naissance au moyen des azoleucauramines correspondantes par
élimination d*hydrogène lorsqu'on les chauffe en solution alcoo-
lique. La transformation de la benzène-azo-^naphtylleucauramine,
cependant, ne leur avait pas réussi d'une manière satisfaisante. En
étudiant de nouveau cette question, les auteurs du présent mémoire
sont arrivés à modifier leur procédé et à obtenir le composé
cherché.
On chauffe au réfrigérant ascendant 1 partie de benzène-azo-p-
naphtylleucauramine avec 1,5 partie d* alcool. La leucauramine ne
parait pas entrer en solution, car il reste toujours des cristaux.
Au bout de 14 heures la transformation est faite, un essai addi-
tionné d*acide acétique ne se colore, lorsqu'on le chauffe, ni en
bleu, ni en vert, mais reste rouge. Les cristaux déposés sont cris-
tallisés de nouveau dans un mélange d'éther acétique et d'alcool
méthylique ; ils constituent le 15 0/0 de la leucauramine em-
ployée.
La benzène-azo-p-naphtylauramine ainsi obtenue est en cristaux
rhombiques, écarlates, F. 179-180**; elle est facilement soluble dans
le benzène, le chloroforme, Téther acétique, assez difficilement
dans l'acétone et l'alcool méthylique; chauffée avec de l'acide
sulfurique à 5 0/0, elle se scinde d'une manière nette en benzène-
azo-p-naphtylamine et tétraméthyldiamidobenzophénone.
F. REVERDIN.
Rédaction de l'indigo dans un milieu anhydre; Arthur BINZ
(Journ. t. prakt, Ch.^ t. 63, p. 497). — Quand on traite l'indigo,
dissous dans le naphtalène, parla poudre de zinc sèche, il se forme
une substance verte possédant les propriétés du dérivé zincique de
l'indigo blanc. La masse, traitée par la soude, donne de l'oxyde
de zinc et le sel de soude de l'indigo blanc. Une partie de l'indigo
est d'ailleurs détruite pendant la réaction. Cette réaction a lieu en
l'absence de toutes traces d'humidité; d'autre part, le naphtalène
n'agit pas sur la poudre de zinc, on doit donc admettre que l'in-
digo s'associe au zinc pour donner le sel de zinc de l'indigo blanc.
R. MARQUIS.
1164 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Sur les phônozyacôtamidines aromatiques; Georg COHH
{Journ. t.prakt. CL, t. 63, p. 188-192). — L'auteur étudie les
produits de condensation de l'acide phénôxyacétique avec les
orthodiamines.
I. Dérivés de rorthoaminophénétidine — Parties égales d'ac.
phénoxyacétique et de diamine sont chauffées 1/2 heure à 140-160*,
on fait cristalliser le produit dans le benzène. L*amidine formée,
de constitution suivante :
AzH— .'^.OCms
G6H«-0-GH2-(
fond à 168-169*. Son chlorhydrate fond au-dessus de 100*, perd
de Teau et fond à nouveau à 205*. Lq picrate fond à 211-212*.
m.'P . ^crésoxyméthyléthoxybemimidazol :
GH3-C6H*-0-CH2-c/ I I
1 * ^Az 1 JOG2H5
Formé par combinaison de To.-amidophénétidine avec Tacide
crésoxyacétique; le produit de la fusion des deux corps est repris
par du benzène et cristallisé dans un mélange d'acétone et d'éther
de pétrole, puis dans l'alcool à 60 0/0. Feuillets blancs, F. à 145-
146*. Le picrate, cristallisé dans Talcool bouillant, est en ânes
aiguilles f. à 226-227*.
m.-Thymoxyméthyl'éthoxybettzimidazol
-0-GH2-c/
\AzH
Fusion de 4,5 p. d'acide thymoxyacétique et de 3 p. d'o.-amido-
phénétidine, le produit est purifié par l'intermédiaire de son chlor-
hydrate. La base fond à 84-86*, le chlorhydrate à 208* (alcool)-
206* (eau) ; le picrate à 194*.
Le composé isomère dérivé du carvacrol fond à 124-125*, soa
picrate fond à 204*.
CHIMIE ORGANIQUE. 1165
Gaïacoloxyméthylétboxybenzimidazol
0CH3
C«HK 1 A^kz /^ >OC2H5
\0-CH2.Gf
2 \AzH
fond à 122-123», le picrate fond à 178-174* par un chauffage lent,
chauffé brusquement dans un tube capillaire il fond à 125<* puis se
solidifie pour fondre de nouveau à 174''.
Le m.'eugénoloxymétbylétbôxybenzimidazol fond à 75-76», son
picrate f. à 125*.
m.'OL'Napbtoxymétbyl'étboxybenzimidazoL — 2 parties d'o.-a-
roidophénétidine et 2,7 p. diacide naphoxyacétique. Le produit
broyé, lavé à Téther, est cristallisé dans Talcool, F. à 190*. Picrate
f. à 227.228*.
V isomère dérivé du p-naphtol fond à 163-165', le picrate f. à
249.250\
II. Dérivés de ro.'toluylènediamine. Pbénoxyméthyl^métbyl-
benzimidazol
C6H5-0-CH2-g/
GH3
1,2 p. de base et 1,7 p. d'acide sont chauffés 3/4 d'heure à 150'».
La masse est épuisée à Téther et le résidu crist. dans Talcool, f. à
170-171 •. Picrate f. à 216-217*.
Gaïacoloxymétbyl'inétbylbcnzimidazol, f. à 78-80'*. Picrate f . à
179«.
Eugénoloxymétbyi'métbybenzimidazol^ f. à 71-73'». Picrate
f. à 132'». R. MARQUIS.
Sur la bensylaside ; Th. CURTIUS et D&RAPSKT {Journ. f.
prakt, Cb., t. 63, p. 428-444). — U benzylazide C«H5-CH«.Az/ il
est susceptible de donner lieu, sous Faction des acides minéraux,
à trois processus de décomposition différents :
1'» 11 y a dégagement d'azote et formation d'aldéhyde :
C«H5(;H2Az3 = A22 4- C^^H^CHUz <
Le reste C*H''*CH*Az<< subit une transposition moléculaire et se
transforme en iminoaldébyde C^H^CH=AzH qui s'hydrate enfin :
C«H5Gn = XM + IPO = AbH3 + C«H5CH0 ;
1166 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
2*» Ce même résidu reste C«H*CH'Az< peut subir une autre
transposition conduisant à la méthylèneaniline C^WAz=Clï* qui
par hydratation donne de VanIJine et de Valdépyde formique ; la
majeure partie de ces deux corps se condense» d'ailleurs, en
anhydroformaldéhydaniline ;
S"" Enfin la benzylazide peut conduire à la benzylamioe d'après
la formule :
G«H5CH2Az3 + H20 = Az20 + G^HSCHîAzHa ,
4** Dans l'hydrolyse de la benzylazide par les acides minéraux
étendus, il y a aussi formation d'un peu d'acide azothydrique.
Partie expérimentale. — Benzylbydrazine, — Réduction de la
C«H».CH=Az
beuzaldazine \ en benzalbenzyïbydrazone' :
C«H»-CH=Az
C6H5.GH = Az-AzUCHî-G^HS ,
et scission de cette dernière par HCl étendu. — NUrosobemyl-
bydrazine C«H**-CH*-Az<^^u, ; dissolution du chlorhydrate de
benzyihydrazine dans un excès de sol.de AzO^Na et chauffe d'une
demi-heure au B.-M., il se sépare une huile jaune qui cristallise
par refroidissement.
Benzylazide. — 10 gr. de nitrosobenzylhydrazine sont chauffés
1 heure avec 100 ce. de SO*H* à 10 0/0 au B.-M., on entraine à la
vapeur, le distillât est épuisé à Téther, et la sol. élhérée, distillée.
La benzylazide bout à 74"^ sous 11 mm. On peut aussi la préparer
par réaction de Tiodure de benzyle sur l'azoture d*argent.
La benzylazide est stable vis-à-vis de l'eau et de l'alcool bouil-
lants, et vis-à-vis de la potasse alcoolique. Les acides minéraux
lui font éprouver les décompositions citées plus haut. Suivent les
détails des expériences. r. marquis.
Condensation de la phényléthylcétone avec la bensaldéhyde ;
Robert DUNCOMBE kVZLL(Cbem, Soc, t. 79, p. 928-9S9; 7.1901).
— La condensation à froid de la phényl-élhylcétone avec la ben-
zaldéhyde, en présence de méthylate de sodium en sol. à 20 O^U.
fournil, outre la benzalpropiophénone impure, le J .S-diphényl-S-
méthyltviméthylèncglycol :
C»H5-CHOH.GH.CHOH-C6H5
;H3
A,
CHIMIE ORGANIQUE. 1167
qui crint. dans la ligroïne bouillante additionnée de quelques
gouttes d'alcool en aig. F. 98-99'*, sol. dans les solv. org. et dont
le dérivé diacétylé C**H*«(0C0CH3)«crist.dans Talcool en prismes
F. 123-124*. Par oxydation au moyen du mélange chromique, ce
comp. se transforme en méthyldibenzoylméthane :
C6H5CO.CH-GO-G«HS
CH3
déjà obtenu par Beyme (Diss. Leipzig 1900).
La substitution de l'éthylate au méthylate de sodium comme
agent de condensation donne lieu à la formation des mêmes pro-
duits et en outre du S-phényUl.S'diméthyUl.S'dibeaioylpropane:
C«H5.GO-CH-GH3
GH-G«H5,
C«H5-GO-CH-GH3
crist. dans Talcool et F. ^62-163^
C«H».C0-C.CH3
La benzalpropiophenone n peut être obtenue
CH-C«Hî^
pure en opérant la condensation en présence de potasse ou avec
de bien meilleurs rendements (70 0/0) par Faction de HGI sec ;
huile jaune paille F. 210-213* sous 23 mm. — La phénylhydrazone
C'^H'^Az* crist. dans Talcool en aig. jaunes se ramolissant à 115%
F. 127-128°. — Le dibromure de benzalpropiophenone :
G^HS-GO-GBr-GH Br.G«H5
i
obtenu par Taction de Br en sol. chloroformique est une huile
incristallisable.
La benzalpropiophenone se condense avec Téthylphénylcétone
en présence d*éthylate de sodium en sol. éthylique en donnant
presque quantitativement le S-phényl-J .S-dimétbyl-l .S-dibenzoyl-
propane qui crist. dans Talcool, F. 162-163* et en petite quantité
un isomère de ce composé, plus sol. dans Talcool et crist. en aig.
F. 121-122*.
Ces deux comp. sont vraisemblablement stéréo-isomères; car,
4168 V ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
chaufTés en tube scellé à 120-130* pendant 4 heures avec le chlor-
hydrate d*hydroxylamine, ils fournissent une triphényidiméthyl-
pyridine, probablement la 2,4,6-tripbényl'3.6'dimétbj^lpyridiDe
crist. en aig. incol. F. 155-156". A. valeur.
(
Sur rauto-oxydation de la carrone; C. HARRIES (D. cb. G.,
t. 34, p. 2105-2106; 6.7.1901). — Si Ton agite de la carvone à
Tair ou mieux dans une atmosphère d'oxygène en présence de
baryte hydratée, il se fixe à la fois de Toxygène sur la carvone et
sur la baryte; il se fait du bioxyde de baryum d*une part et
d'autre part une dicétone qui n*est autre que la /-j!iié/A//-4-/>ro-
pényldibydrorésorcine. Ce produit est en effet identique avec la
dicétone dont la dioxime a été obtenue antérieurement par oxy-
dation de Toxaminocarvoxime.
Les schémas suivants illustrent ces deux processus d'oxydation :
G-GH3
hg/Ngo
C.GH3
(OH)G/NiO
GH-Clia
GO/NCO
H2cIJgH2
H^cl/GHî
H^dv/^H»
GH-G3H5
GH-G3H5
CH-C3H5
Carvone.
Forme énoliqoe Forme cétoniqve
da prodoit d'oxydation. da produit d'oxydation
G-GH3
GH-GH3
HC^X:=Az(OH)
1
(OH)AzHGH
'^Y:=ab(0H)
H2Cv/GH2
GH-G3H5
WQ
GH-G3H5
Girvoxime.
Oxaminoearvoxime.
GH-GH3
(0"H)Az=:G(^^G=Ae(OH)
H»dsJGH2
GH-G3H5
Dioxime.
L. J. SMON.
Sur la A^-menth6ne-2-one et la canrotanacôtone ; C. HARRIBS
(D, ch. C, t. 34, p. 1924-1935; 22.6.1901). — En hydrogénant au
moyen do poudre de zinc, au sein de l'alcool méthylique l'hydro-
bromocarvone, on régénère une portion de carvone; le reste est
transformé en un isomère de la dihydrocarvone, nettement diflé-
rent de celle-ci et qui n'est autre qu'une modiûcation active de h
{
CHIMIB ORGANIQUE. 1169
cétone non saturée
dont la carvotanacétone de Se m m 1er est la
forme racémique
G.CH3
Hc/^CO
CH-CH3 OGH3
Hac/Nco Hg/NgO
h^gI^^h^ HK::'vJcHa
HK\ JcHî
Ch
i
Hî»C CH3
GH CH
G CH
CH^ GH3 Gri3 tH3
Ctnrone.
Dibydroeanrone Cinrotaoaeétoie
A^ ^ menUièoe-S-one. A menthèoe-S-one.
Pour séparer la carvone inaltérée du dibyclrure, on traite par
l'acide bromhydrique en solution acétique qui se flxe sur la
carvone exclusivement et on distille dans la vapeur d*eai|; le
dihydrure seul est entraîné : on purifie cette cétone au moyen de
sa semicarbazone.
La A« menthène-2-one C*<>H**0 est une huile jaune, très réfrin-
gente distillant sous la pression ordinaire à 227-228'' et à 96-97<'
sous la pression de 9 mm. exactement comme la carvone : on ne
peut donc pas les séparer par distillation. Son poids spécifique est
à 10« 0,9411 et à 13^ 0,9351. Elle est dextrogyre et possède
l'odeur de la carvone atténuée.
Sa semicarbazone cristallise bien dans l'alcool et est insoluble
dans l'éther; elle suinte à 170» et fond à 173-174<». La combinaison
correspondante de la carvotanacétone fond à 177°,
Son oxime fond à 75-77''; celle de la carvotanacétone fond
à 92.9S*.
Soumis à l'action de l'hydroxylamine libre en présence d'alcool
niéthylique, la menthénone fournit une oxamino-oxime qui par
oxydation à l'air donne la dioxime d'une dicëtone cyclique saturée :
HG-GH3
OH- AzH-HGj^'^Ng = AeOH
H2gI JcH2
CH-CSH*»
Oiaoïino-oiime.
GH.GH3
OHAz=C/'\g=AzOH
H^ci^ JcH2
dH-C3H7
Dioxime.
soc. Gfoif., S* 8BR., T. XXVI, 1901. — TraT. ètrang.
74
1170 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
La menthénone donne avec Thydrogène sulfuré une combi-
naison cristallisée en flnes aiguilles fondant à 222-2âS*; la com-
binaison correspondante de la carvotanacétone fond a 205*.
Semmler avait indiqué 95*. La composition de cette combinaison
est représentée par (C*^H*«0)*H«S et est de la forme
\g(OH)-S-C(OH)/
La menthénone, réduite par la poudre de zinc et la soude
alcoolique, fournit la d carvomenthone connue; réduite par Tamal-
game d'aluminium, elle donne une combinaison trimoléculaire
C«oH340*, dicétone cyclique saturée dont la dihydrazone fond
à 260*.
L* acide bromhydrique en solution acétique se fixe dinicilemenl
sur la menthénone; le nitrate basique de plomb agissant sur Je
dérivé brome en solution dans Talcool méthyiique bouillant enlève
Tacide bromhydrique en régénérant la menthénone sans qu'on
constate de migration de la liaison éthylénique. Enfin, oxydée par
le permanganate, la menthénone fournit d*une part de Tacide
pyruvique qu'on a caractérisé par sa phénylhydrazone et d'autre
part un acide cristallisé qui est vraisemblablement un acide ïsch
propylsuccinique actif. l. j. simom.
Dérivés chlorés de la pyridine (T"" partie). Produits de con-
densation ; W. J. SELL et F. W. DOOTSON (Cbem. Soc, t. 79,
p. 899-906; 7. 1901). — Les auteurs ont étudié un composé
C«oH"Az«Cl** obtenu antérieurement (BuîL Soc, cbim., t. 24,
p. 316; 1900) par Taction de Cl sec sur le chlorhydrate de pyridine.
L'action de l'eau au B,-M. se produit suivant Téquation :
GiOHAz2Cl" + H^O = CioHOAzîCP + 2HCI ,
Le composé C*0HOAz«Cl», F. 17M72o, a été décrit antérieure-
ment (loc, ciL), L'alcool produit la même réaction avec élimination
de C'H^^Cl au lieu de HCl. Les ac. acétique et benzoïque agisseot
de même avec formation des chlorures acides correspondants ;
CiOHAz^Cn» + G«H5C02H = G6H»C0CI + CiohoAzîGP + HQ.
Les substances C«oHAz«Cl*« et C*oHO.Az«Cl», chauffées avec
NaOH étendue, fournissent quantitativement la 2-amino 8.4.54ri-
chloropyridine F. 159-160*. L'acide sulfurique contenant 80 0/0 de
I
CHIMIE ORGANIQUE. 1171
SOH« transforme d'abord C«oHAz«Cl" en C*0HOAz«Cl», puis, quand
on chauffe à une T. ne dépassant pas 150<» jusqu'à dissolution du pro-
duit, HCl se dégagée et il se dépose par refroidissement un composé
G*^HO*Az«Cn qui crist. dans l'acide acétique en cubes F. 146-147»,
après séparation de cette substance et alcalinisation par AzH^, la
8-amino^4-5-trichloropyridine.
Si la chauffe est prolongée le rendement en 2-àmino-d.4.5-tri-
chloropyridine augmente jusqu'à devenir quantitatif. Si l'on chauffe
au contraire à l'ébuUition, il se produit outre HGl et GO* de la
pentachloropyridine et de la 2-amino-d.4-5-trichloropyridine.
La substance mère C*oHAz*Cl", chauffée vers 260** sous
15-20 mm. fournit du chlore et de la pentachloropyridine. Dans les
mêmes conditions, le composé C*<>HOAz*Gl* donne, outre Gl et la
pentachloropyridine, le dérivé G*<>HOAz*Cl'' déjà obtenu par chlo-
ruration incomplète du chlorhydrate de pyridine [loc. cil,) et que
l'on peut également préparer par l'act. de SnGl* sur C*<>HAz*Cl**
en sol. cétonique et crist. subséquente dans l'acide acétique.
Nous renvoyons au mémoire pour les formules de constitution
de ces divers composés. a. valeur.
Sur lesaa'-diphénylpipéridinesstéréoisomériques; H. SCHOLTZ
(D. cb. G., t. 34, p. 1616-1623; 8.6.1901). — La diphénylpipéri-
dine substituée en aa doit se présenter sous deux formes stéréo-
isomériques inactives dont l'une est dédoublable. L'auteur a bien
réussi à isoler et à caractériser deux bases isomériques, mais n'a
pas réussi à en dédoubler une, en sorte qu'il reste encore à décider
quelle est celle qui correspond à la forme cis.
Ces bases ont été obtenues par réduction au moyen du sodium
et de l'alcool de l'oa' diphénylpyridine obtenue elle-même par
distillation sèche de l'oxime de la cinnamylidène acétophénone
C«H*-CH = CH-GH =GH-(:-C«H5
II
Az(OH)
Les tableaux suivants montrent les différences que présentent
entre eux le dérivés de l'une et l'autre base.
I
tABLEAU
1178
ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
P. E.
P. P. DBS SUS.
P. F
•sa •terrt*
~~^^^^
i-^^^^^
■^ «M '- «■■• ^
,
•
•
•
S
•
3 C
£
3 ,•
'
P. F.
. sous
HCl.
HBr.
HI.
SO«H«.
s
"5
ii-
2j
JB âS
V Q
£ ë
o-e-
15 mm.
a.
5
* a.
i-S
\ ' '
<
•
<
^5
c *
» ^
a«'-DipbényIpi -
■
péridine
71-
î(»-»6«
316*
895-
2tô*
iSS*
«!«•
Mo*
1U-
137*
(»»•
bOMta'-diphéoyl'
pipéridine . . .
liq.
904-305-
«18-
258*
Î57«
1W
liq.
liq.
Uq
i!5»
1
««•
La solubilité des sels est également différente. Les essais de
dédoublement ont été effectués avec les acides tartrique et sulfo-
camphorique. l. j. simon.
Sur Tacide p.-tolaylpicoliniqae et ses prodaits d'oxydation;
H. L. FULDA (Mon. f. Ch,, t. 21, p. 981). — Just (Mon. /. Ch.,
t. 18, p. 452) obtient par la condensation de Tanliydride quino-
lique et du toluène au moyen de AlCl* un nouvel acide, l'acide
toluypicolinique auquel il attribua la constitution :
CH3
<^
CO— ^
COOH Àz
L'auteur étudie cet acide d'une manière plus complète.
L'oxydation au moyen d'un excès de permanganate loumit de
Tacide teréphtalique; au contraire, Toxydation avec la quantité
nécessaire pour oxyder le CH^ donne l'acide ^-bemoyle-picoli'
/2iy«e-/?.-carZ>o/2/qrweC**H*»AzO*-|-H*0. Cristaux se décomposant
sans fondre à 190*» et fondant nettement à 267*», les rendement
sont de 50 0/0 de la théorie, le sel de cadmium C«*HUzO»Cd s'ob-
tient en ajoutant du chlorure de cadmium à la solution du sel de
potassium.
Véther dimétbylique C*<^H**AzO*, longues aiguilles incolores
fondante liO-lll«.
L'acide p'benzoyl-picolinique-p.-cai*bonique se combine à Thy-
CHIMIE ORGANIQUE. 1173
droxylaroine pour donner un anhydride de l^oxime, \d^ phénylpyrid-
O'Oxaziûone-'p.'Cariomque :
COOH
petits cristaux microscopiques fondant à 800* en se déôomposant.
La phénylhydrazine donne un composé du même genre, lai-ilz-
pbéajrlquinolinazoae'p-carbooique.
L'acide p-benzoyl-pîcolinique-p.-carbonique, chaufTé vers SIO*,
perd une mol. de GO* en donnant l'acide p^phénylpyridylcétone-
p.'Carboniqae
o-«><>
feuillets brillants fondant à 267*. Son chlorhydrate C«»H»AzO»4-HCl
cristallise en aiguilles blanches.
Sel d'argent C^^H^AzO^Ag, 8*ol)lient en ajoutant du nitrate d'ar-
gent à une solution du sel de potassium, poudre blanche, amorphe.
Sel de cadmium (C*»H8Az03)«Cd + H«0, feuillets brillants.
La phénylhydrazone C'^H^^Az^O forme des cristaux jaunes
microscopiques fondant à 246-248**. a. wahl.
Sar les dôrivôs azotés de la cantharidine (III) ; Hans HETER
(Mon. f. Cb., t. 21, p. 965). — Dans Tétude de Faction deTam-
raoniaque sur les lactones (Mon. i. Ch,, t. 20, p. 717), Tauteur a
précisé les conditions dans lesquelles il se forme des imides. La
constitution de la cantharidine : qu*il a préconisée (Mon, /. CA.,
t. i8, p. 8986, et t. 19, p. 708)
1174 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
permet de prévoir la facile formation d'une imide
CH2.œOH
La cantharidine finement pulvérisée, chauffée avec AzW s'y
dissout, et par refroidissement il se dépose de longs cristaux fon-
dant à 197*, ranalyse répond à C*<>H*«AzO*. Des trois formules
possibles :
/
CH»-CO
. M)H
\l
O— AzH
U.
CH3-COAjtH2
M No
\
/v
m.
Tauteur considérait a priori la première comme exacte. Cependant
Anderlini [Gaz. chim. ital. (I), t. 23, p. liiS6; 1893]; a montré que
la cantharidinimide soumise à Faction de POCl^ perd HK> en don-
nant un anhydride fondant à 137**.
Cette anhydrisation s'explique facilement suivant qu'on admette
les formules I ou II :
ou
CH
->^
AZH
Cependant, la formule II implique l'existence d'une double liai-
son dans Tanhydride, et l'expérience montre que le permanganate
en solution alcaline est fortement réduit. Il [s'agit donc de décider
entre la formule d'une imide acide et d'une lactame. La i*éactioa
de Hoffmann n'a pas permis de décider; par contre, l'auteur en se
basant sur les faits signalés par lui dans un mémoire précédent
relatif à l'acidimétrie des acides amidés et des amides conclut à
l'exactitude de la formule I.
i
CHIMIE ORGANIQUE. 1175
La cantharidine îmide donne un ael de potassium soluble dans
Talcool chaud, très soluble dans Teau et décomposé par les acides,
il réagit avec C*H*I en fonnant un dérivé étbylé à Tazole; la can-
tbaridine-éthyUactame d'Anderlini, F. 105*.
CH2-G00H
Az-G^HS
U était intéressant de préparer synthétiquement le produit iso-
mère, la cantharidine lactaroe, et répondant à la formule II, Fauteur
pensait l'obtenir en faisant réagir AzH* sur Téther cantharidine-
diméthylique :
GH2-COOCH3
/\/
\/\
G00CH3
GH^-GO
+ AzH3 = I [^ |N)H
x
+ 2GH30H
GO— AzH
Le résultat a été tout diflérent de celui que Ton attendait, Téther
diméthylé chaufTé avec un excès d*ammoniaque à 200** donne un
composé cristallisé en longues aiguilles cassantes, fondant à llS*"
et dont l'analyse indique la formule C'*H**O^Az; il ne renferme
pas de groupe mélhoxyle.
Sa formation s'expliquerait ainsi :
GH2-COOGH3
C00CH3
/
4- AzH3 =
GH2-COOCH3
\
+ CIPOH
0-AzH»
CH2-GOOCH3
/Y /
. ^v AzH + H20 + GH30H =
GO
CH2-G00H
GO
\
et le produit n*est autre que la cantharidine méthylimide préparée
Ii76 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
par Anderlini; il y a eu transposition moléculaire d'un groupe mé-
thyle ce dont on a de fréquents exemples. a. wahu
Sur quelques dèriTès des acides qninoUqve et cuchomé-
ronique; Alfred KIRPAL (Mon. /. Cb., t. 21, p. 957 1. —L'auteur
a décrit précédemment un éther de l'acide quinolique qu'il obtient
en faisant agir l'alcool méthylique sur Tanhydride quinolique.
Cet éther perd CO* quand on le chauffe à 140* et donne un
éther acide de l'acide nicotinique, Tauteur consid^vii, pour cette
raison cet éther, comme étant l'éther p-méthylique.
/NcOOCH3
IsJcOOH
Des nouvelles recherches le conduisent à attribuer à cet éth«r
la constitution d'un éther a.
/NCOOH
IJcOOGHî
Philips {AnD,f t. 288, p. 258) en faisant agir l'ammoniaque sur
l'anhydride quinolique, obtient une amide dans laquelle le groupe
carboxyle a se trouve amidé. Ce composé chauffé sous pression
avec l'alcool méthylique donne un éther méthylique qui au lieu
d'être isomère avec l'éther p est identique avec lui.
Inversement, l'ammoniaque en réagissant sur cet éther fournit
Tamide a. Comme une transposition moléculaire est peu probable,
dans ces conditions il s'en suit que cet éther que l'auteur croyait
être un composé p est au contraire un éther a.
La transformation de l'éther a en éther méthylique de l'acide
nicotinique qui se fait sans aucune difficulté implique, par consé-
quent, la transposition moléculaire du groupe mélhyle.
A. wAïa.
Sur la constitution des alcaloïdes du quinquina (VI). Trans-
formation de l'acide cincholœponique en un acide non asoté;
Z. H. SKRAUP {Mou. f. Ch., t. 21, p. 879). — D'après les U-avauxde
Kœnigs et de l'auteur, 'il semble que la cinchonino et la quinine
i
CHIMIE ORGANIQUE.
possèdent respectivement les constitutions suivantes :
il77
•CH=CH*
et
CiiilioilM.
Qslili«*
Ces formules reposent sur ce que Toxydation de la cinchonine
donne un acide azoté ; l'acide cincholœponique ou acide pipéridine-
S-méthyloïque-4-éthyloîque.
CH
HH>^ JjjNoi-COOH
HOHJ
CH«
AiH
CH»
Cependant, toutes les propriétés connues jusqu'ici de cet acide
pourraient également s'accorder avec la formule d'un acide pipé-
ridine 8-mélhyloïque-4-méthyl-4-inéthyloïque :
CH»^
CO«H cH«
I
CH
I
K
AzH
-CO«H
11 faudrait donc modifier en conséquence la formule de la cin-
chonine et de la quinine, de là une incertitude. C*est cette incer-
titude que l'auteur s*est proposé de lever.
Il part de Tiodométhylate de Téther diméthylique de l'acide cin-
cholœponique qui sera désigné dans la suite sous le nom à^étber
iodométhyle par abréviation.
1178 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
Cet éther traité par la potasse concentrée perd de l*acide iodhy-
drique et donne un éther diéthylique d'un nouvel acide ; sous Tin-
fluence de la potasse une partie de cet éther est saponifiée et on
obtient en même temps l'acide libre. Dans cette réaction le départ
d'acide iodhydrique a été accompagné de la formation d*un nou-
veau noyau. Ceci résulte des considérations suivantes : Tacide qui
se forme n'a pas les propriétés d'une combinaison non saturée,
d'après sa composition elle ne peut pas être une combinaison
saturée à chaîne ouverte, et sa stabilité vis-à-vis du permanga-
nate indiquerait également un composé cyclique.
La formation d'un composé cyclique pourrait s'expliquer en
admettant que l'un des groupes méthyle se détache du groupe
Az(CH8)« et vienne à la place de l'atome d'hydrogène (éliminée
sous forme d'IH) dans le noyau de la pipéridine resté intact. Mais
un dosage des groupes méthyle combinés à l'azote, d'après la
méthode Herzig-Meyer montre qu'ils sont restés inaltérés; de
plus la présence d'un azote tertiaire dans le nouvel acide est
indiquée par la faculté qu'il possède d'additionner CH^I
Il semble donc plus probable que le nouvel acide soit un dérivé
diméthylamidé renfermant le noyau du cyclopentane, dont la cons-
titution serait exprimée par l'une ou l'autre des formules :
H GH2-G02H H GH2-C0aH H CH^^OOH
Y Y Y
Az-I Az Az
GW GH3 GH3 CH3 CH^ CH^
Éther iodométhylé.
11 se forme, en efiet, deux modifications de l'acide.
Cet acide n'est attaqué, par la potasse fondue, qu'à température
assez élevée ; il y a départ de diméthylamine, d*acides volatils en
petite quantité, mais le principal consiste en un acide très bien
cristallisé répondant à la formule C*H**0*, il est tribasique et est
un composé saturé, à chaîne ouverte. Sa formation est expliquée
par :
(GH3)2Az-C6H9(GOOH)a + H»0 + 0 = (CH3p-AzH + GSH^lCOOH)^ (
Quant à la constitution de cet acide, on peut rétablir de deux
CHIMIE ORGANIQUE. 1179
manières diftérentes avec chaque modification A et B. Ainsi^ avec
Tacide A :
H GH2-G02H H GH2.G00H
^ H ^ H
I
Az
\wc
H3
ou
GH-CH2.C00H
CH2/^\CH-C00H
ChJ ^ «GOOH
Avec l'acide B.
CH-CH2-C00H ch-chm:ooh
cjjj^H-cooH +„.+o=..„,oH,.+^1jCÊ;;r«
I
Az
/\
CH3 GH3
ou
GH-GHa-GOOH
gh^/Qsgh-gooh
GH» "COOK
Comme A| = B| et A, ^ B,, il n'y a que deux formules pos-
sibles. La formule A^ est peu vraisemblable, car c'est un acide
malonique substitué que devrait perdre 00* lors de la fusion avec
KOH, et il ne reste que la formule A|.
Ces considérations ont été établies en supposant exacte la for-
mule de l'acide cincholœponique, mais si sa constitution était celle
d'un acide pipéridine-8-méthyloïque-4-méthyle-4-mélhyloïque :
GH3 GOOH
Y
h»g/\gh.gooh
H2clJcH2
AzH
les deux acides azotés résultant] du traitement de Téther iodomé-
1180 ANALYSE DES TRAVAUX ÉTRANGERS.
thylé par la potasse correspondraient à Tun ou l'autre shéma :
CH3 GOOH CH3 COOH
Y Y
h2c/\gh-co3h h^c/^Ngh-ccph
HO IcH» ^" H^d IcH
I
Az
>»A
X.
L'acide tribasique de la fusion alcaline serait :
CH» CO»H CH» CO»H
Y Y
h>g/\|Ch.coïh hk/^h-ccph
COOH * 'cH» ^^ HKÎ IcOOH
La formule b doit être écartée parce qu'elle représente un acide
malonique substitué et il ne reste donc en présence que a et Af.
La question est donc ramenée à celle-ci : l'acide C^H**CK est-il un
acide penlanedioique-S-méibjrle^'étbjrloïque (A)^ ou bien un
acide penianedioîque-^'métbyle^'iaétbjrleS'métbjrhtque {a) ?.
L'auteur emploie la méthode synthétique pour résoudre la ques-
tion. L'acide A, s'obtient par la condensation de Téther malonique
sodé avec Téther méthylglutaconique :
COOH CH3 COOH CH3
Yh
I
CH +
XOOH
CH/ _
Il A, ^^^" I NCOOIH
CH
COOH
qui perd GO* et donne Tacide A.
Quant à Tacide a, il s*obtient par la condensation de Téther
méthylmalonique sodé avec Téther citraconique :
CW COOH CH' COOH CH'
[^ \/ C à(^.
\/ CH3 COOH \y I .COOH
\y c à/
+ C-COOH = I NCOOJH
r.H I CHNa ' ^
I Na I
COOH COOH
CHIMIE ORGANIQUE. 1181
L*acide A préparé synthétiquement cristallise dès qu*il est
amorcé avec un cristal de Tacide provenant de Tacide cincholoï-
ponique et s'est montré complètement identique avec lui. L'acide a
synthétique n*a pas pu être obtenu complètement pur, mais il ne
cristallise pas quand on l'amorce. Il s'en suit que Tacide C*H**0*
préparé en partant de Tacide cincholoîponique possède bien la
constitution d'un acide pentanedioïque-2-méthyle-3-éthyloïque, ce
qui fixe définitivement la formule de Tacide cincholoîponique et
par suite colle de la quinine et de la cinchonine.
Uacide dimétbjrlcincholœponique C*<>H*''AzO, cristaux blancs
fondant à 286-287^ son sel d'or, C^oH^UzO^AuCl^H, cristaux
jaunes fondant à 201-205** en se décomposant.
Uacide peatauedioïque-2'inétbyle^-éthyloique C®H**0 forme
de beaux cristaux bien définis, fondant à 138-140^, solubles dans
Teau et Téther, il ne forme pas de sels cristallisés. a. wahl.
8ar les perbromures des alcaloïdes da qninqaina; A. CHRIS-
TEHSEN {Journ, L prakt, Ch., L 63, p. 313^51). — Par l'action
successive de HBr et du brome sur la quinine, la cinchonine et la
cinchonidine prennent naissance des composés cristallisés aux-
H-Br-Br
quels l'auteur attribue la formule : (Alcaloïde Br*) i n ana-
H-Br-Br
logue à la formule que Jôrgensen a donné aux periodures : (Alca-
loïde) H.l/^y . Dans ces perbromures, 2 atomes de Br se condui-
sent comme du brome libre, ce qui interdit de les faire cristallliser
dans l'alcool ; l'auteur emploie l'acide acétique. Ces deux atomes
de Br peuvent être titrés par dosage, au moyen de S*O^Na*, de
riode déplacé d'une solution de Kl. En traitant le perbromure par
SO* et pptant ensuite par CO^Na* et filtrant, on a en solution 4HBr
HBr-Br
provenant du groupement 1 Jl ^^ pouvant être dosés à la
manière habituelle.
Perbromure de la quinine C«>H«*Br«Az«0«2HBrBr«. — 12»%6 de
quinine sont dissous dans 100 ce. d'ac. acétique à 90 0/0, on ajoute
12 gr. HBr à 50 0/0, on chaufle vers 60** et on introduit peu à
yen en agitant 16'%i de brome, le liquide rouge brun foncé est
abandonné à un refroidissement lent pendant lequel on agite et on
frotte les parois du vase avec un agitateur. Le composé se présente
sous forme de poudre cristalline rouge orangé, sol. dans Tac. acé-
tique sans altération, décomposable par l'alcool, Tammoniaque, les
1182 ANALYSE DBS TRAVAUX ^^TTRANGBRS.
solutions d'As*0*, de SnCl*, de SO', etc. L'eau dissout ce perbro-
mure en lui enlevant 2Br à Tétat de HBr et CCHNV pféctpite
de la solution un alcaloïde de couleur gris verdâtre, peut-être
C*>H**Br*A2*0*. Traité par Hg le perbromure donne un sel double
C«0HMBr«Az«O«2HBrHgBr« cristaUisable dans l'alcool.
Dibromure de quiaine O^H**Az*0'Br*. — Se forme par traite-
ment du précédent par SO* en sol. aqueuse et pption ultérieure
par CO»Na« ou AzH'.
La cinchonidine et la cinchonine donnent des composés analogues
aux précédents. L'auteur décrit le chlorydrate, le bromhydrate, le
sulfate et le nitrate du dibromure de cinchonidine. r. marquis.
Contribution à la connaissance de Tiode et de la coloration
des solutions d'iode ; Wilhelm WAUBEL {Journ. f. prakt. CL,
i. 63, p. 88i-S8i). R. MARQUIS.
La présence de paraffines dans la feuille de tabac ; T. E.
THORPE et John HOLMES (Cbem. Soc,, t. 79, p. 982; 8.1901). —
L'extrait des feuilles de tabac par Téther de pétrole dissous dans
la quantité minimum d'éther éthyltque, puis mélangé à six fois son
volume d'alcool, donne un précipité dont on peut, par cristallisa-
tions fractionnées, séparer deux paraffines : l'hentriacontane 0*H**
fondant à 67^8-68^5 et l'heptacosane C«H««, fondant à 59*,«-
bd^'fi, qui sont contenus dans les feuilles à raison de i 0/00 en-
viron.
Dans les feuilles du Kentucky et de la Virginie, le mélange
d'hydrocarbures, dans trois préparations séparées, a accusé les
points de fusion suivants :
Feuilles de l'Ouest 68»a-63*8
« Wrappers • 68,5-64,0
«
Fillers - 63,7-65,0
Les auteurs expriment l'opinion que la substance blanche nacrée
fondant à Bd"", extraite par Kissling, du tabac du Kentucky, ainsi
que la substance analogue trouvée par lui dans la fumée de tabac
et fondant à 64'',5, sont un mélange des deux hydrocarbures ci-
dessus. A. HSBKRT.
Contribution à la connaissance des lichens et de lenrs cons-
tituante oaractériatiqnes (VI); 0. HESSE (Journ. /. praii. CL,
t. 63, p. 52i-553). — Usnea loagiasima : Acide d.'Qsmque, des-
cription des sels de Ba et St. ; par fusion de cet acide avec KOH
i
CHIMIB ORGANIQUE. 1183
se forme V acide usnidique C*8H**0®f. à 195* avec décomp;, mono-
basique.
Alectoria jubaia implexa^ a.^impIexBy a.-jubata var. cana,.Bryo-
pogon jubatum var. implexum : description d'une méthode de
séparation des acides aleciorique et bryopogonique» Ce dernier
acide, traité par KOH étendue, donne une soi. rouge qui laisse
déposer un sel de K amorphe ; celui-ci dissous et saturé de HCl
donne un acide en flocons amorphes rouge brun isomère de Tacide
bryopogonique et dénommé ac, isobrjropogonique.
Evernia turturacea : contient Vac. évernuriquey petites aiguilles
blanches f. à 191-192** avec décomp. sol. dans Téther, Talcool et
l'acétone, peu sol. dans CHCP et C'H®, c'est un acide monoba-
sique sol. en jaune dans AzH^ et KOH.
Tbamnolia vermicularis : Vac. tbamnolique C^^W^O^^ se décomp.
par ébullition avec Teau de baryte en CO*, alcool méthylique et
ac. thamnolinique C**H*®0''.
Le Parmelia acetabrilum contient Vac. salaziniqae déjà connu,
sous l'action de la potasse cet acide donne le sel d'un acide rouge :
Vac, Rubidique C*®H**0**, le sel de K de ce dernier, chauffé avec
de l'eau, se transforme, la sol. brunit et HCl en ppte des flocons
brun rouge C«»H«oO*«.
Le Parmelia glabra contient Vac. lécanorique.
Le Pannaria lanuginosa contient Tacide oxyrocellique et Tacide
pannarique C'H»0*, cristallisé en petites aiguilles blanches f. à
224'', sol. dans Talcool bouillant, la sol. alcoolique donne avec
FeCP une color. bleu de roi; sol. en jaune ou en rouge dans KOH
et Teau de baryte ; Tac. pannarique est monobasique.
Dans le Cyrophora poîyphylla on trouve Vac. ombilicarique el
Vac. gyropborique. Ce dernier, f. à 195**, donne par ébullition avec
Tac. acétique de l'acide orsellique; Tac. ombilicarique, f. à 185-
186», est sol. dans l'alcool, l'acétone, l'éther, le chloroforme, il
contient un groupe méthoxy et sa formule est C**H*»0*(0CH3),
traité à l'ébullition par l'eau de baryte, il donne Vac. ombilicari"
nique C*®H*50®(0CH*), lequel forme des aiguilles blanches fondant
à 180*» sol. dans l'alcool, l'acétone, l'éther, le chloroforme et Tac.
acétique. La décomposition de l'ac. ombilicarique peut s'exprimer
de la façoa suivante :
(j;25H220io -I- H20 = C8H80* + Qi'ïHisO^
Acide Acide Acide
ombilicaiiqae. orselliqae. ombilictriniqae.
La gyrophorine de Zopf, n'est autre que l'ac. ombilicarique.
1184 ANALYSE DBS TRAVAUX ÉTRANGERS.
Du Blastenia arenaria on peut extraire la blastéaine.
La variété bryophila de VUreceolaria scriposa contient, à côté
de Vac. lécanorique, un autre acide en trop faible quantité pour
que Ton puisse Tétudier.
Dans le Perlusaria corallina^ le P.'Ocellala-fi'CoraWna, Vlsidium
corallinum se trouve Tac. ocellatique C*®H*K)**(OCH») obtenu en
cristaux microscopiques blancs fondant à 208"*, assez peu sol. dans
Tac. acétique et l'alcool. La sol. alcoolique se colore en pourpre
par FeCl».
Le Perlusaria communis-p-variolosa contient Tac. orbicah-
tiquCy paillettes blanches à éclat gras, f. à 82*, sol. dans Téther,
le chloroforme, Talcool l'acétone; il est monobasique, ne contient
pas de groupe méthoxy, sa formule brute est C**H'*0''.
H. MARQUIS.
TABLE ALPHABÉTIQUE DES AUTEURS '''
(tomes XXV ET XXVI, TROISIEME SJÎRIE, ANNEE IQOl, •* ET MB)
Abego (B.)- 0^ Immerwahr (CI.).
PropriéiéA électrocbimiquesdu fluo-
rure d'argent et du fluor, S9, 601.
Abel (E.). Remaraue sur le travail
de R. Luther, sur les propriétés élec-
tromotrices des matières suscep-
tibles de plusieurs degrés d'oxyda-
tion, «•, lOSi.
Abell (R. D.). CondensalioD de la
phénylôthylcétone avec la benzaldé-
hyde, ee, 11(36.
Abclous et BiBAUT. Sur rexislence
d*un ferment soluble opérant la
synthèse de l'ac. bippurique aux
dépens du glycocolie et de Tac.
tienzoïque, W, 703.
Aberson (J. H). Sur Tactivité de
Tac. oxypyruvique. M%, 682.
AcH (B.). Vov. Tafel (J.).
AcKRuYD (\V.). Bcchercbes sur les
eaux de Morland. Sur l'origine du
chlore combiné, S6, 673.
AcBKE (S. F). Voy. Bailev (J. B.).
Adam (P.). Cuve pour la déleraiina-
tion clinique de Thémoglobine dans
l'urine, M, 607.
Adie (R. A.), et WooD (T. B.). Une
nouvelle méthode de dosage du po-
tassium, «•, 78.
Adrian et Trillat. Sur un acide
pscudo-agaricique, SS, 63i.
Adrum (J. h.). ï'olidiûcation et trans-
formation d'antipodes optiques, 1B6,
843. — Courbes eutectiques dans
un systAme de trois corps dont
deux sont des antipodes optiques,
M, lUi9.
AïONER )F.). Sur les Athers monoal-
cojlés de la phloroutucine, 99,
983.
Albert (B.)* Becherche simple pour
la démonstration de Taction zyma-
sique, IBt, 270.
Albitzky (A.). Contribution à l'étude
des relations d'isomérie des acides
oléïque, élaïdique, érucique et bras-
6idique, M%, 288. — Sur l'acide
stéarique chloré, 96, 290. — Ac-
tion de l'anhydride acétique sur
quelques acides gras, M, 291.
— Oxydation de quelques ac.
non saturés par le mélange
d*acide sulfurique et de jpersul-
fate d'ammonium, IM, 291. —
Sur l'oxydation de quelques acides
gras supérieurs non-saturés au
moyen de l'ac. sulfurique et du per-
sulfate d'ammonium, S€, 375.
— Voy. ËMBLIANOFF (M.).
AiXAN (F. B.). Sur les nitrates basi-
ques de bismuth, S6, 1053.
Allen (E. T.) etOoTTSCHALK (V. R.).
Nouvelle méthode de dosage de l'alu-
minium, S6, 363.
Allen (E. T.) et Boobrs (H. F.). Ac-
tion des hydrates alcalins et alcali-
no-terreux sur l'aluminium, S6,
360.
Alexejeff (W.). Sur le sens de la
théorie des invariants en chimie,
««,1038.
— Voy, GoRDAN (P.j.
Aloy (J.). Sur les chlorures doubles
d'uranyle et des métaux alcalins et
le chlorhydrate de chlorure d'ura-
nyle,€5, 153. — Sur la préparation
de l'uranium, 1B5, .144.
Alsberg (C). Voy. Lkvenb (P. A.).
Altmann (P.). l)e l'emploi d'une mé-
thode de détermination quantitative
des groupes AzO' par voie volume*
trique, «•, 1158.
Alvisi (V.). Ko/. Geougis (G.).
Amibadzibi (S.). Voy, GuLBwrrscu
iWl.,.
Anderlini (F.). Vo/.Nasini (B.).
(1) La Ublc de Tannée 1901 est destinée à être reliée à la fin du tome XXVI.
soc. CUIM., 3' SÉR., T. xxv-xxvi, 1901. 75
1186
TABLE DES AUTEURS.
Andersen (F.). Contribution à Tétude
de la diffusion du sacre de canne
dans les plantes, S9, S2*
André (G.). Sur les transformations
chimiques oui se passent pendant
révolution du bourgeon, W, 271.
— Action du brome et de Tac. brom-
hydrique sur la caféine, ^K, 775.
Andreasch (R.). Sur Tacide méthyl-
violurique et Tacide métbyldilitu-
rique, M, 909.
Andrews (L. W.). Sur un procédé de
dosage volumétrique de Targènt,
««, 281.
Angeli (A.), et Angblico (PJ. Sur
Tacide nitrohydroxamique, S6, 519.
Angelico (F.). Voy, Amgeli (A.).
Antont (U.) et Lucchesi (A.). Con-
tribution à rétude du ruthénium et
de ses composée, fM, 520.
Apitzsch (H.). Action des nilroso-
acy lamines sur les bases pnmaires,
éé, 483.
Arbousop (A.). Sur rallylméthylphé-
nylcarbinol, S9, 532.
Arbuckle iW.). Voy, Scott (A.).
Archibald (E. h.). Voy. Richards
(T. W.).
Arend (K. von). Voy, Micuaelis
(A.).
Ark (H. van). Voy. Schmidt (E.),
Arminoeat (P.). Voy. Darzens (G.).
Armstrong (H. E.). Phéoylacétyl-
chloramine el ses aoalogues. M,
139.
Arnold (E.). Voy. Willgerodt (C).
Artu (G.). Essai des eaux oxygénées
commerciales, 9Sj 611, 709.
AscoLi (A.). Sur un nouveau produit
de dédoublement de la nucléine de
levure, «•, 331. — Sur le phos-
phore des substances nucléiques,
&•, 331.
AsTAKUOF (A.) et Répormatsky (S.).
Synthèse de l'acide a-méthyl-p-
éthyléthylénolactique, fM, 680.
Aston (B. C). Voy. Easterfield
(T. H.).
Aston (H.). Vov. Frankland (P. F.).
Astruc (A.) el MuRco (H.). Acidimé-
trie des aldéhydes el des cétonts,
es, ^35.
Athanasescu. Voy. Pictet (A.).
Atkinson ((). A.* S.). Voy. Perman
(E. P.).
AuGER (V.). Sur les phosphates man-
ganiques, 1K5, 738.
Austin (H. M.). Voy, Kahlenbero
(L.).
AuwEBs (K ). Sup la conslilution des
composés oxy-azoïques, S9, 114. —
Observations cryoscopiques , S9,
tl'J.
B
Bach (A.). Sur des peroxydes d'hy-
drogène suroxygénés, t£#, 06. —
Action de Tac. suUùrique esempl
d*eau sur le persulilile de poUt-
sium sec, S6, 950.
Baidekbr (K.). Recherohos expéri-
mentales sur la constante diélec-
trique de quelques gaz mi vapeurs,
et sur sa variation avec la tempéra-
ture, e6, 1032.
Baeter (A.J. Nomenclature des hydro-
carbures bicycliques, 90, 4:^
Baeter et Sbuffert (O.). Itromura-
lion à fond de la meothone, 9S.
504.
Uabyer et ViLLiGER (V.). Action du
Permanganate sur Peau oxygénée et
acide de Caro, <•, 65. — Ben-
/oylperoxyde d^hydrogène et oxyda-
lion de Tuldéhyde benzuique en pré-
sence de Pair, <•, 97. — Sur fc
peroxyde de diéthyle, 90, 11/7. —
Sur 1 ac. azoteux. M, 357. — Sar
un hydrate du chlorure de aalfuryle,
06, 858. — Sur l'hydroperoxydc
d*éthyle, 06, 530. — Sur les per-
acides et les peroxydes des ac.
organiques bibasiques, 00, 543. ~
Sur Tac. monoxysulfurique (acide
de Caro), 00. 561. — Sur raotioo
muluelle de l*eau oxyj^née el de
Toxydo d'argent, 00, 561.
Bailet (J. R.) et AcRCE (S. F.'-
Sur les ac. oxy-8-alcoyl-lriatol-
propanoîques, 00, 118.
Bailhache (G.). Sur un nouveau sul-
fate de molybdène cristallisé, 0S,
341.
Bakkcr (G.). Théorie de la capillarît^.
00, 841, 1038. — Rem. sur U
c théorie thermodynamiaue de la
capillarité >» de van der Waals, 00*
860. — Théorie de la couche capil*
lairc entre les phases homogènes du
liquide et de la vapeur, 00. 88t.
Balachowskt (D.). Sépar. dn cobalt
el du nickel par la voie électroly-
tique, %Si, 970.
Balbiano ^L.^ el Trasciatti 'D.).
Sur un nouv. dérivé du glycooûlle,
00,39.
Bambehoer (E.). Sur le réactif dt
Caro, 00, 83. — Remarques mr U
transposition de roxy-ezebont^ae»
00, 4â2. — Action du diaiobsB-
zène sur le phénol : synlh«^asede Toxy-
azobenzène, 00, 424. — Aclioii w
nitrosobenzène sur les hydrazioM
aromatiques, 00, 707. — Sor la
TABLE DES AUTEURS.
1187
mécanisme de la Iransformalion
dtB hydroxylamines aromatiques eo
amioophéools, S6, 706, 7B7.
Sambsrokr (E.) et Dradt (F.). Sur
la dimélhyU2 .4-pbéoylhy(lroxyla-
mine et sur le dimétbyl-<.4^uinol,
9m, 714.
Bamberoer (E.). et Demuth (E.). Sur
la nilration le Tac. mésitylénique,
9€« 479. — Etudes sur les benzal-
(taximes o-aminées, %%, 922. —
Synthèse de l'aldéhyde oriho-azi-
dobenzoïque, tS6, 9S^.
Bamberger (E.) et Grob (J.). Act.
de la phéoylhydrazine sur la phé-
nanthrènequinone, tC6, 4âO. — Sur
racétvlamidrazoae, tC6, 775. —
Sur 1 act. du métbylate de sodium
sur la phénylbydrazone de Taldé-
byde phéoylnitrorormique, ^H^ 798.
— Contribution à Télude de la
benzylidène-pbénylbydrazine, ttH.
im.
Bamberger (p..) et Letden (P.K Con-
tribution à Télude de l'oxyde de
diméthylaniline, ft6,765.
BAMBBRiiER (E.) et RisiNO (A.). Act.
de Tac. toluène-sulQnique sur le
nitrosobenzène, %Q, 541. — Sur
l'act. de Tac. p-tolylsulÛnique sur
la ^phénylhydroxylamine, M, 542.
— bur la mésiiyihydroxylamine
et le nitrosomésîtylène, tC6, 711. —
Sur le mésitylquinol, ttH, 713.
Bamberger (E.) et Rust (E.). Sur la
transrormation des aminé» aroma-
tiques en isodiazoïques, tS6, 708.
Bambbroer (E.) et Schbutz (T.).
Sur l'oxydation des aldoximes aro-
matiques et (p'asses, ttH, 991. —
Sor roxydation de la benzylamine,
5M, 991.
BAiiacRGKR (E.). et Schmidt (0.).
Sur la phénylbydrazone. de Taldé-
hyde nitroformique. M, 776. —
Sur quelques hydrazones isomé-
nques. ««/J98.
Bamdcrger (E.) et Szolatski (B.).
Act. de Tair et de Teau sur la ^-
banzyihydroxylamine, 1K6, 416.
Bancruft (W. D.) Solutions isohy-
driques, 96. 518. — Vitesse de
réaction et équilibre, S6, 516. —
Etudes de dissociation, ItH, 601. —
Appareil de laboratoire nour les
forces olectromotrices do aécompo-
aition, ««. 6'n». — La loi de dilu-
tion, «6, 657.
BA^o (1.). Rem. sur les nucléo-bift-
tooes, tSH, 826, 820. — Recherches
chimiques et physiologiques sur
l'a*!, guenylique, ««, SisiO. 881. —
Rem. A propos du travail de Koscel
ci Kutflcnor sur les maiièrea albu-
Barbier (Pb.). Sur le myrcénol et sa
constitution, ftS, 687. — Sur la cons-
titution du licaréol (linalol), leS,
828.
Barchb (G). Voy, Kehrmann (F.j.
Barnes (H. T.). L'inversion des hop-
ta- et bexahydrates de sulfate de
zinc dans la pile de L. Clarke, !S6,
521. — La pile Wes ion comme élé-
ment transitoire et comme étalon
de force éleclromolricc; dcterm. du
rapport à . la pile de L. Clarke,
M, 528.
Barral (Et.). Analyse de Teau miné-
rale de la « Source des Cévennes *
à Ucel (ArdècLe), tS, 257.
Barrée (S.). Sur l'emploi du peroxyde
de sodium en analyse, S4I, 127.
Bartsch '(F.). Vo^-. Stoermer (R.).
Datcuinski (A.). Sur les relations
entre le paramètre de viscosité et
quelques autres constantes physi-
ques, tC6, 1045.
Baud (K.)- Sur les combinaisons
du gaz ammoniac avec le chlorure
d'aluminium, ItS, 881. — Elude
thermique des chlorures d'alumi-
nium ammonicaux, tSS, 640. —
Dissociation et étude thermique du
composé Al■Cl^l8AzH^ eS, 641.
Baum (E.). Sur ranhydride de l'acide
pyromucique, ttH, 1109.
Bausor (H. W.). Voy. Ruhemann
(S.).
Bayrac (P.) et Camicuel (C). Sur
l'absorption de la lumière par les
indophéools, 2S, 527.
Beardsley (H. P.). Vny. Wells
(H. L.).
Beckmann (E.). Sur les lampes spec-
trales, ie«, 1027, lUi8.
Beckurts (H.). Voy, Frehichs (G.).
Béhal (A.). Sur les cétones d'huiles
de bois ; diméthylcyclohexénone,
<S, 99, 242. — Action des dérivés
organo-métalliques sur les éthers
sels, tes, 274.
Béhal et pHiSALix. La quiuone, prin-
cîbe actif du venin de Julus lerres-
tns, ftS, 2, 88.
Béhal et Sommelet. Act. des radi-
caux organomélaliiques sur les éthers
aromatiques, 9S, ;?7(>.
Béhal et Tifkeneal*. Act. des radi-
caux organomélaliiques surl'élher et
Taldéhyde anisiques, 1U», 275.
Behr (G. E.). Voy, Jackson (C. L.).
Beittbr (A.). Elude chimique et phar-
macologique du Galba édulis, 96,
812.
Beluci (J.). Voy, Miolatti (A.).
Bemmelen (J. M. van), sur la teneur
en fluorure de calcium d'un os
d'éléphant fossile à l'époque tertiaire,
«6» 164.
1188
TABLE DES AUTEURS.
Bemmelbn et Klobbie (E. A.)* Sur
Tabsorplion el raccumulation du
fluorure de calcium, de la chaux et
des phosphates dans les os fos-
siles, e«, 16i.
BÉNARD. Vov, SmoN (L. J.).
BÉNECU (E.) et KuTSCHEu (F.). Sur
les produits d*oxydation de Targi-
nine, ««, 936.
Benbdicks (C.)' L'état solide comporte-
t-it une règle analogue à la règle
d'Avogadro pour les |?az ? Quelques
rem. sur la dureté des métaux et
alliages, «6, 1035.
Ben DIX (E.). Sur la production phy-
siologique^ du 8uci*e après l'ingestion
d'albumine, ««, 94l
Ben NET (C. T.). Dosage de mercure
dans les combinaisons ammoniées
et autres composés du mercure,
«6, 128.
Bennet (J. C.^. Vov. Constam (E. J.).
Berneck (R. m. von). Voy. Breoig (G.).
Berthelot (M). Diagnose des sursa-
turalions gazeuses d'ordre physi-
que et d'ordre chimique, IW, 265.
— Sur les origines de la combinai-
son chimique. Union de l'argent
avec l'oxygène, !iKS, 266. — Hydro-
gène et argent, S5, 267. — Oxyde d*^
carbone et argent, 1KS, 267. — Sur
Tabsorption de l'oxygène libre par
l'urine normale, ftS, 271. — Sur
les conditions de mise en activité et
l'énergie chimiauo de Téleclrici té si-
lencieuse, H&yiSA. — Recherches sur
la foi'mation des composés organi-
ques sulfurés, ItS, asi. — Sur les
origines de la combinaison chimique :
états allotropiques de l'argent, tC5,
523. — Eludes sur les combinaisons
de l'argent avec le mercure, SS,
52S. — Sur la génération des hy-
drocarbures par les carbures métal-
liques, ISS, 525. — Nouvelles
recherches sur Tisoméric des
^thcrs sulfocyaniques, S5, 526. —
Sur les relations élcctrochimi^es
des métaux et de l'argent en parti-
culier, «5, 640. — Sur la synthèse
totale de l'acétylpropylène et des
carbures terpiléniques, tSS, 642. —
Nouvelles rochei*ches rclalives à
j'aclion de l'eau oxygénée sur l'oxyde
d'argent. «5, 6ijl, 1059. —
Remarques sur l'acidité de
l'urine, S5, 70). -;- Nouv. recher-
ches sur la neutralisaiion de l'acide
pbosphoriquo, SS, 963. — Etudes
sur la neutralisation, sur le titrage
à l'aide des colorants des acides et
des alcalis à fonction complète, S5,
9,>4. — Rcch. sur les équilibres
chimiques. Formation de phosphates
insolubles par double aocomposi-
tion : phosphate de soude bibasiqoe
et azotale d'argot, SS, 966. —
Equilibres chimiques. Héeclions de
deux bases mises simultanémeiii «n
présence de l'acide jYhospboriqo^.
!tS, 967. — Equilibres chimiquet. Ac.
phosphorique et chlorui>es alcalino-
ierreux,!tS, 967. — Sur les rsdkatti
acétylo-métalliques,!tS,U7t. — Essais
de quelques réactions cbimiques dé-
terminées par le radium, 1K, 1059.
— Sur la chaleur dégspr^ dans la
réaction de l'oxygène libre sar le
pyrogallate de potasse, IBS, 1059.
Berti (P.). Voy. Bmum (G.).
Bbrtozzi (V.). Voy. Mazzara (G.).
Bertrand (G.). Composition chimiqur
des grains de café de la Grande Co*
more, leS, 226,S79.
— Voy. Maqiisxne (L.).
Bertrand (G.) et Sazerac (R.). Sur
une différenciation biochimique de»
deux principaux ferments du vinai-
gre, «S, 731.
Bertrand (J.) et Belle (J.). Sur
l'alcool isofenchylique, 1t9, 4S6.
Bertsch (E.). Voy. Soholl (R.).
Besson (A.). Sur la prépara lion de
Toxyde phosphoreux, <S, 9G;1.
Besthorn fE.) et Garben {£.). Sur
l'action do l*éther ac^tone^icarbo-
nique sur Taniline, &•, 425. — Sur
l'action de Téther acétone*dicarbo-
nique sur la métapbéoylène-dia-
mine, 96, 427.
Bbtti fM.). Isomères instables entre
les défivés azoïques du |i-oapbtol*
1M, 549. — Relations générales d«
condensation entre le p-naphtoJ,
les aldéhydes et les aminés, M.
554.
BÉVAN (E. J.). Voy. Cross (C. F.»
BÉWAD (I.). Action des une-alcoyles
sur les éthers azoteux et le» nilro-
paraffines, «6, 252, 254.
BiELBCKi (I.). Voy. Ullmaxn (F. .
BiENENTHAL (A.). Sur TaiHlou de l's-
chlorhydrine de la glycérine sur
quelques aminés tertiaires. M.
i)l.
BiERRT. Recherches sur les fermenta
do l'embryon, <5, 70t.
BiOET (P.). Act. de rammonia<^u«
gazeuse sur les chlorhydrates da-
mines, !tS, 977.
BiGELOW (D.). Voy. TOLMAN iM.)~
BiiLMANN (E.). Aciion de Talcool aU)-
lique et de l'éthylèns sur les sels
mercuriques, <•, 86. — Ad. de
Talcool allylique sur le chloroplati-
nate de potassium, S^, 196. » mit
la prépar. du cobaltinitrtle de sodiun
et son application à la rschercbc
du potassium, M, 854. — Sur b
pn^par. de l'ac. acrylique au mojtù
TABLE DES AUTEURS.
1189
de ralcool allylique, %9, 374. —
Sur Tac. acrylique anhydre, <•,
874,
— Voy, Habb (P.).
BiiLiiANN (E.) et WoHLK (A.). Sur
les méthodes de préparation de Tac.
acrylique, %9, 373.
BwLKRT (A. von). Sur Taclion de Tac.
azotique très dilué, 96, 06r>.
DiLTz (H.). Oxydation par Toxygène
de l'nir, ««, i06.
iiiLTZ (H.) et Kedeskt (E.). Nitrotri-
iodéthylène et dinitrodi-iodéthylène,
%9, 84.
BiNDBWALD ^H.). Voy, MiCHAELIS
(A.).
Bmz (A.). Réd. de Tindigo dans un
miheu anhydre, 96, 1163.
BiRON (E.). Baponiflcation de l*azota(e
d'éthylo par Veau, %9, 285. — Ac-
tion de l*iodure d'éthyle sur l'azo-
tate d'argent, «6, 280.
BiscnoFF (C. A.). Etudes sur les
réactions d'enchaînement : ac. pbé-
Dozypropioniques et dérivés; ac.
a-phônozybutyriaue, -isobu lyrique,
-isovalérique et leurs élhers, !t€,
11. — Les trois crésolates de so-
dium et éthers d*ac. gras s-bro-
més; xylénolates do sodium et éthers
d'ac. gras oi-bromés ; carvacrol,
thymol, pseudocuménol sodés et
élhers d'ac. gras x-hromés; naph-
lols sodés et élhers d'ao. gras
a-bromés ; dér. du gayacol ; dér.
des trois oxybenzoates d'éthyle,
&•, 12. — Sur les trois nitrophé-
nols sodés ; dér. des phénols chlo-
rés et bromes; rt^capitulalion des
doubles décompositions quantitatives
entre les phénols monoatomiaues
sodés et les étliors éihyliques d aci-
des gras X- bromes. M, 43. — Dé-
rivés de la pyrocatéchine, de la
résorcine, de Torcine et de l'hydro-
quinone, !t€, 44.
Bla(:k (0. F.). Voy. Torrby (J).
Blacklkr (B.). Note sur la prépara-
tion du sulfate diméthylique, 1S6,
074.
Blackmann (W. L.). Voy. Orton (K.
J. P.).
Blaise (E.). Action des dérivés orga-
no-métatliques sur les nitriles et
Its isocyanates, SG, 99. — Sur les
déri%'és éthéro-organomagnésiens ,
SS, (S94.
Biaise (E.) et Blanc (G.). Sur les
amino-campholènes, tCS, 563.
Blanc (G.). Expériences sur la syn-
thèse de l'ac. x.^.^-triméthylgluta-
rique, ttS, 68. — Sur la constitu-
tion de Tac. camphorique et sur
une des migrations oui s'accomplis-
sent dans sa molécule, tCS, 73.
— Voy. Blaise (E.).
— Voy, Haller (A.).
Blanc. Voy. Seyewetz.
Blanchard (W. M.). Voy. Noyés
(VV. A.).
Blanksma (J. J.). Substitution et
transforma lion au moyen du bisuU
fdre de sodium, tCS, 981. — Action
réductrice du bisulfure de sodium.
Préparation des /A./n-dinilroazoxy-
et p.p-dinitroazobenzènes, ftS, 982.
— Hamarques sur la constitution
des polysutfures alcalins et organi-
Sues, W, 983. — Sur la formation
e tri- et tétrasulfures organiques,
tes, 983.
— Voy, LoBRT OB Bruyn (C. a.).
Blondel. Sur un acide sulfo-plati ni-
que, te, 739.
Blum (L.). Sur la valeur alimentaire
de l'hétéro-albumose de la fibrine et
sur celle de la cnscoprAialbumose,
!S6, 315. — Dosage direct de la
chaux en présence de fer et d'alu-
mine, 96, 368. — Dosage du fer
dans les scories de puddiage, 96,
368.
Bluman (N. j.). Sur un minerai de
fer titanifère de Norvège, !t€, 451.
— Voy, Griffiths (A. B.).
Bodin (E.) et Lenormand (C). Ca-
séase d*un champignon parasite,
tS, 990.
Bodlaender (G.). Sur la solubilité
des carbonates alcalino-terreux dans
l'eau chargée de gaz carbonique,
««.87». » " ^ •
BoDRoux (P.). Modes do formation et
de préparation du propylbenzf^ne,
ISS, 239. — .\ propos du bromure
d'hexylc, itS, 299. — Act. du chlo-
rure d'éthylidène et du chlorure de
méthylène sur la naphtaline en pré*
sence du chlorure d'aluminium, w,
491. — Act. du bromure d' isobuty-
lène sur le benzène en présence du
chlorure d'aluminium, «5, 625. —
Constitution d'un dérivé brome de
risobiitylbenzéne, !tS, 628. — Ac-
tion du brome en présence du bro-
mure d'aluminium sur le carvacrol,
S5, 818.
BoBDTKER (E.). Sur l'oxydation des
homologues du benzène, !2S, 843.
BoEHM (C). Voy. Pally (H.).
BoES (J.). Vov. Stobrmbr (R.).
BoESEKEN iJ.]. Contribution à la con-
naissance de la réaction de Friedel
et do Crafts, leS, 989.
BoBTTGBR (W.). Sur le dosage du
manganèse à l'état de pyrophos-
phate, tS9, 195.
BoLLEMO.NT (G. E. deU Action du for-
miate d'amyle sur l'éther cyanacéti-
que sodé, SS, 15. — Ethers éthoxy-
1190
TABLE DES AUTEURS.
et méthoxy-méthène-cyanacétiques,
US, 18. — Ethers oxymélhèno-cyan-
acétiques, tCS, 28. — Action de
rammoniaquc et de Taniline sur les
étiiers oxymétbène-cyanacéliques et
leurs dérivés aicoylés, !NS, 99;
— Voy, MiNGuiN.
BoLM I Fr.). Thcimorégulateur simple,
^9, 369.
BoNE (W. A.) et Jerdan (D. S.l
L'union directe du carbone et de
rbydrogène, %%, 1125.
BoNE (W. A.; et Sprankling (C. H.
G.). Rechercbes sur les ac. succini-
Sues alcoylsubstitués . Constantes
e dissociation, S6, 134.
BoNGERT (A.). Act. de la phénylhy-
drazine et de Tbydrazine sur les
deux butyrylacét/lacétales de mé-
thyle isomères, m, G96.
— Voy. BOUVEAULT (L.).
BORDBT, TCHISTOVITCH, NOLF , Le-
CLAINCHE, Vallée, Uhleniiuth et
Stern. Sur les sérums précipitant
les subst. albuminoïdes, SS, 701.
BoRNTRAEGER (H.). Recherche de l'ac.
borique dans les borates, ttH, 365.
— bur Tanalysc des alliages de
molybdène, 1M, 367. — Essai rapide
du tungstène et analyse des mine-
rais de résidus de tungstène, S6,
455. — Analyse du phcs^hure de
cuivre, 1K6, 453. — Contribution à
l'analyse do la ^tta-percba, !t€,
733. — Analyse simplifiée du suint,
tC6 , 734 . — Dosage simple et
rapide de l'ac. humique, 1K6, 9&0,
— Sur l'analyse de la tourbe, S6,
961.
BoRscHF. (W.). Sur la composition
des isopurpu rates, tC6, 40. —
Constitution de Tac. métapurpuri-
que, 1(6, 121. — Sur la composi-
tion des sels de Tac. ibopurpurique,
ee, 268.
OosE (E.). Recherches sur l'activité
électromotrice des gaz élémentaires,
«6, S71.
Bosse (C). Sur la constitution de
l'éther monométhylique de la dimé-
thyiphloroglucine, tS6, 1139.
BouDouARD (0.). Influence de la pres-
sion dans les phénomènes d'équi-
libres chimiques, 1S5, 227. — Action
réduclrioe du charbon sur les com-
posas métalliques, SS, 282. —
Etude d'une réaction réversible
CO"-f H*Z^CO+H'0, «S, 484.
— Propriétés des alliages d'alumi-
nium et de magnésium, !tS, 611. —
Les phénomènes de combustion
dans les foyers industriels, 1M»,
883.
BoL'GAVLT (J.). Oxydation des dérivés
propényliques par I et HgO, SS,
338. — Act. de l'iode et de Foxyde
Jaune de mercure sar Tanélhol,
l'estragol, le safrol, etc., <S. 444.
— Sur la préparation des aldéb|de»
CHO
R — CH <cHa tu moyen dm ear«
bures cycliques à cliaîne oropéiix-
lique R — Ô'HS tels que ranètbol.
risosafh)!, etc., ItS, 44i>. — Passage
de l'anéthol à l'acide anisiaue par
5 oxydations successives. CaracU-
risation de la chaîne propényliqne,
«S, 448. — Sur l'acide psramétho-
xy-atrolactique, SS, 854. — Sur l'al-
déhyde et Tac. mélhylèQe^.4-diox7-
hydratropiques, !t6, 856.
BouiLLET (H.). Act. de l'acide iodiqae
sur l'acide urique et dosage ds œt
acide, S5, 251.
BouMA (J.). Sur les matières coloras-
tes rouge-brun résultant ds rsctioo
du perchlorare de Ter chlorbydnqu«
sur l'iadican urioaire, •#, 951. —
Sur la déterminatioD de Ttadican
ur inaire à l'état de rouge d'iadigo à
l'aide de l'isatino en solution oluer
hydrique, %9, 8^6.
BOURQUELOT (E.) et HCRtSSKT (H.'.
Sur la présence simultanée de sac-
charose et de gentianose dans la
racine firaîche de gentiane, SS« 170.
— Sur la constitution du gentia-
nose, 1^, 646. — Sur la présence
de séminase dans les graines à
albumen corné au repos, SS, 699.
BouvEAULT (L.)- Sur l'a-sc^lylhirfti-
rane du goudron de bois et sa syn-
thèse, ItS, 435.
BOUVEAULT (L.) et BOKOKHT (A.).
Action du chlorure de batyryU
sur le sodacétylacétate de mélhyie,
«S, 648. — Nitration de Tétber
acétylacétique, leS, 709. — Actioe
do l'acide azotique Aimant sor
l'éther acétylacétique, leS, 1011.
BouvEAULT (L.) et Tbtrt. Oxydatiea
de la ^-méthylc^dobexanone, tt.
341. — Sur 1 acide mélhvladipiqot
de l'oxydation de la puiégone et
de la a-méthylcyclohexanone, K,
441.
BouvBAULT (L.) et Wahl (A.). Aclîoa
des réactifs réducteurs sur lesdeax
éthers nitrodiméthylacnrliqoes, SS,
269, 340, 910. — AcUoo de l'sdd*
azotique fumant sur le diméthyl-
acrylate d'éthyle, tS, 8U0. ~ Coo»-
titution des éthers « et ^nitroét-
méthylacryliques, «i;,80B. — Aciioa
des acides minéraux étendus sar
l'aminodiméthylacrylale d'éthyle ,
SS, 1031.
BowERs (H. L.). Vor. Scnoesa (W.
B.).
Bhady (F.). Voy. BAMSC«r.BJi fBO-
TABLE DES AUTEURS.
H91
BBAKunoAM (W.). Sur la tiliadine,
ÎiHncipe do Técorce de tilleul, M,
56.
Brabkn (W.) et BucHNER (E.). S^n-
Ihéde d'un acide dicarbonique bicy-
clique, S6, 414.
BrAUN (A.). Voy. NOKLTINO (E.J.
Braun (L.). Sur l'absorption d aiote
et d*hyarogène par les solutions
aqueuses de diverses matières dis-
sociées, %%y 848.
Braun (S. V.). Sur la méthylallylani-
Une, ««, 215.
Braunbr (B.). Sur la base des poids
atomiques. M, 273.
Braunstbin (A.). Sur le dosage de
Turée dans Turine, «6, 814.
Bmedio (G.). Sur le cadmium colloï-
dal, e«, 587.
Bridig (G.) et BcRNECK (R. M. von).
Sur les ferments inorganiques. Sur
l'action catalylique du platine «et la
dynamique chimique de Teau oxy-
génée, M, 6C2.
Bredio (G.) àt CoEHN (A.). Sur les
solut. colloïdales, 96, 596.
Bredio (G.) et Ikeda (H.). Sur les
ferments inorgaoiques. L'action pa-
ralysante des poisons sur ractivité
ca*alysante du platine colloïdal,
««, 1038.
Bhedio (G.) et Heinders (W.). Fer-
ments inorganiques. L'action cata-
lylique de l'or sur le peroxyde
d'hydroî^éne, «6, 1039.
Brenans (P.). Sur quelques dérivés
iodés des phénols, S5, 611, 629. —
Sur quel<^ue8 dérivés éthérés phé-
nyliques iodés, tCS, 819.
Brkwkr (C. E.). Vov, Orndorpp
(W. R.).
BRtCKNER (W.). Voy. Wagner (G.).
Brigos (J. F.j. Voy. Cross (C. F.).
Brisac. Voy, Causse.
Brode (J.). Catalyse dans la réaction
de Tenu oxygénée sur l'acide iodhy-
drique, <•. 1046.
Broussof (S.). Sur la vitesse de for-
mation dos oléflncs à partir des
iodures aliphaliques, 1S6, 858.
Brown (H.). Voy, Dunstan (W. R.).
Bmown (W.). Voy, Dennis (L.).
Brown (W. J.). Voy. Mullikbn
(S. P.,.
Browning (P. E.) et Hartwell (B.).
Sur la séparation qualitative au
nickel et du cobalt, tS6, 126.
Brûcr (0.). Sur la constitation de
l'acide dibromophtalique, tC6, 1106.
Br€'hl ^J. w.). Sur les transforma-
tions tautomériques en solution,
S«, 850.
Bruhns (H.). Sur la dichloracétopy-
rocatécbine et sur le dichloracéto-
pyroj^allol, S6, 171. — Action des
alcalis sur les oxycétones chlorées,
«6, 172.
Brunck (0.). Sur le dosage de
l'ozone, M, 65. — Sur les cyanures
d'argent et de cuivre en analyse
pondérale, %%, 1125.
Brunbr (L.). Sur l'hydrolyse des so-
lut. salines, 96, 599.
Brunbr (L.) et Tolloczko (St.).
Sur la vitesse de dissolution des
corps solides, 1M, 878.
Bruni (G.) et Berti (P.). Sur les pro-
priétés de l'hypoazotide comme sol-
vant, ttH, 52/. — Cryoscopie de
dérivés nitrés dans l'acide formique,
«8, 528.
Bruning (E.). Vb/. TscHiRCH (A.).
Bruno (A.). Sur un petit four de
laboratoire, Û, 524.
Bruns (D.). Voy, Gadamer (J.).
Brutn (B. r. de). Equilibres avec
deux phases liquides dans les sys-
tèmes sel alcaliii-eau-alcool, M,
598.
— Vbv. Hollbmann (A. F.).
Bhy (E.). Voy, Sachs (F.).
Bryan (J. T. H.) et Pbrkins (W.).
Contribution à la connaissance des
composés fluorescents. Les dérivés
uitrés de la fluorescéine, 96, 143.
Buchbock (G.). Sur l'influence du
milieu sur la vitesse de réaction,
«6,862.
BucHNER (E.) et Heide (C. van der).
Une nouvelle condensation de l'éthor
diazoacé tique, «6, 554.
— Voy, Braren (W.).
BuLKBwiTscH (Wl.). Sur la présence
et sur l'action d'une diastase pro-
téolytique dans les graines en ger-
mination, es, 824.
BuLOw (C). Contribution à l'étude
des acides phénylméthylpyrazoldi-
carboniques, ttH, 637.
BuLOw (C.) et HoPFNER (W.) . Con-
tribution à l'étude des combinaisons
de l'acétone-dicarbonate d'éthyle
avec las diazoïques et remarques
sur les produits de scission de ces
combinaisons, S6, 489.
BuLow (C.) et ScHLEsiNGER (A.). Pré-
paration de dérivés pyrazoliques à
partir des azoïques do Téther diacé-
tylsuccioique, S6, 723.
Burkard (E.). Voy, Pechmann (H.
von).
Bl'row (R.). La richesse du lait en
lécithine et les relations de cette
richesse avec le poids du cerveau
chez le nouveau -né des mammi-
fères, ee, 324.
BuRROws (G. HJ. Classe de relations
entre les coenicients thermiques et
dynamiques, 96, 595.
1102
TABLE DES AUTEURS.
BuBCH (M.)- CoDstitution des urazioes,
e«, 1001.
BuscH (M.) et Gbohmann (A.). Syn-
thèse dans la série des urazols,
M, 1003.
BuscH (M.) et Heinrichs (C). Sur
les di-aIcoylurazols-1.4, M, 1005.
BuscH (M.) et HoLZMANN (H.). Sur
les thiosemicarbazides isomériqaes,
««, 788.
BuSCH (M.) et LiNGENBRINCK (E.).
Sur 1 hydrazonc de Tacide dithio-
carbonique, S6, 432.
BuscH (M.) et WoLPERT (E.). Sur
Taction des sénévols sur les acides
dithiocarbaiiniques, !S6, 784.
Byrne (L. 0). Voy. TiNGLE (J. B.).
Caldwell (B. p.). Voy. Jones (H.
C).
Calov (G.). Voy. Stoermer (R.).
ALVEF
W.).
Calvert (I
I. voy.
H. T.V
Voy. Skirrow (F.
Cameron (F. K.). Voy. Emebt (J.
A.).
— Voy. Kruo (W. h.).
Camichel (C). Voy. Bayrac (P.J.
Ganter (H.). Sur l*acide o-phénylsul-
fone-benzoïque et les composés qui
en dérivent, %%, 409.
Garettb (H.). Sur quelques dérivés
de la môthylnonylcétone, ItS, 269.
CaRRARA (G.) 6t YBSPIGNANI (G. B.).
Sur l'énergie de c^uelaues hydrates
métalliques, déduite de Thydrolysc
des sels, M, 5t0.
Carter (W.). Voy. Pickard (R. H.).
Castendtck (C.). Vo/.Friedheiii{C.Î.
Gates (W. A.) Note sur le dosage de
Tac. hippurique, !S6, 312.
Cathelineau et Hausser. Elude sur
Thuile de cade, le cadinéne, tCS,
247. 931.
Causse (H). Présence de Toxysulfo-
carbonate de fer dansTeau du Rhône,
SS, 180, 220. ^ Recherche des
eaux contaminées, SS, 774.
Causse «-t Brisac. Action de Taldé-
hyde acétique sur Turée, SS, 7.
— Voy. SiSLEY.
Cavalier (J.). Acidimétrie de l'ac.
phosphorique par Teau de baryte,
te, 796. — Acidimétrie de Tacide
phosphorique par les alcalino-ter-
reux, es, 903.
Cayvan (L.). Voy. Woodman (A. G.).
Cazeneuve (P.). Sur la diphcnylcar-
bazide, SS. 277. — Nouvelle com-
binaison de Turée avec la phényU
hydrazine, SS, 280. — Bar la di-
phényl-cabodiazine, eS, STS. — Sor
les combinaisons alcoolitracs de la
diphénylcarbazide, SS, ^^5. -- Sur
Ténergie de l'acide formiqti« ; dt-pU-
cément de Tacide azotique des azo-
tates par l'acide formiqae, 9S. 427.
— Sur les combinaisons sciaes et
alcooliques de l'urée de U pbênyl*
hvdrazine, SS, 450. — Sur un ou*
tillage très simple pour la refrig^-
ration ascendante, K, 47($. — Réac-
tion de l'acide formimie 8or le ni-
trate de brucine, SS, d32. — Sur la
constitution des éthers cartx>Diques
mixtes des alcools et des phénols,
SS, 632. — Sur le chlorhydrate
d'urée do la phénylhydrazina, £6,
757. — Sur des matières coloraDtes
violettes chromées dérivées de la
diphénylcarbazide, SS, 75B. — Em-
ploi de la diphénylcarbazide poar la
recherche de l'acide chromiqae dans
le coton teint au jaune de chrome,
tS, 761.
Cazeneuvb (P.) et Dkfournbl (H.l.
Sur la recherche et le dosafre des
azotates dans les eaux potables
avec U brucine et l'acide formiqne
cristallisable, SS. 6:i9, 775.
ClAMICIAN (G.) et SiLBER (P.). AcUOOf
chimiques de la lumière, ^C 206,
1025.
Charrié (C.) et Rangadb (E.). Coo*
tribu tion à l'étude de Tinaiiun, ^S,
566.
Chanoz et DoYON. ContributloQ i
rétude d'un éiher amylsalicflique.
Action saponifiante da foie sur cel
éther, SS, 559.
Chaphan (A. C). Ac. saotaléoique,
«6, 439.
Chapman (E. M.). Voy. Lafworts
(A.).
Charabot (E.). Sur le rôle de 11
fonction chlorophyllienne dans l'é*
volution des composés terpéoiques
ftS, 259.
Charabot (E.) et Hébert (A.). Re-
cherches sur le mécaoiame de
rélbériûcation chez les plantes, ^C
884,955.
Chattawat (F. D.) et Ortok (K. J.
P.). Chlorures et bromures aazotê
substitués dérivés de l'oaiho- et d«
la para-acétyltoluidine, 94, 47. ^
Chlorures et bromures d*atot«
ortbosubstitués et introduciioo dé
l'halogène dans la position ortho
dans la transformation des chlo-
rures d'azote, 96, 48. — Snr le»
dérivés chloraminés et bromaBioét
des diacétylphénylène - diamiaes ,
««, 218. — Formation et oonsltla-
tion de l'iodure d'azote, <•, tf^^
TABLE DES AUTEURS.
nus
— Aclion des hydrates alcalins/ de
Teau et de Teau oxyeénée sur 1 io-
dur^ d'azote, «•« 356. — Sur les
dérivés chloro-aminés de Turée di-
pbénylique symétrique et sur leurs
produits de transformation, %9,
480. — Bromuration de la diphéoyl-
urée symétriaue, tC6, 482. — Pré-
paration de Tacétylchloraminoben-
zène et de quelques composés voi-
sins, 9tt, 581 . — Action des acé-
tylcbloro- et acélylbromo-amino-
benzènes sur les aminés et la
phénylhydrazine, «6, 625. — Pré-
paration de To-cbloraniline, !S6«
026. — Trichlorobromanilines sy-
roétri(|aes et cbloio- et bromo-ami-
nodérivés des chlorobromacétani-
lides, <•, 761. — Remplacement du
brome par le chlore dans les anili-
nes, M, 1151.
Chattaway (F. D.) et Evans (R. C.
T.). Sur les dérivés chlorés et
bromes de To-, de la m- et de la
p-nitro-3-acétanilide substitués à
Vazote, ire, 50.
Chattaway (F. D.) et Huhtley (W.
H.)* Chlorures d'azote dérivés do
la métachloracétanilide et leur
transformation, 96, 49.
c:mattaway (F. D.) et Stkvens (H.
P.). Action des ac. sur Tiodure
d'azote, «6, 856.
Oha VANNE. Sur les acides pyromuci-
que et isopyromucique, w, 976.
Chestakof (p.). Voy, Joukof (A.).
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éléments de transformation de troi-
sième espèce, !t€, 852. — L'insta-
bilité de l'élément Weston au cad-
mium et rimpossibilité de son em-
ploi comme élément normal, 1K6,
854. — La prétendue identité des
oxydes rouges et jaunes de mer-
cure, 96, HfUb. — Etudes physico-
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482. — Tbéorie de la surfusion et
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La nature des composes ammooi^
des métaux en solution aqueofe*
««, 71. — Sur réleclny^fnnitt des
métaux, e6, 440. ->- Les composés
ammoniés des métaux en siolttliOD
aqueuse. Les pouvoirs absorbâDt»
des solutions diluées de #eU d^*
TABLE DES AUTEURS.
1190
inéUux alcalins, 26, 453. — Com-
posés métalliques ammoniacaux en
solulioos aqueuses. Sels des métaux
alcalino^terreux, 211, 1123. — Com-
posés métalliques ammoniacaux en
solutions aqueuses. Influence de la
température sur la dissociation du
solfSitc de cuivre ammoniacal, 26,
1124.
Dawson (H. M.) et Williams (P.).
Détermination des températures de
transformation, 26, 517. — Sur les
hydrates de chlorure manganeux
stables au-dessus de 0*, 26, t>69.
— Voy. Smixhells (A.).
DsACON (E. R.i. Une nouvelle réac-
tion colorée de Tamygdalinc, 26,
(545.
Dbcker (H.). Sur quelques ammo-
niums, 26, 191, 192. — Sur la
phosphorescence de TAz-éthyl-a-
quinolone, 26, 238. — Sur la
constitulion do la pyridone, de la
quinolone et autres bases sembla-
bles, 26, 587. — Formation d'ana-
nitro-quinoléine à partir de la mé-
ta-nitraniline, 26, 1152.
Defacqz (K.). Sur un nouveau phos-
pbure de tun^téne, 26, 2c8. —
Sur un arséniure et un chloro-
arséniure de tungstène, 2S, 382.
DérouRNEL (H,). Sur quelques nou-
veaux saccharioates métalliques,
2S, 322, 386. — AcUon de la sac-
charine sur Turée de la phéoylhy-
drazine, 2S, 604. — Sur le saccha-
rinate de quinine basique, 25, 606.
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méthylénepyrocatéchinc, 26, 994.
— Voy. MouREU (Ch.).
Delépine (M.). Formation et décom-
position des acélals, 25, 346, 482.
— Helations numériques entre les
chaleurs de formation des acétals
et celle des composés isomères, 26,
360. — Sur les vitesses de forma-
tion et de décomposition du mé-
thylal à la température ordinaire,
25, 364. — Action de divers
alcools sur quelques acétals d'al-
cools monovalents,- 25, 574. —
Action de l'acide sulfurique fumant
sur les aldéhydes acétique et pro-
pionique, 25, 1012.
— Voy. Matignon (C).
Dbmahc;ay (E.). Sur les spectres du
samarium et du gadolinium, 25,
335. — Sur un nouvel élément :
Teuropium, 25, 963.
DÉM^ANOF (N. I.). Action de l'anhy-
dride azotique sur le camphène,
26, 50«i. — Action de l'acide azo-
teux sur le propylène. Nitrosite de
Propylêne, 26, 966. — Action de
acide azotique sur le camphène,
26, 1012.
DÉMJANOF (N. I.) et LOUSCHMKOF (M.).
Action de racidc azoteux sur la
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truction intégrale des matières orffa-
ni(jues applicable à la recherche des
f toisons minéraux, notamment de
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en pvésence de fortes proportions
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Tacétone-dicarbonate de méthyle,
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d'acides sur les éthers oxydes en
présence du chlorure de zinc, 26,
896. — Action des chlorures d'acides
sur les aldéhydes en présence du
chlorure de zinc, 25, 975. — Ac-
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trioxyméthylène en présence du
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Ii96
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booique, !t€, 87.
DiECKMANN (W.) et Groeneveld (A.)-
Sur les produits de nitrosation et
la constitution do Téther mélhyl-^-
cétométbylènecarbonique obtenu par
condensation de l'étber ^-méthyladi-
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de la vapeur d*eau par la matièrp
colloïdale, S#, 516. — LiquéDMtioo
d'un mélan^ de deux gaz; compt»-
sition du liquide et de la Tspeor.
1M, 594. — Les déformations per-
manentes et la thermodynamique-
Etudes des systèmes dépendant àf
deux variables dont Tune n'asi poiol
affectée d'hystérésis, %9, 836. — Re-
marques sur un travail de M. J. ^x»
Zawidzki. « Sur les tensions d« ^^
peur des mélanges liquides binaîrft*.
««, 877. — Sur la vaporisai Uoo d'«n
m(''lanKe de deux subatanoa» rola-
tilcs, dans le cas où Tune des %'apeoi*
peut se dissocier, <•, Ittfi). — Ut
TAIU-E DES AUTEURS.
1197
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Ende (C. L. von). Sur la façon dont
se comportent les sels do plomb
dans leurs solutions, tS6, 450.
Engel. Sur Thydrocarbonate de ma-
gnésium, ItS, 707.
Engler (C.) et Weisberg (J.). Sur
les conditions dans lequelles l'oxy-
gène est rendu actif, tS6, 1.
Enklaar (J. E.). InOucnce des acides
sur la solubilité des sels à ion de
même nom, ItS, 961.
ErAS. Voy. KUNCKELL (P.).
Erben (P.). La composition chimique
de la graisse du chyle humain, M,
323.
1198
TABLE DES AUTEURS.
Erdmann (H.). Action de Tair sur les
parfums, «6, 440. — Sur l'unité •
des poids atomiques, 96, 449. — |
Eludes sur le passage de» dérivés
de l'acide anthranilique à l'indigo,
1K6, 1Î54. — Nolice sur Paction de
la foi'maldéhyde sur l'élher mélhy-
lique de l'acide anthranilique, M,
1156.
Erdmann (H.) et Unruh (M. von). Ana-
lyse de carbure de calcium, M, 440.
Ehlenmbyer (E. jun.). Sur l'analogie
de 0, Az et C dans des combinai-
sons analogues, 26, 561. — Sur la
transformation partielle de l'acide
phényloxyacrylique en acide phényl-
pyruvique, !K6, îJ78.
Ernst (C). Sur la catalyse du gaz
tonnant par le platine colloïdal, S6,
1040.
Ernst (\V.). Voy. Willgerodt (C).
Errera (G.). Recherches sur les com-
binaisons méthényliques mixtes. Ac-
tion de l'élher méthoxyméihylène^cé-
tylacétique sur la cyanacélamide,
S6, 228. — Condensation de la
cyanacélamide avec le chloroforme,
ee, 229.
Errera (G.) et Perciabosco (F.). Ac-
tion des halogènes sur l'élher cyan-
acétique sodé, «6, 202.
Escales (R.). Voy. Thiele (J.).
EsTREicHER (T.). Lcs rapports de so-
lubilité de l'Argon et de l'Hélium
dans l'eau, e«, 664.
Etard (A.). Du dédoublement des
albuminoïdes ou proloplasmides,1K5,
944.
EuLER (H.). Sur la théorie de la cata-
lyse chimique, ZH, 161. — Sur le
dosage iodométriquc du molybdène,
96, 163. — Sur la catalyse par les
sels neutre», «6, 596. — Sur la
solubilité de l'acétate d'éthyle dans
les solutions salines, 166, 674. —
Sur l'équilibre des systèmes élher-
eau- acide-alcool, «6, 1087. — Sur
la théorie des réactions catalytiques,
«6, 1037.
Evans (H. G. T.). Voy. Chattaway
(F. D.).
EwAN (T.). La pression osmotique des
solutions concentrées, S6, 657.
EwEHS (E.). Voy. Traegbr (J.).
Etre (J. V.). Voy. Meldola (R.).
Eyre (W.). Voy. YouNO (G.).
Faktor (F.). Action de rhyposuinic
de soude ?ur quelques sels métal-
liques et son emploi en analyse
quantitative, 26» 4u&.
Fahmer (R. C). Une nouvelle bm-
thode pour la déterminsihm de la
dissociation hydrolytiqu«, !t#. 661.
Favorsky (E.) et SKOSARtv^xY. RMo
lion de la potasse sur W raâlaiirc
de phénylacétylène et d'océtooe. M,
284.
Favrel (G.). Action de la nièllryl«oe-
tylacëtone et de rëlhylac^lylacctnnc
sur les chlorui*es diazolques» KS.
269. — Action des élhers alcovlcyaii'
acétiques sur les chlorures diazoî-
ques, ftS, (^. — Action des èthers
alcoylmaloniques sur les chtomref
diazoïques, 95, 987.
Fay (F.) et NoRTH (E.). Sur la oalure
de l'amalgame de plomb, 9B« S^-
Feist (F.). Origines et rapports d«*
glucosides du strophantus, 9#, 1^.
— Slrophantine et strophantidliH',
!M, 19U. — Sur le sucre fonn^
dans Thydrolyse de la strophantioc,
«6, 191.
Feist (K). Sur les nitrostitbâ^ols, <6,
494.
Fendler (G.). Sur lâ compoaiUcm de
rhuile essentielle de cascan'Ue, M«
156.
— Voy. Thoms (H.).
Fenton (H. J. H.). Dégradation d<
l'aldéhyde glycolique, 911, 1^.
Fenton et Gostling ^M.). L'action dr
l'acide bromhydrique sur les by»
drates de carbone, 96, S41. — Dé-
rivés du méthylfurfurol, 1S6, 796.
Fenton et Jones (H. 0.}. Propriétéï*
de l'acide oxalacétique, S6, 198.
Fenyvessy (R. von). Sur les destinée»-
de quelques oxyquinoléines isomères
(carbostyrile et cynurine) dans l'or-
ganisme, 96, 328.
FÉRÉB (J.). Sur un nouveau mode dt
préparation do l'oxyde ferreux, 6S^
615. — Sur le chrome éleclroly-
lique, 9S, 017. — Sur l'azoture uc ^
chrome, 9S, 618. — Sur un nouvel
oxyde de chrome CiHJ, 95, 61^.—
Sur un nouvel hydrate de scsquio*
xydo de chrome, US, Giil. — ;^o^
l'amalg^amc d'uranium e( l'uraniuiD
pyrophorique, 9S, Gii.
Ferndacu (A.). Sur la tannaso,95,271.
Ferrand (L.). Contribution à l'élMil**
des orthoxylëncs dichlore^, 95, 1^
Ferreira da Silva (A. J.'i. feur la
sensibilité des méthodes de rechercha
de ra«Mde salicylique dans les viQ*^
95, 72(5.
Fbuerstein (W.). Sur le 2.4.^.i-
tétramélboxystilbéne, 96. 25(1. -^
Sur quelques benzaliodanunes subs-
tituées, 96« 360.— âar la pi mmft^
du maîtol dans les aiguiller d^AlNf^
alba, 96, 1120.
TABLE DES AUTEURS.
1199
FBt7BR8TElN (VV.) et HeIMANN (M.).
Synlhèsede racétopipérone, 96, 643.
FeuBAOTEiN (W.). et VIusculub (A.).
Sur la S-oxybeDzylacétophénone, S6,
200.
Voy, NOELTINO (E.).
FiCHTER (F.) et HiRSCH (S.). Contri-
butioa a l*étude de la ^-lactone de
Tac. diméthylmalique dissymétrique,
%%, 134.
FiCUTBR (P.) et SCHEUERMANN (B.).
Produits de condensation du furfurol
el de Tacide succinique, tttt, 688.
FiNDLAT (A.). Théorie de la précipi-
tation fractionnée «fes sels neutres,
et son emploi en chimie analytique,
M, 865.
FiQUET (E.). Synthèse et propriétés
physiologiques des nitriles phénols,
W. 55e, 1^1.
Fischer (A.) et Winter (B.). Action
de Tacide sulftarique sur le dimé-
thylpropanediol, M, 890.
— Voy, COMN (C).
Fischer (E.). Sur la /K>xydiphénylurée,
!M, 96. — Sur quelques dérivés do
ThéUcine, S6, 479. — Sur les éthers
des amino-acides, %%, 742. — Syn-
thèse de Tacide a-fi^iaminovalérique,
%m, 745.
Fischer (E.) et Mouneyrat (A.). Se*
pa ration de quelques acides amidés
en leurs composants actifs, !tS, 56.
Fischer (0.). Ethériflcation des triphé-
nylcarbinols au moyen des alcools,
%%, 96.
Fitti© (K.). Sur un polymère de Tacide
phénylîsocrotonique, 1S6, 208.
Flbmming (A. H.). Voy. Michaelis
(A.).
Fllsin (G.K Sur Tosmose des liquides
k travers une membrane de vessie
de porc, <S, 265.
Folin \0.). Sur un procédé permet-
tant de doser facilement lammo-
niaque de l'urine, 1S6, 944. — Sur
une nouvelle méthode de détermi-
nation de Turée dans Turine, tStt,
lOfl.
FoLiN ^0.) el Schaffer (A.). Sur le
dosage de l'acide urique dans Turine,
«•, 1022.
FooTE (H. w.). Sur les relations phy-
sico-chimiques de Taragonite avec
la caldte, M, 848.
Forchbimer |J.). Sur la relation éleo-
tro>magnétique du plan de polarisa-
tion dans les solutions salines et
acides, SU, 849. ,,
Forcrand (de). Sur quelques proprié-
tés du bioxyde de sodium, ^, :)82.
— Chaleur spécifique el chaleur de
fusion du glycol éthyU^nique^ !2S,
64îl. — Vaporisalion el hydratation
du glycol éthylénique, S5, 6^):^. — I
Sur la valeur des poids moléculaires
à la température de rébullition, Û,
962. -r- Sur le poids moléculaire de
rhydrate de chloral à la température
d'ébulliUun, leS, 96S{. — Calcul de
la chaleur de volatilisation et de la
chaleur de fusion de quelques élé-
ments, SS, 1057. — Valeur minima
de la chaleur totale de combinai-
son Q, tS, 1058.
FoRMANEK (E.). De Taction du chloro-
forme et de rhydrate de chloral sur
la matière colorante du sang, 96, fô.
FoRMANEK (J.). Sur uu uouvel indi-
cateur, M, 448. — La malière colo-
rante de la betterave rouge et son
spectre d'absorption, S6. 654. —
necherche des sels métalliques à
l'aide des spectres d'absorption ob-
tenus en présence d'orcanelte, M,
671,953.
FoRNARO ^A.). Voy. Ullmann (J.).
FoRSTER (M. 0.). Acide infracampho-
lénique, isomère des acides campho-
lytique et isolauronolique, M, 236.
— Etudes dans la série du cam-
phane. Nitro-camphène, amino-cam-
phène et oxycamphène, 1K6, 800. —
Action de l'hydroxylamine sur les
anhydrides du oromonitronramphéne,
96, 801. — isomérie de Ta-ben-
zoylcamphre, tCH, 1116.
FoRSTER et RoRERTsoN (W.). Prépa-
ration et propriété}* du 2-6-dibromo-
4-nilrosophénol, tSH, 760. — Etudes
dans la série camphanique. Dérivés
halogènes du p-cymène obtenus au
moyen des nitrocamphanes substi-
tués, ^^6, 1118.
Forte Y (E. C). Voy. Young.
Fosse (H.). Sur l'aldéhyde oxynaph-
loïque, !t5, 871. — Sur le prétendu
binaphtylèneglycol, 1KS, 530. — Sur
l'anhydride du binapbtylèncglycol.
Dérivés halogènes, 25, 706. — Sur
le binaphtylèneglycol, 1S5, 770. —
Sur les dérivés du xanlbène, SS,
1012.
Fournier (H.). Sur l'oxydation des car-
hures benzéniqucs au moyeu du bi-
oxyde de manganèse el de l'acide
sulfurique, «S, 1063.
Fowler ^G. J.K Azolure de fer, 28,
337.
Fowler et Hartog (P.-J.). La cha-
leur de formation el la constitution
de Tazoture de fer, «6, 339.
Fox (J.-J.). \oy. Hewitt (J.-T.).
Fraenkbl (K.). Contribution à l'étude
du dihydro-iso-indol (oxy-xylyjène-
imine), S6, 216.
Francesooni iL.). Sur les constitu-
lions des acides santonique el mé-
tasanlonique el de la melasanlonine,
«6, 559.
1200
TABLE DES AUTEURS.
Franke (A.) Sur le 2-mélhyl-2-bromo-
Eropanui, 1M, 89i. — Sur raclion du
rome sur les polymères des aldé-
hydes, «6, 892.
Frankland (P.-F.) el Aston (F.-W.).
Influence d*un groupe hétérocycli-
que sur le pouvoir rotatoire; les
étbers éthylique et mélhyliquc de
l'acide dipyromucyltartrique, %Q,
460.
Fhankland, Warton TF.-M.) el As-
ton (H.). L'amidc, lanilide el les
orlbo* et para- toi uidides de Tacide
glycérique, HtHy 342.
Franzen (H.). Voy. Curtius (T.).
Fraprie(F.-H.) Voy, Richards (T.-W.)
Fraps ((j.-S.). Composition d'une huile
de bois, 1K6, 439. — fiur le dosage
des pentosanes, 96, 1061.
Frchse. Sur des mélanges deslinés à
la coDfection des crèmes, 95, 658.
French (P.-R.). Voy. Muluken{S.-P).
Frericus (G.), Perfectionnement de
l'appareil à hydrogène sulTurë de
Kusler, 96, 6 18.
Frerichs el BEr.KURTs (H.). Sur l'ac-
tion du sulfocyanate de polassium
sur les chloracélanilides, 96, 136.
— Contribution à l'élude des acides
suirocyanacétiques, 96, 137.
FnE8E(H.^.DesélhyIpipéridinesdioiles
et gauches, 96, 794.
Fresenius (VV.). Observations «ur la
marche systématique d'Abegg-Herz
pour reconnaître et rechercher les
acides, 96, 952.
Freundler (P.). Action du couple Zn-
Cu sur les chlorures d'acides, 95,
3. — Sur le phôiiylcarbazinatc de
phénylhydrazine, 95, 738, 859.
Friebel (G.) el Rassow (B.). Les pro-
duits de réduction de l'or el du ni-
trobiphénylo et les pi'oduits de
transposition de l'hydrazobiphénylt,
96, 1143.
Friedel (G.). Sur un silicate de li-
thium cri9laUis<^, 95, l(i07.
Friediikim (C.) cl Castendy<:k (C).
Sur les silicovanadiomolybdatcs,
96, 2.
Friedl (A.). Sur les dérivés amidés
do la m«^thylphloroglucine, 96, 984.
Fromm (0.). Sur l'huile de sabine, 96,
2()8. — Détermination de la valeur
des gommes arabiques, 96, 1064.
FuLD (fe.) et Spiro (K.K Do l'action
coagulante et anticoagulante du sang
sur le lait, 96, 330.
FuLDA (H.-L.). Sur l'acide p-toluylpi-
colinique el ses produits d'oxydation,
96, 1172.
Flnk (R). Etudes sur la solubilité des
sels. Sur les sels de sodium de quel-
ques acides bibasiques analogues à
racide sulfurique, 96, 277.
— Voy. Myuits if.\.
FuRTU (0. voq). CosiniHbA*
de la substance anabipr • a
catéchine, foomie pm Its
surrénales, 96, i6.— M' Wi
ges nutritifs chez Im c»fhb^
96, 814. — Sur les natièr-si
minoïdes des moscks rhn
maux àsang(W>id etsoiltti
de ces corps avec le pbaftx.i
la rigidité de chaleur, 96,
Gabriel (S.) FonnatioD de 1» ,,
dine à partir de Tacide hartaitr;
96, 696.
Gabriel (S.) et Colman (S. ). Ailiu
alcoylates sodés sur Tether pto'
fflycocollique et ses tiocDOk>f««.r
94. — Sut le 4-oxy-iw>cafb*ir
96, 117. — Synthèse dans ta >
de la purine, 96, 904.
Gabutti (E.). Acétate de bnu^
chlorure et bromure d*aori;itï«^1
96, 535.
Gadambr (J.) et Bruxs (IK). iv *
corybulbine, 96, 31;i.
Gahl (R.). Etudes sur la th^^***
tensions de vapeur, 96, 8S(
Gailhat (J.). Modiflcatioos à it --
thode manganimétrique, 95, £E
Galimaro (J.|. Acliou du br^ot k
la cinchonidine et sur deux bibfc *
cinchonidines isomères, s et d, K
84.
Gamoeb (A.). Sur la conduite de Tav
hémoglobine, de l'hémoglobàM oc
carbonée, de la métbémogU>biiic i
de certains de leurs dértvc« d«t ^
champ magnétique, avec une M
préliminaire sur l'électrotyM ^
composés de rhémofflobioe, 91
1024. ^
Gamper (M.). Voy. Hartwicu (C
Garbbn (E.). Voy. Bsstiioii> \ÏL
Garnir (W.AV.I. Voy, Rsascy i-
Garrioou (F.). Préparation pf^liit'
naire à la source mémo de la f^
cherche des métaux oonteaus «
proportions très Taibles dan» i
eaux minérales, 95, 31^.
Garseo (W.) et CoLLiK iN.K Doa<
de la cocaïne, 96, 645.
Gautier (A... Origine de Thydroir''
atmosphérique, 95, 9)1 . — Sut ^
gaz dégagés par les roches igw
sous l'influence de la chaleor, §1
337. — Produits gâteux dégages f
la chaleur des rochr» ignées. Actt<
de Teau sur les sels ferreux. Origtt
:■£? r-
TABLE DES AUTEURS.
12(H
1-
/
/
L
»M
' > ' gaz volcaniques, 1KS, 402. — Sé-
; - lion et dosage de Tacide sulfhy-
/ i ue, des sulfures et des poly-
7. are8« SS, 482.
^■^s (U.) et DuBOURG (E.). Nouvelles
„ lerches sur le ferment maonl-
j|. t«, «S, 991.
rj BK8SE (P.). Sur un nouvel alcool
013 ivé du lirnonène, tes, 527. — Sur
i ^ s nouvelle préparation du terpinol,
j.,- H «50.
lOEvics (G. vou\ Sur la base co-
16c de la fosanilinc, 26, 995.
iGBVics (Ci. von) et Sprikoer (L.).
mtribution h la connaissance des
ocesHUS d'oxydation, 26, Ut»5.
8 (L.î. Vov. Wbmneh (A.).
IN (F.) VÔV. ViONON (L.).
^ . TEL iA.-C.) et Want iG. van der).
... or la cire du Japon, 26, 291.
^ iON (H.-W.). Vov. Hemmann.
' SBL (J.). Sur descorps radio-actifs,
: ; M, 12J.
^ .K8 (W.-B.). Sulfocyanates de po-
assium et de sodium. Sur une cou-
^' ^ eur bleue particulière produitequand
.' m»n sels sont chaufi'é*, 26, 193.
V" miois (G.) et Alvisi (V.). Pouzzo-
^ . lanes naturelles et artiflciclles, 26,
SiB.
mAKDET (F.). Sur un aréomètre très
- «Impie, 2S, 329. — Pipelle pour dé-
terminer la densité des liquides,
2^,996.
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les anciens Egyptiens, 26, 194.
ixRHM (R.) et ScHEUTZ (Tli.). Sur les
•cides aroidobenzénesulfoniques et
las roétamidopliénols alcovlés, 26,
1144.
GocKEL (A.), Sur le point de décom-
position des solutions aqueuses, 26
vJè. — Sur les relations entre la
Slârisalion et la densité de courant
ns les sels solides et fondus, 26,
868.
GoLDBERG (A.). Canarine et pseudo-
soUùre de cyanogène, 26, 667. —
Sur losulfocyanogcne et les matières
colorantes jaunes obtenues à partir
des sulfocyanures, 26, 112:i.
GoLOBEHO (k.-G.). Vov. Sprhanskt
^ (A..V.).
GoLDBF.Ro (P.^. Sur quelques dérivés
de To-xylalphUlide, 26, 209.
-7 Voy. Ëdinger (A.).
OoLDscHMiDT(H.). La vitesse de réac-
lion dans les systèmes hétérogènes,
26, ti59.
GoLDRCMitiDT (H.) et Keppeleh (G.).
Becberches dynamitiues sur la for-
mation do couleurs azoïques, 26,
114.
OoMBESo (M.;. Triphénylmélhyle. Un
cas de tri valence du carbone, 26,
»0C. CHIM., S* SKR. T. X\V-.\XVI, 1901.
140. — Sur la préparation du tri-
pbénvlchlorométhane, 26, 141. —
Sur le carbone trivalout; réponse à
M. Norris, 26, 1067.
GOODWIN (W.). Voy, SSNIER (A.).
GoRDAN (p.) et Alexejeff (W.). Con-
cordance des formules chimiques
avec la théorie des invariants, 26,
882.
GoRDAN (P.) et LiMPACH (L.). Sur plu-
sieurs relations entre les constantes
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aminés bcnzônoïdes, 26, 1158.
GoHE (H.-C). Voy. Phehson (W. Mac).
GosTLiNG (J.). Voy Fenton (H.-J.-H.i.
Goto (M.;. Sur la dissolution de Taciae
urique par les acides nucléiques et
thymiques, 26, 323.
GOTSCH (F.). Vov. KUNCKELL (F.).
Gottschalk fV.-H.). Voy. Allés lE.T.).
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GoYDEH (G. -A.). Un nouveau minéral,
la sulvauite, 26, 71.
GoYON. Action du brome sur Tantipy-
rino, 25, 772.
Graebe (C.) Sur Tacideeuxanthinique,
26, 110, 238. — Sur la préparation
du chlore à Taide du clilorate de
sodium et sur celle du trichloinire
de phosphore, 26, 276. — Formation
direete- das afilties aromatiques au
moyen dos hydrocarbures, 26, 703.
GRAEut: (('..) et HosTowzEw (S.). Sur
Tacide tricblorophtaliquc, 26, 1104.
Graegeh(E.). Vo/. Pcchman.n (H. von).
Ghaeleht (K.-P.) . Voy. Moehlau (H.).
Grang::r (A.). Sur un iodoantimo-
niure de mercure, 25, 564, 623.
(jkassi (G.) et Schiavo-Leni (F.). Ac-
tion delà chlorhydrineméthylénique
sur les araincs aromatiques, 26,
Gravé. Voy. Ipatief (V.).
Gray (T.). Note sur Tacétonylacètone,
26, 739. — Condensation de Tacéto-
nylacétoneavecrhydraled*hydrazine,
26, 739.
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logie de la créatioe, 26, 33D.
Gregor (J.-G. Mac). Sur la détermi-
nation de la dissociation dans les
solutions composées de composition
donnée, et sur le problème inverse,
26, 8i5.
Greimer (K.). Alca'oïdes to%ique8 des
boragioécs, 26, 78.
Greiss [M.). Voy. Michaelis (.\.).
Gressmoff (M.) et Sack (J.). C ntri-
butioo à la connaissance des cires,
25, 979.
Griffiths (A.-B.) et Bluman i.\.-J.).
Les bases azotées dans le pétrole
roumain, 25, 725.
Grig.nard (\'.). Action des combinai-
sons organomagnc8iennes mixtes sur
76
1202
TABLE DES AUTEURS.
les méifaylDaphtylcétones, tSS, 497.
Action des éinors d'acides ^ras mo-
nobasiques sur les combinaisons or-
ganomagnésicnnes mixles, !S5, 525.
— Sur rapplication des dérivés or-
ganométaltiques de Mgaux synthèses
organiques, %S, 531 . — Sur les com-
binaisons organomagnésîennes mix-
tes, tes, 644.
— V0}\ TlSSlER.
Griooricf (A.). Décomposition par la
chaleur de quelques alcools et élhers
oxydes, ««, 612.
Grigorovitch (P.). Synthèse de l'acide
at-mélhyl-Ç- para-isopropylphénylé -
Ihylénolactique, «I, o, 9z.
Grimaux (E.). Sur des matières colo-
rantes roses dérivées du triphényl-
mélhane, SS, 215. — Sur des matières
colorantes bleues dérivées du triphé-
nylméthane, <S, 215. — Sur des dé-
rivés du triphénylméthane y !SS,
216. — Préparation des méta-amino-
phénols alcoylés, SS, 217. ~ Sur
des matières colorantes dérivées des
méla-aminopbénol-éthers dialcoylés,
«S, 219.
Grimaux (E.). et Lefîîvre (L.). Sur
de nouvelles matières colorantes,
es, 213.
Grimbert (L.). Production biochimique
do racétylmcthylcarbinol parle « Ba-
oillus tartricus », SS, 4l9. — Action
du Bacillus tartricus sur les hydrates
de carbone, US, 483.
Grob (J.). Voy. Dambbroer (E.).
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lino-cuivriquos, 96, 278.
GnOENEVELD(A.).t'0^'.DlECKMANN(W.)
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lybdène, 8S, 2. — Action de l'eau
sur le pentoxyde de molybdène, SS,
98. — Sur l'oxyde bleu de molybdène,
SS, 181. — Action de l'eau sur le
?cntachlorure de molybdène, S5,
88.
Guillet (L.). Sur les alliages d'alomt-
nium. Combinaison de raluiiu-
nium et du tuncrstène, 95, â32. —
Combinaison de l'aluininium et du
molybdène, 1S8, 969. — Contribotiuii
à l'étude des alliages caivre-elumi-
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GuLEwiTSCH (W.). Un cas de ménin-
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— Sur le chimismc de le formation
de Turée dans l'organisme, 96, 995.
— Recherches chimiques sur le
liquide d'un méningocèle, 96, TDt
GULEWITSCH (W.) et AMIRADZJiU (S.
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96, 124. — Sur les matières extfic-
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Sur le chimisme de la formation df
l'urée dans l'organisme, 96, 325
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611, 692.
GusTAVSON (G.). Sur TactioD du broffl«
sur le diméthyl-l.l-triméthyl^oc,fi,
613. — Action du brome sur le tri
méthylène dans différentes ooodi
tions, 96, 613.
GuTBiER (A.). Sur le tellure, 96,llfi"-
— Sur la réduction de Tossenc* «^
moutarde phénylique, 96, 10M6.
GuYE (P.-A.). Activité optîqae àettr-
Uins éthers, 96, 45 ». — Note far
les dérivés amyliques actiU^ 9S.
5i4.
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thyldiamidodiphénylméthane <wdi<-
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Haarst (P.-M. van). Voy. Dobp iW-
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Haase (F.). Voy. Claisch tL.'.
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des non-électrolytes, 96, 621
Haber (F.) et SaimoT [C] Sor la
réduetion électrol. du nitrobent'O' ■
96,601.
Habkrmann (jI.) et EnneNrrLO 'P
Sur les matières prutéique*, •••
324. — Sur les matière» albumiiK'^dM
Action du chlore naissant ><if *'
cnséine. 96, 94i.
TABLE DES AUTEURS.
1203
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aromatiques tertiaires, tSH, 176.
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Hall (R.-D.). Voy, Kahlenbero (L.).
Hallbr (A.) et Blanc (G.). Sur les
élhers alcoylcyanomaloniques, S^,
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Haller (A.) et GuYOT (A.). Recher-
ches sur la tautomérie de l'acide
o-benzoylbenzoïque, K, 49. — Sur
les acideti dialcoylamidoortho-ben-
zoylbenzoïques et leurs dérivés, tK,
165. — Préparation et propi'iétès des
dialcoylamido-anlhraquinones, M»,
205. — Sur les acides dialcoylamido-
bcnzylbenzoVqucs, dérivés des acides
beozoylés, <5, 250, — Prépara-
tion et propriétés des tétramélhyl-
diamido*pbénylanlhranol et oxa»-
thranol, 2S, 315. — Sur l'acide di-
métbylamidobenzoylbenzoïque nitré
et sur quelques dérivés de cet acide
9S, 511. — Nouvelles matières colo-
rantes dérivées du diphénylfluorène,
SS. 562. — Synthèse de l'hexamé-
thy itriamido - diphénylènepbénylmé-
tbane et du colorant qui en dérive,
es, 750.
Haller (A.) et Mlller (P.-Th.). Sur
la constitution des éthers cyanacétyl-
ac4*tiques, So, 7i)U.
Haller (A.) et Umborove (H.). Sur
les acides diroéihyl-eldiétnylamldo-
benzoylbenzoïques létrachlorés et
Uurs dérivés, 85, 598. — Sur de
nouveaux d^^rivés des acides dial-
coylamidobenzoylbenzoTques et dial*
coylamido- m-oxybenzo^lbenzoïques
tétrachlorés. Anthraqumones dial-
eoyiflnidées et oxyanthraquinones
dialcoyiamidôcs coiTc^^pondanles,
es, 7fô.
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bile de quelques animaux polaires,
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cotarnine, e«, 72H.
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vache aux diverses périodes de la
traite, eS, 992.
Hardy (W. B.). Etude préliminaire des
conditions qui déterminent la stabi-
lité des hydrogels irréversibles, e^,
515. — Mécanisme de la congélation
dans les systèmes colloïdaux réver-
sibles, e«, 516, 836. —Etude préli-
minaire des conditions dont dépend
la stabilité des mélanges colloïdaux
non réversible^, e6, 889.
Harries (C). Sur un mode de prépa-
ration des hydrocarbures biéthylé-
niques, e6, 284. — Sur Tacétal du
citronnellal, e6, 299. — Sur la
dialdéhydc succinique, eH, 684. —
Contribution à l'étude de l'aldéhyde
formique, eH, 739. — Sur l'auto-
oxydation de la carvone, eH, 1168.
— Sur la A*-menthéne-2*one et la
carvotanacétone, eH, 1168.
Harries (C.) et Maurus (M.). Sur une
synthèse de l'bydantoîne, e6, 310.
Harries (C.) et Schauwbckbr (O.).
Sur l'aldéhyde-acide p-méthyladi-
pique, e«, 686.
Hartlet (W. N.). Spectres d'absorp-
tion des substances organiques,
es 2.
Hartley (\V. N.) et Dobbie (J. J.).
Spectre d'absorption ultra-violet de
plusieuis composés carbonés à
chaîne fermée : diméthylpyrazine,
hexaméthy lène et t^trahydrobenzéne,
e6 59
Hartley (W. N.), Dobbie (J. J.) et
Lauder (A.). Le spectre d'absorp-
tion des composés du cyanogène,
e«, 691.
Hartley (W. N.), Dobbie (4. J.) et
Paliatseas (P. G.). Etude du spec-
tre d'absorption de l'ortho-oxycar-
banile et de ses dérivés alcoylés
en relation avec la tautomérie, M,
59.
TABLE DES AUTEURS.
1«04
Hartley (W. N.) et Ramage (H.).
Une méthode simplifiée pour l analyse
spectrographique des minéraux, 9»,
i&.— Recherehes speclroscopiques
sur les flammes qui prennent nais-
sance dan« les procédés d" P"^f ge
et du bessemer basique, »•, woi.
Hartoo (P. J.). Ko/. FowLEB (G. a.).
Habtwkll (B.|. ^'o/- Browning (P.E).
Hartwich (C.) et Gamper (M.). Sur
les écc»pces d'angusture, »•, lo/.
Harvey (A. W.). Voy. Popk (W. 4.].
Haslam (H. C). Délermmation quan-
tiUtive des bases hexoniquos dans
rhétéro-albumose et la peptone, «•,
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Hauser (M.). Voy. Herzig (J.).
Hauser (0.). Voy. Vanino (L. .
Hausmann (W.). éur la répartition de
razote dans la molécule de 1 albu-
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une enzyme protcolytique dans la
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Heimann (M.). Voy. Feuerstein (W.).
Heimrod (G. W.). Voy. Richards
(Th. W.).
Heinrichs (C.[. Voy. Busch (M.).
«EINZE (M.). Voy. MOCHLAU H. .
Heizmann (G.). Voy. Krafpt (F.).
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cherches sur le chlorure dissymé-
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rure de calcium, *•, 1066.
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de groupements atomiques non sa-
lures, ««, 83. — Sur la nitroso-
orcine, 1R6, 96.
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que dans les eaux au moyen dn
chlorure stanneux, «S, 698- ._ ^
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éihyléniques, «5, 97t.— Sur laites
nancc de volatilité dans la ««ne
des diamines normales et primaires,
tSS, 977. — Sur les amino-alcools,
«5, 978; «•, 388. ^, ,
Henry (L.) et Dalle (P.). bur \tê
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de l'huile de blé, S6, 3:4).
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niaques substituées vis-à-vis «s
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zinc, ««, 456. — Sur les prtopi-
Utions quantitatives des ««é^'
par les bases organiques, «•, ^
Herz (W.) et Drucker (K.^,. Sur U
dosag^e du magnésium par les oêtt»
organiques, M, 849.
Herzfeld (A.). Détermination do
poids atomique du calcium. «•.W-
Herzig (J.) et Hauser (M.). Etow
sur les éthers des phlorofflucijj*
Sur les éthers de la dimèlhyipWo-
roglucine, *•, 1137. ^_i^
Herzig (J.) et Kaseher (H.). El»*
sur les éthers des phlorogloo»*-
Sur rélher trimélhylique de U pWo*
roglucine, *•, 1138.
Herzig (J.), Pollack ol Bom« (B^-
Elude des dérivés halogènes flft
phlorogluclnes ; sur les dérives ow-
mes des homologues de la pnwro-
glucine, M, 982. _ ^_
Herzig (J.) et Thener (F.l. El«*^
sur les éthers des phloroglociae*.
Sur les éthers de la mooomeiùï»-
phloroglucine, «€, 1188. .
Hesse (A.) Sur ressence de juaùn,
««, 309.
— Voy. Clrtils (Th.). ,
Hesse (0.). Contribution à la coon»^»*
sance du lichen et de •^."^'Si'
tuants caractéristiques, t*. *^''
649, 1182.
Heterbn (W. J. van). Corp* «'«fj;
tiques nilrés. Action do cyano^;
potassium en solution alcoo'ijv
sur le chlorodinitrobcni^ï^'***'
Hewitt (J. T.). Sur les rilaW»
entre la constitution et U W^Jg'
cence de cerlaines sub«Unc<»t "^
849.
TABLE DES AUTEURS.
1206
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La nitration des 3 toIuëDe-azopbô-
nols, «6, 423.
Hewitt (J. T.).Pl Philipps (H. A.).
La bromuration des o-oxyazo-com-
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cique (furrurane-dicarbooique), M,
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des aloës, «6, 655.
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urique et ses sels en solution, <•,
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le transformation de cristaux daus
les systèmes azotate de sodium,
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flodium-azolate d'argent, 1M, 607.
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avec tables de composition compa-
ratives de quelques tourbes, M,
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Hopmann (K. A.) et Strauss (E.^.
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Sur le plomb radio-actif, «H, 244,
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distinguer les brais de goudrons de
pétrole et de ligniles, des brais
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Holde (D.) et Stange (M.). Présence
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ses naturelles, <•, 977.
Hqlleman (A. F.). A propos do
l'histoire des dérivés isonitrés, <8,
390. — Sur la nitration de l'acide
benzoïque et de ses éthcrs méthy-
lique et éthylique, «•, 716. — Sur
la décomposition spontanée de l'acide
hyposulfureux, tSé, 845. — Sur la
structure de l'acide o-chlorodinitro-
benzoîque de Kalle et C**, <5, 9k6.
HoLLEMAN (A.-F)etBRUYN(B.-R. de).
Sur la nitration du nitrobenzènc,
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HOLLEMAN (A. F.) et I OBRY DE BrUYN
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simultanée des produits do substi-
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vapeur des cristaux mixtes de quel-
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du sulfate de cuivre, 96, 1053.
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chimie de l'acide glyoxylique, <•,
272.
12015
TABLE DES AUTEURS.
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HuBALBCR (M.). Voy. Paal (C).
HUDSON (E. J.). Voy. Mabery (C. F.)
HUOBRSHOFF (A.) et KOENIG (W. G.).
Action de la lessive de soude sur
les acétylihîo-urées isomères, «•,
41. — Sur quelques acétyllhio-urées
isomères de la série du naphtalène,
S«. 41.
HuoouNENQ (L.). De l'action oxydante
du persulfate d'ammoniaque sur
quelques principes immédiats de
rorganisme, ItS^ 883.
HuiBKAMP IW.). Sur les matières albu-
minoTdes du thymus, <•, 8i29.
HULDSCHINSKY (E.). Voy. ROSENHEIM
(A.).
HuLETT (G. A.). Sur le calibrage d'un
tube de verre et sur quelques coef-
ficients de compressibilité, 26, 834.
— La distillation des amalgames et
la puriflcation du mercure, «•, 847.
— Relations entre la tension super-
ficielle et la solubilité, S6, 1047.
HUMME (E.). Voy. VORLAENDER (D.).
HuMPHREY (E.). Voy. Werner (A.).
HuNTER (A. E.). Voy. Kipping (F. S.).
Huhtley (W. H.). Voy. Chattaway
(F. D.).
HuYSSE (A. C.). Sur la recherche
microchimiaue du potassium, du
rubidium, du césium, de Tindium
et des hyposulûtes, Sè, 3ô5.
Iarovsky (J.). Vov. Mikhaïlenko (J.),
lOLAUER (F.). V'o/.WlLLSTAETTBR(R.).
Ikbda (K.). Détermination des isother-
mes et des isochores dans les phé-
nomènes de dissociation, 9Bt B3t5.
— Démonstration élémentaire de la
loi de Van t'Hoflf sur la pression os-
motique, S6,836.
Ikeda (R.). Voy. Bredig (G.).
Imbert (H,). Action des bases pyri-
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nées, ItS, 989, 1064.
Immerwahh (Cl.). Voy, Abego IR.).
In.nes (\V. R.). Note sur l'emploi de
la pyridine pour la détermination
du poids moléculaire par la mé-
thode ébuUioseopique, ••, 349.
Ipatief (W). Action de la poudre de
linc sur les dibromurcs C*H"»Br*,
<•, 282. — Réaction du sodium-
malonate d'élhyle sur les dibromures
C»H*»Br, ««, 283, 535. — Réaction
du chlorure de nitrosyle sur les com-
posés organiques possêdani «m
double liaison, tM, 292. — Sor Its
nitrosales, ««,294. — Sur le^
réactions pyrogénées des 6ub«Unoe«
organiaues, M, 369. — Nourcau
mmie d'obtenliou des aldéhydes to
moyen des alcools primaires* M,
583. — Action du bromure de Rem-
diméthyltriméthylène sur le sodium-
acélate d'éthyle, ««, bS5. — R^ac*
tious pyrogénées des substance*
organiques, ••, 611. — NoovcUf
synthèse de la méthylhepténoiie,
9U, 614.
Ipatief (V.) et Gravk. Action d**
zinc-alkyles sur les chlorures d'aci-
des à poids moléculaires considéra^
blés, M, 285.
Ipatief (V.) et Svidersky. Action du
sodium-malonate d'éthyle sur le
pentane tribromé, <•, 2^3.
Irvine (J. C.). Préparation de l'o-diioe-
thoxybenzoïne et nouvelle méthodf
de préparation de rétberroétliyliqof
de l'aldéhydo salicylique, S€, 760.
— Voy. PuRDiE (T.).
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des tunffstates sur la rotation ip«-
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JaBLONSKI (S.). V0/.\VlLLGEB00T{C.'.
Jackson (C. L.) et Behr (G. E.>. J?»
le tri-iodobenzène symétriquei tê.
1083.
Jackson (G. L.) et Cohoc (W. P.j-
Sur quelaues dérivés du m-dibfp-
modinitrobenzène, tM, 1081.
Jackson (C. L.) et £aiu.c ^R. D-)-
Action du sulflte de sodium sur ^
tribromodinilrobenzène et sur I*
tribromonitrobenzène, S#, 1082.^
Jackson (C. L.) et Koch (W.). Soi"
quelques dérivés de i'ortho-Dcoah
quinooe, M, 1100.
Jacoby (M.). Sur le fermaol oxydw»
des aldéhydes contenu dans 1* ^
et les capsules surrénales. M, ^J-
— Sur le dédoublement formeotjuf
de l'albumine et sur U forfoatioo
d'ammoniaque dans lefoie, M««H<
— Sur les relations qui exbteol
entre l'autolyse et lee niodiûoatioB*
du foie et clu sang dans rtntoxict'
lion phosphorée, 1t9, 318.
Jacquemin (G.). Procédé de pr*p«'*'
tion de levures basses de brtsK»»*
risoédant la propriété dr frnneoty
haute température et leur «Kw*
d'emploi, tU», 734.
TABLE DES AUTEURS.
1207
Jabuer (K.)- Voy, Thikle (J.).
Jaegkr (W.) et LiNDECK (S.). Sur
réUm^nt au cadmium de Weston;
répoo86 à M. Cohen, tSH, 855. —
H«chdtcbe8 sur lus élémonis nor-
maux et particulièrement sur Télé-
mant au cadmium de Westoo, 99,
Jaun (H.)> Sur le degré de dissociation
el l'équilibre de dissociation dos
èleoirolytas fortement dissociés, ^M,
84fS»47.
Janmascu (P.)* Sur la séparation
directe et le dosage du chlore, du
brome et de l'iocie dans les sub-
stances organiques, !£•, l()â.
Jannasch (P.) el KoBLiTz (E.). Sur la
séparation du chlore et du brome
en présence des acétates, des sulfates
ou des azotates, !S6, 163.
Japp (F. R.) et Meldrum (A. N.).
Homologues de Tanhydracétone-ben-
zile, SU, 1114.
Japp (F. R.) el Michie (A. C). Ré-
duction de roc-Y-dibenzoylpropane
et du dibenzoyldiphénylbuladiène,
S«, 111^.
jAunERT (G. F.). Sur quelaues pro-
priétés du bioxyde de sodium, 2S,
^ÈSS, — Sur un nouveau mode de
préparation des hydrates de peroxyde
de sodium et leurs propriétés, m,
382.
Jbancabd et Satie. Sur l'essence de
géranium de Cannes, SS, 516. —
Tension superficielle et viscosité de
quelques huiles essentielle», 1S5,
519. — Sur quelques essences de
thym, SS, 893. — Les essences de
Néroli et de Petit grain distillées en
1901, £5, 934.
Jbrdan (D. s.). Voy. Bone (W. A.).
Jbrwitx (W.). Un nouvel appareil
d'cxtraclion des graisses, M, 457.
Job (A.). Sur la mesure des vitesses
des dégagements gazeux, application
du voltamètre, SS, 7. — Nouvelle
m^-lhode expérimentale pour la me-
sure de quelques vitesses de réaction,
JOCHELSOHN (A.). Voy. GULEWITSCH
(Wl.).
JocHEM ^E.). Sur un procédé simple
permettant de transformer les amino-
acides gras en acides chlorés cor-
respondants, !26, 333.
JOPFRE ( J.). Sur la valeur agricole de
Tazote de la matière noire des phos-
phates des Pyrénées, <5, 960.
Johnson (T. B.). Voy. \Vheelkr(H. L.).
JOLLES (A.). De l'action des solutions
d'iode et des solutions alcalines de
caméléon sur l'acide urique, S6,
28. — Recherche du mercure dans
l'urine, 9U, 366. — Sur la formation
d'urée par oxydation do l'acide hip-
purique, ««, 385. — Détails tech-
niques sur l'analyse de l'urine, <8,
444. — Sur la précipitation de
l'acide urique par le chlorure de
baryum, M, 457. — Contribution
à l'étude de Tasparagine et de Tacide
sspartique, 9^^ 473. — Contribution
à l'étude des bases de la série de la
purine, ft6,575. — Note sur le gly-
cocolle, <•, 816. — Contribution à
l'étude des matières albuminoïdes,
9By 940. — Sur l'urée comme pro-
duit d'oxydation de corps azotés,
««, 1129.
JoLLYMAN (W. H.). Voy, Pakes (W.
C. C).
Jones (F. W.). Nouvelle forme de vo-
luménomètre, ^M, 24b.
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lytique de certains sels dans l'alcool
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par la méthode ébullioscopique,
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Contribution à l'étude des solutions
aqueuses des sels doubles, «•, 1052.
— Voy. Fenton (H. G. H.).
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pyruvique sur son sel d'ammonium,
«5, 765. — Action de l'acide chlor-
hydrique sur l'acide pyruvique,
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JoRissEN (W. P.) et Reicher (L. Th.).
Sur rinfluencedes catalysatcurs dans
l'oxydation des solutions oxaliques,
««, 659.
JouKOF (A.) et CuESTAKOF (P.). Sur la
structure des acides oxystéariques,
««, 42.
JouNiAux. Sur l'action des radiations
solaires sur le chlorure d'argent en
présence d'hydrogène, «S, 969.
Jouve (A.). Sur les ferro-siliciums in-
dustriels, SS, 2^. — Sur les siliciu-
res de fer, «5, 290. — Recherche du
sélénium dans l'acide sulfurique,
«S, 482, 489. — Sur une nouvelle
variété de chaux cristallisée, «5,
611, 710.
JowET (H. A. D.). Coustitution de la
pilocarpinc, «0, 189, 728.
JucKENACK (A.). Contribution à Tétude
du pain • fliant », ««, 4i8.
JuiLLARD. Sur les acides ricinoléino*
oxaliques, «S, 5. — Action de Tacide
nitrique sur l'orangé iV, SS, 178. —
Sur les dérivés nitrés de l'acide phé-
nylamino - azo - benzène - sulfonique ,
les, 533.
Jung. Voy. Schumacher.
Ju.NGFLEiscH lE.) Cl LÉGER. Sur l'hy-
drocinchonine, 2S, 528, 877. — Sur
1208
TABLE DES AUTEURS.
la cinchonino, «S, 697, 880. — Sur
rhydrocinchonioe et la cinchonine,
«5, 772.
JusT (G.). Solubilité des gaz dans les
dissolvauls organiques, 1t^, 1040.
Kaiilenbei.g (L.)' Helalions enlrc le
goût des sels acides et leur degré de
dissocialioD, S#, 517. — Différence
de potentiels entre les métaux et les
solutions non aqueuses de leurs sels,
S«, 522. — Dépôt électrochimique
des métaux do leurs solutions non
aqueuses, <•, 523. — Méthode per
fectionnée de détermination de la cha-
leur latente de vaporisation; chaleur
latente de vaporisation de la pyri-
dine, do Tacétonitrile et du benzo-
nitrile, 86, GOi. — Chaleurs latentes
d'évaporation de quelques composés
organiques azotés, 86, 945.
Kahlenberg (L.) et Austin (R. M).
Action toxique des sels acides de so-
dium sur le lupin blanc, 86, 524.
Kahlenberg (L.)t Koch (A. A.) ci
Hall (R. D.). Théorie de la disso-
ciation électrolytiquc d'après de nou-
veaux faits expérimentaux, S6, 947.
Kahlenberg (L.) et Mehl (H. F.).
Action toxique des élccii*olytes sur les
poissons, 86, 603.
Kalecsinszky (von). Thcrmorégula-
teur simple, 86, 9û4.
Kasanezky (.A). Action deTacidc brom-
hydrique sur l'acide ricinoléique et
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Kasanezky (P.). V'o/. Petrenro-
Kritschenko (P.).
Kasereu (H.). Voy. Herzig (J.).
Kassner (G.). Sur les modes de for-
mation du peroxyde de plomb, 86,
35. — Sur une nouvelle combinaison
cristallisco du chloroforme, 86, 513.
Kastle (J. h.) et Loevenhart (A. S.).
Sur la lipasc et la réversibilité de
son action, 86, 4)5.
Katsuyama (K.). De rinfluoHcc do quel-
ques diur(''tiques sur rcxcrétioii des
alcali-^ par l'urine, 86, 832.
Katsuyama. Vov. Saito (S.).
Kattein (A.). Voy. Hodewald (H.).
Kattwinkel (P.)' et Wolffenstein
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1U78.
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la sanloninc, 86, 60.
Kauffmann (II.). Recherches sur le
système cyclique du benzène, 86,
759.
Kaupler (F.). Sur les dtcarbyUmiarf
aromatiques, 86, 768. — D* fm-
fluence des radicaux subaUtaé? tuir
la tautomérie de la phloroglucio' .
86, 1134.
KAUFLEn{F.) et Wenzkl(F.). Influ^^nce
du méthoxyle sur ToHeotation (W
groupes dans la nilraiioa, 1M, l<J8b.
Kaupmann (L. Ë.). InQueoce de« bfo-
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brorou ration des carbures arooiaU-
qucs, 86, 43.
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nés des urées; méthyliso-urée a
éthyl-lso*arée, 86, 1071 .
Kegel [E.), Voy. MoERLAU (H.).
Kehrbr (G. A.). Sur Tacid^ pbéiia«'yl
lévuliquei et sur uo nouvel ackl^
C'*H*»C)*Az du groupe du pyrn>U8«,
7«.
Kehrmann (F.). Sur le rapport entre
la constitution Ans hydroKC^uiiiofies «t
leur tendance à la formation de <Iu^
nones, 86, 204. — Sur 1m oombi-
naisoDs azoxoniums, 8S, 096.
Kehrmann (F.) et Barghb {Oj. Syn-
thèses de dérivés aziniques H oxmd-
niques au moyen de l'acide aoétami*
nonaphtalique, 86, 230.
Kehrmann (F.) et Denk (A.). Sur !*»•»-
no-5-&-naphtoquinone et les i»-
rosinaulines qui ea dérivent, 61.
145.
Kehrmann (F.) et Hiby, Dérivé» chlo-
rés des matières colorantes azoniviBi^
86, 545.
Kehrmann (F.) et Krameh (O.). Suri»
préparation et les transforautida*
de riso-phéoosafranine, 86, iiH.
Kehrmann (P.) et Krazlbr (S.)- !)««•
vés chlorés des matières eoloranl^
azoniums, 86, 548.
Kehrmann (F.) et .Mullbr (H.). Dérivé*
chlorés des matières colorantes azo^
niums, 86, 547.
Kehrmann (F.) et ScHAPoacHsiKOffr
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groupe de la thionine, 8S, t23.
Kehrmann (F.) et Silbrrstkin (M.î
Sur le 13* isomère de la rosindulir^
86, 148.
Kehrmann (F.) et Steinkh (GJ. Sur
le 12* isomère de la rosinduline,8i^
147. — Constitution do risorosinittliiw
n* 9, 86, 219. — Constitution d**
Tacide naphtopicrique fusible à ll^«
86, 221.
Kbller (A.). Les combinaisons orjrs'
niques du phosphore dans l'urine du
nourrisson, leur origine et laur siftii-
flcation dans les écnanges natritif^f
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TAULE DES AUTEUHS.
1209
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Khardi.nc \\).). Sur les réactions de la
ronnation aes safranines, <•, 115.
KfJNBit (N. M.). Action de l'oxyde
d*argeDt sur les bromamines, M,
167. — Sor les a£ines de la nien>
thone, <•, 186. — Action du porchlo-
rure de phosphore sur le produit
cToxydation de la menthanementhyl-
hydrazone, 1M, 187. — Sur une
aminé obtenue en partant de Tacide
triroéthylèoc-carbonique, ^6, 978.
KiNCH (E.). Proportion de chlore dans
Teau de pluie recneillte à Cireocester,
KfPPBNBRRGER (C). Remarque sur la
recherche quantitative du cbloral et
du chlorororise en toxicologie, ^M,
60, — Contribution à la chimie ana*
tytique des alcaloïdes. Extraction sys-
tématique des sels d'alcaloïdes en so-
lution aqueuse, <•, 443. — Dosage
des alcaloïdes végétaux par neutrali-
sation à Taide des acides titrés, <•,
443. — Action de l'iode sur l'ciconi-
tioe et la caféine, <•, 730. — Action
du brome sur la strychnine et la
brucine. EImploi du tannin pour la
purification des résidus alcaloïdiques
dans les analyses chimico-légales,
«•, U66.
KtPPiNo (F. S.). Sels isomériques par-
tiÂiiement racémiques contenant de
Tozote penlavalent. Dromocampho-
sulfonates, chlorocamphosuironates,
ei cis-n-caniphanates d'hvdrindamine,
!BS,56. — Campho-n-sulfonatesd'hy-
drindamines isomères. Hacémlsation
de l'a-bromocamphre, fttt, 349.
KiPPiNG (F. S.) et Hall (H. K Sels iso-
m^rioues contenant l'azote penlava-
lent. bromocamphosuironates de ben-
zylhydrindamine, %%^ 499. — Man-
délatcs d'hydrindamine isomères et
phénylchloracéthydrindamines, ^6,
KiPPiNG (F. S.) et HuNTER (A. E.).
Pbéno-x-célobeptaméthylëne et ses
dérivés, e«, 718.
KiPPiNG (F. s.) et Lloyd (L.). Dérivés
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sur les alcools et Irs célones en pré-
sence de l'acide chlorhydrique, <•,
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KisTiAKOWSKY (W. L.). Rechcrche sur
la sensibilité à la lumière du per-
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se par addition de prussiates de po-
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Ki.AOB8(A.)et LiECKE(C.).Sur une loi
observée dans Tenlèvement des halo-
gènes du noyau benzénique, ^6, 397.
Klason (P.). Sur un nouvel oxyde de
molybdène, le semi-pentoxyde de
molybdène, ««, 245. — Sur l'ncide
molybdiquc, <•, 246. — Sur le bleu
de molybdène, ^M, 247. — Sur l'es-
sence de bois de sapin (Pinus abies L.),
S«, 310.
Klimenko (B.). Voy. Tanatar (S.).
Klino (A.). Oxydation du propylglycol
>ar les ferments oxydants, SS, 772,
KL0Bn(T.). Forme cristalline du clilo-
rosulfate et du chloroséléniate lutéo-
cobaltiaues, SS, 269. — Contribution
à l'étude des sels lutéoeobaltiques,
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Klosterma.nn (M.). Sur Tanagyrine,
««, 19.
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KocK (A. C. de). Corps aromatiques
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de la composilion élémentaire et la
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composés de l'aluminium, ^M, 359.
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quelques combinaisons chlorées de
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«•, 869.
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les amino-oxalates, ^M, 1006.
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namine, SU, 746.
KoHNER (E.). Contribution à l'étude du
rouge brillant, 2«, 440. — Action de
1210
TABLE DES AUTEURS.
la formaldéhyde et de Tacide cyan-
hydrique naissant sur l'acido anthra-
nilique, S6, 1156.
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avec réther cyanacéllque, «6, 676.
KO.NDAKOW ([.). Sar l'aoUon anormale
do la potasse alcoolique sur les oem-
posés polyhalogénés, «•, 565.
KONpAKOW (1.) et LUTSCHININ (E.).
L'isomérisalion dans la série du men-
thol, eo, 587.
KONDAKOW (I.) et SCUINDELMEISER (J.).
Synthèse dans la série des tcrpènes.
««, 437. ^
KoNiG (A.). Appareil à dégagement
donnant un courant gazeux très cons-
tant avec une dépense minime, <8,
KoNiNCK (L. de) . Dosage de l'oxyde fer-
reux dans les sih'cates et dans les
roches; influence de la pyrite, sis,
130. — Sur la soi-disant volatilité
du chlorure ferrique à basse tompé-
ture, «S, 832. — Le suliocyanate po-
tassique comme indicateur pour la
réduction des sels ferriques a l'état
ferreux, «5, 992,
KoNOVALOF (M.). Détermination directe
de l'avidité de l'ammoniaque et des
aminés, ««, 4. — Action de l'acide
azotique sur 4es alcools, S«, 529. —
Sur quelques oximes et leur réduc-
tion on aminés, «I, 556.
KoNovALOF (M.) et Plotnikof (A.).
Matériaux pour servir à l'étude du
napbte de Grosnyi, S6, 539.
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KoRFTZKY (R.). Voy. Klnckell (F.).
KoRN (A.). Voy. Hofmann ^K. A.).
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acélophénone-oximos co-halogénées,
KossBL (A.h Remarques sur la commu-
nication de M. L Bang. «6, 327. —
Sur l'acide guanylique, «•, 821. — -
Sur les nucléo-histones, !£•, 826.
KossEL (A.) et KuTSCHER (F.K Contri-
bution à l'étudo des matières albumi-
noïdes, ^«, 334.
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KosTANECKi 1^». voii) et Lloyd (L.t.
Recherches dans le groupe de la
chromone, ««, 1111.
KosTANEci ^S». von\ Pall(L.) etTAM-
noR iJ.L Synthèse de la 3-oxychro-
mone, S«, 1110.
Kostanb«:ki i5i». von) et Rozycki ^A.i.
Nouveau modo de formation de dé-
rives de la ohi-omone. «•, 159.
Kostanecki (S», von), Rozycki (A.) et
Tamhor J.i. Synthèse dr la lutêoline,
««, 108.
KosTANECst (S*, von) et SrKuntaA»
(J.l. Sur la l-S-â'-trioxyflavoB», ti,
1 /o.
Kostanecki (S*, von) et Ta«bo« ;i. .
Sur la 3'-oxyflavono, ««, Ttt. -
Synthèses dans le groupe de la
chromons, «•, 720.
Kostanecki fS*. von) etWM«L{F.).ii«f
un isomère de l'apigénine, tm, 641.
Kourbatof (V.). Sur la di^sodatioi
des chlorhydrates d'amioc», S«, 99?.
Kournakof (N. s.). Sur le thiocyantr
de cobalt hydraté, «•, S45.
KouRSANOp (N. J.). Sur le pfaéK;Tl-
hexaméthylône, «6, 184, — Sur !«
chlorure de menthylc secondaire, M,
505. — Sur quelques dérivés du pb«-
nylhexaméthylène, ««, VMO. — ^ur
les dérivés halogènes du meothol et
sur quelques hydrocarbure* obteott.*
en partant de ces dérivés, «•, IDIi
— Sur le propylbexam^tbylène, t«,
lUoU.
Kraemer (G.) et Spilkkr A.*. Sur I»
résines d'indène et de coumarone,
««, 100. — Sur la décomposition A-
corps visoueux (huiles de graissafp
par distillation sous pression, ff.
123.
Kraemer (G.) et Weissbergk» H..
Sur l'oxyde de biphénylène du |?oo-
dron de houille et sur le biob^sDl
««, 699. *^
Krafft (E.). Vo^. Pechmann {H.rm.
Krapft (F.). Sur la conOgiiration et If
classement systématique des compo-
sés alipbatiques, itê, 5^j5.
Krapft (F.) et Heizman.n .G. . Suri»
dérivés du tétradécylac^tylene, tt,
402.
Krafft (F.) et Rosiny [\V.<. Prépara-
tion des anhydndes purs dès acides
gras à poids moléculaire éle\-ç, tê.
Krafft (F.) et Seldis R.-. Transr»r«
mation de l'acide undécyletiique ea
en acide di-undécylènîquê ol en acide
brassylique, S«, \m.
Krafft [F.), el Tritsghler .F.'. Sar
les dérivés d'acides carbosyUquf»
non-saiurés À haut poids molêcuUir*.
««, 468.
Krafft iF.i et Wilkb fVV.'. |«o]emtsl
de sulfo-acides par distUlalioo dams k
vide, 9ê, 145*.
Krafft iJ.. et Neumann 'B.,. Sur !«•
substitution.s dVIrments dans l«
groupe phosphorf-arsenk-antimoin'',
Krafft iJ.i et Steine» (O. . Sur les
substitutions iféléments dans t«
groupe souf>e.sélenium-tftUurr, M,
Kramer .0... Voy, Keiuiiav^ .F. .
TABLE DES AUTEURS.
1211
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none-o-sulfooique et quelques-uns de
ffes homologues, <•, 174.
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de Tuoion de Tacide hypochloreux
avec les carbures éthyléniques, <•,
460.
Krazler (S.). Voy. Kehrjiann (F.).
Kbombkrg (II.). Sur la réaction de
Fricdel et CraAs, ««, 395.
Knuo (W.H.; etCAMERON (F. K.). Sys-
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que, 9^, 524.
Kruobr (F.). Réponses à quelques re-
maroues de M. Lehreldt sur la tension
de dissolution électrolylique, <•,
879.
Kblger (M.). Sur la mélbyl-l-xanthine,
ie«, 693.
KRUfiKR (M.) cl ScHMiD (J.). Détermi-
nation de l'azote des acides amidés
do l'urine, ««,818.— De Tinnuence
de la caféine et de la Ihéobromine
sur l'excrétion des corps puriqucs par
l'urine, ««, 827.
KuHii.NG (0). Sur un procédé de do-
sat^e volumétrique de l'acide phos-
phoreux, ftë, 34. — Sur la réaction
naturelle de l'acide aménieux et du
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KuHX (B.). Sur une nouvelle réaction
du phosgènc, <•, 7.
KrLLGRBN (C). Sur l'action des non-
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rncétate d'éthyle. S«. 1048.
KuNCEELL (F.). Préparation d'amino-
ct li'oxyaminochlorocétoncs, ^6, 485.
— Nouvelle méthode de préparation
d'imidazols substitués, M, 4iff). —
Nouvelle méthode de synthèse des
aminocétones aromatiques, HB, 631 .
— Sur quelques aminocétones halo-
génées, ««, 632.
KuNCKELL (F.) et DoNATii (P.). Sur les
|ia-Ai-imidazols substitués, S6, 1000.
KuNCKELL (F.) et Eras (K.). Sur quel-
ques méthoxychlorostyrolënes, ItB,
KuNCKELL (F.) et GoTSCH (F.). Sur
Tz-p-dichlorostyrolèoe et sur quel-
ques carbures acélyléniques, S6,621.
KuNCKELL (F.) et HiLDEBRANDT (A.). Sur
un carbure l)onzénique triacylé sy-
métrique et sur quelques combinai-
sons du di-chloracétylmésitylènc,ft6,
985.
KuftCKBLL (F.) et KoRiTZKY (R.). Sur
les ae-^-dichlororoi»tyrol<^nes et sur
quelques carbures acétyléniques, <•,
6S2.
Kt'NZ (J.). Voy. Werner (A.K
KuRAJErr (D.). Sur le dérivé iodé- de
l'oxyhémoglobine, 126, 822. — Sur
la protamine des spermatozoïdes
d'Acipenser ttcllatus, M, 830.
KusTER (F. W.). Sur l'installation élec-
trique du laboratoire de chimie de
l'académie des mines de Clausthal,
96, 282. — Produits de décomposi-
tion de l'hématine, ««, 21. — Sur la
constitution dt» l'acide hématique,
««, 270.
KuTSCHER (F.) . Sur l'antipeptone, <•,
311. — Sur l'emploi de l'acide phos-
photungstîque dans la détermination
quantitative des produits de dédou-
blement de l'albumine, SU, 334. —
Recherches chimiques sur l'aulo-di-
gestion de la levure, SU, 825. ~ Les
produits d'oxydation de Targinine,
M, 940. — Sur la trypsine de la le-
vure, <•, 041. — Sur la transforma-
tion du l'arginine dextrogyre en une
modiflcation optiquement inactive,
««, 943.
KuTSCHER (F.). Voy. BÉNECH (E.).
KuTSCHBR (F.). Voy. Kos;«EL (A.).
Kym (0.). Sur quelques bcnzazots et
sur 4es matières colorantes qui en
dérivent, !S6, 17. — Aclion du nitrite
de soude sur l'a-dinilTOchloroben-
zène et sur le chlorure de picryle,
««, 1144.
Laar (J. J. van). Sur l'association
partielle des molécules liquides, 96,
658. — Les relations entre la cha-
leur de dissolution et la solubilité
dans les électrolyies, <•, 872.
Laden BURG (A.). Sur l'ozone, <•, 65.
— Nouvelle méthode pour détermi-
ner le poids moléculaire de l'ozone,
ee, 242. - Sur la méthode d'hy-
drogénation par le sodium et l'alcool,
««, 282. — Sur la densité de l'ozone,
««, 1050.
Ladenburg et Quasig (R.). Sur le do-
sage de l'ozone, HB, 454.
Lander (G. D.). Préparation des imino-
éthers aliphatiques au moyen des
amides, SU, 977. — Alcoylation des
acylarylamines, S6, 1188.
Lang (S.). Sur l'excrétion du soufre
après extirpation du foie, <•, 21.
— Sur l'excrétion azotée après ex-
tirpation du foie, <6, 938.
Langer (Th.) et Wiedermann (F.).
Sur de nouvelles combinaisons ma-
loniques avec les indones halogénées,
S«, 105.
Langstei.n (L.). Sur le noyau hydro-
carboné de l'ovalbumine cristallisée,
««, 332.
Lapworth (A.). Dérives du cyano-
camphre et de l'acide homocampho-
rique, «I, 152.
1212
TABLE DES AUTEURS.
Lapworth (A.) el Chaphan (P. Mj.
Acides a-oxycamphocarbonique, SB,
59!.
Lauoer (A.). Voy. Dobbie (J. J.).
— Voy. Haktley (W. N.).
Lauth (C.)- Notice sur la vie et les
travaux de A. Scheurer-Kestoor,
es, 1.
Lawbof (D.). Sur le mode d*élimina-
nalion de Tantipyrine, «I, 271,887.
Lax (W.). Sur les dérivés de Téther
Çhénylhydrazone-cyanacéliqAie, <•,
07.
Lebeau (P.). Sur les ferro-siliciures,
ItS^ 483, 584. — Sur un nouveau
siliciure de cobalt, 95, 538.
— Voy. MoissAN (H.).
Lbbédef (S.). Etude du Iricbloromé-
thyl-orlho-nilro-oxyphénylcarbinol,
sè, 8.
Leclainchb. Voy. Bordet.
Leool'x. Dosage de Tacide phospho-
riquc dans les superphospl^tes, les
engrais composés et les pbospbatet
précipilés par la précipitation a froid
du phospbomolybdate a ammoniaque,
«S, 7(5(5.
Les (N. j. van der). L'influence de la
pression sur le point critique de dis-
solution, e«, 847.
Lee (N. H.). Note sur la lécomine,
matière colorante tirée de l'aubier
du Bignonia Técoma, 96, 350.
Lbent (van). Séparation de Tindigo et
des autres matières colorantes bbues
sur les fibres textiles, «I, 444.
Lefebvre (P.). Alcools et carbure de
calcium, <S, 896.
Lefèvre (L.). Voy. Grimaux (E.).
Léger (E.). Sur les aloïnes, te, 99,
a78, 739.
— Vo^. JUNOFLBISCR (E.).
Leidie (E.). Sur une nouvelle méthode
de séparation des métaux rares qui
accompagnent le platine, <5, 9. —
Palladium, iridium et rhodium, tK,
. 655.
Leidié (E.) et Quennessen. Séparation
des métaux de la mine de platine,
ISS, 738. — Sur le dosage du pla-
tine et de riridium dans Ta mine de
platine, «5, 840.
Lehfeldt (H. A.). Contribution à la
théorie do la tension de dissolution
électroly tique, <«, 602. — Remar-
ques sur l'emploi graphique des
courlM's expérimentales, <•, 877.—
Force électromotrice et pression os-
motiquc, SU, 878. — Tension de dis-
solution élecli'olytique; réponse à la
critique de M. Kruger, Sé, 880.
Lehmann [F.), tSur la condensation de
la cyanhydrine benzoïquc avec Turé-
thane, «6, 488.
Lbhma.nn (H.). Voy. Hantzsch (A.).
Lehmann (P.). Voy. Weinlaxo .'R. F '.
Lemoult (P.). Relation entre la consti-
tution chimique des colorants do tn-
phénylméthane et les spectres d'at-
sorption de leurs solutions «(jususc^.
SS, 526. — Spectres d*abiforptîoo do
indophéuols; loi des grotYpecnt-nt»
auxochromes azotés terliairts, SS.
527. — Sur la réactioB des beozo-
phénones amidées aubstttaèes et dr<
aminés aromatiques en milieu snlXo*
rique, SS, 695.
Lennan (J. C. Mac). Conductibilité
électrique dans les gat traversés par
des rayons cathodiques, ItM, 1041
Lenormand (C). Voy. Bodin (£.).
Leonardi iG.). Voy. Peratoner iA.-
Lepierke (C). Réclamation de priorité
à propos du dosage des phosphate»
dans les eaux potables, M», oOO.
Léser (G.). Sur les ^-dicétones c)xl)-
ques, !E6, 196.
Lespieau (R.). Sur la dialdéhyde ma-
Ionique bromée, US, 1062.
Le.SS. Voy. SCBRYVBR.
Less (F. H.) et Perkin (VV. H.). Ac-
tion du chlorure d*aluminium sur
l'anhydride camphorique, 9€f 569.
Lbssino (R.). Vo^. Willstaettkr B .
Levene (P. A.). Sur la chimie des dii-
cines, 9B, 819. — Sur richtulii»''*
cabillaud, S«, 936. >- Fréparftwa
et analyse do quelques acides u
déiques, <•, 1022.
Levene (P. A.) et Alsbbrg ^C.).(^
tribution à la chimie de Tacide para*
nucléique. ««, 823.
Lévi (M. G.). Contribution a rétiu)^
de la dissociation dans les soloiiea»
colloïdales, 1M, 519.
Lewis (E. A.) . L'effet de petites qnao-
tités d'arsenic sur le cuivre, ti>
194.
Lewis (G. N.). Equation générale àe
l'énergie libre et de IVquilibra p^-
sicochimique, S€, 596. — Une dob-
velle expression de la pression ther-
mique et uns théorie de» solttiio&N
ee, 879.
Ley (H.). Sur la composition decafl*
d'uranyle, !M, 194.
Leyden (P.). Voy. BAHBESGsn tt.*
Lbys (A.). Nouvelle resctioo de tj
saccharine (sulUmide beosoique), t^
697.
LiDOF (A. p.). Sur un nouveau ff
carboné peu combustible» M* '^l*
82. — Action de l'acide azotetiisur
la laine, *«, 510. — Sur la ile«uc-
cation des gaz, !M, 67S.
LlBBERMANN (C). Sur Is dîOXfflU^
rescéine, <é, iiMU.
LiECKE (G.). Voy. Klagbs (AJ.
LiMPACH (L.). Voy, Goroa:^ (P '.
TABLE DES AUTEURS.
1213
M^scK (G.). Réponse à des remarques
de M. Mothmann sur des travaux
cristalloeraphiques de M. ijnck,
S«, 70.
I^iNooLN (A. T^. Action dissolvante
des vapeurs, M, 514. — Réactions
physiques et la loi des masses, 9By
L.fNOBCK (S*). Voy, Jasger (W.).
l^iNDBT (L.)- Sur un procédé d*analyse
permettant de doser le dextrose et la
dexlriue dans les glucoses commer-
ciaux, S5, 91. — Rapport sur les
travaux de M. R. Fosse et de M. M.
Guichard, «5, 100, 101. ^ Sur Tac-
tlon sacchariûante des germes de blé
et sur l'emploi de ces germes en
distillerie, «S, 528. — Dosage de
l'amidon dans les céréales, <5, 995,
1055.
LiNDFiELD (J. H.). Voy. Hewitt (J.
T.).
LiNDSAY (C. F.). Comparaison de la
conductibilité électrique de quelques
sels doubles avec celle des mélanges
de leurs constituants, 9%, 353.
LaNGENBRiNK (E.) . Actiou de Tiodure
de roéthyle sur les disulfures de di-
thiobiazolone; scission de la thio-
biazolone. ««, 431.
— Voy. RuscH (M.).
LiouBARSKT (E.). Sur le carbure C*H'*
obtenu de rallyldiméthylcarbinol ,
Hm, 6. 610.
Lipp (A.). Des propriétés do l'éthylpi-
péi'idine et sur un nouveau mode de
formation de ce corps, 5IK6, 795.
LiPPMANN (E. von). Sur la question de
Tinversion du sucre de canne, 1t9,
878.
LiPPMANN (E. von) et Keppich (PJ.
dur les cétones de Tanthracène, M,
do.
LiPPMANN (E. von) et Pollak (J). Prépa-
ration de l'anlbraphénone, <•, 1088.
— Action du chlorure de soufre sur
ranthracëne, ««, 1089.
LiTTBRHCHEiD (F. M.). Actiou de la
cytisinc, d^lacarpaïne et de la conby-
drine sur le phénylsénévol, 96, 18.
— Sur Tanagyrine, ^tf, 19.
LivEiNO (G. D.) et Dewar (J.). Sur le
spectre «les flraz les plus volatils de
l'air atmosphérique qui ne sont pas
condensés à la température de l'oy-
drogéne liquide, M, 193.
Llotd (L. L.). Voy. Kippino (F. S.).
— Voy. Kostanecki (S*, von).
LoBRT DE BRinrN (C. A.) et Blanksma
(J. J.). Corps aromatiques nitrés.
Elude comparative des trois dinitro-
benzènes. Action du monosulfure de
sodium, SS, 981.
— Voy. HOLLBMAN (A, F.).
Locke (J.). Sur le système périodique
et les propt*iétés des composés mi-
néraux; variation graduelle des pro-
priétés des aluos, «•, 1026.
Loeb (W.). Sur la préparation élec-
trolytique de la benzidinc, <•, 113.
— Etudes sur les réductions élec-
troly tiques, ««, 871.
LoEVENHART (A. S.). Voy. Kastle (J.
H.),
LoEw (0.). Catalyse et énergie chi-
mique, ^M, 516.
LoHSE et TbOMAScHEwsKi. Notice sur
de nouveaux tubes filtrants à amiante.
««, 368.
LoNAT (A.). L'agronométrie, €5,991.
LooMis (E. H.). Le point de congéla-
tion des dissolutions aqueuses de
non-électrolytes, SU, 597.
LoRDKiPANiDZE (S,). Voy. Petrenko-
Kritschenko (P.).
LouGUiNiNE (W.). Détermination des
chaleurs latentes do vaporisation de
quelques substances de la chimie
organique, ftS, 384.
LOUSCHNIKOF (M.). Voy. DÉMJANOr
(N.).
LowBNHBRz (R.^. Sur la décomposi-
tion par le sodium des composés ha-
loeénés organiques en solution dans
Talcool amylique, IKH, 621.
LowRT (T. M.) et West (J. H.). Les
acides persulfuriques, SU, SS.
Lucchesi (A.). Voy. Antony (U.).
LucioN (H.) et Paepe {^It. de). De la
valeur relative et des limites d'exac-
titude de diverses méthodes de do-
sage për titrage de la soude caus-
tique en présence de carbonate de
sodium, !S5, 652. — Sur diverses
méthodes classiques de dosage par
titrage de petites quantités de car-
bonate de sodium en présence de
beaucoup de carbonate acide de so-
dium, «5, 703.
LuDEwiG (H.). Contribution à Tétude
de l'acide pyrocatéchme -acétique.
««, 40J.
Lumière (A.), Li/mière (L.) et Perrin
(P.). Action de l'oxyde de mercure
sur quelques corps orgapiques, SS,
649. — Sur l'acioe glyccrophospho-
reux et les glycérophosphites, 2S,
1061.
LuMiifRE (L). Voy. Lumière (A.).
Luther (R.). Sur les propriétés élec-
tromotiices des matières susceptibles
de plusieurs degrés d'oxydation, Sitt,
Luther (R.) et Wilson (D. R.). Sur
les propriétés électromotrices des
matières susceptibles de plusieurs
degrés d'oxydation, 9U, 866.
Lutschinin (E.). Voy. Kondakof (J.K
1214
TABLE UBS AUTEURS.
Maas (0.). Sur les premiers produits
du dédoublement de Talbumine en
présence des alcalis, 9B, 2)15.
Mabery (G. F.) et Hudson (E. J.).
Recherches sur la composition du
pétrole de Californie, S6, 1078.
Mabery (C. F.) et Sieplbin (O. J.).
Sur la détermination des points de
fusion des asphaltes, 99, 340. —
Sur les dérivés chlorés des hydro-
carbures renfermés dans le pétrole
de Californie, «6i, 1079.
Mabery {C. F.) ettAKANO (S.). Surla
composition du pétrole du Japon,
««,1080.
Macpadyen (A.), MoRifis (G. H.) et
RowLAND (S.)- Sur le plasma obtenu
par pression de la celli^le de levure
(Zymase do Bucbner), <«, 930.
Mackensie (A.). Voy. Ni\rckwalo
(W.).
M AD AN (H. G.). L^ forme coUoïdale
de la pipérine et détermioalioD de
ses pouvoirs réfractif et dispersif,
«6, 731.
Magnamm (G.) et Vannini (F.). Déter-
mination de la valeur d'un carbure
de calcium commercial, ««, 525.
Magnanim (G.) et ZuNiNO (V.). Sur la
variation de la conductibilité ther-
mique des vapeurs rutilantes à des
Pressions et températures variables.
6.024. — Appareil industriel pour
la détermination du pouvoir calori>
flque des combustibles fossiles, S«,
525.
Magnus-Lévy (A.). Sur la matière
albuminoïde de Bence-Jones, ««,
335.
Mailhe. Action de l'oxyde mercurique
sur les solutions aqueuses de sels
métalliques, 8S, 788, 786.
Mainzer (J.). Voy, Schulz (F. N.).
Majewski (K. von). Voy. Rupe (H.),
Mallet (J. W.). Sur la formation du
chlorure de platine par oxydation
par l'air d'une solution aqueuse
d'acide chlorhydrique au contact de
noir de platine, <tt, 1053.
Malknorkau (P.). Deux nucléo-albu-
mines et deux histones dans le thy-
mus, «S, 560.
Malfatti (H.). Contribution à l'élude
de la digestion peptique, «0, 331.
Manley (J, 4.). Voy, Velky (V. HJ.
Manoukian (W.). Action du bromure
de p-xylylène sur quelques aminés
primaires, secondaires et tertiaires
et sur quelques alcaloïdes, <8, 986.
MANTim (W.). Sur la oonstituiios
l'acide a-brano-allocinnaBuqae, t
206.
Maoucnne (L.), Sur uoe aitaTeUe çfa>-
cosamine, Û, 531.
Maquenne (L.) et Bertrand lO.^. Sbs-
les érytbrites actives, <S« 740. —
Sur l'érythrite racéraique. SS, 7lrt.
Maquenne (L.) et Roux iE.>. Sar îm
glucamine, nouvelle base dérivée dn
glucose, tes, 586.
March (F.). Sur le ^-diaoAlylpropk>-
nate d'éthyle, SS, 647. — Action 6m
la bromacétophénone sur Taoétyl-
acétone, !SS, 984.
Marchlbwski (L.). Observations sur
les travaux de Bode et Kobl sur \m
chlorophylle, %ê, 311. — LachioMB
de la chlorophylle; sur la phyl lam-
bine, ««, 512.
Marchlewski (L.) et Schuxck (C, A.\,
Note surla chimie de la cbloropbvUa»
««, 77, 652.
— Voy, Nencki (M.).
Marck (J. L. B. van der). Cootribu-
tion à la connaissance des simaroa*
bées. Samadera indica, 99, G&t.
Marckwald (E.). Voy. Mcyer (R. i.),
Marckwald (W.). Sur la séparalios
des alcools amyliques du fusel-oel,
99, 738. — Sur la séparation de«
alcools amyliques actifs et inactife«
99, 800.
Marckwald (W.) et Mackensie (A.).
Sur l'éthérificatioa et la saponifloi-
tion f^ctionnées des stéréo-isomèreft.
^M, 737. — Sur la «ténaration des
alcools amyliques du fusel-oel. 9#,
738.
Marcusson (J.). Voy. Holdb<D.)«
Marino (L.). Voy, Piccini (A.).
Marko (D.). Alcool pentatomique ob-
tenu en partant du diallylpropyl-
carbinol, M, 533.
Markovnikof (V.). Sur quelquetit dé^
rivés secondaires de Thoptanaphténe,
««,36.
Markovnikof (V.) et Tchkrdtntssf
(V.). Sur quelques dérivés tertiaires
de l'heptanaphténe, SU, 36.
Marshall (11.). La recherche et le do-
sage de petites quantités de man-
ganèse, «e, 250.
Martin (C. J.) et Masson (O.). L'in-
fluence du sucre de canne sur la
conductibilité des solutions de chlo>
rure de potassium, d'acide chlorhy-
drique et de potasse, avec évidence
de formation de sels dans le dernier
cas, 8«, 668.
Martinaud (V.). Sur la présenc» de
l'inveriine du sucrase dans les rai-
sins, 9Sy 699.
Martine (C.). Sur l'action de l'aldébyde
benzoïque sur le menthol sodé H
TABLE DES AUTEURS.
1215
sur de nouvelles méthodeH do pré-
paration delà benzylidène-menthone,
Masaciu (C.)- yoy. Stock (A.).
M AHELLi (C.)- Synthèse de l'oxyméthyl-
benzoyisulflmide, <•, 541.
Mas-sol (G.). Données thermiques re-
latives à l'acide ortbo-monochloro-
benzoïque, ftS, 195. — Données
thermiques relatives à Tacide ortho-
moDO-iodo-benzoïque, SS, 196. —
Données thermiques relatives aux
acides ortho et paramonobromoben-
zoVques, SS, 869.
Masson (H.). Action des réactifs or-
g'ano-magnésiens sur les éthers
d'acides gras, US, 277.
Mas.son (0.), Voy. Mahtin (C. J.).
Ma.*<ze\v8ki (T.). Sur les conditions
d'action de la plyaline, 96, 332.
Mationo.n iC). Combinaison directe de
l'azote avec les métaux du groupe
des terres rares, %S, 335. — Sur le
chlorure de néodyme, ^5, 970.
Matignon iC.) cIDelépine (M.). Com-
Sosiiion ae l'hydrure et de l'azoture
e thorium, SS, 268.
Matthews (F. E.). Hexachlorures de
benzonitrile, de benzamide et d'acide
t>onzoïque, ItH, 144. — Acide 2.3.5-
trichlorobenzoîque, <•, 206.
Matthey (E.). Sur la préparation de
grande» «luantilés de tellure, ItH,
Maurus (M.). Voy. Hariues (C).
Mavrojannis. Préparation des éthers
nilrobenzoylcyanacétiques isoméri-
ques, ortho, meta et para et du chlo-
rure d'orthonitrobenzoyie cristallisé,
«S, 695.
Maximowitsch (S.). Sur un alcool
ftentatumiqu*" ilérivé du méthyidial-
ylcarbinol, <•, 614.
Mayer (P.). Sur une nouvelle sub-
stance réductrice du sang, S6, 1021.
Maybr (P.) et -Neubero (C.^. Sur la
recherche des clt»rivés coigugués de
Tacide ^lycuronique et sur leur pré-
sence dans Turiue jiormale, 96, 28.
Mazzara iCî.) et Bertozzi |V.). Sur
les acides 2-chloro-3-oxybenzo!quc
et 2.6-dichloro-;i-oxybenzoïque, <6,
Ôi3.
Meade (B. K.>. Sur une méthode de
préparation de l'acide sulfurique nor-
mal, demi normal, dt'cinormal, 96,
SSJ.
Médanich, Voy. Skraup,
Meiil ill. F.). Voy. Kahlenberg (L.l.
Mehnek (H.i. Contribution à l'étude
de» acide.s o et p-chlorophénylacéti-
3UC9, S6, 6:24. — Sur les dérivés
e l'acide anthranilique, SU, 1152.
Mehrino. Sur un nouveau chapiteau
distillatoire pour les dosages d'azote
par la méthode de Kjeldahl, 96,368.
Meillère (G.). Présence du saccha*
rose dans le bois de Panama, 95,
141.
Meine (W.). Voy. Troeger (J.).
Meisenheimer (J.). Sur le nitro-an-
thracéne, 96, 169.
Meldola (R.) et Etre (J. V.). Notes
addiliuuuelles sur la dinitro-ortho-
anisidine. Une réaction chimique
dans laquelle un des produits conti-
nue la même* réaction, 96, 1159.
Meldrum (A. N.). Voy. Japp (F. R.).
MÉLiKOF (P.). Sur les oxyacides halo-
gènes, 96, 166. — Sur les déri>és
baloïdes des oxyacides, 96, 374.
Mellor (J. W.). Dérivés de subtitu-
iion a-alcoylés des acides glutari-
que, adipique et pimélique, 96,
199. — Sur l'union de l'hydrogène
et du chlore, 96, 242. — Note sur
le calorimètre à glace de Bunsen,
96, 524. — Dosage des cyanures et
cyanates dans leurs mélanges, 96,
954.
Menschoutkine (N.). Sur Tinfluence
des dissolvants indifférents sur la
vitesse de réaction des composés
an»matiques isomères, 96, 14. —
Action du sodium métallique sur les
éthers bromes. 96, 165. — Sur l'in-
fluence des dissolvants chimique-
ment indifférents sur la vitesse de
réaction, 96, 860.
— Voy, VoLKOF (A.).
Merriam (H.). Voy. Wheeler (H.L.).
Mebz (V.i et Strasser (H.). Quelques
courtes communications, 96, 297.
Mesml (F.). Recherches sur la diges-
tion intracellulaire et les diastases
des actinies, 95, 989.
Messinger (J.), Remarques sur la
communication de \\\ Fresenius et
L. Crunhut : Recherches critiques
sur les méthodes de détermination
quantitative de l'acide salicylique,
96, 441.
Metzger (F. J.). Voy, Wells (H. L.).
Metzger (P.K Nouveaux appareiU de
laboratoire, 96, 964.
Meilen I H. 1er). Voy. Hooge-
WERFF (S.).
Meunier (J.). Rapport sur les travaux
de MMi Valeur et Satie, 95, 103,
104. — Sur le procédé de M. Lin-
det, pour doser le dextrose et la
dextnne dans les glucoses commer-
ciaux, 95, Î850. — Sur les combi-
naisons métalliques des diazo-ami-
nés, 95, 564. — Sur une combi-
naison moléculaire formée par l'io-
dure et Talcool mclhylique, 95, 572.
— Sur le dérivé mercurique du
diazoaminobenzène, 95, 775.
Meusel (\V.\ Voy. Vorlaender (D.).
1
1216
TABLE DES AUTEURS.
Mevbs (\V.). Action du cyanogène sur
les aminés aromatiques, M, 419.
Meyer (E. von). Sur Tacide parato-
luène-sulflnique, «I, 1, 29.
Meyer (H.). Sur la télrabromophé-
nolphtaléinc, ««, 927. — Sur les
acides aminés, <•, 1127. —Sur les
dérivés azotés de la canlbaridine,
8«, 1173.
Meyer (Kr.). Sur les étals correspon-
dants de la matière, SU, 50 J.
Meyer (R. J.) et Marckwald (E.)-
Sur la séparation des terres de la
cérite extraite des sables à mona-
zite, ««, 68.
MiCHAEL (A.). Conlribation à Tétude
de la synthèse de Télher acétylacé-
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chaîne fermée à quatre atomes de
carbone, au moyen de réthylaie de
sodium, «I, 469. ~ Emploi de
Tacétooitrile comme agent cataly-
tique ; critique des opinions de
M. J. U. Nef sur les réactions de
Wùrtz, Prankland et Conrad, ItH,
1067.
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MicHAELi8(A.)et Flemming (A. h.). Pur
les acides phosphiniques du diben-
zylméthane et de 1 oxyméthylène-
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MiCHAELis(A.)etGuNKEL(E.).Surrao-
tion de Taniiine et de l'ammoniaque
sur le chlorométhylate de phcoyl*
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MiCHAELis(A,)»Voss(U.)etGRBiss(M.).
Sur quelques phénylalcoyl-5-pyra-
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ques do la 2-8-dichloro-a-n8phto-
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MiE (G.) Un exemple pour le théo-
rème de Poyniing, <•, 857.
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et de son dérivé bromé, S6, 6u.
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miodanone, !E6, 994.
MiOLATTi (A.) et Biaxi;ct (J.^. :^ur
l'acide penlacbloroplaUnique, M,
361. — Sur le tétrabrumure de pU>
tine, S«, 361.
MuEHLAU (11.) et Graelert iK. p.).
Sur la benzène-azo-ts-Daphiylaura-
minc, ««, 1163.
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téristique des combinaisons amido>
azoïques. M, 492.
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densation dos benzbydrols avec \r*
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constitution de ces derniers, <•, U.
Moeser (L.j. Voy, Eidmann VV.'.
MoissAN (11.). Sur la fonte de nio-
bium, Ù, 708. — Non existence dr
l'ammonium, £S, 101 1 .
MoissAN (H.)etLEBBAU(P.).Coinpot4s
du soufre avec le fluor, !BS, 9y5.
MoKiEVSKY (V\). Sur l'isoprène. M,
35.
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Tanhydride pyrooineboniaueeoaddt
pyrocinchonique fumaroîde, M« 5Ei&.
MoRESCHiM (K ) . Sur un phénotnÂoe
observé pendant le refroidissenat
des substances surfondues. M, m.
Morgan (G. T.). Action de U fonnal*
déhyde sur les aminés des sénn
naphtaléniques, !S8, 45.
MoRiTZ (B.). Sur l'électrolyso à tn-
vers des membrantis semipcmiét-
blés, ««, 8fô.
MoRREL (R. s.) et CRorrs {J. M.,.
Action de l'eau oxygénée sar N
hydrates de carbone en présenoe
des sels ferreux, IM, 43.
Morris (G. H.). Voy. MACPADri» /A. .
Morse (H. N.) et Horn (D. W.|. )>ri-
paration des membranes eemi-p^r
méables par électrolyse, «l« KfiS-
Moschner (J.). Sur l'oxy-l-bydHo-
dène et sur quelques nouveaux d^
rivés du xylène et de TeUiylbeB-
zène, «•, 912.
Mosks (N.). Sur le p-cyano-chlorore
de benzyle, S6, 112.
Moulin. Sur les combiniiîsoiis mer-
curielles de quelques composés tiiû*
dés, SS, bai.
MouNEYRAT (A.). A propos 4o lin>-
mure d'hexyle, S5, 54i. — Traot-
formation des acides ae*«midrs m
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— Voy. Fischer (E.).
MouREu (Cb.). Action des radicaux
organo-métalliques du nugn^mam
sur les dérivés azotés ct nillWrèf,
tes, 4as.
TABLE DES AUTEURS.
1217
MounBu (Ch.) et Delange (R.). Action
do cyanogène et du bromure de cya-
nogène sur le pbénylacétylène sodé,
!CSt99. — Sur quelques acétones acé-
tvléniques et sur une nouvelle mé-
toode de synthèse des dicélones ^,
es, 302. ^ Sur le dédoublement
par les alcalis des c^lones à fonc-
tion acétylénique, ttS, 418. — Sur
les acides acôtyléniquos, €S, 5G3.
— Synthèse des aldéhydes acétylé-
niques, «5. 708. 738.
XouREU (Ch.) et Desmots (H.). Synthèse
des acides acétyléoiques primaires,
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che du phosphore libre, 86, 363.
MuLLER (A.). Voy. Haeussermann
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tion et la dépolarisation cathodi-
ques, se, 449.
MuLLER (H.). Voy. Kehrmann (F.).
— Voy. ScHOLTZ (M.).
Mlller (J.-A.). Sur le dosage de
Tacide phosphoriquc des phosphates,
9S, lôOO. — h«ur lo dosage de
Vétain par le procédé de Lenssen,
SS. lOOâ. — Sur l'analyse des mi-
nerais d'étain, SS, 1004.
MuLLCR (p.). Sur la réduction de la
cbolestérine en coprostérine dans
rîDtestin dû Thomme, tta, 26.
MuLLER (P. Th.). Application de la
conductibilité électrique à l'analyse
des eaux de source, SS, 612. —
Sur la variation do composition des
eaux minérales et des eaux de
source décelée à l'aide de la con-
daclibilité électnque, SS, 694.
— Voy. Haller (A.).
MuxxEH (\V.). Sur le déplacement du
point de transformation du nitrate
d*ammonium à 33* par addition de
nitrate de potassium, S6, 066.
— Voy. Naumann (A.).
MCLLIKEN (S. P.), BrOWN (J.-W.) Ct
French (P. R.). Sur l'importance
de la présence de l'aldéhyde for-
inique parmi les produits de com-
bustion incomplète des composés
organiques, !S#, 370.
Muixiken (S. P.) et Scuoder (H.).
Recherche de l'alcool méthylique
dans les mélanges. !S6, 441.
Mumme (E.). Voy. Vorlaender (D.).
MUNSON (S.). Voy. TOLMAN (M.).
MrRco (H.). Voy. Astruc (A.).
MuscL'LUS (A.), l'o^. Feuerstein (W.).
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la solubilité des sels. Sur les chro-
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des sur la solubilité aes sels. Sur
les chromâtes de calcium, 86, 277.
Narl (A.). Action de l'eau oxygénée
sur les hyposulfltes, 86, 34. —
Action de 1 eau oxygénée sur Thy-
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l'acidité de l'urine, 86, 352.
Name (E. g. van). Sur les thiocya-
nates de cuivre et d'argent en ana-
lyse pondérale, 86, 281.
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Analyse dumique des eaux des sa-
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86, 525.
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ceiluloses et sur le poids molécu-
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Recherches sur les oxyceliuloses,
86, 557.
Naumann (A.) et Muller (W.). Sur
certaines relations régulières obser-
vées dans la distillation des solu-
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Naylor (\V. a. H.) et Dyem (C. S.).
Oroxyline, 86, 734.
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Nencki (M.). Sur les albuminoïdes,
86, 560.
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la chimie de la chlorophylle. Passage
de la phyllocyanine a l'hëmopyrrol,
86, 1120.
Nencki (M.) et Sieber (N.). Contribut.
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composition chimique des diastascs,
86, 937.
Nencki (M.jetZALESKi (J.). Recherche
sur la matière colorante du sang,
86, 321.
Neubauer (H.). Méthode abrégée de
dosage du potassium dans les sels
de potasse, 86, 672.
Nel'berg (C). Sur les conditions de
solubilité des osazones, 86, 29. —
Sur l'acide glycuronique, 86, 200.
— Sur le pentose de l'urine, un
hydrate de carbone naturel inactif,
86, 378. — Sur les relations colo-
rées des sucres, 86, 818. — Sur la
recherche de l'acide succinique,
86, 819.
Neuberg (C.) et Wohlgemuth (J .). Sur
les transformations des trois arabi-
noses dans l'organisme animal, 86,
{m,
— Voy. Mayer (P.).
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Neumann (B.). Voy, Krafft (J.)
SOC. GHIM., 3* séR., T. XXV-XXVI, 1901.
1 1
1218
TADLE DES AUTEURS.
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Newtu (G. S.)- Notes str les solu-
tions minérales aqueuses partielle-
ment miscibles, «6, 83. — Une
méthode de laboratoire pour la pré-
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NicHOLS (H. W.). Nouvelle réaction
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chlore, «6, 1057.
NicoLARDOT (P.). Sur la séparation
du fer, es, 1061.
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biphényle, «6, 1141.
NiETZKi (R.). Chimie des matières
colorantes organiques, 5R5, 653.
NiETZKi (R.) et DiKTscHY. Sur le tétra-
nitrobenzène, le dinitrosodinitroben-
zène et la Irinitrophénylhydroxyla-
mine, S6, 1G8.
NoAiLLON (E.). Influence des sels alu-
miniques dans le dosage du soufre,
«5, b52. ^ .
NoKLDECHEN (F.). Sur queloues déri-
vés du cyclopentadiène, «6, 406.
NoELTiNO (E.), Braun (H.) a Thes-
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bromes des xylidines, «6, 1094.
NoELTiNG (E.) et Feuerstein (W.). Sur
la préparation du phosphore exempt
d'arsenic, ««, 193.
NOLF. Voy. BORDET.
Nordenskjoeld (I.). Sur le semipen-
toxyde de molybdène, 5R6, 1055.
NORR (W.). Voy. SCHOLL (R.).
Norris (J. F.). Sur la non-existence
du carbone trivalenl, ••, 399.
Norris (.1. F.) et SANDEns(\V. W.) Sur
le triphénylchlorométhane, *6, 399.
Norris (R. S.). Sur la p-nitro-o-to-
lylphénylsulfone et quelques-uns de
ses dérivés, «6, 410.
NoRTH (E.). Voy. Fay (H.).
Noyes (A. A.). La réaction exacte
entre la pression osmotique et la
tension de vapeur, «6, 88:i.
Noyes (W. A.) et Blanchard (W. M.;.
Sur l'acide camphorique ; acide cam-
pholylique racémi(^ue et acide dihy-
dro-oxycampholy tique racêmique,
«6, 1119.
Noyes (W. A.) et Phillips (E. F.). Sur
l'acide camphorique. Structure cl
configuration de l'acide campholy-
tique cis-trans, «6, 488.
Oates (W. H.). Voy. Young îG.).
Odermiller (J.). Voy. Pechmann
(H. von).
Oddo (G.). Sur les anhydrides sulfu-
rique et disulfurique, SS, 772, 8J7.
— Voy. Peratoner (A.)..
Oettingen (H. V.). Sur la décfunpo-
sition de Thypposulflte de sodium
par les acides, 86, 605.
OoAWA (M.). Voy. Divers (E.^.
OïLAR (R. D.). Sur la réaction colo-
rée de Halphen et sur son applica-
tion à la recherche de rhoiie de
coton, %e, 448.
Orndorfk (VV. r.) et Breweb ,C. E.-.
Constitution de la galléine et de h
céruléine, S6, lOi^.
Orndorff (W. R.) et Tebplk (J. E.,,
Sur la bilirubine, la inalière col'^-
rante de la bile, 26, lliO.
Orndorff (W. R.) et Thebaud 'E. D.^.
Sur les deux modifications de la ben-
zène-4-azoré»orcine ot la constitution
des oxy-azoïques. !S6, 1103.
Ortoleva (G.). Action de Tiode fOr
l'acide malonique en solution pyri-
dique, «6, 538. — Sur un nou>etQ
mode de préparation d^s combiiwi-
sons iodoso- et iodylo-aromatiqott.
26, 539.
Orton (K. j. P.) et Blackm*^'»
(W. L.). Estimation des hypoiodile=>
et des iodates et réaction du mooo-
chlorure d'iode avec les alcalis, M
33.
— Voy. Chattaway (P. D.>.
OsAKA (Y.). Sur la birotation do '^
glucose, «6,888.— Relation.^ cairt
la constante de dissociation et !«
degré de dissociation d'un éleetio-
lyte, en présence d'autres électro-
lytes, «6, 1U35.
OsuniA (K.) et Tollens (B.). Sur nw
réaction spectroscopique du mélhfl
furfurol, 46, 687. —èur le Nori di
Japon, 26, 731.
Ossedat. Sur un nouveau ferrooya-
nure double de cuivTC et de potas-
sium, 25, 773.
Ostersetzer (J.). Sur la division de
Tazote dans les engrais chimiques
composés, 26, 196.
Oswald (A.). Contribution à THod*»
de la thyréoglobuline, 26, 8i8.
OsTWALD (W.). Sur la prétendu** iso-
mérie des oxydes rouge et jaoD< à*-
mercui*e et sur la tension superfi-
cielle des corps solides, 26, ^
— Sur les oxydations au moy#o dr
l'oxygène libre, 26, 863. — Ph*^oo-
mènes périodiques dans la diïsolo-
tion du chrome dans les acides, fi<
874, 876. — Sur les potenUcIs abso-
lus des métaux avec q aelqucs nfoiar
ques sur les électrodes oonntlc*»
26, 879.
Otto (M.). Sur la détermination do
poids moléculaire de l'ozone a l'aidr
de la balance, 26, 449.
TABLE DES AUTEURS.
1219
Ol'vrard (L.)* Sur les borates de ma-
gnésie el des métaux alcalino-lcr-
Paal (C). Action de Tacide amido
Bulfonique sur la p-chloraDilioe, !S<i,
1091.
pAAL (C.)- et HuBALECK (M.). ActioD de
l'acide amidosuironique sur la pipé*
ridine, 26, 1092.
Paal (C.).etScHULZB(H.)>Surlesdeux
dibcnzoyiëthylënes symétriques slé-
réo-isomériques. ZB, 475. — Sur les
éthers dibenzoyi-fumarique ou ma-
léique. 9By 476.
Pakpe (D. de) . Sur la précipitation do
sulfate de baryte, m, 766.
— Voy. LuciON (R.l.
Pakssler [ê.]. Contribution à l'ana-
lyse des matières tannantes, SS,
767, 990.
PaKES (W. C. C.) et JOLLYMAN ( W. H.) .
Le recueil et Pexamen des gaz pro-
duits par les bactéries dans certains
milieux, 86, 340. — Décomposition
bactérienne de Tacide formique en
acide carbonique et hydrogène, tB6,
565. — Oxydation bactérienne des
forroiates par les nitrates, S6, 653.
Paliatseas (P, Q.). Voy. Dobbie{J. J.)
— Voy, Hartlsy {W. N.).
Palmaer (W.). Sur les phénomènes
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Pannertz iE.). Modification du tube
à absorption de Péligot et appareil
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Panof (K.). Sur la vitesse de forma-
tion des éthers acétiques de quel-
ques alcools cycliques, S6, 615.
pANORMOF (A.). Action sur Talbumi-
nine dos acides étendus, de TaU
cool et de la chaleur, S6, tl, —
Action de la chaleur, de l'alcool et
des acides dilués sur la colombi-
nine, S6, 271.
F*ANZBR (Th.). Contribution i Télude
du chyle chez l'homme, !S6, 313.
pAHKBS. SigniHcation de la présence
du bacille coli dans Peau, SB, 125.
Parmrntier (F.) . Sur Talumine con-
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tribution à l'étude de la morphine,
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Pasdermadjian (G.). Voy. Ullman.v
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Paterno (E.). Sur la constitution de
l'acide usnique, 86, 558.
Patterson (T. S.). L'influence des
solvants sur la rotation des compo-
sés optiquement actifs. L'influence
de l'eau, de Talccol méthylique, de
l'alcool étbylique, de l'alcool propv-
lique normal et du glycérol sur la
rotation du tartrate d'éthyle, 86,
259. — Influence de l'alcool isobo-
tylique et de l'alcool octyljque secon-
daire (méthylhexylcarbinol) sur le
tartrate d'éthyle, 86, 4(J0.
Patterson (T. S.), el Dickinson (C).
Préparation d'élhers au moyen d'au-
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nopyrrolidincs, 86, 9)7.
Pawlbwski (B.K Nouveau mode de
formation ae la « canarine », 86,
73. — Sur les variations de tempé-
rature lors de la solidiflcation des
corps organiques fondus, 86, 132.
Peachy (S. J.). Voy. Pope (W. J.).
Peasb (H. C). L'équivalent électro-
chimique du carbone, 86, 517.
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l'acide mobybdosulfurique par l'al-
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Pechmann (H. von). Sur l'acide dicro-
tonique, 86, 379.
Pechmann et Burkard (E.). Sur la
Btéréo-isomérie des deux acides cro-
toniques et sur l'acide mélhvI-4-
pyrazol-5-carboniqoe, 86, 380. —
Sur l'addition du diazométhane aux
acides cilraconique et mésaconique,
86, 429. — Sur les dérivés pyra-
zoliques du diazométhane et des
éthers oléfloe-monocarboniques, 86,
429.
Pechmann et Graboer (E.). Sur les
acides oxycoumarine- carboniques.
Hechercbes sur les coumarines, 86,
261.
Pechmann et IIanke (E.). Sur les cou-
marines dérivées des phénols et des
éthers acétylacétiques substitués par
des groupes négatifs, 86, 211.
Pechmann et Krafft (E. von). Sur la
coumarine du phénol. Recherches
sur les coumarines, 86, 263. — Sur
la coumarine de l'oxyhydroquinone,
86, 264.
1220
TADLE DES AUTEURS.
Pechmann et Obermiller (J.). Sur
les dérivés de la p-mélhylombelli-
fépone. Recherches sur les couma-
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duit de polymérisation de 1 acide
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Sroduits de polymérisation des aci-
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sur le protosuirure de bismuth, ItS,
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le sulfure de mercure, ISS, 777.
Peltzer (F.). Voy. Eibner (A.).
Pbratoner (A.J. et Léonardi (G.).
Recherches aans le groupe de la
pyrone. Constitution des acides mè-
conique et pyroméconique, S6,550.
— Sur le produit de condensation
de l'alcool acétolique, 26, 552.
Pbratoner (A.) et Oddo (G.). Sur l'élec-
trolyse de l'acide azothycirique, S6,
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l'acide salicylique dans te vin et la
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Perkin (VV. H. jun.), Thorpe (J. F.)
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thétique des anneaux avec ponts.
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«6, 1014.
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Perkins (W.). Voy. Brtan (J.T. H.).
Pbrman (E. p.). Note sur la recher-
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en combinaison avec les métaux
alcalins, 26, 454. — Tension de
vapeur de la solution d'ammoniaque
aqueuse, 26, 665. — Influence du
sulfate de soude sur la tension de
vapeur de la solution d'ammoniaque
aqueuse, 26, 665.
Perman (E. p.) et Atkinson (G. A. S).
La densité de vapeur du brome aux
températures élevées, 26, 834.
Perrier et PouGET. Action du chlo-
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la série grasse, 25, 551 .
Perrin (F.). Voy. Lumière (A.).
Peschkes (M.). Voy. Schroeter (G.).
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sulfurique sur la glycérine obtenue
au moyen de rallylmélhyltertiobu*
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métrique du cuivre à l'état d'oxa-
late et sur une méthode de scp«ra-
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Petersbn (J.). Eleclrolyse des eeU
alcalins des acides organiques. La
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Petrenko-Kritschenko et Ka5.a.xkzky
(P.). Faits pouvant ser\'ir à caract^
riser les cétoximes, 26. 131.
Petrenko-Kritschenko et Lordkip-a-
nidze (S.). Contribution à l'ètade d»
cétones cych'ques, 26, 896.
Petry (E.J. Sur rêliminalion par Ut
urines au soufre faiblement coat-
biné, 26, 447.
Pfaundler(M.). Contribution à Tétude
des produits terminaux do la diges-
tion peptique, 26, 314. — Sur on
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Pfeifper (G. J.). Nouvelles tables de
densité des solutions de soufk^daof
le sulfure de carbone, 26, ItM.
Pfeifper (P.). Addition de nilrilea aux
sels de chromidirhodanatodiéthylèfie-
diamine et chromo-trichloropyridi-
ques, 26, 139.
Phelps (L. K.) et Hale (W. J.). Sur
l'acide déhydromucique et Bur q««]-
ques-uns de ses dérivés, 26, i|il7.
Pherson (W. Mac) et Gobe (H. C. .
Constitution des dérivés oxy-azoî-
ques, 26, 1103.
Philips (H. A.). Vb^. HawimJ. T.i.
Phillips (E. F.). Voy. Notes (W. A. .
Phillips (F. C). Combinaisons do
sulfure de méthyle avec les haloîdes
métalliques, 26. 674.
Phisalix. Voy. Behal (A.).
PicciNt (A.) et Marino (L.). Sur les
aluns de rhodium et sur la »4para-
tion du rhodium d'avec ririaiuiii.
26, 362.
Pick (E. P.) et Spiro |K.). Sur lc«
a^nts anticoagulants dans l'om-
nisme des vertébrés supérieurs* M.
812.
Pickard (R. h.) et Carter (W. . Far-
mation des amides, au moyen des
aldéhydes, 26, 628. — Oxy-oxamides,
26, 1070.
Pickard (R.H.) et Nevillb(A.). Note sur
l'acide pyromucylhydroxamiaaew 26«
1110. t ^—^
Pictet (A.). Sur la rédaction de la
nicotyrine en nicotine ioaclive.
192.
TABLE DES AUTEURS
1^1
PjCTET (A.) el Athanasescu (B.).. Syn-
thèse partielle de la laudaoosine, !SS,
270.— Sur la laudanosine, 86,23^.
Pictet(A.) el RoTSCHY^A.). Sur trois
nouveaux alcaloïdes du tabac, !SS,
698. — Sur la nicotine ioaclive, !S6,
192.
I^iBBRON (P.). Sur Toxydation électro-
lytiqus des nitrotoluènes, 86, 852.
PiLOTY (0.) et ScHWERiN {B. Graf).
Sur le nitrilc de l'acide nitroso-
isobulyrique et ses dérivés, 9%^
970. — Sur Texistence do dérivés
de Tazote tétra valent, 86, 971, '.)73.
PiNNER (A.) et KOHLHAMMER (Ë.). Sur
la pilocarpine, 86, 189.
PiNNOW (J.). Sur deux dinitrométhyl-
/>-toluidines, 86, U26. — Sur la
formatioD des ammoniums quater-
naires aromatiques, 86, 779. —
Comment pout-on éviter la formation
de bases chlorées dans la réduction
des dérivés nitrés au moyen de l'é-
tain et de l'acide chlorhydrique, 86,
1157.
pLOTifiKOF (V. A.). Sur une combi-
naison du bromure d'aluminium
avec le brome et le sulfure de car-
bone, 86, 605.
Voy. KONOVALOF (M.).
PocREWSKY (A. }. Sur les acides p-mé-
tliyléthyléno-lactique et ^méthyl-
éthylacryliquc, 86, 617.
PoLACco (R.). Voy. TscuiRcu (A.).
PoLLACK (J.). Voy. Herzig.
— Voy. LippMANN (E.).
PoMMEREHNE (H.). Sur U damascé-
nine, extraite des semences du ni-
gcUa daraascena, 86, 80, 313.
PoNSOT (A.). Sur la chaleur spécifique
moléculaire des gaz composés disso-
ciables, 8S, 147. — I^iH des modu-
les thermochimiques, 86, 175.
PoNZio (G.). Transformation des céto-
nes: isopropylisobutylcétone, 86,
537. — Acétyldioximes d'a-dicétones,
8^6, 537. — Action du létroxyde d'azote
sur la benzilemonoxime, 86, 625.
— Sur les a-dicétones symétriques
de la série aliphatique, 86. 1126.
Pope (W. J.) el Harvby (A. W.).
Inversion des tétrahydro-^-naph-
lylamines optiquement actives pré-
Earées à Taide des acides </- el 7-
romocamphosulfoniques, 86, â!33.
— Les composés de l'azote optique-
ment actif et leur rapport avec la
ralencede l'azote. Sels do d el /-aben-
zylphénylallyImélhylammonium,86,
704.
PoNZJo et Peachy (S. J.). Composés
sulfurés asymétriques optiquement
actifs. Cbloroplatinate de d-méthyl-
éthylthétine, 86, 138.
PoppENBERG ^0.). Voy. Stock (A.).
Portier (P.). Sur la glycolyse des dif-
férents sucres, 85, 270.
PosNER (Th.). Sur les disulfones ei
les sulfoncs des dicétones. Les mer-
caplols 86, 38. — Sur les disul-
fones. Les disulfones de racétophé-
none et de la benzophénone, 86,
73. — Dérivés sulfonals dos cétones
non saturées, 86, 619.
PosTERNAK (S.^. Sur les propriétés
physiques de lamicelle albumiooïde,
85, 650, 651, 904.
PoTTKViN (H.). La tannase, diastase
dédoublant l'acide gallo-tannique,
85, 271. — Sur la constitution du
gallotannin, 85, 650.
PoLOET. Voy. Pehrier.
Poulenc (C). Les nouveautés chimi-
ques pour 1901, 85, 768.
PouRET (Ch.). Action du bromure
d'aluminium sur les dérivés chlorés
des paranines, 85, 98. — Action du
bromure d'aluminium sur les hydro-
carbures gras chlorés, 85, 178. —
Action du bromure d'aluminium sur
quelques hydrocarbures chlorés acy-
cliques, 85, 191, 293.
pROsi.N. Voy, Sabanejeff.
QuASiG (R.). Voy. Lade.nburg (A.).
QuBNNEssEN. Voy. Leidie.
Rabe (p.). Sur des dérivés ammonia-
caux isomériques de l'éthcr benzy-
lidène-bis-acéty lacé tique, 86, 215.
Rabe el Billma.nn (A.). Contribution
à Pétude de la synthèse (de Hanlzsch)
de l'éther dibyd>x)collidinedicarbo-
niquc, 86, 494.
— Voy. Knorr (L.).
Raimann (E.). Sur le dosage de très
petites quantités de sucre dans l'u-
rine, 86, 1061.
Ramage (H.), V'o/. Hartley (W. N.).
Rambero (L.). Sur les modiflcations
actives de l'acide s-bromopropio-
niquc, 86, 616. — Sur l'action du
brome sur l'acide phénylsulfone-
acétiçjue ei l'acide a-phénylsulfone-
propionique en solution aqueuse;
étude de cinétique chimique, 86,
870.
Ramsay (B.). Voy, Druomamn (J.).
1222
TABLE DES AUTEURS.
Rangade (E.). Voy. Ciiabrié (C).
Ransom (F.). La lymphe après in-
jection intraveineuse de toxine et
d'antitoxine tétaniques, 9%, 21. —
L'injection de toxine tétanique et
d'antitoxine dans Tespace sous-arach-
noïdien, S6, 814.
Rassow (B.). Vov. Friebel (G.).
Raudnitz (R. W.). L'action paraly-
sante des poisons sur l'activité cata-
lytique du platine colloïdal, ItSt
1041.
Ralwerda (A.)' Contribution à la con-
naissance de la cytiâinc et de quel-
ques-uns de ses dérivés alcoylés,
26, 57.
Rebuffat (0.). Les pouzzolanes arti-
ficielles, S6, 525. — Action de l'eau
de mer sur les bétons de pouzzo-
lanes, 26, 526. — Sur la constitu-
tion des ciments hydrauliques, 86,
526.
Recour A (A.). Action d'un hydrate
métallique sur les solutions des sels
des autres métaux. Sels basiques à
deux métaux, 2S, 968.
Reeb. Voy. Schlagdenhauffen.
Reed (C. JJ. Polarisation d'^s gaz
dans les accumulateurs en plomb,
26,599.
Rebse (J. c.) et Sayre (L.). Sur la
valeur en alcaloïdes du scopolia et
de la belladone, 26, 128.
RÉFORMATSKT (A.). Synthèse des aldé-
hydes aromatiques, 26, 623. — Sur
l'action du sodium sur les éthers
des acides organiaues, 26, 677.
— Voy. ASTAKHOF (A.).
— Voy. Protopopof (D.).
— Voy. SCHISCHKOVSKY (B.).
Rbggatz (H.). Voy. Willgerodt(C.).
Reich (R). Sur 1 acide filicitannique,
26, 155.
Reicher (L. Th.). Voy. Jorissen
(W. P.).
Rkid (E.U Sur l'hydrolyse des ami-
des, 26, 882.
Reioler (E.i. Dosage gazométrique
de la formaldéhyde, 26, 955.
Reinbacu (H.). Voy, Conrad (M.).
Reinders (W.). Sur la formation et
la transformation des cristaux mix-
tes de bromure et d'iodure mercu-
riques, 26, 606.
— Voy. BuEDiG (G.).
Reitter (H.). Sur le pouvoir rota loire
moléculaire des éthers du malate
d'éthyle, 26, 1028.
Rbmsen (J.) et Gabnkb (\V. W.^.
Action des sulfochlorures aromati-
ques sur l'urée, 26, 380.
Remsen etTuRNER (H. J.). Action des
sulfochlorures aromatiques sur la
Ihio-urée. 26, 387.
Reverdin (F.) et Crépieux (P.). Déri-
vés du p-sulfochlorure ae toluène
et dérivé /)-nilré, 25, 995. — Artwn
de l'acide nitrique sur la lolurll^<>-
nitro-p-suiramide-1-2-4, et nitratjoo
du D-sulfochlorure de toluène, 25,
1040. — Sur quelques dérivé* dn
/)-sulfochlorure de toluène et de IV/-
nitro-p-sulfochlorure de toloéœ,
26, 1044.
Het (H.). Etudes de nombres dansli
série naphtalénique, 26, 83.
Retchler (A.). Note relative m Texa-
roen du beurre et des graisses, 25,
142. — Recherches sur les oxydes
de chlore, 25, 659. — Le peroxyd*
de chlore comme stérilisateur do
eaux alimentaires, 25, 6G5.
Reymenant (L. van). Sur rao^tooe
méthyléthylique, 25, 972.
RiBAUT. Voy. Arelous.
Richards (T. W.). Réactions physico-
chimiques, coefRcient de tempéra-
ture, 26, 517. — Relation entre 1^
coût des acides et leur degré de
dissociation, 26, 517. — Bemarquctt
sur une méthode d'étalonnage des
poids, 26, 845. — Nouvelle définî-
tion de la capacité calorifique, 26.
1033.
Richards et Archirald (E. H .^ . Appli-
cation de la photomicrographte îa»'
tanlanée à l'étude de TaccroisseiDeot
des cristaux, 26, 102(3.
Richards, Collins (E.) et Hkimrop
(G. W.). L'équivalent électrochimi-
que du cuivre et de l'argent, 26,
Richards et Fraprie (T. R.). Solubi-
lité du sulfate mangtneux, 26 «
1052.
RiCHAHDsoN (G. M.). Sur la con»tila-
tion du benzène, 26, 39ii.
RiCHTER (N.l. Sur la vite.sse d'hydra-
tation de l'anhydride acétique, 26,
165.
RiDEAL (S.). L'humus ot le résida
irréductible du traitement bacteriMi
des immondices, 26, 1021.
RiEGLER (E.). Dosage gatométriqo^
de l'acétone dans l'urine, 29, lOcâ-
RiiDEii (C. N). Modiacation i l'appa-
reil de Landsberger pour détcrmiotf
l'élévation des points d'ebullittoo,
26, 457.
RiMiNi (E.). Nouvelles recherches «Ijm
le groupe du camphre, 26, 560. —
Sur l'isocamphre, 26, 560.
RisiNG (A.). Ko/. Bambercer I E.).
ROBERTSO.N (W.). Voy. FuRSTKtî iM.
0.).
RoDEWALD (H.) et Kattein iA.'. Lj
chaleur spécifique de Tanuilun «a
fonction de sa teneur en eau, el de
la température, 26, S^*). — Sur !*•
graisses d'amidon naturel H arti-
ilciel, 26, 845.
TABLE DES AUTEURS.
iiiS
R.OESSING (A.). Sur los conserves de
poissons, ItB, 511.
FioGERs (H. F.L Voy. Allen (E. T.).
Fiooow (M.). Action du ^-naphlol sur
les aldéhydes, S6, 170.
RoRDE (G.). Voy. Miller (\V. von).
FiOHLAMD {P.). Sur quelques réactions
d*hydratalion, 96, 4. — Sur les pro-
priétés de Quelques chloroplatinates
(au sujet du dosage du potassium
sous cette forme), &•, 162.
IloHM (0.). Sur la prcperation de Tacry-
latc de mélhyte, «6, 4G8.
RoHM(0.). Voy. Pecumann (H. V.).
HoHM (R.). Voy. Herzig.
I^OHMER (M.). Sur la séparation de l'ar-
8cnic, 86, 130. — Sur le dosage
iodométriquc de Tacide antimoniquc
et sur le dosage pondéral de Tanti-
moioe en présence du zinc, SK6, 1057.
I^OJAHN (W.). Voy. SoDEN (H. von).
lioNUS (M.). Voy. RuPE (H.).
FtoozEBOOM (H. W. B.). Le fer et l'acier
au point de vue de la régie des
phases, S6, 86G.
ROSENHEIM (A.) et HULDSCHINSKY (E.).
Méthode pour la séparation quanti-
tative du nickel et du cobalt, S6,
1059.
nOKENHEIM (A.) et SCHUTTE (0.). Sur
les sels doubles du titane tétralo-
miquci %S, 279.
HosKNHKiM (0.). DeTinfluence du sélé-
nium sur cerrtains essais de l'arsenic,
96, 5t>4.
RosENSTiFHL (A.). Rôductîon des ma-
tières colorantes azoïques nitrées,
«5, 697.
RosiNT (W.). Voy. Krafft (F.).
HussBT (G.). Note sur une pile élec-
trique à dépolarisant spontanément
régénérable par réoxydation directe
de l'air, 95, 531, 541.
Hossi (H.). Voy. Kohlschutter (V.).
RossoLiMO (A. I.). Action de l'iodure
d'éthyle sur la caféine, 96, 302. —
Sur le bromure d'éthylcaféine, 96,
726.
RosTOSKi (0.). Sur l'augmentation de
la dépense d'albumine sous Tin-
fluence de poisons protoplasmiques
et spécialement sous celle du chlo-
roforme chez les herbivores, 96 ,
821.
Rostowzew (S.), yoy. Graebe (C).
RoTH (W. A.). Constantes d'afÛnité
de quelques acides avec anneaux à
sept atomes de carbone, 96, 39.
RomMUND (V.). Force électromotrice
et équilibre chimique, 96, 661. —
Les variations de solubilité par les
sels, 96, 840.
RoTscHY (A.). Voy. Pictet (A.).
Roux (E.). Voy. Maquenn'e (L.j.
RowLAND (S.)- Voy. Hedin (S. G.).
RowLAND (S.). Voy. Macfadyen (A.).
RozYCKi (A.). Voy. Kostanecki (S*.
von).
RuBER (G. N.). Voy. Ruber (H. R.).
RuBER (H. R.) et Ruber (C. N.). Do-
sage du saccharose et du lactose
dans le lait condensé, 96, 1063.
RuDORFF (G.). Action de la chaleur
sur le permanganate de potassium,
96, 361.
RuFF (0.). Sur l'iodure d'azote, 96,
67. — Réactions catalyiiaues.
Chlorure d'aluminium, 96, 881.
RuFF et Stein CV.). Sur la sensibilité
à la lumière ae certains diazoVques,
en particulier du diazo-3-carbazol et
sur quelques nouveaux dérivés du
carbazol, 96, 918.
RuGHBiMER (L.). Formation de nitrate
de diazobenzène avec la nitrosophé-
nylbydrazinc, 96, 115.
RuHEMANN (S.). Condensation des phé-
nols avec les éthers de la série acé-
tylcnique. Homologues de la benzo-
f-pyrone, 96, 996.
RuHEMANN ^S.) et Bausor {II. W.).
Condensation des phénols avec les
éthers delà série acétylénique. Benzo-
f-pyrone et ses homologues, 96,
640.
RuMPF (Th.) et Schumm(0.). Sur une
modification chimique du sang pro-
duite par l'ingestion de sulfate d'am-
monium, 96, 25.
RuMPLER (A.). Note préliminaire sur
une méthode d'obtention de cristaux
difficilement cristallisables, 96,132.
RupE (H.) etMAJEWSKi (K. von). Notes
de laboratoire sur les groupements
osmopbores et sur quelques diazo-
imides, 96, 770.
RuPE (H.) et RoNus (M.). De Tacide
cinéolique et de sa séparation en ses
composants actifs, 96, 80^.
Rupp (E.). Titrage iodométriquc de
l'eau oxygénée, des percarbonates ?!
des persulfates alcalins, 96, Si. —
Essai volumélrique du sirop d'io-
dure de fer, 96, 63. — Sur le do-
sage du mercure dans le salie ylate
de mercure officinal, 96, 608.
RrssEL (G. W.). Sur un nouveau ba-
romètre de construction facile, 96,
1067.
Russie (F.). Sur les ortho-acides des
a et p-hydronaphtoquinoues et quel-
ques-uns de leurs dérivés, 96, 578.
RusT (K.). Voy. Bambergkh (E.).
Ryan (H.) et MiLLs (W. S.). Prépa-
ration de glucosides synthétiques^
96,686.
Ryoberg (J. R.). La dureté des corps
simples, 96, 838.
1224
TABLE DES AUÏEUUS.
S
Sabanejeff (A. P.). Sur les acides
hydroxamiques inorganiques, tB6,
Sabanejeff ot Prosin. Sur les carby-
lamines et les nitriles cycliques, tS5,
738. — Etudes d'une nouvelle classe
de combinaisons organiques ; isoni-
triles et nitriles cycliques, ttS, 823.
Sabatier (P.). Action d'un oxyde ou
d'un hydrate métallique sur les so-
lutions des sels des autres métaux ;
sels basiques mixtes, SS, 938.
Sabatier (P.) et Senderens (J. U.).
Réduction des carbures incomplets
par les métaux et l'hydrogène, ISS,
610. — Hydrogénation des carbures
incomplets en présence de divers
métaux divisés, ISS, 671. — Action
de divers métaux divisés sur Télhy-
lène et l'acétylène, «5, 678.
Sabbath (S.). Voy. Spiegel (L.).
Sachs (F.). Sur les condensations des
dérivés aromatiques nitrosés avec
des dérivés méthyléniqucs, SK6, 9J.
— Sur la préparation des aniles dos
cyanures aacidos, IS6, 487.
Sachs et Bry (E.). Sur la condensa-
tion de combinaisons aromatiques
nitrosées avec des dérivés méthy-
léniqucs, S6, 484.
Sack (J.). Voy. Greshoff (M.).
Saito (S.) et Katsuyama (K.)- Contri-
bution à l'élude de la production
d'acide lactique dans l'organisme
d'un animal asphyxié, 26, 881. —
Sur le sucre du sang normal do la
poule, 26, 831 .
Salaskin (S.). Sur la formation de la
leuclnimide dans la digestion pep-
sique et trypsique de l'oxyhéraoglo-
bine et de la globine, 26, 1023.
Salkowski (K.). Sur le dosage do
Facido oxalique et sur la présence
de Tacide oxalurique dans l'urine,
26,27. — Sur la fermentation des
pentoses, 26, 324. — De l'action de
précipitation du chloroforme sur les
matières albuminoïdes, 26, 815. —
Sur r a invertine » de la levu;*e, 26,
815. — Sur l'acide paranucléique de
la caséine, 26, 935. — Sur les des-
tinées des pentoses et notamment de
la /-arabinose dons l'organisme ani-
mal, 26, 941.
SALKowsKf iH.). Nouvel hydrate de
chromato neutre de sodium, 26,
1051.
Salzer (Th.). Théorie de l'eau de cris-
tallisation, 26, 287. — Sur des ré-
gularités dans les points de lùsion.
26, 287.
Samelson(S.). Combinaisons izoiqo»
dérivées de la ni-tolnidine, 26, 179.
769.
Sand (H. J. S.). Sur la ooocentrttioo
au voisinage des électrodes et le
dégagement d'hydrogène dans l'élftc-
trolyse d'un mélange de sulfate et
cuivre et d'acide sulfurique, fC
883.
Sand (J,). Voy. Hofmakn (K. A.).
Sanoers (W. W.). Vov, Noiiris(J. F ;
Sartobi (A.). Tables de coeffl-
cienta d'analyse quantitative calcalé*
d'après les poids atomiques pra-
tiques de Landolt, d'Ostwald et
Seubert, 26, 1066.
Satie (C). Voy, Jbancard (P.).
Saunders (A. H.). Réaction f Dire k
chloroforme et l'hydrozydo de po-
tassium, 26, 529.
Sal'ndehs (.\. P.). Les fornnea allotro-
piques du sélénium, 26, 518.
Saurel (P.) . Les deux théorèmes dt
Gibbs, 26, 515. — Equilibre ôa
systèmes chimiques, 26, 5d3. —
Equation fondamentale d'un poiot
multiple, 26, 593. — Sur un ihto-
rème de van der Vaals, 26, 59t!?. —
Propriétés de la courb« pression-
volume, 26, 594. — Sur réqualion
de Clapeyron, 26, 595. — Hur o«
théoi'èmc de Le Châtelier, 26, 9i\
— Sur un théorème de HooMboom.
26, 945. ~ Généralisation de l'é^uj-
lion de Clapeyron, 26, 9*7. — U
loi des phases, 26, 947.
Sayre (L.) Voy. Beese (J. C).
Sazerac (R.). Voy, Bertrand (G.;.
Schaffer (A.). Voy. Fous <().)■
SciiALL (C). Sur la phénylhydraioof
carbo- et dicarbodiimino (anilgutai*
dinc et biguaoidine) et sur If pro-
duit de scission de la dicart)ODft>f
de Wessel, 26, 43i. — Sur 1* dé-
termination de la densité de vapeur
sous pression réduite, 26, 604.
SciiAposcHNiKOF (V.). Conden>atieB
de la dichloriminoquinone et de l>
dichloriminonaphtoquinone avec \t*
aminés, 26, 52. — Sur quelque*
nouvelles matières colorantes bUac«
do la série des thiazines, 26, M.
ScuAPosciiNiKOP (V.). Voy. KfHR'
MANN (F.),
ScHAUM (A.). Voy. Paolt (H.).
ScHAUM (K.). Réponse à H. Cohao^M
601.
ScHAUWECKKR (0.). Voy. HaquikS |CJ
ScuEELE (C. von). Sur le piiiséodvfflc>
26, .%2.
Sciieibe (A.). Dosage du lactose ^aos
le lait par polarisation et par rédac-
tion, 26, 962.
TABLE DES AUTEUHS.
1225
ScHEiD (K.)' Sur quelques dérivés du
^-chloi-onaphtalène, !M, 7i)0.
ScHBNK (H.)' Héjponse a M. Bakhuis-
Hoo^eboom, tté, 5U8. — Sur une
méthode de délerminalion du point
de transformation des corps di-
morphes monotropes, !£•, 841.
SctiCRPBNZEEL (L. van). Action de
Facide azotique réel sur les trois
acides toluiques et sur quelques-uns
de leurs dérivés, !S5^ 9&.
SCBEUERMANN (B.). V'OV. FlCHTEB (F.^.
S«:HEtTZ ÇVh.\ Voy, Bamberger (E.).
t>CHEUTZ (Th.)- y^y- Gnehm (H.).
ScHETE (A.). Réponse à M. VVcdcll-
Wedellsborg, 26, 6'J4.
Scmiavo-Leni (F.). Vo^. Ghassi (G.).
ScHiFF (H.). Combinaison de l'aniline
et de la quinoléine avec les trichlo-
rures métalliques, S6, 4%.
Schilling (K. von). Voy. Vorlaender
(D.i.
SCHINDELMEISER (J.). VoV. KONDAKOW
(JJ.
^ciiiRiiBisEN (K.). Sur la généralisa-
tion de la loi périodique des élé-
ments chimiques, S6, 8Si.
SCIIISOUKOVRKY (BJ Ot RÉF0RMAT8KY
JS.). Synthèse et propriétés de
racide ot -diméthyl-^-éthylcthyléno-
Uclique, <•, (>18.
ScHJERMNG (II.). Recherches critiques
sur la valeur quantitative des réactirs
Srotéiques, S6, *.)58. — fiur le dosage
es matières albuminoïdes dans les
tourteaux, «6, 959.
ScuLAGDENUAUFFEN et Reeb. Sur un
glucofide nouveau extrait des graines
'Erysimum de la famille des cruci-
fères, S5, 528.
SCHLBSINGER (A.). Vo/. BuLOW(C.).
ScHLOSSBERo (S.K Sur la Y-bromo-a-
iodone et quelques-uns ae ses dé-
rivés, «6, 106.
ScHLUNDT (II.). Constantes diélec-
triques des nitriles, tB6, 6(i0.
ScMMiD (J.). Voy. Kruoer (M.).
ScHMiDT (B.). Sur la condensation do
l'acide ot-benzylcinnamique (benzyli>
dène-hydrocinnamique) en a-benzv-
lidène-hydrindone, «6, BS'J.
ScHMiDT (C). Voy. Haber (F.).
ScMMiOT (E.). Sur les alcaloïdes des
semences de Tanagyris fœtida, Ml,
20.
ScHMiDT (E.) et Ark (H. van). Action
delà bromacétophénonesurla pyri-
dine et la pipéridine, Stt, 15().
SciiMiDT (J.). Action de Facide azo-
teux sur Vot et le ^-naphlol, S6,
142. — Action de l'acide azoteux sur
la quinone, <6, 14;). ^ Sur les deux
diphényldinitroethylènessymélriques
stéréo-isomères, M, 477. — Sur l'ar-
tien de l'acide azoteux sur le stil-
bène et sur le diphényldinitroéthane
symétrique. S6, 478. — Synthèse
de ra-p-Y-ô-létraphénylpipérazine,
S#, 4U6. -^ Transformation de l'acide
maléique en acide fumarique, S6,
016.
ScuMiDT (0.). Voy. Bamberoer (E.).
ScHNBEGANS (A.). Sur la composition
et la valeur des vins de raisin sec,
S«, 651.
SCHOBER (W. B.) et BOWERS (H. L.).
Action de l'acide sulfurique sur le
phénétol, IM^t 405.
ScuoENROCK (0.). Influence de la tem-
pérature sur la rotation spéciflque
du sucre, SU, 856.
ScHOLL (R.) . Action oxydante du ful-
minate de mercure sur la dimélhyl-
aniline, IMi, 101^.
ScHOLL (R.). Voy. KOHTES {H.).
5:cH0LL (R.) et Bertsch (E.). Appli-
cation du fulminate de mercure aux
synthèses chimiques. Synthèse des
phénol-aldoximes, 26, 918.
ScuoLL (R.) ctNoRR (VV.). Sur la mé-
thylphénylcyanamide, S6, 716.
ScHOLTZ (M.). Sur les «-«'-diphénylpi-
péridinos stéréo- isomériques, S6,
1171.
ScHOLTZ (M.) et MuLLER (H.). Sur les
a-phényl-ot-mèthylpipéridines stéréo-
isomères, !S6, 220.
SCHREINEMAKERS (F. A. H.). EtatS
d'éauilibre du système eau-phénol-
aciae tartrique ou racémique, 86,
730. — Etats d'équilibre du système
eau-phénol-acétone, «6, 736. — Ten-
sion de vapeur de mélanges binaires
et ternaires, *6, 88'l. — Tension de
vapeur des mélanges ternaires.
Partie tliéoriuue : les mélanges homo-
gènes, les mélanges hétérogènes, S6,
1034, 1035.
SCHROEDTER (H.). Voy. VoRLAENOËh
(D.).
ScuROETER (G.) et Pbschkes (M.). Sur
quelques nouveaux dérivés for-
miqucs do l'hydroxylamine, S6,
51.
ScHRYVER et Lees (F. H.). Recherches
sur la morphine, !S6, 727.
ScHULTEN (A, de). Reproduction arti-
flcielle de la monètite (phosphate
dicalciaue^, «5, 1008. — Syntlièse
de la boronatrocalcite ou ulexite,
2S, 1061.
ScHULz (Fr. N.). L'os de seiche con-
tient-il de la cellulose? 86, 32.
ScHULz (Fr. N.) et Ditthorn (F.). La
galalosamine, un nouveau sucre
amidé, produit Je dédoublement du
glucoprotèide de la glande de la
grenouille, «6, 30. — Note sur le
sucre extrait de la cérébrine, tB6,
9H. — Sur la galactosaminef S6,
942.
1226
TABLE DES AUTEURS.
ScHULTz (Fr. N.) et Mainzer(J.). Sur
la marche de l'excrétion de l'acide
phosphorique pendant l'inanition,
ScHULZE (E.). Quelques remarques
sur l'arginine, ««, 83. — Sur la
transformation des matières albumi-
noîdes dans la plante vivante, HB,
SCHULZE (H.). Vov. Paal (C).
Schumacher et Jung. Recherche et
dosage du mercure dans l'urine, «6,
3ô7.
Schumacher (A.). Voy. Edinger (A.).
ScHUMM (0.). Contribution au dosage
du potassium, 26. 1(X>8.
ScHUMM (0.). Voy. RuMPF (Th.).
ScHUNCK (G. A.). Voy. Marchlewski
(L.).
SCHUTTE (0.). Voy. ROSENHEIM (A.).
ScHUTz (J.). Contribution à l'étude
quantitative de la digestion pep-
sique, «6, 814. ^
Schwab (0.). Sur la condensation de
l'o-oxybenzylidène-aniline, «6, 765.
Schwab (0.). Voy. Ha.ntzsch (A.).
ScHWARTz (L.). Sur les combinaisons
des aldéhydes avec les matières
albuminoïdes, S6, 821.
ScHWARz (B.). Voy. Elbs (R.).
ScHWEiNiTz et DoRSET. Compositiou
chimique du bacille de la tubercu-
lose, «6, 124.
ScHWERiN (B. Graf). Voy. Piloty(0.).
Scott (A.). Le bromure d'ammonium
et le poids atomique do l'azote, 26,
Sgott (A.) et Arbuckle (W.). La pré-
paration de l'acide iodique, &6,
SCUDDER (H.). Toy. MULLIKEN (S. P.).
^EBL (E.). Sur l'oxydation de l'aloïne
avec le persulfate de potassium et
l'acide de Caro, «6, 811.
Seldis (R.). Voy. Krafft (P.).
Sell (W. J.) et DooTsoN (F. W.).
Dérivés chlorés de la pyridine. Orien-
tation de plusieurs chloraminopyri-
dines, «6, 57. — Dérivés chlorés
de la pyridine. Produits de conden-
sation, «6, 1170.
Semmler (F. W.). Sur la tanacétonc
et ses dérivés, «6, 3'Jl. — Du
camphène, «6, 807.
Senderens (J. D.). Vov. Sabatier(P.).
Senf (F. A.). Voy. Eibner (A.).
Senier (A.) et GooDwiN (W.). L'ac-
tion de la phénylcarbimide sur les
diphényl-, dialphyl- et dinaphtyldia-
mmes, «6, 2G5. — Action du bro-
mure d'éthylène sur la xylidine et
la <V-cumidine, SK6, 419.
Servais (L.). Sur les acides valé-
nques «-chlorés, «5, 974.
Sei:ffert (0.). Voy. Baeyer (A.).
SsvBBiN (E.). Sur Tacide dichkiro-
phtalique de Le Roycr, «S, 49y. -
Sur les anhydrides mixtes, K. 50 1.
Seyewetz (A.). Combiiiaison d<* U
fuchsine avec les coloranl^i acïd» a
chromophores basiques, !SS, 5.
Seyewetz (A.) et Blanc. Dérivts sot-
fonés des tétrazoîques, SS, 1513. —
Sur la combinaison non colorante do
tétrazotolylsulfltc de sodium av«c
Téthyl-^-naphtylamine et sa trsos-
formation en matière colorante, tS,
987.
Shermann (H. C.) et Snell (J. F.i.
Sur la chaleur de combustion ée
quelques huiles commerciales, fC
654.
Sieber (N.). Sur la réacUoo d'Cmt-
koir dans le lait de la femme, t«.
352. — Sur la neutralisation de«
toxines par les peroxydes cl par
les oxydases animales et véiretalfs,
«6, 1023. *
— Voy. Nencki (M.) .
Siegel (A.). Voy, Haeusskrmakn (C >.
SiEGPRfED (M.). Sur ranlipeplooo et
l'amphopeptooe, !S6, 270.
SiEPLfciN (0. J.). Voy. MAfiCitT (C, F.).
SiLBER (P.). Voy. ClAMIClAN (G.^.
SiLBERSTEiN (M.). Voy. Kedrmann (F. .
SiMMONDs (C). Voy. Thorpk (T, e.'.
Simon (L. J.). Réaction colorée d<
l'acide isopyrotritarique, ItS* ôil.
— Action de Turéthane sur rdci<îg
pyruvique, 25, 1062. — Action de
l'urée sur l'acide pyruvique. Acide
homoallantoïque etpyruviaue, tt,
1U153. i-* H .
Simon (L. J.) et Bénard. Sur l«
phénylhydrazones du d-gXucoêe ri
leur multirotation, S5, 645.
Simon (L. J.) et Dubreuil. Action drs
acides monohalo^nés de la »ént
crasse sur la pyridine et la quinoleine,
!w5, 528.
SiMONis (H.). Note sur les dérivrs
bromes de la coumarine, €6. MK
— Action des aminés primaires »ur
les acides mucobromiquc et muco*
chlorique et leurs élhers, S6, 47^.
SiMOMs (H.) et Wenzkl (G.)- i>ur les
coumarines bromées et quelques-
uns de leurs dérivés, !S6, 101.
SiNNHOLD (H.). Nouvel appareil a
extraction, S6, 1066.
SiSLEY (P.). Rectification (théories de
la teinture), «6, 144. — Théorie
de la teinture, SS, 278. — Sur \r
ponceau cristallisé, S5» 53â. —
Propriétés des sels et acide* lib«y«
des matières colorantes, és, BU.
— Recherche des eaux conUminéee,
S6, 776. — Etude sur les colo-
rants oxyazoîques salAwés «4 leon
sels, SS, 862.
TABLE DES AUTEURS.
1227
SisîLEY (P.) el Caub8B. Sur les com-
binaisons de la fuchsine et du violet
cristallisé avec l'acide suirureux,
«S, 775.
Sjollema (B.). L'isosulfocyanale des
crraisses de Brassica napus, 8S,
SitiBROWjF. \V.). Sur la volatilité
de racide borique avec la vapeur
d'eau. %B, 1042.
Skirbow (F. \V.) et Galvebt (H. T.).
Séparation de sels par évaporalîon
de solutions étendues, 96, 1045.
SitOSABEVSKY. KoV. FaVORSKY (E.).
Skraup (L h.), bur la constitution
des alcaloïdes du quinquina. Trans-
formation de Tacide ciocholoiponi-
?ue en un acide non azoté, SK6,
1/6
Skraup (L. h.), Copony et Meda-
NiCH. Sur la constitution de la
p-isocinchonine, 86, l(l'i7.
Skraup (L. H.) et Zwebobr. Sur Va. el
la ;5-isocinchonine, S6, 10 )9.
Slo«son (E. E.). Voy. Stieglitz (J.).
Slowtzoff (B.). Contribution à l'é-
lude des oxydases végétales, S6,
812.
Smith iE.). Les essais des minerais
d'or complexes, S6, 1060.
Smith (H. G.). Sur une huile d'eu-
calyptus contenant 600/0 d*acétate
de géranyle, S6, 239.
Smith \J. W. J.). Sur la nature des
phénomènes électmcapillaires. Leur
relation avec la différence de poten-
tiel entre deux solutions, HH, 602.
Smith (U.). Recherche des sulfocya-
nates dans le bromure de potas-
sium, t6, 670.
SMn-HBLLS (A.), Dawson (H. M.) et
WiLSON (H. A.l. Sui la conducti-
bilité éleotrique des vapeurs salines
chaudes, tM, 602.
Smits (A.). Sur un manoslat, S6, 884.
Snapb (H. L.). Formes racémiques et
optiquement actives de Tamarine,
«6, 56.
Snell (J. F.). Voy. Shermann (H. C).
SoDEAU (VV. H.}. La décomposition
des chlorates. Chlorate de calcium
el chlorate d'argent, 36, 248. >-
Le mécanisme supposé facilitant la
décomposition du chlorate de potas-
sium, %e, 668.
SoDEN (H. von) et Rojahn (VV.). Sur
la découverte d'un alcool aroma-
tique dans l'essence de rose alle-
mande, !S6, 5)2. — Sur la présence
de l'alcool phényléthylique dans
Fessence de rose, S6, 502.
SOMMELBT. Voy. BÉHAL.
Sparre (F.). Sur le dosage des acides
formiquc, acétique, propionique el
butyrique par la méthode d'Habcr-
land, ItBy 442. — Dosage de Tacide
formique en présence a acide acéti-
que, S6, 44.S.
Speller (F. N.). Sur la séparation
du chlorure ferrique en solution
chlorhydrique aqueuse des autres
chlorures métalliques par Téther,
«6, 250.
Spéransky (A. V.) et Goldberu
(E. G ). Electrolyse des sels dans
les dissolvants organiques, !S6, 457.
Sperber (J.). Sur la chaleur de dis-
sociation de l'iode, 36, 161.
Spiegel (L.). Emploi du p- ni trophénol
comme indicateur, 26, 238.
Spiegel (L.) et Sabbath (S.). Sur quel-
ques éthers du p-amioophénol et
sur leurs dérivés de l'urée, «6, 706.
Spilker (A.). Vov. Kraemer (G.).
Spiro (K.). De 1 action de certaines
substances azotées sur la coagula-
lion de l'albumine, 36, 319.
— Voy. FuLD (E.K
— Voy. PicK (E. P.).
Sprankling (G.* H. G.). Voy. Bone
(W. A.).
Sprenger (G.). Voy. Curtius (Th.).
Spbing (W.). Sur le poids sï>éciflque
de l'iodure cuivreux, 36, 564, 962.
Springer (L.). Voy. Gborgevics
(G. von).
Sprinkmeyeb (H.K Sur l'o-isopro-
pyltoluéne, 36, 697.
Stadt (E. van der). Sur la solubilité
dans l'eau des anhydrides d'acides
organiques, 36, 658.
Stange (M.). Voy. Holde (D.).
Stbele (B. D.). Une nouvelle méthode
pour la mesure des vitesses ioni-
ques en solution aqueuse, 36, 449.
Stein (\'.). Voy. RuFF (0.).
Steinbb (G.). Voy, Kehrmann (F.).
Steiner (O.). Sur le tellure-diphé-
nyle et sur le poids atomique du
tellure, 36, 274.
— Voy. Krafft (J.).
Strllbr (W.). Synthèse du diamino-
octane-1.8 au moyen de l'azide de
l'acide sébacique, 36, 570.
Stenz (A.). Voy. Walther (R. von.).
Stéphan (K.). Sur l'essence d'oranges
douces, 36, 646.
Steppes (F.). Sur les acides p- et o-
toluido-acétique ei a-p- et oc-o-tolui-
dopropioniques, 36, 63J.
Sterba (J.). Préparation de l'oxyde
de céi'ium pur, 35, 969. — Cris-
tallisation de l'oxyde de cérium,
35, 970.
Stern (A. L.). La nutrition de la le-
vure, 36, 785.
— Voy. Bord ET.
Steudel (H.). Sur la constitution de
la thymine, 36, 327, 832. — Sur
les destinées des dérivés nyrimidi-
ques dans l'organisme, 36, 934.
1228
TABLE DES AUTEUUS.
Steudbl (H.) el Kossel (A.)- Sur la
ihymine, 86, 19.
Steuermann (J.). Voy, Kostanecki
(St. von).
Stevens (H. P.). Sur l'acide méta-
thorique et sur Toxychlorure méla-
tborique, «6, 452.
— Voy. Ghattaway (F. D.).
Stieglitz (J.) el Slosson (E. E.).
Sur la constitution des dérivés ha-
logènes des amides, S6, 898.
Stobbe (H.). Sur une synthèse sim-
ple des acides ô-cétoniques, IMi^ 537.
Stock (A.) . Sur la réaction de l'arsé-
niure d'hydrogène vis-à-vis du bro-
mure de bore, S6, 949.
Stock (A.) et Doht (W.). Préparation
de l'antimoniare d'hydrogène à Tétat
de pureté, 2«, 1122.
Stock (A.) et Masaciu (G.). Sur le
dosage du chrome et du fer par un
nélange d'iodure et d'iodate do
potassium, S6, 249.
Stock (A.) cl Poppenbbrg (0.). Ac-
tion de l'acide sulfhydrique sur le
bromure de bore, SK6, 274.
Stoegkl (K.) et Vanino (L.). Sur les
solutions métalliques colloïdales,
2«, 864.
Stoermer (R.) et Bartsch (F.). Syn-
thèse de la coumaranone et de ses
homologues au moyen des acides
phénoxyacétiques, HB, 76.
Stoermer (R.) et Boes (J.). Sur la
présence dos coumarones homolo-
gues dans le goudron, SK6, 61.
Stoermer (R.) et Calov (G.). Trans-
formation et décomposition de Ta*
cide coumarilique et de ses dérivés,
26, 347.
Stokes (H. N.). Voy, Hillbbrand
(W. F.).
Stollé (R.). Sur les acétals de para-
dicélohexaméthylène, S6, 718. —
Sur la formation des hydrazines
secondaires symétriques, 26, 772.
— Sur la préparation des hydra-
zines alcoylées, 86, 1162.
Storer (F. H.). Sur le résultat de la
recherche des sucres autres que le
xylose et le dextrose dans les pro-
duits d'hydrolyse du bois des troncs
d'arbres, «6, 7;i2.
Stohtenbecker (VV\). Sur la solubi-
lité des cristaux mixtes hydratés,
26, 857.
Strasser (H.). Vov. Merz (V.).
Strauss (E.). Sur l'alcool amino-iso-
f>ropylique et l'alcool aminobuty-
ique secondaire, 26, 884.
— Voy. HOFMANN (K. A.).
Streatfibld (F. W.) cl Davies (J.).
Vn appaieil à point de fusion, 26,
248.
Street (J. P.). Dosage de l'azole or-
ganique fertilisant dans Ibs engnb
commerciaux, 26, 656.
Striebel a.). Voy. TaoiCA$-M&in»T
(R.).
Struve (H.). Sur les ppopriété* d* H
glycérine, 26, 442. — Sur HnH
porlance do la réaction de Floruoot^
26, 444.
Study (E.). Le prétendu sens de li
théorie des invariants ea chimie.
26, 1038.
SuDBOROiTGH (J. J.) Composée d'ad-
dition de l'a et de la ^-naplitii
aminé avec les dérivés trinitrés d«
benzène, 26, 6^. — Acélvlatioi*
des arylamines, 26, <kM).
SuLC (0.). Conductibilité de quel^ao
nilroparafDnes sodées, 126, tViU. —
Hydrolyse de polysaccbaride^ el »-
poniflcation d'élhers sous l'inOuacr
catalytiquo de certains métaux, tC.
735.
SuNDwiK (E. E.). Sur la cire et
Psylla et sur l'alcool et l'acide pc>l-
losléaryliques, 26, 939.
SviDERSKY. Voy. Ipatief (V.).
SzoLAYSKi (B.). Vo/. Bam bercer iK.
Tache (Br.). Remarques sur le o»^
moire de M. Borntraeger. Analviede
la tourbe, 26, 1064.
Taeuber (E.). Sur le monosalicriit;
de glycérine, 26, 675.
TAEUBER(Ë.)etWALDER tF.).Surlebnni
Bisma<:k, 26, 16. — Nitrosilioa
directe des aminés aromatiques pfi-
maires. Rectiflcation, 26, 47.
Tafel (J.). Produits de réductiea
de 1 acide urique, 26, 719.
— Sur Thydro - uraclle, 26. 7W
— Produits de réduction àt^
acides méthyluriques, 26, TôS. —
Sur la marche de la réduction ^1*^
trolytique des substances difllcil«~
ment réductibles en solution solfb-
rique, 26, 861.— Sur l'acide Uitn
hydro-uriquo, 26, 904.
Tafel (J.) el Agh (B.). Réduction élcr
trolytique do la xanlhine, 26. '*)1-
— Sur les produits de rédaciioo
delaguanine,26, SKhL
Takel (J.) et Weinschknk iAj.i?«r
la mélhyl-d-désoxyxanUiine et U
désoxyhëléroxanthine, 26, 693. -
Réduction électroly tique de Tacid'
barbiturique, 26, 695. — R4da^
électrnlylique du méthyluracil^*
26, 6i^.
TABLE DES AUTEURS.
1229
KANO (S.). Vov. Mabery (C. p.).
>%LA]«£EPP (S.)- Sur l'acide méthyl-
butyléthyléDolactique tertiaire, tttt,
618.
.ALiKP (K.). Sur les allylméthylbutyl-
carbinols, !S«, 531.
'aMBOR (J.). Voy. KOSTANECKI (St.
von).
ANATAR (S.). Sar les perborates.Stt,
344. — Sur le sous- oxyde de plomb,
!(•, 56S. — La combustion des
gaz, sa, 879, 1080.
N ATAR (S. ) et Klimbnko (B.). Forma-
tion de sels en solution alcoolique,
e«,87d.
Tarboijriech. Action du mercaptan
sur les quinones, SKS, 313.
'Farible. Action du bromure de bore
sur les iodures de phosphore et sur
los composés halogènes de l'arsenic
et de l'antimoine, !SS, 382. — Sur
les combinaisons du bromure de
bore avec les chlorures de phos-
phore, ISS, 382.
Tatlor (A. E.). Relations entre les
tensions de vapour dans les mé-
langes de deux liquides, tM, 513,
&i4.
TCHEHDTNTSEF (V.). Voy MaRKOV.NI-
KOF (V.).
TCHI«TOVITCH. Voy. BORDET.
TcHiTCHiBABiNE (A. E.). Synthèse des
Pyridines aromatiques, S6, 4U3. —
roduction de benzylpyridines et de
beozoylpyridines isomères, S6, 639.
— Action du chlorure et de l'io-
dure de benzyle sur la pyridine, !S9,
721.
Teclu (N.). Sur le dosage de l'ozone,
e«, 365.
Teepi.k (J. E.). Voy. Orndorpf
(W. R.).
Tehnajgo (L.). Sur une nouvelle mé-
thode de préparation de l'acide y-
pyridioe - carbonique ; étude de
quelques dérivés, M, 998.
Tbpvet (J. n.). Voy. Hewit (J. T.).
Tetby (L.)._Ko^. Bouvf.allt (L.).
Thebaud
(W. R.).
f. voy. u
(E. D.).
Voy, Orndorpf
Thekl (W.). Voy. WirriO. N.K
Thcner (F.). Voy. Herzig (J.).
Tuesmar (G.). Voy. Noelting (E.).
Theulier (E.). Sur les essences de
vétiver, tèS, 454. — Cilraptène ou
camphre de citron, tB6, 465. —
L'essence de bois de rose femelle,
ftt», 468. — Caractéristique des
essences des fleurs d'oranger dans la
récolte de 1901, SS, 762.
Thibault (P.). Sur l'oxyde de bis-
muth. 8S, 155. — Sur un nouveau
salicylate de bismuth cristallisé,
;,^94.
Thiel (A.). Remarques sur les consi-
dérations deVaubelsur les chaleurs
de neutralisation et la dissociation
électrolytiquc, ««, 287.
Thielb (E.). Nouvelle forme de bu-
rette, 9m, 1066.
Thiele(J.). Produits de condensation
de rindène, 86, 98. — Sur les dé-
rivés du cyclopentadiène, S€, 501.
Thiele (J.) et Escales (R.^. Produits,
de condensation du 2.4-diDitroto-
toluène, S6, 1088.
Thiele (J.) et Jaeger (K.). Dérivés de
l'oxyhydroquinone, S6, 1089.
Thierpelder (H.). Voy. Woerner vE.).
Thomas (V.)- Sur les chlorobromures
de thallium, 2S, 708.
Thomaschewski. Voy. Lohse.
Tiiomas-Maiiert (R.) et Striebel
(A.). Condensation de l'éther céli-
piaue avec les orlhodiamines, !S5,
Thoms (H.) et Fendler (G.). Quelques
remarques relatives à la prépara-
tion de l'acide undécylénique par
distillation de l'huile de ricin, S6,
183, 311.
Thomson (J.). Sur le poids atomique
de l'aluminium, 26, 162.
Thorpe (J. F.). Constitution du sodo-
cyanacétate d'éthyle et du sodomé-
thylcyanacétate d'éthyle, 26, 4t.
— Voy. Perkin (W. H. jun.).
Thorpe (T. E.) et Holmes (J.). La
présence de parafTines dans la
feuille de tabac, 26, 1182.
Thorpe (T. E.) et Simmonds (C.) Les
silicates de plomb et leur emploi
dans l'industrie des poteries, 26,
669.
Thudichum (J. L. F.). Quelques ques-
tions scientifiques et morales de la
chimie biologique, 2S, 512.
TiEMANN (F.). Sur l'acide pinolique,
26, 183. — Sur les deux formes
stéréoisomères du citral, 26, 298.
— Sur la méthyl-2-heptène-4-one-6
et la synthèse d'un acide isogéra-
nique aliphatique, 26, 2J9. — Sur
les composés de la série du cyclo-
citral, 26, 505. — Sur l'invei-sion
dos composés de la série du citral,
26, 507. — Sur la constitution de
l'acide a-cyclogéra nique. 26, 508.
— Sur le cyclo-citral, n, 501K —
— Sur la constitution de l'a-ionone,
26, 510. — Sur les deux acides
campholytiques et sur l'acide lauro-
nolique, 26, 802. — Sur une dé-
composition particulière du noyau
du camphre, 26, 806.
Tiesenholt ^W. von). Sur l'action de
l'acide hypochloreux sur les chlo-
rures métalliques, 26, 666.
12S0
TABLE DES AUTEURS.
TiFFENEAU. Sur le pseodo-propényl-
benzène el le pseudo-prqpéayl-p-to-
luène, US, 276.
— Voy. BÉHAL (A.).
TiNOLB (A.). Synthèse des aminés aa
moyen des élhers salicyliques, SC,
415.
TiNOLE (I. B.) el O'Byrne (L.). Aclion
des phénols sur Télher oxalique,
se, 1009.
TissiER et Grionard. Aclion des chlo-
rures d'acides et des anhydrides
d'acides sur les composés organo-
métalliques du magnésium, SS, 064.
— » Sur les composés organométalli-
ques du magnésium, SS, 694. —
Sur les composés organo-magné-
siens aromatiques, tS5, 944.
TiSTCHENKo (V. E.). Condensation des
aldéhydes sous l'inHuence des al-
coolates d'aluminium, SK6, 960.
TiTHERLEY (A. W.). Préparation des
amides substituées au moyen des
sodamides correspondantes, SK6, 573.
— Nouvelle méthode de préparation
de la diacétamide, SK6, 5/4. — Note
sur les deux combinaisons molécu-
laires de Tacétamide, S6, 575.
ToLLENS (B.). Voy. OSUIMA (K.).
ToLLOCZKO (St.). Voy, Bruner (L.).
TOLMAN (M.), MUNSON (S.) et BlGE-
Low (D.). Composition de gelées et
conûtures, 26, 655.
Torrbt (J.) et Black (0. F.). Sur
quelques dérivés de Taldéhyde a^^
trinilropropionique, S6, 376.
ToRTORici (R. 0.). Aclion de l'hypo-
azotide sur les quinone-dioximes,
26, 544. — Notes relatives à l'éther
diméthylpyrone - dicarbonique. 26,
553. — Krcherches dans le groupe
des pyrones. Sur le coménate dié-
thylique, 26, 553.
TowBR (0. F.). Sur la séparation
qualitative du nickel et du cobalt,
26, 126. — DilTérencc de potentiel
fournie par des électrodes en per-
oxyde de manganèse, 26, 603.
Traeger (J.) et ËwERs (E.). Sur les
diazoscls des acides arylthiosulfoni-
ques et arysulOniques, 26, 634.
Trasciatti (D.). Voy, Balbiano (L.).
Traube (W.). Synthèse de l'acide
urique, de la xantbine, de la théo-
bromin^ do la théophylline et de la
caféine à l'aide de l'acide cyanacé-
tique, 26, 753.
Travers (M. W.). La liquéfao.lion de
l'hydrogène, 26, 1042.
Treadwell (J. p.). Sur la séparation
du zinc d'avec le nickel (ou le co-
balt), 26, 131. — Sur la recherche
qualitative du cobalt d'après Vogel,
26, 131.
Trevor (J. E.). Exposition de l>
théorie de l'entropie, 26, âlô. —
Entropie et capacité calorifique, ti,
515. — Equations fondamenUlu
des points multiples. 26. 5'J4. --
Relations entre les fonctions tfatr
modynamiques fondameotales, ti,
586.
Thillat. Voy. Adrian.
Thitschler (F.). Voy. Krafft >...
Troeger (J.) el KwERS (E.}. Sur 1*^
élhers acétacéUqiMS alcoytlhiosul-
fonés, 26, 1S7.
Troeger (J.) el Meinb (W.}. Surl-^
dosage du sucre dans i^urûie, ti.
158.
Trowbridge (P. J.). Sur quetnto
dérivés de la strychnine, 26, €tk
TscHiRCH (A.) el Bruning ^E.)- î?ar
le baume résineux de l'abies cana-
densis (baume du Canada), 26, 6i
— Sur le baume résineux du » Pt-
cea Vulgaris » (térébenthine «li
Jura), 26, 156. — Sur le bauDK
résineux du « Pinus Pinaster • y^-
rébenlhine de Bordeaux», 26. K'w
TsCHiRCH (A.) et HiEPE (E.). Coaïr.
bu lion à l'étude du séné, 26, tfS.
TscHmcH (A.) et Polaoco (R.i- ^^^
les fruits du rhamnus catharlica,
26, 79.
TscHincH (A.) el Weioel (G.). Sur i'
baume résineux de V « abies p*^*»-
nala » (térébenthine de Slrsabooir •
26, 64. — Sur le baume r*«iocttx
du « Larix decidua *, 26, 79.
Tschuoaepp (L. A.). Sur la méibû*
xanthogénique de préparation à^
carbures non-saturés et son appi»«-
lion à la chimie des terpènes, fi.
184. — Sur le camphène du bcr-
néol, 26, 185. — Sur le Iboyéaf.
26, 185. — Sur le fench»œ de
l'alcool fenchylique, 26, i*^ j"
Nouveau procédé de puriflcalion du
bornéol, 26, 298. — Sur le hotti
lène, 26, 2^8. — Sur une oou«U*
réaction de la choleslerin*. ts»
312. — Sur la triboluroinescej»
des composés chimiques, 26, ♦**
— Sur le Ihuyène, un nouveau i^-
pène bicyclique, 26, 502. — ^^
une réaction du fer el de l'hyd'^
xylamine, 26, 510. — Sur 1» iriW
luminescence, 26, 929.
TsvETT {M ). Sur la plurtUléji^
chloropnyllines et sur les méM'
chlorophyllines, 25, 690. - Sof »
chlorophylline bleue, 25, 7U0. -
Dispositif pour l'observation «^
phénomènes de fluoresceivce elo'^P*
lescence, 26, 1031.
Turin (V. von). Sur la dhniottliao d'
pression osmotique qui résuli» <i**
changements de charge ém !«■''
TABLE DES AUTEURS.
12.SI
ZB, 949. — Addition à mon mémoire
« Sur la diminulion de pression
osmotique qui résulte des chans:e-
ments de charge des ions », X6,
TuRNKR (A. J.). Voy. Hewitt fJ.T.).
XuRNER (B.)* Sur la constante diélec-
trique des liquides purs, S6, 880.
TuRNBR (H. J.). Voy. Kemsen (J.).
Uhlbnhuth. Voy. Bordet.
Ullmann (F.) el Bieleoki (J.). Syn-
thèses dans la série du biphényle,
««, 1076.
Ulllmann (F.) et Pasdermadjian(G.).
Nouvelle synthèse de sulfones aro-
matiques, iSy 540.
Ullmann (J.) el FoiiNARO (A.;. Sur la
préparation de roxychloruro de
phosphoreuse, 1122.
Ulpiam (C.) et CoNDELLi (S.). Asy-
métrie el vilalisme, <6, 527. —
Marche de la scission d'un corps
racémique au moyen de moisissures,
Umbgrove (H.). Voy. Haller (A.).
Unbuu (M. von^. Voy. Erdma.nn (H.).
Urbain (G. el E.). Sur risolcmenl de
ryttria, de l'ytterbine el de la nou-
velle erbine, SS, 383.
Valeur (A.). Action des dérivés orga-
no-magnésiens sur les élhers des
acides oibasiques, S6, 339.
Vallée (C). Action de quelques
acides sur les carbonates alcalino-
lerrcux en présence de Talcool, SS,
393.
— Voy. Bordet.
Va.ndeuplancken (J.). Aréomètre pour
Fessai Reichert-Meissel, !S5, 990.
Vanino (L.).Sur Taction des solutions
aqueuses d'aldéhyde formique sur
le coton-poudre, 26, 739.
— Voy. Stobckl (K.).
Vanino (L.) el Hauser (0.). Combi-
naison du chlorure de bismuth avec
les bases organiques, SU, .'M)8. —
Réduction des nitrates métalliques
par l'acide lactique, S6, tK>t>.
Vanmni (F.). Voy. Magnanim (G.).
VaL'bel (W.). Relation enlre le pou-
voir réactionnel de l'acide sulfurique
et sa concentration, S6, 562. —
Contribution à la connaissance de
l'iode et de la coloration des solu-
tions d'iode, 26, 1 182.
Veley (V. H.) et Manley (J. J,).
Plusieurs propriétés physiques dos
solutions d'acido nitrique, 86, 337.
Velscn (J. \'.). \'oy. Parthf.il (A.).
Verley (A.). Sur les éthers sulruri-
ques acides des phénols, 8S, 46.
Verneuil (A.). Sur les productions
secondaires Tormées dans l'action
de l'acide sulfurique sur le charbon
de bois, SS, 684.
Verschaffelt (J. E.]. Les écarts de
la loi de Boylc dans les mélanges
d'eau et de gaz carbonique, SK6, ixH.
Vespignani (G.B.). Kov.Carrara^G.)-
VkzES (M.). î^ur les sels complexes du
platine.Oxalonitrilesalcalino-lcrreux,
SS, 157. — Sur les composés d'ad-
dition platinoso-platiniques, 8S, 1G2.
ViGNON (L.). Sur les nitrocelluloses,
SS, 130. — Sur la réduction des
nitrocelluloses, 85, 133. — Oxy-
celluloses du coton, du lin, du
chanvre et de la ramie, 85, 135. —
Cellulose, cellulose mercerisée, cel-
lulose précipitée, hydrocellulose,
85, 137.
ViGNON (L.) et Couturier (F.). Sur
certaines causes de la variation de
la richesse en gluten des blés, 85,
650.
ViGNON (L.) et Ghrin (F.). Dérivés
acétylés de la cellulose et de Toxy-
cellulose, 86, 139.
ViLLiERS (A.) et Collin (E.). Traité
des altérations el falsifications des
substances alimentaires, 85, 93.
ViLLiGER (V.). Voy. Baeyer (A.).
Vis (G. N.). Adolf Claus (Notice né-
ci'ologique), 86, 655.
VoLKOF (A.) et Menschoitrine (B.).
Action de la poudre de zinc sur le
bromure de triméihylcne, 86, 5.
Vonoerichten (E.). Sur Péiher mélhy-
lique de la luléoline, 86, 187. ~
Sur l'apiine, 86, 188.
Vorlaender '^D.). Sur l'addition de
dérivés cétométhaniques aux com-
binaison non saturées, 86, 212. —
Formules de constitution des acides,
86, 898. — Oxydation de l'acido
azoteux et des nitrosamines, 86,
899. — Sur Toxydation des dérivés
azotés, 86, 899.
Vorlaender (l).)el Humme (E.). Oxy-
dation des acides arylamine-diacé-
tiquos, 86, 9;J0.
Vorlaender ([).) et Mkusel (\V.).Sur
les éthers des acides acylpliénylgly-
cine-o-carboniques, 86, /6.
Vorlaender (D.) el Mlmme (E.). Sur
l'acide anildiacél-o-carbonique, 86,
74.
12.12
TABLE DES AUTEURS.
VORLAENDER :,D.) et SCHILLING (H.
von). Action de Tacide azoteux sur
Tacide o-toluidine-diacétique,<6,916.
VORLAENDER (D.) et SCHROKDTER (H.).
Sur l'action de Ta'îide clilorhydrique
sur la nitroso-o-tolylglycine, S6, 917.
VOSS (U.). VOV. MiCHAELIS (A.).
VoswiNCKEL (H.). Sur les dérivés du
triazane, S6, 232.
Vriens (J. g. C). Recherches sur
rabsorptioQ, S6, 858.
VuLTÉ (T.). Voy, Hermann.
W
Wag.ner (E. E. jun.). Sur rallylmé-
thylisopropylcarbinol, S6, 463.
Wagner (G.) et Brickner (W.). Le
bornylène, un nouveau terpène, ItB,
435.
Wahl (A.). Réduction des éthers
nitrodiméthylacryliques, SS, 612. ~
Sur la nitration directe dans la
série jurasse, <S, 046. — Sur le
nilpoacétale d'élhyle, SS, 694. —
Action dp- Tacide nitrique fumant
sur les acides acryliques substitués,
«5, 804. -^ Sur Tacide diméthylpy-
ruvique, SS, 896. — Sur le niti-o-
acétate d'éthyle, SS, 918.
— Voy. BOUVEAULT (L.).
Walbaum (H.). Sur l'huile de néroli,
S6, 62. — Sur la présence de
l'alcool phénylclhylique dans les
roses, Së, 310. — Sur la civette,
le jasmin et la rose, S6, 310. —
Sur la présence de Téther méthylique
de l'acide méthylanthranilique dans
l'essence de mandarine, S6, 646.
Walder (F.). Voy. Taeuber (E.).
Walker (C). Voy. Perkin (W. H.).
Walker (J.). Dosage de l'acide car-
bonique atmosphérique, S6, 78. —
Relation entre la coiStante de dis-
sociation des acides faibles et l'hy-
drolyse de leurs sels alcalins, 9H,
597.
Walther (R. von) et Clemen (J.).
Contribution à la connaissance de
l'a-mélhylcétol, «6, 421.
Walther (R. von) et Stenz (A.).
Action de l'acide chloracétique et de
la chloracôtone sur la thiooarbani-
lide et la thiosemicarbazide, S6,S95.
Walther fR. von) et Wetzlich (A.).
Action aes ala<''hyde8 sur l'acide
Ehénylacétique et le cyanure de
enzyle et quelques-uns de ses déri-
vés pour obtenir le stilbène et ses
dérivés, ««, 294.
Want (G. van der). Voy, Gertel
(A. C.).
Wauters (J.). Recherche du b'unt
de coco dans le beurre el la marn-
rine, ft^, G52. — Analyse de I>jq
d'un puits artésien d'U8l«tndr, S5,
767. — Recherche du beurrt àt
coco dans le beurre de cacao et d«s
le chocolat, SS, 767.
Webel (F.) . Voy. Kostanecki [i^i. tou
Wedekind (E.). Action de Taldehyde
formique sur le menthol, %û, *17
— Préparation des anhydrides d'»Q-
des au moyen d'aminés teKiair»,
tM, 968. — Action des baises t£^
tiaires sur le bromomalonate dr
méthyle, <6, 969.
Wbdekind (E.) et Habussizrvas!* (J/i.
Action du chlorure de ben]M>\le sur
l'éther éthylique, ItH, 1068.
Wedbll-Wedellsborg (F. S.). Héf«-
tation d'une loi très générale el ttv*
importante de réiectricité modemt.
se, 848. — Sur le théorème i
Poynting, «6, 8S2.
Weoscheider (R.). Sur rétbê.jfic»<i«i
de Tacide 3-nitrophtalique, M, 'Ai
— Sur la transformation d<* la dt-
chonine ; contribution à la tfa<-om
de l'action catalytique, SU, H64. -
Sur la forme la plus ^nérale Aa
lois de la cinétique chimiqu'' é»
systèmes homogènes, SU, ssi —
cur la décoinpositioQ du nilriie
d'ammonium, M, 10:16.
Weigel (G.). Voy. Tschircu \A.)
Weil (H.). Sur la base de rosanili»
colorée, tB6, 145.
Weinland (R. P.) et LBHVA?(^ iP
Action de l'éthylate de sodium et
des alcalis sur le penlaeulfure é'v^
senic, S6, 563.
Weinschenk (A.). Sur les produit*
de condensation de l'acide karbiiB-
rique avec les aldéhydes arumtti-
ques, <6, 922. — Sur une coad«Q-
sation de l'acétone avec Turéc, tt.
967.
— Voy. Tafel (J.).
Weisbero (J^. Voy. Engler -C).
Weiss (F.). Sur la' diastase prct^U"
tique et sur une diastase coa^sutank
dans le malt, S6, 331.
Weissbbrger (R.). Sur une combioa^
son du potassium et du fluoriiK,
«6. 699.
— Voy. Kraemer [G.).
Wells (H. L.j. Sur un periodate «-i
un iodoperiodate de cé8iura,SS,lCC^-
— Sur la puriOcation du céâioD.
«•, 1054.
Wells (H. L.) et Beariwîley II. P.
Recherches sur les nitrate.* di>ub)(«»
«6, 1052.
Wells (H. L.) et Metxokh P. i^
Sur un sel de Tan timoi oe quadri fi-
lent, «6, 1051. ~ Sur le« nitrate»
acides, 9S, 1051.
TABLE DES AUTEURS.
12S3
Wbnzel (F.). Voy, Kaufler (F.).
'Wbnzbl (G.). AdioQ du brome ol du
Bulfbre de carbone sur les combi-
naisons m<'*lhyl6nique8 sodées, €6,
901. — Sur l'action des halogènes
et du sulfure de carbone sur les
dérivés méthyléniqucs sodés, tB6,
198.
— Voy. SiMOMs (H.).
Werder (J.|. Dosage du mercure
dans Turine, «I, 4o6.
W^EH^iER (A.). Sur les composés stéréo-
isomériqucs du cobalt* S6, 886. —
Sur les sels 1.6-ehloronitritodiéthy-
lène-diaminocobaUiqueMf €6, 888.
Werner (A.) et Gerb (L.). Sur les
dérivés 1.2-chloronitritodiélhylène-
fliamino-cobaltic|ues, SU, 889.
Werner (A.) et Gi'bser (A.j. Sur les
hydrates du chlorure chromique,
<«, 1124.
Werner (A.) et Hum^hret (E.). Sur
les sels dinitrodiéthylènc-diamino-
cobaltiques stéréo-isomériques, €6,
886.
Werner ^A.) et Kunz <J.). Sur les
phénantbrylaroines, tB6, 1090.
\Ne«8ely(L.\. Sur un aldol résultant
de la condensation de l'aldéhyde
isobutyriquo avec l'aldéhyde formi-
que, 96, 8*.l3.
Wkst m. h.). Voy. LowRT (T. M.).
Weszblsxky (von). Nouveau dosage
volutnétrique des bromures en pré-
sence de chlorures et d'iodures,S6,
806.
Weteel (G ). Les substances organi-
3ues des coquilles de Mytilus et
e Pinna, M, 31.
Wetzel (J.). Perfectionnement à l'ap-
pareil à potasse do Geissler, S6,78.
Wetzlicu (A.). Vo/.WALTHER(H.VOn).
Wharton (F. M.). Voy, Frankland
(P. F.).
AVheeler (A. S.). Sur la réduction
• de l'acide déhydromucique, S6, 1 109.
'W'Hr.ELER (H. L.). Amidiuc-thio-urées,
corrections les concernant, S6, 692.
W^HEELER (H. L.) et AUSTIN (G. K.).
Transposition moléculaire dans la
série des éthers thiocarbamiques
subtitués ; sur les dérivés de l'acide
phénylimidotbiocarboniaue et des
Mhers tbiosemicarbazidiqnes, %^,
390.
WuEELER (H. L.) et Johnson (T. B.).
Sar les éthers acétyl- et bcnzoyl-
iminotbiocarboniques, ItB, 1096.
WuBBLER (H. L.) et Merhiam (H.).
Sur l'action des thiocy anales et
isothiocyanales alcoylés sur les Ihio-
acides, «6. 677.
Whetham (W.C. D.). La di«.socialion
des solutions au point de congela-
UOD, «•, 838.
WiCHBLHAUS (H.). Appel à la pru-
dence dans l'emploi de l'acide diazo-
benzone-sulfonique, <6, 489.
WiEDERMANN (F.). Voy. Langer (Th.).
WiLDERMANN (M.). Ls cryoscopic en
solutions étendues et la théorie des
solution.s, «6. 596.
WiLKE (VV.). Voy. Krafft (F.).
VViLLBNZ. Un mot sur les 11 1 très tan-
nés, ft^, 708. — Sur un succédané
de la céruse, SS, 992.
WiLLGERODT (C.) et ArNOLD (E.).
Transformation de la p-nitraniline
en triiodo-, tétraiodo* et pentaiodo-
benzènes et éludes des produits
intermédiaires, S6, 1146.
WiLLOERODT (C.) cl Er.nst (W.). Sur
les dérivés du diiodonitrol)enzène
symétrique avec l'iode polyvalent,
«6, 1148.
WiLLGERODT (C.) Ct JaDLONSKI fS.).
Sur les acides quino-A : i9-a-phônyi-
et quinowi : />-a-méthylquinoléine-
v-carboniques, 96, 180.
WiLLGERODT (C.) et Néandbr (E. vod).
Sur les acides quino-a : p-x-phényi-
et quino-s : p-a-méthylquinoléine-Y*
carboniques, 96, 181.
WiLLGERODT (C.) et ReGGATZ (H.).
Sur les composés iodosés, iodylés
et d'iodinium qui dérivent des mési-
tylènes iodé et chloré, 96, 397.
Williams (P.). Voy. Dawson (H. M.).
WiLLSTABTTER (R.) et lOLAUER (F.).
Action de l'acide hypochloreux sur
les aminés tertiaires, 9S, 111.
WiLLSTAETTER (R.) tt LeSSINO (R.).
Formation en partant de la quinite
d'un carbure d'hydrogène C"H'%
«6, 434.
W11.SMORE (N. T. M.). Sur les poten-
tiels d'électrodes, ««, 878.
WiLsoN (D. R.). Voy. Luther JR.).
WiLSON (H. A.). Vov. Smithells (A.).
WiNKELBLECH (K.). Sur les électro-
lytes amphotères et les sels internes,
<e, 1036.
Winkelmann (A.). Observations sur le
mémoire de Woringer (B.), <6, 864.
Winklbr (C). Chimie inorganique et
chimie physique, €6, 241.
Winkler (L. W.). Sur la solubilité
des gaz dans Teau, <6, 949. — Do-
sage du calcium et du magnésium
dans les eaux naturelles, ttB, 955.
— Sur la valeur de correction du
ménisque du mercure, €6, 10('>6.
Winter (B.). Voy, Fischer (A.).
WiNTREBERT (L.).Sur quclques csmyl-
oxalales, «S, 693.
WisiNGER (0.). Sur quelques dérivés
de la pyrocatéchine, €6, 1132.
WlSLICENUS (W.) ct KORDER (H.).
Sur une migration intra moléculaire
dos groupes acylés, €6, 286.
80C. CHIM., 3* 8£r., t. xxv-xxvi, 1901.
78
1284
TABLE DES AUTEUHS.
WiTT (0. N.) et Theel (W.). Sur les
terres de la cérite, S6, 2.
WiTZ (R.). Voy. Hantzsch (A.).
WoERNEB (E.) et Thierfelder (li.).
Recherches sur la composition chi-
mique du cerveau, €6, 327.
WoHL (A.)- Sur les amino-acélals et
les amino-aldéhydes, S6, 974.
WoHL (A.) et Neuberg (C). Contri-
bution à l'étude de Taldéhyde glycé-
rique, S6, 371.
WOHLGEMUTH (J.). V^0[^. NeUBERO (C.>.
WoHLK (A.j . Préparation de Taciae
acrylique à partir de la glycérine,
<6, 373.
— Voy. BiLLMANN (E.).
WoLF (C. G. L.).Electrolyse du chlo-
rure do sodium, S6, 523. — Point
de fusion de Thydrato de chloral,
se, 534.— Point de fusion de Péthcr
formylphénylacétique, S6, 534.
WOLFFENSTEIN (R.) et GrOLL (F.).
Sur Tiodhydrate d'hydroxylamine,
9B, 9i9.
— Voy. Kattwinrel (P.).
WOLPERT (E.), Vov. Busoii (M.).
WooD (ï. B.). Voy. Adie (T. A.).
WooDMAN (A. G.) et Cayvan (L.).
Dosage des phosphates dans Teau
potable, se, {m.
WoRiNGER (B.i. Sur les tensions de
vapeur d'une série de corps benzé-
niques, S6, 863. — Réponse à
M. Winkelmann, S6, 864. — Sur
la dispersion rotatoire de l'acide
malique, S6, 1033.
Wroblewski (A.). Sur une méthode
de cristallisation permettant d'éviter
la formation de croûtes à la surface
de la dissolution, S6, 1028.
WaocHEM (J. von). Voy. Mylius (F.).
Wyroi;boff (G.). Sur les oxalates
doubles complexes, SS, 98. — Re-
cherches sur les solutions, S5, 105.
— Sur les sels complexes de chrome,
SS, 5t>4. — Sur les colloïdes, S5,
994, 1016.
Wys (J. J. A.). Contribution à l'élude
de l'huile de Macassar, S6, 731.
YouNG (G.) ot Eyrk ( VV.). Oxydation de
la bonzalthiosemicarbazone, S6, 225.
YouNd ((i.) et Oates (\V. H.;. Con-
tribution à la chimie des triazols ;
lm<^thyl-5-oxylriazol, S6, 782.
YouNo (S.). Pressions de Tapesr,
volumes spécifiques et consUots»
critiques de Toclane normal, SC, 71
— Sur la conductîbiiilé éleclrUjae
du chlorure stanncux et de Tacide
chlorhydriquo, S6, 339.
Youiso (S.) et FoRTEY (E. C). Pr«-
sionsdc vapeur, volumes 8pr>cifiqo«»
et constantes critiques du diisopro-
pyle et du diisobutyle, Ml, 72,
Zagrebin (W.). Sur les constante* de
vitesse de la formation des ethers
simples, «•, 859.
Zah.n (0.). Sur l'acide o-amîdosalto-
lique, se, 417.
Zalesri (J.). V'ov. Nbncki (M.).
Zawidzki (J. von). Sur la compositioa
des couches superficielles de» isola-
tions aqueuses, !M, 873. — Sur !««
tensions do vapeur des mt^litages
liquides binaires, S6, 87?.
Zengeus (C). Sur la théorie de la
catalyse chimique. S6, 241. — ^'ar
le dosage volumétriquo du f«r et (W
rétain au moyen du chlorure stan-
neux, 96, 105J.
Zernop (V.). Sur l'ioduratioo par le
chlorure et le bromure» d'iode, SC.
465.
Zeynbk (R. V.). Sur rhématine H
r bémochromogène produits par
l'action de la pepsine chlorhydnq««
sur l'oxyhémoglobine, 1B6, 316.
ZiNCKB (Th.). Sur l'action de l'acide
azoteux sur les dérivés chlorée «t
bromes des phénols, !B#, 404 --
Sur l'histoire des quinols. M, rû7.
— Action de Tacide hypochloreoi
sur l'acide diazobenzène-sulfontqae,
«e, 1099. — Sur l'action de l'acid*
azotique sur les dérivée halogéoA»
du paracrésol, 9St 1131.
ZsiGMONDY (R.). Remarques au su>t
d'sn mémoire snr la nature oc*
solutions métalliques dites colloïda-
les, se, 884.
ZuMBUscH (L. von). Sur la bilifuscioe.
SU, 816.
ZoNiNO (V.). Déshydratation de II
sélônite et hydratation de ranhvdnff.
se, 525.
— Voy, Magnanini (G.).
Zweroer. Voy. Skraup.
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES
(tomes XXV ET XXVI, TROISIEME SÉRIE, ANNEE 1901, «ft ET «•)
Abiénique (Ac). Extract, de la tér»^,-
benthine de Strasbourg. Propr., ItB,
64 {TschJrch, WoJgel).
Abiktinolique (Ac). Extract, de la
térébenlhine de Strasbourg. Isom.
oe et p. Propr., Stt, G4 [fschirch,
Woigvl),
Abiktolique (Ac). Extract, de la té-
rébenthine de Strasbourg. l'ropr.,
ItS, 64 (Tschirch, WoigoJ).
ABiÉTORÉskNE. Extract. de la téré-
benthine de Strasbourg. Propr. , %B,
&k(Tachirch, Waigol),
AB8ORPTJ0N. Voy, Bandes.
ACÉCULORPLATI.NE. Voy. PlaTINE.
AcÉNAPHTÈNE. Héduct. par H en prés.
de Ni et Cu, «S, blO (Sabatior,
ScDdercas).
— (TÉTRAHYDRO-). Form. par réduct.
de racénaphiène, ItS, élO {Saba-
tier^ Scodt'reDs).
AcÉNAPHTÈNE-QUJNOffE. Act. de la
pbénylhydrazinc, S6, 89G (PetrcD-
Ko-Kritschcnko, Eltscbaniuof) .
ACÉTAL. Vo^V. ACÉTUKE (Aid.).
AcÉTALs. Limite et vitesse de form.,
SS, 340. — Act. do déplacement
des alcools, <S, 488, 575 {Dclé-
pine).
AcÉTAMiDE. Ion. sur la solub. des
osazones, 96, 30 {Noubcry). —
Aot. du dér. sodé sur les iodurcs
alcool., les chlorures d'acides, etc.,
comb. mol. avec Nal, NaBr, HB,
573, 075 [Titherloy). — Oxydation,
««, 1129 {Jolies).
— (Cyao-). Cond. avec les nitrosodi-
métbyl - et nitrosodiéthylanilines,
M, 91 (Sachs). — Cond. avec la
dicblorindone, S6, 1U5 {Laogcr^
WiederiOêDD). — Cond. avec l'élher
métboxymétbylène - acélylacétique ,
%%, 228. — Comb. avec CHCI', «6,
229 {Errera).
I — [laosulfoeyaD'). Identité avec la
thiohydantoîne, «6. 137 {FrcrichSy
Bcckuris).
AcÉTAiiiDK (Di-). Form. dans Tact,
du chlorure de benzoyle sur Tacé-
tamide sodée, «6, 573, 574 {Tither-
loy),
AcÉTAiiiDE (Ethtl-). Voy . Ethyl-
AMINE.
AcÉTAMiDE (Tri-). Form. dans Tact,
du chlorure de benzoyle sur Tacc-
tamide sodée, S6, 573 (Tiiherlcy).
AcKTANiLiDE. Voy. Aniline (Aciî-
TTL-).
' ACÉTHÉMINE. Voy. HÉMINE.
Acéthydhoxamique (Ac). Form. au
moyen de l'ac. hypoazoteux et do
Tald. acétique, «8, 519 {Aaqeli,
AngcUco). — Form. par oxyd. do
l'acétaldoxime, Propr., %B, 992
{Bambcrgcr, SchcuU).
ACÉTIMINO-ÉTHYLIQUE(AZ-a-NAPHTYL-)
(Elher). Form. dans Tact, de C'H*I
sur Tacétyl-iz-naphtylamine en prés,
de Ag*0. Propr., sels, 2e, 988
{Landcr).
— (Az-P-Naphtyl-) (Ethpr). Prép.
à part de racétyi>naphtylamine.
Propr., sels, 26, 988 {Landcr).
— (Az-PHÉNYL-)(Ether). Prép. à part,
de racélanilide, 26, 988 (Under).
— (Az-o-ToLYL-) (Elher). Prép., propr.,
sels, 26, 988(/.ônJe/-).
— (Az-p-ToLYL-) (Kther). Prép.,
propr., sels. 26, 988 {Landcr).
Acktimino-mkthylique(Az-o-Tolyl-)
(Ether). Prép. par éthylation de l'acé-
tyl-o-toluidine en prés, de Att*0,
26, 988 {Landcr).
Acétique (Ac). Const. therro. de Tac.
et de l'éthcr éthyl., 25, 361 [Dde-
pJne). — Comb. avec la diphényl-
carbodiaziiie. 25, 378 {Cazeneuve).
— Act. sur les carbonates alcalino-
terreux en présence d*alcool et d'a-
cétone. 26, 394 (Vallée). — Form.
dans 1 act. du bacillus tartricus sur
div. sucres et tartrates, 25, 415
{Grimbert). — Act. sur le nitrate
de bnicine, 26, 428, 532 {Caze-
123J
TAULE DES MATIÈRES.
Dcuvc). — Gond, de l'éther élhyl.
avec le pyromucate d*étbyle, 86,
440 [BouvcauH). — Comb. avec la
diphénylcarbazide, 8S, 450 {Caxe-
aeuvo), — Densité, viscos. et lens.
supcrf. des élbers benzyliquc et
§éranylique, 85> 521 {Jcancardt
'atic). — Ad. do bromure de Mg-
iso-amyle sur les étbers méthyl. et
élhyl., SS, 526 {Grignard). —
Pouv. rolal. de rétheriso-aniyl.net.,
«5, 549 (Guyt') . — Elhérif. du lina-
lol, du géraniol et du Ihymol, 85,
885, 88y, 892, *I5G {Charabot, Hè-
bcri^, — Forui. des étbers étbyl.,
méthyl., et amyl. dans Tact, du
chlorure d'acétyle sur les oxydes
d'éthyle cl de méthyl-iso-aroyle en
prés.de ZnCl', 8S, 896 {Descudé).—
Infl. sur la solub. de racélale de Na,
«5. 961 (Enklaar), — Poids moléc.
à la lemp. d'ébull., 8S, 963 [do
Forera na), — Prép. et propr. des
brom- et iodacétinos du glycol,
85, 971 (Htiary). — Form. dans la
déc. de la cire de figuier, 8S, 980
[Griistoiîf Sack). — Form. dans
i'acl. du ferment mannitique sur
div. sucres, 85, 991 Gayon, Du-
bourg), — Form. de Tac. sul Tonique
par déc. de Tac. acétone-trisulfoni-
quc, 8S. 1012 (DeJépiac). — Sel
luti^ocoballique, 8S. iOm (Klobb). —
Vit. d*acl. sur les nuiines aromat.,
86, 14 {McuscboutkiDii). — Indice
de réfracl. de la Iriacéline de la
glycérine, 86, 03(Par//i6i7, Vc/scd).
— Form. dans l*act. de H*0* sur
C*H% 86, 87 {Cross, Bevaii, HH-
bcry).— Comb. mol. avec les oximes
du benzile et du cétoxytélrahydro-
triphénylbeozéne, 86. 121, 122 (Po-
trcnko- Kritscbonko, Kasanczky) . —
Infl. de div. ag«>nts catal. sur la
dissoc. de Téther étbyl., 86, 261
{Eulcr). — Infl. des sels sur la
sépar. de Cl et Br par KMnO\ 86,
163 [Jannaschf Koclitz). — Prés,
de l'élher géranyl. dans l'huile d'eu-
calyptus, 86, 239 (Smith). — Dis-
soc. en sol., 86, 241 (Zeogniis). —
Prés, dans les coriaria, 86, 267
[EHstcrfield, Aston). — Pn^s. dans
l'essence de sabinc, 86, 269
(Fromm). — Prés, de Tac. glyoxy-
lique dans Tac. acétique du com-
merce, 86. 272 {Hopkios, Cote).
— Prés.de l'élher bcnzyl. dans l'es-
sence de jasmin, 86, 30vl (Hi'sso). —
Comb. de l'éther étiiyl. avec l'hé-
mine, 86, 322 {Nencki, Zalcski).
— Kcl. sur la peptasc d'orge, 86,
iW3 (Wmss). — Prés, dans l'huile
de Lilé, 86, Soi {VulttU Gibson). —
Act. sur l'iodure d'Az, 86, 356
{Chattawayt Stovens). — Transf.
en ald. formiquo par oxjd., 86,
370 {MulUken, BrowD, Frencày^
Prés, de l'élher méthyl. dans rboîle
de bois, 86, 4:^ (Frapn). — Do-
sage, 86, 442, 443 (Sparrr). — Art,
de la lipase sur rèlber éihyl., 86,
445 {Kastlc^ Loevenhart). — Tri-
bol uminescence du sel d'urcfio, 86*
458 {Tschugaeff). — Act. de I etBr
en prés, de P, 86, 445 \Xcmof^.
— Cond. de l'élher élhyl. avtJt
Tald. benzoïque, 86, 472 {iâichffh-
— Poids mol. en sol. dans AzC,
86, 527 {Bruni, Berti). — Fropr.
Iherm. de Tac. surfondu, 8C âi7
{MorescbiDi). — Propr. de t'élbar
du peroxyde d*élhyle, 86, 531 (^«e-
yer, VUligcr). — AcL de réiher
élhyl. sodé sur le bromure de dimé^
Ihyllrimélhyléne, 86, 5:& ilpmlirt.
— Conduct. éleclr. cl bydrol. da
sel de Na, 86, 597 \Waikvr). —
— Relal. entre la conduct. elecir.
et Tact, toxique sur les poifla^oos.
86, 613 {Kahleaborg, Afehiu —
Ëlectrol. du sel de K, 88. 615 fPt^
terscD). — Vit. de Torm. des élben*
phénoliques et alicycliquaa, 88,
615 (Panoi). — Inn. du sel de Mo
sur la vitesse d'oxyd. des m>\. oxa*
liques, 86, 65'J iJorissen^ B^jfben
— Vil. do sapon. de rétlier metbyl
en préi*. d'acétone et de glvoériitr.
86, 65) {HemptioDo). — Vit. da
sapon. de l'élher élhyl. par llc( el
BavOH)", 86, 6ri9 [Gold%ebmkH\
— Dissoc. des sels de Na et K dana
l'eau et les aie. méthyl. et <>lb>l..
86, 660 {xfoD(is).-^ Solub. de létlH-r
élhyl. dans les sol. aallnea, 86,
674 {Euler). — Acl. de Na H da
benzoale d'élhyle sodé ^mr l'éthT
élhyl., 86, 677 {Rrformatuky . —
llydrol. des éthers isoam} lique «1
isobulylique en prés, de div. mé-
taux. 86, 7.16 (Suie). — Inn. sur la
vit. d'bydrol. de COS, 86, 8b*i Muck-
bock), — CoeflT. de partase entra
l'eau et la saponine, 86, 873 {Za^
widzki), — Chai, do neutral. par
KOH et AzH' alcool., 86, 874 Ta-
natar^ Kiimeako). — Form. dans
la rermenl. du lait et du fflucod^e,
86, 929 {EmmerJing). ^ Lafl. de
l'ac. ot des sels sur la di<iuM>c. dé
As*0* dans Teau, 86, 1032 iùrur-
kor). — Infl. des sucres sur La »a-
ponif. de l'élher élhyl. par NaOH,
86, 1041 {CoboD).^ Inn. dos ooik-
électrol. sur la saponif. des èlhars,
86, 1048 {KuHgrecD).
— {AmiDO') (Ac. ), {8ya, OLtoe-
colle). Formation par red. de
l'élher nitroacéUqoe, 8S, S40 tBoth
veault, Wahl), -— Form. par oxyd.
de Tac. urique, 85, 383 [Hugott'
TABLE DES MATIÈRES.
1287
oenq). — Comb. avec Tac. benzoï-
ope dans le rein, ItS, 703 {AboJous,
Wbaut). — Form. par péd. de
l'ôlbor Dilro-acétique. Cood. arec
ritocyanale de phényle, tK8, 922
{Wahl). — Form. par déc. des
albumines d*os de bœuf, itS, 941
(Etard). — Neutral. en prés, de
div. indicateurs el des phosphates,
ItS, 965 {Berthelot). — InH. sur la
solub. des osasones, S6, 30 [Neu^
berg). — Form. par décomp. de la
conchioline, S6, 31 {WetzcJ), —
Ad. sur U glycérine, 1M, 89 (Bal^
bianOy Trasciatti). — Act. du
chlorb. de glycine sur COAzK et
CAz^K, )e6, 311 (Marries, Maurus).
— Form. par autolyse de Textrait
de foie, M, 318 iJacoby). — Act.
de AzO*Na et HCl, «6, 333 (Jo-
ehem), — Act. de KMnO', ««, ^.
— Form. par oxvd. des bases puri-
ques, %û, 576 (folles). — Prép. et
propr. de Téther ôthyi.; cond. avec
réther acétylacélique , raeétylacé-
tone, Tacétonylacétone , Tisosulfo-
cyanate de phényle, COCl' et CS",
S6, 742. — Form. i part, des ro-
gnures de corne, )t6, 744 {E, FiS'
cher). — Oxyd. de Tac. et de l'élher
étbyl. par KMnO\ «•, 816 [Jolioa).
— Oxyd. par KMnO*, ««, 899
j Vory«ender). — Transform. dans
rorganisme, S6, 938 (Lang). —
Porm. par oxyd. des alburoin., %%i
940 (Jolies). — Dissoc. des sels,
%e, 1037 (Winkelbloch),
- (Bis-azoxy-) (Ac). (Syn. Triazoxy-
agétique]. Prép. au moyen de Tac.
bifi-diazo-acéttque. Propr., sels,
éthers, <«, 689 (Haniiaeh, Leh-
monn).
- (Bis-diozo-) (Ac). tâyn. Triazo-
A<:i£TiQUE]. Act. do Br, de AzO*.
Form. par roduct. de Tac. bis-azoxy-
acétique, 96, 689 (Hantiscb, Leh-
mann),
' (Brom-) (Ac). Act. sur la pyri-
dine, ItS, 528 (Simon^ DubreuU).
— Cond. de Tétber éthyl. avec les
chloro- et bromo-phénols sodés,
^6, 44 (Biscboff). — Cond. avec
r s-mélhylisobeptenone, S6, 3 JO ( Tie-
mana), — Act. de l'éther éthyl.
sur la benzamide sodée, tB6, 573
{Tiiberlcy). — Cond. de Téther
éthyl. avec le ti-ot^diphénylimidazol,
itm, 1000 [KuDckoU, Donath),
- \Cblor-) (Ac). Pouv. rolat. do Téther
iso-amyl. act., «S,549 (Go/e). — Act.
mir Tac anthranilique et Tac phé-
nylglycine-o-carbonique, S6, 74
{Vorlaeader, Mummo). — Act. de
KSH, CAzK, CAzSK sur lis ami-
Ma aik)roat., 1S6, 135 iGrotbc);
\, 136 (Frerichs, Bcckurts). —
Cond. avec la thio-urée, S6, 137
(FrcrIcbSt Beckurts). — Propr. du
sel de morphine, S6, 287 (Salzer),
— Form. à part, du glycoeolle, HB,
333 (Jochom), — Comb. avec
Tac o-aminosalicvlique, IB6, 417
(Zabà). — Cond. du chlorure avec
la pbénacétine en présence de
AlBr», «6, 486 (Kanckell)..-^ Act.
sur la chlorallylthio-urée, %By 497
(Dixon), — Cond. du chlorure avec
rélhylbenzéne, le cumène, le mésity-
léne et le cyroéne en prés, de AlCr,
«6, 622 (KuDckell, Koritzky), —
Act. sur les o- et p-toluidines, €6,
630 (Steppes), — Cond. du chlorure
avec les acétamides aromat. et
AlCl», «6, 633, 634 (Kuackell). —
Ad. sur COS, IMySbtiBuchbock),
— Chai, de neulral. par KOH et
AzH' alcool., S6, 874 (Tanatar,
KUmenko). — Cond. avec le phé-
nvlglycine, IB6, 900 {VorlaeDder,
Mumme). ^ Cond. du chlorure
avec l'acétylmésitylène et A1C1\ S6,
985 (Kuackell, Hildobrandt). —
Comb. de l'éther éthyl. avec le |i-a-
diphénylimidazol, M, 1000 (Kuae-
kell, Donath). — Comb. de l'éther
éthyl. avec le benzoyidithiocarba-
mate de benzyle, S6, 1097 ( W/ice-
7er, Johason).
— — (Di-) CAc). Pouv. potat. de
l'éther iso-amyl. act., 9^^ 549
(Guye). — Cond. avec la pyrocaté-
chine et le pvrogallol, S6, 171
[Bruhns), ~ Act. sur COS, S6,
862 (Bucbbock).
— — (Tri-) (Ac). Pouv. rolat. de
l'éther iso-amyl. act., SS, 51'J
(Guyc). — Poids mol. en sol. dans
AzO«, se, 527 {Bruni, Sorti), —
Act. sur COS, se, 862 (Bucbbock^.
— Form. de l'éther trichloréthyl.
dans l'act. de l'éthylate d'AI sur le
chloral, Se, 967 {Tistchcnko),
— (Cyan-) (Ac). Cond. des éthers
éthyl. et amyl. avec le formiato
damyle, S5, 15. — Cond. des
éthers avec les orlhoformiates et
l'anh. acétique, SS, 19 (Bollomont),
— Prép.; cond. avec les ald. aro-
mat., es, 593 (Fiquct). — Act. de
l'éther sodé sur les chlorures d'o-,
jn- et p-nitrobenzoyle , SI», 695
[Mavrojannis] . — Constit. de l'éther
éthyl. sodé, Se, 42 [Thorpo). —
Cond. de l'éther éthyl. avec la -y-
bromindone, Se, 108 (Schtossbcrg).
— Cond. de l'éther éthyl. avec le
chlorure de /^^anobenzylc, Se,
113 [Mosos). — > Form. des anilides
au moyen des chloracétanilides et
de CAzK, se, 135 {Grotho). —
Act. de Br sur l'éther sodé, Se,
201 (Wenzel), — Act. de iJr sur
i2â8
TABLE DES MATIÈRES.
le dér. sodé de Téther brome, S6,
202 (Errcrêf Pcrciabosco). — Gond,
avec le dirai, «e, 2J9 (Tiemann).
— Gond, de l'élhcr ^thyl. avec la
ni trosomélbylaniline, %By hS^iSachs^
Biy). — Gond, de l'élher élhyl.
avec l'acélonc, <6, 676 {Komppa).
,— Acl. sur div. diazoïques. Prép.
et propr. des hydrazoaes o- tih-
môlhoxy-, p-élhoxy-, o-carboxy-phé-
oylées, diphénylce, dilolylées, dia-
nisylées, p-nilrophénvlée, S6, 708
{Lax). — Gond, avec Vurée, la m6-
thylurée et la diméthylurée sym.,
«e, 755, 756, 758 (Traubc). — Act.
de Br sur IVlber étbyl. en prés, de
CS\ «e, 798 (Wenzcl).
{BromO') (Ac). Acl. de Télher
éthyl. sur l'élher cyanacélique sodé,
«6, 202 {Errcray Pcrciabosco),
[MéihylèDo-) (Ac). Prép. des
élhers mélhyl., élhyl. et amyl. des
dér. aminé, aoilidé, hydroxylé,
éthoxylé et mélhoxylé à part, des
orlhoiormiates et des étbers cyana-
céliques. Propr., S5, 20, 27, 36,
40, 45 [Bollomont).
— [Diazo') (Elher). Gond, avec Tac.
tétrabydrobenzoïque, tM, il 4 (Bra-
ren^ Buchner). — Transf. en dér.
pyrazolique, It^y 554 [Buchner ^
hcids). — Form.^ar oxyd. de lac.
hydrazo-acétique, V6, 691 (Hantzsch^
Lchmann),
— (Hydrazo-) (Ac). Prép. par réd.
dos ac bis-azoxy- ou bis-diazo-acé-
tiaue. Propr., sels, éthers, €6, 690
[Haatzscb, Lehmann).
— (HydroxylamiDO') (Ac). Form.
de 1 otiier élhyl. par réd, de Téthcr
nitro-acétiquu. Propr., cond. avec
risocyanalè de phényle, !S5, 924
[Wahî).
— (lodo-) (Ac). Prép., propr., S6,
465 [Zcrnof).
— [Nili'O') (Elher). Prép. à part, de l'é-
lher nilrodiméthylacrylique. Propr.,
sels, «S, 840, 810, 921 [Bouveault,
Wahl). — Form. i part, de Téther
nilromaloniquc. Propr., sels, 9S,
695, 9il [Wahl). — Acl. de HGI,
leS, 709, 1011 (B ou veau] t. Boa-
gcrl).
— iSulfocyViD') (Ac). Prép. des ani-
lides à part, acs cbloracetanilides ;
pi-opi-., ««. 1S6 (Grolhv, Froricbs,
Btickurts). — Prép. et propr. de la
mélhylanilide, de réthylanilido et
de la p-toluidide, 586, 136 {Frericbs,
Bockuris). — Comb. de Téther
cthyl. avec Tac. thiobenzoïquc, !M,
10'J7. — Prép. et propr. de Téther
ph<'nyl. ; comb. avec I ac thiot>en-
zoique, ««, 1098 (Whcelor, Joba-
SOD),
— (TTiio-) (Ac). Gomb. arec U bea-
zylidène-et la Irichlorélh} lidène4ta-
auiline, «6, 588 (Eibncr), — Om\>.
avec les isosulfocyan. de méihffe^
éihyle, etc., S6, 679 (U'/weif/.
Merriêm).
— (Tnazo-), Voy, Ack:TiQUS iBw-
diazo') .
— {Triazoxy'), Voy. Acêtiquc iBit-
azoxy-).
Acétique (Aid.). Gond, avec rorée,
tK5j 7 [Causse, Brisac], — Vil. ei
limite do form. et coast. ihorm. dc<
acétals du glycol, de la nMooitt, de
Térythrild cl de racétal élhylique,
S5, 851, 861. — Pi*ép. et propr. ik
TacéUl du S-naphtol. 95, 5/8. —
— Act. de 1* acétal sur la pinacoae,
la glycérine, Térythrile, la manaitc.
Form. cl propr. des ao^lalt cor-
resp., «S, 582, ttSH {Driépioc].—
Act. du chlorure d'acélyle sur U
paraldéhyde. Form. de la chlortcé-
tine, S5, 975 (Descudô). — Cood.
avec le nitromélbane, ^5, 978 [!*»-
ters), — Acl. do SO*H* fum.; font.
d*ac. disulfonique, S5, 1012 (DHr-
piac). — Acl. sur le chlorure de p-
nitrobenzyle sodé, !M, ôt ,Scbroe'
ter, Peschkes). — Form. dans r»cl.
de H«0« sur G*H«, ««, 87 (Croîs,
Uevaiiy Heibcrg). — Acl. de H^fO.
Transf. en mercabide. 1M, lâiHof-
mann). — Gond, do la paraldéhydr
avec ta p-aminoquinolèine et IV.
pyruvique, 9%, 181 [Wiiigeroài.
Jablonsky). — Gond, do la paraldé-
hyde avec l'ac. pyruvique el l'aoa-
aminoquiooléine, S6, l>â \\Villç^
rodt, Néaader). — Form. par oxyd.
à la lumière dea sol. aloiM)!. dt-
quinone, nilrobcnzène« etc., tf<
W)6 [Ciamician, SUbor). — Foim
par déc. de la diéthylhydroxylainint.
«e, 253 {Bcwad). — Form. pv
pyrog[én. de Talc, élhyl.. M, »*
[Iprtiof). — Form. par ox>d. à*
• div. cooip. organ., 96, 370 (Muilt-
km, Browa, Froncb), — Form. •
part, du niiréthane sodé, M, ^
[Torrey, Black), — Form. PJf
oxyd. de Tac. dicrotoniqoe, ••»
379 [PechmanD), — Cond. av#<: To-
toluidine, 9€, 427 {Eibner, P^t-
zer). — Acl. de Tac. hypoaiotaait
S6, 519 [Angeli^ Augclit^]- "
Form. par déc. du peroxyde d'ak-
élhyl., ««, 581 (Batyer, Villi^rr',
— Form. par pyrogén. df rak-
élhyl., «6, 534 (/pal/of . — Oiw»
des polymèrea, M, 601 [Baiteroù .
— Form. par pyrogén. dias vaptan
d'élher el d*alc. élhyl. en pris, de
Al*0», «•, 612 (nrigonef). -
Gond, avec les o- cl /i-loluidioes et
CAzH, ««, 681 {Steppea . - Acl.
TAULR DES MATIKHES.
1289
<]cs io4arc« de métbyle, éthylc et
Sropyln sur Toxime. Prép. cl propr.
es élhers isoro. corresp., M,
748 {Duo9taa, GouJding). — Comb.
avec divers albumin., 911, ^ti
(Schwariz)^ — Ad. du réact.de Caro
mr l'oxime. Dér. nitrosé, <•, 992
{Bambargor, Scheuti). ^- Form.
dan» l'nct, de la lumière sur les
met. d*alc. éthyl. et de div. quino-
nés, ald., etc., S6, 1025 {Ciamician,
Silbor). — Cond. avec Téthcr an-
thraniliquc, 96, WiQ iMi*hoor).
— {Chiot') lAld.). Propr. des chlor-
acétals ro^thyl., élhyl. et Mhylbutyl.;
act. sur les alcools ot phénols.
Prép. et propr. des chloracétals du
^ycol, de U pinacone, do la glycé'
rine, do rérythrilc et do la mnnnile.
Cbloracétals alcool, mixtes, 95, 576,
580 (DcJopinr\.
Acétique (Anhydrid»»). Act. sur Toc-
nantbylidènc ot le phénylacétylèiio
sodés, 95, 804, Slt {Mourcu, De-
laoge). — Prép. cl propr. do Tanh.
mixte acéto-pKlimélbylamioobenzoyl-
benroïquc dicldoré-8.6 , 95, 50)
{Scvcna) . — Anii. mixtes acelo-/>-
diméthylamino- et acôlo-p*<liéthyl-
aminobcny.oylt)on7.oïqucs lèlracblo-
rés, 95, 000, (i'^2 (Hathr, Umb-
grovr). — Action nur Tac. a-oxi-
mino adipique, 96« 88 {Dicckmuno).
— Action sur le peroxyde de
benxoyle. Peroxyde mixto d'acé-
tylo-benzoylc, 96, 98 {Hueyoi\
Viliigor). — Cond. avec l'ald.
bromo-5-salicylique, 96, 101 [Simo-
n/s, Wonzi'h, — Cond. avec l'ald.
/>-cyanobenzoique, 96, 112 \Moses).
— Vitesse d'hydratation, 96, 165
ilficliten' — Appl. à la prép. des
anh. d'ac. frnis, 96, 291 (A/-
bitzk}'). — (^omb. avec le broroal,
96, 535 (GabulU). — Act. sur les
aminés aromat., 96, G30 (Suiibo-
rough). — Anh. mixte déhydromu-
cique, 96, 1108 {Phelps, Ilulc).
Acétique (MERcuni-). Voy, Mercuhi-
ACÉTIQLK.
ACk;TIQUE (MÉTHYLMKTlIYLÎiNE-CYAN-)
(I)i-) (Elher). Prép. par cond. do
l*8Cclonr avec l'étbor cyanacél. ;
propr., 96, 676 [Komppu).
ACKTIQLE(MÉTHYLMKTUYLE.NE-DICYAN-)
(Di-) (Ac). Form. à part, de l'acé-
tone et de rélher cyanacél.; propr.,
dér. sodé, 96, 676 {Komppa).
AcKTOL. Form. par oxyd. biocbim.
du propylglycol , 95, 907, 909
iKling). — Form. de l'éther oxyde
éthylique par décomp. des ac. mé-
conique, ccménique et pyroméconi-
que. Propr., acétal, osazonc, semi-
rarbar^ne. 96, Tv'VO, 552, 558 \Pcra-
toDcr, lA*nnnrtti^ Tortorici).
AcÉTONAMiNE. Ppopr. de Toxime. Sels,
dér. beozoylé, 96, 746 {Kohn).
Acétone. Cond. avec la méihyl-l-cy-
clohoxèDe-l-oQe-4, 95, 246 [Bébal).
— Form. par déc. do Télher nitro-
dimétbylacryliaue , 95, .UO, 811
(HouvoauUy WabI). — Infl. sur la
décomp. de CaCO' par les acides,
95, 393 [Vallée). — Form. par
déc. de racélyloenanthylidèiie, 95,
AiS [Moureu^ De lange). — Act. de
l'iodure de Mg-mélbyle, 95, 644
(Geignard). — Form. dans l'oxyd.
du myrcéuoi, 95, 089 [Barbier). —
Prép. de Thydrazone crislall., 95,
862 {Frcundicr). — Comb. avec le
bromure de Mg-phënyle, 95* 944
(Tissier^ Grignard). — Act. de
SO*H« fum., 95, 1012 {Dclépiuo).^
Act. de CAzAzH\ 9(6, 91 (Gulo-
witsch). — Comb. mol. avec les
oximee du benzîlc et du c<Hoxyté-
trahydrotripbénylbenzêne, 96, 121,
122 {PotrenkO'KrHschauko, Kasa-
nozky). — Act. du nilrile d'amylc
eu prés, do HCl. Dér. iso-amyl-
oxylé, 96, 251 {Kissel). — Cond.
avec le pbénylacélylènc, 96, 284
{Favorsky, Skosarvvsky). — Cond.
avec les citrals isom., 96, 299
{TtcmniiD). — Comb. avec l'hé-
mine, 96, 822 [Ncockiy Zaloskf).
— Transr. en ald. Tormique par
oxyd., 96, 370 {MuIIiken, Brown,
Freucb). — Héducl. de Toxime,
96, 384 s^Strauss). — Piod. d'oxy-
dal., 96, 441 {Mullikea, Scudder),
— Infl. sur réleclrol. des sels de Cu,
Co, etc., 96, 457 [Spéransky, Gold-
beru). — (^.ond. avec le p-cycloci-
Iral, 96, 51(1 [Ticmann\. — Tons,
de vap. des sol. aqueu»cs, 96, 513,
514 (iWWori. — Propr. dissolv. des
vapeurs', 96, 514 [Liacoln], —
Electrol. des sol. acéloniques de,
Az()\\g, 96. 523 iKublenberg). —
Points (l'ébull. des mol. avec C*H*,
96, 59ô {t'bcrsole). — Délerm.
cryoscop., 96, 598 iLoornis). -
Infl. sur la vit. de sapon. de l'acé-
tate de méthylo, 96, 659 (Hemp-
tiunc). — Cousl. diéleclr., 96, 661
{Jones). — Cond. avec le ni tri le
malonique, l'éther cyanacél., 96,
676 (Komppa i. — Fluorénylhydra-
zone, 96, 698 {Diels). — Equil. des
systèmes eau-phénol-acélone, 96,
736 {Schreinemêkers), — Act. des
iodures alcool, sur loximr. Form.
et propr. des others melhyl., élhyl.
et propyl. isom., 96, 747 {Duns'
tanj OouldingK — Act. do KOH,
96, 833 [Koelichtn). — Infl. sur
div. vil. de réacl., 96, 860 (.l/cn-
schoutkinvj. — Form. par dec. du
nilrile x-oxy-isobu lyrique, 96, 893
1240
TABLE DES MATIERES.
(Frankc), — Vil. de réacl. avec la
phénylhydrazine, l'hydroxylamine et
rhydrazino, «6. 896 [Pctrcnko-
Kritschonko, LordkJpàiiulxc^ EU-
scbaDiaof), — Applic. à la pupif.
des tannins d'alculoïdcs, 1^6, d57
{Kippeuhorgrr). — Comb. avec
l'urée, ««, yi37 {Wcinschcok). —
Form. dans la dôc. do Tac. nilro-
isobulyriquo , «6, 970 ( Piioty ,
Schwcrin). — Form. dans l'act. de
la lumière sur les inèi. d'à le. iso-
' propyl. et de quinone. <6, 1025
[CJamieian^ Silbor). — Indice do
réfr. des mél. d'acétone et «l'éther.
«e, i030 (Cunurus). — Inn. sur la
sapon. de l'acétate d'éthylo par
NaOH, <•, 1048 [KullgrcPD). —
Dos. dans l'urine. AcI. do la liqueur
do Fehiing sur l'hydrazonc, €6,
1068 {Bioghr].
— [Nitro-]. Propr., «6, 384 (Ht^nry),
— {Oxy-) [Di'). Form. par ferment,
de la glycérine, SS, 788 {Bertrand,
Sazerac). — Prés, dans lo glycé-
!*ose. Sépnr. do l'ald. glycérique.
Tpansf. en p-acrosc, «6, îftâ [fVohJy
Ncuberg).
AcfTONK-DiCARnoNiQUR (Ether). Act.
de CAzCI sur le dér. sodé, «5, 048
{Déromo). — Gond, du dér. sodé
avec la dichIoro-2.8.3-naphtoqui-
none, «6, 108 {Mhhal). — Cond.
avec l'aniline ; mono- et di-anîHdes,
%e, 425, 426. -- Cond. avec la m-
phénylène-diamine, €6, 427 {Bost'^
nom, Garbcn). — Cond. avec le
p-nitrodiazobenzùne, S6, 489 {Bu-
Jow\ I/opfoor).
— [CyaoO') ^Elhcr). Act. des iodures
alcool, sur le dér. argent. ; sel de
Ou derélher motliyl., «5, 648 {Dô-
romr).
A'^KTONK - DICARBONIQUE { MkTHYL - )
(E:hcr). Prep. et propr. du d^r.
cyané, 2S, 61H {Dt'romc).
ACKTONE - mCARUONlQL'E ( PbOPYL - )
(Elher). Prép. et propr. du dér.
cpné, <S, U48 [Dôromo).
ACETONE-DI-tlŒE. VOV. UhÉE (AcÉ-
T0NE-DI-).
AcKTONE-TniSULFONIQUE-i.8.8 {kC. ).
Prép., pmpr., 25, 1015 {Dolôpioo).
AcKTONiTRiLE. Comb. mol. avec les
sels do chromo- trichlompyridine,
««, 18'.) {l*fei(ror). — Transf. dans
l'organismo, ««, 4i8 {Pctry). —
Propr. dos dissol. do Ag.VzO* et
CdP, 26, r»22 (Kahlenborg). —
Form. dans Tact, du chlorure do
bonzoyic sur i'acôtamide sodée, 211,
578 [Tithi^rloy].^- Consl. diélcclr.,
26, 600 \ScbluQdt), — Chai. lalcnle
do vap.. 26, 601 {Knhhnhorg). —
Infl. calai, surdiv. rend., 26,1^)68
{}ficbaol).
AcÉTONTLACKTONR^Cond. arecrétfa^l-
rocreaptan. Dimercaptol , l^lr«i«U
fono, 26, 39 [Posner). — Propr.,
oonst. phys. ; comb. avec rh|art>
zine. SeK ••i 789 (firty). —
Prép. et propr. de la coml». av#c le
glycoooUate d'èihylr, 26, IHiE.fn-
char). — Vil. fie réact. avec l'by-
drazlnc, l'hydroxylamioc et U phô-
nyihydrazîDe, 26, 806 (PelreoAo-
KritschcBko^ tjordkipuniése^ Rit-
schaaJoof).
AcÉTOPHÉNONE. Form. par déc. lia
benzoyipbénylacétylèno et du htm-
zoylœnanthylidèoe, 26, 431, 4B>
(Moureu, Doiange). — Prêp. tu
moyen de C*H* et de la comb. de
chlorure d'acétyle et AlCI'. Comk
avec AlCP, 2S, 989 {Bornek^n), —
Form. par oxyd. de réUiylt>efkJt*fiê«
25. 1064 {Fournier), — Frép. et
propr. de la diéthylsuirone et du dtr-
thyfmercaptol, 26, 73 (Posjwr). —
Act. sur Valc. éihyl. à la lumièra.
Form. de pinacone, 26. 206 (6V«-
mician, Stlber). — Comb. mol. arec
AlCI" et AIBr*,26. 360 {Kobltti,-
Cond. avec rJodur«« d'allyle, 26»
532 [Arbounof). — Cond. arec
l'éther cinnamique,26,fî88 {Htobhti.
— Act. des iodures drt méthyle,
ôthyle, propyle sur Toxiaio. Foroi.
et propr. des éthers iaom. corresp^
26, 748 {DaoatMD, GouidJaç). —
Infl. sur div. vil. do réact., 26,
861 {McnseboutkiDc). — Acl. de la
lumière sur les sol. alcool.; form. d«
pinacone, 26, \Oi,**{CiamicUn, Si^
ner). — Form. par réd. du diphé-
nyldibenzoylbutadiéne, 26, 1114
{iapp^ Micbic).
— (ÀminO'3'). Diazotation, S6, 772
[Rupc^ Majcwski),
— (Aniiaa'4). Prép. à part de Tac*
tanilide et du bromure d'nc'^yle.
Propr., dér. acétylé, 26, 681 {KuDt-
kelf).
— {Amino-4'fi-ebloro^)^ Prép. an
moyen de l'acétanilide et do chlo-
rure de chloracélylc. Propr., dér.
aoéiylé, 26, 632 (Kunck^JI .
— {AtniDO'Oxy'4'). Prép. â part d€ la
phéaaccline cl du bromure cfacê-
tyle. Propr., sels, hydrazono, der.
acétylé, nitré, éllioxylé, «i»-<*hl(fn*.
26, 485 (Kunckril).
— {AzidO'4-)» Propr., 26, 772 (ITapr,
iStajcwski),
— {ui-Bromo-). Form. par hydrat du
phénylacclylèno bromÀ, SS. 9I>
{\fourt*u^ Dclangf*). — Cond. wttc
l'acétylacélone, 2S, 984 ^Mai^bK —
Act. sur la pyridine cl la pipéri'
dine, 26, L'iO Schmidi^ %su Aràu
— Cond. avec la bentamiduic c*l I*
TADLE DES MATIKIlEt?.
IMI
p-loténamidine, ftH, idô {Kaackell).
— Oxime, dér. acétylé, uréthano,
««, 9.X) iKortno, .Sci^o/T). — Cond.
avoc le |i.a*diph(jnylirnidazol, S6,
1000 {Kunckeli, Itonath),
ipi'ut.tti"), Cond. avoclabenza-
midiiic, S«. 496 {Kunckoll). — Act.
sur lo diphéoyliinidazol, •€, 1001
{KuncknU, ûonaih),
(i[>i-(o.4-K Acl. (la AzH' alcool.;
iransf. en diaziue, %Jm^ 1190 [CoJiot).
— {M'Uromo-chlnro-4'). Acl. de
AzH' alcool , 96, 030 [CoJiel).
— {ttk^BromO'tiUro'S'). Prép., propr.,
oxime, urélhane, dér. acelylé, M,
990 {Korti^n, Scholl).
— ^ui'Chloro'), Oximo; urélhane,
der. ac4';lylë, €•, 080 (Aorteo»
Scboll).
— [ta^Chloro-méthoxy-i'). Act. de
PCi*. ««, 623 (Kuncki^ll, Eraa).
— {Cyaoo'S') Prép. au moyen de
la m-aminoacétophénono. Propr.,
odeur, <•, 772 (Aupo, Majcwaki),
— {Ùiazo'4'). Comb. avec la biliru-
bine, S6, SI [Proschcr].
— {Mi'thoxY'S'). Prép., propr., odeur,
M« 77i [Rupe, Majewski).
— ( Mothoxy'4') Prép. à pari de Tané-
thol et de Tald. p-méthoxyhydratro-
pique, SS, \A\){BougauH). — Form.
a part de la méthoxyapigéaine, IB6,
189 {Voagcriebton).
— (NilrO'S-). BromuraUon, <«, 090
{KoricD, Scholl).
— (Oxy-S-). Pri'p. et propr. de Télhcp
éthyl. Cond. avec l'élher o-méthoxy-
benzoïquo, !M, 719 (KostaDCcki^
Tambor). — Prép. à pari do dér.
iD-aminé; propr., <•, 772 (BupCy
Mojcwski).
ACÉTOPRKNONE (ACKTTL-). [Syn. BeN-
zoYLACÉTONEi. Form. par hydrat.
de Pacétylphénylacétylène, itS, 312
{AfijutTU^ iJcIangc)» — Cond. avec
l*élhylmercaptan , cétomercaptol, ce-
toUiflulfone, 96, 39 (Posnor). —
Cond. du dér. sodé avec la dichloro-
S.3.a-naph(oquinone, Se, 103 (Mi-
eb^i). — Cond. avec la dichloro-3.
A.^oaphtoquinone, Se, \Ob{Hirach).
— Cond. avec la p-bromindone, S6,
108 {SrhIoHsborg)
^Eiboxy-^À-) ^Di']. Mélhyla-
lion, SU, 1113 {Kostaoocki, IJoyd).
AcKTOi'HK.NO.NE ^Benzoyl-). Form. par
hydrat. du benzoylphénylacélylène,
S^, 312 (Mou r eu, Ùclaage),
iEtboxy-S'mctboxy'S-), Prép .
par cond. de la i/i-élboxyacéiophé-
none avec l'éther o-mêlboxyben-
zoîquo ; propr., SU, 719 (Kosta-
uccki, Tambor).
(à'Uioxy'4''létramétboxv-2.4.6'
S'), Prép. au moyen de IViber va-
nillique et de la trimétlioxyphlora*
célopbéoone. Propr., oxime, S6, 641
{Diiloi\ Kostanockf),
'Ktboxy'^'tritnêtboxy'2,4.6').
Prép. au moyen de l'éther'élhylsali-
cyliquo et de la pbloracélophénooe.
Propr., «6, C42 {Kosianccki, We^
bot).
{Ethoxy'3'-trimctboxy-2.4.6').
Prép., propr., S6, 173 (Kos/an^c/ri,
Steucrmann),
{Màthoxy'S.4.6.S'.4'') {Peata-).
Prép. à part de l'élber vératrique et
de la triméthoxyphloracélophénone.
Propr., transf. en luléoline, S6, 109,
641 (KoslaoockU DilJor, liozyeki,
Tambor).
AcÉTOPHBNONB (Benzyl-) (Oxy-S-) ,
Prép. et propr. de Télher méthyl. ;
p-nitrophénylbydrazone, S6, 260
{Feuoratejn, Museulus).
AcKTOPHSNONE (BenztlidIcne-)* Comb.
avec réthvlmercaptan. Sasquimer-
captal, euirone, trisulfone. M, 620
(Poancr),
AcÉTOPHBNONB (Caproyl-). Form. par
hydrat. du benzoyloenanthylidéne.
Propr.. S5, 807 {Afourcu, Dolaage).
ACÉTOPHBNONE (ClNNAMYLloicNE-). j'>éc.
de Toxime par la chaleur, S6, 1171
{Scboltz).
AcBTopHÉNONB (Etiiyl-4-). Prép. du
dér. chloré au moyen de réthylben-
zène et du chlorure de chloracétyle
Propr., «6, 622 {Kuûekn/J, Ko-
ritiky).
ACBTOPHÉNONE (IsOPROPYL-4-). Prép.
du dér. (u-chloré à part, du cu-
mèn». Propr., €•, 622 (KunckeJf^
Ko ritiky).
AcKT0PHÉNONEf^l80PR0PYL-4-MéTHYL-).
Prép. et propr. du dér. a-chloré'
«•, 622 {Kunckcll, KoriUkv).
AcÉTOPHKNONB (MÉTHTL-4-). Prép. au
moyen du toluène et du rblurure
d*acétyle, S5, 98 J {Boesnkùn).
— (Mktiitl-2.4.) (Di). Prép. à part,
du m-x^lène, SS, 989 {Hoesokou).
ACKTOPHBNONB (MeTHYLÈNB-OIOXY-S.
4-). Prép. par oxyd. des al<l. cl ac.
p-méthylène • diox y -bydra tropiques,
S5. M57 [Bougaull).
AcÉTOPHKNONE{MÉTHYLKNE-DIOXY-3.4-
TRIMÉTHOXY - 2'. 4'. 6'- BENZOYL - ) .
Prép. au moyen de la phlorocéto-
pbénone et do l'ac. pipéronyliune.
Propr., se, 109 {Kostaoeckl /?o-
Mycki^ Tambor\.
ACKTOPHBNONE I PHOPIONYL-). Prép. du
dér. diiHhoxylé-2.5 par cond. de la
qainacétophenone avec Téther pro-
pionique. Propr., S«, 720 (Kosia-
oecki\ Tambor).
AcÉTOPHÉ.NONE-ACKTONE. Form. par
déc. de Tcu-acétylacétophénone-acé-
tone, S5, 984 {Marcb).
1242
TABLE DES MATIERES.
— (fa>-AcKTYL-). Prép. par cond. de
l'(ii-bmmo-acétophénoD6 avec Tacc-
tylacétone. Pi-opr., coiob. nvec la
semicarbazide et la phénylbydra/.ine,
«S, 984 {March),
ACÉTOPHÉNO^E-AZO-BILIRUniNE. Prép.,
propr., se, 31 (Proseher).
ActTOPHKNONE-CARBOMQUe-4 (AcJ.
Prép., prf>pr., elher méthyl., Stt,
772 {Bupo^ Majewski).
ACÉTOPIPKRONE. Voy. PlPKRONE
(ACÉTO-) .
ACÉTOSULFONIQUE. Voy. ACKTIQUE
(Ac.)
AcKToxiME. Voy. Aci'tone.
AcÉTYL ACÉTIQUE (Etbef). Act. du chlo-
rure de bulyryle sur le dér. sodé,
95, 648. — Acl. de A/.O^H fum., 9S,
7U9, lUll {BouveauH, BoDgerl). —
Cond. du dér. sodé avec la di-
chloro-2.3.a-naphtoquinone, <•, 102
{Miche]). — Cond. avec la di-
chIoro-3.4.^naphtoquinoneyStt, 104
(Hirsch). — Cond. avec la •y-brom-
indone, 126, 108 (Scbinssborg).
— Cond. avec le chlorure dep-cyano
benzylc, «6, 112 {Mosies),— Cond.
avec le phénol, SU, 263 (Pechmana^
Kraffl). — Cond. avec Toxy-hydro-
quinono et son dér. triacétylé, !M,
264 {Pcchmann, Graeger). — Poids
mol. du dér. alumin., S6, 359
(Kohhr). — Comb. avec le mélhyl-
cétoK ««, 421 [Walthcry Chmcn).
— Théorie de la synthèse acélylacél.,
26, Alt(MJchaoI). — Prép., propp.
et trbnsf. tautom. dps dér. acétylés
o et c et des étbers méthyl. corresp.,
«e, 536 {ClaisoD.Haasv).— Form.
dans la réd. de Tac* diroélhylpyrone-
dicarboniquc, 9Mt, 553 {Tortorici),
— Cond. avec la p-méthylbenzyl-
hydrazine. 26, 587 [Curtius^ SproD-
gcr). — Cond. du dér. sodé avec le
dibromo-1.3-isopenlane, 26, 614
(Ipaticf). — Théorie de la synthèse
acctylacct., 26, 677 [Réforaoatsky).
— Comb. avec la fluorénylhydrazine,
. 26, 698 [Dicls). — Comb. avec
l'ald. formique, 26, 739 {Marries).
— Comb. avec le glycocollate
d'éthyle, 26, 742 [E. Fischer).
— {(X'ChtorO') (Ether). Act. de Tac.
benzène -thiosulfonique. Prép. et
propr. des dér. thio-sulfonés cor-
resp., 26, 137 [Troegcr^ Ewcrs),
— Cond. avec la révorcine, l'orcine
et le pyrogallol, 26,211 {Pccbwann,
Hanke).
— [CyaD') (KlherK Constit., 2S, 709
{Huiler, Ma lier).
ACKTYLACÉTIQUE (BuTYRYL-) tElhcr).
Acl. de l'hydrazinc et de la phényl-
hydrazine sur les 2 isom., 25, 6%
[ÈoDgert).
AcKTYLACÉTiQCE • Di-) (EtberV iùmô
avec la rêsorcine. M, 211 tpr^h-
maBn, Hanké). — Traaaf. en ace-
tylacétooe, ««, 287 (llV>/#<^jMJi,
Korberu
ACÉTYLACÉTIQUE Et1ITLID^:!<IE*»9-<
«Elher;. Act. de Azlf, de ta pfaéayl*
hydrazine, 26, 494 ' Hahe^ BhU
mann).
ACÉTYLACÉTIQLE 'EtHYLMÉTHTL
(Ether t. Sapon. par Ba OH \ ~
58i {Tôlier.
ACÉTYLACKTIQIB iX-MkTMTL-^ »'AC-..
Prép. au moyen de la chùiru-3'
môthylétbylcétone. Propr., oîiril**
dér. ac-cbloré, x- brome, SS, 973
{Bcymenant),
— (a.a-MÉTHYL) (Di-) ;Ac. , Pr^p.
du nitrile à part de la chloro-3-inr>
tbyléthylcétooe. Propr., «C. «jTi
{Reymeaanty — Cond. de fetb^-r
éthyl. avec Poxalate d'éthyle 96
740 {Conrad).
ACÊTYLACKTIQI'E (MÉTHYLÈNF-) {Mt-
tboxy-) (Elher). Cond. avec ï«
cyauacétaroide sodée, 26, 22« kEt-
rcra) .
ACKTYLACKTOXE. Prép. et propr. du
sel d'In. Poids mol. des seU de Fe.
Cr, 25, 569 (Cbabriét Peu *j a de- —
Cond. avec rto-bromacv-topJicfKuir,
2S. 984 {Marcb). — Cond. avec
l'élbylmercaptan ; dimercaptol.têtr^
sulfone, 26, 39 [Posocr). — Cood.
du dér. sodé avec la dichloro-2.3.
anaphtoquinone. 26, 102 {Michel .
— Cond. avec les bromo«4-, dibrT>-
mo-3-4- et dichloro^4.^DaphU>-
quinones, 26, 104, 105 [Hirsch
— Form. par déc. de Téther dUeé-
lylsucciniaue. 26, 287 'Wis-
JiccDUS, horber), — Poids mol. do
sel d'Al, 26, 359 (Kobler). — Prê^
et propr. de la comb. avec le glrco-
collale d'éthyle, 26, 742 K. Fi-
scher), — Cond. du dér. «odé arec
es* et CSCl", 26. 800 lUViirW!.
AcÉLYLACÉTfNE (ETHYL-). AcI. dU
chlorure de diazobenzène, 2&, ^tfl
{Favref}.
ACÉTYLAOKTONE (MÉTHYL-). AcI- dtt
chlorure de diazobenzène. 25, iCh
(Favrel). — Cond. avec l*êthylmer>
captan ; cétomorcaptol, célodisul-
fonc, 26, 39 {PosarrK
ACÉTYLCARBtNOL (MÉTHYL-). Fom.
par ferment, des sucres. Pninr.,
usazone, osoléirazone. 2S. 4lts
483 [Grimbort]. — Prép. au mo^ra
de la chloro-3-méthylélh}lcétOf»e.
Propr.. éther aeétique, 26, 'J7t
{ftey menant).
AcKTYLE (Bromure). Cond. tr** U
pbénacétlne, 26. 4Ri (Knnckeil
— (>)mb. avec le bromat, 26, iX»
TABLE DES MATIÈRES.
124S
{Gabuttf). — Gond, avec l'acétanilide
H AlBH, ftH, 631 {KunckoU), —
Act. ffur le glacose. M, 687 (/?y«ii.
MUls).
— (Chlorure). Act. sar le couple Zn-Cu,
se, 8 {Frcuûdicr). — Acl. sur
roenanlhylidène et le phénylacély-
léne sodés, 86, 304, 312 (Moureu,
Delaoqrt), — Act. sur l'acétal de la
glycérine, 8S, 588 [Dclépinc). -•
Act. sur l'iodure de Mg-métoyle, 85,
646 (TVssier, Grignard). — Act.
sur l'étbar en prés, do ZoCl% 85,
896 {DoBcudë). — Act. sur le bro-
mure de Mg-pbényle, 85, 044
( Tissicr^ Grignard). — Acl. sur la
paraldobyde et le trioxymélbyléne,
185, *J75 {Dcscudc). — Act. de la
comb. avec AlCl* sur les carbures
aromat., 85, 989 {Boesckon). —
Act. sur un môl. d*étber cyciopen-
tane-B- carbonique et de nilrite
d'éthyle, 88. 88 {DieckmaoD). —
Act.sur l'oxybenzylidèuc-indënc, 88,
99 (Tàiele). — Kéact. colorée avec
la cholestérine, 88, 312 [Tschu-
gaeffj. — Comb. avec la cy an-
aniline, 88, 419 [Mcvos], — Comb.
avec le broraal, 86, 535 {GabutU).
— Act. sur Téther acétylacélique
en prés, de pyridine, 88, a36
{ClaisoDt Haasc). — Act. sur l'acé-
tamide sodée, 86, 571 {Titherloy).
— Act. sur le galactose, Tarabinose
et le glucose, 86, G86 [R^au, MiJIs).
— Cond. avec le diacélylmésilylène
cl AlCl», 88, 985 {KunckeU, Ilil-
dvbraadi).
— (Sulfocyanate). Act. sur les phé-
nyitbiocarbazinates d'éthyle isom.,
88, 393 {Whcolcr, Auslin).
AcÉTTLE (Ùi-). Form. de Thydrazone
Ïiar comb. du diazobenzcne avec
a méthylacétylacétone, 85, 269
{Favrel). — Cond. avec l'élhyl-
mercaptan. Dimet*captoI. Tétrasul-
fono, 88, 39 {Posncr). — Comb.
mol. de la dioxime avec le glycol et
la pyridine, 86, 122 {Pc/rciï^o-i^ri/-
aencnko, Kasaoezky). — Prép. et
propr. du der. diacélylé do la dio-
xime, 86, 537 (Pouzio). — Vit. do
comb. avec la phénylbydrazine.
Mono- et di-bydrazones, 86, 895
(Pctrenko-Kritschonko , Eltscba'
Binoff). — Cond. avec rélhor
métbyl. du diamino-2.3-/>-crésol,
86, 1<I87 {KauÛer, Wenzcl).
AcKTYLkKE. Cond. avec le phényl-
acétylène sodé, 85, 99 (3/oiirea,
Diiiaoge). — Appl. à la recherche
de Se dans SO*H«, 85, 48J, 489
(Jouve). — Form. dans la déc. des
carbui-es métall. par H'O, 85, 525.
— Cond. avec le propylùne, le tri-
mélhylene et rallylone, 85, 6i2
{Bertbelot). — Hydrogénat. en prés,
de Ni, 85, 673, 68(1 (Sabatier, SeD-
dercDs). — Conslit. dos comb. de
Cu^Cl» et Cu«0 avec l'acétylure de
Cu (cuprosacétyle), 85, 971 (Ber-
tbclol). — Acl. de H*0" en prés,
de FeSO*, 86, 87 {Biiïmanti). —
Appar. pour la mesure en vol. de
CMÏ* dégagé par CaC«, 86, 525
{MagnaainL Vannini). — Infl. sur
1 inflammabilité du gaz tonnant, 86,
879 {Taaatar). — Iu)rm. par union
de C et H à 1200* et dans l'arc, 86,
1126 (^oof, Jerdan).
— (Chloro-). Comb. du dér. argent,
avec Tiodochlorure d'Iodonitropbé-
nyle,86, 1150 {WiUgerodt, Emut).
— {lodo-) {Di'). Act. de AzO'H el
AzO*H, 86, 84 (BilU, Kndosky).
(Tetra-). Act. de AzO^H, 86, 84
(Biltz, Kedesky).
Acétylène (Dibromurc). Cond. avec
l'aniline, 85, 8i3 (Sabancjcff,
Prosio).
AccTYLiiNE (Tétrabromure). Form. à
part, du tétrachlorure el de AlBr*,
85, 298 [Pourct). — Cond. avec
l'aniline, 85, 823 (Sabanojoff,
Prosiû) .
AcÉTYLÎiNE (Tétrachlorure). Act. de
. AlBr*. 85, 297 {Pouret).
ACÉTYLENE-TÉTRACARBOMijUB (ElllCr).
Form. par cond. du bromure d'iso-
propylélhylèno avec Téther ma Io-
nique sodc. 86, 283 {Ipaticft S vi-
der sky).
ACRTYLMALIQUE. Voy. MaLIQUE.
ACÉTYLOKNANTHYLIDÎCNK, Voy. OeNAN-
THYLIDÉNYLCKTO.NE (MktHYL-).
ACÉTYLTARTRIQUE. Voy. TaRTHIQUK.
AcÉTYLURES. Voy. ACETYLENB, ACE-
TYLENE {Cbloro-).
Acide de Caro. Voy. Suli-ubique
(Per-).
Acides aminés. Acidité , 86, 1127
{Afcyer) .
Acides oras. Dos. des ac. volatils
dans le beurre, 85, 143 [Rcychlor).
— Propr. therm. des ac. gras sur-
fondus, 86, 527 {Morescbtni).
Acidité. Théorie. Relat. avec la
constit., 86, 898 {VorJacndcr).
Acidimétrie. Acidité de div. cétones
el ald. à l'héliantine, phtal. cl bleu
Poirrier, 85, 335 (Astruc, Murco).
— Dos. de NtOH libre et carbon.,
85, 652 [LucioD^Pacpo). — Tilrajre
de P0*I1* par les alcalino-lerreux,
emploi du p-nitrophénol comme
indicat., 85,796, 903 [Cavaiier).—
Titrage de PO*H* en prés, de div.
indicat., 85, 963. — Titrage de div.
ac. organ., 85, î>64 (Dorthelot). —
Dispositif pour la oonsei'v. «les sol.
titrées aioalincs, 86, VJ'n Dowzard).
1244
TABLE DES MATIÈRES.
— Dos. des alcalis, carbonates,
phosphates et borates en prés, de
p-nilrophénol, «6, 238 (Spiegel).
— Pr/jp. éleclrol. de SO*H* titré,
leH, 339 (Mcadc). — Emploi du
vert d'alizarine comme indicat., S6,
443(For/naiieir). — Titrage des ac.
aminés, «6, H27 (Mcycr).
AciEB. Equiliores pendant la solidif.,
««, 8ôt5 {Boozoboom), — Spectres
des fumées produites pendant le
puddiage et le bessemer, SU, 952
[Hartley, Bamage).
AciPENSKRiNE. Extr. du sperme d'aci-
genser slellatus. Propr., sels, S6,
iO [Kurajcff).
AcoLiQUB (Ac). Prés, dans div.
lichens. Propr., sels. ««, 647
{Hessc).
AcoNiTiNE. Titrage iodom. ou acidim. ;
periodure, «6, 730 (Kippoaborger),
AcoNiTiQUE (Ac.) Prép. à part de Tac.
citrique, ««, 569 (Curiîus, Hcssc).
AcRiDiNE. Act. do S«CP, «e, 183
[Edingcr). — Triboluminescence,
es, 458 {Tscliugaeff)' — Form.
d'un dér. à pari, de Téther méthy-
lène-anthraniiique, ««, 1155 {Erd-
manu).
— (Thw-). Form. au moyen de S"Cr
et de l'acridine. Propr., «6, 180
{Edioger) .
AcRiDiNE (Phényl). Tribolum., SU,
458 {Tschugacft),
AcROLÉiNE. Form. dans la dist. de
l'huile de ricin, «6, 311 (Thoins,
FondJor). — Act. de KMnO* sur
racétal, ««, 371 {WohJ, Neuborg).
— Foim. à part, de la glycérine,
lee, 373 {Wohik).
— {a-Biomo-). Dér. anilidés, ««,
474 [Simonis).
p-AcROSE. Form. à part, de la dioxy-
acélone et do l ald. glycolique ;
p-bromopliénylosazone, «•, 372
{Wolil, Ncuberg).
Acrylique (Ac). Gomb. avec CIOH,
«6, 166 (Môlikoff), — Prép., «6,
378 {Dillmaon, WohIk). — Acl. de
CIOJI, ««, 374 [MélikofT). — Prép.
au moyen de Talc allylique. Propr.,
sels, «e, 874 {Bnlmaan). — Gond,
de Téther éthyl. avec le diazo-
méthane, ««, 42^ [Pechmann, But-
kard). — Acl. du méthylate de Na
sur les élhers, ««, 466 {Pcchmann,
Bohm), — Prép. à part, de Talc
allvlique, «6, 4(>U (Bohm). —
Gomb. de l'élhcr méthyl. avdcAzO*,
S6, 968 (Egorof) .
= {iChloi'O') (Ac). Form. à part,
de Tac. «-chloro-p-oxypropionique.
Propr., sels, 1M,166. 374 (Mélikoff).
Acrylique (^^-Ethylméthyl-) (Ac).
Form. à part, do lac. ^-oxy-^
méthyl valérique. Propr., sels, tt,
617 (Pokrewsky),
Acrylique (x^Méthyl-) (Ac). Fowa.
pardéc. del'ac phénoxy-lsobutyriq»*,
se, 11 (BischotÉ),
Acrylique (p. ^Méthtl-) (Di-) lEOrt^.
Prép. et propr. de« dér. hyéro-
xyUminé, « et ^ nitré« et amtoè»;
sels, urée, phényturéé, W», 969, 34U,
612, 801, 809. 896. 914, 918, im
[BoavoauU, Wahf), — Form. è
part, de Tac «-îodo-i»ovtlériq»e,
«•, 465 {Zernof)' — Acl, sur
l'élber diazo-acétique, ^•,554 (B«e^
ncr, Hoide). — Form. par déc d»
Tac. diméthylméthylèoc- crante^
tique, S6, 676 (Komppm).
Adénine. Form. è part, de la nucJéo-
albumine du thymus, K6, 36"
{Afalcngrûaa). — Oxyd, inangaa..
se, 575 (JoUcs). — Form. pr
— , te
[Kutschcr],
autolyse de la levure, *•,
Adipique (Ac). Synth, à pari, do di-
iodobuUne.1.4, «5, 33i {lIsÊmonti
— Const.therm.,«5,36i (Dt^tépia^
— Prép. et propr. de la diaaili<le.
«5, 444 {Bouveault, Tétry). -
Oxyd. par KMnO* en roI. por^aU
furîgue, «e, 66 [BêcYcr^ Vinigfr
— Form. à part, de 1 ac. ar-oximio^
acétique, Z9, 89 (DiockmaDO, Gro-
novoid). — Synth, par cond. de
Téther maloniqne sodé et du oilnl'
Y-chlorobutyrique. Gonst. de disaoc,
«e, 199 [MoIIor).
— {%'OximinO') (Ethcr). Form. pr
act. du nitrite d'éthyle sur !>-
ther a.^-cyclopentanonc-carboniqae.
Propr., sels, «e, 88 {Diccàmaany
Adipique (flt-AcÉTYL-^.a-oiiiÉTBTL-)
(Ac). Form. à part, de Tac. x-cjclo-
géronique. Gonslit., propr., élbers,
semicarbazone, Se, 509 {Twmaaai
.\1)1P1QUE (a-ETHYL-) (Ac). Prép. p»f
cond. de rélhcr éthylmalooiquo m«
avec le ni tri le y-chlorobulyrique.
Propr., 2e. 199 {MùUer).
Adipique («-Méthyl-) (Ac.^. Non-tona-
dans l'oxyd. de la ^>xDélhyic|clir
hexanonc. Dianilide, 2^ 841, i45
(Bouveault, Totry), — Prép. ••
moyen du nitrile Y-^'ilorobuly'*'!**
al do Tétbor méthylmalonique sodé.
Propr., se, 199 (Mf^ilor).
Adipique (^-Méthyl-) (Ac). Fona.
à part, de la méthyl- l-anélj 1-4*
cyclohexanone-3, 25, 197 ^Lr^cr!.—
Form. par oxyd. de la ^-mélhf/-
cyclohexanoae, 2S, 341, 443 i^m-
vûaatt, Tétry), — Acl. de \a aor
l'élber élbyl., te, 8*J [DicckmaaM,
. Groaoveld),
(a-Oxi/n/no-^ (.\c). Prép. •
part ae l'élhar roélhylc> clopentanooe-
TABLE DES MATIÈRES.
1245
^•carbonique. Propr., sel8« élhers,
IMI, 8i* {Ùfockmaont Oroocveld).
Adipiqve (ft-MÉTHYL-) (Ald.-acide).
PK*p. par oxyd. de racêtal du citron-
ficllai. Propr., seinicarbazone, S6,
i»8v5 {Hartics^ Schêuweckor).
A.t>IPIQUl£ (a.«-MKTHYL-) (Di-) (AcJ.
Forni. à' part, de Tac. géronique,
lee. 507 (Tiomano).
A.DIPIQUE (JJ.^-Mktuyl-) (Di-) (Ac).
Form. par oxyd. de Tac. isogéro-
nique, ZH, 507, 50.) {Ticmaou).
Adipique (a-pROPYL-) (A»i.). Prép.
par coud, du nithie Y-c^lo^'obuty-
rique avec IVlher propylmalonique
sodé. Propr., «6, 199 {Meilor).
AOAB-AGAii. Appl. é la recherche du
bac. lyphique. S6, làB [Haakia).
— Dissoc. dans les sol., S6, 520
(Lévi). — (lonf^él. des sol. aqueuses,
Ite, 837 {Hardy).
Agaricique (Pseudo-) (Ac). Extr. de
Tagaric. Propr., constit., tK5, 636
[Adrian, Trinat\.
AiB. Prés, et origine de H, 86, 231
{Gautier). — Prés, d'un gaz inerte.
Propr., «e, 81,82 [Lidof). —Spec-
tres des gaz les plus volatils de
l'air, «6, 193 [Livcing, Dowar). —
Solubil.dans Peau, SU, ^k^^Wink-
1er).
Alanink. Voy. pROPiONiQUE [d' A mi-
no-).
Albane. Dos. dans la gutta-percha,
841,733 {Borntracger).
Albumine. Extr. et propr. de 2
nucl^o-albumines du thymus, 86,
560 (Afaloagreau). — Dos. de Az,
8il, 20 (Ifàusmaan). — Act. des
ac, 811, 21 (Paaormof). — Extr.
de l'os de seiche, 86, 32 {Scbuh).
— Act de l'ac. fllicitannique, 88.
155 (licich). — Digest. pepsique de
l'album, du sérum, 88, 314 [Pfaua-
dier). — Valeur aliment., 86, 315
(Blam). — Ad. des alcalis, 86,
316 (Maas). — Infl. de div. subst.
azotées sur la coagul., 86, 319
iSpiro). — Etude des prod. de dé-
doublement, 86, 333 [Jochcm). —
Propr. d'une album, spéciale d'une
orine pathol., 86, 336 {Magnus-
Lévy). — Dos. dans l'urine, 86,
445(^o//es). — Transf. dans l'organ.,
86, 447 iPetrv). — Dos. dans l'u-
rine des cépnalopodes, 86, 814
(FùrUi). — Sépar. de l'ac. succi-
nique, 86, 819 {Neuberg). — Comb.
avec les ald. formiqae, acétique,
beozoïoue, propionique, oenanthyli-
qne, salicylique, 86, 822 (Sc/ï w^rfif).
— Propr. colloïd., 86, 839 {Hardy).
— Oxyd. mangan., 86, 94U {Jolies).
— Voy. OVALBUMINE.
Albuminine. Compos., sels, hydrol.,
86, 21 {Paaormof),
Albuminoïdes (Matières). Constit. des
micelles album., 85, 651 [Poster-
oack). — Précipil. par div. sérums,
85, 7(U {Pordclj Tchistovilch,
Noif, Stcrn^ Vallée^ I^claincbo,
Uhicnbuth). — Dédoublement des
album, d'os de bœuf par SO*H',
85, 944 {Etard). — Act. de la
cascase, 85, 990 {Bodin^ Lcoor-
mand). — Dédoublement par HCI,
86, 20 {HausmaDD). — Prod. de
pulréf., 86, 24 {Ellinger). —
ilonslit. des album, d'œuf de
pigeon, 86, 271 {Panormof). —
Act. de Tenzyme du foie, 86, 318
{Jacobv), — Transf. dans les plantes
vivantes, 86, 319 {Schulzc).— Dé-
doublement par Ba(OH)', 86, 324
{Habermaniiy Ehreofeld). — Act.
de la pcptase d'orge germée, 86,
3.S3 iWcisa). — Etude des prod. de
dédoublement. Act. de l'ac. phos-
photungstique, 86, 33i {Kutscbcr);
86, 835 (Aosse/, Kutscbvr). —
Act. de AzO'H. de AzO*H, 86,
511 {Lidof). — Prod. do déc. 86,
56U {Nencki) . — Relat. des album,
du muscle avec les phénom. therm.,
86, 814 {Fartb). — Constit., 86,
825 (Banq) ; 86, 826 {Kossvl). —
Dos. de la cystôine et de la cys-
tine dans les prod. de dédouble-
ment, 86, Bil{EmbdcD). — Cons-
tit. des album, du thymus, 86,
829 {Huiskamp). — Oxyd. mangan.,
86, 940 {Jolies), — Act. de div.
réactifs, 86, 958 {ScbjerniDg).
Aldumoses. Act. de AzO^H. 85,651
(Posternak). — Dos. de Az, 86,
20 {HausmaDD). — Propr. de la ly-
sine provenant du dédoublement,
86, 22 (HcDdersoD). — Valeur
aliment., 86, 315 (Blum). — Form.
d'une albumose alcaline par hydrol.
de Tovalbumipe. Propr., 86, 316
(Maas). — Act. de l'enzyme du foie,
86, 318 {Jacobv). — Elimin. par
div. réactifs, 86, 320 (///s, Hagcu).
— Transform. dans l'organ., 86,
447 {Petry), — Propr. anticoagul.
des albumoses de ta fibrine, 86,
813 {Pick, Spiro) . — Ad. de CHCl».
Transf. des hétéro-album, en deu-
téro-album., 86, 815 {Salkowski).
— Comb. avec div. ald., 86, 822
{Scbwartz] . — Dos. des bases hexo-
niques, 86, 824 {Haslam). — Extr.
du suc gastrique, 86, 9.J7 {Neacki,
Si^^ber).
Alcaloïdes. Nouv. alcal. du tabac,
85, 698 {Pictet^ Botscby), —
Alcal. du scopolia et de la bella-
done, 5e6, 128 {Bccst, Sayro). —
Alcal. de l'anguslure, 86, 157
{Hartwicby Gampcr). — Act. de
C10*H, 86, 157 [HacussormaDD,
1246
TABLE DES MATIERE.
Siegelf, — AleaJ. de rhyoscyamns
mmiieBA et du datora siramnooniaiD,
9%, KB {DunsUD, Drown). —
Aie. du cônrdalift cava, %%^ 240
(Dobbie, LsuJer, PaJialseaSf. —
Alcal. du calha edulis, IM, 312
(BeiUer). — Dos, el recherche, Ml,
443 {KJppen berger). — Alcal. du
ÎuiDauioa, 1^, 81U (ron MU 1er,
\obae). — Appl. du tannio à la
purif. des alcal., 9%, 9bl {Kippen-
berger),
— V'o/. Anactrihe, Cttisink.
ALDéHTDES. Acidité à rhéliant.,
pbtal. et bleu Poirrier, SS, 336
lAsirue, Marco). — Act. des per-
sulfates ; transf. en amide«, Stt,
428 IPickard, Carter). — Constit.,
S€, S9è (Vorlacnder. — Prép. des
ald. aromat. au moyen du fulminate
de H g et des poly phénols, S6, 913
(ScboJI, Bcrlaeb).
Alectorique (Ac). Prés, dans div.
lichans; propr., sels, 1M, 645,
1183 i H fisse].
Alizarine. Voy. Vert d*alizarine.
Allantoïne. Form. par oxyd. de Tac.
urique par le persulfate, S5, 383
(Hugounenq).
Allantoïne (Homo-). Format, à part.
de Tac. homo-allanto'ique, ItS, 1063
{Simoo).
Allantoïque (Homo-) (Ac). Form. à
part, de Purée et de 1 ac. pyruvique.
Fropr., éthers. 2S, 1063 (Simoa).
Allanturjque (Ac.K Form. par oxyd.
de Tac. urique par le pcrsulfate»
2S, 38-1 iHugounenq).
ALLÎiNE (DiMÉTHYL-). Acl. de HBr.
Conslil., ««, 35 [Mokievaky).
Alliages. Bel. entre la dureté et la
constit., 26, 1035 (Hcnodicks).
— Vay. Aluminium, Tungstène.
Cuivre, Molybdène.
Allophanique. Voy. Tolylallopha-
nique, Naphtylallophanique.
Allotropie. Modif. allotrop. de Ag,
25, 523. G40 {Bortholot). — Modif.
allot. de Se, 26, 518 [Saunders).
— Modif. allot. de Sn, 26, ii04
{Schaum).
Alloxane. Form. par oxyd. de Tac.
urique par lO'H, 25, 252 {Bouillet).
— Acl. do div. réactifs, 26, 958
(SchjorDÎDg).
Alloxane (Mkthyl-i. Prép. à part,
do l'ac. mclhyl-3-uriqiie. Gond,
avec AzH'0H,26,VK)9(Aiïdreasc/ï).
ALLYLCAHBINOL(ETHYLMKTHYL-).Oxyd.
par KMnO*, 26, 617 [Pokrcvsky).
AlLYLCARDINOL ( ISOPROPYLMÉTHYL-).
Prép. au moyen de Tiodure d'allyle
et do la raéthylisopropylcétone.
Propr., transf. en aie. Iriatom. par
KMnO», 26, 463 {Wagner).
AlXTLCABmXOL iHCTHTI.- . AcL dt
HCLTrmosr. en cariiare <:^\ 26,
611 iLioubarsàv}.
Alltlcarbusol (Mltiiti.>{ii- . Tmsl.
en aie peotatom. Propr par
KMnO\ 26, 614 ,M»ximoritrh .
Alltlcajibihol .Pboptl-»!- . Ad.
de KMnO*. Transf. en Aie. p«^ila-
tom., 26. 533 MaràoK
Alltlb (Bronure). Act. de Na*S',
25, 982 [Bianàsma . — Vil. éf
réaci. sur les aminés aromal., 26.
14. 860 {Menseboaikia*^ .
— (DisalfUre:. Form. à pari, du kfo-
mure et de Na*S*. Propr., leUabr»-
mure, 25, 962 {B/aùksma t
— (lodurei. Aci. sor le di-îodo-±.4-
phénol et le triHodo-2.4.6-phéiykl p<^
tassés, 25, 8S0, 821 {Br^aaas . —
Ck>nd. avec risoprop\iiDeth;lc«tfiB«
et Zn, 26. 463 Wagoer.^ Cmà.
avec les bQiylméthyl- et îi^lMitvi.
méthylcétones, 26,531, 532 ( Talt^f*
— Gond, avec racélophénone, 26.
582 [Arboasof). — Acl. sur Na •«
prés, d'acétonitrile , Ml, \^^
(Micbael)
— (Isosulfocyanate). Coud, avec Tac.
o-Mninosalicylique.M, 4t8 fZah»
— Cond. avec Tac. phenyldiiÀio-
carhazinique, 26, 788 [Htiscb, MoA
port I .
— (Sulfim). Consl. therm., 25, »4
iBertheJot),
Allyle ip-Chloro-' ilscsulforyanatr
Propr. Acl. de lir. de .\zH*, dts
aminés, 26, 497. 498 (Dixou ;tê,
680 ( Wbeeler, Mrrriam*.
Alltlk-éthyle lOxydei.Vir. de form
à part, de Talc, allyliqueet de l'éthcf
benzène-sulfonique, 26, {£yj /a^re-
bin).
Allylk-ïthtle (Ethyl-^ 'Di- <Oiy-
de). Nilrosochlorure, 26, 293 Ip»-
tiof).
— (MÉTHYL-) (Di) Oxyde. Nitro^va-
chlorure, 26, 293 ylpatiûf .
Allylb-méthyle Oxyde». Acl. de Br
sur le dér. dibromë-2.3, 25. \0A
{I^spicau).
Allylène. Cond. avec l'éthylèoe tl
C*H*, 25, 6i2 [BcrtbcloiY
Allyléthylène (Méthyl-i. Prép. *
part, de rallyldim4>thvlcarbiiii)l-
Propr.,act. de ClOH,26,*61i »/./«-
barsky).
Allyliqub (Aie). Comb. avec les
sels mercuriquos; dér. aroiii«^
halogènes, 26, 86 (Hof/oiun*, Sêad:
Biilmaon). — Act. deHgO; transf
en mercabide, 26, lÛ i//r>/)iMoo .
— Comb. avec PtCl*K« et J<* chk»^
rure de platosammonium, 26. î^»
— Transf. en ac. acryb'que, 26, SJ\
{Biilmann); 26. 468 \Hobmi -
TABLE DES MATIÉHEb.
1247
Etber mucobromiquc, SU, 475 {Si-
mouis), — Coast. diélectr., IM, (i61
(Joat>n), — Ethers ox^dos mixtes
des D-nitrtt- et />-ainiiio-phénol8,
!Sli, 706 iSpicgel, Sabbatb).-- Vit.
de réacl. sur 1 éther benzèno^sulfo-
Diouo, €11, 859 [Zagrcbta).
A.XOB1IODINE. Foiin. par oxyd. de la
barbaloïne, SS, 99 (Léger).
ALoks. Héact. color., 9%, 655 {Hirsb-
sobn).
Aloïnb. Oxyd. par les peraulfates,
%%, 811 [Sect),
^— Voy. BabbaloVnk, Nataloïne.
Ai.imiMUM. Act. de AlBH sur les dér.
chlorés des carbures saturés, S5,
98. 178, 191, 293 [PoutuH], — Act.
des sels sur 1ns oxalates alcalins,
«C, 99 {WyroubofTu — Comb.
mol. de AlCr avec la beQzylélhyl-
aniline, «5, 173 (HaJIcr, Ouyot). —
Applic. è la réduct. des oxydes d'u-
ranium, <5, 345 (.4/0/). — Comb. de
AlCl* avec AzH^ ; propr. therm.,
SS, 381, 640, 6il (Baud). — Dec. du
carbure par H*0, «5, 52Î5 {Bcrlbo-
loi), — Comb. de AlCP avec les aie.
gras, 1U», 55i {Perricr^Poiiget). —
Fropr. des alliages Mg-AI,M, 611
iBoudouard). — Inll, de Al sur le
dos. de S, S5, 652 [Noailloa). —
Comb. de Ai*0' avec MgO au four
électr., £6, 669 iDufau). — Propr.
lipolyt. de Al'0% S5, 699 (Han-
riot), — Alliages Al-Tu, «5. 832
iGuiliet), — Applic. de l'amalg.
a la réd. des dér. nitré», €6, 910
{BouveauU^ Wahl). — Appl. de Al
à la réd. de MoO'. Alliage Mo- Al,
«S, 96'J {Guitht). — Prés, de Al«0»
dans cert. eaux minérales, 96, 971
(Parmonticr). — Comb. de AlCP
avec le chlorure d'acélyle, <S, 98J
iBoosokeD). — Alliages Cu-Al, SS,
1061 {(iuilht). — Inll. de AlCl' sur
la solidir. des ciments, plâtres, etc.,
SU, 4 {ïiobïaûih. — Sépar. de Al
de Cr, Fe, Mn, Zn par NaW, ««,
127 {Barrr(i). — Poids alom. de
Al. «6, 162 [Tbomaon). — Sépar.
de AlCl* et GICI' hydratés par
rélher, SU, 163 iHavf^Ds), — Act.
de Az'H sur les sels, SU, 35i
(Ciir//u.s, Darapsky]. — Poids mol.
de racétylacétonate, du déi*. acétyl-
acétique, de AIHr' et AlCP. Comb.
de AlBi-* et AlCI* avec div. comp.
organ., 1UI, 3c9 (Kobler). — Act.
dea alcalis et des bases alcalino-
terreuses sur Al. Form. des alumi-
naies coiTcsp., SU, 360 {A lien ^
R^jgera). — Dos. par précip. à
rétat de carbonate basique. SU.
363 (AJIeu, GoUscbalk). — Dos.
de Ca en prés, de Al, Z9, 368
iBlam). — Théorie de Tact, de
AlCl* sur les chlorures diacides,
!B6, 39Ô (Krombcrg). — Act. de
l'alun au rouge sur les nitrates
alcalins. SU. 454 {Perman). —
Energie de Thydrate. du sulfate
basique, de l'aluminate de K. SU,
520 {Carrara, VespiguaDi). — Propr.
du silicate, ««, 525 [Bcbuffat), —
Electrol. des sels, !B6, 5'J9 (Bruaer).
— Comb. de AlBr* avec Br et CS%
SU, 605 [Plotatkof). — Inll. de
Al'O* sur la dôc. des alcools et
éthers oxydes par la chaleur. S€,
61 J {Grigoricf). — Act. de Tac.
lactique sur le nitrate, €6, 666
{VaninOy Hausor). — Propr. colloïd.
de rhydrate, IM, 839 [Hardy). —
Act. de AlCl» et AU' sur 80«C1% S,
I, MoCl% les sulfures, iodures, etc.,
%%, 884 (/?(j/7). — Appl. de Al à
la sépar. de Cu, SU. 954 (Heidco-
rcjeb). — Act. des alcoolates sur
les ald.. «6, 967 ( Thtcbeako). —
Points de fus. et solub. des
aluns de Na, K, Tl, Cs, Rb, AzH\
««, 1026 [Locko). — Inn. de Al
sur Thydrol. de CrCP anhydre, SU,
1031 [Drucker). — Tens. de vap.
des mél. d'aluns d*Al et Fe, Al et
Cr, «e, 1044 {HollmanD),
Aluminium-mercure ^Couple). Applic.
à la chlorur. et à la bromur. des
comp. arom., 911, 1076 (Cobcn,
Dakin).
Aluns. Voy. Aluminium, I.ndium,
Chrome, etc.
Amalgames. Voy. Baryum, Fer,
Chrome, Ura.mum, Plomb. Zinc,
Cadmium. Mercure.
Amandes AMÎi:RBS (Elsscncc). Dens..
viscos., tension superf., €S. 521
(Jcancard^ Satie).
Amarinb. Form. par dédoublement
de Tiso-amarine, !S6, 56 {Saapc),
— Tribolum., eti. 459 {Tscbu-
gacff).
— (Iso-). Constit., dédoublement par
Tac. tartrique, SU, 56 [Snape).
Ambre. Densité, %%, 81 {Drugmana^
Ramsay).
Amides. Prép. par oxyd. des ald. en
prés, de AzH\ ««, 628 (Pickard,
Carter). — Constit. des dér. halo-
gènes, 1t9,S'JS\Sthglitz, Slosson).
Amidon. Appl. à la prép. des crèmes,
•6, 658 [Frcbse). — Dos. dans les
céréales, S5, 995, 1055 {Lindrt) . —
Transf. en mercabide par IIj^'O, îK6,
122 (HofmanD). — Poids mol., S«.
123 \NaHtukofr,. — Act. delà ptya-
line, 5KII, 332 {Maszcwski). —
Constit., act. de HBr, 5e«, 341
{FontoDf GostJJng). — Chai, spccif.
des div. hydrates, SU, 845. —
Constit. des amidons natur. et ar-
tif., %9, 845 {Rodcwald, Kaltein).
1248
TABLE DES MATIÉUES.
— (lodure). Appl. au dos. volum. de
Ag, «6, 281 {Aadrews).
Amidrazone. Voy. Hydrazidine.
Amidurer. Voy. Sodium.
Aminés. Coud, des aminés second, el
tert.aromat. avec les benzophénones
p - alcoylaminées, IN», 6*J5 {La-
moult). — V.ar. des points d*ébull.
• dans la série des diamines norm.
prim., S5, 977 {Henry). — Vil. de
réact. des aminés arom. avec lea
bromures alcool., 5Btl, 14 {Mcn-
sehoutkiDc). — AcI. do CIOH sur
les aminés lert., M. 111 [Wili-
staettetf Iqlautr). — Caractéris. des
aminés priui., second, et tort, au
moyen du chlorure d*ac. anthraqul-
none-^sulfonique, SU, 177 [Hins-
' bcrg). — Rel. entre les points do
fus. et Ift constit. des dér. des
aminés arom., ZU, 1158 {Gordaa^
Limpach).
Amino-sulfureux. Voy. Sulfureux
[Amiûo-).
Ammoniac (Gaz). Act.sur le sulfate de
Mo, «S, 344 [Railhacho). — Comb.
div. avec AICI», «5, 381, 640, 641
{Baud). — Act. do Cr pyroph., €S,
618 {F"crée). — Act. sur le chlorh.
de pipéridine, £S, 977 {Colson). —
Act sur les chlorli. d'éthyl- et de
diéthylamine, «S, 977, 978 (^ic/o^.
— Act de I sur AzH' liq. ; comb.
div. de l'iodure d*Az avec AzH%
««, 67 {Buft). — Comb. avec TiCl*
et TiBr*, 2«, 279 (lioscabcim,
SchùUo). — Consl. diélectr., ^M,
1032 {Baodckor).
Ammoniaque. Act. sur Tac. tri-antimo-
nique, ttS, 289 {Delacroix). —
Prés, dans les gaz issus des roches
ignées, «5, 404 {Gautier). — Tens.
de vap. des dissol., S6, 5 {Konova^
lof). — Misoibilité partielle avec les
sol. de K*CO«, ««, 33 [Newth). —
CoefT. do partage entre CHCl' et
div. sol. salines; comb. avec CuSO*,
Cu(OH)% «6, 71, 453 [DawaoUy
Mac Crae). — Solub. du ferricyan.
de Ni dans AzH^ «6, 126 {Brow-
Dinçy Harthss). — Prés, dans les
extraits aqueux de foie, ItH, 318
iJacobv). — Act. de I, de KIO, ««,
855, fc6 {Chattaway, Orton). —
Act sur FeCl*, FeBr", Fe et Tamalg.
de Fe, Ite, 337 {FowU'r}. — Form.
par réd. de Az'H, S6, 355 {Curtius,
Darapsky). — App. à distill., !Stt,
365 {Pannertz). — Comb. avec
AgCl. Ëlectrol. des comb. ammon.
des sels de Cu, Ni, Cd, Zn, «6,
449 {Dawson^ Mac Crae\. — Form.
par électrol. de Az'll, SU, 519
{Peratoner,Oddo) . — Tens. de vap.
des sol. aq.; ind. de Na*SO\ <•, 6b5
(Permaa). -^ Chai, de neutral. par I
div. ac. organ., S6, 87i if^uiAisr,
Klimeuku). — 1)08. dans l'unM,
•«, 944 \Fnlin). — Act. sur BBr',
AsU», ««, 9ri0 (Stot^k4. — Act tut
les sol. do sels aléaliiM>-lem«i.
Partage entre CHCP et H'O o« w
sol. de CuSO', S«. iti3. iHH
{Dêwsoa, Mac Crae).
Ammonium. Nitrites doubles d« Ir,
Rli. Chlorure doablo de Ir, tl^ l!
(Leidié). — Appl. de ranéniai'
double de Co au dos. de Ah, tS^tM
(Dueru). — Tétra-anliiDOoiale do«-
blu de Cu, S6, 289 [Delucroix). -
Prép. et propr. du molybdosulteti.
««, 641 iPéchard). — Prép. ri
projpr. de rosmyloxaUte« SS, (tfs
(Wiatrebert). — Inll. dc« *el» w
le virage de div. alcalis et seto co
prés, de phlaléino et sor la ffolobii.
de PbO, de rhydrnte el du boni*
de Mn. Act. sur l^s mangaoale» ci
perhoanganates, ftS, 9(&t \l)ajtf,
vanCieeft). — Appl. du «ulfory»!
à la sépar. électrol. de Ni et Co.
£S, 970 (Balachowsk^ . . _ Ad. <!•
AzH'Cl sur la pipéridine, <5, 977
{Colson). — Non-cxisl. do Taoïao-
nium, 1U», 1011 {Mni»saD\. —
Prép. et propr. des sols lut^^ïcobal-
tiques, £S, 1023 [Klobb). — Wf
et propr. des silicovaDadiomolp'
date et vanadiomolylKlatc, M, 3
(Fricdbeinit Castendycki. — W
du sulfate ingéré sur *lc san^. M,
25 [Bumpf, Scbumax. — Nitrtti
double de Ce, S6, 69 iWeyer, Marti-
wald). — Acl. du persul/ati* sor W
sulfocyanate, <•, 73 iPawirwxki
— Sulfocyanate double de Co, tf.
131 {Trcadwell). — Comb. du chlo-
rure de platosammoniuro avec l^'
allylique, €6, 196 {Biilmanû'. —
Appl. des chlorure el bromure i ^
delerm. du poids atom. de .\z,flit
242 (Scott}. — Prép. du chlofBit
double de roolybdényle «o mtma
du molybd.'te et de riodare d^AiH*,
5K6, 245. — Prép., propr. et coostiL
des div. raolybdateii, <•. 246
{KlaBon). — Chlorure, bromui».
sulfate, oxalate et lartrate doobk*
titaniques, SU, 279, 280 iRosenhem^
Scbùtte). — Form. des sels damli
décomp. de l'azoture de Fe par \m
ac, Zky 338 {Fowler . — Conioci
électr. du sulftite doublo de Mc.
•6, 353 {Lindsay] . — Form. €»-
dure el d'hypo-iodite dans Têci. àt
ICI ou 1 sur AzH', IM, 3M. Sfi
{Cbattaway, Orton). — Aioii et
Rh, ea. :*53 (P/cciui. MêNùf, . -
CoelT. de partage 6ê \iXV colff
CIICP cl 104 sol. aq. dvM bromur**
nitrate, etc., ItU^ 454 iMwêtm*
Mac Crae). — Trîbolum. des Quonm«
TABLE DES MATIÈRES.
1S49
oxaiato et formiate, 96, 458, 459
{Tscbugaeff). — lofl. du salfate sur
Têqui libre du syst. eau-alcool, !S6,
598 {Bruyo). — Conduct. électr. du
chlorure i div. dilutions, SU, 657
{Bancroft\. — Dissoc. des iodure et
bromure dans Teau et les aie.
méthyl. elélhyl., SU, 6G0 d^onrsi .
— Form. de nitrate dans Tact, de
2n sur AzO'H très dilué, !S6,
666 (Bijicrt).— Point de transf.
du nitrate en prés, de AzO*K, 98,
«66 iMùHer). — Infl. du nitrate
«ur la solubil. des non-électrol.,
!Stl, 840 {Bothœuad). — Pou-
voir rotat. niagnét. du sulfate,
ie«, 849 (Forcheimer). — Phos-
phates doubles de Mn et Co, SU,
fo4 (Dakin). — PoinU de fus. et
solubil. des sulfates doubles de Al,
Vd, Cr, Fe, In, Co et AzH*. S6
1026 {Lockc), — Décomp. du nitrito
en prés, d'autres sels, !S6, 1036
{Wcgnehcider). — Conduct. électr.
des nitrates doubles de Pr, Kd et
des sulfates doubles de Mg, Cu,
Peu, Cd et Ni, ««, 1052 {Joncs,
Cafdwolt). ^ Urauo-oxalale, S6,
1056 [KohhchuUcr, Roaai). — Re-
chercne par Tac. picriaue, tSIl,
1058. — Prép. et propr. de l'imino-
«ulfite, tm, 1121 {Divers, Ogawa).
— Chlorures triples de Cr et Co,
^«, 1125 {Weracr, Gubser).
Amyodaline. Réacl. color. avec S0*H%
^#, 645 \Deacon).
Amtlamine. Prép. et propr. du dér.
acétylé az-chloré, S6, 898 {Siic-
glitZy SIossod). — Chai, latente de
vapor. et chai, spécif., ItB, 94Ô
{hahicnbcrg).
Amtlamine (Iso- act.). Pouv. rotat.,
racémisation, SS, 547 {Guye).
Amtlamine (Iso-) (Di-). Cond. avec
Téther xantho^éoique, S6, 391
(WAee/er, Austin).
Amylcardinol (Di-iso-). Prép. du
formiate par cond. de l'éther formi-
que avec le bromure de Mg^iso-amyle.
SS, 526 {Orignard).
— (MÉTHYL-DI-IS0-). Prép. du formiate
au moyen du formiate d'étbyle et du
bromure de Mg-iso-amyle, S5, 526
[Orignard] .
Amtlcétone (.\cétylméthyl-). Form.
par hydrat. de l'acétyloenanthyli-
dène. Propr., 1^, 305 (A/ourou,
Dolange) .
AitYL»:ÉT0NE (MÉTHYL-U Form. par
déc. de racélyl- et du bcnzoyloenan-
tbylidèoe. Prép. à pari, de l'oenan-
Ihyljdène. Oxime, semicarbazone,
SS, 421, 425. — Form. par déc. de
raid, amylpropiojique, €1», 738
(.Voorco, Dciangc).
Amylb (Iso-) (Azotate). Act. du per-
oxyde d'alc. ôthyl., ««, 358 (£?aovor,
ViJIiger) .
^Azolite). Act. sur Tiodure de
Mg-éthyle, «5, 483 (Moureu). —
Act. sur les aie. éthyl. et amyl.,
l'acétone et la méthylpropylcétone
en prés, de IICI, S«, 2ô0 \KisscJ).
— Act. sur le zinc-éthyle, S9, 253
{Bewad), — .\ct. sur la thuvone-
oxime, SU. 560 {Rimini), — Act.
sur les aminés aromat., S9, 704
[Bamborgcr, RusIk — Act. sur la
cinchotoxine et la méthylcinchonine,
!»«, 810 (.Vi/ier, Robdc). — Act.
sur Pt colloïd., %9, 1039 {Brcdig,
Ikeda). — Act. sur l'éther méthyi.
de la dimélhylphloroglucine, 526,
ii^ {Bosse}.
(ChlorocarbonaleU Act. sur les
sulfocyanates, 96, 1129 {DoraD\.
(Chlorure». Form. dans Tact, du
chlorure d'acétyle sur l'oxyde de
roéthyl-amyle en prés, de ZnCl',
es, 896 {Uoscudé} .
(Iodure). Forîn. dans Tact, de
HI sur le prod. de Tact, du nitrito
d'amyle sur l*alc. éthyl. et HCI, SU,
250 {Kisscl).
(Sulfure). Const. therm., 5K,
384 (BertbcJot).
AuTLE (Iso- Act.) (Chlorure). Racé*
misât., pouv. rotat., SS, 54/ (Guyc).
Amyle (Iso) (Di-) . Pouv. rotat., !25,
550 (6'uvc).
Voy. Octane (Méthyl-2.-7-)
(Di-).
Amylb (Iso-) (Ethyl-). Poùv. rotat.,
S5, 550 [Guyc).
Amylb dso-) (Isobutyl-). Pouv.
rotat., !S5, 550 (Guye).
Amyle (Iso-) (Propvl-i. Pouv. rotat.
SS, 550 (Guye).
Amyle-éthyle (Iso-) lOxyde). Form.
dans Tact, du Zn-éthyle sur le nitrite
d'iso-amyle, €6, 254 (Bewad). —
Vit. de form. à part, de Talc, iso-
amyl. et l'éther benzène-tulfonique,
1t9, 859 [Zagrcbin] .
— (leo-tert.i (Oxyde). Vit. de form. à
paK. de Talc. amyl. tert. et de
l'éther benzène-sulfonique, SU, 859
iZagrobin).
Amyle-méthyle (leo-) (Oxyde). Act.
du chlorure d'acétyle en prés, de
ZnCI", ses, 896 {Descudc).
Amylène. Auto-oxydation, S6, 1
(Engler, Weisbcrg). — Transf. en
ald. formique par oxyd., ^tl, 370
iMuJtiken^ Brown, Freacb). —
Form. par électrol. du caproate de
K. lodhydrate, bromure, IKtl, 897
(PeterscDK
— iHydratci. Voy. Amylique (Iso-
tert.).
SOC. CHIM., 3« SÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
79
1:250
TABLE DES MATIERES.
Amylène (Di-). Act. de AzOCUItSy
293 [Ipatief),
Amylène (Iso-) (Syn. Isopropyléthy-
lène). Form. par électrol. du
caproale de K. Bromure, %%y 897
{Potorson) .
(Chloro-), Prép. et propr. des
dér. chlorés; dibromure, %9, 461
{Krassousky) .
Amylhydrazine. Prép., propr., dér.
benzoylé, 26, 1162 (Stollé).
AllYLHYDROXYLAMiNE (EtHYL-ISO-SCC).
Form. à part du Zn-éthyle et du
nilro-2-propane, €6, 257 (Bewad).
— (ExHYL-iso-lert.) . Form. dans l'acl.
de Zn-clhyle sur le nilro-2-propane,
««, 257 (Bewad).
— (p-PROPYL-iso-sec). Form. à pari,
du nitro^thane et du Zn-propyle.
Propr., «6,257 {Bcwad\.
J3-AMYL1QUE (8ec.-8.) (Alc). Form.
par cond. du bromure de Mg-éthyle
avecTélher Tormique, !SS,526 [Gri-
gnard) .
Amylique (Iso-) (Aie). Cond. du for-
miate avec Télher cyanacétique sodé.
Propr. du forniylcyanacétate, 25,
15. — Cond. du cyanacétate avec le
formiato, 25, 17. — Cond. du cya-
nacétale avec rorthoformiato d'é-
thyle. Prép. et propr. de Télboxy-
méthylene-cyanacélate, 25, 26. —
Prép. et propr. des élhoxy- et mé-
thoxy-mélbylène-cyanacétates , 25,
^. — Amino- et anilido-méthylène-
cyanaoélales, 25, 42 {Bollemont) .
— Propr. de la di-isoamyline du
butylglycol-1.4, 25, 33U (Hamouct).
— '(]omb. mol. avec la diphényl-
carbazide, 25, 385, 453 (Cazc-
nauvo). — Ad. de AlCl», 25, 556
[Porrior, Pougot). — Dédouble-
ment du salicylate dans l'orga-
nisme, 25, 559 [ChanoZy Doyon).
— Act. sur le mélhylal; form. et
propr. du diamylformal, 25, 575,
576 [DoIôpiDo). — Constit. du car-
bonate mixte phénolique, 25, 6,H4
{Cazcncuvo). — Form. d'acétate
aans Tact, du chlorure d'acétyle
sur Toxvde de mélhyle-iso-amyle en
prés, do ZnCl», 25, 8% [Doficudé).
— Act. sur CaC* au rouge, 25,
896 {Lof(fbvro)' — Act. de HgO.
Transi, en mercabide, 26, 122
{llofmaûn). — Act. du nitrite d'a-
myle en prés, de llCl, 26, 251
{Kisscl). — Form. dans Tact, du
Znéthylo .sur le nitrite d'iso-amyle,
26, 253 {Bowad}. — Comb. avec
racôlvlliéminc, 26, 322 {Nvncki,
Zalcski). — Form. dans Tact,
du peroxyde d'alc. élhyl. sur le
nitrite damyle, 26, rJ58 {Baoyrr,
VJJiigor), — Prod. de pyrogénal..
26, 870, 53i (Ipatitl). — Aci. de
AzH' et des aminés sur le SAliry-
late, 26, 415 {TJnçie). — I>ètcrm
cryosc., 26, 5^ {Lmtmis,. —
Ethevs oxydes mixtes dos /'-amuio-
et p-nitrophénola, 26, 7<M (Sf^e-
goi, Sabbëth). — Hydrol. de l'acé-
tate en prés, de div. méliiux dirri-
sés, 26, 736 (SuJa. — S#-p«r-
de Talc. act. ;»!:ther /n-niiro-o-ph4a-
lique, 26, 738 [MarckwaJd, Mf-
konzio). — Vil. d'acl. «ur léiher
benzène-sulfonique, 29 85J iZa-
grobio), — Form. d'élher i^ovalé-
rique par électrol. de l'isovalerat^
de K ; form. d'alc. et de caproale
par électr. du caproate dft K, 26.
897 {PetcrsoD). — Appl. a l'anal,
des cires, 26, 9b0 {kicbi*rtn. —
Appl. à la Bépar. de Co et Ni, 26,
l(fâ9 {Bosenboim^ I/uldrbtaxkyK —
Propr. des élhers acylimino-dilbio-
carboniques, 26, 1007 {Whfi^kr,
Johnsoo).
— (Iso-act.) (.\Ic.). Pouv. roiat. d^
div. élhers gras cl aromat., 25,
549 {Guyc). — Sépar. da Talc,
inacl. par Tac. izi-nitro-f>-phtali«fnt»,
26, 738 [Marckwahî, Mnekt^azte
— Prép. par éthérif. fract., 26,
80'J {Marckwaht),
— (Iso-tert.l (.\lc.). Pyrogénal., 26.
370, 612 JpatirrK^ Prod. d'oxyd..
26, 441 {MuDikea, Seaddor). —
Act. de AzO*H. Prép. et propr d«
dér. nitré et du nilrosale, 26, «Vli
{KoDovatoff. — Vil. d'acl. «mr
1 éther benzène-salfonique, 26, S59
(Zagreb in).
Amylmercaptan (Iso-). Codsi. tbftrm.,
25, 384 {BortbcloD. — Comb.
avec la glycurone, 26, ÎO) (-Vtnj-
bcrg).
Amylpropargyliqur (Aie). Syntli. m
moyen du Irioxyméthyl^ne et d»
rœnanlbylidène sodé. Propr., #iher
acétique, 25, 610 {Mounm, Ût>^tu<Ux
— (Di-) (Aie). Prép. h part, de rvrnac
thylidène sodé. Propr., 25, 610 t-Vou-
rou^ Dt^smots).
Amylpropiolique (Ac). Prép., propr,
réduct.; act, de SO*H* fdm., 25.
563, 564 (ATourou, DcJaagr).
Amylpropiolique (Aid.). Prép. ptr
cond. de Tœnan thylidène aocf^ «tyc
l'élher formique. Propr.. 25, 70^ —
Act. des alcalis, 25, 738 (Afour*-b.
DeJangc).
Anagyrine. Act. de Br. Di^r. dibroov-.
sels, 26, 19 {Klostormaatu — S^-
par. de la cylisine. Sels, oxydai. ,26,
19 {Litterschcid). — ConiHl.. 26.
^0[Schmidn.
— [Oxv'). Prép., propr., 26, 19i/.rV.
terschêid).
TABLE DES MATIÈRES.
1251
^itA&Tse. App. pour la déierm. de la
vitesse 4e8 déga^meaU ^a^eux, ItS^
7 {Job). — Modif. do la méthode au
KMnO^ pour l'appl. à chaud, €S,
396 [Gatlbat). — Anal, speclrogra-
phique des minéraux et prôd. métal-
lurg.flM, 195 [Hartîe^^ liêmago). —
Applic. de la précipit. f^mct., 96»
8& {FindUy). — Recherche des aci-
des, S6, 95:2 (Frésoaius).
Anéthol. Constit.; synth. n port, de
Tald. anisique et de l'iodure de Mg-
éthyle, «5, 27»5 {Béhai, TiiTcneau).
-r- Act. de I et HgO. Comh. avec
lOH; tranef. en ald. p-méthoxyhy-
dratropique, «6, 338, 445, 447 [Bou-
gault). — Propr. therm. de Panétbol
surfundu, 1(6,527 (Morescbiof).
Angélique (Ac). Comb. avec CIOH et
BrOH, «6, 166 [MélikofTK
Anourtirb. Princ. constit. de Técorce,
!66, 157 {Hartwicb, Gampor).
Anhydrides d'acides. Prép. au moyen
de la pyridine ou de FeCI' et dea
chlorui*es, <6, 969 [Wedckind).
Anhydbïte. Voy. Calcium.
Anilk (Ox-) [Ditbio-]. Form. à part, de
Taniline et de Téthylène tnbromé.
Propr., «5,826(N«/>aii«7e/r, Prosin).
ANtLlDO>ACÉTIQITE, AnILID0*D1 ACETIQUE.
Voy. Phé.nylamino-acétiquk, Phé-
N YLAllINO-DIACÉTIyUE.
Aniline. Act. sur les éthers mélhoxy-
et étboxyméthylène-cyanacétique8,<S'
48 [BoIlcmoDt) . — Act. sur la résau-
rine et la résoxéinSf £S, 214 ( Gr/mauj^,
Lefèvre). — Propr. des aoilidos ot-
cyanopropionique , a-cyaoobu typi-
que, a-cyaD0valérique,!S5, 274 {Hal-
/»T, BlaDc\. — Propr. des dianilides
s-et ^-méthyladipiques, 9^^ 841, 443
\Bouveauity Tetry). — Prod. de cond.
avec Tald. *j^xynaphloïque,«6. tY]b
[FosHf*'. — Chai, latente de vaporis.,
^S, 384 [LouguiuJnr). — Prép. et
propr. des anilides et aniles maléïques,
famariques, chlorosucciniqucs, 5tS,
766 {vao Dorp^ van Ha art). — Cond.
avec les di- et télra- bromures d'acéty-
lène et rétbyléne tribromé, SS, 823
{SabaDoJt^iT, Pro«//i). — ï^épar. de la
phénylhydrazine, ^0,862 ( FroundJfir) .
— Propr. des sels de l'orangc' II et
de la chrysoïne, 95, 868 (Sisley). —
Act. sur Tac. a.Ji-diméthylpyruvique,
KS, 1086 {Bouvcault, Wahl. —
S^l de Tac. o-nitro-i»«loluène-8ulfoni-
que, 95, 1041. — Dér. p-loluAne- et
o-nilro-/>-toluène-suironé ; nitration,
95, 1048 {Bevordin, CrcpiouxK —
Vit. de réact. avec les bromures de
mélhyle et dallyle, 96, 14 Moa-
HcboulkiDc . — Coml. avec la dichlor-
iminoquinone et la dichloriniinonaph-
toquinone, 96, 52. — Cond. avec
riminothiodiphënylimine, 96, 54
{Scbaposebaikof). — Act. du per-
oxyde de benzoyle, 96. 98 {Baeyer,
Villiger). — Act. sur Ta-bromo-â-
chloro-p-oaphtoquinone, 96, 104
(Hirseb). — Act. sur la f-bromindone,
96, 107 {Schlossbcrg). — Form. par
réd. électrol. de l'azooenzène, 96, 114
iLœb). — Transf. en safranine, 96,
16 [Kbêrdine). — Comb. mol. avec
les oximes du benzile et du cétoxy-
triphényltétrahydrobeiizèoe, 96, 121,
122 {Pctrenko'Kritscbonko^ Aasa-
Jiezif^). — Prép. et propr. de la diani-
lidehomocamphoriquo, S6, 153 (La/;-
wortb\, — Act. du p-tolylurélhane,
96, 2u3 (Dixon). — Form. par act.
de la lum. sur les sol. alcool, de ni-
trobenzène, 96, 206 {Ciamiciao, SU-
bor), — Act. gnr la thionine,!e6, 223
{Kcbrmanûf ScàaposcbDJkoff). —
Act. sur le chlorure de cbloro-6-acé-
tamino-5- phénylnaphU^hénazonium,
96, 232 [Kobrwaanf Barebe). —
Act. sur l'antipyrine, 96, 267 (Mi-
cbêelis^ BindcwaJd). — Chlorolita-
nate, !66, 279 (Bosenbeim^ ScbiiUt').
— Points de fus. des dér. propion y lé,
butyrylé. acétylé, 96, 287 {àaizor).
— Nitrolanilide du diéthylméthyléthy-
lène, 96, 293 (Ipaticf). — Propr. et
dissoc.du chlorh. en sol. aqueuse, 96,
297 [Kourbatof). —Comb. avec BiCP,
96,308 {Vanino, Haun(*r). — Inll.
sur la coagul. de l'albumine, 96, 319
(Spiro). — Prép. et propr. des ani-
lides act. et racém. de 1 ac. glycéri-
que, 96, 343 [Frankland, Wbarton,
Aaion). — Comb. avec les ald. ma-
lonîque et a*p-p-trinitrop.vpionique,
96, 376 (Torrey, Black), ^ Act. sur
les éthers phényliminothiocarboni-
gues, 96. 392 {Wbcelor, Austiu). —
Sol d'aniline et anilide de Tac. o-oxy-
phénoxy-acétique, !S6, 401 {Ijidowia).
— Act. sur le salol. Dér. salicyîé,
96, 404 {Cohu). — AH. sur le chloro-
cyclopentadièno, #6; 400 LXooïdf^
chen). — Anilide de Tac. diphényl-
sulfone^o-carboniquc, 96, 409 iCan'
ter). — AniBi» cl anile de Tac. D-nl-
tro-o-sulfo'b^naoTquc, 96, 414 (f/cn-
dorson\. -^ Act. sur les benzoate,
salicylato, m- et /M>xybenzoates de
métbyle. Anilides corresp., 96, 415
{Tiugh). — Act. de (CAz)» et de
CAzSIl, 9«, 420 [Afovos). — Form.
par réd. de ro-ox/-azobenaéDe, 96,
424(^aioi>er^cr). — <>>nd.avccréther
acétone-dicarboniaue. Mono- et di-
anilides. Anilide phénylaminoglutsco-
nique, 96, 425, 426 {Besthora, Gar-
bon). — Act. sur les trisulfocyanates
de P et de phosphorylc, 96, 451 {Di-
xon). — Triboluro. du chlorh., 96,
458 [TscbugaoÛ). — Comb. avec les
1252
TABLE DES MATIÈRES.
ac. mucobromiqae et mucochlorique.
Dér.de la phénylamino-acroléine, SU,
474 {SimoDis). — Ad. sur le diben-
zoyléthylène, «6, 476 (Paal, Schul-
jre). — Act. sur la Dîtrosobenzoylben-
zylamine. Form. de benzanilide, !S6,
483 (Apitzscb), — Act. sur Tôthyla-
mino- 4 -diphényl - -)f - cyanazomélhine,
te6, 485 (Sachs, Brv).— Comb. avec
BiCl\ SbP, SbCP, ««, 497 [Schiff).
— Comb. avec les isosulfocyaoates
de {i-chlorallyle et de ^.y-dibromo-p
chloropropyle, «I, 498 [Dixon), —
Electrol. des sol. de AzO^Ag dans
l'aniline, ««, 523 [Kablcnbcrg). —
Act. sur le peroxyde d'alc. éthyl.,
«6,531 [Bacyer, Villigcr).— Prod.
de cond. avec CH*Cl*; propr., sels,
M, 544 {Grassi, Scbiavo^Leoi), —
Act. sur la chloro-3-flavinduline et
la chloro-3-phénylro8induline, «6,
5i6,547 [Kehrmann.Hiby).— Cond.
avec le ^-napbtol et l'ald. benzoïque,
««, 554 iBotti), — Act. sur les mé-
thoxy-, éthoxy- et isobuloxy-chlorosi-
licaues, »6, 577 {Kippiog.Lloj^d).—
Act. sur la ^-cbloro-a-naphtoquinone,
«6, bl9{RussJg). — Détcrm. cryosc,
«6, 598 {Loomis). — Act. sur le
chlorure dVchlorobenzyle. Anilides
o- et p-chlophénylacétiques, «6, 624
(Mebner). — Act. sur la dlchloracé-
tanilide az-cblorée, «•, 625 (Chat-
taway^ OHon). — Act. de Tanh. acé-
tique. ««, 630 {Sudborough). —
Comb. avec los sels de dimélhylphé-
nazoxonium, «6, 637 [Kebrmaan).
— Act. sur les benzoate et thioben-
zoate de phénylisobutylimino-urée,
««, 692, 693 (WAce/cr). — Act. sur
le ^-chlorodtnitrooapbtalène, S6, 700
{Scheid). — Sels d'aniline et anilides
des ac. dibenzylméthano- et oxymé-
thylène-camphre-phosphiniques, «6,
702 (Afichaeiis, Flcmmiag), — Prép.
par cond. de C*H* avec AzH"OH en
prés, de AlGt», ««, 703 (Graebe). —
Transf. eit iaaéiazobenzène par le
nitrite d'amyle,'1MI, 704 {Bambergerj
Rust). — Act. sur Tétber diméthyl-
a.a-oxalac4tylacétk|a»,«6, 740 [Con-
rad). — Comb. avaclesald. t>enzoïque,
mésitylénique et aatie^^lque, «•. 762,
763 [HanUsch, Schw»t). — Form.
f>ar déc. de l'oxyde de dimélbylani-
ine, «6, 766 {Rambepger, Lcydcn).
— Act. sur la phénylhydroxylàmine,
SU, 767 [Bamborger]. — Transf. en
diazo-imide, S6, 772 (iîflpc, Majews-
ki). — Form. dans la réd. de la for-
roazylméthylcétone et d* la nitrosopy-
ruvylphénylbydraziue, «•, 775 {Bam'
horgety Ot'ob). — Acl. sur l'anlipy-
riue cl le chloromèlbylalc de pbényl-
mëthylcbloropyrazol, M, 781, 782
(MicbaeliSt Guakel). — Act. sur le
disulfure du diphényl-1.4-tbiolruv^
lylmercaptan, «•• 7Htj \Ouvch, Wai-
peN). — Form. à part, de lliydri-
zone phénylnitrorormiqae, «tt, 7^
(Bambergor, Grob). — CombiiUMHi
avec l'aldéhyde thiophéaiqiiP,^M,7vn
(Hanixseh, Witx). — Vit, d'act. de^
bromures d*allyle et de m/nhyle, t^,
860 {Mcnsehoutkinc). — fZoasl. dit-
lect., se, 880 [Turaor), — Teo«. de
vap. et compos. des mé\. avec ^
phénol et l'eau, ««, 880 iScbrrimt-
makers). — Oxyd., «•, «W i Vor-
laendcr). — Tribolum. du cblorb-,
se, 929 (TscbugacfT}. — Ad. mr
l'anh. ot-bromopropionique, Se, ^*
(Wcdekind). — Act. sur le nithle
nitro80-isobutyrique,SS,U71 iPilcH}.
Scbwerin). — Anilide do Tac. dioi'
tromésilylénique, «•, 9H6 {KuacktU,
Hiidebrandt), — Act. du bromure
do p-xylylène, S6, 986 {ManoukiêO
— Form. par déc. de rélher phôny*-
benzimino-éthyl. ; act. «ur rétherax-
phénylcarbt'lboxy-iraino-étliyl., ••*
988, 989 [Laadcr]. — Act. sur W
chlorure phénylcarbazinothiorarhom-
que, se, 1001 [Buseb, OrohmêMJi .
— Act. sur les chlorures-éiher pfe^
nyi- et p-tolyl-carbazinocarbooiqv^,
se, 1006, 1007 \Busch, Hcinrhbs .
— Act. sur Pt coUoïd., SS, ICt*
(Bredig, Ikcda). — Comb. ax-ec T^c.
tellurique, Se, 1051 [Gatbit^rs. —
Act. sur le phénylbiuret, Se, KHO
(Pickard, Carter). — Ad. *tjr !•
phényléthylisobiuret, Se, 1(172. —
Cond. du chlorb. avec la cyaaamide,
se. 1072. — Form. par dt*:, d*
réthylméthyldiphényliftobiuret, tÊ,
1074 \Mac Kecj. — Acl. sur !« tUbny
mo-l.S-dinitro-4.6-benzène, Se, IC^l
{Jackson, Coboe). — Acl. sur le di-
bromo-l.H-dinilro-4-6-bcnzi"'ne, ••,
i06^(Jackson,Earley-- Acl, de UV,
act. sur le tri-iododinilrot>eo/èfle
sym.. se, 1083 [Jaekaoa, Bebr . —
Act. sur To-quinone, Se, lIOl
(Jackson, Koch), — Dianilido dr Tac-
déhydromucique, Se, IIOH ^Ph**ip^,
Hah). — Acl. sur lea oUieni salfîrH
cyanocart)oniques, Se, 1127i/>»raot.
— P-toluène-saliinate et />-tolu«A«-
suironate, Se, 1130 yvan .\It*yrr . —
Copul. avec Téther o-diaxotiratoïqu*-.
se, 1154 (McbnvrK — Furm. à p*K
de la benzylazidf, Se, 1166 ïCurtiU*»
Darapskv)).
— {.\itdo--i-). Prép. et pr«)pr. du lUr,
acélylé, Se, 771 yRupe, Aiajcw^ii
— (Bromo-ii'). Prép. et pmpr. du dtr.
az-bromé, Se, 49 (CbatUwy^ Orioo •
— Comb. avec l'aldéhyde feâlicyliqur^
se, 764 (lianUach, Schwab . ^ Ml
de l'ac. aminosul Tonique, Se, UlH
(Paal).
TABLE DES MATIÈRES.
1253
- (BrowoS-). Acl. de la dichloracél-
anilide azchlorée, S«, 625 [Chatta-
wav. Orton). — Act. de lac. amino-
8aironiquc, SU, lOeS [Paal).
" (Bromo'4-), Form. par déc. de la
di-/>-bPomophénylarée,*#, 483 (C/i/i/-
Uiway, Orton) . — Diazot. par le ni-
trite d'amyle» S6, 704 (Bamberqer,
Post). — Chlorurat., propr. du aér.
acèlylé az-chloré, SU» 701, 762
(ChatUwa^, Ortoa), — Comb. avec
les ald. benzoïque et salicylique, IM,
763 {HanUsch, Scbwab). — Transf.
en diazo-imide» «6, 772 {Bupe^ Ma-
Jûwakî). — Comb. avec Tald. Ibio-
phénique, S6, 798 (Hantiscb, WJU).
— Prép. du dér. acétylé au moyen
de racétanilide, SU, 1081 (tfêckaon,
Cohoc). — Acl. de Tac. aminosulfo-
nique, SU, 1092 (Paai).
- (Bromo'i.4-) [Di-). Form. par
déc. de la bi8-dibromo-2.4-phéoyl-
urée, «•, 483. — Prép. et propr. du
dér. az-chloré, Z9, 762 [Cbattawav,
OrtOD). — Prép. du dér. acélylé
au moyen de racétanilide, S9, 1081
{JacksoD, Cohoc), — Act. de la
dichloro-2.4-acélaniIide az-chlorée,
!S«, 1151 {Cbaitaway, Orton).
- {BromO'É.d') {Di-). Prép. et propr.
du dér. diacét.,eil,630 [Sudborougb.)
— Dér. acétylé az-chloré, SU, 761.
— Act. de la dichloro-2.4-acétaoilide
az-chlorée, SU, 1151 [Cbattaway,
Orton).
• {BromO'2.4,6') (Tri-). Form. par
déc. do la bis-tri bromo-2.4.6-phényl-
urétf, ««. 488. — Prép. et propr. du
dér. acétylé az-chloré, «6, 762 {Chat-
taway^ Orton). — ^^P- »*> moyen
de Tacétanilide, SU, 1081 [Jackson,
Cohoe). — Act. de la dichloro-2.4-
acétanilido az-chlorée, 1t9t 1151
{Cbattawa\\ Orton).
' [Bromo-i-chloro-A'). Prép. du dér.
acétylé à part, de la p-chloracétani-
lide ax-chlorée. Propr., dér. az-chloré,
az-bromé, ««, 761, 762 [Cbattawav,
Orton).
- (fironio-5-c/ï/oro-4-).Form. dans Tact,
de la dichloracétanilide az-chlorée
sur la ro-bromaoiline. Propr., dér.
acétylé, 96, 626 yChattaway. Orton).
- {BromoS-cbioro-G-). Form. dans
Tact, de la dichloracétanilide az-chlo-
rée sur la m-bromaniline. Propr., dér.
acétylé, ««,625 {Cbattawav, Orton).
- y Bromo^4'CblorO'2'^. Prép. à part,
de la p-bromacétanilide az-chlorée.
Propr., dér. acétylé, az-chloré, az-
bromé, %% ,762 [Cbattawav, Orton).
- (0roiDo-2.4cZiioro.6-) (/>/-). Prép. à
part, de l'o-chloranilino et de la
riroiDO-4-chloro-2-acétanilide a/.-bro-
roée. Propr., dér. acétylé az-chloré,
««, 761, 762. — Act. de la dichlor-
acétanilide az-chloréc. Form. à part,
de la dibromaniline-2.4, S6, 1151
(Cbattaway, Orton).
— [BromO'2.6<bïoro^4') [Di-). Prép.
à part, de la /Mïhloraniline et de la
bromo-2-chlora4-acétanilide az-bro-
mée; propr., dér. acétylé az-chloi*é,
««. 701, 782. — Form. à part, de
la tribromaniline sym., act. de la
dichloracétanilideaz-chlorée,«ll, 1151
(Cbattawav, Orton).
— [BroaiO'i'dicblorO'4.6-). Form. "^
part, de la dichloraniline, de la di-
chloracétanilide az-bromée et de la
bromo-2-chloro-4-acétanilide az-chlo-
rée; propr., dér. acétylé az-chloré,
S«, 761, 762. — Form. à part, de
la chloro-6-dibromo>2.4-aniline. Act.
de la dichloracétanilide az-cblorée,
««, 1151 (Cbattaway, Orton).
— iBromO'4-dicbloro-S.6'). Prép. à
part, de la />-bromaniline. Propr.,
dér. acétylé az-chloré, ««, 761. -^
Act. de la dichloracétanilide az-
chlorée, SU, 1151 [Cbattaway,Orton).
— (Bromo-4'nitro-2'). Form. du dér.
acétylé à part, de To-nitro-acétanilide
az-bromée, ««, 50 (Cbatlaway,
Orton, Evans).
— (Cbloro-S-). Form. à part de lacé-
tanilide az-chlorée. Dér. acétylé az-
chloré, «•, 48 [Cbattawa^, Orton).
— Gond, avec riminothiodiphéoyl-
imine, «8, 55 [Scbaposcbnikoff). —
Form. dans Tact, de la dichloracéta
nilido az-chlorée sur l'aniline. Act.
de la dichloracétanilide az-chlorée,
«6, 625. — Form. du dér. acétylé à
Eart. de l'acétanilid*-, ««, 626. ~
iromuration, SU, 761 [Cbattawêy,
Orton). — Act. de Tac. aminosulfo-
nique, «6, 1092 [Paal).
— [Cbloro-è'). Dér. acétylé az-chloré,
««, 49 [Cbattawavy Orton, Hurtley).
— Cond. avec riminothiodiphényl-
Imine, SU, 55 (Scbaposcbnikoff) . —
Acl. de l'ac. amino-sulfonique, «6,
1092 [Paal).
— {Cbloro-i-). Form. du dér. acétylé,
à part, de Tacétanilide az-chlorée,
%^,h»{Cbattaway, OrlonK^ Gond,
avec l'iminothiodiphénylimine, «6,
bb (ScbaposobnikoOj . — Form. dans
Tact, de la dichloracétanilide az-
chlorée sur Taniline, «6, 625. —
Prép. du dér. acétylé au moyen de
racétanilidc, SU, 026 [ChaUaway,
Orton). — Diazot. par le nitrile
d'amyle, «•, 704 [Bambcrger, Bust) .
— Dér. acétylé az-bromé, ««, 761
{Cbattaway, Orton). — Gomb. avec
les ald. benzoïque, mésitylénique,
o- et /Hîhloro-, m- et p*nitrobenzoï-
ques, Stt, 763 {Hantiscb, Scbwab).
— Act. de Tac. aminosuironiquo;
sel, anilide, ««, 1091 {Paal).
1254
TABLE DES MATIÈRES.
'^ {Chloro-i-A-^^ Z)/-..Cond. arecruréc,
96, 48t. — Prép. du dér. acétylé à
part, de !*ecétanilide. Dér. az-chloré,
<€, 581. — Act. du dér. acétylé az-
chloré sur les aminés et la phényl-
hydrazjne. Fonn. à part, de 1 o-chloi^
aniline, ««, 625, Oi6. — Dér. acé>
tylé az-bromé, e«, 761, 762 (C/»#/-
tawêy^ Ortonf. — Fonn. par réd.
dat^^trachloroazobenzène. Propr.,S6,
1100 iZincke). — Act. du dér. acé-
tylé az-chloré sur div. anilines chlo«
rées et bromées, !SII, 1151 CbalU-
wav, Orton).
— {ChlorG'3-4'} (Di). Fonn. du dér.
acétylé à part, de la m-chloroacéta-
nilide az-chlorée. Propr., dér. az-
chloré. 9%, 49 (Chattaway, Orton^
HurtJ^y) .
— ^Chlorose-) ^Di'K Form. du dér.
acétylé à part, de la m-chloracétani-
lide. Propr., dér. az-chloré, 96, 49
fChattawav, Orion, Hurtley^.
— iChloro'2.3.4.6'} {Tetra k Dér. acé-
tylé az-chloré, 9%, 50 iChattaway^
OrtoOf Hurtley).
— {Cbloro-2.3A') ITriA. Dér. acétylé
az-chloré, SU, 49 (C/l)a(tan'/i,v, OrtoUy
Hurticv).
— iChIorO'ii.3.6-) (Tri-K Dér. acélylé
az-chloré, €6, 49 [Chattaway, Orton,
Hurtley).
— (Chloro-S.é.ô-) {Tri). Form. a part,
delà trichloro-3.4.6-phtalimide. Propr.,
dér. acétylé, «6, 1105 [Gracbe, lios-
towzcw).
— {Chloro 2.4.6'} (Tri-). Form. par déc.
de la bis-trichloro-i.4.6-phénylurée,
96, 482. — Form. dans Tact, de la
dichloracétanilide az-chlorée sur la
dicbloraniline-2.4, «6, 626. — Form.
à part, de la bromo-4*dichloro-2.6-
aninne,«6,1151 {Cbattaway, Orton).
— iCbIorf)S.4.6-) [Tri-}. Form. à part,
des dichloracétanilides-3.4 et 8.6 az-
chlorées. Propr., dér. acétylé az-
chloré, 96, ,49 {Chattaway^ Orton ^
Hurtley).
— (CbIorO'4-nilro-2'}. Form. du dér.
acétylé à part, de To-nitro-acétani-
lide az-chlorée, 96, tO \Cbt*ttaway,
OrtoUy Evans .
\[)i-\. Form. à part, de Tac. p-
diazobenzéne-sulfonique, 96, 1(K)9
(Zincko^ .
— \Iodo',i.5-^ iO/-i. Prép. à part, de
la di-iodo-p-niiraniline syra. ; propr.,
sels, dér. acétylé, cond. avec la gly-
cérine, 96, 1146, 1147 {Willgerodt,
Arnold^.
— iIodo-2.S.4) iTri'). Transf. en tétra-
iodobenzène, 96, 1147 {VtNgerodtt
Arnold).
— flod(h2.4.6-) {Tri-\. Prép. au moyen
de Taniline et de ICI. Propr., 96,
1083 [JackMon, Hcbr).
— tlodo^.4.5-' (Frf-). Form. a pui.
de la di-iodo-p-aitraoilme. Prvçr .
cond. avec la glycérine. 96. lUT
fWillgerodl^ Arnold .
— t/odo^f.5.4.5-. {Tetra- . F**tD.ipart.
de la tri-iodanifine. Propr.. 96, 1148
WVillgerodl^ Arnold -
— {lodo-i-nitro-A-' . Pn^p, ao moycsdc
la p-nitraniline. Propr.. 96, 11(6
( WWgfrodi, Arnold' .
— tlodo-i.6-Mutro-4'^. Prép. à p«»t. et
la j>-iiitraniline. Propr., 96. ISliS
■ Willgerodt, Arnold .
— '\aro-2'.. Form. par red- d* r«>-
dinitrobenzène par AzH*V*S. 9S. Vtt
t Blanksma] . — Dér. />-iiitrt>beitsi>xk;
transf. en imidazol, 96, 17 K*m>.—
Dér. acétylé az-chloré et aA-t>rocB«.
96, 50 iC/taliawav, Orioo, Kraax
— lA'ilro^-'. Dér. 'acétylé az-ehloré,
96, 50 iCbattaway, Orton^ Eiaat .
— Transf. en diazo-imide, 96, Tii
'Rape^ Maiewski) . — Form- du àtr.
chloraeétylé à part de Toxiaie dr
Tcu • bromo - m - nîtro • aeèioplieBOïK.
Propr., 96,990 iKorU^n, Se boit . —
Conîd. avec la glycérine, 96. 115<
iDceker*. — Copul. avec IVUrtr
o-diazobenzoîque,96, 1154 .Hebnrr.
— iNitro-4'\. Dér. acétylr ae-chlor»,
96, 50 iCbattawav, Orton^ Evam» .
— Comb. avec Tald. benzoïque, 96,
764 iHaotzscbf Scbwab . — Form.
par réd. du p-nitro-azido>benzéDe, et
vicir-vtrsa, 96, 771, 772 Hapc,
Majrwnki). — Act. de ICI, 96, 11 W
{Willgerodt, Arnold. — Copal.
avec réther o-diazot>enz(iîque, 96,
1154 (.Ve/men.
— iNitro-2.4-) iDi). Dér. ;>>toloéae~
sulfoné et o-nitro-p-toluéne-sulfoo^,
9S, 1048 {Reverdin, Crépiotix .
— \NitrO'2.4.6-) (rr/-}.Comb. avec Iw
x- et ^-naphtylamines, 96, ti2Vi *S^
borougb) .
A.NiLiNR (.\cÉTTL-K Dér. az-chloré, 96.
48 {CbattawaYt Orton*. — Point
de fus., 96, 297 {Salirn. — Fora,
par déc. des éthers acélvlphénylimi-
nothiocarbonique8,96,392 1 Wh^kr,
AustinK — Act« sur le Kalicylalr
d'amyle, 96,415 (r/oa/o.— Tribo-
lum.; 96, 458, 929 (Tsebugat^m. —
Form. par déc. de racétylpbényljnii-
no-x-tnchloréthylmercaplan, 96, iSè
iEîbner). — Dér. az-chloré, 96, 591,
626 {Cbattaway, Ortonf. — Cond
avec les chlorures d'acélylc, propto-
nyle, butyryle et chloraeétylé «ji pré»,
de AlCP, 96, 631, 691 ^Kuncktll .
— Vit. de dissol., 96, 878 ^Bmncr^
TolloczkoK — Act.deriodtored'élhifk»
et Ag^, 96. 978. — Act. de lio-
dure de méthyle et Ag*(). 96. i¥S
[Landcr). — Bronurat., 96. 10^1
{Jackson^ Coboc).
TABLE DES MATIÈRES.
1^55
— — iDi-). Prép., propr., IM, ttSO
{Sudborough\.
ANILINE lAlXYLMÉTUYL-). Propr., )M,
215 [voû BrauD).
Aniline < Uenzènesulfonacûtyl-).
Pn>p. au mojcn de la cbloracéta-
nilide. Propr., IM, 136 {Grotbc).
Aniline 'Benzoyl*). Form.à pari, des
étbers pliényliminothiocarboniques et
du chloi*uro de benzoyle, €«, S92
(WJtcoler, AuatÎD). — Form. dans
Tact, de l'aniline sur le benzoale de
mélhylc. Act. sur le salicylate de
mélhylo, SU, 415 iTJogIo}.— Tribo-
bolum., !M, 458 iTschugêcff). —
Dér. ax-chloré, SU, 581 iChattawav,
Orton).— Form. dans Tact, de AlC'l"
8ur la benzopbénone-oxime, SU, 703
{(rracboj. — Act. de Tiodurc d'ëlh/le
et Ag'O, 1t9, *J88 {Laoder}.
Aniline (Benzyl-). Form. dans Tact,
de Taoïlino sur la nilrosobenzoylben-
zylaroioc, S6, 483 {Apitisch}. —
Comb. avec rPsosulfocyanate do cblor-
allyle, ««, 498 {Dixon).
Aniline (Benzyléthyl-). Cond. avec
Tanh. phtalique. Comb. avec AlCP,
*S, 178 (HaUcr, Guyot).
Aniline (Bromacétyl*). Form. à part,
de Toxime de ra>-bromacétophénone,
<«, 990 {Kortcn, i^choth.
Aniline iCarbo-di*) . Conslit. de Thydra-
zone. Dér. acélylé, «6, 434 {Schalh.
Aniline (Culorac^tyl-i . Act. de KSH.
Form. et propr. des sulfure et su!-
rone, SU, 135. — Act. du benzènc-
sulllnate de Na,!eii,136 {Grotho).--
Act. de CAzSK, ««, 138 (Bvckuris,
Frerichs). — Foi*m. à part de l'oxi-
roe de rw-cbloracétopbénonc, !t6,
989 (Korten, Scholh.
Aniline iCyan-). Comb. avec les
cblorures d'acftyle et benzoyle. Prép.
au moyen de Taniline et de Tac. sul-
Tocyan., IM, 4ii> (.Ucve.S).
Aniline (Cyanacétyl-). Form. à part.
de la cbloracétanilide et do KSH,
propr., SU, 135 {Grothc).
Aniline (Ethyl>). Act. des sels de
Cu, S^, 5i7 {Coninck}.^ <:ond. avec
rifoiDOthiodiphényliminc, ftU, 55
(SrhaposchDÎkof).^ Aci.de CAzSK
sur le dér. chloracétylé. Dér. sujfo-
cyaoacétylé, <6, 136 iFrericbs,
Beckurla). — Cond. du dér. nitrose
avec le cyanure de benzyle, son dér.
p-nitré et l'éther cyanacétique, S#,
484 iSacb, Bry). — Form. dans Tact.
de Tanilino sur la phcnylélhyliso-
urée, «6t 107i, 1074 iMac Kco) . —
Sulfonation, <•, 1145 [Gncbm,
Scbeatz) ,
Aniline (Kthyl-) (Di-), Cond. avec
Tanb. pbUlique, £6, 172 [Haller,
Ouvtit). — Act. des sels de Cu, 185,
^i {(Joainck). — Cond. avec l'anh.
tétrachloro-o- phtalique, £S, 5^19
\HaIlcr, (Imbgrovo), — Act. sur
Téther a-bromobutyrique, ftS, 646
{Wabl). — Cond. avec la dichlor-
imino>quinone et la dicblorimino*
napbto<|uiDoiie, fttt, oi. — Cond.
avec riminothiodiphénylimine, S6,
55 (Schaposcbnikof). — Cond. du
dér. nitrosé avec le cyanure fie ben-
zyle, son dér. p-nitré, le nitrile ma-
lonique, la cyanacétaroide, S6, 90
{Sacha^.
Aniline (Ethylmétuyl-). Form. par
déc. de rélhvlmélhyldipliénjlîso
biuret et de Véthylphénylniélhyl-
iso-urée, <6, 1074 [Mac Koc),
Aniline (Iso-amyl-) (Bis-). Form.
parréd. de la bis-iso-amylidène-ani-
line. Propr., dér. benzylidénique,
1t9, 486 (Eibner, Puruckor).
Aniline (Iso-amylidène-) (Bis-). Ré-
duct., SU, 486 {Eibner, Puruckcr).
Aniline (Méthyl-). Act. des sels de
Cu, £S, 527 {Coniack). — Cond.
avec riminolhiodiphényliminc, !S6,
55 (Schapost hnikof). — Act. de
KSH, CAzK et CAzSK sur le dér.
chloracétylé. Dér. aulfocysnacétylé,
1t%, 136 {Grotbc; Frcrkbs, Bec-
kurts). — Prép. et propr. du dér.
antraquinono-^-sulfoné, 99, 178
(Hiusbcrg). — Dér. de Tac. o-oxy-
phénoxy-acétique, SU, 402 {Ludc-
wjg). — Cond. du dér. az-nitrosé
avec le cyanure de bcnzyle, son dér.
p-nitré et Téther cyanacétique, !26,
484 [SacbSf Bry). — Prép. du dér.
nitro-i-cbloré-5 à part du chlorodi-
nitro-3-4-bonzène. Propr., réduct.,
!B6. 547 {Kcrbmann, Mùller). —
Act. de la dichloracétanilide az-
chlorée; form. de dér. o-chloré et
p-chloré. Propr., dér. acélylés, !(•,
625 {Cbattaway, Orton). — Form.
à part de l'o-methylaminobenzoatede
méthyle, «6, 646 iWalbaum). —
Form. par déc. de 1 oxyde de dimé-
thylaniliue, SU, 766 {Bamberger^
Lcydoû). — Oxyd. du dér. nitrosé,
•«, 89^ {Vorlaondi'r). — Form. du
dér. acétylé à part de Tacétanilide,
OHM et Ag"0, St», *J88 [Undcr]. —
Comb. avec le chlorure-éihcr phé-
nylcarbazino - carbonique, S9, 1002
{Buscb). — Form. par déc. do la phé-
nylméthylétbyli.so-urée , «6, 1074
{Mac Kee). — Sulfonatioa, M, 1145
(Gachm, Scbeutz).
Aniline (Méthyl-) (Di-). Cond. avec
l'anh. phtalique, ^5, 168. — Cond.
avec Tac. diméthylamino-benzoylben-
zoîque, 96, 316. — Cond. avec Tac.
m-nitro-p-dimélhylaminobenzoyl-
benzoïque, dér. p-nilrè, CS, 511,
513 (//«//er, Guyot >. — (>ond. a^ec
l'anh. tétrachloro-o-phtalique.
1256
TABLE DES MATIÈRES.
599 (Hallor, Umbgrovo). — Cond.
du dér. p-nitro8é avec le nitrilt
roalonique, la cyanacôiaroide, et la
sulfooe du tétramélhyldiammodiphë-
nylmétbane, 26, Ul (Sachs), —
Cond. du dér. p-nitix)sô avec div.
aminés prim. arom., %S, 117 {Khar-
dîne). — Form. de l'iodométhylate
dans Tact, de CH'l sur lo phényl-
métbyllhiocarbaroatede méthyle, <6f
891 (Wheelor, Austin). — Act. de
Tac. benzoïque. Form. dans Tact, de
l'aniline sur Vo- et le p-oxybenzoate
de méthyle, ««, 415 {Tinglc). —
Pouv. rotat. magnét. et lumines-
cence, <6, 759 [Kaufmann) . — Prép .
et propr. de l'oxyde et du dimère.
Sels, iB^l^ (Bambctgor, Leydcn).
— Oxydai., ««, 899 (Vorlaender) ,
Act. du fulminate de Hg, !M, 914,
1095 {Scholl, Bcrisch). — Cond. du
dér. p-nitroséavec la chloro-4-m-phé-
nylène-diamine, M, 916 {Cohn^
A. Fischer).
Aniline (Méthyl-) (Pfnta-). Transf.
en sarranlne, 5^6, 116 [KhardiDc).
A.vîLiNE (OxALYL-). Acl. dc C*H*I et
Ag*0, ««. 988 (LflD(/cr).
(DHhio-). Form. à part, de la
Shényidicarbylamioe. Propr., !SS,
25 (Sabancjert^ Prosin),
Anilink (Sulfogyanacktvl-). Prép. à
part, do la ehloracélanilide. Propr.,
«•, 33 (Orotho, Frenchs, Bec-
kurts).
Aniline (TRicHLonÉTHYLiDÈNE-Bis-).
Comb. avec Tac. tb:o-acétique, 211,
548 {Eibnor).
Aniline-8ulfoniqi;e-2 (Ac). Propr.,
dér. alcoylis, 26, 1145 [Gnchm,
SchoMiz).
— {ChlorO'A) (Ac). Form. à part,
de la »-chlorauiline et do Tac. ami-
no-sulfonique . Propr., 26, iU9â
(Paal).
Aniline-sulfomque-3 (Ac). Prép. et
propr. dos dér. az-métbyl6s, élhy-
iés, benzylés, 26, 1145 (Gn^hm,
Scbeutz).
Aniline-sulfonique-4 (Ac). Tribo-
lum., 26, 458, 929 (Tschugacff).
— Prép. et propr. du dér. az-étbyié,
26, 1145 iOnchm, Schcutz).
Anilopyrinb. Voy, Antipyhinb (.Vni-
L0-).
o-Anisidine. Cond. avec l'iminothiodi-
phényliroine, 26, 55 (Schaposchni-
koC). — Cond. avec (CAz)", 26,
420 [Movos). — Comb.' avec lenitro-
benzène, 26, 425 {B a m berger),
— {NJlro-3-5') [Di'). Héd. du dér.
acétylô. Gond, avec le benzile.
Diphénylazine. Diazot. , 26, 1159
[Mehlota, Eyre).
P-Anisidine. Act. sur le salol. Dér.
salicylé, 26, 404 [Cobn). — Comb.
avec (CA2)«, 26, 490 {MevesK -
Act. sur le benzoate de phènylm^
thyliminothio-urée. 26. 69ci ( Wh*^
1er). — Comb. avec lc« ald. ben-
zoïque et anisiqae, 52#, 7^ 764
{Hanlxsch, Schwab).
Anisioine (Di-). Cond. avec riroioo'
thiodipbenylimine, 26, 55 iSchê-
poscbûikot).
Anisioine (az-méthyl-i (Di-). Vo/.
Phénol {Mclhylamino-) (Di-j.
Anisiquk. Voy. BenzoÎqub {Afélbo-
X/-4-).
AnisoVne (Hydro-). Form. dans Tael.
de la lum. sur un mél. d*alc. aoist-
que et d*alc. éthyl., 26, 10i5 {Ch-
miciaDy Silber).
Anisol. Conat. therro.,2S, 3H ilM^
fine), — Chai, latente de vaport».,
25, 384 {LouguÎDtDé). — Act. de I
et HgO, 2S. 819 (Brenans). — Cond.
avec Téther oxalique, ^C. 1069
(TJagle, Byrnc).
— {AmioihS.ù') (Di-). Prép. par réd.
du dér. dinitrc. Propr., faydrel>^M,
26, 963 (Aigaer).
— {AmwO'S.4,5') (Tri-). Form. a
part, do la triamino-^nisidine. Propr^
cond. avec le benzile. Diphéoylaxisfi.
26, 1159 [Meidola, Eyr<*).
— [Azido-^i'). Prép., propr.. 96, 7T1
[Bupe, Majcwaki).
— {Azido-4-). Prép., propr., odeur,
26, 771 [Bupcy Majcwsii).
— (Chloro-S-aitroô'). Form. daas
Tact, du méthi'lale de Na sar 1»
chlorodinitrobenzène sym., 2&, 9M
(de Kock).
— (Diazo-^'). Comb. avec le» ar.
Ihiosulfon. arom., 26, 63 > • Trae^
gor, Ewers). — Comb. avec l'élh^r
cyanacétique, 26, 708 [Lax).
— {Diazo-A-). Comb. avec les ac, thio-
sulfon. arom., 26, 636 ( Tratgrr^
Ewers). — Comb. avec Téther c>'ao-
acétique, 26, 708 (/^x). ~ Cuoot
avec la lo-dimétbyUoluidine, 26,
770 iSamelsoD),
— {Ioao-4'). Prép. à part, de VwiaoL
Propr., 2S, 819 (Br^Daas\„
— iIodo-S.4') (Di-). Prép. à pari, du
di-iodophénol. Propr., 2S, (âl (Bre-
nans).
— (Iodiyi.4.6'). {Tri'). Prép. à part,
du tri-iodophénol. Propr,. 2S, HJl^
{Brenans).
— (Nilro'ii.5') (Di-), Prép., réducl.,
26, 983 {Aigaer}.
— (Nitro-2.4.6) (Tri^\. Ojoscop.
dans Tac. formique, 26, ôft9 1 Bruni.
Boni).
Anisol (Chlobagétyl-) (Bis-K Act.d«
PCP, 26, 623 {Kunckeil, Emu
Anisol (Ethknyl-I (i^/s-rfjVrAMr-l.
Prép ap^rl. du dicbluraoétytanîaol-
Propr., 26, 623 [KunckêH^ Kran.
TABLE DES MATIÈHES.
1Î57
Anisol (I80PROPYL-4-). Porm. dans
Tact, de l'iodure de Mg-méthvlo sar
l'anisate de méthyle, «5, 375 {Bé-
hmi^ TifToneâu).
Anisol (^Piiopkntl-4<). Form. dans
Vact. de riodure de Mg-méthyle sur
Tanisatc de méthyle. Propr., oxyd.
p«r t et HgO, S5, 275 {Dobal,
TiffcDCëu) .
Anodes. Voy, Appareils.
AVTHOCYANINE. Svn. EbYTUROPHYLLE.
An'TUBacf.ne. Form. par dist. sous
rtression du xylylphénylélhane, iKtl,
84 {Kraerner^ SpiJkcr). — Act. de
AzO*H. Conslil. du nitrate et de Thy-
pooitrate, SU, 169 {Afcisouboimer).
— Nitralion. Form. d*acétate et do
chlorure do nilro-anthracëne* 1M,
208 [Dimroth). — Mél. eutectiaue
avec la camphoroxime, <•« 1029
{Adriani), — Cond. avec le chlo-
rure de benKoyle. Act. de S*C1*.
Prép. et propr. du dithiochlorure,
Itm, 1088, l(fe9 (Lippmaan, Pol-
l»k),
— {Cbloro'2') [Di'). Prép. au moyen
de S«(JI«, SU, 1089 {Upproana, Pol-
Iak).
— i^f^itro-iO-). Form. à part, du nitro-
sodihydro-anthranol, SU, 170 {Moi-
scDboimer),
Anthhackne (Benzoyl-) (Tri-). Prép.
propr., tétrahydrure, Ctl, Ô6 (Lipp-
manBy Keppicb).
Anturacene (Méthyl). Form. à part.
de l^omonotalotne« ^S, KiO [Léger],
— Form. par dist. .sons pression
duxylylphtnyl6lhane,«6, li4 (A>«e-
iorr, Spilkar).
Anthrackne (Napht-) (Di). Form. à
part, de Tac. a>hydronaphloquinone
carbonique, €11, 580 [Runsig).
Anthraolucosennine. Extr. du séné.
Propr., ۥ, 63 {Tschircb, Hivpe).
Anthramine-IO. Form. par l'éd. du
dér. nitré. Propr., dér. acélylé, €•,
170 {MoiseDbeiwt'r).
Anthraniudo-acétique. Voy, Phé.nyl-
AMINO- ACÉTIQUE (CaRBOXY-2-) .
AlfTHRANlLlQUE. V'ov.BeNZOÏQUE (A/Bi-
Anthranol (Amino-). Prép. des dér.
az-dialcoyiés à part, dos ac. dial-
coylamino - dipbéay Iméthane -carbo-
oiques corresp.; propr., €5, 201,
art, 209 {HaJier, Guyot).
Anthranol (Hydro) (Di-), Form. du
dér. nitré et de son éther nitreux
dans Tact, de AzO*H sur l'anthra-
Ci'ne. Propr., €6, 169 [Afeiseabci-
aï«'r).
Anthranol (Ox-) (Aminoi), Prép.
des dériv. az-dialcoylés à part, des
•c . dialcoylamiiiobeozvlbenzoïques
corresp.; propr., «5, 21)7, 209 {Haï-
Mr, Guyot).
(Phényl-). Prép. du dér. télra-
méthyldiaminé à part, du bis-an-
thranol corresp. ; propr., sels, cons-
tit., «5, 320 (//a/7<T, Guyot).
Anthranol (Phknyl-) (Bis). Prép. du
dér. bis-tétraméthyldiaminé à part,
de la diméthylanilincphlaline. Pi*opr.»
«5, 819 (Hallcr, Guyot).
Anthraphknone. Prép. à part, de
ranlhracènc et du chlorure de ben-
zoyle. Propr., dér. nitré, €6, 5S
[Lippmann, Keppicb) \ €6, 1089
[Lippmann^ Pollak).
Amturaquinone. Act. de Téthylmer-
caplan, SS, 314 [Tarbouriccb). —
Tribolum., ««, 458 [Tscbugaoff),
— {Amino-4). Prép. des dér. beozyl-
éthylé, diélhylé, diméthylé à part,
do l'ac. benzyléthylaminodiphényl'
méthane-carbonique. Propr., dér.
sulfonés, tétrachloré, hydroxylé, €S,
207.208, 211 {HaJIor. Guyot).
— {Cbloro-i.S.4-) (Tri-), Form. à
part, de Tac. trichlorobenzoylben-
zoïque. Propr., €•, 1106 [Graebe,
liostozew).
Anthraqlinoxe (MÉTHYL-) [Tetra»
oxy-). Form. par oxyd. de Taloïne,
«6, 812 {Scel).
[Trioxy-). Form. du dér. per-
chloré à part, de la chloi'obarbaloVne,
S5, 178. — Form. à part, de Tho-
monataloïne, €6, 739 (Léger).
Anthraqlinone-P-sulfoniql'e (Ac).
Act. du chlorure sur les aminés
prim., second., twt. ; beptylamide,
méthylanilide, «•, 177 (Hiosberg),
— {A toi DO'). Voy. Antrhaquinonb
{AmiDO'4').
Anthrone {JVitrO'). Ident. avec le
nitrolO-aothracène, SU, 170 (Mei-
aenbcimcr).
Anthrone (Di-). Form. à part, du nitro-
anthracène. Propr., SU, 204 (Z>/7d-
rotb).
Antimoine. Transf. de SbCP en hydrate
antimonique et ac. létra-antimoni-
3ue, «5, 288 {Delacroix). — Act.
e SbCI» et SbCl» sur BBr», «5,
382 [Tariblo). — Act. de Hg sur
Sbl'. lodoantimoniure de Hg, So,
564, 623 [Granger). — Recherche
toxicol. de Sb, £S, 945. — Recher-
che en prés, de As ; iodure double
de Cs, «5, 996, 998 {Drnigès). —
Sépar. de As, SU, 131 (Bohmor).
— Act. de Sb sur P'O*, As'O*, P*S%
As«S', PCI», AsGI». Form. dans l'act.
de As sur la tripliénylstibine, SU,
274 [KrafTt, Neumann). — Act. de
Sb sur Az'H, ft«, 355 (Curtius,
Darapsky). — Comb. de Sb!» et
SbCP avec Taniline, «S, 497 [Scbiù) .
- Electrol. de SbCl» en sol. dans
l'aie, méthyl., «6, 523 {Kabïcn-
U6»
TABLE DES MATIERES.
bnrg). — Ad. do rémélique sur
A8S*Na^ Form. de Sb«S*, et», 568
{WeiDlaad^ Lcbmann), — Propr.,
oolloïd. du sulfure, S6, 839 (Hardy).
— Transf. des sulfures en chloini-
res par SO*CP et AlCl». Act. de P
sur SbCl' et AIG1\ «6, 804 {HuO).
— Corab. de SbCl' avec les sels
diéthylènc-diamino-cobaUiques, ItU,
887, 888 (Wcrûor, Hutnphrcy). —
Chlorure et bromure doubles de Cs
et Sb, «6, 1051 {WcIlH, Metzger).
— Chlorure double de Cs et Sb,
«6, 1054 [Wells). — Inn. du mo-
lybdatc d'^mmon. sur le pouv. rotat.
de rémélique, S6, 1055 [Itzig), —
Dos. iodom.; réduct. par SO* et
HBr. Sépar. de Sn, SU, 1057 (/?o/}-
meP). — Form. par déc. de SbH*,
en, 1122 (Stock, Dobt).
Antimonié (Hydrogène). F*orm. par
réd. de riodo-antimoniuro de Hg,
SS, 624 {Oranger) . — Sépar. de
AsH* par CuCl, «6, 670 (Dowzard).
— Prép. au moyen de Sb*Zn'.
Propr., const. therm., )M, 1122
(Stock, Doht).
Antimonikux (Ac). Form. dans Tact,
de Sb sur Az'H, S6, 355 {Curtius,
Darapsky).
Antimonique (Ac). Form. par oxyd.
de Tiodo-antimoniure de Hg, ^S,
624 (Oranger). — Réduct. par SO*
et HBr, ««, 1067 (Robmor).
— (TÉTRA-) (Ac). Prép. à part, de
l'hydrate antimonique. Propr., sels
bas. de Cu, de Cu et K, Cu et AzH*,
«S, 288, 289 (Delacroix).
— (Tri-) (Ac).Neutral. par div. bases.
Sels de Na, K, Li, AzH\ Ba, Sr,
Cu, SS, 288 (Delacroix).
Antimoniubes. Appl. de Sb*Zn' à la
prép. de SbH% «6, 1121 (Stock,
Doht).
— (lodo-). Prép. et propr. du sel de
Hg, les, 623 (Oranger).
Antiptrinb. Act. de Br et HBr. Dér.
mono- et hepta-bromés, 1U», 772
(Ooyon). — Act. de l'aniline et do
la />-toluidine, «•, 267 [Micbaclis,
Bindowald). — Elimin. de l'orga-
nisme; comb. avec l'ac glycuroni-
que, ««, 271 , 827 ( La wrow).— Comb.
avec l'aniline, 26, 782 [.\licbaelis,
Gunkel).
Antipyrine (Anilo-J . Prép. à part, de
l'antipyrine ou au phénylméthyl-
chloropyrazol. Propr., dér. nitrés,
aminés, iodométbyl., %%, 782 {Mi-
cbaelis, Ounkel).
Antipyrine (Ben2yl-4-). Form. à part,
du phényl-l-méthyl-3-benzyl-4-chlo-
ropyrazol. Propr., sels, 26, 726
(AlicbaoUs, Vo.ss, Greiss).
Antipyrine (Méthyl-4-). Form. à
part, du phényl-l-dimélbyl-3.4-chlo-
ro-5-pyrazol ; propr., SU, 725 « H*
chaelis, Voss, Greisx).
Antipyrine (Thio-). P'orm. à ptrt. au
chlorométhylate de phén^]-l-mèth«l-
3-chloropyrazol. Propp., IM, JH
(Micbaelis, Bindewaîd).
Antitoxine. Voy. Toxine.
Apioémne. Form û part, de TapiiDc.
Constil., éthers, dér. acêtylé, glo-
cosidc, S6, 188 (VongericbtcBK
Apiine. Prés, du dér. mélhoxylé daa»
le persil. Conslît., hydrol., étbcr*.
««, 188, \^ (Vongcri chien).
Apiol. Act. de I et HgO. Comb. avcf
lOH, «6, 338, 445 tBougaulti,
Apiol (Iso-). Oxyd. par I et HgO, •♦,
338, 445, 448 (Bougault),
Apoclnchêne, Apocincbbniquk. l'o/
ClNCHÈNE, ClNCHÉMQUK (Apo-u
Appareils. App. pour la mesure df ni
des dégagements galeux, KS, 7, ^-
— Nouv. app. à cr}-osc. avec tker-
momètre électr.,£S, 175 {Chroual-
choff). — Réfrig. simplifié, TZ, 291.
476 (Cazenouvc), — Aréom/-tre, tt.
329 {Oirardot). — Four de Uborat.
SS, 524 (Bruno). — Nouv. pile a
dépolarisant spontanément régéoé-
rable, SS, 531, 541 (Bos%rt,. —
App. pour le dos. de rhémoglobioe
dans rurine, SS, 608 (Adam). ->
Filtres, «5, 767 (Paessler) ; SS. 7«
(Willenz). — Pipette pour détera.
la dens. des liquides, SS. 956 Oi*
rardet). — Aréomètre poar l'aïu-
lyse du beurre, SS, 990 ( VaadfT'
planckcn). — Modif. de Tapp. >
KOH de Geissler, %^. 78 i WatitV
— Nouv. pycnomèire, 1t%. \^^
(Pfeiffer). — App. à dt^hary*
pour observer le spectr« d'rlin-
celle dos solut., 96, 248 iDenatr
— Nouv. voluménom., 9€, 248
— App. à points de fus.. IM, i^
{Streatûeld^ Davis k — InstallaU
électr. de labor., !M, 282 fKàsifr
— App. à dos. de AzH*, S€, SSi
(Pannerlz). — Modif. de r«pp, di
Kjehldahl, 96, 368 (Mrbrings. -
Nouv. i\xht% llltrants à amiante, M
368 iLo/ise, Tnomasebrwski',. —
Thermorégul. à gaz, IM, .iH^ i Bolm .
— Génér. à gas, 99, dû9 Kœot^
— App. pour l'anal. d*s graivMS.
!S6, 457 iJerwitz). — App. à et«al-
iiosc, «•, 457 (/?/i/>er.. -- App.
pour la mesure des force éleclrcM.*
polarisation etc., <•, 9S2 {.4/f//«>A
Kcurick). — App. pour robicftUMi
de temp.\:on8t. dans rêlectrQj.CC.
52S (Wb//). — Calorim. k glaer.
Dispositif pour Tobtention d^MU pn*
vée d'air, M, 524 {MeUor). — .4pp.
pour la détei*m. du potiv. ealorif.
des combustibles, 99^ 5£> (J/ays*-
TABLE DES MATIÈRES.
lfô«J
niait Zunioo). — App. pour lo dos.
de CaC, «6,525 iAfagnaniai, Van-
ninf). — Nouv. thermostats, 96,
595 {Derby). — App. pour la mesure
des chai, latentes de vapor., S6,
604 (Kabienberg), — App. pour la
déterm. des dens. de vap. sous
pression réduite, «6, 604 [Scball),
— App. à H'S, «6, 608 (Frericbs).
— App. de labor. pour électrol.,
«6, 609 (Bancrofi). — App. à ébul-
liosc, «6, 660 (Jones), — Gënér.
à gaz à débit constant, €6, 673
{Kœnig). — Nouv. méthode pour le
calibrage des tubes de verre, S6,
834 iflulett). —App. pour la déterm.
de la dissoc. électrol. su poiot de
congél., e6, 838 ( Wetbaa), — App.
pour montrer le déplacement des
ions, «6, 869 (Koblrausch, Miller,
Kenrick). — Nouv. cellules pour
les réduct. électrol. ; nouv. cathodes,
!6#, 871 {Locb). — Disposit. pour
l'obtention d*une pression constante,
^S#, 884 iSmits). — Nouv. thermo-
ré^lateur, S6, 964 [Kalecsinsky).
— Sondes; support à burettes, eto.,
!MI, 964 {Mctzgor). — Nouv. spec-
troscope, «6, 1027, 1028 {Dock-
wsan). — App. d*étude pour la fluo-
rescence et l'opalescence, S6, 1081
{TsvcU). — Nouv. app. à CaGl%
ea, 1066 [Henniag). — Nouv.
burette, !e6, 1066 {Thioic). — App.
à extract., «6, 10Ô6 {Sianbold). —
Nouveau barom., S6, 1067 {Dussel).
Ababinosb. Sëpar. de Tac. glycuroni-
que, «6, 200 (Noaberg). — Form.
par bydrol. de la gomme adragante,
«6, 269 {HUger, Dreyfus). — Fer-
ment., «6, 324 (Salkowski). —
Prés, dans Turine (r), 1MI, 378
(Neuberg), — Act. de div. bacilles
(7), S6, 653 [Hardcn). — Dér. chlo-
rolriacétylé, «6. 687 (Dyan, Mills).
— Transf. des isom. </, / et r dans
Torganisme. Dos. dans l'urine. Form.
de risom. d à part, de Tarabile d,
tM, 928, 929 [Noubcr^, Wohlge-
mutb). — Transf. de l'isora. 1 dans
l'organisme, S6, 941 [Salkowski).
Arabinoside. Form. à part, de la
bromotriacétylarabinose, !M, 687
[Dyan, Mills).
Arabique (Ac). Cristallis., S6, 132
{Bumpler).
Ababitb. Transf. delMsom. «/dans Tor-
gaoismo, «6, 929 [Neuberg, Wobl-
gemuth),
Ababomque (Ac). Transf. des isom,
d, 1 ei r dans l'organisme, 5K6, 929
{Neuberg^ Wob Igcmutb ) .
ARACHtoiQUB (Ac). Prés. dans l'huile
de blé, «6, aôl {Vulté, Gibsoa).
Abagonite. Voy, Calciim.
' Arbutink. Act. de la tannase, £S,650
(Poitevin).
Argent. Sépar. des mélaux de Pt,
!BS, 10 (Leidiô). — Comb. avec O i
chaud. Form. de Ag^. Act. de Az,
CO".H,CO,«S,206,267 [Berlbolot).
— Act. de C sur Ag*SO*, CS, 284
(Boudouard). — Allotropie. Chai,
de dissol. de div. var. d*Ag dans
Hg, es, 523, 524. — Dec. de Tacé-
tyhire par H*0, %&, 625. — Modif.
allotrop., 96, 640. — Act. de
H«0« sur Ag*0, «5, 691 [Bcrthe-
loi). — Prép. et propr. de l'oamyl-
oxalale, «S, 698 (Wintrcbori). —
Equil. entre AzO*Ag et PO*Na«H.
Phosphates doubles de Ag et Na,
^eS, 906 (Bertbelot). — Héduct. de
AgCl à la lum. solaire, S5, 969
(Jouniaux). — Act. de Ag*0 sur
les sels ferriques, cuivriques, eobal*
teux; oxyde mixte de Co et Ag.
Act. de Cu*0 sur Ag AzO*. S6, 9&
(Sabalicr). — Chai, de form. de
Ag'O et des sels. Peroxyde, €S,
10o9 \Boribcloi). — Act. du réact.
de Caro sur A^O; act. du réact.
de Caro sur le nitrate, S6, 83 (Bam-
berger). — Dos. dans Tor des égj-p-
tiens, «6, 194 ( G/af/«/oiic) .— Transf .
du chlorate en chlorure, €6, 243
(Sodeau). — Appl. à la recherche de
Mn, S6, 250 (Marsball). — Dos.
volum. par l'iodure d*amidon, S6,
281 (Andrews). — Dos. à l'état de
CAzSAg, «5, 281 (ATamc).— Tetra-
bromo- et pentachloro-platinate, 96,
361,362 M iolatti^BcUuci).— Comb.
ammon. do AgCl, 516, 449 (Dawson,
Mac Crae). — Act. de Na'S'O* sur
les sels, 96, 455 (Faktor). — Elec-
trol. do AzO'Ag dans la pyridinc.
Sopar. de Pb, 96, 458 (Speransky,
Goldberg). — Diff. ae potentiel
entre Ag et les sol. de AgAzO'daos
Tacélonitrile et la pyridine, 96,
522. — Electrol. de AzO'Ag en sol.
dans div. liquides organiques, 96,
523 (Kabienberg). — Form. d'Ag
dans Tact, de H'O* sur Ag'O, 96,
561 iBacycr, Villiger). — Conduct.
éleclr. de AgF et Ag*0, 96, 001
(Abogg, Immorwabr). — Equiv.
électrochim., 96, 603 (Bicbards,
CoNins^ Heimrod). ^ Relat. entre
la conduct. ëlectr. du nitrate et du
sulfate et leur act. toxique sur les
poissons, 96, 603 (Kabienberg ^
Mcbl). — Points de transf. des cris-
taux mixtes de AzC.Ag et AzO'Na,
96, 607 (//iâsinic). — Loi de dilut.
de conduct. électr. du nitrate, 96,
657 [Bancroft). — Kéduct. du ni-
trate par Tac lactique, 96, 6^)6
{Vanino, Hauscr). — Inll. sur Thy-
drol. de div. éthers, 96, 78»j (Suie).
1260
TABLE DES MATIÈRES.
— Ad. sur HI. Form d'iodure, t^H,
841 {Dannccl). — Propr. de GAzAg.
Dos. élecli-oL, ZB, 1125 [Brunck).
AnoiLES. Propr., ««, 5K (ncbuffàt).
Arginlnb. Propr., constit., SU, 23
(Scbulic). — - Prod. de dédouble-
ment, lea, 24 (EllJDger). — Transf.
dans les plantes, 9B, 319 (ScbuJzc).
— Transf. en urée dans Torganisme,
«S. 3fô [Guhwitsch, JocbelsohD).
— Dos. dans les prod. de dédouble-
ment de div. albumines, Z9y 335
(KoascJ, Kutscbcr), — Dos. dans
les albumoses et peptones, ft6, 824
{Hasïam). — Form. par aulolyse
de la levure, S6, 825(/fus(c/»or).—
Oxyd. par K.MnO*. Conslil., (ac.
guanidine-ot-aminovalérianique), SU,
«36, 940 (Bénec/i, iiTu/scAor).— Form.
à part, de Tbistone du sperme de
poisson, «e, «au (Ehratrocm), —
Racémisat., ««, 948 (Kutacber). —
Réact. avec Tacétate d*uranc, €6,
%9 [ScbJcrniDg),
Argon. Form. dans Tact, de Teau acide
SOT le granit, !SS, 232. — Prés,
dans les gaz des roches ignées, M,
403 (Gautier). — Spectre, 1MI, 198
(Livoing, Dcwar), — Solubil. dans
rcauàdiv. temp., S6, 664 [Estroi-
cbcr).
Arsenic. Dos. à Tétat d'arséniate de
Go el AzH*, SS, 28li {Ducrul —
Act. de AsGP sur BBi-^, «5, 382 [Ta-
ribh). — Form. de As dans Tact, de
AsH' sur TuGl*, «5, 383 {Dcfacqz),
— Recherche toxicol. en prés, de
Sb, «5, 945, 996 [Dcoighs). —
Ghal. de volatilis., «S, 1058 (de
ForcranJ). — Sépar. de Sb et Sn.
Dos. a refit de AsGP, ««, 130
(RobmcF). — Sépar. de P, Cil, 193
{NocJUag, Feue rs toi n). — - Infl. sur
les propr. de Gu, «6, 194 (Lewis).
— Act. sur P«0*, PGP, P«S', sur la
triphénylstibine. Form. dans Tact,
de P sur la triphénylarsine et de
Sb sur AsW, A8«S^ AsCl», «•,
274 (Kra/n, Neumann). — Sépar.
de Gu par Tac. oxal., !2II, 281
[Peters). — Acl. sur Az'H, ««, 355
(Curtius, Darapsky). — Acl. des al-
calis sur As«S^ et As'S», «•, 563
{Wcinlandy Lcbmann). — Recher-
che en prés, de Se, *«, 564(/?osoii-
beim). — Recherche, ««, 670 {Dow-
zard). — Propr. colloid. du sulfure,
«S, 839 (Hardy). — Act. de P el
H«S sur AsCP en prés, de AIGP.
Form. de A8"S\ PGP. Gomp. phoi-
pho-arsénié, S6, 885 {RiifT). — Act.
de AsH* et AsGP sur BBr*. Form.
de AsBr', ««. 949, 950 {Stock). —
Sépar. de Sb, 26, Hi57 {liobmcr).
Arsenik (HYDROoiiNE). Act. surTuGP,
SS, 383 (Defaeqz), — Recherche;
sépar. de H»S, PIT, StolT. «•. 6»
(Dowzard). — Comb. avec BBr*.
%B, 949 (Stock). — Act. sv ?i
coUoid., S«, 1039 (Bredig, Jktdê
Arsénieux (Ac). Acl. de AsO*Nt* wnr
lONa, Z9, 33 iOrtOD^ Bîaekaaaa
— Dos. par KMnO\ «•, 249 ^Kak-
ling). — Act. de Sb aur A»V
Form. dans Tact, de As «ur P^.
SU, 274 [Kratn, NeumMMoV -
Form. dans Tact, de As sur Atlf.
S6, 356 (Curlius, Darap&kf . —
Form. par déc. de la comb. RBr*.
AsH*, Zm, 949 (Stock). — lall.
catal. de div. agents sar U disaol.
de As'O* dans Teau. <«. lO» (/>nr-
Irer). — Act. sur Pt colloïdal, M.
1039 (Bredig, Ikedm).
Arséniqub fAc). Dos. à l'état de set
de Go et AzH', <6, 236 [Docra.—
Act. des sels sur le sulfate de Mo.
«5, 343 {Bailbacbe), — Form. à
part, des sulfb-arséniatoset de l'éioé-
tique, tm, 563 [WcinJ^Dd, Let-
maDo).
— (SuLFO-) (Ac). Act. d© l'émètiqw.
«•, 563 {Weinland, Lebmaaa).
— (SuLFOXY-) (Ac). Form. des moncK
et di-sulfoxv-arséniales alcâltnf i
Îiart. des sulfures d'.\s et des aka^
is, SU, 563 ( Weinlaod, Lebmana^
Abséniurek. Form. de AsTu* à part,
de Tu"GP ou TuCP et As ou .MïT.
Propr., form. de Tarséniure de Co.
%&, 383 {Dcfacqz).
Arsines. Voy. Puénylarsine.
AsPARA<' .«E. Gomb. avec AzO'Ag» es*
5rtô [Moulin). — Act. de U glycé-
rine, 96, 40 (Balbiano, Tra^aatu).
— Transf. dans les plantes, Stt, ^^
iScbuïzc). — Oxyd. mangan., M,
473 [Jolies). — lufl. sur la nuifi-
tion de la levure, t^tl, 735 iStero)^
— Transf. dans Torganisme, têt
938 [Laog), — Réact. avec facéuir
d'urane, €6, 959 (Scbjeraiik&>. —
Dissoc. des sels, ^tl, 1037 {iVia-
kelblecb).
AspARTiQUE (Ac). Noutral. en pnM-
de div. indicateurs, SS, 965 Bér-
tbciot), — Oxyd. mangan.» S#, 473
(Jolies). — Act. de div. baalle»»
e«, 653 (Hardio).^ Prép. el propr.
de réther éthyl., chlorh.» M. 1^
(E, Fisebcr). — Form. dans l'ta-
lolyse de la levure, <•, 825 (fk»ti$'
cher). — Dissoc. des sels, M, 1<<I7
{Winkelblccb), — Oxydât., «•.
1129 (Jolies).
Asphaltes. Point de fUs., ۥ, 39>
(Mabery , Si epleia) .
Aspic (Essence). Dens., visoos.. Mot.
superf., 1^, 521 (Satie, JeënearA-
AspiciLiNE. Prés, dans div. ImÉms^
Propr., e«, 651 (Hesse),
TABLE DES MATIÈRES.
1201
^spiDospBRiiiNE. Réact. avec C10*H,
1811, 157 {HaoussermaoD^ Sicgel).
Athanorine. Prés, dans div. lichens,
«II, 650 {HessO,
Atholactique (Afctboxy-é-) (Ac).
Prép. au moyen de Tac. p-mélho-
xyhydratropique. Propr., sels, S5,
855 (Bougault).
Atropine. Extract, du scopolia, S6,
128 {fioosc, Sayrc). — Tribolum.,
««» 459 (TschugaofT). — Relat.
cotre la cooduct. élect. et Tact, to-
xique sur les poissons, ItS^ 603
[Kahh'nbi'vg^ MchI). — Exlract. de
la técomine, «6, 3ô0 {Léo).
Al'Raminb (Benzène-azo-naputtl-).
Frep. des isom. a et p à part des
benzène-azo-naphtylamines et de
Thydrol de Mischier. Propr., SU,
49i, 4J8 {Moehiau, Hetazc).— Form.
à oart. de la leucobasc, HB, 1168
(MoelilaUy Graelert).
— (Benzêne-azo-puényl-). Form. à
part, du p-amino-azobenzène et
du tôlraméthyldiaminobeozhydrol.
Propr., «6, 492 {Moahiau, Hcinze).
— (BeNziiNE-Azo-p-TOLYL-). Form.
à part, de la leucauramine. Propr.,
«é, 492 (MoehJau, Iloinze),
AusTRALkNE. Act. ds AzO"H, 1U», 650
{Gvaorvsso).
AoTOLYSK. Voy. Ferments.
AUTO-OXYDATION. Voy. OxYDATION.
AVIVITELLIQUE. VOV. VlTBLLIQUE.
AzélaÏque (.\c.). Form. par oxyd. de
l'ac. p-oxysléarique, S6, Aï{Joukof,
Chcstakof). — Form. par oxyd. de
Tac. x-undécylénique. Amide, S6,
467 (Krafn. Soldis).
AzoTques. Comb. col. des dér. hydro-
xylés et sulfonés avec la fuchsine
acide, !2S, 6 {SoyewcU). — Vit. de
format., ZB» 114 (Goldschmidt,
KcppoIfr< .
— (Ay,;-). Conslit., eti, 14 {Moeb-
tau, Kogol); «6, 114 {Auwers).
AzoiiÉTHiMQUE.<; (Dér.). Prép. propr.,
««, 9) (Sac/is).
Azoï'E. Form. dans r.'ici. de Teau acide
sur le granit, SS, 232 [Gautier), —
Dos. dans le bourgeon du marron-
nier, «6, 271 {ADdré). — Fixai,
sur les hydrates de carbone et comb.
avec H et 0 sous Tinfl. élect., SS,
535 (BcrtheJot). — Comb. dir. avec
Th, Ce, La, Pr, Nd, Sm en prés.
de Mg, «5, ai5 (MattgnoD). — Dos.
dans les gaz des roches ignées, SS,
4()3 {Gautier), — Comb. avec Cr
pyrophorique, SS, 618 (Forée). —
Act. sur BaH% «5, 692 {Guntz). —
Dos. dans le gaz à l'air, SS, K:U
{Boudouard). — Teneur en Az des
phosphates noirs Pyrénéens, 1B5,
1160 {Coffre). — Densité, ««, 8i
[Drugman, Ramsay), — Act. sur
Çu, ta, 81 iLidof). — Solubilis. de
l'azote des phosphates dans SO*H";
cngraif , M, 196 (Ostorsetzer). —
Poids atom., ««, 242 (Scott). —
Dos. de Az amidé dans l'urine, HB,
S3Q {Pfauudler}.^ Form. dansl'act.
de Cl sur Tazoture de Fe, 26, 8îà
(Fowlcr). — Héduct. par les bac-
téries, 9B, :m {Pakos, Jollymaa).
— Form. par décomp. de riodure
d'azote, Sè, 856 (Chaltaway, Or-
ton). — Appar. pour le dos. de
lyjehldahl, 2<l, 368 [Mchring). —
Stéréochimie de Az pentavalent,
2«, 499 [Kipping, Hall). —Anal, des
comp. azotés, 'tB., 561 {Erlonmo-
ver). — Dos. de Az fertilisant dans
les engrais, S6, 650 [Street). — Dér.
de Az pentavalent, S6, 704 [Pope,
Harvey). — Dos. de Az amidé dans
l'urine, ZB, 818 [Krûgcr, Schmidt).
— Solubil. de Az dans les sol. d'u-
rée, ac. propionique, NaCl, BaCP,
«•, 848 (Brauû). — Excrét. azotée
après extirp.du foie,««, 938 (Lang).
— Solub. dans Peau, itB, 949 ( VV/a-
kler).^ Solub. dans div. liq. organ.,
««. 1040 (Just). * '
— (Bioxyde). Act. de Cr pyrciphorique,
«5, 618 {Férce). — Form. par déc.
de Tac. nitrohydroxamique, «6,
519 {Angoii, Angclico).
— (lodure). Comb. div. avec AzH*.
Prép., propr., ««, 67 (BufT). —
Pi*ép. div., constit., propr., «6.
855, 356 [CbaUaway, Orton).
— (Peroxyde). Form. par calcin. des
mél. de nitrates alcalins et de PbSO*
ou d'aluns, ZB, 454 (Pcrman). —
Conduct. thermique et dissoc, ZB,
524 (Magnaniai, Zuninn). — Appl.
à la cryoscopie, 9B, 527 [BruDÎ,
Bcrti).— Const. diélectr., ZB, 1032
(Baedcker).
— (Proloxyde). Form. par déc. de
rhydroxylamine-sulfonale de Cu,
*«, 130 [Divers^ Haga). — Form.
par déc. de Tac. nitrohydroxamique,
«6, 519 {Angeli, Angclico).
Azoteux (Ac). Appl. à la sépar. des
métaux de la mine de Pt. Sels
double de Hu, Pd, Ir, Pt, Rh, Pt,
et Na, AzH% «5, U {LoidJÔ). —
Prép. et propr. des plato-oxaloni-
trites alcalino-terreux, SS, 157. —
Constit. du Iriplatohexaoilrite de K,
«5, 162 [Vèzes). — Form. par
réduct. des nitrates par les bacté-
ries, «S, 414 {Grimbort). — Appl.
des sels de Na et K â la sépar. des
métaux de la mine de Pt, S5, 840
(Leidi(\ Quenncssen).^ Dos. do K
a l'état de nitrite double de Co et K,
««, 78 iAdic, Wood\. - Prép.,
propr. et sapon. des éthers ; aci. de
1^62
TABLE DES MATIÈRES.
H*0*, du peroxyde d'alc. élhyl., S6,
357 (Baeyer^ Villiger). — Apçlic.
du oïlrite doublo de (Jo et Na à la
recherche de K, !M, 364 [Bill-
mann), — Form. par déc do Tac.
nitrohydroxamique. S6, 519 {An-
gcliy Angelieo). — Form. dans l'élec-
trol. de A2=»H, «6, 519 {Peratoner,
Oddo), — Form. dans l'acl. des
bact. sur un mél. de nitrates et for-
miates, «6, 653 {Pakes, Joïlyman}.
— Form. dans Tact, de Zn sur
AzO'H très dilué, «6, 666 (Bijlert),
— infl. des sels sur l'attaque de Cr
par les ac, «6, 875 (Ostwald). —
Sels nitritodiéthylène-aiaminocobal-
tiques, «6, 886, 888, 889 (WerDcr,
Humphroyi Gorb). — Oxyd. de l'ac-
e( de l'ôlher éthyl. par KMnO', S6,
916 {VorJaendor). — Act. sur div.
comp. or^an., S6, 9iQ {Vorlaettdor^
von Schilling). — Décomp. des sol.
de AzO'AzH* en prés, des sels am-
mon., !M, 1U36 [Wegscheidet] . —
Act. d« AzO*H et des sels sur Pt
colloïd., «6, 10.« {Bredig, Ikcda .
— Act. de SO* sur le sel de Na,
se, 1121 (Divers, Haga .
— (Eihers) . Voy. Ethyle, Amti.e, etc.
(Azotite).
Azoteux (Hypo-) (Ac). Form. par
déc. de l'ac. nitrohydroxamique,
«6, 519 {Angolit Angelieo).
AzoTHYuniQUE (Ac). Prép., acl. sur
les sels de Al, Fe, Cr. Zr, Th, Ce,
La, Di, Ytl, etc. Sels corresp. ;
act. gur As, Sb. Zn, SB, 354 iC'ur-
tius, Darapsky). — Eicctrol., SB,
519 (Pcratoner, Oddo). — Cond.
avec Tald-o-diazobdnzoîque, SB, 992
{Bambergcr, Domuth). — Act. du
sel d*Ag sur Tiodure de benzyle,
SB, 116» {Curtius, Darapsky),
Azotique (Ac.i. Act. sur SbCP et
HGl, S5, 288 {Delacroix). — Act.
sur BaCO^ et SrCO' en prés, d'al-
cool et du nitrate corresp., SS, 3ii5
{Vallée). .— Transf. des sels en ni-
. trltes par le bac. tartricus, S5, 414
{Grimbert). — Déplacement de ses
sels par Tac. formique. Héaet. co-
. iorée avec la brucine, SS, 427, 532
{Cazcnouvo). — Recherche dans les
eaux potables au moyen de la bru-
cine et de l'ac. formique.SS, 639, 775
(Cazeneuvi\ Ih'fourneh. — Acl. de
SnCl*. Tmiisf. on hydroxylamioe,
S5, 693 (//«•nr/c/t. — Sels basiques
de HgO et Zn, Ni, Co, Mn, Cu,
Cd, Pb, S5, 787 [Mailho). — Ap-
plie, à la deslrucl. des mat. oi^.
dans les recherches toxicol., SS,
946 {Denigè."*). — Infl. sur la solu-
bil. de (AzO'/*Ba,S5, 961 \Enklaar),
— Equil. chim. entre AzO^Ag et
PO*Na*H, S5, 966. — Déc. de
AzœH par le radium, SS, HE»
(Bcrthclot). — Condact. élect. d»
sol.; hydrates, SB, 3;$7 .VeW.
Manthûy), — Acl. sur l'azoture Jr
Fe, SB, 838 {Fowlcr). — Fora, a
part, de AzO'H et H'O», SB, S»
{Baoyer, Vi Niger). — inil- de AxOTl
et AzO'K sur la dissoc. élecirol. à*
PbCl% PbBr", Pbl', SB, 450 (fiarfei
— Recherche dans les sels alcatias,
SB, 454 (Perman). — Poid.^ mttl.ta
sol. dans AzO% SB. 527 [Bnxai,
Berti). — Hydrol. de div. «eb,
SB, 599 [Bruner). — Hel. entre U
conduct. ëlectr. de Tac. et de« teb
et leur act. toxique sur les poi^^oos^
SB, 603 [Kahhnberg, i/*/»/). -
Form. et propr. des crîsl. mixlrs,
AzO'K— AzO'Ag et AzO*Na--A2L»^
SB, 607 {Hisstnk). — Réduit, m
ni tri tes par les bactéries en pr^
de formiates, SB, 653 i Pakt^%, JoJ-
lyman). — Absorpt. par le pap. a fil-
trer, SB, 058 ( Vrions). — Acl. dr U
en sol. diluée. Form. de AzO*ArM',
SB, 666 [Bijlorl). — Réduct. d«s
sels par Tac. lactique, Stf, 60S
( Vanino^ Hausor), — Dos. des *eU
au moyett de FcSO*, S«, Ô71 (bt-
venter). — InO. des sels sur la îso-
lub. des noQ-électrolyles, SB, 840
{Rotbmuad). — Infl. sur Tattaqu»
de Cr par les ac, SB, 875 [Ostwal'f^.
— Action sur BBr'.AsH*, SB, ÎW
{Stock). — Act. sur Pt oolloid-,
SB. 1039 {Brcdig, Ikoda). — S<I<t
ac. de Rb, Cs, K, TK SB. t<61
[Wells, Metzgor). — Sels doDbl««
de Cs-Fe, Cs-Bi, Tli-TI"i,SB. lOôi
(We//s, Èe^rdsIeyK — Acl. Mir if
sel de Bi, SB, Hm {Allaa .
AzoTUREs. Propr. et comp. de Taio-
ture de Th, SS, 268 [M»ti(fnoa,
Del épi no). — Prép. des azoturf^ d*
terres rares au moyen de Mg. SS,
335 (\fat fanon). — Azoture de Cr.
S5, 618 (/^êrcV). — Form. de Taio-
ture de Ba, à part, de riiydrur»,
SS, 692 [Guntz). — Form. àt
Mff'Az* par calctn. Ae M|r à Tair.
SB, 244 (Eidmann, Mocurn. —
Prép. et propr. do l'azoture de Fe^
SB, 337 (Fowhr) ; SB, .13» Fow-
1er, Hartog).
B
Bactéries. Propr. du bac. tartriciti:
acl. sur div. alcooU et hydraies A*
carbone. S6, 413. 483. — Art, drt
bac. coli, d'Eberth, de Friedlacsikr
sur les sucres, S6, 418 [Orihitufet,
TABLE DES MATIÈRES.
1263
— Propr. des bacl. du vinaigre et
du sorbose. Acl. sur la glycérine,
î*5, 731 [Bertrand, Suzcrac), —
Constit. de la bact. de la tubercu-
lose. ««, 124 [SchwciDt'tz, Dorset),
— Prés, du bac. coli dans l'eau de
puits, «6, 125 {Parkes).^ Recher-
che du bac. typhique en prés, de
bac. coli, se, 120 iHankiD). —
Ktude des gaz produits par les bact.,
««, a4t) (Pakes, JoUyman). —
Propr. des bacl. du paîn*fltant, «6,
448 {Jnckvnâck). — Action de di-
vers microbes sur divers racé-
miques, ItH, 528 [UlpiaDi, Cod-
liolii). — Act. de div. bacl. sur l'ac.
fomiiaue. Form. de CO* et H, <6,
565 (Pakos, Jnllyman). — Act. de
div. bact. sur les hydrates do car-
bone, se, l>52 (IfardcD). — Act.
des bact. sur un môl. de formiates
*^l de nitrates, «6. 65J {Pakcs, Jol-
Jymaa).
— Voy. Ferments.
Bakoumitie. Dec. par dist. sous pres-
sion, ««, 124 {kracmet., SpJtker).
Bandes d'absobbtion. Spectre d'ab-
sorpt. des comp. organ., !SS, 2
il/^rlloy). — Heî. entre les bandes
d'absorpt. et la constit., SS, 526,
527 [Lomoult^ Bayrac, Camichcl).
— Applic. de rorcanetlc à rétude
des spectres, «6, 671 [Formanek).
Barbaloïne. Act. de Xa*0"surla bai^
baloinc et son dér. chloré. Constit.,
act. de Br. Dér. chloro-acélylé, ^,
99, 178, 739 [Ugor).
-— (Iso-). Act. de Na"0* sur Tisobar-
baloïne et son dér. chloré, SS, 99,
739 (Lcgcr).
Barbiturique (Ac). Héd. électrol.;
prép. par cond. de Purée avec l'élber
inalonique, S6, Ol^ô (Ta fol. Woio-
schcDk). — Act. de POCP, «6, 6)6
(Gabriel). — Cond. avec les ald.
benzoïquc, o«nitro-, oamino-, o-oxy-
bcnzoïques, cinnamique et pyromu-
cique, S6, 921 [Conrad, Beiu-
bach). — Cond. avec les ald. />-oxy-
et p-diméthylamino-beuzoïques, *é,
922 (WoinsLhoak).
— Ilso-) (Ac). Transf. dans l'orga-
nisme, 1S6, 9;ii [Stoudel) .
Haryum. Act. de BaCl* sur le plato-
oxalonitrite de K. Sels de Ba, de
Ba et K. «5. 15S {Vèzcs}. — Act.
de C sur BaCO\ BaO et BaSO', «5,
282 (Boiidouard). — Tri-antimo-
niates, Ï5, 289 {Delacroix). — Appl.
de Ba(OH)* à la recherche des mé-
taux uans les eaux minérales, SS,
38o iGarrigou). — Décomp. de BaCO'
par les ac. en pi-és. d'alc. et d'acé-
tone, lufl. de AzO'Ba, «5, 894, CJ95
\Vêllée). — Prép. et propr. du |
borate Iribas., !SS, 524 (Oavrard).
— Prép. de l'hydrurc à part, de l'a-
malg.; propr., «5,611, 692(GuDte).
— Prép. et propr. de l'osmyloxalate,
«5.693 [WiDirebort). — Propr. de
BaSO', «5, 766 [Paepe], - Appl. de
Bd(OH)" et du sucrale de Ba au ti-
trage de PO*H*, «5, 797,904 (Cavô-
licr), — Infl. de HCl et AzO% sur
la solubil. de BaCl* et BafAzO»)".
«5, 961 (EnkJaar). — InH. des sels
d'ammon. sur la dissoc. des sol. de
Ba(OH)% «5, 962 {Doyer, van
Cleeïï). — Neutralis. de PO*H* par
BaO en prés, de div. indical., «5,
964. — Eouil. entre PO*H' et BaCP,
«5. 967 (Berthelot). — Silicovana-
diomolybdale, ««, 4 {Friedbcim,
Caslcndyck).^ InO. de BaBr* sur la
bromur. de C'H», «6, 43 (Kauf-
mann), — Solubil. de BaCl* dans
les aie. mét.hyl. et éthyl., «6, 162
{Bobland). — Oxalate double lila-
nique,«6, 280(/?oseii/ïe//n, ScbuUtî).
— Prép. et propr. de Taluminate,
««, 361 (ABea, Bogcrs). — Penta-
chloroplatinate, «6, 362 {Miolatti,
Beliucri). — Tribol. du nitrate,
«6, 458 {Tsebugaerr). — Infl. de
BaSO* sur la déc. de C10*K, ««,
668 [Sodoau). — Dissoc. électrol.
des sol. aq. de BaCP au point de
congél., «6, 838 [Wbctham], —
Infl. de Ba(Az0*)« sur la solub. des
non-élcctrolytes, «6, 840 {Botb-
mund). — SoluD. de Az et H dans
les sol. aq. do BaCl», «6, 848
{Braun). — Vit. d'hydrol. de COS
par BaCl", ««, 862 iBucbbock). —
Solubil. de BaCO» dans l'eau car-
bonique, «6, 873 iBodlacnder). —
Cristallis. de BaCl*, «6, 1026 (/?/-
chards, Arcbibald). — Helat. entre
la tension superf. et la solubil. de
BaSO*, «6, 1047 [Hulott).^ Uranc-
oxalale, «6, 10r)6 (Kobischuttcr,
BoHSi). — Nitrilosulfonate, ««, 1121
(Divers, Ilaga).^ Iminosulfite, «6.
^^^.U^^'l'^''^' Oc^awa). — Act. de
AzH' sur les sels, «6, 1124 [Dawson,
Mac Crae). *
Bassorine. Pr«^s. dans la gomme adra-
gantc. Propr., transf. en oxybasso-
rine, «6, 269 {Hilger, Drovfas) ,
Baumes. Constit. du baume du"^Canada.
««, 64 [Tscbircb, Bruning). —
Constit. du baume de larix deci-
dua, «6, 79 [Tscbirch, Wcigel).
— Voy. TÉRÉBENTHINE (Essence).
Belladone. Voy. Alcaloïdes.
BÉNiQUE [Cbloroxy-) (.\c.). Frép. des
3 isom. à part, des ac. érucique,
iso-érucique et brassidique. Pronr..
«6, 288 (AlbitzkyL *
— (Oa-v-)(Z>7-) (Ao.). Prép. des isom.
a part, des ac. érucique, iso-éru-
i264
TABLE DES MATIERES.
cique et brassidique, ^C, 289, 292,
375 {Albitzky).
Benzaldazine. Toy. Benzoïque (Aid.)-
Benzaldoxime. Ko/. Benzoïque (Aid.).
Benzamioe. Prép. et propr. de Thexa-
chlorure, S6, 145 {Matthews). —
Vil. de sapon., ««, 382 [Rcid). —
Ad. du dér. sodé sur rétoer brom-
acétique, les chlorures de benzoyle
et d'acétyle, les ac. propyl- et iso-
butylsulfuriques. Form. et propr.
des dér. isobutylé, méthylé, éthylé,
f»ropylé. Form.de la benzamide dans
*act. du chlorure de beozoyle sur
l'acétamide sodée, !M, 573, 574
ITitherley). — Form. par oxyd. de
la benzylamine, !2#, 9^1 (Bamber-
gcr, ScJteutz). — Oxydai., «6,lli9
{JoUcs} .
— (Di-). Form. dans Tact, du chlorure
de benzoyle sur racétaroide sodée,
«6, 573 {Titherlcy).
— rrRi-)- Form. dans Tact, du chlo-
rure de benzoyle sur l'acétamide
sodée, «6. 573 [Tiibcriey].
Bekzamidi.ne. Gond, avec l'co-brom-
acétophénone * la chlorométhyl-p-
tolylcétone, l'a-bromopropiophénone,
l'a-bromisopropylphénylcélone et la
dibromacétophénone, 1t%y 495, 496
(KuackelF) .
Benzamido-sulfonique (Ac). Form.
dans Tact, du chlorure d'ac. ben-
zéne-sul Tonique sur l'urée. Propr.,
sels, dér. />nitré, ««, 389, 390
{I fol mes).
Benzanilide. Voy, Aniline (Benzoyl-).
Benzène. Gond, avec les bromures do
trimétbylène et propylène et AIGP,
«6,239,241 i«o(/roux). — Nitrat.des
dér. bisubstitués,«5,386(C/oez). —
Prés, dans les gaz des roches ignées,
S5, 404 [Gautier). — Hydroffènal.
en prés, de Ni réduit, «5, tilO {Sa-
baiicr^ Scnderens), — Gond, avec
le bromure d'isobutyléne et AlGl*,
«5, 625 [Bodroux). — Form. par
cond. de Tallyléne et G'H' par la
chaleur, «5, 643 {Bertbelot). —
Form. par hydrogén. de C"H* en
prés, de Go, Fe, Ni, «5, 675, 681
ISabatier, Seodereas). — Dos. dans
le pétrole roumain, «5, 725 [Grif-
/7(/is, Bluman). — Gond, avec le
chlorure de propyle et AIGP, «5,
844 {Boodtker). — Gomb. mol. avec
l'ac. bromo-3-nitro-6-benzoïque, «S,
984 [HoIJcœaD, de Bruyu). — Act.
de la comb. de AlGl* avec le chlo-
rure d'acétyle, «o, 989 {Hoesekent.
— lodural. par 8'!% ««, 10. —
Bromur. par S"Br", «6, 11 [Edin-
gor, Goldberg). — Bromurat. en
pi-éR. de bromures métall., S6, 43
{Kaufmann). — Oxyd. par KtMnO*
en sol. pcrsulfurique,S6, 66(fiât»j <•/•,
ViBigoi^ . — Acl. de H*0» tu pfw-
de FeSO*, SU, 87 fCrosji. fî«*ra«,
Holberq), — Cond. «toc le* cUo-
mres oe p-cyanobeozylîdpn^ K At
p-cyanobenzyle et AK^l', ^C, lU
(Moses). — Gomb. mol. avec U
dioxime du benzile, M^, 111 (/V-
trtnko-Kritschenko, Kmmaaetks .
— Cond. avec CCI* cl AJa\ t€.
141 (Gomberg). — Cond. avec Fanh.
o-8ulfobenzoïquc et AlCP, S#, 174
(KraDDieb). — Cond. avec le cWo-
rocyclohexane et A ICI', <•« iM
{Koursanof). — Acl. de AlGl* ei
AlBr*, !M, 360 {Koblûr),-^ CoiwUt,
«6, 396 (BicbardsoD). — Kêd. dfs
dér. halojrénés par III, «•, Sfi
{Klages^ Liecke). — Cond. arec le
chlorure de diphényliodontum «t
CCI*, «6,399 (yorris, Saiirfm).-
fJond. avec les chlorures d'ac. o-to-
luène sulfonique et dipbi^aylftulfoiM-
o-carbonique et A1C1\ «•, 40^, 410
{Caoler). — Cond. avec I»» chlomrt
aacidc n-nitro-o-toluène soirooiqtM,
«6, 411 (Norris). — Cond. «fec
les chlorures p-nitro-o-Kulfotmuor
ques, «6, 413 (//eut/rrsou). — Cood.
avec le chlorure lélradécylpro^
lique, «6, 463 {Kraffi, Hcutnêoê
— Propr. dissolv. des vap., fi.
514. — Propr. des mél. it«
l'aie, éthyl. et H«0. «€. 515 /.**-
coin). — Points d'ébull. d^ oki
avec l'acétono, «6, 5D5 {EbcrMlf
— Cond. avec GO, HGI, .^JBr* fi
Cu*Cl», «6, 623 {BcforwatKk^^ . -
Appl. â la délermin. de la vi{. éi
sapun. de l'élher acétiaue. «6, t»)*'
[Goldsehmidt). — Gond, jvk
AzH'OH, les phényl- el p-UÀyJhj-
droxylamines, la benzophénone^x-
me et AlCP, «6, 703 {GraeW). -
Gonslitut. du noyau, «6, T.ii 'A>tt/'
manu). — Infl. sur div vit. iA
réact., «6, 860 tMcascboutkioeu
— Tens. de vap. à div. tcmp^M
863 ( Wor/ii/7er). — G<»nsl. dîéledr..
«6, 88:) (Turaer), — Clil<»rurU. 'D
prés, du couple Al-ll^r, «6, i^
(Cobeu^ Dakiu) — Prés, dan.» I'
pétrole de Californi<-, ««. M?» , W^
l)f?rv, HudsoD). — Gond, avec Vênh.
tricblorophtalique et AlCI", «€, 11^*''
{Graebe^ Bostoxvzew). — OoimI»
avec le chlorure d'ac. »«,-ror{torti>'
dicarbonique, «6, 1108 \Pb<lp*»
Haie).
— (Aiii/no-1.2.3.4-) (r.*/r*-i Gooi
ave.c Téther cétipique, «5^ ^^
{TbomêS'Mamert, Striebfi\
— (Ani/iio-1.2.4.5.) (7Vli-*-i. Coal
avec l'éther cétipiqne, «S, Tii
[Thomas-M amorti Stnetch.
— (A/iiiflO-1.3.4.5-) (rwrj. . F.*a
par réd. du létranitroDrnzinr. ProK -
TABLE DES MATIÈRES.
1205
dér., acétylô, !M, 168 (Nieixki,
Dieiscby).
— {AmÎDo-) (Tri'). Dos. dans le brun
Bismark. S6, 16 [Taouber, WaJ-
der).
— (Azido-). Réducl. du dér. p-nitré,
«€, 771 (Bupo, Mûjcwski). —
Form. par déc. de la nitrosopyru-
vylphénylhydrazine, !t6, 775 {Bam-
berger^ Grob).
(Bro tt2o-4-).Prép. h pari, de la
/>-bromaniline, propr., 9H, 772 (/?ape,
Afajcwski).
{Nitro-h-). Prép. à pari, de la
p-nitraniline, propr., S«, 772 (/îupc,
MaJcwskI).
— [AzimiDo-). Prés, dans le brun
BisroarcJt, !t6, i6 ( Tacubor, WaJdcr).
— Form. dans Tact, de la dichlor-
acctanillde az-chlorée sur la phényl*
hydrazine, ««, 626 (CAa «a wa/, Or-
Ion).
— [Azo-). Form. par réd. électroî. du
nitrobenzène, !t6, 114, 871 (Loeb);
1M, 602 (Haber, Scbmidl). — Form.
dans Tact. deTaniline sur la dichlor-
acétanilide az-chlorée, %B, 625
{CbaUaway^ Orton). — Form. dans
Tacl. de AlCl» sur un mél. de G*H*
et de phényihydroxylamine, S6,703
{Graebc). — Form. dans l'acl. du
nitrosobdnzène sur rhydrazobenzène
on la phénylhydrazine, S6, 707
{Bam berger) .
[AminchÂ-). Comb. avec le télra-
métbyldiamidodipbénylcarbinol.Dér.
acétylé,«6,492(.Voe/ïMa, lieinzc).
Form. dans Tact, de l'aniline sur le
nitrile nitroso-isobutyrique, %%y 971
[Piîo t}\ Scb wcrÎD ) .
{AmiofhAA') (/)/-). Cond. avec
riminolhiodiphénylamine, S6, 55
{Scbapuachnikof).
(Amiûo-) {Tri'), Prés, dans le
brun Bismarck. Propr. tincior.,
îe«, 16 (Taoubor, WaJdcr).
(fî/-o/no-2.4.2'.4'-)(ré/rér-).Form.
à pari, de Tac. dinilro-azobenzène-di-
8ulfonique.Propr.,«6,110î){Z/ûcAe).
(Chloro-^.i') iDi'). Form. à
pari, de To-chloronitrobenzène, S6,
178 (Coha) .
{Cbloro-SA.^A'-) {Tetra-).
Form. à pari, de Tac. dinitro-2.2'-
azobenzène - disulfonique, propr. ,
%m, 1099 (Zincke).
(CbJoro-2.4.6.2'.4'.e'') (Hcxa-).
Form. dans Tacl. de la dichloracé-
tanilide Az-chlorée sur la Irichlor-
aniline. Propr., !M, 626 (Chatta-
way, Orton).
(Diazo-4'). Comb. avec les ac.
thiosulfoniques aromal., 26, 6^
(Traegory Èwcrs).
[NUro-4A'') (Di-). Form. dans
Tact, de Na'S et Na*S" sur le p-
dinilrobenzène, S6, 981, 984 [de
BruvD, Blaaksma).
{Ox}') . Voy. Benzène-azo-phé-
NOL.
—• (Azoxy-). Form. par réd. élec-
Irol. du nitrobenzène, S6, 113,
871 (Locb). — Ad. de SO«H«, «6,
422. — Form. dans Tact, du nilro-
sobenzènesur Tbydrazobenzène, !M,
707 (Bamberger).
(NitrO'S.S'') {Di'). Form. dans
I ad. de Na'S el Na*S' sur le m-
dinilrobenzène, »5, 981, 988 (de
BruvD, Blanksma).
— ^ {Bromo -) . Comb. avec Mg el
Féther. Ad. sur le benzoale de mé-
Ihyle, l'acétone, le chlorure d'acé-
ly le, «6, 914 {Tissior, Grigaard).
— Prép. au moyen de S*Br*, S«,
II (Eâingor, Goldberg). — Réd.
par HI, ««, 397 (Klagea, Liecke).
— Ad. de Na sur le mél. avec lo
chlorotriphénylmélhane , 1^6 , 399
(Norris, Sandcrs).
— (BromO'i.S-) (Di-). Prép. à part,
de l'acélanilide, !2«, 1081 (Jaekson,
Coboé) .
— (Bromo- i. 4-) (Di-). Ad. de AlCl*
el AlBi-», !26, 360 (Koblor). —
Réd. par HI, !2«, 397 {Klages,
Ltecko) .
— (Bromo-) (Hcxa-). Form. dans l'acl.
de Br sur l'isopropylbenzène, SS,
241. — Form. par broraur. de Tiso-
bulylbenzène et du diphényl-1.2-
propane, S5, 626, 627, 628 (Bo-
droux). — Réd. par HI, S6, 397
(Klages, Liecke).
— (Bromo'J. 2.4.0-) {Tetra-). Réd. par
HI, S6, 397 (Klagcs, Liecke).
— {Bromo-1.3.5) {Tri-}. Réd. par HI.
««, 397 (hlages, Liecke).
— {Bromo-i-dinitro'i.4'). Ad. de
Na«S«, «6, 982 (BInnksma). ^ Ad.
de Cu pulv., se, 1027 {UJImano,
Bielecki). '
— {Bromo-i.3-diuitro-4.6-) (Di-). Prép.
à pari, de racétanilide. Propr., SB,
1081 (JacksoD, Coboe). — Prép
par réd. du lribromo-i..S.5-dinilro-
4.6-benzène, Propr., nilral., S#.
im^ {Jackson. Earle). '
— {Bromo-i .S.3-dinitro-4.6') {Tri).
Form. à part, du dibromo-1.3-dini-
lro-4.6-bonzcne. Propr., acl. de
IVlhylale de Na, S«, 1082 (Jackson,
Earie).
— {Bromo-i. 3. 5-dinitro 4.6-) (Tri-).
Acl. de NVsœ, «6, 1082 {Jackaon,
Earlo).
— [Bromo-i-nitro-2-). Comb. avec
le p-crésol potassé. S6, 403 (Cook,
Hiliyer). — Acl. de Cu pulv., S#
1076 Ulmann, Bielecki).
— {Bromo-i.4nitrO'2-) {Di-). Ad. do
Na'<?% «5, 982 [Blanksma). —
80C. CHIll., S*' 8ÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
80
1266
TABLE DES MATIÈKES.
Act. de Cu pulv., !M, 1077 (^7/-
mann^ Bielecki).
— [BromO'i.S'tnDitrO'^AS-) {Di-).
Prép. à part, du tribromotrinitro-
benzène sym. et du dibromo-l.i^
d|niiro4.&-benzène. Propr., act. de
rélhylale de Na, «•, ma (Jackson,
Earle).
— (Bromo-i.3.5-dinitro-2,4,6'){Tri'),
.\ct. de Na'SO', «6. 1082 {Jackson,
Earle),
— {Cliloro-). Form. du tétrachlorure
à port, de Thexachlorure d'ac. ben-
zoique. *S, 145 {Matthews), —
Réd. par HI, «41, 397 {Klagcs,
Licckc). — Cond. avec SiCl* et Zn,
«8, 576 (Kipping, Lloyd). — Réd.
par Na en sol. arayl., S6, 621
{Lowcnherz), — Form. dans Tact,
de la dichloracétanilido Az-ehlorée
sur la phényihydrazine, !S6, 6S6
[Chatlaway, Orton). — Chlorurat.
en prés, du couple Al*Hg; form.
par chlorur. de C*H* en prés, de
Al-Hg, «6, 107U {Cohon, Dakin).
— [Chloro-i ,2-) {Di-). Act. sur la
diphénylamine potassée, SB, 176
{Hacusscrmann),
— (Chloro-i.S) (Di-). Act. sur la
diphénylamine potassée, «6, 176
(itaoussormann).
— (Cbloro-îA-) {Di'). Form. par
chlorur. de C*H* en prés, du couple j
Al-Hjr, ««, 1076 [Cohen, Dakin).
— ICbloro-) (Hoxa-). Form. par
chlorur. du tétrachloro-1.2.4.5-ben-
zènc en prés, de Al-IIg, S6, 1076
(Cohen, Dakin).
— {ChloFO-i.2A.b-) [TiHra-). Form.
par chlorur. du benzène chloré.
Qilorur. on prés, de Al-Hg, S8,
1076 [Cohen, Dakin).
— {Chloro-i.2.à-) [Tri-). Form. à
part, de Tac. trichlorobenzoïque,
«6, 207 [Matthews). — Prép. à
p>»rl. de la chloro-4-iïi-phénylène-
diamine. Propr., nitrat., tt6, 916
[Cohn, A. Fischer). — Form. par
chlorur. du chlorobenzène, !M, 1076
(Cohen, Dakin).
— {ChlorO't-<iinitro-2.4-). Act. de
CAzK et dos aie. méthyl. et élhyl.,
SS, 980 (Hoteren). — Act. de Na*S*,
55, 982 [Blauksma). — Act. sur
l'oxyde de /)-oxyphényle sodé, «6,
476 [Ifacussermann, Mûlïer), —
Comb. avec Tac. boizènc-sulflnique,
56, 540 (Ullmano, Pasdcrmadjian).
— Réduct., «6, 915 {Cohn, A. Fis-
cher). — Act. de Cu pulv., SB,
1077 (UUmann, Bielecki).
— {Chloro-i-dinitroS.à-). Act. de
Na«S«, «5, 982 (Blanksma). —
Act. de la diméthylaminc, SB, 547
{Kchrmann, Afûilcr), — Act. sur
la p-toluidine et racétyl-p-phéoflétt»-
diamiiic, SB, 5i8 { Krbrmna,
Krazler). — Act. de A»0*I^ «B.
1144 {Kym).
— (Chloro-i-dittitro-S.S-). KcL à»
CH'O.Na, es, 961 {de KoekU
— {Chhro-i-nitro-2-). lié<locl. par
Zn et NaOH, SB. 178 [Cohn . -
Act. sur Tac. benzêne*»ulflniqiie,
SB, 510 (UUajMDD, Pasdermitdjttat.
— Act. de Cu pulv., SB, lUH
{UUmann, Bielocki). — Act. d«
AzO*Na, SB, 1144 yKym).
— (Chloro-i-niiro-i-). Acl. dt -NaV,
S5, 982 {Blanksma). — Comb.
avec Tac. benzène^ulflniano, SB,
5i0 (UUmann, Pasdermsaji^n). —
Act. do AzO*Na, SB, 1144 iKym^
— {Chloro-t.4-nitro-2-) {Di-). Acl. de
Na'S% SS, 982 {Blanksma). -
Act. de Cu pulv., SB, 1077 {UU-
mann, Bielecki).
— {ChlorO't.2,4'nUro-5'\ (Tri-).
Prép. par nitrat. du Irioblorobeo-
zéne-1.2.4. Propr., SB, 916 [Coba,
A. Plscher).
— (CbIorO'i'trinitro-2.4.6') . Acl. d«
AzH«OH, SB, 168 [Utctzk , DiM-
achy). — Act. sur le phénrléUiHiyl-
oxycyclotriazane sodé , SB , w
{Vosswinckel). — Cryoac. éwi«
Tac. formique, SB, 5i8 {Bnai,
Berti), — Act. sur Tac. bèns^ne-
sulQnique, SB, 540 {UUmann, Pas-
dcrmadjian), — Act. de Co pulv.,
SB, 1077 (UUmann, Bicleeki\. -
Act. de AzO*N8, SB, 1144 sKymu
— [Diazo^). Cond. avec la néihfl-ci
rélhyl-acétylacétone, SC, SiJ9. -
Cond. avec les o-cyanopropionale»
et a-cyanobuty rates, SS, 695 [Fê-
vrel). — Chloromercurale^ SS, 775
(Meunier). — Comb. avec le nr-
thyl- et réthylroalonate d^lhrtf,
S«, 987 {Favrcï). — Form- par
oxyd. de la nitrosopfaènylbydroxyl-
aminé, SB, 115 (Bugbeimerl —
Cooul. avec la iD-diméthyltoluidiAe,
SB, 179 (Sameison). — Copai.
avec Tac. salicyliqu*, SB, itt
{Hcwitt, Fox). — Form. dans Tid
de Tanilino sur Tald. trioilropropi»'
nique, SB, 376 {Torroy, Black]. —
Copal. avec le bromo-2-p-ernfolt
SB, 423 (Hewitt, PhilippsK -
Copul. avec le phénol, SB. ttl
(Bambergcr). — Comb. avec lesae.
thiosulflniques aromat., SB, <B3&
{Traeger, Ewers). — Form dan
i'act. du nitritc d'amyle iKur l'anilii»^
(isodiazotque), SB, 10% \B*mbft-
fjer). — (k)pal. avec la diiD«:lliytlo-
uidinc, SB, 769 (SaioWaoffi. -
Form. par déc. de la nilr««o«rrt'
vylphénylhydrazine, SB, 775 lAw.
TABLE DES MATIERES.
1257
hergePt Grob). — Act. sur le» hy-
dratones cl*ald. nitrées, 9H, 777
{Bêmbcrger, Sehmidl). — Copul.
avec la chIor<K4-jn-phénylène-aia-
mine, !M, 916 [Cobn^ A. Fischer).
— Comb. avec ranisylnilrométbane,
1t%f 991 (Bambcrgory Seheutz). —
Cond. avec le nitropentane, Téther
benzovlaeétiaue, !M, 993 [Bêmber-
Ser, Sebmiat), — Porm. par déc.
e raid, phénylnitroformique, M,
y96 (Bambcrgcr^ Grob), — Act.
sur la méthylrésorcine, !M, 1104
{Orndorff^ Tbcbaud),
(Bromo-S-), Copnl. avec le />-
créRol, S«, àU{Hti\vitt, PhiUpps),
— — \Bromo-S-). Comb. avec les
ac. thiosulfoDiques arom., S#, 6^6
{Traogor, Ewcra).
{Bromo-4'). Comb. avec les ac.
tbiosulfoniqucs arom. , S#, 636
{Traeger^ Ewors). — Form. dans
l'act. du iiitritc d'amyle sur la p-
bromanilino, <•, 704 (Bamberger^
/lus/).
[Chloro-2-), Comb. avec les ac*
ibiosulfoniques aromat., !M, 6Sô
(Traeger, Ewora),
— — {Chïoro-3'). Comb. avec les ac.
thiosulfoniques aromat., S#, 636
{Traeger, Èwers).
(CbJorO'4'), Comb. avec les ac.
tbiosuiron. arom., <•, 696 (Trae-
per, Ewcrs). — Form. dans l'acl.
du nitrile d'amyle sur la /7-chlorani-
line, ««, 7114 (Bamberger, Bust).
— Vit. de déc. a la lum., ««, 919
{Buff, Slcin).
(Elboxy-A-). Copul. avec la m-
dimétbylloluidine, %%, 179 {Samel-
son).
— — (Iodo-2-). Vil. de réact. sur le
a-napbtol et le lo-crésol sodés, %%,
114 {Goldschmidt, Kt^ppcler).
— — {Méthoxy-4'). Copul. avec la
m-dimétbytloluidine, M, 179 (Sa-
melaon).
{NHro-2') • Copul. avec Tac. sa-
licyliquc, %%, 224 {Hcwitt, Fox).—
Coînb. avec les ac. thiosulion.
arom., S6, 636 {Traoger, Ewcrs).
— . VU. de déc. à la lum., S6, 919
{Buff, Steia). — Cond. avec léther
bcnxoylacétique, ItS, 994 {Bamber-
aer, Schmidt). — Déc. par Cu, ^S^
1141 (Nicmontowski).
— — (Nitro-tf'). Comb. avec les ac.
ihiosulfon. arom., %H, 6<i6 (Trac-
Îfcrt Ewcrs). — Vit. de décomp. à
a lum., ««, 919 {Buff, Slcin). —
Cond. avec l*éther benzoylacélique,
S#, 994 {Bambcrger, Schmidl\.
— — {Nitro-4-). Copul. avec Tac. sa-
licylique, «6, tik {Uewitt, Fox),—
Cond. avtc l'éther acétone-dicarbo-
nique, SU, 489 {BuJow, Hopfn^r), —
Comb. avec les ac. Ihiosulfon.
arom., !M, 636 iTrargcr^ Ewcrs).
— Comb. avec Tétber cyanacétique,
tm, 703 (Lax). — Vil. de déc. à la
lum., t«, 919 {Buff, StciD), —
Cond. avec Téther benzoylacélique,
se, 994 {Bambergcr, Schmidt). —
Form. à part, de l'hydrazone phé«
Dylnitroformique. Cond. avec le
pUénylnitrométbane, !M, 995 {Bam-
berger, Grob), — Act. do ClOH,
9%, 1100 {Zittckc).
(Oxv.4-). Vil. de déc. i la lum..
S6. 919 (Buff, StetD).
— (Diazo-amiDO'). Prép. et propr.
des dér. métall. du dér. dinitré-3.4\
tes, 564 [Meunier),
— [Hydrazo'). Acl. du nitrosoben-
zène, !M, 707 (Bambergcr).
{CblorO'2.^') [Di-). Prép. à
part, de To-chloronitrobenzène, !M,
178 (Cohn).
— ilodo'). Prép. au moyen de S*P,
9%, 10 [Ediagor, Goïdberg). —
Réd. par Hl, !M, 397 (Klages,
Lieckc). — Cond. du dichlorure avec
C*H» et AlCl», «•, 899 {Norris,
SaDders). — Transf. du dichlorure
en iodosobenzène, %%, 539 {Orio-
leva). — Réd. par Na en sol. amyli-
que, 9%, 621 (Loweaiierz).
— {lodo-i.S-) (pi-). Prép. a part, de
la di-iodo-/>-nilraniline sym. Propr.,
«6, 1147 {Willgrodt, Araold).
— {JodO') {PoDta-). Prép à part, de
la tétra-iodaniline-2.3.4.5, Propr.,
%%y 1148 {WiiJgcrodt, Araold).
— (Jodo-i. 2.3.4') (Tetra-). Prép. â
part, delà lriiodanilinc-2.8.4, propr.,
M, 1148 [Willcgcrodty Arnold).
— {lodo-i. 2.3.5') {Tetra-). Prép. à
part, de la Iriiodo-p-nilranilino,
propr., «•, 1147 {Willgcrodt, Ar-
nold).
— (lodo-l. 2.4.5') {Tetra'). Prép. au
moyen do la tri-iodaniline-3.4.5,
propr., se, 1147 (Willgcrodt, Ar-
nold).
— (Iodo-i.2 3-) [Tri'). Prép. à part,
de In lri-iodaniline-3.4.5. Propr., Se,
1147 [Willgcrodt, Arnold).
— {lodo-i.3.5-) (Tri-). Prép. à part,
de la Iri-iodaniline sym., propr., Se,
1083 {Jackson, Bcbr).
— {lodo-l'iiinitro-3.4'). Acl de Cu
pulv., ««, 1077 {Ullmann, Bio-
Iccki).
—[lodO'i.3.5-dinitrO'2.4') [Tri-). Prép.
a part, du tri-iodobenzéne sym. ;
propr., se, 1083 (Jackson, Bcbr).
— {iodo'i'nitro'3-). Acl. de Cu
pulv., se, 1077 [UUœann, Bie-
Iccki] .
— {lod()'i'nitro'4'). Acl. de Na*S%
SS, 9di (Blanksma). — Acide Cu
1SÔ8
TABLE DES MATIÈRES.
pulv., 26, i077 (Ullmann, Bic-
Jcçki).
— (/ot/o-/.5-n//ro-5-). Prôp. à part,
do la (li-iodo-o-nilranilinc sym.,
propr., «6, 114G [WiUgerodt, Ar-
Doid). — Pp<*'p. ^t propr. de Tiodo-
chlorurc, «6, 1148 [WillgcrodU
Urnst).
— (lodO'I^.S-Ditro-A-) (Trh). Prcp.
au moyen do la di-iodo-^nitraniline.
Propr., «6, 1147 {Willgerodl, Ar-
Doid).
— {lodoso-). Prép. à part, du dichlo-
rure d'iodobenzèno, M, 539 [Or-
toleva).
— (lodoso l-iodo-S-nitro-Ô-). Prép.,
propr.. sels, «6, 1149 (Willge-
roat^ EtDSl).
— (IodyJo-l-iodo^'aitrO'5-). Prép.,
propr., «6, 1149 (WWgorodt,
Ernst).
— {Nitro-). Nilrat. dans div. condit.,
!K, 176 [HoJlemaon, di^ Brayn). —
Héduct. électrol., «6, 113, 871
{Locb\. — Act. sur Talc, à la lum.,
«6, a)6 iCiamk'iao, Silbcr). —
Comb. mol. avec AlBr* ot AlCP,
S6, 359 (Kohicr). — Comb. avec
l!o-anisidine, «6, 425 {Bamberger),
— Cryosc. dans l'ac. Tormique, SU,
528 (Bruni, Bcrti).— Réd. éleclrol.,
«6, 601 (Habar, Scbmidt). —
Const. diélectr., «6, 661 [Joncs), —
Form. dans l'oxyd. de la diméthyl-
aniline, £6, 766 (Bambcrgor, Ley-
den). — Odeur, «6, 770 {Bupo,
Majewski). — Const. diélectr., M,
880 {Turner). — Act. de Pt colloïd.,
«6. 1039 {Brodig, Ikoda).
— (Nitro-1.^) 01'). Form. à part,
du nitrobenzène dans div. condit.,
SS, 176 [HoUcmaDDy de Bruyn).^
Act. de Na'S', de Na»S% de Na"S*,
de (AzH*)«S, «5, 981, 983 {Blanks-
ma). — Act. de Na'S, «5, 981 [de
BruvDy Biaoksma).
— {Nitro'1.3') (D/-). Act. de Na*S,
Na«S«, !2S, 981, 982 (de Bruyo,
Blaakstna). — Tribolum., «6, 458
(Tscbugaeff). — Cryosc. dans l'ac
formique, S6, 528 iBruni, Berti).
— {Niito-i.4'). Form. par nitrat. du
nitrobenzène dans div. condit., !K,
176 (Hollemann, de Bruyn). —
Act. de Na«S, de Na"S', èc, 981,
983 {de BruvD, Blankama). —
Form. dans 1 act. de AzO* sur la
qainone-dioxime, *6, 545 (Torto-
riei).
^(Nitro-i.sy^.Ct-) (Tetra-). Form. à
part, du dinilrodinitrosobenzène et
de la trinilrophénylhydroxylamine.
Propr., ««, 168 {NicLzki, Diet-
scby) .
— (NHro-i.2.^i-) [Tri'). Form. par
nitrat. du nitrobenzène au moyen
de SO»H« et AzO'H, «S, 176 [Hi^lh^
maon, do Bruyn).
— (Niiro-i.3.^) (Tri-). Cryosc dan»
Tac. formique, S6, 52tf i&raat,
Serti). — Comb. avec les » cl V
naphtylamines. Dér. acét>lé, M,
629 (Sudborougb).
— [NitrO'1.3'dinitroso-4,5-) [Dh
Prép. au moyen du chlorure d« pi-
cryle et de Thydroxylamine. Propr..
M, 168 [NieUki, Dietscbv).
— (Nitronitroso-) (Tri-), Form, i
part, de la trinitrophénylbydn»&)i-
amine sym., propr.« 1t9, 16V \NifU-
ici, DiotscU}').
^ (Nitroso-). Form. dans Tact, du
peroxyde de benzoyle sur l'aniliB^,
se, 98 [Baeyer, Villigcr). — Cood.
avec les cyanures de benzyle et de
p-nitrobonzvle, S6, 487 (Sa^'by. —
Act. sur l'ac. /i-toluènesulUniqoc.
S6, 541 {Bambcrgcr, Bisiog . —
Act. sur rhydrazobcnzènc, ta pb«-
nyl- et fa p-tolylhydrazioe, Stf, 7^
[Ùam berger). — rorm. à oart. de
la nitrosopyruvj'lphénylhyarazine ,
!26, 775 [tiam berger, Grob).
• Benzkne (p-Allylisopbopyl-). Font,
à part, de Tac. a-mélhyl-p-isopro-
pylpliényl-^-Iactique. Propr., dibro-
mure, !SII, 92 (Grigororilcb),
Bbnzkne (Ethyl-). Form. par rni. do
styrolène en prés, do Cu, %S, dlU
[Sabatiort Sonderons). — Oxjd.
par MnO* et SO*H*, IK, 1(W Four
nier), — Form. à part, des r»si&e«
de coumarone, €41, lUQ [Kraemcr,
Spilker). — Cond. avec le chlonu»
de chloracélvle et AIQ', «•, ^m
[KunckoU, Koritzky). — T*"iis. de
vap. à div. temp.,' !S6, 8J3 [Wo-
ringer). — Extr. du xylène du f9^
dron, M, 913 (Afoscbnen,
— — (xBromo). Act. de CAzSK,
«6, 1098 [Wbeeler, Jobason),
(«-3-fîroiDo-) (Di-). Voy, Stiho-
LÎJNE (Bromure).
(oi'SulfocyanO'). Pn'p.. propr..
comb. avec Tac. tbiobenzoïque, M,
1098 [Wbeelcr, Jobnsom,
Benzène (H YDRO-) (Tmiba-?. l'o/. Cy-
CLOHEXÈNK.
Benzène (Isobutyl-) . S>*nlh. au moyen
du bromure d'isobatylène M 4*
C*H*. Propr., dér. monobromt, tt,
626, 629 (Bodroux). — T*ns. d*
vap. à div. temp., !M, 863 {Worio-
gor).
Bbnzè.\b(Isopropényl-)- Propr., oyxd ,
25, 276 (Tiffeneêu). — Frkrm. épart.
du pbényldimétbylcarbinol. Propr,
95 , 645 ( Tissier^ GrifinêrJ ,
Benzène (Isopropyl-). Voy. Ccni:Hi-
Benzrnk (Mktbyx.-). Bnmur. par
S'Br*, iodur. par S*l*; propr. im
TABLE DES MATIÈRES.
1269
dér. broraé el iodé, 1^6, 10, 11
{Edinger^ GoJdberg),
BBT«zkNE (pROPÉNTL-). Oxyd. par I et
HgO, es, 276 (Tiffcacau),
BsNZKNB (PROPTL-). Foriti: par eond.
de C*H* avec les bromures de pro-
pylène et de trimétbylène. Propr.,
dér. dibromé a^, pentabroiné. Form.
à part, du diphénylpropanc-1.2, !2S,
235» 242 (Bodroux).
QmSZkSK -AZO- acétoke-dicarbonique
{Nitro-A') (Elber). Prép.par cond. du
/>-nitro*diazobenzèoeetderétboracé-
tone-dicarboDiqae. Propr., 8eltf,anhy-
dro-acide, onmo, hydrazone, SU,
489. 490 {Bùiow.Hoprnor).
BENZÈNfi-AZO-ACÉTYLACÉTIQUE(Elher).
Comb. avec la p-nilro phénylliydra-
zine, 1^6,492 {Bûhw, Hopfoor).
— {Nitra-A') (Ac). Form. par cond.
de 1 éibcracétone-dicarbonique avec
le p-nitrodiazobcDzène. Propr., éther,
ItS, 489 [Bûlow, Hopfacr).
Ben zkNB-AZO-Y-CÉTOCLUTARIMIDE {Ni-
lro-4-). Form. à part, de Téther
/7-nitrobenzène-azo - acétoncdicarbo*
nîquc. Propr., hydrazone, S6, 491
( Bùlo w, Hopfocr) .
BENZkNE-AZO-CHL0R0-4-/n-PHÉNTLÈNE-
DiAMiNB. Prép., propr., S6, 910
{Cobn, A. Fischer).
BeNZÈNE-AZO-D IACÉTYL8UCCINIQUB
(Etber). Act. de Teau, 196, 037
{Bûlow).
BKNzkNE-Azo-PORMOxiME. ForiTi. à part.
des éthers de l'bydrazone nitrofor-
mique, S6, 777 (Bamberger,
Schmidt),
Benzene-azo-imide. Voy, Benzène
(Agido-).
Benzene-azo-naphtol. Voy. Naphtol
{^•Drèflc-azo-).
Benzène-azo-o-phénol. Form. par
transpos. de razoxybenzène, M,
423. — Prép. par copul. du diazo-
benzène avec le phénol, et par
cond. de ro-anisidine avec le nitro-
sobenzène. Propr., ael de Cu, élher
niéthyl.,!M, 424 {Bambergoi),
Benzène-azo-d-phénol (NitrO'3'-).
Propr. de Vélher éthyl., ««, 423
{Hewitt, Lindlield).
Benzène-azo-résorcinb. Modif. isom.;
Atber dimétbyl., dîhydrazone, dér.
diacétylé, «•, 1104 {Orodorff, Thé-
bauifj.
BENZkN8-AZO>RBSORCINE-p-SULFONIQUB
(Ac). S,VXI. CHRYS0ÏN2.
Benzènb-azo-salicylique (Ac). Prép.
et propr. des dér. o-el p-nilrés ;
sels, élhcrs, «6, 224 [Hcwitt,
Fox).
Benzène- DisuPFONiQUB-4. 4' (Axo-)
(Ac). Form. du dér. dinUré-2.2' à
part de Tac. p-diazobenzéne-sulfo-
nique. Propr., «6,1099(Z/nc/:e).
Benzène-imide (Diazo-) Voy. Ben-
zène (Azido-).
Benzène - pbntacarbonique ( Ac. ).
Prép. à part du charbon de bois.
Propr., forme crist., SS, 685 (Ver-
ueuil].
Benzènb-sulpiniqub (Ac). Act. du
sel de Na sur la chloracétanilide et
ses homol. ; prép, et propr. de la
benzène-sulfonacelanîlide et de la
benzëne-sulfonacétyl-p-tq|uidine,S6,
136 (Grothe). — Form. à part,
de la diphényldisulOne, «6, 388
{RemsoD^ Turnor). — Act. sur les
chlorotrinltro-2.4.6-, chloro-l-nltro-2-
et cbloro-l-ni(rO'4-benzènes et les
ac. chloro-4-nilro-8- et chloro-4-di-
nitro-3.5-benzoïques. «6, 540 (Ull-
mann^ Pasdcnnadjian). — Comb.
avec les diazo- et tétrazo- arom.,
S6« 635 (Tracgor, Ewors), — Act.
sur To-quinone, S6, 1101 (Jackson,
Koch).
— [Bromo-A') (Ac). Comb. avec les
diazo- et tetrazo- arom., S6, 635
{Traogei\ Ewcrs).
Benzène-sulfonacétique (Ac). Act.
do Br. Vit. de réact., «6, 870
{Bambcrg).
Benzène-sulfonique (Ac). Act. 4^
Tiodure de Mg-méthyle sur Téther
mélhyl., «5, 483 {Moureu). —
Point d'ébuU. el de fus., 26. 143
{KraJTt, WiJkc). — Comb. mol. du
chlorure avec AlBr*, «6. 359
iKoblor). — Act. du chlorure sur
rurée; sel de guanylurée, S6,
î^ {Bcnaseo, Gérnct), — Acl.
du chlorure sur la thio-urée et
CAzS.AzH*, «6, 387, 388 {Rornsca,
Turnor). - Dér. de Tac o-aminosa-
licylique, «6, kiSiZabn). — Amide
de la benzyl-p-toluidine, !M, 484
{ApiUscb). — Dér. de l.i leucine,
«é, 744 (E. Fischor). — Dér. des
diphényl-1.4- et 2.4-lhiosemicarba-
zides, «6, 790, 792 [Busch, Holz-
mann). — Dér. de raélhylpipé-
ridinc, «6, 796 iLipp). — Vit.
d'acl. de Télher élhyl. sur les al-
cools, «6, ^d{Zagrobin).
^ (Axo-)(Ac). Act. de AzO»H sur
Torangé IV. Dér. o- et p- nitrés et
dinitrés des dér. «-aminé, et p-ani-
lidé, «6, 178, 179, 533, 534 {Juil-
iardi.
— {Bromo-A-) (AcU Points d'ébutl. et
de fus., «6, 143 {Krafft, Wtiko).
— {Bromo-4'UitrO'i){Ac.\.Pi('p, au
moyen du disulfure de bromonilro-
phényle. Propr., chlorure, «5, 982
iBIanksma).
— (CblorO'S) (Ac). Form. à part.de
l'ac ;>-chloraniline-sulfonique, 99 ^
1092 {Paal).
«70
TABLE DES MATIÈHES.
— (CbhrO'4) (Ac). Poinls d*ébuH.
el de rus., !M, 143 {Kraffl,
Wilko).
— (Chlorch^'DHrO'S') (Ac). Fonn.
par oxyd. du disulfure d« chloroni-
tropbényle. Propr., chlorure, %S,
982 {Bianksma),
— [CyanO'2'nitrO'4-) (Ac). Form. à
part, du chlorure dissym. d« Tac.
p-nilro-o-suirobenzoîque, S#, 412
iHcndorson). — Chlorure, sels, *6,
412 {Norris).
— {Di 8X0-4) (Ac). [Syn. Diazosul-
fanilique]. Appl. du chloromer-
curaie à la recherche des eaux eon-
iam;nées, SS, 77^ {Causso, Sisley).
— Comb. av«c la bilirubine, S6, tÛ)
{Proscbcr), — Vil. de copul. avec
le zn-crésol sodé, IM, 114 {Gold-
schmidt, Koppehr), — Comb. avec
la diphényldi-isobutylpipérazine, )M,
486 \Eibner, Purucmr), — Propr.
explos., !t6, 489 [Wichclhaus). —
Copul. avec la diméthyl-m-tolui-
dine. «6, 760 {Samolsou). — Act.
de ClOH, <6, 1099 (Zincke).
— (Nitro-4-) (Ac). Prép. par oxyd. du
disulfure de/?-nilro-phényle. Propr.,
chlorure, amide, Ité, 982 (Bianks-
ma).
— (Or/-4-) (Ac). Prép. au moyen du
»alicylate de phényle, M, 404
[Coha),
Bbnzkne-sitlfonique (p-Ethtl-) (Ac).
Form. dans la sulToo. du xylène
brui. Sels, amido, !26, 913 [Âfosch-
ncr).
BENZÈNE-3t-8ULF0PR0P10NIQUE (Ac).
Prép. el propr. dudér. a-bromé, ^S,
870 [Ramberg),
BENZkNE-THIOSULFINlQUE (Ac). Acl.
sur l'éther œ-chloracétylacélique,
«6, 187 [Troegor, Ewors).
Benzène-thio-sulfomquk (Ac). Act.
sur les diazo. el tétrazo. arom.,!26,
6ï{5 {Ttvcgor, Ewors).
Benzénylamidine (Diphényl-). Form.
dans Tact, de l'aniline sur Téthyl-
amioo-4-diphényl-Y'<2yanazométhinc.
Propr., dcr. p-nitré, S6,485(S«c/is,
Bry).
Benzknylazoxime (Di-). Form. par
oxyd. de la beuzaldoxime. Dôr. di-
/n-nitrc, !M, 991, 99i {Bamborger^
Scbeutz).
BENZiiYDnoxAMiQUE (Ac). Form. par
oxyd. do la benzylamino et de la
benz^ldoximc, «6, 991 {Bambergor,
Schoutz).
— (Mntboxy'4-) (Ac). Form. par
oxyd. de Tanisaldoxime, 26, 991
[Bambergor^ Scbeutz).
— [Nitro-d) Form. par oxyd. de la
mnilrobenzaldoxime, Stt, 992
{Bamborgor, Schout7.).
— [Nitro-A] (Ac). Form. par oxyd. 4e
la p-nitrobeozaldoxime , ^C, SSS
{Bamborgcr, Scbculx) .
Benzuydrylamine. [Syo. Difhk»tl-
mkthylaminb] . Pnèp. par rM. du
diphénylniUtunétbaue el delà bco-
zophéoone-oxime, Propr. « sel». M,
556 [KoDOvalof).
Bbnzidine. Cood. avec la dichloriroi'
noquinooe el la «ficblortmino-^*
naphtoquinone, 26, 52. — Gond,
avec riminolbiodiphénylinaioe, <#.
55 [Scbap<fScbDikor}. — Form. par
réd. clectrol. des nilro-, az»>- el
azoxybenzènes, S#. 114, 971 l/.o^^
— Cond. avec lo chlorh., !M, 2^
{Morz, Slrasser). — Acl. »ur \^
salol. Dér. salicylés, dlazo., 99.
404 {Coba). — Cond. avec iCAx'.
«6, 420 {McvoM), — Form. Jan*
Tact, de Taniline sur la pbéoylby-
droxylamine, SS,767 [Bamborgr.
— {CbloroS-:!!') {Di-). Form. à part
de ro-chloronitrobenzèoe el de la
diacétylbeuzidine. l*ropr., sels, dér.
dibenzoylé. Tétrazo- ; copul. av«
l'ac. naphlionique. M, l7o [Cobo^.
— (CyaiiO-). Prép., propr., liM, 4â)
(Afero»).
Bbnzidine (Méthyl-) (Tetra-). Fona.
par déc de Toxyde de dimèlh»/-
aniline, M, 766 {Bamberger, Ley-
diiD).
Bbnzidine (Phéntl-S-S*-) (Di-). Prép.
à part de l'o - hydrazodipbényle-
Propr., dér. diacétylé, S«, 1144
{FncbcK Bassow).
Benzile. Comb. mol. de la ^^ioxbne
avec le irlycol, la glvcénne, (,^H\
Taniline, la pyridine* rac acétique,
racétone. M, 121 (Prlivoiro-A>/«-
ehenko, Kafêaezky. — Acl- de
AzO" sur l'oxime, M, 625 <Pii»zio.
— Prép. el propr. des hydraione d
osazooe-oi, S6, 773 iUamberger.
Grob). — Vil. de rôacL avec U
phénylhydrazine«!M,^J [p^tr*oào-
KritscboDkOfEllst*banitîot> . — Cood.
avec la mélhyl-6-diamiDO-4.5i>yri-
midiue, !M,907 {Gabriel Coimao
— Cond. avec les mélhyléthyk
diéthyl-, méthyU, îaopropyK m*-
Ihylpropyl-, méihylbutyl-* oipropyK
méthylhexyl-, éthyllsopropylcclones
et rat-métbylanhydracélonc-t>eDzil«.
S«, 1114, 1116 (Japp, Meldmmu--
Tond, avec lo diamino-2.2'-dju4yl«.
%%, 1142 {Niemoatowski . —Coud,
avec le lriamino*aDisol et ladintiro-
o-anisidine, <6, 1159 iM^idoU»
Eyre) .
— {NUro-4). Form. dan» l^act d*
AzO' sur la monoxime du iMOiile,
S6, 625 {Poazio} .
Benzile (ANHYDRACéTONB*^ Pr«p. de»
I dur. 3-mtHhylù, 3 {i-ct {l^-dituéihy-
TABLE DES MATIÈHES.
4271
lés, s et ^-élhylé», a et ^propylés,
oc et 3-amylé9, a^diétbyle, ai.^.^-
trimétnylé, par cond. du benzile
avec la roèthyléthylcétone et ses
t&nmol. ; propr., comb. benzylidén.,
(AsHYDIlACrrONE-DI-) (a-MÉTHYL-).
Prép., propr., sels, éther éthyl., )M,
1115 iJtpp, Mcidrum).
Hekzimidasol. Voy. Imidazol (Bbnk-) .
^E^ZIIIINO•KTHTLIQUB (Az-PhÉNYL-)
(Ether). Form. à part, de la benz-
anitide, C«HM et Ag«0, Propr., «6,
ytiS {Landcr} ,
Bknzoïnb. Tribol. des oximes, 96,
458 (TschugaefT). — Acl. de la
lufP. 8ur les sol. dans Talc, élhyt.,
«e, lOfô iCtumiciaD, Sitbcr), —
Mél.eutcctiqueaveclacampboroxime,
leC, 1029 iAdnaah,
— {yfàthoxy-i.à'') Z)J-)Prép. à part
de Tald. o-méthoxybenzoïque. Propr.,
éther mélhyl.,«ll, 760 (Irvinc).
BbnzoÏne (Dksoxy-) . Cond avec la
dicbloro-2.S-^-naphtoquinone , S6,
106 [Hirsch), — Vit. de comb. avec
la phénvlhydrazine, ItB, 896 {Po-
trcDko-KritscheDkOtEltschaninof).
— Act. de C.AzSK sur le dér.
brome, «S, 1098 (Whcclor, John-
soo).
Benzoïne (Hydro-). Prôp. de Télber
nitrique à part, du bromure de slil-
bène. Propr., S6, 295 [WaUber,
WeUlich).— Form. par act. de la
lum. sur les sol. alcool, de benzoïne
ou d'ald. bcnzoïque, <6, 1025 [Cia-
mician, SUbcr).
BenxoÏnb iIso-hydro-). Form. par
act. do la lum. sur les sol. alcool.
de tK-nzoïne ou d*ald. benzoïque,
!M. 1025 {CiamiciaD, Silber),
BbnzoÏqub (Ac). Chai, de form., du
•el de Na, SS, 371 iMassol). —
Form. par déo. du benzoylpbényU
acétylène et du benzovloenanthy-
lidène, !K, 421, 425 {Afoureu, Dc^
langc) . — Pouv. rotat. de Téther Iso-
amyl. act., «6, 459, !M, 550 [Guye).
— l)ér. benzoylé des acclals de la
glycérine, !2S, 588 [Dclopiné). —
Comb avec le glycocolle sous l'ind.
du ferment du rein, €S, 704 (AJbe-
louB^ Rigaut). — Benzoates des
di- et tri-iodopbënols 2.4 et 2.4.6,
JK, 821 {Brcaans). — Form. par
oxyd. du cumène, <S, 847 [Bo^dt-
ker). — Acl. de Téther méthyl. sur
le bromure de Mg-phényle, Ù, 914
Tiasicr, Grignardi. — Dibenzoïne de
de Tald. formique, 96, 975 iDos-
eudé). — Dér. dibenzoylé de la
buUnoIamine-4, 96, 97b [Henry),
— Dér. dibenzoylé de Talc, amino-
isopropyliquc, 96, 979 iPco/crs).
— Form. par déc. du peroxyde do
benzoylé, 96, 97, 98 (Baoyer, Villi'
get). — Prép. et propr. de Thexa-
chlorure, 96, 145 (Matthows). —
Form. par déc. du bromure depbé-
nacylpyridinium, 96, 150 [Sebmidt,
van Àrk). — Form. par oxyd. du
phény4cyclohexane, 96, 184 {Kour-
sanot}. — Prés, des éthers dans
Tessence de jasmin, 96, 309 (Hess**) .
— Aci. sur la peptase d'orge, 96,
333 (Weiss). — Comb. mol. de
Télher éthyl. avec AlCl' et AlBH
96, 360 [Kohlct). — Act. de
KMnO', 96, 385 {JoUos), ~ Act.
sur la diméthylaniline, Taniline.
Form. d'élber méthyl., 96, 415
{Tinglé). — Form. par oxyd. de la
^-benzylhydroxylamine, 96, 616
{Bawborgcr^ Sioiayski). —Tribol.
du sel de quinine, 96, 459 (Tscbu-
gaofi). — Tens, de vap. des sol.
alcool., t>enzén., acétonique, aqueuse,
96, 514 {Lincoln). — Form. de
méthyl- et d'élhylamide par oxyd. de
Tald. benzoïque en prés, des aminés,
96, 628 (Pickard, Carter). — Infl.
du sel de Mn sur la vil. d'oxyd. des
sol. oxaliques, 96, C59 (JorJsseny
BoJchcr). — Act. de Tacélate d'éthyle
sur le dér. sodé de Tétber éthyl., 96,
677 (Reforma tnky) . — Nitrat. de Tac.
et des éthers méthyl. et éthyl., 96,
716 ilJoBcmann). — Form. à part
de Toroxyline, 96, 734 (Naylor,
Dyor). — Form. de Tac, de l'élher
méthvl.,des nitrile et anilidc à part,
de rald.nitroformique, 96, 793 (fiam-
berger, Grob). — Vit. de dissol.,
96, 878 [Bruner, Tolloczko). —
Propr. de Téther psvllostéarique,
96, 940 [Sundwiek).^ Form. d'éther
benzyl. dans Tact, de Télhylate d'Al
sur raid, benzoïque, 96, 9d7 [Tisi-
chcnko). — Form. de Télher éthyl.
par déc. de l'élher pbénvlbenzimino-
élhylîque, 96, 988 [Lundor). —
Form. dol'ac. et du nitrile paroxyd.
de la benzylamine et de la benzal-
doxime , 96, 991 {Bambcrgcr^
ScbouU), — Sel lutéocobaltique,
96, 1031 (KIobb). — Form. de
l'élher élhyl. dans l'acl. de FeCP
sur un mél. de chlorure de benzoylé
et d'élher, 96, 1068 (Wedekind,
Haeusscrmann). ^ llydrazides
subsiit., 96, 1161 (Stollo). — Acl.
sur les dér. chlorés de la pyridinc,
96, 1170 (Se/;, Z)oo(soiî).
— (Auj/no-f-) (Ac). ISyn. Anthrani-
liqi:b]. Pouv. rolal. de l'clher iso-
amyl. act., 95,550(C/u,vr';. — Dos. do
l'élher méthyl. dans div. essences
de neur d'oranger, 96, 763 {Theu-
lier). — Neulral. en prés, de div.
indical., 96, 9ô5 {B^rthcht). —
1272
TABLE DÇS MATIÈRER.
Prés, de INHher mélhyl. dans Tes-
sencc do oéroli, M^^2{\VaJbaum).
— Cond. avec l'ac. chloracélique,
%B^ 74 {VorlacDdo,i\ Mumme), —
Absence de l'élbor mélliyl. dans tes
fleurs fraîches de jasmin, SU, 309
(fjftsse). — Vil. de sapon. de Tamidc,
«6. 38i iRoid]. — Dissoc . dessels,
««, 1037 (WJDkclblech). — Cond.
de j'élhor métliyl. avec les ald. acé-
tique et formique. Dér. métbylén.,
éthylidén., S6, ii52 [Afelincr). —
Cond. de Téllier mélhyl. avec Télhcr
et raid, forniques, ft6, 1155, 115o
(Erdmano). — Gond, avec CAzHet
raid, formique, !M, 1150 {Kobacr),
— (AmiDO'S') (Ac). Pouv. rolat. de
Vélher iso-amyl. act., %S^ 550 {Guyc).
— Neutral. en prés, de div. indieat.,
. «5,065 {Bcrthclot). — Vil. de sa-
pon. de Tamide, «6, 382 {Beid). »
Prép. cl propr. de Tèlher mélhyl.,
«6,771 iHiipo, Majcwski), — Dis-
soc. dos sels, ««, 1087 {Winkel-
blech).
— {Aiaioo-â) (Ac). Pouv. rolat. de
Télher iso-amyl. act.,«6,550(G(ivo).
— Neutral. en prés, de div. indic,
«5, 905 (BorthcJot). — Vil. de
sapon. do Tamide, «6, 382 [Reid).
— FormC du dér. acétylé p r oxyd.
de la />-amino-a-chloracélophénone,
«6, «3« {KuDckclI}. — Propr. de
l'élher roéthyl.: prép. et propr. du
nitrile, «6, 771 (liuno, MMJi'wski).
— Dissoc. des sels, «6, 1037 { Win-
kelbloch).
•^[Amino2'dibromo-S.6-) (Ac.).Form.
à part de Tazido-ald.corresp. ; propr.,
sels, «6, 92(5 [Bant berger, De-
mutb).
— LAmiûo - 2 - dicbloro'3 - 6-) (Ac.) .
Form. à part de TM/ido-ald. cor-
resp., propr., «6, 925 {Bambcrger,
Dcmutb),
— {AmiDo-2-Ditr0'3') (Ac.j. Form. à
part de l'ac. chloro-2-nitro-3-ben-
zoïque, «S, 9S4 [Hollcman, do
Bruvn).
— [(XmiDo-â'tricblorO'3.5.6-) (Ac).
Form. à pari, de la trichloro-3.4.6-
phtalimide. Propr., «6,1 105 (Oraci)o,
Bostowzrw).
— {Azido-^') ikc), Prép. et propr.de
l'étlier mélhyl., «6, 7/1 {Bupc, Ma-
Jewskn. — Pron. par oxyd. de
raid., propr., «6, 927 (Bambcrgcr,
Dcmutb).
— {AziJo'S-) (Ac). Prép. cl propr. de
l'élher mélhyl., «6, 7/1 {Hujh\ Ma-
jcwskt).
— iAzJdo-4') (Ac). Prép. et propr. de
l'élher mélhyl. cl du nilnlc, «6,
771 (Bupo, Majowski),
— (Bromo'i-) (Aci. Const. th^rm. de
Tac. cl des sols, «5. 3^19 (Mussol).
— Pouv. rola». de Téther ito-amyl.
act., «6, .^50 {Guve). ^ Nitratioa,
«S, 984 {HolIcmaD^ <h Bru^n.-
Propr. du sel deCa,«ii6, 287 'SaJMN^.
— Vit. de sapon. de l'amide, «6,
382 (Bcid}.
— iBromo^S") lAc.l. Pouv. nilat. àt
rétber iso-amyl. art., «S, 551} KGuy .
— Nitrat., «5, 984 iHoilrmëua, àt
Bruyn). — Vil. de sapon. éc Vt*
midc, «6, 382 iBeidK ~ Form. rar
bromur. du dibenzoylfùrfuraiie,«6«
1108 [Pbclps, Ho le).
— (Bromo^-) (Ac). Const. Chom. dt
l'ac et des sels, «S, 370 JJmnsah.
— Pouv. roiat. de Téther i»o-aaiTL
act, «5, 550 {Guyc). — Propr. A
sel de Ca, «6, 287 iSaUcr^ . — Vit
de sapon de Tamide, «6, M
iBeid).
— {BromO'4'diDitro-S,t^ lAc. Ad
de Cu pulv. sur rétberinétliyl.,«6.
1077 (tllmanny BielfckJ).
— {BromO'2'nîlrO'S-) (Ac». Form. à
part de Tac. o-bromobenzoïqae.
Propr., «5, 984 [HolJcmaaù^ ér
Bruyn] .
^ (BromO'S'OitrO'5') lAc». Prép.»
part, do l'ac. o-bromot»eii£0iqae.
«6, 984 {HoUemaoD, do Druyw. —
Act. deCu pulv., «6, iOfTl {Utlmëaa,
Bielecki) .
— [Bromo-S'aitro-S) (Ac.t. Prép. «
part, do l'ac 7ii-bromob^ozoïqD«.
Propr., «5, 984 iHoiJcmaao, de
Bruyn) .
^ {BromoS-nitro^A lAc . Pf*|^«
part, de- l'ac; ffi-bromobenzoîqo«>
Propr., comb. mol. avec les car
bures arom., «S, 984 ylMiMaaa,
do Bruyn).
— {Bromo-é-nitrO'S') (Ac. Act. de
Cu pulv. sur l'élher mèihvl., «6,
1078 iUlimanny Bielecki).
— {CblorO'i') (Ac). Const. Ihenn,
des sels, «S, 195, 371 iMassoh, —
Ael. de AzO'H,«6, 983 i//o//«ai«s«
de Biuyn). — 8apoo. de Taoude.
«6, 382 {Beid). — Form. n part- do
phényl-§-phène-triazane, «6, llM
\Mchner) .
— (CbloroS-) (Ac). Nîlral.. «I(, PW
{HoUeman^ de Bruyn).
— [Chloro-é') (Ac). Vil. de sapos.
do Tamide. «6, 382 {Beidi .
— {CblorO'S.S.5') iTr/-) <Ac|. Fof«.
de Tac etdu nitrile par déc. deTbeu-
chlorure du benzonitrilo. Propr..
sels, éthers, amide, dér. oitré, ft«
145, 207 {Mattbews).
— {Cbloro-S'dinitroS,^) (Aci.Prep.
à part des ac. chloro-S-iiitro-^ H
cbloro.2nilro-5-b€Ozoïquets, «S, 966
{Holltman) .
— (Chlorv' A-dlnitrO'S.ri-^ (Ae* .
Comb. avec l'ac. bcnzéne-SQinjiéqvt,
TABLE DES MATIÈRES.
1278
541 {UUmantif Pasdermad^
Jisa).
— {CkhrO'S'nitrO'S') (Ac). Prép. à
part, de Tac. o-cblorooenzoîque.
Propr., act. de AzH\ ItS, 983
{/loJiomaDD, de Bruyn). — NHrat.,
«S, 986 [HoUcmann).
— (Cbloro-S'Oitro-ô') (Ac). Prép. à
part, de Tac. o-cblorot>enzoîque.
Hropr., S6, 983 {HoUemanD^ de
Bruyû), — Nitrat., «», 986 {Hollc-
ntauo).
— (Chloro-^aitro'i-) (Ac). Prép. à
pari, de Tac. m-chlorobenzoïque,
!U», 984 (HoIIrmano, de Braya).
— {ChloroS-nUro-ô) (Ac). Prép. à
part, de Tac. m-chlorobenzoïque.
Propr., sels, %Si 984 {Hollcmaan,
de Éruyo).
— {ChlorO'À'Diiro-S-) (Ac). Corob.
avec l'ac benzAne-sulfinique, S6,
541 [Ullmano^ Pasdermadjian).
^ (Cyan(h4') (Ac.). Prép. et propr.
de léther méthyl., S6, 771 (Rupo,
Majowskt^. — Form. par oxyd. du
Ditrile p-loluiquc. Propr., Ité, 1078
[Katt winckt'i, Wolffea.^tpin).
— {Diazo-S-) (Ac.).Cond. avec Télher
cyaaacétique, 96, 708 (Lax). —
Prép. et propr. du perbromure,9€,
987 (Bambrrgor^ Dcmuth). — Form.
à part, de l*éther élhylène-bîs-an-
Ihranilique. Copul. avec les aminés
arom., «6, 1154 {.yfchoer).
— (DiazO'4') (Ac). Vil. de déc. à la
luf».. se, 919 (/?ii/r, Stein).
— {Diaso-aminO'Z) (Ac). Prép. par
copul. de Vétber o-diazobenzoïque
avec Tanitine. Propr., <•, 1154
(Mehnrr).
— {Ethoxy-i') (Ac). Vil. de 8apoo.
de Tamide, «6, 383 {Rcid). —
Cand. de l'élber éthyl. avec la tri-
métbylphloracétophénonc, !M, 642
{Kosiaoccki, WebH).
{ChlorO'3Ditro'&) (Ac). Form.
du nitrile à part, du chlorodinitro-
benzène et CAzK, «S, 980 {Hete-
ren).
— {EtboxyS') (Ac). Cond. de Télher
éthyl. avec la trimétbylphloracéto-
phénone , %B , 173 ( hostanocki ,
:itcuermaDn),
— lEtboxV'4') )Ac). Vit. de sapon.
de ramide, èe, 382 {Hnid).
— [Ethylamino-i) (Ac). Form. du
déf . nitrosé de Tétber métbyl. par
oxrd. de la nitroso-étbyltoluidine,
M, 900 {Vorheader).
— {Ethylnmino-S') (Ac). Form. par
oxyd. do la nitro?o-élhyl-nj-lo(ui-
dinc propr., S6, 900 iVorlacndor).
— {lndo-2-) f.\c). Consl. tlicrm. de
Tac et de8 Kel9« eS. 196, 371 [Mas-
nah. — Vil. «le snpon. de Tamide,
S«, 98i iBeid) .
— ilodoS-) (Ac). Vît. de sapon. de
ramide, ««, 382 iBeid).
— {Iodo-4') (Ac). Vit. de sapon. de
Tamide, !t6. 382 (Reid) .
— {Métboxv'ii-} f Ac). Cond. de Tétber
métbyl. avec riodure de Mg-mé-
tbyle, SS, 276 {Bébat, Somtuetct).
— Vit. de sapon. de Tamide, S6,
382 {Beid). — Cond. avec la m-
étboxy-acétophénone, <•, 719 (Kos-
tanecki, Tambor).
[CbiorO'SnitrO'G) (AcK Prép.
du nitrile par act. de CAzK sur le
cblorodinitrobcnz^me. Propr., %&,
980 \Hetorcii).
— [McthoxV'A") (Ac). fSvii. Anisi-
qur]. Form. à part, de fa p<métbo-
xybenzylmélbylcétone. Cond. avec
riodure do Mg-métbyle, S6, 275,
27û [Béhal, Ttffoneau). — Prép. â
part, de Panélbol, SS, 448 [Bou-
gault). — Form. par déc. de la mé-
thoxy-apigénine. M, 189 (loo^^a-
ricbtca). — Vit. de sapon. de
ramide, «6, 382 (Beid). — Form.
par oxyd. du p-éthylanisol, SB, 913
[Moschaer). — Form. de l'ac et du
nitrile par oxyd. de Tanisaldoxime,
«e,9Jl,992 {Bamhorger.Scbeuti}.
— {Mêthyhmino-i-) (Ac). Prés, de
Tétber métbyl. dans Kessenco de
mandarine, SB, Ci6 (Walbaum). —
Form. du dér. nitrosé do Télher
éthyl. pnr oxyd. do la nilrosomé-
tbyl-o-loluidine, S6, 893 [VoclacD-
de h.
{Di') (Aci. Vit. de sapon. de
Tamide, «6, 382 [Beid).
— {MélbyJène'aminO'S-] (AcK Prép.,
propr.,' éthor métbyl., dibromure,
«B, 1155, 1156 {Erdmaou^.
— {Mothythn^-bin-amiua-i-] (Ac).
Prép. el* propr. do l'élber métbyl.,
!2B, 1152 (\fcbnrr).
— {Nitrt}-2-) (Ac). Pouv. rotat. de
l'élber iso-amyl . act . , S5, .550
(Guye). — Prép. du chlorure, !t5,
695 {Afavrojannis). — Vit. de sa-
pon. de l'amide, ««, 382 [Beid). —
Form. par nitrat. de Tac cl des
étbers benzoïques, *B, 717 (flolle-
mana). — Form. dann In nitrat. du
dibenzoyirurruraQe,SB,ll08(P/ioyp9,
Bah).
— UWilro'S-) ('Ac). Pouv. rotat. de
l'élber iso-amyl. act., SS, 550
fCrii.iri— Vit. de sapon. de l'amide,
«B, 382 (Beid. — Form. par ni-
trat.-de Tac et des élh^rs benzoï-
ques. !SB, 717 {Hollemann). —
Kéd. de l'élber métbyl.. SB, 771
(/?i//>r, }faJo\vskt}. — Fonn. par
oxvd. de la mnilrobenznldoxime,
M, im 'Bnmborqcr, Schoitlz . —
Form. dans la niiiat. du dibcnzoyl-
furfuranc, «B, 1108 [Phripfi, Bah ,
i274
TABLE DES MATIÈRES.
- {Nilro^') (Ac). Pouv, rot. d«
l'éiher iso-amyl. act., ItSy 550
iGuvii). — Form. par nitrat. de
Tac* el des éthers benzoïques, 9S,
717 {HoIIemaan). — Propr. de To-
nitranilide, tS6, 17 [Kym). — Propr.
de Tétbor p-nitrophAnyiique : Iransf.
en beozoxazol, éS, 17 [Kym). —
Vit. do sapon. de ramidc, i6, 882
{Roui). — Red. du nilrile, «6, 771
iRupc^ Mnjowski}. — Form. par
déc. du chlorure, «6, %9 iWodc-
kiod). -- Form. à port, du /)-nilro-
phénylcyclobexaue, <6, 980 (Kour-
saoor). — Form. par nitrat. du di-
benzoylfurrùrane,S6, 1108 iPbcIpSt
Haie).
- {NitrO'S.A.e-) (Tri-) (Ac). Propr.,
des sels dVnaphtylamine el de a
et ^ihylnaphtylamines, 26, 639
{Sudborough) .
- [NitrO'2.A'OXv-) {Di-) (Ac). Form.
à part, de lac. mét»purpuriquc.
Propr., sels, 96, 121 iBorsche).
- (Oxy-S) (Ac). {Syn. Salicylique].
Act. do la tannase sur les étbers
môlhyl. et phényl., 26, 271 {Poite-
vin). — (*ond. de Tétber métbyl.
avec Tioduro de Mg-méthylc, 9S,
276 [Béhaï, SommeJot). — Rechei*-
cbe dans la bière et le vin, 25, 475
[Pcreiràj. — Réact. color. avec
FeCl», 2S, 531 [Simoa). — Dédou-
blement de Téther amyl. dans l'or-
ganisme, 2S, 559 (Cbanoz^ Doyon) .
— Rechercbe dans les vins, 2S,
726 {Fcrrcira da SU va). — Prép.
et propr. du sel de Bi cristall., 25,
795 {Thibault), — Appl. du sel de
Na au dos. des aie. ierpéniques et
de leurs éthers, 2S, 885, 956 {Cha-
rabot, Hébert) ; 2S, 995, 1053
(Darzens, Armingeat). — Cond. du
dér. sodé de Téther élhyl. avec les
éthers gras x-bromés, 26, 13 [Bi-
schoff). — Transf. en ac. pulfoné,
nitrés et nitrosulfonés, 26, 74
[Hirsrbj. — Copul. avrc le iliazo-
et le />-mlrodiazobciiz'>iic, 26, 2â4
{Howitt, h'ox). — Korm. par act.
des ferments du foie sur laid. i:or-
rcsp., 26, 317 {Jakoby), — Act.
sur la peptase d'orge, 26, 333
(Wriss) , — Vit. de sapon. de
Tamide, 26, 382 (Beid). — Act. de
de SO*H', des aminés et phénols
sur le salol. Dér. sulfoné, étbers
phénol., anilides. Disalicylamide,
26, 404, 405 [Cobn). — Act. de
AzH% de Taniline, de la benzani-
lide et de Tacétanilide sur les étbers.
l'orm. d'amide et do nitrile, 26,
415 {Tinglo). — Prép. et propr. du
dér. aminé-^. Hydrazo., diazo.; dér.
formylé, beozylidénique, salicylidéni-
que, ouuzèiio-sulfone ; uréo, allyl-ei
phényllbiocarbamates ; oomb. a%«c
la résorcine, les ac pyruvique <t
chloracétique, COCP el réther eUo>
rocarbonique, 26, 417, 418 iZah» .
— Do», des sels et do salol par l,
26, 442 {Mesaingtr). — Tribohun ..
26, 458 {Tschugacff). — Tcns. èi
vap. des sol. alcool., beozéii., êq.,
acéioniques, 26, 514 iLâacoim'. —
Act. du dér. p-aminé sar la cbloro-
S-flavinduline et le chloro-dj>béay)-
isonaphtophénazonium , 26 . M
{Kobrmfinnf Hiby). — Sel d^ Hf,
26, 608 (Bnpfi). — Prép. et propr.
de la monosalicyline de la glycériae.
26, 675 {Tacuber), — Comb. da c^
diazo. avec J*éther cyanacét., 26.
708 {Lax). ~ Form. à part, de Tac
iD-8ulfo-o-phtaUque, 26,91i ..Voari^
noii. «-> Tribol. du sel de eo-
eatne, 26, 929 [Têcbugacff). —
Act. de réther éthyl. sar Toxalalt
d'éthyle, 26, 1069 {Tiogie, Bxror.
— (OxyS-) (Ac). Cond. de réU«r
éthyl. sodé avec les ac. grss orbr^
mes, 26, 13 {Biscboff). — Act. 4e
Taniline sur l'élber méthyl. : fonn.
d'anilide, 26, 415 {Tingh* . -
Tnbolum., 26, 458, 456 {Tscho-
gacff) .
{Chloro-i^ (Ac.|. Prép. el propr.
du dér. acétylé. Act. de ï^O^^J":
dér. dichioré>2.6, éthers, 26, 5U
(Afasiara, Bcrtozxi),
— (Oxv-4-) (Ac). Cond. do Télker
méthyl. avec Tiodure de M^c-Mé-
thyle, 25, 276 {Béhal, TJffemm
— Cond. de Téther éthyU sodé awc
les éthers gras a-bromés, 26, 1^
[Biscboff). — Points de fus. dM
éthers méthyl., éthyl., propyl., 20»
287 (Salzcr). — Act. de Vaniliaff
sur iVther méthyl., 26, 415 TiM-
glé). — Tribolum., 26, 458 ' Titeèv-
gacff). — Déterm. cryosc, 26,
610 iAuwers),
— {Pbéttoxy-i) (Ac). Vit. de lapoo.
de Tamide, 26, S82 {Bcid),
— (P/ioDoxj-i-WAc). Form. du d^r.
nitré-2' par oxyd. de Toxyde de <^>
crésyle-o-nitrophényle. Propr, self.
26, 403 (Cook, Htllycr).
— {SulfamJDfh-É') (Ac). Prep. de 'i
diphénylcarbazide à pari, de la iv^
charine. Propr., 2S, 605 ^Dtfoaf-
ne/).
— (Suifo-S-) (AcK Cond- de l'anfc
avec le benzène, le toluène^ k •
xylène, le pscudocumène. Je mtf*-
tylène on prés, de AlCP, 26, l'i
(kranaicb) . — Prép. des ebleiW*
sym. et dissym. au mnyen d« I*
saccharine. Propr., amide ; aci. sur
Turée, 26, 3^ {Holmrai .
(XUr*jh4-) (Ac). Prép. el pro^r-
des chlorures sym. el di#s}ffl> *
TABLE DES MATIÉHES.
1275
aot. sur l'urée; amide, HB, 2(90
\Holmcn\. — Constit. et prép. des
chlorures, S6, 410 {NorrJs), —
Chlorures sym. et dissym. ; anh. ;
éthers, anilido, anile. Gond. ave^.
C*H% «•, 412, 418 {Hendcrson).
— iThio-) (Ac). Cîomb. avec les iso-
sulfoeyanates et le sulfocyanacétyl-
uréthane, S«, 670, 680 {Whceier,
Mt*rri»ni). — Comb. avec i'isosul-
focyanale d'amyle, le sulfocyanacé-
tate d'ëcbyle, le sulfocyaoacélylben-
zéne et ses horooL, S6, 1097, 1098
{Witoflor, Johnsou),
BENzuiQt'c (Aid.). Coud, avec les m-
aminophônols Az-dialcoylés , U»,
218 {Grimaux), — Prod. de cond.
avec la mélbylnouylcétone, 1K», 20D
{CtrfUc}, — Dens., viscos., tens.
superr., H&f 521 \Jcanc9rd, Salie).
— Cond. avec l'oeoanlhylidèoe sodé,
!t5, 010 i.yfoureu^ Desmots). —
Cond. avec les ac. beazo- et tolu-
eyclop<'nlaiionc - azine - carboniques,
«5, 7x0, 7il {Tbomas-.Mamorl,
Stricheti . — Comb. avec les éry-
Umtes (/, y et r, «5, 741. 744 {Ma-
auenue^ Bertrand). — Acl. sur les
aér. sodés du mentbol et des men-
thones, 1t^, 988 {Martine). —
Form. par oxyd. de Té thyl benzène
par MnO*, <S, 1064 iFournien. —
Aiilo-oxydot. ; form. de peroxyde,
M, i {Eoglery Wcisberg). —
Form. de Toximc et de son éther
benzyl. par cond de l'élher formi-
Îue avec la benzylbydroxylamine.
►ér. />«hloré, p-bromé, /Miitroben-
loylé, <6, 51 tScbroeter, Pcsch-
kesi. — Acl. du peroxy«le de bcn-
zoyle : oxydât, à l'air, «6, 98 {Bae-
yer^ VHItgen. - Cond. avec l'iu-
déne, S«, \^ {Thicir). — Cond.
avec Tac. pyruvique et la p-amino-
auinoléine, 2«, 180 {Willgorodt,
^ablonski). — Cond. avec Tac. py-
ruvique et rana-aminoquinoléine ,
t«, 181 (Willgerodt, !Véaoder). —
Corab. avec lo ^naphtoi, )M, 204
iHtwitt, Turnen. — Cond. avec
IVphcnyl'x'-métbylpyridine, S6. 215
[bobnch. — Comb. avec To-xy-
lyl^nchydrazioe, !M, 217 [Fraen-
kt^l). — Prép., propr. et oxyd. de
la thioscmicarbazono et des pbé-
nyl-4 etméthyl4-lhiosemicarbazones,
M, 225, 226 \Young, Eyre). —
Act. sur le nitrilo de la propyli-
dène-phénylbydrazine, «6,226 i£./7/-
n^r^ Spof\. — Comb. avec la létra-
liyilro.^napblylamine.«6,2it) {Pope,
//*rrer\ — i^ond. avec Tac. pné-
nylacétique, ses dcr. p-nilré et />-
chlore et le cvanure de p-cUloroben-
«>»<•, tu, 294*, 296 i\VaHlior,W''t2'
/icl»|.— Form. de rald.,de l'oxime,
du dér. benzoylé et de l'aidi. par
oxyd. de la {i*benzylhydroxylamine.
Propr., 1t%, 416 {Hambcrgor, Szo-
iayski), — Comb. avccl'ac. o-amino-
•alicylique, S6, 418 {Zabii). —
Comb. avec le nilro-a-môlhyl.^étol,
S6,422 {Walthor, Clancn).^ Cond.
avec l'anh. [)almitique, S6, 467
(Kraffi, fioainvi. — Cond. avec
l'éther acétique, 2S6, 472 {MichaoJ).
— Form. par déc. du nitrosite ae
stilbène. 2«, 479 {Scbmidl). —
Cond. avec les bis-iso-amylaniline
et bisiso*amyl-/>-loluidine, S6, 486
iEibncr^ Puruckerj. — Cond. avec
le p-naphtol et AzH* ou l'aniline,
««, 554 {Betli). — Act. sur Tiso-
eampbre et le dihydro-isocampbre,
S6, 560 {Bimini). — Comb. avec
les hydrazides glutarique et subé-
riquc,««, 567 (Ci/r/ius, Clemm).—
Comb. avec l'hydrazide tricarbally-
lique, se, 570 iCurtius, //esse). —
Comb. avec Thydrazide sébacique,
S«, 571 {Stellcr). — Réd. de
l'azine. Transf. eu benzvlhydrazone.
Comb. avec la dimélnylbenzalda-
zine, se, 583 {Curtius} ; Se, 586
{CuHiua, Haage). — Propr. de la
triméthyl-2-4-i>-benzvihydrazone,Se,
580 (Curtius, Hmrding). — Synlh.
par cond. de C*I1* avec CO et'HCl
en prés, de AlBH et de Cu'CP, Se,
623 [Bé formats ky),— Oxyd. par le
persulfate en prés, de mélhyl- ou
d'élhylamine, Se, 628 iPitkard,
Carter) . — Cond. avec Tac. phényl-
propiohique, SS, 639 (Scbmidt). —
Fluorénylhydrazone, «6,698 (D/o/s).
— Comb. avec la mésilylliyaroxvl-
amine, Se, 712 {Bambcrgor, hi-
sing). — Form. « part, de Toroxy-
line, se, 73i UWavIor, Dver). —
Comb. avec la />-tofuidine, l'aniline,
la xylidine, les p-chlor-, p-nilro- et
;i-bit)manilincs, la p-anisiaino, la p-
phénélidine, raminotbiazol,Se, 76^,
764 {Hantzsch, Scbwab). — Odeur,
se, 770 \Bupe, Majowski), —
Réd. do lazlne, ««, 773. — Comb.
avec la dipseudocumyl- «t la diben-
zyihydrazme dissym., Se, 773 (Cur-
tws, Franzrn) . — Comb. avec l'o-
chlorobonzylhydrazine ; dér. aaUylé,
nitrosé, Se, 774 {Curtius, Pauli).
— Comb. avec racélylphénylhydra-
zidine, Se, 77,') ( bamhorger, Grob) .
— Propr. de la mélhyl-2-semicarba-
zone, se, 783 {Yuung^ Cites). —
Cond. avrc les diphényl-i.4- et 2.4-
Ihiosemicarbazides, Se, 789, 791
iBuscb^ Uotzmann). — Oxyd. de
l'hydrazone, Se, 793 \Bamherger,
Grob). — Comb. avec famino-l-
camphène. Se, 801 [Forsti^n. —
Comb. avec div. albumin., SS, 822
1274
TABLE DES MATIÉBES.
- {Nilro^') (Ac). Pouv. rot. de
Télher iso-amyl. act., S5, 550
(Guve). — Form. par nilrat. de
Tac. et des éihers benzoïques, 9S,
717 {HoUemaan) . — Propr. de To-
nitranilide, S6, 17 (A>7n) .— Propr.
de Télbor p-oilrophAnylique : transf.
en beozoxazol. *•, 17 iKym). —
Vit. do sapon. de Tainidc» «6, 882
iRoid). — Red. du nilrile, ««, 771
IRupe, Mojowski). — Form. par
déc. du chlorure, S6, 969 [Wcdc-
kiod). — Form. à part, du /)-nilro-
phénylcyclobexaue, <6, 980 (A'otir-
HêDOf). — Form. par nilrat. du di-
benzoylfurfùrane^SB, 1108 (Pbcips,
Haie).
' {NJtro-2.4.6') (Tri-) (Ac). Propr.,
des sels d*a-naphtylamine et de a
et ^tbylnaphtylamines, S6, 629
iSudborough) .
- [NUro-2A'0X\-) (Di-) (Ac). Form.
il part, de lac mëUipurpuriquc.
Propr., sels, «6, 121 iBorsche).
- iOxy-S-) (Ac). (S/ii. Salicylique].
A et. do la tannase sur les élbers
mélhyl. et pbényl., tSS, 271 [Potte-
vin). — Cond. de Tétber mélbyl.
avec Tioduro de Mg-méthyle, 2^,
276 [Béhal, Somme Jol). — Recher-
che dans la bière et le vin, ItS, 475
iPcreira). — Réact. color. avec
FeCl», «5, 531 (Simon). — Dédou-
blement de Téther amyl. dans l'or-
ganisme, SS, 559 (Chanoz^Doyon).
— Recherche dans les vins, !K,
726 [Fcrrcira da SU va). — Prép.
et propr. du sel de Di cristall., 1K»,
795 {Thibault), — Appl. du sel de
Na au dos. des aie. ierpéniques et
de leurs éihers, ItS, 885, 956 [Cha-
rabot, Ilébcri) ; «5, 995, 1058
[Darzcns, Armingcat). — Cond. du
dér. sodé de Téther élhyl. avec les
éihers gras x-bromés, «6, 13 (^z-
scboff). — Transf. en ac pulfoné,
nitrés et nitrosulfonés, !2ll , 74
iHirsrb). — Ck)pul. avec le diazo-
et le p-nilrodiazobcnz'»nc, 26, 224
{HfiWitty Fox). — Form. par acl.
des ferments du foie sur laid. €or-
rcsp., 96, 317 [Jakoby), — Act.
sur la peptase d'orge, 9tt, 333
(Woiss) , — Vit. de sapon. de
Tamide, 26, 382 iBeid). — Acl. de
de SO^H', des aminés et phénols
sur le salol. Dér. sulfoné, éthers
phénol., anilides. Disalicylamide,
«6, 404, 405 (Cobn). — Act. de
AzH\ de Taniline, de la benzani-
lide et do Tacétanilide sur les éthers.
Form. d*amide et de nitrile, 26,
416 (Tingio). — Prép. et propr. du
dér. aminé-é. Hydrazo., diazo.; dér.
formylé, benzylidénique, salicylidéni-
que, t)uiizuiic-sulfone ; ureo, allyl- et
phénylthiocartMiiiates ; ooob. ««te
la résorcine, les ac. pymviquc ei
chloracétique, COQ' et rétber tbW-
rocarbonique, 26, 417, 418 \ZakM .
— Dos. des sels et du sald par l,
26, 442 (Mesainger). — Tribolas..
26, 458 {TsobugaciT), — T^tia. de
vap. des sol. alcool., beozén., aq..
aceloniquet, 26, 514 (Liueoia . —
Act. du dér. p-aminé sur la cbtoro-
S-flavinduline et le cbloro-S-pbéayW
isonaphtophénazonîam , 26 . ^
{Kobrnafinii, Hihy). — Sel de H g.
26. 608 (Hupp). — Prép. et propr
de la monosalicyline de la gijc^riac.
26. 675 {Taeubei^. — Comb. d« p-
diazo. avec J'étber cyanaoél., 26.
708 (Lax). — Form. k part- de Tac
m-sulfo-o-phtalique, 26, 9ii {Mo^cà-
oci^, — * Tribol. du sel de co-
eaîne, 26, 929 (Tzcbugmofi), —
Act. de l'éther éthyl. sur Koxalst*
d'éthyle, 26, 1069 (TiogJe, B%n^-
— iOxyS-) (Ac). Cond. de réUtr
éthyl. sodé avec les ac. gras a^bro-
raés, 26, 18 (BiscbotTh — Act.de
Taniline sur Téther méthyl. ; fonn.
d'anilide, 26, 415 {Tingl^) . -
Tribolum., 26, 458, 456 {Tsehn-
ri%
{ChlorO'2^ (Acl. Prép. ©l propr.
du dér. acétylé. Acl. de <0*<J':
dér. dichloré«2.6, éthers. 26. 64»
(Massara^ Bcrtozxi)*
— lOxv-4-) (Ac). Cond, do léthtf
méthyl. avec fiodure de Mfc-A^~
thyle, 2S, 276 (Bcbêl, Tifti^têu
— Cond. de Tétber éthyU sodé avec
les éthers gras o-bromés, 26« 1^
(Biseboff), — Pointa de ftia. dw
éthers méthyl., élhyl., propyL, 2i»
287 (Salzcr), — Act. de raniliae
sur iVther méthyl., 26, 415 Tia-
gle). — Tribolum., 26, 458 Tsrà»-
gaeff). — Déterm. cryoac 66»
610 iAuwers),
— iPhénox^'i) (Ac). Vit. d« sapon.
de ramide, 26, S82 [BcidK
— (P/ioiiojfi-4-) (Ac). Form. dad*r.
nitré-2' par oxyd. de Toxyde dep-
crésyle-o-nitrophényle. Propr., •av.
26, 403 {Cook, Iltliyer).
— {SuIfamino^H') (Ac), Prep. de î*
diphénylcarbazide à pari, de la Mi
charine. Propr., 2St 6U5 iDeAmr-
nel).
— (Suifo-a-) (Ac). Cond. de ïvài.
avec le beozc^no, le toluène, le ^
xylène, le pscudocuméne« le is^-
tylène on prés, de AlO*. 26, t^i
[Krannich). — Prép. des cbk»nirr<
sym. et dissv-m. au mnyao de I*
saccharine. Pi*opr., amide ; act. »^
Turée, 26, 3»9 {Holmt^t.
(i\itnh4'\ iAc.i. Pr«»p. cl proft.
des chlorures sym. et dU»)» ;
TABLE DES MATIÉHES.
1275
ad. sur l'urée; amide, !M, ti90
iHolmem. — Constil. et prép. des
chlorures, !M, 410 {Noms). —
Chlorures sym. et dissym. ; anh. ;
élhers, anilide, aoile. Cond. avec
C*H*, !M, 413, 41S {HendersoD).
— (TiÈio-) (Ac). ('Orob. avec les Iso-
sulfocyanates et le suirocyanacétyl-
uréthane, SU, 679, 680 [Whcchr,
Morriam). — Comb. avec l'isosul-
focyanate d'amyle, le sulfocyanacé-
laie d'êihyle, le sulfocyaoacélylben-
zène et ses bomol., 1t%, 1097, 1098
{Whoohr^ Johnsou},
BkmzoÏqub (Ald.|. Coud, avec les m-
aminophi'nols Az-dialcoylés , SS,
il8 {Grimaux). — Prod. de cond.
avec la inélhylnonylcétone, !K, 2C'J
{Carcttr), — Dens., visco»., tens.
Buperf., S5, 521 [Jcancard^ Satie).
— Cond. avec rocoanlbylidène sodé,
9S, 010 (Moureu^ Desmots). —
Cond. avec les ac. benzo- et tolu-
cyclopf'nlanonc - azine - carboniques,
«S, 7x0, 7il {Thomas-Mamort,
Stricbel). — Comb. avec les éry-
ilmtes J, 7 et r, «5, 741, 744 {Ma-
mienne^ Bertrand). — Act. sur les
dér. sodés du menthol et des men-
thones, !tS, 988 \ Martine). —
Form. par oxyd. de l'éthyl benzène
par MnO*. SS, 1064 iFournior). —
Aiilo-oxydat. ; form. de peroxyde,
^•, i [Eogier, Wcisberg). —
Korro. de Toxiroe et de son élher
benzyl. par cond de Télher furmi-
que avec la benzylbydroxylamine.
Dér. p-chloré, p-bromé, p-nitroben-
zoylé, «6, 51 iSchroetor, Pesch-
kea\. — Act. du peroxy«le de ben-
zoyle : oxydât, à l'air, !M, 98 iBao-
yrr^ ViHigen. - Cond. avec l'in-
dène. !M, ÎW {Thicle). — Cond.
avec Tac. pyruvique et la p-amino-
ÎuiDoléine, %%, 180 {Willgcrodt,
ablonski). — Cond. avec Tac. py-
ruvique et rana-aminoquiooléine ,
S«, IHI {Willgerodt, Ncander). —
Comb. avec le [i-naphlol, SU, 204
iliewitt^ Turncn. — Cond. avec
IVphcoyI-x'-méthyipyridine, S6, 215
{D<*hnel). — Comb. avec l'o-xy-
lyléne-hydrazine, SU, 217 (Fraen-
kei). — Prép., propr. et oxyd. de
la thiosomicarbazono et des phé-
nvl4 et méthyl-Mliioscmicarbazones,
M, 220, 226 \Youag, Eyre). —
Act. sur le nitrilo df la prop^li-
dène-phénylhydrazine, SU. 2^ (£>i7/-
««•r, Senf). — Comb. avec la létra-
tiydro-^napbty lamine, €41,2^ iPopt?,
jiarroy). — Cond. avec Tac. phé-
nylacélique, ses dcr. p-nilrc et p-
chloré et le cyanure de p^hloroben-
zylc,«ll, 294, 290 ^WaitlicrAV^tj-
licb). — Form. de rald.,de l'oxime,
du dér. benzoyié et de Tanb. par
oxyd. de la ^benzylhydroxylamine.
Propr., SU, 416 {Itambcrgor, Szo-
iayski), — Comb. avec Tac. o-amino-
salicylique, eH, 418 {Zabit). >-
Comb. avec le nitro^-métbyltrétol,
«•,422 (Waltbor, C/c/ocu).— Cond.
avec l'anh. palmitiquo, SU, 467
(Krafft, fioainv}. — Cond. avec
lélher acétique, eH, 472 {MichaeJ).
— Form. par déc. du nilrosile de
stilbène, 241, 479 {Scbmidt). —
Cond. avec les bis-iso-amylaniline
et bisiso-tmyl-p-loluidine, 241, 486
iEibncr, Puruckcrj. — Cond. avec
le ^-naphtol et AzH' ou l'aniline,
%%, 554 {Bctti}. — Act. sur l'iso-
campbro et le dibydro-isocamphre,
SU, 560 (Bimini). — Comb. avec
les hydrazides Klutarique et subé-
riquo,«a, 567 (CiiW/MS, Clemm).—
Comb. avec l'hydrazide tricarbally-
lique, Z%, 570 {Curtius, liesse). —
Comb. avec Thydrazide sébacique,
ea, 571 {SteUcr). — Red. de
Tazine. Transf. eu bonzylhydrazone.
Comb. avec la dimétbylbenzalda-
zine, ee, 583 iCurtius) ; 26, 586
(Curtiuin J/aage,. — Propr. de la
trimélhyl-2-4-i>-benzylhydrazone, 26,
580 (Curtius, IhrJing). — Synlh.
par cond. de C*H* avec CO et^HCl
en prés, de AlBr* et de Gu'Cl% 26,
623 {Béformatsky).— Oxyd. par le
persulfale en pré*, de mélhyl- ou
d'étbylamine, 26, 628 {Pickard,
Carter) . — Cond. avec Tac. phényl-
propionique, 26, 639 {Scbmidt). —
Fluorénylhydrazone,26,698(Dio/.s).
— Comb. avec la mésilylhyUi'oxvl-
amlne, 26, 712 {Ba m berger^ hi-
sing). — Form. à part, do l'oroxy-
line, 26, ISï (Nav/or, Dvcn, —
Comb. avec la p-lofuidine, Tanilioe,
la xylidine, les p-chlor-, /^-nitro- et
/>-bromaniline8, la p-enisidine, la p-
Çbénélidine, ramiiiothiBzol,26, 763,
64 {Hantiscb^ Schwab). — Odeur,
26, 770 iBupe, Majowski), —
«éd. de l'azine, 26. 773. — Comb.
avec la dipseudocumyl- et la diben-
zyihydrazme dissym., 26, 773 (Cur-
tiUH, Franien). — Comb. avec l'o-
cblorobonzylhydrazine ; dér. actHylé,
nitrosé, 26, 774 {(Jurtius, Puuii).
— Comb. avec Tacétylpliénylhydra-
zidine, 26,770 \Uamberger^ Grob).
— Propr. de la mélhyl-2-semicarba-
zone, 26, 783 ( Young, Gates) . —
Cond. avec les diphényl.1.4- et 2.4-
thiosemicarbazides, 26, 789, 791
[Busch^ HoUmann). — Oxyd. de
Thydrazone, 26, 793 diamberger^
Grob). — Comb. avec l'amino-l-
cainpbène, 26, 80l [ForaU*r\. —
Comb. avec div. albumin., 26, 822
127G
TABLE DES MATIEHES.
{Schwarii). — Cond. avec Tac. bar^
biturique, S6, 921 (Conrad, Beim-
bacti). — Acl. de l'élhylale d'Aï,
««, 967 [Tistcbenko). — Corob.
avec Tacétal Ô-aroinopropioiiique,
«6. 976 iWohf). — Foim. de Tald.
et de Toxime par oxyd. de la bea-
zvlamine ; oxyd. de l'oxiroe, S6,
991 (Bambcrgcr^ Schoutz). — Act.
des vap. nilrcuses sur Thydrazone,
««, 99îj [Bamborger, Grob). — Aci.
de la lum. sar les sol. alcool., S6,
1025 {CiamiciaD^ Silbcrj, — Cond.
avec le diniti*o-2.4-tolucne, 9M,
1088 (Tbielc, Eseahs). -- Comb.
avec les «- et ^-méthylanhydracé-
tonebcnziles et les homni. super.,
en, 1115, 1116 (JapD.Mcldrum). —
Form. à part, de la benzylazide ;
réduct. do Tazine: form. de benzyl-
hydrazone, eH, 1166 {Curtius, Da^
rapsky). — Cond. avec la propio-
pbénone, «6, 1166 (Aboli).
- {AmiDO-2') (Aid.). Cond. avec Tac.
barbiturique, S6, 921 [Conrad,
BeJnbacb). — Diazot., transf. en
dér. dibromé. Prép., oxime, india-
zonoximc, dlazo-aminé, p-nitrohy-
drazone, !Sa, 925, 926 {Bambcrger,
Dcmutb) .
- {Amino-2'dibromoS.6') (Aid.).
Prép. à part, de l'ald. o-diazoben-
zoïque. Propr., oxime, indiazono-
xime, p-nilrohydrazone, S6, 925
{Bambcrger, Do mut b).
- {Amino'2'dichlorO'S.e-) (Aid.).
Prèp. et propr., oxime, y>-nili'ohy-
drazone, indiazonoxime, 1B6, 924
{Bambcrger, Demuib).
- {AxidO'2') (Aid.). Prép. à part, de
rindiazonoxime. Propr., oxime, by-
drazone, p-nitrohydrazonc, ^%, 926.
— Synth, à part, de .^z'H et de
Tald. o^iazobenzoïaue , S6 , 992
{Bambergcr, Demuth).
- {Azido-4-) (Aid.). Propr., odeur,
«6, 771 (Bupe, Majewski),
- (AzidO'S'dibromo^.û-) (Aid.). Prép.
à part, de rindiazonoxime, propr.,
SU, 925 {Bambcrger).
- {AzidO'S-diehJoro-3.5'){X\d.).Prép.
à part, de rindiazonoxime. Propr.,
p-nitroliydrazone, Stt, 925 {Bam-
bcrger, Demutb).
- (BromO'4'] (Aid.). Form. de l'éthor
/>-bromobenzylique de Toxime par
cond. des élliers Torm. avec la »-
bromobenzyihydroxylamine, Stt, ol
{Schroctor, Peschkes).
- iChloro-S') (Aid.). Comb. avec la
p-chloraniline, <6. 763 (Hantxscb,
Scbwab). — Propr. de Tazine, réd.,
S6, lis, — Comb. avec l'o-chloro-
b^nzylliydrazine. Propr., dér. nl-
troHé. S6, 774 [Curtitts, Pnuli).
— (Cii/oro-4-) (Aid.). Comb. avec U
p-chloraniline, ee, 76â {HanUach,
Scbwab),
— iCbloro-St.ô-nîtroS-) \Di-) (AUL .
Bod., ee, 924 (Bamherg^r, />^
mutb) .
— (CvaDo-4-) (Aid.). Prép. à parl,da
sulfure de o-cvanobenzyle. Propr.,
cond. avec ranu. acétique, <•« 112
{Mose^).
— {Diazo-St-) (Aid.). Perbromure, t«,
925. — Cond. avec Az»H, t%, 9W
{Bambcrger, Dcmutb).
— {Métboxy-2''^ (Aid.). Cond avec
CHGP et KOH, %B, K iUbédrfu-
Prép. par méthylal. do l'ald. ftalie>-
lique. Propr., act. de CAzK, tê,
760 {Irvinc).
— {Afcthoxy-4') (Aid.). [Sya, Anwi-
que]. Dens., viscos., teot. superf..
SS, 521 {Jeancard, Saiio. — Coal
avec l'iodure de Mg-élbylc, €S, ^'
{BébaL Ti/tcneau\. — Fonn. i
part, de Tald. />-mélboxyhydralïw-
pique, US, 449 (BougauJi). — Coai.
avec le S-naphtol, %H, 171 iBfjgow .
— ConcL avec Tac. phénylacoiiqu»,
ses dér.p-nitré, p-chloré, IcryaijBW
de />-nitrobenzyle; cond. du ikr
brome avec Tac. pbénylacé tique h
le cyanure de /7-nitroben£yl«, f9.
295, 298 (Waitber, WrUlicb . -
(^ond. avec le niôtbylcêlol, <#, 4il
{Walther^ Clcmcw. — Comb, aiie*
la mésitylhydroxylamine, <0, 71i
{Bambcrger, Bising^ . — Comb. ive».
la />-anisidino, eH, 762 {HnnUsch.
Schwab), — Propr. el oxyd. de
Toxime; form. d'aJd. Form. d*h>-
drazone nitrée par cood. de ranU;!-
nitromrthano avec le diazobenzifie,
sa, 991 {Bambcrger, Srheutz . —
Act. de la lum. ?ur les sol. alcool.,
sa, 1020 [Ciamician, Sitbtt\.
— {Métbylamino'A') (Di- (Aid- .
Cond. avec l'indanone, <#, J61
{Feucr8tcia). — Comb. color. am
Ie.s pigments urinaires. 1HI, KIT
(Procscbcr). — Coud, avrc Vac-
barbilurique, SS, 92S ^ UWa-
schciik).
— (NitrO'S'} (Aid.). Cond. axtc h
cyanure de pHiilrobenz}le, S€, £<»
(WaUher, Wctziicb). ^ Cooil.
avec le mélhyKélol, «6. 421 v^V'iJ-
tber, Ci<*mrtt I.— Cond. avec Ti-pi-
colinc, !M, 494 (Fcisi). — Cooi
avet^. Tac. barbiturique* <•» SiM
{Conrad, Bcinbacb). — Kèd.. tê*
926 {Bambcrger, Demuib). — C4iBd.
avec le dinitn>-2.4-loluèno,SS. 100
{Tbiûlc* Escahft).
~ {NitroS') (Aid.). Prép. paroqd
électrol. du /n-nilrotoluès»». <S, oKI
(Picrron), — Cond. avec k c>««»rf
TABLE DES MATIÈRES.
1277
de p-clUorobenzyle, 1HI, 296 {Wal-
tber^ Wctxlirh). — Comb. avec
l'a-picoline, ««, 494 (Feist). —
— Comb. avec la mésilylbydroxyl-
aminé, !M, 713 {Bamb(*rgcr, Hh-
HJDg). — Comb. avec la p-chlorani-
Une, SU, 768 (Hanizsch^ Schwab).
— MélbyI-2-8emicai'bazoDe, 1HI, 784
( Youog, Oatos) . — Oxyd. de l'oxime,
S6, 9tl2 {Bambergcr, ScbeuU). —
Cond. avec le dinitro-2.4-toluène,
«•, 1088 {Tbicio, Escales). —
Comb. avec lea bromo-2, 5- et 6-1»-
xylidines-1.3.4, «•, 1095 (NoeHÎDg,
Braun, Tbeamar).
- (Niir<h4') (Aid.). Cond. avec le
cyanare de />-chlorobenzyIe, SU,
296 (Wfl/l/ier, Wolzlieh). --Comb.
avec le mélhylcètol. «6, 421 ( Wal-
tbci\ Clvmcnj. — (Jond. avec l'a-
picoline, !8<l, 494 {Feist). — Comb.
avec la roésitylbydroxylamine, S6,
713 (Bambcrger, liising). — Comb.
avec la p-chloraniline, €6, 762
{Hantzseb^ Scbwab). — Oxyd. de
roxime par le réact. do Caro, 96,
91)2 {Bambcrgor^ Scheutz). — Cond.
avec le diQitro-2.4-loIuène, 96, 1088
(Tbiclo^ EscmIos).
- (Oxv-i-)(Ald.). [S/n.irALicYLiQUEl.
Cond. avec Tac. cyanacél., S5, 59o
[Fiquct), — Cond. avec la couma-
ranooc,S6, 76 (Stoeimcr, Bariscb).
— Cond. du dér. bromé-5 avec
lanh. acétique, 96, 101 [SimoniSt
WoDZfl). — Ppod. do cond. avec le
p-naphlol, 96, 171 [Bogow). —
Cond. avec l'a-méthyl-a'-phényl-
pyndino, 96, 215 {Dcbûci). —
Cond. avec ro-xylylène-hydrazine,
96, 217 (Fraonkcl). — Cond. avec
rindanone, 96, 261 {Feue r s te in). —
Cond. avec Tac. pbénylacétique et
«es dér. /Hîhloré et/>-nitré, 96, 295,
296 {Waltbcr, Wr/z7/c/ï).— Transf.
•n ac. par les ferment, du foie, 96,
317 (Jakoby). — Comb. avec Tac.
o-aminosalicylique, 96, 418 (Zahû).
— Comb. avtc le métbylcctol, 96,
421 {Walthor, Clemcn). — Comb.
avec Thydrazide tricarballylique, 96,
570 {Curtius, Hcsse). — Benzylhy-
drazone, 96, 583 {Curtius). —
p-Mélhylbenzylhydrazone, 96, 586
{Cortius^ Sprcnger). — Act. des
S«rsalfates en prés, de AzH*, 96,
28 {Pickard^ Carter). — Comb.
avec Tacélopipérone, 96, 644 {Feu-
ersteJo, Heimana). — Méthylat.
par CHM en prés, de Ag'O, 96,
760 (Irviné). — Comb. avec l'ani-
line, les p- et o-bromanilines, To-
toluidine et To-phénétidine, 96, 763,
764 {Hantzsch, Scbwab). — Cond.
avec la benzylidéne-aniline et CAzK,
96, 766 {Schwab). — Comb. avec
div. albumin., 96, 822 {Schwai-tz).
— Cond. avec Tac. barbiturique,
96, 922 {Conrad, Weia.icbeûk).
— {OxyS-) (Aid.). Cond. avec Tac.
cyanacét., 9S, 594 (Fiquoi). —
Cond. avec l'indanone, 96, 261
{Fcuerstein).
— (OX/.4-) (Aid.). Cond. avec Tac.
cyanacét., 9S, 594 {Fiquet). —
Cond. avec la roumaranono, 96,
76 {Sloermcr, Bartsch). — Oxyd.
de l'hydrazone par Tair; form.
d'osazone, 96, 205 [Biltz). — Cond.
avec rindanone, 96, ^iiFcucrstcin).
— Propr. de la p-méthylbenzylhy-
drazonc, 96, 586 (Curtius , Hardi ng) .
— Oxyd. par les porsulfates en prés,
de AzH", 96, 628 {Pickard, Carter).
— Cond. avec Tac. barbiturique,
96, 922 iWeinscbcnk),
— (O.Tv-^-à-4.) (Tri-) (Aid.). Form.
par cond. du fulminate de Hg avec
le pyrogallol. Propr., oxime, 96,
914 {Scboll, Bertsch).
— {Oxy'i-4'5') {Tri') (Aid.). Cond.
avec Tétber maloniquc, 96, 265
{Pechmann, Krafft).
— (Ox^-â-4-6-) {Tri') (Aid.). Form.
f>ar cond. du fulminate de Hg avec
a phloroglucine; propr., oxime, 96,
914 (Scboll, Bertsch).
Bbnzoïque (Ethylidène-bis-amino-)
(Ac). Prép. et propr. de l'éther
dimétbyl., 96, 1153 (Mehnor).
Benzoïque (Hydro-) (Ac). Voy. Cyclo-
HEXANK-, CVCLOHEXÈNK-, CyCLOHE-
xadiènb-carbomqub.
Benzoïque (1sopropyl-4-) (Ac).
Form. par oxyd. du cymène, 96,
269 {Fromin).
Benzoïque (Méthyl-2-4-) (Di-) (Aid.).
Prép. et propr., azine, 96, 585
{Curtius, Haagor),
Benzoïque (Métmyl-2-4-5-) (Tri-)
(Aid.). Réd. de Tazine; propr. de
la trimétbyl-2*4-5-benzylbydrazone,
96, 586. {Curtius, Harding).
BENzoNiTRiLE.Comb. mol.avec les sels
tricbloropyridinecbromiques , 96 ,
139 {Pfeiffer). — Prép. et propr.
de Tbexacblorure, 96, 144. — Act.
de NaOH alcool, et de la quinoléine,
96, 207 {Matthcws). — Electrol.
des sol. de AzO'Ag, 96, 523 {Kah-
lenberg). — Form. dans Tact, du
chlorure de benzoyle sur Tacétamide
sodée, 96, 573 (Titbcrlev). — Const.
diélectr.,96, 600 {Schlundt). —
Cbal. latente de vapor., 96, 604
{Kablenbcrg). — Odeur, 96, 770
{Bupe, Majewski),
BsNzopHÉNONE.Cond. des dér. p-alcoyl-
aminés avec les aminés second, et
tert. arom., 9S, 605 {Lemouit). —
Prép. et propr. de la diéthylsulfone
1278
TABLE DES MATIÈRES.
et du diélhylmercaptal, 26, 73
[Posoor), — Act. de la lum. sur
les sol. alcool., form. de pinacone,
se, 206, 1025 (Ciamioian, SUber).
— Comb. mol. avec AlBr', S6, 360
(Kohicr), — Transf. de roiime
en benzhydryiamine, SU, r)56 {Kodo-
vahf). — Cond. de l'oxiine avec
CH* et AlCl*. S«, 703 {Gnebo),
— [MélbylaminO'A'] (Di-). Form.
à part, de l'ac. diméthylamino-
benzoylbenzoïque, S6, 170 {H aller ^
Guyot).
-^MéibyldiaminoA-K'') {Tetra-). Cond.
avec Ta-dinaphtylbenzidine, S6,
297 (JVerx, Strasner). — Form. à
part, do la benzène-azo-p-tolylleu-
cauramine, S6, 498 [Moeblau ^
HeiDzc). — Form. à part, de la
bonzèoe - azo - ^ - naphthylleucaura-
mine, S6, 1168 {Moohiau, Graclcri),
BEmopnKfiOSE'SVLVosK(THramétbyl-
diamîDo ). Form. à part de la nitro-
sodimetbylanilineet.de la tétramé-
thyldiaminodiphéoylméthaoesuirone,
se, 91 (Sacbs).
Benzophénonb-sulfoniquk • S (Ac.) .
Prép. par cond. de C*H*avec Tanh.
o-8ulfobenzoïquc et AlCl*. Propr.,
sels. Prép. des homol. mélhyll-4,
diméthylé-2-4, triméthyIé-2-3-4, et
2-4-6 à part, des loiuAnc, xylène,
mésitylène et pseudocumène. Propr.,
sels, se, 174, 175 {Kraonich).
Benzopinacone. Form. par act. de
la lum. sur les sol. alcool, de ben-
zophénone, Se, 200 [Ciamieian,
Silbor),
Benzopurpurine 1 B. Sel de Na
hydraté, S5, 867 (Sislcy).
Benzoxazol. Voy. Oxazol (Bbnz-).
Benzotlacétique (Ether). Cond. avec
la dichloro-2-3.a-nai>htoquinon«', Se,
102 (Michel), — Cond. de Tôther
méthyl. avec la dicbloro-2-3-p-
naphtoquinone, Se, 105 (Hiraeb).
— Cond. avec la y-bromindone, Se,
108 {Scblofsborg). — Cond. avec
la résorcine, Se, 211 (Pochmann,
Hanke). — Form. par déc. de Téthcr
benzy 1 idèno-bi8*benzoylacét iq ué , se,
213 [Vorlaender). — Théorie de
la form. par cond. des éthers ben-
zoîque et acétique, Se, 677 (/?c/br-
matsky). — Cond. avec le diazo-
benzène et ses dér. o-, m- et p-
nitrés, Se, 993 (Bamborger,
Schmidt) .
— (Benztlidbne-) (Ether). Form.
Ear déc. de Téthcr benzylidène-bis-
enzoylacétique, Se, 212 (VorlacD-
dor).
— (Bbnzylidkne-bis-) (Ether). Act. de
Téthylate de Na, Se, 212 ( Vorlacn-
der).
BENsoYLACéroNB. Vuv. AcirropfliaMK
(ACKTYL-).
BbNZOTLAMI.no- ACKTIQUC <Ac.) \SfB
Hippurique). Synlb. dans Vorfm
du chien A part, de l'ac. braaai^
et du glycocôUe, SIS, 7ll3 iAÊteim^.
/?i7)fiii<). — Neutral. en pr^. de*T
indic. et do phosphates. SS« 9?>
(BortbeloC). — InH. »up la «ohifcîl.
des osazonos, Se, 90 [Neubrrg^ —
Dos. dans Turine, S#, 912 Oatf*
— Act. de Tenzyma du foie. St.
318 iJakoby). — Acl. de KMnO*
se, fel, 1129 {Jollc»\ . — Tril^olu» .
se, 468 (TschugacfT), — Form. M
réiher éthyl. dan^ Tact, do l'eliet
bromaoét. sur la benzamidn ead*e
se, 573 [Tiihorloy). — (-Tial. *
neutra). par KOH el AzH* ak«oL.
se, 874 [Tanatar, Klimfoko, -
Act. de div. réacl., S«, ^&è SeJu^r-
niog).
Benzovlabpartiquk (Ac.k Oxyd. }m
KMnO*, se, 1129 (JolJos).
Bbnzotlbenzoïque ^.\c.). Tauloai. eu
chlorure. Prép., propr., eibcf»
méthyl., anh. ; act. de l'isocytiiai'
de phényle, SS. 49. — AcL ik
CH'ONa sur Tanh. mixt« acHHfOr.
S5, 55 [Ha lier, Guyot .
— (Cbhr(hS-5-S') (7>i-) (Ae. -Pr»p
au moyen do Tanh. trichlorophtj-
lique. Propr., SS, 1105 iOracbr
Rostowzcw),
BenzoylbenzoÏqub ( Beozyhtbri-
amino-4') (Ac). Prép. par cond. d'
réthylbenzylaniline avec Panh pht>~
lique. Propr., éther mt^thyL, S5.
173 {H aller, Guyot) .
Benzoylbenzoïque (EthvUmim*^
(Ac). Réduct-, S5, tos {Hêlhf^
Guyot). »
— — {/)/-) (Ac). Prép.. prupr.;
comb. mol. avec les aie. méliiyl
et éthyl.; sels, éther mélbyl.. tS.
172. — Béd., SS, 202. — lier. »-
hydroxylé, SS, 204 \H aller, Ga\**t
— Prép. du dér. téirachlorè-3-4-ô^
f»ar cond. de la diéthylaniltne a^^
'anh. tétrachlorophtalique. Pioor.,
éther, anh. mixte acétique, SS.
601. — Prép. du dér. /n-bydroxjM
au moyen de Tanh. têtracblorO'
phtaliquo et du m-diéthylamiiioph^
nol. Propr.; cond. avec )« m-àimt'
thylaminopbénol, SS, 747 [Huliff-
IJmbgrovc),
— [Méthylamino^) (O/-) • A4».» Prép
par cond. de Tanh. phtaliqae a^w
la diméthylaniline. Propr., comb.
mol. avec les alcools, «rU, ^tbff
méthyl., act. de la phéayihydrt-
zine, SS, 168. ~ Ael. des rédact.
SS, fiOd, 201. — Dér. JD-bydroxylt.
SS, 203. ~ TraoaT. en diméftyl-
TABLE DES MATIERES.
1279
amino-anlhraquinoDo, !K, 208. —
Cond. avec la diméthylaniline, SS,
dl6. — Nilrat.; dér. m-nitré, élher
mélbyl. Cond. avec la diméihyl-
ct la œ-acélamiDodiméthylaniliDe,
«S^ 611, 515 [llaller, Guvot). —
Prép. et propr. du dcr. Irichforé-S-G ;
éthers, amiao, chlorure, hydrazide,
anb.» anb. mixlo acélique, IBS. nOO
{SéreriD). — Prép. du dér. télra-
chloré H-4'bJ\ par cond. de la dimé-
thylaniline avec Tinb. tétrachloro-
phtalique. Propr., élbers. anh. mixte
acétique, SS, 599. ~ Dér. nilrosé,
nitré, !tS, 745 [HaHcr, Umbgrove),
B«N*OYL-Y-BUTYRIQUB (p-PHKNYL-)
(Ac.)> Synth, par cond. de Tacéto-
Çhénone avec Téther cinnamique.
ropr., oxime, secnicarba/one, S6,
538 (Stobbe).
Bbnzotlcaprotlmkthane. Voy, Acé-
TOPHKNONB (CaPROTL-).
Bbnzotlgarbinol (A/iiiiio-4-). Prép.
à part, de la p-aroino-a-chloracè-
tophénone. Propr., dér. acétylés,
benzoyié, sels, hydrazone, S6, 632
KuDckelJ),
Bekzotlctanacétique (Ether). Prép.
et propr. des dér. o-, /n-etp-nttrés,
%mf (595 {AfavroJtinDis).
Benzoyldithiogarbamique (Ac). Prép.
des éthers roéthyl., élhyl. et benzyl.
à part, de Tac. dithiobenzoîque et
des isosulfocyan. Propr., dér. du
sulfocyanacélyluréthane, SU, 679,
680 {Wbeeier, Aferrian). ~ Ethers
méthyl.. étbyl., propyl., benzyl.,
iso-amyl., p-nilro- et ^bromoben-
zyl., m-xylvl., et mésitylique, S6,
1097, 1098 [Whcehr, Johnson).
Bknzoyle (Chlorure). Act. sur le
trioxyméthylène, SS, 975 {Dcscudc),
— Act. sur Toenanthylidène et le
phénylacétylène sodés, to, 906
[Moureu^ Delange). — Act. de H'0%
du peroxyde de benzoyie, 26, 97
{Baoyer^ Villiger). — Comb. mol.
avec AlBr*, ««, 860 [Kohlcr), —
Act. sur la bromo-2-butylamine sec.,
S6, 385 {Strauss). — Act. sur le
sel d'Ag de Téther phényliminothio-
carboDÎquc, S6, 392 {Wbeohr,
Auatin), — Comb. avec la cyan-
aniline, 26,419 {Meves). — Act. sur
Tacétanide et la beozamide sodées,
«6, 573, 574 (Tiiherlev). — Act.
sur l'iodozincate d*éthylé, 26, 1U68
(Micbael), — Act. sur Téther en
prés, de FeCP,«6, 1068 (Wedekiad,
Mêcuaaermann), — Cond. avec
ranihracéne, 26, 1088 (Lippmann,
Pollak). — Act. sur le camphre
«odé, 26, 1117 (Forster),
^ (Cyanure). Form. de l'oxime i part.
dup-diélhylaminophényl-pi-cyanazo-
méthine-pbényle, 26, 90 {Sachs),
— Cond. avec la dichloro-2-3.ac-
naphtoquinone, 26, 102 (Michel).
— Form. à part, de réthyIamino-|&-
diphényl-Y*cyanazométhine. Hydra-
zone, 26, 484, 485 {Sachs, Bry).
(Anilo) . Voy. Phéntl-y-cyanazo-
MÉTNINE (Dl-).
— (Peroxyde). Prép. par act. de H"0"
sur le chlorure de benzoyle. Propr.,
sels, act. sur l'aniline, le chlorure
de benzoyle, l'anh. acétique, Tindigo,
26, 97, 98 {Baeyer, ViïUger). —
Constit., 26, 898 ( VorlaendeA,
Benzoyle (TV/^j^ -2-) (Chlorure). Prép.,
propr., act. sur l'éther cyanacét.
sodé, 25, 695 {Mavrcjannis).
— {NHroS') (Chlorure). Act. sur
rélher cyanacét. sodé, 26, 695
{Mavrojannis).
— {Nitro-4-) (Chlorure). Act. sur
Péther cyanacét. sodé, 2S, 695
[Mavrojanais). — Act. sur Télher
indine^xali(|ue, 26, 100 {Tbielo),
— Act. sur la pyridine, 26, 969
( Wcdekind).
Benzoyle-acétyle (Peroxyde). Prép.,
propr., 26, 98 {Bacyor, Villiger).
Benzoylène-benzène (Tri-). Form. à
part, de la dibromindone, 26, 106
{Langer, Wiedermann). — Constit.,
26, 209 {Afanthoy).
Benzoyléthane (Di-). Form. à part,
du dibenzoyléthylène. Dér. dibromé,
anilidé, 26, 476 {Paal, Schulze).
BENZOYL-a-ÉTHYLCÉTONE. Form. dU
dér. diéthoxylé-2-4 par cond. de la
propionylrésorcine avec l'éther acét.,
ou par méthyl. de la diélhoxy-acé-
tylacétophénone. Propr., 26, 1113
{Kostanocki, Lloyd).
Bei^oyléthylène (Di-). Prép. des
isom. cis et trans au moyen de l'ac.
dibenzoyimalique. Propr., act. de
Taniline, de la phényihydraxine, 26,
476 {Paal, Schulie).
Benzoylformiquk (Ac.) Form. de la
phényliroide à part, du diphényl-v-
cyanazométhine, 26, 487 {Sachsl.
— lAmino-H-) (Ether). Synth, par cond.
des éthers anthranilique et formique.
Propr., 26, 1155 {Erdmann).
Benzoylformique (Aid.). Modir. sté-
réochim. de Thydrazone et des dér.
o-, m- et /i-nitrés, 26, 993, 994
{Bamborger, Schmidt).
Benzoylfumarique (Di-) (Ac). Prép.,
propr., sol», éthers, 26, 477 {Paal,
Scbulio) .
Benzoylhydrazine (Di-sym.). Form.
par oxyd. de la [i-benzylhydroxy-
lamine, 26, 417 {Bamberger,
Szolayski). — Prép., propr., 26,
772 {StoUé).
Bbmzoyliminodithiogarbonique (Ac).
Act. de AzH' sur Téther dimétbyl..
1280
TABLE DES MATIÈRES.
««, 679 {Wheehr, Morriam). —
Propr. des éthers benzyl-, p-nilro-
benzyl-, m-xylyl. el méisilyl., S6,
1097 (WAoe/er, Johnson).
Bbnzoylmalkique (Di-) (Ac). Propr.
de rélherélhyl. ; cond. avec i*bydra-
zine et la méthylphénylh^drazioe,
«6, 476, 477 (Paa7, Schulzo).
Benzoylmalique (Di-) (Ac). Dec.
par la chaleur, IKS, 475. — Form.
a part, de Tac. dibenzoylfumarique,
«6, 477 {Paal, SchuUe).
Benzotlmethane. Transp. mol. du
dér. benzoylé à ro.vygène, ^H, 287
[Wisliccnus, Korber).
— (Di-). Voy. Acétophénone (Ben-
Z0TL-).
— (MÉTHYL-DI-). Prép. au moyen du
diphényl-l-3-mélhyl-2-propylglycol-l-
8, «6, 1167 {Abell).
BaNZOYLOENANTHYLIDÈNE. Voy, PhÉ-
NYLCKTONE (OeNANTHYLIDÉNYL-).
Benzoylpropane (Di-a-y-). Réduct.,
sa, 1118 {Japp, Michio).
(Phényl-2diméthyl-1-8-). Prép.
f>ar cond. de l'ald. benzoïque avec
a propiophénone. Propr., isom.,
ad. de AzH*OH, «6, 1167 [AbelI).
Benzoylpropionique (Ac). Form. à
pari, du Irichlorométhylstyrylcar-
Dinol, «6, 38 (Drboglaf).
Benzoylpyrotartrique (Dioxy'2-4')
(Ac). Prép. des dér. mono- et di-
éthoxylés par cond. de la résacéto-
phénone ou de la quinacétopbénone
avec Télher oxalique. Propr., élher,
S6 , 1111 [Kostanccki, Paul,
Tambor).
Benzoylsuccinique (Ac). Const. do
dissoc, «6, 199 {Mellor).
— (Di-) (Elhcry. Forra. par réd. de
Téther dibenzoylmaléique, S6, 477
{Paal, Schuizo}.
Benzoyltartrique (Di-) (Ac). Pi'ép.
et propr. des éthers diéthyl. et
éthyl-oclyl., «6. 1069 [Mac Crae).
Benzoylthioglycolique (Ac). Form.,
à part, de l'ac thiobenzoïque.
Ether élhyl., ^H, 1097 (Wheeler,
Johnson).
Bbnzoylthiosemicarbazide (Méthyl-
4-). Prép., propr., ««,784 [Young,
Oatcs) .
Benzuréido-sulfomque (Ac). Form.
dans Toci. du chlorure benzène-sul-
fonique sur Tarée. Pi*opr., sels,
dér. p-nitré, S6, 389, 890 [Holmes).
BeNZYLACKTH^UE (Dl-p-CARBOXY-DI-)
(Ac). Form. à part, du dinitrile
corresp., propr., sels, S«, 113
{Moses).
Benzylacktylacétique (Di-) (Elher).
Prép. du dér. dicyané-4.4-' au moyen
du chlorure do p-cyanobenzyle.
Propr.,««, 112 (Mosos).
Benzylamine. Prép. au iDoyen ia
chlorure de beozyle, SS, I0ft4
(Dhomméo). — Tens. de ^p. eut
dissol., S6,5 [KonovMlof). — C,aÊL
avec riminothiodiphényliiniae> M,
54 (Schaposchnikof). — Ad. «tr
l'éther chlorindone-maloiiiqae, él.
106 [Langer t Wicdermaan . — xa
sur la Y' bi*o™indoDe et la difara-
mindone, S«, 107 {SchJoashery
— Act. du dér. benzoylé az-nitraet
sur ranilîne, la p-loluidine el li
phénylhydrazine, 1KII«48d {ApiUut
— Comb. avec les i6osuirocyanaU«<le
^-chlorallyle et de ^-y^ibroou-
^hloropropyle, S«, 498 {Ditoa
— Oxyd. par le réact. de Caro, tê,
9J1 [Bamberger, Scùcuu). — Act.
sur le chlorure-élh«>r pbénylcartM*
zino-carboniqne, <€, 1000 \Buttk,
Heinrichs). — Act. sur \9S éther»
sulfocyanocarboniques, ^6, 11S7
[Doran). — Form. par d«c. de U
benzylazide, S#, 1160 iCo/'fiii
Darapsky) .
— [Cyano-S-). Prép au moyen de U
in-cyanobenzylphtalimide. Pr^pr.,
sels, ««, 1160 iEhrlicb).
Benzylamine (Di). Form. à part d«
chlorure de benzyle et AzH', tS,
1064 (Dhommée). — Form. par
réd. do la benzylidène-azine^ '^Çf -
sels, nitrosamine, oxydât., <•. 3M
(Curtius); «6,773 {CurUui, Frûa-
zen).
(Cvano'3^') (D/j. Prép. w
moyen du chlorure de p-cyaoobêo-
zyle. Propr., sels, «6, 1 160 Ehr-
lich) .
(Cyano'4'4'-) {Di). Prép. M
moyen du chlorure de nt-cyano-
benzyle. Propr., sels., M, 115
(Afosos) .
Benzylamine (Ethylidbne). Propr. àt
riodométhylate, «6, 765 {HanU^h.
Schwab).
Benzylamine (Méthyl-2-4-) (Di ; . Pr^p-
par réd. de la dimcthylbenzylid^iK-
azine. Propr., sels, M, 585 CtÊr-
tiuSf Uaager),
Benzylamine (Métbyl*2-4-dm Bis-
DI-). Prép. par réd. de la dimcttijl-
2-4-benzylidène-azinc. Propr.» Mis.
«6, 580 [CurUuSy Uaagùr\.
Benzylamine (Tri-). Form. a part,
du chlorure de benzyle, «S, 1061
{Dhommée). — Form. da dér. Uv
p<cyané à part, du chlorure de p>
cyanobenzyle, «6, 113 {Moses. —
Prép. et propr. du dér. tri-io-cyao^,
M, 1161 [EhrUch).
BENZYLAMINB-m-TRICARBOKflOVK (TV*
(Ac). Prép. par réd. de la tricyaoo-
benzylamine. Propr., «•, Itdl
{fihriich).
TABLE DE8 MATIÈRES.
1281
Bkmstlaminopropioniqub (Acéta]).
Porm. à part de la comb. bcnzyli-
d6D. de racolai ^aminopropionique.
Propr., !M, 976 (VVoli/).
Bbmztlazidb. Prép. à part, de la
nitroBobenzylhjrdrazine ou de l'io-
dure de benzyleet Az'Ag, S6, 1165,
iHi6 [Curtius, Darapsky).
Bbnzylbarbiturique (Ac). Prép. par
réd. de Tac. benzylidèno-barbilu-
rîque. Propr., S6, 921 (Conrad^
Hcinbach) .
BCNZTLBBNZALDOXIME. VOV. BeNZOÏQUB
(Aid.).
BbnztlbenzoÏqub. Vbr. Phénylmé-
THANE-O-CABDONIQUE (Dl-).
Bknzylcahbamique {Cyano-). Voy.
pH KNYLACÉTiQUE ( Carbétboxy"
am/ao'),
Bknzylcktone (Di-). Réd. par P et
HI. Transf. en dér. pbo8pboré,S6,
701 {}ficbacNs, Flemming), —
Konn. dans Tact, de la pyridine
sar le chlorure de pbényfacélyle.
Oxime, seroicarbazone, xH, 969
(^Vedekin(I).
Bknzylcétone (MÉTHYL-). Fomi. par
oxyd. de risopropénylbenzène, is,
«76 [Tiffencau).
iMctboxy-h') . Form. par oxyd.
du p-isopropènylaniaol. Propr., oxi-
me, ire, 27f» (Bébal, Tiffeneëu),
(Oxj'-2-). Form. par oxyd. de
ro-isopropénylphénol. Propr., SS,
276 (Bébal, SommcJefj.
BiCNZYLCYANACÉTiQUE (Dl-) (Ether).
Prép. du dér. dicyan6-4-4' au
moyen du chlorure de xHcyaooben-
zyle. Propr., S6, 113 (A/osca).
Dbnzyle (Azotile). Prép., propr., %Q,
857, 358 {Baaycr, VtUiger).
— (Chlorure). Act. sur le tri-iodo-2.4.6-
phénol potassé, )^, 821 {JBreDans).
— Act. de AzH* dans diT. condi-
tions, 5B5, 1064 (Dbommée). — Comb.
avec la ^-naphtylamine, S0, 46
{Morgan) . — Act. sur le tolyldicé-
tohydrindèno sodé, «•, 210 {Gold-
berg) . — Comb. avec l'hydrinda-
mine, «6, 499 {Kipping, Hall), —
Act. sur la dioxime de Tacétyle-
propîonyle, «6, 537 (Ponzio). —
Réd. par Na en sol. amyl., S6, 621
iLowenberz). — Act. sur la pyri-
dine, !M, 639, 721 ( Tcbitcbibabine) .
— Act. de Na en prés, d'acétoni-
trUe, se, 1068 iMtcbael). — Act.
sur l'ao. méthylaniline-sulfonique-3,
M, 1145 iGnebtn, Seheulz).
"^ (Cyanure) . Cond. avec la p-nitro-
•odiétbylaniline, «6, 90 {Sachs). —
Cond. avec le pipéronal, S6, 296
IWaUbert WûtzJich\ . — Cond. avec
l'hélicine, 5^6. 479 (E. Fischer),—
Cond.aveclesnitrosoélbyl- etnitroso-
80G. CUIM., 3* SBR., T. XXV-XXVI,
métbylanilines, ••,484 {Saebs,Bry).
— Cond. avec le nitrosobenzène et les
o- et p-nitrosotoluènes, S6, 487
ISacbs). — Const. diélectr., !M,
àOO (SebluDdt). ~> Cond. du dér.
Bodé avec CS* et Br, ••, 800 (Wen-
lel),
— (lodure). Act. sur la pyridine, «I,
' 639, 721 {Tcbitcbibabine). — Act.
sur AgAr, se, 1166 (Curtiua, Da-
rapsky) .
— (Isosulfocyanale) . Comb. avec l'^c.
thiobenzoïque. Form. du benzoyl-
dithlocarbamato. Propr., Se, 680
( Wbeeler^ Mcrriam) .
— (Sulfate acide). Prép., propr ,
sels, SS, 49 {Vcrloy).
Benzylb (Acéiamino-) (Chlorure).
Form. des isom. o-, in- et p- dans Tact,
de COCl' sur racétamino-benzvlpi-
péridine. Propr., Se, 7 {Kùbn).
— {CblorO'%-) (Chlorure) . Prép. nar
chlorar. de To-chloro- toluène. M,
624 {Mebner).
(Cyanure). Prép., propr., act.
de ranlline, Se, 624 [Mebner] .
— (C/»7oro-4-) (Chlorure). Acl. de
CAzK, se, 295 {Walthcr, Weli-
lieb) .
(Cyanure). Prép., dér, nitrosé;
cond. avec les ald. benzoïque, ani-
sique, pyromucique, pipéronylique,
o-, m- et p*nitrobenzoïques, cumi-
nique, bromanisique, Se, 295 [Wal-
tber, WeUUeb).
— (Cv«no-3-) (Chlorure). Act. de
AzlP, de la di-iu-cyaaodibenzyl-
amine. Nitrat., te, 1160. 1161 [Ebr-
lieb) .
(Sulfocyanate) . Prép,, propr.,
«e, 1161 (ErJicb).
(Sulfure). Prép., propr., disul-
fure, se, 1161 {Ebriicb).
■— {CvanoA) (Chlorure). Act. de KSH,
de KSCAz-.Forra. et propr. des sul-
fure et sulfocyanate; act. de AzH'.
Cond. avec les éthers cyanacétique,
acétylcyanacétique, malonique, C*H',
le toluène et AlCP, Se, 112, 113
{Afoacs) .
— ( C/azio-3-ûi<ro-4- ) (Chlorure).
Prép., propr., réduct., Se,1161 {Ehr-
lieb).
— (7V//ro-2-) (Chlorure). Act. sur
risodihydro-indol, te, 218 [Fraen-
kel). — Act. sur Téther phényldi-
thiocarbaziniqne, te, 432 {Buschy
Linaenbrinck) .
— {Nitro-k-) (Chlorure). Appl. à la
prép. de mat. color. dér. du triphé-
nylméthane, tS, 214 {Grimaux^
Lefèvre). — Act. sur Tacétoxime et la
benzaldoxime, te, 51 iSchrœtor,
Poschkcs) . — Acl. sur risodihydro-
indol, te, 418 (Fracu^e/» . — CryoRC
1901.
81
1282
TABLE D£S MATIERES.
dans ]*ac. formîque, !M, 529 {Bniai^
Berii).
(Cyanure) . Gond, avec la p-ni-
trosodiéthylaniline, SU, 90 [Sacbs).
— Cond. avec l'ald. pipéronylique,
««, 296 (Walthor, WeiiJich). ^
Cond. avec les nitroso-élhyl- et
nilroso-méthyl-anilines, ItQ, 484
[Sacbs, Bry).
Benzylb (Di-). Vov. Phëntléthanb
(Di-Sym.)
Benztle (p- Mbthyl-i (Chlorui'c) . Form.
à part, de la p-méthylbenzylhydra-
zine. Propr., act. sur la phtalimide
potassée, S6, 587 (Curiius, Sprea-
gcr),
Bbnzylb - m • CARBONIQUE ( Sulfure ).
Prép. au moyen du sulfocyan. de
/D-cyanobenzyle. Propr., disulfure,
«•, 1101 iEbrlicb),
Bbnztle*p-cabbonique (Sulfure).
Prép., propr., <•, 112 (A/oses).
— (Imino-di*) (Ac). Form. à part, de
la di-p-cyanodibonzylamine. Propr.,
sels, SU, 113 (Moses),
Benztle-éthtle (Oxyde) . Vit. de form.
dans Tact, de Talc, benzyl. sur
réther benzène-sulfonique, 26, 859
[Zagrebin] .
Bknzylpormamidinb (Puényl-). Prép.
du dér. o-chloré au moyen du cya-
nure d'o-cblorobenzyle, propr., M,
624 [Mehner).
Benzylhydbazine. Prép. par réd. de
la benzylidène-azine. Pt>opr., sels,
dér. nitrosé, benzoyié; comb. avec
les ald. benzoïque et salicylique. Tac.
pyruvique, M, 588, 584 (Curtius) ;
tS6, 11*56 [Curtius, Darapsky).
— (Cbloro-I"). Prép. à part, de la
di-o-chlorodibenzylhydrazine sym.,
propr., sels, dér. nitrosé; comb.
avec les ald. benzoïque, o-chloro-
benzoïque, <•, 774 [Curtius, Pauli) .
Benzylhydrazine (Di-x.a-). Prép. par
réd. de la nitrosodibenzylamino.
Propr., sels, comb. benzylidén.,
9^j 773 [Curtius, Fraozen) .— Cond .
avec le chlorure-élher phénylcarba-
zinocarbonique, ft9, 1002 [Buscb).
Benzylhydrazine (Di-a.p-). Prép. par
réd. de la benzylidène-azine. Propr.,
dér. acélylé, benzoyié, «6, 583 [Cur-
tius).
— Prép. et propr. du dér. di-o-
chloré; sels, dér. acétylé, benzoyié,
nitrosé, «6, 774 [Curtius, Pauli).
Benzylhydrazine {Méthyl-4'). Prép.
par réd. de la p-mélhylbenzylidène-
azine. Propr., sels, comb. avec
raid, p-loluique, «6, 585 [Curtius,
Pfropfe}. — Propi'., sels, comb. avec
les ald. o- et p-oxybenzoïques, le
chloral. Tac. pyruvique, l'étner acé-
tylacélique. Dér. dibcnzoylé, S6,
586 [Curtius, Sprcnger\.
Benzylhtdraunb (Msthtl-S.4-) \lH-f.
Prép., propr., tels, !M, 585 <C«r
li'us, Haagor),
BeNZTLHTDRAZINB (MÉTBTl.- 2.4.54
(Tri-). Prép., propr., stl», conb.
avec CAzOK, risosulfècyao. de pkè-
nyle, Tald. benzoïque» Tac. pyro-
vique, S6, 586 {Curtiog, Hardiagi.
BeNSYLHTDRAZINB (MÉTHT1.-4-D1H Dh}.
Prép., propr., sels, dér. aoélyi»,
nitrosé; comb. avec l'ald. p.-4oloi*
que, S6, 584 {Curtius, Pfropft.
Bbnzylhtdrazinb ( Mbthtl- 2. 4-di-)
(Bis-Dt-). Prép. propr., aals, d*r.
nitrosé, SU, bSd {Car tins, HaagerS.
Benzylhydrazine (MÉTHrL-2.4.5-oH
(Bis-TRF). Prép., propr., seU, dér.
acétylé, benzoyié, SU, 586 (Cur-
Uua, Harding).
Benzylbydrazo*tétrazone(Di-; .Propr.
de la comb. benzylidén. ; dér. bis-
méthylé4, bis-dimélhylé-2.4, «•, 583,
584, 585 (Curtius, Pfropfe, Haager.
s-Benzylhydroxylaminb. Gond, tvee
le formiate d'éthyle ; cood. des dér.
p-bromé etp>chloré, IM, 51 iSchr<f
ter, Pescbicn),
p-BSNZYLHYDROXYLAMINE. Act. de 0
et H'O, ZB, 416 (Batnberger, Smo-
JayBki). — Form. par oxyd. de la
benzylamine, ZB, yQi {Batnbtrgrr,
Scbeutz) .
Benzylidéne (Cyaiio-4-) (Chlorure*.
Cond. avec CM!» et AlCP, SU, 113
[Afoses] .
Benzyliubnb-acbtone. Comb. avec
réthylmercaptaj). Trimercaptal, Uv
suifone, S6, 620 (Posoer).
— (Di-L Comb. avec réthylmercaptan.
Disulfone, dér. brome, %S, t>20 iPoP-
ner).
BeNZYLIDBNR - ACÉTYLACKTO - AMUHO -
CROTONiQUB (Ether). Form. dan»
Tact, de AzH' sur Téther beniyli-
déne-bis-acétylacétique. Propr.,
modif. stéréoohim., %% 215 i/?aM;.
Benzylidène-aniunb. Comb. avec
Tac. thio-a ce tique, SU, 539 [Eiba&r'i,
— Modif. isom. ; prép., propr. et
sels des dér. broméA', chloré-4.
dichloré8-4.4', 2.4',chloro-nitré»4'J.
et4.'4, métboxylé-4', oxy-2-brom/e-4',
diméthoxylé4.4', hydroxylé-4, oxy-
2-bromé - 2^, éthoxylé - 2*, oxy • 2-
éthoxylé-2', nitré-4'. lodométhyUte
eliodéthylate.lHI, 76à,763(//aiiijrs<-ii,
Scbwab). — Cond. avec 1 ald. stlky-
lique et CAzK. Act. de (^AxK tor
ledér.hydroxylé-2,S6,765 Sk-bvnbi.
Benzylidene-anili.nb (Bis*|. Prép. do
dér. dibydrox^lé-2.2 à part, de la
salicylidéne^mline. Propr., tM, 785
{S«:bwab).
BBN2YLI0ÈNB-ANU.INB (MiTRYL-2.4^
(Tni-). prép., propr., dér. p-chlor«>
S«, 76^ {HantxBob, Sebvcab).
TABLE DES MATIÈRES.
1288
Benitlid^nb-azinb. Voy. BknzoÏque
(Aid.).
BbNZYLIDKNB - DARBITURIQUB ( AC . ) .
Ppép.,propr., dér. o-nilré, o-hydro-
xylé, M, 9âl, 922 {Conrad, Rein-
bacb). — Prép. et propr. des dér.
p-hydroxylé et p-dimélhylaminé ,
IM, 922 ( WciDScheak} .
Bbnzylidrne-bis-acbtylacktiqub
(Ether). Act. de raoiline, 26, 215
{Rabe),
BBNZYLIDkNE-BIS ANILINE. Prép. et
propr. du dér. diaitré-4.4\ !M, 764
(Haotzsch, Schwab),
3ENZTLIDÈNE-KTHTLAMINE. PrOpr.,!M,
765 (Ilautzscb, Schwab).
Benzylidbne-htdrazine. Form. du
dér. benzoyié par oxyd. de la p-
benzylbydroxylamine. Propr., 96,
416 {Ramborgor, Szolayskî).
BCNZYLIDÈNE-PHÉNYLUYOHAZINE. Vo/.
Benzoïque lAld).
— (démydro-i. Traosf. en télrazoline
par oxydât., S6, 793 (Bambcrgcr,
Grob} .
BENZYLIbKNE-PSEUDOCUMIDINB (TrI-
MÉTHYL-2.4.6-J. Prép., propr., sels,
«6, 763 iHantzsch, Schwab),
BSNZYLIDkNE-O-TOLinDINE (Ox/-2-) .
Prép., propr., dér. iodé, 26, 764
{//aatzsvh, Schwab).
BeilZYLlDÈNE-^-TOLUIDINE. Prép.,
propr., modif. isom. ; iodalcoylate,
S6, 762, 764 {HanUsch, Schwab).
DENZYLIDKNE-p-XYLIDlNE. Mod. ÎSOm.,
«6, 768 {HaDtzsch, Schwab),
Benzyliqub (Aie). Act. de lichlorhy-
drine auirurique, 25, 49 {VcrJey),
— Comb. avec la diphénylcarbazide,
IBS, 453 {Cazeneuve). — Dens.,vi8-
C09. et tens. superf. de Talc, et de
l'acétate, 2S, 52l {Jeaucard, Satie).
— Pouv. rotat. de l'éther isovalé-
rique act., 2S, 550 (Gave). — Car-
bonate mixte phényl., 2S, 635 [Ca-
xencuvc). — Transf. eo ac. hippu-
rique sous Tinfl. du ferment du rein,
25, 704 (Abelous, RigauU). —
Form. par oxyde du cumène, 25,
852 {Bœtker). — Act. sur la base
du vert malachite, 26, 97 (0. Fis-
cher),— 1)08. de Tacétate dans Tes-
«encc de jasmin, 26, 809 (Hcsac).
— Act. de AzO'H, 26, 857 (Baeycr,
Villiger). — Elher acétanilido-imi-
nodithiocarbonique, 26, 433 (Busch,
Liageabrinck), — Elhers-oxydes
mixtes des »-amino- et p-nilro-
phénols, 26, 706 (SpiegoJ, S^bbath),
— Vit. d'act. sur l'éther benzène-
sulfonique, 26, 859 [Zagrebin). —
Form. du benzoale par act. de l'é-
thylate d*Al sur l'ald. benzoïque,
26, 967 iTistschcDko). — Ethers
acylimino(iithiocarboniques,26,i097
{Wheeler, Jobason), — Act. sur
les éthers sulfocyanocarboniques,
26, 1129 [Doran). — Ethers de la
phloroglucine, 26, 1134 {Kêufler).
— (^roiDo-4-) (Aie). Ethers acyl-
iminodithiocarboniqucs, 26, 1097
(Wbeeler^ Johnson).
— [Nitro-^] (Aie). Form. par oxyd.
électrol. de l'o-nitrotoluéne, 25, 858
{PierroD), — Ether anilido-imino-
dithiocarbonique, 26, 432 (Busch,
Lingcnbrinck) .
— (iVilro-4-) (Aie). Ether acylimino-
dithiocarbonique, 26, 1097 {Whec-
Icr^ Johnson).
Benzyliqub (Méthyl-4-) (Aie). Form.
à part, de la méthyl-4- benzylhy-
drazine, 26, 587 {Curtius^ Spreu-
ger).
Benzylisobenzaldoxime. Voy, Ben-
zoïque (Aid.).
Bbnzylmalonique (Di-) (Ether). Prép.
du dér. di-p>cyané au moyen au
chlorure de p-cyanobenzyle. Propr.,
èther, 26, 113 lAfoscs),
Benzylmercaptan (Cvano-Z-). Prép.,
propr., 26, 1161 iÈrlich),
Bbnzylméthanb (Di-). Form. par réd.
de la diboozylcétone. Dér. di- et
tétranitrés. Dér. phosphore, sels,
26, 701 (Afichaelis, FIcmming).
Benzylméthane-phosphimqub (Di-)
(Ac). Prép. au moyen de la diben-
zylcétone. Propr., sels, chlorure,
tnh., amide, anilide, éthers, 26, 702
{Mlchaelis^ Flemming).
Benzylsemicarbazidb. Prép., propr.,
26, 583 [Curtius).
— (MÉTHYL-4-). Pi*ép., propr., 26,
587 {Curtius f Sprenger),
— (MÉTHYL-2.4.5-) (Tri-). Prép., propr.,
26,586 (Curtius, Harding).
Benzyltétrazonb (Di-). Form. par
oxyd. de la dibenzylhydrazine.Propr.,
26, 778 [Curtius, Franzen).
Dbnzyltuiosemigarbazidb (Phényl-).
Prép., propi*., 26, 584 {Curtius),
— (Phényl-mkthyl-4-). Prép., propr.,
26. 587 {Curtius, Sprengor).
— (Phényl-triméthyl-2.4.5-). Prép.,
propr., 26, 586 [Curtius, Har-
ding).
Bergamote (Essence). Dens., viscos.,
tens. superr., 25, 521 {Joancard,
Satie) .
BÉTON. Act. de l'eau de mer sur les
bétons de pouzzolanes, 26, 526
{Bebuïïat).
Betterave. Propr. de la mat. color.,
26, 654 (Forma nek).
Beuhrk. Analyse. Indice d'ac. vola-
tils, 25, 142 iBeyrhler). — Noav.
aréomètre pour TaDal., 25, 990
[Vanderplanckens. — Indice réfrac-
tom. et indice d'iode, 26, 62 [Par-
1294
TABLE DES MATIÈRES.
Ibcil, VciBoD), — Recherche du
beurre de coco dans le beurre, la
margariDe, le beurre de cacao, et le
chocoUt, ««, 654, 707 iWauters).
BuzoL (Phéhtl-thio-). Prép. du dér.
aminé par oxyd. de la thiosemicar-
bazoue de l'ald. benzoîque. Sels,
dér. acétylé, méthvlé, phénylé, 26,
9»,ntà{Youna, Éyre),
BlAZOLlNB (^PmBNTLMÉTHTL • IM I N O •
THio»). Form. à part de Tammo-
phénylthiobiazol. Propr., dér. acé-
tylé, <•, 225 [Young, Eyre).
— (a-pHBNYL-a-PMBNTLlMIHO-OXT-).
Prép. du dér. a-éthoxylé à part,
du phényllhiocarbazinate d'élhyle.
Propr., tm, 994 {Wbeehr, Austin).
BiAZOLONB (Phbntl-) [Ethoxv-). Prép.
au moyen du cblorure-étner pbé-
nylcarbazinocarbonjque, %B, 1005*
{Bu8cby Heioricbs).
— (Thîo-) (Phbntl-). Prép. du dér.
étboxylé au moyen de CSCI' et de
Tétber phénylcaroazinique, !M, 1004
{Bu3cb, Grobmênn).
(Phbntl-di-). Prép. et propr. de
réther méthyl., %%, 431 (Lingen-
briaek),
(Phbnyl-phbntumino-I. Form.
par cond. de COCl' avec la diphé-
nyI-1.44hiosemicarbazide, S6, 789
{Buscii, Holimaan). — Form. du
dér. anilidé par cond. de l'isosulfo-
cyanate de pbényle avec la diphé-
nyl-2.4-tbio8emicarbazide. Ether mé-
thyl., tSH, IWLlBuscb, Holzmann).
— — — (Di-)* Form. par cond. de
l'ald. benzoïque avec la dipbényl-
â.4-thio8cmicarbazido. Propr., 96,
789, 701 {Bascb, Holzinann).
— — (Phényl-I-phénylimino-S-di-).
Form. par cond. do CSCI* avec la
diphényl - 1 .4 - thiosemicarbazide.
Propr, se, 789. 791 {Basch, Holz-
mann),
(p-ToLYL-Di-). Prép. et propr.
de l'élher éthyl., S6, 432 (Lingea-
brinck).
BlAZOLONE-Ô PROPIONIQUE-1 (AmiDO-SA
(Ac). Prép. par cond. de COCl*
avec l'éther semicarbazinopropio-
nique. Propr., «6, 120 (Bailey,
Acreo).
DlAZOLONYLMERCAPTAN (PhÉNYL-THIO-
5-). Prép. de Téther méthyl. à part,
du phényl-phénylimino-lhiobiazolyl-
mercaptan ou de Téther pbényldi-
thiocarbazi nique. Propr., 96, 787
{Busch^ Wolperi).
— (p-ToLYLTuio-) . Prép. et propr. de
l'élher méthyl., «6, 787 {Busch,
Woïport).
BlAZOLYLMERGAPTAN (Th10-G-)* {PHÉ-
NYL-1-ALLYLIMIN0-). Pféo. Ct prOpr.
de l'élher méthyl., 96, 788 {Busch,
Wolpert) .
— — (PaÉinn.-l-c-iiAP«rTt.iMnii«-t
Prép. par eood. de V'
natale i^ényie avec Télber a-aub-
tyldithioài^baziniqiie. Propr., M,
788 iBu9cb, Wolj>^rr.
(PHBXTL-l-PHli?«YLIinsa-5-}.PftO.
au moyen de l'isosulfocyuiale de
pbényle et du pbénylditbiocarbazi-
nate de K. Propr., sels, ëlher, di-
sulfure, 96, 786 (Buscb, Wolpert).
— Form. par cond. de CSCI* avc<la
dipbényl-S.4-thiosemicarb«zid«, 96,
789 {Buscb, HoJzwann).
(Phbntl-I-d-tolyliiiiwo-). Prép.
et propr. de rétber méthyl., 96»
787 {Buscby Wolpcrtj.
— — (p-TOLYL-PHKMYLIMINO-). PP^P;»
propr., éther, disulfore, 9S, 737
{Buacb, Woiperf),
Blazoxol ( Phbntl - puiKTLninio* ) .
Form. par cond. de l'anb. acétique
avec la dipbényI-2.4-tbiosemicarba-
zide. Propr., 96, 790 {Basch, Hola-
mann) .
BiBLiooiuPBiB. Résumé des trav. de
Scheurer-Kestner, 9S, 1 {Lautb) . —
Traité des altér. et falsiOr^ dessutist.
alim., 9S, 93 {ViJliers^ Coïlim.
— Leçons de Chim. phys. de Van*t
Hoff (trad.), 9S, 95 [Corvisyi, —
89* fasc. du Snppl. au Dict. de
Wûrtz, 9S, 480 (Dupont). — Chim.
des mat. color. organ., 166, 663
(Noclting). — Palladium, iridium,
rhodium, 9S, 655 {Leidié). — 40*
fasc. du 2* Suppl. au Dict. de
Wûrtz, 95, 656 {Dupont), — Nou-
veautés chim. pour 1901, 9S, 7A
(Poulenc).
BifeRE. Recherche de Tac. salicylique,
95, 475 [Pereira). — Fabric. par
les levures basses, 9S, 735 \4ae-
qucmin).
BiLB. Conslit. de la bile d*ours btenc,
96, 942 (Hammarsten) .
BiLiFUSciNB. Prép. à part, des calculs
urinaires; propr., constit., 96, 816
(Zuœbuscb),
BiLiRUBiNB. Acl. du persulfate d*amm.,
95, 383 [Hugounonq). — Comb.
avec l'ac. sulfanilique et To-djazo-
acétophénone, 96, 30 {Proscbei^.
— Dos. dans la bile d'ours blanc^
96, 942 (Hammarston). — Purif..
propr., constit., 96, 1120 {Ont-
dorffy Teeple).
BiuvBROiNB. Form. par oxyd. de la
bilirubine, 9S, 383 {HugountBqfi.
Bismuth. Sépar. de la mine de Pi,
95, 11 (Uidiâ). — Act. de H sur
Bi*S' et de H*S sur Bl, 95.14» {/V-
labon). — Prép. de Toxyde BiH^.
H*0 à Tétat pur, 95, 154 ^Tht-
bault). — Act. de C sur le sulfate,
95, 284 {Boudouard). — Pr^. do
TABLE DES MATIÈRES.
1S85
salicylate crist. à part, du nitralo.
Propr., SS, 794 (Tbibëult). —
Comb. de BiCl* cl Bil' avec TaDÎ-
line, la quinoléine, la pyridine, Ta-
napbtylamine, ZB, 308, 20Q [Vê-
ni no, Ilâuscr). — Prés, de Te aans
les résidus, tm, 327 {Mêtthey). »
Appl. des hyposulfltes doubles alca-
lins à la recherche microchim. de
Si. «6, 365 {Huasse). — Comb. de
BiCI* avec l'aniline et la quinoléine,
%n, 497 [Schifl), — Réd. du ni-
trate par Tac. lactique, S6, 666
{Vanino^ Hêuser). — Polaris. et
dens. de courant do Bil* fondu, tM,
869 {Gockel). — C< mb. du nitrate
avec les sels diéthylène-diamlno-
cobalt., «6, 888 (Wcrner, Hum-
pbroy), — Dos. de Bi dans la
Droeggerite, )M, 952 {Hofmënn,
HeiacpricD). — Nitrate double de
Cs et Bi, 26, 1052 (WoUs, Boêrda-
hy), — Act. de H'O sur le nitrate.
Sel bas., «6, i053 {AUan). — Dos.
de Au dans les minerais de Bi, 119,
1061 iSmitb),
Bismuth radio-actif. Extr. de div.
minerais, «1,68 (//o/mami, Strauss).
— Non créai, de la radio-activilé
sous rinfl. des rayons cathodiques,
<€, 245 {Hofmann, Korn, Strauss).
BiuRET. Form. à part, de Turée, M,
SSd (Holmes). — Prép. à part, de
Tacetyloxamylhydroxylamine , S6 ,
1070 (Pickard, Carter).
Voy. PaéNTLBlURCT, TOLTLDIUIUBT,
Naphttlbiurist.
Blastbnine. Prés, dans div. lichens,
se, 1184 {Hossc).
Blé. Prés, d'une dlaslase saccharif.,
es. 528 (Lindct), — Constil. de
l'huile de blé, 26, 350 {VuHé, Gib-
son),
Dlbu db méthylènb. Absorpt. par
diT. ozycelluloses, ftS, 137 (K/-
gnon). — Destruct. de la mat. or-
gan. pour les recherches toxicol.,
SS, 952 (Denigès).
Bleu fluorénique . Prép., propr.,
SS, 756 {Haller, Guyot).
Bleu gentiane. Syn. Tbionine (Dimé-
THTL-).
Bois. (U>nslil. do l'huile de bois.
Cétones. eS, 242 (Bcbal) ; «•, 439
(Fraps).
— Voy. Erable, Bouleau, Panama,
Santal, Goudron.
Bore. Comb. de BBr* arec PCP,
PBr*, PP, P"P. Act. sur AsCP,
SbCP, SbCP, «S. 382 (Taribh). —
Act. de H*S sur BQ» et BBr*. Form.
de B*S*. Propr. du sulfhydrate,
M, 275 {Stock, Poppenberg). —
Comb. de BBr* avec AsH*; transf.
«n chlorure, <•, 949 {Stock).
Borique (Ac). Prép. et propr. des
borates tribas. de Mg, Ca, Sr, Ba à
part, de B*0' et des oxydes cor-
resp., SS, 524 {Ouvrard). — Solub.
du sel de Mn et des sels d'ammon.,
ItS, 962 (Doyer, Van Cloeff). —
Appl. du sel de Na à la criât, de
l'oxyde de Ce, eS, 970 (Sterba). —
Synth, et propr. d*un borate de Ca
et Na (boronalrocalcite), SS, 1061
(de Scbulten). — Infl. de Tac. et du
sel de Na sur la solidif. des ci-
ments, plaire, etc., S6, 4 {Hob-
land). — Electrol. des borates, %9,
244 (Tanatar), — Form. par déc.
du sulfhydrate de B*S*, M, 275
{Stock, Poppenberg). — Act. sur
l'iodure d'Az, IHI, 356 (Cbatiaway.
Stevens). — Recherche en prés, de
borates, IBS, 365 (Borntraeger). —
Conduct. électr. et bydrol. des sels
de Na, «•, 507 {Walker). — Bel.
entre la conduct. électr. de Tac. et
du sel de Na et leur act. toxique sur
les poissons, <•, 605 {Kablenberg,
Mebl). — Infl. sur la rit. d'oxyd.
des sol. oxaliques, %%, 659 {Joris-
sen, Reicber). — Conduct. électr.
et poids mol. en sol. aqueuse, <6,
948 (Kablenberg). — Form. par déc
de BBr*, AsH', 1HI, 949 {Stock). —
Volatilis. avec la vap. d*eau. Tens.
do vap. des sol. aqueuses, ftB, 1042
{Skirrow).
— Voy. Fluoboriqub.
Borique (Per-) (Ac). Form. par elec-
trol. des borates. Propr., 1HI, 244
[Tanatar), — Propr. des sels, S6,
278 {Constam, Bennett).
BORONATROCALCITE. Voy. BoRIQUE.
BoRNÉOL. Propr. du succinate, !K,
612 (Minguîn, BoJlemont). — Prép.,
propr. du bomylxanthogénate de
méthyle. Constit., 26, 185. — Se-
par. de Tisoboméol par transf. en
dér. zanthogénique. M, 298 ( TscbU'
gaeff). — Form. de Téther éthyl. à
part, de l'iodure de bomyle, S6,
425 {Wagner, Brickner). — Tribol.
du cinnamate, !M, 459 (Tsc/iu-
gaefl). — Constit., ••, 588 lAon-
dakof, Lutscbinin). — Vit. d éthé-
rir. des isom. d et /, ItB, 616 {Pa-
nof). •
BoRNÉoL riso-). Constit., S6, 186. —
Sépar. au boméol, <6, 298 {Tscbu-
gaeff). — Form. de Téther éihyl. à
Îart. de l'iodure de bomyle, !S6,
25 {Wagner, Brickner). — Cons-
tit., ee, 588 {Kondakof, Lutscbi-
nin). — Vit. d'éthérif., S6, 616
(Panof) .
BoRNTLAMiNE. Tribol. du dér. ben-
zoylé, «6, 459 {Tscbugaoff). —
Form. à part, de la camphoroztme,
es, 556 (IToxiovaioO.
1
1186
TABLE DES MATIÈKES.
BoRNYLE (lodure). Act. de KOH, <•,
435 {Wagner^ Brickner).
BoRNYLÈNE. Prép. à part, du bornéol.
Propr., coDStil., «6, 298 (Tscbu-
gaeif). — Form. à part, de Tiodure
de bornyle. Propr, constil., ft9,
486 (Wognor, Brickner).
Bos-osTÉopLASMiDE. PonD. par dédou-
blement des alburoio. d'os de bœur.
Propr., sels, S5, 944 [Etard),
Bouleau. Prod. d'hydrol. du bois,
•H, 732 [Storor).
Brai. Voy. Goudron.
Brassidique (Ac). Act. de ClOH,
S6, 288. — Act. de Tac. persulfu-
rique, «6, 292. 875 {AlbUzkv). —
Nitrile, amide, !M, 468 (Kraffl,
Tritschhr).
Brasi^lique (Ac). Form. à part, de
Tac. undécane-tricarboDique. Propr.,
diamide, %•, 467 [Krafft, Soldis).
Brokgoerite. Kxtr. des métaux radio-
actifs (Pb, etc.), e«, 68, 244, 951
{HoftnaDD^ Slrauss). — Compos.,
propr., ft9f 952 {Uofmanny Hoide-
prient).
Bromal. Propr. des campbolates (/, l
et r, S5, 612 {Mioguin^ BoUemoat).
— Comb. avec Tanb. acéliaue, les
chlorure et bromure d'acétyle, !M,
535 (GabuHi).
Bromanile. Act. sur la pyridine, les
picolines et la quinoléioo, S6, 989
(Imbort). — Form. à part, de la
tétrabromo-hydroquinonc, SU, 1102
iJticksoDf Kocb),
Brome. Act. sur l'oxyde bleu de Mo,
es, 186 {Guicbard). — Act. sur
Na"0*, «5, 665 ( Boycbhr) . —
Poids mol. à la temp. d'ébull., ftS,
962 idc Forcraod). — Sépar. de
Cl en prés, d'acétates. Dos. dans
les comp. organ., S6, 163 (JaD-
uascb, Koolitz). ~ Act. sur Cl»0',
«6, 854 {MichacL Conn). — Prés,
dans les eaux de âalsoroaggiore, ^6,
525 {Naaini, AnderliDi). — Comb.
avec AlBr* et CS*, «6, 605 {Plot-
nikoff). — Den9. de vap. à haute
temp., S6, 8."^ {Perman, AtkiD-
soD^. — Act. sur Pt colloïd., Stt,
1039 \Bredigy Ikcda). — Recherche
par les sels de Co, eH, 1057 (Ni-
t'hols). *
Brim HYDRIQUE (Ac). CoofT. d'abaissé-
ment cryosc. de KBr, S5, 175
{Chroustchoff), — Form. de NaBr
dans Tact, de Br sur Na'O', !tS,
665 (BevcbJer). — Chlorobromures
de Tl, «5, 708 [Thomas). — Sels
bas. de HgO et Zn, Cu, Cd, !t6,
787 (Afailbe). — Infl. des sels sur
la bromurat. de C*H*, 26, 43
(KaufmaDD}. — Prép. et propr. des
sels doubles de Ti et de AkH* ou
de pyridinc, S6, 279 [Bosonheim,
Schùtlo). — Comb. mol. de AlBr*
avec div. comp. organ., 26. Sfi
(Koblcr). — Propr. et s«ls de Tac.
tétrabromoplatinique, <•, 361 \t»>'
lattis Bêlluci). — Dos. par fesa
de CI, 1HI, 866 (WosteJskjt. —
Solub. de PbBr" dans leau, 96,
450 {Eodo). — CoefT. de parUg« dr
AzH^ entre CHCP et les sol. aq. de
NaBr, KBr, AzH^Br, !M, 458 Uaw^
son, Afac Crac). — Point de irafMf.
des crist. mixtes de HgBr* el Hgt*,
ee, 60(> (BeiDders\. — Dissoc. d«4
sels de K, Na, Azii* dans l'eau et
. les aie. méthyl. et éthyl., «•, 660
{JoDCs). — Recherche des sulfocya-
nates dans les bromures, <•, tlTO
{Smith} . — Pouv. rotat. magnft. de
CdBr*, e«, 849 iForeheimûr^ —
Solub. des 2 modif. de HgO da&»
les sol. aq. de KBr, <•, iS6 Ont-
wald). — Vit. d'hydrol. de t:»»S,
ea, 862 [Buebboek). — AcU catj).
sur l'isoméris. de la cincbonîjte,
«•, 864 {Wcgschtidcr). —FolaHs.
et dens. de courant de PbBr* el
BiBr' rondos, !M, 869 [Gockeb. —
Selsdiéthylène-diamino-cobalt., <•,
887, 888, 889 {Worner, I/utnphrc}.
Gerb). — Form. dans la dec. «le
BBr*, AsH", «6. 949 {Stock . — Sel
double de Cs et Sb, %%, 1051
(We7/s, Metzger). — Infl. »ur la
réd. de Sb*(r par SO*. «•, 106T
(Bobmcrj .
Bromique tAc). Form. dans Tact de
l'eau de Cl sur les bromures on sd.
alcaline, %U, 866 {WoszeJsk\' . —
Infl. des sels sur l'attaque de Cr
par les ac, SU, 875 lOstvrsld).
Bromoforme. Form. à part, de ulfCl'
et AlBr*. Act. de AlCl', «S, 191
{Pourût). — Form. à pari, de Tac.
a-méthyllévulique, S5, 244 iBeba) .
— Form. à part, de la //^métboxy-
benzylmèthylcétone, teS, 276 \BéhaU
Tiffeaoau). — Act. sur la mat.
color. du sang, <•, 25 ifomia-
nek).
Bromures. Voy. Bromhydriqub, Bobc,
Soufre, Phosphore, Arsenic.
Brucinb. Sels des ac. bernsoylamino-
butyriques d et 7, !t6, 6b iE. Fta-
chor^ Mouncyrat) . — Acl. de
AzO'H sur le formiate. AppUe. i la
recherche de AzOMl, «S. 4i7. 5Si
[Caxeaeuvo) ; tS, 689, 775 iCati-
neuve ^ Défournel). — Propr. do
flycuronate, •€, 200 \Neuberg^. —
ribolum., ••, 459 (Tscb^g^if)
— Act. do Br. Dér. bromes et p«r>
bromures, S6, 956 {Kippenbrrfûr)
— Act. de div. réact., ««, 95»
{Scbjerning) .
Brun Bismarck. Voy. CoLoiuirm
(Mat.).
TABLE DES MATIÈRES.
1287
BiiYOPOGomQUK (Ac.]. Prés, dansdiv.
•lichens; propr., isoro,, S6, 1183
BuTANe. Form. par réd. des dér. di-
iodé et dibromé-1.4, «5, 48â (7/a-
moùtl). — Form. par élcrlr. du
propionate de K, Sé» 615 {Peier-
sen).
— {BromO'1,4') (/)/-). Prép. au moven
de la diamyline du butyIglycol-1.4,
im, â89. — Acl. de Na, de Zn, <6,
— (Iodo'i.4') \Di-]. Prép. au moyen
de la diamyline du buiylgiycoNl.4,
«5, a*)9. — Act. deNa, de Zn.!»6,
482 iUamonei).
— {Sitru'^-). Form. dans Tact, du
Zn-élhyle sur le nilro-éthane, 26,
250 {Bewad).
Butane ilso-) (A7/ro-/-). Conduct.
éleclr. du dér. sodé, 26,610 [Suie].
— Form. par oxyd. de risobutyraU
doxime, 26, 992 {Bamberger).
(Nitro-) (Di-) . Form. par oxyd.
de l'oxime de l'isopropylisobutylcé-
tone. Propr., sels, 26, 537 {Pod-
Mio).
Butane (Méthtl-2-). Act. de Zn et
do Talc, étbyi. sur le dér.dibromé-2.4,
26, 282. — Act. de Tétlier roaloni-
que sodé sur le dér. dibromé-3.4 et
snr les dér. tHbromé8-1.2.3 et 2.3.4,
26, 283 ilpatiof).
— (MÉTHTL-2.2-) (Di-). Form. par
électrol. du valérate tert. do K, 26,
897 iPctersen).
— (Mkthyl-2.3-) iDi-). Tens. de vap.,
Tol. spécif. cl oonsl. critiques, 26,
72 (Youag, Fortoy). — Form. par
électrol. de Tisobutyrate de K, 26,
615 iPetorsoa).
BUTANE-S.a-DICARBONIQUE [B'CyaDO')
(Ao.). Form. par cond. du nitrila
Y'Cyaaobutyrique avec l'élher malo-
• nique sodé. Homol. s-méthyl., a-
éthyl., 3-isopropyl., 26, 199 [Mcl-
lor).
BOTANE-at-Y-DICABBONIQUE (at-CtTO-)
{y-Oxy-) (.\c.) . Form. de la lactone-
* a.Y à part, do la comb. bisulÛt. de
Tac. pVnivique. Propr., sels, hydra-
zone, 2S, 975, 976 [de Jong).
BlTTANE-DICABfiONlQUE (MbTHYL-) (Di*)
iOxy-) (Ac). Form. de la lactont a
part, des lactones oxy-dimétbylbu-
tanetricarboniques. Propr., 26, 1017
iThorpCy Perkia).
Butane - s.x. S .Ô - tétracarbonique
{Dilhio-^.S) (Etber). Form. à part,
de Téther dithiooyclopropane-télra-
carbonique. Propr., 26, 799 (Wen-
xcl).
Butane - ot.^ - f-T • tétracahbonique
(Etb§r).Prép.parcond. des éthersmé-
thylmalonique et fumarique. Propr.,
I, 472 [Micbael).
— (Ethyldimkthyl-) {Oxy-) (Ac).
Form. de la lactone à part, de Tac.
élhyldimétbylétboxycyclopentanone-
dicarbonique. Propr., 26, 1017 iPor-
kiûy Thorpé),
— (p-MÉTHYL-) (Ether). Prép. par mé-
thylat. de Télber butane-a.^.-y.Y-
tétracarbonique. Propr., 26, 472
(Michacl) .
— (y-Méthyl-J (Ether). Prép. par mé-
thylat. de léther ^-méthylpropane-
a.B.Y.Y-tétracarbonique. Propr., 26,
472 {Aficbaer).
BUTANB-flC.^.Y-TRIGARBONIQUE (OC-MÉ-
THYL-j (Ac). Prép. à part, de Téther
a-métbylbutane-a.^jr.Y-tétracarboni-
que. Propr., 26, 472 [Micbael).
— (S-MÉTHYL-) (Ac). Prép., propr.,
26, 472 (Miebacl).
BUTANE-a.Y.Y-TRiCARBONIQUE (^-MÉ-
TUTL-) (Ether). Prép. par cond. des
éthers carbonique et méthylmalo-
niaue. Propr., homol., 26, 469
(Micbaoï) .
Butanetricarbonique (Ethyldimb-
THYL-) [Oxy-] (Ac). Prép. des lac-
tones ci8 et iraD9 à part, de Téther
éthyldiméthyléthoxycyelopentanone-
dicarbonique . Propr., 26, 1018
[PerkiD, Tborpe).
— (MÉTHYL-) (Di-) {Oxy-} (Ac). Form.
des lactones à part, de Tac. dicar-
boxydiméthyllriméthyléne - malooi -
que. Propr., homol. triméthylé. Dér.
chloré, 26, 1016, 1020 (Perkin,
Tborpe),
Butoxysilicane (Iso-) {Cbloro-étboxy-
mctboxv'), Prép. au moyen de
SiCl*. Propr., act. de Taniline, 26,
577 [Kipping, Uoyd),
Butylaminb (y-Oxv-). Voy. Buttli-
QUE {•X'AminO') (Aie).
Buttlamine n. sec [Bromo^-). Prép.
au moyen de Talc amino-butylique
sec. Propr., sels, comb. avec CS',
avec le chlorure de benzoyle, 26.
385 (Strauss).
Butylamine (Iso-). Prép. des dér.
acélylé et benzoylé à part, de Vv^'. .
isobutylsnlfurique et de Tacétamide
ou de la benzamide sodées. Propr.,
sels, 26, 574 {Titberiey). — Act.
sur les éthers sulfocyanocarboni-
ques, 26, 1128 {Doran).
(Di-). Chlorh. acide, 2S, 977
(Coison). — Act. sur les éthers
phényliminothiocarboniques , 26 ,
892 [WbceJer, Austia). — Chai,
lat. ae vapor. et chai, spécif., 26,
945 {Kablenberg). — Act. du bro-
mure de p-xylyléne, 26, 986 (A/a-
uoukiao) .
(Ethyl-). Form* par réd. do
Pisobutylétbylhydroxylamioe , 26 ,
256 [Bcwad).
1386
TABLE DES MATIÈHES.
BoRNïLE (lodure|. Acl. da KOH, S«,
4Ki \Wagncr, Brickoer).
BotiNTLkitE. Prép. à pari, du borniol.
Propr., conslil., «0, 298 [Tsebu-
Steif), — Forra. i pari, dariodura
a bornyle. Propr., conelil,, S8,
M6(W»gnpr. Brickoer).
Boa-osTÉopLASHiDH. PoTiD. par dédou-
blement des albumin. d'os de bœur.
Propr., Mis. SS, 944 (Elard).
BottLEjtu. Prod. d'hydrol. du bois,
S«, 73Î (.Slofcri.
Brai. Voy. Goudron.
Brarsidique (Ac). Act. de CIO H,
Schùltn. — CéOttr beDz^&«rtfe
»vec dlT. csjTjfl [Zngnbiai.
iKoliler). — I. d« [orm. au nio}«o
lélrabromo de but)!', et d« KUII
latli. Bt .%, 8&8 \Broussi.{). —
de CI, ,r èieclrol.dtg isov«lèT«Uf.
Soluii , norm. at tert. de K, M.
410 '
'' jr dée. de l'oxyde j'iBobut> le par
H cbalcur an pria, de Al'O'. M.
fifl {Grigoripïi. — Vil. de forni.
à part, dei iodurai da bulfle larL
el d'iiobutyla el KOH alcool.. M.
œs {Broussaf). — Forn». par «Ue-
trol. des valérate lert. cl isoratt-
raie de K, ««, 897 (Petcmea-.
{Nilro-). Form. par rtéc. do oi-
trodimilhytacrylale d'elbyl«. U.
170, 911 iBouygaalt, Wtbl).
BuTTi.tNE {Iho-I (BroiDDre). Cond. anc
CH* et AlCI', «S, GIS iBoJrouxi.
BuTTLicNt (Mbthyl-î-)- ForiD. par
pyrogin. de Talc. amyl. lert.. M.
«13 (IpaUcf).
-~ (Mkthtl-S-1. Acl. de AzUC). M,
193 (/pjiicfl.
BuTTLilHI-i (MtTilTI.-i-l. Act. de
AïO'H rum., SS, aOl IHauretall.
Wêhl). — Comb. avec CIOH- )>*»
chlori. dibi'DtDUre, M, 461 l'/ûat-
Moaity), — Form. par pyrogÉn. d>
l'aie, amyl. tert., SU. 612 ilp»tirr,.
— Form. B part do dibromo-t.S-up-
penlaaa. SC, 614 iGuslJvsriDl.
— (MiTHTL-î-S-] (Di-). Prep. dû dw.
dichlorê a pari, de la piaacnM,
Propr., dibronare, ••, !<i>5 [Koa-
dàkot).
BuTTLÈ^K-DUlltN■'M. FonD. parnd.
éloclrol. du methylurarile. Pinpr .
sels, S«, &»{Têlal. Weiaiehft'.
BuTTLGi.TcoL-t*4. Prép. à part, i*
la diamylioe. Propr., diacéliae,tS.
339 {Hamoaet).
BuTyLOLTcoL.S-A (Méthtl-ï-i. Fur»-
de l'oxyde i pari, du dibromo-l-l-
utlhyl-S-bulane, S«, «83 {lp»titl<>
BuTïL«YDB»riNii. Prép., prt>pr., àér
benioylé, C8, 116! \Slollé].
BtrTTLHTDROXILlHINC (EtUTL-WO-I.
Form. par cond, da nilrwU»»''
arec le linc-éihyle, propr,, ■*■*'
S«, Sne ISoirad) ) M, 749 \Dtt'»-
Im, Goaldiag).
BuTTLiilL'i(Alc!). Comb. avecladipli^
nylcarbaiide, CS, 4SS {Camffr"-
— Pduv. rotat. de l'iaovalérala ad..
SS, 6n0 [Qaye). — CoimA- <>»
carhonalea mixlea de phénol cl ^
Bijacoi, SS, 634, liSG iCaitarw*' -
— Dëlarm. cryosc., S«, M8 (Lw
mia). — Form, de l'aie, el duTalc
rale norm. par *lfclrol. da Tiaou-
lirale de K, S«, 1197 (PelMWw).
A
TABLE DES
^^p. par réd.
*^. Propr.,
^9, m
MATIÈRES.
1289
lone.
rauHê).
réduct.,
nst. therm.,
, ^-^^ Pouv. rotat.
^ 'VV'^ ^S, 550 ( Guye).
^ ^ '. Comb. mol. ;
^ Al, «S.555 (Per.
'^ - Acl. sur le cnlor-
^ t^ ' et propr. du chlop-
■%.' élhyl. Act. du chlor-
'* sur le fflycol,S6, 576,
uDc), — (>)D8tit. du car-
lixte do phényle, !K, 634
"uvc). — Acl. sur CaC* au
, «S, 896 [Lefebvrc). — Pyro-
•l , «6, 370, 534 Hpatioî). —
'«• sur le pouv. rolal. du tartrate
■élhyle, t«, 460 (PattersoD). —
Acl. sur rélhoxymélhoxydîchloro-
wlicane, %e, 577 {KippJng, Lloyd).
"-7 Etbcrs-oxydes mixtes des p-
nilro- et p-omino-phéools, S6, 706
{Spiegol, Sabbath). — Hydrol. de
i acétate en pr^s. de div. métaux
Pulv.. «s, 736 iSuIc). — Vit. d'act.
|ur Téther beozène-sulfonique, <6,
859 {Zêgrebia). — Form. par élec-
|rol. do l'isovalérate de K, «•, 897
\Potcrson). — Form. d'isobutyrate
pans racl. de Télhylale d'Al sur
iald. isobutyrique, ««, 967 [Tist-
cbeûko).
Bi^TYuouK (l«o- Icrt.) (Aie). Comb.
avec la diphônylcarbazide, SS, 453
{CaEeneuvc). — Prép. par.cond. de
I iodure de Mg-méthyle avec l'acé-
tone ou le chlorure d'acélyle, IBS,
W4, 645 {Tissier, Grigoard). —
<^xyd.; form. d'ald. formique, 1HI,
^0 {MunikeD, Brown, FroDch). —
Vit. d*act. sur Téther benzène-
sulfonique, «6, 850 {Zagrnbin). —
Form. par électrol. de Tisovalérate
et du valérate tert. dç K, 26. 897
{P^iopReo).
BUTYLSULFURIQUE (IsO-) (Ac). Acl.
<)q sel de K sur l'acétamido et la
benzamide sodées, eS, 574 [Ti-
ihcriny).
Ri^tthamioine (Iso-). Prép. des dér.
nllros«'« et hydroxylaminé à part, du
nilriie hydroxylamino-isobutyrique.
P^pr.. ncls, act. di» CAzK, SU,
971, V»72 iPihty, Srhwonn).
ButYRHYDROXAMIQUK (ISO-) (Ac.)«
Form. par oxyd. de risobutyral-
doxime, S6, 992 (Bamberger,
Scboutz) .
BUTYRIMINO-ÉTHTLIQTIK (HyDROXTL-
* AM1N0-IS0-) (Elher). Prép. au moyen
du nitrile hydruxylamino-isobuty-
rique. Propr., «6, 971 (Pihty,
Schwarin),
BuTYRiNE. Voy. Butyrique (Ac.J.
Butyrique (Ac). Form. de lôther
éthyl. dans Tact, du couple Zn Gu
sur le chlorure de butyryle en
prés, de l'éther, !tS, 3 {Froundler),
— Bromurat., S6, 61 {E. Fiseber,
Mouapyrat), — Form. par hydrol.
de rétbercyano-étbylmalonique, <S,
274 (Hallor, Blanc), — Const.
therm., S5, 361 (Dclépine). — Chai,
lat. de vapor. du nitrile, !K, 384
(LouguÎDinfi) . — Acl. sur le nitrate
de brucine, !Û, 428. — Comb. avec
la diphénylcarbazide, S5, 451 (Caie-
neuve). — Pouv. rot. de l'éther iso-
amyl. act., SS,549 {Guye). — Form.
parhydrol. de l'éthero-butyrylacétyl-
acétique, 2S, 649 {BouvcauU, Bon-
gert) . — Form . de la phénylhydrazido
et de l'hydrazide à part, du buty-
rylacétylacétale de méthyle, SS,
696 iBongert). — Act. lipolytique
des hydrates de Fe, Al, Zr sur le
glvcéride, «6, 699 [Hanrioi), -
Elliérif. par le géraniol, SS, 889
[Charabot, Hébert). — Indice de
rcfract. de la tributyrine, S6, 63
[Partbotl, Volsen). — Point de
fus. do l'anilide, «6, 287 iSalzcr).
— Prés, de l'élher méthyl. dans
l'huile de bois, «6, 439 {Fraps).
— Dos., «6, 442. — Acl. de la
lipase sur l'éther élhyl., 26, 445
(Kastio^ Locvcnbart). — lodurat.
par ICI, 26, 4a5 {Zoroof). — Poids
mol. en sol. dans AzO', 26, 527
{Bruni, Berti). — Oonst. diéloctr.
du nitrile, 26, 6'K) {Scblundt) . —
Electrol. du sel de K. Form. d'élher
propr. et isopropyl., 26, 615
{Pctcrscn). — Infl. du sel de Mn
sur la vil. d'oxyd. des sol. oxaliques,
26, 659 {Jorisscn, Bcicber). —
Cond. de l'élher éthyl. avec la dié-
thoxyrésacétophénone, 26, 720
(Kostanecki^ Tambor). — Infl.
cotai, du nitrile sur div. réactions,
26. 1068 {.\fiebael).
— (oL-Aminch) (Ac). Prép., propr.,
sels, dér. benzoyié, benzène-sulfoné.
Dédoublement. Sels de morphine,
brucine. I^om. d et 7, 2S, 62 {E.
Fischer, Mouncyrat) . — Cond. avec
l'isocyanale de phényle, 2S, 558
{Moitneyraty — Cond. de l'élher
élhyl. avec la phtalimidc potassée,
26, 96 ^ Gabriel, Cniman\. —
1288
TABLE DES MATIÈRES.
BUTYLCARBINOL (AlLYLMÉTHYL-) .Prép.
au moyen de la butylméthylcétone
et de l'iodure d'allyle. Propp., acé-
tate, oxyd., «6, 531 {TaUef). — -
Oxyd. parKMaO*, «6, ttl8 {Talantr
zeff).
BUTYLCARBiNOL (AlLYLIIBTHYL-) SeC.
Prép. au moyen de l'iodure d'al-
lyle et de la butylmc'Uhylcétone
(sec.).Propr., 26, 532 {Talief).
BuTYLCARBiNOL (Allylméthyl-) Terl.
Propr. du prod. d'oxyd. par KMnO^
1te,^QS{AlctcbDikof),
BUTYLCARBINOL (MÉTHYL-I80-) . PyrO-
génat., 26, 370 (Ipatief).
BUTYLCARBINOL (ISOPROPYL^ISO-) . Ppép.
au moyen de Zn-isobutyU et du
chlorure d*isobulyryle . Propr.,
oxime, act. de AzÛ'H, S6, 537
{PoDzio),
BuTYLCÉTONE (Méthyl-). Prés. dsns
rhuilo de bois, S6, 439 {Fraps),-^
Cond. avec Tiodure d'allyle et Zn,
«6, 581 {Talief). — Vit. de comb.
avec rhydroxylamine et Thydrazine,
«8, 896 {PetrcnkO'Kritschenko,
Lordkipanidzc). — Gond, avec le
benzile, !M, 1116 [Japp^ Mcidrum).
BOTYLCÉTONE (MÉTHYL-) ScC. Prép.
par déc. de î'éther méthyléthylacé-
tylacétique. Cond. avec Viodure
d\llyle et Zn, «8, 532 [Talief).
BUTYLGKTONE (MÉTHYL-180-) . Fonn.
Ear pyroi^n. du métbylisobutylear-
inol, tes, 370, 611 [Ipatief),
BUTYLDIÉTHYLBNE - DIAIIINE ( Dl « ) .
Form. à part, de la leucinimide.
Propr., «6, 22 [Cohn).
BuTYLE (lodure). Vit. d'acl. de KOH
alcool., S8, 858 [Broussof).
BuTYLE aec. (lodure). Vit. d'act. de
KOH alcool., «6, 858 (Broussof),
BuTYLE (Iso-) (Bromure). Réd. par
Na en sol. amyl., ItB, 621 (LowcD'
beri),
(lodure). Réd. par Na en aol.
amyl., 26, 621 (Loweaberz). —
Vit. d'act. de KOH alcool., !M, 858
[Broussof) .
[Nitrite), Act. sur l'aie, éthyl.
en prés, de HCl, S8, 251 (Kisscl).
BuTYLE (Iso-) (Oxyde). Déc. par la
chai, en prés, de Al'0% !M, 612
[Grigorief),
BuTYLK (Iso-tert.) (lodure). Vit. d'act.
de KOH alcool., S6, 858 [Brous-
sof).
BuTYLE (Iso-) (Di-). Voy. Hexanb
(MÉTHYL-2.5-) (Dl-).
BUTYLE-ÉTHYLE (ISO-) (Oxydc). Vît.
de form. à part, de Talc. Isobutyl.
et de réther benzéne-sulfonique,
26, 859 (Zagreb in).
BuTYLE-ÉTHYLE ^Iso-lert.J (Oxyde) .
Vit. de form. à part, de l'aie, butyl.
terl. et de I'éther benzèce^cvli»-
nique, S8, 859 [Zagrcbim.
Butylène. Vit. de lorm. au iBo?«tt
de l'iodure de butyln et de Koi!
alcool., S8, 858 {Broussof ^. ~
Form. par électrol. aes isovelérttie*,
valérate norm. et tert. de K, 96.
897 [Petersea).
BuTYLÈPfE (Ï80-). Comb. avec ClCfti,
S6, 641 [Kraasouskx-). -^ Forai.
f)ar déc. de l'oxyde d'isobutyle par
a chaleur en prés, de Al'O*, M,
612 [Griaoricf). — Vil. d« form.
à part, des iodures de butxle terl
et d'isobutyle et KOH alcool.,
858 [Broussof). — Form. par
trol. des valérate tert. et %i
rate de K, 26, 897 [PûtcrseoK
(Niiro-). Form. par déc. du ta-
trodiméthylacrylate d'élhyle,
270, 911 [BouveauU, Wêbl).
Butylène (Iho-) (Bromure). Cond.
C*H» et AlCP, 2S, 625 {Bodtnuji^.
Butyl EN B (Méthyl-2-). Form. par
pyfogén. de Talc. amyl. tert., é6.
612 (JpaUof).
— (Métuyl-3.). Act. de AzOCl. 66,
293 [Ipatief).
BtrrYLBNB*2 (MftTiiTL-2-). Ad. de
AzO'H fum., 1K, 801 [Bour^mutt,
WabI). — Comb. avec ClOH. ÎMr
chloré, dibromure, 66, 461 iKtmê-
sousky), — Form. par pyro^n. di
l'aie, amyl. tert., !M, 612 tlp^Uef).
— Form. à part du dibromcKl.;{-4so-
pentane, !M, 614 [Guatavsoo),
— (Mkthyl.2^) (Di-). Prép. du éèr.
dichlorë à part, de la pinaomie.
Propr., dibromure, 66, 565 [Kom-
dakot).
BuTYLÈNE-DiAMiNK-1-3. Form, p«r féd.
électrol. du méthyloracile. Propr.
sels, 66, 695 (Taîol, Wcinseheml -
BuTYLGLYCOL-1-4. Prép. à part- d»
la diamy Une. Propr., diacétioe^ 6S,
339 [Hamonei).
BuTYLOLYCOL.2-4 (MÉTHTL-8-). F4>nik.
de l'oxyde à part, du dibronu^î-t-
méthyl-2-butane, 66, 283 [ipatief •
BuTYLHYDRAZiNK. Prép., pn>pr., dér
benzoylé, 66, 1162 [StcUéi.
BUTYLHYDROXYLAMINB (ETHTL*tMK'.
Form. par cond. da oUroélhaar
avec le zinc-éthyle» propr.» ««U^
66, 256 lBowêd\ ; 66, 749 {Dmas^
ton, GouIdÎDQ).
BuTYLiQUB (Aie!). Comb. arecla àijfh^
nylcarbaside, 66, 453 {CaxeMtmrti,
— Pouv. rotat. de risovalénte act «
65, 550 [Ouye). — ConsUt àm
carbonates mixtes de phéoot el dt
gayacol, 66, 6S4, 635 {Castaemrr .
— Déterm. cryosc., 66, 508 {Loif-
mis). — Form. de Talc, et du val*^
rate norm. par électrol. de neara*
lérate de K, 66, 897 (Peferseo).
TABLE DES MATIÈRES.
1289
— iy-AwinO') (Aie). Prép. par réd.
du Dilrile Y-oxybutyrique. Propr.,
dér. benzoylé, 9S, 978; S6, 3^
(Heory).
BuTYUQUK sec. (Aie). Prod. d*oxyd.,
Ml, 441 [MuUikcD, Scudder).
— (AmiDo-i-) (Alc.^ Prép. par réd.
du dér. Dîtré. Propr., S6» 383
(Henrv).
— {Amino-S') (Aie). Prép. par réd.
de risonitrosométhyléthylcétone.
Propr., thio-urée,e6, S84($<r«u.Ha).
— (Jyitro-S-) (Aie). Propr., réduct.,
9m, 383 {HoDry),
BunrLiQUi: (Iso-) (Alc.).Con8t. therm.,
M», 361 {Dolépine). — Pouv. rolal.
de l'isovalérale act.. 2S, 550 [Guye),
— Act. sur AlCl*. Comb. mol.;
chlorisobutylate d'Al, !tS, 555 [Pcr-
rier^ Pougct). — Act. sur le cnlor-
acétal. Form. et propr. du cblor-
acétal mixte élbyl. Act. du chlor-
acétal mixte sur le glycoUSS, 576,
581 {Delôpioc). — OjDStit. du car-
bonate mixte de pbényle, SS, 634
{CazeDcuvo). — Act. sur CaC" au
rouge, 2S. 896 JLe/e/>Kre) . — Pyro-
f rénal., ee, 370, 534 (Ipaiioi). —
nfl. sur le pouv. rolat. du tartrate
d'étbyle, S6, 460 IPatlcrsoo). —
Act. sur l'étboxyméthoxydicbloro-
silicaoe, SU, 577 {Kipping, Lloyd).
— Elhcrs-oxydes mixtes des p-
nitro- et p-omioo-pbéDols, <6, 706
{Spiegol, Sabbath). — Hydrol. de
l'acétate en pr^s. de div. métaux
pulv., es, 7.S6 {Suie). — VU. d'act.
sur l'étber bcnzcne*sulfonique, tS6,
fôO {Zagrebiu). — Form. par élec-
trol. do l'isovalérate de K, 99, 897
{Petoraco). — Form. d'isobutyrate
dans Tact, de Téthylate d'Al sur
raid, isobutyrique, 9H, 967 (Tiit-
chenko).
BuTTLiouK Hso- tert.) (Aie). Comb.
avec la diphènylcarbazido, 9&, 453
(Careneuve). — Prép. par.cond. de
l*iodure de Mg-méthyle avec l'acé-
tone ou le chlorure d*acétyle, SS,
644, 645 (Tissier, Grignard). —
Oxyd. : form. d*ald. formique, 8€,
370 [Mu/IikeD, Brown, French), —
Vit. d*act. sur Tétber benzène-
sulfonique, 9H, 859 {Zagrvbin). —
Form. par électrol. de l'isovalérate
et du valérate tert. dç K, S6, 897
iPêtrrseo) .
Bdttlsulpuriqub (Iso-) (Ae). Act.
du sel de K sur Tacétamide et la
benzamide sodées, !M, 574 [Ti-
ihorhy).
BuTTRAMiDiNK (Iso-). Prép. des dér.
nitroMA et hydroxylaminé à part, du
nilrile bydroxylamtno-isobutyrique.
Propr.. Pels, act. de CAzK, 9S,
971, U72 {Piloty, Schwfnn).
ButYnHYDROXAMIQUB (ISO-) (Ac).
Form. par oxyd. de risobutyral-
doxime, 9H, 992 [Bamberger,
Scbeutz) .
BUTYRIIHNO-ÉTHYLIQUE (HyOROXYL-
AM1NO-ISO-) (Elher). Prép. au moyen
du nitrile hydruxylamino-isob«ity-
rique. Propr., !M, 971 [Piloty,
Schworin).
Butyrine. Voy. Butyrique (Ac.J.
Butyrique (Ac). Form. de létber
ëthyl. dans Tact, du couple Zn Cu
sur le chlorure de butyryle en
prés, de l'élher, !B5, S (Frouûdîer).
— Bromurat., SS, 61 [E. Fischer,
MouDcyrut). — Form. par hydrol.
de l'élher cyano-éthylmalonique, SS,
274 (Hallor, Blanc), — Consl.
therm, irs, 361 (/)cicpiiie). — Cbal.
lat. de vapor. du nitrile, 9fm, 384
(Louguiniao) . — Act. sur le nitrate
de brucine, 2S, 428. — Comb. avec
la diphénylcarbazido, 9Z, 451 (Cazc-
neuve). — Pouv. rot. de l'élher iso-
amyl. act., <S,549 {Guyc). — Form.
parhydrol. de l'éthero-butyrylacétyl-
acétique, 9fm, 649 (BouveauU, Bon-
gert). — Form.de la phénylhydrazide
et de l'hydrazide à part, du buty-
rylacétylacétate de méihyle, Ù,
696 iBongert). — Act. lipolytique
des hydrates de Fe, Al, Zr sur le
glycéride, «S, 699 (Hanrioi), -
Elhérif. par le géraniol, SS, 889
[Charabot, Hôbcrt). — Indice de
rêfracl. de la tribulyrine, 9H, 63
[Parthoil, Voiscn) . — Point de
fus. do l'anilide, 9%, 287 (Salzer).
— PK'S. de l'élher méth^I. dans
l'huile de bois, 99, 439 {Fraps).
— Dos., «8, 442. — Act. de la
lipase sur l'élher élhyl., 9H, 445
(Kasth^ Loovrnhart). — lodurat.
par ICI. ««, 4a5 {Zornof), — Poids
mol. en sol. dans AzO', 9B, 527
{Bruni, Bertî). — Const. diéloctr.
du nilrile, «6. 6'I0 (Scblundt) . —
Electrol. du sel de K. Form. d'élher
propr. et isopropyl., 9S, 615
{PctcrsonK — Infl. du sel de Mn
sur la vit. d'oxyd. des sol. oxaliques,
S6, 6.59 {Jorisscn, Bcicber). —
Cond. de l'élher éthyl. avec la dié-
thoxyrésacélophènone, 9S, 720
(Ko%tanocki, Tambor). — Infl.
calai, du nitrile sur div. réactions,
9U, 1068 {Miebacl).
— io.Amino-) (Ac). Prép., propr.,
sels. dér. beozoyié, beozène-sulfoné.
Dédoublement. Sels de morphine,
brucine. I<«om. d et /, !SS, 62 {E.
Fischer, Afouneyrat) . — Cond. avec
risocy anale de pbényle, 9S, 558
{Mouneyrat\. — Cond. de Télber
élhyl. avec la phtalimidc potassée,
S€, 96 {Gabriel, Cnlmam, —
1290
TABLE DES MATIÈRES.
Prép. et propr. de Téther élhyl.,
««, 748 [È. Fischer) .
— {^Amino-) (Ac). Ether éthyl., S6,
743 (E. Fischer),
— iy-AmittO') (Ac.) . Ether éthyl.» 1t%,
744 (E. Fischer),
— {Amino-oxy-) (Ac). Prép. par
réd. des oomb. de Az*0* avec les
ac. et étbers crotoniques, Stt, 968
Egorof) .
— {oL-BromO') (Ac). Prép. propr.,
act. de AzH», eS, 61 {E. Fischer,
MouDeyrai), — Act. sur la pyridine,
!tS, 528 (Simon, Dubreuil). — Aci,
de la diétbylaoiline sur Téther a-
bromobatyrique, ItS, 646 [Wahl),
— Cond. de Téther éthyl. avec les
phénols sodés, S€, 11, 12. —
Cond. de Véther éthyl^f avec les
nitrophénols et les diphénols sodés,
««, 44 (Biscboff) .
— {a-Bromo-p-oxY-) (Ac). Fonn.
par comb. de BrOH avec l'ac cro-
loniaue, «6, 166, 874 iMclikoff).
— (p-broiMO-ot-ox/-) (Ac). Prép. à
part, des ac crotonique et ^•métnyl-
glycidique. Prbpr., CH. 166, ^4
[Mâlikoff) .
— (^-Cbloro-) (Ac). Cond. du nitrile
avec réther malonique sodé et ses
homol. roéthyl., éthyl., propyl., S6,
199 {McUor) .
— (çt'Chloro-^xy-) (Ac). Prép. à
part, de Tac isocrotonique, propr.,
M, 166 (Mclikoft) .
— (^Chloro-X'Oxy'') (Ac). Prép. à part,
des ac. isocrotonique et isométbylgly-
cidique. Propr., isom., tS6, 166
(Mélikon) .
— {oL'CyaoO') (.\c.). Fonn. à part, de
Tac. cyanonéthyl malonique. Anilide,
SS, 274 [Hallcr, BlaDc\ - - Cond.
avec le diazobenzéno et les o- et
p.diazotoluënes, <S, 696 {Faire I).
— {t'CyaDO-) (Ether). Form. à part,
de l'ac a-oximino^dipiquo. Propr.,
sels. M, 88 (Dieckmaoû).
— (a-Iodch) (Ac). Prép., propr., 1(6,
465 iZcrooi).
— iy-Ôxy-) (Nitrile). Réducl., SS,
978 ; ««, 383 (HcDry).
Butyrique (Aid.). Form. par réd. du
chlorure, 1U», 3 [FreuadJcr). —
Form. par électrol. de Tisovalérato
de K, ««, 897 (PetcrscD\.
— {y-Amino-) (Aid.). Prép. de Tacé-
tal i part, de l'acétal B-cyanopro-
pionique. Propr., «6, 976 {WohI).
BuTYRiQLB (Iso-) (Ac). Pfés. de
réther méthyl. dans Thuile de bois,
ee, 440 iFraps). — lodur. par ICI,
«6, 465 {Zornof). — Consl. diélectr.
du nitrile, ««, 600 [Schlundt). —
Rlectrol. du sel de K. Form. d'éther
isopropyl., SU, 615 [Potcrsen). —
Form. d*éther isobutyl. daas raei.
de l'éthylate d'Al sur laid, m^
butyrique, 8€, 967 iTiatehûako], —
Prép. de l'anh. à part, du cbkinuv
et de la pyridine, S«. 969 ( U'orfe.
kinJ} .
ioi'AmiDO-) (Ac). Fonn. • part.
de Tacétone et de CAz. AxH\ 9M^ Ht
(Gulewitsr.h),
— — (a-Bromo-) (Ac). Cond. <W
réther avec les phénols sodés.
1K6, 11, IS (BischoO). — Coud, é^
réther éthyi. avecTald. propioniqtM,
C«, 618 (Scbischkorsky, Bétor-
matsky). — Prép. de Tanb. am
moyen du bromure et ds la pyTidla«,
S«, 969 {Weâekind).
{gi'Hvdroxylamioo-) (Ac). Oxyd
du nitrile par Cl. Imino^éUMr, elh^
élhyl., «6,970 [Piloty, Schwnn
(a-/o</o-)(Ac).Prép., propr, 96.
466 [Zernot).
iNitro^ (Ac). Form. du sitnk
et ae l'amide à part. de# dcr.
hydroxylaminé ou nitrosé, SS, 8?l>,
971 {Piloiy, Scbweria).
{NitrosO') (.\c.). Prép., propr.
amide, étbers, act. de l'anilioe sar
le nitrile, ««, 970, 971 (Piîott,
Schworio).
(at-Oxv-) (Ac). Form. à part.
du dér. x-iodé, «6, 465 Zrraof .
— Form. à part, de Tald. s-brooto-
isobutyrique. Nitrile, 96» S93
[FraDkt] ,
Butyrique (Iso-) (Aid.). Form. sar
pvro^én. de Talc, S6, 370, iSi
Ijpatjcfj, — Act. de Br sur U
'ro^én. de Talc, S6, 370,
patjol), — Act. de Br s\
trimére. Dér. brome, trimère,
8^, 893 (Franke). — Cond. aw<
raid, formique, S6,894 fUVsseir
— Form. par électrol. de nsoviU-
rate de K, «6. 897 iPrters^a . -
Act. de l'éthylate d^Al, ««« 9C
{Tistchonko) . — Oxyd. de roxins
par le réact. dei Caro, 9%, iM
{Bamborger. Schoutg*.
(a-Ox/-) (Aid.). Pr*p. à part,
du dér. x-bromé. Propr., oxubc
«6, 893 {Fraake).
BuTYRYLACÉTiQUE (Ether). Form. par
hydrol. de Téther butyrylaoéulaet^
tique. Propr., sel de Cu, 1K, 640^
(Bouveaullf Bongert).
— lAcÉTYL-) (Ac). Prép. de» élhan
méthyl. isom. [o et c) au mo)*s i&
chlorure de butyryle et de Vtih^
acélylacétique sodé. Pr»pr , <&.
048 [Bouveault, Boogerl).
— (AcKTYL-Di-) (Ac). Prép, ti prap*
de réther méthyl., t6, (Uv (iN«-
veau/f, Bongert},
BuTYRTLACKTOMB. ForTO. par hydrol.
de réther butyrylaeéiyUoMiqvc.
;, 649 [Bouvcauii, Bodg*^».
TABLE DES MATIÈRES.
1291
BuTTRYLE (Chlorure/ . Act. du couple
Zn-Cu, es, 3 {FrouDdhr). — Act.
sur Tacétylacétate de niéthyle sodé,
iSS, 648 {BoureauUy Bongert), —
Cond. avec racétanilide et AlCl',
5B€, 638 [Kunckoll).
BuTTHYLE ( AcÉTYLK-) . Dér. diméthylé
de la dioxtme, ^6, 53/ {Ponxio),
Bu TYRYLK (ACKTYLE-ISO-I . Oéf. dîacét.
d« la dioxime, S6,-5il7 (PodeIo),
BilTYAYLB (Di-). Dioxtme, osazone,
5B€, 1126 {Poikzio).
BuTTRYLB (Di-180-). Forin. de la
dioximo par oxyd. de Toxime de
l'isopropyltsobutylcétone, CH, 537,
\\m(PoDiîo).
BrTTBTLE (Iso-) (Chlorure). Cond.
avec le Zn-isobutyle, S6, 5:17 (Poii-
mio). — Transf. en anh. par la
pyridioe, ««, 969 [Wodekind).
{%'Bromch) (Bromure). Transf.
en anh. par la pyridine, Stt, 969
( WedckiDd).
BUTTBYLHYDIUZINB (Dl-1-2) . Prép.,
propr., es, 772 iSloJIé).
BUTTRTLMALIQUB. Vo)'. MaLIQUB.
Cacodyuql'c (Ac. Destruct. ie la
mat. organ. pour la recherche de
As, es, 952 (Dcnigpsf.
Cadavkrine. Voy, Pextaméthylène-
OIAMINE.
Cadb iHuilei. Constit., extract, du
cadinène, es, 247, 931 {(Jâthûliaeau,
/fausser.
Cadinène. Kxtr. de Thuile de cade.
Chlorh., es, 981 (CatbdiDoau,
Hausser). — Prés, dans l'essence
de santal, e€, 20 {Deussea).
Cadmilm. Propr. du sulfate double de
K. Hydrate, eS, 128 [Wyrouhof/) .
— Act. de HgO sur les chlorure,
bromure, azotate et sulfate. Sels
doubles basiques de Hg et Cd, eS,
791 {Mailbr). — Act. de CuiOH)*
sur le sulfate. Sel double basique.
es, 968 (Hccoura). — Infl. de CclBr*
sur la bromur. de C*H*, eS,
43 {Kaufmann^. — Coeff. de par-
tage de AzH' entre CHCP et les sol.
aq. de CdP, e«, 71 {Dawsou,
Mae Crac). — Sépar. d#» Cu par
Tac. oxaliaue, eS, 281 \Peters). —
Conduct. électr. du chlorure double
de K, ee, ifeS tLindsay). — Electrol.
des sol. ammon. <^es sels, eS, 449
{Dawson^ Mac Crao>. — Energie
de l'hydrate, eS, 521) (Carrara,
VfBpigoani). — Uiff. de potentiel
entre Cd et les sol. de Cdl* d.ins
raoétonitrile, eS, 522 (Kabhnberg).
Tens. d'inversion de CdSO*, eS,
528 {Baraos) . Prép. et propr. de Cd
colloid.^ es, ô91(Brcdjg). — Bel.
entre la conduct. électr. do
CdSO* et son act. toxique sur les
Soissons, es, 603 {Kabhnberg,
febl), — Béd. du nitrate par Tac.
lactique, eS, 666 ( Vaaino^ Hausor).
— Propr. colloïd. du sulfure, eS,
839 (//arc//) . — Distill. de Tamalgame,
es, 847 (Hutett). — Pouv. rot.
magnét. de CdBr* et CdP, eS, 849
{Forcbeimer). — Thermodyn. do
l'élément Weston (Hg.Hg*SO*-CdSO*.
Cd amalg). Propr. de l'amalgame,
solub. de CdSO\ eS, a'VS, 854
(Cob-D) ; e«, 854, 855 (Jaeaer,
Lindeck). — Propr. des sullates
doubles hydratés ferreux, eS, 857
{Storlonbccker). — Polaris. et dens.
de courant de CdP fondu, eS, 869
(Goekeî). — Force électrom. de div.
élém. au Cd, eS, 1049 {Jaeger,
Liadeck). — Conduct. électr. des
iodures doubles de (M et K ou Sr,
du sulfate double Cd-AzH* et du
chlorure double Cd-K, eS, 105S
{JoDcs^ CaldwcJl).
Cafamarine. Prés, dans div. cafés,
propr., es, 380 [Bertrand).
Café. Compos. du café de la Grande-
Comore, eS, 326, 379 {Bertrand).
Caféine. Non-exist. dans le café de
la Grande - Comore, es, 326,
379 [Bertrand). — Act. de Br et
HBr. Bromhydrate, dl- et tri-bro-
mures, es, 775, 776 [André). —
Act. de C"H"I. lod- et chlor-élhylates,
chloroplatinate, eS, 302 [ïiosso-
limo). — Oxyd. mangan., e6, 576
{Jolies). — Propr. et dissoc. des
sels, es, 644 [Paul). — Form. par
méthylat. de la mélliyl-l~xanthine,
es, 693 (/C/à^er) . — Titrage par
I, es, 730 {Kippcnberger\. —
Synth, à part, de la cyanacétyldi-
mélhylurée, es, 759 (\V. Traube).
— Transf. dans l'organisme, eS,
827 [Krûger, Scbmidt). — Béd.
electrol. en sol. sulfurique, eS,
861 {Tafel\. — Act. de div. réact.,
" Scbji
I, 958 {Scbjcrning).
— (Ethyl-). Prép., propr., sels, eS,
302, 726 [Bossolimo).
— (Hydro-). Oxyd. mangan., eS, 576
[Jolies).
— (Hydroxy-). Béd. electrol., eS,
752 [Tafeh.
Calcite. Voy. Calcium.
Calcium. Act. de CaCl' sur le plato-
oxalonitrite de K, eS, 165 [Vezes).
— Act. de C sur CaCO* et CaO, eS,
282 ( ^0(1 Jouard) .— Tri-antimoniates,
129S
TABLE DES MATIÈRES.
SS, 289 (Doyacroiz;.— Teneur en Ca
des ferrosiliciums, 9S, 291 {Jouve),
— Dec. limitée de CaCO' par leg
ac. en prés, d'alcool et d'acétone,
S5, 394 {Vallée). — Borate tribas.»
SS, 524 {Ouvra rdj. — Nouv. var.
de CaO pripmat., US, 611, 710
(Jouve). — Osmyloxalate, !B5, 693
[Wintrebcrt). — Act. de CaCl"
ammon. sur H*0'; form. de CaO*,
8 H"0, «5, 709 (Arth). — AcI. au
rouge de CaC sur les aie. amyl.,
isobutyl., éthyl. et méthyl., S5« 896
{Lefebvrc). — Titrage de PO*H»
par l'eau et le sucrate de chaux,
SS, 90S {Cavalier). — Infl. des
sels ammon. sur la dissoc. des sol.
de Ga(OH)% SS, 962 {Dover, Van
Chef/). — Neutral. de PO*H* par
CaO en prés, de div. indical., is,
968. — Équil. entre CaO, NaOH et
PO*H» et entre CaCl* et PO*H», «6,
967 (BcrtheJot), — Appl. du phos-
phate neutre au titrage de Turane,
kS, 1001 (A/ciiicr). ~ Prép. et propr.
de PO^NaH anh. (monétite), !tS,
1008. — Synth, de la boronatro-
calcite, SS, 1061 (de Scbulten). —
Infl. de CaCl' et de CrO^Ca sur la
solidif. des ciments, du plâtre, de
la chaux, SU, 4 {Robiaad). —
Décomp. de Torthoplombate par la
chai., xH, 85 {KassDer). — Infl.
de CaBr* sur la bromurat. de C*H*,
M, 4*^ {Kaufmann). — Teneur en
sels de Ca des os d'un éléphant
fossile, S6, 164 {Bemmclon, Klob-
bie). — Décomp. de (C10*)'Ca Dar
la chaleur. Form. de CaCl*, M,
243 {Sodeau), — Déterm. du poids
atom. à part, de CaCO', 26, 244
{HerMfela). — Propr. des div.
chromâtes, 26, 277 (Mylius, Wro-
cbem). — Aluminate, 26, 361
(AllcD, Bogcrs) . — Do», dans les
minerais de Pe et Al, 26, 308
{Blum). — Anal, de CaC, 26, 440
(Erdmanu, Unruh), — Nitrohydro-
xamate,26, 519 {Angelû AngoUco).
— Comb. de CaO, H'O avec le
silicate d'Al, 26, 525 (Bebuffat).
— Appar. pour le dos. de CaC",
26, 525 {Magnanini, Vannini). —
Déshydrat. de la sélénite et hydrat.
d'anhydrite; fus. avec NaCI, 26,
625 {Zunino). — Rel. entre la
conduct. électrol. de CaCl* et son
act. toxique sur les poissons, 26,
603 {Kablonberg, Mebl). — Dissoc.
du nitrate dans Teau et les aie.
méthyl. et élhyl.. 26, 66t) {Joncs).
— Constil. et propr. du chlorure
de chaux, 26, 667 [TicsenboH). —
Stabil., solubil. et transf. réciproque
de la calcite et de Taragonite. Act.
de l'oxalate de K, 26, 848 (Fooic).
— Vit. d'hydroK de COS par CaCP
26, 862 {Buehboekf. — Solobil. a^
CaCO* dans l'eau chargée de df.
26, 873 {Bodlaender^. — > iL d«
dissol. de CaSO\ 26, 878 'Bnmtr,
ToUoczko). — Dos. dans les «aat
naturelles, 26, 955 tWinkifrt.-
Rel. entre les tens. supert. «t li
solubil. de CaSON 26, iikl ^HmlHt
— Urano-oxalate, 26, 1066 'JEbà/-
acbutter, Bossi). — Act. <!• Aslf
sur les sels, 26, 11S4 iDswfom,
Mac Crae).
Caubragk. Voy. Apparsilji.
Calorimètres. Voy. Appar »l^.
Calyginb. Prés, dans div. lichens, 26.
647 {Hesae).
Camphamb [Bromo-i-nitro^i'). Acté^
alcalis sur Kanh., 2«, 2216. — Act.
de AzO'Ag, 26, 800. ^ Act. d^
AzH*OH sur Tanh., dér. hYàmtfi-
a minés isom. Propr., sets, éèr
diacét., 26, 802 {Forsier). — An.
de SO*H«, 26, 1119 {Forstor, A-
Mrtson).
— {Bromo-2'nitro*i-). Prép, à pmri,
du nitrocamphéne. Propr., dcr- fi-
brome, 26, 800 {Forster}.
— {Cbloro-i-nitro'i-). Act- et
SO*H'. Prép. et propr. de r«lL.
isom., dér. bentoyié, aitroBé* hvili^
xylaminé, 26, 1119 {Forstor^ H*-
bertson),
— (/odo-2-iiilro-f-). Prép. a paH
du nitrocamphéne. Propr.. 96, Iktt
{Forater) .
Camphaniqub (Ac). Sel d'hy
mine, 26, 57 IKipping).
— (Oxy-) (Ac). Sel d'hydrîadai
26, 500 {Kipping, Haih.
Camphanique (Homo-) (Ac.'. ÎVrp
au moyen de l'ac bromo-hoBO-
camphoriaue, Propr., 2C, 15fl
{Lapworth).
Camprènb. Héd. par H ea prè«. 4r
Ni et Cu, 2S, 610 (Sabmit^r. St%
dorons). — Prép. par dèc. du hor-
nylxanthogénate de roéthyle. l^rvar..
26, 185 rrachugaeiT). — OonaU..
26, 298 (IpatioJ). — For», è pan
de l'iodure de bornyie, 96. 4fi
{Wagner, Brickner). — CoaatiL.
act. de AzO'H, de At*0», 26. 5»
1012 (/)c/2vaiio/f)- — Constit.. iacn .
26, 588 {Kondakof, iMtaebtatM^.
— Constit., dibromare, dilork^ et
bromh., 26, 807. 808 {SemmÈei^
— {Amino-i'). Form. par rëd. 4m
dér. nitré. Propr., aels. der. b«a-
zylidén., pbénylurée^ 26,ttM ,ferf>
1er).
— {Bromo-). Constit.., 26, 808
{Se m m 1er).
— jEthoxy-), Prép., propr.. 26, 8«
{Semmier),
TABLE DES MATIERES.
129S
— (Nitro-i-). Form. à part, du
bromo-l-nili-o-l-camphane, pi-opr.,
S«, SOU {Forstcr).
— . (Oxv-i-). Form. à part, du dér.
aminé. Propr., ««,801. — Conslit.,
dér. benzoyié, S6, 1H7 [Forster),
Camfhènb (Bbnzoyl-2-) (Oxy-t-).
Prép. au moyen du camphre sodé.
Propr., sels, dér. acétylé. benzoyié,
phényluréthane, tH, 1117, 1118
(Forstcr).
Camphènb (Hydro-) (Di-). Form. à
part, des dibromuros de pinène et
de camphène, <6, 807, 808 (Somoi'
1er).
a-GAMPHOCABBONIQUB iOL-Oxy-) (Ac).
Prép. au moyen de )a campbo-
qaîDone. Propr., amide, dér. acetylé,
M, 592 [Lapwortb, Chapman).
Campbolactonb. Form. à part, de Tac.
aminodihydrolauronoUque. Dér. ni-
iré, ««, 804, 805 (Tiemana).
Camphoucnb. Form. à part, du chlo-
rure de campholyle. Constit., «5,
78 {Blane).
— (Hydro.) (Di-). Prép. du dér.
aminé au moyen de Tamide dihydro-
eampholénique. Propr., sels, oxa-
mide, urée, «S, 563 [Biaise, Blanc),
— (IifPRA-). Prép. du dér. aminé au
moyen de Tinfracampholénamide.
Propr.. sels, dér. benzoyié, urétbanes,
S«, 9S8 {Forster),
s-Campholbniqub (Ac). Constit., iso-
mérisat. , «6,78 (Blanc). — Constit.,
«S, 563 [Biaise, Blanc).
— (DiHYDRO-) (Ac). Act. de NaOBr
surTamide. Prép. et propr. de
Téther brome, «6, b&i (Biaise,
Blanc).
^-Gampboléniquk (Ac). Constit., form.
à part, de Tac. a, «6, 78 {Blanc) ,
«5, 5t>3 [Biaise, Blanc). — Form.
par déshydrat. de la camphoroxime,
ZS, 556 [Konovalol).
— Voy. PlNOCAMPHOLKNIQUE.
— (DiHYDRO-OXY-). Voy. PiNOLIQUE.
Campbolbnique (Infra-) (Ac). Form.
i part, des bromo- ou chloro-
nitrocampbanes. Propr., sels, amide,
dér. brome, dibroraures etc., «€,
Î87 [Forster) ; ««, 1119 [Forster,
Hobcrtson),
— (Infhadihydro-) (Ac). Form. du
dér. dîbromé à part, de l'ac. iDfk*a-
campholénique. Propr., «4, i37
[Forster) .
Gamprolénolactone. Voy. Pinodi-
rydrocampholknolactone.
Campholiquc (Ac). Comb. avec le
chloral et le bromal. Isom. d, I et
r, «5, 612 (Afinguin, Bollemont).
Campholtlk (Chlorure). Transf. en
campholène. Coastit. , «S, 78 [Blanc) .
oc-Campholytique (Ac). Constit. de
l'isom. trans., «6, 488 [Noyés,
Phillips). — Prép.. propr., constit.,
lactone, oxydât., itH,90i{Tiemann).
— Propr. de Tac r. Réduct. de
l'iodhydrate, «6, 1119 (A^o^'cs,
Blanchard).
^-Campholytique (Ac). Constit., act.
des alcalis sur le dibromure, le
bromh . et Tiodh. ; act. de KMnO*,
AzO'H.Transf.en campholytolactone,
«5, 79, 80, 81, 83 [Blanc). —
Constit., «6, 563 [Biaise, Blane).
— Form. à part, de Tac. dihydro-
oxy - oc - campholytique, «6, 1119
[Noyés, Blanchard) .
A'-Campuolytiqub (Ac). Form. à
part, de Tac a-bromodîhydro-a-
campholy tique. Propr., amide, «6,
1120 [Noyés, Blanchard) .
«-Campholytique (Hydro-) (Di-)
(Ac). Constit. du dér. bydroxylé,
«5, 76. — Form. du dér. dihydro-
xylé à part, de Tac. campholytique.
Propr., «S, 83 (fi/axic) .— Propr. des
dér. aminé, hydroxylé, B-oromé,
«6, 439 [Noyés, Phillips), —
Constit. et propr. des dér. bydro-
xylé, dihYdroxylé, aminé, «6, 803
[Tiemann), — Prép. au moyen de
riodh . d'ac . « - campholytique.
Propr., dér. brome, hydroxylé, «6,
1119 {Noyés, Blanchard).
Campholytolactone. Form. à part,
du dibromure d*ac. campholytique.
Propr., «5, 81 [Blanc).
Camphononique (Ac) . Form . par
oxyd. de Tac déhydro-homocam-
phorique, «6, 153 (Lapworth) .
Campuonoxime. Act. de Tanh. acétique,
«6, 806 (Tiemann).
Camphoquinone. /)-Bromophénylhy-
drazone, semicarbazone ; act. de
CAzH, ««, 591 [Lapworth, Chap-
man),
^Camphobamiqub (Ac). Transf. en
ac a-campholy tique, «tt, 802 (Tie-
mann),
— (s-Homo-) (Ac). Form. à part, des
cyanocamphres chloré ou brome,
HH, 153 (Upworth) .
Camphorique (Ac). Constit., «5, 71,
73 (Blanc). — Foim. à part, du
bomyléne, «6, 298 {Tschugaetf) ;
«6, 436 (Wagner, Brickner). —
Act. de AlCP sur Tanh., «6, 589
[Less, Perkin).
— [Cyano-) (Ac). Prép., propr., déc
des sels par la chaleur, «tt, 806
(Tiemann).
Camphobiql'e (Homo-) (Ac). Prép. au
moyen du eyanocamphre. Chlorure ,
dianilide, éther, dér. brome, «6,
153 (Lapworth) .
— — iDkhydro-) (Ac.) . Prép. i part,
de rac. bromohomocamphonque.
1294
TAULE DES MATIÈRES.
Propr., lactone, dér. brome, oxyd.,
S6, 153 {Lapwortb).
Camphoroxime. Tribolum., 1C6, 4d9,
929 {Tschugaoff).-^ Propr., réduet.,
act. de HCl, 26, 556 {KoaovaJof),—
Propr. de Toxime racémique, S€,
844 {Adriaai), — Mél. eulectique
avec le napbtalène, le phénanthrèoe,
l'anlhracéne et la benzoïne, !M,
1029 { Ad ri an i),
Camphosulpohique (Ac). Sels (/, 1 et
r de méthylélhylthétine, S6. 138
{Popê, Peachey). — Sela d'a-phényl-
a' ' mélbylpipéridines, «6 , 227
(SchoUz, MUUcr). — Sels </ et / de
(élrahydro-^-napbtylamiae, S6, 2S5
{Pope, Harvcy). — Sels d'hydrin-
damine stéréo- isom., S6, 349 [Kip-
ping) ; «6, 500 {Kipping, Mail). —
Sels de pbénylbeQzyfallylméthylam-
monium d et 7, tS6, 704 (Pope^
Harvey). — Sels des «.«'-diphé-
nylpipéridines isom., S6, 1172
[SchoUz).
— iBromo-) (Ac). Sels d'hydrinda-
mine, S6, 57 {Kipping) . — Sels
des tétrahydro-â-naphtylammes d, /
et r ; sels de AzH% M, 233, 236
{Pope^ Harvey). — Sels d*hydrin-
damine et de benzylhydrindamine,
S«, 500 (Kipping, Hait),
— (Chhro-) (Ac). Sel d*bydrindainine,
«6, 57 {Kipping) .
Camphothétiqub. Voy. Lauronoliqub
(Uo.) .
Camphre. Act. des anh. sulfuriaue
et disulfurique, SK, 901 (Odao).
— Act. de CAzCl sur le dér.
sodé. Dér. dicyané, !B5, 1^3
{Du val). — Gond, avec les ald.
à-éthoxy- et S •méthoxynaphtoïques,
96,988 {Holbronner). — Tens. de
vap. des sol. alcool., S6, 514
{Lincoln). — Form. à part, de
ramino-1-camphène, 96, 801 {Fors-
tôt) . — Gonstit., 96, 8U7 {Sommier).
— Act. du chlorure de benzoyle
sur le dér. sodé, 96, 1117 {Forator).
— {oL-BromO'). Prép. et propr. de
l'isom. 7, 96, 234 {Poûo, Harvey).
— Racémisat., 96, 349 {Kipping),
— Tribolum., 96, 459 (Tscbugaeff).
— iiX'Cyano'). Prép. à part, de Toxy-
molhylène-camphre. Dér. chloré et
nromé, 96, 15ï5 {Lapworth). —
Prép. du dér. a-hydroxylé au moyen
de la camphoauinone et de G.\zH.
Propr., 96, 592 {Lapwortb, Cbap-
man\ .
— (a-Ox^-). Form. à part, de Tac.
a-oxycamphocarbonique, 96, 592
{Lapworth, Chapman)*
Camphre (BF.NZYnokNE -K Propr.
{>hys. et crislallogr. du racôm.; dér.
)romé, pméthoxylê, 9S, 612 {Afin-
guitt, Bollemont).
Camphre (Benzotlh. Forai, à part.
de Toxy-l -benzoy I • 2 - campb«a».
Propr., isom., 9#, 1117, 1118 .Far»-
ter).
Camphre (Bknztl-). Propr. phf&. 4u
dér. brome, 9S, 6J2 [ifJayuU.
Bollemont) .
Camphre (Formtl-i. Conslit. da dir.
brome, 96, 850 iBrùbfi .
Camphre <Iso>). Act. de Tald. ben-
zoïque, 96, 560 {Rimini].
(DiHTDRO-i. Comb. b^^nzyljdéa ,
constit., 96, 560 {Rimini),
Camphre (x-Naphtyl-» . Dér. ^étliox)!*
et méthoxylé, 95, 988 iHeibronaer .
Camphre (s-NAPHTTLiDÈifE-' . f »rr.
6-éthoxylé et ^-méthozylé, «S, iJ»è
[Helbronner^ .
Camphre iOxyméthylène- . Act. 6f
AzM*.OH, 96. 152 (Lapworlb . —
Act. de PGP, 96, 702 [MiclUrli*,
Flemming). — Constit., dér. broa>e.
96, 850 {tirùbl).
Camphre de citron. Voy. Citma-
PTÈNE.
Camphre -PHOSPHINIQUE >OxTxÊTaT*
LÈNE-) (Ac). Prép., propr.. >*4«.
étbors, chlorure, antlide, 96, 7QS
{Micbaolis, Flemmingj .
Canadinolique (Ac). Près, de» ac.
a et p dans le tmumo du Caoada.
Propr., 96. 64 {Tacbircb, Brv-
ning).
Canaiuque (Ac). Extr. du bauoie du
Canada. Propr., 96, 64 [Tschitxk,
Bruning) .
Gananolique (Ac). Exir. du baoflM
du Canada. Propr., 96, 64 \ Tschirch,
Bruning).
Ganarinb. Prép. par oxyd. du soifo-
cyanate d'ammon., 96, 73 iPmw-
lewakii. — Constit., form. 4 part.
du sulfocyanate de K, 96, 667
{Goldberg),
Can.nelle (Essence). Dens . vîscas..
tens. superf., 9S, 521 tJoaacarJ,
Satie),
Cantharidine. Constit., act. de XtH\
imide, anb., sels, dér. élbyles, 1*>
lame, 96. 1173, 1174 (Moyor\,
Capillarité. Théorie, 96. 841, 800,
882 {Bakkor> : 96, 1038 {P9lma<^r .-
Correct, des ménisques de Hir, 96»
1066 {Winkler).
Gaprique (.^c). Prés, dans ThoUe éf
blé, 96. 351 ( Vulté, Gibaoa -
Dos. de rétber octvi. dans IVsseik>
d'oranges douces, 96, 646 tSU-
pban) .
Gaprique (Ald.h Prêt, dans reMenor
d*oranges douces, 96, 646 ^St'-
pban) .
Gaproïqub (Ac). Form. par àtc 6t
Tacétyl- et du benzoykmanlàfh*
dène, 9S, 42S, 435 {Mottrfn, /A^-
lange). — Pouv. rot, de VHi»
TABLE DES MATIÈRES.
It95
Iso-amyK ad., S5, 549 {Guye). —
Form. par hydrat. de l'ao. amyl-
propiolique, SS, 564 {Moureu, De-
lange). — Prés, dans Thuile de blé,
;, 351 {Vuité, GibsoD). — Prés.
des éthers méthyl. et pbényl. dans
rhaile de bois, «€,440 {Frêps). —
Conat. diélecir. du nitrile, S6, 600
(Scb lundi). — Electrol. du sel de
K. Porm. d*étber amyl., S€, 897
{Petfrsen) .
— (ae-Am/oo-) (Ac). Ether éthyl., sels,
sa, 744 {E. Fischer).
CaproÎque (Iso-J {oL-AminO') (Ac).
[S^A. Leucine). Form. à part, des
olbumiD. d*o8 de bœuf, tS6, 944
lEtërd). — Neutral. en prés, de
diT. indicat., ITS, 965 {Berthehtj.
— Form. d*un isomère de la leuci-
nimide à part, de la caséine. Propr.,
coostit.. es, 22 (CobD). — Infl.
sur la solub. des osaiones, tS6, âO
(Neuberg), — Form. par dédouble-
ment de la conchioline, SU, 31
{Wetzel). — Porm. par autolyse
des extraits de foie et dans l'into-
xication par P, !M, 318 (Jacobv),
— Transf. dans les plantes, M,
319 {Schulie). —Act.de AzO^Na
et HCI, e«, 334 iJoebem). — Prép.
A part, de la corno. Ether éthyl.,
sels, dér. acétylé, benzène-sulfoné,
1t%^ 744 {E. Fischer), — Form.
dans les graines en germinat., S6,
824 {Buikewitsch). — Form. par
digesl. peptiqua et tryptique de la
elobine et de Voxyhémoglobine, !M,
1023 {Sahskin) . — Dissoc. des sels,
S6, i037 (Wiakciblech),
— — {:i-CbJorch) (Ac). Form. à part.
de la leucine. Propr., sela, éthers,
^,354 {Jochem).
(a-Ox/-) (Ac). jPrép. au moyen
"iloré.
334 {Jochem).
du dér. a*chioré. Propr., sels, i9.
Caprotlacétique (Ac). Form. par
hydnit« de Tac amylpropiolique.
Propr., éthers, SS, 564 {Afoureu,
Delange).
Caprotle-iAckttlb-). Dér. diacét. de
la dioxime, 1(6, 537 {Ponzio).
Caproylmaliqub. Vov. Malique.
CaPROYL MÉTHANE (AcËTYL-) . Voy .
AmYLCKTONE (ACÉTYLMÉTHYL-).
Capryle- KTHYLE (Oxyde) . Vit. de
form. dans Tact, de Talc caprylique
sur réther benzène-sulfonique, 1^6,
859 iZagrebia^.
Caprylique (Ac). Pouv. rotat. de
Téther iso-amyl . act . , 1t&, 549
{Guyo — Form. par hydrogén. de
Tac. amylpropiolique, !B5, 564
iMourtu^ Delange). — Prés, dans
Tbuile lie blé, SU, 351 {Vulté,
Gibson). — Prép. et propr. de
Fanh., te«, 467 {Kram, Rosiny).—
Chai, do neutral. par KOH et AzH'
alcool., e«, 874 (Tanatar, Kli-
menko).
Caprylique (Aie). Comb. avec la
dîphénylcarbazide, S5, 452 {Gaze-
neuve). — Vit. d*act. sur réther
benzène-sulfonique, !M, 859 (Zagre-
bitt).
Caprylmaliqub. Vov. Malique.
Caphylylmalique. Voy. Malique.
Garbamidodiméthylacryliqub (Ac).
Prép. et propr., de Téther éthyl.,
SS, 914 (BouveauU, Wabl).
Carbamiqub (Ac). Comb. de
réther élhyl. avec Tac pyrnvique,
SS, 1062 iSimon). — InH. des
éthers sur la coagul. de Talbumino,
««, 319 iSpiro). — Cond. des
éthers avec le nitrile phényiglyco-
lique, <6, 48 {Lchmann). — Act.
de C"HM et Ag*0 sur l'élher éthyl.,
26, 977 {Landcr). — Dér. dos
^-aminotétraméthylpyrrolidme et
Y-aroinotriméthylpipéridine, M, 997
{Pauly, Schaum). — Form. des
éthers méthyl. et éthyl. à part, des
méthyl- et éthyl-iso-urées, SU, 1075
[Mac Koe).
— (Glycinyl-) (Ac). Prép. et propr.
du sel de glycine. Disulfure, ^6,
743 f^. Fischer).
— (Isosulfocyanacétyl -) (Ether
éthyl.). Act. de U«0. Identité des
éthers norm. avec les éthers de la
thio-hydanloïne, S€, 137 {Fro-
richSf Beckurts): — Comb. avec
Tac thio-benzoïqua, te€,68U ( Whce-
ler^ Merriam).
— (Thio-) (Ac). Dér. de la ^-amino-
tétraméthylpyrrolidine et de Tbomol.
az-méthylé, S 6, 998 {Pauly,
Schaum) .
— — (AcKTYL-nH (Ac). Prép. par
cond. de Tac thio-acélique avec les
isosulfocyanales . Ethers méthyl.,
éthyl., propyl., ««, 679 (Wheoler,
Merriam j. — Ether iso-amyl., <€,
1097 {Whoeler, Johnson).
— — (AcÉTYLiMiNO-Di-) . Elhers
méthyl. et iso-amyl.» S€, 10U7
iWbeeler^ Johnson).
— — (CaRBOXY- MÉTHYL-) (AC».
Ethers méthyl., éthyl., benzyl., ItH,
1128 {Doram.
— Voy. Benzoyldithiocarbamique,
BSNZOYLIMINODITHIO CARBAMIQUB,
Méthylthiocarbamique, etc.
CARBANiLE(Oxv-i-). Constit., spectres
d'absorpt., éthers éthyl., SB, 59
{Hartley, Dobbio, Paliatseas).
Carbazol. Dér. nitré-3, nitrosé-U,
nitré-3, aminé-3, diazo-amioé, hydro-
xylé; diazo., tétrazo-; dér. acétylés,
, 919, 920(/?a/r, Stein), — Form.
1296
TABLE DES MATIÈRES.
à part, du diainino-2.2 -diphényle,
M» 1141 {Niementowski),
— (IIÉTHTL-4.4'-) (Di-). Porm. à part.
dudiamioo-2.2'-ditolyle. Propr., S6,
1142 {Niementowskl).
CARBAZOL-AZ0-iZ2-T0LUYLkNE-OIAMINB.
Prép., propr., S€, 920 {Ruff, Slein).
Garbazolhtdrazino-sulfoniqub (Ac).
Prép., propr., sels; appl. à la pho-
togr., M, 920 {Ruff, Stcin).
Carbbthozimino-ethtliqub (êZ'Pbé'
Dvl-) (Ether). Form. à part, da
l'ozanilate d'éthyle, C'HM et Ag'O.
Act. de Taniline, S6, 989 {Lanaer).
Garbimidb (Carboxy - THio - ) . Vojr.
Carboniqub (Sulfoctano-).
Carbindioo. Form. à part, de roxy-4-
isocarbostyrile. Propr., !M, 117
(Gabriel^ Colman).
Carbone. Dos. dans les ferro-sili-
ciums industr., S6, 226, 291, 293
{Jouvo), — Act. sur CO et CO" à
f' div. pressions et temp., S6, 229
(Bouaouard), — Form. par réd. de
CO par Ag à haute temp., S5, 267
iBerthelot). — Act. réductr. sur
2aG0», BaCO*, BaSO*, ZnO, NiO,
CuO, 1B5, 282 {Boudouard). — Réd.
des oxydes d^arane par le charbon
de sucre, !B5, 345 (Aloy). — Pi*és.
de G et de siliciuros de C dans les
ferro-siliciums industr., SS, 536
ILebeau), — Act. sur GO et CO".
Etats d*équil., «S, SSii {Boudouard),
— Chai, de volatilis., «S, 1058
(de Forcrand). — Equiv. électro-
chim., SU, 517 (Peasc). — Anal,
des corps carbonés, 1K6, 561 {Erlcn-
mcyer), — Dureté, «6, 839 {Ryd-
berg), — Act. de H à haute temp.,
26, 1126 {Bom, Jerdan),
— (Oxychlorure). [Syn. Phosgbne].
Gond, avec les étners méthyl. et
éthyl. des /n-dialcovlaminophénols,
1K6, 215 {Grimaujq. — Act. des
alcools et phénols, iS, 635 {Cazo-
neuve). — Act. sur les acétamino-
benzylpipéridines, S6, 7 i^KùhD).
— Gond, avec Téther semi-carba-
zinopropionique, 1M, 120 [Bailoy,
Acree). — Cond. avec Tac. o-amino-
salicylique, SU. 418 (Za /in). — Act.
sur le glycine, S6, 743 {E. Fischer).
— Cond. avec lesphényl- et D-lolyl-
dithiocarbazinates de méthyie, 26,
787 {Buse h, Wolport). — Gomb.
avec les dipbénylthiosemicarhazides
et leurs dér. méthyl., 26, 789, 791,
792 {Busch^ Holzmann). — Gond,
avec les antsyU et a-napbtylhydra-
zines, 26, 1003 {Buscb, Urohmann) .
— (Oxyde). Form. dans l'act. de GO"
sur G à div. pressions et temp. ;
act. sur G, SS, 229 [Boudouard). —
Act. sur Ag à haute temp., 25, 2ti7
{Borthelot). — Form. dans Tact, de
C sur BaCO*. CaCO*, ZnO, etc.,
282 {Boudouard). — Dos. dans hta
roches iniées, 2S, kÙ$ {Oëuiier}.—
Porm. limitée à pari, de H et OO".
25. 485. — Equil. «mtre C. CO tt
GO^ à haute t«mp., 26, 833 tBoQ>
douard). — Dos. par PdCl', WB, 90
IKippen berger). — Act. sur Cv, 26,
81 {Lidof). — Form. dans la réd. da
peroxyde d'éthyle par CO*, SC, 197
iBaeyorf ViUiger). — CoïkL «rec
G'H'^en prés, de CuCI, HGl et AlBr*,
1, 623 {ReformatHky). ~ Solutel.
dans l'eau, 26, 949 {Winklet^. —
Act. sur Pt coUoïd., 26, 1039 {Brt^
dig, Ikeda). — Solub. dans div. liq.
organ., 26, 1040 {JusD. — Form.
par déc. de GO* par TéUncelle, S6,
1123 (CoWe).
— (Oxysulfure). Form. par déc. éts
thiocarbamates ou thiocarboaates,
26, 394, 395 (WbeeJer^ Aasiia). —
Vit. d'hydrol. par div. sol., 26,861
{Buchbock).
— (Sulfochlorure). Gond, avec Téther
semicarbazinopropionique, 26, 1H
{Bêiley, Acree). — Gond, avec 1«
aiphényM.4>et 2.4-thio8cmic«rbaai-
des, 26, 789, 791 {Buseb, Hoir-
mênn). — Cond. avec racétylecélooa
sodée, 26,800 (H^onzc;). ~ Gond,
avec rélherphénylcarbaziniqae, 26.
1004 {Busch, GrohmaoD).
— (SulAire). Dens. des sol. deSdsn»
CS", 26, 161 {Pfeiffer). — Appl. é
la recherche de Thuile de coton, 26.
442 {OUar). — Gomb. avec AUlf* «t
Br, 26, 605 (Plotnikof) — Gomb
avec le glycine, 26, 743 {E, Fis-
cber). — Gomb. avec la diphéiiyi-S.4-
thiosemicarbazide, 26, 792 (iîiijrà,
HolimaoD). — : Gond, avec le« èther»
malonique, cyanacétique, raeétfta*
cétonc et le cyanure de benxyle sodM,
26, 798 {WcDzcI). — Gomb. av»e
la p-aminotélraméthylpyrrolidiot,
26, 998 {Pauly, Scbaum). — Conaft.
diélcctr., 26, 1032 {Baedt'k^n' —
Act. sur Pt colloid., 26, 1039 ^Br^-
dig, Ikeda).
— (Tétrachlorure). Gond, avec C*ir
et A1G1',26,U1 (Gomborg);9%,SBl^
{Norris^ Sandcrs).
Garbonb (Htdiiate8;. Dos. dan« U«
bourgeons de marronniers. 2S. 271
(André). — Fixai, de Az si»u« l'afl-
de la tension éloctr., 25, 3^ .Û^r*
theloi).
Voy, Sucres, Amidon, rtc.
Carbonates. Voy. Carboniqus «1 les
div. métaux.
Carbonique (Ac). Form. de ô.^ a
part, de GO et G. Act. sur C 25,
i28 {Boudouard).— Form. danslacl.
de Teau sur la granit, 25. tfii6be-
TABLE DES MATIERES.
1297
Ucr), — Form. dans Tact, de CO
sur Ag à haute lcmp.,SI»,i67(&er-
thelot) . — Doa. de CO* absorbé par
l'urine, tS, 271 {DortbeJot). —
Form. de CO* dans l'acl. de C sur
div. carbouates^tSS, â8à {Boudouard) .
— Dec. limitée des sels alcalino-
terreux par les ac. en prés, d'alc. et
d'acétone, «6, 393 ( Vallce). — Dos.
da'os les roches ignées, <S, 403
{GauUcD. — Act. de CO" sur H à
haute terop., !^, 486 (Boudouard).
— Constit. des éthers mixtes alcool.-
phénol.; act, snr la pipéridine, 9S,
683 {Cazenouvf}]. — Dos. de NaOH
libre et carbonalôe, tSS, 652 {Lucion,
Paepc). — Act. de CIO* sur les bicar-
bonates, 9S, 667 [Baychler) . — Dos.
de CO*Na« en prés, de NaHCO*, tS,
10S[Lucion, de Pacp^). — Précipil.
de MgCO' par Na*CO% «6, 707 (A'n-
get), — Equil. entre CO, CO* et C,
S5, 833 (Boudouai'd), — Act. sur la
phénylhydra^ine et les aminés aro-
mat., Itèp 859 ^Frrundk'r). — Dos.
dans l'air, 5(6, 78 [ Walker). — Act.
sur Ou, S6, 81 [Lidof).^ Réd. par
par le peroxyde d'élhyle, 186, 197
[Bâcher, Villhjor). — Propr. des
sels de Ce et Yt; aolub. dans CO*K*,
%%^ 248 (Drosshach). — Act. des
bicarbon. sur CuSO*. Prép. et propr.
des Carbon, et bicarbon. doubles de
Cu et K ou Na, ««, 278 [Oroeger).
— Act. de CO* sur Tazoture de Fe,
«6, 336 [Fowlor), — Sel bas.d'Al.
Appl. au dos. de Al, ItS, 3G3 {Al-
len, Gotlscbalk), — Form. d'élher
éthyl. à part, du xanthate de K et
de Véthor chlorocarbonique, tS6, 394
(Wheclci\ AuHliu), — Tribolum.
de réiher mcntbyl., ««, 458 [Tschu-
gacÛ). — Cond. d»- l'élher avec le
méthylmalooate d'éthyle, £6, 469
{Micbael). — Cond. électr. et hydrol.
des sels de Na, ««, 597 (Walker).
— Form. de bicarbon. dans l'acl.
des bactéries sur un mélange de for-
miates et nitraics, S6, 653 (Pakes,
JoIIywaD). — Amimal. à la loi de Ma-
riotle des mél. avec H*U, 96, 657
( V'ersf^ban'rlti. — Infl. dca sels sur
la solub. dos non-élecli*olytes, *6,
840 (Botbmund). — Solub. des sels
de Ca, Ba, Mg dans les sol. de CO*,
8«, 873 (Bodlnond.T). — Solub. de
CO* dans div. îiq. organ., «6, 1040
(Juat). — Décomp. en pré«». de fl par
rétinctile flectr.,««, 1123 (Co///ei.
— (Cbioto-) lAc.t. Acl. de réiher
éthyl. sur rhydanloïne, «6, 138
(Freriebs, Beckui-ts), — Acl. sur le
tbiocarbonate d'élhyle el de K, le
xâothate de K, les ac. dilhiophényl-
carbazinique et dilhiophénylcarba-
mique, ««, 394, 39f) ( Wb^'oler, Aus
tin). — Cond. de l'éthor éthyl. avec
Tac. o-amiuosalicylique, 1C6, 418
(Zabn). — Comb. de l'éther éthyl.
avec la p-aminopropiopbénone, S6,
632 (KuBckeîl). — Cond. de l'éther
étbipl. avec la diamino-4.5-dioxy-2.6*
Çyrimidine et ses homol., 26, 756,
57 ( Traube). — Gond, avec les p-mé-
thoxyphényl- et les a- et ^-naphtyl-
hydrazines,«ll,1008(Busc/i, Grob-
maDo). — Act. des éthers sur les
8uirocyanatesmétall.,S«, 1127,1129
{Dorao).
— [Sulfocyano') (Ac). Cômb. des
éthers methyl. et amyl. avec les bases
aromat., 26, 1127 (Doran).
— (Tbio-) (.\c.). Prép. et propr. de
l'éther diéthyl., 26, 394 (Wbeeler,
Auatin).
(Di-) (Ac). Form. de l'éther
éthylén. à part, de l'anilido-imino-
dithiocarbonate d'éthylène, 26, 433
( Bu sch , JJngcD brinck) .
(Hydrazone). Voy. Phényl-
aiiino-iminodithiocarbo.mque.
Carbonique ( Acétylimino dithio- )
(Ac), Prép. de l'éther diéthyl. à
part, de Télher acélyldithiocarbami-
que, 26, Q19 (Wbeeler, Merriam).
Carbonique (Per-) (Ac). Dos. des sels
alcalins par Kl, 26, 32 (Rupp). —
Act. de SO*H* sur le sel de K, 26,
88 (Bamoergcr).
Cahbosttrjlb. Transf. dans l'orga-
nisme, 26, 328 {Fonyvcssy).
Carbosttrile (Iso-). Form. à part,
de la phtalylglycine. Propr.; transf.
du dér. hydroxylé-4 en carbindigo,
26, 95, 117 {Gabriel, Colman).
— — (Ethyl-3-). Form. à part, de
l'ac phtaliminobutyriquc. Propr.,
dér. hydroxylé^, 26, 96 {Gabriel,
Colman).
— — (MÉTHYL-3-). Form. à part, de
l'ac. phtaliminopi*opionique. Propr.,
dér. hydroxylé, mélhoxylé-4, 26,
95 [Gabriel, Colman).
CaBBOSTY R il E-Ji-CABBONIQUE (AC. ).
Form. car coud, de Tac barbiturique
avecTald. f>aminobenzoïque. Propr.,
26, 921 [Conrad, Heinbacb),
Carbostyrile- carbonique-3 (Iso-)
(Ac). Form. du dér. hydroxylé-4 à
part, de la phtalylglycine. Ethers
méthyl. et éthyl., 26, 96 (Gabriel,
Colman).
Carbostyrile-olvcuronique (Ac. ).
Form. par transf. ducarbostyriledans
l'organisme du lapin. Propr., sels,
26, 328 (Fenyves$y).
Carbures. Dec des 'carbures métall.
par l'eau, 2S, 525 (Bertbelot). —
Act. de CaC* au rouge sur les aie.
gras, 2S, 896 ^Lefobvre). — Anal, de
CaC*, 26, 440 (Erdmann, l/nrub; ;
26, 555 [Magnanini, Vannini),
»0C. CHIM., 3* SÉH., T. XXV-XXVI, 1901.
Ri)
1298
TABLE DES MATIERES.
Carbures d'hydrooène. Transf. des
dér. chlorés en dér. bromes par
AlBr», «5, 98 (Pouret). — Ad. du
Zn-métbyle sur les carbures nitrés
lepl., ««, 259 [Bewad).
— Voy. Paraffines, etc.
Oarnosinb. Extr. de la viande. Propr.,
sels, «6, iUyS^ {Gulcwitsch, Ami-
radzibi),
Caronique (Ac). Form. des dér. élho-
xylé et méthoxTlé à part, de Tac.
«-«Klibromo-p-S-aiînélbylglutarique.
Propr., anh., èther élhyl., ««, 1015,
191b (l'erkia, Thorpe),
CarpaÏnk. Cond. avec l'isosulfocya-
nate de phényle, «8, 18 (Littcrs-
cheid).
Carvacrol. Act. de Br et AlBH, ITS,
818 (Bodroux). — Cond. du dér. sodé
avec les étbers gras a-bromés, tM,
12 iBiscboff), — Prép. et propr. du
salicylate, ««, 405 (Co/ïh). — Gomb.
avec le bromacétylglucose, tS6, G87
(Ryan, Mills). — Act. sur Téther
oxalique, ««, 1069(rio^/o, B/rue).
— (Nitroso-). Transf. en Ihymoqui-
none-dioxime, «8, 545 [Toriorici).
Carvacroxy- ACÉTIQUE (Ac). Coud.
avec To-aminophénétidine, S8, 1164
[Cohn).
Carvacrylolucosidb. Prép., propr.,
SB, 687 {Ryan, Mills).
Carvènb. Dens., tens. superf., viscos.,
SS, 523 [Jeancardf Satie),
Carvéol (Dihydro-). Décomp. du xan-
tbogénate par la chai., S6, 184
(TschugaQu),
Carvol. Cond. du dér. sodé avec
Téther chlorofumarique, «8, 997
[Buhomanu). — Cond. avec l'éther
oxalique. «8, 1069 (Tinglc, Byrnc).
Carvomenthone. Voy. Mentiione.
Carvone. Form. par isoméris. de la
limonénone, «5, 5i7 {Geavressc). —
Propr. de l'oxime racémique, 1K8,
844 (Adriani). — Tribolum. du suif-
hydrate, «8. 929 (TschugaetT), —
Autooxydat. ; bromh., «8, 1168
[Ha r ries).
— (Dihydro-). Gonslit., «8, 1169 {Har-
ries),
Carvotanacktone. Voy. Tanacétone.
Garvoxyfumarique (Ac). Prép. au
moyen du carvol sodé et de 1 étber
chlorofumarique. Propr., éthers,S8,
997 {BubemaDD).
Cascarille (Essence). Constit., M,
156 {Fendhr).
Casgarillique (Ac). Pris, et dos.
dans l'essence de cascarille, !M, 156
{FoDdler).
Cabkasg. Prés, dans certains champi-
gnons ; act. sur la caséine, la géla-
tine, les albumin., <S, 990 {Bodia,
LeDormsnd).
Caséine. Act. de la caséasc, tt,
(Badin, LcDormand). — Dos. M Si,
«8, 20 {HaustnaDD). — Act. de Ha
S8, 22 {CohD). — Propr. de U \y
sine de dédoublement, S8, 33'H'a*
dcrson). — Valeur alim. des prouJ-
bumoses, «8, 315 [Blam) . — Pré*
d'ac. o-phosphoriquc, 1E8, 891 tAi-
coli). — Coagul. à l'éUl de parwa-
seine. Act. de la pseudoglobatoe,
S8. 331 {Fuld. Spiro). — Act. et
la peptese d'orge, %%, 333 [Wàu,
" Dos. de rhistidinc, de V&rpmK.
de la lysine et de Az amidê oans li
caséine du gluten, !SB, 335 {Knssrl
Kutacber) . — Transf. dans l'org»-
nisme, «8, 474 (Pel/y). — EjJ^
de Sa phénylalanine, «•. 744 (c. Fit
cher). — Propr. anticoagul. à»
albumoses, «8, 813 [Pick, ii^i>>
— Act. de CHGl' «8,815.— Conftii
de Tac. paranuciéiqae. AcI. de l*
pepsine, «8, 935 (SalkowsluK -
Oxydât, mangan., «•, 340 Joilt^
— Act. de Cl naissant, «8, 943 (//*•
bcrmann, Ebrcafcld). - TriBsf.
dans rorganisme,e8, 944 [Beaiix.-
Cassitérite. Voyt Etain.
Catalyse. Infl. des agents calai, nr
la dissoc. des subst. dissoutes. M*
161 {Eultr). — Mécanisiae, «8, î«
[Zengelis] ; «8. 516 [LoeiKU - W
des sels neutres sur rhydrt4. 4»
saccharose par HCl, 18#, 566 Eit^f
— Infl. calai, de div. agents ^
Toxyd. des sol. oxaliques, W, tf»
{JoriascD, Beicber) . — Act. de Pi o*
loïd., «8, 662 {Bredig, Berafrl . -
Théorie, S8, 864 ( Wo^sclirriAr. -
Act. calai, de H*0* sur l«s ferK- «t
ferricyanures de K à la lum., tt,
880 {kisUakowsky). — Infl- oui
des ions H sur la birolat. du gluow.
S8, 888 (Osaka). — Réact. «u?
de AlCP, «8, 884 («iiiT. — Afi-
calai, de Tac. oxal. dans les ox)tIi'-.
28, 9fô [Georgevics^Sprtnçtr*.^
Calai, en sol. acide coDcenlrie. tf,
1025 (Crafts) . — Calai, dans \eê «u
non - homogènes, S8, lOâi, wH
(Drucker). — Théorie^ «8. lOT
{Eulcr). —Act. de Pt colloîd- «v i*
gaz tonnant, «8. 1040 1K«4*. -
lofl. calai, de div. ageoU sur Tact,
de HW sur HI, «8, 1046 tfir»*
— Infl. des nitriles sur dtv. rèMi.
e8, 1067 {Micbael).
Cathartiqub (Ac.U Propr., 88* i'
(Tacbireb, Hirpe).
Cathodes. Voy. Appareils.
Catine. Extr. ducalba edatis. 9t^^
1^8, 812 {B6i(ter\
Cellulose. Act. de A»O^I. Nokik
des dér. nilrés. Form. par rM. à
I la nitro-oxycellulose, w, 130 '> *-
TABLE DES MATIÈRES.
129U
gnoD). — Prép. et propr. de» dér.
tétrt-acétylés, <S, 139 ( Mgaoa, Gé-
rin). — DoB. dans les bourgeons de
marronniers, S5, 271 [Audrc). —
Non-«xisL dans Pos de seiche, !M,
52 {Scàuizo). — Transf. en merca-
bide par MgO, tS, 122 [Hofmanu) .
— Act. de Ca{OCI)% de KMnO*, de
NaOlI alcool.; poids mol. des dér.
acétylés, S€, 123 iNastukoÙ). —
CoDStit., acl. de HBr, S€, 341 (Feu-
ton, GosUing) . — Constit., élhers
acétiques et nitriques , ItH, 342
(Cross, BoKâii).— Act. de SO*H",««,
lia iStoret^. — Act. de HCl, S€,
796 fFonioû, Gostliog). — Prés,
dans div. boues de tourbières, !M,
962 {HoffmaoD),
— ^Htdro*). Form. par réducl. des
nilro*oxycellulo8es; propr., M», 133,
137 {VignoD).
— (OxY-j. Form. de« dér. ni(i*és à
part, (les celluloses et oxycelluloses
et inversement. Propr., SS, 131. —
Prép., propr., osazones des oxycel-
luloses du coton, lin, chanvre, etc.,
««, 185, 137 ( V7anoD). — Dér. létra-
acétylés, ^6, 140 {Vignoo, Gcnn\.
— Form. par oxyd. de la cellulose.
Poids mol., «6, 123. — Constit.,
propr., sels, hydrazone, <6, 557
{Nësiiikoff) .
CÉME.NTiTB. Form. pendant la solidif.
de la fonte, tSH, 867 {Rooztboom\ .
OÉRÉBniNE. Extr. des sucres, S€,941
[SchuilL, DiUbora).
Ckrérhonf. Extr. du cerveau humain.
Propr.. hvdrol.,««, 327 (Wovracr,
Tbierictavn,
Cbrique ^Ac). Prés, dans la cire de
bananier. Propr., «6, 980 {GresbofT,
Sack] .
CÉBiguE (Aie). Prés, dans la cire de
bananier. Propr., «5, 980 (GroahofT,
Ssck,
CÉRITE. 1*0/. CÉlUt'H.
CiRTVM. Propr. et hydrates du sulflBite
cérique, és, 119 {WyroubotT}. —
Ccmb. de Ce avec \z en prés, de Mg,
es, 835 iAfatIgnoDK — Oécomp. du
carbure par l'eau. <S, 525 {Bt*rtbe-
Jo$\, — Prép. par léleclrol. de loxa-
late. Propr. de l'oxyde crisl. Act. de
H, ««, 9J9. 970 iStcrba^ . — Bxtract.
d^ terres monazitées, !M, 2 i Witt,
Tbcef) ; «6, 68 (Meyer, Marckwald) .
— Nitrate double cérique ammon. ;
aolub.des terres ce riques dans CO*K*,
9%, 248 iUrossbacb). — Azoture;
appl. à la Hépar. de Ce et Th, <6, 354
{Curtiu8^ Diirapskv). — Infl. du sul-
fate sur la vit. H'oxydat. des sol.
oxaliques, ««, 659 ijorissoa, Hoi-
cben.— Spectre, «6, 953 {For-
mêaek].
CfiROTiQUE (Ac). Prés, dans Tessence
d'oranges douces, <•, 646 (Stéphan).
Cbruléine. Propr., constit., dér. acét.,
mélhyl., S6, 1085 [Oradorff, Bre-
wer).
C^RUSB. Voy. Plomb.
CÉRTLIQUE. Voy. FlCOCÉRTLIQUE.
CÉSIUM. Prép. et propr. de Valu a do
Cs-In, S5, &67 {Cbabrié, Banaadv).
— Appl. de Csl à la recherche do
Sb. lodure double, tS, 998 [Deni-
gès). — Propr. crislall., «•, 70
{Liûck). — Prép. et propr de l'alun
de Rh-Cs, «6, 362 iPiccini, Ma-
rina),— Recherche microchim. par
l'hyposulflie double de Bi-\a, «6.
865 (Huysse). — Dureté, «6, 839
{Rydbcrg). — Points d« fus. et solub.
des sulfates doubles de Al, Vd, Cr,
Fe, In, Co, «6, 1026 {Locke). —
Chlorures et bromures doubles do
Sb; nitrate acide. S6, 1051 ( Wp//«,
Mctzger). — Nitrates doubles de Fe
et Bi, 1K6, 1(^2 [Wells, BcardsUv).
— Purif. ; chlorures doubles de \*h
et Sb. Chloro-iodure, periodatc et
iodo-periodate, «6, 1054 ( \Vei7si. —
Chlorure double de molybdénylc,
1K6, 1055 [Nordonskjoeld). — Re-
cherche par Tac. picrique, !M, 1058.
— Chlorure double chromique, S6,
1125 (Wemrr, Gubser),
CÉTipiQUE (Elher). Cond. avec l'o-phô-
nyléne* et la toluyIéne-diamine*1.3.1,
les tétramtno-1.2..3.4> et 1.2.4.5-l)en-
zènes et le tétramino-2.3.4.5*tolu(iie,
«6,712,722 (ryio/Dfls-3/a/norf, Strir-
bel).
CÉTOL (MÉTHYL-). Cond. avec les ail.
formic^ue, anisique, salicyliquc,
cuminique, o- et pnitrobenzoïques,
l'éther acétylacétique. Dér. nilrés,
aminés, urées, t6, 421 (Walibrr^
Clemoa).
CÉTONES. Acidité à rhêliant., phtal. ot
bleu Poirrier, SS, 336 [Astruc, Mur-
co).
CÂTRARiQUE (Ac). Form. à part, de
Tac. protocétrarique, «6, 648 {Hcsso),
Chaleur. Bel. entre renlropio et l.i
capacité calorif., SU, 5t5 [Treior .
Chaleur late.nte de vaporisation.
Méthode de déterm., ««, 604. —
Déterm. dans les corps azotes, «H,
946 (Kabhnùonj).
Chaleur spkcikii^ue des }?az conipo^^'s
dissociés, «5, 147 [Ponsot'.
Chanvre. Voy. Cellulose (Oxy-).
Charbon. Acl. do SC)*H" sur le char-
bon de bois. Compos., «S, 684 ( l Vr-
oeuil).
— Voy. Carbone.
Chalx. Voy, Calcium.
Chélidoni«^ue {Oxy-8-) (Ac.;. Voy.
MÉCONIQUE.
1800
TABLE DES xMATIÉRES.
Chimie physique. Voy. Bibliographie.
Chimie végétale. Mécanisme de l'ëthé-
rif. dans les plantes, SS, 854 [Cba-
rabot, Hébert).
Chloral. Propr. des campbolatesact.
et racém., «5, 612 [Minguin, Bol-
Icmont). — Poids mol. de l'hydrate
à la lemp. débull., SS, 96» {de
Forcraud), — Act. de Thydrale sur
la mat. color. du sang, S6, 25 {For-
manek). — Dosage, M, 60 {Kippcn-
berger). — Infl. de l'hydrate sur la
vit. d'hydrat. de l'anh. acétique,
^ê, ^65 {Hichter). — Gond, avec le
véralrol, «6, 259 [Feuerstein). —
Temp. d'ébull. des mél. de chloral et
eau, SB, 534 [Cbristensen).— Points
de fus. et de sublim. de lliydrate,
«6, 5:U [Wolt). — Form. par déc.
de racétylphenylamino-a-trichloré-
tbylmercaptan, *6, 539(£i7>ner). —
Propr. de la y>-méthylbenzylhydra-
zone, 1M, 586 {Curtius, Sprengcr).
— Déterra, crybsc. de l'hydrate, Si,
598 (Loomia). — Coûstit., ««, 898
(Vorlaondor) . — Act. de l'éthylate
d'Al, «6, 967 (Tistchcnko).
Chloralide. Voy. Phénylglycolique
(Chloralide).
CiiLORANiLE. Comb. avec la pyridine
et la ^'picoline. Act. sur la quino-
léine et l'a-picoline, 2S, 989. — Act.
de la pyridine, !SS, 1064 {Itnbert),
Chlorb. Act. sur l'oxyde bleu de Mo,
25, 18() [GuU'hard). — Act. sur
Ab*Tu, «5, Îi83 \Dcfacqz] . — Act. sur
le siliciuro de Co, SS, 5iO(Le/>eAii).
— Form. par déc. de CIO*, «5, 6ijl.
— Act. sur Na'O*, SS 665 [Heych-
Ii^r), — Dens., point d'ébull., S6,
S\{DruginaDO^Hnmsay). — Dos. dans
l'eau de pluie, «6, 130 [Kiucb). —
Sépar. de Br en prés, d'acétates.
Dos. dans les corap. organ., SU, 16ri
{Jannasch, Koelitz], — Solub. dans
HCl, 26, 242 [MoIJor). — Form. par
décomp. des chlorates d'Ag et Ca.
«e,24;j (So(/eau).— Act. sur MoO»,
««, 246 {KlasoD}. — Prép. au mo-
yen de HCl et G10*Na. Act. sur P
amorphe, 26, 276 [Gratbc].— Act.
sur Tazoture de Fe, 26, 338 {Foblcrj .
— Appl. de l'eau de Cl au dos. des
bromures, iodures, chlorures, 26,
366 {Weszdszky). — Généraleur
deCl,26,3G9 \Kœnig). — Form. dans
Tact, de ClOH sur les chlorures al-
calins, 26, 667 {Tiesenholt). —
Dos. dans l'eau de pluie, 26, 673
{Ackrovdj. — Act. sur AsH^ BBr\
26, 9rfy {Stock), — Recherche par
\oH sols de Co, 26, 1057 \\irhols,.
— (Hlptoxyde). i o/. Chlorique (Péri.
— ipERO.wDEt. Prép. des sol.; act.
sur KOll, NaW, 2S, 659, 661. —
Appl. à la stérilis. des edu.x alim.
;, 665 [lirycbhn. — Fonn du»
Tact, de HCl sur CiCNa, 26. 176
[Graebe) .
— (Protoxydei. Form. dan» Taci.de ï
sur Gl"0%26,îJ54 Miebaei.Coat
Chlobeux (Ac.i. Form. dans l'acl. de
CIO' sur KOH et NaH)", «5, *J6ù.
662^/?evcZiyer).
CuLOREUx (HYPO-t .\c.).Acl- sur le <uJ-
rate de Mo, 2S, 343 {UaJlhacJkf,.^
Form. de ClOK dans l'acU de Cl fsr
KOH. 25, 661 {Reycbler> . — AcL nr
les chlorures alcalins, 2#, 067 ^ Tf*^
senboJi\. — Constit., %€, â98 Tur
lêCDdor) .
Chlorhydhique (Ac.< . Sels doablas ai
Ir-A2H*etRh-AzH*,25.15 Wtd.
— Act.sur l'oxyde blea,deMo,2S, 1*^
{Gmcbard\ . — Form. dans r*ci. d-
l'eaa sur le granit, 2S, ^^ Ji^u-
lier). — Infl. sur la form. da« a^-
tais, 2S, 349 {Delépioei. — Actssr
Na*SO*, 2S, 532 \Sisio\^, — Ad
sur CoSi, 2S, 540 iLebe^u —
Sels bas. de HgO et de Zo» Ni, O'.
Mn, Ou, Cd. Pb,25,786 MsiJb^
— InO. de HCl sur la soiob. d*-
NaCl et BsCP, 2S, 961 [Saklsar
— Equil. entre PO'H* et ïfts chliir-»
res alcalino> terreux, 2S, V^w Brr-
tbêJot). — Form. dans Tact. d« H
sur AgCl à la lum. solaire, C^ 9^
{Journaux). — Chai, de «lilal. o^
sol. de NaCl et HCl, «S. iU57 K\*
son). — Sépar. de As au moyen ih
HCl et S0% 26, 130 iJit^mtr , -
Soiub. de quelques chlorures dou-
bles dans les aie. mêthyl. et éth*\ .
26, 162 iHohIand). — Electrol. d«<>
sol. aq.; solub. de CU 26. ia
{Mellon. — Act. sur un mél- de s»-
lybdate et d'iodure d'ammoo. ; rfi^-
rure double d'ammon. et de inol>>-
dényle, 26,245 [Kla.toni.— S^w
des chlorures ntétall. par VHb^w^^ M.
250 {Spcller}. — Act. sur <:U>*N».
26, 276 ((rraebe).-- Act. *ur ftt<r
ture de Fc. 26. 338 tFowitr. —
Infl. de HCl et KCI sur la coxkdod
éloGtr. de SnCl', 26, ;^ ( )'ou»7
— Vit. de réact. sur l'aie, élhy 1.., 26.
340 {Priée). — Conducl. ^lectr i>*
quelques chlorures doubles, ^C n *
{Liadaay). — Act. sur rUaturr
d'azote, 26, 357 iC/)all«wa\, >^j<^
vens). — Propr. et s^'l* de Tac. j<»
tachloroplatinique, 26, :Uil V.-
latti, Belluei . — Infl. rf* Ht^ «t
KCI sur la diasoc. de PbCI'.««. kl*»
{Eudc . — Infl. lies sels sur U r»*
cherche des nitrate» ali^alia^ 26
454 (Perman\. — Pc*ints d<^ ♦• «(tï'»-
des sol. aq. de HCl et de phM> «,26.
524 {Emcry^ Krug, ^'•lll1•^"^^l . —
Hydrol. de div. seU, 26, 71^ Br^
nvn. — (^.onduct. «'ledr, it-c* vjj»
TAIiLE DES MATIÈRES.
1301
de chlorures, SU, ^m [Smilbells,
Dawspn^ WiJsoo). — Relut, entre
la conduct. électr. de HCl et des
cblorures et lear act. toxique sur les
poi?««on8, 86, 603 {Kabhoberg,
Mobt). — Loi de dtlut. de conduct.
éleclr. de HCl et des sels, !M, 657
(BnDcroft]. — Infl. du saccharose sur
la oonduct. électr. do HCl et KCl,
^m, 668 {Martin, Masson) . —
Conduct. électr. de HCl; mobilité
des ions, «6, 84ù, 847 iJaha). —
F*ouv. rotnt. magnél. de HCl et LiCI,
«•, 849 IForcbeimen. — Vil. d'hy-
drol, de COS, ««, 862 iBucbbock).
— Act. catal. sur Tisoméris. de la
cinchonine, *6, 864 {Wegscbeidcr).
— Partage entre une sol. aqueuse
et la couche superOc, S6» 87i) {Za-
widzki). — Attaquepériodique de Cr
parHCI, ««,'876, 876 (Ostwaid). —
Forro. de HgCl*. SuCP, 8bGl» dans
Tact, de SO*GI* et AlCP sur HgS,
SnS, Sb'S\ «6. 884 »/?u/7). — InH.
sur la disso). de .A..s'0* dans l'eau,
S«, lOai \Druckcr).
CRLOftiQUE (Ac). Act. de SO*H". Appl.
à la prép. de CIO*. Form. dans 1 act.
de C10*8ur KOH,«C,659 i/?e/c/iyer).
— Décomp. des sels de Ca et Ag
par la chai., S6, 24a [Sodcau). —
Appl. de ClO'Na à la prép. do Cl,
Z%, 276 [Graebe). — CoelT. de par-
tage de AzH* entre CHCl* et les sol.
aq. de ClO'Na et CIO'K, S6, 453
{DawsoOf Mac Crao). — Rel. entre
la conduct. électr. de C10*K et Tact,
toxique sur les poissons, 26, 6 )3
{Kahleobvrg, MobJ). — Dec. de
ClCyK poni- la chai, en prés, de
BaSO*, «•, 668 {Sodeau). — Infl.
des sels sur l'attaque de Cr par les
ac, 1K6, 875 lOstwald). — Conslit.,
«•, 8î>8 [Vorlaonder) . — Appl. de
KCIO" à la pr^p. de P0C1% ««, 1122
{UlmaaDy Fornaro).
Cblouiq' E (Per-) (Ac.K Act. sur div.
alcaloïdes, *6, 157 {Haoussermann^
iS/></''/i. — Prép. et propr. de Tanh.
à part, de C10*H et P*0*. Propr.,
ad. de 1, 26, 354 {Micbacl, Codd, .
CttLOBOFORME. Transf. en CHBr* par
AlBr*, ««, Itn iPourct). — Cond.
avec le JJ-oaphtol, S», 373, 5:W
(Fossn). — Cond. avec l'ald. o-mé-
(hoxybenzoïque, 26, 8 (Lébédct). —
Act. sur la mat. color. du sang, 26,
25 {FormaDok\. — Cond. avec l'ald.
cinnamique et KOH, 26, 37 {Drbo-
giafl. — Dos., 26, 60 iKJppcn ber-
ger). — Coeflf. de partage de AzH*
entre CHCI' et les sol. salines, 26,
71, 449, 453, 1124 iDawsoa, Mac
Crao\. — Comb. platinique; prép.,
propr., 26, 71 IPrandtJ, Ilotmaon).
— Cond. avec la cyanacétamide so-
dée, 26, 229 [Errera). — Comb.
avec la léprarine, 26, 313 (/Tassuer).
— Act. sur la peptase d orge, 26,
383 (W^e/ss). — Act. sur KOH, 26,
529 {Saundorà). — Act. sur les m-
et p-phéoylène-diamines en prés,
de KOH, 26, 768 {KauOer). — Act.
sur les albumin., 26, 815 [Sal-
kowskii. — Act. physiol., 26, 821
{fiostoski} .
Chlorophylle. Rôle de la fouet,
chlorophyll. dans Tévolut. des
comp. terpéniques, 2S, 258 [Cba-
rabot).— Spectre, 2S,69^ [Tsvott).
— Infl. sur 1 étbérir. dans les plantes,
25, 887 [nharabot, Hébert). —
Spectre d'absorpt., 26, 77 {Scbuncky
^farchlewski). — Prés, dans les
fruits du rhamnus catbartica, 26, 79
(Tscbircb, Polacco\. — Constit.,
26, 311 {Marchhwskl); 26, 652
(Marcblewski^ Scbunck).
Chlorophyllixe. Prés, de div. chlo-
rophyllincs dans la chlorophylle.
Transf. en métachlorophylline.
Spectre, 2S, 699, 700 [Tsvett).
Ghloropicrine. Voy. Méthane {Cblo-
roirinitrO').
Chlorures. Voy. Chlorhydrique et
les métaux corresp.
Chlorures d'acides. Act. de Zn-Cu,
25, 3 {Freuodhr).
Cholestérink. Prod. de réduct., 26,
26 {Mu lier). — Hi^'act. color. avec
le chlorured'acétyle, 26, 312 (Tsc/ïu-
gaoff). — Dos. dans la graisse du
chyle humain, 26, 323 (Erben). —
Tribolum., 26, 459 ( Tscbugacff).
— iDlHYDRO-^. SVD. COPROSTÉRINE.
Choline. Absence dans le liquide de
méningocèle, 26, 25, 704 {Gulc-
witsch). — Prés, dans les racines
de boraginées, 26, 79 (Greimer). —
Réact. caracl.. 26, 444 [Struve).
Chondroïtine. Prés, dans les mucines,
26, 820 {Levone),
Chripocétrariql'e (Ac). Prés, dans
div. lichens, 26, 647 (//esse).
CHRoïkiE. Prép. et propr. de Toxalate
crist., 25, '.♦9. — Constit. des comp.,
25, 564 { Wyroubofr. — Poids mol.
de 1 acétylacéionate chromique, 26,
. 570 Cbabrié, Bongado). — Prép.
par électr. du chlorure double de K.
Act. de Cu sur Tamalg. ; act. de
Cr pyrophor. sur .\z, AzO, AzH*.
Prép. et propr.de razoture,25, 617,
618. — Transf. de Tamalg. en CrO.
Propr. de CrO, 26, 619.— Electrol.
de Cr'Cl*. Prép. et propr. de Cr*0*,
H"0,26, 621 [Férôe). — Comb. avec
la diphénylcarbazide,25, 758 [Caze-
neuves. — Sépar. de Fe, Al et Mn
par NaW. Dos., 26, 127 (Barrée).
— Sels doubles chromipyridiques et
chromi-diéthylène-diaminiques, 26,
IHOâ
TABLE DES MATIÈRES.
139 {Phiffcr). — 1)09. par Kl et KIO»,
es, 249 [Stock, Âfasacw). — Act.
de Az'H sur les sels. Sel de 0,!M,
:J54 (Curtius, Darapskr). — Infl. du
Hulfale chromique sur la vit. d'oxyd.
des sol. oxaliques, S6, 659 {Joiia^
aeo, noicber). — Dureté, S6, 839
iBydborg). — Phénom. périod. dans
la dissol. dans les ac, !M, 874
[Ostwald). — Points de fus. et solub.
des aluns de Na, K, Tl, AzH% Rb,
Cs, «6, l()2o [Locke). — Hydrol. de
Cr*CI* en prés, de div. agents, tM^
1U31 IDrucker). — Force, électrom.
des div. degrés d'oxyd.» !M, 1033
{Luther); ««, 1034 (AZ>e/).— Tens.
de vap. des mél. d'aluns de Cr et
Al, M, 1044 [Holïmann). — Prép.
et propr. des hydrates de chlorures
et sels doubles de Cs, Rb, Li, Stt,
1124 (Wtii'Dcr, Gubscr].
Chromique (Ac). Recherche par la
diphénylsemicarbazide, M», 7til {Ca-
zoaeuvo). — Transf. en dichromates
par les sels ammon., ftS, 962 [Doyor,
vaa Clooff). — Sel lutéocobaltique,
SS, 1027 (Klobb). — Infl. du sel
de Ca sur la solidif. des ciments,
plâtres, etc., !M, 4 {Rohland). —
Propr. des sol. des div. sels de Na
(tri-, tétra-, di- et hémichromates),
«6, 27G [MyUus, Funk), — Prép.
et propr. des chromâtes de Ca. Hydra-
tes, S6, 277 [Mylina, Wrochom). —
Propr. du sel de Na, S6,278 [Funk).
— Act. de Na*b*0» sur les sels, SU,
455 {Fêktor). — Réact. des chro-
mâtes et dichromates avec les sels
diéthylène-diaminocol>alt., S€, 887,
888, HS'JiWernenHumpbroy, Gorb).
— Act. ae Tac. sur l'indigo en prés,
d'ac. oxalique, S6, 965 {uoorgcvics,
Springcr) . — Nou v. sel de Na (6H»0),
ItH, 1051 [Salkowaki).
— (Di-) (Ac». Propr. du sel do Rb,
«6, 118 {Wyrouboft), — Act. sur
le sulfate de Mo, «S, 342 [Bailha-
chc). — Form. à part, des chromâ-
tes et des sels ammon., SS, 962
(Doycr, Van Cîeetf). — Infl. du sel
de K sur la solidif. des ciments,
plâtres, etc., *6, 4 {Rohland). —
Propr. du sel de Na, e6, 27G [My-
Ijus, Funk). — Propr. du sel de Ca
hydraté, ««, 277 [Myîius, Wre-
chom). — Conduct. éleclr. du sel de
K au point de congél., tS6, 838
(Wbethaw).
— ISULFO-) (Ac). Propr. colloïd., SS,
1ÔI9 [Wyvouboff).
CuROiioNE [Oxy-S'). Synth, à part.de
la résacétophénone et de Téther oxa-
lique. Propr., dér. éthoxyl6-3, Stt,
un {Kostaneckiy Paul, Tambor),
Chromonf. 1^-Ethyl-) [Oxy-S'). Form.
par coud, de la quinacétophénone
avec Téther propion.; propr^ àét
aoétylè, métboxylé, rlKoxyle, SC^TS»
{KosUneckh Tambor .
(Oxj-^). Prép. par cood. de b
résacétophénone avec Téiber pr»-
pion. ; propr., dér. acétylè, eihoxjfé,
M, 720 (kostëneeki, Tmmbor-
CHR01f0NE(â-MSTHTL-)(0x;^'-^K Id«Bl.
avec la aéhydro-aci^tylrésact^Lophé-
none. Dér. acétylé, methoxylé, ttho-
xylé, en, 159 [KosUnecki, tiox) cki)
— (a.fi-MKTHTL-) (Di-i. Prép. da der.
hydroxylé-3 au moy. de la propio-
nylrésorcine. Propr., dér. aoélrt<>,
éthoxylé, méthoxyié (dihydrométàjfl
acétylpéonol). M, 1112 «.A^osta-
Dcckiy Lloyd).
Chromons (3-Propyl-) {OxyS-). Pr^.
f»ar cond.ae la résacétophénone wtt:
'éther butyrique. Propr., dér. *«-
tylé,9«,720 (Aostonccl/, T^mbori.
Chromone-^carbonique ^EtboxyS-"*
(Ac). Synth, à part, de la ré«acHo>
phénoneet de l'étber oxalique. Propr ,
en, 1111 {Kostanecki, PauU Tam-
bor).
Chrvsoine. Prép. et prppr. de Tac- H
des sels, «5, 278,615. 8G9 {Sishy,.
CuRTSOPHANiQUE (Ac). Form. a part.
de Tanthraglucosennine du séné, S#»
63 (rsc/ï/rc/ï. Hiepc).
Chrysoquinonk. Vit. de comb. avec
la phényihydrazine, <•, 896 (P^
tronkO'Kritscbenko^EltiftbauinnTx.
Chyle. Constit. chez rhomme,SC«91^
(PffDzer). — Constit. de la graisse,
tes, 323 {Erben),
Ciments. Infl. de quelques sels sut U
solidif., !M, 4 [RobJand].— Constit
des ciments hydrauliques, 9S, Mt>
(Bobuffat).
CiNCHÎfNE. Act. de Br. Constit., SS,
soi, 20b{Kœnîga),
CiNCHivNE (Apo-). Constit.; form. »
Eart. des ciochénes, sels, dc'r. amidr,
ydroxylé, nitrés, todéthylate. 9ê,
303, 806, 307 (Kœoig^).
(CÉTO-KTHYL-). Form. par ox}^.
de Tapocinchéna. Propr., constit..
«6, ate, 306 {Kœnigsl
(TÉTRAHYDRO-). Form. à part- d*
rapocinchène. Propr., dér. diacU^lr,
se, 305 {Kœnigs).
CiNCHÈNE (HoMO-APo-). Ponu. i paK
de la lactone ox)'-apocinch«*niaa«*
Propr., constit.; «6, 303, A« .4^
ni g s).
(Ethyl). Constit., oxydât. t«,
303, 300 {Kœoigs),
CiNCHÎfNE (Hydro*) (Di). Form. I pari
du dnchéne, S6, 305. ~ Foffn. a
part, de l'apocinchéne. Propr.. sels,,
act. de PO*H», S«, 807 Kcmi^)
Ci.Nt:HKMNiQUE. Voy. Quiî^otsura-^-
CARBONIQUE.
TABLE DES MATIERES.
iSOS
CutCfiÉNiQUB (Ac). Form. à part, de
l'éthylhonio-apociachène, £0, â07
{Kœaig/i). •
— (Apo-) (Ethyl). Forro. par oxyd.
de rapocinchèno. Propr., dér. hydro-
xylé, ètlioxylé, lactone. Constit., !SII,
803, 90Q{KœaigsK *
— (HoMO-APo-) (Ac). Form. à part, do
Tac. élhyihomo - apocinchénique .
Constil., propr., £6, 303, ^07 (Kœ-
nigs).
(Ethyl-) (Ac). Form. par oxyd.
de rélhylhomo-apocinchène. Cons-
tit., act. de HBr, «6, 303* 306
{Kœnigs).
GiNCHOLOÏPONE. Fopm. à part, du dihy-
drocinchène, •B, 308 [Kœaiçs).
CiNCiioLOÏPONiQUE (Ac)- CoosUl., •B,
f»4 [Kœnigs). — Constit., sels,
propr. ; iodomélhylate do l*éther di-
méihyl.. ««, 1178 {Skraup).
GiMCHOifKBONiQUE (Ac). Prép. au mo-
yen de la quinine. Propr., transf.
en ac. iaonicotique, 96, 999 (Tor-
Dêjgo).
CiNCHONiciNE. Ident. avec la cincho-
loxine. «B, 811 {Miller, Robdc).^
Form. à part, de la cinchonine, 96,
1010 (Skraup, Zwcrgor).
— (a-lso-). Form. à part, de ra-lso-
cinchonine, «6, 1011 (S/craup, Zwer-
ger).
— (IsopsEUDO-). Form. des ispm. a et
3 à part, des x et ^isocinchonines.
Propr., sels, hydrazone, £B, 1009,
101 1 {Skraup, Zwerger).
CiNCHONiDiNB. Dér. OL et fibromes,
tribromé; brorahydrate, SS, 84 {Ga-
limard). — Tribolum., «6, 459
{Tschugaetf). — Dibromure, sels,
5B6, 1182 [Chrintensen).
CiNCHONiFiNE. Idôot. avcc Thydrocin-
ohonine, SS, 528, 877 (Jungfleiscb,
Léger),
CiNCHONiNE. SeU des benzoyljphényl-
alanines d, 7 et r,9S, b^ {E.Fischer,
MouDcyrat). — Dos. de l'hydrocin-
chonioe. PropH, sulfate, SS, 697,
880. — Constit., propr., S5, 772
{JuagfJûiscb, Léger). — Propr. du
^lycuronate, SB, 200 {Nouborg). —
Constit., «B, 304 (KfPii/^s). — Tri-
bolum., «B, 459 {Tscbugacff). —
Selc des ac s-bromopropion. d et /,
«6,616 (Rambora). — Conatit.,«B,
810 (Miller, Robdc). — Transf. calai.
60 s-isocinclionine par HCl, HBr.
Hl, «B, 864 [Wogschoider). —
Transf. en p-isocinchonine, £B, 1(X)7
{Skraup, Copony, .}f,'daninh). —
Form. de» mono- et Iriiodhydrates
è part, des s- et ^-isocinchonines.
Chlorh.; phéoyiurée. «B, 1009
\Skraup, Zwi^rger). — Constit., 96,
1177 (Skraup). — Prép. et propr.
des perbromures, !M, 1182 (Cbris-
teascn).
— (Hyoro-). Propr,, sels, ident. avec
la cinchoniflne, SS, 528, 880, 887.
— Dos. dans la cinchonine, !K, 698,
880. — Constit., propr., SS, 772
880 {JuDgfleiach^ Léger).
— (oi-lso-). Form. à part, de la cin-
chonine par Tact, catal. de HCI,
HBr, HI, «6, 864 ( Wegscbcidor). —
Propr.; iodhydrate, «6, 1009(SAraiip,
Zwerger),
— (^-Iso-). Form. à part, de la cincho*
nine. Propr., 8els,iodométhylate.Iso-
mériaat., 96, 1008 (Skraup, Copony,
Mcdanioh). — Propr., lodhydrate,
S6, 1009 [Skraup, Zwerger).
— (Mbthtl-). Constit. du dér. Isoni-
irosé, «B, 811 (Mill^, Roàde).
CiNCHOTiNE* Prés, dans la ctnchonine,
«6, 1007 (Skraup, Copony, Mcda-
aicb).
CiNCHOTOXiNE. Constit., 96, 304 (Kœ-
nigs). — Constit., dér. nitrosé, iodo-
mélhylate. Ident. avec la cinchoni-
eine, 96, 810 {Miller, Robde); 96,
1010 (Skraup, Zwerger).
CiNKOLiQUB (Ac). Dédoublement par
la strychnine. Anh., 96, 809 (Rupe,
Ronus) .
ClNBTIQUiE CHIMIQUE. Act. do Hl SUr
Ag. Energie libre, 96, 841 (Danneel).
— Cinét. des syst. homogènes, 96,
882 (We^scJ!iei(/er).
CiNNAMiQUE (Ac). Propr. physiol. du
nitrile, 9S, 596 [Fiquci). — Act.
de AzO'H sur l'élher mélhyl-, 9S,
808 ( Wabl). — Cond. de l'élher éthyl.
avec le diazométhane , 96, 429
(Pecbmann, Burkard). — Tribolum.
du sel de quinine et du ctnnamate
de bomylc, 96, 459 {Tsebugaefi). —
Act. de Na. Synth, au moyen de
l'ald. benzoïque et de Tcther acéti-
aue, 96, 472 (Micbael). — Ck)nd.
e Féther éthyl. avec Tacétophénone,
96, 538 (Stobbe).— Prép. de l'anh.
au moyen du chlorure et de la pyri-
dine. Hydrazide, 96, 969 (Wede-
kind),
— (CraJio-4-) (Ac). Prép. au moyen
de raid, p-cyanobenzoïque. Propr.,
96, 112 (Moses).
— (%'Cyano-) (Ac). Prép. des dér. o-,
m- et p-hydroxylês par cond. des
ald. o-, m- et p-oxybenzoïques avec
fac cyanacétique. Propr., 9S, 694,
5^6 (Fiquet).
— (Nitro-S-) (Ac). Form. par nitrat.
du cinnamate de méthyle, 9S, 808
(Wabl).
— {Nitro-A-) (Ac). Prfn. par nitrat.
du cinnamate de métiiylo, 95, 808
(Wabl).
— (Oxv-2-) (Ac). Prép., propr., act.
physiol. du nitrile, 95, S^ (Fiquet).
1904
TABLE DES MAIfÈRES.
— (Oxv-3-) (Ac). Pi'ép., propr., act.
physiol. du nitrile^SS, 5d5 {Fiquct).
— (Oa'^-4-) (Ac). PrépM propr., acl,
physiol. du nitriie, SS, 559, 594
(Fiquet).
— Voy, Thymoxtcinnamique.
CiNNAMiQiiE (Aid.). Gond, avec CHCI*
et KOH,««, 37 {Drboglaf). — Gond,
avec l'indène, «6, 99 [Thielc). —
Oxyd. par le persulfale'eii prés, de
AzH», «6, 628 {Pickai'd, Carter).
— Prép. et propr. de la méthyl-2-
semicarbazone, SK6, 783 {Younqy
Oates), — Gond, avec Tac. barbi-
turique, 96,921 [Coûrady Beinbach).
GrNNAMiQUE (Allo-) (Ac). Acl. ae
SO*H* sur les dér. a-bromé et «-
chloré. Trandf. en truxone, 9S, 208,
209 {M&Dthey).
GiNNAifiQUE (Benzamino-) (Ac). Transf.
en ac. benzoylphénylaminopropioni-
que, 9S, 57 {È. Fischer, Mounoy-
rat).
Ginnamique(Phényl-) {C bloro-4-){ Ac).
Prép. par cond. de Tald. benzoïque
avec le cyanure de p-chlorobenzyle.
Propr., dér. p-mélhoxylé, o-, m- et
/)-nitré8, bromométhoxylé, 1Î6, 295,
296 [Waltber, WctzUcb).
{Niti'o-4-) (Ac). Prép. par cond.
de Tald. benzoïque avec Vac. p-nilro-
phénylacétique. Propr., 1(6, t86
(Wahher, Wetzlich).
GiNNAifiQUE (Phénylisopropyl-) (Ni-
triie). Synth, du dér. chloré-4 à
part de 1 ald. cuminique et du cya-
nure de p-chlorobenzyle. Propr.,
«6, 296(Wa///iPr, Wotziîcb).
GiNNAMIQUE (PHÉNYL-MÊTHYLÎiNE-
DroxY) (Nitrilo). Prép. par cond. du
pipéronal avec le cyanure de ben-
zyle. Dér. p-chloré, p-nitré, «6, 296
{Walther, Wctrlicb).
GiNNAMYLE (Ghloruro). Act. sur la
pyridine. Transf. en anh., 90, 969
l'^edekind).
GlNNAMYLIDÈNE-ACÉTOPUÉNONE. Voy.
ACKTOPHÉNONE.
ClNNAMYLlDÈNE-BARBITURIQUE ( Ac. ).
Prép., propr., 96, 921 {Comrad^
Beinbach).
GiRES. Gonstilut. des cires de bana-
nier, de figuier, d'abrille, 95, 979
{OreshofT, Sack). — Constit. de la
cire du Japon, 96, 291 {Gertely
van der Want). — Gonstit. de la
cii-e de Psylla, 96, 9Sd (Sundwick).
— Déterra, de l'indice d'acidité et
de saponif., 96, 9(^(Eichhorn).
GiTRACONiQUE [Ac). Coud. avoc le
diazométhane, 96, 429 [Pt'chmanûy
Burkard). — Gond, avec les éthcrs
malonique, méthyl- et éthylmalo-
niqucs sodés, 96, i70,471 [Micbacl).
— Gond, avec lYlher malonique
sodé, 96, 1180 (Skraup).
GiTRAL. Modif. stéréo-îsom. ; semicar
bazonos, oximes. Gond, avpc l'^ce-
tone, Tac. cy&nac<^tique, 99« fiV
{Ticmann). — DiiTus. dam Tiir,
96, 440 {ErdmanoK — Coni^tii .
isom,, 96, 50NS {TiemaDw.
— Voy. GYCLocrrBAL.
GlTRALIDÈNE - CYANACÉTIQUE ( AC.
Modif. stéréo-isom., 96, SÀt. —
Isoroéris. par les ac, 96, UJk
{Tiemann).
— Voy, GYCLOCITMALIokNC-CTAXACi-
TIQUE.
GiTRAPTÈNE. Extract, du citron ;coqf-
tit.,95, 465 {Tbeaiirrj,
GrrRiQUB (Ac). Act. sur le nitrate 4*-
brucine, 95, 532 ^CslzeDe9re^ . —
Héact. color. avec le lactose «i
AzH% 96, 352 SJeber . — Rel
entre la saveur et la dissoc. èleciroJ.
des sels ac, 96, ÔM iKableobeiy .
— Propr. toxiques du sel ac. d*
Na, 96, 524 (Kahlenberg^ AuAtla .
— Act. de SO*H*, 96, 569 . Curtia.t.
Hestc).
Citron (Essence). Dens., viscos.^ tea»
superf., 95, 521 {^eancard^ Sa-
tie).
— . Voy. ClTRAPTKXE.
GiTROXNELLAL. Prép. ct ppopr. dç
l'acétal méthyl., 96, 299 \Harri^%
— Oxyd. de Vacétal., 96, 6M6 lUr-
ries, Scbauwccker) .
GiVETiE.' Gonstit,, 96, 310 (UW-
banm) .
Clévéite. Extr. des métaux radio-
actifs (Pb), 96, 68, 244 Jiolfmmmm,
Strauss).
GLupÉiNK. Dos. de Thistidine^ de Vtr-
ginine,dela lysine et de Az amide»
96, 385 {KosseU Kulscber),
GOAGL'LATION. Voy, GOLLOÎDGS.
GoBALT. Appl. de Tarséniate dooble
ammcn. au dos. de As. Propr., 95.
236 (JDucriï). — Form. crist. ée0
chlorosulfate et chloroséléntale lu-
téocobaltiques, 95, 269 \Kfobit\. —
Act. dos sels sur Fa mélhvlaoïliiM.
95, 5f7 [Coniock]. — Act. hit
GuSi. Form. et propr. du silkiitrt.
Act. de F, Cl, HF. Form. de CoF*.
GoGI% 95, 539 [Lebcau . — bote àt
diazo-aminés, 96, 565 [M^yuaitr . —
Applic à l'hydrogénat. des carbure*
incomplets, 95, 671, 678 {SsbéO^r,
Sendcrens). — Acl. de H^ sur fes*
chlorure, azotate et sulfate. Scis
doubles bas. de Hg et Go, 96^ 7êA
{Afailhe). — Act. de Gui OH r» ssr
le sulfate. Sel double basique, 9S«
9G8 {Becoura). — Act. de AgH> *ar
les sels. Oxydes-mixtes, 95. 9f&
{Sabatior). — Sépar. électp. de NI,
95, 970 (Balacbowsky). ^ AeC de
PbO* ; prép. et propr. de div. mis
TABLE DKS MATIÈRES.
1805
loléo- et roséo-cobalttques, ISS, 102:3
{KIobb). — Applic. du nilrite
double au dos. de K. Act. de
KMnO*, ««, 78 (Adio, Wood). —
Sépar. de Ni par les ferricyanures,
Ité, 126 {Browaing, Hartwcll). —
Sépar. de Ni par H'Sen prés. d'ac.
Urtrique, ««, 127 [Tower). —
s?épar. de Zn par H'S, ««, 131. —
Heicherche par CAzSK en prés.
4Va\c. ainyl. ; suirôcyanates doubles
de K «l AzH*, «6, 131 [TrcadwcII).
— Prvp. et ppopr. du sulfocyanate
liydialé, £6, Ub iKournakof). —
Appiic. du nitrite double de Na à la
rocherohe de K, IM, '^k {BtH-
mtoD). — Act. de Na*S'0* sur les
sels. ««. A:^(Faktor). — Eleclrol.
de CoCl* en sol. dans Tacétone et
Talc, méthyl., S6, 458 [Spéranskv^
Goldberg). — InH. de Co*0» sur Pt
colloid.. ««,683 {Brodig, ikcda).^
Kéd. du nitrate par 1 ac. lactique,
4«, 666 ( Vaoiao^ Hauser). — Comp.
diéthylène-diaminO'Cobaltiques, Sv,
b86, 888, 889 (IVorner, Humphrey,
Gorb). — Dos. à Télal de phosphate
ammon.f 96,953 iDakia). — Points
de fus. et sol ub. des sulfates doubles
de Cs et Rb, ««, 102tî {Locke).—
bêpar. de Ni, «6, 1057 {Donath),
— Appl. des sels à la recherche de
Cl, Br, 1. «6, 1007 (Nicboh). —
Kecherche, «6, 1058 {Donatb). —
Propr. du sulfocyanate. Sépar. de
Ni, ««, 1059 {Bosoubcim, Huld-
chiosky). — Sels mixtes de chrome
ftl A^H*, ««, 1H5 ^Woroer, Gub-
ser).
Cocaïne. Tribolum., ««, 459 ( Tschu-
gacft). — Dos. par là l'état de
periodure dModhydrate, «6, 645
. Oarsi^d^ CoUîr, . — Tribolum. du
salicylate, «6, 929 {Tscbugaeft).
CoccELLiNiQUE (Ac.K Prés. dans div.
lichen«. Propr., «6, 650 (//esse).
CoccELiQrE (Ac.i. Prés, dans div.
lichens, «II, G50 (Hosso),
l!ocHKMLLE BMLLANTE 2 R. Sel de Na,
«s, 8*i7 iSîsIrv)
CoDÉiOK (Hromo-). Form. à part, de
la codéine. Propr., ««, 727 {Scbry-
ver, Less^.
Codéine, Réacl. color. avec Se et
SOMP, «S, 489 iJoMve). — Tribo-
lum., !M; 459 {Tschugaeffi. —Tri-
bolum., M, 727 {Srhryvor, Less).
— (Iso-\. Form. à part, de la codéine
et de Tisomorphin?. Propr., iodo-
méthflate,<6,727 iSchryver, Lcss).
Coefficients. Table des coeff. d'anal,
quantit., ««, 1006 Sartori).
Coke. Act. sur les sol. de CIO', SS,
66Î) iHoycbler). — Form. par dist.
d'huiles de résine, S6, 124 [Kracmer,
Spilker] .
COLLIDINE-CARBONIQUE (Ac). Solub.
des osazones dans les élbers, <6,
30 'Neuborg.
— (DiHYDRO-j (Elher). Non-form. à
part, de t'élher éthylidène-bis-acétyl-
acétique, SU, 494 {Babo, BiU-
wanm.
Colloïdes. Coostit. ; théorie des mi-
celles, «5, 650, 651, 994 yPosier-
nak} ; «5, 994, 1016 iWyroubofi),
— Congél. de syst. colloïd. réver-
sibles, propr. des sol., 26, 515,
516, 83j. — Emission et absorpt.
d*eau par les colloïd., 1MI, 516
{Duhem^, — Dissoc. dans les sol.
colloïd., 26, 519 \Léyî). — Propp. des
sol. colloïd.; Cd colloïd., S6, 596,
507 {Bredig, Coobn). — Mél. colloïd.
noB-révers., 26, 839 [Hardy]. —
Sol. colloïd. métall.,26, 8(Vl Stocckl,
Vëuinoi ; 26, 884 iZsigmondy). —
Théorie des sol. colloïd., 26, 1049
\Donnan .
CoLOMBiMNB. ExlT. de ropufde pigeon.
Propr., sels, 26,271 [Punormat,.
Colorantes (Matières). Comb. de la
fuchsine avec les colorants acides,
25, 5. — Dér. du jaune indien et
de l'orangé IV, 25, 178. — Dér. du
triphényl- et du diphényl-méthane;
diazot. et copul. arec les phénols
et aminés, 25, 213 à 210. — Oxy-
azoïques, 25, 278. — Spectre et
constit.desdér. du triphénylméthane,
26, 5^6, 527. — Ponceau crisl., 25,
532. — Dér. de l'orange IV, 25, 533.
— Dér. du triphénylméthane et du
phénylfluorène, 25, 562. — Tétrazo-
sulHtes, 25, 613. — Sels d'oxy-
azoïques sulfonés, 25, 614. — R^.
des niho-azoïques, 25, 697. —
Bhodamines chlorées, 25, 747. —
Dér. uu phenyinuorène, 25, 751.
— Dér. de la diphënytcarbazide, 25,
758. — Dér. sulfon. des oxy-azoï-
ques, 25, 802. — Vésuvines et brun
Bismarck, 26t 16. — Benzazols, 26,
17. — Pi*od. de cond. des aminés
avec les dichloriminoquinones, 26,
52. — Thiazines, 26, 53. — Ethers
des carlûnols, 26, î»7. — Safranines,
26, 115. — I>ér. de la benzidine ;
azoïqu^'sde la diin('tliyl-;7i-toluidine,
26, 178, 179. — Safranines, rosin-
dulines, 26,218, 219. —Tbionines,
26, 223. — Rouge brillant, 26,
440. — Sépar. de l'indigo. 26, 444
\Loont\ — Dér. azoniums, 26, 545,
5i7, 548, 6.S7. —Dér. de la chlorO'4
m-phénylènc-diamine, 26, 916. —
Act. de la lum. sur les d<'r. du tri-
ghénylméthane, 26, 1043. — Dioxy-
uores<î**ine8, 26, lCte*4. — Rhoda-
mines alcoylt'es, 26, 1146.
Colza lEssenee . Prép. par act. de la
myrosine sur le tourteau, 26, 979
1306
TABLE I)E8 MATIERES.
(Sjollom à).— Chai, de combust., £0,
654 {Sborman, Sncll).
CoMBu$TiB|.ES. Dos. dc S, !SS, 1006
{putois) . — App. pour la détenu.
du pouvoir calorif., £6, 525 (M«-
gnanini\ Zunino).
Combustion. Phénomènes de combust.
dans les foyers industr., I^S, ^
{Boudouard) .
CoMÉNiQUE (Ac). Constlt. propr., 26,
551 {Pcratonery Loonardi). — Propr.
des élhers éthyl. et diétby|.,eit,55S
{Tortoricî).
CoifpREssiBiLiTÉ. Coeff. de Feau et de la
/Htoluidine, ««, 884 {Hulett),
CoNCHiOLiNE. Dédoublement de la con-
chioline demytilus et pinna, tCH, 31
{Wetxer).
Conductibilité électrique. Appl. à
Tanal. des eaux minérales, W, 612«
694 {Mùller). — Conduct. spécif.
d*ac. cycliques on C, 96, 89 (Roth) .
— Conduct. de sels doubles el des
mél. des constituants, !M, 858
(Liûdsayj . — Appl. à la déterm. des
constit., se, 890 {Hollemaon). —
Hel. avec l'énergie basique des hy-
drates métall., «6, 520 [Carrant,
Vespignanî). — Conduct. des ac.
faibles, «6. 597 {Walter). — Con-
duct. des vap. salines, <6, 602
{SmitbollSy Dawson, Wilson). —
Helat. avec Tact, toxique, <6, 603
\KahleHbcrg, Mehl). — Loi de
dilut., ««, 057 (j^ancroA).— Con-
duct. de ZnSO*, 7H*0 au point de
transf., «•, 661 (CoAoïf). — Con-
duct. de div. sels aux points de
congél., £6, 838 (Whctbam). —
Anomal, des éicctrol. fortement dis-
soc, ««, 846, 847 [Jahn). — Con-
duct. de div. sol. aq., S6, 948
iKablenbcrg). — Hel. entre la charge
des ions et la pression osmot., M,
949 {Turin). — Inll. des rayons
cathodiques sur les conduct. des gaz,
26, 1041 {LonnsnK — Conduct. des
sels doubles et mél. corresp., S6,
1052 iJonos, CaldwoU).
Confitures. Composit., 26,655 [Toi-
tnan, Munson^ Bigulow).
Congélation. Tov. Colloïdes, Poi.nts
DE congélation.
CoNHYDaiNE. Cond. avec risosulfo-
cyanate de phOnyle, 96, 18 iUUcr-
scbeidï .
Consolicine. Form. par hydrol. de la
consolidine. Propr., S6, 79 iGrei'
mer).
Consolidine. Prés, dans div. bora-
ginées. Propr, 96. 79 (Greimor).
Constantes thermiques. Chai, de
dilut. des sol. salines, !SS, 1057
{Colson). — Rel. entre la chai, de
neutral. et la dissoc. éiectrol., 26,
287 iTbiel). — Rel. entre les cmT
therm. etdynam.,96, 595 iButrows*.
— Chai, de combust. de div. luiâei;
1^6, 654 {Sbftrmann, Sftcili . — Rel
entre la chai, de dissol. et la sola^
des éiectrol., «6, 872 {Vmn Lmt.
— Cbal. de neutral. de div. ac
organ. en sol. alcool., ^BS, 8TS
(Tanatary Klimenko).
Coprostérine. Form. à part, da la
cholestérine. Constit., M, 26 {Mëir-
1er). — Extr. des tutus. Propr., ••,
267 {Basterûeld, AstOH).
Corne. Form. d'une noat. cométà
part, du giycocolle. <•, 39 Bsl-
biano, Trasciatii). — Hyidrol. ; (kki.
de la cysiine et de la eysiéiae, 96,
827 [Embdca).
CoBTBULBiNE. CoDstit., dér. aoét^
transf. en corydalina^ 9^ t4U
{DobbiCy Landery Patlimtme^kn^ . —
Propr., oxyd., racémis., 96, Sl5
{Oadamcr, Bruns).
— (DÉHTDRO-). Pr^p. à part, de la
cor^'bulhine. Propr., sels, 96, SU
{Gadamor, Bruns).
Corydaline. Constit., sels ; form. à
part, do la corybulbine, 96, 2ID
[DobbiCy Landcrj PaliatseaH' .
CoTARNiNE. Constit., propr., 96, 191
{Decker] ; «6, 728 {/{aDUsch\.
Coton. Prod. d'hydrol., 96, 7K
{Storor).
— Vov. Cellulose iOxy-i.
Coton" (Huile). Act. de CS» ealfbré,
S6, 448 iOtlar).
CoTON-pouDRB.Act.de Tald. formiquc.
96,739 {Vanino).
Couiiarane(Phényl-céto-) [Trioxr^-
Ident. avec la génistéine, 96» 151
{Porkin, Hors fait;.
Couuarane-carbonique «IsopaoPTt-
CÈTO-) (Ac). Form. de rétherelh*!.
par cond. de Tac. bromisovalértque
avec l'élher salicylique sodé, 96, iS
{Biscboffi .
CouMARANONE. Prép. à part, da l'ae.
phénoxy-acétique. Propr., oûme.
scmicarbazone; dér. o- ot/>-ox.}bftn-
zylidéniques, 66, 76 {Stœrmer»
Bartscb).
— (^MÉTHYL-). Prép. â part de^lV.
o-crésoxy-acétique, 96, 76 :Sk^r
mer, Bartscb).
— (MÉTHYL-4-1. Prép. k part, de Taf.
^ i»-cré8oxy*acétique, 96, 70 .SUtr-
' mer, Bartscb),
— iMÉTHTL-5-). Prép. au moyen 4?
l'ac. p-crésoxy-acélique, 96. 1H
{Slœrmcr, Bartscbj.
— {Méthyl-4.6-)(Dh. Prép. ao vao}na
de Tac. la-xylénoxy-acétique. Propr ,
S6, 77 iStœrmer, Bartscb).
CouMARiLiQUK (Ac.) . AcL de Br «or
Tac. et l'amide. Nitrile, bjdraxMr.
TABLE DBd MATIÈHBS.
1307
azide, uréihane, éther phényl.,
.i47 (Stœrmcr, Cëlow}.
— ip-MÉTHYL-) (Ac). Prép. des dér.
liyiiroxylé4 et dimélboxylé-d.4 à
part, de l'at-chioro-^-méthyiombel-
lirérone et de roH^hlorodiméthoxy-
S.4.^-n[iéthylcoumarine. Propr., M,
tlt [Pt^chmanOt Hanke).
CouMAUiNE. Tribolum. , SU, 458
{ Tsvhugacft) .
— i^Biomo-), Prép. à part, de Tald.
broino-5-«alicylique. Propp., dibro-
muiH;, ItUy 101 iSimonis^ Wcniûl).
— ici.p-Bromo-) i^i-) . Forra.à pari, du
d ibromure de ^-bromocoumarine,
««, 101 iSimonis, Weoicl),
— iBromoS.b-) {Di-}. Act. de KOH
sur le tribromure, <ll, 101 (SimO'
nJH^ Wcnzcf).
— iBroMO') {Tri-). Form. à part, du
tribromure de dibromo-3.5-couina-
rine, S6, 101 {Simoois^ Woniet).
Cot'MARlNE I^MÉTHTL-). PPèp. pdP
cond. du phénol avec Téther acétyl-
acétique, 96, 263 {Pecbmann,
Krath) .
{:L'ChIoro-diiDéthoxy'S,4'). kci.
de NaOH, !M, 212 {Pechmaan,
Hanke).
— (MÉTHYL-) (Di-). Synth, du dép.
a-chloro-p-hydroxylé à part, de
Porcine et de l'éther «-chloracétyla-
cétique. Propr., dcr. acétylé, ben-
zoylé, 96, 211 {Pechmann^ Hankt).
CoullARl^w ipHÉNYL-). Prép. pap coud.
de Tald. salicylique avec Tac. phényl-
acétique. Propr. ; dép. p-chloré,
p-niiré, 96, 205, 296 [Waîtber,
W^etzïich) .
CouMARlNE-p-CARBO^^QUB (Ac.) . Prép.
par cond. du phénol avec Téthep
oxalact'lique. Propr., éther éthyl.,
S6, 264 {Peebmaon, Kraffl).
— iOxy-^-j «Ac). Form. par cond. de
lliydroqoinone avec 1 éther oxal-
acétique, 96, 261 iPecbmaan^ Grae-
gvr).
CoLMARiQUE [Tribromch] lAc.i. Form.
à part, du tribromure de dibromo-
;{.5-coumarine, 96» 101 [Simonis,
Wenxch .
— Voy. Glucocoumarique.
COLMARIQUB (PHKNYLDIHYDRO-) (Ae.) .
Ppép. à part, dcroxy-î-benzylidène-
acétophénone, 96, 260 [Feuorsteiny
Museulus) .
(Joumaronk. Ëxtracl. des coumapones
du goudron. Dec. par lu chai., 90,
61 {Slœrmort Boes). — Act. de
SO*H* sur la coumarone, 96, lOJ
(Krmmer, Spilker). — Extpact du
cumol bpul, 96, U12 i}fo!tcbaer).
— (Bromo'). Act. de Br, 96,348 {Si-
monis) .
— {Bromo-i .2') iDi-*. Prép., propr.,
I, 348 {SiaiODis\.
— iBromO'i.5) (D/-). Act. deBr.,96,
348 iSimonis).
— {Bromo* i. 2. 5') {Tri-). Form. à part,
de l*ac. coumariiique, 96, 347
iSloormer, Calow). — Prép.,ppopp.,
96, 348 {Simonis) .
— {RromO'i.S.ô-) {Tri-). Act. de Bp,
96, «48 iSimonis).
-- {BromO'i.S.S.ô') {Tetra). Prép.»
ppopp., 96, 348 {Simonin).
COUMARONB (HyDRO-) (DiMÉTHYL-DI-).
Fopm. àpart. delamenthone. Propr.,
96, 505 {Bacycr, Seuffert).
CouMARONE (Mkthyl-). Prés. de div.
isom. dans le ^udron. Dec. par la
chai., 96, 62jS<0(»riBer, Bocs).
— O-MÉTHYL-) Form. des dér. hydro-
vylé-4 et diméthoxylé-3.4 à part, des
ac. coumariliques oorresp. ; ppopp.^
96, 213 {Pnrbmann, Hanke).
— (MÉTHYL-6-).Pré8. dans le goudron.
Prép. au moyen du crésoxy-acélol.
Dec. par la cbal., 96, 62 {Stoermct,
Boes) .
— (MÉTHYL-) (Di-). Extp. du goudpon.
Ppopp., 96, 62 {Stocrmer,Boes). —
Form. à part, de la menthone. Dép.
tri- et tétrabromés, 96, 505 [Baeyar^
Souffert}. — Prép. du dér. hydro-
xylé-4 à part, de rs-shloro-^-dimé-
tbyloxycoumarine. Propr., 96, 212
{PccbmanUt Hanke).
CoumarOaNE-carbonique (.\c.). Prép. et
propr. de Téther éthyl., 96, 347
[Stoermery Calow).
Coumarylcétone (Di-). Propr. de
Toxime, 96, 348 {Stoermer, Ca-
7oivJ.
— (Methyl-) . Propr. de l'oxime, 96,
348 [Stoermer, Caiow).
Couple. Voy. Etain, Zinc-cuivre.
Courbes. Emploi des courbes expéri-
mentales, 96,877 [Lebfûldt).
Créatininb. Dos. dans Turine, 96, 330
iGregor) .
Créosol. Prép. et propr. du salicylate,
96, 405 iCobn).
Créosote. Prés, dans Thuile de bois,
96,440 {Frans).
o-Crésol. Carbon, mixte ëtbyl., 98,
635 iCazeneuve) . — Act. du dér.
sodé sur les éthers gras a-bromés,
96, 12 [Bischoff). — Form. pardéc.
des mélhvlcoumarones du goudron,
96. 62 {Stoermcr, Bocs). — Prés,
dans Tessence de cascarille, 96, 1Ô6
iFendler. — Ether p-nitro-o-sulfo-
benzoïquc, 96, 413 iHenderson).
— Vit. d'élhérif., 96, 616 {PanoD.
— i.AminO'4-). Form. à part, de l'o-
lolylhydroxylamfoe, 96, 708 {Bam-
berger) .
— {Bromo-) (Tétra-i. Form. dans Tact,
de Bp et AiCr* sur le carvacrol,
818 {Bodroux).
1806
TABLE DES MATIÈRES.
— {Nitro-4-). Nilrat. de l'élher mé-
thyl., S«, 1087 {Kauûer, Wcii-
zel).
— {Nitro-S.4.6') {Tri'). Prép.àpart.
du p-nitro-o-cro8ol. Éiher mélnyl.,
«6, 1087 (KBUÛcr, Wenzor).
m-CRÉsoL. Carbon, mixte éthyl., SS,
G35 \Cazcncuvc) . — Acl. du dér.
sodé sur les élhers d'ac. gras œ-bro-
més, «e, 12 [Biacbott). — Form.
par déc. des méthylcouinarones du
goudron, S6, U2 [Stocrmer^ Boes) .
— Vil. de copul. avec To-iododiazo-
benzènc et Tac. p-dîazobcnzène-sul-
fonique, 1S6, 114 [Gnldschmidt^
Keppelor), — Acl. sur le salol.
Prép. et propr. du salicylale, 1(6,
hO'ôiCohn}. —Vit. d'éthérif., ««.
616 [Panof] . — Comb. avec Tacétyl-
cblorogalaclose, 26, 687 {By-ao^
Mills).
— {Amino-2-), Cond. avec Tbomopy-
rocatéchinc,26, 037 [Kehrmann).
P-Crksol. Const. Iherm., 2S, 361 {Do-
Jépino). — Carbon, mixte éthyl.,
«5, 635 [CazoDeuvo). — Acl. du
dér. sodé sur les élhers d'ac. gras
a-bromés, !K6, 12 {Bisclwff). —
Fonn. pardécomp. des méthylcou-
marones du goudron, 26,62 [Stocr-
miTy Boos) . — Acl. du sel de K sur
ro-nitrobromobenzëne,26,4i;â(Coo/r
Hillyer). — Etherp-nitro-o-sulfoben-
zoïque, 26, 413 {Hondcrson), —
Copul. avec ro-bromodiazobenzèno,
«6, 424 {Hewitt, PJiilips). — Vit.
d'élhérir., «6, 616 [Panot).
— {Amino-2. 3') {Di-). Prép. et propr.
de l'cther mélhyl. ; cond. avec la
phénanthrènf-quinonect le diaeétyle,
«6, 1087 {Kauflcr, WoùzoIi.
— (Bromo-2-}. (^opul, avec le diazo-
benzène, «6, 423 (Howltt, Philipps).
— {BromO'S'). Acl. de AzO*H, 26,
1131 [Zincko).
— {Bromo') {Tri-). Act. de AzO'H,
26, 1 132 (Zincko) .
— {Bromo-b.Ô-nitroS-) {Di'). Acl.de
AzO'H, 26, 1131 (Zincko).
— iCliJoro-S-). Acl. do AzO'H, 26,
1131 (Zincko).
— (Ethylamino-) (O/s-i.Form. à part,
de la" mélhylphloroglucine el de
IV'lhylamine. Propr., sels, 26, 985
(FriedI).
— [yitrO'H-]. Nitral. de l'élher mélhyl.,
26, 1087 iKauflcr, Wonzel).
— {Nitroà-S-UDi'\. Prép. par nilrat.
de l'o-nîtro-D-crésol, élher mélhyl.,
26, 1087 (Kau/yer, Wonzot).
P'CuÉsoL (BE.NZt:NE-Azo-). Prép. el
f>ropr. des dér. bromé-2, 2', 3* et 4*.
)ér. acëlylé, bonzoyié, 26, 423,
424 (Ilewitt, Piiilipps).
P-Crésotioik (Ac). Prép. et propr.
des élhers du ^-naphtol, de larésor-
cîne et de l'hydroquinone, 29, 4U&
[Cohn).
o-Crbsoxt-acétiql'e iAc.i. Transf. ra
^-méthylcoumarone, 26,76 iSlo^r»
«er, Bari9ch),
P-CrÉ80xy-acêtiqubuX.c.). Cond. avec
Vo - aminophénétidine , 2« , 1 1*'<I
[Cohn).
CRÉSOXY-Ût-BUTYHIQL'E (AC;. Prép. «4
propr. des isom. o, /w et p ; êlh^r»
ëthyl., 26, 12 [Bischoft].
Crésoxy-fumarique (Ac. . Propr. deé
isom. o, w ei p ; act. de ^0*n*, 26.
641 (Buiiemann, Bausori,
Crksoxy-«-phopioniqle (Ac.î. Ppopr.
des isom. o, /» et p; élhers élh}l,
26, 12 (BischotC).
P-Ckésylamine (Di-). Prép. par red.
de Tazine de l'ai d.p-tolui que. Propr.,
sels, dér. nitrosé, 26, 584 [Curtju^
Pfropfc).
P-Crésvle-pményle (Oxyde,. Form.
du dér. nitré-2 à partir du rréso-
lale de K el dubromo-l-nilro-2-b*'ii-
zène. Propr., dér. amin6-2, ^9, W,
404 (Cook, Hillyor),
/w-CnÉSYLOLUcosiDE. Prép. à part.d*
racétylchloroglucosc ; propr., 26.
687 [Byan, Miils).
Cristallographie. Proc. pour robien-
lion de crisl. d« subst. dimc. •ti^-
lallis., 26, 132 (Bùmplcr). — Pbe-
nom. thermiques dans lasoHdtf. de^
corps organ. fondus , 29. 1^
[PawJcwsKi). — Points de transf.
des criât. mixtes, 26, bi**
(Sciicnck). — Transf. des cri«t.
mixtes HgBr»-HKP. 26, ♦iOô B^îo-
dt^rs). — Transf. dei crist. mîii»^
AzirK - AzO\\a, AzO'A^- AïO'Ni,
26, 607 (Hissink). — Elude oboto-
micrograph.de lac.ri3tall.,2«, tOtt
[Locke). — Nouv. proc. pourobltoir
des. crist. par évapor., 26, 109*
{Wroblcwski). — Crislallis. par
évapor. de sol. étendues, 26, l'>45
[SkirroWf Calvori).
Crockinb (Ecarlate,!. Hydrate* df<
sels de Na, 25, 8l»7 \SisieyK
— (Orangé H). Hydrates des seU de
iNa, 25,867 (.S>s/ev..
Crotoni\>ue (Ac). Pr<'p. à parC de
Va*\ a-bromobulyriaue. Nilrat.* 25.
666. — Acl. de AzO*ll fum. ; pn-&
et propr. du dér. nflrr, 25, HM
( Wabi). — Comb. avec BrCHi, 26.
166, 374 (Mclikorn. — Cund. d»
rélher éthyl. par IVlbylaie d« Na,
26, 379 (Pechmann\ ^ Cood. a«wr
le diazomélhane, 26, .MO (Pr<>-
mann^ Burkard). — Coud, art*
rélher malonique sodé, 26, 47U. —
Acl. de Na. Dimére, sets, 26,
472 (Miehael) . — Comb. aT«o
Az"0*, 26, »» {EgoroC.
TABLE DES MATIÈRES.
1909
— {Amioo) (Ac). Act. de POCl* sur
l'élher élhyl., ««, 976 [Afichaelis,
A rend).
— (p'Bromo-) (Ac). Form. à pari, de
l'ac. a-bromo-a-oxybulyrique, SU,
166 [Mélikorr).
Crotoniqub (Aie). Prés. deTisosuiro-
cyanale dans TcsseDce de colza.
Fropr., es, 979 {Sjoiloma\.
CHOTONiQt'E (Aid.). Gond, avec Tac.
nialonique, <6, ^78 {DoebDor).
Cbotohiqi'e (Di-i (Ac). Voy. Gluta-
niQUE (a-ETHYLlDkNE-^-MÉTHVL-) .
Crotoniqi E (I»o-) (Ac^. Comb. avec
aOH et BiOH, £6, 166 [Mélikoft).
— Gond, avec le diazomôthane, 26,
A<() {PechmaoUt Burkard), — Isoiné-
ris. par Az"0*. £6, 968 {Egovof).
Crotoniqub (Méthtl^-). Voy. Acé-
tique UMéTHTLMÉTUTLENE-) "(Dl-).
Crtoscopie. App. spécial. Goeff. d'a-
baissement dos sels, es. 1 75( Cb roust-
choft). — Applic de AzO*, de Tac.
rormique, e«, 527, 528 (Bruni, Bor-
l/"i. — Cryosc. des non-électrol . ,
«6, 596 [Wildermann) ; S6, 5 >7
{Loomis).
Cuivre. S«^par. de la mine de Vi,
SS, 11 [Leidiô). — Act. sur TuP';
fopin. de phospbure, 2S, i68 \Oo'
facqz). — Act. de G sur GiiU et
t:uSO*, «S, iH± {Boudouard). —
Tétra-aoUmooiates de Gu bas., de
Cu £t K, Gu et AzH*, «S, 289 De-
lacroix}. — Act. sur A8*Tu. Form.
d'arséniurc, <S, 388 [Dcfarqz). —
Act. des sels sur les methyl-,
èthyl- et diéthylaniiines, <S, 5^7
tConinck). — Ad. de Fe cl Go sur
le siliciure, <S, 537, 5:W ^Lohcau\.
— Appl. de GuO ammon. comme
dépolarisant dans les piles, SS, 5 H
(Bosaot . — Sels de diazo-aminôs,
ISS. 564, 565 {Meunier^ — Applic. à
la réd. des carbures incomplets, ISS,
610, 671 {Sabalior, Sonderons). —
Act. sur Tamalg. de Gr, £S, 617
iFérêoi. — Colorai, des spinolles
par GuO, «S, 670 (Dr/ /au).— Form.
de ferrocyanure double cuivreux cl
potassique daus Tact, de Fe(C\z/*K*
sur la liq. de Fehling en prés, de
jrlucos*», <S, 774 iOssodaty — Ad.
de HgO sur les chlorure, bromure,
nitrate et suU'ate. Sels doubles ba-
siques de Gu et Hfr. «5, 790 {Mail-
ho). — Dons, de Gui, «S, 96i
fSpring). — Act. do GuiOH ' sur
les sull'ales de Zn, CM, Mn. Go, Ni,
Cu. St^ls doubles bas., SS. 968
(Bccoura). — Ad. de Ajr*0 sur
ÎAzOVGu et de Cu*0 sur .VzO^A^,
«S, 9<)9 \Sabation. — Comb. de
racélylure avec Cu*Cl« et Gu*0, «S,
971 (Bt'rtboJoti. — Prép. et propr.
de ralliage Gu-Al, SS, 1061 (Guil-
Jet). — Goeff. de part, de AzH* entre
CHU* et les sol. aq. de GuSO* et
GuGI% !S«,71 (Dawson, MaiyCrac).
— Propr. du sulfovauadile, 5S0, 72
{(ioydor). — Ac. de Gu sur H, GO,
GO', S6, 81 (Lidof). — Act. des
sels sur le réact. de Garo, 1MI, 83
[Bambergor). — Ad. de GuSO* sur
Tac. hydroxylaminc-sulfonique, S6,
130 (Divers, HagàS. — Infl. de As
sur les propr. de Cu, S6, 194 (Lc-
wis). — Ad. des carbon. et bicarb. de
Na et K sur GuSO*. Bicarb. doubles,
«6,278 [Groegcr). —Dos. à l'éUt
de GuGAzS, «6. 281 [Xamo], —
Dos. volum.parrac oxalique. Sép.
de Gd, As, Fe, Sn, «6, 281 (Po-
ton), — Electrol. de GuSO*. Appl.
à la prép. de SO*H' litre, «6, :«9
(Meadc). — Electrol. des comb.
ammon. des sels, S6, 449 {Dawsony
MaC'Crao^, — Constit. du phos-
phuro, !S6, 455 {Borntracger). —
Electrol. des sol. de CuGP dans Tacé-
lonc et Talc méthyl.,26, 457t8p(^-
ransky, Goldborg), — Energie de
rhydrale, 26, 5* [Carrara, Vospi-
gnani). — Dens. de Cu"!*, «6, 564
[Spring^.-^ Précip. des sels par la
guanidinc et la pipéridine, <6, 565
iHcrz"^. — KpI. enlre la conducl.
éleclr. de GuSO* et son acl. toxique
sur les poissons, *6, 6f)3 {Kabiou-
bcrg^ Mrhl) . — Équiv. éledrochim.,
«6, 613 (Bicbards, CuUins, Hoim-
rod). — Point de transf. dos hy-
drates de GuSO*, «6, 661 {Cobca).
— Infl. de CuO sur Pi coUoid., 556,
663 {Brt;dig, Bornork). — Appl. de
Cu'CI" à la scpar. de IPS, PH* et
SbH» de AsH*, 26, 670 (Z>ou'Z«/./).
— Comb. de GuH^' avec le sulfure
de méthyle, «6, 675 {PbiDius). —
Infl. de Gu sur l'hydrol. de div.
éthers, «6, 736 {Suic}. — Conducl.
éleclr. des sol. de GuSO* au point
de congél., «6, 838 {Wbotbam).
— Propr. des sulfates doubles hy-
dratés de Gu et Mn, «6, 857 {Slor-
tciibockor). — Polenlicl d'oxyd. ;
force éledromolricft des couples
Cu-CuGl(GuBr)-GuSO*, £6 , 866
(Lutbory Wilson). — Electrol. de
GuSO*. Heiard de dégagement de
H, «6, Sa^ iSand). — Sépar. el
dos. de Cu au moyen de Al, S6,
954 fHoidonroicb). — Gristallis. de
CuSO*, «6, UmiBicbards, Arcbi-
bald). — Infl. de Cu, GuSO* el
Gu*GP sur Thydrol. de Gr^GP
anhydre, «6, 10.31 iDrucker). —
Force électi*om. de Gu aux divers
degrés d'oxyd., S6, 1033 {Lutbor\;
«6, 10;U ^Abol).— Tens. de vap.
des mél. de GuSO* et MnSO*,
iSlO
TABLE DEH MATIÈRES.
ZnSO*, MgSO*, ««, 1044 (HoU-
manD). — Infl. calai, de CuSO*
sur Tact, de H'O* sur HI, 26\ 1046
[Brode), — Cristallis. de CuîSO\
««, 1053 IHopkms), — Conduct.
électr. de Cu^O* ammon., !M, 1053
{Jones, Caldwcll). — Absorpt. de
AzH» par CuSO*, «6, 1124 (/)aw-
mam^ Mac-Crao). — Propriétés de
QuCAz. Dos. éleclrol., SU, 1125
[Braack),
— Voy. ZiNG-CriTRK.
CuMÈNE. Form. par coud, éa G^H*
avec les bromures de propytène et
triméthylène ou par déc. du diph^
nylpro pane- 1.2; act. de Br, 9Sf
24U, 242 (Bodroux). — Prép. par
cond, du chlorure de propvle avec
C^HV Acl. de Br, oxyd., 4«» 845,
848 [Bocdtkcr). — Prés, dans
l'huile de bois, ««, 440 {Fraps), —
Cond. avec le chlorure de chioracé-
tyle et AlCP. »6, 622 {KuDckell,
Koritzky). — Tens. de vap. à dîv.
iemp., a«,8j3 (Woringer).
— [Bromo-2'). Prép. à part, du
cumène, «5, 848 (i^oei/fer) . — Cond.
avec CHn cl Na, S6, 697 [Sprink-
meycr).
OuMiDiNE-1. 2-3.4. Nonlransf. en sa-
franiue, 26, 116 (Khardiue).
CuMiDiNB-1. 2.3.5. Non-iransf. en sa-
traniue, 26, 116 {Kbardinc).
CuMiDiNE-1.2.4.5. Transr. en safra-
nine, S6, 116 [Khardinc),
CuMrDiNE-1.3.4.ô. Non-lransf. en sa-
franine, «6, 116 [Khardiac).
CuMiDiNE-i. 3.5.6. Non-lransf. en sa-
franine, «6, 116 [Khardiac],
CuMiNiQUE (Aid.). Korm. par oxyd. du
cymène, 25, 10*54 [Fourûicr], —
Cond avec l'élher a-bromopropion.
el Zn, «6, 8 [Grigorovitch). —
Prod. de cond. avec le ^-naphtol,
26, 170 [Rogow), — Cond. avec
Tac. phénylacétique, son dér. y>-nilré
el le cyanure de p-chlorobenzyle,
26, 295 {Waithcr, Wetxiich). —
Comb. avec le mélhylcélol, 26, 421
[ Wa H h cr, Clem en).
CuMOL. Prés, du mésilylène, de la
coumarone , de l'indèue dans le
cumol brut, 26, 912 {^foscbaer\.
CuMOQUiNONE. Form. à part, de la
mésilylhydroxyiamine , 26, 714
{Bam berge r, Hising).
CupRÉiNE.Tribolum.,26, \bd{TschU'
gae/T] .
CupHÈNB. Form. dans Thydrogén. de
C"H' en prés, de Cu. Propr., 25,
677, 683 {Siibaticr, Sendcrens).
CUPROSACÉTYLE. Voy. ACÉTYLÈNE.
CuspiDATiQUE (Ac.i. Prés, dans dîv.
lichens. Propr., 26, 649 (Hesse).
Ctanacétaxide. Vov. AcixAjnM
(Cyan-).
Cyanacétique. Voy. Acétique {Cyav .
Foritylctanacetique.
Ctanamioe. Form. dans rad. (ké
chlorures d*ac. arom. sur la Uik>-
urée, 26, 387 [BcmscD^ T^un^f.
-—Cond. avec le chlorh. d'anUint,
2f, 1072. ~ Comb. avoc HCl ei l«
aie- métbyi. et étbyl., 26, 1071,
1075 {MacKoe).
Ctanamlide. Voy. Aniline (Ctax
Gyanazométhlniques (Dér.). Prèp,.
pcopr., 2%y90[$aeb9),
CTANBToaiQiJE (Ac). Act. de CAxK
sur le elilOfO<linitrobenz^e en prés,
d'alc. méthyl. a( élh^I., 2S, 980 ifk-
tcren). — Acl. du sel ammon wr
racélone, 26, 91 [Gahwitscb:. -
Act. de CAzK sur te diiiitfO-l.i-
phénol, 26, 121 [Borsche). ~IM^
el propr. du cyanure de mercabidt,
26, 122 [Hofmann). — Aet. d»
CAzK sur les chloracétaniltdes, 2i.
135 [Grothe), — Form. à part, «k
Tac mélhazonique et du ntlrupro-
pane, 26, 151 {Duostao, fioyi-
ding) . — Acl. de CAzK et de l'tU.
benzoïque sur les nitrilosdeshydra-
zones, 26, 226 {Eibnor, Senr. -
Form. de CAzNa dans Tact, de i. tt
Na sur Tazoture de Pe, 26, SJ«
[Fowhr). — Acl. deCAzH sur l'io-
dure d'Az, 26, S57 {Cbatiawtjr^
StcvcDs). — Tribol. de (CAzi'Hg,
26, 458 [Tscbugaeff). — Cond. avfc
rhélicine, 26, MètE. Fischer -
Réact. color. avecFeCP el AxH**^H-
26, 510 (rsc/iu^acr/j.— Cond ar^c
la camphoquinone, 26. 592 Lap-
worth, Chapman, — Conduit,
électr. et hydrol. de CAzNa, 26.
597 [Walkcr), — Consl. dirifdr.,
26, 600 [Scblundt].-- Hel. entre .<
conducl. éleclr. de CAzK et «on
act. toxique sur les poissons, 2i.
603 (Kahlenberg, Mehl), — Cond.
avec les o- el p-toluidines et tes
ald. formique el acétique, 26, K$i
[Steppes). — Acl. sur Pi oisUoid..
26, 664 [Bredia, Beratfck). — .\ct
de CAzK sur laid, o-méthexvbee-
zoïque, 26. 760 iIrvinM. — Acl d«
CAzK sur le mél. d'ald. 8alîcylk»«'
el de benzylidéne-aniliae, 26, t^f*
[Schwab), — Form. par d*c. dn
nitrile «-oxy-isobu lyrique, 26. tS)^
(Fraûkc). — Acl. du sel de K ior
les dér. halogénén des amides, 16.
898 iStieglitz, Slossoa). — I»o«. de
CAzK dans le cyanure comoiereial.
26, a>4 {.yfelior). — Acl. de t'AtK
sur la nilros(>-i»obutyramid(nr.2i.
972 IPihty, Schwerio}. — O'Uib.
de CAzH avec la létraméihyl*;^*
TABLE DES MATIÈRES.
1811
pyrrolidoDe, S6 , 998 (Pauly,
aoeha). — Infl. sur Pt et Au col-
loïd., ««, l(fâ9 {Bredig, Ikeda,
fiêiaders);Zé, 1041 {Baudoitz). —
Conduct. électr. du sel double de K
et Hg, !S6, 1052 {Joncs, Caldwclt).
— Propr. dtft aete cuifiem ^tL'Ag;
dos. éiectrol., 9S, 1185 C^nrodl^.
— Aet. sur Téther méthylène-an-
thranilique, ««, 11»5 (Erdmann).^
Act. sur un mél. d'éther anthrant-
liaue et d*ald. formique, £6, 1156
{Kobncr).
Ctanique (Iso-) (Ac). Aot. de l'éther
phényi. sur Tac. benzoylbenzoîque,
«5, 56 {Hallor, Guyoi), — Comb.
de réther phényi. avec la phényl-
alanioe d, %^, 6U {E. Fischer, Mou-
neyrat). — Act. des sels sur les
dér. oi^ano-métall., £S, 99 (fi /a /se).
— Gond, de l'éther phényi. avec les
ac. x-oyanopropion., a<cyanobutyr. o(
3-cyanovalér., S5, 274 [Haller,
Blanc). — Gond, de rétherjphényl.
avec Tac. a-amînobutyr. , W, â>6
{Mouaeyrat). — Gond, avec le gly-
cocolle et les dér. amino- et hydro-
xylamino • p.p- diméthvlacryliques,
!S5, 917. 9i2 (Bouvûauh,Wabl).'^
Comb. de Téther phényi. avec le
phényléthényloxycyclotriazane, £6,
2^3 {VosswiDckct). — Act. de
réther phényi. sur les diphényl-,
ditolylv dixylyl-, dipseudocumyl-et
di-3-naphtvl-éthylène-diamine8,!M,
265 (.SVnier, Goodwia). — Act. sur
le chlorh. de glycine, ItS, 811
{Harrics, Afaurus). — Gond, de
1 étber phényi. avec le phénylthio-
carbazinate d'élhyle. Form. à part,
du phenyldithiocarbamate, !M, 394
395 ( W/ice/er, Auslin), — Act. sur
l'amidine >uréthane phényiacétique,
99, 489 (Lebmann). — Gond, de
l'éther phényi. avec la benzénylphé-
nylamidine. ««, 698 [Whechv). —
Comb. de l'éther phényi. avec l'ac.
pyrrolidine-a-carbamique. Propr.,
M, 745 [E. Fischer). — Act. sur
la méthylbydrazine , £6» 788
{Young, Oates). — Gond, de l'éther
Ebényl. avec l'ac. phényldilhiocar-
azinique, 99, 788 {Busch, Wol-
pert). — Dos. de CAzOK dans G AzK
du commerce, M, 954 [Mcïlor). —
Oond. de GOAzK avec Tacétal ^-
amino-propion., S6, 975 (VV'o/i/).—
Oomb.oe l'éther phényi. avec lesoxi-
mes des co-bromo- et chloro -acétophé-
Dooes, ««. 989, 99U {Scboli). —
Act. de l'éther phényi. sur la cin-
chonine et les isooinchonines, S6,
1010 iSkraup, Zwergor). — Gond.
de l'éther pnényl. avec la phényl-
roélhyl iso-urée et ses homol., S6,
1078, 1074. — Gond, de l'éther phé-
nyi. avec la méthyl-iso-urée, 96,
1075 (hiac-Kcc).
GTANOokNB. Act. sur les bases arom.,
se, 420 (Moves).
— (Bromure). Act. sur le phén>lacé-
tylèa» aadÀk «^ ^ (ifooreu. De.
' tChioi
— {Chlorure). Act. sur racêtoiie^-
earbon. de méthyle sodé, ttS, 648
(Déromo). — Act. sur le camphre
sodé, SS, 958 {Durai).
— (lodure). Form. dansl'act. deCAzH
sur l'iodure d'Az, SU, 857 {Chatta-
way, Stovena). — Act. sur Pi col-
loïd., S6. 1039 {Brcdig, ikeda).
— [Pseudosulfure). Gonstit., 99, 667
{Goldberg).
Ctanooènb (Saifo^). Gonstit., 99,
112» {Goldberg).
GTANURjguE (Iso-) (Ac). Gonstit. de
Tac. et des éthers; spectre, S6, 59,
691 (Harlie^. Dobbic, Lauder), —
Form. de Tether éthyl. dansTacLdc
G'H"! et Ag*0 sur Taréthane, S6,
978 {Lander).
£)yclobutanb (MÉTHTL-). Act. de
AzO'H sur le dér. x aminé, S6, 979
(Demjanoff, LouscbnikoJÏ).
Gtclobutane-carbinol. Form. par
réd. du chlorure d'ac. cyclobutane-
carbonique, 26,400 (Perkin).
Gyclobutanb-carbomque (Ac). Héd.
du chlorure, £6, 406 {Perkin),
Oyclobutane-tricarboniqub (Anht-
DRODiM^THYL-) (.Ac). Form. à part,
de l'éther dicarboxydlméthytcyclo-
propane - bromomalonique. Propr. ,
«e, 1017 {Perkin, Thorpe).
Gyclobutano.\e-carbonique-3 (Ac) .
Prép. par cond. des éthers malo-
nique et citraconique. Propr., semi-
carbazones, <6, 47l {Michaci),
— (ETHYL-2-IIÉTHYL-3-) (ACj. Form.
par cond. des éthers citraconique et
éthylmalonique. Propr., isom., sels,
hydrazonc, semicarbazone, 96, 470
{Afichaei).
— (MÉTHYL-2.3-) (Di-) (Ac). Prép. par
cond. des éthers mélhylmalonique
et citraconique. Propr., semi-carba-
zone,«6, 471 {Michaci).
GyCLOBUTANONE-TRIC ARBONIQUE • 2 .8. 4
(MÉTHYL-3%J (Ether). Prépar. par
cond. des éthers citraconique et
malonique. Propr., homol. méthylé
et éthylé-2 ; semicarbazones, hydra-
zones, «6, 470, 471 (MicbaeJ).
Gyclogitral. Form. à part, de l'ac.
citralidéne-cyanacétique . Propr.,
isom. a et p, semicarbazones. Gond,
avec Tacétone, oxydât, 26, 509
(Tiemann),
GyCLOCITRALIDÈNE - CYANA C É T I Q U E
( Ac.) . Prép. et propr. des isom. a et p,
«6, 509 {Tiemann).
.1^12
TABLE DES MATIERES.
.1
Uyclogéraniolbme. Form. des isom.
a et 3 à part, du géraniolène. Propr..
oxyd., ««, 507 [TicmanD).
CrcLOOÉRANiQUB (Ac.K Coofitit. des
isom. a et {i, «6, 507, 508. - Form.
de risom p par oxyd. du p-cyclo-
citral, «8, 510 [Tiomaan).
— (DiHYDRo-) (Ac). Form. du dér.
dihydroxylé à part, de Tac. cyclo-
^éranique. Propr., élhers, conslil.,
««, 5Uy (ric/aann).
(CÉTO-) (Ac ). Form. propr. et
consLit. du dér. hydroxylé, scmicar-
bazone, 26, 509 [Tiemann).
Cycloheptane (Phéno-]. Prép. du
dér. a-aminé à part, au chlorurede
phénylvaléryle. Propr-, sels, dér.
benzoylô, «6, 719 [Kipping, Han-
ter).
Cycloueptanone (Phéno*) . Prép.
propr., semicarb., oxime, SU, 718
[Kipping, Hunier).
CYGLOHEPTATRlÈNE-CARa^ONIQUE (Ac).
Conduct. électr. spécif. des isom.
a, {i, A* et A% ««, 39 [Roth).
Cyclohexadiîsne- 1.5 (Méthyl - i -)•
Form. par dist. du diamino-1.3-raé-
lhyl-1-cyclohexane, «6. 285 {Har-
ri(ts).
CYCLOIIEXADlkNE-1 .3 (MÉTHYL-1 .6.6-)
(Thi-). Form. du dér. dichloré à
pari, de la dioxytriméthyldihydroré-
sorcine. Propr., 1B6, 408 (Cross-
Cyclohexane. Form. par réd. de C*H*
en prés, de Ni, 25, 610 iSabaUcrf
f>i'a(Jernns). — Spectre d'absorpt.
ultra-violet, «6, 59 [Harthy, Dob-
bit'K — Oxyd. par KMnO'*en sol.
persulfurique, »•, 66 {Buovcr,
Villigcr). — Gond, avec Cnf* et
AlCl% ««, 184 [Koursanofn. —
Prés, dans le pétrole de Californie.
Dér. chloré, ««, 1079 {Mabtwv, Hud-
.sou, Sieploin). — Acl. de riodure
de Zn-propyle sur le chlorocyclo-
hexane, S6, 1080 [Koursauoff),
— (Ethyl-U Form. par réd. du sty-
rolène eu prés, de Ni, «5, 610 [Sa-
batier, Scndcreus).
— ('U0PR0PYL-l-MKTHYL-2-MéTHYL-4-).
Voy. Menthane ,Mkthyl-).
— (NlKTHYL-). Propr. des dér. chloré,
nilrc et aminé, sels, 26, 36 [Mar-
kownikoff^ Tchordyutsoh. — Prép.
et propr. dos dér. chloré et iodé-3
stéréo- isom., 26. 37 (Markowni-
koff), — Distill. du phosphate du
dér. diaminé-1.3, 26, 285 [f/arries).
— Prép. du dér. bromé-3 à part,
de la pulôgonc. Propr., 26, 437
iKondakoWy SchiDitclmoiser) . —
Prés, dans le pétrole de Californie ;
dér. chloré, 26, 1U7J [Mabory,
Hudson, Sioplehi). — Pi es. dans
le pétrole du Japon, 26, lOtt) ^Um-
bery^ Takano).
— (MÉTHTL-1.3-). (Di-). Form. a part
de Tac. oxy-hexabydroxylxUqo*.
Dér. iodé, 26, 590 <Lc>çs, PtrUm.
— Prés, dans le pétrole de Califor-
nie; dér. chlore, 26, 1079 lVj-
bery^ Hudson, SiepIeJo). — Pre<.
dans le pétrole du Japon, 26, lOA»
{Mabery, Takaao).
— . jMÉTHYL-) (Tri-). Prés, dans \t
pétrole de Californie; dér. chlorf,
26, 1079 (Mabory. Siephin, IhiJ
son). — Prés, dans le pétrole d*
Japon, 26, 108 ) (Afahery, TskMooy
— (Phknyl-). Prép. par coud, ds
chlorocyclohexAne avec C*H* el
AlCP. Propr., 26, 184 {KoanManf.,
— Form. à pari, de la quioit»;
propr., dér. aminé, nitré, 26, 4fi
{WiJIstaolter, Lcsaino). — l*r*-p-,
propr., dér. sulfoné, o- et pniUM.
p- aminé, o-hydroxylé, 26, 9»y»
{Koursanot).
— (Propyl-). Prép. par cond. df
riodure de Zn-propyle a?ec le chlo-
rocyclohexane. Propr. , 26, liftH)
(Koursauoff) .
C Y CLOHEX ANE-CARBONIQUE (MrfRTL-*
(Ac). Form. du nitrilo à pari, dit
chlorométhylcyclohexane . Pnmr . .
26, 1079 {.\fabcry, SiepIcJn).
Cyclohexane-dione-1.4. Vit. de rêect
avec AzH*.OH et Az*H*, 2«, «Ui»
(Potrûnko-Kritscbonko ^ Lordktfté-
nidxé).
Cyclouexane-dione-Î.O ( M&thvl-
3.4.4-) (Tri-). Form. du dér. di-
bromé-1.1 à part, de la dioxytri^
méthyldihydrorésorcine. Propr.,26.
408 (Crosshy).
CYCLOHEXANE-DIONB-4.6-CARBOKIQII-1
(Thiméthyl-1.2.2-) (Ac.) . Form.
par cond. de Toxyde de mesitff«
avec réther maloniqne sodé. Pr«pr..
semicarb., 26, 107 (Crossley .
Cyclohexanol-1 iMktiiyl-I-).' ï*rfp.
au moyen do ramino-l-métbficydo-
hexane. Propr., 26. S»j (Marà^wr-
nikotf^ TcberdyntsvSf).
Cyclouexanol-3 (.Métiiyl-1-). Fom
par réd. de la méthylcyclobei»-
nooe. Propr., 26, 36 \Matky*wnè*
koffj. — Prép. au moyen de U
pulégone ; propr., 26, 4^7 [AToadi-
kof, Schinaclmeiscr), — Vit. d'e-
thérif., 26, 6l6 {Panof).
Cycloubxanonë. Vit. de réacl. arrc
AzH*OH et Az*H*, 26, 896 t/V^r^
ko-Ki'itscbonko^ Lordkipunniz^
— (Mbthyl-2-). Oxyd. par AïO'IL
25, 841, 443 \Bouveauit, THn i —
Uéduct., 26,36 (A/arkowaikt^tr —
Prép. à part, do la pttIé$^Nl«
Propr., 26, 4({7 {Koadakof^ Siài»-
dclmoiscr).
TABLE DES MATIERES.
1313
— fMKTHYL-2.5-) (Di-). Form. à part,
de la méthylacétylcyclohexanone .
Propr., oxime, semicarb., <S, 199
(Léser).
— (MÉTHYL-) (Tri-). Form. à part,
delà triméihylphloroglucine ; propr.»
act. de l'anh. acétique, S6, 982
{Bob m).
— (MéTHYL-2.3.3-) (Tri-). Form. du
dér. dibromo-5.6-hydroxylé-5 à part,
de la bromodioxytriméthyldihydro-
réaorcine. Propr., S6, 408 {Crosa-
— (MÉTHYL-S-ACBTYL-6-) . CoilStit. ;
Îropr., aci. des alcalis, !K, 196,
99 (Leaer).
— (MKTHYL-3.6-ACÉTYL-6-) (Di-).Fonn.
par méthylat. de la méthylacétyl-
cYclobexanone. Propr., oxime, M,
198 \Leaer),
Ctclohexanone-^arbonique (Ac.) .
Act. du nitrite d'éthyle sur Tétber.
Prép. et propr. du dér. bis-nitrosé,
!(•, 88, 89 [Dicckmaûn).
CrcLOHExkNE. Spcclpe d'abaorpl.
ultra-violet, «6, 59 [Hartley, Dob-
bie\ .
— \METHYL-i-). Form. à part, de
ramino-1-mélhylcyclohexane. Propr.,
!(•, 86 {Markownikoff, Tcbcidynt-
aef).
— fMÉTHYL-2-). Form. à part, du
chloro-3-méihyIcyclohexane. Propr.,
<•, 87 {Markownikoff). — Prép.
au moyen de la pulégone. Propr.,
coud, avec le chlorure d'acélyle,
1M, 437 (Kondakof, Schindelmei-
aer).
Cyclohbxènb - CARBONIQUE (Ethor) .
Cond. avec Téther diazo-acétique,
SU, 415 (Braren^ BucbDcr),
Cyglohexénone-4 (Méthyl-1-). Prés,
dans l'huile de bois. Propr., oxime,
dér. benzoylé, cond. avec Tacëtone,
«6, 243, 246 [Bébaî).
— (MtTHYL-1.5-) (Di-). Prés, dans le
SoudroQ de bois ; propr., oxime,
ér. benzoylé, oxydât., èS, 99, S43
{Bébal),
— (Phéisyl) (Tri-). Comb. mol. de
Toxime avec Talc, étbyl., Tac. acéti-
que, Tacétone, la glycérine, l'aniline,
ie, 112 {PetrcûkO'Kritscbcako,
Kasaoeik}),
CTCLOMÉTHYLIiNaTRIAZANB (PhÉNYL-
MÉTHYL-). Form. à part, du phé-
nyléthényloxycyclotriazane. Propr.,
oxalate. Cond. avec l'isocyan. de
pbényle. ««, 233 [VosswiDckcf).
Cyclopentadiènk. Act. du dér. chloré
sur Taniline et la pipéridine. Ani-
lido, pipéridide (sels, urées), 9B,
406 (iVoe/(/ec/icii). — Prép. et propr.
du dér. potassique. Comb. avec
C0% ««, 501 [Thicle).
CYCLOPENTADikNE- carbonique (BiS-)
(Ac.U Prép. à part, du cyclopenta-
aiène polass. ; propr., éther, bro-
mure, ««, 501 {Tbiclc).
Cyclopentanb (Di-). Dér. div., SU,
1014 [Perkia, Tborpe).
— (Phényl-1.2-) ^Di). Form. par réd.
de l'aY-dïbenzoylpropane. Propr.,
dér. dihvdroxylé-1.2, M, 1113,1114
{Japp^ Micbie).
— {PHENYL-2.3-MèTHYL-l-| (Di-) . Form.
par réd. de roc-métbylanhydracé-
tone-beozile, 99, 1115 {Japp, Mel-
drum) .
Cyclopentanb - carbonique (Dimé -
THYL-) (Ac). Form. du dér. hydro-
xylé par réd. de l'ac. diméthyldi-
cyclopentanone-carbonique. Propr.,
«6, 1019 {PerkiDy Tborpe).
Cyclopentanone. Prés, dans l'huile
de bois, «•, 439 iFraps).
— (TRiMéTHYi.-3.5.5-,i . Form. à part,
de Tac. a-dihydrocampholémque.
Propr., oxime, semicarb., S5, 563
iBlaiso, Blanc).
Cyclopentanone- AiiNE-p-€ARBONiQUE
(Benzo-) (Ac.t. Prep. à part, de
l'éther benzoquinoxaline-diacélique.
Propr., éther éthyl., comb. benzyli-
dén., «6, 714 (Thomas-Maniort,
Striebel) .
— (Tolu-) (Ac). Prép. à part, do
l'éther loluquinoxaline-diacéliq'ie .
Propr., éther éthyl., comb. benzvli-
dén., SS, 721 {Thomas-Mamert^
Siriebel) .
Cyclopbntanone-§-carbonïque ( Ac) •
Act. du nitrite d'élhyle sur l'éther
éthyl. ; form. ei propr. du dér. bis-
nitrosé, 1t%^ 88 iPierkmaD).
— ^MÉTHYL-^ (Aci. Act. du nitrite
d'éthyle. Dér. bis nitrosé, «6, 89
{Dieckmano^ Groêoeveld).
(Di-) (Ac). Form. à part, de
Tac diméthyldicyclopenlanone-car-
bonique; propr., oxime, semicarb.,
««, 1019 [Pcrkin, Tborpe).
— (MÉTHYL-DI-) [\)\-) Ac). Form. par
déc. de Tac dicarbon. corresp. ;
propr., semicarb., homol. triméthylé,
«6, 1019, 1020 {Tborpe, PerkiD).
Cyclopenta NO NB-D 10 ARBONIQUE
(Ethyldiméthyl-^ (AcU Form. du
dér. éthoxylé à part, de l'éther dimé-
thyldicarboxycyclopropane - maloni-
que. Propr., «H, 1017 {Perkin,
Tborpe) .
— (MÉTHYL-Di) 'Dm (Ac). Form. à
part, de l'ac diméthyldicyclopenta-
nonetricarbon. ; propr., éthers, anb.,
isom., «6, 1018 [Porkin, Tborpe),
CyCLOPENTANON E-TRICARDONIQUB (MÉ-
THYL-DI-) (Di-) 'Ae.). Prép. à part.
de l'éther dicarboxydiméthyltrimé-
I thylëne-malonique . Propr., dér.
soc. CHIM., 3« SÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
83
1314
TABLE DES MATIÈRES.
sodé; prép. à pari, de l'élher a.a-
dibromo-p.^-dimétbylglulariqae,S6,
1017, 1018 (Perkin, Thorpe, Wal-
ker).
(Tri-) (Ac). Prép. parmélhylal.
de Tac. diméthylé corre:?p. ; propr.,
éther étliyl., ««, 1021) (Petkia,
Tborpe).
Ctolopknténr-2-onb-I (Méthyl-S-).
Exir. du goudron de bois; oxime,
dér. acétylé, S6, 436 {Bouveault).
CtCLOPBNTKNINB (DlPHttNYL-3.5-l80-).
Prép. à part, du cumèoe. Propr.,
SS, 849 (Boedtker) .
Ctclopentbne-4-one-I (Dipiiéntl-4.&-
1CÉTUTL-2-) . Form. par réd. des a et
p-anhydracétonebenzilee, propr., hy-
drazone, *6, 1115 (tfapp, Meldrum).
Cyclopropanb. [S/h. TriméthylèneJ.
Coud, avec racétylène, ITS, 64â
{Bertbelot). — Form. dans Tact, do
Zn sur le bromure de triméthylèue,
«6, 6 (Volkof, MenschoutkJnc).
— Bromur. dans div. condit., S6,
613 {Gustavsoa),
— {Ami no-), Prép. à part, de l'ac.
cyclopropane - carbonique . Propr . ,
sels, phénylarée, ««, 978 {Kijner).
Cyclopropane (Acétyloithio-) (Te-
tra-). Form. par cond. de Tacétyl-
acétone sodée avec CS* ou CSGl*.
Propr., ««, 800 (Wenzel).
Çyclopropane (MÉTHYL-). Form. du
dér. a-aminô par réd. du nilrile
cyclopropane - carbonique. Propr.,
SS, 572 (Henry, Dalle).
Çyclopropane (Phényl-1.2-dithio-
8.4-) (Di~). Prép. du dér. dicyané-1.2
nar cond. de 6S* avec le cyanure
If . .. ^ ---"800
de benzyle sodé. Propr.,
(Wenzcl).
Ctclopbopanb-carbonique (Ac). Réd.
du nitrile, SS, 972 (Honry, Dalle).
— Prép., propr., éther, amide.
Chlorure, «é, 978 (Kijner) .
CTCLOPROPANE-«.a-DICARDONIQUE (p-
IsoPROPYL-) (Ac). Form. probable
par cond. du dibromo-3.4-méthyl-2-
butane avec Télher malonique.
Propr., sels, «6, 283 (Ipaiiet).
Ctclopropane-éthylmalonique (Mé-
THTLOICARBOXY-) (Ac.) . Prép. et
propr. de Téther éthyl., SU, 1017
[Perkin, Tborpe).
CyCLOPROPANE-MALONIQUE (MÉTHYLDt-
GARBOXY-) (Di-) (Ac). Prép. par
cond. des éihers malonique et «.ot-
dibromo - § ■ 0 - dimélhylglutarique .
Propr., dér. brome, 26, 1016, 1017
(Tborpe, Porkin).
Cyclopropanb - méthylol. Foi*m. à
part, de Tamioe corresp.; propr.,
chlorure, SS, 972 (Ht^nry, Dalle).
OCLOPROPANE-TÉTRACAHBONlQL'E (Ac) .
Form. à pari, de l'éthor tricyano-
cyclopropane-tricarbon . , 9S, HA
(Errera, Pcretaboseo) .
— (Ditbio-) (Ac). Prép. par coad. de
es* avec Téther malonique. Proor ,
sels, réduct., act. de la pliéar1ky>
drazine, ITtt, 799 (Wearei).
Cyclopropanb - tricarbonique-1 .14
(Ac). Form. des dér. cyaaé 6& ih-
cyané à part, de Téther cyanaeét. ;
propr., sels, !M, 202 (Errera, Pt-
ciabosco) ; SU, 799 (H^eaxe/).
Cycloptérine. Dos. de rbisiidiii*, et
l'arginine, de la lysine et de Ai
amidé, ItH, 335 (Kessel, Kaiacherr,
CyCLOTRIAZANB ( PHÉKYLtTHkJfTt -
OXY-). Propr., sels, élher métb^i.,
SU, 233 (Vosawinckel).
— (PKBNYLÉTHYLIDÈMB-OXT-) . PH».
et propr. des dér. carbanilé, ftoé-
tylé, trinitrophénylé, S«, 2S3 i V*'o«»-
winckel),
Cymb!Ce. Réd. par H en préa. de Ni
et Cu, SS, tilO (SabatiùT, S*m49-
rcns).— Oxyd. par MnO* el SOMT,
ft^, 1064 (Foucnier). — lodanJL
par S'I*, se, 10 (Ediager, GoU-
berg) . — Form. par dist. sons pi^a*
sion de l'huile de résine, 1tS« 124
(Kraemer, Spilker). — Pré*, daoa
ToBsence de cascarille, ••, \Sê
{Fendler). — Form. à pari, de Tee-
sence de sabine,!^!!. 269 (Fromok^
— Prés, dans Tessence de bois de
sapin, SU, 3lO {Klasoo^. — Près.
dans rhuUe do bois, «H, 440 {Ftm
— Cond. avec le chlorure de cUar*
acét^ltt et Aia*, 9«, 622 (Kuackall,
Koniak}),,
— (Bromo^-), Form. à part, du br»*
monitrocamphane, tM« 1119 yFon-
ter, Robertson).
— (CbloroS-). Form. à part, da
chloronitrocamphane , <# » 11(9
(Forstor, Robertson).
— (Nitroso-) (Di-). Act. de AxO^ «I
Az*0*, «e, 545 (Tortorici^,
CyHISNE (TÉTBAHYDRO-) . ForfH- pBT
réd. du limonène, sylvestrène, iar*
Sinéne et cyméne en prés, de 30,
)S. 610 (Sabatier, Sandereas ~
Cynoolossinb. Prés, dans les bas»-
cinées. Propr., act. physioL. M.
79 (Greimcrj.
Cynurine. Transf. dans rorgamaae.
«6, 328 (f>ii/ves»/)i
Cysteine. Dos. dans les ^od- d^
drol. des album.. 1t9, 817 iEmh'
don).
Cystime. Dos. dans les orod. d\i
drol. des album., 1t9, MT? ifs^
den).
Cytisinb. Gond, avec ViaosûUberab
de phényle, !M, 18. — Sépar. de
ranagyrine, 5M, 19 (Lituntkitit^
— ConslU.. %9, 20 (Schmidit. -
Prép., propr., Ml, 67 (Bêm\
TABLE DES MATIÈRES.
ISIS
• (BuTTL-). Prép. à part. deTana-
gyrjae. S6, SO {Littencbeid).
' (CÉTTL-j. Prép., propr., »6, 57
{Bàuworaa).
► JEthtl-). Prép., propr., 9%, 57
{JHàuwerda),
• (MÉTHTL-). Prép., propr., !M, 57
{Bauwenia) .
DjLMAflCBNOfs. Extr. des graines de
olffeUa damaacena. Propr., cela,
ioaO',chIoro-,nitrométhylates , %9 ,
80, 813 [Pommerehne).
Daphnêtini (S-MéraTL-). Prép. du
dér. «•chloré par oond. du pyro-
gallol avec l'éther «-ehloracétylacé-
ttque. Propr., dér. dlacétylé, diban-
zoylé, éther diméthyl., !M, 212
{Peebmsna^ H»nke).
DÉCANK. [Syn, Diamtle]. Tens. de
Tap. à dav. temp., !M, 863 IWo-
ringet), — Form. par électroi. du
caproate de K, S6, 897 (Peterten),
DécTLkNc. Form. à part, de la brom-
aminé du di-iao-amyle . Propr.,
Dnfsiré. Voy. Appareils.
DxifsiTB DE TAPEUR. Déterm. sous
preasion réduite, %9, 604 {Setêll).
DbsoztbenzoÎne. Voy. Benxoîne (De-
SOZT-).
DésTLB. Prép. et propr. do snlfocya-
nate, «6, 1098 {Wbeeler, ^ohn-
BOB).
DésTLÈNB-DiéTHTLCÉTONE. Prép. par
oond. du benzyle arec la dié-
tbylcétone. Propr., !M, 1115 (^ttpp,
Meldrum) .
DÉSTLÈNE-MÉTHYLKTHTLCérONB. Fomi.
à part, do ^mélhylanhydracétoue-
beazile. Propr., £0, 1114 (Japp,
Meldrum).
DsuriRo-ALBviiosB. Voy. Albumosb.
Dbxtrtne. Dos. en prés, de glucose,
M», 91 Œ.jndei),— Dos. calorim.
dans le glucose et le sirop cristal,
M», 251 {Meunier). — Act. do ba-
cillus tartricus, SS, 415 (Grimbert).
^ Constit., act. de HBr, «6, 841
(FeotoD, GostUaq). — Form. par
hydrol. de la cellulose, !M, 733
{Storer). — Infl. sur Tattaque de
Cr par les ac, S6, 876 (Oatwêld).
Dextrose. Voy. Glucose.
DfACBTONAicmE. Voy. AcrrONAMINE
<Di.j.
Deacbtonique (Aie). Vit. de déc. en
acétone, !M, 833 (Koeiicben).
DlACÉTTLB. Voy. AOBTTLE (Dl-).
DiALURiQUE (Iso-) (Ac). Trausf. dans
rorganiame, S«, 934 [Steudel). \
DiASTASES. Propr. de la diastase du
tannin, SS, 271 (Fernbach). —
Diast. sacchariflc. du germe ae blé,
es, 528 (Lindet). — Mécanisme de
Tact, lipolytigue. Propr. de la li-
Sase, SS, 696 [Hanriotj. — Diast.
es cellules digestives des actinies,
leS, 990 (A#6sai7).~ Peptase d'orge
germée. Act. des antisept.j diast.
coagul. du malt., 1^6, 333 \Weina).
— Diast. protéolyt. des graines en
ffermin., M, 824 [BulkewUaeb) .-^
NouY. diaat. protéol. de la rate,
e«, 939. — Diast. protéol. do dlv.
animaux. M, 1022 (Hedin, Row»
Jaodj.
— Voy. Lacgasb*
Y-DiAZJNE (DiPHEifTL-j . Form. dea dér.
di-pK^hloré et di-p-bromé à part des
acétophénones ixhlorée et/>-bromée ;
propr., SS, 930 {Collet).
DlAZOL. Voy. BlAZOL.
DlAZOLINE. Voy. BlAZOLINB.
DtAZOSULFANILIQUB. Voy. BENZkMB-
SULFONIQUB {DiaiO'4-) .
DiDTME. Sépar. des terres de lacérite,
«•, 69 {Meyer, MarckwalJ), —
Sépar. de Th par Az'H, %9^ 354
{Curiius, Darapsky).
Diélectriques (Const.). Voy. Elec-
tricité.
DiLITURIQUB (MÉTHYL-) (Ac). Prép. A
part . de rac . méthyiviolurique .
Propr., sels, dér. brome, chloré,
%%, 911, 912 {Andreaseb).
DiMBNTHTLE. Form. à part, du chlo-
rure de menthyle sec., propr.. M,
605 {Kouraanof).
DiMORPHisME. Rel. avec la sursatur.,
9S, 115 {Wyrouboff). — Point de
transf. des corps dimorphes, SC,
841 [Schenk).
a-DiNAPHTTLE. Prép. à part, de Ta-
iodonaphtalène. Propr., 90, 1078
{Ullmann, Bielecki),
§-DiNAPHTTLE. Form. par oond. du
naphtalène en prés, de chlorures de
méthylène et d'éthylidéne, «S, 494,
496 {Bodroux).
DiPENTENE. Constit., !tll, 293 {Ipa-
tief).
DtPRÉifTLE. Form. à part, du ben-
zéne broroé, £0, 399 {Norris, San-
dera). — Form. par oxyd. de la
phéoylhydrazine par la phénan-
tbréne-quinone, M, 431 {Bamber-
aer, Grob). — Nitrat., eS, 1143
[Friebel, Éassow).
— {AmiûO'2.if ) {Di'), Prép., propr,,
dér. diformylé, dibenzo^é, carbo*
nylé. Transf. en carbazol, M, 1141
(Niemcntowski) .
— {AmiDO^.4'-) (Di-). Prép., nropr.,
dér. acélylés, comb. avec Co',
1143 {Frtebel, Baasow).
1816
TABLE DES MATIERES.
— {Aaiiao-4'Oxy-4'-). Fona. par
cond. du phénol avec la phénylny-
drozylamine, 26, 767 {Bamber-
gor).
— (Azo-2.2''). Prép., propr., ««,
1144 (Friebel, Hassow).
— (Azo-4.4'-). Prép., propr,, ««,
1143 (Friebel, Bassow),
— UAzoxy'S.2'-). Prép., propp., *«,
. 1143 (Friebol, Rassow),
— {Bromo-4.4'-(iiDitro-2.2'-) (/)/-).
Prép., propr., «6, 1077 [UHmann,
Bielecki).
— (CAioro-4.4'-(iiflilro-^.^-) (^>i-).
Prép. au moyen du dichloro-1 . 4-
nitro-2-benzène. Propr., S6, 1077
(Ullmann, Bielecki).
— {DiaiO'4-). Vit. de déc. à la lum.,
ire, 919 (BuiT, StciD).
— (HvdrazO'S.2''), Prép., propr., ««,
1144 [Friebolt Bassow).
— iHyarazO'4.4!-). Prép., propr., «6,
1143 {Friebel, Bassow).
— (Nitro-S.^-) {Di"). Form. i part,
du nilrobenzène o-chloré et o- bro-
me; propr., £6,1077 ( Ullmaan, Bie-
lecki), — Form. à part, de To-nitro-
diazobenzéne,tlUI,l 141 [Niementows-
ici). — Prép., propr., réduct., «6,
1143 {Friebcly Bassow).
— (NitrO'S.S'') (Di). Prép. à paW. du
m-lodonitrobenzène. Propr., 26,
1077 [Ullmaan, Bielecki).
— (Nitro'4.4'-) (Di-). Prép. au moyen
du p-io(lonilrobenzène. Propr., M,
iOni (UllwaDD, Bielecki). — Prép.,
Sropr., réduct., S6, 1143 (Friobelf
\assow).
— {NitrO'S.S'.4.4'.6.&') (Hexa-).
Prép. au moyen du chlorure de pi-
cryle. Propr. «6, 1077 (UUmann,
Bielecki).
— (NitrO'2.2'.4A'-) (Tetra-). Prép. A
part, des chIoro-4- ou bromo-4-
dinilro-l .3-benzènes . Propr., !K6,
1077 {UllmaDD, Bielecki),
— (Nitro-8.3'.4AM [Tetra-). Préu. au
moyen du p-ioao-dinitro-1.2-ben-,
zène. Propr., «6, 1077 [Ulîmana^'
Bielecki),
— {Oxy'2.2'') [Di'). Exlr. du goudron
de houille. Propr., sel de K, S6,
699 [Kraomer, Weissberg).
— (Oxy-4.4'-) (Di-). Prép., propr., dér.
benzoylé, «6, 1143 (Friebcl^ Bas-
sow).
— (Tétrazo-). Acl. sur les ac. aulfl-
moues el Ihiosulfoniques arom., S6,
634 (Trœgor^ Ewers). — Cond. avec
Téther cyanacét., «6, 708 (Lax). —
Vit. de déc. à la lum., «6, 919
{Buff, SteÎD).
DlPUÉNYLE-CARBONIQUE-2 iAminO'4')
iAc). Form. à part, de ramino-2-
iuorénone. Propr., £6, 698 {Diels).
DlPHBNTLB-OIGAllBONlQUE-S.Sr (Ac.).
Prép. du dér. dinitré-4.4' à part, de
Tac. bromo - 2 - nitro - 5 - beozoiqiM.
Propr., éther méthyl., 90, 1077
(Ullmann, Bielecki).
DlPHÉNYLE-DICARBONlQCI-i.4' ( AC,.
Prép. et propr. des dér. duiilré>S.X
et tétranitré-2.2'.6.(r ; éther éitaà-
thyl.. «6, 1078 [Ullmann, Bit-
lecki).
DiPHÉNTLÈNE (Oxyde). Extr. du gou-
dron de houille. Propr., 1B#, 700
(Kraemer, Weissberger).
— (DiMÉTHYL-4.4'-) (Oxyde). Prép.,
propr., S6, 11 42 {Nicmenatownki'.
DlPHÉNTLÈNE-STHANE (B18-). Fom.
dans Tact, du chlorure de l>enxTl«
sur le Ouorène potassé, S#, 499
{Weissberger).
— (Phéntl-). Form. à part, du chlo-
rure de benzyle et du fluorèoe po-
tassé, e6, 699 {Weissberger).
DiPHÉNYLiNB. Form. par réd. êlectrol.
du nitrobenzène, M, 114 {L<jeb}.
Dissociation. Dissoc. des polyin.,<6,
601 (Bancroft). — Détenn. des iso-
thermes el isocbores, tM, 836 ULaiê).
Dissociation ÉàBCTROLYxiQUs. Infl. ds
la nature des ions sur la solobil.,
S5, 961 {Enklaar). — Inll. muta«Ue
d'électrol. très différem. dUsoc*,
%Sy 961 {Doyer, Van Cleeff . —
Gonst. de dissoc. des ao. alcojUufi-
ciniqoes, 26, 134 (Booe^ Spraa-
kliûg). ~ lofl. des agents ctut
sur la dissoc. êlectrol., 96. M
(Euler). — Rel. avec la chaleur de
neulral., «6, 287 {ThielJ. — Dia-
soc. êlectrol. des seU doublât. M«
853 {Liudaay). — Mesure de» rit
ioniques en sol. aq.,<6, 450(Sf«9<*yeK
— Diasoc. des mël. de sobst. k
ions communs, !t6, 450 {Eade . ^
Propr. des sol. isohydriques. M.
513 {Bancroft). — Rel. avec la sa-
veur, 26, 517 {Kahlenberg, Hi-
cbards). — Dissoc. dans let mI.
coUoïd., S6, 520 (Léri). — RcL
entre la dissoc. dos ae. fkibles H
l'hydrol. des sels alcalins, 1M, 9S7
{\Valkcr). — Mesures ébuI1io«c. <•
dissoc. êlectrol. de dir. aeU, M^
660 {Jooes), — Dissoc. au point da
congél., 26, 8S8 (WheUiPiD -
Déterm. de la dissoc. dans dca aci-
de compos. donnée, 26, 845 .Vjt
Gregor). — Anomalias pré*eoté«t
par les êlectrol. fortement di4«oe,
26, 840, 847 {JahD). -^ Appar. p<mr
montrer le déplacement des îOfBs.
26, 869 (Kohlrauseb, èiithr, êir»-
rick). — ThêoHe,26, 947 {KehUM-
berg, Kocbt Hall). — Rel. «nlr» la
charge des ions et la pressi^o os-
mot., 2S, 1035 {Turin). — Btl
TABLE DES MATIÈRES.
1817
entre la const. de dissoc. et le degré
de dissoc. des électrol., 9Hy 1035
iOsaka). — Dissoc. des sels d*ac.
amidés, «6. 1037 {Winkelbhch).
Dissociation hydrolytique. Dissoc.
des sels alcalins d'ac. faibles, SU,
597 {Walker) . — Nouv. mélhode de
déterm., *«» 661 {Farmor). — Dissoc.
des syst. eau-alcool-acide^tber, 96,
1087 {Euiei).
DlBULFURlQUE. Voy. SuLFURIQUE (Dj-V.
DiuRBTiNi. Acl. physiol.» 96, 832
{Katsuyama).
DivARiCATiQUB (Ac). Prés. dans div.
licheDS. Propp., «6, 651 (Hessc).
o-DiTOLYLE {TétrazO'), Comb. avec
les ac. ibiosulfoniques et sulflniqaes
arom., «6, 635 (Traogcr, Ewers).
— Cond. avec Téther cyanacéliqae,
5B«, 708 {Lax).
m-DiTOLYLE (Té/raro-). Copul dudér.
bisuir. avec la ^-éthylnaphtylamine,
SS, 613 {SeycwetZy Blanc).
p-DnoL^Lm iAmiaO'SS') (Di-). Prép.,
propr., der. diformyle, diacét., di-
bônzoylé, capbonylé; cond. avec le
benzile, ««, 1141 (Nictncntowski).
— {IVJtro-2.2'-) (/)/-). Ppépar. au moyen
da m-nitro-p-diazololuène, S6, 1141
(Nicwentowski).
— (Tétraio). Comb. avec SO*Na* et
réthyl-^naphtylamine, 9S, 987 (Se-
yewoti. Blanc).
DoDBicosÉNYLAifiNE. Prép. à part, de
Tac. brassidique. Propr., sels, dér.
benxoylé, ««, 468 {Kraffl, Tritscb-
1er).
DuLciNE. Comb. caracl. avec
(AzO*)*Hg, «5, 533 {Moulin).
DuLcriB. Act. de la luro. sur les
mél. avec la auinone, S6, 1025
( Ciamician , Silher) .
DuLGiTOSE. Form. dans Tact, de la
lum. sur les mél. de dulcile et de
quinone, ««, 1025 [CiamiciaUy SU-
ber).
DuRÈNE. lodur. par S»I", ««, 10. —
Brorourat. par S"Br*, dér. dibromé,
e€, Il {Edinger, Goldberg),
DuBBTÉ. Dureté des élém., !M, 838
(Bydberg). — Bel. entre la dureté
et la conatit. des alliages et corps
simples, 90, 1035 [Benedicka).
DuBiDiNB-1 .2.3.4.5. Transf. en safra-
nine, S6, 116 {Khardint).
DuRfDiNE-1.2.4.5.6. Non-transf. en sa-
fk-anine, %%. 116 (Kbardino).
DuRiDiNE-1 .3.4.5.6 Transf. on safra-
nine, S6, 116 {Kbardînr).
Dynamique chimique. Act. des alcalis
sur Tacétone et Talc, diacétooique,
5M, 833 [Koeliebf^a).
Dtpnone. Comb. avec réthylmercap-
lan ; sefquimercaptoI,trisuifone, M,
621 {Posner).
Eau. Form. limitée à part, de CO' et H
à haute temp., 9S, 485 {Boudouard).
— Recherche de AzO'H par la bru-
cine, «5, 532 (Cazeneuvo) ; S5, 639
{Caxeneuve, DéfournoJ). — Points
aébull. des mél. d*eau et de phé*
noi, SU, 241 (Naumann, Mû Ber), —
Infl. sur le pouv. rolat. du tartrate
d*étbyle, %t, 259 [Paltcraon). -^
Hydrates de AzO'H, ««, 337 ( Ke/ev,
Manthcy), — Tens. de vap. des mél.
d'eau et d'acétone, ftll, 513, 514
{Taylor), — Propr. dissolv. des
vap., <ll, 514. — Propr. des roél.
avec C*H* et Talc, élhyl., «6, 515
[Uncoln). — Points de solidif. des
sol. aq. de HCl et de phénol, !M,
524 (Èmcry, Camerony Krag), —
Appar. pour la prép. d*eau privée
d'air, «6, 524 (Mellor). — Points
d'ébull. des roél. avec le chloral,!M,
534 (Cbristensen). — Anomal, des
mél. de CO' et de rap. d'eau à la
loi de MaHotte, SU, 657 {Bancroft).
— Const. diélect., ««, 661 (trônes).
— . Equil. des syst. eau-phénol-scé-
tone, eau-phénoVac. tartrique, tM,
736 (Scbreinemakara). — Coeff. de
compressibil., S6, 834 (HuiHt). —
Point critique de dissol. du mél.
d'eau et phénol, !M, 847 (Van der
Lee). — Tens. de vap. et coro^osit.
des mél. avec le phénol et l'amline,
1MI, 88*) f Sel» ro/neinaircrs).— Const.
diélectr., «0, 880 (rcirner). — Solu-
bil. de div. ffaz, ««, 949 (Wiakhr).
— Const. diélectr. de la vap., Z%,
1033 [Baedckcr)
— DK CRISTALLISATION. Bel. avec la
constit., 96, 287 [Saizar).
— MINÉRALE. Anal, de l'eau d'Ucel
(.^urce des Cévennes), SS, 257
{Barrai). — Recherche des métaux
par la baryte, <S, 385 (Garrigou),
— Anal, par la conduct. électr.,
«S, 612, 604 {Mùller). — Prés, de
AIW, SS, 971 (ParmeoUer). —
Anal, des eaux de Salsomaggiore,
tM, 525 [Naaini, Anderlini).
— POTABLE. Prés, d'oxvsulfocarbonate
de Fe dans l'eau du Rhône, S5,
18«J, 220 iCauaae). — Applic. de
CIO* à la stérilis., ««, 665 {Bevcb
1er). — Anal, d'eaux de puits d'Os*
tende, SS, 767 [Wautera). — Rs-
cherche des eaux contaminées par
le violet cristal., <S, 774 [Cauaae).
— Recherche de AzO*!! par la bru'
cine et Tac. formique, M», 775
1818
TABLE DBS MATIÈRES.
(CaEeDeuve, Défournel). ^ Dos. de
PO*H% «S, 800 [Lcpierre], — Prés,
du bac. coli dans les eaux de puits,
%9, 125 {Pakca). — Dos. de Cfdans
l'eau de pluie, «6. tSO IKincb), —
Dos. de PO*H», M, 609 (Wood-
man, Cayvan),
Ea.u oxtoânée. Act. sur div. sangs,
. «5, 255, 532 (Cotton). — Sursatur.
chimique. Mél. STec MnO*K et
80*H», S5, 265 (fîeWfte/ol). — Anal,
de H'O* du commerce, £5, 611
{Artb\. — Act. sur Ag"0, S5, 691,
1060 (Berlhelot). — Act. deCaCl'am-
mon., 9S, 709 (Artb). — Form. dans
les auto-oxydations, JS6, 2 (Enghr,
WetaMberg). — Tilrage par KI,««,
82 (Bupp). — Act. sur Na«S"0». %€,
84 ATaibi). — Act. sur SOMl", «6,
34 [Orton^ Blackwano). — Act. sur
les hydrates de carbone en prés, de
selsferreux,!B6, 4.1 (Aforrei, CroÙs).
— Act. sur KMnO*, SO*H« et les ac.
persulfùriques, S6, 65 (Baoyer^ VU-
JJger). — Superoxydes, JM, 66
{Bach), — Act. sur C"H« et CH*
en prés, de FeSO*, IM, 87 (Cross,
Bovan, Heiberg). — Act. sur le
chlorure de bensoyie, !B6, 97 [Bac-
yer, Villiger). — Act. sur Na*S«0»
et S*0«Mn, «6, 129 {Nabi). - Act.
sur le sulfate d'éthyle, S6, 197
(Baeyor, Villiger), — Form. dans
lesoxyd. par Tair, IM, 205 (BiUx).—
Act. sur Tioduro d'Az, 96, 356
{Cbattaway, Orton). — Act. sur
AzO*H et les élhers. ««, 358. —
Act. sur les suirates de roëthyle et
d'éthyle, «6, 530. — Act. sur Ag«0,
%9, 561. — Form. dans la décomp.
de Tac. oersulfurique, S6, 562
{Baeyer, Villiaor). — Dec. par Pi
colloïd., «6, 663 [Brcdig, Bcineck).
— Act. à la lum. sur les ferro-
cyanures et ferricyanures, S6, 880
\^stiakovskyu — Ck>nslit., S6,
o98 {VorhenJor). — Act. sur les
toxines, «6, 1023 {Sieber). — Dec.
par Pt colloïd., «6. 1038 {Brcdia,
Ikeda). — Act. sur Kl en prés, de
di¥. agents, ««, 1046 (Brode).
Ebullioscopie. Emploi de la pyridine,
%9, 349 {Innés). — Applic. à la
mesure de dissoc. éleclrol. de div.
sels, «6, 660 'Jones).
EcGONiNE. Dos. par I, S6, 645 (Gar-
sed^ Colite).
Edestine. Dos. de Az, S6, 20 {HauS'
m/inn). — Propr. anticoagul. des
albumoses, «6, 813 {Pick, Spiro).
— Comb. avec div. ald., sé, 822
{Scbwartz).
Elaïdique jAc). Act. de ClOH. Transf.
en ac. oléïquo par SO*, ««, 288, 289.
— Fixai, de HCl, «6, 290 {AlLitx-
ky), — Prép. et propr. d« Tanh. #
de ramide, Z%, ik (AJbitzkj,
Emelianoff). — Act. de l'ae. M^
sulfurique, IM, 29S. — TransT ei
ac. dioxystéarique, %%^ â7^ <AU
bitzky), — Prép. et propr. des chlo-
rure, amide et nitrife, 9%^ 40
{Kraift, Tritsebler).
Electricité. Propr. de rélectr. m-
lencieuse. Infl. sur la comb. de U
avec H, Az etc.. SS, 834. — DilT. dt
potenliel des états allolrop. éa
Ag, £5, 640 iBertbeJoi). — £lec>
tro-affin. des métaux. S€, 449 (Dêw-
sont Mao Craû). — Inversion des
hydrates de ZnSO* dans la pile. M,
521 {Barnes). — DiflT. de potentiel
entre Ag ou Cd et les sol. et
AgAzO' et de Cdl* dans les tiq.
organ., M, 522 {KabJeobergi, —
Appar. pour la mesure des div.
S'andeurs électr., Stt» 522 iMàthr,
enrick). — Emploi de la mh
Weslon comme étalon de E, M,
523 {Barnea). — Polaris. des nu
dans les accumulât, en Pb« 99, W
IBeed). — Théorie de rèlectrvcapO-
larité, «6, 602 [Smitb). — Diff. di
potentiel des électrodes un >fQ(/,
M, 603 {Tower). — Etude dea ^
électr., 9%, 604 (Scbeye). — Rel.
entre la force éleclrom. et les éqiul
chim., 96, 661 {Bothmand^m —
Etude du couple Daniell» 99^ tttl
{Coben). — Théorie, ««, 848 IIV
dell' Wcdellsborg) . — TÎiermodya.
de l'élément normal, <•, 851 —
Form. éirctrom. du couple Hc-HfO
rouge (KOHJ-HgO jaune (KiW-I^^
9%, 855 {Cobeo). ^ Force, élec-
trom. des substances douée* de
plus, degrés d'oxydat. ; poteotiel
d'oxydat., 99, 866 {Latber, Wil-
son). — Kel. entre la polaria. el U
dens. de courant dans les sels foa>
dus, «6, 868 (Gociro/i. — Activité
électrom. des gaz élément.. M, 671
(Bose). — Var. de tens. éUdr.
dans les dissol. de Cr dans les so-
dés, 96, 876 iOsiwald).^ Bel.
la force électrom. et la prti
osmot. des sels de Zn, M, 871
(Lebfeldt). — Déterm. des
tiels électrol. de div. piles, Mï, SMC
879 {W ils more). — Délerm. des
potentiels absolus des métaux. M,
879 (Oslwald). ^ ConsL diélselr.
de qurloues comp. orgsn., ••, W
(T^rser). — Propr. élcc4rom. ém
métsux à plus, degrés d*oxJrd., M,
1033 {iMtber) ; M, 1034 {Aàêl. -
Phénomènes électrocapillaires. M,
1088 {Palmatr). — Force électrM.
de div. élém. au Cd, IM, 1049 iJaê^
ger^ Undeck),
» Voy, Appasbils.
TABLE DES MATIERES.
1319
Blbctrociiimie. Rel. avec la chimie
phy«., 156, 241 (Wiakhr).
£i.£CTR0LY8E. Dos. éleclroî. de GO,
SS, 238 {Ducru). — Oxyd. électrol.
des nilrololuènes, %B, 852 (Picr-
roD), — Sépar. élecirol. de Co ol
Ni, es, 970 {Balachowskyj . — Prép.
électrol. do la henxidiDe« tM, 113
{Lonb). — Electrol. de» sol. de HCl,
5M, 242 (Mr>//ori. — Appl. de Télec-
trol. do CuSO* a la prep. des sol.
titrées do S0*H".««,fc9 (3/c«c/e). —
Polaris. et dépoiaris. cathodiqueSt
^«,449 {AfùlhD. — Electrol. des
sels de Cu, Co, Ag, Pb dans les liq.
organiques, M, 457 iSpéransky^
Goîdberg). — Appar. spécial pour
l'obtention d'une lemp. constante,
«6. 523 (U'o/ri. — Electrol. de
AzO»Aç, PbAzO" et SbCP en sol.
dans div. li-j. organ.,JS6, btAiKah-
hnberg) . — Tens. de dissol. élec-
trol., «6, mi (Ubreldt). — Equiv.
électroch. de Cu et Ag, S6, G()3
(HicbardSf Coiliûs^ Hcimrods. —
Appar. de laborat., 96, 609 {Dan-
eroflK — Electrol. des sels alcalins
d'ao. çras, S6, 615 iPotcrson). —
H6d. électrol. des non-élcctroi., 96,
628 {Haber). — Réd. électrol. des
dér. uriques, «6, 749, 752 {Tafcr).
— Electrol. à travers des mem-
branes de ferrocyan. do Cu, 96,
845 {Moritz). — Réd. électrol. en
sol. dans SO*H*. Infl. des inipure-
tés des électrodes, 96, 801 (Tafcf}.
— Réd. électrol. des dér. nitrés;
noav. cellules, 96, 871 (Loeb). —
Rel. entre la solub. d'un élecirol.
et sa chai, de dissol., 96, 872
[Van Laar). — Tens. de dissol.
éloctrol., 96, 879 {Krugor) ; 96,
880 (Lebfoldt). — Calcul de la con-
centr. aux électrodes, 96, 883
{Sand), — Infl. des ions H et OH
sur la birolat. du glucose, 96, 883
lOsêka). — Electrol. des sels alca-
lins d'ac. orgtn., 96, 897 {Peter-
sen). — Réd. électrol. des dér. zan-
thiques, 96, 901, 902, 903 (TafeJ,
Aeb).
EtJMKNTs. Noov. élém., Teuropium,
96, 968 {Domarçav). — Poids alom.
des élém., 96, 273 {BrauDor); 96,
449 (Erdmaoa). — Dénomin., 96,
518 (Dugarti}.^ Echelle de dureté,
96, 838 (Bydbcrg). — Rel. entre le
Soids atom., la valence et la long,
'onde, 96, 953 (Formaneir). —
Rel. entre la dureté et le poids
stom., 96, 1035 {Bcnedicks).
— • Voy. STSTtHE péRIODIQUB.
ÉitBTiQUB. Voy. Antimoine.
EMonma. Porm. à part, de l'anthra-
ffl«cosanntne du séné, 96, 63
[Tachir^b, Hiepe). —Prés, dans les
fruits dn rhamnns calharlica, 96,
79 {Tsebircb^ Polaeeo),
-7- Voy. Aloémodinb.
ÉMODiNF. (Iso-). Extract, du séné, 96»
63 {Tschirch, Hiepe).
Émulsions. Voy. Savon.
Énergie. Voy. Cinétique ghimiqub.
Engrais. Dos. de Az fertilisant, 96,
656 (Street).
— Voy. Superphosphates.
Enzymes. Voy. Ferments.
«-Epidichlorhtdrine. Voy. Propt-
LÈNB {Dicbïoro-2.9'),
Epinéphrine. Propr., constit., 96, 26
{Fùrtb).
Equilibres. Infl. de la pression, 9S,
220. — Équil. entre C»»», H, CO et
H*0, 9S, 485 (Boudouard). — Équil.
entre les phosphates et div. bases
et sels, 9S, 966, 9o7 (Berthelot). —
Loi des masses, 96, 514 {UncoJD).
— Théorie; loi des phases. Théoris
de Van der Waals, 96, 503, 505
[Saurcl) ; 96, 594, 595 {Trevor).-^
Équation génér. de l'énergie libre,
96, 5'J6 (Lewis) . — Bqnil. des syst.
eau-alc. éthyl. ou méthyl. en prés,
de div. sels, 96, 598 (De Bruyn). —
Equil. des syst. eau-phénol ac. tar«
trique, eau-phénol-acetone, 96, 736
(ScbrcJucmakers). — Théorie, 96,
945. — Loi des phases, 96, 947 (Sau-
rcl).
Erable. Prod. d'hydrol. des racines
et du bois, 96, 732 (Storer).
Erbium. Extract, de la gadolinite, 9S,
383 ((JrbaiD). — InH. du sulfate sur
la vit. d'oxyd. des sol. oxaliques,
96, 659 (JorisscD, Beieber).
— Voy. NÉO-ERBIUM.
Erucique (Ac). Act. de CIOH, 96,
288. — Act. de l'anb. anétioue.
Prép. tt propr. de Tanh., 96, z9i.
— Act. de l'ac. persulfUriqne, 96,
292, 375 lAlbitiky). — Prép. et
Çropr. de l'amide, 96, 468 (Krafft,
"ritsebler).
— (I.SO-) (Ac). Act. de CIOH, 96,
288 (Albitiky).
Értsimine. Extract, de Térysimum
aureum. Propr., 9S, 528 {ScbJag-
doûbauffen, Heob).
ÉRTTHRiNiQrs (Ac). Prés. dans div.
. lichens, 96, 651 (//e.«S6).
Értthrite. Vit. et lim. de form. du
formai, 95, 349. — Const. therm.
des diformal et diacétal,9S, 961. —
Act. de l'acétal et du chloracétal.
Prép. et propr. des mono- et diacé-
tais et au dichloracétal, 95, 564
(Delépine). — Propr. des isom.
a, et .'et r; dér. acétvlés, comb. bsn-
zylidén. et iso-amylidén., 95, 740,
743 (MaqueDue, Bertrand). — Act.
de la lum. sur les mél. avec la qsî-
none, 96, 1025 {Ciamieian, Siibei^.
1320
TABLE DES MATIÈRES.
KRYTitoPHYLLE. Infl. 8ur la form. de
chlorophylle et d'huiles essentielles,
«5, 260 (Charabot).
Erythrosb. Héact. color., 96, 818
INeuberg). — Form. dans Tact, de
la lum. sur un mél. de quinone et
d'épylhrite, «6, 1025 [Ciamician,
Silbor).
EscuLÉTisË. Form. à part, des ac. a
et p-carboxylés corresp. ; propr.,
éther méthyl., fK6, 2ù5 {Pechmann,
Kratfï).
EscuLÉTiNE (p-MÉTHYL-). Form. par
cond. de l'élher acétylacétique avec
Toxyhydroquinone. Propr., !S6, 264
(Pechinann, Graeger).
EscuLKTiNB-a-CABBONiQUE (Ac). Prép.
Îiar cond. de i'éther malonique avec
'ald. oxyhydroquinonique. Propr.,
élhers, ««, 265 {PcchmaûD, KralTt),
ESCULÉTINE-^-CARBONIQUE (Ac). Form.
par cond. de la triacétyloxyhydro-
quinone avec Téther oxalacétique.
Propr., éthcréthyl., diméthyl., ^6,
265 {Pechmann, KralTt).
Essences. Voy. Aspic, Lavande,
Bergamote, Néroli, Palma rosa.
Amandes amkres. Laurier-cerise,
Lemon-grass, Can.nelle, Citron,
Menthe, Marjolaine, Fougère,
Myrthe, Girofle, Thym, Portugal,
TÉRÉBENTHINE, RUE, SaNTAL, CoLZA,
Sabine, Mandarines, Oranges, Sa-
pin, Fenouil, Jasmin, Rose, Véti-
ver, PbtiT'Orain, Casgarille, Géra-
nium.
EsTRAOOL. Act. de I et HgO. Comb.
ivec lOH, SS, 338, 445 [BougauU).
BiAiN. Sépar. de la mine de Pt, fKS,
11 {Leidié). — Act. de SnCP sur
AzO^H. Applic. au dos., 25, 693
(Heûriet) . — Applic. à la recherche
de Sb en prés, de As, tlU», 9J6 [De-
nigha). — Dos. par I, 1^5, 1002
{AiùUcr), — Dos. dans la cassi-
téritc et la stannine, !SS, 1004, 1007
{Mùllor). — Sépar. de As, «•,131
{Robmer). — Sépar. de Ou par Tac.
oxal., «6, 281 (Peters), — Conduct.
électr. de SnCr en prés, de KCl, Kl
et HCl, ««, 339 ( Youag) . — Attaque
de Sn par les sol. phosphatées et
amm., «6, 512 {HoessiDg). — Hy-
drol. de SnCP, «6, 599 {Bruner).
- Modif. allolr. de Sn, «6, 604
(Schaum), — Hydrol. des sol. de
SnCP, «8, 835 (Koblrauscb). —
Modif. polymorph. de Sn. Infl. de
6nCl* sur les transf., «6, 882. —
Vit. de transf. de Sn blanc en Sn
S ris, ««, 884 (Cohon). — Transf.
es sulfures en chlorures par SO'Cl'
et AlCP, ««, 884 [Hun). — Chlo-
rostannites aes sels diéthylène-dia-
minocobal tiques, C6, 883 (U^emer,
Humpbrey), — Infl. de SnCP mit
l'hydrol. de (VCl* anhydre. M,
.v 1031 {Druckcr). — Modif. allotroi»^
««, 1035 {Cohen). — Sépar. d«St,
««, 1057 {Rohmcr), — Dos. p^r
MoO'. Act.deSnC:i%S€, lO&J /es-
jelis). — Applic. des cooples Su*
^t ou Sn-graphite à la ri^duct..
I>\
1157 (Pionowj.
Etalonnage. Voy. Poids.
Ethane. Form. par déc. de Tiodarv
de Mgéthyle par l'eau, S5, 6-^
(Tissicr, Orignard). — Form. par
hydrogénat. de C'H* et C'H* «n
prés, de Cu et Ni, «5,671. 674, tfTw
{Sabatier, Sendercna). — Form»
dans la comb. du peroxyde d>ifayi*
avec 00% «6, 197 {Baeycr, tV/-
Jigcr). — Form. dans Tact, du Zn-
étnyle sur les nitrites alcool, ei 1^
carbures nitré^, «6, 253, 25t(, &^
(Bewad). — Form. par élecLr. de
l'acétate de K, «6, Oib {Peter s*^n . —
Solubil. dans Teau, «6, 949 \\Viû-
kUr). — Form. dans Tact, de l'élber
malonique sur Tiodure de Zu-éihyU,
«6, 1068 {Michacl). ^ Form. par
comb. de G et H à 12U0* et dans
l'arc, «•, 1126 {Bone,Jerdan).
— [Bromo-) (Penta-). Form. dans Tact
de AlBr* sur le pentachloréttiajM.
Propr., «6, 299 {Pouret).
— {Chloro-) {Penta-). Act. de AlBr»,
«5, 293 {Pouret).
— (Nitro-). Act. de Tiodare do Mg-
éthyle, 25, 483 {Moureu). — AcL
de Zn-éthyle, «•, 256. ~ Ad. dt
Zn-propyle, «6, 257 {Bewmd,. —
Act. des ac. sur le dér. sod«, «C
377 {Torrey, Black). — Poid» mal.
en sol. dans AzO', «6, 527. — Cryo«c
dans Tac. formique, «6, 5^ (Bram,
Berti). — Conduct. électr. du dér
Bodé, «6, 610 {Suk). -- Act. dt
Zn-éthyle, «•, 749 {DansUo, Goa/-
diug). — Form. paroxyd. de Taccl-
aldoxime, «6, 992 (Bacabûrger,
Scbeutx).
— {Tbio-bromo-) {Tri-). Form. i part
de CS% Br et AlBr*, «6, OOtJ i Plot-^
nikof).
Etuane-disulfomqub*1.1 (Ac. . Fora,
par déc. du dér. disulfoné de t'aie
propionique, «5, iO\%\Delepiae .
ETHÉniFiGATioN. Mécanisme de Télb*-
rif. dans les plantes, «5, 955 [Cha-
rabot, Hébert).
Ethoxysilicanb (MéthoxydJeAlor^^
Prép. à part, de SiCl*. Propr. ; aci-
de Talc, isobutyl., «6, 577 [ktppm^t
Lloyd).
ËTHYLAMiNE. Act. de A&H* sur W
chlorh., «5, 977 (Bidet). — Fonn.
à part, du prod. de cond. de Kald
formique avec le chlorh. d'âb/M*
naphtylamine, «6, 47 (JVor^faai.
TABLE DES MATIÈRES.
1321
— Cond. avec rimino-thiodiphényl-
imine* 119, 54 (Schaposchniko/T).
— Acl. sur l'élher chlorindone-ma-
Ionique, JSC, 106 [Langer, WiodeP"
wann). — Foi'm. par réd. de la
diéthylhydroxylamine, 26, ^ÔS{Be-
-wad). — Form. du dér. acélylé dans
Tacl. de C*H'l surl'acétamidc sodée,
1t%, 573 ^r/(/i<'ry<*v).— Prép. à part.
de Tamidure el de IV'lhylsuIfale do
N«; act. du mèthylaulfale de K sur
racétyiôtbylamine sodée, S6, 574
{Tilborlc}), — Form. du d<^r. ben-
zoylt? par oxyd. de l'ald. benzuïaue
en prés. d*élhylamine,S6, 628 (/^/c-
kard, (Jarter). — Acl. sur 'a mëlhyl-
phloroglucine. !S6, 'J85 (FriedJ). —
Act. sur lechlorure-élherphénylcar-
bazinocarbonique, S6, 10 >G (^usc/i,
Hriorichs). — Chlorure double de
molybdéoyle, *6, l')55 [Nordcus-
Jcjocld). — Form. dans Tact, de
Taniline sur la phénylélhyliso-urée,
Sttt 1072 Ll/ac Koe). — Act. sur les
éihers suifocyanocarbonlques, 86,
Mi8 ^Doran).
— (Bromo-S-), Cond. du bromh. avec
la thio-amide o-tolylacéliquc, !S6,
210 ^Goidbcrg).
£tbylâmi.ne (Di-). Cond. avec la ré-
sorcine, la fluorescéine, 8S. 218
{Gritnaux), — Act. de AzH* sur le
chlorh., S5, 977 {Bidet). ^ Act. sur
le prod. de nitrat. de Téther acétyl-
acétique, 8S, 1011 {BouveauH, Bon-
gcrl). — Cond. avec riininolhlodi-
phénylimine, S6, 55 {ScbaposcbDÏ-
kolT). — Form. à part, de la
diélbylhydroxylamine, «6, 253 [De-
wad). — Prép. et propr. des dér.
acétylé et benzoylé à part, de Tac.
métbylsulfurique et des éthylbeoza-
inide et éthylacétamide sodées, 86,
674 [Titberley), — Appl. aux cond.
céloniques, 86, 676 {Komppa). —
Comb. avec la méthylphloroglucinc,
«6, 985 (Friodl). — Chlorure double
de molybdényIe,86, 1055 {/Vordons-
kjocïd) .
Ethtlaminb (Tri-). Tens. de vap. des
dissol., 86,5 [konovalof). — Comb.
avec la chlorhydrine de la glycé-
rine; propr, sels, 86, 201 [Bie-
nentbaï). — Vil. d'act. sur C"HM,
sur Tacétone, 86, 860 [Menscbout-
kiné). — Acl. du bromure de p-xyly-
lène, 86, «86 [Manoukiao). — Chlo-
rure double de molybdényle, 86,
1055 {Nordenskjocld).
— (Oxyde). Form. à part, du nilré-
tbane el de l'iodure de Mg-éthyie,
8S, 483 (Moureu).
Ethtlanthra.niliqle. Voy. BenzoÏque
{EibyhmiDO'S),
Ethtlcarbinol (Méthyl-dH. Act. de
Br, 86,292 (IpaUef),
Ethylgarbinol (Tri-). Acl. de Tac.
oxalique, 86, 292 [îpatief).
Ethylcétone (Di). Prés, dans Thuile
de bois, 86, 439 [Fraps] . — Bro-
mural., 86, 277 (Pauly). — Vit. de
comb. avec AzH*OH el Az*H*, 86,
896 {Pctrcnko-Kritscbenko^ Lordki-
panidzo). — Cond. avec le benzile,
86, 1115 [Japp, Maidrum).
(Bromo-i'). Prép., propr., 86,
677 (Pauly).
[Bromo-i. i-) [Di-]. Prép., propr.,
86, 677 [Pauly).
Ethylcétone (Méthyl-). Ghal. latente
de vapor. de l'oxime, 85, 384 (Lou-
guÎDine). — Act. de Cl el Br. Prép.
et propr. des dér. chlorés el bromes
1 et H, 85, 972 [Bey mettant). —
Form. par déc. des ac. 8-chloro-a-
oxyvalériques, 86, 167 {MélikofT),
— Prés, dans l'huile de bois, 86,
439 {Fraps). — Vit. de comb. avec
AzH»OH el Az«H\ 86, 896 {Pe-
trcnko - Kritscbooko, Lordkipa -
Di'dzc). — Cond. avec le benzile, 86,
1114 {Japp, Meldrum).
[Isonitroso'). Réd., 86, 3S4
{Strauss).
Ethyle (Acétate, bulyrate, etc.). Vov.
Acétique, Butyrique, etc. (Ac.).'
— (Azotate). Vil. de sapon. par Teau;
solubil., 86, 285 — Form. dans
l'aci. de AzO*Ag sur G*HM. 86,
286 (BiroD). — Form. dans Tact,
des éihers nilreux sur le pe»*oxyde
d'alc. élhyl., 86, 358, 531 [Baoyer,
VjJligfir),
— (Azolito). Act. sur les élhors cyclo
pentanone-, cyclohexanone- el acé-
tylcyclopentanone- Carbon., 86, 88
(Dieckmann, Groeneveld). — Acl. sur
le peroxyde d'alc. élhyl., 86, 358
Bacvor, ViJIigcr). — Oxyd. par
KMnO*, 86, 898 {Voriaeoder).
— (Bromare). Form. dans Tact, de
AlBr* sur le chlorure. Acl. de
AlCl», 85, 295 iPouret). — Cond.
avec SiCI* el Na, 86, 577 {Kipping,
Lloyd). — Act. sur les bases lerl.
nrom., 86, 781 {Pîddow). — Form.
dans Tact, de Zn et Na sur le bro-
mure d'éthyléne, 86, 1068 {Micbael).
— (Chlorure). Form. dans Tact, des
chlorures d'ac. sur le couple Zn-Cu
en prés, d'élher, 85,3 (Freuadler);
85, 896 iDescudé). — Acl de AlBr*,
85, 293 iPourot). — Vit. de form.
à part, de Talc, élhyl. et HCl, 86,
340 {Priée). — Fora», par déc. de la
phénylélhylisourée par HCl, 86,
1072 {Mac Kee).
— (Hydroperoxyde). Voy. Ethylique
(Aie).
— (lodure). Cond. avec réthercyano-
malonique sodé, 85, 274 (Halhr,
1821
TABLE DES MATIÉKES.
Blanc). — Act. sur le mercabide,
!S6, 122 (HofmaDD). — Acl. sur
Téthei* propanetricarbon. sodé, fK€,
199 IMelIor). — Form. dans l'acl.
de HI sur le prod. de Tact, du ni-
tri te d*amyle sur Taie, cblorh., S6,
250 {Kissel). — Act. sur AzO^Ag,
««, 2«6 iBiron). — Act. sur Tazo-
luro de Fe, ««, 838 (Fowlor). —
Act. sur les amides sodées, 26, 573
(Titherloy). — Act. sur les oximes
de l'acôto'ne, de racétophénone et de
l'ald. acétique, ««, 747 (Duastau,
Goulding). — Vit. d'act. de KOH
alcool., »é, 858 {Broussof). — Vit.
d'act. sur la tricthylamine et le sul-
fure d^éitiyle on sol. acétouique, S€,
860 [Menschoutkinc), — Act. sur
Féther oxamique, Turéthane et Tacé-
lanilide en prés, de Ag"0, ««, 977,
988 {LaDder), — Act. de Na en
prés, d'acétonitrile, ««, 1068 \3//-
chacl).
— (Phosphate). Act. de AzH*OH. Elher
Shosphohydroxamique, 96, 664 {Sa-
aocjeff).
— (Sulfate). Act. de Tiodure de Mg-
étbyle, «5, 488 (Mourcu). — Act.
de H«0% «6, 197, 530 (Bao^;nr, Vil-
îiger). — Act. sur l'hydrazine, «6,
1162 [Stollé).
Ethyle (Oxyde). Act. des chlorures
d'ac. en prés, de Zn ou ZnCl", 25,
3 (Freundler); «5, 896 [Descude).
— Uonst. Iherm., «5, 361 {Dde-
pÎDc). — Gorab. avec les dér, organo-
magnésiens, «5, 694 {Biaise). —
Dér. mercuriques. Prép. à part, de
l'élhvlène; propr., sels, «6, 85
(Hormaon, ISand). — Applic. à la
sépar. des chlorures de Al et Gl,
«6, 168 {fiavcnsf. — Prép. et propr.
du dér. p-bromé. Act. de Na, «6,
165 {MoDschoutkine). — Applic. à
la sépar. de FeCl* des autres chlo-
rures, «6, Î50 {Spellor). — Gomb.
avec l'ac. chlorotitanique, «6, 279
{Boscnhcim^ Schùtte). — Form.
dans Tact, de AzO*Ag sur G*HM,
%9, 286 {Biron), — Oxyd. en ald.
formique,«6,370 [Mullikcn, Brown,
French). — Déterm. cryoscop., «6,
598 {Loomis). — Act. de la chai,
en prés, de AlW, «6, 612 {Origo-
riet). — Vil. de form. dans l'acl.
de Talc, élhyl. sur Télher benzène-
sulfonique, «6, 859 {Zagrobin). —
Goiist. diéleclr., «6, 880 {Turncr).
— Indice de réfract des mél. avec
l'acétone, «6, 1030 (Cunaous). —
Appl. à la lépar. de Go et Ni, «6,
l(fe9 (Bosenbeimf Huldchiasky). —
Acl. des chlorures de benzoyie, phé-
nylacélyle, isovaléryle en prés, de
FcGl», «6, 1068 ( Wcdckind, Haeus-
sermaDD).
1
— (Peroxyde). Prép., propr., aci. ëa
GO*. H, etc., «6, 197 {Èaevêr, VU-
Iiger),
Ethtlb (SulfUre). C^nsi. tbenn., SS,
884 {Berthelot). — Vil. d*8Ct. 4e
G'H*I en sol. dans l'acélooe, M,
860 {McnscboulkiDe),
Ethyle-méthyle (Oxyde). Form. dau
Tact, de GH'I et de Talc, élliyr, »«ar
l'acétamide sodée, IM, 578 f TVIfter
ley). — Vit. de form. dans rad- 4»
Talc, mélhyl. sur Téther bemèm»-
sulfonique, €6, 859 (Zagrfbin).
Ethylène. Form. dans l'acl. de AlBr*
surG«H»Gl, «K. 294 {Poum^. -
Form. à part, du di-iodo- ou dia di-
bromobutane-1.4, SS« 482 {IfamometK
— Form. dans la déc. des earinirc»
métall. par IVau, 9S, 5^ {Berttt-
lot). — Gond, avec l'aHylène el t«
propylène, 1KS, 643 (BertbeIot\. —
Hydrogén. en prés, de Cu ©l Ni;
form. par hydrogén. de C^H* «a
près, de Ni, «». 671, U74, 678 (Sa-
buticr, ScDdcroDs) . — Form. dsos
l'act. de Mg sur le bromure d*ét^>
lène, S5, 094 {Tissier, OrîgamH\,
— Gomb. avec HgO, HffCl*. Cblo
rures el bromures doubles; dér.
aminé, fS6, 84, 86 {Hofmaaa^ Samt;
S6, 8<> {BiUmano), — Form. dans
l'acl. de Na sur l'éthcr brome, 9ê,
165 (McnscboutkiDc). — Form. dans
Tacl. de G"HM sur l'azolure de F^
«6, 338 {Fowlcr). — Form, par
déc. de Talc, et de Tèther eo pr^.
de A1*0% «6, 612 [Grigoritt). —
Prép. par. act. de PO*H* simp. sar
l'aie, éthyl.. «6, 673 (iVcirlSi. —
Vit. de form. à par», de C»H"I tk et
KOH alcool., M, 858 {Broussof,—
Form. par électrol. des succinaie «t
mélhylmalonale de K, 96, 897 iPeUi^
scn). — Form. à pari, de Zn-elàyie»
«6, 1014 (Koursanof)'
— (Bromo-). Form. dans Tact, da iro*
mure d'élhylène sur facéUiBid*
sodée, «6, 573 (Titberl'-y).
{Tri'). Gond, avec raniUae,<S,
823 (SabaDeJotr, Pro$ia).
— (lododinitro-) {Di- sym.). Pom. à
part, du lélraiodacélylèns. Propr.,
M, 84 {Biltz, Ked09ky).
{Tri'). Form. à part, do C*l* «4
G*I*; propr., «6, 8* {BHu. Kf
desky).
Ethylène (Bromure). Form. doas
Tacl. de AlBr* sur le chlorure, SS.
296 (Pourel). — Acl. de Mf, «&.
694 {Tissior, Grigoard). — Ao* dt
Vacëlale de K, M, 972 {Hemn . ^
Acl. de Na*8*, «5, 982 (B/saiua .
— Gomb. avec la slrvchnifte, <ii
60 (Trowbridgo). — Cond. avec '*
thio-amide o-tolylaeétiqvo, ••« 210
TABLE DES MATIERES,
132S
(Goldbcrg). — Gond avec la m-xy-
lidine- 1.3.4 et la pseudocumidine,
ItU, 4iy [Seaicr,Ooodwiû). — Acl.
sur le pbényldithiocarbazinale de
méthyle ot le p-bromanilido-imiao-
dilhiocarbonate de K, S6, 433 ( Buscb,
LiDÇfeDbriack). — Gond, avec la
bis-iao-amylanilino, !S6, 486 {Eibner,
PurucJccr). — Act. sur racélamide
•odée, ««, 573 {Titberh'v). — Act.
de Zn et Na, ««, 1068 {Michael).
— (Chlorure). Acl. de AlBr", «5, 295
{Pourtt).
ETHTLk.NE (Oxyde). Act. de AzH*, SS,
978 [HenrY].
Bthylè.'ve (Méthyl-) (TÉTRA-). Voy,
Butylène (Diméthyl-2.8-).
(Tri-). Aulo-oxydal., ««, 1 [Ed-
g 1er, Wcisberg).
Etuylè.ne-diamink. Sels chromi dié-
thyléne-diaminiques, <•, 139 [Pfcif-
ter). — Sels diéthylène-diaraino-
cobalt., ««, 886. 888 ( Worner, Hum-
phrrv); SU, 889 {Wcrncr, Gcrb.)
Ethylene-disulponique (Acl. Form.
é part, du sulfure d'éthylène, %S,
98i {Blaoksma).
Ethylenb - TÉrn ACARBONiQUE (Elher).
Forni. dans Tact, de l'éther bromo-
malooiquo sur la benzylpipéridirie.
Propr., ««. 'J7«) [Wotlckfnd)
Ethyléniquës (Garbures). Form. dans
Tact, de l'eau sur le granit, 25,
232 {Gauiiût). — Form. par dist. de
la stéarine avec Zn pul v.; propr., bro*
mures, S5, 430 {Hébert). — Form.
par décomp. sous pression de la
bakoumine, S6, 124 (Kracmer^ Spil-
ker), — Kel. entre la constil. et la
form. des nilrosilcs et nitrosales,
JM, 966 {Demjanod).
— (Dérivés). Nature négat. des dou-
bles liaisons, S5, 83 {Honricb),
ETHYLÉNO-ACÉTigaB. Voy. Cyclopro-
PANE-CARBONIQUB.
Etuylkno-éthylauine. Voy, Cyclo-
propane (MÉTHYL-) (Aminchi'').
Ethylhydrazinb. Prép., propr., dér.
benzoylé, 86, 1162 {Sloilé).
Ethylhydroxylaminb. Form. dans
Tact, de Zn-éthyle sur le nitnte d'iso-
amyle, «6, 254 (Bcwad),
— (Di-). Form. dans Tact, de Tiodure
de Mg-éthyle sur le nitrite d'amyle
ou le nitréthane, SS, 483 (Afourou).
— Form. dans Tact, du Zn-élhyle
sur les nitrites alcool. ; propr., sels,
«6, 253 {Bewad).
Ethylidènb (Bromure). Form. à part.
du chlorure et de AlBr*, SS, 296
{Pourot),
— (Chlorure). Act. de AlBr*, 8S, 296
IPouret). — Gond, avec le napbta-
lèoe et A1G1% SS, 491 (i^ouve).
Ethtliqub(AIc). Gomb. mol. avec les
ae. diméthyl- et diéthylamino-ben*
zoylbenzoïqucs, ISS, 170, 172 {HaJler^
Guyol). — Vit. et limite do form.
du formai, SS, 349. — Gonst. therm.
de l'acélal, «5, 361 {Delcpine). —
Infl. sur la déc. des carbonates alca-
lino-lerreux par les ac, £5, 393
(VaHéc). — Gomb. avec la diphé-
nylcarbazidc, !2S, 453 (CaieDeuvc).
— Pouv. rolal. de l'élher iso-valér.
actif, SS, 550 {Guye). — Act. de
AlGl'. Gomb. mol., chloréthylate
d*Al., SS, 554 {Perrior, Pougei), —
Act. sur le diamylformal. Form. du
diélhylformal, S5, 576. — Act. du
B-naphtol sur le chloracélal, ^S,
57y. — Act. du chloracélal et de Ta-
cétal sur le glycol, la pinacone, la
glycérine, la uiannite, TérythrUe,
«5, 58), 582 {DoiâpiDo). — Act. sur
une sol. sulfuriqued'ac. molybdique,
«5, 641 {Péchard). — Act. sur le
bromure do Mg-élbyle. Foi*m. de
bromélhylale et d'éthylate de Mg,
!85,694 [TJsaicr, Grigoard). —Act.
sur GaG^ au rouge, «6, 896 {Lercb-
vre). — Act. sur lo chlorodinilro-
benzéne en prés, de GAzK, !25, 980
{Hcierco). — Form. dans Tact, du
ferment mannit. sur div. sucres,
S5, 9.)! [Gayon, Dubourg).— Prép ,
du dér. mercurique à part, de 1 é-
tbylène. Piopr., sels, «6, 85 {Hof-
mano, Saûd). — Form. dans Tact,
de H'O* sur racélylèna, ««, 87
{Cross, Bcvan, Heiborg). — Act.
aur la base du vert malachite, M,
97 (0. Fischer). — Act. du per-
oxyde de benzoyle sur lo dér» sodé,
«6,97 (Bacvcr, Villiger). —Gomb.
mol. avec loxime du cétoxylétra-
hydrotriphénylbenzène, 2€, 122
{Petrcuko'KritscheDko, KasaDox-
k}). — Acl. de HgO. Transf. en
mercabidc, fK6, 112 {HoCmaDa), —
Solub. des clilorures dana l*alc.
élhyl.. «6, 162 (Bohland), — Infl.
aur la vit. d'hydrat. do l'anh. acé^
tique, ««, 165 {Hicbter). — Form.
è part, du peroxyde d'ethyle, JS6,
197 {Bacycr, Villiger). — Oxyd.
par la quinone, le nitrobenzéne, la
benzopbénone et Tacétophénone à la
lum., 86, 206 {Ciamieian, SUber),
— Act. des nitrites dMao-amyle et
d'isobutyle en prés, de HGl, 86,
250, 251 [Kissol). — Form dana Tact,
de Zn*éthyle aur les nitrites alcooL
et les carbures nitrés, 86, 258^ 256,
258 (Biiwad), — Infl. aur le pouv.
rotat. du tartrate d'éthyle, 86, 259
{PaUersoa). — Appl. à Thydrogéo;
par Na, 86, 282 {Ladenburg). —
Aot. de Zn aur un mél. d*alc. éthyl.
at de dibromo-2.4-méthyl*2-butane,
86, 282 {Ipatief). — Form. dans
Tact, de AzO»Ag aur C*H»I, 86,
1SS4
TABLE DES MATIÈRES.
286 (Biron), — Form. dans la fer-
ment, de l'arahinosot 26, 324 {Sal-
kowski), — Vil. d'acl. de HG1»««,
340 (PWce). — Acl. de AzO"H ol
des nitrites éthyl. et amyl. sur le
peroxyde, ««, 358 {Baeycr, VilU-
ger). — Pyrogénal., «6, 369, 534
\lpathf), — Oxyd. en ald. formi-
que, ««, 370 {Mulliken, Brown,
FreDcb), — Prép. et propr. de l'a-
cMal glycérique, «8, 371 {Wobi,
Neuberg). — Propr. dissolv. des
vap., ««, 514. — Propr. des mél.
avec C«H« et H*0, ««, 515 (Lincoln),
— Prép. du peroxyde au moyen du
sulfate d'élhyle et de H*0". Propr.,
sels, dér. acétylé, phtaloylé, 26,
530 [Baeycr, VilUqcr). — Equil.
avec l'eau en prés, de div. sels, S6,
598 [Bruyn). — Déterra, cryosc,
86, 598 {Loomis). — Pyrogén. dans
un tube au rouge, «6, 612 (Grigo-
riet). — Ebulliosc. et dissoc. élec-
trol. de div. sels en sol. dans Tal-
cool. Const. diélectr., «6, 660
(Joncs). — Acl. de PO*H' sirup..
26, 674 (Newtb). — Vil. d'act. sur
rélluT benzène-sulfonique, 26, 859
(Zagrebin), — Form. dans la fer-
ment, de la mannite, 26, 930 (^jn-
mûrling). — Acl. de Télhylate d'Al
sur les ald., 26, 967 (TifUcbenko).
— Acl. de la lum. sur les dissol.
alcool, de quinones, ald. et cétones,
26, 1025 [Ciamician, SUber), —
Const. diélectr. de la vap., 26, 1032
(Bacdeker). — Dissoc. des éthers
éthyl. en prés, d'eau, d'alcalis et
d'ac, 26, 1037 (Euhr). — Infl. sur
la saponif. de Téther acétique par
NaOH, 26, 1048 (KuUgrcen), —
Form. des élhers par acl. des chlo-
rures d'ac. sur Téther en prés, de
FeCl», 26, 1069 {Wedekind, Hêeus-
scrmann).
— (Ami no-) (Aie). Form. par réd.
du dér. nilré; propr., 26, 383
{Henry),
— (Bromo-) (Aie). Voy, Glycol
(Bromhydrine).
— (Cbloro-) (Aie). Voy. Glycol.
(Tri-) (Aie). Form. du Irichlor-
acélale dans Tact, de Téthylale
d'Al sur le chloral, 26, 967 {Tisi-
chenko) .
— (lodo-) (Aie). Woy. Glycol.
— (Nitro-) (Aie). Form. à part, de la
mono-iodhydrine du glycol ; propr.,
26, 383 [Henry).
Ethylmebcaptan. Acl. sur la quinone,
l'anthraquinone, la phénanthrène-
quinono, 2S, 313 (Tarbouriecb).
Ethylmebcaptan. Const. therm., 2S,
384 (Bertbelot). — Cond. avec les
dicétones, 26, 38. — Cond. avec
Tacétophônone et U benzophéoiat,
<M^ 73. -_ Form. dans Tact d« U
dWso-amylamine sur l'éthcr xtntb»-
génique, 26, 391 (Wheehr, Ab»-
lia). — Cond. avec l'oxyde d* œ-
sityle, la phorone, la djDOon*, la
benzylidêne-, la dibonzylidène-»«*
lone, la benzylidènc-acélopbéDOUw
26, 619, 620 (Posner).
Ethtloxaminb (Tri-). Prép., constîL;
non-form. à part, du Zn-élhyl« *
du nilréthane, 26, 749 {DunUt^u
Goulding).
Ethylphosphine (Tri-). Aulo-oxyiUt,
26, 1 (Engier, Weisberg).
Ethylsulfuriqub (Ae). Appi. ft I»
sépar. des terres rares, SS, S9
(Urbain). — Form. dans V^ei. de
ëo' sur le peroxyde d*alc. eib^i,
26, 531 (Baeyer, Vmiget). — AcL
sur Tamidure de Na, 26, 574 ^T*-
tberhy),
Ethylthétinb (Mctbyl-). DédoobU-
ment par Tac. campboAulfon.; Mb
d et 7, 26, 138 (Pope, Peach^yU
Eucalyptus (Huile). Cooslil-, 26»
239 (Smitb).
EucHLORiNK. Voy. CBLoas (H«plo-
xyde).
EuoÉNOL. Prép. et propr. du arxltUa
ae ; sels, transf. en Tanillin«, 2S,
46 (Verlev), — Dens.» viaoos.,l««-
superf., i&y 523 (JeaDC^rd^ Smîh .
-» Prés, et dos. dans Tessence é»
cascarille, 26, 156 {Feodlerl —
Prép. et propr. du salicylate, 26»
405 (Cobn).
— (Iso-). Prép. el propr. du suilktt
ae, 25, 43 ( T'eWcF). — Form. dan*
l'acl. de l'iodure ae Mg-élhyU «r
la vanilline, 26, 276 (BéAa/, Tifff
neau).
— (MÉTHTL-). Acl. de I et HgO. Comb.
avtc lOH, 25, :t38, 445 (Bowmu/f
— (MfTHTL-iso-). Oxyd., 25, ♦tt
(Bougault) .
EUOÉNOLOXT- ACÉTIQUE {Ac). KUm»
avec ro-aminophénétidiiie rft ■
toluylène-diamîDe-l.S.4« S6, 11®
{(John).
EUOLOBULINB. Voy. GLOaULMCE-
EuROPiuM. Prés, dans le Bamarto»
Propr., spectre, 25, 96S ;/>?»« r-
cav) .
EuTBCTiQUBS (Coupbas) . Coarb%» *•
mél. et racém., 26, 1029 ,Adrj\oa.
EuxANTHiQUS (Ae) . Propr-, mik
élhers, dér. acétylé, benxoylé., aai .
constit., 26, 110, 288 (Gnté^. -
Tranaf. en ae glycaroniqoe, 2i^
200 (Neuberg),
EuxANTHONB. Form, è part, a* tm.
euxanlhlque. 26, IIU (Grëtlx'
EuxÉNiTB. Prés, de Pb radlo-actU^
26, 244 (HofmênDn SirêosM . —
TABLE DES MATIERES.
1325
Extr. de Zr et de reuzénium, IM,
451 iHoimann, PrandtJ).
BuxéNiuM. Extr. del'euxénite. Propr.,
euxénine, S6, 452 (HofmaDUy
Praadlt).
Etkrnl'Rique (Ac). Prés, dans div.
Hcheos. Propr., ««, 1183 [Hessc).
Etûdine. Extr. de Taugusture. Cons-
lit., ««, 157 {Hartwicb, Gaœpcr).
Falsifications. Vov. Bibliooraphib.
Fbhlino (Liqueur cfe) . Act. sur Tacé-
ione-phénylhydrazone, S6, 1063
(Biegler) .
Pbncuane. Prép. du dér. tribromé à
part, de la fenchone. Propr., cons-
ul., ««. 182 [CterDy).
Pkncbbnb. Prép. par déc. du feocbyl-
xanthogénato de méthyle. Propr.,
JM, 1^ (Taebugae£r\. » Prép. à
part, de Talc, fencbylique. Propr.,
M, 4» {Bertrand, Helfc) . — Form.
i part, du chlorure de fenchyle ou
de Talc fenchylique. Conslit.fisom.,
bromh., S6 587, 589 {Kondakof,
LutsebintD) .
— {Bromo-). Form à part, dulribro-
mofenchane. Propr., IM, 182 {Czor»
ny).
Pbncminb. Propr., «6, 437 [Bertrand,
H elle).
Fbnchol. Prép. et propr. du fenchyl-
xanthogénate de méthyie. Transf.
en fenchène, »«, 186 [Tscbugaeff),
— Prép. à part- dft l'huile de fe-
nouiL Propr., ôthers, ««, 436. —
Act. de PCV, de HCl, HBr. Isomé-
rie, ««, 687 (Kondakofy Lutscbi-
nin] .
— (Tso-) (Aie). Prép. à part, du fen-
chène. Propr., élher acétique, 96,
437 {Bertrand, Hoilo). - Gonstit.,
S6, 588 (Kondakof, Lutscbinin),
Pencholbnique (Ac). Form. à part,
de la bromofenchone. Propr. , isom.,
««,182 {Czerny).
Pbncuonb. Act. de Br. Prép. et propr.
du dér. brome; act. de PCI", cons-
tit., ««, 182 {Czernv). — Propr.,
%B, 437 (Bertrand, Helle] . — tri-
bolum., è«, 459 [Tscbugaeff). —
Propr., constil., S6, 588 [Konda-
kof, Lutsebinin) .
Fbnchtle (Bromure).. Constit., propr.,
IM, 588, 589 (Kondakof, Lutsebi-
nin),
— (Cnlorure). Conslil., prép. à part.
de Talc, fencbylique. M, 587 [Kon*
dakof, Lutsebinin),
Fbnchtlique (Aie). Voy. Fbnchol.
Fenouil (Essence). Rëduct., S«, 436
[Bertrand, Helle),
Fbr. Sépar. de la mine de Pt, S5, 11
[Leidié], — Act. des oxalates alca-
lins sur les sels ferriques, S5, 99
(Wyroubofr) . — Prép. de Toxysul-
focarbonate; prés, dans Teau du
Rhône, «5, 180, 221 [Causse). —
Prés, de div. siliciures aans les fon-
tes et ferrosiliciums industr., SS,
226, 291 [Jouvo), — Act. de H*0
sur le sulfure et le carbonate, 95,
409 [Gautier). — Prép. et propr.
des siliciures. Act. de Fe sur le si»
iiciure de Cu, SS, 483. 535 [Lcbeau).
— Poids mol. de l'acélylacétonate
ferrique, S5, 570 {Cbabrié, Ben-
gade). — Propr. de ramalgame;
transf. en FeO, «5, 615 [Féree). —
Appl. à rbydrogènat. des carbures,
«5, 671, 678 [Sabatier, Scnde-
rens), — Propr. lipolyt. de Fc*0*,
«5, 699 (Hanriot). — Act. de HgO
sur les chlorure, sulfate, nitrate
ferriques ; form. de sulfate basique,
«5, 792, 798 [Mailbe). — Volatil,
de FeCP à basse temp., SS, 832
[de Coninck) . — Act. de Ag*0 sur
les sels ferriques, de HgO sur
FeSO*, S5, 969 [Sabatter) . — Appl.
du sulfocyanate i la recherche de
Fe, «S, 992 [Coninck).— Nouv.
chlorure FeCI; sulfate. Sépar. de
Fe, «5, 1061 [Nicolardot). -^ Ti-
trage de FeP dans le sirop, 26, 63
[Bupp). — Sépar. de Cr, Al, Mn,
Fe au moyen de Na^O*, ««, 127
(Barrét'). — Transf. des sels ferri-
?ues en ferreux par la pyrite, ««^
30 [Koninck). — Teneur en phos-
phate ferrique et FeS* des os d*élé-
phant fossile, S6, 164 (van Beat-
melen, KJobbie). — Dos. de Fe par
Kl et KIO', «8, 249 [Stock, Afasa-
ciu). — Sépar. de FeCl» d'autres
chlorures par Téther, 96, 250 {Spel-
1er) . — Emploi des sels ferreux
dans le dos. voium. de Ag par l'io-
dure d'amidon, S6, 281 [Andrews).
— Sépar. de Fe et Cu par Tac. oxa-
lique, S6, 281 [Peters). — Act. du
nitrate ferrique sur AzO'Ag en prés,
d'iode, «6, 281 (AWrews). — Prép.
de l'azoture à part, de FeCl*, Feou
de l'amalg. ; propr., const. tberm.,
«6, 337, 338, 339 {Fowler, Hartog).
— Act. de Az*H sur les sels, M,
354 (Curtius, Darapsky). — Dos.
de Ca dans les minerais de Fe, dos.
de Fe dans les scories, JS6, 368
{Bluwi) . — Dos. de Fe en prés, de
sulfures, S6, 456 [Hillobrand, Sto-
kcs). — Réact. color. des sels fer-
riques avec CAzK et AzH*OH, !M,
510 [Tscbugaeff). — Energie de
1S26
TABLE DES MATIÈRES.
rhydrate et du sulfate basique,
620 [Carrara^ Vespignani) . — Elec-
trol. des sels, 86, 599 {Bruoer). —
Infl. du sulfale ferrique sur la yit.
d'oxydat. des sol. oxaliques, JS6,
059 (JorJsseDt ftcicber). — Infl. de
Fe/OH)' sur Pt coUoïd., ««, 663
{Bredig, Berneck) , — -^PP^ • ^®
FeCI* a la recherche des sulrocyan.
dans les bromures, !S6, 670 (Smitb],
— Appl. de FeSO* au dos. des ni-
trates, ««, 671 (Deventcr). — Propr.
colloïd. de Thydrale, S6, 8;^ (//ArcM.
— Propr. des sulfates doubles ae
Fe et Cd hydratés, {(6, 857 (Stor-
tcDbecker), — Appl. de la règle des
phases à la solidif. de Fe, S6. 867
iBooMeboooi) , — Infl. de FeCl* sur
la dissol. de Cr dans les acides, 86,
875 (Ostwald). — Dos. de Fe dans
la broeg^srtte, tM, 952 [HofmaaD,
HeidepricD) , — Dos. de Fe dans
Turine, SU, 964 {Hoffmann), —
Points de fus. et solub. des aluns
de Fe et de Na, K, Cl, AzH*, Cs,
Hb, S«, 1026 [Locke), — Infl. de
FeSO* sur l'hydrol. de Cp*G1« anh.,
tee, 1031 IDrucker). — Tens. de
\aiû, des mél. d*aluns de Fe et Al,
M, 1044 (HoUmann), — Infl. de
FeSO* sur Tact, de H»0« sur HI,
S6, 1046 (Brode).— Nitrate double
' de Cs, «•, 1052 {WeJJs. Beards-
lejr) . — Conduct. électr. au sulfate
double anunon., S6, 1053 (Jones,
Caldwell), — Dos. de Fe parSnCl*
et MoO», ««, 1060 (Zengelis).
Pbbmbntàtion. Ferment, par les levu-
res basses, US, 735 [Jacquomin).
' — Oxyd. bactér. du propylglycol,
25, 772 (Kllng). — Ferment, du
xylose et de Tarabinose, 86, 324
(SaJkowski). — Ferment, des lao-
cose, glucose et mannite par les schi-
zomycètes, 86, 929 {Emmerling).
— Autoferment, de la levure, 86,
932 {Macfaydon, Morris^ Bowland).
Ferments. Propr. des ferm. lipolyt.,
8S, 690 (Hannot). — Ferm. du
* rein provoquant la form. d*ac. hip-
purique, 8&, 703(Ai>e7ous, Bibaui).
^-' Ferm. div. de l'embryon, 8S,
* 704 (Bhrry). — AppHc. des ferm.
' à Toxvdat. du propylglycol, 85,
905 (Kling). — Act. du ferm. man-
nitiqne sur div. sucres, 85, 991
IGayon, Dubourg). — Propr. du
ferm. oxyd. du foie et des capsules
* surrénales, 86, 817. — Propr. de
Tenzyme du foie; autolyse, 86, 318
(Jacoby), — Ferment, bact. des
immondices, 86, 1024 (Bideal),
Ferments inorganiques. Voy. Pla-
tine, Or, Mercure.
Fbrrictanhtdrique (Ac). Appl. à la
sépar. de Ni et CO; solub. des sels
dans AzH', 86, 126 iBromûm^
Hartwell), — Conduct. éledr. te
sel de K au point de congâ., 8ÎL
888 (Wbeibam). —Act. de IW 4
la lum. sur le sel de K, 96, M
[Kfstiakowsky), — Sel dt«tlivt«M»
diamino-cobaltiaue, 86, 888 ( War-
ner, Humpbrey), — Porm. das ii
solidif. de la fonte, 86. 868 (Boor^
boom).
Ferroctanhtdriqub (Ac). Aci. nr
le glucose en prés, de iiq. d»
Fehling; form de sel double de C
et Cu*, 86, 774 {Ossedsij. — AA,
de HH)' à la lum. sur le sel d< K,
86, 880 (KisUakowskr). ~ S^
diéthylène-diamlno-cobaltiquee, 86,
888 (Werner. Humphrey). — DépA
électrol. sur tes vases poreux, 86,
1027 (Morse, Horn).
Ferromanoanèses. Altération i rtk**
85, 992 (Dubois).
Fbrrosiligiums. Constit., SS,
(i^oaire) ; 85, 483, 595 {Lebcsm).
— Voy. SiLXGIVRBS.
FiRRB. Dos. dans la tourbe, 8#,
{Bomtraeger),
Fibrine. Act. de H*0*, SS» 97
(Cotton). — Dos. de l'histidiM, de
Targinine, de la lysine et de As
amidé dans la fibrine du gtetM,
86, 335 (Kossel, KMt9cher*. -*
Propr. anticoagul. des albamoM%
86, 813 (Pick, Spiro). ^ A€t. de
la diastase protéolyt. de la raie* 86|
989 (Hedin, Rowland). — Oxr^.
mangan., 86, 940 {Jolies),
FiBRoïNE. Extr. de la (Aiénylalantaei
86, 744 (E, FiscberL
FicocsRTLiQUE (Ac). Prés. dans la
cire de figuier. Propr., 99, MO
(Gresboff, Saek),
FicocBRYLiQUE (Alc). Prés. dans la
cire de figuier, Propr., 96, 980
(GresboiTj Sack),
FiLiGiTANNiQUE fAc). Prép., propr^
consiit., dér. oromé, chloré^ '
zoylé, 86, 155 (Beicb).
Filtres. Voy, Appareils.
Flavane. Prép. à part, de Tak.
phényldih^drocoumtriaue, T
(Feuerstoin, Musculus),
Flavindulinb. PréD. du dér.
S par cond. de la chloro-&«amàa
8-diphénylamine avec la ph(mam
thrène-ouinone. Propr., aew, dir.
anilidé>3. Act. de Tac n mino
salicylique, 86, 546 (Kêhrm^am^
Hiby).
Flavon e (Etboxy-4''trimétboin^t ,S,
S*') . Prép. à part, de réthoif-4r-4étf»*
méthoxy-2 .4.6.8'- bentoylaeètepfcé
none. Prôpr.» 86, 642(Z>i7/er, Km»
ianecki).
— {MctboxV'S-4rioxr*i.9'.4''^, Fàr*
à part derétlioxy«4'-lrioiélboBf-I.I,
TABLE DES MATIÈRES.
1327
3^*03 vone, propr., <•, 642 {Diller^
KostêBeckt).
— (MéthvIèae'iJioxyS ,4'-diinéthox^'
i.«^}. Synth, par cond. de Tac. pipé-
ronylique avec la triméthoxyphlor-
«oélophénone. Propr., 96, 109 (iiCos-
tSDccki\ Rozycki^ Tambor),
— (Oxy-S'-). Prép. par cond. de
l'élher méthylsaiicylique aTec la
iD-^thozy-acétophénone. Propr., dér.
éiboxYle, acétylé, SU, 719 (Kos-
tMoecki, Tumbor).
— (0xy'i,3.9M') (Tétrà-). Forna.
probable à part, de Tac. pipérony-
itqoe et de la phloracôtopnénone,
!M, 109 [Kostaneckit Rozycki\
Tambor\,
— {OxY'1.S.S!') {Tri'), Fonn. par
eond. de i'étber éthyisalicylique
«TOC la phloracétophénone. Propr.,
dir. aoétylét, méthoxylés, éthoxylés,
S«, 643 (/TostefleciTi, Webel).
— {Oxy-i.S.S'') (rw-). Synth, à part.
do i'ac. m-étboxybenzoïque et de la
pkloracétophénono. Propr., dér.
tHacéiylé , éthoxy-d'-dimétbozylé-
1.8, e«, 174 (Kosiaoecki, Steuer-
mann),
Fluavils. Dos. dans la gutta-percha,
1M, 788 (Borairaeger).
Fluoborique (Ac). Réact. avec les
aels diéthylène-diaminocobaltiqoes,
tM, 887, 888 ( Wemej*, Humpbrey),
Fluob. Act. sur CoSi, m, 539
{Lebûau). — Act. sur AIW, MgO,
!K, 670 (Z)u/aii). —Comb. avec S,
SS, 995 {AfoissaD), — Dens. ; point
d*ébull., 86, 81 {DrugmaDû, Ram'
ssy).
FLUORàNE. Nitrat., !S6, 697 {DieJs).
■ — Prép. et propr. du dér. potas-
sique; act. sur le chlorure de ben-
Eyle, «6, 699 {Weiaabergcr).
— (Araino-^-). Prép., propr., «6,698
{Ûiels).
— [DiaEO'2-). Pi'ép., propr., réduct.,
«6, 698 (Diels) . — Vit. de déc. à
la lum., !S6, 919 iRuff, Steio).
— {Nitro-i-). Prép., propr., «6, 698
{Die la).
— iOxy-i'), Prép., propr., S6, 608
(Diela),
Pluorbnb IPhkntl-) {Hexamétbyl-
triamino']. Prép. à part, du violet
erîstall. o-aminé. Propr., oxydât.,
suai, color., «5, 562, 756 (HaJler,
Guyot).
Fluorkmiqub {AmiDO-S-) (Aie). Prép.
par réd. de la nitro-2-fluorénone,M,
699 [Dieïa).
Fluorénons. Prép. des dér. nitré-8,
aiiiiné-2 et hydroxylé-2 à part, du
nitronuorène. Propr., diazot., JS6,
698 {Die la).
Fluokbmtlhtdiiazine-S. Prép. à part,
du diazofluorène. Propr., comb.
avec div. ald. et cétones, )66, 698
(DieJs).
Fluorescéinb. Cond. avec la diéthyl-
et la diméthylamine, tIS, 218 {Gri-
maux), — Act. de la lum., 86,
1043 (Groa).
— (Nitro-) {Di'). Prép., propr., dér.
diacétylé, hydrate, sels, M, 144
(Bryan^ Perkina).
(Tetra-), Propr., constit., M,
144 (Bryaût PerkÎDa).
— (Oxv-2.i?'-) (/>/-). Prép. par cond.
de lanh. phtalique avec Toxy-S-
hydroquinone. Propr., dér. brome,
acétylé, «6, 1083 (Uebertnann),
— (Oxy'2,9') {Di"). Prép. à pari, de
Tac. norhémipinique. Constit., %%,
1083 {Liebermann).
Fluorbscéinb (Sulfone-). Dér. de
Tac. p-nltro-o<sulfobenzoîque, S6,
414 (HcDderson).
Fluorescence. Rel. avec la tauto-
mérie, !S6, 144 [Bryan, Perkina) ;
5B6, 849 (//ew/H). ~Appar. d'études,
«6, 1031 {Tawett).
Fluorhtdriqub (Ac). App). à la prép.
des borates tribas. de Ca, Ba, Sr,
Mg, «S, 52\ {Ouvrard). — Act.
sur SiFe, IKS, 538. — Act. sur
SiCo, «S, 540 [Lebeau). — Tananr
en CaF* d'un os d'éléphant fossile,
«6, 164 [Van Bcmmeleo, KIobbie).
— Appl. de HF à la recherche de
Tac. borique, 9%,S66 (Borntraegei^.
— Tribolum. du sel ammon., M,
458 (Tacbugaeft) . — Conduct. électr.
de AffF, S6, 601 {Abeqg, Immer-
wabi]. — Rel. entre la conduct.
électr. et l'action toxiaue sur les
poissons, S6, 603 uCablenberg^
MobJ). — Infl. de NaP sur la vil.
d'oxydal. des sol. oxaliques, 96,
659 {Joriasen, Reicber), — Act. de
H F et des sels sur Pt coUoïd., !M,
1039 (Bredig, Ikeda),
Fluosilicique (Ac). Form. dans Tact,
de Teau acido sur le granit, M,
232 (Gautier). — Réact. avec les
sels diétbyléne-dlamino-cobaltiques,
«6, 887, 888 ( Wernor, Humpbrey) ;
Fontes. Prés, do div. siliciures ae
Fe, SS, 291 (Jouve). -^A^fï, de la
régie des phases à la sohdif., M,
867 (Roozeboom),
FORMALS. Voy. FORMIQUB (Ald.).
FoRMAMiDE. Infl. sur la solub. des
osazones, *6, 30 (IVeuberg), —
Infl. sur la coagul. de Talbumine,
S6, 319 (Spir&j, — Ox/dat., M,
1129 (Jollca), — Cond. avec Tac.
p-amino-JD-toluique, !S6, 1162 (Ehr-
lieb),
FoRMAZTLBENzkNB. Form. dans Tact,
du diazobenzéne sur les hydrazones
d'ald. nitrées, «6, 777. — Form.
à part do Thythrazone phényl-
1328
TABLE DES MATIÈRES.
nitrorormiqae, <S,793 iBamberger,
Grob).
FORMAZTLCÉTONB iMÉTHYL-). ReduCt..
9^, 775 xBsmberger, Grob),
— (Phényl-). Form. par cond. du
diazobonzène avec Téther benzoyi-
acétique, 9U, 9dâ. — Prép. du dér.
di-jo-nitro-phénylé au moyen du
m-oilrodiazobenzèue. Propr., S6,
996 [Bamberger, Scbmidt).
FoRMAZTLB {Nitro^). Form. dans
Tact, du diazobenzèoe sur les bydra-
zones d'ald. nitrées, X6, 777 {Èam-
berger, Sebmtdl).
FORHHTDROXAMIQUE (Ac.]. CODSlU. .
sels, €6, 51 iSchroeter^ Peschkes'^.
FoRMHTDROXAMOXiME. Form. de^ dîé-
thers au moyen desa-hydroxylamines
substitut, et des formimino-éthers.
Propr., ««♦ 52 {Scbrooter, Pescb-
kes),
FoRMiMiNO-ÉTHTLiQUB. (EtheD. Comb.
avec les a-hydroxylamines, SB,
52 {Scbroeterf Pescbkes),
FORMIMINO-MÉTBYUQUB (EtbOF). Act.
du cblorh. sur le citroonellal, S€,
299. — Acl. du cblorh. sur l'ald.
succinique, fK€, 685 (Harries).
FoRMjQUE (Ac). Cond. de l'étber
aroyl. avec les cyanacétates d'éthyle
et d'amyle sodés, SS, 15 [Boile-
mont). — Comb. avec la diphényl-
carbazide, SS, 278, 450 (Cazenouve).
— Const. therm. des éthers méthyl.
et éthyl., SS, 361 [Delepiûe], —
Comb. avec )a diphéoylcarbodiazine,
fit&, S78. — Act. sur le nitrate de
brucine, tK, 427, 532 [Gazeneuve),
— Cond. de Téther éthyl. avec les
bromures de Mg-élhyle et Me-iso-
amyje, 1KS, 526 {Grignard). —
Pouv. rotai, de l'élher iso-amyl.
acl., «5, 549 [Guyi}). — Act. sur
le nitrate de brucine. AppL à la
recherche de AzO^H dans les eaux,
es, 639, 775 [Gazeneuve, Défour-
nel). -^ Cond. des élhers avec
Toenanlhylidène et le pbénylacélylène
sodés, 25, 708 [Maureu^ Delange).
— Appl. au dos. du rhodinol et du
géraniol,«5,y57{C/ïara/)o/,//é/>erO.
— Form. par déc. du dcr. disulfonô
de Tald. propionique, S5, 1012
{pelcpine). — Cond.de Tac. tl des
etbers avec leshydroxylamines, S6,
51 {Scbroetcr, Pescbkes). — Prés.
dans l'huile de blé, «6, 351 IVuIté,
Gibson). — Form. par oxyd. du
furfurol, 26, 381 [Gross, Èevan^
Briggs). — Elher fenchyl., 26,
436 {Bertrand, Helle), — Dosage,
26, 442, 443 [Sparre). — Tribol.
du sel ammon., 26,459 [Tscbugaeff).
— AddI. à la cryosc. des dér. nilrés,
26, 528 {Bruni, Berti). — Form.
par déc. des «c. mécootqu», c -To-
nique et p3^m6Contquc, 2i. JH,
563 *Peratoner, Léonard t<, T-rt»
rici . — Décomp. en CO* et 11 pr
div. bactéries. M, 566 {JoUj^tt.
Pakes). — Electrol. du sel'd» K
26, 615 .PeXerseo). — Fora, p»'
ferment, de div. sucres, 26. <£■•
[Hardin), — Oxyd. des sels ptr )»
bact. en prés, de nitrates. M. Q.
(Pakes, JoHymao}, — Cod*.
diélectr., 26, 6*31 Jone*). — (>«i
avec la diamint>4.5-<iioxy-i,0-p)r>-
midine et 6es bomol .m'^thylè*^ <
diméthylé<J. 7,26,756, 757 iTruair;
— Form. par déc de roxjd* à
diroethylaniline, Ml, 766 tUm-
berger, Leyden\ — Form. pr
dédoublement de rononine, 26, m\
{Hemmelmavr). — Fofrm. ptr oxjé
du glycocolle, 26, 816 Jone* . -
Infl. sur rhydrol. de COS. 26, ttî
{Bucbboeh . — Cond. arec la (>l»«afr
et ro-tolylglycine, 26, 901 Vur-
laender, Humme). — Cond. »«c
la mélhyl-6-diamiaa-4.5>pyriaudii'
et son dér. chloré-2, 26, ^k iC
{Gabriel, Colman}, — Fona. 4i
Téther méthyl. dans Tact, de ïtikp
late d'Al sur Tald. foimiqoc. M
967 (Tistebenko). — Acl. d* It
lum. sur les mél. d'ac. formi<|itc ti
de quinone, 26, 1025 fii»MnaâM,
SiJber). — Act. sur Pt oolioid., 2t,
1039 {Bredig, Ikeda,. — Coad. àt
l'éther éthyl. avec ranlhraniltle tk
méthyle, 26, 1155 {Erdaamm . ^
Dér. formylé du diamino-l.i-
diphényle et du diamino-2.f-dil4)t|i<t
26, 1141, 1142 {Xiementowiki
FoBMiQUE (Ald.j.Vit. et lim. d*ac<HaIii.
par les aie. méthyl., éthyl., profil,
rérythrite, la mannita, 25.34U, 9i4
— Const. Iherm. des formais DëthrU
du glycol, de l'êrythrite, de la nta^
nite, du ^naphtol. Act. dû
^>naphlol sur le méthy)fU26, >t»1.
364, — Act. dos aie. propjl. <<
amyl., du phénol et du ^-ûptttl
sur le diméthylformal, de V^-
éthyl. sur le diarovlformai H éa
Talc, méthyl. sur le dipropyllitinBsl
25, 575, 576. — Prép. et propr. àaê
formais de la pinacone ei à9 'J
glycérine, 2S, bSl {DeJ^pin^ -
Form. par déc de l'ald. am^lyt^
piolique, 2S, lSS\.\foureu,Ù^iàJ>:i*'
— Pr'^p. et propr. de la chlorac«l>U'
et de la dibenzoïne,2S, 1^5 'Dtsftiir-
— Cond. avec Va, et la ^oafèi^*'
aminé **l leurs dér. chloréfi, btv'fli**.
diméthylés, dibenzylés, 26. ^ ^
Morgan). — Cond. aTec l'ic oit-
3-phényl-6-triazc)lpropioniquf. •••
119 [Baile}\ Acree). — Form H'
réduct. du peroxyde dVthyle t^
* TABLE DES MATIÈRES.
1339
CO", ««, 197(fîaej7îr, Villiger).-^
Form. par déc. de Tac. glyoxylique,
en, 272 {HopkiDS, Cole). — Acl.
sar la peptase d'orge, 86, 333
{Woisa). — Form. par pyrogén. de
raie, mélhyl., ««, 869 (Ipaliei). —
Form. par oxyd. de div. comp.
organ., 96, 370 [AfuIIikcD, Brown^
Frcnch). — Form. à part, du nilro-
méthane sodé, «6, 377 {TorroVt
Black). — Gond, avec le méthyl-
cétol et son dér. mono-nitré, M.
4«1( W«///it»r, Clowcn). —Recherche
par la résorcine, 1^6,441 {Mullikeo,
Seudder). — Gond, avec la saccha-
rine, S6, 541 (Maselli). — Form.
par pyrogén. des aie. méthyl. et
Mhyl., «6, 612 {Grigoriot} . — Gond,
avec les o- et />-toIuidines en prés.
de CAzK, «6, 63) {Steppes), —
Act. sur !e menthol. Form. de
formai, «6, 717 [WodekÎDd). —
Prép. de l'ald. formique par dépo-
lymêris. du trioxyméthylène. Propr.,
comb. avec Téther acétylacétique,
tM, 739 iffarries). — Act. sur le
coton>poudre, 26, 739 {Vanîao),
— Form. par déc. de Toxyde de
diméthylaniline, S6, 766 [Bambcr-
gcr^ Leydoa). — Gomb. avec l'acé-
tylphénylhydrazidine, S6, 776 {Bam^
borgoty ôrob). — Act. sur les
albumines, la pepsine, la trypsine,
en, 822 (Schwartz). — Infl. sur
Tattaque ae Gr par les ac, IM, 875
lOslwald). — Gond, avec Pald. iso-
butyrique, *6, 894 {WosseJy). —
Form. dans Tact, de AzO'H sur Tac.
loluidine-diacétique, 26, 917 iVor-
îaendcr, von SchilliDg). — Appl.
au durcissement du papier photogr.»
S6, 919 {Ruff, Stein). —Dos. au
moyen du sulfate d*hydrazine et de
Tac. iodique, 26, 955 {Rciglor), —
Act. de réthylate d*Al, 26, 967
[TinUhoDko). — Form. à part, de
la benzylazide, 26, 1106 (Curtius,
Darapsky). — Act. sur Tac. p-toluène-
sulfiniqne, 26, 1130 {von Mcycr).-^
Gond, avec Télhcr antbranilique,
126, 1152 [Mehnev] ; 26, 1155. 1156
(Erdmann). — Gond, avec Téther
anthranilique et GAzH, 26, 1156
(Kohnet).
— iNitro-) (Aid.). Propr. et modif.
isom.; dér. sodés, éthers, 26, 777,
778. — Modif. sléréochim. de
rhvdrazone, 26, 91^3 [Bamborgcr^
Schmidt).
FoKMiQUB (Ortho-) (Elher). Gond, avec
len éthers cyanacétiques, 2S, 19
{Bolhmoni).
FofiuosE. Réact. colorées, 26, 818
(Ncuberg).
FoRMOiiMB iChloro-). Prép. au moyen
du fulminate de mercure. Gond.
avec les polyphénols, 26,91 3 (Se A oi/,
Bortsoh).
FoRMYLCYANACKTiQUE (Ether amyl.) .
Prép. par cond. des cyanacétate et
formiate d*amyle. Sels, 2S, 16 {dol-
JemoDt)»
Fougère (Essence). Dens., vîscos.,
tens. tuperf., 2S, 523 {Jeancard,
Satie).
Fractionnement. Appl. à l'analyse,
26, 865 (Findlay) .
Fuchsine. Gomb. avec les color. acides,
25, 6 [Seycwetz). — Diazot. et
copul. avec les phénols, naphtols
et sulfoconjugués, 2S, 218 (Gri-
maux^ Lcfèvre). — Appl. à la
recherche des eaux contaminées.
Act. de SO', 25, 774 [Causse,
SJsIey).
Fulminique (Ac). Gond, du sel de
Hg avec les carbui'es arom. en
près, de AlGl». Act. de HGl. Act.
sur la diméthylaniline, 26, 913
{SchoJl^ Bortsch). — Act. du sel
de Ilg sur la dimélhvlaniline, 26,
HmlScboll).
Fl'marique (Ac). Form. du sel de
quinoléine k part, de Tac. bromosuc-
ciniaue, 25,528 {Simon, Dubrcuil}.
— Form. de la dianillde à part, de
la dianilide maléiqne. Propr., 25,
766 {vaa Dorp, van Haarst). —
Form. par cond. de Tac maloniquc
avec rac. glyoxyliaue, 26, 466
(Doebner). — Gond, do Téther
diéthyl. avecTéther élhylmalonique,
26, 469. — Cond. de l'élher avec
le métbylmalonate d'éthyle sodé,
26, 472 {Micbael). — Form. dans
Tact, de Az*0* sur l'ac. maléique,
26, 617 {Schmidt). — Form. à part,
de Tac protocétrarique, 26, 648
{Hcsso). — Comb. de Téther éthyl.
avec Az«0*, 26, 968 Œgorof).
— {CblorO'] (Ac). Gond, avec le
thymol et le carvol sodés, 26, 996
{Buhcmann).
FUMARIQUE (MÉTHYL-2.3-) (Dl-) (Ac).
Propr. du sel de Ca, 26, 287
{Saizor).
FuRALOÏDES. Form. à part, des pen-
tosanes. Propr., 26, 1061 (Frafts),
FURFURACRYLIQUE (PhÈNYL-) (Nitrilc).
Prép. du dér. p-chloré par cona.
du furAirol avec le cyanure de p-
chlorobenzyle, 26, 295 {Waltor,
Wt^tzticb).
FuRFUHANB [Bromo-] {Tetra-). Form.
du tctrabromure à part, de Tac dé-
hydromucique, 26, 1108 [Pbelps,
Halo).
— (z.ai'lodo-) {Di'). Form. à part, de
Tac débydromucique. Propr., 26,
1108 (Brùck).
FURFURANE (ACKTTL-). Vov. FURFU-
RTLCÉTONB (MÉTHYL-).
SOC. CHIM., 3« 8ÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
84
1880
TABLE DES MATIÈRES.
FUBFURANK (B.flt^-BENZOYL- ) ( Dl-).
Synth, à pari, du chlorure d'ac.
furfurane-a.a,-dicarboaique. Propr.,
dér. brome, nitré, dihydrazone, di-
oxime, ft%, 1108 (Phelps, Haïe),
FuRFURANE («-Mkthyl-). ppés. dans
rbuile de bois, S6, 439 (Fraps).
— (a.a.-MÉTHYL-) (Di-). Prés, dans
rhuile de bois, ftS, 439 (Fraps),
— (MÉTHYL-) (Tri-). Prés, dans
rhuile de bois, S6, 489 {Fraps).
FuRFURANE (Phéntl-2.8.5-) (Tri-).
Form. par rôd. du dibenzoyldiphé-
Dvlbutadiène. Propr., 96, 1114
(iapp, Michio).
FURKURANE-a.a,-DlCARBOmQUB (Ac).
Forro. à part de Tac. saccharique.
Propr., réauct., sels, éthers, amide,
dianilide, anb. mixte. Réduct.; cond.
du chlorure avec C*H* et AlCP,
««, 1107, IIOD (//i7/, Pbelps, Haie,
Wheeler) .
— (DiHYDRo) (Ac). Prép. au moyen
de Tac. déhydromucique. Isom. a,
p et Y' Propr., sels, dibromures,
dér. chlorés, hydroxylés, 26, 1109
(WhooJer).
FUIU-'UIUSOCROTONIQUE Jot-FURFURYL-)
(Ac). Form. par reduct. de Tac.
difurfurylidène-propionique. Propr.,
««, 78'J (Ryan, Mills).
FuRFURiTACONiQUB (Ac). Prép. par
cond. du furfurol avec Télher succi-
nique. Propr., sels, ««, 688 (Fîcb-
ter, ScbeaoriûaQn).
Furfurol.' Voy. Pyromucique (Aid.).
X-FURFURYLCKTONE (MkTHYL-). Ellr.
du goudron de bois ; propr., oxime
(dér. acétylé, benzoylé), semicarba-
zone. Synth, par cond. des éthcra
pyromucique et acétique, %S, 435,
440 (Bouveault).
X.a-FunFURYLÉTHANE-a,.ût,-DIGARBO-
NiQUE (Di-) (Ac). Form. à part, de
l'ald. cD-bmmométhylpyromucique.
Propr., ««, 797 {Fenlon, Gost-
a.at-FURFUnYLÉTHANE-a,.a,-DlCARBO-
NiQUE (Di-) (Aid.). Prép. au moyen
de l'ald. (o-bromométhylpyromuci-
que. Propr., dibydrazone, oxime,
«6^ 797 \Fonton, Gostliny).
FURFURYLIDF-.NE - ACÉTOPHKNONE. Hy-
drolyse, eo, 7i3 {Kehror).
FURFURYLIDÎ-INE - BARBITURIQUE (Ac).
Pr^'p., propr., SU, 921 {Conrad,
Boinbach).
FlRFURYLIDÈNE - PROPIONIQUB ( ï)l - )
(Ac). Prép. par cond. du furfurol
avec le succinate de Na. Propr.,
sels, ««, 088 {Ficbtcr, Scbcuer-
maun).
FUBFURYMDkNE-SUCOINIQ'-E (Dl-) (Ac).
Prép., propr., sels, réduct., 96,
688 {Fichtcr, SchcucrmanD).
Fuhfurylsucciniqub (Ac). Form.ptr
réd. de l'ac furfuritacoaiqQe, M,
688 (Ficbter, ScheuûrmaaB\.
— (Dl-) (Ac). Form. ptr réd- d*
Tac. dlfurfurylidéne-auecioiqoe.
Propr., sels, «6, 088 (PicAftpr, Seb»a-
ermaûD),
FuRONE (AcÉTO-). Syn» Funrumrtci-
TONE (MÉTHYL-).
Fusion. Théorie de la turfaAioo,
705 (do Coppet).
Gadolinitb. Fract. des terres,
883 (Urbain).
Gadolinivm. spectre, M», 835 flM-
marçay).
Galactane. Form. dans la ferment
du lactose, 96, 980 (Emmërliùg\
Galactosamine. Form. par dédouble-
ment du glucoprotéide de m»
noaille. Propr., dér. bensoylé, M.
30. — Synthèse à part, de la ratac-
tosazone, oxalate, S6, 942 {Sriulu,
DUthorn).
Galactosides. Voy. Créstloalacto
siDE, Naputyloalactosidc.
Galactose. Glycolyse par le saof , 6S.
270 (Portier). — Réduct. de roxinn
!SS, 587 (Maqucnne, ftoux). —
Form. dans les graines à albumen
. corné, ftS, 099 {Sourquoloi, H^n^
8ey\. — Acl. du ferment mioniti-
que, !tS, 9'Jl (Gayon^ Dubourg^ —
rorm. par hydrol. de la g«*mnM
adragante, JS6, 269 {HiJger^ Drey-
fus). — Form. à pari, de û c^tc-
brone, «6, 328 (WocrDcr, Tbier-
feldvr). — Acl. de HBr, «6. $4!
{Feutoa, Gostliag). — Tribolum.,
«6,458 {Tschugaeff). — Act. et
div. bacilles sur Tisom. </, ^6. 6ô>^
(Harden). — Act. du chlonir*
d*acclyle. Prép. et propr. do déf.
chioro-acétylc ; cond. avec l«s pb«^
nols, glucosides, «6. 686 (/ma.
Mills). — Form. du rac^-m. à pari, da
nori, «6, 731 iOsbima, ToIicas'*.—
Ferment, par les schizomycètas. M,
980 [Etnmerling), — Extr. de U
cérébrinc , réduct. de rosaioue,
«6, 942 (Schults, Ditthoroi.
Galène. Voy. Plomb.
Gallacctophbnonk. Form. à pari. 4«
chloracéiylpyrogallol , tM , 171
(Brubas),
— \Dicblor'). Voy. Pyrogallol (D<-
0HL0RACÉTYL-).
Gallkikb. Propr., conaiit, dér. ae**
tylé, benzoylé ; éthers inéUi;! ,
TABLE DES MATIÈRES.
1331
étbyl.; triphénylcarbamate, sels de
Pb, «•, 1084 (Otudorff, Brewcr).
— (Hydro-). Prép. à part, de la gal-
lélne et de la gallïne. Ident. avec le
galIoL Dér. acôtylé, éther pentamé-
Ihyl.. ««, 1084 (Orurfor//; Brewer).
— (SuLPONE-). Dér. de Tac. p-nilro-o-
sulfobenzoïque, fS6, 414 [HcDdor^
son).
Galline. Voy. Gàlléinc (Hydro-).
(iALLiQUB (Ac). Form. dtins Tacl. de
la taoDase sur le lannio, SS, 271
(Ferobach). — Form. par hydrol.
du gallotaDDiD, 8S,650(Po//cWii).—
Prés, dans les coriaria^ S6, 267
{EâMterûeJd, Aston). — Appi. à la
recherche de Tald. formique, ^S6,
441 {MuHikon, Scu^Jd^ir).
— (Di-i (Ac). Foim. par hydrol. do
galloUnriin, «S, 65u (PoUevin).
ifALLiCM. Prés, dans les fumées d*ar-
flDige de Fe, 1(6, li52 (HarUey,
Ramage).
i^ALLocYANiNE. Fono. de gallocyanine
élhoxylée bleue par cond. du tannin
avec les nitroso-zn-diméthylamino^
pbénates, S5, 219 {Grimaux).
Gallol. Voy, Gallkine (Hydbo-),
Gallotannin. Voy. Tannin.
Gastrique (Suc). Constit., 9%, 937
(Nrnckit Shbcr).
(Uyacétine. Syn. Sel de Na de Tac
o-oxypbénoxy-aoétique.
TtAYACOL. Carbon, mixtes éthyl. et
butyl. norm . , ^5, 6.'i5 [Caxoneuve).
— p-Toluëne-suironate ; nitrat., HS^
ll>46 { Ro verdi n^ Crôp'mux) , —
Cond. du dér. sodé avec les éthers
gras a bromes, 96, 12 {Bisrhnff),
— Comb. avec le sulTosalicylate do
pbényle, 96, 404. — Prép. et propr.
du salicylate, 96, 405 {Cohn).
— Act. sur réther oxalique, 96,
103» {Tingic, Byrno).
— (Bromo-) (Tri-). Act. de AzO'H.
Transf. en bromure de phénol
lusol.; prod. de réduct., 95, 336
(Cousin).
— I Nitro-4' ) . p-ToIuène-8ulfonate,
95, 1047 {liovordin, C repieux],
GiYA«:oL-suLFoNioLE (Ac. ). Comb.
avec HgO, 95, 649 {Lumière^
Perrin).
lÎATACOXY-ACÉTIQUE i\c.). Prép. Cl
propr. de la /^phénétidi(ie, 96, 13
\Bisehoff), — Cond. avec l'o-ami-
nophénétidine et la toluylène-dia-
mine-1.3.4, 96, 1165 {Cohu).
GATACOXY-a-BUTYRiQUE lAc.i. Propr.,
96, 13 {Bischoff).
GATACOXY-a- isovAi.ÉniutjK (Ac ) .
Propr., 96, l;i, Bischoff .
GAYACOXYSiALONIglE (Ac). PrOpT. dc
réther élbyl., 96, I.l [Bischoff).
GATACOXY-at-PROPiONiQUE (Ac). Prép.,
propr., éther éthyl., phénétidide,
96, 13 {Bischofï).
Gaz. Chai, spécif. mol. des gaz com-
plexes dissociés, 96, 147. — Lois
modulaires des gaz thermochimi-
3ues, 9S, 175 (Ponsot), — Etude
es gaz raréfiés, 95, 268 {CoIsoiA.
— Gaz des roches ignées, 95, 33/,
S38, 402 (Gautier). — Constit. du
gaz à Tair, 95, 834. — Compos.
des eaz des hauts fourneaux et des
cubilots, 95, 837 (Boudouard). —
Nouv. gaz inerte formé dans div.
conditions ; prés, dans le gaz d«
houille. Propr., act. sur Mg, 96,
81, 82 {Lidof), — Etude de la
liquéf. d'un mélange dc 2 gaz, 96,
594 (Sauret, Dubeao). — Anomal,
du mél. CO* et vap. d'eau à la loi
de Mariotte, 96, 657 ( Versc/ia/Te/t).
— Dessicai., 96, 673 (Lidof). —
Force électrom. des gaz occlus, 96,
872 [Bose). — Combust. d'un mél.
de propyléne et de gaz tonnant, 96,
1030 {Tanatar).
— Voy. Analyse.
— Tonnant. Voy, HYDROoimB.
Gazogènes. Théorie des combust. et
de la form. des gaz, 95, 834 {Bou-
dounrd) .
GÉLATINE. Act. de la caséase, 95,
9'J') iBodin^ Lonormand). — Dos.
de Az, 96, 20 {I/austnann), —
Propr. de la Ivsine de dédouble-
ment, 96, 23 [Ilcndcrson) . — Act.
de l'ao.. fllicitannique , 96, 155
{Beicb). — Dot. de l'hislidine, argi-
nine, lysine et de Az amiJé, 96,
335 [Koasel, Kutscbar). — Congél.
des mél. avec l'alcool et HH), 96,
516, 887 [Hardy). — Dissoe. dans
les sol., 96, 520 {Lé.vi). — Transf.
dans l'organisme, 96, 944 {Ben-
dix) .
Gelées. Compos., 96, 655 (ToJwan,
Mon son y Bigclow).
GÉifisTKiNE. Prép. et propr. des dér.
acétyié et méthylé. ConslU., 96, 154
(Perkin, Horstall).
Gentiane. Près, du saccharose et du
gcntianose, 95, 270 (Bourquelot,
HcrissoY).
Gentianine. Voy, Tuionine (Dimé-
THYL-).
Gbntianose. Prés, dans la racine de
gentiane, 95, 270. — Constit.,
hydrol., 95, 646 [Bourquelot, Hé-
rissey) .
Gbntiobiose. Form. par hydrol. du
gentianose. Propr., osazone, 95,
646 [Bourquelot, Hcrissey).
GÉRANioL. Prép. et propr. du sulfate
ac, 95, 49. — Dans., viscos., tens.
superf. ; éther acétique, 95, 521
TABLE DES MATIÈRES.
1332
{Jeancard, Satie). — Elhérif. par
les ac. acétique, propionique, buty-
rique, «5, 889. — Vil. d'élhérif.
par Tac. acét. ; dos. de Télher tigh-
que dans l'essence do géranium,
S5, 955 [Charabot, Hébert). —
Dos. au moyen du salicylate de Na,
«5» 1063 (Darzcns, Armingaat). —
Prés, du géranium et de l'acélale
dans l'huile d'eucalyptus, ««, 5^39
[Smilh] .
Gbraniolène. Isoméris. par SO*H*,
%%y 507 {TiemaDû).
Voy. Cyclooéraniolène.
GÉRANIOLÈNE (ISO-). Prép. à Pf^- ^6
Tac. isogéranique. Propr., »6, 300
[liomann).
GÉRANIQUE. Voy. CYCLOCéRANlQUE.
GÉRANiQUE (Iso-^ (Ac). Prép. à part,
de ra-isomélhylheplénone. propr.,
26. 300. — Form. par oxyd. de
l'oximo de l'a-ionone, ««, 510
(TivinaDD).
Voy. Cyclogéranique.
GÉRANIQUE (ISO-DIHYDRO-) {OXV')
(Ac). Prép. à part, de rot-isomelhyl-
hepténone. Propr., élhers, 26, 300
{TiomanD).
GÉRANIUM (Essence). Constit., «5,
51t>. — Den«., viscos., tens. superf.,
2S, 521 {Jeancatd, Salie). — Dos.
des élhers et aie. terpényliques,
25, 956 (Charabot, Hébert).
GÉRONiQUE (Ac). Constit.; form. à
part, du p-cyclogéraniolène. Seml-
carbazone, 26, 507. — Form. par
o^kyd. du p-cyclocilral, ^6, 510
(TiemaDû).
— (I60-) (Ac). Constit.; form. à part,
de l'a-ionone et de racyclogéranio-
lèrte. Semicarb., «6, 507. — Oxy-
dât. ; form. à part, de Vue. a-cyclo-
géranique, 26, 509 [TiomanD).
Girofle (Essence). Dens., tens. su-
perf., viscos., 25, 522 [Jeancard,
Satie).
Gliadine. Dos. de l'histidine, de Tar-
giniûe, de la lysine et de Az amidé,
26, 335 (Kossel, Kutscter).
Globinb. Dos. do Az. 26, 20 (Haus-
mano). — Transf. en leucinimide
par digest. peptiqae et Iryptique,
26, \(MS [SaJaskia).
Globuline. Dos. de Az, 26, 20
(HausmaDD). — Prés, d'euglobuline
et de pseudoglobuline dans le sé-
rum. Propr., 26,330 [Fuid, Spiro).
— Oxyd. mangan., 26, 940 («/oiies).
Glucamine. Prép. à part, de l'oxime
du glucose. ; propr., sels, 25, 531,
588 {MaqueDoe, Houx).
Glucinium. Prép. et propr. d'un sili-
cate de Gl et Li. 25, 1008 [Friedel).
— Solub. du chlorure dans l'éther.
Sépar. de AlCP, 26, 163 {Hf^vcas),
— Eleclrol. des sels,26,5'J9 i^Brun-
o-Glucocoumarique (Phkntl-) ( Ni'
Irile). Form. par cond. d© rh#^licîor
avec le cyanure de bcnzvlr. Propr.,
26, 479 [E. Fischer).
Gluconique-(/ (Ac). Réaci. colorée»*
26, 818 [Neuberg).
Glucoprotéide. Dédoublement par
HCl, 26, 30- — Exlracl. de b g»-
lactosamine, 26, 942 {Scbufu,
DUtbora).
Glugosami.ne. Form. à part, de Vovil-
bumine crist., 26, 332 (LaDgsteioK
— Prés, dans les mucines, 26, ^^
[LevcDe).
— Voy. Glucamine.
Glucose. Dos. en prés, de dcxlrîne,
25, 91 [Lindet). — Form. par hy-
drol. de div. celluloses, 125, 1^
[VigooD). — Dos. calorim. en prt^a.
de dextrine, 25, 251 {Meunier , —
Act. du bac. Inrlricus, 1B5, 415
(Grimbert), — Héduct. de Toxinien
25, 531, 587 {MaqueuDe, Rftux). —
Propr. et mallirol. des hydrazon««,
25, 645 {SimoD, Bonard). — Form.
par hydrol. du saccharose, 25, 646
[Bourquclot^ Hérisscy).' — Form.
par hydrol. du gallotannin. 25,
650 {PotteviD). — Appl. i la réd.
des azoïques nitrés, 25, 607 (/?«>•
seDstiebl). — Fo.-m. à pari, dr
rindican, 25, 701 {Uoogcwerff.
Meulea). — Act. sur FcGAxTK*
en prés, de liq. de Fehling. 25,
773 [Ossedat). — Act. du fernienl
mannitique, 25, 901 (Gayoo, Du-
bourg). — Solub. de rosazone, 26.
29 (Neuberg). — AcL du pcrsoltol«
d'ammon,, 26, 43 \yforrel^ CrofU),
— Form. par dédoub. de la conto-
lidine, 26, 79 [Greimer). — I>o§.
dans l'urine, 26, 158 ( Traegar,
Meino). — Act. de HBr, 2#. M\
[Feotoa^ Gostlioa). — Dolenii-
cryosc, 26, 598 {Loomis) . — Ac».
de diT. baciUes, 26, 653 (Hartka^
— Comb des dér. chlor- et broiD*
acétylés aver le //i-crésol et le car
racrol, 26, 687 {Ryan, yfUial -
Form. à part, du Nori, 26, 731
lOsbimê, Tollens). — Act. M
SO*H", 26, 782 iStorer). — lofl-
sur la nutril. de la levnrc, 26, T©
iStera). — Form. par h>drol. éo
l'onospine, 26,811 {H^mmelrnsyr^»
— Prés, dans le sang de poule. 26,
831 (Saito, Katsuyama). — Cau#»
de la birolat.. 26, 883 (Osai*). -
Ferment, par le» schizomyceU»»
26, 930 (Emmerliag). — ^«'•"S:
par les levures hautes. 26, 9«
{,\factaydcn, Morria, Homha*f). --
Acl. «e la lum. f or les mtl . or
glucose et de quinone, 26, 105»
TABLE DES MATIÈRES.
183;^
{Ciamiei»n^ Silbor), — lûfl. sur la
sapon. de Tacétate d'élhvle par
NaOH, ««, 1041 (Cohen), — Dos.
par la phénylbydrazine dans Turine,
M, 106â {fiaimann).
Glucosenninf. Exlr. de Tanthragluco-
sennine du séné, t^ll, 63 (Tscbirch,
m ope).
Glucosides. GIucos. -de l'erysimum
aureum, 9S, 528 {SchJagthahauffen,
Bocb).
— Voy. Naphtyl-, Cbésyl-olucosi-
DES, Naphtyl-, Crésyl-galactosi»
DES, Carvacrylolucoside, Ara-
BINOSIDE, OnOMNE, TuTINE, CoRIA-
MYRTINE, QUERCÉTINE, PERSIL ,
bTROFHANTINK.
Olucosone. Furm. par oxyd. du rIu-
cose et du saccharose par H*0" et
FeSO*, t%, 43 [Morrel, Crofts). —
Form. dans Tact, de la lum. sur un
mél. le glucose et de quinone, 26,
1025 {Ciamician, Silbor).
Glutaconique (DiCARDOxY-j (Elher).
Cond. avec la dibi*omindone, sé,
106 (Langor, WicJermaan),
— (MÉTHYL-)(Ether). Cond-avecTélher
malonique sodé, 1(6, iiSO {Skraup).
Gll'tamink. Transf. dans les plantes,
«6, 319 [Scbulip).
Glutamique (Ac). Act. de AzO'Na et
HGI, £6. S:^ {tfochcm). — Prép. et
propr. de l'élher élhyl. d, 1(6, 745
{E\ Fisctior). — Form. à part, du
Srod. do chlorur. de la caséine, K6,
13 (HabermaoD, Ehrcnfeld),
Glitariquk (Ac.)- Form. à part, de
l'ac. ot-oximino-adipique, 1t%, 88
{DhckmaDD). — Propr., 1MI, 199
{Mnllor). — Prép. et propr. des
hydrazide, azide, diurétban^, !M,
fié? iCurtius^ Clcmm).
— [i-Chlorch] (Ac). Form. à part, de
Tac. glutamique. Propr., sels,
élhcrs, «6, 334 {Jochem).
— (a-Oxv-f (Ac). Form. à part, de
Tac. x-cl»loré; propr., sels, 26,
.'{34 [Jocbom).
Glutabiqi'K (a-ExHYL-) (Ac). Prép.
à part, de Tac propane-tricarboni-
que. Propr., «6. 19y {Melhr).
(iLIITABIQUE (ot- ETHYLIDk^E- ^ - MK-
THYL-i (Ac). Form. au moyen de
l'élher crolonique. Propr., acl. de
Br. S6, 379 iPerA/nann).
Glutarîque ( a - Eth yl- ^ -méthyl- )
(An.). Form. à part, de l'ac. dicro-
tonique, 26, 38<) \PechmaaD).
Glutarîque f3t-l^;oPROPYL-) (Ac).
Prëp. au moyen de l'élher propane-
Iricarbonique. Propr.. 26, 199
[Mellor).
Glltarique (a-MtTHTL-) (.\c). Prép.
à part, de l'élher propane-tricarbo-
nique. Propr., 26, 190 t. Vo//of;. —
— Form. à part, de l'ac. a-mé-
thylènc-glutarique ; propr., 26, 466
{Pccbmaan^ Robm).
— (p-MÉTHYL-) (Ac). Form. à part, de
Tac. a-oximino-^-mélbyladipique^
26, 89 {Dieekmann^ Groneveld).
— (a-a-MÉTHYL-) (Di-) (Ac). Form. à
part, de l'ac campholytique, 25, 83
{Blanc). — Form. par oxyd. desac.
a et ^ampholy tiques, 26, 804 [Tie-
mann).
•— (p.p-MÉTHYL-) (Di-) (Ac). Acl. de
Br et de Talc sur Tanh.; dér. bro-
mes, bydroxylés; lactones; cond.
avec l'élher malonique. Form. du
dér. Qt-ot-dihydroxylé par oxyd. de
l'ac. diméthyldicyclopcntanone - di-
carbonique, 26, 1014, 1017, 1018,
1019 (Perkin, Tborpe, Walkcr).
— (a.ai.a,ai.*MÉTHYL-) (Tetra-) (Ac).
Prép., propr., dér. p-hydroxylé, lac-
tonc, anh., />-toluidide, 26, 92, 93
{Mikhaïlenko^ Jarovsky).
— (ot.p.p-MÉTHYL-) (Tri-) (Ac). Essai de
synthèse à part, de l'ac ^.^imé-
thyllévulique, 25, 71 (BJanû). —
Form. à part, de la bromodioxylri-
méthyldihydrorésorcine , 26 , 40B
{Crossiey).
Glutarîque («-Méthylène-) (.\c. ) .
Form. à part, de Tac. acrylique.
Propr., 26, 466 (Pcchmann Bohm),
Glutarîque («-Propyl-) (Ac). Prép.
au moyen de l'élher projpane-tricar-
bonique. Propr., 26, 199 (MoUor).
Glute.n. Var. dans le blé suivant les
engrais employés, 25, 650(r/^noiiy
Couturier). — prod. de décamp.,
26, 448 (Juckenack).
Glycérides. Voy. Glyoédink.
Glycérine. Dos. par KMnO* en prés,
do SO*Mn, 25. 4)2 {(iailbnt). —
Act. du bac tarlricus, 25. 418
{Grimbert}, — Dec par disl. sur
Zn on poudre, 25,429 {Hébert). —
Acl. du méthylal, de l'acétal, du
chloracétal. Prép. et propr. des for-
mal- et acélal corresp.; benzoi'ne,
chloracétinc, 25, 583 {Delépiae). —
Dist. de la stéarine sur Zn en poudre»
25, 646 (Urbert). — Acl. lipolyt.
des oxyder mélall. sur la butyrine^
26, 69J \Hanriot). — Act. du my-
coderma aceti etc., 25, 733 {Bev-
trand, Sazerac\. — Destruct. peur
les recherches toxicol., 25, 951 iDo^
nîgî's). — Form. dans Tact, des fer-
ments sur div. sucres, 25, 991
{Gayon, Dubourg). — Act. do PCP.
Syn'th. de l'ac glycérophosphoreuy,
25, 1061 iLumièrc, Porrin). — AcV
sur le glycocolle, l'alanine ell'aspa-
raginc a chaud, 26, 39 iBalbi^no^
Trasciatti). — Indice de réfracl. de»
triacétine, tributyrioe, trilaurine.
1334
TABLE DES MATIÈRES.
tripalmiliae, tristéarine, irioléine,
«6, 63 (Partbeil, Velsen), — Comb.
mol. avec les oximes du diacétyle,
du benzile, de l'oxytriphénylcyclo-
hexénone, «6. 121, 12^ [Potrcnko-
Kritschenko, Kasanezky). — Prés,
de la palmitine dans le bacille de la
tuberculose, 1(11, 124 {Schweiniiz^
Dorsei). — Comb. de la monocblor-
hydrine avec les triéthyl- et Iripro-
pylamines, raz-méthylpipéridine, la
quinoléine, la strychnine. Prép.,
propr., sels, 20, 201 {Bienenthal),
-^ Infl. sur le pouv. rolat. du tar-
Irate d'élhyle, SU. 250 {PaUorson).
— Prés, dans la dre du Japon, £6,
291 {GertoJ, van dcr Want). —
Form. du glycéride tri-undécyléni-
que dans la dist.de Tbuile de ricin,
M, 311 {Thoms, FendJer). — Dos.
dans la graisse du chyle humain,
SU, 823 {Erbcn). — Transf. en ac.
acrylique, ««, 373 {Woblk). —
Propr., «6, 442 [Struvo]. — Uéterm.
cryosc., 1(6, 598 (Loomis). — Propr,
des sol. de stéarine dans la paraf-
fine, !^, 658 (Donnan), — Infl. sur
la vit. de sapon. de l'acétate de mé-
thyle, «6, 659 {Ilemptinne). — Prép.
et propr. du monosalicylale. Dichlor-
hydrine, ««, 675 (Taeuber). —
Form. par dédoub. de Tac. guanyli-
3ue, 96, 821. — Appl. à la purif.
es tannâtes d'alcaloïdes, M, 957
(Kippenborgcr), — Prés, d'oléodi-
margarine dans Thuile d*olive, 26,
977 (HoldCy Staoge). — Act. de la
lum. sur le mél. de glycérine et
quinone, 96, 4025 {CiamiciaD, SU-
ber). — Infl. sur lasapon. dcTélher
acétique par NaOH, «6, iO^HiKuN-
green). — Cond. avec les anilines
di-3.5- et tri-3.4.5.iodée8, «6, 1147
IWillgerodf, Arnold). — Cond, avec
la /n>nitraniline, K6, 1152 (Deckor).
Glyckrique (Ac.J. Prép. et propr.
des amides^ anilides, o- cl p-tolui-
dides act. et inact. ; pouv. rotat.,
«6. 342 (Fraokland, Wbarton, As-
toû). — Form. par oxyd. de l'ald.;
propr., sels, «6,371 (WobI, Neu-
harg). — Transf. en ac. p-iodopro-
pionique,«6, 374 ( Woblk). — Form.
a part, do Tac. isotartrique, it9,
682 {Abcrson),
Glycérique (Aid.). Prép. à part, de
Tacroléine. Propr., acétal, mélbyl-,
di- et /)-bromo-phénylhydr»zones.
Oxime, comb. avec la phloroglucine,
«6, 371, 372 {Wobl,Noubcrg).
Glycérophosphobeux (Ac). Prép.,
propr., sols, 95, 1061 (Lumière^
Porrin) .
(iLYcÉROsE. Constit., S6, 372 (Wobl,
Neubcvg). — Réact. colorées, K6,
818 (Neuborg). — Form. dans Tact.
de la lum. sur un mél. de quinoiK
et de glycérine, 96, 1025 (Citiai-
cian, Silbcr).
GlYCIDIQUE (â-MÉTHYL-) (Ac). Act. de
HBr, 96, 166, 374 (MelikoO).
— (MÉTHYL-iso-) (Ac). Act. de Hti,
96, 165 {MclikoO).
— (a-8-MÉTHYL-l80-) (I)i-) lAc). Ad. <ft
HCl, 96, 167 {SfûJiko/T).
Glycinylcarbamique (Ac). V'ojr. Cà*-
BAMIQUB (GLYCI%YL-).
Glycogène. Form. dans le foie «p>rr%
ingestion d'arabinose V, 96, 94t
{SaJkowski). — Variât, dans la
prés, de glycogène à la suite d'in-
Î gestion de caséine, ovalbumine^ gr-
atine, 96, 944 'Bendix).
Glygocollb. Vo/. Acétique .A/d/bo- .
Glyool. Vit. et lim. de formaL du
formai, 95, 349. — Const. tb«nii.
du formai et de Tacétal, 9S, ;)kil.—
Act. des chloracétals étbyl. et t«^
butyléthyl., form. et propr. du ehk>-
racétal, 9S, 580 [Dolcpinc). — CottO.
therm., propr. phys. et hydrate»,
95, 643 [ForcrêDd). — Form. *i
propr. de réther acétaminopropiom.
de la monochlorhydrine, 9S, 705 d'^
dong). — Act. de HBr et HI sor la
diacétine. Prép. et propr. das brom*
hydrine, iodhydrioe, brom- et iod-
acétines, 9S, 971, 972 Jfeorjr). —
Comb. mol. avec les diosimea du
benzile et du diacétyle, 96, 121. 122
(Peircnko'Kriischcako, Kassatz-
ky), — Form. de TéthyliiM dans
Tact, de Na sur l'éther brome. 96^
165 {Mcascbontkiûo), — Ad. d.-
AzO'Ag sur la mooo-lodhydrim^.
96,3^ (//piir^). — Dilhiocarbamat»
et anilido-imiooditbiocarbonaie, 96.
483, 484 {Buscb, lÀngeubriock'^
GlYCOL HSXAMRTBYLCN1QI*K. FonB.
dans Tact, de Na sur Toxyde d*éUk} U^-
propyle brome, 96, 165 [Mcaéfbimi-
ic/ne).
Glycol tétraméthylkniquc. Fom.
dans Tact, de Na sur l'éther tiroaif .
96, 165 {McDfiChoutkioc).
Glycoliqub (Ao.). Form. par h;dni|.
du prod. de cond. du glycoooUt
avec la glycérine, 96« 40 (S«/Àra«v.
Trasciatli.) — Form. du dér. acé-
tylé du nitrile à pari, de TaldoxiiDr
Sfiycolique, 96, 138 {Footooi. —
Lct. sur l'ac. glyoxyliqoe, 96, 4£(»
[Doebner).
Gltcoliqub (Aid.). Dégrad.; act dr
Tanh. acétique sur l'oxima, 96, l-O
[Fentoa). — Prép. à part, d< TaW-
glycériquo. Propr., O9azone,p»broa-
et p-nilro-osazone, 96, 372 { WohU
Ncuberg). — Réact. c(iior«>^«, 96,
818 {Nouberg).
Glycolyse. Giycol}a« de div. auffe»
par le sang, 9S, tTi) {Portia^.
TABÏ.E DES MATIÈRES.
12^5
CiLTCtRONE. Prép. à pirt. de l'ac.
euxaothiqae. Comb. avec l'iso^amyl-
mercaptan, 96, Mi [Neubcrg).
Oltcuroniqub (Ac.) . Dos. par la
p-bromoDhénylhydrazine, 96, 29
[Mavûr, Neubcrq), — Prép. à part,
de lac. eoxanibiqut. Propr., selade
cincbonine, qainiae, bracine, strych-
nine. Thiosemicarbazone, di- et p-bro-
mophénylhydrazones; oxime. Sépar.
des sucres, 96, 200 (Ncuborg). —
Comb. avec l'essence do sa bine, 96,
ie9 [Frotnm). — Comb. avec Panli-
pyrine, 96« 271 {Lawrof). — Prés,
dans les mucines, 96,820(Leroiio).
— Comb. avec ranUpyrinc. Ëxiract.
de Turine, 96, 8» {Lawrot,. —
Prés, dans lo sang de bœuf, 96,
am {Mayer).
Oltoxyliquc (Ac). Acl. sur les ac.
glycolique, succinîque, malir|ue et
malonique, 95, 466 {Doobacr). —
Réact. colorée avec les protéides.
Frt^s. dans Tac. acéti<^ue du com-
merce, 96, 272 {Hopktas, Coïe). —
Comb. avec l'bydrazine, 96, C91
{Hantzacb^ Lehnaann). — Acl. de
AzO'H. Comb. avec la diméthyldi-
hydrorésorcine, 96, 917 ( Vorlaen-
dor. YOD ScbiliiDg).
OoMMEs. Constit. des gommes adra-
gantes, 96, 2d9 (Hilger, Droyfus). —
Prés, de gommes dans là levure,
96, 815 iSalkowski). — Anal, de
la gomme arabique. Propr.,96, 1064
{Fromm); 96, 1066 {Djctcrirb),
OouDKON. Constit. du goudron de bois,
96. 99 [Béhaï). — Extract, de l'a-
tcétylfnrfurane et de la méthylcy-
clopeoténone, 9S, 4;fô {BouvcauJt).
— Recherche et extract, des couma«
rones du goudron de houille, 96,
01 [Stocrmcr, Boes). — Kéact. ca-
ract. dés brais, 96, 158 (Holde,
MarcussoD). — Constit. du goudron
de houille, 96, 699 {Kracmcr^
Woissborgcr).
Graisses. Dos. des ac. volatils, 96,
143 iBoychter), — Réact. caract.
des brais, 96, 158 {Hoido, Mar-
cusson). — Appar. pour Texlract.,
96, 457 (tfcrwUz).
Obanit. Act. de l'eau, de PO*H'; anal.
de& gaz occlus, 96, 282, 403 [Gau-
tier)»
Oraphite. Prés, dans les ferrosili-
ciums, 96, 586 (Lobeau). — Korra.
dans la solidif. de la fonte, 96, 867
\Boozeboom). — Applic. du couple
Sn-graphite aux réduct., 96, 1157
[PÎDaow).
OuAMDiNE. Appl. au dos. de llg, 96,
249 {Don ni s). — Forra. à pari, du
benzène-suUonale de guanylurée,
96, 386 {Boiûsen, Garncr . — Appl.
à la précip. des sels de Co, 96,
565 (//crr). —Constit., 96, 898(V^or-
laeador). — h'orm. par oxya. de
l'arginine, 96, 936, 940 [Bénech,
Kutscber),
— (Nitro-), Form. à p^art. du benzène-
snlfonate de guanidine, 96, 387
[RcmsoD, Garner).
GlTA.NIDINE. Voy. PUÉNTLGUANIDINE,
etc.
GuAKiDiNE-B-BUTTRiQUE (Ac). Fonn.
par oxya. de l'arginine. Propr.,
chlorh., 96, 940 (Kutscber).
GuAMNE. Form. par oxyd. de l'ac.
urique par le persulfate, 96, 383
(Huaounenq), — Form. à part, de la
nucléo-albumine du thymus, 96,
560 (Malcngroau). — Recherche dans
le santf et les organes, 96, 320
(His, Hagen). — Oxydât, manga-
nique, 96, 576 (Jollos). — Form.
par déc. do l'ac. guanyliqae, 96,
820 {Bang). — Form. par autolyse
delà levure, 96, 825 [Kutscber). —
Réduct. électrol., 96, 902 {TafeJ.
Acb).
— (Dksoxt-). Form. par réd. électrol.
de la guanine. Pi'opr., sels, oxydât.,
96, 902 [TafeJ, Acb).
GuANYLiQUE (Ac.K Propr., constit.,
dédoublement, 96, 820 [Bang] ; 96,
821 [Kossel). — Acl. physiol., 96,
831 [Bang),
Guanylurée. Form. dans Tact, des
chlorures d'ac. sulfoniques arom.
sur l'urée. Benzène-, p-toluène- et
a-naphtalène-sulfonates, 96, 386
(Romaeup Garner).
GuTTA-PERCHA. Coustit., 96, 730
{BorDtraeger).
Gypse. Voy» Calcium.
Gyrophorinb. Svn. Ombilicarique
(Ac).
Gyrophoriuue (Ac). Prés, dans div.
lichens. Propr., constit., 96, 650,
651, 1183 (liesse).
HÊLIANTINE. Voy. ACIDIMÉTRIE.
HÉLiui.NE. Acl. de CAzH. Cyanhydrine.
Cond. avec le cyanure de benzyle,
96, 479 (E, Fiscber).
HÉLIUM. Spectre, 96, 193 Liveing,
Dewar). — Solub. dans l'eau à div.
lemp., 96, 664 [Estrcicher).
IIÉMATiNE. Act. du persulfate, 96, 383
[Hugnunenq). — Propr., décomp. par
l'ac. chromique, 96, 22. — Prod.
d'oxyd .. 96, 270 (Kûsler) . — Form.
à part, de l'oxyhémoglobine. Propr.,
1380
TABLE DES MATIÈRES.
acl. de la pyridine, 911, 316 {Zey-
neck). — Forme cristall. de» dér.,
««, SiS {iYcDcki, Zalcski), — Prép.
et propr. du dér. iodé, SU, 823
[KurajcfT). — Propr. magnét., S6,
1024 {Gamgec).
HÉMATiQUB (Ac). Prép. à part, de
l'hématine et de rhémaloporphyrine.
Propr., réduct., constit., 1t%^ 271,
(Kustcr).
H^MATOGÈNE. Propr. lipolyt., !BS,
693 {llannoD.
HÉMATOPORPHYRiNE. PpoDr., acl. de
Br, de AzO'H, ««,77 (MarcbhwskK
Schunck). — Prod. d'oxydat, SU,
270 (Kustcr). — Prép. à part, de
rbémine. Propr., sels, dér, acéty-
lé: éthers diméthyl., diétbyl., M,
328 [Noncki, Zahski).-^ Act. de Br,
««, 652 [Matchlewski, Scbuack).
— Constit., SU, 1120 {NcDcki, Mar-
chJowski).
IIÉMINE. Form. à part, de roxyhémo-
globine. Propr., ««,316 (Ze/nccif).
— Prop., propr., constit., acl. de
HBr. Dér. acélylé, diméthylé, éthylé,
(liélhylé, aniylé; comb. avec l'acé-
lone et Tétber acétique, ««, 321,
H^ {Nencki, Zaleski), — Sépar. de
Tac. succinique, ««, Sid (.\euberg),
— (AcÉT-). Propr. magnél., ««, 1024
[Gamgec).
HÉMiPiNiQUE (NoR-)(Ac.). Cond. avec
la résorcine, ««,108S (LiobermauD).
HÉMOCHHOMOGÈNE. Form. à part, de
roxyhémoglobine. Comb. avec AzH*,
««, 816 [ZoyDcck).
HÉMOGLOBINE. Appar. pour le dos.
dans Turine, S5, 607 [Adam). —
Prép. cl propr. d un dér. iodé, ««,
8-23 {KuvajofT). — Diamagnét. et
électrol. de riiénioglobine oxycar-
bonée, ««, 1024 {Gamgtc).
— (MÉT-1. Acl. de GHCP, CHBr», de
l'hydralo de chloral, ««, 25 [f ar-
ma nok). — Diamagnét., ««, 1024
{(iamgcc).
— (OxY-). Dos. de Az, ««, 20 \Haas-
mann). — Acl. de CHCP, CHBr* et
de l'hydrate de chloral, S«, 25
[Forma no k"*. — Aot. de la pepsine
chlorh., ««. .Si*i {ZevDock). — Act.
de I, ««, 8i2 {KuraJofT). — Oxyd.
mangan.. ««, 940 {Jolies). —
Transf. en Icucinimide par digest.
Iryplique et popiique, S«, 1023
{SaJaskiiii. — Diamagnét., électrol.,
a«, 1024 [Gamgce).
HÉMOPVHHOL. Form. par réd. de la
phyllocyanine. Comb. mercur., ««,
112) {Noncki, Marcblcwski).
Hentriacontanb. Prés, dans le tabac.
Propr., ««, 1182 ( Tborpo, Holmes).
Heptacosane. Prés, dans le tabac,
««, 1182 {Tborpe, Holmos).
Hkptanapbtène. Héduct. du d^r. si-
tré tert. ; dér. aminé, bromo-aminè,
S«, 167 [Kijacr).
— Voy. Ctclomexane (Mkthti.-).
Heptane (Iso-) {Nitr<hà'). Form. (»î
cond. du nitro-isopentane avec k
Zn-éthyle, £«, ^7 [Brwad).
HEPTÎÎNE-3-0L-5 (Êthtl-3.5-) (Di-!.
Prép. par cond. de Téther maU^
nique avec l'iodure de Mg-étlijlc.
Propr., «5, 340 (Va/ourj.
Hf.ptbnone(Méihyl-). Non-exiftl. dao»
l'essence de bois de rose Feoelle.
ItSr 473 (TbcuJicr). — Form. p«
conîd de rélher nc<*tique sodé avo-
le bromure de diméthyl trimëihyléor.
««, 535 (GabutU). — Prép. par
cond. de Télbcr acéty lacet iquc «ve^
le dibromo-1.3*Î8opentane, x<«, 61«>
(Ipaticf).
— (a-MÉTHYL-iso-). Prép., propr..
constit., semicarb., d«T. hydroul-
foné; oxyd., !M, 300 ^Tiomênai,
HEPTtiNE-2-ONE-(}-DIOARI»OM<iUt-M
(MÉTHYL-4-) (Ac.) Form. des déf.
aminé-2 et phénylhydraziné-2 âpaii
de l'éther ôthyli(lène-bi8-ac«*tyl*c*-
tique. Propr., S«, 4d4 \liabc^ BiH-
manu).
Heptylamine. Prép. et propr. de
Tamide anlhraquinooe-^-suUboiqo*.
««, 178 {Hiaaùcrg),
HePTYLÉNÎQUE lDlMKTHYL-2.0-) (AC-
Form. à part, des ac. s et ^yaoo-
carophoriques. Propr., amide, ni-
trile, te«, 8U6 {Twinaon),
^-Heptylhydroxylami.ne tert. Form
dans Tact, du Zn-éthyle Aur la chk*-
ropicrine. Propr., 9«, 25H xB^w^d
— (Ethyl-iso-). Form. à parL du
nilro-isopeulano cl du Zo-rlbylc
Propr., i«. 257 [Bewad).
Heptylique (Ac). Form. par oxyd
de l'alcool, 91», 226. — Pom. d»k>
Tact, de l'alcool sur son dmt-
sodé, «5, 301 {Gucrbct), — Pmt
rota t. de l'éther iso-amyl. acUf^SS.
549 (Guye), — Prés, de l'elher m*-
tbyl. dans l'huiU^ de bois, t«, 4«f>
[Fraps). — Prép. et propr. dat'anb .
««, 467 [Kraffl, nosiny).
Heptylique (AIcj. Act. sur le àtr
sodé, tes, 226, 3 11 [OucrUl) -
Prés, dans Talc. caprvljqiM éc
l'huile de ricin. ««, 738 M»rrk'
wald, Afackondt],
Heptylique (Aid.). [Sva, Oekamtbol'
Comb. avec div. albumin.. M, *tif
[Scbwarz).
Heptylique (s-Uopropyl-iso-i p-
Oxy) (Ac). Form. par cob4. •**
l'ald. isovalérique avec l'i-lh^ «^»-
misovalërique. Propr.. srbu •*:
lone, <«. 681 {Protopopofi\ Btf<^
matsky).
TABLE DES MATIÈRES.
1337
HèwPTTLIQUB ^^-MÉTHYL-) (p-OxV-).
tAc). Prép. à part, du butylallyl'
méthyl-caroiQol . Propr., sels, M,
618 (Talaiilzeff).
Hktkro-albumose. Voy. Albumosb.
HBXAMÉTHYLkNE. VOV. CycLOHBXANE.
HEZAMKTHYLkNE >TÉTRAMINE. F'oriD.
par déc. de l'élher melhylène-bis-
anthranilique, £6, 1153 [Mehncrj.
Hexane. Conslit.,SII, 895 [Petrenko'
Kritschooko\ . — Form. dans l'élec-
trol. du butyrate de K, SU, 615
(Peiersen). — Tens. de vap. à div.
temp., «•, 863 {Woringer).
— [Nhro-S-). Form. dans Tacl. du
nitropropane sur le Zn-propyle, ftH,
258 {Dcwad^.
HsxANE (DiMÉiHYL-2.5-).Ten8. de vap.,
vol. spécir., consL criliques, M,
72 ( Young^ Forlt^y). — Form. par
électi*ol. de Tisovalérate de K, M,
897 [Petorsen],
HExkNE-2. Act. de AzOCI, tM, 293
{Ipaiief).
HExkNE-DioL-3.4. Form. de rélhcr
dipropionique par réd. du chlorure
de propionyle. Propr., <•, 112ô
{Ponzio).
Hbxénoïqur (^Méthyl-) (Ac). Form.
à part, de Tac. dicrotooique, t^tt,
:J80 {PechmauD).
HEXÉN'ONe-5-DICARBONIQUE*3.4 (.\/»ii30-
2-) (Elher). Form. à part, de l'éther
â-diacétylsuccinique. Propr., t^ll,
722 [Koorr, Babo),
HXXINE. Voy. ALLYLCARBITrOL (DlMÉ-
TMYL- .
Hexoniques (Bases). Constit., £6, i2
{Hendersoù).
Hextl<.ktoxe fMp.THYL-). Vit. dp
réact. avec .\zH%OH et Az'H*.
SU, 896 ' Potr(}Dko - Kritschonko,
Lordkijtaoidzo). — Cond. avec le
benzile, 1(6, 1116 Jnpp^ Moldrum).
Hexyle (Bromuroi. Prôp., S5, ±\^3
(Bodroux) ; tSS , 543 {Mouney-
rat).
Hexylêxe. Auto-oxydal., ••, 1 (£*!!-
glvr^ Wcisbarg). — Tens. de vap. à
div. temp., t88, 863 iVVor/fl^cr).
Hbxylkne-diamine-1.6. Prop. a part,
.de Tac. subérique. Propr., sels,
ur6thancs, dér. accl\lè, benzoylé,
««, 568(Cur//u.s, Clrwut).
Hexylbydroxylaminb sec. (JJ-Propyl-
iso-j. Forra. par cond. du nilropro-
pane avec le Zn-propyle. Propr.,
£6, iô8 {Bowad).
Hexylbydroxylaminb terl. (^-Pro-
HYL-ISO-). Forra. par cona. du
nilro-2-propane avec le Zn-propyle,
propr., «H, i58 \Be\vad}.
Hexyliqur (.Aie). Conslil. du carbon.
roi^te phénolique, S5, 634 (Caze-
neuve).
Hrxtliqub-S (iso-) (Aie). Pyrogén.,
««, 611 (Ipatiof).
Hexylpropiolique (Ac. ). Prép.,
propr., bydrogénat., 1^, 563 {MoU'
rcii, DoJango],
Hippurique. Voy. Benzoylamino-acé-
TIQUE.
HisTiDiNB. Form. dans les jeunes
plantes, S6, 2i0 {Schulzo). ~ Dos.
dans les prod. de dédoub. de div.
albumin., SU, 335 iKosscIt Kut-
scher), — Dos. dans les peptones et
albumoses, SU, 824 (Haslam). —
Form. par autolyse de la levure,
'««, 825 (Kutscher). — Form. à
part, de l'histone du sperme de
poisson, <€, 939 {Ehrstrocm).
HisTONE. Extr. du tbymus ; propr.,
«S, 56» (Afahngroau) ; «é, B26
[Bana) ; «6, 327 {Kosscl), — Dos.
de 1 bistidine, de Targinine, de la
lysine et de Az amidé, 20, 335
{Kosscl t Kutsabor). — Nouv. histone
du sperme de poisson. Prép., propr.,
dédoub., t^e, 939 {Ebrsttocm).
— (Niigléo-). Extr. du thymus, %9,
326 [Baag) ; ««, 327 iKosad).
— (Paba-). Propr., ««,326 [Bang),
HOMONATALOÏNE. Voy. NaTALOINE.
Huiles. Dccomp. des huiles de grais-
sage irésine, bakoumine) par dist.
sous pression, 26, 123 [Kracmcr^
Spilkcr).
— Voy. Eucalyptus, Ricin, Boi**,
Coton, Cade, Olive, Blé, Lard,
Macassar.
HuMiNE. Prés, dans div. boues de
tourbières, S6, 962 \Hoffmann).
HuMiQUE (.Ac.^. Dos. par les hypo-
chloriles, 26, 961 \Borntracgcr\. —
Prés, dans div. boues de tourbières,
26, 962 {Uoiïmann). — Dos. dans
la tourbe, 26,1064 {Tacho).
Humus. Constitut., non fermcnlescibi-
lilé, 26, lOlii [Hidcal).
Hydantoïne. Form. à part du glycine,
26, 311 [Harrios, Maurus).
— Voy. Phénylhydantoïne.
Hydantoïne (Thio-i. Prép. à part, de
la Ihio-urée et de la chloracélylurée.
Dér. div., 26, 137. — Gond, avec
l'éther chlorocarbonique, 26, 138
Frorichs, Bockurts),
— — (Allyl). F'orm. du dér. ^-chloré
 part, de la chlorallyllhio-uréc et
de Tac. chloracélique. Propr., sels,
26. 497 (i)ixon).
Hydantoïne-carbomqik (Trio-) (Ac).
Prép. de l'éther éthyl. à part, de
risosuirocyanacëtyluréthane et delà
thio-hydantoine, 26, 138 [Frericbs^
BcckurtsK
Hydantoi\iuk iAc). Form. de l'éther
éthyl. par cond. du glycine avec
COAzK, 26, 311 {Marries, Mau-
rus).
Id88
TABLE DES MATIÈRES.
HydantoÏque (THfo-) (Ac). Form. à
part, du glycine, «6, 311 (Harrics,
maurus).
Hydracrvliquk. Voy, ^-Lactique.
Hydracrylique (CbJoro-), Vov. Pro-
piONiQUE [oL-Cbloro-p-oxy-).
Hydratropique {p-Métboxy-) (Ac).
Oxydât, par KMnO*, î»5, 854 (Bow
gault).
— { Méthylène -dioxy-^A-) (Ac. ).
Prép. à 'part, de risosafrol. Propr.,
sels, tS, 857 {Bougaull),
— (p-Oxy-) (Ac). Form. à pari, de
l'ac p-méthoxy-atrolactiquo, 1^, 856
(bougauU),
Hydratropique {p-Mcthoxy') (Aid.).
Prép. au moyen de l'anéthol. Acé-
lai; oxydai., ^es, 339, 447 i^ott-
gault).
— ( MétbyièDe-dioxV'BA' ) ( Aid. ) .
Prép. au moyen de risosafrol. Propr.,
oxime, «5, 857 {Bougault) .
Hydrazidink. Voy, Phknylhydrazi-
DINE, ACÉTYLHYDRAZIDINE.
Hydrazine. Act. du sulfate sur
le benzoyloenantbvlidène, S5, 308
{Moureu, Dclangc). — Act. sur les
élbers buty ry lacé ly acétiques lisom.
Form. de butyrylhydrazine, SS, 696
(Boagert). — Ad. de l'hydrate sur
la raenthone, £6, 186 {Kijacr). —
Act. sur l'ac oxalacétique. Sel
d'hydrazine, ISII, 178 [Fenton^ Jo-
ncs). — Gond, avec 1 éther diben-
zoylmaléïqueel le dibenzoyléthylène,
««, 476 (Paal, Schulze). — Hydra-
zides glutarique elsubérique. Comb.
benzylidén., ««, 567 (Curtius,
Clemm). — Form. par réd. de l'ac.
hydrazo-acétiquc. Act. de Tac
glyoxylique, ««, 691 (Hantzsoh,
Lebmann). — Comb. de l'hydrate
avec l'éther diméthyl-2.5-pyrrol-di-
carbonique-3.4, ««, 7s82 {Knorr^
Rabc). — Comb. avec l'acélonylacé-
tone. tM, 789 (6Vav). — Prép. et
propr. des dér. dibulyrylé ot
dibenzoylé, ««, 772 (StolJi*), —
Vit. de ré act. avec aiv. célones
et dicétones, ««, 896 {Pi-trcn-
ko-kritscbenko, Lordkipanidzo), —
Applic. du sulfate au dos. dn
raid, formique, «6, 955 {Ro.iglcr),
— Cond. avec les chlorures a cl ^•
naphly Icarbazinocarboniques et phe-
nvlcarbsziuolhio - carbonique , SU,
1008, 1004, 1005 (fîtiscA, Grobmann).
— Act. sur Pt coUoïd., «6, 1039
[Bredig, Ikcda). — Alcoylal. par
les sulfates d'élhyle, propyle, bu-
tyle, amyle, 26, 1162 ;StoIlé\.
— l'ov, Hknzoylhydrazine, Benzyl-
HYDRAZINE, CtC.
HYDRAZODiCARut)N\MiDE. l'orm. dtns
î'act. de la semicarbazide sur les
cétones acélyléntques, €S, Afî
{Moureu, DeUngc),
HTDRAZOÏQUESé Aulo-oxydal., !M, t,
{Enghry Weisberg).
Hydrwdamine. Prép., propr. eldédoab
des bromo- et ch)ur<Hiamptiosiilto-
nates et cis-ir-camphaDaies, %%y hl^
— Propr. des campho-n-BolfiMuies
stéréo-isom., <•, 349 [Kippiikg.. —
Comb. avec le chlorure da benx|i«
Campho- et bromo-cainphosolfoo*u»«
oxy- cis-ff-camphaaate, ph«^Dylgijeo-
laie ; phénylchloracéUmide, t^
499. 500, 501 [Kipping, H»tl).
— (Bknzyl-) Pn=>p., propr., picmc,
oamphosulfonates,M,ôûO,5in 'Kip-
ping^ Hall).
Htdrindène. Prod. de nitral., ItS» Il
{DùnJcelsbuhhr). — Form. à p«n.
des résines d'iodène, 9#, 1<M
[Kracmer, Spiiker).
— (Oxr-). Prép. à part de r»c h.^-
drindëne-«ulfonîque. Propr,, aie.
aminé, nitré, SU, 13 ^IhmkrU-
bubhr).
— {Oxy-4-), Prép. à pari de l'ac. »a^
fonique-4; propr., dér. méUM»>t*.
26, 912 {Aloschner),
Hydrindènb(Digéto-). Form. do d^r
dibromé par oxyd. de la p^kfttaàtB-
done, 26, 107 (ScbJossbùrg .
(o-ToLYL-). Form. à part. 4* h
xylidenephtalide. Propr., dioxiine.
hydrazone; der. brome, chlore
nitré, benzoylé; homol. mAthvK
élbylé, benzylé, 26, 210 ,(n^kd-
berg).
Hydrindène-sulfoniqi E (Ac.'. Fw-
avec KOH, 26, \S[DÙQkeIsbmtJ»ri.
HyDRINDICNE - SlîLFONlQUE - i t AC, -.
Form. dans la sulfon. du psMid>-
cumèno brut, 26, 912 Moscbarw^
HyDRIND^NE- 8L'LFONIQUK-5 i .\<. .
Form. par sulfon. du pseudo-^A-
mène brut, 26, 912 {Moscboer
HyDRINDONE \a-BENZYHDÈNE-J. Pn-p
au moyen de l'ac. benzvlidéiM-^tr-
nylpropioniqup. Propr., oximc« bf
drazono, 26, 640 {Scbmidt .
Hydrocellulose. Voy. Ccllii/mi
(Hydro-).
Hydrocumoquinone. Form. à part, et
la mésitylhvdroxy lamine et da
mésitylquinol, 26, 712, 71t iB^b-
borger^ Risiag).
Hydhogbl. Vo\ . Colloïdes.
Hydrogène. Àct. sur BiS, 2S, iW
{Pôlabon). — Prés, et ori^çiiif
Tair. Form. dans I'act. d« Taatt
le granit, 25. 231 [Gamthn —Ad.
sur Ag À haute temp., 2S« tC
{Bêrihdot). — Comb. av»f Th,*
è68 {Matignon, Detépiac). — r
avec Ag et 0 sous l infl. de la
élect., 25, 335 {Beribolotu — tkte
dans les roches ign^s. F^orm. daa^
TABLE DES MATIÈRES,
1&W
Tact, de Vezu sur les sels ferreux,
SS, 4U8, 408 [Gautier). — Act. sur
CO* à haute lemp., ZS, 487 {Bou-
douard). — Form. par déo. des
carbures métall. par reau, )U», 525
{Beribclot). — Fixai, sur les car-
bures non-aaiurés en prés, de Cu et
Ni rédttiU, «S, 610, ti71 {Sabaiier,
Senderens)» -^ Act. sur l*ainalg.
de Ba, 25, 692 {Guntz). -< Act. sur
H^. Form. dans Tact, de H'S sur
Hg, SS. 777 (PéJabott). — Act. sur
AgCl à la luxD. solaire, «S, 969
{Jouoiaax). — Act. sur CeO*, <S,
tr70 {Sterba). — Exist. de H«0" sur-
oxygénée, iû, GSiBacb). — Act. sur
Cu. Prés. d*un gaz inerte, tM, 81
{Lidof). — Form. dans la dist. sous
pression d'huiles de résines, 96, 124
iKraomcr, Spilker), — Form. dans
la déc. de l'azoture de Fe par les
ac, tu, 338 {Fowlcr), — Généra-
teur de H, ««, 369 (Kœnig). —
Form. dans la pyrogén. des aie.
métbyl. et éthyl., tM, 612 (Grigo-
rief), — Solub. dans les sol. aq.
d'urée, Éc. propionique, BaCl* NaCI,
%m, 848 {Braun). — Activité éleo-
trom. de H occlus dans les élec*
trodes, %^, 872 [Boac). — Infl. de
div. carbures sur Tinflammab. du
gaz tonnant, <•, 879 [Tanatar). —
Potentiel électrol. des ions H, 1M,
879 ( Wilf^more, Osiwald). — ReUrd
de dégagement de H i la cathode
dans rélectro]. de CttSO\ £6, 883
(Saad). — Comb. avec 0 en prés,
de Pt colloTd., SU, 1040 lEmnl).—
Solub. dans dîv. liq. organ., 9^,
1040 {Ju9t). — App. pour la liquéf.,
«•, 1042 (7>arer«). — Act. de
TéUncelle sur le mél. dt H et CO',
««, 1123 tCo//i>i. — Act. s«r C
à haute temp., £6, 1196 (Boac,
Jerdan)
Htdboltbe. Voy. DiRsooiATio^r.
HTDBO-a-KAPHT<>*^ci>o>E. Pfép. ipaft.
de l'orange I. Pmpr., dér. diac/;-
t jié ; élher m.ilh>i., i^th> L, <«, 57H,
580 {Ruaaig .
HTDBO-^BfAPHTOijt iNo:«K. Pr^-p-ipatt.
de l'orangé II. Uér, acéijïé, 9€,riHl
{Bu89ig.
HT0B0-«-K APHTf*0Uf3«f/îf E - CABB//9f fQf, C
(AC.-. Prép. «i pan. de l'orangé L
Propr., élh^m, der. acMi lé, ^tf,
578 (Bunfiig .
HtDBO-§ - XAPHTO*>'fNf/>E - ^ -CABftO'
NIQUE "Ac. . Pr^p au fr«o>>fl d* 1%
rangé II. Prrtpr.. 96. rysf /fonm^f .
MQUE l'Ac.,. Pr-p. '4 VHrX rj*- I .,y
dro-a-napbioqnifKfO*, Propr , S#«
560 \Bwintg .
Hydboquinone. Form. dans l'acl. du
mercaptan sur la quinono, SS, 314
(rar/)ouriec/i). — Coni. du dér.
aodô avec les étbern d'ac. gras
s-bromés, £6. 45 \Diachoff), —
Form. dans l'acl. de 11*0' sor
CH\ «e, 87 [CroHs, Dovan,
Heiberg). — Form. dons Tact, de la
lum. sur un sol. alcool, do qiiinone,
««, 206, 1025 [Ciamiciao. .Siliwr).
— Cond. avec Télber oxalacélique,
««, 261 {Pecbmann, O ranger). —
Prép. et propr. de« élhers |>-cr<^»o-
tique et 8alicylique,1E6, A(K){(^nhD).
— Comb. avec le chlorure «-nitru-
o-sulfobenzoïquc, 1E6, 413 {tfvndor-
son), — Tribolum., 20, 4r»8
{Tschuoaeff). — Prép. de IVlh«îr
oxyde diphényl. au moyen du chlo-
rodinitroDcnzéne et de l'oxyde do
phényle-p-oxyphényle. Propr., dér.
dinitré, diaminé, M, 475 [Haoun-
aormann^ AfùIIfir). — Appl. de l'éther
monométhyl. à la cryoxc de div.
comp. organ., £6, 610 (Auwnra).
— Form. par déc. de l'oxyde île
diméthylantlino et du p-diméthyl-
aminophénol, 26, 766 iBamhcrjcrt
Lcydon). — Act. sur l'élhar oxali-
que. M, 1069 (Tinglc, Bvrnn). —
Form. par r^à, de la t/'lrabromo-r;-
quinone, <•, 1102 {JarkMotitKoch).
— {Bromo-) [Tétras. Act. sur («
tétrabromo -o-qiiinone, £6, \UH
[Jàek.noOf Koch).
— [Cbloro-)(Tptrai. Transf. en télro-
chloroquinone, <•, 205 iKt^brmaon).
{Tri'). Form. par r«îrl,d*» la Iri-
chloroqulnone. M, 20r» 'Kehr-
maoD).
— Oxy-ii'). (>n\â. dn d^r. triac/'lylé
avec les élher»» urtiylacMiiamf vi
oxalacétiqur, S#, 2»'/* *Pf*rhmann,
Kraffl . — 0»nd. av«c r»nh. plihi-
lique, <#, l'fWî Lh'hi^rmann).
Nitrat. ; dér. tr'lben//>ylé, trUc/rtyl/s
nitr'^, brome. (UhuS. av#!r, ';0*, M,
HW [Thi'*h, Jniffcr . Form, d''
IV'thcr di/'lhyl. k pari. t\f* l'amin/»4'
p> rocat^chJfi'î, M, \\M Winiti'
grr).
Urùnofji i\o^K 'MÉTHtr-* tiffthoxy
^r*i%y'H'). Prép t>nr Tk*\. d*- U qui-
nor»e corr'^wp ; tUr \r\ni'M\'^\k^ 9#,
9^ Kony»).
i'r^v du *iér, ot\ /l-frMlb''Xfl*' ^ k
pnA d*! Uméiho»v ;îoi[y 'i //'trl/>
ÎfjjfMW*' Pf'^ , d<r, *r>lyU, fUI^
IW '///>*•/-.
1 Htmwx)' i*"ir^^ Vrt^itffi V'fty Pm»-
Vf et Ihifl", 0f0*"ff'f,
1340
TABLE DES MATIÈRES.
Hydrosou. Voy. Colloïdes.
Hydrothtmoqulnone. Fopfti. par acl.
de la lum. sur une sol. alcool, de
thymoquinonef HUiy 1025 {Ciami-
ejan, Silber).
HYDRo-p-TOLUQUiNONE [Amîno -S-
broaio-5-). Prép. au moven du
bromo-?J./>-crésol. Propr., dôr. dia-
Qélylé, «5, 1132 [Zincko).
— (AmJDoSchîorO'b-). Prép., propr,,
dér. triacétylé, «6, 1132 [Zincke).
— {Bromo-aitro-). Prép., propr., ••,
1132 {ZiDcke).
Hydroxamique (Ac). Constit , 1M,
898 {Vorlaendcr),
— {NÏtrO'.) (Ac). Sels; propr., !M,
519 [Aagelit ADgelico),
Hydboxamoxime. Voy. Foriiuydroza-
MOXIME.
Hydroxy-aminosulfonxque. Voy. Hy-
DROXYLAUINE-SULFONIQUE.
Hyduoxylamine. Cond. avec l'élher
^•acétyllévulique, S5, 647 (Marcb).
— Form. daus Tact, de SnCl* sur
AzO'^H, «5, 693 {Hcnrht) , — Acl.
sur les dér. cyanazométhiniques,
«6, iK) {Sacbs). — Form. à part,
de Tac. méthazonique et du nitro-
propane, 1(11, 151 (Dunstany GouJ-
diDg\. — Act. sur l'oxyinéthyléne-
camphre, 1(6, 153 {Lapworth). —
Acl. sur le chlorure de picryle, !M,
108 [Nicizki, Diotscby). — Aci.
sur Tac. oxalacélique, itHy 198
(Fenton^ Joneff). — Kéact. colorée
avec FeCl'el CAzK, ««.510 {Tacbu-
gaoîf). — Form. à part, du nllro-
sato d'amylèoe, «6, 580 {Konova-
lof). — Act. sur le phosphate
d'élhylc. Form. d'ac. phosphohydro-
xamique, 1(6, 664 {SabaDeJcff}. —
Cond. avec les carbures arom. et
AlCP, ««. 703 {Graebe). — Appl.
des dér. sulfonés à la prép. nés
diazo-imides, ««, 772 [RupCy Mu-
jrwski) . — Acl. sur Ta nh. du bromo-
nilrocamphano, *ZH^ 801 {Forslcr).
— Vil. do réacl. avec div. célones
et dicélones, ««, 896 {Pctronko-
KritschcDkOt Lordkîpanidzé). —
Act. du chlorh. sur le méthylaU
loxane, <«, 90J [Andrcascb). —
Acl. du chlorh. sur la létrabromo-
pbénolphlaloine, K«, 921 \H. Movor).
— Prép. et propr. de riodhyàrato
neutre, «6, 949 {WolfTcnstoin,
Groll). — Acl. sur le chlorure p-
(oluène-sulûuique, 96, 1130 (von
Moyor). — Acl. sur Pi colloïd, 96,
103J \Brcdi(u lkoda\. — Act. sur les
êlhers alcoyïoxamiques. Form. d'oxa-
mylhydroxylamincs, K6, 1070 {Pic-
kard^ Carter\. — Cond. avec le
phényl-2-dimélhyl-l ..S-dibenzoyl-l .8-
propane, «6, 1168 {Abell). —
Cond. avec Tic. p-bcnxoyl-/>-carto*
xypicolinique, ««, 1173 {FtiidàV
HYDROXTLAMmES. AuU>-oxydat.,M, 1
{En g J or, Woisbûrg), — OxydiL,
96, 899 {VorlacDder) .
HtDROXYLAMINE - SULFONIQUK (V-
Acl. de CuSO*. Sel de Cu, W, M*
{Divers, Haga).
HYDROXYLOQurxoNB. Form. i part, dj
p-dimétbylquinol, 9%, 71! iB»m-
bergor). — Form. à pari d* :
xylylhydroxylamine et du xjli
Îuinol. Propr., !WI, 715 {Bamberq^:.
*rady) .
Hydrures. Voy. Baryum, Htw^
oène.
Hyoscyamine. Dos. dan» l^byoayïo
muticusel ledatura strammoo., fC.
289 {DuDstaD, Brown^ . — Tribotam ,
!S6, 459 {Tsicbugaeff},
Hypooéique (Ac). Prés, dans Pbu.^
de blé, ««, 351 ( Vuite, Gibsoey
IcHTULiNE. Extr. des mats de eabù-
laud. Propr., act. des alc«li»> ti*
936 {Levcoe).
IcHTULiQUE (Ac). Fonn. à part. 4*
richtuline. Propr., «« 9S7 /^
vene) .
ImIDAZOL (BeXI-) (ACKTYL-TWJIkTlTL
Prép. du dér. aminé à part àf ii
p-diaminomélhyl-^-ioluîofiie. Propr ,
«6,627 [Pinnow).
— — (ACKTYL-l-TRIllKTHTL-aX.«.i-
Prép. à part, de la 'r-ditoétt»"^
p-méthyltoluidiue. Propr.» azi«»n'>-
azol, t6, 638 iPinnomU
— — /MÉTHYL-) «EtHOXY-I-). P**P-
du dér. pbénoxylé à part de l'as)
nophénétidine et de Tac. pbHtoty
acétique. Propr., dér. ihjnunjX
carvacroxylé, fçayacoxylé, en^féno."-
xylé, a et p- naphtoxylés, 96, IM
{Cobn),
(Az.MÉTHYL-3-) {Di- . Prép '
propr. des dér. phênoxylé, ^:'-
coxylé, etigénoloxylé, M, H'^'
{Coba).
\a.ai-MKTHYL-2-) \Thi-V fr?-
propr. el sels du dér. aoHania^-
lodomêthylate, «6, 779, 78U .f i
now).
(a-MÊTiiYL-1.4-» (Tri-).Pi*|».^
dér. acétaminé*l à pari, de b f*»-
célamino- Az-mélhyl-p-loi«iit»
Propr., «6, 780 {Pinoow),
(pHÉNYL-^.Prép. dadér./»-!»»
par réd. de la /MiilroDen»;!^*
iraniline. Propr., diazo. ; copol *'«^
TABLE DES MATIÈRES.
1341
Ta-naphtol et Tac. ^napbtoldisul-
fonique, 26, 17 (Kym).
IsiiDAZOL la-ji-PHKNYL-) (Di-). Prép.
f\nv cona. de la benzamidine avec
'«o-bromacétophénone. Propr., iodal-
coyiates, SU, 4&> IKunckcU). —
Propr., iodéthylaie. Dér. az-élhylé,
ax-phénaoylé, brome. Comb. avec les
élhers chlor- ei bromacétiques, tSIl,
lOÛÛ [KuDckcIJ, Donath).
(a.|t-PHKNYL-[i-MÉTHyL-) (Di-).FoPin.
par cond. de la benzamidine avec
l'oi - bromopropiophénone. Propr.,
chlorb., Sé, 49ti {Kunckell).
ImIDAZOL (ot.p-TOLTL-|l-PHÉNYL-). PréO.
par cond. de la benzamidine avec la
chlopomélhyl-p-lolylcélone. Propr.,
e«, 49(5 (Kuack(^II},
— (ji./>-ToLYL-a-PHLNYL-). Prép. par
cond. de la ^-tolénamidlne avec la
bromacétophenone. Propr., !S6,
4\nj {KuDckolI),
1midazolone(Bknz-)(Az-.\z-Triméthyl*
é-ACETAMiNO-2-). Form. à part, de la
Ydiacétamino*Az-mélhyl-p*toluidine.
Propr., £6, 781 (Piouow).
Imidazolone-carbonique-2 (Benz-) (Di-
MKTHYLACKTAMINO-l-j (Ac). Prép. à
part, du triméthyiacétaroinobenz-
imidazol. Propr., «•, 781 {PJddow).
Iminu-kthebs. Voy. Acét-, Fohm-,
Brnz-, Carbétuoxy-, Oxal*imino-
bTMEBS.
Iminopyrine. Voy. Pyrine.
ISIf NO-SULFUREUX. Vov. SULFURBUX
{Jtnino-).
Inoami.nks. Cond. avec les aminés
prim. ensafranines, tin, 116 {Kbat'
dtne),
Indanonb. Cond. avec les ald. o-, m-
ct p-oxy- et p-diméihyl-aminoben-
zoîqaes, protocatéchique, pipérony-
lii^ae, vanillique, 1t%y 261 (Feuers-
teiD).
— (Be.nzylidbne-). Prép. et propr. des
dér. oxy-2', 3' et 4', dioxy-8.4' et
diaiéthylaminé4; étbers méthyl., !M,
2bi {Feuerstcia).
(Bromo-oxy-), Pi*ép., propr.,
dér., «5, 994 [Miniat).
Indène. Prés, dans le goudron, !M,
ttl {Stoermer, Boes). — Cond. avec
les ald. benzoîque et cinnamique,
%m, 99 {Thiole). — Act. de SOHIV
Elber sotfttrtque, S6, lO'J (Kraemer,
SpiJkcr). — Exlract. du cnmoibrut,
S«, 912 {Moschacr).
— (BÉnztl-) [Oxy-), Constit., S0,
99 ( TbicJe) .
— (Bekzylbbnzvlidène). Prép. pat
cond. de Tindène avec Tald. ben-
zoîque. Propr., dér. chloré, hydro-
xylè, ««, 99 {Thicle).
— (BeNZYLiDk^E). Prep.parcond.de
rindèneavecl'ald. benzoîque. Propr.,
'1,9Q {Thicle).
— (Cinnamylidîîne-). Prép., propr.,
««, 99 (TbieJo).
Indène-oxalique (Ac). Prép., propr.,
cond. de Télher avec le chlorure
de p-nitrobenzoyle. Dér. p-nitroben-
zoylé, 9Hy 100 {Tbieh),
Indiazonoximb. Act. des alcalis; dér.
dicbioré, dibromé, diméthylé, 1t%y
9Î.S {Bam berger, Demuth^.
Indican. Prép., propr., hydrol., 96,
701 {Hoogi'wcrfT, McuJon). — Act.
de FeCP. Form. de mal. color.,2C,
351. — Dos. de l'indican urinaire.
Act. de l'isatine, ««, 826 (Bouma),
Indicateurs. Voy. Acioimétrie.
Indice d'acides. Déterm. dans les
cires, 1(11, 960 [Kipponbcrycr).
Indice de saponification. Déterm.
dans les cires, 26, 960 (Eicbhora).
Indigo. Oxyd. des dér. sulfonés en
frés. de carbures non-salurés, Ké,
[Englcr, Weisborg). — Form. à
part, des dér. de rindoxyle, tM,
75 {Vorlacader^ Mcusd). — Act.
du peroxyde de benzoyle, £6, 98
{Baoyer^ Villiger), — ôépar. des
autres colorants, ^H, 444 {Lecat).
— Oxyd. par CrO* en prés. d*ac.
oxalique, SU, 965 {Georgevics,
Springcr). — Synth, à part, de Tac.
anthranilique, «41, 1155. 1156 (AVc/-
wann, Kobnor). — Réd. par Zn en
sol. naphtaléniquc, itU, 1163 {Binz).
— Vov. Carbixdigo.
Indigo (p-Diméthyl-). Form. à part.
do ro-acétamino-a-chloro-p-lolylmé-
thylcëlone. Propr., dér. sulfoné, !M,
633 iKuDckeJi).
Indigo blanc. Form. par réd. de Tin-
digo par Zn, «6, 1163 {Binz).
Indigo rouge. Form. à part, de Fin-
dlcan urinaire, 96, 826 [Bouma).
Indium. Prép. et propr. des aluns de
Cs et Rb et de l'acétylacétonale.
Poids atom. ; nmalgame, 1KS, 567
Cbabriè^ Haogudo). — Recherche
microcbim. par rhyposulflte double
de Bi et .Na. «6, 365 [Huvssc). —
Points de fus. et solub. des aluns
de Rb, Cs, K, Na, Tl, AzH*, «6, 1026
(Locke),
Indoïne. Solub. dans le phénol, M,
444 {Lceat).
biDOL. Absence dans l'essence d«
jasmin (fleurs fraîches), S0, 309
[HcsHp). — Prés, dans div. essencas,
1(6, 310 (Walbaum), — Sépar. de
l'uc. succinique, HH, 819 {ycubcrg),
Indol (Iso-dihydro-). Prép. et propr.
des dér. Bitré-4 et aminé-4; seJs,
dér. benzoyle, nilrosé. Cood. avec
les isosulfocyan.d'allyle, de phé-
nyle. lodomélhylale, ^6, 217 (Frâcii-
kel).
{842
TABLE DES MAT^BES.
— — (Bknzyl-). Prép. el propr. des
dér. o- etp-nitrés, o-aminé» !S6fâl8
{Fraenkei).
(Ai-MÊTHYL-). Prép., propr.,
seU, t<l, «17 (Fraenkei).
(Az-pROPTL-). Prép. des dér.
p-chloré, Y-bromé, ^-phéDOxylé, sels,
%ey 217 (FtaeDkol).
Indo.ne [y-Bromo-). Forin. par cond.
du bromh. a*ac pbénylpropiotiquo.
Propr.yConttit., ozimes. Cond. avec
Tanilinef la beDzylamine, les éthers
malonique, acétyf-, ben^oyl- et cya-
nacétiques, le niirile malonique, W,
107, 108 (Schlossbcrg),
— (Bromo-) (Di-). Cond. avec Télher
dicarboxyglutaconique, la vésorcine,
réther malonique, M, 105, 106
(Langer, Wiodcrmann). — Prép.,
Ïropr., act de la benzylamine, V«,
07 (SchJossborg).
— (Chloro-), Form. des dér. éibyl.
et benzyl-aminôs à pari, de l'él^ar
cblorindone-malonique. Propr., M,
106 (Langer, Wiedermann).
(Di-). Cond. avec la nitrile
malonique, Tétber malonique sodé
el la cyanacétamide, Ité, 105 (Lan-'
ger, wiedermann).
Indone (y-Benztlamino-). Prép. à
part, de la y-bromindone. Propr.,
«6, 107 (Schîoaaber^.
— (y-Phknylaiiino*). Prép., propr.,
eé, 107 [Schlosaberg).
— (f-PHKNYLHYDRAZINO-). Prép. et
Îropr. de la phénylbydrazone, !S6,
07 iScblossberg).
Indoxe-acktique (Di-) (Ac). Prép.
par cond. de la bromindone avec
1 éiber malonique. Propr., sels, tM,
108 [Schlossberg).
Indonk-acktone (Di-). Prép. au moyen
de la Y-bromindonc el de Kéther
acétylacétique. Propr., Stt, 108
[Scblossberg).
Indone-acétophknone (Di-). Prép. par
cond. de Téthcr bcnzoylacetique
avec la y'^f^i^iBdone, lEtt, 108
{Schlossberg).
iMnONB-BENZOVLACÉTONE (Dl-). Pfép.,
propr., «6, 108 {Scblossbera).
Indone-cyanacktamidb {DichlorO').
Prép., propr., M, 1U5 [Langer,
Wiedermunn],
Indone-cyan ACÉTIQUE (Elhcr). Prép.,
ppopr., «<*, i08 {Scblossberg\
— (Di-;i-) (Klbcr). Prép. à part delà
i -bromindone, 86, 108 [Scbloas»
frg).
liVDONKDICARBOXYOlXTACONlQUE {Bro-
mo') (Kiher). Prép.. propr., !M,
106 l Langer, Wiedermann),
Indone-malonique (Elher). Act. do
A^O cl des aminés sur le dér.
chloré. Phénylbydrazone, £6, lOô,
106 (Langer, wiedermann).
-- (Bi8-) (BMiftrK Form. du dér. di-
chloré à part. d^TéÙtr ehloriodoo*-
malonique; propr., Mi»t(l5 ^Latger,
Wiedermann) .
Indonb-malonitrile IChlorth). Mf.«
propr., <•, 10& (LMoger^ WiêéÊt^
aann).
— (Di-). Prép., propr., !M, 108
(Sebloaêberg).
Indonb-oxtrésorcinb [DromO') Pr^»
propr., dér. acétylé, 9#| 106 (t«a*
ger^ Wiedermann) ,
Indophénol. Form. du d*r. élboxylf
à part, des nitroso-dimélhylamiito-
phénates, ZS, 219 jGrimaux), —
Spectre d'absorpl., M, 527 (U-
moult, Bayrac, Camichel), — fcso-
lub. dans le phénol, <6, 444 (L^ot.
Indoxyl ACÉTIQUE (Ac.K Foi*m. ipart
de l'ac. carboxy-anilido-diaoeliqve
Ether méthyl., S6, 75 ( Vorlacndtr,
Mumme) .
Indoxyle. Prés, du glycoronate dai»
Turine normale, M, 29 (Maytr.
Neuberg), — Dos. dans l'urine/SS,
826 (Bouma). — Oxyd. par KHm^
en sol. alcaline, 211, S9^J iVur-
Jaender) .
iNpTLiUM. Voy. Indol (Isoobydbo-.
Inoj^te. Prés, dans les ffrainas à*
simaroubées, %û, 651 (Sf^rck .
Invabunts. Concord. de U théocv
aveclts formulas cbim., 26, iH
(Gordat^ Alex^Jcff); «6, !(»*
(AJexcJeê^Study).
Invbrtine Prés, dans les raisins, tt.
69'J (Martinaué). — Act. des «c.
dilués; transf. «n manDo»«, M, fiî
{KooUe). — Propr de l'mvHiiae
de la levure, 26, 815 (SalkowUii^
Iode. Act. sur Toxyde bleu de No.
26, 186 (Ouiebardi. ^ Form.daa*
Tact, de PI' sur BoBr'. 2ft, S3
(Tarible). — Act. sur NVO», 2S,
664 (Bcycbier). — Poids mol. * U
temp. d*ébull , 2S.96S {Foreraad
— Applic. au titrage de Sn. 2S,
1008 (MùlJer), - Act. sur AxM' lê^.
et sur AzH'iNa, 2€, 67 (/ïd/r». -
Dons., TOint d'ébull., 26. 81 (Oray-
mann, Mamsay), — Chai, de dit-
soc., 26, 161 iSperbi^n. — IVw.
iodom. de Mo, 26, 1(53 lATu/er) —
Dos, dans les oomp. orgai|.. 26.
168 (jMonaseb, Kcslitz). -- Aet sor
les sol. de Kl, 26, 213 {Dawvm}
— Applic de riodure d'amkloQ •<
dos. volum. de As, 26, iS\ U-
drews]. — Transi, en ac, lodic*'-
26, 887 (Scott, Arburkif), — A*"
sur Tanh. percbloriaoe, ^, ^i
(MicbaoL Cono^, — Ad. sor AcIT.
Form . i part, de Tiodure <f Ai, 2i^
855, 857 [ChaUaway, Ortan. 6>-
vens). — Prés, dans les mqx ^
TABLE DES MATIÈRES.
1343
i^alsomaggiore, ZH, 525 {Nasini,
AndcrliDl). — Acl. sur SO'Cl" en
pré», de AICI«, 211, 885 (Raff) . —
Act. sur PI colloïd., S6, 1039
{Brcdig, Ikeds). — Recherche par les
sels de Co, «6, 1067 UVicboIs), —
Ajppl. au titrage de Sb, SU, 1057
{Hohmer). — Color. et propr. des
sol., «6, iiBi(Waubei),
— (Chlorure). Acl. sur les alcalis,
IBH, 33 {OrtoB, BlackmanD). —
Act. sur AzH*. Form. dans Tact,
de HCl sur Tiodure d'azote, SU,
8ÔÔ, 357 [Chattawav. Orlon, Sic-
voDs). — Forna. de ÎGI et ICI' dans
Tact, de I ou des iodures sur S0*C1'
et AlCI', «6, 885 [HuiT^,
loDBtx (Hypo*! (Ac. I. Form. de NaOI
dans raU. de 1 sur Na*0', S5, 665
flicvcbh'r). — Dos. en prés, de
lO'Il. Act. sur AsCNV; form. à
part . de ICI, S6, 33 {Orton, Black-
m a Dû).
loDHTDRiQUE (Ac). Prép. d'uH lodo-
antimoniure de Hg au moyen de
b'bP et Hg. Propr., S5, 564, 623
(Graoyer). — Form. de Nal dans
Tact, de I sur NVO*, «5, 6a5(/?e/c/ï.
Ar). — Dens. de CuM", SS, 962
{Spriag). — Appl. de Tiodure
double de Cs à la recherche de Sb,
2S. V)98 {Deoigcs), — Appl. de Kl
au titrage de H"0*, des percarbo-
nates et persulfales, 26, 32 {Bvpp).
— Form. d*iodures dans Tact, de
ICI sur les alcalis, S«, 33 (Orton,
BlackmaDD). —Tarage deFel*, 28,
as [Bupp). — CoefT. de par», de
AzIP entre les 'sol. aq. de CdP et
CHCI\ ««, 71 [Dawsoo, Mac Crac).
— Exist. et dissoc. de PH et I»K,2«
243 Dawson), — Acl. de AzHM sur
le roolybdate de AzH* en prés, de
HCl, ««, 2i5 (A'/ason).— Appl. de
Kl et KIO* au dos. de Fe el Cr, 26,
249 (Stock, .\fasaciu\, — Form. de
Kel» et A/H*! dans Vacl. de C"Hn
sur Pe«A/., 2«, 338 iFowhr). —
InO. de Kl ^iir la conduct. olectr.de
SnCI\22, 339 {Youny\. — Form.
de AzHM par acl. de I sur Azll'
el par dec. de lOAzH*, 22, 355,
85'» (Chattawav, Or ton). — Act.
sur Tiodure d'A/, 211, 3:>7 i Chatta-
wav, Stevens). — Comb. mol. de
AIM* avec div. co*np. organ., 22.
Sr»9 (Koblor). — Acl. de Teau de
Cl sur les iodures. Dos., 22, 366
iWe^zeisky). — Solub. de PdP
dans reao, 22, ih'uEndr). — Cooff.
de partage de AzlP entre les sol.
«a. de Kl tt Nal el CllCP, 26, 453
lùawaoa, Mac Craf . — Titrage de
l*ozone par Kl en sol. neutre, 26,
454 [Laaeoburg, Quifsig\. — Force
^lectrom. de réiém. Cd Cdl' en sol.
dans racétonitrile, 26, 522 (Kablea-
berg) . — Dens. de Cu"I*, 26, 564
(Spring). — Point de transf. des
crisl. mixtes Hgl* et HgBr*, 26,
606 (Bcinders). — Loi de dilut. de
conduct. électr. de Kl, 26, 657
(Bancroft), — Dissoc. dans l'eau
et les aie. méthyl. et éthyt. des
sels de K, Na, AzH\ 26, 660 (Jones).
— Act. de Hï sur Ag. Energie libre,
26, 841 (Danneel). — Pouv. rot.
magnét. de (MI*, 26, 849 (For-
cbeimer). — Vit. d'hydrol. de COS
en prés, de Kl, 26, 862 {Buchbock),
^ Act. calai, de Hl sur l'isom^ris.
de la cinchonine, 26, 864 ( Wog-
scbcider). — Précipit. de Pb par Nal
et NVSO*, 26, 865 (Findlay), —
Polaris. et dens. de courant dans
Pbl% CdP, Hgl« fondus, 26, 869
(Gockel). — Infl. de Kl sur Tat-
taque de Cr par les acides, 26,
875 (Ostwald). — Act. des iodures
sur AlCl» ou AU» en prés, de S0«C1*,
26, 885 [BufTK — Héact. de Kl
ioduré avec les sels dit^thylène-
diamioo-cobalL, 26, 887, 888, 889
( Wornor, Humpbroy, Gerb). —
Propr. de PbP radio-actif, 26, 951
(Hofmann, Strauss). — Cristallis.
de Kl, 26, 1026 (Richards, Arcbi-
baîd). — Act. sur IPO* en prés, de
div. agents, 26, 1046 (Brode), —
, Copducl. ôleclr. des aels doubles
de k et Cd, Sr et Cd, 26, 1052
i^oiaes, CaldwoU), — ChiorO'iodurc
deCs, 26, 1054 (WoUh).
loDiQUK (Ac). Act. sur Tac. urique,
2S, 25e (Bouiltet), — Act. du ra-
dium, 25, 1059 {Bvrtboht). — Dos.
en prns. d*ac. hypo-iodoux. Form. a
partir de ICI, 26, ^{Orêon, Black-
mann). — Appl. de KIO* au
dos. de Fe el Cr, 26, 249 [Stock,
Masaciu). — Prép. au moyen de
I, 26, 3.17 {Srott, Arbuckie). —
Form. de lO'AzH* par déc. de
lOAzH*, 26, a55, 356 {Chattawav,
Orton). — Form. dans Tacl. Se
Teau de Cl sur les iodures, 26,
366 (Woszolskv). — Appl. au do^*.
de laid. Tormlque. Act. sur IMiy*
drazinc, 26, 955 (RoJaler).
loDiQUF. (Anh.). Form. dans Tact, de
I sur CPO' ou ClO*n, 26, 354 [Mi-
chaol, Conn).
loniQUF. (Per-) (Ao.t. l*rcp., sels de
Cs, 26.1054 (\Volh\
loDOFORME. Form. à part, de la glu-
camine, 2S, 590 (Maquonno, Rouw.
loDOMUM, loDOSÉK (Dér.). Voy. Mk-
SITTLÈlfE, RkNZKNE, NaPHTALKNB.
loDOTHTRiNE. Form. à part, de la
Ibyréoglobuline, 26, 828 [Oswald).
loDLitKA. Voy. looHYbRiguE, Soufre,
Phosphor::.
1344
TABLE DES MATIERES.
loNONE. Form. des modif. a et § à part,
du citral b, «6, 299 [Ticmann). —
Diffus, dans l'air, «6, 440 [Erd-
maDD). — CoDStit. des isom. a et
ô, «6, 507. — Oxyd. de l'oxime de
l'a-ionone. Form. de p-ionone par
cond. de l'acélone avec le p-cyclo-
citral, ««, 510 {Ticmann).
lONONE (PSEUDO-). ForiD. (168 IXlodlf.
stéréo-isom. ; semicarb., tM, 299
{Ticmann).
IcNS. Voy. Conductibilité électbi-
QUE, Dissociation électrolytique.
Iridium. Sépar. de lamine dePt; ni-
triles doubles de Na et AzH*, ItS,
11 {Leidié); 25, 738, 841 {Leidié,
Quennessen). — Sépar. de Rh, SU,
363 {Piccini, Mari no). — Infl. sur
l'hydrol. de div. élhers, «6, 736
{Suie) .
Isatine. Form. à pari, de Tac. phla-
lonamique, S6, 118 {Gabriel, Col-
man). — Appl. au dos. de l'indican
dans Turine, 1(6, 826 {Bouma).
Isobarbaloïne. Voy. Bakbaloïne.
IsocHOBES. Voy. Dissociation.
Isolaubonolique. Voy. Laurono-
LIOUE (IsO-).
ISOPBÈNB. Voy. ViNYLE (MÊTHYL-DI-).
— (Bromure).' Conslit.; acl. deréthor
malonique sodé, t6, 535 {Ipatiof),
ISOPRÉNYLTBIMÉTH YLÈNB-DICAR-
BONKitE (Ac.)- Form. par cond. du
bromure d'isoprène avec Téther ma-
lonique sodé, 96, 536 {Ipatieî).
ISOTHEBMK». Voy. DISSOCIATION.
Itacomqub (Phopyl-) (Ac). Propr. du
sel de Ca, «6, 287 (Salzf^r).
Japanique (Ac). Prés, dans la cire du
Japon. Propr., 1M. 291 [GcrteU van
dcr Wani).
Jasmin (Essence). Constit., 1S6, 309
{Hosse); ««, 810 (Walbaum).
Jaune de chrome. Voy. Plomb.
Jaune de Martius. \ oy. ot-Naphtol
{Dinitro-).
Jaune indien. Constit., S6, 111
{Graebo).
Jéconine. Prés, dans le sang, ftU,
1021 {May or].
Lab. Voy. Ferments.
Laccase*! Prép. et propr. des lac-
cases du chou et do la pomme de
terre, ««, 812 {Slowtzo/f).
Lactimidb. Form. p«r dist. de Téther
ot-aminopropionique, !M, 743 {B.
Fiscber).
«•Lactique (Ac). Form. par acL du
ferm. mannitique sur div. sucres,
tes, 991 {Gayon, Dubourg], — Ad.
sur Ag'O. Const. tbarm.» <5, im
(Beribelot), — Form. par déc. de
Tac phène-dioxy-3-propionique,M.
46 {Éiscboff), — Act. sur la pep-
tase d'orge, S«, 333 iHViiw). —
Dédoub. par les micro-otYanisioet,
«6, Ô28 {Ulpiani, CondeUî). -
Form. par fenoenl. dedivcrssQcrM,
««, 653 (Harden). — Act. sur k»
nitrates métall., €« 666 Vaniao,
hauaor). — Form. dans Torgaiiisme
des animaux asphyxiée. M, 831
(Saito, Kalsuyama). — Form. d'ac-
dans la ferment, du glucose par \e»
Bchizomycétes, tSII. 930 {Emmer-
ling). — Oxyd. de Taraide, <«, 11»
{Jo/los).
— (8-C/ï/oro-). Voy. Propioniqub <^-
Ch loro-^-oxy-).
a ' Lactique (Butylméthyl- ) i.\c; .
Form. par oxyd. de l'allylméihrUMi-
tylcarbinol. Propr., sels, <•, âSi
{Talicf).
« Lactique (tert. Bltyl-m^htlw.
(Ac). Forn. par oxyd. de TaUyi-
méthylbutylcarbinol tert. ; lactoae,
««, 4b4 {Pctchnikor.
P-Lactique (^-Ethyl-oi-mbtmyl-). V<y.
VaLÉRIQUE (a-MÉTHYL-^-OXY-V
P-LaCTIQUE (^ISOBUTYL-a-ISOPHOPYL-).
Voy. Heptyliqle fa^IsopsoPYL-
180-).
Lactose. Act. du bac tartrîcus, K,
415 {Grimbort\. — Act. du fen».
mannitique, 9S, 991 (Ga\-oa^ Do
bourg). — Act. de HBr," S«, 911
(Fenton, Gostling). — Kêact. oalor.
avec A/.H' et Tac citrique, fttf, S5$
ISicber). — Tribolum.. t«, 4d6
{TscbugaofT). — Ferment, par Ui
FCbizomycètes, !M, 9â9 \Emmtr-
ling), — Dos. polarim. et graTia.
dans le lait, £6, 963 Scbclbe). ^
Dos. dans le lait condensé, S6, tOO
iHuber).
Laine. Act. de AzO*H, 9#, 510
{Lidot).
Lait. Destruct. pour les rachereiiit
toxicol., 95,949(Di>n/£7eay. — Com-
pos. du lait de vaclit à div, épo-
ques, 9S, 992 (Hardy). — Teoaar
en P, «6, 28 [Kciler). — Tca^iir
en lécithine, tu, 324 {Burow . —
Act de la diastase du malt, Mw
338 ( Wr/.«i$). — Réaot. colorée av^
AzH\ ««, 352 {StvbcrJ. — D«. do
lactose, %U, 963 {Scbeibc). — Om.
du lactose et du saccharose. M,
1063 {Bùber] .
— Voy, SuoRB.
TABLE DES MATIÈRES.
1345
LjiTiTBAJfK. Comb. avec Az tn prés.
de M|(» Û, 335 (MatigDon). —
Sépar. deg terres de Ce, !M, 69
(Meyer, Marekwald). — Sépar. de
Th par Az'H. Azoture, S6, 354
[Curtius, Daropsky). — Spectre, S6,
tes {Formaook).
Labd (Huile). Constit., propr., ItS, 652
{Duyk) .
Laricinoliqub (Ac). Prés, dans le
baame de larix decidua. Propr.,
sels, 20, 79 [Tschircb, Wcigcl),
LiABiNOUQUBs (Ac)* Prés. des isom.
a et § dans le baume de larix deci-
dua. Propr., 26, 80 (Tscbircb,
Weigef} .
Laudanosinb. Syntb. à part, de la
papavérine. Constit., sels, dédoub.
par Tac. quinique, 26, 270; 26,
x39 {Pictct, AtbaDaaeseo),
L.AURÉNONE. Porm. par oxyd. des ac.
lauronoliques. Propr. ,6xime,coo8tit.,
26, 805 {Tiemaaa),
L.AURIER-CERISE (Esssnce). Dens.,vi8-
COS., tens. superf., 2S, 521 (Jean-
cttrd^ Satw),
LjLURiQirE (Ac). Pouv. rotat de Téther .
iao-aroyl. actif, 2S, 549 (Guye). —
Indice de réfract. de la trilaarine,
«6, 68 {ParthcUy V(»/seiiJ. — Prép.
et propr. de l'anh., 26, 467 {Krafft,
Hosiny).
Laurolcnb. Form. i part, de Tac.
aminodihydrolauronolique . Propr.,
C6, 804 [Tiemana).
-Y-Lauronolique(Ac.). Constit., propr.,
sels, oxyd., 26, 804 {Tiemann),
Lauronoliqle (DiHYDRO-) (Ac). Propr.
et constit. des dér. aminé, brome,
hydroxylés, 26, 805 (Ticmann).
Lauronoliqle (Iso-) (Ac). Form. &
part, do Tac. dihydroxycampholy-
iique. Constit., 2S, 77, 82 [Blanc).
— Constit., 2S, 563 (Biaise, Blanc).
— Nitrat. de Téthcr élhyl., 2S<
647. — Acl. de AzO'H fum.; prép.
et propr. du nitrate, 25,806 (Vva/}/).
— Form. à part, de Tac. infracam-
pholénique, 26, 236 {Forstcr). —
Constit., oxyd.; transf. en ac. a*cam-
pholylique, 26, 808, 804 (r/fîmAOïi).
Latande (Essence). Constit., 2S, 261
(Charabol). — Dens., viscos., tens.
superf., 2S, 521 ijeancardf Salio) .
— Ethérif. dans la plante, 2S, 886
iCbarabot, Hvberi).
Lkcanoriqur (Ac). Prés, dans div.
lichens. Propr., 26, 650, 11^3, 1184
(Hessc) .
LÉciTHiNE. Dos. dans la graisse du
chyle humain, 26, 323 lÈrbcn\. —
Rei. entre la teneur en lécithine du
lait et le poids du cerveau, 26, 325
(Burow), — Prés, dans l'huile de
blé, 26, 850 [Vulté, Gibsow. —
!, 26, 850 {Vulté, Gibsoni. — NaO
SOC. CHIM., 3* 8ÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
Réact. caract., 26, 444 [Struvé),
Extract, du suc gastrique, 26, ^
(Nencki, Sicbor).
Lgmon-grass (Essence). Dens., viscos.,
tens. superf., 2S, 521 [Jeancard,
Satio) .
LÉMONOL. Constit., 26, 831 (Barbier).
Lkpidinb. Form. à part, du dibydro*
cinchène, 26,308 (Kocnigs).
LÉPiDONE. Form. à part, de I^ac qui-
noloue-Y-acétique. Form. des dér.
^'-hydroxvlé et §'-amino à part, des
ac. quinolone-carboniques corresp.,
26, 426, 427 [Bcstborn, Garbcn).
LÉpRARiNG. Propr., constit., comb.
avec CHCl", 26, 313 iKassnor). —
Prés, dans div. lichens, 26, 647
{Hosse).
Leucine. Syn. Caproique (Iso-) (a-A/n/-
D0-) (Ac.i.
Leucinimide. Voy. Pipérazinb (Di-
ACI-).
Leuconucléine. Vov. Nlcléine (Leu-
C0-) .
LÉvuLiQUE (Ac). Form. par oxyd. de
la méthylcyclohexénone de rhuile
de bois, 2S, 243 [Bcbaf). — Form.
{>ar hydrol. de Téther §-acétyl-
évulique, 26, 647 [Marcb) . — Form.
par oxyd. du myrcénol, 25, 689
[Barbier). — Form. par hydrol. du
méthylstrophantobioside, 26 , 191
{Foisl).
— (^AcÉTYL-l (Ether). Propr., semi-
carbazone. Act. de AzH*OH, 26, 647
[Marcb) .
— (p-IsopROPTL-) (Ac). Form. par
oxyd. de la thuyamenthone, 26, 301
[Se m m 1er).
— (a-MÉTHYL-) (Ac). Form. par oxyd.
de la diméthyl-1.5-cyclohexène-l-one-
4. Semicarb. ; transf. en penténo*
lide. Ox)rdat., 26, 244 {Bébal).
— (^.^MtTHTL-) (Dh (Ac). Cond.
avec CAzH. Ac. lactonique, sels,
26, 71 {Blanc) .
— (^.f-MÉTHYL-) (Di-) (Ac). Form. à
part, de Tac dicrolonique, 26, 380
{P ce b ma on) .
LÉVULOSE. Glycolyse par le sang, 26,
270 [Portier). — Form. par hydrol.
du gentianose, 26, 646 {Bourque-
loty Hérissey\. — Act. du ferm.
mannitique, 26, 991 iGayon, Du»
bourg). — Solub.de l'osazone, 26»
29 [Ncuberq). — Act. de HBr,
rénct. colorée, 26, 341 {Feu ton,
Goslling), — Form, à part, de la
cellulose, 26, 342 {Cross, Bcvan).
— Act. de div. bacilles sur l'isom.
(/, 26, tJ53 {Hardcn) . — Form. à
part, du nori, 26, 731 [Osbiwa,
Tolhns). — Act. de HCI, 26, 796
(Fcnton, Gostling). — Infl. sur la
sapon. do Tacotatc d'éthyle par
NaOH, 26, 1041 iCoben^
85
I84r.
AB1.E DES MATIÈRES.
Levure.* Propr. des levures basses,
S5, 734 {Jacquemin). — Propr. de
la zymase, «6, 270 (Albert), —
Constit. de la nucléioe, 26, 831
[AscoJi). — Nulrilion, ««, 735
{Steru). — CoDSlil.; propr. de Tin-
verline, «6, 815 iSaJkowskf). —
Autolyse, «6, 825 {Kutschct). —
Extract, et propr. delà zymase, 26,
930 {MacfadycD^ Morris , Bow-
Jandj, — Constit. de la trypsioe,
«6, 941 {Kutscber).
LuKRzoLiTE. Perte en eau, !K, 233. —
Anal, des gaz occlus, téS, 406
{Gautier).
LiCARÉOL. Syn, Linalol.
Lichens. (Constit. de div. var., 1(6,
647, 649, 1182 [Hossù).
LiCHESTÉRiNiQUE (Ac). Prés. Je 3 isom.
dans les lichens. Propr., sels; ac.
para et di-lichestériniques, !M, 648
{Hessc).
LicHESTRONE. Form. à part, do Tac.
a-Iichestérinique. Propr., %H, 648
{Hessc) .
LiCHESTRONiQUE (Ac.|. Form. à part,
de Tac. a-licbestérinique. Propr.,
sels, «6, 648 {Hessm,
Lignite. Çompos., 1B6, 961 [BorD"
tracgen ,
Limonène. Act. de AzO, iSS, 527
[GcDvrcsse). — Réduct. par H en
prés, de Ni et Gu, ITS, 610 (Saba-
tiery Scndcrens) . — Prés, dans l'es-
sence de cascarille, tS6, 156 (Feu-
dlcr). — Form. par déc. du xantho-
génate de dihydrocarvéol, ti6, 184
[Tschugaeff) .
LiMONÉNOL. Prép. à part, du limonène.
Propr., tiS, 527 (GoDvrtssé).
LiMONÉNONK.{Prép.à part, du limonène.
Propr., oxime,1K5, 527 [Gcnvrcssc),
Lin. Voy. Cellulose (Oxy-).
LiNALOL. Prés, de Tisoro. / dans l'es-
sence de bois de rose femelle, IBS,
473 [Tbeulier), — Dens., tens.
superf. et viscos., 1^, 521 {Jean-
card, Satie) . — Constit., prés. do myr-
cénol dans le linalol naturel, is,
691 (Barbier), — Dos. du linalol et
de Tacétato dans div. essences de
fleur d'oranger, S5, 763 (Tbeulier).
— Constit., propr., «5, 829 [Bar-
bier) . — Klhérif. par Tac. acétioue.
Dos. au moyen du salicyiatc de Na,
«5, 885 (fJharabot, Hébert); S5,
1053 tDarzons, Armingeat), — Dos.
de risom. d dans l'essence d'orao-
t^es douces, S6, 646 iStépban).
LiNoLÉiQii: fAc). Prés, dans l'huile
do blé. «6, 351 i l'uJté, Gibson).
LiPASK. Propr., act. réversible sur les
<^lhers butyrique et acétique, 1E6,
445 {Kaslîe, Loevenhart).
— Vov. PiASTA**::.
LiTHruM. Tri-antimoniate , 2S, 9^
{Delacroix), — Acl. de UOH et CKJ
sur SiO*. Silicate de Li; silicti»
double de Li et 01, «S, lUH ¥nt
del).— InO. do LiCl sur la soUdif.
du ciment et du plâtre, IftC, 4 * Bor-
land), — Prôp. et propr. de Tiln-
minate, !M, 360 (A77ro. Rogrr%^
— Coeff. de partage do AzH* eatî»
les sol. aq. de LiCl et U*SO* M
CHCl*, «6, 453 {DêWsoD^ Mm
Crae), — Prés, dans les eaux de Sal-
somagffiore, S6, 525 i^asiai. Aa-
derlini). — Conduct. électr. et»
vap. de LiCl, €6, ekH uSm/iAWA,
DawsoD, WilsoDi. — Loi de ditaL
de ronduct. électr. de LiCl. <«. »S7
(BaDcroft). — Dureté, e«, 8S9 B}4-
hcrg). — Infl. du nitrate smr h
solub. des non-éloclrolytes, 9^9êt>
{Botbmund}. — Poav. rolat. roagii't
de LiCl et Li*SO*, ««, 849 tFoP-
ebeimer), — Vil. d'hydrol. de COS
par LiCl, S6, 86S iBuehbockt, —
Chlorure double chromiqae, M.
1125 (U'ernor, Gubsen.
Lumière. Act. sur AgCl en prés, d^
H, es, 969 iJouDiaux}. — AeL
chim. sur div. comp. organ.. M.
206, 1025 {Ciamician, StJbrti. -
Act. des rayons cathodiques sur Irs
corps radio-actifs, <•, 245 Uof-
mano, Korn^ Strauss}, — Tnbo-
lum. de div. comp. organ. et mio*-
raux, !M, 458, 929 {Tsebugacff . —
Transf. des ondes de Tesla i|«r
cert. dér. benzéniques, Wlk «9
(Kauffmaon), — Act« décomp. ntr
les sol. de PtCl*, AuCP, SnCl\ tê,
835 (Koblrauscb) , — Indice dr
réfract. do mél. de vap., S6, i(&>
(Cuaacus) . — Infl. des ra>^ofis csUm-
aiques sur la conduct. nlectr. àv^
gaz, 96, 1041 (LeouaD. — .Kci.
sur la fluorcscéine et les leuootuj^r^,
«6, 1043 (Gros).
LuTÉocoBALTiQUES ^Sels). Voy. Co-
balt.
LuTÉoLiNE. Constit. ; synthf^se a parc
de la phloracétophénone et de Tac
vératrique. Dér. tétracétyU, <6. f*^
(Kostaaocki^ Bozycki^ Tamûor .^
Métbylat. ; dér. méthylé. trimêtlifk.
«6, 154 {Perkin, Uorstkil , -
Propr., dér. tétracétylè, tétraèaa
zoyfé. Form. de l'éther ineili|l. a
part, du glueosidc du persil. Pmpr.,
dér. acétylé, benzoylé, trim'*iiiyîr.
«6, 187, 188 a'onger/rà/r«. •
Synth, à part, de l'éther vaiulli<f9*
et de la phloracétophénooe. <6,w
(Dillor^ Kostaneckî) »
ot.s'-LuTiDiNE. Form. a part, dt l'é-
ther amtoocrotonique. Propr . ««b.
dér. chloro>4-éthoxylê-3, «•« Q^,
977 (MichaeJis^ Arcnd}.
TABLE DES MATIERES.
1847
Lysine. Prép., propr., constit., fus.
avec KOH, !M, 22 (Henderson), —
Prod. de putréf.; constit., 1S6, 24
{EUiDger}. — Form. dans les jeunes
plantes, ée, 320 (SchuJtc).— Prés,
dans la rate de bœuf, 1MI, 825 {Gule-
wttacb^ Jochelaobn) , — Dos. dans
les prod. de dédoub. de div. albu-
min., %B, 335 (KosscJ, Kutschcr).
— Dos. dans les albumoses et pepto-
nes, ^H, 824 [HaaJam). — Porm.
par autolyse de la levure, tSIl, 8fô
{Kutschcr), — Form. à part, de
Thistone du sperme de poisson, !M,
939 (Kbrslroem).
Ltxose. Réact. color., 911, 818 (Neu*
terg).
Macassar (Huile). Conslit., propr.,
««,731 [Wys).
Maonksium. Cond. des dér. organo-
mélall. avec les nitriles tt les iso-
cyanates, SS, ^ l Biaise). — A et.
de C sur MgSO*. Form. do MgO,
«6, 284 (Bouttouêrd). — Appl. de
Mg à la prép. des azotures de ter-
res rares, «S, 335 [Matignon). —
Appl. à la réduct. des oxydes d'ura-
nium, t&, 345 [Aloy). — Borate
tribas., M«524 (Ouvrard). — Appl.
des dér. organo-métall. en chim.
organ., SS, 531 (Grignard). —
Propr. des alliages de Ng-AI, %S,
611 [Boudouard). — Comb. de MgO
avec A1*0' au four électr., S5, (569
{Dufau). — Comb. des dér. orga-
DO-mélall. avec Téther, eS, 694
(Blaist). — Act. du bromure d*é-
ihylène, des alcools; form. d'alcoo-
lales, es, 694 {Tissier, Grignard).
— Précipil. par Na*CO*. Non-exisl.
de Thydrocarbonale, «S, 707 lEngel) .
— Appl. des dér. organo-métall .
aux synthèses organ., 25, 944 {Tis-
aier, Grignard), — Combust., pero-
xydes, e«, 2 [Englcr, Weisberg).
— Appl. de MgO à la sépar. de La
et Di, e«, 69 (Meyer, Marrkwald).
— Caloin. à Tair; form. d'azoture,
S#, 244 {Eidmann, Mocsnr). —
Précipit. par la dliaéthylamine ot la
guamdine, «6, 849 (kerM, Drue-
ïer). — Conduct. électr. du sulfate
double ammop., «11,353 [Lindsay).
-— Energie de ^hydrate, ««, 520
{Carrara, Vespignani) . — Rel.
entre la condocl. électr. de MgSO*
et son act. toxique sur les poissons,
««« 603 {Kabfonberg, Mehl). —
lofl. sur la vît. d'ozyd. des sol. oxa-
liques, «6, 659 (Joriasonf Beicber),
— Spectre d'absorpt. en prés, d'or-
canette, «•, 671 {Formanek), —
Pouv. rotat. magnét. de MgSO*,
««, 849 (Forcbeimer) . — Vit. d'hy-
drol. de COS par MgCl*, «6, 862
{Buchbock). — Solub. do MgCO»
dans l'eau chargée do C0\ ««, 873
(Bodlaender) . — Dos. dans les eaux
naturelles, «H, 955 [Winkler], —
> Applic. do MgCI* au dos. de Turée
dans l'urine, «8, 1021 [Folin). —
Tens. de vap. des mél. de MgSO*
avec ZoSO* et GuSO*, «6, 1044
(Hollmann). — Conduct. électr. du
sulfate double ammon., «6, 1053
(^oiies, CaldweJl).
Magnésium -KTHYLB (lodure). Cond.
avec l'ald. anisique, la vanilline, «S,
276 IBcbal, Tttfeneau). — Cond.
avec les éthers gras, «S, 277 {\f as-
son). — Cond. avec les éthers malo-
nique et succinique, 25, 339 (Va-
lant). — Act. sur le nitrite d'aroyie,
le nitrate de méthyle, Téther ben-
zène-sulfonique, le sulfate d'éthyle,
«6, 483 \hfouron). — Act. sur le
formiate d*éthyle, «6, 526 [Gri-
gnard). — Act. de l'eau, des aie,
«6,694 {Ti9sier, Grignard).
Maonésium-iso-autle (Bromure). Act,
sur la §-naphtylmélhylcétone, «6,
499. — Act. sur le formiate d'éthyle,
«6, 526 [Grignard).
Magnésium -METHYLE (lodurc). Act.
sur le pipéronal, «S, 274 (Béhai).
— Act. sur Tanisate de méthyle,
«S, 275 {Bébal, Tiffeneau). — Cond.
avec les o- et p-oxy- et o-méthoxy-
benzoates de méthyle, «5, 276 [Bé-
/ta/, SommcJct). — Cond. avec les
éthers gras, «S, 277 (Afasson). —
Act. sur l'éther oxalique, «5, 339
[Valeur). — Cond. avec les a et
^-naphtylméthylcétones, «S« 497.
— Prép., propr., constit., act. sur
l'acétoae, «S, 644 (Grignard). —
Act. sur les chlorures d'acétyle et
benzoyie, «S, 645. — .Act. de l'eau,
des alcools, «S, 694 ( Tissicr, Gri-
gnard).
Magnksium-pHénylb (Bromure). Act.
sur le benzoate de méthyle. l'acé-
tone, le chlorure d'acétyle, w, 944
( 77ss ior^ Grignard) .
Maléique (Aci. Prép. et propr. de
Tanilide. Transf. en anile, «S, 766
{van Dorpf van Haarst) . — Transf.
en ac. fuman<loe par Az'0^ «6,
617 [Scbmidt^ .
— (Bromo-) Di-) (Ac.i. Form. à
part, du dibenzoylfUrfurane, «•,
1108 {Pbelps, Ha Je).
— (Ôxr-) {Di') (Ac). Form. paroxyd.
de 1 ac. oxalacélique. Act. de la
phényihydrazine, «•, 198 (Fcntnn,
Jones) .
1S48
TABLE DES MATIERES.
Maliqub. (Ac). Tribolum., S6, 458
(Tschugaeff). — Acl. sur l'ac. glyo-
xylique, 26,466 (Z)oe/)jjerj. — Propr.
toxiques du sel ac. de Na, S6, 52i
(Katicnberg, AusUd). — Tribolum.,
S6, 929 {Tschugactf). — Propr. et
pouv.rotat. des dér. propionylé, bu-
tyrylé, valérylé, caproyié, oenan-
thylé, caprylé, pélargonylé, capré,
S6, 1028 {Boitier). — Dispersion
rotat., S6, 103îi (Worinçer).
— (ot.a-DiMÉTHYL-) (Ac.).Transf. de la
lactone en anh. pardistill., S6, 135
{Fichier, Hirsch),
. Maloniqub (Ac). Cond. de Téiher
diéthyl. avec Tiodure de Mg-étbyle,
SS« 839 {Vahur). — Nilrat. de Vé-
iher élhyl.t «5, 927 {Wahl). —
Cond. du nitrile avec les p-niiroso-
diméihyl- et diéthyl-anilines^dt, 90
{Sacbs). — Cond. de l'éther éthyl.
avec la dicbloro-2.S-at-naphtoqui-
none, 9%^ 102 {Micbetj. — Cond. de
rélbcr diétbyl. avec la dicbIoro-3.4.
^-naphloquinone, S6, 104 {Hiracb).
— Cond. du nitrile avec la dicklor-
indone, «6, 105. — Cond. de l'é-
tber avec les indones dichloi'ée et
dibfomée, S6, 106 [Langer^Wiùder-
maon). — Cond. du nitrile et de
Téther éthylé avec la p-bromindone,
«6, 108 (Scblosaberg). — Cond. de
Tétbor avec le cblorure do p-cyano-
benzyle, S6, 113 [Aloses). — Form.
par bydrol. de la cyanacélaniUde et
des homol., 96, 135 {Grotbe). —
Cond. de Téther sodé avec le nitrile
p-cblorobutyrique,S6, 199 {McUor).
— Act. de Dr sur Téther sodé, S6,
201 { WcDzol). — Cond. de Téther
sodé avec la pulégone, S6, 213
[Voriaondcr). — Cond. de l'ac.
avec Tald. résorcylique, 96, 263
(Pecbmann, Grat^ger). — Cond. de
i'étber avec Tald. oxyhydroqui no-
nique, 96, 265 {Pecbmann, Krafft).
— Act. de l'éther sodé sur le di-
bromo-3.4- isopentane, le dibromo-
1.3-tétraméthyiméthane et le tribro-
mo-isopentane, 96, 283 {Ipaiiof, Svi-
dcrsky^) . — Cond. de l'ac. avec Tald.
crotonique, 96, 378 [Dcnbnor). —
Cond. de l'éther sodé avec l'oxyde
de méfityle, 96, 407 {Ctossiov), —
Cond. de l'ac. avec l'ac. glyoxylique,
96, i66 (Dœbner). — Act. de Té-
ther sodé sur l'éther a-bromo-undé-
cylénique, 96, 467 {Krafft, Sehiis).
— Cond. de l'éther avec le croto-
nate d'éthylc,96, 470. — Cond. de
l'éther sodé avec l'éther cilraconique,
96, 471 {Aficbael) —Act. de l'éther
sodé sur le bromure d'isopréne, 96,
536 (Ipatief). — Act. de I sur Tac.
en prés, de pyridine, 96, 538 {Orto-
Icva). — Cond. du nitrile avec l'a-
cétone, 96, 676 {Komppa). —Cavl.
de Télher avec Tarée, 96, (SK
{Tafel, WeiDschenk). — Act. et
Br sur l'éiher en prés, ëe CS%9i,
798 (WenzeJ). — Eleclrol. da k1
de K, 96, 897 {Petersen). — Csatà
de l'éther diéthyl. avec los étbe»
a.3- et a.â(i-dibromo^ . ^-dinirthfl'
glaUriques, 96, 1016, 1018 iPerkn.
Tborpc, Wayier).— Acl. d«rètbeT
sur riodure de Znéthyle, 96. iiXt
(Afichaefj, — Act. de réther 9o6t
sur le dibromo-1.3-diiiilro4.6-biD-
zène, 96, 1081 {Jackson^ Cobvf
— Cond. de l'éther avec Téther me-
thylglutaconique,96, iii^{Skrê9p .
— (bromo-) (Ac). Act. de U tripropy^
aminé et de la benzylpipértduiesar
l'éther méthyl., 96, 970 { Woéf
kind).
— {CyanO') (Elher). Cood. do ék
eodé avec les iodures alcool., 9S.
274 {Hallcr, Blanc).
— [Nitro-) (Ether). Transf. en Mbcr
nitro-acétlque, 9S, 695. — Pr>*p
par nttrat. de l'éther malouqve.
Propr., sels, saponif., 9S, StdT
{WabI).
Malonique (Bromo-) (Aid.). Form.
à part de l'oxyde de méthyle-dibroa-
allyle. Propr., sel de K; cond.tTvc
la phénylhydrazine, 9C 106Î •X'^-
picau).
— {Nitro-) (Aid.). Form. à part. <5
Tald. a.^.^-trinitropropioatqii«,9l.
376 (Torrey, Black).
Malokique (AcKTYL-) (Etber). <j»A
avec la résorcinc, 9À, 211 ,P«eb-
mann, Haakt^).
M^ALONIQUE (ACKTTLMkTHTL-HXUritc
Prép. au moyen du nitrile i-n»*-
Ihylacétylacéliquc. Propr.. 9S, îC»
{Boy menant).
Malonique (Alcoyl-). Eau die «-/vt
des sels de Ca des horool., 96, ^
{Sahor).
Malonique (Alltl) {lh-\ [Elksr
Nilrosochlorure. 96, t^ [Ipaitef-
Malonique (Alltlméthyl-) i&lKr.
Nitrosochlorure, 96, 2ftl Ipëtitfi
Malonique (EthylO (Etber). Co«d
avec le diazobenzène, 9S, M ./>•
vrcJ). — Gond, du der. mfàé av«<W
nitrile p^blorobutyrique, 96. I!^
{Mellor). — Cond. avec Télber Atnu
rique,96, 469(.VioJk«e/). ^ Ek^CiW
du sel de K, 96. 898 {PrttfT*»"
Form. par oood. de l'éther maW
nique avec Tiodure de Ziwélhyl#.9t.
1068 {Miebaei).
(Cvaiio-) (Ether). Prép, »«
moyen de l'éther cyaooroalMtf»*
sodé. 96, 274 {lialler, Bêamv^
Malonique (ëthtl*) (Dh^ .EUbrr .
Form. par cond. de l'éUier mah-
TABLE DES MATIÈRES.
1949
nique avec Tiodure de Zn-éthyle,
S«, 1068 {Micbael),
MAX.ONIQUB (Mbthtl-) (EUierJuCond.
avec le diazobenzône, SS, 967 {Fa-
vrci). — Cond. du dér. sodé avec
le nitrile y-cyanobutyrique, S6, 199
{âiellor). — Cond. avec le carbo-
nate d*éibyle. Form. par métby-
lat. de léther §-m6thylpropane-
3.^.7 -tricarbooiqae. Gond, avec
Téther citraconique, ^M, 470, 471.
— Cond. avec Tétber ftimarique,
«•, 472 {Miehaol), — Eleclrol. du
sel de K, S«, 897 {Petersen), —
Cond. avec Tétber citraconique, S6,
i iiiO {Skraup).
(C'razio-) (Elher). Prép. à pari.
de Téther cyanomalonique. Propr.,
9S, 274 (Haller, Blanc).
Malonique (Méthtl-) (Di-) (Ac).
Porm. à part, de Tac. tétramélhyl-^
oxyglularique, <•, 94 [MikhaïlcD-
ko, ^arov8ky). — Form. par mé-
tbylat. de Télher p-mélhyl-a.f.Y-tri-
carbonique, €6, 470 {Miehaol). —
Form. à part, du dloxyde du dimé-
Ih^rlpropylglycoK S6, 891 {A.
Fischer, Wintor). — Form. à part,
des ald. et ac. oxy-valériques tert.,
S«, 894 [Wcasely).
Maloniquk (Proptl-) (Etber). Cond-
du dér. sodé avec le nitrile p-cbloro-
butyrique, S6, 199 (Mellor).
(Cra no-) (Etber). Prép. à part.
de l étner cyanomalonique, S5, 274
{HaUcfy Blanc).
Maltasb. Prés, dans Tembryon, SS,
704 {Bierry).
Maltol. Extract, des aiff. de sapin
argenté; propr., €6, 1120 {Fcuers-
tcin).
Maltose. Glycolyse parle sang, SS,
270 (Portier), — Act. du bac. tar-
tricua, !t5, 415 {Grimberi). — Act.
du ferm. maonitique, téS, 991
{Gayon^ Duboarg). — Act. de HBr,
««, 341 {Fonton, Goêtling). —
Hydmi. par l'eau en prés, de Pd,
«6, 735 {Suie).
Mandarins (Essence). Prés, de mé-
thylanlhrantlale de méthyle, M,
646 {Walbaum).
Manoanèse. Emploi de MnSO^ dans
les dos. par KMnO\ «5. 897
{Gailhat), — Dec. du carbure par
l'oau, «S, 525 {Borthelot). — Act.
de MnK)' surPO'H*. Phosphate com-
flexe, *•, 788 (Augcr), — Act. de
IgO sur les chlorure, azotate et sul-
Oate. Nitrate bas. de Hg et Mn, CS,
789 [Mailhe), — Solub. de Thydrate
*t du borate en prés, de sels ammon.,
«S, 962 {Dover, van Clooff). —
Act. deCu(OH)* sur le sulfate. Sel
double bas., U, 968 (Hocoura). —
Peroxydat. par le radium, SS. 1059
iBcrtholot). — Form. de MnO'dans
Tact, de PCPH* sur KMnO% S6, 34
(KahliDg). — Form. de MnSO* et
Mn*(Sœ)* dans Tact, de KMnQ* sur
H*0' et Tac. de Caro, 5NI, 65
(Baoyer, Vilîiger), — Act. du réact.
de Caro sur MnO*, M, 88 {Bam-
bergor). — Sépar. de Mn, Te, Al,
Zn, Cr au moyen de Na*0*, 96, 127
(Barrée). — Dos. de phosphate
dans les os d*un éléphant fossile,
S6, 164 {van Bemmelen^ Klobbie).
— Dos. à rétat de pyrophosphate,
€•, 195 (Boetiger). — Recherche et
dos. par le persulfate, ItS, 250
(Marshall). — Azoture basique, S6,
S55 (CurtiuSt Darapaky). — Form.
de MnO* dans la déc. de KMnO* par
la chaleur, «6, 861 {Budorff). —
Sépar. de Fe; préoipit. parToxalate
d'ammon., Se, 868 (Bluw). —
Temp. de transf. deSO*Mn, S«,517
{Dawson, Williams), — Solub. des
hydrates de MnSO\ e«, 521 (Cot-
trell). — DifT. de potentiel des élec-
trodes en MnO*, t6, 603 (Tower).
— Infl. des sulfate, acétate, butv-
rate, benzoate et oxalate sur la vit.
d*ox^d. des sol. oxaliques, SU, 659
iJorissen, Rcieher)* — Act. de
MnO* sur Pt coUoïd., ««, 668 (Brc-
dig^Berneck). — Solub. des hydrates
de MnCl*, S6, 669 {Dawson, Wil-
liams). — Propr. des sulfates
doubles hydratés de Mn et Cu, S6,
857 {Stortonbeckor), — Dos. à Tétat
de phosphate ammon.. S6. 953
{Dakin). — Rôle de MnSO*etMnO*
dans Toxyd. de l'ac. oxalique par
KMnO*, ««, 965 {Georgevics ,
Springcr). — Tens. de vap. des
raél. de MnSO* avec CuSO* et
ZnSO*, t«, 1044 {Hollmann,. —
Solub. de MnSO* et du sulfate
double de Mn et K, t«, 1052 (Ri-
chards, Fraprie),
— \'oy. Ferromanganbse.
Mangamque (Ac). Transf. des sels en
permanganates par les sels ammon.,
iS, 962 (Dover, Van Cloefl). —
Form. dans la déc. de KMnO* par la
chaleur, 9%, 361 (Budorfl).
Manganiqije (Per-) (Ac). Sursatur.
chim. du mél. avec H*0*, «S, 266
(Berthelot). — Act. sur le sulfate de
Mo, «5, 343(^ai7/iaci!io).— Applic
au dos. volum. à chaud, CS, é^
(Gailhat). — Applic. à la destrucl.
des matières organ. dans le^
recherches toxicol., SS, 946 [Do-
nigès). — Form. par act. des sels
ammon. sur les manganates, €5,
962 {Doyer, Van Cleelf), — Art. de
KMnO*surPO'H\t«,34 (KiihlingK
— Applic. au titrage de Fel', M,
1350
TABLE DES MATIÈRES.
68 (Bupp), — Act. du sel de K sur
H'O' ou sur les -ac. persulfuriques,
««, 65 {Baeyer, Villiger), — Acl.
sur Tac. persulfarique. Sol. d*anh.
dans SO*H*, «6, 66 [Bêch). —
Appl. au dos. de Cl, Br, I, en prés,
d'acétates, S6, 163 {Jannaschy Koe-
Jitz). — Appl. de KMnO* au dos.
de As«0% ««, 249 {RùbUng), —
Dec. du sel de K par la chaleur,
S«, 361 {Budorfi). — Conducl. élect.
du sel de K au point de congé!.,
S«, 838 (Weibam), — Infl. de
KMnO* sur la dissol. de Cr dans les
ac, se, 875 (Oslwald), — Acl. de
KMnO* surlesazotiteseldiv. comp.,
ft6, 899 (VôriaeiK/or). — Act. sur
Tac. oxalique et les sels de Mn, UNI,
965 {Georgovics, Springer).
Mannite. Vit. et lim. do Torm. du
formai et de l'acélal, S5, 350. —
Const. therm. du triformal, S5,S62
{Dolôpinc). — Act. du bac. tartri-
cus, SS, 415 {Grimbort), — Act.de
Tacétal et du chloracétal; prép. et
propr. du tri-acétal et du di-chlora>
cétal, «5, 585 {Dclcpine). — Form.
dans Tact, du ferm. manni tique sur
le lévulose et le sucre interverti, CS,
991 [GayoD, Dubourg). — Prés,
dans le catha edulis, S6,S12 {Beit-
ter), — Déterm. cryosc, UNI, 598
(LoomJs). — Ferment, par les schi-
zomycëtes, S6, 9N0 {Emmerling).
— Act. de la lum. sur les mél. ae
mannite et de quinone, S6, 1025
(CiamiciaD^ Silber). — Infl. sur la
sapon. do Féther acétique par NaOH,
««, 1041 (Co/ion).
Mannitol. Act. de div. bacilles, ۥ,
653 {Harden),
Mannose. Form. dans les graines à
albumen corné, €S, 699 (BourqucIoU
Ilérisaey). — Act. du feim. manni>
tique, »5, 991 {Gayon, Dubourg). —
Form. par hydrol. de la />-bromophé-
nylhydrazono, ft6, 62 {Koolh). —
Form. par hydrol. du méthylstro-
phantobioside, S6, 191 {FeJat), —
Form. de Tisom. d à part du nori,
«e, 731 (Osbima, Tolleos). —
Form. dans Tact, de la lum. sur un
mél. de mannite et de quinone, 1MI,
1025 [Ciamician, Silbor).
Manostat. Voy. Appareils.
MAROAmNc. Recherche du beurre de
Coco, «S, 652 ( Wautera),
— 1^0/. Olrooimargarinb.
Marjolaine (Essence). Dens., tens.,
superf., viscos., !KS, 523 (Joaocard,
Satie).
Martensite. Form. dans la solidiT.
de la fonte, S6, 867 (Bootoboom) .
Mastic. Propr. colloid., ft6, 839 {Har-
dy)..
Mbgoniquk (Ac.). CoosUt. élhercfi^
[Syn. OxY-3-GHÉLJDONiQcnE, rv«>
BOXT-2.6-OXr-3-PTRONlQU»-1.4), A
550 (Para toaer, Lôonmrdlu
MÉLAMiNB. Constit., spectre, WIL «
(HariJey, Dobbie^ L^uder),
— (Tribthyl-). Constit., spectre^.11
692 (Harthy, Dobbie, L^uder).
Mblliqub (Ac). Prép. a P^^^ ^
charbon ne bois, M», G84 <Vv-
neuil)^
Membranes. Voy. Osmose.
Menthane. Form. à part du iJtiM<^
de menthyle, S6, lOlâ, 10t4 fiTov
sanof).
'— (Ethyl-). Form. par cood. duefeV^
rure de menthyle avrc le Za-^ik«l-
Propr., constit., e«, 506,1014 (Kocr
sanof).
Menthe (Essence). Anal, des hait*
essentielles de menthe poivrée, CS
261 {Cbarabot). — Dens., Ti^coft..
tens. superf., SS, 523 {^emncaH
Satie).
Menthènb. Form. pardéc. du xamtk'»-
génate de menthol, 9B, 184 (TmrJ^
gaeff). — Form. dans Tacl. d« PO*
sur le prod. d*oxyd. de la menthow^
menthylhydrazone,!MI, 187 {Kijncf
— Form. à part, du chlorvr* d*
menthyle, M, 1012, 1014 sKomt-
sanof},
A*-MENTHkNB-0NB-2. Voy. Taj*ac*-
tone (Carvo-).
Menthol. Dos. dans la montbe po-
vrée, SS, 261 (Cbarabot). ~ AoL
de Tald. bonzoïque surledér. «ods.
S5, 988 (Martine). — Dec. du sa»-
thogénate par la chaleur, <•, llM
— Tribol. du menthol et des é(b«r«
stëarique, succinique, carbotsiqfB*.
^-naphtotque , phénylpropioaiq««.
m-oxybenzoîqae, ^M, 458 \T)^ek»'
gaeff). — Act. sur le phèDO^nir*
thoxy-éthoxy-chlorosilicane, 9m,S7T
IKipping, Lloyd). — Comb. attc
raid, formique. Oxyde cfaler»>iD**
thylique. Format., dér. pfaéoonli.
«Ô, lil [Wcdekind). — Pr«p. «<
propr. des éthers d, 7 et r
phényiglycolique, 8-^thox7pdi««y1 •
acétique et a-éthoxyproptoniqvf .
S«, 737 [Marekwaldy Mmckt^asm
— Act. de Pa% S«, loti KKtmtma
nof).
Mbnthone. Dos. dans la meotiM pn-
vrée, «S, 261 (Cbarabot\. — JUL
de rhydrogéne. Prép. et propr. d»
2 azines, M, 1t«. — Act. d* »a
surlamenthylhydrasooa.Prod d«ty-
dat., ««, 186, 187 {Kijotr). — Tn
bol. de l'oxiroe /, S«, 4» [T^rJÊ9^
gaoff). — Bromurat. ; trani^. a
coumarone, Ml, 604 {Bmrycr, :
fert).
— Voy. TnUTAMENTMONB^
TABLE DES MATIÈRES.
1351
i-MxNTHONB (Bbnztlidènb-). Prép. et
propr. des isom. d el /. Propriétés,
; cblorh. , bromh., 85, 988 {Martine),
McNTRONE (Carvo-). Form. de Tisom.
d à part.de la carvotanacétone, €6,
1170 (Hêrrios).
: HeNTHOXTSfLICANE (PHÉNOXY-ÉTnOXT-
MicTHOxY-). Prépar. au moyen de
SiCl». Propr., ««, 677 {Kippiog,
5 Uoyd).
McNTHTLAMiNE. FoiiD. des isoxD. d et
'> / par réd. des azines des menthones,
««, 18(5 (Kijaer), — Tribol. des
dér. benzoylé et ot-naphloylé do
risom. /, S6, 459 (Tschugae/t) ,
MKprTBTLC (Chlorure). Form. à part.
de la mentbone-menthylhydrazone,
««, 187 (Kijncr). — Constit. ;
Srépar. à part, du menthol. Act.
e Zn-éthyle, Z%, 1012, lOU {Kour-
sanof),
Mkntutlb (Chlorure sec.). Propr.,
act. de KOH, de Na, de Zn-éthyle,
S#, 505 {Koarsanof).
Mknthtle (Di-). Form. à part, du
^ chlorure de menthyle ei du men-
thol. Propr., constit., isom., S6,
lOlâ (Koiwsanof).
Menthtlhtdrazine. Act. de HCl sur
la comb. avec la menthoue. Propr.
du prod. d*oxyd., ft6, 186, 187
(KJJner) .
Mb?cthtlique. Voy, Thuyamenthy-
LIQUE.
Mkrgabide. Prép. à part, des aie.
éihyl., propyl., allyl., iso-amyl., de
Tald. acét., de la cellulose, de
Tamidon, du saccharose. Propr.,
•elB« S6, 12â {Hoimann).
Mb«captan. Voy, Mkthyl-, Ethyl-
MEnCAPTAN, etc.
Mbrcaptols (CÉTO-). Form. par comb.
des dicétones avec les mercaptans,
S«, ^ (PosDor).
Mercure. Act. de la lum. en prés, de
H el dans le vide sur HgO. Form.
de HgH), «6, «68 iCo/soni. —Act.
de C sur HgSO', 25, 284 {Bou-
douard), — Chai, de dissol. de div.
var. d*Ag dans Hg, SS, 523, 524
iBcrthcloi). — Appl. de Hg(AzO')«
a la recherche des comp. aroidés,
es, 53$ (Mouliû). — Act. de Hgsur
6bl?. lodo-antimoniure, CS, 564
{Oranger). — Sels mercuriques de
diazo-aminés, S5, 565 {Mounier). —
Amalg. d'in, SS, 571 iC ha bric,
Bengado). — Propr. de Tamalg. de
Fe, 9Sy 615. — Act. de Cu sur
Tamalg. de Cr. Transf. en CrO, 85,
617,619. — Amalg. d'uranium, CS,
622 {Fcrée). — Comb. de Hg avec
Sbl*. Foroi. dModure et d*iodo-anti-
moniure, SS,628 {Grangcn. — Act.
de HgO sur les sol. aq. des sels
métoU., S5, 788 {Mailhe), — Act.
de H sur HgS, de H«S sur Hg.
«5,777 {Pôlabon). — Act. de HgO
sur les sulfates, nitrates, chlorures
et bromures de Zn, Ni, Co, Mn,
Cu, Cd, Pb, Fe; form. de sels
mixtes du type A*Hg, A/0, n aq,
«5, 786 {Mailhe). — Recherche
toxicol., !t5, 945 [Denigès], — Poids
mol. à la temp. d'ébull., £5, 963
[de Forcrand), — Act. de HgO sur
FeSO*, S5, 9(59 iSabaticr). — Form.
d'un chloromercurale d'une base
sulfurée, S6, 34 {Nabi). — Infl. de
HgBi** sur la bromur. de C«H',«e,
48 (Kaufmann). — Comb. de HgCI",
HgO avec l'éthylène, les aie. élnyli-
que et allyliqae, Péther, S«, 85, 86
{Hofmanny Sand, Biilmann). —
Act. de HgO sur Talc, éthyl. et
Tald. acétique. Form. de merca-
bide, t#, 122 {Hofmann), — Dos.
de H g par Tac. hypophosphoreux,
se, 128 {BenneU), — Propr. des
amalg. de Pb. S«, 358 {Fery,
North) . — Télrabromoplatinate ,
se, 361 (Miolatti, Belluei].— Do9.
de Hg dans l'urine, ee, .H66
{Jolies) ; se, 367 {Schumacher,
Yung). — Act. de Na'S'O» sur les
sels, se, 455 {Faklor), — Dos.
dans l'urine, Se, 456 (Werder). —
Tribol.de Hg(CAz)*, Se,558 (Tsc/ïu-
gacfi). — Kcl. entre la conduct.
électr. de HgCl* et son act. toxique
sur les poissons, Se, 603 {Kahlen-
berg, Mehl). — Transf. des crisl.
mixtes de HgBr*-Hgl*, Se, 606
{Beindors). — Dos. de Hg par I
dans le salicylate, Se, 608 {Bnnp).
— Act. de HgCl* sur Pt colloîd., Se,
664 (Brcdig, Berneck). — Réd. du
nitrate par Tac. lactique, Se, 666
[Vanino, Hauser). — Appl. de
IIkCI' à la recherche de AsH\ Se,
670 {Dowzard). — Comb. de HgCl»
avec le sulfure de méthyle, Se, 675
{Phillips). — Infl. de Hg sur Thy-
drol. de div. éthers, Se, 736 (Su/c).
— Purif. par distill. ou traitement
au nitrate. Tens. de vap., Se, 847
(Uulctt). — Thermodyn. des élé-
ments Hg*SO*-Zn et Hg-Hg«SO*-
ZnSO*-Zn amalg., Hg- Hg»SO*-
CdSO*-Cd amalg., Se, 851, 852,
853. — Isom. des oxydes Jaune et
roug^. Force électrom. du couple
Hg-HgO (rouge, jaune)+KOH-Hg,
se, 8fe ifJohen). — Isom. de HgO
jaune et rouge. Solub. dans les sol.
de KBr, Se, 856(Os<w'a/(f. — Pola-
ris. et dens. de courant dans Hgi*
fondu, se, 869 {Gockeh. — Poten-
tiel de Téleclrodc normale à HgCl*,
se, 879 I Wihmore, Ostwald). —
Act. de HgS sur SO«CI* et AlCl*.
1352
TABLE DES MATIÈRES.
Form. de HgCI*, S«, 884 (f?M/>).—
Chloromercurates de sels diéthylène-
diamiao-cobalUquos, 26, 887, 888
(Wemer, Humhhrey). — Propr.
toxiques de HgCl* en prés, d'autres
sels, »«, 946 {Clark), — Force
electrom. des div. degrés d'oxydat.
(le Hg, ««, ICm {Luther, Abeij, —
Act. de HgCl« et Hg(GA2)* sur Pt
coUoïd., ««, 1039 [Bredtg, Jkeda),
— Propr. de Hg coUoïd., 26, 1040
[Bredig, Boindors). —Bel, entre la
tens. superf. et la solub. de HgO,
«6, 1047 {Hulott). — Cond. électr.
du cyanure double de K« S6, 105!2
{Jones f Caldwell). — Correct, du
ménisque, 26, 106G {Winkler),
Mercure-phényle. Act. de Te, 26,
274 [Stoiaer). — Tribolum., 26,
458 {T&ehugaoft}.
Mercuri-acétique ( Bromo • ) ( Ac . K
Form. à part, de la comb. de C*H^
et HgCl*. Propr., ^.m,^[HofmaBD,
Sand).
— (Di) (Ac). Prép.. propr., 26, 85
(Hotmann, Sana).
— (Tbi-) (Ac). Form. par act. de
HeO sur raid, acétique, 26, 12!t
[HofmaDn).
Mercuri-acétique (Tri-) (Aid.). Form.
à part, do Tald. acétique et HgO,
26, 122 \Hormann).
MsROQUiNÈNB. Coustît., 26,304 {Koc-
nigs),
MÉSACONiQUK (Ac). Cond. avec le éXê-
zométhane, 26, 429 {PochmaDD,
Burkard),
MésiDiNE. Form. par cond. du mési-
lylène avec AzH'OH et AlCl*. 26,
703 {Gracbe). — Diazot. par le ni-
trite d'amyle, 26. 704 (Bam berger,
Bust). — Form. û part, de !a mé-
sitylbydroxvlamine. Transf. en ni-
trosomésityléne. D6r. benzoylé, 26,
712, 713 (Bambergor, Blsiog).
Mbsitol. Form. à part, du mésityl-
quinol, 26, 714 {Bambergor^ Bi-
sing),
MÉs'.TYLCÉTONE (Mkthyl-). Cond. avec
le chlorure de chloracétyle et AlCl*,
26, 985 [KunckeîU Hildebrandt),
MusiTTLE. Prép. et propr. des isosul-
focyanate, benzoyldithiocarbamate et
benzoyliminodithiocarbonate , 26,
1099 [Wheclory Johnson),
MÉsiTYLE (Oxyde de). Prép. et propr.
de la comb. platinique, 26, 70
{PrandtU Hotmann). —Cond. avec
l'élher malonique sodé, 26, 407
[Crossîey], — Gond, avec Téthyl-
mercaplan. Triéthylmorcaplan, 26,
619 [Posner).
MÉsiTYLK.NE. lodur. par S'I', 26, 10.
— Bromur. par S'Br*, 26. 11
[Edinger, Goldberg). — Cond. avec
Tanb. o-sulfobenzoïque et AlCP.têy
176 [Krannich), — RM. des dér.
halogènes par Ht, 26, 397 ^/Tiajre*.
Lieeko). — Prés, dans le naphu d»
Grosnyi, 26, 539 {Koaoralof, Plet
Dikot). — Cond. avec le chlorure 4»
chloracétyle et AlCP, 26, 6â iK^c-
kell, Korîizky). — Cond. «vw
AzH'OH el AJC1\ 26, 7ÛS \,Graebe .
— Nitrat., 26, 712 [Bmmberger, Bi
sing). — Tens. de vap. à div. temp,,
26, 863 (Woringcr). — Extr^eLdn
eu mol brut, 26, 912 [Ma9ckner\.
— (Aro-). Form. à part, de U iDé«i-
tylbydroxylamine, 26, 713 \Bam-
borger, Bising).
— {Bromo-i, Prép. au moyen d^ S'fil'^,
26, 11 (Èdinger, Goldbrrg).
— (ChIoro^S'iodo-4'), Prép. à ^rt.
de riodoméaUyléne. Ad. Hor k
chloracéiyluro d'Ag, 26, 39B ( Wilt-
gerodt, Beggatz),
— IDiazo-). Act. de Kl, 26. M
{WJBgerodt, Beggatz).
— (lodo-), Prép. au inoyeo de SV.
26, 10 (Edtnger, Gofdborg). —
Form. à part, de la mésidioe. Propr.,
26, 397 (WWgerodt, Beggatz ,
— {lodoso-). Prép., propr., dichlo*
rure, sels, dér. chloré- 1, 26, M
{WîUgerodt, Beggatz).
— ilodyjo-). Prép , propr.. dér. chloré-
4, 26. 398 (WiUgcntdt, BcggaU*.
— {Nitro-), Prép., propr., 26, 71i
(Bambergcr, Bising),
— (A''ilroso-). Form. à part, de la
mésitylhydroxylaminc et de la mé-
sidine. Propr., 26, 712, 713 {Bêm-
berger, Bising),
Mésitylènb (Acétyl-). Voy. Misi-
TYLCKTONE (MÉTHYL-).
(Di-)- Act. du chlorure d*ac*-
lyle en prés, de A1C1\ 26, llBS
(kunckell, Hildebrandt).
MÉSITYLÈNE (AGKTYL-BI>«-CHLO«ACfc-
TYL-). Prép. au moyen de racé()l-
mésitylëne et du chlorure de chlor-
acétyle. Propr., 26, 985 [KunckM
Hildebrandt}.
MÉSITYLÎCNB (GMLOHAOicTVL-) (BlS^^-
Aet. de PCP, 26, 623 [Kuaektll,
Eras). — Dér. mono- el pMitabr^
mes, 26, 98G {Kunekclf, Hildt-
brandt).
MÉsiTYLÎiNE (Ethkntl-i iBis^icbtnt^'»
Prép. à part, du dtchloracélylméfi-
tyléne. Propr., 26, 62:{ (KainirU,
Eras).
MÉSITYLitNE-SULFOMQUE (Ac>. Fon».
dans la sulfon. du pseudocuaifar
et du cumol brut. Sel de Na, 26,
912 [AfoHchocr],
MÉ8ITYLÊNIQUB (Ac). Nitrftt., 26, 4f>
[Bambcrger^ Demutb), — Form. a
(art. du mé8ttylèac, 26, 712
tvrgor, Jtitsing).
ï\
TABLE DEB MATIÈRES.
lâSS
— {AmiaO'S') (Ac). Fonn. à part,
de l'indiazonoxiiDe de Tald. amino-
oièsitylénique et à pari, de Tac. ait-
dométitylénique, M, 924 {Bambci^
ger, Deauth),
— {Amino'i'DitrO'à') «Ac). Prép.,
propr., 9#, 4^ (Bambergcr, De-
muih),
— {Amiûo-2-niiro-^) (Ac). Prép.,
propr., SU, 480 (Bambergcr, Do-
mutb),
— {Axido'S') (Ac). Form. à part, de
Tald. coiTesp. ou de l'ac. diazomé-
siiylénique. Propr., 96, 924 [Bam-
bergcr, Dcmutb)
— {DiazO'i') (Ac). Prép. et propr.
du perbromure, UNI, 924 {Bamber^
ger, Demathj.
— {Niiro-2') (Ac). Prép., propr.,
%Mn 479 [Bambergcr, Dcmutb),
— (iVitro-A-) (Ac). Prép., propr.,
1K6, 479 [Bambergor, Demuthi.
— (Nitro'2.4-) iÔi') (Ac). Prép.,
propr., 9H. 480 [Bambcrger, Dc-
mutb). — Form. à part, de Tacé-
ty Idichloracétylméaityléne . Propr.,
chlorure, anilide, hydracide, M,
965 {Hildebrandt. Kunckcll) .
— [NitrO'É.6') (Di-) (Ac). Prép.,
propr., S6, 479 (Bambergcr, Dc-
mutb),
Méisittlénique (Aid.). Comb. avec
Taniline, la pseudocumidine, la p-
chloraoiline, 1MI, 763 (Haatiscb,
Scbwab). — Dér. nitré, dinitré,
aminé, oxime, p-nitrohydrazone,
<•, 923 [Bambergcr, Dcmutb) .
— (AzidO') (Aid.). Prép. à part, de
rindiazonoxime corresp.; propr.,
p-nitrobydrasone, S6, 924 {Bamber-
gcr, Demutb).
MÉsiTTLHYDROXYLAMiNE.Prép., propr.;
comb. avec l'isocyanate de phényle,
les ald. benzoîquo, p- et jn-nitro- et
p-méthoxybenzoïques, <#, 712 [Bam-
bergcr, Biatug).
MÉsiTYLiODONiuM (Di-)- Prép. et propr.
des sels, 9H, 398 i Wilîgcrodt, Rcg-
gatx),
— (Etmtl-) [DicblorA, Prép. au moven
du chloroiodomésilylène et du cblor-
acétvlure d'Ag. Propr., sels, S6,
898 [Wilîgcrodt, Bcggatz).
— (Pményl-). Prép. et propr. des
sels, S6, 31>8 {Willcgerodt, Rcg-
g»tz).
Mksittlquinol. Form. par oxyd. de
la mésitylhydroxylamine.Propr. , dér.
benzoylé, t6, 713, 714 [Bambergcr,
Riaing).
MÉsoxALigUB (Ac). Form. de Timide
Êar oxyd. de Tac urique. Sel do
ta, d'Ag, !tS, 252 [Bouilict).
MéTANiLiQUR. Syn. Aniline-jh-sulfo-
KIQUB.
MÉTHANE. Form. dans Tact, de Teau
acide sur le granit, CS, 232 (6'au-
tier), — Form. dans Tact, du chlo-
rure d*éihylidéne sur le naphtaléne,
SS, 495 [uodroux), — Form. dans
la déc des carbures métall. par
Teau, XS, 525. — Form. dans Tact,
de la cbal. sur un mél. d*acétylëne
et de propyléno ou de cyclopropane,
S5, 642 (Bcrtbcht). — Form. dan»
rhydrogënat. de Téthylène par Ni,
««, 671, 678 [Sabatior, ScndcrcDs).
— Form. dans Tact, de Peau sur
riodure de Mg-mélhylc, 26, 694
(Tissicr, Grignard). — Form. par
dist. sous pression d*builes de ré-
sine et de ffraissage, de la bakou-
mine, 26, 124 [Kraemer, Spilker\,
— Infl. sur rinflammabilité du gaz
tonnant, S6, 879 [TanaUr], —
Solub. dans reau,26, 949 [Wink-
lor), — Form. dans Tact, de l'élio-
celle sur un mél . de CO* et H, 26,
1123 [CoJJic), — Form. par comb.
de H et 0 dans Parc et à 1200««
26, 1126 [BoDO, Jcrdaa).
— (Bis-aioxy-), Form. à part, de Tac
bis-azox y-acétique. Propr., réducl.,
26, 6^ [Hantiseb, LcbmaDD).
— [Bia-diaxO'). Prép. au moyen du
bis-azoxymétbane ; act. do AzO%
26, 690 [Hantzscb, Lcbmann).
— [Bromo'DJtro-) (/)/-). Act. sur la
phénylbydrazino et les alcoylphényl-
hydrazines, 26, 777, 778, 71^ [Bam-
bergcr, Scbmidt).
— [Cbloro-nitro') [Tri-]. [Syo,
Chloropicri.nb]. Cryôscop. dans Tac
formique, 26, 529 (Bruni, Berti).
— Act. du zinc-élhyle, 26, 258
(Bcwad).
— [Diazo-). Act. sur les ac. crotoni-
ques isom., 26, 380. — Gond, avec
les éthers acrylique, cinnamiquo,
citraconique et mésaconique, 26,
429 [Pcchmann, Burkard), — Act.
sur les hydrazonos d*ald. nitrées,
26, 777 [Bambergcr, Scbmidt). —
Act. sur les amides primaires balo-
génées, 26, 898 [Stieglitz, Slos-
son),
— UVitrO'). Act. de AzH», 26, 151
[DuDstao, Goulding). — Act. de Zn-
éthyle, 26, 257 (f^ewad). — Déc du
dér. sodé par les ac, 26, 377
[Torroy, Black). -- Poids mol. en
sol. dans AzO*, 26, 527. — Cryosc.
dans Tac formique, 26, 52*J {Bruni,
Berti), — Conducl. électr. du dér.
sodé, 26, 610 {Suie). — Gond, avec
raid, acétique, 2S, 978 [Peetcrs),
MÉTHANE (TÉTRAMÉTHYL-). Voy. PBO-
PANE (MéTHYL-2.2-) (Dl-).
MÉTHAZONiQUE (Ac). Form. à part,
du nilrométhane. Propr., constit.,
1S54
TABLE DES MATIÈRES.
86lA, éthers, €6, 151 {Dunstan^
Goulding) .
Mbthémoglobinb. Vov. Hbmoolobinb.
MéTHioNiQUB (Ac.)> Form. par déé.
de Tac. acétono-trisulfonique, SS,
1012 [DelépiDo).
Mbthtlal. Voy. Formiqub (Aid.).
MÉTHYLAMiNB. Ppopr. dcs méthyl-
amtdeso-^/D-etp-toluiquosetdesdér.
niirés, SS, 985, 986 {Schorpenzcel).
— Tens. des dissol., ^M, 5 {Kono-
valof). — Cond. avec riminothio-
diphénylimine, S€,54 {Seltaposchni-
kof). — Form. par oxyd. mangan.
de la pilocarpine, S0, lh9 [Pinncr,
Kohibamwer) , — Comb. avec Tald.
trinitropropionique, fl^6, 377 ( Torrcy^
Black), •— Appl. à la précipit. de
Zn, ft6, 456 (ffcrx), — Form. par
oxyd. mangan. des bases puriques,
««, 576 [Jolies). — Form. du dér.
benzoylé par oxyd. de l'ald. ben-
zoîque en prés, de méthylamine,
S6, 628 {Pickard, Carter). — Form.
par réd. de rëlher méthyl. de Thy-
drazone nitroformique, €0, 778
{Bamberger, Schmidt). — Form. par
oxyd. des albuminoïdes, S6, 940
(Jolies), — Ad. sur le chlorure-
élher phénylcarbaxinocarboniquo,
«6, 1006 (Busch, Heinrichs). —
Chlorure double de molybdényle,
S<l, 1055 (Nordenskiocldt).— Form.
à part, de la benzoylmôtliyliso-urée,
<i, 1075 iMac Kcc), — Act. du
chlorure de pyromucyle, 96, 1109
(Baum), — Act. sur lesélhers sulfo-
cyanocarboniques,JS6,1128 {Doran),
MÉTHYLAMINB (Di-)* Form. par déc.
de Tac. dïméthylamino-antraauinone-
oxysulfonique, 2S, 213 (Hallery
Guyot). — Ck)nd. avec la pésorcine
et la fluorescéine, £5, 218 (Gri-
maux). — Propr. des amides o-, m-
et p-toluiqucs ot nilrotoluiquos, SS,
985, 986 [ScherpoDzecI] . — Acl. sur
le prod. de nilrat. de Télher acétyl-
acétique, £5 1011 {BouveauU, Bou^
gert), — Tens. des dissol., S6, 5
(KoDOvalof) . — Cond. avec Timi-
nothiodiphénylimine, £6, 55 [Scha-
poschnjkof), — Act. sur la thio-
nine, 26, 224 {Kchrmann^ Scha^
poschnikof). — Appl. au dos. de
Mg. «6, 249 {Donnis). — Cond.
avec Téther xanthogénique, 1M, â91
(W/iee/er, Austin). — Form. dans
ract. de AzH' sur le salicylate de
mélhyle, 26, Mb{TiDgh). — Appl.
à la précipit. de Zn, S6, 453 (Ilcrz).
— Act. sur le peroxyde d'alc. élhyl.,
S6, 5;}1 (BaoYor, VilUgor). —
Act. sur le chlorophénylisonaphto-
phénazonium, 26, 545 [Kehrmann^
Hiby), — Act. sur le chlorodinitro-
2.4-benzène, 26, 547 {Kobrmanù^
Mùller), — Chlorure double de no-
lybdényle, 26, 1055 {f^ordem
kjoeld).
MÉTHYLAMINB (Tri-). Tens.des dissol.,
26, 5 {Konovalof). — Cond. aver
rimtnothiodipbénylimine, ^S, 55
{Schaposchnikof). — Form. par
déc. de Thydrate do méthylaiorplii
méthine, 26, 154 {Partbcil, Unp-
DO ver), — Form. par déc. de U
bilifuscine, 26, 816 (ZumbamebK
— Chlorure double de aioIji>désyle,
26, 1055 {Nordeoskjoeld). — Pom
par déc. du p-teluène-sulfonate de
tétraméthyiammonium , itM , ii:)l
jVbn Meyer).
Methtlammonium (Tktra-). Chlorure
double de molybdényle, S6, K365
[Nordonskjoeld). — Propr. do />-
toluène-sumnate, 26, li;il tr«A
Mvycr).
Mbthylanthraniuqub. Voy. Dc^i-
zoïque {MétbylaminO'2'),
Mbthylb (Azotate). Act. de Tlodare
de Mg-éthyle, 2S, 483 {Mourev).
— (Bromure). Form. dans Tact, et
AlBr»8ur CH"Cl, 2«, 193 [Poorel.
— Vit. de réact. avec les amiae^
arom. , 26, 14, 860 [Menscboaîkimt
— (Chlorure). Transf. en bromure par
AlBr", 2«, 19S {Pourct), — Fonn.
dans Tact, de HCl sur U phénylm»-
thyl-iso-urée, 26, 107S [Mac Kce .
— (lodure). Comb. avec Téther ère-
nomalonique sodé, 2S, 174 {Hallet,
Blanc), — Comb. mol. avec Tek.
méthvl., 2S, 572 {Meunier), — AH.
sur Mg, 25, 644 [Grignard], —
Act. sur les aminés arom. teri. pbé>
nylées, 26, 176 {Haenssermêmai,
— Acl. sur réther propane-tri-CAr*
bonique sodé, 26, 199 [Mellor). —
Act. sur les amides Bod<Vas, 26,S73,
(Tiiberley). — Cond. avec To^ire-
motoluène et Na, 26, 697 {Sprimà-
meycr), — Act. sur les osimce de
l'acétone, Tacétophénone et l'^Id.
acétique, 26, 747 [Danstau, Gonl-
ding). — Act. sur laid, salicyli^iit
et i*o-diméthoxybenzoine eu pnk.
de Ag"0, 26, 7(80 {Irvine). — Ad
sur les aminés tert. arom., 26. 77#
(Pinnow). — Act. sur rocetanilidr
et ses horool. en prés, de K*^*
26, 988 (Lander).
— llsosulfocyanate). Comb. avec If4
Ihio-acides, 26, 679 {WbttStr,
Mcrriam] .
— (Sulfate). Propr., applic. aux m*-
thylat., 26, 674 [Blacklrr),
Mbthylb (Oxvde). Form. dans 1*94.
de PO^R* sirup. sur Talc. méUfi.
26, 674 (Newtb).
Méthylb (Sulfure). Comb. avec IHK7.
HgCl*, Cu"Cl*, Aua*, 26, ff75 (PAj*-
lips).
TABLE DES MATIÈRES.
1355
Mkthtlènk. Voy. Bleu.
Mbthtlènb (Bromure). Form. par a ci.
de AlBr* sur le chlorure, es, 193
(Pouret),
— (Chlorore). Transf. en bromure par
AlBr*, SS, 108 [Pouret), — Gond,
avec le naphtalène et AlCP, SS,
496 (Bodrotîx). — Aot. sur Paniline
et l'o-toluidtne, «6, 544 {Grasai,
Sebiavo-LeDt).
MÉTHTLHYDitAiiNB (Sulfate). Act. de
CAzOK, ^M, 783 {Youag, Oates),
^Mbthtlhtdroxylamins. Form. à
part, du dér. diméthylé de Toximc
auccinique, S6, 685 {Harries).
MiTHTLiQUE (Alc.)> Comb. mol. avec
les ac. diméthyl- et diéthylamino-
benzoylbenzoïques , S6, 169. 172
{HaJhr, Guyot). — Vit. et lim. de
form. du formai, SS, 849, 8(4. —
Const. thorm. du formai, SS, 861
{Delépine), — Infl. sur le déc. de
CaCO^ par les acides, SS, 3U3
{Vallée). — Comb. avec la diphé-
nylcarbazide, SS, 4511 (Cazooouvc).
— Ponv. rotat. de Téther isovalé-
rique act., SS, 550 {Guye). — Act.
de AlCl*. Comb. mol., dér. dichlo-
rométhoxylé» S5, 552 {Perrier^
Pougot), — Ck)mb. mol. avecCH'I,
1t6, 572 (Afoimier). ~- Act. sur le
diamylformal. Act. des alo. amyl.
et propyl., des phénol et ^-naphtol
sur le formai et le chloracétal.
Chloracétals mixtes, S5, 575, 576,
d77. — Act. du formai sur la pina-
cône et la glycérine, 8S, 581 [DoJà'
pine). — Act. sur Mff et l'iodure d'*
Mg-méthyU. Form. de méthylateet
d'iodométbylate, SS, 694 ( Tissier,
Grigoard). — Act. sur CaC* au
rouge, SS, 896 {Lefcbvre), — Act.
sur le chlorodinitro-2.4-bonzène eo
prés, de CAzK, £5, 94 {Hetoren\.
— Aot. du dér. sodé sur le chloro-
dinitrobenzéne sym., £5, 981 (de
Kock), — Act. sur la base du vert
malachite, SU, 97 (O. Fischer). —
Solub. des chlorures, SU, 162 {Bob-
laad. — Infl. sur le pouv. rotat. du
tartrate d*éthyle, Se, 259 (Pattei>
soD\, — Pyrogénat., 1MI, 869 {Ipa-
ticf). — Prés, dans Thuile de bois,
^56, 439 [Fraps). — Recherche par
la résorcine, M, 441 {MulUken,
Seudder). — Electrol. des sels de
Oo, Cu etc. en sol. dans Talc, mé-
thyl., %H, 457 {Spcransky, Gold-
b>erg). — Electrol. des dissoU de
SbCP, «6, 628 [Kableoberg). —
Form. par déc. de Tac. pyroméoo-
nique, 1M, 551 [Poratoncr, Léo-
nardi). — Déterra, cryoscop., *•,
598 (Loomis). — - Equil. avec Teau
en prés, de div. scia, SU, 598
{Bruyn). — Pyrogénat., ft6, 612
(Grigoriof). — EbuIIiosc. et dissoc.
electrol. de div. sels en sol. dans
Talo. méthyl.; const. diélectr., SU,
660 {Joûcs). — Act. de PO*H» sirup.,
%H, 674 {Nowtb). — Aoétal de Tald.
et de la monoxime succinique, 1M,
685 (Harries). — Appl. à la méthy-
lat. des bases arom., ۥ, 781 (Pin-
now), — Act. du dér. aodé eur
l'hydrazone phénylnitroformique ,
1M, 793 {Bamùcrger, Grob). —
Vit. d'act. sur l*éther benzéne-solfo-
nique, S6, 859 {Zagrebia). — Infl.
sur div. vit. de réact., S6, 861
(MeDScbouikiDe) . — Const. diélectr.
de la vap., S6, 1032 {Baedekûi^.^
Dissoc. aes éthera méthyl. en prés,
d'eau, d'ac, d'alc. etc.,- S6, 1037
(Euler). — Infl. sur la sapon. de
réther acétique par NaOH, «6, 1048
(Kullgrcen).
— {Chloro-) (Aie). Oxyde mixte men-
thylique, ft6, 717 [WedckÎDd).
MÉTHYLiQUES ( Ethcrs organiques)'.
Voy. Acétique, Propionique, etc.
MÉTHTLMERCAPTAN. FOHU. par déC.
du dér. Az.oE-benzoylé de l'éther
anilido-iminodithiocarbonique, 96,
433 {Buscb^ Lingenbrinck). —
Form. par déc. des albuminotdes,
«6, 560 [NcDcki). — Form. par
déc. de Télber méthyl. de la diphé-
nyl-2.4-thio8emicaroazide, tS6, 790
{Èuscby Holzmann). — Form. dans
la réduct. de Tiaosulfocyanate de
phényle, S6, 1096 (Gutbier).
Methylokanc.e. Voy. Acidimétrie.
MÉTHTL-2-sEMiCARBAZinE. Prép. par
cond. do COAzH avec la méthylhy-
drazine ou à part, de la nitrosomé-
th^lurée. Comb. avec les ald. ben-
zoique, cinnamique, m-nitroben-
zoîque, ZUf '/83 (Youog, Oates).
MÉTHYLSULFURIQUE. (Ac). Act. du
sel de K sur réthylbonzamide et la
, 574
méthylacétamide sodées,
(TitberJey),
MÉTUYLTHIOCARBAMIQUE (Dl-) (Ether) .
Prép. au moyen de la diméthyl-
aminé et de 1 éther xanthogénique.
Propr., e€, 891 {Wbccicr, Austia).
MÉTHYL-4-TUI08EIIICARBAZIDE. Oxyd.
de la comb. avec Tald. benzoîque,
S«, 226 [Youag, Eyre), — Prép.
et propr. du dér. benzoylé, <#,
78* [Young, Oates).
MiCELLBs. Voy. Colloïdes.
Modules. Voy. THBRMODYfiAMiQUB.
Moisissures. Act. sur div. racémi-
ques. Infl. de la temp., S6, 528
( Ulpiani, Condelli) .
Moléculaires (Volumes). Détenu.,
««, 596 {Guldborg).
Molybdène. Prép., propr. et constit.
des oxydes ; transf. de l'oxyde bleu
135G
TABLE DES MATIÈRES.
en télrachlorure, S5, â. — Act. de
H«0 sur MoCl». Form. de MoCI*,
MoO' et de l'oxyde bleu, SS, 98,
188. — Form., propr. et constit. de
Foxyde bleu. Act. de Cl, Br, I,
HCl, AzH'; transf. en oxycblorurt,
SS, 181.— Prép. et propr. du sul-
fate. Transf. en oxychlorure et oxy-
bromure, SS, 341, 344 (Bail'
bacbe). — Alliage de Mo-Al, 85,
9eQ {Giiillct) , — DOS. de Mo, S«,3
{Friedheiœ^ Castendyek). — Dos.
iodométrique, tS6, 1^ [Jannasch^
Koelitz), — Prép. et propr. du
chlorure de molybdényie ammon.,
de Thydrate de molybdényie et du
semi-penloxyde de Mo. Act. de Cl
sur NloO*, S6, 245. — Constit. des
oxydes bleus de Mo. tS#, 247
(làaaoa). — Anal, des alliages, S6,
367 [BoFDtracger). — Transf. du
chlorure noir en MoCl* et MoCl*par
SO'Cl* cl AICl*, ««, 886 (Buff). —
Prép. et propr. des chlorures dou-
bles de molybdényie et de K, Hb,
Cs et des aminés, €11, 1055 (Nor-
doDskJooId). — Form. d'oxyde bleu
par réd. de MoO» par SnCl% «6,
1059 {Zcogelis). — Appl. de Mo à la
chlorur. des comp. arom., tS6, 1076
{Cohen, Dakin).
MoLYBDiQUE (Ac). Form. à part de
l'oxyde bleu de Mo, £5, 2. — Form.
par act. de H«0 sur MoCl», «5, 98,
188. — Transf. des sels en oxyde
bleu de Mo, 2S, 183 [Guicbard). —
Act. de H*S «n prés, de SO*H*, 95,
341 {Bailhacho. — Réd. par l'aie,
en prés, de SO*H», 2S, 641 {Pc-
chard], — Appl. au dos. colorim, de
PO^H' dans les eaux potables, ^S,
SMf {Lephrro). — Réd. par Al. «5,
969 {Guillct}, — Act. do AzH*l et
HCl sur le sel ammon.. 26, 245.
— Prép., propp. et constit. de Tac,
et des div. sels ammon., !K6, 246
[Klasoo). — Propr. du sel de
Na, <6, 278 (Funk). — For-
mation par oxyd. des «lUiages de Mo,
M, 367 {Bomtracger) . — Applic.
au dos. colorim. de PO*H' dans les
eaux potables, *6, 609 { Woodwau,
CayvaD), — Infl.catal. sur Tact, de
H«Ô« sur HI, «6, 1046 (Brode). —
Infl. sur lepouv. rolat. dcff tartrates,
en, 1055 (!tzig), — Réd. par
SnCl*; appl. au dos. de Fe et Sn,
«6. 1059 [ZengoUs).
— Voy, SiLîCOVANADIOMOLYBDIQUB,
Vanadiomoltbdiqub.
MoLTBDiQUE {Di-)tAc.). Form. è part,
du sulfate de Mo, S5, 344 (Bail-
hacho).
MoLYBDOsuLFUBiQUE (Ac J . Prép. à
part, de MoO*. Propr., sels ammon.,
tes, 641 [Pcchard).
MoNAzrrs. Bépar. des terres de te
cérite, S6, w (Meyer^ MmrekwM),
— Voy. CÉniUM.
MoNÉTiTK. Voy, Phosphoriqub (Ac).
MoRPHÉNOL. Form. de Téther méthyl,
à part, de la méthylisomorphimf*
thine, «6, 728 (Sebryyer^ Less),
MoRPHiDB (Bromo-). Form. i part
de l'isoroorphine. Act. de H'O, M,
727 (Schryvor, Lésa).
MORPHIMÉTHtKS (MbTBTL-^ . DédouK
de l'hydrate. M, 154 {P^rikal,
GroBover).
— (Mbthyl-iso-). Form. à part de
l'isocodéine. Propr., iDdométhylate,
en, 728 (Schryver, Lms).
Morphine. Sels dos ac. benioylamiao-
butynaues, </, 7 et r, IK, 64 (i?.F]«-
cher, Mouneyral), — Appl. ao dé-
doub.de rac.iMnéthoxyhydratropimK*
et des homol., £5, 339 (BougaulC.
— Réact. oolor. avec Se et 80*H*.
«5, 489 {Jouve). — ConaUt.. M,
154 {ParthcHf Gronover). — Poini
de fus. du chloracélate^ <•, 297
(SaUer), — Constit., S€, 7tf
(Schtyrer, Lcas),
Morphine (Iso-). Form. à part, do
bromomorphide. Propr., dèr. dim^
thylé, sels, iodométhylate, isom. y
«é, 727, 728 {Schryver, Lesfi).
Morpholone (pHÉNo-p-) iEtbti^^.
Form. du dér. chloré à part, de Tac.
o-nilrophénoxy-s-butyrique, 5M, 44
[Bischoff).
— — (QI-MÉTHYL-). Form. par réd. dt
l'ac. o - lûtrophénoxypropîoiuqve.
Propr., en, 11, 44 {Biaebofï),
(MÉTHYL-) (Di-).Forni. par réd.
de Tac. nitrophénoxy - isoba lyrique,
se, 11 (Biacboff),
MucBDiNB. Dos. de l'histidino, de rar*
ginine, de la lysine et de Az amidé,
M, 335 {Kosacl, Kktsebeti .
MuciNES. Constit. ; extract, des tao-
dons, S6, 819 [Lerenc).
MuciQUB (Ac). Form. h part, de la
cérébrone, SU, 328 [Wocraer,
Tbitrfelder), — Form. à part. d«
galactane, 96, 930 {Emmeniog),--
Propr., sel de K, %%, 1108 (Pbtipa,
Haie),
MuciQUB (Aldéhydo-) (Ao.)- Rései.
color., S6, 818 {Neubrrg).
MuciQUB (DÉHTDRO-). Voy. Fuan-
RANE-a.a-DICARBONIQUK.
MucoBROMiQUB (Ac.) . Act. de AsO^a.
ft6, 376 {Torrey, Black). — Oam~
lit. ; act. des aminés aromat. ; d*r.
anilé, anilidé, p*toluidé, m-xylîde;
éthers, SU, kl\ (Simom»), ^ Cona*
tit., e«, 898 ( Vorlaendtr).
MucocHLORiQUB (.\c.). Constit *, arl
des amincs arom. ; dér. anilîdi^*
p-toluid6, m-xylidé, %%, 474 .Si-
mooin).
TABLE DES MATIÈRES.
1S57
MuscLBA. Chai, de combust. cl com-
pou. chez div. animaux, ftè, 817
iKoe.hhr),
Mybgèi«b. Transf. en myrcénol, S5,
688 (Barbier).
Myrcénol. Prép., propr,, oxyd. ;
transf. en ala. ; aoétale. Constit.,
<5, 688. — Prés, dans le linalol
brut, SS, 8S9 {Barbhr).
Myhistiquk. (Anh.). Prép., propr.,
tM^ 467 {Krafft, Rosiny}.
Mtrosiiie. Act. sur le tourteau de
colza, £5, 979 (SJolhmê).
Myrte (Essence). Dens., viscos., lens.
superf., !K, 523 (ifeaûcard, Satie).
Naputalène. Gond, avec les chlorures
do méthylène et éthylidène en prés,
de AlCl*, S5, 492, 496 (Bodroux).
— Réd. par H en prés, de Ni et
«>u, SS, 610 (Sabaiier, Sonderens).
— Act. des dér. halogènes sur Mg,
«S, 944 {Tissior, Grignard). —
lodur. par S«r, SU. 10. — Bromur.
oar S«Br*, <«, 11 {Edinger, Gold-
Dcrg). — Calcul du nombre de dér.
substit. isom., €6, 83 [Roy], —
Act. de AlCP, de AlBr*, M, 360
(Kobler). — Béd. des dér. halogènes
par Hl, Stt, 397 [Klages^ Liecke).
— Tens. de vap. des sol. alcool.,
1M, 514 (Lincoln). — Appl. à la
cryosc. de div. comp. organ., tS6,
610 [Auwers). — Gond, avec
AzH«OH etAlCl», «6, 703 (Grae/>e).
— Mél. eutectique avec la cam-
phoroxime, ۥ, 1029 (Adriani).
— {Bromo-i'). Infl. sur div. vil. de
réacl., SU, 861 {Monschouikine).
— (C/î/oro-2-). Nilrat., S6, 700
{Scheid).
— {Chloro-2'dinilro-i.6'). Forra. à
part, du §-chloronapbtalène, propr.,
act. de AzH% de l'aniline, SU, 70U
[Seheid).
— {CbIoro-2-dinitrO'1.8-).Prép.h part,
du p-chloronaphialène, 9U, 701
(Scbeid).
— (Cbioro 2'trinitrO'l ,6.8'). Prép.,
propr., se, 701 (Scbeid).
— (Dtaso-2'). Cond. avec Téther dia-
cétylsuccinique, 26, 724 {Bulow,
Schlcsinger). — Vit. de déc. à la
Ium.,t«.9l9 (Buff, SteJn).
^ ilodo-i'), Réd. par HI, ««, 397
(Ktages. Liecke). — Act. de H*0
sur rioaochlorure, 96, 540 [Orto
leva). — Act. de Cu pulvér., tS6,
1078 (Ulhnann, Biciecki).
— {IodO'2). Réd. par HI, «6, 397
[Klagcs, Liecke).
— (Iodos(y-i'). Prép. à part, de Tiodo-
chlorure-a. Propr., M, 540 (Orto-
leva), — Act, de AgOH sur le mél.
avec riodylo-iodonilrobenzène, S6
1150 {WHJgcrodl, Ernst).
— itodylo-i-), Prép. à part de Tiodo-
chlorure-a, ft6, 540 [Orioleva).
— [NitrO'i.8') {Di'). Prép. au moyen
de la dinitro-1.8.â-naphtylamine,
«6, 701 (Scbeid).
— {Oxy-2.7') {Di'), p-Toluène-sulfo-
nate, !tS, 1047 (C repieux ^ Rever-
di n).
Naphtalbnr («-Ethyl-K Form. par
cond. du chlorure d'élhylidène avec
le naphtalène. Picrate, S5, 494
(Bodroux).
— (p-ExHYL-j. Prép. au moyen du
chlorure d'élhyliaéne et du naph-
talène. Picrate, 85, 494 (Bodroux).
Naphtalisne (Hydho-) (TÉTRA-j. Form.
Rar réd. du naphtalène en prés, de
[i ou Cu, «S, 610 (Sabatier, Sen-
dorons).
Naphtalène (a-MéruTL-). Prép. par
cond. du naphtalène avec le chlorure
d'élhylidène. Picrate, S5, 494 (Bo-
droux) .
— (^-MÉTHYL-). Prép. au moven du
naphtalène et des chlorures d éthyli-
dène ou de méthylène. Propr.,
picrate, SS, 493, 496 (Bodroux).
— (MÉTHYL-) (Di-). Prép. k part, du
naphtalène et du chlorure d'élhy-
lidène. Picrate, £5, 494 (Bodroux).
«-Naphtalènb-azo - BENZÈNE. Conu.
des dér. ot' et ^ aminés avec le
létraméthyldiaminobenzhydrol, S6,
492, 493 (Moohiau, Heinzc).
p-NAPHTALÈNE-AZO-O-CRKSOL. Prép. à
part, de la benzoylnaphlylhydrazone
de la toluquinone. Propr., dér. ben-
zoylé, S6, 1103 (Mac Pberson,
Oore).
^-Naphtalène-azo-diacétyl8i;cgini-
QUE (Ac). Prép., propr., éthers, IMI,
724 [Bulow, Schfesingcr).
Naphtalène- azo-ditolyle{Bi8-). Form.
du dér. di-p4lhylaminé à part, de
lacomb. de la 6kélhylnaphtylamine
avec le iétrazoaitolylsulflte de Na,
«S, 987 [Seyowelx, Blanc).
aE-NAPHTALÈNE-AZO-^-NAPHTOLDll»ULrO-
NiQUE-6.8 (Ac). Voy. Ponceau
CRISTALLISÉ 6 B.
P-Naphtalène-azo-phénol. Prôp. par
sapon. de la benzoylnaphtylhyara-
zone do la quinone. Propr., dér. ben-
zoylé, «6, 1103 (.W^cPfcersoii, Goro).
^Naphtalène - azo-thymol. Prép.,
propr.. benzoate, S6, 1103 (.\fac
Pbersou^ Gork).
Naptylène-sulpinique (Ac). Comb.
des isom. a et ^ avec l^s dinzo- cl
fS5S
TABLE DES MATIÈRES.
tétruxk anomal., 96, 635 (Traegor^
Ewors),
Naphtalène-soijp^kique (Ac). Prép.
et propr, des sets da guanylurée et
de guanidine des isom. a et p, Sd,
387 (Bemsen^ Garaer).
Naphtalènb-thiosulfonique (Ao,) .
Comb. des isom. « et ^ avec les
diazo et tétrazo- aromat., 26, 63&
{Traegcr, Ewers).
Naphtalique {Amino-) (Ac). Cond.
du dér. acétylé avec l'o-arainophé-
nol, son dér. nitré-4 et avec To-phé-
nylène-diamine, 26, 230 {Kehrmann^
Barcbe).
Nàphtb. Constit. du naphte do Gros-
nyi, S6, 539 [Konovalot, Plolni-
ko/).
Naphtène. Syo. Gtclohexane (Mé-
THYL-).
Naphtène (Déoa*). Prés, dans le pé-
trole de Californie, dér. chloré, 26,
1079, 1080 [Mabcry, Hudsoo, Sic-
plcÎD),
Naphtène (Dodbca-). TVés. dans le
pétrole de Californie. Dér. chloré,
«6, 1079, 1080 {Mabcry, Hudson,
Sieplein) .
Naphtène (Pentadéga-). Prés, dans
le pélrole de Californie. Dér. chloré.
26, 1079, 1080 {Mabcry, Hudsoa,
Sieplein).
Naphtène (Tétradéca-). Prés, dans
le pétrole de Californie ; dér. chloré,
26, 1U79, 1080 [Mabcry, Hudson,
Sieplein).
Naphtène (Tridéoa-) . Prés, dans le
pétrole de Californie. Dér. chloré,
26, 1079, 1080 (Mabcry, Hadson,
Sieplein).
NXphtène (Undéca-). Prés, dans le
pétrole ae Californie. Dér. chloré,
26, 1079, 1080 (Mabery, Sieplein,
Hudson] .
Naphtènes. Form. par dist. sous
pression de la bakoumine, 26, 124
{Kraemer, SpiJker).
NaPHTINDÈNEQUINONE - CARBO NIQUE
(Acétylméthyl-) (Ether). Prép. par
cond. do Tacétylacélono avec la
dichloro-2.3-a-naphtoquînono. Propr.,
26, 102 [Micbci).
Naphtiomque (Ac). Voy. Naphtoïque
(i4nii/20-4-);
a-N'APHTOÏQUE (Ac). Tribol. du ni-
trile et de la mentbylamide, 26,
459 {T$cbuaaefr).
— (Amino'4-^ (Ac). Copul. avec le
tétrazo. de la dichloro-3.3'-b6nzidine,
26, 178 [Cobn^^
a-NAPHToïQUE (Oxy-à') |Ald.). Cond.
des dér. éthoxylé et mélhoxylé avec
le camphre, 26, 988 {Helbronncr) .
P-Naphtoïque (Ac). Tribol. de l'élher
menthyl., 26, 458 {Tscbugacff).
P-NaphtoÏque {Oxy-S^ lAld-). Prèp,
par cond. de CHCP avec le ^-naph-
toi. Propr., oxime, picrate, hjhn-
zone. Comb. avec raniline, les&-d
p-toluidines, les a et (^apbiylamiih^
25, 378, 375. ^ Cond. ave*: le p-
naphtol, 25, 530 il'ossoj .
ok-Naphtol. Prép. du dér. sodé. Coad.
avec les éiherd gras «-bromes, 26,
12 [Bischoff). — Copul. avec les
diaao. des oc.p-amifiopnéaytbeazimi-
dazol et aui>-aminopben jlbenzozaxel,
26, 17 (Kym), — Act. de Attru.
26, 142 }Sçhmidt), — Prép. d
propr. du salicytale» 26, 405 {Cohn-.
— Comb. avec faeétylchlorogalae-
tose, 26, 687 iBym^ MiJls}. -
Réact. color. avec les aiMree* 26,
818 {Nouberg). — Copul. «vec le
diazocarbazol, 26, 919 (BnÙ,
Slein),
— (Amino-4-). Prép. au moyen d»
Torangé I, 26, 578 iBussIg),
— (IVitro-4.8-) (Z>i-). Form. par ad.
de AkO'H sur Ta-naphtol, Ml, 143
{Scbmidt] .
— {Nitro') [Tri-). Purif., sels, rr-
duct., 26, 222 (Kehraïaan, ."^fei-
ner).
^-NAPHTOL. Prép. et propr. du sulfate
acide, 25, 49 (Kor/rjri. — Coad.
avec le nitroso-m-diméthylamino-
pbénélol. 25, 219 {G ri wamx . —
Act. sur le mélhylat. Conat. them.
du formaL25,d62(£>r«/pp/iie).— Cond.
avec CHCP et NaOH, 25, 378. -
Cond. avec CHCP, avec Pald. oiy-
naphtoïque, 25, 530 (Fosse). —
Act. sur leméthylal.racétal. Foro.
d*acétal, 25, 577, b1s {De lépiote ^^^
p-Tolaènesulfonate, 26, 1047 A^--
verdiûf Crcpicux) . — Prép. du dér.
sodé; cond. avec les éthers gras
a-bromés, 26, 12 {Bischoffi. —
Vit. de copul. avec roHododiaaa-
benzène et le rouge de nitrosania^,
26, 114 (Goldsehmidt, KeppcJtr^.
~Act.de AzO'H, 26,142 tScbmidt,,
— Prod. de cond. avec la ▼anilUae,
le pipéronal, les ald. cumintqoc,
anisique , salicylique, 26, 170
(Bogow), — Cond. avec l'ald. bfa-
zoïque, 26, 204 {Hcwîtt. TtorM.
— Comb. avec le sulfoaalic^lata de
phényle, 26, 404. — Prép. el propr.
des salicylate et p-cresotate, 26»
405 (Cohn). — Acl. sur le cfalorarr
p<nitro-o-sulfobenzoïque, 26, 144
iHcnderson). — Copul. avec IV-
aE-diazonapbtaléne-8ulronique,26«440
{Kobner). -^ Dos. par I, 26, 44â
{Messinger). — Tribol. du S-naphiel
et de son benzoate, 26, 45H ( Tscb^
gacfl) . — Copul. avec le diazo. do
p-toluènesulfonate de p-arotnophe'
nol, 26, 542 (Baaabergor, Bisiaf
TABLE DES MATIÈRES.
Iit59
— Ck>nd. avec le prod. de Tact, de
AzO* sur la thymoquinooedioxime,
SU, 545 iTortorici). — Ck>nd. avec
Fald. benzoïque, le furfurol, Tald.
isovalérique el AzH' ou Taniline.
Dér. oxaziniques. 26, 554 (Boiti).
— Copul. avec la conib. d'aniline et
lie dipbényM-A-lhioiriazolylmercap-
tan, M, 78tt iBusch, Woipori}.^
— Copul. avec le diazocarbazol, SU,
919 iliuff, Steini. — Acl. surl'éther
oxalique, «6, 1069 yTiDgle, Byroe).
— Copul. avec le télrazo. de Tac.
p.p-diaminodiphénylmélbune-/i].j2]-
dicarbonique, 1MI, 115ïi [MchDcr).
— {Amiao'î'). Form. à part, du rouge
brillant, 26, 440 {Kohner).
— {Awin(h5'). Dér. acélylé. Act. de
AzO*H, S«, i^{KebrmêDD,Dcnk).
— {AmiDO'i-acétamjDO^ô'). Form. à
part, de la nitro80-l-acétamino-5.^-
naphtoquinone Propr., S6, 145, 147
{KchriaanBf Denk)*
— {NitFO-i.4') {Di'). Form. dans Tact,
des vap. nilreuscs sur le ^-naph-
toi, ««, 14M iSchmidl], — Form.
dans la nitral. du benzène-azo-^
oaphlol, S6, 550 (BeUt).
œ-Naphtol ( Bknzène-azo-) . Cond. avec
rbydrol do Mischler, «6,15(1/00/1.
lëUy Kcgcl).
^-Naphtol (Benzène-azo-). Prép. et
propr. des mod. Isomér. ; act. de
AzO'H, de Br. Dér. penta- et hep-
tabromés, 26, 549, 550 [Beiti).
^•Naphtol (Toluène-azo-). Modif.
isora. des dér. o- el p-, tS6, 550
{Betti).
^-Naphtoldisultoniquk (Ac). Copul.
avec les dia^o. des a.p^aminophényl-
t>enzimidazol ei a.p-aminophényl-
benzoxazol, 26, 17 [Kym).
S-'NAPHTOLStn^ONIQUK'A (Ac.)« Appl.
à la réd. des azoïques ni très, 25, 697
{Boaeostiebl). — Copol. av«c les
Srod. de réd. du toluène-o-salfonate
e />-nitrophénol, 25, 1044 {Revor-
din^ Crépicux).
^Naphtolsulfonique (Ac). Copul.
avec les diazo. des triamines et
diamtnes dér. du ti-iphénylméthane,
166, 218 {Grimaux, Lofèvi'o).
a-NAPHT0L-HlTLF0NIQU«-4' ( BeNZÈNB-
AZO-). Syn. Orangé I. i
^-Naphtolsulfoniqub -4' (Benzènb-
AZO-). Syn. Orangé II.
^-Naphtolsulfoniql'E - 6 (Benzicnb-
AZO-). Syn. Crocéine (Orangé de).
^Naphtolsulfonique (Benzènb-azo-
bbnzkne-azo-). ^S/fl. Crocéine (Ecar-
lale 4 B N).
^'Naphtolsulfonique-^ (o-ToLui-:NB-
AZO-o-TOLuiiNB-AZo-) (Ac. suironî-
qoe). Syn, Crogbxnb (Orangé 8 B).
Naphtopicriqub (Ac). Propr., réduct.;
constit., (Trinitro-§-naphtol-2.4.5,
2.4.7), 26, 220, 221 {KchrmanD,
SteÎDer).
o-Naphtoquinone. Act. de AzO* et
Az*0* sur la dioxime, 26, 545 ( Tor-
torici). — Prép. à part, de Torangé
I. Réduct., 26, 578 {Busaig),
— {Amino-2.7-) (/)/-). Prép. à part, de
Tac naphtopicrique. Propr., 26, 22S
(KehrmaDOy StoÎDer).
{Kehrmann, Steincr).
— (AtAiDO-J-oxy-S-). Cond. avec la
pbényl-o-phénylènediamioe, 26, 22^
(Kebrmann, Stoiner),
— (ChlonminO'){Di'), Cond. avec les
aminés arom., 26,52 (Schaposcbm-
kotf).
— {Cbhro-S-). Form. à part, de Tac
a - bydronaphtoquinone-carbonique.
Propr., dér. anilidé, 26, 579 (i?ussig).
— (CblorO'S-S') (Di-), Cond. avec les
élbers malonique, acétylacétique,
oxalacétique, acétone-dicarbonique,
la dihydrorcsorcine et la pbénylmé-
thylpyrazolone, 26, 102, 103 (MJ-
cbel),
^-Naphtoquinone. Cond. avec la chlo-
ro-5-amino*2-diphénylamine, 26, 546
{Kcbrmann, Hiby).
— ( A/H m 0-4-). Cond. avec Taz-méthyl-
l-chloro-5.o-phénylène-diamine, 26,
548 {Kcbrmantit MùIIer). — Cond.
avec la chloro-5-diamino-2.4'-dipbé-
nylamine et la chloro-5-az.D-lolyl-o-
phényléne-diamine, 26, 548 {Kebr-
maon, Krailcr),
— {AmiDo-5'). Form. de la monoxi-
me-1 du dér. acétylé à part, de
Tacétamino-p-naphtol. Propr., cond.
avec ro-amitiO(Aiphénylamine et To-
phénylène-dtamine, 26, 145, 147
{Kcbrmann, Dcok), — Cond. du dér.
dlacétylé avec l'o-aminodiphéoyl-
aminé, 26, 220 {KebrmaDD^ Sleincr) .
— (A/iîiflo-4-7-i (/>/-), Prép. au moyen
de Tac napbtopicrique. Propr., cond.
avec To-aminodiphénylamme, 26,
222 {KobrmaDD^ StoJDor).
— {Bromo-S'}. Cond. avec la désoxy-
benzoïne, 26, 105 {Hirscb).
— {BroniO'S-4') {Dh\. Cond. avec la
désoxybenzoïno, 26, 105 {Hirscb) ,
— {Bromo-é-cbloroS-} . Act. de l'ani-
line, 26, 104 {Hirscb),
— {CbIoro-3'). Bromur. ; cond. avec
Tacétylacétone, 26, 104 {Hirscb).
— {CbloroS-4-} {Di-). Prép., propr.,
cond. avec l'aniline, les éthers malo-
nique, acétyl-, benzoyi- et oxalacé-
tiques, l'acétylacétohe, la benzoylacé-
tone et la désozybenzoïne, 26, 104,
105 {Hirscb).
1360
TABLE DES MATIÈRES.
— (Oxy-A-). Cond. avec Taz-méthyl-
chloro-5.o.pbénylëne-diamine, 9H,
548 {Kohrmana, Miiiler}.
P-NaPHTOQUINO.NE (ô-NAPHTYLAIIINa-4-).
Cond. avec la chioro-&«mino-2-diphé-
nylamine, S6, 547 {Kchrmana, Hi-
bv),
p-NAPHTOQUINOÎIB fPHéNYLAMlNO-4-) .
Cond. avec la chloro-5-ainino-2-di-
phénylamine, S6, 547 {Ketirmann^
Hiby) . — Cond. avec raz-méthyl-l-
chloro-5.o-phényIène-diainine, 1MI,
548 [Kehrmann^ Mûllot^.
{AcétamÎDO-Ô-). Cond. avec la
phényf-o-phénylène-diamin6,S6, 148
{Kebrmann, SilbcrstclD).
P-Naphtoquinonb (i)-Tolylamino-4-) .
Cond. avec la cnIoro-5-amino-t-di-
Îhénylamine, tS6, 5i7 {KcbrmanD^
iiby).
a-NAPHTOQUlNONE-ACKTIQL'E (ACKTO-
NTL-) (Ether) . Prép. par cond. de la
dichloro-2.d.a-naphtoquinone avec
rélher acétique. Propr., H», 102
{Michel) .
a-NAPHTOQllINONB-ACKTONB-DlCAi<BONI-
QUE (Anhtdro-) (Elber). Prép. et
propr. du dér. chloré, SU, 103
{Micbet).
a - NaPHTOQUINONE - ACirTLACÉ TIQUE
{CbJoro-) (Ether). Prép., propr.,
8cl de Ba, 20, 102 [Micbef).
^-NaPHTOQUINONB-ACÉTTLAG É TIQUE
(CbloroS-) (Ether). Prép.; propr.,
«6, 104 iHirsch).
a - Naphtoquinonb - acéttl acétone
{CbJoro'). Prép.. propr., ««, 102
(Michel) .
P-Naphtoqlinone-acêtylacétonb.
Prép. et propr. des dér. chloré-3 et
bromé-S, 26, 104, IW» {Hirscb).
«-Naphtoquinone-amlide {Cbloro^-
oxy-2'). Prép. à part, de la bromo-
4-chloro-S.6-napbtoquinone; propr.,
20, 104 [Hirsch],
a-NAPHTOQUINONE-BENZOTLACBTIQU B
(Chloro-) (Ether) . Prép., propr., 26,
102 {Michel).
p -Naphtoquinonb - benzoylacét i q u e
[Cbloro-S) (Ether). Prép., propr.,
26, 105 {Hirsch).
'«-NaPHTOQUINONE-BENZOYL ACÉTONE
(Chloro). Pri'p., propr., 26, 103
[Michel .
fi - NaPHTOQUINONE - BENZOYL ACÉTONE
(Chioro-a-). Prép., propr., 26,105
(Hirsch) .
«-NaPHTOQUINONE- BIS- PHÉNYLMÉTHYL-
PYRAZOLONE. Prép., propr., 26, 103
(Michel .
«-Naphtoquinone-^-carbonique (Ac.i .
Form. à part, de Tac. hydro-ot-naph-
toquinone- ^-carbonique, 26, 580
(Bussig) .
P-NaPHTOQUINONE-DÉ 8 0 X Y B E N Z O in K
{Cbtoro-]. Prc'p., propr.,
{Hirsch} .
s- NaPHTOQUINONE - DIHTDROflÉ^OliaXE
(Chloro-). Prép., propr., 2#, HB
(Michel .
§ -NaPHTOQUINONE - DI8LXP0HIQUB -1.6
(Ac.).Cond. avec raz-méthylcUoro-
5.0-phénylènc-dianiioe, 2#, 5W
[Kebrmann^ MùUerS.
a-NAPHTOQUiNONE-tmoE. Prép. des dér.
diaminé8-â.5 et 2.7 h part, des ac
naphtopicriqaes. Propr., ••, 2it).
222 {KehrwaDn, Steiner .
a-NAPHTOQUINONB-MALONlQUe-l {Chl^
ro-) (Ether). Prép., propr., 2#, 101
{Mieael .
^Naphtoqui.none-malonique-I (Ckh-
roS') lAc). Prép., propr., sels,
élhers, 26, 104 iHincb).
OE - N aphtoquinon E - O X A L A c é T I Q t: c
{Chloro-) ( Kllier) . Prép. , propr. , 26.
103 {Michel.
^Naphtoquinone-oxalacktiolb ' Càl*>
roS') lEtber). Prép., propr., 26, U6
{Hirsch) .
aE-NAPHTOQUI.NONE-PHÉNYLCTAN'AZOltÉ-
THiNB {Chloro-i. Prép. par cood. d«
cyanure de benzyle avec la dicUero-
2.3-naphtoquiuone. Propr., 26, Iti?
{Michel} .
P-Naphtoquinonk-sulfoniqub-G (^
ACÉTAMINO-4-ANIUDO-) (Ac. . Cood.
avec raz-inéthyM-chloro-5-o-phéiij-
lène-diamine, 26, 548 {KebrmanM.
Mùlicr),
a-NAPHTOQUlNONE-TÉTRAMKTHYUHAlU-
NODIPHÉNYLMÉTHANE. Pr«^p. de rbj-
drazonc par cond. do 1 h^'drol d<
Mischler avec le benzène-azo-a-oaph*
toi, 26, 15 ^Moehiau, Kegeh.
Naphtoxanthè.ne, Naphtoxantby-
DROL. Voy, Naphtylmkthane (Oi-*
(p.^Dioxy-).
Naphtoxazone fpHÉNo-^. Ptép. do d«r.
aminé-5 à part, de Tac. acéUmî«>>
naphtaliaue et do ro-aminophtoil.
Propr., ciér. acétylé,dîamin^2.5,iu-
tro-2-aroiné-5, 26, 2210 {Ktibrmama,
Barche) .
Naputoxy-acétique (Ac». Cood. da»
isom. « et ^ avec ro-aininophèBèti-
dtne, 26, 1165 (Cohai.
Naphtoxypropio.mquk (Ac). Prép» el
propr. des isom. a et ^. Kunt»
i élhyl., 26. 12 Biachofr*.
Napiitylallophaniqub lEther^. Pi^-p-
des isom. a et â à part, des osphty^
oxamylhydroxylainioes. Propr. 26.
1071 {PickanI, Carter.
x-Naphtvl AMINE. CoQb. aveo Tati. p^
oxynaphtoïque, 2S, 375 «fosar - —
p-Toloéne-suWhmlde; dér. o-sîli»
et o-aminé, 2S, 1052 iHen^Hi».
Crépieux). — Fonn. du dcr. soptjk
par déc. ae rac^tyfnaphtytUûo-Qrte,
26, Ai [Hugershofr, Koeojy. —
P
TABLE DES MATIÈRES.
1361
Cond. avec la dicblorimiooquinoDe
et la dichlortminoDaphtoquinone ,
S6, 52. — Gond, avec l'iminolhio-
dipbényliminey^M, 55 (Sci!i«po9c/iiii-
koff). — Act. surle pbényluréthane,
••, 203 (DixoD), — Comb. avec
DCl' et BP, se, 309 ( VêDînoMauscr) .
— Propr. du trinitrobenzoale. Comb.
avec le trinitrobenzène sym. (dér.
acélylé^t le trinitrotoluène, la picra-
mide, le irinilropbénélol, 96, 6i8.
— Pr^P- et propr. du dér. diacétylé,
«6, Ô30 {Sudborougb). — Prép. par
cood. du naphtalène avec AzH'OH
et AIC1% ««, 708 {Graebej, — Ad.
sur les dicblor- et dibromiadiazono-
ximes, S6, 925 {Bambcrger, De-
mutb). — Ad. du bromure de p-
xylylène, SU, 966 (yfanoukiaD). —
Act. de C^nn et Ag»0 sur le dér. acé-
lylé, S6, 988 [Laader). — Act. sur
les étliers sulfocyanocarboniques,
5M, 1127 (Doran),
p Naphtylamimb. Comb. ave« Tal. ^•
oxynaphloïque, 85. 375 {Fosso). —
O-oitro-p-toluènesulfamide, 85, 1052
{Reverdi D, C répieux), — Bromur.
en sol. acétique; coud, avec le chlo-
rure de benzyle et NaOH, S6, 45
{Morgan). — Ck>nd. avec la dichlor-
iminoquinone et la dichloriraino-
naphtoquinone, 86, 52. — Cond.
avec riminothiodiphénylimiDe, 86,
55 (ScbaposcbDÎkof/). — Cond. avec
(CAz)«, 86, 420 [Mevcs). — Trini-
trobenzoate ; comb. avec le trinitro-
benzène et le trinitrotoluône sym. et
la picramide, 86, 629 [Sudborougb) .
— Prép. • t propr. du dér. diacétylé,
86, 630 {Sudborougb). — Act. sur
la phénylisobulyl-iminolhio-urée,
S6, 693 {Wbecler). — Pi-ép. par
cood. du naphtalène avec AzH'Oli et
AlCl*, 86, 703 (Graobe). — Copul.
avec le diazo. ae rai.a'-2-lriméth^l-
amino-i-benzimidazol, 86, 780 (Ptn-
aow). — Act. de C*11M et Ag»0 sur
le dér.acétylé. 86,988 {Landcr).—
Cond. avec l'éther oxalique, 86,
1071 (Pickard, Carter). — Act. .sur
les étbers sulfocyanocarboniques,
86, 1127 {Doran),
— {Bromo-i-). Pn'p., coud, avec Tald.
formique, 86, 45 {Morgan) .
— {ChIoro-1-). Cond. avec Tald. for-
mique, 86, 46 [Morgan).
— {yitrot'Ô') [Oi-). Form. à part, du
3-chlorodinitronaphlalène. Propr . ,
diaio-oxyde, 86, imiScbeid).
— (SUrO'iS) {Di'). Form. à part,
du S-chlorodinitronaphtalène.
Propr., 86, 701 {Scbeid).
P-Naphtylaminb (BENzkNEAZo-).Fonn.
à part, de la benzène-azo-naphtyl-
auramine, 86, 1163 {MocbJau,
Gracier t) .
soc. CMIM., 3« 8ÉR., T. XXV-XXVI, 1901
s-Naputylamine (Bbnbyl-). Cond.
avec riminothiodiphénylimine, 86,
55 [Scbaposcbnikof/) ,
(Di-). Prép., propr., cond. avec
l'ald. formique, 86,46 {àHorgan),
Naphtylaminb (Oi-). Cond. des isom.
a.x, %.p et p,p avec la dicblorimi-
noquinone et la dichloriminonaphto-
auinone, 86, 52 {Scbaposcbnikoft).
«•Naputtlaminb (Ethyl). Cond. avec
riminothiodiphénylimine, 86, 55
{Schaposchnikoff), — Propr. du tri-
nitrobenzoale et du picrate, 86, 629
(Sudborougb) .
^-Naphtylamine (Ethyl-). Copul.
avec le tétrazo-m.izi-ditolyle-suulte
de Na, 85, 613, 987 (Seycwciz,
Blanc). — Cond. avec Tald. formi-
que, 86, 46 {Morgan). — Cond.
avec la dichloriminoquinoneet la di-
chloriminonaphtoquinone, 86, 52
{Scbapoacbmkofn . — Propr. du tri-
nitrobenzoale, 86, 629 {Sudbo-
rougb) .
[Di-K Cond. avec l'ald. formique,
86, 46 {Morgan).
P-Naphtylamine (Hydro-) (Tktra).
DédoubL par les ac. bromocampho-
sulfoniques. Propr., sels; dér. acô-
tylé, bf^nzoylé, benzylidénique, 86,
233, 236 {Pope, Harvoy).
(DiÉTHYL-i. Act. di l'ald. for-
mique, 86, 46 (Morgan) .
«-Naphtylaminb (Méthyl-) . Picrate,
86, 629 {Sudborougb) .
(Di-). Cond. avec l'ald. formi-
que, 86, 46 {Morgau). — (]ond.
avec la dichloriminoquinone et la
dichloriminonaphtoquinone, 86, 52
(Scbaposcbnikoff} .
P-Naphthylamine (Méthyl-) . Cond.
avec la dichloriminoquinone et la
dichloriminonaphtoqumone, 86, 52
{Scbaposcbnikoff) .
— — (Dr). Cond. avec l'ald. formi-
que, 86, 46 {Morgan^
^-NAPHTYLAMINE^MÉTHYLÎiNE-DI-i.Ppép.
des dér. s.a-dibromé et dichlorô
par cond. de Tald. formique avec la
g-naphty lamine broméo et chlorée.
Propr., 86, 46 (Morgan).
^-Naphtylaminb (Phenyl-; . Cond.
avec la dichloriminoquinone et la
dichloriminonaphtoquinone, 86, 52
{Scbaposcbnikoff). — Form. du
dér. dinitré-1.6 par cond. du {^hlo-
rodinitronaphlalène avec l'aniline.
Propr., 86, 700 {Sebcidj,
^-Naphtylaminb (p-ToLVL-). Cond.
avec la dichloriminoquinone et la di-
chloriminonaphtoquinone, 86, 52
(Scbaposebnikoff).
a-NAPHTYLAMINE-8ULP0NlQUE-5 (Ac. ) .
Form. à part, du rouge brillant.
Copul. du diazo avec le p-naphtol,
86, 440 (Kobner).
86
1360
TABLE DES MATIÈRES.
— (0x^-4-). Gond, avec Taz-raéthyl-
chloro-5.o.pliényIène-diamine, M,
548 {Kehrmann, Muiler).
P-NaPHTOQUINONE (p-NAPHTYLAllINa-4-).
Gond, avec la chloro-5^mino-2-diphé*
nylamine, •S, 547 {KchnaanD, Hi-
by).
P-NAPHTOQUINOÎIE (PHKNYLAMINO-4-) .
Gond, avec la chloro-5-amino-2-di-
phénylamine, €6, 547 [KehrmaDD,
HJby) . — Gond, avec raz-mélhyl-1-
chloro-5.o>phénylène-diamine, 1MI,
548 (KehrmaDDy Mùlhr).
{AcctamlDO-6-). Gond, avec la
phényf-o-pbénylène-diaminOySH, 148
{KebrmanD^ SilbcrstciD] .
P-Naphtoquinonb (i)-Tolylamino-4-) .
Gond, avec la cnloro-5-amino-t-di-
phénylamine, S6, 5i7 [KchrmanDy
Hiby).
Œ-NaPHTOQUINONE- ACÉTIQUE (ACKTO-
NTL-) (Ether) . Prép. par cond. de la
dichloro-2.3.aE-naphtoqutnone avec
rcther acétique. Propr., «6, 102
{Michel) .
a-Naphtoquin on b-ackton b-dicarbon I-
QUE (Anhtdro-) (Elber). Prép. et
propr. du dér. chloré, 26, 103
(Michel).
a ' NaPHTOQUINONE - ACéTTLACé TIQUE
(Chloro-) (Ether). Prép., propr.,
sel de Ba, 26, 1()2 [Mtchel).
^-Naphtoquinonb-ackttlacktiqub
(ChloroS-) (Elher). Prép.; propr.,
«6, 104 iHirsch).
a -Naphtoquinonb - acétyl ac éton b
iChioro"). Prép., propr., 26, 102
{Michel) .
P-Naphtoquinone-acktylacétonb.
Prép. et propr. des dér. chIoré-3 et
bromé-S, 26, 104, 1(^ {Hirseb).
«-Naphtoqlinone-anilidb {Chloro-^-
oxy-S']. Prép. à part, de la bromo-
4-cbloro-S. S-napbtoquinone ; propr.,
26, 104 {Hirsch),
a-NAPHTOQUINONE-BENZOYLACBTIQU E
(Chloro-) (Ether) . Prép., propr., 26,
102 {Michel).
P -NaPHTOQUINONE- BENZOYLACÉT I Q U E
{ChlorO'S-) (Ether). Prép., propr.,
26, 105 iHirsch).
' a- Naphtoquinone - benzoyl acétone
iChioro). Prép., propr., 26, 103
[Michels .
p - Naphtoquinone- benzoyl acétone
iChioro-^-). Prép., propr., 26, 105
iHirsch) .
«-Naphtoquinone- BIS- PHÉNYLMÉTHYL-
pyrazolonb. Prép., propr., 26, 103
[Michel) .
œ-Naphtoquinone-^-carbonique (Ac) .
Form. à part, de Tac. hydro-a-naph-
toquinone- ^-carbonique, 26, 580
{Bussig) .
P-Naphtoquinone-dk soxybenzoïne
k
iChioro-). Prép., propr, 2€, tt6
(Hirsch) .
a- Naphtoquinone - DiHYDBORKfMMicDtc
{Chloro-), Prép., propr., 26, IflS
{Michel] .
p -Naphtoquinone • DisuLFONTQrK - 4 . (
(Ac.).Gond. avec raz-méthylckkvnK
5.o-phénylènc>diamioe, 26, 548
{KohrmanDy Mùller).
«•Naphtoquinone-imide. Prép. des dér.
diaminés-â.5 et 2.7 à part, des «e.
napbtopicriqaes. Propr., 1M, SSiK
2t2 {KehrmaDn, Steiner,.
a-NAPlITOQUINONB-MALONlQOE-4 (Chio-
ro-) (Ether). Prép., propr., 22, 101
{Michel).
§-Naphtoquinoxb-malonique-4 tChh-
ro^-) (Ac). Prép., propr., s«Ib,
élhers, 26, 104 {Hirëch) .
a - Naphtoquinon e-oxalacktique
{Chloro-) { Kther) . Prép. , propr. , 26,
103 (Michel).
^NaPHTOQUINONE-OXALACBTIQUK iCÈl'P'
roS') (Ether). Prép., propr., SU, iUb
(Hirsch) .
a-NAPHTOQUI.NO.NB-PIlÉNYLCTANAlOMé-
THiNB (Chloro-). Prép. par ooimI. ds
cyanure de benzyle avec la didifer»-
2.3-naphtoquiiione. Propr., 26, lOÎ
{Michel) .
P-Naphtoquinone-sulpomiquk-6 (^
ACKTAMINO-4-AMLIDO-) (Ac. . Cood.
avec raz-méthyl-l-chloro-ô-o^phénj-
léne-diamine, 26, 548 {Kebrmsnm,
Muiler) .
at-NAPHT0QUlN0Ne-TÉTIIAMBTHT1.DIAMl*
N0D1PHÉNYLMÉT1IANE. Pr^^P- de ITïy-
drazono par cond. do l nydrol d*-
Mischler avec le l>enzène-azo-«-o«pb>
toi, 26, 15 LMoehlêu, Kegt^h.
Naphtoxanthène, Napmtoxawywt-
DROL. Voy, Naphtylmétha>b tlM-
(p.^Dioxy-).
Naphtoxazonb rPifBNo-K Prép. du 4cr.
aininé-5 à part, de Tac. acéUminiH
naphtalique et de ro^minopbtool.
Propr., aér. acétylé, diamiDè-i.5. nî-
tro-2-aminé-5, 26, HMi <Kvhrm9mM^
Barche) .
Naputoxy-acétique (Aci. Gond, de»
isom. a et ^ avec ro-aininophéiic<i-
dine, 26, 1165 iCohn).
Naphtoxypropioniquk (Ac). Pr*p. dt
propr. des isom. a et ^. Etb«i
éthyl., 26, 12 ^Bischoffi.
Naphtylallophaniqub lEthen. Prrp
des isom. a et ^ à part, dss naplKyt-
oxamylhydroxylamioes. Propr., 22^
1071 (Pickard, Carten.
x-Naphtvlamine. Comb. avec TalA. i-
oxynaphtoîqus, 2S, 375 ifos»* . —
p-Toloène-sulfamide ; dér. i»-wtrr
et o-aminé, 25» 105S {Rfitrr^iM,
Crépi eux). — Form. du dz-r, aoeiyi*
par déc. ae racétv)Qaphtyltbio«r*«^
26/ ki (Hugershofr, Auemyr. —
TABLE DES MATIÈRES.
13G1
CoDd. avec la dichlorimiQoquinone
el la dichloriminonaphtoquinone,
^M^ 52. — Ck>Qd. avec l'iminothio-
diphénylimiae^^H, 55 {Scbapo9chai-
koff). — Act. sur le phénylurélhane,
9%, 203 {DJxou). — Comb. avec
BCl' el Bl*, en, â09 ( VaninoM^usor) .
— Propr. du trioiirobeozoate. Comb.
avec le irinilrobeozène sym. (dér.
acétylé^, le Irinitrotoluène, la picra-
mide, le trinilrophéuélol, en, 628.
— Prép. et propr. du dér. diacélylé,
JM, 690 (Sudborough). — Prép. par
cood. du naphtalèoe avec AzH'OH
et AlCl», %%, 703 (Graebe). — Act.
sur les dichlor- et dibromiadiazono-
zimes, ftB, 935 {Bambergcr, De-
muth). — Act. du bromure de p-
xylylène, tM, 986 (Manoukiao), —
Ad. de C«HM et Ag»0 sur le dér. acé-
lylé, «•, 988 (Laader). — Act. sur
les élliers sulfocyanocarbouiques,
tm, 1127 {DoraD).
Itro-^tol
{Reverdi Uy C repieux). — Bromur.
èo sol. acétique; cood. avec le chlo-
rure de benzyle et NaOH, en, 45
[Morgan). — Cood. avec la dichlor-
iminoquinone et la dichlorimino-
naphtoquinone, 96, 52. — Cond.
avec Timinothiodiphénylimine, £•,
55 IScbaposchnikoff). — Cond. avec
(CAz)«, ««, 420 [Mevcs). — Trini-
trobenzoate; comb. avec le trinltro-
benzëne et le trinilrotoluëne sym. et
la picramide, %•, 629 {Sudborougb) .
— Prép. 1 1 propr. du dér. diacélylo,
JM, 630 (Sudborough). — Act. sur
la phénylisobutyl-iminothto- u r é e ,
«•, 693 ( Wbecler). — Prép. par
cood. du naphtalèoe avec AzH*OH et
AlCl*. «•, 703 [Graobo). — Copul.
avec le diazo. de ra.a-2-lriméth^l-
amino-l-benziniidazol, ^tt, 780 (Pin-
now). — Act. de C*HM et Ag*0 sur
te dér. acélylé. ««,988 [Lander). —
Cond. avec Téther oxalique, SU,
1071 (Pickard, Carter). — Act. sur
les éthers sulTocyanocarboniques,
en* 1127 I DoraD).
— ^Bromo-i). Prép., coud, avec l'ald.
formique, ««, 45 (Morgan) .
— (ChlorO'1-). Cond. avec l'ald. for-
mique, 99, 46 \MorgRD).
— LyUroi'6') [Ui'). Form. à part, du
^-chlorodinitronaphtaléne. Propr . ,
diazo-oxyde, 1t%, 700 [Scheid).
— {Siiro'i'8-) [Di'). Form. à part,
du ^-chlorodinitronaphtalène.
Propr.. S«, 701 {Scheid).
^Naphttlaminb (Benzène- AZO-). Forai,
à part, de la benzèneazo-naphlyl-
auramine, ««, 116d [Mocblau,
(rraohrt).
s-Naputylamjnb (Bbnztl-). Cond.
avec l'iminothiodiphénylimine, «•,
55 {Scbaposcbnikoff) ,
(Di-). Prép., propr., cond. avec
l'ald. formique, ««, 46 [Morgan).
Naphtylamink (Di-). Cond. des isom.
ot.x, x.^ et p.p avec la dichlorimi-
noquinone et la dichloriminonaphto*
ouinone, ««, b'à [Scbaposcbnikoff).
a-NAPiiTTLAMiNB (Ethtl-). Cond. avec
riminothiodiphénylimtne, 1MI, 55
[Scbapoacbnikoff). —Propr. du tri-
nitrobenzoale et du picrate, 90, 629
iSudborougb) .
^-Naphttlamine (Ethyl-), Copul.
avec le tétrazo-m.m-ditolyle-sulflte
de Na, !es, 61iJ, 987 {Soyeweti,
Blanc). — Cond. avec Tald. formi-
que, !M, 46 [Morgan). — Cond.
avec la dichloriminoquinoneet ladi-
chloriminonaphtoauinone, «•, 52
(ScbaposcbnikofA . — Propr. du tri-
niirobenzoate, M, 629 [Sadbo-
rougb) .
(Di-). Cond. avec Tald. formique,
en, 46 [Morgan) .
^-NaPHTYLAMINE (HyDRO-) (TÉTRA-).
DédoubL par les ao. bromocampho-
sulfoniques. Propr., sels; dér. acé-
tylé, benzoylé, benzylidénlque, ««,
2.^, 236 (Pope, Harvoy).
(DiÉTHYL-). Act. di raid, for-
mique, 90, 46 (Morgan) .
«-Naphtylamink (Mkthyl-) . Picrate,
SU, 629 [Sudborougbi .
(Di-). Cond. avec Tald. formi-
que, «•, 46 [Morgao). ^ Cond.
avec la dichlorimino^uinone et la
dichloriminonaphtoquinone, «€, 52
[Scbaposcbnikoff .
^-NAPHTHYLAlflNE (MÉTHYL-). Coud.
avec la dichlorimino<|uinooc et la
dichlorirainonaphtoqumone, «H, 52
[Scbaposcbnikoff) .
— — <Di-). Cond. avec l'ald. formi-
(|uc, ««, 46 (Morgan)
P-NAPMTYLAllINE(MÉTHYLi:NE-DH.Prép.
des dér. x.x-dibromé et dichloru
par cond. de Tald. formique avec In
â-naphiy lamine broméc et chlor^'e.
Propr., 96, 46 iMorçan).
|i-NAPHTYLAIIINE iPhENYL-; . Coud.
avec la dicbloriminoquinone et la
dichloriminonaphtoquinone, «H, 52
[Scbaposcbnikoff). — Form. du
dér. dinitré'1.6 par cond. du (Hïhlo-
rodinitronaphlaiène avec l'aniline.
Propr., ««, 700 iSchoidi,
^•Naphtylaminb (/>-Tolyl-). Cond.
avec la dicbloriminoquinone et la di-
chloriminonaphtoquinone, %H, 52
iSchaposebnikoff).
s-Naphtylamine-sulfomque-5 (Ac. ) .
Form. à part, du rouge brillant.
Copul. du diazo avec le ^-naphtol,
SU, 440 [Kobncr).
SOC. CHIM., 3* SÉR., T. XXV-XXVI, 1901.
86
1362
TABLE DES MATIÈRES.
«-Naphtylbenzidine (Di-). Gond, avec
la tôlraméthyldiaminobenzophénone,
S6, 297 {Merzt Strassor).
Naphtylbiurbt. Prép. des iaom. a et 8
à part, des naphlyloxamylhydroxyl-
aminés. Propr., ««, 1071 [Pickard,
Carter) .
— (Di). Prép. et propr. des isom. a et
p, «6, 1071 (Pickard, Carier).
Naphtylcamphre. Voy, Campure
(Naphtyl-).
Naphtylcabbaziniquk (Elber). Prép.
et propr. des isom. a et ^. Act. de
COGl», ««, 1008, 1004 [Busch,
Grohmann).
Naputylcarbazino-garbonique (Ac. ).
Prép. et propr. dos chlorures-éthers
a et B. Gond, avec rh>drazine,S€,
1003, 1004 {Busch, Grohmann).
ohNaphtylcarbinol ^DmÉTHYL-). Prép.
par coud, de l'ot-naphtylméthylcétone
avec l'iodure de Mg-méthvle. Propr.,
dé«hydrat., SS, 498 [Grtgnard).
Naphtylcétone (Méthyl-). Act. des
iodures de Mg-métbyle et iso-amyle
sur les isom. at et % !K, 497, 496
iGrignard).
. lAPHTYLDrrHlOCARBAZINIQUE (AC.) .
Gond, avec Tisosulfocyanate de phé-
nyle, ««, 788 {Busoh, Woipert).
P-Naphtyle (Oxyde). Tribolum., 99,
45S [Tschugacn).
œ-Naphtylène. Syn. Mktuyl-1-cyclo-
hexène.
Naphtyl EN B-GLYCOL (Bi). Goostit.,
SS, 530. — Ident. avec Tanh. du
di-p-oxydinaph tylméthane, !K, 770
{Fosse) .
P-Naphtylkthan ï dissym. (Di-) {Di-
p-oxy-). Form. de Tanh. par coud.
de 1 acctal avec le p-napntol. Dér.
ch!oré-2, «5, 579 (Delépine).
^-NaPHTYLÉTHYLÈNB (lSO-AMYL-1-) .
Form. par ccnd. de la p-naphlylmé-
thylcétone avec le bromure d'iso-
amylmagnésium ; propr. , nitrate,
55, 499 {Grignard).
a- Naphtyléthylène (Méthyl-4- ) .
Form. à part, de rx-napbtyldtmé-
tbylcarbiool. Propr., picrate, «5, 498
{Grignard).
P - NaPHTYLÉTH YLÈNB ( MbTHYL -1 -) .
Form. par cond. de la ^naphlylmé*
thylcétone avec Tiodure de Mg-mé*
thyle. Propr., picrate, £5, 498 (Gr/-
qnard).
«-Naphtyléthylène-diamixe (Di-gt-).
Gomb. avec Tisocyanate de pbényle,
56, 266 {Scnier, Goodwin).
«-Naphtylgalactoside. Prép. à part.
de l'acétylchlorogalactose. Propr.,
««, 087 {Ryan, Mills).
P-Naphtylouanidinb (Tri-) {Cyano^).
Prép. par cond. de la p-napbtyla-
mine avec (CAz)*. Propr., sels, «6,
420 {Mo vos).
s - Naphtylhydrazike . Good. trar
l'éther chlorocarboniqtie, 9M^ tOB
[Busch, Grohmann).
^-Napbtylhydrasinb. CoikL wrtt
réther chlorocarbonique, ^C, 1004
{Basch, Grohmann). — Préf H
propr. des dér. a-benzoyJé etp^«CfW
a-benzoylé. Comb. avec la q«iao*f,
To-toluquinooe et la thymoqinttoec
««, 1103 {Mac Phersoa^ Gore^.
«•Naphtyliodonium (pHfctTL-) {loéo^
nitrO'5-). Prép. de Thydrate à part.
de Ta-iodosonaphtalène et de rkxb^»
iodonitrobensène. Propr., sels. M,
1150 {Willgerodt, Ernsi).
«-Naphtyliiéthane (Di-). Prép. âm
dér. p.^étrabenzyU, tétréthrl- H
tétraméthyldiamioés par cood. de
raid, formique avec les dibeco}!-.
diéthyl- et diméthylaaphtylaxniotf.
propr., *•, 46 {Morgan).
p-NAPHTYLMéTRANB (Di-). Prép. d*
dér. az-dîéthyldiaminé par oowL de
la p - éthylnaphtylamine avoe TtU .
formidue. Propr., S6, ^{Morgaai
— — (Z)i-p'-oxv-). Gonst. tlfeemi..
!K, 362. — Foim. par cond. do
méthylal avec le ^naphtol, 9^
577 {Delépine). — Prép. et comUI
de Tanb. ; ident. avec le dinapbto*
xanthène, le binaphtyléne^rtycol-
Picrate, dér. brome, chlore, aaaî»,
!es, 706, 771 {Fosse).
pr«-NAPHTYLMÉTHANB (MkTBTL-D1- .
Form. par cond. de Tacétal av^v
le B-naphtol. Dér. Qi-chloré>2, CS>
579 {Delépine).
p- NaPHTYLMKTHANE {PHKNTt-IM-L
PréD. du dér. 3.§'-dibydrozjlé par
cona. du ^napntol avec VaXd. be»-
zoïque. Propr., anh., dér. diaoâtyie,
sa, 204 {Hewitt, Turw^r).
P-Naphtylmétbane (Tri-) Trh^
oxy-). Prép. de l'oxyde par coad.
de GHGP avec le S-uaphtol. Propr,
constit., éthers. Synth, par coâd.
de l'ald. oxynaphtoîque avwr I*
â-naphtol, !es, 530 (Fosse),
^•Naputyloxamide sym. (Di>}. Prrp^
propr., ea, 1071 {Pickard,, Carttr
^•Naputyloxamique (Ethar). Pt«p. av
moyen de la ^naphtylamiiie et àt
réther oxalique. Propr., <•« MTt
{Piekard, Carter).
NAPHTYLOXAMYLHYDROXTIJllUKBj^riYw
et propr. des isom. s et a ; dcr
acélylé, sels, e«, 1071 (Pieiaru.
Carter) .
a-NAPHTYLXYLTLiCNB-DIAMINB Dl*;.
Prép., propr., sels, Sll> 966 , J/aac«-
kian).
NAHCOTiNB.Tribolum., ••, 4fi0 ( Tmcha-
gaoft).
Nataloinb. Act de Na*0*, SS, lU»
(Léger). '
TABLE DES MATIÈRES,
1363
Nataloïnb (Homo-). Acl. de Na"0*,
«;, 100, 739 [Ugcr).
Nkodtme. Comb. avec Az en prés.
de Hgy !K, 335. — Propr., solub.
et poids mol. des cblorores anb. et
hydraté, S5, 970 {Matignon). —
Spectre, «•, 933 [Formanck), —
Nitrate double ammon. ; condacl.
électr., «11,1(^2 {Jonos, Caldwell).
Néo-EBBiuM. Extr. de la gadoliDÎte.
Spectre, «C, 383 (Urbain).
NÉROLi (Essence). Dens., viscos.,
tens. superr, !SS, 521 {Jcancard,
Satie). — Compos. de div. essences,
tes, /63 [Theulicr); SS, 934 [Joan-
rardf Satie). — Prés, de Tantbra-
nilate de mélbyle, M, 62 {Wal-
baum).
Nickel. Propr. des sol. aq. de NiSO\
5K, 115 [Wyrouboff). — Acl. de
C sur NiO et NiSO', «S, 282
[Boudouard). — Act. des sels sur
la métbylaniline, 9S, 527 (Coninck).
— Appl. à la réduct . des carbures
non-saturés, SS, 610, 671 (Saba-
tier, Sendercns). — Act. de HgO
sur les chlorure, nitrate et sulfate.
Sels doubles bas. de Ni et Hg, S5,
787 IMailbe). — Act. de Cu(OH)«
sur NiSO*. Sel double bas., SS,
968 {Recoura). — Sépar. électrol.
do Co, !K, 970 (Balacbowsky) . —
Sépar. de Co par le ferricyanure,
Hm^ 126 (Browning, Hartwell). —
siépcp. de Co en prés, tfac tar-
Irique par H'S, «e, 126 (Tower).
— Sépar. de Zo par H'S, «•, 131
{Treadweil). — Conduct. électr. du
sulfate double de Ni et K, 1S6, 353
{IJndsay). — Azoture, S6, 355
ICurtius^ Darapsky). — Electrol.
des comb. ammon. des sels, S6,
449 [Dawson^ Mac Crac). — Act.
de Na'S*0' sur les sels, S6. 455
(^air(or). — Rel. entre la cooauct.
électr. de NiSO* et son act. toxique
sur les poissons, 98, GOS (Kablon-
berg, Mebi). — Acl. de NiO sur Pt
coUoïd., ««, 663 [Bredig, Bernock).
— Réduct. du nitrate par l'ac. lac-
tique, 1K6, 666 {Vanino^ Hauscr).
— Conduct. électr. des sulfates
doubles de Ni et K ou AzH\ S6,
1053 {Jones^ Caldwoll). — Recher-
che en prés, de Co par Na'S'0%
«6, 1057 (Donath). — Sépar. de
Co. S«, 1059 {Bosenbciw, Huid-
cbinsky).
NicoTÉiNB. Extr. du tabac. Propr.,
es, 698 (Pictet,Bot3cby),
NicoTELLtNB. Extr. du tabac. Propr.,
1K, 698 {Pictet, Botsehy).
Nicotine. Racémis. des sels par la
chaleur. Sets inacl., 96, 11-2
[Pictet, Botsehy). — Form.
nicotine inact. à part, de la dihydro.
isonicotyrine, S6, 192 (PictoC),
NiGOTiNiNB. Extr. du taoac, propr.,
«C, 698 (Pictet, Botscby) .
NicoTiNiQUE (Ac). Form. de Télher
méthyl. à part, de Téther quino-
lique, ««,1176 (Kirpal).
— (Iso-) (Ac). Act. de AzH* sur le
dér. tétrachloré, 96, 58 [SelJ,
[Dootson) .
NicoTiQUE (Iso-). Syn. Pyridinb-y-
CARBONIQUE.
NicoTYRiNE (DiHTDRO-). Transf. en
nicotine inact.. 96, 192 {Pictet),
NiGRiNB. Form. à part, de Vémodine,
96, 19(Tscbircb, Polacco).
NiOBiuM. Prép. et propr, de la fonte,
9S, 708 (Moissan).
NiTRANiLiQUE (Ac.) . Form. parnitrat.
du triacétate d'oxyhydroquinone,96,
1090 [Thielc, Jacger).
NiTRÉs (Dér.). Infl. de div. groupements
sur la nitrat. du noyau benzénique,
95, 336 (Clocz), — Dos. des grou-
pements AzO" par SnCl% 96, 1158
[Altmann).
— (Iso-) (Dér.). Conslit., 96, 390
(HoJJeman).
NiTRiLES. Act. desdér. organo-métall.,
9S, 99 (Biaise).
NiTHILESULPONIQUE. Voy . SULPOMQUE
(NlTRILO-).
NiTROSTLE (Chlorure). Comb. avec
AlCl», 96, 885 (Buf/).
Noir naphtol B. Ôel de Na hydraté,
95, 867 iSisIcy).
NoNANB. Prés, dans le pétrole de
Californie^ 96, 1079 (Mabery ,
Hadson).
NoNTLCÉTONB (MÉTHYL-). Extr. de
Tessence de rue. Propr., oxime,
comb. avec l'ald. benzoîque, 96,
269 {Caretto).
NoNYLiQUB (Ac). Pouv. rolat. de
l'éther iso-amyl. act., 95, 549
[Ouyo).
NoNYLiQUE (Aie). Dos. dans l'essence
d'oranges douces, 96, 646 [Sté-
phan),
NORCARANE-DICARBONIQUE (Ac). Prép.
par cond. des éthert diazo-acétique
et tétrabydrobenzoïque. Propr., ann.,
96, 415 (Braren, Bucbner).
NoRi. Constit., hydrol , 96, 731
[Oabima, Toi Ions).
Notice NÉCROLOGIQUE sur A, Sobeurer-
Kestnor, 95, I (Lautb).
NucLÉiNE. Prés, d'uracile dans la
nucléine de levure, 96, 331 [As-
coii) .
— (Leuco-). Prés. d'ac. o-phospho-
rique, 96, 331 (Ascoli).
— (Para-). Extr. de la caséine, 96,
935 {Salkowski}.
Nucléique (Ac). Infl. sur la solub.
de Tac. urique, 96, 3i3 ^otaj. —^
1364
TABLE DES MATIÈRES.
Extr. du thymus, ««, 326 {Bang) .
— Prép. el propr. de div. ac.
maléique», S6, 1022 [LevoDc).
— (Para) (Ac). Prép. à part, du
jaune d'œuf. Propp., ««, 823
{LoveDCj Alsbcrg). — Extr. de la
caséine. Propr., %%, 935 {Sal-
kow3ki) .
NOCLÉO-ALBUMINES. Voy. ALBUMINE.
NuGLKO-HisTONBS. ConsUt., S6, 820
(Baag). — Extr. du thymus. Propr.,
S6, 830 [Oswald],
NucLÉo-PROTÉiDES Extr. du thymus.
Propr., «•, 326 (Sang) ; S«, 830
(Oswald). — Propr. physiol. des
nucléojprotéides du pancréas, S6,
831 [Bang), — Extr. du suc gas-
trique, ««, 937 [NoDcki, Stcbor).
Occlusion. Voy. Gaz.
OcBLLATiQUB (Ac). Prés. dans div.
lichens. Propr., ««, 1184 [Hessc).
Octane. Tens. de vap., vol. spécif.,
const. critiques, ««, 72 (Young,
Fortcy). — Tens. de vap. à div.
lemp., ««, 863 [Worlager), —
Form. pav éleclrol. du valérete
de K, «é, 897 (PclorscD).
— (MÉTHYL-2.7-) (Di-). Réd. du dér.
nitré-2 ; propr. du dér. aminé ; act.
de KOBp, ««, 167 (KijDer)
OcTANE-DiOL-3 6 (DiÉTHYL-3.6-). Prép.
par cond. de Téther succiuique avec
riodure de Mg-élhyle. Propr., ««,
340 {Valeur).
OCTANONE-7-OÏQUE-l (DlMETHYL-S.Ô-)
(Ac). Form. à part, de la mélhyl-
acétylcyclohexanone . Propr.» %Sy
199 (Léser).
OcTODECANONOÏQUE (Ac) . Form. p.ir
oxyd. de )*ac. p-oxysléarique, M,
42 {Joukof, Chostakof).
OcTODÉcÉNYLAiiiNE. Prép. au moyen
de Tamide élaîdique. Propr., sels,
Ihio-urée, ««, 468 (Krafft, Tril-
scblor).
OcTYLE-ETHYLE (Oxyde). Vit. de form.
à part, de Talc, octylique et de
l'éther benzèue-sulfonique, «•, 859
[Zagrebin] .
OcTYLÈNE-DiAMiNE. Prép. à part, de
l'éther sébacique. Propr., sels, uré-
thane, urées, dér. benzoyié, SU, 572
[Steller).
OcTYLOLYCOL. Prép. à part, de Toclo-
méthylène-diamine,«6,573 [Steller).
OcTTLiQUE (Alc.A Dos. de Télhcr
caprique dans l'essence d'orancres
douces, «6, 646 (Si^hcn). — Vit.
d'acl. sur rélhorbenxène-sulfonique.
S6, 859 [ZagrebsB). — Prép. 't
Sropr. du tartrate. Dér. disait H
ibenzoylés, ••, lU^ iMae Cra^ .
OcTTLiQUE sec. (Alc.|. InfL t«r I-
pouv. rotat. du tartrale d*é«hyfe,
««, 460 {PatUrsoa). — Ethérit ur
Tac. tartrique. DédoublemeiU, M,
737 [Marckwaldy Mackeazies.
Odeur. Voy. Osmoprorks lOroap-
ments) .
OENANTHYLiDkNE. Cond. do dér. 9À»
avec l'anh. acétique et los dUofwa
d'acétyle et de benzoyle, M». $dK.
306. — Hydrat. par SO^fT, tS.
422 (ifourou, Delaage). — OmA
du dér. sodé avec le trioxjmé4bï>
lène et l'ald. benzojiqae, is^ M«
{Mourcu, Desmots) . — Good. 4a
aér. sodé avec les ethers fonniqvr*.
SS, 708. — Form. par àéç. ie
l'ald. amylpropiolique, ^^^t ^-^^
[Mourcu, Delange).
Oenantrylidénylcétone [Mcrm.- .
Prép. par cond. de rœnanlhylidffi»
sodé avec Tanh. acétique on 1^
chlorure d'acétyle; propr., hydrat,
ZS, 304, 421 (Mouroa, DcUaf-
Obnanthylique. Voy. HErrrugct
^•Oenantbyuque (Di-) LAc). Fona.
dans Tact, de Talc. heptjrliqiM tw
' son dér. sodé. Propr. , <S, 97, tn
(Guerbot).
^-Oenanthylique (Di-) (.\Ic.\. Form
dans Tact, de Talc, heplyltqoe *vr
son dér. sodé. Propr., «S, àft. ^d
('lucrbel).
Oenanthylique (Tri-) (AIcj. Potb.
par act. de Talc beptyliqae *ut
son dér. sodé. Propr., 9S, 227, 9â
[Guerbet).
Oenanthylmalique. Voy. Maliqcx.
Oléine. Voy. Oléiqub.
Oléique (Ac). Act. de SO'H*, <k
ZnCI*. Transf. en ac. oxfaléariq»**.
)M,42 {Joukof, Chestakot . — lo*>-
de réfract. de la iri-ol^ioe, 99, td
[Partbcily Velscn). — Ad. de dOH
Form. à mri. de Tac. étaîdiqoc
SU, 288, 389. — Act. de fank.
acétique. Prép. et propr. de Taaà..
S«, 2J1. — Fixât, de CK)H, «.
291. — Act. de Tac penmlAar««4 .
««,292,875 {Albitzky). — boi*
dans la graisse du chyle fuiatii
«6. 323 (Erbeoy. — Prés, àm^
rhuile de blé, ««, 351 . Vaii-.
Gibson), — Prép. et pmpr. 4t
chlorure, tM, 468 {Krafn^ 7ht-
se hier). — Dos. dans le 0ttiol« M,
734 (Boratracgcr) . — AppU é% •fi
de K au dos. de Ca et Mg ûêù^
les oaux naturelles, 9%^ 96& I U'îa-
klci).
— (Iscv-) (Ac). Constit., «•, 43 (/»
kftf, Chostakof).
TABLE DES MATIÈRES.
1365
Olkodimaroarinb. Prés, dans Thuile
d'olive. Propr., ««, 977 (Holde,
Siaogo).
O1.1VR8 (Huile). Prés, d'oléodimar-
gBTXM, tu, 977 {Holde, Stange).
Ombelupékonc. Form. à part, des
ac. ombelliférone-carboniques a et
p, Dér. mélhozylé, acélylé, élhers,
Itm, 26Î, 263 (Pochmann, Graeacr).
— (^Mkthyl-). Form. par cond. ae
la résorcioe avec les éthers dimélhyl*
acétique ou acétylmalonique. Piopr. ;
dér. «-chloré, acélylé, benzoylé^SS,
211 {Pechmann, Hanko). — Prép.
et propr. des dér. oitré-S, aminé-S
(diazo-auhydride, picrate), nitré-5,
acétylé, acétaminé-s, élhényIaminé-3,
triacélylé, diméthylé et mélbylé,
%m, 344,346 {PcchmaDD, ObirmiJ-
lor).
— f^-PHKNTL-j. Prép. par cond. de la
résoroine avec Téther benzoylacé-
Iiqii4, £6,211 (PcchmaDD, Haakc).
OMBELUFÉR0NE-a*GARB0.NlQUE (Ac).
PK»p. par cood. de Tald. résorcy-
lique avec l'ac. malonique. Propr.,
<6, 263 (PcchmaDD, Graeger).
Ombi-xliférone-^-carboniqub (Ac).
Prip. par cond. de la résorcine
avec léther ozalacétique. Propr.,
éthers, dér. acélylé,benzoylé, métho-
xylé, bromé-S, M, 262 {PcchmaDD,
Graeger).
Obilicariniqub (Ac). Form. à part.
de Tac ombilicarique. Propr., S6,
1183 {Hcsse),
OifeiLiCARiQUB (Ac). Prés, dans dir.
lichens. Propr., hydrol., idont. avec
Tac. gyrophorique, 9%, 1183 {Hcsse).
ONOficTiNB. Form. par hydrol. de
ronospine. Propr., conslit., %%,
811 {Hemmclmayr).
Ononinb. Eztr. de l'ononis spirosa ;
firopr., 96, 811 (Hemmolmayr).
Onospine. Form. par déc de Tononine.
Propr., 96, 811 {Hcmmelmayr).
Ophite. Perle en eau au rouge, !K,
233. — Anal, dos gaz occlus, %%,
'.05 (Gautier).
Un. Sépar. de la mine de Pt, S5, 11
iLoidié). — Compos. de l'or égyptien,
S6, 194 {GladstoDe). — Comb. de
Al Ci' avec le suirure de mélhyle,
«•, 675 (PhiUips). — Hydrol. des
sol. de AuCP, «6, 835 {Kohirausch),
— Sol, eolloïd., «6, fcôl {Stocckl,
VaDiao). — Chloraurates diéih/-
iène-diaminocoball., S6, 887 ( Wer-
oer, Humphrey), — Propr. de Tor
eolloïd. ; act. de H*0*. Infl. des mat.
étrangères, «6, 1039 (Brcdig, Bcia-
dcrs). — Dos. dans les minerais,
S6, i()60 {Smith).
Oramoé I. Propr. de l'ac. libre et des
sels, SS, 614 ISislcy). — Héduct.,
€6, 578 {Russig).
Orangé ii. Propr. de Tac libre et
des sels minéraux et d'aniline, ftB,
278, 614, 8G3 {Sisicy).
Orangé iv. Ad. de AzO*H, !es, 178
{Juiliard). — Sel de Na hydraté,
!es, mi\Sislcy).
Oranger (Essence de fleur). Constit.
de div. essences, ItS, 762 ( Theulier) .
Oranges douces (Essence). Constit.,
«6, 646 {StcphaD).
Orbiculatique (Ac). Prés, dans div.
lichens, propr., S6, 1184 {Hcsse),
Orcanette. Appl. à Tétude des
spectres d*absorpt., S6, 671, 953
(Formaoek) .
Orcine. Cond. du dér. sodé arec les
éthers d'ac. gras a bromes, S6, 45
{Bischoff). — Cond. avec Téther
a-chIoracétylacélique,«6,211 {Pôch-
maDD, Haake), — Réact. color.
avec les sucres, «6, 818 [Ncuberg).
-•Cond. avec la chloro-formozime,
«6,914 {SchoU, Bortsch).
— iNItrosch). Isoméris. à basse temp.,
«6, 96 {HcDrich).
OaciNOL. Form. à part, de Tac. rhizo-
ninique. Propr., M, 650 {Hessc).
O11CYLIQUE (Aid.). Form. par cond. du
fulminate de Hg avec Toroine.
Propr., oxime, M, 914 {Schoil,
Bortsch).
Orga.no- MÉTALLIQUES (Dér.). Voy.
Zinc, Magnésium.
Ornitiiine. Prép. à part, de Tac.
omithurique., prod. de putréf., «6,
U(E/I loger).
Ornithurique (Ac)« Prép. au moyen
de Tac benzoïque, «6, 24 {EUiDgcr).
Oroxtline. Prép., propr., compos. ;
dér. dibromé, triacétylé, S6, 734
{Naylor, Dyor).
Ohpiment. Voy, Arsenic.
Orsellinique (Ac). Form. à part, de
Tac gyrophorique, «6, 650 {Hesse).
Orsbllique (Ac). Form. à part, des
ac. ombilicarique et gyrophorique,
S6, 1183 {Hcsse).
Os. Destruct. pour les recherohes
toxicol., «5, 949 {Deoigès).
— Voy. Albuminoïdes.
Osmium. Sépar. do la mine de Pt. Ni-
irite double de Na, 9S, 11 {Leidic).
— Act. du peroxyde sur Toxalate de
Na. Prép. et propr. des osmylo-
xalatesde Ba, Ca, Ag, etc., tS, 6G3
(WJDtrcbcrt). — Sépar. de Pt, !es,
810 (Leidic, QucDDcsseo). — Infl.
sur r hydrol. de div. étners, S6,
736 {SuJc).
OsMOPHOREs (Groupements). Constit.,
«6, 770 {Bupe, Aïajowski).
OfMOSE. Osmose des liq. à travers
une vessie d« porc, 96, 265 (F/u-
siD). — Var. de pression osmot.
des sol. concentrées de sucro, 96,
1366
TABLE DES MATIERES.
657 (Ewan). — Démonstr. cxpérim.
de la loi de van'l Hoff, S6, 836
(Ikeda). — Electrol. à travers les
membranes semi - perméables, S6,
845 {Moriti). — Rel. entre la pres-
sion osmot. et la force électrom. des
sol. de sels de Zn, S6, 878 (Lch-
foldt). — Rel. entre la pression
osmot. et la tens. de vap., M, 883
{Noyés), — Roi. entre la pression
osmot. et la charge électr. aes ions,
««, 949, 1035 [Turin). — Prép, de
membranes semi • perméables par
électrol., S6, 1027 [Morse, Horn).
— Relat. entre la pression et le tra-
vail osmotiques, 26, 1046 [Dietc-
ricf).
OsMYLOXALiQUB (Ac). Prép. et propr.
des sels de Na, AzH*, Ba, Ag etc.,
55, 693 (WintrcbcH).
OuABAÏNB. Prés, dans les graines do
strophantus, ««, 189 [Fcisi).
OvALBUMiNE. Dos. de Az, %%y 2)
[Hausmann). — Act. de CHOP,
CHBr» et de l'hydrate de chloral,
«6, 25 [Formanek), — Digestion
peptique, «6, 315 [Scbûti). — Dé-
doub. par les alcalis, ItBySiQ(Maas).
— Prép. et propr. de la modifie,
cristall. ; dér. benzoylé, hydrolyse,
56, 332 [LangsteiD). — Comb. avec
div. albumines. Dér. iodé, SU, 822
ISchwartz). — Oxyd. manganigue,
M, 940 [Jolies). — Transf. dans
Torganisme, 90, 944 [Bcndix).
OvoviTELLiQUE (Ac). Oxyd. mangan.,
se, 940 [Jolies).
OxALACÉTiQUE. (Ac.) . Cond. de l'éther
sodé avec ladichIoro-2.3.a-naphto-
âainone, S€, 103 [^Micbel). — uond.
e Téther avec la dichloro-2.3.p-napb-
toquinone, S€, 105 [Hirscb). —
Propr. de Thydrazone, de Voxime.
Sels d*urée, d'AzH*. Act. de H'0«,
S6, 198 [Fenton, Jones). — Cond.
avec la résorcine et rhydroqainone,
S€, 261 [Pcchmann, Graegcr). —
Cond. avec le phénol et la triacétvl-
oxyhydroquinone, S6, 264 [Pocb-
manDf Krattt).
OXALACÉTTLACÉTIQUE (aa- DiÉTHTL-)
(Ac). Propr. de l'éther diéthyl.,
%%, 742 [Conrad).
— (a-a-DiMÉTHYL-) (Ac). Prép. et
propr. de Tac. et ae l'éther dimé-
thyl. ; sols, oxime, dér. brome. Act.
de AzH', de l'aniline. Cond. avec la
thio-uréo, %%, 740 [Conrad).
OXALIMINO ' DIÉTH YLIQUE (aZ-D I P H B -
NYL-) (Ether). Form. k part, de l'oxa-
nilate d'éthyle, de C'H'I et Aff*0.
Act. de Taniline, S6, 989 {Lauaer),
— (Semi-) (Etlier). Form. à part, de
l'éther oxamique, C*H»I et Ag*0.
Propr., SU, 977 (Lauder).
Oxalique (Ac). Act. sur l*haîlc 4t
ricin, S5, 5 [Juillardj, — Sete à»
Cr. Act. des oxalales alcalins «ar
les sels de Fe et Al, SS, 99 (Wr.
rouboff). — Prép. et propr. ie^
plato-oxalonitritos alcalioo- t<*trr«ax,
!K, 157 [Voies). — Comb. avec b
diphénylcarbazide, S6, 2dU (Cuv-
neuve). — Cond. de l'éther diétikyl
avec riodure de Mg-môlhyla, K,
339 [Valeur). —Titrage par KUw.r'
en prés, de SO*Mn, SS, 397 (Garf-
bafj. — Comb. avec la dipbtayl-
carbazide, !K, 452 [CaMeneure . —
Propr. du sel de glucamine» CS.
531, 588 [Maqùonnc, Boux), — Act.
sur le nitrate de bnicine, <S, ^tt
[Cazcneure). — Prép. et propr. de U
diamide dihydro-a-comphoJéaiqQe,
es, 563 (Biaise, Blanc). ^ Act.de
OsO* sur l'ac. et ses sds. FonD.
d'osmyl-oxalate, «S, tî93 ( Wiatrt^
bert). — Electrol. du sel do Ce, W.
969 [Stcrba) . — Dos. dans Tuhiy^.
Solubil. dans l'éther, 9m, 27 ^S«^
kowski). — Oxyd. par KMnir «
sol. persulfurtque, VU, 66 Baertr,
Villtgor). — Sels de Ce, ««; t*
[Mcyer, Marckwald). — Form. per
déc. de l'ac. tri mercuri- acétique,
122 [Hofmann). — Prép. et pnnr
des sels doubles de Ti et de K, Na,
AzH', Ba, en, 280 [Ro^e^btim.
Scbûtte). — Appl. au dos. voIsil
de Cu, S6, 281 {Peters). — Act
sur le triéthylcarbinol, %m^ 391
{Ipatiof]. — Variât, dans la fomaL
a part, des albuminoides, es« 3til
[Habermann, Bbrenfeld). — A^^
sur i'iodure d'Az, SU, 3(7 iCà«I4«-
vray^ Sievena). — Const. de dieeofr^
%%, 396 [Petrenko-Kristcbcako
— Appl. au dos. deTurée, M^ 444
[Jolies), — Coeff. de parta dt
AzH' entre CHCl' et les sol. «q. àm
sel de K, %%, 453 (Z>avraùa, Mt
Crae). ~ Tribol. du sol ^mgy^,
M, 459 [TscbugacO). — Propr.
toxiques du sel ac. de Na, 9S, £M
[Kahlenberg, Austin). -t- Forsi.
aéc des ac. coménique et m^
que, en, 550,553 {PeratooT^ _
nardi, Tortoriei). — Calciii. daid
de Pb, tm, 564 [TanaUr), ~ AppL
de l'éther méthyl. à la cryo«e. d»
div. comp, organ., SU, 61t} ;.A«-
wers), *- Prés, dans div. Uebcm,
S«, 651 (Htaae). — loû. de Tac
et de div. sels sur U vil. d'onJal.
des sol. oxaliques. 911, 6&9 tVonV
sen^ Beieber). — Form. parbyàret
de l'ac. hydrazo- acétique, 90, I8t
[Hanttscb, Lebmann). ^ Gond, d»
l'éther éthyl. avec lYtber a.s-diiDé-
thylacétvlacétigue, S«, 740 (Coon^
— Sel de l'oxime de la dtao^oaa*
TABLE DBS MATIÈRES.
. 1367
mine, 9%, 746 (E, Fhcbor). ~
Appi. de Télber metbyl. à la détenn.
do point de Iransf. des 2 modif. de
la iii-nitro-/>-acélyltoluidine, ^H, 843
iUcheak). — Ad. du sel do K sur
la calcite et l'aragooite, ««, 848
{Foote), — Réact. des sels sur les
<comp. diéthylène-diamino-cobalti-
qaWf %%t 887 ( Werner^ Humphrev)»
— Electrol. du sel de K, M, 897
{PelerseD), — Sel de cbloro-4.
iD-phénylène-diamine, ^11,915 [Cohn^
A, FiscberVj-— Tribol. du sel am-
moD., S6, d29 (TBchugaoff). — lofl.
catal. sur l'oxyd. de Tindigo par
Tac. chromique. Oxyd. par. KMnO^
Fonn. de peroxyde, S6, 905 (Geor-
govics^ Sprinqer), — Se! de 1 ald. B-
«mino-propiooique, SU, U75 ( WobI).
— Infl. du sel de K sur Thydrol. de
CHCI*, ««, Um {Druckor). — Act.
sur Pt colloïd., S6, 1039 {Bredig,
Jkcda). — Prép. cl propr. des
urano-oxalates ae K, Ba, Sr, Ca,
AzH«, S6, 1056 (Kohiscbutter,
Bossi). — Propr. catalyt. de Tétber,
lÊm, 1068 (Miebkol). — Coud, de
réther avec la résorcine, VU, 1069
{Tina h, Byrae). — Cond. deTétbor
étbyl. avec la ^-naphtylamine, ^H,
1071 {Pickard, Carter). — Coud, de
l*élber avec les étbers mono- et
diétb^l. de la résacétopbéoone et de
la quioacétopbénone, M, 1111 (/Cos-
taoccki, Pault Tambor),
OxALomcncATES. Voy, Ricinolkino-
OXALIQUE.
OxALURiQUB (Ac). Dos. daus Turine.
Dec. par HCl, ««, 27 {Salkowski).
OxAMiQUE (Ac). Act. de C*Hn et Ag*0
sur Tétber étbvl., SU, 977 {Lauder),
— Act. de AzH*OH sur les étbers
des ac. oxamiques subsiit., S6» 1070
{Pickffrd, Carter).
OXAMTLHTDROXTLAMINB. Prép. et
propr. des dér. alcoylés. Transf. du
dér. acétyléenbiuret,««, 1070 {Pic
kard. Carter).
OxANiLiDB. Voy. Aniline (Oxalyl-).
OxANiLiQUB. Voy. Phényloxamiqub.
OXARTHRANOL. l OV. AnTHRANOL.
OxAZiNB (Phén-) (Dimkthyl-). Form.
de 2 isom. à part, de ro-amino-iu-
rrésol et de rbomopyrocatécbine.
Propr., 1t€j 637 {Kobrmaaa).
— (PHBNTLMér-) . Form. à part, du
dér. benzoylé de Tacélal â-amino-
propionique. Propr., ««, 975 { VToAi).
OxAZiNB. Voy, Phënanthroxazine.
OxAZiNiQUBs (Dér.). Form. par cond.
du ^-napbtol avec les ald. et AzH'
ou les aminés prim., ^H, 554 (Betti).
OxAZOL (Phéntlbbnz-) [x.p'AmJDO').
Prép. par réd. du p-nitrobenzoate
d'o-nitrophénol. Propr., copul. avec
Tx-napbtol et Tac. ^-napbtoldisul-
fonique, S6, 17 (Kym).
OXAZOLAGÉTIQUE (DimÉTHYL-) (Ac.y.
Prép. au moyen de l'éther ^-acétyl*
lévulique et de AzHVOH. Propr.,
élber étbyl., SS, 647 {March),
OXAZOLINB {|i-PHÉN YL-p.Y-DIMKTHYL-) .
Form. à part, de la bromo-2-bu-
tylamine. Propr., sels, 96, 385
{Strauss).
OxAZOLONB-ACKTIQUB-5 (BeNZÈNB-
AZ0-3-I8-). Form. du dér. p-nitré à
part, de Tétber p-nitrobenzène-azo-
acétone -dicarbonique. Propr., 911,
691 {Bûlow^ Hopfner).
Ot AZOLONB-OXIM B (PhÉN YLOXIMINOBEN-
ZYLISO-). Form. à part, de la brom-
acétopbénone et de AzH'.OH, 941,
9;K) (korten, Scbolï).
OxAzoNE. Voy. Naphtoxazone.
0xYDA8E8. Act. sur les toxines, 96,
1023 {Siebor).
Oxydation. Processus d*auto-oxydat.
de auelaues comp. non-saturés, 911,
1 {Eugicr, Wcisborg). — OxydaU
par 0 libre, 96, 863 {OstwalJ).
— (Potentiel d*). Voy. Electricité.
Oxydes (Per-). Form. dans les auto-
oxydations, 96, 2 {Englor^ Wcis-
b(*rg). — Peroxydes d*ald., 96, 97
{Baeyer, VilJiger).
Oxycellulose . Voy. Cellulose
(OXY-).
Oxygène. Dos. de 0 dégagé dans Tact,
do H'O' sur le sang, 9S, 256
iCottoo). — Sol. sursat. de 0 dans
H* y, 9S, 265. — Act. sur Ag à
baute temp., 9S, 266. — Dos. de
0 absorbé par Turine, 95, 271. —
Comb. avec H et Az; iransf. en
ozone sous rinfl. de la tension électr.,
9S, 835 {Bcrtbelot). — Act. sur
CoSi, 96, 539 (Ubeau). — Form.
dans Tact, de CIO' sur KOH et
Na«0% 96, 661 (ReycbJcr). — Form.
dans Tact, de H*0^ sur Ag'O, 96,
691 (BorlAe/on. — Form. dans Tact,
de WO* sur KMnO* et SO*H% 96.
65 (Baeyer, Villiger). — Dos. de 0
dégagé dans Tact, do Mn0*H sur
lac. de Caro, 96, 06 {Bacb). —
Dcns., 96, 81 {Drujimaan^ Ham^
say). — Form. de 0 ozonisé dans
Tact, du réact. de Caro sur div.
sels et oxydes, 96, 83 {Bambcrgcr),
— Oxydât, par 0 de Tair en prés,
d'alcali, 96, 205 {Biitz). — Form.
dans Téleetrol. de HCl, 96, 242
(Mellov). — Form. dans la déc. des
chlorates de Ca et Ag, 96, 243
iSodeau). — Product. par les bac-
téries, 96, 340 {Pakos, JoUyman).
— Form. dans la déc. de KMnO*
Êar la chaleur, 96, 3G1 {Rudorff).
los. de 0 formé dans Tact, de H'O*
sur Ag*0, 96, 561 {Baeyer, ViW-
litôd
TABLE DES MATIÈRES.
gcr). — Anal, des corps oxygénés,
«6, 561 {Erhnmcycr). — Oxydai,
par 0 libre, 99, 8U3 {Ostwaid). —
Activité électrom. do 0 occlus dans
les électrodes, ««, 872 [Bosc). —
Comb. avec H sous Tinfl. de Pi. col-
loïd., ««, 1040 (Ernst), — Fonn.
par déc. de CO* par rétincelle, SU,
112â(Co7//e).
Ozone. Form. à part, de 0 sous
Tinfl. de la tension électr., S5, 335
(Bcrthclol). — Poids mol., SU, 65
(LadeDburQt Bruock). — Form.
d*oxygène ozonisé dans Tact, du
réact. de Caro sur div. sels et oxy-
des, •«, 83 (Bambcrger). — Dos.'
par Kl, «6, 365 {Toclu). — Poids
mol., ««, 449 (Otto). — Dos. par
Kl, <•, 454 {Ladenburg, Quasig).
— Form. dans Toxyd. de P par 0
libre, )M, 863 (Ostwald). — Dons.,
S«, 1050 [Ladenburg).
Vais. Constit. du pain ûlant, S6, 448
[Juckenack).
Palladium, bépar. de la mine de Pi.
Nilrite double de Na, S5, 11 (Lei-
(//c); tes, 841 (Le/</ié, QuenDCSsen),
— Aulo-oxydat. de Thydrure, %%, 2
(Euglcr, Wcisbcrg), — Appl. de
PdCl» au dos. de CO, CHCl' et du
chloral, ««, 60 (KippoDberger), —
Comb. de PdCl* avec le sulfure
de méthyle, S6, 675 {Philips). —
Infl. de Pd sur l'hydrol. de div.
sucres cl éthers, ^H, 735 (Suie).
Palma rosa (Essence). Dens., visoos.,
lens. superf., fiS, 521 (JcaDcard^
Satin).
Palmitine. Voy. Palmitique (Ac).
Palmitique (Ac). Pouv. rolal. de
réthcr iso-amyl. act., tB5, 549 (Ga/c).
— Indice de réfract. de la Iripal-
miline, ««, 63 [Partbcil, Veiscn).
— Prés, do palmitino dans la bact.
de la tuberculose, S6, 124 IScbwci-
uitZy Dorsot). — Prés, et dos. dans
ressenco do cascarille, £•, 156
{Foadicr). — Act. du zinc-mélhyle
sur le chlorure, 96, 285 {Ipatief,
Gravé). — Act. de Tanh. acétique.
Prép. et propr. de l'anh., )M, 291
\Albitiky). — Dos. dans la crraisse du
chvlc humain, ««, 323 {Èrben). —
Prk. dans Thuile do blé, S6, 351
{Vult(\ Gibson). — Prép. et pi-opr.
de Tanh. ; cOnd. avec Tald. benzoïque,
«6, 4b7 [Krafft, Hosiny).
Panama (Bois de). Prés, au saccha-
rose, %S, 141 (.^fcHJère).
Pannarique (Ac). Prés, dans drv.
lichens. Propr., ««, 118S (Hes»f).
Papavcrine. Trantf. de riodométhy-
late en laudanosine, 1K, S7U; M.
239 (Pictot, Atbanaseseo). — Th-
bolum., tM, 459 (Tsehugmelî),
— (TÉTRAHYDRO-) (Az-MKTHTI.«). Srm.
Laudanosine.
Paraffine. Dos. dans le pétrole roo*
main, SS, 725 (Grifnths. Blamaû^
— Form. par dist. sous preasmi de
la bakoumine, ^M, 124 {Krmemtr,
SpiJknr). — Propr. des dissol. et.
savon dans la paraCBne, 9M, tSë
(DoDoaD), — Prés, dans lesfeoillcs
de tabac, 9H, 1182 (Tborpe^, Hol-
mes).
Parklliquk (Ac). Prés, dans div. b-
chens. Propr., !t€, 651 (Heast\.
Pechblende. Exlr. do Pb et Bi radio-
acUfs, %%, 68, 244, 9G1 {Hofmattn,
Strauss) .
Pectine. Prés, dans les frtiita du
rhamnus catharlica,)M,7U ( TsrÀi/vA,
Polacco).
Pélargoniuur (Ac). Form. par hydro-
gén. de Tac hexylpropioliqoe, SS.
564 {Mourcu^ Dclangé). — Prép. ei
proiKT. de Tanh., M, 467 {Kraffl^
Bosiny).
PÉLARGONTLMALIQUE. Vov. IfALIQCS.
Pkntadiène (MÉTBTL-2-K Fors, par
dist. du phospliale de méthyUi-
pentamélhylèae-diamine, ^C, atft
(Harries) .
PeNTAGLTCOL. Voy. PROPYljOLTOÛt.
(^.^-DlMÉTHYL-).
PENTAMéTHYLkNE-DIAMmE-1.5. P«m.
par putréf. de la lysine, SU, «4
(Ellinpcr).
Pentamethtlène- diaminc-2.1 (Mi*
THTL-2-). Prép. et propr. du pbo»-
pbate, 9H, 2& (Harries).
Pentank. Oxyd. cnald. formique, SSL
870 (Mullikca, Browa, FroncA,.
— (Nitro^i-). tond, avec le ditao-
benzène, M, 9î^ {Bëujb**rger,
Scbmidt).
— iNitro-S'). Form. dans Tact du. Zj»-
éthyle sur lo nitropropane, 9%^ 25T
iBcwad\.
Pentane (Iso-). Bromurat., 99, t%%
(Gustavsoa).
(Bromo'S-'\. Prép. par bromar
de risopcntane, 99, 614 {GusUr^
$od).
{Bromo-1.3') (DP. Act. de
l'éthcr acétique sodé, SU, 535 itp**
O>0.— Act. de Znel de Talc élhj'f.,
««, 618 {Gustavsoa). — .\ct. aor
réther acélylacétique sodé, 90, 614
(Ipatief).
— — iyitro'2'). Form. dans Tad- do
Zn*élhyle ou du Zn-propyle sur la
propane nitré-1 at 2, M, 257 (Ht-
wad).
TABLE DES MVTI^RE^.
1369
(iV/lro-4-J. Acl. da Zn-élhyle,
9%, 257 [Dewêd], — Form. par
oxyd. de t'oxime isovalériau(», S6,
99i {BambergnPf Schwartz).
Pentane (Iso-) (Trikthylsulfone-
2.8.S-J. Prép. à part, de l'oxyde de
mésityle. Propr., 9B, 620 {Posnor).
Pentaxe (Iso-) (Trithio-éthyl-2.2.3-).
Prép. au moyen de Toxyde de mési-
lyle et de réthylmercaptan. l*ropr.,
€€, 619 {Posncr).
F«NTANE - a . p .-Tf . «If • TÉTR ACARBONIQUE
(AcJ. Fornr. de Téther éthyl. par
cond. des étbers éthylinalonique el
fumarique. Propr., )M, 469 (Mi-
chaci).
— (a-MÉTHTL-j (Elher). Prép. propr.,
%U, 469 {Micbaol).
— <p-MÉTHYL-) (Ether). Prép. par
éihylat. de Téther ^- méthylpropane-
or.^.Y-T'^étracarbonique. Propr., tM,
471 (Miebacl).
— 0-Ô-MÉTHTL-) (Di-)(Elher). Prép.
par cond. des éthers crotonique et
maloniquc. Propr., S€, 470 {Mi-
chacl).
pENTANE-OC.^.'^f-TMICARBONIQUB (AC.J.
Prép. de Télher triétbyl. par cond.
des étbers élbylmalonique et fùmi-
rique. Propr., tM, 469 {Micbael).
— (Iso-) (Ac). Form. par cond. des
étbers malonique tt méthylgluta-
conique, et à jparl. de Tac. cincho-
loïponique. Propr . , S • , 1181
{Skraup).
PeifTBNE-3 (Ethyl-3-). Prép. à part,
du triétbylcarbinoi. Nitroso-chlo-
rure, nilrosate, nitrolanilide, £•,
292, 293 {J pat ht),
Pentène (Iso-). 1*^/0. Isoproptlb-
THYLkNE]. Form. à part, du dibro-
mo-2.4-méthyl - 2 • butane. Propr.,
dér. brome, M, 282 Upaiicf).
PE.NTÈifE-2 (MÊTHYL-2-). Prép. au
moyen du bromure corresp.; nllro-
f«oehlorure, nitrosate, ««, 2^, 2'J3
[Ipatief).
Pkntène 3 (MfcTHYL-3-). Prép. & part,
du diéthylmétbylcarbinol, nitrosate,
nitrolanilidC; £6, 292; 298i/pa(i>/|.
pENTisNE-mE. Synlb. par cond. ae
l'acétylène avec le propylénc ou le
cyclopropane, 9S, 642 [BrrtheJot),
Penténolide (MÉTHYL-4-). Form. par
dist. de Tac. s-méthyllévuUque.
Propr.. !eS, 24ô [Ih'bal).
PepfTOSANES. Hydrol. par HCI, HB,
1061 (Fraps).
Pe?ctose. Form, par dédoublement de
Toc. guanyliquo. SU, 821 {Hang),—
Extr. du suc gastrique, 96, 937
{N(*neki, Sicber).
— (CÉTO-). Form. à part, de l'arabite
dans l'organisme; osazone, S6, 929
{Xeubcrgt WobJgemutb),
PÉONOL (DÉHYDRODIACÉTYL-^. IdeOt.
avec la méthoxy-3.a-acétyl-^mélhyl-
chromone, M, 159 [Kostaaecki,
Roi^eki).
— (Dehydro-méthylacétyl-). Idenl.
avec la mélhoxy-3.3i.^-diméthylchro-
mone, 1t9 , 1112 {Koslanccki ^
Lloyù),
Pepsine. Prés, dans Tembryon, H^,
704 {Bierry). — Act. sur les albu-
minoîdes, S6, 314 {Pfaundlor,
Scbùtg). — Act. de la pepsine
chlorh. sur l'osybémoglobine, SU,
816 (Zcvneck). — Act. de l'ald. for-
miaue, «•, 822 IScbwartt). — Act.
de la pepsme chlorh. sur la caséine^
)M, 935 {Saikowskf). — Extr. du
suc gastrique. Propr., compos., )M,
937 (Nencki, Siebor).
Peptasb. Voy. Diastase.
Peptones. Conatit., !K, 597 {Fiquet).
— Cristallis. des peptones de géla-
tine et d'alburoin.. M, 132 (Rûm'
pler), — Constit. de Tamphopeptone
et des antipeptones a et p, 99y 27)
(Siegfried) ; ««, 311 (Kutscbcr).—
Constit. des peptones résultant de la
digestion peptique des album., SU,
314 [Pfaundler, Sebùtz). — Valeur
alim. de Théléro-albumose de la
peptone de Witt, SU, 315 (Blum).
— Recherche des comp. amidés
dans la peptone de Witt, 1t%, 382
{Malfatti). — Form. de peptones
dans Tact, de la peplase d*orge sur
les albumin., S6, 333 {Wciss). —
Propr. anticoagul. des albumoses de
div. peptones, 96, 813 (Pick, Spi-
ro), — Dos. des bases hexooiques,
SU, 824 (Haslam). — Réact. arec
l'acéiate d'urane, SU, 959 {Scbjer-
aing).
Peptozymogènb. Prés, dans la fibrine,
96, 813 [Pick. Spiro).
Pbrlite. Syn, Ferrite.
Peroxydes. Voy. Oxydes (Pbi-).
Persil. Nouv. glucoside, 911. 187
{Voogericbten'^ .
Persulfurique. Voy. Sulfurique
(Per).
Petit-grain (Essence). Comp. de div.
essences, 9S, 934 (Jcancard^ Sa'
tio).
Pktrole. Comp. du pétrole roumain,
95, 725 (Griffflbs, Bluman). —
Oxyd. par KMnO* en sol. persulfu*
riquc, 96, 6t» [Baoycr, Villiger),'-^
Constit. des bases du pétrole russe,
96, 269 (Cblopin). — Chai, de
combust.. 96 , 654 {Sbormann,
SdoU). — Compos. des pétroles de
Californie, 96, 1078. 1079 Maberv,
HudsoDy Siopleins. — Constit. du
pétrole du Japon, 96, 108 J {Mabery,
Takano).
1S70
TABLE DES MATIÈRES.
PÉTROLÈNB. Form. dans Tact, de Veau
sur le granit, !tS, 28â. — Prés, dans
les gaz occlus dans les roches ignées,
S5, 404 (Gautier),
Phasks (Règle des). Appl. au fer, à
racierot à la fonte, ItH, 866 (Roûzc-
boom).
PUELLANDRÈNB. CoUStit., S6, 29S
{Ipatief},
Phénacalbenzamidinb. Prép. par cood.
de ra>-dibromacéiophénone avec la
benzamidine, ««, 496 [Kunckeîl).
Phénacétine. Cond. arec le chlorure
de chloracétyle et le bromure d*acé-
tvleenprés. de AlBr*, S«,485, 486
(kunckclf).
Phénactlamine (Tri-) (TrioximÎDO-).
Form. à part, des oxitnes des acé-
tophénones co-bromée et <i>-chloréo.
Propr.. sels, ««, 989, 99J (Aorien,
Schoil).
Phénacyle (Bromure). Voy- Acéto-
PHÉNONB (tti'BromO'),
Phénacyle (Di-). Voy. Bbnzoylé-
thane (Di-),
Phénacyllévulique (Ac). Form. à
part, de la furfuryiidène-acétophé-
Done. Propr., dioxime, 1t9, liS
[Kobrer).
Phénactlpyridinium. Voy, Pyridi-
NIUM.
Phénanthrane (Bis-). Form. desdér.
mono-et di-nitrés à part, du bis-
nitrodihydrophénanlhreno. Propr.,
SU, 142 [ScEmidt).
Phknantrrazinb. Form. i part, de la
phénanthroxazine et de l'hydrophé-
nanthrène-quinone, <•, m {Bam'
berger t Grob).
— (ToLU-/. Prép. du dér. méthoxylé-
4.4* à part, de la phénanthrène-crui-
Done et de l'élher méthyl. du ma-
mino-2.8./)-crésol. Propr., SU, 1087
[Kaufler, WcDtel).
Phénantrrène. Form. par dist. sous
pression dos huiles de résines, S6,
124 [KraeiDor, Spi/ker). — Act de
AzO'H et des vap. nitreusc», SU,
141 (Schmidl). — Mél. euteclique
avec la camphoroxime, tf6, 1029
(AdriaDi).
— {Nitro-ô). Form. à part, de l'oxyde
de bisdihydronitrophénanthrène.
Propr., S6, 141 (Scbmidt).
Phénanthrène (Hydro-) (Bis-di-).
Form. de l'oxyde du dér. nitrê dans
Tact, de AzO'H sur le phénanthrène.
Propr., S«, 141, Ut {Scbmidt),
PuéNANTiiRÈNE (MÉTHYL-). Form. par
dist. sous pression des huiles do
résine, «6, 124 {Kraemer, Spil-
ker),
Phénanthrène-quinone. Act. sur l'é-
thylmercaptan, S5, 314 {Tarbou-
riecb). — Act. do la phénylhydra-
zine, <•« 430 {Bamb^rger^ Grokà,
— Cond. avec la chloro-5-amiiio-9'
diphény lamine. %%^^\(i{Kehrmmnii,
Hiby). — Vit. de réact. av^c b
phénylhydrazine, SU, 89G [PrliTjiAi>-
KritsebeokOj Eltscbaniaof). —
Cond. avec Téther méthyl. da dia-
mino-2.d.p-crésol, tKH, 1087 (Km*
Ûer^ WoDxel).
Phénanthrol. Act. de AzH' sur \9b
isom. 2 et 3, eH, 1091 {Werntr,
Kung),
Phénanthroxazine Form. à part. d«
la phénanthrène- et de Thydrophé-
nanthrène-quinono ; propr., dérivé
acétylé, S6,4âl {Bamborgûr, Grob)
Phénanthrylaminb. Prép. des iaooi.
2 et â à part des phénanthroU
corresp. ; propr., dér. acétylés, sels,
««, 1001 (WcrDcr, Kudx).
Phénazinb (Cblorodimctb^'iamiDO'' .
Prép. par cond. de la nitrosodiai»-
thyfaniline avec la chloro-4. mfé^
nylènediamine, IKH, 916 {Coho^ .4.
Fiscbcr).
Phénazinb (Naphto-) (Amino-ô-oxy^
6-). Form. par cond. de To-pbéay-
lène-diamine avec Tac. acétemîno-
oaphtalique. Propr., dér. aeélyl^
Hiy tSl ^Kebrmann, Barche).
— — (Mbthyl-). Prép. d^ der.
chloro-S-aminé^ et chloro-J)*aDiU40-^
à part, de la chloro^. Az-méthyl-9>
phènylène-diamioe et des ^noapbMv
quinones aminée4 et aiiilidée4;
λropr., ^H, 548 (Kebrmaan^ Mut-
er).
(Phéntl-). Prép. et propr. de*
dér. aminé et acélaminé-9, wB, IS,
223 (Kebrmana, Steiaer). — Prrp
du dér. chloro-6-acéteromé^ i pari.
de ramino-5-ro8indone. Propr., acii
div. ; act. de Taniline, S(S, tt
(Kcbrmanru Barcbc). — Prép. H
propr. des aér. chloro-S-aminé-lS et
chloro-3-diaminé-6.13; dér. ecHjlés.
S«, 549 [Kobrmann, Kratthr),
Voy. RoSUfOULlNB (Iso-).
(Phéntl-iso-). Prép. per cood.
de la ^naphtoauinoneavecla ciktore-
5-ammo-z-diphénylaminc. Act. de b
diméthylaminc et de Tac. p-amioe-
salicylique sur le dér. chlorée, 99,
545 (Kehrmano, Hiby).
(p-ToLYL-J. Prép. et propr. àm
dér. chloro-3.p-toluidé<o et dhp-
toIuidé-3.6, SU, 549 [Kfhrmamm,
Kratzler) ,
PHÉNAZONIUlf>0rLrONIQUE-8 *MAr»TO-'
(Méthyl-). Prép. à part, des ac v
naphloquinooe-sulfonique etderai-
méthyl - chloro-5. o - phényl^De-dU-
mine. Propr., dér. chloro^sulJteai-
lidé^ etchlorO'3.p-acét^mino inilidJÉ
6, «6, 548 [Kebrmaun, MàJhr.
TABLE DES MATIÈRES.
1371
PBiifAZOxomuif (DiMKTHTL-). Prép.
percond.de ro-amioo-io-crésol avec
I*boiiiopyrocatéchin«. Propr., sels,
comb. avec Taniline^^M, eSl(Kobr-
maan),
PhBNB - DIOXT-S - PBOPIONIQUB ( AC.) .
Prép. des isom. o, m et p par cond
des diphénols sodés corresp. avec
Téther a-bromopropionique. Ppopr.,
lactoneSt élhers, pbénétidide, modif.
stéréo^som., 99, 44, 45 (Bischoff).
o-PHÉNftîiDiNE. Comb. avec les ald.
benzoïque et salicylique, ItHy 764
(Hantxseh^ Sehwab).
p-PHBNÉTfDiNB. Dép. de Tac. p-to-
luène-sulfoniqae, !K, 1050 (Revcr-
din^ Crépieux). — Acl. sur Tac.
phénoxy-a-proptonique ; propr. de
la phénétidide, %%, 11. — Phénéli-
didea des acides bromacélique, a-
bromopropionique et ffayacoxypro-
pionique, %%, 18. — î)ér. des ac.
pbène-dioxy- et oxyphénoxy-propio-
niques, ««, 45 {Biscboù). — Cond.
avec riminothiodiphénylimine, S6,
55 (Schaposcbnikoû). — Act. de
KSH, CAzK et SCAzK sur le dér.
chloracétylé. Prép. et propr. du
dér. sulfocyanacétylé, M, lâ6
(GrotbOf Frericbs, Bcckurts). —
Act. sur le salol. Dér. salicylé, S6,
404 (Coba). — Cond. avec (CAz)»,
9M, 420 {Sfcves). — Dér. de Tac.
oxyméthylène • camphre - phosphini-
que, S6, 702 (MicbacUs, Flem-
ming),
— (^niiiio-^-). Cond. avec les ac. phé-
noxy-, m- et p-crésoxy-, m-thymo-
xy-, œ-carvacroxy-, œ-jçayacoxy-,
/D-eugénoloxy-, /n-« et ^-naphtoxy-
acétiques, £6, 1164 [Cobn).
Phékétidine (.\z-Methtl-). Voy. Phb-
woL {MétbylamiDO'),
Phénétol. Réd. des dér. halogènes
parHI,««, 397 {Klages, Liccie).^
Act. de SO*H*. Prép. et propr. des
dériv. o, m- et p- sulfonés, SU,
406 {Scbober, Bowers).
— (Z>/*B0-4-). Comb. avec les ac. Ihio-
sulfon. aromat., S«, 636 {Traeger,
Ewers), — Comb. avec Téther cya-
nacét., tiê, 706 (Lax). — Copul.
avec la m-diméthyltoluidine, US,
770 USamoison).
— {IodO'S.4.6') (rri-).Prép. paréthy-
lat. du tri-iodo-phônol. Propr., S5,
821 [BreDaDs).
Phémbtol (p-Ethyl-). Voy. Phénol
(P-Ethyl-).
Phbnol. Prép. et propr. du sulfate ac,
sels, !es, 49 iVcrhy). — Act. de la
tannase sur le ealicylate, S5, 271
{Pottovin). — Const. therm. des
sulfocyanate et isosulfocyanate, ItS,
526 {Ècrtbclot). — Act. sur le di- |
méthylformal, S5, 577 iDclépino). —
Act. de I; dér. iodés, «5, 611, 63)
(Brcnans). — Prép. et propr. des
carbonates mixtes alcool. ; act. de I.-i
pipéridine, «5, 634 {Cazoncuvô).^
Form. par déc. de Tac. phénoxy-a-
isobutyrique. Act. du dér. sodé sur
Tac. a-bromopropioniqua, M, 11
ŒJscbo^i). — Prés, dans Turine.
Comb. avec Tac. glycuronique, *Sli,
29 [Mayer, Nouberg). — Form.
dans l'act. do H«0« sur C*H% »•,
87 (Cross, Bcvan, Hcibcra). —
Form. à part, des résines de cou*
marone et d'indène, «6, 100, 101.
— Form. par ditt. sous pression du
xylylphénylméthane, ««, 124 {Krao-
mer, SpUkor). — Acl. sur le bis-
niirodihydrophénanthrène, ^H, 142
(Scbmidt). — Points d'ébull. dos
roél. d'eau et de phénol, 99, 241
{Naumana, Mùlhr). — Cond. avec
les éthers acétylacétique et oxala-
cétique, SU , 263 [Pccbmann ,
Kram}.^ Prép, et propr, de Téther
coumarilique, *«, 347 [Stoermer,
Calov). — Réd. des dér. halogènes
par m, S6, 397 {Klages, Lieckc^
— Comb. avec le sulfosalicylate de
phényle, %%, 404 (Cobn). — Ether
derac. p-nitro-o-suirobenzoïque,M,
413 (HeDderson). — Form. dans
Tact, des o- et o-oxybenzoales de
méthyle sur raniline, is, 415 {Tia-
^70). — Copul. avec le diazobenzëne
et le p-diazotoluène, 99, 424 {Bana-
berger) . — Prés, de valérale et de
caproate dans Thuile de bois, S6,
440 [Fraps). —Dos. par 1, S6, 442
(Messingor). — Appl. à la sép. (/•
l'indigo, 99, 444 (Lcoat). — Points
de soTidif. des sol. aq. et chlorh. de
phénol, 99, 524 (Emcry, Krug, Ca-
oieron). — Act. sur SiCl*, M, 577
[Kipping, Lloyd), — Conduct. élect.
et hydrol. du sel de Na, 911, 597
(U^«y/rer). — Vit. d>thérlf.,««, 616
[Panot). — Ether de Tac. dibenzyl-
méthane-phosphi nique , S6 , 702
{MicbaeJis, Flcmmiag). — Act. sur
Toxyde mixte de menthyle-chloro-
méthyle, 9%, 717 {Wcdckind), —
Equil. des systèmes eau-phénol-
acide tartriquc et eau-phénol-acé-
tone. 9<l, 736 {ScbrciDcmakers).—
Comb. avec les phényl- cl p-lolyl-
hydroxy lamines, M, 767 {Bamber-
ger) . — Form. par déc . de la nitroso-
pyruvvlphénylhydrazine , S6, 775
[Bambcrgor, Grob] . — Form. par dé-
comp. des hydrazonesd'ald.nilrécs,
«•, 778 (Bamborger, Scbmidt). —
Points critiques des sol. aqueuses,
••, 847 ( Van der Lee). — Tens. de
vap. et conslit. des mt^'l. avec l'eau
et Vaniline, S6, 881 {SchreiDema-
i;J72
TABLE DES MATIÈRES.
kors}. — Form. par déc, des pro-
duits de cblorurat. de la caséine,
96, 943 {Habcrmann, Ehrenfeld),
— Act. du dér. sodé sur le dibromo-
1.3-dinilro^.6 benzène, %%, 1081
{Jackson, Cohoe), — Prép. elpropr.
du suifocyanacétaie, %%^ 1098
\Wbeclor, Johnson). — Act. sur
r(M]uiDone, 9H , 1102 [Jackson,
Kocb) .
— \Amino-2'). Cond. ovcel'ac. acéta-
minonaphtalique, 911, 2â0 {Kcbr-
inann, Barcbe). — Form. par réd.
des o-oxy-azobcnzène et o-oxy-azo-
p-toluène, S6, 424 {Bainberger),
— [AminO'i-). Form. par réd. électr.
de la benzidine, 911, 113 (Loob), —
Prép. et propr. du salicylalc. Dér. acé-
lylé (salopbene), 90, 4 )5 iCohu).—
Forro. dans Tact, du mlrosobcnzèae
sur Tac. p-lolaène-sulfinique. Propr.,
sols, aérivés acétylés, diazo.,
p - toluène - sulfonate, combinaison
avee raniline, 96, 541, 542 (Bam-
horgor, Bisiny). — Prép. et propr.
des éthers oxydes mixtes propyl.,
allyl.y amyl., isobutyl., bonzyl. ;
sels, comb. avec l'urée, 96, 706
iSpiegeJ, Sabbatb). — Cond. avec
Taub. phtalique, 96, 927 (H.
Mever) .
— [AminO'S'CblorO'S') , Form. à
part, de la p<;hlorophénylbydroxyl-
amine, 96, 7U8 [Bambcrger),
— iAmino-2-niiro'4-). Cond. avec
l'a>. S-acétamino-Qi-naphtalique, 96,
231 (kebvmann, Barcbe).
— {Bemylélbylamino-S-] . Prép. à part,
de l'ac. benzylélbylaniline-in-tulfo-
nique. Propr., tran;5r. en rbodamine,
96, 1146 {Gncbm, Scbeutz).
— {Btomo'2.4-) (D/-). Cond. du dér.
sodé avec les elheri d'ac. gras «•
bromes, 96, 44 (BiscboO). — Act.
do AzO*H.96, 404 (Zinckc),
— {Bromo-2.4 6') (TW-). Cond. du
dér. sodé arec les étbers d'ac. gras
a-bromés, 96, 44 [Bischoff).
— {Bromo-2,6nitrO'4-) (/)/•). Prép.
au moyen du dibromo-p-nitroso-
phénol, 96, 760 [Forstcr, Robert-
son) .
— {BromO'2M'nitro80'4') (/>/-). Prép.
au moyen dupnitrosophénol. Propr.,
sel de K, dér. acetylé, benzoylé,
96, 760 (Fors/er, RobeHson).
— {Cbloro'2.4-) iD/-). Cond. du dér.
sodé avec les étbers d'ac. gras a*
bromes, 96, 44 [BiscboO). — Act.
de AzO'H, 96, 404 [Zincke).
— [Cbhro-2.4.6') {Tri-). Gond, du
dér. sodé avec les étbers d'ac. gras
gt-bromés, 96, 44 [BiscboO).
— [EtbyiaminO'2') (Di-). Act. des
oxydants sur les étliers méihyl. et
élbyl., 95, 217 [Grimaux).
— [Ethylamin<yS). Prép. à pari, de r*c
éthyianiline-iii-8iilfi>niqoe. Propr..
transf. en rbodamine, S9, Ûtf
{Gaohm, SebeotM).
(Di-). Cond. des étbers mètbyt.
éthyl. et benzvl. arec COCl*, raafc.
phtalique, Tald. benzoîque,<S.215.
217, 218 {Grimaux\. — Cond. ave*
Tanh. télracblorophtaUqae, 9S, 747
(Haller, Umbgrovc),
— (/odo-^.4-J (Di-). Prép., propr,,
métbylat., dér. acétylé, 9S, 690. —
Prép. et propr. des éthers propyl^
isopropyf. et allyl. ; bcnzoata, sood-
nate, phtalate, 95, 819, 821 [Bn-
nans),
— (lodo-S.4.6')iTn'), Prép., propr,
95, 631 . — Etbers méihyl., éthyl ,
propyl., allyl., benzyl. : acétate,
benzoate, 96, 820, 822 [BrcBëns).
— {Méthylamino-i-) [DU). Act. 6m
oxydants sur les étbers méthyl. et
éthyl., 95, 216 (Grimaux). —
Form. par déc. de Toxyde de dimé-
thylaniline, 96, 766 {Bamb^rger,
Leyden).
— (Mcibylamino-S-), Form. i part
de Tac. Az-méthylaniline-m-sulroni-
que. Propr., cond- avec Taiih. phta^
lique, 96, 1146 (Gnehm, SchrtiU\,
{Di'). Cond. des étbers méthyl.
et éthyl. avec COCl', l'anh. phtali-
que, Tald. benzoîque; dér. nitroté,
95, 215, 217, 218.— Cond. du dér.
nitrosé de Tétbcr éthyl. avec la »-
toluylène-diamine, le ^naphtol, las
aminés prim., le tannin, fa rèflor>
cine , le m - diméibylaminophéoûl,
95, 219 [Grimaux], — Cond. arec
Tac. m-oxy-iJ-diéthylaminobeozoy)-
benzoîque, 96, 747 (HaJJer^ Umb-
grovc).
— [MétbylaminoA-). Form. i part,
de l'oxyde de dimétbylaniiine .
Propr., étber oxyde, 96, 70G [Bsnh
berger, Leyden) .
— (NitrO'2'). Etber de Tac. p^iitro-
benzoîque, 96, 17 {Kym). — Cood.
du dér. sodé avec les élhers pro-
pioniqne et butyrique s-bromé*.
96, 44 (BiscboO). — Prép. K
propr. du salicylate, 96, 405 (Coha).
— p-ToIuène-sulfonate, 96, 512
[Bamberger, Bising).
— [Nitro^'). Cond. du dér. «m^
avec l'élber a-lm>raopropiooiqQe,
96, 44 (Biscboff).
— {NitrO'4-). Appl. aa titrage 4m
PO*H» par Baa CaO, SrO. 96, 9fi
[Cavalter). — Prép. et propr. d«
p-tolnène-sulfonate et du dér. »«i-
tré, 96. 1044 [Bererdin, Crêpiewti
— Co&d. du dér. sodé avec Tèibef
a-bromopropionique, 96, 44 .Bis-
cboff). — Emploi comme indic«L
TABLE DES MATIÈRES.
1373
eo acidimétrie, SU, 288 ISpicgeJ),
— Salicylate, S6, 406 (Cohn), —
/)-Toluèiie-8aironate, ^H, 542 (iBam-
berger, Rising). — Prép. et propr.
des éthers-ozydes mixtes propyl.,
aliyl., amyl., isobutyl., benzyl.,
Zm, 706 (Spieqel, Sabhatb),
— {NitrO'2.4') (Di-). Prép. des tri- et
tétrasalfures au moyen de Na'S',
Na*S\ de To-diDitrobenzène et du
diaitrolhiopbénol, «5, 983 (BlaDka-
ma), — Act. de CAzK, )M, 121
{Borscbe). — Form. dans Tact, de
AzC>*Na sur le cblorodinitrobenzène,
«6, 1144 (h'ym).
— (NUrO'S.4.6-) (Tri-). [Syn. Ac.
Picrique]. Comb. avec la dipbényl-
carbazide, S5, 281, 4&3 {Gaze-
neuve). — Form. à part, des ac.
cyano-m- et p-oxycinnamiaues, 1S6,
594 {Fiquet), — Poids mol. en sol.
dans AzO* et Tac. formique, 96,
527, 629 (Bruni, Bcrti). — Act.
des sol. sur le verre, 26, 609
{Woodmann^ Cayvan). — Comb.
avec les éthyl- et méthyl-x-napblyl-
amlnes. dl, 629 ISudborougb). —
Appl. a la recherche de K, Ur, Rb,
Tl, ««, 1058. — Act. sur l'élher
oxalique, ««, 1069 {Tingle, Bvrnc).
— Form. dans Tact, de AzO'Na i*ur
le chlorure de picryle, 96, 1144
{Kym),
— {Niiro^.S'nitroschA) (Di-). Form.
à part, du trinilroniVrosobenzène.
Propr., S6, 169 {NioUky, Dict-
scby).
— LVitroso-é-). Act. de KOBr, S6,
760 {Foraiety Bobertson).
— (Tbia-). Voy, Phénvlmergaptan.
Phénol (o-Ethyl-). Form. à pari, des
résines de coumarone, S6, 100
{Kracmar, Spilker). — Form. à
part, de la diméthyldihydrocouma-
rone, S6, 505 {Baeycr, Sca/fert).
— (p-ÈmYL"). Form. à part, de Tac.
éthylt)enzènesuironique. Propr., dér.
éthoxylé, méthoxylé, S6 , 913
(Moscbnor).
Phénol (Pskudopropénvl-). Form.
des isom. o et p par cond. de l'io-
dure de Mg-mélhyie avec les o- et
/>-oxybenzoates de méthyle. Propr.,
oxyd., S5, 276 (Béhal, Sommrlet).
Phknol-disulfonique (Ac). Comb.
avec HgO; sel de Na, eS, 64'J
{Lumière^ Porrin).
Phénols. Auto-oxydat., 96, i (En-
gler, Weisbcrg),
Phénoxy-agktique (Ac). Transf. en
coumaranone, 96, 76 (^toormcr,
Bartscb). — Cond. avec Tamino-
phénétidine*1.3.4 et la loluylène-
diamlne-1.3.4, 96, 1104 (Co/20).
— (Cbloro-iA.e-) {Tri') (Ac). Prép.
propr., fthers, 96, 44 {Biscboff). I
— {Oxy-2') (Ac). Propr., sels, lac-
tone, élhers, nmidc, dér. bromes,
nitrés, acétylé, benz^ylé, anilide,
p-toluidide, méthylanillde, hydra-
zide, pipôridide, 96, 400 [Ludc-
wig) .
PhénoxY'S BUTYRIQUE (Ac). Prép,,
propr., élhers, 96, H, 44 (£^/-
soboff).
— (CAnBOXY-2-) (Ac). Prép., propr.,
éther diélhyl., 96, 13 {Biscboff}.
PHÉNOXY-a-isoBUTYRiQUB (Ac). Prép.,
propp., éther éthyl. ; nitration.
Transf. en morphotone, 96, 11
{Biscboff).
— (Carboxy-2-) (Ac). Prép., propr.,
éther diéthyl., 96, 13 {Biscboff}.
PHÉNOXY-a-ISOVALÉRIQUE(Ac).Propr..
96. 11 {Biscboff).
— (Carboxy-2-) (Ac). Prép., propr.,
éther diélhyl., 96, 18 {Biscboff).
Phénoxy - «-1SOVALÉRIANIQUE (Ac).
Propr., 96, 11 {Biscboft}.
— (Carboxy-2) (Ac). Prép,, propr.,
éther diélhyl., 96, 13 [Biscboff).
PnÉNOXY-apROPiONiQUE (Ac). Prép.
et propr. de la phénélidide. Comb.
deTéther éthyl. avec le pliénale do
Na, 96. 11 {Biscboff}.
— {CblorO'2.4) (Dis (Ac). Prép.,
propr, éther, 96, 44 {Biscboff}.
-— (Nitro-) (Ac). Prép. et propr. des
isom. o-, m- et p-, élhers, 96, 43
(Biscboff).
' {Oxy'2') (Ac). Form. de la phéné-
lidide à part, de Tac phène-dioxy-
propionique. Propr., 96, 45 (Bis-
cboff),
Phénoxy-x-propionique (Carboxy-)
(Ac). Prép. et propr. des isom.
2 et 4. Elhers. 96, 18 {Biscboff).
Phénoxy-^-propionique (Ac). Propr.,
dér. o-etp<nitrés, p-aminé ; transf.
en morpholone, 96, 11 (Biscboff).
Phénoxysilicane [Méthoxydicbloro') .
Prép. au moyen dd SiCl*, du phé-
nol et de Talc mélhyl.; propr.,
dér. éthoxylé, anilidé, 96, 577
iKipping, Uoyd).
Phénylacétique (Ac). Pouv. rotai,
de Téther iso-amyl. actif., 9S, 459,
550 (Guye) . — Propi-. de Tamide Az-
chlorée, 96, 139 {ArmstroDg}. —
Cond. avec les ald. benzoïque, ani-
siqut, cuminique, salicylique, 96.
295 {WaJtber, Wctilicb).^ Form.
par oxyd. de Talc phéoyléthylique,
96, 310 (Walbaum). — Non form.
dans la cond. de i'ald. benzoVqac
avec Téther acétique, 96, 472 {Mi-
chacT). — Vil, de dissol., 96, 878
{Bruner, Tollocxko) . — Transf. du
chlorure en anh. au moyen de la
pyridine, 96, 9J9 {Wcdckind}. —
Act. du ch'orure sur Toxydc d*éthyle
1374
TABLE DES MATIÈRES.
en prés. d6 FeCl*. Form. d'éther
élhyl, 26, 1068 {Wcdùkind, Haous-
sermann) .
— {iX'Chloro-) (Ac). Form. à part,
du phényràycocolle, ««, 333 (i/o-
chem). — Hydriudamides (/, 1 et r,
se, 500 [Kipping, Hall) .
— [CblorO'2-) (Ac). Prép. à part, de
l'o-chlorotoluène. Propr., sels, ami-
de, aniline, toluidides, hydrazide,
éthers, «6, 624 [Mohner).
-- {Chloro-4') (Ac). Prép. au moyen
du cyanure de p-chlorobenzyle.
Propr., éthers; cond. avec les ald.
benzoïque , anisique , salicylique ,
««, 296 {WaUbcr, Wetzlicb). —
Prép. et propr. des anilide, tolui-
dides, hydrazide, SU, 625 {Mobner).
— (oL'Eiboxy-) (Ac). Elhérif. et dé-
doub. par le menthol, 96, 737
{Marckwald, Mackcnzie) .
— {Mctboxv-4') (Ac). Form. à part,
de la génistéine, 96, 154 [Pcrkin,
Horsfall) .
— {NHrO'4') (Ac). Cond. avec les
ald. benzoïque, anisique, cumini-
que et salicylique, ««, 295 [Wal-
fier, Wetzlicb).
— {Oxy'2') (Ac). Form. à part, de
Turéthane coumarilique, !S6, 348
{Stocrmetj Calov).
— (PbéDvlamiiio-2') (Nitrile). Oxyd.
par KilnO*. Dér. p-diméUiylaminé,
««, 488 (SacAs).
— {Tolylamino-2-) (Nilrile). Prép. par
cond.' du nilrile phénylglycolique
avec l'o-toluidine. Propr., S€, 488
[Sacbs] .
Phénylacktique (Cabbbthoxy-) [Ami'
no) (Ac). Prép. au moyen du
nilrile phénylglycoUque et de Turé-
thano. Nitrile, amide, éiher éihyl.,.
amidine, S6, 488 {Lebmana).
Phénylacétique (FoRiiTL-) (ElhêiJ.
Points de fus. des 2 modif., M,
534 [Wolf], — Constit., SU, 850
{Briibl).
Phkntlacétiqub (Iso-). Voy. Cyclo-
liePTATmÈNE-CARBONIQUE.
Phénylacétique (a-MÉTHYL-) (Ald.).
Form. par oxyd. du propéuylben-
zène, «5, 276 [TifTcncau).
Phknylacktoxamylhydhoxylamine .
Propr., iransf. en phénylbiurot, S6,
1070 [Pickard, Carter).
PhÉNYL ACÉTYLÈNE. Act. de (CAz)* Sl
de CAzBr sur le dér. sodé, !K, 99.
— Prép. à part, de l'éthylbenzène.
Act. du chlorure de benzoyle sur le
dér. sodé, 25, 311. — Form. par
déc de racétylphénylacétylènc, SS,
419 {Mourcu^ Delaago). — Cond.
du dér. sodé avec le trioxymé-
thylène, «5, 610 {Mourea, Dos-
mota). — Cond. du dér. sodé avec
les éthers formiques, SS, 708 [Mom
rcu^ Dclangô). — Gond, «tôc raeé-
tone en prés, de KOH, M, 94
[Favoraky^ Skosêtcvsky} .
— [Bromo-]. Pr*p. par aol, do bro-
mure de cyanogène sur le phéoyl-
acétylène sodé, ItS^ 99 iifamrtu,
Delango^,
Phénylacetylknb (AcéttM . Prép.
par cond. du phénylacétvlèae sojè
avec le chlorure dacélvlo. Propr.,
bydrat,, SS, 312, 418 {Maunm,
Delaoge) .
Phbnylacstylène (Bbxzotl-). Prép.
par cond. du phénylacélylèoe 80ée>
avec le chlorure de benzoyle ; propr.,
hydrat., «5, 312, 420 {MaoreB.
Delange) .
Pucnylacétylène (p-ExHYL-). Prép.
au moyen de la p-élhylaoétophi-
none at-chlorée ; propr., dér. s*
chloré, «6, 622 {Kuaekell, Kc^
ritzky) .
PHÉNYLACÉTYLÎbJtE (p • ISOPKOPYL • .
Prép., propr., dér. «-chloré, <•«
622 [Kunckell, Koritzkyj.
PhÉNYLACÉTYLKNE ( ISOPROPTUHS -
THYL-). Prép., propr., dér. aoëé,
a-chior(
n'tzkyj
Krcp., p
, M, 62:
2 [KuackcU, Ko-
PhÉNYLACÉTYLÈNE ( MÉTHTl. - 1.4 -t
(Di). Prép. et propr. du dér. *•
chloré, M, 622 [Kuneketl, Gotseb> .
-i (MéTHYL-2.4.6-) iTri-j . Prép., pitipr.,
dér. oc-chloré, M, 622 {Ktutcàaii^
Korittky) .
PhÉNYL ACBTYLTARTIUQUB (Ac^. Bp«».
rotfti. des mono- et di-phéavleeè-
tvltarlratee d'élkyte, ••, 72 ^*c
Ùrtte^ Patteraoà).
PKÉRTLACRTLIQUE (/>-IS0PII0PTL-«-Hi
TBTL-) (Ac). Form. à pari, de Tac.
a-mélhyl-p-isopropylphenyl- ^lacti-
que. Propr., %%, 92 [Grigoroviieb .
Phénylamidinb (DcNzÉNTL-). Cood.
avec les isocyanale et isosnlfbcya-
nate de phényle, 9%, 69S (H'A«-
1er).
PUÉNYLAMIDINE-OXALIQUE (I)l-i (Eîhtr .
Prép. par étbylat. de roxauUu
d'éthyle en prés, de AgH3. AeL de
l'aniline, S«, 989 {Uader).
Phénylaiiidine-oxamlide (Oi-t. Pàrm
par étbylat. de roxanilate d^eôijle
en prés, de Ag*0. Act. de ranlûR.
S6, 989 [LandcT).
Phénylamine (Di-). Cond. avec U
dichloriminoquinone et la die^kv-
iminonaphtoquinone, %%^ Sii. ^
Act. de S, M, 58 {Schaptmekmi-
kof). — Propr. therm. de U fc«»
sarfondue, S«, 133 [Pêwlewmké,^
Act. des o-, m- et fNtichlrob—
zènes et des o- et m rhlnrofolnftiw
sur le sel de K, 9%, 176 iHi
TABLE DES MATIÈRES.
1375
mann). — Form. dans la cond. de
AzH'OH avec C»H* en pré*, de
AiCI*, ««, 703 [Gracbe). — Act.
du bromure de p-xylylène, %9, 986
{Manoukian) .
{Amiao-2-) . Comb. avec Tacéta-
mmo-5.^naphtoquinone^ tf6, 147
{Kcbrmaao, Donk). — Cond. avec
racétamino - 5.^ - naphtoquinone et
rainioo-5oxy*2.X'napnU>quinone,S6,
âiO. — Cond. avec rainino-7-oxy-
2.a-naphtoquinone et la diamino-^-
naphtoquinone, 26, 222, 223 {Kehr-
manUy Stciner) . — Form. par cond.
de la phénylhydroxylamine avec
rantline, S6, 767 [Bamberger),
— — [AmiDo-A'). Cond. avec les
aminés primaires ; form. de BaOra-
nines^M, 116 (A'/ifirc/ine). — Form.
par comb. de raniline avec la phé-
nylhydroxylamine, ttH, 767 [Bam-
berger) .
— — [Amino-2'Chloro-^) . Cond.
avec lo phénylisonaphlophénazo-
nium, la pnénanthrène-quinone, la
Ji-naphtoquinone et ses dér. ani-
ridé4, p-toluidé-4, ^naphtylamidé4,
«•, 546 {Kchrmann, Hib}') .
— — {AmiDO'2.4''CblorO'5') (D/-).
Prép. au moyen du dinitrochloro-
bi'nzène et de l'acétyl-p-phénylëne-
diamine ; cond. avec ramtno-4.^-
naphtoquinone, M, 548 (Kebr'
maDD, nrazhrK
{AnJiidO'S.5'diDitrO'2.4-) (/>/•).
Prép. à part, du tri-iododinilro-
benzène sym., 96, 1083 {JacksoDy
Bcbr] .
— — [BromO'S dinitro4.6') . Prép.
au moyen du dibromo-1 .S-dinitro-
i.ô-benzéne. Propr., 26, 1081 {Jack-
ftoa, Coboc\.
[SUrO'2'). Act. de AzO»H sur
le dér. nitrosé, 26, 18D [JuiJlard).
[Nitr(h4-). Form. à part, de la
nitrosophénylhydroxylamine , 26 ,
768 [Bamborger).
— — {Nitro'2.4') {Di'). Prép. du
dér. nitrosé à part, de To-nitroDi-
trosodiphény lamine ; propr., 25,
180. — Form. à part, de l'orangé
IV, 2S, 533 iJuillard).
— — ÇÇUrO'4.4'') [Ui'), Prép. du
dér. nitrosé a part, de Tac. p-nitro-
phénylamino-azobenzène-p'Sulfoni -
que. Propr., 25, 180. — Form. à
part, de Vorangé IV, 25, 533 {Juil"
lard), — Form. à part, de la nitro-
sophénylhydroxylamine , 26 , 768
(Bambergcn .
— — [Tbio-). Prép.; dér. mono- et
dinitrés, aminés, 26, 53 [Scha-
poaebaikof) .
Prknylaiiine (Tri). Act. de CHM,
26, 176 {HaeussermaûDi.
PHBNTLAMlNO-ACKTIQUe (Ac). [SyD .
Phénylglycocolle). Act. de
AzO*Na et UCl, 26, 933 {Joebem).
— Oxydât., 26, 899 {Vorlaeodor) ,
— Cond. de Tétber éthyl. avec Tac.
chloracétiaue. Form. du dérivé for-
mylé par oéc. de Tac. phénylamino-
diacétiquc, 26, 900 (Vorlaoodcr,
Mumme) .
— (o-Carboxy*) (Ac). Prép. à part,
de Tac. anthranilique. Propr., ni-
trile, éther méthyl., dér. acétylé ;
transf. en indigo, 26, 1155 (Erd-
mann) ; 26, 1156 (Kobner).
Phknylamino-^acrolêine. Anile du '
dér. bromé, 26, 474 {StmonJs).
Phbnylamino-ducétiqub (Ac). Oxy-
dât., 26, 899 (Vor/aenc/cr). — Prép.
{>ar cond. du phénylglycine avec
'ao. chloracé tique. Propr., chlorb.,
oxydât., 26, 900 (Vorlacnder,
Mumme) .
— (o-Carboxy-) (Ac). Spth. par
cond. de Tac. chloracétique avec
Tac anthranilique ou Tac. phé-
nylglycine-o-carbonique. Propr.,
éthcrs. 26, 74, 900 {V^'orlacDdcr,
Mumme),
Phknylamino-glutaconique (Ether) .
Prép. par cond. de Téthor acétonc-
dicarbonique avec Tanilidc. Ani-
lides, 26, 425 (Bcsthorn, Garbcu).
Phémylamino-iminodithiocarboniquk
(Ac). Prép. et propr. des éthers
méthyl . , benzvl . , nitrobenzyl . ,
éthyléniques ; dér. p-bromé, Az.a*
benzoylé, acétylé, 26, 432, 433
[Buschy Lingeubrinck) .
pHÉNYLAMlNO-llALélQUR (AC). Act. de
POCl», 26, 766 {Van Dorp, Vao
Haarst) .
Phénylamino-oxalique (Ether). Bthy-
lai. par C*HM en prés, de Ag*0,
26, 989 [Lander).
Phénylaminopropionique (Ac). [Syn.
Phénylalamne]. Prép., dédoub.;
dér. benzoylé, sels de cinchonine,
phénylurée des isom. d et /, 25, 56
iE. Fiacbrr, Mouaeyrat), — Extr.
de la caséine et de la flbroïne. Prép.
et propr. de Téther éthyl. act.,
26, 744 {E. Fiseber). — Prép. au
moyen de Tac s-bromopropionique
et de l'aniline, 26, 969 {Wede-
k'ind) .
Phk.N YLAMINO - 1 • TRICHLORÉTH YLM ER -
CAPTA.N lAz-AcÉTYL-). Form. par
cond. de Tac. thioacétique avec la
trichloréthy lidène-bia-aniline; propr. ,
26, 538 [ÈibnerK
Phénylammokium (Bbnzylallylmé-
T1ITL-). Isom. stéréochim. act. ;
camphosulfonates d tX l; sels div.,
26, 704 [Pope, Harvey),
Prknylahsinb iTri-). Act. dt P,
274 {Kraffî, NeumaûD).
1376
TABLE DES MATIERES.
Phénylazo-hydroxy-anilide. Form.
à part, da nitrosobenzène et de la
phénylhydrazine, «6, 707 [Bam-
berger) .
PhÉNYLAZO - HYDROXT - p - TOLUIDIDE.
Prép. aa moyen du nitrosobenzène
et de la p-tolylhydrazine. Propr.,
9Bj 707 (Bambergcr).
Phénylbiubet. Form. à part, de
la phénylacétoxamylhydroxylamine.
Propr., «6, 1070 [Pickardy Carter).
— Prép. à part, des phénylalcoyl-
isobiurets ; propr., «6, 1075 {Mac
Kce) .
— (Di-). Form. à part, de la phényl-
acétoxamylhydroxylamine . Propr.,
«6, 1070 [Pickardy Carter). —
Form. à part, du diphénylmélhyl-
isobiui-et, «6, 1073 [Mac Kce).
— (Mkthyl-di) . Form. par déc. de
l'élbylphénvlméthylisobiuret , «« ,
1074 [Mac kce) .
PhÉNYLBUTADIÈNE (DlBENZOYL-DI-). Ré-
duct., «6, 1114 {Jappy Michic).
PjiÉNYLBUTYROLACTONE. Form. à part,
de Tac. phénylisocrotonîque ; transf.
inverse, «6, 208 [Fittig).
Phénylcarbamido-diméthylacrylique
(Ac.)- ï*rép. et propr. de l'élher
éthyl., «5, 915 [âouveault, Wahl).
Phénylcarbamique (Ac). Act. do
réther éthyl. sur les o- et p-tolui-
dines et Ta-naphtylamlne, 119, 203
(DixoD). -- Elher phényléthylique,
ftS, 810 (Waïbaum). — Etber fen-
chylique, »6, 436 (Bertrand^ Halle).
^ Dér. de rhexyiène-di aminé, ItS,
568 (Curtius, Clemm). — Dér. de
roctomélhylène-diamine, «6, 671
[Steller). — Form. de Téther éthyl.
par décomp. de la comb. d'isocya-
nate de pnényle avec le phényldi-
Ihiocarbazinato de méthyle, 11%, 788
[buschy Wolpcrt). — Dér. de
l'amino-l-camphène, US, 801 {Fors-
fei.j. — Dér. des oximes des
u>-chloro- et co-bromo-acétophénones;
dér. m-nitré, «6, US'J, 990 (/CoWen,
Scboll). — Dér. delà galléine, «6,
1085 [Orndoffy Brcwcr), — Dér. de
roxy-l-benzoyl-2-camphène, «6, 1118
[Fors ter),
— (a-MÉTHYL-) (Ac.). Elher mélhyl.,
%%y 391 [Wbcclcry Austin),
— (p-pROPioNYL-) (Ac). Ethor éthyl.,
!S6, 632 {KuDckell).
Phénylcarrazidb (Ui-). Comb. avec
Tac formique; oxyd. par les sels
de Gu et Ag, «5, 277. — Comb.
avec les ac. oxalique, picrique, HSy
280. — Transf. en diphénylcarbo-
dîazine, )S5, 877. — Comb. mol.
avec les aie, ac, cétones, aldéhydes ;
sels, SS, 385, 450 (Cazeneuve). —
Act. sur la saccharine. Prép. et
propr. du dér. de Tac o-«ulf«DiiM>-
benzoïque, !M, 6<J5 [DéfotirnelY. —
Comb. aTecHCl; coinb. cbromMot.
appUc. À la recherche de Cr, SS.
757, 759, 761 [Cazeneure),
— (az-DiMÉTHYL-Di-). Comb. céra-
mique colorée, <S, 760 (CMxenenwr
Phênylcabbaziniqoe (Ac). Pnfr
du sel de phénylhydrazine.
•^,
859 {Freandler). — Form. de Kcthcf
éthyl. dans Tact, de l'éther chlof»-
carbonique sur le phényldiUûocir-
bazinate de phénylhydraxîoe, €•.
395 ( Wheciery Austin). — eood. de
rélher éthyl. avec CSCI*, S«, lOOl
[Buscb, Grohmann],
— [Métboxy-^') (Elher). Prép. n
moyen de COCl' et de l'anisylhydr»-
zine. Propr., acl. de COCl% 1M,
1003 [Bascby Grohmann).
Phénylcarbazino-cabbonique ( Ae . U
Cond. du chlorure-élher avec le
phénylmélhylhydrazine dissym.. la
méthylaniline et la dibenzyihfdra-
zine, se, 1001 {Busch). -^ tcmà
da chlomre-éther avec la />-ii»étho-
xyphénylhydraztne,<#, lO'J;! {Bu*rh,
Grohmann). — Cond. du chlorore-
éther avec les méthyl-, éihyl- tl
benzyl-amines, Taniline et la /kU>-
luidine,Se,1006(fiuscJ!i,//cjiirirAs .
— (Anisyl-5-) (Ac). Ether éthyL,S«,
1003 {Busch^ Grohmann).
— (Benzyl-4.5-) (Di-) (Ether). Prèp.,
propr., 9%y 1002 [Busch).
PHéNYL-2.5-CARBAZI?«0 - CABBONWCX
(Di-) (Ether). Prép. et propr. d« dàr.
p-méthoxylé, «6. 10J3 {Buf^h,
Grohmann).
— (MÉTHYL-5-0I-) (Elher). Pr^p.,
propr., %9, 10J2 (Busch).
PhÉ.N YLC ARBAZINOT lllOCAHBOJfIQlX
(Ac). Prép. et propr. da chlorvrt-
éther; act. de liiydrazine, de Vnâ'
line, des phényl- et />-to)yl-hrdj»-
zines, S6, 1004, 1095 {Buseh, ÔfQk-
mann).
— (Di-2.5-) (Ether). Prép., propr..
26, 1005 [Busch^ Grohautnu'U
— (p-ToLYL-ô-) (Ether). Pr*p.. propr.,
ee, 1095 {Busch, Grohmano\
PuÉNYLCARBAZONB (Di-). Form. dtt
sel de K. à part, de la diphèail-
carbodiazide ; transf. inverse, CS,
278, 376 {Cagencuvti).
PhGNYLCARBINOL ( ALLYt.lCVT1IY1.-j»
Prép par cond. de raoélepbtnwr
avec Tiodure d*allyle. Propr» tnnelL
en aie. triatom., S6, 533 {Arbomwuf
PtlKNYLCARBlNOL (Dl*). Cond. ««w
les p-oxy-azoïques, 1M, 15 i Mp*^-
laUy Kcgel).
[Tctraméthyldiamtao-K Cmâ.
avec le benzène-^xo-^Hiaphriai, M.
15 {Mœhiau, Kegel). — Cond. unt
TABLE DES MATIÈRES.
1877
lc8 0- et p-amino-azobeozèaes, lo
p-axniao-azo-o- toluène, les a et ^-
amino-oaphtalëne-azobeiizènes, ft6,
492 {Mochlau, Heinzo).
l^HÉNYLCARBINOL (MÉTHYL-) (AfêthOXV-
S'dichlorO'). Form. du dér. acétylé
à part, de ro-méthoxytrichloro*
roéthylphénylcarbinol. Propr., 96,
8 (Lcbédcf).
— — (Sféthoxy-'i'tricblQtO'). Prép.
par cond. de l'ald. o-méthoxyben-
zoïque avec CHCI*. Propr., dér.
acétylé, S6, 8 {Ubcdef).
— (Mbthyl-) (Di-). Form. par cond.
du chlorure de benzoyle avec
riodure de magnésium -méttiy le.
Propr., !BS,645 {Tiasier, Grigoard).
^ Prép. par oxyd. du cumëne,
propr., SS, 847 {Boolkcr). — Form.
par cond. de l'acétone avec le
oromure de Mg-pbényle, ItH, 944
{Tissier, Grigoard),
PuBNVLCABBiNOL (Tri-). Prép. par
cond. du bromure de Mg-phényie
avec le benzoate de méthyie, €5,
944 {Tissiery Grigoard). — Form.
à part, du peroxyde de tripbényl-
méthyie, 96, 140 Gomberg). —
Conslit., «6, 898 (Vorlaeodcr).
— {Diamioo-). Copul. du létrazo. avec
les phénols et leurs sulfoconjugués,
éù, 218 {Grimaux^ Lefèvre).
PuÉ.NTLCARBODîAZiDE (Dr-). Form. par
oxyd. de ladipbéoylcarbazide. Propr.,
dibromure; comb. avec les ac. fbr-
mique, acétique, propionique, 9S,
376 [Cazeocuve).
PHBNVLCKTONE (ISOPaOPYL-). Comb.
avec la benzamidine et la phényl-
hydrazine, 96, 496 (KunckeU).
Phéxylcétone (Oenanthylidényl-j.
Prép. par cond. du chlorure ae
benzoyle avec rœnaDlhylidène sodé;
f>ropr., act. de la semicarbazide, de
'bydrazine, 95, 306, 424 {Mooreu,
Delaoge).
Phênylcétone (Pentadécyl-). Tri-
bolum., 96, 45S \Tschugac&).
Phénylcétone (Propyl-) [p'AmiaO'),
Prép. par cond. du chlorure de
butyryle avec l'acétanilide et AlCl*.
Propr., sels, dér. acétylé, 96, 632
{KuDckoU).
Phk.nylckto.\e (Tétradkcylacétk -
NYL-). Prép. au moyen du chlorure
létradécylpropiolique. Propr., 96,
463 [Kram, Hcizmaoo).
PHÉXYLCHLOROFOBME. Cood. avCC la
bis-di-isoamylaniline, 96, 48C( Eib-
n^r, Paruckcr).
Phényi.cya:vamide. Act. de Talc, mé-
thyl. et HCI, 96, 1072 f.Vac A'ec.
— (Ethyl-K Cond. avec CH'ONa,
96, 1074 [}(a': Kec).
— (MÉTHYL-). Prép., 96, 716 (ScAo//,
Noerr). -^Cond. avec les alcools et
HCI, 96, 1074 {Mac Keo),
Phényl-y-cyanazométhinb (Di-). Prép.
par cond. du cyanure de benzyle
avec le nitrosobenzéne ou à part,
du nitrile anilidophénylacétique.
Propr., dér. nitré-4', diméthy laminé-
4, 96, 487, 488 {Sachs).
— — {Ethvlamioo-A"). Prép. au
moyen de la nitroso-éthylaniline et
du cyanure de benzyle. Propr.,
dér. p-nitré, métbylaminé-4, diéthyl-
aminé-4, 96. 484 [Sacbs, Bry).
— (MÉTHYL-DI-). Prép. dos isom. 2
et 4 par cond. des o- et p-nitroso-
toluènes avec le cyanure de benzyle
ou à part, des nitriles o- et p-tolui-
dophénylacétiques ; propr., dér.
nitré^', 96, 487, 488 {Sachs).
PhÉNYL - Y- CYA.NAZOMÉTHINE-OARBO -
NIQUE {MétbylamioO'4') (Etber).
Prép. par cond. de Téther cyan-
acétique avec la nitrosomélbylaniline.
Propr., 96,484 {Sachs, Bry),
PllÉNYL- |i -CYANAZOMBTHINE-PHÉN YLK
ip-DiétbylamioO'). Prép. par cond.
du cyanure de benzyle avec la
p-nitrosodiétbylaniline. Propr.; dér.
nitré-4', 96, \iJ iSachs).
Phényldicarbylamine . Prép . au
moyen de l'aniline et des ai-, tri-
ât tétrabromures d'acétylène. Propr.,
act. de îri, 9S, 728, 835 {Sabaocjeff,
Prosio) .
PHÉNYL-|i-DICYANA£OMÉTHINE. Prép.
des dér. dimétbyl-etdiétbyl-aminé-4
f>ar cond. du nitrile maloniquc avec
es p-niti»080-diélhyl- et diméthyl-
anilines. Propr., 96, 90 {Sachs).
PhÉNYLDIUYDROTÉTRAZONB (DlBBNZY-
LiDÈNE-Di-). Form. par oxyd. de
Tbvdrazone d'ald. benzoïque, 96,
793 iBambergor, Grob).
Phényloisulfinb (Di-). Form. dans
Tact, du chlorure d'ac. benzène
sulfonique sur la thio-urée. Propr.,
96, 388 iRomscn, Turoer) .
Phényldithiogarbamique iAc). Act.
du chlorocarbonate d'élhyle sur le
sel ammon., 96, 395 {Whoelcry
Aastio),
PHÉNYLDiTHIOCARBAZIXrQUE (AC.) . Act.
du chlorocarbonate d'éthyle sur le
sel de phénylhydrazine, 96, âJ5
{Whoeler, AnstiOj, — Act. du bro-
mure d'éthylène, du chlorure de
nitrobenzoyle sur l'éther méthyl.;
dér. benzoyle, 96. 432 {Busch,
Liogeobriock) , — Comb. avec
COCl', les isocyanates et isosulfo-
cyanales d'allvle, de phénylc et de
p-tolyle, 96, 785, 787, 788 (fîusc/i,
Wolporl).
PllÉNYLDITHlO-a-CARBAZINO-CARBONIQUE
(.\c.). Form. à part, de l'éther
SOC. CIIIM., 3* SKIf., T xxv-xxvi, 1?01.
87
iîr78
TABLE DES MATIÈRES.
méthyl. de la phénylditbiobiazolone.
Propr., éthere, tWI, 432 (LiDgea-
brinck).
Phényle (Isocyanalc) . Voy. Cyaniqub
{l»o-).
Phényle (Isosulfocyanate). Voy. Sul-
FOCYANIQUE (Uo-) .
Phénylb (Oxyde). Act. de S, ««, 273
(Kruffi, Stoiner).
— (Séléniure). Form. à part, de la
diphénylBuIrone et de Te; act. de
S, «•, 273 {Krafft, Steioor),
— (Sulfure). Form. dans l'acl. de S
sur Toxyde, le séléniure et le tellu-
rure, »6, 273 {Krafft, Steinen, —
Form. à part, de la diphényldisul-
Ono, tes, 388 [Remnen, Taroer).
(Tellurure). Act. de S. Form.
dans Tact, de Te sur la diphényl-
sulfone, ««, 273 {Kram, Steiner).
— Prép. au mo^en de Hgi)hényle
et de Te. Propr., ««, 274 [StciDOr).
pHéNYLB (BromO'4'Ditro-^) (Disul-
fUre). Form. dans Tact, de Na*S* sur
le dibromo -1.4- nitro-2-benzène .
Proor., «5, 982 (Blanksma).
— {ChïorO'4'nitrO'S') (Disulfure).
Prép. au rao/en du dichloro-1.4-
nitro-2-ben2ène. Propr., S5, 982
IBlanksiûà) .
— [Cbloro 5-fl/*ro-2-MDi8ulftire).Prép.
au moj'en du chloro-1- dinil^o-3.4•
benzène.Propr.,ftS,982 [Blankama],
— {NitrO'2-) (Suinire). Prép. au moyen
de ro-dinilrobenzène et des sulfures
alcalins, «5, 981 {BlaDksma). —
Prép., propr., disulfUre, sulfoxydô,
ftS. 981 (de BruvDy Blanksma).
— (Nitro-â-) (Disulfure). Prép. au
moyen de Na*S* et du nitrobenzène
p-Moré ou p-ioàé; propr., )S5, 982
(BJaaksma).
— (M^ro.2.4-) (Di-) (Disulfure). Prép.
à part, des chloi'o-1- et bromo-1-
dinitro-2.4-benzène8, prdpr., 95, 982
(Biankama).
— (0.\v-4-) (Oxyde). Act. du chloro-
dinilro-2.4-benzène, «•, 476 (Haeus-
germanUt Màller).
Phényle-amyle act. (Oxyde). Pouv.
rolat., «6, 459 {Guye).
o-Phbnylkne-diamine. Gond, avec
l'éther cétijpique, tS, 712 {Thomas-
Marne rt, Striebcl). — Gond, avec
l*acétamino-5.^-najpbtoquinone, 96,
147 {Kehrmann, Dcnk), — Prép. et
propr. des dér. diacétylé az-dichloré
et as-dibromé. Transf. en dicbloro-
ou dibromo • diacétyl - o-phénylène-
diamine, «6, 214 (Chaitaway,
Orton), — Gond, avec Tac. acéla-
minonapbtalique, ««, 231 {Kebr-
manu, Barche), — Gond, avec
raid, succinique, «6, 686 (Harries).
— Act. sur ro-quinone, S6, 1102
{Jackson j Koch).
— (Amino-'^ {Di-). Voy. Baxk^i
(Amin<y) {Tétn-).
— {Chloro-^), Prép. an àer. *x-
méthylé>l à part do ehUtfXfàxmtro-
benzène. Propr., sete, ooo4. av«tf
la ^aphtoqauioDe et ses dér. bj^drv-
xylé-4, aminé4, aniliilM, àimikSùa^
4.6, i]hacétamioo-aniUdo-4-«ttiroo^^
%9, 548 (Kcbrmaan, Mùil^r:
o-Phénylèhb-diamw b (ax - Mcthtl- .
(Di-). Gond, avec la dichlonmiao-
qulnone et la dichlorim laofUipblO'
quinone, 96, 52 {Scbapa^kMJkof ,
— (az-PBENYL-). Gond, avec Tanilido-
4-acélamino-é.^iiaphtoqaiiiooe, <•,
148 (Kebrmaaa^ SilbersleÎD),
— — (Di-). Prép. et propr. du d*r.
trioitré. Transf. en 8a(^*aDiiie, S0,
218 {Kebrmann, Kramer).
— (az-p-ToLYL-). Prép. du dér. chloré-5
au moyen du chloro-diiiitrobeiizHi«
et de la />-toluidine. Propr.; eood.
avec Tamino - 4 . § - naphtoqmiiMwr,
Z€, 548 {Kehrmann, fCraUUr).
zn-PHéNYLÈNB-DUMiNB. Dîunide dini*
tro-2.4-p-toluène8alfonique, tt», K60
{Roverdin, Crépicux). — TrMwf.
en brun Bismarck. Niirosat., 99,
16 {Taeaber, Walder). — Gond, du
dér. acétylé avec riminothiodipbé-
nylimine, 96, 55 {Scbaposcbaikoff .
— Prép. et propr. des dér. dlaci^
tylés az-chloré et az-bromé, %9, iU
(Cbattaway^ Orton). — Gond, ar**
Téther acetone-dicarbon., S0, iii
{Bestborn, Garben). — Gond, arec
CHGl' et KOll, «6. 678 {Kaaûer).
— (Bromo-é.ô') (Di-), Prép, du dér-
diacétvlé à part, de la diacétyU»-
phénylène - diamine az -dibroméf.
Propr., tWI, 214 (C/iallawaj', Ortoë \
— Prép. à part, du dibromo-1 .3^-
nitro-4.6-benzène. Propr., 96, 1<^
{Jackson^ Coboc).
— ICbloroA-). Prép. par réd. do
chloro-4-dini«ro-l .3- benzène. Propr.,
constit., sels, dér. acétylé, dibento) 1>.
Gopul. avec les diazoîqaes. Cotiâ.
avec la nitrosodiméthvlamline, 96.
915, 916 {Cobn, A. Fischer),
— (CbIoro-4.6') {Di-). Prép. du d^.
diacét. à part, du dér. az-ifidilor^
de la diacétyl-m-phényléoe-diamûM.
96, 214 {Chattaway, Orton).
— {Méiboxy-Ô-). Voy. Anisol ;.4a^
110-5.5.) {Di-),
— {Niiroso-) . Propr., 96, 47 t Tarn-
bor, Waldor).
jd-Phénylènb-duminb (Az-MérwL-'
(Di-). Gond, du dér. acétylé stm
l'ac . p - diméthylaminobeiiZi»}ikc«-
zoïque, 9S, 515 [Haller^ Gftyot
— (az-PuiNYL-) (Trnu-). Fonn, p»
cond. des o-, m- ou thdichiorobfn^
zènes avec la dtpbéoylamine poca*-
TABLE DES MATIÈRES.
1.^79
sique, propr., JM,
waon).
176 (Hausser-
J3-PHÉNTLÈNE-DIAMINB. Dlamide p-
toluène-sulfonique, SS, 1051 {ho-
rerdJDf Crépieux), — Cond. du dér.
acétylô avec riminothiodiphényl-
iinine, ZB^ 55 [Schaposchaikoft). —
Cond. avec les aminés prim.; form.
de saflranines, ft6, 115 (Kbardlno).
— Prép. et propr. du dér. diacélylé
az-dichloré, M, 214 {Chattaway,
Orton). — Cond. avec (CAz)*, S6»
420 [Mpvcs). — Ad. du dér. acétylé
sur le cbloro-l-dinitro-3.4-benzène,
S6, 548 (Kcbrinann^ Krazier). —
Ck)nd. avec CHCl' et KOH. ZB, 768
{Kauffer). — Transf. du dér. acétylé
eof>-azidoacétanilideySlly 771 (Bape^
Afajcwski) .
^lCbJoro-2.'5-){Di-). Form. du dér.
aiacélvlé à part, de la diacélyl-/>-
phényiène - diamine az - dichlorée ;
propr., dér. az-dichloré, Zêj 215
[Cbattawavy Orton).
— {lodo-2,6') {Di'). Prép. au moyen
de fa di-iodo-p-nitraniiine. Propr.,
oxyd.; act. de ICI, S6, 1147, 1148
{WHlgcrodt, Arnold).
— {Iodo-2.3.ô,6') {Téira-). Prép. à
part, du dér. di-iodé-2.6; propr.,
««,1148 (WiUgerndt, Arnold),
P-Phéistlene-diamine (aZ-ETHYL-).
Form. par déc. de réthylamino>4-
dipbényi^-cyanazomélhine, Se, 484
{SacbSj àry).
— (a^-MKTHTL-) (Di-). Cond. avec la
dichloriminoquinone et la dichlor-
iminonaphtoquinone, SU, 52 (Scba-
poschaikof). — Cood. avec le
Dttrile phénylglycolique, Se, 488
(Sacha).
— (Phényl-) (Tetra-). Form. par
cond. du p-dichlorobenzéne avec la
diphénylamine potassique, S6, 176
(Ilaeussermann).
Phéntlène-dicarbylaminb. Prép. des
isom. m- et p- à part, des m- et
p-phényléne-diamines. Propr., S6,
7^ {Kauûer),
PHÉNTLÈNE-DIS-AZO-Zn-PHÉNYLÈNE -
DiAMiNB. Prés, dans le brun Bis-
marck, S*, 16 (Taeuber, Walder).
PHÉNYLÈNB - MÉTHANE ( OlPHÉNTL - ) .
Form. à part, du cblorotripbényl-
méthaoe, M, 400 {Norris, Sandors).
Phénylb-proptle i^'Cbloro-) (Oxyde).
Act. sur le dibydro-iso-indol. Se,
218 (Fracnkel).
Pbényléthane sym. (Di-). Form. par
oxyd. du toluène, SS, 852 (Boetdker).
(DioUro-), Form. à part, du
nilrosile destilbène. Propr., réduct.,
S«, 478, 496 (Scbmidt).
PhÉNTLÉTUANE (a.a-DlMKTHYL-Dr-).
Form. par cond. de C*H* avec le
bromure d'isobutylène. Propr., act.
de Br, SS, 627 {Bodroux).
Phényléthane-dicarbonique4.4' (Di-)
(Ac). Form. de Tac. et du nitrile
par oxyd. du nitrile p-toluique.
Propr., SU, 1078 (KaUwinckeJ,
Wolffenstcin).
Phényléthylisne (Di-). Form. par
cond. du chlorure d'acélyle avec le
bromure de Mg-phényle, SS, 944
(Tisaicr, Grignard).
PHÉNYLÉTHYLÎiNE-DIAMINE (Dl-). Comb.
avec l'isocyanate de phénylc, S6.
265 [ScDier, Goodwin).
Phényléthyliqub (Aie). Prés, dans
Tessence de roses. Phénylcarbamate.
S«, 310 [Walbaum]) SU, 502
(Soden^ Bqjabn).
Phénylolutarique CAc). Oxydai.,
S«, 899 (Kor7ae/i(/cr).
Phé.\ylglygine-o-carbonique (Ac . ) .
Cond. avec l'ac. chioracétique, S6,
74 (Vorlaendcr, Mummc), — Ethevs
élhyl. et diéthyl. du dér. acétylé,
S6, 75 (Vorlaendcr^ MeuselK —'
Form. du dér. nitrosé à part, de la
lolylfflycinc. Oxyd. par KMnO*, SS,
899,900 (VorJaender).
Phkntlglycolique (Ac). Cond. du
nitrile avec Turéthane, SS, 488
{Lcbmann). — Cond. du nitrile
avec ro-loluidine et la diméthylp-
phénylène-diamine, SS, 488 (.SacAs).
-- Sel d'hydrindamine, SS, 5UG
{Kipping, Hail). — Dédoub. par
éthérif. par le menthol, SS, 737
[Markwald^ Mackcnzic). — Propr.
du racémique, SS, 844 (Adriani).
— (Ghloralide). Tribolum., SS, 458,
^m {Tscbugacff).
Phénylglyoximb. Form. dans Tact.
de AzH*OH sur la bromacétophé-
none, SS, 990 (Korten, ScbolJ}.
Phénylolyoxylique (Mctboxy- 4')
(.4c.). Prép. par oxyd. de la p-
méthoxy-acétophénone. Propr., sels,
S5, 4i9 {BougauU).
— {MHhyiène-dioxyS.4') (Ac). Form.
par oxyd. de l'ald. mélhylène-dioxy-
h^dratropique, SS, 857 (BougauU),
Phenylguanidine. Prép. par cond.
de la cyanamide avec le chlorb.
d*aniline. Propr., sels, dér. diben-
zoyié, SS, 1078 [Mac Koe\
— (Di-). C^nslit., dér. acétylé, SS,
434 (ScbaJJ).
— (Tri-). Form. du dér. cyané par
cond. de (CAz)* avec l'aniline, SS,
420 (Mcvcs).
Phénylheptadécylénique. Prép. par
cond. de Pald. benzoîque avec Tanh.
palmilique, SS, 467 (Krafn, Bo-
8Jny) ,
«-PhenylhydantoÏ.ne. Form. à part.
de ruréthano-phénylacétamide, SS, '
488 [Lcbmann).
uw
TABLE DES MATIÈRES.
f-pMÉMTLHTDAVTOÏXe. F'fép. 9 fMli.
de l'sc. pbéoflbfdantoioue. HoaioL
méXhjl., étbyl., tsobutrl . , b«QZf 1. ;
propr., te, 557 iMouncyrêt}.
— I<k)pftopÉ!»TL-). Prép. «a moyen
du pbénylcarbamaUe de l'éther ami-
Dodjmétbylacrrliqae ; propr., S5,
ÎK6 BouvcauH, Waht),
7'PHfcKTLHTbAKTOlQL'C AC«). TrUlSf.
de Tac. et des bomol. méib jlé, étbjlé.
isobutylé et beiuylé en bydantotiies
correup., SS, 55/ Mounerrai). —
Form. à part, du Klycocolle. Eiber
éthyl., «S, 922, 92S {Wahl).
— (IsopROPÉNTL*; (Ac.)-Fonn. à part,
du phényl ' carbàroidodiméibylacry-
iate d'étbvle. Propr, SS, 91(5 [Boa-
voault^ Wahl).
Phéntlhtdhazidiive (Acéttl-). Form.
par réd. de la formazylmétbjlcé-
tone. Propr., constit., comb. ben-
zylidén., méthylén., ^M, 775, 776
ibamhergor^ Orob).
— (MÉTHYL-). Fonn. par réd. de Té-
tlicr métbyl. de l'hydrazonc oitro-
formique, %9, 779 {Bambcrger,
Pménylhydrazink. Act. sur Tac. dimé-
Ihylaminobenzoylbenzoïque, )BS, 171
(lialler, (iuyoi). — Comb. avec l'u-
rée, SS, 280 {Cazoncuvc), — Gond,
avec Pélher pyroinucylacétique,S5,
441 (Bouvcaull). — Prép. et propr.
de l'hydrazide de Tac. p-dimélhyl-
aminobenzoylbenzoïque aicbloré-3.6,
V», 5ii8 [SévcriD), — Propr. et
multh'ot. des bydrazones du glu-
cose d, ^S, 645 { Simon, Bénard).
— Act. sur les éihers butyrylacé-
tylacétiques isom.; form. des dér.
acélylé et butyrylé, eS, 696 (Bon-
go rt). — Propr. du phénylcarbazi-
nate. «5, 738, 859 (Froundler), —
Comb. avec Tac. isopyromucique,
H^, 977 (Cbavfinnc). — Comb. avec
To-acétylacétophénone-acétone , ftS,
985 {Marcb). — Form. des bydra-
zones des éihers pyruviaue et pro-
pionylformique par cona. du diazo-
oenzène avec les éihers méthyl- et
étbyl-maloniques, 25, 938 {FavroJ).
— Hydrazide de Tac. o-nitro-p-to-
luène-.sulfonique, SS, 1049 [Bcver"
din, Cropioux). — Cond. avec Tald.
bromo-malonique, S5, 1062 [Les-
pioau). — Act. sur la f bromin-
done, ZH, 107 (Scblossberg), —
Act. sur Tac. oxalacétique et son
prod. d'oxyd., ««, 199 {Fimton,
Jonofi). — Act. de CAzK sur les
nitrilcs d'bydrazones, S«,226 [Eib-
Dcry Sont). — Ad. du chlorure de
benzo^Ic sur le pliônyldithiocarba-
zinale, ««, 895 {Whoclor, Austin).
— Hydrazide de Tac. o-oxyphéno-
xy-^acélique, 96, 402 {Ludcwig), —
Act. snr le salol; dcr. sa^ ry*^
404 (Cohù . ^ Comb ar^ bt» fàr-
nanthrèoe- et réteoe-4i«=»Mc&. m.
43'} (Bamb^rg^r, Grob — Tijem.
dM dér. beiazoylé et «curCylé pv
déc. des étbers aeétan'iéri» ec ï^
zani lidi>-imioodithiOcaf^na»7Q«s^ SS,
4^ Buscb, Ling* nLri^ci.^ . — A- 1
sur la di-p^-ioIylguani4iA«^' SS^ O*
(Seball,. — Act. sur la mtrasefc^
zoylbeozy lamine, M.494 Apitzs^h
— Act. sur réthylamiiio^-dip4e-
nyWy-cyaoazométhiiie Form.de i^«
draioiM du cyanure de b«mmyfi»,
«•, 485 ySacbs, Brjr,. ^ Sel ^
l*ac. />-nitrobenzèiie-azo-«QhydroH«t<^
tone-dicarboniqae, <•, 490 iB«7ov,
HopfoetK — Act. «ur l*éUi«r ctkri--
dèoe-bis-acétylacétiqae, SC, CM
(Babo^ Bilïmann). — Comb. av»c
risosulfocyanalc de ^hloralIyle,S€,
498 Dixon). — Hydrazide« des *c
o- et p-cbloropbénylaoétiquet, 99^
624 (M^bner . — Act. sur la dicUor-
acétanilideaz-cbIorée,<#,626 Cbat-
taway, Orton . — Sel et hydrazide
de lac. dibeDiylmétbane>pbo«pki-
ni(|ue, 96, 702 {Aticba^Us^ Fhxa-
mioq). — Act. du nitrosobaazAoe
et du p-nitrosotoluène , <6, 7»I7
(Bamborgor). — Form. du àér.
pyravylé az-nitrosé à part. deVac^
tylpbénylhydrazidine. Propr., 96,T75
(Bambcrgcrj Grob). — Propr. d^
bydrazones d*ald. nitrées, C6, 777,
778. — Act. du dibromonitrt>m4^-
thane, 96, 778 [Banaberger,
Scbmidt}. — Propr. des hydrazonee
des ald. benzoîque et phénrlnitr»-
formique, 96, 19S ^Bamb^rger,
Grob). — Act. sur Téther dithiocy*
clopropaoe-iétracarbonique, 96, ^t*
[Wcnzol). — Vil. de réact. avecdiv.
cétones et dicélones; titrage, 96.
895 {PetronkO'KritsrboDko, Et-
tscbaninof). — Oxydât., 96, 899
(Vorlaender) . — Ad. f^or Tanh.
cinnamique. Propr. de rh^^razîdr^
96, 969 [Wedekind), — Ad. sor
le pcnlabromodichloracétylmfsity-
lène. Hydrazide de Tac. dinitrooi'^
silylénique, 96. 986 {KuarJLrU,
Hiîdobrandt], — • Comb. avec le«
ald. nitrées, 96, 993 Bambergtr,
Scbmidt). — Cond. avec les chlo-
rures-élhers p-métboxypbi^Qylcar-
bazinocarboniquo et pbèD} Icari»»-
aino-thiocarbonique. 96, luiXt, 10i6
(Buscbf GrobmannK — Appl. aa
dos. du sucre dans l'urine, 96, 10^
iBaimann). — Appl. au dos. et
Tacétone dans Turme. Act. de la
liq. de Fehling sur lacétoo»^!»^
nylhydrazone, 96, 1063 Bie^ltr
— Act. sur le prod. de rêdod 0»
To-quinone, 96, 1101 V«ffAM«.
TABLE DES MATIERES.
lt{81
Koch). — Ad. 8UP l'éther diméthyl.
de la bcnzène-azo-résorcioe, 96,
1104 {Oradorff, Tliébaud) . ^ Prép.
et propr. de rhydra7.idc pyroinu-
cique, 96, 1110 {Éaum), — Act. sur
les étbers sulfocyanocarboniques,
1M, H28 [Dorao). — Form. par
déc. de la phényl-^phènetriazone,
1t%y 1154 {Mcbaer). — Cond. avec
l*ac. ^-benzoyl-p-carbozypicolinique,
««, 117;J [Fulda).
— {Bromch4']. Sépar. de la phényl-
hydrazine, SS, 862 [FrcundJcr) . —
Appl. au dos. de Tac. clycuronique,
%; 29, 2U0 {Maycr, Nouberg). —
Comb. avec le mannose, €6, 02
(Koelle). — Comb. avec les ald.
glycérique, a-chloro-^-oxypropioui-
que, glycolique et la ^-acrose, 96,
^1, 872 ( Wobi. Ncubcrg),-^ Comb.
avec la campboquinone, S6, 591
{Lapworth, Chapmaû) . — Comb.
avec TalJ. succinique, S6, 685
[Harrics) .
— {Mcthoxy'4') . Cond. avec COCl*
et le chlorure-éther phénylcarbazi-
Docarbonique, €6, lOOo {Dusch^
GrohmauD) .
— {Nitro-2-\. Comb. avec Tald. ben-
zoylformique, €6, 994 [Bambcrgcr^
Scbmidt).
— {yitro'3') . Comb. avec l'ald. ben-
zoylformique, 96, 994 [Baabcrger,
SchwJdt),
— [Nitro-i') . Comb. avec la mélhoxy-
2-benzylacétophénone, 26, 200
{Feuersteia, Museulus), — Comb.
avec l'ald. glycolique « 96, Slî
(WohJ, Nouberg). — Comb. avec
l*éther benzène-azo- acétylacétique «
S€,492 [Bùlow, Ilopfaen .— Comb.
avec le m-zylylquinol, tS6, 716
{Bambergor, Brady). — Comb. avec
la nitrosophéaylbyarazide pyruvi-
que, SU, 77ô [Bamberger^ (Jrobt.
— Act. de CH'ONa sur la /)-nilro-
hydrazone de Tald. phénylnitrofor-
mique, €6, 794 \Bambergcr^ Orob\,
— Comb. avec les ald. azido- et
amino-mésilyléniques, dichloro-2.5-
amino-, dichloi*o-2.5-azido-, dibro-
mo-2.5-amino-, dibromo*2.5-azido-,
o-amino- et o-azido-benzoïques , S6,
9^, 9^ (Bambergcr, Domuth). —
Propr. des p-nilrohydrazones ben-
zoylformique et phényloitrorormi-
que, se. 994, 995 [Bawbcrgor,
S>cbmjdt, Grob).
— (Xitroso-. Oxyd. par Az«0% ««,
115 [Bug bel mer).
Phénylhydrazine (Di-). Comb. avec
Tac. glycuronique, S6, 200 (A>u-
bcrg). — Comb. avec les ald. gly-
cérique et glycolique, S6, :J71, 372
{WobJf Neubtrg),
Phénylhydrazine («-Mkthyl-). Comb.
avec l'ald. glycérique, iê, 871
{WobJ^ Neuborg). — Comb. avec
le Ô-oxyfurfuroï, S6, 881 {Cross,
Bevaa, Briggs) . — Act. sur l'éther
dibenzoylmaléique, S6, 477 {Paal^
Sebulzc) . — Form. par réd. de l'éther
môthyl. de l'hydrazone nitroformi-
que. Act. du dibromoDitrométhane,
M, 779 {Bamberger, Scbmidt). —
Act. du chlorure-éther phënylcarba-
zino- carbonique, S6, 1001 {Buscb).
Phénylhydroxylaminb. Form. par réd.
électrol. du nitrobenzène, M, ILS
{Loeb) , — Form. du dér. p-loluène-
suironé dans Tact, du nitrosoben-
zène sur l'ac. />-toluéne-suUtniquc.
Propr., act. de l'ac. p-toluène-sulli-
Di^ue, S6, 541, 542 {Bauiborgcr^
Bising) . — Form . par réd. électrol .
du nitrobenzène, M, 601 {Haber,
Scbmidt), — Cond. avec C*H* en
prés, de A1CI\ ««, 703 [Graebe).
— Form. dans Tact, du nitrosoben-
zène sur l'hydrazcbenzène et la phé-
nylhydrazine, SU, 707 (Bamberger).
— Comb. avec l'aniline et le phé-
nol. Propr. du dér. nitrosé, S6,
767, 768 [Bamberger).
— {CbIorch4-), Transf. en amino-2-
chloro-5-phénol, S6, 708 [Bamber-
ger) .
— {NitrO'2.4.6-) (Tri-). Form. à paît,
du chlorure de picryle et de AzlrOH,
se, 168 {Nietiki, Dictacby). —
— [Ox\'dicyano'dinitro-). Constit.,
se, 40 [Borscbc).
Phényliiiine (Thio-di-). Prép. du dér.
iminé à part, de Tamino-thiodiphé-
nylimine et du violet de Lauth.
Propr. ; act. des aminés, Se, 54
(Scbaposcbûikof) .
Phényliminothiocarbonique ( .\c . ) .
Prép. des éthers à part, des phé-
nylthiocarbamates corresp.; propr.,
éthers diméthyl., diéinyl., iso-
amyl.-élhyl.; dér. acélylé, sels, Se,
891, 392 [Wbeclcr, AusUd).
Phén YLiODONiu M ( t> I - ) (Chlorure) .
Prép. par cond. de CH* avec le
chloro-iodure de phényle et AlCP,
se, 399 {\'orris, Sanders).
— — {lodO'S-nitrO'Ô-) (Hydrate).
Prép. au moyen du di-iodonitroben-
zéne sym.; propr., sels, Se, 1149
(Willgorodt, Ernst),
{lodoii.:f.4''dimtrO'!J.O'-, [Tri-).
Prép. à part, du di-iodonitroben-
zène sym., propr., sels. Se, 115t)
[Willgerodt, EroM).
— (Éthyl-i [lodoS'niiro-^dicbloro') .
Prép., propr., hydrate, sels, SS,
115'i {Willgerodt, FrDst\
Phé.nylisobiuret <Ethyl-). Form. par
comb. de rélhyliso-urée avec Tiso-
i:m
TABLE DES MATIÈRES.
cjanate de phényle. Propr., sels,
««, 1075 iMac Kce).
— (Éthylmethtl-di-». Prép., propr.,
S«, 1074 [Mac Kee).
— (MÉTHYL-). Form. par cond. de la
méthyliso-arée avec Tisocyanate de
phényle. Propr., seU, 99, 1075
iMac Kôé).
— MÉTHYL-DI-). Fonn. à part, de la
pbénylmétbylisourée . Propr., %%,
1073 uVac kce).
Phéntlisocbotonique (Ac). Act. de
HCl. Dimère, S6, 208 [Fittig).
PhÉNTL-^LACTIQUE (p - ISOPROPTL - «-
ML'THTL-) (Ac). Prép. par cond. de
Tald. cuminique avec Véther a-bro-
mopropioolque. Propr., sels, éther
^ihyl., «e, 9. 92 (Grigorovitch),
— (^-MÉTHYL-) (Ac). Form. paroxyd.
duphénylallylméthylcarbinol.Propr.,
sels, S6, 533 (Arbousof).
Phénylmalonique [Phénoxy-dinitro'
4,6') (Ac). Prép.derélherdiéthyl.
à part, du dibromo-l.d^înitro-4.6-
beozëne. Propr., 1t%^ 1082 {Jackson^
Cohoé) .
Phknylmercaptan. Form. dans Tact,
de Turéo sur les sulfochlorures
arom., S6, 388 {Bernscn, Turncr).
— Act. du sel de K sur Tac. ofbro-
mopropionique, S6, 616 {Bamberg),
— {NiirO'2-), Form. dans Tacl. de
Na^S* sur l'o-dinitro-benzène. Act.
de I sur le dér. sodé, SS, 981, 983
{(Je Brayn, Blanksma).
Phénylméthane(Di-) [pCyano). Prép.
par cond. de C*H* avec le chlorure
dep-cyanobenzyle. Propr., S6, 113
(Moses),
{Méthyldiamino-) (Tetra-). Dia-
zol. du dér. o-aminé. Prép. olbropr.
du dér. o-chloré, SS, 7t*9 (Guyol).
— Form. par déc. de Toxvde de
diraéthvlanillne,9<l, 766 {Bambor§cr^
Loydon}. — Form. par cond de la
diméthylanilîne avec le fulminate
de Hg, «e, 914, 1095 {ScboJI,
Bortsch).
(Oxv-4.4'-) (D/-). Form. par
cond. du métbvlal avec le phénol,
SS, 577 {DeJopinc). — Prép. et
propr. du dér. brome de lanh.
(xanthène), ttS, 1012 [Fosse).
Phényluéthane (Tri-). Comb. des
sulfoconjugués avec la fuchsine,
IBS, 6 (Seycwotz). — Form. par
réd. du dér. iodé, «6, 140 {Gom-
bcrg), — Form. du peroxyde à
part, du chlorotriphénylméthane.
Propr., conslil., «6, 899, 400 (A'or-
ris, Sauders),
(Amiuo')(Di'). Copul. du diazo.
avec les phénols et les sulfoooiyu-
gués. Dér. /o-nilré, S5, 213 (Gri-
mauXf Lo/èvro),
— — iBromo»). Act. des nkiHavx,
e«, 140 iGomberg).
{CblorO'). Ad. ëe« iDêUn
Prép. au moyen de CCI*. C*H* d
AlCl», ««, miGomberg), — Pr*p .
comb. avec AiQ'. Cond. avec h
benzène brome et Sa, <#, 399, 4 n
iXorris, Sandcra). — Act. de Za.
e«, 1067 [Gomherg).
iCyaDO'4'). Prép. par cond. df-
C*H* avec le chlorure de p-cyaai*-
benzylidéne. Propr., <#, 113 M'p-
seS).
(lodo-). Prép. à pari, da tri
phéoylméthyle. Propr., <#, 140
<Gomborç).
— — {MetbyltriamiDO-) i//<ria-).
Traosf. du dér. o-amisé m mat.
color., es, 562. — Prép. des dér.
o-hydroxylé, o-chloré, SS, 752 (£/aA
7er, Guyofj.
PBÉ:(YLIlÉTUANB-0*CABBOinQt'E ^ Dl- i
(p-i-i thylamino-) ( Ac). Prép., propr.,
éther méthyl., SS, 203 i//j7)er.
Guyot).
[D'h) (Ac). Form. par rrd,
de Tac. diélhylaminobeozoyibeoxoï-
que. Propr., éther éthyl., dér. m
hydroxylé; transf. en aalhraqaiooae
sulfonée, «S, 202, 204, 209 .7/a//er,
Guyot) \ S5, 748 {Ha lier, Umb-
grove). — Prép. et propr. du d^r.
tétrachloré, tS, 603 (Hallcr, (/mb-
grovc).
— — {M6tby!amin(h) (Z)/-) (Ac;-
Form. par réd. de Tac. dim«^tfa}l*
amtnobenzoylbenzoîque . Propr..
éther méthyl. ; transf. en aothranol
et anthraquinooe sulfonée; dér. œ-
hvdroxylé, SS, 201, 201, 207. 2l2
(flaller, Guyot). — Prép. et propr.
du dér. tétrachloré, eS, 001 ./&^
/er, Umbgrove).
PUÉNYLMÉTHANE'P-CABDOMQUB (Dr->
(Ac). Prép. à pari, du p-cyano-df-
phénylméthane. Propr., M, 113
iMoses) .
Phényxjcéthanb-o-carbomqlk (Tbi-*
(Ac). Prép. du dér. tétraméib^l-
dtaminé pa? réd. de la dimetliy-l>
aniline- phtaléine. Propr., éther. m^-
thyl.; act. de POCl», <&, 3lT
{Hallcr, Guyot),
Phénylmbthanb -m, m» dicariiox>jcb
(Di-) (Ac). Form. du dér. p-dîarai»*
par cond. de Téther anthraQîUqœ
avec l'ald. formique. Propr., dér.
diacétylé,dibenzoylë,étbers mëlhyl.;
tétrazo., t26, 1153 [Mehoert.
PtlÉNYLMÉTHANE-SULFONB (Dl>). Cood.
du dér. tétraméthyldiaminé avec U
nitrosodiméihylantline , ft • . *J I
{Sachs) .
Phknylmkthtlb(Tri-). Form. a pan
du triphénylméthane chloré ou bro>
TABLE DES MATIÈRES.
1383
mé. Propr., peroxyde, dér., hexa-
nitré, M, 140. — Constil., S6,
10é7 (Gombcrg).
Fhéntlkéthtlsulfone {pibromo-).
Form. dans Tact, de Br sur Tac.
bcDzène-suironacetique , ft6, 870
(Ramborg) .
PHÉNTLMTHOFORMIQUE (Aid.)* Aci. de
CH'ONa sur Thydrazone et la p*nî-
trohydrazone, 96, 793, 794 {Bawber-
gcr^ Orob), — Modif. stéréo-isom.
de rhydrazone, 26, 998 (Bambcr-
ger, Scbmidt), — Form. des hydra-
zone et p-nilrohydrazone à part, de
rhydrazone de 1 ald. benzoïque ou
du phénylnitrométhane et du nitrate
de />-nitrodiazobenzène, S6, 995
[Bamberger, Urob),
Phénylnitrolique (Ac). Form. par
oxyd. de la benzylamine et de la
benzaldoxime, 96, 991 {Bambcrgci ,
Scbeuiz).
Pméntl.mtromkthane. Form. par
oxyd. de la benzylamioe et de la
benzaldoxime, 96, 991 ^Bamberger^
Scbeulz). — Cond. du dér. sodé
avec le p-nitrodiazobenzène, 96, 995
{Bamberger, Grob),
— {Métboxy '4^) . Form, par oxyd.de
Tanisaldoxime. Propr., comb. avec
le diazobenzAne, 96, 991, 992 (Bam^
berger^ Sebmlz).
PUÉNYLMTROMÉTHANE (Dl-). Transf.
en beozbydrylamioe, 96, 556 [Ko-
novalof)»
Phényloxamique iAc). Form. à part,
de la pbényldicarbylamine, 9S, 827
iSabaacJeffy Prosiu). — Act, de
C'H*I en prés, de Ag'O, 96, 988
( Lander) .
PliÉ.NTLOXT-ACRYLlQLE lAc). Isomé-
riaat. par HCl, 96, ^79 (Erïeth
meyer),
PucNTLPBNTANE (Di -«.£-). Form. du
dér. bydroxylé-1.5 par réd. de
ra.-f-dibenzovlpropane. Propr., 96,
1113 {Japp, Michtc).
Phénylphosphine (Tri-). Form. dans
Tact, de P sur la Iriphénylarsine,
96, 274 {Krafft, Xeumaûn),
Phénylpropane (Di-1.2-). Act. de
AlCP, 9S, 242. - Act. de Br, 9S,
628 \Bodroux).
Phénylpropane (Di-1.3-). Prép. par
cond. de C*H* avec le bromure de
triméthylène. Act. de Br., 95, 2:^
{Bodroux).
Phénylpropargyliquc (Aie). Synth,
par cond. du phénylacétyléne sodé
avec le Irioxyméthylène. Propr.,
acétate, 9S, 610 {Mourcu, Dosmots).
PuÉNYLPROPiOLiQUE (Ac). Prép. du
nitrile par cond. de U^Azi" avec le
phénylacétyléne so<lé, 9 5, 99
[MoureUf Dolaûge). — Transf. du
bromhydrate en bromindone, 96,
107 [Schlossbcrg].
Phénylpropiolique (Ald.). Prép. par
cond. du phénylacétyléne sodé avec
réther formique. Propr., 95, 708
{Afourcu^ Delange),
Phénylpropionique (Ac). Pouv. ro-
tât, de Téther iso-amylique act.,
95, 459, 550 (Oi/ve). — Tribolum.
de réther menthyl., 96, 458 (Tsc/iu-
gaeff). — Cond. avec Tald. ben-
zoïque, 96, 639 (Tcbitcbibabinc).
— Vit. de dissol., 96, 878 {Bruaer,
ToUoczko)» — Cond. de Téther avec
le thymol sodé, 96, 996 (Bube-
naaûû).
— {Cyano^) (Ac). Prép. à part, de
Tac. p-cyanocinnamique, propr., 96,
112 {Moscs).
Phénylpropionique («-Benzyl-) ^Ac).
Cond. par SO*H', 96,640 {Scbmidt},
Phénylpropionique (a-BBNZYLiDkxE-)
(Ac.) . Prép . , propr . , 96 , 63Ô
{Scbmidti .
Phénylpropionique (p-Carboxy-)
(Ac). Prép. à part, de Tac. p-cya-
nocinnamique. Propr., 96, 112
{Moscs^^ .
Phénylpropylène. Voy. Benzène
(pROPÉNYL-), Benzène (Isopropé-
NYL-).
Phénylpropylolycol-1 .3 (Diméthyl-
1.3-). Frép. par cond. de l'ald.
benzoïque avec la propiophénone.
Propr., diacélate, 96, 1167 {Abcll).
Phénylpyruvique (Ac). Form. par
isoraérisat. de Tac. pbényloxyacry-
lique, 96, 379 {ErleDmeycr).
Phénylsemicarbazide iDi*). Comb.
avec les étbers thiolcarboniques,
96, :iy4 , Wbcchr, AusUd).
Phényl-4-8emicarbazioe (Thio-) .
Prép., propr., Comb. avec Tald.
benzoïque, 96, 22G ( Youag, Eyre).
PhEN YL -2 - !)EM1CAR0AZID0GARB0N1QUK
(Benzyl4-) Ac.V Ether élhyl., 96,
1006 {Buacb, Heinricbs).
Phényl*2.4-semicarbazidocarbo.niqub
(Dl) (Ether). Prép., propr., 96,
1000 {Buscb, Heinricbs),
P|hÉNYL-1- SEMICARBAZIDOCARaONIQUE
iETHYL-4-) iEth«r). Prép., propr.,
(6, 1006 {Buscb, Heinncba).
— (Méthvl4-^ (Ether). Prép., propr.,
96, 1006 ^ Buse h, Heinricbs).
— (Phényl-méthyl-4-) (Ether). Prép.,
propr., 96, 1002 {Busch},
— (p-ToLYL-) (Elher). Prép., propr.,
96, H)07 [Buscbf Heinricbs).
Phényl*<ilicol (Tri-). Prép. au moyen
de SiCl* et de CMI*UNa. Propr.,
acétate, oxyde, 96, 576 [Kipptugy
Lioyd] .
Phknylsilicone iDi-). Prép., propr.,
96, 577 [Kipping, Lloyd).
1384
TABLE DES MATIÈRES.
Phénylstibime (Tri-).AcI. de As, 1^6,
274 {Krafn, NcuœaDD).
Phénylsulfauinique iCbloro-4') (Ac).
Prép. par cond. de la p-chloranîline
avec l ac. aminosulfonique. Propr.,
sels d'ammoD. et de p-chloraniline^
S6, 1092 {PaaJ).
Phénylsulfonacétique. Voy. Ben -
zkNE-SULFONACÉTlQUE.
Phénylsulfone (Di-). Act. de Se et
Te. ««, 278 {Krafft, Sieincr) . — Tri-
bolum., 26, 458 (Tschugacft) , —
Prép. des dér. trinitré- 2.4.6, dini-
tré-2.4, nilrés-2 et 4, aininé-2 et hy-
droxylé-2 par cond. de Tac. benzène-
sulûoique avec les benzènes cbloro-
ni très corresp. ; propr., S6, 540
( UllmauD^ Pasdcrmadjan) .
— — (Benzoyl-). Prép. à part, du
chlorure diphénylsuifone-o -carbo-
nique, S6, 410 [Ùantcr).
Phénylsulfone (Èthyl-). Comb. mol.
avec AlCP et AlBr*, «6, 860 (ATo/i-
1er).
Phénylsulfone (Méthyl-). Form. à
part, (le la benzène-su Ifonacétanilidc,
«6, 137 {Grotbo] .
Phénylsulfone - o - carbonique (Di-)
(Ac). Prép. k part, de Tac. o-tolyl-
pbénylsulfone - benzoïque . Propr. ,
sels, chlorure, amide, aniIide;cond.
du chlorure avec C*H*, ««, 409
iCanter). — Prép. du dér. p-nitré
au moyen do la /)-nitro-o-lolylsul-
fone. Propr., sels, chlorure, amide;
cond. du chlorure avec C*H*, S6,
411 (Morris). — Prép. du chlorure
p-nitré à part, du chlorure d*ac.
P'nilro-o-sulfobenzoïquo, 96, 413
{Hendersoa) .
Phénylsulfone-p- carbonique (Di-)
(Ac). Prép. des dér. nilré-2 et dini-
tré-2. 6 par cond. de Tac. benzène-
sulûnique avec les ac. chlorobenzoï-
ques nitré et dinilré, M, 541 [UU-
manny Pasdermadjian),
Phényltetrène-dicarbonique (Di-)
(Ac). Form. à part, de la truxone,
«6, 209 {Manthey).
PHÉNYLTHI0-ACÉTIQUE(C/l/0r0-2-^(AC.).
Prép. de Tamide au moyen du cya-
nure d'o-chlorobenzyle, S6, 624
[Mehner] .
Phénylthiocarbamique (Ac). Form.
des éthers par déc des phénylimi-
nothiocarbonates corresp., €6, 392
(Wiiecier^ Austin), — Dér. glyci-
nique, «6, 743 [E. Fischer).
— (az -Ethyl) (Ac). Elher mélhyl.,
isomère thiolique, S6, 391 {WbeC'
ler^ Austin),
— (az-MÉTHYL-) (Ac). Elher méthyl.
et élhyl. ; isomérisat. en dér. Ihio-
liques, «6, 391 (Wbcclcr, Austio).
Phénylthiocarbazi.nique (Ac). Cond.
des éthers avec les sulfocyanates
d^acétvle ei de benzoyie et l'i^ocya-
nate de phényle, !B6, 391 ( WbecJ^'r,
Austin).
Phentlthiohydantoine. Form à pari,
de la chloracétanilide, 96, 138 Fr^
ricbSf Beckurts),
pHÉNYL-a-THIOLACTIQCK (Ac.t. FomL
Ï>ar cond. du phén^lmercaptan av«c
'ac. a-bromopropionique, 99^ 6!€
[Bamberger) .
Phénylthiosemicarbazidb (x-.\lltl- .
Prép. et propr. du dér. â-chloré,
e6, 498.
— (Carboxtméthyl-i . Prép. propr,
«6, 1128 [Doran).
«— (Di-). Constit. des. isom. 1.4 rj.
2.4; acl. de AzO*H, de COCl", du
CSCl*. Transf. en nitroso-azoïque.
Ether méthyl. ; comb. benzylîd^o. ;
dér. benzène-sulfoné, Z^^ fSS, TUJ
(Buscb^ Holzmann).
— (Méthyl- 1). Constit., «6, TA
{Buseb^ Holtmann).
PHÉNYLTHIOSEMIOARBAZIDOOAnBONIOUS
(Di-) (Ac). Prép. des éthers par
cond. de Tisocyanate de pb<*nyle
avec les éthers phénylthio-carbazi-
niques. Propr., M, 394 [WberUr^
Austin). — Prép., propr., C6, 1004
(Buscb, Grobmann).
Phényltriauine (Acétylène-tbi->.
Form. à part, de Taniline «t dcidî-
et tétrabromuros d*acétylène, K,
823 {SabancJetr^Prosin).
Phbnyltribenzoïque (Ac). Form. i
part, du truxène. Constit., SC, iCM
(Mantbey) .
PHÉNYLThIChA.ORÉTHANB (Dl*». Prvp.
du dér. tétramétboxjrlé-;).3'.4.o par
cond. du vératrol avec le cbloral.
Propr., ft6, 259 {Fouersteiai.
Phényluréido-acétiqub. Voy, l*i!h-
nylhydantoïque.
Phényluréido-propioniqub. V'o^-. Pbié-
NYLHYDANTOi'QUB (a-MÉTHYL->.
Phbnyluréthane. Voy. Phénylca*-
BAMIQUE.
Phénylvalériqub (Ac). Act. deAJ(3'
sur le chlorure, M. 718 [Kippiag,
Hunier) .
PRLORACÉTOPHÉNONE. Cond. d<* TAth^T
triméthyl. avec les éthere pip^t)-
nylique et vératrimie, S6, 108 iX'va-
tanecki^ Bozycki, Tambor . — Cond.
de Telher triméthyl. avec le iO'<*lhcw
xybenzoate dVthyle, S6, IT.i 'A'o#>
tanocki^ Steucrmann). — Cond. d«
Tétber triméthyl. avec les élhtrs
vératrique et vanillique, C6, 641
(Dillery Kosianeekî). — Cond« de
l'éther triméthyl. avec Péther i«Jh
cylique, «6, 642 \Koslao<^eki, Wt^
bel).
Phloramine (Métuyl-\ Voy. Ràfcm-
CINE (MÉTHYL4-) iAmiaO'ù-] .
TABLE DES MATIERES.
Iâ85
Phloriozine. infl . sur Texcrét. uri-
naire, «•, 944 {BeDdix).
Phloroglucine. Form. de i'éther mé-
thyl. à part, de la lutéoline e( de la
crénistéine, *•, 154 {Perkin, Hors-
TaJL. — Form. à part, de Tac. Ûlici-
tannîqoe, 9H, 155 {f{eich\, — Form.
par aéc. de la métboxylutéoline,
M, 187. — Form. à pari, de la mé-
thoxy-apigénine« M, 189 {Vonge"
ricbteD). — Comb. avec l'ald. gïy-
cérique, ««, 372 {WobJ, Neuberg),
— Kéact. colorées avec les ^- et
6«oxyfurfurol8, S6, 381 (Cross,
Bovan^ Briggs) • — Form. à part, de
Toroxyline, t%, 734 [NayJor, Dycr) .
— Réact. colorées avec les sucres,
<•, 818 iNcuberg), — Cond. avec
la cblororormoxtme,S6, 914 [ScboU,
Bertscb). — Copul. avec le diazo-
carbazol, «6, 919 (Ruff, Stein). —
Prép. de Téther monométbyl. À part,
du aiamino-noisol sym. ; propr., dér.
iribromé, diacétylé,dibeDzoylé, S6,
y84 {Aigûen. — Comb. avec les
ruraloïdes, ZS, lOGl {Fraps}. —
Act. sur Téthcr oxalique, S6, 1069
{Tingle^ Byroe). — Propr. et cons-
tit. cfes dér. ; sels, élbers métbyl.,
benzyl.,propyl.,isopropyl., <•, lltS4
{KauÛon. — Prép. et propr. do
Téther Iriraélbyl., M, 1139 [Henig,
Kêsercr).
— (MÉTHYL-). Form.derélher mélhyl.
à part, do la méthylgënistéino et de
la méthyllutéoliDe, €6, 154 {Perkin,
Horsfalt), — Act. de Br. Dér.
dibromé, acétylé, ««, 982 [nobm] .
— Acl. de AzO"H sur l'éther mé-
thyl.4 ; dér. iso-nitrosé-S et aminé>3,
<#, 961 (KoDva). — Act. de AzH%
de l'éthyl aminé. Comb. avec la dié-
thylamine, ««, 984 [Fricdl). —
Pnèp. et propr. des éthers mélhyl.
et étbyl.; dér. brome, €6, 1135,
1186 [Herzig, Tbeucr).
— (MÉTHYL-) (Di). Acl. de Br; dér.
brome, acétylé, Z9, 982 [Robm).
— Prép. et propr. des élbers ben-
zyl., ««, liai (Kauncn. — Ethers
raono-,di- et tri-élbyliques, €6, 1138
{Herzig, Hauscr). — Acl. du nitrite
d*amyle sur Télher mélhyl., «6, 1139
tBosso) .
— (MÉTHYL-) jTÉTRAi. Acl. dc Br.
Dér. dibrnme, bromo-acélylé, €6,
ll3o [Hertig^ Tbeuor^.
— (MÊTHYL-) (Tri-i. Act.de Br. Form.
du dér. tracélylé à part, du trimo-
Ibylcétohcxaméthylène iribromé,^*,
982 iRobm). — Prep. et propr. du
dér. brome, €6. 1137. — Elher mono-
étbyl., «•, 1138 [Horzigy Theucr).
Phorone. Comb. avec l'éthylmercaptan.
Dimercaptol, disulfone, dcr. dibro-
mè, «6, 020 [PosDen.
Phosgîine. Voy. Carbone (Oxychlo-
rurc).
PHOspHLNt. Voy. Ethylpiiosphine,
Phknylphosphine.
Phosphinique. Voy. Benzylmétiiane-,
CaMPHRE'PHOSPHINIQUE.
Phosphore.Dos. dans les ferrosîlicîums,
SS, 291 [Jouve), — Pi'ép. el propr.
de Toxyde phosphoreux, 9S, 963
(BesaoD}. — Difhis. ; chai, de vo-
latilis., SS, 1058 (do Forcrand).
— Dos. des comp. organ. de P
dans rurioe, «6, 28 (KcJJcr). —
Puriflc; élimin. de Ae, S6, 193
{Noeltiagy Feuerstcio}. — Form.
dans Tact, de As ou Sb sur P'O',
P»S», PCI» ; act. sur la triphényl-
arsine, 1t9, 274 [Kraffl, Neumana).
— Act de Cl. Transf. en PCI*, C6,
276 (Graobe). — Recherche toxicol.,
^•, 281 {HaJasz). — Intoxication
par P. Transform. du foie, «6, 318
(Jacoby). — ntat de combin. dans
la leucooucléine et la caséine, €6,
331 (AscoJi]. — Recherche de P
libre, «6, 3G3 {Muckcrjl\ . — Oxyd.
parO libre, S6, 863 {Ostwald}. —
Acl. sur AsCl* el SbCP en prés, de
AlCl*. Comp. PA8*0*, ««, 885
(Ruff). — Act. sur Pt coiloïd., 96,
iOSQ [Bredig, Ikeda).
— (lodure). Acl. de PP et P»l* sur
BBi-». Propr. de la comb. P'I*,2BBr»,
S5, 382 (Tatiblo) .
— (Oxychlorure) . Appl. à la cryosc. de
. SO', S5, 9^{Oddoi. — Comb. mol.
avec AlBH, ««, 360 {Kobler^. —
Act. sur le suirocyanate de Pb, S6,
451 (DixoD). — Prép. au moyen de
PCP et KC10% «6, 1122 (Ullmann,
Fornaro) .
— (Pentachlorurej . Comb. avec BBr\
es, 382 (Taribic). — Form. dans
l'act. de Cl sur P rouge, ««, 276
{Ota^bo. — Act. de S en près, de
AlCl». Comb. avec AlCI», M, 8ïs5
(Rufl),
— (Trichlorure) . Comb. avec BBr*,
«5,382 (r«ri7>/et. —Acl. sur la gly-
cérine, SS, 1061 {Lumière^ Pcrnn) .
— Prép. au moyen de Cl el P rouge,
«•, 276 [Graebc). — Form. par
déc. de combin. phospho-arsénices,
1t9, 885 Muff. — Transf. en POCP
par KC10% ««, 1122 [UBmann,
Fornaro) .
— (TrisuIfiDcyanatei. Act. de l'aniline,
««, 451 [DixoD,
— (Trisulfurei. Act. de As et Sb, SU,
274 [KraftU Ncumano) .
Phosphore (Hydrooènei. Chai, de
form., SS, lt)58 (do Forcraud\. —
Sépar. de AsH* par Cu'CI', ««, 670
(I)owzardK — Form. à part, du
comp. PAs*0*, ««, 885 ^Ruffj. —
liiSG
TABLE DES MATIERES.
Ad. sur Pt colloïd., SU, 103'J
[Bredig^ Ikcda).
Phosphorescence. Voy. Lumière.
Phosphoreux (Ac). Ether» do la gly-
cérine, *5, 1061 (Lumière, Per-
r/fl). — Dos. par KMnO*, S6, 84
(Kubliaz). — Acl. de As et Sb sur
PO', ««, 274 {Krafft, Noumaan) .
— Act. sur Pt colloïd., ««, 1039
{BrediÇy Ikcda).
Phosphoreux (Hypo-) (.\c.). Appl. au
dos.de llgy ItHy i2S iBenaet).
Phosphorique (Ac.U Propr. des sol.
du sel ac do K, ZS, 116 {Wyrou-
boff). — Acl. des sels sur le sul-
fate de Mo, «5, 348 (Baiïbacbe) . —
Acl. sur Mn"0'. Phosphate com-
plexe, tt5, 738 (Auger). — Dos.
dans les superphosphates et les
engrais, !tS, 767 {Ledoux). — Ti-
trage par BaO en prés, de div. indi-
catoui*s, SS,796 (Cavalier). — Dos.
colorim. dans les eaux potables,
is, 800 {Lopicrre). — Titrage par
GaO, BaO, SrO,«5,903 {Cavalier).
— V^aleur agricole des phosphates
noirs azotés des Pyrénées, S5, 960
{Joffrc). — Infl. des sels ammon.
sur la dissoc. des sol. de PO*Na*n.
«S, 9G2 [Doycr, van Cleoff), —
Neutralis. par les alcalis et les
bases alcalino-terreuses en prés, de
div. indicat., So, 963. — Act. des
sels dissous sur le glycocolle et l'ac.
hippurique, S5, 965. — Equil. chim.
entre PO*Na*H et AzO'Ag. Sels
mixtes de Ag et Na, S5, 9>H>. —
Equil. chim. entre PO*H«, CaO,
NaOH et les chlorures alcalino-ler-
rcux, SS, 967 {Berthelot). — Dos.
dans les phosphates. Appl. de PO^CaH
au titrage de Turane, SS, 1001
[MU lier). — Prép. et propr. de la
monélite (PO*CaH), SS, 1008 (do
SchultCD). — Chai, de forra. de
P'O*, es, 1058 (do Forcrand) . —
Prés, dans les bact. de la tubercu-
lose, S6, 125 iSchweinitif Dorsct).
— Teneur en sels de Fo, Mn, Ca
des os d'éléphant fossile, SB, 164
(van BemmoJotiy Klobbic). — Appl.
au dos. de Mn. Sel ammon.-man-
ganeux, S6, 196 (BooUgcr) . —
Transf. par distill. des phosphates
de diamines en carbures non-satu-
rés, SU, 284 iHarrics). — Act. de
P'O* sur C10*H, S6, 354 [Micbael
CoDû). —Acl. de PO*H* sur Tio-
dure d*azote, SU, 356 iCbattaway,
Stcvens). — Appl. au dos. de Zn,
S6, 367 {Dakin).— Dos. dans Peau
potable, ««, 609 {WoodmaD, Cay-
vaa). — Acl. de AzH'Oli sur léther
éthyl. ; éther phosphohydroxamique,
««, 664 (Sabaaejcff). — Appl. des
sol. do P'Ù* dans bO*H* à la dessicc.
des ffaz, «•, 673 {Lidof). — A
de PO*H' sîrup. à la pr^. de l
lène^du propylt''4ie, 1t%, 673 'Xrwtt
tSÎ'
— Phosphorescence de P*0*,
855 (Ebori, Hofœaoa). — EJiiBfii
pendant rinanition, ••, 9^ {ScAaij,
Mainzer). — Appl. au dos. de Ma
ible
et Co. Sels doubles ammon.,
954 {DakÎD).
Phosphorique (Ptro-) (Ac). Pr^r
du sel de Mn, «•. 196 {Boeiigrr
Puospuoryle (Trisulfocyanalei. Pr^p.
au moyen de roCP et du Bulfo^ya-
nale de Pb. Propr., act. de Azff*.
de l'aniline, de To-toluidine, M, 45t
iDixoD) .
Phospuures. Prép. de TuP crisl. à
part, de P*Tu et du pho^^hare «le
Cu, es, 268 {Defacqi}. ~ Anal, du
pbospbure de Cu, M, 455 Bon-
traegcr) .
Photographie. Pap. sensible au fcrp>-
cyanu)*e, à H'O' et à la pbtaléioe,
«•, 880 iKialiakovsky). — Appt.
du dîazocarbazol et de dir. diazo.
à la prép. des papiers senstb1«9.
ee, 918 {Huff, Stein). — Appl. à*
la photomicrographîe à rétuoe de U
cristallisation, M, 1026 (/?icL«r^.
Arcbibald).
PhTALALDÉHYDIQUE. Voy, PuTAUttlC
(Aldéhydo).
Phtalamiqlg (Bbnzyl-) tAcK Prte
de dér. m-cyané À part, de U
m-cyauobenzylphtalimido, SA, lltô
(Ebriicb).
Phtalanile (BromO'Oxy'4-) Di- .
Prép. par cond. du p-aminopbrairf
avec Tanh. phtalique ou A part, d*
la télrabromophtaléime. Propr., ^9,
927 {H. Moycr).
Phtalazobe-canbonique (Ac). Propr..
sels, chlorure, éther éthyl.. M,
216 (FraeBkot) .
Phtaléine. Décolor. des sol. alcalin*^
par les sels d'amroon. et dlijdro»
xylamiue, S5, 962 [Dorifr^ r.-«
Clcoff] .
— [TétrabromO"). Act. de AiH*OH.
«6, 927 (H. Meyer).
— Voy. ACIDIMKTRIK.
Phtaléine ^Diméthylamunk-u Pr^p.
f>ar cond. de ladimétbylaniliae«vrr
'ac. p-diméthylaminobenzoylbeiUM -
que. Propr., réduct., <S. 31 «k —
Dér. iZ2-nitré, m-aminé, o-ac^tamt»,
SS, 514, 515 [Halier, Ouyof .
Phtaléine (Sllfonk-). Dér. uiA^ua»
Car cond. de Tac. /»>nilro-o-«ttli(>-
enzoi'que avec les phénol, cn^stlf.
hvdroauinone, résorcine, etc., ••♦
413 (HoadcrsoD).
Phtalidk. Prép. du dér. dibromM^»
à part, do la dtbromopbtalimidui'
Propr., S«, 1107 {Briick).
TABLE DES MATIÈRES.
1387
— jMfcTHYL-) (Di-). Form. dansToxyd.
de l'o-isopropylloluène, SU, 697
{Sprmkmeyor).
— (PiiKNYL-)- Form. du dér. oimélhyl-
aminé par réd. de Tac. diméthyl-
aminobenzo) Ibenzoïque. Pi'opr., 1^5,
200 {HêJJer, Guyot),
PuTALiDE (o-Xylidène-). Pfép. et
propr. des dér. o-nitré, cyané, du
dinitrosale, sels; aci. de CH^ONa,
IM, 209, 210 (Gofdberg).
HuTALiMiDE. Cond. du dér. potassique
avec les éthers propionique et buty-
rique a-bromés, S6, 95, 06 {Gabriel^
ColmêD), — Act. du chlorure de
/T-méthyibenzyle sur le sel de K,
tSC, 587 [Curtius, Sprengcr),
— {BroiaO'4.5') (D/-). Form. à part.
de l'ac. dibromophtalique. Propr.,
réduct., S6, 1100 (Brûck).
— {Chïoro-SA.d-) {Tri-). Prép.,propr.,
cond. avec C*H% «•, 1105 (Graobe,
ftoslowzew) .
pHTALiMiDE (Benzyl-). Hydi^ol. du
dér. m-cyané, ««, 1100 [Ehrlich),
(MÉTBYL-4-). Prép., propr., S6,
587 (Curtius j Sprenger).
PiiTALiMiDiNE [Dibromo-4.5'). Prép.
à part, de la dibromophtalimide.
Propr., dér. oitrosé, 96, 1106
{Brûck},
PHfALIMINO-ACÉTIQUE (Ac). Act. doSal-
coolates sur l'étlier éthyl., S6, 94
{Gabriel^ Colman).
Pmtalimino-x-dutyrique [Ac). Prép.
par cond. de la phlalimid<^ potassée
avec Téther x- aminobulyi'ique.
Propr., dl, 96 {Gabrioh Col mu u).
pHTALrmxo-a-pROPioNiQVK (Ac). Pr(^p.,
propr., 96, 95 {Gabriel, Colman),
pHTALIMl.NOPnOPYLMALOXIQLB ( AC . ) .
Dér. a-bromé; élher éthyl.; act. de
AzH% «6, 745, 746 \E. Fischer).
Phtalimi.no -VALKRiQLE ioL' Bromo-)
(Ac). Prép. à part, de Tac. pbtal-
iminobromopropylmaloniquo. Propr.,
dér «-aminé, t6, 746 i^\ Fisch^^r).
Phtaline Diméthyl-'. SyO' Phknyl-
MÉTHANK-CARBOMQIE (TRI-) (Tétra^
mêthyldiamino-) .
o-PHTALiQUE (Ac). (Joud. de Tanh. avec
les diméthyl-, dictlivl-olélhylbcnzyl-
anilin.-s,«S,168,172(//fi7/or,G(i/on.
— Cond. avec les élbersdes /u-dial-
roylaminophénols, SS, 215 i/Jr/-
maux). — Form. par dist. de Tac
/B-nitro-p-diméthylaminobenzoyibon-
Toïque, 9S, 515 {Haller, Guyot .
— Prép. et propr. du phtalalo 'neu-
lr<* de di-iodo-2.4-phénol, 95, 8i2
{BroDaos}. — Appl. à la sépar. du
géraniol et du rhodinol, 95, 9ô7
{Cba rabot, Hébert). — Oxyd. par
KMoO* en sol. persulfurique, 96,
6i> (Baeyer Villiger). — Form. par
déc. du nitroxylidène-phtalido. Cond.
avec le nitrile o-tolyiacétique, 96,
210 {Goldberg). — Elher fenchyli-
qae ac, 96, 436 (Bertrand, Helle).
— Tribol. de l'anb., 96, 458 {Tschu-
gaeft). — Prép. et propr. des pero-
xydes. Ether, 96, 544 {Baeyer, Vil-
liger). — • Acidité des sol. aq. d'anh.,
96, ^{Stadt). — Form. par oxyd.
de ra-phéuocycloheptanone, 96, 718
(Kipptng, Hunier). — Form. à part,
de loroxyline, 96, 734 {iWaylor,
Dycr). — Cond. de l'anb. avec le
p-aminophénol, 96, 927 (//. Meycr).
— Cond. de Tanh. avec l*oxyhydro-
quinone, 96, 1083 {Liebermann).
— Bromur. de l'anh. en prés, do
SO*H* fum., 96, 1106 {Brûck). —
Form. par déc. de la trichloro-1.2.4-
anthraquinone, 96, 1106 [Graebo,
Bostowiew}, — Cond. do Tanh.
avec les m-mélhyl-, éthyl- et benzyl-
aminophénols, 96, 1146 {Scheulx).
— {Bromo-A-ù') {Ûi-) (Ac). Pi-ép. par
bromur. de l'anb. phtaliquc. Propr. ^
éthcr., imide, 96, 1106 {Brûck).
— {Chloro'3.4') (Di-) (Ac.K Form.
par oxyd. du dichloro-3.4- o-xyléne,
95. 979 {Forrand).
— {Cbloro-3.6') (Di-). (Ac). Constil.
95, 499 [Se vérin). — Prép. par
oxyd. de l'ô-xylène dichloré-8.6, 95,
979 {Forrand). — Sépar. de l'ac
lrichloi-é-8.4.6, 96, 1104 (Graebe,
RostowEcw).
— {Cbloro-4.5') (D/-) (Ac). Form. nar
oxyd. du dichloro-4.5.o-xylène, 95,
979 (Fcrrand).
— {Chloro-) {Télra') (Anh.). Cond.
avec les diméthyl- et diéthyl-anilines,
95, 599. — Cond, avec le /n-diéthyl-
aminophénol, 95, 747 {Haller, Umb-
grove) .
— {CblorO'S.4.6'). {Tri-) (Ac). Sépar.
de l'ac dichloré-3.6. Propr., anh.,
éthers, imido, 96, llOô [Gracbc,
Bostowzcw),
— iXitrO'S*) (Ac). Prép., propr. et
sépar. des éthers iso-amyl. act. et
iuact., 96, 7^ {Marckwald, Mac-
kenzic) .
— {OxyS-) (Ac). Form à part, de
Tac. hydrindénc-8uironiquo-4, 96,
912 iMofichner).
— (OX/-4.5-) {Di-) (Ac). Form. à part,
de l'ac dibromophtalique, 96, 1106
{Brûck).
— 'Sulfo-3-) (Ac). Form. par oxyd.
de l'ac h ydriudène - sulfonique - 4,
96, 912 (Moschner).
m-pHTALiQUE ^Nitrile). Form. à part.
de la m -phénylène-dicarby lamine,
96, 769 {Kauûcn,
— iDichlorO') (Ac). Form. par oxyd.
du dichloro-in-xylène, 95, 979 {Fer-
ra nd).
1888
TABLE DES MATIÈRES.
p-PHTALiQUE (Ac). Ether neutre du
peroxyde d'alc. éthylique, S6, 531.
— Prép. et propr. du diperoxyde.
Sels, «6, 544 [Baeyer, VUliger). —
Form. du nitrile par sapon. de la
p-phénylène-dicarbylamine, SU, 769
{KauÛcr). — Form. par sapon. de
l'ac. p-cyanobenzoïque. M, 1078
[Kfitt wJDckel , Wolffenstcin ) . —
Form. par oxyd. de l'ac. p-toluyl-
picolinique, Z%, 1172 (Fulda).
— {NUrO'S-} (Ac). Elhérif., ««, 544
iWcgscheJdcr).
p-PHTALiQUB (Aldéhydo-) (Ac ). Fofm.
de l'amide par cond. de l'ald. p-cya-
nobenzoïque avec Tanh. acétique et
rac6tale de Na. Propr., S6, 112
(Mosos) .
pHTALONAMiQUE{Ac.).Form.parhydrat.
de la phtalonimide. Propr., sels, S6,
118 {Gabriel, Colman).
Phtalonimide. Propr., hydrol., ••,
118 {GabricJ, Colman).
Phyllocyanine. Form. a part, de la
chlorophylle, S6, 77 {Mareblowski,
iScbuBck). — Acl. de KOH, S6, 512
{MarcbJewski). — Réduct.; transf.
en hémopyrroi, S6, 1120 {Nencki,
Marcblcwski).
Phylloporphybine. Propr., aci. de
Br, de AzO^H, ««, 77, 652 (Marcb-
lcwski, ScbuDck). — Constit., ft6,
1120 {IVencki, Marcblcwski).
Phyllorubine. Form. à part, de la
phyllocyanine. Propr., spectres, 96,
512 (AMarcblcwski).
Phyllotaonine. Form. à part de la
chlorophylle bleue, S6, v7 [Marcb-
lcwski, ScbuDck).
Phylloxanthinb. Form. à part, de la
chlorophylle, S6, 77 [Marcblcwski^
ScbuDck).
Phytostéarique (Aie). Prés, dans
rhuile de blé. Propr., SU, 850
{Vulté, Oibsoa).
PlCEAPIMARlQUE. V'Oy. PlMARlQUE, Pl-
UARI.N1QUE, PiMAROLIQUE.
flt-PicoLiNE. Act. sur le chloranile, le
bromanile, 95, 989 [Imbert). —
Cond. avec les ald. o-^m- et p-nilro-
benzoïques, ««,494 iFcist). — Chai,
latente de vaporis. ot chai, spécif.,
««, 945 (KablcDberg).
— {^'p-Bromo-oL-oxy'). Prép. à part,
de ra'-oxypicoline. Propr., 9«, 229
[Errera).
— (a'-Ox/-). Prép. par cond. de la
cyanacétamide sodée ave^ Téther
méthoxymélhylène - acétylacéUque.
Propr., chlorh., ««, 229 [Errera).
§-PicoLiNK. Act. sur le chloranile et
le bromanile, «S, 989 (Imbert). —
Act. de Br. Dér. to-bromé. penta-
brome; picrate, «6, 795 [Dcbnel).
a-PicoLiNE-3-cARBOMQUE [p'-Cyono-
a-oxv-) (Elner). Synth, par cond. de
la cyanacétamide sodée avec l'étlitf
métboxyméthylène-cy a nacé ti qo? .
Propr.; sels de K, Na, S€, 2tt
(Errera).
a-PiCOLINE-p.p'-DiCARBOMQUEla'-OX/-)
(Ac). Prép. par cond de la cyaa-
acétamide sodée avec l'éther mètho-
xyméthyléne-cyaoacétique. Propr.
monamide, «•. 228 {Errera^.
PiCOLI.NIQUE (P-BeNZOTL-/>-CABBOXT-)
(Ac). Form. par oxvd. de Vie.
p-toluylpicolinique . Propr.. sek,
éthers ; comb. avec Az d'Oïl, la pbé>
nylhydrazine, e«, 1172 {Fuldà.,
— (p-ToLUYL-) (Ac). Prép. parcoad.
du toluène avec Tac. quinoUqai*;
propr., oxydât., ««, 1172 [Fuldm\
PiCRAMiQUE (Ac). Diazot. cl copol.
avec les phénols et leurs SQlfoooo-
jugués, M, ±\\ -(Grimaux^ L^-
vre).
PicRiQUE (Ac). Voy. Phénol LVitro-
2.4.6') [Tri').
PiCRiQUE (Iso-) (Ac). Form. à part,
de la trinitrophénylhydroxylanùar.
Propr., ««, 169 (Niotiki, Di^lscAy}
PiCRYLE [CbloruroK Vov. Benzstie
(CblorotrinitrO'2.4.6')\
Pigments. Constit. des pigin<^nt4 de
pinna et mytilus, SU, 82 i Wetzelu
— Pigment brun de la bile d'ours
blanc, 99,942 [Hammarstf*ou
Piles. Voy. Appareils, ELE«rrRiciTic.
PiLOCARPÉiQUE (Ac). Form. paruxyd.
de la pilocarpine. Propr., sels. M,
189 [Pinaer, Koblbammer).
Pilocarpine. Oxyd. par KMnO*, IHO",
se, 189 [PioDcr, Koblbammer,
Jowctt). — Tribol. du chlorti., ««,
459 (Tscbugacff). — ConsUl.: àtr.
dibromé, «•, 728, 730 [Joweti .
— (Iso-). Propr., act. de Br, dér.
mono- et dibromés, oxyd., <•, 729
(Jowett).
PiLOCARPiNiQUE (Iso-) (Ac.'. Fonn.
par oxyd. de Tisopilocarpine. Orr.
mono- et dibromés, hydroxylé. Lac-
tone, ««, 729, 7*) [Jowett .
PiLOPiNiQUE (Ac). Form. a part. M
Tisopilocarpine. Propr., étber, dcr.
brome, SU, 729 (Jowett).
PiLOPiQUE(Ac). Form. à part, de ri#o-
pilocarpine et de Tac. piloptniqtK.
Constit., dér. brome, <•, ïl^ 'Jo-
wett).
PiMARiNiQUB (AcU Kxtr. de la Ur^
benthine de Bordeaux, propr., SS,
157 (Tscbircby Ùruning .
— (PiCEA-) (AcK Exlr. de la t4r^
bent. du Jura. Propr., sels, €•, 15»;
[Tscbircb, Bruning).
PiMARiQt;E(Ac). Extr. de la t-rêb. 4p
Bordeaux. Propr., S€, 157 1 Tsaràirek
Bruniog).
TABLE DES MATIÈRES.
1389
— (PicKA-) (Ac). Exlr. de la téréb. du
Jura. Propr., sels, ««, 456( Tschircb,
BruDÎDg) .
Pimaholique (Ac). Exlr de la téréb.
de Bordeaux. Propr., sels, ItS, 157
{Tschirch^ Bruning).
— (PicEA-) (Ac). Exlr. de la téréb.
du Jura. Propr., sels, SU, 15G
{TschJrch, Bruning).
PiMÉLiQUE {%-OximinO') (Ac). Form.
à pari, de Télher cyclohexanone-p-
carbonique. Propr., élhers, 11%, 88
{Diockmann).
PmÉLiQUE ta-ExHYL-) (Ac>. Const.
de dissoc, 1t%, 199 [McUor).
PlMÉLIQUE (a-MÉTHYL-) (.Ac). CODSt.
de dissoc, ««, 199 {Afolior).
PiNACoifE. Prép. par cond. de Télher
oxalique avec i'iodure de Mg-mé-
Ihyle, «5, 339 ( Valeur). — Const.
therra., «5, 361. — Acl. du mélhy-
lai, de racétal, du chloracélal. Prép.
et propr. du formai et des acétals
correêp., 9S, 581 (Dclépine), —
Act. de IICI, ««, 565 {Kondakor),
PiNBNE. Réd. par H en prés, de Ni et
Cu, S5, 610 (.Sa/>fi(/er, Sendercns).
— Act. de AzO'H, S5, 650 (Oca-
rrcsse). — Constit., 96, 293 (/pa-
tîef). — Constit.; réd. du dibro-
mure, 96, 807 [Sommier).
PlNOCAMPHOLÉNIQUE (Ac) . FoFm. à
rrt. de Tac. pinonique. Isom. r et
Propr., S6, 183 {Tiemann).
PiNODIHTDROCAMPH OLÈNOLACTONE.
Prép. par réd. de la pinocampho-
lénolaclone. Propr., M, 183 Tic-
mann).
Pi-NOLiQUE (Ac). Prép. à part, de l'ac.
Îinonique. Propr., isom. r et rf, 96,
83 (Tiemann).
Pinonique (Ac.) . Act. de KOH. Semi-
carbazone, 96, 183 [Tiemann).
PipÉRAzi.NE. Inil. sur la solub. des
osazones, 96, 30 [Xeuberg). —
Kéact. avec l'acétate d'urane, 96,
959 {Scbjovning).
PiPÉBAZiNE (DiACi-2.5-). Prép. desdér.
dibenzylé, dibulylé, di-isobutylé cl
diéthylé-3.6 à part, des ac phényl-
acétique, butyrique, caproïque et
iso^aproïque a-aminés. Propr., 96,
743, 744 (E. Fiscbor).
PiPÉRAZINE (X-^-YÔ-PhÉNYL-) (TÉTBA-) .
Prép. par réd. des dinitro-stilbènes
isom., propr., sels, 96, 478, 496
{Scbmiùt).
PlPKRAZI.NE (pHÉNYLDI-iSOBUTYL-) (Dl-) .
Prép. au moyen de la bis-iso-amyl-
anlline. Propr., cond. avec Tac
p-diazobenzènc-suironique et le phé-
nylchloroforme, 96, 486 [Eibner,
Puruckor).
PiPÉBAZINE (PSEUDOCUMYL-J fDl-).Prép.
par cond. de la pseudocumidine avec
le bromure d'éthylène. Propr., 96,
419 [Sonicr, Goodwin).
PiPÉRAZINE (ttJ-XvLYL-) (Dl-I . Prép.
par cond. du bromure d'éthylène
avec la /D-xylidine-1.3.4. Propr., 96,
419 [Scnicr, Goodwin).
PiPKRiDiNE. Act. sur les carbonates
mixtes alcool.-pbénoliques, 9S, 634
[Cazeneuve) . — Form. à part, des
prod. azotés du pétrole roumain,
95, 726 iOriffitbs, Bluman\. —
Act. de AzH' sur le chlorh. sec;
chlorh. acide, 95, 977 {Colson). —
Act. sur le prod. de nitrat. de l'éther
acétylacétique, 95, 1011 {Bouvcault,
Bongert). — Act. de GOGl" sur le
dér, benzoylé,96,7 [Kûbn). — Infl.
sur la solub. des osazones, 96, 30
(Neuberg). — Cond. avec l'imîno-
thiodipbénylimine, 96, 55 {Scba-
poacbnikoJ). — Act. sur la brom-
acétophénone, 96, 150 [Scbmidt,
van Ark). — Infl. sur la coagul.
de ralbumine, 96, 319 {Spiro) . —
Pipéridide de Tac. o-oxyphénoxy-
acétique, 96, 402 [Ludewig). —
Acl. sur le chlorocyclopentadiène,
96, 407 iNoeldechen). — Gomb.
avec risosulfocyanate de p-chloral-
lyle, 96, 498 iDixon). — Act. sur
le peroxyde d'alc éthyl., 96, 531
[Bae^er, Villiger). — Appl. à la
précipit. des sels de Zn et Cu, 96,
565 (Herz). — Act. du bromure de
p-xylylène, 96, 986 [Aranoukian).
— Amino-sulfonate. Act. de Su*,
96, 1093 Paal, HubaJeck). — Act.
sur les éthcrs sulfocyanocarboni-
ques, 96, 1128 ^Doran\.
— (Bknzyl-).AcI. deCOCl'sur les dér.
o-, m- et/>-acétaminés, 96, 7 [Kûbn).
— Acl. sur le bromomalonate do
mélhyle, 96, 1970 [Wedekind).
— (x-Ethyl-). Acl. sur le peroxyde
d'alc. éthylique; form. d'oxyde, 96,
531 {Baeyer, Vi J I ig o r). -^^épar. eX
propr. des isom. a et /; lartrales,
96, 794 {Frese^. — Prép., propr.,
sels, dér. nilrosé, benzène -sulfoné,
96, IdbiLipp).
— (i-Ethyl-az-mkthyl-). Prép. par
méthylal . de l'a -élhylpipéridine .
Propr., sels, chlorométbylate, 96,
796 iLipp).
— (az-MtTHYL-l. Act. de ClOH. Dér.
az-chloré, 96, 112 [WiJJsiaottcr,
Iglaaer). — Prép., propr. et .sels de
la comb. avec l'a-chlorhydrine de la
glycérine, 96, 201 iBienentbaf).
— (s.x.a'-MÉTHYL-) (iRt-) . Constit.
et propr. du dér. aminé-y. Act. de
AzOni. Carbonate. 96, 997 [Pauly,
Scbaum) .
— (a-PHÉNYL-). Act. de COGl" sur les
dér. o-, m- et p-acétaminés, 96, 7
{KubD} .
1890
TABLE DEâ MATiÈHES.
— (a.a'-PHKiNYL-j (Di-) . Pi'ép. par réd.
de la diphénylpyridine. Propr., dé-
doub. ; tarlrales, camphosulfonales,
dér. benz'^ylés; comb. avec le
bromure d'o-xylylène, SU, 1171
(ScboUz),
— (a-PHÉNYL-a'-MÉTHYL-). ISOm. CÎS.
et cis-trans. ; sels, tartrates, cam-
phosulfonales, ««, 227 (Seholtz,
M'ûUcr) ,
— (P-Xylylène-di-) . Prép., propr.,
sels, «6, 987 [Manoukian] .
PiPÉRIDINE-SULFONIQUE (Ac ) , PréO.
au moyen de la pipéridine el de
Tac. aminosulfonique. Propr., sels,
oxyd., «6, 1033 {Paal, Hubaïeck).
PiPÉRiDO-ACÉTOPHÉNONE. Prép., propr.,
«6, 150 (Schmidt, van Ark),
PlPÉRIDO-DIACÉTOPHKNOîTE . Prép.,
propr., «6, 150 [Schmidt, van Ark).
PipÉRiNE. Modif. colloïd., ««, m
(Madan) .
PiPÉRONAL. Voy, PlPÉRONYLIQUE.
(Aid.).
PipÉRONE (AcÉTO-). Prép. à part, de
Tac. pipéronylacrylique . Propr.,
hydrazone. Comb. salicylidénique,
SU, 644 {FcacrstcJDy Heimann).
PipÉRONYLAGÉTYLÈNE. Prép. à pari, de
l'ac. pipéronylacrylique. Propr., sel
d'Ag, ««, 644 {Feaerstcio, Hei-
mann).
Pipéronylacrylique (Ac.) . Propr. ,
élhers, dibromure, «6,643 (Fenors-
icin^ Hoimann).
PlPÉRONYLIQUE (Ac ) . Form. par oxyd
de l'ald. mélhylène-dioxyhydralro-
pique,«5, 857 (Bou^au//). — Gond,
de l'élher éthyl. avec l'élher Irimé-
thyl. de la phloracétophénone,
108 [Kostanecki, Rozvcki, Tambor) .
— Prép. el propr. du nilrile el de
l'amide. Odeur, ««, 770 {Rupe,
Majewski).
PlPÉRONYLIQUE (Aid.). Acl. de l'io-
dure de Mg-mélhyle. Form. d'élher-
oxyde, tS, 275 {Bébaî), — Gond,
avec le fl-naphtol, tWI, 170 {Rogow),
— Cona. avec Tindanone, <6, 261
{Feuerstcin) . — Gond, avec les cya-
nures de benzyle el ses dér. p-cbloré
el p-nilré, «6, 296 {WaUbcr.WatZ'
licb).
PipÉRYLCARBAMiQUK (Ac). Form. des
élhers au moyen de la pipéridine et
des carbonates mixtes phénol., ft&y
634 [Cazeneuvù).
Pipettes. Voy. Appareils.
PivALiQUE (Ox/-). Syn. Valkrique
(Iso-lert.) (Ox/-).
Plasmide. Voy. Bos-ostéoplasmide.
Platine. Sépar. des métaux de la
mine; nilrile double de Na, SS, 10,
11 (Loi die). — Oxalales complexes,
S6, 157. — Triplalohexanitrite de
K, ftS, 162 {Véxcs). — Applk. de
la mousse à l'hydrogéoaU de« «ar-
bures incomplets, SS, 671, 67^
iSabatier, Sendorcns). — Dos.dt»
la mine. Sép. de Ir, SS. 7SB, i¥*
(Lotdié, Quenncssen) . — Act de»
réduct. sur le sulfele. Form. desfaK
fates complexes, M», 799 {Blonà^l
— Act. de PtCl* sur l'oxyd* demé<i-
tyle et GHCl*. Comb. organ. de K
«•, 70 (Prandtl, Hoùu^dd,. «
Acl. de Pt sur le réact. de Caro,
«6, 83 (Ramborget), — Act. et
Talc, méthyl. sur div. chloropUtt-
nates, «6, 162, lÔS (RohUnd). -
Comb. du chloroplatinito de K et do
chlorure de platosammonium avec
Falc. allylique, 99, 19G [Biilmana.
~ Propr. des tétrabromoplatÎAatoi
de Ag, Tl, Pb, Ba, Hjf ; aetepeatt-
chloropla Uniques, tM, 861 «JVi«*
lalti, BeHucci). — Prép. et prppr.
de Pt ooUoïd.; act. sur H^^■. M,
662 [Bredig, Berneek}. — Hydrol.
des sol. de PlCP, e«, 885 (A^>A^
rauscb), — Chloroplatioate et chle>
roplalinito diéthylène- diamino - œ-
baltiqueB, %%, 887, 888 [Wern^r.
Humpbrey). — Propr. de Pt coi-
loïd. ; subst. toxiques, <•, 1<U8
(Bredig, Ikeda). — Infl. de Pt eo»-
loïd. sur la comb. de O el H, M.
1040 lErnsi). — Act. dee poisoiM
sur Ptcolloïd., «•, 1041 (RaadniU
— Oxyd. du noir en sol. cfaiorb..
se, 1054 {MaRet\. — Electrol. de
PtGl«K«, ««, 1(K>8 [Sebummu -
Appl. du couple Sn-Pt aux redact,
M, 1167 {Pinaow).
Platodichloronitreux (Ac). Form.
du sel de K dans Taa. de BaO*
sur le platoxalonitrite de K, tm,
158 {Vhzcs),
Plato-oxalo-nitrelx (Ac). Prrp. «l
propr. des sels de Ba, Sr, Ca et da
sel double de Ba el K, !t5, Vu
iVèzes).
Platrb. Voy. Calcium.
Plicatique (Ac). Prés, dans dit
lichens. Propr., sels, 9%, W
{Hcsse).
Plomb. Sépar. des métaux de la tam
de Pt, M;,11 [Leidié).^ Ad. d* •:
sur PbSO'. Form. de PbS, t^ M
(fioucfouarrf). — Hecherche dttja««
de chrome par la diphénylcartâ/iM.
es, 761 (Cêxeneuve). — Sdob. df
PbÔ dans les sels ammon., £S, 9Ci
(Dover, van Cleeff). — Appl d*
PbSO* à la place de la oérose, tS,
992 {Wilhnz). — Sépar. de la
galène de la cassitérite, SS. !(>'
iMûlier). — Act. de PbO« sor r^V.
S5, 1028 (Klobb). — Réd. df# té*
par le radium, SS, 10Q9 {B*nk^
Jot). — Form. de PbO* par àtt
TABLE DES MATIÈRES.
1391
de Torthoplombate de Ca, tB6, 85
ikaasner), — Acl. du réact. de Garo
8ur PbO*. 1M, 83 (Dambcrçer). —
Création de la radio-activité soas
rinfl. des rayops cathodiques, tB6,
845 {Hofmano^ Kora^ Strauss). —
Act. du sulfocyaoate sur TiC]\ tB6,
^ {RosenboitHy Schûttc). — Pi*opr.
des amagalmes, £•, 358 (F«v,
NoHh). — Télrabromo- et penta-
chloro-platiDates, tM, S61, 362
[Miolëtti^ BeiJuci). — Dissoc. élec-
trol. de PbCI*. PbBr» et Pbl* en
prés, de div. ac. et sels ; solubil.,
IM, 450 (Endc). — Act. de POCP
surlesulfocyanate, £•, 451 (Dixon^.
— Act du sulfate au rouffe sur les
nitrates alcalins, S6, 454 (PermaDi.
— Act. de Na*S"0' sur les sels,
IM, 455 {Faktor), — Séptr. de Ag
dans les pyrites par électrol., 1M,
^£»{Spérattsky, Goldberg).'-Nïiny
hydroxamate, M, bi9 { A ngcli, Ad-
aelico}. — Énergie du plombite de
K, <•, 520 {Carrara, Vcspigaani).
— Electrol. du nitrate en sol. dans
la pyrtdine, %%, 523 (Kablcaberq).
— Prép. elpropr. du sous-oxyde,
tM, 563 {TiDatar). — Capacité
d*occlufion par rapport à H des
accumulateurs en plomb, tB6, 600
iBeed). — Infl. de PbO* sur Pt col-
ioïd., 1M, 663 {Brodiay Bcrnock).
— Héd. du nitrate par Tac. lactique,
!£•, 666 {VanÎDo^ Hauscr) , —
Applie. du silicate aux poteries,
Itn, 669 iTborpc, Simmonds). —
Appl. de racétate à la sépar. de
H*S et AsH», ««, 670 {Dowzard;.
— Précipît. fraction, par les mél.
de Na»SO* et Nal, 9M, 865 {Fid-
dJay). — Polaris. et dens. de cou-
rant dans PbCP, PbP et PbBr* fon-
due, tB6, 869 (Gockel). ~ Dos. dans
la broeggerite, tB6, ^2 {Hofiaana,
HetdrprieD). — Appl. de l'acétate à
Panai, des albuminoïdes, 1M, 958
{ScbJnrBtDg] . — Chlorure double de
G», «•, 1054 (Wells).
P1.0MB RADio-ACTip. Extr. de div.
minéraux; propr., poids atom., sels,
1M, 68, 244, 961 iHcfmann,
Strauss). — Dos. dans la broeç-
gerite, 1M, 952 (Hofmanûy Hoi-
eprieû) .
Plombiqub (Ortho-) (Ac). Calcin. du
sel de Ca, tB6, 35 {kassncr\.
Poids. Méthode d'étalonnage, 1M, 845
(Riebards) .
Poids atomiques. Poids a t. de Az
déduit de AzH^Cl et AzH'Br, «•,
243 {Scott). — Poids at. de Ca
déterm. à part, de CaCO', <•, 244
{HorifeJd\ . — Poids atom. des élém.,
tm, 273 (BrêUDcri ; 1M, 449 {Erd-
maoa\, — Bel. des poids atom. avec
la longueur d'onde, tB6, 953 {For"
aiaaeirj.
— Voy. SrsTkME périodique.
Poids moléculaires. Valeur à la
temp. d'ébuU., «S, 962 {de For-
era nd).
Poils. Destruct. pour les recherches
toxicol., «S, 949 (DcDtgès),
Points critiques. Infl. de la pression
sur les points critioues des dissol.
de phénol et eau, M, 847 [va a der
Lee).
Points d'ébullition. Alternance dans
la série des diamines normales
prim.. ^es, 977 [Henry). — Points
aébull. des mél. de cnloral et eau,
&•, 534 (Cbriatenscû).
Points de fusion. Belat. avec la cod«-
tit. dans la série des aminés arom.,
1M, 1159 {Gordan, Limpach).
Points de solidification. Points de
solidif. des sol. aq. de H Cl et de
phénol, £•, 524 (Emery^ Krug^
UameroD), — Points de congél. des
sol. aq. des non-électrolytes, M,
597 [Loomis] — Bel. avec la dissoc.
électrolyt., 1M, 838 [Wbctbam].
Points de transformation. Voy,
DlMORPHlSME.
Poisons. Voy. Toxicologie.
PoLARisATio.N . Voy. Electrolyse.
Polymérisation. Polym. partielle des
liq., <•, 658 {Laar).
Polymorphisme. Polym. des sels de
Rb et Ce, SS, 118 (VT/rot/do^.
Ponceau 2 H. bel de Na hydraté, ««,
867 [Sisley).
Ponceau cristallisé. Act. des acides,
sels div; prép. et propr.de Tac.
libre, «S, 532, 614, 8ô7, 873 (Sis-
ley).
Porphyre. Perte en eau, 95, 23;î. —
Anal, des gaz occlus, K, 404 [Gau-
tier),
PoRPHYRExiDE. Form. à part, de la
porphyrexine. Propr., sels, conslil.;
act. de Cl. Dér. mono- et dichlorés,
«•, 973 {Piloty, Scbweria).
Porphyrexine. Prép. par coud, de la
nitroso-isobutyramidine avec GAzK.
Propr., seU constit.; act. de Cl, HU,
972, 973 [Piloty, Schwcrii^.
Portugal (Essence). Dens., viscos.,
tens. super f., 95, 523 {Jcaacard,
SaUe).
Potassium. Propr. des sol. dePO*KH*,
95, 116. — Propr. du sulfate dou-
ble de Cd et K, 96, 128 ( Wyrou-
boft). — Act du chlorure d'uranyle
sur KCl. Chlorure double, 95, 153
[Aioy). — Plato-oxalonitrite double
de Ba et K, 95, 158. — Triplato-
hexanilrite, 95, 162 {Vèzes), —
CoefT. d'abaissement cryosc. de KBr
et K»SO*, 95, 175 [Chroustcboff).
Iâ92
TABLE DES MATIÈRES.
— Ad. de C sur K*SO*. Form. de
sulfure, SS, 284. — Tri- el pyro-
antimoniates, ^tS, 288. — Télra-
anlimoniate double cuivrique, SS,
290 (Delacroix), — Décomp. de Ta-
côlylure par H*0, «5, 52& [Berthe-
lot). — Èleclrol. des sol. de chlo-
rure double de Cr el K, SS, 617.
— Electrol. de Talun. de Cr, SS,
622 {Férce). — Act. de CIO* sur
KOH. Form. de C10*K, C10»K, CIK,
ClOK, SS, 660 (Bcychler). — Fer-
rocyanure double cuivreux, 95, 774
{Ossedat). — Azotite double de la
mine de Pl, SS, 840 {Loidié, Qaeû-
Dossco). — Infl. des sels d*ammon.
et d*hydroxylaroine sur la dissoc.
des sol. de KOH et KCI, S5, 962
[Doyer, van Clooff). — Appl. de
SO*K* à la cristall. de Toxyde de Ce,
55, 970 {Sterba).— Chlorures dou-
bles de cuprosacétyle , SS, 971
IChavaatelon). — SilicovaDadiomo-
lybdate, *•, 4 {Fnedbcim, Casten-
ayck). — Act. retardatrice de Cr*0'K*
el K'SO* sur la solidif. des ciments,
«•, 4 [Rohland). — Appl. de Kl au
titrage de H*0*, des percarbonates
et persulfales, <6, 82 (Rupp). —
Miscibil. partielle des sol. de K'CO'
et AzH*, «•, 83 (Newth). — Act.
de KMnO* sur PO*H>, «•, 84 {Ktih-
Jing). — Act. de KMnO* sur le per-
sulfate, «6, 66 {Baoyer, Villigcr).
— Propr. crislallogr. de K«SO*, «6,
70 {Linck). — Dos. de K au moven
du cobaltonitrite, €6, 78 iAdiCj
Wood). — Sulfocyaoate double de
Co, ««, 131 {Treadwcll}. — Dos.
de K dans les chlorures et sulfates
doubles, S6, 162, 163 {Rohland).^
Propr. du sulfocyanate, tB6, 193
{Gilcs). — Comb. de PlCl*K" avec
Talc, allylique, S«, 196 {BiHmanû).
— Exist. et dissoc. d'un tri-iodure,
56, 243 [Dawson). — Applic. de
K"CO* à la sépar. des terres ytlri-
ques et cériques, SB, 248 {Dross-
bach). — Appl. de Kl et KIO» au
dos. de Fe et Cr, 26, 249 (Stock,
Masaciu). — Bicarbonate double de
Cu, «8, 278 (Grocgor). — Sulfate,
oxalate, tartrale doubles titaniques,
se, 280 [Rosonbcim, Scbùtte). —
Infl. de KCI et Kl sur la conduct.
électr. de SnCl*, ««, 389 (Young).
— Conduct. électr. du chlorure
double de K et Cd et du sulfate
double de K et Ni, 9H, 353 {Liad-
say). — Act. de KOH sur Tiodure
d'Az. «8, 356 [Cbattawav, Ortoû),
— Prép. el propr. de 1 aluminate,
«8, 360 (A/yen, Rogors). — Dec. de
KMnO* nar la chaleur, 28. 361
(Rudorfr\. — Recherche par le nî-
trito double de Co et Na, S8, 361
(Biilmann). — Recherche micro-
chim. par Thyposulfile dooblt an
Bi et Na, tB8, 365 (BoratracgfT
— Coeff. de partage de AzH' eatre
CHCP et les sol. aqueuses de Kl.
KBr, AzO'K, etc.,*ll, 453 {DaxfWi,
Mac Crae) — Tribolum. de K»50\
28, 458. — Tribolum. du tarlraU
ac, 28, kdQ (Tscbagneff}, — Nitro-
bydroxamate, 28, 519 \Aageli,
AngeUco). — Hydrol. des zincaU,
plombiteet aluminate, 28,521 fCJ^
rara, Vespignann. — Acl. de K«'>H
sur CHCr. 28, 529 <S«aii</fr« -
Infl. de K*CO* sur l'équil. du sjt-
tùme eau-alcool, 28, 598 (Bruyt
— Helat. entre la conduct. électr. de
KOH, KCI, KCAz el KCIO» et Unx
act. toxique sur les poissons, 28,
603 (Kableaberg, Mehl . — Traasf
des crist. mixtes ArO*K-Ai*.>^*a,
28, 607 {Hissiok). — Loi de ditei.
de conduct, électr. de KOH, KCI «-i
KAzO», 28, 657 {Bancrofl\ — Infl
de K*SO* sur la vit. d'oxydat. d^
sol. oxaliques, 28, 650 'îforhita,
Roicher), — Dissoc. de Kl, KBr M
de Tacétate de K dans Teau et ks
aie. méthyl. et éthyl., 28, eS*
{Jones). — Infl. du nitrate tor \t
point ae tranform. du nitrate d'am-
mon., 28, 666 (MuUcn. — Fom
el propr. du persélèntale, 28, ftX
{DenniSj Browo). — Dec, du fhVy
rate en prés, de BaSO*, 28, &h
(Sodcau). — Infl. du saccharote ror
la conduct. électr. de KOH et KCI
28, 668 {Martin, Ma.^oo). — Dw
à Tétai de chloroplatinale en ptv^
de Na, Mg el CaSO*, 2«, 67* .Vvh
bauer). — Conduct. électr. d< KO.
K«Cr«0". KMnO» et Fe CAzi'K» aa
point de congél., 28, ft^ ,U>-
tham). — Durelé de K, 28, &-*
{Rydberg). — Conduct. électr à*
KCI. Mobilité des ions, 28, HV«
847 iJahn). — Force él<H:trom. à'j
couple Hg>HgO rouge el KOH-H;v.>
jaune et KOH-Hg, 28, 855 yCohta
— Solub. de HgO rouge el ^m»*
dans KBr, 28, 856 iOsiwaJd . -
ViL d'hydrol. de COS par KCU KL
KAzO', 28, 862 (Buchbock -
Chai, de neutral. de div. ac 0fV*9-
par KOH alcool., 28, 874 . Taw
taPy Klimenko). — Infl. d«: tki.
CAzSK el KMnO' sur Tatlaqu^ ^
Cr par les acides, 28. 875 l'^i
wald). — Acl. de H"0* à U Ibd
sur les ferro- et ferricyanuref, fi.
880 (Kistiakovskvu — Do* H-
CAzK et CAzOK, k8, 954 iMuUc
— Points de fus. et solub. éts «'
fa tes doubles de K el Al. Vi, O
Fe, Zn, Co, 28, 10*6 lj>ci* . -
CrisUllis. de Kl, 28, U>2u iRxkêri\
TABLE DES MATIÈRES.
i'm
Arebibald), ^ Tellurates hydratés,
1M, 1050 {Gutbier). — Nitrate acide,
««, 1051 (WcUa» Melzger). —
Solub. du sulfate double de Mo,
««, 1052 ( Wcils, Fraprié), — Con-
duct. électr. de l*iodure aouble de
K et Cd, du cyanure de K et I^g* du
sulfate de Ni et K et du chlorure
de K et Cd, tM, 1052 {JoaeSy Cald-
wcJI). — Chlorure double de molyb-
déoyle, ZH, 1055 {Nordanskjoold).
— Urano-oxalatc, tB6, 1056 {Kobl-
scbuUer, ftosai), — Propr. des sol.
de CoO et CuO dans KOH, ««, 1058
iDonatb). — Dos. par électrol. de
PtCl*K«, tM, 1058 (Scbumm). —
Prép. et propr. de riminosulûte, S6,
1121 (Divers, Ogâwa),
I^OTKNTIKL. Voy. ELBCTRICfTÉ.
PoTERiBS. Appl. dss stlicales de Pb,
^•, 069 (Tborpe, Siwmooda).
Pouvoir calorifique. Appar. pour
la déterm., ZH, 525 (Siagnaaini,
ZUDÎDO),
Pouvoir rotatoirr. Infl. de div. grou-
pemeDts, 1^, 459 {Guyo). — Multi-
rotation des bydrazone» du glucose,
tu», 645 (Siwoa, fiéoard). — Infl.
des dissolv., ««, 259, 460 {Patter-
aoD) ; S6, tJ84 [PurdiCy Barbour),
— Birotat. du glucose, Se, 883
(Osëàa),
Pouzzolanes. Propr. des pouzzol .
oatur. et artiOc, S6, 525 iRobuf-
fat) ; S«, bm [Giorgis, Alvisi),
pRASÉODYifE. Comb. svec Az en prés,
de Mg, tS, 335 [Matignon). —
Propr., poids atom., SB, ;^2 [von
Si'hecic). — Conducl. éleclr. du
nitrate double ammon., SB, 1052
'Jones^ Caldwell).
Prasikdone. Form. du dér. acétaminé-
8parcond. de la phényl-o-phénylène-
diamine avec ranilido-aci^lamiao-^-
naphtoquinonc, S6, 149 ^Kclirmana,
SiJberstein .
— (MÉTHYL-). Prcp. du dér. chloré-3
a part, de raz-mélhyl-chloro-5-o-
phénylëne-diamine. Propr., 28, 548
Kebrmann, MùUer),
Pbrssion osmotique. Voy. Osmose.
pBix. Voy, Rapports.
pHOPANE. Form. dans Tact, de Zn sur
lo bromure de triméthylène, SB, 6
yVoIkof^ Afonscboutkino). — Form.
dans Tact, du zinc-propvle sur les
carbures ni très, *6, 2<>4, 257 [De-
wêd).
— {AmiaO'l.'à.S'\ y Tri-), Prép. à part,
de Tac tricarballylique . Propr.,
sels, dér. benzoylé, %•, 570 \Uur-
tiu8^ Hcsso) .
— {NitrO'i-^. Form. dans Tact, du
Zn - éltiyle sur le nitrométhane.
Acl. sur lo Zn-élhyle et Zn-propyle,
«6. M6, 157, 258 (Bewad).— Con-
ducl. électr. du dér. sodé, tB6, 610
[Suie), — Form. paroxyd. de la
propionaldoxime, 26, 992 [Bamber-
ger^ Scheutz).
— {Nitro'^'). Act. des alcalis, 26,
électr. du dér. sodé,tB6, 610 {Sutc).
Propane (DiiiéTHYL-2.20. [Syn. Pen-
TANE tert.]. Act. de Télher maloni-
que sodé sur le dér. dibromé-1.3,
26, 283 [Ipaiiet),
Propane- a. p. if.Y- tétragarbonique
(3-MÉTHTL-) (Ac). Prép. par cond.
desélhersmaloniqueet citraconîque.
Propr., mélhylat., 26, 471, 472
[Michael).
Propank-tricarbonique (Ether). Acl.
des iodures alcool, sur le dér. sodé,
26. 199 [Mcllor).
PROPANE-X.^.^RICARBONIQUE (Ethor) .'
Méthylat., 26, 470 (Micbacl).
Propane a.Y.Y-TRiCARBONiQUE (3-Mé-
THTL-) (Elner). Prép. par cona. des
étbors crolonique et malonique.
Propr., mélhylat., 26, 470 {Mi-
cbael).
Propanolamine . Voy, Propylique
(Iso-) {AœinO'),
Propényle (Di-iso-). Form. à part, de
la pinacone, 26, 565 {Kondakof).
Phopioînk. Prép. à part, du chlorure
de propionyle, 26, 1126 {Poniio).
Propionhydroxamique (Ac.) . Form .
par oxyd. de la propionaldoxime,
26, 992 (Bambcrger, Scbcutz).
pROPiONiQUE (Ac). Form. par hydrol.
de Tac. cyanométhylmalonique, 25,
274 [Haller^ Blanc). — Const. therm.,
25, 361 {Dcicpinc). — Comb. avec
la diphénylcarbodiazine, 25, 378.
— Acl. sur le nitrate de brucine,
25, 428. — Comb. avec la diphé-
nylcarbazide, 25, 450 [Cazcneuvc).
— Pouv. rotat. de l'élhcr iso-amyl.
act., 25, 549 (Guyc), — Elhcrif. par
le géraniol, 25, 889 {Cbarabot,
Hébert) . — Form. par décomp. de
la cire de Figuier, 25, 980 {GreS'
boffj Sack). — Form. dans Tact,
de KOH fond, sur la lysine, 26, â:J
[Hcndcraon], — Comb. mol. du
nitrile avec le sel Irichlorotripyri-
dine-chromique,26, 13J(/'/r//yiT). —
Point de fui», do ranilidc, 26, 287
\SaJzcr). — Prés, de l'élher méthyl.
dans TbuilA de bois, 26, 4;^ Fraps).
— Dos.. 26, 4i2. — Consl. diéleclr.
du nitrile, 26, 600 yScblundt). —
Electrol. du sol de K. Form. d'élher
éthyl., 26,615 iPolcrsvnK — Cond.
de l'éther élhyl. avec les éthers dié-
thyl. de la quinacétophénone et de
SOC. CHlIf., 3« SKR., T. XXV-XXVI, (901.
88
19M
TABLE DES liATlÉREâ<
U résaeétopbéoooe, t%, 7tt (JCm-
tëneeki, Timbor), — 8ol«b. de Az
et H (Une les sol. aq. de Tac, %%^
848 (BrauD\ — Chai, de oeotral.
par KOH et AzH* alcooL, ««, 874
(TanaUr, Klimenko), — Infl. catal.
du nitrile sur div. réactions, ^9,
1068 {Miebaer). — Ether de rhezjrl-
glreol-S.4, 1M, 1196 iPoozio).
— («-Am/iio-) (Ac.) \8yn, AlanixeI.
Porm. du dér. aoétflé ^ pari, de
Tac. pyruvique. Propr., sels, éthets,
amide, sels, !tS, 765 [dû Joag), —
Inll. sur la solob. des osazonas,
1M, 30 {Neuberg). — Act. sur la
fflycénne i chaud, tB6, 40 {Bal-
maoot Traaciatti), — Dédoub. par
les micro-orffaDÎsmes, 1M, 528 (Ul-
piaoi, ConacJli), — Pi^P* et propr.
de Téther éthyl., %%, 1& {E. FiM"
eber), — Dissoc. des sels, 1M,1037
{WiokelbJecb).
— (oL.^AminO') (D/-) (Ac). Fonn. à
part, de Tac. tetrahfdro-uriqae.
Propr.. sels, dér. dibenzovlé, M,
904 {Tafel).
— {AmiDo-oxy-) (Ac). Fonn. à part,
de la comb. aéther acrylique avec
Az»0*. Propr., sels, 1M, 968 (Ego-
rof).
— (a-Broino-) (Ac). Act. sur la pyri-
djne, ^tS, 5to {Simon, Dubreuit). —
Cond. de Téther étbyl. avec Tald.
cuminiquo, 1M, 8 (Grigorvileb). —
Cood. de Téther avec les phénols
sodés, ZH, U, 12. — Cond. de
Téther éthyl. avec les dér. sodés des
phénols nitrés, chlorés, bromes et
des diphénols, S6, 43, 45 {Bi-
scboft), — Cond. de Téther avec la
phtalimide potassée. 1M, ^ [Ga-
briel, Colman), — bédonb. par la
cinchonine. Act. sur le thiopbénate
de K, tB6, 616 (Bamberg). — Cond.
avec les o- et p-toluidines, tB6, 631
{Steppes). — Cond. du bromure
avec Tacétyl-xylidine asym., Tacé-
tyl-o-toluidine et la pseudocumidlne,
«•, 634 {KuDckell). — Cond. avec
Tald. jpropionique, 1M, 680 {Aaia-
khoif neformatsky). — Prép. deTanh.
au moyen du bromure et de la
pyridine. Act. sur l'aniline, tB6, 968
\WedekiDd].
— (%.^'BromO') {Di-), Form. à part,
de l'aie, allylique. Ether métnyl.,
Z9,SU(BiIlinênn) ;tB«,468(/?oJ!ii»).
— {oL'Cbloro-) (Ac). Pouv. rotat. de
Télher iso-amyl. act., !tS, 549
(Guye).
— (^'CbJoro-) (Ac). Prép. à part, de
l'acroléine, «6,373 {Woblk).
— (a-C/j/oro-p-oxy-) (Ac). Form. par
flxat. do ClOH sur Tac acrylique.
Propr., élher élhyl., ZH, 166, 874
(Mélikoffj.
— {fi'ChSoro^9'OXjr') \c- Ptép^ a
ps9i. de rac acryiiqii^. Priar^
rédocL; étlnr éthyl^ «S. ftiB. m
{Mélikoff).
— {^-Cyaao-' (AcU Pbroa. â psfl
de Tac cyanomélhylinalnoîqoe- Am-
Ude, es, S74 HaJJer, BUmc , -
Cood. de réther mélhyl. tm* ie
diazobeiixèoe, les o- et /►■diaaoU
loéoes, «S, 696 FarreT . — CooUîl.
de r«U»er élhyl. sodé, 9m, 43
{ThorpeK
— (a-Etàoxy^ (Ad. Dédoob. nr
éthérif. par le menthol, ••, 737
{Marekwald^ MaekearieK
— ifi-Iodo-) (Ac). Form. par r«4. à*
Tac ft-chloro-s-lactigne, SS, 16B
{Mélitofr), — TransT ea ac. criycè-
riqne, ««, 374 (WobIkK
— (SemiearbaziDO'] (Ac). Prép. ^t
propr. des dér. ciniiamyH&, benâotV.
aoétvlé, propiooylé, batyrrlé, taooa-
tyrylé, isovalérylé, chloraoétylé, oar>
boxélhylé; sels, étbera,mtinW. Coad.
avec ceci' et CSCl", ••, 118, IB»
(BaJIey^ Aeree),
[Tbio-) (Ether). Propr., 1B«, l»f
{BaiJey, Aeroe).
Pbopiomiqdb (Aid.). Act de SCTH*
fùm.; dér. «.a-disulfoné, SS. 1012
(Dclépiae). — Act. de CAxK wnr
rhydrazone, «•, 226 (Eiboer, Semf,
— Form. par déc de l'oxyde d»
propyle en prés, de Al'O* a chaud,
«6, 612 (GrigorieD. — Cond. aver
Tétlier a-bromisobutvrique, «•> Clt*
iScbiacbkowsky, Beforœatsky), —
Gond, avec Véther x-bromopromo*
nique, tB6, 680 iAstakliof, Béfor-
maisky). — Comb. avec div. albo-
min.. M, 822 (ScbwarU). — Forai,
par électrol. du pyrolartrate de K,
M, 898 {Petcrsca), — Oxydât, df
Toxime par le réact. de Caro, M,
992 (Bam berger, ScbeuU).
— (^Am/no-) (Aid.). Form. à part.
de Tacétal jB - chloropropiomqoc
Sels, acétal. Phénylthio-urée, urée;
dér. benzoyié, acétylé. Coaîb. bea-
zylidéniquc, tM, 974, 976 [Woèfi
— If^'CblorO') (Aid.). Form. é pari
de l'acroléine, 1M, 373 ( Wobtt, -
Act. de AzH' sur TacéUl. Corné
avec CAzK, «•, 074, 976 {WokT
— {x-Cbloro-p-oxy') (Aid.). Pr*f. j
part, de Tacétal corresp.; orapr.
p-bromohydrazone, 1M, 371 iWiki,
Neuberg) .
— (^CyaoO') lAld.). Prép. de i'aoMfc
à part, de Tacétal ^-chloré, ZM, 9>*
{WohD.
— (a.p.p-Wlro-j (TrJ'\ f'Ald.). Prép
à part, de Tac mucobroreHjai
Propr., sels, comb. avec raaihaev
la i>-toluidine, la métbylaiDioe, M.
376 {Torrvy, Black i.
TABLE DES MATIÈRES.
1396
Propioniqub (DiACrrYL-). Voy, Lbvu-
UQL'E (ACÉTYL-).
Pbopionitrilb. Voy. Propioniqub
(Ac).
Propiontlacktique (Niirile). Propr.,
tt», 97S {BcymeaaDi),
PfiOFioNTLCARBiNOL . Frép. à pari,
de U chloro-l-méthylétbylcétone,
Propr., élher acétique, ^tS, 97â (/7ey-
moaaDt).
Propioktle (Chlorarek Gond, avec
racéUnilide et A1C1% «e, 631 Kuac-
keli), - Act. de Na, tM, 112G
(Poaiio),
Propiontle (Acëttle-). Gond, avec
rétbylmercaptan, cétomercaptol, eéto-
disulfoDe, t/%, 39 [Posntr). — Prép.
et propr. des dér. diacétylé et
dibenz^lé de la dioxime, €•, &37
(Ponxio). — Vit. de combin. avec
AiHH)H, Ar»H* et la phénylhydra-
zine. Mono- et di-hydrazones, 99,
895, 896 {PetreokO'KritacbcDko,
Eliacbaniaof^ Lordkipanidtc).
Propiontle (Di-). Prép. au moyen
du cblorure de propionyle. Propr.,
dioxime, «•, 1126 [Ponzio).
pROPiONYLFORMiQUE (Ac). Form. des
pbényl - et o • tolylhydrazones, par
cond. do Téther éthylmalonique avec
le diazo-benzène et l'o-diazotoluène.
Rpopr., «S, 988 (Favrûl).
Propiontlmaliqub. Voy. Malique.
Propiophénonb. Prép. des dér. mé-
thyl-, dimétbyl-et triméthyl-acét-
aminés à part, des o-toluidine, xyli-
dine asym. et pseudocumidinc asym.;
propr., <•, 634 (Kuiicitc;/) .— Prép.
par cond. de Tiodozincate d'étbyle
avec le cblorure de benzoyle, M,
1068 (Miehael). — Cond. avec Tald.
benzoïque et la benzylidène-propio-
pbénone, tM, 1166 {Abc 11).
— (Amioo-4'). Prép. par cond. de
racétaoilide avec le cblorure de
propionyle. Propr., sels, dér. acé-
tylé, e«, 631 {KunckcU).
— [oL'BtomO'i. Cond. avec la benza-
midine, «•, 4t)6 [Kunckcll),
Propiophénone^Benztlidknb-). Prép.,
propr., bydrazone.dibromure. Cond.
avec la propiophénone, tB6, 1167
(Abelt),
Proptlamine. Prép. du dér. benzoyle
parcood. de Tac. propyl-sulAirique
avec la benzamide sodée. Propr.,
sels, 1M, 574 ( TUberley).
— (p-Bromo-). Cond. du bromh. avec
la Ibio-amide o-tolylacetique, tB6,
211 (Goldbcrg). — Form. à part,
de Talc, a-amino-isopropylique, tB6,
:i84 (Strauss).
Proptlamine (Di-). Chai, latente de
vaporis. et chai, spécif., 96, 945
{KabloDbci'g).
I
Proptlaiiinb (MéruTL-iso-). Form.
par réduct. de Téther métbyl. de
l'iso-acétoxima . Propr., sels, tB6,
749 [DuDStaDy Ooulamç/).
Proptlaiiinb (Tri-). Prép., propr. et
sels de la comb. avec Ta-chlorhy-
drine de la glycérine, 1t%, 201 (B/o-
ueatbal). — Applic. à la prép. des
anb. d'acides. M, 969. — Act. sur
rétber bromo-malonique, f^, 970
[Wedoklnd). — Act. du bromure
de iE>*xylyléne, tB6, 986 (A/aAou-
A/an).
pROPVLCÉTONB (Di-). Gond. avec le
benzile, tB6, 1116 (Japp, Meldram).
pROPTLCÉTO>iB (EtHTL-ISO-). COOd.
avec le benzile, 9%^ 1116 {Japp^
Mcldruna),
PnOPTLCÉTONB (MÉTHTL-). Act . du
nitrite d'amyle en prés, de HCl et
d'alcool, e«, 251 (Kissel). — Prés,
dans Thuile de bois, 1M, 439 (Frapa),
— Vil. de réact. avec AzH*OH et
Az«H*, tM, 896 (Petrenka-KriP-
schenkOt Lordkipaoidse). — Cood.
avec le benzile, ZH, 1116 (Japp^
Moldrum).
Proptlcétonb (MÉTHTL-ISO-). Act. de
PCI», %%, 461 {Krassousky). —
Cond. avec Tiodure d'allyle, i6, 463
{Wagner). — Form. à part, du di-
oxvde du diméthylpropyîgiycol, 96,
891 (A. Fiseber, Wiotor). —
Cond. avec le benzile, ZH, 1116
{Japp, Mcldrum).
Proptlb (Azotite). Act. du zinc-pro-
pyle, 1M, 254 (Bewad).
— (Bromure). Act. de Br en prés, do
AlBr*, «S, 241 {Bodroux). — Form.
à part, du bromure de trimétbyléne,
1M, 6 {Volkot, Aieoscbootkioe). —
Form. par bromurat. du cyclopro-
pane. M, 613 {Gualavsoa).
— (Chlomre). Prép. à part, de Talc,
propyl.; cond. avec C'H'*, 9S, 844
{Boedlker).
— (lodure). Cond. avec Télhcr cyano-
malonique sodé, 9S, 274 [lialhr^
Blanc). — Act. sur le phénol di-
iodé-2.4. et tri-iodé-2.4.6, «S, 819,
821 {BrenaDs). — Act. sur Téther
propane-tricarbonique sodé, 96, 199
{AfoUor). — Act. sur le» ozimes de
l'acétone, de l'acétophénone et de
l'ald. acétique, 96, 748 (Di/ns/an,
Goulding). — Vit. dact. de KOH
alcool., 96, 858 {Broussof). — Act.
de Na en prés, d'acétonitrile, 96,
1068 (Miebael), — Act. sur la phlo-
roglucine en prés, de KOH, 96,
1135 {Kauûcr).
PhOPYLE (Oxyde). Form. dans Tact,
du nitrite de propyle sur le Zn-pro-
pyle, 96, 254 {BcwadU — Décomp.
par la chai, en prés, de APo', 96,
612 (Grigorict).
i;^u
TABLE DES MATIÈRES.
Propyle (Di-iso-).Vo/. Butane (Mk-
THYL.2.3-) (Dl-).
PROPTLK (Iso-) (Azolite). Act. sur Zn-
éthyle, ««, 253 (Bowad).
— (Bromure). Form. à pari, du
bromure de trîméthylène, S6, (5
IVoI/iof, MoBSchottlkiDc).
(lodure). Acl. sur le di-îodophé-
nol-2.4 potassé, «5, 820 (BroDaDs).
— Acl. sur l'élher propane-lricar-
bonique sodé, ««, 199 {McJlor), —
Vil. d'act. de KOH alcool., «8, 858
(Broussof). — Act. de Na en pré»,
d'acétonilrile, «6, 1068 (MhhacJ).
— Act. sur la phloroglucine potas-
sée, «6, 11^ (Kaunor),
Propyle (Iso-) (Oxyde). Dec. par la
chaleur en prés, de Al*0% «6, 612
[Grigoriof).
Propyle-kthyle fOxyde). Pi'ép. et
propr. du dér. Y-oromé ; act. do Na,
S«, 165 [Menschouikino). — Vit.
de form. à part, de Talc, propyl.
et de l'élher benzène-sulfonique,
S6, 859 {ZagrebÎD).
Phopyle-éthyle (Iso-) (Oxyde). Vit.
de form. à part, de Talc, isopropy-
lique et do l'élher benzène-sulfoni-
que, ««, 859 [Zagrcbin),
Propyle-méthyle (Oxyde). Act. du
dér. Y-chloré sur le dihydro-iso-
indol, ««, 217 {Fracûkel).
Propylène. Gond, avec l'acélvlène et
réthylèiie, «5, 642 [Berthalot]. —
Form. à part, du bromuie de Irimé-
thylène, 4«, 6 (Voikoft Aîeaschout-
kÎDc). — Form. dans Tact, de Na
sur l'oxyde d'éthyle-propyle brome,
S6, Hj6{McaschoutkiDc). — Comb.
avec ClOH, «6, 461 (Krasaousky).
— Form. par déc. des oxydes de
f)ropyle et d'isrpropyle par la cha-
eur, ««, 612 {Ûngoriel). — Form.
par électrol. des butyrale et isobu-
tyralc de K, ««, 615 {Peteraen). —
Prép. au moyen des aie. propyl. ou
isopropyl. et de PO'H* sirup., ««,
674 {Newth). — Vit. de form. dans
l'act. de KOH sur les iodures de
propyle et d'isopropyle, »«, 858
(Broussof), — Infl. sur l'inOamma-
bil. du gaz lonnanl,««, 879 [TaDa-
isr). — Form. dans rélecU'ol des
pvrotarlrale et éthylmalonate de K,
ItH, 897 iPctcrsen). — Act. des
vap. nilreuses. Form. et propr. du
nilrosile, ««, 996 (Dcmjanofr). —
Combusl. des mél. avec le gaz ton-
nant, «e, 1U30 (Tanalar),
— {ChlorO'2.S') {Di-). Act. sur
CAzSK, «e, 497 [Dixon).
Propylène (Bromure). Form. dans
l'act. de Br et AlBr* sur le bro-
mure de propyle. Gond, avec G*H*,
!^, 241 {Bodtoux). — Form. à part.
du bromure do triméthylèoe, 9S, ti
[Volkot^ Menscboolkiae), — Aei.
sur la strychnine, ^%^ 00 iTrow-
bridge). — Form. par bromurst. du
cyclopropane, ««, 613 (GuMUraaa).
PROPYLkNE-DIAllINE-1.2. Fon». pÉT
réduct. du nitrosite de propylèoe.
sels, se, 966 (DemJêDofn,
pROPYLÈNB-OIAMINE-1.3. Prép. à piTt.
de l'élher glutarique. Propr., dér
dibenzoylé, urélhane, tK0, 5G7 {Cor-
tius^ Clemm).
Propylolycol. Consl. therm., K,
361 (Delépine). — Oxyd. par div. bêd.
et parTeau de Br, «S, 772,9ti6,9»
[Kling) — Dér. mercuriqae». Sols
halogènes, ««, 86 [Uofmaan, Sand
—Form. de l'élher éthyl. dans Tact,
de Na sur Toxydc d'èlhylc-propylc
brome, tB6, 165 (MonsebotitàiD'*).
Propylolycol (a-DmÉTinrL-). Acl. de
SO*H". Dioxyde, tW, 890 iA. FiJ-
c/jcr, Win ter). — Form. à part, de
raid, oxyvalérique tcrt-, «€, 8&t
[Wcsscly).
Propylhydrazine. Prép., propr.^'drr.
bcnzoylé, ««, 1132 [SlolJé).
Propylhydhoxylamine. Form. dao«
l'act. du nilrile de propyle sur )'
Zn-propyle, ««, 254 {Bewad),
— (Di-). Prép. au moyen du Za-propyU
et du nilrile de propyle. Propr.,
sels, «e, 254 {Bcwadl
— (P-Ethyl-). Form. dane Tact, au
nilromclhane sur le Zn-élhyl<».
Propr., «6, 257 [Bewad).
Propylique (Aie). Prép. de rélhoxj-
méthylènc-cyanacélat© par coud, da
cyanacélale de propyle avec TeUifr
orlhoformique. Propr., SS, 26, —
Prép. et propr. dos amino-et aoîlid<v
métbylène-cyanacélatcs,€S,41 iBoi-
Icmoni), — Vit. et lim. do form. da
formai, «5, 849 [Delépine], — Coœl?.
avec la diphénylcart>azide, ^S» 4ô>'^
{CazeDcuve). — Pouv. rotat. de
l'isovalérate act., ^tS, 550 (Oajrt ,
— Acl. de AlCP, «S, 556 {Perntr,
Pouget). — Acl. sur le métb^hl
Form. de dipropylformal, US» 57<
[Delépine). — Gonstit. du carte-
naU mixte phényl., tS, 6:M (Ctf^
neuve), — Ethérif. par HCI, €5,
844 (Boetdkcr), — Traoïf. es owr*
cabidopar HgO, S«, 122 ^Hf^mamo
— Form. dans Tact, da Zo^rop^U
sur le nilrile do propyle, M, â&l
[Bewad), — Infl. sur le pouv. rvlai
du larlrale d'étbyle, «è, Sfitt, IA>
[Patterson), — Point do IVi». d»
p-oxybenzoate, ««, 287 {Stltt^r —
Oxyd. en ald. formique, ••• iK»
[Mullikon, Brown, Freach), —
Ëlher mucobromiquo, 1M« 47^ .5^
monis), — Détcrm. cryoscop,, ••,
TABLE DES MATIÈRES.
1397
598 {Loomis). — Form. du buty-
rate par électrol. du bulyrate de K,
1M, 615 (PetcrscD). — Acl. de
PO*H» sirup., tW, 674 (Lidot). —
Prép. et propr. de Tacétyldithiocar-
bamate, tW, 679 (VV/iec/or, Mer-
riam). — Prép. et propr. du dimé-
tlioxysuccinale syro., M, 683 (Pur-
die^ Irvine). — Pouv. rotat. en sol.
des tartrate et dimclboxy-succinate,
1M, 684 [Pordie, Barbour). —
Kl hors oxydes mixtes des p-oitro-
et/^aminophénolSySH, 700 (Spiegely
Sabbêib). — Vit. d'act. sur l'éther
benzèue-sulfonique, SU, 850 {Zagre-
bin), — Infl. surdiv. vit. de r^act.,
^%, 861 (Mcnseboutkioe). — Form.
par électrol. des ac. pyrotartrique
et éthylmalonique, S6, 898 {Peter-
80D). — Dissoc. dos cthers en prés,
d'eau, des ac. et dos alcools, <•,
1097 (Euior), — Ëtbers acyliminodi-
thiocarboniques, 9H, 1097 {Wbee-
Jer^ JobDson).
— (S-Am/no-) (Alc.^ Prép., propr.,
M. 383 (Henry).
— (at.p-BroiDO-) (/>/•) (Alc.l Transf.
en ac. acrylique, M, 374 (BiJl-
mann). — Prép. à part, de Talc,
allylique, S6, 408 {Hohm).
— (p.^'Bromo-^cbloro-) [Di-] (Aie).
Prép. et propr. de riso-sulfocyanale.
Comb. avec l'aniline et la benzyl-
aminé, tB6, 498 [DIxod),
— ip-Niiro-) (Aie). Propr., réduct.,
«é, 3S3 [Henry).
Propylique (Iso). (Alc.K Comb. avec
la dipbénylcarbazidc, SS,45^ [Cazc-
neuve). — Form. dans Tact, du Zn-
raétbylc sur le nitrite d'isopropyle,
«#,253 (Bewad), — Form. deValc.
et des étbers butyrique et isobuty-
rique par électrol. des butyrate et
isobutyrate de K, «6, 615 [Potcr-
sen). — Act. de PO*H* sirup., SB,
674 {Ncwtb). — Vit. d"acl. sur
Téther benzène-sulfonique, SU, 859
{Zagrcbin.. — Form. par électrol.
des ac. pyrotartrique et élbylmalo-
nique, «6, 898 (Pelerson). — Act.
de la lum. sur les mél. d'alc. et de
quinone, &•, 1C^ (Ciamician, SU-
ber).
— {z'àatiDO') (Aie). Prép. par réd.
du dép. nitré. Propr., sels, dér.
dibenzoylé, «S, 978 (Henry, Pec-
/cra); ««, 383 (Henry). — Pri-p.
par réd. de Tisonitroso- acétone;
propr., aels, phényltbio-urée, A6,
384 (Slraaas).
— [t'Nitro-) (Aie). Héduct., «S, 978,
1M, 383 [Henry).
PllOPYLSULFURIQUB (Ac). Act. dU^BCl
de K sur la benzamide sodée,
574 ( TitberJey).
Protalbumose. Voy. Aldumose.
pRQTAïUNE. Constit. dcs protamincs
d'acipenser stellatus et de silurus
glaoïs, se, 830 (Kurajefi),
pROTÉiDEs. Réact. color., S6, 272
(Hopkins, Cote).
— \0y. NUCLKOPROTBIDES.
Protéines. AcL de div. rcact., S6,
958 (Sebjerning).
Protocatechique (Ae). Form. à part.
de Tac. lilicitanniquc , tB6, 155
iBeicb).
pROTOCATÉCHiQnB (Aid.), (^ud. avec
rindadone, S#, 261 If^eueratoin).
PROTOCÉTRARIQUB ( \C.). PréS. dsUS
div. licbens. Hydrol., S«, 648, 650
(Hesse).
PsELD0cuMk.NE. Oxyd. par MuO* et
S0*H*,«5, 1063 (Fowrii/er).— Form.
par dist. sous pression du pbényl-
xylylctbane, S6, 124 (Kraemer,
SpiJker). — Cond. avec Pan h. o-sul-
fobenzoïaue et AlCP, <•, 175
KrannJch). — Tcns. de vap. à div.
temp., ««, 863 (Woringer). —
Prés, de mésitylène et d'hydrindùne
dans le pseudocumènc commercial,
1M, 912 (Moacbner).
— (Diazo-). Comb. avec les ac. tbio-
sulfon. arom., 99, 636 (Traogcr,
Ewors).
P.SEUDOCUMKNOL. Cond. du dér. sodé
avec les éthers gras x-bromés, S6,
12 [BîMcboff).
PsEUDOcuMiDiNE. Coud. svcc Ic bro-
mure déthylène, S«. 419 [Sonier,
Goodwin). — Act. de Tanh. acéti-
que. Dér. diacétylé, !2«, 630 (Sud-
borough). — Cond. avec le chlo-
rure de cbloracétyle et le bromure
d'a-bromopropionyle, 1t%, 634 (Kunc-
kell). — Comb. avecl'ald. mésitylé-
nique, 1M,762 [Hantzscby Scbwab).
PsEUDocuMTLAMiNE (Di-). Prép. pap
réd. de la pseudocum^lidéne-azine.
Propr., sels, nitrosamine, SU, 772
(Curlius, Franzen).
PSEUDOCLMYLCÉTONE (MÉTHYL-) ip-
AminO'i.'CbïorO'). Prép. par cond.
de racé tylpseudocumi aine avec le
chlorure de cbloracétyle et AlCl*.
Propr., sels, dér. acétylé, nitré, M,
634 [Kunckcll).
PSEUDOCUMYLÉTHTIÈNE-DIAMINE (Dl •
az-). Comb. avec Tisocyanate de pbé-
nyle, ••, 266. — Prép. par comb. du
bromure d'éthyléne avec la pseudo-
cumidine. Propr., sels, dér. nitré,
1M, 419 (Senier, Goodwin).
PsEUDOCUMYLHYDItAZINB ( Dl - OL.% - ) .
Prt'p. par réd. de la nitrosopscudo-
cumylamine. Propr., sels, comb.
benzylidénique, M, 773 (CurtiuSy
Franzen).
PSEUDOCUIIYLIDÈNE-AZINE. Héduct. .
«6, 772 {Curtius, tranzen).
1996
TABLE DBÔ MATIERES.
PSEUDOOLOBULINB. Voy. GlOBULINE.
PSEUDO-IONONB. Voy* lONONB (PSEU-
DO-).
PëYLLOSTÉARiQUE (Ac). Extr. de la
cire de Psylla. Propr., 1M, 940
P8TLL08TÉARIQUE (Alc). ExU. de la
cire de Psylla. Propr., benzoate, IM,
940 {Siïnàwick).
Pttalinb. Act. sur l'ainidon, 1M, 982
[M^HKcvrnki),
PuLÉooNE. Gond, avec Téther maloni-
que sodé, S6, 213 ( VorJaender). —
Transf. eo mélhyM^yciohexanone-S,
1M, 437 [Kondakot, Sehindclmcl-
ser).
PuLviNiQUE (Ac). Prés, dans div. li-
chens., anh., S6, 647 (//esse).
— (Ethyl-) (AcJ. Prés, dans div.
licheos, e«, 647 {Hoaac),
PuLviQUE (Ac). Form. par oxyd. de
la pilocarpine. Propr., sels* coostit.,
tM, iSQ [Pinner^ Koîhhammor),
PuRiNE iAmiDo-i"), Form. par oxyd.
de la désoxyguanine, tM, 903 {Tafcl,
Acb).
— {Oxy-2'). Prép., propr., sel», tW,
904 (Ts/fe/, Acb).
Purin B (Méthtl-3-). Foriu. du dér.
hydroxylé-2 à part de la désoxy-
métbyl-3-xanthine ; propr., sels, tM,
694 {Tafol, Wcinacbenk),
Purin E (Méthyl-O-). Prép. au moyen
de la métbyl-6-diamino-4.5-pyrimi-
dîne. Propr., sels. Dér. hydroxylé^,
suiruré-8, aminé-2, «•, 907, 9'J9
(Gabriel^ Colman),
PuRiNE (MÉTHYL-7-). Form. du dér.
bydroxylé-2 à jpart. de la désoxyhé-
téroxaatbine. Propr., sels, 9M, 694
(Tafei, Weinacbcnk),
PuRONE. Form. par réd. électrol. de
Tac. urique. Propr., consiit., 1M,
750(r«re7).
— (MÉTHYL-3-). Prép. par réd. desac.
l et C-métbyluriques. Propr., <•,
752 {Tafel).
— (MÉTHYL-) (Di-). Prép. et propr.
des isom. 1.3, 3.9 et 7.9, M, 752
(Tafel).
(MÉTHYL-l. 3.7.9-) (Tetra). Prép. à
part, de Tac. tétramétbylurique.
Propr., «6, 753 {Tafel).
— (MÉTHYL-) (Tri-). Prép. par réd. de
rhydroxycaféine. Propr., ««, 752
[Tafel).
PuRONB (l8o-) . Form. par réducl.
électrol. de rac urique et isoméris.
de la purone. Propr., sels, dér. aeé-
tylés, se, 750 [Tafel).
(MéTHYL-3-). Prép., propr., S6,
752 {Tafel).
(Mkthyl-1.3.7-) (Tri-). Prép. a
part, de rbydroxycaféine. Propr.,
M, 752 {Tafel).
PuRPURiQOE (Iso*) (Ac/. GoaalH.,Mb,
««, 40, 96è {Bormhe).
Purpurique (MÉTA-* (Aci. Fora, par
cond. du dinitfo - 2.4-phéiM>l arw
CAzK. CoQstîL, oxyd., «•, lit
{Boraebe).
PuTBESciNB. Voy. Tktraméthtùjh-
DIAMOIE.
Ptcnomètrbs. Voy. KrrhMuu^
Ptrazinb (Diméthyl-). Spectre d'ab-
sorpt. ultraviolel, Se, i» {BMrtitt,
Dobbio).
Pyrazol. Prép. au moy«o ds Télbfr
diazo-acétiqae, 1M, 554 (Bmeàmer^
Heidc).
— (MÉTHYL-). Form. par déc éa Vac
méthyl-4-pyrazolc«rboiiique. Propr^
dér. oitré, 1M, 3B1 {Pcchmaaa,
Burkard).
— (MÉTHYL-5-). Form. à part, de Tac
mélbyl-5-pyrazoUnedicanMMuqiieM ,
1M, 429 {PecbmanD, Burkmrd).
— (P-Naphtyl-1-méthyl-ô-). Prép. &
part, de Tac. dicarbon.-S.4. Propr..
sels, 1M, 714 IBulow, SetJesiMtgert-
— (Phényl-1-). Prép. du dér. bnm^
par coud, de raid. bromomaloiii^Qr
avec la phénylbydrazine, SS, IWi
[Lea/tieau).
— (Phénylamyl-). Prép. par oaod.
du benzoyloenaotbyliaèoe, aTOc U
semicarbazide ou rhydraziae.
Propr., S6, 307 (Afouroii, />«/«« jrr..
^ (PHBIfYL-i-BENZYL-4-MrniYt.-S- .
Prép. et propr. du dér. chloré-5;
iodométbylate, tB6, 726 {Mieha«iîs.
Vioss, Grciss),
— (PHÉNYL-lDiMKTirrL-3.4-), PropT. des
aer. cbloré, brome, iodé -5, p-oilr*,
p-aminé, dinitré. Sels, >odo> ti
cbloralcoylates, ^%, 725 {Miebatiis,
Vbss, Grciss),
— (pHÉNYL-i-ÉTHYL-4-MBTHYL-3-j.
Prép. et propr. du dér. chlofé-5.
8els, dér. nitré, dinitré, amiB'.
I, 726 (Micbaclis, Voss, Oreî«*v
— (Phényl-I-méthyl-3-). Form. wr
déc. de Tac carboaiquo-4. M,
638 [Bûlow). — Prép. et propr
du dér.cbloré-4. 1M, 725(ArieAWÂ,
Voss, Greiss).
(Cbloro-). Act. de KSH for W
cblororoétbylate, &•, 267 IMicA^e»'
//s, Bindewald). — Act. ae Fifti-
Une, %%, 782 (Miebaelia, GumÈtl)-
— (p-ToLYL-l-iirniYL-5-). Pons, p»*
déc. de Tac. dicarbon.-3.4; propr^
sels, *•, 724 {BuhWtSebttstuçer
PYRAZOL-ACénQUE-4 (CRBlDO-l-«nU-
THYL-3-5-) (Ac). Form. d« r*tb*r
éthyl. à part, du S-aoétyUér«bV
d*éthyle. Propr., K, 647 (J/«re*^.
Pyiiazol-€arboniqi;b-4 (MérvTL-Vt
(Ac). Form. i part, de i*M. méthyl
5Hpyrazolino-dicûrbooiqQe»4.5i, M,
iSO {PeebmaDD, BurkardS,
TABLE DES MATIÈRES.
1399
PyRAZOL-GABBONIQUB-3 (MÉTHTL-4-)
(Ac). Prép. par cond. du diazo-
mélhane avec les ac. crotoniques
isom.; propr., S6» 381 (PecAmami,
Burkard).
PirBAZ0L-€ABB0NIQUB-4 (PhKNTL-1-
oiMéTHTL-3.4-) (Ac). Oxyd., 1M,
eSS {Bûlow).
— (PHéNTL-l-MÉTHYL-S-) (Ac). Prép.
du dér. chloré-5 par oxyd. au
diinéthyl-3.4^bényM-pyrazol chloré.
Propr., cborure, amide, &•, 725
(MicbaeJis, Voss^ Greiss).
(pHéNYL-l-MÉTHTL-5-) (Ac). ForOtt.
par déc. des ac. dicarboniques-3.4
et 4.5, SU, 638 {BùIow).
— (PROPTL-5-MÉTHYL-3-) (Ac). PPéo.
par coud, de Téther butyrylacétyl-
acétique avec Thydrazine. Propr.,
éther éthyl., S6, 696 (BoDOort),
— (p-TOLTL-l-MÉTHYL-5-) (Ac.|. Fomi.
par déc. de Tac. dicarbonique^.4.
Propr., 96, 724 {BùIow, Schleain-
ger).
Ptrazol-digarbonique-3.4 (^-Naputyl-
1-MÉTHYL-5-) (Ac). Prép. par cond.
do ^iazonaphlalène avec Téther
diacétylsuccinique. Propr., sels,
étbers, SB, 724 (BûJow, ScbJe-
sÎDgcr) .
— (Phknyl-I-méthyl-5-) (Ac). Form.
à part, de Tac benzène-azo-diacélyl-
succintque et de Tac. pbényl-1-
diméthyI-S.5-pyrazoIcarbonique - 4 .
Propr., 1M, 638 (Bùlow).
— (p-ToLYL-l-MKTHYL-5-) (Ac). Prép.
par cond. de Tétber diacétylsucci-
nique avec le p-diazotoluène. Propr.,
sels, éthers, 1t%, 724 (Bùlow, Schle-
singer) .
Pyraxol-dicarboniqub-4.5 (Phényl-1
.MéTRYL-3-) (Ac). Form. par oxyd.
de Tac pbényl-l-diméthyl-3.5-pyra-
zolcarboiiique-4. Propr., 1M, 688
(Bulow).
Pyrazolinb (Phknyl-1-bthyl-4-
MBTHYL-3-). Prép. à part, du pyrazol
chloré-5 corresp.; propr., dér. nitré,
^%, 726 (Michaehs, Voss, Greiss),
Pyrazoline-carbonique-4 (Ac). Prép.
nar cond. de Tac acrylique avec le
diazométhane, <•, 429 {PecbmânD,
Burkêrd),
PrRA20Lii«B-GARB0NfQUE-5 (Ac). Prép.
par cond. du diazométhane avec les
ac. erotoniques isom.; propr., 1M,
380 {Peekmaan, Burkard).
PTIIASOUIfE-CARBONIQUE-4 (PhBNYL-5-)
(Ac). Prép. par cond. de l'ac.
cinnamique avec le diazométbano,
<•, 429 {Pocbmann, Barkard),
pTBJUtOUf(B-DlCARBONlQUB-4.5 ( M E*
TirrL>5-) ( Ac. ). Prép. par cond. des
ac. mésaconique et citraoonique
avec le diazomélbane. Propr., S6.
429 {PeebmanD, Burkard).
PYRAZOLINB-TRICARBOmQUB-3.4.5 (Ac).
Form. de réther par cond. du diazo-
acétate d*éthyle. Propr., oxyd,,
1M, 554 (Bucbner, Heide).
Pyrazolonb ( Bbnzyl-I-iibthyl-3- ) .
Prép. du dér. p-méihylé par cond.
de la p-métbylDenzylhydrazine avec
réther aoétylacétique. Propr., <•,
587 (Cfirtfus, Sprenger).
— (FuRPURYL-3-PHÉNYL-l-). Prép. au
moven de Téther pyromucylacétique
et de la phénylbydrazine. Propr.,
1M, 441 (^011 reau/i).
— (MÉTHYL-3-). Form. par cond. de
réther butyrylacétylacétique avec
Thydrazine, propr., ft6, 697 (Boa^
geri).
(Bis-). Form. à part, de l'éther
S-diacétylsuccinique, tB6, 722 (Knorr,
jRabe).
— (pHéNYL-l-iiÉTMYL-3-). Form. par
cond. de Téther butyrylacétylacé-
tique avec la phénylbydrazine, M»,
696 {Bongert). — Ck>nd. du dér.
sodé avec la dichloro-2.3. «-naphto-
quinone, tB6, 103 {Michel).
(BBNzkNE-AZO*). Form. du dér.
nitré4' par cond. du p-nitrodiazo-
benzéne avec Téther acétone-dicar-
bonique. Dér. nitré-1, 1M, 490, 491
[Bùlow, Hopfner).
— (Phényl-1-propyl-). Prép. par cond.
de Tétber butvrylacétylacétique avec
la phénylhyarazine. Propr., SS,
696 [Bonaert).
(Bis-). Prép., propr., SS, 696
(Bongert),
Pyrazolonb-acbtiqub-3 (Phényl»1-
BBNZÈNE-AZ0-4-) (Ac). Form. du dér.
D-nitré à part, de l'hydraz^ne de
réther p-nitrobenzéne-azo-acétone-
dicarbonique. Propr., éther, amide,
tm, 489, 490 (Bùlow, Hopfner).
Pyrazolonb-caiiboniqub-3 (Ac). Form.
par cond. de Thydrazine avec Tac
oxalique, ft6, 198 (Fenton, Jones).
— (Phenyl-1-) (Ac). Form. à pari,
de lliydrazone pyruviqoe, ۥ, 198
(Fenion, Jones).
pYRAZOLTRlGARBONIQUB-3. 4.5 ( AC ) .
Form. à part, de Téther diazo-acé-
tique. Propr., éther triéthyl., 1t%,
554 (Buebner, Heide).
Pyridazi?<b (DiPHÉ!fYL-3.6-). Form.
à part, de Tac dibenzoylmaléique.
Propr., sels, •«,477 (Paal, Scbulie).
PTRIDAZINB-DICARBONIQUE4.5 (DlPHB-
NYL-3.6-) (Ac). Form. par cond. de
Tac dibenzoylmaléique avec Thydra-
zine. Propr., sels, éther, 1M, 476
(Paal, Schulie).
Pyridine. Appl. à la prép. des sul-
fates ac. de phénols, SS, «6 ( Verhy).
— Act. des ac. acétique, propionique,
butyrique^ succinique bromes ; fdrm.
TABLE DES MATIÈRES.
1400
deg bétaines corresp., ^tS, 528
(SimoOf Dubreuif). — Comb. avec
le choranile et le bromanile, SS,
980, 1064 [Imberl). — IdO. sur la
solub. des osazones, ft6, 30 (iVau-
berg). — Comb. mol. avec les
dioximes du benzile et du diacélyle,
se, 121 (PetrenkO'Kritscbenko,
Kasaûczky) . — Sels doubles chlo-
rocbromipyridiques. Comb. mol.
avec lesoitriles, <•, 139 (Pfciffer).
— Act« sur la bromacétophénooe,
«e, 150 {Scbmidi, von Ark). —
Act. de Tac. ÛHcitannique sur les
sels, «8, 155 {ReJch). — Chloro-
et bromo-atanates, S6, 279, 28)
inosenhcinit Scbûttc), — Comb.
avec BiCP et Bil», SU, 308 (Va-
HiJDO, Hauscr). — Acl. sur Théma-
tine, «e, 817 (Zcvoeck). — Infl.
sur la coagul. de lalbumioe, S6,
319 (Spiro). — Emploi en ébulliosc,
S6, 549 {Joaes), — Comb. mol.
avec AlCl* et AlBi-*, 1M, 360 {Koh-
1er). — Appl. aux cood. d'ald.,
««, 378 (UocbDer). — Electrol.
des dissol. de AzO^Ag, 1M, 458
ISpéranskVt GoJdberg). — Appl.
a la cond. des ac. malonique et
glyoxylique, S6, 466 (Doebner). —
Act. do riodure de benzyle, S6,
49ÎJ {TebUchibabiDo). — Propr.
des sol. de AzO'Ag, 9%, 522. —
. Electrol. des sol. de PbAzO' et
AgÀzO», se, 528 (KabJenbcrg). —
Act. de I en prés. d*ac. malonique,
28, 588. — Appl. à la prép. des
dér. iodosés et iodylés aromat.,
«6, 58J (Ortolevê). — Const. dié-
leclr., S«, 6')3 (Scblundl), —Chai,
lai. de vaporis., M, 604 [Kablen-
berg). — Act. des chlorure et
iodure de benzyle, «6, 639, 721
(Tcbitchibabinc), — Appl. à la
prép, des anh. diacides, tS6, 969
{ Wodekind) . — Act. du bromure
de p-xylylène, ZB,9BQ{ManoukiaD).
— Form. à part, de l'ac. pipéridine-
sulfonique, ««, 1093 (Paal, Huba-
leck). — Act. au chlorure de pyro-
mucyle, ««, 1110 [Daum). — Act.
de Cl; dér. chlorés divers, S6,
117:1 (Soll, Dooison).
— (a-Amino-tctracbloro-). Prép. à
part, des dév. aaraino-p.f.p- et
a-amino-«'.p.p'- trichlorés, propr.,
constit., «6, 57 {f^olJ, DooIsod).
— [y-Amino-tétracliloro-). Constit.,
oct. de AzII», «8, 57 (Se//, Doot-
son),
— [oL-Amino-i! .^.^'-tncbloro^). Prép.
à part, de Tac. tétrachloro-isonico-
tiniquc. Conslit.; acl. de POCP et
PCI', «•, 58 (Se//, Dooison).
• («-A/n/iio-a.p'.Y-/r/c/ï/Qra-). Constit.,
acl. de POCI\ SU, 58. — Form. à
part, des prod. de ehlorarsi. d^r
de la pyndine, ««, 1170 (.Se/i.
DootsoB),
— {oL.^'Aminotriebloro^) {Di~]. Prép.
à part, des s et r-aminopyrîdijiefi.
Constit., 1M, 58 {SeU, Doot99B\
— {Cbloro-) (Peota-). Form. par
chlorurat. de la pyridioe, 9^^ 1171
(Se//, DootsoD),
— (ot.p.y.^'-CA/oro-) {Têtrê-). Prép.
à part, du dér. a-o«y-S. y- ?'-*«-
chloré; propr., tB6, 58 {SéJi.
Dooison).
— (p.f.p'-C/»/oro-a-oxv«) {Tri-^.
Prép. à part, du dér. «-amin*
corresp. ; propr., act. de PCI*, ••.
58 {Se/^ Dooison).
— {^.fk 'Cyêno-a.a'-dioiy') [DU). Prép.
par cond. de CHCI* avec la cyaoa-
cétamide. Propr., <•, 230 (Errera).
Pyridine (s-Bbnzotl-). Prép. de*
isom. a eij^ par oxyd. des s •! y
benzyipyridmes. Ovime, bydnzonr,
««, 689 (Tcbitchibabinc).
Ptridi.ne (»-Bknztl-). Prép., propr..
sels, oxyd., «8, 4^, 6)9, Yll
( Teb iieh ibabine) .
— (y-Benztl-). Prép., propr., «els,
oxyd., tB8, 498, ^, 721 (TchiUbi-
babino) .
— (BenztlO (Di-). Prép., propr.,
S8, 722 (Tchitcblbabinf).
Pyridine (Hydro-) (Tetra-). Form. a
part, de Tac. pipéridine-sulfonique.
Propr., sels, aér. bonzoyié, iM,
1098 {Paal, Hubateck).
Pyridi.ne (MÉTHYL-). Fono. par dér.
du brorourf de phénacylpyridinsoaw
tB8, 150 (Schmidt, van Ark).
Pyridine («.«'-Phenyl-) (Di-). Prep-
à part, de l'oxime de la dnnam)-
lidéne-acétopbénone. Propr., rèduct.,
«8, 1171 (ScbolU).
— («.Y.a'-PHÉ.NYL-p.^'-DfMÉTWTl.-
(Tri-). Form. à part, du pbényWî-
diméthyl -1.3- dibenzoylpropane
Propr., «8, 1168 (A/>c//).
— (a-PHÉNYL-a'-iiÉTHTL-). Cond. arec
les ald. benzoïque et salieyliqiif,
S8, 215, 216 {Dcbnûl).
Pyridine-bbtaïnb. Form. da Tiodk^-
drate par oond. do Tac. malooiquv
avec la pyridine, tB8, 538 {Ortohrst ,
— Voy. Pyridine.
Pyridinb-x-carboniqcb (Ac). Ponn.
Sar oxyd. de rs-benzylpyridxn«,
8, 493, 721 ( Tcbitehibabia«\.
PYRIDINE-Y-CARBONIQtTB (Ac). Fom.
par oxyd. de la T-benzylpyridM#«
tB8, 493, 721 {TchiUbibabtBe). -^
Prép. à part, de Tëlber dnd
ronique. Propr., sols, étherv,
méthylatc, amide, bétaine, 94
(Ternajgo).
PYRIDiNB-CARBOMIQUB (MÉniYL-^ ^ Ac.f
Korm. par cond. de Tac. oxateeé-
TABLE DES MATIÈRES.
1401
tique avec AzH', 1M, 198 [Fenton,
Jooes),
PYRIDINE-P.p'-DICARBONIQUE (a.a'-Z)/-
oxy-) (Ac). Fonn. de Tamide et du
nitrile par cond. de CHCl* avec
la cyanacétamide. Propr., £•, 2â0
{Errera) .
pYiuDiNiuii (Phénacyl-) (Bromure).
Prép. par cond. de la broroacéto-
phénone avec la pyridine._ Propr.,
chlorure, <
vsn Ark).
I pyr
150 (Schmidt,
— (n-XYLiDÈNir-Bis-). Prép., propr.,
sel», <ll, 987 {\faûoukiaD).
Pyridinotartrique (Ac). Idenl. pro-
bable avec Tac. pulviqua, S6, 181)
{Pinnery Kohlhammcr],
PvRiDONE. Conslit., SB, 587 (Z>ec/rcr] .
PYRIDOXAZINONE-p-CAnBONIQUE (PhÉ-
NYL-) (Ac). Form. à pari, de Tac
8 - beuzoyl -p - carboxypicolinique.
Propr., «8, 1173 {Fulda).
^Pyridylcarbinol. Form. à part.
de roi-bromo-^-picolioe ; propr., sels,
«•, 795 {Dehael}.
Pyridyl - HYDROQuiNONB . Form . et
Eropr. du dér. oxydichloré. Sels.
1er. sulfoné, €6, 1064 (Imbcrl).
PrRiDYLQUiNONE. Prép. du dér. oxy-
dichloré par cond. de la pyridîne
avec le chîoranile. Propr., éther,
dér. benzoylé, chloro-dihydroxylé,
se, 989 {Imbert).
Pyrimidins. Prt'p. à part, de Tac
barbiturique, S6, 69*? {Gabriel).
— iAmino-4 dioxy'2.6') . Form. à part
àe la cyanacélylurée; propr., dér.
nilrosé, S6, 755 \Traubo).
— (Aaiin€h4 . 5-iJIoxy'2.6-) { Di-) . Form.
à part, de la cvanacétylurée. Propr.,
act. de Tac lonniqae. Transf. en
xanthine, en . ac urique, S6, 756
{ Traube) ,
— {AmiDO-2.4'Oxy6-) (Di-). Tranaf.
dans Torganisme, S6, 934 {Steu-
dcl).
^{AmiDO-2.4.5'Oxy6){Tri').TvsiDsr.
dans Torganisme, S6, 935 (Stcu^
del).
— {Cbloro-S.4,6') {Tri-), Form. à
part, de Tac. barbiturique. Réduct.,
«•, 696 {Gabriel).
— {Oxy-SO) {Di-). Transf. dans
l'organisme, ««, 934 {Stcudel).
Pyrimidins (Méthyl-3-). Prép. des
dér. dioxy-2.6-aminé-4 et dioxy-2.6-
diaminé-4.5 à part, de la cyanacétyl-
méthylurée. Cond. avec Télher
chlorocarbonique, Tac. formique,
«•, 757 (Traube).
Ptrimidine iMÉTHYL-5-). Idcnt. du
dér. dihydroxylé-2.6 avec la thy-
mine, S«, 832 (Sleudel),
Ptrimidine (Mkthyl-6-). Prép. et
propr. do div. dér. aminés, nitrcs.
bromes, chlorés, aziminés, hydro-
xylés, méthoxylés; cond. avec l'urée,
la Ihio-urée, le benzile. SB, 905,
900, 9J7, 908 {Gabriel, Colman).
Pyrimidine (Mkthyl-1.8-) (Di-). Form.
des dér. amino4-dihydroxylé-2.6 et
diamino-4.5-dihydroxylé-2.6 à part,
do la cyanacétylmétbylurée. Propr.,
cond. avec Tac formique, l'éther
chlorocarbonique. Azo-imide, S6,
758 ( Traube) .
Ptiiimidylmercaptan (Phényldihy-
DRO-). Form. par cond. de l'Iso-
sulfocyanatc de phényle avec Tacé-
tal aminopropionique. Propr., sels,
tM, 975 ( Wohi).
Pyrine (Imino-). Form. à part, du
phénylroéthylchloropyrazol. Propr.,
se, 782 (Michaclis, GuDkel),
Pyrite. Act. réductr. sur les sels
ferriques, Se, 180 {Koninck).
Pyrocatéchine. Réact. color. avec
l'oxysulfocarbonate de Fe, SS, 180,
222 [Causse), — Cond. da dSr.
sodé avec les éthers d*ac. gras
xbromés, Se, 44 {Biscboff). —
Form. par oxyd. de C*H* par H*0*,
se, 87 [CrosSy Bevaa, Heiberg).
— Cond. avec l'ac. dichloracétique.
se, 171 (BrubDs). — Salicylate de
réther mono-élhyl., Se, 405 (Cobû).
— Cond. avec l'éther oxalique,
se, 1069 (TingJe, Byrne). — Act.
. de I sur le sel do Pb, Se, 1101
[Jackson, Koch), — Act. de AzO'H
sur les éthers diélhyl. et mélhyl-
éthyl., se, 1132 (Wisinger).
— {AmiDO'4'^. Prép. et propr. des
éthers méthyléthyl. et diéthyl. ;
dér. acélylés, Se, 1133 (W/sin^cr).
— (Bromo-) (Tclra-), Form. à part,
de la quinone. Oxydât.; comb. avec
la tétrabromo-o-quinonc, Se, 1101,
1102 [Jackson, Koch).
— {NitrO'4'). Prép. et propr. de
réther diéthyl., se, 1132 (U^/siii-
ger),
Pyrocatéchine (Acétyl-mkthylène-
DI0XY-). Voy. PlPÉBONE (AcÉTO-).
Pyrocatéchln e (/> - Chloragktyl-) .
Comb. avec la semicarbazide, Se,
173 [BruUns).
— (Dichloracktyl-). Form. par
cond. de la pyrocatéchine avec 1 ac
dichloracétique. Propr., hydrazone,
semicarbazone, SS, 171 [Brubas).
Pyrocatéchine (Homo-). Cond. avec
ro-amino-iD-cré8ol,Se, 637 (Aeiir-
oiann).
Pyrocatulchine (Mkthylîcne-). Prép.
du dér. p-aminé à part, de Tamide
pipéronylique. Propr., sels, diazo-
imide. Se, 771 (Bupc, Majcwski).
PYROCATKCHINE-ACKTIQt'E. Voy. PhK-
NOXT-ACliTIQUB [Oxy-S-).
1402
TABLE DES MATIÈRES,
Pyrocinchoniquk (Ac). Ethera dimé-
thyl. et diéthyl.» diamide, imide.
Isom. cis et trans., 1M, 5^, 556
(MoUnari).
Ptbogallol. Acl. de 80*HV M», 528
(Dolagc). — Chai. d*oxydal. par 0
libre, «5, 1(»9 [Boribelot). — Gond,
avec Tac. dichlortcé tique, %%, 171
{Brubûs). — Acl. sur le peroxyde
d'éthyle, tW, 197 {Baeyor, VilJi-
gcr). — Gond, avec Télher a-chlor-
acétylacélique, SU, 212 (PoehmêûDy
Hanke). — Prép. et propr. du sali-
cylate, ««, 405 (Coho). — Gond,
avec le chlorure />nitro-o-8ulfo-
benzoïque, •«, 414 {Headerson) . —
Gond, avec la chlororormozime, 1M,
914 {Scholl, Bertscb), — Act. sur
Pt colloïd.,««,1089 {Éredig, Ikedâ).
— Act. de l'amalg. de Na, tB6»1090
(Tbiole, Jaegcr).
— (Bromo-) (Tn-). Act. 8ur la iétra-
bromo-o-quinone, S6, 1102 (Jakaon^
Kocb).
Ptrooallol (Anhtdbooluco-). Form.
à part, du chloracétylpyrogallol .
Propr., «•, 173 [Brubns],
Pyrooallol (Chloracéttl-). Act. de
KOH, S«, 172 [Brubna).
Pyrooallol (Dichlobacétyl-). Prép.
par cond. du pyrogallol avec Tac.
(lichloracétique. Propr., hydrazone,
dér. disulfoné, ««, 171 (Brubns).
Pyrooalloldisulfonique (Ac). Ppép.,
propr., sels, SS, 528. — Sels,
titrage acidim., 9S, 984 (Delage).
PyrogallolsulponiQue (Ac). Ppoj^-
des sels; titrage acidim., M», 984
(DcJagc),
PYROMKcoNtQUE (Ac). Gouslit., pTOpr.,
S6, 551 (Poraiooor, Leooarai).
Pyromellique (Ac). Prép. à part, du
charbon de bois. Propr., S6, 686
(VoroouiT).
Pyromucique (Ac). Good. de Téther
éthyl. avec Tacétate d'éthyle, fB5,
440 {Boureauli). — Form. à part,
du dibromure d*ac. dihydrofurfu-
rane-s.a-dicarbonique, S6, 1109
{Whecler). — Acl. du chlorure sur
la méthylamioe et la py^idine. Prép.
et propr. de Tanh., hydrazide, ft6,
1109 (Baum).
— (ô-Oxv) (Ac). Form. à part, du
furfuroI.Propr., sels, ««,382 (Cross,
Bcvan, Briggs).
Pyromucique (Aid.). Form. par déc
de la barbaloïne, «5. 7^) (Léger).
— Gond, avec le cyanure de p-chlo-
robenzyle, ^B.^^yWaltbor, Woli-
licb). — Act. de H»0% do persul-
fate. ««,381 [Cross, Bovan, Briggs).
^Prés. dans l'huile de bois, ««, 440
(Fraps). — Gond, avec le p-naphtol et
AzH*, S«, 554 (fîol/i). — Oxyd. par
les persolCfttes en prés, de AxV,
««, 628 (Picirartf. Carter). —Gotl
avec Téther succiniape et le soeei-
nate de Na, ««, &Sè{Fieblcr, Sebt^
ermêDD). — Fluorénylliydrftiose,
««, 698 (Diûls). — Gond, avec Pm.
barbiturique, ««, 922 (Ciàurad,
Roinbacb). — Form. par hydrot
des pentosanes et des fkiraloîdas,
««, 1061 (Fraps).
— (p-Oxv) (Aid.). Form. à part da
furfurol. Propr.; prés, dans k»
lignocelluloses , M, 881 iCnu,
Bevan, Briggs)-
— (6-Oxv-) (Aid.). Form. par oxy£
du ftiriurol. Propr., hydrazone, M,
381 (Cross, Bevan, Briggs).
Pyromucique (Iso-) (Ac). Pro|»r., ••!•,
comb. avec la phénylhydrazioe^tS,
976 (Cbavanne),
Pyromuciqub (MÉTHTL-) (Aid,). For»,
par hydrol. du mélhiistrophanlo-
biosîde, ««. 191 (Feist). — Fotbu
du dér. fai-bromé par act. de HBr
sur div. hydrates de carbone, «t,
841 (FentoD, Gostling). — Speclw
d'absorpl., ««, 687 {Ôshîma, Toi-
leas). — Prép. des dér. «>-chloi^& et
(o-bromé à part, de la cellulose et
du lévulose. Propr., dér. iih-acétoxyié,
(o-benzoxylé, ««, 796 (FeuHoa, Gosl^
iing).
PYROMUCYLACéTIQUB (Ac). Prép- pSf
cond. des éthers pyromueiova «<
acétique. Propr., comb. avec la pM-
nylhydrazine, «5, 440 (Bourean/i}.
Pyromucylhydroxamiqub fAc.).Pïép,
propr., sels. dér. benzoylé. M, 111^
JPickard, Nevillo).
Pyromucyltartriqub (Di-) (Ac).
Pouv. rotat. des éthers mélhyL et
éthyl., ««, 460 {Fraoklmud, Astoa)
f-PYRONE rBENZO-1.4*) (Isopiwrnô-
méthyl-a-), Prép. ptr cond. do or-
Tol sodé avec Fétner ohloroftunart-
que. Propr., éthar, «•, 907 (B^t^-
mann).
— (ToLU-). Prép. des isom. o-, œ- •*
p- à part, de» ac o-, m- et p<té90'
xyfùmariques, propr., «€,641 lih-
bemann, Bansor).
'y-PYRONB-CARBONIQUB-2 (BttltXO-MA^''
Propr., sels, amide, éthers, ««,€1^
(Rabcmann, Bausor).
(ISOPROPTL-5-MÉTBT1.-8*) 'AC-
Prép. paroond. du canrolsodéaw*
l'éther dilorofùmarique . Pwpf-
éthers, ««, 997 iBubomaaa)*
— — (l80PR0PYL'è-MrniYL-5-) (At'
Prép. par cond. du thymol W'
avec Téther chlorofùmariqQe. Profr •
éthers, ««, 996 (Bobômama).
— (Tolu-) (Ac). Prép. des Iwa. ^
m- et p- k part des ac. <k l>^ ^
créflDxyfùmariques. Propr., stfti,«i*
611 (RobemaBD^ BauMOt).
TABLE DES MATIÈRES.
1403
PTRONE- DlCAnBONIQL'E ( DlMICTUTL -)
(Ac). Prod. de réduct, semi-carba-
zooe, 1M, 553 (Tortoriei),
Ptronique -1.4- ( Oxy- S-dicarboxy-
2.6-}. Voy. MÉooNiQUE (Ac).
pYROTARTRiQUE (Ac). Form. à part.
de Tac. ot-méthyllévulique» !tS, 244
[BébaJ), — Form. à part, de la lac-
tone acéto-'f-oxybutaae-at.Y-dicarbo-
nique, S6, D76 {de Joug), — Elec-
trol. du sel de K, «•, d97 {Peier-
soa).
Ptrotritaiiiqub (Iso) (Ac). Béact.
color. arec FeCl', ^tS, 681 {Simon).
Pyho-usmque (Ac.) . Form . à piPl
de Tac. usoique. Propr., 1M, 556
I Peter do),
Ptrrol. Infl. sur la solub. des ostzo-
nes, %%, dO {Neubcrg),
— (PuÉNTLDtHYDRo-). Fomi. à part, de
Ta cet al benzylaminopropioiiique .
Propr., 9%, 976 {Wob^.
PyRROLACÉTIQUE (x.a'-DlMETHTL-) (Ac).
Form. par cond. de racétooylacé-
tone avec le glycine, 99, 742 {E.
Fiseber).
PrRROLDICÀRB0;ilQUE-3.4(DlMÉTHYL-2.
5-) (Ac.) . Form. à nart. de Téther
^iacétyl8uccinique,M,722 {Knorr,
iiabe),
Ptbrolidinb (s.a.o'.x'.az-MÉTHYL-)
(Penta-). Prép., propr., Ihiocarba-
mate, M, 998 (Pau/v, Scbaum),
— (x.a.a'.a'-MÉTHYL-) (Tetra-). Propr.
et conatit. du dér. p-amin4; form.
par réduct. de la tétramétbylpyrro-
lidone. Urétbane, thio-urétbane, dér.
^bydroxylé, benzoylé, S4I, 997, 998
{PauJy^ Scbaum, Bocbm).
PTRROLIDINE-X-CARBONIQUB (Ac). Prép.
à part.de la caséine et de Téther phtal-
imidobromopropylmaloniqae.Propr.,
sels, cond. avec Tisocyanate de phé-
nyle, tM, 744, 745 {E, Fisebar).
Ptrrolidone. Form. a part, de l'éthar
y-aminobutyrique, M, 744 {E, Fis-
eber) .
— (x.x.a'.a'-TKTRAMÉTHYL-). Form. à
part, de Tamide télramélbylpyrro-
line-carbonique. Propr., oxime, nilro-
samine. Corob. avec CAzH, <•, 998
{Pauiy, Boebm).
PyRROLINE (x.a.x'.s'-TÉTRAlléTHYL*).
Form. à part, de la ^aminotétramé-
tbylpyrrolidine . Propr., S6, 977
{PauJy, Scbaum).
PYRROLINE-CARBONIQUE (TéTRAMÉTHYL-)
(Ac). Act. de KOBr, ««,998 iPauiy,
Bo^bm),
% - PYRRYLPROIMONlgiE ««' - PllÉN YL-)
(Ac). Prép. au moyen d.^ Tac phé-
nacyllévuiique . Propr., sels, ««,
723 (Kebrer).
Pyhuvile. Voy. AllantoÏisb (Homo-).
Pyruvique (Ac). Form. de la phényl-
et des o- et />-loIylhydrazones de Tac
et du nitrile par cond. du diazoben-
zène et des o- et p-diazotoluènes
avec Téthercyanopropionique. Propr.,
«5, GU5, 696 {Favrcl). — Act. sur
le sel ammon., «5. 765. — Comb«
bisulût.; act. de HCl, «S, 975 {do
Jooa), — Form. des pbényl- et
p-toîylhydrazones de Tétber éthyl.
par cond. des diazobenzène et
p-diazotoluène avec Télher cyano-
propionique, «S, 987 {Favrel), —
Act. de Turée et de l'aréthane. Di-
urétbane^ther; semicarbazone, «S,
1062, 1063 iSimoD), — Cond. avec
raid, benzoïquo ou la paraldéhyde
et la p-aminoquinoléine, ««, 180
{Willgcrodty /ablonaki), — Cond.
avec ra-aminoquinoléine et Tald.
benzoîquc ou la paraldéhyde, tM,
181 iWiJJqerodt, Néander). —
Form. de rhydrazone à part, de
rbydrazone oxalacélique, M, 198
{FeotoDf Jones). — Comb. avec Tac
o-diazosalicylique,S«,417 (Za/lq). —
Propr. de la benzylhydrazone, ««,
583 {Curlius). — Comb. avec la tri-
mé Ihyl- 2. 4.5-benzylhydrazine, «#,
586 {Curtius, Hardiog). — Propr.
delà p- métbylbenzylhydrazone, M,
587 {CurtiuSj Spreager). — Form.
du dér. nitrosé ae l'hydrazide à part,
de Tacétylhydrazidine. Propr., phé-
nylhydrazono, p - nitrophényllivara-
zone, ««,775 {Bamberger, Groh), —
Form. à part, de la carvotanacélone,
««, 1170 (//«rr/es).
— {^Oxy-) (Ac). Propr., constit.,
cond. avec CAzH, M, 682 {Abcr-
son),
Pyruvique (MÉTHYL-) (Ac). Form. des
pbényl-, o- et p-tolylhydrazones par
cond. du diazobenzène et des o- et
diazotoluènes avec Téther cyano-
lyrique, «5, 6% {Favrtl).
-*- (?.^-Méthyl-) (Di-) (Ac). Prép. k
part, de Téther ot-amino-p.^-dimé-
thylacrylique. Propr., élher éthyl.,
«5, 612. — Propr., réduct., act. de
AzH% «5, 896 {Wabl), — Prép.,
propr., éther, hydrazone, oxime,
semicarbazone, sels. Act. de AzH*,
de l'aniline, S5, 1034 {BouveauU,
Wabr).
Quercktine. Prés, dans lo coriaria,
«•, 267 [Easterfleld, Aston).
QuBRGiTE. Tribolum.. «•. 459 {Tschu-
gacff).
QuiNACÉTOPHÉNO.NE. Coud. dc Téthcr
diélh\M. avec le propionate d'étbyle,
«H, 720 {Kostanecki^ Tambor), —
1404
TABLE DES MATIÈRES.
Cond. de Télher diéthyl. avec l'oxa-
late d'élhyle, %^, 1111 (Kostanecki,
PauJy Tambor).
QUINALDINE (TÉTRAHYDRO-). Propr. dU
dér. benzoylé racémique, 9H, ^iS
{Ad ri a ni).
— (TÉTRAHTDRO-o-TOLu-). Form. à part,
du prod. de cond. do To-toluidioe
arec l'ald. acéliquc, ««, 428 {Eib-
ncr, PcUzoer).
QuiNANTHRKNE (Thio-). Form. dans
Tact, de S sur la quinoléine. Propr.,
se, 180 (Edinger).
QuiNAZOLiNE (Methyl-6-). (O.vr-^).
Synlh. parcond.de la formamide avec
Tac. p-amiDO-/Q-toluique, SB, 1162
(Ehrficb),
QuiNAZOLINONE-p-GARBONïQUE (aZ-PHK-
N YL-1-) (Ac). rrép. par cond. de la phé-
nylhydrazine avec Tac. ^-benzoyl-
/)-carboxypicoHnique. Propr., sels,
hydrazone, tB6, 1178 (Fulda).
QuiNÈNE. Act. de HBr, «6, 307 {Koc-
nias).
— Voy. Mkroquinène.
QuiNBNE (Apo-). Form à part, du qui-
nène. Propr., &•, 307 (Koeniga).
QuiiNHTDRONB. Form. dans Tact, de la
quinone sur les mercaptans, SS,
314 {Tarbouricch). — Form. par
act. de la lum. sur le mél. de qui-
none et de div. alcools, 86, 1025
{CiamiciaDj Silber).
Quinine. Saccharinatc basique^ SS,
606 [Défournel). — Act. de Tac.
Ûlicitannique sur les sels. 26, 155
(Roîcb). — Propr. du glycui-onale,
«6, 200 (Neubcrg). — Applic. des
sol. cbloroformiques à la purif. de
l'hémine, «6, 321, 322 {Nencki,
Zaleski). — Tribolum. des sels
minéraux et organ., €6, 459, 929
(Tacbugaeiî). — Transf. en ac. cin-
choméronique, %By 9^3 (Tcrnajgo).
— Constil., «6, 1177 {èkraup). —
Prép. et propr. du perbromure, S6,
1181, né (Ciirîstonsen),
Quinique (Ac). Sels r, d et 7 de lau-
danosine, «5, 270; «6, 239 {Piclel,
Atbanasesco)» — Tribolura., 86,
459 {Tscbugacù).
Quimte. Act. de SO*H*. S^par. des
isom. cis et trans, 86, 435 (\W/7-
staettery Lcssino),
QuiNOL. Constit., propr., 86, 557
{Zincke).
— Voy. MÉSITYLOUINOL, XTLYLQUI-
NOL.
QuiNOL (Mkthyl-) (Di-;. Constit., act.
de SO*H", réduct., 86, 710 {Dam-
bcrgcr).
Quinoléine. Act. sur Tac. bromosuc-
cinique. Form. de fumarate, 8S,
528 (SiOTOiJ, Dubreuil). — Act. jur
le chloranile et le bromanilc.
98i (/nubcrO . — lodorat. par I et
SO'H" fum., 86, 18 [Edioger.SrJiw
macber), — Solub. des osazoo^
86, 30 INouborg).— Act. de S, M,
180 (Edinger), — Prép., propr. el
sels de la comb. avec Ts-chlor^)-
drioe de la glycérine, 96, â02 {Bte^
noDtbal). — Act. sur l'bexachlorart
de benzonitriie, 86, Î07 ( Xîêithew^K
— ChloroiiUnatc, 86, 27^ (Boata-
bcim, Scbùtte). — Form. à part,
de la Y-phénylquinoléine, 86, tC
iKoooigs). — Comb. av<»c BiCl* <H
BiP, 86, 308 (Vaaino, Hausen. -
Comb. mol. avec AlCP et AJBr*,
86, 360 [Kobler). — Comb. av*^c
BiCl», 86, 497 {Scbifr). — El«truï.
des sol. de Aj'AzO' dans la qusBù-
léine, 86, 523 [Kalhcnbrn). -
Const. diélectr., 86. tJOO {Sebîuo4i\
— Act. du bromure do p-xyly!èiif,
86, 986 {Manoukiao).
— (a-Ami DO-). Cond. avec la ptrtldé^
byde, l'ald. bonzoîquc et Tac. p^ru-
viquo, 86, 181 {WHJgerodt, Néaih
der),
— {ihAnaino-). Cond. avec la paral-
dényde, l'ald. bcnzoîque ci Tac-
pyruvique, 86, 180 ( U'/Z/yero-il,
Jablonski),
— [a-m-Iodo-) [Di-]. Prép. au mo;eo
de la dl iodaniIine-3.8. Propr., 86,
1147 [Willgerodt, ArnoJd).
— (fodo-) {Tri'). Prép. propr., 86,18
{Edinger, Scbumacber). — Pr*p.
du dér. /D-p^na-iri'iodé au mo?ca
do la tri-iodaniline-1.3.5; propr., 86,
1147 (Willgerodi, Araold).
— {à'Nitro-). Prép. à part, de l»
m-nitraniline, 86, 1152 lOeeker).
— {o-Nilro-), Act. des iodurcs aiodol.,
86, 192 'Decker).
— {Ba-tViêro-). Prép. au moyen de U
in-miraniline, 86, 1152 (Dock*'r'\.
Quinoléine (Iso-). lodur. par I <^
SO*H" fum. Prép. et propr. dn
dér. di et tri-iodés, 86, 18 iBdit^
gor, Scbumacber). — Form. à paH
de risocarbostyrile. Dér. chlor^l,
dichloré-1.4, chloro-hydroxylé-1.*,
86, 95 (Gabriel, Colman).
JHYDRO-i (Tktra-\ Form. à pas!
de roxy-chloro-iso-quinoléioc, 86,
% [Gabriel, Coi ma a).
(Hydro-métmyl-) (Tktra-'i. Form.
à part, de la méthyl-3-i9oquiiialéiBe
Propr.. nitrosaminc. 86, 96 (0»-
briel, Coiman),
— — (MÉTHYL-i^). Form. do der
hydroxylé-4 à part, du méthy)-«x:f'
isocarbostyiile. Propr., dér. mélho-
xylê-4, dichloré-1.4. méllioxT-1-
chloré4, 86, 95 {Gêbrtol, Coiio»'^
Quinoléine (y-Phknyl-). Form. i part,
de Tac. homo-apociocbcoiquc, 66.
307 [Koeniga).
TABLE DES MATIERES.
1405
QuiNOLÛNE (d: a-QuiNO-a-MÊTHYL-).
Prép. par déc. de Tac. -y-carboxylé
corre8p.;propr., sels, 1MI, 181 (Will-
gcrodt, Néaadcr),
— (*: p-QuiNO-a-PHÉNYL-). Prép.,
propr., sels, dér. o-nitré, aminé,
aulfoné, S6, 181 ( WWgerodt, Néan-
der).
— (p: a-QuiNO-a-piiÉ.NYL-). Prép.,
Eropr., sels, dér. o-nitre, aminé,
ydroxylé, «6, 181 (WtUgorodt,
Jàblonski).
QuiNOLÉiNB (o-ToLu-). lodur. par 1 ol
SO*H* fum. ; prép. et propr. du dér.
di*iodé, SU, 18 {Edingor, Schuma-
cher).
QuiNOLÉiNE-s-CARBONiQUE (Aid.). Form.
à part, de l'apocinchène, SU, ;iOO
{Koenigs).
Ql'ino|.éi.nk-y-carbonique ( Ac). Form.
à part, de rapocinchènc, 26, 805
{Koenigfi).
QUINOLÉINE-Y-CARBONIQUE {ai p-Qui-
NO-at-METHYL-) (Ac.) . Prép. par
cond. de la paraldéhyde avec lac.
pyruvique cl Vana-aroinoquinoléino.
Propr., ««, 182 {WiUgcrodi, Néaa-
dcr).
— (p: a-QuiNO-a-MKTHYL-) (Ac). Prép.
par cond. de la p-aminoquinoléinc
avec la paraldéhyde et Tac. pyru-
vique. Propr., sels, «6, 181 {Will-
gcrodt, JahloDski).
— (a : p-QuiNO-a-PHKNYL-) (Ac). Prép-
au moyen do l'ald. benzoï(|ue. Tac.
pyruvique et ra-aminoquinoléine.
Propr., sels, élhcrs, dér. o-aminé.
nitré, chlori's bmmé, hydroxylé,
sulfoné, S«, 182 ( Wiligerodt, Ncan-
der).
— (p : a-Qi:iNO-a-PHÉNYL-) (Ac). Prép.,
propr., sels, dér. aminé, nitré, iodé,
chloré, brome, h ydroxylé. M, 180
( W iîlgerodty Jablouski) .
QUlNOLKlNE-a.f-DICARBOMQUE (pi «-
QUINO-) (Ac). Prép. à part, do Tac
qaino-x-phénylquinoléine-y-carboni-
qae, Propr., «6, 181 {Wiltgerodt,
Jabhnskî) .
QUINOLÉINE-AZPHÉNKTOL'DICARBONIQUI
(Ac). Form. à part, de la lactone
oxy-apocinchénique. Propr., sels,
aob., constit., !2«, 303, 806 (Aoe-
nigs).
QuiNOLÉiNE-AZ-PHKNOL. Form. à part.
do Tac homo-apocinchénique. Propr.
dér. éthoxylé, S6, 8;i7 {Koenigs),
QuiNOLÉiNiUM (Ethyl-) . Nîlrat. du
nitrate, «6, 192 (Decker).
— (Xylylène-bis-) Bromure). Prép.,
propr., !S6, 987 [Maaoukian).
Quinoliql'e (Ac). Cond. de Tanh.
avec le toluène et A1GI% «6, 1172
(FuJda). — Prép., propr., conslil;
éthers méthyl., amide, !S6, 1170
(AVrpa/).
a-QumoLONB. Constit., tB6, 587 [Dec-
ker),
at-QuiNOLONB (az-ETHYL-). Phospho-
resccnco, Se, 238 (Decker). — Tri-
bolum., S6, 458 {Tschugaeû),
(a-iVi(ro-). Form. à part, du
nitrate d'étbylquinoléinium. Propr.,
««, 192 (Decker),
QuiNOLONE-v-ACÉTiQUE (Ac). Prép. à
part, des anilides acétone-dicarbo-
nique ouphénylaminoglutaconique.
Propr., étners, sels; prép. du aér.
m-hydroxylé au moyen de la izi-phé-
nylène-diamine et de Téther acé-
tone-dicarboni que. Dér. izi-aminé,
«8, 426, 427 {Beathora, Garben).
o-QuiNONE. Prép. à part, de la pyro-
catécbine ; propr., réduct. ; comb.
avec Tac. benzène-su Iflniaue, Tani-
line, ۥ, 1101 (Jackson, Koch),
— (Têtrabromo-). Prép. au moyen de
la tétrabromopyrocatéchine. Propr.;
act. des polyphénols, ZB, 1102
(Jackson, Koch),
p-QuiNONB. Prés, dans le venin de
julus terrestris, €6, 2, 88, (Béhal,
Phisalix), — Act. de l'élhylmer-
captan, SS, 313 (Tarbouricch). —
Act. des vap. nitreuses, S^, 143
(Schmidl). — Act. de la lum. sur les
sol. alcool, et formiques, S6, 206,
1025 (Ciamician, Silùer), — Act.
de AzO* et Az*0* sur la dioxime,
S6, 545 (Tortorici). — Act. sur
Téther oxalique, ««, lOO'J [Tingle,
Byrne). — Comb. avec rot-benzovl-
^-naphtylbvdrazine, €6, 1103 (Mac
Phcrson^ Gare) .
— (Cblorimino') [Di-]. Cond. avec
les aminés aromat., S6, 52 (Scba-
voscboikof).
—' (Cbloro-) ( Tetra-) . Form. par ox yH
de la tétrachlorohydroqûinone, in
205 [Kchrmaan),
[Tri-). Act. sur la télrachloro
hydroquinone, «6, 205 (A'eAr
mann).
— (Iodo-2.6') (Di']. Form. par oxyd
de la di-iodo-2.6-p-phénylène-diamine
««, 1148 (Willgerodt, Arnold).
p-QuiNONE (Amlido-) (Di-). Form. de
l'amie dans Tact, de Taniline sur
To-quinone, SB, 1101 (Jackson,
Koch).
QuiNONE (MÉTHYL-2-) (Oxy - 3 - wé-
tboxy-O-), Form. à pari, du dér.
isonitrosé de Téther méthyl. de la
mélhylphioroj^lucine. Propr., 96,
981 (Konya).
QuiNONE-iMiDE. Comb. des der. car-
boxylés ou sulfonésavec la fuchsine,
«5, 6 (Seycwetz).
QUINONE-NITRANILIQUE (Ac). PK'p.
paracl. des vap. nitreuses sur la
quinone. Propr., 96, HS[Scbmidt].
1406
TABLE DB6 MATIERES.
QuiNOXAUNE (ToLu-). Form. da dér.
p-mélhoxylé par cond. du diacétyle
avec Téther méthyl. du diamino-2.3-
p-crésol; propr., «6, iOèl {KauÛer,
Weozefj.
QUINOXALINE-DIACÉTIQUB ( B E N Z O- )
(Ac). Form. par cond. de To-phé-
nylène-diamine avec l'éthercéti pique.
Propr., sels, éthers, C6, 712 (Tho-
maS'Mamori, Slriebel),
— (ToLu-1.3.4-)(Ac.).Prép. au moyeu
de l'éther célipique et de la tolay-
lène-diamine-1.8.4; propr., tS6, 721
{Thomas- Mamertj Stricbel).
QUINOXALINE-TETR ACÉTIQUE (Di-1 .2.3.
4-) (Ac). Prép. par cond. de Téther
célipique avec le tétraminobenzène-
1.2.3.4; propr.; éthers, leS, 723
(ThomaS'Mamertt Striebol).
Quinquina. Vo^. Alcaloïdes.
Racémiqubs. Dédoub. par les moisis-
sures, *6, 528 {Vlpiani^ Condolli).
— Dédoub. par étnérif. et saponif.
fract., !86, 737 (Marckwald). —
Déterm. des racémiques et pseudo-
racémiques, 26, 843, 1029 (Adria-
ni).
Radiants (Métaux). Voy. Bismuth,
Plomb, Baryum, Radium.
Radium. Act. cbim., 1^, 1059 {Bcr-
thclot). — Propr., purif., act. phy-
sioU, ««, 129(G/esoi).
Raffinose. Act. du ferment manni-
tique, HBt 991 [OayoD, Dubourg).
— Hydrol. par Teau en prés, de Pd,
2t, 736 (Suie).
Ramie. Voy. Cellulose (Oxy-).
Rapports sur les travaux de MM.
Fosse, Guichard, Valeur, Satie, tSS,
100, 103 (LindcU Meuaicr).
RiciNOLÉiQUB (Ac). Prés, dans l'huile
de blé, î»6, 351 {Vulté, Gibson).
RésACBTOPHÉNONB. Cond. de l'éther
diéthyl. avec les éthers propion, et
bulvr., ««, 720 {Kostanccki, Tarn-
bar], — Cond. de l'éther mono-
étbyl. avec Toxalate d'éthyle, ZH^
1111 {Koaianecki, Tambor).
— (Ether méthyl.). Syn. Péonol.
RÉSACÉTOPHtNONE(DEHYDRO-AGBTYL-).
Ident. avec roxy-3-p-méthylchi*o-
mone, ÎB6, 159 {Kostaoccki, /?o-
zycki).
RÉSAURiNB. Dér. bromes et alcoylés.
Act. de l'aniline, «5, ?14 (Ori-
maux, Lcfèvro),
RÉsB.NE. Extr. de la lércb. du Jura et
de Bordeaux. Propr., ««, 156, 157
[Tschirth, Bruning).
RésiNB (Hoile). Décomp. par dist.
sous pression, 1t%, 134 (Kraemer,
Spilker) .
— Voy, Baumb, Ikdènb, Cocai-
RONB.
Rksorginb. Réact. eolor. arec Toxi
sulfooarbooate de Fe, M, 180, m
(Causse), — Copul. avec les dîaxD.
des dér. do tripbénylméihaDe. Ad.
de AbO*H et SOMl*, «S, îl^ 214
(Grimaux, Leihvre). — Coad. avec
les diméthyl-et diéthyl-amin^s^CS,
218. — Cond. avec le nttroso-iihdi-
méthylaminophénol, SS, fSOU {Gri-
maux). — p-Tolaôno-soirooata «i
dér. o-nitré, SS, 1045 [Beverëia,
Crépieax), — Cond. du dér. sodé
avec les éthers d*ac. grass-bromét,
tS<,45 (Bischofî). — Cond. avee la
dibromindone, M, lOG {Lancer,
Wiodermaon), — Cond. avec kt
éthers diacétylacéiique, acétylmalo-
Dique, benzoylacétiqoo et «-«hJor-
acétylaeétique, Stt, 211 {PecbmaûB,
Hanke). — Cond. avec l'éther osai-
acétique, Stt, 2d2(PecJ!iAaiiii.6rr<«-
^or). — Prép. de l'éther monomé-
thyl., tet« 297 (Mort. Slras»er].
— Réact. color. avec le Ô-oxyftir-
fbrol, IM, 382 {Cross, Bcran,
Briggs). — Prép. et propr. des
salicylate et p-crésotate. M, 405
(CobD), — Cond. avec le cUorort
p-nitro-o-sulfobenxoîque, 9€, 414
(HcndersoB), — Copul. avec Tac.
o-diazosalicylique, M, 417 (Zaka*,
— Appl. à la recherche de l'aie, mé-
thyl., «t, 441 (Mullikoa, Scuéder].
— Triboluro., és,458 (TscAagaefru
— Cond. avec le prod. d'additioade
AzO* avec la thymoqainone-dioxtroe,
S6, 545 (rortor/ci). — Résct. eoi>
rées avec les sucres, !M, ^t$
(Neuberg), — Cond. avec la chlo-
roformoxime, Stt, 914 {ScèolK
Bertsch), — Copul. avec le dîas>-
carbazol, S6, 919 [Ruff. Sl<rio\ —
Cond. avec l'éther oxaliqus, 9^
1069 (Tingle, Byrnt). — Coiut de
l'éther monométhyl. avec le disao^
benzène, tse, 1104 (Orodorfr^ Tb^
baud), — Prép. et propr. des étWrs
éthyl. du dér. propionvlé. Cood.
avec l'anh. acétique, l'éther acélyl-
acétique, tS6, 1112 {KosUat-dki^
Lloyd),
— . {BromO'S,4.6'){Tri'), Comb.svv<
la tétrabromo^-quinone, M» llOS
(Jacksoa, Koeb).
— {BromO'i'dimtro^'iM-) , Pré^. ^
l'éther éthyl. à part, du tribraa»>
1.2.3-diaitro-4.6-benzèoe. Profr.
sels, tS6, 1082 (Jackson, Eari* .
— {NitrO'S'), Form. à part, de U
nitro-3. ^-méthylombeUirêroo^^ '"
344 (Pecbmaaûf ObcrmUhr,
TABLE DES MATIÈRES.
1407
— (Ari7ra-4-). Form. à part, de la di-
nitrofluorescéine, ZBy 144 (Bryan,
Perkios).
— (Aiti-o^.e-) (Di'\. Prépar. des
élhers diétbyl. et aiphényl. à part,
du dibromo-1.3-dimtro-4.6-beDzène.
Propr., S6, 1081 {Jaekson^ Coboe),
— (A7lro.2.4.6-) (Tri-). Form. de
réiber diétbyi. à part, du dibromo-
1.8-lrinitro-2.4.6-benzène, 1^6, 1082
^Jaekêon, Earle),
Rksorcinb (Dihtdro-). Cond. du dér.
0odé avec la dicbloro-S.S.a-napbto-
Îuinone, Stt, 103 {Michel), —
rép. à part, de roxvbydroqumone.
Propr., S6, 1090 (TAio/e, Jaegcr),
(MÉTHTL-) (Di-). Comb. avec
i'ac. glyoxylique, t%, 917 (Vor-
laendorf voo Schilliag).
(Tri-). Form. du dér. dihjr-
droxylé par cond. de Toxydede mési-
tyle avec Téther ma Ionique sodé.
Propr., diozime, sels, étbers, dér.
brome, tSC, 408 (Crossiey).
-(P«opÉNYL-4-MrrHYL-l-). Fonu.
par auto-oxydat. de la canrone.
Propr., dioxime, l^t, 1168 {Har-
ries).
BkSORCINE (MÉTHTL-4-) (.4lDiZIO-5-).
ISyo. PhloraminbI. Prép. par act.
de AzH'sur la mélnylphloroglacine.
Propr. , sels, dér. triacétylé, %•, 984
{FriedI).
HÉSORCINE (PrOPTL-MÉTHTLÈNB-).
Prép. à part, du safrol. Propr.,
dér. dichloré, £S, 994 {Dehage).
Rbsorcine-ois-azobbnzène. Prép. par
cond. de Téther monométhyl. de la
résorcine avec le diazobenzène.
Propr., tet, 1104 [Orndorff, Thé-
baud),
RésoRCTLiQUE JAld.). Cond. avec Tac.
malonique, M, 203 (Pocbmann^
Graeger). — Prép. de l'oxime par
cond. de la résorcine avec le fUmi-
natedc Hg. Propr., ee,9i4 (Scboii,
Bertsch).
RisoRCTLMALÉiQL'E (Ac). Form. à
Krt. do Tac. ombelliférone-B-car-
nique. Propr., anb., dér. oiacé-
tylé, lee, 202 {PochmaDD, Grae-
Resoxbine. Dér. bromes et alcoylés.
Act.deraniline, SS, 214 (Grimaux,
Lefèvro),
Rbtènb-quinone. Prép. et propr. de
l*bydrazon9, 1S6, 431 (Bamberger^
Grob).
Ruamnétine. Extr. du séné. Propr.,
S6, «3 {Tsebirchy Hiepe).
Hhamnochrtsinb. Extr. du rhamnus
cathartica; propr., ««, 79 (Tsc/i/rc/i,
PoJacco).
Rhamnogitrin. Extr. du rhamnus
cathartica. Propr., constit., S4I, 79
(Tsebireb, Polacco).
Rhammolutine. Extr. du rhamnus
cathartica. Propr., constit., 9%, 79
{Tscbirchy Polacco).
Hhamnose. Oxyd. par FeSO*el H"0*,
««, 43 (MorrcI, Crofts). — Form.
Ear hyarol. du méthylstropbanto-
ioside, S6, 191 (Fcist). — Sépar.
de Tac. glycuronique. S6, 200
(Neuberg). — Tribolum., ««,458
(Tscbugaeff).
Rhamnosone. Form. dans Toxyd. du
rhamnose par H"0*, St, 43 [Morrtl,
Crofts) .
Rhizocarpique (Ac). Pre's. dans div.
lichens, tse, 647 {Hesso).
Rrizoniniqub (Ac). Prés, dans div.
Ucheas. Propr., et, 650 (//e«sc).
Rhodaminbs. Propr. et dér. des rfao-
damines tétraméthylées, !S5, 217
(Grimaux). — Form. derhodamines
éthylées et méthyléthylées chlorées
à part, des ac. diéthylamino-oxy-
benzoylbenzoîques, ItS, 747 (Hallor,
Umborovc). — Dér. az-méthylés,
èthylés, benzylés, 99, 1146 {Gncbm,
Scbcutx).
Rhodinol. Vit. d'élhérif. par Tac.
acétique. Dos., £S, 955 (Cbarabot^
Hébert) . — Dos. au moyen du sali-
cylate de Na, leS, 1053 (Darxeos,
Armingeat).
Rhodium. Sépar. do la mine de Pt ;
nitrite double de Na et AzH*, «5,
11 [Uidié) ; «5,841 {Leidic, Quon-
nesson). — Prép. et propr. des
aluns de Rh et de Cs, Hb, TI,
AzH*. Sépar. de Ir, «6, 362 IPic
doit MariDo), — Inll. sur Thyarol.
de div. éthers, «t, 736 (Hulc).
Ricin (Huile). Act. de Tac oxaliauu
anhydre, «S, 5 [JuiUard], — Disl.
dans le vide, «6, 311 {Tboms^
Feodlor) .
RiciNOLBiNOXALiQUE (Ac.) . Fono. à
part, de l'huile de ricin. Propr.,
constit., «S, 5 (Juillard).
RiciNOLBiQUB (Ac). Act. de HBr,
constit., dér. acetylé, «6, 9, 617
{KasaDcxky).
Roccbluque(Ac.). Prés. dans le lepra-
ria latebrarum, «6, 313 {Kassaor).
— {Oxy-) (Ac). Prés, dans div. li-
chens, «6, 1183 {Hcssc),
RosANiLiNB. Ethérir. par les alcools,
«6, 97 {0. Fisebvr) . — Propr., sels,
««, 145 (VVoi/).— Constit., ««,996
{Giorgewics).
— (Para-). Diazot. et copul. avec les
phénols et leurs sulfoconjugués,
«S, 213 {Grimaux^ Lofèvre).
— (PsEL'Do-). Diazot. et copul. avec
les phénols et leurs sulfocoujugués,
«6, 213 [GrimauXy LcfèvroK
Rose (Essence'. Prés^mce de l'aie
phénylélhylique, ««, 310 {Waî-
bauw} ; «6, 50i fSoJ'^Dy liojabu).
1408
TABLE DES MATIERES.
— (Essence de bois). Conslil., propr.,
SS, 468 (Theulier). — Viscos.,
dons., tens. superf.,!SS, 521 [Jean-
card, Satie).
RoaÉocoBALTiQUBS (Scls). Voy. Co-
balt.
RosiNDONE (AmiDO-ù-). Prép. par
cond. de ro-aminodiphéaylamine
avec Tac. acèlamiDonaphtalIque.
Dér. acétylô» 1^6, 231 {Kebrmann,
Barche).
— (Ara/flo-7-). Fopm. à part. deTiso-
ro6induline-9 et de ramiD0-&oxy-2.
a-naphtoquinone , 26 , 220 [Kehr-
maDBj Sieinor).
— {AmiDoS'). Korm. à pari, de Tacô-
tamino-iiphénylrosinduline. Propr.,
dér. acélylô, S6, 149 {Kohrmaan,
SilbersteiD) .
— (AmiDO'9-). Prép. au moyen de
la diamino - 3.7 - a - naphtoquinone.
Propr., dér. acélylé, «6,22» (iCcAr-
maDBf SloJocr).
RosiNDONE (MÉTHYL-) {ChlorO'S-),
Prép. au moyen de la méthylchloro*
Ô-o-phénylènediamine. Propr., «6,
548 {KobrmaDD, Mullcr).
RosiNDULiNE. Act. de &0*H*, S6,562
( VaubeJ) .
— {AmiachO'). Prép. à part, de la dia-
mino-4.7. p- naphtoquinone et de
racétamino-d-phénylnaphtophénazo-
nium. Propr., sels, «6, 223 (Kobr-
maaD, Stcinor).
(Cbloro-S-). Prép., propr., î»6,
549 {KobrmaoBj Krazlcr).
RosiNDULiNE (Iso). Pfép., propr. et
sels de Tisom. 8. «6, 147 [Kebr-
mann.Steinc^r). —Prép. des isom. 7
et 8 à part de Tacétumino^. ^-naph-
toquinone et de l'o-aminodiphényl-
amine. Propr., dér. acétylés, «6,
147 {Kchnnann, Denk). — Prép.
de Tisom. 13 au moyen de Tacét-
amino-U*anilido-4 . p-naphtoquinone.
Propr., sols, «6, 149, 150 {Kebr
mann, SUbcrstcia). — Constit.,
synth. à part, de Tac. naphtopi-
crique, 26, 220 [KcbrmaDD, Stci-
nor).
(Chloro-3-). Prép., propr.,
549 {Kcbrmana^ Kratzlcr).
RosiNDULiNE (MÉTHVL-IS0-) |Di-).Prép.
à part, du chlorophénylisonaphto-
phônazonium. Constit., 26, 5i5
[KebrmaDn^ Hiby).
RosiNDULiNE iPuÉNYL-). Act. de
BO*H', «6,5(52 {Vatibct).
i.KmiuO'^'). Form. du dér. acé-
lylé à part, do ramino-5-ro8indoDe;
propr., sels, transform. en imidazol,
«6, 232 [KûbrmaûB, Darcbe).
iAminO'8-). Form. par cond. do
ranilido-4-acétaroino-6 . ^-naphtoqui-
none avec la phényl-o-phénylène-
diamine. Propr., sels ; dér. mé-
thylé, méthylsulfaie, «6, i^ {Kthr
maaD, Silbcrstein).
(C/i/oro-5-) . Prép. pw cood. é-
la cbloro-5-amioo-MiphéiiyUiiyi»e
avec ranilido-4. â-napBtoqpinoo^-
Propr., act. de raailine, 26, fiT
[Kohtmann^ Hiby),
ROSINODUNE (p-ToLYL-) [Chtotr^S- .
Prép. par cond. de la p-tolntd^fc
^napbtoqiiinoae avec fa chl«r»-5-
amioo-2-diphénytamtBa, 26, 547
[Kebrm^nn, Hiby) .
RouoE BRILLANT. Prcp. é part da
p-napbtol et de Tac. s-diàeonapb-
talèna-8ulfonique-5, 26, 410 'Koh-
RouoE OB NTTROSAiiiNK. VU. de réJCt
avec le ^aphtol sodé, 26, 114
(Goldscbmidt, Keppeler} .
RouoE NOUVEAU L. Sel de Na hydraté,
26, 807 [Sisloy) .
RouGE soLiDK D. Sel de Sa hydraté,
2S, 867 {Sishy} .
RuBiDiQUE ^Ac). Form. à part. d«
Tac. salazinique. Propr.. sels, 26,
1183 {Hcssc}.
Rubidium. Propr. du bichromate.
Polymorphisme, 26, 118 (VIVa)»
boù) . — Prép . et propr. de l'aloa
de Rb et In, 26, »& (Chabnè,
Bengado). — Propr. cristallogr. éa
sulfate, 26, 70 iLiock. — Aload«
Rb et Rb, 26, 3ti3 ^P^cciiiJ, Ma-
riDO) . — Recherche microchim. par
rhyposuinte de Na ei Bi, 2e. il2>
(BorntracgcF) . — Dureté, 26, SE*
(Bvdbcrg), — Points do foa. «*
solub. des sulfates doubles de Hb
et de Al, Vd, Cr, Fe, In, Co, 26,
1020 {Locke\ . — Nitrate acide« 26.
1051 {WelJs, Motxaer). — Chhv
rure double de moTybdênyle, 26,
1055 {Nordeoskjocidi . — Recbercbt
par Tac. picrique, 26, 1008. --
Chlorure double chromiqiie« 26.
1125 {Werncr^ Gubsort,
Rue (Essence). Rzir. de la méthjl-
non^lcétonc, 26, 269 ^Carriit},
Ruthénium. Sépar. de la mine de Pi;
nitrile double de Ru et Na, 26, il
{Leidic) ; 26, 840 {Uidié, QuéM
oesscju). — Act. do 80" sur îf
suirato; sulflle rulhénique ; dithio-
nate ruthéneux, 26, 5i> {Aaio»},
Luccbvsii .
Sabine (Essence-. Constit., 26. Sâ9
{Fromm) .
Saccuabipication. Sacrhaiif. de dtv
celluloses par ilCl, 26, 198 Vt-
TABLE DK6 MATIÈRES.
1409
gnon^, — Saccharif. par la diatUse
da blé, £S, 518 {Uado(^ .
SACGHAimiBTRiB. Voy, Glucosb.
Sacchabinb. Prép. et propr. dn dir.
selsmétall.; sels doubles; recherche,
9B, SIS, 386 (DcfburDcI). — Dér.
mercurique, 1^, 533 (Moulin), —
Act. sur l'urée. Comb. avec la di«
phéoylcarbazide. Sel bas. de quinine^
K, 605, 606 (DcTbiiriid/).— Réact.
caract., tS6, ^ (Leys), — Transf.
en ac. o-sulfobenzoïque, tS6, 389
{Holmes), — Form. du sel ammon.
du dér. p.-nitré à part, du chlorure
BTin. p-Qltro-o-sulfobenzoîque, tS6,
412 [HeDderson). — Tribolum., S6,
458 (TsehugaeO), — Cond. avec
rald.fbrmique. Dér. Az-oxyméthylé,
%%, 541 {MaseJIi),
Saccuabiquic (Ac). Form. du seml-
nitrile à part, de Toxime glvcuro-
nique» S6, 200 {Neuberg), —Transf.
ea ac. déhydro-raucique, %€, 1107
(HUI).
Sacchabose. Coeff. d'abaissement cry-
oscop., %E, 176 (Cbroustcboiï), —
Prés, dans la racine de gentiane,
5K, Î70 (Bourquelot, Hérisscv), —
Act. du bac. tartricus,96, 415 (brim-
bert), — Appl. à la prép. des crèmes,
1B5, 658 (Frebsû), — Titrage de
PO^H' par le sucrate de chaux, %S,
903 [Cavalier). — Act. du ferm.
mannitique, Û, 991 (Oa.voii, Du-
boura). — Prés, dans les rhizomes de
fougères, se. Si (ADdersen). —
Oxyd. par H«0« et FcSO*, «•, 43
iMorreh Crofts). — Act. de HkO.
Transf. en mercabide, S6, iii{Hof-
maon). — Act. de HBr, réact. color.,
SS, 341 (FentOD, Gosiling), — Mé-
canisme de Tinversion, M| 378
[Lippaana) . — Tribolum., €•, 458
ITschugaoi/). — Hydrol. par HCl
en prés, de sels neutres, 1SC, 596
(Eu loi). — Déterm. cryoscop., S6,
o98 [Loomis), — Pression osmol.
des sol. concentrées, SU, 657(£Vaii) .
— Infl. sur la conducl.elecir.de HCl,
KCl et KOII,«e, 668 [Martia, Mas-
sod). — Hydrol. par HCl en prés,
de Pd, 2t, 735 (Suie). — Infl. de
la temp. sur le pouv. rotât., S6,
8ô6 [Scboonrock). — Ferment, par le
suc de la levure haute, tS6, 932
{Macfaydt*Dy Morris , Bowlaad). —
Poids mol. et condûct. électr. en sol.
aq.. US, ^S{Kabicobcrg). ^EiMdti
de rinversion. «6, 1041 (CohcD). —
Infl. sur la sapoo. de Tacélate d*é-
thyle par NaOH, ««, lUi8 {KulU
gron] . — Dos. dans le lait condensé,
««, 1063 {liùber).
SAfRANiNii. Absorpl. par div. oxyccl-
lul6ses, S5, 137 \Vigû0D),-^ Foira,
à part du oilroâo-izï-diméthylami-
î
nophénol, £S, 219 (Orimaux), —
Théorie de U format.» M, 115 (tCbàr-
diae).
— (Apo-). Form. à p^rl. de Ttscphé-
nosafranine, %%, 219 (Kebrmana,
Kramor),
— (Napbtophbno-). Prép. et propr.
de div. dér., S6, 546 (KebrntanD,
Hiby),
(Dipb£ntl-). Format, à part.
de la chloro-3-phénylrosinduline.
Propr., S«, 547 (Kebrmann, Hiby),
(Di-p-TOLYL-). Prép., propr.. M,
547 (Kobrmaan, Hiby), '
' l. deSOW,
562
— (Phéno-). Act.
(Vaubel),
— — (Iso-). Prép. au moyen de la
trinitrophényl-phényl-o-phénylène-
diamine. Propr., sels, dér. acétylé,
ۥ, 219 (KehrmaQD^ Kramer).
Safbaninonb (Iso-). Form. à. part, de
l'isophénosafranine. Propr., aels,
9€, 218 {Kebrmano, Kramer),
Safrol. Act. de I et HgO. Comb. avec
IOH,te6,445(Boii9au/<). — Réduct.,
«S, 994 (Delange).
— (Iso-). Act. de I et HgO. Comb. avec
lOH, SS, 445, 856 {fiougault),
Salaziniqub (Ac). Prés, dans div.
. lichens, propr., %%, 650, 651, 1183
(Hesse).
SaUCTLIQUB. Vb/.BENZ0ÎQUB(0x/-2*).
Salictlurique (Ac^. Elimin. dans
Tanal. de furine, M, 351 (Bouma),
Salminb. Dos. de l'histidine, de Tar-
giniae, de la lysine et de Az ami-
dé, Stt, 335 (iCoase/, Kutseber),
Salol. Voy. Benzoîqub (Oz/-2-).
Salophènb. Vo/. Phénol (Amfoo-4-).
Samarium. Spectre, SS, 335 (Demar'
çay). — Comb. avec As en prés, de
Mg, tes, 335 (Matignon), — Prés,
de Teuropium dans le samarium^
£S, 963 (Demarçay).
Samarskitb. Eztr. des métaux radiants,
plomb, «•, 68, 244 {HofmanD,
Sirauss).
Sang. Act. de H*0«, tSS, 255, 532 (Cot^
ion). — Caract. par div. sérums,
tes, 703 (Ublenbutb). — Act. de
CHCPet de Thydrate de chloral sur
la mat. color., 2C25(For£a«i2^Jl). —
Modif. par ingestion de (AzH*)*SO*,
««, » {Bumpf, Scbumm). —
Constit. des mat. color., teS, 321
(Nenckif Zalcski). — Nouv. subst.
réductr., 26, 1021 (Maycr).
Santal. Constit. de l'essence, 26, 20
(Dcussen). — Extr. de Tac. sanlalé-
nique du bois, 26, 439 [Cbapman).
Santaléniqub (Ac). Prép., propr^
sels, éther, dér. dibromé, 26, 439
(Cbapman).
Santonine. Dosage, 26, 60 {Katz\.
— Tribol^m. des dérivés, 26, 459
BOC. CHIM., 3« SÉR., T. XXV-XXIV. 1901.
89
1410
TABLE DES MATIÈRES.
(Tscbugaeff). — - Prép. du dér. tri-
brûmé a ptrt. de Tac. santonique.
Propr., «6, 560 {Francesconi),
Santonique (Ac.)- Prép. et propr. des
oxime, sels, hydrazone, hydrazide,
M, 559 (FraDcesconi).
— (MÉTA-) (Ac)- Propr. de la dioxime,
1^6, 559 (FrancQScoDÎ) .
Santonique (Tricéto-) (Ac). Prép.
à part, de Tac. santonique. Propr.,
constit., sels, étbers, dioxime, 1S6,
569 {FraDCCSConi),
Sapin (Essence de bois) . Constit., tS6,
310 (KlasoD).
Saponinb. Prés, dans le bois de Pa-
nama, «5, 142 {Meillère). — Appl.
à la déterro. des coeffic. de partage,
t^e, 873 {Zawidzki).
Sarcosine. Prép. et propr. de Téther
étbyl.. ««, 745 {E. Fischer), —
Dissoc. des sels, ««, 1037 (}\^iB-
kelblccb) .
Savon. Constit. des émulsiofB, ««,
658 (DoDDaD).
ScATOL. Prés, dans la civste, ««,
310 {Walbaum),
ScATOXYLE. Prés, de la comb. avec
Tac. glycuronique dans Turine nor-
male, î»6, 29 [Afayûr, Neuberg).
Sghizomycètes. Voy. Fermentation.
ScopoLiA. Voy. Alcaloïdes.
SÉBAGiQUE (Ac.) . Form. par oxyd. de
l'ac. p-oxystéarique. î»6, 42 (Jou-
koff C bostakof). — Form. p^voxYd.
de Tac. undécylénique, 26, 138
( Tboms, Fendler) . — Prép. et propr.
des hydrazide et azide, tS6, 571
{Steller). — Eleotrol. du sel de K,
se, 898 (Peterseo),
SiLBNiEux (Ac). Act. de S sur -SeO*.
Form. à part, de SeO» et S, ««,
273 [Krafit, Steinor) .
SÉLÉNiQUE (Ac). Forme crist. du
sel luléocobaltique,«5, 269 [do Co-
Dinck) ; «5, 1027 (Klobb) . — Act.
de S, «6, 273 {Kraift, Steiner). —
Propr. du sel de Na, 2«, 278 (Funk) .
— Ëtectrol. du sel ac. de K, 26,
667 {Deanis, Browa),
— (PER-) (Ac). Form. par éIecti*ol.
du séléniate de K. Propr., «6, 667
(Dennîs, Brown).
SÉLÉNiTE. Voy. Calcium.
SÉLÉNIUM. Recherche dans SO*H" ;
péact. colorée avec la morphine, la
codéine, l'acétylène, 25. 482, 489
(Jouve), — Chai, de volatilis., 25,
1058 (de Forcrand). — Déplacement
Sar S dans SeO%SeO', le séléniure
e phényle. Act. sur S"G1". Form.
de SeCl' et SeCl*, 26, 273 (Krafft,
Steiner). — Propr. des modif. allô-
trop, de Se, 26, 518 (Saundcrs).
— InQ. sur la recherche de As.
Dosage, 26, 564 IBoscoheim),
SÉLÉNlURES. Voy. SÉLÉNIUM.
SÉLÉNOCYANiQUE (Ac.) . Prép. €t propf.
de rélher éthyl.,26, 680 [Wbeefer,
Merriam).
Sbmicarbazidb. Gond, avec le benzoyl-
œnanlhylidène, 26, ÎJ07 (Afourcu,
Delange^. — Cond. avec Vélher S^
acétyllévulique, 25, 647. — Comh.
avec ru>-acétylacétopbénone-acéion£,
25, 985 (Mnrcb). — Cond. avec
Téther pyruvique, 25, 1063 {Siwoûi .
— Comb. avec la chloracélylpyro-
catéchine, 26, 178 (Bruhas). —
Cond. avec le m-xylylquiool, 26,
716 (Bamberger^ Brady).
— Voy. Méthylsemicarbamde, Bej(-
ZYLSEMICARBAZIDB etC
Semicarbazide (Thio-). Ozrd. de l»
thioseroicarbazone de ral<l. h^a-
zoïque, 26, 225 [Young^ Eyre^.
Semigarbazixopropionique. Voy. P«>-
PIONIQUE.
SÉMiNASE. Prés, dans div. graines.
Act. sur les hydrates de carbone.
25, 699 [Bourquelotj Hénsftey).
SÉNÉ. Principes extract., 2#, ^
(Tscbircb, Hiepe).
Sbnna-rhamnétine. Voy. Rhamkî-
tine.
sérum. Précipitation de la lipase,
25,699(//aiir;o/K — Propr. de dlr.
sérums. Act. sur Talbuinine, 25,
701 [Bordet, Wolf, Tcbistoviteb,
Leclaiache, Vallée^ Stcrn. UhItU'
butb). — Extr. de div. globolines,
26, 330 [Fuld, Spiro) .
— Voy, Sano.
Sérum-albumine. Vov, Albumine.
SÉRUM-OLOBULINE. Voy. GlOBIUXE.
Sesquiterpènes. Voy. TKRpèirss.
SiLiciQUE (Ac). Act do H*0 sur les «ilî-
cates ferreux, 25, 409 (Gaatitr). —
Anal, speclrographique, 26, 1^6
[Hartiey^ Bamago). — Propr. du m1
d'Al. 26, 525 {Bebuffat). — Infl.
sur le dos, colorim. de PO'H'dtns
les eaux potables, 26, 609 ( Wocd-
man, Cayvan). — Appl. du sel de
Pb aux poteries, 26, 609 ( Tborpe^
Simmonds).
— Voy. Fluosilicique.
Silicium. Dos. dons les rerrofilidiUDt
et siliciures de Fe, 25* 5CJ5. —
Form. de SiF* dans Tact, de F oa
HF sur SiCo, 25, 5.^ (Uhc^a].
— Act. de SiO' sur la lithine a haute
temp. — Silicate de lithine, silicalt
double de Li et Gl, 25, 1007 (Fri></*i>-
— Dissoo. dans les sol. de S.O*
hydraté, 26, 520 (Lévi). — Dtr.
organ. Cond. de SiCl* avec 1« br>
mure d'éthyle, le benzène chlore tt
Na, 26, 576 (Kipping, Uor^i. -
Propr. colloïd. de SiOV 2k, 83»
[Hardy). — Dureté de Si. 26, W
[Bydberg).
TABLE DES MATIERES.
141 1
SujciunBB.Pres.de Fe^i et Fe Si dans \
les Tontes et les ferroeilictums iodos- '
Iriels. Propr.,«K, 2«6, 291 {Joure).
— Prép., propr. et constit. des silû
ciures de Fe, «K, 483, 585. — Prés,
de siliciure de C dans les ferrosili-
ciums. Act. de Fe et Co sur SiCu :
form. et propr. de SiCo, 2S, f*85,
539 (Lcbeau).
SiucoL. Voy. Phénylsilicol.
SiLicoMOLTBDiQUB (Ac). Comb. du
sel aroroon. avec le vanadate, 1B6,
3 {Friedbeimt Caslcndyck).
SiLicoNB. Vcy. Phénylsilicone.
SlLICOVANlDIOMOLYBDIQUB (Ac). Prép.
et propr. des sels de K, Ba, AzH*,
S6, 3 [FricdbeJm, Castendyck).
SiLURiNE. Extr. du sperme de silurus
çlaDis; propr., sels, 26, 831 (Kura-
jeff).
SiM AROUBÉES. CoosUt. dss graines, 1S6,
651 (Marck).
Sodium. Nitrites doubles de Ru, Pd,
Rh, PI, Ir, «5, 11 (Leidic). —
Propr. des sulfates hydratés. Stabi-
lité ensol.,«5,H0(W>Toa/>o/r)- —
Chlorure double d'uranyle, 2S, 154
(Aloy), — Coeff. d'abaissement
cryosc. deNaCl, «5, 175 {PoDsot). —
Propr. du bioxyde, IBS, 268 {Jau-
hert). — Tri-antimoniate, fSS, 288
{Delacroix). — Propr. du bioxyde,
hydrates, ItS, 382 [Forcrand, Jau-
hert), — Cristallis. spontanée de
S0*Na",7aq. et de SO*NaM0 aq.,
26, 388, 482 (de Coppet), — Dec.
de Tacétylure par Teau, 2S, 255
(Bertbelot). — Form. de NaCl
dans les mél. rérrigérants de
Na"SO* elHCl, «5. 532 (Sisley). —
Dos. de NaOH libre et carbonatée,
£S, 652 (LucioD, de Paepe). — Act.
de CIO*, 1, Br, Cl sur le peroxyde.
Form. deNaCl, NaBr,NaI, NaOBr,
NaOCl, NaOI, «5, 663, 664, 665
{Beycbler). — Prép. et propr. de
rosmyloxalate, «5, 693 (Wiatre-
berl). — Dos. de CO'Na* en prés, de
NaHCO», «5, 703 {LucioD, do Paepe).
— Sol. sursat. de Na'SO*, «5, 705
(de Coppet). -- Act. de CO*Na* sur
les sels de Mg, SS, 707 [Engel).
— Nitrites doubles de Na et des
métaux de la mine de Pt, SS, 840
(LeidJé, QueuDessen). — Infl. de
HCi sur la solub. de NaCl. et de
Tac. acétique sur celle de rac4!'tate
de Na, eS, 961 {Enklaar). — Infl.
des sels d'hydroxylamine, de AzH'
et de NaCl sur la disaoc. des sol. de
NaOH. CO'Na», PO*Na«H. «5, 962
[Doyery rao Cleeft). — Equil. entre
PO'Na'H et AzO'Ag. Phosphates
mixtes de Ag et Na, eS, 966.— Equil.
entre NaOH, CaO et PO*H», %B,
967. — Appl. du borate et du chlo-
rure à la cristallis. de Toxyde de
Ce, «K, 970 {Sterba). — Constit.
des di- et polysulfures, !SS, 983
(Blankama). — Chai, de dilut. des
sol. de NaCl et NaOH, ItS, 1057
(Colsotî). — Synth, de la borona-
trocalcite, SS, 1061 (de Scbulleo).
— Form. de Na*0* par combust. de
Na, «e, 2 (Engler, Weisberg). —
Infl. des chlorure et borate sur la
solidiflc. du ciment, du plâtre, etc,
«•, 4 (Bohland), — Act. de Tarsé-
nite sur lONa. Act. de NaOH sur
ICI, lee, as (Oi'ion, Bïackmann).
— Act. de H'O* sur Na*S*0». Form.
de SO'Na» et cO*Na*, «6, 34 (Nabi).
— Act. de I sur Tamidure en sol.
dans AzH' liq.;iodo-amidure, S6, 07
[Bufl). — Appl. de Na"0* à la sépar.
de Cr, Co, Fe, Al, Zn, Mn et au
dos. de Cr et S dans le fer chromé
et la pyrite, «6. 127 (Barrée). —
Act. de HW sur SWNa». Form. de
S*0»Na«, S0*.Na« et SO*Na", ««. 129
(Nabi). — Propr. du sulfocyanatc,
26, 193 (Gihs). — Dispositif pour
conserver les sol. titrées de NaOH,
S6, 195 [Dowzard). — Appl. de
ClO^a à la prép. de Cl, «é, 276
\Graebe). — Prép. et propr. des div.
chromâtes, «6,276 {Myîius, Funk).
— Propr. et hydrates des sulfate,
séléniate, tunestate, molybdate, chro •
mate. «6, 278 (Funk). — Carbonatd
doubledel'u et Na, «6, 278 (Grocger).
— Oxalate et tartrate doubles tita-
niques, 26, 280 {Bosonheinij
Scbiittc). — Applic. à l'hydrogénat.
en prés, d'alcool, «6, 282 (Laden-
burg). — Prép. et propr. deTalumi-
nate, «6, 860 {Allen, Bogcrs). —
Prép. du nitrite double de Co.
Appl. à la recherche de K, «6, 364
{Billmann). — Hvposulfltes doubles
de Bi et Na, Ti et Na. Appl. en
microchimie, «6, 365 (Iluysse). —
Coeff. de partage de AzH' entre
CHCl' et les sol. aq. d'iodure, bro-
mure, nitrate, chlorate, £6, 453
(Dawsonf Mac Crae), — Déterm. de
la temp. de transform. du sulfate,
«6, 517 (Dawson, Williams). —
Relat. entre le ffoût et la diss.
électrol. de div. sels de Na, 26, 517
(Kablenberg). — Electrol. de NaCl,
«6, 523 (Wolf). — Propr. toxi(|ues
ds div. sels d'ac. organiques biba*
siques, 26, 524 (Kablenberg, Aus^
tin). — Appl. de Tamidure à la
prép .[des aminés, 26, 574 ( Titberley).
— Hydrol des sels organ., 26, 597
IWalker). — Infl. de Na'SO* sur
les équilibres eau-alcool, 26, 596
(Bruyn). — Rel. entre la condact.
électr. des chlorure, carbonate et
1412
TABLE DES MATIERES.
borate de Na et leur a et. toxique sur
le» poissons, S8, G'JS {Kahlcaberg,
Mehï). — Transf. des crist. mixtes
A£0»Na-AzO*K et AzO\\a-AzÔ'Ag,
îfce, 607 {Hissiok), — Loi de dilut.
de cooduct. électr. des sels, M«
657 (Bancroft). — Infl. de NaFsiip
la vit. d'oxydat. des sol. oxaliques,
H^f 659 (Jorissen^ Beichcr), —
Dissoc. des iodure, bromure et acé-
tate dans Teau et les aie. méthyl.
et éthvL, 26, 660 {Jonns). — loQ.
de Na*SO* sur la tens. de vap. de^»
. sol. aqueuses de A/.H^, 1B6, 665
(Perman). — Dureté de Na, 26,
8iJ9 (Rydberq). — Conduct. électr.
de NaCl. Mobilité des ions, 1S6,
840 [JabD). — Solub. de Az et H
dans les sol. aqueuses de NaCl,
S6, 848 [Braun], -. Vit. d'hydrol.
de GOS par NaCl, AzO'Na, «6, 862
(Buchbock). — Act. de Nal sur les
sels de Pb en prés, de Na'SO*, 1t%,
865 {Findlay), — Pouv. rotat.
ma^él. de Na"SO*, «6, 894 {For-
cboimor). — Solub. et points de
, fUs. des sulfates doubles de Na et
de Al, Vd, Cr, Fe. Zn, Co, ««,
1026 {Locke). — Cristallis. du nitrate,
««, 1026 [Richards, Arcbibald). —
Infl. de NaOH sur la dissol. de As*0'
dans l'eau, 1^6, 1032 {Drucker). —
Propr. du chromate neutre à 6H'0,
«6, 1051 (Salkowski).— Nitrilosul-
fonate, «6, 1121 [Divers, Haga).
Soie. Recherche de la soie artiÛeielle,
«6, 991 [Dayk).
Solidification. Voy, Ciment.
Solubilité. Infl. des ac. sur la solubil.
des sels à ions communs, 2S, 961
(Eaklaar). — Infl. des sels sur la
solub. des non*éI<*etrolytes, M, 840
(Bothmuad). — Loi de solubil. des
gaz dans les sot. aqueuses de div.
composés, SO, 848 [Braua). —
Relat. du coefl*. de solubil. avec la
tension superÛcielle, 1S6, 856 [Ost-
wald), — Solubil. des crist. mixtes
hydratés, «6, 857 (Stortenbeckcr).
— Rolai. entre la solubil. des élec-
trolyics et ta chaleur de dissol., S6,
872 [van Laar). — Solub. des carbo-
nates alcalino-tcrroux dans les sol.
aqueuses de CO', «6, SIS {Bodiaen-
dev), — Cooff. de solub. de div.
gaz dans Tenu, 26, 949 (Winkior),
— Relat. avec In tens. supcrflciellc,
«G, 1047 \Hulett).
^Solutions. Th«^oi*ie générale, 2S, 105
( Wyrouboff, . — Théorie de la sur-
saturation «5. 388, 482, 705 [do Cop-
pot). — Miscibilité partielle, SQ, 33
[Nowth), — Propr. des sol. isohy-
driqucs, 20, 513 Uianeroti), —
Tb-^orio. 2G, SOiî [Wihhrmann), —
point de dccomp. des sol. aqueuses
de divers sels, 26, 598 (Godre/j.
— Points critiques des distoL aq.
de phénol, 26, 847 (van dcr Let>.
— CoefT. de partage entre un liquide
et la couche superfic, %M, O
(Eawidzki). — Théorie, tM, 879
[Lewis] ; S6, 1047 [Halett).
— Voy. Vitesse oe dissolution.
S^RBosB. Propr. de la bactérie, fS,
733 (Bertrand, Sazcrae), — Ad.
du ferm. mannitique, K, %1
[GityoD, Dubourg). — Réact. oolor.
avec HBr, 28, 341 (Fenloii, Gost»
liag).
SoRBiQiTE (Ac). Synth, par cond. d«
Tald. crotoniqae avec Tac mslo-
nique, HH, 37o (Ooe^oer).
SoRBiTB. Tribolum., S«, 458 {Taehih
gaeff).
Soufre. Dos. dans les rerro^ilidams,
• ISS, 291 [Jouve). — Act. sur kt
sol. de MoO' dans SO^H", «, Ml
(Bailhachc). — Act. sur As*ru,
ëS, 383 [Dafaeqz). — Dos. en prés.
d'Al, £S, 652 [Noailloa), ~ Poiit
mol. à la temp. d>bull., tS, 96S
[de Forera ad). — Comb. avec F,
n,' 995 [Moissan, Lebeaa). ^
Dos. dans les combust., K, t(X^
[Dubois). — Dos. dans l'unae
après extirpation du foie, M, 21
(Laag). — Dos. dans la pyrite ao
moyen de Na"0", «6, 127 [Barrer),
— Dens. des sol. dans CS', fi,
161 iPfoitfer). — Prés, dan» les
sulfocyanates de K et Na, M, 1^
[Gilcs), — Act. sur SeO", SeO^.
sur les séléniure, tellurure et oxjdt
de phényle, 26, 273 [Kram, Stei-
ner). — Dos. dans Turine, ••, 447
[Pelry). — Infl. sur rattaqae d« Cr
par les acides, tSe, 876 (0$tvfêid\.
— AeU sur SO'Cl* et PQ» en pn^.
de A1C1% ee, 884 (Bun).
— (Bromure). Appl. à la bromunt.
des carbures aromat,, té^ 10
[Edingcr, Goldberg) .
— (Chlorure). Act. de Se et Te, f*.
273 iKraCn. Steiaer). — Fora ^
SCI" et S'Cl' dans Tact, de S wf
SO'CP. Comb. de SCI* avec ^\0\
do SCI* avtcAlCl*, ««, 884 ,/î«ir.
— ^Fluorure). Prép., propr., K. ^
(Moissaii),
— (Iodure). Appl. à Tiodurat. dtf
comp. aromat., Stt, 10 [Ediogff*
GoJdborg) .
Spectres. Spectres des fuméc^i da
puddlage et du Bessemer, M ^
ŒarUoy, Bamagt'}. — Appl. àt
rorcanette à Tétude des sp<»rtrt**
«6, 953 [ Forma aek). — Noov,
dispositif pour obtenir dos (hmiDH
colorées, «6, lU27,l'>i8 Bt^ckmaanu
Sperme. Réacl. caract., M. Hi
{Struvo),
TABLE DES MATIERES.
141S
Spinelle. Voy. ALmiNniii.
Sponoine. Propr. de la lysine de
dédoub., «6, 28 (H(»ndor80D).
Stannine. Voy. Etain.
Sti^ahine. Voy. Stkariqce.
Stéarique (Ac). Distill. «It Tac. et
de la sïéarine sur la poudre d'^ Zn,
«S, i2i. tue (Hcberl). — Pouv.
rolal. do l'élhcp iso-amyl. actif,
9S^ 549 {Guyc). — Form. à part.
de Tac. ricinoléiquCf Se, 9, 617
(KasaDczky). — Indice de réfracl.
do la tnsK^arine, S6, 63 {Partheil,
Volscn). — Prés, et dos. dans
l'esitence de cascarille, 1t%, 156
{Fendler\ — Dos. dans la graisse
du cbyle humain, S6, SiS [Èrbon).
— Prés, dans l'huile de blé, S6,
351 (Vultô, Gihsou). — Tribolura.
de l'élher menthyl., S6, 458 ( Tschu-
gacff). — Propr. des sol. de stéarine
dans la paraftlne, 1S6, 658 [Don-
nan).
— (Bromo-) (Ac.K Forra. à pari, de
Tac. ricinoléique. Propr., S6, 9,
617 {Kasaaezky].
(D/-) (Ac). Form. à pari, de
Tac. ricinoléique. Kéduct., €6, 9
{KasaDôzky). — Transf. en ac.
dioxystéarique, S6, 375 {Albitzky),
— [Bromo^oxy^) (Ac). Prép. des
isoni. à part, des ac. oléique et
élaïdique. Propr., et, 289 [Albitz-
ky) .
— [Chloro-) (Ac.l. Prép. à part, des
ac. oléique et élaïdique. Propr., S6,
290 [Mbitzky).
— [Chloro-oxy-) (Ac). Prép. des 2
isom. à part, des ne. oléique et
élaïdique. Propr., dér. acélylés,
«6, 288 (Albitzky).
— (Ox/-) (Ac). Form. à part, de Tac
ricinoléique. Propr., SU, 10 [Kasa-
nezky). — Conslit. dos isom. at el 3.
Prép. a part, de Tac oléique, M,
42 [Joukof, Chestdkof). — Prép.
au moyen de Tac. chlorostéarique,
aee, 2J1 [Albitzky]. — Prés, el
dos. dans la graisse de chyle
humain, €•, â28 lErbcD"^.
i/>/-) (Ac). Prép. des 2 isom.
à part, des ac. oléique et élaïdique.
Propr., S«, 2e8, tJ.»2. — Prép. à
part, des ac. élaïdique, oléique et
dibromostéarique. Isom., S6, 375
{Albitzky). — Form. par oxyd. de
Tac ricinoléique. Propr., M, 617
{Kasaaezky),
Y-Stéarolactone. Prép. à part, de
Tac. oléique. Propr., constit.,
oxydai., ««, 42 [Joukof, ChcstakoO.
Stéarone. Form. par disi. du stéa-
rate de Ca, «5, 434 iHobert].
Stercobiline. Dos. dans la bile
d'ourg blanc, !S6, 9)2 [Hammar-
êtCB),
Stémkocaulique. Voy. Usnénitioui.
Stkréochimie. Racém. partiels de Az
ncnta valent, St, 56 {Kippiagy^.-^
Dér. actifs de S télra valent, M>,
138 [Pope, Pcachey).— SU'véochim.
de Àz pentavalent, S6, 499 (K'ip-
piog, Mali); ««, 704 [Popt*. Har-
voy). — Isom. stéréochim. de Co,
««, 886, 888, 88 J [Worner, Hum-
phrey^ Gorb).
Stibine. Voy. Phénylstibine.
Sticlaurine. Prés, dans div. lichens,
«6, 647 {Hesse).
Stilbazol. Prép. des dér. o-, m- et
p-nitrés par cond. de Ta-picoline
avec les ald. nilrobenzoVques. Propr.,
sels, dibromures, ZS, 494 (Fast),
— (a'-PHÉNYL-). Prép. par cond. de
Tald. benzoïque avec rx'-phényl*a-
méthylpyridine. Propr., sels, dér.
dibromé, o-hydroxylé, €•, 215, 216
{Dchacl).
ac-Stilbazoline (a-PHÉNTL-). Prép.
par réd. du phénylstrlbazol. Propr.,
sels, S6, 216 (DchDcl).
Stilbène. Synlh. par cond. de Tald.
benzoïque avec 1 ac. phénylacétique.
Act. de AzO^\g sur le^ dibroniure,
««, 2îtô [Walthor, Wciziich). —
Ad. des vap. nitrcuscs. Prép. et
propr. du nitrosile, tS€, 478
{Schmidt).
— {Amiuo-2.4-) (/>/-). Prép., propr.,
sels, et, 1088 {Thiolc, ÈacaJes).
— (Amiao^.i.H'-) { Tri-). Prép., propr.,
t€y 1088 (Thiclc, Escales).
— iAmiD0'^.4.S^') [Tri"). Prép.,
propr., ««, 1088 {Thiolc, JUseaha).
— {AminO'S.4.4'') (Tri^). Prép.,
propr., «6, 10«8 (Thiclc, Escales),
— {Ami 00-2-0 itro-A-^ Prép., propr.,
sels, dér. acélylé. S6, 10& [Tbith,
Escales).
— {Amiao^'Oitro-S'^ . Prép., propr.,
sels, dér. acélylé, et, loSs {TbicJe,
Escales).
— (ChIoro-4'). Synth, par cond. de
Tald. benzoïque avec Tac />-cliIor(>-
phénylacétique. Propr., dér. p-mé-
ihoxylé, «6, 296 {WaJthcr, Wetz-
lich] .
— (Nilro-) {Di'). Prép. au moyeti
de Tacéloxime et du chlorure de
p-nitrobenzyle, H^, 51 {Schrocter,
Pescbkcs), — Form. des isom. cit
et Irans à part, du tolane. Propr.,
««, 478. — Transf. du dér. «.? en
Qt.p.^. î-télraphénylpipérazine, St,
496 [Schmidt). — Form. du dér.
2.4 par cond. de l'ald. benzoïque
avec le dinitro-2.4-toluéne. Propr.,
dibromure, ««, 1088 (Tbiele, Es-
cales).
— {Nitro-^ (Tri-). Prép. des isom*
2.4.2'. 2.4.3' et 2.4.4' par cond. du
1414
TAliLE DES MATIÈRES,
diQitro-2.4-toluène avec les 3 ald.
nitrobenzoïques ; propr., S6, 1088
{Tbiele, Escales).
— {Métboxy-4-). Synlh. par cond. de
l'ald. anisique avec Tac. phénylacé-
tique. Propr., dibromure, dér. nitré,
chloré et bromé-4', S6, 2d5, 296
{Waltbcr, WcUlicb).
— (Métboxy-3.4.3'.4'-) {Tetra). Fovm.
par cond. du chloral avec le véra-
trol ; propr., 26, 26) (Fouerstein) .
Stilbbne (p-IsopHOPYL-). Synth, car
cond. de Tald. cuminiquo avec Tac.
pbénylacélique. Propr., dibromure,
dér. p-nitré, «tt, 295 {Waltber,
WeUlich).
Strontium. Propr. des sol. aqaeuses
sursat. de nitrate, SS, i\S{Wyrou-
' boff). — Act. de SrCl" sur le
plato-oxalonitriie de K, 2S, 164
(Vèzes). — Tri-anliraoniale, SS,
289 {Delacroix). — Décomp. de
SrCO' par les ac. en prés, d'alcool et
d'acéione, «5, :i94 {Vallée). —
Prép. et propr. du borate tribasique,
«5, 524 (Ou Krar(/). — Titrage de
PO*H' par Teau ou le sucrate de
Sr, «5, 904 (Cavalier). — Equil.
entre SrCl» et PO*H% «5, 967
{Bertbelot). — Infl. de SrBr* sur
la bromurat. de C*H*, S6, 43
{Kaufmann). — Prép. et propr. de
l'aluminate, Se, 361 [Allen,
Bogcrs). — Nitrohydroxamate, 1^6,
519 (Angeli, Aogclico). — Prés, de
Sr dans les eaux de Salsomaggiore,
«6, 525 (Nasioi, Andorlini). —
Vil. d'hydirol. de COS par SrCP,
S6, 862 (Bucbbock). — Propr. et
conduct. électr. de l'iodure double
de Cd et Sr, S6, 1052 {Jones,
Caldwcll). — UranoK>xalate, S6,
1056 {Koblscbutler, Bossi). — Act.
de AzH' sur les sels, 26, 1124
{Dawsonf Mac Crae),
Strophantidine. Form. à part, de la
strophantine. Propr., hydrate. Dér.
bonzène-sulfoné. Hj'drolyse, S6,
190 {Fcist).
— (PsBUDO-). Form. à part, de la
pseudo-strophantine. Propr., 26,
190 {Feist).
Strophantidique (Ac). Form. à part.
delà strophantidine. Propr., lac-
tonc, «6, 18 J, 190 {Feist).
Strophantine. Prés, dans les graines
de strophantus. Propr., hydrate,
26, 189, 190 {Feiat).
— (PsEUDO-). Prés, dans les graines de
strophantus. Propr., 26, 190 (Fm'sO.
Strophantique (Ac). Form. a part.
de Tac. strophantidique. Propr.,
sels, 26, 191 {Feist).
Strophantobioside (MÉTHTL-). Fopm.
dans Thydrol. de la strophantine.
Propr., 26, 191 (Feist),
Strophantus (Gluooside)« Constit..
prés. d*ouabaîne et de stropbantincs.
26, 189 {Feist).
Strychnine. Act. des bpomares d'êlby-
lène, de propylëne, de irimélhylene
Prép. et propr. des sels de broa-
élhyl-, vinyl- et IriméihylèDe-di-
strychninium, %%, W (Trowbrtdgf .
— Act. de i'ac OlicîtaDniqQa
sur les sels, 26, 155 (lieich'. —
Propr. du glycuronate, 26, iUU
{Ncuberg). — Prép., propr. et s«l«
de la comb. avec ra-chiorhydrin»
de la glycérine, 26, 202 {BicDea-
tbal). — Tribol. de la base et des
sels, 26. 459 {Tscbugst^fC). —
Relat. entre la conduct. electr. des
sels et leur act. toxiaue sur let
poissons, 26, tOS {hablenbt^rg,
Afobl), — Sels des ac. cin^oliqu*»
(/, / et r, 26, 8)9 {Bupe, Bonub..
— Act. de Br; dér. mono-, di- »*t
tribromés. Perbromure, 2#, 956
(Kippenberger). — Act. du bro-
mure de p-xylylène, 126, 9(16
{Manoukian). — Sels des ac. diby>
dro-ox^'-a-campholytiqucs d, J et r.
26, 1119 {Noyés, Btanebard\.
StRYCHNINIUM [p - XYLTliNK - BIS -
(Bromure). Prép., propr., 26, Sft*7
{Manoukian).
Sturine. Dos. de Thistidine, de Tarp-
nine, de la lysine et de Az amide,
26, 385 {Kossel, Kutscher).
Styphnique (Ac). Voy. Résobcofs
{,Xilro'2.4.6') {Tri-).
Styrolène. Act. de I et HgO. Comb.
avec lOH, 2S, 338, 446 {BougauU-.
— Béd. en prés, de Ni et Cu, 28,
610 {Sabatier, Senderonn).
— {a.^'CblorO'mùtbox}''4-) .Oi-^
Prép. au moyen de rw-chtoro|^
méthoxy-acétopbénonc ; propr.. 26.
623 {Kunckell, Eraa).
— (§.p-C/i/oro-ii2o«i!iox/-5-^ (D/-'.
Prép. à part, de ro-méthoxytrt-
chlorométbylphénylcarbinol. Propr..
26, 8 {Lébédet).
Styrolènb (Bromure). Prép. i part,
de Téthylbenzène. Aet. de KOH
alcool., 2S, 311 {Mourcti^DelaoQt-
Styrolène (p-Ethyl-). Pr^p. da «r.
«.S-dichloré à part, de PtoH^hlofo^-
étnylacétophénone. Propr., 26, t»
{KunckeJlf Koritxky).
Styrolène (p-Isopropyl-). Prép el
Sropr. du dér. a.â^ichloré* 26.
22 {Kunckcll, KnritMky).
StYROLÈNB (IsOPROPYLMéTHTL-). Déf.
a.^ichlore, 26, 622 [KuocktJK
Koritzky) .
Styrolène Q>-Mktbtl-). Prép. do
dér. a.^-dichloré à part, da U
p-tolylméthylcétoae. Propr.. art, d^
KOH, de Na. Dér. o^chloré^ 26.
621,622 {Kunckell, Gotaeh}.
TABLE DES MATIÈRES.
1415
— (Mktmtl-I.S-) (Di-). Der. a.S-
dîchloré, 26, 622 (KuDckeU,
Gotsch).
— (MiTHTL-1.4-) (Di-). Dér. ocô-
dichloré, fte, 622 {Kunekell^
Gotsch),
— (MÉTHYL-2.4.6-) (Tri-) Dér. a.B-
dichloré,««, 622 {Kuackell, Koritx-
ky).
STTROLBlfB (MKTRTLkNE-DIOXT-3.4-).
Prép. du dér. a-bromé à part, da
dibroroare d'ac. pipéronylacrylique.
Propr., 99y 643 {FeuersteiD, Hei-
mann).
drmoLBNB (Thtmoxt-). Voy, Thymo-
Sttrtlcarbtnol (MéTmn.-). Form. da
dér. o)-trich1oré par oond. d« J'ald.
cinnamique avec CHCl*. PpMir*,
set. de KOH, «6, 37 [DrbogJal),
ScBÉRiQUB (Ac). CoDst. therm . ,
SS, 361 {pclépÎDt). — Form. par
ozyd. de l'ac. S-oxystéarique, S6,
42 {Joukof, Chestakof). — Const.
de dissoc, ۥ, 396 [Petrenko-
Kritscbenko). — Prép. el jpropr.
des h^drazide et azide, M, o67
(Curtjus^ CJemm).
SucciNiQUE (Ac). Cond. de Téther
diélhyl. avec l'iodure de Mg-éthyla,
5K, 340 {Valeur). — Form. dans
Tact, du Bac. tartricus sur les
tarira tes et div. sucres, IK, 415
{Grimberi). — Dens. et poids mol.
de Tétber neutre du boméol, ItS^
612 (Afinguin, BoUcmont). —
Form. par oxyd. du myrcénol,
96, 689 {Barbier), — i5uccinate
neutre du di-iodophéno!-2.4, ItS^
822 (BrcnaDs). — Appl. à la purif.
du linalol. Propr. du succinate.
%S, 830 {Barbier) . — Apol. à la
sépar. éleclrol. de Co et Ni, fS5,
970 [Balaehowsky). — Form. dans
Tact, du form. mannitique sur div.
sucres, !SS, 991 {Gayon, Dubourg).
— Sel lutéocoballique, eS, 1030
{Klobb). — Form. à part, de la
Btéarolactone, S6, 42 (Joukof,
Chestakof), ^ Extr. de la téré-
benthine do Strasbourg, <•, 64
{Tscbircb, Weigcl), — Prés, dans
le baume du Canada, 26, 64
(Tscbireb, Bruning), — Oxyd. par
KMnO' en 9ol. persulfurique. M,
66 {Bacyer, Villiger), — Prés,
dans la térébenthine du Jura, 20,
150. — Prés, dans la térébenthine de
Bordeaux, ۥ, 157 {Tsr.hircb,
BruniDq), — Const. de dissoe.,
tee, 19Ô (McUor). •— Prés, dans
les coriaria, 26, 267 {Eastcr/iold^
Aston). — l'^orm. par ferment, du
xylose et de Tarabinose, 26, 321
iSalkowski). — Form. par oxyd.
du furfurol, 26, 381 [CrosSy Bevan,
Briggs). — Appl. au dos de l'albu*
mine dans Turine, 26, 445 {Jolies).
— Tribol. de Téther menthyl., 26,
458 {Tschugaeffi, — Cond. avec
Tac. glyoxylique, 26, 466 {Docbner).
— Form. par déc. de l'ac. a-méthy-
lène-glularique, 26, 466 {Pech^
manoy Bobm), — Propr. toxiques
du sel ac. de Na, 26, 524 {Kah-
lenberg, Austin), — Form. par
ferment, de Tac. aspartique et du
glucose, 26, 653 (Harden), —
Acidité des sol. aq. de Tanh., 26,
658 {Stadt), — Cond. de Téther
diéthyl. avec le furfurol, 26, 688
{Ficbter^ Sebeuermano), — Recher-
che et transf. en indol, 26, 819
{Neuberg), — Eloctrol. du sel de
K, 26, 897 {Petersen), — Form.
par ferment, du lactose et de la
mannile par les schizomycètes, 26,
929 {EmmcrJiDg). — Form. par
oxyd. mangan. de Targinine, 26,
941 {Kutscber), — Oxyd. de Tamida,
26, 1129 (Joi/os).
— (Bromo-) (Ac). Acl. sur la quino-
léine, 26, 528 (Simon, Dubreuil),
— (CAyoro-) (Ac). Form. et propr.
de Tanile, 26, 766 ( Van Dorp, van
Jlaarst). — Form. à part, de l'ac.
aspartique, 26, 333 liocbem),
— {oi.p-Métboxy-) {Di-) (Ac). Prép.
à part, de Tac. tartrique. Propr.,
sels, éthers, amides, 26, 683 {Pur-
die, Jrvinc), — Infl. des solvants
'Sur le pouv. rotat. des éthers, 26,
eSAlPurdie, Barbour),
— {3L-Oximido-) (Ac). Form. à part,
de Tac. oxalacétiqne. Propr., dér.
acétylé, 26, 198 (Fenton, Jones).
SuocixiQtE (Aid.). Prép., propr.,
hydrate. Acétal, oxime (dér. diben-
zoylé, diméthylê), />-bromo- et di-
phonylhydrazonea. Cond. avec l'o-
phényléne-diamine, 26, 685 {Mar-
ries) .
SuCCINIQUE (a.§-ACKTTL-) (Dl-)
(Elher). Cond. avec le /^diazoto-
luène, le ^-diazonaphtalène, 26,
723 {Uùlow, Schlesinger),
— (p.^-AcÉTTL-) (Di-) (Elher). Act.
de AzH', 26, 72i {Rabe, Knorr).
SucciNiQUE (Alltl-) (Ac). Const.
de dissoe, 26, 199 {Mellor).
SucciNiQUE (Benzotl-). Voy, Ben-
ZOTLSUCCINIQUB.
SucciNiQUE (Ethtl-) (Ac) . Const.
de dissoe, 26, 199 [Mellor).
— (s-Ethtl-^.^-diméthtl-) (Ac).
Prép., propr., const. de diaaoc.,
26, 134 (Booe, Sprankling).
SucciNiQUE (a-lsO-AMYL-^.^-OIMÉTHTL-)
(Ac). Prép., propr., const. de
dissoe, 26, 1^ {Bono^ Spran-
kling).
1416
TABLE DB8 MATIÈRES.
— (a-ISO-AMYL-p-MÉTHYL-) (Ac). Prép.»
f»ropr., const. de dissoc, 1B6, l*'^
{BoDCt SpraokUng),
SUCGINIQUE (ISOBUTYL-) (Ac). CoOët.
de dissoc., ftS, 199 (Mellor),
(Di-a.^) (Ac). Prép., propr.,
const. detKssoc., !20, 134 {Boae,
Sprankliog) .
— (flt-IsOBUTYL-p.p-DmfrrHYL-) (AC.)«
Prép., propr., const. de dissoc.,
S6, IS4 {ÈoDe; Spraakling),
— (a-ISOBUTYL-p-^MÉTHYL-) (Ac).
Prép., propr., const. dodUsoc.,
%U, 184 {Bone, Sprankling).
SUCCINIQUB (ISOPROPYL-) (Ac.)* ConSt.
de disscc, «6, 199 {Mellor). —
Form. par oxyd. do Tac. isopropyl-
lévulique, «6, 301 (SeiDœ/erj. —
Porm. par oxyd. de la carvotaoa-
cétone, ««, 1170 (Harries),
— (a-IsopROPYL-§.p-DxjiéTHYL) (Ac).
Prép., propr., const. de dissoc, !t6,
134 [BoDc, SptanklÎDg).
SucciNiQUB (MÉTHYL-) (Ac). Const. de
dissoc., ««, 199 {Mellor). — Form.
Sar oxyd. de Tac. dicrotonique, 1SC,
79,980 (PeêbmaDB).
—- (a.a-MKTHYL-) (Di-) (Ac). Prép. et
propr. du dér. ^-bromé, 1S6, 135
[Fichter, HJrsch), — Form. à part,
desac méthoxy-etéthoxycaroniques,
£6, 1016. — Form. par oxyd. des
ac. diméthyldicyclopentanone- et oxy-
diméthylcyclopentanonecarboniqaes,
se, 1019 (PcrkiD, Thorpc).
— (a.p-MÉTHYL-) (Di-) (Ac). Forn^.
par méthylat. de Péther a.p.p'pro-
panelrtcarbontque,tSII,470(^ici!2ae7).
— Prép. du dér. a-aminé à part, de
Tac. pyrocinchonique. Propr., anh.,
imide, sels, S6, 555 {Mohaari),
SucciNiQUE (pROPYL-) (Ac). Const. de
dissoc, ««, 199 {Mellor).
— (a-PROPYL-p.p-DIMKTHYL-) (Ac).
Prép. propr., const. de dissoc, tS6,
134 {BoDC^ Sprankling),
— (Ot-PROPYL-P-METHYL-) (Ac). Prép.,
propr., const. de dissoc, 26, 134
(Bone, Sprankling).
SucRAMiNE [S/n. Sacchabinate d'aii-
monium]. Voy. Sacchauinb.
SucRASE. Prés, dans les raisins, tK,
699 {Martiaaud).
Sucres. Dos. calorim. de la dextrine
et du dextrose, !SS, 251 {Meunier).
— Prés, d'un sucre amorphe dans
les firuits de rhamnus catUartica, tS6,
79 {Tscbirsch, Polacco)» — tJépar.
de Tac glycuronique, 1S6, 200
(Ncuborn). — Infl. sur Télimin. du
sucre de l'ingestion de caséine,
ovalbumine et gélatine, !t6, 944
{Beadix). — Dos. par la phényl-
bydrazine dans rurine, £6, 1062
AaimaDD).
— Voy. Saccharose, Glucose, Lévu-
lose, STBOPnANTOBtOSfDB.
SuiP. Constit. : absence de glToërides
mixtes, £«, 977 {Holde, SUngt).
ScucT. Analyse, £t, 7UiBoratratgeri
SULFANILIQUE. Voy. ANIUINB«|>-8UL-
PONtQfJE.
Sulfates. Voy. Siilpumqub ti ka
divers riiétaux.
SULFHYDRIQUB (AC). Fom. dSBt
raoi. de H sur BiS. AoU sur Bi. tS
150 {Pélaboa). — Form. dans Tiel.
de reau sur le granit, <S. fil
{Gautier). — Form. de aulAires
dans Tact, de C sur div. sulbte»,
!M», 2^ {Boudouard). — Ad. an
H*S sur les sol. de MoO* et TuO*
dansSO*H*, «5,341 {Bailhache). -
Dos. de H*S dans les rochee igné««,
SS, 403. — Sépar. et dos. de ITS,
des sulfures et polyaulfùrc*», U»
482 {GautierV — Act. de H"S wr
Ck) Si, «S, 540 {Leheau). — Ad. de
H"S sur Hg. Act. de H sur HgS, 0,
777 (PélaboD). — Constit. des dî-
et polysulfures métall. et orgiB..
55, 983 {Blanksma). — Form. de
H«S dans Tad. de H*0* sur Na«SW.
56, 34 (iVai)/). — Solub. de NiSeo
prés. d'ac. tartrique, S^ lt0 Wo-
urer). — Act. de I1»S sur BCl» et
BBr*. Form.de B« S*,«ll,275(Sioc*.
Poppenberg), — Générateur à H*S,
M, .1(59 {Kœnig). — Act. de NVS*0'
sur les sels de Pb, Ni, Co, Hg, «"t
Ag. Form. des sulfures oorresp.,
si, 455 (Faktor). — Infl. «ke
sulfures sur le dos. de F«,
«6, 456 {Hillcbrandt. Stak^s). —
Form. de H«S dans Tact, de Nt*SV)'
sur SO*H' monohydraté, 9€, 3«3
(Vauiïo/).— Act. de As«S» et A«^*
sur les alcalis. Form. deSb'S^dans
Tact, de Témétique sur A»S*Na*,
««, 563 (Wd/n/anc/, /^Amann).—
Conduct. éloctr. et bydrol. des etU
de Na, »6, 597 rU'ai^rr). — Non»,
appar. à H*S, ««,608 (Frorichti. —
Act. deH"S sur Pi oolloïd.,««,«4
{Brcdig^ Bcrnûck). — Sépar. de H^S
et Asîl» par Cu"Cl\ «•, 670 Dow-
tard). — Propr. colloïd. de dir. sul-
fures, «•, 839 (Hardy). ~ Trantt
des sulfures de lig, bb. Sn en cbia^
rures par SO«Cl* d AlGl».e«, 8»! -
Act. do H"S sur SOCP en pré*, dt
AlCl». Ad. sur AsCP, M. 886
{Buff). — Aci. do H«S et des «ulforef
sur Pt et Au colloïd., %€, iCOd Brf-
dig, Ikeda, Beinden)*
SULFOBBMZIDE. Voy. PmÊHYLSCLFO!»
(Di-).
SULFOCARBONIQOE (OXT-) (âc). PfÇp.
et propr. du sel de Fe ; prés, dan»
reau du Rhôna. «S. 180, »
(Causse)*
TABLE DES MATIÈRES.
1417
SuLPOCTAMiQUC (Ac). Act. des sels
sur le sulfate de Mo, %B, 343 (Bail-
hêebe), — Prés, du sel ammon. dans
les rocbi»8 ignées, !SS, 404 {Gau»
tier). — Const. therrn. de Téther
phényl., 1^6, 526 {Berthclot). —
Appl. àla sépar. électrol. de Ni et
Co, tes, U70 (Batachowfik)r).^AppL
à la recherche des sels rcrriaues, m,
992(Ko2i/ncJlc). — Act. du sel ammon.
iMir le persulfate, Torm. de canarine,
S€, 78 {Pawhwski). — Prép. et
propr. du suITocyanate de «p-cyano-
benzyle,««, 112 (A/oses).— Appl. à
la recherche de Co, sels doubles de
Co et K, Co et AzH*, S«, 181
\TreadwcU)- — Act. dd sel de K
sur les chloracétanilides, €6, l7{6
{Grolbe ; Fterichs, Boekuris). —
Cond. du se! de K avec la chloracé-
lylurée et la chloracétanilidc, 36,
187,188 [Frenchs, Bcckurts),— Se\
chromidiétbylènc-diaminique, S6,
139 (Pfciffcr). — Color. des sels de
K et Na à chaud, S6, 198 {Giîcs).
— Prép. et prop. du sel de cobalt
hydraté, 36, 24o (Kournakof). -
Scltiiauique, ee, 2^ {Rof<cohcim,
SchûUe), — Appl. au dos. de Cu et
Ag, ««, 281 (Namo). — Acl. du sel
de K sur le chinrh. de glycine, 26,
311 (Ifarrios^ Maurus). — Propr.
des suirbeyanatex d*acétyle et ben-
royle, «6, 8J8, 394 (Wheehr,
AusUd). — Act. sur l'aniline, S6,
420 {Mevos). — Acl. de POCP sur
le sel de Pb. Propr. des trisulfocya-
nates de P et de phusphor^le, tè6,
451. — Act. sur l'a-épidichlorhys
drioe. Prép. et propr. des étbers ^-
chlorallylique et S^chloro-^-j-dibro-
mopropyl., !86, 497, 498 [Dixoa].—
Transf. en canarine par oxyd., 36,
667 [Goldberg). — Hceherchc dans
les bromures par FcCI\ «6, 670
{Smith). — Infl. du sel de K sur
l'attaque de Cr par les acides, te6,
875 {Ôstwatd). — Héact. avec les
sels dtétbylène-diaminocobaltiques,
«6, 887,888,889 (Wcroer, Huai'
phrey, Gerb) . — Extr. du suc gas-
trique, 26, 987 {NeDcki\ SicbcPj.^
Propr. du sel de Co ; sépar. de Ni,
€6, 1059 {Bosonheim^Huldehinskv).
— Dér. colorés jaunes, 26, lf23
(Goldberg). — Acl. des sels sur les
éthcrs chlorocarbôniques, 26, 1127
{Doraa).
SuLFOCYlNIQÎfE (IsO-) (Ac). CoUSt.
therm. de Téther phényl, 2S, 526
{Bcrtbclot), — Prés, de Tcther cro-
tonyliqno dans l'essence de colza.
Propr.. 25, 979 [SJolIema). —
Cond. avec la cytisine, la carpaine,
la conhydrine, 26, 18. — Appl. de
Téther phényl. à la sépar. de la cy-
tisine et de Tanagyrine, 26, 19
ILîtterschcid). — Form. par déc.
des naphtyl- et o-tolylacétylthio-
urées, 26, 41 {HugershotT^ Kœnig)»
— Cond. des éthers phényl. et àl-
lyl. avec le dihydro-iso-indol, 26,
217 [Fra^okol), — InH. des éthers
sur la coagul. de l'albumine, 26,819
{Spiro). — Comb. des éthers allyl.
et phényl. avec Tac. o-aminosalicy-
lique, 26, 418 {Zahn). — Comb. des
éthers méthyl.. éthyl., propyl et ben-
jtyl. avec les thio-acides. Ether cé-
lylique, 26, 679. — Propr. de l'éthiBr
chlorallylique, 26, 680 {Wbcchr,
Mcrriam). — Cond. de l'élher phé-
nyl. avec la benzénylphénylamiainc,
26, 093 ( Whechr). — Cond. do
l'élher phényl. avec le glycine, 26,
748 {É. Fischer), — Cond. des
éthers allyl., phényl. et tolyl. avec
les ac. dithiocarbaziniques arom.,
26, 785,787 {Busch, Wolpcrt). —
Cond. de l'élher phényl. avec les
diphényUl 4- et 2.4-thi08emicarba-
zides, 26, 790,792 (Busch, Hoïe-
mann). — Cond. de l'élher phényl.
avec l'acétal 3-aminopropioniqoe,
26, 97.5 { Wohï). — Cond. de l'élher
phényl. avec l'aminocyclopropane,
26, 979 [Kijner). — Form. de
l'élher phényl. par déc. de l'élher
diphényllhiosemicarbnzi nocarbo -
nique, 26, 1004 (Busch.Grohmann).
— Héd. de l'élher phényl., 26, 1096
{Gutbicr). — Comb. de l'élher iso-
am^l. avec l'ac. thiobenzoïque, 26,
1097 {Wheoler, Johnson).
SuLFOCTANiQUE (pER-) (Ac). Form.
dans Tact, du sulfocyan. de Pb sur
TiCI*, 26, 2IS0{Rosenhcfm, Schûito).
SULFOCYANOCARBONIQUE. Voy, CaRBO-
NIQUE {SulfocyanO').
SuLFONRs (CÉTO-). Form. par oxyd.
descétomercaptols,26,89 {Posner),
SuLFONiQUE (Am.^o-) (Ac). Applic. à
la sulfon. des comp. arom., 26,
1091 (Paal).
-^ pîiTRiLO-) (Ac). Prép. et propr. des
sels de Na et Ba, 26, 1121 {Divers,
Haga).
SULFOVANADIQUE (Ac). Voy. VaNA-
DIQUE (SULFO-).
Sulfureux (AcK Form. de SO* dans
Tact, de C sur div. sulfates, 2S.
284 (Boudouard). — Form. de SO"
par déc. du sulfate de Mo, 2S, 344
[Baiîhachc). — Form. de SO*Na"
dans l'act. de H*0" sur S"0»Na", 26,
84. - Form. de SO*Na" dans l'act.
de H*0« sur S*0«Na«, 26, 129
{Nabi). — Form. de SO" par déc de
Thydroxylamine-sulfonate de Cu,
26, 13'J (Divers, Haga). — Appl.
de SO" à la réd. de As"0* en AsCl*
I pour l'analyse. 26, 180 [Hohmcr).
1418
TABLE DES MATIÈRES.
— Porm, de SO' dans Tact, de S
sur SeO* oade Se et Te sur ia diphé-
nylsulfoiie, 1M, 273 {Krafft, Stei-
. ncr), — Acl. de SO" sur le sulfate
ruthéoeux. Forro. de suiflie rulhé-
nique, 26, 520 (AntODy^ Lmccbtsj),
— lofl. des sels sur la décomp. 4es
hvposulfltes par les acides, 26, 605
{OettiDgeD), — Form. de SO* dans
l'action de H«S, S ou I sur SO'Gl"
en prés, de AlCl», «6, 884 {ButT). —
Oxyd. par KMnO^ en sol, alcaline,
«6. 899 (Vorlacnder). — Const.
diéleclr. de «0*, «6, 1032 {Bacde-
kcr). — Act. des sels sur PtcoUoïd.,
26, 1039 [Bredig, Ikeda). — Ré-
duel, de Sb«0» par SO", «6, 1057
{Bohmcr). — Acl. de SO* sur
AzO'Na. 26, 1121 {Divers, Haga).
— {Amino-) fAc). Form. à part, des
iminosulûtes, 26, 1121 (Divers,
Ogawa),
— (Jmino-) (Ac). Prép. et propr. des
sels de Ba,!K, AzH*, 26,ll21(DiKcrs,
Ogawa).
Sulfureux (Htdro-) (Ac). Oxyd. par
KMnO* en sol. alcaline, 26, 899
(Vorlaender),
SuLFOREOx (Hypo-) (Ac). Act. de H*0*
sur Na"3*0», 26, 34,129 (Nabi).
— Applic. de Na*S'0' au dos. de
Fe et Cr par Kl et KIO% 26, 249
{StoclCy Masaciu), — Appl. du sel
double de Bi et Na à la recherche
michrochim. de K,Rb, C8,In, Tl,26,
365 (Huysse). — Acl. sur les chro-
mâtes et les sels de Pb, Ni, Co, Hg,
et Ag, 26, 455.— Acl. de PO*H» à div.
concentr. sur le sel de Na, 26, 562
(Faktor). — Décomp. par les ac. en
prés, de div. sels, 26, 605 {Oottin-
gcD), — Décomp. spontanée, 26,
845 (HoUeman). — Réact. avec les
sels diéthylèno-diamÎDOcobaltiques,
26, 887( WcrneryHumpbrey) . —Act.
des sels sur Pt colloïd., 26, 10S9
(Bredig, Ikcda). — Appl. à la sépar.
de Ni et Co, 26, 1057 (Doaatb).
SuLFURiQUB (Ac). Act. de C sur div.
sels, 2S, 284 {Boudouard). — Act.
sur MoO» et TuO\ Sulfate de Mo,
2S, 341 {Bailbaehe). — Infl. sur la
form. des acétals, 2S, 349 {DeJé-
pino). — Act. sur les carbonates al-
calino- terreux en prés, d'alcool et
d'acétone, 2S, 394 {Valïco). —Re-
cherche de Se dans SO*H' au moyen
de C"H", 2S, 482,490 [Jouvo). —
Act. do HCl sur Na"SO*, 26, 532
(Sisley), — Prép. et propr. de Tac.
mobybdosulfUrique ; sels, 25, 611
(Pêùhard). — Sels complexes dePt,
2S, ISQiBJoDdoI).^ Prép. et propr.
des sulfates basiques à deux métaux,
2S. 968 iBocoura). — Form. dans
l'act. de H«0" sur Na«S*0*, 26, 34
(Nabi). — Act. de HK)*, 26, «
{Ortoû, Blaokmana). — Fomu dam
l'acUon de S sur SeO*, 26, 273
(Kraffl, Steioer). — Prép. électrol.
des sol. titrées, 26, ^A iMcade-.
— Conduci. électr. de quelques sul-
fites doubles. 26, 353 (UDésay),--
AcU de SO*H« sur Tiodura d'Ai,
•6, 356 [CbaUaway, Sterens), —
Prép. et propr. été aluns de Rh,
26, 362 {Pieeiai, Mêriao}. — Act.
du sel de Pb ou des aluns sur \m
nitrates alcalins à chaud, 96, 4M
(Permaà). — Electrol.; aot. str
rac. persulfurique, 26, 561 {Baoyer,
Villiger). — Acl. à div. concentr.
sur Na*S'0', les safraniues, rosis-
dulines, etc., 26, 563 [Vmubtt . —
Hydrol. ^ div. sels, 26. QBO (Bro-
ner). — Conduci. électr. des Tapeurs
de div. sels, 26, 602 {Smîihells,
DawsoD, Wilson). — Rcl. entre U
conduct. électr. de Tae. et des sais
et leur act. toxique surlespoisAoos,
26, 603 iKableobfrg. Me^bt). —
Infl. sur la vit. d'oxyd. des sel.
oxaliques, 26, 659 {Joris.scn, Rti^
cber). — Appl. des sol. de SO* «I
P"0» dans SÔ*H" à la dessic. des
Raz, 26, 673 (Udof). — Conduct.
électr. des sol. aq. au point dr
congélation, 26. 838 (WAdiliaai). —
Infl. des sels sur la solub. des non-
électrolytes, 26, 840 MoihmuDd.,
— Pouv. roiat. magnètiqua de Tac.
et des sels de AzH*, Na, Mg, U.
26, 849 [Forcbcimer). — Propr.
des sels doubles hydratés de Cd at
Fe, Mn et Cu, 26, 857 {Siortenbec-
kcr). - Vit. dhydrol. de COS par
SO*H*, 26, 862 (Buebbock) . — A^
laque jpériodique de Cr par SO*H\
26, 875,877 {Ostwald). — AcL sur
le persulfate de K, 26, %0 [Bsch .
— Points de fUs. at solobtl. das
aluns, 26, 1026 [Locke). — Ind.
sur la dissol de As*0* dans l'eau. 26.
1032 (Drueker). — Tens. de rap. d#
quelques aluns ou sulfates doablaa
hydratés, 26, 1044 (HoUmana*.
SuLFURiQUE (Anhydride). Prép., ni>opr«
25, 772. — Propr. ^ida mol..pi>>
lymoiphisme, 25, 897(0(/(/o).
SuLFURiQUB (Chlorhydrine) • Appl. é
la prép. des sulfatas acidea de plié-
nols et alcools, 25, 46 (Verhv).
SuLFURiQUE (Ethers). Preç. de% sul-
fates ac. de phénols, 25, 46 (rerle/^.
SULFURIQUE (Di-) ( Anh. ) Prép . , propc »
25, 772,899 (Oddo).
SULFURIQUB (Pbr-) (Ac,)* Act. tQr
div. comp, azotés de TorganUaie,
25, 383 (Huooaoeaq). — Appl. da
sel ammon. a la sépar. de C«, 26,
2 (W/i/, Tbeel). — Dos. dea meh
alcalins par Kl, 26, Si (/?ttppU —
TABLE DES MATIÈRES.
1419
Prép. et constit. des sels, S6, 3S
{Lowry^ West). — Act. de Tac.
de Caro sur KMnO* et H"0"» «6.
65 {Baeyer, VilUgor), — Acl. sur
MnO*K. MnO*AiH% ««, 66 (Bach).
— Appl. à la sépar. des terres de
Ce, *è,69 [Meyor, MarckwaJd).^
Act. du sel ammon. sur SCAz,AzH\
iM, 73 (Pawhski). — Act. sur
AgAzO*. MnO*, Ag«0, PbO\ Pt,
les sels de Cu, !t6, 83 [Bamhcrger).
-^ Appl. à la rechet*che el au dos.
de Mo, 26, 250 {MsrshaUi. ~
Cnnstit. de Tac. de (^aro, acl. sur
SO*H«,««, 562 {Baeyor, Villigor).
— Appl. à la iransf. des ald. en
amides, 1S6, 628 {Pickard^ Carter).
— Acl. de SO*H* anh. sur le sel de
K; act. sur l'ac. titanique, S6, 951
(Bach).
SuLFURTLE (Chlorure). Prép.et propr.
de l'hydrate, «6, 858 {Baeyor, Villi-
ger), — Act. sur S, I, HgS, Sb'S»,
Sb'S*, SnS. SnS* et les iodures en
prés, de AlCl», «•, 884 [Buff).
— (Fluorure). Prép., propr., <S,995
{MoisaaD, Lcbeau).
80LVANITE. (Suirovanadate de cuivre).
Propr., ««, 71 (Goydcr),
Superphosphates. Dos. de PO*H",
!K,767. — Applic. de Az organique
à la prép. des engrais, M, 196
{Ostersctzcr).
SupiuBBNiNE. Propr., constit., dos.
colorim., 941, 26 iFùrtb).
SuRFUsiON. Variai, de temp. pendant
le refroid, des subst. surfondues,
S6. 527 {Moresehiai),
SuRSATURATiON. Condîtions de sursa-
lur. des sol., «6, 113( WVroii/>o//).
— Sursatar. gazeuses d'ordre chim.
et phys., «S, 265 (BertboJot),
Stlvank. Voy, Furfurane (M£-
THYL-).
Stlvbstrènb. Réd. par H en prés.
de Ni et Cu, S5, 610 {Sabatier,
Sendercns), — Constit., 26, 293
(Jpatief).
Stmputtoctnoolossine. Prés, dans
les boraginees, propr., 26,79 [Grei-
mer).
Stnamatiqub (Ac.) . Prés, dans div.
lichens ; propr., 26, 650 (Hesse).
Ststème périodique. Nout. syst.,
I, 834 {ScbirmcisoD),
Tanacétène. Syn. Thuyène (Iso-).
a-TANACETOOkNE-DICARBONlQUE (AC.).
Form. à part, de l'essence de Sabi-
ne, 26, 268 {Fromm).
Tanacétone. Sya. Thuyonu.
Tanacétone (Carvo-). [Sya, A* Men-
THÈNE-o.NE-2.1 Prép. à part, de la
carvono. Propr.. oxime, semi-carba-
zone, oxqmino-oxiroe. Comb. avec
H*S. Oxydât., 26, 116J (Ilarries).
Tanacétylimine. Form. du nitrate à
part de la thuyone-oziroe. Propr.,
26, 560 [Bimini).
Tannase. Prép., propr.,act. sur le tan-
nin, 26, 271 (Fcrobacb). — Prép.,
propr., 25, 271. — Act. sur le gallO'
tannin et l'arbutine, 25, 650 {Bot-
te vin). *
Tannin. Gond, avec le nitroso-m-di-
méthvlaniinophénate d'éthyle, 2S,
219 (Grimaux). — Act. de la tannase,
25, 271 (Fcrnbacb). — Constit.
et hydrol. du gallotaonîn, 25, 6M)
[Pottevin). — Dos. des matières tan-
nantes, 25, 767. — Anal., 25, 990
(Paesslcr). — Prés, dans le catha
cdulis, 26, 812 {Beitter). — Appl.
à la purir. des alcaloïdes, 26, 957
{Kippenbcrgcr), — Prés, dans les
boues des tourbières, 26, 962 (//o/A
jnaDn).
— Voy. FiLICiTANNIQUE.
Tartrique. (Ac). Act. du bac. tartri-
cus sur les sels, 25, 415 (Gr/io-
bcrt). — Act. sur le nitrate de bru-
cine, 25, 532 (CazeDCUvo). — Form.
des ac. d ei J par oxyd. des éryihri-
tes, 25, 743 {Maquenne, Bertrand).
~ Sels d'aroarine et d'iso-amarine,
26, 56 {SDapc). — Pouv. rotat. des
mono- et di-acétyl- et phénylacétyl-
larlrates d'éthyle, 26, 72 {Mac Crac,
Pattcraon). — Appl. à la sépar. des
sulfures de Ni et Co, 26, 126 {To-
wer). — Sels d'a-phényl-a'-mélhyl-
pipéridine, 26, 227 {ScboHz, Mill-
ier). — Infl. des dissolv. aur le
pouv. rolat. de l'éther diétbyl., 26,
259 {Pattersoa). — Sels doubles de
Na, AzH* et K, 26, 280 (/?osexï-
2ie/m, Sebûtte). — Appl. au dos. de
Ca dans les minerais de Fe el Al,
26, 368 (f^iiJiD). — Transf.de Télher
méthyl. en éther éthyl. par HCl et
l'alcool ; transr. inverse, 26, 376 {Pat-
torson^ DickiDSon). — Tribolum.,
26, 498, kSt^iTacbugêeO). — Pouv.
rotat. des éthers dipyromucyltartri-
quea, 26, 460 {FranlcJand, Aston).
— Pouv. rotat. de l'éther éthyl.
Tabac. Nouv. alcaloïdes, 26, 698 (P/r-
tet^ Botacby). — Prés, de paraffines
dans les feuilles, 26, 1182 [Tborpe,
Holmes).
dans div. dissolv., 26, 460 {Pat-
terson). — Propr. toxiques du sel
ac. de Na, 26, 524 {Kabïenberg,
Austin). — Dédoub. par les micro-
organismes, 26.528 (i///7iao/, Con-
delli) . -^ Transf. an ac. dimétho-
1410
TABLE DES MATIÈRES.
xysuccinique par Ag*0 etCH'I,tS6,
• 682 [Purdic, Irvinc). — Infl. des
dissolv. 6ur le pouv. rotot. des
élhers, S6, 684 (Purdie, Barbour).
— Infl. sur Téquil. du système eau-
phénol, !SC, 786 {Schri'iDcmakers),
— Prép. des élhers capryliques (/,
7, elr, 56, 737 {Marckwald, Mucken-
zie). — Sel de Téther éthyl. de la
leucine, ««, 744 [E. Fischer).—
Sel de a. a'- trimélhyl-2- acétamino-
1-bcnzimidazoI, «6, 780 (Pinnow),
— Sels d et I des a-élhylpipéridi-
nes d et 7, !t€, 794 {Frcse) . — Propr.
de Téther diméthyl. racémiquo et
du dér. diacélylé, ««, 844 {Adri-
aDi). — Tribolum., 56, 4^29 [tscbu-
gaeff). — Infl. dos molybaates et
tungslates sur le pouv. rotat des
sels, «6, 1055 (Itzig), — Act. du
sel de Seignette sur les sol. alcali-
nes de Cu el Co, «6, 1058 {Do»
nath) . — Prép. et propr. des élhers
diélhyl- et élhyl-cclyliques, cl des
dér. diacétylés et dibcnzoylés, 56,
1069 {Sfac Crno) . — Sels des a-a'-
diphénylpipéridincs iBOm.,50, 1172
{Scholtg).
T»nTniQUE (Iso) (Ac). Form. à part,
de l'ac. p-oxypyruviquc. Sols, 56,
682 {Abersoa),
Taubine. Nculral. en prés, de div.
indicat., 5S, 9u5 [Bcrlholoi). —
Extr. de la bile d'ours blanc, 56,
D48 [Hammaratcn).
Tautomkrib. Tautom. de Tac. o-ben-
zoylbenzoïaue , 5S, 49 {Hallor ^
Guyot). — Kelat. avecla Duorescencc,
56, 144, 849 {Hcwiit, Porkins), —
Tiansf. lautom. en sol., 56, 850
{Brùhl).
TÉcoMiNE. Extract, de l'aubier. Propr.,
56. 360 (Lee).
Teintudb. Théorie, 5S, 144, 278 [Sis-
Tellure. Act. sur S*CI". Form. de
TeCl'. Acl. sur la diphènylsulfone,
56, 278 {Krafn, Stniaor). - Poids
atom.; act. sur Hg-phéoyie, 56, 274
(Slciaûr). — Prés, dans les résidus
do Bi. Exlract., 56, 887 {MaUbcy),
— Propr., dér., 56, 1050(r7u/lï/er).
— Dos. de Au dans les minerais de
Te, 56, 1061 (Smith).
Tellureuz (Ac). Form. à pari, dos
tellurates, 56, 1051 (Gutbicr).
Tellurique (Ac). Propr., sels, comb.
avec ranilioo, 56, 1050 (Gutbicr).
Tb.nsions. Tension en dissol. des
aminés, 56,4 (Koaovalo/). — Théo-
rie de la tension de dissol. électrol.,
56, ^9(Kruger) \%e,>^{LcbfoJdt).
Tensions de vapeur. Var. des tons,
des mél. de 2 liquides, 56, 513, 514
(TayJor).— Théorie, 56, 888(G«A;).
— Tens. des carbure» benzé&i-
gués, 56, 883, 864 ( Woringcr^ ; 56«
864 (WiDkeliaaBB) . — Tens. des
mél. binaires, 56, 877 \Zêwidzki:
Dubem). — Tens. deninél. bioaires
et ternaires, 56, 880, 10S4. 1(05
{Sehniaemakers). — Relat. aveeU
Çression osmot., 56, 889 fJVo^(*si. ~
ens. do quelques aluns et siilfktc«
doubles hydratés, 56. 1044 MùH-
mann) .
Tensions suPERFicikLLCs. Tens. de
quelques essences, 5S» 519 {J&aa-
cardf Satie). — Tens. au contact
d*un solide; relat. avec le coeff. de
solubilité, 56, 856 (Oslira7</).
TÉRÉBBNTHÈNE. .\ulo-oxydat., 56, 1
{EDglor, Weisbcrg),
TÉHLBENTHiNE (Esseoce). Dens., ^*i*-
COS., tens. superf., 5S, î>53 (Jm*-
card^ Satie). — Constii. du banne
résineux do l'essence de Straabourr,
56,64 [Tschirch, Wcigcl). —Ccms^
lit. de la résine de Tessence du Ju-
ra, 56, 15**. — Conslit. de Tesacoca
de Bordeaux, 56, 157 [Tschireà,
BruDiog) .
Terpênes. Dos. dans les essencea da
menthe et da lavande, t5S, 261 tC^
rabot). — Prés, de terpênes H 4e
Bosquiterpènes dans resaence de caa-
carille, 56, 156 {Feodler), — PrAi.
d'un terpèiie C**H** dans l'easeaoe
do Sabine, 56, 268 {Fromm}.
— (PoLT-|. Prés, dans le baume da
Larix decidua, 56, 80 {TàeAirtà,
Weigel).
Tbrpéntliques (Aie). Dos. daoa b
menthe et la lavande. 5S, 561 'CAa-
rabot). — Ethérlf. dans lea plan-
tes, 5S, 959 (Cbatabot.Hébert .-
Dos. par le sali&ylate de Na. tf
995, 1058 {Darzcus^ Artaiageaf .
Terpine (Hydrate). Tribol., 56, iSB
{Tschugacf/).
Terpinènb. Réd. par H en prés, de Ni
et Cu, 55, 610 (Sabatien Seadt^
rcns). — Constit., 56,29;) flpait^f.
Terpinéol. Form. dans Tact, de AxO^H
sur le pinène et l'australènt, 5S.
650 {Gcnvrcs$e). — Prés, dans k
licaréol brut, 56, 8S9 {Barbttr.. —
Dos. dans div. essences, 5S. ^*
[Charabot, Hébert), — Dos. daoJ
l'essence d'oranges doucea, 56, M
iStéphaû).
Terres. Anal., 5S, 991 {Looayu
Terres RARES. ( Voy.CKJuuM), etc.
TétradéctlacéttlIenk. Propr., d»-
bromuro, dér. niti*é, aminé, &«lfc«>* ;
dér. métalliques, 56, 463 \Krmffi,
Hoizmann).
T^radécyl AMINE. Form. k part. d«
la stéarolactone, 56, 4i V/ouèù/,
Cbeslakof),
TABLE DES MATIÈRES.
M21
TÉTRADÉCTLPROPioLiQue (Ac). Form.
àpart.da tétradôcylacétylèiie. Propr.,
sels, chlorure, dér. benzoyié, M,
462 {Krafft, HeUrnsma),
TéTRAMérHYLkNE-DiAMiNE. Form. dans
la potréf. de Toraithine, 1t9, 24
(EUinger).
TÉTiuzoïJNB (Tktraphényl-) . Fomi.
à pari, des hydrazones des ald.
i>eiizoïque et phénylnitroformique.
Ppopr.. dér. dinitré, «6, 793, 794
(Bamberger^ Gr^b).
Tétrosb. Héacl. eolor.. M, 818 (Nou-
berg).
Thallium. Prép. et propr. des chloro-
bromures, IK, 708 {Thomas). —
Tétrabromo- et pentachloro-plati-
Date, %%, 361, 362 (Miolatti, Bel-
luci), — Alun de Hh, !S6, 368 {PJo
eÎDï^ MarJao). — Hyposulfite dou-
ble de Na, !S6, 365 {HuysseL —
Point de fus. et solub. des sulfates
doubles de Tl et Al, Vd, Cr, Fe,
Zn, Co, IM, 1026 {Locke), — Ni-
trate acide, se, 1051 (U^e7/a, MeU-
ger). — Nitrate double thalloso-thal-
lique, tM, i0^2 (Wells, Boardalev),
— Recherche par Tac-picrique, Sé,
1066.
Tbamnolinique (Ac). Prés, dans div.
lichens. Propr., M, 649. — Form.
à part, de Tac. thamnolique. Propr.,
«é, 1183 (Hesse).
Thamnolique (Ac). Prés, dana diy.
lichens. Propr., bydrol., S6, 649,
ii^ (Hôssc).
TBÉBAtNB. Tribol. du chlorh., 9€,
459(rsc/ïagroc/7).
Tréobrominb. Propr. et dissoc. des
sels., S6, 644 {Paul). — Synth, k
part, de la cyanacétylmélhylurée,
fes, 757 {Trauhe). — Transf. dans
l'organisme, S6, 827 [Krùger,
Scbwidi). — Transf. en méthylal-
loxaue, S6, 909 {Andreascb).
Thkophtllinb. Oxyd. mangan., !S6,
576 [Jolies). — Synth, à part, de
la cyanacétylmélhylurée, 26, 758
(Traube).
Tbermochimie. Variât, de la chai, de
comb. Q, SS, 1058 {de Forcrand).
— Nouv. unilé de capacité caloriU-
que, se, 1033 (tiichards).
— Voy. Constantes thermiques.
Thermodynamique. Modules thermo-
dynamiques des gaz, 25, 175 (Po/i-
aot). — Théorie de l'entropie, SS6,
515 (7>evor). — Nouv. coeff. de
tempér., ItU, bil {Bicbards). — Dé-
format, permanentes, 96, 836 (Du-
hem), — Thcrmodyn. de l'élément
normal et réiém. Weslon, ft6, 851,
852, 853, 854 {Coboa). — Nouv. ex-
pression dé la pression thermique,
186, 87» [Lewis). — Théorème de
PoynUng, S6, 882 {Wedells). —
Généralis. de Téquation de Clapey-
ron, !S6, 947. — Vaporis. de méi.
de subst. dissociées, S6, 1080. —•
Déformat, permanentes, !66, 1043
{Dabem).
Thermostats. Voy. Appareils.
Thétinb. Voy. Ethylthétine.
Thiazinbs. Act. des aminés, !K6, 58
{Scbaposebn ikof),
Triazol [aAmiDO'). Cond. avec Taldo*
benzoïque, M, 764 {Haatiscb,
iScbwab). — Cond. avec Tald. thio-
phénique, propr. , 1B6, 798 {Hanttsch,
ThiaZOL (BeNZTLIOÈNB - BIS-AMINO-) .
Prép., propr., S6, 764 (Haattacb,
Sàbwab).
Thiazolinb ((i-Mergapto-) (Py-Dimé-
THYL-). Prép. au moyen ae la bromo-
2-butylatnme sec., propr., 1B6, 385
{Strauss).
— (ii-o.Xtlyl-). Prép. par cond. de la
thio-amide o-tolylacétique. Propr.,
sels, dér. a-méthylé, i6, 210, 211
{Goldberg),
Thiazoliques (Dér.). Comb. oolor.
avec la fùschine, S5, 6 (Sôyeweti),
Thioninb. Prép. des dér. phénylé, o-
tolylé et diméthylé par cond. de
Timinothiodiphénylimine avec l'ani-
line, To-toluidine et la diméthylami-
ne. Propr., ItS, 55 {Scbaposcbnikof).
— Cond. du chlorh. avec Taniline,
la diméthylamioe et l'o-toluidme ;
prép., propr. et sels des diraéthyl-
thionine (gentianine), phényl- et o-
tolyltfaioninea, «6, 223, 224 {Kehr-
mann^ Sehaposebnikof).
Thionîqub (Di-) (Ac.) .Prép. et propr.
du set rnthéneux, S6, 520 (AatODy,
Luccbesî).
— (Tetra-) (Ac). Form. dans Tact,
de H«0«8urS«0*Na«,«6, 129 {Nabi).
Thionium (Phénazo-). Syn. Tbioninb
(PhéntlO.
Thionol. Prép. à part, de la diméthyl-
thionine. Propr., !66, 55 {Sebapoaob-
nikof),
Trionolinb (DiMÉTHYL-).Prép. à part.
de la diméthylthiooine. Propr., 1(6,
55 iSchaposcbuikofi.
TuiONYLB (Chlorure). Act. de H"S en
prés, de AlCP, «6, 885 {Bufi).
— (Fluorure). Prép., propr., lUi, 995
(Moissan).
THiopuÈNE-a-CARBONiQUE (Aid.). Cond.
avec l'aniline, la /^-toluidine, Tami-
nothiazol, la p-bromaniline, 1B6, 797
{HaDtzsch, Witz).
Thiophène-dicarbomque (dithioté-
TRAHYDRQ-) (Ac). Form. du dér.
dicyané par act. de Br sur un mél.
de C.:ï" cl d'élher cyanacéiique.
Conslil., propr., «6, 7^8, 799 (H^en-
1422
TABLE DES MATIÈRES.
THIOPHBNE-TBTRACAIlBdNlQUE (DlTHIO-
TÉTRAHYDRO-) (Ac.)- P»4p. au moyeo
de es*, Br et de Téther malonique.
Propr..coP8Ut.,«e, 798, 799(Woii-
zel).
Thiophénique (Aid.). Voy. ThiopÙ-
NE*a-CARBONIQUE.
Thiopyrine. Vo/.Antipyrine. (Tbio-),
Thorium. Propr. des sulfates hydra-
tés, «5, iUiWyrouboff). — Comb.
avec H. Propr. de Thydrupe et de
razoture, 25, 268 {Matignon^ Delé-
pine). — Comb. avec' Az en prés,
de Mg, «5, 335 {Matignon). — Ex-
tract, de la gadolinite, ftS, 383 (Ur-
bain). — Propr. colloïd. du méta-
oxyde, S5, 10i7 {Wyrouboif). —
Act. de Az'H sur les sels. Sépar. de
Ce, La, Di, «6, 354 {Curtius, Da-
rapsky). — Prép. et propr. de Toxy-
chlorure et de Tac. mélathoriqae,
26, 452 (Stcvens). — Tempér. de
transform. du sulfate, !S6, 5l7 (Daw-
son, Williams). — Infl. du sulfate
sur la vil. d*oxyd. des sol. oxali-
ques, M, 659 {Jorissen^ Heicber).
— Dos. dans la broeg^erile, M,
952 [Hofmann, Hcidepnen).
Thorium RADIO-ACTIF. Extr. de div. mi-
néraux, 1^6, 68 {Ilofmann, Strauss).
Tuuyamentuoni. Form. à part, de
risolhuyone. Propr., constit., 26,
301, 302 (Semmler).
TuuYAMBNTHYLiQUK (Alc). Form. à
part, de IMsothuyone. Propr., ««, 301
{Sommior).
Thuyène. Form. par déc. du xantho-
Êénate de thuyol. Propr., act. de
tr, de AzOCl, «6, 185. — Prép. à
part, de la thuyone. Propr., cons-
tit., S6, 503 {Tscbugaeff).
— (Iso-). Prép. à part, de la thuyl-
amine. Pronr., constit., S6, 502
{Tschugaeff) .
Thuylique (Aie). Voy. Thuyol.
TuuYLXANTHOoÉNiQUE (Ac). Prép. et
propr. de l'éther mélhyl., «6, 502
(Tscbugaeff),
Thuyol. Ethérif. par les ac. acétique
et isovalérique, «5, 892 [Cbarabot,
Hébert). — Prép. et propr. du thuyl-
xanthogénate de méthyle,1MI,185. —
Prép. a part, de la Ihuyone. Comb.
avec es*, «6, 502 (Tscbugaeft).
Thuyone. Conslil., «6, 301 (Semœ-
/ej.). — Tribolum. de l'oxime, «6,
459. —Constit., «6, 503 [Tscbu-
gaeft). — Act. de AzO'H et du ni-
trite d'amyle. Form. du dér. perni-
trosé. Semi-carbazone, 26, 500 (Ri-
mini). ^ ^^
— (Iso-). Constit., réduct., oxyd.,S6,
301 [Semmlor).
Thym (Essence). Dens., viscos., tens.
superf., ftS, 522. — Constit. et
propr. de div. essence», K, ^
[Jeancardt Satie).
Thymine. Constit., act. de POCl*. Dér.
dichloré, «€, 19 (Steudfl, Kossefu
— Constit., sel de K; dér. mètbo-
xylé, nitrét aminé, S6.S27. — Idn-
tité avec la méthyl-5^ioxy-2-6-pTTi-
midine, 96, 832. — Transform. duH
l'organisme, 96, 934 (Steudel}.
Trtmique (Ac). Infl. sur la solab. di
l*atc. urique, 96, 323 (Goto).
Thymol. Prép. et propr. dn salUie
acide. Sels. 9S, 49 ( Verle^). ~ Conl
du dér. sodé avec les ethers gn$
(x-bromés. M, 12 (Diselioff\. —
Act. sur la peptase d'orge, 96, 3S
(We/ss). — Prép. et propr. du ult-
cylate, 96, 405 (Cobn). — Dm.
par I, 96, 442 (Afessinger). —
Form. à part, de la menthone,
504 (Baeyer, S eu f fur t). — Phéno».
tbermiaues présentés par le th}aiûl
surfoncfu, 96, 527 (Moreschiai . —
Cond. avec les êthers phénylprvgo^
nique et cblorofumarique, 96> 996
(Rubemann).
— (Dbhydro-). Form. du dér. P»^
brome à part, de la menthone. Propr.,
dér acétylé, 96, 504 (Baejer, Souf-
fert).
Thymoquinone. Act. de AzO* et .U^
sur la dioxime ; prép. de ceil^d h
part, du nitrosocarvacrol, 96, 5^
ITortorici). — Act. de la lua. wr
les sol. alcool., 96,1025 {Ciamiàta,
Silber). —Comb. avec la betuorl-
^naphtylhydrazine, 9S, 1103 (Jvr
Pberson, Gorû),
Thymox Y-ACÉTIQUE (Ac.).Cond.aveer«-
aminopbénétidine, 96, 1164 (Coka).
Thymoxy-^cinnamiqce (Ac). PrAp
par cond. du thymol sodé av»*.
réther phénylpropionique. Propr.
96, 996 [Rubemann).
Thymoxyfumarique (.\c.). Prép. ic
moyen du thymol sodé et de rtlkr
cblorofumarique. Propr., élher, ti.
996 [Rubemann).
Thymoxy-P-styrolbnk. Prép. à put
du thymol sodé et de rétberpb^
nylpropionique. Propr., 96, 9h
(Rubemann).
Thymus. Extr. des histones, ac. »•
cléiqucs, etc., 96, 3â6(£f«oa>; M
327 (KosscJ). — Dos. de nusUdi»--
de l'arginine, de la lysine e(d« Ax
amidé dans Thistone, 96, SSb Kt'f-
seJ, Kutscber). — Constit àe»
albumin., 96, 829 (Hulskamp,.
Thyréoglobuline. Extr. des Àiaèt
thyroïdes. Propr., constit., 96,9^
(Oswald) .
TiOLiQUE (Ac). Nitral. de l'étbiT
élhyl. ; propr. des dér. nitrés, t^
646, 806 {Wahi). — Dos. dt tiùm
TABLE DE6 MATIÈRES
14:23
du géraniol dans resseoce de géra-
nium, SS, 95G {Cbarâbot^ Hébert) .
— Comb. avec ClOH et BrOH, ««,
166 (Mélikoff).
TiLiADiNE. Prép. à part, du tilleul.
Propr., 9B, 155 {Bracutigam).
Titane. Propr. crislallogr. de TiO",
S6, 70 {LiBck). — Propr. des ac.
ehloro- et bromotitani^ues. Sels
doubles de AzH\ pyridioe, quino-
léine. Sulfocyanate, sulfates, oza-
lates et tartrates doubles. Coinb. de
TiCl* et TiBr* avec AiH», la pyri-
dine et la quinoléine, S6, 279, 280
{Boscnheiw^ Schûtto). — Compos.
aun minerai titanifère de Norvège,
I, 451 [Bltimàû], — Infl. de Tac.
titanique sur le dos. colorim. de
PO^H^ dans les eaux, 1t%, 609
(Woodmaûj Cayvan). — Act. de
l'ac. persulAirique sur Tac. tita*
nique, IM, 951 (Bach).
Titanique (Ac). Voy, Titane.
ToLANE. Act. des vap. nitreuses, !S6,
478 iSchmidi),
p-ToLENAMiDiNE. Coud. avec ru>-
bromacétophénone, S6, 496 (Ktino-
kell).
Toluène. Oxyd.. 25, 851 (Boedtker).
— Comb. mol. avec Tac. bromo-2-
iiilro-6-benzoïque, 2S, 984 (Hoilo-
* Dj«fl, de Bruya). — Act* sur la
comb. de AlCl* et de chlorure
d'acétyle, «5, 989 {Bocseken). —
lodur. par S'I", S6, 10. — Bromu-
rat. par S^Br", «6, 11 [Edinaer,
Goldberg). — Cond. avec le chlo-
rure de p-cyanobenzyle et AlCI',
Itéy 113 (Moses). — Form. dans la
dist. sous pression du phénylzylyl-
élhane, «6, 124 (Kraemer, SpiJ-
ker). — Cond. avec Tanh. o-sulfo-
benzoïque, S6, 174 iKraoDicb). —
Réd. des dér. halogènes par HI,
%9, 397 {Klagcs, Liecké). — Prés,
dans l'huile do bois, ^6, 439
IFraps). — Form. à part, de la
dibenzylcétooe,26, 701 [MiebaeJJs^
FlcmmiDij). — Cond. avec AzH'OH
et AlCP, ««, 703 {Gracbc). —
Tens. de vap. à div. tempér., 26,
8G3 {Woringer), — Chlorurat. en
prés, de AIHg, «6, 1076 {Coben,
DakJD). — Prés, dans le pétrole de
Californie, «6, 1079 (Mabcry,
Hudson). — Cond. avec l'anh. qui-
nolique et AlCl', S6, 1172 (Fulda).
— {AmiùO'2.3A.6-) [Tetra-). Cond.
avec Tétber cétipiquc , S5 , 724
( Tbowas-Afawerty StriebeJ) .
— (Azo-2'), Form. dans Tact, de la
dichloracétanilideaz-cblorée sur l'o-
toluidine, 26, 625 [Cbattaway,
OrtoD),
(AajJiïo-4-). Coud, avec l'hydrol
de Miscbler, 26, 492 (Moebiau).
(AmiDo-4.4') {Di-). Prépar.,
propr., 26, 697 (BoscDStiebl). —
Prép. par réd. de la jn-nitro-o-to-
luidine. Propr., 26, 1151 (Élbs,
Scbwarg) ,
{AiniiiO-4,4''Oxy'3') (/)/-).
Prép. à part. dup>dtamino-o-azoxy-
toluène. Propr., 26, 1152 [Elbs,
Sebwarz),
{NitrO'S.S'-) (/)/-). Réduct. par
le glucose en azoxy-amine, 25, 697
(Bosenstiebl) .
— (AzKhS-). Form. dans Tact, de la
dichloracétanilide az-chlorée sur la
zD-toluidine, 26, 625 [Cbattaway,
Or ton). ^
{JD//ne/i!ïWaiDiiio-). Prép., propr.,
sels, 26, 179 (SameJson).
— (Axo-4-). Form. dans Tact, de la
dichloracétanilide az-chlorée sur la
p-toluidine, 26, 625 (C/ialtowav,
OrtOD) . — Form. par cond. de la
p-tolylhydroxylamine avec C*H* et
AlCP, 26, 703 {Oraebe).
[Dimétb^lamino-). Prép., propr.,
sels, 26, 179 {Samelson).
— (Agoxy'2-), Prép. du dér. di-JO-
aminé à part, du m-nitrodiazoto-
luène. Propr., 25, 697 (Bosenstiebl),
— Prép. du dér. p-diaminé au
moyen de la m-nitro-p-toluidine.
Propr.. dér. diacétylé, 26, 1161
(EIbSf Sebwarz).
— {Bromo-2'). Prép. au moyen de
S*Br*, 26, 11 lEdiagcr, Gold-
berg).
— {Bromo-4-). Cond. avec Mg et
Téther, 25, 944 [Tissier, Gn-'
gnard) .
— - {Cbloro-2'). Cond. avec la diphé-
nylamine potassée, 26, 176 (Haeus-
sermaûD). — Chlorurat., 26, 624
{Mebner). — Chlorurat. en prés, du
couple Al-Hg. Form. par chlorurat.
du toluène, 26, 1076 (Coben, Da-
kin),
— {CblorO'S-). Cond. avec la diphé-
nylamine potassée, 26, 176 (//«eus-
sermaoD) . — Chlorur. en prés, du
couple Al-Hg, 26, 1076 (Cobeûy
Dakin) .
— {CblorO'4-) . Prép. par chlorur. du
toluène. Chlorurat. en prés, du
couple Hg-Al, 26, 1076 {Coben,
Dakiû) .
— {Cbloro-2, S-) (Di-), Prép. par
chlorur. de ro-chlorotoluène. Propr.,
26, 1076 {CobeD, Dakin) .
— {Cbloro-2.4-) (ûi-), Prép. par
chlorur. des o- et p-chlorotofuènes.
Propr., 26, 1076 {Coben, Dakin).
— {Cbloro'2,5') (Di-), Prép. à part,
des o- et m-chlorotoluénes. Propr.,
26, 1076 {Coben, Dakin) .
im
TABLE DES MATIÈRES.
— (Cbloro-S.ô-) IDi'). Prép. à part,
de l'o-chloroloiuène. Propr., !S6,
1076 {Cohen, Dakia).
— (CblorO'S.4') (/>/.). Prép. par
chlorur. des œ- et i)-chIorolo-
luènes. Propr., !S6, 1076 (Cohea,
Dakin),
— {Diaio-2') Comb avec les ac.
thiosulfon. arom., %B, 636 (rr«e-
aer, Ewcrs) . — Form. du dôr.
180. par diazol. de To-toluidine par
le nilrite d'amyle, S6, 704 (Bam-
berger^ Rust), — Vit. de décomp.
à la lum., fte, 919 {Ruff, Siein),
<— (Diazo^-), Copul. avec la m-dimé-
thyltoluidine, %», 179, 770 iSamel-
son). — Vit. de décomp. à la lum.,
Ite, 919 (Ruff, Stcin) .
— [Diazo-A'). Gond, avec rétheriné-
tbylmalonique, S5, 988 [Favrcl),
— Copul. avec la m-diméthyllo-
luidine,S6, 179, 769 (Sameiaon).—
Copul. avec le phénol, S6, 425
(Bamborger). — Comb. avec les
ac. thiosulfon. aromat., ItB^ 636
{Traogor, Ewers), — Form. du
aér. iso. par diazot. de la p-tolui-
dine par le nitrite d'amyfe, IM,
704 {Bambergcr^ Ru8(j. — Cond.
avec Téther diacélylsuccinique, M,
7Î3 {Buiow^Scblesingcr). — Vil.
de décomp. à la lum., 9€, 919
{Ruff^Steia). — Décomp. du dér.
/n-nitré par Cu pulv., !S6, 1141
(Niémen towski).
— (Diaxo-amiDO-i-) • Prép. etpropr.
des sels de Cu, Co, Hg, M, 564
{Meunier) .
— {HydrazO'2'). Prép. du dér.
p-diaminé à part, de la in-nilro-p-
toluidine. Propr.» «•, 1152 {Elbs,
Scb warz) .
— {le *o-2-) . Prép. au moyen de
Sn , ««, 10 {Edinger, Goldberg) .
— Transf. du dichlorure en o-ioao-
sotoluène, S6, 589 {Ortoleva),
— {Iodo-3'). Transf. du dichlorure
en dér. iodosé, ftH, 539 {Ortùleva) .
— {fodo-4-). Prép. au moyen de S'I*,
se, 10 {Edinger) .
— Uodoso-^-), Prép., propr., 9€, 5.')9
[Ortoleva],
^- {lodnsoS-). Prép., propr., acétate,
«6, 539 {OrU>leva).
^ {Niiro-2'), Oxyd. électrol., «5,
853 (Picrron). — Const. diélectr.,
«6. 661 {Jones) ; 26, 880 {Tar-
ner).
— {Nitro^}. Oxyd.électroU,»6, 853
(Pierron).
'^ {NHro-S.4-) {Di'). Cond. avec les
ald. benzoVque ot m- et p*nilroben-
zoïques, «6, 1088 {Tbicle, Es-
eaics),
^ (NitrO'S.^i-) (/>/-). Form. dans
Tact, çle \zO* et Az*0* sur la
dioxime du benzile, IM, 54fi (Tor^
toriei) ,
— (iVilro-2.4.6-) (rr/-).Crvosc.daDs
Tac. formique, IM, 52o {Bruoi^
Bertij. — Comb. avec les s- et ^
naphtylamines, S6, 629 {Sadbo-
rougb),
— (Nitroso-S-). Cond. avec les cya-
nures de bonzyle et de iMÛtrobMi*
zyle, tM, 487 (Sacbs).
-* {Nitroso-4'), Cond. avec les eja-
nures de ben^yle et de p^itroben-
zyle, S6, 487 {Sache). — Ad. sor
la phéoylbydrazine. M, 707 {Bam-
berger) .
ToLUkNB (AZIMINO^.4^ {aj^HéxuTLrj ,
Prép. des dér. nitré^ et afDiné-6 à
fiart. de la nitro-5<«z-aiétbyltoUiT*
ène-diamine-t .3.4. Propr. , IM, tt57
(PiOOOW).
ToLuÈNK (BuTTL-). Réd. des dér.
halogènes par HI, 96, 807 [KlagtB,
Liecke) .
ToLufeNi (Htdro) (Di-). Vor. Cr-
CLOHEXADlkNB-1-5 (MrrBTL-i-).
(Tetra-). Voy, Ctci.obkzsiii
(MÉTHTL-).
ToLUBNE (o-IaopROPTL-). Prép. i
part, de i*o-bromocumène. Propr.,
oxyd., IM, 697 {Spriakmejrer).
TOLVBNK (p-PSEUDOPROPÉNTL-),
Propr., oxyd., IK, i76 (TY/w-
neau),
p-ToLuÈNB-AZo-ANisoL. Prép., propr.
et sels du dér. lo-diméUiylaauaé,
IM, 179 {SamtlaoD).
O-TOLUBNB - AZO • BENZENK. Prép. du
dér. p-diméthylaminé à part, de la
m-diméthyltoluidine. Propr., seU,
dér. méthoxylé, éthozylé et «d-
foné-4', IM, 769, 770 (Saoïf iaoa) .
p-ToLUKNE-AZO-DSNzkNB. Prép., propr,
et sels du dér. m -dimétby laminé.
Dér. sulfoné, *•, 179 (Sssieisoai.
p-T0LUfeNe-AZ0> DUCéTTLSUCCtKIOCI
(Ether). Prép., propr., «•. 723
{Bulow, Sehieaiager).
TOLIlkNE-AZO-§>NAPHTOL. Vdj". J-
NAPHTOL (TOLOKNE-AZO-) .
p-ToLukifR-AZO-PBÉNÉTOL. Préparât..
propr. et sels du dér. m-dimétlifi*
aminé, IM, 179 {Samelson),
o-ToLOBNE-AZO-PHBNOL. Préparst. «t
propr. du dér. Ritré-3'. Dér. aoé-
tylé, benzoyié, éther, éthyl.*. M,
428 {HcwiU, Lindtieid) . — Pr*p.
et propr. du dér. dibromé. Etb«r
élhyl.dér. acMylé, benzoyle', S^,
1100 {Hewitt, Terret),
m-ToLUÈNB-AZO^PH^NOL. Dér. niirè^.
Ether éthyl.. !^6, \i.i(Hewiit, Lipé-
ûeidi, — l)ér. dibromé. ElWf
éthyl., dér, acètylé, beazoyié. M,
1100 {Hewiit, Torvet),
TABLE DES MATIÈRES.
1425
/>-ToLUÈNE-A2o-PHENOL-2'. Préparai.,
propr., sel de Gu, !S0, 425 (Ba/o-
Dcrgcr) .
p-ToLUÈNE-Aio-PHÉNOL-4'. Dér. nitré-
S'. Elber éthyl., dér. acétylé, ben-
zoylé, 20, 423 {Hewitt, LiDdficId).
— Dér. dibromé. Elher étbyl.,
dér. acétylé, benzoyié, S6, IIOJ
{Hewitt, Tetvct).
o-ToLDÈNK-AZO-zn-TOLOÈNE. Trép. du
dér. /Mlimëthylaminé à part, de la
ahdiméthyltoluidme. Propr., 9€,
770 [SamelsoD) .
O-TOLtÈNE-AZO-p-TOLIlkNE. Pfép. dU
dér. p-diméthylaminé à part, de la
jD-diméthylloluidine. Propr., sels,
S6, 769 [Samelsou).
o-ToLUÈNE-suLFiNiQUB (Ac). Comb.
avec les diazo- et tétra^o- aromat.,
1K6, 635 (Tracgcr, Ewers),
p-ToLUÈNi-suLFiNiouE (Ac). Form.
à part, de la p-ditolylsulfiae, tM,
888 (/?eJ!osei2, Turucr), — Act. sur
le Qitrosobenzène et la ^pbénylhy-
droxylamine, 96, 541, 542 (Bam-
bcrgor, Rising). — Comb. avec les
diazo- et tctrazo- aromat., 9€. 685
( Tracgor, Ewers) . — Act. de Tald.
formique, de AzH*OH et AzO'H;
anilide, sel d'aniline, de tétra-
métliylammonium, S6, 1180 (Von
Mcyor) .
O-TOLUKNE-SULFONIQUK (Ac.) . Prép.
et propr. du sel de guanylurée,
!M,*387 iRcmson, Gamer). — Gond,
du chlorure avec C*H» et AlCl*, IM,
409 {CaDtcr),
— (Nitro'4') (Ac.^ Prép. et propr.
du chlorure. Gond, avec C*H' et
AlCl*, ««,411 {Norris).
p-ToLUÈNB-suLPONiQUK (Ac). Propr.
du chlorure, «S, 995. — - Nitrat.
du chlorure. Ethert du o-nitrophê-
nol, de la résorcine, au gayacol,
du nitrogayacol, du §-naplilol, du
diozy-2.7-iiaphtaIène. Anilide, dini-
tranîljde, p-phénétidide, m-phény-
lène>diamide, «5, 1040, iO\h [Ho-
verdi D^ Crt'picux) . — Points d'ébuU.
et de fus. de Tac. et du chlorure,
«6, 143 {Kram, Wilko). — Act.
du chlorure sur Turée. Form. et
propr. du sel de guanylurée, «0,
587 j/?c/nscii, Garner), — Acl. du
chlorure sur la tbio-urée, «6, 388
{RemseDf Turacr). — Form. dans
Tact, de Tac. p-toluéne-sulflnique
Bur le nitroso-benzène. Toluène-
sulfonates des p-amino-, o- et p-
nitro-pbénols et de la p^phénylhy.
drozylamine, S0, 541, 512 (Bam-
bergory Bisiûg>.
— {AmÎDo-â-) (Ac). Pr/'p., propr.,
dér. henzoyié, amide, <5, 1041
(Rcverdin^ C repieux).
— {AmiûCh2'Biir0'6') (Ac). Prépar. ,
propr., «S, 1048 (Reverdin, Cré-
pieux),
— (JV/(ro-2)(Ac.). Nitrat. de raraide.
Propr. du chlorure, «S, 995. —
Prép., propr., chlorure, amide, ani-
lide, toluidide, sels d'aniline, de
AzH* ; dér. du p-nitrophénol, de la
nilrorésorcine ; m - phény lène - dia-
mide, a- et à-naphtylamides, «S,
1040, 1041, 1044 (Rc verdi D, Crâ-
pieux) .
— iNitro-^') (Ac). Prép., propr.,
«6, 887 {RemseD, Garner).
— [Nitro-2.e-) [Di') (Ac). Prép.,
propr., sels, «S, 1042 (Reverain,
Crépi eux) .
TOLUÈNE-SCLFONIQUE (O-ISOPROPYL- 1
(Ac). Prép. et propr. des isom. a
et ^. Sel8,amlde8,M,697(.Spr/z2À-
meyer).
0 • Toluène - thiosulfoniqu e ( Ac ) .
Gomb. des isom. o- et p- avec les
diazo. et tétrazo. aromat., «#, 085
( Traeger, Ewers) .
ToLUHYDROQuiNONE (Cbloro-), Form.
à part, de la chlorotoluylène-dia-
mine. Propr., «6, 918 [VorJaender,
Schroettcr)»
o-ToLUiDiNE. Gomb. avec Tald. ^-
oxynaphtoïque, «5, 875 (Fossf), —
Sépar. de la pbénylhydrazine, «S,
862 (Freundier), — Vit. de réact.
avec Tac acétique, 96. 14 {Mon-
scbouikine). — Form. du dér. acé-
tylépardécomp. des acétyltolylthio-
urée et acélyUolylisolbio-urée, <•,
41 {Hugersbof, Koenig). — Prép.
et propr. du dér. acélylé az-chloré,
ZS, 47. — Dér. acélylé az-bromé,
S0, 48 (Cbattawayy Orton). —
Transpos. mol. des dér. az-chlorés,
!S0, 50 (Cbattaway^Orlon, Evann).
— Gond, avec la dichloriminoqui-
nonc et la dichloriminonaphtoqui-
none, S6, 52. — Gond, avec l'imi-
nothiodipbénylimine, S6, 15 {ScJia-
poschnikof), — Transf. en safra-
nine, *•, 116 (Kbardine). — Acl.
de KSH, GAzK et GSAzK sur le
dér. chloracétylé. Prép. et propr.
de la Bulfocyanacélylloluidine, S6,
136 [Grothe], — Gond, avec la
thionine. M, 224 [Kebriuaun^
Scbaposcbnikof}, — Act. du phé-
nyluréthane, 9€, 303 {Dixon). —
Infl. sur la coagil. de Talbumine,
S6, 319 (Spiro), — Prép. et propr.
des o-toluidides act. et iuact. de
Vac glycérique, ««, ShS {Fran-
klandy Wbarton^ Aston). — Tolui-
dide de Tac o-oxyphénoxy-acé-
lique, 96, 402 {Ludewigj. — Prod.
de cond. avec Tald. acétique;
propr., sels, dér. acélylé, nitrosé.
soc. ciim., 3* sK.n., t. xxv xxiv, 1901.
90
1420
TABLE DES MATIÈRES.
benzoylé, ZB, 427, 428 (Eibner,
Peltzcr), — Acl. sur le trisairo'
cyanale de phosphoryle, tM, 451.
— Comb. avec l'isosuirocyanate de
8-chlorallylo, «6, 498 {Dixon], —
Propr. du prod. de cond. avec
CH'C1% «6, 544 {Grassi, ScbJavo-
Lcni). — Toluldides des ac. o- ei
/>-chIorophény lacé tiques, S6, 624
(MehDer). — Act.de la dichloracél-
anilide az-chlorée, 26, 625 {Cbat-
tuway. Or ton), — Cond. avec les
ac. monoiihloracétique , s-bromo-
propiooique, Tald. formique ou
acétique et GAzU,S6, 630 (Steppes).
— Act. deVaoh. acétique. Prép. et
propr. du dér. diacétylé, Se, 630
{Sudborough). — Gond, du dér.
acélylé avec le chlorure de chlor-
acétylo et le bromure d'a-bromopro-
pionyle, 26,633, 634 {Kunckclt).—
Prép. par cond. du toluène avec
AzH«OH et AlGl», «6, 703(GraeAe;.
— Diazot. par le nitrite d'amyle,
«6, 704 {Baiûbcrgory Rust). —
Comb. avec Tald. salicylique, 26,
764 [Haatzscb, Scbwab), — Vit.
d'acl. des bromures de mélhyle et
d'allyle en prés, de div. solvants,
26, 861 {MeDScboulkinc). — Acl.
de CHM et CH"*! en prés, de Ag«0
sur le dér. acétylé, 26, 988 {Lau-
der). — Act. de Tac. aminosuiro-
nique, 26, 1092 {Paal) , — AcU «ur
les éthers sulfocyanocarboniques,
26, 1127 iDoran), — Copul. avec
le diazo. ae Téther anthranilique.
26, 1154 {MebDPr] .
- [BromO'5-) . Prép. du dér. acétylé
à part, de ro-acétyltoluidine az-
bromée. Propr., dér. az-bromô,26,
48 [Cbattaway^ Orion).
- {BromoS.Ù') {Di-). Prép. du dér.
acétylé à part, de la bromo-3-o-acé-
tyltolnidine az-bromée. Propr., dér.
az-bromé, 26, 48 (Cbattaway,
Ot'lOD) .
• {CbIoro-5-). Prép. du dér. acétylé
à part, de racétyltoluidtoe az-chlo-
rée. Propr., dér. az-chloré, 26, 47.
— Form. dans Tact, de la dichlor-
acôtanilide az-chlorée sur To^tolui-
dine. Propr., 26, 625 {Cbattaway,
Orlon).
- (Cbloi'o-if.5-} [Di-]. Prép. du dér.
acétylé à pari, de la cluoro-5-acé-
tyl-o-toluidine az-chlorée. Propr.,
dér. az-chloré, 26, 47 {Cbaitaway,
Orton).
- {CyaaO'^-), Dér. acélylé, lels, 26,
42(i {Afcvos}.
- (Az-Ethyl-) . Cond. avec l'imlno-
thiodiph^nylimine, 26, 55 [Scha-
poschnikol). — Oxyd. du dér.
nilrosé, 26, 900 yVorhender).
— (az-MÉTHTL-). Oxyd. da dér.
nilrosé par KMoO\ 26, 899 {Vor-
lacndei). — Form. du dlir- a^^jl*-
par mélhylat. de raoéiyltolaidîoe
au moyen de CH'I et Ag'O, 26» ^t^
[Lander),
(Di-)« Cond. avec l'iminothiodi-
phénylimioe, 26, 55 {Scbaposck-
nikof),
/M-ToLUiDiNE. Vit. de réact. av«c Tac.
acétique, 26, 14 (Menscboutkioe .
— Cond. avec -la dichlorimiiioqai-
none et la dicliloriminonaphloqtti-
none, 26, 52 {Sebaposcbaikoi}. —
Transf. en safranioe. Cood. avec U
nitrosodiméthylaniline, 26, 116,117
[Kbardioe). — Act. de la dicblora*
cétanilide az-chlorée, 26r 625 [Cbai-
taway^ Ortoa) . — Act. de l^c.
aminosuUom'que, 26, 1032 iPjiW}.
— Copul. avec le diazo. de rétber
anthranilique, 26, 1154 iMebntr».
— (CbhrO'6-). Form. dans Tact, de
la dichloracétanilide sur la m-tolun
dine, 26, 6fô {CbatUwëv, Orinu
— (az-ETHYL-). Oxyd. du dt;r. nilrosé.
26, 900 ( VorlêODder).
— (az-MÉTHYL-) (Dr-). Copul. avec
div. diazo.. 26, 179. — Copul. avec
le diazobenzéne. Tac. diazobeQz<^ue-
p-sulfonique, les m- et p-diazolo-
luènes, le diazo^anisol et le p-ààm-
zophénétol, 26, 769, 770 [Sêmelson .
p-ToLuiDiNC. Copul. avecKald. ^zy-
naphtoïque, 2S, 375 [Fosnt]. —
Toluidide de Tac. o-nitro-p>U>ia^ae>
suironique,25,104t {Reverdia, Cr*-
pieux). — Vit. de reacl. avec r*c.
acétique, 26, 14 \^Meascboutkiae .
— Prép. et propr. des dér. acéljlés
az-chloré et az-bromé, 22, 47, 4H
(Cbattaway, Or ton). — Trasaf. du
dér. acéiyle az-chloré, 26, 50 tCfrai-
iaway, Ortoo^ Evans), — Coad.
avec la dichlorimÎDOquinooe et U
dichloriminooaphtooamone 26, là.
— Cond. avec I iminethiodiphé -
nvlimine, 26, 55 {Scbapomtb-
nikof). — Toloidide de Tac.
a.x.a. a,-tétramélhyl^Iutariaiie, M»
93 {mikbaïlenkOy Jarorsk}[. —
Transf. en sàfranine. Cond. avae U
nitrosodiméihylanillne, 26, lt<>
{Kbardine). — Act. de KSH, CAxK
et CSAzK sur le dér. chloracétrV..
Dér. eulfo- et itosuirocyanaoètylé^;
transf. en hydanloîne, 26, !:»>
{Grothc, FrericbSt Bcckuru^ —
Acl. du benzène-auiflnate da Na svr
le dér. chloraeélylë. Prép* et pro^r
du dér. benzéne-sulfonacétylè, 22,
197 (Grothe). — Act. du pfaeoyj-
uréthane, 26, 203 (pixoo), — ArC
sur rantipyrine, 22, 267 (Micba^
lis, Binaewald), — Inll. »ur U
coagul. de ralbomine, 22. M'J
TABLE DES MATIÈRES.
1427
{Spiro). — Toluidides aci. cl inact.
do Tac. çlycérique, ItU, 343 {Fraa^
kiaad, Wbar ton, Aston). — Comb.
avec Tald. trinilropropionique, M,
377 {Torroy, Black). — Act.sur la
diphényllhiourée, S6, 395 (Wal-
thety SlODz). — Sel et amide de
Tac. o-oxyphénoxyacétique, S6, 402
{Ludcwjg). — Form, par réd. du
^- toi uène-azo^o- phénol, 9U^ 425
{Bamborger). — Comb. avec les ac.
mucobromique et mucochlorique ,
SU, 474 (Simoais), — Acl. sur h
nitrosobenzoylbeozylamine, !S6. 484
(Apit£9ch). — Comb. avec l'isosul-
focyanate de chlorallyle, ZB, 498
{Dixoo). — Acl. sur la cbloro-3-
tolylrosinduline, %B, 547 (Kcbr-
maDO, Hiby). — Acl. sur le chloro-
dioitro-3.4-ocnzènef 1t%^ 548 [Kebr-
maao, Krazlcr), — Toluidides des
ac. o- et p-chloropbénylacéliques,
!e4l, 624 \MebDer), — Act. de la
dicbloracélanilidc az-chlorée, tM,
G25 [Chaltaway^ Ortoa). — Act. do
Tald. rormi<|ue etCAzH,des ac. mo-
nochloracétiaue et z-bromopropioni-
nue, 11%, 630 (Steppes). — Act. de
1 anh. acétique. Prép. et propr. du
dér. diacélylé, %B, 630 (Sudbo-
rougb). — Coud, du dér. acétylé
avec le chlorure de cbloracétyle et
AlCP, ee. 638 (Kuackell). — Préç.
par cond. du toluène avec AzH'.OH
et A1C1%««,703 iGraebc}. — Diazoi,
par le nitrite d*amyle, 9H, 704
iBambergerf Bust). — Comb. avec
raid, bcnzoïque, ZS^ 762 {Hantiseb,
Scbwab). — Comb. avec l'ald. Ihio-
phénique,««,797 [Hantiscb, Witz),
- Coeff. de compressibil., M, 834
(Ilulett). — Acl. de ClPl et C^H"!
en prés, de Ag*0 sur le dér. acé-
Iyl6, ««, 988 [Laadcr) — Act. sur
le chlorure -élner phénylcarbazino-
carbonique, 9H, 1007 [Buscb, Hoin-
rirbs) . — Acl. de Tac. aminosulfo-
nique, <6, 109i (Paal), — Acl. sur
les éthers su Ifocyanocarbo niques,
«6, 1127 [Doraa). — Copul. avec
le diazo. de Télher anthranilique,
S«, 1154 (Mehner).
' [BromchS'). Prép. du dér. acétylé
à part, de racctyl-p-toluidine a%-
bromée; propr., dér. az-bromé, 1S6,
48 yCbattaway, Orton).
- {BromoS.ù') (/)/•). Prép. et propr.
du dér. acétylé; dér. az-bromé, 98,
48 fCbattaway, Orton).
- \CblorO'3). Prép. du dér. acétylé
à part, de la y>-acétyMoluidine az-
chlorée. Propr., dér. az-chloré, 9H,
48. — Form. dans Tact, de la
dîchloracétanilide az-chlorée sur la
p-toluidine. Propr., dér. acétylé, IM,
625 \Chattaway^ Orton).
— {Cbloro-^.5') [DiA, Prép. et propr.
du dér. acétylé ; der. az-chloré, %%,
48 iChattawav, Orton),
— (NJtrO'S')' Réduct., IK, 720(r/ïO-
niaS'Mamcrt, Striebe!). — Point de
transr. des 2 modif. du dér. acétylé,
ee, 843 (Scbenk). — Réduct. élec-
trol., ««, 1151 {EIbs, Scbwartz).
P -TOLUIOINE ( AnHTORO - FORMALDÉ-
H^DE-). Prép. et propr. de la cyan-
hydrino, !S6, 630 {Steppes).
p-ToLUiotNE (Benztl-). Form. dans
Tact, de la p-toluidine sur la nitro-
sobenzoylbenzylamine. Benzène-sul-
famide, se, 484 [Apitzscb),
p -TOLUIDINE ( ISO - AMYLIDÈNE-BIS*).
Prép., propr., sels, dér, diacétylé,
dibenzoylé, dinitrosé. Comb. avec
raid, benzoïque. Réduct., ^6, 486
[Eibner, Puruckcr),
/)-ToLUiDiNE (MÉTHYL-). Acl. ds l'ac.
acétique sur le dér. r-diacétaminé.
lotiométhylale, S6, 780 {Pinnow).
— Form. du dér. acétylé par méthy-
lal. de racétyltoluidine en prés, de
Ag'O, «6, 988 (Lander). — Rédud.
du dér. dinitré-3.5, S6, 1157 (Pin-
no wj,
(Di-).Cond. avec l'iminothiodiphé-
nylimine, S6, 55 {Scbaposcbni'kof).
— Nilrat.; prép. et propr. des dér.
dinilrés et diaminés ^ et y, Dér.
acélylés, benzoyiés. Oxydai., !S0,
626, 627. — Act. de CHM sur le dér.
/i2-nitré, 1MI, 779. — Prép. et propr.
du dér. acétamino-2-nitré-5. Réduct.;
act. de CH'I; prép. et propr. du
dér. diacétaminé-2.5 ; nilrat. du dér.
acélaminé-2, it%, 780. — Prép. et
propr. du bromométhylate des dér.
nitré-2 et acétaminé-2, et de Tiodo-
méthylate du dér. acétaminé-3. Act.
de HBr et de Talc, mélhyl.; prép.
et propr. du brométhylate, M, 781
— Réduct. du dér. m-nitré par le
couple Sn-graphile et HCl, Së, 1167
{Pinnow).
ToLuiDo-DiACÉTiQUE. Voy, TolyLami-
NO-blACKTlQUE.
o-Tollique lAc). Pouv. rotal. de
l'élher iso-amyl, act., <5, 550iG(i^e).
— Propr. de l'éther mélhyl. et des
méthyl- et dimélhylamides. Nitral.,
55, 986 {Scberpenzccl). — Vit. de
sapon. de Tamidc, 96, 382 (Beid),
— Pouv. rolat. de Téthcr smyl.,
56, 459 (Guyo). — Const. diélectr.
du nitrile, S6, 600 {ScbJundt) .
— [Bromo^-ù-) (/>/•) (Ac). Form. h
part; de la dibromophtalide. Propr.,
«6,. 1107 {Brùck).
— {NitrO'4') (Ac). Prép., propr.,
chloinire, élhcr mélhyl., méthyl- et
dimétbylamide, S5, 986 [Scberpen-
zeeJ).
1428
TABLE DES MATIÈRES.
— {NUro-Ô') (Ac). Prep., propr.,
chlorure, élber raélhyl., aimde, m^
Ihyl- et diméthyl-amide, «5, 98b
{ScbcrpeDZccl).
— lNitro-4.6') {Di-) (Ac). Prép.,
propr., éther mélhyl., mélhyl- et
dimélhylamide, «5, 986 {Scberpeti-
0-ToluIque (Aid.). Form. par oxyd.
de ro-xylène, «5, 1063 (Fouraier).
m-ToLuiQUE (AC). Pouv. rolal. do
l'éther iso-amyl. act., «5, MU, »»,
459 [Guyc].— Nilration. P«^P- et
propr. des chlorures, élher méthyl.,
amide, méthyl. et dimélhylamide,
S5, 985 {Scherpenzcel),rr Jj}.^^
sapon. de l'amiSe, ««, 882 (Reid).
— {Amino'4') (Ac). Form. à pari, du
chlorure de/n-cyano-p-nitrobenzyle.
Propr., nilrile, cond. avec la forma-
midc, ««, 1162 {Ehrlicb).
— uyHrO'2') (Ac. ). Prép., propr.,
chlorure, «5, 985, 986 [Scberpen-
^lNitrO'4-). (Ac).Prép., propr.,élher,
amide, mélhyl- et- dimélhylamide,
es, 985, 98S {Scherpenzccl).
— [NUro-2.4') [Di') (Ac). Prép. par
nitrat. des mélhylamides œ-loluique
et nilro-4-m-toluique, propr., élher
mélhyl., «5, 985 [Scberpenzcel).
p.ToLUiQUE (Ac). Pou^v'^Si^'oi^
Télher iso-amyl. ad., «5, ^i^^y
459 [Guyc). - Ad. de AzO>H sur
rac. rélher mélhyl., lamide,la v^-
Ihyl- el la dimélhylamide, ««, 985
iSchcrpcazccl). — Form. à part, de
l'ac. benzophénone-p-8ulfomque, »»,
175 (Kraanicb), — Vit. de sapon.
de ramide, «6, 382 (Retd). — Acl.
du persulfale d'ammon. sur le ni-
lrile; ««, 1078 {Kattwiockei,
Wolffenstein).
— iNitro-S') (Ac). Form. par nilral.
do l'élher el de Tamide p-loluiques.
Elher mélhyl., mélhyl- et dimélhy-
lamides, «5, 985 {Scborpenzeel).
— [Nitro-S.e') [Di-) (Ac). Prép.,
méthyl- el diraélhylamides, «S, 9oo
(Scberpcazecl). , „ .^
P-TOLUIQUE (Aid.). Réduct. de 1 azidc.
Propr. de la p-mélhyl-phénylhydra-
zone, 2«, 584 [Curtms, Pfropfe).
O-ToLUQUiNONK. Gomb. avec la ben-
zoyl-^-naphlylhydiazine, ««, 1103
(Mac Phersoa, Gorc).
p.ToLUQUiNONE. Acl. do AzOJ et Az O»
^ sur la dioxime, M, 545 [Tortonci).
— lBromO'S'nHro-5'). Prép. au moyen
du bromo-3-p-cré8ol. Propr., »«,
1182 (Zinckc).
— (Bromo-0.6'nitrO'3-) (D/-). Prép.
H part, du dibromo-p-crésol. Propr.,
né, 1132 (Z/iïcAtM,
— (ChhrO']. Form. à part, de U
chloro-p-toluylcne-diamino. Propr.,
se, 918 [Vorlacnder, SchrotdUr
— [Cbloro^-nitro-ô-). Pr«P- à pari,
du chloro-p-crésol. Propr., ««, li«
{Zincke). ^ ^ ^ _ ,
O-TOLUTLÈNE-DlAIIINE-1.2.4. t-OOlb.
avec rac«.a-dioxy.8.M»"^^y*S''*"
lariaue, «6, 1015 (Pcrkin. Tborpr
m-ToLUYLÊNE-DiAMWE. Cond. avec k
nitroso - m - dimélhylaminophénélol ,
«5, 219 [Grimaux), — Prép., ^
avec l'éther cétipique, «S, 720 ( TAo-
maS'Mamùrt, Striebel). — O»^
avec la dichlorimino<|uioone el U
dichlorominonaphloquinone, 9M,hi.
— Cond. avec Viminolhio-diphéaijl-
imine, ««, 56 (SciiaposcAiiii''^
Copul. avec lediazocarbaiol,»»,
919 {RufT, SleJD). — Cond. avec U^
ac. phénoxy-, gayacoxy- el eii«no^
oxyacétiques. ««, 1165 (CoAdT.
— (Benztl-). Cond. avec nminolh»«>-
diphénylimine, ««, 56 {Scbapo^h-
Dîkof). ,„ . ^. .
(Etuyl-). Cond. avec I inainomto-
diphénylimine, «6, 56 [Setapoteh-
Dikof), ^.
— (Méthyl-). Cond. avec 1 immotluo-
diphénylimine, ««, 55 iSchapo^ch-
mkot). — Prép. du der. nitr* »
part, de la dinilro-az-dimélhîltoi«*-
dine. Propr,, dér. amidé, latral..
ee, 627, 1157 {Pinnow),
p-ToLUYLÈNE-DiAMiNK. Fonoo- par rwl-
de la comb. d*ald. acétique et d'o-
loluidine, ««, 428 {Eibntr^ PtlUtr .
— Form du dér. chloré â part- do
nitroBO-o-lolylglycine. Propr.. *<»l*,
dér. diacétylé, oxydai.. ««,917 V or-
laeador^ Scbroedter).
— [Diamino-]. Vuy. TouukwE s A nu-
no-) [Tetra').
p-ToLYLALLOPUANiQUB (Elber). Prcp
à part, de la tolyloxamyl-hy4rta>.-
amiiie, ««, 1071 {Pickard, Carîtt
o-ToLYLACÉTiQUE (Nilrile.. Cond. at*-^
l'anh. phtalique, le bromure d>lh^-
lène, la ^bromopropylamîne. Act.
de KSH. Prép. el propr. de la th>^-
amidc. ««, 210 [Goldhcrg .
P-TOLYLACÉTYLÈNE. PréO. 3U mirt^
Propr., der. «-chloré, ««, «I
[KtiDcktlU Gotscb),
p-TOLYLAMINE (Dl-). Cood. «Tf^ U
dlchloriminoquinone et le dtcblort-
minonaphtoquinone, ««, 5J \S^A»-
poscbnikof).
p-TOLYLAMINE (PhENYL-). Pl^P d«
dér. chloro-5-nitré-2 par comb. do
chlorodinilro-2.4-benxèiie avec U p-
loluidine. Propr, réduct., ««, W
(KcbrmaDD, KratzlerK — Pn-p. de
I dér. hydroxylé-4' par cond. da ph»-
TABLE DES MATIÈRES.
1429
Dol avec la o-tolylhydrox y lamine,
««, 767 {Bêmher^er).
la-ToLYLAMiKfi (Phknyl-) (Di-). Form.
par cond. des o- et m-chlorotoluènes
avec la diphény lamine potassique.
Propr., M« 176 (HêeusscrmaDû).
O-TOLYLAMINO-ACÉTIQL'E (Ac). Prép.
par cond. de To-toluidine avec Tac.
monocbloracétique. Propr., amide,
nitrile, 96, 030 {Steppes). — Oxyd.
du dér. nitrosé. Cond. avec Tac.
formique. Dér. formylé, 9Uf 900
{Vorlaendcr). — Form. du dér. ni-
trosé à part, de Tac. o-toluidîne-
diacétique ; act. de HCl, IM, 917 ( Vor-
JâCDder, von ScbiJUng, Schrocd'
icr).
p-ToLVLAMiNo-ACBTiQUE (Ac). Prép. au
moyen de la p-toluidine et de Vac.
monocbloracétique, S6, 630 {Stop-
pes).
O-TOLTLAMINO-DIACÉTIQUK (Ac). PrOpr.,
chlorh., ««. 900 {VorlaoDdcr), —
Act. de AzO'H, !S6, 917 [VorlaeD-
dcr^ VOD ScbilJiog).
O-TOLYLAMINO-Ot-PBOPIOMQUE (Ac.) .
Prép. de'} isom. o- et p- par cond.
des o- et p-toluidines avec Tac.
ot-bromopropionique. Propr., amide,
nitnle, ««, 631 [Steppes),
p-TOLYLAZORYDROXY-ANILIDE. Form.
par comb. du p-nitrosotoluène et
de la pbénylbyarazine. Propr., 1(6,
707 {Bamberger).
p-ToLYLBiURRT. Prép., propr., 96,
1071 iPickard, Carter),
— (Di-). Prép. à part de la p-tolyl-
oxamylbydroxylamine. Propr., 96,
1071 {Pickard, Carter).
p-ToLYLCARBAMiQLE (Ethor). Act sur
l'aniUne, 96, 203 {Dixon).
p-ToLYLCARBA UNIQUE (Etber) . Propr.,
act de COCl», 96, 1007 {Bascb,
Heiaricbs).
P-TOLYLCARBAZINO- CARBONIQUE (Ac).
Prép. et propr. du chlorure -étber,
96, lODÔ [Buscb, Grohmann). —
Prép. du chlorure-élber ; cond. avec
raniline, 96, 10)7 [Buscb, Heia-
ricbs).
— (Phknyl-5-) (.\c.). Prép. et propr.
de IVlber étbyl., 96 10(» {Buscb^
GrobmaûD).
TOLYLCÉTONE (MÉTHYL-). COOd. du
dér. a-chloré avec la benzamidine,
96, 496 [KuDckoU). — Act. de
PCI», 96, 621 {KunckelU Gotscb).
(fCbloro-). Prép., propr., dér.
o- et m-aminés, sels, dér. acétylés,
benzoylés, 96. 63 1 (KuDckelf.
{1,'^.fi'CblorO') {Tri'). Act. do
PCr, 96, 6i2 {KuDckoll, Gotscb).
p-ToLYLCÉTONE (Pentadécvl-). Tribo-
lum., 96, 458 < TachugaefT).
o-ToLYLOYANAMiDn. Cond. avec Talc.
M HCl, 96, 1074 {Mac Koc).
p-ToLYLDisuLFiNE (Di-) . Form. dans
Tact, du chlorure d'ac. p-toluène-
tuironique sur la thio-urée, 96, 3^
{Rcmsen^ Turaer).
p-ToLYLDisuLFONE (Di-). Form. dans
Tact, du nitrosobenzène sur Tac.
benzèno-solQnique, 96, 541, 542
{Bamberger^ liising). — Form. par
oxvd. dup-tolylsuirone-carbinol^ 96,
113J (von Mcyer).
p - TOLYLDITHIOCARBAZINIQUE ( A C . ) .
Cond. avec COCl' et les isosulfo-
cyaDates de phényle et de p-toly!e,
96, 787 {Buscb, Wolport).
p-TOLYLDlTHIO-X-CARBAZINOCARBOMQUB
(Ac.J. Form. à part, de la o-tolyl-
dithiobiazolone . Ethers, 96, 432
{Lingeabrinck),
»>-ToLYLE (Disulfùre). Form, à part.de
lapHlitolylsuIfine, 96, 388 {BemseD,
Turaer).
— (Isosulfocyanate). Cond. avec les
ac. dithiocarbaziniqucs arom., 96,
787 .{Buscb, Wolpert).
ToLYLE-AMYLE act. (Oxyde^. Pouv.
rotat. des isom. o, m et p, 96, 459
{Guye).
TOLYLÉTUYLÈNE - DIAM INE ( D I - a Z - ) .
Comb. des isom. o, m et p, avec
Tisocyanate de phényle, 96, 266
{Senior, Goodwin).
p- ToLYLGUANiDiNE (Di). Acl. de U
phénylhydrazine. Prép. et propr. du
dér. phénylaminé. Dér. acétylé, 96,
434 (Scball).
o-ToLYLGUAMDiNE (Tri-, {Cyêttotri-p-
métboxy-). Prép. à part, de Toto-
luidine et de (CAz)*. Propr., 96, 420
{Mevos).
o-ToLYLUYDRAziNB. PfCDr. des hydrs-
zones des ac. et nitriies pyruvique
et métbylpyruvique, 9S, 696. —
Form. de Thydrazone propionylfor-
mique par cond. de l'o-diazotoluène
avec l^ther éthylmaloniquc , 95,
988 {Farrei).
p-ToLYi.HYDRAZiNE. Hydrazoues des
ac. et nitriies pyruvique et métbyl-
pyruvique, 9S, 096. — Hydrazono
de l'èther pyruvique; prép. au moyen
du iHiiazotoluène et de l'élher mé-
tbylmalonique, 95, 988 {Favrel).
— Act. du nitrosobenzène, 96, 707
{Bamberger). — Cood. avec le chlo-
rure-éther pbénylcarbazinothiocar-
bonique, 96, 1005 {Busch, Grob-
mana).
o-ToLYLHYDROXYLAMiNE. Transf. en p-
amino-o-crésol, 96, 7<J8 [Bamber-
ger).
P-TOLYLHYDROXYLAMINE. Coud. aVCC
CMP et AlCP, 96, 70.) {Gracbc).-"
Comb. avec le phénol, 96, 767
{Bamberger).
1430
TABLE DES MATIÈRES.
ô-ToLYLiiÉTHANE (Di-) (Dibromodi-
ox^'). Ad. de AzO«H, «•, 404
(Zjnckc).
p-TOLYLMÉTHANE-CARBONIQUB (PhK-
NTL-) (Ac.)- Prép. par cond. du
toluène avec le chlorure de p-cyano-
benzyle. Propr., nilrile, S6, 113
IMoscs) .
o-ToLTLNiTROiiÉTHANB. Form. à part,
du nitroxylidènc-phtalide, ^6, 210
(Goldbcrg).
p-TOLYLOXAMYLHYDROXYLAMINB. Prép.,
propr., dér. acétylé, sels, tM, 1070
[Pickardy Carter).
P-TOLYLSEMICARBAZINO CARBONIQUE
(Phényl-4-) (Elher). Prép., propr.,
tM, 10J7 {Busch, Hcinricbs).
/>-TOLYLSULFAMlDE (TrI-). FomU . à
pari, de la p.-tolylsulfone-hydroxyl-
amioc. Propr., S6, 1130 (von
Meyer),
P-TOLYLSULFONE (MÉTHYL-). Fomi. à
part de la benzène-sulfonacélyl-p-
toluidine, ««, 137 {Grothe), —
Form. par déc. du p4oluène-sulfl-
nate de tétraméthylammonium, 96,
1131 [voD Moycr).
— (PHÉNYL-j. Prép. au moyen du
chlorure dac. o-loluène sulfonique.
Propr., oxyd., ««, 409 (Canier). —
Prép. des dér. p-nilré et p-amidé à
part, du chlorure d*ac p-nitro-o-
toluènesulfonique. Propr., dér. sul-
foné, M, 411 [N or ris). — Form.
du dér. p-aroiné dans Tact, de Tac.
p-toluèncsulfinique sur la ^-phényl-
hydroxylamine. Propr., dér. acétylé,
26, 542 {Bamborgcr, Riaiog),
p-ToLYL8ULFONE-CARBiNOL. Prép. par
cond. de l'ald. foroiique avec Tac.
p-toluène-sulflnique. Propr., chlo-
rure, acétate, phosphate. Act. des
aminés, %•, 113'J (von Moyer).
p-TOLYLaULFONE-HYDROXYLAMINe.Pré-
par. au moyen du chlorure p-toluène-
sulflnique et de AzH'OH ; propr.,
dér. dibenzoylé, !66, 113'i {vod
Mcycr) .
— (Di-). Prép., propr., dér. benzoylé,
«6, 1130 (vod Moycr).
P-TOLYLSULFO.NE-MÉTHYLAMINE (Dl-).
Prép. à part, du p-tolylsulfonc-
carbinol. Propr., <6, 1130 [voo
Meyer) .
p-ToLYLTHio-ANruNE. Form. à jfarl,
du p-toluènc-sulflnntc d'aniline.
Propr., !66, 1131 (von Mcyor).
p-ToLYLTHioHYDANTOïNE. Fcm. à pari,
de la suirocyanacélyl-p-toluidiue,
«6, 136 (Frcricbs, ticckurts].
'y-rOLYLTHIOSEIIICARBAZIDE (PhKNYL-).
.Modif. isora., «6, 395 iWaltbor,
Stcnz).
TOLYLURKTHANE. Voy. TOLVLOARBA-
MIQL'B.
Tourbe. Anal., S6, 961 {BoratnegoA.
— Gonsttt. de div. boues de tour-
bières, «6, 962 (Hoffmana). —
Constit., 26, 1064 { Tache) .
Tourtbaux. Anal, au moyen de Tac"-
taie d'urane, S6, 969 {SebJ«*raiag].
Toxicologie. Destract. des mat.
organ. pour la recherche des poi-
sons minéraux, SS, 945 [D^uighs\.
— Recherche de P, «6,281 (Hala>m .
— Transrorm. du foie dans rînlon-
calion par P, 96, 318 (Jacoby) . —
Act. toxique des oxalate, tarirai»-,
malate, succinate et nitrate ac. de
Na, «6,524 (Kahlonberg, AasUat.
— Propr. toxiques de HçCl* »eal
et en prés, d'autres sels, S6, 946
(Clark) .
Toxines. Act. des toxines et anti-
toxines tétanicmes sur la lymphe,
«6, 21. — Transf. des toxio««
et antitoxines tétaniques dans rorfra-
nisme, «6, 814 IBaasom . —
Neutral. par «■0% CaO*et les oxy-
dases. «6, 1023 (Sieber).
TrUZANB. Vdj^.CYCL0TRIAZANB,CTCLO-
MÉTHYLBNE-TRIAXANE .
Triazine (Phényl-phène-) . Form. du
dér. dichloro-p-nitré à part, de la
p-nitrohydrazone de l'ald. azodi-
chlorobenzoîque. Propr., «6, 1^5
(Bambnrger, Domutb).
Triazol. Form. à part, du bis-diaxo-
méthane, «6, 690 {Hantsscb, Ltb"
manu),
Triazol (CiNNAMYL-3-MtTHYL-l-). Prép,
du dér. hydroxjlé à pari, de la m^-
thyl-2-8emicarbazonê de l'ald. rinoa-
mique, Propr., dér. acétylé, S6^
788 (Young, Oaios).
Triazol (Mercapto-). Form. à part, àt
la benzylidène-lhioscmicarbaaon**^
66, 225 {Young, Kyro).
(Phknyl-2-méthyl-I-) . Pr^,
au moyen de la benzylthio*méthyl-4
semicarbazide. Propr., 66, 784
(Young, Oates),
Triazol (Phéntl-S-|. Form. à pari.
du phényU3-méuiyl-l-oxyiriafoK
PtH>pr., sels, 66, 783 (Y^oua^
Oates).
— (Phényl-2-méthyl-I-). Prép. j
part, de la benzoyméthyl-4-thio-
semicarbazide. Propr., 66, 7^1
(Koim^, Oates).
^ (Phéhtl-S-mkthyl-I-). Prép. ii«
dér. hydroxylé par cond. de TaM.
bcnzoïque avec la m^thyUi-aeini-
carbazide. Propr., dér. aoèlyle,
m-nitré, 66, 783, 78i il^Hto^,
Oates),
Triazol (Thio-) (DtPirÉNYLAKii.iDO>).
Form. par cond. de risoBolfo-
cyanalo de phényle aveo la dipbenyl-
1.4thio8emtcarbazide. Propr., ôth^r
TABLE DES MATIÈRES.
141)1
mélhyl., SU, 790, 79i (Busrh,
Holzmaaa),
Triazolone (Phbntl-1-kthoxv-3-
THI0-5-). Prép. des dér. acétylé-8
et benzoylé-4 par oond. des sulfo-
cyanates d'acélyle et de benzoyle
avec réther phénylthiocarbazinique,
«6, 393 [Wboolor, AusUd).
Triazolone-propiomquE'1 (Phéntl-5-
0XTMÉTHYL-2-) (Ac). Préo. parcond.
de Tald. forroique avec Tac. oxy-8-
phényltriazolpropionique, ft6, 1 19
[Baihy, Acme),
Tr UZOLONTLMERCAPTAN - 3 (DlPHÉ -
NYL-1.4-). Prép. par cond. de Tiso-
suirocyanate de pbéoyle avec Tac.
phényIdithiocarhazinique.Propr.,20,
785 {Busch, Wolpcrt).
TriAZ0L>PR0PI0MQUE-1 (MÉTHYL-5-)
(Ac). Prép. et propr. du dér.
hydroxylé-â, élhers, amide. Homol.
élhylé, propylé, isqpropylé et iao-
bulylé-5. «6, 1^ (BaiJey, Acrco).
— (Phényl-5-) IAc). Prép. à part,
de Tac. benzoylscmicarbaziaopro-
piooiquc. Propr., sels, élhers,
amide ; dér. bcnzoylé, acélylé,
méthoxylé; modir. tautom., X%,
119, 120 {BaiJey, Acroc).
— (Styryl-6-) (Ac). Prép. à part,
de Tac. cinnamylsomicarbazinopro-
pioniqiic. Propr., sels, éthers, 9B,
120 [Bailcy, Acree).
Tbiazolylmercaptan (Dihydro-^ (Tri-
PHÉ1SYL-). Form. par cond. de la
diphényl-1.4-lhiosemicarbazide avec
raid, benzoïque. Propr., 1S6, 790,
792 (Busch^ Holzmann).
Thiazolylmercaptan ( Thio) (a-NAPH-
TYL-1-PHÉNYL-4-) . Prép. par cond.
de risosulfocyanate de phénylo avec
Tac. a-nnphtyldiihiocarbazinique.
Propr., élher, ««, 788 {Busch,
Woipcrt) .
— — (Phknyl-1.4.) (DH- Prép.,
propr., élhers, disulfùre, ac. sulfo-
nique, thio-amide, !S6, 785 [Busch^
Woipci't],
— — (/)-ToLYL-l-PHÉNYL-4-). Prép.,
propr., élher, disulfurc, S6, 787
{Bascb, Wolpart),
(p-ToLYL-4-PHKNYL-l-) . Prép.,
propr., éther mélhyl., 96, 787
{Buseh, WoJpcrt) .
Triazone (Phényl-^phènb-^. Prép.
par cond. de Tanilinc avec Télhcr
o-diazobenzoïque. Propr., dér. o-,
m- eiiT-nitrés, o-, /»• et /^mélhylés,
diméthylé, «6, 1154 {Mehncr),
TRlBENZOYLkNE-BB<<zkNE. Voy, BeN-
ZOYLÈNE-BENZKNE (TrI-».
Triboluminesoence. Voy, LfmfcRE.
Tricarb^llylique (.\c.). Prcp. à
part, de Tac. aconili«|ue. Propr.,
hydrazide, azide, S6, 569 {Cur-
tiiiSf //esse».
— (Ethyl-) (Ac). Form. par réd, de
Tac. hématique, 20, 271 {Kustcr).
— Prép. par cond. des éthers fuma-
rqae et éthylmaloniquc. Propr.,
SU, 469 (Aficbael) .
— (Ethylméthyl-) (Elher). Prép.,
propr., isom., S6, 469 {Micbael),
— (^Méthyl-). Prép. à part, des
éthers p-m*lhylpropane-a.p.Y.T-
tétracarboniquo et butane-». p. -J^. 7-
tétracarbonique. Propr., 26, 471,
472 {Micbacl) .
— (MÉTHYL-) (Di-) (.\c.). Form. à
part, de Tac. campholytique, ftS,
83 [Blanc] ; 26, 804 {Ticmaon),
Tricyanométhylène. Form. à part,
de l'éthcr Iricyanocyclopropane-car-
bonique. Propr., M, 202 [Errera,
Perciabosco) .
TriMBSIQUE (MÉTIiYLDIHYDRO-) (Ac).
Form. à part, de la lactone a-célo-
f-oxybulane-a.Y-dicarbonique, 2S,
976 [de Jong),
— (PiiÉNYL-) (Tri-) (Ac). Conslil.,
26, 209 (Afaii(/ie^).
Triméthylèhe. Voy, Cyglopbopane.
Triméthylènb (Bromure). Cond.
avec C*H' et AIBr'. «6, 239
(Bodroux), — Act. de Zn. Form.
a part, du cyclopropane, 26, 5, 6
(Volkof^ M'}DscboutkiDo). — Act.
sur la strychnine, 26, 60 ( Trow-
bridgo). — Form. par bromur. du
cyclopropane, 26, 613 (6ru»(ar.son).
— Act. sur Na en prés, d'acëlo-
nitrile, 26, 1068 [Afîcbaei).
— (Oxyde). Act. de AzH*, 26, 978
[Henry).
TBlMÉTHYLkNE (DiMETHYL-l-l-). V'OV.
Pentane (Iso-).
TRIMÉTHYLÈNE-CARarNOL. Voy. CvCLO-
PROPANE-CARBINOL.
Tbioxyméthylkne. Cond. avecrocoan-
Ihylidène et le phénylacélylène
sodés, 2S, CIO (Mourcu, Dosmots).
— Act. des chlorures d'acélyle ( t
de benzoyle, 2&, ii75 [Dcscudô], —
Dec. par la chaleur, 26, 81 {LidoD.
— Dépolyméris. par la chaleur, 26,
739 [Harriofi) ,
Triphénylcarbinol. Voy. Phk.nyl-
CARBINOL (Trv) •
Triphknylméthanb. Voy. Puényl-
méthane (Tri).
Tropane. Act. de ClOH, 26. 112
( WJllstaotter^ Iglaucr) .
— (Nor). Form. à part, du Iropane.
Nilrosamine. Dér. chloré, 26, 112
[Willstacttor^ Iglaucr).
Tropidine. Act. de ClOH, 26, 111
(WiUstaottor^ Iglaucr). — Oxyd.
par KMuO*, 26, 899 {Vorlacndcrj.
— (Xor-). Form. à part, de la tro-
pidine. Propr., dér chloré, 26, 111
{Willstacttery Iglaucr),
14.12
TABLE DES MATIÈRES.
Truxène. Conslit., S6, 299 (A/an </im^).
Thuxillique (Ac). Conslit., ZS, 209
{Manibey).
Truxonb. Prép. des dér. chloré et
brome à part, de Tac. allocinna-
miqne chloré et brome; propr.,
«e, 209 {Manthey).
— (DiHYDRO-). Forra. à part, do Tac.
a-broraallocinoamique. Conslit., IM,
209 [Manthey).
Trypsinb. Act. de l'ald. formique,
««, 822 (Schwartz).
Trtptophane. Korm. dans Tautolyse
de l'extrait de foie, S6. S18 {Ja-
coby), — Producl. dans la digàst.
pepsique, £6, 831 [MalfatU).
Tulle. Infl. sur rattaque de Cr par
les acides, «6, 876 [OstwaJd).
Tungstène. Prép. du ph«>sphuro
cristall.; 25, 268. — Act. de AsH»
sur rhexachlorure. Forra. et propr.
d'arséniurc et d'arséniochlorure,
2S, 383 [Dcfacqz). — Alliages de
Al cl Tu, S5, 832 {Guilht). —
Sépar. du Wolfram et de la cassi-
lériio. SS, 1006 (Mal 1er). — Anal,
des minerais, S6, 455 {Borniraeger),
TuNGSTiQUE (\c.). Propr. du sel de
Na, ««, 278 (Funk). — Dos. dans
les minerais de Tu,<6, 455 [Born-
traegcr). — Infl. calai, sur Tact,
de H«0« sur HI, 26, 1046 (Brode).
— Infl. sur le pouv. i*otat. des
tarira les, S6, 1055 (Itzig),
TuTiNE. Extr. de div. tutus. Propr.,
«6, 265 [Eastcrûeld, Aston],
TvRosiNE. Form. à pari, des albumin.
d'os de bœuf, tSS, 944 (Etard). —
Infl. sur la solub. des osazones,
«6, 3J [Nouborg). — Form. par
dédoub. de la conchioline, 1(6, 31
[Wctzel). — Form. par aulolysc
des extraits de foie et dans Tinlo-
xical. par P, S6, 318 [Jacoby), —
Tracsf. dans les plantes, S6, 319
iScbuIzo), — P"^^- ®* propr. de
i'éther éthyl. L Transf. en diaci-
pipéiazinc, 86, 744 [E. Fischer),
— Form. dans les graines en ger-
mination, !S6, 824 [Bulkewitsch),
Ulexite. Voy. Borique (Ac).
Uncinatique (Ac). Prés, dans div,
lichens. Propr., !86, 650 [Hosse),
UNDhXANE-TRlCARBONIQUE (Ac). Form.
par cond. de Télhcr malonique sodé
avec l'élher x-bromo-undécylénique.
Propr., élhcrs, S6, 467 [Krafft,
Soldis) .
Undécénylasiidoxime. Prép., propr.,
S6, 468 {Kram, Tritschhr) .
Undécolique (Ac). Acl. de HBr.
S6, 466 {Krafn, SeJdIs).
Undécéntlamine. Prép. par réd. da
nitrile undécylénique. Propr.. ààr.
benioylé, thio-uréeft,£6, 468 {Kra/ït,
Tritscblcr).
Undkctléniqub (Ac.)- Propr., ad.
des oxydants, S6, tSS {nom*,
Feadler). — Form. à part, de Tac.
undécolique. Propr., sHs, dér.
brome. Act. de Télber malonioue
sodé sur le dér. x-bromé, 96, te7
[Kralftj Seldis), — Pi-ép. el propr.
des dilonire, anh., nitrue et tétra-
bromure, ft6, 468 (Krafft, Trit-
scbler),
— (Tri-) fAc). Form. par di«t. de
rnuile de ricin. Propr., anh^ gty-
céride, «6, 311 {Thoms, Feadhr).
VsnûcruQVK {Ccto^xy') (Ac). Form.
à part, de Tac. andécyiéiuqii«.
Propr., S6, 138 {TbomSt Ft*ndJeii,
(Oxv-) {Di') (Ac]. Form. à
de rac undécylénique, Propr.,
!K6, 133 {Thoms, Feodlcr).
Uracile. Prés, dans la nucléine d«
levure; propr., <6, 331 (Ascoiî).
— (Nitro-). Act. de POCP, «6, ^96
{Gabriel). — Transf. dans Torgm-
ganisme, <6« l^ {S tende!).
Uracile (Htdro-). Form. par réd.
de Tac. barbiturique, %%, 6EIS
{Tafol, Weinscbenk)' — Ident.
avec la p*lactylurée, M, 749 {Tafet,.
Uracile (Mkthtl-). Réduct. éledrol ,
«6, 695 {Tafcl, Weioscbeak). —
Transf. en mélhyl-0^ichloro-2.4<
nitro-5-p)Timidine, 96, 906 {GabneJ.
Colman). — Transf. dans l'orga-
nisme, tM, 984 (Steudct),
(A7/ro-). Act. de POCl», Wê.
606 {Gabriel).
Uracile-carbonique iXitro-) (Ac.)-
Transforro. dans rorganisme, <•,
934 {Steudel).
Uranite. Extr. de métaux radio>
actifs, S6, 68. — Prés, de Pb
radio-actif, 96, 244 {Hofmaam^
Strauss),
Uranium. Act. du chlorure d*uranyle
sur KCl et NaCl. Sels doubles.
Chlorh. de chlorure d^uranyle, SS,
153, 154 {Aloy). — Propr. eu
nitrate. Const. tberm., M> K9.
383 {de Coninck). — Prép. da
métal par réd. des oxydes, 9^
345 (Aloy), — Prép. de ramalgama
par électrol. du chlorure* oraneux.
Propr., transf. en U pyrophon*|De,
SS, 623 (Fêrée) . — Propr. du st^
quioxyde rouge; form. doa chlo-
rures neutre el acîda d*uran>(e,
26, 895 (do Contack). — TtU«g«
TABLE DES MATIÈRES.
1433
de la liqueur* d'urane par PO'CaH,
2H«0, U. Vm {Mùllcr). — Exlracl.
de div. mÎDùraux, 1S6, 68 (Hof-
maaa, Strauss). — Propr. et con-
ducl. éleclr. des sels d'aranylo,
«6, 194 (Lev).— Act. de Az'H sur
les sels, 18€, 354 (Curtius^ Darap-
skv). — Triboluni. de Tocélale et
du"^ nitrate, S6. 458, 929 [Tschu-
gaoff), — Electrol. des sels, !S6,
599 {BruDor). — Dos. dans la
broeggerite, 1S0, 952 {HofmauD,
HeideprieDK — Appl. de Tacétale
ao dos. desalbnmin. et corps azotés
daM- les tourteaux, ^6, 958, 959
{Schjernfng), — Appl. de l'acétate
au dos. de Tac. urique dans
rurine, <«, 1028 {FoJîd, Schaffer).
— Prép. et propr, de Toxalate ura-
neuz. Comb. avec les oxalates
alcalins, tn, 1056 {KohlschuUor,
Fossi) .
Urano-oxaliqle (Ac). Prép. et propr.
des sels de K, Ba, Sr, Ca, AzH*,
««, 1056 {KohlschuUor, BossJ).
Urazine (Phé.ntl-), Ident. avec le
phényM-amino^-urazol, !S6, 1002
(Busch),
— — (Di-). Ident. avec le phényl-
nniliao-urazoi, S6. 1002 {Busch).
— {Phéntl-2-dibenzyl-). Form. par
cond. de la dibenzyihydrazine avec
le chlorure- élher phénylcarbazino-
carbonique. Propr., 1S6, 1002
{Buach),
UftAZOL (Naphttl-^. Prép. des isonï.
01 et a par cond. de Thydrazine
avec les chiorure8-<^ther a et ^-naph»
tylcarbazinocai'boniques. Propr. ,
dàr. amiQ^s-4, «6, 1003, 1004
(Busch^ Grohmaan).
— (Phényl-1-) . Prép. du dér. aminé-4
a part, du phényldiéthylamino-
urazol. Propr., 96, 1002 {Busch),
— (Phknyl-1.4-) (Di-). Prép., propr.,
sels, éther méthyl., dér. acélylé,
«6, 1006 (Busch, Ihinrichs).
— — — (MÉTH0XY-4-). Pr<'*p. par
cond. de la p-méthoxyphénylhyora-
zine avec le chlorure-éther phényl-
carbazinocarbonîque. Propr., M,
1U)8 {Busch, Grohmann).
— (pHÉNYL-l-BENZYL-4-). Prép. par
tond, de la benzylamine avec le
• hiorure-éllier phénylcarbazinocar*
bonique; propr., «6, 1006 {Busch,
Hoinrirhs).
— (Phényl-1-diéthyi.amino-). Prod.
de réduct.. «6, 1002 (Busrh).
— (Phknyl-I-kthyl-4-). Prép., propr.,
««, 1006 Busch, Hoinrichs).
— (Phéntl-I-mkthyl-4-'. Pr<^p., propr.,
dér, sodé, acétylé,«6, lOiJB [Busch,
Hoinrichs).
(PlIK.NVL-l-PHKNYLAllINO-4-t. Form.
à part, du phényl-1-phénylméthyl-
amiuo-urazol . Propr., éther éthyl.,
S6, 1002 (Busch). — Prép. du dér.
p-méthox^lé par cond, de la phé-
nylhydrazine avec le chlorure-ether
p - méthoxyphénylcarbazino - carbo-
nique ; propr., 1t9, iOOS (Busch,
Grohmann).
— (Phéntl-I-phkntlmkthylaiiino-4-).
Prép., propr., dér. méthoxylé, IM,
1002 (Busch).
— (/)-T0LTL-l-PHÉNYL-4-). Pr^î^p.,
propr., S6, 1007 {Busch ^ Hoin-
— (/)-ToLTL-4-pHéNYL-l-). Prép.,
propr., %S, 1007 {Buach, Hoin-
riens) ,
Urazol (Thio^) (Phéntl-1-). Prép.,
propr., dér. aminé-4, phényl- et
p-tolylaminés. Disulfure, M, lOCfô
(Busch, Grohmann).
{Phényl-1.4-) (Di-). Form. par
cond. de Tanilint avec le chlorure-
éther phénylcarbazino-thiocarbo-
nique. Propr., 9€, 1004 [Busci^
Grohmann) ,
(p-ToLTL-1-). Prép. et propr.
du dér. anilidé-4, %e, 1005 (Busch,
Grohmann].
Uhke. Cond. avec Tald. acétique et
Br ou HBr, 1tS,T [Causse, Brisac).
— Variât, de la teneur dans l'urine,
55, 272 [Bcrtholol). — Cond. avec
la phénylbydrazine, €S, 280 ( Cazo-
neuve). — Form. par oxyd. de Tac.
uriquo par le persuirate, tSS, 383
[Hugouncna). — Act. sur la sac-
charine, M, 604 [DôfourncJ). —
Appl. à la sépar. electrol. de Co et
Ni, «5,970 [Balachowsky). — Act.
sur Tac. pyruvique, %S, 1063 {Si-
mon). — Infl. sur la solub. des osa-
zones, ftH, 30 (Neubcrg). — Oxal-
acétate, 96, 198 (Fenton, Joncs). —
Act. de l'enzyme du foie, 1MI, 318
(Jacobv). — Infl. sur la coagul. de
l'albumine, S0, 319 (Spiro). —
Form. à pari, de 1 arginine dans
Torffanisme, ZB, 325 (GulewHsch).
— Act. des chlorures d'ac. benzènc-
p- et o-loluène, «- et ^naphtaléne-
sulfoniques, !S6,386(/?effiseii, Gar-
ner). — Form. par oxyd. de Tac.
hippurique et du glycocollc, S0,
3w5 (ifolics). — Act. des chlorures
o-8ulfo- et p-nitro-o-sulfobenzoïques,
56, 389 {Holmes). — Dos. dans
l'urine, «H, 444. — Form. par oxyd.
mangan. de Tasparagine et de Tac.
aspartique, «©, 473 [Jolies). —
Form. par déc. des diphényluréos
bromées et chlorées, S6,482, 48;L —
Act. de la dichloro-2-4 -aniline, %%,
482 (Chatiaway, Orton). — Form.
par oxyd. des bases puriques, «6,
575 (Jolies). — Concl. avec l'ëther
malonique, %e, GIKÎ (Ta fol, Wein-
1484
TABLE DES MATIÈRES.
schenk). — Cond. avec les étbers
oxydes mixtes du p-amioo-phénol et
des aie. propyl., allyl., iso-amyl.,
benzyl., et isobutyliques, !S6, 70t5
ISpicgel, Sabbath). — Comb. avec
rac. * cyanacétjque, 26, 776 ( W.
Traube). — Dos. dans Turinef S6,
815 {Braaostcin). — Variât, dans la
prod. sous rinfluence de CHCI',
««, 821 (Rostoski). — Act. phy-
siol., S6, 882 (Katsuyama). —
Form. paroxyd.de la tbymine, 96,
832 {StcudcJ). — Solub. de Az et
II dans les solutions aqueuses, 90,
848 (Braua). — Coud, avec la mé-
tbyl-6^iainino-4.5-pyrimidine, S6,
907 {Gabriel, Colmaa), — Form.
par oxyd. des albumin., 96, 940
{JoJlo^). — Déoomp. en AzH' et
CO" par MgO et Teau bouillante,
96, 944 (FoUo). — Cond. avec l'a-
cétone, 96, 967 (WciDSchenk). —
Dos. dans Turioe au moyen de
• MgCl«,tîH«0. 96, 1<J21 [FoliD). —
Form. par déc. des méthyl- etéthyl-
iso-urées, 96, 1075 (Mackee). —
Form. par oxyd. de div. amides,
96, 1179 (JoUes). — Cond. avec la
raétboxy-4Hdioxy-2 . 6-m-xylidine, 96,
1140 {Bosse). — Cond. avec le
diamino>2-2'-dipbényIe et le diami-
no-2.2'Hlitolyle, 96, 1141,1142 {Nt>-
mentowski).
-7" (Benzoyl-). Form. par déc. de la
benzoylméthyliso-urée, 96, 1075
(Mackee).
— (Y-CaMPIIOLKNYL-} (DlHYDRO-).Prép.,
propr., 95, r)63 (fî/a/se. Blanc).
— (Chloracétyl-). Act, de CSAzK,
96, 137 (FrerJcbs, Bockarts),
— (Cyanacétyl-). Prèp., nropr.,
transf. on pyrimidine, 96, 775
( Traube) .
— (GLYciNYL-)(ni-1.2-).Prép., propr.,
96, 743 (£•. F/sc/ïflr) .
— (GUANYL-). Voy, GUANYLUBÉe.
— (^Lactyl-) Ident. avec l'hydro-
uracile, 96, 749 {Ta fol).
— (Malonyl-). Syn, Barbituriqui.
(Ac).
— (Malonylmkthyl-) {NHrO'), Syn.
DlLITURIQUB (MkTHYL-) (Ac).
{Nitrosu') Syn. Violitrique
(MÉTHYL-) (Ac).
— (MÉTHYL-). Cond. avec Tac. cyan-
acéliquc, 96, 75 J {Traube). — Rs-
duct. du dér. nitrosé, 96, 7Ht
(Young^ Oatcs),
— (Mkthyl-1.2) (I)i-). Cond. av<v.
Tac. cyanacétique, 96,708 (7>auZ>e).
— (MÉTHYLCYANACKTYL-)Prép., propr.,
transf. en lhéobix)mine, 96, 750
( Traube),
— (a-NAPHTYL-1.2-) (Di-K Form. dans
l'acl. du phényluréihane sur Ta-
naphtylamine, 96, 203 [DixoD),
(Ethylème-bi6-)« Prép., propr.,
96, 266 [Seaien Goodwta).
— ( a-NAPHTYL-l-PHKNYL-i-) . KOTm.
dans Tact, du phénylurétbaoe «nr
Ta-naphtylamine, 96, t03 {Dixon
— (PuÉNYL-), Form. par déc. de \»
pbén)
kee).
pbénylétbyliso-urée
par i
1072 [Mac-
(OxyA-)» Prép. et propr. drs
éthers oxydes mixtes propyl . . allyh.
isobutyl.fiso-amyl. et beiizyl., M.
706 {Spiegel, Sahbath).
— (Phknyl-1.2-) (Di-}. Form. à part
de l'isocyanate de phényle, 9S, ri5
(Hallcr^ Guyot). — Form. 4aa*
lact. du p-tolyluréthane sur faoî-
Une, 96, 203 {Dixon}. — Prép.
et propr. du dér. di-8£-cbloré..ict.
de Cl, 96, 481,482. — Act. dr Br.
96, 481,483.— Prép. des dér. Ji-
/>-bromé, bis-dibromé-2.4, di-p^-hlo-
ré, bi8-dichloré-2.4 et bi»-tricbIor^
2.4.6 par tranapos. moléc. ftue^
cessives des aér. az-cblorés «-t
az-bromés; propr., 96, 481, 4M
(Chatiaway^ Or ton).
(0x^-4-). Propr., 96, ïfc
(E. Fiscber).
(0-V/-4-4'-) {Di'). Prép. U
propr. des oxydes roixiot propyl. ,
alIyK,benzyl.,i8obutyl,et iso-amsl..
96, 706 {Spiegol, Sabbêlb\
(Kthyleni-bis-). Prép., propr.,
96, 265 {Senier, Goodwio .
— (PlIÉiNYL-BENZOYL-}. Form. d«*
isom. 1.1 et 1.2 par déc. des div.
bcnzoylpbényl-iso-urécs inélb>l*^7ï
et élhylées, 96, Hr71, iOTl, MTH
{Mac Ace).
— (Phényldiêthoxypropyl-). Forai,
à part do racétal S>amiooprr>pu>-
nique.- Pi*opr., 96, 976 (VVoû/*,
— (Phényl-I-éthyl-1-). rorm. par
déc. de rétbylphéoylméthyl-i90-<jr«f,
96, 1074 [.Mackee).
— (PHÉNYL-l-I80BUTYL-2-tmXO-t. AcI.
sur l'aniline, 96,692 {Wbcrhr \
— (Phényl-I-mkthyl-I-k Fonn. a
part, de la pbénylmétbxl-éttijlnao-
urée, 96, 1074 \Mac Kûe\.
— (PipÉRiDYL-) (Di-). Prép. à part.
des acélaminobcnzyiptpëridio<r«^ 96«
7 {Kùbn).
— (PSEUDOCUIIYL-) (EtHYLI-NK-IU»- .
Prép., propr., 96, 226 \Setkî>rr.
GooJwin).
— (SlLFOCYANACKTYL-) • Idllll. «Tfr-
Tamide tbiobydaotoïue-carboB»qiif .
96, 137 iFrenebs, BcrkuN* ,
— (o-ToLYL-). Form. par déc. d*'» Tv
tolylméthyliso-urée, 96. 1074 ..V*''
Kco).
— (ToLYL-1 .2-) (I)i-). Form. dc4 *«ttm
o et p dans l'act. du pbénytort-
thane sur les o- ot /)-toluidtflr«,
203 [Dixon).
TABLE DES MATIÈRES.
1435
— (ToLTL-1.2-) (Ethylkne-bis-^. Prép.
et propr. des isom. o, m et p, M,
266 (Semer, (ioodwiu).
— (ToLYL-l-pHÉNTL-2-) . Fomi. dcs
isom. o et p dans i'act. du phényl-
urétbane sur les o et p-toluidines,
%%, 203 \Dixon).
— (Triacktonk-di-J. Prép. par cond.
de Turée et de 1 acétone. Propr.,
<6, 968 {Weinschenk).
— (Trimethtlène-). Form. par réd.
de l*ac. barbiturique, S6, 696
(Ta fol, WeinschoDk).
— — (MÉTMYL-1-). Prëp. par réd.
du méihyluracile. Propr., !M, 695
(Tafri, WeÎDScheak).
— (ûï-Xtlyl-) (Ethylène-bis-). Prép.,
propr., ۥ, 266 (Semer, Ooodwin),
Crée (Ethyliso-). Prép. au moyen
de la cyanamide. Propr., 'sels, (6,
1075 (Mac Kee).
(Phknyl-). Prép. à part, de la
phénylcyanamide. Propr., sels, dét*.
benzoylé, 26, 1U72 [Mac Kce).
(PHKNYLMÉTHYL-j.Prép., propr.,
sels, se, 1074 {Mac Koc).
(o-ToLYL-). Prép., propr., sels,
«6, 1074 [Mac Koe).
Urée (Méthyliso-). Prép., propr.,
sels, dér. benzoylé, cond. avoc
risocyanate de phényle, !S6, 1074
(Mac Koe),
— — (Phényl-). Prép., propr., sels,
dér. benzoylé; cond. avec risocya-
nate de phényle, S6, i(f2S (Mae
Keo).
iPhbnyléthyL-). Prép., propr.,
selR, ftH, 1074 (Mac Koe).
(Phénylmkthyl-). Prép., propr.,
S6, 1U74 {Mac Keo).
Urée (Thio-). Cond. avec lac. chlor-
acétique, S6, 137 {Frerichs, Boc-
kurts). — Act. des chlorures d'ac.
benz<-ne- et 'p-toluéne-sulfoniques,
S«, 387 {Bomsooy Tu rnor).— Cond.
avec Télher a.a-diméthyloxalacétyl-
acétique, <6, 741 (Conrad), —Gond,
avec la méthyl-6-diamino-4.5-pyri-
midine, ^dl, 907 (Gabriel, Colman).
— — CAllyl-). Prép. et propr. du
dér. chloré. Propr., act. de Tac.
chloracétique, ^dl, 4i/7 [Dixon^.
— — \Benzyl-1-allyl-2-). Prép. et
propr. du dér. p-chloré, %%, 49H
(Dixon^.
(Benzyl-carboxymkthyl-) Prép.,
propr., ««, 1127 {Doran).
— — (Benzylphéntl-I-allyl-2-) .
Prép. et propr. du dér. ^-chloré,
««, 498 (DixoB).
(Bts-) . Form. du dichlorure dans
Tact, des chlorures d*ac. sulfoniques
arom. sur la thio-urée. I*ropr., <0,
.S87 [Rem non, Turncr).
(Carboxyméthyl-). Prép., propr.,
26, 1128 (Doran).
(Crotonyl-). Prép., propr., SS,
979 (SJolhmo).
(Ethyl-carboxyméthyl-) Prép.,
propr., 1t%, 1128 [Doran).
(Indyl-I-allyl-2-) (Isodihtdro-).
Prép., propr., «6, 217 (Fraonkci.
(lNDYL-l-phényl-2-)(jsoDiHYDno-).
Prép., propr., «6, 217 (Fracnkcl).
— — (ISOBUTYL- carboxyméthyl-).
Prép., propr., 26, 1128 (Doran).
— (MÉTHYL- CARBOXYMÉTHYL-).
Prép., propr., «6, 1128 (Doran .
(Naphtyl-). Prép. et propr. des
dér. acétylés des isom. « et |i.
Isoméris.; act. de NaOII, S6, 41-
(Huqershof, Koonig).
(Naphtylcarboxymkthyl-). Prép.
et pv-^p». des isom. a et ^, M, 1127
(Do .tn).
— — (,i- Naphtyl- 1-pH EN YL-2-). Form.
dans Tact, de la ^naphtvlamine sur
la phénylisobuty liminothio -urée,
«6, 693 {Whoehr).
— — (Phényl-). Form. à part du phé-
nyidithiocarbamate ammon., <6, 395
(Whoehr, Austin). — Form. par
déc. de la phosphor^ltrithiotriphé-
nylurée, 96, 451 (Dtxom.
(Phényl-1.2-) (I)i-). Act. de la
p-toluidine, «6, 395 (Wallhor,
Stonz). — Form. à part, du phényl-
dithiocarbamate d'ammon., S6, 3)5
(Wheolor, Austin). — Tribolum.,
«6, 458 (Tschuçacir) . — Form.
dans Tact, de raniltnesar la phényl-
isobulylimino-thio-urée, 96, 693
( Whooier'^. — Form. par réduct.
du phényl -phényliminothiobiazolyl.
mercaptan, «6, 786 (Busch, Wol^
pori). — Form. à part, de ladiphé-
nyl-2.4-thiosemicarbazide, 96, 788
(puscb^ Holzmann). — Inll. des
sels sur la 8olubil.,96, 840 (Roth-
muad), — Form. par réd. de l'iso-
sulfocysnite de phényle, 96, 10:H5
(Outblor),
{Dimcthoxy'4'4'-). Form.
dans Tact, de la />nnistdine sur la
phénylméthyliminothio- urée, 96,
693 (Wboctor).
(Phényl) (Di-\ Prép., propi.,
96, 1143 (Fricbcl, Rassow).
(Phénylacétyl-). Act. du chlo-
rocarbonate de mélhylc, 96, 112J
(Doran).
(Phényl-I-allyl-2-). Prép. et
propr. du dér. fj-chloré, 96, 4 »8
[Dixon).
— — (Phényl-butyloxy). Prép.,
propr., 96, 384 (StraussK
(PHKNYL-CAnBOXY-AMYL-).Prép.,
propr., 96, 1121 (Doran).
— — ( Phényl- CARBOXYMÉTHYL- ) .
Prép., propr., 96, 1127 (Doran).
(Phénylcyclopropaxe-). Prép.,
propr., 96, 979 (Kijner).
1436
TABLE DES MATIÈRES.
{PHKNYLDlÉTHOXYPROPYL-).Prép.
à part, de Tacétal amino-propioni-
que; propr., S6, 975 (Wohi).
— — (Phényl-isopropyl-). Prép.,
propr., 9%, 384 (Strauss).
(Phényl-octodécényl-). Prép.
propr.,««, 468(A>a/n, Tritschlor),
— — (Phényl-unokcknyl-). Prép.,
propr., 1t%y 468 (KraOt, Tritr
schler).
(Phosphotriphényl-tri-). Fonn.
par cond. de l'aDiline et du trisul-
focyanate de P. Propr., SU, 451
{Dixon),
— — (Phosphoryltriphényl-tri-|.
Prép. à part, du trisulfocyanate de
phosphoryle. Propr., SU, 451
(DixoD).
— — (PlPÉRIDYL-l-ALLTL-2-). Prép.
et propr. du dér. Chloré, S6, 498
(DixoD).
— — (PiPKRIDTL-CARBOXYMKTHYL-).
Prép., propr., ««, 1128 IDoran),
(ToLYL-). Acl. de NaOH sur les
dér. acélylés des isom. o et p, ftH,
41 {Hugersboff, Koenig).
(ToLYL-l-ALLYL-2-) (P'ChlorO-).
Prép. et propr. des isom. o et p,
««, 498 {DJxoD).
(O-TOLYL-CARBOXY-AMYL-).Prép.,
propr., ««, 1129 [Doran).
(TOLYL-CARBOXYMÉTHYL-). Prép.
et propr. des isom. o et p, S6, 1127
(Doran).
— — (/)-T0LYL-l-PHKNYL-2-). Modîr.
isom., ««, 395 (Waltber, Sieni).
— — (Undécknyl-) (Di-) . Prép.,
propr., se, 468 (Kraffi, Tritseblor).
Urke (Thio-) (Imino-) (Phknyl-isobu-
TYL-).Act. de raniline, delà â-naph-
lylamine, ««, 693 (Whoclcr).
(Phénylméthyl-). Act. de la
p-anisidine sur le benzoate, 841,693
(Wbcoler).
Urée (Thio) (Naphtyl-iso-) . Form.
des aér. acétylés des isom. s et ^
à part, des acétyloapbtylthio-urées.
Propr.. acl. de NaOH, ««, 41
(Ilugorsboff, Kocnig).
(MÉTHYL-ISO-) (DlPHÉNYL-1.2-).
Form. à part, de Télher métbyl. de
la diphonyl-2.4-tbiosemicarbazide .
Propr., sels, SS, 790, 792 (Buscby
Holzinann).
(Tolyliso-J. Act. de NaOH sur
les dér. acétylés des isom. o et p,
26, 41 {Hugersho/T, Koeoig).
Urée (Thio) (Pseudo-butylkne). Prép.
à part de la bromo-2-buly lamine sec.;
propr., seU, S6, 385 (Strauss).
— (PiiÉ.NYL-). Prép. au moyen
de Talcamino-butylique sec; propr.,
ee, 384 (Strauss).
— — (PSELDOMÉTHYL-) (BbNZOVL-).
Forra. à part de l'élber benzoyliml-
nodiibiocarbonique. Propr. , 9%, €7d
( Wbeeier, Afcrriam) .
(PSEUDOPHOPYLÈNE-) (OlHYDRO-
I80-IMDYL-). Prép., propr., <•, 217
(Fraenkel).
Uréb-phbnylamidinb (Phéntlbe?!-
ZÉNYL-). Prép., propr., SS, 6^
{Wbecler).
— (Phénylbenzrnyl<-thio-). Ppép.,
propr., S€, 693 (Wbeehr).
Urées diverses. Urées et thio-oréct
dér. de ranib'docyclopentadiéAe. 9#.
407 (NooJdecbeD). — Dér. de l'ac.
o-aminofalicylique, %%, 418 \Zabn\
— Dér. de ramino-s-métbylcétol, ••»
422 (Walthcr, Clemen\ — Dér. d«
la propylène et de l'boxamé(hylèo«-
diamine, S6, 568 [Curtius^ Clemea .
— Dér. du triamino-l.S.S-propana,
««, 570 (Curtjus, Hessc). — IX*.
de Toctométbylène- diamine, %%,
571 iStolhr). — Dér. de la p^ms-
nopropiopbénone, SU, 682 (ava*--
kell). — Phénylurée de la métiiyl-
bydroxylamioe, S6, 712 (Bamher-
gor, Rising).
Uréido-acétique (Phé.nyl-) . Voy,
PhknylhydantoÏque.
Uréido-butyrique (Phknyl-K Voy,
PhénylhydantoÏque (Ethyl-1.
Uréomètrr. Voy. Apparkils.
Uréthane. Voy, Cabbamiqub, Ph^-
nylcabbamiqub etc..
Urine. Dos. de Tac. uriquc par lO'H,
S5, 254 (BouiUet). — Absorpi. de
0 et CO*. «5, 271 (Bortbclot). —
Appar. pour le dos. de rhémoglo>
bine, U, 607 (Adam), — Natar«
et dos. de Tacidité, K, 700 iBrr-
tbelot), — Destruct. pour les r^^bcr
ebes toxicol., SS,950 [Denigt-jn. .—
Variât, de la teneur en S après «X'
tirp. du foie, 1t%, 21 (Lang). — I>o«.
des ac. oxalique et oxaluriqoe.
27 (SaJkowski). — Dos. de P,
28 (Kelhr). — Solub. des
dans l'urine, ItH, 29 iA>ui>e^t. —
Dos. de Tac. glycuronique. INi. 29
{Mayùr, Nouberg) . — Dos. éa
sucre, S6, 158 (troc^er^ ÀSvIa^*.
— Dos. de l'ac. bippurique, <•> Sli
(Oates^. — Dos. de la créatÀmnei.
M. 33') (Gregor). — Dos. dss ac.
amidés, «e, 336 {PlauDdl**r . —
Propr. d'une urine patholoz., ۥ>
^^(MagnuS'Uvy). — Anal., de*
de l'acidité, «•, 352 (Xacg'-h\ —
Dos. de Hg, «•, 360 iJolJf> . Ml,
367 (Scbuoiacber^ ^^JH^^' — P'**-
d'arabinose r« S€, 378 \X^uhery.
— Dos. de l'urée et de l'albomme.
se, 444 (JoUes). — Rechercb^ •*
dos. de S, S6, 447 (Po/rvt. — Ik4
de Hg, «e, 456 {Wcrdcr). — Om*-
tit. de l'urine des céphalopodes.
TABLE DES MATIÈRES.
14i7
814 (Fùrth). — Héacl. color. avec
raid, dimélhylaminobenzoïque, SU,
817 {Proescber). — Dos. de Az des
ac. amidés, t€f 818 [Krégory
Schmidl), — Dos. de rindtcan, ft«,
826 [Bouma). ~ Dos. de AzH% 1S6,
944 {Fol in). — Dos. de Fe. «6,964
{HoffmaDD), — Dos. de l'urée, ««,
1021 {Folin\ — Dos. de Tac. uri-
guc, M, 1023 [Folin, Schaffer). —
Dos. dusucre,«ll, 1061 (/?aiJiiAii&).
— Dos. de TacétoDe par la phényl-
hydrazine, tH, 1063 (Hiegler),
Urique (Ac). Dos. de lO'H, S5, 252
{HouJJlet). — Acl. du pereulfale
d^ammon., SS, 383 (HugouDenq). —
Neutral. en prés, de div. indica-
teurs, «S, 965 (BerthoJoi). — Act.
de I et de KMnO*; dos., SU, 28
(Jolies), — Transform. dans Torga-
nisme. Recherche, «6, 320 [His,
Hagcn), ^~ Solub. en prés. d'ac.
nucléique et thymique, «8, 323
{Goto). — Solub., propr. phys.,
conducl. élcctr., M, 328 (His ,
Paul). — Dos. par BaCl", ««, 457
{Jolies). — Réd. électrol.: propr.,
S6, 749, 750 {Tafel). — Synth, à
part, de la cyanacélvlurée, *6, 756
{Traube). — Dos. dans Furine des
céphalopodes, 8<l, 814 {Fùrtb). —
Dos. dans Vurine, «6, 1022 [Folio,
SebafTcr).
Ubique (DÉS0XYPSEUD0-). S/D. Urique
(tétrahydro-).
Urique (Hydro-) (Tetra-) (Ac).
Form. par réd. électrol. de Tac.
urique. Propr., «•, 751.— Conslit.,
act. des alcalis, S6, 904 (Tafel).
Urique (Méthyl-3-) (Ac). Réducl.
électrol. des isom. $ et C, HH, 752
{Tafel), — Synth, à part, de la
cyanacélylinélhylurée , •€, 757
(Traube). — Transf. en méthylal-
loxane, ««, 909 {Aodreascb).
^(MÉTHYL-1.3) (Di-) (Ac). Réd.
électrol., ««, 752 (Tafel). —Synth,
à part, delacyanacétyldiméthylurée,
M, 759 (Traube),
— (MiTHYL-3.9-) (Di-) (Ac). Réd.
électrol., «6, 752 (Tafel).
— MÉTHYL.7.9-) (Di-) (Ac). Réd.
électrol., ««, 752 {Tafel).
— (MÉTHYL-1.3.7.9-) (TÉTRA-) (Ac).
Réd. électrol., ««, 753 (Tafel).
Urobiline. Dos. dans la bile d'ours
blanc, S€, 942 (Hammarsten).
UsNARiQUE. Prés, dans div. lichens.
Propr., dér. acétylé, ««, 949
(Hesso).
UsNÉiNE (DÉCARB0-). Prép. et propr.
du dér. acélyîé, S«, 558 (Pa-
ter no) .
UsNBNiTiQUE (Ac). CoDStit., idcnt.
avec Tac. sléréocaulique, S6, 650
(Hesse) .
UsNÉTOL. Form. a part, de Tac. usné-
nitique, S6, 650 (Hesse).
UsNiDiQUE (Ac). Form. à part, de
Tac usilique. Propr., Sè, 118:)
(Hesse).
UsMNiQUB (Ac). Prés, dans div. li-
chens, «6, 649, 651 (Hesse).
UsMQUE (Ac). Propp., dér. benzoylé,
oxime. COnstit., XH, 558 (Paterno).
— Propp. des ac. (/, 1 et ;•. Sels,
anh., M, 647. — Prés/ dans div.
lichens, ««, 1182 (Hesse).
— (DÉCARBO-) (Ac). Prod. d*acétylat ,
SU, 558 (Paterno).
— Voy. Pyro-usnique.
V'alérhydroxamiqub (Iso-) (Ac. ).
Form. par oxyd. de Tisovaléral-
doxime. Propr., sels, S6, 992 [Bam-
berger t Scheatz).
Valériqce (Ac). Form. par hydrol.
de Tac propylcyanomalonique, SS,
274 {Haller, Blanc). — Pouv. rotat.
de l'éther iso-amyl. actif, S5, 549
(Guye). — Prés, des éthers méthyl.
et phényl.
phényl. dans Thuile de bois,
439 (Frapa). — Consi. diélectr.
du nitrile, 9ê, 600 (Scblundt). —
Electrol. du sel de K. Form. d'éther
butyl., S€, 897 (Potersen). — Chai,
latente de vaporis. et chai, spécif.,
S«, 945 (Kahlenberg).
— (oi'Cbloro-) (Ac). Prép. à part, du
nitrile a-ox^valérique. Propr.,
chlorure, nitrile, éther cthyl., XS,
974 [Servais).
— (oL'Cyano-) (Ac). Form. à part, de
Tac cyanopropylmalonique.Anilide,
S5, 274 {Haller, Blanc).
— (n'Oxy-) (xNitrile). Act. de PCI»,
S5, 974 (Servais).
Valérique (Aid.). Pré«. dans Thuile
de bois, «6, 439 (Traps).
— {Nitro-) (Aid.). Modif. stéréochim.
de rhydrazone, 911,993 (Bam berger ,
Scbmidt),
Valérique (Iso-) (Ac). Form. de
Téther éthyl. dans Tact, du chlo-
rure sur le couple Zn-Cu en prés,
d'éther, 95, 3 (Freundler). — Act.
sur le nitrate de brucine, XS, 428.
— Comb. avec la diphénylcarbazide,
SS, 452 {Catencuvc). — Pouv.
rotat. de Téther iso-amyl. act.,
SS, 549 (Guve). — Ethérif. par le
thuyol,«6, 692 (Cbarabot y Hébert).
— Form. à part, des prod. de
Tact, du nitnte d'amyle en prés.
de HCl sur Talc, amylique, M, 251
143B
TABLE DES MATIÈRES.
{Kissol). — Form. à part, de l'a-
méthylisohepténone, *«, 30U. —
— Tribolum. du sel de quinine,
S6, 459, 929 (Tscbugaoff). — lodu-
ral. par ICI, «6, 465 (Zcroof). —
. Gonst. diélectr. du nitrile, S6, 6J0
(ScbJuDdt). — Eleclrol. du sel de
K. Form. d'élher iso-amyl., «I,
897 [Peterson). — Prép. de Tanh.
dans Tact, du chlorure sur la tri-
propy lamine, «6, 969 {Wedokind).
— Form. de l'éther élhvl. dans
Tact, du chlorure sur 1 élber en
prés, de FeCP, «6. 1068 [Wedo-
kind, Haeuasormann) .
[gi-AmJDO-) (Ac). Form. à
Çart. des rognures de corne, ftH,
44 (E. Fischer),
(ot.B'Amino) (D/-) (Ac.}.Synlh.
à part, de Tac. phtalimino-propyU
maloniquc. Propr., sels, dér. ben-
zoj lés. ««, 746 [E, Fischer) .
{oL-Bromo-) (Ac-). Gond, de
l'éther avec les phénols sodés, S 6,
11, i^iBiscboff). — Gond, de l'éther
avec Tald. isovalérique, SU, 68!
[Protopopofj RcformatsJcy) .
iaChloro-) (Ac). Prép. au
moyen de Tac. a-oxy-isoval^ique.
Pi*opr., chlorure, éther éthyl.,
nitnle,ft5,974 {Servai-i), — Form.
à part, de Tac. a-iodé, ^6, 465
[Zcrnot) .
{^'ChlorO'^oxy-) (Ac). Form.
des 2 stéréo-isom. à part, des ac.
tiglique et angélique. Propr., SU,
166 {Mélikoff).
l&'Cbloro-a-oxy') (Ac). Form.
des 2 isom. à part, des ac. tiglique
et ang<^lique et a.p-diméthylglyci-
dique. Pi-opr., ««, 166 (Mélikoff).
^a-JodO') (Ac). Prép., propr^
S6, 465 (Zcrno/j.
i^'Oxy-) (Ac). Form. à part.
de Vue. a-^-diméthylpyruvique, SS,
612 ( \Véj/i7). — Acl. de PCI* sur le
nitrile,«5, 974 [Servais).-^ Form: à
part, de Tac dimétbylpyruvique,
«5, lUr» {BouvcauJt, Wahl). —
Form. à part, de Tac. a-iodé, )S4I,
435 [Zernot).
(a.^-Ox/-) (/)/-) (Ac). Form.
de Téther-oxydo diamyrt(|ue à part,
du prod.de lact. du nitrite d'amyle
sur Talc amyl. en prés, de HCl,
«6, 251 (Kissel).
Valérique (Iso-) (Aid.). Gomb. avec
les érylhrites d, 7 et r, «S, 742,
744 {M aquoune^ Bertrand). — Form.
par pyrogénat de Talc, iso-amyl.,
M. 370, 534 (Ipatief). — Réduct.
de la comb. avec raniline et la p-
toluidine, «6, 486 [Eibocr, Puruc-
kcr). — Gond, avec le a-naphtol et
AzU% 11%, 554 {Betlt). — Cond.
avec Téther a-bromi80vaIériqu«,
se, 681 {Protopapof, ReformaUty)
— Form. à part, du dioxj-de
du diméthyipropylglycol, 9€, 89S
(A. Fischer, B. Wioier). —
Oxyd. de Toxime par le réact
de Caro, S€, 992 {Bamberçi^r,
Sebouêz)»
Valérique (Iso-act.). Pouv. rotât.,
racémisat., 1B5, 546. — Pouv.
rotat. de Téther iso-amyl. act.,9S,
549. — Pouv. roUt. des étbers
méthyl.. étbyl., propyl., ih-butyl.,
iiobutyl. et benzyl., W, 550 {Guyru
(«-CA/oro«) (Ac). Prép. a
part, de Tac. a-oxy-isovalérique.
Propr., chlorure, éther, nitrile, 9S,
974 (Servais),
(ct'Oxy-) (Ac). Acl. de PCl\
«S, 974 (Serrais).
Valérioub (Iso-acl.) (Aid.). Pouv.
rotat., racémis., «S, \48 *Guyt*).
Valkrique (Iso-lerl.) lAc). ElêctroK
du sel de K, 26, 897 (Pett^rsen).
[Oxy-) (Ac). Form. à part.
de Tald. corresp., £6, 894 [Wt's-
sely) .
Valkrique (Iso-lert.; (Oxv-) (Ald.i.
Form. par cond. des ald. formique
et isoDUlyrique. Propr., oxyd.,
réduct., dér. acétylé, oxime, <•,
894 ( Wessely),
Valkrique (a-MéniTL) (ft-Ox/-) (Ac).
Prép. par cond. de raid. propioDÎqae
avec réther a-bromopropionique.
Propr., sels, S€, 68J (Asiakbot,
Reformatsky).
Valérique (^Mbthtl-) (^-Cyaao-\
(Ac). Form. à part, de Tac. x-oxi*
roino-^-méthyladipique. Propr., S6,
89 (Dieckmaan^ Groenevclif,.
(Tf-Oxv-) (Ac). Form. par
oxyd. de lallyléthvlmétbylcarbJBol.
Propr., sels, 9%, èil (Pokrewskj k
Valérique (a.Sr-MÉTurL-) iDi-) 'Ac).
Form. du dér. p-h^droxylé par
cond. de Tald. propionîque a^^ee
l'éther a-bromisobutyrique. Propr.,
laotone, S€, 618 [Sebiscbkovsky^
Reformatsky) ,
Val^ryle (Di-i80-].Prép. et propr. d«
Toxime et de 1 of azooe, M, U27
{PoDiio) .
Valéryle (Iso-) (Chlorure). Acl. sur
le couple Zn-Cu, «S, 3 [Freaad"
1er) . — Traosf . en anh . par la lri>
propylamine, £6, 969 ( WedekimJi .
— Acl. sur l'éther en prés, do
FeCl», S«, 1068 ( Wedckiad, fhttn-
sermaan).
Valérylmaliqus. Voy. Maliquk.
Vanadiomolybdique (Ac). Prép. cl
propr. des sels d'ammon., M, B
{Friedbeim, Castendyck).
— Voy, SlLICOVANADlOMOLYBDIQt'K .
TABLE DES MATIERES.
1499
Vanadique (AcJ. Comb. du sel
ammon. avec le silicomolybdate,
SU, 3 {Fricdbvimt Casleadyck) . —
Infl. sur le dos. colorim. de PO*H'
dans les eaox potables, 99, 009
{WoodmaD, Cayyaoj .
— (SuLFO-) (Ac). Propr. du sel de
Cu {sulvaaite),%%, lÈ{Goyder),
Vanadium. Dos., S€, 8 [Fricdhcim,
Castondyck), — Sépar. de Fe, 26,
3iH (Blum), — Points de fus. et
solub. des alnas de Na, K, Tl,
AzHN Hb, Cs et Vd, ««, 1U26
(Locko) .
Vamlline. Prép. par oxyd. du sul-
fate acide de l'iso-eugônoL SulCate
acide. Sel de K, «5, 48 {VerJov).
— Cond. avec l'iodure de Mg-
étbyle, S5, 276 [BébaJ, Tiffoneau,.
— Appl. à la prép. des crèmes, S5,
G59 {Frebse). — Prod. de cond.
avec le ^-naphtol, 9<l, 170 \Iiogo\v).
— Cond. avec Tindanone, 26, iBl
F'Uct'sU'in), — Tribolum., 241,458
{Tsrbugaoff).
Vanilliqub (Àc). Cond. de l'élher
cthyl.avec Téther IriméthyU de la
phloracétopbénone, 26,641 (Diller^
Kostanecki),
Vanillonb (Acétyl-iso-). Form. à
f»art« de Tétber métbvl. de la lutéo-
ine. Propr., 26, 187, 188 [Von-
geriebtea}.
Vapeurs. Voy, Tension.
VÊiiATRiQUK (Ac). Cond. de l'éther
élbyl. avec la triméthox^phlorao^-
lophénone, 26, 109 (hostanccki^
BozyckJ, Tambor). — Form. à
part, de la lutéoliue, 26, 154 [Pcr-
kint IforsfaJJ), — Cond. de l'éther
avec Tétber tri méthvl. de la phlora-
cAtopbénone,26, 641 [Délier, Kosla-
Dccki) .
VÉRATROL. Cond. avec Thydrale de
chloral, 26, 259 {Fcuerslciû).
Vert d'alizarine B. Applic. à Taci-
dim., 26, 448 [Formanok).
Vert malachite. Ethérif. par les
alcools. Ethers méthyl., étbyl.,
benzyl., 26, 97 [O.Fiscber).
Veht phtalique. Constit., 25, 821
l Ha lier, Ou vol).
VÉsuviNE. \ oy. Colorantes (Ma-
tikres).
Vétiver (Essence). Constit., 2S, 455
{Tlteuhor).
ViNî*. Rechercbo de Tac. salicylique.
25, 475(Pr'rc/>a) ; 25, 581 {Simom;
25, 720 [Ferrcira da Silva). —
I)e5«truct. de la mat. organ. pour
les recherches toxicol., 25, U5')
(D**û/V;ès). — Compos. du vin de
raisins secs, 26, 651 (Scbneegans).
— Slatist. des vins allemands pour
imw, 26, 'J^Ji.
Vinyle (Bromure). Voy. Ethylène
[Brotao-) .
Vinyle [lodo-) (Tri-), Ident. du
nitrate avec le nitrolri-iodoélhylène,
26, 84 {Biliz, Kcdesky).
Vinyle (Méthyl-di-). Act. de HBr.
Constit., 26, 86 (Afokievsky) .
Violet cristallisé. Form. à part.
de rhezaméthyltriamino-triphényl-
méthane o*aminé. Dér. hydroxylë,
25, 568. — Diazot. du dér. o-
aminé, 25, 758 [Hallor, Guyot).—
Appl. à la recherche des eaux con-
taminées. Act. de SO', 25, 774
[Causse y SJsley).
Violet de Lauth. Transf. en imino-
thiodiphénylimine, 26, 54 [Scba-
poscbnikof).
Violet métuylé. Ethérir. par les
alcools, 26, 97(0. Fiscber),
\ ÏOLURIQUE (MÉTHYL-) (Ac). Prép.
à part, du métbylalloxane. Propr.,
constit., sels, 26, 909, 910 [An-
dreascb) .
iDi-) (Ac). Constit., 26, 910
[Aodrcaacb).
Viscosité. Viscos. de quelques es-
sences, 25, 519 (Jeancard^ Satie),
— Bel. avec div. propr. pbys., 26,
1045 iBatrbÎDski),
ViTELLiNE. Oxyd. mangan., 26, 940
[Jolies).
ViTELLiQUE (Avi-) (Ac). Prép. à
part, du jaune d'oeuf. Propr.,
constit., 26, 828 iLcKenc, Alsberg).
Vitesse. Voy. Analyse des g. vz.
Vitesse de dissolution de div. so-
lides, 26, 878 (BruDor, Toi-
loczko) .
\'iTEssE d'éthérifioation. Pbénols et
alcools cycliques, 26, 616 [Pauot).
— Stéréo-isomères, 26, 787 [Marck-
wald, Mackenzie),
Vite$;ke de réaction. Appar. pour la
mesure, 25, 99 [Job). — Vit. de
form. des acétals et formais, 25,
846, 364 iDclépine). ^ InH. des
dissolvants, 26, 14 (Afensc/iou^il^iiip).
— Vil.d'act.de HCl sur Talc, élhyl.,
26, 841 [Price). — Bel. avec les
phénomènes d'écjuilibre, 26, 516
tBaucroù), — Vit. de cond. do
l'acétone par KOH, 26, 833 (Aoc-
Ikbou). — Vit. d'act. de KOH
alcool, sur les iodurcs gras, 26,
858 [Broussift, — Vit. d'act. des
alcools sur l'éther t>enzènesu iro-
nique form. d'élhers-oxvde 1,26, 859
^Zagrebia), — Inll. des dissolv.
indifférents, 26, 860 {}fvnschoul-
kino). — Infl. du milieu, 26, 862
' Buchbock) .
ViTE>.sE DE saponification. Vit. de
sapon. du nitrate d'éthyle par Teau,
26, 2^ [BiroDj, — Vit. de sapou.
1440
TABLE DES MATIÈRE?.
des amides, ZH, 382 (/?(*/(/). — Vit.
de sapon. de l'acétate de mélhvle et
d*hyarol. du sucre par les hydrates
métall., «€, 520 [Carrara, Vcspi-
gnanï), — Vit. de sapon. des
stéréo-isomères, S6, 737 [Marck-
wald^ Mackcnzic),
VOLTAIlkTRB. Voy, APPAREILS.
VuLPiNiQUE (Ac). Prés, dans div.
lichens, ««, 647 [Hesse).
W
Wolfram. Voy. Tungstène.
Xanthène. Voy. Phénylméthane
(Di-) [Di-p-oxy-),
Xanthine. Oxyd. mangan., S6, 575
(Jolies). — Synth, à part, de la
cyanacétylurée, S6, 756{r«/e/). —
Kéducl. électrol., £6, 9J1 (Tafcl,
Acb).
XANTiiiNE (DÉSOXY-). Form. par réd.
électrol. de la xanthine. Propr.,
sels, dér. brome, £6, UOl (Têfcl,
Aeb),
^MÉTHYL-S-). Préo. par réd.
électrol. de la méthyl>3-xanthine.
Propr., sels, act. de Br, SU, 694
(Tafcl, Weinsebenk).
— (DÉSOXY-HÉTKRO-). Prép. par réd.
de Thétéroxanthine. Propr., sels,
oxyd., «6, 694 (Tafel, Wcin-
schcûk) .
Xanthine (Hétéro-). Oxyd. mangan.,
S6, 576 (Jolies). — Réd. électrol.,
se, 694 (Tafcl, Weioachenk).
Xanthine (Htpo-), Dos. dans Turine
des céphalopodes, SU, Bii{Fùrlb).
Xanthine (Méthyl-1-). Propr., mé-
Ihylat., «6, 693 [Krugor).
— (Méthyl-3-). Réd. électrol., ««,
6y8(ra/e7, Wcinscbeuk). —Synth,
à part, de la cyanacétylméthylurée,
Sé, 757 (Traube).
— (Méthyl-1 .:J-) (Di-). Form. par
méthyl. de la méthyl-1 -zanthtue.
Dér. sodé, «6, 693 (Krugcr).
Xanthine (Para-). Oxyd. mangan.,
«•, 576 (Jolies).
Xanthique (Ac). Act. du chloro-
carbonated éthylc,S<l, 394( Wbceler,
Austio).
Xanthiqucs ^Bases). Form. à pan.
desnudéoprotéides du suc gastnqoft,
<•, 937 (iVencifi, Sieber).
Xantuogénique (Ac). Transf. d*^
éthers en carbures non-saturé», SC.
184, 185. — Applic. à la sépsr. do
bornéol et de risobornéol, SS, 298
{TsebugaeiJ) . — Gond, avec U
diéthylamine, S6, 391. — Form.d^
Téther éthyl. à part, du xantbate de
K, «•, 394 {Wbcoler, Austio).
— Voy. Thuylxanthogéniqui.
Xanthopuylliqubs iComp.). Prés.
dans U chlorophylle jaune, 9#. 77
(MareblûwskJt Scbunck).
XÉNTLAMiNB (Di-) {DiëwioO'), Prép.
i part, de la t>enzidiDe, propr.,
9Bt 297 {Aterz, Strasser).
Xylalprtalidb. Voy, Phtalidb (Xy-
LIDÈNB-).
o-Xylènk. Chlorurat., CS, 979 (Por^
raad). — Oxyd. par MnO« et SO*H".
tes, 1063 (Fournier). — Brorourat.
par S*Br*, S€, U (Edinger, (h^ld-
berg). — Form. par dist. «ous
pression d'huile de résine, €•, lit
{Kraemer, Spilker) . — Réd. des dér.
haloeénés par Hl, S€, 397 {KUa^n,
Licckc), — Gond, avec AzH*OH el
AlCl», ft«, 703 (Graebe). — Tem,
de vap. à div. tampér., SC, 8i2t
( Wonnger).
— (Cbîoro^A') {Di'K Form. par
chlorur. de To-xylène, SS, 97J (Ft^r-
raad).
— (CbJoro-3.5-) [Di-). Prép., «S, 97.»
(Ferra dJ).
— ICbloro-S.G') (/>i-). Prép., £6, 97V»
(FerranJ).
— (lodo^-). Réd. par Hl, <•, ;I97
(KlagoSt Liockc).
m-XYLÈNE. Cblorural., VS, 97U (fV/»
raad). — Comb. mol. avec Tac. brr>-
mo^nitro^benzoîque, tU», 9B4 (Hol-
lemann^ de Bruyn), — Act. sur la
comb. de AlCl* et du chlorure d'à-
cétyle, SS, 989 (Bocsckea). ^ lo-
durat. par S'I', <•, 10. — Brom.
parS"Br", SU, U [Edinger, GoU-
berg). — Form. par dist. «ou*
pression du xylylphénylméthane,
e«, 124 (Kraemer, Spilkrr), —
Gond, avec Tanh. o-sulfobanzoîquc
et AIGP, ««, 175 (Kraanich). —
Réd. des dér. halogènes par III,
£6, 397 iKlages, Uecke). — Pr«a.
dansThuile de bois, 9#, 439 \Fr9pjt\.
— Gond, avec AzH'OH et Afcl'.
9%, 703 (Graebe). — loH. sur div.
vit. de réact., S6,S61 [Méaschou(
kioe). ^ Tens. de vap. à div. temp.,
««, 863 ( Wor/nj^rr). — Gonat, dlé-
leclr., S6, 880 (Turiier). — Ex
tract, de l'éthytbenzène., <•« 9121
(Moscbncr). — Prés, dans le pé-
1
TABLE DES MATIÈRES.
1441
trole de Californie, SU, lO79(A/a^0-
rjy Hudson).
— [\Eoxy'4'\. Form. à jparl. de la
m-xylylhydroxytamine. Fropr., S6,
714,715 {Bamberger, Brady).
— {PiazO'4'). Comb. avec les ac.
thiosulfon. aromat.,S<lt 636 [Trac-
gor, Ewcrs). — Copul. avec la
cil toro-4'in-pbénylène-^iaiiiine, S€,
yiO {Cobn, A, Fiscbor).
— {lodo-i'), Prép. par â«I% «•, 10
[Edingcr, Goldherg). — Acl. de H*0
8urledichlorure,96,539(Orto/eKa).
— aodo^). Réd. par HI, ««, 397
{KlageSj Liecke).
— Uodo-ô-). Héd. par HI, SU, 397
(klaaeSy Liecke).
— (/oJj/o-). Prép. à part, du dichlo-
rurc d'iodo-m-xylèae, 26, 540 [Or-
toJeva).
— {Nitro^-\, Réduct., ««, 714 (fîaiD.
berger, Brady).
P-Xylkne. Form. par dist. sous pres-
sion du xylylphénylméthane, S€,
lil (Kraemor^ Spilker), — Gond,
avec AzH'OH et AlCl\ ft«, 703
(Graebo). — Tens. de vap. a div.
tempér., S6, 868 (Woringor).
m-XTLkifc (HsxAHTDiko-). l'ov. Cy-
GLOHEXANE (MÉTHYL-1.3-) (Ul').
m-XYLÈNE-AZ0-CHL0R0-4.m'PHÉWYLÎi-
NE-DiAMiNE. Prép., propr., S6, 916
[Cohn, A. Fischer).
O-Xylêne-sulfimque-3 (Ac). Prép. à
part, de Fo-xylidine. Propr., oxy-
dât., se, 913 {^foschncr).
m-XYLÈNE-SULFINlQUE-Ô (Ac). Prép.
à part, de la m-xylidine. Propr.,
oxyd., 26, 913 (}foscbDcr).
o-Xylène-slxfo.niqi;e-3 (Ac). Prép. à
part, de Tac. sulflnique corresp. ;
propr., chlorure, amide, SU, 91t(
iMoscbucrj.
m-XYLkNE-suLFONiQUE-4 (Ac). Hydrol.
par HGI, ««, 10i5 {Crafts).
m-XYLÈNE-suLFONiQUG-ô (Ac). Prép. à
part, de Tac sulfurique. Propr.,
chlorure, amide, S€, 913 1 Moscboer i .
o-Xylénol. Cood. du dér. sodé avec
les élhers d'ac. gras oi-bromés, SU,
U {Bischoff).
ni-XYLK.\oL-1.3.4. Form. par déc. de
la diméthylcoumarono du goudron,
S6, 62 {Stocrmer, Bocs). — Form.
à part, du p-diraélhylquinol, S6,
711 {Bamberger). — Form. du dér.
sminé à part, de la xylylhydroxyla-
mine, S6, 715 {Bamberacr^Braay).
— Prép. et propr. des dér. bromés-
a, 5 et 6, ««, lOyS (Novltiag,
Braun, Tbcsmar).
m-XYLÉNOL-1 .8.2 [Motboxy-À-earbonyl-
ininO'5.6). Prep. à part, de Ja
méthoxy- 4 - dioxy -2 .6.m - xylidino .
Propr.. ««, 1140 {Bosse).
m-XYLÉNOXY-ACKTfQUB (Ac). PfOpr.,
cond. en diméthylcoumaranone. M,
77 {Stoermety Bartsch).
o-XvLiDtNB-l .2.3. Vit. de réact. avec
Tac. acétique, S6, 14 [Meascbout*
kine). — Non transf. en safïranine
par cond. avec les îndamines. Cond.
avec la nitrosodiméthylaniline, %%^
116, 117 (/T/wfd/iie). — Act. de KSH,
CAzK et SCAzK sur le dér. chlor-
acétylé. Dér. sulfocyanacétylé. M,
136 iGro/Ae; Freriobs, Beckurts).
— Transf. en ac sulûnique. M,
9lS(iVosc^ner). — Nitrat. da dér.
acétylé; prép. et propr. des dér.
nitrés-4,5 et 6; dér. acétylés, ben-
zoylés, 96,1094 [NoelUng, Braun^
Thosmar),
o-Xylidinb-1.2.4. Vit. de réact. avso
Tac. acétique, S6, 14 (Menacboui*
kine). — Transf. en safranine, S€»
116 {Kbardine), — Form. dans la
oond. de To-xylène avec AzH*OH et
AlCP, £«, 703 (Graebe). — Nilrat.
du dér. acélylé; prép. et propr.
des dér. nitre8-3, o et 6; dér. acé-
tylés, benzoylés, nitrobenzylidéni-
ques, %9t 1094 WoelUogy Braun^
Thesmar),
m-XYLiDiNE-1.3.2. Vit. de réact. avec
les aminés aromat., S€, 14 (Mea-
scboutkiae). — Non transf. en safra-
nines par cond. avec les îndamines.
Cond. avec la nitrosodiméthylaniline,
£«, 116, 117 [Kbardine). — Bro-
mnrat. ; prép. et propr. des dér.
bromés-4 et 5; dér. acétylés, 1M,
1095 {Nocitiag, Braun, Thesmar).
m-XYLtDiNE-1.3.4. Vit. de réact. avec
Tac. acétique, S6, 14 {Afeaschout-
kîDe), — Cond. avec Timinothiodi-
phénylimine, S€, 55 [Schaposchni'
kof). — Transf. en safranine, 1M,
ii^ [Kbardi ne). — Infl. sur la coa-
gui. de ralbumine,lM, 319 (Sp/ro).
— Cond. avec le bromure d'étbylé-
ne, £6, 419 {Senior y Goodwin). •— >
Comb. avec Tac mucochlorique,
S6, 475 [Simonis). — Cond. du dér.
acétylé avec le chlorure de chlor-
acétylé et le bromure d*X'bromopro-
pionyle, %e, 634 (Kuuckeli), ~
Form. à part, du nitro-m-xyléne,99,
714 {Bamborger^ Brady), — Bro-
murât.; prép. et propr. des dér.
bromés-2, 5 et 6; der. acétylé, ben-
zoylé et m-nitrobenzylidéniaue, tM»
1095 (XooJting, Braun, Thesmar).
— Copul. avec le diazo. de Téther
anthranilique, SU, 1154 (Mchner).
m- Xylidine-1.8.5. Vit. de réact. avec
Tac. acétique, SU, 14 [Afcascbout^
kine). — > Non-transf. en saTranine,
ft9, 114 [Kbardine), — Form. par
cood. du m-xylène avec AzH*OH
et AlCP,««,703(r;racJbe).— Transf.
8DC. CHIII., 3« SÉR., T. XXV-XXVI, 1901»
91
1442
TABLE DES MATIÈRES.
en ac. sulflnique, S6, 913 {Moscb-
ncr), — Form. du dér. dioxy-2-6-
mélhoxylé-4 à part, de la méthoxy-3-
oxy-5. p-xyloquinone-oxime. Propr.,
sels, dép. acétylés, cond. avec Turée,
«6, 1140 (Bosse).
P-Xylidine-1.4.2. Vit. de réact. avec
Tac. acétioue, S6, 14 [Mi^Dscboul-
kiDc). — Non-transf. en sarranioe
par cond. avec les indamines. Cond.
avec la nitrosodiméthylanilinef )S4I,
116, 117 (KbardiDo). — Act. de
KSH, CAzK et SCAzK sur le dér.
cbloracélylé; dér. Bulfocyanacétylé,
S6, 136 [Grotho, FrcHchs, Bec-
kurts), — Form. par cond. du p-
xylène avec AzH'OH et AlCl», ««,
703 {Graebf). — Comb. avec Tald.
benzoîaue, S6, 763 {Hantzscb,
Schwab).
bq-Xyloquinone. Form. à part, de la
m-xylylhydroxylamine, !86, 715
(Bamberger, Brady).
p - Xyloquinone (Mélboxy-S-oxy-S-) .
Prép. â part, de l'élher méthyl. de
la diméthylphloroglucine. Propr.,
sels, éther mcthyl., oxime,lM,1139,
1140 (Bosse),
m-XYLORCiKE. Form. de Télher dié-
tbyl. à part, du p-dimëthylquinol,
ItUy 711 (Bamberger),
Xylosk. Béduct. de Toxime, It&j 587
(MaqucDoe^ Boux). — Act. du fer-
ment, mannit., SS, 991 (Gayou, Du-
bourg). — Sépar. de Tac. glycuro-
nique, ««, 200 {Ncubcrg) . — Fer-
ment., S6, 324 (Saikowski).
m-XYLYLCÉTONE (MÉTHYL-) (A/DIIIO-at-
ebloro-). Prép. par cond. de Tacé-
tylxylidine avec le chlorure decblor-
acétyle. Propr., sels, dér. acélylé,
benzoylé^ nitré, 9%, 634 (Kunc-
kcll).
m-XYLYLB. Prép. et propr. des iso-
sulfocyanate, disulfure, benzoylimi-
«o-dithiocarbonate et benzoylditLio-
carbamate, ««, 1098 (Wbeekr,
Johnson).
m-XvLYLE-BENZYLE (Sulftipc). Propr.,
S6, 1098 (Whoeler, Jonhson).
o-Xylylène (Bromure). Comb. avec
les a.a'-djphénylpipéridines isom.,
««, 1172 (ScboUi).
P-Xylylène (Bromure). Comb. avec
div. aminés grasses et aromat. et
avec la strychnine, ««, 986 {Manou-
kian).
Xylylbne-dis-pyhidiniuii. Voy. Py-
BIDINIUM.
Xylylène-bis-quinolkinium. Voy. Qui-
NOLÉINIUM.
P -XyLYLÈNE - bis - TRIKTU YLA^MONIUM
(Bromure). Prép., propr., ••, 987
{MaDoukJan).
p ' Xylylène-bis-tripbopylamiiomum
(Bromure). Prép., propr., sels, €•,
987 (Manoukién).
o-XYLYLicNE-DiAMiME. Prép. dcs isom.
3.4, 3.5, 3.6 et 4.5 par réd. des
nitro-o-xylidines corresp., propr.,
se, 1094 (XoeJUng, Braun, Tbcs-
mar).
jn-XYLYLkffE-DiAMfNE. Prép. de« isom.
2.4 et 4.6 à part, des ac. mésitylé^
niques dinitrés-2.4 et 4.6. Propr.,
dér. dibenzoylés, 90, 480 (B«m£cr-
gcr, Dvmuth).
P-Xylylène-diamine (Bis - di - isovu*
TYL-). Prép., propr., sels, <•, 966
[Manoukian).
— (Bis-DiPHÉNYL-t Prép., propr., selm,
se, 986 {Manoukiaa).
Xylylkns-dipipéridine. Voy, Pipsai-
DINE.
0-Xylylène-hydrazim. Prép. à part,
du nitroso-dihydro-iso-indol. Propr.,
sels. Comb. avec les ald. benzoiqae
et salicylique, S6, 217 \FravDke!),
Xylylétuane (Phényl-i. Dé'.omp. par
dist. sous pression, X%, 123 (Krat»
mert SpiJker),
id-Xylylkthtlène-diaminb (Di-).
Comb. avec Tisocy anale de ph4n>It,
«•, 266. — Prép. par comb. du
bromure d'éthylène avec la JD-xyli-
dine. Propr., sels, dér. nitrés, ^#,
419 (Semer, GoodwJo).
IB-XYLYLHYDR0XTLAMINE-l.d.9.Tranftf.
en xylénol tuUoné, SU, 7011 [Bam-
berger).
in-XYLYLHYDROXYLAMINE-1.3.4, Prép,
au moyen du nitro-zu-xylène. Propp.,
act. de SOni', IM, 714 (Bambor-
qcr^ Brady).
o-\ylylique-1.2.4 (Ald.). Form. Mr
oxyd. du pseudocumène, IBS, 1063
[Fournier).
iii-Xylylique-I.S.4 (Ac). Form. a
f>art. des lactonesoxy-hexahydrozj-
yliques. Form. du tétrahydrure a
fmrt. de Tac. bromobexabydroxyly-
ique; propr., éthors, isom. Fora
des ac. oxy-tétrahydroxylyltqoes
isom. à part, do l'anh. campborv
que. Propr., sels, lactones, ddr. bro>
mes, ««, 590, 591 itess, Ptrkia).
id-Xylylmkrcaptan. Propr., %%, 10H8
{Wbcelery Jobaaon).
id-Xylylnitrométh ANE - 1 .3.5- Pr^p .
par nitrat. du mésitylène, 9€, 719
[Bamberger, Bising^ .
Xylylquinol-1.2.4. Form. à pirL
de la xylylhydroxylamine. Propr ^
hydrHte, dér. benzoylé, imîtté;comb>
avec la semicarbazide, la p-niln>plié-
nylhydrazine. <•, 715, 716 -iUm-
berger, Brady).
P-XVLYLSULFONIQUE (Ac). PoinU d**
fU8. et d'ébuU. du chlorure,
143 (Kram, Wilke).
TABLE DES MATIÈRES.
1443
Ytterbium. Extr. de la gadoUnile,
883 {Urbain).
Yttriuii. Extr. de la gadolinite, ftS,
;^ (Urbain). — Sépar. des terres
de la cérite. S6, 69 (Mcycr, Marck-
wald). — Solub. des lerres yltri-
ques dans CœK', S6, 248 [Dross-
baeb). — Sel de Az'H, ftm, 854
(Curtius, Darapsky). — Infl. du
sulfate sur la vit. d'ozyd. des sol.
oxaliques, ItB, 659 {Jorissen, Bei-
eber). — Dos. dans la broeggerite,
SU, 952 [Hofmanny Hcidepricn).
ZÉirtB. Dos. do rbistidine, de l'argi-
nine, de la lysine et de az-amidé,
%9y 385 (Kossoi, Kutscber),
Zinc. Acl. de C sur ZnO et ZnSO\
tes, 282 {Boudouard). — Act. de
HgÔ sur les chlorure, bromure,
azotate et sulTate ; sels doubles
bas. de Zn et Hg. Oxychlorure de
Zn, 1t&, 786 (Mailbc). — Aot. de
CuiOH)^ sur ZnSO*. Sel double bas.
de Cu et Zn, S5, 968 [Becoura). —
Coelî. de partage de AzH' en Ire
CHCl' et les sol. aq. de ZnSO*, «6,
71 iDawson^ Afac Crac). — Sépar.
de Cr, Fe, Al, Mn par Na*0*, ««.
127 {Barrée). — Sépar. de Co et Ni
par H"S, «6. 132 [TreadwcllK —
Appl. de ZnSO* au dos. de As'O'
par KMnO*, ««, 249 {Kébling). —
:* Act. sur Az*H, ««, 355 {Curtius,
Darapsky). — Dos. à Tétat de phos-
Shate, SU, 367 [Dakin). —Electrol.
es sol. ammon. des sels, S6, 449
{Dawson, Mac Crae). — Précipil.
des sels par la méthyl- et la dimé-
tbylamine, ««, 456 {Herz). — Enei^
gie de l'hydrate. Act. sur KOH,
fts, 520 [Carrara, Vespignani), —
Solub. des hydrates de ZnSO' à 6
et 7 H'O. Inversion dans la pile, SU,
521 {Baroes). — Précipit. des sels
par la pipéridine, ItBj 565 {Ilerz).
— Relat. entre la conduct. éleclr. de
ZnSO* et son act. toxiaue sur les
poissons, %9t 603 {Kablcnberg,
AfohI). — Points de transf. de
ZnSO' à 6 et 7 H«0. ««, 661 ( Cohen) .
— Acl. sur AzOMI dilué, ««, 666
(Bijlort). — Distitt. de l'amalgame,
«6, 847 {J/uIett). — Thermodyn.
de l'élément normal Zn-Hg'SO* et
et de l'ôlément-amalg. de Zn-ZnSO*-
Hg«SO*-Hg. «6, 851, 852, 853
[Cobcn). — Rel. entre la pression
osmot. et la force électrom. des
piles à ZnGl* et ZnSO*, en, 878
\,Ostwald). — Inll. de Zn et ZnSO*
sur la dissol. de Cr*Cl* anhvdre,
SU. 103! {Drurkcr). — Tens. de
vap. des mél. de ZnSO* avccMgSO*,
CuSO*, MnSO*, ««, 1044 (//o/i-
maon). — Appl. de l'antimoniure à
la prép. de Sbll% ««, 1122 {Stock,
Dobi).
Zinc-cuivre (Couple). Act. sur les
chlorures d'acides, SS, 8 {Frcun-
dler).
ZiNc-ETHYLB. Act. sur los uitrites
d'alc. gras, les carbures gras nili*és
et la chloropicrine, SU, 252, 256,
258 {Bowad). — (^ond. avec le chlo-
rure de menthyle sec, S#, 505,
1014 {Koursanof). — Act. du nilro-
éthane, S6, 749 {Dunstan, Ooul-
ding). — Act. sur les dér. halojcé-
nés des amides, 96, 898 (Sliegiitz,
SIossod). — Act. sur le chlorure de
benzoyle et Téther malonique, 11%,
1068 {Michavl).
ZiNC-isoBUTTLB. Coud. avec le chlo-
rure d'isobutyryle, S6, 537 (Pon-
zio) .
ZiNC-MÉTHTLB. Act. sur Ics éthcrs ni-
treux et les nitro-parafflnes, S€,
258 {Bewad). — Act. sur le chlo-
rure de palmityle^ 9H, 285 {Ipatid,
Gravci
ZiNC-PROPTLE. Act. du uitrite de mé-
tbyle, du nitro-éthane et du nitro-
propane, ««, 254, 257, 258 {Bewad),
— Act. surlechlorocyclohexane, S6,
1080 {Koursanof \.
ZiRCOMUM. Propr. lipolyt. de l'oxyde,
«5, 699 {Hanriot). — Act. de Az*H
sur les sels, tStt, 354 {Curtius, Da-
rapsky). — Extr. de ZrO* de l'eu-
xénite. Pi*opr., tSH, 451 (Ilofmann,
Prandtf), — Electrol. de ZrCl*, ««,
599 (Brùner).
Ztmase. Propr. de la zymase de la
levure de bière, e«, 270 iAlbrrl).
— Extr. de la levure haute, S6, 930
{Macfaydon, Morris, Bowland}.
1444 ERRATA.
ERRATA
(Tome 25)
Page 1, ligne 7 en montant. — Au lieu de : Arras, lire : Assas.
Pa}xe Si), titre couran». — Au lieu de : Phisaliy, lire : Phisalix.
Page 175, ligne 13 en montant. — Au lieu de : cyoscopiques, lire : crytMot^
piques.
Page 326, ligne 10. — Au lieu de : humUotioima, lire : bumblotiaiM.
Page 529, ligne 20. — -Au lieu de : Neufchâtel, lire : Neucbâtel.
Page 561, ligne 10. — Au lieu de : Neufcliâtel, lire : Neucliâtel.
Page 617, ligne 7. — Au lieu de : acide, lire : oxyde.
(Tome 26)
Page 245, ligne 20. — Au lieu de : CaSO*, lire : CoSO*.
Page 247, ligne 1. — Au lieu de : molybdate trimonoammonique, lire : tri
lybdate monoammonique.
Page 282, ligne 2. — Au lieu de : central, lire : centrale.
Page S65, ligne 10 en montant. — Au lieu de : tude, lire : tube.
Page 562, ligne 28. — Au lieu de : do plus, lire : h plus.
Page 1009, ligne 24. — Au lieu de : t. 35, p. 535, lire : t. 2i, p. 5«.
Page 1057, ligne 12. — Au lieu de : prismes, lire : présence.
Notice tnr Scheurer-Kestner.
Page vu, ligne 40. — Au lieu de : de Refleye, lire : de Relîyc.
Le Gérant : Pikmhc Alokr
Imp, VxvL Diront, 4, rue du Bouloi. — Paris, !•' Arr».— 83.5.1902 iC!.)